E ARCHIVES DE E NECROLOGIE- HEVUE MENSUELLE Il DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fonder par J.-1H. CIIA1VCOT 1 l
). F. RAYMOND I'ofescur de clinique des m.dlltlies du système
nerveux
à L Faèullé de médecine de Paris. C01.LA11C
. III. Janvier 1897. N° 13. ARCHIVES DE NEUROLOGIE 1 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. , L'OBSESSION DE LA ROUGEUR (ÉREUTHOPHOBIE) ;
psychopathologique. Archives, 2° série, t. III. 1 2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. on le sait, d'un sentiment de trouble et de co
des délicats, des candidats à la tuberculose, des arthritiques, des
nerveux
, hystériques, neu- rasthéniques, ayant le plus
rons les suivants, qui peuvent passer pour typiques. 4 pathologie
NERVEUSE
. Une jeune fille est prise à dix-huit ans de ch
servation 1. - J. X..., vingt-quatre ans, étudianten médecine. Père
nerveux
, émotif, à émotion se traduisant par des afflux d
rivent aussi très facilement. A dix-huit ans, crise de B pathologie
NERVEUSE
. neurasthénie, troubles gastriques, maux de têt
ns, sauf un, âgé aujourd'hui de trente-sept ans. Tous avaient des
nerveux
, des alcooliques ou des tubercu- leux dans leur
alement, ils sont mieux le matin que le soir.Toutefois 8 PATHOLOGIE
nerveuse
. lorsque vient la nuit, ils recouvrent à la fav
ueur plus ou moins abondante et plus ou moins généra- 10 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lisée, parfois compliquée d'autres phénomènes
ons cliniques), thèse de Reneurel, Bordeaux, 1896. '12 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. , à mâcher, à faire quelque' chose, comme celu
u cerveau. Que voulez-vous ? Mourir pour mourir ! » 14 " PATHOLOGIE
NERVEUSE
. On voit suffisamment par ce qui précède que l'
, vingt-un ans, étudiant, très intelligent, instable, pessi- miste,
nerveux
, impressionnable, sujet aux palpitations, est att
e souffre beaucoup. L'idée que je ne pourrai me déga- 16 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ger, fuir, que forcément on me verra rougir, a
lle est atteinte d'asthme=. II. Antécédents personnels. Tempérament
nerveux
, affaibli. ' Le malade fait ici allusion à une
d'autres points ont été unanimes à me dire : * Cela tient à un état
nerveux
prononcé. » Une particularité : si j'entre dans
te, un peu pénible. Archives, 2" série, t. III. 2 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ne rougissais que quand on m'adressait la paro
la négation. Ainsi aujourd'hui je suis convaincu que 2Û PATHOLOGIE
NERVEUSE
. · comme le dit Biieliiier dans « Force et Mati
lirift sur Psy- chiatrie. B. 3, IL 1895). U>. U). PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il n'est pas sans intérêt de faire remarquer q
nom de délire émotif et les à rattachées à une névrose du système
nerveux
ganglionnaire 1. L'état actuel de nos connaissa
rougir, et cela non 'More). - Le délit e émotif, névrose du système
nerveux
ganglion- naire (Arch. générales de médecine, 1
pondérance absolues, dans la phobie et la rougeur, de 24 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'élément affectif. C'est que les crises de ro
ifications morbides qui s'effectuent dans la nutrition, des centres
nerveux
, et dont un résultat est la diminution de l'éli
des aliénistes et neurologistes, Nancy, 1896. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4S 5 voit qu'elle paraît osciller dans sa mass
médico-psychologiques, décembre 1896.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. UN CAS DE CHORÉE CHRONIQUE CHEZ L'ADULTE AV
té gauche ; à l'examen histologique, la pie- 46 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mère est épaissie, adhérente par endroits il l
combinaison de signes cliniques avec des modifications du système
nerveux
central analogues à celles qu'on rencontre dans
ciés à la tumeur, à l'abcès, à l'hémorragie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 47 Dans les méningites de types aigus et subai
sédentaire, irrégulier, dans le surmenage, l'épuisement du système
nerveux
général, associés à des prédispo- sitions névro
le de faire prendre au nègre aucun médica- 48 ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment lorsque les symptômes visibles ont dispar
s de dyspnée avec vomissements : le malade a ,, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 49 également souffert d'une affection pulmonai
bruits répé- Archives, 2° série, t. III. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tés très gênants dans l'oreille droite; pas de
ue, mais les convulsions fibrillaires indiquent REVUE pi PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 51 une lésion aiguë du centre bulbaire de l'hy
Graves par- lait desiaireclions causées par l'altération du système
nerveux
péri- phérique. Depuis, l'existence de ces lési
périphérique et de déterminer en outre ce qu'on entend par système
nerveux
périphérique d'une part, et système central de
meron, I.lIIarinesco rappelant les travaux 82 * REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de MM. Charcot, Marie et Souques, appelle l'at
r les cas de névrite périphérique liés à des altérations du système
nerveux
central avec troubles trophiques. A. M. XI. C
la diathèse lépreuse et même activer l'apparition de complications
nerveuses
centrales si l'on en juge par l'éclosion précos
aralysie et contracture des extrémités. A. M. XIII. Complications
NERVEUSES
DES maladies infectieuses ; par H. IIANDRORD. (
cription définitive. Le progrès de nos connaissances sur le système
nerveux
permet d'en expli- quer le mécanisme et la path
ntile l'a éclairé clinique- ment. On peut diviser les complications
nerveuses
des maladies infectieuses en différentes classe
eau et ses membranes; 2° la moelle ou ses enveloppes; 3° le système
nerveux
périphérique. Ces différentes lésions peuvent êtr
n, Donkin, Barlow, Gowers, Bury, Griffiths, etc. A. M. XIV. SURDITÉ
NERVEUSE
; par GItANT. (British médical Journal, 16 nove
r l'importance de la recherche des causes ayant provoqué la surdité
nerveuse
. Il préconise l'emploi de REVUE DE PATHOLOGIE N
é la surdité nerveuse. Il préconise l'emploi de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 53 la pilocarpine et du galvanisme, considère
idère comme de nature fonc- tionnelle la plupart des cas de surdité
nerveuse
et termine en étu- diant l'influence de l'insén
et de la jugulaire en trois endroits. A. M. 54 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. r XIX. Cas de cécité brusque ET de brusque res
s filiforme, température 38 ? Pas d'antécédents REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 55 de nature névropathique ni héréditaires ni
demain matin : angoisse extrême, lividité de 56 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la face, rigidité des muscles thoraciques, con
es antécédents connus, l'ab- sence de signes de lésions des centres
nerveux
l'ensemhle des symp- tômes entraine le diagnost
me quand la substance grise anté- rieure de la moelle et le système
nerveux
périphérique ne présentent t 58 REVUE DE PATHOL
système nerveux périphérique ne présentent t 58 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que des modifications histologiques à peine ap
mba à une pneumonie. L'examen microscopique a porté sur les centres
nerveux
, le nerf crural et une portion du muscle quadri
f crural et une portion du muscle quadriceps fémoral. Les centres
nerveux
n'ont présenté aucun signe d'altération. Il n'e
cle suivie de raideur des membres inférieurs et REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. oU fourmillements des mains. En 1892, rigidité
signifiante, qui ressemble à un léger clonus 60 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ou à une oscillation latérale il droite ou à g
du tympan. La persistance des douleurs si vio- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 61 1 lentes qui, dépassant la région de la fac
s vaisseaux. 11 est à remarquer que la lésion 6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
." des artères s'attaque surtout à la tunique in
al et l'anal- . gésie bilatérale du péronier. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 63 jambe fortement tendus ; on les sent à la p
ont on discute actuellement l'importance. Ce 64 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sont les granulations qui, dans le corps des c
s du corps de la cellule. Ces granulations colorables de la cellule
nerveuse
, seraient pour Benda des parties du corps organ
s figures sont de l'acide nucléique. Les granulations de la cellule
nerveuse
ont donc une importance fonctionnelle extrême,
l montrent ce qui suit : la substance fondamen- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 6b taie ne se voit plus, ou bien dans la cellu
non dans les prolongements cylindraxiles qui, eux, sont des organes
nerveux
purs. P. Ii6R.IVAL. Aucun es, 2° série, t.
e de l'isolement rigoureux se meurt, que l'avenir est au pathologie
NERVEUSE
. 95 système de liberté et que, tant dans l'inté
lle, notre devoir est d'aider à son déve- loppement '. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'H
HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL. THÉORIE DES NEURONES. par Jules SOUR
- cerveau est si intimement liée à celle de l'histologie du système
nerveux
central et périphérique que les travaux des gra
me qui, au sujet des méthodes de coloration des éléments du système
nerveux
, a écrit que les procédés de Weigert et de Golg
mière méthode d- Golgi, la méthode lente : des fragments du système
nerveux
étaient laissé ? dans une solution de bichromat
plus de précipité, ils étaient prêts pour les coupes. 96 pathologie
NERVEUSE
raitre, avec une puissance incomparable, les él
avec une puissance incomparable, les éléments essentiels du système
nerveux
, les cellules avec leurs prolongements ramifiés,
position des principaux problèmes de l'anatomie générale du système
nerveux
, tels que Golgi les a conçus, et nous indiquero
a révélé les lois de leur fonctionnement : dans l'étude du système
nerveux
, l'anatomie était encore la ser- vante de la ph
ie ne met pas en doute qu'entre les différentes parties des centres
nerveux
il n'existe une liaison intime, condition de la
ure et la morphologie élémen- taire des organes centraux du système
nerveux
, idées alors em- pruntées à Gerlach, à JCIIULTZ
diquait l'existence, dans l'écorce cérébrale, de couches d'éléments
nerveux
, à morphologie différente, réguliè- rement stra
it en rayonnant dans l'écorce. Dans la troisième couche, les fibres
nerveuses
issues de la base des petites pyramides commenc
la surface de l'écorce. La stria- lion du protoplasma des cellules
nerveuses
sur les pièces traitées par les solutions d'aci
o/'del'hÏ1'IIS, 1892. Archives, 2° série, t. III. 7 98 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. raies », qui, dit-il, prennent part à la forma
oujours l'opinion qui tend à faire dériver la fonction d'un élément
nerveux
de la- forme de cet élément ; il combat donc l'
41, avait découvert, à la surface de l'écorce, une couche de fibres
nerveuses
à myéline. Exner, avec sa méthode de coloration
l compare les fibres à des fils de chanvre), d'une couche de fibres
nerveuses
myélilliques, d'épaisseur et d'orientation vari
lilliques, d'épaisseur et d'orientation variées 1. Outre les fibres
nerveuses
à direction parallèle de la surface de l'écorce
enfant nou- veau-né, Exner ne trouva dans cette couche aucune fibre
nerveuse
à myéline, mais de très grosses cellules, pourv
stries des six couches de Baillarger, est constitué par des fibres
nerveuses
à myéline dont la direction n'est point, chez t
ué sa méthode il l'étude histolo- gique d'autres parties du système
nerveux
central, telles que le cervelet et la moelle ép
jusqu'alors, les directions et les connexions de ces grandes voies
nerveuses
centripètes qui seules expliquent, par le reten
d'Exner : l'un montre les formes et la disposition des corpuscules
nerveux
, qui sont la condition même de l'élaboration des
iques ; l'autre ne laisse guère apercevoir qu'un feutrage de fibres
nerveuses
à myéline, dont le caractère change aux différent
x méthodes se complètent. Par quels caractères propres la cellule
nerveuse
se distingue- t-elle au point de vue objectif d
u point de vue objectif des autres éléments anatomiques des centres
nerveux
? Golgi définit la cellule nerveuse, une cellule
éléments anatomiques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule
nerveuse
, une cellule munie d'un prolongement spécial, t
elle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule
nerveuse
? Selon Golgi, les caractères du protoplasma vé
otoplasma vrai n'existait que dans la partie centrale de la cellule
nerveuse
qui environne le noyau. Golgi a rappelé que la
e noyau. Golgi a rappelé que la structure fibrillaire de la cellule
nerveuse
a déjà été reconnue par Bemak (1853), et que d'
reconnue par Bemak (1853), et que d'autres observa- 100 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. teurs (Beale, Fromman, Kolliker) en avaient ég
e que Sclultze (1865, 18G8, f871), en étudiant les grosses cellules
nerveuses
du cerveau des torpilles, pût se con- vaincre d
r la nature des parties chromatiques et achromatiques de la cellule
nerveuse
, de Vissl, de Benda, de Lugaro, etc. Il n'y a p
8, ait déjà été agitée par Walther ' : il estimait que les cellules
nerveuses
ont le pouvoir d'exécuter, dans une certaine me
des. Walther avait pu observer directement ce fait sur les cellules
nerveuses
de cerveaux congelés de grenouilles, au moment
rsistance de la contmctililé du protoplasma cellulaire des cellules
nerveuses
. Les prolongements de la cellule nerveuse sont
ellulaire des cellules nerveuses. Les prolongements de la cellule
nerveuse
sont de deux sortes : l'un, toujours unique, af
, affirmait Golgi, et qui va constituer le cylin- draxe d'une fibre
nerveuse
à myéline, est le prolongement ner- veux ; les
- yements protoplasmiques. Physiologiquement, toutes les cellules
nerveuses
sont donc unipolaires ; ce n'est que morphologiqu
irectement, de manière à former un réseau inextricable de fibrilles
nerveuses
amyéliniques, donnant pourtant naissance à leur
cette hypothèse, alors la plus généra- lement admise, les cellules
nerveuses
affectaient deux modes de connexion avec les fi
lules nerveuses affectaient deux modes de connexion avec les fibres
nerveuses
: d'une part, au mojen des 1 Walther. ! 7;t<
3, 1873. HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 101 prolongements
nerveux
ou cylindraxiles ; de l'autre, au moyen des ram
le, et les rapports fonctionnels des différentes régions du système
nerveux
. Malheureusement, les plus célèbres histologist
si grand relief, les plus fines et les plus délicates arborisations
nerveuses
. Un examen minutieux de plusieurs centaines de
Anat., p. 19.) Selon Golgi, loin de donner naissance à un réticulum
nerveux
, les ramifications des prolongements protoplasm
les ramifications des prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
, dont l'orientation vers la surface des circonvol
e purement trophique : ils ser- vaient à la nutrition de la cellule
nerveuse
. de pense, disait Golgi, qui a persisté, avec q
a névroglie, le plasma nutritif arrive aux éléments essentiellement
nerveux
; il serait du reste difficile decom- prendre pa
oie la matière nutritive arriverait à ces éléments. » Si les fibres
nerveuses
ne dérivent ni directement ni indirectement des
oyen d'anastomoses diver- ses, soit dans l'hypothèse d'un réticulum
nerveux
diffus. Quelle est alors, pour Golgi, l'explica
alors, pour Golgi, l'explication anatomique de l'origine des fibres
nerveuses
de la substance grise ? Comment s'établissent e
tence ? Quant à la première question, celle de l'origine des fibres
nerveuses
dans les diverses provinces du système nerveux
origine des fibres nerveuses dans les diverses provinces du système
nerveux
central, le prolongement nerveux, sans doute d'
les diverses provinces du système nerveux central, le prolongement
nerveux
, sans doute d'origine nucléaire, loin de se mai
fibre à myéline, émet toujours, à une distance plus ')02 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ou moins grande de la cellule, des ramuscules
arborescents, dont la forme varie, et sert à distinguer les fibres
nerveuses
en deux catégories distinctes : 1° les unes, to
urir, par ces ramifications secondaires, à la formation d'un réseau
nerveux
qui existerait dans toute l'épaisseur de la sub
cline à croire que ces innombrables ramifications des prolongements
nerveux
s'anastomosent entre elles pour former un vérit
evenir le cylindraxe d'une fibre à myéline, sont issues de cellules
nerveuses
qui rappellent celles des cornes antérieures de
érieures et de la substance de Holando. Delà deux types de cellules
nerveuses
en rapport avec ces deux catégories de fibres n
de cellules nerveuses en rapport avec ces deux catégories de fibres
nerveuses
. Les cellules du premier type seraient motrices,
olgi l'explique encore par les anastomoses reliant, dans son réseau
nerveux
diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des pro
rveux diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolon- gements
nerveux
moteurs des cellules du premier type avec celles,
ype avec celles, en nombre infiniment plus grand, des prolongements
nerveux
sensitivo-sensoriels des cellules du deuxième t
ttribuer, écrivait Golgi, aux fibrilles qui, émanant du prolongment
nerveux
des cellules du premier type (supposées motrice
s le réticulum diffus, constitué essentiellement de prolongements
nerveux
des cellules du deuxième type (cellules sensitivo
anastomoses directes des prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
ou dans le réseau diffus, également hypothétiqu
RE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 103 Mais l'idée d'une transmission
nerveuse
isolée, soit centripète, soit centrifuge, entre
a point de base anatomique dans cette conception d'un réseau diffus
nerveux
de l'écorce, constitué, non par l'anastomose de
stitué, non par l'anastomose des prolongements directs des cellules
nerveuses
, mais par les ramifications ultimes et latérale
ndues. Telle est bien, en effet, la doctrine de Golgi. Chaque fibre
nerveuse
, loin de se trouver isolément en rapport avec u
n avec des groupes étendus de cellules. Inversement, chaque cellule
nerveuse
des centres nerveux peut être en rapport avec u
endus de cellules. Inversement, chaque cellule nerveuse des centres
nerveux
peut être en rapport avec un certain nombre de
s localisations fonctionnelles du cerveau, de voies de transmission
nerveuse
« électives », et de territoires corticaux où c
e « électives », et de territoires corticaux où certaines fonctions
nerveuses
« prévali- draient », mais sans délimitation ri
itation rigoureuse. Enfin, les variétés morphologiques des éléments
nerveux
corres- pondent-elles à des fonctions différent
rlain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules
nerveuses
, si l'on n'observe les rapports de ces éléments
digne de foi. Ajoutez que, si la structure anatomique des cellules
nerveuses
ne sauraitnous renseigner sur leurs fonctions,
rveau, une indication physiologique quelconque. Dans 104 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. toutes les régions des cenlres nerveux, les de
que. Dans 104 PATHOLOGIE NERVEUSE. toutes les régions des cenlres
nerveux
, les deux types de cellules qu'il a distingués
niquement par la direction et les rapports périphériques des fibres
nerveuses
. La spécificité de fonction des diverses zones
pas d'autre moyen de déterminer l'activité spécifique des cellules
nerveuses
que l'élude ' Betz in Kiew. Lebel' die feinere
HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 105 de leurs prolongements
nerveux
. Toutefois, arrivé au terme de son grand ouvrag
ire à une cellule motrice, tant qu'on n'a point vu son prolongement
nerveux
constituer une fibre des racines antérieures ?
avec la coloration noire la fine et délicate structure des éléments
nerveux
apparaît avec d'autant plus de netteté que les
du premier type sont en rapport direct, non isolé, avec les fibres
nerveuses
; je pourrài dire dorénavant, et avec toute raison
es; je pourrài dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules
nerveuses
motrices (cellule 7ze ? ,uose motrice), sont en r
7ze ? ,uose motrice), sont en rap- port, non isolé, avec les fibres
nerveuses
(du mouvement). » Quant aux autres cellules ner
ec les fibres nerveuses (du mouvement). » Quant aux autres cellules
nerveuses
, à celles du deuxième type, dont le prolongemen
cellules nerveuses, à celles du deuxième type, dont le prolongement
nerveux
se subdivise en fibrilles de plus en plus ténue
en fibrilles de plus en plus ténues, qui vont constituer le réseau
nerveux
diffus de l'écorce cérébrale, < elles peuven
le di senso). De ces études de Golgi sur l'histologie des centres
nerveux
se dégageait une conception de la structure de
s et aux observations des cliniciens sur les fonctions du sys- tème
nerveux
central. Ferrier et Exner avaient vu, comme Tambu
estructives, des centres corticaux de la sensibilité 106 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. générale ou spéciale, déterminer des réactions
anatomiquement, les deux formes d'activité spé- civique du système
nerveux
central ont un siège commun, où leurs éléments
249.) Cette thèse ne vaut point, à la vérité, pour tout le système
nerveux
central : Golgi reconnaît que les régions motri
ions motrices et sensitives de la moelle épinière, que les cellules
nerveuses
des cornes anté- rieures et postérieures sont r
olgi fonde sur l'existence des deux types distincts de ses cellules
nerveuses
, mêlées et confondues dans toutes les provinces
erveuses, mêlées et confondues dans toutes les provinces du système
nerveux
central, une loi générale, qui depuis a été sou
ormes d'activité spécifique (sensi- bilité et mouvement) du système
nerveux
central ». Ainsi, « il 1 aura mélange, dit-il,
par la spécificité de l'organe auquel, périphériquement, les fibres
nerveuses
vonz aboutir, et non point par une spécificité
te de Vienne enseignait que « les énergies spécifiques des cellules
nerveuses
ne sont que le résultat des différences existan
rminaux des nerfs, et que la seule énergie spécifique de la cellule
nerveuse
, c'est la sen- sibilité (Empfindungsfoehigkeil)
es éner- gies fonctionnelles spécifiquement différentes. La cellule
nerveuse
ne possède qu'une seule énergie fonctionnelle :
s périphériques des sens, non aux énergies spécifiques des cellules
nerveuses
des différentes aires corticales du cerveau, que
aire devrait être appelée motrice, et non pas le nerf ni la cellule
nerveuse
qui innervent le muscle : « Le nerf ni la cellu
cellule nerveuse qui innervent le muscle : « Le nerf ni la cellule
nerveuse
ne renferment un principe moteur. » (Meynert. P
- reils musculaires, tendineux, etc., annexés à ses prolongements
nerveux
moteurs : « La substance grise et blanche du cerv
ald, 1890, in-8° (X internat, medicin. Congress). '108 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Max Schulze. Les fibres nerveuses qui sont lié
n. Congress). '108 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. Max Schulze. Les fibres
nerveuses
qui sont liées à ces organismes élémentaires, n
e leurs prolongements; la seule différence, c'est que les filaments
nerveux
sont~des formations permanentes. La forme ou l'
r de chercher à distinguer entre elles les cel- lules et les fibres
nerveuses
, et à supposer des différences dans leurs proce
férences dans leurs processus internes. L'état interne des cellules
nerveuses
, c'est l'aptitude à sentir l' (Em.p(indun¡Js{æh
férenciées et transformées du tégument cutané : toutes les cellules
nerveuses
de ces organes sont la postérité de cellules ép
e de l'écorce cérébrale. L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments
nerveux
constituant ces centres résulterait de cette obse
ale, démonstration dirigée contre W. Wundt, dont les 110 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. idées à ce sujet ne diffèrent guère de celles
à ce sujet ne diffèrent guère de celles de Meynert. Les élé- ments
nerveux
de l'écorce cérébrale étant fonctionnellement i
tition d'un mode uniforme d'excitation. Si la fonction des éléments
nerveux
d'un de ces centres vient à être inhibée ou aboli
un de ces centres vient à être inhibée ou abolie, d'autres éléments
nerveux
de l'écorce seront capables de la suppléer. Ain
veux de l'écorce seront capables de la suppléer. Ainsi, une cellule
nerveuse
qui, en vertu de ses connexions ana- tomiques,
uire une sensation tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellule
nerveuse
de l'écorce qui, par l'intermé- diaire du résea
e cellule nerveuse de l'écorce qui, par l'intermé- diaire du réseau
nerveux
central de Golgi ou de Gerlach, serait en rappo
cas inutile l'hypothèse de toute fonction spécifique des centres
nerveux
corticaux. Cependant l'ablation des deux sphères
pour les fonctions de la sensibilité. Par exemple, si les cellules
nerveuses
des sphères visuelles n'ont rien qui les différ
is que le travail de Golgi, Recherches sur l'histologie des centres
nerveux
, publié dans les Archives italiennes de biologi
es anastomoses entre les prolongements soit proto- plasmiques, soit
nerveux
, des cellules nerveuses, Forel se demande pourq
es prolongements soit proto- plasmiques, soit nerveux, des cellules
nerveuses
, Forel se demande pourquoi l'on continuait à pa
uoi l'on continuait à parler de ganglions d'interruption des fibres
nerveuses
, de réseau nerveux diffus de l'écorce, etc. S'il
parler de ganglions d'interruption des fibres nerveuses, de réseau
nerveux
diffus de l'écorce, etc. S'il n'exis- tait pas
lindraxiles, et, de fait, il n'avait jamais pu apercevoir le réseau
nerveux
de Golgi, non plus d'ailleurs que Kiilliker. Dans
ches de Golgi (loc. cit.), il remarque expressément que ce réseau
nerveux
ne lui est pas suffisamment prouvé et que c'est u
o- thèse à abandonner que celle des anastomoses des prolongements
nerveux
des cellules, puisque aucun fait ne l'appuie. Kol
Golgi : celle que « les prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
ne seraient t pas dénature nerveuse ». Golâi,di
s protoplasmiques des cellules nerveuses ne seraient t pas dénature
nerveuse
». Golâi,diait-il, fonde celle étonnante hypo-
dans des régions de l'écorce « où ne se rencontrent point de fibres
nerveuses
à myéline ». Voici d'ai Heurs les paroles mêmes d
ine ». Voici d'ai Heurs les paroles mêmes de Gol;i : 112 PATHOLOGIE
NERVEUSE
z En manière de conclusion, je me crois autoris
protoplasmiques ne prennent aucune part à la for- mation des fibres
nerveuses
; elles se maintiennent constamment indépendant
« tendance à se porter dans des régions où n'existent pas de fibres
nerveuses
». Ces régions étaient les couches supérieures
e son côté, à nier toute anasto- mose entre les éléments du système
nerveux
central : chaque fibre nerveuse n'était que le
mose entre les éléments du système nerveux central : chaque fibre
nerveuse
n'était que le prolongement d'une cellule nerveus
l : chaque fibre nerveuse n'était que le prolongement d'une cellule
nerveuse
et la transmission des excitations de cellules
ramifications terminales elles colla- térales de ces prolongements
nerveux
. On sait que, d'une manière indépendante, et sa
oins en moins pourquoi la conti- nuité des plus fines ramifications
nerveuses
serait un postulat phy- siologique. Pour expliq
ns continuité directe ; il en pourrait être de même pour le système
nerveux
. » Puis, pourquoi parler encore de cellules mot
, une cellule périphérique de sensibilité d'où sort un prolongement
nerveux
, comme des cellules du premier type : c'est de
cette cellule périphé- rique que part le nerf qui gagne le système
nerveux
central, où elle ' V. His. -Zur Gescleiclzle de
ules du deuxième type : la seule diffé- rence, c'est que la cellule
nerveuse
d'où sort la fibre sensitive ou sensorielle est
on n'a point le droit d'appeler sensibles ou motrices ces cellules
nerveuses
. Seul, le mode de terminaison d'une fibre parai
st bien aussi de l'Ecole de Golgi, les prolon- gements des cellules
nerveuses
sont de deux sortes, nerveux et pro- toplasmiqu
gi, les prolon- gements des cellules nerveuses sont de deux sortes,
nerveux
et pro- toplasmiques : ceux-ci, orientés vers l
inage des vaisseaux sanguins et servent à la nutrition des cellules
nerveuses
; il n'existe point d'anastomoses des cellules n
es cellules nerveuses; il n'existe point d'anastomoses des cellules
nerveuses
au moyen de ces prolongements. Les prolongements
quelques ramuscules latéraux, vont constituer directe- ment un tube
nerveux
, ou bien encore ils perdent leur individua- lit
. Nansen a vu aussi, dans la moelle épinière des myxines, des tubes
nerveux
sortir directement des cellules des cornes anté
des racines postérieures seraient formés de la réunion de fibrilles
nerveuses
. Avec Golgi on peut, dit-il, appeler moteurs le
appeler moteurs les premiers, sensibles les seconds. Les cellules
nerveuses
n'ayant absolument aucun rapport direct entre ell
tion des arcs réflexes et à l'importance physiologique des cellules
nerveuses
, ne peut plus se soutenir, du moment où ces der
n'ont pas entre elles de communication directe, et où les cellules
nerveuses
centrales offrent tout aussi peu de communica-
es offrent tout aussi peu de communica- tion directe avec les tubes
nerveux
sensitifs ou centripètes. » L'arc réflexe est c
ses ramifications fibrillaires, passant directement dans le réseau
nerveux
central de l'écorce ; 2° par la propagation de
ission des excitations jusqu'aux fins ramuscules latéraux des tubes
nerveux
centrifuges. « Il suit que l'incitation est tra
ise aux centres supérieurs sans passer directement par les cellules
nerveuses
. On peut admettre de la même façon, continue Na
i émergent des centres supérieurs, se rendent directement aux tubes
nerveux
centrifuges des centres nerveux inférieurs sans
s, se rendent directement aux tubes nerveux centrifuges des centres
nerveux
inférieurs sans passer par les cellules nerveus
rifuges des centres nerveux inférieurs sans passer par les cellules
nerveuses
de ces centres. Il est par consé- quent impossi
res. Il est par consé- quent impossible d'admettre que les cellules
nerveuses
des centres Archives, 2° série, t. III. 8 114
erveuses des centres Archives, 2° série, t. III. 8 114 PATHOLOGIE
NERVEUSE
nerveux inférieurs possèdent une importance dir
s centres Archives, 2° série, t. III. 8 114 PATHOLOGIE NERVEUSE
nerveux
inférieurs possèdent une importance directe, auss
érieurs 1. Quel est donc le siège de l'activité centrale du système
nerveux
, de l'intelligence, de la conscience ? Ce siège
complexité de structure du réseau. Quant aux cellules des centres
nerveux
, déchus de leurs fonctions psychiques, devenues d
entres trophiques, elles ne serviraient qu'à la nutrition des tubes
nerveux
et de leurs innombrables ramifications. En Ital
difficulté d'avouer que l'absence de transmission isolée des fibres
nerveuses
qui communiquent entre elles dans le vaste rése
c la doctrine, ou plutôt avec le postulat de la double transmission
nerveuse
(centripète et cen- trifuge, 1881). Bianchi, to
la sensibilité et de la motilité volontaire, pourquoi les cellules
nerveuses
centrales des divers organes de la sensibilité et
aient être morphologiquement distinctes. Les deux sortes d'éléments
nerveux
coexistent dans la zone visuelle, parce qu'il n
centres moteurs et pour les centres d'arrêt : parlout les éléments
nerveux
de la sensi- bilité et du mouvement devaient êt
S CONTEMPORAINES '1'11> pas sans doute au moyen de transmissions
nerveuses
isolées, mais en quelque sorte « électives ». D
tion de la nature anatomique et du rôle physiologique de son réseau
nerveux
dif- fus des organes centraux du système nerveu
ique de son réseau nerveux dif- fus des organes centraux du système
nerveux
. Il y soutient, contre les récentes négations »
» des histologistes et des physiologistes, l' « existence du réseau
nerveux
diffus de la substance grise des centres *. Ce
ellulaires ». Quant à la provenance de ce réseau, tous les éléments
nerveux
, sans exception, des organes centraux, entrent
éminent anatomiste. Mais, pour ce qui est de la nature de ce réseau
nerveux
diffus, s'agit-il toujours d'un réseau au sens
vers groupes de cellules et entre les diverses provinces du système
nerveux
cen- tral. » Il ne croit plus, pour la même rai
on sait autorise pourtant pleinement à croire qu' * une seule fibre
nerveuse
peut avoir des rapports avec un nombre infini d
nerveuse peut avoir des rapports avec un nombre infini de cellules
nerveuses
centrales ainsi qu'avec les parties les plus di
ogique » domine toutes les manifestations physiologiques du système
nerveux
, et partant la question des localisations fonct
er. II, vol XXIV, fasc. V111 e IX. Milano, 1891. 116 ? ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
3. û'i ~· i nerveux aucun fondement qui puisse
V111 e IX. Milano, 1891. 116 ? ' PATHOLOGIE NERVEUSE 3. û'i ~· i
nerveux
aucun fondement qui puisse servir d'assise à ces
'organisation caractéristiques pour les diverses parties du système
nerveux
central en rapport avec les fonctions spéciales e
ons des organes périphériques des sens; 3° marche isolée des fibres
nerveuses
depuis les organes destinés à revoir les impres
nature propre des organes périphé- riques avec lesquels les fibres
nerveuses
sont en rapport, les faits histologiques étant
s organes périphériques. Sur le second point, l'existence du réseau
nerveux
, qui envahit toute la substance grise centrale,
etc., et repré- sente un tissu continu interposé entre les cellules
nerveuses
, dont l'unique destination est de relier foncti
lrice. Enfin, quant au troisième point, la marche isolée des fibres
nerveuses
des organes périphériques des sens aux centres
s fibres nerveuses des organes périphériques des sens aux centres
nerveux
, c'est un postulat encore incompalible avec le fa
ible avec le fait que, avant de pénétrer dans ces centres, la fibre
nerveuse
envoie, sur tout son parcours, nombre de fibres
racter les rapports et les connexions les plus divers. « Les fibres
nerveuses
non seulement ne sont pas en rapport indi- vidu
elles contractent des rapports avec des groupes étendus de cellules
nerveuses
; inversement, toute cellule nerveuse des centres
s groupes étendus de cellules nerveuses; inversement, toute cellule
nerveuse
des centres peut être en rapport avec ces mêmes
ule nerveuse des centres peut être en rapport avec ces mêmes fibres
nerveuses
, et cette connexion peut vraisemblablement avoi
t cette connexion peut vraisemblablement avoir lieu avec des fibres
nerveuses
qui HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES 117 7
ent à la distribution de ces fibres, tout conspire, dans le système
nerveux
central, à rendre plus étendus et plus compliqu
ndus et plus compliqués les rapports des divers groupes de cellules
nerveuses
et ceux des différentes provinces de ce système.
aires centrales exactement déli- mitées de distribution des fibres
nerveuses
». Mais Golgi croit tou- jours à l'existence de
i di prevalente e più diretta distribuzione délie fibre. Les fibres
nerveuses
venant de la périphérie ou allant vers celle-ci
» : celui du revêtement myé- linique dont sont pourvues les fibres
nerveuses
cérébro-spinales dans leur trajet depuis la pér
Golgi, « une limitation dans la transmission latérale des courants
nerveux
. » Si, en anatomie comme en physiologie, l'existe
lontiers à reconnaitre que la continuité substantielle des éléments
nerveux
de son réseau n'est peut-être qu'une contiguïté
,' sinon isolée, du moins « prédominante et élective » des courants
nerveux
, conciliant ainsi, dans un esprit critique vrai
té dans la science. Ainsi Golgi n'admet pas l'existence de cellules
nerveuses
pourvues de deux, trois, quatre prolongements n
de cellules nerveuses pourvues de deux, trois, quatre prolongements
nerveux
, telles qu'en ont signalé en certaines régions
e la division des pro- longements cellulaires en protoplasmiques et
nerveux
, car rien 118 PATHOLOGIE NERVEUSE. n'est plus
cellulaires en protoplasmiques et nerveux, car rien 118 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. n'est plus opposé à ses idées que d'attribuer
ns propres et exclusives des cylin - draxes, éléments de son réseau
nerveux
. La formule synthétique de ces nouvelles connex
l'a résumée sous le nom de polarisation dynamique des élé- ments
nerveux
. Ainsi, la direction du courant nerveux, pour t
on dynamique des élé- ments nerveux. Ainsi, la direction du courant
nerveux
, pour toutes les catégories de cellules nerveus
irection du courant nerveux, pour toutes les catégories de cellules
nerveuses
, n'irait plus du prolon- gement cylindraxile à
la signification des différentes parties constitutives des cellules
nerveuses
1. » Il n'admet pas que, * pour les besoins de
uné du bruit que fait le triomphe de la doctrine de la transmission
nerveuse
par contiguité, et non plus par continuité, Gol
par son action isolatrice, à l'admission des « prétendus courants
nerveux
par contiguïté ». Jules SouRY. 1 C. Golgi. - Su
o e nel cadavre, Mitonna medica, 1896, n° 25. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXVII. Recherches expérimentales ET : 1VAT0)I
homme. Chez ce dernier, les fibres du ruban 120 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de Reil supérieur et sa couche principale se d
s corticales anciennes ou récentes amènent chez REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 121 l'homme une dégénérescence secondaire de
optique Fig. 1. Hémisphère d'un chat. '122 ) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. il, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE..^y 124 REVUE
chat. '122 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. il, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
..^y 124 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. présent
VEUSE. il, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE..^y 124 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. présente à la fois une station terminale pour
ne seraient que des stations intermédiaires par où passe le courant
nerveux
centripète. Les autres noyaux gris joueraient l
'en douter, et sont amenées à s'en apercevoir quand quelque trouble
nerveux
, les privant de l'écri- ture normale, les oblig
à l'envers en gaucher de l'alphabet digital des REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 125 sourds-muets ; 4° un alphabet nouvellement
par la gauche sans aucun exercice préalable de ce côté, le système
nerveux
entraîné pour un seul côté peut- envoyer les mê
. (Mère hystérique ayant subi une crise d'aliénation mentale ; père
nerveux
, dissipé, mort d'angine de poi- trine ; un frèr
ion forcée. En octobre, attaque et contrac- 126 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ture identique du membre supérieur gauche perm
que l'hystérie est seule en cause, redoute les REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 11-) -1 suites de la dénutrition et des contra
, Ossipon. A peu d'exceptions près, dit-il, les cellules du système
nerveux
central des mammifères supérieurs paraissent un
rqués, elles ne possèdent qu'un seul prolongement cylindraxile ou
nerveux
. La couche externe de l'écorce du cerveau de ces
s'anastomosent point non plus les uns avec les autres. Les cellules
nerveuses
représentent donc des éléments com- plètement s
s, Forel, Kolliker, Waldeyer) ; en revanche, il n'y a pas de fibres
nerveuses
indépendantes puisque partout elles ne sont que
tes puisque partout elles ne sont que des prolongements de cellules
nerveuses
. Les faits ne justifient point la division des
t plutôt des cellules de trains- mission à distance, à des cellules
nerveuses
éloignées, puisqu'elles se continuent en fibres
cellules nerveuses éloignées, puisqu'elles se continuent en fibres
nerveuses
. Les secondes peuvent également se rencontrer e
itation de telles cellules à telles autres cellules. Chaque système
nerveux
contient un chaînon de cellules de plusieurs ty
ant, comme les pro- longements cylindraxiles. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 129 Chacune des cellules nerveuses entre en re
ndraxiles. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 129 Chacune des cellules
nerveuses
entre en relations alternatives l'une avec l'au
des décharges par voisinage. Chaque neurone ou anneau d'un tractus
nerveux
développe des excitations nerveuses par modific
neurone ou anneau d'un tractus nerveux développe des excitations
nerveuses
par modifications moléculaires, chacun d'eux déch
e décharge développe l'excitation des éléments suivants. Le courant
nerveux
en marche (conducti- bilité) résulte donc de la
s de l'énergie dans les neurones qui servent à constituer la chaîne
nerveuse
, l'excita- Archives, 2° série, t. III. 9 130
, l'excita- Archives, 2° série, t. III. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion nerveuse de chaque neurone devant son ori
hives, 2° série, t. III. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion
nerveuse
de chaque neurone devant son origine à la décharg
res termes la déséquilibration de la tension énergique des éléments
nerveux
voisins les uns des autres donne le courant ner
ue des éléments nerveux voisins les uns des autres donne le courant
nerveux
; et il suffit pour cela qu'il y ait voisinage d
erveux; et il suffit pour cela qu'il y ait voisinage des extrémités
nerveuses
d'un neurone avec le corps ou les prolongements
le degré de résistance qu'offrirontàla transmission de l'excitation
nerveuse
tels ou tels neurones. Ainsi se produit le cour
on de l'agent extérieur, non seule- ment ils préserventles éléments
nerveux
conducteurs de l'excitation, mais ils jouent en
ent l'excitant extérieur en une modalité apte à solliciter la fibre
nerveuse
. Selon l'organisation de l'appareil périphériqu
excitation mé- canique ou chimique, avec variantes, des extrémités
nerveuses
. De là les différences radicales entre les qual
veuse qui se rend aux centres ; c'est-à-dire que : les excitations
nerveuses
engendrées à la périphérie ont déjà leur caractèr
périphérie ont déjà leur caractère propre et produisent un courant
nerveux
spécial. P. IiEB4VAL. XLI. TREMBLEMENT conséc
ce tremblement post- grippal, les auteurs supposent que le système
nerveux
de ce malade REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
, on trouve, en - dedans de celui-ci, quelques trousseaux de fibres
nerveuses
qui, de plus en plus fournis à mesure qu'on se
ération du système vasculaire qui dimi- nue la nutrition du système
nerveux
central. 6° Dans nombre de cas récents on peut
'autre côté. P. KERAVAL. X. SUR LES VOIES LYMPHATIQUES DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL; par DALE1VUD0. (Ann. di nev1'ol., alln
la MORPHOLOGIE ET la valeur DES parties constituantes DE la CELLULE
NERVEUSE
; par C. COLUCCI. (Ann. di nevrol., fasc. III, I
fication DE la méthode de WElGERT-PAL POUR la COLORATION DU SYSTÈME
NERVEUX
; par DE, I(CHELE. (Ann. di 7teuTOl., anno XIII,
des troubles apportés par le tabes dans la nutrition de la cellule
nerveuse
. (Un état gastrique particulier, se manifestant
erné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies
nerveuses
. L'Académie a reçu cinq travaux pour ce concour
erné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies
nerveuses
. Prix Orfila, 2,000 francs (bisannuel). Questio
erné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies
nerveuses
. Prix Lefèure, 1,800 francs (triennal). Questio
l'étude DE l'étiologie DE l'épilepsie; par 13ESSIGRE. L'hérédité
nerveuse
ou vésanique n'intervient dans l'épilepsie que
Essai CRITIQUE SUR L\ LOMBO-PONCTION dans LES affections DU SYSTÈME
NERVEUX
CÉRÉBRO-SPINAL; par DEGROOTE. La lombo-ponction
egrettable que l'auteur ait limité son sujet à la pseudo- grossesse
nerveuse
et en ait écarté la pseudo-grossesse vésanique
pseudo-grossesse vésa- nique est inséparable de la pseudo-grossesse
nerveuse
, dont elle est une sorte d'aggravation, et il
her dans une étude d'ensenble. L'auteur distingue dans la grossesse
nerveuse
: 1° la pseudo-grossesse propre- ment dite, dan
a chute spontanée des dents parait être due à un trouble du système
nerveux
dans le territoire du trijumeau et des vaso-mot
les convulsions éclamptiques par son action normale sur le système
nerveux
. XIII. Essai sur LE rôle PSYCHOLOGIQUE DE l'act
état général du sujet, leur distribution sans rela- tion anatomique
nerveuse
, leur rapport avec les phénomènes cri- tiques d
cides, LEUR influence au POINT DE VUE DU développement DES maladies
NERVEUSES
ET mentales. Aperçu MÉDICO-LÉGAL ; par DE PERRY
e que jamais, et leur action néfaste sur les maladies mentales et
nerveuses
, tant au point de vue cliniqne que médico-légal.
surajouté. - - E. Régis. BIBLIOGRAPHIE. II. Du rôle du système
nerveux
dans l'infection de l'appareil broncha- pulmona
imentales, a étudié l'influence qu'exercent les troubles du système
nerveux
dans les infections de l'appareil bron- cho-pul
de défense éner- giques ne fonctionnent que par l'action du système
nerveux
, et l'appareit broncho-pulmonaire se trouvera l
uer, infection d'autant plus sûre et plus pro- fonde que le trouble
nerveux
est plus grave. Expérimentalement, l'auteur nou
ique : 4° la localisation de l'infection (unilatéralité des lésions
nerveuses
périphériques et des lésions infectieuses; -croi-
ériphériques et des lésions infectieuses; -croi- sement des lésions
nerveuses
centrales et des lésions infectieuses; localisa
La fréquente coïncidence d'infections pulmonaires et d'affec- tions
nerveuses
générales ; 3° La constatation journalière d'in
ion journalière d'infections pulmonaires succé- dant à des troubles
nerveux
réflexes, démontrent les relations entre les in
elations entre les infections pulmonaires elles troubles du système
nerveux
. BIBLIOGRAPHIE. 155 Ce sont les névrites prim
is cette infection est encore favorisée par les lésions des centres
nerveux
, comme l'hémorragie cérébrale, le ramollissemen
c.). L'auteur nous indique ensuite par quel mécanisme les lésions
nerveuses
livrent le système pulmonaire à l'infection : 1
st une malformation primitive des éléments de l'ectoderme : système
nerveux
central et périphé- rique et revêtement cutané.
Feindel partage l'opinion de Recklinghausen sur le point de départ
nerveux
des fibromes; dans les deux tumeurs examinées p
Soc. méd. psych., in Leçons cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
, p. 107, Archives, 2c série, l. III. 11 i 162
- Une soeur, bien portante, mère d'enfants sains. - Pas de maladies
nerveuses
dans le reste de la famille.] , Mère, cinquante
amille.] , Mère, cinquante ans, fruitière, intelligente, sobre, peu
nerveuse
, bien portante. - [Père débardeur, quelques exc
ence lourde et bégaie un peu ». Un autre frère (de mère seulement),
nerveux
, fait des excès de boisson. Une soeur, morte id
re plus âgée). Six enfants d'un premier lit : 1° une fille un peu
nerveuse
dont un des enfants a eu des convulsions intern
e convulsions ; 2° notre malade ; 3° une fille, quinze ans et demi,
nerveuse
, peureuse, sujette à des cauchemars, a eu des c
ives est rapide; et l'action morbide n'est pas limitée aux éléments
nerveux
, elle s'exerce sur tous les tissus (vasculaire,
la lésion de la cellule est la condition primitive : par elle l'arc
nerveux
est brisé, et l'adaptation des relations intéri
e côté les cas où la folie relève d'une dégénérescence des éléments
nerveux
). L'observation tant clinique que nécroscopique
traire conserver précieusement à un tel malade toute son énergie
nerveuse
afin d'en faire bénéficier son organisme tout ent
eut pas toucher la moelle, et s'engage simplement parmi les racines
nerveuses
flottantes de la queue de cheval. Le but de l'o
et des troubles du langage consécutifs à la, frayeur. Les troubles
nerveux
des écri- vains et des artisans cèdent promptem
ale périphérique ne l'est aucu- nement : le tic convulsif, l'asthme
nerveux
peuvent être traités avec succès par ce moyen,
paraît qu'à la suit d'une certaine prédisposi- tion et d'un système
nerveux
mal équilibré est d'un système ner- veux mal éq
l'état mental des indigènes, et 2° l'état émotif, la susceptibilité
nerveuse
des indigènes chez lesquels les psychoses dégénér
n sentiment de bien-être et de gaieté. La concentration de la force
nerveuse
sur les centres où ces sentiments sont localisés
naissance (on sait que Gowers désigne ainsi les lésions du système
nerveux
qui se produisent au moment ou à l'occasion de
. Les deux derniers cas sont des exemples de symptômes mentaux et
nerveux
déterminés par des lésions traumatiques du cervea
associent aux lésions viscérales que par l'intermediaire du système
nerveux
sympathique; ce sont ceux dont on va s'occuper,
une élévation de température, de la prostration et des symptômes
nerveux
durant une semaine environ, au bout de laquelle t
idérable chez les alcoo- liques. L'alcool altère surtout le système
nerveux
et en trouble les fonctions sensorielles, motri
aces elle présentait l'aspect d'un angiosarcome. Absence d'éléments
nerveux
et de substance névroglique. Les kystes avaient
. La présence de kystes à épi- thélium avec tumeurs dans le système
nerveux
central jette quel- que lumière sur le mécanism
lésions produites par l'action de quelques poisons sur les cellules
nerveuses
corticales, par Berkley; - Classification de la
tre les antécédents héréditaires, le milieu familial, les accidents
nerveux
les maladies infectieuses subies par la « brute »
a. Vol. III. Avril 1897. N° 16. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. DGS TROUBLGS DU GOUT I : T DG L'ODO)taT DANS L
dans leurs traités : Archives, 2e série, 1. HT. 17 î 58 CLINIQUE
NERVEUSE
. Vulpian 1, dans son traité des maladies du sys
INIQUE NERVEUSE. Vulpian 1, dans son traité des maladies du système
nerveux
, écrit : « L'odorat est rarement modifié ou du
igestion difficile ». Plus loin il ' Vulpian. - Maladies du système
nerveux
, 1879, t. I, p. 330. 2 Pierret cité par Vulpian
<" 43 et li, cité par de Mas- sary dans sa thèse. 2GO CLINIQUE
NERVEUSE
. moment un tabétique percevait une odeur de mat
persécution des tabétiques.) B. Sensibilité générale. 26 CLINIQUE
NERVEUSE
. Abolition du réflexe olfactif. Diminution ou
tivement peu ou pas du tout au cours de leurs coryzas. z CLINIQUE
NERVEUSE
. Du côté du goût les réflexes sont difficiles à
précédant l'éternuement par accès et ce sont ses bran- 266 CLINIQUE
NERVEUSE
. ches de la pituitaire qui sont intéressées, et
approcher de ces troubles l'état physique de la langue 268 CLINIQUE
NERVEUSE
. et l'état des fonctions digestives. Incontesta
plus persistant et qui semble se lier plus étroitement à la maladie
nerveuse
, est caractérisé par une coloration blan- châtr
ue de la muqueuse linguale sous l'unique dépendance de la maladie
nerveuse
. La cause qui le régit, autorise le terme de lang
ntale. Blois, 1893, et la thèse de M. Rogipr (Lyon). 270 CLINIQUE
NERVEUSE
. complet : l'hallucination est présente, l'accu
èrement sujets aux pervertions du goût et de l'odorat. 272 CLINIQUE
NERVEUSE
. Marche des symptômes. Les troubles du goût et
un cas il y avait en Archives, 2e série, t. III. 18 274 CLINIQUE
NERVEUSE
. outre une soif intense et une polyurie proport
t en rapport avec ce qu'on observe dans les autres nerfs et centres
nerveux
des tabétiques, en particulier dans les ganglio
dans les ganglions correspondants au centre tro- phique des fibres
nerveuses
. Pour les nerfs rachidiens ces centres sont les
ces travées épaisses il y a beaucoup de gaines vides. Les fibres
nerveuses
examinées après action de l'acide 1 L'examen hi
ésentent des réac- tions pathologiques. Enfin la plupart des fibres
nerveuses
qui persistent avec leur enveloppe' de myéline,
au- lin, externe des hôpitaux, sont la reproduction. Les cellules
nerveuses
de ce ganglion sont nombreuses, mais petites, à
Fig. il, - Ganglions d'Andersch (glosso-phal'yngien). 276 CLINIQUE
NERVEUSE
. veux. Des deux côtés ces fibres sont également
ales, mais accusées, d'atrophie et de dégé- nérescence des éléments
nerveux
, surtout des tubes nerveux et des capillaires.
phie et de dégé- nérescence des éléments nerveux, surtout des tubes
nerveux
et des capillaires. Toutes ces lésions ont sa
w Iz r-13 m N 5 *D S I 1 ec z 278 CLINIQUE
NERVEUSE
. peuvent-elles expliquer les symptômes de perve
s ou efférenles. L'ensemble du système de ces nerfs, leurs branches
nerveuses
aussi bien que leurs cellules ganglionnaires se
e la nutrition de la pituitaire ou de la muqueuse lin- 280 CLINIQUE
NERVEUSE
. guale sont des conditions indispensables de la
HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL. THÉORIE DES NEURONES'. PAR JULRS SOU
ON Y CAJAL. Les libres terminaisons arborescentes des prolongements
nerveux
apparaissent, avec Ramon y Cajal, à la place du
ents nerveux apparaissent, avec Ramon y Cajal, à la place du réseau
nerveux
diffus de Golgi 2. A l'exception de quelques ca
tion du nerf sur le muscle. » (Leçons sur l'histologie du sys- tème
nerveux
, 1878, II, 348.) La différence entre les deux cat
78, II, 348.) La différence entre les deux catégo- ries de cellules
nerveuses
de Golgi s'est aussi évanouie : il n'y a plus q
uses de Golgi s'est aussi évanouie : il n'y a plus que des cellules
nerveuses
à prolongements nerveux longs ou courts, et tou
évanouie : il n'y a plus que des cellules nerveuses à prolongements
nerveux
longs ou courts, et toutes les formes de transi
ière, la rétine. Les branches collatérales de chaque prolonge- ment
nerveux
se terminent aussi librement que l'arborisation t
rales a profondément transformé les idées sur l'activité du système
nerveux
central. On donnait le nom de « voies courtes »
« voies courtes » ou de « commissures longues » aux prolonge- ments
nerveux
que beaucoup de cellules envoyaient, par exemple,
dans la substance grise de la moelle épinière : mais la décharge
nerveuse
résultant de l'excitation transmise par la cellul
sultant de l'excitation transmise par la cellule à ;on prolongement
nerveux
n'avait lieu, pensait-on, qu'à la terminaison d
du cylindraxe de cette cellule. On sait aujourd'hui qu'une cellule
nerveuse
des ganglions spinaux peut influencer tous les
s territoires de la substance grise que tra- verse son prolongement
nerveux
central, non seulement par les arborisations te
uc- cessivement ce prolongement sur tout son parcours. Ainsi, les
nerveux
chez l'homme et chez les vertébrés, trad. par le
sl/'almicl'o ! 71', I, I. THÉORIE DES NEURONES. 283 longues voies
nerveuses
des cordons postérieurs qui montent jus- qu'au
ans la substance grise de la moelle épi- nière, autour des cellules
nerveuses
surdes préparations au Weigert- Pal, est consti
existent des collatérales et des arborisations terminales de fibres
nerveuses
s'entrelaçant à des prolongements protoplasmiqu
la substance blanche, une grande partie des commissures des centres
nerveux
. En somme, il n'existe point d'anastomoses entr
d'anastomoses entre les prolongements protoplasmiques (Gerlach)-ou
nerveux
(Golgi) des neurones ou uni- nits nerveuses de
toplasmiques (Gerlach)-ou nerveux (Golgi) des neurones ou uni- nits
nerveuses
de Waldeyer (1891). La théorie des réseaux à dû
sai de classifica- tion physiologique ou fonctionnelle des cellules
nerveuses
en cel- lules de la sensibilité ou de la motili
anatomo-physiologique de Golgi, la fonction trophique de la cellule
nerveuse
attribuée aux prolongements pro- toplasmiques,
ature, que présentent la morphologie et les connexions des éléments
nerveux
de la moelle épinière. I. Chaque fibre nerveuse
nexions des éléments nerveux de la moelle épinière. I. Chaque fibre
nerveuse
n'est que le prolongement d'une cellule nerveus
I. Chaque fibre nerveuse n'est que le prolongement d'une cellule
nerveuse
, soit périphérique, soit centrale. Chaque fibre n
ne cellule nerveuse, soit périphérique, soit centrale. Chaque fibre
nerveuse
, de son origine à sa terminaison, n'est donc qu
tous les auteurs qui ont fondé l'hystogénèse actuelle du système
nerveux
, Cajal, Lenhossek, Retzius, etc. II. Les expans
ssek, Retzius, etc. II. Les expansions protoplasmiques des cellules
nerveuses
se ter- minent librement dans la substance gris
nent librement dans la substance grise (Golgi); les prolonge- ments
nerveux
des cellules nerveuses se terminent de même au
a substance grise (Golgi); les prolonge- ments nerveux des cellules
nerveuses
se terminent de même au moyen de libres arboris
part, les arborisations collatérales et terminales du prolongement
nerveux
d'un ou de plusieurs autres neurones, d'autre p
ions protoplasmiques et le corps cellulaire servant à la conduction
nerveuse
comme les cylindraxes et leurs appendices fibri
manière générale, dans les organes des sens comme dans les centres
nerveux
, le corps cellulaire et ses prolongements proto
miques sont des appareils de réception, non d'émission des courants
nerveux
. Dans les éléments qui, comme les cellules nerv
ion des courants nerveux. Dans les éléments qui, comme les cellules
nerveuses
des ganglions spinaux ou les spon- gioblastes d
racine antérieure; les cellules des cordons, dont les prolongements
nerveux
constituent les fibres des faisceaux ou cordons
eur passage à travers la moelle des collatérales entre les cellules
nerveuses
. IV. Les fibres sensitives des vertébrés ne nai
moelle : elles proviennent, comme l'a établi W. His, des cellules
nerveuses
des ganglions spinaux intervertébraux. Dans la ca
cette capsule et le protoplasma cellulaire, s'arbo- rise une fibre
nerveuse
d'origine inconnue (Lenhossek, Ehrlich, Cajal)
ajal) : cette arborisation prouve en tout cas que, entre le courant
nerveux
apporté de la pequ, des muqueuses, des articulati
mis à la moelle épinière par la branche centrale, d'autres courants
nerveux
encore, provenant peut-être des cellules du gra
grand sympathique, peuvent parvenir à ces neurones. Ces cellules
nerveuses
, issues de l'ectoderme, et d'abord bipo- laires
ns en apparence), envoient la branche centrale de leur prolongement
nerveux
dans la substance blanche de la moelle épinière
nt dans la substance grise où elles s'arborisent entre les éléments
nerveux
de la moelle épinière. Outre les arborisations
formes ou triangulaires de Mar- tinotti. Mais la plupart des fibres
nerveuses
de la zone moléculaire proviennent des quatre t
x ou plusieurs filaments très longs, qui paraissent être des fibres
nerveuses
, restant toujours dans la zone moléculaire (cellu
très longs, d'abord horizontaux, se continuant peu à peu en fibres
nerveuses
ou de nature analogue, peu ramifiés, émettant s
leur trajet de fines collatérales qui se perdent dans les fibrilles
nerveuses
de la zone moléculaire; 4° cellules fusiformes un
à cette zone aux strates inférieures de l'écorce : du prolongement
nerveux
u nique de ces neurones sortent par bifurcation
s embryons d'hommes et d'autres mammifères, il s'agit de cellules
nerveuses
pourvues de plusieurs expansions d'apparence nerv
eloppe- ment ultérieur, selon Veratti, le caractère de prolongement
nerveux
, tous les autres prenant peu à peu celui de pro
hez d'autres animaux, cette différenciation entre le prolonge- ment
nerveux
et les prolongements protoplasmiques existerait d
chez tous les vertébrés, comme un exemple important de transmission
nerveuse
par contact ou contiguïté, comparable à celle q
uelles semblent être contenues étroitement les plus fines fibrilles
nerveuses
dépour- vues de myéline. » Ces fibrilles nerveu
fines fibrilles nerveuses dépour- vues de myéline. » Ces fibrilles
nerveuses
agiraient donc ici sur ces prolongements protop
c ici sur ces prolongements protoplasmiques pour transmettre l'onde
nerveuse
aux cellules pyramidales. Toute cellule pyram
rminant, en bas, dans la substance blanche, où il devient une fibre
nerveuse
à myéline du faisceau de projection. Mais, pend
s, les expansions protoplasmiques basi-' laires et les collatérales
nerveuses
sont encore très courtes et simples; il est trè
ppement de l'appareil protoplasmique et du système des collatérales
nerveuses
. » Non seu- lement les associations déjà créées
s s'établiraient par le fait d'une * néoformation de collaté- rales
nerveuses
et d'expansions protoplasmiques ». Une fois organ
tta, a coïncidé avec un cerveau de petites dimensions, les cellules
nerveuses
seraient moins nombreuses ou peut-être simpleme
ou par un coude, ou par une division en T, avec une ou deux fibres
nerveuses
de la substance blanche. On distingue dans cette
ramidales, soit les branches collatérales nées de ces prolongements
nerveux
. Les collatérales des fibres d'association mont
ions, et sans doute l'activité presque toute entière des élé- ments
nerveux
de l'écorce cérébrale. Mais ce n'en est pas moins
es des . cellules pyramidales, soit indirectement sur les fibrilles
nerveuses
de cette zone; bref, « le stimulant du physiolo-
euse et le bulbe olfactifs, contiennent un grand nombre de cellules
nerveuses
à cylindraxes longs; des organes à fonctions mo
donc impossible de ramener à une morphologie spéciale les cellules
nerveuses
dites sensitives ou sen- sorielles, motrices, c
des cellules de sensibilité, mais comme toutes les autres cellules
nerveuses
, sans exception, la sensibilité étant la seule
e moléculaire, point commun de rencontre d'une « infinité de fibres
nerveuses
ter- minales avec les dendrites des cellules py
s avec les dendrites des cellules pyramidales », voici les courants
nerveux
que les terminaisons arborescentes des cylin- d
rise des vertébrés sont plus énormes encore : cinqespèce- de fibres
nerveuses
peuvent en effet venir, par leurs contacts, éveil
rois couches profondes pendant leur trajet intracortical. Le plexus
nerveux
formé autour de ces cellules par un si grand no
. Il semble en résulter que, comme l'admet Golgi, une seule cellule
nerveuse
peut être en connexions indépen- dantes les une
en connexions indépen- dantes les unes des autres avec des éléments
nerveux
fonctionnelle- ment différents. De même pour le
neurones est enveloppé par une espèce distincte de ramifications
nerveuses
terminales : par les corbeilles terminales, le co
lianes aux branches d'un arbre des tro piques, » avec les éléments
nerveux
de la moelle ou du cerveau ; les vastes ramures
des fibres moussues apportant peut- être à ces grains les courants
nerveux
de la voie cérébelleuse directe de la moelle ép
ite cellule pyramidale peut, par l'intermédaire de ses collatérales
nerveuses
, influer sur plusieurs séries de cellules pyram
expansions basilaires, peut recueillir un grand nombre de courants
nerveux
des petites cellules pyramidales situées au-des
aux cellules polymorphes. Tous les éléments constituant le système
nerveux
central et péri- phérique sont donc des individ
rapports de contiguité, condi- tion de la transmission des courants
nerveux
des arborisations terminales et collatérales de
indraxes aux corps et aux expan- sions protoplasmiques des cellules
nerveuses
. Si ces expansions font défaut (spongiohastes d
sens. La branche centrale, plus fine, est un véritable prolongement
nerveux
, à courant de direction cellulifuge. Les expans
la névroglie ; elles ont la même fonction conductrice des courants
nerveux
que le prolongement cylindraxile et ses collaté
e de la rétine, où les ramifications proto- plasmiques des cellules
nerveuses
ganglionnaires entrent. en rap- port avec les c
rt avec les cellules bipolaires. Partout où s'arborisent des fibres
nerveuses
, dans la substance grise ou dans la substance bla
s représentent sans doute les points où les terminaisons des fibres
nerveuses
entrent en contact avec ces branches 1. Entre
contact avec ces branches 1. Entre le volume du corps des cellules
nerveuses
et la grosseur et le nombre des éléments chroma
tent à cet égard une supériorité semblable sur les petites cellules
nerveuses
des mammifères, telles que les grains du cervel
ngements protoplasmiques, pour ne pas gêner le passage des courants
nerveux
. Ceux-ci paraissent suivre les fibrilles d'un r
éléments chro- matiques, entrent en conflit avec les ramifications
nerveuses
am- biantes, les aiborisations des prolongement
res se rencontrent chez tous les vertébrés et dans tous les centres
nerveux
; elles se caractérisent constamment par l'allo
sans doute, comme Nissl le croit, un état fonctionnel de la cellule
nerveuse
, peut-être en phénomène d'arrêt provoqué par la
orme toutefois d'amas con- sidérables que dans les grandes cellules
nerveuses
. L'hislologisle espagnol est porté à voir dans
baaophile, 1 Non seulement elle fait défaut dans quelques cellules
nerveuses
, remarque Ramon y Cajal, mais dans les neurones
cylindraxe, permettent au réseau fibrillaire de propager les ondes
nerveuses
. , 296 REVUE CRITIQUE. dans ces corpuscules c
façon notable pendant la contraction. Quant au noyau de la cellule
nerveuse
, il se modifie lui aussi d'une manière correspo
une concentration progressive en un ou deux nucléoles. Les cellules
nerveuses
dont la nucléine s'est ainsi différenciée ont san
73-377). J. Ni la structure interne ni les connexions de la cellule
nerveuse
cérébrale n'ont rien qui la distingue des autre
nerveuse cérébrale n'ont rien qui la distingue des autres cellules
nerveuses
de même type. Quelle que soit sa fonction, tout
nerveuses de même type. Quelle que soit sa fonction, toute cellule
nerveuse
semble posséder la : même structure, les mêmes
hiques pourraient n'être point de même nature que ceux des cellules
nerveuses
de ces catégories inférieures. ' Ramon y Cajal.
de ses parties (corps cellulaire, tige, dendrites) avec des fibres
nerveuses
d'nne certaine catégorie, les cellules pyramidale
la complexité croissante de l'organe, c'est-à-dire de la cel- lule
nerveuse
. Vraisemblablement les fonctions d'une cellule ps
longues, plus ramifiées. Le degré de développe- ment de la cellule
nerveuse
est souvent en rapport avec son volume; souvent
nsion et la richesse des arborisations terminales du prolonge- ment
nerveux
, ou, en d'autres termes, que plus une cellule est
plus une cellule est grande, plus est grand le nombre des cellules (
nerveuses
, glandu- laires, musculaires) avec lesquelles e
qui séparent les cellules psychiques étant remplis de ramifications
nerveuses
et protoplasmiques (la névro- glie prend rareme
ciproques existant entre la supériorité fonctionnelle d'une cellule
nerveuse
et le nombre de ses prolongements peut sans dou
oique incapable de produire de nouvelles cellules (car les cellules
nerveuses
ne se multiplient pa, comme les cellules muscul
veloppement des prolongements protoplas- miques et des collatérales
nerveuses
, et créer ainsi des connexions intracorticales
re, qu'il y avait ou diminu- tion corrélative du corps des cellules
nerveuses
ou réduction du tissu de soutien. Pour le secon
cessus ne peut être que celle des prolonge- ments cellulaires, soit
nerveux
, soit protoplasmiques, et que l'am- pleur et l'
our l'étude des fonctions du cerveau : I. Une ou plusieurs cellules
nerveuses
servent-elles de subs- tratum à chaque percepti
héorie de l'attention. I. Entre les organes des sens et les centres
nerveux
, il existe une chaîne déterminée de conducteurs
c'est-à-dire par l'intermédiaire d'un nombre croissant de cellules
nerveuses
, jusqu'au cerveau. 11 existe donc des chaines d
en quelque sorte des surfaces sensibles de l'organisme aux centres
nerveux
. Cette loi, entrevue par Golgi, dit Cajal, n'a ét
té démontrée que depuis qu'on connaît les véritables terminaisons
nerveuses
des neurones afférents dans l'axe cérébro-spinal.
, peut affecter des centaines et peut-être des milliers de cellules
nerveuses
d'un centre de l'écorce cérébrale, et cela grâc
es. Nous avons insisté sur les parcours et les relais-de ces routes
nerveuses
qui vont de la périphérie aux centres, des cent
e compose d'autant d'unités d'im- pression qu'il y a eu de cellules
nerveuses
simultanément exci- 300 REVUE CRITIQUE. tées.
ont pour substratum les connexions établies entre les collatérales
nerveuses
et les expansions protoplasmiques des cellules
bitions de cer- taines zones cérébrales; interférences des courants
nerveux
; aug- mentation de la résistance des conducteur
teurs due à des modifications de la composition chimique des fibres
nerveuses
, ; troubles physico- chimiques sans altération
n ne peut constater le moindre mouvement amiboïde dans les fibres
nerveuses
et les arborisations terminales observées durant
pothèse de llathias Duval. 1° Les arborisations et expansions, tant
nerveuses
que protopla- miques, du cervelet, du bulbe olf
empoisonnement par le curare, la strychnine); 2° les arborisations
nerveuses
terminales de la rétine et du lobe optique, che
ologiques corrélatives à l'état de repos ou d'activité des cellules
nerveuses
, que, pendant l'activité psychique, les formes de
abandonner. Sile,plasma sanguin destiné à la nutrition des cellules
nerveuses
passait par les cellules de la névroglie avant
ait par les cellules de la névroglie avant de parvenir aux cellules
nerveuses
, elles commenceraient par en absorber une grand
, et elles sont précisément en plus grand nombre là où les cellules
nerveuses
abondent le moins. Des cellules aussi petites,
ne sauraient non plus servir de soutien (sustentaculo) aux cellules
nerveuses
. Pourquoi ces dernières manqueraient-elles même
cumulées en très grand nombre dans la substance blanche des centres
nerveux
, qui a moins besoin que la grise de soutènement ?
tours nets. Leur fonction parait être d'interposer entre les fibres
nerveuses
une substance nauvaise conductrice des courants
de la névroglie abondent surtout là où. se rencontrent les courants
nerveux
, par exemple dans la couche moléculaire de l'éc
llules pyramidales.entrent en contact avec une infinité de ramilles
nerveuses
terminales. En rétractant le protoplasma de leurs
l'établissement de contacts entre les cellules et les arborisations
nerveuses
aupara- vant séparées. En vertu de ce mécanisme
qui, en réalité, représentent « une matière isolatrice des courants
nerveux
», pénètrent alors entre les arborescences nerv
ice des courants nerveux », pénètrent alors entre les arborescences
nerveuses
et les cellules nerveuses ou leurs expansions p
pénètrent alors entre les arborescences nerveuses et les cellules
nerveuses
ou leurs expansions protoplasmiques, rendant très
ues, rendant très dif- ficile ou suspendant le passage des courants
nerveux
: c'est la phase de repos mental, et du sommeil
il isolateur (un app( ! 1'ato aislador) et commutateur des courants
nerveux
, selon les phases d'activité ou de repos. Cajal
s' de ce même centre doit éga- lement favoriser l'énergie de l'onde
nerveuse
en portant au maximum les phénomènes corrélatif
avoriser ces hyperhémies physiologiques, en protégeant les cellules
nerveuses
voisines contre les pressions et les ébranlemen
névroglie, simple organe de soutènement ou de protection du système
nerveux
, masse de remplissage, tissu qui pro- lifère qu
rveux, masse de remplissage, tissu qui pro- lifère quand la cellule
nerveuse
dégénère, ne posséderait point les THÉORIE DES
y Cajal, en particulier celle de * matière isolatrice des courants
nerveux
. L'hypothèse des « états latents » des principa
dans les vaisseaux; elle ne colore ni le protoplasma des. cellules
nerveuses
ou névrogliques ni les prolongements protoplasm
lorer nettemenl, isolément, complètement, sans teindre les éléments
nerveux
et surtout leurs cylindraxes. Comme elle ne rep
La méthode de Golgi imprègne en effet tous les éléments du système
nerveux
cen- tral, à l'exception des gaines de myéline,
eption des gaines de myéline, et fait apparaître, avec les cellules
nerveuses
et leurs prolongements, les cellules épen- dyma
ablissent les recherches embryologiques. Le cylindraxe des cellules
nerveuses
est aussi du protoplasma modifié, dit Weigert ;
iaison (Binde substanz). La névroglie n'est pas davantage de nature
nerveuse
(Colella), et il ne peut être douteux un seul i
e : 1" parce que, avec la coloration de Weigert, rien de ce qui est
nerveux
ne se colore électivement, et que ces fibres se c
une substance connective, c'est-à-dire prolifèrent lorsque le tissu
nerveux
disparaît. Lorsque l'on répète, après Frommann et
la période embryonnaire et pour les états pathologiques du système
nerveux
: à l'état normal, et quand le développement est
e sont des cellules émigrées des surfaces inté- rieures des centres
nerveux
; les cellules épithéliales du canal cen- tral e
s qui s'étendent jusque sous la pie-mère, traversant tout le centre
nerveux
. Dans la période embryonnaire des oiseaux et des
loppement phylogénique. Parmi les différentes parties du système
nerveux
central d'une seule et même espèce, a écrit Sala
poissons, écorce du cerveau des amphibiens et des reptiles, centres
nerveux
des mammifères aux premiers stades de leur déve
cérébrale et le lobe optique des oiseaux. En outre, plus un centre
nerveux
augmente de volume, plus diminue le nombre des
entiques pour écrire ou esquisser déjà une paléontologie du système
nerveux
cérébro-spinal des vertèbres. C'est de quoi con
u- trage est le plus épais qui existe normalement dans le système
nerveux
central; 2° les surfaces externes du système nerv
ans le système nerveux central; 2° les surfaces externes du système
nerveux
cen- tral (l'écorce cérébrale, par exemple) pré
t pas seulement pour les surfaces internes et externes du sys- tème
nerveux
de l'homme adulte, telles qu'elles existent prése
nes, attestant encore un état antérieur de développement du système
nerveux
, nous sont révé- lées par la présence de traîné
-unes. Et d'abord, entre les fibres de la névroglie et les éléments
nerveux
, il n'existe jamais la moindre transition de pa
ert, où les corps et les prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
, ainsi que le commencement des cylindraxes appa
dmis par Golgi entre les prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
et la. névroglie n'existent donc point. Quant a
, ainsi qu'à Lloyd Andriezen, par rapport aux vaisseaux des centres
nerveux
, le même que celui qu'elle paraît remplir quant
ux surfaces internes et externes du névraxe : elle protège le tissu
nerveux
contre toutes les causes de lésion pouvant prov
ci de substance de soutènement, les vaisseaux sont, pour le système
nerveux
central, des corps étrangers au même titre que la
itre que la pie- mère ; au regard des vaisseaux, la limite du tissu
nerveux
est une surface interne ; il doit être protégé
et leurs mailles plus serrées dans le cerveau. Dans tout le système
nerveux
central, c'est une règle que toute fibre nerveu
ns tout le système nerveux central, c'est une règle que toute fibre
nerveuse
à myéline de la substance blanche est isolée de
r, à isoler, sinon à défendre, à protéger et à soute- nir l'élément
nerveux
. Tantôt une ou plusieurs fibrilles de névro- gl
ou plusieurs fibrilles de névro- glie séparent des autres une fibre
nerveuse
(dans le cerveau, le cervelet, la partie intern
ie, confirmé par l'histologie pathologique, que partout où le tissu
nerveux
laisse par sa disparition la place libre, la né
lifere et remplit, comble les espaces vides. Il semble que le tissu
nerveux
, tant qu'il est vivant, oppose une sorte de rés
en etfet, comme dans la sclérose mul- tiple, que toutes les fibres
nerveuses
dégénèrent comme dans le tabes et les dégénéres
tabes et les dégénérescences secondaires, que toutes les cellules
nerveuses
soient frappées comme dans la poliomyélite antéri
ient détruites comme dans la paralysie générale, que tout l'élément
nerveux
, cellules et prolongements, dégénèrent comme da
e les lacunes laissées par la mort totale ou partielle de l'élément
nerveux
. Dans la paralysie générale en particulier, on
pagnols cités, le rôle de la névroglie serait d'isoler les courants
nerveux
, c'est-à-dire d'empêcher la pro- THÉORIE DES NE
à côté, qui pourraient nuire à la transmission directe des courants
nerveux
efficaces. Weigert démontre que les faits sur l
blanche. Le rôle physiologique de substance isolatrice des courants
nerveux
, attri- bué par les savants espagnols aux éléme
vroglie, convient d'autant moins à la substance blanche des centres
nerveux
que les cylindraxes sont déjà entourés d'épaiss
tact avec les dendrites. Mais le moyeu de croire que les courants
nerveux
sont transmis au hasard des rencontres des prolon
nerveux sont transmis au hasard des rencontres des prolongements
nerveux
et cylindraxiles qui s'enchevêtrent inextricablem
ale ? Il doit exister, selon Weigert, dans la structure des centres
nerveux
, des conditions de transmission des courants ne
des centres nerveux, des conditions de transmission des courants
nerveux
qui ne permettent point à ceux-ci de s'égarer en
a bonne direction, s'il fallait en croire ces auteurs, des courants
nerveux
, dans des centres d'importance bien inférieure,
se d'une ivresse voulue, préméditée. G. Deny. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLII. Un cas de tétanie; par FRANCIS EDWIN Par
se résumer de la façon suivante : Femme de 37 ans, sans antécédents
nerveux
personnels ou héréditaires (sauf une grande exc
lement amélioré. Un point importnntà noter, 320 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. c'est que la malade et aitattcinte d'un astigm
s, tantôt limitées au côté gauche; à droite une REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 321 1 paralysie qui parait surtout sur le bras
étique, Archives, 2e série, t. III. 21 j" : 2 revue de pathologie
NERVEUSE
. et qu'elle était due à l'acétonémie. Il insist
rattacher, au moins dans ses formes légères, au REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 323 catarrhe de l'oreille moyenne qui est très
uer le contraste absolu qui existe entre les phénomènes d'agitation
nerveuse
qui viennent d'être décrits et l'état d'apathie
la façon d'un stimulant ou à la façon d'une toxine sur les éléments
nerveux
, et plus particulièrement sur ceux de ces élément
d'environ soixante-quinze, qui ont été 324 Il. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. publiés depuis la première description donnée
s tractus pyramidaux. ' Il. de MUSGIIA VE CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 325 5 LII. Epilelpsie sénile; par ! \OVALF : W
. Si la syphilis provoque si fréquemment la dégénération du système
nerveux
central c'est en outre de l'action spécifique d
entral c'est en outre de l'action spécifique du poison sur la fibre
nerveuse
qu'aucune autre maladie infectieuse ne persiste
à la voûte crânienne. L'examen histo- logique montre que les fibres
nerveuses
sont normales; de même les cellules nerveuses,
montre que les fibres nerveuses sont normales; de même les cellules
nerveuses
, la névroglie, les vaisseaux. Dans la gaine adv
upes des théories extra-thyroïdiennes (théories cardio-vasculaires,
nerveuses
) ont cédé le pas aux théories thyroï- diennes e
le Dr Arnaud, médecin de la maison de santé de Vanves. Pathologie
nerveuse
. - L'hystérie infantile. Rapporteur : M. le D1'
nées à des travaux sur la physio- logie et la pathologie du système
nerveux
: Prix Montyon de médecine et de chirurgie, 7,5
stiné à « récompenser ou encourager les travaux relatifs au système
nerveux
, dans la plus large acception des mots». Les tr
irect ou indirect avec l'étude de la plus fine structure du système
nerveux
, devrait aussi arrêter l'attention des psycholo
nt, jette une nouvelle lumière sur l'activité variée du méca- nisme
nerveux
, mécanisme extrêmement compliqué et parfait dan
. III. 22 2 338 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. prouvé que tout le système
nerveux
central et périphérique consiste dans l'ensembl
assent à ceux d'une autre. M. Waldeyer a proposé pour ces entités
nerveuses
le nom de neurone. Ce terme fut admis par tout
de nitrate d'argent, nous atteignons l'imprégnation des éléments
nerveux
, qui nous apparaissent au microscope comme des co
toplasmiques ou de dendrites. Outre ces dernières, chaque cellule
nerveuse
a un ou plusieurs prolongements cylin- draxiles
autour de ceux-ci tout un réseau d'arborisations, composé de fibres
nerveuses
extrêmement fines et àl'endroitoù le cylindraxe
xe atteint les prolongements protoplasmiques d'un autre élé- ment
nerveux
, il ne s'opère jamais de continuité d'un prolon-
ndamental de notre conception contemporaine du rapport des cellules
nerveuses
entre elles. Pour ce qui con- cerne le mode des
e le mode des arborisations terminales des collatérales de la fibre
nerveuse
principale, nous pouvons supposer qu'il s'y opè
eur côté vers les prolongements protoplasmiques des autres cellules
nerveuses
, ne se continuant nulle part avec eux. Ainsi à
tinuant nulle part avec eux. Ainsi à chaque terminaison de la fibre
nerveuse
, quel que soit le nombre des prolongements qu'e
uel que soit le nombre des prolongements qu'elle émette, la cellule
nerveuse
LA THÉORIE DES NEURONES. 339 peut être consid
mme un élément isolé de ses semblables. C'est justement cette unité
nerveuse
, avec tout l'ensemble de ses prolongements prot
cylindraxiles, qui est désignée du nom de neurone. Tout le système
nerveux
central et périphérique apparaît à ce point de
e forme caractéris- tique de neurones pour chaque région du système
nerveux
; par exemple, les cellules pyramidales avec le
longements cylindraxiles jouent le rôle de conducteurs des courants
nerveux
. La vibra- tion moléculaire, qui commence aux d
dirige vers le corps cellulaire, passe de ce dernier au conducteur
nerveux
, à la fibre nerveuse, atteint les arborisations
s cellulaire, passe de ce dernier au conducteur nerveux, à la fibre
nerveuse
, atteint les arborisations terminales du cylind
es élé- ments en y excitant une vibration moléculaire. La cellule
nerveuse
joue, à l'égard du cylindraxe, le rôle du centr
pour la nutrition de la cellule. Outre leurs fonctions spécialement
nerveuses
, les dendrites servent d'organes nutritifs aux
Un savant allemand, M. VViedersheim, a réussi à observer la cellule
nerveuse
d'un animal inférieur pendant son activité, et
longements du cylindre-axile et ses collatérales, toutes les fibres
nerveuses
du neurone constituent l'organe passif de ce de
l'organe passif de ce dernier, qui sert à transmettre le courant
nerveux
; il est à remarquer que ce dernier se dirige tou
oplasmiques des cellules pyramidales, se trouvent d'autres éléments
nerveux
qui ont la forme de corpuscules fusiformes, tri
les pyramidales ou psychiques, outre leur lien avec les corpuscules
nerveux
environnants, entrent en contact avec différent
cellule pyramidale quel- conque. Une grande quantité de ces fibres
nerveuses
forme une longue voie d'associàtion entre le lo
de ces derniers entrent en contact avec les dendrites des éléments
nerveux
. Cette circonstance nous convainc aussi que le
re de voies d'association, c'est-à-dire de liens entre les cellules
nerveuses
situées dans le même hémisphère est presque fab
ui naissentde la fibre principale, à une grande quantité d'éléments
nerveux
; LA THEORIE DES ]'OEURONas. 343 2° Pour ce qu
i concerne les liens commissuraux destinés à transmettre le courant
nerveux
d'une cellule, située par exemple dans l'hémisp
ransmettre les impulsions dans les régions sous-jacentes du système
nerveux
central et qui traversent, par exemple, l'hémis
gmentent extrêmement l'étendue des voies de transmission du courant
nerveux
: ce dernier, naissant d'une cellule, peut se t
llules de l'écorce cérébrale, dans cette dernière passent les ondes
nerveuses
des régions infé- rieures du système nerveux ce
re passent les ondes nerveuses des régions infé- rieures du système
nerveux
central. Nous parlerons des courants centripète
es ramifications, descend dans les régions sous-jacentes du système
nerveux
. Nous ne savons pas encore quelles sont les fon
e, peut passer par son cylindraxe dans d'autres sections du système
nerveux
, ou transmettre à l'aide des liens latéraux d'u
isme des voies unissant les appareils périphériques avec le système
nerveux
central, les investigations nouvelles ont donné
est pas encore élucidée. Ces cylindreaxes, qui naissent de cellules
nerveuses
, qui nous sont encore inconnues, conduisent les
nt du cerveau. Nous avons le droit de rapporter à tout le système
nerveux
périphérique ce que nos investigations nous ont
e, de pair avec les fibres centripètes, qui conduisent les courants
nerveux
de la périphérie aux centres, d'autres fibres q
, entrent en contact entre elles de façon à ce que les impulsions
nerveuses
puissent aller dans des directions inverses. Il e
xiste entre les procès psy- chiques et la fine structure du système
nerveux
. Mais, dans tous les cas, nous devons tenir com
et du laboratoire de chimie de la clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpêtrière. 348 RECUEIL DE FAITS. même
une femme qui s'est présentée à la clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpêtrière présentant les symptômes clas
. I, 1896.) L'auteur a soumis à un'examen microscopique les centres
nerveux
dans quatre cas d'anopllthalmie et trois cas d'
s n'occupent qu'une couche mince qui borde le contour de la cellule
nerveuse
. Le noyau n'est presque jamais rond; il est apl
térêt pour l'étude de l'anatomie normale et pathologique du système
nerveux
. Mais le montage d'une grande quantité de coupe
rnal ofinsanity, octobre 1896.) E. B. XXXIII. Coloration du système
nerveux
central EN morceaux ; par G. ILBERG. (neural. C
ue répétée. Ces con- vulsions se limitent strictement au territoire
nerveux
atteint et se montrent immédiatement; elles ne
que persistait la tétanisation. C'est donc une forme de réaction
nerveuse
nW1'otunique qui est l'opposé de la réaction my
dique combien celle-ci confine aux mala- dies organiques du système
nerveux
. En réalité l'hystérie, la neu- REVUE D'ANATOMI
ilepsie sont de véritables maladies constitution- nelles du système
nerveux
, puisqu'elles apparaissent dès l'enfance, s'éte
s apparaissent dès l'enfance, s'étendent à l'ensemble de l'appareil
nerveux
et ne sont jamais gué- ries pour toujours, ni c
avail. R. DE Musgrave-Clay. XXXVII. SUR H nomenclature DES cellules
nerveuses
; par FR : 1NE- BAKER. (Nem-York Médical Journal
propose la classification et la terminologie suivantes : Eléments
nerveux
= neztres. Ils se divisent en : 1° Éléments c
ir un diag- nostic différentiel entre la méningite et les accidents
nerveux
dus à la pneumonie, à la fièvre typhoïde ou à l
nicomio, XII, fasc. 1.) XLIV. Guérison des altérations DES CELLULES
NERVEUSES
cérébrales; par eiLE5Sl. (Il l11anicomio, XII,
e, avec tendance à de la dé- pression psychique, et de palpitations
nerveuses
, et qui vint à avoir un rétrécissement mitral;
ls ont déter- miné.. J. SÉGLAS. XLIX. DE l'influence DE l'élément
nerveux
ET mental dans LES maladies EN général; par CLO
neuf ans) par un ictus, l'existence de troubles, du côté du système
nerveux
dès la première enfance, la fréquence et l'im-
ubles d'origine syphilitique, on obtient comme proportion des tares
nerveuses
66,6 p. 100. 5° Etiologie. En ne tenant compt
dans lesquels, à la suite de blessures, se montrèrent des troubles
nerveux
parfois assez graves. Ces faits sont intéressants
est souvent un agent provocateur de l'hystérie ou d'autres troubles
nerveux
. L'apparition fréquente de ces mani- festations
es troubles nerveux. L'apparition fréquente de ces mani- festations
nerveuses
dans le personnel des asiles peut être attribuée
violence accomplis par les aliénés et aussi à l'état d'excitabilité
nerveuse
qui se rencontre chez certains infirmiers qui ont
urs qui seraient de nature à diminuer la résistance de leur système
nerveux
. M. JULIUS13ERGER (Ilerzberge) présente des pré
M. TRONER (Ileidelberg). Modifications pathologiques des cellules
nerveuses
; leur mto'op/tOtoftp/He. T... insiste sur les ava
s de la microphotographie pour l'étude des altérations des éléments
nerveux
. Il a examiné les lésions du système nerveux pr
térations des éléments nerveux. Il a examiné les lésions du système
nerveux
produites chez le chien par l'empoisonnement pa
Nissl (IIeildell)ei--). Les rapports de la substance des cellu- les
nerveuses
avec les états de repos, d'activité et de fatigue
es avec les états de repos, d'activité et de fatigue des élé- ments
nerveux
. Les couleurs basiques d'aniline montrent l'exi
s basiques d'aniline montrent l'existence, dans toutes les cellules
nerveuses
fixées par l'alcool, d'une substance qui se col
ion n'est .d'ailleurs pas résolue si, dans tous les autres éléments
nerveux
, la substance non chromatophile est com- posée
Kronthal ont mëmeidentifié la substance chromatophile des cellules
nerveuses
motrices avec les fibrilles de Max Schultze. Po
us permettent que de faire l'analyse de la substance des cellules
nerveuses
. INISSL a fait. depuis plusieurs années, des re
me scientifiquement établis sont : 1° l'existence dans les cellules
nerveuses
d'une substance chromatophile et d'une substanc
ucture fibrillaire (appa- reils de conductibilité pour l'excitation
nerveuse
) ; 3° la substance chromatophile offre de grand
408 SOCIÉTÉS SAVANTES. qui agissent sur la substance de la cellule
nerveuse
, déterminent d'abord une modification de la sub
pondant à l'état d'activité, de repos et d'épuisement de la cellule
nerveuse
. Dans ces expé- riences, il n'est pas possible
t non de l'activité physiologique ; 5° la chromophilie des cellules
nerveuses
est une production artificielle, post-mortem.
entuée à la pression des muscles, et à peine perceptible des troncs
nerveux
; abolition de la réaction fara- dique de tous l
rapide de leur électro-sensibilité l'absence de lésions des troncs
nerveux
et la polyurie du début de la maladie, tout ind
inaperçue tant qu'elle ne pénètre pas des méninges dans le tissu
nerveux
. Le néoplasme de ce genre a d'ordinaire le caract
s relations de la syphilis héréditaire avec les maladies du système
nerveux
et en particulier avec les maladies nerveuses d
les maladies du système nerveux et en particulier avec les maladies
nerveuses
de l'enfance est tout il fait à l'ordre du jour
es (maladies humorales, maladies infectieuses, maladies à réactions
nerveuses
, maladies à dystrophie élémentaire, etc.). Le t
anes bibliographie. 421 1 sont plus ou moins atteints, le système
nerveux
ne fait pas excep- tion : « le délire, le coma,
au contraire obtenue aisément en rendant préalablement les centres
nerveux
moins résistants (sai- gnée générale antérieure
bien aussi avec celle émise, par Féré et pour laquelle les cellules
nerveuses
restent influencées après l'attaque, l'auteur l
conceptions consécutives aux récents travaux de structure du tissu
nerveux
, ont diminué la profondeur de l'abime qui sépare
lin (Allemagne). V. Influence de l'accouchement sur les mala- dies
nerveuses
et mentales que présentent ultérieurement les e
re et de la contrac- ture dans les affections organiques du système
nerveux
. Rappel'- leur : professeur VAN GEHUCIITEN, de
Ballet (G.) - Leçons de clinique médicale (Psychoses et affections
nerveuses
). - Volume in-8°, de vi-451 pages, avec 52 ligure
cides, leur influence au point de vue du développement des maladies
nerveuses
et mentales (Aperçu médico-1t ? al). - 111-8- d
nismes très différents : 1° agitation, fonte paralytique et marasme
nerveux
; 2° attaques congestives ; 3° asphyxie aliment
rabataires, et bientôt, sous l'influence de l'altération du système
nerveux
, ils présentent des troubles trophiques et de d
et dans la Semaine médi- cale, janvier 1897. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LIV. CONTRIBUTION A l'étude DE la paralysie as
rmal des cornes postérieures, des tractus sensoriaux et des racines
nerveuses
concorde avec l'absence de symptômes du côté de
guë dans laquelle l'agent toxique affecte principalement le système
nerveux
. La lésion siège le plus ordinairement dans la
moelle mais on peut la rencontrer dans l'écorce et dans les racines
nerveuses
. Lorsqu'elle siège dans la moelle elle-même, le
guë, suivant la distribution de la branche cen- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 457 Î traie de l'artère spinale antérieure, av
ation des cellules de la névroglie et une dégénérescence des fibres
nerveuses
. Il est actuellement impossible de contester qu
ns laisser d'altérations histologiques démontrables dans le système
nerveux
. Il est certain que les cas où l'autopsie a été
es questions. La faculté d'écrire spontané- 458 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment est également très troublée. Si on lui di
apparente, d'une lésion cérébrale. R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 459 LIII. UN cas DE paralysie BULBAIRE AIGUË,
rat. Démarche titubante, penchant à droite, 460 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' * impossible sans assistance. Dans la station
superficiels sont normaux. La sensibilité n'est REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 461 pas atteinte ; les réactions électriques s
oncordance entre le réflexe radio-bicipital 462 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et le phénomène du genou. D'après M. Francottc
nifeste. Les jours suivants, la situation s'ag- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 463 grave ; il n'y a pas de paralysie vraie, m
la médecine interne, à Gothembourg, 1896. 464 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. .C'est connu que la neurasthénie peut être aus
causer la neurasthénie chez les personnes disposées aux maladies
nerveuses
. Quant à l'étiologie de la neurasthénie, il fau
accidentelles dont les premières ont plus d'importance. Un système
nerveux
manquant de force pour résister à des irritatio
est la principale cause pré- disposante. Cette faiblesse du système
nerveux
est souvent innée; mais elle peut aussi s'acqué
enfants, avec des symptômes d'une irritabilité anormale du système
nerveux
. Quand l'irritabilité est plus pro- noncée, la
es ; le combat pour la vie s'est compliqué et les forces du système
nerveux
en sont réclamées au plus haut point. La diminu
ce de cette concurrence agrandie et il constate REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 465 que le célibat prédispose à la neurasthéni
hommes. Des mouvements, ne pouvant manquer d'influencer le système
nerveux
d'une manière nuisible, dominent de nos jours;
e à l'école, ils ne dorment pas assez pour le repos de leur système
nerveux
. On les habitue à la con- sommation du thé, du
acquises à Archives, 2e série, t. III. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la clinique médicale d'Helsingfors, démontrant
nde. On sait que les enfants d'alcoo- liques ont souvent un système
nerveux
faible, ce qui est une des causes les plus grav
cédanés, il exerce pour sûr une influence mauvaise sur le système
nerveux
et sur les organes de la digestion ; et il est pe
, du strabisme externe desdeux yeux et un léger REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 467 nystagmus transversal. Les pupilles, régul
rd postérieur du pariétal gauche, il existe 468 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. une dépression ovalaire, à grand axe oblique d
l'étendue des déformations osseuses et de certaines manifestations
nerveuses
. Homme de cin- quante-huit ans, lithographe, ne
spect marbré formé par des taches blanches jau- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 469 nâtres d'ostéite condensante et d'autres t
sans décroiser les jambes. Il insiste sur certaines manifestations
nerveuses
telles que les phé- nomènes vésicaux, les contr
PALM aire ; par E. FEINDEL. Certains troubles trophiques d'origine
nerveuse
peuvent présenter REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
trophiques d'origine nerveuse peuvent présenter REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 471 l' des analogies avec les déformations du
les attaques frustes ou irréguliores où les 472 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. .convulsions se montrent d'emblée sous la form
ie par névrite. Suites de couches fébriles avec REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 473 albuminurie. Guérison encore incomplète au
s : aussi paraît-il logique d'admettre ici une violente compression
nerveuse
momentanée portant sur le tronc lombo-sacré au
présence de la double 'influence étiologique : 1° d'un traumatisme
nerveux
, et 2° d'une infection ulté- rieure venant déve
ien présents à l'esprit, car la paraphasie' 474 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. peut être confondue avec l'incohérence, et la
(American journal of insanity, oc- tobre 1896.) E. R. LXXVI. CHOC
nerveux
ET maladie DU SYSTÈME nerveux COMME cause d'ané
oc- tobre 1896.) E. R. LXXVI. CHOC nerveux ET maladie DU SYSTÈME
nerveux
COMME cause d'anémie PERNICIEUSE ; par le docte
a rapport de cause à effet entre le choc ou la blessure du système
nerveux
et l'anémie consécutive. Il est difficile de dire
ifficile de dire si le choc agit par interférence avec le mécanisme
nerveux
des organes digestifs, le résultat étant une an
nt une anémie grave ou si, en raison de l'altération de l'influence
nerveuse
, il y a trouble de la fonction des organes héma
de la fonction des organes hématopoiétiques. En assignant au choc
nerveux
une influence sur la production de l'anémie, il
er comme la seule cause ou même comme la cause principale : le choc
nerveux
ne fait peut-être que favoriser l'action de que
l'auteur conclut à l'existence de trois, facteurs : 1° La substance
nerveuse
est plus ou moins prédisposée à la paralysie pa
ries) ou interne (acide urique, urée, créatine) pénètrent le tissus
nerveux
. 3° Les cellules qui entourent les manchons amy
tion lymphatique) leur sont défavorables. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 475 LXXVIII. EMPYÉME DU SINUS FRONTAL GAUCHE,
plus étendues ou à des formes combinées. 476 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. L'auteur passe en revue ces principaux symptôm
droite, le muscle tibial antérieur excepté et, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 477 Î dans la région- tibiale postérieure (sau
ulien et de celui du tendon d'Achille, con- 478 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. servation du réflexe planlnire. Phénomènes mal
tile, pour la construction duquel se dépense une masse de substance
nerveuse
si précieuse pour l'organisme. Quelques questio
prouver qu'une hémorrhagie, dans n'importe quelle partie du système
nerveux
, puisse produire une hyperplasie chro- nique pr
M. BuscH. - Sur quelques nouveaux procédés de coloration du système
nerveux
. L'essentiel consiste dans la colo- ration suiv
munication sur une nouvelle espèce d'affection mycosique du système
nerveux
central. Il s'agit d'une malade qui venait d'ar
re : le processus tabétique est paren- chymateux, il frappe le tube
nerveux
tout en entier (gaine de myéline et cylindraxe)
émie de médecine, 143. AFFECTION MYCOTIOUE. Nouvelle - du système
nerveux
central, par Hossolmo, 485. Alcoolique. Intox
traduc- tion de Hamel et A. Marie, 492. Anémie pernicieuse. Choc
nerveux
et maladies du système nerveux comme cause d'
rie, 492. Anémie pernicieuse. Choc nerveux et maladies du système
nerveux
comme cause d' -, par Derrick. AÉ'lHÓ"E cirso
s , par Korlinoff, 357. BHO\CIIO-PULIO\ 11RE. Rôle du sys- tème
nerveux
dans l'infection de l'appaleil -, par Meunier,
. par Kroepelin, 396. Cécité brusque, par Vanghop, 54. Cellules
nerveuses
. Pathologie de la -, par Julinsburer, 63. Sur
ce des - avec les états de repos d'acti- vité, etc., des éléments
nerveux
, par Nissl, 406. - Centres de projection et d
la paralysie générale, par nlarmesco, 358. COLOR ITIOX du système
nerveux
cen- tral, par llberg, 360. -, par Rossolimo
ébrales et méningées, par Mac Casliey, 215. Histologie du système
nerveux
centra). Théorie des neurones, pal, Soury, 93
van Gehuchten,353. L031BO-YONCTION dans les affections du système
nerveux
spinal, par Degrotte, 147. - de l'espace sous-
147. - de l'espace sous- arachnoïdien, par Jacoby, 211. Maladies
nerveuses
ET mentales. Le repos et l'exercice dans le tra
sur les psychoses chroniques, par Najcke, 369. Mental. Élément
nerveux
et dans : les maladies, par Clouston, 373. Ment
ff, 184. Nerfs. Lésions des - périphériques, par Williams, 328.
Nerveux
. Elément et mental dans les maladies, par Clous
s jugulaires dans les tentatives de - , par Thomas, 53. Surdité
nerveuse
par Grant, 52. Paraphasie et - verbale, par W
DE NOTRE ILLUSTRE MAITRE VULPIAN PRÉFACE L anatomie du système
nerveux
central est avant tout une ana- tomie de textur
s, nous assistons en effet à une véritable révo- lution en anatomie
nerveuse
. La découverte des collatérales du cylindre- ax
nt modifié l'état de nos connaissances sur la structure des centres
nerveux
et en parti- culier sur les connex ons des diff
veux et en parti- culier sur les connex ons des différents éléments
nerveux
entre eux. Aujourd'hui la théori , du réseau an
la théori , du réseau anastomotique de Gerlach a vécu et le système
nerveux
, périphérique et central, apparaît constitué par
é, ne se propage pas aux faisceaux voisins et respecte les cellules
nerveuses
neurones de 2", 3e, 4° ordre, etc., - autour des-
t en s'arborisant. Si, pour ce qui concerne la structure du système
nerveux
chez l'embryon ou le nouveau-né, la méthode de
anatomiques les plus précises et les plus solides, sur les centres
nerveux
de l'homme. L'emploi des coupes microscopiques
19, au lieu de : (L2 [w], lire : (L2 ; ANATOMIE 1) ES S CENTRES
NERVEUX
INTRODUCTION Le système nerveux, qui atteint
; ANATOMIE 1) ES S CENTRES NERVEUX INTRODUCTION Le système
nerveux
, qui atteint chez l'homme son plus haut degré de
lement que l'on voit apparaître le système musculaire et le système
nerveux
, et que l'on voit certains éléments s'unir sous
wcnfckl a décrit, dans la paroi des pores, un rudiment de sys- tème
nerveux
: ce sont les cellules sensorielles situées au se
lules sensoriel- les de l'c('Ío'](,I'J1H'. 2 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules mosculo et neuro-·pith6liales de
délicates, formant avec les fibrilles des cellules voisines un plexus
nerveux
sous-épithélial très serré. Dans ce plexus nerv
isines un plexus nerveux sous-épithélial très serré. Dans ce plexus
nerveux
qui entoure les tentacules, le disque buccal et
de, de fines fibrilles qui entrent dans la constitution d'un plexus
nerveux
sous-épithélial. Chez l'Actinie on trouve donc
erveux sous-épithélial. Chez l'Actinie on trouve donc deux éléments
nerveux
bien distincts : d'une part, la cellule sensori
muscles. Chacun de ces deux éléments, constitue une véritable unité
nerveuse
parfaitement indépendante, un neurone , composé d
use parfaitement indépendante, un neurone , composé d'une cel- lule
nerveuse
dont le prolongement se ramifie. Malgré la comp
prolongement se ramifie. Malgré la complexité que prend le système
nerveux
lorsqu'on s'élève dans l'échelle zoologique, on
it situées immédiatement essous de ce tégument; leurs prolongements
nerveux
, à direction cen- te, entrent en connexion avec
ns aux autres par de fines commis- s, constituées par les fibrilles
nerveuses
. )ans toute la série des Invertébrés, les neurô
calibre et des de fin calibre. Les libres de gros calibre ou fibres
nerveuses
motrices, se terminent dans les couches ilaires
la substance ponctuée centrale de Leydig à laquelle leur prolongement
nerveux
princi- audouuc de nombreuses ramifications. Le
udouuc de nombreuses ramifications. Les fibres de fin calibre (fibres
nerveuses
sensitives) prennent origine dans les cellules
nt les nerfs entre les bouches de fibres musculaires. (hn) ollier
nerveux
l'extrémité oesophagienne du tube digestif; ce co
nt réunis par de fines commissures verti- t transversales de fibres
nerveuses
. Ces deux cordons ganglionnaires omosent en out
t unipolaires, plus rare- ipolaires. Elles émettent un prolongement
nerveux
, à direction cen- ? Système nerveux du lombric. C
s. Elles émettent un prolongement nerveux, à direction cen- ? Système
nerveux
du lombric. Coupe transversale d'un lombric passa
phériques latéraux. (D'après G. Retzius.) 4 .k ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
....... 1 Substance ponc- tuée de Leydig. Ne
es prolongements secondaires ainsi qu'avec celles des prolongements
nerveux
des neurones périphéri- ques ; elles forment da
une substance finement granuleuse, véritable feutrage de fibrilles
nerveuses
: c'est la substance ponctuée centrale de Leydi
ou le névraxe, connu encore sous le nom .01 de 'I t .oï1l' CENTRE
NERVEUX
ENCÉP11AL0-MÉDULLAIRE, OU de 1111GLE\CI : PIIeII.
chez les Vertébrés, un système ganglionnaire spé- cial, le Système
nerveux
de la vie organique, ou zo-yélaléve, ou Systl\¡II
t il tort commo d'orrn- plètement indépendant du système ou Système
nerveux
ifaela vie animale, présente de nombreuses conn
s donnent naissance, comme les cellulddu névraxe, à un prolongement
nerveux
unique qui se continue avec urie'tYlr2 de Remak
upériorité. Dès qu'il apparaît dans la série zoologique, le système
nerveux
J*011-( ? ,dil rôle prépondérant dans les phéno
soit spontanés et volontaires, impliquent l'intervention du système
nerveux
, et la plus simple action réflexe, comme les op
natomie dite de texture. Dans un ouvrage sur l'Anatomie des centres
nerveux
, il est indispen- sable de décrire, avec détail
avec détails, les différentes méthodes d'étude usitées en anatomie
nerveuse
, les progrès réalisés dans nos connaissances conc
ursuivre et d'étudier le trajet d'un î Rote joué par le systèmo
nerveux
dans les phénomènes de la vie. G ANATOMIE D
e les connexions entre les ganglions infra-corticaux et les centres
nerveux
inférieurs (cervelet, isthme de l'encéphale, moel
a calotte du pédoncule, et sera décrit avec cette partie du système
nerveux
central. La troisième partie de cet ouvrage c
à l'aide du scalpel et la séparation au moyen de pinces des fibres
nerveuses
, opérations pratiquées sur des tissus frais ou
par lzti)«S(11, Vicq- rl' : lzyr. Ieil. 8 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Gall, Spurxheim, F 0 v i Il e, BUl'dach, I
r la première fois l'embryogénie à l'étude de l'anatomie du système
nerveux
. L'histologie qui, vers 1830, commençait à se d
eussent découvert en 1833, le premier la cellule, le second le tube
nerveux
, le trajet des fibres nerveuses dans le système
premier la cellule, le second le tube nerveux, le trajet des fibres
nerveuses
dans le système nerveux central restait encore in
ond le tube nerveux, le trajet des fibres nerveuses dans le système
nerveux
central restait encore inabordable aux histolog
que les données sur la texture de la moelle épinière et des centres
nerveux
étaient encore très hypothé- tiques; c'est à Sl
ode qui nous permette d'étudier la texture si compliquée du système
nerveux
central. Or, tandis que la structure de ce systèm
mparaison chez des animaux différents de P¡F ? dwJP.88'S du système
nerveux
central ; la Pathologie expérimentajti ? \}}t ? I
auteur formula ainsi la loi générale de la dégénération : « un tube
nerveux
dégénère lorsqu'il est séparé de son centre troph
es, a été d'une importance capitale en histologie et en physiologie
nerveuses
. Waller avait vu d'emblée, le parti que l'on po
i Découverte des centres trophiques. 10 () ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Emploi de la mé- thode de \\'aller en anat
ve- loppement. pour étudier certains points d'anatomie du système
nerveux
périphérique, et de fait cette méthode a été em
été employée plus d'une fois, pour élucider le trajet de faisceaux
nerveux
traversant des plexus ou s'anastomosant entre e
eux. La méthode de \\'aller, fut par la suite appliquée aux centres
nerveux
, dans le but d'y produire des dégénérescences s
ndre-axe que nous devons à Golgi, montre en effet, que de tout tube
nerveux
, encéphalique ou médullaire, se détachent des fib
entres trophiques encéphalo-médullaires ou sur le trajet des fibres
nerveuses
, se traduit uniquement par un processus de dé-
FLECHSIG. Cette méthode est basée sur le fait que, dans le système
nerveux
central, les différents systèmes de fibres se rec
orées en noir. Les nouvelles tech- niques de coloration des centres
nerveux
dues à Weigert et à Pal, ont rendu la méthode d
méthode, basée sur l'époque de myélinisation différente des fihres
nerveuses
, a rendu, entre les mains de Flechsig et de ses é
ces, pour déterminer dans la moelle et en général dans le sys- tème
nerveux
central le trajet de certains faisceaux. Mais cet
quée pour la première fois, et avec succès, à l'anatomie du système
nerveux
, par Leuret et Graliolet, et la voie que ces au
gués. Travaux de Leur- : et Gratiolet. 12 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. DWém`rcsconces ecoftdaîrescxpcri- lentales
s organes périphériques, et le développement des parties du système
nerveux
central, auxquelles aboutissent les nerfs apparte
lication de l'anatomie comparée il l'étude de l'anatomie du système
nerveux
central peut fournir de précieux renseignements.
moyen des dégénérescences, le trajet des faisceaux dans le système
nerveux
cen- tral, et, on a pratiqué tantôt des lésions
des animaux nouveau-nés, à une époque par conséquent où le système
nerveux
est en pleine voie de développement. On obtient a
s ou même davantage, puis on le sacrifie. On fait durcir le système
nerveux
central, et on le coupe en séries au microtome,
ve, Vignal, Edinger, Phisalix, Held, etc. Enfin, l'étude du système
nerveux
central dans les cas d'arrêt de déve- loppement
rowicz, Kaufman, Hoffmann, etc. Il. MODES DE PRÉPARATION DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL 1. Ouverture du crâne et extraction du
ne chez l'adulte à l'aide du marteau. 14 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Chez les enfants le crâne doit être ou- ve
jeté. Extraction de la moelle épinière. 10 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Étiquetage des ra- cines.. ? .. Coupe dite
aire durcir la pièce. Coupe de Meynert. 18 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Technique de la coupe de Meynert. Inconvén
noïdal. - xll, chiasma des nerfs optiques. 20 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le procédé de Pi- tres n'est pas appli- ca
CD, coupe que nous pratiquons it Bicétre. 22 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Technique du pro- cédé que nous em- ployon
u'en anatomie pathologique comme en anatomie normale, les faisceaux
nerveux
doivent être étudiés de préférence, sur des coupe
sion corticale, avant de le faire durcir. 21 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Durcissement des centres nerveux dans le l
rcir. 21 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Durcissement des centres
nerveux
dans le liquide de Millier. Nécessité d'em-
'hui d'un usage, général pour obtenir le dur- cissement des centres
nerveux
, et nous donnons, pour notre part, la pré- fére
e couche épaisse d'ouate hydrophile, sera interposée entre le tissu
nerveux
et le fond du récipient. Afin d'éviter les défo
istologique des lésions à l'état frais. 2G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Durcissement des troncs nerveux. Durcissem
frais. 2G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Durcissement des troncs
nerveux
. Durcissement ra- pide obtenu par le liquid
Nécessité d'em- ployer le microtome pour les coupes du système
nerveux
cen- tral. -Méthode d'inclu- sion des pièce
un bon dur- cissement des pièces. Pour le durcissement des troncs
nerveux
, on emploiera la même technique que pour la moe
s coupes., 1 d'inclu- sion à la parafrlne. fragments de tissu
nerveux
moelle épinière, troncs nerveux, - les pièces a
à la parafrlne. fragments de tissu nerveux moelle épinière, troncs
nerveux
, - les pièces au sortir du collodion liquide, s
à la paraffine. Pour imbiber de paraffine, un fragment de substance
nerveuse
préalablement durcie dans les bichromates, il fau
crotome de ' Gudden modifié par* Forel. 30 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Microtomes trahi- neau. le fond du cylindr
océdés ont été indiqués pour obtenir des coupes sériées des centres
nerveux
. Le plus simple, le plus pratique et le plus co
'on colorera et moulera dans une série. 32 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Méthodes de colo- ration. Coloration des
e plongées dans la solution suivante : 34. ANATOMIE DES CENTRES '
NERVEUX
. Déshydratation et éclaircissement des coup
ir la pièce, n'est applicable qu'à de petits fragments de substance
nerveuse
, et ne peut être employé pour des coupes d'hémi
puis placées dans la solution suivante : . 36 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Décoloration des coupes dans la mé- thudcd
ble,-les cellules et leurs prolongements, le cylindre-axe des tubes
nerveux
, les septa conjonctifs, les tuniques des vaisse
é ou lithiné. Carmin-borax (Greenacher) : 38 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Carmin aluné de Croenacher. Carmin lithiné
ès nettement et très intensivement colorées, ainsi que les cellules
nerveuses
et les cylindre-axes.. En anatomie pathologique
ir différencier nettement, dans le tissu de soutènement des centres
nerveux
, le tissu con- jonctif proprement dit de la név
permet le mieux d'apprécier l'état des tissus annexés au parenchyme
nerveux
, (méninges, tissu con- jonctif, névroglie, vais
i de l'hématoxyline alunée comme colorant cytologique. Les tissus
nerveux
étant durcis dans les bichromates, les composés
n omploi pour la coloration dos noyaux. 40 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
.. Double coloration pat'1'hmatoxytmcct 1 éo
? Iërcie recommande la formule suivante : 12 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Méthode d'P;hrlich an bleu de méthylène em
Avec cette méthode, on obtient une bonne coloration des cel- lules
nerveuses
et de leurs noyaux, ainsi que des cellules de la
hrlich donne de précieux résultats, surtout pour l'étude du système
nerveux
périphérique. Dogiel et Riese l'emploient de la
iaque. Retzius, appliquant cette méthode à l'étude des terminaisons
nerveuses
chez les Invertébrés, injecte dans le corps de
00 de méthylène, et au bout de quelques minutes met à nu le système
nerveux
en enlevant les enveloppes. Il opère sur un ass
t la plus nette. cr. Méthodes d'imprégnations métalliques. (Centres
nerveux
et nerfs périphériques). Acide osmique, Chlorur
cerne l'emploi de l'acide osmique comme agent fixateur des éléments
nerveux
à l'état normal. A l'état pathologique, l'acide
s dissociations à l'état frais, ainsi que pour étudier les cellules
nerveuses
. On expose la prépara- tion pendant quelque tem
smique sert à étudier, à l'aide de coupes, des fragments du système
nerveux
central ou périphérique. Méthode d'Exner. - L
intense, se détachent avec une grande netteté. L'étude des troncs
nerveux
périphériques, à l'aide de coupes pratiquées su
nce à l'aide d'un rasoir bien affilé, on sectionne, dans les troncs
nerveux
que l'on veut examiner, des fragments de z1 cent.
comme durcissant et comme colorant. 44 Il ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. , Inclusion à la pa- raftine des tronçons
nclus dans le collodion par les mêmes procédés que pour les centres
nerveux
. Dans les deux cas, les coupes, avant d'être mont
dans le baume de Canada, sont traitées comme les coupes du système
nerveux
central. Dans les deux cas, enfin, au sortir de
omie pathologique, mais elle n'est guère applicable aux gros troncs
nerveux
de l'homme, dont la dissociation est des plus dél
i- cates et difficiles. Elle est surtout utilisable pour les troncs
nerveux
de petit calibre nerfs musculaires, rameaux cut
de osmique puisse pénétrer dans toute l'épaisseur du nerf. Le tronc
nerveux
est placé ensuite pendant vingt-quatre heures,
ns les cas expérimentaux), à une époque par conséquent où les tubes
nerveux
dégénérés, contiennent encore une assez grande qu
la solution suivante dite de Marchi : .' 40 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Méthode d'Upson. Elles y séjournent cinq à s
une dans le liquide de réduction suivant : 48 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Procédé lent de Golgi. La méthode de Golgi
On procède de la manière suivante : on enlève avec soin le système
nerveux
central en entier, moelle et cerveau, la dure-m
chette, puis on ouvre la dure-mère dans toute sa longueur. Le tissu
nerveux
étant mis à nu, on sectionne, à l'aide d'un rasoi
e, à l'aide d'un rasoir très tranchant, tics fragments de substance
nerveuse
de 3 à il millimètres d'épaisseur que l'on plac
t, ou mélange osmio-bichromique de Golgi. 50 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. nouIlle et triple imprégnation de Ra- mon
prégnation et van (telmchten a employé ce procédé pour les cellules
nerveuses
du sympathique. Après avoir fait une première i
hodes de Golgi ont rendu des services considérables en histo- logie
nerveuse
. C'est grâce à elles et à la méthode d'Ehrlich, q
es prolongements protoplasmi- ques et cylindre- axiles des cellules
nerveuses
, ainsi que leurs modes de terminaison. Les méth
s méthodes, on constate qu'un petit nom- bre seulement des cellules
nerveuses
sont convenablement imprégnées, et que le nombr
s cellules névrogliques imprégnées l'emporte sur celui des cellules
nerveuses
. Il existe dans les coupes de nombreux précipités
u'ici, soient applicables à l'étude de la structure fine du système
nerveux
central, et les découvertes faites à l'aide de
e Golgi. Inconvénients de ces méthodes. 52 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Modification des méthodes de Golgi. Méthod
thode de Ziehen, les fibres à myéline et sans myéline, les cellules
nerveuses
avec leurs prolongements cylindre-axiles et proto
ont colorées en bleu-gris. Les noyaux et les nucléoles des cellules
nerveuses
sont également colorés et différenciés. Cette mét
au pro- cédé de Greppin de ne pas respecter les fines ramifications
nerveuses
. 7. EXA3/EN microscopique des coupes. - L'étude
ppin. Examen mic-0sco pique des coupes. 54 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. placée par une plaque d'ébonite, avec ouvertur
core remplacé le dessin, pour la reproduction des coupes du système
nerveux
. Pour les coupes macroscopiques, les résultats si
ou- pes. Appareil employé par nous. 50 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. mèches et, comme cet éclairage nécessite. un p
on employé pour dessiner nos préparations. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. bî ment nettes et qu'il est très facile de des
s très justes, et une mise en place absolument exacte des faisceaux
nerveux
ainsi que des noyaux gris. Toutefois, comme ave
XI, 1885. - Mercier. Technique microscopique des coupes du système
nerveux
central. Paris, 1894. Nissl. Neurologisches CeK&l
u blasto- derme. Sillon neural. Gouttière neurale. Le système
nerveux
tout entier, ainsi que les organes des sens, déri
las d'embryologie du poulet, Paris, 1889). DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 5t . Les lames neurales atteignent leur comple
vasculairc. - a, b, c, lignes de coupes. 60 "- ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La lame cornée n'entré pas dans la constit
ea. cardiaca. in, lames entodermiques. - DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 61 encéphalique se dilate (fig;. 1 ï.) et para
x proto-vertèbres nette- ment délimitées. 62 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Vésicule anté- .rieure. Fermeture'le la
eur. V0.11, veine oll1phalo-nHsentéri{lue. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 63 derme, que la première vé- sicule encép
l'Atlas d'embryologie de Mathias Duval.) 6 i. ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La cvelopie et ses différentes variétés. É
- V0, vésicule ^oculaire secondaire. - y 66 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. - Fente oculaire pri- mitive. Sa persistan
yons un peu développés (fig. z19 et 20). DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 67 Les vésicules auditives se produisent de ch
et même cavité, le quatrième ventricule. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 69 La deuxième vésicule encéphalique grossit r
Constitution du cer- veau intermédiaire. 70 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le vésicule des hé- misphères est d'a- bor
Un léger sillon prolonge celle-ci en avant DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 71 et sépare un petit lobe étroit, le lobe olf
mamillairc. - VB, vésicule des hémisphères. 72 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. t . Les indexions de l'encéphale embryon-
érieur; il correspond au futur espace per- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 73 3 foré postérieur et donne naissance il deu
e. - VUJ1, vaisseaux omphalo-mésentériques. 74 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. cerveau moyen, puis empiète sur la partie post
f spinal. - Xll, nerf gi-aii(l hypogiosse. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. TA phalique antérieure primitive de deux saill
nière. Lame fondamentale. Lame alaire. 76. ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Plancher du canal neural. Voûte du canal
e motrice. Rs, racine sensitive. V, voûte. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 77 ventricule. La forme est en général celle d
, AVEC LES NERFS CRANIENS CORRESPONDANTS S DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 79 II. DÉVELOPPEMENT ULTÉRIEUR DU NÉVRAXE 1.
ndrique. sm, sillon marginal. V, voûte. so ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
Lame alaire. Pièce intermédiaire. Développe
on cylindrique. - S111, sillon marginal. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 81 et la corne postérieure commence a se délim
drique. - sm, sillon mar- ginal. voûte. ! 82 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Rapports de la moelle avec le canal rachid
sillon cylindrique. - sm, sillon marginal. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 83 conjonctive lisse, la membrane limitante mé
on cylindrique. - sm, sillon marginal. 84 Il ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Apparition tardive des artères des ra- cin
quatrième ventricule. Le plancher s'élar- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 85 git, les parois latérales s'étirent au nive
pneumogastrique. - XII, grand hypoglosse. 86 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Couche grise de la . substance réticulée.
glosse. - X, ganglion du pneumo-gastrique. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 87 respiratoire (fib. 33, Fs), et qui est l'ho
bial interne. - S/l, substance réticulée. 88 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Lèvre rhomboïdale. Soudure de la lèvre rho
eumo-gastrique. - XII, grand-hypoglosse. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 89 forment les fibres arclfonnes internes du b
ticulée. - Vs, racine spinale du trijumeau. 90 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le développement du bulbe et de la pro- tu
lc1lx. Pédoncules céré- belleux moyens. 92 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Recessus latéraux du quatrième ventri- cul
ans les recessus latéraux. La lame inférieure est formée d'éléments
nerveux
, rudimentaires, adhérents aux fibres radiculair
n trouve dans toute la largeur du quatrième ventricule des éléments
nerveux
rudimentaires, qui forment, après l'abla- tion
ubit peu de modifi- cations. Sa cavité. 01 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses sillons. Son plancher. l'\oyaud'ol'igi
rs constitués par deux étages, séparés par une cou- che de cellules
nerveuses
pigmentaires, le locus niger de Sommering. L'ét
e. Tubercule quadri- jumeau postérieur. 96 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Face externe du cerveau intermé- diaire.
. l'a, 3" ventricule. roi' 41' ventricule. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 97 en arrière du trou de Monro une surface arr
ev- terne du cerveau in- tcrmédiairc. 98 8 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La face interne du cerveau intermé- diaire
viron cinq semaines. (D'après W. His.) 1 DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 99 , '. La face interne ou ventriculaire sub
trou de Monro. - Tm, tubercule mamillaire. 100 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Limites définitives de la cU11chc optique.
T.11, trou de Mouro. - V, 4° ventricule. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. loi. 1 1 i renferment chez les vertébrés supér
I, grand hypoglosse. Fs, Corps pituitaire. 102 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Formations (lui dé- pendent du segment ant
fundibulum, qui chez les vertébrés inférieurs conserve sa structure
nerveuse
toute la vie; chez les vertébrés supérieurs, au c
e prolifération pie-mérienne, en un appendice conjonctif du système
nerveux
central. Le lobe antérieur, véritable appa- rei
lesquels la paroi postérieure de l'infun- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 103 dibulum se réduit à l'état d'une mince lam
un diverticule du troisième ventricule. 104 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. E11t' pst formée de cellules épithéliales
épithéliales dégénérées, n'ayant aucune con- nexion avec des libres
nerveuses
et aucune analogie avec des cellules gan- glion
tinue avec la toile choroïdienne, sa paroi postérieure avec la lame
nerveuse
qui " donne naissance à la commissure postérieu
ssus de l'embouchure antérieure de l'aqueduc de Sylvius. Des fibres
nerveuses
apparaissent en outre dans toute la partie infé
lame qui limite ce diverticule en arrière, apparaissent des fibres
nerveuses
, qui forment la commissure des pédoncules de la g
tie impaire et médiane, la base ou portion DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 10a ti Il 1 B : ) axiale du cerveau antérieu
riquc. Plis radiés transi- toircs. / 1os ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Paroi interne de la yésicule hémisphé- riq
antérieur se porte verticalement en haut, DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 107 au, arrière-cerveau. - us buioe. - un, Dan
i externe de la vésicule des hémisphères. os ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les vésicules des hémisphères sont réunies
ord en bas, puis en arrière ; et sa pointe DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 109 se place au-dessous du lobe olfactif posté
Monro. - VU, vésicule des hémi- sphères. ii0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. raratlelederap- pareil olfactif et de l'ap
atteint la surface suturale opto-striée au DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 11f f voisinage du lobe temporal (fig. 50). Tr
h, thalamus. VU, vésicule des hémisphères. 112 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. L'union du cerveau antérieur avec le cer- ?
e des hémisphères. 17, ventricule latéral, DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 11 : 1 premier mois de la vie intra-utérine En
t nO'yal1'h'ntie111aÏl'1 \ov;m rwtdé. f.14 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 115 AM, av
wtdé. f.14 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 115 AM, avant-mur. - BU, bandelette optique. -
iseum, est colorée en rouge, sans hachures. un ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fic. 58, 59, 60, 61, 62, 63. - Coupes horizont
lobus pallidus, à la laine cornée, au tri- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 117 gone, au septum lucidum, à la couche épith
icule latéral. - 1 ? troisième ventricule. 118 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Noyau lenticulaire. Capsule externe. Serme
les fibres du pédoncule cérébelleux moyen, DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 119 dont le développement est contemporain; el
s et région sous-thalamique. - U, uncus. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 121 fjn arrière ue la glande pmeaie, les Hures
calleux. z 4 ¡ i 12 l 1.. 122 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Rapports du trigone et du corps calleux.
halamus. - U, circonvolution du crochet. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 123 U autres fois, le corps calleux est incomp
s, définitifs. Sillon ammonique. I \-2't ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le sillon ammoni- que produit la saillie d
cule. TII, chiasma des nerfs-optiques. 126 . ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Région centrale de la face interne ou lobe
ilier postérieur du trigone. - U, uncus. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 127 - - T1 - 7 - Z - 1 1 * * l - . 1- 1 1 T 1
llc forme la bau- de lette de Giacomini. 128 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa partie sphé- noïdale devient le corps g
ts antérieur et postérieur, circonscrivent DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 129 le lobule de l'insula, et sont limités en
e postérieure de la scissure de Sylvius. 130 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Scissure de Rolando. Scissure pariéto- occ
rale. fil sillon parallèle. - V, 5" paire. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 131 septième- mois-dè la vie intra-utérine et
us. - Sih, scissure inter-hémisphérique. 132 . ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Circonvolutions et sillons du lobo occi- p
rdre, l'écorce est lisse et ne présente ni DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
. 133 sillons, ni circonvolutions; l'animal est
haics. CHAPITRE III HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX I. - SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL Cellules neuro-épi- théliales. Memb
terne. Mp, IUCl1lIJrana prima de Ueuson. 136 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules germina- tives. Les cellules épit
Les cellules ger- minatives donnent naissance aux cellu- les
nerveuses
et né- vrogliques. Cordon ganglion- naire.
ront naissance, aux neuroblastes de Bis, c'est-u- dire aux cellules
nerveuses
proprement dites, et aux cellules de la névroglie
- LN, lame neurale. - P V, protovcrtèbrcs. 138 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Stade embryon- maire. Stade foetal. Tran
es en charpente épendymaire, et celles des neuroblastes en cellules
nerveuses
et en cellules névrogliques. - - § I. PREMIER
Sp, spongioblastes. ZC, zone des colonnes. 140 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Bâtonnet interne des spongioblastes. Les p
sur le poulet. A un certain stade de leur développement, la cellule
nerveuse
embryon- naire et la cellule névroglique embryo
bryon- naires. Cellules de transition. 142 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Neuroblastes. Naissance ducy- 1Înlll'e.axc
tte fibre n'est autre chose que le futur cylindre-axe de la cellule
nerveuse
, qui présente dès le début de sa formation un
JllP, membrana prima. - V6, neuroblastes. la ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les neuroblastes de la corno posté- rieure
ique. - sm, sillon marginal. - V, voûte. 146 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le nerf spinal naît do la corne latérale.
bach et de 111eiss- ner. Entre les ganglioblastes et les fibres
nerveuses
, s'insinuent de nombreuses cellules mésodermiqu
e semaines et demie. (D'après \\'. His.) 148 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres centrales des ganglions cra- niens.
t et s'entrecroisent dans l'intérieur du tronc mixte. Plus un tronc
nerveux
est jeune, plus il est court : peu à peu, il s'ac
naux des cinq premiers nerfs cervicaux. loto ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Trajet rectiligne ùes ncrfs périphed- ques
si former un angle droit avec l'axe primitif du tronc. Les fibres
nerveuses
s'entrelacent et s'entrecroisent non seulement da
t et s'entrecroisent non seulement dans l'intérieur d'un même tronc
nerveux
, mais encore avec les troncs voisins et forment
e, et, d'autre part, la transformation des neuroblastes en cellules
nerveuses
et en cellules névrogliques, répond à peu près,
rivent au stade de leur développement; quelques cellules même, soit
nerveuses
, soit névrogliques, conservent leur caractère f
ssivement en revue : A. La charpente névroglique; B. Les cellules
nerveuses
. A. CHARPENTE NÉVROGLIQUE. La charpente névro
3) sous le nom de névroglie, la charpente de soutènement du système
nerveux
central n'a été bien connue que depuis les trav
, Bidder et Kuppfer, Gerlach, Boll, etc., etc.), bien que sa nature
nerveuse
eût déjà été soupçonnée par Wagner, Ilenle . et
logies qui existent entre les cellules névrogliques et les cellules
nerveuses
, et en 1877 M. Duval démontra chez les oiseaux l'
si la charpente névroglique est de nature épi- théliale, de nature
nerveuse
ou bien dénature conjonctive, comme l'admet- te
glie constitue à elle seule tout le tissu de soutènement du système
nerveux
central, ou si ce tissu de soutènement contient d
nous reviendrons lorsque nous étu- dierons la structure des centres
nerveux
. Le réseau fibrillaire de la névroglie émane-t-
Lenhossek. Cellules opemiy- ' maires. 152 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Leur disposition ra- (liairc et lellrs pro-
ndique les limites des cornes antérieures. loi ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cône épendymaire postérieur. 1 Faisceau ép
tituent qu'une minime partie de la charpente névroglique du système
nerveux
central. La plus grande partie est formée en ef
c'est-à-dire des mêmes éléments qui donnent naissance aux cellules
nerveuses
. Kolliker s'est rallié à cette dernière opinion
gli- ques. Leurs transforma - tions. 15G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellule névrogliquo adulte. Les cellules n
ères qui dis- tinguent les cellules névrogliques des cel- lules
nerveuses
. , I Cellules névrogli- ques de la moelle.
ut et Vignal. Les cellules névrogliques se distinguent des cellules
nerveuses
par leurs rameaux droits et rigides, le riche c
e do la commissure grise postérieure. 1;i8 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules araignées de la stil,tance géla-
cède les dendrites. Transformations successives de la cel- lule
nerveuse
. mann, aecrites par th. ocnuitze, et s atcacnen
r de longs prolongements rarement ramifiés (fig. 94). B. - CELLULES
nerveuses
Les cellules nerveuses proviennent des neurobla
rarement ramifiés (fig. 94). B. - CELLULES nerveuses Les cellules
nerveuses
proviennent des neuroblastes. Leur prolongement
éné- ral tous les intermédiaires entre le neuroblaste et la cellule
nerveuse
pro- prement dite. A côté de cellules constitué
éritable structure fibrillaire, et à la naissance, les cel- lules
nerveuses
, tout à fait sembla- bles à celles de la moelle
e de pigment fig. 97). ' Suivant leur situation, les cel- lules
nerveuses
peuvent être divisées en cellules nerveuses cen
ation, les cel- lules nerveuses peuvent être divisées en cellules
nerveuses
centrales, gan- qlionnaires ou périphériques :
ses centrales, gan- qlionnaires ou périphériques : Les cel- lules
nerveuses
centrales siègent dans la substance grise de l'
signées sous le nom de grains ou de myélocytes (Robin). La nature
nerveuse
des grains, soit du cerve- let, soit de la réti
171e de Scarpa) sont bipolaires, celles des ganglions il Cellules
nerveuses
centrales. Cellules géantes. Cellules grand
. Cellules bipolaires du ganglion auditif.' FiG. 95. - Cellules
nerveuses
de la moelle d'un embryon de mouton long de 45
ryon de mouton long de 45 millim. (D'après W. Vignal.) a, cellule
nerveuse
peu développée. - b, c, cel- lules nerveuses bi
. Vignal.) a, cellule nerveuse peu développée. - b, c, cel- lules
nerveuses
bien développées ; il y a plusieurs larges vacu
ées ; il y a plusieurs larges vacuoles dans c. ric. 96. - Cellule
nerveuse
de la moelle d'un embryon de brebis long de 0m,
ebis long de 0m,10. (D'après W. Vignal.) 102 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. t V 91 . Cellule nerveuse péri pliéril u
. Vignal.) 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. t V 91 . Cellule
nerveuse
péri pliéril ue desver- 1, tèbrés. Il il
e péri pliéril ue desver- 1, tèbrés. Il il I 1 Cellules
nerveuses
périphériques des In- vertébrés. sympathiqu
brés, au contraire, les nerfs sensitifs naissent tous d'une cellule
nerveuse
périphérique découverte par v. Lenhossek chez
lules sensitives périphériques, des cellules d'origine de fibres
nerveuses
. Elles envoient leur prolongement périphérique
ment renflée. Leur prolongement central représente une fine fibre
nerveuse
, qui se réunit aux fibres voisines et se dirige
e abandonne la situation superficielle et inler" FIG. 97. - Cellule
nerveuse
des cornes antérieures do la moelle d'un enfant
dendrites. F1U. Uô. - veuille unacuve pen- phériqueetterminaisons
nerveuses
sensitives du trijumeau dans l'épi- thélium d
souris. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) ? il, fibres
nerveuses
qui so portent sur la surface do l'épithélium p
m pour s'y y , terminer par dos arborisations libres. - n, libres
nerveuses
provenant du prolongement central des cellules
senso- rielles secondaires , en connexion indirecte avec des fibres
nerveuses
et qui ne peuvent être comparées aux cellules o
optique, nerf glossopharyngien, nerf auditif, etc.) Les cellules
nerveuses
, quelles que soient leurs dimensions et lem sit
et lem situation, qu'elles appartiennent aux variétés des cellules
nerveuses
propre- ment dites ou aux variétés des grains o
suelles, auditives gustatives. u Prolongements dos cellules
nerveuses
. i Amas protoplasme 1 ques des dendrites
és et des Vertébrés. (D'après G. Retzius.) 104 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les dendrites et cnrscaractëres. mas qui v
ssure. - cy, prolongement cylindre-axile. 1611 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Divisions du cy- ,lindre-axe. Collatérales
queuse et plexiforme (fig. 105, 111). Les cylindres-axes du système
nerveux
central se terminent donc tous par une extrémit
ainsi que nous le verrons plus loin, des cylindres-axes du système
nerveux
périphérique, qu'il s'agisse des nerf moteurs, gl
p. 220). Les cylindres-axes et les dendrites impriment aux cellules
nerveuses
de très grandes variétés de forme, qui tiennent
rapide de Golgi. (D'après v. Gehuchten.) 468 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. sa longueur varie. La cellule de Golgi est car
es cellules sensitives, elles répondent au 170 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellule de Golgi. Cellule de Deiters. Son
09). La division du cylindre-axe et sa richesse Fin. 107. - Cellule
nerveuse
à cylindre-axe court de la quatrième couche de
ti- cales. c, ramuscules variqueux terminaux. FIG. 108. - Cellule
nerveuse
cylindre- axe court de la corne postérieure de
disproportion numérique considérable qui existe entre les cellules
nerveuses
et les fibres nerveuses, entre le volume de la
considérable qui existe entre les cellules nerveuses et les fibres
nerveuses
, entre le volume de la substance grise et celui
ules proto- plasmiques, qui se terminent librement entre les fibres
nerveuses
de la zone corticale superficielle (fig. 110).
quer, émet une branche collatérale. 172 "> ANATOMIE .L1S CENTRES
NERVEUX
. Cellules globu- leuses. Cellules mitrales
atérales à di- rection ascendante et se continue avec une fibre
nerveuse
(fig. 111). Du corps cellulaire se déta- chen
es que les spongioblastes de la rétine, nepos- Fie. 111. - Éléments
nerveux
de l'écorce cérébelleuse. Coupe sagittale d'une c
ent. d, petite cellule de Golgi à prolongements ramifiés. - hf, fibre
nerveuse
avec sa termi- naison en forme de nid péri-cell
re grimpante de Cajal.- m ? fibres moussues do Cajal. - lef, fibres
nerveuses
à ramification spéciale (prolongement nerveux des
ajal. - lef, fibres nerveuses à ramification spéciale (prolongement
nerveux
des cellules do Golgi). - e, cellule névrogliqu
ylindre- Spongiolilastes do la rétine. 174 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
.. Conception de Deiters. Conception de Golg
, et le prolongement cylindre- axile comme seul doué d'une fonction
nerveuse
. Pour Ramon y Cajal et v. Lenhossek, les dendri
xes sont de même nature et jouent un même rôle, celui de conducteur
nerveux
. Les dendrites représen- teraient, d'après Ramo
rieurs, etc.; que toute région de substance grise pourvue de fibres
nerveuses
terminales possède également des arborisations de
ions dendritiques. Aujourd'hui, grâce aux recherches sur le système
nerveux
des Inverté- brés, faites par Buchholz, Nansen,
'opinion de Ramon y Cajal et de v. Lenhossek, et admettre la nature
nerveuse
des dendrites, et leur rôle de conducteur nerveux
mettre la nature nerveuse des dendrites, et leur rôle de conducteur
nerveux
. connexions des cellules nerveuses ENTRE elles.
drites, et leur rôle de conducteur nerveux. connexions des cellules
nerveuses
ENTRE elles. Jusqu'aux tra- vaux de Golgi, paru
les prolongements protoplasmiques ramifiés des différentes cellules
nerveuses
, réseau destiné à établir une continuité de sub
r une continuité de substance, entre les divers éléments du système
nerveux
. Ce réseau, connusousle nom de réseau de Gerlac
la fibre motrice des cellules des cornes antérieures, et le courant
nerveux
ou l'arc réflexe sczzsi.tivo-zzot.czzr se faisait
e la racine antérieure abandonnait son manchon de myéline. Nature
nerveuse
et rôle conducteur des dendrites. Réseau de
teur des dendrites. Réseau de Gerlach. 176 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Travaux de Golgi. Réseau de Golgi. Travaux
orter la preuve anatomique de la continuation directe d'une cellule
nerveuse
avec le cylindre-axe d'une fibre motrice ; il m
-axe d'une fibre motrice ; il montra : 1° Que toutes les cellules
nerveuses
donnent naissance à un cylindre- axe, soit long
libres. Quant aux connexions réciproques des cellules et des fibres
nerveuses
, Golgi se laissa évidemment influencer par la t
es parties de toute participa- tion dans la transmission du courant
nerveux
. En 1887, Forel et His s'opposèrent simultanéme
endrites, qu'il se termine par une extrémité libre, et que la fibre
nerveuse
qu'il concourt à former ne doit pas être considér
un élément à part, mais comme une partie constituante de la cellule
nerveuse
, que celle-ci soit d'origine centrale ou ganglion
nérescence est dite descendante. La propriété que possède la fibre
nerveuse
de dégénérer, lorsqu'elle est séparée de sa cel
es blanches encéphalo-mé- dullaires de certains faisceaux de fibres
nerveuses
. (Voy. méthode des dégénérescences secondaires,
P. Marie, etc.) Cette atrophie.de la cellule d'origine de la fibre
nerveuse
, qui se produit lorsque l'on sectionne cette de
den, son application aux nerfs moteurs. 178 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Dans la méthode expérimentale de Gudden. f
s sont importants à connaître car, en nous montrant qu'une . lésion
nerveuse
périphérique retentit sur les centres, ils nous d
d'un nerf sensitif est l'analogue du bout périphérique de la fibre
nerveuse
, puisque la libre HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEU
dden et la méthode des dégénéres- cences montrent donc que la fibre
nerveuse
périphérique ou centrale, motrice ou sensitive,
que que nous venons de faire, il résulte donc que : 1° Les cellules
nerveuses
de la moelle, du cerveau, ou des ganglions, son
- ment lente Uc l'atro- phicindirectc. 180 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. avec la périphérie. Elles représentent, suivan
phérie. Elles représentent, suivant l'expression de His, un système
nerveux
sans nerfs. Bientôt elles émettent des prolongeme
ns toute leur indépendance. 4° Il n'existe donc pas dans le système
nerveux
deux éléments, l'élément cellule nerveuse et l'
e donc pas dans le système nerveux deux éléments, l'élément cellule
nerveuse
et l'élément fibre nerveuse; il n'existe qu'un se
erveux deux éléments, l'élément cellule nerveuse et l'élément fibre
nerveuse
; il n'existe qu'un seul élément, une seule unit
unité, présentant son autonomie propre et constituée par la cellule
nerveuse
, son prolongement cylindre-axile et les arborisat
nom de NEUIIONE, et Kolliker sous celui de neurodeudron. Le système
nerveux
central ou périphérique n'est donc constitué qu
e). Le cylindre-axe peut être plus ou moins long; une seule cellule
nerveuse
peut posséder plusieurs cylindres-axes (cellule
l pénètre dans la moelle où il s'arborise librement. De là l'influx
nerveux
est transmis à un neurone de 2° ordre, lequel p
Wal- curo(lcnùron de V. Kolliker. J, I 182 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La fonction des fi- lires nerveuses dé- pe
, I 182 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La fonction des fi- lires
nerveuses
dé- pend de leur termi- naison périphérique.
té de Vul- pian. Absence d'anasto- moses entre les cel- lules
nerveuses
. Différents modes de contact entre les cell
lorsque les dendrites font défaut. ne réunit jamais deux cellules
nerveuses
; le cylindre-axe périphérique ou central se ter
té est, suivant toute vraisemblance, la même dans toutes les fibres
nerveuses
, qu'elles soientmotrices, ou sensitives, ou sympa
anes des sens et peut-être même qu'elles fassent partie des centres
nerveux
. On peut se la représenter comme une, agissant
oit pas être cherchée dans les propriétés physiologiques des fibres
nerveuses
elles-mêmes, mais bien dans la différence des c
avec les arborisations terminales d'un très grand nombre de fibres
nerveuses
(cellules pyramidales de l'écorce céré- brale,
mblablement des lieux d'impression ou de contact pour les fibrilles
nerveuses
terminales (Ramon y Cajal). Lorsque les dendrit
on péri-cellulaire extrêmement fine, qui se continue avec une fibre
nerveuse
dont l'origine est inconnue, mais qui appartient
rique, glosso-pharyngien, facial, triju- meau, etc.). II. SYSTÈME
NERVEUX
PÉRIPHÉRIQUE § 1. STADE EMBRYONNAIRE Les nerf
nsitifs, représentent, ainsi que nous l'avons vu, les prolongements
nerveux
périphériques, soit d'une cellule radiculaire d
ue fibrille représente le prolongement cylindre-axile d'une cellule
nerveuse
et se détache de la cellule par un cône d'inserti
es qui prolifèrent, pénètrent dans l'in- térieur même des faisceaux
nerveux
, s'y multiplient et divisent les fibrilles nerv
me des faisceaux nerveux, s'y multiplient et divisent les fibrilles
nerveuses
en petits faisceaux qu'elles recouvrent (fig. 116
'appliquent en effet à la surface des petits faisceaux de fibrilles
nerveuses
, se modèlent sur Arborisations péri- cellulai
lulaires des cel- hiles ganglionnaires. Développement des tubes
nerveux
. Travaux de His. Travaux de Vignal. 184 ANA
ux. Travaux de His. Travaux de Vignal. 184 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Formation de la gaine de Sehwann et des se
A cet état de développement, les parties essentielles de la fibre
nerveuse
sont consti- tuées : le faisceau de fibrilles e
ar une enveloppe, la gaine.. de Schwann et, pour constituer un tube
nerveux
semblable à celui de l'adulte, il ne lui manque
de l'adulte, il ne lui manque que sa gaine de niyéline. La fibre
nerveuse
à cet état de. développement, même lorsqu'elle es
s. - Sp, spongioblastes. - ym, voile médullaire. FiG. 115. - Fibres
nerveuses
d'un embryon de brebis de Om,3d5 de long. (D'aprè
rès Vignal.) F, portion d'un faisceau du nerf sciatiqne. -a, fibres
nerveuses
. - b, cellules connectives très allongées ot is
ngées ot isolées. c, cellules connectives appliquées sur les fibres
nerveuses
et dont les noyaux sont seuls visibles. d, cell
sont seuls visibles. d, cellules lymphatiques. A -et B, deux fibres
nerveuses
plus fortement- grossies. HISTOGENÈSE DIT SYSTÈ
mps dans toutes les fibres, ni sur tous les points d'une même fibre
nerveuse
, elle apparaît au contraire du centre à la péri-
ryonnaires recouvrant la périphérie du faisceau. Fig. 117. - fibres
nerveuses
(['un embryon de mouton de 0 ? 2S de long. (D'a
embryon de mouton de 0 ? 2S de long. (D'après Vignal.) a, fibres
nerveuses
. - b, cellules connectives enveloppant les 3/4
ctives complètement détachées du faisceau. 186 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. allongées et irrégulièrement distribuées le lo
RVEUX. allongées et irrégulièrement distribuées le long de la fibre
nerveuse
. Sur d'autres enfin, elle revêt la forme de gra
naissance, une teinte beaucoup plus foncée, jusqu'à ce que la fibre
nerveuse
ait atteint les caractères qu'elle possède à l'
vie embryon- naire approche de sa fin, le protoplasma de la fibre
nerveuse
devient de plus en plus capable de sécréter une
u'à croître. Ils s'accroissent en largeur et en longueur. Les tubes
nerveux
du foetus sont en effet des tubes nerveux de tr
en longueur. Les tubes nerveux du foetus sont en effet des tubes
nerveux
de très petit calibre, calibre que l'on ne trou
conséquence de la croissance des éléments qui constituent la fibre
nerveuse
. Si l'augmentation du calibre du tube nerveux s
constituent la fibre nerveuse. Si l'augmentation du calibre du tube
nerveux
s'explique ainsi aisément, il n'en est pas de mêm
ait donc expliquer la croissance en lon- FiG. 118. - Quatre tubes
nerveux
du sciatique d'un embryon d'une brebis, long
s deux segments inter-annulaires voisins. 188 .ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. - - Signification des segments de Renaut.
que chez l'homme adulte comme chez les animaux, on trouve des tubes
nerveux
en voie de dégénérescence (S. Mayer), bien que
sent des prolongements vers la périphérie, pour remplacer des tubes
nerveux
dont l'évolution est ter- minée. BOLL. Die Hi
tschr. f. Anat. und Physiol., Bd VII, 1890. - Du même. Sur les fibres
nerveuses
de la couche granuleuse du cervelet et sur l'év
mifères. La Cellule. Tome Vf, 1890. Du même. La Structure des centres
nerveux
. La moelle . épinière et le cervelet. Li Cellul
Les Découvertes récentes dans l'anatomie et l'histologie du système
nerveux
central. Annales de la Société belge de microsc
microscopie. Tome XV, Bruxelles, Manceaux, 1891. Du même. Le Système
nerveux
de l'homme. Lierre, 1894. - Gerlach. Von dem Ru
ggio Emilia, 1875, - Du même. Recherches sur l'histologie des Centres
nerveux
. Archives italiennes de Biologie. Tome II[, 188
et path., 1884. - Du même. Recherches histologiques sur les centres
nerveux
de quelques invertébrés. Archives de zoologie e
t générale. Série 2, t. I, 1883. - Du même. Accroissement des tubes
nerveux
en longueur par la formation de segments intercal
h. de Phys., 1883. - Du même. Développement des éléments du système
nerveux
cérébro-spirzal chez l'homme et chez les mammif
Milliers Archiv, 1852. CHAPITRE IV HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE Substance grise et substance bl
u point de vue de sa structure générale macro- scopique, le système
nerveux
est essentiellement formé de deux substances qu
substance grise. La substance grise, riche en cellules et en fibres
nerveuses
, forme les ganglions périphériques et constitue
La substance blanche est constituée presque exclusivement de fibres
nerveuses
; elle est remarquable par son opacité et se montr
e même aspect et avec le même éclat dans toute l'étendue du système
nerveux
. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'AD
toute l'étendue du système nerveux. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 191 Elle forme la plupart des nerf
varie suivant que l'on considère les différentes parties du système
nerveux
: ainsi le système nerveux périphérique (nerfs
idère les différentes parties du système nerveux : ainsi le système
nerveux
périphérique (nerfs et ganglions), présente une
ons), présente une consistance autrement ferme que celle du système
nerveux
central. Le degré de consistance tient en grand
abon- dance du tissu conjonctif dans la texture générale du système
nerveux
. Partout où le tissu conjonctif abonde, comme p
outien des vaisseaux sanguins et lymphatiques comme dans le système
nerveux
cen- tral, la consistance est faible. Dans le
ème nerveux cen- tral, la consistance est faible. Dans le système
nerveux
central, le mode de répartition des substances
cncyhali- ques, ou noyaux cen- traux. 192 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La substance blan- che est formée do li- b
et et arquées. Conception ancien- ne de la structure un système
nerveux
. Conception moderne. blanche, comme la format
ies expérimentales et sur l'époque de myélinisation des conducteurs
nerveux
. C'est le système de projection directe qui rel
dernières années, on divisait les éléments constitutifs du système
nerveux
central en deux variétés : les éléments nerveux p
titutifs du système nerveux central en deux variétés : les éléments
nerveux
proprement dits et les éléments non nerveux. Le
variétés : les éléments nerveux proprement dits et les éléments non
nerveux
. Les éléments nerveux comprenaient les fibres n
s nerveux proprement dits et les éléments non nerveux. Les éléments
nerveux
comprenaient les fibres nerveuses et les cellul
éléments non nerveux. Les éléments nerveux comprenaient les fibres
nerveuses
et les cellules nerveuses; les éléments non nerve
éléments nerveux comprenaient les fibres nerveuses et les cellules
nerveuses
; les éléments non nerveux compre- naient les ép
nt les fibres nerveuses et les cellules nerveuses; les éléments non
nerveux
compre- naient les épithéliums, les vaisseaux e
thode de Golgi, cette division des éléments constitutifs du système
nerveux
central, en éléments nerveux et en éléments non
n des éléments constitutifs du système nerveux central, en éléments
nerveux
et en éléments non nerveux, ne peut plus être mai
du système nerveux central, en éléments nerveux et en éléments non
nerveux
, ne peut plus être main- tenue. Il résulte en e
névroglie, qui présentent de si grandes analogies avec les cellules
nerveuses
, proviennent, comme ces dernières, des neuroblast
, c'est-à-dire des mômes éléments embryonnaires. Les éléments non
nerveux
ne comprennent donc que les vaisseaux san- funi
de tissu conjonctif qui leur sert de soutien. Quant aux éléments
nerveux
proprement dits, ils sont constitués par l'épit
par l'épithélium épendymaire, la cellule névroglique et la cellule
nerveuse
munie de son prolongement cylindre-axile, prolo
prolongement qui constitue la partie la plus importante de la fibre
nerveuse
. L'étude histogénique, que nous avons faite plu
s sur la constitution anatomique des différents éléments du système
nerveux
central, dont nous allons rapidement passer en re
ndymaire adulte; 3° La cellule névroglique adulte ; 3° La cellule
nerveuse
adulte ; 4° La fibre nerveuse adulte de la subs
névroglique adulte ; 3° La cellule nerveuse adulte ; 4° La fibre
nerveuse
adulte de la substance blanche; 5° Les éléments
fibre nerveuse adulte de la substance blanche; 5° Les éléments non
nerveux
, tels que les vaisseaux et la trame conjonc- ti
thélium épendymaire à l'état adulte. 1 194 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ! i Structure des cel- lules névrogliques
bles prolongements, le véritable tissu de soutène- ment des centres
nerveux
. Elles entourent d'un feutrage très dense les cel
les entourent d'un feutrage très dense les cel- lules et les fibres
nerveuses
, doublent les cellules épendymaires et se pro-
ur qui s'entrecroisent dans tous les HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 19 : i sens et constituent les lib
encore à déter- miner, se séparer du proto- plasma. 3" Cellules
nerveuses
. - Nous avons étudié plus haut les formes si
Nous avons étudié plus haut les formes si variées de la cellule
nerveuse
, ainsi que le mode d'origine et de ramifi- ca
la structure de sa masse pro- toplasmique. Le corps de la cellule
nerveuse
est formé d'une masse de protoplasma à striatio
rale d'un supplicié. (D'après Vignal.) 196 . ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Aspect nioniliformc des fibrilles. Parapla
rme. Cet aspect, facile il constater lorsqu'on examine des cellules
nerveuses
à l'aide de la méthode d'Ehrlich, c'est-à-dire à
ons pigmentaires. Ces granulations, qui sont propres aux cellules
nerveuses
adultes, se pré- sentent, dans la majorité -des
présente le seul point clair de la cellule. Le noyau des cellules
nerveuses
est relativement volumineux, et mesure de 3,4 i
e vacuoles dési- z gnées sous le nom de nucléolules. Les cellules
nerveuses
des centres encéphalo-médullaires sont dépour-
méthode de Nissl. [D'après Edinger.) HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE -L'ADULTE. 191 il seaux et les fibres nerveu
ÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE -L'ADULTE. 191 il seaux et les fibres
nerveuses
. - Sous l'influence des bichromates alcalins, e
e grise. Ces différences d'imprégnation que présentent les cellules
nerveuses
, différences qui correspondraient, d'après Fles
ules chromophobes et les cellules chromophiles, et que les cellules
nerveuses
rétractées se colorent plus intensivement que les
sivement que les cellules non revenues sur elles-mêmes. 4° Fibres
nerveuses
adultes du névraxe. - Le cylindre-axe des cellule
Fibres nerveuses adultes du névraxe. - Le cylindre-axe des cellules
nerveuses
adultes, qu'il entre dans la constitution d'un ne
tution d'un nerf périphérique ou qu'il concourre à former les tubes
nerveux
du névraxe, se revêt en géné- ral, aune certain
es cylindres- axes, de telle sorte que l'on peut diviser les fibres
nerveuses
soit du système nerveux périphérique, soit du s
le sorte que l'on peut diviser les fibres nerveuses soit du système
nerveux
périphérique, soit du système nerveux central, en
res nerveuses soit du système nerveux périphérique, soit du système
nerveux
central, en fibres à myéline et fibres sans myé
arborisations terminales, soit des col- latérales, soit de la fibre
nerveuse
elle-même, qu'il s'agisse d'une fibre des centr
mak. Les fibres ci myéline constituent l'immense majorité des tubes
nerveux
de la substance blanche du névraxe, mais elles
s. 1 Gaine de myéline. Dift'crcllccs do structure des tubes
nerveux
à myéline du système nerveux central et des n
ft'crcllccs do structure des tubes nerveux à myéline du système
nerveux
central et des nerfs périphériques. Dans le
central et des nerfs périphériques. Dans les centres les tubes
nerveux
n'ont pas de gaine de ? chWaJ1l1. 198 ANATO
veux n'ont pas de gaine de ? chWaJ1l1. 198 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Étranglements an- nulaires. 1 Incisurcs da
rfs du névraxe. Germano, Cajal, admettent cependant dans le système
nerveux
central l'existence d'étranglements annulaires
ements annulaires de Ranvier. La gaine de myéline de certains tubes
nerveux
, en particulier celle qui entoure les prolongemen
uvent une apparence variqueuse. Enfin, de même que dans les tubes
nerveux
périphériques, les incisures de Schmidt, ainsi
l 1), appa- raissent très nettement sur les dissociations des tubes
nerveux
du névraxe pratiquées après injection interstit
x concentriques que l'on observe dans la gaine de myéline des tubes
nerveux
de la moelle coupés transversalement après durc
olu et de l'éther, on obtient facilement, sur les tubes des centres
nerveux
, le réseau décrit par Ewald et Kuline sur les F
Ewald et Kuline sur les Fia. 123. - l, B, C, D et. E, divers tubes
nerveux
des cordons antérieurs de la moelle opinièro du
t protoplasma quo l'on observe à la surface de quelques rares tubes
nerveux
. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'AD
ace de quelques rares tubes nerveux. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 109 nerfs périphériques. Mais ce r
r). L'absence de gaine de Schwann est constante dans tous les tubes
nerveux
de la substance nerveuse centrale. Ranvier a mo
e Schwann est constante dans tous les tubes nerveux de la substance
nerveuse
centrale. Ranvier a montré, en effet, que les tub
de la gaine de Schwann et de son origine ectodermique. "7wcH non
nerveux
, vaisseaux, tissu con jonc tir Les vaisseaux sa
llaires, dont les mailles allongées suivent la direction des fibres
nerveuses
. Dans la substance grise, le réseau capillaire,
on l'a vu plus haut, le véritable tissu de soutènement des éléments
nerveux
, on rencontre encore dans le système nerveux ce
utènement des éléments nerveux, on rencontre encore dans le système
nerveux
central du tissu conjonclifvéritable. Ce tissu co
e dc Ho- bin soit 111lC 'ail]c lymphatique. 0 Dans le système
nerveux
central. le tissu eonjonctif n'e- . xiste' ql
yl'o- glic et (lu tissu COtl- jonctif. 200 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le tissu conjonctif péri-vasculairc est to
te (Ranvier, Cours du Collège de France, inédit). Dans le système
nerveux
central, le tissu conjonctif ne se rencontre qu
clif, entre donc dans la con- stitution de la charpente des centres
nerveux
, mais les libres de ce tissu n'entrent pas en c
ssu n'entrent pas en contact direct avec les cellules ou les fibres
nerveuses
, dont elles sont toujours séparées par une couc
aire et inter-tubulaire. En résumé donc, les vaisseaux du système
nerveux
central sont entourés de deux gaines de nature
3111 NHRVELX P É I ! 1 1' II K R I Q U E I. Structure des ganglions
nerveux
. Les ganglions nerveux peuvent être divisés, au
II K R I Q U E I. Structure des ganglions nerveux. Les ganglions
nerveux
peuvent être divisés, au point de vue de leur s
nglions sympathiques. A. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. Les cellules
nerveuses
adultes des ganglions cérébro-rachidiens, à l'e
olaires et d'aspect piriforme ; elles n'émettent qu'une seule fibre
nerveuse
, laquelle se divise en T après un court trajet, a
présente ni la striation fibrillairc HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 20t H parallèle, ni le réticulum s
'ADULTE. 20t H parallèle, ni le réticulum si manifeste des cellules
nerveuses
du névraxe, en particulier des grosses cellules
ogiques, ou des organes du conductibilité. Le volume des cellules
nerveuses
adul- tes est très variable et oscille entre 29
interne de la capsule. Le cylindre-axe qui se détache de la cellule
nerveuse
unipolaire se recouvre bientôt d'une gaine de m
en général, un deuxième segment inter-annulaire avant que la fibre
nerveuse
ne se divise en T (fig. 121). Cette division s'op
lules. ... Divisions en T de Ranvier. Fig. 124. Deux cellules
nerveuses
des ganglions spinaux du lapin, iso- lées par
r,noyandc l'épithélium sous-capsulaire. 202 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. i 11 La Mire la plus prêle de la division
- rachidiens est coniparabteauuccel- 'lulc olt;vcticc. Cellules
nerveuses
bipolaires du ga : =- Iioaacoutiu<'. t
iliées de la macule auditive ou de V organe de Corli . Les cellules
nerveuses
des ganglions acoustiques (ganglion spirale du
liforme du nerf vestibulaire) sont bipo- laires, comme les cellules
nerveuses
des ganglions rachidiens des poissons. Elles do
e dernière ne se moule pas comme la gaine de Schwann, sur les tubes
nerveux
et leurs prolongements annu- laires, mais reste
es intermédiaires entre les cellules HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 203 bipolaires transitoires et les
borisation péricellulaire très fine, qui se continue avec une fibre
nerveuse
amyélinique, d'origine inconnue, mais provenant
asmique et l'arborisation terminale du cylindre-axe. Les cellules
nerveuses
ne sont pas répandues d'une, manière uniforme,
serrées, et en cellules cen- trales. Elles forment, avec les tubes
nerveux
en T qui en émanent, la majeure partie des élém
s tubes nerveux en T qui en émanent, la majeure partie des éléments
nerveux
du ganglion. A côté de ces fibres qui .naissent
terstitielle d'acide osmique à 2 p. 100. (D'après Ranvier.) t, tube
nerveux
. E, étranglement annulaire. - ca, cylindre-axe dé
ule. - a, noyau de la gaine secondaire. ` ? Or ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres nerveuses partant de la corne antér
la gaine secondaire. ` ? Or ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres
nerveuses
partant de la corne antérieure de la moel-
poulet au quatrième ou cinquième jour de l'incubation, des cellules
nerveuses
, situées dans la corne antérieure, dont le prol
es travées connectives. Ces travées servent de soutien aux éléments
nerveux
et aux vaisseaux et augmentent considérablement
is confirmées ' par v. Gehuchten, Retzius et Sala, que les cellules
nerveuses
adultes des ganglions sympathiques centraux des
entraux des mammifères sont comparables en tous points aux cellules
nerveuses
du névraxe, et qu'elles sont pourvues de deux e
s pour se terminer librement, tantôt HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 20o entourent les corps cellulaire
l'autre et se colorant vivement par le carmin. Outre les cellules
nerveuses
avec leurs prolongements dendritiques multiples
s plus superficielles du ganglion sont formées, en outre, de fibres
nerveuses
amyé- liniques, longitudinales, qui émettent su
ts dendritiques des cellules des couches superficielles. Ces fibres
nerveuses
qui traversent ou recouvrent le ganglion s)'l11pa
on. C, cylindre-axe des fibres de Rcmak. 206 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres venant des cellules de la moelle ép
nt en outre de la moelle, par les racines anté- rieures, des fibres
nerveuses
centrifuges, qui prennent leur origine dans les
fibrilles variqueuses qui courent tortueusement entre les cellules
nerveuses
, s'entrecroisent et s'enchevêtrent en tous sens,
els que le plexus de Meissner et d'Aucrbach, possèdent des cellules
nerveuses
multipolaires (Ranvier, ç . Schwalbe, Toldt, ])
exus de Meissner et qui se terminent HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 207 par des extrémités libres légè
la couche musculaire circulaire de l'intestin (Cajal), des cellules
nerveuses
isolées, qui constituent les ganglions sympathi
res sont destinées. IL - Structure des nerfs adultes. Les tubes
nerveux
, qui constituent par leur réunion les nerfs propr
ivant les nerfs que l'on examine. La très grande majorité des tubes
nerveux
cé1'ébro-l'achidiens sont munis d'une gaine de
sont peu nombreuses ou font même complètement défaut et les troncs
nerveux
présentent une apparence grisâtre. Nous étudi
t une apparence grisâtre. Nous étudierons successivement les fibres
nerveuses
à myéline, les fibres nerveuses sans myéline ou
tudierons successivement les fibres nerveuses à myéline, les fibres
nerveuses
sans myéline ou fibres de Remak, ainsi que le tis
ue le tissu de soutène- ment et les vaisseaux des nerfs. A. tubes
nerveux
A myéline. - Les tubes nerveux à myéline pré- s
et les vaisseaux des nerfs. A. tubes nerveux A myéline. - Les tubes
nerveux
à myéline pré- sentent un diamètre qui varie de
s un même nerf périphérique, on trouve en général d'épaisses fibres
nerveuses
à côté de fibres très grêles ou de moyenne épai
es grêles proviennent de petites cellules d'origine. Chaque fibre
nerveuse
à myéline est constituée par le cylindre-axe, é
myéline est constituée par le cylindre-axe, élément propre du tube
nerveux
, entouré d'une gaine de myéline, limitée elle-m
-mème par une membrane découverte par Schwann en 1839. Chaque fibre
nerveuse
est donc un véritable tube, lequel, examiné à l'é
ébro-ra- chidiens. Nerfs sympathi- ques. Diamètre des tubes
nerveux
à myéline. Gaine de Schwann. 208 ANATOMIE DES
s nerveux à myéline. Gaine de Schwann. 208 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Étranglements de Kauvier. Examen après dis
ylindre-axe au contraire est continu dans toute la longueur du tube
nerveux
, depuis sa cellule d'origine jusqu'à son arbori
ien se rendre compte de ces particula- rités de structure des tubes
nerveux
à myéline, il faut, ainsi que l'a montré Ranvie
n du cylindre-axe, qui fait saillie au niveau du point où le tube
nerveux
a été sectionné, se colore la première en rouge,
etites dimensions, dont les branches longitu- . Fio. '12ï. - Tube
nerveux
à myéline du nerf sciatique du lapin adulte,
ine de myLlino.- cy, cylindre-axe. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 209 dinales sont parallèles à l'ax
rer : « Le cylindre-axe a été déplacé suivant la longueur du tube
nerveux
; l'étranglement annulaire est encore marqué par
i ne font pas défaut au niveau des points de bifurcation des fibres
nerveuses
(Kolliker), se colorent également facilement, ain
s un séjour de Í heures dans l'acide osmique il 1 p. 100, les tubes
nerveux
isolés apparaissent sous forme de filaments noirs
rfs il myéline au moyen Il de l'acide osmique. Fin. 128. - Tube
nerveux
et cylindres-axe du nerf sciatique du lapin adu
ent annulaire. - m, gaine médullaire. - cy, cylindre-axe. B, tube
nerveux
dont le cylindre-axe et l'an- neau a sont impré
Frommann et en r un renflement Liconiquc. 210 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Etranglements an- nulaires de Ranvier et s
ur longueur est en général pro- portionnelle au diamètre des fibres
nerveuses
; « les segments inter-annulaires sont d'autant
triques de la torpille sont beaucoup plus courts que ceux des tubes
nerveux
de même dimension pro- venant des nerfs mixtes.
s cylindro-coniques. 35U diam. ' HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 2tt des plis, des stries, des fila
t l'étendue augmentent progressivement, de telle sorte que la fibre
nerveuse
présente bientôt un aspect granuleux. Au niveau
e, les segments cylindro-coniques s'arrondissent et donnent au tube
nerveux
une apparence moniliforme. En traitant les nerf
e- ments annulaires et des incisures obliques. En effet, si le tube
nerveux
est sectionné au milieu d'un segment cylindro-c
u apparaîtra sous forme d'un anneau simple; si au contraire le tube
nerveux
est sectionné au niveau d'une incisure, la gaine
neaux concen- triques de la myé- line. 212 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Filaments de Golgi et de Rczzonico. Réseau
t assez comparables à ceux qui s'échappent de l'extrémité des tubes
nerveux
sectionnés, examinés frais et dans l'eau. » Gol
Ils signalent en outre dans certains cas, à la surface de la fibre
nerveuse
, une striation transversale ou oblique étendue
n seulement sur les nerfs périphériques, mais encore sur les fibres
nerveuses
des masses blanches du névraxe : aussi les cons
Golgi (imbuti). (D'après Kolliker.) HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 213 tine, décrit par Ewald et Kühn
pas, sauf toutefois les incisures de Schmidt (Ranvier), sur la fibre
nerveuse
vivante, dont la myéline constitue une masse ho
absolu et l'éther, les gouttes de myéline qui s'écoulent d'un tube
nerveux
au niveau mème de sa section. 3. Cylindre-axe
uant au cylindre-axe, qui constitue la partie essen- tielle du tube
nerveux
, car les gaines qui l'entourent ne sont que des a
;i ! /o ? a.fH ! o', qui jouerait le rôle de la véritable substance
nerveuse
conductrice. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NER
able substance nerveuse conductrice. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 2t : : B. tubes nerveux sans myéli
HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 2t : : B. tubes
nerveux
sans myéline ou fibres DE REMAK. Découvertes pa
icilement à isoler les unes des autres, sans les rompre, les fibres
nerveuses
qui le constituent. Les fibres de Remak ne sont p
résentent une texture übrillairc comme les cylindres-axes des tubes
nerveux
à myéline, et il est certain que ces fibres son
haque fibrille conserve dans la fibre de Remak, comme dans la libre
nerveuse
à myéline, son individualité propre depuis son or
terminaison. Chacune d'elles représente, en effet, le prolongement
nerveux
ou cylindre-axile d'une seule cellule sympathiq
il une gaine véritable autour des fibres de Remak, et les fibrilles
nerveuses
qui les constituent, sont-elles en contact direct
es sont très fines, c'est-à-dire constituées par une seule fibrille
nerveuse
, le protoplasma qui entoure leur noyau se répand
une simple gaine. Lorsqu'elles sont formées par plusieurs fibrilles
nerveuses
, elles sont munies non seulement d'une enveloppe
les fibres de Remak, commc dans les fibres à myéline, les fibrilles
nerveuses
sont également entourées par une couche de prolop
urées par une couche de proloplasma. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 211 Quant à la structure du nerf o
savoir : la gaine lamelleuse qui entoure un certain nombre de tubes
nerveux
, en les réunissant en faisceaux, le tissu conjonc
asciculaire situé dans l'intérieur des faisceaux et entre les tubes
nerveux
. La gaine lamelleuse possède une structure d'au
simple, que le faisceau qu'elle circonscrit contient moins de tubes
nerveux
. Si, comme l'a fait Ranvier, on étudie chez la
de manière à former une enveloppe distincte à chacun des ra- meaux
nerveux
partant du tronc principal. Lorsque, par suite de
donc, ainsi que le fait remarquer Ranvier, à la périphérie du tube
nerveux
, un espace occupé par le plasma nutritif ou lym
par le plasma nutritif ou lymphatique « qui baigne ainsi l'élément
nerveux
et peut en pénétrer la partie essentielle, le c
e en remontant le long du nerf, c'est-à-dire à mesure que les tubes
nerveux
qu'elle contient augmentent de nombre et que les
erveux qu'elle contient augmentent de nombre et que les fais- ceaux
nerveux
augmentent de diamètre, on voit cette gaine se do
e la gaine lamelleuse est d'au- tant plus marquée que les faisceaux
nerveux
sont plus gros; elle est éga- lement plus dével
la Endothélium de la gaine de Henle. ' 218 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Tissu conjonctif péri et intra-fascÍc\1- ? l
ux ner- veux et qui constitue le lissu de soutènement des tubes
nerveux
, apparaît d'après Han- vier sous forme de lames
font partie de la gaine la- melleuse et pénètrent entre les tubes
nerveux
, soit pour y conduire les vaisseaux san- guin
ourbées, conservant ainsi la forme qu'elles avaient mtour des tubes
nerveux
. Elles présentent des crêtes et des dépressions
;orrespondant à l'empreinte des faisceaux conjonctifs et des tubes
nerveux
;ur lesquels elles étaient appliquées (Ranvier)
de la pré- paration dans la glycérine. - 150 diam. /'n, faisceau
nerveux
. - gl, gaine lamelleuse. - a, cloison de divisi
eux. - gl, gaine lamelleuse. - a, cloison de division d'un faisceau
nerveux
. - n, un faisceau nerveux très grêle. - v, vais
e. - a, cloison de division d'un faisceau nerveux. - n, un faisceau
nerveux
très grêle. - v, vaisseau sanguin. - fe. tissu
jonctif. - ca, cellules adipeuses. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 2111 (Schultze). fuseaux conjoncti
à l'état normal dans les nerfs de l'homme et représentent des tubes
nerveux
profondément modifiés. Sur une coupe transversa
erveux profondément modifiés. Sur une coupe transversale d'un tronc
nerveux
, les corpuscules de Renaut se présentent sous l
irrégulièrement ovoïdes et situées à la péri- phérie des fascicules
nerveux
. Ils sont entourés d'une paroi lamelleuse strat
artère (Hyrtl, Zuckerkandl, Quénu et Lejars); ils abordent le tronc
nerveux
obliquement, puis se divisent et se subdivisent
sent et se subdivisent avant de pénétrer dans l'épaisseur du cordon
nerveux
. Les vaisseaux du plus gros calibre se rencontren
à l'état de vaisseaux distincts, ni dans l'épaisseur des faisceaux
nerveux
, ni dans la gaine lamelleuse qui les entoure, e
san- guins et lymphati ques des nerfs. 220 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. *- Houton terminal et arborisations termi-
liaIes. 111. Terminaison des nerfs. Les cylindres-axes des fibres
nerveuses
périphériques, qu'ils appar- tiennent aux nerfs
se terminent tous, ainsi du reste que les cylindres-axes des fibres
nerveuses
centrales, par une extré- mité libre, soit légè
s, la terminaison est une terminaison libre et nulle part, la fibre
nerveuse
n'entre en connexion directe, soit : '1° avec une
s; ils ne présen- tent par conséquent aucune relation avec la fibre
nerveuse
. ^ Nous passerons successivement en revue ces d
ns successivement en revue ces différents modes de ter- . minaisons
nerveuses
périphériques. 1° Arborisations terminales <
e papille du derme et en avoir gagné HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 221 . la surface, se divisent et s
E. 221 . la surface, se divisent et s'entrecroisent avec les fibres
nerveuses
voisines. Après un trajet plus ou moins compliq
ou moins compliqué sous la membrane basale des papilles, les fibres
nerveuses
, recouvertes encore de leur gaine de myéline, d
ue les corpuscules de Langerhans n'appartien- nent pas au système
nerveux
, et que les fibres sensitives se terminent par
res, sans aucune connexion cel- lulaire directe. b) Arborisations
nerveuses
dans les muqueuses. Dans les muqueuses recouv
sont les mê- mes que dans l'épi- derme. FiG. 132. Terminaisons
nerveuses
sensitives dans l'épithélium pavimenteux stratifi
s G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. IPic. 134. - Terminaisons
nerveuses
- sensitives dans l'épithélium des lèvres d'u
G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. 222 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres nerveuses terminales de la mu- queu
thode rapide de Golgi. 222 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres
nerveuses
terminales de la mu- queuse olfactive de la
de la souris. 1 Chaque poil ne 1 reçoit qu'une seule libre
nerveuse
. 1 des ramuscules libres dont quelques-uns se
etzius). Dans les muqueuses à épithé- / ? M vibratile, les libres
nerveuses
présentent en général un trajet ré- current (fi
ithélium olfactif avec l'épi- thélium respiratoire, de fines fibres
nerveuses
, ramifiées, variqueuses, d'aspect moniliforme,
es extrémités libres, quel- quefois légèrement renflées. Ces fibres
nerveuses
terminales, découvertes par v. Brunn, et dont
borisations libres inter-épithéliales (fig. 98). c) Arborisations
nerveuses
des poils. Les poils ne présentent pas une inne
poil ne reçoit en général, ainsi que Ran- Fie. 135. - Terminaisons
nerveuses
sensitives dans l'épithélium de l'oesophage du
nctive sons-épithéliale. - o, sur- face de l'épithélium. - n, fihre
nerveuse
. Fic,. 136. - Terminaisons ner- veuses sensit
olgi. Arborisation termi- nale libre extrêmement riche des libres
nerveuses
n, entre les cellules d'un épithélium pavimen
épithélium pavimenteux stratifié. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 223 vier Ira signalé, qu'une seule
STÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 223 vier Ira signalé, qu'une seule fibre
nerveuse
, .qui se détache du tronc ner- veux un peu au-d
'un sinus sanguin caver- neux, et reçoivent plusieurs petits troncs
nerveux
, qui atteignent la paroi du follicule dans son
de nom- Poils tactiles des 1 animaux. * Fic.131. - Terminaisons
nerveuses
sensitives dans l'épithé- lium de la vessie du
épithélium. - bg, couche conjonctive sous-épi- théliale. - n, fibre
nerveuse
montant du tissu conjonctif dans la couche épit
des arborisations intercellulaires libres. Fia. 138. - Terminaisons
nerveuses
sensitives dans l'épithélium de la muqueuse des c
semaines. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. n, fibres
nerveuses
qui, de la couche conjonctive, montent dans la co
des arborisations ramifiées et libres. - 224 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. i 1 I i Roseau nerveux autour des cell
libres. - 224 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. i 1 I i Roseau
nerveux
autour des cellules rlandulaires. .1 Term
illes arrondies ou polygonales, dont se détachent de fines fibres
nerveuses
, qui sont en contact direct avec la [cellule
à leurs extrémités de petits rendements... Fio. 139. - Terminaisons
nerveuses
sensitives dans l'épithélium vibratile de la ré
sales. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. , n, libres
nerveuses
montant (le la couche conjonctive- sous-épithél
par des extrémités s libres et ramifiées. Fic. 140. Terminaisons
nerveuses
sensitives autour des poils du museau d'une sou
ide de Golgi. hst, couche cornée. - réseau de Malpighi. - c, plexus
nerveux
superficiel de l'épiderme (Cutis). - 1l, rameau
ne externe. -- dr, glandes sébacées. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 225 2° PLAQUES MOTRICES.-CORPUSCUL
verses. Au voisinage de l'éminence terminale de Ranvier, la fibre
nerveuse
à myéline ou bien reste indivise, ou bien se di
à myéline, formées chacune d'un segment inter-annulaire. Ces fibres
nerveuses
sont des fibres complètes, pourvues de leur gai
r- minale de la plaque motrice. 1<'10. 141. - Terminaisons
nerveuses
sensitives au- tour des poils tactiles de la
1, poil. -is, gaine o intcrnc.-Itb, follicule pileux. - n. fibres
nerveuses
. - hiv, Hoorzwicucl. - hp, pa- pille du folli
. - hp, pa- pille du follicule pileux. Fio. 142. - Terminaisons
nerveuses
sensitives dans le conduit excréteur de la gl
e ra- pide de Golgi. 1. lumière du canal excré- teur. ? i,hbres
nerveuses
cir- culaires et inter-cellulaires. 226 ANATO
uses cir- culaires et inter-cellulaires. 226 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Noyaux de l'émi- nence terminale. Variétés
t du type nor- mal, et qui peut-être rapproché des termi- naisons
nerveuses
musculaires que l'on rencontre chez les Vertébr
erminale. Dans les cas plus compliqués, la Fie. 143. - Terminaisons
nerveuses
sensitives dans les dents du lézard (lacera a
- p, plaquo motrico vue do face. , HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 227 branche collatérale se divisé
ar Cajal, ni par Retzius. Ces deux auteurs admettent que les fibres
nerveuses
du coeur se divisent dichotomiquement entre les f
rice do Ranvier daus les muscles lisses. Fio. 14. -Terminaisons
nerveuses
motrices dans les muscles de l'oeil du lapin ad
(D'après G. Retzius.) Coloration au bleu de méthylène. , n, fibre
nerveuse
pourvue d'une gaine de myéline. 228 ANATOMIE DE
e nerveuse pourvue d'une gaine de myéline. 228 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Travaux de Ret- zjns. organique. Les nerfs
hes de bifurcation sont pourvues de petits Fie. 146. - Terminaisons
nerveuses
motrices dans le muscle cardiaque d'une souris
(D'après G. Retzius.) Méthode de Golgi. Fie. 147. - Terminaisons
nerveuses
motrices dans les muscles lisses de la vessie d'u
après G. Retzius.) Méthode de Golgi. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 229 boutons très rapprochés, qui r
et se rapprochent singulièrement du mode de terminaison des fibres
nerveuses
des muscles des Vertébrés (lig. 147). Il n'exis
es ne dépendent en aucune manière de la forme de leurs terminaisons
nerveuses
. b) Corpuscules de Golgi. - Les tendons reçoive
tour naissance à une véritable arborisation terminale de fibrilles
nerveuses
.dépourvues de myéline. Le corpuscule de Golgi re
myéline. Le corpuscule de Golgi reçoit quelquefois une seule libre
nerveuse
, mais le plus souvent il en reçoit 15"" Nerfs
tendineuse surtafi)jrf;niuscn- laire. 230 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Corpuscules del'a- cini des tendons. Corpu
qui constituent autant de corpuscules et reçoivent chacun une fibre
nerveuse
distincte. Ils présentent tous un aspect strié ca
que Langerhans l'a montré, il la direction transversale des fibres
nerveuses
, revêtues de myéline, qui pénètrent dans le corpu
es, revêtues de myéline, qui pénètrent dans le corpuscule. La fibre
nerveuse
qui aborde un corpuscule du tact l'atteint, en gé
ur à tour regardées comme des cellules épithéliales ou des cellules
nerveuses
, ces cellules sont aujourd'hui, depuis les travau
formée de libres annulaires, et tra- HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'ADULTE. 231 : versée par quelques fibres à
homme ces corpuscules sont sphériques et reçoivent plusieurs libres
nerveuses
à myéline qui s'enroulent, se replient et se te
. Corpuscule du tact du bec du canard. 232 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ménisques tactiles. constitué par des cellul
r forme des feuilles de lierre, représentent un mode d'arborisation
nerveuse
, terminale et libre, auquel Ranvier a donné le
77. - G. Cattani. L'appareil de soutien de la myéline dans les fibres
nerveuses
périphériques. Arch. italiennes de Biol. 1886,
los mamiferos. Madrid, 1893. - Du Même. Sur les ganglions et plexus
nerveux
de l'intestin. Mem. Soc. Biol. 1893, p. 217. - GE
- GEDOELST. Recherches sur la . constitution cellulaire de la fibre
nerveuse
. La Cellule. Tomes III et IV. - v. Gehuchten. L
e nerveuse. La Cellule. Tomes III et IV. - v. Gehuchten. La cellule
nerveuse
du sympathique chez quelques Mammifères et chez l
üstologie. Paris, 1888. Du même. Lecons sur l'Histologie du système
nerveux
. 2 vol. Paris, 1878. - REVAUX. Recherches sur q
1892, Bd CXXIX. B. Segall. Sur des anneaux intercalaires des tubes
nerveux
produits par imprégnation d'ar- gent. C. R. de
ncephale. Cerveau. 1·'nrme lu ccrccau. 234 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cervelet. Isthme de l'cnd'- phale. Volum
t l'âge. Poids relatif de l'encéphale. 23G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Rapports du YO- Inmc de l'encéphale avec l
a) parce qu'ils sont déjà en possession d'une provision d'éléments
nerveux
embryonnaires qu'ils utiliseront plus tard ; 6)
eynert donne les chiffres suivants : 1 238 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Densité de l'en- eéphale. Hémisphères. S
iétale. - Vs, vermis superior du cervelet. 240 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Faces des hémi- sphères. cervelet qu'elle
olfactif. - U, circonvolution du crochet. 242 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. frontal (LOr). La partie postérieure- de la fa
rochet. - xll, chiasma des nerfs optiques. 244 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les scissures et les sillons ne présentent
niveau de l'espace perforé antérieur. 240 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Scissures princi- pales ou lobaires do la
iel interrompant la scissure de Rolando. 248 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Plis de passage qui relient le lobe tempo-
llon parallèle; t'i, sa branche verticale. 250 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. - Circonvolutionsro- landiques. Limites su
sillon parallèle; t, sa branche verticale. 2a2 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. LO ! J111c orbitaire de (Iratiolct. Lolmlc
sillon parallèle; G ? sa branche verticale. 2 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Deuxième sillon frontal. Incisures des sil
tp, sillon temporal profond. 1 . 1 ... 258. ANATOMIE DES. CENTRES
NERVEUX
. Pôle frontal. Division en trois parties de
- mentaire chez les an- tltruyoïulec. 260 ANATQMIE..DES CENTRES
NERVEUX
. Fin. 160 et 161. Pli courbe et variétés d'inse
ofonde. - Ip, sil- lon temporal profond. 262 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Circonvolution frontale ascendante. Trajet
le, premier et deuxième sillons temporaux. 264 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Circonvolution pa- riétale ascendante. Syn
verticales. ' tp, sillon temporal profond. 266 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. donne souvent naissance, avant de décrire sa c
. (1-)'l'11S ? 111)1\\-111,11'" ginalis. 268 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ]li courbe. médiaire de Jensen, puis coiffe
place du pli courbe. Lobe occipital. 2ïO 0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le lobe occipital a la t'ormo d'une- pyra-
, deuxième et troisième sillons temporaux. 212 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Circonvolutions occipitale.. Gyrlls desccn
' branche verticale du sillon parallèle. : 274 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Tt'oisicmccit'con- volntion occipitale. Ci
erticale. - l" deuxième sillon temporal. 276 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Deuxième sillon temporal. D'autres fois, l
Troisièmo circon- volution temporale. 278 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Deuxième circon- volution temporale. Premi
lle. Sillons mar;;i- naux de l'insula. 280 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sillon marginal su- périeur. l'insula (sul
e de l'insula. - : Lolntlc vlc l'insula. 282 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ,. , Division de l'insti- la (l'après Schnop
s de la .aec interno de l'ht nisphère. 284 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Scissure pariéto- occipitale. nale (cm) et
porale. - t3, troisième sillon temporal. 286 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La scissure calcarine représente une scissure
l'a. lncisure lwdoca- laÎl'c ùe Broca. 288 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Scissure sous-pa- riétale. détache quelque
terne do l'hémi- slnhèrc cu ciu loLes. ! 290 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. 1 Lobe frontal. Circonvolution frontale
on du crochet. - V3, troisième ventricule. 292 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cunéus. Sillon tln cuneus. Plis de passage
actif. - U, cir- convolution du crochet. 204 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le sillon du lobule lingual (lg) divise le lob
de circonvolution oc- cipito-tomporalc. 296 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Lobe limbique de Broca. Le lobe limbiiiuc
1* 't ,MI Isthmo du lobe limbique. 298 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Pli cuneo-limbi- quc. Plu Deuxième circo
ns la profondeur de la scissure calcarine. 300 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Substance blanche réticulée d'Arnold, Sill
on trajet. 81llùIl Ilm¡'rio-o- drouné. 302 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La circonvolution godronnée (Cg) suit le pilie
volution go- dronnle. Lobule olfactif. 301 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le .sillon primaire - <lc Ilis sdpare Ic
de l'ethmoïde, et reçoit par sa face inférieure de nombreux filets
nerveux
qui traversent les orifices de la lame . criblé
'a. Lo ! >c olfactif l'°s- térieur. 306 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Espace perforé an- térieur. La bandelette
du pédoncule cérébelleux supérieur. i - 308 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Mol ! Pédoncules du sep- tum lucidum. Dé
elette diagonale de Broca......... b : l 312 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. . BARACHt. SullecÏ1'convoluzioni cerebrali. Mo
1886. FÉRI £ . ,Tl'aité élémentaire d' Anatomie médicale du système
nerveux
. Paris, 1886. Foville. Traité complet' de V anato
et' de V anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système
nerveux
cérébrv-spincel, 1844. Giacomini. Varietadelle cÏ
ngen tuber das Gehirn. Berlin, 1874. HUGUENIN. Anatomie des centres
nerveux
. Trad. de l'allemand par Keller et annoté par M
London, 1871. - LEURET et Gratiolet. Anatomie comparée du sys- tème
nerveux
. Paris, 1839-1857. - LUSSANO. Compendio anatomico
a hase de Ileule. Eléments surajoutes. 1 314 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Chiasma des nerfs optiques. Livertir : ule
oteur oculaire comnun. - II, nerf optique. 318 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Losange opto-pé- donculaire ou cen- tral.
eur, le plus petit, d'un gris jau- nâtre contient seul les éléments
nerveux
; le lobe antérieur de coloration rougeàtre et d
. - lI(Ch), chiasma des nerfs optiques. 32.0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le lohe postérieur de la glando pitui- tai
uses, riches en pigment, et qui représentent peut-être des cellules
nerveuses
incomplètement développées. Le lobe antérieur,
e du tu- horculo mamillairo latéral. i 322 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ganglion iutcr- pédonculaire. Fascicuiusru
Direction des pé- dnn''u)('sc6r))rnux. 1 324 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. 1 . 1 : Disposition fasci- culée de la fac
oteur oculaire commun. - II, nerf optique. 326 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Chez l'homme la commissure de Mey- nert oc
e cellulaire et la terminaison de ce faisceau formé de fines fibres
nerveuses
sont encore inconnues. Il n'est pas en connexion,
nce dc Iicudc. Trajet du txuia pontis. 328 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Étage supérieur des pédoncules ou ré- gion
de Sylvius. On y trouve, en outre, d'importants faisceaux de fibres
nerveuses
et un noyau volumineux bien circonscrit, le noy
oi- sième et de la qua- trième paires. 330 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. l'isthme de l'encéphale : elle est connue sous
roisième ventricule. - IV, nerf pathétique 332 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Tubercules quadri- jumeaux antérieurs. Bra
k, 1863. Déité. Traité élémentaire d'anato- mie médicale du système
nerveux
. Paris, 1886. - Forel. Beitnlge zur Kenntniss des
VII, 1877. GALL et Suunz- HEIM. Anatomie et physiologie du système
nerveux
, 1810-1820. Gonflw. Ueber veine¡¡ bisher nicht
e, 3 Aufl., 1886. LEURET et Gratiolet. Anatomie comparée du système
nerveux
. 2 vol. et un atlas, 1839-1857. Loc- : uanr-CL :
h. Trans. 1858- 1869. - LONG ET. Anatomie et physiologie du système
nerveux
. 2 vol. Paris, 1842. Luys. Recherches sur le sy
ystème nerveux. 2 vol. Paris, 1842. Luys. Recherches sur le système
nerveux
cérébro-spinal. Paris, 1865. Du même. Iconographi
inal. Paris, 1865. Du même. Iconographie photographique des centres
nerveux
. Paris, in-4°, 2 vol. 1873. Meynert. Vont Gomme d
choroïdienne. Seuil do l'hémi- sphère. 334 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Corps calleux. Trigone cérébral. Troisième
). - Il (Ch), chiasma des nerfs optiques. 33fi ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ventricules laté- raux. Capsule interne
e nom de globus pallidus (NL2, NL,); ils sont plus riches en fibres
nerveuses
, et présentent une origine et une structure diffé
u grillagée. II, bandelette optique. 22' 338 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. C Centre ovale de Vieussens. Corps calle
. - I's, vcrmis superior du cervelet. t 3-in ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Bourrelet. Genou. Iicc ou rostrum. Sa fa
cta. Ses rapports. Sa face inférieure. 312 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. sont réunis l'un à l'autre par des fibres tran
I i Ventricule de Ver-a. i j I ! 344 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Radiations du corps calleux. Forceps du co
éral. - VSl, ventricule du septum lucidum. 346 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses bords. Trous de Monro. Piliers antérie
cules quadri- jumeaux. Il, nerf optique. 348 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Piliers postérieurs du trigone. Lyre de Da
corne occipitale. Vsph, corne sphénoïdale. 350 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. nales du trigone s'unissent aux fibres du sept
- III, fihres radiculaires de la 3° paire. 352 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Septum lucidum. Pédoncules du sep- tum luc
ent à la surface libre de la vésicule hémisphérique) des cel- iules
nerveuses
pyramidales, dont le sommet regarde la cavité du
ntricul' .1.. la ;Ioison Sa structure. 354 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ventricules laté- raux. dum est souvent si
Ses limites. Sa voûte. Son plancher. 3110 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. le sillon opto-strié et le sillon choroïdien,
e en bas et en dehors. La lame cornée, qui contient quelques fibres
nerveuses
longitudi- nales du ta'nia semi-circularis, con
ol' corporis slriati de 1\'illis (le), estun petit faisceau de libres
nerveuses
qui occupe la partie inféro-externe du sillon o
strié. Bandelette demi- circulaire. 35S ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Corno' sphénoïdale th. ventricule laté- ra
u noyau caudé (NC'), masquée souvent par une mince couche de fibres
nerveuses
. Contiguë en arrière à la bandelette demi-circu
Corne occipitale du ;entriculc lat6ral. 360 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses limites. Sa voûte. lobe occipital est
plexus | choroïdes. ' . ! 1 t i I 362 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. 1 Êpcndyme Ventri- claire. Son épaisseur v
te, en arrière de la circonvolution du crochet, à une mince lamelle
nerveuse
, le vélum termi- nale d'Aeby (vt), tapissé par
e, ou grillagée. - II, bandelette optique. 366 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son sommet. Sa base. Ticnia thalami et g
icule.- VSl, ventricule du septum lucidum. 368 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Lafcntccet'eht'ale 0C' Bichat n'existe pas
divise le corps strié en deux noyaux. 30 0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Forme du noyau caudé. unique située au-des
-ventriculaire. Sa face adhérente. 1 372 ' ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses rapports avec . la substance grise sou
Il répond l'in- sula. Sa face externe. 374 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa face supéro- interne. Sa face inférieur
pports de cette face. Ses bords. naissance qu'à de rares fibres
nerveuses
, et n'affecte que des rapports do contiguité av
idus. Rapports et den- duc du putamen. 3ïû ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres du corps strié. Lames médullaires
Sa face interne. , Sillon do Monro. r 378 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Commissure grise. Son extrémité pos- . tér
ce inférieure s 1 ! i ' 1 i 'i 380 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Anse pédonculaire. Ses rapports avec la ré
Noyau antérieur ! ou supérieur. ! 1 382 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Noyau externe, lame médullaire ex- terne e
oduit un état de différenciation de la substance blanche du système
nerveux
, bien connu depuis longtemps, et (1.'i rend de
e des dégénérescences secondaires. 2 : ; 38R ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Nous ne décrivons donc dans ces coupes macrosc
zontale du bord supérieur de l'hémisphère. 388 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ment à la profondeur propre du sillon, mais en
e . , détails à noter par suite de la grande intrication des fibres
nerveuses
il ce niveau. On y reconnaît cependant les fais
li, partie verticale du sillon parallèle. 390 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. qui de la couronne rayonnante et du corps call
, tsenia tecta. - VI, ventricule latéral. 39 ? ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. mente considérablement, et forme une couche ép
téral. - ZI', zone réticulée ou grillagée. 390 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La capsule interne (Cia et Cip) a conservé il
ucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 398 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. n'en est que le prolongement. La pointe occipi
strié. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 400 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. circzdaris ; elle est limitée en dehors et sép
(NC), et à la portion réfléchie de sa 26 402 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 224. - Coupe horizontale de l'hémisphère
lucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 404 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fin. 32u. Coupe hofizonfate de l'hémisphère dr
al. J'sl, ventricule du' septum lucidum. 406 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. du cunéus; une troisième fois enfin au niveau
de la scissure calcarine (K) et sur le pli 408 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FJG. 226. - Coupe horizontale del'hémisphèrc d
S.\ Zr, zone réticulée ou grillagée. 1 : 410 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. convolutions, la couche sagittale du lobe occi
alcarine et pariéto-occipilale (K + po) ' , 4t ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. qui sépare le lobule lingual (Lg) du pli Ctlll
al. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 414 IL. ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fie. 228. - Coupe horizontale de l'hémisphère
e présente toujours avec l'aspect foncé, caractéristique des fibres
nerveuses
coupées perpendiculairement à leur axe ; mais les
ou troisième sillon frontal (f3); la 27 418 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 229. Coupe horizontale de l'hémisphère dr
te le bord d'arrêt de l'écorce cérébrale. .É20 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Substance blanche. - La masse blanche du lobe
tie au système du faisceau lenticulaire de 422 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Forel (FI) (voy. Coupes microscopiques de la c
corne sphénoïdale. - IV, zone de Wernicke. 424 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La région sous-optique contient déjà tous les
rieure ou pied du pédoncule (P) séparée de 426 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. la région précédente par une bande de substanc
radiculaires de la troisième paire. ) - 430 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. et la circonvolution du crochet (U); elle inté
, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 432 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cette coupe sectionne les parties inférieures
ventricule latéral., 1 "ç'\\ v \ . '' ? $' 434 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. système du faisceau longitudinal inférieur (Fl
ondent à ceux de la figure précédente. 436 ANATO ? l1lE DES CENTRES
NERVEUX
. Coupes nos 30, 33, 37, 40, 43, 46. Coupe n°
le. - pCH, pied do la couronne rayonnante. 438 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. divise la face interne du lobe frontal en deux
onvolution frontale (oF3) avec l'extrémité 444 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. antérieure du lobe temporal, en passant par le
du cro- clict. - VI, ventricule latéral. 448 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. la face interne de la première circonvolution
cule latéral. - Il, bandelette optique. '450 . ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. apparaît (coupe n° 63, fig. 245) l'extrémité a
tricule latéral. - II, bandelette optique. 452 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. insensiblement avec l'écorce de la circonvolut
rise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau 454 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. occipito-frontal (OF), son bord interne répond
ulée ou grillagée. Il, bandelette optique. 456 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. externe concourt à former avec le noyau caudé
dant aux lignes 78 des figures 235 et 236. 458 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ces coupes passent toutes par le lobule parace
icule latéral. - II, bandelette optique. 460 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. par la lame cornée (le), la queue du noyau cau
ou grillagée. - Il, bandelette optique. 462 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. sur la fig. 249 sous la forme d'une lentille b
rise COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 par une zone de fibres
nerveuses
bien décrite par Forel et que nous désignerons
fibres radiculaires de la troisième partie 464 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. (NL3), qui le sépare de la bandelette optique
: e. - 1.1', zone réticulée ou grillagée. 468 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. appartiennent pour la plupart au système thala
le latéral. Vsph, corne sphénoïdale. 472 2 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. temporale (T3) forme le bord inféro-interne de
rieur du trigone. l'l, ventricule latéral. 474 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. : ' (fig. 258 et 259), cette circonvolution ch
c, corne occipitale du ventricule latéral. 47G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. coupe n° 92 (fig. 256). La coupe n° 93 (fig. 2
aux lignes 107 des figures 235 et 23tri. 4-78 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Coupe n° 116 (fig. 263), passant à 9 millimètr
corne occipitale du ventricule latéral. 480 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Large sur les coupes nos 116 et 122 (fig. 263,
c, corne occipitale du ventricule latéral. 482 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
.; qu'occupe le cunéus à la face interne du lobe
orne occi- pitale du ventricule latéral. 484 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. nzajor(Cc, Fm). Leur section affecte la forme
oyau lenticulaire. Ces deux noyaux ne for- 490 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. nient qu'une seule et même masse (NC ? NL3). L
rès le même aspect que sur la coupe pré- 492 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Inc. 21.HJ. - Coupe sagittale de l'hémisphère
corps strié. - v, veinule du corps strié. 494 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
., neuse, sectionnée transversalement, et qui so
u-dessous du noyau caudé (NC), apparait ,49G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fin;. 270. Coupe sagittale de l'hémisphère dro
ique. - V, origine apparente du trijumeau. 498 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. segment antérieur de la capsule interne (Cia),
onne rayonnante (CR). Le reste de la masse 500 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fit.. 271. - Coupe sagittale de l'hémisphère d
ée ou grillagée. - Il, bandelette optique. 502 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. (fig. 270). Les fibres de ses 2/3 postérieurs
édonculaires et représente la continuation 504 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Vu; 272. Coupe sagittale de l'hémisphère droit
tique. j ! i ? ' 1 I \ k ! 1 I ? ... ? 506 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 273. Coupe sagittale de l'hémisphère droi
ou grillagée. - Il, bandelette optique. 508 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FG. 274. - Coupe sagittale de l'hémisphère dro
occipitale. - Vsph, corne sphénoïdale. ; ! )0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. mité antérieure recourbée de la queue du noyau
corne sphénoïdale du ventricule latéral. at2 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fig. 276. Coupe sagittale de l'hémisphère droi
apport avec la région rétro-insulaire. 516 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fig. 277. -Coupe sagittale de l'hémisphère dro
avec les capsules externe et interne. ! : 20 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les coupes C, D et E, comprennent les 2/3 anté
première circonvolution frontale (mF,). : : 24 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. En dedans des fibres calleuses (Cc), on trouve
Vf, corne frontale du ventricule latéral. 526 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. contourné l'extrémité antérieure de la corne f
tal (voy. lig. 297, 314, 320) ou sagittal. 528 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les fibres du corps calleux (Ce) se portent en
llons temporaux. - Pl, ventricule latéral. 530 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. trouve l'avant-mur (AM), qui se présente au ni
e portent en haut, longent la face externe 532 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fie. 282. Coupe vertico-lransversale, no IV, p
cule latéral. - Il, bandelette optique. : ! 34 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. suivent le trajet des fibres des piliers posté
en bas et en dedans. Au niveau du noyau 536 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ho. 283. - Coupe vei-Lico-1 i-illisvel-saie, n
ntricule latéral. J/, bandelette opt ique. 538 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. et du faisceau uncinalus (Fu) par le pédoncule
tique qu'il présente soit sur les coupes 540 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
Vu : . 284. Coupe vertico-transversale, n° VI,
u grillagée. - II, bandelette optique. : ¡2 A\ : 1TOII1 DES CENTRES
NERVEUX
. zone irrégulière, riche en fibres, le champ de
de la troisième paire, i \ o i i i>i" 541 ! ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. dedans. Ce faisceau prend son origine dans les
(Cip); les inférieures abordent la capsule 548 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fiu. 286. -Coupe vertico-transversate, no VIII
ndelette optique. III, troisième paire. 50 0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. dier. Dans la région lhalamique il reçoit tout
capsule interne (Cirl), passent au-des- Kb2 ' ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fie. 287. Coupe vei-lico-Li-aiisversale, n° IX
I/I, fibres radiculaires de la : 3` paire. 334 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. sectionnées en travers du pilier postérieur du
ssent comme les fibres du tapetum (Tap), 330 . ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ftc. 288. - Coupe vertico-transversale, n°X, p
ec, Uenia tecta. VI, ventricule latéral. 358 . ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. et du forceps major du corps calleux (Fm) ; ce
sant par la ligne A de la fig. 291. 36 562 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cette coupe, parallèle à la deuxième circonvol
es libres précédentes, elles se trouvent 564 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fic. 292. Coupe horizontale microscopique A, c
tale. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 566 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
, Fie. 293. - Coupe horizontale microscopique B,
radiant dans ltroi circonvolution frontale. z0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. nuer avec les fibres du tapetum (Tap). Pour l'
e du noyau lenticulaire (Al). Ces fibres 572 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
Fin. 296. - Coupe horizontale microscopique D,
s. - T{fa, pilier antérieur du trigone. 57 r ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. I c. 297. Coupe horizontale microscopique E, c
olfactif. - U, circonvolution du crochet. 576 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. gros fascicules qui morcellent sa partie exter
ndo (R), la circonvolution frontale 37 578 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ascendante (Fa), le fond du sillon ]Jl'é-l'ola
. - Sge, substance grise sous-épendymaire. 580 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. diffuses ; elles dissocient en effet de volumi
grise sous-épendymaire. tec, taenia tecta. 582 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le tænia tecta (tec) est doublé par une couche
tec, toenia tecta. VI, ventricule latéral. 584 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. coupes précédentes, grâce à l'apparition d'un
isser toute la face ventriculaire du corps 586 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. calleux. Dans la tête (NC) et dans la queue du
atéral. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 588 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. interne (Cip) des fibres sectionnées perpendic
ucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 590 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. du ventricule latéral (VI), on trouve les fibr
(Ip) plus grandes. Le pli le plus saillant 592 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
.' correspond à l'insula antérieur; il est sépar
strié. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 591 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. noyau caudé (NC) ou au putamen (NL.,), sont co
e du noyau caudé (NC) par un large pont de 596 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. substance grise qui interrompt le segment anté
rnicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 598 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. texture tout il fait particulière. On y trouve
De la partie posléro-externe de ce noyau. 600 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. part un faisceau conique et compacte, de fines
rnicke. Zr, zone réticulée ou grillagée. 602 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. zonlales qui relient entre eux les deux noyaux
èles qui embrassent le fond du sillon. ' 604 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Couche optique (Th). Le noyau antérieur de la
ise qui consti- tuent de véritables petits nids, entourés de fibres
nerveuses
. Il reçoit plusieurs systèmes de libres : les f
(Sgc); elle fait partie du troisième vcn- 606 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. luc. 308. Coupe horizontale microscopique n° .
ijumeau antérieur (Qa) n'est pas intéressé 608 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. dans sa plus grande largeur. Il est surtout ca
a protubérance à la suite de lésion i 39 610 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. portant sur la corlicalilé de la partie moyenn
apside (Cip) et du faisceau lenticulaire 612 1 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. loc. 309 ? Coupe horizontale microscopique, n°
rnicke. - Zi, zona incerta de Fore). 614 4 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FIG. 310. Coupe horizontale microscopique n° 1
incerta de Forel. Il, bandelette optique. 616 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. de la capsule; le cinquième postérieur est occ
upe le segment moyen du noyau lcnticu- 6d8 8 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 311. Coupe horizontale microscopique n° 1
tricule latéral. 11, bandelette optique. 620 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. plus en arrière et en dehors que sur la coupe
udé (NC) jusqu'à la partie antérieure du 622 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. faisceau longitudinal inférieur (Fli), c'est-à
ventricule latéral. ? bandelette optique. 624 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. quelques fibres peuvent être suivies il la par
i le traversent et il est entouré d'une véritable capsule de fibres
nerveuses
, dont les internes affectent une direction antéro
la partie interne du pied du pédon- 40 626 ANATOMIE,DES CENTRES
NERVEUX
. cule cérébral (P) est sillonnée par de nombreu
e sphé- noïdalc. Il, bandelette optique. 628 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sur les coupes précédentes nos 12 et 13 (fig.
entricule latéral. Il, bandelette optique. 630 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. gentielles, très abondantes dans cette région
gion thalamique ou sous-thalamique . G32 . . ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Coupe n° 1 x (fig. 316), passant par la ligne
atéral. z ? zone réticulée ou grillagée. 634 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. A l'extrémité antérieure de la couche nhlic/tt
de Forel. Zn, zone réticulée ou grillagée. 636 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le segment antérieur de la capsule interne (Ci
Forel. Zr, zone réticulée ou grillagée. 038 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le t,l'nia thalami a disparu dans le ganglion
Zr, zone réticulée ou grillagée. , ... ' 640 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. substance grise, qui relient incomplètement la
ur de la capsule interne (Cip) au niveau U44 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. de sa partie moyenne, et pénètrent dans l'extr
j Meynert's de Forel) (xM, fig. 3'23). Ces 646 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. libres sont limitées en dedans et en arrière p
optique. xll, chiasma des nerfs optiques. 648 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. la capsule interne. Ces trois ordres de fibres
lée ou grillagée. ? bandelette optique. 6 : in ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. capsule externe (Ce) et V avant-mur (AM), morc
fibres radiculaires de la troisième paire. 632 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. les corps genouillés interne et externe (Cgi,
uns de ces fascicules semblent provenir, 654 ' ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. non pas de la queue du noyau caudé (NC'),mais
ptiques (xll) et le trigone olfactif (Toi) avec sa couche de fibres
nerveuses
. Au niveau de sa partie postérieure, on trouve :
ra-vent riculaire de la couche optique. 6 : i0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Coupe n° 11 x (fig. 326), passant par la ligne
très réduite de volume, entourée d'une très mince couche de fibres
nerveuses
. Le corps genouillé externe (Cge) est très augm
ilets radiculaires de la troisième paire. 6;i8 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. faisceau de fibres parallèles fortement coloré
ilet radiculaires de la troisième paire. 660 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. (Ln), tandis que la troisième paire (III) n'es
on trouve de chaque côté de la ligne médiane un groupe de cellules
nerveuses
assez abon- dantes, qui appartiennent au gangli
diculaires du nerf pathétique (iv* paire). 662 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. gros fascicules de fibres qui constituent le p
l'écorce cérébrale est formée de cellules ner- veuses, de fibres
nerveuses
, de névroglie et de vaisseaux. Les cellules ner
es, de fibres nerveuses, de névroglie et de vaisseaux. Les cellules
nerveuses
présen- tent des formes très variées : elles so
al pyramidales et se disposent en cou- ches stratifiées. Les fibres
nerveuses
qui naissent des cellules pyramidales se réunis
y Cajai. ; i Structure de l'é=; ,orce cérébrale. i Cellules
nerveuses
Cellules nerveuses. Fibres radiées. Fibres
cture de l'é=; ,orce cérébrale. i Cellules nerveuses Cellules
nerveuses
. Fibres radiées. Fibres transversal es ou t
rt ou . couche des cellules fusiformes. 6li6 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ric. 330. Schéma résumant la concordance des d
- leux, dans laquelle on trouve disséminées quelques rares cellules
nerveuses
petites et irrégulières. Sur des préparations t
Origine des fibres du réseau d.Exncr. 668 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules delà cou- che moléculaire. Cellul
a cylindres-aaes. - b, leurs collatérales. 670 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le cylindre-axe des cellules fusiformes de
a couche moléculaire est donc formée par les cellules et des fibres
nerveuses
autochtones a à direction surtout tangentielle;
ndants des cellules polymorphes, ramifications terminales de fibres
nerveuses
de la substance olanche des hémisphères) et con
les Ver- tébrés, ainsi que l'a mon- tré Cajal. La transmission
nerveuse
se fait ici par contact; elle est analogue à
des caractères généraux communs à toutes. 672 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. . Dendrites de la ccllnlc pyramidale. Tige
es ramilles de Cajal qui se terminent librement entre les fibrilles
nerveuses
de cette zone. Ces ramifications protoplas- m
ires. p, panaches protoplasmiques. 43 11 674 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Collatérales du cy- lindre-axe de la cel-
a corticalité du cerveau, constitue le véritable centre des actions
nerveuses
d'ordre supérieur, la cellule psychique de Cajal.
e blanche cellule du type II de Golgi. ' 676 6 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les cylindres-axes des petites cellules py
'anastomo- seraient entre elles, pour contribuer à former le réseau
nerveux
continu, dont cet auteur admet l'existence dans
che ou couche anznzo- nique de Meynert, couche moyenne des cellules
nerveuses
de Stieda, strata- medio de Golgi, fig. 329 et
grandes cellules pyramidales sont comblés par un feutrage de fibres
nerveuses
, particulièrement serré au STRUCTURE DE L'ÉCORC
puis se coudent ou se divisent en T et se continuent avec une fibre
nerveuse
de la substance blanche (Cajal). i Couche des
terminales ci variqueuses du cylindre-axe. 678 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules du type U de Golgi. Cellules à cy
ent des faisceaux - compacts et serrés, entre lesquels les cellules
nerveuses
sont disposées en colonne radiaire; ils renferm
suivant : FiG. 342. Ce schéma représente la disposition des libres
nerveuses
dans l'écorce céré- brale, ainsi que la nomencl
cinquième couches. Sb, substance blanche. 682 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres tangentielles de l'écorce. Elles oc
terminales des fibres d'association et probablement d'autres libres
nerveuses
, venant des ganglions centraux ou des centres i
épaisses, qui constituent la strie interne de Baillarger ou plexus
nerveux
interne de Krause. 5° Les fibres d'association
se font par contact nervoso-pro- toplasmique. Sens du courant
nerveux
.. c-- Excitations volon- taircs. L'intellig
ymnastique céré- . brale, puisqu'elle ne peut produire des cellules
nerveuses
, porte un peu plus loin que d'ordinaire le déve
développement des expansions protoplasmi- ques et des collatérales
nerveuses
, en forçant l'établissement de connexions infra
ullaire des stries blanches, indices de la myélinisation des fibres
nerveuses
. Cette myélinisation s'accroît et se perfection
pendant un temps assez long une légère teinte violacée. Les fibres
nerveuses
de la masse blanche des hémisphères ne se recou
n est si avancée qu'il est im- ' t4 La myélinisation des fibres
nerveuses
qui augmente avec l'âge est en laveur de ce
t6- rine. Anse rolandique dc Parrot. 690 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La myélinisation des fibres tangen- tielle
sième année, il n'en est pas de même de la myélinisation des fibres
nerveuses
intracorticales et en parti- culier des fibres
couche est remarquable par son épaisseur et sa richesse en fibres
nerveuses
tangentielles. ' Elle présente les caractères
pyramidales, et un nombre extrêmement consi- dérable de fibrilles
nerveuses
, provenant soit des cellules ner- veuses auto
al); dans les mailles du feu- trage, formé par de nombreuses fibres
nerveuses
ramifiées, se rencontrent quelques cellules dit
tres régions de l'écorce cérébrale, est constituée par des cellules
nerveuses
et de nombreuses fibres à myéline et sans myéline
moléculaire, au voisinage des cellules dites de Cajal. Les fibres
nerveuses
du ruban de Vicq d'Azyr, ou couche médullaire m
utrage très serré, dans les mailles duquel se trouvent les cellules
nerveuses
. A l'exception des fibres verti- cales, qui rep
résentent les cylindres-axes ascendants ou descendants des cellules
nerveuses
, toutes les fibres du ruban de Vicq d'Azyr sont c
tangentielles sont très nombreu- ses. 698 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Elles présentent leur maximum de de- velop
et nerfs de Lancisi. 1 i f i 1 : . 700 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Structure des nerfs dc l,ancisi. On trouve
on des cylindres-axes des cellules de la couche moyenne. Ces fibres
nerveuses
donnent nais- sance à des collatérales, qui se
voisinage de la scis sure collatérale. 702 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. les autres régions de l'écorce, les quatre cou
es yrami- dales et stratum ra- diatum. loi ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Coucho des cellules polymorphes. Substance
uches de la corne d'Ammon de Meynert. 708 .ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Parallèle entre les couches de la corne d'
région godronnée de la corne . d'Ammon. , 0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. oriens ou couche des cellules polymorphes, par
stratum radiatum dont le cylindre-axe fournit des rameaux au plexus
nerveux
situé entre les cellules pyramidales. - e, f, cel
is le stratum radiatum contient en outre quatre espèces de cellules
nerveuses
et un feutrage de libres plus ou moins dense. Par
lules de Golgi de la couche moléculaire. 712 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Couche des cellules pyramidales (2 cou- ch
pro- toplasmiques et de longues épines. 716 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le cylindre-axe des cellules pyrami- dales
horizontale dans le stratum lacunosum et se continue avec une fibre
nerveuse
à myéline de cette région (fig. 359). Ces fibre
pyramidale ou supérieure. ? faisceau formé de grosses collatérales
nerveuses
ascendantes /, collatérales de la substance bla
-axe des cellules pyramidales et contient trois espèces de cellules
nerveuses
, dé- crites par Schaiffer : les cellules à cyli
Cellules a cylin- vlre-axe ascendant. lis ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules à cylindre- axe arqué de Cajal. (
re-axe horizontal. F, couche des cellules pyramidales avec son plexus
nerveux
inter-cellulaire. G, Il, deux cellules à cylind
i' j Fibres do la corne d'Ammon. 1 d2o ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. F 1 ilrcs nervcuscs de l'alvéus. 1 Ce
elques cellules polymorphes égarées du stratum oriens. Les fibres
nerveuses
de l'alvéus affectent une direction variable suiv
e involuta s. circozvolzcta de la corne d'Ammon est riche en fibres
nerveuses
à myéline. Sur les préparations traitées par le
e la couche moléculaire se recou- vrent de myéline. b) Les fibres
nerveuses
du stratum lacunosum sont extrêmement nom- breu
medullare médium ou stratum lacunosum. 722 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres du stratum radiatum. Feutrage péri-
dronnée de la corne d'Ammon. '1 1 i 724 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. i La circonvolution odronnéc est for- mé
région godronnée de la corne d'Ammon. 1 726 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Stratum granulo- siim (2- couche). Les gra
de cette écorce avortée. Caractères des grains. a £ Fibres
nerveuses
collatérales et terminales de l'alvéus. Ces fibre
lgi a montré que ces « grains » représentent de véritables cellules
nerveuses
ovoïdes, qui sont morphologiquement l'analogue
se ramifiant entre les grains. e, autres cellules dont les expansions
nerveuses
s'arborisent dans la couche moléculaire. - h, c
s'effectuent les contacts nervoso-protoplasmiqiies avec les fibres
nerveuses
terminales de la couche moléculaire. Par leur c
sue de Cajal). p, panache protoplasmiquc. 72R ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. , Collatérales mous- sucs des grains. Le c
a corne d'Ammon (fig. 366) et représente une véritable arborisation
nerveuse
terminale, superposée aux corps et aux den- dri
yramidale ou suhéricure.-1/, faisceau formé de grosses collatérales
nerveuses
ascendantes. /, collatérales de la substance bl
xe pénètre dans la corne d'Ammon. ! ' - 730 .ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
.- - I Les fibres moussues mettont en rapport
mifiant entre les grains. - e, f, autres cellules dont les expansions
nerveuses
s'arborisent dans la couche moléculaire. - h, c
cellules à cylindre-axe ascendant.- j, g, cellules il prolongements
nerveux
descendants. - ici, collatérales variqueuses de
xes ascendants dans la couche moléculaire. 732 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules du type II de Golgi. Cellules u6v
olfactif cinq cou- ches concentriques : 'Í. La couche des fibres
nerveuses
super- ficielles. 2. La couche des glomérules
couche des cellules mitrales. 5. La couche des grains et des fibres
nerveuses
profondes. 1. La couche des fibres nerveuses su
s grains et des fibres nerveuses profondes. 1. La couche des fibres
nerveuses
superficielles est exclusivement formée par les
use de Schneider et représentent un remarquable exemple de cellules
nerveuses
périphériques (Voy. fig. a69 et p. 162). , 2"
difiée. Les cinq couches du bulbe olfactif. Couche des libres
nerveuses
superfi- cielles. (1re couche.) Couche des gl
is. Méthode rapide de Golgi. (D'a- près G. Retzius.) n', fibres
nerveuses
qui se por- tent sur la surface de l'épithélium
titèneiiieiit. - o, surface épithéliale. 731 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les filnrilles olfac- tives se terminent d
i les fibres olfactives constitueraient dans le glomérule un réseau
nerveux
anastomotique qui se continuerait avec d'autres
seau nerveux anastomotique qui se continuerait avec d'autres fibres
nerveuses
centri- pètes, émergeantdu glomérule. Les ramif
mitrales. 4° La couche des cellules mitrales renferme des cellules
nerveuses
géantes, les unes triangulaires, les autres en
t des fibres à myéline. Cette couche com- prend une trame de fibres
nerveuses
à myéline entre-croisées dans tous les sens, ma
rnic olfactif. - o, libres olfactives. ' ï36 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules de Golgi. Origine et termi- naiso
us grêles et dont les cel- FiG. 31 Schéma de la marche des courants
nerveux
dans l'appareil olfactif des mammifères. (D'apr
ainsi que le fait remarquer Cajal, que la transmission de l'influx
nerveux
n'est' pas individualisée, c'est-à-dire ne- va
s pyramidales de la région, avec un nombre con- sidérable de fibres
nerveuses
de fin ou de gros calibre. Les fibres de fin ca
es ccilu- les pyramidales (-" couche). 738 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Couche plexiforme mu des ccllules poly- : no
ules des îlots olfactifs sont enlacées d'une très fine arborisation
nerveuse
et variqueuse. Cette arborisation appartient à de
e fibres tan- gentielles, on rencontre une couche mince de cellules
nerveuses
, de forme pyramidale et dont le prolongement pr
ons de l'hémisphère. Elle contient un très grand nombre de cellules
nerveuses
, analogues à celles de l'écorce, dont elles ne se
L'origine et l'aspect des cellules de la névroglie dans les centres
nerveux
de l'enfant. Soc. de Biologie, 1894. Baillarger.
'Ammon. Septum lucidum des mammifères. 740 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. existencia di bifurcaciones y colaterales en l
t 4, 1893. - Du même. Les nouvelles idées sur la structure du système
nerveux
chez l'homme et chez les vertébrés. Traduit de
sych. u. Nervenkr. Bd XVIII, 1887. - 6rriUCIITE.\ (Van). Le système
nerveux
de l'homme. Lierre, 1893. Gehuchten (Van) et MA
er Nervenlehre des Menschen. 1879. - Huguenin. Anatomie des centres
nerveux
. Traduction française de Keller, annotations pa
t, même recueil, 1888. Du même. Développement des éléments'du système
nerveux
cérébro-spinal chez l'homme et chez les mammifè
ale de Vieussens, est essentiellement formée de faisceaux de fibres
nerveuses
à myéline, à trajet plus ou moins sinueux, non
es courtes et longues d'associa- tion. 744 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Entre-croisements des fibres d'associa- ti
projec- tion. .. i z Leur origine. * j 740 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Trajet des fibres de projection. Fibres ce
de l'écorce admettent qu'elle contient les ramifications de fibres
nerveuses
, provenant des différentes régions du système ner
s de fibres nerveuses, provenant des différentes régions du système
nerveux
central. D'après Golgi, les ramifications de ce
s de la sub- stance grise; elles ne s'abouchent avec aucune cellule
nerveuse
, et leur nombre est assez considérable pour con
substance blanche. B, couche moléculaire. 748 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres courtes d'association ou Il- bi-es
chez l'enfant et ne se distinguent de la masse générale des fibres
nerveuses
, que lorsque l'éducation et l'exer- cice ont in
ceau d'association du rhinencéphalon. 750 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Forme et trajet du cingulum. sous le nom d
Origine et ter.ni- naison du cingulum. il ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les trois faisceaux du cingulum d'après Be
de ses fibres dans le lobe trontal. i 754 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. les autres dans la partie orbitaire des premiè
lon temporal. - 1'S, vallée de Sylvius. il 75G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. 1 Faisceau longitu- dinal supérieur ou f
le profonde. - VS, vallée de Sylvius. 7 : i8 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Terminaison du faisceau arqué. Opinion de
halamus. - U, circonvolution du crochet. . 7G0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Interprétation per- sonucllc. Le faisceau
tha- lamiques. - Voc, corne occipitale. 762 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa iorme sur les coupes vertico-trans- ver
ions de la convexité" de l'hémisphère. 761 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 382. - Coupe vertico-transversale, passan
ieur. Sa forme dans le* lobe temporal. 166 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa for111e dans le lobe occipital. Son asp
c, ttenia tecta. VI, ventricule latéral. ; 768 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les crêtes de cette face. Faisceau basai i
périeur. * Origine de ses li- brcs. - 770 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ]'H. 383. Coupe horizontale microscopique para
rieur. Terminaisons an- térieures. " 772 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. De- faisceau lon- gitudinal inférieur four
socia- tion dans sa partie inférieure. 774 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FIG. 387. - Coupe vertico-transversale de l'hé
endent dans le pied du pédoncule cérébral. 116 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le faisceau ex- terne du pied du pé- doncu
ne et les fibres tomporo- thalamiques. 778 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. l<JG. doa. Coupe horizontale d'un cerveau d
erta. Gn, zone réticulée ou grillagée. 1 780 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Los dégénères. cences secondaires montrent
vertical. Son origine et son trajct. 782 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Faisceau occipital transvcrse du cu- néus.
corne occipitale du ventricule latéral. 78t ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Couche des libres propres des circon- volu
- Sage, substance grise sous-épendymaire. 786 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les fibres d'asso- ciation propres au lobc
al- Icux. Leur origine. Leur trajet. 788 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Tronc du corps cal- cux. Sa texture. Le
u corps calleux d'Arnold n'existe pas. 790 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ins. 391. - Coupe horizontale comprenant les d
d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée. 792 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. forceps major et forceps miner. }11lll'e d
et Vialet, Thèse de Paris, 1893, Obs I.) - 796 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. calcarine (K), la dégénérescence intéresse de
Broca. Th, tha- lamus (couche optique). 798 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le corps calleux dégénère à la suite de to
ociation intra et inter-hémisphérique. 800 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La coupe passe par la partie postérieure du bo
Le foyer primitif est coloré en orange.). 802 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. lire. Pendant les deux premières années de son
es rapports avec la handelcttc optiquc. 80 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. direction de cette dernière (voy. série IV, p.
s au- teurs sur son origine corticale. 806 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son étude par la néthoc1c des dégéné- esce
encore indéterminée. Capsule externe. 808 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Origine et trajet 'es fihres de la cap- su
et de l'aizatomie, de la physiologie et de la'pathologie du système
nerveux
cérébro-spinal. Paris, 1844. Ganser. Ueber die
f Physiology, 189 1. - LONGET. Anato- mie et physiologie du système
nerveux
de l'homme et des animaux vertébrés. 2 vol. Paris
maux vertébrés. 2 vol. Paris, 1842. Luys. Recherches sur le système
nerveux
cérébro-spinal, etc. Paris, 486 ? Msxaiec.Ein Fal
atomische Untersuchungen Uber dieoptischen 810 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Centren und Balmen nebst lilinischen Beitrâgen
Vol. XIX. Janvier 1890. N" 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQUES ;
ique, Th. Paris, 1888, tio 150. ARCHIVES, f,. XIX. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'une cause organique locale, nettement déterm
ris l'habitude de rechercher le signe du tendon dans les maladies
nerveuses
, c'est à peine si une dizaine d'observations à
sion avec laquelle ils décrivent, môme par-dessus 4 , . CLINIQUE
NERVEUSE
. leurs vêtements, le trajet douloureux de leur
l autre. C'est pourtant de leur pré- Fig. 5. Fit. 6. 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. sence ou de leur absence que résultent le redr
L'attitude n'est pas aussi constante, il s'en faut de 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. beaucoup, que ne le prétend M. Babinski. Nous
à titre de complication immédiate, une compression des ra- cines
nerveuses
destinées au nerf sciatique. Une arthrite sacro
te. Il est d'abord de toute évidence que la déviation 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. est le résultat d'une action musculaire. Ce so
gauche porte le poids du corps tout entier. Si les deux 14 CLINIQUE
NERVEUSE
. jambes restent parallèles, comme dans le cas p
nc insensiblement à appliquer sur Fig, 11. Fig. 12. 16 CLINIQUE
NERVEUSE
. le sol la plante du pied du côté malade; et ai
bien obser- Archives, t. XIX. 2 Fig. 13. Fig. 14. 18 CLINIQUE
NERVEUSE
. ver et de bien décrire les cas que le hasard l
s de la Tournette, in NUe Icoto,q. de la Salpêtrière IL 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. cloche-pied, la colonne vertébrale s'incline d
t des plus ordinaires et il est incontestable qu'elle 22 CLINIQUE
NERVEUSE
. s'étend, comme nous l'avons plusieurs fois obs
gauche ; il en indique si nettement le siège qu'il est' 24 CLINIQUE
NERVEUSE
. impossible de douter que ce ne fût une douleur
s impossible ; le pied gauche reste tourné en dedans. 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le 16 juin, l'amélioration s'est confirmée. Le
us sommes assuré que l'existence de points douloureux 28 CLINIQUE
NERVEUSE
. du côté opposé à la sciatique n'est pas un fai
si caractérisés qu'ils soient, ne nous semblent avoir 30 CLINIQUE
NERVEUSE
. ici qu'une importance fort secondaire. La plup
- tion indécise. C'est pour ces névralgies que Piorry 32 CLINIQUE
NERVEUSE
. · et Brown-Séquard ont adopté la dénomination
côté sain ne Archives t. XIX. 3 Fig.17. Fig. 18. 34 CLINIQUE
NERVEUSE
. peutpas s'effectuer, comme dans les cas ordina
s nécessairement les mêmes que les li- mites de convention du tronc
nerveux
. En d'autres termes, la sciatique n'est pas la
muscles innervés par le sciatique ; elles peuvent ce- 36 CLINIQUE
NERVEUSE
. pendant envahir tout le territoire de ce nerf,
la- tive du membre malade, c'est-à-dire du membre sur 38 CLINIQUE
NERVEUSE
. lequel on ne s'appuie pas. Celui-ci est plus o
donc impossible; il peut être rétabli cependant, à la 40 CLINIQUE
NERVEUSE
. condition que le malade porte la plus grande p
es par L. Bourget, (Olottpellier médical, mars 1889). 42 CLINIQUE
NERVEUSE
. et me remettre en route, car les Indiens avanc
dos, douleurs rongeantes dans la région lombaire supé- 44 CLINIQUE
NERVEUSE
. rieure, qui m'empêchaient de rester assis long
, écrit-il. Seulement, je ne peux pas écrire longtemps sans devenir
nerveux
et sans perdre alors la facilité de tenir ma pl
es bras en l'air et renverse un peu la tête, comme s'il 46 CLINIQUE
NERVEUSE
. venait de recevoir un coup inattendu sur l'occ
Il ne s'agit évidemment pas d'une affec- tion organique des centres
nerveux
, car nous n'avons pu déceler chez le malade auc
ais bien un syndrome de la grande névrose protéiforme 48 CLINIQUE
NERVEUSE
. qui s'appelle l'hystérie, à moins qu'elle ne s
qu'elle ne soit le symp- tôme d'une affection organique du système
nerveux
. A côté de toutes les variétés connues d'attaqu
es d'urine par le cathétérisme; Archives, t. XIX. 4 50 . CLINIQUE
NERVEUSE
. fourmillement dans les membres inférieurs ; se
on trouve le maximum d'intensité de la lésion ; là, les élé- ments
nerveux
sont complètument dégénérés et réduits en granu-
ophie considérable et la disparition du plus grand nombre des tubes
nerveux
et par la prolifération du tissu conjonctif qui
11 est à noter qu'on distingue çà et là un certain nombre de tubes
nerveux
restés intacts au milieu du 52 ' CLINIQUE NERVE
n nombre de tubes nerveux restés intacts au milieu du 52 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. - tisssu sclérotique ; il m'a été impossible d
ettement délimitée. Dans quelques endroits de la région 54 CLINIQUE
NERVEUSE
. dégénérée, dans les cordons postérieurs et dan
ne coupe ne fait voir la destruction complète de toute la substance
nerveuse
, et par conséquent, il n'y a pas de myélite tra
des cordons latéraux, et les cordons postérieurs portent des fibres
nerveuses
qui ne présentent rien d'anormal. Il va sans di
lésion profonde, on constate une disparition complète des éléments
nerveux
à la place desquels on voit un amas, vaguement
t rien à la moelle malgré la grande quantité de'bul-; 56 CLINIQUE
NERVEUSE
. lettes de gaz que l'on y voit emboliser ses va
u conjonctif sous-jacent et de la tunique musculaire. » 58 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' Pour être complet, on ne peut pas omettre le
ans la substance des cordons postérieurs et avaient séparé le tissu
nerveux
; ils étaient situés dans une fente. On ne pouvait
ne pouvait observer dans cet amas de cellules aucun débris de tissu
nerveux
ou de reticulum de la névroglie. On n'y rencont
ulièrement ovale. Le tissu çircpnvQisin des cordons 60 - ' CLINIQUE
NERVEUSE
. postérieurs offrait plus ou moins les signes d
les signes de la myélite paren- chymateuse c'est-à-dire les fibres
nerveuses
étaient gonflées plus grandes et tout le tissu
ous manque des observations avec examen micros- copique du système'
nerveux
, etc., chez l'homme. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI
athologie moderne aborder la physiologie pathologique des accidents
nerveux
. Com- mençons par les accidents cérébraux et tâ
e de la branche de l'artère sylvienne qui se porte en 62 CLINIQUE
NERVEUSE
. avant pour se rendre en particulier à la régio
s. Nous avons surpris plus d'une fois le mécanisme de 64 CLINIQUE
NERVEUSE
. ce phénomène vraiment curieux sur le cerveau d
le sujet de ]'ÜnsEuvATION XLVIIL Archives, t. XIX. 5 66 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'embolie et l'ischémie du rameau que cette br
zone motrice et par analogie aux lésions matérielles 68 CLINIQUE
NERVEUSE
. organiques de l'épilepsie partielle brachiale,
e nerf de l'espace une fois comprimé, la sensation de 70 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'équilibre disparaît, les troubles locomoteur
lations etc. ; c'est la raison pour laquelle nous avons 72 CLINIQUE
NERVEUSE
. appelé ces symptômes extrinsèques. L'étude de
ois minutes. De 30 à 32 brasses, une seule minute. On ï4 CLINIQUE
NERVEUSE
. ne dépasse jamais cette profondeur. C'est aux
onseillée par Paul Bert est d'un emploi très difficile, 76 CLINIQUE
NERVEUSE
. sinon impossible, pour les scaphandriers. Le s
génation et cette augmen- tation de nutrition régénérant les fibres
nerveuses
détruites qu'il faut attribuer l'efficacité de
précision. Pour acquérir une idée des fonctions de ce grand centre
nerveux
, il ne suffit pas de léser ou de désorganiser p
onsidéré le cervelet comme le centre LES FONCTIONS DU CERVEAU. 83
nerveux
du sens musculaire, centre coordinateur des mou
tion et la locomotion '. Les organes de trans- mission de ce centre
nerveux
sont, suivant Lussana, les cordons postérieurs
onus et de l'énergie des mouvements. Ce défaut d'énergie du système
nerveux
moteur, conséquence directe de la perte des fon
rifiques ou bien dépend du mode diffé- rent d'excitation des fibres
nerveuses
, ou de ce que les fibres des sensibilités tacti
e pulmonaire, et qui à l'âge de quatre ans avait eu des accidents
nerveux
suivis.d'une paralysie complète du membre infér
urant son séjour à Bicêtre : 100 RECUEIL DE FAITS. manifestations
nerveuses
. La plus âgée des filles semble avoir eu des cr
urs dans la tête, surtout au niveau des tempes. Pas de convulsions.
Nerveuse
, mais jamais d'attaques. Appétit médiocre. Tymp
pour des douleurs dans le ventre et à la tête. A toujours été très
nerveuse
. Fréquents accès de colère. Pleure facilement e
elle n'a eu ni crises, ni ver- tiges, ni syncopes, mais elle était
nerveuse
et colère. Elle s'est mariée le 12 février 1889
douches et aux toniques que nous avons dû la disparition des crises
nerveuses
. N° 4. Lav... (Joseph), onze ans, en 1886; tabl
re. Elles auraient été très légères. Depuis ledébutde ses accidents
nerveux
, il travaille moins bien. La sensibilité parait
rande irascibilité. 1889. Décembre. - Il n'a plus eu aucun accident
nerveux
. Il est resté un peu irascible. Il est obéissan
e ans, une fièvre typhoïde compliquée de délire et le laissant plus
nerveux
qu'auparavant ; à douze ans et demi, il est pri
r E. STADELfANN. (Neurol. Centralbl. 1887.) Autour des trousseaux
nerveux
, prolifération du périnerf, la subs- tance nerv
r des trousseaux nerveux, prolifération du périnerf, la subs- tance
nerveuse
paraissant comprimée de la périphérie au centre.
paraissant comprimée de la périphérie au centre. Dans les troncules
nerveux
, couches d'un tissu formé par de grands noyaux
semble des branches des prolongements potoplasmi- ques des cellules
nerveuses
se terminent à l'aveugle sans débou- cher aille
t ne présentent aucune structure fibrillaire ; - 2° toute cellule
nerveuse
est unipolaire, c'est-à-dire qu'elle possède un p
longement fibrillaire ou autrement dit ner- veux 30 ce prolongement
nerveux
, cylindraxile, est toujours ramifié ; lui et se
s potoplas- miques ; 4° il y a en effet deux catégories de cellules
nerveuses
: a. des cellules dont le prolongement cylindra
en un fouillis de fiébrilles et ne donne pas naissance à une fibre
nerveuse
(exemple : nombreuses petites cel- lules nerveu
sance à une fibre nerveuse (exemple : nombreuses petites cel- lules
nerveuses
). Mais M. Forel n'admet pas que des fibres issues
longements cylindraxiles s'anastomosent avec les branches de fibres
nerveuses
qui de la substance blanche entrent dans la sub
ives. Il n'y a que le' mode de terminaison périphérique d'une fibre
nerveuse
qui décide de sa fonction. La cellule d'où prov
veuse qui décide de sa fonction. La cellule d'où provient une fibre
nerveuse
sera, si elle est sensible, placée à la périphé
a périphérie (cellule cpithéliale de la peau transformée en cellule
nerveuse
) ; si elle est motrice, placée au centre. - Quant
e facon extrêmement insuffisante, probablement parce que l'influx
nerveux
nécessaire à ces fonctions est à la fois exagéré
Ces malades ont hérité de leurs parents d'une extrême sensi- bilité
nerveuse
, qui se réveille au moindre choc et se caractéris
, et chez les alcoo- liques acquis, il existe une hyperexcitabilité
nerveuse
, qui donne naissance à des phénomènes ressembla
en avant de la cavité en question dont elle est séparée pardu tissu
nerveux
usé, elle proémine un peu en bas et en dedans d
nés par l'hyoscine ont dû la faire supprimer), dans un cas d'astbme
nerveux
, dans un cas de chorée chronique. Discussion.
reille moyenne du côté gauche qui entretenait chez lui des troubles
nerveux
limités au même côté gauche exclusivement.' Il
BIBLIOGRAPHIE. I. - Etudes cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
, par le Dr Jules FALRET. 1890. M. Falret a eu
mêmes sont la plupart du temps des gens atteints de quelque maladie
nerveuse
ou mentale. A ce pro- pos, l'auteur fait une lo
érite d'être lu de tous ceux qui s'occupent de l'étude des maladies
nerveuses
ou mentales. Introduction à l'étude de la Spéci
, depuis le 3 novembre courant, des troubles insolites du sys- tème
nerveux
. Après de violentes crises de nerfs et une perte
it résulté de ces opérations une altération fâcheuse de son système
nerveux
et un affaiblissement de ses facultés mentales.
et fils. Edwards (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections
nerveuses
(ataxie locomotrice progressive, sclérose en pl
médical. Falret (J.) Etudes cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
. Volume in-8 de 623 pages. Prix : 8 fr. - Paris
90. Vol. XIX. Mars 1890. N, 56. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
ÉTUDES SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA MOEL
le carmin : elles sont formées Archives, t. XIX. 11 162 CLINIQUE
NERVEUSE
. par un feutrage serré de fibres, au milieu des
du T, le sillon longitudinal postérieur et Fit. 20. 164 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'extrémité antérieure des cordons de Goll sub
Psychiatrie, t. X, p. 200. 8 1.oco citalo, 1. 366. . 166 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'exception d'un seul où l'on avait affaire à
ences l'Ecole pratique des Hautes-Etudes. 1 HISTOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
ANATOMIE NORMALE ET PATHOLOGIQUE L'étude des
aux d'anatomie de Golgi et. de ses élèves sur la texture du système
nerveux
ont ouvert t une ère nouvellle pour la psycholo
et des méthodes de coloration des éléments anatomiques du système
nerveux
, que les procédés de Weigert et de Golgi « étai
ntes conquêtes qu'aient faites de nos jours l'histologie du système
nerveux
z. La méthode de la coloration noire, où les pi
moignage de Koelliker, lorsqu'il s'agit de représenter les cellules
nerveuses
avec leurs prolon- gements. Or c'est précisémen
tion des prin- cipaux problèmes de l'anatomie générale du système
nerveux
, tels que Golgi les a conçus, et nous rappel- l
études avec celles de la physiologie et de la pathologie du système
nerveux
central. Tout d'abord, des difficultés presque
a révélé les lois de leur fonc- tionnement. Dans l'étude du système
nerveux
, Pana- tomie est encore la servante de la physi
ie ne met pas en doute qu'entre les différentes parties des centres
nerveux
il n'existe une liaison intime, condition de la
ure et la morphologie élé- menlaire des organes centraux du système
nerveux
, idées empruntées à Gerlach, à Schullze, à Meyn
lluguenin, de Luys, sur la direc- tion et le parcours des faisceaux
nerveux
ne sont que des schémas imaginaires. Par quel
des schémas imaginaires. Par quels caractères propres la cellule
nerveuse
se distingue-t-elle, au point de vue objectif,
u point de vue objectif, des autres étémentsanatomiques des centres
nerveux
? Golgi définit la cellule nerveuse une cellule
étémentsanatomiques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule
nerveuse
une cellule munie d'un prolon- gement spécial;
elle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule
nerveuse
? Selon Golgi, les carac- tères du proloplasma
a cellule qui environne le noyau. Les prolongements de la cellule
nerveuse
sont de deux sortes. L'un, toujours unique, nou
nous le répétons, et qui va constituer le cylindre-axe d'une fibre
nerveuse
à myéline, est le prolongement nerveux. Les aut
le cylindre-axe d'une fibre nerveuse à myéline, est le prolongement
nerveux
. Les autres, dont le nombre peut s'élever de tr
ongements protoplasmiques. Physiolo- giquement, toutes les cellules
nerveuses
sont donc uni- polaires ; ce n'est que morpholo
- tement, de manière à former un réseau inextricable de fibrilles
nerveuses
sans myéline, donnant naissance à leur tour à d
ner- veuses affecteraient deux modes de connexion avec les fibres
nerveuses
: d'une part, au moyen des pro- longements nerv
c les fibres nerveuses : d'une part, au moyen des pro- longements
nerveux
ou cylindraxiles ; de l'autre, au moyen des ram
, et les rapports fonctionnels des diffé- rentes régions du système
nerveux
. Malheureusement, les plus célèbres histologist
raître, avec un si puissant relief, les plus fines ramifi- cations
nerveuses
. Or, un examen minutieux de plu- sieurs centain
ontact'. » Selon Golgi, loin de donner naissance à un réti- culum
nerveux
, les ramifications des prolongements protoplasm
x, les ramifications des prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
, dont l'orien- tation vers la surface des circo
ture purement trophique : ils serviraient à la nutrition du tissu
nerveux
. « Je pense, dit Golgi, que ces prolon- gements
a névroglie, le plasma nutritif arrive aux éléments essentiellement
nerveux
; il serait du reste difficile de comprendre pa
e la matière nutritive arriverait à ces élé- ments. » Si les fibres
nerveuses
ne dérivent ni direc- tement ni indirectement d
moyen d'anastomoses directes, soit dans l'hypothèse d'un réticulum
nerveux
diffus. - Quelle est alors l'explication anatom
Quelle est alors l'explication anatomique de l'ori- gine des fibres
nerveuses
de la substance grise ? Com- ment s'établit ent
? Qua : .t à la première question, celle de l'origine des fibres
nerveuses
dans les diverses provinces du sys- tème nerveu
ine des fibres nerveuses dans les diverses provinces du sys- tème
nerveux
central, le prolongement nerveux, sans doute d'
es diverses provinces du sys- tème nerveux central, le prolongement
nerveux
, sans doute d'origine nucléaire, loin de se mai
rbores- cents dont la forme varie et sert à distinguer les fibres
nerveuses
en deux catégories bien nettes : 1° Les unes, t
ir, par ces ramifications secon- daires, à la formation d'un réseau
nerveux
qui existe dans toute l'épaisseur de la substan
rien affirmer, que ces innombrables ramifications de prolongements
nerveux
s'anastomosent entre elles pour former un vérit
ir le cylindre-axe d'une fibre à myéline, sont issues de cellules
nerveuses
qui rappellent celles des cornes anté- rieures
ieures et de la substance de Rolulldo. De là deux types de cellules
nerveuses
en rapport avec les deux catégories de fibres n
de cellules nerveuses en rapport avec les deux catégories de fibres
nerveuses
. Les cellules du premier type seraient motrices
olgi l'ex- plique encore par anastomoses reliant, dans son réseau
nerveux
diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des p
nerveux diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolongements
nerveux
moteurs des cellules du premier type avec celle
ype avec celles, en nombre infiniment plus grand, des prolongements
nerveux
sensilivo-sensoriels des cellules du deuxième t
attribuer, écrit Golgi, aux fibrilles qui, émanant du prolongement
nerveux
des cellules du premier type (supposées motrice
ans le réticulum diffus, constitué essentiellement de prolongements
nerveux
l'il, I PHYSIOLOGIE. des cellulules du deuxiè
astomoses directes des prolongements pro- toplasmiques des cellules
nerveuses
ou dans le réseau diffus, également hypothétiqu
prolongements protoplas- miques ». Mais l'idée d'une transmission
nerveuse
isolée, soit centripète,. soit centrifuge, entr
,. soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules
nerveuses
centrales et péri- phériques n'a point de base
ques n'a point de base anatomique dans cette conception d'un réseau
nerveux
diffus de l'écorce constitué, non par l'anastom
stitué, non par l'anastomose des prolongements directs des cellules
nerveuses
, mais par les ramifica- tions ultimes de leurs
étendus. Telle est bien en effet la doctrine de Golgi. Chaque fibre
nerveuse
, loin de se trouver iso- lément en rapport avec
dus de cellules. Inversement, chaque cellule ner- veuse des centres
nerveux
peut être eu rapport avec LES FONCTIONS DU CERV
rine des localisations fonctionnelles, de voies de trans- mission
nerveuse
« électives », et de territoires cor- ticaux où
« électives », et de territoires cor- ticaux où certaines fonctions
nerveuses
« prévau- draient » , mais sans délimitation ri
ation rigoureuse. Enfin, les variétés morphologiques des éléments
nerveux
correspondent-elles à des fonctions différentes
l y ait à tenir compte de la forme ou de la grandeur des cellules
nerveuses
pour la connaissance de leurs fonctions. Certes
ain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules
nerveuses
, si l'on n'observe les rapports de ces élé- men
nt entre le volume des cellules motrices ou sensitives des ce tires
nerveux
, et la longueur du trajet qu'ont à parcourir les
in 1878. 176 G PHYSIOLOGIE. donc dans la nature des prolongements
nerveux
, et dans ses connexions anatomiques, non dans l
digne de foi. Ajoutez que, si la structure anatomique des cellules
nerveuses
ne saurait nous renseigner sur leurs fonctions,
ion physiologique quelconque. Dans toutes les régions des centres
nerveux
, les deux types de cellules qu'il a distingués
t, ne manque point de noter expressément que les petites cellules
nerveuses
globuleuses y prédominent, surtout dans le tier
ation susceptibles d'être notés. Quant aux fonctions des éléments
nerveux
de la FA et de la 0', il est clair que ces desc
pas d'autre moyen de déterminer l'activité spécifique des cellules
nerveuses
que l'étude de leurs prolongements nerveux. Arr
pécifique des cellules nerveuses que l'étude de leurs prolongements
nerveux
. Arrivé au terme de son ouvrage, dans un Append
faire à une cellule motrice, tant qu'on n'a pas vu son prolongement
nerveux
constituer une fibre des racines antérieures ?
la coloration noire la fine et délicate structure des élé- ments
nerveux
apparaît avec d'autant plus de netteté que les
de la nature physiologique des deux types différents de cellules
nerveuses
. Au lieu de dire, comme je l'ai fait jusqu'ici
u premier type sont en rap- port direct, non isolé, avec les fibres
nerveuses
; je pourrai dire dorénavant, et avec toute rais
; je pourrai dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules
nerveuses
motrices [cellule nervose ntotuici) sont en rap
es fibres ner- veuses (du mouvement). » Quant aux autres cellules
nerveuses
, aux cellules du deuxième type, dont le prolong
es nerveuses, aux cellules du deuxième type, dont le prolongement
nerveux
se subdivise en fibrilles de plus en plus ténue
n fibrilles de plus en plus ténues, qui vont constituer le réseau
nerveux
diffus de l'écorce cérébrale, « elles peuvent d
Mais, de ces grandes études de Golgi sur l'histolo- gie des centres
nerveux
, se dégage une conception de la structure de l'
é; anatomiquement, les deux formes d'activité spécifique du système
nerveux
central ont un siège commun, où leurs éléments
'. » Cette thèse ne vaut point, à la vérité, pour tout le système
nerveux
central : Golgi reconnaît que les ré- gions mot
) - Archives ital. de biologie, Il, p. ? 93 sq. 182 PHYSIOLOGIE
nerveux
sous-jacents, comme essentiellement dis- tincte
a- tivité. En se différenciant, les différents centres du système
nerveux
central n'ont point conservé, comme on le voit
ative, dans le mode de répartition locale des deux types d'éléments
nerveux
admis par Golgi. Or, cet auteur a pu se convain
FONCTIONS DU CERVEAU. 183 gane auquel, périphériquement, les fibres
nerveuses
vont aboutir, et non par une spécificité d'orga
te de Vienne enseigne que « les énergies spéci- fiques des cellules
nerveuses
ne sont que le résultat des différences existan
aux des nerfs, et que la seule énergie spécifique de la cel- lule
nerveuse
, c'est la sensibilité (Empfindungsfâhig- keit)
es énergies fonction- nelles spécifiquement différentes. La cellule
nerveuse
ne possède qu'une seule énergie fonctionnelle :
s périphériques des sens, non aux énergies spécifiques des cellules
nerveuses
des diffé- rentes aires corticales du cerveau,
evrait être appelée « motrice », et non pas le nerf ni la cellule
nerveuse
qui innervent le muscle. Au point de vue phylog
renciées et transformées du tégument cutané, toutes les cellules
nerveuses
de ces organes sont la postérité des cellules é
de l'écorce cérébrale. L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments
nerveux
qui constituent ces centres résulte déjà avec é
Wundt à ce sujet ne sont guère que celles de Meynert. Les éléments
nerveux
des centres de ' CI. Bernard. Leçons sur les ph
n mode uni- forme d'exatations. Mais, si la fonction des éléments
nerveux
d'un de ces centres vient à être inhibée ou abo
un de ces centres vient à être inhibée ou abolie, d'autres éléments
nerveux
de l'écorce seraient capables de la suppléer. A
ux de l'écorce seraient capables de la suppléer. Ainsi, une cellule
nerveuse
qui, eu vertu de ses connexions anatomiques, do
uire une sensation tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellule
nerveuse
de l'écorce qui, par l'intermédiaire du réseau
une cellule nerveuse de l'écorce qui, par l'intermédiaire du réseau
nerveux
central, serait en rapport avec plusieurs nerfs
ndrait inutile l'hypothèse de toute fonction spécifique des centres
nerveux
corticaux. Cependant l'ablation des deux sphère
pour les fonctions de la sensibilité. Par exemple, si les cellules
nerveuses
des sphères visuelles n'ont rien qui les différ
tions dérive de la spécificité naturelle, non acquise, des cellules
nerveuses
centrales ? Un partisan des idées de Gudden, Au
dversaire de la doc- trine des anastomoses entre les prolongements,
nerveux
ou protoplasmiques, des cellules nerveuses, For
s entre les prolongements, nerveux ou protoplasmiques, des cellules
nerveuses
, Forel se demande pourquoi l'on continue à parl
rquoi l'on continue à parler de ganglions d'interruption des fibres
nerveuses
, de rapports des cel- lules nerveuses avec les
s d'interruption des fibres nerveuses, de rapports des cel- lules
nerveuses
avec les différents nerfs de sensibilité et de
différents nerfs de sensibilité et de mouvement, avec le réticulum
nerveux
de l'écorce, etc.2 Dans le muscle, la terminais
l n'est pas nécessaire que ces ramifications ultimes des éléments
nerveux
soient en continuité : il suffit qu'elles soien
ns continuité directe : il en pourrait être de même pour le système
nerveux
. » Puis, pourquoi parler de cellules motrices e
e, une cel- lule sensible périphérique, d'où sort un prolongement
nerveux
, comme' des cellules du premier type de Golgi :
est de cette cellule que part le nerf sensible qui gagne le système
nerveux
central, où elle se ter- mine, dans le réseau n
ne le système nerveux central, où elle se ter- mine, dans le réseau
nerveux
de l'écorce, en fines ramifications arborescent
es du deuxième type : la seule différence serait que la cel- lule
nerveuse
d'où sort la fibre sensible est périphé- rique,
n n'a point le droit d'appeler sensibles ou motrices les cellules
nerveuses
centrales. Seul, le mode de termi- LES FONCTION
rmi- LES FONCTIONS DU CERVEAU. 189 naison périphérique des fibres
nerveuses
paraît être décisif pour le diagnostic de leurs
; de cet auteur, touchant la struc- ture des fibres et des cellules
nerveuses
. Je ne veux que montrer, avec ses conséquences
gique de Golgi. Pour Nansen aussi, les prolongements des cellules
nerveuses
sont de deux sortes, nerveux et protoplasmiques
ussi, les prolongements des cellules nerveuses sont de deux sortes,
nerveux
et protoplasmiques : ceux-ci, orientés vers la
ner- veuses; il n'existe point d'anastomoses entre les cel- lules
nerveuses
au moyen de ces prolongements. Les prolongement
lules nerveuses au moyen de ces prolongements. Les prolongements
nerveux
, toujours uniques, ou con- servent leur individ
quelques ramuscules latéraux, vont constituer directement un tube
nerveux
, ou ils perdent leur individualité, et donnent
. Nansen a vu aussi, dans la moelle épinière des myxines, des tubes
nerveux
sor- tir directement des cellules des cornes an
des racines postérieures seraient formés de la réunion de fibrilles
nerveuses
. Avec Golgi, on peut appeler moteurs les premie
appeler moteurs les premiers, sensibles les seconds. Les cellules
nerveuses
n'ayant absolument aucun rap- port direct entre
lion des arcs réflexes et à l'importance physiologique des cellules
nerveuses
, ne peut plus se soutenir, du moment où ces der
'ont pas entre elles de com- munication directe, et où les cellules
nerveuses
cen- trales offrent tout aussi peu de communica
ales offrent tout aussi peu de communication directe avec les tubes
nerveux
sensitifs ou centripètes.» L'arc réflexe est co
es ramifications fibrillaires, passant directement dans le réseau
nerveux
central de l'écorce ; 2° par la propa- gation d
mission des stimulus jusqu'aux fins ramuscules laté- raux des tubes
nerveux
moteurs centrifuges. « Il suit que l'irritation
ise aux centres supérieurs sans passer directement par les cellules
nerveuses
. On peut admettre de la même façon, continue Na
tinue Nansen, que les impulsions volontaires, provenant des tubes
nerveux
qui émergent des centres supérieurs, se rendent
i émergent des centres supérieurs, se rendent directement aux tubes
nerveux
centrifuges des centres nerveux inférieurs sans
se rendent directement aux tubes nerveux centrifuges des centres
nerveux
inférieurs sans passer par les cel- lules nerve
ges des centres nerveux inférieurs sans passer par les cel- lules
nerveuses
de ces centres. Il est par conséquent impossibl
ntres. Il est par conséquent impossible d'admettre que les cellules
nerveuses
des centres nerveux inférieurs possèdent une im
uent impossible d'admettre que les cellules nerveuses des centres
nerveux
inférieurs possèdent une importance directe, au
olontaires, ce que l'on semble pouvoir appliquer aussi aux cellules
nerveuses
des centres supérieurs 1. » Quel est donc le
urs 1. » Quel est donc le siège de l'activité centrale du système
nerveux
, de l'intelligence, de la conscience ? 1 Fridti
lexité de structure de ce réticulum. Quant aux cellules des centres
nerveux
, déchues de leurs fonctions psychiques, devenue
entres trophiques, elles ne serviraient qu'à la nutrition des tubes
nerveux
et de leurs innom- brables ramifications arbore
la nature purement protoplasmique des prolongements des cellules
nerveuses
, à l'exception du prolongement nerveux unique,
olongements des cellules nerveuses, à l'exception du prolongement
nerveux
unique, ainsi que celle de la composition du ré
nt nerveux unique, ainsi que celle de la composition du réticulum
nerveux
central, sont naturellement très discutées. Koe
logique des circonvolutions. Que certaines catégories de cellules
nerveuses
l'emportent en ' nombre dans certaines régions
l'écorce soit en rapport avec le nombre et l'activité des cellules
nerveuses
qui les constituent, ce sont là, pour Seppilli,
iculté d'a- vouer que l'absence de transmission isolée des fibres
nerveuses
, qui communiquent entre elles dans le vaste rés
euses, qui communiquent entre elles dans le vaste réseau du système
nerveux
central et périphé- rique, est un fait incompat
4 PHYSIOLOGIE. plutôt avec le postulat, de la double transmission
nerveuse
(centripète et centrifuge'.) Les cliniciens d'I
ils être morphologiquement distincts ? Les deux sortes d'éléments
nerveux
de la sensibilité et de la motilité coexistent
ces centres corticaux, non pas sans doute au moyen de transmissions
nerveuses
isolées, mais en quelque sorte « électives ».
e de ceux qui ont un intérêt capital pour la physiologie du système
nerveux
, est le travail Sur les nerfs des tendons de l'
e et des autres vertébrés, où il faisait connaître un nouvel organe
nerveux
ter- minal musculo-tendineuz, découverte qui n'
au sujet de ces travaux que M. Ran- vier, parlant des terminaisons
nerveuses
sensitives, a écrit : « La découverte des organ
Dans ces corps, de nature tendineuse, pénètre toujours une fibre
nerveuse
qui se ramifie en nombreux rameaux. Golgi croya
e laboratoire de Golgi, par Alfonso Cattaneo, l'étude des organes
nerveux
musculo-tendineux nous paraît assez avancée pou
usculaire qui se contracte sont certainement transmises aux centres
nerveux
par des 1 Ranvier. Traité technique d'histologi
ne première hypothèse s'imposait touchant les fonctions des organes
nerveux
musculo-tendineux Si l'on considère, dit Cattan
ns musculaire, ils devront être en connexion intime avec des fibres
nerveuses
sen- ' A. Cattaneo. 5ugli organi nervosi termin
nsidérable, en rapport avec l'intensité de la contraction. La fibre
nerveuse
centri- pète qui se termine dans chacun des org
t qui en sort, excitée par cette modification, transmet aux centres
nerveux
une impression qui, si elle a une intensité et
ification produite dans le muscle n'a pas été transmise aux centres
nerveux
(interruption du courant centripète), alors, po
ogiques traditionnelles les résultats de l'anatomie fine du système
nerveux
'. Dans les corps striés comme dans les couches
gulièrement disséminées, et sans orientation spéciale. Les cellules
nerveuses
des corps striés, pyramidales, globuleuses on f
s des cornes antérieures de la moelle épinière. Toutes ces cellules
nerveuses
envoient un prolongement nerveux unique et de n
le épinière. Toutes ces cellules nerveuses envoient un prolongement
nerveux
unique et de nom- breux prolongements protoplas
- breux prolongements protoplasmiques (de 4 à 8). Le prolongement
nerveux
des cellules du premier type devient, on le sai
arborescentes qui vont former la plus grande partie d'un réticulum
nerveux
diffus. C'est au moyen de ce réseau fibrillaire
ions des prolongements protoplasmiques des deux espèces de cellules
nerveuses
, elles n'ont rien de commun avec ce réseau nerv
es de cellules nerveuses, elles n'ont rien de commun avec ce réseau
nerveux
; elles se confondent avec les prolongements des
ue des fonctions trophiques. Du fait que les deux types de cellules
nerveuses
coexistent dans les corps striés comme dans les
est arrivé lui ont permis d'affirmer que « la structure du système
nerveux
central des vertébrés inférieurs ne diffère poi
es, ces recherches d'anatomie sur la constitution intime du système
nerveux
central sont à peine commencées. Ainsi, il ne s
e : il faudrait déterminer quelle est celle des couches de cellules
nerveuses
stratifiées, ou, si l'on veut, quelle est l'esp
uses stratifiées, ou, si l'on veut, quelle est l'espèce de cellules
nerveuses
, pyramidales, globuleuses, fusiformes, qui conc
constitution histologique de la Fi =. Des trois sortes de cellules
nerveuses
morphologiquement distinctes que Golgi, comme s
quoique assez rares relati- vement, les autres espèces de cellules
nerveuses
ne laissent pas de se rencontrer en particulier
a subs- tance blanche. En somme, cette disposition dès-élé- ments
nerveux
correspond toujours « en partie », Roscioli l'a
t et de Betz. Qu'il n'existe point de stratifications de cellules
nerveuses
au sens rigoureux du mot, à la bonne heure; mai
circonvolution, confondues avec les deux autres formes de cellules
nerveuses
. Soit; mais si l'on constate que les premières
nd, fort, brun, sobre, d'un caractère doux, n'ayant pas d'accidents
nerveux
. Il est mort en 1873, à de quarante-cinq ans, d
ues vertiges très fugaces. Elle exciterait donc quelques phénomènes
nerveux
artificiels, analogues aux spasmes morbides ; c
dies des femmes qu'on désigne, faute de mieux, sous les noms d'état
nerveux
, état spasmodique, etc. Elle possède une action
d'ailleurs si l'on se conforme aux indications REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ami qui viennent d'être énoncées et si l'on ag
et faciliter la tâche du personnel. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Sur l'alternance des névroses; par G.-H. SAV
premier abord, ne paraissent avoir aucune connexion avec le système
nerveux
. 1° Tout le monde sait qu'un père aliéné peut a
e d'un membre guérir Archives, t. XIX. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pendant un accès de folie ; dans plusieurs cas
il ne s'ensuit pas nécessairement que cette dernière soit de nature
nerveuse
; l'auteur pense toutefois que si cette alterna
ent, elle constitue au moins une présomption en faveur de la nature
nerveuse
de l'affec- tion qui remplace la névrose. Le rh
alisation goutteuse, il y a une intoxication du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 241J sang qui peut expliquer l'éclosion des tr
utre, les accidents diabétiques peuvent alterner avec les accidents
nerveux
. - Pour compléter cette étude, il faut ajouter
es de l'existence d'une tumeur. R. M. C. 41.. ` REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. IV. Observation de cécité TOTALE par lésion co
V. Contribution : 1 L'ÉTUDE des affections syphilitiques DU système
nerveux
central avec quelques REMARQUES sur LA POLYUROE E
ite et névrite noueuse des deux oculomoteurs communs et des racines
nerveuses
de la moelle. Intégrité du cer- veau ; légère m
perplasie de petites cellules autour du canal central. Les cellules
nerveuses
sont indemnes. Endartérite fibreuse de l'aorte
atrices multiples dans le foie ; gommes hépati- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 245 ques. On n'a pas trouvé le bacille de la s
côté, on se rappelle que le pneumogastrique se rattache aux tractus
nerveux
qui relient physiologiquement le quatrième vent
esquelles nous cueillons le principal. La forme de dégénérescence
nerveuse
la plus simple et la plus habituelle que l'on r
jonctive si fortement vasculaire que l'éloiiifeiiieiit des éléments
nerveux
s*ellectue très promptement; 246 REVUE DE PATHO
éments nerveux s*ellectue très promptement; 246 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mais ces faits, rares dans le tabès, s'appliqu
édiaire aux cordons antérieurs et postérieurs). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 247 L'intégrité de la sensibilité tactile et d
s, dissociées et non atrophiées. P. K. IX. Travaux sur LE système
NERVEUX
parus dans LE « Finska LARARIsS.ILLS6A1'ETS IiA
ropsie et étude histologique. Intégrité de '248 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la moelle et des racines antérieures. Dégénére
simultanément sur les cel- lules des cornes antérieures, les fibres
nerveuses
, motrices périphéri- ques, les plaques terminal
phénomènes physiologiques qui président à la fonction des cellules
nerveuses
. De nouvelles recherches s'imposent en ce sens.
ir ses attaques , il semblait qu'alors elle fût char- gée de fluide
nerveux
; quand on procédait aux expériences en questio
t apprécié des individus qui, affectés de névralgies et de malaises
nerveux
agaçants avaient passé souvent de longs mois sa
ue les faisceaux de Goll. Il existe aussi une atrophie des cellules
nerveuses
multipo- laires des cornes antérieures; il est
tinguer la maladie qui nous occupe des autres affections du système
nerveux
et de lui créer une place à part. M. BUCHHOLZ (
IMER (d'IIeidelher). De la constatation chez les embryons de fibres
nerveuses
non entre-croisées dans le chiasma du nerf opti
rrêt de l'intestin tandis que de fortes doses paralysent ces filets
nerveux
. Il en est tout autrement chez l'homme; chez lu
ès se sépare après avoir visité le nouveau sanatorium pour maladies
nerveuses
, construit par M. Schneider (de Ba.de-les- Bain
d'un morphinisme. - C'est une observation d'accidents d'épuisement
nerveux
tenant au surmenage du système cérébro-spinal c
uit jours apparaît un accès vespéral d dyspnée accom- pagné de toux
nerveuse
; on remplace la morphine par 8 grammes de K Br
rologies M. le Dr ROSENTHAL, professeur extraordinaire des maladies
nerveuses
à la Faculté de médecine de Vienne, mort d'urém
sans compter de nombreux mémoires sur divers sujets de pathologie
nerveuse
. M. le Dr DANis, médecin directeur de l'asile deS
Professeur, extraordinaire en il Il fit des cours sur les maladies
nerveuses
et cérébrales; en 1874, il fut nommé professeur
la paralysie générale des aliénés et à divers sujets de pathologie
nerveuse
; il a décrit le premier l'agoraphobie. On conna
89. - Librairie J.-B. Baillière et fils. CliATIN (J.). La cellule
nerveuse
. Etudes d'histologie zoologique sur la forme di
rt. ED1VARIS (B.-A-.). - De l'hémiplégie dans quelques aff'eeLiult'
nerveuses
(ataxie locomotrice progressive, sclérose en pl
médical. FALRET(J.). Etudes cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
. Volume in-8 de 623 pages. Prix : 8 fr. - Paris
39o. Vol. XIX. Mai 1890. N, 57 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE,. - M. CHARCOT SUR
des relations qui exis- tent entre certaines affections du système
nerveux
et le diabète. C'est un sujet très compliqué, s
n 1 Leçon du 13 décembre 1889. Archives, t. s1. 20 306 CLINIQUE
NERVEUSE
. effet le moment où venaient d'être introduites
urie, même dans la glycosurie diabétique, une affection des centres
nerveux
et de chercher à démon- trer dans ces cas l'exi
demment secondaire et n'est pas le point 1 Bernard et -Des troubles
nerveux
observés chez les diabétiques Arch. de Netrol.,
diabétiques Arch. de Netrol., 1883, t. IV, p. 336.) 308 CLINIQUE
NERVEUSE
. de départ du diabète. Remarquez qu'on ne préte
abète. Remarquez qu'on ne prétend pas ici qu'une lésion des centres
nerveux
placée comme il faut, un foyer du plancher du q
On tentera peut-être d'objecter que certains troubles du système
nerveux
sont capables de provoquer l'ap- parition du di
de ceux où la glycosurie est consécutive à une lésion des centres
nerveux
. Mais ceux-ci doivent former une classe à part,
diabète vrai qui est le point de départ de la lésion des centres
nerveux
. Il ne s'agit plus ici de glycosurie, mais du d
se demander quel est le méca- nisme de la production de ces lésions
nerveuses
secon- daires dans le diabète. Sont-ce des alté
depuis longtemps reconnu chez ces malades l'existence 310 CLINIQUE
NERVEUSE
. de la claudication intermittente, produite par
we;< ! < ? e)'< : . lalellbl., 1885, n° il. 312 CLINIQUE
NERVEUSE
. Il ne faudrait pas prendre au pied de la lettr
'il aurait fallu dire. Traitant de l'étude des lésions du système
nerveux
en général, dans ses rapports avec le diabète e
ent des sciences, Congrès de Blois. septembre 1884.) 314 CLINIQUE
NERVEUSE
. ques ressemblent aux tabétiques. Mais pourquoi
tent l'existence dans le diabète d'une forme paraly- 316 CLINIQUE
NERVEUSE
. tique ou mieux paraplégique et plus précisémen
lysie musculaire portant principalement sur les exten- 318 CLINIQUE
NERVEUSE
. seurs du pied, de telle sorte que l'avant-pied
t bu, il était sujet à des crampes. - Mère, morte hydropique, pas
nerveuse
. frères et saurs, dont le premier n'a pas été c
bres supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de 320 0 CLINIQUE
NERVEUSE
. maux de tête. Rien du côté de l'estomac. Troub
urbes qui sont reproduites ici. Archives, t. XIX. 21 322 CLINIQUE
NERVEUSE
. comme énormes. D'après Bouchardat en effet les
ble- ment parvenue à un haut degré de développement. 324 CLINIQUE
NERVEUSE
. Vous voyez à quel point cela ressemble à la pa
3 Vous vous rappelez sans doute un malade fort inté- 326 CLINIQUE
NERVEUSE
. ressant que je vous ai montré il y a trois moi
malade rendait jusqu'à 180 grammes d'urée par jour. 328 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. Aujourd'hui il n'en excrète plus guère dans le
pérature n'est nullement augmentée dans la région à 330 CLINIQUE
NERVEUSE
. ces moments et même bien souvent, il sent ses
e aussi les progrès récents de la technique histologique du système
nerveux
ont rela- tivement facilité notre tâche. Nous
ur est morte jeune, nous ne savons de quelle maladie. La mère est
nerveuse
, impressionnable; elle a eu vers l'âge de 30 an
sives qui paraissent être de nature hystérique. Pas d'antécédents
nerveux
à signaler du côté du grand-père et de la grand
lose pulmonaire dont on trouve des lésions très avancées. , Système
nerveux
. - Les méninges cérébrales non plus que le cerv
cellentes préparations. De plus, comme par ce procédé, les cellules
nerveuses
se décolorent complètement, on peut employer po
tra-médullaires présentent une sclérose assez avancée; leurs fibres
nerveuses
ont des diamè- tres inégaux, plusieurs ont disp
généré montre à sa base une disparition presque complète des fibres
nerveuses
tandis que son sommet offre une structure presq
ce des racines postérieures contient un plus grand nombre de fibres
nerveuses
que dans la région lombaire. Il existe de mème
la région lombaire. Il existe de mème une augmen- tation des fibres
nerveuses
dans les parties du cordon de Bur- dach qui côt
t qui existe, à ce niveau, à l'état normal. La plupart des cellules
nerveuses
ont disparu. Celles qui subsistent sont diminué
galement atteintes. Les cordons de Goll sont plus pauvres en fibres
nerveuses
que dans la région lombaire. La partie des co
ve des globules hyalins fortement colorés et deux ou trois cellules
nerveuses
pâles, atrophiées et sans prolongements. Régi
erne de Westphall présente une diminution considérable des fibres
nerveuses
. Les cordons de Goll sont surtout altérés dans le
cipalement dans leur partie cenlrale où l'on ne voit plus de fibres
nerveuses
. Il reste encore deux ou trois cellules sans pr
rdons de Goll. Même dans son tiers postérieur, le nombre des fibres
nerveuses
n'est pas accru. Quant au cordon de Burdach. on
e bande de tissu très peu altéré. La partie la plus riche en fibres
nerveuses
est celle du tiers antérieur. Région cervicale
corne antérieure. Le cordon de Goll est un peu plus riche en fibres
nerveuses
. Le faisceau pyramidal présente un minimum d'al
moyenne, et ce faisceau offre seulement une raréfaction des fibres
nerveuses
dans son tiers postérieur. La sclérose occupe p
à fait normaux ; on y constate une disparition de quel- ques fibres
nerveuses
; et aussi (lésion peu importante du reste) des
ion des pyramides, on observe une diminution peu marquée des fibres
nerveuses
des pyramides postérieures et une altération mo
s'arrêter. L'examen microscopique a démontré l'atrophie des fibres
nerveuses
des cordons postérieurs à la place desquels on
dégénérescence fibreuse des fibres cardiaques. Examen des centres
nerveux
pratiqué par Schüllze. Il donne les ré-uttats s
et gauche. Ce dernier est atteint inégalement. Le nombre des fibres
nerveuses
est considérablement réduit dans les cordons po
postérieurs et des faisceaux pyramidaux avec destruction des fibres
nerveuses
des cordons postérieurs s'étendant un peu aussi a
maladie semble pluLôt démontrer un vice de développement des tubes
nerveux
et des cellules dans certaines parties bien déf
colonnes de Clarke. Dégénérescence de quel- ques fibres des racines
nerveuses
postérieures et dans d'autres coupes des cornes
s postérieur, et moyen on trouve seulement çà et là quelques fibres
nerveuses
dans une substance conjonctive fibril- laire.
égion dorsale. Dans les parties sclérosées elles-mêmes, les tubes
nerveux
ont disparu, en plus ou moins grand nombre, mai
cependant même dans les endroits les plus altérés. Parmi les tubes
nerveux
qui subsistent, certains se font remarquer par
s noyaux de la gaine myéliuique. La seule altération des cellules
nerveuses
qu'on puisse constater est celle des cellules d
celui de la pie-mère, qui étouffe par son développement les tubes
nerveux
. Il s'agit en réalité dans la maladie de Friedr
es qui produisent non seulement l'atrophie et l'altération du tissu
nerveux
, mais corré- lativement le remplacement du même
ryonnaire, qui sous le coup d'une nutrition normale évolue en tubes
nerveux
sains, ne peut plus, dans le cas que nous consi
taient atteints, comme simulateurs. Dans la clinique des maladies
nerveuses
de notre excellent maître Charcot, nous avons i
stion dont la solution est une des plus difficiles de la pathologie
nerveuse
; et, quoi- que l'idée d'apporter un éclaircisse
otiques comme dépendant du défaut d'association entre les centres
nerveux
. Ainsi les conditions essentielles de la per- c
missure postérieure, il existe une zone peu étendue où les fibres
nerveuses
sont bien conservées. En oulre, à la partie ext
ar une teinte noire et l'examen microscopique montre que les fibres
nerveuses
y sont relati- vement bien conservées. La moi
mi- croscope fait constater une raréfaction manifeste, des fibres
nerveuses
. Le foyer de dégénérescence dans les cordons laté
nt par le fait qu'elle atteint des groupes bien définis de fibres
nerveuses
, mais encore, parce qu'elle se retrouve avec le
de pair avec les autres désordres. En ce qui concerne le système
nerveux
, il s'agit d'un tabès à marche ascendante (par le
atiquement. C'est pourquoi on ne constata pas d'atrophie des fibres
nerveuses
intracorticales. (Techniques d'Exner et de Tucz
phie symétrique de la calotte crânienne sous l'influence du système
nerveux
. - L'atrophie de la calotte crânienne se ren- c
poraux ont été atteints d'enfoncements semblables. C'est au système
nerveux
qu'il convient d'en imputer la genèse. 3° M. Ro
d'argent imprègnent le réseau lymphatique qui enserre les cellules
nerveuses
, les cellules de la névroglie, et les prolongem
(de Iéna). De quelques détails de structure des fibres et cellules
nerveuses
. Il existe actuellement trois opinions sur la c
nt trois opinions sur la constitution du cylindre-axe ou des'fibres
nerveuses
. D'après l'une d'elles, le cylindre-axe se comp
des mailles du réseau en question. Dans le corps même des cellules
nerveuses
multipolaires on trouve des fibrilles qui émane
nucléaire et protoplasmique ; elle est, notamment dans les cellules
nerveuses
de la rétine et des cornes antérieures, perforé
- glion étoilé de la seiche (élédone). Communication des cellules
nerveuses
entre elles, connexion des cellules nerveuses a
nication des cellules nerveuses entre elles, connexion des cellules
nerveuses
avec la substance grise, les cellules du tissu co
es du protoplasme et du SOCIÉTÉS savantes. 409 noyau des cellules
nerveuses
ou autres étaient reliées entre elles par des s
lus, la paroi des capillaires de la substance grise et les cellules
nerveuses
émettent des fibrilles exactement semblables, M
a voici : En quoi cette structure intime des fibres et des cellules
nerveuses
intéresse-t-elle la conductibilité et l'activit
articularités. Les rapports des ramifications terminales des fibres
nerveuses
avec les appareils de terminaison du système se
isageons les fibres des muscles striés. Le cylindre axe de la fibre
nerveuse
après avoir pénétré le sarcolemme se divise en
De cette description il appert que les fibrilles des terminaisons
nerveuses
conduisent et les impressions centripètes et les
indres-axes et que les cylindres-axes s'abouchent dans les cellules
nerveuses
, il s'agit de savoir quels sont les éléments du
illes cylin- draxiles qui continuent les fibrilles des terminaisons
nerveuses
et que les éléments fibrillaires des cellules n
erminaisons nerveuses et que les éléments fibrillaires des cellules
nerveuses
et de la subs- tance grise jouent le même rôle
sultante d'un processus dégéné- ratif s'étendant depuis l'extrémité
nerveuse
lésée jusqu'à l'encé- phale, mais bien le fait
Ils ont recours aux injections de morphine pour calmer leur état
nerveux
; ils se font de 10 à 20 injections de morphine p
fr. 35. EDV.1RD5 (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections
nerveuses
(Alaxie locomotrice progressive, sclérose en pl
llorsley. 235. Naphtolisme, 296. Nécrologie, 158, 300, IJ.3 \..
Nerveuses
(structure des fibres et cellules), par rromman
pathique (galvanisation du), Engelskaen, 110. Sy plUis du système
nerveux
cen- tral, pai Buttersack, 2H, Système nerveu
y plUis du système nerveux cen- tral, pai Buttersack, 2H, Système
nerveux
(évolution et dis- solution du), par Hugtings J
ne). F. RAYMOND Professeur de clinique des mendies du système
nerveux
à à la Faculté de médecine de P.iris. COLLA
Vol. IV. Juillet 1897. N° 19. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. \ ?
anente dans la fixation Archives, 2e série, t. IV. 1 2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du regard ci gauche et en haut. Névrite optiqu
nt tortueux, très turgescents, d'apparence variqueuse. 4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 0. G. Cornée, normale. Pupille très large, imm
x tiers moins volumineux que le droit. A, Amygdales. 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. le bord interne du lobe temporo-sphénoïdal qu'
en visibles sont arrondis ; ces cellules sont séparées par du tissu
nerveux
; 2° On constate des vaisseaux sous forme de.la
régulière, présentent des amas de granula- tions ocreuses (cellules
nerveuses
dégénérées) ? En résumé, d'après les caractères
ces divers points une sclérose légère, avec raréfaction des fibres
nerveuses
facilement appréciable. Nerfs acoustiques. - Po
de l'écorce frontale gauche, traitées par les procédés 8 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de technique habituels, ne présentent pas de d
leux. (Progrès médical, 20 janvier 189r, et Leçons sur les maladies
nerveuses
.) 2 Blin. Bulletins de la Société analomique, 1
Traité des maladies de l'ettcéphale. Trad. Keraval. 10 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lapapille. Bourneville et Isch-Wall' notent da
ment pas aux symptômes rele- ' Notlinagel. p. 1 48. 12 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vant de la protubérance » ; mais l'absence de
thèse de Paris, 1869. Lelarge, thèse de Paris, 1885. 14 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la papille de l'oeil gauche présentait à l'exa
ébrale de tous les vertébrés inférieurs est pourvue de ces éléments
nerveux
. L'observation nous indique qu'au sur et à mesu
aduellement dans son volume. Il est plus probable, que la substance
nerveuse
a la faculté de produire de nouvelles excroissa
vie psychique en procès d'association. Puisque la quantité d'unités
nerveuses
reste la même chez l'adulte, et puisqu'il suffi
parviennent. Il est très probable, que le développement des fibres
nerveuses
devance quelque peu la formation de nouveaux bo
e l'écorce cérébrale une interruption de la transmission du courant
nerveux
, amenée, par exemple, par la diminution et la c
brale; mais peut se rapporter aussi à toutes les régions du système
nerveux
périphérique et central. Nous ne pouvons donc p
dire, la fermeture de la chaîne interrompue,qui transmet le courant
nerveux
, et la disparition des idées causer l'ouverture
d'interruption sus-mentionnée entre les prolongements des cellules
nerveuses
. Le sommeil amène un relâchement général de la
e se pro- duise pas durant le sommeil de disjonction de la chaîne
nerveuse
, il est probable que le mode de connexion des den
re à une vibration cérébrale renforcée, c'est- à-dire, à un courant
nerveux
plus tendu, qu'aux impulsions faibles et moins
ste toujours sous l'influence stimulante des impulsions de la fibre
nerveuse
, avec laquelle elle entre en contact. Cette in-
modifie selon la force de la vibration moléculaire. Si le cou- rant
nerveux
est fort et si la dendrite est stimulée davantage
cule protoplasmique ne réussit pas à s'adapter à la force de l'onde
nerveuse
il peut arriver, que la tension du courant nerv
force de l'onde nerveuse il peut arriver, que la tension du courant
nerveux
sera grande, et la voie conductrice trop petite
ontradictoires. Nous connais- sons mieux les altérations du système
nerveux
central, que nous observons dans les affections
tout d'abord les ramuscules terminales des dendrites et des fibres
nerveuses
de développement postérieur, comme formations m
vons constater des altérations visibles et indiscutables du système
nerveux
, nous pouvons bien souvent observer, outre l'af
lindraxiles, se détruisent rapidement. Par conséquent, la substance
nerveuse
de l'individu donné se montra incapable de prod
MIE PATHOLOGIQUE. velles voies durables, pour les nouveaux courants
nerveux
. Bien que les nouvelles images et les nouvelles
provoquent un renforcement de la vibration moléculaire des éléments
nerveux
et bien que leurs traces se conservent dans l'é
ne tension et de certain tonus. La fonction insuffisante des fibres
nerveuses
entraine la destruction continuelle de nouveaux
cessent de se former uniquement à cause de la faiblesse des fibres
nerveuses
terminales. Il existe en outre, du moins dans c
ticulier, devient incapable de s'adapter régulièrement aux courants
nerveux
que lui trans- mettent les fibres cylindraxiles
ns jusqu'à un certain point, nous expli- quer pourquoi les courants
nerveux
ne suivent pas leur marche régulière. Un plus g
corps d'un autre. Bien que ce mode de connexion entre les unités
nerveuses
soit un phénomène habituel et très répandu, il
l se trouve, qu'il existe des neurones qui sont dépourvus de fibres
nerveuses
et qui ne possèdent que des prolongements proto
ver des connexious à l'aide des dendrites seules entre des éléments
nerveux
, auxquels le prolongement pro- toplasmiquene ma
non plus nier, que des liens entre des neurones à l'aide des fibres
nerveuses
terminales sont aussi possibles. Somme toute, n
OMIE PATHOLOGIQUE. ment protoplasmique commun , tandis que la fibre
nerveuse
part d'une des deux cellules. Ce seront des neu
ouplés de M. Renaut. Les liens de cette espèce entre les éléments
nerveux
con- duisent M. Renaut à modifier la doctrine d
ts nerveux con- duisent M. Renaut à modifier la doctrine des unités
nerveuses
isolées auxquelles il applique le terme d'idion
davantage les phénomènes de l'accumulation et décharge de l'énergie
nerveuse
. L'opinion de M. Renaut demande à être confirmé
pement ultérieur de nos connaissances de la texture fine du système
nerveux
; mais dans tous les cas la théorie que nous ve
iginale sur les faits qui se rap- portent au mécanisme des éléments
nerveux
. Dans la seconde moitié de notre mémoire, nous
ysique; 2° par la faiblesse de l'intelligence ; 3° par des troubles
nerveux
passagers ou durables; 4° par une tradition hér
itue toujours une grande cause d'insuccès. L'influence du système
nerveux
sur le résultat d'une opération n'est pas moind
n de l'activité vitale, causée par un état d'épuisement des centres
nerveux
et surtout du grand sympathique qui gouverne le
ne, Détroit, novembre 1896.) L'électro-diagnostic dans les maladies
nerveuses
permet de dire si la lésion intéresse ou non le
Une lésion de ce neurone a pour effet la dégénérescence des fibres
nerveuses
et des muscles, en détruisant leurs centres tro
e l'électricité dans le traitement des diverses maladies du système
nerveux
, tant organiques que dynamiques. Dans aucune
ne prouve que l'électricité puisse hâter la régénération des fibres
nerveuses
. L'électrothérapie joue un grand rôle dans le t
ue de 100 ampères). Les céphalées des neurasthéniques et des sujets
nerveux
sont souvent très amé- liorées par un faible co
le avoir été la cause déterminante de la folie, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 47 ensuite parce que l'ablation de la tumeur a
la démence progressive. R. DE IUSGRAYE-CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Sur un cas DE maladie DE LITTLE; par M. lep
ité spasmodique des muscles dans cer- taines affections des centres
nerveux
est un sujet sur lequel M. le professeur F. Ray
touchent. Il est impossible d'écarter les 48 8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cuisses, les mouvements de la jambe sur la cui
cou-de-pied sont totalement abolis et Fig. I. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 49 la résistance qu'oppose l'état spasmodique
re. Archives, 2e série, t. IV. - l'i ? 2. ù REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. P1-1. 3. La malade peut marcher en se ser-
n re- trouve des troubles analogues au bord REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 51 interne du bras gau- che et au niveau de
de varia- bilité et de leur ah- l'ig. 4. 32 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sence possible, furent au contraire placés au
ts nés avant terme, c'est-à-dire avant que soit REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Où achevé le développement des faisceaux pyram
losion d'une rougeole en juillet dernier. S4 1. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. A ce moment la partie inférieure du visage ava
idation spinale (fig. 5, 6 et 7). Fi.']. 5. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ss Aux membres supérieurs parésie, contracture
ments étaient douloureux et que Fifl. 6. 56 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. même au repos la malade ressentait de vives do
i se borne il prescrire un traite- Fig. 8. 58 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment local, les mouvements des lèvres, de la l
des faisceaux blancs. Les négations de Vulpian, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. raz de M. Déjerine ne sauraient aller contre l
le type Aran-Duchenne, la maladie de Charcot 60 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ajoute d'abord la dégénération du neurone supé
ue atteint d'amaurose de l'oeil droit, cet oeil REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Cl restant ouvert, si l'on en supprime et réta
palpitations cardiaques neuropa- thiques. 62 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. VU. Assistance DES aliénés par l'état, dans l'
ndre un peu le nombre de demandes d'appel, il a REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 63 i), été décidé qu'avant que pareil appel pu
t libres et entourés de soins bienveillants. 64 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sous le nom d'Hôpital des Innocents. Tout alla
du régime des asiles même les mieux aménagés de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 65 la plupart des pays d'Europe. Aux yeux des
t de l'année 1893, à l'entré du malade à la clinique des maladies
nerveuses
, on constata : un abaissement de la paupière supé
née 1894, lorsque la malade fut placée à la clinique des mala- dies
nerveuses
, outre les phénomènes déjà décrits, on constata l
e. Ces changements, sont exprimés parle même épuisement de la force
nerveuse
; cet épuisement est un symptôme le plus caract
de paralysie asthénique des degrés différents de lésion des centres
nerveux
sont possibles et que l'atrophie peut se manife
s procès morbides en même temps dans différentes régions du système
nerveux
, et prouvent la possi- bilité de coexistence de
r morbide, mais encore dans différentes autres régions du système
nerveux
central. M. `ŸEIDENH11)1GR trouve possible, que
érie, t. IV. 6 BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des maladies du système
nerveux
(2° série); par le professeur RAYMOND (1897. 0.
ue par d'autres auteurs. L'étude de l'histologie fine de la cellule
nerveuse
, les recherches expérimentales mon- trant que l
mentales mon- trant que la lésion d'un nerf retentit sur la cellule
nerveuse
d'ori- gine, ont changé singulièrement la face
auto-intoxication, ou d'une infection. Mais c'est la prédisposition
nerveuse
qui entraîne la localisation de l'agent toxique
euse qui entraîne la localisation de l'agent toxique sur le système
nerveux
. De cette étiologie découle le traitement. La p
), de la respiration, de la sécrétion urinaire, du foie, du système
nerveux
. Le chapitre IV (Anatomie pathologique et local
DE médecine. Moscou, 7-14 (19-26) août 1897. Section des maladies
nerveuses
mentales. Comité d'organisation. Les gérants :
Serbski (Moscou). VARIA. 91 Programme préliminaire. A. Maladies
nerveuses
. Thèmes de programme : 1. Pathologie de la cell
ladies nerveuses. Thèmes de programme : 1. Pathologie de la cellule
nerveuse
(Anatomie fine et lésions pathologiques). Rapport
prévu : V. Gehuchten (de Louvain) : « L'anatomie fine de la cellule
nerveuse
. » Communications annoncées : Pr Ch. Dana (de N
dans une séance, que tiendront en commun les sections des maladies
nerveuses
et de chirurgie. Traitement opératoire des mala
. - Archiv. sur Psychiatrie. GLnvrewv (L.). Chirurgie des centres
nerveux
. - 111-81 (le 300 pages, avec 2j, figures. Pari
96 AVIS A NOS abonnés. RAYMOND. Clinique des maladies du système
nerveux
(hospice de la Salpêtrière, 1895-1896; 21 série
791. Vol. IV. Août 1897. N° 20. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. CLINIQUE médicale DE l'hôpital SAINT-ELOI DE M
édicale DE l'hôpital SAINT-ELOI DE MONTPELLIER. MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
ET SCLÉROSE MULTIPLE DISSÉMINÉE ; Par le prof
rap- ports qui existent entre certains cas de maladies du système
nerveux
et la maladie que nous avons étudiée ensemble il
, 1" série, p. 28 à 187. Archives, 2''surie, t. IV. 7 98 CLINIQUE
NERVEUSE
. vation, presque de création, est caractérisée
Avant cela, la grosse anatomie et la physiologie normale du système
nerveux
s'étaient établies, surtout depuis Ch. Bell et
et en déduit tout ce que vous savez pour la géographie du système
nerveux
. Cette méthode a été si puissamment féconde que
vertes de l'histologie la plus délicate sur la structure du système
nerveux
. Cependant le côté éliologique et nosologique r
e côté éliologique et nosologique reste très en MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 9 lui retard et, chose remarquable, à une époq
ait pour l'étude étiologique et nosologique des maladies du système
nerveux
? D'abord on a adopté la vieille et juste idée
lis et son influence sur le déve- loppement des maladies du système
nerveux
. C'est là une grosse question très fouillée et
sations syphilitiques vraies, directes et complètes, sur le système
nerveux
, comme le chapitre des localisations tuberculeu
me appareil, est distinct et séparé du bloc des maladies du système
nerveux
. Quand la syphilis envahit la neuropathologie o
iscuterons, mais qui met un peu les maladies vul- gaires du système
nerveux
hors du domaine de la syphilis ordinaire. Puis
ues, in Clin, (les du syst. nerf., 9c série, lss7. , iuo CLINIQUE
NERVEUSE
. tables à une intoxication ou à une infection u
musculaire progressive, p.31 I « « L'étiologie MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 101 est fort obscure. Sclérose latérale amyotr
être intéressant d'étudier les rapports de ces maladies du système
nerveux
avec une autre maladie plus générale : la sclér
entre la sclérose multiple disséminée et les maladies du système
nerveux
. Voici d'abord un fait que vous avez observé au
che pour le biceps. Il n'y a pas de réaction de MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 103 dégénérescence. Cette association de l'amy
ic de sclérose latérale amyotrophique. Voilà une maladie du système
nerveux
bien caractérisée. Si maintenant nous poursuivo
eux, in Lef. (le clin, méd., 1" sétic, 1891, p. 522. 104 CLINIQUE
NERVEUSE
. râles ronflants et sibilants disséminés. Les c
c'est-à-dire que le tissu névroglique ne parait MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 105 s'allumer que de seconde main pour remplir
érose multiple disséminée avec l'ensemble des maladies du système
nerveux
. Pour le moment, enregistrons des matériaux doc
faire rentrer dans la sclérose multiple disséminée un des syndromes
nerveux
anatomo-cliniques les plus obs- curs au point d
tel-Dieu) : arthritisme. -Avril 1895, Cornil (Hôtel- 106 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. Dieu) : encéphalomyélite. - Juillet 1S95, Babi
ôté du tube digestif nous trouvons une gastrite MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. toi chronique avec dilatation de l'estomac : d
1010 et leur teneur en azote très faible ; 5° L'examen du système
nerveux
nous montre des troubles multiples. La mémoir
ypesthésie de la cornée. A la face dorsale du deuxième 108 CLINIQUE
NERVEUSE
. orteil gauche existe une ulcération assez prof
e, sur les cornes antérieures de la subs- tance grise. DU SYSTÈME
NERVEUX
. 109 On peut rapprocher de notre cas le suivant
ans, qui depuis quel- ques années présenté quelques vagues troubles
nerveux
et depuis quatre ans un diabète d'intensité moy
as cirrhose, (le-1. 7t ? i Wocli, 1896, p. ` ? oui,) Il (1 CLINIQUE
NERVEUSE
. n° 33 de la salle Fouquet un tabétique très cu
u sy ? ncit'. : malud. de la moelle, 181 ! ). ' MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 1 I 1 rieure et médiane des circonvolutions de
t souvent chez le même sujet d'autres syn- dromes anatomo-cliniques
nerveux
qui correspondent à d'autres foyers disséminés
i correspondent à d'autres foyers disséminés de sclérose du système
nerveux
; 3° au tabès on trouve également associées che
traitement du tabes au Congrès de Moscou (1897). 11 : 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. De plus, si l'on peut placer dans ce protoneur
ent souvent chez le même sujet d'autres syndromes anatomo-cliniques
nerveux
qui corres- pondent à d'autres foyers disséminé
rres- pondent à d'autres foyers disséminés de sclérose du système
nerveux
. Ce sont d'abord les polynévrites dont nous ven
ch. de Xeurol., 1887, XI, 15G et 380; XII. 27.) MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 113 3. Au tabes on trouve également fréquemmen
ez le même sujet diverses scléroses d'organes autres que le système
nerveux
. Nous trouvons d'abord le coeur des tabétiques.
méd., 1880, XLIV, 483). Aucuives, 2e série, t. IV. 8 114 CLINIQUE
NERVEUSE
. D'autres causes collaborent souvent avec la sy
c, après les atrophies musculaires, un deuxième MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. '1 1 5 grand exemple de syndrome anatomo-clini
inée, de l'autre de la localisation de cette maladie sur le système
nerveux
. Personnellement : cet homme à l'âge de vingt e
gourdissent facilement ; et les crampes sont fréquentes Ho CLINIQUE
NERVEUSE
. dans les mollets. Il n'y a ni paralysie motric
s d'une myélopathie ; il y a de la douleur à la pression des troncs
nerveux
, etc. Mais à côté de cela, notre homme se lève
Leçons de clin, méd., 3° série, 1897, p. 301. MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 117 une infection pneumococcique aiguë pourra
minée. Ces causes deviennent ainsi celles des maladies du système
nerveux
que nous rattachons à la sclérose multiple diss
e. 1 Leçons de clin, méd., 2c série, 1890. p. 671. 118 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. Tout ce que nous venons de dire de la moelle o
amment étayé ma thèse : dans beaucoup de cas de maladies du système
nerveux
il y a en même temps de la sclérose multiple di
: la slcérose multiple disséminée. Les diverses maladies du système
nerveux
sont donc de plus en plus, suivant une idée que
ons sur les maladies du système raer- veux. , MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 119 D Il va sans dire que tout ceci ne s'appli
D Il va sans dire que tout ceci ne s'applique qu'aux syn- dromes
nerveux
dont la lésion est une sclérose. Ils sont légio
on. Mais cela peut-il s'appliquer à toutes les scléroses du système
nerveux
? Ici nous trouvons une difficulté et unc objec
. (Encyclop. scieulif. des Aides mém.). 1897, p. 95. 120 CLINIQUE
NERVEUSE
. tissu interstitiel hypertrophié au tissu actif
hose est généralement admise pour les organes autres que le système
nerveux
. Pour le rein, que le point de départ soit pare
s de la sclérose. Il en est de même pour le foie... Dans le système
nerveux
lui-même, ce qui prouve qu'il n'y a pas opposit
isse- 1 Journal des Praticiens, 1897, p. 303. MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 121 ment de cette question M.Grasset aurait dû
rtérios- 1 Leçons de clin, Ire série, p. 522 et 535. 122 CLINIQUE
NERVEUSE
. clérose forme « le lien initial commun de bien
x dans la production des scléroses observées. MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 123 Tout récemment encore, dans un livre que n
, la sclérose multiple disséminée, tout en gardant sa '124 CLINIQUE
NERVEUSE
. grande unité clinique et nosologique, a des va
que et spécialement pour la théra- peutique des maladies du système
nerveux
, puisque c'est plus spécialement de ce chapitre
ensemble de nos connaissances cliniques sur les maladies du système
nerveux
. RECUEIL DE FAITS. OBSERVATION D'APHASIE STAT
el enfant bien constitué. lI ? X... vingt-six ans, d'un tempérament
nerveux
, sans stig- mates cependant d'hystérie. Hérédit
en l'avouer, grand résultat, ne croyant pas qu'un accident purement
nerveux
, purement hystérique, puisse en si peu de temps
nce, et par conséquent plus accessibles aux influences physiques ou
nerveuses
auxquelles ils se sont trouvés soumis. H. de Mu
s. Dans les zones corticales l'influence tro- phique des impulsions
nerveuses
devient suprême. Et si l'on objecte qu'il n'y a
ifférence de nature. Dans les tissus organiques autres que le tissu
nerveux
, la régénération des cellules épuisées, ou mieu
inaires de nutrition. Mais Foster fait remarquer que les impulsions
nerveuses
qui portent sur les cellules constituent l'agen
un plan aussi simple que dans les, niveaux inférieurs du sys- tème
nerveux
: il est probable que, dans une certaine mesure,
avec stupeur une lésion primitivement inflamma- toire des cellules
nerveuses
. R. DE MUSGRAVE CLAY. VII. UN cas DE FOLIE diab
mme au contraire est une pré- disposée, on l'a toujours connue très
nerveuse
, viulente, facilement irritable. Ce cas de fo
lière, un peu décolorée et gélatineuse. La destruction des éléments
nerveux
est excessive, spécialement dans la moitié exté
ale largeur au voi- sinage immédiat de la membrane, où les éléments
nerveux
sont détruits. Aucun neurone n'est spécialement
la DÉGÉNÉRESCENCE ascendante sur LES nerfs MIXTES, SUR LES CELLULES
NERVEUSES
DES GANGLIONS, SUR LES RACINES POS- TÉRIEURES E
ritique et expérimen- tale à cette question d'histologie du système
nerveux
, qui suscite actuellement tant de travaux et de
esco (1892). Ce dernier observe qu'après une amputation, les fibres
nerveuses
sont plus nombreuses. Les résul- tats des diffé
es (ganglions des racines postérieures), consécutives à une section
nerveuse
, surviennent du quatrième au septième jour, bie
, le bromisme, dont les manifestations peuvent atteindre le système
nerveux
sous forme d'idées délirantes, de tendances au
s automatiques stupides n'ont pas d'utilité. 2° Dans les ma- ladies
nerveuses
qui, généralement, ne sont que des troubles fonc-
r Vraarco (de Paris) : Influence de l'accouchement sur les maladies
nerveuses
et mentales. D1' FOYEAU de COURIfELLES (de Pari
(de laples) : Contribution à l'anatomie pathologique du traumatisme
nerveux
. Réceptions et excursions : réception et raout
l. IV.. Septembre 1897. N° 21 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
nerveuses
1 ? CONTRIBUTION A L'ETUDE AN1TO110-CLINÎQ ?
nt tout, une maladie Archives, 2e série, t. IV. 12 178 pathologie
NERVEUSE
. · de la région 'sensitive de la moelle, compre
du tabes doit établir sur quels systèmes de fibres ou de cel- lules
nerveuses
évoluent ces lésions, au niveau des cordons pos
derniers travaux, comme formés par deux grands sys- tèmes de fibres
nerveuses
; et chacun de ces systèmes com- prend des fibre
Les mêmes considérations s'appliquent à l'autre sys- tème de fibres
nerveuses
qui constitue, avec le précédent, 1 Nous n'igno
oit forcément entraîner un fonctionnement variable.. Les cellules
nerveuses
qui se rencontrent dans la portion sensitive de
atomique montre la complexité des systèmes de fibres et de cellules
nerveuses
qui constituent la portion sensitive de la moel
ous l'avons dit plus haut, cette formule topogra- '180 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. phique ne répond qu'à la. première partie du p
ne suffit pas de savoir sur quels systèmes de libres ou de cellules
nerveuses
évolue le tabes médullaire, depuis son début ju
s- sus. Est-il primitivement parenchymateux, frappant l'élé- ment
nerveux
lui-même (fibre ou cellule) ? Est-il, au contrair
raphie et leurs caractères histo- logiques'. , ' Mais, en système
nerveux
surtout, la clinique doit trou- ver son compte
ésions médullaires tabétiques par rapport aux faisceaux de fibres
nerveuses
des cordons postérieurs et aux cellules de la por
du labes dorsalis. (Th. iuaug. Paris, 1897.) )8 : 2 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. croisé, ou du faisceau cérébelleux direct par
de Waller (Académie des sciences, 1852). * Après section d'un tube
nerveux
, le bout périphérique, séparé de son centre tro
entre trophique, dégé- nère. » Supposons donc un faisceau de fibres
nerveuses
com- plètement séparé de sa colonne cellulaire
t de suivre la topographie, le trajet, les connexions d'un faisceau
nerveux
; elle est précieuse surtout avec la technique
remière étape, peu importante, qu'il nous suffira de 184 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mentionner. Un- peu plus haut, les grosses fib
nférieures. G" fibres longues dorsales supérieures). 188 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mélangées aux autres fibres, moyennes et longu
d'un foyer de myélite trans- vei'se totale. 1 . 190 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. extrémités en forme de fuseau : c'est le « cen
e gros avantage d être électif pour les gaines de myéline des tubes
nerveux
, qu'il colore seules à l'exclusion de tout autr
s radiculaires moyennes), le tabès avancé montre les 196 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. autres localisations de la maladie qui a suivi
ux qui accompagnent toujours une dégénération secon- 198 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. daire. Enfin, des coupes sériées, pratiquées s
expliquer par quel mécanisme elles déterminent l'atrophie des tubes
nerveux
. A ce propos, nous rappellerons qu'un examen hi
parenchymateuses existent, dès le début du tabès, au niveau du tube
nerveux
; la cellule du ganglion vertébral reste intact
ette réduction de volume résulte de l'atrophie considérable du tube
nerveux
. Le processus atrophique nous a paru passer par
' Arche. de médecine expérimentale, juillet 1801. 200 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. n'augmentent pas de nombre; le protoplasma n'e
période de son évolution (période de la disparition totale du tube
nerveux
). Les cellules des ganglions vertébraux nous on
ovoquer des lésions dégénératives considérables au niveau des tubes
nerveux
, la technique la décèle aisément; en d'autres t
es termes, on peut dire que, dans les lésions chroniques du système
nerveux
, il existe une certaine proportionnalité entre
ons cellulaires et les processus dégénératifs secondaires des tubes
nerveux
. Or, dans le tabes, la destruction des tubes ne
ires des tubes nerveux. Or, dans le tabes, la destruction des tubes
nerveux
est très intense; l'altération de la cellule or
ion wallérienne, ni la dégénération rétrograde. 20 : 2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Sur le terrain clinique, le gros problème à ré
it peu de tendance à s'étendre; les cas que nous 112011. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. avons pu observer, parmi les tabes arrêtés dan
n se consacrant exclusivement à la pratique des maladies du système
nerveux
. D'ailleurs, même en consacrant six à huit heur
, car, sauf à Paris, je doute qu'une clientèle exclusive du système
nerveux
suffise, même dans les très grandes villes, à f
udice aux malades et à la science mentale. B. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. IX. Accidents nerveux causés par l'intoxicatio
a science mentale. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IX. Accidents
nerveux
causés par l'intoxication goutteuse (acide uriq
sent beaucoup plus souvent par des accidents portant sur le système
nerveux
que par l'attaque de goutte. Ces accidents sont
nts sont très variés, étant donné que le poison imprègne le système
nerveux
en entier. Les palpitations que l'on observe ch
st pas jus- Archives, 3' série, t. IV. 15 226 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. qu'à l'épilepsie que l'acide urique ne puisse
'anesthésie du côté opposé. Il faut remonter au REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 227 cerveau pour voir une lésion de la partie
e et pas d'aneslhésie si limitée. On peut donc exclure toute lésion
nerveuse
organique. Il s'agit de contracture hystérique.
tatives gagnent le cerveau par la cinquième 228 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. paire ; la corde du tympan rejoindrait le trij
la maladie possède avec les fièvres exanthéma- REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 229 tiques, savoir la marche de toute la malad
absolue ou tout au moins très accentuée. 230 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. XV. Troubles amnésiques DE l'écriture ; par F.
u mécanisme de la parole et de l'écri- ture : REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 231 geichgùltig au lieu de gleichgûltig ; il o
e l'encéphale et, en particulier, la pointe 232 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du lobe occipital, le coin, la circonvolution
ntes dans leur totalité ; le radial est affecté REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 233 dans sa plus grande partie ; le médian et
de déféquer. Il s'agit d'un homme de trente-quatre ans, de famille
nerveuse
qui, à la suite d'excès de tabac, se sentait de
e d'excès. L'exagération de l'activité car- 234 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. diaque et l'augmentation de la pression du san
e crétinisme, l'hérédité et la prophylaxie des maladies mentales et
nerveuses
..Ne sont-ce pas là, en effet, des questions soc
t pas qu'elle ne puisse pas déterminer d'autres lésions des centres
nerveux
: ces lésions de syphilis cérébrale don- nent s
coolique qui survient chez des individus indemnes de tous accidents
nerveux
antérieurs. M. GIII.IUD (de Saint-Yon). - Il
éléments histologiquçs : substance blanche, substance grise, tubes
nerveux
, cellules nerveuses, enveloppes séreuses, etc. ?
iquçs : substance blanche, substance grise, tubes nerveux, cellules
nerveuses
, enveloppes séreuses, etc. ? A côté des myélite
se cérébrale peut débuter comme celle de la moelle par des éléments
nerveux
différents; de là des variétés cli- niques avec
rares, est celle dont le processus morbide commence par la cellule
nerveuse
. Les autres sont sujettes à des rémissions plus o
rémissions plus ou moins complètes et durables parce que la cellule
nerveuse
est la dernière atteinte, et leur pronostic est
ion de la substance blanche ou des SOCIÉTÉS SAVANTES. ! 249 tubes
nerveux
avec phénomènes d'ophtalmoplégie initiaux et pré-
e toute la famille névropathique, épilepsie, migraine, excitabilité
nerveuse
, etc. Certaines diathèses peuvent aussi se tran
z l'enfant en vertu de ce facteurl Au lieu .d'envoyer les fillettes
nerveuses
se coucher de bonne heure après une journée tra
fantile qu'il attribue, en partie, à des mariages consanguins entre
nerveux
et alcooliques, en partie aux histoires fantast
enfants d'une même famille. Comme on le voit, les cas de contagion
nerveuse
sont loin d'être rares dans l'hystérie infantil
ail clinique de M. Terrou sur le même sujet. La Revue de pathologie
nerveuse
de ce numéro renferme l'analyse d'une observati
rès long. Dénucé a rapporté des cas analogues, insistant sur l'état
nerveux
causé par l'état préputial, et qui disparaissent
Nous devons à la vérité de recon- naître qu'en présence d'accidents
nerveux
chez les enfants les médecins manquent le plus
rable à l'éclosion, dès les premières années de la vie, de troubles
nerveux
très variés (perversions instinctives, accès de
de chloral, de morphine ou d'autres stupéfianls ont sur la cellule
nerveuse
une action beaucoup plus délétère que .le procé
ous avons pu nous assurer qu'elle était le résultat d'une contagion
nerveuse
, l'enfant ayant assisté à des crises d'hystérie
ques et à l'étude de l'anatomie normale et pathologique des centres
nerveux
. Le ser- vice des retraites des directeurs-méde
ULT, d'Orléans. Du rôle des artérites dans la pathologie du système
nerveux
: rapporteur, M. SABRAzÈs, de Bordeaux. Des dél
les plus fixes, durables et périodiques qui sont dues à des lésions
nerveuses
. Dr F. DC1' : 1Y. VARIA. LES aliénés EN lib
à la suite d'un malaise VARIA. 287 i faisant pressentir une crise
nerveuse
dont elle avait une autre fois déjà éprouvé les
jusqu'à présent comme secondaires, ou passant inaperçus. CLINIQUE
NERVEUSE
. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE; Par le Dr F. T
ais la fréquence de cette névrose dans cette partie du 300 CLINIQUE
NERVEUSE
. Bocage, les formes multiples sous lesquelles e
ns soient venues jeter un peu de lumière sur ce sujet de pathologie
nerveuse
, malgré des observations intéressantes parues d
aris, 1896. 3 Charcot. Leçons cliniques sur les maladies du système
nerveux
, t. I, II, III. Leçons du mardi, 1887-1888 et 1
du mardi, 1887-1888 et 1888-1889. Cliniques des maladies du système
nerveux
, leçons publiées par Guinon, t. I, 1892. Boume-
ans ma clientèle, dans un pays précisément très riche en affections
nerveuses
, en fai- sant suivre ces faits de quelques réfl
ents personnels. On n'a rien de particulier à noter. 302 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. Pas de maladies depuis la naissance. L'enfant
re, aucune crise de suffocation : c'était de l'aphonie 304 CLINIQUE
NERVEUSE
. hystérique. Cet accident dura trois jours, pui
de faire son frère. Guérison en trois jours. H... six ans. Hérédité
nerveuse
, mère neurasthénique; tante hystérique avec cri
côté paternel (grand- mère paternelle, oncle paternel excessivement
nerveux
) je pose le diagnostic : paraplégie et hypérest
parler de cet enfant, Archives, 2e série, t. IV. 20 306 CLINIQUE
NERVEUSE
lorsque, un an après, on le ramène dans mon cab
garçon de onze ans. Guérison par suggestion. X..., onze ans. Mère
nerveuse
, père congestif, n'avait jamais rien présenté d
sorte de bégaiement, ce bégaiement qui termine souvent ce phénomène
nerveux
. Outre ce bégaiement je constatais que la mémoi
la contracture a cessé. Elle a donc duré trois jours. 308 CLINIQUE
NERVEUSE
Le 8 mai, on me rappelle près de l'enfant, le b
oplectique ? Est-ce une méningite ? Est-ce, en raison de l'hérédité
nerveuse
dont je savais la famille entachée, une pseudo-
a douleur dans les hanches. Claudication qui s'est 3110 () CLINIQUE
NERVEUSE
effacée, paraît-il, au bout de deux mois enviro
e petite pille, il huit ans, dix ans et quatorze amas. - Hérédité
nerveuse
. Mère ayant eu des crises de nerfs dans sa jeun
senté une contracture hystérique du bras et du cou. Ses frères sont
nerveux
, impressionnables. Comme antécédents personnels
e se met à uriner, une urine claire, limpide assez abondante, urine
nerveuse
. Ceci m'étonne un peu, car une demi-heure aupar
n, cris, véritables cris hydrencéplialiques, constipa- 312 CLINIQUE
NERVEUSE
tion, ventre rétracté; mais pas de vomissements
ômes avaient disparu. Comme héridité père et mère alcooliques, mère
nerveuse
. Observation YS.. Pseudo-méningite chez un peti
: père, mère, tante, oncles tant du côté paternel et maternel, tous
nerveux
. Antécédents personnels nuls, mais caractère tr
semaines sans laisser de traces chez un petit malade excessivement
nerveux
qui a fait déjà du méningisme hys- térique. H
térique. Le père, d'après les renseignements, serait également très
nerveux
. Le grand'père l'est également. Les tantes, les
en plus agité, la température n'est pas abaissée. c 316 CLINIQUE
NERVEUSE
Quelle était la nature de ce diabète insipide h
il + 15° = -) ? 002 Réaction très faiblement acide. 318 CLINIQUE
NERVEUSE
cependant que ne l'est la soif, il urine un peu
bas âge, même faite pendant le sommeil hyp- 320 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. notique, donne des résultats souvent négatifs;
ante et de date déjà si ancienne. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. IX. Contribution A l'étude DE la 16RALGIL pare
Gum- PERTZ. (Neurolog. Cenh·al6l. , XV, 1896.) Suivre les fibres
nerveuses
dans la peau pour bien en déterminer le nombre
1° dans un cas de névrite du cubital, on ne rencontre aucun élément
nerveux
de la peau nulle part; 2° dans un cas d'herpès
mble y avoir désintégration granuleuse; 3° chez REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 321 un malade atteint de tabes avec hypoalgési
sie généralisée, il existe une évidente dégénérescence des éléments
nerveux
cutanés. Mais dans l'anesthésie hystérique, dan
s efforts. -Cet homme ne présente d'ailleurs pas d'autres accidents
nerveux
, ni troubles réflexes, ni troubles de la parole
t au niveau Archives, 2e série, t. IV. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des muscles de l'omoplate et de l'épaule, et e
yélite aiguë. XIII. INFLUENCE du tabac -sur LES maladies du système
nerveux
; par Niccolo 13UCCELLI. (Riv. di. pat. nerv. et
xique, qui, plus encore peut-être que les autres poisons du système
nerveux
, a peu d'action lorsqu'il est naturel : il en a
ie est assez fréquente pour qu'on ait souvent attribué les troubles
nerveux
aux troubles de la circulation. Mais l'epilep
endant la période de ralentissement du coeur. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 323 La part que prend le coeur dans l'attaque
faire son apparition à tout âge ; les 324 liez REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. accès de migraine qui la précèdent datent au c
nt terme ; par le Dur Van GEUUCUTEN. ' Un grand nombre d'affections
nerveuses
de l'enfance sont accom- pagnées de rigidité mu
oduisent que l'auteur a proposé de les désigner REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 325 sous le nom de rigidité spasmodique spinal
corlieo-médullaire, on observe encore un grand nombre d'affections
nerveuses
dans lesquelles la triade symptomatique du synd
e peut pas être elle aussi, en état de mau- 326 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vais fonctionnement, il y aurait donc une dysp
ce propos, il est intéressant de rappeler que la peau et le système
nerveux
dérivent embryologiquement d'un même feuillet,
La muqueuse du gland étant une des plus riches en terminai- sons
nerveuses
, il peut arriver que des convulsions épileptiform
peut arriver que des convulsions épileptiformes REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3 : 27 7 réflexes se produisent consécutivemen
se produisent consécutivement à l'irritation de ces termi- naisons
nerveuses
par le smegma accumulé entre le gland et le pré
alement profond sommeil calme. Durée totale 328 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. deux heures et demie. Le jour suivant le malad
III, N. F., vi, 1895.) L'auteur étudie comparativement la léthargie
nerveuse
des neu- rasthéniques, de certains aliénés, des
ement cérébral engendré par la constitution hyslé- rique du système
nerveux
, probablement- par auto-intoxication. On en tro
al et l'insomnie des hystériques. P. IEaA ? 1L. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 329 XXVII. Troubles DE l'écriture occasionnés
(d'Orléans) ; 2° Rôle des artériles dans la palhogénie du système
nerveux
: rap- porteur, M. Sabrazès (de Bordeaux) ; 3
ifférentes de nature. Du nycthémère appliqué à l'étude des maladies
nerveuses
et mentales. M. PAILHAS (Albi). S'appuyant sur
ion des états hypersthéniques et hyposthéniques dans les affections
nerveuses
, mentales et autres. Finalement il arrive à ces
ions respec- tives vis-à-vis du nycthémère, il semble que les états
nerveux
, vésaniques ou autres, puissent se différencier
MM. NoGuÉs et SAIR : 1L. Il s'agit d'un gendarme retraité un peu
nerveux
, mais sans antécédents personnels ou héréditaires
tisme. alcoolisme, tubercu- lose, cérébralité, maladies mentales et
nerveuses
. Le second groupe comprend : a) les intoxicatio
e. N'existent jamais seuls : les hérédités tuberculeuse, mentale et
nerveuse
; les infections aiguës, la tuber- culose, le ta
us ont amené aux conclusions suivantes : 1° L'hérédité mentale et
nerveuse
n'a aucune influence. La pré- disposition née d
scléro-graisseuse. L'hérédité cérébrale produit du côté du système
nerveux
central, d'une part, une tendance à l'inflammat
re et, d'autre part, une moindre résistance organique de la cellule
nerveuse
. Cette moindre résistance s'affirme par une fatig
ool. Aussi voit-on, sous l'influence d'une cause légère, la cellule
nerveuse
chuter. Or, cette moindre résistance organique
ité arthritique, soit une moindre résistance orga- nique du système
nerveux
cenlral, comme l'hérédité cérébrale. L'alcoolis
nfection, etc., qui usent la cellule et con- gestionnent le système
nerveux
. Seulement ces dernières causes trouvent un ter
rands groupes de paralysie générale, l'un maladie locale du système
nerveux
, l'autre symptomatique d'une maladie géné- rale
s compliquées que chez les adultes, consiste en ce que le système
nerveux
des enfants se trouve encore dans un état d'évolu
ins russes à Kiew (en 1896), les membres de la section des maladies
nerveuses
et mentales onléluunecommission de cinq personn
et Rora. M. Oar.ovsxr. Syphilis et sclérose disséminée des centres
nerveux
. - La. combinaison d'une sclérose disséminée av
ules (surtout dans la substance grise altérée) ; beaucoup de fibres
nerveuses
ont péri, mais dans certains endroits sont rest
is dans certains endroits sont restés des cylindraxes. Les cellules
nerveuses
sont presque intactes. Dans la partie dorsale i
r que les vasomoteurs des veines cutanées sont situés dans le tronc
nerveux
général, très près des nerfs de la sensibilité
es et présentent des phénomènes de dégénérescence, plusieurs fibres
nerveuses
ont perdu leur myéline; d'autres n'en ont conse
la contraction à deux courants (comme du muscle ainsi que du tronc
nerveux
) = 0 ; dans les muscles qui ont conservé leurs
M. MOURAVIEFF. De l'influence du poison diphtérique sur le système
nerveux
. Les expériences concernant l'influence du pois
riences concernant l'influence du poison diphtérique sur le système
nerveux
ont donné jusqu'à présent des résultats contrad
ite pour son prolongement cylindr-axile, c'est-à-dire pour la fibre
nerveuse
; cette dernière s'altère à son tour, peut-être
remarquer dans sa préface. L'auteur a étudié le rôle de l'élé- ment
nerveux
dynamique psychique dans diverses affections ner-
onctionnelle », et, an cas particulier, une modalité de la fonction
nerveuse
, une variation des pouvoirs de dynamogénie et d
M. Aimé définit ensuite l'élément psychique morbide « toute action
nerveuse
anormale qui, ne correspondant à aucune altéra-
nces les plus étendues dans la physiologie et l'anatomie du système
nerveux
, la psychologie normale et l'anthropologie, et il
r. ' ' - Collet. (F. -J.). Les troubles auditifs d'ans les maladies
nerveuses
. Volume in-12 de 182 pages. Paris, 1897. Librai
Vol. IV. Novembre 1897. N° 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDGE1; Par le D'' F.
Durée cinq mois. Sueurs abondantes succédant à celte hydrurie. Tare
nerveuse
, tempérament nerveux. C'est également un enfant
s abondantes succédant à celte hydrurie. Tare nerveuse, tempérament
nerveux
. C'est également un enfant naturel comme le dia
e le diabétique précé- dent. Son père est inconnu. Sa mère est très
nerveuse
. La grand'- mère l'est encore davantage. Les ta
eurologie, no 22. . Archives, 2e série, t. l1'. 21 r 370 CLINIQUE
NERVEUSE
. Malheureusement, je n'ai pas l'analyse complèt
vaux de labour. Observation XIV. Fillette de sept ans. Etouffements
nerveux
, eii ? ,ozie- ment nerveux. A quatorze ans, apr
XIV. Fillette de sept ans. Etouffements nerveux, eii ? ,ozie- ment
nerveux
. A quatorze ans, après une tentative de viol, cri
orze ans, après une tentative de viol, crises de sommeil, aboiement
nerveux
, accès convulsif. Poir..., sept ans. Plusieurs
it conduit cette jeune fille; un jour c'était pour des étouffements
nerveux
qui inquiétaient les parents, étouffements surv
qui faisait craindre le croup à la famille. En raison de l'hérédité
nerveuse
de l'enfant- grand'mère maternelle hysté- rique
s j'ai été appelé à les constater dans ma clientèle. 372 CLINIQUE
NERVEUSE
. grande intensité; l'enfant, le visage anxieux,
en a guéri heaucoup par la suggestion hypno- tique. 374 CLINIQUE
NERVEUSE
. vaincre, bien qu'il m'en coûte encore; je vais
le verrons, doit être écartée. Estelle S..., treize ans, a une mère
nerveuse
, un père intelligent, mais ayant présenté à l'â
tant d'aisance les yeux fermés que les yeux ouverts. 376 CLINIQUE
NERVEUSE
. hystérique dont la durée variait de quatre à s
st le traite- ment par excellence ; mais dans les autres affections
nerveuses
, neurasthénie, dégénérescence mentale, etc., el
réquemment des crises de dyspnée avec toux croupale. 378 CLINIQUE
NERVEUSE
. Nous trouvons donc ici association d'une choré
ombre qu'il présente, offre cet avan- tage, qui, dans la pathologie
nerveuse
, est particulièrement appréciable : on peut sui
ns qui ne relèvent en rien de la névrose. Si l'impres- 380 CLINIQUE
NERVEUSE
. sionnabilité, toute spéciale d'un jeune cervea
peut simuler chez l'enfant, presque toutes les maladies du système
nerveux
HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 381 médullaire
udo-méningite hystérique (observa- 1 Toutes les maladies du système
nerveux
cérébral. (Thèse Barde), 189,3, et Fabvre, 1883
Barde), 189,3, et Fabvre, 1883, Marseille médical.) 382 CLINIQUE
NERVEUSE
. lion 23, thèse Burdol) ; mais, pourmon compte,
téristique. ' Hystérie en Vendée, p. 471, ibid. , 384 - CLINIQUE
NERVEUSE
. On n'a donc, le plus souvent, devant soi qu'un
ante quand ce n'est qu'un symptôme névropathique, une manifestation
nerveuse
plus ou moins gênante, plus ou moins fugace et
distance de très loin tous les autres facteurs. Après l'hérédité
nerveuse
, on trouve l'hérédité alcoolique. En Vendée, l'
raisonnable au paysan Archives, 2e série, t. IV. 25 386 CLINIQUE
NERVEUSE
. du Bocage. Or, il est fréquent de constater l'
sme, la plupart de mes alcooli- ques portant déjà avec eux, la tare
nerveuse
héréditaire. On ne doit pas contester cependant
ations terrifiantes ne sont-elles pas propres à ébranler le système
nerveux
, à le surexciter au point de produire bientôt u
élément de diagnostic. Je viens de dire le résultat. 388 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. Donc de la prudence dans l'emploi de l'hypnoti
econnaissent comme pathogénie ou 392 CLINIQUE MENTALE. une lésion
nerveuse
(racines nerveuses, moelle, cerveau en avant de
pathogénie ou 392 CLINIQUE MENTALE. une lésion nerveuse (racines
nerveuses
, moelle, cerveau en avant des tubercules quadri
nié l'exis- tence de tout autre cas d'aliénation mentale ou maladie
nerveuse
dans la' famille. Cette négation ne nous a pas
e et comme nous connaissons aujourd'hui la fré- quence des maladies
nerveuses
et mentales chez les individus de cette race ;
e pratique des Hautes-ÉLudes, Les différentes catégories d'éléments
nerveux
constituant les deux écorces du cerveau et du c
dans le second '. Dans le cervelet, où les divers types d'éléments
nerveux
offrent la plus grande diversité, la dispositio
gu- liers de superposition et de contiguïté des différentes voies
nerveuses
afférentes : l'épaisseur de l'organe dépend du
ou pallium et du^cervelet ne sont, elles aussi,, que deux ganglions
nerveux
situés chacun au sommet d'un arc diastaltique c
ue complexe où, dans la profondeur de l'organe, se mêlent les voies
nerveuses
centripètes et centrifuges. Le nombre et la var
ombre et la variété des types cellulaires, la grandeur des éléments
nerveux
, ainsi que leur situation,'sont l'expres- sion
érentes variétés de neurones. Les rapports anatomiques des éléments
nerveux
de l'écorce dépendent donc, en dernière analyse
alement en premier lieu de la disposition anato- mique des éléments
nerveux
déterminée par les fonctions de l'écorce, centr
ôle physiologique divers dépend uniquemenl de la nature des centres
nerveux
corticaux d'où partent (sphères sensorielles) e
st, on le sait, enveloppée par une espèce distincte d'arborisations
nerveuses
terminales. Les cylin- draxes des grains ou fib
propos de ces cellules étoilées, dont Golgi avait reconnu la nature
nerveuse
, mais sans pouvoir mettre en évidence leur termin
évidence leur terminaison, et cela à cause de l'hypothèse du réseau
nerveux
interstitiel destiné à expliquer les communicat
bien établi "(1' line terminaison des cylindraxes dans les centres
nerveux
. Jusqu'alors on avait suivi les fibres nerveuses
xes dans les centres nerveux. Jusqu'alors on avait suivi les fibres
nerveuses
delasubs- 400 REVUE CRITIQUE. corps de la cel
nant que nous étions en présence, non d'un fait isolé de connexion
nerveuse
, mais de la loi qui commande les rapports de tous
mais de la loi qui commande les rapports de tous les corpus- cules
nerveux
, on comprendra facilement la satisfaction et l'ém
re découverte. Notre conviction d'avoir trouvé la clef des rapports
nerveux
centraux n'était pas une illusion, presque tout
re que la confirmation ou l'extension à diverses parties du système
nerveux
du fait fondamental... Le fait le plus importan
descendants, aussi bien que l'arborisation terminale de cette fibre
nerveuse
, cylindraxile, des cellules étoilées, constituent
our ainsi dire, doublé d'une corbeille formée par des ramifications
nerveuses
terminales, excessivement épaisses et variqueus
DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU, ETC. 401 excellence des excitations
nerveuses
. En même temps le corps cellulaire devient libr
et efférentes aussi régulière, aussi capable de distribuer l'influx
nerveux
symétriquement aux deux moitiés du corps et se
t entre les cellules des noyaux protubérantiels : les prolongements
nerveux
de ces cellules se terminent par les arborisati
t déterminée par le nombre, l'épaisseur et la lon- gueur des fibres
nerveuses
. Le nombre de ces fibres dépend directement de
ntité de la substance blanche et, partant, sur le nombre des fibres
nerveuses
de cette substance. Le volume ou calibre de ces
ur 404 .. - REVUE REVUE CRITIQUE. la longueur des fibres : l'onde
nerveuse
tend à se propager par le plus court chemin, ca
tion de poids de l'or- gane ; ? ° l'allongement de toutes les voies
nerveuses
, soit de projection, soit d'association, amenan
des nouvelles mé- thodes d'imprégnation et de coloration du système
nerveux
, une atteinte assez grave. Dans aucune des nomb
rties les plus diverses du même organe, voire avec d'autres centres
nerveux
. La démonstration a été faite en particulier po
es, capables de retentir à leur tour sur la morphologie de l'organe
nerveux
. Ces influences modificatrices de la forme du c
la raison explicative de l'extension différente de ces territoires
nerveux
dans telle ou telle direction. Déjà en se fonda
c'est surtout dans les effets de l'activité prolongée des éléments
nerveux
de cette province du névraxe, dans les excitati
XI. Effets comparés DE l'antipyrine ET DES TOXINES SUR LES éléments
nerveux
; par le Dr Debray. (Journal de Neurologie et d'H
usceptible d'après quelques auteurs de déterminer dans les éléments
nerveux
des altérations comparables à celles de certain
pratique, soutient que le meilleur moyen de conjurer les accidents
nerveux
qui compliquent si souvent la grippe est de don
e mesure plus ou moins large, le traitement oculaire des maladies
nerveuses
: s'ils ne sont pas devenus enthousiastes de la m
s sur la néces- sité, lorsqu'on se trouve en présence d'une maladie
nerveuse
(et particulièrement de celles de ces maladies
couverte d'histologie normale ou pathologique concernant le système
nerveux
périphé- sociétés savantes. 417 rique et cent
les ont été présentées au Congrès. A. Marie. SECTION DES maladies
NERVEUSES
ET mentales ' Séméiologie des obsessions et idé
utient aussi Dallemagne, sont à la base de l'idée comme les centres
nerveux
inférieurs constituent les agents secondaires d
IÉTÉS SAVANTES. z Sur quelques lésions expérimentales de la cellule
nerveuse
. MM. Gilbert Ballet et A. DUTIL (de Paris). Nou
ur le cobaye dans le but d'étudier les lésions légères des cellules
nerveuses
de la moelle provoquées par l'anémie temporaire
gies que peuvent présenter les altérations primitives de la cellule
nerveuse
ainsi produites, avec celles qui apparaissent con
c celles qui apparaissent consécutive- ment aux sections des troncs
nerveux
, telles qu'elles ont été cons- tatées par diffé
ntéressants au point de vue de la pathologie générale de la cellule
nerveuse
. La première lésion apparente, c'est la dissolu
rès nettes qui existent entre les lésions secondaires de la cellule
nerveuse
, c'est-à-dire consécu- tives aux sections des n
d'un type de dégénération, l'altération secon- daire de la cellule
nerveuse
et à l'opposer eu même temps aux modes de dégén
n'en est pas moins vrai qu'une atteinte directe portée à la cellule
nerveuse
, lorsqu'elle est suffisamment atténuée, peut pro-
yons donc que la séparation des lésions dégénératives de la cellule
nerveuse
en deux types, le secondaire et le primitif, es
stologie est la première lésion appréciable par laquelle la cellule
nerveuse
révèle sa souffrance; mais elle n'implique pas un
gravement atteint et si les connexions physiologiques de la cellule
nerveuse
avec les cellules voisines sont conservées. i
voisines sont conservées. i > L'histopathologie de la cellule
nerveuse
. - M. Marinesco. Quand on se rapporte à la stru
- M. Marinesco. Quand on se rapporte à la structure de la cellule
nerveuse
, telle qu'elle élait admise il y a quinze ans, et
a notion de la texture intime de l'élément fondamental du système
nerveux
? C'est, comme dans toute autre branche de la sci
ode de Golgi permet d'étudier la configuration externe des éléments
nerveux
, le trajet des fibres nerveuses. Ce qui a fra
la configuration externe des éléments nerveux, le trajet des fibres
nerveuses
. Ce qui a frappé les premiers observateurs, Fle
eurs, Flemming, Nissl, Benda, etc., dans la structure de la cellule
nerveuse
, c'est la décou- verte d'un nouvel élément jusq
hten, etc., ont confirmé cette donnée fondamentale de la pathologie
nerveuse
: je dis fondamentale parce qu'on avait admis d
lindraxe. La chroma- tolyse peut gagner tout le corps de la cellule
nerveuse
, mais, une chose essentielle à noter, c'est, qu
alité qui présente dans les cas de lésions primitives de la cellule
nerveuse
, lésions que nous étudie- rons plus loin. Cet
omique a eu une autre conséquence : celle de prouver que la cellule
nerveuse
constitue une unité, un neurone dont l'intégrit
montré l'application importante qu'on pouvait faire à la pathologie
nerveuse
de cette donnée expérimentale. En SOCIÉTÉS SAVA
i déterminent la destruction du nerf réalisent en somme une section
nerveuse
. Par conséquent, il n'existe pas de névrites sa
paration. Pour connaître exactement ce qui se passe dans la cellule
nerveuse
pendant la phase de réparation, il faut laisser l
gure cet aspect est des plus nets : les fibrilles du prolon- gement
nerveux
, en traversant le collet de la cellule, se présen
44° centigrades la tempé- rature des lapins, le volume des cellules
nerveuses
est agrandi et les corpuscules de Nissl sont dé
S (Bordeaux). - Il' semble que l'élude du proloplasma -des cellules
nerveuses
ait absorbé toute l'attention des observateurs
oyau qu'il importe d'étudier. Or, cette étude du noyau des cellules
nerveuses
, à l'état normal comme à l'état pathologique, e
Iconographie de la Salpétrière (1897), étudié l'état des ,cellules
nerveuses
médullaires dans la rage humaine. A coté des SO
es névrogliques, une ébauche de karyokinèse qui avorte. La- cellule
nerveuse
réagit, vis-à-vis de l'irritant pathologique (vir
tant perdu une grosse partie de sa chevelure. Quant aux phénomènes
nerveux
, nous apprenons qu'elle a eu, dès les premiers
a démarche dite titubante tenait la première place. Dans le système
nerveux
central, la corne antérieure de la moelle et le
cool, à un degré faible de concentration, détermine dans le système
nerveux
central des lésions extrêmement nettes qu'on pe
au microscope. . Parmi les intoxications qui atteignent le système
nerveux
cen- tral, il en existe une que nous devons men
e ou de ses toxines détermine chez les animaux les mêmes' accidents
nerveux
graves que chez l'homme. L'examen du système ne
s' accidents nerveux graves que chez l'homme. L'examen du système
nerveux
central des animaux qui ont succombé à la suite d
à la suite de l'ino- culation de ce microbe m'a montré des lésions
nerveuses
centrales caractéristiques. ' / Gangrène de
rimaire ou secondaire et dépendre elle-même d'un trouble du système
nerveux
. Quoi qu'il en soit, les expériences que j'ai f
gue, et qui concernent l'action du liquide thyroïdien surle système
nerveux
central, sont assez intéressantes et importantes
rtantes ont été trouvées dans la moelle épinière et dans les troncs
nerveux
. Dans la moelle, ces lésions s'observent dans les
conjonctif entre les faisceaux et les fibres de nerfs ; les fibres
nerveuses
sont soumises aux altéra- tions dégénératives q
sant par des stades divers, finissent par la destruction des fibres
nerveuses
. Des morceaux de muscles . pris du muscle gastr
énérescence rétrograde qui, à la suite de l'interruption d'un tronc
nerveux
, remonte dans le bout central vers le centre tr
s qui sont la cause présumée de régé- nération tabétique du système
nerveux
. L'usage des iodures à hautes doses, surtout da
l'asthénie on a opposé la médication séquardienne et la transfusion
nerveuse
, qui peuvent être rempla- cées aujourd'hui par
ication secondaire : a) Des modifications inflammatoires du système
nerveux
péri- phérique ; 6) Une inflammation chroniqu
prépon- dérance de l'une ou de l'autre. L'inflammation du système
nerveux
périphérique peut provo- quer une dégénérescenc
, Masson, éditeur. Voici les titres des travaux relatifs au système
nerveux
parus dans cet important recueil durant l'année
mportant recueil durant l'année 1897 : La néoformation des cellules
nerveuses
dans le cerveau du singe, consécutive à 462 BIB
tétanique ; par M. H. Claude; Période réfractaire dans les centres
nerveux
; par MM. André Broca et Charles Richet; Influen
. Vol. IV. Décembre 1897. N° 24 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. RECHERCHES CLINIQUES SUR L'ALCALESCENCE DU SAN
et l'enfant que chez Archives, 2e série, t. 1 V, 30 466 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'homme (Beau, Delasianve, Statistiques de Bic
s accès épileptiques heure par heure pour 130 malades. 468 CLINIQUE
NERVEUSE
. U3.G p. 100, 21,3 p. 100, soit ensemble, pour
répétés à différentes heures sur 21> épileptiques.) 470 CLINIQUE
NERVEUSE
. régulièrement isochrones et inversement propor
NG CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 471 2° Solution à '1 /'1 : 472 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le 13, injection de 30 cent. cubes. L'excitati
cher. Les attaques restent isolées et peu fréquentes. 474 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le 2 juillet, injection de 20 cent. cubes deso
du 1 ? au 7 juillet, donne les résultats suivants : 478 CLINIQUE
NERVEUSE
. des attaques. Élévation transitoire du taux de
. Examen du sang et des urines du 1 ? au 7 juillet : 480 CLINIQUE
NERVEUSE
. En résumé, 32 injections comptant 1,020 cent.
l c C 1 z Q 1 1 m 1 1 S C 00 484 CLINIQUE
NERVEUSE
. immédiatement après une attaque =111. Après l'
ra de la même façon. A cette époque, A... avait déjà un tremblement
nerveux
. De vingt-huit à quarante ans, la santé a été r
st-à-dire par la formation, dans l'organisme, de poisons du système
nerveux
. \ Malgré l'exislence, chez notre malade, de tr
sedow détermine dans quelque cas, par le fait de poisons du système
nerveux
, soit incomplètement détruits par la glande thy
ome basedowien. Archives, 2e série, t. IV. 32 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXI. Courte communication SUR UN cas DE dystr
avec sa soeur. Ce sont ces souvenirs qui, ulté- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 499 rieurement, provoquent l'hystérie par le m
frère. Cette scène a précisément trait à un 500 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. souvenir d'enfance; c'était, parait-il, une ha
halie tardive (même genèse). Dans ces deux cas, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 501 l'embolie (Kundrat, Kreuser, Heubner), la
e ne pouvait se tourner dans son lit. Les S02 ) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. bras seuls pouvaient se mouvoir. Il n'y avait
rogressive. Ces faits de paraplégie semblent se rattacher à un choc
nerveux
subi par la moelle et résultant de l'excitation
journalière nous montre des phénomènes analogues, où un épuisement
nerveux
passager succède à une excitation trop forte. L
ces entreprises par Ferrier et Aldren Turner. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Oc3 Les faits cliniques ne sont pas plus proba
éagit parfaitement. D'ailleurs, on ne trouve pas d'autres accidents
nerveux
. Tout se borne donc à une paralysie complète de
actère, prit des habitudes nomades, eut des 504 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. crises d'intempérance, chaque crise étant acco
, surviendrait-elle d'emblée sur les plus fins vaisseaux du système
nerveux
central, à l'exclusion d'altérations du même ge
s, dont on connaît les rava- ges et leurs modalités dans le système
nerveux
; le calibre de la lumière des vaisseaux n'est
ui épargne pendant longtemps les organes conducteurs de subs- tance
nerveuse
, les cylindraxes, à l'iuverse des maladiesexogène
et piobablement ausssi dans la gliose centrale. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 505 M. Strumpell annonce que s'il y a des cas
a tellement exagéré l'innervation des centres moteurs que l'énergie
nerveuse
en excès a continué, plus tard, à faire appel a
d'ordinaire ils se bornent à des impulsions 50G REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. inoffensives. Ici ils subsistent continuelleme
endues, auxquelles contredit en effet l'état de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 507 l'oreille. Il faut, conséquemment, croire
ion brusque et simultanée de l'hémiplégie faciale et de la 'surdité
nerveuse
; puis, dans l'intégrité complète de certains mu
ublié trois observations de irnoclome fami- 508 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. liale avec épilepsie (Rivista spel'imentale di
NATIONAL DE MEDECINE DE MOSCOUI. Section DES maladies mentales et
nerveuses
(Suite). Pathogénie el anatomie pathologique de
ections centrales (syringomyélie) et dans des affections du système
nerveux
périphérique (de nature lépreuse). La vie dans
yaux, ni sur les tractus intrabulbaires des quatre premières paires
nerveuses
céré- brales et de la petite portion du trijume
probablement multiples et agissant sur différents points du système
nerveux
. L'étude des lésions qu'elles y provoquent condui
sus de l'organisme animal, que comme affection de la branche même
nerveuse
, doit être prise en considération sérieuse dans l
on. Il ne peut produire que l'abaissement de la fonction du système
nerveux
, et par conséquent il agit comme un sédatif.
fonction dans une direction déterminée. Cette excitation du système
nerveux
par la suggestion ne peut être que de courte duré
ltats dans le traitement des états d'excitation générale du système
nerveux
, quelle que soit la cause de cette excitation.
ue sous la condition de l'amélioration de l'état général du système
nerveux
. Par exemple, la disparition des idées impulsiv
ypnotisation provoque une espèce d'ex- citation générale du système
nerveux
, qui est toujours passagère, mais qui peut quel
être guéris que par l'hypnotisme. Quant au traitement des maladies
nerveuses
, l'hypnotisme et la suggestion doivent être reg
de Moscou. Au point de vue bio-chimique la pathogenèse des maladies
nerveuses
à substratum anatomique peut être réduite à une
de la nutri- tion moléculaire tant générale que spéciale du système
nerveux
. En principe, l'organothérapie doit être applic
e, l'organothérapie doit être applicable au traitement des maladies
nerveuses
, puisqu'il s'agit de l'introduction dans l'or-
e thèse est juste surtout quand il s'agit des affections du système
nerveux
sur un terrain syphilitique, podagrique, diabét
d n'est pas seulement un des maîtres de la physio- logie du système
nerveux
et un des fondateurs de la pathologie expérimen
veux et un des fondateurs de la pathologie expérimentale du système
nerveux
, mais c'est à lui encore qu'ap- partient de tou
deconquérir ses droits de citoyen dausle traitement t des maladies
nerveuses
. L'application de la méthode de Brown- Sequard
lication de la méthode de Brown- Sequard au traitement des maladies
nerveuses
pourrait bien jeter une nouvelle lumière sur la
ndie, Cl. Bernard, Vulpian ont démontré la prépondérance du système
nerveux
dans les domaines physiologique et pathologique
ologique et pathologique. Dans la théorie des auteurs, le sys- tème
nerveux
devient l'agent principal de l'action de chaque i
acquis se réduit pour lui à une action réflexe spéciale du système
nerveux
sur les cellules germinatives. La pathologie et
nx, des poils, il faut faire intervenir un trouble local du système
nerveux
se généralisant et se répercutant sur l'en- sem
araissant ou disparaissant sans cause apparente. Sur la dyspepsie
nerveuse
et son rapport avec les névroses en général.
ofesseur l3osisNIICm (de Berlin). - L'auteur considère la dyspepsie
nerveuse
comme une entité morbide; comme Leube, il la dé
il y a lieu généralement de penser qu'il ne s'agit pas de dyspepsie
nerveuse
, mais d'une autre affection gastrique (gastrite,
ion) qui a pu d'ailleurs se développer aux dépens d'une dys- pepsie
nerveuse
. Cette dernière est relativement rare, même chez
euse. Cette dernière est relativement rare, même chez les individus
nerveux
; l'auteur cite 50 cas de neurasthénie dont 27
0 cas de neurasthénie dont 27 ne se rapportaient pas à la dyspepsie
nerveuse
, mais à d'autres affections stomacales et dans
et dans 11 seulement se rencontraient les symptômes de la dyspepsie
nerveuse
. On ne peut donc admettre que celle-ci soit une
quand un muscle est frappé d'atonie, c'est, ou bien que le système
nerveux
qui l'anime est lui-même atteint, ou que le mus
ections de ces organes retentissent sur elle par la voie du système
nerveux
, en produisant d'abord le spasme et la contract
déplacements (ptoses). Je vais plus loin ; considérant la richesse
nerveuse
du tube digestif avec son double plexus, je pen
son double plexus, je pense que, sous la seule influence du système
nerveux
, il peut se produire une susceptibilité, une irri
elle-même des difficultés qui, ajou- tées à l'irritation des plexus
nerveux
gastro-intestinaux, exercent une influence fâch
s dites primitives sont sous la dépendance d'une lésion des centres
nerveux
, et, ayant observé un certain nombre de myopalh
ladie infectieuse quelconque, et que la localisation sur le système
nerveux
de ces agents infectieux divers ou de leurs tox
par l'âge, le sexe et par toutes les causes qui mettent le système
nerveux
en état de moindre résistance. DUCAUP. VARIA.
aceraient avantageusement l'ona- nisme, si commun parmi les enfants
nerveux
et arriérés, mal surveillés. ? 6°, 7°, 8° et 9°
ouveau journal. Nous signalons l'apparition du Journal de* maladies
nerveuses
, paraissant tous les mois, sous la direction du
nma, 1897. Societa éditrice Dante Alighieri. GLATZ (P.). Dyspepsies
nerveuses
el neurasthénie. - Volume in-12 de 348 pages. P
comparative sur I l'action de Il et des toxines sur les éléments
nerveux
, par Debray, 408. Aphasie stationnaire pendan
r Charon, 362. CRtE cervicale, par Hetherington, 155. Cellule
nerveuse
. Sur quelques lé- sions expérimentales de la-,
ffets de la - as- cendante sur les nerfs mixtes, sur les cellules
nerveuses
des gan- glions, sur les racines posté- rieur
Geofli-oy, 528. Diphtérique. Influence du poison , sur le système
nerveux
, par Mouravieff, 356. DYnAusw : psychique, pa
mé, 360. Dyspepsie nervornotrice, par llali- pré, 61. Dyspepsie
nerveuse
ou dans les névroses en général, par ltosen-
syphilitique de la moelle, par Orlowsky, 78. Goutteuse. Accidents
nerveux
pro- duits par l'intoxication- , par Inglis,
rophique il 'début bulbaire, par Raymond, 47. Maladies du système
nerveux
et - multiple disséminée, par Gras- set et Ve
Mou- vements cloniques dans la , par Uarinesco, 526. ' Système
nerveux
. Cliniques des ma- ladies du -, par Raymond, 82
ar Raymond, 82. Tabac Influence du - dans les maladies du système
nerveux
, par l3uccelli, 322. Tabès. De 1 éducation mo
Toxines. Etude comparée de l'anti- pyrine et des sur les éléments
nerveux
, par Debray, 408. Travail manuel, par Fore ! ,
e). F. RAYMOND Piofasseur de cliniyue des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOH
8 Vol. V. Janvier 1898. ` N° 25 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL \ e , el4l
s désordres anatomiques. Archives, 2° série, t. V. " 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. La richesse symptomatique de la syphilis céréb
e la motilité, de la sensibilité, de l'intelligence. 4 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. A. Troubles moteurs. Ce que l'on observe de be
l'action directe du virus syphilitique sur les nerfs. 6 ¡ CLINIQUE
NERVEUSE
. C. Troubles intellectuels. Là encore il n'y a
eux périodes assez distinctes : l'une pendant laquelle les éléments
nerveux
sont simplement atteints dans leur fonctionneme
oup plus rares, déterminer comme nous l'avons déjà dit une décharge
nerveuse
, un ictus épilep- tiforme. Il est rare, dans la
Cette hémiplégie peut même débuter par un ictus apoplec- 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. tiforme et. cependant être encore due à des ph
'S)ji)tmann. .l ? t.c/eerMft<o/. et syphil., 1886. 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. II. Période des accidents incurables. Il ne s'
cès de pression considérable. ' Loc. cil., p. 607. 12 '2 CLINIQUE
NERVEUSE
. Charier et Klippel' décrivent de plus une form
éningée. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 13 14 ? CLINIQUE
NERVEUSE
. ' · absolument indolent. On trouve de plus act
ésie à la douleur : les piqûres sont plus vivement sen- 16 CLINIQUE
NERVEUSE
. ties qu'à l'état normal. La sensibilité thermi
ement le diagnostic pen- Archives, 2e série, t. V ? 2 18 CLINIQUE
NERVEUSE
. dant la vie, mais l'interprétation après la mo
tiques de Duval et Laborde 6) 5 1 Brissaud. Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1893, 189t, IX, XI, XII, Paris, Masson, 1895.
, Augensloe¡'ungen. Leipzig, 1893. 2 11¡¡l1Jo : Jd, - Mal. du syst.
nerveux
, 1896, p. 363. 20 CLINIQUE NERVEUSE. Le faisc
2 11¡¡l1Jo : Jd, - Mal. du syst. nerveux, 1896, p. 363. 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le faisceau pyramidal étant atteint-avant d'av
ait remarquer les relations étroites qui existent entre les lésions
nerveuses
, médullaires et cérébrales dans la paralysie gé
n. - Gazette des Hôpitaux, mars 1871, et Recherches sur les centres
nerveux
. Paris, 1876, p. 70. 3 A. Voisin. Traité de la
ient pas davantage attiré l'attention dans une maladie du système
nerveux
qui s'étend aux méninges, cerveau, cervelet, bulb
s physiologistes ont démontré qu'une lésion quelconque du système
nerveux
produisait fréquemment une action directe ou in
en effet dans la paralysie générale des lésions de tout le système
nerveux
central. Nous sommes forcés ici de sortir de no
e la méningo-encéphalite diffuse est une maladie de tout le système
nerveux
. Dans la paralysie générale, les cellules corti
premiers atteints; pour Colella 2, au contraire, les prolongements
nerveux
résistent longtemps. Outre les altérations de l
dans sa thèse inaugu- 1 Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1876. 2 Bulletin de l'Acad. des Sciences. 1893
de tissu-conjonctif épaisse, couverte de noyaux, entoure les tubes
nerveux
. Ceux-ci sont pour la plupart granuleux ; les u
Magnan* qui en 1878, dans ses Leçons cliniques, signala les lésions
nerveuses
de la paralysie géné- ' Magnan. De la lésion an
UE MENTALE. raie et attira l'attention sur les rapports des centres
nerveux
et des nerfs. Ayant étudié les névrites des div
oedème (Arnozon)2. Aussi plusieurs auteurs pensent-ils que l'action
nerveuse
ou tro- phique peut produire l'oedème, en dehor
2 Artiozon. - Lésions trophiques consécutives aux maladies du syst.
nerveux
(Thèse d'agrégation, 1880, p. 81). 3 Brocq. - T
e d'une modification de l'influence spéciale exercée par le système
nerveux
sur la nutrition des éléments de ces tissus ».
. fran- çaise 1881. » * Charcot. Leçons sur les maladies du syst.
nerveux
faites à la Salpêtrière, t. I, 5° édit., 1884.
e générale, in Dict. Dechambre. ° Fèvre. - Des altérations du syst.
nerveux
cutané dans la folie (Ann. médico-psych., 1876)
qu'il est aussi fréquent que dans les autres mala- dies du système
nerveux
. En général, le mal perforant est indolent, sup
les fois aussi qu'il a vidé la cavité oculaire, toutes les cellules
nerveuses
du noyau en question appartenant au type moteur
L. V. Du PHÉNOMÈNE ROTULIEN COMME SIGNE DIAGNOSTIQUE D'AFFECTIONS
NERVEUSES
ET D'AUTRES MANIFESTATIONS DU MÊME GENRE; par W.
itabilité réflexe, qui est en faveur de lésion organique du système
nerveux
. M. de BechLerew dit encore : On trouve aussi l
s extrémités inférieures : une hyperexcitabilité réflexe du système
nerveux
, car ils sont toujours accompagnés d'une forte
réflexes tendineux l'existence d'une affection organique du système
nerveux
central, car, d'ordinaire, on n'observe pas ces
isme, conclut M. de Luzenberger, en modifiant la structure du lacis
nerveux
, a permis l'action des micro-organismes de l'into
hénomène, une notable inteusiti; de la sensation première. Chez les
nerveux
, la nuance sentimentale d'une sensation est trans
ovoquera justement sa propagation à d'autres territoires du système
nerveux
. De là chez l'aliéné les sensations morbides et
union subit dans le cerveau moyen une interruption par des cellules
nerveuses
. Lesquelles ? C'est à chercher. P. KERAVAL. X
esquelles ? C'est à chercher. P. KERAVAL. XII. SUR LES terminaisons
NERVEUSES
dans la dure-mère cérébrale DE l'homme ; par V.
elles données ET nouveaux problèmes sur la pathologie DE la cellule
nerveuse
; par E. LUG.1R0. (Riv. di. 7at. et ment., fasc
XVII. Recherches expérimentales sur LES altérations DES cellules
nerveuses
dans l'intoxication alcoolique AIGUH ; par II. DL
ut pas dire que ces anomalies prédisposent à e affection du système
nerveux
; pour décider de la question il faül-r drait, e
coup de moelles d'individus n'ayant jamais eu de maladie du système
nerveux
. De nombreux examens cliniques pourrraient seul
ans le jeune âge, présenté de symplômes qui dénotassent d'affection
nerveuse
. Point à noter, ce génie de préparation est trè
oint de départ et leur raison d'être dans l'irri- tation des filets
nerveux
contenus dans la cicatrice des moignons. On se
es excite par la faradi- sation. Il est il remarquer que les filets
nerveux
compris dans la cicatrice y conservent toute le
HYSIOLOGIE pathologiques. 59 XXI. Pathologie générale DE la cellule
NERVEUSE
(lésions secon- daires et primitives); par lli.
mobile et fugace l'expression des lésions primitives de la cellule
nerveuse
et combien celles-ci diffèrent toujours des lés
caractères essen tiels ». M. Marinesco prend pour type la cellule
nerveuse
de la corne antérieure, qui est composée de tro
, il se produit une répercussion sur la moelle avant que la portion
nerveuse
inter- médiaire soit atteinte. Dans ces cas la
ct vitreux. Dans les deux cas, elle aboutit à la mort de la cellule
nerveuse
. On observe aussi dans les lésions primitives,
les cellules névrogliqucs qui se trouvent au voisinage des cellules
nerveuses
s'hyperplasient et jouent le. rôle de neurophag
aussi, dans la plupart des cas d'affections primitives des centres
nerveux
, des lésions vascu- laires qui font presque déf
poison a une action différente sur les diverses espèces de cellules
nerveuses
. A. FENAYMU. revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOG
à la netteté de l'ouvrage. L'auteur y poursuit l'élude des troubles
nerveux
sans lésions pour en déterminer la genèse, l'év
ques. Il définit ainsi l'élément dynamique morbide : « Toute action
nerveuse
anormale qui ne correspond à aucune altération
rajet que suivent pour se rendre de la langue au cerveau les fibres
nerveuses
préposées à la gustation, est loin d'être éluci
obson est une branche afférente du glosso-pharyngien; la conduction
nerveuse
doit donc se faire dans le même sens. On sait q
f sensitif, c'est bien vers ce ganglion qu'il doit diriger l'influx
nerveux
. De même, le grand nerf pétreux superfi- ciel é
. XXV. État actuel DE l'anatomie ET DE la pathologie DES CELLULES
nerveuses
; par F. NISSL. (Centralbl. f. JVC ! 'MH/tCt ? XVI
ssons exactement le mode de manifestation du réactif sur la cellule
nerveuse
, et que nous pouvons en distinguer les dessins
urones soient la dernière unité anatomique; que les pro- longements
nerveux
, les collatérales, les ramuscules terminaux et
ites représentent des organes conducteurs et de contact, la cellule
nerveuse
n'en reste pas moins l'article spécifique par e
)tt2'alGl., XV, 1896.) M. Benda a critiqué la division des cellules
nerveuses
de Nissl, disant que les dénominations proposée
ts. Sont-elles dues à des aplasies simples indépendantes du système
nerveux
central, dérivent-elles d'ab- sences ou d'atrop
) La substance grise de la moelle contient trois sortes de fibres
nerveuses
: 1° les unes viennent des faiceaux pyramidaux ;
ostérieures ; 3° les dernières prennent naissance dans les cellules
nerveuses
de la substance grise et passent à divers endro
ch) et la branche descendante éJl1E'.lteut à angle droit des fibres
nerveuses
à myéline nombreuses, qu'on appelle des collaté
ours une dégénérescence secondaire ascendante d'un cordon de fibres
nerveuses
blanches occupant la substance grise entre les
ui suit. Chez le lapin et le cobaye il n'existe pas un seul tractus
nerveux
dégénéré, c'est-à-dire coloré en noir, allant d
uels on a recours et qui ont pour action de diminuer l'excitabilité
nerveuse
, aucun n'est spéci- fique, et l'on peut se dema
chimique des cel- lules de l'écorce cérébrale, source de l'énergie
nerveuse
. Les effets localisés de l'épilepsie jacksonien
ne sont assez démonstratifs, et permettent de considérer le système
nerveux
central comme un réservoir d'énergie, se déchar
u sujet exerce aussi son action sur la reproduc- tion des accidents
nerveux
et il est certain qu'une première attaque convu
cal supérieur avec 3 centimètres et demi à 4 centi- mètres du tronc
nerveux
sous-jacent des deux côtés. Immédiate- ment apr
ndes, peut-être, même des phé- nomènes destructifs dans les centres
nerveux
. En faveur de cette supposition plaide l'atroph
thénique bulbaire », en ajoutant que les altérations des élé- ments
nerveux
, principalement des cellules nerveuses, y sont pr
les altérations des élé- ments nerveux, principalement des cellules
nerveuses
, y sont pro- bablement plus profondes que dans
embre 1896, la malade entra de nouveau à la Clinique des mala- dies
nerveuses
dans un état très pénible. L'appétit était très m
trophie des muscles, qui dépend des modifications dans les cellules
nerveuses
, comme centres tro- phiques, peut diminuer et m
ps, sert à confirmer l'opinion que les mo- difications des cellules
nerveuses
dans l'affection en question, mal- gré leur pro
les. II. MM. Rossolimo et Mouravieff. De la structure de la fibre
nerveuse
dans l'état normal et pathologique, Méthode de fo
s rapporteurs proposent une nouvelle méthode de traitement du tissu
nerveux
. Des morceaux du système nerveux, pour leur dur-
lle méthode de traitement du tissu nerveux. Des morceaux du système
nerveux
, pour leur dur- cissement, doivent être mis pou
particulier. En même temps se colorent aussi très bien les cellules
nerveuses
(comme par la méthode de Nissl), les noyaux mus
- gliques, en un mot tous les éléments principaux de la substance
nerveuse
. A l'examen du bout périphérique chez un lapin, c
sparut tout à fait. Sur les coupes transversales, prises des troncs
nerveux
et des racines, on remarque une formation des m
la coloration de presque toutes les parties intégrantes du système
nerveux
dans son état normal et pathologique; et 2° la
tome IX (1897) renferme les articles suivants relatifs au systèmes
nerveux
: De la méningite séreuse due au pneumocoque ;
ar Deléarde. De l'influence de la toxine diphtérique sur le système
nerveux
des cobayes; par i\1oUl'a vieff.. , BULLETIN BI
ges. -'fouleuse, 1897. Librairie Edouard Privât. DACODET. Système
nerveux
central; coupes histologiques. - Volume in-8o c
er, 1896. Imprimerie L. Declume. Gerest (J.-1L). - Les affections
nerveuses
systématiques el la théorie des neurones. - Vol
Vol. V. Février 1898. i N° 36' z ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE LA SY
ves de Neurologie, n° 25. Archives, 2e série, t. V. 7 98 CLINIQUE
NERVEUSE
. - lésions sont et restent purement méningées ;
ux panaches protoplasmiques des cellules pyramidales, de l'influx
nerveux
apporté par les cylindraxes centripètes, venus
logues dus à l'ischémie dans la syphilis artérielle. 100 CLINIQUE
NERVEUSE
. Ces troubles de la sensibilité, par leur perma
syphilitique lui-même, ou bien à une infection secon 't02 CLINIQUE
NERVEUSE
. daire ou associée ? Il nous est impossible de
asal, associé à une thrombose de la sylvieuue opposée. 104 CLINIQUE
NERVEUSE
. Observation II. Sommaire : Syphilis probable d
. Une soeur morte de la diphtérie. Il ne parait y avoir aucune tare
nerveuse
dans sa famille. Antécédents personnels. Aucu
t disparu ; celle-ci est remplacée par une large tache 106 CLINIQUE
NERVEUSE
. blanchâtre, faisant légèrement saillie, d'aspe
tre très agitée, à délirer et à crier. Depuis quelques 108 CLINIQUE
NERVEUSE
. jours elle est plus calme et on a pu la faire
ose ulcéreuse des deux som- mets, prédominant à gauche. - Système
nerveux
. Rien d'anormal à l'ouverture de la boite crâni
eaux de la base ne présentent pas de lésions macrosco- 110 CLINIQUE
NERVEUSE
. piques : leur calibre est normal et régulier,
a utilement à celui de la syphilis artérielle : . 'H 2 - CLINIQUE
NERVEUSE
. Les gommes du cerveau, ainsi comprises, sont a
grossière, plus évidente, puisque leurs lésions empêchent l'influx
nerveux
d'arriver à l'écorce ou d'en sortir. Les zones
tes, les admettre serait affirmer que certaines portions du système
nerveux
ne servent à rien. On trouvera plus loin l'obse
tion sur une substance Archives, 2c série, t. V. 8 11 Il CLINIQUE
NERVEUSE
. cérébrale mise en état de moindre résistance,
' Gamel (de Marseille). Thèse Montpellicr, 1871. ,1,1 (; CLINIQUE
NERVEUSE
. l'observation, nous fûmes surpris de trouver d
oisines, création de nou- ' Revue de médecine, 1897. 118 CLINIQUE
NERVEUSE
. velles associations entre les neurones, ouvert
ants. Il ne parait avoir dans la famille ni tuberculose, ni maladie
nerveuse
. Antécédents personnels. Scarlatine à l'âge de
as de paralysie musculaire,pas d'asthénie bien pronon- 120 CLINIQUE
NERVEUSE
. cée; la malade résiste assez bien aux mouvemen
rose et un aspect légèrement strié suivant la direction des fibres
nerveuses
. Ses bords paraissent flous et se délimitent ma
nt par les antiseptiques intestinaux. Il s'est produit 122 CLINIQUE
NERVEUSE
. une amélioration très rapide, disparition de l
ble du côté des yeux, si ce n'est à l'examen ophtal- J24 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. moscopique qui montre des lésions absolument s
es ordres sont exécutés immédiatement et fidèlement. 126 CLINIQUE
NERVEUSE
. La malade n'a pas non plus d'aphasie motrice;
par exemple, chez des alcooliques descen- dants de vésaniques ou de
nerveux
ivrognes (n'y a-t-il pas des individus qui ont
iverses phases) ; chez d'autres sujets ayant une autre organisation
nerveuse
congé- nitale, l'aliénation mentale ne se tradu
nation de la forme peut être fixée à la fois pai- la prédisposition
nerveuse
, héréditaire ou acquise, et par la nature des s
lectuel CONSIDÉRÉS COMME FACTEURS DANS LA PRODUCTION DES MALADIES
NERVEUSES
ET LA DÉGÉNÉRESCENCE DE LA RACE; par le D1' L I'.
détermine une déchéance dans la vitalité, une dégénération du tissu
nerveux
qui peut amener le développement de l'idiotie d
tale J. Un important agent de production des maladies mentales et
nerveuses
est le surmenage intellectuel, qui correspond à u
issement mental mais à une lésion plus ou moins diffuse des centres
nerveux
. A côté des autres psychoses de la vieillesse,
ntal Science, janvier 1897.) La maladie mentale, ou plus exactement
nerveuse
, que les Malais désignent sous le nom de Latah,
s petit nombre de descriptions. Elle est constituée par divers état
nerveux
passagers qu'il est extrêmement difficile de cl
'asfociation possible avec certaines maladies organiques du système
nerveux
(sclérose en plaques, maladie de Basedow) sont
hypothèse d'après laquelle l'état de faiblesse irritable du système
nerveux
central auquel est due la confusion mentale ser
rtaine. A l'autopsie, on ne trouve, en pareil cas, dans les centres
nerveux
que de la congestion passive, de la stase sangu
nd elle existe, le diagnostic doit être basé sur le caractère, soit
nerveux
, soit céré- bral, plus grave, de la neurasthéni
oit céré- bral, plus grave, de la neurasthénie. Les neurasthéniques
nerveux
, chez qui la syphilis est venue renforcer la né
ntent à la suite de la syphilis une neurasthénie plus cérébrale que
nerveuse
, s'accompagnant de symptômes nouveaux, troubles
s accessoires, tremblement, sensation de chaleur, hyperexcitabilité
nerveuse
, etc., pourraient être sous la dépendance d'une
nent le texte. A. V. XIV. DISCUSSION SUR LE traitement DES maladies
NERVEUSES
ET mes- tales par les extraits organiques. (.8
sont que la myéline et la cérébrine sont des stimulants du système
nerveux
qui peuvent agir dans certains états morbides.
~dispose, ainsi qu'aux affections syphilitiques directes du système
nerveux
, aussi à des affections post ou parasyphilitiques
du ganglion cervical supérieur du grand sympathique et du tronçon
nerveux
sur une longueur d'environ quatre centimètres. Au
1896, époque de la rentrée de la malade à la clinique des maladies
nerveuses
, on a constaté : paraplégie inférieure complète
le prix entre M. Henri Meunier pour son étude surle Rôle du système
nerveux
dans l'infec- lion de l'appareil pulmonaire, et
rante pour son étude sur les Dégénérescences secondaires du système
nerveux
. Des men- lions honorables sont accordées à M.
géné- rale, et d'un autre travail intitulé : Les coupes du système
nerveux
central. Programme des prix proposés pour les
iné à « récompenser ou encourager les travaux rela- tifs au système
nerveux
, dans la plus large acception des mots ». Les t
le premier semestre à l'Académie des sciences, relatives au système
nerveux
: Recherches sur l'histologie de la cellule ner
ives au système nerveux : Recherches sur l'histologie de la cellule
nerveuse
, avec quelques consi- dët'< : t(MKSp/tt/MO&l
homme, par Binet et Vaschide; -Période réfractaire dans les centres
nerveux
, par A. Broca et Ch. Richet (trois commu- BIBLI
r Delezenne; Action de la bile et des sels biliaires sur le système
nerveux
, par Bickel ; Sur l'application de la photograp
e la Légion d'honneur; M. le D'' F. RAYMoND, professeur de clinique
nerveuse
, médecin de la Salpêtrière, a été nommé Officie
, l'Académie a décerné les prix suivants, concernant les maladies
nerveuses
et mentales : Prix Civrieux. 1.000 fr. Question
toutes des affections consécutives à, « une modification du système
nerveux
central, ganglion- naire ou périphérique* ». '
t Brocq3, chez certains indi- vidus atteints de maladies du système
nerveux
central ou périphérique, un état iehthyosique p
re une lésion de la substance grise. Dans les deux cas les cellules
nerveuses
traitées par l'acide chlorhydrique et le ferrocya
mes généraux. A. V. XXXVI. SUR l'anatomie pathologique DES éléments
nerveux
dans l'urémie aiguë expérimentale ; par ACQUIST
olongements protoplasmiques, le citoplasme et le noyau des cellules
nerveuses
. Elles représentent le substratum anatomo-patho
XXXVII. Recherches SUR la capacité PROLIPÉR.1TI\'E DE la CELLULE
nerveuse
; par Giuseppe LEvi. (Biv. di. part. nerv. et ment
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rentes portions du système
nerveux
et parfois a été constatée aussi dans les vasa
même chez les gauchers. J. S. ULT. SUR LES altérations des cellules
nerveuses
par imitation PARTIELLE DU PROLONGEMENT NERVEUX
ions des cellules nerveuses par imitation PARTIELLE DU PROLONGEMENT
NERVEUX
; par E. LuGARO. (Riv. di pat. nerv. e ment., v
atériaux de déchet; il pense même qu'elles s'attachent aux cellules
nerveuses
dégénérées, et que, par leur intermédiaire, ces
er trois ou quatre, et presque toujours le cytoplasme de la cellule
nerveuse
la plus voisine de la cellule envahissante manque
ahissante manque en par- tie : il semble qu'on ait mordu la cellule
nerveuse
, et qu'elle soit entamée; on peut observer tous
AL. LUI. Nouvelles recherches SUR la STRUCTURE FINE DE la CELLULE
NERVEUSE
ET SUR LES LÉSIONS PRODUITES PAR CERTAINES INTOXI
e ses nouvelles recherches sur les lésions primitives de la cellule
nerveuse
produites par l'intoxication expérimentale par
émises sur la structure de la substance achromatique de la cellule
nerveuse
. Cette substance n'est pas amorphe, comme on le
romatiques. M. Marinesco continue par une description de la cellule
nerveuse
telle qu'elle résulte de ses recherches personn
bstance achromatique organisée sert à la conductibilité de l'influx
nerveux
. Quant à la substance chromatique, certains aut
t. A. FENAYROU. LIV. DE l'interdépendance FONCTIONNELLE DES CENTRES
nerveux
DU LAN- gage ; par le D1' Fritz Sans. (Jo2tI·n.
lle des différents centres du langage. G. DERNY. LV. DES CELLULES
nerveuses
DE chiens vaccinés contre la rage; parB. NAGY.
on lente dans l'économie, par degrés de ce neurotoxique; le système
nerveux
s'accoutume au poison, de sorte que plus tard o
du refroidissement de la région. P. 11ERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. L'amaurose hystérique unilatérale ; par M.
u côté paralysé chez les hémiplégiques 224 liez REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'origine infantile. MM. Vigoureux et lllally
leptiformes. L'auteur a observé aussi un malade REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 225. qui a présenté de la paralysie des membre
nage (allai- Archives, 2" série, t. V. 1S 226 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tement prolongé, veillées et fatigues après le
U DIAGNOSTIC DES AFFECTIONS ORGANIQUES OU FONCTIONNELLES DU système
nerveux
; par Sudson Bure. (British. médical Journal, 25
uvénile qui est produit par une atrophie de la REVUE 'DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 227 7 glande thyroïde qui pendant un certain t
s la dépendance de ces faisceaux. ' A. V. 228 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. X. SUR un cas DE myélite SUBAIGUF DORSO-LOMBAI
faut mentionner que les auteurs ont trouvé dans certaines cellules
nerveuses
, surtout dans la corne antérieure gauche de la
cas, où l'enfant avait succombé avec des symp- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 229 tomes méningitiques, l'autopsie ne montra
ssociée à une réaction, à une irritabilité exagérées. L'rritabilité
nerveuse
de l'épileptique se manifeste dans une directio
eurs sur les réflexes à la-façon d'un shock » affectant les centres
nerveux
. La contrac- tion des muscles de la nuque crée
e la nuque crée d'autre part un obstacle au 230 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. retour du sang veineux et détermine l'accumula
quarante ans, peut survenir chez des individus indemnes d'hérédité
nerveuse
, une épilepsie qui ressemble sous beaucoup de p
l'encéphalite. Ces cas présentent une première période d'épuisement
nerveux
suivi par des états vertigineux accompagnés. so
es. Ces phénomènes sont dus à des toxines résultant de l'épuisement
nerveux
: leur apparition commence lorsqu'une des voies
tes pour le diagnostic différentiel. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 231 XIV. Tétanos A frigore. GUÉRISON; par A. R
l'autre moitié, elle l'influence favorablement. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 233 L'épilepsie est très rarement la cause de
t procédé après sa mort a l'examen analomo-palholcgique des centres
nerveux
et des nerfs, en utilisant les méthodes de colo
rfs qui émanent de ces noyaux. Les lésions des cellules des centres
nerveux
consistent essentiellement 234 REVUE DE PATHOLO
centres nerveux consistent essentiellement 234 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans la désintégration des éléments chromatoph
iels, il s'agit sans doute d'une altération primi- tive des centres
nerveux
; il n'a pas été possible de savoir si les alté
certains cas impossible entre la polyurie hystérique et la polyurie
nerveuse
des dégénérés, laquelle n'est qu'un syndrome de
s incurable, demande à être revisée. A côté 236 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des paralysies récurrentielles, toujours fonct
net a pu élucider la pathogénie de ce symptôme. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 237 Cette cause n'était autre que l'idée fixe,
estionnées. Il existait aussi de la congés- 238 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion des vaisseaux de la substance blanche et
tique héréditaire ou familiale. M. 11 Il [tL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 239 XXVI. Contribution A l'étude DES lésions m
s de l'auteur, l'état psychique des malades 240 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'il a observés est celui d'une démence progr
à respiration diaphragmatique, à abdomen proéminent, de tempérament
nerveux
. Ils s'exagèrent sous l'in- fluence d'une émoti
nin, n'était la prédisposition des malades aux maladies mentales ou
nerveuses
. Les traitements sont le plus souvent impuissan
st essentielle ;. c'est : l'état d'équilibre instable de la cellule
nerveuse
. Le sang de ces malades, noir, poisseux, se coa
sifs. Mais il faut, au préalable, un état particulier de la cellule
nerveuse
connu sous le nom de prédisposition héréditaire
matisme, cicatrice, lésion du cerveau, irritation des terminaisons
nerveuses
, influence morale ou physique, etc. Quel que soit
M. le Dr Rayueau, médecin en chef de l'asile d'Orléans. Pathologie
nerveuse
. Du rôle des artérites dans la pathologie du sy
logie nerveuse. Du rôle des artérites dans la pathologie du système
nerveux
. Rapporteur : M. le Dr Sabrazès, professeur agrég
mpathique. Jusqu'à la puberté, elle n'avait présenté aucun accident
nerveux
et n'avait souffert d'ailleurs que de quelques
s, mais en dehors de ce trouble elle n'a souffert, d'aucun accident
nerveux
jusqu'à la puberté qui s'est établie nor- 284 C
l'hérédité directe de son anomalie sexuelle, et dans les accidents
nerveux
des deux autres son inaptitude génératrice, ell
Grtd-po'e paternel gout- teux. Grand'mère paternelle migraineuse et
nerveuse
. Grand- père maternel mort tuberculeux. Grand'm
me.Il fumait beaucoup. Doux, travailleur, il était cependant « très
nerveux
» et se laissant facilement abattre. Famille
Mère, cinquante-six ans, jouit d'une bonne santé générale; elle est
nerveuse
, sans avoir de crises cependant; les grandes ém
ons moyennes. Sa santé aurait toujours été parfaite, elle n'est pas
nerveuse
. Elle n'a jamais eu d'autre maladie qu'une légère
a duré cinq mois. Il était sanguin, puissant, calme et nulle- ment
nerveux
. Mère, morte à quarante-sept ans, probablement
que son mari, sujette aux douleurs rhumatismales, elle n'était pas
nerveuse
. Dans sa jeunesse, très dévote, elle se destina
e de la Fédération : b, rue de Pontoise, Paris. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXX. DE L'IMPORTANCE DE LA DÉGÉNÉRESCENCE POUR
l'esprit uniquement comme la résultante de l'activité des cellules
nerveuses
, comme une sorte de sécrétion du cerveau. L'act
grande pour le praticien de connaître tous les REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 309 sligmates physiques et psychiques de la dé
lienist and neurologist, oct. 97.) E.BuN. XXXI. Action du système
nerveux
SUR LES processus NUTRITIFS, A l'état DE santé
CI\- NEAR. Considérations générales sur la physiologie du système
nerveux
, sur les rapports du système nerveux avec les v
sur la physiologie du système nerveux, sur les rapports du système
nerveux
avec les vaisseaux : de l'équi- libre de la cir
une diminution de la quantité de sang qui circule dans les centres
nerveux
. Delà l'importance que pourra présenter l'appli
u du froid sur la colonne vertébrale, autrement dit sur les centres
nerveux
spinaux. C'est ainsi que le froid sur la colonn
es les formes spasmodiqhes en chassant l'excès de sang des cellules
nerveuses
motrices et, en déterminant, par son action sur
lienist and neurologist, oct. 97.) E. B. XXXII. Syphilis DU système
nerveux
central ; par le 1)' SYDNEY Hun. Dans un long
ssances sur les différentes formes que revêt la syphilis du système
nerveux
central. D'.une façon générale, les accidents se
égers ; de même ils seraient plus fréquents 310 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. avec les chancres extragénitaux. Les accidents
le meilleur remède de cette forme de syphilis. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' 311 Alors que les iodures seront donnés par
auto-infection; par le Dr CL.nKG. La base auto-toxique des maladies
nerveuses
est de toute évi- dence en mainte circonstance,
tivement la part qu'elle joue, elle jette 31 '2 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. un jour nouveau sur la compréhension de certai
ition : elle n'est pas localisée à une partie quelconque du système
nerveux
, mais extrêmement généralisée. Il est plus ra
it et les oeufs. Le traitement moral sera d'une REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 313 grande importance, et pour l'entreprendre,
part, on a souvent décrit sous le nom de neurasthénie des symptômes
nerveux
associés à l'anémie, à la chlorose, à certaines
ion récente de Binswanger : son expression clinique est une fatigue
nerveuse
dont les symptômes, suivant l'organe considéré,
c). Les lois d'association sont universelles pour tout l'organisme
nerveux
, moteur aussi bien que mental. d). Nos capacités
n Journal of insanity, juillet 1897.) E. B. 3t4 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXIX. A propos D'UN cas très intéressant DE m
e lésions antérieures ou concomitantes du sympathique et du système
nerveux
périphérique. Cette observation vient s'ajouter
conclusions de son travail sont les suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 315 1° Les mouvements involontaires qu'on renc
'est un fibrome pur n'englobant pas dans son intérieur d'éléments
nerveux
et n'en comprimant pas dans son voisinage ; du re
n'affectent nullement la zone de distribu- tion de l'un des filets
nerveux
de cette région. La malade, très émotive, est a
re seulement. Moelle intacte ainsi que le bulbe REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 317 sauf quelques dilatations vasculaires. Dan
s douloureuses et à celle des points viscé- 318 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. raux lésés, origines des douleurs en question.
juvénile d'Erb, il s'agit d'un enfant de sept ans, sans aucune tare
nerveuse
, qui, étant resté suspendu par les bras à un trap
t resté suspendu par les bras à un trapèze pen- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 319 dant un temps immodéré, présenta au bout d
rences de sarcome gliomateux. A. Marie. XLV11. Affection DU système
NERVEUX
DE l'enfant EN rapport avec l'accouchement diff
paraissent amener les hémorragies ménin- 3^0 0 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gées et les premiers-nés sont, dans les présen
e 20 cas personnels se décomposant comme suit : REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 321 L. Tic CONVULSIF SUBSTITUÉ A UNE NÉVRALGIE
S PRODUITES EXPÉRIMENTALEMENT PAR L'ALCOOL ÉTHYLIQUE SUR la CELLULE
NERVEUSE
corticale ; par Henry BERKLEY (de Balti- more).
A. Marie. Archives, 2e série, t. Y. - 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LUI. Myasthénie BULB.\IRE PSEUDOP.1R : 1LYTIQU
corps, surtout celle du mollet. E. Margouliès. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 323 LV. Paralysie hystérique du grand dentelé
La constituée par un ensemble de iiiailli- 324 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. festations ayant une évolution progressive et
des défauts de ce pouvoir. Or raffinement exagéré imposé au système
nerveux
par ces conditions extérieures exige de sa part
, défaut de contrôle simple ou avec décharges irrégulières de force
nerveuse
(impulsi- vité, chorée, épilepsie, folie interm
ar une constante agita- tion ne permettant aucune épargne d'énergie
nerveuse
et entrai- nant des réactions indues aux excita
tabilité transmise est plus glo- balement physique que spécialement
nerveuse
, mais à la longue, de génération en génération,
énération en génération, le déséquilibre se localise sur l'appareil
nerveux
plus élevé et plus délicat. Il y à d'ailleurs une
r à un système spécial .à travers plusieurs 326 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. générations ; de même que dans certaines ligné
es (cancer, tuberculose, goutte), de même elle l'ouvre à l'hérédité
nerveuse
et dans celle-ci à des affections encore spécia
éciales (musique, dessin). Il faut donc, en matière d'instabilité
nerveuse
, compter avec la force de l'hérédité, mais auss
s quelconques en ont trouvé 90 bypnotisables et REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 327 qui affirment que les névropathes sont les
lules corticales par -la stimulation monotone d'autres appareils
nerveux
, les impressions passent directement aux centres
supérieurs; « il y a production d'un court circuit dans le courant
nerveux
». La doctrine de Hart présente ce même point f
mages ou idées subordonnées le contrôlant 3'2 8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' instinctivement ou subconsciemmentetdontil se
entration exclusive de l'attention sur un point REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 329 9 avec imitation de sa quantité. Beaunis e
DE PATHOLOGIE MENTALE. 331 jamais eu de convulsions ni d'accidents
nerveux
, n'ayant pas l'ha- bitude de boire de l'alcool,
tait pas altérée. L'enfant présente bientôt un état de dépres- sion
nerveuse
très marqué, avec tendance au coma et anesthésie.
on de la sen- sibilité des appareils périphériques aux terminaisons
nerveuses
rétiniennes et auditives étant affaiblies, émou
ités de patience, de tact et d'obser- vation des moindres symptômes
nerveux
qu'on ne rencontre pas aussi développés dans le
chez l'homme sain. Dans les maladies autres que celles du système
nerveux
, il n'a pas une bien grande valeur comme symptô
e au point de vue diagnostique. Dans les autres maladies du système
nerveux
, paralysie générale, paralysie agi- tante, etc.
jugement. 15. Les Idées de Descartes sur la physiologie du système
nerveux
; par P.-L. MUL. 16. Contribution et l'étude d
i un ensemble de documents intéres- sant le traitement des maladies
nerveuses
et en particulier la plu- bibliographie. 349
drothérapiques dans 3SO bibliographie. le traitement des maladies
nerveuses
et des moyens qui en sont les auxiliaires. Parm
texte en facilitent l'intelligence. Dr F. VILLARD. X. Dyspepsies
nerveuses
et neurasthénie ; par PAUL GLATZ. Genève et Lyo
l'atonie et la névrose, et fixant enfin la diagnose de la dyspepsie
nerveuse
et neurasthénique. Sur cette base l'auteur, apr
travail vital universel qui, arrivant de tous les points du réseau
nerveux
à leur centre anatomique et, par celui-ci, au s
jà lienle 1 définissait la personnalité : le tonus de notre système
nerveux
et la perception par l'organisme de sa pro- pre
866. - Esquirol, OEuvres complètes, p. 414. 3 Traité des maladies
nerveuses
, Paris, f 81G. 360 PATHOLOGIE MENTALE. rien,
organiques (anémie, palpitations, perte de l'appé- tit, phénomènes
nerveux
, leucorrhée). Puis est survenu un état de malai
HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL. THÉORIE DES NEURONES; Par JULES SOUR
tour, comme llamoii y Cajal, contre la théorie erronée d'un réseau
nerveux
diffus des centres nerveux : ce réseau n'est en
l, contre la théorie erronée d'un réseau nerveux diffus des centres
nerveux
: ce réseau n'est en réalité qu'un simple 1 Cot
dit-il, comme un postulat physiologique, la continuité des éléments
nerveux
entre eux; au contraire. 1 » A l'hypothèse de la
ué le fait d'observation du contact des prolongements de la cellule
nerveuse
pour l'explication physiolo- gique des courants
la cellule nerveuse pour l'explication physiolo- gique des courants
nerveux
. L'onde nerveuse ne se propage plus parjiine vo
use pour l'explication physiolo- gique des courants nerveux. L'onde
nerveuse
ne se propage plus parjiine voie unique; elle p
'être pas de nature identique à celle 1 urone antérieur. Le courant
nerveux
peut varier ainsi de foffiié spécifique en trav
induction, et cela glateorde mieux avec la complexité des processus
nerveux
que l'hypothèse d'une voie directe, conduisant
nerveux que l'hypothèse d'une voie directe, conduisant l'excitation
nerveuse
, de son point de départ à son point d'arrivée,
son point d'arrivée, sans modification ni changement. Le système
nerveux
central des invertébrés est construit sur le mê
de méthylène ou avec le procédé de Golgi, on sait que les cellules
nerveuses
de la chaîne ventrale et des ganglions de ces êtr
resque toujours ce prolongement s'infléchit indivis dans une racine
nerveuse
et quitte la moelle : ces fibres sortent donc b
e la moelle : ces fibres sortent donc bien directement des cellules
nerveuses
du cor- don ventral pour se rendre aux muscles.
t par de libres arborisations ? constituant encore, non un « réseau
nerveux
central », mais fixa feutrage. « La connexion p
a feutrage. « La connexion physiologique des différents éléments"
nerveux
a donc lieu aussi chez les vers par contact, non
mpare les cellules ganglionnaires des invertébrés avec les cellules
nerveuses
du cerveau et de la moelle épinièreldes vertébr
ales : 1° On peut considérer les branches latérales du prolongement
nerveux
des cellules motrices de la chaîne ventrale des
z les vertébrés, du corps cellulaire, mais du tronc du prolongement
nerveux
(Retzius et Cajal); 2° on peut aussi suppo- ser
aux collatérales qui, chez les vertébrés, partent du proroger ment
nerveux
ou cylindraxile, parce que, chez les invertébrés
t-à-dire les fibrilles qu'émet à son origine lel<pu'px longement
nerveux
et sur lesquelles nous reviendrons, sont des or
es d'émission de l'eyi;t3a tion cellulaire. La direction du courant
nerveux
, ceilulipète.i4ans les dendrites, est cellulifu
, arrive à cetteteet- lule par les collatérales de son prolongement
nerveux
; celles-eh par le tronc de ce prolongement, con
indraxiles de ces cellules ganglionnaires. La directipluadu courant
nerveux
des collatérales de ces cellules est donc csjjuji
ices de la chaîne ganglionnaire. S'il existe aussi, dans le système
nerveux
central des invertébrés, des cellules de sensib
s d'après le type régulier, les collatérales de leur pro- longement
nerveux
devront avoir une fonction différente de celle
devront ressembler aux collatérales des vertébrés, dont le courant
nerveux
est cellulifuge. I. Histologie du neurone. Le s
urant nerveux est cellulifuge. I. Histologie du neurone. Le système
nerveux
apparaît à v. Lenkossék comme constitué par la
one (Waldeyer) ou le neurodendrone (K&lliher), c'est la cellule
nerveuse
avec ses prolongements protoplasmiques et cylindr
d'une étendue et d'une surface souvent énormes. Le mot de cel- lule
nerveuse
doit être réservé au corps protoplasmique nucléé.
ps protoplasmique nucléé. * Tous les neuroblastes sont des cellules
nerveuses
jusqu'au moment, très rapproché de leur naissan
t, etc. Tous ces élémenls sans pro- longement n'ont avec les fibres
nerveuses
aucun rapport direct : ce sont bien des cellule
s fibres nerveuses aucun rapport direct : ce sont bien des cellules
nerveuses
, des « éléments qui déjà, par la nature propre
ni dendrites. Ce sont les ramifications cylindraxiles des cellules
nerveuses
, mises en rapport avec ces éléments, qui condui
ônes et des bâtonnets en particulier. Dans toutes les autres unités
nerveuses
, on distingue deux par- ties principales : la c
tés nerveuses, on distingue deux par- ties principales : la cellule
nerveuse
proprement dite (nezzrocyte) et son prolongemen
a cellule nerveuse proprement dite (nezzrocyte) et son prolongement
nerveux
(neurnxone ou axone (KÜlliher), long (inaxone)
(KÜlliher), long (inaxone) ou court (den(li-axone). Le prolongement
nerveux
peut être multiple et se diviser soit à proximi
aire du cerveau (cellules de Cajal). Mais le type propre de l'unité
nerveuse
, c'est le prolongement nerveux unique ou monax
l). Mais le type propre de l'unité nerveuse , c'est le prolongement
nerveux
unique ou monaxone; ce prolongement se termine
une arborisation (télotieiittî,oite), troisième élément de l'unité
nerveuse
. L'exemple le plus simple d'un prolongement ner-
es les cellules centrales, ce type simple se complique : la cellule
nerveuse
pousse ses den- drites, le prolongement nerveux
lique : la cellule nerveuse pousse ses den- drites, le prolongement
nerveux
ses branches collatérales ou paraxones.Ces anne
xones.Ces annexes, qui s'étendent souvent si loin dans le sys- tème
nerveux
, ne sont pourtant pas des attributs indispensable
rveux, ne sont pourtant pas des attributs indispensables de l'unité
nerveuse
, puisqu'il existe non seulement des cellules ner-
cellules des ganglions spinaux, etc.), mais aussi des prolongements
nerveux
dépourvus de collatérales, tels qne ceux des ce
optiques, des fibres olfactives. Chez les invertébrés, les cellules
nerveuses
typiques sont adendritiques; mais les collatérale
ypiques sont adendritiques; mais les collatérales des prolongements
nerveux
jouent un grand rôle. D Des trois parties const
grand rôle. D Des trois parties constituant le neurone, la cellule
nerveuse
, avec ses dendrites, nous apparait sûrement com
e l'élément perce- vant et impulsif D, écrit v. Lenhossék. La fibre
nerveuse
, ses colla- térales et son arborisation termina
ones, soit a proximité, soit éloignés, entourer d'au- tres cellules
nerveuses
de ses ramifications, s'élever dans les terri-
e chez les .invertébrés, depuis l'apparition de la première cellule
nerveuse
avec son prolongement nerveux, jusqu'aux mammif
l'apparition de la première cellule nerveuse avec son prolongement
nerveux
, jusqu'aux mammifères. Le prolon- gement nerveu
c son prolongement nerveux, jusqu'aux mammifères. Le prolon- gement
nerveux
est en réalité quelque chose de différent des den
clcer). A cet égard, et en calculant que les dendrites des cellules
nerveuses
des cornes antérieures ou de celles de Purkinje
ts protoplasmiques sont bien des organes de nutrition de la cellule
nerveuse
. Non qu'il faille confiner leur rôle à cette fonc
e à une période où il n'existait pas de vaisseaux dans la substance
nerveuse
, et, après l'apparition de ceux-ci, il n'a pu c
s que laissent entre elles lesdélicatesra- mifications des éléments
nerveux
. Sans doute ce liquide n'est point partout égal
ondante et plus active là où se trouvent de grands amas de cellules
nerveuses
, dans la substance grise de l'écorce, que parco
es échanges de ces cellules. Quant au mode de nutrition de la fibre
nerveuse
, et en particu- lier des nerfs périphériques, v
, mais parce que le cou- rant de la nutrition va, dans les cellules
nerveuses
, de la surface THÉORIE DES NEURONES 377 périp
dans une direction cellulipète. Les vaisseaux propres des faisceaux
nerveux
plaident déjà pour une nutrition autonome des f
sent, cela n'exclut point toute influence trophique de la cel- lule
nerveuse
sur son prolongement axile. Le bout périphérique
mporte, selon Waller. On peut croire, en effet, que le prolongement
nerveux
d'une cellule, quelque éloigné qu'il soit de sa
et du tout est sans doute une condition d'existence pour l'élément
nerveux
, considéré comme un petit organisme. Scloifer,
ions. D'après la loi de Waller, le segment périphérique d'une fibre
nerveuse
devrait bien dégénérer, non la cellule nerveuse
hérique d'une fibre nerveuse devrait bien dégénérer, non la cellule
nerveuse
et le bout central du nerf. Marinesco soutient
du nerf. Marinesco soutient que l'activité trophique de la cellule
nerveuse
n'est point une activité purement automatique,
fonctionnel et anatomique. Dans le cas de rétablissement du courant
nerveux
, les cellules 3-8 REVUE CRITIQUE. centrales s
se régénèrent. V. Lenhossék conclut donc que, « pour chaque cellule
nerveuse
, la connexion (Vea61ndung) normale avec l'organ
lule-- est une condition d'existence » (p. 122). Dès que la cellule
nerveuse
, par suite de la séparation de l'organe termina
tologiques, peut- être chimiques, résultantdu faitque les processus
nerveux
normaux étant empêchés, l'absorption et l'assim
s de nutrition qui détermineraient directement la mort des cellules
nerveuses
séparées de leur prolongement nerveux. Par le f
tement la mort des cellules nerveuses séparées de leur prolongement
nerveux
. Par le fait de cette désorganisation progressi
phique parait bien enchaînée à la persistance normale des processus
nerveux
. Ce ne seraient toute- fois que les troubles du
bles dus à une interruption totale de la continuité du prolongement
nerveux
qui détermineraient ces graves lésions de la ce
gement nerveux qui détermineraient ces graves lésions de la cellule
nerveuse
. Quant au fait de l'abolition de la fonction ne
de la cellule nerveuse. Quant au fait de l'abolition de la fonction
nerveuse
, il ne les expliquerait pas par lui-même. . Dan
est inconciliable avec l'hypothèse d'une dégénération de la cellule
nerveuse
suivant, avec une nécessité absolue, l'abolition
use suivant, avec une nécessité absolue, l'abolition de la fonction
nerveuse
de cet organisme. V. Lenhossék déclare donc ici
e blocs tigroïdes. De même encore au cône d'origine du prolongement
nerveux
. Autour du noyau, enfin, existe une petite zone
grouperaient en un réseau à mailles très étroites. Le prolongement
nerveux
sort, nous le répétons, d'un cône dépourvu de g
le particulièrement a proximité du cône d'ori- gine du prolongement
nerveux
. Le pigment ferait défaut dans toutes les petit
les. Il. Physiologie du neurone. Il est certain qu'aucune cellule
nerveuse
ne manifeste spontanément son activité, c'est-à-d
c'est-à-dire sans excitations externes. Les fonctions de l'élément
nerveux
doivent toujours être considérées comme de simp
le baigne : voilà pour le neurone le monde extérieur. Toute cellule
nerveuse
qui ne possède qu'un prolonge- ment nerveux (ii
térieur. Toute cellule nerveuse qui ne possède qu'un prolonge- ment
nerveux
(iiioncixone) propage toujours l'excitation dans
sens cellulifuge. Dans le nerf moteur périphérique issu du système
nerveux
central, le courant d'excitation va du protoplasm
ux central, le courant d'excitation va du protoplasma de la cellule
nerveuse
des cornes antérieures au protoplasma de la cel-
vec les fibres musculaires. De même dans la transmission du courant
nerveux
du nerf optique, par exemple : l'excitation d'u
nes agissent ici directement sur le protoplasma d'une vraie cellule
nerveuse
, pourvue d'un prolongement nerveux fort long, q
protoplasma d'une vraie cellule nerveuse, pourvue d'un prolongement
nerveux
fort long, qu'elle envoie dans le bulbe olfacti
pport qu'avec une seule cellule mitrale. Quoi qu'il en soit, l'onde
nerveuse
, apportée par l'arborisation terminale de la fi
s, et, par l'intermédiaire du corps cellulaire et des prolongements
nerveux
de ces magnifiques neu- roues, elle est finalem
l'existence de libres arborisations terminales provenant de fibres
nerveuses
venues à la rétine par le canal des nerfs optiq
vent à une distance consi- dérable de la cellule, les prolongements
nerveux
qui passent dans le faisceau des fibres optique
demment les fonctions de ces neurones; mais la direction du courant
nerveux
de ces prolonge- ments axiles, quoique en sens
deux prolongements ont absolument le même caractère de prolongement
nerveux
, de cylindraxes vrais ; ils sont entourés de my
extrémité. Pourtant le prolongement central conduit seul le courant
nerveux
dans le sens cellulifuge, de la cellule du gang
longement périphérique conduit dans la direction cellulipète l'onde
nerveuse
au ganglion, c'est-à-dire les impressions tacti
des muscles, des articulations, etc. Ce prolongement périphérique
nerveux
ne résulte-t-il pas de la transformation d'un pro
processus protoplasmiques, allant de la périphérie à leur cellule
nerveuse
d'origine ; peu à peu ils se seraient transformés
erveuse d'origine ; peu à peu ils se seraient transformés en fibres
nerveuses
, tandis que le prolongement central aurait toujou
al aurait toujours été un axone. Aussi le principe de la conduction
nerveuse
cellulifuge serait encore vrai, même chez les r
; il a donc été nécessaire d'admettre, dans les organes du système
nerveux
central des invertébrés, des cellules de sensib
tes dans la moelle. Il n'y aurait aucun doute ici : le prolongement
nerveux
re- çoit l'onde d'excitation par ses atborisati
as encore été trouvées. A la place d'une seule-catégorie d'élémenfs
nerveux
(cellules de Lenhossék), il en existe donc deux
observe, chez les animaux supérieurs, que les libres teimi- naisons
nerveuses
de Smirnow sont de nature sensitive Les cellules
ék touchant les fonctions des fibrilles latérales des prolongements
nerveux
ou cylindraxiles. La fibre sensitive qui, d'une
ls d'émission des stimuli sensitifs de la périphérie aux éléments
nerveux
de la moelle épinière. Grâce à ces collatérales,
postérieures aux noyaux des cordons postérieurs. Le pro- longement
nerveux
des cellules mitrales présente des dispositions
ion que la tige dont ils proviennent. De même que les prolongements
nerveux
des cellules mitrales, les fibres sensitives di
terminales de leur tige axile, et transmettent ainsi leurs courants
nerveux
celluli- fuges. Quant aux fibrilles latérales
eux celluli- fuges. Quant aux fibrilles latérales du prolongement
nerveux
, c'est-à- dire des ramuscules qu'émet ce prolon
veux axiles, les principaux organes de réception des excitations
nerveuses
apportées dans les centres sont les surfaces des
lité et de mouvement par les anastomoses reliant, dans son réseau
nerveux
diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des pro
nerveux diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolongements
nerveux
moteurs avec celles des prolongements nerveux sen
ées des prolongements nerveux moteurs avec celles des prolongements
nerveux
sensitifs ou sensoriels, les dendrites n'interv
leur refusait donc toute participation aux processus de conduction
nerveuse
, et il fut suivi par lllartiuotti , Sala et un
desoii Traité, que les dendrites font partie des organes à fonction
nerveuse
. V. Lenhossék écrit : Si les dendrites sont con
s doivent pouvoir recevoir les effets et subir l'action des stimuli
nerveux
, et, comme cette action s'exerce à la surface d
s, une importance très élevée dans « la réceptivité des excitations
nerveuses
». THÉORIE DES NEURONES. 385 Les couches supe
n d'être, comme le pensait Golgi, privées complètement d'élé- ments
nerveux
, sont au contraire le siège d'amas considérables
erveux, sont au contraire le siège d'amas considérables de cellules
nerveuses
et d'arborisations terminales de fibres nerveuses
ables de cellules nerveuses et d'arborisations terminales de fibres
nerveuses
. Elles contiennent non seulement les dernières
- veuses de Cajal avec leurs arborisations et leurs prolongements
nerveux
souvent multiples, qui appartiennent à cette couc
arallèles découvertes par Cajal, c'est-à-dire par les prolongements
nerveux
les grains, où montent les ramures protoplasmiq
Purkinje, dont les dendrites sont en contact avec les prolongements
nerveux
d'autres éléments du cervelet. C'est pourtant d
eux, que s'élevaient les ramifications protoplasmiques des cellules
nerveuses
pour y quêter les matériaux de la nutrition de le
ijumeau. Ibid., XXIII, 1895, 78), à propos d'une espèce de cellules
nerveuses
centrales, globuleuses, à contours nets, de 60
e 60 à 80 p., différant com- plètement du type général des cellules
nerveuses
centrales, puisque les prolongements dendritiqu
organes de réception des stimuli, pouvaient exercer leurs fonctions
nerveuses
. On aurait pu, avec Lenhossék, lui poser une qu
ndrites, un fait capable de ruiner la doctrine de la conductibilité
nerveuse
cellulipète des prolongements proloplas- miques
rolongements proloplas- miques, appareils de réception des courants
nerveux
dans la nou- velle école, alors qu'il continuai
considérer les dendrites comme des organes trophiques de la cellule
nerveuse
. En effet, si confor- mément au principe de la
for- mément au principe de la polarisation dynamique des éléments
nerveux
, la direction du courant, pour toutes les catégor
, la direction du courant, pour toutes les catégories de cel- lules
nerveuses
, ne va plus du prolongement cylindraxile à la c
ux me dispenser de faire observer, écrivait Golgi, que les cellules
nerveuses
spéciales dont j'ai reproduit plus haut une fig
n, poursuivant ses recherches sur l'organisation interne du système
nerveux
de la truite, au moyen de la méthode de Golgi,
u nerf pathétique sont bien des cellules unipolaires à prolongement
nerveux
unique. Quant aux cellules globuleuses voisines
collatérales, les prolongements cylindraxiles de ces deux cellules
nerveuses
pénètrent dans la racine périphérique du nerf d
r Golgi contre la théorie de la polarisation dynamique des éléments
nerveux
. D'ailleurs l'existence, dans le système nerveux
mique des éléments nerveux. D'ailleurs l'existence, dans le système
nerveux
central, de cellules uniquement pourvues d'un p
ise avec Ramon y Cajal, vu que l'appareil de réception d'un élément
nerveux
est constitué à la fois par le corps cellulaire
s dendrites participent donc bien à la transmission des pro- cessus
nerveux
. Dans le bulbe olfactif, les arborisations des fi
les mitrales : ces dendrites reçoivent donc bien directement l'onde
nerveuse
apportée par les fibrilles olfactives (Cajal).
on à ce fait une importance décisive, que dans beaucoup de cellules
nerveuses
le prolongement nerveux axile ne sort pas direc
e décisive, que dans beaucoup de cellules nerveuses le prolongement
nerveux
axile ne sort pas directement du corps de la ce
nt sous la forme d'onde (p. 140). Dans le protoplasma de la cellule
nerveuse
coexistent à la fois les conditions de la conduct
llule nerveuse coexistent à la fois les conditions de la conduction
nerveuse
et de l'activité automatique ou de la fonction ne
conduction nerveuse et de l'activité automatique ou de la fonction
nerveuse
; la substance du prolongement nerveux axile n'e
utomatique ou de la fonction nerveuse; la substance du prolongement
nerveux
axile n'est qu'un organe de transmission. Von
l admet également la doctrine de la polarité dynamique des cellutes
nerveuses
, principe établi d'abord par van Gehuchten (189
ar Retzius (1893). Mais il ne croit pas que la direction du courant
nerveux
soit cellulipète dans tous les dendrites, sans
moHaa;OH6S. Dans les cellules multipolaires et sans pro- longement
nerveux
apparent, telles que les grains du lobe olfactif,
mettra-t-elle de les rattacher au type structural des prolongements
nerveux
. Sur un autre point encore von Lenhossék s'écar
s sont en rapport avec les associations fonctionnelles des cellules
nerveuses
auxquelles elles sont indispensables pour le mé
uxquelles elles sont indispensables pour le mécanisme des processus
nerveux
, et que ce mécanisme est préci- sément adapté à
tes, beaucoup de dendrites servent de voies de conduction aux ondes
nerveuses
et dans la direction indi- quée : c'est un fait
se sujet dans son Hypothèse des rapports fonctionnels des cellitles
nerveuses
entre elles (p. 142-3). Et d'abord, si les dend
sso- cier les neurones, les contacts nécessaires entre les éléments
nerveux
auraient pu avoir lieu sans un tel luxe de rami
moelle épinière, alors que les fibrilles latérales du prolongement
nerveux
, ainsi que nons croyons l'avoir démontré, suffi
u fait de l'exubérance des ramifications de la plupart des cellules
nerveuses
, chaque cellule peut entrer en contact avec un
ule peut entrer en contact avec un nombre considérable de fibrilles
nerveuses
de provenance et de genre différents ; comment,
à l'asile de Lafond, pour troubles mentaux consécutifs à des crises
nerveuses
. J'ai pu, de cette façon, l'observer pendant pl
ers jours de son admission, elle est atteinte d'une série de crises
nerveuses
que la compression de l'ovaire réussit à arrête
pavillon des malades excitées. A partir de cette époque, les crises
nerveuses
disparaissent, les vomissements s'arrêtent et,
ntales SUR LES ALTÉRATIONS artificielles ET CADAVÉRIQUES DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL ET PÉRIPHÉRIQUE; par le Dr P. S FA MEN
parce que leurs auteurs n'avaient examiné qu'une partie du système
nerveux
et chez des sujets humains morts d'affections a
t-quatre heures. Aussitôt retirés de l'étuve, les pièces du système
nerveux
, isolées, étaient plongées dans le liquide durc
Miiller, tantôt l'alcool absolu. Chez quelques sujets, le système
nerveux
a été isolé et plongé dans le liquide durcissant
ons), en séries de 20 à 100, sur les différentes parties du système
nerveux
(cerveau, cervelet, bulbe, moelle épinière, ner
cervelet, bulbe, moelle épinière, nerfs périphériques, terminaisons
nerveuses
). Après avoir décrit toutes ses expériences et
état vacuolaire à la périphérie des cellules. Dans tous les organes
nerveux
on observe la présence de corpuscules amylacés.
ction graduelle du protoplasma et du noyau dans toutes les cellules
nerveuses
et névrogliques. Les fibres nerveuses, d'abord
oyau dans toutes les cellules nerveuses et névrogliques. Les fibres
nerveuses
, d'abord dans la moelle épinière et le bulbe, p
iques concomitantes. Formation de l'état criblé dans les substances
nerveuses
du cer- veau, du cervelet et du bulbe. Tuméfact
- veau, du cervelet et du bulbe. Tuméfaction hyaline des cellules
nerveuses
de la moelle épinière. Cette étude consciencieu
E pathologiques. 397 des Leyden, qui ont expérimenté sur les tissus
nerveux
de l'hontnae, peut-être serait-il bon de se sou
erait-il bon de se souveuir qu'elle porte uniquement sur les tissus
nerveux
du lapin. R. Charon. LVIII. Atrophie unilatéral
érations aux épi- physes ; l'absence de symptômes cliniques d'ordre
nerveux
(hormis la douleur localisée au niveau des os a
La pâleur de cette zone relève d'une part de la finesse des fibres
nerveuses
à ce niveau et, d'autre part, de la disparition d
diabète sucré, soit isolément, soit en même temps que le système
nerveux
périphérique. Les lésions médullaires portent iso
cause immédiate présumée de la dégénéra- tion tabétique du système
nerveux
. Il est bien entendu que le traitement mercurie
sitive, dégénère principalement en direction caudale. Les cellules
nerveuses
de la substance grise qui avoisinent le bord inte
ions terminales cylindraxiles : il est très probable que les fibres
nerveuses
de ces cellules passent au côté opposé et se di
côté opposé et se dirigent vers les régions plus élevées du système
nerveux
central. Par conséquent, si l'on se représente
1. De l'emploi des méthodes DE colorations électives SUR LE système
nerveux
central durci AUI'ORMOL; par H. Gudukn. (Pieurolr
les granulations chromatophyles). Ap- pliquée à l'étude des tissus
nerveux
malades, elle rend manifestes certaines altérat
ions de la paralysie générale resteraient cantonnées dans le centre
nerveux
, alors qu'elles gagnent les méninges chez les syp
e, âgée de vingt-neuf ans, fut admise dans la clinique des maladies
nerveuses
, le 24 novembre 1895, avec des phénomènes de pa
qties. Foi,i ? ie ai2atoiniqiie; 2° D'un réflexe parti d'extrémités
nerveuses
comprimées, tiraillées, irritées d'une façon qu
le syndrome de Basedow est la mani- festation clinique d'un trouble
nerveux
fonctionnel primitif, d'une névrose. Cette névr
ation centrale par les calmants et les toniques généraux du système
nerveux
(hydro et électrothérapie). Il y aurait lieu de
une quinzaine d'années, E.-C. Séguin a été pro- fesseur de clinique
nerveuse
à la Faculté du Collège des médecins et chirurg
nt le même temps, il s'adonna activement à la pratique des maladies
nerveuses
, fut nommé membre de plusieurs Sociétés de neur
uelles il a publié 35 notes ou mémoires relatifs surtout au système
nerveux
et aux réformes concernant l'enseignement des h
zones sans disposition régulière, ne répondant ni à des territoires
nerveux
, ni à des territoires radiculaires. Pas de diss
uement sont sains. Nulle part on ne trouve de néoplasmes. Système
nerveux
. Le canal racliidien est ouvert de l'occipital
e parles partisans de l'origine médullaire. Ace niveau les cellules
nerveuses
étaient sûrement complètement annihilées, et ce
illes, il ne nous a pas été possible d'y reconnaître des formations
nerveuses
; nous voulons dire qu'il n'était pas possible
une tendance au rétablissement des fonctions perdues par des tubes
nerveux
régénérés. Il nous semble, pour notre cas du mo
umeur, sur les racines, avec cette prédilection qu'ont- les tumeurs
nerveuses
dans leurs métastases de rechercher le tissu ne
les tumeurs nerveuses dans leurs métastases de rechercher le tissu
nerveux
. Comment interpréter cette fibrillation qui app
qui rendent encore nécessaires les techniques actuelles du système
nerveux
doivent certai- nement retenir souvent l'observ
he des énergumènes, « en s'insinuant dans les couloirs du système
nerveux
» ; il se sert souvent ainsi d'idiomes que les dé
évrier 1898.) Après avoir étudié les voies conductrices de l'influx
nerveux
et distingué l'arc médullaire, substratum anato
A. FENAYROU. LXXXIII. DES LÉSIONS histologiques FINES DE la CELLULE
nerveuse
DANS LEURS RAPPORTS AVEC LE DÉVELOPPEMENT DU TÉ
anos est dû à une combinaison du poison tétanique avec la cel- lule
nerveuse
, par suite de l'affinité de la toxine télanique p
production des lésious qui exaltent l'excitabilité de la substance
nerveuse
. La phase silencieuse de l'intoxication téta- n
ffectue la com- louaison de la toxine et des éléments de la cellule
nerveuse
. Lorsque cette combinaison est faite, l'antitox
nique se traduit ana- tomiquement par des modifications cellulaires
nerveuses
appré- ciables. A. FENAYROU. LXXXIV. L'évolut
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. est douloureuse; celle des gros troncs
nerveux
ne l'est pas. Mêmes oscillations qu'il y a huit
ATHOLOGIQUES. C. DES NOEVI dans LEURS rapports avec LES territoires
NERVEUX
. essai DE patiiogénie ET u'étiologie; par G. ET
tribution de cer- " tains noevi suivant les'territoires de branches
nerveuses
, l'auteur a eu l'occasion d'observer toute une
lesquels la distribution des noevi s'étendait entre les territoires
nerveux
suivant les lignes de Voigt, on doit reconnaîtr
els le ncevus occupe la zone intermédiaire entre deux terri- toires
nerveux
voisins. Dans l'un comme dans l'autre cas l'ano-
ite intra-utérine. Les noevi, reconnaissant pour origine une lésion
nerveuse
intra- utérine, peuvent donc être attiibués à u
s. Elle devait tenir compte : d'abord de la constitution du système
nerveux
, assez infirme pour permettre une décharge quel
la Faculté de médecine de Paris, relatives aux maladies mentales et
nerveuses
durant l'année scolaire 1896-1897. Aba (Isaac).
ulfo-carbonée. Arié (Joachim). Étude sur la compression des cordons
nerveux
des membres par du tissu fibreux cicatriciel. A
nes enfants. - Deglaire (Léon). Contribution à l'étude des troubles
nerveux
en rapporl avec la présence de végétations adén
o-vasculaires. - Frère (Emile). Contribution à l'étude des troubles
nerveux
par cals exubérants au membre supérieur. Fritea
lérioseléreux. Grognot (Eugène) Contribution à l'étude des troubles
nerveux
précoces du mal de Pott. Ilaopolf.(firihor). Co
rges). Des troubles de la menstruation dans les maladies du système
nerveux
. Lévy (Edmond). Des accidents nerveux au cours
ans les maladies du système nerveux. Lévy (Edmond). Des accidents
nerveux
au cours des arthropathies blennorrhagiques. Lour
rique et critique. (Travail de la clinique des maladies du système
nerveux
). Marty (Albert). Du traitement de la sciatique r
drome de Basedow-Graves. Meunier (Henri-Valéry). Du rôle du système
nerveux
dans l'infection de l'appareil broncho- pulmona
mai. Les candidats ont eu à traiter la question suivante : Cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale, anatomie et phy- siologi
es névroses avec la grossesse et l' -, par Tarnier, 232. Maladies
nerveuses
de l'enfant et - difficile et pré- maturé, pa
veuses, par Berkley, 321. Alcoolique. Altérations des cellules
nerveuses
dans l'intoxication - aigue, par Dehio, 56. A
le, 251. Altérations artificielles et cadavé- riques du système
nerveux
, par Sfamenè, 395. Amaurose hvstérique unilat
chique, par Lountz, 8f. - psychique, par Lé- pine, 21. Cellules
nerveuses
. Méthode pour faire pataitreles-granuteusesdans
la - par J. Dumaz, 499. Diagnostic des affections du sys- tème
nerveux
, par Bury, 266. Douleur. Etude biologique sur l
ul« tsberger, 492. Dynamisme psychique, par Aimé, 61. 1)vsuenstns
nerveuses
et neurastté- me, par Glatz, 350. Emigrés. Id
in- fluence sur la sensibilité cutanée, par Vannori, 497. Fibre
nerveuse
. Structure de la -, par liossolimo et 111ourvme
eux, par Sabrazès et Cabannes, 315. Méthode de - des cel- lules
nerveuses
, par Harissa, 408. Folie. Etat (lui ciiculus nu
par Hughes, 225. Noevi dans leurs rapports avec les territoires
nerveux
, par Etienne, .f9s. Notes. Utilité des - mens
.11RE. Surfonction rle la âlande - , par Massatongo, 65. Polyurie
nerveuse
, par l3risu 1, 234. POULS. Changements du - (
es par Régis et liobert, 260. -de l'ai is, relatives aux maladies
nerveuses
et mentales en 1896 et 1897, 509. Tic comulsi
Du- cllev Tait, 320. -, par Auvray, 3a0'. Urémie. Les éléments
nerveux
dans l' -, par Acquisto et Pusateri, 211. V
ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME
NERVEUX
CONSIDERE DAM SES RAPPORTS AVEC L'INTELLIGENC
la relation qui existe entre la perfection progressive de ces centres
nerveux
et l'état des facultés instinctives, intellectuel
Lorsque parut, en 1839, le premier volume de Y Anatomic du système
nerveux
de Leuret, fruit de dix années d'observations et
. Gratiolet, de vouloir bien compléter l'anatomic comparée du système
nerveux
. Personne ne nous paraissait, en effet, dans des
septembre 1857. PRÉFACE DE M. LEURET. Il existe entre le système
nerveux
et l'intelligence des rapports certains, mais don
es. On sait que l'intelligence ne se manifeste jamais sans le système
nerveux
, et l'on attribue aux différences de forme, de vo
hacun des individus qui composent la série animale, l'état du système
nerveux
et celui de l'intelligence, afin de savoir si une
avait été établi sur les rapports qui lient l'intelligence au système
nerveux
. Les travaux antérieurs, je les ai pris comme sim
scopiques une attention toute particulière ; la structure des centres
nerveux
, l'arrangement, le diamètre, la nature de leurs f
'aide des réactifs, puis toutes les conditions matérielles du système
nerveux
ainsi établies, je les ai mises en regard les une
ux séries de faits, les uns matériels, puisés dans l'étude du système
nerveux
, les autres psychiques, puisés dans l'étude des p
cés depuis longues années. Il rêvait son grand ouvrage sur le système
nerveux
, et consacrait ses jours et ses nuits à l'étude d
, en deux parties, le premier volume de VAnatomie comparée du système
nerveux
. Une somme de dix mille francs avait déjà été con
e médecine. 4 839, t. IV, p. 473). 25. Anatomie comparée du Système
nerveux
considéré dans ses rap- ports avec l'intelligen
Paris, 4846, in-8 de 414 pages. ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME
NERVEUX
considéré DANS SES RAPPORTS AVEC L'INTELLIGEN
n certain nombre d'animaux chez lesquels on ne connaît pas de système
nerveux
, soit que ce système manque complètement, soit qu
été indiquées par M*. Tiedemann (1) comme étant pourvues d'un système
nerveux
; mais Délie Chiaje (2), qui dit avoir disséqué p
illier de ces animaux, n'a jamais pu y trouver de traces de substance
nerveuse
réunie en filamens; les recherches de M. de Blain
ans l'astérie rougeâtre, M. Tiedemann(2) a décrit et figuré un anneau
nerveux
entourant l'orifice de l'œsophage et duquel émane
erveux entourant l'orifice de l'œsophage et duquel émanent des filets
nerveux
divergens, au nombre de quinze $ Spix et R. Grant
r existence : il pense que ces filets, décrits comme étant des filets
nerveux
, sont de nature tendineuse, et Délie Chiaje dit p
une sorte de cordon gris, pulpeux, qu'il croit pouvoir regarder comme
nerveux
(5); toutefois ce n'est pas encore, même pour M.
de Blainville, un fait bien démontré. Les animaux privés de système
nerveux
sont-ils pour cela dépourvus de toute substance n
és de système nerveux sont-ils pour cela dépourvus de toute substance
nerveuse
? M. Carus et avec lui plusieurs anatomistes ne le
Loc, cil. substance animale, dît M. Oken , a commencé par là masse
nerveuse
, c'est-à-dire parla chose la plus élevée, par cel
systèmes anatomiques ne font que se dégager ou se séparer de la masse
nerveuse
. L'animal n'est que nerf : ce qu'il est de plus,
se du nerf. La gelée des polypes, des méduses, etc., est la substance
nerveuse
au plus bas degré, de laquelle n'ont encore pu s'
substances qui sont ou cachées dedans, ou fondues avec elle. La masse
nerveuse
désigne ce qui, chez l'animal, est dans l'état d'
nimaux placés au plus bas degré de l'éclielle animale, soit une masse
nerveuse
? Par sa disposition organique, par s-a nature chi
e, ajoute : « Voilà donc expliquée cette absence apparente du système
nerveux
dans les classes inférieures; leur massé pulpeuse
inférieures; leur massé pulpeuse n'est qu'une sorte à'albumine toute
nerveuse
; les animaux primaires ressemblent donc à la subs
premiers rudimens des animaux supérieurs. C'est une substance molle,
nerveuse
, qui se nourrit par imprégnation et par imbibitio
oi eussent servi des divisions et des subdivisions de cette substance
nerveuse
, puisqu'il n'y avait aucun organe, aucun appareil
que la matière dont sont formés les animaux primaires ait une nature
nerveuse
: la faculté que possèdent ces animaux de se cont
r organisation s'élèvent au-dessus des rayonnes, on trouve un système
nerveux
ordinairement bien visible, et, d'après les reche
e en rapport avec le reste de l'organisme. Or, ce lien est le système
nerveux
. Le système nerveux existe donc nécessairement ch
reste de l'organisme. Or, ce lien est le système nerveux. Le système
nerveux
existe donc nécessairement chez tous les animaux
ez parfait, pour que l'on ne s'étonne pas de l'existence de ganglions
nerveux
; on y découvre, en effet, une membrane double et
e. Mais comme je n'ai aucun fait nouveau à présenter sur le système
nerveux
des animaux microscopiques, ni sur celui des rayo
eux étudiés et plus complets, et chez lesquels l'existence du système
nerveux
ne peut être mise en doute. CHAPITRE PREMIER.
ème nerveux ne peut être mise en doute. CHAPITRE PREMIER. SYSTÈME
NERVEUX
DES MOLLUSQUES. Le système nerveux des mollusqu
e. CHAPITRE PREMIER. SYSTÈME NERVEUX DES MOLLUSQUES. Le système
nerveux
des mollusques a pour caractère d'être composé de
caractère d'être composé de ganglions réunis entre eux par des anses
nerveuses
et fournissant un nombre de nerfs très variable s
nombre de nerfs très variable suivant les espèces : c'est le système
nerveux
qui s'éloigne le plus de celui de l'homme, et il
mie des mollusques, mais à peine dit-îl quelques mots de leur système
nerveux
; Swammerdam (2) en a parlé plus explicitement ;
ce sujet dans sa généralité. Le premier a décrit et figuré le système
nerveux
de plus de quarante mollusques; le second a essay
ier s'était moins spécialement occupé. Dans l'exposition du système
nerveux
des mollusques, je commencerai par ceux de ces an
par les naturalistes, car mon bul principal étant l'étude du système
nerveux
, quand il sera nécessaire, pour rendre celte étud
mollusques, je parlerai successivement, dans ce chapitre, du système
nerveux
des acéphales, des gastéropodes, des pté-ropodes
ion entre ces animaux et les articulés. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME
NERVEUX
DES MOLLUSQUES. 1° Acéphales sans coquilles, Cu
cés par Cuvier dans la première fa- (i) Ce que l'on sait du système
nerveux
des héléropodes montre qu'il y a uue grande analo
de ces animaux. Cuvier qui a distingué et fait représenter le système
nerveux
de l'ascidie mammelon-née,asuivi les filets nerve
senter le système nerveux de l'ascidie mammelon-née,asuivi les filets
nerveux
qui, parlant d'une source unique, le ganglion, vo
au manteau et à la bouche. Celte grande simplicité dans le système
nerveux
des ascidies est en rapport avec le reste de l'or
résoudre, pourrait trouver ici son application, puisqu'un même centre
nerveux
sert à-la-fois à la nutrition et au toucher. 2°
est surtout destiné au mouvement. Poli a donné la figure du système
nerveux
d'un certain nombre d'acéphales testacés, mais il
ganglions comme étant les réservoirs du chyle. La ténuité des fibres
nerveuses
et leur transparence, chez la plupart des mollusq
habile. Mangili a publié des observations fort exactes sur le système
nerveux
de plusieurs bivalves, et en particulier, des ano
nion de M. Garner. 3° Gastéropodes. Dans les gastéropodes, l'anneau
nerveux
commun à tous les invertébrés pourvus de nerfs, e
, les onchidies sont dans le même cas. Dans les tritonies, le système
nerveux
consiste en quatre tubercules placés en travers d
re tubercules placés en travers de l'œsophage, et réunis par un filet
nerveux
qui complète l'anneau ; il part de ces ganglions
iste un autre ganglion qui fournit les nerfs des viscères. L'anneau
nerveux
œsophagien des gastéropodes est ordinairement dou
i836, t. vu, pag. 424, Dans les acères et les aplysies, le système
nerveux
consiste en deux ganglions réunis par un filet tr
gré la forme spirée de l'animal, les parties centrales de son système
nerveux
ont une grande régularité ; c'est autour de l'œso
inférieure de l'œsophage, il communique avec l'anneau par deux filets
nerveux
formant une anse, comme cela a lieu chez la plupa
cordon dont il s'agit est formé à droite et à gauche, par deux filets
nerveux
qui marchent en se côtoyant, mais sans jamais s'u
'unir l'un à l'autre et ne fournissant aucune branche ou ramification
nerveuse
. L'apparence de ce cordon est la même que celle d
plus utilement. Dans certains gastéropodes, le nombre des ganglions
nerveux
s'élève jusqu'à onze : c'est ce qui a lieu dans l
l'organe commun et général du toucher.» Celte description du système
nerveux
du clio boréal, le seul des ptéropodes qui ait ét
phalopodes. Comme dans les autres classes des mollusques , le système
nerveux
des céphalopodes varie suivant les espèces, et po
chacun d'eux \ il y a pourtant une tendance bien visible de la masse
nerveuse
, à se porter en plus grande quantité vers l'orifi
nfin en communication avec le reste de l'anneau, par une double bande
nerveuse
. Le ganglion sub-œsophagien postérieur, outre l
mpair est située au-dessus de (i) "V. pi, tre, la figure du système
nerveux
du ponple, reproduite d'après Cuvier. l'œsophag
sont au nombre de sept paires. A ces parties fondamentales du système
nerveux
du poulpe, il faut ajouter les cordons qui formen
cuire eux dans aucun point de leur étendue. RÉSUMÉ. 1. Le système
nerveux
des mollusques consiste en ganglions, en nerfs et
rganes dans lesquels ils se divisent, et non avec celui des centres
nerveux
, auquel leurs troncs viennent aboutir. 9. Les g
éunit les ganglions de l'anneau œsophagien se compose de deux cordons
nerveux
adossés mais non confondus, et il ne s'en détache
plus volumineux que les autres ganglions. § IL STRUCTURE DU SYSTÈME
NERVEUX
DES MOLLUSQUES. Il est difficile de découvrir l
ME NERVEUX DES MOLLUSQUES. Il est difficile de découvrir le système
nerveux
de la plupart des mollusques; mais une fois qu'on
t, la petitesse des ganglions, la ténuité, la transparence des filets
nerveux
permettent de placer ces organes tout entiers sou
les recherches encore récentes de cet habile micrographe, le système
nerveux
serait composé dans toute la série animale, de fi
ns sur la structura microscopique jusqu'à present inconnue du système
nerveux
. Berlin, i836 (en allemand). ganesdes sensation
les animaux articulés et les mollusques auraient seulement des tubes
nerveux
rectilignes, pour présider au mouvement, à la nut
s globules; c'est ce fluide que M. Ehrenberg propose d'appeler fluide
nerveux
, réservant le nom de matière médullaire pour la s
ilignes. J'ai examiné, avec grand soin, toutes les parties du système
nerveux
de l'escargot, et pour ne parler ici que de ce qu
ssante, le nerf optique de l'escargot, j'ai vu des séries de globules
nerveux
se diriger parallèlement les unes aux autres vers
. 3ag, Yiennae 1800), et M. Elirenberg (op. cit.), ont \ules globules
nerveux
sortir de leurs canaux : M. Elirenberg surtout a
si alors on comprime , les molécules médullaires s'écoulent des tubes
nerveux
; leur enveloppe, quoique ayant aussi une apparenc
une apparence fibreuse, ne laisse échapper absolument aucune molécule
nerveuse
. Puisque les nerfs de l'escargot sont composés
iennent des globules, n'en résulle-t-il pas qu'il y a une circulation
nerveuse
, comme il y a une circulation sanguine; et n'est-
énérale, quand j'aurai exposé ce qui concerne la structure du système
nerveux
des animaux articulés et des animaux vertébrés. T
jection avait-elle pu pénétrer? On a dit que c'était entre les fibres
nerveuses
et leurs enveloppes ; je partage cet avis. En eff
euses et leurs enveloppes ; je partage cet avis. En effet, les canaux
nerveux
des mollusques ne peuvent pas être injectés, au m
iamètre,ils sont, par conséquent,beaucoup plus gros et que les canaux
nerveux
, et que les nerfs eux-mêmes', car le nerf optique
st donc de toute impossibilité qu'un tube de verre entre dans un tube
nerveux
, et qu'il y fasse pénétrer la matière à injection
lles l'injection pût être reçue, et de là se répandre dans les canaux
nerveux
, on réussirait peut-être à injecter les nerfs; ma
résout en fibres distinctes qu'il ne faut pas prendre pour des fibres
nerveuses
. On les reconnaîtra à deux caractères bien tranch
eilleure manière de distinguer ces fibres névrilémati-ques des fibres
nerveuses
, est d'examiner la section d'un nerf; on voit les
e les nerfs sont plutôt transparens. Chez les phallusies, le ganglion
nerveux
, unique dans ces animaux , est jaunâtre; celui de
qu'il fournit sont rarement transparens. RESUME 1. Les ganglions
nerveux
des mollusques sont composés de matière globuleus
gétative, sont toutes de même forme et de même nature *• les globules
nerveux
, qui remplissent ces fibres canaliculées, n'offre
ssures, mais pas d'entrecroisement. § III. signification du système
nerveux
des mollusques. Tout ce que j'ai dit jusqu'à pr
des mollusques. Tout ce que j'ai dit jusqu'à présent sur le système
nerveux
des mollusques ne s'applique pas aux mollusques c
sition qui existe entre les mollusques et les articulés. Le système
nerveux
des mollusques (celui des cirrhopodes excepté) a-
sa valeur, sa signification dans le développement comparé du système
nerveux
de la série animale? Ces questions importent beau
armi lesquels je dois citer Reil et Àckermann, pensent que le système
nerveux
des mollusques est l'analogue du système ganglion
e ou nerf grand sympathique des vertébrés. La disposition de la masse
nerveuse
en ganglions et en nerfs donne, sous le point de
glions épars, commit niquant les uns avec les autres par des filets
nerveux
, ont, au premier aspect, une parfaite ressemblanc
es du grand sympathique :représenlenl-ils chez ces animaux le système
nerveux
cérébro-spinal des vertébrés? Scarpa (1), Blumenb
affirmative; Cuvier, dans la description qu'il a donnée des ganglions
nerveux
du poulpe, indique, chez cet animal, non-seulemen
e à démontrer qu'il y a une très grande ressemblance entre le système
nerveux
des mollusques céphalopodes, et celui des poisson
hen Anal. Halle, i8r5, M. p. 34 r. (5) Anat. etpliysiol. du système
nerveux
. Paris, 1810, in-4° t. ' p. I09* (6) Op. cit.
sques, il n'y a pas seulement une commissure, c'est-à-dire des fibres
nerveuses
passant d'un côté à l'autre ; on y découvre en ou
s une idée théorique sur la valeur des différentes parties du système
nerveux
, considéré dans la série animale, et cette idée,
au rang des vérités, est au moins fort ingénieuse. Le système 3.
nerveux
est divisé, par M. Carus, en deux parlies fort di
a vie de l'animal. Les mollusques, quoique privés d'un double système
nerveux
, ne dérogent cependant pas au principe établi par
e la cinquième paire. La détermination faite par M. Serres du système
nerveux
des invertébrés, est donc tout-à-fait inadmissibl
aux autres par une gradation évidente, et facile à saisir. Le système
nerveux
de l'anatife (1) étudié d'abord par Cuvier, puisp
-céro-pédieux de l'escargot; réunissez au contraire les deux colonnes
nerveuses
le long de laquelle régnent les ganglions, et vou
qu'on le verra dans le chapitre consacré à la description du système
nerveux
des crustacés. Comparez (2) l'anatife au (i) "V
crustacés. Comparez (2) l'anatife au (i) "Voy. Pl. ne où le système
nerveux
de cet animal est figuré d'après les dessins qu'e
(a) Voy. Pl. ire où se trouvent les figures représentant le système
nerveux
de l'anatife, du talitre et du maïa. talilre, i
entre eux, une très grande analogie pour la disposition des ganglions
nerveux
; comparez également l'escargot au maïa, vous ver
litre, le passage s'opère par une série de crustacés, dont le système
nerveux
va progressivement en se rapprochant de l'un ou d
s qu'il a découverts concernant la structure microscopique du système
nerveux
, M. Ehrenberg conclut que les invertébrés n'ont p
t-il, de tubes articulés, lesquels tubes ne contiennent aucune moelle
nerveuse
, mais seulement un fluide dense, transparent, hom
ransparent, homogène, qu'il propose de désigner sous le nom de fluide
nerveux
. Or, M. Ehrenberg, ne retrouvant rien de semblabl
iculés, ni dans les ganglions, ni dans les cordons, ni dans les fdets
nerveux
des invertébrés, conclut que ces animaux sont dép
elle épinière et le cerveau ne sont pas les seules parties du système
nerveux
des vertébrés qui consistent en une agglomération
invertébrés, par la seule raison qu'on ne trouve pas dans le système
nerveux
de ces animaux de tubes articulés, il faudra égal
e s'applique pas aux nerfs senso-riaux tout aussi bien qu'aux centres
nerveux
. Il est douteux que les mollusques aient un nerf
traces de son existence chez les anguilles. RÉSUMÉ. 1. Le système
nerveux
des mollusques n'est pas l'analogue du système ga
oelle rachidienne. 8. Toutefois, on ne peut pas dire que le système
nerveux
des mollusques soit seulement l'analogue du systè
céphalopodes; ceux-ci, les mieux partagés sous le rapport du système
nerveux
, sont aussi les plus élevés pour leur instinct. A
t de beaucoup sur ces derniers quant au développement de leur système
nerveux
. On ne rencontre que très rarement, chez les anim
n quelque sorte à l'existence des organes qu'ils animent ; la matière
nerveuse
se rapproche , se réunit pour former une longue c
fection. Le développement des facultés correspond à celui des centres
nerveux
; on voit chez les insectes , par exemple, surgir
ils sont doués. Quoique construit sur un plan uniforme, le système
nerveux
des articulés offre cependant de notables différe
stacés, les arachnides et les insectes. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME
NERVEUX
CHEZ LES ANIMAUX ARTICULÉS. 1° Enthelminthes. L
ICULÉS. 1° Enthelminthes. Les enthelminthes ont-ils tous un système
nerveux
? On le dit, mais je ne regarde pas ce fait comme
s supérieur et inférieur de l'ascaride lombricoïde soient des cordons
nerveux
. « Vus sous le microscope, ils ne pré-Ci; Isis, 1
éphalique qui se trouve au-dessus de l'œsophage ; le reste du système
nerveux
est au-dessous du tube digestif. J'ai parlé de
de fidélité chez tous les articulés, c'est l'existence d'un appareil
nerveux
complet pour chacun des anneaux de l'animal, c'es
cupant l'anneau. 2° Annelides. J'ai soigneusement étudié le système
nerveux
du lombric de terre et de la sangsue, j'en parler
par un cordon unique ; il offre en outre (i) V. pl, ire le système
nerveux
du lombric de terre, un peu grtjssi. cette autr
comp. Paris, i835 (V. pl. v, fig. i3) donne la description du système
nerveux
du lombric de terre; on n'y voit pas le ganglion
logicœ duce, Rigœ et Dorpati, 1837, in-4),adonné la figure du système
nerveux
de la Néréide pub. Il y a beaucoup d'analogie ent
sifs, de chacun desquels il sort, à droite et à gauche, trois racines
nerveuses
. (2) Voy. pl. 1, fig. *p*. ressemble à celui
deux paires de nerfs. Entre les ganglions, on ne trouve aucune racine
nerveuse
. Ainsi, deux différences bien tranchées existent
mis de dire que la moelle de la sangsue se compose d'un double cordon
nerveux
, et M. Joseph Swan qui a publié la figure du Syst
e cordon nerveux, et M. Joseph Swan qui a publié la figure du Système
nerveux
du même Annelide, n'a pas même indiqué la trace d
5. in-40. L'auteur a été plus exact dans la représentation du Système
nerveux
de la scolopendre et du homard. 3° Crustacés. O
les crustacés une assez grande variété dans la disposition du système
nerveux
: il en est qui ont des ganglions isolés très ana
ont fait connaître les transitions successives qu'éprouve la matière
nerveuse
pour passer de la forme de ganglions isolés à la
t du travail fait en commun par ces deux naturalistes, sur le système
nerveux
des crustacés. (1) « Le système nerveux des cru
aturalistes, sur le système nerveux des crustacés. (1) « Le système
nerveux
des crustacés se présente sous deux aspects très
a-litre (2), cet appareil est formé par un grand nombre de renflemens
nerveux
, semblables entre eux, disposés par paires et réu
et pour s'en convaincre il suffit de suivre la disposition du système
nerveux
(r) Recherches anat. sur le système nerveux des
disposition du système nerveux (r) Recherches anat. sur le système
nerveux
des crustacés Ann. des se, nat.,mn. 1828, t. xrv,
les figures publiées par 3MM.-4»doiiin et Milne Edwards, ô*u système
nerveux
du talitre et du maïa, d'aulres crustacés. En e
ligne médiane en une seule masse ganglionaire ; mais les deux cordons
nerveux
qui lient ces ganglions entre eux restent encore
montre un nouveau degré de cette espèce de centralisation du système
nerveux
, car non-seulement les ganglions sont devenus imp
n dans le palémon celte réunion des deux moitiés latérales du système
nerveux
est portée à un plus haut degré encore, parce que
ans les crustacés. En même temps que les parties latérales du système
nerveux
se rapprochent de la ligne médiane, des modificat
ques sont, pour ainsi dire, soudés bout à bout, il n'y a qu'une masse
nerveuse
allongée, percée d'un trou pour le passage de l'a
s qui concourent à la former. « Dans le carcin (Cuvier), les noyaux
nerveux
se groupent autour d'un seul point. Dans le maïa,
ent autour d'un seul point. Dans le maïa, la concentration des noyaux
nerveux
est encore portée plus loin , ils sont réunis en
e seule masse solide. » Après cette description générale du système
nerveux
des crustacés, je vais entrer dans quelques détai
abdominale par six. Dans l'intervalle de ces ganglions, les colonnes
nerveuses
sont séparées naturellement ou très facilement sé
et vont se rendre à l'extrémité postérieure de l'animal. Le système
nerveux
du homard ne diffère pas sensiblement de celui
s, en raison du volume plus considérable de l'animal. Les ganglions
nerveux
des crustacés sont blanchâtres ou transparens; le
une dissolution saline. Il est des crustacés qui ont tout le système
nerveux
et même toutes les parties de leur corps, à l'exc
La forme d'un animal indique assez bien la disposition de son système
nerveux
: les crustacés, dont le corps est allongé, ainsi
d'eux et en rayonnant; les céphalopodes ont presque tout leur système
nerveux
dans la tête et ainsi des autres mollusques, suiv
est soudée au ganglion céphalique; un double cordon part de la masse
nerveuse
thoraci- (i) V. Quoy et Gaimard; Observ. sur qu
, aux organes génitaux, etc. (1) On voit dans l'ensemble du système
nerveux
des arachnides un type différent de celui des ann
un type différent de celui des annelides et des crustacés ; la masse
nerveuse
tend à s'agglomérer vers les parties antérieures.
leurs, même parmi les arachnides pulmonaires, on rencontre un système
nerveux
formé de deux cordons parallèles, réunis de dista
5° Insectes. Tous les insectes ont cela de commun que leur système
nerveux
consiste en une chaîne ganglionaire, mais le nomb
s sont séparés, à l'exception des deux derniers, par de longs cordons
nerveux
? (i) F. Pl. (a) F. Cuvier, 'Règne animal^.. 4
ut rendre à chacun la justice que méritent ses œuvres. * Le système
nerveux
de la chenille du bois de saule est formé, d'aprè
sidérable et donne naissance à un grand nombre de nerfs. Deux cordons
nerveux
longitudinaux, l'un à droite et l'autre à gauche,
. Le carabe doré étudie par M. Léon Dufour (1) a une double colonne
nerveuse
réunie de distance en distance par neuf ganglions
oisième pectoral, et les autres appartiennent à l'abdomen. Les filets
nerveux
qui en émanent sortent tous des ganglions, il ne
Léon Dufour (3), la nèpe cendrée et le pentatome gris, ont un système
nerveux
(1) Recherches anat. sur les carahiques, etc.,
sur les carahiques, etc., 1824-25 et a6. (2) V. Pl. ire, le système
nerveux
du hanuelon, par M. Strauss-Durkeim. (3) Recher
'autre (1). La nèpe cendrée a trois ganglions réunis par deux cordons
nerveux
distincts et séparés; le pentatome gris, au contr
rès grande analogie en ce qui concerne la disposition de leur système
nerveux
; chez tous deux c'est une chaîne ganglionaire do
, qu'il y a une très grande différence dans la disposition du système
nerveux
des animaux articulés ; cette différence peut-ell
(2) a appliqué aux insectes , en général , la description du système
nerveux
des chenilles décrites par Lyonet et par Hérold ;
été connues en France, et il a été évident, pour nous, que le système
nerveux
des insectes est construit d'après un plan bien d
(3) a entrepris d'indiquer les lois auxquelles est soumis le système
nerveux
des animaux articulés et il en a posé huit qui so
il en a posé huit qui sont applicables aux articulés dont le système
nerveux
est connu, mais qui probablement ne le seront pas
-t836, 3 vol. in-8° avec atlas. (s) Règne animal de Cuvier, Système
nerveux
des insectes, t. 4»pag- 2t)3« résumé. 1. Le s
stème nerveux des insectes, t. 4»pag- 2t)3« résumé. 1. Le système
nerveux
des animaux articulés est presque toujours compos
digestif. S. Il est douteux que les enthelminthes aient un système
nerveux
. k. Les annelides sont pourvus d'une chaîne gan
crustacés présentent une grande variété dans la forme de leur système
nerveux
; on y retrouve l'analogue du système nerveux des
a forme de leur système nerveux ; on y retrouve l'analogue du système
nerveux
des gastéropodes et de celui des insectes. Des tr
hez les arachnides le nombre des ganglions est très borné, la matière
nerveuse
montre de la tendance à se réunir vers*la tête.
9. Le nombre des ganglions qui entrent dans la composition du système
nerveux
des insectes est très variable ¦ il est différent
des rudimens du nerf grand sympathique. § II. STRUCTURE DU SYSTÈME
NERVEUX
DES ANIMAUX ARTICULES. La conformation du systè
U SYSTÈME NERVEUX DES ANIMAUX ARTICULES. La conformation du système
nerveux
des animaux articulés est aussi variable que la s
e viens d'exposer il résulte que les parties fondamentales du système
nerveux
du ver de terre sont : 1° le ganglion céphalique
donner que des résultats.inexacts. Dans aucun des points du système
nerveux
du lombric de terre, je n'ai aperçu l'espèce de f
semblables, quant à la forme et quant à la structure de leur système
nerveux
. Le ganglion sur-œsophagien ou céphalique est le
er aux ganglions spinaux des vertébrés. J'ai pu isoler une des fibres
nerveuses
de la moelle ventrale , et j'ai trouvé à cette li
trouvé à cette libre un diamètre de 0,005. La structure du système
nerveux
des insectes rappelle de tous points celle des au
n céphalique , des fibres transverses faisant communiquer les racines
nerveuses
d'un côté avec celles de l'autre côté, en passant
int d'avoir et de donner des à-peu-près pour la réalité. Le système
nerveux
des insectes n'a que des fibres rectili-gnes; ces
lorsqu'on se sert de ce dernier instrument. RÉSUMÉ. 1. Le système
nerveux
des animaux articulés est formé de deux séries de
é ne se croisent pas avec celles du côté opposé. , 5° Les ganglions
nerveux
des animaux articulés sont formés de substance gl
és de substance globuleuse et de substance fibreuse. 6° Les cordons
nerveux
sont formés de substance fibreuse seulement. 7°
nerveux sont formés de substance fibreuse seulement. 7° Les fibres
nerveuses
sont canaliculées, rectilignes, et remplies de gl
lobules que l'on en peut faire sortir par expression. 8° Les fibres
nerveuses
naissent toutes des ganglions. 9° Les nerfs ont
ssures, mais pas d'entrecroisement. § III. SIGNIFICATION DU SYSTÈME
NERVEUX
DES ANIMAUX ARTICULÉS. Comparons la chaîne gang
ÉS. Comparons la chaîne ganglionaire du lombric de terre, au centre
nerveux
cérébro-rachidien de l'homme.Chez le lombric une
ric de terre, multipliés et énormément grossis chez l'homme. L'anneau
nerveux
(véritable prolongation des fibres de la chaîne g
arder la chaîne ganglionaire des articulés comme l'analogue du centre
nerveux
céphalo-rachidien des vertébrés. M. Léon Dufour
on : « La nature ne s'est pas écartée, pour l'organisation du système
nerveux
des hémiptères, du plan généralement adopté, car
ur la figure (pl. lre) qui représente la partie supérieure du système
nerveux
du lombric de terre, et vous trouverez qu'elle a
tc., pag. 25g. (2) Gall et Spurzheim : Anat. et physiol. du système
nerveux
en général et du cerveau en particulier. Paris, 1
re transformation (l)v: ce La jeune larve de la mouche-asile a un axe
nerveux
(chaîne ganglionaire), beaucoup plus court que la
la larve se développe, à l'époque où elle se change en nymphe, l'axe
nerveux
descend le long de la partie inférieure de l'anim
l; à mesure que cette descente a lieu, l'angle d'insertion des filets
nerveux
se redresse, les filets obliques deviennent horiz
horizontalement comme les précédens, lorsque la terminaison de l'axe
nerveux
est descendue jusqu'à leur niveau, le bel éventai
es filets disparaît insensiblement, et, à l'examen de la fin de l'axe
nerveux
des insectes parfaits, on ne se douterait jamais
u'il leur donne, mais je lui dirai : si les filets terminaux de l'axe
nerveux
de la mouche-asile, constituent une queue de chev
une queue de cheval, la plus belle qu'il soit possible de voir, l'axe
nerveux
des invertébrés ne représente donc pas la réunion
es, les ganglions spinaux des vertébrés, les nerfs terminaux de l'axe
nerveux
de la mouche-asile, ne représentent pas la queue
me je m'empresse de le reconnaître avec vous, il en résulte que l'axe
nerveux
ou chaîne ganglionaire des invertébrés, est l'ana
enne des vertébrés. Mais, en parlant de la signification du système
nerveux
des mollusques, j'ai déjà réfuté l'opinion des an
analogie entre le système ganglionaire des invertébrés et le système
nerveux
cérébro-spinal des vertébrés ; je ne crois pas qu
ens, au-delà des sensations qu'ils procurent, qu'y a-t-il ? Un centre
nerveux
et des facultés : une âme encore, ont dit un gran
; dans l'ordre organique, c'est suivre le perfectionnement du système
nerveux
. En effet, tout ce que nous savons des mœurs, des
fort au-dessous des fourmis et des abeilles, tandis que leur système
nerveux
, comme celui de tous les animaux vertébrés, offre
vertébrés, offre de nombreux caractères qui le rapprochent du système
nerveux
de l'homme. Est-ce donc qu'entre le système nerve
ochent du système nerveux de l'homme. Est-ce donc qu'entre le système
nerveux
et l'intelligence, il n'y aurait pas un rapport g
apport graduel et nécessaire? Nous verrons, en considérant le système
nerveux
non dans sa totalité, mais dans ses parties, que
les auteurs qui se sont particulièrement occupé de l'étude du système
nerveux
des poissons. Collins (1), Camper (2), Haller (3)
. (10) Recherches d'anatomie et de physiologie comparées du système
nerveux
dans les quatre classes d'animaux vertébrés, etc.
, p. 45.) (11) Op. cit., t. 1, p. i84- (12) Anatomic des systèmes
nerveux
des animaux à vertèbres} etc., in-8", Paris, i8a5
tem, part. 11, Lond., i836, in-40, fig. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME
NERVEUX
CÉRÉBRO-SPINAL DES POISSONS. Chez les mollusque
ticulés, on trouve l'indice d'un nouveau fractionnement de l'appareil
nerveux
; c'est un système particulier uniquement destiné
haut degré chez les mammifères, et enfin, chez l'homme. Le système
nerveux
principal, le seul dont il s'agira désormais, a r
is en formant un seul ganglion, ce Dans mes recherches sur le système
nerveux
des poissons, dit à cette occasion M. Gottsche, j
du nerf de la cinquième paire, on voit de chaque côté un petit filet
nerveux
qui s'implante à la partie inférieure de la moell
omment, si l'on parvient à les réunir, faire la séparation des fibres
nerveuses
et celle de leurs enveloppes? Cette séparation se
ait pourtant nécessaire, car ce qui constitue le nerf, c'est la fibre
nerveuse
, et le nombre des fibres nerveuses, ne peut pas s
i constitue le nerf, c'est la fibre nerveuse, et le nombre des fibres
nerveuses
, ne peut pas se déduire à priori du volume du ner
érieure. La même répétition eût été nécessaire en parlant des racines
nerveuses
de la moelle, qui sont antérieures et postérieu
ouvre plusieurs sillons qui en parcourent la longueur, et des racines
nerveuses
situées parallèlement de chaque côté, les unes su
rième ventricule. Par cette préparation qui n'a déchiré aucune partie
nerveuse
, car entre les bords du sillon dont il s'agit jus
fût, extensible, élastique, ou qu'elle fût plissée. Or, la substance
nerveuse
n'est rien moins qu'élastique; molle et fragile,
cinquante-quatre centimètres de longueur, Desmoulins a vu les filets
nerveux
qui forment la queue de cheval, (iy V. l'encéph
du côté fulcral, et l'autre, du côté spinal. L'isolement des filets
nerveux
chez la baudroie et le poisson-lune n'indique pas
nales, les autres aux fibres transversales dont se compose le système
nerveux
encéphalo-rachidien. 5. La comparaison du poids
moelle épinière est excessivement courte. § IL STRUCTURE DU SYSTÈME
NERVEUX
CÉRÉBRO-SPINAL DES POISSONS. Plusieurs des part
s données positives que l'on ait obtenues sur la structure du système
nerveux
, datent de l'époque à laquelle on a appliqué le m
choses que l'expérience n'a pas du tout confirmées (2). La substance
nerveuse
est pour Delia Torre, composée de globules dispos
sont les plus petits de tous. Prochaska admet aussi que la substance
nerveuse
est formée de globules, et pour lui, ces globules
ntana qui vient après, fait un grand pas; il annonce que la substance
nerveuse
est formée de cylindres à parois très minces, rem
toute la trame des parties organisées est celluleuse, les corpuscules
nerveux
ont la forme des cellules où ils sont logés : d'o
pas entre eux quant aux apparences, quant aux formes de la substance
nerveuse
, tandis que les frères Wenzel sont les seuls qui
nt tués, et après avoir enlevé une tranche très mince de la substance
nerveuse
, il Fa placée aussitôt sur une lame de verre que,
s globules réunis en séries parallèles, qu'il a vu formées les fibres
nerveuses
de la substance blanche et de la substance grise
oiseaux, les reptiles et les poissons. Toutes les parties du système
nerveux
sont, d'après M. Milne Edwards, composées de glob
unes et les autres sont remplies d'une matière liquide, d'une fluide
nerveux
; (i) Archives générales de médecine, Paris, 18
rise contient en outre des globules arrondis, distincts de la matière
nerveuse
. En ce qui concerne les mollusques et les articul
core abordée, celle de savoir s'il existe réellement, dans le'système
nerveux
, deux ordres de fibres cana-liculées, les unes re
'ai attendu, pour cela, que j'eusse à exposer la structure du système
nerveux
cérébro-spinal des vertébrés. Les résultats obt
l'on a suivi jusqu'à présent, dans l'étude de la structure du système
nerveux
. On n'a jamais examiné que des portions séparée
ux. On n'a jamais examiné que des portions séparées de la substance
nerveuse
, et il ne paraît pas que l'on ait songé à pla-
réellement. Je commencerai l'exposition de la structure du système
nerveux
cérébro-spinal des poissons, en parlant de ce qui
nd de la manière dont M. Ehrenberg a opéré. Pour étudier la substance
nerveuse
, M. Ehrenberg l'écrase d'abord entre deux verres,
est nullement besoin d'admettre une nature différente dans les fibres
nerveuses
, il suffit de donner aux unes une enveloppe dense
t de même que pour les mollusques, il y a un névrilème à chaque fibre
nerveuse
. Ce névri-lème manque chez les autres poissons, e
eau formant la moelle épinière est constitué, non plus par des filets
nerveux
, mais par des fibres nerveuses. Ainsi, pour citer
e est constitué, non plus par des filets nerveux, mais par des fibres
nerveuses
. Ainsi, pour citer des exemples, chez l'anguille,
erveuses. Ainsi, pour citer des exemples, chez l'anguille, les fibres
nerveuses
sont réunies; chez le poisson-lune, les filets ne
, les fibres nerveuses sont réunies; chez le poisson-lune, les filets
nerveux
résultant de la fibre nerveuse et de son névrilèm
unies; chez le poisson-lune, les filets nerveux résultant de la fibre
nerveuse
et de son névrilème, sont rapprochés et marchent
tout particulier que j'y prenais , si l'on se rappelle que les filets
nerveux
des animaux articulés ont une double origine, l'u
cervelet; pour les lobes optiques et les lobes olfactifs, des racines
nerveuses
, pour tous une substance granulée et des fibres.
nant parler des fibres. 3. Diamètre et nature des fibres du système
nerveux
cérébro-spinal des poissons. Les fibres composa
des poissons. Les fibres composant la substance blanche du système
nerveux
des poissons présentent des différences suivant
dans tous les nerfs. Plusieurs auteurs ont parlé du volume des fibres
nerveuses
, et ils en ont déterminé le diamètre : parmi les
ns faites par ces anato-mistes, il résulte que le diamètre des fibres
nerveuses
varie beaucoup, non-seulement d'une partie à l'au
staté ce fait et j'en ai cherché la cause. Pour examiner la substance
nerveuse
, on l'écrase entre deux verres; j'ai dit précédem
les fibres est sujet à moins d'incon-véniens. On place un petit filet
nerveux
sur une lame de verre, on cherche à en isoler les
roscope. Il y a bien encore là une compression exercée sur les fibres
nerveuses
, mais elle est légère et d'ailleurs le névrilème
est légère et d'ailleurs le névrilème s'oppose à ce que la substance
nerveuse
s'élargisse beaucoup. Aussi, les fibres des nerfs
s, ne sont jamais variqueuses. Pour déterminer le volume des fibres
nerveuses
, je n'aurai pas recours aux mensurations publiées
lques poissons : j'ai disposé ce tableau suivant le volume des fibres
nerveuses
, en commençant par les plus ténues. Diamètre de
s nerveuses, en commençant par les plus ténues. Diamètre des fibres
nerveuses
des poissons. Millim. Carpe. Fibre du nerf ol
flemens que M. Ehrenberg appelle variqueux ou articulés. Les fibres
nerveuses
des poissons sont-elles creuses ou pleines? doit-
stes conclut des faits qu'il a découverts sur la structure des fibres
nerveuses
, qu'elles sont des véritables tubes contenant un
faitement transparent; jamais distinctement granulaire : c'est le suc
nerveux
, la liqueur nerveuse qui diffère de la moelle des
t; jamais distinctement granulaire : c'est le suc nerveux, la liqueur
nerveuse
qui diffère de la moelle des nerfs, comme le chyl
iffère de la moelle des nerfs, comme le chyle diffère du sang. Le suc
nerveux
n'a pas encore été vu en mouvement, mais il est p
ment, mais il est probable qu'il circule. ce Tous les autres troncs
nerveux
ne sont pas formés de tubes articulés, mais de fa
uelque chose de certain touchant la liqueur contenue dans les tubules
nerveux
; car elle est transparente comme le verre. Seule
is l'appeler ainsi, était plus ténue que celle qui s'écoule des tubes
nerveux
cylindriques, et elle contenait quelques globules
pourquoi je suis en doute sur ce que contiennent réellement les tubes
nerveux
. Le docteur Valentin a vu s'échapper des tubes ne
ment les tubes nerveux. Le docteur Valentin a vu s'échapper des tubes
nerveux
formant la substance cérébrale, une liqueur limpi
s, en apparence semblables, peuvent être ou pleins ou vides de fluide
nerveux
, ce doit être un sujet fort intéressant pour la p
du microscope, quel est l'étal de ces tubes, dans les maladies dites
nerveuses
. Autour du nerf étaient, en grand nombre, des glo
l, je vois des corps blancs s'avancer vers l'ouverture de leurs tubes
nerveux
, et s'amasser au dehors. Tous les tubes pleins so
cente et oléagineuse. Ue expérience. — Carpe. Nerf branchial. Tubes
nerveux
très larges et entièrement vides; la matière qu'i
vu plus haut, du degré de consistance de l'enveloppe de chaque tubule
nerveux
. 9e expérience. —Carpe. Nerf olfactif. A l'œil
nchâtres que l'on voit toutes les fois qu'on a écrasé quelques fibres
nerveuses
. 14e expérience. — Goujon. Les fibres du cervel
es, des carpes, etc. Résulte-t-il de ces expériences que les fibres
nerveuses
soient canaliculées ? 1° Pour les fibres des ne
Ehrenberg et Langenbeck. J'admets avec M. Ehrenberg que les fibres
nerveuses
des poissons sont canaliculées, et je dis qu'elle
je ne pense pas comme lui. La liqueur que j'ai trouvée dans les tubes
nerveux
de l'encéphale , de la moelle épinière et des ner
décrites comme servant à caractériser un ordre particulier de fibres
nerveuses
. j'ai vu, ainsi que M. Langenbeck, une matière
Langenbeck, une matière d'apparence gélatineuse s'échapper des tubes
nerveux
de la carpe ; j'en ai conclu que ce sont bien des
de le faire, M. Langenbeck. En effet, que faut-il pour que le liquide
nerveux
puisse s'écouler des nerfs de la carpe, et qu'il
u le bœuf, il soit dense. C'est précisément ce qui a lieu: le liquide
nerveux
de la carpe se comporte presque comme de l'huile;
de l'huile; il n'en est pas ainsi chez les haut-vertébrés. Les fibres
nerveuses
des poissons sont donc de véritables tubes et s'i
xiste une notable différence entre la matière contenue dans les tubes
nerveux
des vertébrés et celle des invertébrés ; chez ces
es vertébrés et celle des invertébrés ; chez ces derniers, la matière
nerveuse
consiste en un liquide séreux dans lequel se trou
. RÉSUMÉ. 1. La moelle épinière des poissons est formée de fibres
nerveuses
longitudinales, de granulations et de vaisseaux s
se, des fibres composent la substance blanche. 3. Toutes les fibres
nerveuses
, celles des nerfs, comme celles de la moelle épin
et la moelle épinière fasciculée des autres poissons. 5. Les fibres
nerveuses
de la moelle épinière se continuent directement d
nglions encéphaliques donnent naissance à des nerfs. 12. Les fibres
nerveuses
des poissons varient depuis 0 mill. 00083, jusqu'
plus petites de toutes sont les fibres transverses. 13. Les fibres
nerveuses
sont creuses, canaliculées, toutefois ce fait n'e
nce , des passions et des instincts avec le développement des centres
nerveux
, non pas pour prouver une doctrine, mais pour en
c'est qu'il ne faut pas attribuer à la forme qu'affecte la substance
nerveuse
encéphalique, un très grande importance ; en effe
ser à de nombreux mécomptes. Avec des formes très simples, le système
nerveux
des insectes donne des produits extrêmement varié
ont en effet très analogues, pourtant il y a dans la forme du système
nerveux
cé-phalique des uns et des autres, une très grand
une très grande différence. La comparaison du volume de la substance
nerveuse
encéphali- (i) Op. ttY.pl. l,fig. 5 et6. que,
principal qui caractérise l'amour physique. CHAPITRE IV. SYSTÈME
NERVEUX
CÉRÉBRO-SPINAL DES REPTILES. On a moins écrit s
ERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES REPTILES. On a moins écrit sur le système
nerveux
des reptiles que sur celui des poissons; ces dern
donnée en raison des nombreuses différences que présente leur système
nerveux
avec celui des autres vertébrés, et surtout à cau
de la tortue d'Europe, a donné des figures très exactes du sys*-tème
nerveux
de cet animal; l'ouvrage déjà cité de M. Swan con
age déjà cité de M. Swan contient des figures représentant le système
nerveux
de la tortue verte ; le savant professeur Mayer d
rte ; le savant professeur Mayer de Bonn a donné la figure du système
nerveux
encéphalique du meno--poma et du menobranchus, de
(1) dmtome testudinis europea, Wilna 1819-1831» in-fol. 40 pl. tème
nerveux
encéphalo-rachidien de la salamandre terrestre. (
érêt, méritent de fixer ici notre attention. Si les formes du système
nerveux
cérébro-spinal des reptiles sont bien connues, il
frappent nosveux. Les objets que nous avons décrits dans le système
nerveux
des poissons, sous quelles apparences se représen
ner tractatus, Berlin 1827.in-fol.3 pl. § I. description du système
nerveux
cérébro-spinal des reptiles. Le système nerve
iption du système nerveux cérébro-spinal des reptiles. Le système
nerveux
cérébro-spinal des reptiles n'offre pas, à beauco
z les reptiles, ce sont des nerfs moins considérables, et des centres
nerveux
, des ganglions plus gros. Ainsi, chez les reptile
xtrémité antérieure, ordinairement un peu renflée, fournit les filets
nerveux
olfactifs. 2° Lobes optiques. Ces lobes situés
les lobes optiques. Je n'ai pas eu l'occasion de disséquer le système
nerveux
du crocodile, je ne puis, par conséquent juger la
lle épinière, n'étaient aucunement nécessaires. En effet, les racines
nerveuses
n'entrent pas dans la moelle sans s'être auparava
doubles, comme chez tous les vertébrés. § II. structure du système
nerveux
cérébro-spinal des reptiles. Avant de parler de
pinal des reptiles. Avant de parler de la structure de la substance
nerveuse
, je consignerai ici un fait d'observation microsc
pour la résoudre. J'ai suivi, dans l'étude microscopique du système
nerveux
céphalo-rachidien des reptiles, les mêmes procédé
s filets d'origine des nerfs rachidiens. Ces filets divisés en fibres
nerveuses
, se continuent directement avec les fibres longit
à une légère pression. S. Diamètre et nature des fibres du système
nerveux
cerebro-spinal des reptiles. Le diamètre des fi
système nerveux cerebro-spinal des reptiles. Le diamètre des fibres
nerveuses
des reptiles est loin d'être égal dans les nerfs,
s , et j'ai fini par les plus volumineuses. Le diamètre, des fibres
nerveuses
des reptiles ne diffère pas en réalité de celui d
ramification, la fibre/1) (4) Voyez page 194. Diamètre des fibres
nerveuses
des reptiles. Grenouille Fibre du cerveau......
e tableau concernant les reptiles, c'est une fibre remplie de matière
nerveuse
. La différence qu'il y a entre une fibre pleine e
e avec celle qui la précède ; toutes deux appartiennent au même filet
nerveux
, celle qui était pleine avait un diamètre de 0mra
rait. En entrant dans la moelle rachidienne, les fibres des racines
nerveuses
perdent tout-à-coup de leur volume, elles présent
le point que j'ai indiqué, le né-vrilème les abandonne. Les fibres
nerveuses
des reptiles sont canaliculées comme celles des p
même que chez les poissons, il n'y a pas d'entrecroisement des fibres
nerveuses
de la moelle. 7. Les faisceaux fulcraux de la m
stent en aussi grand nombre qu'à la moelle allongée. 12. Les fibres
nerveuses
des reptiles varient de 0mi11-,00083 jusqu'à 0m!i
du corps strié sous-jacent à cette membrane. CHAPITRE V. SYSTÈME
NERVEUX
CEREBRO SPIBJAL DES [OISEAUX. L'étude des verté
, ou bien y a-t-il entre eux une relation nécessaire ? Peu de matière
nerveuse
, et des instincts bornés à l'alimentation, à la r
des conditions de développement, de forme et de structure du système
nerveux
qui coïncident avec telles ou telles facultés ins
c'est être également loin de la vérité. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME
NERVEUX
CÉRÉBRO-spinal DES OISEAUX. Dans tous les oisea
VEUX CÉRÉBRO-spinal DES OISEAUX. Dans tous les oiseaux , le système
nerveux
cérébro-spinal offre une grande conformité : c'es
Les lobes optiques sont creux, la cavité en est tapissée par une lame
nerveuse
blanche ; cette cavité communique avec l'aqueduc
élargie. V. t. r, p. 3î5 de l'édition in-40 de X Anntomie du système
nerveux
de Call et Spurzheim, 2. La face convexe du cer
ique avec le canal central de la moelle. § II. STRUCTURE DU SYSTÈME
NERVEUX
CÉRÉBRO-SPINAL DES OISEAUX. Des fibres nerveuse
STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES OISEAUX. Des fibres
nerveuses
canaliculées et des globules nerveux sont, en der
INAL DES OISEAUX. Des fibres nerveuses canaliculées et des globules
nerveux
sont, en dernière analyse, les élémens organiques
les des nerfs rachidiens. Elle est formée de granules et de fibrilles
nerveuses
transversales, d'un très petit diamètre. La subst
osition que des grosses fibres blanches, longitudinales. Les fibres
nerveuses
formant les racines des nerfs rachidiens provienn
a substance grise présente un aspect granulé, confus, quelques fibres
nerveuses
que la compression a rendues articulées, et un no
pag. et 8 pl.; pl. vii, fig. 5g. M. Valentin a fait figurer des anses
nerveuses
qui se rendraient dans^la substance jaune du cerv
étendu qu'ils ne l'ont en réalité. o. Diamètre et nature des fibres
nerveuses
du système cérébro-spinal des oiseaux. Les extr
ns : c'est là la seule différence importante à noter entre les fibres
nerveuses
de ces animaux et celles des oiseaux, car l'ordre
i, il ne faut pas nous presser de conclure que le diamètre des fibres
nerveuses
diffère d'après la nature de leurs propriétés.
échiré le névrilème de plusieurs d'entre elles. Diamètre des fibres
nerveuses
des oiseaux. M. Pigeon. Fibre de la commissur
, autant que chez les poissons et les reptiles, d'exprimer des fibres
nerveuses
la matière blanche qu'elles contiennent. Chez les
la différence de température que présentent ces animaux. Une matière
nerveuse
trop fluide s'échapperait des tubes nerveux des a
ces animaux. Une matière nerveuse trop fluide s'échapperait des tubes
nerveux
des animaux à sang chaud ; une matière nerveuse t
'échapperait des tubes nerveux des animaux à sang chaud ; une matière
nerveuse
trop dense ne serait pas appropriée à la températ
ansverses ou commissure diffuse du cervelet. 7. Les canaux ou tubes
nerveux
, sont moins facilement observables chez les oisea
ptiles et les poissons. 8. Les extrêmes d'élargissemétit des fibres
nerveuses
sont depuis 0, 001 jusqu'à 0, 01411. § III. FAC
cher? Celle question est posée depuis long-temps : l'étude du système
nerveux
doit en préparer la solution. 1. Les sens de la
nt d'aucun fait anatomique ou physiologique. CHAPITRE VI. SYSTÈME
NERVEUX
CÉREBRO SPINTAI. DES MAMMIFERES. En considérant
onsidérant quel grand nombre d'ouvrages ont été écrits sur le système
nerveux
cérébro-spinal des mammifères, on serait tenté de
a différence que présente leur cerveau. § I. DESCRIPTION du SYSTÈME
NERVEUX
CÉRÉBRO-spijnal des MAMMIFÈRES. Il sera ici peu
u acquiert une supériorité incontestable sur tout le reste du système
nerveux
, ses parties accessoires, telles que les couches
rrière elles communiquent au cervelet par l'intermédiaire d'une toile
nerveuse
mince, appelée valvule de Vieussens, laquelle est
v.), par une lamelle très mince et presque transparente de substance
nerveuse
qui sert de pont à la partie postérieure de l'aqu
e diamètre de chaque nerf. Des nerfs extrêmement petits ou des fibres
nerveuses
peuvent se mesurer facilement à l'aide du micro
est moins épais el surtout moins large. § II. structure du système
nerveux
cérébro-spinal des En exposant la structure du
tème nerveux cérébro-spinal des En exposant la structure du système
nerveux
cérébro-spinal de l'homme, j'aurai soin d'indique
ici sur l'ana-lomie des mammifères, en donnant le diamètre des fibres
nerveuses
chez la chauve-souris, le rat, le chien et l'âne.
mètre de ces fibres chez un même animal, suivant la partie du système
nerveux
cérébro-spinal où on les observe, j'ai mis à la s
les unes des autres toutes les mensurations qui concernent les fibres
nerveuses
de l'âne. Il résulte de ces mensurations, que la
es,les corps striés, les couches optiques, etc. diamètre des fibres
nerveuses
des mammifères. mammifères. mm. Chauve-souk
ir pu suivre, par la dissection, le cercle formé ainsi par les fibres
nerveuses
. La circulation nerveuse, et avec elle les fonc
ion, le cercle formé ainsi par les fibres nerveuses. La circulation
nerveuse
, et avec elle les fonctions intellectuelles, suiv
utre, d'après le volume relatif de la substance qui compose le centre
nerveux
céphalo-rachidien. La manière dont la substance
ue celui de l'homme de la moitié environ ( t) Anatomie des systèmes
nerveux
des animaux vertébrés, etc. Paris, f 8a: , ir.-S,
uels rapports existent, dans toute la série animale, entre le système
nerveux
et les facultés de l'intelligence. RÉSUMÉ. 1.
ÈRES TRAITÉES DANS LE PREMIER VOLUME. chapitre premier. système
nerveux
des mollusques. 7 § I. Description du système ner
remier. système nerveux des mollusques. 7 § I. Description du système
nerveux
des mollusques. 8 § II. Structure du système nerv
ption du système nerveux des mollusques. 8 § II. Structure du système
nerveux
des mollusques. 23 III. Signification du système
e du système nerveux des mollusques. 23 III. Signification du système
nerveux
des mollusques............... 31 § IV. Facultés
es animaux articulés.............. 53 § I. Description du système
nerveux
chez les animaux articulés.......| . . . . 55 §
les animaux articulés.......| . . . . 55 § II. Structure du système
nerveux
des animaux articulés..............71 § III.
animaux articulés..............71 § III. Signification du système
nerveux
des animaux articulés..............79 § IV. F
Facultés des animaux articulés......85 chapitre troisieme. système
nerveux
cérébro-spinal des poissons.............136 §
o-spinal des poissons.............136 § I. Description du système
nerveux
cérébro-spinal des poissons.............138 1
Moelle épinière des poissons.........157 % II. Structure du système
nerveux
cérébro-spinal des poissons............ 164 1
des poissons....... 184 3. Diamètre et nature des fibres du système
nerveux
cérébro- spinal des poissons...........191 §
éparties aux poissons.............215 CHAPITRE QUATRIÈME. Système
nerveux
cérébro-spinal des reptiles .......... 223 § I.
ébro-spinal des reptiles .......... 223 § I. Description du système
nerveux
cérébro-spinal des reptiles............. 225
oelle épinière des reptiles......... 237 § II. Structure du système
nerveux
cérébro-spinal des reptiles............. 240
des reptiles....... 242 3. Diamètre et nature des fibres du système
nerveux
cérébro- spinal des reptiles........... 444 §
rties aux reptiles.............. 264 CHAPITRE CIMQUIÈBIE. Système
nerveux
cérébro-spinal des oiseaux............. 270 §
o-spinal des oiseaux............. 270 § I. Description du système
nerveux
cérébro-spinal des oiseaux . . • ....... 276
Moelle épinière des oiseaux......... 291 § II. Structure du système
nerveux
cérébro-spinal des oiseaux............. 294 1
l'encéphale des oiseaux....... 295 3. Diamètre et nature des fibres
nerveuses
du système céré- bro-spinal des oiseaux........
éparties aux oiseaux ... .......... 343 CHAPITRE SIXIÈME. Système
nerveux
cérébro-spinal des mammifères............. 357
-spinal des mammifères............. 357 I. Description du système
nerveux
cérébro-spinal des mammifères...........358 1
PLETES D E J.-M. CHARCOT LEÇONS sur les MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
RECUEILLIES ET PUBLIÉES par BOURNEVILLE T
a pu hésiter sur la question de savoir à quel département du système
nerveux
ou périphérique il fallait rattacher l'ensemble d
que l'ataxie était une névrose : pour ceux-ci, la lésion des centres
nerveux
, trouvée à l'autopsie, ne se produirait qu'à la l
lgurantes, on trouve, dans certains points bien déterminés du système
nerveux
— les faisceaux postérieurs de la moelle épinière
comotrice progressive, est une des formes de la sclé-rose des centres
nerveux
. La sclérose ou induration grise des centres ne
se des centres nerveux. La sclérose ou induration grise des centres
nerveux
répond, vous ne l'avez pas oublié, à l'un des mod
hose fibrillaire de la névroglie s'effectuant aux dépens des éléments
nerveux
ou s'opérant, tout au moins, parallèlement à la d
ésion irritative ? Est-ce la névroglie? Est-ce au contraire l'élément
nerveux
? J'avoue que, considé-rant comment l'altération r
ns exclusivement bornées, par exemple, à certains groupes de cellules
nerveuses
, à certains faisceaux de fibres? Il est permis d'
ermet de constater quel groupe de cellules, quels faisceaux de fibres
nerveuses
ont été irrités, atrophiés ou détruits. Mettez en
ion occupant le même siège, mais dans laquelle la lésion des cellules
nerveuses
s'o-père non plus suivant le mode aigu, mais bien
ont à leur tour envahies par l'altération, et en même temps les tubes
nerveux
se mon-trent atrophiés en grand nombre dans les r
rée des Archi. ves de physiologie-) nés (Kôlliker). Mais ces filets
nerveux
n'entrent pas seuls dans la composition des bande
ue, suivant la des-cription de Kôlliker, un certain nombre des filets
nerveux
qui composent les faisceaux radiculaires internes
grise, et peuvent être suivis jusqu'à ce groupe externe des cellules
nerveuses
motrices. C'est vraisemblablement par la voie de
nerveuses motrices. C'est vraisemblablement par la voie de ces tubes
nerveux
que le processus irritàtif, primitivement dévelop
s et des crises gas-triques. Sommaire. — Relations entre les filets
nerveux
radiculaires internes et le groupe des cellules n
re les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules
nerveuses
multipolaires des cornes antérieures. — Des sympt
tions relativement à la connexion qui paraît exister entre les filets
nerveux
radiculaires internes issus des racines posté-rie
nes issus des racines posté-rieures et le groupe externe des cellules
nerveuses
multipo-laires des cornes antérieures. Je suis am
ires, soit de cellule à cellule, soit entre les cellules et les tubes
nerveux
, tant des racines antérieures que des ra-cines po
ramifier, et acquiert bientôt les caractères histologiques d'un tube
nerveux
. C'est ce prolongement que Deiters a fait con-naî
Deiters a fait con-naître sous le nom de Nervenforsatz (prolongement
nerveux
). Tous, ou à peu près, les prolongements nerveux,
orsatz (prolongement nerveux). Tous, ou à peu près, les prolongements
nerveux
, suivant M. Gerlach, se dirigent manifestement ve
e manière à constituer ce que M. Gerlach appelle lere'seau des fibres
nerveux
[Nerven fasernetz). C'est par l'intermédiaire de
x radiculaires postérieurs entreraient en connexion avec les cellules
nerveuses
des cornes antérieures l. Il y a loin de ces donn
les cellules 1 Gerlach. — In Stricker's Handbuch, t. II, p. 683.
nerveuses
, soit entre elles, soit avec les filets nerveux d
h, t. II, p. 683. nerveuses, soit entre elles, soit avec les filets
nerveux
des ra-cines, tant antérieures que postérieures.
r, par une action à distance sur les régions supérieures de ce cordon
nerveux
. C'est ce que met bien en lumière une expérience,
primitive qui s'attaque simultané-ment à différents points du système
nerveux
, et qui, dans la règle, — il y a des réserves à f
y a quelques années, par deux malades accusant une foule de symptômes
nerveux
bizarres, que je croyais pouvoir rattacher à l'hy
quant à la texture, beaucoup plus de la substance blanche des centres
nerveux
que tous les autres nerfs. C'est ainsi que, dans
nctives étoilées et un réticulum fibroïde. J'ajou-terai que les tubes
nerveux
qui les composent sont très déliés, très délicats
licats et offrent, en conséquence, une grande analogie avec les tubes
nerveux
de l'encéphale Exposons, en premier lieu, les c
e beaucoup à croire que, de même que dans la moelle épinière, le tube
nerveux
est affecté en premier lieu, antérieurement à la
insi pourquoi, dans la lésion tabélique des nerfs optiques, l'élément
nerveux
subit une destruction comparative-ment bien plus
, avec substitution fibrillaire, destruction consécutive des éléments
nerveux
; le processus morbide affecte là une marche plus
à l'étude ophthalmoscopique dans la clinique des maladies des centres
nerveux
. Je ne saurais donc trop vous recommander, Messie
nnées plus ou moins directement à une lésion protopathique du système
nerveux
n'est pas, tant s'en faut, un accident exceptionn
emment à titre de symptôme de la lésion de ce département des centres
nerveux
. On observe surtout ces arthropathies : 1° dans
ez pour plus de détails, Charcot : Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, p. 100, 5e édition. 2 Charcot, loc. «7.,
e vous, qui ne sont pas déjà versés dans la connaissance des maladies
nerveuses
pourront d'ailleurs reconstituer ce tableau class
accidents qu'elles occasion-nent, en interrompant le cours des fibres
nerveuses
dans la moelle, constituent souvent les premiers
nce. Car, Messieurs, les effets de la compression lente sur le centre
nerveux
spinal ne varient guère que suivant la région de
ente la moelle au milieu du canal rachidien. Vous savez que ce cordon
nerveux
, recouvert de son enveloppe propre, la pie-mère,
à laquelle il n'est guère attaché que par l'intermédiaire des racines
nerveuses
et du ligament dentelé. L'arachnoïde joue le rôle
a dure-mère (périméninge ) ; c) aux dé-pens des racines et des troncs
nerveux
; d) dans la dure-mère ou dans l'arachnoïde et la
asies qui composent les tumeurs se substituent lentement aux éléments
nerveux
plutôt qu'elles ne les compriment méca-niquement.
nés en dehors de ce conduit osseux. avec l'interception des fibres
nerveuses
spinales, tandis que ces phénomènes, dans les cas
ation et tous leurs autres caractères, la substance grise des centres
nerveux
où, d'ailleurs, ils naissent de préférence. Les g
meurs bien déli-mitées, énucléables ; ils se confondent avec le tissu
nerveux
par des nuances insensibles. Cependant le gliôme
véolaire propre au réticulum de lanévroglie et, de plus, les éléments
nerveux
font absolument défaut. Je n'insisterai pas dav
ère et la moelle, occasionnent prompte-ment l'aplatissement du cordon
nerveux
et les phénomènes qui en sont la conséquence. 3
une partie de sa surface extérieure. Il va sans dire que les troncs
nerveux
dans leur trajet à tra-vers des parties ainsi alt
les plus graves de cet état de choses sera la compression des troncs
nerveux
en plus ou moins grand nombre, à leur passage à t
revenons, Messieurs, au cancer vertébral. La com-pression des troncs
nerveux
par le mécanisme qui vient d'être indiqué n'est p
lir malgré l'existence de lésions profondes. — Régénération des tubes
nerveux
au niveau du point com-primé . Des symptômes. —
ose et accompagnée d'une destruction plus ou moins complète des tubes
nerveux
. Je vous présente une planche où vous pourrez r
e-ment épaissies. Pour la plupart, les cylindres de myéline des tubes
nerveux
ont disparu, et on trouve à leur place des amas d
'aspect scléreux et où l'on aurait pu croire que toute trace de tubes
nerveux
avait disparu. L'histologie nous montre que la
dure, le microscope fait découvrir une assez grande quantité de tubes
nerveux
, munis de leur cylindre d'axe et de leur envelopp
très normalement constitués. C'est par l'intermédiaire de ces tubes
nerveux
que s'effec-tuait, pendant la vie, la transmissio
En premier lieu, comment s'est produite la réparation de ces tubes
nerveux
qui ont rétabli les communications ner- III.
ttachent directement aux effets de l'interruption du cours des fibres
nerveuses
dans la moelle, ne s'observent presque jamais, da
moelle nor-male, considérée dans le même point. — Le nombre des tubes
nerveux
était en conséquence, dans le point comprimé de l
substance grise où l'on ne retrouvait qu'un petit nombre de cellules
nerveuses
intactes. Cependant, ces conditions, en apparence
s de la colonne vertébrale, dans lesquelles se distribuent des filets
nerveux
en assez grand nombre et qui peuvent devenir, dan
e (périméninge) où pénètrent par les trous de conjugai-son des filets
nerveux
multipliés qui accompagnent les sinus vertébraux
la dure-mère. Purkinje, Kôlliker, Luschka la disent privée de rameaux
nerveux
; Ru- clinicien, car c'est elle qui fournit, da
rtébrale à ses débuts. Les symptômes dus à l'irritation des racines
nerveuses
ou des nerfs périphériques sont d'ailleurs consta
n soit le point de départ, ne peut manquer de ren-contrer les racines
nerveuses
ou les nerfs mixtes dans leur VI. On désigne
lysie, la contracture. Au reste, la nature inflammatoire de la lésion
nerveuse
a été plusieurs fois nette-ment constatée, entre
amènent un résultat analogue, en produisant l'irritation des cordons
nerveux
après leur sortie du rachis (anévrysme aortique,
ns une région plus ou moins limitée ; tantôt, au contraire, le trajet
nerveux
paraît affecté dans toute l'étendue de son parcou
lus commun — quand la production morbide presse également les racines
nerveuses
des deux côtés de la moelle. A l'appui de ces a
n établissant qu'elle résulte de la pres-sion qu'éprouvent les troncs
nerveux
dans les trous de con-jugaison, et qu-'elle ne dé
ême: c'est la compression, l'irritation vive que subissent les troncs
nerveux
, et dans le cas de cancer vertébral, en particuli
t exclusive-xnent circonscrites à la distribution de tel ou tel tronc
nerveux
. Il importe d'ailleurs de remarquer que, quel que
en travers ou ne portent que sur une des moitiés latérales du cordon
nerveux
. Premier cas: Succession des symptômes. — Prédo
Second cas : Lésions portant sur une des moitiés latérales du cordon
nerveux
. — Circonscription de la lésion. — Hémiparaplégie
s ; tantôt elle ne porte que sur une des moi-tiés latérales du cordon
nerveux
. C'est le premier cas, — de beaucoup le plus fréq
dans l'immense majorité des cas, les éléments qui composent le centre
nerveux
spinal réa-gissent à leur manière. Au niveau du p
ns organiques primitivement situées en dehors de la moelle, ce centre
nerveux
n'a pas encore manifesté sa souffrance. Quels son
e fait de la seule intercession mécanique de la continuité des fibres
nerveuses
. Quoi qu'il en soit, Messieurs, la réalité para
émise récemment par M. Budge relativement au mode d'action du système
nerveux
central sur les fonctions de la vessie 2. En ré
est rendue difficile par l'interruption d'un certain nom-bre de tubes
nerveux
(centripètes), ces impressions seraient transmise
nnaires, liées entre elles par leurs prolongements jusqu'à des fibres
nerveuses
restées saines ; ces impressions parvenues au cen
la règle commune, rapportées à la périphérie de ces dernières fibres
nerveuses
, et de là proviendrait l'erreur dans la localisat
, que la compression porte, par exemple, sur le côté gauche du cordon
nerveux
, ainsi que cela avait lieu dans un fait dont j'ai
esthésie tan- 1 Voyez Charcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, tome I, p. 27. dis qu'ils occuperaient le même
rcot et Gombault. — Note sur un cas de lésions disséminées des centre
nerveux
observées chez une femme syphilitique. In Archive
celle qui dépend d'une lésion de la moelle. — Altération des cellules
nerveuses
mo-trices et tumeurs de la moelle, cause d'une tr
nts : A l'origine, une douleur vive occuperait le trajet des troncs
nerveux
comprimés et irrités ; il pourra s'y joindre une
totale des actes réflexes 1. b) La compression subie par les filets
nerveux
qui donnent naissance au plexus brachial n'est pa
mem-bres. 1 Sur la paraplégie cervicale par compression des troncs
nerveux
, consultez : Brodie. — Injuries of the spinal Cor
rs (t. II, p. 319.) 2 Gharcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, tome L, p. 218, 219. commotion cérébrale, —ne
ne époque où nos moyens d'exploration, en ce qui concerne les centres
nerveux
, étaient beaucoup moins puis-sants qu'ils ne le s
tendent à démontrer que la lésion primitive réside dans les cellules
nerveuses
. 1. Messieurs, Je veux appeler votre attent
n déterminés de la substance grise, à savoir : Yappareil des cellules
nerveuses
dites motrices, lesquelles, comme vous le savez,
xemple plus propre à éta-blir l'action directe des lésions du système
nerveux
central sur la nutrition des parties osseuses, pu
u des lésions des muscles, et en deuxième lieu des lésions du système
nerveux
. {"Lésions des muscles. — Je serai bref sur ce
un point qui réclame de nouvelles recherches. 2° Lésions du système
nerveux
. — Lésions spinales. Les lé-sions spinales dont j
ndus delà Société de Biologie, 1864, p. 187. La lésion des cellules
nerveuses
motrices dans la paralysie infantile a été, pour
disparition ou l'atrophie granuleuse d'un certain nombre de cellules
nerveuses
motrices et, en outre, l'existence de plusieurs f
, nous nous sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules
nerveuses
motrices, qui se trouve déjà mentionnée dans les
omique initial, les lésions de la névroglie et l'atrophie des racines
nerveuses
devant être considérées comme des phénomènes cons
ns une discussion en règle à propos du rôle que je prête aux cellules
nerveuses
motrices dans la production des lésions trophique
n point de départ dans le tissu conjonclil intermédiaire aux éléments
nerveux
? N'est-il pas plus vrai-semblable qu'elle prend o
tement cloués de fonctions propres, comme sont les grandes cellules
nerveuses
dites motrices? C'est ainsi que, suivant la théor
ent être rattachées à une irritation occupant primitivement les tubes
nerveux
qui entrent dans la compo-sition de ces faisceaux
ration d'un certain nombre, voire même d'un groupe entier de cellules
nerveuses
, est la seule lésion que l'examen histologique pe
rer plus accusées vers les parties centrales d'un agrégat de cellules
nerveuses
que dans les parties périphé-riques ; beaucoup pl
nous paraît évident, d'après tout ce qui précède, que les cellules
nerveuses
motrices sont bien réellement le siège pri-mitif
e aux faisceaux antéro-latéraux. La lésion en question des cellules
nerveuses
, à en juger d'après le caractère des altérations
s, nous renseigner. De même, en effet, que cela arrive pour les tubes
nerveux
, les cellules nerveuses irri-tées s'atrophient et
même, en effet, que cela arrive pour les tubes nerveux, les cellules
nerveuses
irri-tées s'atrophient et, au dernier terme du pr
, seraient un fait secon-daire, consécutif à l'affection des cellules
nerveuses
. Dans les cas de date ancienne, elles consistent
oïde du réticulum, avec dispa-rition plus ou moins complète des tubes
nerveux
et conden-sation du tissu; mais ce sont là seulem
ne vient infirmer la théorie d'après laquelle f appareil des cellules
nerveuses
motrices serait le premier foyer et comme le poin
M. Petit/ils, travail ayant pour titre : Atrophie aiguë des cellules
nerveuses
. (J.-M. C.) et 15 ans 1/2), ils élablissent une
foyers limités ayant fait disparaître des groupes entiers de cellules
nerveuses
et produit l'épaississement fibroïde du tissu int
ésentent 1 Ces vues, relatives au rôle de l'altération des cellules
nerveuses
des cornes antérieures dans la pathogénie de la p
rès vraisemblable, que le processus morbide occupe d'abord la cellule
nerveuse
, pour se propager ensuite à lanévroglie. Comment,
à nos études, consiste, en général, pour ce qui concerne les cellules
nerveuses
, en une atrophie scléreuse plus ou moins accentué
ulaire surtout marquée au voi-sinage immédiat des groupes de cellules
nerveuses
. Ces observations établissent — comme on voit —
iphérie, les lésions trophiques musculaires les Fiq, 10. — Cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la moelle épinière. — A
ormal et comme contournés. J'ai comparé cette altération des cellules
nerveuses
de la moelle épinière à l'hypertrophie que présen
fluence de certains processus irritatifs, le cylindre axile des tubes
nerveux
, soit dans le centre cérébro-spinal, soit dans le
ig. 16, B). plus graves, sans qu'il y ait dissociation des éléments
nerveux
et conjonctifs et autrement dit ramollissement *.
hino, c'est que, dans ses premières phases, l'altération des cellules
nerveuses
est marquée par une atrophie avec pigmentation ex
lieu de rappeler les principaux modes d'altération dont les cellules
nerveuses
des cornes grises antérieures de la moelle épiniè
e crois, du moins 2° Quelques auteurs ont décrit, dans les cellules
nerveuses
de l'encéphale, une multiplication des noyaux (Jo
ème du grand sympathique, la présence de deux noyaux dans une cellule
nerveuse
est un fait rare sans doute, mais qui se montre d
rocessus irritatif; on ne connaît pas une prolifération de la cellule
nerveuse
correspondant à la prolifération des * léments ce
terai plus longuement sur l'altération, dite pigmentaire, des celhdes
nerveuses
spinales. C'est un fait normal, pour ainsi dire,
ie? Quoi qu'il en soit, l'accumulation de pigment, dans une cellule
nerveuse
spinale, ne suffit pas, à elle seule, quelque mar
10, C, D). 5° Enfin, une dernière forme d'altération de la cellule
nerveuse
motrice est celle que l'on désigne quelquefois so
le temps, relativement à l'enchaînement des phénomènes. Les cellules
nerveuses
seraient le premier siège et le point de départ d
te simple de la désorganisation dont souffre l'appa-reil des cellules
nerveuses
motrices. De cette même lésion des éléments gangl
f tant de fois déjà, savoir: la lésion atrophique aiguë des cellu-les
nerveuses
motrices. D'un autre côté, les phénomènes sur les
ne vont pas toujours aussi loin et les éléments, tant conjonctifs que
nerveux
, pourront se montrer profondément altérés, sans a
cueil, 1874, p. 603.) hir une grande partie de la hauteur du cordon
nerveux
, de telle sorte que, par exemple, la région dorsa
de la paralysie infantile, relè-vent de l'atrophie aiguë des cellules
nerveuses
motrices. 1 Charcot. — Leçons sur les maladies
nerveuses motrices. 1 Charcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, p. 63, note 1. ONZIÈME LEÇON Des amyot
trophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules
nerveuses
motrices cbt ici consécutive: elle se surajoute à
ltération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules
nerveuses
, névroglie). — Lésions des racines nerveuses et d
ubstance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines
nerveuses
et des nerfs périphériques. — Lésions mus-culaire
ée aux cornes grises antérieures ; l'alté-ration des grandes cellules
nerveuses
étant d'ailleurs une condition nécessaire, sine q
ques. Ici, en effet, la lésion des cornes antérieures et des cellules
nerveuses
est nécessairement présente aussi, mais elle n'es
conclusions de travaux français. (.T.-M. GharcoO. que les cellules
nerveuses
motrices subissent des altérations plus ou moins
ux latéraux de la moelle épinière, dans toute la hauteur de ce cordon
nerveux
. Cette sclérose fasciculée peut même être suivie,
ures de la substance grise, et plus particulièrement sur les cellules
nerveuses
de la région, en conséquence de quoi les symptôme
que l'on sait des paralysies propre-ment dites ou par défaut d action
nerveuse
. Soit, par exemple, une paralysie des membres inf
e-gré plus ou moins prononcé de paralysie par suppression de l'action
nerveuse
s'ajoute aux effets de l'amyotrophie protopa-thiq
usculaire protopathique. — A, Corne antérieure gauche. ('Les cellules
nerveuses
ont persisté, mais présentent des altérations qua
ion dans tous ses diamètres (Fig. 11). Pour ce qui est des cellules
nerveuses
, ce sont tantôt les ca-ractères de l'atrophie pig
ndance exclusivement dans l'aire des cornes antérieures. Les cellules
nerveuses
motrices présentent là tous les degrés pos-sibles
ur les coupes durcies, on retrouve cette même altération des cellules
nerveuses
. Beaucoup d'entre elles ne sont plus représentées
elle, mais surtout ù la région cervicale, un grand nombre de cellules
nerveuses
des cornes antérieures ont disparu, à l'exception
de la région cervicale, sont atrophiées ; on y trouve quelques tubes
nerveux
présen-tant l'altération granulo-graisseuse. 1
à ce point de vue, considérées comme non avenues l. 2° Les racines
nerveuses
antérieures et les nerfs périphéri-ques sont affe
heureusement la relation de l'autopsie, en ce qui concerne le système
nerveux
, n'est pas accompagnée, dans ces cas, de détails
peut, a l'œil nu, paraître tout à t'ait saine, alors que les cellules
nerveuses
de la substance grise ont subi cepen-dant les plu
t (Ueùer progressive Muskelatrophies Berlin, 1873), contre la théorie
nerveuse
de l'amyotrophie progressive (Obs. I, II, IV, et
d'une époque (de 1838-1867), où le rôle de l'altération des cellules
nerveuses
mêmes n'avait pas encore été mis en lumière, et n
dément altérées, on trouve habituellement un certain nom-bre de tubes
nerveux
vides de myéline, ou dans lesquels la myéline est
hie simple. Cette intégrité rela-tive d'un très grand nombre de tubes
nerveux
des racines an-térieures se voit alors même que c
-lysie infantile. Dans celle-ci, en effet, un certain nombre de tubes
nerveux
subissent les mêmes altérations qu'un nerf sec-ti
dernières phases du pro-cessus morbide. Les autres tubes de la racine
nerveuse
con-servent l'intégrité de leur constitution, au
dont les cellules sont le siège, se transmet, par la voie des racines
nerveuses
et des nerfs centrifuges, jusqu'aux faisceaux mus
accompagne pas tout d'abord de paralysie par interruption de l'influx
nerveux
parce que celui-ci peut se propager, pendant long
-ci peut se propager, pendant longtemps encore, par la voie des tubes
nerveux
émaciés, mais non détruits. 3° Il me reste, en
e et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules
nerveuses
motrices, névroglie), dans la moelle et dans le b
zone de substance blanche, laquelle est en connexion avec les racines
nerveuses
. Ces zones, dans la nomenclature proposée par M
petites masses ou tubercules de sub-stance embryonnaire, où les tubes
nerveux
ne se montreront que très tard (Fig. 13, /). Vers
à l'œil nu. L'examen microscopique fait reconnaître que là les tubes
nerveux
, à myéline sont rares, et que, au contraire la la
aux sont marquées encore par le diamètre relativement petit des tubes
nerveux
et une certaine prédominance de la névroglie. C
istologiquement, par les caractères propres à la sclérose des centres
nerveux
. Dans l'isthme et dans le bulbe, la sclérose fasc
le premier cas, elles portent et sur la névroglie et sur les cellules
nerveuses
motrices qui sont en plus ou moins grand nombre d
t au sujet de l'atrophie musculaire spi-nale pçotopathique. Les tubes
nerveux
tout à fait vides de myé-line sont rares dans les
hériques. Les tubes granuleux sont en minorité. La plu-part des tubes
nerveux
sont conservés, seulement presque tous ont subi u
n'ignorez pas, Messieurs, qu'il existe, dans cette partie des centres
nerveux
, un certain nombre de noyaux de substance grise q
rale amyotrophique. On voit qu'il existe à peine cinq ou six cellules
nerveuses
intactes dans l'aire du noyau de l'hypoglosse. —
tence de la sclérose la-térale symétrique, avec atrophie des cellules
nerveuses
motrices dans les cor-nes antérieures à la région
s vraisemblable que la propagation s'ef-fectue par la voie des filets
nerveux
, qui, vous le savez, établis-sent normalement une
se s'opère très vraisemblablement, ajoutais-je, par la voie des tubes
nerveux
qui établissent, à l'état physiologique, entre le
phie musculaire spinale deuté- 1 Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1.1, p. 61, 2e édition. 2 J'ai eu soin de fair
de M. Joffroy, loc. cit.). A, Dure-mère hypertrophiée. — B, Racines
nerveuses
traversant les ménin-ges épaissies. — C, Pie-mère
, sont seules la cause de l'augmentation du volume apparent du cordon
nerveux
. La pie-mère est affeclée, elle aussi, mais à u
passage à travers les méninges épaissies et enflammées. L'altération
nerveuse
périphérique affecte, en général, aussi bien les
les méninges ne soient lésées, tout d'abord, et peu après les racines
nerveuses
. Les phéno-mènes en rapport avec cette double lés
uence une déchirure 1 Gharcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. Il, p. 16. qui se fait dans le trajet intra
cines jusqu'aux cornes grises antérieures, où les groupes de cellules
nerveuses
subissent consécutivement des altérations profond
ont montrés enclins à en cher-cher le point de départ dans le système
nerveux
3 et plus par-ticulièrement dans la moelle épiniè
MM. Eulenbourg et Cohnheim 4, les résultats de l'autopsie des centres
nerveux
avaient été négatifs. À la vérité, dans ce cas, l
ulaires dans ce cas ne rele-vaient point de l'altération des cellules
nerveuses
des cornes antérieures ou des racines nerveuses,
tération des cellules nerveuses des cornes antérieures ou des racines
nerveuses
, il importait de rechercher si elles ne devaient
me rencontré, dans l'épais-seur des muscles affectés, plusieurs fdets
nerveux
qui nous ont semblé égale-ment exempts d'altérati
nifestement atro-phiées ; en outre, un bon nombre de grandes cellules
nerveuses
motrices, présentaient une atrophie plus ou moins
cordons latéraux se combine avec l'atrophie pro-gressive des cellules
nerveuses
des cornes antérieures. Sans doute, les lésions
quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules
nerveuses
motrices. Rien, à mon sens, n'est moins justifiab
nière; j'ajouterai que, dans le fait qui m'est personnel, les racines
nerveuses
, et aussi les nerfs périphériques, se sont montré
progressive, se développant en dehors de toute in-fluence du système
nerveux
. Dans les amyotrophies d'origine saturnine, au
des nerfs périphériques ; je n'ignore pas que, sous le nom d'atrophie
nerveuse
progressive, on a tracé la description d'une affe
quelle on ait démontré anatomiquement cette névrite ou cette atrophie
nerveuse
progressive d'où dériverait la forme d'amyotrophi
ofondes de la substance grise centrale et en particulier des cellules
nerveuses
mo-trices, et, par conséquent, on est en droit de
ue, dans aucun de ces cas, la non-existence d'une lésion des cellules
nerveuses
des cornes antérieures ait jamais été régulièreme
ue suivant le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules
nerveuses
motrices) et les zones radiculaires antérieures (
arrivent pas à toucher le sol. 2 Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 2e édit., t. I, p. 245. rectum. Enfin, et c'es
r ce phénomène singulier (Charcot, Leçons sur les maladies du système
nerveux
, lle édition. T. I, p. 218, 1872-1873). M. le p
cture hystérique voir : Charcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, pp. 3*4 et suivantes. — Bourneville et Vou
ière ». J'ajouterai, pour com- i Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. II, p. llQ, pléter le tableau, que, dès l'o
quelle qu'elle soit, restait limitée à une moilié latérale du cordon
nerveux
, la symptomatologie s'accuserait, suivant le type
ntre le tabès dorsal spasmodique et la sclérose enplaques des centres
nerveux
. C'est là, ainsi que je vous l'ai fait pressentir
puis lors. — Voyez à ce propos ses Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 2e édit., t. I, p. 264. 2 L'une des malades pr
e qui se pré-sente tout d'abord à l'esprit, est celle-ci : Les troncs
nerveux
seraient la voie par laquelle, de proche en proch
ant les leçons de cette année2, de montrer que les lésions du système
nerveux
central retentissent quelquefois, par la voie des
, par l'intermédiaire des nerfs, sur les parties centrales du système
nerveux
et y déterminent un travail morbide plus ou moins
Leçons sur les troubles trophiques consécutifs aux lésions du système
nerveux
, faites en 1S70 (Tome I, p. 1-152). périphériqu
lexe, j'ai négligé à dessein de vous entretenir de certains accidents
nerveux
que Gir... a éprouvé pendant une bonne a été pl
emarquable de voir que, dans la règle, les lésions graves des centres
nerveux
qui sont si fréquemment la conséquence des divers
ces, oct. 1874, 342. 2 Leçons cliniques sur les maladies du système
nerveux
, t. I, 1884, p. 316. Suivant la ligne de condui
ve nouvelle, s'il en était besoin, que, dans les mala-dies du système
nerveux
, comme dans toutes les autres, nul phénomène, pri
déterminé. Il est vraisemblable, déjà, d'après cela, que les éléments
nerveux
, faisceaux de fibres ou corpuscules ganglionnaire
ues intéressantes de M. Buzzard. (Loc. cit., ?p. 83). les accidents
nerveux
éprouvés par M. B.,., et je l'engageai à agir en
erruptions réglementaires, pendant environ trois mois. Aucun accident
nerveux
n'avait reparu. Il peut arriver que les attaque
santes. M. K..., né aux Antilles, d'une constitution très délicate,
nerveux
et impressionnable au plus haut point, a été atte
heures du soir. M. Lagneau, fils (Maladies syphiliti-ques du système
nerveux
. Paris, 1860, p. 125), a réuni plusieurs exemples
n air, pendant plus d'une heure. Depuis le 30 oc-tobre, les accidents
nerveux
n'avaient plus reparu. Malheureusement, durant
laps de temps suf-fisant ; à la suite de ce traitement, les accidents
nerveux
dispa-rurent définitivement. M. K... est venu m
er de croire, cepen-dant, que dans les cas où la nature des accidents
nerveux
étant reconnue à temps, le plan de traitement pro
fait de l'extension progressive des lésions méningées à la sub-stance
nerveuse
, celle-ci s'altère à son tour profondément ; alor
arties pé-riphériques, produits en conséquence d'une lésion du centre
nerveux
spinal, et sur lesquels j'ai "appelé l'attention
i une conséquence en quelque sorte immédiate de la lésion des centres
nerveux
. Cette hypothèse, se rattachant étroitement à cel
ssi même Ce vice de nutrition, subordonné aune influence du système
nerveux
qui rend les os fragiles et fait comprendre le dé
. II, p. 121 et t. III, p. 306 ; — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. II, p. 62. 1 The influence of restili locom
t la langue. 2 Voir: Charcot. — Leçons sur les maladies du sijstème
nerveux
, tome II. p. 330. fluence de causes banales, ou
ion, 25 et 26e leçons. Paris, 1870. Sur la tuméfaction des cellules
nerveuses
motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux
tion des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tubes
nerveux
dans certains cas de myélite ; par J.-M. Crarcot.
marquable que pré-sentaient, çà et là, les cylindres axiles des tubes
nerveux
delà substance blanche, non seulement au niveau d
ans un de ces cas au moins, j'ai observé une tuméfaction de cel-lules
nerveuses
des cornes antérieures, laquelle, si je ne me tro
u ovalaires clans l'aire desquels tous les cylindres axiles des tubes
nerveux
ont acquis un diamè-tre relativement considérable
ophiés une couche circulaire mince. On trouve çà et là quelques tubes
nerveux
à cylindre d'axe volumineux, non plus réunis en f
x comme les précédents, mais disséminés et isolés au milieu des tubes
nerveux
restés sains. Le réticulum de la névroglie n'es
dres d'axe ont augmenté de vo-lume, que dans les régions où les tubes
nerveux
ont conservé tous les caractères de l'état normal
s cylindres d'axe ne va guère au delà du chiffre normal. Les cellules
nerveuses
de la substance grise n'ont paru présenter au-cun
u'à l'état normal. On trouve sur quelques préparations des cellules
nerveuses
fortement pigmentées, mais n'offrant d'ailleurs a
cytes. Beaucoup d'alvéoles sont vides, d'autres contiennent des tubes
nerveux
sains, la plupart renfer-ment des cylindres d'axe
retrouvent tantôt isolés et disséminés çà et là, au milieu des tubes
nerveux
normaux, tantôt réunis par groupes arrondis ou ov
ions comparatives, on croit recon-naître qu'un bon nombre de cellules
nerveuses
motrices, dans les diverses régions de la moelle,
'irrita-tion peut modifier, dans la moelle, la structure des éléments
nerveux
, même sur des points relativement très éloignés d
éfaction des cylindres d'axe n'appartient pas exclusivement aux tubes
nerveux
de la moelle épinière. Je l'ai observée, pour mon
prolongement axile ( Hauptaxencylinder Forsatz) des grandes cellules
nerveuses
de la couche cor-ticale du cervelet, chez un suje
on lit où elle ne tarda pas à mourir. Autopsie le 19 mai. — Système
nerveux
. Le cerveau et le cer-velet ne sont le siège d'au
culaires, sur les éléments du tissu inter-stitiel et sur les cellules
nerveuses
. Etat des vaisseaux. — D'une façon générale, il
n par l'abondance insolite du tissu fîbrillaire. Quant aux cellules
nerveuses
, elles ont en grande partie disparu. On peut parc
caractères du processus qui préside ici à la destruction des cellules
nerveuses
. A la région lombaire, la substance des cornes
ubstance des cornes antérieures est relativement saine ; les cellules
nerveuses
y sont abondantes, la plupart semblent saines, un
e niveau, on constate la disparition à peu près complète des cellules
nerveuses
et de la plupart des tubes à myéline qui, à l'éta
p plus foncée qu'à l'état normal. Malgré la dispa-rition des éléments
nerveux
, les dimensions de la corne antérieure n'ont pas
myéline apparaissent de nouveau ; on distingue çà et là des cellules
nerveuses
reconnaissables ; quelques- unes, deux ou trois
peu près complètement les caractères de l'état normal. Les cel-lules
nerveuses
y sont nombreuses, pourvues de prolongements, réu
f a été transmis à la zone radiculaire par l'intermédiaire des fibres
nerveuses
qu'elle reçoit de la corne antérieure. Enfin, e
tte dernière raison a une grande importance, on retrouve des cellules
nerveuses
en voie de destruction à la région lombaire, alor
cervicale, par exemple, de même qu'à la région dorsale, les cellules
nerveuses
sont en-core profondément altérées, alors que le
lionnaire a été le siège primitif du mal. Cette lésion de l'élément
nerveux
serait de nature irritative, si on en juge du moi
nchymateuse chronique. Quanta la pigmentation exagérée des cellules
nerveuses
, bien que ce ne soit pas là un fait nécessaire, p
gidité des membres inférieurs. — Atrophie ou disparition des cellules
nerveuses
des cornes anté-rieures aux régions cervicale et
ervicale et dorsale. — Au bulbe, atrophie et destruction des cellules
nerveuses
du noyau de l'hypoglosse, atro-phie des racines s
uscles sont d'ailleurs rouges et leur tissu semble sain. d) Système
nerveux
périphérique. — A l'œil nu, on est frappé par les
acines antérieures. Elles sont constitués par la réunion de faisceaux
nerveux
presque réduits à des filaments, de sorte qu'el
riques ne nous montrent aucune modification appréciable. c) Système
nerveux
central. — L'encéphale n'est le siège d'au-cune a
ous n'avons pas, dans ces cas, remarqué qu'ils continssent des fibres
nerveuses
dégénérées. — Le tissu conjonctif' interfibrillai
nes spinales antérieures. Examen à l'état, frais. Le nombre des tubes
nerveux
qui, dans ces racines, ont conservé les caractère
antérieures ; on n'y a rencontré aucune trace d'alté-ration des tubes
nerveux
. c) Nerfs crâniens. Le facial et l'hypoglosse,
ulement, le nombre des Charcot. Œuvres complètes, t. ii. 29 tubes
nerveux
restés sains y était relativement beaucoup plus g
it principalement, nous ont paru renfermer un certain nombre de tubes
nerveux
atrophiés à divers degrés. Des altérations ana-lo
ital examinés à l'avant-bras ; sur ces derniers nerfs, quelques tubes
nerveux
atrophiés présentaient, d'une manière évidente, l
ertaine étendue, une diftluence remar-quable ; des fragments de tissu
nerveux
, provenant de ce point ramolli, ont été portés so
portés sous le microscope immédiatement après l'autopsie ; les tubes
nerveux
offraient les caractères de l'état normal ; on ne
n-trecroisant, on reconnaît aisément les surfaces de section de tubes
nerveux
, lesquels, au niveau des faisceaux antérieurs et
gangue conjonctive est devenue tout à fait prédominante. Les tubes
nerveux
, ayant conservé leur dia-mètre normal, sont là de
hie qu'ont subi, dans les cornes antérieures, la plupart des cellules
nerveuses
, frappe tout d'abord ; il est évident, en outre,
t aux muscles le séjour au lit longtemps prolongé. Etat des centres
nerveux
. — Le cerveau, le cervelet et Yisthme de rencépha
issement, sur des coupes transversales, a. été trouvé sain. Centres
nerveux
. Préparations faites après durcissement dans l'ac
r la dégénération pigmentaire et l'atrophie consécutive des cel-lules
nerveuses
qui entrent dans la composition de ces noyaux, es
sur les mêmes coupes, de constater la parfaite intégrité des racines
nerveuses
dans leur trajet intra-bulbaire. Elle est surtout
la consistance, les caractères de l'état sain. y. Etat des centres
nerveux
et des nerfs bulbaires. — Le cerveau proprement d
losso-pharyngien et le spinal, surtout, sont grêles. Quant aux troncs
nerveux
éma-nés de ces racines, ils paraissent être un pe
oglosse par exemple, on constate, non sans éton-nement, que les tubes
nerveux
ont conservé leur cylindre de myéline. On ne pa
sont uniformément dissé-minées sur toute l'étendue de quelques tubes
nerveux
. Nulle part, elles ne sont en amas, sous forme de
pas d'autre altération que ce même état granu-leux de quelques tubes
nerveux
. Cette altération est très prononcée sur le laryn
l ont offert les caractères de l'état normal. y. Examen des centres
nerveux
, préparations durcies par l'acide chromique et co
x blancs ne fait reconnaître ni diminution dans le diamètre des tubes
nerveux
, ni multiplication des noyaux de la névroglie, ni
tions sont concentrées et encore n'occupent-elles là que les cellules
nerveuses
, car, ici encore, la névroglie est normale ou ne
identes de multiplication des noyaux. Quelques-unes de ces cellules
nerveuses
ont conservé tous les caractères de l'état normal
s prononcées qui, ici encore, portent exclusivement sur les cel-lules
nerveuses
, la névroglie est intacte ; peut-être les vaissea
hors. En effet, le réticulum qui entoure de toutes parts les cellules
nerveuses
malades n'offre pas d'autre altéra-tion qu'une tr
ive de la substance grise pour se propager ensuite jusqu'aux éléments
nerveux
. Mais on pourrait être tenté de supposer que le p
des cellules ganglionnaires doit être cherché en de-hors des centres
nerveux
, c'est-à-dire dans les nerfs périphé-riques. Celt
é affectés que secondairement, consécutivement àla lésion des centres
nerveux
. Si maintenant l'attention se porte sur les lés
arla voie des nerfs bulbaires et rachidiens, de la lésion des centres
nerveux
? Les arguments favorables à cette opi-nion ont ét
ent rien concernant la na-ture et l'origine de la lésion des cellules
nerveuses
. Il est en-core bien d'autres desiderata que nous
choses près, les mêmes effets que l'atro-phie primitive des cellules
nerveuses
. D'un autre côté, il est évident que les cas dans
orterait non plus sur les noyaux originels, mais bien sur les cordons
nerveux
après leur issue du bulbe, devraient former une c
des lésions très délicates, — telles que sont l'atrophie des cellules
nerveuses
motrices et la sclérose des cornes antérieures de
ées ; la névroglie y avait sa transparence accoutumée et les cellules
nerveuses
motrices, en nombre normal, n'offraient, dans les
anifestement atrophiés ; en ou-tre, un bon nombre de grandes cellules
nerveuses
motrices présentaient une atrophie plus ou moins
cordons latéraux se combine avec l'atro-phie progressive des cellules
nerveuses
des cornes antérieures1 Sans doute, les lésions m
quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules
nerveuses
motrices. Rien à mon sens n'est moins justifiable
sie pseudo-hypertrophique ne relèvent pas de l'atro-phie des cellules
nerveuses
des cornes antérieures, il y a lieu 1 Mantegazz
e rencontré, dans l'épaisseur des muscles affectés, plu-sieurs filets
nerveux
qui nous ont semblé également exempts d'altératio
aisseau dont la gaine se continue avec le tissu scléreux. — cl, Tubes
nerveux
altérés. — e, La gaine de Schwann remplie de corp
érés. — e, La gaine de Schwann remplie de corps granuleux. — g, Tubes
nerveux
ayant subi une dilatation et une déformation cons
mort d'une affection intercurrente. —a, Tissu scléreux; — 6, c, tubes
nerveux
régénérés; quelques-uns, b, ont le volume normal;
ade Gott... dont l'observation est rapportée à la page 395. Système
Nerveux
, t, il Pl. VI ujarcot U'.uvkks Complètes, Ô
ée. — C, Corne antérieure remplie de nombreux vaisseaux, les cellules
nerveuses
y ont complètement disparu. — L, Cordon latéral.
ieure, C, est parfaitement normale et contient de nombreuses cellules
nerveuses
. Il n'y a plus de sclérose de la zone radiculaire
asculaire qu'à la ré-gion cervicale et con'enant une ou deux crllules
nerveuses
. Fig. 4.— Diverses phases de la destruction des
nerveuses. Fig. 4.— Diverses phases de la destruction des cellules
nerveuses
. — a, b, Cellules en voia de destruction. — c, Ce
nsversale du nerf phrénique. — a, a, Coupe de faisceaux, où les tubes
nerveux
conservés sont encore assez nombreux. — b, Espace
rvés sont encore assez nombreux. — b, Espaces dans lesquels les tubes
nerveux
ont totaltment disparu (dessin fait à la chambre
es et des crises gastriques. Sommaire. — Relations entre les filets
nerveux
radiculaires internes et le groupe des cellules n
re les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules
nerveuses
multipolaires des cornes antérieures. — Des sympt
lir malgré l'existence de lésions profondes. — Régénération des tubes
nerveux
au niveau du point com-primé. Des symptômes. —
en travers ou ne portent que sur une des moitiés latérales du cordon
nerveux
. Premier cas : Succession des symptômes. — Préd
celle qui dépend d'une lésion de la moelle. — Altération des cellules
nerveuses
et tu-meurs de la moelle causes d'une troisième f
lendent à démontrer que la lésion primitive ré-side dans les cellules
nerveuses
.................................... h63 DIXIÈME
trophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules
nerveuses
motrices est ici consécutive: elle se surajoute à
ltération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules
nerveuses
, névroglie). — Lésions des racines nerveuses et d
ubstance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines
nerveuses
et des nerfs périphériques. — Lésions mus-culaire
e et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules
nerveuses
motrices, névroglie), dans la moelle et dans le b
»......................... 407 III. Sur la tuméfaction des cellules
nerveuses
motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux
tion des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tubes
nerveux
dans certains cas de myélite.................. 41
gie cervicale, 143,146. — Consécutive aux lésions des nerfs, 292. —
nerveuse
progressive, 292. — partielle du cerveau, 365,
latente, 112. Cautérisation avec les pointes de feu, 350. Cellules
nerveuses
motrices (Tu-méfaction des) dans les myélites, 41
37, 238. Cornes antérieures de la moelle; rap-ports avec les filets
nerveux
radi-culaires, 19. — Lésions des cellules nerveus
rts avec les filets nerveux radi-culaires, 19. — Lésions des cellules
nerveuse
des — , 179, 204, note. — Après amputations ancie
., 55, 56. — Laryngées tabétiques, 413. Cylindres d'axe des tubes
nerveux
(Tuméfaction des), 414. Cystite, 326. d Déf
ans les cas de guérison du mal de Pott, 103. — Régénération des tubes
nerveux
, 104.— Symptômes de la compres- sion de la —, 1
ar compression, 319. (v. Moelle épinière.) — Tuméfaction des cellules
nerveuses
motrices et des cylindres d'axe dans certains cas
yngée, 167,261, 453. — Lésions des muscles, 445, 456 ; — des cellules
nerveuses
motrices, 469 et suiv. —Pseudo-hypertrophique,
e, 157.— Dans la sclérose latérale, 426. (V. Hachis). Prolongements
nerveux
, 21. — Du protoplasma, 21. Pseudo-névralgies (D
— Paralysie, 127. — Théorie de Budge, relative à l'action du sys-tème
nerveux
sur les fonctions de la —, 127. — Troubles de la
) F. RAYMOND Professeur de clinique Jcs m;nl,nJics du svstemc
nerveux
à LW'aculé de médecine de l'.nrns. coccenuw
santé jusqu'en ces dernières années, si ce n'est qu'elle est un peu
nerveuse
, et a parfois des crises de larmes. Deux grosse
hondriaques, a été nettement indiquée par Mo- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 39 rel', et plus récemment par Séglas pour les
ion ainsi que le polymorphisme des symptômes. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Sur la démence primitive DE la puberté; par
' More). Études cliniques, t. II, obs. II. 40 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pures, caractérisées par une réduction et une
sur l'appauvrissement psychique, qui forme le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1L t fond de l'affection. Dans les cas spurano
er les mêmes soins qu'à un petit enfant. 42 ) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. IL Ophtamoplégie nucléaire; par M. le D'' Marf
M. Déjerine, qu'à l'exemple de maintes autres REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4 ? 1 affections de la moelle, du tabes, en pa
ème fruste, mais de myxoedème incomplet. 44 , REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Selon lui, il est, dès à présent, certain que
autopsie et l'examen histolo- 'gique. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4'5 VU. Un cas DE sclérose latérale A31TOTROPH
on temporale était complètement détruite 46 " REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et il n'y avait pas eu de surdité verbale, et
que, d'un développement physique et intellec- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 47 tuel normal, est atteint depuis deux ans de
e qui peuvent se produire à la suite d'une 48 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lésion cérébrale : hémiplégie purement motrice
soit pas autre chose qu'une colère devenue per- manente. Le système
nerveux
a perdu son élasticité, l'effet ne peut plus di
goitre exophtalmique n'est pas forcément dû à REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 49 une cause morale. La tuméfaction thyroïdien
écrétion de la glande thyroïde. Mais, soumise à l'action du système
nerveux
, la glande n'est peut- être que l'intermédiaire
diaire, et la mesure dans laquelle les simples réactions du système
nerveux
peuvent produire ces manifestations n'est pas é
survient ; Archives, 2° série, t. VI. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. le plus souvent il n'y a aucune douleur locale
es alcooliques intéressant rarement lesquatre REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 51 membres. Il ne reste que l'hypothèse d'une
dents pathologiques, robuste jusqu'à l'âge 52 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de vingt-huit ans; à cette époque, chute et tr
, mais du psychisme inférieur, automatique ». REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 53 A propos du traitement, l'auteur signale l'
ommun, et que l'on a considérés comme dus à une altération du tronc
nerveux
, pourraient, à raison des rapports de voisinage t
. Ces vues palhogéniques ont besoin d'être 54 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vérifiées; mais la théorie qui reconnaît aux m
. Quant à la catalepsie, elle est aussi mani- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 55 festement d'origine corticale; selon les au
enticulaires, mouchetés, punctiform.es, entre lesquels la substance
nerveuse
est livide gris-ardoisé; de même, dans les autr
rhagies plus volumineuses et. plus nombreuses, destruction du tissu
nerveux
, atrophie des fibres 'nerveuses à myéline. L'écor
ie de Basedow, caractérisée par un goitre très gros et des troubles
nerveux
très accentués (tremblement des mains, vertiges
'hôpital; elle était alors complètement débarrassée de tout trouble
nerveux
; le goitre, encore sensible à la pression, ava
indiqués; ils n'auraient fait qu'accentuer la dépression du système
nerveux
. Le seul traitement qui put être efficace eût é
. Comment a agi l'eau froide ? Probablement en stimulant le système
nerveux
par excitation réflexe périphérique. Cet heur
e el favorisée par des lésions cardiaques. D'autre part, le système
nerveux
est absolument indemne. Le thymus, très notable
sychiques, est de nature à faire admettre l'antériorité des lésious
nerveuses
. - En ce qui concerne les rapports de la syphil
ultanée des toxines diphtéritique et streptococcique sur le système
nerveux
. Il existe une opinion d'après laquelle l'infec
state des altérations disséminées de lasubstance blanche du système
nerveux
central, et des lésions systématiques des racin
ui permet de présumer l'action directe du streptocoque sur la fibre
nerveuse
. Les lésions des cellules des cornes antérieures
. X.-K. BouscH. Méthode de coloration de dégénérations du système
nerveux
par l'acide osmiqtte. La méthode de Marchi prés
tant est la faible pénétration de l'acide osmique dans la substance
nerveuse
. L'acide osmique est une com- position très peu
r de paralysie géné- rale. 1 L'influence de l'hérédité mentale et
nerveuse
, sur laquelle les avis sont diffécents, devait
édité tuberculeuse et qu'enfin la syphilis et l'hérédité mentale et
nerveuse
ont un rôle absolument nul. ' Abordant la gen
d; 2° la méionexie repré- sente ou bien une tare directe du système
nerveux
, comme dans l'hérédité cérébrale, ou bien est l
a- 78 VARIA. tion par les toniques et les stimulants du système
nerveux
. Le trai- tement pathogénique devait différer s
doit se caractériser anatomiquement par des altérations du système
nerveux
tout entier. Nous ignorons quelle partie de ce
éressée la première. En étudiant la moelle, placée entre le système
nerveux
central et le système nerveux périphérique, ave
nt la moelle, placée entre le système nerveux central et le système
nerveux
périphérique, avec mission de réunir, de condui
st plus admissible, si elles ont leur retentissement sur le système
nerveux
central et le système nerveux périphérique. Nou
nt leur retentissement sur le système nerveux central et le système
nerveux
périphérique. Nous avons dit que nos observatio
ours. La technique microscopique appliquée à l'étude du sys- tème
nerveux
, s'est enrichie, dans ces dernières années, d'un
faire un choix. , A chacun des éléments qui constituent le système
nerveux
, ' Contribution il l'élude des lésions spinales
rester la méthode de choix pour déceler la dégénération des fibres
nerveuses
à myéline. Tels sont les moyens, arrivons aux r
est peut-être quelquefois la seule lésion ap- préciable du système
nerveux
. Pour notre part, nous avons la ferme convictio
uite de la modification chimique qu'elle a subie. Au centre du tube
nerveux
, le cylindre-axe est marqué par un point coloré
érose intense. Nous l'avons vue remplacer presque toutes les fibres
nerveuses
du cordon postérieur dans deux cas. Les cylindr
s qu'un prolongement ou deux. Son corps a pris la forme d'un tube
nerveux
dans l'intérieur duquel il n'y a plus place que p
intra- fasciculaire et, conséquemment, une destruction des fibres
nerveuses
. On ne saisit pas très bien pour quelle raison la
r remplir.les espaces laissés vides par la destruction des éléments
nerveux
, comme le pense Weigert ? Et pourquoi cette pro
comme le soutient Cajal, que de réaliser l'isolement des cou- rants
nerveux
? On le voit, cette question du rôle patholo- g
cale. Dans la subs- tance grise, il a noté des lésions des cellules
nerveuses
carac- térisées par l'atrophie pigmentaire. Enf
emier, a signalé les lésions veineuses dans la syphilis des centres
nerveux
; elles ont été retrouvées, depuis, un grand nom
e générale. Dans quel- ques-uns de ces cas, l'altération du système
nerveux
périphé- rique était parvenue à un degré extrêm
dier, nous entrons de nouveau dans l'étude des réactions du système
nerveux
. Le premier nous montre l'action du champ élect
électrique elle-même, mais de cette excitation transformée en onde
nerveuse
, il conclut que si nous constatons à la suite d
t s'expliquer que par trois hypothèses : altération de la substance
nerveuse
qui trans- forme anormalement l'excitation élec
forme anormalement l'excitation électrique, altération du cordon
nerveux
en aval du point excité; altération du muscle. On
éaction de Duchenne) se produit soit dans les altérations du cordon
nerveux
moteur, le muscle res- tant sain ; soit dans le
exploré, soit en aval de celui-ci. Aucune alté- ration des centres
nerveux
ou du cordon nerveux en amont de ce point ne pe
l de celui-ci. Aucune alté- ration des centres nerveux ou du cordon
nerveux
en amont de ce point ne peut la produire. L'h
ses. La réaction d'Erb est symptomatique d'une altération du cordon
nerveux
au point même de l'explora- tion. Cette altérat
vralgie du Archives, te série, t. VI. 8 114 REVUE DE pathologie
nerveuse
: trijumeau par les hautes intensités et les lo
t les racines du nerf affecté. L.-R. REGNIER. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXV. Accès convulsifs ÉPILEPTIQUES ET exagérat
t que les produits toxiques agissent directement sur les élé- ments
nerveux
de l'écorce, produisant un paroxysme épileptique,
ort avec les régions intéressées. R. Ciiaron. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 115 XXVI. TIC de l'horloger; par T. COlIN. (Ne
érescence des racines postérieures et des 116 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cordons postérieurs de la moelle : 1° La dégén
es travées conjonctives avec diminution de la quantité des éléments
nerveux
. - 2° La tumeur des ascendantes droites expliqu
II. Absence de mouvements conjugués conseil- .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 117 suels des deux côtés, sans paralysie des m
ryngien, du nerf vague; lésions relative- ment faibles des cellules
nerveuses
. , 'l't8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Si,
ment faibles des cellules nerveuses. , 'l't8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Si, dit l'auteur, nous laissons de côte les lé
tus, s'installent des mouvements choréiformes REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 119 des extrémités droites, puis des convulsio
conducteurs moteurs, n'interrom- pant point tout à fait le courant
nerveux
, oppose quelque résis- tance à l'influx nerveux
t à fait le courant nerveux, oppose quelque résis- tance à l'influx
nerveux
qui acquiert une tension donnée. Les cel- lules
ce, continuant à fonctionner, dégagent continuellement leur courant
nerveux
qui, par les pyramides, va aux cellules des cor
des résistances dans la voie conduc- trice, et intensité du courant
nerveux
. L'exagération de l'athétose se fera surtout se
L'exagération de l'athétose se fera surtout sentir quand le courant
nerveux
sera renforcé à l'occasion des mouvements volon
nts volontaires; la diminution du courant 120 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nerveux par le sommeil entraine la disparition
res; la diminution du courant 120 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
nerveux
par le sommeil entraine la disparition de l'athét
e fléchit jamais les pouces sous les index. - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 121 1 Les convulsions cloniques consécutives s
la cuisse généralement) et qu'elle ne 122 I-) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. s'étend aux articulations des membres que seco
par la suggestion et l'électricité; 4° la fièvre était simplement
nerveuse
puisque l'état général et la nutrition n'en furen
n'en furent que légèrement troublés. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 123 XXXVII. Deux cas de gigantisme suivi d'acr
ienne qui agit sur tous les tissus et en particulier sur le système
nerveux
médullaire. La conclusion pratique au point de
e au point de vue du traitement est qu'on 124 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. doit chercher à provoquer dans la glande un ce
rmale n'est pas connue. Cette maladie doit avoir une origine partie
nerveuse
, partie humorale. L'exophtalmie est due à une a
mment une altération de la glande peut se répercuter sur le système
nerveux
. Il est possible que la lésion primitive se tro
isme des tissus, trouble dû à un vice de fonctionnement des centres
nerveux
. L'hypertrophie du corps thyroïde n'est que secon
e que des troubles vasculaires soumis à une altéra- tion du système
nerveux
, précèdent l'hypertrophie de la thyroïde. L'aut
par l'ingestion de thymus. . A. Vrcooaoux. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.. '125 XL. DU PRONOSTIC DANS LE GOITRE EXOPHTAL
sumées d'où résulte lëtabteau suivant : 12G REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. donnent à la main un aspect et une forme toute
ais aussi par la radio- graphie. R. CHARON. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 127 XLII. L'APOPHYSALGIE POTTIQUE; par A. CIII
. La moindre pres- sion au niveau des cicatrices provoque une crise
nerveuse
. Attitude vicieuse du tronc déterminée par une
aralysé, privé de mouvement, incapable de 128 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. parler. Puis la parole et le mouvement revienn
epuis l'âge de 20 ans, de toutes les sortes de phobies et accidents
nerveux
, tels qu'angoisses, sténocardie vasomotrice, poly
s sont devenus plus violents. Il est toujours REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 129 très neurasthénique et très hypochondiraqu
mes. KERAYAL. P. KERAVAL. XL VI. DE l'atteinte précoce du système
nerveux
par la syphilis : par A.-G. JuscHTSGHENKO (Cei
remière et Archives, 2e série, t. VI. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. deuxième circonvolutions originelles en arrièr
deux lésions par la syphilis. P. IEnA vAL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 131 XLVIV. Observation DE diabète sucré grave
d'accidents analogues à ceux de la jambe 132 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gauche. C'est une sclérose musculaire, une rét
nilatérale tout en sautant irrégulière- ment sur divers territoires
nerveux
. Le tronc est resté intact. Cette allure indiqu
intact. Cette allure indique la probabilité d'une lésion du système
nerveux
central. L'auteur fait remarquer que la sclér
ces, indépendantes de la première, il y avait REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 133 maladie d'Addison. On trouva une dégénéres
paralysie par compression. P. KERAVAL. 134 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLVII. Communications NEUROLOGIQUES; par J. FE
èvre peu marquée, sueurs profuses, diminution REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. in'nu de tous les accidents ; reste simplement
oordination motrice la résultante de l'action synergique du système
nerveux
sensitif et qui admet que toute altération de c
me nerveux sensitif et qui admet que toute altération de ce système
nerveux
entraîne nécessairement l'in- coordination. A
tion crée l'organe et non l'organe la fonction ; quand le cou- rant
nerveux
ne peut plus suivre son trajet ordinaire, il se f
'existaient qu'en puissance, ouvriront une nouvelle voie au courant
nerveux
. Chacun de nous possède depuis sa naissance un
Les maladies constitutionnelles, les névroses graves ou l'hérédité
nerveuse
assombrissent le pronostic. L'examen élec- triq
e question : Du rôle des aj'tél'ites dans la pathologie dit système
nerveux
. Rapporteur, M. Coulon. Discussion. - Soir, 2 h
D'' Lannois. Sur le traitement des tics. Sur quelques cas d'oedèmes
nerveux
; par le Dr Meige. - Epilepsie et traitement chi
LIQUES. Le nommé Botereau, marié et père de famille, dans une crise
nerveuse
déterminée par l'ivresse, a tenté de se sui- ci
898. Vol. VI. Septembre 1898. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. SYRIi\GOJIYÉLIE ET SARCOMA TOSE DE LA MOELLE;
IONS INTHAMÉDULLAfRES ' 1 Par S. ORLOWSKI. (Clinique des maladies
nerveuses
ci la faculté de Moscou.) Il est indiscutable q
novembre 1897. - ' Archives, 2e série, t. VI. 11 f 162 CLINIQUE
NERVEUSE
. qu'à la maladie actuelle, elle a joui d'une sa
18 de ce mois, la malade est transférée à la clinique des maladies
nerveuses
. Etat du 18 janvier 189G. Fillette de petite ta
vastes, ulcère profond dans le pli inguinal droit. 164 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'état général de la malade a beaucoup empiré
néoplasme dans les glandes lymphatiques, ni ailleurs. Le système
nerveux
central (excepté le bulbe qu'on n'a pas pu cons
ts du néoplasme en violet foncé, tissu conjonctif en rouge et tissu
nerveux
en jaune. Nous commençons l'étude des coupes de
voit des blocs d'une apparence presque amorphe, sans 166 CLINIQUE
NERVEUSE
. affinité pour les colorants; il paraît que c'e
ibreux formant une ligne ondulée. Mais pas de vestiges de substance
nerveuse
dans l'espace limité par cette ligne; rien qu'u
aisse contenant des blocs de myéline, des corps gra- 168 CLINIQUE
NERVEUSE
. nuleux, des globules sanguins et un détritus ;
; par places apparait un réseau délicat constitué par des fibrilles
nerveuses
très fines res- semblant à celles de la substan
ues blocs arrondis d'une masse granuleuse font l'effet des cellules
nerveuses
dégéné- rées. Un peu plus haut, au niveau de
ctifs; nul doute que ce ne soit un trans- sudat. Quelques racines
nerveuses
apparaissant à cette hauteur dans le tissu sarc
eux et présentent des altérations très avancées, le nombre de tubes
nerveux
y est restreint. L'aspect de la coupe change su
moitié droite de la moelle qui ne contient presque point d'éléments
nerveux
. Dans la moitié gauche, les cordons latéral et an
s portant une quantité innom- brable de vaisseaux ; plusieurs tubes
nerveux
atrophiés, par places des débris de cylindres-a
ntrale, séparée cependant de la périphérique par une bande du tissu
nerveux
la commissure antérieure; dans un endroit de ce
au centre de la moelle, a plutôt disloqué que détruit les éléments
nerveux
. De deux côtés de la tumeur on voit la subs- ta
de la tumeur on voit la subs- tance grise, bien pauvre en cellules
nerveuses
; la substance blanche n'est que comprimée, la m
che en faisceaux conjonctifs et en vaisseaux. A ce 170 - CLINIQUE
NERVEUSE
. niveau nous voyons donc les deux lésions médul
ement la moitié pos- térieure du pourtour de la moelle; les racines
nerveuses
englobées dans cette masse sont peu atrophiées.
r la corne postérieure en forme d'un large coin détruisant le tissu
nerveux
. La partie centrale de la moelle est aussi défor-
s parait être composé de cellules lymphoïdes à grand 172 CLINIQUE
NERVEUSE
. noyau mal coloré, de corps granuleux, de détri
e dépend d'un oedème de la moelle : les intervalles entre les tubes
nerveux
sont distendus et remplis d'une matière amorphe
ascendante très marquée, nous y trouvons une destruction des tubes
nerveux
résultant d'une hyperplasie diffuse de la névro
téraux ne se teintent pas suffisamment, vu la destruction des tubes
nerveux
résultant d'une prolifération diffuse de la név
parties latérales de la moelle sans pénétrer dans sa 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. substance. Néanmoins les altérations du tissu
out le tissu environ- nant, lâche, raréfié même diaphane; les tubes
nerveux
y sont rares tandis que la névroglie forme un r
uère d'éléments sarcomateux, ni dans les méninges, ni dans le tissu
nerveux
. Sur les coupes au Weigert la substance blanche a
la substance blanche a mal pris l'hématoxyline; le nombre des tubes
nerveux
sains y est restreint, beaucoup de mailles de n
voir une infiltration inflammatoire très marquée dans tout le tissu
nerveux
. L'autre segment du bulbe, conservé incomplètem
rations embryonnaires énormes. A la surface ventrale 176 CLINIQUE
NERVEUSE
. on voit la néoformation, riche en vaisseaux et
hes plus ou moins épaisses, n'infiltrant point ou très peu le tissu
nerveux
sous-jacent. t. Les nerfs périphériques et le
ractère dégénératif de la plus haute intensité; en outre les troncs
nerveux
des plexus lombaire et sacré sont enveloppés su
892, Bd. II, H. ), 6. ARCHIVES, 3'série, t. VI. 12 178 CLINIQUE
NERVEUSE
. voie du diagnostic clinique. Le fait est que d
à discuter, se - trouvait aussi dans le cas de Hippel : l'affection
nerveuse
étant déjà bien installée, on a vu se développe
et que ce n'est qu'après avoir détruit presque toutes les racines
nerveuses
, qu'elle avait envahi la substance médullaire.
ir qu'elle prédomine notablement dans l'âge jeune. 180 CLINIQUE
NERVEUSE
. nous croyons indispensable de résumer les donn
elle une hyperhémie veineuse très accentuée et un oedème du tissu
nerveux
atteignant son plus haut degré dans la région cer
C'est la dégénération hyaline qui prédomine ; les 18 : 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. parois vasculaires s'épaississent, deviennent
ressives eurent dans notre observation un lien intime avec le tissu
nerveux
. Ainsi dans la partie inférieure de la tumeur l
es-unes de ces observations la néoplasie n'épargnait guère le tissu
nerveux
(ainsi elle détruisit une partie du cervelet da
ouvait aussi être atteinte; néanmoins, même dans ces cas le tissu
nerveux
paraissait très peu altéré en comparaison avec to
té de la sarcoma- tose s'exprime par sa tendance à envahir le tissu
nerveux
, c'est certainement dans notre cas que cette ma
lignité a atteint son plus haut degré. Parmi les lésions du tissu
nerveux
nous avons mentionné un ramollissement qui a dé
coupes au niveau de l'excavation toute développée 184 . CLINIQUE
NERVEUSE
. (la sixième racine dorsale), mais une étude de
myélie. Eille Monographie. Leipzig und Wien, 1895. 186 CLINIQUE
NERVEUSE
. mière et dernière phase d'un seul processus mo
anguine ou lymphatique, des altérations trophi- ques : les éléments
nerveux
s'atrophient, la névroglie proli- fère ; il se
olge BllIl- stattug. 1'irchow's Archiv, Bd. LXXXV. 188 CLINIQUE
NERVEUSE
. chronique produit souvent une dilatation du ca
iveau que plus haut, la stase a atteint son maximum; les éléments
nerveux
sont tantôt détruits, tantôt dissociés par un tra
'attention sur la question en décrivant ce qu'il appelait le délire
nerveux
traumatique. Il en faisait une entité morbide d
rbide distincte, une névrose se mani- festant surtout chez des gens
nerveux
et s'appliquait à la différen- cier du délirium
), dans ses Mémoires de chirurgie, portentle dernier coup au délire
nerveux
en déclarant qu'il se confond avec le délirium
sacrum et aux fesses, indices certains de l'ébranlement du système
nerveux
et du trouble profond de la nutrition; mais l'é
n ce qui la concernait, elle n'avait jamais présenté de symp- tômes
nerveux
ou mentaux, elle n'avait aucune frayeur de l'opé-
atoire sont en très grand nombre. : l'impression morale, une action
nerveuse
réflexe, un état de shock ; l'opération en elle-m
e les troubles psychiques post-opératoires étaient dus à une action
nerveuse
réflexe, à un état de shock. Dans cet ordre d'i
ntéressants. Denis suppose qu'étant donnée la richesse des éléments
nerveux
des organes abdominaux une intervention pratiquée
cooliques. Toutes les maladies d'ordre toxique affectent le système
nerveux
, créent au cerveau des malades atteints une pré
omplet de tous les éléments qui servent à la conduction de l'influx
nerveux
des centres à la périphérie. M. PIERRET (de L
ives. Il me paraît plus simple de supposer que dans tout le système
nerveux
existe une tendance constante à la réalisation
ssurer le phénomène : si les neu-, rones sont malades, si les tubes
nerveux
centrifuges sont altérés ou si les muscles ne s
almique, etc.; 7° troubles mentaux liés à une affection des centres
nerveux
(traumatisme, lésion en foyer, etc., ou des nerfs
° troubles mentaux dans les maladies autres que celles du sys- tème
nerveux
; 9° troubles mentaux liés à des troubles du somme
ire penser à une intoxication alcoolique, une maladie des centres
nerveux
ou des nerfs, d'autres maladies, telles que la sy
fin, il m'a fallu employer une méthode spéciale à la thérapeutique
nerveuse
, la fascination et la suggestion. Lors des fête
lumineux, et dont les glorieux travaux vont enrichir la pathologie
nerveuse
, actuellement si en progrès. « Je salue M. Joff
ur, Ladame, de Genève, Carrier, de Lyon, tous maîtres en pathologie
nerveuse
. Enfin, Messieurs, je voudrais vous nommer tous
ième question : Du rôle des artérites dans la pathologie du système
nerveux
. M. Coulon, rapporteur. Nous allons donner d'ab
e. loppent dans le sein même du tissu conjonctif. Dans le système
nerveux
la présence du tissu conjonctif uniquement autour
infectieuses qui agissent à distance par leur toxine sur le système
nerveux
. Dans les maladies propres au système nerveux,
toxine sur le système nerveux. Dans les maladies propres au système
nerveux
, dans lesquelles les lésions sont plus ou moins
tissu conjonctif et des tuniques des petits vaisseaux, les cellules
nerveuses
et leurs prolongements cylindraxiles ou dentriliq
primitivement aussi accentuées sur les capillaires que sur le tissu
nerveux
, mais les artérioles d'un SOCIÉTÉS SAVANTES.
er les unes par rapport aux autres. Dans la tuberculose des centres
nerveux
, le tubercule, quel que soit le point où il se
temps confiné à ce point. A mesure qu'il se développe, les cellules
nerveuses
voisines subissent directement l'action de la t
antage l'élément vas- culaire être lésé, à l'exclusion de l'élément
nerveux
ou réciproque- ment. Les toxines peuvent agir s
on n'est pas autorisé à admettre qu'elle est antérieure à la lésion
nerveuse
. Il semble probable, si l'on admet les théories
ltérations artérielles qui les accompagnent. Cependant, les lésions
nerveuses
ne paraissent pas, dans certains cas au moins,
ésions vasculaires, même peu avancées, sans altération des cellules
nerveuses
. La sclérose en plaques parait bien plutôt liée
dépendance de l'artérite. Quant aux autres affections du système
nerveux
et aux névroses, nous connaissons très peu de c
parait bien restreint dans la pathogénie des affections du système
nerveux
, il est, en revanche, considérable dans toute u
isseau arrive jusqu'à l'oblitération, comme les artères des centres
nerveux
peuvent être considérées, pour la plu- part, co
on observe. La plupart des hémorragies qui se font dans les centres
nerveux
relèvent de cette cause. Enfin une embolie venu
éloigné du sys- tème artériel peut déterminer au niveau des centres
nerveux
des phénomènes de thrombose suivie d'oblitérati
ns la patho- logie, et en particulier dans la pathologie du système
nerveux
. En dehors de ces accidents, des lésions artéri
e que celui qui, dans notre cas, a dissocié, puis lésé des éléments
nerveux
de plus en plus nombreux, et créé par consé- qu
troubles paralytiques ne peuvent s'expliquer ni par un traumatisme
nerveux
(section ou compression du médian), ni par le m
communication SOCIÉTÉS SAVANTES. 253 sur quelques cas d'oedëmM
nerveux
et M. ALLARD sur un Cas de myopathie primitive
ais à l'âge de dix-huit ans, la malade a eu une crise de dépression
nerveuse
de nature douteuse, et de plus, dans le laps de
t que consécutivement à celles de la corticalité. Etat des cellules
nerveuses
chez un épileptique mort en étal de anal. MM. A
s manifestations physiques et psychiques de la névrose. Son système
nerveux
a été étudié par les méthodes de Nissl et de Go
p moindre, il est vrai, chez les déments complets dont le système
nerveux
était le siège d'altérations profondes. Organis
Vol. VI. Octobre 1898. No 34 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. SYRINGOMYELIE; Par Cire L. UHRIOLA (de Panam
ration à classer comme lèpre des affections peu étudiées du système
nerveux
et uni- quement révélées par l'atrophie ou la p
art. Leprosy. 1897. Archives, 2e série, t. VI. 18 274 CLINIQUE
NERVEUSE
. la même lèpre orientale. S'il est vrai que la
affectés, contractions qui aujourd'hui Fi[l, O, 216 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. encore sont visibles dans divers muscles des m
L'analgésie règne dans les deux mem- Fifj. -21. 1. 278 CLINIQUE
NERVEUSE
. bres supérieurs, sauf dans un espace limité qu
phosphates. Au début de ces troubles le malade , , 280 CLINIQUE
NERVEUSE
. ne pouvait uriner qu'en prenant la même attitu
reraient dans le cadre de la syringomyélie, Leçons sur les maladies
nerveuses
. 1 Fi[l, 23. Fig, 2f. 282 CLINIQUE NERVEU
sur les maladies nerveuses. 1 Fi[l, 23. Fig, 2f. 282 CLINIQUE
NERVEUSE
. bien que la dissociation de la sensibilité ne
lante et indépen- dante, uniquement caractérisée par des affections
nerveuses
et leurs conséquencès, ou d'une lèpre sans affe
come una stunu- lazione fortisima (iperestesia) ». 284 CLINIQUE
NERVEUSE
. du complexe symptomatique de la maladie ; lors
ants qui y sont prédis- posés, des affections incurables du système
nerveux
, dont la véritable origine remonte peut-être à
confusion mentale anxieuse ou hallucina- 288 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. toire, cela pourrait, à la rigueur, se souteni
nces pourraient être fâcheuses à tous égards. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLIX. MYXOEDÈIE spontané DE l'adulte; par M. l
normales, leur épithélium et leur substance . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 289 colloïde; cependant, on voyait dans quelqu
destinés Archives, 2° série, t. VI. 19 290 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.- à vivre d'accord, reçussent leurs ordres de d
facial et le vago-spinal. A. FENAYfioU. LI. Parasitisme des centres
nerveux
par mycose; par MM. J. Roux et J. l'AVIOT (de L
s environ. A l'autopsie, on a observé un aspect spécial des centres
nerveux
qui semblaient durcis, congelés; la surface, de
formée par cette membrane eût été trop étroite pour contenir l'axe
nerveux
médullaire; de fait, sur Il' les coupes, la sub
tuaient peut-être le début de la réaction inflammatoire des centres
nerveux
vis-à-vis du parasite. Le tableau clinique de c
ités, dont nous mentionnerons les suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 291' lo Apparition de troubles cérébraux très
ui en sont atteints une hérédité névropa- 292 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. thique ou des troubles nerveux personnels; qu'
vropa- 292 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. thique ou des troubles
nerveux
personnels; qu'avec les recherches expérimental
cidant avec une paralysie vésicale subite, l'extension des troubles
nerveux
à la région dorsale. Il y a lieu, sans doute, d
tions publiées depuis plusieurs années. Les . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 293 auteurs, pour leur part, ont rencontré six
para- plégie spasmodique). G. D. 294 -il REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. -LXI. UN cas DE maladie DE CHAMOT ; par les D"
érale amyotrophique pour lui faire une place - à part en pathologie
nerveuse
, très voisine mais distincte toutefois de celle
t parfaitement compte qu'on est suggestionné. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1295 On conserve un empire assez grand sur soi
et les injections strychniques. A. Marie. 296 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LIII. Hystérie infantile; par J. MADiSON TAYLO
tardive que l'auteur rapporte à la sclérose artérielle des centres
nerveux
et à la dégénérescence du muscle cardiaque (car
a tare névropatbique ainsi acquise. A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 297 SUR l'épilepsie d'origine alcoolique ; par
bord par les lésions organiques qu'elle fait naître dans le système
nerveux
central par athérome, sclérose, etc., mais, aus
ent constituées par le trouble amené dans la nutrition des cellules
nerveuses
par l'intoxication. De nombreuses observations
une laxité articulaire donnant naissance 298 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. au déplacement secondaire de la tête humorale.
on maxillaire des rapports normaux. A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 29U LXXIX. IIEMIATROPHIE faciale; par E. Yonge
variables de la moelle étaient atteintes. 300 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il expose que, des causes générales de myélite
particulièrement chez les jeunes gens du sexe masculin à sys- tème
nerveux
facilement excitable, chez les neurasthéniques, m
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1. LÉSIONS DES CELLULES
NERVEUSES
AU COURS DE DIVERSES INTOXICA- TIONS ET auto-in
de l'ingestion d'iodure de potassium, déterminent dans les cellules
nerveuses
centrales des lésions protoplasmiques qui porte
e les suppléances puissent s'établir. Alors survient l'insuffisance
nerveuse
, processus comparable aux insuffisances viscéra
on de l'élément noble. C'est à tort qu'on considérerait les lésions
nerveuses
des intoxications comme des lésions banales et
tte couche corticale comme formée uniquement de faisceaux de fibres
nerveuses
à myéline disposés sur des plans parallèles à l
épaisseur, fait qui indique une relation étroite entre les]cellules
nerveuses
et les éléments de la couche péri- phérique. La
és de cellules, absolument indépendantes fonctionnellement du tissu
nerveux
. Ce sont : a) de petites cellules de 6 à 9 fi,
du cerveau confirment cette manière de voir; 2° Un plan de fibres
nerveuses
tangentielles. Tous les auteurs ont décrit ces
être le rôle de ces divers éléments dans le mécanisme de l'activité
nerveuse
. P. Rellay. 'VU. Gliome DU BULBE; par Joseph CO
centres' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 305
nerveux
, où se trouvent réunis des centres fonctionnels s
ense à la périphérie qu'au centre, est nettement distincte du tissu
nerveux
qui l'entoure. Sur des coupes de la moelle, on n'
et à mesure de son déve- loppement, ait pris la place des éléments
nerveux
du bulbe. Et cette notion éclaire l'évolution c
e par le malade. La tumeur s'insinuant lentement entre les cellules
nerveuses
et leurs prolongements sans les détruire, n'a n
par A. ADAlKIENICZ. (Neiwolog. Centralbl., XVI,,1891.) La substance
nerveuse
est compressible ; elle peut être compri- mée d
n somme, lésions systématiques avec atrophie primitive des cellules
nerveuses
dans les foyers gris moteurs de la moelle et du
s n'a encore rien fondé qui permette le diagnostic sûr des maladies
nerveuses
. P. KEKAVAL. XIV. La théorie DE RONCOIIO1VI SUR
tion neurochimique, la transformation de la constitution du système
nerveux
dans le temps et le lieu et toute la question d
Analyse des travaux de ces 20 dernières années : 1° sur les fibres
nerveuses
; ,2" sur les cellules nerveuses; 3° sur les ménin
ernières années : 1° sur les fibres nerveuses; ,2" sur les cellules
nerveuses
; 3° sur les méninges, la névroglie et les vaiss
risations terminales amyéliniques de la substance grise des centres
nerveux
et nous montre l'épais feutrage, par places, inex
les embryons entou- rent comme d'une toile d'araignée les cellules
nerveuses
grandes ou petites. Mais il faut observer les p
r sommeil n (Kreepeliu). LwoFF. XXI II. Relation DES divers CENTRES
nerveux
entre eux ET avec LE reste du corps; par H. JAC
et on fil l'ablation partielle de la tumeur. Il en résulta un choc
nerveux
suivi de suspension de la respiration sous le chl
en comparaison de celles des signes mentionnés ci- dessus. Un sujet
nerveux
sans réaction pupillaire ou sans réflexes rotul
III. N. Solowtzow. Sur les déformations congénitales du sys- tème
nerveux
. - Une des causes les plus fréquentes des défor
causes les plus fréquentes des déformations congénitales du système
nerveux
central réside dans l'hydrocéphalie congénitale
ellicule de 1 millimètre d'épaisseur où l'on distingue des cellules
nerveuses
, les faisceaux fondâmes taux des cordons antéri
s la région lombaire et dans celle du cône médullaire; les éléments
nerveux
sont ici en partie détruits, en partie comprimés,
. Lorsque fut créée la chaire de Clinique des maladies du système
nerveux
en 1882, Richer était tout désigné pour remplir l
opold Lévy, à qui l'on doit une importante étude sur les troubles
nerveux
d'origine hépatique, on voit survenir, sous l'i
ique (Revue de psychiatrie, sept. 1897). * Léopold Lévy. - Troubles
nerveux
d'origine hépatique (Archives gén. de Méd., mai
e. Nous pensons cependant que même dans l'hypothèse où les troubles
nerveux
et hépatiques relè- vent de la même cause, un r
un retentissement [secondaire du. désordre hépatique sur le système
nerveux
est très vraisem- blable. Les troubles foncti
ique étaient préparés par l'impré- gnation alcoolique de la cellule
nerveuse
. Cette dernière n'avait pas succombé à l'intoxi
persistance pendant tout le cours de sa maladie. Un des phénomènes
nerveux
les plus fréquents parmi ceux qui résultent d'u
tion spécifique ou tout au moins élective de l'alcool sur l'élément
nerveux
lui- même. En allant du simple au composé et en
ante sont bien l'effet direct et incontestable de l'alcool. L'homme
nerveux
, en santé normale et habituellement sobre, qui
t pour nier l'action spéciale et directe de l'alcool sur la cellule
nerveuse
. On reconnaît à la plupart des poisons d'origin
nt l'effet est de stupéfier plus souvent que d'exciter le sys- tème
nerveux
. La spécificité du délire alcoolique est tellem
nrent de plus en plus fréquents. Peu de temps après, des phénomènes
nerveux
compli- quèrent son état : elle devint sujette
algies intercostales, iléo-lombaires, etc. Les faits d'inhi- bition
nerveuse
au cours de la lithiase biliaire ne sont pas no
ntervalles pseudo- lucides ; et enfin elle s'accompagne de troubles
nerveux
qui ont un cachet hystériforme assez marqué pou
ne veuille y voir un effet direct de l'hépatotoxémie sur le système
nerveux
, ce qui est encore une hypothèse acceptable. No
e mécanisme de l'auto-intoxication, et la fragilité de la cellule
nerveuse
provient soit d'un trouble de sa nutrition impu-
e, se compliquait d'une névrose ou d'une autre affection du système
nerveux
, afin d'obtenir des données appartenant exclusi
concluante. Morts par poison ou par noyade. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 401 J'ai plus de disposition à me ranger à l'a
toutes les sciences réunies ». Dr J. SIBBALD. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LXXXVI. Troubles 'gastriques DE nature hystéri
ble par son siège, sa configuration spéciale et des complica- tions
nerveuses
non encore signalées. Homme de trente : deux ans,
vingt- Archives, 2e série, t. VI. 26 402 . REVUE DE. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sept'ans, deux enfants bien portants. Aucun so
de manifestations convulsives indiquent assez clairement l'origine
nerveuse
et don- nent raison à l'opinion du D1' Raymond
e de cette curieuse dystrophie, attribue la prédominance au système
nerveux
. L'auteur pense que, dans ce cas spécial, il y
phénomènes de la mala- ; , '>.31 . ? - .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 405 die de Friedreich est sujette à de grandes
et pouvant être dites congénitales.. , i 404 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Cette origine utérine doit dominer l'étiologie
t comme un phénomène accidentel et contingent REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 405 sans relation directe avec le syndrome de
sion fonctionnelle des prolongements protoplas- miques des cellules
nerveuses
, l'explication de la raideur et de l'exagératio
motrice bilatérale, on constate des trou- 406 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. bles de la sensibilité également bilatéraux, i
plus de cellules motrices, ou de racines antérieures, ou de fibres
nerveuses
capables de manifester par le spasme la dégénér
ès d'origine otitique et mourut en novembre. REVUE DE PATHOLOGIE,
NERVEUSE
; 407 . Les commémoratifs d'une collection purul
éveillé par des contractions spasmodiques 408 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de la moitié gauche du visage. Depuis lors, ce
usculaire progressive de Duchenne, constituée REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' 409 par la réunion d'un certain nombre de ca
es Drs S. G.1RIER et S.1N'rENOISE. Il s'agit d'un débile à hérédité
nerveuse
chargée, chez qui sur- vinrent, iL la suite d'u
quand les secousses sont peu intenses. Le 410 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. malade ne souffre pas mais éprouve une grande
co-psychologiques, juin 1898.) E. B. CI. SUR la rapidité DU courant
nerveux
chez LES épileptiques; par Cesare Rossi. (Riv.
s les processus centraux, la trans- mission périphérique du courant
nerveux
étant quelquefois accélé- rée par comparaison a
idence les points suivants : le tabes spasmo- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 411 dique est rarement limité aux symptômes ré
rencontre avec une fréquence relativement grande dans les maladies
nerveuses
héréditaires ou familiales et dans la très gran
ité des cas unis à des manifestations morbides autres. Les maladies
nerveuses
héréditaires ou fami- liales se rapprochent plu
es se rapprochent plus ou moins des tableaux cliniques des maladies
nerveuses
communes, mais sont beaucoup plus complexes. El
nsité le symptôme capital. Elles semblent 412 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. diminuer sous l'influence du chloral,mais repr
uence de l'usage de l'alcool est connue, sou action sur les centres
nerveux
produit l'anesthésie des sens, la paralysie du
rolog. Centralbl., XVI, 1897.) On prend un petit morceau du système
nerveux
de l'homme, ou d'un animal qu'on vient de tuer,
Cette méthode a donné de bons résultats pour l'étude du sys- tème
nerveux
du cobaye, du lapin, du chien, des nouveau-nés et
but de soulager des douleurs, ou bien chez des sujets à tempérament
nerveux
; et dans ce cas elle est une névrose fonctionn
e retour à la santé paiaissait évident, apparaissaient des troubles
nerveux
nécessitant l'emploi du bromure et de la strychni
e un bon hygiéniste et surtout avoir grande expérience des maladies
nerveuses
et mentales. Dans beaucoup de prisons le médeci
générale de la médecine, et dans des services spéciaux de maladies
nerveuses
et d'aliénation mentale. Le médecin de prison,
: 1° une épreuve écrite sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures ; 2
Vol. VI. Décembre 1898. N° 36 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. DES POUSSÉES D'ENCEPHALITE AIGUË DANS LE COURS
n laboratoire. Archives, '.le série, t. VI. 28 434 pathologie
NERVEUSE
. Autopsie. Homme de taille moyenne, très maigre
e vue de l'examen histologique complet des altérations du système
nerveux
central cette dernière méthode est la meilleure e
reprendre l'étude des altérations fines du protoplasma des cellules
nerveuses
poussées d'encéphalite A1GUE. 435 (t\issl),
de ces formes dont le dessin fidèle est représenté 436 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. par la figure 1 de la PLAKCHE I. Nous la désig
foyer que nous nous sommes proposé de décrire. Quant aux cellules
nerveuses
elles ont subi des modifications variables mais
fait qui est la règle dans la forme sui- vante. Quelques cellules
nerveuses
, atteintes des premiers stades de dégé- néresce
fait de simple voisinage comme on pourrait le croire. Les cellules
nerveuses
qui présentent ce phénomène ont une forme de cr
dent avec la paroi capillaire. Ce changement de forme de la cellule
nerveuse
, s'adap- tant exactement à la conformation exté
parations. Les traînées visibles au petit grossis- 438 pathologie
nerveuse
. sèment s'étendent à certains endroits sans lig
ertains endroits sans ligne de démarcation bien nette dans le tissu
nerveux
environnant, soit de la substance grise, soit d
essin on remarque même desplaces d'une certaine étendue où le tissu
nerveux
manque complètement. Mais c'est là toute la res
ageons pour l'instant comme des foyers de ramol- 440 ' pathologie
NERVEUSE
. lissement. Plus tard, nous déterminerons leur
che et grise ? Il nous est impossible de nous prononcer. Les fibres
nerveuses
correspondant aux foyers décrits ont subi une a
is le fait capital que nous y observons est l'existence de cellules
nerveuses
a modifications progressives. Ces modifications
pas y être étudié. Dans cette zone donc nous trouvons des cellules
nerveuses
à noyau riche en chromatine, des cellules dont
trouvons qui renferment deux noyaux. Un grand nombre de cel- lules
nerveuses
de cette zone périvasculaire présentent d'autres
s troncs vasculahes, diminuent rapidement d'intensité. Les cellules
nerveuses
y sont normalement disposées, et nous aurions a
remarquer, à pro- pos des modifications progressives de la cellule
nerveuse
, qu'à me- sure que l'on s'approche des foyers i
s'approche des foyers inflammatoires, ce phénomène 442 pathologie
NERVEUSE
. d'activité limitée ne s'observe plus. Nous avo
limitée ne s'observe plus. Nous avons même un exemple où la cellule
nerveuse
possédant deux noyaux se trouve déjà en état de
eau schématique de l'inflammation en général et de celle du système
nerveux
central en paiticulier. Tout cela apparaîtra cl
udes sur les diverses formes d'encéphalite, 1SG8.. 444 pathologie
nerveuse
. Une dizaine d'années après, Virchow parla de l
udié les modifications de la substance chroma- tophile des cellules
nerveuses
dans les maladies infectieuses et les'intoxicat
ondamentale éprouve des modifications profondes aussi. Les cellules
nerveuses
dans cette zone dégénèrent. La zone inflammatoi
e dernière zone, qui est très étendue quelquefois, oit les éléments
nerveux
ont subi une dégéné- rescence plus ou moins pro
1890, XXI, et Neuz·olo. Ceazlrczlblall, 1S89). 1'16 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. fianle en comparaison de la prolifération du t
OLOGIE NERVEUSE. fianle en comparaison de la prolifération du tissu
nerveux
. Nous n'avons pas à nous prononcer sur la valeu
espaces pémvasculaires et péricellulaires et en partie des cellules
nerveuses
. '- Wernicke, Lehrbuch der Gelciral-Ierualseile
timpell, Archiv sur Idinische Jlecl., 1891, XLVII. 448 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la substance grise, recouvrant le quatrième ve
ns les tissus. On n'y trouve pas de corps granuleux. Les cellules
nerveuses
, la neuroglie, la substance fondamentale demeuren
e en foyers, le rôle principal aux éléments constitutifs du tissu
nerveux
, les travaux de ces dernières années font voir au
Virchow's. Bd. Il. ARCHIVES. 2e série, t. VI. 29 450 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1. Les petits foyers de ramollissement que l'o
ans la paroi des vaisseaux, la dégénérescence rapide des cellules
nerveuses
, la dissolution de la substance fondamentale, m
es sont la réponse - phénomène inflammatoire particulier au système
nerveux
central des éléments névrogliques à l'agent inf
la possibilité de provenance de ces grosses cellules des cellules
nerveuses
! Comme nous l'avons vu dans notre description
mme nous l'avons vu dans notre description précédente, les cellules
nerveuses
disparaissent au début de l'inflammation même s
'hyperémie, de la dégénérescence précoce et incomplète des cellules
nerveuses
, coagulation de la subs- tance fondamentale, tu
res avec ceux se faisant indirectement , par l'in- 452 pathologie
NERVEUSE
. termédiaire des prolongements des cellules név
ne peut pourtant pas suspecter l'origine épithé- liale des cellules
nerveuses
et admettre qu'elles puissent avoir quoi que ce
s vaisseaux et peut-être l'atrophie d'un certain nombre de cellules
nerveuses
. C'est dans cette zone et dans le voisinage imm
ns signalé des légères modifications progressives dans les cellules
nerveuses
. poussées d'encéphalite aiguë. 453 La subst
la couche cor- ticale aux mêmes irritations. La plupart des fibres
nerveuses
correspondant aux foyers inflammatoires ont dis
s'observe que dans l'inflammation aiguë du système 454 pathologie
NERVEUSE
. que ces cellules constituent l'essence même de
sont : la présence de leucocytes, de dégé- nérescence des cellules
nerveuses
et la dissolution de la sub- stance fondamental
avancée, phénomène suivant de près la dégéné- rescence des cellules
nerveuses
. Toutes ces constatations prouvent surabondamme
. Toutes ces constatations prouvent surabondamment que les éléments
nerveux
cellules nerveuses et cellules névrogliques - s
tations prouvent surabondamment que les éléments nerveux cellules
nerveuses
et cellules névrogliques - sont beaucoup plus s
la peine à comprendre l'absence complète d'altérations des cellules
nerveuses
, delà substance fonda- mentale et des cellules
ations. A mesure que les éléments constitutifs des foyers d'encé-
nerveux
central ; dans les autres organes atteints d'une
us la mort complète du tissu enflammé : il n'y a que les cellules
nerveuses
qui dégénèrent et disparaissent. L'inflammation
vie, relèvent histologiquement de l'atrophie complète des cellules
nerveuses
dans. le domaine des foyers inflammatoires aigu
s névrogliques en voie de modifications progressives; c g, cellules
nerveuses
dégénérées ou en voie de dégénérescence granule
chromatine. (Zeiss. ocul. 3obj.E.) Fig. i. Accotement des cellules
nerveuses
à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses e
cotement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules
nerveuses
en voie de régression, même grossissement. Fif)
urative. l, leucocytes ; c e, cellules épithéloides ; c g, cellules
nerveuses
com- plètement dégénérées; ! ), petit vaisseau
es découvertes récentes de l'histologie et de l'anatomie du système
nerveux
ont fait entrer la psychologie dans une nouvell
nts protoplasmiques, mouvements amoeboïdes, plasticité des éléments
nerveux
, intervention de la névro- glie ( ? ), etc.], o
rations moléculaires de nature spéciale ; ce qu'on appelle l'influx
nerveux
est né. Il chemine à travers une série de neuro
u passage des vibrations, qui constituent ce qu'on appelle l'influx
nerveux
. Etudier le mécanisme de ces processus, c'est é
e trop grande intensité lumineuse. Voici ce qui se passe : l'influx
nerveux
chemine à travers les divers neurones que nous
t faire contracter l'iris. Fig. 25.-Trajet suivi par les vibrations
nerveuses
, de la rétine à l'écorce, dans la vision simple
ct des cônes et des bâtonnets pour y être transformée en vibrations
nerveuses
. Le rôle de ces dispositions est très comparabl
niveau des noyaux gris de la couche optique, réflexion de l'influx
nerveux
vers le noyau de la troisième paire, puis traje
N. 461 Voyons maintenant le mécanisme de ces phénomènes. L'influx
nerveux
a franchi les noyaux gris centraux, est arrivé
image, augmentée d'intensité, devient claire et précise. L'influx
nerveux
a cheminé comme précédemment jusqu'à l'écorce (
tiniens. - Outre les neu- rones qui servent à conduire l'impression
nerveuse
et dont nous avons donné le schéma (g.2p), la r
vons donné le schéma (g.2p), la rétine contient encore des cellules
nerveuses
dont nous allons étudier le rôle pro- bable.
(l'rovizzce médicale, mai 1898). Brissaud (Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1895) avant nous avait déjà placé dans la cort
e- ment des neurones, qui rend plus facile le passage de l'influx
nerveux
1. ' V. Dr Joaiinv Roux. Béflexes réhino-rélini
ous pouvons invoquer un réflexe ana- logue aux précédents. L'inllux
nerveux
apporté en B ((tg, 29), par les fibres visuelle
rande de l'image. IV. Ajustement des neurones corticaux. L'influx
nerveux
ne s'arrête pas au centre visuel, il est porté pl
. Psych. und Serv. liruakleilea, t. YYVII, 1895. l'ig. 29. L'influx
nerveux
venant de la rétine (A) arrive à la cortica- li
e des fibres tangentielles Elles ne peuvent que recevoir l'influx
nerveux
des fibres centripètes pour le transmettre aux
niveau de Ld couche des fibres tangentielles du cerveau. L'influx
nerveux
parti du centre visuel arrive en un point quelc
es du cotte. Les flèches permettent de suivre le trajet de l'influx
nerveux
, et montrent comment en B il revient sur ses pa
auxquels l'influx MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATTKNTION. 116-1 I
nerveux
se fraye lui-même sa voie, en aplanissant les o
natomique et physiologique. Reportons-nous à la figure 30. L'inllux
nerveux
vient d'abord au point B puis au point A, d'une
souvent les centres de projection sont seuls mis en jeu : l'influx
nerveux
arrivé par les fibres cen- tripètes à la cortic
'un réflexe, qui a pour effet de faci- liter le passage de l'influx
nerveux
, en diminuant les résis- tances en certains poi
ésis- tances en certains points déterminés. C'est tantôt l'influx
nerveux
qui se fraye lui-même son passage, étapes par é
passager et peu marqné, chez des individus bien portants ou un peu
nerveux
, n'acquièrent persistance et intensité que chez
un peu nerveux, n'acquièrent persistance et intensité que chez les
nerveux
et les psychopathes, en particulier dans la neura
uit un trouble mental. Nous connaissons la marche des excitations
nerveuses
de la périphérie au centre; nous savons qu'une sé
mo-patho- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 473 logiques des centres
nerveux
sont de plus en plus intéressantes et se poursu
es à celles qui se trouvent dans les systèmes autres que le système
nerveux
. En l'absence temporaire, j'aime à le croire, d
ux paroles du clairvoyant Griesinger, que les maladies du système
nerveux
forment un tout inséparable dont les affections d
nts générateurs, de causes effec- tuant une modification du système
nerveux
adéquate à la prédis- position pathologique ; 5
goisse précordiale (Mendel) et d'autres troubles du côté du système
nerveux
; 12° la marche et le mode d'apparition de la m
émorragie méningée (Gowers), qui entraîna la des- truction du tissu
nerveux
et l'amincissement de l'os. On constate un épai
essus de la paralysie générale, ou si c'est l'atrophie des éléments
nerveux
constitutifs. Mais on ne peut guère séparer les
PATHOLOGIE MENTALE. 483 constitution, d'une nutrition modérée. Mère
nerveuse
. De dix à vingt ans onanisme. C'est depuis cett
s intéressantes recherches sur l'application à l'étude des origines
nerveuses
, de la réaction qui se produit dans la cellule
s origines nerveuses, de la réaction qui se produit dans la cellule
nerveuse
, après la section de son cylindraxe, l'auteur tir
lle-même pour produire la chromatolyse qui caractérise les sections
nerveuses
; 2° cette réaction ainsi produite peut servir à
imultanée DES TOXINES diphtérique ET STREPTOCOCCIQUE SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
DES COBAYES ; par le Dr iIOURAVIErF. Les prop
e 486 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. système
nerveux
des cobayes. En effet : 1° c'est avant tout les
lions intervertébraux; 4° la toxine diphtérique agit sur les fibres
nerveuses
principalement, parait-il, par l'inter- médiair
on combinée des toxines diphtérique et streptoccique sur le système
nerveux
des cobayes égale les sommes des effets isolés de
ongénitales DU cerveau dans leurs RAPPORTS AVEC L'ÉTAT DES CELLULES
NERVEUSES
DE LA MOELLE ; par N. SOL01 TZOPF. (Nouv. lcono
s. L'étude de ces cas pathologiques comparée avec celle de systèmes
nerveux
humains et normaux faites à divers âges de la v
uteur aux conclusions suivantes : 1° Le développement de la cellule
nerveuse
de la moelle épinière est très étroitement lié
pathique, auto-intoxication). Deux théories s'en dégagent : théorie
nerveuse
et théorie de l'intoxication qui, malgré leur v
ontrer que la mort des animaux décapsulés n'est pas due aux lésions
nerveuses
périphériques, mais bien à la suppression de l'
mer, sur la foi des résultats qui précèdent, la ruine de la théorie
nerveuse
et triomphe de la théorie de l'auto-intoxication
'établir la distinction entre une théorie capsulaire et une théorie
nerveuse
; la première plaçant à la base de l'étiologie de
-sympathique ; par le Dr G. MARINESCO. Le type principal de cellule
nerveuse
qui domine dans les gan- glions sympathiques de
neurone ; par C. PuGriAT. - z Cajal, dans son livre sur le système
nerveux
de l'homme et des vertébrés, s'est expliqué trè
mineux parce qu'il remplit une fonction active, parce que les ondes
nerveuses
le traversent, s'y modifient peut-être, et l'exis
'autres fonctions à remplir : il ne conduit pas seulement les ondes
nerveuses
mais encore il les transforme ; les modalités d
des réac- tions que présentent les différentes espèces de cellules
nerveuses
. L'excitation d'un neurone des centres corticau
aire n'est qu'un simple conducteur ? Le neurone, unité cellulaire
nerveuse
, possède des conducteurs, les prolongements cyl
'en., fasc. III, 1897.) XLII. RECHERCHES SUR LES lésions DES fibres
NERVEUSES
spinales dans LES PSYCHO-NEVROSES AIGUËS ET CON
éraux. » P. K. LVIII. UNE NOUVELLE méthode DE coloration DU système
NERVEUX
central; par J. Allerhand. (Neurol. Ceztz·ulLl.
substance grise plus ou moins incolore. Au microscope, les cellules
nerveuses
apparaissent avec tous leurs prolongements ; le
gré progressivement. P. KEHAVAL. LXL Des altérations DES CELLULES
nerveuses
PFNDANT l'inanition; par K. Schaffer. (Ncurolog
se M. 0 tuszew : : ki, P. IiEn.wnL, LXX. Lésions fines des CELLULES
NERVEUSES
dans LES poliomyélites chroniques; par G. Marin
tes. L'état neurasthénique accompagne souvent d'autres affec- tions
nerveuses
par simple adjonction comme dans le tabès, par
ologie des imposteurs », « la Statistique des affections du système
nerveux
dans l'armée russe », « Traitement de l'hémiplé
° psychiatrie; 6° psychopathologie so- ciale et légale ; 7° hygiène
nerveuse
et psychique. Enfin un groupe très original : «
oisonneurs. B. Action de l'alcoolisme SUR H PRODUCTION DES maladies
nerveuses
. , 1.773 enfants idiots, épileptiques, imbécile
névrogliques en voie de modifications progressives; c ri, cellules
nerveuses
dégénérées ou en voie de dégénérescence granule
iromatine. (Zeiss. ocul. 3 obj. D.) Fig. 4. Accolement des cellules
nerveuses
à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses e
colement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules
nerveuses
en voie de régression, même grossissement. Fig.
rative. l, leucocytes ; c e, cellules épitliéloides ; c g, cellules
nerveuses
com- plètement dégénérées ; v, petit vaisseau à
1 127. AItTI.Itt'IES. Hôle des - dans la pa thologie du système
nerveux
, par Coulon, 239. ASE'-UI l'>A'I 10;0; des
ALES. Extirpation des - chez le chien, par Sodou, 487. CELLULES
nerveuses
. Lésions des - dans les intoxications, par Na-
es," par Sabjjj, 3620. Colorai'ion des dégénérations du système
nerveux
par l'acide os- mlque, par Bousch, 70. - du sys
ème nerveux par l'acide os- mlque, par Bousch, 70. - du sys- tème
nerveux
centiat, par Aller- hand.498. Congrès «les al
rveau humain, par Gionm, 493. Dnromwrcov congénitale du système
nerveux
, par Solowtzow, 311. Dégénérât ions systématisé
riques. Action des toxines - et streptococciques sur le sys- tème
nerveux
des cobayes, par Mourawieff, 485. DIP'OMAIE,
n état de mal, pa : 'llispal et.\nglaUe, 259. Rapidité du courant
nerveux
chez les -, par Itossi, 410. Uxoi,icide et pa
s les cas denasque,parvan Gehuchten. 496. Parvsitisme des centres
nerveux
par mycose, par Roux et Paviot, 2UO TABLE D
t , par Cullerre, - 353. I'C1CI10-I : IlOSE. Lésions des fibres
nerveuses
spinales dans les - aigu es, par Donaggio, 493.
Weber avec hémiopie, par Jolh'oy, 47. Syphilis précoce du système
nerveux
par Juschtschenko, 129. SYRINGO.IYI'LIE avec
TOXIXES, Action des- diphtériques streptococciques sur le système
nerveux
, par 111ouratow. 6 ! 1'aeum.enew essentiel héré
GIE ARCHIVES DE , NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE 1 DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES f Fondée PAR,J.-M. CMARCOT ' FU
. : F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. MM. ABAD
Vol. XVII. Janvier 1904. N° 97. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. Tumeur cérébrale avec abolition des réflexes
D6 Philippe et Lejonne. Archives, 21 série, t. XVII. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. Il s'agit d'une jeune femme de vingt-quatre an
at, on la néglige un peu en général ; vous voyez qu'elle 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. nous révèle cependant un nouveau symptôme très
re sortir, et même si je lui adresse une question très S 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. .simple, j'obtiens une bonne réponse; mais il
pondant et des tubercules quadrijumeaux voisins. ' l . 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. . Une digression est ici nécessaire : des trav
avant, je tiens encore à vous dire que d'autres régions 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. 1 de la moelle peuvent être atteintes : par ex
es régions motrices et antérieures de la moelle. Dans chaque tube
nerveux
, la gaine de myéline est atleinte la première,
nt, il persiste longtemps après la démyélinisation complète du tube
nerveux
; mais, d'après quelques auteurs, il pourrait ê
microscope montra plus nettement la dislocation des fasci- cules
nerveux
de la racine postérieure principalement; les lé
principalement; les lésions, surtout démyélinisatrices, des fibres
nerveuses
, l'in- tégrité suffisante des cellules ganglion
arois minces et peu résistantes, si bien qu'en dernière 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. analyse les tubes nerveux eux-mêmes seront sép
s, si bien qu'en dernière 12 CLINIQUE NERVEUSE. analyse les tubes
nerveux
eux-mêmes seront séparés les uns des autres, pl
la catalepsie peut se manifester dans diverses maladies mentales et
nerveuses
, elle peut même être provoquée artificiellement
déplacement du noyau, etc. Dans son traité des maladies du système
nerveux
, Sir William Gowers disait que les ganglions so
énéralement normaux et que les lésions de dégénérescence du système
nerveux
sont probablement sous la dépendance d'un agent
de vue de leur importance en tant que cause primi- tive des lésions
nerveuses
de la moelle, de remarquer que Marinesco dit qu
existe une théorie suivant laquelle la dégénères-' cence des libres
nerveuses
serait consécutive à des altérations des, paroi
énérescence. Etant donné le fait que la dégénéres- cence des fibres
nerveuses
et les altérations vasculaires sont dues au mêm
essive. Dans la paralysie générale on' trouve les mêmes altérations
nerveuses
et les mêmes lésions vas- culaires, et dans cet
lies aiguës par exemple, où il est à peu près certain que la lésion
nerveuse
est primitive : mais qtiel-(Iue soit le siège p
te à la fois de ce que. Sciuti appelle « la défectuosité des fibres
nerveuses
» et de ce que Fort Hobert- son a désigné sus l
ans noyau (surtout chez l'homme). 2. Une couche de petites cellules
nerveuses
multipolaires de toutes formes. 3. Une couche de
s multipolaires de toutes formes. 3. Une couche de grandes cellules
nerveuses
, surtout dans la partie latérale, externe, de l
e chez l'homme, est impossible chez l'animal. La texture des fibres
nerveuses
comporte, chez le chien, le chat, le lapin, l'h
sent les éléments cellulaires sus-indiqués. 2. Une couche de fibres
nerveuses
minces qui correspond à la jre couche de petites
rveuses minces qui correspond à la jre couche de petites cel- lules
nerveuses
: elle est plus mince dans les parties inférieure
Strato bianco cineFPO, correspond à la couche des grandes cellules
nerveuses
. 5. Cin- quième couche. Strato bianco et cinere
profundo. Elle correspond à la troisième couche de petites cellules
nerveuses
. Elle forme la limite tranchée entre le tubercu
ns de l'ensemble de ces éléments avec les autres parties du système
nerveux
, est ainsi mise au point. Les ramifications ter
e à la moelle où, par voie de contact, il est transmis aux cellules
nerveuses
de la corne antérieure, et de là, au moyen des
térieure, et de là, au moyen des racines antérieures, aux appareils
nerveux
ter- minaux des muscles. On peut de cette maniè
el sert à la transmission des excita- tions lumineuses aux cellules
nerveuses
des masses grises de la protubérance, près du f
l'emploi du microscope à lumière polarisée dans l'examen des fibres
nerveuses
à myéline dégénérées; par K. Ii110D3SANN. (Cent
eilk. XXIV. N. F. XII, 4904.) .) Les manchons de myéline des fibres
nerveuses
présentent d'une manière très accusée le phénom
du tissu conjonctif leur assure, quand ils sont associés aux fibres
nerveuses
, une coloration contraire, ils seront bleus qua
s sont jaunes. . Tel est le procédé d'analyse applicable aux fibres
nerveuses
, fraîches, dissociées, ou sectionnées dans le m
. ALtheil, 1896). Peut-on par la polarisation examiner le système
nerveux
patho- logique ? Reconnaître les déchéances de
pas à l'affirmer. Il décrit vingt expériences de dégénéres- cences
nerveuses
chez le lapin, et passe en revue des lésions du
s nerveuses chez le lapin, et passe en revue des lésions du système
nerveux
chez l'homme dans lesquelles les troubles des i
vrite propagée dans l'ar- thorite nécrosique. En somme les fibres
nerveuses
à myéline présentent normale- ment une double r
participe àl'affection, ainsi que tous les départements des centres
nerveux
. 2. Les fibres des nerfs et des muscles présent
re de Marinesco. Le bout central et le bout périphérique des fibres
nerveuses
subissent la déchéance myélinique. Ces dégénére
nse des fibres d'association de toutes catégories, que Les cellules
nerveuses
ont le plus diminué, qu'elles ont le plus subi
. de la Salpétrière, n° 6, 1902). Lésions syphilitiques des centres
nerveux
. Foyers de ramollisse- ment dans le bulbe : hém
is l'âge de trente ans; pris subitement en pleine santé d'accidents
nerveux
caracté- risés par hémiasynergie du membre infé
XVIII. Sur l'aspect des prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
des cornes antérieures et postérieures de la moel
ntes, que l'as- pect des prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
de la corne antérieure était très différent de
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 61 L'examen histologique du système
nerveux
portant principale- ment sur les lésions des ra
ons histologiques se caractérisent par des modifications des fibres
nerveuses
compa- rables sous certains rapports à celles q
sous la dépendance d'une affection non encore locali-ée du système
nerveux
(substance grise de la moelle); pour la variété à
sez grand nombre d'affeclions organiques ou dynamiques du système
nerveux
(hémiplégie, syringomyélie, tabes, myopathies, sc
les n08 d'avril 1903 et suivants des Archives. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Contribution à l'étude de l'aphasie ; par G
e un peu et Archives, 2' série, t. XVII. 5 66 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. voici que le patient discerne en quelle langue
apports de son expansion avec le trajet de tels ou tels conducteurs
nerveux
. A-t-elle une valeur diagnostique quant à l'ata
it d'une syringomyélie au début. ' , . G. D ' REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 67 IV. Un cas de tabes spasmodique; par le Dr
hez lequel survint pendant la période secon- 68 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. daire de cette affection une hémiparésie du cô
es, etc. Ces accidents qui s'étaient développés REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 69 en l'espace d'un an et qui sont restés stat
ntérieures de Pelnar et Skalicka. . R. C. .70 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XIII. Le syndrome du torticolis spasmodique; p
troubles moteurs; par les Dra CESTAN et HUET. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 71 - La question se pose actuellement de savoi
et intéressante étude, l'auteur examine quels 7 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sont, dans les diverses formes d'aphasie, les
lement provoqué, renforcé par un afflux d'oxygène vers les éléments
nerveux
locaux sensible ? ainsi que par la suppression
VI. Pronostic et traitement des affections spécifiques du système
nerveux
; par W. GOWERS (Britislz médical Journal, 4 avril
ponctionner et les drainer. Quant aux interventions sur la cellule
nerveuse
elle-même, il faut se laisser guider par ce que l
s. Il n'a fait qu'écarter sans les détruire les portions du système
nerveux
dans lesquelles il s'est développé. ' M. DÉJER1
ES. 83 tisation et de la guérir de divers troubles, tels que crises
nerveuses
avec perte de connaissance, paroxysmes d'angois
quinze minutes sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
, après quinze minutes de pré- paration. Il sera
Vol. XVII. Février 1904. N, 98. ARCHIVES DE NEUROLO"1^ CLINIQUE
NERVEUSE
. Epilepsie : Pathogénie et indications théra]
'épilepsie vraie, de Archives, 2' série, t. XVII. 7 98 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. l'épilepsie stéréotypée en quélquesorte quant
onner en outre la pathogénie d'altéra- tions indélébiles du système
nerveux
, de celles qui, par exem- ple, déterminent, par
faciles a expliquer, comme on le verra par la suite. 100 CLINIQUE
NERVEUSE
. tiques ; en Suède el en Norvège, la fréquence
urlurenu. Art. Epilepsie du Dict. Dechamble, page 109. 102 CLINIQUE
NERVEUSE
. ou bien des idées exaltées ; quelques-unes ont
ques il Rosières-aux-Salines (meurtre). Nancy, 1831. 104 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' dances à l'ivrognerie, tel autre descend d'u
t le caractère épileptique). A cette époque, la puberté, le système
nerveux
manifeste chez l'épileptique comme chez l'adole
, tel on le retrouvera pour ainsi dire chaque jour; 106 Il CLINIQUE
NERVEUSE
. l'épileptique, au contraire, est essentielleme
els, par conséquent, on peut compter les goitreux, qui 108 CLINIQUE
NERVEUSE
. ont le moins d'attaques convulsives et que ce
on mentale beaucoup plus accusée qu'elles ne l'avaient 110 CLINIQUE
NERVEUSE
. jamais présentée; elles étaient très mobiles d
crétinisme et l'épilepsie ont des pathogénies essen- 1H - CLINIQUE
NERVEUSE
. tiellement différentes, et partir de cette don
thogénie de l'épilepsie deux facteurs principaux : 1° un territoire
nerveux
préparé, une tare originelle, et 2° l'in- Jluen
Paris, Alcan, 1890. Archives, 20 série, t. XVII. S 114 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. grins, perte de son mari, troubles intellectue
nt nous chercherons dans un instant le mode d'action sur le système
nerveux
. n (A suivre.) RECUEIL DE FAITS. Un nouveau c
e qu'au contraire, l'étude attentive des deux observa- 118 CLINIQUE
NERVEUSE
. tions, bien que très sommaires, conduit presqu
de ce singulier phénomène d'une même maladie organique des centres
nerveux
se développant tan- tôt simultanément , tantôt
pas même-une explication. S'agit-il d'une vulnérabilité du système
nerveux
fortuitement iden- tique de part et d'autre, ou
lons voir. On a soutenu que la suggestion agissait sur des éléments
nerveux
étrangers au moi volontaire. Une pareille thèse
de Babinski depuis dix ans a été de prouver que les manifestations
nerveuses
organiques pouvaient se différencier par l'étud
nté de supposer que la dégénérescence et l'atrophie finale du tissu
nerveux
est simplement due à une cessation, ou plutôt à
qui prennent de la belladone : la sensation est peut-être purement
nerveuse
, mais il se peut qu'elle soit déter- minée par
ron.. P.' KERAVAL. XIX. L'auto-intoxication comme cause de maladies
nerveuses
et ..mentales; par A.-I. linarmshr. (06orénié p
l'immense majorité d'entre elles constituent des poisons du système
nerveux
. Dépouillement des mémoires sur ce sujet. « Si
e de la sensibilité consiste, comme on sait, en ce que l'excitation
nerveuse
effectuée sur un point du corps semble au malad
infanterie noble, âgé de vingt-deux ans, obéré d'une forte hérédité
nerveuse
paternelle et maternelle, né avant terme, ayant
E DE PATHOLOGIE MENTALE. 1S1 XXI. Une affection spéciale du système
nerveux
, survenant pen- dant l'enfance et se traduisant
toujours d'héréditaires qui souvent aussi sont atteints d'accidents
nerveux
, principalement hystériformes ou neurasthé- niq
ires de la région. La dysphagie psy- chique en rapport avec un état
nerveux
rétrocède, s'aggrave, réci- dive, etc. suivant
rocède, s'aggrave, réci- dive, etc. suivant les allures de cet état
nerveux
. La dysphagie psychique autonome est plus opini
ions qui peuvent atteindre divers points de l'encéphale, du système
nerveux
périphérique, ou les organes d'articulation sui
aiguë a été compliqué par une lésion orga- nique de tout l'appareil
nerveux
et musculaire, qui porte le nom de polynévrite,
foie et un certain degré de néphrite scléreuse. L'examen du système
nerveux
montra, du côté de l'encéphale, des lésions exc
ci ne parait pas, dans la majorité des cas, responsable des lésions
nerveuses
constatées à l'autopsie. Dans le fait actuel, l
l'éclosion des trou- bles mentaux, chez une malade, dont le système
nerveux
était préalablement lésé par le poison exogène.
que soit la forme de toxicité pourvu qu'elle ait touché le système
nerveux
; elles n'en restent pas moins intéressantes, car
tir le rôle de la prédispo- sition, dans l'éclosion de ces troubles
nerveux
et mentaux, la pré- disposition est caractérisé
raumatisme comme une preuve de la déchéance anté- rieure du système
nerveux
. Aussi je suis d'avis que, quand nous sommes in
matisme m'apparait comme un stigmate de la défectuosité' du système
nerveux
, alors même qu'il survient comme la première ma
al. M. CoNSTENsoux a employé le véronal comme hypnotique chez les
nerveux
. Cette substance procure aux insomniques les plus
ons cutanées. Méningite sarcomateuse avec envahissement des racines
nerveuses
et de la moelle. Cytologie positive et spéciale
à l'origine du trijumeau droit. Elle atteint surtout les radicules
nerveuses
par lesquelles elle pousse les prolongements sa
s troubles trophiques se résume en trois faits : d'abord une lésion
nerveuse
amenant sou- vent un trouble circulatoire, ensu
on clinique que la réunion de deux agents, l'un infectieux, l'autre
nerveux
, produit des troubles trophiques nettement indé
stologique; névrite amyolrophique, limitée à un ou plusieurs troncs
nerveux
, et s'accompagnant de troubles subjectifs ou ob
ans. B. Troubles de l'axe cérébro-spinal. a. Méninges et centres
nerveux
: Outre la méningite, si fréquente, on a signalé
s rapports avec ceux qui accompagnent les désordres dans le système
nerveux
périphérique et qui n'ont pas de phénoménologie
ice, démence primitive. 111. Les altérations anatomiques DU système
nerveux
produites tzar la tuberculose. Chez l'homme, le
tes tzar la tuberculose. Chez l'homme, les altérations du système
nerveux
périphérique peuvent manquer ou révéler le proces
oire d'une névrite intertitielle ou parenchymateuse. Sur le système
nerveux
central des lésions variables ont été signalées
rvation typique, très détaillée, avec examen anatomique des centres
nerveux
et sui- vie de la bibliographie la plus récente
s insalubres sur la produc- tion des maladies chroniques du système
nerveux
? De la statisti- que, M. Bourneville déduit :
fois la malade a gâté. Il s'agit d'une personne qui aurait été très
nerveuse
et chez laquelle se serait souvent manifesté le
che difficile. Gâtisme. - A l'ophthalmoscope, vieilles 206 CLINIQUE
NERVEUSE
. lésions de myopie avec astigmatisme accusé ; q
100 de lésions du fond de l'oeil d'origine paralytique. CLINIQUE
NERVEUSE
. Epilepsie : Pathogénie et indications thérapeu
là suractivité fonctionnelle des glandes géni- tales sur le système
nerveux
; modifications du côté de l'intelligence ' Voir
le.t-elle pas accuser nettement que l'accroissement de 208 CLINIQUE
NERVEUSE
. - l'activité fonctionnelle du corps thyroïde a
E : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 209 «..Des phénomènes
nerveux
complexes succèdent à la thyroïdectomie. Peu ap
. cit., page 17, - . Archives, 21 série, t. XVII. 14 210 CLINIQUE
NERVEUSE
. cas d'épilepsie ; on ne peut donc pas négliger
t ou paraissent exercer une influence exci- tatrice sur les centres
nerveux
, que la suractivité fonction- nelle de ces glan
forcement d'irrita- tion, de stimulation complémentaire des centres
nerveux
supérieurs, qu'est due cette concordance habitu
use puisse ainsi avoir de grands effets; un ensemble 212 - CLINIQUE
NERVEUSE
. de circonstances, impressionnabilité spéciale
dont nous parle- rons plus loin, était modérée, lorsque le terrain
nerveux
n'était que peu préparé et que les excitences h
iotie ou de l'imbécillité avec épilepsie sont consécu- 214 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' tives à l'épilepsie et non causes de celle-c
hyroïde et son influence spéciale sur le déve- loppement du système
nerveux
, sur l'organisation de la pré- disposition nerv
ement du système nerveux, sur l'organisation de la pré- disposition
nerveuse
, car il est acquis que des altérations du corps
em- blable et suffisante, qu'il y a chez l'épileptique un système
nerveux
préparé par hérédité, ce qui semble assez logique
la facilité avec laquelle l'alcoolique donne l'épileptique, système
nerveux
doué, en vertu d'une compo- sition intime que n
stitution épileptogène, mais sans lésions anatomiques des centres
nerveux
, un état chimique encore inconnu de la cellule ne
it-on pas faire une remarque analogue en ce qui concerne le système
nerveux
de l'épileptique adulte et ne ' Baillarger et K
e 182. ' L'homme et l'intelligence. Alcan, édit. ' . 216 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' serait-elle pas absolument justifiée par des
ant évidemment un des principaux facteurs du maintien de l'activité
nerveuse
à un certain niveau, on conçoit facilement que
ent que les, variations des exci- tences qu'elle envoie aux centres
nerveux
auront pour con- séquences des réactions d'auta
réactions d'autant plus accusées qu'elles agi- ront sur un système
nerveux
plus impressionnable en raison de sa constituti
andes génitales produise des excitences trop fortes pour un système
nerveux
d'une impressionnabilité supé- rieure à la norm
ve chez la femme aux époques menstruelles, les réactions du terrain
nerveux
épileptogène sont plus vives et les manifestati
rareté de l'éclosion de.l'épilepsie à un âge avancée ` 218 CLINIQUE
NERVEUSE
. remarques relativement aux excrétions : diminu
a double influence agissant aux époques menstruelles sur le système
nerveux
supérieur : 1° Stimulation par sécrétions des g
peut être cause d'une augmentation de sti- mulation sur les centres
nerveux
épileptogènes, dérivation de sécrétions habitue
p abondantes, étant donnée l'impressionnabilité spéciale du système
nerveux
, par le foetus, puisque ces sécrétions sont, no
la glande thyroïde et la plus grande impressionnabilité du système
nerveux
de la femme que l'on peut s'expliquer la plus g
système EPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 219
nerveux
de la femme, quifait que, en tout temps (maladie
tion dans le sang, cet excès rend le sang toxi- que pour le système
nerveux
, voilà ce qu'il importe de retenir, et l'empois
, voilà ce qu'il importe de retenir, et l'empoisonnement du système
nerveux
se traduit suivant son intensité et la rapidité
ntensité et la rapidité avec laquelle il impres- sionne les centres
nerveux
par tels ou tels signes bruyants ou bien manife
l'ingestion du corps thyroïde aggrave l'épi- lepsie. 220 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' taire, ce poison jouera un rôle adjuvant épi
action intime du sang chargé de la matière toxique sur les cellules
nerveuses
? « Est-ce une combi- naison chimique du poison
cilement, étant donnée la constitution origi- nelle de leur système
nerveux
, amener les troubles sympto- matiques de l'épil
u'on arrive à supprimer ou à éloigner leurs attaques. Les décharges
nerveuses
ont d'autant plus d'action sur l'intelligence q
es et les épileptiques. Paris, Alcan, 1890 page 231. 222 CLINIQUE
NERVEUSE
. M. Bourneville a tiré les plus précieux enseig
taient chez un enfant en plus bas âge, c'est-à-dire dont le système
nerveux
central était plus délicat, plus sensible aux e
t fait croire jusqu'à ce jour que c'était l'idiotie ou 224 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'imbécillité ou leurs causes organiques qui a
s habituelles chez un individu ayant déjà originellement un terrain
nerveux
épileptogène. . Quelle que soit, en effet, l'in
re l'origine congénitale, que l'on attribue l'excitence des centres
nerveux
aux toxiques eux-mêmes ou que l'on veuille la r
plus souvent, que I Archives, 2' série, t. XVII. 15 226 CLINIQUE
NERVEUSE
. quelques caractères plus ou moins incomplets,
bilité méningo-cérélirale dans l'évolution des phénomènes d'ordre
nerveux
qui se succèdent pour constituer la grande attaqu
ifférent seulement par l'acuité de l'impressionnabifité des centres
nerveux
et par l'intensité ou l'irrégularité de l'activ
ut, par exemple, une stimulation forte et prolongée sur tel système
nerveux
central prédisposé pour déterminer à la fois de
ien qu'une stimulation faible et de courte durée sur un tel système
nerveux
ou qu'une excitence faible sur un système nerve
ur un tel système nerveux ou qu'une excitence faible sur un système
nerveux
originellement 228 ^CLINIQUE NERVEUSE. moins
xcitence faible sur un système nerveux originellement 228 ^CLINIQUE
NERVEUSE
. moins taré ne donneront pas des effets identiq
point de vue de la sensibilité, de l'impressionnabilité des centres
nerveux
encéphaliques et leurs stimulants habituels éma
t le rôle est évidemment d'entretenir cette stimulation des centres
nerveux
qui préside à notre développement régulier, au
ccumula- tion anormale, de leurs produits excitateurs des centres
nerveux
, le résultat sera une manifestation épileptique,
yxoedème, tandis que la parathyroïdectomie produit des phéno- mènes
nerveux
aigus rapidement mortels, tétanie et polypnée sur
tabolisme de cellules particulières, fibres musculaires ou cellules
nerveuses
, par exemple, - ou bien est-il directement abso
poisons qui sont évidemment des substances stimulantes des cellules
nerveuses
. En vue de démontrer l'existence de ces poisons
er le point d'attaque de ce poison hypothétique, muscles ou système
nerveux
. Chez des chiens parathyroïdectomisés et chez l
l'action du poison ne porte pas sur les muscles mais sur le système
nerveux
central. Pour préciser sur quelle partie du sys-
stème nerveux central. Pour préciser sur quelle partie du sys- tème
nerveux
central, chez un autre chien parathyroïdectomisé,
ons sexuelles chez les enfants bien doués, mais entachés d'hérédité
nerveuse
; par L. BEDRJITZFTY. (Obozi,é7zié psi- chiatrii
pliquer comment une atteinte portée à une région limitée du système
nerveux
, pouvait inter- rompre le fonctionnement de ce
d'apoplexie, ni par la compression, ni par l'anémie des conducteurs
nerveux
. Reste la théorie de la commotion, l'apoplexie
tendus morts (Revue neurologique, mars 1901). E. B. XL VI. Fibres
nerveuses
à myéline dans la pie-mère de la moelle . épini
la moelle . épinière, par les Drs DERCum et SPILLEIt, Les fibres
nerveuses
à myéline dans la pie-mère de la moelle sont ch
s, des pre- mière et deuxième racines lombaires, les rares éléments
nerveux
qui subsistent, sont disséminés parmi des nappe
pes hyalines résul- tant de la dégénérescence simultanée des fibres
nerveuses
, de la névroglie et des vaisseaux. Un des poi
on osseuse, donner lieu à une dégénérescence hya- line des éléments
nerveux
, et au développement, au sein de la moelle, de
te transverse. ' - -' - . Dans ces deux cas, les phénomènes d'ordre
nerveux
prédomi- nants ont été : l'exagération des réfl
second malade. L'au- teur insiste sur ces faits et sur cette forme
nerveuse
de l'ostéoma- lacie qui n'est pas signalée et n
r cesser de marcher. On doit ajouter à cela la notion de phénomènes
nerveux
faisant croire à une affectation médullaire. G.
à l'unanimité, que c'est un héréditaire prédisposé aux affections
nerveuses
et mentales, qui a accompli son crime en état de
ois. A ce propos les auteurs font remar- quer que certains troubles
nerveux
apparaissent à la suite de l'érysipèle tels que
oculaires paraissent relever d'une imprégnation directe des filets
nerveux
de la région par les toxines de l'érysipèle.
s encore l'éruption lépreuse affectent la distribution des branches
nerveuses
hypertrophiées. - La névrite motrice s'accomp
resse, troubles de la mé- moire. Après avoir rapporté les symptômes
nerveux
, les auteurs insistent sur certaines particular
lgie. Les dernières années quelque fois apparaissent des phénomènes
nerveux
passa- gers, à savoir : diplopie, parésie du ne
exclut pas encore le caractère spécifique de l'affection du système
nerveux
. Vs. A. Mouratoff pense que l'association de l'
F. A. GElER. Sur les prolongements protoplasmaliques des cellules
nerveuses
de la moélle épinière chez les vertébrés supérieu
des préparations). Ayant examiné par la méthode Golgi les cellules
nerveuses
de la moelle épinière chez le chien, le chat, le
Soukhanoff et F. Cramiecki, a trouvé que les dendrites des cellules
nerveuses
des cornes antérieures et postérieures se diffè-
cultés de médecine de France, sur un sujet de pathologie mentale ou
nerveuse
. - 7 ? KSeme/'< ? ) ! e. - 500 francs. - Que
ol. XVII. Avril 1904. N° 100. CI' ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. Hospice DE la Salpêtrière. M. le professeur F.
e professeur F. RAYMOND. Les localisations du cancer sur le Syst4
nerveux
, périphérique. Messieurs. Je désire, dans ma
ère embryologiquement Archives. z série, t. XVII. 18 274 clinique
NERVEUSE
. au système nerveux, elle peut atteindre celui-
Archives. z série, t. XVII. 18 274 clinique NERVEUSE. au système
nerveux
, elle peut atteindre celui-ci. Ce faisant, elle
-ce genre ont été commises ! - n'avoir affaire qu'à une mala- die
nerveuse
en apparence curable, alors qu'en réalité, ils
te malade, à rechercher brièvement devant vous les divers syndrômes
nerveux
réa- lisés chez elle, quelle est leur valeur cl
diagnostic et du pronostic. Je vous montrerai les points du système
nerveux
touchés par l'envahissement carcinomateux. Et l
tion sur les princi- pales localisations cancéreuses sur le système
nerveux
péri- phérique ; m'attachant surtout à vous fai
et exerçait la profession de localisations DU cancer SUR LE système
nerveux
. 275 couturière. Ses antécédents héréditaires n
le s'installe; la respiration est gênée, avec sensa- 276 C CLINIQUE
NERVEUSE
. , tion de constriction thoracique ; en même te
réflexes tendineux sont généralement exagérés, parti-' 278 CLINIQUE
NERVEUSE
. culièrement les réflexes rotuliens et surtout
périeur correspondant. Malgré une première opération ces troubles
nerveux
continuent. Un curettage de l'aisselle est pratiq
e reviendrai tout à l'heure. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. i 9 Il n'y a pas lieu, Messieurs, de discuter
n jeu. Ici la cause est nette et vous avez vu débuter les symptômes
nerveux
en même temps que la tumeur; leur évolution ult
e la récidive du néoplasme, il y a donc entre les deux processus,
nerveux
et carcinomateux, une relation indubitable, étroi
x, une relation indubitable, étroite. Sur quelle portion du système
nerveux
central ou périphé- rique siègent donc les alté
lexus symptômatique que vous aviez sous les yeux ? Ici, les centres
nerveux
encéphaliques ou médullaires ne sont pas en cau
cts ; tout ceci, dis-je, montre surabondamment que c'est le système
nerveux
périphérique qui est atteint au maximum, et dan
ut d'abord, et en ceci nous suivons la chronologie des 280 CLINIQUE
NERVEUSE
. faits, c'est l'impotence douloureuse du membre
erfs du bras sont irrégulièrement frappés. Ainsi pour deux branches
nerveuses
émanées d'un même tronc, le tronc postérieur, v
egré de compres- sion et de gêne dans lequel se trouvent les troncs
nerveux
à ce niveau. Ce que nous venons de dire pour
entation de volume, la cause localisations du cancer sur LE système
nerveux
. 281 de la compression du sciatique dans sa gou
s et, pour ce faire, il n'a pas le choix des moyens. 282 CLINIQUE
NERVEUSE
. . Messieurs, vous avez vu que, dans le cas q
devant vos yeux, j'ai conclu à des lésions siégeant sur le système
nerveux
périphérique, principalement dans les points où
eux périphérique, principalement dans les points où les gros troncs
nerveux
sont réunis pour former les plexus. Est-ce bien
avec vous les principales formes cliniques de l'atteinte du système
nerveux
périphérique par le cancer ; ces divers points
tenir maintenant. Les complications que provoquent,sur le système
nerveux
périphérique, les affections cancéreuses, sont
à la fois une tumeur et une ce cachexie ; il peut léser les organes
nerveux
comme « tumeur, c'est-à-dire directement ; il p
es accidents dus à la compression et à 1' 'envahissement des troncs
nerveux
, véritables accidents mécaniques, des processus
iura, superposables par leur LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 283 pathogénie aux lésions médullaires signalé
ve due j, l'obligeance de la llevue ncurolo- gique). 284 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'envahissement des nerfs est un phénomène bea
s dernières ne soient pas opérées), n'atteignent que les extrémités
nerveuses
en con- tact immédiat avec eux. Par contre, les
es en vaisseaux lymphatiques prédisposent entre tous aux métastases
nerveuses
. Enfin il est un organe dont l'atteinte primiti
nt l'infection générale de tout l'organisme et par suite du système
nerveux
, comme l'a fait remarquer Marfan. Le cancer du
olé, surfin groupe limité de nerfs ou sur une infinité de divisions
nerveuses
, réalisant ainsi les syndromes les plus variés.
85 dans la pratique, et je vais vous décrire les divers syndromes
nerveux
ainsi constitués et dont la plupart sont encore p
e sa pureté, con- siste dans des lésions multiples des terminaisons
nerveuses
les plus fines. L'observation anatomique et c
nt dans ses antécédents héréditaires ou collatéraux au point de vue
nerveux
ou néoplasique. La malade avait eu des maladies
t les renseignements sur l'aspect de l'expectoration 286 " CLINIQUE
NERVEUSE
. 1 sont vagues. Le soir on constate presque cha
miques et dou- loureuses. LOCALISATIONS. DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 287 I Les sensations subjectives sont variées
la surface de section des muscles en était littérale- 288 CLINIQUE
NERVEUSE
. ment criblée. La plupart de ces granulations é
tro- phiés en masse, décolorés, infiltrés de sérosité. Les troncs
nerveux
, les plexus examinés soigneusement ne montrent
que je vous prie de retenir pour l'ins- tant sont celles du système
nerveux
. Ni macroscopiquement, ni microscopiquement on
e put constater aucune trace LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 289 d'invasion cancéreuse dans les troncs nerv
R SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 289 d'invasion cancéreuse dans les troncs
nerveux
accessibles à la dissection, ni au sein des ple
ues cellules rpillléliaies isolées. Les altérations du parenchyme
nerveux
se rapprochent beaucoup de celles décrites par
ns variées. Archive», 2- série, t. XVII. 19 4 1 Fig. 8. Fascicule
nerveux
au voisinage d'un nodule cancéreux intra- muscu
n des gaines sarculemuaauques en acini glandulaires. 290 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. Tout autre est la condition des terminaisons n
0 ' CLINIQUE NERVEUSE. Tout autre est la condition des terminaisons
nerveuses
plus fines, des ramifications intramusculaires
s au voisinage des mélastases cancéreuses; c'est là que les lésions
nerveuses
- sont profondes, graves; et le très grand nomb
s, au sein desquelles, aucun réactif n'a pu montrer trace de fibres
nerveuses
. A quelque distance de la section, quand on peu
A quelque distance de la section, quand on peut suivre le fascicule
nerveux
, on le voit enserré le plus souvent dans un tis
es plus intéressantes se pré- sentent à l'observation. Le système
nerveux
central et ses enveloppes sont indem- nes de to
les comprimant, en les sectionnant, une infi- nité de terminaisons
nerveuses
et de la sorte a été créé un syndrome polynévri
eu de rechercher à l'avenir. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 29U i. Anatomiquement il s'agissait d'une véri
armi les types cliniques des localisations du cancer sur le système
nerveux
périphérique, il en est de plus habi- tuelles q
apport avec de nombreuses masses ganglionnaires. 292 - : - CLINIQUE
NERVEUSE
. - Une grande partie de celles-ci reçoivent les
ses, ce qui s'explique facilement par la résistance des gros troncs
nerveux
à l'envahissement cancéreux, par la persis- tan
issement cancéreux, par la persis- tance d'un grand nombre de tubes
nerveux
sains au milieu même de la masse néoplasique, p
et tout le plexus brachial, LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 293 depuis la sortie des nerfs mixtes hors des
z encore très facilement reconnaître et suivre tous les gros troncs
nerveux
. Examinés à un grossissement plus fort, ceux-ci
i, quelques hémorrhagies se sont pro- duites de-ci de-là. Les tubes
nerveux
ont subi quelques alté- rations tant du côté de
. Aspect du plexus brachial engainé par la tumeur. 294 " - CLINIQUE
NERVEUSE
.' - " - Dans certains points, les lésions vont
loin d'être totale. Vous voyez donc, Messieurs, que ces gros troncs
nerveux
offrent'une résistance assez longue à l'envahis
poumon; 11, arléreavillaire. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 295 médullaires, mais surtout votre diagnostic
ravées carcinoma- lenses, coloration Pal-carmin. 296 . - CLINIQUE
NERVEUSE
. de l'utérus, les mélastases du côté du sacrum,
n, il faut bien le dire, de 1 atteinte d'un autre ordre de branches
nerveuses
. Je veux parler du sympathique abdominal dont l
érique. » Pour les nerfs crâniens il n'en est pas ainsi et le tronc
nerveux
individualisé, à part quelques branches anaslol
. 1, B, envahissement de la gaine de Heule et du contre du faisceau
nerveux
; c, cel- lules ganglionnaires entourées d'élém
ganglionnaires entourées d'éléments épithéhaux. \ , 298 CLINIQUE
NERVEUSE
. z étroite analogie entre la pathogénie de ces
ême constater qu'il peut y avoir sur les nerfs crâniens des lésions
nerveuses
consécutives à l'envahissement osseux, phé- nom
re à une tumeur gastrique. ' LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 299 L'autopsie ne tarda pas d'ailleurs à nous
tébrale. Une notion classique en découle : c'est que les troubles
nerveux
divers qui caractérisent la paraplégie sont sous
t-il donc dans bien des cas de carcinome et .comment les phénomènes
nerveux
font-ils leur apparition ? Au cours d'un cancer
u cours d'un cancer du sein, par exemple, souvent à la 300 CLINIQUE
NERVEUSE
. suite d'une intervention chirurgicale, la mala
et sacré avec douleurs également intenses à la pression des troncs
nerveux
. C'est à ce moment une véri- table névrite, san
constamment, nous voyons les LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 301 lésions qui nous occupent - à condition to
mais encore au sein même de la gaine de Schwann par un 302 CLINIQUE
NERVEUSE
. mécanisme analogue à celui des gaines sarcolem
Lral; E,apophyse épineuse. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 303 interne cancéreuse intéressant les racines
l'oedème des membres inférieurs et de la dyspnée. Comme phénomènes
nerveux
^ on notait des fourmille- ments douloureux dans
njectés. Les muscles avaient une teinte jaunâtre, mais les troncs
nerveux
avaient l'apparence saine. A l'ouverture du rac
his. Le tissu osseux n'est ni friable, ni spongieux. 304 CLINIQUE
NERVEUSE
. La dure-mère est épaisse, surtout au niveau de
ente conjonctive respec- tant jusqu'à un certain point les éléments
nerveux
: fibres à myéline et cellules ganglionnaires.
ine envahie ; B, dure-mère. LOCALISATIONS DU .CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 305 A ce niveau, le périoste avoisinant commen
du cylindrwe; D, dégénérescence hyaline du cylindraxe. 306 CLINIQUE
NERVEUSE
. Ici même, dans cet amphithéâtre, j'ai eu l'occ
eur à un examen superficiel. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME
NERVEUX
. 307 Je voudrais, Messieurs, discnter avec vous
u pronostic de toutes ces variétés d'atteinte cancéreuse du système
nerveux
périphérique ? Il est, vous n'en doutez pas, de
r- ter quelques soulagements momentanés. La libération des troncs
nerveux
comprimés, leur résection, la section ou l'élon
les faits cli- niques qui découlent de cet entretien. Le système
nerveux
périphérique, peut être, avons-nous dit, attein
surtout l'existence possible de lésions multiples des terminaisons
nerveuses
intra-musculaires au cours de la carcinose mili
radiculaires classiques par arrachement, avec leurs 308 - CLINIQUE
NERVEUSE
. oedèmes, leurs troubles vasculaires, trophique
un segment de membre qui est intéressé, tantôt ce sont les troncs
nerveux
périphériques qui commandent la localisa- tion,
Leçons de clinique médicale, 1897. * Raymond. Cliniques du système
nerveux
: 1895-90; Leçons sur les polynévrites. PARAL
e progressive qu'on ren- contre dans un certain nombre d'affections
nerveuses
. Qu'il s'agisse du type total ou partiel, la di
aiion localisée, page G75. Edition de 1872. 0 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XIX. Un cas de chorée de Huntington, suivie d'
nt la chorée d'Hunting-, ton comme maladie essentielle des éléments
nerveux
. Examens histologiques détaillés. 1 planche. Sm
ur dépassant le coude. L'indolence est absolue. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3t7 Î La radiographie indique un trait de frac
tre ans, présentant une atrophie musculaire 318 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des deux mains (aspect de main de singe) un pe
rmet donc de porter le diagnostic de syringomyélie. Cette affection
nerveuse
esl très fréquente en Syrie, d'après M. de Brun
la syringomyélie est si fréquente en Syrie. Il y aurait deux lormes
nerveuses
de la lèpre : la lèpre névritique, la plus comm
relie à une syphilose généralisée des méninges. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 319 La moelle des tabé tiques présente deux or
lésions diffuses qui siègent dans l'appareil conjonctif du système
nerveux
central portent en elles-mêmes comme un cachet
es et des artères se prolongeant sur les capillaires en plein tissu
nerveux
permettent de dire ceci : Il existe constam- me
phocytose, est commune à toutes les formes cliniques de la syphilis
nerveuse
. Elle ne peut donc pas expliquer à elle seule l
diculaire, sa nature interstitielle ou con- 320 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. jonctive et enfin son analogie avec la myélite
lamptiques sont l'expression d'une imprégnation spéciale du système
nerveux
par des poisons encore indéterminés : infection
vulsifs à l'occasion de la parturition. Lange a REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 32] constaté chez des chattes thyroïdectomisée
opération a donné un coup de fouet à la compl parce que le système
nerveux
du patient était préalab affaibli par des excès
30). - ACI1lVES, 2' séi ie, t. XVII. ' 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il s'agit d'une malade de cinquante-deux ans,
topographique, la lésion était située en pleine REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 323 substance réticulée grise ou champ moteur
'un masque immobile, et depuis six mois le. 324 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. malade n'a qu'une ambition, c'est celle de res
ur les résultats de l'excitation du sympathique REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 325 . cervical, il faut admettre que l'excitat
des hôpitaux de Lyon, 28 février 1902). - 326 6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il s'agit d'un jeune homme de dix-sept ans, cu
influence psychique coordinatrice sont altérés. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' 327 - Le symptôme important est la différenc
volontaire est dû, d'après P. Janet, à une modification des centres
nerveux
supérieurs qui consiste dans la diminution de l
Il y avait donc rétraction progressive de 328 8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la vessie, diminution de sa capacité et incont
tion spasmodique venue des ganglions sympa- thiques ou des cellules
nerveuses
contenues dans les plexus ner- veux vésicaux.
as, ces délires ont eu la physionomie du délire REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 329 9 alcoolique, et les malades n'ont présent
ue du liquide céphalo-rachidien. Ce liquide 330 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. présentait des éléments cellulaires assez rare
e d'un pro- cessus anatomique, un état spécial permanent du système
nerveux
dont l'expression clinique est : le caractère m
aduisent, de même que le caractère, l'actionperma- nente de la tare
nerveuse
. . Voilà pourquoi l'hystérie qui, chez les mala
achidiens de nombreux tabétiques. Il a toujours trouvé les cellules
nerveuses
de ces ganglions altérées et, cela d'autant plus,
ce dernier, à savoir que, dans les maladies organiques du système
nerveux
, on peut parfois, grâce au traitement hypnotique,
les deux mois, renferme les articles suivants, relatifs au système
nerveux
: - - 10 En 1902 : Ch. Achard et Léopold Lévi.
in à la psychologie, depuis l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, jusqu'à la patho- logie nerveuse, la psycholog
tomie et la physiologie du système nerveux, jusqu'à la patho- logie
nerveuse
, la psychologie génétique, individuelle et social
moteurs, respiratoires, qui parais- sent consécutifs aux phénomènes
nerveux
moteurs, en sont la conséquence et les traduise
mble que l'image motrice sexuelle met en action de nombreux centres
nerveux
dont chacun apporterait ses éléments à cette im
nombre des cas. La réaction n'est pas due à l'excitation des filets
nerveux
cutanés ou musculaires. 4° La réaction idiomusc
se centrale avec dépla cement du noyau dans les cellules du système
nerveux
central de l'homme ; par John TUnNER. (The Jour
L'amélioration ne peut s'expliquer que par la restitution du trajet
nerveux
. Cette amélioration ne va pas jusqu'au retour de
uniquement dans sa portion intra-parotidienne. G. C. LXI. Lésions
nerveuses
dans le tétanos expérimental du cheval; par MM.
val. Dans l'observation qu'ils publient, ils trouvèrent, le système
nerveux
cen- tral envahi par des cellules migratrices,
ellules migratrices aient pénétré dans le protoplasma de la cellule
nerveuse
; mais le cas est suraigu. la mort est survenue
nte-six heures après le début des symptômes. G. Carrier. Le système
nerveux
et ses réserves à longue échéance. Contribution
UE D'ANATOMIÉ ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. refoulent la cellule
nerveuse
qui souvent ne remplit même plus la moitié de s
parésie droite, le tout ayant disparu en deux jours. Aucun trouble
nerveux
depuis. On ne s'est jamais aperçu qu'il eut le
ceux du ténia soli2em. R. DE M-C. LXVI. Les altérations du système
nerveux
dans un cas de poren- céphalie ; par J.-O. WAKE
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. pales altérations du système
nerveux
central étaient les suivantes : 1° Il y avait u
rent les granulations pigmentaires dans toutes les grandes cellules
nerveuses
chez l'homme et chez les animaux; il est plus q
ble que cette substance pigmentaire est indispensable aux fonctions
nerveuses
normales. Quelle est donc l'interprétation de l
bstance pigmentaire est-elle un phénomène accessoire de la fonction
nerveuse
cérébrale normale, ou bien un stigmate intra- c
uits de décomposition cellulaire, et que des particules de cellules
nerveuses
chromatolysées trouvent dans ces prolonge- ment
re le neurone. s'il est vrai que la névroglie exerce sur la cellule
nerveuse
une action trophique. En terminant, l'auteur
eur du coeur aux effets de la com- presssion.. J. S. LXX. Lésions
nerveuses
et pathogénie des amyotrophies d'origine articu
ies de con- duction intercellulaires et la périphérie de la cellule
nerveuse
; par le Dr Donaggio. (Riv. Sp. di frein. fasc.
D'après l'auteur, l'appareil complexe périphérique de la cellule
nerveuse
n'est pas doué de capacité de conduction. Les neu
profondeur de la respiration et l'intensité 390 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du travail mental n'est pas toujours constant.
nombre des excursions thoraciques. J. SEGLAS. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XXXVII. Le diagnostic des blessures de tête; pa
résumer sans perdre son intérêt. ' R. ni.-C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 391 XXXIX. Un cas d'état de mal compliqué de s
t général de l'organisme qui retentit profon- dement sur un système
nerveux
prédisposé. Dans le cas de l'au- 392 REVUE DE P
nnels névropathi- ques : chorée, crises dans l'enfance, tempérament
nerveux
. M. Gallavardin insiste.sur ce fait; qu'il peut
oduire au cours des maladies infectieuses, à côté des complications
nerveuses
de cause organique, des manifestations hystériq
, deux ans auparavant, rien à noter de spécial. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 393 On a décrit une griffe cubitale chez les v
t du liquide céphalo-rachidien vis-à-vis du 394 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. bacille tuberculeux. 3° Par la présence seulem
a lame dans le lobe paracentral et méningite. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 395 Cette observation est intéressante : 1° pa
déformation, les bras trop courts n'attei- 396 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gnent que la partie supérieure de la cuisse et
Grosse tumeur développée au niveau de la partie REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 397 antérieure des noyaux, saillante dans le v
l'autopsie ou bien elle traduisait une toxi-infectiondes cen- tres
nerveux
, hypothèse soutenue par Klippel qui a substitué l
ent à leur cas. G. Carrier. XXXXVII. Formes sévères de l'aérophagie
nerveuse
; par M. Bou- ' veret. (Lyon médical, 1901, na
thogénie. Il rapporte aussi une autre forme sévère de , 'aérophagie
nerveuse
, où il s'agit de troubles de la respiration . «
aractérisés par des phénomènes d'oppression 398 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et des accès de palpitations allant jusqu'à la
fait remarquer l'utilité de rechercher dans les cas de vomissements
nerveux
ou d'accès d'angor vaso-motrice si l'aéro- phag
sée par un courant industriel. Contribution à l'étude des accidents
nerveux
causés par les courants industriels ; par MM. U
et 1'liysLéro-trauinaisme. Il s'agit, dans ce cas : i, d'ac- cident
nerveux
spéciaux sans substratum anatomique en l'espèce;
; les autres sont des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 399 accidents
nerveux
qui consistent en perte de connaissance immé- d
it être fait avec l'hystérie et des lésions organi- ques du système
nerveux
. Au point de vue anatomo-pathologique, on ne pe
ue nosologique, les auteurs émettent l'hypothèse, que les accidents
nerveux
, causés par les courants industriels, doi- vent
us bas encore, jusqu'à la périphérie, jetant ainsi tous les trajets
nerveux
dans un état d'activité anormale. L'auteur entr
a donné des toxines : « des substances qui absorbées par la cellule
nerveuse
corticale en troublent le métabolisme. » Il cit
« Les différents états toxiques qui tendent à altérer les cellules
nerveuses
proviennent : 1° d'agents toxiques venus du deh
nues d'ailleurs, qui altèrent l'activité fonctionnelle des cellules
nerveuses
corticales en troublant leur métabolisme, et so
es corticales par la choline et d'autres produits de dégénérescence
nerveuse
représente, dans la littérature scien- tifique,
rente. Les toxines peuvent troubler le fonctionnement de la cellule
nerveuse
, mais non pas donner aux symptômes mentaux le c
ispensable à l'explication de pareilles évolutions. 8° L'épuisemsnt
nerveux
, la fatigue, l'anémie, dont l'importance étiolo
fait primordial est une faiblesse morbide héréditaire des cellules
nerveuses
corticales, le second fait une stimulation inusit
éfense contre les forces hostiles à la vie, est-ce que l'épuisement
nerveux
, l'hérédité pathologique, la dépression men- ta
es. Peut-être cependant quand il s'agit de l'esprit et des éléments
nerveux
, serait-il nécessaire pour arriver à la vérité
ues à des conditions chimiques et vitales sur lesquelles le système
nerveux
n'a tout au plus, qu'une influence très seconda
de deux localisations distantes d'un même processus sur les centres
nerveux
; leur fré- quente coexistence empêche de les co
pas d'un changement artificiel. , 1 La choline dans les maladies
nerveuses
. M. S. A. K. WILS01/ (d'Edimbourg) communique l
ater la présence de la choline, comme évi- dence d'une dégénération
nerveuse
plus ou moins active dans le liquide céphalo-ra
i que dans quelques cas où il n'y avait aucun signe de dégénération
nerveuse
. M. WIlson a démontré l'utilité de cet examen e
- sence d'albumine dans l'urine. BIBLIOGRAPHIE. XII. La cellule
nerveuse
normale et pathologique. Altérations histo- log
se normale et pathologique. Altérations histo- logiques des centres
nerveux
dans les délires taxi-infectieux des alcoolique
n aussi concise et aussi nette que possible, les lésions du système
nerveux
dans un syndrome mental de nature auto-toxique,
de critique de l'histologie nor- male et pathologique de la cellule
nerveuse
. Il y discute l'existence réelle des corps de N
matolyse, la physionomie et le moment d'apparition dans les centres
nerveux
des véritables altérations cadavériques, enfin
s, les modifications appor- tées à la structure intime des cellules
nerveuses
par les maladies antérieures, l'inanition, enfi
nature et la signification du pseuclo-pigment jaune, du protoplasma
nerveux
dont l'abondance exceptionnelle et cons- tante
cence jaune globulaire et de dégénérescence graisseuse des éléments
nerveux
. Pour interpréter sainement les lésions du deli
ant du simple au composé, a recherché d'abord l'état des cel- lules
nerveuses
dans l'alcoolisme chronique avant l'éclosion de l
du travail. C'est l'étude des altérations histologiques des centres
nerveux
corticaux dans l'intoxication alcoolique chroni
divers points de l'histologie normale et pathologique de la cellule
nerveuse
, mais encore une exposition nette et précise de
artifices de préparation. II. L'involution dite sénile des cellules
nerveuses
n'est pas un phénomène rigoureusement physiolog
s. III. Les petits éléments ronds observés au niveau des cellules
nerveuses
en désagrégation ne pénètrent jamais à l'intérieu
ion de phagocytose, de neurophugie ou de lgocylose sur les cellules
nerveuses
. IV. Le pigment jaune des cellules nerveuses n'
ylose sur les cellules nerveuses. IV. Le pigment jaune des cellules
nerveuses
n'est pas un vrai pigment, ce n'est pas un pigm
pigment normal, mais un produit de dégéné- rescence du protoplasma
nerveux
. C'est un produit de déchet, qui, arrivé au ter
; d'autre part, des lésions chroniques réalisées dans les cellules
nerveuses
. 424 il BIBLIOGRAPHIE. L'alcoolisme rend ains
sans indiquer pour cela une atteinte pri- mitive des prolongements
nerveux
. Elles s'accompagnent d'altéra- tions fibro-hya
respondre à la surac- tivité fonctionnelle désordonnée des éléments
nerveux
produite par la cause toxique. Plus marquées, o
um tremens et le délire aigu sont des maladies générales du système
nerveux
, dans lesquelles la suractivité fonc- tionnelle
la suractivité fonc- tionnelle violente et désordonnée des éléments
nerveux
produite par la cause toxique, aboutit rapideme
coma et la mort surviennent dans ces cas par véritable insuffisance
nerveuse
. XIII. L'association des idées dans la manie ai
ologie n'ont pu encore nous apprendre quel changement dans l'influx
nerveux
a pu produire cet affaiblissement des états de
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures aux
460 ' · CLINIQUE MENTALE. bonne santé. D'après eux, pas de maladies
nerveuses
ou mentales dans les ascendants. Antécédents
NTALE. Antécédents personnels. A eu la rougeole. D'un tempérament
nerveux
et émotif. A été réglée à seize ans. Mariée à dix
tance du stimulus dans la restauration et la dé- chéance du système
nerveux
; par F.-W. IIOTT. (The Journal of Mental Scienc
ration et à la régénération du tissu et de la fonction du système
nerveux
; et aussi que l'excès de stimulation résultant d
la vie urbaine joue un rôle important dans l'étiologie des maladies
nerveuses
et de la folie ; mais on le sait surtout d'une
urtout d'une manière générale et sans données précises. Le stimulus
nerveux
est une vibration moléculaire se propageant au
les à la périphérie ou dans la substance grise centrale. Le système
nerveux
tout entier peut être considéré comme composé d
tème nerveux tout entier peut être considéré comme composé d'unités
nerveuses
en état de corrélation physio- logique, et dont
duit au seuil du neurone. Les courants qui représentent l'énergie
nerveuse
circulent conti- nuellement dans toutes les dir
ulent conti- nuellement dans toutes les directions, dans le système
nerveux
, mais plus volontiers dans les systèmes des neu
contrôle effectif une fois supprimé, le courant sortant d'énergie
nerveuse
suivra les voies de moindre résistance, deviendra
tention signifie concentration du potentiel et libération d'énergie
nerveuse
? Ou bien devons-nous penser que, dans les mouv
plus récemment développés et qui forment la grande masse du système
nerveux
central, c'est-à-dire les neurones d'associatio
citation à mesure que ce passage devient plus habituel. L'énergie
nerveuse
dérive-t-elle directement de la transforma- 474
ouvons supposer que l'attention représente une libération d'énergie
nerveuse
dans l'écorce céré- brale due à une production
e. L'auteur entre ici dans quelques considérations sur le mécanisme
nerveux
des actes habituels, qu'il explique au moyen d'
ions de détail que, si nous supposons que' la totalité du potentiel
nerveux
(énergie nerveuse accumulée) est il la disposit
e, si nous supposons que' la totalité du potentiel nerveux (énergie
nerveuse
accumulée) est il la disposition du système ner
rveux (énergie nerveuse accumulée) est il la disposition du système
nerveux
tout entier, nous devons admettre que chez les
t suivant la qualité et la quantité du sang qui alimente le système
nerveux
et l'écorce cérébrale. L'auteur recherche ensui
n l'effet néga- tif est-il le résultat d'une opposition de courants
nerveux
(comme dans l'antagonisme corrélatif des muscle
concluent que tandis que la fatigue est démontrable dans la cellule
nerveuse
, on n'a jamais pu la constater dans les fibres
la cellule nerveuse, on n'a jamais pu la constater dans les fibres
nerveuses
de l'une ou l'autre variété. Mais ceci n'implique
de l'une ou l'autre variété. Mais ceci n'implique pas que la fibre
nerveuse
ne subisse, pendant la transmission d'une impul-
ibre nerveuse ne subisse, pendant la transmission d'une impul- sion
nerveuse
, aucun changement métabolique. Cela signifie pro-
sa faveur. S'il est vrai que nous pouvons considérer une impulsion
nerveuse
comme une onde moléculaire d'irritabilité crois
e moléculaire d'irritabilité croissante propagée le long des fibres
nerveuses
, les variations 476 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
tandis que ces relations n'existent pas quand il s'agit des fibres
nerveuses
péripheriques. Plusieurs raisons conduisent à
mu- lus traverse le neurone. 2° L'activité métabolique des tissus
nerveux
peut être démon- tré par l'examen du liquide cé
l'examen du liquide cérébro-spinal et des extraits salins du tissu
nerveux
(recherches de Gumprecht et Gulewitz, recherches
du cylindraxe, car nous voyons que les tractus entrants du système
nerveux
central sont myélines avant les tractus sortant
expérimention sont d'accord pour nous montrer que dans les maladies
nerveuses
, l'ex- cès d'effort, l'excès de stimulation a u
ervé dans le cerveau de l'homme, mais seulement autour des cellules
nerveuses
de quelques animaux inférieurs (cobaye et lapin)
echerches sur les notions courantes que l'on pos- sède sur le tissu
nerveux
. Quelle que soit l'interprétation que l'on donn
démonlrer que la conception rigide qui faisait de chaque* cellule
nerveuse
et de ses prolongements une entité individuelle (
rices des stimu- lations afférentes, il en résulte que les courants
nerveux
ne se dirigent pas toujours dans un sens unique
rent un système compliqué de fibrilles par- courant tout le système
nerveux
et paraissant traverser sans interruption les c
intimes des cellules entre elles. Mais en matière de psychologie
nerveuse
, si les recherches faites sur les animaux infér
arges comme allant directement de l'écorce aux différentes cellules
nerveuses
efférentes ou tout simplement comme déterminant
l'auteur le considère comme l'accompagnement mental d'un frottement
nerveux
(s'il est permis d'employer cette expression) d
rmis d'employer cette expression) déterminé par un élan de courants
nerveux
-provenant de plusieurs territoires associés -
à l'âge de trente et un ans chez un homme ne présentant aucune tare
nerveuse
anté- rieure ; hémiplégie gauche post-critique
ntraste entre les effets du sommeil et de la narcose sur la cellule
nerveuse
est particu- lièrement frappant, et ici l'auteu
chet, et à la réparation nutritive, et cela surtout dans les tissus
nerveux
les plus importants du cerveau. Si donc les narco
asthéniques et les névropathes de tous ordres, atteints de troubles
nerveux
divers relevant de la médication bromurée. Les
et non parasyphilitique. L'alcoolisme, l'arthritisme, l'héré- dité
nerveuse
ou vésanique, les excès divers, le surmenage, le
re, nous montre que dans ces cas de secondarisme précoce du système
nerveux
, plus encore qu'au cours du tertiarisme, il faut
et de l'avant-bras, et d'autre part compression des mêmes branches
nerveuses
par les synovites professionnelles. R. et C. in
-rachidien joue probablement un rôle dans la nutrition des éléments
nerveux
avec lesquels il est en contact. SOCIÉTÉS SAV
ibutaires de la paralysie musculaire. Pas d'Argyll. Tous les troncs
nerveux
très douloureux à la pression, de même que les ma
énérescence très accusée, semblable àcelle qui succède aux sections
nerveuses
et aux lésions médullaires. sociétés savantes.
e l'observation d'un enfant qui présente de l'agitation, des crises
nerveuses
, des accès de colère et de violence, ainsi qu'u
D'une manière générale, le milieu familial est souvent funeste aux
nerveux
et aux mentaux ; aussi leur prescrit-on l'isoleme
ôpital. Sur la question du développement des dendrites des cellules
nerveuses
spinales chez les vertébrés supérieurs (avec dé
du développement des prolongements protoplas- matiques des cellules
nerveuses
des cornes antérieures. A. BEnNSTEIN, M. nlOLTC
uvient d'un cas de couches, observées dans la Clinique des maladies
nerveuses
de Moscou en 1892 chez une femme de 29 ans, ave
S.-S. MOLODENKOFF a montré un malade de la Clinique des maladies
nerveuses
atteint d'achondroplasie symétrique des os des
fection spécifique explique tous les cas. En se limitant au système
nerveux
, il croi- rait plutôt qu'une influence .morbide
les qu'elle contient, et qui président au développement des centres
nerveux
préposés aux fonctions de l'esprit, que ceux-ci
sans acromégalie, par Cestan et Hal- bers tad t, 78. Aérophagie
nerveuse
. Formes sévè- res-de l ? par Bouveret, 397. A
Voir Epileptiques. Auto-intoxication. L' comme cause des maladies
nerveuses
et men- tales, par Karpinsky, 149. Babinski.
idien. Voir Tumeur. Cancer. Les localisations du - sur le svstème
nerveux
périphérique, par Raymond, 273. Caractère. Ch
Tabès. La - et le pronostic du tabès, par Terrien, 496. Cellules
nerveuses
. Voir Moelle. Sur la signification de la chroma
La normale et pathologique. Altération histologique des cen- tres
nerveux
dans les délires toxi- infectieux des alcooliqu
tatives de suicide, par Jones, 400. Choline. La dans les maladies
nerveuse
^, par Wilson, 419. CHORÉE. Un cas de de Iluntin
ES De - chez les enf.'uts bien doues, mais enta- ches d'hérédité
nerveuse
, par Be- dr.plcy, 234. 1'011. Un condamné, 27
par un courant industriel. Contribution à l'étude des acci- dents
nerveux
causes par les cou- rants industriels, par Boii
tistiques des hôpitaux nationaux deNew-1'ollc. par Kraoss. 160.
nerveuses
, voir Fonctions sexuel- les. HUNTISGTON. Voir
De l'emploi du - à la lumière polarisée dans l'examen des fibres
nerveuses
à myéline dégénérées, par Brodmann, 51. Miroi
des enfants nouveau-nés, par Souklianoff et Czarnieck, 58. Fibres
nerveuses
à myéline dans la pie-mère de la - épinière.
talski. 242. Sur les prolongements protoplasme- ques des cellules
nerveuses
de la épinière chez les vertébrés su- périeur
111ouraviefF, 50 : 1. POKEXCÉPH \LIE. Les altérations du système
nerveux
dans un cas de - par Barratt, 3S3. Possession
par tumeur cérébrale. Intervention, -414. Stimulus. Voir Système
nerveux
. .suggestion. La pendant le som- mC11 naturel
80. - Voir Frac- turnes, Lèpre et -, par de Brun, 317. Système
nerveux
. Pronostic et trai- tement des affections spéci
. Pronostic et trai- tement des affections spécifiques du système
nerveux
. par Gowers, 75. Une affection spéciale, du -,
d'origine gastrique, par Barjon et Cade, 330. Tétanos. Lésions
nerveuses
dans le - expérimental du cheval. par Cuurmon
E CHARLES lien ARCHIVES DE Ex NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIBF. 30119 LA DIItIW110\ DE J
86 Vol. XI. Janvier 1885. N" 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
DES MANIFESTATIONS \IF11NGITIQUES ET CÉRÉBRALES
S ET CÉRÉBRALES DES OREILLONS [Contribution ci l'étude des troubles
nerveux
consé- cutifs aux maladies aiguës) ; Par les
ns va se localiser sur les séreuses Archives, t. XI. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. articulaires ou cardiaques, chez tel autre sur
s d'accidents cérébraux (Bull. de Thérap., mai, É884). 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. Behr rapporte le fait d'un homme qui, atteint
guéri. Dans le mémoire de Lyncha consacré aux manifes- tations
nerveuses
de la goutte, on trouve un cas d'o- reillons da
urdon- nements d'oreille. La face était pâle, le malade excité et
nerveux
; pendant la nuit, délire violent. Le lende- mai
tée, fit bien connaître en France la possi- bilité de ces accidents
nerveux
et les rendit classiques. On connaît les deux c
is, 1875, Laveran. Art. Oreillons in dict. Decliambre. 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. trop longue pour le lecteur et qu'on pourrait
; il nous servira de transition. Un jeune homme de quinze ans, très
nerveux
, ayant beau- coup de goût pour les mathématique
nson-Zuède. Ann. de la Soc. méd.-ch. de Liège, mai 1884. 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. vulsifs, etc.), les accidents s'amendèrent rap
rps est dans la résolution, mais on constate facilement 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. une paralysie absolue du mouvement dans les me
il s'était placé dans nne ferme. Quelle est la nature des troubles
nerveux
que nous venons de décrire au cours des oreillo
métastase, qui suffisait aux anciens auteurs, n'est en 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. somme qu'une étiquette qui ne peut nous satisf
a circonvolution frontale ascendante droite et n'a 14 le CLINIQUE
NERVEUSE
. entraîné qu'une hémiplégie faciale gauche pass
sseur Charcot que nous avons eu l'occasion de voir et 16 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'étudier la malade dont nous publions ci-aprè
bonne santé habituelle d'un caractère un peu emporté. Mère un peu
nerveuse
, sans attaques. Grand'mère mater- nelle morte a
mes, la névralgie et la paralysie AIHI3,.t, XI. 2 t8 : . CLINIQUE
NERVEUSE
. des'muscles de l'oeil ; ou verra que, dans les
. Nous n'avons pas eu ce recueil à notre disposition. 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. interné et inférieur, immobilité pupillaire et
ulomotorius-Lcthmung. Berl. Klin. Woch., 1885, no 40. 22 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' - L'emploi du courant constant aurait, d'apr
le peu probable étant donné l'âge de la malade. ' . , 24 CLINIQUE
NERVEUSE
. celles-ci (1 ou fois par an, tous les trois mo
reis ? Wiener Med. lvoclieîischr., 25 avril. 1885. 26 - CLINIQUE
NERVEUSE
. montrèrent de la mydriase, l'absence de réacti
pavot qui déterminent une légère tuméfaction mamelonnée des racines
nerveuses
. L'oculo-moteur commun droit, ainsi que tous le
chez lequel une double névrite optique, de la céphalée 28 CLINIQUE
NERVEUSE
. avec vomissements et d'autres symptômes bien m
ts avec l'affection spéciale dont il est ici question. PATHOLOGIE
NERVEUSE
OBSERVATIONS POUR SERVIR A LA DÉTERMINATION DES
de Bourges (salle 6, no 15; service de M. Rizet). 30 1 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Enfant trouvé, élevé dans un hospice, ses anté
ques les altérations cadavériques, aux remarques sui- 32 pathologie
NERVEUSE
. vantes : a) Nous avons noté dès les premiers j
qui appartient à M. Déjerine. Archives, t. XI. 3 34 pathologie
nerveuse
. lysies spasmodiques, tout en ayant un intérêt
connaissance. On ne sait rien relativementàl'existence de maladies
nerveuses
d'un ordre quelconque ou de diallièses'dans la
la flexion et persistent. Le malade pleure souvent. 36 pathologie
nerveuse
. 1 ? mai. Il existe une eschare à la région sac
et sa consistance, se distingue de la façon la plus nette du tissu
nerveux
environnant (faisceaux interne et externe) : l'
Bourneville. De la sclérose en plaques. Paris, 1869. 38 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sanguinolent dans le ventricule latéral. Le ce
mi- sphères sont le trajet et le rôle physiologique des faisceaux
nerveux
constitués par l'épanouissement des pédoncules cé
oint de vue des localisations cérébrales. Paris, 1878. M PATHOLOGIE
NERVEUSE
. blanche sub-jacente aux centres corticaux, don
la substitution plus ou moins étendue de la névroglie aux éléments
nerveux
(cellules et tubes). Nous pouvons résumer en ce
. Si l'on admet comme possible cette dégénéres- cence des centres
nerveux
, on admet du même coup son hérédité. Les dégéné
convulsive, mais elle éprouve de temps à autre quelques phénomènes
nerveux
a,sez typiques, tels que sensation de boule ave
existence de deux troubles intellectuels. REVUE CRITIQUE TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE^CHEZ LES FEMMES '; Par M. LECOR
diètes. Prag.Yiertetjalar.,485. 1 Voy. tome X, page 395. TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 51 Kaulich. Pr
diverses modifications signalées pour certains cas dans les centres
nerveux
. Si l'on veut parler de lésions gros- sières, d
Cen- lralbl. nied. 117zsseh. Lecot'ch6. -.Diabète. 1885. TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 53 Est-il néce
i, mais en moindre abondance, dans les reins et les autres TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 55 organes. Vo
r le perchlorure de fer donne. la réaction rouge-bourgogne TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 57 et le malad
ar un produit accidentellement formé dont les effets sur le système
nerveux
sont voisins de ceux de l'alcool, du chloroform
e. Mais nous ne voyons, dans l'état actuel de nos connais- TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 59 sances, auc
substance volatile, s'élimine surtout par les poumons; peu TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 61 importe don
, que les tissus mal nourris n'ont plus de réaction, que le système
nerveux
affaibli est sans défense, l'intoxication devie
es auteurs, depuis Prout, et rangés indifféremment sous le TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 63 nom de coma
Dans une autre observation toutefois, le collapsus parait TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 65 avoir été p
tro-intestinaux ; 3° Des troubles respiratoires ; t° Des troubles
nerveux
. Ces différents symptômes se rencontrent réunis
. Mais ce symptôme peut manquer ou s'atténuer devant les phénomènes
nerveux
ou gastro-intestinaux, sans qu'on soit en droit
e d'un individu plongé dans le coma ou se plaignant de ma- laises
nerveux
divers, de vertiges, de troubles dyspeptiques,
cela l'intoxication acétonémique soit moins évidente. 40 Troubles
nerveux
. Il faut distinguer ici deux ordres de faits :
ésultent du premier contact de la substance toxique avec la matière
nerveuse
; les phénomènes terminaux, phénomènes de dépres
ique de l'organisme. La première action de l'acétone sur le système
nerveux
, comme celle de l'alcool, du chloroforme, de l'
dépasse pas, en général 380 à 38°,2; nous avons observé TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 69 38°,5, 38°,
VUE CRITIQUE. tinale, une acétonémie respiratoire et une acétonémie
nerveuse
. Mais, si on en juge par les faits connus, la d
is, au bout de quelques jours, ces symptômes se dissipent, TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 73 la réaction
iguë. 1 Voir Bourneville et Teinturier, Progrès médical. TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 75 Affections
ialement incriminés, en particulier la diète 76 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. carnée. Joenicke, dans le service deBiermer, a
es de l'acétone, mais il ne les provoque pas. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. SUR UNE HÉ)ÏAT05fYEL ! E CONSÉCUTIVE A L'ÉLO
; dégénérescence grise des cordons postérieurs. REVUE DE pathologie
nerveuse
. 77 Atteinte indiscutable des vaisseaux qui irr
dans le tissu conjonctif ambiant, d'où la compres- sion des fibres
nerveuses
longitudinales et leur dégénéres- cence à un mo
n vasculaire. Enfin, dernière particularité, raréfaction des fibres
nerveuses
dans les colonnes de Clarke. P. K. II. SUR LE
faisceaux radiculaires postérieurs. P. K. 78 revue DE pathologie
nerveuse
. III. Un cas DE paralysie ascendante aiguë; par
cette dernière est la conséquence d'une lésion spinale, le système
nerveux
ne prend aucune part dans l'évolution de l'atro
orbitisme), soit pendant les efforts de mimique REVUE DE pathologie
nerveuse
. 79 (rire en travers, immobilité des traits). D
t dire, d'après ce mémoire qui renferme sept 80 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. observations personnelles et une relation d'au
ortance DE L'AtiESTHiSIE SENSORIELLE DANS LES AFFECTIONS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL; parR. THomsrN et H. Oppenheim. (Arch.
thésie sensorielle est ou stationnaire (et l'on REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 81 constate alors des oscillations plus ou moi
10- Presque jamais, dans l'espèce, on ne note l'absence de malaises
nerveux
(sensa- tion de pression céphalique, paresthési
morbide autonome; II de concert avec d'autres affections du système
nerveux
cen- tral ; névroses et psychoses; III comme ép
hénomène enté sur des affec- tions palpables, il lésion, du système
nerveux
central ; elle n'a, d'après nos observations, p
e en intensité comme eu Archives, t. Xi. 6 82 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. étendue, tout à fait capricieuse, et, au besoi
ir chevelu, plus rarement une moitié du corps), REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 83 accompagné également de lacunes fonctionnel
modifications dans les allures psychi- ques; 2° à certains malaises
nerveux
; 3° à des troubles de la sensibilité dans le se
des phénomènes se rattachant à des lésions irréparables du système
nerveux
(fixité, immobilité de la pupille, atrophie des
sion en foyer. Il ne saurait non plus servir 84 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'élément diagnostique entre l'hystérie et la
ession du bulbe par l'apophyse basilaire. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 85 X. Noie SUR un cas d'oblitération de l'artè
xagèrent dès leur origine cérébrale par l'intermédiaire des tractus
nerveux
dont le trajet se fait dans le faisceau pyramidal
-occipital; vous obtiendrez encore l'atrophie du groupe de cellules
nerveuses
du tubercule antérieur correspondant, du faisce
e-noir; sa surface de section présente des adhérences, la substance
nerveuse
y est un peu tuméfiée, la portion inférieure de
des deux côtés que peu ou point de sections transverses de fibres
nerveuses
, mais la substance blanche paraît constellée de f
e. De forts grossissements décèlent que l'on a affaire à des libres
nerveuses
, généialement de fin calibre, qui, émanées de l
laire, sorte d'éventail constitué par de larges faisceaux de fibres
nerveuses
transversales qui, en ellet, disposées en évent
tre les autres. En réalité, on a affaire à des trousseaux de fibres
nerveuses
déplacées par un vais- seau rétracté, ce qui na
eut s'être produit que pendant la période embryonnaire ; les fibres
nerveuses
déplacées paraissent tendre à la déchéance, com
ut-être la syringo-myélie émane-t-elle de ce déplacement des fibres
nerveuses
par la rétraction des vaisseaux ; on conçoit en e
ifs de- raclage et de frottement dont se plaignent maints individus
nerveux
, en particulier à la suite d'efforts, bruits qu
FLL. Les modifications circu- latoires en rapport avec les troubles
nerveux
n'ont d'ordinaire qu'un rôle secondaire. M. 1
i existent chez l'enfant bien portant augmentent chez les individus
nerveux
; à cette phase de transition appartiennent les
ve à préserver de l'inflammation la cornée soustraite à l'influence
nerveuse
, et si, dans le cas où cette inflammation survi
git pas favorablement, surtout sur les étals d'agitation du système
nerveux
. Il ne; s'agit ici que de la propor- tion diurn
re d'atrésies de la substance grise et en particulier, des cellules
nerveuses
de la moelle épinière. Mais on ne saurait disti
de la chambre claire électrique, sur la fine structure du système
nerveux
central, montre la répartition des masses grises
de la substance grise contrastant avec la par- cimonie des cellules
nerveuses
et des irradiations blanches qui en partent, ch
est non pas la substance fonda- mentale servant de lit aux cellules
nerveuses
, mais bien la cel- lule même, qui assure la ric
considérées comme champs de projection de divers groupes de fibres
nerveuses
possèdent égale- ment une fonction différente;
combattre, qui accompagnent un grand nombre de maladies du système
nerveux
. M. Benedikt a rapporté, en outre, plusieurs ca
er en l'interpellant brusquement : immédiatement quelques secousses
nerveuses
se produisent dans les membres supérieurs; puis
le mécanisme du fonctionnement 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. des centres
nerveux
. (Cette communication n'a été que le résumé d'u
nq ans d'une maladie inconnue, mais ne se rattachant pas au système
nerveux
; grand'mère morte à soixante-dix ans d'Une mal
; grand'mère morte à soixante-dix ans d'Une maladie inconnue, était
nerveuse
; -père, soixante ans, cultivateur, se porte bie
es auxquelles ils ont succombé n'ont rien de commun avec le système
nerveux
. Collatéraux. Six frères ou soeurs : il,, soeur
3°, mort-né ; 4°, fille ainée, vit, se porte bien ; 5° fille non
nerveuse
, mariée, a un enfant bien portant ; 6°, garçon, â
le n'est pas arrivée jusqu'à la désorganisation de la subs- tance
nerveuse
, elle est restée à sa période d'irritation et a
e les lésions de l'oreille et l'aliénation mentale ; 156 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3° Elle met en relief l'influence pathogénique
usqu'à présent non indiquée, de la fièvre saisonnière. PATHOLOGIE
NERVEUSE
DU TABES COMBINÉ (ATAXO-SPASMODIQUE), ou SCLÉRO
tique que l'école contemporaine a inaugurée des maladies du système
nerveux
, il fal- lait commencer par les cas les plus si
définitive et classique de cette maladie complexe. 158 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous serons même obligé, après analyse et disc
uct. franc, de Richard et Viry, 603, gan et 687. , 160 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rieurs et des cordons latéraux, mais les obser
. 1877, XI. 2 lbid : 236. Aiicuives. L. XI. 11 l 163 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. laires et l'exagération des réflexes. Il y a a
des de l'affection. (Revue de mérlec.), 18S ? , 142. 164 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. breux cas d'ataxie que nous avons eus sous les
lrangbahnen (Ai,ch. f. Psych.). 1854, XV, 225. ' ' . 166 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous devons signaler alors le remarquable trav
sque dire l'étiologie générale des maladies chro- niques du système
nerveux
. 1 Arch. de physiol., 1885. 2 Voir aussi : Da
travaux scie ? itif., 1884, p, 26; Encéphale, 1884. 168 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous devons cependant dire un mot plus spécial
forme spéciale de tabès, ni même une forme quelconque de maladie
nerveuse
. L'hérédité domine la neuropathologie tout enti
fs de l'évo- lution héréditaire, les diverses maladies du système
nerveux
se remplacer mutuellement. Féré a très bien mis
ion, entre les partisans des deux doctrines. Une maladie du système
nerveux
(et on pourrait appliquer ce même principe aux
maladie elle-même et les causes de sa localisation sur le système
nerveux
. Dans le premier groupe se placent les diathèse
e, on trouve l'hérédité névropathique, le surmè- nement des centres
nerveux
, etc. Si on analyse soigneusement un nerveux, o
- nement des centres nerveux, etc. Si on analyse soigneusement un
nerveux
, on trou- vera presque toujours ces deux élémen
e tabétique qui aura contracté la syphilis et surmené son système
nerveux
par des excès vénériens considé- rables, ou bie
athique et celui qui hérite de l'arthritisme et surmène son système
nerveux
. Enfin, les deux élé- ments peuvent venir, l'un
que nous venons de dire s'applique à toutes les maladies du système
nerveux
, par suite à tous les tabes, aussi bien au tabe
il est impossible de trouver dans la qualité « héré- 170 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ditaire » une caractéristique pour la maladie
et ne fait pas arrêter les omnibus pour descendre. 172 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. A ce moment, on diagnostique une paraplégie au
découvre facilement chez lui, des symptômes qui ne 17 le PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sont plus aussi classiques et qui troublent le
s postérieurs et des cordons latéraux. (A suivre). 176 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'HG111ATOPSIE D'ORI
ayons lumineux s'entrecroisent AHOUVES, t. XI. ! 2 178 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans l'oeil avant d'impressionner la rétine, i
ANOPSIE CORTICALE. 179 i. Le fait d'une demi-décussation des fibres
nerveuses
dans le chiasma chez l'homme a été prouvé par l
e : c'est le faisceau latéral. Chaque rétine reçoit dans des fibres
nerveuses
des deux nerfs optiques, ou, en d'autres termes
ne lésion comprimant le chiasma dans ses bords anté- 180 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rieur ou postérieur produira l'hémianopsie tem
in droite est un peu moindre que celle de la gauche. 183 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Examen dynamométrique : à gauche 38,34, à droi
Cas d'hémianopsie par lésions situées principalement 198 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Grâce à l'amabilité de MM. Peabody et Ferguson
a plaque de ramollissement dans l'obs. 8. (Haab.). 200 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lésion en foyer du cerveau et il persista. Mor
nt l'hémianopsie latérale droite. Obs. 41. (Féré.) 202 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Observation z. (Séguin). M. J. W. D., âgé de q
, le 5 décembre, on vint me chercher en toute hâte pour une attaque
nerveuse
. Je trouvai M. D... très ef- frayé, mais posséd
pendance de ia lésion mitrale; et il me vint enfin à 204 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'idée que cette fièvre intermittente rebelle,
nt l'hémianopsie latérale gauche. Obs. 45. (Séguin.) 206 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pièces. D'après l'histoire du malade, d'après
olui C. Dalton. - Veu-3'o'k Med. lice, 26 oct. 1881. 208 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. « occipito-angular région » produisent des tro
i, Cas VIII. Voy. tableau 1. Archives, t. Xi. 14 210 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. quelque part dans les fibres du corps calleux,
lecteur peut placer la lésion comme il lui plaira. 212 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. crânienne du côté opposé à la portion du champ
Forster and Wernicke. Forster in " Graefe-Saemisch 21 le PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Handbuehdergesammten Auâenheilliunde ", Bd. vo
. Un certain nombre de maladies de la nutrition et les mala- dies
nerveuses
peuvent se trouver associées d'une façon plus o
t tenaces; elle a eu trois attaques de somnambulisme et deux crises
nerveuses
avec perte 218 RECUEIL DE FAITS. incomplète d
de fréquemment avec les névropathies. On rencontre souvent chez les
nerveux
et dans DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTIC
'. » Notre malade offre des névralgies à la tête, certains troubles
nerveux
(gastralgie, hypothymie, etc.) analogues à ceux
trouvent également chez les épileptiques et dans d'autres maladies
nerveuses
. 226 RECUEIL DE FAITS. DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE
s un peu assourdis, pas 1 J.-M. Cliarcot. Note sur les divers états
nerveux
déterminés par l'hypnolisation chez les hystéri
us longue à être hypnotisée, mais les manifestations musculaires et
nerveuses
s'accentuent (les ma- nifestations nerveuses so
tations musculaires et nerveuses s'accentuent (les ma- nifestations
nerveuses
sont les griffes des muscles résultantes de la
alyserons en entier. P. K. II. La STRUCTURE DES ÉLÉMENTS DU SYSTÈME
NERVEUX
; par S. FRFUD. (J<t/tr6uc/t. f. Psych., V, 3
sych., V, 3.) L'auteur a soumis à l'examen microscopique les filets
nerveux
de l'écrevisse d'eau douce vivisectionnée, mais
n liquide presque inoffensif à l'égard de la structure des éléments
nerveux
. Dans ces conditions, la fibre nerveuse se pré-
de la structure des éléments nerveux. Dans ces conditions, la fibre
nerveuse
se pré- sente sous la forme de tuyaux clairs co
nt des fibrilles droites sépa- rées les unes des autres. La cellule
nerveuse
se compose de deux substances : l'une, disposée
en réseau, se prolonge manifestement dans les fibrilles des fibres
nerveuses
; l'autre, homogène, se prolonge probablement-d
structure générale du protoplasma vivant, identique dans la cellule
nerveuse
à celle du protoplasma ordinaire; ce protoplasm
euse à celle du protoplasma ordinaire; ce protoplasma dans la fibre
nerveuse
se segmente en fils, et les fibrilles de la fib
ifférenciés etisolés.ConchMtOHS/M/pot/tdMes.Lesubrilles de la fibre
nerveuse
sont des fils conducteurs isolés, qui, séparés da
'une certaine force peut rompre l'isolement des fibrilles, la fibre
nerveuse
con- duisant dans son ensemble l'excitation. Il
rès les mêmes caractères que chez le lapin ; ici aussi les cellules
nerveuses
gan- glionnaires sont le point de départ du pro
n'étant que des intermé- diaires, dirigés et régis par un mécanisme
nerveux
central, leurs attitudes doivent refléter l'éta
nerveux central, leurs attitudes doivent refléter l'état du centre
nerveux
. Dans le court travail qui nous occupe, l'auteu
cuse en ce qui touche les rapports de la conscience avec l'activité
nerveuse
cen- trale : il rappelle à ce propos les opinio
égralement : « La physiologie « générale nous enseigne que le tissu
nerveux
, fibres ou cellules, « n'échappe point à la loi
ort. Mon point de départ « est donc parfaitement net : les éléments
nerveux
se désintè- « grent par l'action, et se réintèg
on, et se réintègrent immédiatement après, en « sorte que tout acte
nerveux
a une phase de désintégration et «une phase de
vons nous tromper : l'intégration et la réintégra- tion des centres
nerveux
sont absolument inconscientes. Nul « n'est cons
ence est exclusivement liée à la phase de désintégration des «actes
nerveux
centraux. « Cela posé, une nouvelle question su
m « constant de calorification, dû simplement à la transmission «
nerveuse
. Ces faits indiquent clairement que les actes cen
t une transmission relative- « ment très rapide. En fait, tout acte
nerveux
central demande « un certain temps pour s'accom
clusivement liée à la désintégration fonc- « tionnelle des éléments
nerveux
centraux; son intensité est di- « rectement pro
res sensori-moteur « et spinal. « IV. Finalement, dans le système
nerveux
tout entier, consi- « déré comme organe de la f
cette méthode est appelée à rendre. E. lancuur. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XIII. UN CAS DE CHORÉE TRAITÉ AVEC SUCCÈS PAR L
ployé dans un grand nombre de maladies et surtout dans les maladies
nerveuses
. En ce qui concerne la chorée, M. le Dl Pathaul
malade. Lal... (Henri-Ch.), est âgé de six anset demi. 11 est très
nerveux
et d'un tempérament lymphatique. Il a eu une pr
re de camphre ; thèse de Mont- pellier, 1875. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 251 Dans la marche, il se cogne les jambes et
mue, ses pieds battent le parquet, la plume 252 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lui échappe; enfin, après des efforts réitérés
régulière (/t<7. 9). Fig. 8. ' tig. 9. . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 253 30 avril. L... est guéri. Sa mère, interro
ieure et postérieure; dans la corne antérieure droite, les cellules
nerveuses
ont presque entièrement disparu, mais les fibre
cellules nerveuses ont presque entièrement disparu, mais les fibres
nerveuses
émer- gentes sont intactes. C'est aux altératio
ng qui est placé là. P. K. fï^, 1 U . * 254 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XV. Expériences pour servir A l'étude DE la pa
ctions peuvent être pro- voquées chez les individus dont le système
nerveux
et musculaire est sain, ainsi que chez les alié
ésulte de l'actionnement direct, sans l'inter- médiaire de l'influx
nerveux
, de la substance contractile qu'un excitant méc
h (Arch. f. Psych., XV, 3). Travail fait à la clinique des maladies
nerveuses
de la Charité de Berlin. L'auteur s'est proposé
e thermomètres divisés en cinq dixièmes ont 256 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. une amplitude : le premier de - 480 à + 34° C.
auteur rattache cette anomalie au trijumeau et, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 257 en particulier, à la racine ascendante dro
i suit : En 1882, il est mort 108,774 malades atteints d'affections
nerveuses
ou mentales, soit environ 16,26 p. 100 de la mo
es malades, peu ou point fébri- citants, présentaient des symptômes
nerveux
intenses : cépha- lalgie, parfois délire, parfo
les psychopathes les plus difléretits, il conclut que des symptômes
nerveux
intenses pro- duits par une perturbation mental
ns postérieurs. L'autre ré- sulte d'une lésion primitive des fibres
nerveuses
: elle commence principalement dans les cordons
. Désignant comme excitants les agents qui font réagir la substance
nerveuse
, nous devons dire que le nystagmus et les autre
réactions indiquées. Chaque exci- tant détermine dans la substance
nerveuse
un état anormal d'au- tant plus accusé que l'ex
tant plus accusé que l'excitant est plus intense. Mais la substance
nerveuse
supportera cet état anormal jusqu'à une certaine
te cette limite sera atteinte ; à ce moment, l'état de la substance
nerveuse
change : d'actif il devient passif : aux phénom
brale. On a supposé, en établissant cette doctrine que la substance
nerveuse
est incompressible. Or, expérimentalement, cett
es qui résultent de l'excitation ou de la paralysie de la substance
nerveuse
. Ils n'ont pas d'autonomie propre. Mais il est
gré, la compression est adéquate à la com- pressibilité de la masse
nerveuse
. Pas de symptômes. Au second degré, la compress
un troisième degré, il y a simultanément destruction de la matière
nerveuse
; les phénomènes ne se distinguent pas de ceux d
source la plus féconde en perturbationset en affections du système
nerveux
, tant dans ses départements centraux que dans s
toire, deviennent la cause d'al- térations des fonctions du système
nerveux
. Ces éléments patho- gènes sont : les uns toxiq
générale- ment aboutissent à des affections spécifiques du système
nerveux
. Un groupe de dyscrasies provient de la pénétra
s- tème vasculaire, ces agents troublent les fonctions du système
nerveux
et déterminent généralement des névroses à forme
rvations détaillées, on doit accepter qu'il s'agit bien d'un asthme
nerveux
qui joue, par rapport àla psychose, le rôle d'u
ffection métastatique vicaciante, et suppose, par suite, un élément
nerveux
sous roche. Cette constatation a quel- que impo
épileptique. Le cas de Kelp révèle, après la cessation de l'asthme
nerveux
, une surexcitation des nerfs sensoriels, l'appa
nt à certaines parties du cerveau, d'où la transformation. L'asthme
nerveux
n'est-il pas lui-même une névrose du nerf vague
piratoires. L'excitation de ces rameaux, si prononcée dans l'asthme
nerveux
, peut aussi se transmettre au cerveau et provoq
ente extérieurement aucune anomalie; les mem- branes et les racines
nerveuses
offrent une constitution normale ainsi que l'en
de cellules granuleuses surtout le long des vaisseaux; les cellules
nerveuses
sont les unes conservées, les autres déchues et
ut, malgré la netteté des symptômes cliniques, trouver des cellules
nerveuses
complètement intactes. La méthode d'Exner1 a se
e, mais on peut, dès maintenant, dire que la disparition des fibres
nerveuses
n'est pas spéciale àlapara- lysie générale, car
examens lui ont démontré comme constante la disparition des fibres
nerveuses
à myéline dans l'écorce des paralysés généraux.
cher (de SLepliansfeld). Sur la disparition par atrophie des fibres
nerveuses
à myéline de l'écorce du cerveau dans la para-
es corticales en ce qui concerne leur richesse respective en fibres
nerveuses
à myéline. M. Tuczek n'a aucune confiance dans
la coloration des fibres fines de la couche des petites cel- lules
nerveuses
. H n'est d'ailleurs pas possible, en moins de deu
que sénile, Zacher a rencontré la disparition atrophique des fibres
nerveuses
de l'écorce; il l'a trouvée dans quelques faits
'il y a sous roche un arrêt de développement qui atteint des fibres
nerveuses
de l'écorce fron- tale dont la génération est r
sous des tubercules quadrijumeaux, une autre collection de cellules
nerveuses
qu'il n'est pas toujours facile de séparer fran
s psychiques ne participent guère à leur genèse, et que les centres
nerveux
moteurs entrent seuls en jeu pour les produire.
énèse, despares- thesies ; en un mot tous les centres psychiques et
nerveux
peuvent donner naissance à deséléments, fugaces
x du bulbe. Au microscope, comme à l'oeil nu, intégrité des centres
nerveux
: les nerfs périphériques, et en particulier les
8G. Vol. XI. Mai 1886. NU 33. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA NÉVRITE SEG.IENTAI
ange dans le groupe des névrites, celles qui in- téressent la fibre
nerveuse
d'une manière prédomi- nante ou exclusive sont
les détermine, elles produisent toujours dans la structure du tube
nerveux
une série de modifications aboutissant à l'atro
apparence, de celui qui ap- Archives, t. XI. ' 22 338 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. partient à la dégénération wallérienne proprem
x. Puis les débris de myéline sont éliminés. Le calibre de la fibre
nerveuse
diminue et- bientôt celle-ci se trouve réduite
e identique et sans discontinuité sur toute la longueur de la fibre
nerveuse
. A côté de cette forme, il en est une autre, dé
un nombre parfois considérable de noyaux. La myéline 340 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ainsi désagrégée tend progressivement à dispar
, et bientôt on n'en trouve aucune trace dans l'intérieur du tube
nerveux
; les noyaux persistent au contraire, et parsème
mplètement éliminés, il semble à lui seul constituer toute la fibre
nerveuse
. Cette intégrité du filament axile, malgré l'ef
2. Analyse in Revue de Hayem t. XX, p. 57, 1882.) 342 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pour jouir d'un congé de convalescence dans sa
est considérablement amoindrie. Les réflexes- plan- 344 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. taires, rotuliens, testiculaires sont presque
à sa périphérie par un semis très abondant de tuber- 346 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cules jaunes, caséeux, non ramollis; sa paroi
ts, la lésion n'intéresse' ici qu'une partie restreinte de la fibre
nerveuse
: paifois elle se cantonne dans une faible éten
res normaux. Il n'est pas rare de rencontrer sur une 348 pathologie
NERVEUSE
. même fibre deux et même trois foyers successif
est intéressé 'dans toute son épaisseur, et le diamètre de la fibre
nerveuse
apparaît agrandi au niveau des points atteints.
e . Et cependant, aux deux extrémités de la portion lésée, la fibre
nerveuse
reprend sa structure normale ou à peu près norm
persistance du cylindre-axe. Aux confins de l'altération, la fibre
nerveuse
reprend sa structure normale. Enfin, au degré
aine mesure à l'altération qui intéresse à un si haut degré le tube
nerveux
. Ses fibres sont légèrement Juméfiées et plus a
ar des segments très courts. Sur d'autres où l'alté- 350 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ration a évolué suivant le type segmentaire, o
tion de l'excitabilité faradique des muscles paralysés. Les centres
nerveux
, cerveau et moelle, sont dans un état de parfai
rveau et moelle, sont dans un état de parfaite inté- 352 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. grité. Les racines spinales, antérieures et po
fication subie par les cellules des cornes antérieures, cl le. tube
nerveux
, dit-il, n'étant plus sous l'influence de ses c
et des nucléoles. t Déjerine. Recherches sur les lésions du système
nerveux
péri- phérique dans la paralysie diphthéritique
.) 2 P. Meyer, loc. citât. Archives, t. XI. 23 35 re PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Mais l'auteur ne conclue pas à un lien de subo
s et les autres. Il estime au contraire que l'altération du système
nerveux
central et périphérique dépend uniquement « de
du poison diphthéritique porte sur les différents points du système
nerveux
, tout aussi bien sur les nerfs que le centre sp
une localisation du poison infectieux sur cette partie du système
nerveux
. Au point de vue purement anatomique, les lésio
f sectionné. La seconde n'intéresse pas toute l'étendue du tube
nerveux
; elle est discontinue, se cantonne eu certains
portion atteinte, quelle que soit d'ailleurs son étendue, la fibre
nerveuse
reprend son aspect normal et sa structure habit
celui que décrit M. Gombault. Elle débute par la périphérie du tube
nerveux
pour en atteindre ensuite toute l'épaisseur. La
ui remplissent confusément le tube, il ne saurait en 356 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. être de même lorsque la disparition partielle
iqué dans la destruc- tion des autres parties constituantes du tube
nerveux
et disparaît, dès le début, sans que la vitalit
ques généra- lement admises. On sait, en effet, que toute section
nerveuse
entraîne à sa suite la dégénération desfibres sé-
ale de la fibre; cependant il n'en est rien, les portions du tube
nerveux
isolées de leur centre conservent leur inté- gr
thologique du segment interannulaire ; elle démontre 358 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. aussi que, dans certaines circonstances, le cy
la dégénération wallérienne se dé- veloppant d'emblée sur une fibre
nerveuse
qui a con- servé ses rapports avec une cellule
r une fibre nerveuse qui a con- servé ses rapports avec une cellule
nerveuse
inaltérée ? Il faut nécessairement admettre une
'est-à-dire sans rela- tion avec une lésion primordiale des centres
nerveux
, 1 Gombault. Sur les lésions de la névrite alco
es, 22 février 1SS6, p. 436 des comptes-rendus). - . 360 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. peuvent évoluer suivant un mode absolument ide
ail pathologique qui parfois envahit une grande étendue de la fibre
nerveuse
, parfois l'intéresse d'une manière discontinue,
est facile, et c'est seulement par l'étude individuelle des tubes
nerveux
que l'on distingue ces altérations seg- mentair
; aucune trace de cylindre-axe; s, segments normaux. 362 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' Fig. 6. - Altérations segmentaires successiv
geurdece terme, qui n'explique rien, je n'entrevois 36 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pas pourquoi on qualifierait de folie une cont
entres d'inhibition, leur action exige un double travail du système
nerveux
, de même si 366 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'inhibi
e un double travail du système nerveux, de même si 366 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'inhibition est causée par une vibration molé
u- vement le plus faible exigera le plus grand travail du système
nerveux
, puisqu'il faudra que l'inhibition supprime pre
pourquoi, à l'état normal, cela n'au- rait pas lieu dans le système
nerveux
central, pour- quoi il faudrait avoir une actio
uire aussi à l'instant voulu. Je crois que, s'il est 368 pathologie
NERVEUSE
. difficile à comprendre comment une irritation
uve très naturel qu'un courant' Archives, t. XI. 4 370 pathologie
nerveuse
. plus fort évoquera une image d'un mouvement pl
humaine, c'est surtout nécessaire dans la physiologie du système
nerveux
. Même le chien montre une différence impor- tan
en montre une différence impor- tante si nous comparons son système
nerveux
à celui de l'homme. Si nous enlevons une partie
membres, il parvient à marcher, peut-être pas avec 372 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la même adresse qu'auparavant, mais pourtant a
rchives de Neurologie, 1881, no 5, 6, 7.) .) 37<i.' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. noncée,-il faut appliquer un coup rapide, bien
terme réflexe, on peut nommer ainsi toute manifestation du système
nerveux
provoquée par une 376 PATHOLOGIE NERVEUSE. in
manifestation du système nerveux provoquée par une 376 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. influence extérieure. Un grand nombre des aute
avant en action et, en conséquence, conduisent mieux le cou- rant
nerveux
. La différence la plus caractéristique se manif
e, l'extension dépend seulement de la conducti- bilité des éléments
nerveux
, la volonté de l'individu n'a aucune influence
n'a aucune influence sur cette propriété. Dans le 378 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cerveau, au contraire, c'est la volonté ordina
sion de l'irritation. Pendant la catalepsie, l'extension du courant
nerveux
centripète est déjà un peu plus grande, et par
la voie par laquelle la substance corti- cale entretient le courant
nerveux
. On pourrait aussi comprendre le relâchement de
on moyenne, le relâchement réussira; autrement, non. 380 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. C'est tout à fait le même procédé que j'ai déj
raitée par Ricord; plus tard, traitement de la syphilis des centres
nerveux
appliqué par Charcot, Fournier, Doyon (à Uriage
onnelles. I 1 1 i TABLEAUX i e i TA.BLEA.UX. z 392 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Pour relever et étudier les symptômes notés da
de la résistance aux déplacements passifs, du trem- 396 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. blement, le phénomène du pied, la démarche spa
fera suffisamment connaître, et déterminera la nature des troubles
nerveux
que uous avons constatés. 400 MÉDECINE LÉGALE.
e vingt-six ans, est depuis près de treize ans atteinte de troubles
nerveux
qui paraissent avoir eu pour cause déterminante
de cette scène; et si, dès cette époque, elle n'eut pas d'accidents
nerveux
,- elle eut du moins des troubles du sommeil, do
ce qu'on ob- serve si souvent chez les jeunes filles à tempérament
nerveux
pré- dominant. Nous devons à sa mère, femme i
ait arrivée cette jeune femme sous la double influence des troubles
nerveux
dont elle' est atteinte depuis si longtemps et
, tout d'abord, de déterminer rigoureusement la nature des troubles
nerveux
dont Annette G... pouvait être atteinte, de pré
du cercle du bleu, à gauche surtout. Interrogée sur les accidents
nerveux
dont elle souffre, Annette G... dit que « son a
ependant toujours dans le type classique. La mobilité des accidents
nerveux
s'est doublée, comme il arrive presque tou- jou
instabilité d'humeur. Ses souffrances, la longue durée des troubles
nerveux
l'ont souvent découragée, et c'est dans l'abus de
cataleptoïdes, elle reste une malade chez laquelle les acci- dents
nerveux
peuvent reparaitre avec leur intensité première.
ent moléculaire particulier, une distribution spéciale des cellules
nerveuses
du système cérébro-spinal. Jusqu'ici les divers
hallucinations. Au- topsie : ramollissement de la substance blanche
nerveuse
entourant les deux, cornes occipitales des deux
ne santé. Quatre frères et soeurs morts en bas âge. Pas d'affection
nerveuse
, ni d'antécédents rhumatismaux dans la famille
morte de chagrin de la perte de sa petite fille. Pas de dia- thèse
nerveuse
, ni rhumatismale dans la famille. Antécédents p
héréditaires : père mort d'une attaque d'apoplexie. Pas d'affection
nerveuse
du côté de la mère. Antécédents personnels. Le
s subintrantes. Autopsie : ramollisse- ment de la substance blanche
nerveuse
entourant le prolonge- ment postérieur du ventr
nt dans cette partie de la substance blanche un REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 419 de ces foyers de résistance moindre qu'on
l appartient à l'expérience de démontrer. - ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
t XX. DE la valeur DE L'ÉLECl'ItICIl'li DaN3
nnera des résultats extrêmement favorables; 420 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. il ajoute qu'il n'est pas nécessaire, pour obt
lant dans le même atelier, qui furent successi- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 44-1 vement atteintes, en quelques jours, de p
q ans, les symptômes observés étaient mani- 422 REVUE de pathologie
NERVEUSE
. festement ceux de la compression cérébrale, et
interne ; du côté droit de l'artère basilaire, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 433 après cérébelleuse supérieure droite, part
énomènes tendineux, que la réaction dégéné- 424 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. rative survienne ultérieurement ou non, et que
s flasques graves amyotio- phiques (à suppression de l'excitabilité
nerveuse
), d'origine spinale (poliomyélite) ou périphéri
dégénérative la plus légère, primitivement périphérique, des troncs
nerveux
mixtes, peut-être même sans paralysie; c, dans
xamen de Wagner lui-même. (Obs. VIII). Evidem- REVUE DE pathologie,
nerveuse
. 425 ment, après l'électrisation, le champ visu
rchives de Neurologie, t. X, p. 104 et 425. 426 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. théorie déjà exposée en détail (22 observation
on- gueur ; il émane de la substance grise, comprime la substance
nerveuse
et la transforme ça et là en kystes. Deux planche
re 1883.) o En se basant sur l'analyse élémentaire de la fonction
nerveuse
et spécialement sur les phénomènes de contiôle
PATHOLOGIE MENTALE. affection inflammatoire primitive des cellules
nerveuses
, laquelle est surtout accusée dans les cellules
névropathes que chez les personnes exemptes de toute prédisposition
nerveuse
, et il croit que la ré- ponse a cette question
ogues sont plus aisément provoqués, soit chez les sujets à hérédité
nerveuse
, soit chez ceux qui sont devenus nerveux par un
z les sujets à hérédité nerveuse, soit chez ceux qui sont devenus
nerveux
par une cause ou par une autre, que chez les pers
sont à l'abri de ces motifs d'instabilité mentale. Chez les sujets
nerveux
, le delirium tremens peut ou suivre sa marche o
e méthode excellerait souvent d'une façon surprenante chez tous les
nerveux
anémi- ques : ou non (anode dans la fosse auric
aire progressive. - On prend souvent pendant longtemps des troubles
nerveux
pure- ment fonctionnels, hystériques, pour des
tater que c'est dans les affections caractérisées par la dépression
nerveuse
, que l'on a jusqu'ici obtenu le plus de résulta
L'auteur rapporte l'observation d'une malade, âgée de vingt ans,
nerveuse
, qui devient hystéro-épileptique par imitation; e
oins momentanée. G. D. VIII.DR l'apomorphine dans certains troubles
nerveux
; parle Dl E. Weil, chef de clinique médicale (L
origine spasmodique, tels que le hoquet, et sur quelques affections
nerveuses
à manifestations convulsives, soit qu'il s'agis
veloppe, comme dans les autres affections destructives du sys- tème
nerveux
central, des dégénérations secondaires dont l'int
e d'un phénomène mécanique, d'une compression exercée sur les tubes
nerveux
par le tissu conjonctif de nouvelle forma- tion
s cylindres-axes, ayant conservé leurs connexions avec les cellules
nerveuses
d'où ils émanent, sont doués d'une vitalité qui
a sclérose en plaques. Or, la nature de la dégénération des tubes
nerveux
, analogue à celle qui s'observe dans le bout cent
it ses carac- tères distinctifs à un mode de dégénération des tubes
nerveux
BIBLIOGRAPHIE. %I57 analogue à celui qui s'ob
nt un résumé clair, méthodique, attrayant, de l'anatomie du système
nerveux
central, ou plutôt de la texture et des rapport
indicatrices, on supprime tout malentendu. P. K. XI. Des troubles
nerveux
dans l'intoxication par le sulfure de carbone;
5.) L'intoxication par le sulfure de carbone produit des troubles
nerveux
divers qui peuvent atteindre la sensibilité (hype
n du sourd-muet (I vol. in-8°. Paris, 1868); Physiologie du système
nerveux
cérébro-spinal (I vol. in-8°. Paris, 1872); Rec
ard, 95. Anestliésie sensorielle dans les af- fections du système
nerveux
cen- tral, par Tliomsen et Oppenheim, 80. A
ie par Topinard, 124. Apomorphine dans l'hystérie et les troubles
nerveux
, 445. Apoplexie séreuse, 421. Artère basilair
tremens et folie, 434; - (opium dans le), 458. Diabète (troubles
nerveux
dans le chez les femmes), par Lécorcli6, 5 ?
afolie), 419, 445. Electrothérapie, par Neftel, 439. Elongation
nerveuse
, hématomyélie, 76. Encéphalite aiguë des enfa
c, par ICahllwum, 106. Ilématomyélie consécptive 3 l'élon- gation
nerveuse
, dans l'ataxie, par Rumpf, 76. Ilémiauesthési
s crâniens (trajet des faisceaux centraux des), par Edinner, 313.
Nerveux
(structure des éléments du système), par Front]
E DES \i \1'Ii;2LS. Syphilis et tabès, par Berger, 108. « Système
nerveux
central (structure du), par Edinger, 45J. Tab
, Paris, 1886.) Dans le cas de R..., on n'a pas trouvé d'hérédité
nerveuse
ou mentale. Et on peut toujours objecter qu'il
lle porte une zone très sensible qui amènerait facilement une crise
nerveuse
par la pression. Cependant elle n'a ni hémianes-
grand'mère maternelle est morte aliénée; un de ses frères a un tic
nerveux
de la face; une tante est considérée comme biza
e à voir un lien in- time entre les faits reprochés et les troubles
nerveux
divers de 111 ? X... Car, comme ditLegrand du S
te à observer que par une sorte d'hérédité homochrome, les troubles
nerveux
de lI ? X.... ont eu leur summum à vingt-neuf a
vue médico-légal), nous ne pouvons que le mentionner. PATHOLOGIE
NERVEUSE
DI : R1101 : UROSI : S'l'GL3GOGLiAPIIIQUL, l :
e pneumonie : elle étaitbonné, « comme du bon pain » et pas du tout
nerveuse
. Grands-parents maternels : pas de renseignemen
qu'il peut développer avec l'une ou l'autre main. '11 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Fo ? ! C< ! o ? tS<yëH ! <ces.Bien qu
axiale et se transforme peu à peu en papule ortiée. 14 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. . Quelle que soit donc l'intensité de l'excita
nt les plateaux inducteur et induit mesurent respec- '16 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tlvement 3b et dU cenftmèlres, puis la décharg
<- graphie, 7t, 12. 188. Archives, t. XVII. 2 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. formes ou de croûtes de l'intertrigo et de l'e
u; mais il s'agissait là, si nous ne nous trompons, d'urti- caire
nerveuse
spontanée. Chez deux hystériques bien connues d
nterie et d'affections cen- trales ou même périphériques du système
nerveux
: la raie rouge que l'ou trace sur le ventre de
les ! He'6 ! ! eo-psyc/M ! y : MS. K" de novembre 1888). ' CLINIQUE
NERVEUSE
RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
a démarche spasmodique. Là l'évolution s'arrête et 21 ,. . CLINIQUE
NERVEUSE
. le syndrome spasmodique fait sa station défini
r du membre. La même sensation se produit par le con- 26 CLINIQUE
NERVEUSE
. tact. L'application du froid ne produit plus l
ues, soit symptomatiques d'une autre maladie organique du système
nerveux
central.-Très souvent, elles accom- pagnaient l
om- plexus symptomatique presque invariable pour tous 28 CLINIQUE
NERVEUSE
. les cas, C'(',St-21-dll'e, paralysie motrice e
e forme ne se rencontre dans aucune autre maladie connue du système
nerveux
central. C. FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE.
s et même du tronc jusqu'au cou aurait été complètement 30 CLINIQUE
NERVEUSE
. abolie. Dans les jambes, il avait des douleurs
e, à la fin du mois d'avril, ses Archives, t. XVII. 3 31 CLINIQUE
NERVEUSE
. membres ont recouvré leurs fonctions. Par cont
monter comme d'habitude. Le malade affirme que, dans le 36 CLINIQUE
NERVEUSE
. cours de l'année précédente, il avait déjà fai
rs, je les ai détachés avec une grande facilité et sans 38 CLINIQUE
NERVEUSE
. la moindre douleur. » Maintenant les ongles no
frère M. Pierre Marie, chef préparateur de la clinique du système
nerveux
à la Salpêtrière. Par son observation, il nous
s que chez les nôtres, quelque temps après, une heure 40 CLINIQUE
nerveuse
. pour celui de l'OBSBR1'1TION XXI, et trois heu
oïde très violentes, au point qu'il poussait des cris 42 CLINIQUE
NERVEUSE
. pitoyables. Ces douleurs n'étaient accompagnée
e ? Il nous est naturellement impossible de le déter- 44 CLINIQUE
NERVEUSE
. miner. Il est temps maintenant de passer à l'é
riode commence immédiatement après la disparition de 116 CLINIQUE
NERVEUSE
. toute trace de paralysie. On distingue très ne
es mois presque à la même date. Plus tard, les crises 48 CLINIQUE
NERVEUSE
. gastriques de ce malade étaient devenues plus
chute n'a été précédée d'aucune Archives, t. XVII. Il 50 CLINIQUE
NERVEUSE
. cause locale, soit traumatique, soit d'autre n
rétrograder peu à peu, et le syndrome tabétoïde avec 82 li CLINIQUE
NERVEUSE
. son ataxie est considérablement amendé, ce qui
érotique, ni par des rêves lascifs, etc., quelquefois 34 CLINIQUE
NERVEUSE
. même il lui arrivait d'avoir des crises immédi
14 août 1883). C'est ce qui a amené aussi M. Reynaud 56 CLINIQUE
NERVEUSE
. dans son intéressant travail à accepter à tort
: « Les lésions peuvent être plus sys- tématisées encore dans l'axe
nerveux
, et M. le Dr Char- pentier a signalé à la Socié
nstitution 1 Du rôle de la décompression brusque dans les accidents
nerveux
con- sécutifs aux explosions du grisou. ' DES
conslalé des retards dans la sensibilité; 5-6 secondes 58 CLINIQUE
NERVEUSE
. s'écoulaient entre l'excitation et la percepti
lombaire de la moelle. Cette lésion doit être certaine- 60 CLINIQUE
NERVEUSE
. ment très légère, ce qui est parfaitement démo
spinale, qui même alors ne se manifeste que faiblement. 62 CLINIQUE
NERVEUSE
. Quelques secousses surviennent parfois à son m
HC décompression, douleurs violentes à Aucune, t. MIL 66 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'estomac, s'irradianl aux côtes.- Au bout de
des autres organes paraissent se faire régulièrement. bb CLINIQUE
NERVEUSE
. PATHOLOGIE DE LA FORME' INTIIAMTÉLITIQUE . O
q minutes la perte de connaissance du malade de l'OB- 70 CLINIQUE
NERVEUSE
. SERVATION XXIV, et les douleurs aux diverses a
qu'une seule fois, Observation XXVI et encore incom- 72 CLINIQUE
NERVEUSE
. plètement, le malade étant forcé de pousser po
ariable, suivall t l'exci ta hil i té myél itique. Tous 74 CLINIQUE
NERVEUSE
. les réflexes crémastériens, plantaires ou rotu
fois arrivé à ce point de développement, il n'a pas 76 CLINIQUES
NERVEUSES
. rétro-ressé, mais il n'a pas non plus progress
lacé par une uniformité caractérisée par un complexus 78 CLINIQUE
NERVEUSE
. clinique très simple, qui est le même pour tou
u moignon de l'épaule droite. La Archive, t. XII. , 6 82 CLINIQUE
NERVEUSE
. pression au niveau de l'apophyse transverse de
u plus tard, la myatrophie du membre supérieur droit. 84 CLINIQUE
NERVEUSE
. A une étape ultérieure de la maladie, il arriv
es, des paralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet état
nerveux
, décrit avec soin par un médecin anglais, Braid
me on le sait, très fréquentes. L'excitation mécanique des troncs
nerveux
agit sur les mus- cles' tributaires du nerf de
ndre l'attitude dite de la griffe cubitale. Cette hyperexcitabilité
nerveuse
ne peut être simulée surtout lorsqu'il s'agit d
hez les sujets hypno, tisés ne répondent pas à un seul et même état
nerveux
. En Téalité, l'hypnotisme représente cliniqueme
ente cliniquement un groupe na- turel, comprenant une série d'états
nerveux
, différents les uns dus autres, chacun d'eux s'
ien définir d'après leurs caractères génériques, ces divers états
nerveux
, avant d'entrer .dans l'étude plus approfondie de
, un triangle caractérisé par un amincissement anormal des fibres
nerveuses
. C'est là, d'après l'auteur, l'anomalie congénita
il parait projeté par compression d'arrière en avant surlesracines
nerveuses
antérieures. Tandis que chez les individus sain
térieures. Tandis que chez les individus sains d'esprit, les fibres
nerveuses
y présentent un diamètre ordinaire, chez les al
r toute sa hauteur. Infiltration pigmentaire des grandes cel- lules
nerveuses
des cornes antérieures, avec atrophie de quelques
n'y a plus que quelques cellules éparses. Les trousseaux de fibres
nerveuses
ont perdu leur myéline et les cylindraxes dégé-
tance amyloïde. P. K. IV. DES altérations PROGRESSIVES DES CELLULES
NERVEUSES
dans LES inflammations. Appendice relatif aux a
l'hypergénese des noyaux ne serait pas démontrée dans les cellules
nerveuses
pyramidales. Dans l'in- flammatiou de la substa
des cellules. Pour que le noyau se divise, il faut que les cellules
nerveuses
se soient transformées en gros éléments ronds s
surtout les granulations normales des couches cérébrales du système
nerveux
et non les grosses cellules des cornes antérieu
de semblables altérations actives. P. K.. V. Altération DES centres
nerveux
dans un ,C1S DE paralysie infantile cérébrale;
eaux cérébelleux et pyramidaux ; en même temps atrophie de cellules
nerveuses
au sein des co- lonnes de Clarke. Mais l'hémipl
masturbation, influence de celle-ci sur l'intel- ligence, troubles
nerveux
et mentaux de la grossesse, manie tran- sitoire
, folie érotique ou religieuse, se manifestant chez des indi- vidus
nerveux
, chez les dégénérés. Tous les troubles mentaux de
malformations des membres, enfin des différents signes de troubles
nerveux
ou de dégénérescence. Ces recherches élimine- r
due à un développement incomplet ou à une destruction des éléments
nerveux
. Dans la microcéphalie, les nerfs des sens, les
de Leipzig a écrit un Manuel de séméiologie des Maladies du système
nerveux
sans y comprendre les affections mentales propr
ocalisées en tels ou tels points de tels ou tels organes du système
nerveux
'il en lire le diagnostic : 3° Examen de la par
nes inhibitoires, dus à l'irritation énergique et subite du système
nerveux
. Chez l'homme donc, suspension immédiate du pou
uestion écrite, portant sur l'analomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures au
- lion écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures au ca
vient d'être nommé professeur de clinique des maladies mentales et
nerveuses
. Médecins aliénistes sénateurs. M. le Dr DoixLT
es racines postérieures. Fleclisi ? d'après ses études du système
nerveux
central, selon la méthode du développement embr
itième mois de la vie utérine. Ayant étudié la structure du système
nerveux
cen- tral aussi d'après la méthode du développe
nt dans le bulbe, dans les noyaux de faisceaux grêles. PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ETUDE DE L'ETIOLOGIE DU TABES;
e d'observations consciencieuses et importantes et 184 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. par la voie de la statistique. Selon quelques
ins et un vacillement à yeux clos. De temps à autre, 186 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. les douleurs lancinantes étaient accompagnées
ne se souvient pas d'avoir jamais été atteinte de quelque affection
nerveuse
ou de quelque autre maladie grave. Il y a dix
bjets chauds appliqués aux endroits atteints d'anes- 190 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. thésie. Sens musculaire aboli. L'urine et les
affection pulmonaire ; sa mère, d'une hy- dropisie. Pas de maladie
nerveuse
dans la famille. La malade s'est toujours bien
us remarquons chez la malade : myose prononcée et 192 ), PATHOLOGIE
NERVEUSE
. symptôme d'Argyl-Robertson dans les deux yeux;
oires des maladies, il AticiiivLs, 1. XVII. ' 13 19 lé PATHOLOGIE
NERVEUSE
. n'y avait d'amyotrophie dans aucun des huit ca
attirons particulièrement l'attention sur ce point), Thé- rédité
nerveuse
était niée ou impossible à retrouver, dans sept
s; dans un cas, de dix ans; dans deux cas, de douze '196 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ans et dans un cas de seize ans. Par conséquen
j'ai soignées à l'hôpital pour les ouvriers niaient toute hérédité
nerveuse
, ne peut être pour moi une preuve suffisante de
que les sujets pris dans ma clientèle privée ont nié toute hérédité
nerveuse
; leurs dépositions doivent absolument être pri
ciété. Dans ces deux cas il n'y avait absolument pas d'hé- rédité
nerveuse
; il ne pouvait être question d'abus de spiritue
s derniers ont pris en considération les données les 19N PATHOLOGIE
NERVEUSE
. plus diverses pour arriver à résoudre la quest
pourrait-on trouver une autre nationalité dans laquelle l'hérédité
nerveuse
soit aussi fréquente qu'elle l'est chez les Jui
de mes deux Juives atteintes de tabes, cas dans lesquels l'hérédité
nerveuse
n'existait justement pas, mais dans lesquels la
r un nombre égal d'in- dividus russes et juifs atteints de'maladies
nerveuses
, le nombre des juifs frappés de tabes ou de par
as où la syphilis était indiquée comme très douteuse 200 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et ceux dans lesquels il n'en était pas parlé,
ai pu prendre dans mon journal que 383 sujets atteints d'affections
nerveuses
, se divisant en 260 Juifs et 123 Russes. Les
es faits très simples : /). Parmi les malades atteints d'affections
nerveuses
, le tabes et la paralysie progressive se rencon
cer- tain rôle dans l'apparition chez eux de graves affec- tions
nerveuses
). Pour mettre de côté ces propriétés de nationa
cas de syphilis; dans le nombre se trouvèrent 290 cas de maladies
nerveuses
et parmi ces derniers 40 cas de tabes, soit 14
dans l'anamnèse du tabes, mais aussi dans celle d'autres affections
nerveuses
comme, par exemple, l'hémiplégie, nous devons a
légie, nous devons admettre que sur cent Juifs atteints de maladies
nerveuses
et ayant eu auparavant la syphilis, il se trouv
son journal 2,403 malades (1,364 hommes et 1,039 . 204 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. femmes). Dans ce nombre il y a 347 Juifs (159
rès avec une fréquence égale chez les malades atteints d'affections
nerveuses
(sur le même nombre de malades, soixante cas in
Examinons cependant les données que nous a obli- 200 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. geamment fournies M. le D'' Korsakoff. Pendant
y voyons en effet que : 1). Parmi les malades atteints d'affections
nerveuses
, le tabes et la paralysie se rencontrent aussi
-à-dire dans 60 à 70 p. 100 des cas. (-1 sccivre.) 208 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LA SURDITÉ ET LA CÉCITÉ VERBALE; Par le D, F
roduit, voilà Y audition Archives, t. XVII. 14 il 1210 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. proprement dite ; 2° par l'habitude que nous a
e Storungen der S proche, p. 177. ? 7tt/,avn))878, 2 ! 4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. auditives des mots ; mais à côté de cette affe
isuel, c'est une hémiopie. Par la partie du champ de 210 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la vision qui reste intacte, le malade continu
rcot. Maladies du syslème uercetta·, 1. 111., p. 15. 218 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le diagnostic de cette affection peut, parfois
d'entre eux restèrent en observation pendant plu-. 220 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sieurs mois, et il n'y eut jamais aucun doute
t Idnds o/'J/tHst Bulish Médical Journal, oct. 1887. 222 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gistes détruisirent, chez un singe, le pli cou
7. 3 Revue de Médecine, lévrier 1888, p. 132. 22'l Il PATHOLOGIE
NERVEUSE
. topsie on trouvait des lésions profondes des d
plicables à l'homme. ' Charcot. Levons sur les Maladies dtt systéme
nerveux
, t. III, 1). 1 il. l. SURDITÉ VERBALE. 212, B
lus considérables et plus soignées. Norwich, avril 1888. CLINIQUE
NERVEUSE
RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
° 18. p. 246; u" 49, p. 22. ARCHIVES, t. XVII. 15 226 6. CLINIQUE
NERVEUSE
. ques minutes, quelques heures, ou quelques jou
etits pas à l'aide de deux appuis. A 10 heures, possi- 228 CLINIQUE
NERVEUSE
. bilité de marcher à l'aide d'un seul appui. A
sement interrogé l'hérédité, sans avoir pu trouver aucun antécédent
nerveux
dans sa famille. Les antécédents personnels n'o
, même séjour et même décompression brusque. Il se 230 ' " CLINIQUE
NERVEUSE
. fait remonter et immédiatement après la décomp
ersion, profondeur de 32 brasses, séjour de quatre mi- 232 CLINIQUE
NERVEUSE
. nutes, décompression brusque. Immédiatement ap
u trouble du langage, qui consistait dans l'impossibi- 234 CLINIQUE
NERVEUSE
. lité de parler, tandis qu'il comprenait parfai
te ans. Sa mère est morte d'un cancer à la matrice; pas de maladies
nerveuses
dans sa famille, pas d'antécédents personnels ,
ille, pas d'antécédents personnels , il aurait eu dans 336 CLINIQUE
NERVEUSE
. son enfance la coqueluche. Il a commencé son t
ca). Par contre, chez l'homme de t'OBSERVA'noN XXXV, 238 CLINIQUE
NERVEUSE
. la facultas signatrix de Kant n'a été altérée
ée totale chez le premier a été d'une demi-heure ; I)l 110 CLINIQUE
NERVEUSE
. et le deuxième de quatre semaines. En voici le
tous nos malades, l'invasion Archives, t. XVII. 16 .242 CLINIQUE
NERVEUSE
. a été brusque ; 2° les troubles oculaires ont
t continu qu'il compare au murmure d'un vent léger. '244 CLINIQUE
NERVEUSE
. Au bout de deux heures environ, il' a commence
était excessive. Les malades n'entendaient rien, pas, 246 CLINIQUE
NERVEUSE
. même les bruits les plus forts. Voici un autre
érédité soigneusement interrogée n'a pas'montré le moindre accident
nerveux
dans la famille. Les-antécédents personnels n'o
ait pas ce qu'il a. On se met à le déshabiller pour le 248 CLINIQUE
NERVEUSE
. frictionner. On n'avait pas encore enlevé tous
e douleurs lancinantes, qui siégeaient aux différentes 2S0 CLINIQUE
NERVEUSE
. régions du côté paralysé. Cette scène morbide
heure, au bout de laquelle elle a disparu tout à fait. 252 CLINIQUE
NERVEUSE
. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. b). Paralsie de
que les causes psychiques sont les seuls modificateurs du sys- tème
nerveux
en cause. La physiologie générale nous démontre
rimer un membre avec une bande élastique, de presser sur un tronc
nerveux
, pour voir la contracture se développer. Si ce ph
compression d'un membre par une bande élastique ou celle d'un tronc
nerveux
peut-elle éveiller l'idée d'une contracture ? D
on, nous rappellerions encore le phénomène de l'hyper- excitabilité
nerveuse
, qui, lorsqu'on se place dans les condi- tions
notre tentative plus d'une heure chaque fois. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 2G(J Ces arguments suffisent, d'après nous, à
t de fait à la'grande famille névropathique'. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
RÉSUMÉ DES PRINCIPAUX TRAVAUX RUSSES, CONCERN
ion publique, le 1" nov. 1888 sur l'EtieÉle des maladies du système
nerveux
en Russie. 0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Ce
le des maladies du système nerveux en Russie. 0 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Cette seconde partie, aussi condensée que poss
dans deux chapitres à part, je classe : 1° les maladies du système
nerveux
d'origine toxique; 2° les névroses. Enfin je te
t la même structure dans la série animale. Pour REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 271 chacune d'elles cette structure est caract
colorant des préparations par la safranine. 272 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Suivant cet auteur ce corps n'est, pas localis
le croyaient Adamkiewiz et Babès; il est disséminé dans les centres
nerveux
et n'a aucun rapport avec les fonctions.- A l'é
parois des vaisseaux ont subi la dégénérescence REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 273 graisseuse. Jamais Bcliakoff n'a trouvé de
ce n'est qu'en dernier lieu que le noyau change déforme. Les fibres
nerveuses
subissent une dégénérescence graisseuse analo-
celles des autres Archives, t. XVII. iS 274 'REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. régions. Les ganglions intervertébraux ne sont
tion est-elle une conception qui s'impose aujourd'hui en pathologie
nerveuse
. Les travaux suivants, do M. Bechterew,' montre
urdach du même côté; 30 fibres sortant du novau REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 215 du faisceau latéral du même côté; 10 fibre
atisation du processus patho- logique, dans les maladies du système
nerveux
, nous citerons les faits suivants, publiés en l
res fibres est à peu près inconnue. Suivant 276 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Popoff, cette commissure sert principalement d
serait donc poliencùphalile subaiguë localisée. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 277 Maladies diffuses. Angio-sarcome diffus de
ortelle. A l'autopsie, on ne trouva pas de malformation des centres
nerveux
; la tumeur communi- quait avec la cavité crânie
de la face siège dans les couches optiques. 278 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. II. MOELLE E1'INII'iRE. Comme méthode d'étud
ues-unes de ces fibres prennent part à la cons- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 279 titution des cordons de Goll; 3° enfin les
aison de leurs connexions avec le cervelet. 280 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La plupart de ces recherches ont été répétées
maux nouveau-nés. L'excitabilité des différentes parties du système
nerveux
n'apparaît qu'à l'époque où les fibres du systè
rait au bout de quelques semaines; la regénéra- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 281 1 tion ne s'effectuant pas, il faut donc a
denberg a publié l'observation suivante : 282 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Un jeune soldat de vingt-deux ans, fort et bie
al, p. 135, n° 3, 1889. (Note de la rédaction.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 283 augmente l'excitation d'un muscle en agiss
ersà, le muscle se repose de l'une ou l'autre fatigue. Terminaisons
nerveuses
périphériques. M. Mitrofanoff a étudié par la m
étudié par la méthode embryogénique la nature des terminai- sons
nerveuses
. A une certaine époque, les terminaisons des ne
que du cylindre-axe embryonnaire. Dans les glandes les terminaisons
nerveuses
ont une grande ressem- blance avec la forme sim
base anatomique de l'hypothèse de Hensen. 284 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Je me bornerai à citer les quelques travaux su
. Cette image est reçue sur une bande de papier REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 283 sensibilisée à travers une fente verticale
s les carotides. Mais si l'on sectionne les 286 REVUE DE pathologie
nerveuse
. deux sympathiques ou cou, la dilatation réflex
uis elles se rendent au ganglion de Gaxer, et' 'REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 287 sortent avec le trijumeau. La section du t
ale. Dans la couche granuleuse externe se trouvent des éléments non
nerveux
. La différenciation se faitde' la papille vers
sixième sens chez les amphibies. Ces orga- nes, appelés tubercules
nerveux
, découvert par Schultze et décrits par Leydig,
ent à une certaine époque. Il est certain que la plupart des troncs
nerveux
qui s'y rendent provien- nent d'un noyau bulbai
d interne s'élève (flexion dorsale du pied 1288 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. oblique en dedans); en certains cas, il se pro
e la moelle et du cerveau, l'excitabilité modifiable des expansions
nerveuses
à la périphérie de la peau, la prolongation mêm
UESTION DE L'ORIGINE DU NERF AUDITIF ET A L'nt- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 289 PORTANCE PHYSIOLOGIQUE DU NERF VESTIBULAIR
condenser le mé- moire de M. Bechterew. Du développement du système
nerveux
chez des foetus humains, il est arrivé à établi
iens (opérations), les physiologistes (extirpa- Revue de pathologie
nerveuse
. »'1 1 lions), et les médecins (myxoedème), le
aire, mort. L'auteur insiste sur l'origine 2'J2 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. congèniaie (12 ans); au début minime, elle s'a
d'une partie centrifuge (système pyramidal) et REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 293 d'une partie centripète (ruban de Reil) ;
ou moins prolongés, mais ayant bientôt 2 ! I4 i REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
, laissé chaque jour au patient un répit de troi
ce qu'on semble accorder à ses recherches sur l'anatomie du système
nerveux
et fait à cette occasion passer sous les yeux d
ujours été un peu original, avait quelques antécédents héréditaires
nerveux
. M. MARANDON DE Momtiiyel voit dans cette obser
du corps cal- leux. Idem ». M. Tuczek (de Marbourg). Des troubles
nerveux
dans la pellagre (avec démonstration). Etudes [
téré par une prolifération endothéliale de l'épendyme; des cellules
nerveuses
, surtout celles des cornes antérieures, très pi
l'ergotisme, l'alcoolisme et les autres intoxications les troubles
nerveux
du maïdismeoude tapsyehoné- vrose maïdique ne s
n'y rencontre pas des micro- organismes, notamment dans les centres
nerveux
? Est-ce que cette' maladie, qui vient d'appara
stations cérébrales du rhume de cerveau, surtout chez les personnes
nerveuses
. L'orateur com- munique une observation de psyc
la nutrition attribuables à ces causes qui ont affaibli le système
nerveux
. Ce sont des troubles gastriques, de l'atonie du
de l'énergie du coeur et stases qui se surajoutent en plein système
nerveux
central). Sortir le malade de chez lui, lui donne
des formes psychopathiques, la folie étant la maladie d'un système
nerveux
fatigué, en état de faiblesse irritable, de langu
s individus dégénérés prédisposés par l'héré- dité à une excitation
nerveuse
considérable. (The Alienist aii-d Neti,ologist,
l'alcoolisme des parents peut encore développer d'autres affections
nerveuses
, soit des névroses (hystérie, épilepsie), soit
rveuses, soit des névroses (hystérie, épilepsie), soit des maladies
nerveuses
organiques, et surtout la paralysie générale so
érations ont leur origine et leur siège principal dans les éléments
nerveux
, et non dans le tissu conjonctif, comme le pens
s par les couvents, assurent les Archives ita- liennes des maladies
nerveuses
(n° 5 et 6, 1888). Nous apprenons, disent-ils,
tes de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système
nerveux
. Les temps sont revenus où, pour ne parler que
complète sur les deux hémisphères, et qu'il ne reste aucun élément
nerveux
homonyme susceptible de le suppléer. Mais c'est
énomènes de déficit vont s'atténuant par la suppléance des éléments
nerveux
homonymes de l'écorce; une troisième, où les ph
atif, beaucoup plus étendu, rayonne au loin, constitué d'éléments
nerveux
de même nature, mais en propor- tion progressiv
aits; ils possèdent une méthode, et ne se font point 362 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'illusion sur la part d'erreur et de vérité d
re et la portée des solutions pos- sibles. (A suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES'
j'exclus un cas très douteux de tabes, il y aura en 364 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tout 3 cas de tabès, soit 4 p. 400. De même po
u un seul de ces tabes sur plus de 300 Juifs atteints de maladies
nerveuses
; quanta la paralysie, nous jugeons d'après les
off, com- bien de malades, Russes ou Juifs, atteints d'affections
nerveuses
, avaient élé anciennement infectés de la syphil
appés de tabes que je connais, 7 avaient eu pour sûr 366 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. là syphilis, ce qui donne plus de 87 p. 100 et
arfaite santé, est en réalité fils de parents atteints d'affections
nerveuses
et proche parent d'hystériques, ÉTUDE DE l'ÉTIO
oignés par moi à l'hôpital (Compte rendu de la section des maladies
nerveuses
, hôpital de la Yansa, pour 1887). Il est indu
e. Tous les médecins ont vu de ces cas dans lesquels des affections
nerveuses
anatomiques, la myélite, par exemple, ont été s
l voulait à tout prix le cacher, parce qu'il n'était 363 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. marié que depuis quelques semaines et qu'il cr
la statistique du tabes chez la race la plus sujette aux maladies
nerveuses
, mais par contre, la moins sujette à la syphili
paralysie pi'agressive n'est pas une tendance innée aux affections
nerveuses
et mentales, mais la syphilis. Quant à l'influe
l'avis qu'il est possible de regarder le tabes comme une affection
nerveuse
post-sypliili tique, analogue aux paralysies et
emarque qu'il titubait souvent ; puis, il commença à 372 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tomber dans l'obscurité. En octobre, il tomba
a le 20 octobre 1886, à l'hôpital de la Jansa, section des maladies
nerveuses
, à Moscou ; il s'y trouve encore actuellement.
t;')i< ? se)'e)/omt ? «;«) ! HO<')'Kei<. Examen du système
nerveux
. L'état psychique et la parole du malade sont p
jambe gauche est privé de sensibilité, dans les ré- 374 PATHOLOGIE
NERVEUSE
, gions du nerf cutaneus lateralis a la hanche e
os et tout le ventre sont constamment insensibles. 376 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les résultats généraux de ces examens répétés
ctère paludéen cédant rapidement à la quinine. Du côté du système
nerveux
, nous trouvons dans les mouvements une ataxie v
le est donc l'étiolo-ie de cet inté- ressant assemblage de troubles
nerveux
que nous retrouvons chez notre malade ? Nous
malade ? Nous ne pouvons admettre comme cause de ces phé- nomènes
nerveux
ni l'hérédité, ni l'action particulière du froi
oire. C'est pourquoi nous devons bon gré mal gré attribuer son état
nerveux
aux causes qui ont amené une déchéance si rapid
intermittentes et des paralysies semblables qui sont 380 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la suite de la fièvre intermittente (voir Herz
baser pour voir dans la fièvre intermittente la cause des troubles
nerveux
que nous avons relevés dans notre malade. Mais,
, à notre avis, a. une importance capitale c'est que 382 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. chez notre malade le commencement des symptôme
HOLOGIE NERVEUSE. chez notre malade le commencement des symptômes
nerveux
a été remarqué beaucoup plus tôt que l'appa- ri
le cas donné la fièvre intermittente comme la cause des affections
nerveuses
que nous avons relevées ; et il ne nous reste q
'un phénomène qui est surtout si connu spécialement par les lésions
nerveuses
qui l'accompagnent, il est difficile de ne pas
riles ont sans aucun doute contribué à l'aggravation des phénomènes
nerveux
; presque après chaque accès, on remarquait ou que
veux; presque après chaque accès, on remarquait ou quelque symptôme
nerveux
(par exemple : la sensation de ceinture), ou l'ag
,. 383 a saturnine qui a été la cause fondamentale des affections
nerveuses
apparues plus tard. Mais qu'est au fond cet ens
pparues plus tard. Mais qu'est au fond cet ensemble des symptômes
nerveux
que nous avons observés chez notre malade ? Il
s lesquels n'existent pas les symptômes oculaires. 384 pathologie
nerveuse
. Nous reproduirons comme exemple les paroles de
s contraires, etc. » M. Eulenburg, dans son manuel des affections
nerveuses
dit que dans un tiers de ses sujets il n'a pas
non pas ' Real-Encyclopedic, t. XIII, p. 385. : Maladies du système
nerveux
, 1879, t. 1, p. 232 cl 233. a 1`" GClilÎpil, 17
es pseudo-labes, 1885; Lille. .lucmna, t. 1\ IL 2j 386 pathologie
nerveuse
. signes qui distinguent la pseudo-tabes du tabe
ipations, coliques, liséré aux gencives, ont disparu, les symptômes
nerveux
ont progressé devant nos yeux et il ne se produ
nes parétiques et une douleur lors de la pression des grands troncs
nerveux
: aucun de ces phénomènes ne se retrouve chez n
, 1886, p. 38. ' .9nch. f. Psch. Bi. \lll, n^ 1. 388 8 pathologie
nerveuse
. vait des altérations très caractéristiques des
ns ce dernier une prédisposition singulière - de. graves affections
nerveuses
qui portent en elles des signes caractéristique
imples étaient sentis presque partout par le malade. 390 pathologie
nerveuse
. Un fait qui est très intéressant, c'est que le
ications de l'organisme se manifestent en géné- ral dans le système
nerveux
soit par une lésion des nerfs périphériques, so
s de la moelle épinière; elles semblent être une place du système
nerveux
central tout particulièrement prédis- posée à s
dent avec une telle rapidité, elles sont si mobiles et 394 CLINIQUE
NERVEUSE
. si incohérentes qu'il est difficile de les sui
s le moindre amendement, mais au bout de ce Leiii : )s 398 CLINIQUE
NERVEUSE
. la titubation se dissipe complètement. La sens
érieure, au sur et à mesure que l'affection progresse, 400 CLINIQUE
NERVEUSE
. que nous voyons les paroxysmes établir par leu
re origine, si elle n'est pas Ancuiviis, t. XVII. 26 4(M CLINIQUE
NERVEUSE
. enrayée dans sa marche par les médications de
symptômes céphaliques ne sont plus fugitifs, mais 404 - - CLINIQUE
NERVEUSE
. bien permanents, ils ne durent plus des minute
hérédi- taires n'offrent rien d'important, il n'y a pas d'accidents
nerveux
dans la famille. Comme accidents personnels, ce
vec rage ses membres, il aboyait et se jetait sur ceux 406 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' qui l'entouraient pour les mordre, ce qu'il
- fisant au développement des symptômes spastiques,' 408 CLINIQUE
NERVEUSE
. sont spasmodiques ». La marche de la paraplégi
sont provoqués par la localisation de l'agent pathogène au système
nerveux
. Cet agent peut très bien se localiser en dehor
nerveux. Cet agent peut très bien se localiser en dehors du système
nerveux
, à un autre tissu ou organe et nous avons alors
ité des cas, ne dépasse pas les vingt-quatre heures. 11.10 CLINIQUE
NERVEUSE
. Cet accident est si bien connu que nous croyon
a sclérotique. Il n'y avait aucune trace de paralysie. 412 CLINIQUE
NERVEUSE
. Si on le pinçait, on le frottait, on le toucha
descendu tout d'abord à une profondeur de dix brasses, 414 CLINIQUE
NERVEUSE
. pour arriver graduellement à des profondeurs p
utes après l'enlèvement du casque, il a été atteint 41(5 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. d'une brûlure dans les yeux qu'il frottait for
la manière de procéder pour toutes les maladies surtout du système
nerveux
. Nous tâ- chons avant tout de connaître quoi ?
es quatre membres. 11 ne pouvait bouger que la tête. 420 0 CLINIQUE
NERVEUSE
. Pas d'autres symptômes. Au bout de deux heures
ondeur, dix minutes de séjour au fond et décompression 132 CLINIQUE
NERVEUSE
. brusque. Accident cérébral complexe (pote de c
1883. Rien. Guérison com- plète et définitive. li ^2 't CLINIQUE
NERVEUSE
. Ce scaphandrier, comme on l'a remarqué, a eu a
ive à Calymnos où le voit le Loc. cit. Loe. cit. 't-26 CLINIQUE
NERVEUSE
. Dr Pélicanos. A ce moment il est complètement
jusqu'aux cuisses. Je lui ordonnai le traitement ordi- 428 CLINIQUE
NERVEUSE
. naire, l'application des ventouses scarifiées,
rois plongeurs à scaphandre sont morts subitement en 430 CLINIQUE
NERVEUSE
. quittant le travail sous-marin. Pas d'observat
ait à ses compagnons si ses yeux étaient ' Loc. cil. 4,3 CLINIQUE
NERVEUSE
. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. rouges; pendant
pparaître par le fait d'une alimentation in- «- complète et un état
nerveux
toujours en émoi, toujours en éréthisme. Enfi
ent de rémission, la dénutrition par refus de manger et l'éréthisme
nerveux
ontpour couronnement de leur effort incessant u
s musculaires avec les incitations internes est détruite ; l'influx
nerveux
s'est altéré par dénutrition ; le sens musculai
vitale, et cela au point qu'ils sont incapables d'élaborer l'influx
nerveux
nécessaire à toute manifestation énergique ; qu
se résout en extériorisation avortée ; 3° la décadence des centres
nerveux
périphériques en rapports direct avec les centr
sympathique semble plus respecté que les autres parties du système
nerveux
puisque, sous l'influence de l'électricité, la
TIQUE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME "
NERVEUX
Professeur : CHARCOT Compte rendu du service
.homme. Dans 9 cas, l'hystérie était associée à une autre affection
nerveuse
, déterminant des troubles visuels propres. L'ex
STIQUE. SERVICE OPHTHALT101,OGIQUE. 439 1161) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. il. Charcot. Le malade habitué surtout à lire
s la dépendance de fibres trophiques spéciales. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XX. RÉSUMÉ DES PRINCIPAUX TRAVAUX RUSSES, CON
de l'hôpital Saint-Antoine. V. DES LÉSIONS PATHOLOGIQUES DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL' DANS. LES TROUBLES DE LA NUTRITION.
1 Voy. Archives de Neurologie, n°51, p. 269. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1 occupé des altérations des éléments nerveux
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1 occupé des altérations des éléments
nerveux
sous l'influence des intoxications, d'autant pl
ières années, des travaux importants sur les altérations du système
nerveux
central et périphérique produites par les intox
(plomb, arsenic, mercure, pui- sons végétaux, inanition) le système
nerveux
présente tou- jours les mêmes lésions : l'atrop
es individus qui n'avaient succombé ni à une maladie du sys- tème
nerveux
, ni à une intoxication. Mais M. Pekoeur, en Rus
la valeur pathologique de la vacuo- lisation. Lésions du système
nerveux
central produites par les dé- charges d'électri
ces. Dans une première série, la décharge portait sur les centres
nerveux
mis à nu; l'animal était tué par la décharge et o
l'écorce étaient opaques; granuleuses. Dans 462 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la substance blanche, l'exsudat avait l'aspect
mentation de la myéline. Influence de l'layperémie sur le système
nerveux
central. Des études ont été faites sur ce sujet
mène les lésions décrites. Influence de la nicotine sur les centres
nerveux
. M. Tchcr- bach a montré qu'une injection de ni
mes, et ils se sont entourés de toutes les pré- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. -463 cautions pour éviter les causes d'erreur.
le sujet continue à fumer. Influence de V antipyrine sur le système
nerveux
. Le D'' Blumenau. montré, en employant la métho
plus complets sur ce sujet. Le substratum t(il 'REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. alcoolique constant est la névrite parenchymat
affection indique un trouble profond dans la nutrition des éléments
nerveux
. Altérations du système nerveux central dans le
fond dans la nutrition des éléments nerveux. Altérations du système
nerveux
central dans les maladies infectieuses. Ces mod
soit de la présence des agents organiques' pathogènes dans le tissu
nerveux
lui-même. il. Rosenthal a montré que dans la sé
cellule prouve la division possible des éléments nobles du système
nerveux
central. Dans le bulbe et dans la moelle, les l
tion de Mi Roudoff, un malade, à la suite d'une REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 163 fièvre typhoïde, présenta des douleurs le
ques dans la lèpre. Aucuives, t. XVII. 3U 16b REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - Le D'' Soudakevitch observé que dans la Icpr
Soudakevitch observé que dans la Icpro les cap- sules des cellules
nerveuses
des ganglions sont épaissies; leur endothélium
endothélium desquame, prolifère et remplit la capsule. Les cellules
nerveuses
contiennent des bacilles, leur pro- toplasma de
hypéresthésie cutanée ; dou- leurs à la pression le long des troncs
nerveux
; réllexes cutanés et tendineux abolis, ainsi q
itielle -au contraire ne peut pas se localiser. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 467 Un cas de paralysie ascendante aiguë ( ? )
a compres- sion par des ganglions tuméfiés. . Lésions du système,
nerveux
sympathique dans la paralysie générale. -L'exam
sseaux, une prolifération du tissu con- - 468 8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. jonctif périvasculaire interstitiel des gangli
acuolisation, mais jamais la dégénérescence graisseuse des éléments
nerveux
. Dans les autres formes de l'aliénation mentale
résulte que les troubles trophiques sous la dépendance du système
nerveux
sympathique, ne diffèrent pas de ceux des autres
s soins que réclame l'état de ces malades. Altérations du système
nerveux
consécutives à l'ablation de la glande thyroïde
Influence de l'extirpation de la glande thyroïde sur le sys- tème
nerveux
central. L'excitabilité de l'écorce augmente d'
après les recherches de M. Avtokratoff, ZD Modifications du système
nerveux
central dans le vernissage REVUE DE PATHOLOGIE
s du système nerveux central dans le vernissage REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 469 de la peau. Les recherches de M. Anfimoff
st due à une action périphérique continue, agissant sur les centres
nerveux
. Les lésions observées sont strictement limité
la suite de différentes causes débilitantes agissant sur le système
nerveux
dans les intoxications par Danillo, Popoff, Tch
animaux auxquels il avait enlevé diffé- rentes^ parties du système
nerveux
central, à l'hypnotisme .d'animaux non mutilés.
répondent pas à l'excitation électrique. 470 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La grenouille hypnotisée, mise dans une atmosp
l'inutilité de leurs mouvements. Action de l'aimant sur le système
nerveux
. Le D'' Blume- nau n'a obtenu que des résultats
ns fondamentales. Rien d'anormal au microscope, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 471 sauf que les cellules pyramidales paraissa
tion. Le premier, il a fait conaitre l'atrophie simple des cellules
nerveuses
. Dans le même laboratoire, nous avons examiné l
ations de M. Avtokratoff, concernant les altérations des cel- lules
nerveuses
chez les animaux privés de leur glande thy- roï
ations de M. Ro- zowitch l'exactitude de sa description des lésions
nerveuses
chez les animaux privés de la glande thyroïde,
se en plaques, qui occupaient les deux cor- 475 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dons latéraux, au niveau de l'entre-croisement
striation du cylindre-axe des nerfs périphériques et des cordons
nerveux
centraux. Tous les nerfs présentent cette striati
n outre, ils viennent tous à l'appui de cette idée que les maladies
nerveuses
sont les mêmes dans tous les pays. Le 'manque d
orsque nous l'avons vu, il y était pour la qua- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 473 3 trième fois et son état était des plus g
pital municipal d'Odessa, nous avons visité la section des maladies
nerveuses
, placée sous la direction de M. Moc- xoutkowsky
l se trouvait un vieux soldat Israélite 474 ! k REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. atteint de grande hystérie. Il présentait de l
de la face. BIBLIOGRAPHIE. Anfimoff. - Des altérations du système
nerveux
central des ani- maux dans le vernissage de la
Det'iniluence de l'extirpation de la glande thyroïde sur le syslème
nerveux
. Le Médecin, n° 47, 1887. Biachkoff. Deux cas d
n. de Alier- iiew6ky, 411 an., fasc. I, 1866. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 47S 5 Bechtérew. De l'excitabilité des diflére
ersbourg, 1886. Blumenau. De l'influence de l'aimant sur le système
nerveux
central. Jouru. de 3liei : iiewsk-y, 0e an., fa
e an., fasc. 1, 1888. De l'influence de l'antipyrine sur le système
nerveux
. Journ. de Mierjiewsky, 5° an., fasc. Il, 1888.
ueil physio- logique, etc. Karkoff, 1888. 476 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Daniiewsky. Du rapport entre la fonction du ce
émence ' ' séniie.LeiVedec ! ') ! ,n''2,t88G. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 477 7 1(lousne[zoff. Des altérations du systèm
ATHOLOGIE NERVEUSE. 477 7 1(lousne[zoff. Des altérations du système
nerveux
central dans l'hypérémie expérimentale. Thèse i
ersité de Varsovie, nos 1, 2, 3, 1888. Delà nature des terminaisons
nerveuses
périphériques. Nouvelles de l'Université de Var
lysie générale.- Revue de Médecine, 1886. 478 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Popoff. Des lésions de la moelle épinière dans
ale, Saint-Pétersbourg, 1887. Rosenthal. Des altérations du système
nerveux
central dans les maladies infectieuses. Thèse i
s. Le Médecin, nu 43, 1886. De l'influence du tabac sur les centres
nerveux
. Le Jléde- ctzz, nO5 5, G, 7, 8 et 9, 1887. T
it souvent de la bouche : la croissance fut 480 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. entravée. A l'âge de deux ans, Elisa X... subi
principales dimensions prises sur le vivant : REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 481 même aux lieux de prédilection (aisselles,
sions des différentes parties des membres : 482 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Elisa 1 ? a présenté un écoulement vaginal san
cérébraux, d'autre part sur son pouvoir d'arrêt sur les extrémités
nerveuses
surexcitées. Les malades de M. Saury faisaient us
8 septembre t888. M. le D'' PHILIIIC. Knapp (de Boston). Affections
nerveuses
consé- cutives ci un traumatisme. Le trauma peu
t de peu de valeur, attendu que l'hystérie peut simuler les malades
nerveuses
les plus complexes, soit par suggestion extérie
hington). Rapport entre les maladies des reins et celles du système
nerveux
. (Urémie.) M. le D'' C.-L. (de New-York). Local
; traduit par P.-J. Kovalevsky, professeur des maladies mentales et
nerveuses
à l'Université de Kharkoff, 1888, traduit par W
est un état particulier de l'organisme ou de la totalité du système
nerveux
qui survient quand l'individu ressent dans tout
s dans BIBLIOGRAPHIE. 193 l'évolution de l'ivrognerie, la période
nerveuse
ou prémonitoire et la deuxième celle de la dyps
s de la neurasthénie (défaut d'équilibre et irritabilité du système
nerveux
, affaiblissement des centres supérieurs de l'en
M. Ribot admet que le réflexe est le type unique de toute action
nerveuse
, de toute vie de relation. Chez le nouveau-né le
té psychologique sans mouvement moléculaire corrélatif des éléments
nerveux
. 11 tire ses arguments d'un judicieux usage, d'
1° Que la face psychique se trouve avec le mouvement moléculaire
nerveux
dans une corrélation telle qu'elle doit son exist
; c, de l'état dans lequel se trouvent, à ce moment-là les centres
nerveux
de cet individu. Dans une dernière partie, M. H
Liée exclusivement à la désintégration fonctionnelle des éléments
nerveux
centraux, la conscience possède une intensité en
ourant des toutes dernières recherches. P. KERAVAL. XVI. Affections
nerveuses
consécutives à un traumatisme (commotion spinal
dégénératifs typiques. Fréquemment, ils sont les causes de troubles
nerveux
tels que l'hystérie, la neurasthénie, les psych
des - au Sénat), 134, 314. Antipyrine (influence sur le système
nerveux
), 463. Aphasie et cécité psychique, par Freun
labius, 290. Bibliographie (sémeiologie des ma- ladies du système
nerveux
), par Moebius, 151 ; mort par la déca- pitati
app, 498 ; psychologie physiologique, par Sergi, 498 ; Affections
nerveuses
consécutives au traumatisme, par Knapp, 499.
', par Bourneville, 90 : nouveau cas, par Cousot, 479. Cellules
nerveuses
(altérations pro- gressives des dans les inflam
tale, par Lieb, 314. Electricité statique (Lésions du sys- tème
nerveux
produites par l'), 461. Empoisonnement par l'
général, par Camuset, 296. Ilypérémie (influence sur le système
nerveux
central), 462. Hypnotisme (grand et petit), par
les idées), par Will, 112. Infectieuses (altérations du système
nerveux
dans les maladies), 464 ; altérations du neri v
ez les), par Struempell, 287. Nicotine (influence sur les centres
nerveux
), 462. Ophthalmologique (compte rendu statist
par Rosenbach, 291. Paralysie infantile (altérations des centres
nerveux
dans un cas de), par Wallenberg, 110. Paralys
veux central dans le vernissage de la), 468. Pellagre (troubles
nerveux
dansla), par Tuielizek, 299. Physionomie (méc
e de), par Ber- nhardt, 292. ' Thyroïde (altérations du système
nerveux
consécutives à l'ablation de la glande), 468.
CHAULES uo,mssrv. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION Uh : K
6 Vol XII. Juillet 1886. N" 34. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
DE L'ATROPHIÉ MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES
médical, an- née 1886, no 6. - Archives, t. XII. 1 , , CLINIQUE
NERVEUSE
. bles trophiques dans l'hystérie semble constit
e ; il revient du Tonkin affaibli, mais sans éprouver aucun trouble
nerveux
, sinon des maux de tête assez fréquents. Il tom
el. Rien de particu- lier à signaler au point de vue des affections
nerveuses
. - Côté maternel. De ce côté, tous ses parents
e - cela se passe en 188>. Il reste un an en Afrique. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. A la fin de 1883, on l'envoie au Tonkin. Au' b
rps ; les doigts, sont dans -, l'extension et ils pré,- si CLINIQUE
NERVEUSE
. sentent un peu de raideur. - Le membre supérie
rière ; nous le remercions vivement de son obligeance. 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE NERVEU
nce. 8 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE
NERVEUSE
. mord son bras; la jambe droite est fléchie sur
temps aux doigts et à la main du côté opposé les mêmes 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. mouvements; au bout de quelques instants, quel
au au bout d'une heure ; mais la motilité persiste. 1 14 CLINIQUE
NERVEUSE
. 25 avril. -Depuis plus d'un mois la motilitépe
t déjà tout à fait en rapport avec l'idée d'hystérie. 16 CLINIQUE
NERVEUSE
. Nous venons de supposer que les crises dont no
sumée).- Homme âgé de trente-quatre ans. - Antécédents héréditaires
nerveux
. - Convulsions dans l'enfance. - A l'âge de dix
ATROPHIE MUSCULAIRE. 19 .gauche qui aurait duré deux ans. Mère très
nerveuse
, impres- sionnable ; elle est hémiplégique du c
ce ne présente pas de troubles de la motilité. ,Le côté 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. gauche est plus grêle que le droit ; on note e
e flageller le malade. Les flagellations sont faites par 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le CLINIQUE
2 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le CLINIQUE
NERVEUSE
. M. Gautiez sur la région pariétale droite; apr
reconnaître pour cause quelque modifica- tion dynamique des centres
nerveux
, et, eu rapprochant cette donnée de ce que le m
intensité, elle s'est atténuée à son tour. (A suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
DU TABES COMBINÉ (A'l'A\0-51 ? SIOUIQUI ? ), ou
isceaux de Bur- ' Voy. t. XI, p. 156 et 380.. ". .. 28 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dach). Je ne crois pas qu'il y ait d'objection
une myélite systématisée ou d'une myélite diffuse ? 30 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. · Pour les Allemands, Westphal et surtout Kahl
lésion systématique; chez les autres, par une lésion 32 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. diffuse; chez d'autres encore, par une double
ui résume cette question : dans Archives, t. XLI. 3 34 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. les lésions combinées des cordons postérieurs
dorsal spasmodique; mais sur ce point je m'écarte de 36 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sa manière de voir et me range plutôt à celle
après les travaux de Dejerine, que ce sont des maladies du système
nerveux
tout entier. La considération des réflexes rotu
ssent raisonnablement simuler toutes les autres lésions des centres
nerveux
. Je n'hésite pas à dire que bien souvent la dis
i, dans beaucoup de cas, permettront un diagnostic. 38 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les lésions de la sclérose en plaques ne prése
l'acte morbide anatomique (lésion de la moelle) : ré- 40 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vulsifs de tout genre, vésicatoires, pointes d
extrêmement utile dans beaucoup de maladies chro- niques du système
nerveux
. On prescrira les deux médicaments, par exemple
ies de la moelle, qui mérite une place à part dans 42 -) PATHOLOGIE
NERVEUSE
. les cadres de la neuropathologie et que je pro
de spéciales; ce qui prouve que la connais- sance de cette maladie
nerveuse
particulière est im- portante, non seulement au
r Babinski et Charrin. 1 Voy. le t. XI, p. 362. - 44 4 pathologie
NERVEUSE
. supposition d'une exagération de la fonction r
ué, ainsi Brown-Séquard, Heidenhain, etc. La physiologie du système
nerveux
nous enseigne que se sont surtout les irritants
is que pour les irritants continus la suscepti- bilité des éléments
nerveux
se perd successivement. Cette fatigue, qu'on ép
e, pour une influence de force constante, l'irritabilité du système
nerveux
diminue successive- ment. Puisque toute fonctio
heures, autant de fois que j'ai fait l'expérience. i si pathologie
NERVEUSE
. peut arriver que, de cet état, il s'éveillera
beaucoup plus grande impression que les anciennes, is PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ou bien la faculté de comparaison manque-le pr
i à la même cause les symptômes Archives, t. XII. 4 50 Pathologie
nerveuse
. moteurs et les symptômes soi-disant psychiques
esl, I rat(. 7eüschri/'t. 980, 11, 4. ' r . ? 1 ! , : i2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et l'hémi-catalepsie des deux côtés était acco
ar sug- gestion. (Congrès de Grenoble, 1885.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
t. MYÉLITE SUBAIGUE DES CORNES antérieures. - P
appréciable des crises d'épilepsie. G. D. 58 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. V. Myélite chronique diffuse ; par le Dr Raymo
ait le sujet de cette observation ne rentre pas REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 59 dans le cadre des hémichorées symptomatique
ésigne sous le nom d'herpétisme, et auquel il rattache des troubles
nerveux
multiples. l'arthrite déformante, les varices d
e mémoire et les planche*.) Intégrité des autres parties du système
nerveux
, mais le pédoncule céré- bral droit et la moiti
ntrôle « des centres supérieurs (centres d'inhibition), les groupes
nerveux
« qui servent au langage aient pris une activit
habituelle- ment concomitante de la chorée; de plus si les émotions
nerveuses
sont capables de déterminer l'apparition des ph
qu'il aurait révélé de profondes altérations des éléments du tissu
nerveux
. L'observation du malade et l'autopsie sont rel
traitement périphérique dans les allections cen- trales du système
nerveux
. 1 le traitement périphérique symp- tomatique n
éflexe de l'agent électrique sur les vaisseaux sanguins des centres
nerveux
(faradisation selon la méthode de Rumpf '); la
it être faite en faveur des divers troubles fonctionnels du système
nerveux
cen- tral (neurasthénie, hystérie); 5° le triom
nne de la vigueur à ce qui reste encore des éléments musculaires et
nerveux
, et imprime un coup de fouet à la convalescence
de majorité, tant parmi les sujets normaux que les sujets malades
nerveux
ne s'oppose pas à l'inhalation ; même des personn
s ces conditions, l'électricité débarrasse les aliénés de symptômes
nerveux
périphériques ayant une ori- gine centrale, sur
ontinu a amélioré, au moins pour un temps, l'ensemble des symptômes
nerveux
et psychiques. P. K. 1 Voy. Archives de Neurolo
résie surtout frappante à droite). Aucun signe de lésion du système
nerveux
central. P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
du noyau opposé des faisceaux de Burdach et s'unissent aux cellules
nerveuses
qui s'y trouvent. P.K. III. Contribution A La
A la NOUVELLE méthode DE coloration DE VE1GERT DESTINÉE aux FIBRES
NERVEUSES
A MYÉLINE DES organes centraux; par M. FRIEDMAN
es de long). Ce dernier commence dans un groupe de petites cellules
nerveuses
placées en arrière etau-dessus du noyau de Deit
eures se montrent intactes. Dégénérescence remarquable des cellules
nerveuses
qui occupent l'angle compris entre les cornes p
xpliquer l'existence de phénomènes spas- modiques sur un territoire
nerveux
atteint de paralysie péri- phérique ? Ce n'est
est difficile, lorsqu'on constate l'intégrité d'autres départements
nerveux
, de penser à une lésion de noyaux du facial. M.
xplication des termes : Charcot, Leçons sur les maladies du système
nerveux
, III, f. I, p. 135. Archives, t. XII. 8 11 le
roportion de 0,6 p. 100. M. Oppenheim. Dans la section des maladies
nerveuses
l'inertie 118 SOCIÉTÉS SAVANTES. pupillaire s
es troubles fonctionnels du larynx dans les affec- tions du système
nerveux
central. Examen à ce point de vue plus de 200 m
isse, péroniers). Le processus parait avoir débuté par les branches
nerveuses
périphériques. M. Bernhardt. Les processus poli
e blessure céphalique grave aboutit à une excitabilité psychique et
nerveuse
; affaiblissement mental et nerveux. Aucune conv
à une excitabilité psychique et nerveuse; affaiblissement mental et
nerveux
. Aucune convulsion, mais accès de céphalalgie.
le pincement et le tiraillement auxquels sont soumises les branches
nerveuses
dans les contractures exagérées du psoas et des
herches, elle est très rare, et il est probable que plusieurs états
nerveux
où on l'a signalée doivent être rattachés à l'h
ls sur le squelette, la circulation, la res- piration et le système
nerveux
. L'instruction pratique consistaiten l'applicat
De l'idiotie et en particulier des lésions anatomiques des centres
nerveux
dans l'idiotie » Prix Aubanel. Ce prix, de la v
iebd.). F £ né(Cii.) Trailcèlcmentaired'anatomiemédicale du système
nerveux
. - \'oliiiiiein-1 ? o de 496 pages, avec 2 13 f
e etE. Lecrosnier. Grasset. Traité pratique des maladies du système
nerveux
, suivi d'un appendice sur l'électrothérapie, pa
th.iyu et Lecrosnter. R\YMO : i'D. Anatomie pathologique du système
nerveux
. Cours com- plémeutatre, professé à la Faculté
. XII. Septembre 1886. N° 35. ARCHIVES DE NEUROLOGIE r ! CLINIQUE
NERVEUSE
DE L'IDIOTIE COMPLIQUÉE DE CACHEXIE PACHYDERMIQ
e cette giande et l'existence du Archives, t. XII. 10 13 CLINIQUE
NERVEUSE
. myxoedème, ou de la cachexie pachydermique. Ce
Voir plus loin les observations de Th... est de Gra .. 140 CLINIQUE
NERVEUSE
. Observation II. Idiotie. Gonflements anormaux
ses premières dents à deux ans; il n'es- - I·'iJ. à. 142 CLINIQUE
nerveuse
: ". saya de marcher pour la première fois qu'à
ntal Science, vol. XXII, 18 îG, p. 2f1). l'rg. 6. il ? CLINIQUE
NERVEUSE
. l'étal normal ; il présentait sur ses bords un
ignements est intelligente; une deuxième morte pmtri- naire. Pas de
nerveux
ni de difformes, etc., dans la famille.] Mère,
exie pachydermi- que. Le sujet de droife est Gr... - 148 CLINIQUE
NERVEUSE
. chondres, une saillie marquée en dehors, la ba
t semble un peu moins lourd : on supprime les douches. 150 CLINIQUE
NERVEUSE
. 28 décembre. - Nous voyons le frère et la soeu
t ailleurs le ventre est médiocrement douloureux; il 152 " CLINIQUE
NERVEUSE
. existe un tympanisme léger. - Langue légèremen
uite et fin). , Par le Dr BABLNSKI, Chef de clinique des maladies
nerveuses
à lu Sdtpctriere. Observation III (résumée). R.
par Eastes Wilks. 2 France médicale, )),année 1884. 156 CLINIQUE
NERVEUSE
. plus essentiel à noter dans cette observation
du malade et qui est fixé au pourtour de son corps par 158 CLINIQUE
NERVEUSE
. un cerceau d'acier; lorsque le malade marche,
s mensura- tions : . DE l'atrophie musculaire. 15j 160 CLINIQUE
NERVEUSE
. de l'atrophie musculaire. 161 t ses modes (t
atteint d'une paralysie hystérique avec amyotrophie. 162 CLINIQUE
NERVEUSE
. Nous commencerons par établir que cet homme es
ct. on diseases of Nel'V01tS System. (Lcct. 1, p. 20.) 161 CLINIQUE
NERVEUSE
. paralysé après elle, comme s'il s'agissait d'u
e supérieur, reparurent; la sensibilité reparut de son 166 clinique
NERVEUSE
. côté, tant la sensibilité générale que la sens
trouve : . le membre supérieur gauche n'est plus para- 168 CLINIQUE
NERVEUSE
. lysé; les mouvements des divers segments sont
re la paralysie sur le compte d'une affection dynamique des centres
nerveux
. Quant à l'hémianesthésie, il nous paraît tout
lui seul pour établir son exis- ARCHIVES, t. XII. 12 170 CLINIQUE
NERVEUSE
. tence. Dans le cas actuel cette bémianesthésie
(résumée). - Dem..., garçon boucher, trente ans; pas d'antécédents
nerveux
, soit héréditaires, soit per- sonnels. A la sui
uante ans, d'une maladie aiguë. Mère, morte à quarante-six ans; pas
nerveuse
. Un frère de la mère a du sable dans les urines
rémité interne de la clavicule et à l'omoplate. 1711. 1· CLINIQUE
NERVEUSE
. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 175 176 CLINIQUE N
1· CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 175 176 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les divers segments du membre sont manifesteme
qui permettent d'affirmer qu'elle est de nature hysté- 178 CLINIQUE
NERVEUSE
. rique, et qu'elle ne peut relever d'une lésion
s, tantes, oncles) ne présente ni n'a jamais présenté de phénomènes
nerveux
. Antécédents personnels. -N'a jamais eu de mala
li, et le malade ne s'en servait qu'avec difficulté. 180 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le malade au bout de treize jours peutse lever
ar M. Charcot et dont nous avons déjà parlé. Nous ne 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 183 18 \ CLINIQUE
82 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 183 18 \ CLINIQUE
NERVEUSE
. discuterons même pas le diagnostic. Il s'agit
DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 185 Observation II l 186, . CI,INIQUE
NERVEUSE
. 1, , si on la compare aux atrophies musculaire
ne l'atrophie du membre supérieur gauche, qu'elle ne 188 clinique
NERVEUSE
. semble pas porter particulièrement sur tel ou
ert en peu de temps le maximum de son développement, 190 CLINIQUE
nerveuse
. reste alors stationnaire, lors même que la par
en- évidente que cette diminution dans le volume des 192 CLINIQUE
NERVEUSE
. muscles appartient à la catégorie des phénomèn
plique pas fatalement l'idée d'une altération matérielle du système
nerveux
, appréciable à nos moyens d'investigation; elle
L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 193 altération purement dynamique du système
nerveux
; les centres gris de la moelle et les nerfs pé
'amyotrophie articulaire ; il est certain qu'elle dépend du système
nerveux
central; or, puisque les cornes antérieures de
dal, tandis que, dans le second cas, les modifications du système
nerveux
sont toutes dynamiques. Du reste nous n'attacho
rver deux autres semblables qui sont encore inédits. 194 CLINIQUE
NERVEUSE
. blir, au moyen de ces observations, que l'atro
i 13oui'ne\ille. Comptes rendus de Birgtre, 1880-1885. 196 CLINIQUE
NERVEUSE
. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. Nos malades étaient
e n'a découvert aucune lésion pathologo- anatomique dans le système
nerveux
; bien plus, l'investiga- tion microscopique la
Coupe transversale de la moëlle (région lombaire). Fig. i. Cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la substance grise en
de dégénération pigmentaire. Fig. 4. Les vaisseaux et les cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la substance grise.
trouve ' Progrès médical, 1883, 11- 23, etc. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 209 presque toujours à un certain degré, lorsq
les lésions où siège l'appareil du langage '. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XIV. Contributions A l'étude DES scléroses syst
née. N. Skwortzoff. 1 Voir Charcot, /. c. 210 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XVI. DE la pression cérébrale et DE la compres
a pas de transmissions de pression à travers l'ensemble des centres
nerveux
par l'intermédiaire du liquide céphalo-rachidie
nflammatoires qui aboutissent à une hyperplasie d'abord des couches
nerveuses
, immédiatement soumises à l'agent com- presslf,
exemple détaillé par l'auteur concerne un homme REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. -)Il t jeune (vingt-huit ans), qui à la suite
e sérosité sont parsemés de fines hémorrha- 212 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gies punctiformes. La plus grande partie du co
et à la paralysie; il y a eu dans l'espèce inflammation de fibres
nerveuses
, trophiques, que le tronc du facial pourrait bien
u1'g. Iletl. 11'ochenschr., 11° 45, 1884); car, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 213 dans l'espèce, le zona occipito-collaire a
siste sur l'absence de douleurs proprement dites le long des troncs
nerveux
, les phénomènes fulgurants étant plutôt agréabl
Archives de Se urologie, t. XII, p. 21 y. 91 le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. autre cas de névrite rapporté par lui dans le
re- ment sur la nature de la maladie. ' P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 215 XXII. Contribution A la théorie DE l'ataxi
une lésion adéquate dans les deux cordons 21 si REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. postérieurs, la dégénérescence de chacun des d
t les points prin- cipaux de ce travail. P. K. XXIV. Des troubles
nerveux
observés A la suite DE l'empoisonne- MENT par l
myélo-encéphalite généralisée. Pour M. Hardine, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 2t7 cette différence n'est, du reste, qu'appar
d'après, l'auteur, être rapproché de la dégénérescence des cellules
nerveuses
observées chez les chiens sacrifiés avant l'app
SKWORTZOFF. XXV. Contribution A l'anatomie pathologique du système
nerveux
central, par Tu. RUMPF. (A9'CIE. f. Psyeh., XVI
gmente en étendue à Archives, t. XII. la a 18 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.- mesure qu'on descend vers la moelle dorsale e
imique de Weigert. Disposition particulière d'une partie des fibres
nerveuses
fines contenues dans les racines postérieures.
adiculaire principal en dehors en paraissant se REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 21q diriger vers le cordon latéral, mais bient
ne dégénérescence parenchymateuse atteignant primitivement la fibre
nerveuse
dont elle tuerait d'abord la myéline dans les f
nettement, mais en leur imprimant une leinle différente, les fibres
nerveuses
et les éléments conjonctifs. A côté de cela, il
e, L. ? 1, p. 'JS eL l'noynes médical lbs5. 220 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. avait directement suivi l'infection syphilitiq
bre n'est pour lui qu'un jeu ridicule. Il. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 221 XXX. Clinique et anatomie pathologique de
ine et souvent un peu moins nette. Il. IL 222 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXI. Contribution A la pathologie DE la malad
ariages dans sa famille, et cependant l'hérédité de la perturbation
nerveuse
, qu'il a le premier éprouvée, continue persista
te du grand oblique et, parsuite, l'oeil tourne REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 233 autour de son axe du côté de la tempe; les
oeil, acuité visuelle mo- dérée (astigmatisme) Intégrité du système
nerveux
. Il s'agit d'un état congénital héréditaire; la
, on trouve .le ? l1'lohnlc'i blancs et 2 : H e REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rouges accumulés; ces. lexsudais, qui existent
e qu'il y a suppression de l'excitabilité élec- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 225 trique presque complète; tout cela est d'o
culaire avec atlié- tuçe. t. xu, p. '207. 226 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et des pieds (troubles vasomoteurs), la rapidi
irme encore le diagnostic et exclut l'idée d'une lésion des centres
nerveux
. L'auteur insiste sur l'action favorable du pin
de du cerveau en iiti)l)oi-1 avec ce sysliiiie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. -2-)7 A rapprocher du cas publié par le même a
ures sont aussi atteintes. Intégrité abso- lue des petites cellules
nerveuses
de la moitié supérieure de l'é- corce des circo
Voy. pour ces symboles, Charcot, Leçons sur les Maladies du système
nerveux
, 111, 1, p. 135 et 136, Arc/m'es rit' Seurotogia,
rc/m'es rit' Seurotogia, I, 74 ct pa.ssrnr, 228 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rieur du plancher et les noyaux des Vla et VU"
l'existence bien avérée ou de l'absence incon- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 229 testable du phénomène du genou. Asseoir l'
paraîtrait chez tous ces individus indemnes d'affections du système
nerveux
: on n'enregistrerait pas dans l'espèce de cas
sens musculaire ; douleurs dans les bras et les jambes; gros troncs
nerveux
sensibles à la pression; affection articulaire
lité, suppression du réflexe patellaire) et 230 revue DE pathologie
nerveuse
. la névrite multiloculaire (dissémination des p
ion des réflexes cutanés, sensibilité à la pression des gros troncs
nerveux
); il analyse comparativement les faits du même
ut. On devra continuer les expériences. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 31 1 XLIII. Un cas DE tumeurs SYPHILITIQUES (
dure-mère participe à l'adhérence générale. Intégri té des cellules
nerveuses
et des éléments des diverses couches cor- tical
ci, il faut éliminer la tuberculose ou tout 232 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. autre cachexie. L'auteur appelle l'attention s
iste des altérations de structure dans certaines régions du système
nerveux
; pour localiser ces altérations, on prend en co
lissement de la mémoire ; depuis neuf mois, dé- revue DE pathologie
nerveuse
. 233 marche raide attribuée à des douleurs dans
es de la main et des Archives, t. XII. 16 234 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. doigts du côté gauche accompagnées de sensatio
côté gauche. Individu indemne d'hérédité neuro- REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 235 psychique. A la suite d'un accident de voi
dans la famille, propension à faire des néoplasmes dans le système
nerveux
central ; un oncle est mort de gliome de la pro
Voy. Archives de Neurologie, t. XI, p. 160. 236 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. dante; c'est-à-dire que la parésie des extrémi
, ayant exactement suivi la même marche, sévis- REVUE DE pathologie
nerveuse
. 237 7 sant sur les mâles et passant à travers
s de Neurologie, t. XI, p. 80 et 83 § I V). 238 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les traits fondamentaux de l'ensemble des synd
rbides qui indiquent certainement une lésion orga- nique du système
nerveux
à évolution insidieuse. Est-ce à dire qu'on doi
cheval. Au microscope, épaississement des vais- REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 239 seaux méningés; asymétrie congéniale de la
dont les segments lombaires et cervicaux sont pauvres en cel- lules
nerveuses
, mais aucune trace de poliomyélite; çà et là, d
u radial, du radial lui-même, des cellules centrales ou des tractus
nerveux
périphériques quelconques. L'envahissement simu
chemin de fer, admis à l'hôpital en octobre 1885. Aucune ten- dance
nerveuse
héréditaire. Convulsions à la première denti- t
pnotiser lui-même. Ces pratiques répétées déterminent des accidents
nerveux
; pendant plus d'un an, on constate des accès de
malades qui, avant l'intoxication, ont été en proie à des troubles
nerveux
, ou chez lesquels d'autres causes ont pu provoq
uelquefois de la diarrhée, mais il ne produit pas l'affaiblissement
nerveux
des préparations bromées. Les doses employées o
Vol. XII. Novembre 1886. N" 36, ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES
er lieu, et cela arrive en effet, aRCHmES, t. xo. 18 266 CLINIQUE
NERVEUSE
. à une fausse interprétation de la maladie, au
tion était devenue facile. Résumant toute la série des dérangements
nerveux
d'E..., nous devons signaler les caractères sui
des vomissements rebelles, etc.; 2° l'inconstance des dérangemeuts
nerveux
: les jambes d'E... ont été paralysées deux foi
l est impossible d'expliquer autrement que le sujet, 268 CLINIQUE
NERVEUSE
. privé de la faculté de remuer les jambes, se l
ut cela et l'impossibilité de rapporter l'ensemble des dérangements
nerveux
à un trouble organique du système nerveux, m'a
ensemble des dérangements nerveux à un trouble organique du système
nerveux
, m'a fait recon- naître l'hystérie. Observati
onne des résultats négatifs. On n'observe pas d'autres dérangements
nerveux
. Plus tard, on remarque une grande instabilité
rs; il se plaint aussi d'avoir mal lorsqu'on presse les gros troncs
nerveux
des jambes. La sensibilité à la douleur dans le
e la cuisse, qui fléchissent la jambe, et rigidité des 270 CLINIQUE
NERVEUSE
. pieds. Voici le cours de la maladie : le 8 nov
L'anam- nèse montre que le malade a éprouvé les mêmes affections
nerveuses
quatre ans auparavant après une chute d'un arbre.
se déjetaient convulsivement de côté, tantôt ils s'ac- 272 CLINIQUE
NERVEUSE
. crochaient l'un à l'autre. Le 19 mars, notre m
faculté de mouvement; le dynamomètre marque 60; le ma- 274 CLINIQUE
NERVEUSE
. lade peut remuer les doigts de la main droite
hes. Ce qui fait une différence bien tranchée avec les 276 CLINIQUE
NERVEUSE
. hémiplégies ordinaires, c'est que le malade pe
pourquoi, le 2 septembre, on l'installa dans la salle des maladies
nerveuses
. D... raconta de sa vie passée qu'il s'était ma
r spécifique de l'urine est de 1.014; on n'y trouve ni 278 CLINIQUE
NERVEUSE
. albumine, ni sucre. La polyurie dure jusqu'au
supposai d'abord. Il me fallut faire un examen détaillé du système
nerveux
. Cet examen eut lieu le 7 novembre 1885, lorsqu
plus faciles; l'extension des jambes n'est que passive 280 CLINIQUE
NERVEUSE
. jusqu'à un certain degré, et amène alors une f
it voir aucun trouble dans l'excitabilité des muscles et des troncs
nerveux
, bien que le malade, près de quatre mois depuis
sensibilité qui ne correspond à aucune lésion organique du système
nerveux
ni central, ni periphérique, les données, de l'
parce qu'il avait des spasmes dans la gorge. L'examen du système
nerveux
, qu'on répéta, donna les résultats suivants : l
en, il est arrivé un . AI(CIIIVES, t. Xll. 1. 19 282 --) CLINIQUE
NERVEUSE
. trouble convulsif suivant : le malade, avec un
arynx et à la poitrine. Le 22 décembre, un nouvel examen du système
nerveux
fait constater : la vision des deux yeux est de
ique, régulièrement rhythmiques, dégénèrent subitement 284 CLINIQUE
nerveuse
. en opisthotonus ou plcurosthotonus, de môme qu
ité cutanée de tout le corps, bien qu'un examen détaillé du système
nerveux
soit bien difficile. Le 18, les accès changent
s muscles momentané. Le 24 janvier, on examine en détail le système
nerveux
. Le champ visuel est rétréci concentriquement ;
our les deux oreilles, ensuite pour la droite seule; 286 CLINIQUE
NERVEUSE
. 4. Des troubles de la vision sous forme de rét
'accès, le malade se couche, tombe en état de stupeur, 288 CLINIQUE
NERVEUSE
. les yeux ouverts, fixés sur un point, et ne ré
C'est là une température tout à l'ait anormale (B). 290 0 CLINIQUE
NERVEUSE
. nière que la constitution physique n'a pas d'i
nt. Je dois ajouter, pour conclure, que les maladies 292 CLINIQUE
NERVEUSE
. hystériques dans les troupes ne sont pas rares
elhomme relatif à l'idiotie et de préférence aux USIOns des centres
nerveux
dans .'idiotie. 2 Voir aussi le Compte rendu
d'une bronchite à soixante-douze ans ; intelligente, n'était pas
nerveuse
; un frère bien portant, intelligent, a deux enfa
ants et intelligents ; deux soeurs jouissant d'une bonne santé, non
nerveuses
, ont l'une, trois garçons, l'autre, un garçon,
en développée, dix-sep tans, intelligente, s'exprimant 29' CLINIQUE
NERVEUSE
. très nettement ; traits réguliers, figure agré
rs, figure agréable, pas de goitre; elle ne présente aucun accident
nerveux
J. Notre malade. - Durant la grossesse, à trois
indifférent et son Fig. 16. Th... à l'âge de 20 ans. 29S CLINIQUE
NERVEUSE
. extrême apathie lui ont fait donner par les ma
autopsie la description du crâne. Archives, LXII. 20 298 CLINIQUE
NERVEUSE
. Aujourd'hui, la face bouffie parait avoir perd
ait confiné au lit une grande partie de la journée, il 300 CLINIQUE
NERVEUSE
. parvient aujourd'hui, après avoir été exercé p
e ainsi que le gonflement, qui va latéralement jusqu'à 302 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'antitragus et en avant envahit les paupières
e^t limitée à la main et au poignet droits, les 30Î- le . CLINIQUE
NERVEUSE
. autres parties atteintes sont en voie de desqu
31l,6. 11. Même état. T. R. 37°,4 . - Soir : 31°, . 306 CLINIQUE
NERVEUSE
. 12. - La tuméfaction des joues a diminué, la r
le décès : 30°. Poids après décès : 21 kilogr. 400. 308 CLINIQUE
NERVEUSE
. Note complémentaire. - Les cheveux sont noirs,
ier ». Voici quelques mensurations supplémentaires : 310 CLINIQUE
NERVEUSE
. partie moyenne, elle mesure 5 centimètres de l
res, et un ganglion isole dans une masse graisseuse. 312 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le larynx est étroit et présente un léger oedè
lobule orbitaire de la deuxième Archives, t. XII. 21 314 CLINIQUE
NERVEUSE
. circonvolution frontale est trèsprofonde, mais
iennent se perdre dans le lobule pariétal inférieur. 316 CLINIQUE
NERVEUSE
. La première scissure tempol'o-occipitale (Pl.
e temporal est bien développé; sa première circonvolu- 318 CLINIQUE
NERVEUSE
. tion (T,) se confond avec la partie postérieur
lobule paracentral : elle se trouve isolée par un pont de substance
nerveuse
de l'incisure préovalaire (e), limitant en avan
nous ont été transmises : 1 Analyse de Af. Yvon : .' 320 CLINIQUE
NERVEUSE
. Dans les antécédents héréditaires de Th..., no
phérie d'une façon diffuse avec le tissu adipeux sous- 322 CLINIQUE
NERVEUSE
. cutané environnant. Elles avaient tous les car
s sciences médicales de Lille, 1853, 5 et 20 décembre. 324 CLINIQUE
NERVEUSE
. renseignements que ceux qui concernent son éta
fficilement au poignet. Ceux du coeur sont également 326 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. très faibles, mais réguliers. Quant aux bruits
s du coeur surtout et dans l'intérieur des carotides à 328 CLINIQUE
NERVEUSE
. un degré moindre, on trouve une multitude de p
ou cachexie pachydep- mique. Archives, t. XII. 22 330 CLINIQUE
NERVEUSE
. la face; tuméfaction des paupières; épaississe
moitié droite du corps; à la région lombaire il avait 332 CLINIQUE
NERVEUSE
. deux centimètres d'épaisseur à droite, un cent
ssa de ' Médical Presse and Circulai', 14 niai 1884. 334 CLINIQUE
NERVEUSE
. grandir, mais elle devint plus grosse et plus
r suite, encore plus de temps pour formuler la réponse. I Système
nerveux
.-La malade ne peut ni lire, ni écrire, et tout
eillard dont les facultés intellectuelles déclinent. 336 CLINIQUE
NERVEUSE
. quantité normale 10,S grammes. Ce résultat est
tion avec la famille de ce malade, nous avons fait une 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. enquête minutieuse auprès d'elle; de cette enq
journalier, sobre; taille au-dessus de la moyenne; pas de maladies
nerveuses
, ni de goitre. Mère, morte à quatre-vingt-sept
eu de nouvelles depuis la mort de la mère en 1877. -Pas de maladies
nerveuses
, pas d'a- liénés, pas d'épilepliqucs, pas d'idi
it ans, sobre; était né à Vannes et n'a jamais présenté d'accidents
nerveux
. - Hère, ménagère, sobre, morte à quatre-vingt-
ucoup plus de celle du père que de celle de la mère. 340 CLINIQUE
NERVEUSE
. Pas de consanguinité. Cinq enfants : 1° garç
que 19 dents, Fig. 22. - Le crétin des Batignolles. 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. dont 9 la mâchoire supérieure et 10 à l'inféri
qu'il fait claquer sans cesse. Diamètres du crâne : 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. Dimensions du thorax : IDIOTIE AVEC CACHEXIE
CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 345 Dimensions des membres : 346 CLINIQUE
NERVEUSE
. de la Société d'anthropologie de Paris, t. V,
Bicèlre et qui présentait encore plus, peut-être, que 348 CLINIQUE
NERVEUSE
. celui deM. Bail, les attributs caractéristique
nos deux malades l'existence de hernies inguinales. 350 CLINIQUE
NERVEUSE
. un développement défectueux du cerveau, mais s
pportant à des enfants (cas de Sliattock, etc.). 352 -1) CLINIQUE
NERVEUSE
. à l'âge de quatorze ou quinze ans. A l'autopsi
n tout cas pas d'hy- pertrophie du corps thyroïde. 35 '( CLINIQUE
NERVEUSE
. tions de malade encore vivants chez lesquels l
ralisé moyen. l'ig. 23. - Niahide opéré par M. Sick. 356 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les extrémités supérieures et inférieures sont
ue l'extirpation de la glande thyroïde amène des troubles du sytème
nerveux
cen- tral surtout en ce qui concerne son rôle d
samment saines pour remplir leur rôle physiologique. 360 CLINIQUE
NERVEUSE
. 1° Baillarger 1. - Fille de vingt-quatre ans;
ne opérée (cas 9) de 11. Kocher et sa soeur jumelle. 362 CLINIQUE
NERVEUSE
. en mars 1883 : « Ma femme ne peut écrire elle-
rs 1883 : « Ma femme ne peut écrire elle-même par suite de douleurs
nerveuses
des pieds et des mains. Le cou est guéri, mais
ur quelques autres cas qu'il aurait observés depuis. 364 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'oedème marqué, mais épaississement de la pea
s sans aucun détail (cas d'Occhini, de Huggi, etc.). 366 CLINIQUE
NERVEUSE
. Si la plupart des chirurgiens admettent que le
Le tableau suivant donne la proportion selon l'âge : 368 CLINIQUE
NERVEUSE
. malades de MM. Reverdin, quatre de leurs opéré
rison de la plaie fut complète en trois jours) produit des troubles
nerveux
généraux : convulsions, paralysie fonctionnelle
? eugllng de* Diabètes. WU ! 'x- bnrri, 18S5, p. 61. 370 CLINIQUE
NERVEUSE
. pérature, etc., tous les symptômes enfin obser
es symptômes observés par lui à trois états successifs : 1° période
nerveuse
; 2° période mucoïde; 3° période atrophique. D
ation de la glande thyroïde a une action évi- dente sur les centres
nerveux
et expliquent les phé- nomènes nerveux observés
évi- dente sur les centres nerveux et expliquent les phé- nomènes
nerveux
observés à la suite de ! a thyroïdec- tomie tot
, 15 février issu, p. ruz et n" S, 15 août 1884.) ,) 372 CLINIQUE
NERVEUSE
. mie totale et simultanée, au contraire des car
en produisant des substances nécessaires à la nutrition du système
nerveux
. ' Philipeaux. - De l'extirpation des corps thy
du de la Société de Biologie, 8 novembre 188, p, 606.) 374 CLINIQUE
NERVEUSE
. 8 novembre de la même année. Les résultats obt
de l'acide phénique pendant l'opé- ration, à une lésion des troncs
nerveux
, situés dans le voisinage de la glande thyroïde
ge de la glande thyroïde, à l'action de la mu- cine sur les centres
nerveux
, etc., etc. Si la physiologie de la glande thyr
lio. (AI'ch, per le sczezzze mediche, vol. IX, n" 11). 376 CLINIQUE
NERVEUSE
. elle peut être le siège, en empêchant totaleme
s en temps a des névralgies, quelquefois très tenaces. Mère. Très
nerveuse
, a eu de nombreuses attaques qui persistent enc
cédents personnels. On ne relève chez M... aucune trace d'affection
nerveuse
dans l'enfance; mais ses souvenirs ne pa- raiss
tembre, à la suite d'une visite de sa mère, 382 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qui lui a beaucoup parlé de sortie, B... a per
rve quelquefois à la suite de chocs violents. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
LI. CHIRURGIE DU cerveau; par Victor HORSLEY, B
ifficultés et les dangers des opérations sur le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 383 cerveau. Puisqu'en plusieurs points essent
hine produit une contraction très marquée des artérioles du système
nerveux
central, et par suite si le malade est sous son
mploi du chloroforme. Dans le cas où il y a 384 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. encore lésion cardiaque considérable, on doit
des tissus chez les animaux inférieurs diffère REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 385 beauconp du même processus chez l'homme, e
doit être peu profonde, pour éviter de 38fi C) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. couper les vaisseaux collatéraux; 3° elle doit
on par l'ouverture du trépan. Quoique mon expé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 387 rience sur ce point ne soit fondée chez le
prendre des précautions contre les altéra- 388 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tions septiques dans la blessure. Cependant ce
sie permanente des mouvements du côté opposé. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 389 Une portion normale ou anormale détachée d
e tissu connectif normal doux (c'est-à-dire 390 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. non inflammatoire). Toutes ces conditions sont
ment pulvérisé, de la ouate et du collodion; et REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 391 f les points de suture peuvent être enlevé
uérit, quoiqu'elle ait librement suppuré et 392 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. malgré la hernie du cerveau. Le malade a été h
s droits, quoiqu'avec moitié moins de force que REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 393 du côté gauche ; il n'y avait aucune altér
evant la dure-mère on vit une tumeur. On enleva REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 395 un peu plus d'os en avant et en dessous, p
le pouce ni l'index ; aucune attaque depuis 396 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'opération. Sa tumeur était composée d'un tis
frontal supérieur. Le professeur Ferrier a mon- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 397 tré que le centre des mouvements de la têt
ment perdu la parole. Chez tous ces individus, les grandes cellules
nerveuses
de la troisième couche de l'écorce, dans les pa
es mélancoliques hypo- chondriaques, ne présentant pas d'excitation
nerveuse
spéciale, on voit également l'humeur s'amélion
est l'alcool qui met un évidence les plus beaux aperçus de cellules
nerveuses
, mais il détruit les fibres. La solution de bic
line de Weigert, d'après son nouveau procédé. L'examen des cellules
nerveuses
, des noyaux du tissu conjonctif, des parois vas
espèces de sensations sont supprimées quand on comprime les troncs
nerveux
périphériques; 4° la sensibilité à l'égard de l
communauté des trajets et des termi- naisons centrales des tractus
nerveux
. M. GoLTz présente quelques chiens en vie auxqu
H.-W. FaEUND (de Strasbourg). Des fines altérations des appa- reils
nerveux
qui occupent le parametrium ', dans le cas d'atro
lles trop courts, à des affections puerpérales graves, les cellules
nerveuses
ganglionnaires se sont montrées diminuées de no
n'en constatait pas toujours le noyau et le mucléole les ramuscules
nerveux
étaient amincis et infiltrés de graisse. Dans l
le plus extrême de la rétraction cicatricielle, à côté des cellules
nerveuses
, soumises aux altérations les plus marquées, on
umises aux altérations les plus marquées, on percevait des branches
nerveuses
clairsemées , amincies, pauvres en éléments de
BIBLIOGRAPHIE IX. Traité élémentaire d'anatomie médicale du système
nerveux
; par Ca. Férié. (Au Progrès médical et chez Le
puis dix ans, et ne se retrouvant dans aucun des traités du système
nerveux
. Il y avait à tenter ce travail un double 412 B
faite sur cette question. La seconde partie, réservée au système
nerveux
périphérique, relate toutes les recherches réce
indispensable à tout médecin s'occupant de la pathologie du système
nerveux
; plus que tout autre, par ses études spéciales
l a eue de joindre au texte un atlas d'anatomie normale des centres
nerveux
, permettant au lecteur de se retrouver, sans ef
sur la pro- duction de la folie. SUR LA. statistique des maladies
NERVEUSES
ET mentales EN RUSSIE. - Dans sa communication
é les résultats de ses recherches sur la statistique des ma- ladies
nerveuses
et mentales en Russie. L'absence absolue des do
, 15,72'i ont été reconnus comme atteints de maladies mentales ou
nerveuses
, c'est-à-dire 9,72 p. 100. Prenant ensuite le rap
mprimerie Eug. Vanderhaegnen. · VULPIAIQ (A). - Maladies du système
nerveux
(moelle épinière). Leçons professées à ls Facul
hystérique, par Ili- lier, 1»-)6. Anatomie médicale du système
nerveux
(trai té d'), pdrCh, Fét'é, 413. Anesthésique
ymond, 58. Faciale (paralysie), compliquée de zona, 212. Fibres
nerveuses
à myéline des organes centraux (procédé de co
ft Ebing, 83. Laryngés (troubles - dans les atleclions du système
nerveux
central), 119. Lectures (troubles de la chez
Optiques (origine des nerfs), 40 1. Oxyde de carbone ( troubles
nerveux
à la suite de l'em- poisonuement par 1'), 216.
rique de Ber- lin, 249. Société de psychiatrie et de ma- ladies
nerveuses
de Berlin, 4 10. Société médico-psycliologique,
veaux des), 89. Syphilis et paralysie générale, 80, 86. Système
nerveux
central (ana- tomie pathologique du), 217. Ta
upe transversale de la moelle (région lombaire). Fig. 3. - Cellules
nerveuses
îles cornes antérieures de la substance grise p
e dégénération pynen ! ;rire. Fig. 4. Les vaisseaux et les cellules
nerveuses
îles cornes antérieures de là substance grise.
ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE E DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIIIKCTION DE J.-
. Vol. X. Juillet 1885. N" 28 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
DEUX NOUVEAUX CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTRO-
tralneraensystems, Leipzig. 1879. Archives, t. X. 4 Il PATHOLOGIE
NERVEUSE
. même la signala dans ses cas de paralysie bulb
passagères il existait quelques douleurs de reins. 4 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Un mois avant d'entrer à l'hôpital Tenon, elle
sur la face dorsale (où ils sont plutôt réticulés). 8 PATHOLOGIE
nerveuse
. Le voile du palais encombré de mucosités gluan
s mouvements du grand dorsal existent aussi' dans une 10 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. certaine mesure ; pendant qu'on l'examine, on
nce des eschares; cet examen a été assez difficile. 12 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'orbiculaire des lèvres répond à 100 millimèt
côtés. CAS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 13 1a· PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les membres supérieurs sont dans un état de ri
d'une altération artificielle plus ou moins étendue de la substance
nerveuse
. Hémisphère droit. Circonvolution frontale as
comprise entre l'angle interne du noyau lenticulaire 16 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. (coude de la capsule) et son angle postérieur.
ure) l'épaisseur d'environ quatre ou cinq des faisceaux de fibres
nerveuses
qui se trouvent dans cette région et dont la coup
vent leurs prolongements ont même Archives, t. X. 2 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. en partie disparu, elles se colorent d'une faç
elle les faits suivants : Dans les faisceaux pyramidaux, les fibres
nerveuses
sont moins abondantes qu'à l'ordinaire, mais le
ser la coloration intense de cette région par le carmin; les fibres
nerveuses
existent encore en grande quantité, mais ce son
ans la substance grise des cornes antérieures, le nombre des fibres
nerveuses
est diminué d'une façon très notable; (déjà, da
ine acide) (Weigert). Dans la moelle lombaire, le nombre des fibres
nerveuses
de la substance grise semble normal. Les fibres
es fibres nerveuses de la substance grise semble normal. Les fibres
nerveuses
qui constituent les zones radiculaires antérieu
de nerfs ni de muscles des extrémités inférieures. 20 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Observation II. Début par difficulté de la par
1880, le second en 188 ! ; dans aucun ne se montrèrent 'd'accidents
nerveux
notables. Quant à l'affec- tion actuelle, voici
jours après l'apparition de ce nouveau symptôme, elle 22 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. entra de nouveau à l'hôpital Tenon. La parole,
airement dans la sclé- rose latérale amyotrophique. 24 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sourd et étouffé ; quoiqu'elle ne puisse artic
s espaces ellip- tiques formés par la coupe des faisceaux de fibres
nerveux
et contenus dans la capsule interne. Ces corps
er que les uns, c'est la majorité, sont contenus dans 26 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'épaisseur des faisceaux elliptiques formés p
paisseur des faisceaux elliptiques formés par la section des fibres
nerveuses
verticalement dirigées, tandis que les autres s
nets. Avec la méthode de Weigert, diminution du nombre des fibres
nerveuses
dans les cornes antérieures. Dans la substance
(hématoxyline et prussiate de potasse), on constate que les fibres
nerveuses
y sont moins nombreuses, surtout près du sillon
es processus radiculaires antérieurs mais bien au milieu des fibres
nerveuses
et paraissant provenir de la destruction de l'une
avons jamais vu un seul corps granuleux dans l'épaisseur des fibres
nerveuses
; on en observe quelquefois en très petit nombre
paces périvasculaires; quelques-uns sont contenus dans les cellules
nerveuses
, indi- quant ainsi leur altération plus on moin
à faire avec la sclérose latérale amyo- trophique. 28 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Disparition presque complète des grandes cellu
des grandes cellules de la subs- tance grise, ainsi que des fibres
nerveuses
contenues dans celle-ci. Sclérose des faiscea
nts dans les espaces périvasculaires. Un certain nombre de cellules
nerveuses
des cornes anté- rieures présentent aussi des g
s longs et bien ramifiés, d'autres n'en ont presque pas. Les fibres
nerveuses
de la substance grise paraissent aussi moins ab
es régions de la moelle; un très petit nombre seulement de cellules
nerveuses
des cornes antérieures ont pris la coloration b
ant toute apparence, à la disparition d'un certain nombre de fibres
nerveuses
. La langue est, comme nous l'avons dit dans la
angue est, comme nous l'avons dit dans la partie cli- 30 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nique, atrophiée surtout dans sa partie antéri
ns le cas où on aurait eu affaire à des cellules ner- 32 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. veuses, le corps et le noyau de celles-ci appa
, aussi belles qu'à l'état nor- Archives, t. X. 3 3t ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mal, leurs prolongements semblaient moins angu
jorité des corps granuleux semble siéger ' sur le trajet des fibres
nerveuses
, et vraisemblablement dans leur épaisseur même,
érieurs, principalement près des cornes postérieures; peu de fibres
nerveuses
normales. Des deux côtés de la fissure longitud
u cinquième nerf lombaire, on trouvait du pigment dans les cellules
nerveuses
des cornes antérieures. Pas de vacuoles. Régi
rammes chez les lapins n'exerçait aucune in- fluence sur les fibres
nerveuses
, traitées par l'aide osmique. Entre '300 à 600
action, prouvèrent que la conductilité augmente après les tractions
nerveuses
. M. Geu diffère en ce point de plusieurs autres
ans le but de chercher à modifier par cette opération les accidents
nerveux
. Après trente-deux expériences, l'auteur n'obti
e l'épilepsie. Les recherches microscopiques démontrèrent des tubes
nerveux
manifestement altérés et offrant l'apparence de
malade pour une contracture. M. Witkowski entreprit des tractions
nerveuses
chez des lapins et des cochons d'Inde et consta
ciale à la réaction musculaire qu'on constate après la trac- tion
nerveuse
chez le chien, le renard et le cochon d'Inde, e
s fonctions motrices et trophiques à un degré égal ; que l'action
nerveuse
baisse en proportion de la force de la traction
use baisse en proportion de la force de la traction; que l'activité
nerveuse
se rétablit même après des élongations violente
ette', le pro- fesseur Güssenbauer 2 maintiennent que la traction
nerveuse
peut même être observée à l'oeil nu sur la moel
expliquer par la résis- tance qu'oppose la bifurcation des branches
nerveuses
. Marshall* tout en admettant la transmission de
ezou : De quelques phénomènes consécutifs aux contusions des troncs
nerveux
du bras. Thèse de Paris, 1879. 6 Hayem. Sur les
latie. La corne postérieure était devenue conique, et ses faisceaux
nerveux
transfor- més en tissu scléreux. Les cellules n
ses faisceaux nerveux transfor- més en tissu scléreux. Les cellules
nerveuses
étaient atrophiées. Pour expliquer ces changeme
ns les cordons postérieurs (p. 577), et la disparition des cellules
nerveuses
du groupe latéral de la corne antérieure (voir
nerf sciatique, à l'endroit qui pré- cède la bifurcation du cordon
nerveux
. A ce moment, le lapin est chloroformé. On fait
t, le lapin est chloroformé. On fait ensuite passer sous le tronc
nerveux
un crochet métallique, et on opère la traction.
u- rurent spontanément. Groupe second. On glissait sous le cordon
nerveux
un ruban dont le bout supportait un poids de 50
ne traction s'élevant à 5 kilos, et aussi après la rupture du tronc
nerveux
. Somme toute, les lapins supportent assez facil
rfs tibial et plantaire). On constata une forte injection du cordon
nerveux
, toutes les fois que l'animal fut sacrifié peu
erf et occasionne in- 1 Ranvier. Leçons sur l'histologie du système
nerveux
. Paris, 1878. 2 Erlicky. - Progrès médical, 181
vants, il finit par disparaître également dans la plupart des tubes
nerveux
. Deux à trois se- maines après l'opération, on
sidu granuleux de myéline en voie de résorp- tion, à côté des tubes
nerveux
minces et délicats de nouvelle formation. On vo
traces de myéline; mais, en revanche, on trouve beaucoup de tubes
nerveux
régénérés parmi lesquels on distingue 5 PATHOLO
vant : Après une traction de la puissance de 2 kilos, les branches
nerveuses
terminales, prises à la plante du pied d'un lap
sque autant de tubes dégénérés que dans les cas de rupture du tronc
nerveux
. Il nous est arrivé maintes fois de rompre le n
ion- nelle au bout périphérique. Dans ce dernier, parmi les tubes
nerveux
altérés presqu'en totalité, on ren- contrait qu
nératrices provenant du tissu conjonctif qui entoure les faisceaux
nerveux
des deux bouts central et péri- phérique, et qu
- phérique, et qui, selon lui, se transforment plus tard en tubes
nerveux
régénérés, nous n'en avons pas trouvé. Passon
onjonctif, qui plus tard s'étend en réseau et comprime les éléments
nerveux
. Le processus morbide débute toujours dans le c
n croissant, le tissu conjonctif comprime de plus en plus les tubes
nerveux
qui dis- paraissent complètement, comme le témo
artie intramédullaire des racines postérieures et dans les cellules
nerveuses
des cornes antérieures. Après une traction de f
ercher l'explication de ce fait dans la rupture partielle des tubes
nerveux
, pro- duite par le traumatisme dû à la traction
sme également que nous attribuons les altérations dans les cellules
nerveuses
des cornes antérieures, altérations d'un ordre
tif comme le prouvent les vacuoles qu'on trouve dans les cellules
nerveuses
(Voy. fig. 3, PL. I). Comme nous avons constaté
3, PL. I). Comme nous avons constaté la vacuolisation des cellules
nerveuses
des cornes antérieures chez des lapins sacrifié
ausible d'en chercher la raison dans la rupture partielle des tubes
nerveux
qui se relient à ces cellules, que de supposer
ahissant de plus en plus le cordon postérieur empiète sur les tubes
nerveux
de ce dernier, et les fait entiè- rement dispar
disparaître. On constate en même temps du côté sain, que les tubes
nerveux
formant les faisceaux de Goll et de Burdach son
oins fortes du côté correspondant à la traction ; 8° Les cellules
nerveuses
de la corne antérieure sont bien moins nombreus
ieures et antérieures, ainsi qu'une atrophie prononcée des cellules
nerveuses
des cornes antérieures. En nous basant sur ce
stérieures et enfin à la vacuolisation et à l'atrophie des cellules
nerveuses
des cornes antérieures. Ces deux causes nous pa
ir les graves conséquences de l'élongation des nerfs sur le système
nerveux
; on est ainsi natu- rellement amené à les rapp
. 61 quand on le soumet, dans un but thérapeutique, à la traction
nerveuse
, comme on l'a fait dans ces der- nières années.
s. Indépendamment de l'atrophie et de la disparition des cellules
nerveuses
dans les cornes antérieures, les altérations, q
n atrophie des cornes et des cordons postérieurs, dont les éléments
nerveux
sont remplacés par du tissu conjonctif. En d'au
èrement envahis par du tissu conjonctif qui a remplacé les éléments
nerveux
; ces derniers font absolument défaut. La régio
'au- topsie de son malade, auquel il avait pratiqué des tractions
nerveuses
(nerfs crural et sciatique), M. West- phal cons
le. Mais, nous répondra-t-on, on ne saurait comparer une traction
nerveuse
dans un but thérapeutique, même lorsqu'elle est
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 63 lève tout le corps du malade sur le tronc
nerveux
, à l'arrachement d'un nerf avec ses racines ! C
e supposition nous paraît d'autant plus admissible, que la traction
nerveuse
produit de la sclérose et de l'atrophie des cor
'un envahisse- ment du tissu conjonctif qui comprime les éléments
nerveux
de la moelle, comment peut-elle être utile dans
leur action vitale, et accélérer en même temps l'action des centres
nerveux
restés indemnes, même alors les chances de guér
s contribuaient à rendre plus prudent dans l'em- ploi des tractions
nerveuses
. En nous basant sur tout ce qui précède, nous
ose ou cordon postérieur droit, côté de la traction. - Les éléments
nerveux
du cordon ALTÉRATIONS DE LA MOELLE EPINIERE. 68
ente. Envahisse- ment du tissu conjonctif qui remplace les éléments
nerveux
dans le cordon postérieur atrophié de la tracti
roit, tmm, 05; le cordon postérieur gauche, 1 ? 20. Fig. 3. Cellule
nerveuse
en voie de vacuolisation provenant de la corne
on du nerf sciatique droit avec une force de 5 kilos. Fig. 4. Tubes
nerveux
indemnes du bout central du nerf sciatique d'un
ite B, atrophiée marquée du cordon postérieur croit A. Les éléments
nerveux
sont remplacés par du tissu conjonctif dans tout
résorption. Prolifération des noyaux de la gaine de Schwann. Tubes
nerveux
de formation nouvelle. Archives, t. X. 5 RECU
gé de la Faculté d'Athènes, chargé du cours des maladies du système
nerveux
. Si on jette un coup d'oeil à la symptomatologi
e fille, âgée de huit ans, n'ayant dans sa famille d'autres parents
nerveux
que sa tante, qui était hystérique, a eu dans sa
r comme guéri qu'après la disparition complète de tous les troubles
nerveux
. J'irai même plus loin, et je dirai qu'il faut
s et de la curabilité des quelques mala- dies organiques du système
nerveux
central est une des plus intéressantes que la p
égénération des nerfs, nous assistons là à une véritable réparation
nerveuse
. Charcot a démontré, par l'au- topsie d'une per
qu'au milieu du tronçon de la moelle sclérosée il y avait des tubes
nerveux
qui rétablissaient les communications entre le
au point de compression, Charcot a trouvé que le nombre des tubes
nerveux
était bien au-dessous du taux normal, et cepen-
n suivante : A. quoi donc sert un nombre si considérable de tubes
nerveux
qui existent à l'état normal ? Il est certes très
circonstances extraordinaires qui nécessitent un plus grand travail
nerveux
, un plus grand nombre de fibres nerveuses se me
itent un plus grand travail nerveux, un plus grand nombre de fibres
nerveuses
se mettent en jeu; 2° à quelques cas pathologiq
t ans. Certes, à cet âge, le corps est en dévelop- pement. Le tissu
nerveux
a plus de vivacité et les phénomènes de régénér
ylindres axiles dénudés ; 4° La régénération d'un nombre de tubes
nerveux
bien au- dessous du taux normal suffit pour dét
esserons de le publier. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
A l'état PHYSIOLOGIQUE ET pathologique 1 Par
nation de 1 Voy. t. IX, p. 232 et 360. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 77 - ces deux substances est à son minimum pen
noïdes. Cette moindre décomposition provient-elle de la substance
nerveuse
; lé travail intellectuel diminue-t-il les échang
le de matière albu- minoïde qui entre dans la constitution du tissu
nerveux
et la quantité relativement considérable d'azot
es échanges nutritifs qui peuvent se passer au sein de la substance
nerveuse
. Cette diminution ne peut pas être davan- tage
e der- nier travail ne pouvant être recherchée ni dans le système
nerveux
ni dans le système musculaire, force est bien de
e repos, nous ne pouvons rattacher cette augmentation qu'au système
nerveux
lui-même. Ce premier point résolu, se pose la
dû à des échanges plus actifs se passant dans l'intérieur du tissu
nerveux
et exprime un déchet en acide phosphorique prod
, on ne conserve plus de doute que cette DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 81 augmentation ne soit due à une suractivité
admettre que l'acide phos- phorique est lié à la nutrition du tissu
nerveux
. Poursuivons notre étude. L'acide phosphorique
duit de la désassimilation des matières phosphorées de la substance
nerveuse
, il est certain que, dans les conditions or- di
ue l'activité des échan- ges qui se passent au sein de la substance
nerveuse
est suffi- samment grande, cette diminution ne
le et les échanges nutritifs qui se passent au sein de la substance
nerveuse
un rapport trop étroit pour qu'elle ne concoure
- fluence du travail intellectuel, sont absorbés par la substance
nerveuse
pour produire ce travail, et servent à compenser
ux rapports qui existent entre l'acide phos- phorique et le système
nerveux
; si nous les synthétisons, nous dirons : 1° L
ux; il porte encore sur quelques ganglions et sur quelques troncs
nerveux
en arrière. Il en résulte une paralysie complète
tion constante de la sub- stance grise (dégénérescence des cellules
nerveuses
des cornes antérieures et postérieures) rapproc
e de la dégénérescence atrophique et de la disparition des cellules
nerveuses
après l'opération sans aucun processus inflamma
si riches, si multipliées, qu'af- fectent entre elles les cellules
nerveuses
au moven de leurs prolongements dans le réseau
s cellules nerveuses au moven de leurs prolongements dans le réseau
nerveux
de la substance grise. Quant aux cordons de Gol
anglions spinaux, mais qu'elle émane de la destruction des cellules
nerveuses
qui, selon toute probabilité, servent de lieu d
s alors les réactions se font plus lentement (autonomie des centres
nerveux
péri- phériques séparés du centre spinal), et l
s paires de tubercules quadrijumeaux. » P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. SUR LES allures DES nerfs ET DES muscles mal
SUR la signification DE la formation DE vacuoles dans LES cellules
nerveuses
; par P. Rosenbach. Remarque SUR LE travail DE
NTRIBUTIONS A L'ÉTUDE DE la formation DE vacuoles dans LES CELLULES
NERVEUSES
, ganglionnaires DE la moelle, par R. SCHULZ. (N
1 Voy. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 333. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 91 t server, avant d'admettre la conclusion de
ion et formule la pathogénie suivante : le protoplasma des cellules
nerveuses
possède une certaine cohésion, une certaine ten
ée totale, deux ans et dix mois. Autopsie : compression des racines
nerveuses
de la queue de cheval par un foyer méningitique
rectement atteintes, dégénérescence descendante de plexus et troncs
nerveux
co-affectés, atrophie dégénérative des muscles.
Au début, phénomènes d'irritation de cer- 92 L) revue DE pathologie
NERVEUSE
. tains territoires des racines postérieures; pl
ndant exsudat gélatiniforme (compression des centres et des racines
nerveuses
qui en partent). P. K. IV. SUR UN cas DE scléro
dans le torrent sanguin, n'agirait pas aussi bien sur les or- ganes
nerveux
périphériques, que sur les organes centraux. L'
té de leurs éléments à leur origine. Intégrité également des troncs
nerveux
du bras droit, intégrité des racines antérieure
acuoliques avec altération du protoplasma dans les grandes cellules
nerveuses
multipolaires des cornes antérieures sacro-lomb
end à admettre l'origine infec- tieuse. P. K. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 93 VI. SUR L'EXISTENCE DE cylindraxes tuméfiés
lesquels on ne trouve qu'une altération 9'p le REVUE DE pathologie
nerveuse
. des nerfs périphériques, la moelle étant resté
t que la maladie se porte de préférence sur des segments du système
nerveux
moteur. Poliomyélite et névrite sont proches pa
IX. Contribution A l'étude DES ecchymoses sous-cutanées d'origine
nerveuse
; par 'ftl. SELLER. (Revue de médecine, 1884, no 8
tériques, autant qu'on peut supposer du moins à REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 95 cause du défaut d'exploration de la sensibi
sous les ongles des orteils, les ecchymoses sous-cutanées d'origine
nerveuse
, de dimensions fort variables, ont pour siège o
lobule pariétal inférieur de Richer. P. K. 96 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XII. SUR l'affaiblissement DES DIGESTIONS inte
ogénie comporterait trois mécanismes : l'affaiblissement du système
nerveux
nuit à l'activité cellulaire de l'intestin, san
persécrétion du suc intestinal analogue aux sueurs et à la polyurie
nerveuses
; enfin peut-être a-t-on affaire à une diarrhée
es procédés à un cas de mort apparente. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 97 XIV. CONTRIBUTION A la théorie DU DOIGT A R
indépendance du réflexe Archives, t. X. 7 98 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tégumentairc. Il est donc analogue aux réflexe
tes, on a trouvé des circonstances rendant pro- REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 99 bable l'infection antérieure. - 2° Le tabes
s malades souffrant d'hémicranie et d'autres de névroses du système
nerveux
central ont, de même, montré que, dans une appl
ques, cette aggravation provient des effets du courant sur le tissu
nerveux
sain (névrose électrique). - Il,- L'électrisati
othérapique à suivre.-14^ Ainsi, il se présente des cas de maladies
nerveuses
qui, sans se différencier d'autres cas semblabl
emble donc qu'en tel cas le courant impressionne surtout les fibres
nerveuses
cen- tripètes, qu'en tel autre il influence pri
avec ses appareils terminaux périphériques. 16e Les cas de maladies
nerveuses
périphériques curables par l'électrothérapie que
V. L'EMPLOI simultané DE DIVERS SELS DE BROME dans LES affections
NERVEUSES
ET TOUT particulièrement dans L'ÉPILEPSIE ; par
e la grand'mère est morte d'un cancer à la bouche; la mère est très
nerveuse
, irritable, a une soeur somnambule et un frère
diabétiques. ' MARCEL BRIAND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE BERLIN Séance du 14 juillet 18842. Préside
'sans importance. Il lui semble impossible de rattacher l'affection
nerveuse
à la syphilis. Ce malade, de même que d'autres
Communication annoncée de M. RosENBacH : Des allures du sys- tème
nerveux
dans l'inanitiation. Expériences sur des chiens e
des particules de sa substance. Il en est de même pour des cellules
nerveuses
ganglionnaires de l'écorce, les cellules cérébe
s gouttes d'é- ther. Les zones cutanées siègent dans les expansions
nerveuses
terminales de la peau. Il est curieux de consta
ulsions. Il est probable que le point de départ est dans les troncs
nerveux
, car ou peut également provoquer l'attaque par
alement provoquer l'attaque par la compression énergique des troncs
nerveux
qui se rendent il. la zone sous-cutanée, sur to
ogènes par l'électrisation statique, la gal- vanisation des centres
nerveux
, les inhalations anesthésiques, l'anémie locale
a conscience normale, qu'ils ont tous pour fondement un tempérament
nerveux
, d'origine héréditaire et qu'ils laisseront éga
rigine héréditaire et qu'ils laisseront également après eux un legs
nerveux
. Il rejette complètement l'existence des percep
de la folie : les arrêts ou les vices de développement des centres
nerveux
, les modifications cliniques ou physiques de la c
ale, les maladies qui retentissent par voie réflexe sur les centres
nerveux
, et enfin les blessures et les affections du ce
mentales ne soient le résultat d'une lésion primitive des éléments
nerveux
, lésion probablement mo- léculaire qui nous éch
nt que nous ne connaîtrons pas la constitution normale desmolécules
nerveuses
. Après cette pro- fession de foi, Maudsley décr
l'usage, au moins journalier, des véritables sédatifs du système
nerveux
: le chloral et l'opium. Il compare leur action à
es- pèce de coercition chimique qui s'exercerait sur les éléments
nerveux
et qui doit être prescrite au même titre que la c
rofesseur de clinique de Leipzig renferme les mala- dies du système
nerveux
. Voilà pourquoi son analyse doit prendre place
connu du public médical français. Ses recherches sur la pathologie
nerveuse
ont été, de . notre part, l'objet de nombreuses
ssues les notions aujourd'hui si bien éta- blies dans la pathologie
nerveuse
. Les indications diagnostiques très soignées tr
p. 722. Archives, l. X. 10 0 146 PHYSIOLOGIE. mêmes processus
nerveux
qui ont lieu pendant l'exé- cution du mouvement
es mots. Mme X..., âgée de trente-cinq ans, d'un tempérament très
nerveux
, mais dontles antécédents héréditaires ne nous so
cin inspecteur de Saint-Honoré-les- Bains, est fils d'une mère très
nerveuse
, irritable, pleurant facilement et se mettant,
contrariété, à' trembler de tous ses membres. Quant à lui, toujours
nerveux
, émotif, il' a été pris, peu de temps' après so
it, en général, qu'après la découverte du mot. 1 (il¡ r ? ruor,ocm.
nerveuse
. Ces observations suffisent, croyons-nous, à me
contraire et force le sujet à le répéter. (il suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
DEUX NOUVEAUX CAS DE SCLEROSE LATÉRALE AMYOTt !
ique. Enfin, comme nous l'avons dit dans l'autopsie, les cellules
nerveuses
de la couche optique quoique très nombreuses et
située bien en avant du territoire de ce faisceau ; 170 pathologie
NERVEUSE
. il est vrai que là les corps granuleux étaient
est due à la dégénération de ces fibres pyramidales 172 pathologie
nerveuse
. disséminées et aberrantes dont nous avons sign
nfin à la région lombaire où la substance grise (grandes cellules
nerveuses
et fibres nerveuses à myéline observées par la
ombaire où la substance grise (grandes cellules nerveuses et fibres
nerveuses
à myéline observées par la méthode de Weigert)
est à faire à propos des lésions médullaires sur l'état des fibres
nerveuses
au niveau des faisceaux pyramidaux sclérosés. C
rence considérable et que dans celles-ci la, disparition des'fibres
nerveuses
était- beaucoup plus générale que dans le premi
égion cervicale, mais aussi à la région D , , ü 174 Il PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dorsale où elle occupait même une certaine por
oup et dans toute sa longueur la fibre 176 G PATHOLOGIE NERVEUSE.
nerveuse
; il commencerait à telle ou telle hauteur' 1 et
ue peu à peu sa partie inférieure; de telle sorte qu'une même fibre
nerveuse
pourrait pré- senteur dans l'écorce des corps g
rées, on ne peut de leur absence conclure sûrement que les fibres
nerveuses
sont saines. La chose est évidente et il est bi
a difficulté qu'il y a à reconnaître dans des organes où les fibres
nerveuses
forment un lacis inextricable s'il y en a quelq
illc., 1S84. Prag.) 3 Ibidem. Archives, t. X. 12 178 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. moyen de l'écrasement, sous le couvre-objet, n
ion une certaine évolution est considérée comme pré- 180 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sentant au maximum et avec ses caractères les
purement et simple- 1 Charcot. - Leçons sur les maladies dn système
nerveux
, 3" rase., 2e édit., p. 240. 2 Déjerine. -Etu
al sclérose. Inann. dis- srt ? Durl>at, 188 ? , 182 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. \ baires suffisent à faire considérer son obse
égénération descen- . ' Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
. - Sclérose latérale amotophiq7ze, a édit., p.
Sclérose latérale amotophiq7ze, a édit., p. ? S0. 184 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dante suivant que la lésion primitive siégeait
l'hérédité est surtout manifeste dans la pro- duction des maladies
nerveuses
et mentales; elle est le plus souvent alors, co
us diverses, qui de près ou de loin viennent t atteindre le système
nerveux
des parents, peuvent devenir pour les enfants u
enfants une cause de prédisposition héréditaire à des af- fections
nerveuses
d'un autre ordre. Ce que le père transmet à l'e
ar l'un de nous '. 4 Bourneville. Archives des maladies mentales et
nerveuses
, 1861, p. 289. 188 CLINIQUE MENTALE. I. Fam
paternel. Le père est bien 'conformé et intelligent. La mère, assez
nerveuse
, est sujette à des accès de tristesse, revenant
ment : MALADIE DE THOMSEN. 201 ( les sujets atteints d'affections
nerveuses
ou dans leurs fa- milles ». L'observation II es
sont morts à un âge avancé sans'avoirs,eu d'affections du système
nerveux
. 1 il tBqf"l, ' Il " ` ' ,, t cm Son 'lJèl'eles
fait aucun excès. Petit cl trapu, il ne présente,' aucun phénomène
nerveux
. Marié tardivement, il a eu néanmoins une, nomb
Un tiüalrième' 'enfaÍlt ffi-ort du' CI'Ó'U'p' àl'3ë dè' trois ans,
nerveux
. Un quatrième enfant mort du croup à l'âge de tro
a survécu pendant plusieurs jours. Des diverses variétés de dypnée
nerveuse
, on doit éliminer ici, comme ne rendant pas com
à un défaut d'harmonie dans l'activité des deux REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 225 hémisphères, car chez notre malade il n'y
tement déchirées et dont il n'a aucun souvenir. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XX. Occlusion intestinale, gastrotomie, TROUBLE
guérit habituellement. Archives, t. X. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mais la marche de l'atonie parait en être accé
, gastrique fébrile, plusieurs poussées de pur- REVUE DE pathologie
nerveuse
. 227 l'ura et des douleuis s rhulllaloïdcs dans
nsistant en : analgésie complète des extré- ? ô REVUE DE pathologie
nerveuse
. mités inférieures avec conservation du sens du
multiloculaire; il n'y comprend pas le syndrome REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 229 de la paralysie spinale spasmodique. Parmi
ner a 1 Voy. Archives de Neurologie. 1 i : lO REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. atteindre les moitiés temporales des nerfs opt
ultze que la pseudo-hyper- trophie n'est pas une maladie du système
nerveux
, l'atrophie musculaire héréditaire est une myop
de la combinaison des symptômes psy- chiques avec d'autres troubles
nerveux
, souvent tout à fait passagers (convulsions, pa
t extraordinairement t rare. Guérison. P. K. VI. SUR LES CELLULES
NERVEUSES
ganglionnaires DE l'écorce DU CERVEAU DANS LA P
gs laquelle |a plupart 'des synp- ? 4Z3 SOCIÉTÉS, SAVANTES; tomes
nerveux
de l'hystérie ont une origine psychique ;sil souh
s. dans l'association des symptômes psychiques à' d'autres troubles
nerveux
souvent tout'à fait passagers, troubles qui peu
Quant' à, l'esameliüiic'i·ôscopiqite en tous ces cas; les cellules
nerveuses
, ont plus ou imomsl disparu, dans les'corps gq
ixer les cellules.' Du reste, les éléments' cellulaires des organes
nerveux
dont il a étéquestion présentaient) chez les hé
e laps de temps, l'atrophie du nerf oplique se propage aux éléments
nerveux
(cel- 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. Iules) des corps
é que la destruction d'un lobe occipital détermine sur les cellules
nerveuses
des organes placés en avant de lui les mêmes al
i , . . l' 1, t. l' l ,< i. , v. M. E. MENDEL. Sur les cellules
nerveuses
ganglionnaires de l écorce , dans la paralysie
r, il.1 ? I qu'après avoir fixe 1 j¡lstologlC normale des cellules
nerveuses
, 1 \. ,1 ' .. Il \'\\ \ \ 1 \ il ? j- '\' . I\q
est, sur-le-champ, facile de recon- naître l'atrophie des cellules
nerveuses
de l'écorce des paralytiques généraux, elle se
observations intéressantes, à tous ceux qui. s'occupent de maladies
nerveuses
et mentales. Cil. F. V. Zur physiologie des Geh
pétriére. M. le Dr BABINSEY est nommé chef de clinique des maladies
nerveuses
. Société DE médecine et chirurgie de Bordeaux.
· Vol X. Novembre 1885. N" 30 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ETUDE DES FAUSSES SCLEROSES
t .4rch. f. Psychiatrie, 1880. Archives, L. X. 20 306 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de la moelle épinière d'un tabétique, avoue qu
où, à la fin de 1881, elle fut placée dans la section des maladies
nerveuses
du professeur agrégé Tschetschoff. L'examen, fa
ffaiblie et les réflexes des tendons sont visiblemet 308 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. exagérés. La réaction des muscles et des nerfs
ce de girolle, et ensuite dans du baume de Canada. 310 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. large atteignant presque la substance grise. E
ale.- Sclérose des cordons latéraux et antérieurs. 312 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion dans la moitié antérieure de ces cordons,
parente des racines de la première paire dorsale, quelques cellules
nerveuses
des cornes antérieures semblent un peu troubles
la moelle, les changements décrits plus haut ont, dans les cellules
nerveuses
, un plus grand développement et embrassent une
a région dorsale de la moelle en diminuant peu à peu 314 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans la direction ascendante aussi bien que de
cilement des tuméfactions variqueuses des cylindres-axes des fibres
nerveuses
et des cellules- araignées très nombreuses et t
ppées qui, dans leurs prolongements s'étendent entre les éléments
nerveux
. c) En examinant les vaisseaux, nous voyons sou
es cellules-araignées. En outre, on voit le gonflement des cellules
nerveuses
et le change- ment de la névroglie. Là les symp
de la moelle épinière, 2e fascicule, 1877, p. 3w. 31 {j PATHOLOGIE
NERVEUSE
. prudente en disant littéralement ce qui suit :
latérale, me parait très vraisemblable. Quoi qu'il : 11 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. en soit, il est impossible de donner une valeu
. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3t9 320 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. est suffisant d'après notre opinion, pour expl
nvalescence d'une angine grave. La mère elle-même de l'accusé, très
nerveuse
, est sujette à de fréquentes migraines. Enfin,
sa famille. Berger me dépeint sa mère comme une femme extrêmement
nerveuse
, qui, à la moindre contrariété, entrait en état
ans d'une bronchite chronique ; carac- tère doux; n'est pas du tout
nerveux
: n'a jamais fait d'excès de bois- son, au dire
n'a fait d'excès d'aucune sorte. - Dï'ére, ménagère, n'a jamais été
nerveuse
, est morte d'un mal de jambe. - -Deux frères, q
qui est une enfant naturelle. - Mère, bien portante, sans accidents
nerveux
, change souvent de profession. Elle assure n'av
au mariage de sa maîtresse avec Hornick; il n'avait pas d'accidents
nerveux
, ne buvait pas ; il était intelligent, d'un carac
dition qu'on le surveille. Observation VII. Imbécillité. Crises
nerveuses
ci quatre ans, suivies de strabisme pendant un an
é appelé a dit que ce n'était pas des convulsions, mais une crise
nerveuse
. Après, les yeux étaient retournés et il a louché
le, ni aucune autre fièvre : n'a jamais présenté d'autres accidents
nerveux
que ceux qui sont mentionnés plus haut ; il fai
rnel, même chose. Le père des Horn... ne présentait pas d'accidents
nerveux
, mais il faisait de fréquents excès de boisson
fection, qui a des rapports si intimes avec les maladies du système
nerveux
, est une cause d'hérédité qui a certes une gran
et Marie 2 le montrent fréquemment uni par l'hérédité aux maladies
nerveuses
et surtout aux maladies mentales. Guislain s, d
'a pas reparu. Pas d'alcoo- lisme, ni de migraines, pas d'accidents
nerveux
ni rhumatismaux; caractère doux. [Père : soixan
son. - Mère : morte de la rupture d'une anévrysme ; pas d'affection
nerveuse
. - Deux frères : l'un est mort du choléra ; l'a
eux soeurs : dont l'une encore vivante, n'ont jamais eu d'accidents
nerveux
.] . Mère : quaranté-deux ans; brodeuse, intelli
ux. Mère : soixante-dix-sept ans, bien portante, pas d'affec- tions
nerveuses
. Une cousine paternelle au troisième degré de l
ntation; il survient un amaigrissement rapide et un état de marasme
nerveux
qui amènent rapidement la mort. DES FAMILLES
l'autre de dix-neuf, bien portantes, intelligentes ; aucun accident
nerveux
. 4° un garçon (Louis-Oscar), mort idiot à Marév
fille, huit ans, bien portante, pas de convulsions ni d'affections
nerveuses
; -- 100 Un garçon de cinq ans (Henri Gabriel), id
'IDIOTS. 373 Observation XII. IDIOTIE complète; ÉPILEPSIE. Crises
nerveuses
simulant des peurs; accès épileptiques (dix ans);
à deux ans. Vacciné, pas de varioloïde. Il a eu d'abord des crises
nerveuses
(deux ans); il semblait avoir peur, et tressaut
éjà un idiot dans sa famille, est elle-même sujette à des accidents
nerveux
. Ici l'hérédité se manifeste directement et les
uberculose, maladie dont la rela- tion avec les maladies du système
nerveux
, signalée par Esquirol, bien étudiée par M. Dup
et il n'est guère de médecins s'occupant de l'étude des affections
nerveuses
qui n'ait vu disparaître, sous l'influence du t
; à vingt ans, elle a eu des céphalalgies, des syncopes, des crises
nerveuses
sans convulsions, pendant une grossesse. En 188
une grossesse. En 1883. à propos d'une fausse couche, les accidents
nerveux
redoublent, syncopes, atta- ques de léthargie t
eul point réellement difficile, c'est, encore une fois, la TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 395 façon de f
tion minutieuse pourra faire reconnaître. REVUE CRITIQUE TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES ; Par M. LECORC
X DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES ; Par M. LECORCUÉ. Les troubles
nerveux
qu'on observe chez les diabétiques, signalés de
ffisante. Ces deux ordres de troubles névropathiques ' Des troubles
nerveux
chez les diabétiques. Féru et l3ernarl. Archives
ogie, 188,2, t. 1\', p. 336. 2 Dreyfous. - Patltogenie pl accidents
nerveux
du diabète sucré. Th. agr{'g-" 188a. 396 REVU
es altérations expliquent peut-être un certain nombre de phénomènes
nerveux
observés chez les dia- bétiques, et pourraient
is- tence et le siège de ces altérations et les divers phénomènes
nerveux
n'a pas été établie, jusqu'ici, d'une manière sat
ou l'intelligence, constituent pour nous les vraies manifestations
nerveuses
du diabète. Les autres, relevant le plus souven
diaire des altérations du sys- tème vasculaire. A. Manifestations
nerveuses
directes. Les troubles de cet ordre que nous av
lus ou moins prononcée est le symptôme le plus souvent ob- TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 397 Î servé (2
u à la sensation des deux pointes. 398 REVUE CRITIQUE. TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 399 matin au l
s de névralgie de l'ovaire (Cas. XXXVIII). Ce qui démontre TROUBLES
NERVEUX
DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 01 bien que la
se demander si c'est en agissant sur le muscle ou sur le système
nerveux
que le sucre arrive à produire ces effets de paré
ie d'évolution. Il apparaît dans des cas où l'anémie n'est TROUBLES
NERVEUX
dans LE diabète CHEZ LES femmes. 403 point asse
utres cas, elle se produit spontanément et paraît liée à un trouble
nerveux
(OBS. LXXII). Il est parfois difficile de la fa
ellectuels trouve son explication dans les antécédents héréditaires
nerveux
qu'on relève habituellement chez des diabétique
it un frère aliéné. , , . 404 . revue critique. B. Manifestations
nerveuses
indirectes. Nous rangeons sous ce titre les phé
ns nerveuses indirectes. Nous rangeons sous ce titre les phénomènes
nerveux
qui se rattachent à des lésions matérielles évi
ymptômes d'un diabète indiscutable préexistaient aux manifestations
nerveuses
. Ainsi, dans le premier fait de Leudet, il s'ag
e du sucre dans ses urines antérieurement à l'éclosion des troubles
nerveux
. Les manifestations symptomatiques de lésions m
rusquement. Dans le premier cas, elles sont souvent précé- TROUBLES
NERVEUX
dans LE diabète CHEZ LES FEMMES. 405 dées de la
la rétine, donnant lieu à des épanchements sanguins dans les masses
nerveuses
ou dans les enveloppes de l'encé- phale. Seegen
es dans le diabète ne relèvent pas tous de lésions rétiniennes et
nerveuses
, la fréquence de l'amblyobie, comparée à celle de
a suite des manifestations ner- veuses proprement dites. TROUBLES
NERVEUX
dans LE diabète CHEZ LES femmes. 407 La catarac
du diabète. On les voit quelquefois s'amen- 408 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. der sous l'influence du régime, comme dans cer
troubles permanents de la vue. - (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XXXVIII. NOTE SUR LES lésions TROPHIQUES DES va
façon suivante. Dans le chapitre premier inti- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 409 tulé : De la structure et des fonctions de
chaleur, petites hémorragies sous-cutanées) 410 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du côté paralysé. Aussi conclut-on à l'excitat
la basilaire et des vertébrales. Le diagnostic REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 411 [ s'appuya sur le jeune âge du sujet, la c
t l'âge de trente ans sans avoir été malade 412 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. est mort subitement. Interrogée, celle femme d
nstante avec la normale). Il s'agit d'une atrophie simple des tubes
nerveux
, sans proliféra- tion du tissu conjonctif; la n
des nerfs sensitifs. Planche à l'appui. P. K. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 413 3 XLIV. UN cas DE formation D'UN LIPOME da
ollissement). Aplatissement, mais faible dégénérescence des racines
nerveuses
droites, inté- grité des racines de gauche. Dég
action des pupilles chez les aliénés. z 414 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. Katyschew affirme qu'il se produit dans ce cas
tion de la nutrition qui entraine l'équilibre instable des cellules
nerveuses
des centres moteurs; dès lors, une exci- tation
les où il y a des cellules ganglionnaires (inaction des conducteurs
nerveux
). Le chapitre II traite du p ! iéno- mène vaso-
ux tra- vaux publiés depuis une vingtaine d'années sur les troubles
nerveux
consécutifs aux maladies aiguës. Thore ', M.
émoire de Westphal. Déjerine. Recherches sur tes lésions du système
nerveux
dans la paralysie diphthéritique ; (arch. de ph
te épreuve, un agent physique, l'électricité, a restitué au système
nerveux
l'intégrité de ses fonctions de sensibilité et
outre se former des vaisseaux nouveaux et même de nouveaux éléments
nerveux
. M. FINKELNBURG. Sw' la valeur diagnostique des
dividus sains, cinq étaient prédisposés à l'hypnose (prédisposition
nerveuse
individuelle). Sur quinze malades, sept présent
dans cet état, réceptivité qui suppose forcément une prédisposition
nerveuse
constituée par un équilibre instable dans le fo
tituée par un équilibre instable dans le fonctionnement des centres
nerveux
. Conclusion : une hypnotisation facile prouve u
ne hypnotisation facile prouve une réceptivité morbide du système
nerveux
. Autre point : il est exact, comme l'a montré Bra
régions au cerveau; de là, des excitations inégales de la substance
nerveuse
. Dans les deux premiers cas, des trous décrits
ésion caractéristique de la paralysie générale porte sur les /tores
nerveuses
à myéline intra- co¡'ticales2 du lobe frontal (
t dans les démences secondaires, tandis que la déchéance des fibres
nerveuses
'Voy.'Archivcs de Neurologie, t. VI p. 403; t.
Contribution à l'étude clinique des oedèmes périphériques d'origine
nerveuse
; par J. WmL. (Thèse de Paris, 1885.) Des paraly
me et hypnotisme. Exposé des phénomènes obsirvés pendant le sommeil
nerveux
provoqué au point de vue clinique, psychologiqu
de des albuminuries transitoires dans quelques maladies du. système
nerveux
. Brochure in-8° de U4 pages. - Prix : 2 fr. 50.
. Caféine et alcool, par Lewis, 423. Cannabinone, 122. Cellules
nerveuses
(vacuoles dans les), 90. Cérébrale (Dualité),
étenus), par Krcdlt-Ehin ? 419. Diabète chez les femmes (troubles
nerveux
dans le), par Lecorché, 395. Digestifs (troub
orie), parler- nhardt, 97. Ecchymoses sous-cutanées d'o- rigine
nerveuse
, par Keller, 9 ? Electriques (action des couran
0. Imbécillité (rapport médico-légal), 420. Inanition (troubles
nerveux
dans l'), M7. Incendies multiples, au point d
ratdehyde,parDenda,t07,249. Paralysie générale (état des cellules
nerveuses
dans la), par \Iendel, 232; par Meudet, 23,, 27
Eisenlohr.'192. Paraplégie tabétique, 23o. Pathologie du système
nerveux
, par Struemprll, 136. Pinel (inauguration de
ogique, lit, 2n3, 41G. Société de psychiatrie et des mala- dies
nerveuses
de Berlin, 116. Société française de tempérance
99; - (centrale secon- daire), 226 j - (cérébrale), 226. Système
nerveux
(nutrition du), A l'état physiologique et 'patl
ose ou cordon postérieur droit, côté de la traction. - Les éléments
nerveux
du cordon postérieur, A, sont remplacés par du
ente. Envahisse- ment du tissu conjonctif qui remplace les éléments
nerveux
dans le cordon postélieur atrophié de la tracti
, L ? t, 05; le cordon postérieur gauche, 1"n", 20. Fig. 3. Cellule
nerveuse
en voie de vacuolisation provenant de la . corn
du nerf sciatique droit avec une force de 5 kilos. Fig. 4. - Tubes
nerveux
indemnes du bout central du uerf sciatique d'un
oite B, atrophie marquée du cordon postérieur droit A. Les éléments
nerveux
sont remplacés par du tissu conjonctif dans tout
oite, 1mm, 50 ; la corne postérieure gauche, 1 ? 55 Fig. 7. Tubes
nerveux
lesés provenant du bout périphérique du nerf sc
résorption. Prolifération des noyaux de la gaine de Schwann. Tubes
nerveux
de formation nouvelle. t7t EXPLICATION DES PLAN
, chef du laboratoire d'électrothérapie de la clinique des maladies
nerveuses
à la Salpêtrière. D'' LA1V1VOIS; Professeur -ad
en collaboration, un livre de Séméiotique des maladies du système
nerveux
suivant des données et un programme spéciaux dont
tant français qu'étrangers, et les articles consacrés aux maladies
nerveuses
dans nos plus récents Traités médicaux sont-par
mble des principales notions concernant chaque affection du système
nerveux
. Et cependant, quelque .excellentes que soient
amen complet de tous les appareils au point de vue de la pathologie
nerveuse
et de tirer de cet examen toutes les conséquenc
es conséquences qui en découlent. Pour ce qui est de la Séméiologie
nerveuse
proprement dite, de celle qui a trait aux sympt
trait aux symptômes dépendant directement des trou- bles du système
nerveux
central ou périphérique, il va sans dire que so
iles, non seulement pour poser le diagnostic clinique d'une maladie
nerveuse
, mais encore pour en poser le diagnostic anato-
diculaire, les principaux points de l'Anatomie et de la Physiologie
nerveuse
et musculaire, etc., etc., ont été exposés par
s autorisés donnés par les auteurs sur l'ensemble de la séméiologie
nerveuse
. On comprendra aisément que le cadre du volume
Neurologie : le traitement de la Syphilis et de ses manifestations
nerveuses
; le traitement des Algies ; le choix et l'emplo
e sorte de compendium d'électricité médicale appliquée aux maladies
nerveuses
. Enfin, dans un ordre de faits tout différent,
, méthodes et formules usuelles de coloration élective des éléments
nerveux
, etc. Mais il faut mettre un terme à celte énum
u TABLE DES MATIÈRES. ' ? ? LA PRATIQUE NEUROLOGIQUE . TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE par le Dr POULARD Av
echercher la signification d'un trouble fonctionnel dans l'appareil
nerveux
oculaire, il faut en constater l'existence et en
il existe, pour la recherche des troubles fonc- tionnels du système
nerveux
oculaire, tant moteur que sensitif, des moyens
de et quelquefois mathématique. Grâce il eux, de tous les appareils
nerveux
de l'organisme, le plus facilement exploitable,
n perfectionnée per- mettent de constater avec précision un trouble
nerveux
oculaire moteur ou sensitif; l'hypothèse ne doi
t nous disposons pour explorer les troubles fonctionnels du système
nerveux
oculaire (nerf optique, nerfs moteurs du globe,
tations ocu- laires qui peuvent se rencontrer au cours des maladies
nerveuses
, nous déterminerons la valeur semeiologique de
TPOVLARD.] PREMIÈRE PARTIE TECHNIQUE - - DE L'EXAMEN^DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'OEIL i EXPLORATION DU NERF OPTIQUE ET DE
re lues par un oeil d'acuilé visuelle nor- male. ! 4 4 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. Quand l'acuité visuelle
pour cela, une boite de verres contenant au minimum : n - TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL .OCULAIRE. - w 3° Essayez les ver
aucoup la vision ; s'il s'agit d'une véritable amblyopie par lésion
nerveuse
, l'utilisation du trou sténopéique diminue la vis
ÉTIr. 7' . - on ne s'expose pas à mettre sur le compte d'une lésion
nerveuse
ce qui . est dû à un vice de réfraction. , Il
(Scolontes centraux pour les couleurs.) Dans certaines affections
nerveuses
, l'oeil ne voit pas la couleur de l'objet qu'il
dans le champ visuel en dehors du point de fixation. Les éléments
nerveux
de la région maculaire, si sensibles à l'état nor
ehors du centre. Puis, on fait appa- a [POCLJ ! D,] . il TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. raître au centre du cur
....................... du vert. (Morax.) [POULARD ] '10 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. z nent faire une impres
c, (1, e : ? g, h. Encoche du CY en E. Scotome en S. 12 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. Au début de certaines a
champs visuels pour les couleurs). ' ' [POULARD] ] 1 ik TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. 11 importe donc de pouv
nLenlion qu'clIcs n'onI1]38 été données. [FOULARD.] 1G ' TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. ? - " II " EXPLORATION
b', yeux normaux en fixation normale sur le point 0. 18 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE.. suration angulaire, en
s aggravations ou les améliorations. Le . [POULARD] 20 - TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE.' ? -... périmètre devie
n est incorrecte, il y a diplopie verticale. ' . 22 " -- TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. .. Mensuration de la di
ents états de réfringence, sont marqués en quadrillé. 21 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. visuelle. Il se fait d'
e jour, sont couverts par les mains de l'observateur. 2G TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL. OCULAIRE. deux mains les yeux gr
, la bougie éclaire lad et la pupille se contracte. 28 ' ; TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. . Dans ces épreuves il
ompre brusquement et à volonté la lumière. [POULARD.] aU TROUBLES
NERVEUX
. DE L'APPAREIL OCULAIRE Réflexe dans le passage
: 5, petit pignon; 4 grande roue dentée; 5r platine. 52 . TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. . V ' .. EXPLORATION
rimétrique. - DEUXIEME PARTIE VALEUR SÉMÉIOLOGIQUE DES TROUBLES
NERVEUX
DE L'OEIL i DIMINUTION DE LA VISION - AMBLYOP
aire, des milieux transparents ou des enveloppes; lésions des voies
nerveuses
reliant le globe au cerveau). Plus souvent, on
s l'immense majorité des cas, produite par une lésion de l'appareil
nerveux
optique (lésion rétinienne invisible il nos yeux,
les de l'amblyopie. PllATIQUB NEUI10L. 5 [POULARD.] 54 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. Amblyopie hystérique. L
ultat d'une lésion des voies optiques. Ils proviennent d'un trouble
nerveux
moteur du muscle ciliaire. Ils peuvent exister av
'hystérie. 71° Troubles visuels par action dynamique sur le système
nerveux
optique (rétine, nerf optique, chiasma, capsule
ose hystérique que la diminution ou la perte de la vision d'origine
nerveuse
, la diminution de la 'sensibilité rétinienne sa
arce qu'elles ne sont certainement pas le fait d'une même affection
nerveuse
. Aussi, est-ce sans conviction et seulement pour
nt le travail. Il y a comme un manque de résistance de l'appa- reil
nerveux
, quand on lui demande de fonctionner. Ces trouble
alcoolique est une altération dégénérative loca- lisée aux éléments
nerveux
de la macula. Amblyopies par le plomb, l'opium,
retour au travail de l'oeil amblyope. z . [FOULARD.] 58 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. Amblyopie héméralopique
voit, un certain nombre de ces amblyopies accompagnent des maladies
nerveuses
connues (hystérie, lésions du trijumeau, altéra-
psie) ; d'autres, tout en conservant comme intermédiaire le système
nerveux
,^ ont pour cause primitive une intoxication (al
ère spéciale, va- riant avec le siège et même la nature des lésions
nerveuses
. . La lacune peut être centrale (fig; 34). Elle
rax). ' Fig : 57. - Lacunes- intermédiaires [moraux]. 40 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. Nous avons vu (page 11)
istinction est importante, puisque, dans le premier cas, le système
nerveux
est lésé, tandis que dans le second les éléments
'index va du centre à la périphérie, moins [POULARD.] AI TROUBLES
NERVEUX
DE l ? 1t'l'11t11L OCULAIRE. étendu quand l'ind
e la périphérie du champ visuet provien- nentdes lésions du système
nerveux
optique situé en avant du olrirrwan, LACUNES DA
e entre le chiasma et l'écorcc cérébrale.- , La marche des fibres
nerveuses
qui constituent le nerf optique explique bien c
u chiasma, au point d'entre-croisement - [FOULARD] ] ? r TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. - des deux faisceaux ve
psie homonyme peut s'installer sans bruit, sans troubles du système
nerveux
. D'autres fois, c'est à la suite d'un ictus qu'
le de l'OG et donnant hémianopsie temporale de l'OG. - 4(i TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. et, au grand étoimeinen
avant des noyaux du mésocéphale et vous [FOULARD.] as. TROUBLES.
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE Fig. 41-(-.%). Hémianops
s, symétriques. Pratique "EUROI" - 4 - . [FOULARD.] 50 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. aurez une cécité complè
G. Fig. 42 (C). Ilémianopsie hétérolatérale binasale. 52 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. nopsie. La véritable hé
des symptômes variés suivant son siège. Les tractus ou les centres
nerveux
qui avoisinent les voies optiques, peuvent, en
oduire des hémianopsies en quadrant, 4 ? [FOULARD.] hA TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. des scotomes symétrique
s, puisse facilement, par extension, loucher la totalité des fibres
nerveuses
et amener une cécité complète bilatérale. Dans
rales organiques, quelle que soit leur [POULARD.] oli 1; TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. forme nodulaire ou diff
d'un grand nombre de maladies LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. 37 7
nerveuses
et particulièrement du tabes, causes fréquentes d
ia- nopsie. La syphilis est si souvent en cause dans les affections
nerveuses
qu'il faut, en présence d'un cas douteux, pense
possible de déterminer la véritable cause [POULARD.] 5S TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. de l'hémianopsie, suiva
otomes insulaires ne se rencontrent que dans les lésions du système
nerveux
périphérique (fig. 57 et fib. .I 0 S). Et encor
aux globes et par suite aux objets fixés. [FOULARD] ] 00 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE., '' - ? Vertige oculair
très simples, on peut, connaissant la [POÜGARD.] li3 12 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. fonction physiologique
ut, fausse image en bas, paralysie de l'abaissement. gaz TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. trois mètres. Il en voi
ans la para- lysie du muscle droit externe de l'OD. ' Hi TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE.. - - Cette exploration
5* [POULARD.] ] Fig. 49. -7- Schémas de diplopie. 68 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. que, si deux muscles an
ctile de chacun. Si les muscles paralysés dépendent d'un même tronc
nerveux
, du M. 0. C., par exemple, le diagnostic est fa
gt;-9). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GDOBES. 69 70 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. par le muscle droit ext
d'origine pédonculo- protubérantielle s'accompagnent de troubles
nerveux
qui permettent de les reconnaître avec facilité
résultent de l'entrecroisement à différentes hau- teurs des voies
nerveuses
motrices des yeux, de la face et des membres
érantielle touche le M. 0. E. et le facial croisés, les faisceaux
nerveux
des membres non croisés. La connaissance de c
Millard-Gubler (oeil gauche en strabisme convergent). 72 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. paralysie de l'oculogyr
cérébral au niveau du noyau du M. 0. C, à l'émergence des fibres
nerveuses
. D'après les autopsies peu nombreuses qui ont
elles inférieures (les deux yeux regardent à droite). 74 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. ou de lésions périphéri
nt plutôt le fait d'une lésion inter- médiaire portant sur le tronc
nerveux
. Cependant une paralysie d'origine tronculaire
itions, particulièrement dans la syphilis et dans quelques maladies
nerveuses
, on voit se prendre successivement les divers m
[POULARD.] Fig. 51. - Paralysie bulbaire asthénique. 76 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. parait résulter de lési
nt des centres CA et CP constituent les oculogyres. L 78 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. 1 divergence. Ces mouve
sculaires, réglant les mouvements associés (fig. 81). Des centres
nerveux
d'association existent certainement au delà de
d'association existent certainement au delà de l'origine des troncs
nerveux
, les uns dans le mésocéphale, les autres dans l
et aux noyaux d'origine des nerfs moteurs de l'oeil par des tractus
nerveux
, dont l'ensemble forme la voie des mouvements a
ssociés. Le siège des centres d'associa- tion, le trajet des fibres
nerveuses
d'association ne sont pas encore exactement dét
se produisent certainement par un mécanisme analogue, et le système
nerveux
qui les règle doit être organisé sur un type tout
ns ne produisent plus la paralysie isolée des muscles ou des troncs
nerveux
. La paralysie qu'on observe est associée ou com
e ovale; c) lésions de la capsule interne, [POULARD.] 80 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. partie antérieure au vo
agnostic entre ces deux variétés écologiques. Maladies du système
nerveux
. Hémorragies des centres ou des l'nAru,us veotc
particulière- ment ici, l'inlluence exercée sur eux par le système
nerveux
. L'iris reçoit deux ordres de filets nerveux (f
sur eux par le système nerveux. L'iris reçoit deux ordres de filets
nerveux
(fig. 58) : 1° Des filets irido-constrictcurs v
trijumeau. ' TROUBLES PUPILLAIRES. 85 La paralysie de l'appareil
nerveux
irido-constricteur amène l'irido- dilatation (m
o-consiric- tion (myosis spasmodique). La paralysie de l'appareil
nerveux
irido-dilatatcur, qu'il vienne de la moelle ou
e l'iris existe un plexus, le plexus ciliaire, formé par les filets
nerveux
des- tinés à l'iris et dans les mailles duquel
irido-clilatatrices. En vert, les voies vaso-motrices. 8 4 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. tenir compte de l'exist
s du ganglion ophtalmique. La cocaïne, excitatrice des terminaisons
nerveuses
du muscle dilatateur de l'iris, augmente la myd
sens contraire. La cocaïne dilatera la pupille si les terminaisons
nerveuses
dans le dilatateur sont intactes, c'est-à-dire
es : atropine, ésérine, cocaïne. L'atropine paralyse les extrémités
nerveuses
dans le sphincter (my- driase paralytique) ; l'
incter (my- driase paralytique) ; l'ésérine excite les terminaisons
nerveuses
dans le sphincter (myosis spasmodique). Quant Ù
is spasmodique). Quant Ù la cocaïne, elle excite les ter- miuaisons
nerveuses
dans le muscle dilatateur (mydriase spasmodique).
h. cl'oPlital., février 1905. (i** {.FOULARD.} ] 811'fIlOL'nLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. Ces caractères distinct
e, cherche à étahlir avec pré- cision le diagnostic d'une affection
nerveuse
. Dilatation PUPILLAIIOE, Myimuase. A l'encont
après l'accident primitif, sans autre lésion appréciable du système
nerveux
. Elle a pour le diagnostic de syphilis une vale
idérable. A côté de la mydriase tardive qui accompagne les maladies
nerveuses
géné- ralisées (tabès, paralysie générale, etc.
ysie de l'accommodation (Voir Accommodation). Affections du système
nerveux
. Excitation du sympathique cervical. Dans certa
que cervical (com- pression, etc.), avant la destruction des fibres
nerveuses
, il existe sou- TROUBLES PUPILLAIRES. vent un
cas de mydriase spastique. C'est encore par action sur le système
nerveux
que se produisent les mydriases spastiques qui
une mydriase paralytique, recher- chez l'existence d'une affection
nerveuse
organique. Dans la plupart des cas, vous trouve
phale (1 u meur' ou méningite). Si vous ne trouvez aucune affection
nerveuse
systématisée, rappelez-vous que la syphilis produ
uvent très près de son début, sans qu'il existe aucun autre trouble
nerveux
appréciable. Neuf fois sur dix une mydriase para-
ydriase para- lytique est le fait de la syphilis ou d'une affection
nerveuse
comme le tabès ou la paralysie générale, qui el
eulement pensez aux autres causes. G ? [POULARD.] 88 ' TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. - Si vous ne trouvez au
nte, c'est que, certainement, il existe une lésion grave du système
nerveux
, et que, à côté de cette lésion appréciable, il
ngrois pouvait à volonté dilater ses pupilles. Certaines fatigues
nerveuses
, entre autres celle qui résulte de l'abus » des
s cas, agit peut-être de la même manière. ' Affections du système
nerveux
. On rencontre le myosis dans les méningites, le
cep- tionnellement. En dehors de ces affections rares du système,
nerveux
, il en est d'autres bien plus fréquentes dans l
ns pupillaires. La déformation pupillaire, rare dans les affections
nerveuses
, se ren- contre au contraire très souvent dans
ation pupillaire sans angles rentrants. Dans ce cas, la no TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. portion non soutenue de
bome (colobome chirurgical). Les déformations pupillaires d'origine
nerveuse
diffèrent des précé- dentes. La pupille est pol
ore par l'action de l'atropine qui, dans les déformations d'origine
nerveuse
, agit sur tout le pourtour pupillaire, sans laiss
indemnes de paralysie générale, de tabès et de toute autre maladie
nerveuse
. Elles semblent dues il des atrophies partielles
lles ducs, dans certains cas, à une altération de v quelques filets
nerveux
indo-moteurs. Inégalité pupillaire. Toutes le
qu'on nomme hippus, se rencontre, rarement, dans quelques maladies
nerveuses
(méningite tuberculeuse...). On le voit aussi p
pillaire. H s'agit là d'une lésion isolée, périphérique, du système
nerveux
oculaire. Dans la mydriase paralytique par l'at
ns le myosis spasmodique (ésérine, pilo- . [PODLARD,] 92 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. carpine) ou paralytique
général, la perte du réflexe lumineux vient d'une lésion du système
nerveux
. Les mouvements réflexes lumineux de l'iris ont p
n de la rétine ou du nerf optique détruisant la totalité des fibres
nerveuses
qui le constituent : section du nerf optique, atr
ésion. Il est encore très utile en cas de simulation ou de troubles
nerveux
non organiques (amaurose hystérique). Dans bien
s, Babinski entre autres, le considèrent comme un signe de syphilis
nerveuse
. Et, de fait, presque toutes les affections nerve
ne de syphilis nerveuse. Et, de fait, presque toutes les affections
nerveuses
dans lesquelles on le rencontre ont été précédé
n ne peut cependant affirmer qu'il n'existe pas dans les affections
nerveuses
non syphilitiques. On l'a rencontré dans la scl
rarement d'ailleurs, que chez des personnes atteintes d'affections
nerveuses
(tabès, paralysie générale). On n'en connaît pa
st d'ailleurs mal connue. On ne l'a rencontré que dans des maladies
nerveuses
variées très avancées. Pillz signale encore com
sement, pupillaire dans le regard au loin. [POULARD.] 96 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL. OCULAIRE V TROUBLES DE L'ACCOM
L'APPAREIL. OCULAIRE V TROUBLES DE L'ACCOMMODATION Le mécanisme
nerveux
de l'accommodation, sans doute aussi complexe q
de Moral et Doyen. Si ces expériences sont vraies, à côté de filets
nerveux
accommo- dateurs fournis par le M. 0. C. il aur
l'accommodation avec t'age n'est nullement le résultat d'un trouble
nerveux
ou musculaire, niais provient du durcissement pro
ésulter d'une parésie de l'accommodation par compression des filets
nerveux
allant au muscle ciliaire. Il est rare que le n
euses, la paralysie de l'accommodation est le résultat d'un trouble
nerveux
. TROUBLES DE L'ACCOMMODATION. 97 Action de ce
ances la paralysie de l'accommodation s'accompagne d'autres lésions
nerveuses
intrinsèques ou extrinsèques du globe oculaire
e associé). - On ne sait pas exactement sur quels points du système
nerveux
agit la syphilis dans ces paralysies. Probablem
d'autres troubles de, inutilité des globes. Affections du système
nerveux
. Excitation du sympathique cer- vical. Si l'on
quelques dioptries. PnAT ! QUt : 'EUnOL 7 [FOULARD i)8 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. L'iris est en mydriase
p d'enfants, dont plusieurs, mais pas tous, sont d'un tempéra- ment
nerveux
. Elle' est plus rare chez les jeunes gens et les
ral, exister seul, à l'état isolé, ou s'accompagner d'autres troubles
nerveux
. Ptosis isolé. Les inconvénients du ptosis diff
pagné ou associé. Le ptosis est souvent associé à d'autres troubles
nerveux
du globe oculaire ou du reste de l'organisme. L
e [POULARD.1 lig. 59. - Ptosis hilatéral (3lnras. lui) TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. llloc'Ezuen, se serait
ariables suivant le siège. Du mésocéphale à la paupière, les filets
nerveux
du releveur suivent le trajet du M. 0. C. Du mé
i des autrcs-mouve- ments oculaires (Voir p. 77). Suivons ces voies
nerveuses
dans-leur trajet précis ou problématique, et vo
traversent. Une lésion périphérique touchant le muscle ou le filet
nerveux
du' releveur dans l'orbite, peut donner une par
ysie de [POULARDE 1 Fig. 60. - Ptosis myopathique. 102 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. - toutes les branches d
e clignement, n'est plus mouillée par les [POULARD.] 104 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. larmes, elle se dessèch
ion principale d'une maladie qui, sans être de nature exclusivement
nerveuse
, donne cependant naissance à une multitude de t
ent nerveuse, donne cependant naissance à une multitude de troubles
nerveux
, le goitre exophtalmique. C'est à ce titre qu'ell
[POULARD.] Fig. 64. Goitre exophtalmique (E. Boix). 108 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. Signe de Roserzhach. Ce
oque de la sécrétion..11 n'est pas nécessaire d'invoquer un trouble
nerveux
. Paralysies musculaires. Se voient quelquefois.
rt des autres nystagmus dont la cause est une altération du système
nerveux
. b. Quelquefois cependant, on rencontre un nyst
ésion ou d'un vice de développement de certaines parties du système
nerveux
, dont l'altération, nous le verrons, est suscep
ille dont les causes, encore mal connues, sont, peut-être d'origine
nerveuse
; à part le nystagmus (pas un vrai nystagmus) qu
champ visuel, tous les autres nystagmus accompagnent des affections
nerveuses
. Le nys- tagmus est donc avant tout une manifes
ons nerveuses. Le nys- tagmus est donc avant tout une manifestation
nerveuse
. Nystagmus des mineurs. 11 survient chez les mi
résulte, sans doute, d'une fatigue ou d'une intoxication du système
nerveux
oculaire. Nystagmus dans les affections de l'or
rôle important dans l'équilibration. Nystagmus dans les maladies
nerveuses
. Le nystagmus peut se rencontrer dans un grand
s. Le nystagmus peut se rencontrer dans un grand nombre de maladies
nerveuses
, mais avec une fréquence inégale. Dans certaine
eau. Cette variété doit être attribuée il une altération du système
nerveux
. Sclérose en plaques. On le rencontre dans la m
rencontré des lésions de diflérento nature, intéressant les organes
nerveux
précédents. Tuberculose méningée : Il existe su
us les nystagmus accom- pagnent ou sont la conséquence d'affections
nerveuses
que nous avons ? énumérées. En outre, des faits
eille, sans causes professionnelles, il faut penser à une affection
nerveuse
, à l'une de celles que nous avons énumérées, et
chique, émo- tionnel. Il s'exagère beaucoup dans certaines maladies
nerveuses
. Habituellement, l'hypersécrétion lacrymale est
cry- males, des fosses nasales. C'est un larmoiement réflexe. L'arc
nerveux
(fi ? ()5) possède une voie centripète, les fil
la paralysie du PHATIQUE XEUROL. 8 · (foulard. 1 l I¡ TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. trijumeau. Dans ce dern
aire fréquemment constatée au cours du tabès et d'autres affections
nerveuses
. Cependant, par anesthésie de l'oeil, on entend
omplique souvent d'une véritable kératite attribuée il des troubles
nerveux
et dénommée pour cette raison kératite neuro-para
tions trophiques de la cornée, une kératite trophique exclusivement
nerveuse
? (théorie tro- pliique). C'est très contestabl
ne semble pas pouvoir être réalisée exclusivement par des troubles
nerveux
trophiques. Elle est le résultat, de causes ext
tion) et infectieuses, dont l'action est facilitée par les troubles
nerveux
sensitifs, trophiques et lacrYIlIO-sl"crt'olel1
ent le Iraill'IIH'll1l'tiologifJl\('. [POULAIW.] ] 118 8 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. . - ' XI . TROUBLES D
lle est toujours liée à des alté- rations importantes de l'appareil
nerveux
visuel, microphtalmie, colo- bomes, nystagmus,
le acquis de la vision des couleurs dénote une lésion de l'appareil
nerveux
sensoriel. Les altérations de la vision résultant
n des couleurs, s'il n'y a pas de lésion concomitante de l'appareil
nerveux
sensoriel. Les affections rétiniennes amènent à
r toutes les couleurs et même le blanc. [YOULARD.] 120 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. Le glaucome altère auss
ive de la vue; l'acuité visuelle centrale [POUIARn.] 122 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL OCULAIRE. baisse, le champ visuel
dans les ampoules et, dans le vestibule part un réseau de fibrilles
nerveuses
se réunissant rapidement pour former trois rame
les cellules sensorielles de l'organe de Corti : les petits plexus
nerveux
qui se forment il leur niveau rencontrent le ga
oit. Les questions qui rattachent l'oreille aux maladies du système
nerveux
sont très complexes et témoignent d'une influen
lu Rapports des maladies de l'oreille avec les maladies du système
nerveux
; 2° Etude générale des troubles de l'ouïe; 30 M
adies de l'oreille interne et dit 1/(')'/ acous- tique; 4° Troubles
nerveux
déterminés par les lésions de l'oreille. I. RAP
I. RAPPORT DES MALADIES DE L'OREILLE AVEC LES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
Il s'agit là d'un chapitre de l'étiologie génér
lus loin le retentissement des maladies de l'oreille sur le système
nerveux
. 10 Lésions congénitales ou acquises au début d
té est une des séquelles le LES MALADIES DE L'OREILLE ET LE SYSTÈME
NERVEUX
. 127 plus souvent observées de cette grave mala
Des troubles auditifs à évolution rapide et à caractère de surdité
nerveuse
ont été signalés dans la sclérose en plaques :
urdité, comme phé- nomène post-paroxystique traduisant l'épuisement
nerveux
, au même litre que certaines paralysies passagè
ie. Elle est relativement rare. Elle existe chez beau- coup de gens
nerveux
, neurasthéniques ou hystériques, chez ceux qui
isent de l'agitation. Elle se manifesterait dans certaines maladies
nerveuses
sous l'influence du courant galvanique. Le nerf
ente une cophose absolue. Ajoutons toutefois que les surdités dites
nerveuses
présentent souvent un caractère d'intensité et
en de diagnostic entre les lésions du labyrinthe et celles du tronc
nerveux
lui-même : pour Gradenigo, dans les lésions du ne
its persistants il s'agit plutôt de dégénérescence que d'irritation
nerveuse
. Nous n'entrerons pas ici dans la description d
en deux catégories distinctes, celles qui atteignent les expansions
nerveuses
dans le labyrinthe, l'appareil de réception des
e la fièvre typhoïde, du zona. Le type le plus évident des surdités
nerveuses
infectieuses est fourni i par la iabyrintbitc o
s nerfs mesocephaliques, avec le cervelet, avec la moelle. TROUBLES
NERVEUX
LIÉS 11 : DES LÉSIONS ORGANIQUES. 159 auditifs
le qui ont d'ailleurs été étudiées avec l'aphasie. - IV. - TROUBLES
NERVEUX
DÉTERMINÉS PAR LES LÉSIONS DE L'OREILLE Pour
élucidée, la paralysie de l'abduccns, par exemple. , I. TROUBLES
NERVEUX
LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES D'ORIGINE OTIQUE
icatrice ou de plaque calcaire sur la membrane tympanique. TROUBLES
NERVEUX
LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES. 141 2° Complicat
rvention (trépanation, ponctions lombaires, etc.). II. - TROUBLES
NERVEUX
D'ORIGINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES Nous e
use pour un son donné, mais ce n'est pas constant : d'ail- TROUBLES
NERVEUX
D'ORIGINE OTIQUE SANS LESIONS ORGANIQUES. 143 l
ns l' hysté1'ie; celle-ci est facilement déterminée par la TROUBLES
NERVEUX
D'ORIGINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES. )45 p
ordre inflammatoire ou mécanique (obstruction nasale) et le système
nerveux
n'intervient qu'indirectement et accessoirement,
un point faible qui cède souvent dans les traumatismes. Les filets
nerveux
aboutissent aux glomérules du bulbe olfactif dont
décrirons d'abord : 1° les troubles de l'odorat et 2° les troubles
nerveux
consécutifs aux maladies du nez. 1. - TROUBLES
l'asthme. Elle n'agit ainsi que chez des personnes particulièrement
nerveuses
. - . Elle est parfois provoquée par l'applicati
erme, est en rapport avec l'état de la muqueuse et des terminaisons
nerveuses
. Elle se produit par épuisement dans-l'usage im
ures du crâne intéressant la lame criblée et détruisant' les filets
nerveux
, dans les exostoses, les méningites, les tumeur
la même pour des odeurs très variées. Elle dépend souvent d'un état
nerveux
, neurasthénie, hystérie, mélan- colie ; elle pe
e à la syphilis ou àl'ozène; mais le plus souvent elle est purement
nerveuse
et traduit une lésion des voies olfactives. On
ausal et utiliser la strychnine, l'électricité, etc. II. TROUBLES
NERVEUX
CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ Les maladies du
S AUX MALADIES DU NEZ Les maladies du nez occasionnent des troubles
nerveux
extraordinaire- ment variés. Les uns s'accompag
lexe; enfin on peut observer des troubles psychiques. 1° Troubles
nerveux
avec lésions organiques. -- L'in- nervation trè
névralgie sus-orbitaire essentielle sans examen des fosses TROUBLES
NERVEUX
CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ. 151 nasales et
20 abcès, cérébraux et 11 throm- ])oses des sinus. - '2" Troubles
nerveux
réflexes. Ceux-ci sont - extrêmement nombreux e
s et des vertiges, des troubles de la sphère génitale, des troubles
nerveux
divers (spasme du facial, névralgies .du trijum
repas, au début ou pendant le travail de la digestion. ' TROUBLES
NERVEUX
CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ. 155 Mais les r
t par- fois chute, que l'on observe souvent dans certaines maladies
nerveuses
, le tabès, la maladie de Basedow, etc. Quant au
le et cerveau. Dans ces derniers cas, cas d'altérations des centres
nerveux
autres que le cervelet, il est pos- sible que l
e détermine encore le vertige que par action spéciale sur les voies
nerveuses
du sens de l'espace ou en modifiant la pression
pour un même sujet, dans des conditions accidentelles défavorables,
nerveuses
, gastro-intestinales ou menstruelles. 2° Par
la circulation encéphalique et à une irritation directe des centres
nerveux
; pour d'autres, il dépendait de l'excitation du l
u morbide dans une maladie générale ou dans une maladie des centres
nerveux
, il est toute une caté- gorie de vertiges auric
st souvent fugitive : au réveil, il y a émission abondante d'urines
nerveuses
et le tremblement est fréquent. On n'ac- corde
e. On peut trouver du sang (hémorragies des méninges ou des centres
nerveux
), de la lymphocytose (méningite tuberculeuse, s
délire ou accès épileptiformes annoncent l'imminence des accidents
nerveux
plus graves. L'urémie ressemble à s'y méprendre
des phénomènes analogues (torpeur, sommeil) au cours de la syphilis
nerveuse
; mais celte éventualité demeure exception- nell
quelque fatigue ou quelque contrariété n'aient troublé l'équilibre
nerveux
du sujet. Au milieu de son sommeil, le dormeur
dune affection systématisée, ou provenir d'une maladie strictement
nerveuse
ou mentale. Les fautes d'hygiène et d'alimentat
nt également le sommeil. Dans un certain nombre de cas, l'éréthisme
nerveux
est particulière- ment intense, et l'insomnie p
e au cours des névralgies. L'insomnie symptomatique d'une affection
nerveuse
particulière est rare; il n'est guère à citer d
us loin. La parole est néanmoins, dans un grand nombre d'affections
nerveuses
organiques, scandée, répétée, spasmodique; l'ar
valeur séméiologique bien définie; on l'observe cependant chez les
nerveux
à hérédité chargée. 11 existe fré- quemment che
uelquefois des douleurs spontanées ou provoquées le long des troncs
nerveux
principaux. ' ' '. , TROUBLES DE L'ÉCRITURE.- 2
S congénilales, de tremblements, d'affections organiques du système
nerveux
, etc. Troubles du langage écrit. Les écrits che
rdon Holmes (Brain 1906). C'est une, maladie primitive des éléments
nerveux
altérés, surtout dans leur substance interfibri
souvent dans les antécédents héréditaires une affection .du système
nerveux
, l'aliénation mentale, l'épilepsie, etc. L'alco
férenciées, qui nous sont transmises par l'intermédiaire du système
nerveux
. La sensibilité est donc une des fonc- tions pr
stence de troubles sensitifs peut renseigner sur l'état du système;
nerveux
, orienter le clinicien dans une certaine direct
ar l'action extérieure de tout agent mettant en activité le système
nerveux
: la douleur il la piqûre, à la brûlure, par ex
res venant spontanément actionner les centres ou les termi- naisons
nerveuses
; les douleurs névralgiques, les engourdissements
organes terminaux, dits de réception, qui, au moyen des conducteurs
nerveux
, transmettent les excitations périphériques aux
peut dire que c'est au niveau du tégument cutané que les ori- gines
nerveuses
sensitives sont le plus différenciées. On trouve
plus différenciées. On trouve dans 1"¡"pidel'lllP des terminaisons
nerveuses
libres ou en boutons, ou des organes plus diffé
pressions sont conduites aux centres par un nombre infini de fibres
nerveuses
, qui tantôt se mélangent aux fibres motrices po
: nerf sensitif. IROVSSY.l 37C . SENSIBILITÉ. De là, les fibres
nerveuses
sensitives, pénétrant dans la moelle (pour les
'qui modifie le fonc- tionnement physiologique normal de l'appareil
nerveux
. Toute excitation violente d'un nerf sensitif p
c., on doit admettre également l'existence d'appareils et de lilets
nerveux
différents, spéciale- ment et uniquement adapté
s ou moins éloignés, et qui ne leur sont unies par aucune connexion
nerveuse
commune. Une irritation d un bouton d'acné, il
echerches cliniques courantes. Dans certaines affections du système
nerveux
, on peut observer une prolongation de perceptio
trou- verons avec le sens musculaire. C) Sensibilité des troubles
nerveux
. La pression des troncs nerveux éveille une sen
aire. C) Sensibilité des troubles nerveux. La pression des troncs
nerveux
éveille une sensation de fourmillement particuliè
ent douloureuse. On recherche en pratique la sensibilité des troncs
nerveux
, de préférence dans les régions où ils sont sup
ontraire, en clinique on peut rencontrer de t'anesthesic des troncs
nerveux
à la pres- sion. Ce signe est tout particulière
achent aucune importance aux troubles de la première en séméiologie
nerveuse
. Des travaux récents, non mentionnés encore dan
révèle pas la sensation de pression; mais ce sont les terminaisons
nerveuses
des tissus mous sous-cutanés (muscles, tendons,
ne périostée : la sensation est transmise uniquement par les filets
nerveux
du périoste. Pour Rydel (') 1. Arch. f. Psychia
nsibilité se rencontrent dans les différentes affections du système
nerveux
, de la moelle, du cerveau et des nerfs périphér
ie, des altérations des sensibilités profondes, dans les affections
nerveuses
péri- phériques et dans un grand nombre d'affec
porter un diagnostic de localisation, dans les lésions des centres
nerveux
, con- stitue néanmoins un symptôme important qu
r de grande valeur dans la discussion du diagnostic d'une affection
nerveuse
. On peut avoir affaire à une localisation périp
ariétés topogmphillucs et nous ver- rons leur valeur en séméiologie
nerveuse
tout en faisant la description des altérations
ncontrer en clinique au cours des différentes affections du svstème
nerveux
. . ÉTUDE SÉMÉIOLOGIQUE T DES TROUBLES DE LA
T DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS . DU SYSTÈME
NERVEUX
En se reportant aux données d'anatomie exposées
dont la cause ne relève pas d'un processus pathologique du système
nerveux
, mais qui paraissent dus il des altérations dynam
e peut se rencontrer soit dans les lésions destructives des centres
nerveux
(hémisphères, pédoncule, protubérance, bulbe et
olution, et qui présentent réellement une importance en séméiologie
nerveuse
. , VARIÉTÉS DE L'HÉMIANESTHÉSIE SUIVANT LE SI
peau ne revêt pas le même mode de distribution que celle des filets
nerveux
Fig. 20. Territoires cutanés du membre supérieu
554. SENSIBILITÉ.. - .... plus rarement, dans d'autres affections
nerveuses
, comme le tabès, les paraplégies par compressio
'appuie sur le développement ontogénique et phylogénique du système
nerveux
, pour admettre hypothétiquement la persistance
pothétiquement la persistance de la métamérie primitive des centres
nerveux
. Le métamère ou ne1t1'OmèTe sert à désigner chacu
core, quoique moins appa- rente, chez les reptiles, dont l'appareil
nerveux
périphérique presque 1. Voir J. LnEMUTTE, Semai
ge que s'exerce ordinai- renient l'action pathogène sur les racines
nerveuses
; on a pu l'observer clans le mal de Pott et au
précédentes, sont caractérisées par la dégénérescence des éléments
nerveux
. - Formes cliniques. De même que pour les névri
raduisent notamment l'irritation et non la destruction des éléments
nerveux
; les douleurs sont très vives ; elles sont exas
es où l'exsudat méningé, agissant par com- pression sur les racines
nerveuses
, peut être reconnu le plus souvent comme étant
opographie des troubles sensitifs, dans les affections des troncs
nerveux
, répond, d'une façon générale, à la distributio
s les névrites traumatiques (section ou compression d'un seul tronc
nerveux
). 2" Topographie monoplégique, paraplégique. Da
ue dans les névroses, au cours des affections organiques du système
nerveux
, par association hystéro-organique. Ces troub
peuvent simuler ceux qui relèvent dune lésion organique du système
nerveux
. Ils revê- tent en clinique des caractères part
niques. Ils relèvent d'une lésion évidente, pathologique du système
nerveux
, par exemple dans les psychoses toxiques, les dé-
ité des viscères peut être altérée au cours des maladies du système
nerveux
; quelquefois exaltée (hyperesthésie viscérale), e
fection. On ne les a pas notés jusqu'ici dans les autres affections
nerveuses
organiques. Dans l'hystérie on peut observer qu
icle consacré aux troubles digestifs dans les mala- dies du système
nerveux
. [ROUSSY.] 51)0 SENSIBILITÉ. LES HYPERESTHÉ
aboutissent à la fois les filets sympathiques viscéraux et les filets
nerveux
1. 1'oy. Guillain, Revue de méd., mai 1901, p.
bjectifs de la sensibilité tiennent une grande place en séméiologie
nerveuse
; souvent ce sont eux qui, les premiers, mettent
'habitude d'interroger un malade atteint d'une affection du système
nerveux
. On saura ainsi tenir compte des différences de
souvenant que tout malade, surtout s'il est atteint d'une affection
nerveuse
(aussi bien organique que fonction- nelle), est
dier ici que les douleurs notées au cours des affections du système
nerveux
. En présence d'un malade se plaignant de douleu
a peau, par la pression profonde des masses musculaires, des'troncs
nerveux
(dans les névrites), ou des os. Le signe de Lasèg
n donnée : telles, par exemple, la douleur à la pression des troncs
nerveux
dans les névrites, la douleur à la pression des
écieux et qu'il faudra toujours rechercher au cours d'une affection
nerveuse
. Si elles ne permettent qu'exceptionnellement c
léter le tableau clinique d'un grand nombre d'affections du système
nerveux
. Il n'entre pas dans le cadre de ce traité, de
ue passer rapidement en revue les principales affections du système
nerveux
dans lesquelles la douleur prend la valeur d'un
la céphalalgie que dans ses rapports avec les affections du système
nerveux
, en laissant de côté les céphalées observées au
qui la pro- voque ; mais il faut savoir que les céphalées d'origine
nerveuse
, orga- niques ou fonctionnelles, sont habituell
ment tenaces. Séméiologie. La présence de la céphalée en pathologie
nerveuse
est donc de la plus grande importance. En effet
scéralgies). Elles sont fré- quentes dans les affections du système
nerveux
et s'observent : 1° dans les maladies organique
Le type le plus fréquent est la crise gastrique (Voir art. Troubles
nerveux
de l'appareil digestif); mais on peut ob- serve
forme de zone douloureuse limitée, ne répondant pas à un territoire
nerveux
ou radiculaire. Ces douleurs sont continues ou
Séméiologie. L'importance de ces algies centrales en séméiologie
nerveuse
est considérable et tout praticien doit aujourd'h
' réalisés expérimentalement par la compression violente d'un tronc
nerveux
(cubital dans la gouttière épitrochléènne), com
s peuvent se rencontrer au cours de certaines affections du système
nerveux
, liées ou non à des altérations de la sensibili
iques n'est pas marquée dans les affections orga- niques du système
nerveux
; elle devient plus considérable dans les névro
s sont très fréquentes; leurs causes sont multiples. L'adultération
nerveuse
peut siéger soit sur les rameaux périphériques,
des veines variqueuses dilatées pour- raient comprimer des rameaux
nerveux
et des racines rachidiennes au niveau des trous
ls ont certains sièges de prédilection tels que le lieu où un tronc
nerveux
émerge d'un canal os- seux, le lieu où un filet
où un tronc nerveux émerge d'un canal os- seux, le lieu où un filet
nerveux
traverse un muscle ou une aponévrose pour se ra
pas augmentées par la pression, ne correspondent à aucun territoire
nerveux
précis, ni à aucune lésion locale. Telles sont le
membre plutôt que sur le trajet des nerfs périphériques; les troncs
nerveux
d'ailleurs sont moins douloureux à la pression
s la peau de la région endolorie, soit le long du trajet des troncs
nerveux
qui s'y rendent, soit dans la cavité arachnoïdi
laire, c'est-à-dire celles qui résultent de l'irritation des troncs
nerveux
périphériques soit par des varices des vasa ner
elles se calment si l'in- jection est poussée au voisinage du tronc
nerveux
au-dessus du point où siègent les excitations a
, à cause de la violence ou de la ténacité des douleurs, la section
nerveuse
devra être faite à la hauteur où l'injection de c
de cocaïne pratiquées sous la peau ou le long du trajet des troncs
nerveux
; mais, quand elles siègent dans la moitié infér
u membre supérieur sont limitées aux nerfs cutanés, les gros troncs
nerveux
paraissant indemnes. C'est ainsi que l'on peut
cutanés on constate souvent des points douloureux, là où les filets
nerveux
traversent les aponévroses pour se distribuer à l
ntôt on fait des injections sous-cutanées, para-nerveuses ou intra-
nerveuses
d'aneslhésiques; tantôt on a recours .il l'électr
es injections gazeuses agissent sans doute en tiraillant les filets
nerveux
et en amenant des modifications de la circulati
dans les cas de névralgies rebelles les injections dans les troncs
nerveux
d'alcool. Des résultats favorables avec cette m
malade quand la pointe de l'aiguille prendra contact avec le tronc
nerveux
, reste le seul critérium de la loca- lisation o
tion périphérique transmise par les voies cen- tripètes à un centre
nerveux
qui la renvoie par les voies centrifuges à la p
du pied la fausse épilepsie spinale qu'on rencontre chez les sujets
nerveux
à réflexes un peu forts qui se raidissent en ét
eurs il existât chez aucun des ces malades de signe d'une affection
nerveuse
. Chez les nouveau-nés, les réflexes tendineux s
n mot par toutes les conditions qui diminuent l'activité du système
nerveux
. Les réflexes rotuliens sont, augmentés, par les
avec amyotrophie, soit dans la névralgie sciatique où l'altération
nerveuse
reste très légère (Babinski). Ce que nous venon
observer les troubles des réflexes non seulement dans les toxémies
nerveuses
du diabète, mais aussi dans les accidents nerveux
ns les toxémies nerveuses du diabète, mais aussi dans les accidents
nerveux
des affections hépatiques. M. Léopold Lévi [Soc
s'agit dans ces cas de tabès fruste. En dehors des cas de syphilis
nerveuse
, Lang et Casey, A. Wood ont trouvé que 40 pour
miplégie : l'hémorragie. le ramollissement, les diverses affections
nerveuses
(scfe- rose en plaques. tabès, epifepsicjackson
ou de monoplégie crurale liée à une afleclion organique du système
nerveux
central une perturbation du réflexe plantaire d
e et il paraît pathognomonique d'une affection organique du système
nerveux
. Cette; conception de Babinski a été admise par
, si l'extension persiste, c'est qu'il y a une affection du système
nerveux
. 2° Hémiplégie. Les premières reclierclics de B
ande valeur pour le diagnostic d'une affection organique du système
nerveux
. Réflexe du fascia lata. Le réflexe du fascia l
n des orteils. Il a été observé dans diverses affections du système
nerveux
lrw Renaalt ( Thèse de Paris, 1 cJU). Réflexe a
usqu'à l'exagération sans qu'une maladie proprement dite du système
nerveux
puisse donner la raison de ces différences (Tozi)
manifester d'une façon variable dans diverses affections du système
nerveux
. Réflexe pharyngé et réflexe palpébral. On peut
itués par du tissu conjonctif fibrillaire et ils logent un faisceau
nerveux
qui vient se perdre il l'intérieur en se ramifi
e perdre il l'intérieur en se ramifiant. Si l'on remonte ces libres
nerveuses
, on peut suivre le trajet du réflexe tendineux ju
ction de la moelle; ils objectent, en effet, il la théorie de l'arc
nerveux
réflexe, ce fait que l'excitation du tendon se
bjection on peut répondre que la vitesse de propagation de l'influx
nerveux
n'est pas exactement connue; que, d'autre part, l
as une excitation mécanique directe, mais l'intervention du système
nerveux
central qui réfléchit l'excitation nerveuse ver
'intervention du système nerveux central qui réfléchit l'excitation
nerveuse
vers les nerfs et les muscles du côté opposé il l
ons de voir que les réflexes avaient leur origine dans le sys- tème
nerveux
central, il nous reste à préciser la localisation
us reste à préciser la localisation de ces réflexes dans le système
nerveux
. Cette localisation des réflexes a l'ait l'obje
exe nécessite : 1° L'intégrité anatomique et fonctionnelle de l'arc
nerveux
réflexe; 2° Un certain degré de tonus nerveux e
onctionnelle de l'arc nerveux réflexe; 2° Un certain degré de tonus
nerveux
est indispensable dans les cel- lules motrices,
stance de ces connexions, de ces cellules motrices avec les centres
nerveux
supérieurs. Comment les cellules motrices reçoi
supérieurs. Comment les cellules motrices reçoivent-elles l'influx
nerveux
des centres supérieurs ? ' ? Suivant Van Gehu
er la hauteur à laquelle chaque voie réflexe se rattache au système
nerveux
spinal. Les réflexes tendineux se mettent en ra
pinal. Les réflexes tendineux se mettent en rapport avec le système
nerveux
central aux différentes bailleurs mentionnées c
s et les grosses hémiplégies. I. Hémiplégies par lésion des centres
nerveux
chez l'adulte ou le vieillard. C'est de beaucou
membres paralysés ; d'autres fois, elles siègent le long des troncs
nerveux
; d'autres fois enflées, indépendantes de tout siè
troncs nerveux; d'autres fois enflées, indépendantes de tout siège
nerveux
ou articulaire, elles semblent bien être d'orig
la conséquence. Les hémiplégiques par lésion organique des centres
nerveux
peuvent [CROUZON.] 468 HÉMIPLÉGIE. présente
dans la production de l'hémiplégie. Certaines affections du système
nerveux
, telles épie le tahcs, la para- lysie générale,
ébilites en dehors même de toute affection systématisée des centres
nerveux
: cela tient à ce que le' faisceau pyramidal a
s, en dehors des méningites, dans certaines affec- tions du système
nerveux
, et plus rarement on a pu le constater chez des
ngite ou les réactions méningées, puis dans les maladies du système
nerveux
. Le signe de Kernig, comme nous l'avons déjà di
hi-cocaïnisat i 011. Signe de Kernig clans les maladies du système
nerveux
. Le signe de Kernig a été rencontré au cours de
vient de 4 à Ü ans après le chancre, il cette époque où la syphilis
nerveuse
fait des lésions beaucoup plus chroniques qu'au
ment, bientôt profondes, plus vastes que dans toute autre affection
nerveuse
. La fièvre, qui existe souvent d'emblée, s'allu
xtension de l'orteil). On peut dépister l'influence de l'épuisement
nerveux
, de la suggestion, de l'idée fixe [phobie) ou d
nférieurs. Dans les deux cas, il si a intégrité complète du système
nerveux
péri- plu'l'igue et central, ainsi que des arti
rne du fémur. Innervation. Le premier adducteur reçoit des filets
nerveux
de MUSCLES DU MEMBRE INFERIEUR. 545 l'obturat
ème et quatrième orteils. Innervation. Le muscle reçoit un rameau
nerveux
du plantaire externe pour son faisceau externe,
u nerveux du plantaire externe pour son faisceau externe, un rameau
nerveux
du plantaire interne pour son faisceau interne.
, 5" et 6" nerfs cervicaux. Le scalène postérieur reçoit ses filets
nerveux
des branches postérieures des nerfs cervicaux (
anches antérieures des trois premiers nerfs cervi- caux. Ces filets
nerveux
sont inclus dans l'anse de l'hypoglosse. Physio
èrent par un large tendon. Innervation. Plexus brachial. Les filets
nerveux
du grand pectoral proviennent du nerf du grand
cal profond. Le diaphragme reçoit aussi un certain nombre de filets
nerveux
issus des six derniers nerfs intercostaux; ils
de la quatrième ou cinquième cervicale. En outre il reçoit un filet
nerveux
du plexus cervical pour ses faisceaux supé- rie
xième, troisième, quatrième et cinquième côtes. Innervation. Filets
nerveux
provenant des quatre premiers nerfs intercostau
à la face externe des quatre dernières côtes. Innervation. Filets
nerveux
provenant des neuvième, dixième, onzième nerfs
Innervation. Grand nerf occipital. Le muscle reçoit aussi des 1¡leh
nerveux
provenant des branches postérieures des troisième
la face réveille, l'énergie dans l'ex- pression et dans les centres
nerveux
. » Foitx a indiqué le rôle du peaucier dans l'e
ui contribue avec d'autres racines à la for- mation d'un gros tronc
nerveux
, ne communique pas sa force motrice au tronc to
de répartition qui concentre en un même tronc définitif des filets
nerveux
qui naissent des différents noyaux moteurs supe
-claviculaire au niveau du point de Erb, par la pression des troncs
nerveux
, par la pression des masses musculaires. Ces ph
épi- nière et intéressent un plus ou moins grand nombre de racines
nerveuses
avec participation des méninges adjacentes. i
voile du palais. D'après Iiocstcr, la coexistence de l'hypoacousie
nerveuse
avec la paralysie faciale indiquerait que le sièg
l'air dans les poumons. Ces centres sont reliés par des connexions
nerveuses
allant de l'écorce au bulbe et inversement. Il
piration peut n'être pas sensi- blement gênée. L'étude des filets
nerveux
qui président aux divers mouvements du larynx,
aux divers mouvements du larynx, de leurs rapports avec les troncs
nerveux
voisins, de leur origine bulbaire, de leurs con
pneumogastrique, 5 à 6 pour le spinal), se condensent en troncs
nerveux
et se dirigent vers le trou déchiré postérieur
e, il est beaucoup plus rare qu'on puisse lui attribuer une origine
nerveuse
. On la renconlrera cependant dans l'hystérie où
qu'ils puissent se rencontrer dans certaines affections du système
nerveux
, n'ont qu'une importance très relative. Lorsqu'on
ce chapitre : 1" le spasme de la glotte des nourrissons; 2° la toux
nerveuse
; 3° le vertige laryngé; 4° les troubles laryngé
surtout les garçons à constitution faible et rachitique, d'hérédité
nerveuse
. L'accès débute brusquement par un arrêt subit
dans les vingt-quatre heures. La mort peut survenir par épuisement
nerveux
, par asphyxie ou par syncope brusque. La mortal
ante à E. Weill pour agrandir l'espace critique de Grawilz. 2" Toux
nerveuse
. La toux nerveuse laryngée est une affection ra
ur agrandir l'espace critique de Grawilz. 2" Toux nerveuse. La toux
nerveuse
laryngée est une affection rare si on réserve c
de fumée de tabac, fait plutôt songer à une inhibition des centres
nerveux
à point de départ laryngé. C'est l'opinion qu'a
aslique (Schech). Nous en rapprocherons le bégaiement, la dysphonie
nerveuse
chronique et la voix eunuchoïde. ' Cette névr
rynx n'est pas un des éléments les moins importants. B) Dysphonie
nerveuse
chronique. Étudiée par Brissaud elle correspond
me des muscles, soit quand il s'y joint certains signes d'affection
nerveuse
. Dans le premier cas, l'affaiblisse- ment muscu
, dans certains cas, une altération réelle des centres ou des voies
nerveuses
échappe à nos moyens actuels d'investigation. Com
symptôme clinique ne permet d'affirmer avec certitude que les voies
nerveuses
sont indemnes et que les muscles sont primilive-
s que l'on considère, à tort ou à raison, comme signes d'altération
nerveuse
ont été signalés, isolés ou non, chez des sujet
ractère paraissent être dues il une altération primitive du système
nerveux
soit central, soit périphérique, il n'y en a pa
elle est seulement l'un des symptômes prédominants d'une affection
nerveuse
que ses autres signes permettent de classer. L'
ment, ni anatomiquement, on ne peut affirmer qu'il y ait une lésion
nerveuse
, où, même si l'on découvrait une lésion nerveus
l y ait une lésion nerveuse, où, même si l'on découvrait une lésion
nerveuse
qui nous échappe encore, la lésion musculaire ser
er parfois non seulement sur les muscles, mais aussi sur le système
nerveux
central ou périphérique : les amyotrophies progre
lie; pachvméningite cervicale hypertrophique; certains cas de lèpre
nerveuse
, de méningo-myélite syphilitique, de tabès, de sc
e toute une classe d'amyotrophies progressives, avec ou sans lésion
nerveuse
centrale ou périphérique, qui sont héréditaires
otrophies progressives non consécutives à une altération du système
nerveux
. Tous les étals patho- logiques des muscles ne
rable, car on ne les rencontrerait pas dans les atrophies d'origine
nerveuse
. Le tissu cellulo-graisseux peut non seulement
e dégénérescence une participation, au moins accessoire, du système
nerveux
; des expériences récentes de Babinski (6), qui a
c certainement une altération, au moins fonc- tionnelle, du système
nerveux
. Mais si la présence de cette réaction a vérita
tion a véritablement une grosse valeur pour indiquer une altération
nerveuse
, son absence n'en a aucune pour éliminer l'idée
nerveuse, son absence n'en a aucune pour éliminer l'idée de lésion
nerveuse
: la preuve en est que dans les amyotrophies d'
ation des muscles on puisse conclure il l'intervention du sys- tème
nerveux
; c'est au contraire, d'après lui, dans des altéra
ions sont plus fréquentes peut- i être dans les atrophies d'origine
nerveuse
, mais elles sont loin d'y être i constantes. .
laires dans le second) avaient fait penser à l'existence de lésions
nerveuses
dont l'autopsie a révélé l'absence ou du moins
- bres est très exceptionnel ; le début, des amyotrophies d'origine
nerveuse
par la racine des membres est aussi exceptionne
est aussi la plus rapide. Les amyotrophies pro- gressives de cause
nerveuse
évoluent en général plus rapidement; pour- tant
st constant et tous peuvent s'observer clans les atrophies de cause
nerveuse
. Le diagnostic résultera d'une pari de la réuni
us les tissus, os, articulations, peau, système vasculaire, système
nerveux
, 1. Oppenheim et Casshikii. D. Zeilsch. f. Ne¡'
éniques auxquelles leur constatation a pu donner lieu. Le système
nerveux
des myopathiques n'est pas toujours, tant s'en
et dans les antécédents dès myopathiques (°). - Diverses affections
nerveuses
familiales ou héréditaires ont été signalées en
é qu'elle doit être attribuée à un trouble fonc- tionnel du système
nerveux
(Erb), voir à une affection organique des centr
u système nerveux (Erb), voir à une affection organique des centres
nerveux
encore inaccessibles à nos procédés de recherche
, soit primitivement, soit secon- dairement à une lésion du système
nerveux
ou du système circulatoire. B.-A ? 1PHIES MUSCU
nce, maladies du développement portant primitivement sur le système
nerveux
central, paraissent s'accompagner beaucoup moins
escence, Elle présente tous les caractères' de l'atrophie d'origine
nerveuse
: contractions fibril- laires, pas de pseudo-hy
phique, dans certains cas de meningo-myélite syphilitique, de lèpre
nerveuse
, etc. C\IL\CTlIOES du syndrome Duciienne-Aran.
ntre parfois dans un certain nombre de cas d'hématomyélie, de lèpre
nerveuse
, de méningo- myélite syphilitique, de tabès, de
troubles trophiques (panaris analgésique, etc.). La' lèpre à forme
nerveuse
ne s'accompagne pas toujours d'amyotro- phie ;
pres, tels que plan- ques d'anesthésie, épaississement des troncs
nerveux
, entre autres du 'cubital dans la gouttière olé
sque caractéristique et sou- vent précoce de la syphilis du système
nerveux
central (Babinski et Char- pentier), dont la co
e, mais dont l'absence ne doit pas faire rejeter l'idée de syphilis
nerveuse
, car il peut l'aire défaut dans les amyotrophie
ive de ces lésions indépendamment de toute participation du système
nerveux
. b) Atrophies « réflexes ». A la suite d'une ir
ites chroniques, tuberculeuses surtout, des arthropathies d'origine
nerveuse
, tabétiques ou syringomyéliques. Elle est tout
onnelle, et, dans le premier cas, suivant que le siège de la lésion
nerveuse
est médullaire, cérébral ou périphé- rique ; da
hique, la syringomyélie, la méningo- myélite syphilitique, la lèpre
nerveuse
, etc.; mais dans ces cas il est difficile de di
rofesseur Char- rin, nous avons montré la fréquence dans le système
nerveux
central tout particulièrement friable et vulnér
appréciables, soit dans tout l'appareil neuro-musculaire, cellules
nerveuses
, nerfs et muscles, soit seulement dans la parti
période de décroissance. 1. Lésions traumatiques des nerfs (troncs
nerveux
, plexus, racines). Dans les sections, plaies
e la transmission de la sensibilité par les nerfs voisins; le tronc
nerveux
et les masses musculaires ne sont pas sensibles
bout d'un temps plus ou moins long. Il faut rapprocher des sections
nerveuses
certaines injections médi- camenteuses, celles
évrites professionnelles » reconnaissent pour cause une compression
nerveuse
: compression du cubital par pression pro- long
sie cutanée des mains et une hyperesthésie à la pression des troncs
nerveux
aug- mentés de volume et des niasses musculaire
provoquer, dans leur cours ou dans leur décours, des inflammations
nerveuses
périphériques; dans quelques-unes le microbe sp
ains semblent porter avec prédi- lection leur action sur le système
nerveux
périphérique (alcool, plomb, mercure, arsenic,
itifs subjectifs ou objectifs, de douleurs à la pression des troncs
nerveux
ou des masses musculaires, très exceptionnellem
méthodes per- mettent de déceler des altérations minimes des voies
nerveuses
centrales et périphériques. Cette atrophie peut
iminution de la pression artérielle, troubles cardiaques; système
nerveux
et musculaire : troubles psychiques, dégénérescen
semblables à type Charcot-Marie, en plus : hypertrophie des troncs
nerveux
; cypho-scoliose; symptômes médullaires simulant l
édica- teur ou mains en pince; évolution lente (10-40 ans). Lèpre
nerveuse
: étiologie ; symptômes syringomyéliques (anesthé
ymptômes" propres : plaques d'anesthésie, épaississement des troncs
nerveux
, nodules lépreux; souvent main différente. Mé
5. Variétés anatomo-cliniques : 1 A) Lésions traumatiques (troncs
nerveux
, plexus, racines) : sections, plaies, contusion
rophies myotoniques. D'autres sont consécutifs aune altération soit
nerveuse
soit vasculaire des membres atteints. Un petit
il un tra- vail exagéré. D'une part, en effet, la lésion du système
nerveux
parai l jouer parfois un certain rôle, car on o
Myopathie hypertrophiante, hypertrophies d'origine vasculaire ou
nerveuse
, etc. In petit nombre d'observations d'hypertro
autres non; enfin les uns présentent des altérations vasculaires ou
nerveuses
manifestes et les autres en sont exempts. - .
usculaire ait été réellement primi- tive ou secondaire à une lésion
nerveuse
périphérique, ou centrale', presque tous les au
ses voies de suppléance ou de cou, pensation que fournit le système
nerveux
: aiusi par exemple, les trou- bles de la coord
ar altérations diffuses ou totales, généralement aiguës, du système
nerveux
. Chacune de ces variétés étiologiques ou topogr
des cordons postérieurs; dans le tabes, maladie générale du système
nerveux
, les altérations les plus diverses peuvent résu
périphérique, serait toujours accompagné d'altéra- tions du système
nerveux
central. D'autres infections et intoxications,
al, de tous troubles viscéraux, la douleur à la pression des troncs
nerveux
et des masses musculaires, la fréquence et souven
nt rapporte deux cas. 6. Ataxie par intoxication aiguë du système
nerveux
. Un certain nombre de toxiques, l'alcool en pre
les gastro-intestinaux. Cette symptomatologie montre que le système
nerveux
central est altéré dans son ensemble; pourtant l'
agit, selon toute vraisemblance, d'altérations générales du système
nerveux
et parce que les caractères de la vraie asynerg
rocessus initial, dégénératif héréditaire, frappant dans le système
nerveux
des sys- tèmes organiques analogues, mais disti
médullaircs; on observe quelquefois la petitesse de tout le système
nerveux
central, surtout de la moelle, l'atrophie de la
t du rachis. Mais elle s'en distingue par l'hypertrophie des troncs
nerveux
, même des troncs superficiels qui sont parfois sa
gie cérébrale infantile exceptionnellement (Rouchaud). e) Système
nerveux
entier : intoxications aiguës : Troubles associ
) Système nerveux entier : intoxications aiguës : Troubles associés
nerveux
et gastro-intestinaux; Signes d'incoordination
scles la force qu'ils avaient perdue d'abord par le défaut d'influx
nerveux
, ensuite par le manque d activité, souvent auss
ment d'une des affections organiques les plus fréquentes du système
nerveux
, l'ignorance fréquente des principes essentiels q
re osseux étroit en lequel se resserrent le bulbe et ses émergences
nerveuses
, que les influences pathogènes pourront s'excer
myoirophique, tantôt dans des infections spécifiques à localisation
nerveuse
comme la tuberculose et surtout la syphilis, tant
lles contraste étrangement avec la déchéance profonde des fonctions
nerveuses
. Isolé parfois (tabes notamment), ce syndrome n
aine. Ancien syphilitique ou artério-scléreux, il présente un passé
nerveux
chargé. On relève dans son histoire antérieure
ossesse, etc. Un très grand nombre, sinon la plupart des affections
nerveuses
, s'accompagnent de phénomènes dé- pressifs, not
ort à lui, située dans son appareil excitateur habituel, le système
nerveux
, a agi sur lui. L'expérimenta- tion, en réalisa
ue nous ne craignons pas de conclure des uns aux autres. Le système
nerveux
remplace seulement ici l'appareil électrique.
ici l'appareil électrique. Mais qu'est-ce qui sollicite le système
nerveux
, les centres moteurs Lulbo-spinaux à trop d'act
itation bulbo-spinale ne fait que refléter l'excitation des centres
nerveux
de l'écorce cérébrale. Ce dernier mécanisme est
qu'ils éprouvent et de la compression qu'ils exercent sur les filets
nerveux
qu'ils contiennent et sur les cordons nerveux q
ercent sur les filets nerveux qu'ils contiennent et sur les cordons
nerveux
qui les avoisinent. Peut-être aussi l'excès de
également dans l'hystérie, l'épilepsie, etc. Enfin divers troubles
nerveux
ne sont pas des raretés : byperesthésies, névra
sont peut-être pas négligeables, telles que la débilité du système
nerveux
par naissance avant terme, la sy- 11111t ? héré
taire, les troubles digestifs, le sevrage prématuré, l'excita- tion
nerveuse
, les trouilles le sevra-c 1)i-éiiiatiiié, Y écl
e pra- ticien arrivera quand tout sera terminé. Dans les familles
nerveuses
et si les signes d'épilepsie ne sont pas nets,
sans peine aussi les convulsions des alcooliques invé- térés (m des
nerveux
ivres : la face' du malade est typique; l'odeur d
lsions de la rage, pour en arriver tout de suite aux manifestations
nerveuses
, fébriles aussi, des infections du système nerv
manifestations nerveuses, fébriles aussi, des infections du système
nerveux
. On est en présence d'un malade qui a un état i
monie, la grippe, mais on est frappé par l'importance des réactions
nerveuses
. On recherchera les signes nerveux et on reconn
par l'importance des réactions nerveuses. On recherchera les signes
nerveux
et on reconnaîtra la méningite aiguë, la méning
es dépendent au même titre d'une per- turbation probable du système
nerveux
central. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL Y a-t-il tre
meau. Les contractions musculaires du spasme occupent un territoire
nerveux
défini, elles sont parcellaires, paradoxales et
de passer en revue les affections cérébro-spinales. les affections
nerveuses
sans lésions organiques connues, les intoxica-
ques s'observent au cours d'un grand nombre d'affections du système
nerveux
. On peut les diviser, comme le faisait Cliarcot
écède et est caractéristique d'une affection orga- nique du système
nerveux
. Nous l'avons du reste déjà étudié à propos de
nt du tremblement cloniforme qui peut se rencontrer chez les sujets
nerveux
sous certaines influences et en particulier dan
Quelquefois le début est brusque, mais n'est précédé ni d'un choc
nerveux
, ni d'une attaque quelconque. Le siège du tremble
s certains cas, l'exagération des mouvements peut entraîner un état
nerveux
spécial qui se révèle par l'insomnie et qui peut
ation des centres modérateurs ou des centres excitateurs du système
nerveux
central. Les troubles de la sensibilité sont in
par le délire de la persécution ; il dépend de la dégé- nérescence
nerveuse
et alors, il n'y a pas de relations entre l'inten
généralisée, ou un pseudo-rhumatisme infectieux. Les complications
nerveuses
peuvent également s'observer : on peut voir sur
en parti- culier l'embolie cérébrale, ou ce sont des complications
nerveuses
: délire, manie, apoplexie, coma; ce peuvent êt
causes que nous allons étudier : rhumatismes, infection, héré- dité
nerveuse
. Le rhumatisme est une cause fréquente de choré
s'expliquerait par la fréquence de l'association et de la diathèse
nerveuse
et arthritique. , . Cette théorie nerveuse a
tion et de la diathèse nerveuse et arthritique. , . Cette théorie
nerveuse
a été soutenue par Joffroy qui fait de la chorée
d'une infection, il existe des cas où cette mala- die est d'origine
nerveuse
et se développe sous l'influence du trauma- tis
ade ou par la notion du rhumatisme, d'une infection, d'une hérédité
nerveuse
que l'on fait le diagnostic de chorée de Sydenh
mplications. La chorée de Sydenham peut présenter des complications
nerveuses
, cardiaques, cutanées et articulaires. Les comp
nerveuses, cardiaques, cutanées et articulaires. Les complications
nerveuses
sont : l'hémorragie cérébrale, l'embolie cérébr
100 des cas. et elle se produit alors par état de mal ou épuisement
nerveux
, comme dans le cas de Barié pal' arrêt diastoliqu
st souvent précédée par une émotion, un traumatisme, par l'hérédité
nerveuse
suivant Hocquet (Thèse de Paris, 1888) ; elle -su
as c.lc l3echtorell' (Réunion scientifique des maladies mentales et
nerveuses
de Saint- Pétersbourg, 1896). Le pronostic de
CHORÉE VARIABLE Brissaud a écrit dans ses « Leçons sur les maladies
nerveuses
a. (2" Série, 1899), une variété de chorée qu'i
es étiologiques est l'hérédité. Ce n'est pas seulement une hérédité
nerveuse
, c'est l'hérédité similaire. Le malade atteint
sont épargnés peuvent cependant être sujets à d'au- tres affections
nerveuses
sans que cependant ce soit une règle absolue. L
mentionner l'im- portance de certaines émotions morales et'du choc
nerveux
. Quelquefois l'apoplexie a été signalée au cour
s variables, c'est surtout chez des malades entachés d'une hérédité
nerveuse
que s'observent ces myoclonies, M. Ray- mond (L
eulement la présence de myoclonies, mais encore d'autres affections
nerveuses
: la maladie des tics connue, dans des cas signal
s les chorées et les myoclonies, les prédispositions héréditaire et
nerveuse
; l'évolution se termine par la guéri- son, mais
signalé encore diverses myoclonies au cours de maladies du système
nerveux
et dans la paralysie générale (Hermann, Méditz. O
ent chez des sujets qui sont en général prédisposés à une affection
nerveuse
par leur hérédité, mais sans cependant qu'il y
dépendant vrai- semblablement d'une affection organique du système
nerveux
central dont [A. LJBAT Fig, '13, 14, 15 et 16
tisation fonctionnelle, mais met en jeu les muscles d'un territoire
nerveux
({nato1//iquement déterminé; il est immédiateme
d u torticolis commis if contre lequel des sections musculaires et
nerveuses
diverses ont été maintes fois pra- tiquées. Bri
plus, le terme « spasme » suppose une irritation organique du tronc
nerveux
moteur ou d'un point d'un arc réflexe, et le term
até de la douleur, spontanée ou à la pres- sion, le long des troncs
nerveux
, du radial en particulier. Parfois on a noté de
ccupent une place particulièrement impor- tante dans la séméiologie
nerveuse
. Susceptibles d'intéresser tous les systèmes de
'intéressant que l'épiderme et le derme Dans cer- taines affections
nerveuses
, la peau présente seulement des changements de
u du pied. On l'observe tout particulièrement à la suite des plaies
nerveuses
et dans la syringomyélie, mais on la PItATIQUE
. en zones méta- mériques-ou en bandes suivant à peu près un trajet
nerveux
, ou au con- traire se disséminer en taches plus
core diverses altérations unguéales. Consécutivement aux sections
nerveuses
, s'observe très fréquemment un état ichtyosique
mme le viti- ligo. ne relevant de façon évidente d'aucune affection
nerveuse
classée, sont-elles étroitement liées à l'infec
que nous sommes accoutumés de l'observer, se superposer à un trajet
nerveux
ou affecter une disposition métamérique. On les
onnent étroitement sur une section métamérique ou sur un territoire
nerveux
donnés, tels sont le zona et les éruptions zost
et d'un autre coté. l'origine d'un grand nombre de gangrènes dites
nerveuses
se trouve élucidée depuis que l'on a su mettre en
sgracieusement, ils semblent souvent superposés à quel que trajet
nerveux
, moins qu'ils ne paraissent affecter quelque di
es et les adiposes. On ne saurait rigoureusement, parmi les oedèmes
nerveux
, distinguer un groupe d'oedèmes aigus et un gro
ennc (d'après Pierre Marie). TROUBLES TROPHIQUES. 919 Les oedèmes
nerveux
ont quelques caractères communs que nous indiqu
nds, qui affectent une disposition symétrique le long des trajets
nerveux
(des membres, le plus souvent) ou une distribut
m ou adipose douloureuse est-elle un trouble trophique du système
nerveux
ou une dys- trophie glandulaire, peut-être thyr
ses. En revanche, les troubles mentaux dépressifs et l'asthénie
nerveuse
sont de règle. On peut ob- server, coexistant
ibution de ces plaques atrophiques ne correspond à aucun territoire
nerveux
cutané et se fait d'une façon tout à fait irrégul
lade, la faradisation du tibial postérieur, l'élongation des filets
nerveux
à distance des foyers infectés. L'amputation sera
de brûlures sou- vent graves puisque ces doigts, de par l'affection
nerveuse
en cause (névrite lépreuse ou cavité médullaire
poils sont fréquentes dans les ma- ladies organiques du système
nerveux
; celles des dents sont plus rares, parce que pe
t de la croissance des ongles a été observé dans nombre de maladies
nerveuses
, son accélération dans un certain nombre égalem
moitié du corps par exemple. Mais de toutes les atrophies d'origine
nerveuse
, l'une des plus typiques à coup sûr est l'Iaémi
n dehors de l'atrophie osseuse massive, les affections du système
nerveux
peuvent déterminer de la raréfaction des os. Ce
i cette question théorique. Articulations. Les seules arthropathies
nerveuses
vraiment importantes par leur fréquence et par
satellites de la lièvre et à rechercher, d'autre part, les maladies
nerveuses
au cours desquelles peut se, trouver l'élévation
ciée ; dans la méningite, c'est une action localisée sur le système
nerveux
cen- tral qui explique cette dissociation; dans
es microbiennes pour nous arrêter exclusivement, au rôle du système
nerveux
dans la production de la fièvre; nous envisager
ns la production de la fièvre; nous envisagerons ce rôle du système
nerveux
tout d'abord à un point de vue, et nous verrons
un point de vue, et nous verrons ensuite quelles sont les maladies
nerveuses
dans lesquelles on peut rencontrer l'hyperthermie
d'abord, la fièvre peut cire produite par l'intervention du système
nerveux
, même lorsqu'il y a un agent microbien ou une int
pour résultat la production de la lièvre. Fièvre dans les maladies
nerveuses
. - L'élévation de la température [O. r.aonzoN.7
56 HYPERTHERMIE. a été constatée dans un certain nombre de maladies
nerveuses
; elle peut être dans certains cas une complica
re est due probablement à une altération ou à une lésion du système
nerveux
. Dans ces maladies organiques du système nerveu
lésion du système nerveux. Dans ces maladies organiques du système
nerveux
, la fièvre peut être due à un état inflammatoir
pelle anhidrose. L'anidtose est due le plus souvent il des troubles
nerveux
locaux, elle s'observe au cours de sections ner
il des troubles nerveux locaux, elle s'observe au cours de sections
nerveuses
dans des cas de névrites périphériques ou dans
ose, et hématidrose qui sont quelquefois associées à des affections
nerveuses
. TROUBLES DE LA PRESSION ARTÉRIELLE La pressi
Hypertension. L'hypertension ne s'observe guère dans les maladies
nerveuses
; cependant il peut être un symptôme prémonitoire
1907), mais dans ces cas, elle n'est pas un symptôme de la maladie
nerveuse
, mais plutôt de la maladie qui en est une des c
es, les troubles respiratoires sont peu fréquents dans les maladies
nerveuses
. Comme l'étude des troubles du larynx en est fa
piration peuvent s'observer dans les affections diverses du système
nerveux
, nous allons les passer en revue. Ce sont avant
chez presque tous les sujets une prédisposition, une susceptibilité
nerveuse
. Tous les sujets ne sont pas entachés de névro-
spécialement un organe voisin de l'appareil urinaire; 5" le système
nerveux
. 1° Lésions de l'appareil urinaire. Elles peuve
tériques ou les prédis- posés héréditaires. 5° Lésions du système
nerveux
. Les névralgies vésicales de cet ordre appartie
un symptôme ou une complication de nombreuses affections du système
nerveux
. Dans l'hémorragie cérébrale, après l'ictus, la
s elle est rarement de longue durée, lorsque l'influence du système
nerveux
est seul en cause; mais les vieillards frappés
la morphine, qui agit sur la vessie par l'intermédiaire du système
nerveux
: enfin on l'observe, quelquefois volontaire, c
ion par regorgement est très fréquente dans les maladies du système
nerveux
et se produit à une époque plus précoce qu'en pré
ir est en effet moins immédiate dans certaines rétentions d'origine
nerveuse
que dans d'autres, car des trouhtessensitits se
n changer aux indications du traitement. Les rétentions d'origine
nerveuse
, s'infectent avec la plus grande faci- lité et
on). Ces variétés se retrouvent dans diverses affections du système
nerveux
. " Étiologie. Pour éviter les redites, je ren
ne notable quantité d'urine. Or, dans certaines maladies du système
nerveux
, le regorgement s'établit très vite, nous l'avo
e de ce qui vient d'être dit et dépend essentiellement de la lésion
nerveuse
. Celle-ci a-t-elle détruit ou profon- INCONTINE
(oxyures, polypes du rectum, vulvite). 4° Il existe une affection
nerveuse
bien caractérisée (épilepsie, spina- bifida, ma
hique. z La plupart des incontinents noc- tures présentent une tare
nerveuse
personnelle ou héréditaire, hystérie ou névropa
incontinence (Rochet), mais complique la rétention par excitabilité
nerveuse
.. a) Quand le sphincter est trop faible, soit c
nt dans les affections vésicales dépendant dune lésion du sys- tème
nerveux
que dans celles d'une autre nature. Celle, dispos
des germes par des conditions multiples : la diminution de l'influx
nerveux
rend les tissus moins résistants et les troubles
nts et les troubles trophi- ques observés dans plusieurs affections
nerveuses
en sont l'expression la plus élevée. L'action v
germes; aussi ne, devra-t-on sonder, dans une affection du système
nerveux
, que, lorsque le diagnostic et le Il'ai- tement
te ne présente pas de carac- tères particuliers dans ces affections
nerveuses
. L'infection vésicale revêt ici deux formes : t
te com- plication est commune dans les affections graves du système
nerveux
el constitue pour ces malades une cause fréquen
, les antiseptiques dans les complica- tions urinaires des maladies
nerveuses
à cause de la réaction toujours vive, des troub
il un moment quelconque de presque toutes les affections du système
nerveux
, mais c'est tantôt un phénomène banal, un réfle
'autres appareils, tantôt un symptôme même, des lésions du système,
nerveux
dans lesquelles la polyurie se présente avec un
cause de polyurie. qui dans certains cas n'est nullement de nature
nerveuse
, et cesse dès qu'on vide, la vessie. - La' po
rs que des sujets qui n'ont aucune tare ont parfois de. la polyurie
nerveuse
sous l'influence d'une émotion. . Diagnostic. -
rendue impose le diagnostic, mais on ne doit con- clure à l'origine
nerveuse
que lorsque toute idée de lésion. organique aura
gnalée dans un certain nombre d'observations de maladie du système,
nerveux
. Dans le tabès, dans le tétanos, dans des cas de
(traumatique) s'améliorait. On pourrait encore rattacher au système
nerveux
les anuries consécu- tives aux traumatismes gra
es observations d'anurie due exclusivement à l'influence du système
nerveux
; car les observations sont nombreuses dans lesque
ont ils souffrent réellement. On retrouve souvent chez eux une tare
nerveuse
héréditaire ou indivi- duelle. Beaucoup ont eu
une spermatorrée diurne paraît réelle. Tous ces sujets ont une tare
nerveuse
héréditaire ou per- sonnelle, beaucoup ont eu d
maginaire. Il s'agit en général d'hypocondriaques, issus de parents
nerveux
ou alcooliques qui, après avoir remarqué un phé
. Traitement. Tout d'abord, on s'adressera il la cause, la lésion
nerveuse
, s'il est possible. La médication symptomatique p
e n'a une réelle efficacité que dans les cas simples d'irritabilité
nerveuse
. . On établira une bonne hygiène, : exercice au
aves qui lui ont été annoncées. La suggestion agit souvent sur ces.
nerveux
. 13YSPEÀZMATISME On désigne sous ce nom les p
alisme fonctionnel, sous l'in- fluence d'une affection psychique ou
nerveuse
. L'anesthésie des organes génitaux peut retarde
r ici cet acte contre, nature que dans ses rapports avec le système
nerveux
, nous ne pouvons en aborder l'étiologie, car da
s cas, on se demande si l'onanisme est cause ou effet de la maladie
nerveuse
. L'influence de lésions du cervelet, considéré
ains médicaments qui paraissent agir par l'intermédiaire du système
nerveux
, action d'ailleurs souvent problématique et tou
aire, l'érection, une fois disparue, ne, revient plus, les éléments
nerveux
qui président à l'érection sont seuls atteints ;
ent plus ou moins atteintes et affaiblies. TE. DESNOS. TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF par le Dr MOUTIER Le
S NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF par le Dr MOUTIER Les troubles
nerveux
de l'appareil digestif sont de deux ordres, les u
vitent à recher- cher directement une altération définie du système
nerveux
. Des phéno- mènes étudiés, les uns se rattachen
e. Langue. La langue joue un rôle exceptionnel dans la sémiologie
nerveuse
par l'aspect de sa surface, les troubles de sa se
git là presque de Pratique neurol. 62 EF MOUTIER.] "7S TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. irohltisme (l3rissand).
cette douleur. Tantôt diffuse, tantôt super- posai) le à un trajet
nerveux
, la douleur relève directement alors de lésions
le, saturnine), mais avant de les attribuer à une lésion du système
nerveux
, il conviendra de s'assurer que l'instabilité l
e du géao-glosse intact. Le début de . [F MOUTIER] J 982 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. l'atrophie est lent, la
leau d'une paralysie périphérique , [F. MOUTIER.] .] 984 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. d'origine toxique (diph
'observent dans les lésions périphériques dépendant de compressions
nerveuses
ou de névrites, dans les lésions nucléaires des
ition, cherche à refouler du doigt . ' [F. MOUTIER.] 980 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. les aliments qu'il ne p
ou supérieur est un symptôme de névrose. 11 caractérise ces crises
nerveuses
dans lesquelles le malade est étranglé par une
urasthéniques, les surmenés. En résumé, ce qui domine la sémiologie
nerveuse
de l'oesophage, c'est le spasme, dont le syndro
le repos forcé et l'isolement, seront de rigueur dans les troubles
nerveux
graves. [F MOUTIER] 988 TROUBLES NERVEUX DE L
ueur dans les troubles nerveux graves. [F MOUTIER] 988 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. ' Ptyalisme. - La sialo
a médication psychique (Mathieu), il faut distinguer mie sialorrhée
nerveuse
, simple, existant chez les gens à estomac peu m
emps on a discuté pour savoir si les dyspepsies étaient d'ori- gine
nerveuse
ou organique, explicables en ce cas par une gastr
on, les douleurs et le retard de la motricité, sont d'ordre surtout
nerveux
et assez indé- pendants en somme des lésions et
ez indé- pendants en somme des lésions et du chimisme. La dyspepsie
nerveuse
survient avec les chimismes les plus opposés; e
e était nécessaire pour comprendre l'étroite union de la pathologie
nerveuse
et de la pathologie gastrique. Crises paroxysti
vomissement est un symptôme très fréquent au cours des auec- tions
nerveuses
les plus diverses. Nous voulons parler seulement
éclate souvent après une crise typique de la névrose. Hématémèses
nerveuses
. Le diagnostic des hématémèses d' O1'i- (fille
que l'urémie soit fréquente chez eux. [F. MOUTIER] 992 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. Troubles gastriques du
malades, favorisait la continuité des crises, et provoquait un étal
nerveux
propice il la réalisation d'accès où la simulat
edématiée PHATIQUE liEunOL. 63 . [F. MOUTI £ R.] ] 994 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. Vomissements paroxystiq
eurs crises, entre ses paroxysmes le . [F. MOUTIER.] 996 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. malade sommeille ou dél
intestinales d'ordres divers sont fréquentes au cours des maladies
nerveuses
, mais elles sont rarement douloureuses. Néanmoi
rhées paroxystiques. Elles sont des plus fréquentes en sémio- logie
nerveuse
; toutes ont des caractères communs. Elles survien
e, 1W otavicluc. Chez tout malade pré- sentant une diarrhée du type
nerveux
, il conviendra de rechercher les signes du tabe
les dans la maladie de ()li«cl : c.. , [F. MOUTIER.] 998 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. Dans la maladie de Frie
ordinaires. ? . Paralysies intestinales. La constipation d'origine
nerveuse
peut dépendre de trois facteurs principaux; ell
précédemment décrite, et le ventre se [F. MOUTIER.] 1000 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. gonfle simplement, on n
le vertébral et le latéral. SYNDROMES ASSOCIÉS * Les symptômes
nerveux
et digestifs s'enchaînent étroitement, ainsi qu
naître pour comprendre plus tard le traitement, faire la sémiologie
nerveuse
des troubles gastriques serait refaire toute la
entèro-colites subissent le contre-coup des ptôses, de l'épuisement
nerveux
, du surmenage intellec- tuel, des émotions viol
as, l'anorexie est plutit secondaire. [F. MOUTIER.] 1002 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. dire, de l'anorexie. Bi
le et non bulbaire, survenant chez des sujets tarés au point de vue
nerveux
. Le 1. I.iioi'oi.n Un : Essai sur la faim, Arc/
2. M ITBIEU et Roux : L'inanition clic : - les dyspeptiques et les
nerveux
, Masson, 1905. [F. MOUTIER.] 1004 . TROUBLES
iques et les nerveux, Masson, 1905. [F. MOUTIER.] 1004 . TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. malade éprouve en même
rs une intervention chirur- gicale. [F. MOUTIER.] 1006 TROUBLES
NERVEUX
. DE L'APPAREIL DIGESTIF, . " Enfin, certains né
e de manger, etc. En terminant cet exposé diagnostique des troubles
nerveux
et digestifs qui se mêlent et s'enchaînent, il
, l'état névropathique. Or, ce qu'il faut bien savoir, c'est que le
nerveux
faiblement touché, le névropathe simple, le neura
par exemple, des malades atteints d'un [F. MOUTIER] 1008 TROUBLES
NERVEUX
DE L'APPAREIL DIGESTIF. ulcère; le diagnostic e
ose palmaire; camptodact'lie. Goutte. Rachitisme. Arthropathies
nerveuses
(syringomyélie, tabès). Ostéomalacic. Dactyli
les altérations sont alors congénitales. Certaines arthropathies
nerveuses
, des tabétiques et surtout des syringomyéliques
éliqucs et des lépreux. Exceptionnellement un traumatisme de troncs
nerveux
, une névrite périphérique autre que la névrite
oid détermine sans doute la gangrène par l'intermédiaire de lésions
nerveuses
et vasculaires qu'il produirait directement. No
au-dessous de l'émergence ATTITUDES VICIEUSES. : 1057 7 du rameau
nerveux
du long supinateur. Dans les traumatismes graves
pied sont souvent plus gonflés qu'à l'état normal. L'arthropathie
nerveuse
, presque exclusivement tabétique, de l'arti- cu
tion des os du tarse soit primitive ou consécutive à une altération
nerveuse
ou il une attitude vicieuse intra-utérine (diff
incipales variétés de pieds-bots que l'on observe dans les maladies
nerveuses
congénitales ou acquises, myopathiques. nevriti
xquisément localisée, dont nous n'avons su préciser la cause (filet
nerveux
constant ? ). Nous étudierons aux indices la va
avancé. Inversion. Exslrophies. Malformations cardiaques. Agénésies
nerveuses
(voir plus loin). Notre regretté maître Du Cast
proportionnées avec l'état cérébral de l'immense majorité. Maladies
nerveuses
congénitales, évolutives, familiales. Ce sont l
r CROUZON L'importance de la syphilis dans l'étiologie des maladies
nerveuses
nous amène à rechercher ici comment cette syphi
tre dépistée chez un malade que l'on soupçonne atteint d'une lésion
nerveuse
spéci- fique. Nous envisagerons successivement
s de la peau peuvent, dans certains cas, coexister avec des lésions
nerveuses
à une période avancée de la maladie, de nombreu
uzon, il est révélateur de syphilis et particulièrement de syphilis
nerveuse
. La glossite exfoiialrice marginée a été consid
la maladie. z Il nous reste il mentionner les stigmates du système
nerveux
qui sont caractéristiques de la maladie. Tout
influence étiologique à cette maladie dans une affection du système
nerveux
. Il est nécessaire d'avoir toujours ces faits p
opathies déformantes ou même le rhumatisme déformant. - Stigmates
nerveux
. Nous nous attacherons plus particulière- ment
erveux. Nous nous attacherons plus particulière- ment aux stigmates
nerveux
de t liérédo-syphilis. Fournier signale les con
es résultats des recherches pratiquées dans les maladies du système
nerveux
. La réaction de Wassermann se rencontre presque
l'a rencontrée aussi dans un certain nombre de maladies du système
nerveux
où la syphilis ne pouvait être que soupçonnée : l
MENT DE LA SYPHILIS DU NEVRAXE par Georges GUILLAIN Les accidents
nerveux
d'origine syphilitique doivent être traités d'une
ns anciennes, sur les dégénérations secondaires. * Dans la syphilis
nerveuse
dont les accidents sont souvent menaçants, le t
ar les potions ne doit pas être conseillée pour traiter la syphilis
nerveuse
. Il faut avoir recours aux frictions mercuriell
'évolution du cas observé. Le traitement le meilleur de la syphilis
nerveuse
est le traitement par les injections; on connaî
tabès ou de la paralysie générale. Le traitement des manifestations
nerveuses
de la syphilis chez les enfants se fera par les
aration 000 d'Erlich). Les résultats acquis dans les cas de lésions
nerveuses
syphilitiques me paraissent trop incertains pour
éthode. [G. GUILLAIN.] 1 PERCUSSION ET AUSCULTATION DES CENTRES
NERVEUX
par le Dr F. MOUTIER Ces différentes méthodes
ertains cas, cet état du liquide était dû à la syphilis des centres
nerveux
. La valeur de cette coloration est telle, que le
. Schmid, peut être augmentée dans certaines affections des centres
nerveux
suivant Sicard, Quincke, etc. A l'état normal
s de certaines méningites tuberculeuses; dans certains cas d'urémie
nerveuse
. La perméabilité à l'égard du mercure a été con
n'est pas exactement en rapport avec l'intensité de la dégénération
nerveuse
: elle est presque constante chez les tabétique
enant étudier. ÉTUDE DU LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN DANS LES MALADIES
NERVEUSES
Le liquide céphalo-rachidien, dans les maladies
MALADIES NERVEUSES Le liquide céphalo-rachidien, dans les maladies
nerveuses
chroniques qui sont le principal objet de cet o
verdâtre a encore une très grande valeur; en dehors des affections
nerveuses
, cette teinte n'a a été observé que dans l'urém
1995), ont constaté la leucocytose au cours des quelques trou- bles
nerveux
passagers qui se rencontrent dans la scarlatine.
arlatine. Au cours de la variole, malgré l'intensité des phénomènes
nerveux
observés parfois (céphalée-vomissements-rachial
rète mais certaine et qui témoignait de la participation du système
nerveux
. . Enfin, Hartmann (de Vienne) a pu reconnaître
o-diagnostic dans la syphilis. 1° Cyto-diagnostic dans la- syphilis
nerveuse
. L'existence d'une lymphocytose dans le tabes et
l'étude du liquide céphalo-rachidien dans les cas de manifestations
nerveuses
syphilitiques. ' Widal et Le Sourd ont constaté
bservé une lymphocytose énorme et en plus la présence d'une cellule
nerveuse
dont ils attribuent l'origine à un foyer de morti
cation médullaire. A côté de ces grands accidents de la syphilis
nerveuse
, les petits acci- dents de la syphilis nerveuse
ents de la syphilis nerveuse, les petits acci- dents de la syphilis
nerveuse
ont aussi présenté de la lymphocytose : tel est
hérédo-syphili- tiques et l'a toujours trouvée liée à des troubles
nerveux
. 2° Cyto-diagnostic dans la syphilis, sans acci
oubles nerveux. 2° Cyto-diagnostic dans la syphilis, sans accidents
nerveux
. L'existence de la lymphocytose au cours d'acci
idents nerveux. L'existence de la lymphocytose au cours d'accidents
nerveux
de la syphilis ont amené Milian, Crouzon et Par
halée ne pouvait pas être une première manifestation de la syphilis
nerveuse
. Sur huit syphilitiques examinés; deux ont pré-
ière où on constata la lymphocytose dans la syphilis sans accidents
nerveux
, elle eut d'autre part un intérêt diagnos- tiqu
e céphalo-ra- chidien puriforme au cours de la syphilis des centres
nerveux
. Cyto-diagnostic dans les affections oculaires.
fections oculaires. Nous avons vu plus haut à propos de la syphilis
nerveuse
que le cyto-diagnostic n'avait été positif que
traitement d'un certain nombre d'affections douloureuses du système
nerveux
, il reste néanmoins une méthode analogue encore u
érapeutique). Schématiquement, il est constitué par : a) des signes
nerveux
(céré- 1]rau, cérébelleux, pédonculaires, protu
i-infectieux; c) des modifications du liquide venlriculaire. Signes
nerveux
. Déterminés en grande partie tout au moins par
ic commode, mais peu précis, de polyurie essentielle, de glycosurie
nerveuse
, etc. Une autre cause d'erreur résulte de ce qu
ter leurs expressions sympto- matiques il la souffrance des centres
nerveux
voisins et, par conséquent, présenter une physi
ui traversent t'épithéhum épendymaire et vont adultérer les centres
nerveux
contigus; mécanique, elle résulte de la compres
dans les gaines périvasculaires et arrivent au contact, des noyaux
nerveux
. (Leur progression descendante explique comment
lle). Mais quelles conclusions en tirer si ce n'est que les centres
nerveux
périépendymaircs s'accommodent mieux d'une comp
tions du radiodiagnostic il l'élude des lésions directes du système
nerveux
central se trouveront limitées : soit aux cas o
ces modifications pourront être dues soit il une maladie du système
nerveux
central ou périphérique, soit à des affections
les auteurs, il tort, ou à raison, parmi les maladies du sys- tème
nerveux
, affections dont l'origine est en réalité peu con
d'une précision et d'une clarté exceptionnelles ; enfin des malades
nerveux
, des agités, des alcooliques, des dyspnéiques,
E. B. L'ASPECT RADIOGRAPHIQUE a ' DANS LES DIFFÉRENTES AFFECTIONS
NERVEUSES
t Nous passerons rapidement en revue les applic
culaires des extrémités, con- sécutives à des affections du système
nerveux
central ou périphérique; 4° Affections osseuses
à savoir la production de cals osseux exubérants et de compression
nerveuse
: mais ces cals se pro- duisent dans le rachis
S OSSEUSES ET ARTICULAIRES CONSÉCUTIVES A DES AFFECTIONS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL OU PÉRIPHÉRIQUE Les arthropathies tab
uses dystrophiantes ne sont pas toutes dues à une lésion du système
nerveux
; la plupart même semblent être dues il des auto
ophiantes, c'est, à tort ou à raison, parmi les maladies du système
nerveux
que les auteurs ont pris coutume de les ranger
lle en voie de développement oui montré la résistance de la cellule
nerveuse
jeune aux rayons de Hôntgen. Un long fraitoncnt
es la multiplication des tentatives théra- peutiqucs sur le système
nerveux
central. Elles ont été laites avec un certain s
l'ayons. Mais existe-t-il au point de vue de la sensibilité du tissu
nerveux
des inconvénients aU ribuables à des applicatio
s .appliquées sur une tumeur volumineuse distante ou non du système
nerveux
central. C'est ainsi que l'on a pu employer dans
lus précoce et avant la destruction par le néo- plasme des éléments
nerveux
qu'il comprime; ainsi chez deux malades de Labe
du pouls diminue, le tremblement des mains et les autres symptômes
nerveux
s'améliorent rapidement, par contre le volume d
des névralgies sympto- matiqucs liées à une compression du système
nerveux
périphérique par une tumeur sensible aux rayons
tabès. [d. LÉRL] 1190 RADIOLOGIE. La radiothérapie des maladies
nerveuses
, encore mal connue et imprécise dans ses indica
CTRICITÉ . AU DIAGNOSTIC ET AU TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
par E. HUET ' Chef dit Service d'Élcclrothéra
t Service d'Élcclrothérapie de la Clinique des .Maladies du système
nerveux
a ta la Salpètiiére. L'électricité est souvent
pour le diagnostic, soit pour le traitement des maladies du système
nerveux
. Les modes d'application de l'électricité sont
s du courant galvanique au traitement et au diagnostic des maladies
nerveuses
. Comme les électrodes sont habituellement placées
s les applications du courant galvanique au traitement des maladies
nerveuses
sont insignifiants en raison des faibles intens
mais encore dans des modifications de la conductibilité de J'influx
nerveux
et dans des modifications de l'état électrique de
. Le courant descendant est celui qui suit la direction de l'influx
nerveux
moteur; il est réalisé lorsque le pôle positif es
l est réalisé lorsque le pôle positif est placé du côté des centres
nerveux
et le pôle négatif du côté de la périphérie. Le
: DU COUTANT galvanique Pour appliquer au traitement des maladies
nerveuses
les actions de l'état variable du courant galva
E DANS LES ÉTATS PATHOLOGIQUES . Dans les affections du système
nerveux
et dans les affections de l'appa- reil moteur,
s. Il en est de même dans un certain nombre d'affections du système
nerveux
central, particulièrement dans celles qui attei
n- traux. Il en est parfois de même dans les altérations du système
nerveux
périphérique, lorsque ces altérations sont légè
galva- Li - nique, peut s'observer dans des affections du système
nerveux
central, encéphale et moelle, surtout à leur dé
n genre de courants qu'avec l'autre. Dans les affections du système
nerveux
central qui atteignent plus par- ticulièrement
it que, par suite de la lenteur du processus d'atrophie, les libres
nerveuses
et les fibres musculaires se trouvent détruites l
tion de dégéné- rescence sont masquées par les réactions des libres
nerveuses
et muscu- laires encore peu atteintes. Dans l
tion simple de l'excitabilité électrique sur certains ter- ritoires
nerveux
et de la réaction de dégénérescence sur d'autres
e celle que nous venons de voir, assez bénigne pour les territoires
nerveux
avec simple diminution de l'excitabilité, plus
porte l'excita- tion, alors que d'autres muscles du même territoire
nerveux
, mais plus éloignés, restent mexcilables. Exemp
à quelques semaines, c'est généralement le cas sur les territoires
nerveux
des membres et du tronc ; parfois elle se prolong
plus particulièrement cette évolution de la DR dans les affections
nerveuses
à marche progressive, comme la sclérose latéral
rescence dans les processus chroniques Dans les maladies du système
nerveux
qui portent sur les neurones moteurs périphériq
arquées de ces altérations dans une partie au moins des territoires
nerveux
atteints par la maladie, ou bien si on n'en a p
lle, noyaux du bulbe et de l'isthme de l'encéphale), ou les racines
nerveuses
motrices qui en partent, ou les fibres nerveuse
e), ou les racines nerveuses motrices qui en partent, ou les fibres
nerveuses
dans les plexus, ou les nerfs dans leur trajet
celle-ci se trouve exactement limitée à un ou plusieurs territoires
nerveux
périphériques, il est vraisemblable d'admettre
ulaire, le diagnostic se trouve orienté vers des lésions de racines
nerveuses
répondant à cette topographie radiculaire. La con
phériques, il est facile de voir dans quelles affections du système
nerveux
elle doit se rencontrer et dans quelles autres af
apparaissant sur de nouveaux muscles ou sur de nouveaux territoires
nerveux
, à intervalles plus ou moins éloignés, de sorte
aux cellules des cornes antérieures, soit avec des lésions de racines
nerveuses
, soit avec des lésions de nerfs périphériques.
ET.] 1258 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. communément dès que les altérations
nerveuses
sont un peu prononcées. On la rencontre habitue
, tantôt complète, tantôt partielle, suivant la gravité des lésions
nerveuses
; dans quelques autres, elle allecte les allures
s, la DR se localise plus particulièrement sur certains territoires
nerveux
ou sur certains groupes musculaires, faisant défa
R ne se trouve pas régulièrement répartie dans tous les territoires
nerveux
périphériques atteints, et les autres conditions
remplaçant une DR complète indique une rétrocession des altérations
nerveuses
. Dans les affections nerveuses d'ordre plus spé
e une rétrocession des altérations nerveuses. Dans les affections
nerveuses
d'ordre plus spécialement médical on doit faire
hronique, etc., la DR partielle indique seu- lement des altérations
nerveuses
moins accentuées que la DR complète, mais elle
t eu le temps de se produire; dans les jours qui suivent une lésion
nerveuse
ou l'invasion d'une maladie atteignant les neuron
ons de nerfs périphériques mais encore dans des lésions des racines
nerveuses
et dans des lésions des cornes antérieures; ell
orte l'électrode excitatrice sur un autre muscle du même territoire
nerveux
, on constate la présence de l'excitabilité de ce
ant, le muscle se gonfle et éloigne ainsi l'élec- trode des rameaux
nerveux
qui le pénètrent généralement par sa face profond
ralement par sa face profonde; comme c'est au niveau de ces rameaux
nerveux
que se produit surtout l'excitation fara- dique
loureuse. Si l'excitation porte au niveau d'un tronc ou d'un rameau
nerveux
, la sensation se propage dans la sphère de dist
APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ AU TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
Pour exposer les applications de l'électricité
plications de l'électricité au traitement des mala- dies du système
nerveux
nous ne passerons pas en revue une par une ces
rêtons sont forcément artificiels, et nombre de maladies du système
nerveux
s'étendent dans plusieurs groupes; nous en tien
ans la moelle, soit dans leurs prolongements périphériques, racines
nerveuses
et nerfs. Dans ce second groupe nous ferons ent
ique, activer sa résorption et faciliter la réparation des éléments
nerveux
comprimés ou partiellement détruits. On ne met
et sur les muscles retentissent par action réflexe sur les centres
nerveux
; elles augmentent la contracture qui est une m
fibres radiculaires dans leur trajet intra-médullaire, aux racines
nerveuses
intra-rachidiennes. Pour le moment nous aurons pa
elle comme les poliomyélites anté- rieures aiguës, soit les racines
nerveuses
comme les radiculites dans la méningite cérébro
tres. Ces complications sont souvent dues à des lésions des racines
nerveuses
; elles peuvent aussi dépendre de lésions concomit
nes des nerfs, et parfois de lésions ou d'altéra- tions des racines
nerveuses
dans leur partie comprise entre la moelle et le
ns sont assez fréquentes dans un assez grand nombre de paraly- sies
nerveuses
périphériques; elles se rencontrent parfois aussi
ites localisées ou par lésions des nerfs, des plexus ou des racines
nerveuses
, il existe de la DR plus ou moins prononcée : Le
r la joue au niveau du buccinateur, des zygomatiques et des rameaux
nerveux
se rendant à l'orbiculaire des lèvres; il la pa
Poil), de lésions des méninges rachidiennes, de lésions des racines
nerveuses
, de lésions des organes du bassin. Dans certain
n plus particulière des douleurs en certains points des territoires
nerveux
atteints; généralement il y a avantagea j'l cho
d'endolorissement ou d'engourdissement continu dans le territoire,
nerveux
atteint, accompagné souvent d'ilypcrcstliésie ave
irigeant les rayons sur la colonne vertébrale au niveau des racines
nerveuses
et des centres d'innervation correspondant aux
e dès laquelle on a commencé à appliquer au traitement des maladies
nerveuses
l'électricité fournie par les machines statique
alement sur les parties latérales, en suivant le trajet des cordons
nerveux
profonds, grand sym- pathique, pneumo-gastrique
u tronc et les quatre membres, en suivant le trajet des gros troncs
nerveux
et des muscles de manière à faire contracter légè
t les phénomènes de dépression ou de faiblesse irritable du système
nerveux
. [E HUET ] 1554 ÉLECTROTHÉRAPIE. La galvani
e exophtalmique a été considéré pendant longtemps comme une maladie
nerveuse
que l'on rapportait soit il des troubles bulbaire
lésions cardiaques ou rénales, intoxications, infections, maladies
nerveuses
ou de la nutrition. Parfois ces troubles précèden
e voudrais simplement indiquer quelles sont les maladies du système
nerveux
qui paraissent bénéficier des différentes modal
soit par une lésion cérébrale soit par une intoxication des centres
nerveux
, ne me paraît justiciable de l'hydrothérapie qu'a
une pratique normale chez tous les indivi- dus, enfants ou adultes,
nerveux
ou non. METHODES 1 D'ÉTUDE DES CENTRES NERV
ants ou adultes, nerveux ou non. METHODES 1 D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
TECHNIQUE DES EXAMENS ANATOMO-PATHOLOGIQUES
ANATOMO-PATHOLOGIQUES par Georges GUILLAIN Formolage des centres
nerveux
avant l'autopsie. Les lésions cadavériques se d
'autopsie. Les lésions cadavériques se développent dans les centres
nerveux
avec une grande rapidité, surtout pendant les s
ande pour l'étude microsco- pique et même macroscopique des centres
nerveux
. C'est pour obvier à ces inconvénients primordi
e l31cètre une technique spéciale consistant à formuler les centres
nerveux
le plus longtemps possible avant l'autopsie. Il s
arcelle, et lorsque les deux os pariétaux, les AUTOPSIE DES CENTRES
NERVEUX
. 1517 7 « deux frontaux et l'écaillé de l'occip
a entourée d'un [G GUILLAIN.] 1548 8 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. fil et l'on aura ainsi une indication topograp
Brissaud se pratique de dedans en dehors, elle AUTOPSIE DES CENTRES
NERVEUX
. 15113 passe par le milieu de la tète du noyau
dans le but de . [G. GUILLAIN 1 1550 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. faciliter le durcissement et la pénétration de
C'est immédiatement après l'autopsie qu'il faut mettre les centres
nerveux
dans les liquides fixateurs et durcissants. Au fo
iquide de Müller. , INCLUSIONS. 155t de petits fragments (système
nerveux
central, ganglions, nerfs périphé- riques). Ces
ion du cerveau et de la moelle. 1552 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. ou de bulbe, davantage pour les fragments plus
es de cytologie fine. Ces inclusions disloquent facilement le tissu
nerveux
. Voici le procédé qui, d'après Gombault et Phil
sur des feuilles , [G GUILLAIN] 1554 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. de papier closet très mince : ces feuilles de
de Cox pour la coloration de la substance achromatique des cellules
nerveuses
, les procédés de Freud, Schmaus. Stroebe pour l
ès intéressantes au point de vue de l'histologie normale du système
nerveux
de l'homme et de la série ani- male, mais elles
des études d'anatomie pathologique humaine. Coloration des cellules
nerveuses
, de la névroglie, du tissu con- jonctif et des
iel' est spécialement recommandable pour les colorations du système
nerveux
. Il est préférable de faire les coupes sur des pi
rouge moins foncé, les gaines de myéline jaune clair, les cellules
nerveuses
ont leur protoplasma coloré en rouge, leur noya
nent pas de résultais spécialement utiles sur les coupes du système
nerveux
. Le procédé de coloration en masse de Foret par
- lent pour l'étude de la névroglie. De petits fragments du système
nerveux
de 1/5 à li2 centimètre d'épaisseur sont fixés
elquefois dans [G. GUILLAIN.] ] 1556 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. « le corps de la cellule des boules de graisse
des dans la solution suivante : ¡;jars MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. différencialeur de substance colorante. Le liq
ne ; ° 1.c liquide de Gothanl : 15GO MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. heure dans l'alcool absolu). Eclaircir par le
rte dans cette solu- tien : - '131\2 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. Méthode de Marchi. Les pièces sont fixées et m
pour l'étude des dégénérations secondaires récentes dans le système
nerveux
central. Méthode d'Exner. Des fragments de cerv
l préconise le fixateur suivant : 1504 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. conseille de colorer sur lame. A cet effet, ap
il 90° et passées dans l'eau distillée. De minces tranches de tissu
nerveux
et les nerfs peuvent être, avant l'inclusion, c
37" dans la solution suivante : 1566 MÉTHODES' D'ÉTUDE DES. CENTRES
NERVEUX
. 90 centimètres cubes de la solution I, à 10 ce
.. 1567 Liquide d'Angladc : ` , 1568 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. A) Solution saturée il froid de sublimé; les c
ntité de la solution suivante : 1570 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. chlorure d'or il 1 pour 100 dans 10 centimètre
aide de la solution suivante : ici72 2 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
. 3° On peut, après avoir employé la méthode de
osmique puisse pénétrer dans toute l'épaisseur du nerf. Le « tronc
nerveux
est placé ensuite, pendant vingt-quatre heures, d
endant quelques secondes avec : 1574 ' MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES
NERVEUX
B) Méthode lente la safranine (Durante). 1° M
rminer indirectement les connexions de certaines régions du système
nerveux
entre elles. [G. GVILLAWl INDEX ALPHABÉTIQUE
on, 219. Anatomie pathologique. Technique des examens des centres
nerveux
, 1545. Anconé. Innervation, physiologie, 552.
étiologique, 184. Traite- ment, 187. Appareil digestif. Troubles
nerveux
, 977. Séméiologie des voies digestives sn- pé
tisme, 972. Onanisme, 975. Im- puissance, 974. oculaire, troubles
nerveux
, '1.. - Troubles sensilifs, I'15. urinaire, t
rophie musculaire, 707. - cérébrale, vertiges, 170. Arthropathies
nerveuses
, 931, 952. du poignet, 1026. du cou-de-pied,
s lé- sions du. cerveau, 763. par intoxica- lion aiguë du système
nerveux
, 764. 1(ibyi-itithiqile, 765. héréditaire, in-
)77. Voy. Nerf. Audition colorée, z, ' Auscultation des centres
nerveux
, 1118. Auto-accusation (Idées d' -), 241. Aut
es d' -), 241. Automatisme ambulatoire, 192. Autopsie des centres
nerveux
, 1545. Avellis (Syndrome d' -), 472, 649. Azo
72. Bactériologie du liquide céphalorachi- dien dans les maladies
nerveuses
, 1152. Barbouillage et gâtisme, 1011. Baresth
men, '118. -corticale; 47, Celloïdine, inclusions, 1551. Cellules
nerveuses
, coloration au carmin, 1555. coloration électiv
, 594. du larynx, 1157. Centres moteurs bulbaires du larynx, 658.
nerveux
. Percussion et auscultation, IH8. Technique des
Dyspermatisme, 972. Traitement, 973. ' Dysphonie spaslique, 655.
nerveuse
chronique, 656. Dyspnée, 940. Dyspneumie, 1
2. Électricité. Application au diagnostic des maladies du système
nerveux
, 1191. Courants galvaniques, 1191. Courants f
radiques, 1238. Application au trai- tement des maladies du système
nerveux
. Maladies de l'encéphale et de la moelle, 128
mes satellites, 954. Causes, 93 : i. - Fièvre dans les mala- dies
nerveuses
, 955, ! IaG.-Irslé7'Iq7cc, inexistence, 958. ty
ce, 958. typhoïde, atrophie musculaire, 725. Fixation des centres
nerveux
. Liquide de Millier, liquide de Fol, 1350. -For
. Voy. Carmin. Formol comme fixateur, 1351. Formolage des centres
nerveux
avant l'autopsie, 1545. Foville (Syndrome typ
iques, 258. motrices, 259. Valeur séméiologique, 240. Hématémèses
nerveuses
, 99). z Hématomyélie, troubles de la sensibilit
corps, 445. - phénomène des orteils, 45). par lésion des centres
nerveux
chez l'adulte ou le vieillard, 462. Diac.- kh
flexe, 652. Névroses. Spasme de la glotte des nour- rissons. Toux
nerveuse
. Vertige laryngé. 655. Troubles laryngés dans l
s médicamenteuses, infections, intoxications, maladies du système
nerveux
. Importance relative des diverses causes, 86, 8
rachnoïdiennes ou épidurales, injections d'alcool dans les troncs
nerveux
, 422. Radiothérapie, . 1189. Névrite ascendan
47. Nez, maladies, 147. - Troubles de l'odo- rat, 148. - Troubles
nerveux
consé- cutifs aux maladies du nez, 150. Nissl
rveux consé- cutifs aux maladies du nez, 150. Nissl. Voy. Cellule
nerveuse
. Nodosités d' Hebenlen. - de Boucharrl" 1025.
triques, 995. - hys- térique de la main, 1028. - du pied, 1046. -
nerveux
, 919. segiiieit- taine des membres inférieurs,
membres inférieurs, 1046. OEil (Technique de l'examen du système
nerveux
de 1' -), 2. - Troubles des milieux transparent
adies de l'oreille interne et du nerf acoustique, 132. - Troubles
nerveux
déterminés par les lésions de l'oreille, 19.- P
140. Complications intracraniennes des otites, 14 1. - Trou- bles
nerveux
d'origine otique sans lé- sions organiques. Tro
e de la lésion. Paralysie d'un mus- cle, 68. - Paralysie d'un filet
nerveux
, paralysie d'un tronc nerveux, 69. Paralysie
us- cle, 68. - Paralysie d'un filet nerveux, paralysie d'un tronc
nerveux
, 69. Paralysie d'origine pédonculo-protubé- r
ompres- sion, tumeurs cérébrales, méningites, maladies du système
nerveux
, 81. - Infections, intoxications, 82. - Traite-
Paralysies oculaires d'origine -), 70, 75. Percussion des centres
nerveux
, 1118. Péritoine. Séméiologie, 997. Péritonis
1 ü5. - Aspect radioora- i'iiique dans les différentes affections
nerveuses
. - Traumatismes de la moelle et du cerveau, 111
e et du rachis, i 171.- Déformations osseuses dans les affections
nerveuses
, ] )7t.Afïcctions osseuses dystrophiantes, 1 l7
ique. Généralités, 118-4. -- Traitement de diverses af1'ec- tions
nerveuses
. Syringomyélie, paraplé- gies spasmodiques, -11
s de la sensibilité, 504. - Troubles dans les affections du système
nerveux
, 0 . - Affections de l'encéphale, 305. - de l
uise, 1105. - cu- tanés, - muqueux, 1105. - viscé- raux, 1 100. -
nerveux
, 1 i 0 i . - de la syphilis héréditaire, 1107.
cutanés, muqueux, tesliculaires, tut08. - os- seux, articulaires,
nerveux
. dvstrophi- ques, 1109. - oculaires de l'hyst
101 Ii, 1042. Syphilis, ataxie, 711 1. - Cytodiagnostic dans la -
nerveuse
, I 158. Cyto- diagnostic dans la-sans accidents
l,- 888. - Traitement électrique, 15 ! 40. Toux gastrique, 996. -
nerveuse
, 655. Transversaire du cou. Innervation. phy-
x. Syndromes ven- l'ItICUL.IIRFS. Syndrome' inflammatoire, signes
nerveux
, 1147. - Symptômes toxi-infectieux, 1149. - Mod
vaux français et étrangers touchant, de près ou de loin, au système
nerveux
et à ses maladies (Anatomie, Histologie. Physio
écemment parus sur une ou plusieurs questions concernant le système
nerveux
et ses maladies. Ces indications sont méthodiquem
artistique. Elle réunit les mémoires originaux relatifs aux maladies
nerveuses
ou mentales, ainsi que les travaux ayant trait
e la Salpê- trière s'occupent exclusivement des maladies du système
nerveux
. Elles se complè- tent l'une par l'autre, la pr
MERIE CHAULES ARCHIVES DE rut NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES i> il n 1. 1 É t. sons 1,1 n [ i
Vol. JX. Janvier 1885. N" 25. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
COMMOTION DE LA MOELLE éPINIèRE 'ETUDE CLINIQ
nt étudié cette question, entre Archives, t. IX. i 2 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. autres Erichsen, Page, se sont élevés avec rai
'étude plus complète de l'anatomie et de la physiologie des centres
nerveux
a montré des différences notables dans les cond
6. 5 Injuries of the spine and spinal cord, 1883. le - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. parties molles extérieures, par les articulati
lutition est normale, la respiration et la circulation 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sont régulières. Le malade perd ses matières f
essaie de les soulever. Un peu plus de mobilité dans 8 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la jambe gauche que dans la jambe droite ; du
s et très bornés d'extension de l'avant-bras droit. 10 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il soulève à une assez grande hauteur le membr
sensation douloureuse; elle n'est pas perçue à la 12 1-) PATHOLOGIE
NERVEUSE
. jambe droite, elle l'est à la cuisse droite et
usquiame ; la dose est portée à six centi- grammes. 14 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 123° jour. Disparition delà contracture dans l
tionnée à la région cervicale. A la partie supérieure 16 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de la région dorsale, la coupe présente une dé
ues-uns on constate une tuméfaction du cylindre-axe. Les cellules
nerveuses
de la substance grise sont nombreuses, présente
t les mêmes caractères que dans la région cervicale. Les cellules
nerveuses
sont plus altérées; elles sont rares, déformées;
° Région lombaire. Légère sclérose du cordon latéral ; les cellules
nerveuses
grosses, nombreuses, sont saines. En résumé, le
la région dorsale. (A suivre.) Archives, t. )X. 2 is PATHOLOGIE
NERVEUSE
. EXPLICATION DE LA PLANCHE I. FIG. 1. Coupe t
00 diamètres environ (ocul. 2, Nachet. Obj. 3, Verick). a, a, Tubes
nerveux
d'inégales grosseurs, dont le cylindre-axe est ta
le cylindre-axe est tantôt petit, tantôt comme tuméfié. d, Tubes
nerveux
vides. b, Cellule de la névroglie, sans noyau;
nce vaguement fibrillaire et pointillée, interposée entre les tubes
nerveux
(sclérose au début) qui se trouvent ainsi plus él
nts de la lésion du faisceau pyramidal croisé. Fi(;. 4.- Celliles
nerveuses
des cornes antérieures de la substance grise en
ace de la cellule qu'un amas de granu- lationsjaunâtres. CLINIQUE
NERVEUSE
ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE P
nu- lationsjaunâtres. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION
NERVEUSE
CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION MOTRICE AC
ù Bouteille publiait son livre jus- tement apprécié, les affections
nerveuses
dans lesquelles l'incoordination motrice était
3 Bouteille. Traité de la chorée, iSI8. Avant-propos. 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. 1818, de grands progrès ont été accomplis et l
om de pseudo-claorées ou chorées fausses à différentes affections
nerveuses
, spasmodiques,convulsives, hystériques, etc., q
anor- male. Paris, 1850. * Sandras. Traité pratique des maladies
nerveuses
, t. II, p. 3t. Paris, 1851. DE l'incoordinati
dicale de l'Hilel-Dieil, t. II, Se édit., p. 267-268. 22 CLINIQUE
NERVEUSE
. tout le tic. Ce sont, non seulementun éclat de
pas qu'il existe d'autres documents importants sur 2t. le CLINIQUE
NERVEUSE
. 013SLIRVITION' I. Première partie : Itard :
présentes de la société. L'explication qu'elle donne - 26 CLINIQUE
NERVEUSE
. de la préférence que sa langue, dans ses écart
nt encore bien portants. Il est impossible de relever d'antécédents
nerveux
, syphilitiques ou alcooliques chez les parents
jambes, surtout la droite, se fléchissent et se redres- 28 CLINIQUE
NERVEUSE
. sent alternativement, le pied droit venant fra
s, mais il est encore écholalique; si on l'appelle dans 30 CLINIQUE
NERVEUSE
. la rue, il ne manque que rarement de répéter s
le séjour à la campagne, où l'enfant a passé huit mois 32 CLINIQUE
NERVEUSE
. consécutifs, a paru avoir d'abord un heureux e
ique, comme le bromure de potassium et autres sédatifs du système
nerveux
... tout a échoué (23 février 1881.).» C'est à c
l'âge de huit à neuf ans, sans cause appréciable, sont 3t CLINIQUE
NERVEUSE
. survenus des mouvements involontaires dans les
uqueuse dont il a souffert à l'âge de treize ans et qui 36 CLINIQUE
NERVEUSE
. a duré environ quinze jours autant qu'il s'en
e ; le père, qui est magistrat, est migraineux ; la mère est un peu
nerveuse
et très impressionnable, elle a fait une fausse
s et qui sont bien portants. J..., nous dit le père, a toujours été
nerveux
, c'est un enfant doux ordinairement, mais très
nt parfaitement : il est peu avancé au point de vue des 3S CLINIQUE
NERVEUSE
. études que ses nombreux séjours à la campagne
t vrai que, pendant quelque temps, nous attribuions à son affection
nerveuse
le défaut de pronon- ciation qui ne provenait q
as de syphilis ni d'alcoolisme. N'a rien remarqué au point de vue
nerveux
jusqu'en 1870. Pendant le siège de Paris, une b
paru : le malade n'avait plus qu'un tic, qui consistait 40 CLINIQUE
NERVEUSE
. dans un clignement d'yeux très fréquent, accom
et forte. Elle n'est pas réglée. Sa mère n'a jamais eu d'accidents
nerveux
. Son père a un tic convulsif non douloureux de
izarre, presque aliénée, qui vit isolée et est sujette à des crises
nerveuses
, à de la boulimie et quelquefois à des périodes
de la face, des épaules et du tronc. Mais assez souvent 42 CLINIQUE
NERVEUSE
. DE L'INCOORDINATION MOTRICE. les secousses con
f une légère excitation initiale, reste sans action sur les centres
nerveux
et sur le système nerveux sensitif, et qui, en
itiale, reste sans action sur les centres nerveux et sur le système
nerveux
sensitif, et qui, en abolissant les mouvements
g- menté en ramenant les forces et J'embonpoint. A l'irritabilité
nerveuse
, si grande habituellement chez ces malades, ont
quatre jours avant le début du trai- tement. La réaction du système
nerveux
moteur par la recherche galvanique et faradique
et 9, 9867). 2Rosentlial. - Traité clinique des maladies du système
nerveux
, trad. de Lubanski. Paris, 1878, p. 547. 3 Ku
minutes, fait des allusions à sa profession, 58 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. aux heures de son travail en disant entre autr
petites convulsions des muscles expirateurs ? REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Sur le phénomène'du genou chez les enfants;
rie de 1 Progrès médical, le 10 juillet 1880. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 59 778, un seul enfant ne présentait pas le ph
(Archives de Neurologie, t. VIII, p. 75.) 60 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. moelle, os). Il s'agissait d'un vieillard de s
la dénomination de : Note affé- rente à la pathologie des cellules
nerveuses
; c'est un appendice de M. W. à ses recherches
son exa- men. Nulle part, il n'a trouvé d'altérations des cellules
nerveuses
qui indiquassent un processus inflammatoire act
n- tie, mais elle se trouve au moins comprimée quand les éléments
nerveux
demeurent conservas. De cette compression et des
alté- 1 Archives de Neurologie, t. V, p. 263. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 61 rations consécutives, notamment des cornes
ations différentes de diverses mala- dies que compliquent des actes
nerveux
réflexes distincts; 2° Pour diagnostiquer et cl
es supérieurs, d'abord des interosseux, puis 62 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pouvant se propager aux muscles de l'avant-bra
port aussi avec le réflexe achillien. D. B. ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 63 VIII. Un cas d'affection du trijumeau. (Con
d'éliminer leur nature rhumatismale, sans 64 le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'on s'explique leur relation avec l'affectio
bles et secs) d'un courant induit ne lui permet REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 65 point encore de -donner des moyennes. Toute
n'a rien avoir dans l'espèce. Non plus que leur richesse en filets
nerveux
, car les plus petites électrodes sont capables'
igne d'un trouble de la Archives, t. IX. S 66 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nutrition ? ) : elle la frotle avec une pommad
du rein ; altération du sang, sans oublier les différentes maladies
nerveuses
qui s'accompagnent de paraplégie. Peut-être M.
trop facilement l'hystérie, cause si fréquente des manifestations
nerveuses
extraordinaires; quoi qu'il en soit, la conclusio
orsque disparait, dit-il, l'in- fluence de quelques-uns des groupes
nerveux
les plus élevés, les groupes nerveux immédiatem
ce de quelques-uns des groupes nerveux les plus élevés, les groupes
nerveux
immédiatement inférieurs, désormais privés de c
re physique, ' il y a perte de fonction de quelques-uns des groupes
nerveux
les plus élevés, et accroissement d'activité de
e qu'on e-t contraint d'admettre une lésion matérielle des cellules
nerveuses
, que nous ne connaissons pas encore, mais sur l
que comme le résultat des excitations mal réglées d'une affection
nerveuse
. D'auho part, il est certain, et l'auteur en cite
délivrer des médicaments à prix réduit. P. K. X. Sur les familles
nerveuses
; par P.-J. Atoalus. (Allg. Zeitsch. f. Psych. X
es, en plusieurs cas même élevées; quoique l'instabilité du système
nerveux
et le manque d'énergie entravent plus ou,moins
econd lieu sur le centre spinal, sans excepter cependant les troncs
nerveux
; il doit y avoir aussi une action à part sur le
dité verbale. » M. SCIIUI : LG (d'llleuau). Sur un cas de dyspepsie
nerveuse
(neuras- thétaie dyspeptique). L'observation co
rt avec une autorité médicale allemande, le diagnostic de dyspepsie
nerveuse
résultant de neurasthénie. Il s'agit, pense-t-i
du cerveau normal qui décèlent d'une façon très complète les fibres
nerveuses
à myéline de toutes les couches corticales; 2°
par M. Mendel1 est impuissante à révéler la disparition des fibres
nerveuses
à myéline, tandis que les dernières recherches de
de I'fril dans leur ! '«/)/)0 ! < t;wc les maladies mentales et
nerveuses
Après une énumération des anomalies anatomiques
observées surles yeux d'individus atteints d'affections mentales et
nerveuses
et rattachées aux signes somatiques de la pertu
yogénique, ou d'une maladie foetale (exemples : existence de fibles
nerveuses
à myélme dans la ré- tine; formes anormales de
affectent avec des maladies psychiques ou des mala- dies du système
nerveux
central, les unes sont symptomatiques d'un trou
tomatiques d'un trouble mental congénital, d'une lésion des organes
nerveux
centraux (exemple : idiotie, épilepsie congénia
dant la période embryonnaire, porter sur les parties constitutives,
nerveuses
ou non, de l'atl et du cerveau, d'où : tantôt u
rvient a : ou uide èl Se l'ellSClânel' sur la faculté lleS OI'an 25
nerveux
cutanés, à distinguer ce qui est rugueux de ce qu
de grandes quantités de cellules (globules blancs) entre les fibres
nerveuses
écartées par elles; ces libres ont plutôt l'air
re de l'organe; en un point, un pont de névroglie porteur de fibres
nerveuses
est jeté sur cette fente. Autre observation. Ce
vant tout les affections pulmonaires. Parmi les maladies du système
nerveux
, les médecins de la résion citent les perturbat
à ce moment, les médecins ne se sont aperçus d'aucune perturbation
nerveuse
ou mentale. Il quitte guéri l'hôpital le 20 aoû
n. M. l ? 1'SF : LFIn. De l'ozone et de son action sur les maladies
nerveuses
chroniques. Ce ne sont encore que des recherche
é, aucun inconvénient n'est à redouter. L'opium fortifie le système
nerveux
en tonifiant les vaisseaux ; de là suppression
mme anesthésique, contre l'hyperesthésie psychique, t'hyperesthésie
nerveuse
, l'excitation nerveuse ; comme tonique et stimu
l'hyperesthésie psychique, t'hyperesthésie nerveuse, l'excitation
nerveuse
; comme tonique et stimulant à l'égard du système
ison de la relation intime qui existe entre l'ovaire et les centres
nerveux
; et pour l'homme, il assigne comme siège nosofo
qu'elle était mariée, comme avant, elle avait res- senti l'orgasme
nerveux
précurseur du flux menstruel, mais sans que l'é
és d'his- tologie, à passer en revue les éléments divers du système
nerveux
, M. Kahler a pensé qu'il serait plus utile, san
connexions des fibres et des cellules, dans l'ensemble des centres
nerveux
. Ce n'est plus, si l'on veut, de l'histologie fin
grâce au type italique adopté, eu évidence les origines des paires
nerveuses
qui correspondent aux diverses coupes étudiées.
les ana- lyses micrographiques dans les divers endroits du système
nerveux
central, et aux divers étages de ces endroits,
tes théories qui ont eu cours sur tel ou tel point de la pathologie
nerveuse
. , Après quelques notions préliminaires sur la
éliminaires sur la physiologie nor- male et pathologique du système
nerveux
périphérique ainsi que sur l'étiologie générale
ue ainsi que sur l'étiologie générale et la pathogénie des maladies
nerveuses
vient un exposé général de la thérapeutique dan
'étude des différentes affections des nerfs périphériques, sections
nerveuses
, névralgies, paralysies, en y comprenant même l
s montrent pas l'état propre aux muscles isolés, puisque le système
nerveux
entier prendrait part (volonté, effort), ce pro
sidérer comme propre à un état des muscles mais pas comme réflexe
nerveux
. ' F. Kaun. VIII. De l'ataxie paralytique du co
vénériens et, en géné- ral, toutes les causes épuisantes du système
nerveux
sont, pour le Dl Semmola, le pomt de départ de
. A. Fabre voit avant tout dans l'hystérie une maladie du système
nerveux
de la vie végétative. Sur le tube digestif, l'hys
ur Cuvrcot a commencé les cours de clinique des maladies du système
nerveux
, le vendredi 14 novembre, à neuf heures et demi
he 16 novembre, ses leçons cli- niques sur les maladies mentales et
nerveuses
, et les continue tous les dimanches et mercredi
Vol. IX. ' Mars 1885 ? N" 26' ARCHIVES DE NEUROLOGIE - PATHOLOGIE
NERVEUSE
? «-COMMOTION DE L1 IIOh : LLL.ÉPINIÈftI ? I -- .
Neurologie, 1. IX, p. l. Archives, t. IX. 10 0 t 16 6 pathologie
nerveuse
. l'observation clinique établit l'analogie avec
la douleur dans le dos et éprouva les symptômes du choc du système
nerveux
. Pendant les six premières semaines, il ne put
pas compte de la gravité immédiate des acci- dents. H8 pathologie
nerveuse
. « Nous sommes peut-être, dit W. Savory', trop
n< ? vol. If, 1882, p. 883. .. - il .1 1 1 ..11 150 pathologie
NERVEUSE
. prononcer que quelques syllabes qui sortaient,
y. mccl. anil Chir. Soc., vol. 1, p. 39, 1868. .11 152 pathologie
nerveuse
. ..i : 1l ? u f- meule de foin avait amené un
q palsy. 3 Gur ? c hoshit. Rep., t8ô8. , , , . : 7 154 pathologie
nerveuse
. la suite d'un coup de poing sur la nuque. Un
200. 2 Journal der praklischen lleilkuntfe, IS44. 156 pathologie
nerveuse
. Charcot admet les amyotrophies d'origine traum
bre et par l'auto- rité des hommes qui les ont observés. CLINIQUE
NERVEUSE
ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE P
s qui les ont observés. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION
NERVEUSE
CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION MOTRICE AC
est mort à soixante-sept ans d'une anévrysme ( ? ), il n'était pas
nerveux
, c'était un buveur accidentel. De deux oncles p
re est morte à soixante-deux ans hydropique ( ? ), elle n'était pas
nerveuse
. Elle était de deux ans plus jeune que son mari
pt enfants : 1° une fille morte à trente-deux ans, poitrinaire, non
nerveuse
; 2° une fille qui se porte bien, nerveuse, mais
eux ans, poitrinaire, non nerveuse; 2° une fille qui se porte bien,
nerveuse
, mais sans attaques; 3" un fils marin, V. le 25
et tombe; mais il ne perd jamais connaissance, n'urine 160 CLINIQUE
NERVEUSE
. jamais ; màisinui arrive ilê'se'mcirdré lü.lâr
es. Archives, t. IX. 1 1 RÉSUMÉ ANALYTIQUE DE NEUF 164 CLINIQUE
NERVEUSE
. I. Les cas que nous avons observés seraient,
cause véritable, déterminante, là, comme dans toutes les maladies
nerveuses
', n'est autre que l'hérédité. « Ces tics sont
ont le sujet de nos neuf observa- tions possédaient les antécédents
nerveux
suivants : Obs. I. N'ont pu être obtenus. Obs
s. V. Mère aliénée. Obs. VI. Grands-parents migraineux, mère très
nerveuse
. Obs. VII. Chorée des grands-parents, père très
e très nerveuse. Obs. VII. Chorée des grands-parents, père très
nerveux
, une .soeur atteinte de la même affec- tion.
ue. (Archives de Neurologie, 1884, janvier et mars.) 166 CLINIQUE
NERVEUSE
. Obs. VIII. Le père a un tic non douloureux de
? )- Nous voyons donc que, dans cinq observations, cette hérédité
nerveuse
est des plus manifeste. Nous n'avons rien dit d
aisaient sauter à sept ou huit pieds de la place qu'il 168 CLINIQUE
nerveuse
. occupait lorsqu'il était debout, ou le faisaie
n sommeil de plomb dont il était très difficile de les 170 CLINIQUE
NERVEUSE
. tirer. Il est fort probable que l'énorme dépen
générales ne pussent être altérées, mais comme elle 172 -) CLINIQUE
NERVEUSE
. s'établit peu à peu, progressivement, il s'éta
alie : aucun d'eux non plus n'avait jamais présenté d'acci- dents
nerveux
convulsifs. Nous verrons que les obser- vations
le diagnostic diffé- rentiel s'en trouvera éclairé. 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. § IL I. Les symptômes que nous avons décrits
n presque irrésistible de répéter un mot, un bout de 176 CLINIQUE
NERVEUSE
. phrase qui venaient de me frapper davantage. I
inaire; un malade s'approche delui, L. L. 1\.. - 1"2 178 CLINIQUE
NERVEUSE
. et essaye d'imiter une de ses contorsions les
tar du cook, à bercer dans ses bras un billot de bois. 180 CLINIQUE
NERVEUSE
. Puis ce matelot jeta son billot sur un tendele
ette coprolalie est éga- lement des plus manifestes. 183 CLINIQUE
nerveuse
. à son service ; aussitôt, tout en faisant des
ompter le lieutenant de vaisseau, cité par M. Laurent, 184 clinique
nerveuse
. et deux autres observations, ce qui nous donne
complète, radicale : la maladie sommeille, elle n'est 186 CLINIQUE
NERVEUSE
. pas disparue. Toujours il reste des secousses
1 V. Archives de Neurologie, juillet 1881, p. 68-75. 188 CLINIQUE
NERVEUSE
. avaient trait à l'affection que nous décrivion
portés des symptômes très analogues à ceux que nous 190 CLINIQUE
NERVEUSE
. avons décrits est due à M. O'Brien, un bon obs
très large : « elle englobe toutes les personnes d'une organisation
nerveuse
particulière, depuis ceux qui, par leur constit
t eu soin d'intituler son travail : « Nouvelle ma- ladie du système
nerveux
». Bien que cette observation soit très incompl
pilote) y est-il dit, semblait affecté d'une maladie men- tale ou
nerveuse
qui l'obligeait à imiter tous les gestes qui ve
ui-ci a soutenu l'identité avec le jumping de Beard. 192 CLINIQUE
NERVEUSE
. autant de fois qu'on les répétait... 'C'était
ion de bûcheron. N'y aurait-il pas là un de ces exemples d'hérédité
nerveuse
analogue, par suite des mariages consanguins, à
ons fait de la maladie. L'individu : xcmvta, t. 1\. 13 191 CLINIQUE
NERVEUSE
. qu'elle atteint n'est pas menacé dans son exis
notre malade a une secousse, il jettera son verre au 196 CLINIQUE
NERVEUSE
. loin, mais il faut que cette secousse apparais
dans celle-ci, les divers muscles phonateurs ou res- 198 CLINIQUE
NERVEUSE
. pirateurs peuvent être affectés , et produire
atifs ont été infructueusement tentés; tous les sédatifs du système
nerveux
ont échoué. Une seule méthode a paru amender le
é. Une seule méthode a paru amender les symptômes et 200 CLINIQUE
NERVEUSE
. amener ces périodes de rémission si favorables
faisait quelques excès de boisson, n'a eu ni migraines, ni maladies
nerveuses
; mort à la suite d'un coup de pied dans le ven
une hernie étranglée. Mère, bien portante sobre, ni migraineuse, ni
nerveuse
. Deux frères, l'un mort jeune, on ne sait de qu
es. ' Jusqu'en décembre 4S9, llul... ne présenta aucune affection
nerveuse
. A cette époque, on constata les accidents suivan
amp;PILEPSII ? 2)3 mauvais traitements, on ne croit pas qu'elle fut
nerveuse
, elle était douce, « c'était une excellente cré
l a deux fils chétifs, et une fille qui n'auraient pas d'affections
nerveuses
); deux tantes maternelles s'adonnent à des pratiq
est bien portante, n'est sujette ni aux migraines ni aux attaques
nerveuses
, elle est peu impressionnable, a eu beaucoup d'en
4° une fille, âgée de 9 ans; elle est intelligente, gentille, très
nerveuse
; a eu des convulsions dans le cours d'une fièvr
de cette hypo- thèse. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
.1 L'ÉTAT PHYSIOLOGIQUE El" l'ATIOLOGIQUI : .
straire du groupe des névroses, c'est-à-dire du groupe des maladies
nerveuses
sine un assez grand nombre de maladies, ces rec
l'étude de la nutrition du système ner- DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 233 veux devait s'imposer. Hais pour pouvoir t
on chez l'homme ma- lade, il faut connaître la nutrition du système
nerveux
à l'état physiologique. Ce n'est qu'en comparan
ications. Or, nos connaissances relatives à la nutrition du tissu
nerveux
chez l'homme sain ne sont pas plus avancées que
Par suite tout travail ayant pour but de rechercher si les maladies
nerveuses
modifient les échanges qui se passent au sein d
nerveuses modifient les échanges qui se passent au sein du système
nerveux
doit être précédé d'un travail ayant pour but d
ans l'état actuel de la science, l'étude de la nutrition du système
nerveux
ne peut porter que sur certains points de cette
sommes loin encore do connaître la constitution chimique du système
nerveux
. « Quoique le cerveau, dit Gorup ]3esziiiez 1,
l'économie. » Cependant, si la constitution chimique du sys- tème
nerveux
nous échappe encore à beaucoup d'égards, il est
parmi elles, la plus importante est l'acide phosphorique : le tissu
nerveux
est, en effet, de tous les tissus mous de l'éco-
chimiques suffisantes, des recherches sur la nutrition du sys- tème
nerveux
ne peuvent porter actuellement sur l'ensemble d
e rôle de l'acide phosphorique comme élément constitutif du tissu
nerveux
, arriver à savoir si cet acide est lié à la nutri
savoir si cette substance joue un rôle dans la nutrition du système
nerveux
, et si les maladies de ce sys- tème modifient c
cide pliosphorique non 0-,)(lé a pu èlre DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 2 : ! 5 relativement à l'état de repos ou à l'
r à savoir si l'acide phosphorique se lie à la nutrition du système
nerveux
et si la maladie modifie cette nu- trition, nou
posée, étendre nos recherches à d'autres systèmes que le sys- tème
nerveux
: au système musculaire et à la nutrition géné-
s la présente revue nous voudrions, ne nous occupant que du système
nerveux
mettre en relief les résultats auxquels nous so
pltoticlue non oxldù dans ses rapports avec la nutrition du système
nerveux
n'a pas encore été laite. Dans certains états n
on du système nerveux n'a pas encore été laite. Dans certains états
nerveux
ou à la suite de l'administration de médicaments
nts faisant sentir plus particulièrement leur action sur le système
nerveux
, Zuelzer et Lépine ont bien vu augmenter le chi
zote; mais celte augmentation provient-elle dans ces cas du système
nerveux
, c'est ce qu'il est encore impossible de dire,
e l'excrétion du phosphore incomplètement oxydé dans certains états
nerveux
ne. suppose pas néces- sairement un grand accro
pas néces- sairement un grand accroissement de la de la substance
nerveuse
; il se peut que la désassimilation des substances
minées dans divers tissus de l'organisme soit accrue par une action
nerveuse
, comme l'est celle de la matière glncoèiie, consé
ui suit on deux parties consacrées, l'une à la nutrition du système
nerveux
à l'état physiologique; l'autre à la nutrition
n mentale, l'épilepsie et l'hystérie. 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
A L'ÉTAT PHYSIOLOGIQUE. Historique. Les rec
E. Historique. Les recherches relatives à la nutrition du système
nerveux
par l'étude de i'élimination de l'acide phospho
spho- rique rendu par les urines, ils en concluent que le système
nerveux
emploie ou non de l'acide phosphorique pour pro-
de déchet, comme le résultat de la désassimilation de la substance
nerveuse
. 1 Mosler. l3eilrtie zur lCezzzzln7s.s Urinabin
e cet acide en excès provient de la désassimilation de la substance
nerveuse
. L'a- cide phosphorique, en effet, n'est pas pr
'a- cide phosphorique, en effet, n'est pas propre au seul système
nerveux
; il entre dans la constitution de tous nos tissu
s déjà dit, n'entre pas seu- lement dans la constitution du système
nerveux
, il fait partie intégrante de tous les tissus d
or Anttl. lrl ? iul., clc., 1571, tr. 7. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 2H vants d'acide phosphorique : 2 gr. 34, 2 gr
e phosphorique joue réellement un rôle dans la nutrition du système
nerveux
. Nous ne nous étendrons pas davantage sur ces d
régime : Alairet, loco citntu, p. 60. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 243 Tableau I. Influence du travail intellectu
de l'acide phosphorique et de l'azote. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 245 Poussant enfin nos recherches plus loin no
phorique uni aux terres éliminé par les DE I.A NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 2 le7 urines n'est pas augmenté'. Par conséque
istent entre l'acide phospho- rique et le fonctionnement du système
nerveux
, on arrive aux résultats suivants : 1° Le tra
de l'acide phosphorique et de l'uzole. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 249 Interprétation des modifications produites
s nous avons à les interpréter et à rechercher quel rôle le système
nerveux
joue dans leur production. Il est une théorie
les mêmes proportions que l'azote. Seule l'intervention du système
nerveux
modifierait ce rapport; la mise en activité de
combien il est facile de sa- voir si, dans un cas donné, le système
nerveux
intervient ou non. On n'a qu'à étudier comparat
l'élimination de l'acide phosphorique et de l'azote, si le système
nerveux
intervient dans la production de tel ou tel phé
de Virchow. 1876, p. 66. 350 REVUE CRI 1"IQUK. NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. D'abord, quand on étudie de près le travail de
rtion aussi élevée. En second lieu, lamise en activité du système
nerveux
n'est pas le seul élément qui puisse faire vari
augmentation ne peut pas être attribuée à l'intervention du système
nerveux
. Le muscle et le nerf traduisent leur action su
modifie pas ou tend à diminuer les phosphates ter- reux, le système
nerveux
, au contraire, diminue l'élimination des phosph
l.-I,o.ocilnto, passim. 2 lrl.. p. 67 et seq. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 351 La théorie de Zuelzer ne peut donc nous do
us l'influence du travail, tiennent à une autre cause qu'au système
nerveux
, on ne peut les rattacher qu'au reten- tissemen
s devrons chercher à distinguer cette influence de celle du système
nerveux
. Avant toutes recherches ayant pour but de déte
erminer s'il existe quelques rapports entre la nutrition du système
nerveux
et les modifications que nous avons constatées
avail déjà cité (page lt3 à 127). (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XIV. Note sur la DISPaRITI0 : 1 du phénomène du
gts ans aboutit au dénombrement que voici : 252 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 253 En faisant
que voici : 252 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 253 En faisant la part de l'état de l'appareil
squelles elle était seule. ment probable. 234 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. S) Les causes occasionnelles de tabes manquaie
res musculaires, une dégénérescence granulo-graisseuse des branches
nerveuses
intra- musculaires, dégénérescence qui occupe é
VI, p. 403, et Progrès médical, 1879, no 10. REVUE LE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 257 façon trouvé ce qui suit : Chez le lapin l
bi-jumeau antérieur est encore obscur. La disparition des cellules
nerveuses
de ces régions infra-corticales entraîne un ané
ives de Neurologie. Archives, t. IX. 17 î 258 REVUE LE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXIV. Un cas d'arrêt de développement dans la
écroscopique démontre qu'il s'agit d'une ré- duction delà substance
nerveuse
cérébrale, surtout au niveau de la troisième fr
Paris, 1880, i Voy. Ai-chives f" A'euro'ogie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 259 ch. VI, p. 83 1.) L'auteur a aussi inventé
néto-électrique à rotation, s'addi- tionnent et placent les organes
nerveux
centraux dans un état d'irritation croissante.
réflexes ne sont dégagés que par des heurts répétés sur les cedtres
nerveux
» rien ne s'oppose à ce qu'on interprète le phén
s ner- veuses, de Berlin), t. IV, p. 247. 260 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tance blanche, surtout dans l'hémisphère céréb
issance. Ces particularités se rencontrent encore dans les maladies
nerveuses
et cérébrales d'un autre ordre, voire dans le d
générescence, 59 souffraient de troubles dans le domaine du système
nerveux
, psychoses ou autres accidents, dont M. Knecht
L dans les cicatrices, et les autres modes d'irritation du système
nerveux
pétipltériquu après lésion cephatique. Les prem
- tinuité temporelle et intime entre la psychose et les altérations
nerveuses
et psycho-cérébrales survenues depuis le trauma
e l'encéphale et dans la répar- tition du sang au sein de ce centre
nerveux
. P. K. XXIV. Inversion du sens génital; par Tar
erfs a joui d'une grande vogue dans la thérapeu- tique des maladies
nerveuses
. Il faut reconnaître qu'elle n'a pas produit le
ssible, des observations sur la névralgie traitée par les tractions
nerveuses
, et nous le terminerons par un exposé de celles
es atteintes de névralgies de l'extrémité inférieure; les tractions
nerveuses
amenèrent un amendement. Andrews et Farrer' (Ch
. Pooleye (1880) rapporte quarante quatre observations de tractions
nerveuses
pratiquées dans diverses névralgies, principale
clinique du professeur Lussenbauer, toute une série de tractions
nerveuses
, dont trois du sciatique, pour une névrite asce
ment momentané. En somme, résultat nul. (A suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
COMMOTION DE LA MOELLE ÉPliNIÈRE3 ETUDE CLINI
tes. 3 Archives de Neurologie, t. IX, p. 1 et 145. 308 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. trent qu'elle provoque surtout des phénomènes
ilité électrique est abolie. i Loc. cit., p. 90. 310 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. D'après ce que nous avons dit sur les phénomèn
e tableau symptomatique se modifie com- plètement. 312 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Diagnostic. Le diagnostic est-il toujours poss
intermittente.Il n'existe dans sa famille aucune maladie du système
nerveux
. 11 présente les attributs du lymphatisme. A
n Journal of the me- diculsciences, octobre 1864. 314' pathologie
nerveuse
. de dix-sept ans et demi, il accusa des douleur
la sclérose des cordons laté- raux et la dégenération des cellules
nerveuses
. Celles qu'on pourrait rattacher à la première
uement la fréquence. Il croit, dans des cas de cette 316 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nature, à l'existence d'épanchements sanguins
ssi bien les éléments moteurs que les sensitifs, et, 318 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. parmi ceux-ci également
a une physionomie régulière, agréable, n'a jamais eu aucun accident
nerveux
; elle n'a jamais eu de convulsions dans l'enfan
nt. Une soetii- est sujette à des douleurs d'estomac sans accidents
nerveux
. Elle a deux filles : l'une d'elles a eu des co
quinze ans, bien portante, intelligente; pas de convulsions, assez
nerveuse
. Notre malade. A la conception, rien de particu
deux tronçons ne communiquant que par un pont étroit de substance
nerveuse
; l'atrophie de la capsule interne, de l'avant-
té mentale ; épilcpsic idiopathiquè. Père alcoolique. Mère : crises
nerveuses
en 4883. - Grand-père maternel alcoolique, mort
devoir le rapporter aux changements qui surviennent dans le système
nerveux
central. Effectivement, des recherches expérime
tigations et les recherches sus-mentionnées prouvent que le système
nerveux
central peut exercer une influence notable sur
ouble thermique de cette nature dépend de modifications des centres
nerveux
tellement graves qu'elles sont incompatibles av
tte dernière assertion. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
A l'état physiologique LT pathologique3. Par
Falculté de médecine de Montpellier II. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
A L'ETAT PATHOLOGIQUE Nos recherches sur la n
A L'ETAT PATHOLOGIQUE Nos recherches sur la nutrition du système
nerveux
à l'état pathologique ont porté sur trois group
, 1871, p. 1.) 3 Voy. t. IX, p. 232. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 361 tionnelles de ce système : aliénation ment
que peut produire l'aliénation mentale sur la nutrition du système
nerveux
par l'étude de l'élimination de l'acide phospho
du rôle que joue cette substance dans la constitution du système
nerveux
. Elles se résument, à notre connaissance du moins
pensent que cette augmentation est un indice de la dépense d'influx
nerveux
; ceux qui ne constatent pas cette augmentation
mentale est susceptible de faire subir à la nu- trition du système
nerveux
. Nous n'entrerons pas ici dans la critique des
osphorique, si l'aliénation mentale modifie la nutrition du système
nerveux
, s'impose par la divergence des résultats qu'on
tal, conclure que cet acide se lie ou non à la nutrition du système
nerveux
et que telle ou telle maladie modifie ou no mod
e point de vue : 10 constatation des mo- DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 363 difications que la folie imprime à l'élimi
t remplies, voyons ce qu'est chez un in- DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 365 dividu sain l'élimination de l'acide phosp
ivant ci l'asile et à l'état de repos 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 367 phosphorique par vingt-quatre heures peut,
ications proviennent des échanges qui se passent au sein du système
nerveux
? Nous avons déjà vu, en effet, à propos du tra
de tous les tissus mous de l'économie, ce tissu est, après le tissu
nerveux
, le plus riche en acide phosphorique. Par suite,
ification et sa- voir si, quand le système musculaire et le système
nerveux
agissent simultanément, on ne peut pas faire la
s les modifications qu'on cons- tate. DE LA. NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 369 , Travail musculaire et acide phosphorique
cide phosphorique uni aux alcalis, 1,29. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 371 5o Pendant une seconde période d'agitation
ur les phosphates neutres et alcalins. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 373 Telles sont les données qui se dégagent de
mente les échanges nutritifs qui se passent au sein de la substance
nerveuse
. D'où vient maintenant cette augmentation de l'
e pas aux échanges nutritifs qui se passent au sein de la substance
nerveuse
. En effet, elle n'existe plus dans l'état de dé
mentation des phosphates terreux. C'est donc en dehors du système
nerveux
qu'il faut chercher son explication. Or, l'agi-
t l'élimination de l'azote et de l'acide DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 37" phosphorique uni aux alcalis, il est natur
réelle influence sur les échanges qui se passent au sein du système
nerveux
, influence qui semble se poursuivre encore pend
difie LES échanges NUTRITIFS QUI SE passent au SEIN DE la substance
nerveuse
; ELLE LES augmente ; 3° la manie retentit SUR
880 et aux mois de mars et avril 1881. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 379 Tableau IX. 380 REVUE CRITIQUE. avec c
d en moyenne par vingt-quatre heures : DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 381 Azote, 19,33 ; acide phosphorique total, 1
qui existent entre ces su6s- tances. · DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 383 Idiotie et démence. Nous serons bref sur
dans ces maladies, les échanges qui se passent au sein du système
nerveux
sont ralentis, nous ne pouvons cependant établir
le modifie les échanges nutritifs qui se passent au sein du système
nerveux
. EPILEPSIE Historique. Les recherches relat
e, .travail con- sacré à des recherches sur les maladies du système
nerveux
, Lépine et Jacquin étudient non seulement l'éli
hir., juin, septembre et décembre 1879.) DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 385 vingt-quatre heures nous permettant une ét
ès, on voit qu'il ne peut en être ainsi. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 389 D'abord l'acide phosphorique uni aux terre
nutrition générale. Et comme, d'une part, l'intervention du système
nerveux
ne peut être mise en doute dans les attaques d'
partie tout au moins, à une suractivité de la nutrition du système
nerveux
les phosphates terreux éli- minés en plus qu'à
et de l'état de mal épileptique, c'est ailleurs que dans le système
nerveux
qu'il faut rechercher son explication. Or, le
mentent celle élimination; 390 REVUE CRITIQUE. NUTRITION DU SYSTÈME
NERVEUX
. 2° Les attaques d'épilepsie suractivent les éc
ma- niaque, on arrive à faire jouer un rôle important au système
nerveux
et au système musculaire dans leur production.
que; ils suractivent les échanges qui se passent au sein du système
nerveux
. Quant à l'hystérie, nous rappellerons seulemen
l'effet de savoir si cette maladie modifie la nutrition du système
nerveux
. Ces expériences encore trop peu nombreuses et
. Dans cette revue consacrée à l'étude de la nutrition du système
nerveux
à l'état physiologique et pathologique, nous av
s suivants : 1° Il est possible de pénétrer la nutrition du système
nerveux
par l'étude de l'élimination de l'acide phospho
acide phosphorique se lie à lanutrition d'autrestissus que le tissu
nerveux
, il se lie intimement à la nutrition de ce dern
3° L'activité cérébrale et les maladies fonctionnelles du système
nerveux
modifient la nutrition de ce système ; 4° L'act
ons dans les échanges nu- tritifs qui se passent au sein du système
nerveux
sous l'in- fluence des maladies fonctionnelles
es, perception et hallucination, emploient le même ordre d'éléments
nerveux
. En d'autres termes, l'hallucination se passera
f à l'idiotie, et de préférence aux lésions anatomiques des centres
nerveux
dans l'idiotie. Pria; Moreau de Tours. Ce prix,
f. Psych., XLI, 3.) P. Kéraval. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE BERLIN Séance du 10 décembre t883 '. Prési
ment, permettent d'exclure l'idée d'une lésion organique du système
nerveux
et de se rallier à l'opinion d'une névrose en r
vingt-six cas ont élé rassemblés par lui à la clinique des maladies
nerveuses
de la Charité de Berlin (56 h., 30 f.). Dans 51
ns un exemple de traumatisme pathogé- nétique, la lésion du système
nerveux
se manifesta essentielle- ment sous la forme de
5 allèrent plus tard se faire traiter dans le service des maladies
nerveuses
de la Charité des Berlin, mais aucune n'avait de
s (avortements répétés, exostose du tibia chez un cocher, surdité
nerveuse
subite chez une soeur de neuf ans), 9 avaient pro
rose étendue de l'écorce grise, étiolement, atrophie des cellules
nerveuses
ganglionnaires. Cette étude anatomo-pathologique
ci les procédés gymnastiques applicables au traitement des maladies
nerveuses
telles que l'idiotie et l'imbécillité, la chorée,
if à l'idiotie et de préférence aux lésions anatomiques des centres
nerveux
dans l'idiotie. Prix Esquirol. Ce prix de la va
de médecine de France, sur une question de pathologie mentale et
nerveuse
. Les mémoires imprimés et les thèses devront avoi
hérédité naturelle dans les états de santé et de maladie du système
nerveux
(2 vol. in-8°, Paris, 1847-1850). Cet ouvrage,
r Allen Sturge, connu par ses intéressants travaux sur les maladies
nerveuses
. L'an dernier, elle a publié un opuscule sur l'
animal, étude critique et expérimentale sur l'hypnotisme ou sommeil
nerveux
, provoqué chez les sujets sains , léthargie, ca
le (un cas d'atrophie uni- latérale), par Bernhardt, 65. Familles
nerveuses
, par Moebius 78. Galvanomètre vertical absolu
'Arc, par Ireland, 72. Hiver (stations d'), pour les ma- ladies
nerveuses
), 115. Hydrothérapie chez les aliénés, 114.
oz les aliénés pendant l'abstinence), 106. Nutrition du système
nerveux
à l'état normal et n l'état pathologi- que, p
dique de z yar laebius,105. (anomalies ciel ),dans les mala- dies
nerveuses
et mentales. Ophthalmologique (contribution au
-spinale, par AI- tbaus, G4. 64. Syriti,oiilyélie, 428. Système
nerveux
central, par Kah- ler (An. Kéruval), 13. Tabe
0 diamètres environ (ocul. 2, Nacliet. Obj. 3, Verick). a, a, Tubes
nerveux
d'inégales grosseurs, dont le cylindre-axe est ta
e cylindre-axe est tantôt petit, tantôt comme tuméfié. , d, Tubes
nerveux
vides. b, Cellule de la névroglie, sans noyau,
nce vaguement fibrillaire et pointillés, interposée entre les tubes
nerveux
(sclérose au début) qui se trouvent ainsi plus él
ents de la lésion du faisceau pyramidal croisé. FtG. 4.- Cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la substance grise en
ELA1GNE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOH
son mauvais caractère, de son amour de changement et de ses crises
nerveuses
, Cing... sera tout d'abord un vagabond et un me
ar une pneumonie; il n'y avait aucune trace de maladie mentale ou
nerveuse
de son côté. Devenu orphelin à dix ans, Cing...
e le tromper plus facilement. Je lui disais que j'avais des spasmes
nerveux
et il me donnait du bromure que je ne prenais p
i- leptique de Liège) qui donnait certains symptômes des maladies
nerveuses
, notamment de l'épilepsie et de l'hystérie. Je m'
ain et me raidissant il seule fin de faire croire à une contraction
nerveuse
, jetant l'estomac en avant, retenant ma respirati
nément chez un sujet dont la mobilité de caractère et les troubles
nerveux
purement subjectifs en faisaient d'ores et déjà
iniquement on constatera de la paralysie. Cette étude de pathologie
nerveuse
nous amène en somme à l'étude physiologique des
voient plus dans la substance blanche sous-corticale, les cellules
nerveuses
ne présentent que de légères altérations. Dans
rne ou externe : alcoo- lisme, infections, auto-infections, le choc
nerveux
, la préoccupa- tion de l'opération, aient, suiv
orte (abstraction faite des interventions por- tant sur les centres
nerveux
et sur le corps thyroïde), elles n'ont qu'une a
tadine avec tous ses éléments pernicieux au point de vue du système
nerveux
; il y existe plusieurs villes maritimes avec le
lus lente, la durée plus prolongée. P. Keraval. VII. Des troubles
nerveux
et psychiques chez les travailleurs du caoutcho
produits par le poison, ils se confondent souvent avec les troubles
nerveux
(voyez l'état neurasthénique et hypochondriaque
de rattacher avec précision, aux lésions sy- philitiques du système
nerveux
, celles de la paralysie générale ! 7° La progre
et la période de démence. Pendant la période prodromique le système
nerveux
central du prévenu étant déjà dans des conditio
a lésion thyroïdienne est primi- tive, il en est d'autres d'origine
nerveuse
, ou cette lésion est se- condaire et relate un
ur ordinaire et n'a rien de pathologique, le second est un accident
nerveux
, équivalent expérimental des atta- ques spontan
ité du travail pour l'entretien de la vie et de la santé du système
nerveux
; mais il ajoute que si un REVUE DE THÉRAPEUTIQU
ns le traitement de diverses affections névropathiques, d'accidents
nerveux
tels que névralgies, crampes, douleurs indéter-
jà préformées antérieurement dans les centres inférieurs du système
nerveux
. 11 en résulte qu'il suffit d'intro- duire l'id
l'organisme, d'après la 'suggestion qui lui est adressée, sa force
nerveuse
préalablement accumulée sur l'idée de dormir. Ain
ve sur les tissus; on comprend de même que, plus il y aura de force
nerveuse
immobilisée sur l'idée de dormir et plus les ef
rand du Saulle); 2° les phobies occasion- nelles survenant chez des
nerveux
non dégénérés à l'occasion d'un n événement ins
iculièrement utile : évidemment dans les états moi bides du système
nerveux
qui intéressent plus spécialement les condition
utile. Dan divers états moraux, accompagnés ou non de symptô- mes
nerveux
, par exemple lorsque le malade a perdu son indivi
natomie et la physiologie de la neurone, son importance comme unité
nerveuse
, sa substitution à l'espèce de congloméré cellu
révolutionné la conception et le traitement des maladies du système
nerveux
, et surtout de l'ataxie locomotrice, type des m
n disant que la vitalité de REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 77 l'appareil
nerveux
est abaissée, sous une influence héréditaire ou
t précis de rétablir la [onction métabolique normale des cel- lules
nerveuses
ou neurones. R. de \luscnAVr.-CLar. XXII. La sy
avait déjà montré l'influence du poison adissonien sur les centres
nerveux
et produit des crises convulsives avec le suc d
ez et de la bouche sans coprolalie, le troisième pour un bégaiement
nerveux
ou labio- phobie. Ce dernier malade, encore en
acilement hypnotisables; la suggestion les guérit de leurs troubles
nerveux
, et, en outre, les rend plus dociles, plus trav
servations de délinquants cotés comme lymphatiques, 119 cotés comme
nerveux
, 20 comme bilieux, 200 comme lymphatiques sangu
lymphatiques sanguins, 171 comme lymphatiques ner- veux, 200 comme
nerveux
sanguins. Et voici quelques-unes des constatati
loin 90 BIBLIOGRAPHIE. en arrière, les derniers, les lymphatiques
nerveux
. Cela est-il bien significatif ? N'est-ce pas u
les attentats sans violence contre les propriétés, les lymphatiques
nerveux
, l'emportent sur les sanguins, mais de peu. Pou
es d'ivresse, ce seraient les lympha- tiques purs. Les lymphatiques
nerveux
y seraient les moins enclins mais on ne voit gu
les moins délictueux, les plus voleurs, les plus sou- mis, que les
nerveux
sont les plus violents, les plus portés aux att
l'on administre à un lapin une dose massive de poison, les éléments
nerveux
sont sidérés et tous les organes s'arrêtent. Dans
Vol. IX. Février 1900. N° 50 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Des troubles psychiques dans la chorée dégén
, le 4 octobre 1899. Archives, 21 série, t. IX. 7 98 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. similaires qui appartiennent aux formes de tra
ntières de choréiques, chez lesquels s'ajoutent toujours un élément
nerveux
. Lorsqu'une génération est épargnée, la chorée
Chorée DÉGÉN8f\ATIVE (DE HUNTINGTON n Famille B... 100 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Alfred B... est mort à cinquante ans, après av
tés, causées par des affections organiques congénitales des centres
nerveux
, idiotie, paralysie, épilepsie, hémi- plégie cé
bas âge lors de la mort de son père. il fut toujours chétif et très
nerveux
. Il marcha assez tard et tombait souvent; il a
les clients ou couper les cheveux. Il dut abandonner 102 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. complètement le rasoir et les ciseaux à l'âge
cette époque il eut pendant six mois des crises singulières de toux
nerveuse
qui se répétaient périodiquement tous les soirs
sans qu'on puisse bien en préciser la date. Il avait des mouvements
nerveux
, faisait des grimaces et devenait de plus en pl
s dernières semaines jusqu'à la veille de la mort. 104 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'écriture devenait de plus en plus difficile
, très exigeant et capricieux. Il faisait Fin. 3 106 1 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des scènes de violences pour un rien et sa fem
uelles. En tout cas il forme, à notre avis, le ') 08 ' - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. trait essentiel et fondamental de l'état psych
evues critiques sur la chorée héréditaire parurent 110 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cette même année '1888, en Angleterre et en It
u'il fit à la clinique psychiatrique de Bâle et 1 il-) 2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans laquelle il n'est pas question d'idées de
mpoisonnant avec de Archives, 2' série, t. IX, 8 114 r PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'arsenic en compagnie d'une autre femme toute
. Greppin, tout en constatant la disparition de'nombreuses cellules
nerveuses
et la réduction des fibres tangentielles, a fai
, a fait remarquer cependant qu'il n'y avait pas 'l'16 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. trace de prolifération des cellules araignées,
iste entre les deux maladies au point de vue étiolo- 118 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gique. La paralysie générale, en effet, est un
a naissance, mais bien d'une dégénérescence congénitale des centres
nerveux
. Il ne convient donc pas de la mettre en parall
occipital antérieur (Wernicke) semble continuer la 120 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. scissure perpendiculaire externe, ou segment e
reconnaître le stigmate anatomique de la dégénérescence des centres
nerveux
qui fournirait l'explica- tion du caractère ess
oupes transverses de corps d'embryon on voit les paities du système
nerveux
, dont les cellules sont déjà pourvues de tigioï
des diverses colorabilités, densités, granulifications des cellules
nerveuses
des ganglions spinaux, purement et simplement.
mptômes. Conclusions : 1° La multiplication considérable des fibres
nerveuses
les plus fines dans les parties scléreuses des
le produit d'une dégénérescence ou d'une régénérescence des fibres
nerveuses
. - Dégénérescence, disent les uns, car les gaines
sclérose, il y a toujours tuméfaction d'un certain nombre de fibres
nerveuses
et par suite une compression qui réduit les ner
s, et l'on n'en trouve point. En un mot, le grand nombre des fibres
nerveuses
fines plaide en faveur de leur nature ; ce sont
ce sont des éléments ner- veux de néoformation et non des éléments
nerveux
rapetissés anciens. La dissociation montre que
air halo, qui trahissent, en certains endroits, la coupe des fibres
nerveuses
à myéline fines. Le contour de la gaine de myél
lifération de névroglie, il appert que les altérations des éléments
nerveux
sont primitives et que celles du tissu intersti
parées les unes des autres par le tissu conjonctif multiplié (tronc
nerveux
des bras, et minuscules destinés aux muscles) ;
ressante. P. Keraval. Y1L Contribution à la coloration des cellules
nerveuses
; par F. LuIT11LEU et J. SonGo. (Neurolog. Ceizi
Keraval. VIII. Contribution au durcissement « in situ » du système
nerveux
central; par H. PFISTER. (Neurolog. Centralbl.,
nd groupe dépend, lui, de la place occupée par la lésion du système
nerveux
central ; il constitue les accidents types de la
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149 XI. De la structure des cellules
nerveuses
des ganglions spinaux; par E. Heimann. (Neurolo
d'accord avec Lenhossek sur la structure fibrillaire de la cellule
nerveuse
. P. RERA V AL. XII. Contribution au dosage du c
évidemment de dégénérescences secondaires par atrophie des cellules
nerveuses
correspondant aux systèmes atteints. C'est à re
e quelques pas ça et là. Homme vigoureux de quarante- neuf ans, non
nerveux
. Dans le cas de M. Good, c'est une infir- mière
massage, à l'électricité. P. KERAVAL. XX. Altérations du système
nerveux
consécutives à l'arrache- ment des nerfs ; quel
hénomènes succèdent à la résection des prolon- gements des cellules
nerveuses
: 1° une phase de réaction caracté- risée par l
t-être bien due à la rétraction du réseau fibrillaire de la cellule
nerveuse
. Telle est la phase 3, la phase de dégénérescence
qui, d'après Zulzer, indique l'énergie de décom- position du tissu
nerveux
(Bechterew). Est aussi augmenté le rap- port de
ue l'aboutissement de cette irritation chronique soit une explosion
nerveuse
analogue à la décharge de la bou- teille de Ley
thésiées, ce qui est un point capital. La physiologie de la cellule
nerveuse
exige en effet que, tout au moins dans un proce
le moins la première manifestation ; l'hypéresthésie de la cellule
nerveuse
peut d'ailleurs être obtenue par bien d'autres mo
R. DE Musgrave-Clay. XXVIII. L'influence du climat sur les maladies
nerveuses
; par Sanger 13non. (I'Ite.7Vciv-l"oi,k Medical
travail sont les suivants : Reaucoup de personnes dont l'équilibre
nerveux
est instable, quelle que soit l'origine de cett
le que soit l'origine de cette instabilité, présentent des troubles
nerveux
très accusés lorsqu'elles passent d'une altitude
THÉRAPEUTIQUE. '163 Le climat le plus propre à rétablir un système
nerveux
débilité est un climat sec, froid, ensoleillé,
ficient d'un climat en bénéficient par l'intermédiaire du sys- tème
nerveux
. L'air de la mer aggrave certaines formes de tr
tème nerveux. L'air de la mer aggrave certaines formes de troubles
nerveux
fonctionnels, mais beaucoup moins souvent que l
occique exerce une influence nette- ment stimulante sur les centres
nerveux
dans le coma méningi- tique, mais les mêmes eff
gnostic était à faire entre l'épi- lepsie et la syphilis du système
nerveux
central; le retour nocturne des paroxysmes mili
ttra peut-être de décrire en pathologie mentale comme en pathologie
nerveuse
des types morbides intéressants. Jusqu'ici il n
naisons de troubles mentaux (démence en particulier) et de maladies
nerveuses
familiales. Il y aurait un certain intérêt, mêm
. Elle était aussi fréquente chez les indi- vidus dont cet appareil
nerveux
n'avait rien perdu de son poids physiologique q
ec parois, comme dans la forme précé- dente, disloque tout le tissu
nerveux
, et le transforme en une série de petits tronço
e sur le névraxe et qu'elle peut causer la défaillance du système
nerveux
central : en conséquence, les psychoses dont il s
ette habitude sans grande difficulté. Du même coup, les acci- dents
nerveux
furent dissipés. Il est curieux de noter que le c
êtée. (Bonhomme Normand, janvier.) BIBLIOGRAPHIE. IL Le système
nerveux
central. Structure et fonctions. Histoire cri-
sHautes Etudes, à la Sorbonne, vient depublierunvolumesurle système
nerveux
central qui prendra rang parmi les plus grands
mporaines, M. J. Soury étudie les fonctions conductrices du système
nerveux
central, les voies sensitives et motrices, les vo
elles sont donc causées par des altérations de nutri- tion du tissu
nerveux
. Ce ne sont pas, bien entendu, des névroses sin
moment où Golgi institua sa méthode, les actes réflexes du système
nerveux
étaient expliqués parles anastomoses des prolon-
hèse et Koelliker combattit les opinions de Golgi sur la nature non
nerveuse
des prolongements protoplas- miques. Forel décl
ance n'était pas nécessaire pour expliquer la propagation de l'onde
nerveuse
et il inaugura, avec His, la doctrine des neuro
re des prolongements protoplasmiques et cylindraxiles de la cellule
nerveuse
. La coloration de Nissl mit en évidence les blo
es du cytoplasma. Flemming et ' Cajal découvrirent que les courants
nerveux
suivent dans la cel- lule et ses prolongements
ileer,croient àl'unité struc- turale et fonctionnelle de la cellule
nerveuse
dans les différents -territoires, et expliquent
réfute l'hypothèse de Mathias Duval sur l'amiboisme des cellules -
nerveuses
, mais il admet la contractilité des ceilules de n
c Cajal l'auteur de la loi de polarisa- tion dynamique des éléments
nerveux
. M. Soury présente enfin les objections de von
r Vol. IX. Mars 1900. ' N° 51. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. Polyurie et Pollakiurie hystériques ; Par Je
ervations plus ou moins probantes. Depuis cette époque, la polyurie
nerveuse
a été étudiée en 1891, par MM. Debove, Mathieu,
lyurie simple, essentielle, transitoire, trau- matique, alcoolique,
nerveuse
, héréditaire, des dégénérés, émotive, hystériqu
ront servir, pour leur Archives, 2* série, t. IX. 13 194 CLINIQUE
NERVEUSE
. petite part, à la solution du problème. L'obse
ital : il est adressé alors à la cli- nique des maladies du système
nerveux
. Enfin M... n'a jamais con- tracté la syphilis.
ants, quand ils se produisent, ils sont normaux. Les 196 CLINIQUE
NERVEUSE
. réflexes rotuliens sont eux aussi normaux. Le
tète, n'a jamais d'absences ou de Fig G. Firl. i. 198 CLINIQUE
NERVEUSE
. vertiges. Jamais il n'a eu d'attaques de nerfs
lyse rigoureuse. Voici le résultat de cette analyse : 200 CLINIQUE
NERVEUSE
. moindre que celle des deux autres symptômes, l
e. (Archives de Neurologie, 1894, p. 448.) E. Brissaud. ]'otyw'ie
nerveuse
et polyurie hystérique. (Presse Médi- cale, avr
Médi- cale, avril 1897, p. 165 ; ou bien : Leçons sur les maladies
nerveuses
. Deuxième série. p. 505.) POLYURIE ET POLLAKI
quence des mictions. Mais la vessie peut être tolé- 202 -) CLINIQUE
NERVEUSE
. rante au delà de sa capacité physiologique, et
ue, il existe une autre vessie irritable hystérique, 204 CLINIQUE
NERVEUSE
. dont la pollakiurie impérieuse peut être l'uni
s pilules. POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTERIQUES. 20 206 CLINIQUE
NERVEUSE
. . cacité de ce médicament M... a vu son acti
otal et soumis à l'ana- lyse. En voici le résultat : 208 CLINIQUE
NERVEUSE
. POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTÉRIQUES. 209 car
s d'un litre et demi. Voici le détail de l'analyse : 210 CLINIQUE
NERVEUSE
. pensé, apparaît menaçant le besoin d'uriner. P
aires. Grand-père paternel mort paraplé- gique ; père et mère assez
nerveux
, s'emportant facilement. Antécédents personnels
ante. Les frères et soeurs du malade ne présen- tent aucun accident
nerveux
, sauf un frère jumeau du malade qui a uriné au
Or, si l'on admet que tous 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. les phénomènes
nerveux
observés chez ce malade sont de même origine, q
s infections et de l'auto-intoxication cachec- tique sur le système
nerveux
; le plus souvent, sous l'influence de ces caus
tuberculeuse : du rôle im- portant de la tuberculose en pathologie
nerveuse
. - 1\1. Dufour pré- sente une femme de trente a
à la tuberculose comme facteur étiologique des maladies du système
nerveux
. Un cas de surdité et de cécilé verbales suivi
quement on note : sclérose de la neuroglie, dégénération des fibres
nerveuses
au-dessous du foyer inflammatoire et dans ses e
modes de la sensibilité à type périphérique, sensibilité des trones
nerveux
et des muscles et certaine atrophie musculaire.
ou. Les prolongements protoplasmiques ou dendrites des cel- lules
nerveuses
de l'écorce cérébrale des animaux vertébrés adu
distinctives la plus caractéristique des dendrites du prolongement
nerveux
au cyliudraxile est, entre autre, que les premi
ans l'écorce cérébrale les dendrites de presque toutes les cellules
nerveuses
sont recouvertes d'une grande quantité d'append
s animaux adultes bien por- tants on rencontre parfois des cellules
nerveuses
, sur les pro- longements desquelles on ne parvi
s à voir d'appendices collatéraux ; peut-être, ce sont des éléments
nerveux
appar- tenant au type des cellules à prolongeme
roduit artificiel, provenant pendant l'imprégnation des- éléments
nerveux
par le chromate d'argent. Ramon y Cajal parvint
parvint à s'assurer à l'aide de la coloration spéciale des cellules
nerveuses
corticales par le bleu de méthy- lène, que les
minales qui sont en élat perlé ; 3° chez quelques-unes des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale, que l'on rencontre très
- tent de beaucoup la quantité de la substance protoplasma- tique
nerveuse
. En passant dans la région des données patholog
ons particulières des prolonge- ments protoplasmatiques de cellules
nerveuses
corticales dans divers procès pathologiques ; c
t pas douter que les prolongements proto- plasmatiques des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale peu- vent se modifier, do
l'état variqueux des prolongements protoplas- matiqnes des cellules
nerveuses
de l'écorce eérébrale, comme phénomène post-mor
eut supposer que les prolon- gements protoplasmatiques des cellules
nerveuses
avec trouble de nutrition quelques heures après
nditions qui provoquent l'état variqueux des dendrites des cellules
nerveuses
corticales, il nous reste encore à mentionner l
atho- logique. Comme nous l'avons vu, presque toutes les cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale ont sur leurs dendrites une
e grandeur varia- ble, qui sontdela même substance protoplasmatique
nerveuse
que les dendrites elles-mêmes, et qui servent d
erception des excitations cellulipètes qui parviennent à la cellule
nerveuse
des autres éléments ner- veux. On peut considér
s éléments ner- veux. On peut considérer les dendrites des cellules
nerveuses
comme des organes ayant une liaison intime avec
doivent aussi avoir un rapport avec cette fonction. Plus la cellule
nerveuse
est riche de prolongements protoplasmatiques et
sur la contractilité du proto- 280 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. plasma
nerveux
et présente un substratum d'un état phy- siolog
des dendrites sert de preuve immédiate d'amoe- boïsme des éléments
nerveux
, avec quoi non plus nous ne pouvons être d'acco
fication très grossière. La mobilité physio- logique du protoplasma
nerveux
a lieu probablement sous une lorme plus délicat
l'état moniliforme des prolongements protoplasmatiques des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale ne peut pas servir d'expr
dendrites est une indication sur l'état pathologique de la cellule
nerveuse
développée. Lais- sant de côté l'aspect perlé d
é l'aspect perlé des prolongements protoplas- matiques des cellules
nerveuses
embryonnaires, nous nous occuperons d'une maniè
cilement. Comme il est bien probable que les dendrites des cellules
nerveuses
servent non seulement à la réception par le neu
e neurone des ! impul- sions cellulipètes du côté des autres unités
nerveuses
, elles apparaissent aussi comme organes prenant
queux DES DENDRITES corticales. 281 dans la nutrition de la cellule
nerveuse
, c'est-à-dire des or- ganes ayant une liaison i
aussi délicats que les prolongements protoplasmatiques des cellules
nerveuses
. Quelle est donc la forme du trouble de nutriti
tat moniliforme des prolongements protoplasmatiques de ses cellules
nerveuses
? Des modifica- tions plus grossières, comme pa
ces qui ont une affinité plus proche avec les élé- ments du système
nerveux
central, provoquent plus vite quel- quefois les
phologiques dans les prolonge- ments protoplasmatiques des cellules
nerveuses
. L'état variqueux des dendrites, même très marq
e, Ceni), même lorsque l'état variqueux est très marqué, la cellule
nerveuse
conserve sa fonction trophique relativement au
n que l'état perlé des prolongements protoplasmatiques des cellules
nerveuses
de l'écorce céré- brale chez les animaux adulte
s animaux adultes sert à démontrer l'état pathologique des éléments
nerveux
, nous devons le considé- rer comme une atrophie
on. L'état perlé des prolongements protoplasmatiques des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale qui a été constaté dans d
es autres auteurs, à la forma- tion des contacts entre les éléments
nerveux
. Peeters indique à ce propos que le nombre d'ap
état moniliforme des prolongements protoplas- matiques des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale dans des maladies mentale
ouvent en état de faiblesse et ne peuvent pas marcher, les cellules
nerveuses
corticales présentent de grandes particularités
état moniliforme des prolongements protoplas- matiques des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale doit correspondre, évidem
1890, vol. I, fasc. 10). Anglade. Sur les altérations des cellules
nerveuses
, de la cel- ule pyramidale en particulier, dans
ErF (\V.). Théorie des contacts et étude des décharges de l'énergie
nerveuse
comme condition de la transmission de l'ex- cit
ergie nerveuse comme condition de la transmission de l'ex- citation
nerveuse
. (Revue (russe) de Psychiatrie, 1896, p. 23.) C
CAJAL (Ramony). - Les nouvelles idées sur la structure du sys- tème
nerveux
chez l'homme et chez les vertébrés. 1894, Paris.
VI, fascicule 6, 1899, p. 401-42'7. DÉjERtNE.Anatomie des centres
nerveux
. Paris, f895, t. I, p. 163. DEMOOR (Jean). La p
96, 1.) DEYBER (René). Etat actuel de la question de l'amoeboïsme
nerveux
. Paris, 1898. DUVAL (Mathias). - L'amoeboïsme d
nerveux. Paris, 1898. DUVAL (Mathias). - L'amoeboïsme des cellules
nerveuses
. (Revue scientifique (revue rose), t. IX, 1898,
° 11.) DUVAL (Mathias). Hypothèses sur la physiologie des centres
nerveux
; théorie histologique du sommeil. Comptes rendus
286 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Van GEHUCHTEN (A.). Anatomie du système
nerveux
de l'homme. Louvain, 3e édition. Golgi. (Cami
EGER (Paul). Présentation de préparations microscopiques du système
nerveux
. (Bulletin de la société de médecine mentale de
fas- cicule IV. MONT ! (Achille). Sur les altérations du système
nerveux
dans l'inanition. (Archives italiennes de Biolo
p. 347.) Moka (Achille). Sur l'anatomie pathologique des éléments
nerveux
dans le processus provenant d'embolisme cérébral.
tion physiologique des prolongements protoplasmatiques des cellules
nerveuses
. (Archives italiennes de Biologie. 1895, t. XXI
olenchi (D.) et SACERDOTTI (G.). Sur les altérations des élé- ments
nerveux
dans la dyscrasie urémique expérimentale. (arche-
, fascicule 10.) . PARASCONDOLO (Carlo). Les altérations du système
nerveux
dans les brûlures. (Archives de Physiologie, 18
DOLO (Carlo). Recherches histo-pathologiques sur l'état des centres
nerveux
dans la commotion thoracique et abdo- minale ex
lvay. Bruxelles, 1898, t. Il, fascicule 1. HENIUT. Sur les cellules
nerveuses
multipolaires et la théorie du « Neurone ». (Bu
ol. XLIV, p. 729.) Rybakoff (J.). Sur la pathologie de la cellule
nerveuse
et ses prolongements (méthode de Golgi). (,17-c
1'Tr (C.) et O1'TOLLI\GII1 (D.). Sur les altérations des élé- ments
nerveux
dans la dyscrasie urémique expérimentale. (Archiv
7, fascicule Il ! . Stefanowska (Micheline). Evolution des cellules
nerveuses
cor- ticales chez la souris après la naissance.
khanoff (S.). Contribution à l'étude des modifications des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale dans l'anémie expérimen-
fications que subissent les prolongements dendritiques des cellules
nerveuses
sous l'influence des narcotiques. (La Cellule,
Contribution à l'étude de l'état et du dévelop- pement des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale chez quelques ver- té6rés
niutria e di medi- cina légale, 1893.) 1'ÊLIATNIK, - Des éléments
nerveux
du bulbe olfactif. (Message¡' neurologique (rus
TittELLI (Vitige). Sur l'anatomie fine pathologique des élé- ments
nerveux
dans l'empoisonnement aigu par le sublimé. (Arc
1\ZI (Livio). Sur les fines altérations morphologiques des cellules
nerveuses
dans le tétanos expérimental. (Archives italienne
E. 295 vingt ans il fut pris de fièvre quarte qu'il garda six mois.
Nerveux
, émotif, il ne se livre pas habituellement à la
enrouée. Pas d'anesthésie ni de stigmates hystériques. Tremblement
nerveux
continuel. Il a chanté toute la nuit dernière e
mal. Urines : élimination moyenne, ni sucre, ni albumine. Système
nerveux
. - Réflexes rotuliens normaux. Force muscu- lai
ner0. et ment., fasc. II, 1899.) XXIX. Sur les lésions des éléments
nerveux
dans le cours de la péritonite par perforation;
iieizt., fase. 111, 1899.) XXXI. Sur les altérations des cellules
nerveuses
de la moelle épinière consécutives à l'occlusio
. Il faut donc admettre dans ces organes une décussation des fibres
nerveuses
du nerf vestibulaire. Il existe un lien intime,
2° l'importance capitale que doit avoir la régénération des fibres
nerveuses
périphériques dans le rétablissement de la sens
e ou d'anémie, à la distribution différente du sang dans le tissu
nerveux
. C'est seulement quand la lésion de la cellule ne
ans le tissu nerveux. C'est seulement quand la lésion de la cellule
nerveuse
devient irréparable, que l'affaiblissement déme
alors qu'il existe une altération grave et progressive des éléments
nerveux
(démence paralytique, alcoo- lique, sénile, hém
issement, d'atrophie, d'oedème, d'anémie persis- tante des éléments
nerveux
, comme par exemple dans la période ultime de la
et ment., fasc. VII, 1899). XLIII. Sur les altérations des éléments
nerveux
dans l'empoison- nement subaigu par l'aluminium
la neurine, de l'al- cool éthylique et de l'acétone sur le système
nerveux
embryon- naire ; par MtRTO. (Ann. di nevr., fas
ble pour la cessation de la contracture. J. Scr.AS. L. La cellule
nerveuse
représente-t-elle une unité embryologi- que ; p
ants ou chez ceux qui n'ont qu'une maladie fonctionnelle du système
nerveux
. La convergence n'y est pour rien, car il y a r
rt énergique. P. Keraval. LVI. Une nouvelle coloration du système
nerveux
; par P. Kaon- THAL. (Ne2tro(o,g. CentralLl., 1
rée de formiate de plomb. On place des petits morceaux de système
nerveux
de 8 millimètres de long et assez minces dans un
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Cellules et fibres
nerveuses
sont d'un gris sombre tirant sur le noir, ou lé
ns de la couche granuleuse du cervelet, très petits dans les fibres
nerveuses
. L'auteur montre, à l'appui, de grandes cellule
se, enfin la moelle d'un tabétique ; ici, dégé- nérescence du tissu
nerveux
sans prolifération, s'accusant par une colorati
tique du travail de A. Bethe. Les éléments anato- miques du système
nerveux
et leur valeur physiologique » ; par M. DE LC\I
ires, qui entoure un épais feutrage formé des ramuscules des fibres
nerveuses
et des dendrites, appelé neurophile (His). Les
t : ce sont bien des dendrites (Bethe, de Lenhos- sek). Les racines
nerveuses
pénètrent dans les ganglions ; elles y REVUE D'
nces terminales libres. C'est la structure fibrillaire des éléments
nerveux
qui est inté- ressante. Le bleu de toluidine et
quoi cela peut-il contredire à la théorie du neurone ? Les éléments
nerveux
, chez les invertébrés comme chez les verté- bré
M. Bethe n'a pas constaté le passage des neurofibrilles d'une unité
nerveuse
à une autre; il n'a pas vu que le neuropile doi
e coloration pour qu'on puisse contrôler la continuité des cellules
nerveuses
. Au point de vue physiologique, les cellules ne
des cellules nerveuses. Au point de vue physiologique, les cellules
nerveuse
de l'écrevisse sont, dans les ganglions, séparé
t enlever complètement le complexus des proto- plasmas des cellules
nerveuses
, en épargnant autant que possible le neuropile
euses, en épargnant autant que possible le neuropile et les racines
nerveuses
. On verrait si et à quel point les mouvements r
fois, à la partie de l'encéphale de l'écrevisse qui forme le centre
nerveux
de la seconde antenne : il n'en est rien résulté
toplasma et son noyau ne participent point aux fonc- tions purement
nerveuses
. Seulement M. Bethe n'a enlevé qu'une partie de
cellule, organe purement trophique, n'a de rapport avec la fonction
nerveuse
que parce qu'elle représente un poste de passag
s de la cellule, piriforme, ne s'écarte pas du tout, des extrémités
nerveuses
; il est copieusement entrelacé par les expan- s
quantité de plasma fondamental, siège très probable d'une activité
nerveuse
spécifique. La multiplicité des formes, des rami-
prendrait pas non plus leurs altérations dans toutes les affections
nerveuses
et mentales. M. Bethe exagère le rôle nerveux e
utes les affections nerveuses et mentales. M. Bethe exagère le rôle
nerveux
et conducteur des neurofibrilles. Sans doute el
he qui est une allure spéciale physique ou chimique de la substance
nerveuse
, un ordonnancement particulier des molécules du
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. d'image complète d'un élément
nerveux
parce qu'elle incruste la substance dans laquel
générale- ment pas les fibrilles dans tow leur parcours. Le système
nerveux
central des vertébrés n'est pas non plus propre
. Chez les invertébrés, et surtout dans les organes où les éléments
nerveux
sont répartis en surface, il y a sûrement des a
de réflexes orientés dans une direction déterminée dans le système
nerveux
central. Il n'est donc pas probable que l'on trou
faut avoir de la chance pour tomber sur la liaison de deux cellules
nerveuses
au moyen des fibrilles primitives dans le systè
ellules nerveuses au moyen des fibrilles primitives dans le système
nerveux
central. Mais chez la sangsue on voit fréquemme
it fréquemment ce qui suit : les fibrilles primitives d'une cellule
nerveuse
se divisent en branches minces et passent dans
ieu de penser à un lien de continuité entre les cellules du système
nerveux
cen- tral par les fibrilles. P. KERAVAL. LVII
un peu en avant de son milieu. Elle est constituée par des cellules
nerveuses
semblables à celles des cornes postérieures, de
La malade, dont provient cette pièce, avait une série de troubles
nerveux
des plus graves, mais pas de symptômes médullaire
yonnante, entre la capsule interne et les ascendantes, les cellules
nerveuses
présentent déjà divers degrés de maturité, quan
nt que chez l'adulte. Ceci prouve que les cellules comme les fibres
nerveuses
, prennent, successivement, dans les diverses zo
e interne chez un chat de quatre jours et demi. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 327 7 D'ordinaire du neuvième au dixième jour
ue le sens de leur conductibilité. P. IZERaVAL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Accès tétanoïdes dans l'épilepsie; par le D
tétanoïde de Prichard, n'est pas démontrée. 328 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3° Les accès tétanoïdes ne sont qu'une modific
psychiques se présentent, comme symptôme essentiel, dans le système
nerveux
moteur, des modifications à caractère général d
même temps, de temps à autre des spasmes du col REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 329 de la vessie, s'opposant à la miction d'un
urologist, avril 1899.) E. B. IV. Tympanite gastrique, vomissements
nerveux
et autres troubles gastriques nerveux; par EWAL
anite gastrique, vomissements nerveux et autres troubles gastriques
nerveux
; par EWALD. Résumé, d'après l'ouvrage du Dr Ewa
Deux cas sont cités de vomissements graves causés par irrita- lion
nerveuse
, exemples qui montrent combien le diagnostic peut
voulant prendre une aiguille, fixée sur une 330 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pelotte, la cassa et se l'enfonça dans la paum
par la théorie métamérique de Brissaud. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 331 IX. Respiration de Cheyne- Stokes pendant
bservées à Le Grand en Californie. L'auteur 332 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. soupçonne un élément toxique infectieux qu'il
le de l'hystérie commune. Celle-ci est bien une REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 333 dégénérescence cérébrale, stigmate organiq
lation consciente d'un fait sen- sitif ou moteur, mais le mécanisme
nerveux
qui est le substratum physiologique de l'opérat
rmément à cette définition, l'image motrice représente le mécanisme
nerveux
qui préside à l'exécution d'un mouvement; mais
à l'exécution d'un mouvement; mais cette expression de mécanisme
nerveux
doit elle-même être précisée; il ne s'agit ici qu
re cortical de projection et le centre bul- 334 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. baire d'exécution sont un lieu de passage pour
). Le sommeil ainsi provoqué n'est nullement un REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 33S état exceptionnel du système nerveux, mais
un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 33S état exceptionnel du système
nerveux
, mais une simple modalité fonctionnelle de son
considérablement diminuée (1 : R = 2 : 1 ; 336 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I : R == 2 : 0), accepteront les suggestions l
ant essentiellement en une disso- ciation fonctionnelle des centres
nerveux
, provoquant une annihi- lation plus ou moins pr
le considérant comme dû à la dissociation fonctionnelle des centres
nerveux
aboutissant aune annihilation plus ou moins for
nt l'attention ne peut être fixée. A. FENAYROu. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 337 Yin. Suggestion et mesmérisme; par E. BOIR
phénomènes parait être une sorte de plasticité anormale de la force
nerveuse
, qui se trouve ainsi capable de subir docilemen
ale, un AncI ! l\'r.s,2- série, t. IX. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. démenti flagrant à ce que la science nous a ap
, ne peuvent s'expliquer que si l'on admet avec lui que les centres
nerveux
de l'axe céphalo-rachi- dien et ceux du système
t de veille chez certains individus. Bien plus, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 339 M. Bernheim affirme que tous les sujets ha
faite, articulation des mots défectueuse. 340 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - La voix changea de hauteur, de ton, et de qu
ion faoiale unilatérale quand les muscles fonc- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 341 1 tionnent, la pâleur, l'absence d'express
paralysie des muscles de la face, ni de 31 : .r REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.. la langue ni des lèvres. Voix nasillarde, sif
r, l'idée d'une prédisposition héréditaire à des lésions du système
nerveux
, et d'un défaut de développement dans les tractus
ofité, pour se développer, de la faiblesse héré- ditaire du système
nerveux
. P. XXVII. Etat myxoedémateux aigu, avec tachyc
rtains caractères de la maladie de Graves. p. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 343 XXVIII. Un cas de pachyméningite interne h
hagique chez un enfant de 9 ans, avec changements dans les cellules
nerveuses
; par William G. SPILLEIi. (titre Journal ofner
s complet des lésions. Les modifications pathologiques des cellules
nerveuses
consistaient en une tuméfaction marquée et une
istincts. Ces modifications étaient constatées dans tout le système
nerveux
central (écorce cérébrale et cérébelleuse, noya
tions osseuses, ne débutant jamais très 344 -il REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. longtemps après le début de l'affection, et qu
intéressé seul. Le court fléchisseur du pouce qui reçoit des filets
nerveux
étrangers au cubital ne présente pas de réactio
- tion écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures aux c
ouvant toujours l'excitation corticale, l'hyperesthésie des centres
nerveux
en .général, mais surtout des organes des sens.
pas limitée au cerveau. Les nerfs périphé- riques, les terminaisons
nerveuses
sont aussi le champ de l'envahissement alcooliq
sus, son heure est proche et qu'il sera crucifié, mais les MALADIES
NERVEUSES
A L'HOPITAL MILITAIRE DE KIEF. 399 hallucinatio
nous expliquerons plus tard sur ces points. (.1 suivre.) CLINIQUE
NERVEUSE
. Notes cliniques de la section des maladies ner
e.) CLINIQUE NERVEUSE. Notes cliniques de la section des maladies
nerveuses
à l'hôpital militaire de Kief ; Par professeu
plus de dix-sept ans que je suis professeur des mala- 400 CLINIQUE
NERVEUSE
. dies nerveuses : d'abord je l'étais à l'hôpita
ans que je suis professeur des mala- 400 CLINIQUE NERVEUSE. dies
nerveuses
: d'abord je l'étais à l'hôpital militaire Nicola
tal militaire de Kief. De toutes les maladies organiques du système
nerveux
central, qu'il m'est arrivé de rencontrer penda
ficiers, la plupart des cas se rapportaient aux maladies du système
nerveux
central post- syphilitique. Ces observations
ins ou à l'hypertrophie des éléments du tissu conjonctif du système
nerveux
central, laquelle ne cède à aucun autre traitem
rivée en observant les traitements spécifiques réitérés des malades
nerveux
, qu'avaient déjà eu la syphilis antérieurement,
u Nouveau Monde et de l'Ancien, consiste en frictions mer- MALADIES
NERVEUSES
A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 401 l curielles
affection des vaisseaux sanguins plus dangereuse encore du système
nerveux
central. Voyons à présent, si les effets de l'e
nisme. Pendant cette Archives, 2° série, t. IX. ' 26 402 CLINIQUE
NERVEUSE
. période de son séjour temporaire dans l'organi
toutes les affections secon- daires du tissu conjonctif du système
nerveux
central,-et de l'autre côté, différentes affect
Mais il n'y a rien à dire non plus contre l'ancienne pré- MALADIES
NERVEUSES
A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 403 paration de
e manière, je pouvais laisser de cinq six semaines mes 404 CLINIQUE
NERVEUSE
. malades sous l'influence d'une assez grande qu
conjonctif dans les divers organes devinrent beaucoup plus MALADIES
NERVEUSES
A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 405 fréquentes q
onctif dans les divers organes, étaient devenues plus- 406 CLINIQUE
NERVEUSE
. fréquentes ce qui n'était jamais arrivé lors d
même à l'engraissement. Je n'oublierai jamais un aide-ehi- MALADIES
NERVEUSES
A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 407 rurgien d'Ai
Après cette digression, retournons à ces affections du sys- tème
nerveux
qui se rencontrent chez les syphilitiques, comm
de rencontrer des sujets âgés de trente ans, sans aucun antécédent
nerveux
et déjà atteints de celte horrible maladie. Pen
ertrophie si fréquente et si précoce du tissu conjonctif du syslème
nerveux
central, chez ces malheu- reux ? 9 La réponse
-mêmes. En effet, trouvez actuellement un syphilologue 408 CLINIQUE
NERVEUSE
. qui, après plusieurs traitements mercuriels, e
aine lenteur de l'évacuation de l'urine, exigeant certains MALADIES
NERVEUSES
A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 409 efforts, pui
je tache simultané- ment de soutenir de toute manière les éléments
nerveux
qui périssent et je calme dans la mesure possib
ctrique continu et celle de l'appareil génito-vésical, 410 CLINIQUE
NERVEUSE
. par le courant faradique ou par l'électricité
ectrisation ? Si nous voulons augmenter l'excitabilité des éléments
nerveux
et améliorer leur nu- trition ; dans ce but, il
s le cas contraire le passage du courant continu à travers le tissu
nerveux
, y développe l'action électroto- nique du coura
sical je dirai seulement, que l'une des électrodes avec la MALADIES
NERVEUSES
A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 411 'l surface r
voquant une extension considérable des racines de la 412 ) CLINIQUE
NERVEUSE
. moelle épinière, agit certainement, d'une mani
n'est que la manifestation d'affections portant soit sur le système
nerveux
, soit sur l'ensemble de l'économie (ménin- gite
es. Ainsi est défendu ce ter- ritoire du plus important des centres
nerveux
contre les innom- brables ennemis disséminés da
analogue à celle de l'épilepsie. L'état où sont placés les centres
nerveux
les plus élevés par l'ingestion d'une quantité
ui touche les rapports de la conscience avec l'activité des centres
nerveux
les plus élevés, les cas rappor- tés et tous le
vants : « 1° les états de conscience diffèrent totalement des états
nerveux
des centres nerveux les plus élevés ; 2° les deux
ts de conscience diffèrent totalement des états nerveux des centres
nerveux
les plus élevés ; 2° les deux états sont simult
états sont simultanés, parce que tout état mental implique un état
nerveux
corrélatif; et 3° malgré le parallélisme des deux
ens que lui donne H. Jackson), correspondant à des manifestations
nerveuses
variables elles aussi. Par exemple dans certains
ence; mais dans l'étude de ces faits, dans les- quels les activités
nerveuses
les plus élevées sont engagées indé- pendamment
ce est souvent ac- compagné d'une sensation de soulagement (détente
nerveuse
). Enfin, les traumatismes de la tête, l'insolat
ès de travail et qui ne peut être due qu'à l'épuisement des centres
nerveux
impliqués dans l'excès d'activité mentale. Il
roses fonctionnelles : en effet la nutrition parfaite de la cellule
nerveuse
en assure l'intégrité. L'auteur n'a pas vu un
les atomes constituants des molécules qui comprennent les cellules
nerveuses
; seulement on est obligé de désigner ces modifica
omène d'arrêt soit ici aussi désastreux qu'un phénomène de décharge
nerveuse
. La première forme dont il a été parlé plus hau
ons périphériques sont la cause d'une grande partie de nos troubles
nerveux
, et que le surmenage oculaire figure au premier
la méthode de Nissl, ne se comportent pas comme les vraies cellules
nerveuses
, jeunes, adultes ou séniles; convenablement étu
ue, considérablement hyperplasiées (cellules géantes). Les éléments
nerveux
(tubes et cellules) subissent une atrophie lent
fier dans l'un ou dans l'autre sens. Dans les affections du système
nerveux
périphérique, les troubles de la sensibilité cu
M. W. Mouravieff. Les altérations de la structure fine de la fibre
nerveuse
après section. Les expériences ont été faites sur
ient mutuellement. Conclusions : 1) La gaine de myéline d'une fibre
nerveuse
nor- male est d'une formation chimique complexe
ou le troisième jour, se désagrègent simplement le long de la fibre
nerveuse
, ou s'épais- sissent d'abord d'une façon irrégu
bres le cylindraxe apparaît très nettement tout le long de la fibre
nerveuse
. Discussion : M. Weidenhamer fait remarquer que
s éléments cellulaires. Les granulations chromatophiles de la fibre
nerveuse
peuvent bien appartenir aux corps albuminoides.
du pied et de la jambe traité avec succès par distension des filets
nerveux
entourant l'artère fémorale ; - Roncali.Un cas
c Carlyle subissait l'influence d'une prédisposi- VARIA. 457 tion
nerveuse
héréditaire, qu'elle était atteinte d'une véritab
99. Imprimerie Prodot-Carré. Grasset. Analomie clinique des centres
nerveux
. Volume in-16, cartonné, de 96 pages. Prix : 1
0. Vol. IX. Juin 1900. N" 54. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Observation de chorée chronique héréditaire
1899, il est atteint Archives, 2' série, t. IX. 30 46G PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de démence, et présente les signes classiques
. Toutefois, il est à signaler que lorsqu'on le sou 468' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tient et qu'on le prie de faire un pas, son pi
eptembre 1899. Le malade ne peut absorber aucun ali- 470 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment solide : on le nourrit avec du lait qu'on
ents qui subsistent sont loin d'être absolument sains. Les cellules
nerveuses
qui semblent le moins altérées, ont leur protop
aroi du capillaire. Enfin, ces cellules affectent avec les cellules
nerveuses
de l'écorce des rap- portsqui présentent pour n
e corps cellulaire presque en entier ; les espaces 472 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. péricellulaires en contiennent deux, trois et
cellules rondes autour d'une seule cellule pyramidale. Les cellules
nerveuses
, à peu près normales, sont aussi bien entourées
les, sont aussi bien entourées de petites cellules que les éléments
nerveux
altérés, ces derniers peuvent même sur certaine
tes cellules, ces dernières entourant le noyau altéré de la cellule
nerveuse
et sem- blant achever d'en détruire la masse pr
CHORÉE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE lHU ? TINGTO-.1. 473 na les cellules
nerveuses
et leurs loges. On constate alors que les petits
rtains points des amas en îlots, entourant en d'autres les cellules
nerveuses
plus ou moins désagrégées, ou constituant enfin
enfin autour des capillaires un véritable manchon. 474 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment très grand; nous les voyons également en
ernières, en revanche, existent en grand nombre autour des cellules
nerveuses
plus petites avec lesquelles elles affectent le
ut à propos de l'écorce cérébrale. Notons en outre que les cellules
nerveuses
de la colonne de Clarke nous ont semblé plus pa
soient enveloppés de papier de soie. Soeur également bizarre, très
nerveuse
, s'emporte pour rien. Antécédents personnels. -
ieur. Nous excitons un nerf sensoriel ou sensitif, des terminaisons
nerveuses
des organes des sens ; l'excitation est répercu
di- taires, nous n'avons pas observé ces phénomènes. Les cellules
nerveuses
de l'écorce ont résisté chez eux aux premiers eff
tribuer à la connais- sance de l'anatomie pathologique des maladies
nerveuses
chroniques de l'enfance. Sommaire. Père rien
uite de convulsions. Mère, rachitique dans l'enfance, rhumatisante,
nerveuse
. - Grand'mère maternelle, céphalalgies. - Arriè
Père, trente ans, ébéniste, grand, vigoureux, sobre, aucun accident
nerveux
ni syphilitique, caractère doux, laborieux, aus
e, ni convulsions, ni indices de syphilis; rhumatisante, cardiaque,
nerveuse
, sans migraine, intel- ligence moyenne. Aurait
e, quatre-vingts ans. - Grands- parents maternels, aucune affection
nerveuse
, morts à soixante- dix-neuf et soixante-dix-sep
il existe, entre le foyer et le ventricule une couche de substance
nerveuse
ayant encore une certaine épaisseur. La lésion
ent de deux neurones. L'un, le neurone antérieur, part des cellules
nerveuses
de la rétine, et se rend au corps genouillé, où
tant produite par le contact des nerfs de la rétine et des cellules
nerveuses
de la région occipitale, le mécanisme de l'inter-
toire. P. IICItAVe\L. LXX VIII. Observations sur les terminaisons
nerveuses
sensitives dans les muscles volontaires; par A.
atrophiés également dans des cas de section expérimentale de troncs
nerveux
chez le chat. Ce mémoire de plus de 40 pages es
ne, Garel et Dor, Eisenlohr per- mettent de supposer que les fibres
nerveuses
laryngées, parties de l'écorce cérébrale un peu
plusieurs membres avaient présenté des troubles paralytiques, très
nerveuse
, présentant même des idées confuses de persécut
gies par lésions cérébrales. A. rENAYROU. 516 6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LXXXIV. Un cas de paraplégie avec autopsie ; p
re tous les symptômes de la paraplégie. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXII. Un cas d'acromégalie; par le Dr W.-M. 1
r blanche. Pour l'oeil gauche, hémianopsie tem- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 517 7 porale complète, et contraction du champ
at cachectique. Souvent, sinon toujours, cepen- dant, les symptômes
nerveux
se développent avant l'apparition ,des signes d
inaire une anémie secondaire, mais dans' un 518 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nombre considérable de cas, il s'agit d'anémie
ée soit un empoisonnement d'origine familiale, attaquant le système
nerveux
central prédisposé de ceux qui sont de la période
à 5 formes communes, les nombreuses variétés ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 519 de méningite qui furent décrites : La pach
moins rigide, extrémités moins raides. Peau 520 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. . toujours très sensible. Troubles vaso-moteur
omme de vingt-neuf ans, ayant eu des abcès gan- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 551 1 glionnaires du cou, qui fut atteint au m
le Dl' Pitres et dont la lésion centrale 52 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. n'est point encore définitivement établie. Cer
nsité, pendant l'attaque, des contractions mus- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 523 culaires, laquelle équivaut à une somme co
très petites quantités, on trouve 2 p. 1000 524 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'albumine. Comme le malade présentait les phé
eurs et des zones radiculaires postérieures, du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 525 bulbe, de la protubérance avec quelques al
'un enfant de six ans, qui a présenté, à la 526 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. suite d'une atteinte de fièvre scarlatine, un
lioration. La médecine est, en effet, impuis- , REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 537 7 santé contre les manifestations spasmodi
eut admettre que la continuité de l'effort qui porte sur les filets
nerveux
qui régissent l'accommodation est susceptible,
les jeunes filles, chez les femmes et quel- 528 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. quefois chez les hommes, que la perte de la vi
-, par Stumpf, 451. Empoisonnement. Altérations des élé- ments
nerveux
dans l' - aigu par l'aluminium, par Zouder, 3
Bérillon, 177. 1 Ganglions spinaux. De la structure des cellules
nerveuses
des-,par Hermann, I 49. Génie et folie, par R
Lambranzi, 234. .Maladie de Morvan, par Lesage, 533. Maladies
nerveuse
. L'influence du climat sur les -, par Brown,
optiques. Entrecroisement partiel des -, par de Bechterew, 509.
Nerveuse
. Altérations de la fibre après section, par Mou
autopsie par van Gehuchten, 516. Péritonite. Lésions des éléments
nerveux
dans la , par perfora- tion, par Barbucci, 306.
es moteurs à marche ascen- dante, par Van Gehuchten, 525. Système
nerveux
. Durcissement du central, par Pfisler, 147. Alt
lemmes en cor- rection au llauov're, par Snell, 5G. Terminaisons
nerveuses
dans les muscles volontaires, par Ilaffiiii,
. Tnoettoenéw chronique héréditaire, par illelge, 512. Troubles
nerveux
et psychiques chez les travailleurs du caout-
leuses, par Bletti- ger, 511. Tympanite gastrique, vomissements
nerveux
, etc., par Ewald, 329. Vacher l'Eventreur, par
LOGIE ARCHIVES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
ENNE; . Par BOURNEVILLE, médecin de Bicètre. (Section des enfants
nerveux
.) Le lendemain de la communication d'un travail
as de convulsions de l'enfance, pas de migraines, tempérament assez
nerveux
, sans crises ; physionomie régulière, cheveux châ
en une heure. Sa mère est morte « asthmatique » ; elle n'était ni
nerveuse
, ni migraineuse. Elle a eu cinq frères ou sceurs.
nds parents paternels et maternels sont morts vieux, sans accidents
nerveux
. Dans le reste de la famille, pas d'autre cas d
e étant morte « de vieillesse (soixante-quinze ans), sans accidents
nerveux
, l'enfant a été ramenée à Paris par une de ses
diminution de' poids, l'élévation de la température, les accidents
nerveux
, la tachycardie, etc., et partant la nécessité
st relatif à l'évolution histologique de Ja lésion dont l'élément
nerveux
est le siège, prise dans les premières phases d'u
it. Dans ce cas peu importe le faisceau et la localisation; le tube
nerveux
est le même partout. C'est ce second point seul
uvelles recherches. Cette lésion initiale, observée sur les tubes
nerveux
, peut se résumer très brièvement de la façon su
épinière, se montrent disséminés parmi des fibres saines des tubes
nerveux
offrant les caractères suivants : tuméfaction,
de la myéline se montrant d' abord exclusivement au centre du tube
nerveux
, c'est-à-dire autour du cylindraxe, avec dispar
avons donnée dans notre première publication sur ce sujet : Le tube
nerveux
comprend une gaine de myéline et un cylindraxe.
cylindraxe. Invariablement la lésion débute par le centre du tube
nerveux
où la myéline perd ses cercles concentriques, t
un faible grossissement, avec ou sans coloration préalable, le tube
nerveux
est remarquablement augmenté de volume (oedème
-même. Ceci parait conforme à ce qu'on sait de la nutrition du tube
nerveux
pris dans son ensemble; le cylindraxe, partie e
x pris dans son ensemble; le cylindraxe, partie essentielle du tube
nerveux
, ne saurait devenir le siège d'un trouble impor
ait singulières. ' On sait que, sur la coupe transversale d'un tube
nerveux
, cet organe apparaît comme un point occupant ex
es. Toutes les figures de la page ci-après repré- sentent des tubes
nerveux
coupés transversalement. On y voit : 1° au cent
terme de la lésion avant la résorption complète. Le centre du tube
nerveux
présente alors, au sein de la myéline liquéfiée,
tuée par un gonflement pseudo- hypertrophique de l'ensemble de tube
nerveux
, par la désin- tégration de la myéline débutant
t, le début de la lésion se faisant là par le fait dans l'élé- ment
nerveux
lui-même. Ces processus dégénératifs des tubes
'élé- ment nerveux lui-même. Ces processus dégénératifs des tubes
nerveux
et qu'on trouve reliés entre eux par des transi
les maladies comme la paralysie générale par exemple où la cellule
nerveuse
s'altère, on trouve dans les cornes de la moell
s qui peuvent être considérées comme l'analogue de celles des tubes
nerveux
et qui sont les premières périodes d'une lésion
longue date. Ces lésions nous les avons rencontrées sur les tubes
nerveux
dans un cas de tabes où la mort est survenue ra
dans la corne postérieure où elle apparaît nettement sur les tubes
nerveux
qui ont été coupés transversalement. C'est là u
s. Dans l'anémie grave, dès 1893, Minnich a observé sur les tubes
nerveux
de la moelle dont il a établi les lésions dans
autres rapports. C'est pour nous une manière de se détruire du tube
nerveux
et de la cellule ' Contribution ci l'ancelonaie
t. XXII. 1893. COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 41
nerveuse
qui est commune aux lésions finalement destructiv
s. Ce n'est pas tout dans des recherches sur l'oedème des centres
nerveux
Rumpf a observé une lésion analogue. Enfin pour
ocessus pathologique dans sa première phase. Du côté des éléments
nerveux
on y peut observer deux ordres de lésions : d'a
ordres de lésions : d'abord ce sont des nécroses massives des tubes
nerveux
et des cellules nerveuses. Cette nécrobiose peut
ord ce sont des nécroses massives des tubes nerveux et des cellules
nerveuses
. Cette nécrobiose peut être très rapide; elle a
Gombault, etc., ont noté la tuméfaction des cylindraxes des tubes
nerveux
. Et cela non seulement au niveau du foyer de my
ntales, y a rencontré les mêmes caractères de tuméfaction des tubes
nerveux
. Au bout de quelques jours lI. \Iuller a vu une
ocessus aigus, en dehors de toute lésion de névroglie; les éléments
nerveux
apparaissaient les- premiers frappés. Telles
essus aigus. Ce qui nous intéresse c'est le gonflement des éléments
nerveux
. Cet état pseudo-hypertrophique qui loin de rep
ire que dans la plupart des cas le mode de destruction de l'élément
nerveux
est le même à son début, si diverses que soient
on la plus commune de se transformer et de disparaitre des éléments
nerveux
. Elle marque le début, non d'un processus plus
s en plus s'étendre, mais sans que la lésion primitive de l'élément
nerveux
lui-même soit commandée par celle du tissu ambi
sclérose à forme myxomaleuse ou inflammatoire va remplacer le tissu
nerveux
insensiblement détruit et constituer un espace
et constituer un espace dans lequel on ne trouve plus que des tubes
nerveux
absolument sains, mais disséminés et éloignés l
disséminés et éloignés les uns des autres; le reste de la substance
nerveuse
ayant disparu complètement. Notre conclusion
rès grand nombre de dégénérescences spinales 44 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. en ce qui concerne les tubes nerveux. Il parai
les 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. en ce qui concerne les tubes
nerveux
. Il parait en être de même des cellules nerveus
concerne les tubes nerveux. Il parait en être de même des cellules
nerveuses
puisqu'il nous est permis de rappro- cher les l
empoisonnements réalisés expérimentalement J. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. La surdi-mutité au point DE vue clinique; p
tc. (Al'ch. hon- groises de médecine, t. II.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 45 compliquait, assez développée pour avoir pe
enfants en trois mois de juin en août 1894. 46 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - reprendre la marche sans béquilles. Dans le
ion passive et la flexion, douleur à la pression le long des troncs
nerveux
en parti- culier sur le trajet du nerf sciatiqu
n, d'où les hydropisies et exsudats ventri- \ REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 47 culaires, les tissus et eu particulier la p
ical journal, 17 novembre 1894.) or Marie. z 48 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XI. Paralysie laryngée dans LES affections NER
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI. Paralysie laryngée dans LES affections
NERVEUSES
CHRONIQUES; par W. PER11ENAN. L'auteur conclu
vingt années précédentes était effacé de sa mé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 49 moire, car il se disait laboureur, qu'il av
ie. A. 111. Archives, 2e série, t. I. - 4 50 -REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ZX. Dystrophies cutanées herpétiformes; par Jo
ns si, chez des arthritiques notoires qui sont atteints de maladies
nerveuses
ou mentales, on trouve des traits communs devan
ience, on a affaire, soit à des nodules sarcomateux de la substance
nerveuse
même et des enveloppes des organes centraux, so
arcomes n'aient que peu ou point de tendance à se propager au tissu
nerveux
: ce sont des tumeurs très vasculaires, ne présen
endue des néoplasmes, bien que des sarcomes très étendus du système
nerveux
central puissent souvent ne donner lieu qu'à tr
ance ou les premiers temps de la puberté. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 51 XXIII. Contribution A la connaissance DE l'
l d'une infection aiguë, mais de laquelle ? P. K. XXV. LES maladies
nerveuses
fonctionnelles ET la syphilis ; par P. ICON.1LE
sur le sang, les parois vascu- laires (artério-sclérose), le tissu
nerveux
et détermine ainsi des accidents nerveux, mais
rtério-sclérose), le tissu nerveux et détermine ainsi des accidents
nerveux
, mais elle peut aussi exercer une action morale
xercer une action morale (syphilophobie) et provoquer des désordres
nerveux
, par exemple hystériques; enfin les agents phar
Sorte de cirrhose cérébelleuse, c'est-à-dire atrophie des éléments
nerveux
par multiplication des éléments du mésoderme et n
, de l'affaiblissement des membres. P. K. 5"6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXVII. Sur une névrose observée dans les Indes
présente. Les troubles de l'écriture n'ont été REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 53 relevés qu'au début après l'attaque; plus t
vue microscopique. La corne d'Ammon n'est 'Jll4 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pas ramollie sur les coupes antérieures, mais
ière fois agir sur le centre moteur d'un membre REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 55 (du singe) le courant faradique, et l'on no
tant, dès la première année de la vie, sans. 56 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. symptômes infectieux, par de l'atrophie avec p
s avancée des racines antérieures; faible dégénérescence des troncs
nerveux
antérieurs. Les muscles subissent : l'atrophie
ordre dans les cordons postérieurs, qui n'a par REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 57 conséquent point la physionomie de celle du
ion cortico-motrice, il appert que la lésion 58 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. locale a été la cause immédiate des stimulus i
pie font en quatre semaines disparaître le sucre, mais les troubles
nerveux
persistent. Puis reparaît la glyco- surie et le
nerveux persistent. Puis reparaît la glyco- surie et les accidents
nerveux
s'améliorent. Il ne s'agissait donc point d'un
oïde agit sur l'état tro- phique de la peau et influence le système
nerveux
, on a. expéri- menté cette médication dans dive
ou tumeur), dans la substance cérébrale, donne lieu, dans le tissu
nerveux
périphérique, à des modifications de structure qu
ases physiologiques de la vie psychique). Développement des centres
nerveux
. Localisations. Neurones. Voies de conduction.
ons restées dans l'urne étaient : 1° Capsule in- terne; 2° Appareil
nerveux
du coeur. - Parmi les 40 candidats qui ont dépo
'<'M. SÉGLAS (J.). Leçons cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
(Salpêtrière 1887.189), recueillies et publiées
une modification légère, le plus souvent insaisissable des éléments
nerveux
. Je dis modification légère ou insaisissable, c
voqué des hallucina- tions, lesquelles disparurent lorsque le tissu
nerveux
eût subi une destruction plus profonde. Nous av
éditaire ou acquise. Héréditaire, nous la trouvons chez ces enfants
nerveux
qui, atteints de chorée par exemple, ont facile
qui ont souffert dans les premirs mois de la vie et dont le svstème
nerveux
central a été entravé dans son évolution. Mais'
e chronique avec démence. Elles portent sur les cellules, les tubes
nerveux
et les vaisseaux. Partout les cellules sont pre
uliers et contiennent aussi des granula- tions. Du côté des tubes
nerveux
il y a des lésions moins accusées, caractérisée
res dans gaines lymphatiques et pig- mentation ocreuse des cellules
nerveuses
elles-mêmes. Cette dernière lésion se trouvait
uve de la dissémination des lésions morbides dans le grand appareil
nerveux
de contrôle. Des signes cliniques indéniables m
it de préciser quel est le fac- teur véritable de cette destruction
nerveuse
, et dans l'ignorance où nous sommes de la patho
nt naissance à des effets toxémiques secondaires du côté du système
nerveux
périphérique. Poursuivant la comparaison, l'aut
ires avaient manifestement et de beau- coup précédé les altérations
nerveuses
, il est impossible d'ad- mettre que ce premier
uramment observés dans la paralysie générale : en effet les lésions
nerveuses
périphériques contribuent pour une large part a
ctif, très cultivé REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 139 sans hérédité
nerveuse
: interné pour la première fois en 1880, il cro
ration ; 2° l'apoplexie, la démence sénile, la plupart des maladies
nerveuses
sont négligeables comme facteurs d'hérédité ; 3
proportionnel normal entre le système circulatoire et le sys- tème
nerveux
, que ce défaut, au moment du développement de c
lopper sous une influence ou une autre, son rapport avec le système
nerveux
est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 145 atteint
iphérique peut, pour le moins, en diminuant le degré d'ir- ritation
nerveuse
, « écarter une pierre d'échoppement du chemin d
i nous occupent. L'auteur a pu faire examiner par Nissl les centres
nerveux
d'un sujet atteint de délire au début de la lièvr
nnaires. Griesinger, en 1857, considérait déjà les manifesta- tions
nerveuse
et cérébrales de la fièvre typhoïde comme dues à
fus. Kirchhoff croit également à une action chimique sur la cellule
nerveuse
et pense que la fièvre, à elle seule, agit rare
désir de se consacrer à l'étude spéciale des affections du système
nerveux
, sont pour lui trois années de perdues. 2 A. Ma
Pans, 1880. 3 Girard de Cailleux. Études pratiques sur les maladies
nerveuses
et mentales. Paris, 1863, p. 191. l'internat
IE PATHO ? u ? CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES CHANGEMENTS -DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE; Par le D' SERGE SO
te maladie peuvent aussi survenir différents changements du système
nerveux
cen- tral. Ces anomalies apparaissaient le plus
plus nettement et plus définitivement les changements du système
nerveux
central 'dans certains cas de la polynévrite. D
changements des vaisseaux, dans de petites hémorragies du système
nerveux
, dans la multiplication du tissu conjonctif (su
uvons chez d'autres au- teurs concernant les changements du système
nerveux
central dans la polynévrite nous nous assurons,
Sbornik posviaszonny prof. Kojéwnikow, 1890, p. 319-372. DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. 179 fut constaté l
de la moelle épinière la disparition d'une grande partie de fibres
nerveuses
. Nous devons maintenant mentionner encore un ou
oie pyramidale, on a trouvé la dégénérescence disséminée des fibres
nerveuses
». Dans le même cas les fibres nerveuses dégéné
ence disséminée des fibres nerveuses ». Dans le même cas les fibres
nerveuses
dégénérées ont été dis- séminées dans la moelle
e règle), c'est-à-dire de la dégénérescence disséminée des fibres
nerveuses
de la moelle avec la lésion spéciale de la zone
nt l'objet qui nous intéresse, nous voyons que la lésion du système
nerveux
central, surtout de la moelle épi- nière, dans
té paternel était une personne extravagante ; l'oncle et DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LA POLYNEVRITE. 181 le grand-père
commencèrent à remarquer dans sa tendre enfance encore, qu'il était
nerveux
et emporté. Ayant un caractère doux, mais faibl
et seulement en voyant le médecin, il commence, comme un DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. 183 enfant caprici
t dans la commissure antérieure. 1 Voyez la figure 15. DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. '185 La région dor
vicale. Préparation, traitée par la méthode de Marchi. DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LA POLYNEVRITE. 187 mais dans ceux
ela polynévrite dont nous venons de parler, l'altération du système
nerveux
central nous présente un in- térêt particulier,
ons postérieurs; les fibres radiculaires, après leur en- DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LA POLYNEVRITE. '189 trée dans la
lle et du bulbe et la névrite multiple ? L'altération de l'appareil
nerveux
péri- phérique, avec le changement très marqué
e, souffrent non seulement les nerfs périphériques, mais le système
nerveux
entier. Nous connais- sons plus les anomalies d
if plus sensible que la méthode de Weigert, concernant le système
nerveux
central et surtout la moelle épinière dans la pol
'envisager la névrite multiple comme une maladie de tout le système
nerveux
et nous voyons que dans un cas existe la lésion
(Travail du laboratoire de thérapeutique de la Clinique des maladies
nerveuses
.) L'action et l'efficacité thérapeutique du 'co
nde, forte, lympha- tique, grosse, pas de convulsions de l'enfance,
nerveuse
, facile à conlrarier. Migraines accompagnées de
efuse, il se sauve et va en louer une. En février, première crise
nerveuse
: l'enfant était en train de déjeuner, il s'est
bilité croissante du caractère, les accès de colère et les crises
nerveuses
nous paraissent devoir être rattachés à l'alcooli
'arachnoïde, aux vaisseaux sanguins, à la névro- glie, aux cellules
nerveuses
, aux fibres nerveuses; 2° clinique- ment, à la
eaux sanguins, à la névro- glie, aux cellules nerveuses, aux fibres
nerveuses
; 2° clinique- ment, à la paralysie générale, à
Durant ces dernières années, les altérations subies parle système
nerveux
des vieillards ont été l'objet de travaux assez n
s- tance blanche. Tous les degrés de dégénérescence de la cellule
nerveuse
peuvent se rencontrer dansles cerveaux des vieux
i, on remarque, dissé- minées dans la substance blanche, des fibres
nerveuses
en état de dégénérescence, que l'acide osmique
ouve même dans ces racines des îlots absolument dépourvus de fibres
nerveuses
nor- males. La pigmentation exagérée des cellul
ur, c'est la diminution considérable du nombre des grands cylindres
nerveux
sains. Cette diminution est, en général, à peu
n fait intéressant que l'auteur a maintes fois constaté - de fibres
nerveuses
très menues, qui, tout en pos- sédant un cylind
s. Les modifications présentées par les vaisseaux sanguins du tronc
nerveux
sont intéressantes ; on peut presque dire que leu
re du vaisseau. Les petits vaisseaux qui courent le long des fibres
nerveuses
, sous le périnèvre, sont souvent le siège d'altér
; ils subissent un épaississement énorme et empiètent sur les tubes
nerveux
adjacents, jusqu'à provoquer, par compression,
st de même de ses relations fonctionnelles avec le reste du système
nerveux
central. L'auteur rappelle et résume au début d
Remarques SUR L'EMPLOI DE la formaline dans la fixation DES fibres
NERVEUSES
: par EDWIN-11. Kl'fCIlELL. (The New-York Médical
l'exception de l'acide osmique, les agents de fixation de la fibre
nerveuse
usités jusqu'à présent ont pour effet fâcheux de
les agents ci-dessus mentionnés. Les coupes transversales de fibies
nerveuses
fixées par une solu- tion de formaline comprise
rve dans la myéline fixée par le liquide de lluller. Quand la fibre
nerveuse
a été durcie à l'aide de la formaline, l'acide
éther, sans modifier son aspect. Lorsque l'on veut colorer la fibre
nerveuse
, - ou le tissu des centres nerveux - par la mét
sque l'on veut colorer la fibre nerveuse, - ou le tissu des centres
nerveux
- par la méthode de Weigert après fixalion par
ités inférieures, de phénomènes douloureux sur le trajet des troncs
nerveux
avec sensibilité à la pression, d'un certain de
l pense donc que l'état vacuolé et la dégénérescence des cellules
nerveuses
peuvent souvent être le résultat d'une insuffisan
224 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la cellule
nerveuse
, mais ils ne sauraient demeurer sans effet sur l'
rd les rapports étroits qui existent entre les fonctions du système
nerveux
et celles des autres organes ; il insiste ensuite
. P. K. XXV. DE CE QUE L'ON appelle LES granulations DES CELLULES
nerveuses
; par F. NtssL. (Neurolog. Centl'albl., XIII, 189r
dans le sillon intercrural forment un cône qui pénètre la substance
nerveuse
où sur une étendue plus ou moins longue elles des
le siège de lésions et pourquoi beau- coup d'affections du système
nerveux
central se traduisent à leur début par des symp
. XXVIII. SUR UNE NOUVELLE MÉTHODE DE recherches dans LES CENTRES
nerveux
, EN particulier pour localiser LES CELLULES nerve
ans LES CENTRES nerveux, EN particulier pour localiser LES CELLULES
nerveuses
; par F. NISSL (Cent1'¡¡liJ ! . f. Newenheilk.,
r les relations directes (musculaires ou sensorielles) des cellules
nerveuses
avec leur organe terminal, chez un animal adult
a une altération régressive de ces éléments; 2° d'enlever un centre
nerveux
des organes centraux ou de couper les faisceaux
de couper les faisceaux qui sortent de ce centre; dans les cellules
nerveuses
du centre le plus voisin de celui qui dépend le
tervention opératoire; 4° enfin la loi est que dès que les cellules
nerveuses
des centres sont directement atteintes par un age
qu'on observe celte compensation entre la régression de la cellule
nerveuse
et'la progression de la cellule névroglique, il
gent nocif ait uniquement lésé les éléments spécifiques des centres
nerveux
, c'est-à-dire la cellule et les fibres nerveuse
cifiques des centres nerveux, c'est-à-dire la cellule et les fibres
nerveuses
. Combinaison de la méthode de Marchi et de Gudd
s. Quelques semaines plus tard, on les tue et on examine le système
nerveux
central. Dans ces conditions on constate qu'un
peut déterminer des altérations étendues à travers tout le système
nerveux
central, mais celles-ci échappent à la plupart
a commotion cérébrale provoque donc des lésions étendues des fibres
nerveuses
à myéline de tout le système nerveux central. I
lésions étendues des fibres nerveuses à myéline de tout le système
nerveux
central. IL La commotion de la moelle se traduit
en pour substratum réel et non occasionnel ces lésions des fibres
nerveuses
à myéline qui se propagent si loin, bien qu'on év
nt si loin, bien qu'on évite de parler d'une déchéance des éléments
nerveux
et qu'on se rallie à l'idée d'une diminution de
, quoi- qu'on ait plusieurs fois attribué à l'affection une origine
nerveuse
. L'auteur, en examinant une glande thyroïde exo
ue dans une thyroïde saine. Sur certains points, les termi- naisons
nerveuses
sur la paroi d'une inouïe vésicule thyroïdienne
aleur de la castra- lion dans le traitement des maladies du système
nerveux
. Rare- ment on a vu des opinions'aussi contradi
nsidé- rant la castration comme indiquée dans nombre d'affections
nerveuses
et psychiques; les autres déclarant, avec Spencer
l'ovariotomie, pratiquée chez les femmes atteintes d'irrita- bilité
nerveuse
, de nymphomanie et d'aliénation mentale, était
d'une intervention chirurgicale, puisque l'on sait que des troubles
nerveux
ou psychiques graves ont été guéris ou se sont am
ielle, qui peut être l'occasion de l'apparition de mani- festations
nerveuses
. On a reproché encore à l'ovariotomie d'avoir t
rs qui sont souvent chez ces femmes la cause de troubles du système
nerveux
. Certains auteurs ont attribué les cas de castr
s organes ne paraissant point altérés ont pu provoquer des troubles
nerveux
accusés, tandis que des lésions considérables (
e la conséquence d'une psychose, d'un état de souffrance du système
nerveux
central, qui déterminait des modi- fications de
ital et en particulier de l'ovaire, peuvent retentir sur le système
nerveux
central, et que cette influence péri- phérique
nt trop de temps pour amener un résultat. Par contre les affections
nerveuses
deviennent avec le temps de plus en plus rebell
rax, de l'acide osmique et de ses sels, des injections de substance
nerveuse
normale, du curare (dange- reux par son action
e trois heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
, et en une épreuve orale de quinze minutes sur
on seulement sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
, mais en outre sur une question de pathologie men
eux de ces jeunes médecins qui s'intéressent à l'étude des maladies
nerveuses
et mentales, de prolonger leur séjour dans les
seule- ment sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
, mais encore sur un sujet de pathologie mentale ;
e. C'est déjà trop d'avoir limité l'épreuve d'ana- tomie au système
nerveux
. Ce que le concours doit nous apprendre, c'est
trie, t. XIV, f. 1, 2'.) P. Sérieux. Congrès DE médecine mentale ET
NERVEUSE
. Le septième Congrès annuel des médecins aliéni
allucina- tion de l'ouïe; rapporteur, M. J. Séglas. - 2° Pathologie
nerveuse
. De la séméiologie des tremblements; rapporteur
ans l'état mental de B... avait paru singu- 362 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Hère en son temps sans qu'il fitt possible de
les Eludes cliniques et thermométriques sur les maladies du système
nerveux
a déjà constaté chez les indi-, vidus porteurs
idées mélancoliques avec dépression physique. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
, XXXVH. LA tétanie, avec observation d'un cas T
ement de l'affection dont il s'agit. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 263 aTlVlli. Sur r..1 compression cérébrale; p
mma et un abcès se forma, occupant l'espace 264 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. compris entre le sourcil et l'éminence pariéta
els il n'a jamais cessé d'être sous l'influence REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' 265 de l'alcool. A neuf ans il commença à fu
et de la toux ; tous ces symptômes se mani- 266 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. festaient dans un délai d'une dizaine de jours
s faits est ici d'autant plus difficile que les REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 267 auteurs sont loin d'être d'accord sur la p
10 La région du noyau de l'hypoglosse donne naissance aux fibres
nerveuses
qui alimentent la langue, le palais, le pharynx e
ynx et le larynx de chaque côté du corps; 2° La colonne de fibres
nerveuses
connue sous le nom de fais- ceau respiratoire e
Femme de quarante-six ans, dont le père a 268 .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. présenté des symptômes identiques. Trois ans a
qui sont le plus habituellement sous la dépell- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 269 dance de l'esprit, comme ceux de la face e
itation du langage. Lenteur et affaiblisse- 270 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment intellectuels. Diminution considérable de
e l'expliquer; il existe une légère érosion sur REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 27'J Il le bord externe de la papille, et à ga
l'avait observé en 1885 à Berlin. R. M. C. 272 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XL VIL Symptomatologie DES affections cérébell
t la majorité des observateurs, le cervelet, considéré comme centre
nerveux
, préside à la coordination des mouvements muscu
e mention dans 23 ; 3° la névrite optique a été REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 273 rencontrée 66 fois, elle a manqué 12 fois,
servations Archives, 2° série, t. l. 18 274 . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. personnelles. Dans le premier cas, il s'agissa
lysie des muscles oculaires; 4° paralysie 276 6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. irrégulière bilatérale des nerfs crâniens; 5°
omme leçoit sur la tôle, il la région frontale, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. : 21ï -1 un coup très violent qui lui est port
ues, et peut aussi constituer un pur trouble fonctionnel du système
nerveux
. L'auteur s'est attaché à discuter les diverses
la pathogénie dn symptôme ataxie. IL M. C. 278 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LI. SUR QUELQUES manifestations nerveuses extr
278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LI. SUR QUELQUES manifestations
nerveuses
extraordinaires chez un jeune sujet, par lveret
rectum, large d'un doigt et longue de 3 pouces, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. '279 prise sur la paroi postérieure : la tuniq
ncien spasme rectal. R. de Musgrave CLAY. 280 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LII. Hémianopsie transitoire ET rétrécissement
off. LUI. SUR la forme grave DE la sclérose artérielle DU système
NERVEUX
central; par L. JACOBSODN. (Archiu. sur Psychiatr
les hémorragies, les tbrombus, sont disséminés dans tout le système
nerveux
central. Dans l'observation personnelle, dont i
'écartent du type classique Charcot- Joffroy. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 281 Il ne s'agit pas dans la pachyméningite ce
et carorc- térlsées par des pollutions. 6. U. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 283 LIX. Diabète insipide avec rétention d'uri
esse, et il survient une cachexie mortelle. 284 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Cette constatation est en rapport avec l'histo
Ilyperexcitabililô de l'appareil moteur, depuis REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. : Q81> les centres corticaux et les noyaux
'.211'GI0lf ? lLllA ? I ? ) Statistique. - Sur 6806 cas de maladies
nerveuses
en 14 ans (1890-94) il n'y avait que 135 cas de
ffmann, prouver qu'il s'agit d'une affection simultanée des rameaux
nerveux
sensitifs qui conduisent les nerfs tropbulaes e
gravité;. Alors le processus morbide passe 286 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de l'autre côté, atteint d'abord le facial sup
rthropathie du genou survenue chez un tabétique REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 287 appartenant au type sensitif pur de Brissa
lingual et du tronc de la troisième paire à 288 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. droite. L'intégrité de la substance blanche co
rême tension dans les centres réflexes ; 3° un débordement d'influx
nerveux
d'abord dans les conduits efférents allant aux
réserve pour les besoins futurs. La constitution de cette provison
nerveuse
est carac- téristique de la vie humaine. Pour l
subit infiniment moins l'influence des inhibi- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 289 lions supérieures, son contrôle lui est su
en différents : la clinique et la médecine légale. « Les troubles
nerveux
consécutifs aux traumatismes ne pré- sentent, e
fet, pas seulement l'importance médicale pure des autres affections
nerveuses
; ils sont encore le sujet de procès très fréque
ir l'utilité pour le médecin de connaître exacte- ment ces troubles
nerveux
, si complexes, parfois si bizarres, suscep- tib
ar Brodie, décrits ensuite par Duchesne et par Robert, ces troubles
nerveux
ne furent sérieuse- ment étudiés qu'en 1866 par
de ces névroses, et celle de Charcot, qui ne voit dans les troubles
nerveux
consécutifs aux traumatismes que des formes hys
re du trauma comme très importante dans la production des accidents
nerveux
; pour Charcot et son école, c'est l'émotion mor
pendant de faire une dis- tinction : dans la catégorie des troubles
nerveux
graves, où Jes symptômes fonctionnels semblent
émo- tion morale seule qui a provoqué l'apparition des phénomènes
nerveux
. Quant à la prédisposition, son rôle est tout à f
traumatiques est très complexe; elle comporte une foule de troubles
nerveux
, tantôt simples et locaux, tantôt compliqués et
ce et est quelquefois insignifiant, où le plus souvent les troubles
nerveux
ont été précédés chez les ma- lades d'une grand
., 1895.) L'auteur démontre qu'il existe des affections des centres
nerveux
qui peuvent, à des années de distance, se révei
e influence banale, ont un réveil de la première lésion des centres
nerveux
. La maladie affecte alors le plus souvent le ty
bureau du Progrès Médical. DEBIERRE et DOUMER, L'Album des Centres
nerveux
se compose de 48 figures schématiques, avec lég
'anatomie et particulièrement de l'Album stéréoscopique des Centres
nerveux
des mêmes auteurs, chacune de ses figures corre
litografia central. ' R.1Y3(OND. - Clinique des maladies du système
nerveux
. - Hospice de la Salpêtrière (année 1891-1895),
nt que l'oedème bleu peut se rencontrer dans des lésions du système
nerveux
qui sont loin d'être purement fonctionnelles; t
ns, est entré le 3 mai 1894 dans la section des maladies du système
nerveux
de l'hôpital de Moscou qui se trouve sous ma di
les membres de la famille du palient, on n'a observé aucune maladie
nerveuse
. En novembre 1893, le malade fut reçu au servic
épétée plusieurs fois a montré une différence de 4 à 5°. Les troncs
nerveux
sont indolores à la pression. Pour se rendre co
, du côté gauche, un nombre beaucoup moins considérable de cellules
nerveuses
que dans la colonne correspon- dante droite. Le
a quatrième paire dorsale la différence dans le nombre des cellules
nerveuses
des colonnes citées disparaît et la moelle prés
rvertébraux et sympathiques. Il en est de même pour les gros troncs
nerveux
du membre malade, sauf pour le nerf cubital ; s
s les petits nerfs cutanés, quoi- qu'on ne trouve pas un seul tronc
nerveux
où toutes les fibrilles soient dégénérées. Les
ans la peau au-dessus des parlies oedématiées, on trouve des fibres
nerveuses
dégénérées avec cylindraxes difficilement percep-
s, plus prononcées dans les nerfs de la peau que dans le gros tronc
nerveux
. Ainsi donc les lésions anatomo-patho- logiques
les fonctions les plus obscures et les plus compliquées du système
nerveux
. Elle est entravée par son ignorance de ces fon
dégénérescence qu'ils subissent, et ont pour origine une perversion
nerveuse
; aussi propose-t-il, malgré ce que cette dénomi
lésions trophiques; 5° concomitance avec les affections du système
nerveux
central. On sait qu'il n'est pas rare chez les
ileuses, des formes insidieuses de pneumonie probablement d'origine
nerveuse
, des cystites aiguës d'origine trophique. Une o
M. XLV. Extraits D'UN rapport DU comité DES maladies mentales ET
nerveuses
; par VHIT<<'ELL. (Occidental médical Time,
nifestant seulement son sourd travail par les troubles cérébraux et
nerveux
. (Annales médi';o-psyclwlogi'1ues, déc. 1895.)
ssivement les divers témoignages apportés- iJ60 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. par les auteurs l'idée d'une dégénérescence de
- olorist, oct. 1893.) E. B. ,- ? \.y J ? 'ICVI ? DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. c.. '\... ? LXI. DEUX cas DE TUMEUR DU canal
st coiffé de la dure-mère adhérente et amincie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 363 dorsale, troubles sphinctériens. Mort quat
de la tumeur; lt A, racine antérieure tuméfiée. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 365 sphincters, crises pseudo-angineuses, lége
num mesurait 8 pouces 1/4 (0m,209) ou seu- 366 .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lement 1/4 de pouce (os,006 environ) de plus q
il les épaissit dans l'âge adulte. Quel est le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 367 rôle du corps pituitaire ? Bien que mystér
ystériques, surve- nant à la suite d'une forte et soudaine secousse
nerveuse
, résultent 368 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
te et soudaine secousse nerveuse, résultent 368 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'une brusque détente des éléments nerveux du
68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'une brusque détente des éléments
nerveux
du centre de la parole placé dans l'écorce du c
eau. Tant que dure cet épuisement du cerveau, tant que les éléments
nerveux
, ou quelques-unsd'entre les éléments nerveux du
tant que les éléments nerveux, ou quelques-unsd'entre les éléments
nerveux
du cerveau sont privés de leur énergie spéci- f
on 111), le même phéno- mène a lieu quand la restitution du courant
nerveux
a lieu. C'est une sorte de trouble comparable a
sept ans, travaillant à la soudure de conduites REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 369 d'eau et maniant du minium.Il y a trois an
tiple, otite Archives, 2e série, t. I. 24 370 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tuberculeuse. Convulsions cloniques de la face
il éprouvait dans le tiers inférieur de la face REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 371 externe de la cuisse droite, sur une surfa
Le trépan découvre un épaississement ostéo- 372 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. fibreux de la paroi crânienne et des méninges.
'une même famille nouvelle venue, il estime que REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 373 l'étiologie ne saurait être autre dans le
XXIII. DE QUELQUES phénomènes réflexes peu connus dans LES maladies
nerveuses
, ET DE la PILEUR diagnostique DU phénomène DU P
genou, il n'est un signe certain de lésions organiques du sys- tème
nerveux
central (Bechterew). L'asymétrie des réflexes ten
de preuve absolument certaine d'une affection organique du système
nerveux
. Il faut aussi se préoccuper de l'asymétrie des
DE l'importance DES détails de structure révélés dans les CELLULES
NERVEUSES
PAR LES COULEURS D'ANILINE BASIQUES; par C. BEN
us haut de différenciation fibrillaire d'un prolongement de cellule
nerveuse
; 5° les cellules des cornes anté- rieures de la
due, avec des fibres de ce faisceau, un très grand nombre de tuyaux
nerveux
myélogènes d'un calibre assez notable ou moyen ;
orps calleux et l'écorce céré- brale. P. KÉRAVAL. XL. LES tractus
nerveux
sensitifs ET sensoriels ET les CENTRES ; par G.
arborescences terminales au sein de la subs- tance grise (cellules
nerveuses
), passent directement des racines postérieures
Van Gen- deren, Stort et Engelmaun); la fonction précise des fibres
nerveuses
et de leurs centres qui y présideraient se conç
arce qu'à leurs fonctions sensitives concourent quelques phénomènes
nerveux
cen- trifuges, et que, d'une manière générale,
roscopique de ces dernières années nous apprennent que les cellules
nerveuses
de la rétine et du ganglion spinal cochléaire s
s cordons postérieurs de la moelle jusqu'au noyau grêle. Les noyaux
nerveux
du nerf optique sont comparables au noyau grêle
entre les nerfs sensitifs et les nerfs sensoriels. Tout le système
nerveux
sensitif périphérique est l'bomo- logue des pro
e des nerfs optique et acuus- tique. Le noyau grêle et les cellules
nerveuses
de la base de la corne postérieure, suivant tou
s- pondent aux centres optiques et auditifs primaires. La cellule
nerveuse
de la corne antérieure, de laquelle partent les c
l'existence d'un centre du nerf optique qui (de même que les fibres
nerveuses
des racines postérieures se terminent en partie
arcome s'en distingue par l'exten- sion du processus à la substance
nerveuse
. - Telle myelo-ménin- gite spinale tuberculeuse
sinage des vaisseaux. Sans doute aussi une gomme au sein du système
nerveux
central, une vraie gomme, et non un infiltrat g
NOTE A PROPOS DES lésions vasculaires dans la syphilis DES centres
NERVEUX
; par le D1' Lamy. (Revue neurologique, jan- vi
s secondaires, chez les syphilitiques touchés du côté des centres
nerveux
. Ces malades peuvent, en effet, présenter des tro
a série détermine cependant des lésions accentuées sur les cellules
nerveuses
. (American journal of insanity, juillet 1895.)
achidienne : 1° tractus fibreux étranglant et dissociant les filets
nerveux
; po enveloppement direct par une séreuse. L'irrit
loi DE la méthode DE coloration DE WEIGERI' ET PAL, pour LE système
NERVEUX
central durci dans LE formol; par H. l\1ARCUS.
., XIV; 1895.) Le formol durcit fort bien; il conserve : au système
nerveux
son élasticité; le cerveau et la moelle ne sont
s; tout ce qui est dégénéré est complètement décoloré. Les cellules
nerveuses
sont très distinctes, leurs noyaux sont très ne
des ordonnées. L'auleur étend cette loi, hors du domaine purement
nerveux
, à la détermination des rapports de grandeur entr
ation in- terne ou modification matérielle produite dans l'appareil
nerveux
par le stimulus ; 3° la sensation ou phénomène
XI. Essai théorique sur la NATURE ET LE mode d'action DE la force -
nerveuse
; par W. BROADBENT. (If9'Cll)t, été et automne 189
Comme la chaleur, l'électricité, l'action chimique, etc. ; la force
nerveuse
n'est qu'une forme du mouvement. Les stimuli qui
hacun de ces faits n'est qu'un enchaînement de mouvements. L'action
nerveuse
n'est aussi que de l'éuergie mise en liberté pa
lleur) opérée dans les éléments hautement diffé- renciés du système
nerveux
. Le développement de cette force comporte en ef
nc due à des échanges atomiques plu- tôt que moléculaires. L'influx
nerveux
doit être évalué en intensité et non en quantit
Des doses infinitésimales de toxiques produisent d'énormes effets
nerveux
; or, s'il y a corrélation des forces et s'il y a
tomes morphiques dans la narcose) il faut supposer dans les centres
nerveux
l'existence d'une substance à haute tension chi
ou tendance perpétuelle à une désagrégation quelconque. - Un acte
nerveux
complet s'accompagne d'oxydation et désinté- -
mouvement, la somme d'énergie dégagée dans un ensemble d'opérations
nerveuses
diverses, par le total des échanges chimiques,
e tension et dé résistance mutuelles. Tout point de départ d'influx
nerveux
en- gendre de l'énergie, celle-ci demeure en lu
t aux opérations sensori-mo- trices mais aussi à toutes les actions
nerveuses
quelle que soit leur nature (calorifique, inhib
us en relation structurale et fonctionnelle avec les termi- naisons
nerveuses
prennent une part active au maintien de la ten-
nes terminaux des nerfs moteurs.) Enfin la transmission de la force
nerveuse
se fait dans la fibrille par une modification m
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 soit la nature de l'action
nerveuse
. Les sensibilités diverses n'ont pas de conduct
l'heure actuelle la ma- nière de comprendre la structure du système
nerveux
, pris dans son ensemble, n'est plus celle qui r
lle qui régnait il y a quelques années. A cette époque les éléments
nerveux
formaient à leurs terminaisons des réseaux cent
leurs terminaisons des réseaux centraux; aujourd'hui les éléments
nerveux
, au lieu de s'anastomoser, se mettent simplement
les sont analogues; elles constituent les unités du tout. L'unité
nerveuse
se nomme neurone. Cette doctrine nouvelle compo
rchives, 2° série, t. I. 27 418 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. pathologie
nerveuse
que nous devons à des travaux relative- ment pl
des travaux relative- ment plus anciens. - S'il existe une unité
nerveuse
, un neurone, sa morphologie, sa physiologie, sa
n miniature, la structure, la physiologie, la pathologie du système
nerveux
tout entier. Nous étudierons tout d'abord le ne
s simple, en laissant tout d'abord de côté la complexité du système
nerveux
pris dans son ensemble. On peut définir le neur
ux pris dans son ensemble. On peut définir le neurone : une cellule
nerveuse
avec ses divers prolongements, ses prolongement
x muscles, à la peau, aux organes des sens, etc., etc. La cellule
nerveuse
est connue depuis longtemps et Deiters, en étab
ce qui justifie ce terme nouveau de neurone, c'est- à-dire l'unité
nerveuse
, c'est que chaque cellule nerveuse, chaque neur
e neurone, c'est- à-dire l'unité nerveuse, c'est que chaque cellule
nerveuse
, chaque neurone, est un petit organisme séparé,
n il fallait démontrer que les nombreux prolongements de la cellule
nerveuse
ne s'anas- tomosent pas pour former un réseau;
er le réseau de Gerlach pour établir l'indépendance de la cellule
nerveuse
. Or, en 1874, Golgi, faisant usage d'une nouvelle
que, démontra que les prolongements pro-, toplasmiques des cellules
nerveuses
ne s'anastomosaient pas, qu'ils se déterminaien
aire librement. Plus tard, Ramon y Cajal montra que le prolongement
nerveux
lui aussi se termine sans s'anastomoser avec le
Dès lors le réseau, rompu des deux côtés, fait apparaître l'élément
nerveux
comme isolé dans ses rapports de continuité. Et
ors créer, fort à propos, le terme de neurone pour désigner l'unité
nerveuse
. A. Morphologie générale et physiologie du neur
rone. Les neurones peuvent être de petites ou de grandes cellules
nerveuses
, leurs prolongements peuvent former de très riche
arborisations ou être beaucoup plus réduits, leurs prolonge- ments
nerveux
peuvent être si courts qu'ils se ramifient sim-
fibres motrices. Sa terminaison, quand elle a lieu dans le système
nerveux
central, se fait par des extrémités libres se m
t multiple ; c'est le type décrit par Cajal. i Si le prolongement
nerveux
est très long on a le type Dei- ters du neurone
rone peut se résumer en peu de mots : Chaque fois que l'in- flux
nerveux
de quelque nature qu'on le suppose, gagne le cent
rtant de l'écorce du cerveau pour se rendre à un muscle; le courant
nerveux
qui s'éloigne à ce moment du centre d'une cellu
qué à la pathologie. Les mêmes lésions, envisagées dans une unité
nerveuse
se pourront rencontrer avec le même aspect dans
s lois les plus générales et les plus incontestées de la pathologie
nerveuse
. Lorsqu'il ajouta : c le bout central reste int
t central du neurone en le montrant moins lié au reste du système
nerveux
et d'autre part en établissant l'unité de l'éléme
uméros suivants. Des dégénéres- cences rétrogrades dans les centres
nerveux
et les nerfs périphériques. Voir aussi la thèse
oup de cas, l'emploi des méthodes de Marchi pour l'examen des tubes
nerveux
et de Nissl pour l'examen de la portion cellula
me unité patholo- gique. Mais les neurones qui composent le système
nerveux
sont en rapport les uns avec les autres; les ne
gique, la force, quelle que soit sa nature, qui traverse le système
nerveux
en donnant lieu aux phéno- mènes de la sensibil
tème est relativement très simple. Partie de l'écorce, l'impression
nerveuse
suit le cylindraxe en s'éloignant du centre de
vre cérébrale a quatorze ans accompagnée de canitie partielle, très
nerveuse
. - Grand-père et oncle maternels, excès de bois
lus creux que le droit,bien qu'ilaf(irmen'avoirjamaiseu d'accidents
nerveux
. Durant l'enfance, il n'a eu ni manifestations
ée DE l'aorte abdominale. Contribution A la pathologie des cellules
nerveuses
; par A. SARBO, (Neurolog. Cealralbl., XIV, 1895
, on obtient une désagrégation du protoplasma du corps des cellules
nerveuses
en fines granulations, suivie d'une atrophie ho
IE PATHOLOGIQUES. lioïdes, de cellules de prolifération; les fibres
nerveuses
sont atro- phiées, surtout dans les cordons ant
r avec le développement successif de chacune des parties du système
nerveux
, avec la genèse des manchons myéliques des fibr
E la partie chromatique ET achromatique du CITOPLAS21E des cellules
nerveuses
; par E. LUGARO. (Riv. di pat. IW'V. et ment.,
ion DE la méthode au bichlorure DE mercure POUR L'ÉTUDE des centres
nerveux
; par le Dr G. MIRO. (Riv. di pat. nerf. et ment
roduisent dans l'organismedébilitéparun travail excessif du système
nerveux
. La forme anatomique comme les symptômes cliniq
es contenues dans le sang. Le pro- cessus s'étend à tout le système
nerveux
; il semble cependant que dans des cas particuli
vent négative au point de vue des lésions syphilitiques osseuses,
nerveuses
, hépatiques, etc., on peut affirmer que la syphil
la fonction gastrique soient secondaires à l'altération du système
nerveux
, ou enfin que l'on considère la muqueuse gastri
es les manières de voir prévalentes des émotifs, les obsessions des
nerveux
et des dégénérés, certaines idées fixes et déli
890 à juillet 1895. La plupart de ces leçons ont trait aux maladies
nerveuses
, nous allons faire une rapide analyse de ces dern
ique qu'il caractérise ainsi : maladie infectieuse aiguë du système
nerveux
à marche progressivement ascendante suivie de r
ales dans la production de ce qu'on appelle les maladies du système
nerveux
. A son avis, il n'y a pas de névrose idiopathiq
absolue par anopsie, guérison ; par Schirman, 271. J. CELLULES
nerveuses
. Ce que l'on appelle les granulations des -,
y-'fuke, 205. - anormales, par Mickle, 393. Ctronsnc des cellules
nerveuses
, par Lugaro, 479. Coloration. Méthode de de W
rnational de psychologie à Munich, 88. - de médecine men- tale et
nerveuse
, 254. - des mé- decins aliénistes de France, pa
es par Bab- cock, 358. FOLLE. Une -, 319. Force. Action de la -
nerveuse
, par Broadbent, 399. Fohmaune pour fixation d
nerveuse, par Broadbent, 399. Fohmaune pour fixation des fibres
nerveuses
, par Kitchell, 214. Fou tué par ses gardiens, 9
ées, par Fronda, 482. Laryngée. Paralysie - dans les aflec- tions
nerveuses
chroniques, par Permewan, 48. LATAII. Névrose
r les troubles mentaux, par Goodall et Bullen, 140. - mentales et
nerveuses
, par Witwell, 353. Maniaque. Excitation due a
des divers -, par Lévy Dom, 233. Suture des -, par Biuns, 486.
Nerveuses
. Les maladies - fonc- tionnelles et la syphilis
par Bernhardt, 370, 387; par Noecke, 378. Pathologie. Revue de -
nerveuse
, par Deny, Blm, Kerayal, Lwoff, etc., 360.
psie, par Zucarrelh, 281. POL1\VItITE. Changements du sys- tème
nerveux
central dans la -, par Soukhaiioll, 177. Pont
du diagnostic, par Leszinsky, 216. peu connus dans les maladies
nerveuses
, par de Bechterew,374. Rénales. Affections -, l
de - spinale postérieure, par Chubb, 270. artérielle du sys- tème
nerveux
central, par Jacob- sohn, 180. Syndrome rappela
brale, par Stiéglitz,274. Lésions vasculaires dans la des centres
nerveux
, par Lamy, 392. Tabès. Méthode de Froenkel dans
ARLES HEUISSEY ARCHIVES DE 1r NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE J.-1
Vol. XX. Juillet 1890. N" 58 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE : GILBERT BALLET,
itaux, séance du 11 octobre 1889. Archives, t. XX. 1 2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. peu fixé l'attention. Briquet, dans son traité
pas que la chute ait ramené les troubles de la parole. 4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
." En juillet 1887, le malade, qui depuis quelqu
articuler, par suite d'un trouble Fig. 1. Fig. 2. 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mécanique dans les organes d'émission. Comme c
est allé pendant ce temps en s'améliorant l Fig. 3. 8 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'une façon progressive, mais non pas régulièr
à la partie postérieure de la cuisse, la troisième au 10 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. niveau du creux poplité. La zone anesthésique
s, qui viennent au contraire très bien. Mais Fig.5. 12 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. · la prononciation est très altérée. Le malade
. Père mort en 1870, fusillé par les Prussiens ; mère vivante, très
nerveuse
, mais n'ayantjamais en de crises convulsives, a
arriver à faire comprendre au commissaire qu'il est 14 -PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Français et demeure rue Sainte-Marguerite, qu'
ibilité le 15 novembre. Anesthésie complète Fig. 6. 16 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du membre supérieur se terminant en arrière à
anifesta- tion hystérique. Archives, L. XX. ' . 2 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Cela ressort nettement de la lecture des obser
nutes environ le malade constata une parésie très ' : 20 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. marquée de son bras et de sa jambe du côté dro
ines syllabes : un : queun ; deux : gueeu (OBs. 1). 22 pathologie
nerveuse
. Le rythme de la parole chez nos malades est do
involontaire. Nous avons cherché à le faire imiter 24 pathologie
nerveuse
. par différents élèves du service, aucun n'a pu
et les leçons de : \1.\1. l'îtres, ltemlu, Clutrcot. z6 pathologie
nerveuse
. - DU bégaiement hystérique. mais il ne se fait
it avec ceux que produisent diverses autres affections du système
nerveux
, soit avec le bégaiement vulgaire. RÉSUMÉ ET CO
langue (parésie, déviation spasmodique, tremblement). ' CLINIQUE
NERVEUSE
LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS
été la première 1 Leçons faites du 3 au lt mars 1890. 28 CLINIQUE
nerveuse
. en date dans le service, et, en outre, parce q
Parali/sie du Dictionnaire encyclopédique, p. 560. ' 30 clinique
NERVEUSE
. marche par exemple ; par conséquent il n'appar
lutation, un seul; puis un repos complet, pendant lequel le silence
nerveux
est absolu. Et c'est seulement après ce repos,
ec astasie-abasie, in Montpellier médical, mars 1889. 32 CLINIQUE
NERVEUSE
. - - rythmiques, dans des muscles déterminés sy
u paramyoclonus, au point que cer- Archives, t. XX. 3 34 CLINIQUE
NERVEUSE
. ;ains auteurs ont voulu l'identifier à ce dern
u°5 25 et 26), la première description sous la rubrique « Affection
nerveuse
caractérisée par de l'in- coordination motrice,
re, exubérante méridionale, jouit d'une parfaite santé et n'est pas
nerveuse
. Uans le reste de la famille, chez les ascendants
, comme terme ultime et actuel à cette symptomatologie' 36 CLINIQUE
NERVEUSE
. variée, sont survenus les mouvements de saluta
sie choréique. L'enfant est arrivé avec une hémiparésie 38 CLINIQUE
NERVEUSE
. très accentuée dont la nature ne pouvait faire
tend qu'il existe des transitions insensibles entre ces 42 CLINIQUE
NERVEUSE
. stigmates atténués et les véritables idées fix
e. Tel autre est obligé de répéter 2,3, 10 fois le même 14 CLINIQUE
NERVEUSE
. mouvement, de tourner dix fois le bo Uou d'une
reuse; d'autres enfin, en très petit nombre, contiennent des fibres
nerveuses
nor- males entourées d'une couche de myéline.
ns points des accumulations compactes de ces cellules. Les fibres
nerveuses
qui s'y rencontrent sont presque toutes alté- r
e vitreuse. On ne trouve dans les cornes antérieures aucune cellule
nerveuse
ayant conservé ses caractères normaux. Les ce
ardé pourtant leur forme normale. Quant aux méninges et aux racines
nerveuses
, elles n'offrent pas d'altéra- tion évidente.
ues cylindres-axes luméfiés : Certains espaces sont vides de fibres
nerveuses
et la névroglie semble présenter un certain deg
s les deux cas, le processus a entraîné la des- truction des fibres
nerveuses
et l'altération des cellules ganglionnaires ; a
ne fièvre typhoïde ou éruptive, une pneumonie..., c'est une maladie
nerveuse
à forme convulsive qui se déclare chez un épile
re-vingts ans. Ils n'étaient ni l'un ni l'autre atteints de maladie
nerveuse
. - Il a eu sept enfants dont deux sont morts en
le résultat est l'exagération du pouvoir excito-moteur de ce centre
nerveux
. - Là, s'arrête tout ce qu'on sait de positif;
é l'épilepsie. Il compare, après Schroeder van der Kolk, la cellule
nerveuse
à une bouteille de Leyde. Dans l'épilepsie la d
nce. Mais les con- naissances en physiologie élémentaire du système
nerveux
sont encore bien bornées et il faut surtout évi
En frictions. Pilules de phosphore (Dannecy). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 69 ment solubles dans l'acide chlorhydrique, a
r. On l'administre sous forme de granules. 70 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mouvements de manège, tendance au recul, chute
eur vertébrale n'est pas caractéristique, pas plus que les troubles
nerveux
; la gibbosité et la constatation d'un abcès par
corps ou de la tête {l'étroJlexiol1 de la tôle, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 71 opisthotonos, pleurosthotonos), convulsions
du muscleaccommodateur, mais conservation de 72 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la réaction pupillaire réflexe. Cette atteinte
d'après l'auteur, une atrophie dégénéralive des fibres et cellules
nerveuses
, des noyaux, des oculomoteurs com- muns, des oc
nférieur, rien que cela) et symétrique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 73 X. NÉVRITE MULT1LOCULAIRE AVEC PARALYSIE FA
lée fronto-occipitalc et oculaire. P. K. ' ' 74 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XIII. CONTRIBUTION A l'étude ET au mécanisme D
ion. Il s'agit d'une ophtalmopiégie nucléaire par lésion des noyaux
nerveux
du tronc ducerveau et en particulier de ceux qu
mmandent au système musculaire des vaisseaux de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1S l'intestin, de la vessie, du coeur, de la p
accusée des fonctions psychomotrices et neuromo- trices du système
nerveux
; suivant l'intensité de l'agent pathogène, il
vertébraux du grand sympathique abdominal. il existe une cardialgie
nerveuse
avec hyperalgésie de la face antérieure de la c
égie alterne, lorsqu'elle se rapproche de la 16 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. base et englobe les troncs nerveux périphériqu
de la 16 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. base et englobe les troncs
nerveux
périphériques. Observation avec autopsie, de tu
, pas un enfant sain ne présenta d'absence com- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 77 plète et persistante du phénomène du genou;
hives de Neurologie, t. XII, p., 407 et 221. 78 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dite avec hypertrophie cardiaque. La carotide
al. Centralbl., 1886.) Due à une compression exercée sur les troncs
nerveux
du bras pendant un profond sommeil de deux heur
nt galvauique méthodique (forts courants sur la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 79 moelle, courants assez forts sur les muscle
. Intégrité des muscles, même au microscope, intégrité des éléments
nerveux
. Suit une discussion 110'io ! 0p-ique et patho-
e, lefouettement de la pluie et du veut pro- 80 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. voquent des accès; non pas du reste le grand f
ppelle d'abord que les aspects très divers sous REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 81 lesquels peut se présenter l'hystérie condu
a corne postérieure, en se terminant probablement dans les cellules
nerveuses
situées en cet endroit. - 2° Il n'y a donc pas,
ervicale et lombaire, il existe un assez grand nombre de fins tubes
nerveux
épars ou en petits groupes. 3° Dans les racines
ci : enfants à affaiblissement intellectuel simple - enfants calmes
nerveux
- méchants ou vicieux dont l'étude confirme ple
loppés. Dans chacune des zones correspondantes on voit des cellules
nerveuses
assez bien marquées, et des fibres blanches pou
hacun des districts du cerveau ne se montre qu'après que les fibres
nerveuses
de ces zones se sont revêtues de substance, de
istence ET DE l'importance DES CELLULES granuleuses dans LE système
nerveux
DE l'homme ; par Tir. 11OSbNIIEIM. (Arch. ? Psycl
s émanent des corpuscules du tissu conjonctif, même dans le système
nerveux
; leur multiplication indique un trouble de la
à fait exempt de dégénérescence. P. K. X. De l'allure DES fibres
NERVEUSES
A myéline DE L'ÉCORjCE DU CERVEAU, DANS LA PARA
s d'athéromes accompagnés de dégénérescence graisseuse des cellules
nerveuses
et des vaisseaux, d'oedème cérébral ou de folie
ie générale avancée, ou ne notera l'absence de lésions des cellules
nerveuses
, seulement, beau- coup de ces cellules sont dem
moelle du côté opposé. Mais il est aussi probable que des cellules
nerveuses
interrompent les fibres radiculaires sensitives
ntient (méthode de Weigert à l'lémaloxy- line) de nombreuses fibres
nerveuses
émanées : 1° de la capsule in- terne ; 2° des s
roduisit aucun effet. Et pour exciter par cet agent les gros troncs
nerveux
périphériques, ainsi que les muscles, il fallut d
genèse sont : l'irritation interne, dite spontanée, de la substance
nerveuse
, aux points terminaux des nerfs sensoriels, par
ine (action vasculaire, processus nutritifs au sein de la substance
nerveuse
du nerf optique), modelés, perçus, construits p
: 1° Dans les différentes formes de folie, l'influence du système
nerveux
sur le coeur et la circulation est telle que, dan
ormes de folie qui s'accompagnent d'excilation mentale, les centres
nerveux
sont con- gestionnés, mais comme les parois art
elle est probablement due à la lenteur r d'évolution des impulsions
nerveuses
dans lesystème vaso-moteur. 7° Dans les cas d'i
la maladie. A l'autopsie : dégénérescence et atrophie des cellules
nerveuses
de l'ecorce cérébrale et de la moelle. Sclérose
ient une affection généralisée ou au moins très étendue des centres
nerveux
; mais en ce qui touche l'atfection médullaire,
brillaires indiquaient une affection tropho-irritative des cellules
nerveuses
des cornes antérieures, et les nécroses cutanée
sion momentanée, due probablement à l'état d'instabilité du système
nerveux
du malade, et ne présentant pas d'ailleurs les
la symptomatologie : 1° X..., -quarante-six ans, pas d'antécédents
nerveux
, vie dissipée, infection syphilitique il y a hu
n lente, mémoire bonne ; manie aiguë succédant à d'autres symptômes
nerveux
; embarras de ]a parole, - dys- phagie, parésie
elle de la paralysie. 2° Z..., trente-quatre an-, pas d'antécédents
nerveux
, vie dis- sipée. infection syphilitique il y a
nte ; mémoire mauvaise ; manie aiguë succédant à d'autres symptômes
nerveux
; embarras de la parole, aphasie ; parésie des
e de construction et de développement des deux cervaux; toutes deux
nerveuses
à la suite de tourments, elles se sont infectée
es cas, il existe une diminution plus ou moins prononcée des libres
nerveuses
fines qui, parties de la lisière de la substance
tion au carminate d'ammoniaque témoigne de l'intégrité des cellules
nerveuses
. Les vaisseaux sont intacts, à l'exception d'un
entaient les mêmes destructions comme origines des mêmes phénomènes
nerveux
et mentaux ; c'étaient des foyers de ramollisse
hemin de fer à la suite d'un accident. Le malade est resté inquiet,
nerveux
, agité, éprouvant des vertiges fréquents. Les s
e qu'il y a à faire. - P. S. X. Etudes cliniques sur les maladies
nerveuses
et mentales; par le Dr Jules Falret, médecin de
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures aux
Vol. XX. Septembre 1890. N- 59 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
SUR UNE COMPLICATION PEU CONNUE DE LA SCIATIQUE
s les divers troubles tro- .\ncmvHa, t. 1\. ' 10 , 146 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. phiques consécutifs à la sciatique, la rougeur
el ou tel groupe musculaire sous la dépendance d'une même branche
nerveuse
. 1 Landouzy. De la sciatique et de l'atrophie m
é externe a'origine pel- vienne. Th. Paris, 1884. 1118 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Un autre auteur, M. Noune', a publié un cas de
s orteil. Cette disposition peut se résumer ainsi : '150 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sent plus ses jambes qui sont comme engourdies
seurs, c'est-à-dire sur les muscles innervés par cette même branche
nerveuse
. Tout cela, est bien caractéristique et se pass
u bout de quinze jours, elle quitta l'hôpital. , - 183 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Rentrée chez elle, elle reste encore au lit pe
oint de vue ce n'est pas une des moins importantes. '154 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Observation V (résumée). - Accouchement labori
sciatique consécutive à ' Lefebvre. - Thèse citée. 158 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. un accouchement pratiqué à l'aide du forceps,
plus ici. De même que dans le saturnisme, l'alcoolisme, les lésions
nerveuses
se localisent de pré- férence aux troncs nerveu
sme, les lésions nerveuses se localisent de pré- férence aux troncs
nerveux
animant les muscles exten- seurs, de même chez
catégorie de faits 1 fil'il"ois, Thèse citée. '1(7O ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que nous nous sommes proposé d'étudier et dans
s vives; bien qu'empêchant AI1.CIII\ l ? t. XX. il 462 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. encore le malade de dormir, mais elles siégeai
long du bord plantaire externe et aboutit à l'ex- 164 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. trémité du petit orteil. Cette plaque d'analgé
ie au contact chez le malade de l'Observation VII. 166 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. moteurs, elle en diffère en ce que l'anesthési
le sol. Elle steppe manifestement du. côté gauche. 168 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les essais de résistance aux mouvements passif
IX (personnelle). Sciatique droite. - Paralysie avec 170 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. réaction de dégénérescence des muscles de la r
refroidissement, ni traumatisme, ni compression apparente du tronc
nerveux
ou du plexus sacré. Mais la sciatique s'est dével
tibial antérieur (branche du poplité externe). 'll'2 ) PATHOLOGIE
NERVEUSE
. côté interne, reçoivent leurs filets cutanés s
ement suffisantes pour conclure à la lésion des di- verses branches
nerveuses
. Observation X (personnelle). -Sciatique ancien
elle passait un ou deux mois au lit ou à la chambre. 174 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il y a quatre ans, au mois de mai, nouvelle ré
olues dans le domaine du sciatique poplité externe). 176 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. chant, s'appuie à peine dessus, le talon ne po
rt les troubles de la sensi- .lacmvES, t. XX. 12 - 118 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' bilité. Ils se présentent exactement sous le
fesseur Charcot. Antécédents héréditaires. - Mère violente, colère,
nerveuse
, n'a jamais eu d'attaques de nerfs. Le frère de
e de son grand-père est folle. Son père est sain, ni alcoolique, ni
nerveux
; un de ses frères est athsmatique. SUR UNE COMP
eur jouissent d'une bonne santé et n'ont jamais présenté d'accident
nerveux
. 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. Il passe la meilleu
santé et n'ont jamais présenté d'accident nerveux. 180 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il passe la meilleure partie de l'année 1888 à
bsolue dans le domaine du sciatique poplité externe. 182 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. réflexes patellaires sont égaux des deux côtés
be et à la plus grande partie du pied, est atteinte- 184 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'anesthésie complète et absolue. Cette derniè
es limites de son anesthésie qui ne répondent à aucune distribution
nerveuse
. Mais il faut admettre d'abord qu'elles ne sont
l'hystérie et non à la sciatique. Tel était du reste 186 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. l'avis de M. le
sur le territoire de distribution musculaire et cutanée de ce tronc
nerveux
; 2° Cette complication se présente aussi bien
d'une névrite avec atrophie dé- générative des muscles.. CLINIQUE
NERVEUSE
LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS
humatismes. La mère qui vit encore, n'a jamais été malade; elle est
nerveuse
, mais, sur ce sujet encore, sa fille ne fournit
te, mais elle ' Voy. Arch. de Neuool., t. XX, p. 27. 188 CLINIQUE
NERVEUSE
. n'accuse aucun phénomène nerveux bien précis.
l., t. XX, p. 27. 188 CLINIQUE NERVEUSE. n'accuse aucun phénomène
nerveux
bien précis. Elevée dans un pensionnat, elle a
48 fois la main droite et 36 fois la main gauche à sa 190 CLINIQUE
NERVEUSE
. bouche, sans que le tremblement constaté à la
ffection qui survient chez un de leurs membres, s'ajoute un élément
nerveux
. - Si, dans une pareille famille, une génératio
és intellectuelles et parfois à la démence complète. 192 CLINIQUE
NERVEUSE
. On a beaucoup discuté sur la nature de cette m
e qui joue un rôle prépondérant dans sa pro- duction est l'hérédité
nerveuse
, soit l'hérédité de transformation soit surtout
uelle est sa signification ? Archives, t. XX. 13 3 194 - CLINIQUE
NERVEUSE
. Je n'ai nullement l'intention de vous présente
voit bientôt l'organe se dévier involontairement de la 196 CLINIQUE
NERVEUSE
. direction indiquée. Cette manoeuvre est aussi
oreiller. 11 est nul également pen- dant le sommeil. 198 CLINIQUE
NERVEUSE
. Mais, si l'on fait asseoir le malade sur son s
de Médecine.}], conclut que le tremblement dit sénile 200 CLINIQUE
NERVEUSE
. n'est point lié à la sénilité. S'il est plus f
hie générale de la moelle, une pig- mentation anormale des cellules
nerveuses
, un dépôt abon- dant de corps amyloïdes, l'enda
blements trépidatoires sont habituellement localisés à 202 CLINIQUE
NERVEUSE
. un membre inférieur. Ils sont constitués par d
ystériques (1890, n° 1 et suiv.)... , , , .. - 1 ' 304 . - CLINIQUE
NERVEUSE
. lations par seconde, comme Chambard en a cité
cette grosse question de la nutrition dans les maladies du système
nerveux
en géné- ral et chez les hystériques en particu
paralysie agitante, les choses paraissent aussi se' 206 ' CLINIQUE
NERVEUSE
.' r. passer différemment. Au mois de juillet 18
sidère le fond morbide; mais les formes symptomatiques 208 CLINIQUE
NERVEUSE
. sont variées à l'excès, mobiles, fugaces et se
re, isolée, que l'on a devant les yeux, si l'altération des centres
nerveux
est simplement fonctionnelle, et s'il n'existe
qui existent entre l'hystérie et les maladies organiques du système
nerveux
est une des plus délicates et des plus ardues d
ndant le jour, n'est plus avalée Archives, t. XX. 14 210 CLINIQUE
NERVEUSE
. pendant le sommeil, alors que la volonté n'int
bornerai à conclure que notre malade présente un trouble du système
nerveux
localisé dans le mésocéphale, peut-être dans le
t on alternera l'emploi avec celui du chlorure d'or. 212 CLINIQUE
NERVEUSE
. DES PARALYSIES CONSÉCUTIVES A L'EMPOISONNEMENT
Leç. clin, de la Pitié. (Ballet. 31ëd., 30 déc. 1888.) 214 CLINIQUE
NERVEUSE
. recueilli une trentaine environ; un petit nomb
. Cécité cl hémiplégie droite (France : )Id., 1SS3). 216 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. premières observations sont dues à Bourdon qui
. interne de Berlin (Sem. déclic., 16 janvier 1889.) 218 CLINIQUE
NERVEUSE
. la fesse et en ce point une plaque rouge ellip
e. Contractilité galvanique : DELTOÏDE ANTÉRIEUR. '220 CLINIQUE
NERVEUSE
. devenu hémiplégique à la suite d'une asphyxie
1882.) 3 Lancereaux, in Thèse de Simon, Paris, 1883. 223 CLINIQUE
NERVEUSE
. mais ce ne sont pas elles qui ont provoqué les
histologique ne fut pas fait). Mais il y avait des alté- rations
nerveuses
au niveau du membre inférieur par où la paralys
onstata l'existence d'un tissu morbide qui englobait tous les tubes
nerveux
. - Autre observation. Un ma- lade d'Alberti mou
ètres, sa gaine était épaissie ; à l'examen histologique, les tubes
nerveux
étaient remplis de boules de graisse. On a en
lidet2). Ces derniers auteurs ont trouvé « un grand nombre de tubes
nerveux
présentant des altérations 'manifestes : segmen
de celles des nerfs chez un individu qui succomba avec des lésions
nerveuses
après avoir été paralysé du bras et de la jambe
que les altérations musculaires ne sont que secondaires. Lésions
nerveuses
centrales. Les désordres que l'oxyde de carbone
de de carbone (Archiv /ür Psychiatrie, Bd. I. S. 260). 224 CLINIQUE
NERVEUSE
. du cerveau est presque la règle dans les autop
péri-axiles sert de base aujour- Archives, t. XX. 15 226 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'hui à la théorie périphérique de la paralysi
périphérique ne paraît pas pou- voir être mise en doute. Les tubes
nerveux
sont tou- chés par l'oxyde de carbone comme ils
oir une diminution du ' Simon. - Thèse, Paris, 1883. 228 CLINIQUE
NERVEUSE
. - nombre des globules, une anémie vraie; Cl. B
une façon certaine l'ac- tion de l'oxyde de carbone sur les centres
nerveux
; plus récemment enfin, de Becker a fait voir qu
'1'esp, blalt cité dans Wirchow /«/M'M6e;-icA ? 1868). 230 CLINIQUE
NERVEUSE
. - PARALYSIES. présenta à la suite d'une parési
complète respectant la face : guérison en un mois. Ici l'origine
nerveuse
des accidents nous paraît très probable. Il est
in Bullet. Médical, 10 avril 1880. ' Bourdon. - Loc. cit. - CHOC
NERVEUX
LOCAL ET HYSTERO-TRAUDIATIS111E. 231 façon cert
utives à l'empoisonnement par le charbon. RECUEIL DE FAITS CHOC
NERVEUX
LOCAL ET ,HYS'I'ÉRO-TRAU11ATIS\fE; Par le D' PA
. Richet) ; tels sont encore tous les états consé- cutifs aux chocs
nerveux
(Nervous shock des Anglais), produits par les é
le second élément cité plus haut, à savoir le traumatisme, le choc
nerveux
local. Ce choc local n'est comme nous allons le
rcot.) Avant d'aborder le résumé de nos connaissances sur le choc
nerveux
local, il convient de distinguer nettement avec G
ccidents seraient causés par la compression des troncs artériels et
nerveux
par un épanche- ment profond et disparaissent a
nche- ment profond et disparaissent après un débridement. Le choc
nerveux
local a été étudié d'abord en Angleterre, puis
esthésie incomplète dans le territoire cutané innervé par le plexus
nerveux
voisin de la plaie. Parfois il a rencontré une
II, p. 404. 8 0. Berger. - Berlin. Klin. WÕche¡¡sch" 1871. CHOC
NERVEUX
LOCAL ET HYSTÉRO-TRAUMATISME. 233 de la parésie
res. - Rien de spécial à signaler. Il n'y a jamais eu aucun trouble
nerveux
ni chez ses ascendants, ni chez ses frères et s
Le 15 mars 1890, S... est blessée à la main droite par une ma- CHOC
NERVEUX
LOCAL ET HYSTÉRO-TRAUMATISME. 23S lade qui lui
s être rangé à la fois à côté des phénomènes physiologiques du choc
nerveux
local et à côté des paralysies hystéro-trau- ma
elle les stigmates de l'hystérie. Cette absence de prédis- position
nerveuse
peut servir à expliquer le peu de durée des acc
ou une intoxication, la parésie et l'anesthésie REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 237 transitoire du choc local se fussent trans
uite par la blessure (craintes d'amputation). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XXI. D'UNE névrose PEU connue DES extrémités, p
ur discute le diagnostic d'avec : névralgie, compression des troncs
nerveux
, névroses profession- nelles connues, névrites
périphériques ordinaires, tétanie avortée, 238 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. infection, lésions organiques de la moelle, tr
specta la branche oculo-frontale. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 239 XXXIII. UN cas d'épilepsie traumatique gué
es concernant l'anatomie, la physiologie, la pathologie des centres
nerveux
. P. K. XXXV. DES rapports QUI EXISTENT ENTRE LE
'immense majorité des cas, cette altération 240 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. protéiforme de l'innervation' est un symptôme
ourront être affectés d'une très forte insuffi- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 241 sance, que l'intensité de celle-ci se modi
convergence souffrira. C'est ce qui arrive dans le cas d'épuisement
nerveux
généralisé. Eh bien ! dans la maladie de Basedo
n revanche à remarquer que, dans les lésions organiques des centres
nerveux
, la convergence demeure in- tacte, tandis que,
st 'pas liée non plus à la neurasthénie (surmenage, affaiblissement
nerveux
) bien qu'elle puisse en être accompagnée. Et ce
uni, puis bilatérale, Archives, t. XX. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. s'accompagna dans l'espèce d'une parésie légèr
spontanément sans cohésion réelle. Dans le pre- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 243 mier état, de nouvelles idées sont engendr
urant d'air glottique. Immédiatement après, 244 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1 les membres inférieurs reprennent leur flacc
équente, avec des interruptions de trois à cinq minutes, des troncs
nerveux
et de la colonne vertébrale (cathode en station
mois et les accès disparaissent totalement. ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 245 Observation de Rosenbach. - Une hydropisie
ssein, ne les provoquaient pas. Observation IL - Ici prédisposition
nerveuse
, excès bachiques et vénériens. Depuis quelques
ndant t le repos de l'organe. P. KERAVAL. 246 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. · LUI. Contribution A la théorie DES ZONES épi
électrique est normale; très grande sensibilité REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 247 au niveau du trou styLe 100 jour, hypoexci
il est pris d'une crampe convulsive doulou- 248 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. reuse du gros orteil qui se fléchit en entrain
1 Voy. Archives de Neurologie, t. XV, p. 372. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 249 réactions tendineuses diffèrent des vrais
ntionnel. - En même temps, atrophie de la - 250 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. moitié droite de la langue ; parésie spasmodiq
LXII. Appendice au chapitre DE l'affaiblissement DU COEUR D'ORIGINE
nerveuse
; par 0. ROSENBACH. (Centralbl. f. Nervenh.; 1886.
ns organiques du coeur est la même que celle-de son affaiblissement
nerveux
. Ce dernier constitue au point de vue anatomiqu
t exercer une suppléance fonctionnelle. P. K. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. , 251 LXIV. Maladie DE BASEDOW. ET maladie BRO
qui forment de nouveaux vaisseaux. Atrophie parallèle des cellules
nerveuses
et des fibres nerveuses qui disparaissent par b
vaisseaux. Atrophie parallèle des cellules nerveuses et des fibres
nerveuses
qui disparaissent par bouquets. P. KERAVAL. '
. DES conséquences persistantes DE l'ergotisme A l'égard DU système
nerveux
central, par F. TUCZEK. (Arch. f. Psych, XVIII, 2
88.) Nouveau fait de guérison de troubles fonctionnels du système
nerveux
, réfractaires à d'autres méthodes de traitement.
ralbl., 1888.) Sorte d'inflammation toxique (tuméfaction des fibres
nerveuses
, hypérémie, espèce de bourgeonnement vasculaire
ne lacune porencéphalique congé- nitale (intégrité de. la substance
nerveuse
même) qui comprend, sur la crête médiane de l'h
sque dans l'insula. P. K. XXXIX. La coloration au carmin du tissu
nerveux
; par H -S. UpSON. Remarque additionnelle; par W
deux (Krauss). La myéline n'étant pas touchée, on voit les cellules
nerveuses
, x les cylindraxes, le tissu conjonctif, les no
ent pour saisir les vais- seaux, les noyaux des nerfs et les fibres
nerveuses
(Krauss). Les colorations s'effectuent plus ou
cet effet avec le bureau de la société de psychiatrie et mala- dies
nerveuses
de Berlin. M. ROLLER (de Brake) sur la folie hé
za, plus que toute autre maladie infectieuse, agisse sur le système
nerveux
.' Ainsi, dans les cas légers, la fièvre est mod
de un jour ou deux, et cependant, pendant des semaines, le système
nerveux
demeure prostré ; le malade est déprimé, hypoch
, convulsions et crampes musculaires, ou autres troubles du système
nerveux
périphérique des plus pénibles. Quand ces phéno
te dans tout son parcours aucun rapport de contact avec aucun noyau
nerveux
, avec aucune racine, il se distingue nette- men
i de sa lésion locale, mais elle parait avoir augmenté les troubles
nerveux
et psychiques. On le guérit à l'asile en quelqu
M. Targowla, sur l'histoire ana- lomique et pathologique des fibres
nerveuses
à myéline intra-cor- ticales du cerveau. Il e
en aux leçons magistrales de M. Charcot sur les maladies du système
nerveux
. Mais aussi ils comblent une lacune. Nous serions
as de publication aussi frappante. Il y a peu de régions du système
nerveux
qui ne soient explorées, fouillées, et cette in
pendant la première période ; troubles viscéraux, urémie, troubles
nerveux
de la deuxième phase de la maladie. Ces troubles
troubles nerveux de la deuxième phase de la maladie. Ces troubles
nerveux
peuvent porter sur la moelle (paraplégies passagè
les troubles de l'ar- tério-sclérose à localisation sur le système
nerveux
. A ce propos, en faisant l'historique du pouls
, cet ouvrage ne peut être considéré comme un traité de séméiologie
nerveuse
, il pourra en tous cas, grâce aux docu- ments q
pour l'étude de la physiologie pathologique des différents troubles
nerveux
, et sur- tout pour les procédés à employer dans
tion écrite portant sur l'anatomie et sur la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures aux
OLLY (de Strasbourg) est nommé à la chaire des maladies mentales et
nerveuses
de l'Uni- versité de Berlin, vacante depuis la
le Dr ANFInIOFF est nommé privat-docent des maladies mentales et
nerveuses
. Enfants homicides. - Une dépêche de Saint-Péte
fr. 35 ED1VARDS (B.-A.). - De l'hémiplégie dans quelques affections
nerveuses
(ataxie locomolrice progressive, sclérose en pl
. Vol. XX. Novembre 1890. N" 60 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
DE LA MIGRAINE OPIITHÂLMIQUE HYSTÉRIQUE; Par
e névrose dans la neuro-patholo- Archives, t. XX. 20 306 CLINIQUE
NERVEUSE
. gie. Cette évolution, progressivement accompli
ant peut reconnaître pour cause une lésion organique du sys- tème
nerveux
. Ce n'est cependant pas dans le but de combattr
bliées par Bourneville, t. III, p. 249 et suivantes. 308 CLINIQUE
NERVEUSE
. pêtrière, d'agrandir sans cesse et sans raison
indiquées ait été l'ex- pression d'une lésion organique du système
nerveux
, ou bien encore ait pu être manifestement ratta
ne névrose autre que l'hystérie, on peut, à bon droit, 310 CLINIQUE
NERVEUSE
. porter, même dans ce cas, le diagnostic de mu-
cette névrose, quelques caractères particuliers qu'une 312 CLINIQUE
NERVEUSE
. analyse plus rigoureuse permettra un jour de m
peut être hystérique et être atteint en même temps d'une affection
nerveuse
indé- DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 3
ques autres particularités urologiques' quand il s'agit de troubles
nerveux
qui se manifestent sous forme d'accès. 2° L'é
n dit par- fois que la soudaineté dans l'apparition d'un accident
nerveux
tend à démontrer que l'hystérie est en cause; c
nutrition dans l'hy térie. (Progrès médical, 1890.) 314 CLINIQUE
NERVEUSE
. loppent avec rapidité, mais non soudainement,
appartiendrait plutôt à quel- ques affections organiques du système
nerveux
. b) Le mode de terminaison constitue, au contra
'hystérie. On pourrait nous objec- ter, toutefois, que des troubles
nerveux
peuvent pren- dre la place les uns des autres s
ymp- tômes dûs par exemple à quelque maladie organique du système
nerveux
, on obtient souvent une repro- 316 CLINIQUE NER
ue du système nerveux, on obtient souvent une repro- 316 CLINIQUE
NERVEUSE
. duction qui peut paraître parfaite à un observ
ractères sur lesquels on peut s'appuyer pour soutenir qu'un trouble
nerveux
donné dépend de l'hys- térie sont, comme on le
Babinski (Archives et nelll'ol., 1889, nos 49 et 50. 318 CLINIQUE
NERVEUSE
. nant sans difficulté, en signalant simplement
ériphérie est formée par une ligne eu zigzags, faisant 320 CLINIQUE
NERVEUSE
. un tour incomplet, une sorte de roue irréguliè
ns de mentionner s'atténuent et on voit apparaître alors des crises
nerveuses
semblables à celles qu'elle présente actuelleme
ments plus précis sur les caractères de son scotome. 324 CLINIQUE
NERVEUSE
. Observation III. - Jeune fille dgée de vingt-d
- Etant petite, de l'âge de trois à cinq ans, elle a en des crises
nerveuses
nocturnes, d'une durée de une à deux heures, co
seize ans, à l'occasion d'une vive émotion, la malade eut une crise
nerveuse
constituée de la façon suivante : tout d'un cou
; elles apparaissaient tous les huit jours, aussi bien 326 CLINIQUE
NERVEUSE
. le jour que la nuit, puis tous les quatre jour
que la moitié droite des objets qu'elle fixait, et en 328 CLINIQUE
NERVEUSE
. même temps du côté gauche elle apercevait des
un des stigmates les plus communs de cette névrose. 330 CLINIQUE
NERVEUSE
. sentés par ces malades pour qu'il ne reste auc
démontrer qu'il existe une rela- tion étroite entre ces deux états
nerveux
, que la mi- graine ophthalmique est ici sous la
upes. 1° Les accès de migraine sont accompagnés de manifestations
nerveuses
dont la nature nous paraît incontestable ; les
e. Enfin, dans l'OBSERVATION IV, voici les arguments 332 CLINIQUE
NERVEUSE
. qu'on peut invoquer : 1° Les attaques hystériq
à la Salpêtrière, par M. Parinaud, sur plusieurs cen- 334 CLINIQUE
NERVEUSE
. DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE. taines d'hystériq
thalmique commune résulte d'un spasme temporaire - DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 335 des vajsseaux sylvi
n jusqu'à l'apogée de son développement. ANATOMIE DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION; Par M. Il. THO LARD,
à l'écorce ou en provenant. Cette conception générale du système
nerveux
n'est pas, je le reconnais, d'une rigoureuse ex
, elle peut être acceptée à titre de vue d'en- semble de l'appareil
nerveux
, en attendant que nos maîtres nous apportent la
n'ai eu à en faire que la synthèse en quelque sorte. DE l'appareil
nerveux
central DE l'olfaction. M9 Mais pour que cette
.) Certes oui je me suis défié, non pas du désir de DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 341 démontrer la justes
istes. Pour me conformer à la façon dont j'ai envisagé le circuit
nerveux
, je vais décrira pour le demi-circuit sensitif
erveux, je vais décrira pour le demi-circuit sensitif de l'appareil
nerveux
de l'olfaction les trois arcs dont j'ai parlé p
Il ne faut pas chercher dans ce schéma les rapports DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAI, DE 1,'OLFACTION. J η3 normaux des dif
es nerfs olfactifs, bien que la partie périphérique de l'appareil
nerveux
de l'olfaction ne soit pas comprise dans le cad
à sa texture, elle est cérébrale en grande partie. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 345 Personne n'y a song
supérieure ; et les pédoncules des lobes seront de simples racines
nerveuses
avec leurs origines appa- rentes au niveau de l
son tiers externe, le quadrilatère est plutôt blanc. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 347 Cette partie blanch
e je le dirai plus loin, il n'est pas rare de voir la DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 349 bande adhérer par s
le nom d'arc olfactif, que je propose de conserver. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 3D'l bande, on voit trè
r- dinaire. Cette disposition anatomique n'est donc DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 353 qu'une variété des
tiné à raccorder la zone radiculaire aux différents étages de l'axé
nerveux
; 2° l'amas de substance grise, qui constitue l
deux centres (olfac- tifs) une communication directe par des fibres
nerveuses
étendues de l'une à l'autre ? C'est ce qu'il s'
ion la plus interne de quelques fibres diagonales qui DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 35S vont, sinon chez to
ren- tielle varie ou non dans les différentes maladies du système
nerveux
. Nos recherches ont porté sur deux cents malade
les symptômes cliniques dans les différentes maladies des centres
nerveux
, nous reprendrons l'histoire détaillée de chaqu
'appareil visuel dans les différents états pathologiques du système
nerveux
. Aussi, nous nous bornerons à ne communiquer ic
ditions. Nous avons étudié dans les différentes maladies du système
nerveux
les modifications que subit la valeur absolue d
l'in- térêt de nos recherches poriant exclusivement sur la partie
nerveuse
de l'appareil optique. Le fait de la 380 PHYSIO
, et elle criait : «Oh ! mes pieds, mes jambes ! » Un tremblement
nerveux
s'ensuivait qui la secouait tout entière. Elle cr
ux est guidée par la vision ; par suite, chez le chien de ' Système
nerveux
, p. 669. " ' Comptes rendus, t. CI ! et CIII, 1
sclegelions. (Pflllger's A l'chiv sur Physiologie, 1887.) . Système
nerveux
, 1842. 410 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. les pinç
Blaschko 5, sous la direction ' Anatomie et physiologie du système
nerveux
, 1842. =Vulpian. Op. cit. 3 Observations and
actionné par les nerfs des sens spéciaux et subordonné aux centres
nerveux
supérieurs par lesquels l'organisme s'adapte au
t électrique aux fibres médullaires, mais, comme les autres centres
nerveux
, qui emmagasine et transforme les excitations en
n question sont lésés. S'il est vrai qu'une alté- ration des troncs
nerveux
ne pourrait produire l'ophtalmoplégie externe,
externe, on pourrait néanmoins très bien admettre que les fibres
nerveuses
qui se dirigent aux muscles de l'oeil sont lésées
iaires) ont échappé à l'altération qui a frappé les autres branches
nerveuses
en un autre point; les branches ciliaires en ef
nant les systèmes de fibres intramédullaires. L'atrophie des fibres
nerveuses
à myéline de l'écorce ne semble pas avoir de ra
e de l'écorce ne semble pas avoir de rapport avec celles des fibres
nerveuses
que nous envisageons ici ; elle relève de l'a-
us envisageons ici ; elle relève de l'a- trophie commune des fibres
nerveuses
quelconques du cerveau y compris la base. Les a
Le fonctionnement du cerveau détermine la multiplication des fibres
nerveuses
et des cellules. Aussi les organes de la base aug
on. P. K. XLVIII.DE l'irritabilité de certains trousseaux DE FIBRES
NERVEUSES
dans la moelle DES animaux NOUVEAU-NÉS; par W.
HTEREW. (Neurol. Centralbl., 1888.) Toutes les parties du système
nerveux
central excitables chez les animaux adultes son
rallèle, uniforme, qui se perpétue à la période d'atrophie du tissu
nerveux
. L'intégrité des réflexes REVUE D'ANATOMIE ET D
n de psychose réflexe avec remar- ques sur le délire traumatique ou
nerveux
, et sur le clonisme podalique transitoire. En r
apparition successive des throm- boses dans les divers départements
nerveux
. P. B. XXII. Ueber dos Verhseltniss. der OEdeme
1 fr. 35 EDWAHDS (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections
nerveuses
(atnxie locomotrice progressive, sclérose en pl
puerpérale, par Séglas et Sollier, 273, 386. Amputations, lésions
nerveuses
après les -, par Homen, 266. Anthropologie cr
ométrie, par Benediht, t, 125 ; études cliniques sur les maladies
nerveuses
et mentales, et les aliénés et les asiles d'ali
ulaire, par Grasset, 264 ; séméhïologie des maladies du sys- tème
nerveux
, par Bianchi, 295; aphasie, par Bateman, 444;
lité, 301. Cellules granuleuses, importance des - dans le système
nerveux
de l'homme, par Rosenheim, 86. Cerveau , trou
mmandant aux mouvements de la vessie, par Mi- tanski, 266, fibres
nerveuses
à myéline intercorticales du -, par Keraval,
el entoptique dans la vi- sion hallucinatoire, par Hoppe,96. Choc
nerveux
et hystéro-trauma- tisme, par Sérieux, 231. C
ocaïnisme, par Saurey, 272. Coeur, affaiblissement du d'ori- gine
nerveuse
. parRosenbach,250. Colonies agricoles, par Bart
in et Si- mon, 69. Ergotisme, conséquences de l' sur le système
nerveux
central, par Tuczek, 263. Fièvre typhoïde che
e la moelle et du bulbe, par Wagner, 427; irritabilité des fibres
nerveuses
de la des ani- maux nouveau-nés, par Beclite-
S MATIÈRES /,il Flechsig, 8f;- trajet du goût, par Zeuker, 269.
Nerveux
, coloration au carmin du tissu, par Upson, 268.
E U R DE 11 L 0 G 1 E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE , DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fonder par d.-M. CIItIRC(1T PIIIM
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté (le médecine (le l'nris. COI.I
Vol. XIII. Janvier 1902. N° 73. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. - . Paraplégie spasmodique dans un cas de co
gistes s'intéressent; c'est comme un chapitre nouveau de pathologie
nerveuse
. Il faut donc examiner de près tous les faits d
uses au point de vue de l'anatomie et de la physiologie des centres
nerveux
apparaîtront un jour quel- ques indications pra
10 mai 1899, p. 218.) Archives, 2' série, t. XIII. 1 2 " CLINIQUE
NERVEUSE
. étage de l'axe, nées sur place à la suite d'un
bilité, p. 81. 2 Van Gehuchten. Presse méd., loc. cil. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. cides par fracture vertébrale, par section spi
beaucoup plus facilement qu'il ne fait pour la droite. 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. La sensibilité au tact est un peu diminuée aux
3, sensations thermiques : perverties surtout à gauche. 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le 28 avril, la contracture permanente de la j
ambe droite ; sensibilité thermique légèrement troublée 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. sur la jambe droite, diminuée et complètement
tion se retrouve sur une grande hauteur de la moelle. 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les coupes permettent de reconnaitre un grand
uche,) ont été traités par l'acide osmiqup et dissociés. Les fibres
nerveuses
sont bien colorées en noir, bien cylindriques.
nous venons de décrire, équivaut aussi bien à une section de l'axe
nerveux
, qu'une sclérose cicatricielle de nerf équivaut
sculaire et ostéoarticulaire. ' Brissaud. Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1895, p. 137. e Brissaud. Leçons sur les malad
ladies nerveuses, 1895, p. 137. e Brissaud. Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1899, p. 181. 3 Revue neurologique, 1899, p. 5
eh. f. I'sclz. Bd. 30, Ueft 2). - Brissaud. Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1899. p. 199. r. Haskovec. A propos de l'histo
4 Í6. 0 Rummo. Riforma medica, 14 fév. 1899, p. 439. 16 CLINIQUE
NERVEUSE
. C'est encore une paraplégie spasmodique dont M
wers. Mais le contenu du canal rachidien ne se réduit pas à l'axe
nerveux
; mais la moelle elle-même n'est pas faite exclus
emaine médicale, 1899, p. 513). 2 Brissaud. Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1893, p. 1 47. Archives, 2° série, t. XIII. 2
'extension et de son application dans le traite- ment des maladies,
nerveuses
; Par le D' P. KOULSDJY. L'extension est avec
et tous les procédés qui dérivaient d'elle, TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 19 sont passés au second plan, et si on parle
pour la forme. Ce n'est que dans les quelques services des maladies
nerveuses
, que la sus- pension se pratique encore de temp
action réelle et non imaginaire de la supension dans les maladies
nerveuses
et spécialement dans le tabes dorsalis. Néanmoins
ment d'avis ' Professeur Raymond : Clinique des maladies du système
nerveux
. Deuxième série, 1897. . 2 W. E. C. Die Thera
'lI'agen, etc. ne 15. Leipzig, 1896.) \ TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 21 que la suspension agit par la suggestion 1.
suggestion 1. Ils obtinrent 20 améliorations sur 29 cas de maladies
nerveuses
, dont 4 améliorations sur 6 cas de tabes. Ils c
a une influence réelle active sur la marche générale des affections
nerveuses
, et surtout sur l'évolution du tabes dorsalis.
obligatoires dans le traitement de toutes les affections du centre
nerveux
. Introduite dans la thérapeutique par M. Motcho
t Adam. De la suspension dans le traitement des maladies du système
nerveux
. (Progrès médical, n<" 44 et 48, 1889.) 22 )
nt de publier une statistique approximative de 2212 cas de maladies
nerveuses
, dans lesquelles on applique les différents pro
N 1 M. Gilles de la Tourette. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1898. 2 M. P. A. Ostankofï. L'extension de l
de la colonne vertébrale, comme méthode de traitement des maladies
nerveuses
. (Recueil des travaux de la clinique des maladi
aladies nerveuses. (Recueil des travaux de la clinique des maladies
nerveuses
de Saint-Pétersbour, t. II, 1900.) . TRAITEMENT
veuses de Saint-Pétersbour, t. II, 1900.) . TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 23 soignés par la suspension, avec 38 améliora
e labes dorsalis. (11'ralch, n 28, 1S98 ) TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 25 pathologistes d'abandonner son application.
al de Médecine de Bordeaux, n° 42, 1889.) TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 29 Ces deux derniers procédés ont un véritable
support est formé de deux- por- . 7 ? 6. TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. · 31 lions, ayant la forme d'un T. La portion
orrespondre à peu de chose près à Fig. 7. TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 33 l'extension du rachis. Nous commençons la t
oposée et étudiée physiologi- . Fig. 9. . TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 35 quement par M. Bogroff. Déjà avant cet aute
la planche inclinée ou l'extension pour le traitement des maladies
nerveuses
en général et du tabès en particulier, en modif
mble du procédé. Le plan incliné Fig. 10. TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 37 formant un point de contact continuel avec
hérapeutique absolument rationnelle dans le traitement des maladies
nerveuses
. Dans le procédé de Mot- choutkowski lorsque le
la traction se produit par la planche même. TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 39 Ceci permet d'exécuter la suspension sans s
tater le moindre signe de défaillance. En · TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 41 général, au début les séances se font tous
tration oedémateuse sous-arachnoïdienne. . 44 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. En résumé, il s'agit d'un sujet vigoureux fort
roché de l'observa- tion analogue de Hopkins. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Un cas peu commun de méralgie 'paresthésiqu
risée par des troubles sensoriels de la surface REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 45 antéro-externe de la cuisse, ayant leur ori
ez ce malade, comme dernière particularité à 46 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. noter, envahissement de la branche postérieure
t au niveau du premier nerf lombaire. G. DENI'. III. Les maladies
nerveuses
familiales (Maladies d'évolution) ; par le Dr L
ravail peuvent être formulées de la façon ' suivante : Les maladies
nerveuses
, dites maladies héréditaires, maladies familial
mes cliniques nettement définies. G. DE<'iY. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 47 IV. Un cas de polynévrite motrice d'origine
es qui ont permis. d'affirmer chez le malade 48 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dont l'observation fait l'objet de ce travail
agéré des deux côtés. L'auteur attribue ces accidents à des lésions
nerveuses
détermi- nées par la toxine tuberculeuse : quan
tion des deux symptômes pathologiques. R. C. .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 49 XII. Un cas rare d'ostéo-arthropathie; par
'à ce jour peu fournie des ostéoarthropathies vertébrales d'origine
nerveuse
et sur 14 observations dont 4 personnelles, ave
er. R. C. Archives, 2' série, t. XIII. 4 HO 0 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XIV. Tabes trophique, arthropathies, radiograp
éressante au point de \ue clinique « non seule- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
51 ment par la localisation alterne des deux sy
ahit d'ordinaire les membres d'uncôté, avant 52 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de se propager. A la période d'état, la maladi
par l'intermédiaire des nerfs cutanés. M. H. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 53, XXII. Crises gastriques et syringomyélie;
d'émergence de la .corde du tympan. , 54 -il REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXVIII. Polynévrite tuberculeuse motrice; par
une étude de Punton sur la pathogénie et prophylaxie des affections
nerveuses
et dans le numéro précédent du 14 octobre 1899,
nte. L'étiologie, la symptomatologie etl'évolu- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 55 tion sont celles de l'arthritisme. Betchere
tômes relativement peu marqués. F. Boissier. 56 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXV. Revue sur la chorée chronique progressiv
ernière période. Il termine par la description détaillée du système
nerveux
d'un cas qu'il a étudié. Les lésions les plus m
paraissent moins employés; le traitement hygié- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 57 nique se généralise; on tend à abandonner t
iennent entre elles une connexion plus étroite. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 59 La migraine ophtalmique pourrait être l'aur
onduit le sujet à une hypocondrie passagère. 60 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. .. On retrouve ces caractères dans une observa
ratoires graves ont amené une issue fatale. Les lésions des centres
nerveux
trouvés à l'autopsie portaient surtout sur les
signature de l'action nocive exercée secondairement sur les centres
nerveux
par l'infection loca- lisée primitivement dans
t, tremblement des mains, violente céphalalgie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 61 Parole. Il comprend très bien ce qu'on lui
sur l'agitation, l'angoisse, le tremblement 62 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des mains, les illusions observés, accuse les
de quinze ans, subi par ce malade, a dû déter- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 63 miner des hémorragies légères dans la moell
ction indiquée des pupilles. P. KERAVAL. 64 -il REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLIV. Contribution à l'étude clinique des into
du toluol sont toxiques. Leur action s'étend aussi bien au système
nerveux
central qu'à l'appareil cir- culatoire. En cert
ereuses; 6° mais il faut installer une ventila- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 65 tion efficace, et des appareils susceptible
e gauche. ' Archives, 2° série, t. XIII. 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La paralysie du grand dentelé, du radial et du
gris dépour- vus d'hémorrhagie, le traumatisme a dans les cellules
nerveuses
pu déterminer un trouble moléculaire, capable d
coque mince et solide. Un degré de plus, et la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 67 masse ramollie, gélatiniforme, de ce qui a
certaine et fort probable chez 267 malades, 68 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ce qui donne la proportion de 82,9. On peut mê
toujours lésées. Les ganglions inter- vertébraux et leurs cellules
nerveuses
sont parfois affectées, il en est de même des m
même des méninges spinales plus rarement prises. Le reste du tissu
nerveux
, fibres et cellules des colonnes de Clarke, cellu
nts l'altération procède par une atrophie dégénérative des éléments
nerveux
, qui, une fois détruits, sont engloutis par les
du tissu interstitiel, aboutissant à la sclérose suppléant le tissu
nerveux
qui disparait. En tout cas le tabes doit être reg
tat d'une affection parasyphilitique ou métasy- philitique du tissu
nerveux
; soit une maladie à causes multiples parmi lesq
vertu d'une prédisposition, d'une faiblesse congénitale du système
nerveux
, et provoquer le processus d'irri- tation vascu
20 observations qu'il analyse où le traitement REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 69 antisyphilitique a donné des résultats dive
ble sur bien ÎO REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'autres affections
nerveuses
, mais l'amnésie rétroactive a été déjà décrite
itations, auxquelles s'ajoutèrent ultérieu- rement des tremblements
nerveux
, elle se compliqua, un beau jour de la sensatio
ière fois est apparu un accès d'angoisse immotivé, avec tremblement
nerveux
, qui dura une demi-heure et REVUE DE PATHOLOGIE
tremblement nerveux, qui dura une demi-heure et REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 71 disparut à la suite d'une selle ; ce nouvea
e pendant près d'un an révèle simplement une 72 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cicatrice de 3 centimètres de long à la limite
à la limite du frontal et du pa- riétal gauches : aucun antécédent
nerveux
, alcoolique, criminel. Les conditions déraisonn
t d'une jeune fille de dix-sept ans, qui, après REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' 73 quelques mois de maladie caractérisée par
te. il. C. LIV. De la crampe des écrivains et des autres affections
nerveuses
professionnelles; par Thomas D. SAVILL. (Nouv.
inales sur la patho- génie et l'étiologie de ce groupe d'affections
nerveuses
. A côté de l'influence de la répétition du mouv
uvement. L'évolution patho- gémque pourrait se résumer : irritation
nerveuse
d'où spasme ou crampe, destruction nerveuse par
se résumer : irritation nerveuse d'où spasme ou crampe, destruction
nerveuse
partielle d'où tremblement, destruc- tion compl
desdites cellules mo- trices ? R. CH,\RON. 74 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LV. Dermographisme chez des épileptiques attei
ronc et des membres avec dermographisme et nombre de manifestations
nerveuses
de nature hystérique. Dis- cussion clinique por
pareil état ne puisse relever d'une affection définie des cen- tres
nerveux
. Il ne s'agit pas davantage de rhumatisme chroni-
usculaires, relevant vraisemblablemank d'une altération des centres
nerveux
qui président au développe- ment et à la nutrit
ffection débuta par les quatre membres. Glycosurie et albuminurie
nerveuses
. M. J. Roux (de Saint-Etienne) rapporte un cas
ues, il pense'que ces symptômes sont en telle concurrence d'origine
nerveuse
. A propos des tics et des troubles moteurs chez
es cas, malgré la gravité et l'ancienneté des lésions, l'élongation
nerveuse
a été suivie de guérison. Celle-ci a été suivie
vastine communiquent des coupes de lésions cadavériques des centres
nerveux
. ' Séance du 5 décembre 1901. PRÉSIDENCE DE M.
pas une conséquence rare de la grippe. Les premières manifestations
nerveuses
apparaissent pen- dant la convalescence. L'aute
ens, revenus de l'Afrique du Sud, sont en proie à une surexcitation
nerveuse
qui se manifeste par l'insomnie et par des rega
Vol. XIII. Février 1902. N° 74. ARCHIVES DE NEUROLOGIE- CLINIQUE
NERVEUSE
.. Travail DE la clinique DE M. LE professeur A.
tations névropathiques Archives, 2e série, t. XIII. 7 98 CLINIQUE
NERVEUSE
. et n'ayant pas subi de traumatismes violents.
ditaires. -- Père et mère vivants et bien portants; pas de maladies
nerveuses
chez les collatéraux. Antécédents personnels. B
res. - Rien à retenir dans ses antécédents Fiff. 12. 100 CLINIQUE
NERVEUSE
. héréditaires. Père et mère vivants en bonne sa
E NERVEUSE. héréditaires. Père et mère vivants en bonne santé : non
nerveux
. Lestr... est marié et a trois enfants bien por
umatisant mais vigoureux et vivant encore. Mère en bonne santé, pas
nerveuse
. Gu... est marié, père de deux enfants bien por
u nerf cubital percuté au-dessus de la gouttière. Rien 104 CLINIQUE
NERVEUSE
. - à signaler dans les grands organes splanchni
La mère d'une pneumonie. Deux frères en bonne santé. Une soeur pas
nerveuse
. L... est marié, père de trois enfants vivants qu
membre paralysé. La percussion des muscles Fig. 15. 106 CLINIQUE
NERVEUSE
. donne lieu à des réactions normales. La percus
es observations qui précèdent montre com- . Fig. 16. 108 CLINIQUE
NERVEUSE
. bien est uniforme et monotone le tableau des m
D' Il. KOUINUJY. Quelle est l'action de la suspension sur le centre
nerveux
en général, et sur la moelle épinière en partic
e1ll'olo,r¡ie, no 73, t. XIII, p. 18, 1902. TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 11 L mie du centre cérébro-spinal. Leur Slunin
avis. Dlprton admet aussi une élongation de la moelle et des troncs
nerveux
. Pour llthaus, la'suspension produirait une déc
une déchirure des adhérences méningitiques chroniques; les filets
nerveux
deviennent plus libres, d'où il résulte une amé
corps sur les jambes étendues produit une élongation des organes
nerveux
intraduraux un peu moindre que celle indiquée par
trière, 1888-1889. 3 Gilles de la Tourette. Leçons svr les maladies
nerveuses
, 1898. 112 THÉRAPEUTIQUE. ' moelle épinière n
u cerveau. . ' A. Bogroff. Contributions au traitement des maladies
nerveuses
, par le procédé du DT 0. llotcUoutltowslci (lVi
a ? e e< te neurologie, 1891, n* 1). ' TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 1113 De' ses nombreuses expériences sur les la
o conclut que la suspension agit favorablement sur les mala- dies
nerveuses
, grâce à l'hyperhémiedu centre nerveux occa- si
blement sur les mala- dies nerveuses, grâce à l'hyperhémiedu centre
nerveux
occa- sionnée par elle. Les autopsies des anima
drothérapie; comme cette dernière, elle agit en excitant le système
nerveux
péri- phérique et par son intermédiaire sur la
éclairer la ques- tion de l'action de la suspension sur le système
nerveux
. Cet auteur se servit de la méthode de Hürlhle.
tre confrère explique ces modi- fications'parl'hyperhémie du centre
nerveux
, provoquée par l'extension ; cette hyperhémie e
ve. Outre l'hyperhémie et les modifications artérielles du centre
nerveux
, le rachis subit également des modifications intr
ue le traitement aurait pour effet de retarder la mort des éléments
nerveux
atteints, dont il accroît la nutri- tion, et de
il accroît la nutri- tion, et de faciliter la fonction des éléments
nerveux
inal- térés. - De tout ce qui précède il résu
ède il résulte que la suspension a une action réelle sur le système
nerveux
en général et'sur la " M. Rauzier. Traitement d
rapeutique appliquée, t. XIV, 1898.. 7/7- TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 118 moelle épinière en particulier. Elle influ
a- tions faites à la clinique Charcot : , TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 1 117 7 118 . THÉRAPEUTIQUE. TRAITEMENT DES
S NERVEUSES. 1 117 7 118 . THÉRAPEUTIQUE. TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 119 gurantes. Dans ses leçons du vendredi, le
signe de Westphal en plein développement. ' TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 121 1 11 y a sept mois il est venu à la Salpêt
cuta les premiers exercices facilement avec TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. H3 une canne et même sans canne. Le malade ne
oduit par celle-ci chez les ataxiquesenamé- TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 12o liorantle signe de Romberg et l'incoordina
. Sur 207 cas d'amé- ' F. Raymond. Clinique des maladies du système
nerveux
, 1897. 8 P. Marie. Leçons sur les maladies de l
t de l'ataxie locomotrice et de quelques autres maladies du système
nerveux
par la suspension. (Progrès médical. 1889.) TRA
par la suspension. (Progrès médical. 1889.) TRAITEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 129 « minutes à 40° et 50°. La malade quitta
ications seront par conséquent les mêmes pour toutes les affections
nerveuses
, M. le professeur Ray- mond les formules comme
s plaindre du procédé. L'extension convient à une foule de maladies
nerveuses
et tous les malades qui ont eu l'occasion d'y p
moyen thérapeutique indispensable dans le traitement des maladies
nerveuses
. Elle doit être appliquée avec la même sagacité
de de résistance assez longue, brusquement la résistance du système
nerveux
disparaît et les neurones meurent. simon. III
'elle est acceptée par Sides, par exemple, c'est que toute réaction
nerveuse
est con- ditionnée par la formation et l'interr
et l'interruption du contact entre diffé- rents groupes de cellules
nerveuses
par protrusion ou rétraction des filaments term
ie doit expliquer les phénomènes mentaux, complexité des cellules
nerveuses
. d'où instabilité considérable, et de l'autre poi
s est donné de les observer. , z C'est attribuer aussi aux cellules
nerveuses
un pouvoir de sélec- tion à peine croyable. Nou
que c'est dans ce circuit électroneuro-musculaire que, les circuits
nerveux
dérivés puisent en grande partie l'énergie 'pri
évèle, dans les points complètement nécrosés, l'absence de cellules
nerveuses
; on y voit un réseau vas- culaire très développ
eure de la moelle dorsale au niveau des cinquième et sixième paires
nerveuses
dorsales. Les pièces, traitées par la méthode d
rches ultérieures. P. 11P : 1SAVAL. XIII. La salivation d'origine
nerveuse
,- considérée comme désordre morbide idiopathiqu
chiatrii, v. 1900). L'auteur décrit trois observations de ptyalisme
nerveux
périphé- rique, autonome, par excitation de la
ée. La salive est liquide. Pas de cause appréciable; aucune maladie
nerveuse
. Observation IV. -Jeuné homme de vingt-cinq ans
gt-cinq ans, de famille né- vropathique, indemne de toute affection
nerveuse
ou physique. Est, dès la première jeunesse, suj
La sécrétion cortico-glandulaire du suc gastrique est exclusivement
nerveuse
. D. - Les couches optiques et les tubercules qu
des colorations distinctives accentuées entre cylindraxes, cellules
nerveuses
, corps des cellules de la névroglie, tissu conj
par eux, l'ori- gine exogène. · XXII. Les difformités du système
nerveux
central dans le spina bifida (Hydropisie du qua
ouveaux de spina bifida soumis à l'examen histologi- que du système
nerveux
cérébro-spinal, et dont l'étude complétant un t
des produits toxiques sécrétés parla néoformation sur les éléments
nerveux
. Militent en faveur de cette hypothèse certains
es. il. C. XXIV. Des rapports entre le contenu mental et l'activité
nerveuse
; parE.-B. DELABARnE. (The American Journal of
que pour les autres. Ils correspondent tou- jours à des phénomènes
nerveux
concomitants. Il y a parallé- lisme psycho-phys
il paraît évident qu'elles ne peuvent être autres que des cellules
nerveuses
. - Les auteurs comptent, en continuant leurs re
trophie que secondairement, soit par lésions des parties du système
nerveux
central en rapport avec les cellules de Pur- ki
Capobianco et Fra- gnito ont montré que le cylindraxe des cellules
nerveuses
a une origine pluricellulaire, surgissent plusi
rti d'une série de cellules, entre t-il en rapport avec une cellule
nerveuse
? Se fond-il, à quelque distance de la cel- lul
trangers à la cellule, qui, en qualité de bouts centraux des fibres
nerveuses
, n'arrivent à la cellule que plus tard pour con
Quels sont les éléments constitutifs du protoplasma des cellules
nerveuses
? Quelle est l'origine, quelles sont les étapes d
ue, et d'un léger réseau, est alors devenu le noyau d'une cel- lule
nerveuse
; les noyaux secondaires ont fourni des parties d
et d'un pro- chain travail avec planches. En tout cas, la cellule
nerveuse
a, comme la fibre, une origine pluricellulaire,
llules qui concourent à la formation du pro- toplasma de la cellule
nerveuse
. P. IIEIIAVAL. XXVII. Aperçu général sur les fo
iversaire de l'inauguration de la clinique des maladies mentales et
nerveuses
de Saint-Pétersbourg. La péroraison en forme en
s cellules cartilagineuses du cartilage d'encroûtement. Les centres
nerveux
sont intacts. . M. Marie. - Il ne s'agit évidem
trait aisément trois doigts, un drain est placé en pleine substance
nerveuse
. Au dixième jour, toute parai) sie,l toute anes-
ième, i neo ns cience, fébrile, fut marquée par un état de cachexie
nerveuse
. Une seule ponction rachidienne fut faite et do
untigton et les autres affections diffuses dégénératives du système
nerveux
(paralysie générale et démence sénile). - . D
ns sont artificielles. Dans d'autres affections diffuses du système
nerveux
, on ne trouve pas non plus de lésions spécifiqu
00. i° Discours de L.-S. Minor. - Les progrès de la thérapeutique
nerveuse
à la fin du XIXe siècle et ses problèmes essentie
ICHOFF.rpCt)'<t< ! 0' ! de coupes microscopiques du sys- tème
nerveux
d'après le procédé du Dr Stépanoff. Le nouveau
océdé du Dr STEPANOFF. M. SOLOVTZOV. Sur les altérations du système
nerveux
central dans le spizà bifide ! (hydrocéphalie d
aux injections de sérum dans le traitement des maladies mentales et
nerveuses
que j'ai fait appliquer dans mon service et qui
ion du Dr Toulouse.) Archives, 21 série, t. XIII. 12 178 CLINIQUE
NERVEUSE
. phal dans son mémoire sur les obsessions, en '
ougit-on ? (Revue des Deux Mondes, 1" octobre 1893.) 480 CLINIQUE
NERVEUSE
. été communiqué au Congrès français des aliénis
. Bechterew. Rougeur de la face comme forme particulière de trouble
nerveux
. (Obozrenie psichiatrii il nevrologii, ils96, n°
er. Le tableau clinique de la prétendue Erythrophobie. 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. Au surplus, après nous avoir contesté notre pr
t article critique ', reproduit dans son bel ouvrage sur le système
nerveux
cen- tral2, où il fait le procès de la théorie
co-psychologiques, septembre-octobre 1897.) 2 3 Soury. Le système
nerveux
central, structure eG fondions, p. 1329. (Paris
Aliénistes et Neurologistes, Limoges, août 1901.) - 184 CLINIQUE
NERVEUSE
. Nous avions, dans notre mémoire, émis le regre
* Hartenberg. Les timides et la timidité. Chap. Il. 186 CLINIQUE
NERVEUSE
. Mais cela ne prouve pas que l'Ereuthophobie so
élire émotif », c'est-à-dire des obsessions, une névrose du système
nerveux
ganglionnaire, et que cette opinion paraissait
ue nous n'hésitons pas à les reproduire intégralement. 188 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' alors que la facilité de rougir, sans préocc
né à être toujours malheureux par cette maladie, s'em- 190 CLINIQUE
NERVEUSE
. parent de vous, et la crise se résout en larme
lé comme par l'abord d'un homme supérieur. Et pour- '192 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. tant, si je veux accoster une femme, il me fau
arthritique (mon père); une asthmatique (la soeur de mon père); une
nerveuse
(ma mère) [troubles gastriques, migraines]. Ma gr
tre le plus souvent sont précisément ceux des grandes perturbations
nerveuses
. Remarquons aussi que sauf de trente à quarante
t ou conduire à un psychose secondaire ordinaire. Prédispo- sitions
nerveuses
fréquentes. A. M. VIII. Confusion mentale; par
ue est ainsi : faire dans les premières années de la vie un système
nerveux
fort; soigner la maladie dès le début, puisqu'i
philis cérébrale, assez en détail ; puis, plus brièvement : fatigue
nerveuse
profonde des travailleurs de la pensée, manie a
crâne, dure-mère, etc. ; 2° la patho- logie spéciale de la cellule
nerveuse
, avec l'étude de tous les modes de dégénérescen
es années et jusqu'à son adolescence; 3° lui interdir tout excitant
nerveux
: thé, café, vin, bière, tabac; 4° le protéger de
chaises un peu partout pour donner de la vie. Soignons le système
nerveux
en général par les organes végéta- tifs et la n
tonnant qu'une grossesse apporte aux femmes des troubles du système
nerveux
: gêne physique, gêne mondaine, souvenir de ses
iennent folles par gros- sesse le font par l'effort de leur système
nerveux
dans l'acte de la parturition et non par des in
rieure. Contagion n'est pas juste seulement de maladies mentales ou
nerveuses
d'ori- gine microbienne. Ce terme peut s'appliq
ci encore, prédisposition, constitution dégénéra- tive des éléments
nerveux
, est à invoquer. La névralgie trouvera encore u
Observation : femme de trente-deux ans, après insomnies et fatigues
nerveuses
, entend le sermon sur la Montagne : elle a peu
rois observations de ce genre. ' Observation 1. Un paysan maigre et
nerveux
, de trente ans environ, se plaint que, pendant
il ne tarda pas à montrer une combativité sans frein. Les troubles
nerveux
(migraines, etc.) dont il eut à souffrir, ne fu
e par Brandt, Edinger, Guérin, Deplanque pour lesquels le système
nerveux
central de l'embryon est responsable de l'arrêt d
olées aux psammomes. Dans cette lamelle persistaient quelques tubes
nerveux
, altérés d'ailleurs, n'appartenant plus à aucun t
nant plus à aucun type et ne permettant plus le passage de l'influx
nerveux
. Le début avait été assez rapide, mais la march
Cette affection se présente indépendamment de tous autres symptômes
nerveux
et ne relève ni du tabes, ni des lésions osseus
e. M. LE MENANT des CHESNUS rapporte deux cas de fausse grossesse
nerveuse
dans lesquels l'illusion a duré jusqu'à la fin du
il y a huit ans à cette même société avec le diagnostic de troubles
nerveux
relevant du pes planus. La maladie a débuté à l
ques et les laboratoires psychiatriques par les études des maladies
nerveuses
ou men- tales occupent une place importante dan
; par BrADLEs. Trois cas différents de lésions multiples du système
nerveux
cen- tral; par TREDYOLI. Ces trois cas, qui n'o
ijon, m-8° de 88 pages. Dijon 1901. JA13OULY. Chirurgie des centres
nerveux
, des viscères et des membres, t. I, in-8° de 40
. La mélancolie. Paris,' casson, 1897, et surtout J. Soury. Système
nerveux
central. Paris. Carré et Naud, 18J9,-t. If, p.
d, quant au -ton affectif, avec la cause qui a déchaîné l'avalanche
nerveuse
i. » ' J. Soury. Le système nerveux central. Pa
e qui a déchaîné l'avalanche nerveuse i. » ' J. Soury. Le système
nerveux
central. Paris, Carré et Naud, 1899, 11, p. 133
grand' mère et grand' - tante paternels suicidés. Tante paternelle
nerveuse
, morte phtisique. Mère, convulsions de l'enfa
suicidée à la suite de chagrins intimes. -'l'ante pater- nelle très
nerveuse
, morte phtisique à trente-neuf ans, ses enfants '
rte phtisique à trente-neuf ans, ses enfants ' sont malingres, très
nerveux
, surtout l'aîné, qui a eu des con- vulsions.
actuels, mais encore. après la disparition de ceux-ci, la diathèse
nerveuse
, et mettre le malade ' dans de meilleures condi
ique dans la neurasthénie et l'auto -intoxication dans les maladies
nerveuses
; par Savan- pearce. (The amel'lCan journal of 1
conserve et trop concentrées. Ni alcool, ni tabac, ni aucun poison
nerveux
. On surveille la suralimentation éventuelle. On
VUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' 301 VII. Traitement moral dans les maladies
nerveuses
et mentales; par Richard DEWEY. (The American J
comme en haut, son image microscopique est identique : les libres
nerveuses
fines, peu ou pas colorées par la méthode de colo
ophiques auxquelles sont soumises les portions éloignées des fibres
nerveuses
, par suite plus aisément accessibles aux altéra
H. SALOMONSOuN. (Ibid.) , M. Adamkiewicz décrit comme un trouble
nerveux
indépendant, entoptique, le complexus suivant,
cipite incorrectement sa diction. Pour peu qu'il soit un prédisposé
nerveux
, un héréditaire, qu'il ait subi une infection, un
ion d'acide carbonique. La mort peut aussi être due à un épuisement
nerveux
, à un arrêt de fonctionnement d'origine central
le est la primitive. l'our M. Solfier c'est l'inhibition du système
nerveux
qui doit être incriminée tout d'abord. C'est el
gies fut autopsié sans qu'on put observer aucune lésion des centres
nerveux
. Corps granuleux dans le Tubes. MM. Marie et
service de \l. Eb il Heidelberg, 400 malades atteints d'affections
nerveuses
diverses, a confirmé pleinement mon opinion ; l
re bilatéial, des troubles trophiques du pied et quelques symptômes
nerveux
vagues. Aucun de ces malades n'avoue la syphili
à la société du tome l de son ouvrage intitulé Chirurgie du système
nerveux
. - Ispilepsie jacksonienne opérée. M. 1 aDLr
r SOCIÉTÉS SAVANTES. 337 7 du côté gauche Hypertrophie des troncs
nerveux
des extrémités, plus prononcée du côté gauche.
cinquante-huit ans, aux antécédents héréditaires tuberculeux, très
nerveuse
et sujette depuis l'àge de vint-cinq ans à des
tions syphilitiques très accusées : gommes isolées dans'les racines
nerveuses
, infiltration généralisée des méninges, péri- et
ullaire également. Altérations parenchymateuses diffuses des fibres
nerveuses
, oedème de la névroglie. Dans la région dorsale
du système ner- veux centra), des lésions anatomiques des éléments
nerveux
et épendymaires, de même que des lésions des mé
onratoff, peuvent se rencontrer dans d'autres affections du système
nerveux
et, par conséquent, ne peuvent nullement servir
décrites par M. Mou- raton', dans différentes affections du système
nerveux
. .AI. Butzke fait remarquer que la paralysie gé
tous ceux qui se sont occupés des maladies chroniques du système
nerveux
des enfants, aboutissant aux idioties. Nous le si
902. Vol. XIII. Mai 1902. N° 77 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. Note sur un cas d'hystéro-épilepsie à crises d
utes les semaines Archives, 2- série, t. XIII. 23 3 3tVt CLINIQUE
NERVEUSE
. quelques gouttes de sang ; 'elle n'y fit d'abo
; elle se trouve très bien de ce changement de régime. 356 CLINIQUE
NERVEUSE
. Son poids, qui était encore de 65 kg. il y a d
a malade a eu des selles abondantes après son lavement 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. et se sent beaucoup mieux aujourd'hui. Le mati
ant pendant quelques secondes d'un air hagard derrière 360 CLINIQUE
NERVEUSE
. ... 5 elle (comme lors de l'attaque du 5 jan
à crises distinctes : Cliarcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. 1, t3, leçon, et Leçons du Mardi à la Salpê
la Salpêtrière, t. I, 22' leçon, et t. II, IS' leçon. 362 CLINIQUE
NERVEUSE
. constater alors une ovarie bien caractérisée,
donc de chercher l'explication de ces derniers dans les affections
nerveuses
dont souffrait la malade. Dans l'épilepsie, l
xceptionnellement, l'accès hystérique soit aussi suivi 364 CLINIQUE
NERVEUSE
. continu, soit le type intermittent, ou bien, c
par « un ensemble de troubles fontionnels ou dynamiques du système
nerveux
3 », dont nous ne connaissons pas encore les li
ulsions toniques. (Cf. Cliarcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, 136 leçon.) - 1 La principale objectio
trouble apporté par la né- vrose dans le fonctionnement du système
nerveux
. RECUEIL DE FAITS. Une observation d'hémiméli
ne que pour faire un bon pronostic dans les 374 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. paralysies faciales périphériques, il faut fai
it, légère, et l'autre du côté gauche, grave. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LVII. Étiologie de certaines paralysies radial
nt de vue auriculaire chez la mère et la fille. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 373 On est donc en droit de se demander si le
qu'on peut aussi observer. A côté de l'at- 376 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. teinte grave du labyrinthe, M. Lannois raye de
spirée par Destol, sur les altérations osseuses dans les affections
nerveuses
, l'auteur concluait que l'hypertrophie osseuse
uait que l'hypertrophie osseuse ne se trouvait que dans les lésions
nerveuses
périphériques. Dans trois cas, MM. Lannois et F
nos élèves, M. Leblais. Paris, )89 : ! (IL). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 37 7 totalement'de côté en le mettant en état
vidente du premier radial externe. Il n'est 378 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pas du tout nécessaire que la main vienne en f
tion et en pronation, exécute généralement tous REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3Í9 les mouvements possibles, sans autre incon
on est en général plutôt diffuse que limitée à certains territoires
nerveux
, souvent symétrique (voir les figures). L'anest
sens du calorique et du froid sont séparés. 380 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Dans les cas d'empoisonnement intense, on a no
ritiques, parce qu'ils sont souvent cantonnés à certaines provinces
nerveuses
. Peut-être la sensibilité à la pression pourrai
la sclérose s'est d'abord attaquée au cervelet, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 381 I et qu'elle ne s'est étendue que plus tar
scendants. Or, depuis il a observé trois 38 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' cas dans lesquels, sans aucun doute la syphi
dividus atteints de douleurs et d'hyperesthésie REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 383 montre qu'il existe des symptômes d'excita
action vaso-mo- trice). Oppenheim, dans son Lehnbuch des maladies
nerveuses
, Berlin, 1898, s'exprime ainsi : « Il m'est arr
ce, dans la démence profonde. La répétition 384 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. stupide indique la perte du jugement, la perte
n n'a trouvé que 3 chez lesquels le réflexe ait REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
385 été plus fort obstinément d'un côté, sans a
sent qu'au AHCmvrs, 2' série, t. XIII. 23 386 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. début d'une proposition ou d'un mot important,
an ; bégaiement du piano (Gutzmann), bégaiement REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 387 de la marche (Piper, Bruns) ; bégaiement g
i la transmission héréditaire d'affections accidentelles du système
nerveux
est possible, les troubles nerveux des descenda
ections accidentelles du système nerveux est possible, les troubles
nerveux
des descendants peuvent être autres que ceux de
u excise le nerf, voire qu'on le maltraite. 388 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Pourquoi cet insuccès progressif ? On l'ignore
ent se transmettre à la descendance, ou. dans le domaine du système
nerveux
, établir une prédisposition hérédi- taire. P. K
s transformations morphologiques des éléments visibles du sys- tème
nerveux
. Nous attendons ses preuves. Mais nous sommes m
prétention d'être le substratum matériel d'un trouble psychique et
nerveux
fonc- i tionnel. P. KERAVAL. LXXVIII. Automat
eux d'aisan- ces, etc. : c'était automatique. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3St) L'évolution est curieuse. Jusqu'au il mar
I. - Encéphalite postinfluenzique, chez une 390 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1 femme de cinquante-quatre ans. Elle a débuté
une autre, plus petite, plate, au delà du bord REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. z : );1 interne de l'omoplate, immédiatement a
que tous ces malades sont entachés de dégénérescence, d'ano- malies
nerveuses
et mentales datant de leur jeunesse, de prédis-
l'aplomb. Mais il faut auparavant se fami- 392 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. liariser avec les phénomènes hypnotiques, avec
u tartre stibié préconisé par Bergeron. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 393 LXXXVII. Syphilis du système nerveux; par
C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 393 LXXXVII. Syphilis du système
nerveux
; par B. ONU ! ' (Onuf¡'owicz) (The New-York Méd
ombien il est fréquent de voir la sypliilis retentir sur le système
nerveux
, et aussi combien il est difficile de recueillir
des. données qui permettent de diagnostiquer la syphilis du système
nerveux
indé- pendamment des commémoratifs. Signes di
uteur recherche ensuite quelle est la marche générale des symptômes
nerveux
de la syphilis. La dénomination de symp- tômes
et tertiaires est parfaitement applicable à la syphilis du système
nerveux
. On.appelle en outre métasyphilitiques certaine
ec des périodes comparati- vement silencieuses : les manifestations
nerveuses
de la maladie n'échappent pas à cette marche al
pas ainsi de tous les symptômes ni de tous 394 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. les cas, mais il ne faut pas oublier que les l
sclérose multiple : 4° Hémiplégie : forme fréquente de la syphilis
nerveuse
, souvent très accessible au traitement ; Î5° Lé
ts qu'il lui a été donné d'observer. R. M.-C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 395 LXXXIX. Paramyoclonus multiple; par L.-J.
tives au traitement. R. de Musgrave-Clay. 396 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XC. L'influence du climat sur les maladies ner
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XC. L'influence du climat sur les maladies
nerveuses
considérée au point de vue physiologique; par F
ne influence qui paraît s'exercer par action réflexe sur le système
nerveux
périphérique en augmentant l'excitabilité des f
n trop grande des processus métaboliques et par REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 397 I conséquent un surmenage du système nerve
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 397 I conséquent un surmenage du système
nerveux
central : cette manière de voir est confirmée p
de grandes alti- tudes, de palpitations cardiaques chez des sujets
nerveux
ou nor- maux, palpitations qui sont évidemment
ndre au niveau de la mer. Dans les affections organiques du système
nerveux
, il est évident que les conditions climatologiq
oit être preféré. En résumé, l'influence du climat sur les maladies
nerveuses
est une question ouverte. Ce sont les troubles
dications climatologiques essentielles dans les maladies du système
nerveux
, à la condition de mesurer ces influences et de
pareil effort. , Il. DE jIICSGRAVE-CLAY. 398 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XCI. Ataxie spinale aiguë (non tabétique), ses
, mais sans perte bien nette de la sensation de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 399 douleur ou de température. Les réflexes du
e névritique, est le résultat d'une névrite 400 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. multiple des nerfs de la sensibilité : on la r
e et sénile. Il subdivise les causes toxiques - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 401 exogènes en poisons métalliques et non mét
opathiques sont en réalité indépendantes ou non de toute altération
nerveuse
, organique ou fonctionnelle. Un malade présenté
e muscu-' Archives, 21 série, t. XIII. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lairene parait avoir une valeur absolument dém
e les résultats discordants des autopsies, la fréquence des lésions
nerveuses
et l'identité des . lésions musculaires avec ce
sculaires avec celles de certaines affections organiques du système
nerveux
, le nombre croissant enfin des cas mixtes et de
ire aigu il vingt-deux ans. Pas d'hérédité fâcheuse. Grande émotion
nerveuse
il y a deux ou trois ans (mort subite de son père
l y a deux ou trois ans (mort subite de son père); avait été rendue
nerveuse
préalablement par la rupture d'un ma- riage trè
gnes de démarcation entre les zones de sensibi- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 403 lité et d'insensibilité sont nettes et tra
OGIE. Séance du n" avril 1902. Présidence DE M. Gomiuult. Centres
nerveux
d' épileptiques. , M. Angude a observé avec les
observé avec les plus récents procédés de colora- tion les centres
nerveux
de nombreux épileptiques dans des cas de mal co
des états liés à des tumeur;, cérébrales. Il a trouvé les cellules
nerveuses
et particu- lièrementles cellules pyramidales i
eints de lésions bulbaires, dont l'un a succombé et dont le système
nerveux
a pu être examiné d'une manière très complète,
IarlVESao.-I;n étudiant les modifications structurales des cellules
nerveuses
radiculaires après la rupture des nerfs périphé-
XIV. De la mort subite dans les affections organiques des centres
nerveux
. Le traumatisme léger cause déterminante de la mo
ir passé en revue les différentes affections organiques des centres
nerveux
où la mort subite se rencontre (paralysie BIBLI
mortels de la chorée vulgaire des lésions inflammatoires du système
nerveux
: exsudations inters- titielles et périvasculai
ges. Paris 1901, C. Naud, éditeur. JABOUL IY. Chirurgie des centres
nerveux
des viscères et des membres, t. 11., ni-8° de 5
2. Vol. XIII. Juin 1902. N° 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES. - PROFESSEUR
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES MALADIES
NERVEUSES
. - PROFESSEUR RAYMOND. Sur trois cas d'hémianop
e est dite homonyme, Archives, 2' série, t. XIII. 28 434 CLINIQUE
NERVEUSE
. quand elle porte sur les deux moitiés droites
simple, unilatérale, limitée à Fig. 20. Fi[J. 21. 436 CLINIQUE
NERVEUSE
. un seul côté, à l'hémianopsie bilatérale, qu'o
e de trois, en l'espace d'une l'année. Dans ces condi- 438 CLINIQUE
NERVEUSE
. tions, nous avons soumis la malade à la médica
ible d'éveiller le soupçon d'une paralysie 1'ig. 23. 440 CLINIQUE
NERVEUSE
. générale commençante. Elle n'a pas, notamment,
t on observe, en tant que manifestations de la syphilis des centres
nerveux
, des attaques de grand mal, caractérisées par d
ations réparables des éléments paren- chymateux, cellules et fibres
nerveuses
, dans le territoire privé transitoirement de so
accidents épileptiformes, diminution de l'intel- 442 '1) . CLINIQUE
NERVEUSE
. ligence et de la mémoire - ne nous fournissent
is encore, elle n'a eu ni convulsions, ni paralysie. 444 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le lendemain, C... était rétablie et en état d
à cela près que, dans les mouvements de laté- Fig. 24. f CLINIQUE
NERVEUSE
. ralité, les globes oculaires étaient agités pa
nt en faveur de ce siège unilatéral du processus mor-, 448 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' bide, à savoir : l'hémiparésie droite et l'a
lbaires que les spinaux, prennent naissance en dehors des centres
nerveux
. Ainsi, le nerf optique prend naissance dans la c
he la plus interne de la rétine, dans la couche dite des cel- lules
nerveuses
. Les prolongements longs, qui partent de ces ce
nal inferieur. Cal, scissure calcarine. - Cu, cuneus. 450 CLINIQUE
NERVEUSE
. les fibres nerveuses qui tirent leur origine d
issure calcarine. - Cu, cuneus. 450 CLINIQUE NERVEUSE. les fibres
nerveuses
qui tirent leur origine du segment tem- poral d
rme d'arborisations terminales. Celles-ci enlaceraient les cellules
nerveuses
de ces mêmes amas gris, desquelles par- tent d'
périphériques, leur origine est dans la rétine (couche des cellules
nerveuses
), et leur aboutissement dans les amas gris cent
ire de la rétine. Le neurone central ne serait autre que la cellule
nerveuse
de la couche ganglionnaire, rétinienne et son p
nne et son prolongement long, qui forme le cylin- draxe de la fibre
nerveuse
constituante du nerf optique. Au delà des bande
delà des bandelettes optiques, les prolongements longs des cellules
nerveuses
de la rétine formeraient deux faisceaux distinc
s fibres de cette seconde catégorie concourraient donc 452 CLINIQUE
nerveuse
. à la perception des impressions visuelles venu
ements de diamètre des pupilles. Eu d'au- tres termes, les cellules
nerveuses
contenues dans les amas gris centraux n'émettra
e vue, on ne peut t plus tranchées. Il est entendu que les fibres
nerveuses
,' dont se composent SUR TROIS cas d'hémianopsie
sceau longitudinal inférieur. Cal, scissure calcarine. 454 CLINIQUE
NERVEUSE
. .postérieur de la couche optique, de faisceau
e serait parce que le territoire de l'écorce, qui reçoit les fibres
nerveuses
issues de la région de la tache jaune, est 456
s nerveuses issues de la région de la tache jaune, est 456 clinique
nerveuse
. alimenté à la fois par deux artères distinctes
endant d'une lésion de même siège, vous trouverez men- 458 CLINIQUE
NERVEUSE
. tionnés dans les ouvrages qui traitent du diag
nous ont été fournis par sa soeur. Il n'y a jamais eu de maladie
nerveuse
ou mentale dans la famille. L... est marié, pèr
on de la vision centrale (ftg. 27). Elle existe pour 460 . CLINIQUE
NERVEUSE
. ` toutes les couleurs. La réaction pupillaire
d l'aphasie est liée à la cécité verbale. Fig. 27. 462 CLINIQUE
NERVEUSE
. Indépendamment de l'aphémie, on peut mettre en
n, l'hémiplégie droite, survenue à la suite d'un 464 -11 . CLINIQUE
NERVEUSE
. . ictus apoplectique, est l'indice d'une bru
présentés en premier Archives, 2' série, t. XIII. 30 466 CLINIQUE
NERVEUSE
. lieu. Or, comme l'a fait justement remarquer v
zone de distribution de l'artère cérébrale moyenne. 468 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'hémianopsie, lorsque la lésion, dont elle dé
lle produira une hémianopsie unilatérale, à savoir : 470 CLINIQUE
NERVEUSE
. Une hémianopsie temporale' du côté opposé, si
nal inférieur. - Cal, scissure calcarine. Cu, cuneus. 472 CLINIQUE
NERVEUSE
. port avec des lésions de l'hémisphère gauche,
pille du nerf optique, le tissu connectif inter- calé aux fibrilles
nerveuses
se détache sous la forme de petites raies et ta
multiplication du tissu conjonctif ainsi que l'atrophie des fibres
nerveuses
périphériques. C'est pourquoi, au début, les pa
tro-oculaire du nerf (canal optique) : la dégénérescence des fibres
nerveuses
, qui se manifeste à l'état de pâleur de la papi
d'auteurs la considèrent comme une sénescence présénile du système
nerveux
central. Hedlich, Koller, Kettscher, Saas et Da
épaississement de la névroglie et diminution du nombre des fibres
nerveuses
: autour des vaisseaux, dont les parois étaient f
Les éléments de la tare héréditaire sont : les maladies mentales et
nerveuses
, une anomalie du caractère, des accidents paralyt
ons insalubres sur la production des maladies chroniques du système
nerveux
; et plus que tout autre M. Bourneville s'est ef
ofessions insalubres sur la morbidité et la production des maladies
nerveuses
des enfants. A noter une étude fort intéressant
forme un véritable compendium des ma/¡¡- dies chroniques du système
nerveux
chez les enfants. Les médecins praticiens y tro
classes spéciales. G. Carrier. XXV. La névrose d'angoisse. Troubles
nerveux
d'origine sexuelle ; par le Dr Albert 1)1.\NUD.
s qui feront l'objet de rapports sont les suivantes : 1° Pathologie
nerveuse
: Les tics en général. Rapporteur : M. NoGuLs (
E dans la neurasthénie et l'auto-intoxication dans les ma- ladies
nerveuses
, par Savan- I'earce, 296. .lrnovÉC,m.xe, giga
C,m.xe, gigantisme et diabète, par Achard et Loeper, 48. Activité
nerveuse
Rapports entre le contenu mental et l' -, par
et l' -, par Delabaire, 116. Affections organiques des CENTIMES
nerveux
. De la mort subite dans les -, par Vieille, .21
aluha, 516. Crampe. La - des écrivains et des autres affections
nerveuses
pro- fesslonnelles, par D SavllI, 73. Crime.
athogénie et traitement de il -, par 11 : ralnsky, 346. Cen- tres
nerveux
d'épileptiques, par Anglade, 418. Recherches cl
eure de la moelle, par A. Schmidt, 247. Glycosurie et albuminurie
nerveuses
, par J. Roux, 86. Goitre. Voir Hystérie. GO
ramyoclonus multiples, par Mar- ton, 395. PAHALÉSIE. Voir Système
nerveux
. Parole. Trouble et développement de la -. pa
et les idées délirantes, par Katzowski, 232. Salivation d'origine
nerveuse
, par Bechterew, 138. Sang. Numération des glo
érum. Injections de-dans le trai- tement des maladies mentales et
nerveuses
, par A. Marie, 16ï. Société DE rEU170LCGIE, 51
Splénium. Lésion du -, par Marie, 334. Spina mrln.t.Voir Système
nerveux
. SPO\D1LOSE I\IZmIÉLIQùE, par Dana, 5'r. ..
enfants atteints de héréditaire, par Gumpertz, 390. - du système
nerveux
, par Onuf, 393. Syringomyélie. Voir Crises ga
l'extension et de son application dans le traitement des maladies
nerveuses
, par P. Koumdjy. 18. Thomsen. De l'élongation
OGIE ARCHIVES DE Il NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondiïiï par J.-M. CHARCOT PUH
). F. RAYMOND Pi ofesseur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
devait servir à d'autres expériences, il ' Jules Soury. Le Système
nerveux
central, structure et fonctions, etc. Paris, G.
a longtemps existé, dans la physiologie et la pathologie du système
nerveux
central, une opinion tout à fait erronée si, pa
er, du moins au sens étroit du mot, une maladie générale du système
nerveux
; mais ce n'est pas non plus une affection uniqu
. 2° édit., 1892, p. 29, 81, 11r, 155, 166, etc. et 400. Le Système
nerveux
central, t. II, 962-3. ' Obersteiner. Die Patho
la moelle épinière des tabétiques concernent simplement les fibres
nerveuses
qui se distribuent à la substance grise (cornes
e départ de l'affection, voici les différentes par- ties du système
nerveux
qu'énumère Obersteiner, et dont la lésion pourr
éreraient du fait d'un processus de prolifération parti de la gaine
nerveuses
; p) en traversant la pie-mère et la couche extern
ue le réflexe patellaire existe, il est de nécessité que le courant
nerveux
, apporté par les racines postérieures, arrive à
s que l'exacte coordination des mouvements dépend aussi de courants
nerveux
centripètes, inconscients, de nature surtout ré
eveux. Il en résulte que si une partie consi- dérable des processus
nerveux
réflexes qui sont élaborés dans la moelle épini
ions statiques. Le cervelet reçoit de différents côtés les courants
nerveux
qui l'incitent à l'accom- plissement de cette f
de Clarke s'accorde avec le mode de connexion qu'affecte ce centre
nerveux
dans la moelle épinière, en particulier avec les
tilité des extrémités inférieures. La lésion destructive des fibres
nerveuses
dont il s'agit peut bien, jusqu'à un certain de
nsibilité cutanée est moins affectée dans les affections du système
nerveux
que la motilité. Ainsi la section des nerfs mix
ions), tandis que les lésions du segment périphérique de cette voie
nerveuse
, et surtout des racines postérieures, provoquent
adiculaires, malades au début, si bien qu'il ne reste plus de voies
nerveuses
pour les sensations de douleur. Il n'existe poi
tions intenses, répétées, ou très fréquentes, chargent les cellules
nerveuses
autour desquelles s'arborisent les fibres radic
ou peu frayées, cette sommation des excitations dans les cellules
nerveuses
de la substance grise que nous percevons comme se
leur destruction ne saurait être compensée au moyen d'autres voies
nerveuses
accessoires : voilà sans doute pourquoi l'ataxi
rologique, 1698, p. 751. Archives, 2° série, t. XI. 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. Épilepsie et fièvre typhoïde. (Deux épilepti
il représente l'aura vaso- 1 Séglas. Th. Paris, 1881. 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. motrice et l'éclosion d'une crise convulsive d
depuis quelques jours de petites épistaxis, de la diar- 24 CLINIQUE
NERVEUSE
. rhée, une langue grillée, la température à 40°
P. C. C., potion cordiale avec 0,50 de caféiiie ? e % . 26 CLINIQUE
NERVEUSE
. 1 premier, il s'est même esquissé une détente
années dans la connaissance anatomique et physiologique du système
nerveux
, progrès dus, en grande partie, aux recherches
rer chaque malade comme atteint d'une maladie déterminée du système
nerveux
central, et à se familiariser avec les méthodes
rarement observés), qu'il soi- gne des sujets atteints de maladies
nerveuses
, car la psychiatrie n'est qu'un chapitre delà p
car la psychiatrie n'est qu'un chapitre delà pathologie du système
nerveux
. Le professeur Kraepelin se base sur les exigen
à l'enseignement de la psychiatrie, mais aussi à celui des maladies
nerveuses
. Un cer- tain nombre de lits (20 ou 25) et la p
gories bien dictinctes de malades : les aliénés, internés, et les «
nerveux
», malades libres. Nous ne voyons que des avant
que toutes les cliniques admettent, en outre des aliénés,- et des «
nerveux
» du régime commun, des pensionnaires de lro et
urasthéniques, celui de la paralysie agitante, et d'autres maladies
nerveuses
. Son appareil lui permet aussi de faire une étu
ces. Il possède aussi la plupart des types des maladies mentales et
nerveuses
et sa collection s'en- richit tous les jours, d
ence, juillet 1897.) ' L'auteur définit l'habitude : « Une action
nerveuse
volontaire qui, par une répétition constante, e
te, est devenue automatique. » 11 n'est pas nécessaire que l'action
nerveuse
soit originaire de l'indi- vidu chez lequel l'h
tre héritée sous sa forme automatique ou habituelle. Toute action
nerveuse
, dit M. Kesteven, est constituée par une pertur
even, est constituée par une perturbation moléculaire dans le tissu
nerveux
: qu'on appelle cette perturbation du nom de vi
s est-il qu'elle a pour résultat de rendre les molé- cules du tissu
nerveux
plus aptes à répéter leur mouvement dans la mêm
manière qu'ont pris naissance les actions automatiques des centres
nerveux
sympathiques et cérébro-spinaux. A un moment de
'ivrognerie, qui ne peut naître chez un individu que par une action
nerveuse
physiologique héritée ou excitée chez le sujet
sisté à la tendance héréditaire, ne présente aucun signe de maladie
nerveuse
. Dans chaque région mentale, on peut observer d
abandonne ; d'autres voient leur existence favorisée par des états
nerveux
, qui sont physiplogi- quement normaux, ou par d
ats nerveux, qui sont physiplogi- quement normaux, ou par des états
nerveux
hérités qui ne sau- raient à aucun point de vue
l'habitude mauvaise, et à ramener par cette cessation les molécules
nerveuses
à leurs rapports normaux ; l'application des lo
a doctrine de la localisation des fonctions dans un organe central (
nerveux
) est la base qui rend possible l'étude de la psy-
à des éléments spéciale- ment développés qui constituent le système
nerveux
(méduse, etc.); 5° Chez les vertébrés, on const
straux (acra- niens) une segmentation de l'organisme, et le système
nerveux
présente une structure en forme de chaîne ou de
titatif de la complexité de structure et de connexions des cellules
nerveuses
corticales. Il se forme ainsi des mécanismes su
d'éducation dans une certaine mesure ; 9° L'éducation du système
nerveux
commence après la nais- sance, alors que les in
a neuroglie avec atrophie correspondante- et destruction des fibres
nerveuses
, généralement autour des vaisseaux plus ou moins
souvent l'anémie pernicieuse évolue sans s'accompagner de symptômes
nerveux
bien marqués; les foyers de dégénérescence médu
s enveloppes. Sur la systématisation dans les affections du système
nerveux
et en particulier dans le tabès; par J. N.\f :
ta- tion de coupes histologiques.) La systématisation des lésions
nerveuses
peut se faire de plu- sieurs manières : tantôt
herchée dans des détails anatomiques sans rapport avec les éléments
nerveux
; tantôt enfin la forme delà systématisation est
e de Marchi permet de constater la superposition exacte des lésions
nerveuses
et interstitielle au niveau des nerfs radiculai
olifération névroglique intense altéra- tions polymorphes des tubes
nerveux
). Elle n'est nullement en rapport d'intensité a
toute la hauteur de la moelle, des lésions atrophiques des cellules
nerveuses
et en particulier des cellules radiculaires. La
tes, et qui se résument dans une atrophie primi- tive de la cellule
nerveuse
, aboutissant à sa disparition totale. Ce n'est
ent les seuls signes objectifs d'une affection organique du système
nerveux
. Si ces signes n'avaient pas été recherchés, le
ctions du côté des vaisseaux, du tissu interstitiel et des cellules
nerveuses
. Les deux premières constituent des processus a
x et à des nodules. Les phénomènes de réaction du côté des cellules
nerveuses
abou- tissent rapidement à leur dégénérescence.
irrigue directement, en suivant le procédé de Lamy ; 3° par la voie
nerveuse
(inoculation des microbes dans le nerf sciatiqu
3 plus ou moins grandes, suivant que la nécrose a frappe-le tissu
nerveux
seul ou.en même temps le tissu conjonctif. io L
de la moelle est caractérisée par une altération primitive du tissu
nerveux
, sans congestion ni hyper- diapédèse, mais avec
les autres organes. Je crois que ce fait dépend de ce que. le tissu
nerveux
n'est pas, ainsi que l'ont prétendu quelques-uns,
trophiques médul- laires. La Cryoscopie des Urines de la Polyurie
nerveuse
; par Souques 'et BALT11AZARD (de Paris). Le p
Le point de congélation de l'urine des malades atteints de polyurie
nerveuse
peut être, contrairement à la règle, inférieur à
ur dépend de l'augmentation ou de la diminution de l'excitabilité
nerveuse
. P. KoUlNDJY. VARIA. LES aliénés EN liberté.
ises psychopathiques aiguës dans le fonctionnement de leurs centres
nerveux
. Nous voyons en effet Constant faire du délire
eurone les cellules des colonnes de Clarke et leurs prolonge- ments
nerveux
constituant le faisceau cérébelleux direct - a
affection cellulaire préexistante, car une lésion d'un prolongement
nerveux
doit résulter d'une altération de son centre d'
postérieures présentent la plus complète dégénération, les cellules
nerveuses
des ganglions spi- naux se montrent avec leur f
u'on doit porter sur l'état normal ou pathologique de la .cellule
nerveuse
, encore que des travaux récents de Goldscheider e
que la chromatolyse indique un trouble de la vitalité de l'élément
nerveux
. On doit donc, si ce phénomène fait défaut dans
voir être toujours mieux établi que, dans les troubles des cellules
nerveuses
résultant d'une dimi- nution de l'énergie vital
sensibles, écrit Schalfer, aux altérations primitives des cellules
nerveuses
: leur changement est plus accentué que le degr
centre trophique, ici tropllo-moleur, puisqu'il s'agit des cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la moelle '. Le prolo
es nerveuses des cornes antérieures de la moelle '. Le prolongement
nerveux
de ces cellules, la fibre radicu- laire du prot
cornes antérieures, celle d'une névrite dégénérative des fibrilles
nerveuses
intramus- culaires. Karl Schaffer ayant examiné
vec arthropathie typique du genou droit, trouva que si les cellules
nerveuses
de la moelle cervicale étaient complètement sai
les cellules des cornes antérieures d'une somme immense de stimuli
nerveux
. La vitalité des neurones radiculaires se trouve
ermettent d'affirmer l'existence d'altérations dans les gros troncs
nerveux
périphériques et dans les arborisations ultimes
peut être attribuée soit à des altérations anatomiques des cellules
nerveuses
des cornes antérieures, soit à une névrite des
dies ont surtout en commun, c'est l'atrophie primitive des éléments
nerveux
. Hoche ne saurait donc se ranger ni du côté de
ction de l'affection dans les régions les plus éloignées du système
nerveux
, qui ne contiennent aucun rapport de conti- Nag
e la production d'un poison dont l'action aurait agi sur le système
nerveux
d'une manière semblable à celle des toxines hyp
énérale, qu'elle n'épargne aucune province aucun élément du système
nerveux
, quoiqu'elle manifeste une sorte d'affinité éle
émonstration négative de Redlich. L'état des cellules et des fibres
nerveuses
du côté de la moelle épinière correspondant aux
lésions de dégénération comme dans le tabes. Le nombre des éléments
nerveux
atrophiés n'est pas ou n'est que peu diminué, e
DU TABES. 13L déterminent les dégénérations, de certains faisceaux
nerveux
, comme le fait le plomb, etc, On en est venu à
ent une affection de la moelle épinière,. mais peut-être du système
nerveux
tout entier (l3orglierini, Dark- scbewitz). .
me une toxine, doctrine que Marie reçu,3 de Strümpell, les cellules
nerveuses
des différents ganglions des nerfs rachidiens e
'acuité auditive, surdité, etc.). C'est seulement les longues voies
nerveuses
qui sont atteintes. Il résumait ainsi sa concep
sauraient différer de celles des autres nerfs et des autres centres
nerveux
, de celles en particulier des cel- .Iules nerve
es autres centres nerveux, de celles en particulier des cel- .Iules
nerveuses
des ganglions des nerfs crâniens, analogues aux
rachidiens. Klippel a décrit et reproduit les lésions des cellules
nerveuses
du ganglion d'Andersch qui se trouve sur le tra
ales, mais accusées, d'atrophie et de dégé- nérescence des éléments
nerveux
, surtout des tubes nerveux et des . capillaires
phie et de dégé- nérescence des éléments nerveux, surtout des tubes
nerveux
et des . capillaires ». Les branches afférentes
apparaît, quant à nous, comme une dégénération 'générale du système
nerveux
: on a dû abandonner l'opinion an- cienne-d'apr
is (sans durcissement) : contribution à la pathologie de la cellule
nerveuse
; par Joux . Turner. (1'leeJouraul 1 of Mental
vantage de montrer une richesse inusitée de détails dans la cellule
nerveuse
et dans ses prolonge- ments, et de nous faire v
s résultent proba- blement de l'actiou des toxines sur les cellules
nerveuses
. 11 est .digne de remarque que dans les 5 cas o
téressantes sur l'action phagocytique des leucocytes sur la cellule
nerveuse
, et .rappelle les travaux de Sir John Batty Tuk
es REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. t4d cellules
nerveuses
, il croit pouvoir soutenir que la régularité avec
m- pagné d'une planche. Il. DE MlJSGI1.AYE CLAY. IX. Hyperthermie
nerveuse
chez la femme ; par LEVEN. (Revue de médecine,
les menstruels. L'hyperthermie semble due à l'irritation du système
nerveux
utérin. M. II. X. Des névrites palustres; par S
massage et les couï. rants électriques. '. G. D. XIII. La cellule
nerveuse
du coeur du lapin, ses modifications sous' l'in
de rechercher : 1° si l'absence, de toute altération de la cellule
nerveuse
du coeur, au cours de fin : toxication par la d
euronophagie n'est pas indispensable à la disparition de la cellule
nerveuse
. Ils estiment que le rôle des leucocytes dans ce
s appartiennent plutôt au processus de réparation de la substance
nerveuse
détruite. Celle-ci, trop hautement différenciée,
ts morphologiques, permet de conclure à la dégénérescence du, tissu
nerveux
nécrosé par coagulation, à un nécrose diffuse d
oloration isolée de la névroglie et on empê- che celle des éléments
nerveux
, surtout des corps cellulaires. 11 faudra donc
e dans l'appréciation des résultats obtenus par l'examen du système
nerveux
, au moyen de la méthode de Golgi Ramon y Cajal,
es que dans les couches superficielles de l'écorce; 9° Les cellules
nerveuses
de l'écorce datent d'une époque où les éléments
reuses recher- ches expérimentales sur les altérations des cellules
nerveuses
consécutives soit à un traumatisme, soit il l'a
ier à nouveau le mode de formation de ces altérations de la cellule
nerveuse
et de ses prolongements en soumettant des souri
irifornies disparaissent en masse; les prolonge- ments des cellules
nerveuses
couverls de granulations sont suscep- tibles de
tions produites par des effets de causes physiques et par l'énergie
nerveuse
, particulièrement sous sa forme mentale. L'aute
ngite tuberculeuse généralisée, les lésions cellulaires des centres
nerveux
sous-jacents peuvent servir à expliquer les sym
te et incomplète. Comparées il des névrites traumatiques des troncs
nerveux
, les paralysies radiculaires du plexus brachial
plus rapide et plus intense que les lésions traumatiques des troncs
nerveux
eux-mêmes, ou bien la cau-e qui produit la dist
eux-mêmes, ou bien la cau-e qui produit la distension des libres
nerveuses
radiculaires étend son action jusqu'aux cellules
a même température, celle du creux de l'aisselle. Un autre symptôme
nerveux
présenté par les malades atteints de goitre exo
stérique se montre ordinairement à la suite de quelque perturbation
nerveuse
, telle qu'un choc émotionnel ou une attaque épi
la production de la contracture dans ces deux affections du système
nerveux
. Il est probable que dans l'hystérie toute la m
bserve dans l'hystérie et dans les affections organiques du système
nerveux
. Il y a plus de dix ans, que nous avons, Mul- l
série tout entière de troubles visuels dans les maladies du système
nerveux
en deux grandes catégories : 1) ceux dans lesqu
La tonicité de tout le système musculaire et de différents centres
nerveux
est sans doute tribu- taire de cette finalité f
on de la névrose (8 fois seule- ment sur il cas). < L'hérédité
nerveuse
remplit toujours le rôle étiologique prépon- dé
CIIRINE (de Moscou). Du Traitement de la Mobilisation en pathologie
nerveuse
, et plus par- ticulièrement de son action sur l
peine signalent-ils une certaine sensation d'oppression, de la toux
nerveuse
et l'asthme des foins. M. André a acquis, par d
à la trépidation épileptoïde a donc besoin de rencontrer un système
nerveux
prédisposé soit congéni- talement, soit du fait
te sur la structure du noyau et la division amilosique des cellules
nerveuses
du cobaye adulte. 1111. PrnRI.N, de la Touche e
es descriptions classiques les plus récentes, et que les cel- lules
nerveuses
complètement développées, même du type le plus
te cause pathologique se diviser par amitose. 1° Noyau des cellules
nerveuses
. Ce noyau présente dans un nucléoplasma incolor
s des éléments du nucléole. ' , 2° Division amitosique des cellules
nerveuses
. Le nucléole se divise suivant divers procédés
que phobies, obsessions, impulsions, etc. Dans ces cas, la cellule
nerveuse
, plus ou moins tarée, est ce qu'elle est et auc
1901. Vol. XI.- Mars 1901. Nu 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. Etude sur trois cas de maladie nerveuse famili
S DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Etude sur trois cas de maladie
nerveuse
familiale, mal définie, à allures de paraplégie
e 1 Hôpital ci% de Brest Le groupe familial des maladies du système
nerveux
tend à se développer tous les jours et la multi
frappés à la même époque et dans les mêmes conditions de symptômes
nerveux
transitoires à allures assez mal définies, nous
ar il nous sera pro- , Archives, 2° série, t. XI, 13 194 CLINIQUE
NERVEUSE
. bablement impossible d'avoir jamais sous les y
USE. bablement impossible d'avoir jamais sous les yeux le système
nerveux
de ces malades. En outre, il n'est pas invraisem-
s'est aperçu lui-môme, que son pied gauche'frappe le sol à MALADIE
NERVEUSE
FAMILIALE. - 195 chaque pas et que le bout de s
fait un an de service militaire au 103° de. ligne, à '19G CLINIQUE
NERVEUSE
. Alençon ; mais à son arrivée au corps, il a du
st conservée aux membres supérieurs, le malade oppose une , MALADIE
NERVEUSE
FAMILIALE. 1 Di vigoureuse résistance à tous le
sensoriels. Pas de nystagmus. Pupilles égales, réa- 193 , CLINIQUE
NERVEUSE
. gissant bien à la lumière et à l'accommodation
mois, bien portante. Il n'y a pas eu de fausses couches.- MALADIE
NERVEUSE
s FAMILULE. 199. La première attaque de paralys
avait une amélioration. générale dans les : symptômes. 200 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les réflexes étaient toujours exagérés, on ne
4S oct. 99. Fig. 7. Écriture du malade, le 20 oct. 99. MALADIE
NERVEUSE
FAMILIALE. 20 l mouvement, il éprouverait une d
, mais à l'examen il ne parait pas exister d'atrophie. 0 CLINIQUE
NERVEUSE
. Il existe quelques craquements dans les articu
y- tiques douloureux des membres- inférieurs. A ce début, MALADIE
NERVEUSE
FAMILIALE. 203 absolument identique, a succédé
près complètement indemne de toute tare' consécutive aux accidents
nerveux
de son adolescence ; tout' au plus constate-t-o
signe présenté en commun par les trois sujets est une 204 CLINIQUE
NERVEUSE
. légère exquisse de Romberg. Mais du reste aucu
açon satisfaisante ? - Il s'agit donc là, en somme, d'une maladie
nerveuse
essen- tiellement transitoire et à évolution tr
aboutir presque fatalement à la mort, soit du fait de leur lésion
nerveuse
, soit par une maladie intercurrente peut- être
Paris, 1898, p. 18 et sq.. ' ' Revue de Médecine, 183fui. MALADIE
NERVEUSE
FAMILIALE. zou ment successif des divers segmen
, 1880, p. ill). In thèse Lorrain, p. 62 et f05-lOG. 206 CLINIQUE
NERVEUSE
. et même. une altération légère des cellules de
variété toute particulière, remarquable par ce fait que les centres
nerveux
auraient été lésés au mini- mum,,que ces altéra
'agit là d'une pseudo-névralgie d'origine centrale sans. altération
nerveuse
périphérique. Dans tous nos examens, en effet,
us nous .trouvons en présence 1 Cités par Lorrain, p. 67. MALADIE
NERVEUSE
FAMILIALE. 207 d'une variété spéciale de parapl
c%., 1885, p. 489 et 509. 8 Revue de Médecine, 1887. 2C8 CLINIQUE
NERVEUSE
. enfants, étaient frappées de crises paralytiqu
La- malade de Cavaré, relatée dans le travail de Causot. était très
nerveuse
: quarante-huit heures après un accouche- ment,
quels il Deiilsche Zeitsch. sur Yei-veilheillc, 1892. , 1 MALADIE
NERVEUSE
FAMILIALE. 209 s'agit d'une paralysie spastique
ment d'un poison qui s'exerce sur les muscles et les terminaisons
nerveuses
. Cette conjecture trouve un certain appui dans la
hez' ces ' J. Donath. Wiener ut. «'ochensch., 1900, n- 2. MALADIE
NERVEUSE
FAMILIALE. 211 malades, il y a un arrêt de déve
praticiens auront des notions précises sur les maladies mentales et
nerveuses
, mais encore on verra, par ces mesures, dispara
gés d'un autre âge, des notions exactes sur les maladies du système
nerveux
et leur traitement, il convient en effet de faire
ent partisan de l'enseignement obligatoire des maladies mentales et
nerveuses
et réclame un examen portant spé- eialement sur
avec ses applications à la médecine légale) ; six cours de maladies
nerveuses
et éleclrolltét'apie par les professeurs ou pri
Le délire du collapsus. 1 1 ! . La confusion aiguë. C. L'épuisement
nerveux
chronique. i. 111. Lrs j ? ro-,icii ions : 1° L
plus en plus les cliniques psychiatriques en cliniques des maladies
nerveuses
... Sans un choix de malades qui embrasse le dom
éal de Griesinger, et possède une clinique des maladies mentales et
nerveuses
offrant pour l'ensei- gnement un choix de cas r
est de même pour les maladies de la moelle épinière et du sys- tème
nerveux
en général. La clinique psychiatrique doit nécess
atteint son complet développement, un service spécial des maladies
nerveuses
est toujours annexé à la division psychiatrique
magne, onze revues spécialement consacrées aux maladies mentales et
nerveuses
. Il L'Allgei)ieiiie Zeitschrift sur Psychiatrie
un véritable hôpital destiné au traitement des maladies du système
nerveux
central. Les mesures disciplinaires ont été rem
que la suggestion avec ou sans hypnose 2 : ]8 ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. était utile non seulement dans les maladies me
dans les maladies mentales, mais encore dans toutes les affections
nerveuses
et particulièrement dans celles que l'on qualif
la goutte, le rhumatisme, l'asthme, les palpitations, la dyspepsie
nerveuse
, l'alcoolisme chronique et diverses formes de m
s. Les doses varient de 0 gr. ;i0 à 2 gr. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Impaludisme et épilepsie ; par MARANDON DE
mment, les crises d'épilepsie n'existaient qu'à REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 239 9 l'état de vertiges avant l'infection pal
à proprement parler spécifiques de la rage. 240 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les premières ne sont que les manifestations d
ations d'une inflamma- tion et d'une infection suraiguë des centres
nerveux
; la seconde semble résulter des conditions spéc
ulaires, péricellulaires et chimiques, s'étendant à tout le système
nerveux
central périphérique. L'aspect du ganglion nerv
tout le système nerveux central périphérique. L'aspect du ganglion
nerveux
du vague des animaux morts delà rage des rues e
(sans qu'on Archives, 21 série, t. XI. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. s'en soit formellement assuré par l'exploratio
mure de sodium et l'arsenic n'ayant donné aucun REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 243 résultat, l'aconitine fut essayée et amena
pigmentées. z- R. DE Aiuscnavc Ci,4Y. .. 244 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XI. Relation clinique d'un cas d'hémorrhagie d
être atteints ; mais le plus souvent le malade REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 245 5 succombe à une affection intercurrente.
ans les éléments ultimes qui entrent dans la struc- ture du système
nerveux
, modifications qui ne peuvent être ni localisée
ne physique et morale. Aussi, une hygiène '1246 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. défectueuse, une éducation maladroite, une amb
lacer l'oisiveté. Quant aux modifications secondaires de la cellule
nerveuse
dans la neurasthénie, elles peuvent échapper à
ésie; il en est de même dans le tabes, et, dans REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 247. plusieurs des cas observés par l'auteur,
rique de dégénérescence, le tout accompagné 248 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'élévation de la température, de troubles gas
la fièvre typhoïde. Les manifestations cliniques de l'inflammation
nerveuse
périphérique varient d'inten- sité, de siège et
faiblesse, une perversion ou une abolition de la fonction du tronc
nerveux
malade. Dans tous les cas observés par l'auteur l
endante aiguë de Landry. Chez un petit nombre de malades le système
nerveux
périphérique tout entier paraissait simultanéme
ômes moteurs qui apparaissent en même temps que REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' 249 les troubles de la sensibilité ou très p
'hémorragie, ni de lésions macroscopiques inflammatoires des troncs
nerveux
, la lésion vraie consistant, autant du moins qu
du moins qu'on a pu s'en assurer, en une dégénérescence des filets
nerveux
eux-mêmes ; et quant aux muscles, y compris le
n mus- culaire. R. DE MUSGRAVE CL : 1Y. 2SO REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Contribution à l'étude de la syphilis spinale;
es enlever avec les doigts. Sa voix disparut au REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 251 moment de l'accident pour ne revenir qu'ap
graphie du sujet. R. DE MUSGRAVE CLAY. 252 ) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XI1. Néoplasmes cérébraux : analyse clinique d
écité absolue. Dans neuf cas la névrite a été - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 253 1 précoce, et dans un cas tardive. Elle a
ravail intel- lectuel, les troubles de la digestion, l'irritabilité
nerveuse
et le malaise générale. Mais le signe décisif s
ombre d'observations de tumeurs cérébrales. 254 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des écrivains, l'auteur a été conduit à nommer
rla faiblesse d'un ou de deux couples musculaires, par le surmenage
nerveux
, par l'épuisement du tissu cortical, telles sont
s vertèbres. Il n'y avait aucun signe de dépla- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 25S cernent des corps vertébraux. La dure-mère
paraît avoir droit à une place distincte dans le cadre des maladies
nerveuses
. Beau- coup de gens souffrent d'un mal de tête
hémicranie, céphalalgie nauséeuse, mal de tête bilieux, mal de tête
nerveux
, névralgie de la tête : pour ne pas s'embarrasser
elle est multiple ; il y a quelquefois chez un malade de l'hérédité
nerveuse
; une nutrition défectueuse, une altération géné
é sur la pathogénie de cette affection sans 256 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'éclairer : on l'a considérée comme- un troub
tômes elle devait descendre assez bas pour com- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 9S7 7 prendre les noyaux situés dans le renfle
New-York Médical Journal. 2G février 1898.) On sait que le système
nerveux
est très impressionné par l'in- fluenza, et les
veux est très impressionné par l'in- fluenza, et les cas de lésions
nerveuses
consécutives à cette maladie sont peut-être plu
les névro- pathogènes de l'influenza peuvent porter sur le système
nerveux
central, périphérique ou sympathique et qu'ils
luenza. Il faut probablement admettre, pour expliquer les accidents
nerveux
, un empoisonnement rapide ou pro- longé de l'or
qui est Archives, 2 série,- t. 11. f7 i 258 8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. assez souvent précoce, c'est l'analgésie, sans
nt cette fillette a sept ans ; sa taille est de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 259 'q 33 pouces, et elle pèse 33 livres (la l
ept mois, mal traitée et insuffisamment nourrie : pas d'antécédents
nerveux
personnels. Chorée depuis un mois; actuellement
correspondant aux classiques divisions de nos traités de pathologie
nerveuse
; faciliter les recherches biblio-l,a- pliiques
lme. - Sa mère, quarante-huit ans, n'au- rait jamais eu d'accidents
nerveux
et jouirait d'une bonne santé. Ses grands-paren
frères et quatre soeurs; aucun d'eux n'aurait eu de manifestations
nerveuses
, et, en parti- culier, de convulsions de l'enfa
uelques globules san- guins et des débris de cellules et des fibres
nerveuses
. Mais si l'on observe les points (portion inter
les points (portion interne des lobes occi- pitaux) où la substance
nerveuse
est encore relativement conservée, on voit le t
ore relativement conservée, on voit le tableau suivant : Le tissu
nerveux
atteint une épaisseur d'un centimètre environ d
volutions, au milieu desquelles on aperçoit encore quelques fibres
nerveuses
grêles contournées en divers sens. Le centre oval
a substance grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la substance
nerveuse
se nécrose. Il s'agit là d'un cas rapidement de
t mentionner, en outre, dans ce cas l'atrophie extrême des cellules
nerveuses
. Elles sont arrondies, sans prolongements prolo-
he en chroinutine, ce sont plutôt des neuroblastes que des cellules
nerveuses
différenciées; abon- dantes en certains points,
femmes » de Denis Papin, nous n'avons à relever, au point de vue
nerveux
, que la migraine chez le grand-père et l'un des
Il y aurait un intérêt d'humanité à agir partout de même. CLINIQUE
NERVEUSE
. Abcès du lobe temporal droit du cerveau d'or
técédents héréditaires dignes d'être notés, le malade a une soeztî,
nerveuse
, il a été atteint de diverses maladies infec- t
uelques nuits à peine. Archives, 2' série, t. NI. 19 290 CLINIQUE
NERVEUSE
. La maladie actuelle aurait débuté pour le mala
ns (lumière et accommodation) très rapidement et 'sans 292 CLINIQUE
NERVEUSE
. 1 paresse. Pas de nystagmus, nous avons dit pr
re toujours les yeux fermés dans une apathie Fig. 8. 294 CLINIQUE
NERVEUSE
. complète; il répond toujours correctement mais
espèce, compression intéressant le pédoncule cérébral 96 - CLINIQUE
NERVEUSE
. - '0 ! < (parésie et troubles de la sensibi
du côté du lobe tem- li. l0. - t : oupe frontale. - .298 CLINIQUE
NERVEUSE
. poral droit où l'on voit un point de ramolliss
ées, dans la plupart des cas, qu'au bout d'un mois et, 300 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'ailleurs, les premiers symptômes accusés par
le du père, ni dans celle de la mère, on n'a remarqué de ma- ladies
nerveuses
, telles qu'hystérie, épilepsie, danse de Saint-
stic clinique M. Sano déclare que l'examen histologique des centres
nerveux
et des ganglions cérébro-spimaux (ganglions du
isse établir avec une certitude absolue, par l'examen des ganglions
nerveux
du nerf vague l'existence ou la non-existence d
corps amyloïdes, colloïdes, hyaloïdes et granuleux dans le système
nerveux
central; par William-J. Simlleb. (The Yetv-Yo ?
'étudier dans un grand nombre de cas les corps amyloïdes du système
nerveux
central, et il a constaté qu'ils présentaient t
crons de diamètre, que l'on rencontre fréquemmen- dans le sys- tème
nerveux
central des aliénés, et que cet auteur croit déri
ence. On peut les rencontrer dans différentes mala- dies du système
nerveux
central. Dans des processus pathologiques de lo
s de gouttelettes graisseuses. Lorsqu'ils s'égarent dans les tissus
nerveux
, il semble qu'ils n'en puisseut plus sortir. Ce
rès nombreuses dans toutes les formes de dégénérescence où la fibre
nerveuse
est atteinte, et la méthode de Marcha montre qu
qu'elles pro- viennent de la dégénérescence graisseuse des cellules
nerveuses
, des cellules du tissu contiectif (itévi-oglie
put découvrir aucun signe formel d'affection organique du système
nerveux
central ou phériphérique. Si l'on analyse les s
froid et les agents to.\iques qui abou- tissent à la dégénérescence
nerveuse
. Quant au siège de la lésion (sauf en ce qui co
la truite ne se compose que de cellules épithéliales sans éléments
nerveux
. Mais la truite a un avantage marqué : comme se
onné les idées en matière d'anatomie et de psychologie du système
nerveux
comme l'a fait l'oeuvre de Golgi et de son école.
aide de la méthode de Golgi paraissent démontrer que chaque cellule
nerveuse
avec ses rameaux protoplasmiques et son prolong
ce physiologiste peuvent se résumer ainsi : il y a dans le système
nerveux
deux variétés principales de cellules : l'une qu'
x variétés principales de cellules : l'une qu'il appelle la cellule
nerveuse
, produit la substance transmetteuse ; l'autre,
on. Tous les éléments qui entrent dans la constitution - du système
nerveux
sont en état de continuité structurale ininter-
paraissent le prouver les travaux récents, le siège de l'impulsion
nerveuse
n'est pas dans les cellules nerveuses, où est-il
cents, le siège de l'impulsion nerveuse n'est pas dans les cellules
nerveuses
, où est-il ? L'auleur n'est certainement pas en
Les auteurs décrivent d'abord la structure normale de la cellule
nerveuse
, décrivent ensuite les phénomènes que Marinesco d
au moins, il y avait aussi une diminution du nombre des cellules
nerveuses
. C'est dans cette disparition complète d'une fo
dans cette disparition complète d'une forte proportion des cellules
nerveuses
corticales, et non pas dans la simple privation
chopathologie; 2U Histologie (A) normale et (B) comparée du système
nerveux
; 3° Biologie cellulaire; 4e Anatomie pathologi
ies cutanées, on ne peut s'empêcher de se sou- venir que le système
nerveux
central, aussi bien que la peau et ses annexes,
même qui se transmet, c'est la tare héréditaire de l'orga- nisation
nerveuse
, laquelle peut demeurer latente pendant une ou
variétés très différentes de maladies mentales ou d'autres troubles
nerveux
. Une forme de folie déterminé chez un malade pa
non par l'aliénation mentale, mais par d'autres formes de maladies
nerveuses
. 11° La propension aux maladies mentales peut s
bservation complète (de tous les appareils-les désordres du système
nerveux
n'étant pas isolés, mais.liés par exemple à des
upes fines permettent de constater l'existence de très fines fibres
nerveuses
de régénération; ainsi SOCIÉTÉS SAVANTES. 343
elative de la sensibilité dans des régions recevant des conducteurs
nerveux
qui pénètrent dans la. moelle, au-dessous des l
e diagnostic. Trois cas de généralisation cancéreuse sur le système
nerveux
périphérique. ' M. Obertiiùr rapporte trois c
cutive à une généralisation d*'un cancer de l'uté- rus ; les troncs
nerveux
sont comprimés et en partie dégénérés, le tissu
les troncs nerveux sont comprimés et en partie dégénérés, le tissu
nerveux
lui-même n'est pas envahi par les productions épi
que phobies, obsessions, impulsions, etc. Dans ces cas, la cellule
nerveuse
, plus ou moins tarée, est ce qu'elle est et auc
s le tissu périaortique, pas de lésion macroscospique des centres
nerveux
sauf l'hyperhémie et l'épaississement de la pie-m
t des lilaires à l'état larvaire vivantes. A la coupe des centres
nerveux
, dans les deux cas, hémorra- gies punctiformes,
semencements ne révèlent de microorganismes. A la coupe des centres
nerveux
, la lésion caractéristique est l'énorme invasio
affectant le système gan- glionnaire et lymphatique et les centres
nerveux
. Ce qui frappe quand on regarde les nombreuses
BIBLIOGRAPHIE., voir dans cette affection inflammatoire des centres
nerveux
un ac- cident tardif de nature syphilitique et
e générale, au lieu que l'atrophie et la raréfac- tion des cellules
nerveuses
est au contraire beaucoup moins accu- sée, si b
mptomatique et diagnostique. Après l'étude des maladies des centres
nerveux
, cerveau etmoelle étudiées en première ligue, l
diverses affections pour terminer par 12s affections des enveloppes
nerveuses
des nerfs périphériques et des névroses et dyst
ie Masson et C-1. Iloux (J.). Diagnostic el traitement des maladies
nerveuses
. Piéface du professeur J. Teissicr. In-16 carto
'JO1. Vol. XI. Mai 1901. NO 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
.. «, L'Épilepsie partielle. Pathogénie et trait
pe isolé de 1 Leçon extraite de la Clinique des maladies du système
nerveux
, t. V (sous presse), du professeur F. llaymond.
ur F. llaymond. ' ? ' ARCHIVES, 2- Série, t. XI. 24 .370 CLINIQUE
NERVEUSE
. muscles, préposé à tel ou tel mouvement intent
t' Chirurgie, 1898, 1. XLVIII, fasc. 2 et 3, p. 223. 372 CLINIQUE
NERVEUSE
. - L'extirpation DES centres corticaux ÉPILEPTO
dales, et une condensation du tissu névro- glique. ' 374 CLINIQUE
NERVEUSE
. 8° Doyen-Raymond (Il s'agit du cas du malade d
t l'excitation produisait des contractions du pouce et 376 CLINIQUE
NERVEUSE
. des mouvements dans l'articulation du poignet.
ête se tournait vers la gauche ; les doigts de la main 378 CLINIQUE
NERVEUSE
. gauche se relâchaient; le malade ouvrait la bo
des secousses involontaires, auxquelles fit suite une 380 CLINIQUE
NERVEUSE
. - attaque d'épilepsie. Ce même jour, il a eu d
'extirpation du centre cortical des mouvements de la 382 ) CLINIQUE
NERVEUSE
. main gauche. Deux jours après, on constata une
ton médical and su)-gical journal, 7 jan- vier 1892. 384 CLINIQUE
NERVEUSE
. STARR, loc. cit ? obs. 3. DANA et CURTIS. Tw
utres ont incriminé la Ancltmes, 28 série, t. Xf. 25 386 CLINIQUE
NERVEUSE
. compression de la zone rolandique, par le frag
e la troisième paire. - 4° Elle indique toujours une dégénérescence
nerveuse
centrale, intéressant soit le noyau du moteur o
causes ne jouant qu'un rôle secondaire, prédisposant. Les éléments
nerveux
ne prennent pas une part active à l'inflammatio
uteurs, il faut atta- cher un grand prix, à la déchéance des fibres
nerveuses
, et à la leucocytose des cellules. P. 11ERAVaL.
ut-être aussi celle du phosphore et du chlore. Les troubles graves,
nerveux
ou digestifs, indiquent plutôt un trouble fonct
ow parait être toujours sous la dépendance de lésions primitivement
nerveuses
; la glande ne présente aucune lésion, ou bien d
t évidemment sépa- rément accessibles par l'intermédiaire de fibres
nerveuses
spécia- les, dont le gouvernement du corps fait
moins de 136 numéros. R. DE Musgrave-Clay. 398 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LX. Relation de l'autopsie d'un cas d'acroméga
des causes similaires. Il. de Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXX. Hémiatrophie de la langue; par Harold N.
e par arme à feu. H. M. C. XXXI. La maladie de Henoch, ou purpura
nerveux
; par rrancis-A. Thompson. (The iyew- Yoi-k 31ed
ne de cette maladie peu commune une description REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 399 sommaire et relate une observation intéres
rès la suggestion hypnotique. P. KERAVAL. 400 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXIV. Epilepsie convulsive causée par la trép
e V epilepsie consécutive a ! la trépanation. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 401 vue clinique, début tardif des symptômes ;
ofibromatose serait en réalité une fibromatose sans systématisation
nerveuse
absolue, mais présentant comme caractère de se
e tissu conjonctif entourant les éléments nobles, avec prédilection
nerveuse
. R. C XXXVII. L'adéno-lipomatose symétrique à p
ou acquise Archives, 2° série, t. XI. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. connue ; à la suite de surmenage physique, att
llaire voisin de l'appa- reil sensitif. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 403 XLII. La polynévrite syphilitique ; par CE
auteur croit pouvoir établir les catégories suivantes : 1° troubles
nerveux
ne rentrant pas dans le cadre de la polynévrite
cer l'histoire clinique de cette affection : apparition de troubles
nerveux
à la période secon- daire variant de un à quinz
nte-quatre ans ; large brèche de communica- 401 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion bucco-sinusienne, simulant le mal perfora
ition en nageoire du phoque) (Flossenstellung). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 405 Le pronostic de l'affection fut plutôt fav
à une famille de dix enfants dont plusieurs pré- sentèrent des toux
nerveuses
et dont deux ont présenté à partir de l'adolesc
t ramollissement de la zone qu'il alimente. La syphilis dès centres
nerveux
est caractérisée surtout par la multiplicité de
esque pathognomonique, est tiré de la façon 406 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dont se comportent les pupilles, alors même qu
ne hystérique. . Observation IL- Jeune fille de seize ans. Hérédité
nerveuse
, sans gravité, du côté maternel. Hoquet quotidi
orables. , - Observation III. Veuve de cinquante-cinq ans, troubles
nerveux
depuis quatre ou cinq ans, a fait un usage exce
inq ans, a fait un usage excessif de stimulants REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 407 alcooliques pour combattre de prétendues c
amendent rapide- ment. Si l'on voulait interpréter les phénomènes
nerveux
observés dans ces trois cas, il faudrait faire
vé rempli par du sang fluide, avec quelques 408 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. petits caillots qui occupaient la région lomba
aux symptômes oculaires et rappelle que Môbius REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 409 enseigne que tout sujet du sexe masculin q
suffit de mentionner les névroses de la 410 - " REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1 grossesse, et les psychoses de l'état puerpé
ce jusqu'aux gang-lions voisins et le réflexe se propage au système
nerveux
central. Quelquefois aussi les névroses réflexes
es ont pour point de départ la mise à nu de quelques terminaisons
nerveuses
dans une érosion ou une ulcération. Les déplaceme
sen- sation douloureuse dans le bassin et l'abdomen. Les troubles
nerveux
, consistant dans de la dépression mentale, de l
ser; mais les conclusions par lesquelles l'au-. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 411, teur termine son mémoire en donnent par e
rée soit comme primitive, soit comme consé- 412 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cutive à celle dont il s'agit; et l'on pourrai
sible de distinguer ces deux types de tumeur. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 413 Le fait que des tumeurs ayant la structure
rmation de la tumeur. Il est plus difficile 414 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de préciser le foyer primitif de i'infection t
dry peut être considérée comme une mala- die infectieuse du système
nerveux
, elle intéresse surtout les cornes grises antér
symptômes sont épars, comme les foyers; dans la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 445 méningo-myélite, il y a de bonne heure des
es et leurs toxines, a provoqué chez eux des altérations du système
nerveux
très analogues à celles que l'on observe dans l
n 1/16 de pouce d'épaisseur, que l'on reconnut être formée de tubes
nerveux
atrophiés et de névrog- lie hypertrophiée, et q
vaudrait se souvenir que le malade est surtout atteint d'un trouble
nerveux
qui se manifeste par un besoin constant ou pério-
peu aider à comprendre la physiologie et la pathologie du système
nerveux
. Lorsque cette anesthésie atteint son maximum d'e
nt guéri : cette ma- ladie est un état de dégénérescence du système
nerveux
qui enva- hit primitivement les cellules nerveu
escence du système nerveux qui enva- hit primitivement les cellules
nerveuses
, et qui, par ses manifesta- tions cliniques rap
cence et indiquent l'existence d'une lésion irritative des cellules
nerveuses
(mentales et motrices). L'auteur estime que l'a
maladie, et d'une façon plus concluante encore par les lésions non
nerveuses
et précoces (lesquelles sont infec- tantes pai
su à spécialisation supérieure comme celui qui constitue le système
nerveux
. Deux autres points sont à considérer, l'arrêt
nce progressive. Dans la dé- générescence syphilitique des cellules
nerveuses
, l'arrêt du proces- sus est l'exception plutôt
u n'est pas le seul agent nuisible, enfin l'état général du système
nerveux
; mais dans tous les cas on se trouve en présen
e de l'état général du sys- 422 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tème
nerveux
, et par là l'auteur entend la présence ou l'absen
t la maladie se prête à la définition : c'est un trouble du système
nerveux
caractérisé par des symptômes mentaux avec phén
mental, il faut d'abord chercher dans quelles limites les fonctions
nerveuses
supérieures sont intactes et voir dans quelle m
à la fois, ou isolément, les membranes et les vaisseaux du système
nerveux
central. L'auteur passe en revue les diverses l
vantes par lesquelles il conclut son travail : surmenage du système
nerveux
par la lutte pour l'exis- tence, augmentation d
dans tous ses rapports avec l'étiologie des désordres mentaux et
nerveux
du génie, souvent, dans ses inconvénients exagéré
tion d'une névrose caractérisée par l'exaltation morbide du système
nerveux
. M. Grasset ne peut admettre que la supériorité
ologique et dans sa vie morbide. C'est précisément ce tem- pérament
nerveux
qui se retrouve à la fois chez les supérieurs et
névrosé et supérieur il il est névrosé par une zone de son système
nerveux
et supérieur par une autre i-. « La supériorité
: irritabilité fonctionnelle, irritabilité nutritive, irritabilité
nerveuse
. En terminant l'auteur parle de la nature de l'
Blin, médecin en chef de l'asile de Vaucluse. Histologie du système
nerveux
: 111. le De Marchand, médecin adjoint des asil
et Cololian (P.). Traité de thérapeutique des maladie s mentales et
nerveuses
(Hygiène et prophylaxie), In-8° dexvi-i86 pages.
as d'adhérences de la pie-mère. Diminution du nombre des cellules
nerveuses
, et lésions vasculaires dans la substance grise
s pro- noncée). Au niveau du faisceau pyramidal croisé, les tubes
nerveux
étaient moins abondants; le tissu conjonctif étai
, surtout à l'égard des buveurs modérés ; les troubles digestifs ou
nerveux
qui sont fréquents chez les alcoolises ne sont
doit être faite au point où l'on risque le moins de léser le tissu
nerveux
contenu dans le canal rachidien; 3° que le liqu
périence' qu'une grande partie des troubles fonctionnels du système
nerveux
de la grosse armée des neurasthéniques, hypocho
et peu abondantes. L'erreur, dans ce cas, concernant une femme très
nerveuse
, est d'autant plus surprenant qu'elle avait eu
fuleuse, affectée de syphilis héréditaire, dans laquelle le système
nerveux
serait le locus zrzinoris 7-esisteizlix : paraplé
es autres sont désorganisés depuis une maladie qui a nui au système
nerveux
, depuis môme une affection mentale incomplèteme
ts de la folie et du génie. Nous ignorons les conditions du système
nerveux
qui président à la création du terrain propre a
as derrière le dos pour résister à ce qu'il appelait ses mouvements
nerveux
. Or un jour il sentit son bras s'allonger telle
hystéro-organiquessonttrès communes et pour prouver qu'un trou- ble
nerveux
est hystérique, il faut s'appuyer sur ses caractè
de ce phénomène, d'après MM. Marie et Guillain, tous les troubles
nerveux
observés chez ce malade sont de nature hystérique
ions vasculaires, altérations et disparition pattielie des cellules
nerveuses
, et ne leur recon- naissent qu'une valeurrelati
bleus de l'écorce cérébrale et de la gaine lymphatique des cellules
nerveuses
; qu'il s'agisse là de leucocytes comme on l'a s
Celle-ci a eu des crises de douleurs à l'es- tomac et des troubles
nerveux
qui l'ont d'abord fait prendre pour une hystéri
oyer et les coits régu- liers agissent favorablement sur le système
nerveux
de l'orga- nisme. En ce qui concerne 1 âge. le
p. 100 de la tuberculose), 35,5 p. 100 des affec- tions du système
nerveux
, 11,8 p. 100 de la septicémie et 1,9 p. 100 du
° psychoses par arrêt de développement. La statistique des maladies
nerveuses
se rapporte à 286 malades, dont 537 hommes et 4
ires 44 p. 100; les lettres 160 et les illettrés 82. Les ma- ladies
nerveuses
sont divisées par le professeur t3eclilaerell'en
ose en plaques disséminées. 5° Névroses communes el autres maladies
nerveuses
communes : u) épilepsie, b) hystérie, c) neuras
géantes de l'écorce mo- tiice chez les aliénés, par Turnor, 138.
nerveuse
du coeur du lapin, par Farmalcowslca, 112. t
nrtose. Gnérison d'unes émollve, par Jaquarche, 183. Hyperthermie
nerveuse
chez la femme, par Leven, 141. IhPNO-Mi'.iRON
gairement appe- lée-, par Eliot, 255. Mobilis vtion en pathologie
nerveuse
, par 110. Moelle Lésions non tabé- tiques d
peti, 61. Paraplégie ataxique subaiguë, par Dana, 68. - .Maladie
nerveuse
mal définie à allures de - sl)as- modique, pa
Raymond et Cestan, 342. syphi- litique, par Cestan, 403. Polyurie
nerveuse
, par Souques et Balthazard, 8t. avec une lésion
la con- duite, par Mercier, 482. Pmu'UHA. Maladie de Denoch ou
nerveux
, par Thompson, 398. Pupillaires. 'froubles-dans
es, 135, 306, 390, 416. (le thérapeutique 234, 479. de pathologie
nerveuse
. 238, 398. Revue philosophique, 367. Rigidité
ertébrale dans la -, par Nal- baudow, 434. (]ans les affections
nerveuses
, par Kageotte. 70. Système nerveux. Corps amyio
434. (]ans les affections nerveuses, par Kageotte. 70. Système
nerveux
. Corps amyiontes. hyaloïdes, etc., dans le cent
'encéphale. La première partie de ce nouveau travail sur le système
nerveux
central est con-sacrée à l'étude de la substance
ce grise; à la constitution et au mode de répartition de ces éléments
nerveux
; aux rapports et aux connexions qu'ils ont entre
descriptive sont donnés dans la description iconographique. système
nerveux
central. La méthode qui m'a paru la meilleure pou
de L'ENCÉPHALE PREMIÈRE PARTIE DESCRIPTION GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
— APPAREIL DE L'INNERVATION L'appareil de l'inn
pareil de l'innervation est formé par une partie centrale, le système
nerveux
cérébro-spinal, nommé aussi centre nerveux, et pa
artie centrale, le système nerveux cérébro-spinal, nommé aussi centre
nerveux
, et par une partie périphé-rique ramifiée, rayonn
hé-rique ramifiée, rayonnée du centre vers les extrémités, le système
nerveux
péri-phérique. Le système nerveux cérébro-spina
e vers les extrémités, le système nerveux péri-phérique. Le système
nerveux
cérébro-spinal est contenu, comme l'indique son n
ènes de la calorification et de la nutrition. La portion du système
nerveux
cérébro-spinal renfermée dans la cavité du rachis
le d'intermédiaires, de moyen d'union entre l'encéphale et le système
nerveux
périphérique qui sert de contact avec le monde ex
les trous de conjugaison de chaque vertèbre, les branches du système
nerveux
périphérique. L'encéphale est contenu dans une
encéphale et forme le névrilème des racines et des troncs des cordons
nerveux
. La structure très délicate et les fonctions si
La structure très délicate et les fonctions si importantes du système
nerveux
cen-tral, la richesse de son appareil circulatoir
ues différents. La substance grise est une ag-glomération de cellules
nerveuses
; la substance blanche est constituée par des fib
llules nerveuses ; la substance blanche est constituée par des fibres
nerveuses
, ou tubes nerveux, recouvertes de myéline, qui me
a substance blanche est constituée par des fibres nerveuses, ou tubes
nerveux
, recouvertes de myéline, qui mettent en communica
rtes de myéline, qui mettent en communication les groupes de cellules
nerveuses
. La cellule nerveuse est le foyer de l'innervat
tent en communication les groupes de cellules nerveuses. La cellule
nerveuse
est le foyer de l'innervation, le centre de l'act
'activité psychique, intellectuelle, motrice ou sensitive; les fibres
nerveuses
sont les conducteurs de cette activité. Il impo
ale; ensuite de reconnaître les connexions qu'ils ont avec les fibres
nerveuses
et quelle est l'origine, la direction et la termi
l'origine, la direction et la terminaison de ces faisceaux de fibres
nerveuses
qui constituent la substance blanche. (1) E. Ga
le de la substance corticale est constituée par une série de cellules
nerveuses
pyramidalest de volume variable, régulièrement st
t de nombreux vaisseaux capillaires et des myélocytes. Les cellules
nerveuses
se présentent sous l'aspect de petites masses tri
artis des cellules voisines, et constituent ainsi une sorte de réseau
nerveux
; leur base donne naissance à un prolongement non
sphérique ou ovoïde de 9 [/.à 11 ¡x, destinés à produire des cellules
nerveuses
(Microphotographie, Pl. A, fig. I). Suivant que
formée de névroglie renfermant une agglomération de petites cellules
nerveuses
pyramidales, très nombreuses et très serrées les
ance corticale de la corne d'Ammon ne renferme que ces mêmes éléments
nerveux
. (1) Baillarger, Recherches sur la structure de
t. VIII, p. 149). (2) G. Huguenin (de Zurich), Anatomie des centres
nerveux
, traduit par Keller, annoté par Math. Duval. Pari
exactement délimitée d'après les dimensions diverses de ces éléments
nerveux
, si variables comme nombre et développement suiva
la substance grise périphérique n'est pas composée des mêmes éléments
nerveux
dans toutes les circonvolutions de la sur-face du
randes cellules, des prolongements ramifiés se résolvant en un réseau
nerveux
. Le corps de la cellule géante envoie un prolon
tions où il se revêt de myéline et forme le cylinder-axis d'une fibre
nerveuse
. Ces cellules géantes sont des cellules motrice
II, 4), est un amas ovoïde gris rougeâtre, constitué par des cellules
nerveuses
ovalaires, de 20 [¦ à 30 (x de longueur et de 5 à
striée de filaments blancs, formée par une agglomération de cellules
nerveuses
multipolaires, variant de 15 p.à 30 [a, de couleu
n deux portions inégales par le passage d'un large faisceau de fibres
nerveuses
(Pl. X, 4 et XVIII, 6) aplati d'avant en arrière,
ur. La substance grise de cette lamelle est formée des mêmes éléments
nerveux
que la substance grise du corps strié, dont elle
CERVEAU. La substance blanche du cerveau est formée par des fibres
nerveuses
ou tubes nerveux de 2 fx à 5 p de diamètre, juxta
tance blanche du cerveau est formée par des fibres nerveuses ou tubes
nerveux
de 2 fx à 5 p de diamètre, juxtaposées et unies p
uche de myéline. Le cylinder-axis est l'élément essentiel de la fibre
nerveuse
, le seul conduc-teur de l'influx nerveux ; la myé
ément essentiel de la fibre nerveuse, le seul conduc-teur de l'influx
nerveux
; la myéline est une enveloppe destinée à protége
enveloppe destinée à protéger, à isoler le filament axile. Ces fibres
nerveuses
ne possèdent donc pas, comme celles du système ne
. Ces fibres nerveuses ne possèdent donc pas, comme celles du système
nerveux
périphérique, une troisième enveloppe, la gaine d
enveloppe, la gaine de Schwann ; ce sont les conductrices de l'influx
nerveux
des cellules de la substance grise avec lesquelle
les elles sont en connexion par leurs deux extrémités. Chaque cellule
nerveuse
reçoit par un de ses pôles une fibre nerveuse, ta
rémités. Chaque cellule nerveuse reçoit par un de ses pôles une fibre
nerveuse
, tandis qu'elle donne naissance par le pôle oppos
entes, celles qui en partent sont les fibres efférentes. Les fibres
nerveuses
ne se subdivisent pas dans l'intérieur de la mass
e, pénètrent suivant un même mode dans la substance grise. Les fibres
nerveuses
se réunissent en un faisceau blanc au centre de l
ttant en connexion avec un prolongement cellulaire. Quelques fibres
nerveuses
paraissent s'amortir dans la couche la plus super
Ces trois ordres de connexions impliquent trois systèmes de fibres
nerveuses
: Io des fibres arciformes conjuguant les uns aux
ce corticale ; 2° des fibres commissurantes qui unissent les cellules
nerveuses
d'un hémisphère à leur homologue de l'hémisphère
es commissurantes appartiennent au système d'association des cellules
nerveuses
corticales. Elles unissent les parties diverses d
est en connexion avec les prolongements issus du réseau des cellules
nerveuses
de la subs-tance grise ; leur portion médiane déc
vergentes comprend donc (Pl. XI-XII) : Io un groupe spécial de fibres
nerveuses
qui relient tous les points de la pulpe corticale
fibres cortico-thalamiques ; 2° Un second groupe spécial de fibres
nerveuses
, qui met également en connexion les divers points
ance grise du tubercule correspondant et s'épanouit dans les cellules
nerveuses
qu'elle renferme (Pl. III). - Vicq-d'Azyr a déc
couverts d'une écorce blanchâtre, formée par l'en-roulement de fibres
nerveuses
afférentes. Ils ont la forme et le volume d'un gr
st constitué par une écorce de substance grise, reliée par des fibres
nerveuses
médullaires à un noyau central de substance grise
laires. Elle est séparée de la zone profonde par une couche de fibres
nerveuses
dirigées parallèlement à la surface externe, renf
x du quatrième ven-tricule. Cette membrane est composée de cellules
nerveuses
multipolaires de 30 [/. de long et d'environ 10 ^
Quelques-uns de ces prolongements sont en continuité avec les fibres
nerveuses
de la substance blanche (Pl. VI, 17; XXVI, 25; XX
ère (Pl. II, 15). Cette substance médullaire est composée de fibres
nerveuses
de même texture et de même dimension que celles d
on que celles du cerveau, qui se comportent, par rapport aux cellules
nerveuses
de la substance grise, de la même manière que les
c les prolongements des grosses et des petites cellules. Les fibres
nerveuses
de la substance médullaire du cervelet peuvent êt
s la substance grise, où elles entrent en connexion avec les cellules
nerveuses
qu'elle renferme. article 111. — fibres efféren
e tous les points de la surface interne de ses sinuosités, des fibres
nerveuses
effèrentes, qui se portent, sous forme de trois g
r est propre et vont se terminer dans un amas particulier de cellules
nerveuses
, appartenant au névraxe, situé sur le côté opposé
aussi sous le nom de névraxe, est formé par l'en-semble des éléments
nerveux
groupés depuis la base du ventricule moyen, jusqu
de la substance grise et par de la substance blanche. Ces éléments
nerveux
présentent dans les diverses régions du névraxe u
a substance grise est entourée d'une écorce blanche for-mée de fibres
nerveuses
, groupées en faisceaux longitudinaux prismatiques
iles. La substance grise de la moelle est composée par des cellules
nerveuses
de petite dimension et de myélocites disséminés d
ent, se recouvrirait de myéline pour se convertir finalement en fibre
nerveuse
. Cette description est difficile à constater par
rami-fiant, jusqu'aux divers organes de l'économie. C'est te système
nerveux
périphérique. Ce plan morphologique de la subst
symétriquement de chaque côté du canal central, au milieu des fibres
nerveuses
à direction ascendante, transver-sale ou arciform
s sensi-tives des nerfs crâniens, qui émergent de groupes de cellules
nerveuses
faisant partie d'une colonne grise, ou bien forma
téral du bulbe ou noyau moteur des nerfs mixtes contient des cellules
nerveuses
multipolaires de 70 p de longueur et de 30 y. de
u noyau propre du facial, dont il est séparé par le passage de fibres
nerveuses
. La base de la corne postérieure s'étale en col
es. La substance gélatineuse qui l'entoure émet une série de fibres
nerveuses
se dirigeant en dehors et en arrière. Ces fibres
paires de nerfs crâniens, 1853. Leçons sur la physiologie du système
nerveux
, 1866. nerf auditif. Vers ce niveau, la racine
entricule. A ce niveau, elle présente de petites traînées de cellules
nerveuses
qui sont en connexion avec le muscle ciliaire, le
ineux que l'interne. Ces deux ganglions reçoivent chacun des fibres
nerveuses
périphériques d'un ordre particulier, qui partent
du ganglion interne s'épanouit (1) Luys, Recherches sur le système
nerveux
cérébro-spinal. Paris, 1873, et Iconographie phot
rébro-spinal. Paris, 1873, et Iconographie photographique des centres
nerveux
. Paris, 1865. dans la substance grise du tuberc
s antérieures du cerveau, une série en parfaite continuité d'éléments
nerveux
en connexion d'une part avec les racines motrices
ines motrices et d'autre part avec les racines sensitives des cordons
nerveux
. Le plan morphologique des portions rachidienne
ier ordre de fibres provenant du cervelet s'amortit dans les cellules
nerveuses
qu'il renferme. Il est donc probable que les conn
é opposé des fibres efférentes prenant leur origine dans les cellules
nerveuses
qu'ils renferment (Pl. IV, 14; XXVI, 13; XL, 18).
ce blanche du névraxe. En traversant le collet du bulbe, les fibres
nerveuses
groupées en faisceaux pris-matiques autour de la
ur marche ascendante sous le nom de pyramides antérieures. Les fibres
nerveuses
longitudinales qui les composent forment la porti
tituent la portion profonde ou sensitive de ces pyramides. Les fibres
nerveuses
, plus fines dans ce faisceau, se juxtaposent long
les compris dans la protubérance entre ces divers faisceaux de fibres
nerveuses
longitudinales sont remplis par des agglomérats o
elle qui entoure l'aqueduc de Sylvius. § 3. Distribution des fibres
nerveuses
spinales. — Arrivé à l'extrémité supérieure des p
au caudé et vers la tête du corps strié, qu'elle aborde. Les fibres
nerveuses
s'épanouissent ensuite en petits filaments serpen
s'effilent progressivement pour entrer en connexion avec les cellules
nerveuses
que renferme la substance grise de ces noyaux.
le (Pl. VII; XLIV). (1) Charcot, Leçons sur les maladies du système
nerveux
. Les cordons postérieurs de la moelle, portion
la substance grise de cette région et vont se distribuer aux cellules
nerveuses
des différents noyaux qu'elle renferme (PL XL1I,
yen sous-jacente à la couche optique, et s'épanouit dans les cellules
nerveuses
de cette région. Dans ce trajet ascendant, le f
au cérébelleux. Ils s'effilent, se perdent dans le réseau de cellules
nerveuses
que renferme sa masse grise et émergent sous la f
ostéro-interne du corpus Luysii, entre en connexion avec les cellules
nerveuses
contenues dans sa substance grise et en ressort p
un fascicule, dans un plan plus inférieur (Pl. XXVIII), aux cellules
nerveuses
qui constituent la substance grise de Sœmmering;
immédiat entre la substance grise de la protubérance et les cellules
nerveuses
du corps rhomboïdal (Pl. Vf, 19; XXXI). Les péd
ne grosse portion externe, le corps restiforme, qui unit les cellules
nerveuses
de l'olive bulbaire aux cellules du corps rhomboï
ns de Goll (funiculus cuneatus et gracilis), qui relient les cellules
nerveuses
des régions postérieures de la moelle avec le cer
otubérance, les fibres spinales antérieures se sont accolé des fibres
nerveuses
de nouvelle formation, qui ont augmenté considéra
r faisceau. Ces fibres nouvelles ont pris naissance dans les cellules
nerveuses
que renferme la substance grise de la protubéranc
de la moelle allongée, qui établissent un rapport entre les éléments
nerveux
du corps strié et la substance grise de la protub
e de la protubérance,déjà d'autre part en connexion avec les éléments
nerveux
du cervelet et avec les éléments nerveux de la mo
connexion avec les éléments nerveux du cervelet et avec les éléments
nerveux
de la moelle épinière. Ce gros amas de substanc
al d'innervation, de diffusion ou de transmission réflexe de l'influx
nerveux
, possédant une activité propre, comme les centres
de l'influx nerveux, possédant une activité propre, comme les centres
nerveux
du cerveau. Les colonnes de substance grise qui c
ulaires accessoires répandues sur le parcours des faisceaux de fibres
nerveuses
, indiquent que la portion encéphalique du névraxe
le. (1; Vulpian, Leçons de physiologie générale comparée du système
nerveux
. MICROPHOTOGRAPHIE Ces figures sont la reprod
eant de la corne an- térieure. d. Section transversale des fibres
nerveuses
longitudinales de la substance médullaire, groupé
ions ; l'une donne naissance aux fibres radiculaires. d. Faisceau
nerveux
. e. Substance grise appartenant à l'acoustique.
; elle est sillonnée d'un très riche réseau de vaisseaux et de filets
nerveux
. Le squelette de cette cloison est formé en arriè
espondant, autour duquel il s'enroule et s'épanouit dans les cellules
nerveuses
qui forment la substance grise de ce petit noyau,
r du trigone s'enroule à leur surface et se termine dans les cellules
nerveuses
que renferme leur iuibsiiîuce grise. Les bords
ères. Les fibres médullaires qui prennent naissance dans les cellules
nerveuses
qu'elle renferme, se dirigent toutes vers la régi
é, les fibres convergentes pour entrer en connexion avec les cellules
nerveuses
des noyaux opto-striés. Le trajet des fibres cort
e ces segments provient de l'abondance plus ou moins grande de fibres
nerveuses
qui se distribuent à chacune de ces régions du no
médiane du cervelet représente la disposition transversale des fibres
nerveuses
qui relient l'un à l'autre les deux lobes du cerv
s filaments ondulés, très fins, qui vont s'atténuer dans les cellules
nerveuses
de la substance grise et jaune du corps strié.
e à sa partie médiane. Il émet par son bord antéro-externe des fibres
nerveuses
qui se mêlent au faisceau des fibres spinales ant
ent dans sa substance grise, où elles s'amortissent dans les cellules
nerveuses
qu'elle renferme. 17. — Substance grise central
perficie de la substance grise, c'est-à-dire la quantité des éléments
nerveux
. Les fibres de la substance médullaire converge
lenticulaire sont détachés. A leur place, on voit une trame de fibres
nerveuses
présentant un grand nombre de petits trous que tr
s antérieurs du trigone, qui vont ensuite s'amortir dans les cellules
nerveuses
que renferme la substance grise ; ces fibres émer
présente une couche corticale de substance grise entourant les fibres
nerveuses
qui constituent le centre médullaire des deux lob
ulbe. A ce niveau a lieu l'entre-croi-sement des faisceaux des fibres
nerveuses
qui constituent les cordons de la moelle. XXXV.
vexes, la branche postérieure de la scissure de Sylvius. Les fibres
nerveuses
de la substance médullaire se détachent de la bas
ntient les corps rhomboïdaux (voir la planche précédente). Les fibres
nerveuses
convergent de la base de la substance grise corti
ée aussi noyau des cordons grêles ou noyau post-pyramidal, les fibres
nerveuses
des cordons médians postérieurs ou cordons de Gol
ibres convergentes pénètrent en longs filaments, jusqu'à la substance
nerveuse
de ce centre, où elles s'épuisent. La commissure
1 ; Pl. XL) est plus étendu; il reçoit par sa facu interne des fibres
nerveuses
du faisceau cérébelleux supérieur. En dehors de
substance blanche, et donne naissance par sa face interne aux fibres
nerveuses
du centre médullaire. Les fibres commissurantes
de Vicq-d'Azyr (voir Pl. III). Ils mettent en connexion les cellules
nerveuses
de la substance grise du centre antérieur avec le
nerveuses de la substance grise du centre antérieur avec les cellules
nerveuses
de la substance grise des tubercules mamillaires.
ce grise du ganglion olfactif (7, Pl. XLVI et PL XLVII). Ces troncs
nerveux
sont en rapport avec la série d'artérioles fourni
. ........... 1 PREMIÈRE PARTIE. — DESCRIPTION GÉNÉRALE DU SYSTÈME
NERVEUX
. APPAREIL DE L'INNERVATION.....................
X. APPAREIL DE L'INNERVATION........................... 3 Système
nerveux
cérébro-spinal...................... 3 Système
3 Système nerveux cérébro-spinal...................... 3 Système
nerveux
périphérique ...................... 3 Encéphale
ROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
rant cellulifuge actionnant les myo- neurones se produit dans l'arc
nerveux
à la suite d'incitations venues des protoneuron
ns son complément préalable ordinaire; la deuxième portion de l'arc
nerveux
entre seule en mouve- ment, le malade assiste à
inquante ans d'une pneumonie ; mère morte à quarante-huit ans, très
nerveuse
, commettait des actes excentriques. Deux soeurs
use, commettait des actes excentriques. Deux soeurs bien portantes,
nerveuses
. Marié, a perdu sa femme en 1899, n'a jamais eu
histoire des progrès de la connaissance de la structure du système
nerveux
centrai. Des esprits étrangers à ces études pou
u'il s'agisse de ses Leçons sur la Structure des organes du système
nerveux
central de l'Homme et des Animaux', de ses nomb
aujourd'hui touchant la structure et le développe- ment du système
nerveux
dans la série des vertébrés. Sur- prendre, comm
dire la partie antérieure du cerveau, est toutefois seule de nature
nerveuse
; suivant l'espèce, telles régions plus ou moin
Uerlil1. Ilirseliwald, 1900. 30 REVUE CRITIQUE. à est de nature
nerveuse
. Quant au cerveau des vertébrés supérieurs, il
lement purement épithélial, il est constitué de nombreuses cellules
nerveuses
d'où partent des faisceaux de -projection et au
s de cylindraxes ascendants. C'est bien le substratum d'un appareil
nerveux
. Encore rudi- mentaire chez les amphibiens, il
véritable. Le pallium tout entier s'est tra5sformé 'en subs- tance
nerveuse
cérébrale; seule, la région la plus posté- rieu
nce, sur cette planète : La connaissance des fonctions du système
nerveux
n'a donc pu avancer et n'avancera dans l'avenir
'anatomie dans l'étude et l'interprétation des fonctions du système
nerveux
central. Ces fonctions, ils les considèrent com
sidérations sur l'histoire des théories et des doctrines du système
nerveux
où apparaissent en pleine lumière les noms de D
de suivre, en une série continue, les structures de l'appareil ,
nerveux
parallèlement aux manifestations psychiques, de
ne voit plus comment une partie du travail accompli par le système
nerveux
peut devenir ou deviendrait conscient. Qu'est-c
t le monde, les choses ne nous appa- ' Voy. Jules Soury. Le Système
nerveux
central. Structure et fonctions. Paris, G. Carr
ance. Rien d'uto- pique, selon 'Edinger, dans l'idée que le système
nerveux
sera un jour aussi bien connu qu'un ingénieur c
ait pourtant suivre Loeb jusqu'au bout. Pour ce dernier, le système
nerveux
n'est qu'un appareil de régulation et un multip
velles d'Apathy, de Bethe, de Nissl, sur la structure de la cellule
nerveuse
qui, grâce à ses connexions inter et intrafibri
pour les novateurs vers lesquels incline Edinger, si les cellules
nerveuses
, avec leurs prolongements, sont des unités phy-
plu- part des biologistes. Comme il est démontré que les cellules
nerveuses
, avec leurs prolongements, sont bien des unités
fiblril- laire du névraxe. Quelle solution l'anatomie du système
nerveux
peut-elle donner à ce problème capital de la ps
blème capital de la psychologie, la mémoire ? Comment les processus
nerveux
peuvent-ils être modifiés, consécutivement àcer
ung der tvirbellosen l'hiere. Leipzig, 1899. 36 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' que la question de la conscience soit épuisé
s vers la solution du pro- blème. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Fausse grossesse chez une névropathe dégéné
s complets, ne sont pas très rares. , (B.) .) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 37 son adorateur, et qu'elle aimait encore mie
jure que vous ne l'êtes pas, lui dis-je, et 38 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vos règles viendront absolument comme vos urin
lation thoraco-claviculaire ? Parce qu'elles ne REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 39 sautent pas aux yeux, et qu'elles dérangent
altération purement trophiqué, qui dépend de l'affection du système
nerveux
. P. KERAVAL. III. Des formes frustes de la sclé
es cas typiques sont caractérisés par la com- pression des éléments
nerveux
sans dégénérescence, que les cas frustes provie
des attaques hystériques non convulsives, z / , REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et chez certains sujets, sans que la conscienc
s dans la même famille, contribuant à démontrer REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 41 l'importance de l'hérédité dans les causes
es résultats indiqués par Pitres sur la fré- 42 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. quence de l'analgésie épigastrique profonde da
la dénutrition qui provoquerait une réaction exagérée des éléments
nerveux
il l'excitation. En somme, l'auteur n'aboutit a
elle est sous la dépendance d'un arrêt de développement des centres
nerveux
qui aurait été lui-même la cause des réactions
ci aussi la technique comprend deux temps : un temps d'élon- gation
nerveuse
, que l'on fera porter sur les nerfs musculo-cutan
s périarticu- laires, notamment du deltoïde. Syphilis des centres
nerveux
chez les indigènes de l'Algérie. , M. ScuEaB (d
de l'Algérie. Par contre, les accidents syphi- litiques des centres
nerveux
y sont très rares. La paralysie générale et le
s ce sens. Qnant aux lésions gommeuses et aux artérites des centres
nerveux
, les quatre cas observés se divisent ainsi : le
yphilis graves qui entraînent SOCIÉTÉS SAVANTES. 59 des accidents
nerveux
. Si les gommes des centres sont rares, par cont
les à l'irritation produite par l'agent morbide sur le parenchyme
nerveux
lui-même. (Les lésions névrogliques étaient nulle
déglutition, occasionné par un trouble de la fonction des appareils
nerveux
correspondants du cerveau. C'est un ensemble de
bien distincts le symptôme général connu sous le nom de dysphagie
nerveuse
; en effet, on trouve la dysphagie chez les hysté
tranger dans le but de se perfection- ner dans l'étude des maladies
nerveuses
et mentales; 5° d'appeler désormais la séance o
tion successive et progressive de l'agent infectieux sur le système
nerveux
? C'est ce qui se passe pour les folies toxiques
Les enfants subissant l'impré- gnation bacillaire ont leur système
nerveux
central impressionné par la toxine tuberculeuse
, réflexes quelquefois, viendront rompre l'harmonie de ce sys- tème
nerveux
éminemment vulnérable. Après la tuberculose, co
facilitent la pra- tique pour le grand bien des malades. CLINIQUE
NERVEUSE
. Sur un cas d'amnésie continue, consécutif à un
dehors de quelques symptômes d'artériosclérose énumérés 88 CLINIQUE
NERVEUSE
. plus haut, on ne trouve aucune tare physique c
nsations perçues que l'on cherche à faire revivre,on se 90 CLINIQUE
NERVEUSE
. heurte au même défaut de précision, ou l'on to
t cherchais à tuer le temps en jouant aux cartes et aux 92 clinique
nerveuse
. dominos,etc... » et plus loin : « Je demande m
., juillet 1895.) 1 Avramoff. Contribution ù l'élude des affections
nerveuses
chroniques consécutives aux inloxicalions aiguë
ions oxydai,- bouées. (Ann. 7)zécl. psch., 1900.) 94 -il CLINIQUE
NERVEUSE
. réveillés; mais on peut aussi se demander si c
par pendaison. (arc. cli- niques de Bordeaux, 1895.) 96 CLINIQUE
NERVEUSE
. Féré signalent également des cas d'amnésie rét
e et équitable de rappeler que Huxley, en comparant chaque ganglion
nerveux
d'une écrevisse à une boîte à musique, établit
omatisme des animaux. Il est constant pour Edinger que le système
nerveux
des animaux inférieurs représente essentielleme
du même genre, quoique plus ou moins étroitement reliés à l'organe
nerveux
central.. Edinger réserve beaucoup de questio
, et il faudrait alors pou- voir dire dans quelle mesure le système
nerveux
de cet être a été capable de recevoir et de fix
Les relations anatomiques que soutiennent entre eux les mécanismes
nerveux
à complexité croissante dans la série expliquen
expliquent ces faits. Le mode de cet accroissement de l'appa- reil
nerveux
consiste essentiellement, enseigne Edinger, dans
malgré le fait que, en vertu de l'apparition de nouveaux appareils
nerveux
sura- joutés, la fonction des appareils plus an
ciens peut et doit rétrocéder. A considérer la structure du système
nerveux
d'un animal, il est toujours possible de conclu
és entre eux et avec les appareils inférieurement situés du système
nerveux
cen- tral. » Quels sont ceux de ces derniers ce
port avec le puissant appareil cortical, aux cellules et aux fibres
nerveuses
extrêmement nombreuses, dans lequel s'irradient
, les conditions ou les possibilités d'association des ébranlements
nerveux
pro- pagés jusqu'à ces centres par un nombre re
'écorce télencéphalique ou toute autre partie quelconque du système
nerveux
, de soi et par soi, c'est-à-dire sans impressio
eur excitabilité assoupie. Les tritons salamandres, dont le système
nerveux
, anatomiquement, n'est pas supérieur à celui d'
'animal, mais remonter des animaux à l'homme. L'anatomie du système
nerveux
central et la psychologie ne sont que deux méth
trines et des théories sur la structure et les fonctions du système
nerveux
des invertébrés et des verté- brés, l'histoire
ment avec le plus de facilité et de sûreté, tels que les systèmes
nerveux
des hyménoptères. Voilà mon interprétation des
ilà mon interprétation des faits les plus élémentaires du mécanisme
nerveux
de ces poissons, de ces amphibiens, de ces rept
grés, en tant que simple phénomène d'accompa- gnement des processus
nerveux
, ne saurait d'ailleurs modi- fier en quoique ce
rhée nasale, sans lésion du nez, et paraissant d'origine pure- ment
nerveuse
. ' Le cas que l'auteur décrit dans le présent t
nua, et la sensibilité générale redevint obtuse : elle était agitée
nerveuse
, et cependant indifférente à tout. Elle redevint
qu'ils exercent sur la coenesthésie, les rôles respectifs du tissu
nerveux
et des stimulants chimiques dans la déterminati
nesthésie et il propose les conclusions suivantes : 1° l'instrument
nerveux
sensoriel, en d'autres termes la partie du syst
strument nerveux sensoriel, en d'autres termes la partie du système
nerveux
qui concerne la sensation, peut être comparée à
aux, il y a des courants ou des ondulations très subtiles d'énergie
nerveuse
de nature encore inconnue, mais qui, comme tous
er à des particularités physiologiques quelconques de notre système
nerveux
; 3° l'anatomie ne nous fournit à son égard auc
evue détaillée tout ce qui intéresse la mor- phologie de la cellule
nerveuse
: 1° méthodes de recherches. méthode de Nissl,
rent que les phé- nomènes de réaction et de réparation des cellules
nerveuses
après la section de leur cylindre-axe présenten
e en valeurla par- ticipation du noyau et du nucléole de la cellule
nerveuse
aux pro- cessus de réaction et de réparation, a
protoneurone centripète où commencent et où prédominent les lésions
nerveuses
du tabes. Mais avant d'adopter cette conclusion
. Deny. XIX. Contribution à la casuistique des tumeurs du système
nerveux
central; par Micuelzzi. (Il IIÉtî,g(tg711, 1900,
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 128 5 XXI. Les altérations du système
nerveux
central dans l'intoxica- tion par le bromure de
doses plus élevées et s'accompagnent alors de lésions des centres
nerveux
. Contrairement à l'opinion de Cybulsk, des dose
servés pendant la vie : respiratoires, circulatoires, thermiques et
nerveux
, et aux lésions des centres nerveux, l'auteur rec
s, circulatoires, thermiques et nerveux, et aux lésions des centres
nerveux
, l'auteur reconnaît qu'il est difficile en l'ét
comme un organe rudimen- taire. L. D. XXIV. De quelques fonctions
nerveuses
dans l'inanition complète (tee communication).
elle de la thyroïde. L. Delmas. XXVII. De l'anastomose des cellules
nerveuses
et quelques particu- larités de structure du bu
'auteur décrit et figure quelques cas d'anastomose entre cel- lules
nerveuses
qu'il a rencontrés chez quelques mammifères, da
tence de fibres distinctes, diversement distribuées dans les troncs
nerveux
. Remarque qui a son importance, la malade était
ablement une instabilité - chimique très accentuée dans les centres
nerveux
. 3° Chez une - telle malade l'apparition de la
les, dépendant d'une activité moléculaire pathologique. des centres
nerveux
, et nullement de grandes modifications de nutri-
vroses doit être cherchée dans une instabilité chimique des centres
nerveux
et une tendance consécutive de la part de ces c
la vie, et surtout pendant la période de maturation des fonctions '
nerveuses
plaide fortement en faveur de l'opinion suivant l
ide fortement en faveur de l'opinion suivant laquelle ces désordres
nerveux
auraient leur /bras et origo dans l'écorce céré-
origo dans l'écorce céré- - braie, C'est le métabolisme des centres
nerveux
, et non pas le 'métabolisme du sang, qui est au
rqué sur- tout chez les déments : insuffisance générale des tractus
nerveux
de la vision. Cécité verbale et mentale dans le
° que lorsque l'état mental habituel a reparu et lorsque la tension
nerveuse
a disparu, le malade subit une réaction qui agi
égulière des divers organes, arrivent par là à surmener les centres
nerveux
régulateurs de l'activité organique, et peuvent a
réussit à éviter une nouvelle attaque, il resta sujet à des crises
nerveuses
intenses et demeura, pour le reste de sa vie un
e un « névropathe. » . R. DE Ï11USGRAYE CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XVI. Relation entre la névralgie du trijumeau
veux, ou tout au moins la prise en commun des centres et des troncs
nerveux
. La névralgie sus-orbitaire récidivante, corrobor
e trois observations cliniques W. Leszynsky 142 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. passe en revue quelques-unes des statistiques
ans l'une au moins des attaques; l'inconscience REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' 143 * absolue, la courte durée des périodes a
s deux. réflexes patellaires, et une sensibilité marquée des troncs
nerveux
et des muscles deces deux membres. En même temp
une tumeur, du volume d'une petite cerise.. 144 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. adhérente à la dure-mère et à l'os ; au point
a migraine dans l'histoire des ascendants. P. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 145 XXII. Paralysie de Landry; par Philip COOM
t de quinze jours. L'autopsie montra la dégénération des cellules
nerveuses
des cornes antérieures, la dégénération des rac
lules nerveuses des cornes antérieures, la dégénération des racines
nerveuses
anté- rieures et postérieures et la dégénératio
nts et les Arcuives, 26 série, t. XII. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sphincters demeurent intacts. Les troubles sen
s ne sont pas très rares et la présence de dégénération des racines
nerveuses
posté- rieures, dans un de nos cas, en donne un
i les notions modernes touchant la symplo- matologie des affections
nerveuses
sont justes, qu'il doit résulter de ces lésions
symptômes soient devenus appréciables. Les mé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 147 thodes ordinaires ne nous permettent pas d
ts électriques dans la plupart des muscles. 148 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. atteints, tandis qu'on constatait une hyperexc
(Van Gehuchten, Brissaud, Déjerine, Edinger.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 149 Van Gehuchten a résumé nos connaissances,
ceaux sont formés en grande partie de fibres provenant des cellules
nerveuses
de la substance grise du côte opposé, cette con
voie des sensations tactiles. ' Poulard. 150 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXIV. Un cas d'amaurose hystérique monoculaire
des états autotoxiques et diathésiques puissent REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 151 -agir comme causes prédisposantes. Cette a
novembre 1900.) Ces études ont porté sur 114 cas variés de maladies
nerveuses
dont le plus grand nombre étaient des hémiplégi
uel il y avait, cependant, perte de la loca- g2 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lisation, perte de la notion de position des d
on des doigts ou l'ataxie du mouvement sans aucun signe d'affection
nerveuse
périphérique ou médullaire, il sera assez juste
e dans quelle mesure la perte du sens de l'espace dépend de lésions
nerveuses
, médullaires ou céré- brales. Bien que la fonct
corticale, on constate sa disparition, aussi bien dans les lésions
nerveuses
périphériques, que médullaires ou corticales. P
e de trouver de grosses lésions au niveau des cellules et des tubes
nerveux
(cellules d'abord petites avec chromatolyse et
lésions des racines qui permettent d'étudier l'invasion des tubes
nerveux
par les tumeurs épithéliales. ' . Etude d'un ca
e cela arrive ordinairement dans le steppage. ' L'examen du système
nerveux
central et périphérique ainsi que celui des mus
a méthode de 1\issl ne décèle pas de lé- sions du côté des cellules
nerveuses
. Par contre, il existe sur toute' la région lom
ique poplité externe, où sur les coupes transversales des faisceaux
nerveux
on ne voit pas beaucoup de fibres saines. - 1
ion stimulante sur touteslescellules et en particulier les cellules
nerveuses
. Elles sont indiquées dans les états de dépress
emberg. La lécithine dans le traitement des affections du sys- tème
nerveux
. - Granjuz. Les épileptiques militaires méconnus
ol. XII. Septembre 1901. ' N° 69. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. CLINIQUE DE M, LE professeur André Moussons.
oi, sur les conseils Archives, 2' série, t. XII. 12 el78 CLINIQUE
NERVEUSE
. de notre maître M. le Prof. André Moussous, no
paraît-il, asthmatique et devint phtisique. C'était une femme très
nerveuse
, très irascible, qui aurait eu un tic convulsif
iques hépatiques depuis environ trente ans. Elle est d'un caractère
nerveux
et susceptible. Son grand-père maternel, bouche
tait sujet il de fré- quentes crises d'asthme, avait un tempérament
nerveux
; il aurait lui aussi, conservé toute sa vie un
al. Du coté des grands parents paternels, il n'y a aucun antécédent
nerveux
à relever. La malade a un frère âgé de dix-se
des deux côtés. Pas de lésion ophtalmoscopique, pas de 180 CLINIQUE
NERVEUSE
. trouble de la vision des couleurs. L'acuité vi
baret, qui la revoit à ce moment, essaie de 'nouveau les z CLINIQUE
NERVEUSE
. mêmes manoeuvres que précédemment, en particul
accès de toux, de temps à autre, d'ordre laryngé et certaine- ment
nerveux
. Le coeur présente quelques irrégularités : les b
est souple, se laisse facilement déprimer sous lamain. 184 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le foie ne dépasse pas les fausses côtes ; la
peut s'en convaincre surtout avec un diapason (Hgger) -, est aussi
nerveuse
(réaction douloureuse nulle par pression du cubi-
se (réaction douloureuse nulle par pression du cubi- 'LÔ(j CLINIQUE
NERVEUSE
. tal), ainsi que ligamenteuse et articulaire, c
indiqué l'abolition de la sensibilité gauche profonde : musculaire,
nerveuse
, osseuse, ligamenteuse et articu- laire ; nous
' Leçons cliniques sur l'hystérie, t. I, p. 111-12. 190 CLINIQUE
NERVEUSE
. duit la même excitation sur le côté anesthésiq
les crises avaient complètement cessé pendant trois. 1 92 CLINIQUE
NERVEUSE
. mois, a été prise brusquement, au moment de l'
883, p. 4G3- Gi.) , Archives, 2° série, t. XII. 13 194 CLINIQUE
NERVEUSE
. est incomplète ». C'est l'opinion de Collet',
Rosenthal, Collet et l'un 1 Les troubles auditifs dans les maladies
nerveuses
. Gneycl. Léauté, p. 140-41. . « Il est très p
10 7'milé de palhol. générale, 1901, t. V, p. 1125. · 196 CLINIQUE
NERVEUSE
. temps, huit mois (Mendel), quatre mois (Saint-
uel d'ophtalmologie, 2c édit. française. 1897, p. 630. 198 CLINIQUE
NERVEUSE
. vision binoculaire est encore plus rare, sans
, 8 juillet 1900, p. 486.) ° Loc. cil., p. 225-26. ' 200 CLINIQUE
NERVEUSE
. - vont se passer, ne suffit pas toujours pour
e va nous répondre. Un carton avec deux pains à cache- 202 CLINIQUE
NERVEUSE
. ter rouges, distants de 6 centimètres l'un de
Journal of ne1'VOllS and mental diseases, 2 fév. 1886. 204 CLINIQUE
NERVEUSE
. la vision binoculaire, qui semble constante da
ud. (Art. cité des Annales d'oculistiq., p. 36-37. ' 206 CLINIQUE
NERVEUSE
. * Et cependant la persistance de la sensibilit
diverses sensibilités, et distribuées différemment dans les troncs
nerveux
. J. SÉGLAS. XXXIV. De l'élimination rénale du b
ction considérable sur l'organisme, particulièrement sur le système
nerveux
, action qui se reflète sur l'élimination du ble
OLOGIQUES. 223 phénomènes peut être utile dans certaines affections
nerveuses
et spécialement dans la paralysie Dénérale..1.
Dénérale..1. SGLA=. XXXVI. Modifications de structure de la cellule
nerveuse
de l'écorce dans la fatigue ; par GUIDO GUEIIRI
tions, que le processus de putréfaction peut imprimer aux cellules,
nerveuses
déjà altérées pathologi- quement ; par Luigi Co
tiples et chacune dans la détermination des altérations du 'système
nerveux
, suit ses propriétés particulières, de la même
uivant la présence ou l'absence constantes des germes dans le tissu
nerveux
, on doit distinguer deux classes de paralysies
taire, produite par la présence directe des germes dans le' système
nerveux
: 2° l'autre, toxi-infectieuse, déterminée par l'
es produites par les germes qui ont leur siège au dehors du système
nerveux
. L'anatomie pathologique a des carac- tères dif
ayant leur origine dans les parties les plus délicates de l'élément
nerveux
. Dans tout cas de paralysie de Landry, pour l'a
emarquer l'existence de paralysies développées dans des territoires
nerveux
où les altérations ana- tomiquessont très légèr
, les recherches anatomiques doivent être étendues atout le système
nerveux
et ne pas se limiter à une on quelques parties.
ne altération fonctionnelle des extrémités des dentrites des fibres
nerveuses
provenant des cellules corticales, au point où
blable à celle de Dana : il y a obs- \ tacle au passage de l'influx
nerveux
allant du cerveau à la moelle, mais Sander ne p
la moelle, mais Sander ne place pas cet obstacle dans les cellules
nerveuses
. FOULARD. XLVtIL autopsie dans un cas d'adipo
nterstitielle. Il y avait diminution marquée et atrophie des fibres
nerveuses
, eu même temps qu'une grande prolifération du t
ceux qui cheminent dans le tissu cellulaire sous-cutané; les troncs
nerveux
plus volumineux n'of- frant aucune lésion. La m
es hydrocarbonés et agisse comme ceux de névrite et de dégénération
nerveuse
. Quelle que soit l'explication, ,il est intéres
tions nous conduisent- à douter de son- existence dans les maladies
nerveuses
fonctionnelles ou organiques ou autres n'intére
ite de dégénérations comme dans les affections combinées du système
nerveux
. Ce réflexe est alors d'un grand "=eeours pour
l'activité fonc- tionnelle habituelle à ces organes. Les deux ondes
nerveuses
, bien que de sens contraire, sont de nature ide
remière apparition, mais c'est probablement au moment où le système
nerveux
se spécialise et se complète pour coordonner le
es autres organes. Elle est l'un des moyens par lesquels le système
nerveux
peut régler l'activité de chaque organe pour l'
ntre d'inhibi- tion du coeur, et si ce centre, réfléchissant l'onde
nerveuse
dans le sens opposé il l'onde accélératrice du
r avec lui à l'hommage rendu à l'auleur des psychoses et affections
nerveuses
, de l'hygiène des neurasthéni- ques, du langage
éclaire de ses lueurs distinctes l'antique chaos de la patho- logie
nerveuse
. Quand les notions étaient vagues et imprécises,
les notions étaient vagues et imprécises, le chapitre des maladies
nerveuses
était court et leur thérapeutique sommaire. S
de divisions et de subdivisions, depuis les affections des cordons
nerveux
et de l'axe médullaire, jusqu'à celles des cen
e, au plus ardent, d'embrasser la vaste complexité de la pathologie
nerveuse
. A ne considérer que le département de jour en
progrès réa- lisés au siècle dernier, par la pathologie du système
nerveux
. Le bilan de ces progrès a été dressé trop magi
e placer dans une solu- tion d'acide chromique un fragment de tissu
nerveux
afin de le durcir et d'y pouvoir pratiquer des
n modeste qui nous a montré que les cellules d'un fragment de tissu
nerveux
, durci dans l'alcool à 96 degrés, se colorent d
riles en applications. Certes, je ne veux point dire que le système
nerveux
nous ait déjà, livré tout ses secrets. N'y a-t-
aire, par conséquent le 'plus général, de la physiologie du système
nerveux
? Si nous connaissons, grâce aux efforts réunis
t si nous sommes fixés sur le rôle capital que jouent en pathologie
nerveuse
l'hérédité et la prédisposition, avons-nous dég
Si l'on pouvait espérer qu'elle aboutit, la pathologie du système
nerveux
, s'en trouverait du coup décapitée. Une autre l
où il n'est pas. N'oublions pas qu'il y a des affections du système
nerveux
accidentelles et que rien ne prouve qu'elles en
d'envisager, comme le conseille Maudsley, la pathologie du système
nerveux
, en particulier la pathologie mentale, au point
ante. Il ne se développe jamais que chez des sujets dont le système
nerveux
a été affaibli soit héréditairement, soit par s
ompagne par l'action directe d'un agent infectieux sur les éléments
nerveux
qui réagissent en exagé- rant leur fonction jus
lire"aigu"3'origine alcoolique. -- ANATOMIE-PATHOLOGIQUE. - Système
nerveux
. - L'hyperémie des » méninges que l'on constate
durcissement dans le Muller, enfin le carmin aluné. Les cel- lules
nerveuses
présentent des altérations constantes et diffuses
tissu jaune avec ou sans éléments cellulaires. Les prolongements
nerveux
sont moins altérés, ils sont pourtant le siège d'
les et spinales sont normales, ainsi que la névroglie. Les fibres
nerveuses
des écorces cérébrale et cérébelleuse, du corps
gu, dit Cristiani, apparait comme une maladie géné- rale du système
nerveux
. Les méthodes de Nissl et de Golgi met- tent en
nce un processus de dégénérescence cellulaire primitive. Les fibres
nerveuses
sont le siège d'une dégénérescence primitive, s
l'évolution clinique. Au premier temps, envahissement des éléments
nerveux
qui réagissent en donnant la phase d'excitation
itation; au deuxième temps, la destruction progressive de l'élément
nerveux
donne la phase de collapsus. Coeu1' et vaisse
bacillare), dans laquelle on retrouve dans le sari,, et les centres
nerveux
le bacille particulier qu'ils ont décrit. Rasor
iques essentielles : la prédisposition névropathique, l'épuisement.
nerveux
, occasionnel et la toxi-infec- Lion., Le mécani
° il a son point de départ daus'1 âltécâtïbn primitivé dés éléments
nerveux
par l'agent pathogène et, par suite, intéresse
ièS1 ? n-s-"de méningo-encéphalite, de dégénérescence des cellules
nerveuses
communes à la plupart des intoxications, bac- t
permettrait de provoquer une décompression favo- rable des centres
nerveux
, en même temps qu'elle rendrait pas-' sible l'e
considère maintenant les lésions que l'on rencontre dans le système
nerveux
des malades morts de délire aigu, on est encore
ns. A ce sujet, l'auteur présente des coupes provenant du système
nerveux
d'une malade morte de broncho-pneumonie avec déli
des coupes de caractères différentiels entre les lésions du système
nerveux
d'un malade mort à la suite d'un délire apparu
s le cours d'une maladie aiguë toxi-infectieuse et celle du système
nerveux
d'un sujet mort de délire aigu proprement dit.
ement des délires sans pouvoir constater aucune lésion des cellules
nerveuses
. M. BRIAND. - M. Roubinowitch a insisté avec ra
ne peut croire qu'avec des lésions très marquées des cellules très
nerveuses
, on ne puisse constater cliniquement aucun trou
s très nerveuses, on ne puisse constater cliniquement aucun trouble
nerveux
. M. FAURE. Comme l'a fort bien mis en relief M.
l'a fort bien mis en relief M. Carrier dans son rapport, la cellule
nerveuse
est lésée primitivement dans le délire aigu, pa
dans ses antécédents héré- ditaires ou personnels aucune affection
nerveuse
ou mentale, ni syphilis, ni alcoolisme. Porteur
ion. La lécithine dans la thérapeutique des affections du système
nerveux
. M. P. HARTENBERG (de Paris). - Depuis quatre a
périmenté la lécithine dans le traitement des affections du système
nerveux
. Le produit est retiré du jaune d'oeuf, conserve
es, telles que 1 gramme par jour; 3" Dans les affections du système
nerveux
, son action thérapeu- tique paraît porter beauc
aît porter beaucoup plus sur la nutrition générale que sur le tissu
nerveux
en particulier : c'est seulement en relevant l'
relevant l'état général du malade que la lécithine améliore l'état
nerveux
. Elle ne saurait donc être considérée comme un
it donc être considérée comme un médicament spéci- fique du système
nerveux
. Voeu concernant les employés des asiles. M.
DE la Faculté DE MÉDECINE DE Bordeaux SUR les maladies mentales ET
nerveuses
(1899-1900) ; par le Dr L. de PERRY. 1. L'Équit
utile pour combattre certains états morbides : quelques affections
nerveuses
trouve- raient en elle un adjuvant puissant de
arait de préférence chez des indi- vidus prédisposés par l'hérédité
nerveuse
ou congestive. La syphi- lis, en effet, se retr
ui l'engendre, mais de la réaction qu'il il provoque sur un système
nerveux
à impressionnabilité différente, selon les indi
es phénomènes dus à l'action directe de la cocaïne sur les éléments
nerveux
. C'est le résumé de nos observations que nous n
lement spontané, de contracture des membres, de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 297 7 mouvements fibrillaires ; 6° Nous avons
ibuée par eux à l'intoxication parla cocaïne. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXVII. Hémitonie apoplectique, par V.-111. Bec
rtoniques, et, à côté, de l'atrophie des os 298 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et des muscles non hypertoniques due à une atr
nyme gauche ; 2° Parésie de la moitié gauche du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 299 corps avec rigidité des extrémités gauches
s lésions périvasculaires; les veines réti- 300 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. niennes sont plus ou moins tortueuses ; on per
orbiculaires lorsqu'ils entrent en action. t REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 301 La « forme spinale » se voit moins souvent
ues ophtalmologiques, plus souvent dans les cliniques de maladies
nerveuses
. Pendant une longue période, en dépit de lésions
vec les sixième, troisième, quatrième, cinquième et septième paires
nerveuses
, tout à fait irrégulières en caractère (asthéno
ée (à la dose de un gramme) à des lapins et 302 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des cobayes, amena chez ces animaux une paraly
clure les affections de l'oreille moyenne. P. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 303 XXXIV. Un cas d'aphonie hysthérique dans u
ar le traitement sont peu nombreuses : plus 304 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. fréquentes sont les altérations de dégénéresce
maladie sans définition, que l'on classe ordi- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 305 nairement parmi les névroses, alors qu'ell
ons qu'ils Archives, 2' série, t. XII. 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. en ont données, l'équilibre de ces rapports es
sychiques, .les traumatismes physiques, la sug- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 307 gestion (ou l'auto-suggestion) et accessoi
primitive, alors qu'elle est le plus souvent le signe d'un trouble
nerveux
profond), les crises de larmes ou de colère san
hypocondriaques, il convient tout d'abord 308 . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de leur expliquer que leurs propres défauts ré
ctée environ une once de liquide cérébro-spinal REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 309 limpide. Au point de vue de sa nature, c'é
ômes qui ne se rencontrent dans aucune lésion localisée des centres
nerveux
, et c'est cette dis- cordance symptomatique qui
n'est jamais fondé à la nier sur l'absence 310 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. \ de tel ou tel phénomène : le diagnostic ne
estion, nécessité de les traiter en malades atteints d'hypovttalité
nerveuse
et non comme des vésaniques; indications fourni
eur croit que dans la neurasthénie il y aurait d'abord épui- sement
nerveux
par fatigue amenant secondairement un défaut de
fatigue amenant secondairement un défaut de nutrition de la cellule
nerveuse
par pénétration de substances toxiques entravan
toxiques entravant l'action centripète. il. II. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. c ? ll'1 XLIII. Troubles nerveux intermittents
e. il. II. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. c ? ll'1 XLIII. Troubles
nerveux
intermittents d'origine palustre ; par Broquit.
hogénie doit en être recherchée dans une dérivation sur les centres
nerveux
de l'excitation sexuelle non satisfaite. L'aute
musculaire. M. Pitres. - Les expérimentations faites sur le système
nerveux
des animaux et en particulier celles que M. Cro
peuvent servir à poser des conclusions définitives de physiolo- gie
nerveuse
chez l'homme. Conclure de la série animale à ce d
ier ensuite. Cette tendance n'est pas particulière à la physiologie
nerveuse
, mais s'étend à toute la physiologie humaine. I
nature de leur contenu. Pour en revenir à la physiologie du système
nerveux
de l'homme, il nous semble que, seule,' la méth
réflexe doit être considéré comme une propriété générale du système
nerveux
central et particulièrement de la partie médul-
tive à l'état normal. J'ai étudié les réflexes cutanés des maladies
nerveuses
diverses : d'une manière générale, ils sont sur
Le réflexe cutané plantaire qui passe sûrement par les centres » -
nerveux
(25 centièmes de seconde) a donc un tout autre mé
scle, qui elle-même, serait sous la dépendance de l'état du système
nerveux
. Tumeurs gazeuses de l'abdomen. M. Justin Lem
arait devoir être surtout recherché dans les altérations du système
nerveux
. - Cette intéressante communication a été l'occ
ons insalubres sur la production des maladies chroniques du système
nerveux
chez les enfants (idioties, épilepsies, aliénat
enons toujours grand soin de relever toutes les causes des maladies
nerveuses
et chroniques de l'enfance qui produisent les d
observations de garçons atteints de maladies chroniques du système
nerveux
, nous n'avons relevé la syphilis des parents qu
gagé à faire un relevé aussi exact que possible des cas de maladies
nerveuses
de l'enfance que nous venons d'énumérer, dans l
n, quels qu'en soient la nature et le siège, agira sur les cellules
nerveuses
pour en modi- fier la structure et la fonction.
monie, d'infection puerpérale, etc.). DU IIIsSIE auteur. La cellule
nerveuse
et le neurone ; structure et fonction à l'état
qu'une con- naissance imparfaite des maladies chroniques du système
nerveux
chez les enfants. D'où leur hésitation, de bonn
ndé. Cet âge arrive aussi, mais l'état s'est aggravé : à la maladie
nerveuse
et mentale se sont ajoutées des habitudes vicie
et au point de vue physique, afin de modifier profon- dément l'état
nerveux
fondamental, la diathèse nerveuse si l'on veut.
de modifier profon- dément l'état nerveux fondamental, la diathèse
nerveuse
si l'on veut. Voici rapidement comment il fau
Troubles unilatéraux de la mimique faciale (hEmi.mintie) chez les
nerveux
et sur l'importance qu'il convient de leu r accor
dies mentales, M. le Dr Lalanne, rapporteur. Question de pathologie
nerveuse
: Les tics en général, M. le Dr Noguès, rapport
ndre synchrone à mon rythme vocal. Fausses grossesses et grossesses
nerveuses
. D'' Henry Lr31ESr.r (de Paris). Les récents év
Serbie a été le théâtre ont appelé l'attention sur les gros- sesses
nerveuses
. Il faut considérer : de les pseudo-grossesses ci
t de l'impossibilité d'exercer une action inhibitoire sur un centre
nerveux
. Au chapitre des suggestions hypnotiques est trai
omme une névrose, une altération moléculaire et chimique du système
nerveux
central, donnant à celui-ci la capacité d'accum
rveux central, donnant à celui-ci la capacité d'accumuler l'énergie
nerveuse
et de la dépen- ser ensuite sans mo'il' périodi
ériodiquement par accès, dans telle ou telle portions de l'appareil
nerveux
. A cette opinion peu aventurée ne s'ajoute aucu
gens revenus de l'Afrique du Sud sont en proie à une surexcitation
nerveuse
qui se manifeste par l'insomnie et par des rega
s, avec 250 ligures. Leipzig, 1901. Roux. Diagnostic des maladies
nerveuses
. In-16 de xvt 560 pages. J.-B. Baillière, 1901.
Musgrave-Clay. XVII. L'influence des psychoses sur les glycosuries
nerveuses
; par David BL.vrR. (The Journal of Mental Scien
les asiles (de 2 à 5 p. 100 suivant les asiles). Les gly- cosuries
nerveuses
peuvent se diviser en deux groupes, celles qui
o- spinal et lymphatique, et celles qui accompagnent des troubles
nerveux
fonctionnels. Ces dernières sont celles dont l'au
suivant les races, nous montre qu'elle est la maladie des gens très
nerveux
et très émotifs, et la prédisposition nerveuse,
maladie des gens très nerveux et très émotifs, et la prédisposition
nerveuse
, d'ailleurs, est la plus commune des influence»
étiologie : c'est probablement surtout par cette voie de l'hérédité
nerveuse
qu'elle est transmissible, et elle est souvent ai
uise des substances toxiques qui affectent primitivement les fibres
nerveuses
dans toute l'é- tendue du système nerveux. C'es
rimitivement les fibres nerveuses dans toute l'é- tendue du système
nerveux
. C'est de cette manière seulement que l'on peut
augmentent d'intensité lorsque de grandes destructions de cellules
nerveuses
corticales succèdent à des états convulsifs. Il
osition telle que celle-ci : il y a des individus dont les cellules
nerveuses
sont susceptibles de dé- chéance prématurée, et
dépression, et, physiquement, à quelles modifications du sys- tème
nerveux
ces états correspondent, si leurs localisations s
étant toutes les deux associées à un état de dissolution du système
nerveux
, la réduction, dans-le premier cas (mélancolie) s
r cas (mélancolie) se fait le long des lignes sensorielles de l'arc
nerveux
réflexe, et dans le second cas (manie) le long
inze minutes sur un sujet d'ana- tomie et de physiologie du système
nerveux
, après quinze minutes de préparation. 11 sera a
ain est insuffisant. Une policlinique pour les maladies mentales et
nerveuses
doit être annexée à l'hôpital. L'auteur insiste
oitié des cas l'existence chez les ascendants de tares héréditaires
nerveuses
: alcoolisme (29 p. 100), épilepsie, hystérie e
ie J.-B. l3aillière. Baymond (F.). Clinique des maladies du système
nerveux
, hospice de la Salpêtrière, années 1898-1899, c
il révèle peut provenir de sources diverses : épuisement du système
nerveux
, inanition prolongée, auto- intoxication par ré
NFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL. 475 476 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'activité intellectuelle nous montrent qu'ell
elles agissent autrement sur les activités viscérales. PATHOLOGIE
NERVEUSE
Hospice de 131CÜRE, - Service du D1' J. Séglas
italienne). Milan, sept. 1887. Fasc. V. Anno XXIV. 418 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' Riccie. Enfin, blondio=, tout récemment a fa
i résultent d'excitations d'origine interne portant sur les centres
nerveux
. Se basant sur la nature de · l'excitation qui
les auteurs ont édifié la classification suivante : 480 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. typies dyspraxiq2tes. Pour exposer ses observa
différentes stéréotypies dans l'ordre suivant : 482 - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. hanche, la jambe droite croisée devant la gauc
mouvement partiel et un mouvement total du corps. 484 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Une femme internée à la Salpêtrière termine to
de pour se débarrasser de ses persécuteurs. Dans les 486 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. i écrits d'une' aliénée « il y a répété sept
ue. Semaine médicale, n° 2, p. 9, 11 janvier 1899. 488 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les idées délirantes mystiques occasionnent au
e. ' A. Marie, loc. cit. Obs. VI, due à M. Séglas. 490 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Ainsi, voilà réuni chez une même malade un ens
roses et Idées fixes, I, p. 398. Alcan, Paris, 1898. 492 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Actuellement devenu dément, il continue à fixe
le n'explique pas la production de la stéréotypie. 494 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. A ce moment, il s'agitait beaucoup, battait sa
3). ' Morel. Traité des Maladies mentales, p. 360. 496 PATHOLOGIE
NERVEUSE
André L..., âgé de cinquante-six ans, mécanicie
' Knecht, cité par Binder. 1 E. Brissaud. Leçons sur les maladies
nerveuses
, faites à la Salpê- trière, 1893-94. 21' leçon.
oin, Paris, 1895. Archives, 2' série, t. XII. ' 32 498 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le début de l'affection est assez mal 'détermi
ctionnaire JaCCOUd;, t. XXV. 13a118re, Paris, 1883. 500. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. énergique que normalement, qu'ils étaient une
normalement, qu'ils étaient une sorte de dé- charge, de la tension
nerveuse
accumulée dans certaines zones encéphaliques et
ment aux opérations intellectuelles, en dispersant ainsi la tension
nerveuse
. Mais aucune preuve n'est venue confirmer ces d
a raison pourlaquelle ils les exécutaient;' d'emblée 502 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ils ont été automatiques. Par là le grincement
Séance du 28 mai 1894, t. XX. 7° série, p. 123. 504 - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. '\ tique de l'acte épileptique. Des mouvements
rdive de la maladie, pour pouvoir préciser leur origine. CLINIQUE
NERVEUSE
. Le mutisme hystérique dans l'histoire ' ; .
linique et thérapeutique de l'hystérie, tome II. 508 ' . CLINIQUE
NERVEUSE
. Perte de l'ouïe pendant deux ans et de la paro
anque, docteur en médecine, liv. II, obs. V, 1698. 510 - CLINIQUE
NERVEUSE
. On trouve dans Bartholin une histoire à peu pr
Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I. 512 CLINIQUE
NERVEUSE
. - On a cru que la vertu des vulnéraires pouvai
des Sciences, 1738. ' , . ° lllacario. Des paralysies dynamiques ou
nerveuses
, 1859. - " Archives, 2e série, t. XII. 33 514
nerveuses, 1859. - " Archives, 2e série, t. XII. 33 514 CLINIQUE
NERVEUSE
. teurs du XVIIE siècle ; la plupart sont reprod
: il a pu, à côté de types pathologiquement uni- formes de cellules
nerveuses
, discerner des altérations parallèles de la név
jusqu'ici, à tort, accordé peu de valeur aux altérations des fibres
nerveuses
: tout récemment, Siemerling, Starlinger, Benho
par créer, c'est une pathologie intelli- gible à tous de la cellule
nerveuse
et de la névroglie. C'est chez l'homme et non c
nstration par projections lumineuses des modifications des cellules
nerveuses
corticales dans la paralysie générale ; par Geo
lques altérations pathologiques observées dans les grandes cellules
nerveuses
des aliénés, avec étude spéciale de l'état conn
) L'auteur a imaginé une méthode nouvelle pour étudier les tissus
nerveux
qui consiste à y déposer du platine. A l'aide de
aucune connexion ni avec le tissu vasculaire, ni avec les cellules
nerveuses
ni avec les fibres nerveuses. Les cellules de la
tissu vasculaire, ni avec les cellules nerveuses ni avec les fibres
nerveuses
. Les cellules de la mésoglie ont un aspect abso
n'est pas modifié. . R. DE iIIUSGItAVE-CL : 1Y. LXIX. Altérations
nerveuses
dans la cirrhose; par le D1' de BUCK. (Journ. d
le de leurs antago- nistes ne soit éveillée. G. D. LXXI. Cellules
nerveuses
à deux noyaux; par Sano. (Journ. de Nets- rolog
urologie, 1900, nu 22.) En présence de malades atteints de troubles
nerveux
, contre les- quels la suggestion dans le sommei
ivers autres agents qui exercent une action novice sur les cellules
nerveuses
motrices. R. de IUSGIlAV4;-OL1Y. II. Étiologi
décembre 1900.) VII. De l'emploi de la lécithine dans les maladies
nerveuses
; par \V.Danr.n ? wsY (06ooéiié psichiati-ii, I
lus précoces. La lécithine stimule donc le développement du système
nerveux
. Si l'on donne à la lécithine la possibilité de p
favorise le réta blissement de l'équilibre chimique rompu du tissu
nerveux
. Peut- être la lécithine exerce-t-elle aussi un
mille et se mêlent aux autres enfants du village. Quant aux fous et
nerveux
, ici les esprits sont manifestement présents, e
HIE. XVII. La suspension comme méthode de traitement des maladies
nerveuses
; par le Dr OSTANKOFF. (Recueil des travaux de la
le Dr OSTANKOFF. (Recueil des travaux de la cli- nique des maladies
nerveuses
et mentale du professeur 13FCIiTCnEV, Saint-Pét
e 37 cas 544 BIBLIOGRAPHIE. des différentes affections du système
nerveux
. Les résultats obtenus par l'auteur sont présen
dans la circulation générale et dans celle qui alimente le système
nerveux
. La suspension brutale et forcée occasionne des
la pression. interne du crâne. Il résulte une hyperémie du système
nerveux
, qui est surtout prononcée dans la portion lomb
insalubres sur la produc- tion des maladies chroniques du système
nerveux
chez les enfants, 1 par Bourneville, 331. Ali
section de leur cylindraxe, par Mannesco, 123. Anastomoses des -
nerveuses
, par · Crevatin, 127. Modifications des - par l
. Angiome de la- de Broca, par Shoyer, 5'l. Cirrhose. Altérations
nerveuses
dans la -, par de Buck, 1,25. Clonisme. Etude
nérale, par Watson, 520. - des altérations des grandes cellules
nerveuses
chez les aliénés, par 'J'uruer, 50. - de l'hist
r Vigouroux, 542. Glycosurie. Influence des psychoses sur les -
nerveuses
. par Blair, 407. Grossesse. Fausse - chez une
vropathe dégénérée, par Maran- don de Montyel, 36. Fausses - et
nerveuses
, par Lemesle, 358. Gynécologiques. Considératio
lTIO N. L'étude de I ? par Gonzalès, 231. Intoxication du système
nerveux
central par le bromure, la ca- féine, etc., p
on, par Westcott. 406. Lécithine dans la thérapeutique du système
nerveux
, par Hartenberg; 268, - dans les maladies ner-
t des vertigineux de l' -, par Libotte, 534. Palustre. Troubles
nerveux
d'ori- 'gille -, par Brocquet, 311. Poly- név
insalubres sur la pro- dnction des maladies chroniques du système
nerveux
chez les en- fants, par Bournemlle, 331. Prop
. - d'enfants, 367. Suspension. La -comme traitement des maladies
nerveuses
, parOstan- koff, 543. Swcnrworsc. Histoire d'
Histoire d'un vision- naire, par Ballet, 162. Syphilis du système
nerveux
en Algérie, par Scherh. 58. - Du cerveau, par
olisme et de quelques pro- fessions insalubres sur les mala- dies
nerveuses
des enfants, par Bourueville, 331. Syringomye
72. Isolement des malades atteints de -, 168. Tumeurs du SI stème
nerveux
cen- tral, par Michelzzi, aga- zeuses de l'ab
MPLÈTES DE J.M. GH ARGOT LEÇONS sur les MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
RECUEILLIES ET PUBLIÉES par BOURNEVILLE |
ette année : elles seront consacrées à celles des maladies du système
nerveux
et, en particulier, de la moelle épinière, que l'
fluence de l'irritation et de l'inflammation des nerfs ou des centres
nerveux
sur la production des troubles trophiques. — Les
ètes, mais des sections incomplètes, des contusions, etc., des troncs
nerveux
. — Érup-tions cutanées diverses : Érythcme, zona
particulièrement favorables aux recherches, les maladies des systèmes
nerveux
et locomoteur, si communes et par conséquent si i
us entretenir surtout, cette année, de celles des maladies du système
nerveux
et, en particulier de la moelle épiniôre, qui s'o
hiques, développées dans les départe-ments les plus divers du système
nerveux
, ont entre elles, malgré quelques différences spé
ns, la question de savoir quelle a été la circon-scription du système
nerveux
primitivement affectée et d'où dérive la lésion t
es de la nutrition qui naissent sous l'action des lésions des centres
nerveux
ou des nerfs, la, plupart d'entre vous se sont, s
tence de ces troubles trophiques con-sécutifs aux lésions des centres
nerveux
ou des nerfs. Et cependant la physiologie la plus
ies du corps ne dépend pas essentiellement d'une influence du système
nerveux
. La contradiction paraît formelle ; elle n'est
tuent la nutrition ne sont pas sous la dépendance immédiate du sytème
nerveux
, on invoque, vous vous en sou-venez, des argument
-complissent, dans certains organismes sans l'intervention du système
nerveux
. C'est ainsi que les végétaux, quelques ani-maux
aux, quelques ani-maux inférieurs (protozoaires), dépourvus de sytème
nerveux
, n'en vivent pas moins d'une manière très active.
la vie orga-nique, à une époque où il ne possède encore aucun élément
nerveux
? 2° On s'appuie encore sur ce fait que certain
ou d'un acte mental, peut s'effectuer sans l'intervention du système
nerveux
, et se produire sans modifications matérielles co
s inférieures d'animaux, chez lesquels on ne découvre pas de systèmes
nerveux
, et dans le règne végétal où il n'y a pas de rais
de supposer que les nerfs existent, on pour-rait dire que le système
nerveux
vit et se développe chez un animal, à la ma-nière
ées aujourd'hui dominantes, concernant le rôle très effacé du système
nerveux
, dans la nutrition : « Les actes chimiques qui co
par suite de la suppression de toute in-fluence de la part du système
nerveux
. En effet, elles se manifestent avec les mêmes ca
mes caractères dans Vimmobilisation des membres, alors que le système
nerveux
n'est pas direc-tement intéressé. Ces lésions pas
-vasculaires, sur les épithéliums par exemple, à la manière des tubes
nerveux
qui viennent s'appliquer sur les fibres musculair
atomiques eux-mêmes ; chez les végétaux, en l'absence de tout système
nerveux
, on voit les tissus s'enfler subitement, les cell
, s'accrois-sent et se multiplient avant l'apparition de tout élément
nerveux
périphérique. La nutrition est donc une propriété
l est évident que la nutrition des tissus est indépendante du système
nerveux
. » « Les trou-bles secrétaires, ceux d'absorption
ophiques qui surviennent à la suite de cer-taines lésions des centres
nerveux
est frappante : les premières sont lentes à se pr
il cas, dans le membre correspondant, à l'absence d'action du système
nerveux
con-sécutive à la section du nerf. M. Brown-Séqua
de M. Hauser Nouvelles recherches relatives à l'influence du système
nerveux
sur la nutrition. Pauls*, \sm. organes génitaux
sversale complète, ne résultent pas directement de l'absence d'influx
nerveux
; elles sont la conséquence de la pression prolong
tale, il résulte, comme on le voit, que l'absence d'action du système
nerveux
déterminée par la section complète des nerfs péri
qui ont pour résultat d'anéantir ou de sus-pendre l'action du système
nerveux
, n'ont pas le pouvoir de l'aire naître dans les
es lésions qui déterminent,soit dans les nerfs, soit dans les centres
nerveux
, une exaltation de leurs propriétés, une irritati
aucun doute, dans cette circonstance que, chez ces derniers le tissu
nerveux
parait résister, bien mieux que chez l'homme, aux
expériences propres à montrer que les lésions irritatives des tissus
nerveux
sont capables de déterminer des troubles trophiqu
ques cas d'affection de la peau, dépendant d'une influence du système
nerveux
, par J.-XI. Gharcot, suivies de Remarque* sur le
XI. Gharcot, suivies de Remarque* sur le mode (d'influence du système
nerveux
sur la nutrition. Brown-Séquard. Journ. de physio
able que V excitât ion morbide, l'irritation des nerfs ou des centres
nerveux
sont, au contraire, de nature, sous de certaines
s. Par quelle voie, par quel mécanisme cette irritation du sys-tème
nerveux
vient-elle retentir sur les parties périphériques
premier abord semblables et portant sur les mômes points des systèmes
nerveux
central ou périphérique, produisent, dans les cas
sont tout simplement, du moinsen général, ceux de l'absence d'ac-tion
nerveuse
; 2° tantôt, résultant de plaies, de contusions,
emblable qu'elle dépend alors de l'irritation que subit quelque filet
nerveux
tiraillé ou comprimé dans le tissu cica-triciel.
ues cas d'affection de la peau, dépen-dant d'une influence du système
nerveux
. In Journal de physiologie, L. II, no 5, janvier
ain et des doigts, et probablement consécutive à la lésion des filets
nerveux
qui se distribuent à ces parties, (OEuv. compl,,
îerfs qui soustrait absolument les parties à l'influence du sys-tème
nerveux
. Quoi qu'il en soit, l'influence de l'irritatio
termi-nant, par compression, sans interrompre la continuité des tubes
nerveux
, une irritation plus ou moins vive. —Le cancer de
t, dans les trous de conjugaison qui leur donnent passage, les troncs
nerveux
d'où émane ce plexus. La moelle cervicale et les
jugaison du côté droit, on trouva les ganglions spinaux et les troncs
nerveux
eux-mêmes., tuméfiés et vivement colorés en rouge
lifération cellu-laire spéciale, siégeant dans l'intervalle des tubes
nerveux
dont elle détermine la destruction lente. Les ner
trale, hématomyélie, etc. 6) Lésions irritatives des grandes cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la substance grise avec
ilaments axiles persistent; il a trouvé les filaments dans les fibres
nerveuses
des nerfs coupés depuis cinq mois chez les mammif
ement reconnu, d'il M. Vulpian (Leçons su?- la physiologie du système
nerveux
, 1866, p. 239), l'exis-tence de ce filament axile
du nerf sciatique. 2. Longet. — Anatomie et physiologie du système
nerveux
, t. I, p. 63, 1842. 3. Brown-Séquard. — Bulleti
férence qui peut exister, au point de vue de leur action sur la fibre
nerveuse
ou sur le fais-ceau musculaire, entre l'excitatio
oreille; il esta nu dans une certaine Hendue. De tous côtés, le tronc
nerveux
est enveloppé par une masse de tissu eonjonclif i
e frontal gauche est pâle, flasque, aminci. Dans le point où le tronc
nerveux
est enveloppé par la masse du tissu eonjonclif, o
la masse du tissu eonjonclif, on aperçoit, interposé entre les fibres
nerveuses
, beaucoup de tissu conjoncttf fibrillaire avec de
aire avec de nombreux noyaux ovalaires, faiblement grenus. Les fibres
nerveuses
elles-mêmes présentent, en certain nombre, les di
ont conservé les caractères de l'état normal. Quelques-uns des filets
nerveux
qui se rendent au muscle frontal ne renfermen! gu
x qui se rendent au muscle frontal ne renfermen! guère que des fibres
nerveuses
dégénérées ; d'autres, appartenant vraisembla-ble
ilisation peut, à elle seule, en dehors de toute influence du système
nerveux
, provoquer dans cer-tains organes, dans certains
isais il y a un instant, a été 1. Vnlpian. — Physiologie du système
nerveux
, 1866, p. 345. 2. Expérience clc M. Gliauveau,
er. — Deulsch. Klini/i, 1865, n" 30. mal, par la section des troncs
nerveux
, puisque, dans ces der-nières, le caractère en qu
défaut. Nous devons examiner actuellement si les lésions des troncs
nerveux
qui provoquent une prompte modification de lacon-
ent en aucune façon dans les cas de section pure et simple des troncs
nerveux
(2) .Les affections développées spontanémentprê-t
ent développée, qui a dû, pendantun certain temps, irriter les fibres
nerveuses
avant d'en déterminer l'apla-tissement complet. I
ations positives, — à l'inflammation de la gaîne conjonctive du tronc
nerveux
(4). Je n'ignore pas que les sections complètes
actuellement, com-ment, étant donnée la lésion irritative des troncs
nerveux
dont nous venons de reconnaître l'existence, on p
ci de très bonne heure (versle5°jour), comme dans le cas des sections
nerveuses
, et se rattacherait elle-même à la dégénération d
ssez profondes pour interrompre complètement la continuité des fibres
nerveuses
et amener la destruction du cylindre de myé-line.
moins affectée que la sensibilité musculaire, dans ces mômes lésions
nerveuses
. Duchcnne de Boulogne, loc. cit., p. 216). 2. Mit
graisseuse de lagaincmédullaire et àlaperted'ex-citabilité des fibres
nerveuses
qui seraient la conséquence de cette altération.
vaisseau musculaire primitif, par la voie des dernières ramifications
nerveuses
. La rapidité avec laquelle se produirait ce troub
lité, ne l'ont recouvrée que par la nutrition, puisque ni les centres
nerveux
, ni le nerf sciatique ne pouvaient la leur donner
ances suffisantes déjà pourfaire présumer que l'irritation des filets
nerveux
a pu intervenir ici, comme elle intervient, suiva
s ou moins épaisse de tissu fibreux se trouve interposée aux fibres
nerveuses
qui ont subi tes diverses phases de fa dégénérati
de fa dégénération granulo-graisseuse, et, en conséquence, le cordon
nerveux
a acquis une consistance qui lui permet de résist
définitivement éteinte dans les nerfs complètement séparés du centre
nerveux
, puis-qu'ils peuvent se régénérer sans qu'il y ai
étail des observations, il n'est pas difficile 1. Vulpian. —Système
nerveux
, loc. cit.. p. 209, de reconnaître que cette co
les animaux, à la suite de l'écrasement ou de la ligature des troncs
nerveux
, sont com-parables aux accidents qui se produisen
s effets de ïabsence d'ac-tion et ceux de l'action morbide du système
nerveux
, que nous avons fait valoir déjà, à propos des af
lésions de la moelle ÉP1NIÈRE Les lésions irritatives des centres
nerveux
, comme celles des nerfs, ont le pouvoir de produi
s cornes antérieures, ou épargnent tout au moins les grandes cellules
nerveuses
multipolaires qui siègent dans cette région. Tell
qui vient d'être signalée, à savoir l'intégrité des grandes cellules
nerveuses
se trouve remplie, les lésions dont il s'agit peu
scopi-quement, de la manière la plus nette, l'altération des cellules
nerveuses
à laquelle doit être rattachée, suivant moi, la l
auteur, et plus particulièrement les cornes antérieures. Les cellules
nerveuses
présentaient à ce niveau, pour la plu-part, des l
n des muscles tant qu'elles n'intéressent pas le système des cellules
nerveuses
motrices. On ne conçoit guère d'exception que pou
perait la partie de ces cordons que traversent les faisceaux de tubes
nerveux
d'oùémanent les racines antérieures. Pour peu que
ffectés en premier lieu ? Tout porte àcroire que ce sont les cellules
nerveuses
. On comprendrait difficilement, en effet, que l'a
d'un certain nombre, voire même d'un groupe tout entier, de cellules
nerveuses
, est la seule altération que l'examen histologi
oup plus accusées vers les parties centrales d'un agrégat de cellules
nerveuses
, que dans les parties périphériques, beaucoup plu
nnent d'être émises relativement au rôle de l'altération des cellules
nerveuses
, dites motrices, dans la pathogénie de l'atrophie
rritation suraiguë s'empare tout à coup d'un grand nombre de cellules
nerveuses
et leur fait perdre subite-ment leurs fonctions m
Nerve Cells, p. 683. New-York, 1861. 1. Sur l'atrophie des cellules
nerveuses
motrices dans la paralysie infantile, consultez :
lus ici d'un processus d'irritation suraiguë envahissant les cellules
nerveuses
tout à coup et en grand nombre : celles-ci sont a
us appelions votre attention, il n'y a qu'un seul instant, la cellule
nerveuse
n'est, au contraire, affectée que secondairement,
e ces affections se rattachent, elles aussi, aune lésion des cellules
nerveuses
motrices. La paralysie spinale de l'adulte rappel
le plancher du quatrième ventricule, soit sur les fais-ceaux de tubes
nerveux
émanant de ces agrégats, peuvent, ainsi que je l'
que, suivantles recherches les plus récentes, les lésions de cellules
nerveuses
antérieures jouent dans la production des trouble
if y a lieu de rechercher, Messieurs, pourquoi la lésion des cellules
nerveuses
motrices entraîne avec elle celle des fibresmuscu
pas assez délicats pour permettre d'atteindre isolément les cellules
nerveuses
. Il faut donc se borner, pour le moment à enregis
er que, — comparables en cela aux nerfs périphériques, — les cellules
nerveuses
motrices ont le pouvoir, lorsqu'elles sont devenu
s ceux-là, et inversement. L'anatomie montre d'ailleurs que les tubes
nerveux
qui constituent les nerfs ne sont que pour une pa
trophiques qui se mon-trent consécutivement aux affections du système
nerveux
, j'es-pérais que ma tâche pourrait être menée à b
te s'est couverte d'une éruption de zona limitée au trajet des filets
nerveux
occupés par les fulgurations douloureuses. Une tr
ritation que subissent, dans leur trajet intra-spinal, ceux des tubes
nerveux
émanant des racines postérieures, qui, sous le no
ès fulgurants d'une intensité anormale ?I1 est certain que les fibres
nerveuses
qui constituent les faisceaux radiculaires intern
ai souvent pensé que cette connexité entre l'interruption de l'action
nerveuse
et la formation des bulles pouvait quelque jour é
enons, Messieurs, au décubitus provoqué par les ma-ladies des centres
nerveux
. Vous connaissez trop bien les ac-cidents que les
, observées chez les alié-nés et dans diverses affections des centres
nerveux
, sont cau-sées parle « transport dans le poumon,
tes, le trochanter dépouillé de son périoste, les muscles, les troncs
nerveux
, les branches artérielles d'un certain calibre mi
ion des cellules ner-veuses motrices et des cylindres d'axe des tubes
nerveux
dans certains cas de myélite. (Archiv. de physiol
tion, ducôté opposé à la lésion spinale tend à établir que les fibres
nerveuses
dont l'altération provoque, en pareil cas, la mor
, accompagné de douleurs vives suivant le trajet des principauxtroncs
nerveux
. On s'aperçut un matin, peu de temps après l'appa
le. Les trou-bles de la nutrition consécutifs aux lésions des centres
nerveux
ont assez fréquemment pour.siège les jointures. L
présenté aucune altération ; au contraire, un certain nombre de tubes
nerveux
,dans les filets nerveux qui constituent la queue
on ; au contraire, un certain nombre de tubes nerveux,dans les filets
nerveux
qui constituent la queue de cheval,offraient les
cérébrale, résultent généralement d'une irritation directe des fibres
nerveuses
encéphaliques, il ajouta : « Ce sont là des sensa
auses trau-matiques capables de déterminer un ébranlement des centres
nerveux
. D'un autre côté, beaucoup d'affections de la moe
lement reconnaissables lesârthropathies liées aux lésions des centres
nerveux
et permet-traient de les distinguer les arthrites
on de troubles trophiques relevant directement de la lésion du centre
nerveux
spinal. Voici, d'ailleurs, en quelques mots, les
nt atrophiées et dé-formées et un certain nombre des grandes cellules
nerveuses
, celles du groupe externe surtout, avaient diminu
onge qu'une lésion irrita-tive, primitive ou secondaire, des cellules
nerveuses
descornes antérieures de la substance grise spina
-naires qui. elles-mêmes, relèvent d'une influence directe du système
nerveux
. Théorie de la production des troubles trophiqu
production des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système
nerveux
. — Insuffisance de nos connaissances à cet égard.
Conclusions. Messieurs, Le retentissement des lésions du système
nerveux
ne se fait pas sentir seulement sur les parties p
mérer rend au moins fort vraisemblable une ac-tion directe du système
nerveux
dans la production de l'affec-tion des voies urin
t des troubles trophiques survenant à la suite des lésions du système
nerveux
n'est pas, au moins en général, — contrairementàu
certaines conditions, soit les nerfs périphériques, soit les centres
nerveux
eux-mêmes. Nous sommes ainsi en possession d'une
de la con-traction des petits vaisseaux déterminées par une influence
nerveuse
. Mais en ce qui concerne spécialement les trouble
près identiques, à la suite d'un grand nom-bre de lésions des centres
nerveux
ou des nerfs périphériques. Les conséquences de c
5. Sinitzin. — Centralblatt, 1871, p. 161. 6 Cl. Bernard, — Système
nerveux
, t. Il, p. 65, 1865. plusieurs fois l'hypérémie
que les troubles trophiques liés aux lésions irritatives des centres
nerveux
se trouvent au moins dans un bon nombre de cas, d
pplication très limitée, car le décubitus aigu par lésion des centres
nerveux
peut se produire dans maintes circonstances, à la
ière, par exemple (3), sur 1. CT. Bernard. — Physiologie du système
nerveux
, 1. II, p. 535. Paris, 1858. — Med. Times and Gaz
ubles trophiques qui surviennent en conséquence de lésions du système
nerveux
. L'expérimentation physiologique, dans ces dern
ue, dans ces dernières années, a fait connaître l'existence de filets
nerveux
centrifuges dont l'irritation a pour effet de pro
ganglionnaires qui sont distribués en grand nombre sur les extrémités
nerveuses
intra-glandulaires. Ceux-ci réagiraient à leur to
dulaires. Ceux-ci réagiraient à leur tour parune sorte d'interférence
nerveuse
(2) sur les filets nerveux du grand sym-pathique,
t à leur tour parune sorte d'interférence nerveuse (2) sur les filets
nerveux
du grand sym-pathique, nerf constricteur des vais
nsemble de ces résultats, il paraît évidentquel'in-fluence du système
nerveux
sur la sécrétion sous-maxillaire ne peut-être exp
rrivé cepen-dant à démontrer que, dans la corde du tympan, des fibres
nerveuses
différentes sont affectées à la sécrétion et à la
hénomène peut être étudié en dehors de toute in-tervention du système
nerveux
. Je les emprunte à une leçon professée au Muséum
le. En ce moment, il ne saurait être question de la moindre influence
nerveuse
. Si l'on place une gouttelette de nicotine sur un
h and foreign Review, t. XVI, 1855, p. 19. 2. 0. Weber, loc. cit.
nerveux
. Pour appliquer maintenant cette donnée au cas de
ait parvenue à suvire, au moins chez la grenouille, des terminai-sons
nerveuses
jusque dans les nucléoles des corpuscules de la c
ion des lésions de nutrition développées par une influence du système
nerveux
. Or, dans cette théorie, telle du moins que l'a f
ru, et qui mettent hors de doute l'influence des lésions des cellules
nerveuses
antérieures sur le dévelop-pement des diverses es
te que les excitations, produites sur un point quelconque d'une fibre
nerveuse
sensitive ou mo-trice, se propagent aussitôt et s
série, n° de mai 1872, p. 480. 2. Vulpian. — Physiologie du système
nerveux
, p. 290. supposer que les irritations pathologi
dans la direction centrifuge jusqu'à l'extrémité terminale des filets
nerveux
, c'est-à-dire dans les papilles du derme, ou enco
'admettre que les irritations pathologiques, portant sur les cellules
nerveuses
des cornes antérieures, seront transmises quelque
s quelquefois jusqu'aux faisceaux musculaires, par la voie des filets
nerveux
qui transmettent à l'état physiologique les excit
e au moins des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système
nerveux
trouveront peut-être dans cette hypothèse leur ex
s une étude qui intéresse à un si haut degré la pathologie du système
nerveux
tout entière. 1. Voir Langerhans. — Virchow's A
s haute importance dans l'histoire des maladies chroniques du système
nerveux
qui s'accompa-gnent de tremblement. De nos jours,
qui s'exerce d'une manière intermittente, rythmique, sur les centres
nerveux
. Ce serait donc là un phénomène convulsif, — trem
drait d'un défaut de stimulus, résultant de l'insuffi-sance du fluide
nerveux
, dont la fonction est de faire con-tracter les mu
temps relativement considérable. On croirait que, chez lui, l'influx
nerveux
ne puisse être mis enjeu qu'après des efforts ino
euls progrès de leur affection, par une sorte d'épuisement du système
nerveux
, et il est parfaitement exact, ainsi que l'ont an
érale, la paralysie agitante est une des affections graves du système
nerveux
dont la durée est la plus longue. Elle peut durer
ullement question, dans le texte allemand, de l'atrophie des éléments
nerveux
, non plus que des caractères de la dégénération g
ion des noyaux qui entourent l'épcndyme ; — pigmentation des cellules
nerveuses
, très prononcée, principalement dans les cellules
st, en premier lieu, l'influence des violents ébranlements du système
nerveux
: l'effroi, la ter-reur, une fâcheuse nouvelle ap
— Notions d'histologie normale concernant la moelle épinière. — Tubes
nerveux
. — Névroglie : sa distribution. — Couche cor-tica
pes de plaques scléreuses à l'état frais. — Modification des cellules
nerveuses
. — Mode de succession des lésions. Messieurs,
, dans les cas les plus accentués, sur ces divers segments du système
nerveux
: d'abord extérieurement, puis sur des coupes.
trajet des plaques scléreuse en tout semblables à celles des centres
nerveux
, du moins sur les portions de ces nerfs voi-sines
n effet, les plaques siéger sur des régions très diverses des centres
nerveux
, suivant les cas, et il est clair, qu'à ces varié
ntimes. Toutefois, vous le savez, l'anatomie histologique des centres
nerveux
est, sous quelques rapports, toute nouvelle; bon
amp de nos études, nous ne nous arrêterons pas à décrire les éléments
nerveux
proprement dits, tubes ou cellules ; nous n'insis
aut attribuer le rôle capital dans certaines altéra-tions des centres
nerveux
et en particulier dans les cas qui nous ocupent (
d'une manière bien moins prononcée; et, pour ce qui a trait aux tubes
nerveux
, seul le cylindre d'axe prend la couleur du carmi
tronçons cylindriques, très minces, résultant de la section des tubes
nerveux
, lesquels tubes sont là, dans cette partie de la
anneau, ou mieux, une zone, d'une certaine épaisseur et où les tubes
nerveux
font absolument défaut. Cette zone est recouverte
les plus larges réunissent, sous forme de faisceaux, huit, dix tubes
nerveux
, ou même un plus grand nombre, tandis que les plu
points de la préparation, où, par suite de la distribution des tubes
nerveux
, le squelette con-jonctif persiste seul. Plus e
la commissure antérieure, au contraire, en raison des nom-breux tubes
nerveux
à direction transversale qu'elle contient, est be
ont les plus étroites sont assez larges encore pour conte-nir un tube
nerveux
. S'agit-il découpes longitudinales? On voit les t
posé sous forme de cloisons qui séparent les uns des autres les tubes
nerveux
et les entourent à la manière d'une çaîne. Les vi
e çaîne. Les vides qui existent çàet là, entre les gaines elles tubes
nerveux
, sem-blent comblés par une petite quantité d'une
s mailles du réseau fibroïde, surtouL dans les points où les éléments
nerveux
manquent, y sont plus serrées que dans la substan
eloppées, qu'il devient fort difficile de les distinguer des cellules
nerveuses
; mais nous aurons l'oc-casion d'insister sur ce
ussi dans les parties des faisceaux blancs où n'existent pas de tubes
nerveux
, dans la couche cor-ticale (Rindenschicht),parexe
ant l'intervention des réactifs, les espaces intermédiaires aux tubes
nerveux
seraient remplis, non par des trabécules solides
e. On reconnaît qu'il existe à l'état normal, interposée aux éléments
nerveux
, — à la vérité en faible pro-portion, — de la mat
u devoir vous présenter relativement à l'histologie normale du centre
nerveux
spinal, je n'ai plus qu'un mot à ajouter touchant
s disLincte, par suite de l'épaississement des trabécules ; les tubes
nerveux
paraissent plus distants les uns des autres ; en
culum, paraît plus abondante que dans l'état sain (2). b) Les tubes
nerveux
, deuxième zone, que l'on pour-rait appeler zone d
x). Ces fibrilles sont disposées parallèlement au grand axe des tubes
nerveux
: c'est pourquoi on n'en aper-çoit guère, sur les
is, en outre, elles envahissent les mailles qui contiennent les tubes
nerveux
, à mesure que ceux-ci s'amoin-drissent en se dépo
nte du processus morbide ; je veux parler de la destruction des tubes
nerveux
. Toutefois, avant d'entrer dans les développement
alors que, par une section complète, ils ont été séparés des centres
nerveux
. Au préalable, je vous rappellerai que, dans le
ble, je vous rappellerai que, dans les nerfspériphé-riques, les tubes
nerveux
sont essentiellement constitués, comme dans la mo
ntes (1), paraît ne pas exister sur les tubes plus grêles des centres
nerveux
, ou ne s'y montrer tout au moins qu'à l'état rudi
produit une sorte de coagu-lation de la substance médullaire du tube
nerveux
, en petites masses plus ou moins irrégulièrement
ation faisant de nouveaux progrès, la gaine de Schwann de chaque tube
nerveux
renferme bientôt, non plus des masses irrégulière
se plisse si bien que, lorsqu'on examine un certain nombre de fibres
nerveuses
juxtaposées, ainsi altérées, on croirait \roir, s
, plusieurs semaines ou même plusieurs mois après la section du tronc
nerveux
(1). En résumé, dans les conditions de nouvelle
les conditions de nouvelle nutrition où se trouvent placés les tubes
nerveux
par suite de la section du nerf, la matière médul
ne feraient que se dissocier dans le cas de la degeneration des tubes
nerveux
. Sur ce sujet, voyez encore Rindfleisch, loc. cil
la désagrégation de la myéline dans le cas de la section d'un cordon
nerveux
. Poursuivons les analogies: sur les coupes long
sous forme de longues traînées parallèles à la dir ec tion des tubes
nerveux
( 1 ) ; sur les coupes transversales, elles const
s cela n'a rien qui puisse surprendre lorsque l'on sait que les tubes
nerveux
de la moelle ^sont dépourxms de cette gaîne cellu
où la métamorphose fibrillaire et fe travail de destruction des tubes
nerveux
sont terminés. Au contraire, elles occupent toujo
ndre médullaire s'amoin-drit progressivement, puis disparaît, le tube
nerveux
n'étant plus représenté finalement que par le cyl
que les débris, les détritus provenant de la désagrégation des tubes
nerveux
(1). Que deviennent, par la suite, ces granulat
parties où se rencontrent les produits de la désagrégation des tubes
nerveux
, les gaînes lympha-tiques des petits vaisseaux re
mitive et secondaire, et, en un mot, dans des affec-tions des centres
nerveux
très diverses, mais qui ont toutefois ceci de com
de commun, qu'elles déterminent la dégénération grais-seuse des tubes
nerveux
. Le véritable caractère de ce phéno-mène paraît a
avril 1866 ; thèse de Paris, 1867, p. 44. qu'éprouvent les cellules
nerveuses
, lorsque, par suite de l'en-vahissement de la sub
ques qui la distin-guent des autres formes de la sclérose des centres
nerveux
, et aussi de plusieurs espèces de myélite ou d'en
el appareil de symptômes se révèle la sclérose en plaques des centres
nerveux
(1). 1. Dans une note publiée dans les Archives
205), lorsque M. Ranvier démontra que le tissu conjonctif des centres
nerveux
ne diffère pas essentiellement de celui des autre
dente, les lésionsanafomiques delà sclérosemultiloculaire des centres
nerveux
. Laissant donc de côté cette partie de son histoi
es autres formes, mieux connues, de la sclérose primitive des centres
nerveux
, il convient de signaler en premier lieu la diver
ns pas plus loin ; votre malade réunit peut-être en lui la pathologie
nerveuse
tout entière. » Or, Messieurs, je le répète, il
n progrès sérieux dans la clinique des maladies chroniques du système
nerveux
. Dans ces derniers temps, M. Baerwinkel, médeci
déjà de séparer cliniquement la sclérose multilo-cnlaire des contres
nerveux
de quelques affections qui s'en rapprochent assez
la mort, des plaques de sclérose occupant toute l'épaisseur du cordon
nerveux
ont été trouvées sur les nerfs optiques, dans le
isse invo-quer pour montrer que la continuité fonctionnelle des tubes
nerveux
n'est pas absolument interrompue, bien que ceux-c
mènes qui marquent le début de la sclérose multiloculaire des centres
nerveux
. Autant que j'en puis juger, d'après les renseign
ous ai présenté comme un type de sclérose multilocu-laire des centres
nerveux
, il me reste à diriger votre attention sur l'état
, s'était communiqué, en certaines régions de la moelle, aux cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la substance grise et c
clusivement, tant s'en faut, à la sclérose multiloculaire des centres
nerveux
. Us seront donc étudiés à part, d'une façon génér
Etiologie. — Influence du sexe et de l'âge.— Hérédité. — Affections
nerveuses
antérieures. — Causes occasionnelles : action pro
pléter le tableau. Parmi les autres maladies organiques des centres
nerveux
dans lesquelles on observe fréquemment les attaqu
e, il m'a toujours été impossible de découvrir, soif dans les centres
nerveux
, soit dans les viscères, une région récente conge
ut découvrir aucune trace d'une lésion récente, soit dans les cen-tre
nerveux
, soit dans les viscères. Le second cas est celu
lle : Études cliniques et thermométriques sur les maladies du système
nerveux
. Paris, 1870-73. Charcot. Œuvres complètes, t.
. Des crises gastriques, p. 56. — Leçons sur les maladies du sys-tème
nerveux
, t, II, 1873, Leçon II, p. 36,) plus longuement
:, et spinale correspondant à un envahissement incom-plet des centres
nerveux
parla sclérose, c'est, si Ton veut, la maladie ar
869.) enfin du traitement de la sclérose multiloculaire des centres
nerveux
. Malheureusement, les documents que je pourrait i
qu'affectent les îlots scléreux dans les diverses parties du système
nerveux
central, nous est, quant à présent, complètement
le siège des îlots sclérosés dans les divers départements des centres
nerveux
, peut-on en déduirelaproductiondesphénomènes dont
plus prononcée que dans les autres formes de la sclérose des centres
nerveux
. Elle peut être invoquée encore, je crois, pour r
ainsi dire, à l'origine de toutes les maladies chroniques du système
nerveux
central. C. Le pronostic jusqu'ici est des plus
s concernant les troubles trophi-ques liés à une influence du système
nerveux
, j'essayais, vous vous en souvenez sans doute, dé
n complètement effacés. 1. Voy : Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. II, l''e et 2° parties. 2. Charcot, loc. ci
s, M. Laycock y est revenu dans son livre bien connu sur les Maladies
nerveuses
des femmes (1840). Partout ailleurs, si l'ischuri
hèse. Ilestplutôt admissible qu'il faut invoquerune action du système
nerveux
. L'influence du système nerveux sur l'excrétion u
il faut invoquerune action du système nerveux. L'influence du système
nerveux
sur l'excrétion uri-naire n'est pas douteuse: qu'
de son côté, survenir, sous l'influence d'une irritation des centres
nerveux
, une contraction très prononcée de ces mêmes cana
rique. Où réside-t-il ? Faut-il invoquer ici une influence du système
nerveux
, ana-logue à celle que Ludwig a découvert à propo
t. III, p. 376.) 2. Luys. — Iconographie photographique des centres
nerveux
, p. 16. localisation ne saurailêtre poussée plu
très brève qui en a été donnée dans le Traité des maladies du système
nerveux
de M. Rosenthal. Depuis lors, nous avons pu nous
nde. Il existe dans la clinique des maladies organiques des centres
nerveux
un appareil symptomatique peu connu, peu remarqué
a été insérée dans le tome II des Leçons sur les maladies du sys-tème
nerveux
, p. 358. (Note de la 3e éd.). hystérique. Du cô
imum l'excitabilité réflexe de la moelle, si cette partie des centres
nerveux
est irritée dans sa partie inférieure, il sera im
cessé d'être réglée^jLy, a .quatre ans, et malgré cela, les accidents
nerveux
persistent. Nous vous faisions reconnaître, tout
|!) ^Voy. Fig. 19, 20 et 21.) L'origine vraisemblable des accidents
nerveux
chez Ler..., mérite d'être signalée. Elle a eu, c
e 1867. p. 632 et suiv. — Charcot. Leçons sur les Maladies du Système
nerveux
, 1« édition, 1872-1873, pp. 218, 307, 319.) Tou
aractère se trouve déjà mis en relief dans les Leçons sur le sys-tème
nerveux
de R.-13. Todd. Voir la Leçon X, sur VHémianest
d'anesthésie ; la malade, tout en avouant avoir éprouvé des troubles
nerveux
bizarres, niait l'existence passée des véritables
dexùngt-deuxans,trèsnerveuseetappartenantàunelàmill où les affections
nerveuses
prédominent,fut prise,il yatroisans, tout à coup,
raîtrait comme elle apparaît dans tant d'autres affections du système
nerveux
, à titre d'élément accessoire, sans rien changer
i. Dunanl. — De Vhysléro-épilepsie, p. 11. 3. Ranciras. — Maladies
nerveuses
, i. I. p. 205. M. Beau, qui a étudié dans cet h
rer de ce mode d'exploration dans la clinique des maladies du système
nerveux
. Ce n'est pas, Messieurs, que, sous le rapport
e. — Études cliniques et thermo-métriques sur les maladies du système
nerveux
, p. 247: — Bévue phot. des hôp., 1869. Mais si,
72, dans nos Études cliniques et thermom. sur les maladies du système
nerveux
. (Obs. XXXIII, p. 285.) Depuis cette époque, Chev
ents choréiformes rythmiques. 1. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, p. 330. Il est au moins fort vraisemblab
é ces jours-ci, par des expé- i. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, l. I, p. 320. riences répétées, et ainsi que v
rsqu'elle n'avait que 12 ans. Sa mère, qui a succombé à 74 ans, était
nerveuse
, s'emportait tacitement, mais n'avait pas de trem
bres de sa famille qu'elle a connus n'aurait été atteint d'affections
nerveuses
et en particulier de tremblement. Gavr... est v
hez plusieurs sujets atteints 1. Leçons sur les maladies du système
nerveux
. lie édition, p. 145. de maladie de Parkinson q
te sa vigueur, lorsque l'hystérique est à l'époque d'une grande marée
nerveuse
, en étatdemal, ou sort d'une crise. M. Charcot
trajetdu nerf médian. Si l'on insiste, il s'ensuit une sorte de crise
nerveuse
qui, plusieurs fois, a amené une perte de connais
l'accident qui l'a amenée à l'hôpital de Saint-Denis. Elle était très
nerveuse
, très irritable : mais jamais il ne s'était produ
ise, des dou-leurs plus profondes localisées sur le trajet des troncs
nerveux
, ou paraissant quelquefois siéger plus spécialeme
subsistent à l'état d'isolement, sans adjonction d'autres phénomènes
nerveux
. À ce double point de vue, on doit les considérer
oir chez les petites filles de 10 à 12 ans, parexemple, soit une toux
nerveuse
, soit un torticolis spasmodique, ou encore la con
e consolida comme dans les conditions ordinaires ; mais les symptômes
nerveux
persistèrent pendant plusieurs semaines et cédère
uer que, deux ans auparavant, cette femme avait éprouvé des symptômes
nerveux
analogues, à l'occasion d'une lésion légère du co
étendit enfin aux autres membres. (Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1.1. p. 185.) Les principales particularités d
ette année : elles seront consacrées à celles des maladies du système
nerveux
et, en particulier, de la moelle épinière, que l'
fluence de l'irritation et de l'inflammation des nerfs ou des centres
nerveux
sur la production des troubles trophiques. — Les
ètes, mais des sections incomplètes, des contusions, etc., des troncs
nerveux
. — Érup-tions cutanées diverses : Érythème, zona
ale, hématomyélle, etc. — b) Lésions irritatives des grandes cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la substance grise avec
-naires qui, elles-mêmes, relèvent d'une influence directe du système
nerveux
. Théorie de la production des troubles trophiqu
production des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système
nerveux
. — Insuffisance de nos connaissances à cet égard.
Notions d'histologie normale concernant la moelle épinière. — Tubes
nerveux
. — Névroglie : sa distribution. — Couche cor-tica
pes de plaques scléreuses à l'état frais. — Modifications de cellules
nerveuses
. — Mode de succession des lésions................
. Etiologie. — Influence du sexe et de l'âge.— Hérédité. — Affections
nerveuses
antérieures. — Causes occasionnelles : action p
hies dans 1' —, progressive, 122. — Lésions inci-tatives des cellules
nerveuses
dans T — 69 ; — sa tendance à la gé-néralisation,
agie des) dans les lésions spinales, 128. Catalepsie, 447. Cellules
nerveuses
motrices des cor-nes antérieures de la substance
uction des troubles trophiques, 72. — Dégénération jaune des cellules
nerveuses
, 218, 219. — Lésions des — dans la sclérose en pl
Griffe dans un cas de sclérose en plaques avec lésions des cellules
nerveuses
, note, 63 ; — dans la pa-ralysie agitante, 170.
H TRLES HÉRISSE). ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES )'LR'fËnSOUSLDH : j;CrtO't)E J ?
d libre ; il se continue en effet en une mince lamelle de substance
nerveuse
qui s'in- curve en dehors, forme la paroi inter
ne couche de substance blanche (0, /%'. ,8,) formée de fines fibres
nerveuses
: ce revêtement blanc, auquel les anatomistes a
plus profondes LA CORNE D'AMMON. 5 succède une couche de cellules
nerveuses
étoilées ou fusiformes. 5° Enfin vient la couch
ructure de l'écorce, c'est-à-dire de la distri- bution des éléments
nerveux
. 3" La couche des cellules pyramidales est form
ment (c. feg. 2). 4° Rien de particulier pour la couche de cellules
nerveuses
étoilées (d, fig. 2), non plus que pour la couc
m de stratum granulosum; Arndt et Meynert ayant reconnu la nature
nerveuse
(cellules) de ses éléments, Meynert LA CORNE D'
de la formation ammonique. 4° Au- dessous est la couche de cellules
nerveuses
étoilées, et enfin, 5° la couche médullaire de
e cellules pyramidales (stratum racliaitim), une couche de cellules
nerveuses
étoilées, et enfin la subs- tance blanche; seul
ance conjonctive ou de matière unissante interposée entre la couche
nerveuse
profonde et ce qui représente dans la corne d'A
consi- dère les éléments du stratum granulosum comme des cellules
nerveuses
. Depuis cette époque, la formation ammonique a
, stratum granulosum ; c, stratum tadiatum; d, couches des cellules
nerveuses
étoilées ; couette de substance blanche médulla
calise dans la protubérance, à l'endroit où en émergent les racines
nerveuses
. C'est précisément de ce noyau que tire son ori
stiforme et le méat auditif interne, à un certain nombre de tubes
nerveux
très déliés, qui contribuent à la formation du
. 170.) DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF AUDITIF. 39 de filaments
nerveux
, émergeant en totalité du tronc du nerf auditif
Ces deux faisceaux se. distinguent par le caractère de leurs tubes
nerveux
. 2° Dans le tronc du nerf auditif, principaleme
e, se trouvent des îlots de substance grise, contenant des cellules
nerveuses
. Pour le tissu réticulaire, aussi bien que pour
es. Pour le tissu réticulaire, aussi bien que pour les cel- lules
nerveuses
revêtues de membranes, ces îlots sont identique
ki ` (v. Rente, loc. cit., p. 461) distingue deux espèces de fibres
nerveuses
, dans le nerf auditif de la brebis et du cheval
. Axel Key et Gustave Retzius ont obtenu deux espè- ces de fibres
nerveuses
, par voie de dissociation du nerf auditif, ce d
édullaires avec de larges cylindres d'axe bien distincts. Ces tubes
nerveux
, d'égale dimension, alignés l'un près de l'autr
par endroits la coupe transversale du nerf et contenant des fibres
nerveuses
transverses, ainsi que des vaisseaux sanguins.
nt un petitnombre de cel- lules étoilées et de noyaux. Des fibres
nerveuses
fraîches, prises en cet endroit, furent soumise
des fibres des racines antérieures de la moelle épinière. Ces tubes
nerveux
sont assez unifor- mes (PL. V, fig. 2), possède
on occupe une plus grande étendue de la coupe transversale du tronc
nerveux
pratiquée à son émergence du corps restiforme,
partie inférieure et antérieure du nerf. Elle se compose de fibres
nerveuses
plus grêles et plus fines, et en contient même
du tissu conjonctif abondent également. Pour ce qui est des fibres
nerveuses
de cette portion du nerf, à l'état dissocié et
les, rend leur dissociation extrêmement difficile. Parmi ces fibres
nerveuses
, ce n'est qu'exceptionnellement que je trouvai
auditif interne, en procédant successive- ment aux coupes du tronc
nerveux
, on trouve une cloison de tissu cunjonctif de p
de plus en plus accentuée, qui sépare les deux faisceaux de fibres
nerveuses
. Immédiatement avant l'entrée du nerf dans le m
presque, égal. Le faisceau supéro-postérieur se compose de tubes
nerveux
assez forts, quoiqu'un peu moins gros qu'à l'or
rveux assez forts, quoiqu'un peu moins gros qu'à l'origine du tronc
nerveux
. Ces tubes médullaires ont un cylindre-axe nett
armin (Pl. V, fig. 5, A) ; à cet endroit, il n'y a plus de fibres
nerveuses
transversales. 9- Pour ce qui est du faisceau a
se exactement, comme à son émergence du corps restiforme, de fibres
nerveuses
plus ou moins grêles, dont les cylindres d'axe
rée du nerf dans le méat au- ditif interne. Dans la partie du tronc
nerveux
qui avoisine le corps restiforme, ces îlots occ
ombre d'un seul ou de deux, les îlots avoisinent toujours les tubes
nerveux
de plus fortes dimensions (PL. V, f. 6 et 7), a
re); mais dans ce cas également, l'îlot se trouve entouré de fibres
nerveuses
plus grosses. , En observant de plus près la
terstices de ce réseau sont traversés par des fibres 46 ANATOMIE.
nerveuses
longitudinales éparses, en formant de minces fa
es éparses, en formant de minces faisceaux. Le second réseau, dit
nerveux
, est constitué par des fibres nerveuses très gr
eaux. Le second réseau, dit nerveux, est constitué par des fibres
nerveuses
très grêles. Toute l'étendue du tissu est couve
rer que ces cellules servent de ganglions ou noyaux, à des branches
nerveuses
très fines, qui se détachent du nerf auditif po
, qui se détachent du nerf auditif pour se relier ensuite aux tubes
nerveux
plus gros (au nombre d'un ou de deux), qui form
rieure supérieure du tronc du nerf au- ditif, à l'égal des branches
nerveuses
très déliées que nous venons de mentionner. C
éjà notés (PL. V, fiq. 6 et 7). Ces derniers contiennent des fibres
nerveuses
transversales excessi- vement déliées, qui atte
F. 47 face antérieure du nerf et servent d'origine aux bran- ches
nerveuses
dont nous avons parlé. Le nombre des branches n
ran- ches nerveuses dont nous avons parlé. Le nombre des branches
nerveuses
issues du nerf auditif, et concourant à la form
onc du nerf auditif, on ne voit pas s'en détacher une seule fibre
nerveuse
; dans ces cas-là, les coupes transver- sales, e
individus au contraire, on observe une grande quantité de fibres
nerveuses
très fines, se détachant du nerf auditif, tout
uve en re- lation directe avec le nombre et la capacité de fibres
nerveuses
qui se détachent de ce nerf, pour se con- fondr
c le nerf intermédiaire de Wrisberg. Toutes les fois que la branche
nerveuse
la plus forte du nerf de Wrisberg provenait du
ssant tout autour que très peu de place, pour le passage des fibres
nerveuses
. J'ai déjà fait observer que les grosses fibres
u an- térieur et inférieur. Notons que l'amincissement des fibres
nerveuses
en question commence exactement à partir de l'e
enter des îlots de subs- tance grise, servant de ganglions aux fils
nerveux
. Comme' je J'ai dit ailleurs; cette 'particular
anglions ou noyaux respectifs qu'on trouve sur le parcours des fils
nerveux
. Sans nous arrêter aux ganglions microscopiques
thique. Henle2 affirme qu'on trouve un certain nombre de cellules
nerveuses
disséminées entre les fibres du nerf oculo-mote
f auditif de l'homme et des mammifères, un grand nombre de cellules
nerveuses
bipolaires. Pierret' signale des amas de cellul
de voir d'Arnold. Tout en observant : 1° que beaucoup de branches
nerveuses
, concourant à la formation du nerf inter- média
le picro-carminate. Faisceau postérieur supérieur montrantdes tubes
nerveux
à myéline volumineuse et presque égale avec des c
d'axes larges et colorés vivement. Fig. 2.-3/7 Hart. : Trois tubes
nerveux
à myéline du faisceau postérieur supérieur du n
ar le picro-carminate. Faisceau antéro-inférieur montrant des tubes
nerveux
de diverse dimension avec des cylindres d'axes so
se colorent pas par le picro-carmin. Fig. 4. 317 Hart. : Deux tubes
nerveux
à myéline dufaisceau antéro- inférieur du nerf
o-carmin montrant au milieu une large cloison conjonctive. A, Tubes
nerveux
avec des cylindres d'axes larges et colorés. B, T
Tubes nerveux avec des cylindres d'axes larges et colorés. B, Tubes
nerveux
avec des cylindres d'axes fins qui ne se colorent
79, s. 738. ' Loc cit. s. 853, PATHOLOGIE MENTALE. 53 des tubes
nerveux
volumineux un îlot de la substance grise avec bea
t le père lui-même atteignent un âge avancé, sans qu'aucun accident
nerveux
ait attiré l'at- tention ; quant aux ascendants
ture, à partir de ce moment il a cessé de voler. Les dispositions
nerveuses
de notre malade ne se sont pas seulement tradui
encement de septembre, ayant remarqué moins de résis- 60 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tance de son esprit, à s'arrêter à l'idée de l
es crises, mais non la fréquence. (A suivre.) i 9· t PATHOLOGIE
NERVEUSE
DE LA CACHEXIE PACHYDER)IIQUE. (11j·xmdbme des
ecture on myxoedema. (Brit. nied. Jour., may 1878.) 62 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. s'écoulant après la section, mais à une matièr
s les actes qu'ils accomplissent tiennent à ce que les terminaisons
nerveuses
périphé- riques, englobées et comprimées par le
bles de stimuler d'une façon suffisante les fonctions des centres
nerveux
. L'infiltration porte d'ailleurs sur le tégumen
de la normale, l'auteur signale des troubles très variés du système
nerveux
: caractère triste et sombre; intelligence nota
ms. (Journal of mental science. Jan. 1880, p. 417.) 6t PATHOLOGIE
NERVEUSE
. incohérence et violence du langage pendant la
c'est l'encéphale qui est le point de départ de tous ces accidents
nerveux
. Le 1e mai 1880, Goodhart' publie un cas de myx
Myxoedème. (Progrès Médical, nos 30.et 31,18SO.) 5 66 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sèment physique sont dûs aux conditions circul
auvri, toutes les fonctions sont languissantes; c'est 68 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. une véritable cachexie. » La cachexie pachyder
, il n'existe pas de troubles digestifs et le sommeil 70 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' est tranquille. Un fait remarquable est l'am
, ne tient pas, dit l'auteur, à une dégénérescence des élé- ments
nerveux
périphériques, mais résulte de l'obs- tacle méc
d'apoplexie. Le début de la maladie s'est fait il y a 72 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cinq ans par une attaque de mélancolie avec pe
Inglis, que dans le myxoedème, il existe une altération du système
nerveux
central. En effet, dit-il, dans tous les cas on
bles intellectuels. Inglis considère le myxoedème comme une maladie
nerveuse
, les modifi- cations profondes du système cutan
raitement ne lui a pas donné de résultat satisfaisant. Les toniques
nerveux
, l'électricité galva- nique, les bains ont prod
es of myxoedema. (Lc ! nce<, t. II, p. 813 S80.) 74 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dessous de 60. Mais tous les organes internes
ant sur le myxoedème, qu'il envisage particulièrement 76 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. au point de vue des troubles nerveux et cérébr
iculièrement 76 PATHOLOGIE NERVEUSE. au point de vue des troubles
nerveux
et cérébraux'. Les phénomènes de cet ordre, not
lle tout particulièrement intéressante au point de vue des troubles
nerveux
. Il s'agit d'une femme de 41 ans. Au premier ab
fforçaient de la faire souffrir en mettant du vitriol 78 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans son fit et dans ses aliments; d'autres fo
° Fahr. (35°,5 c.) En ce qui concerne l'interprétation des troubles
nerveux
, Ham- mond rejette l'hypothèse de Ord. « Rien n
ale, caractérisée par le dépôt de tissu muqueux autour des cellules
nerveuses
. Dans le cas qu'il publie, les troubles psychiq
précédé l'apparition de l'oedème spécial. En résumé, les troubles
nerveux
résulteraient de deux ordres de lésions : lésio
témoin. 'Voir t. I, p. 27, 413 3 et : j6t. 88 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le professeur Gamgeo (de Manchester) assista a
es observations et de quelques autres. il. V. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Contribution A l'étude DE la sclérose centra
s que dure cotte phase, on constate : une série REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 89 d'accès d'agitation à forme impulsive, de l
elle en partie ramollie, une coloration gri- 90 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sàtre des cordons postérieurs dans la région c
utrage épais de fines fibrilles conjonctives, atrophie des cellules
nerveuses
un travail identique dans la couche sous-épithé
laires indiquées et de la dégénérescence inflammatoire des éléments
nerveux
à des stades divers qui suivent, elles aussi, l
si que parait l'indiquer l'exagération des lésions le long de l'axe
nerveux
dans les régions où l'ectasie est la plus prono
l'inflammation toujours progressante de l'épcn- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 91 dyme. Môme mécanisme pour la moelle ; de so
branche ophthalmique de la 5° paire. R. V. 92 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. IV. La question du galvanomètre; hal 1C D Er11
rir différents degrés de sensibilité. , R. V. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 93 V. Remarques sur l'article précédent ; par
t depuis seize ans d'une névralgie sciatique 9t REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. occupant la cuisse, le genou et le pied ; la n
fs, moteurs ou sensitifs. Il diminue le pouvoir réflexe des centres
nerveux
, ralentit le pouls, et augmente la tension arté
roduit le tétanos, dilate la pupille, et excite REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 95 les sécrétions de la salive et de la sueur.
s aujourd'hui; l'auteur résume les prin- - 96 .REVUE DE PATHOLOGIE,
NERVEUSE
. cipaux caractères^ de" ces" diverses manifesta
le cadavre humain;; l'homme; 3° les animaux : z REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 97 L'allongement brusque et vigoureux de tout
un coup de fouet ranimant, accélérant, multipliant dans le système
nerveux
les processus de déchéance et de néoplasie phys
la profondeur, dans sa gaine intacte, aucun 98 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. phénomène inflammatoire, la réparation du tiss
ATHOLOGIE NERVEUSE. phénomène inflammatoire, la réparation du tissu
nerveux
n'a jamaiseulieu par première intention : elle
ue la plaie guérit ou non par première intention (mêmes altérations
nerveuses
dans les deux cas). D'autre part, pour que la d
nt de piqûres, de distension cicatricielle ou REVUE ! DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. '99 de toute autre cause, pourrait à l'heure a
;, ? .0Jt,ipiu jb JIrb.IIIJc Il owHiio-bu* 100 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3° La ligature de la carotide primitive peut ê
ussi restreint) que l'hémorrhagie intra-ventri- REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 101 culaire primitive serait sensiblement plus
du diagnostic, il est surtout important de 102 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' distinguer l'hémorrhagio'intra-vcntriculaire
se prolonge pendant plusieurs jours."5 ? ' r REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 103 Le pronostic est presque toujours fatal :
ées et élargies, surtout dans leurs parties 104 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. latérales. Les altérations microscopiques les
isée, son tissu conjonctif était gonflé, sans, altération des tubes
nerveux
. Ces lésions étaient beaucoup moins marquées. C
ue le délire fébrile pouvait tenir a un état congestif des'centres-
nerveux
, 'comme r'b'iit'eà'lobse'rvè 'dés`' exemples da
ions de la sensibilité du membre supérieur consécutives aux lésions
nerveuses
; par G. Mialabct (thèse de Paris, 1881). Cont
. L B13É, (thèse de Paris, 1881). Recherches sur les terminaisons
nerveuses
motrices dans les muscles striés des insectes ;
e trois heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
. Cette épreuve pourra être éliminatoire si le n
talie, pour y étudier l'organisation de l'enseignement des maladies
nerveuses
et mentales. M. le ministre ne pouvait faire ch
nomènes que nous venons de décrire comme se rattachant à cet état
nerveux
spécial désigné sous le nom d'hyperexcita- bili
nier lieu l'excitation des 132 ^ PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. troncs
nerveux
. Enfin ce n'est que dans les cas les plus dével
mouvement réflexe, indice que l'impression est perçue par le centre
nerveux
. Alors on retire l'objet qui sert à maintenir l
qui constituent comme autant de variétés. (A suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. (Mvxoedème des au
les documents sont encore z Voir le n 7, p. 60. \'l-2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. insufnsants et ne permettent pas de donner une
usqu'à huit jours. Ses règles ne s'accompagnaient pas de trou- bles
nerveux
, et, pendant leur évolution, elle se livrait sans
1878. Elle trouvait mauvais goût et mauvaise odeur 1 I 1 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. aux aliments les mieux préparés. Elle entendai
mpare la physionomie générale de notre malade à 10 116 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. celle qu'elle a présentée avant le début de la
plusieurs particularités remarquables : l'intensité des phénomènes
nerveux
; la marche de l'affection, procédant, pour ain
rd. Elle indique en effet une subordi- nation complète des troubles
nerveux
aux lésions cuta- nées. Les troubles nerveux vo
complète des troubles nerveux aux lésions cuta- nées. Les troubles
nerveux
vont croissant à mesure que se développent les
délire des persécutions. Puis, on voit ces troubles psychiques et
nerveux
s'amender progressivement et arriver à une guér
t eux aussi être atteints. D'autres faits ont établi 150 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que l'affection pouvait débuter chez l'enfant.
Du côté de l'hérédité, certaines observations parlent d'antécédents
nerveux
, tels qu'apoplexie ou folie. Comme antécédents
le gonflement des téguments. Du côté des membres, 152 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'infiltration cutanée et sous-cutanée détermi
ion peut être faible, difficile; les mains sont 1 ') 19. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. inhabiles, particulièrement pour ce qui concer
es, languissants. Les trou- bles variés des téguments et du système
nerveux
s'ac- compagnent d'une anémie profonde, d'une c
ique constante : anémie profonde, lésions tégumentaires et troubles
nerveux
, on peut dire aussi que, sur ce fond morbide co
. Ceci s'ap- plique tout particulièrement aux troubles du système
nerveux
. Véritable prothée, la maladie peut réaliser la
ble prothée, la maladie peut réaliser la symptomatologie du système
nerveux
tout entier. Trou- bles de la motilité, trouble
s plus légers jusqu'aux plus graves, tout a été observé. Le système
nerveux
tout entier peut 156 PATHOLOGIE NERVEUSE. don
t a été observé. Le système nerveux tout entier peut 156 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. donc être en cause dans la cachexie pachydermi
nt pas indispensables pour expliquer la majeure partie des troubles
nerveux
et particulière- ment les troubles psychiques.
et intime qu'exercent l'un sur l'autre le tégu- ment et les centres
nerveux
, et qui reste comme le souvenir de leur communa
pulUieruua p`uclt,`tnu- `uenl. (1'ote cle la eclactaou.) CLINIQUE
NERVEUSE
\Ol'RS I'O(;lt aCR\'Ili .1 L'lll : i'l'olNl; DG
i a disparu depuis plusieurs années, n'aurait jamais eu d'accidents
nerveux
. Il en serait de même des trois frères qui sont
une grande peur et c'est alors qu'elle commença à avoir des crises
nerveuses
. Pendant quatre ans, elle eut tous les jours do
nerveuses. Pendant quatre ans, elle eut tous les jours dos attaques
nerveuses
qui ne se produisaient pas à des heures fixes ,
s reconnaître même les lettres, il est difficile d'ap- 164 CLINIQUE
NERVEUSE
. précier au juste son acuité visuelle et l'éten
, regarde fixement, demande « à boire, à boire », tou- 166 CLINIQUE
NERVEUSE
. jours sans avoir repris ses sens, comme le mon
t, t, 187f,, p G. 11f1. I I ; I. lll. ISn, p. l'.i. 168 CLINIQUE
NERVEUSE
. applique un vésicatoire volant large comme la
N'yMec ? N/- f/)' ! <'rf,lS7C-)8 ! iO,t.),Uet)n. 170 CLINIQUE
NERVEUSE
. il est impossible d'après ces deux faits de dé
épuisement général du sujet qui amène la dis- parition des troubles
nerveux
, si la fièvre suffit pour amener ce résultat, o
a mère, morte poitrinaire à vingt-neuf ans, ne parait pas avoir été
nerveuse
, mais elle semble avoir eu plusieurs attaques d
ve sans provoquer aucun réflexe, ni mouvement des pau- 172 CLINIQUE
NERVEUSE
. pières ou de l'oeil, ni sécrétion de larmes; m
s sont exposées entre elles à une sorte de contagion ou d'imitation
nerveuse
, on les voit organisant de mesquines conspirati
d'avance, car l'hystérique est sou- Mlaminond. Maladies du système
nerveux
. Trad. française, 1879. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRI
ante : Une malade entre dans son service, présentant des phénomènes
nerveux
dont la bizarrerie et l'étrangeté l'inté- resse
térique. Thèse de Paris, 1874. « Leçons sur les maladies du système
nerveux
. T. 1, p. 128. 196 REVUE CRITIQUE. r en sorti
compliquée de contracture due à une lésion, quelconque, des centres
nerveux
, l'autre avec une contracture hémiplégique de n
ui permettent de reconnaître une cer-' taine tendance à l'affection
nerveuse
. 1 9 « Ce sont ordinairement des fillettes de h
r les dispositions du caractère, sur les troubles divers du système
nerveux
, qui permettent dès l'enfance de re- connaître,
Voici encore d'autres exemples qui, en relatant divers accidents
nerveux
du jeune âge, dévoilent bien le caractère hystéri
nostic très grave, puisqu'ils admettaient une affection des centres
nerveux
. Une autre petite fille de six ans, jalouse de
ue, puis elle est prise de dyspha- gie avec symptômes d'hydrophobie
nerveuse
et de convulsions générales, accidents dont un
les ; mais d'autres fois t aussi on peut voir éclater des accidents
nerveux
connus sous' le nom d'hystérie de retour on de
tamment du cerveau, de grossiers arrêts de développement du système
nerveux
en corrélation avec une minutie extrême du sque
des microcéphales aient eu à leur disposition trop peu de matière
nerveuse
pour pouvoir, au moment de l'évolution formatrice
es, un défaut complet de prolonge- ments durc-mériens dans la masse
nerveuse
(ni faux cérébrale, ni tente du cervelet). Dépo
le limite en avant représente la scissure de Sylvius, la substance
nerveuse
en deçà ou au delà de celle-ci devant être cons
nt d'organe rejoint par une de ses extrémités le trousseau défibres
nerveuses
(cité supra), surlebordpostérieurdes hémis- phè
es pyra- mides. Rapprochant le détail des altérations osseuses et
nerveuses
de la conservation intégrale de l'appareil ocul
ce thème bien connu que le développe- ment des maladies du système
nerveux
est en rapport direct avec le progrès de la civ
surtout chez les jeunes filles par l'épuisement général du système
nerveux
et en particulier du cerveau par les mélan- col
t rapide. La transmission hérédi- taire aux enfants de la faiblesse
nerveuse
acquise par les parents est une cause générale
es tendineux ( ne reparaissant que bien aprèsleretour des fonctions
nerveuses
des accès d'épilepsie complets ( myosis et iner
igne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 219 d'une profonde perturbation
nerveuse
. L'analyse psychique met en évidence au début :
. Le poids du corps décroit au moment de l'accès des manifestations
nerveuses
. A part deux cas de mort soudaine, guérison. Le
des vésanies aux symptômes ergotiques, la disparition des troubles
nerveux
périphériques avant l'explosion des psychoses,
'inculpé des faits antécédents d'aliénation mentale et d'affections
nerveuses
, remontant à plusieurs géné- rations. Lui-même,
desquelles il est interné dans un asile : là, il se plaint d'être
nerveux
, de ne pouvoir résister à des impulsions subites
étudier cette proposition. M. B. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE BERLIN Séance du 10 janvier 1881. 1. - PII
e la région en question avec la moelle allongée (trajets des fibres
nerveuses
). Séance du 14 mars 4 88 Présidence DE M. Westp
touillement de la peau ni de légers coups frappés à côté des troncs
nerveux
et en dehors des zones électro-motrices n'entra
ique, qui ne doit être considérée comme le fait ni d'une excitation
nerveuse
directe, ni d'une réflexe, mais bien d'une exci
à l'intérieur du nerf. Remarques sur l'anatomie comparée du système
nerveux
central, relatives principalement aux trois cla
pérature 38°,6 6 à 39°. L'autopsie démontre l'intégrité des centres
nerveux
; les fibres, les cellules, les noyaux même de l
nt intermédiaire, si l'on a soin de le séparer de toute connexion
nerveuse
par la scission des racines antérieures et postér
emps assez long. Cette action conservatrice exclusive des faisceaux
nerveux
moteurs, émanerait des plaques terminales de ce
semblée, sous ce titre : Action de l'ergot de seigle sur le système
nerveux
central, le résultat de l'examen pratiqué par l
rstitiel (grandes cellules araignées en nombre), atrophie desfibres
nerveuses
, développement de cellules granuleuses en amas,
onc pas une preuve qu'il existe une affection quelconque du système
nerveux
. Il existe un certain nombre de cas d'ataxie loco
y, Aubouin, J. Simon ont publié des cas semblables. Ces accidents
nerveux
réflexes se montrent toujours après l'interventio
ERS Faculté DE médecine DE Paris. Chaire de clinique des maladies
nerveuses
. Par arrêté, en date du 2 janvier 1882, rendu sur
e médecine de Paris, une chaire de clinique des maladies du système
nerveux
. Par un autre décret de la même date, M. Charco
sur sa demande, dans la chaire de clinique des maladies du système
nerveux
. Faculté de médecine de LYON. Par arrêté minist
hysiologie : Relations de la calorification animale avec le système
nerveux
. Electrothérapie. Faradisation et galvanisation
portant sur l'anatomie, la physiologie et la pathologie du système
nerveux
, la médecine mentale et les questions médico-lé
ques et anatomo-palhologiques sur les affections cutanées d'origine
nerveuse
. Un vol. in-8° de 220 pages, avec 4 planches et
. -382. Vol. III. Mai 1882. ? 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
UN CAS D'IIG111LÈSION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE;
thésie plus ou moins étendue au-dessus de la zone 18 27t CLINIQUE
NERVEUSE
. anesthésique ; 5° élévation absolue ou relativ
on sont hyperosthésiés : la piqûre superficielle d'une 276 CLINIQUE
NERVEUSE
. épingle est douloureusement ressentie, un simp
normale (1,500 gr.). Le pouls est toujours irrégulier. 278 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le 20 mars, le retour des fonctions motrices s
spéciaux pour chaque mode spécial de sensibilité. 280 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. La paralysie vaso-motrice avait les mêmes limi
nouvelle attaque de rhumatisme compliqué de pleurésie 2812 CLINIQUE
NERVEUSE
. s'étend non seulement à la peau et aux muqueus
s que son anestlasie ! tit6tem0()if[ee jusqu'à la mort. Les centres
nerveux
n'ont présenté à l'ceil nu aucune lésion, parti
sujets, et n'ayant aucun rapport d'ailleurs avec les distributions
nerveuses
'. Chez une de nos malades, 1 Les différentes p
celui suivant lequel elles l'ont recouvrée; mais le 28 il CLINIQUE
NERVEUSE
. l'insensibilité revient d'abord sur une zone l
e la vision par les lésions cérébrales. Paris, 18S9. 286 CLINIQUE
NERVEUSE
. est diminuée. Cette dysesthésie peut, comme l'
des cliniques sur ? ty<M;'0-3 ! p ? e, 1881, p. 38. 288 clinique
nerveuse
. récent, manque de clarté et de précision quand
à fait caractéristiques dans l'hystéro-épilepsie, 19 290 CLINIQUE
NERVEUSE
. quand j'aurai dit qu'ils sont nettement inllue
ion. 1 Ch. Féré. Société de biologie, décembre 1SS1. 292 CLINIQUE
NERVEUSE
. Nous sommes parti de cette idée pour recherche
'ieuer med. 1l'oclemsck., 1J60, u 3 : .> ct 33. 2M se CLINIQUE
NERVEUSE
. une irritation du centre oculo-pupillaire vaso
1liéoiie physiologique de l'hallucination, 1881, p. 8. 296 CLINIQUE
NERVEUSE
. du globe oculaire, ce même dédoublement de l'o
s en usage chez ces 1 Charcot. - Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 4e édition 1880, p. 320 et suiv. * Duncan. l
1878. (Bi-ilish. med Journ. August 28, 1878, p 329. 298 CLINIQUE
NERVEUSE
. sujets, dont le caractère particulier rend ces
travail a commencé dans la nuit du t9 au 20 novembre, 300 CLINIQUE
NERVEUSE
. vers neuf heures et demie du soir. Quand nous
t à 2 centimètres en dessous de la ligne bi-iliaque. 302 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le 20 décembre, les points douloureux sont dev
ensations dont nous venons de parler, est suivie d'une 30t clinique
nerveuse
. attaque de contracture analogue aux précédente
rmettait d'ar- 1 Progrès médical, 1878, p. 993. 20 306 CLINIQUE
NERVEUSE
. rèter l'attaque aussi longtemps que la malade
, en place. (D'après une photographie de M. Loreau.) 308 clinique
nerveuse
. considérable pour se rendre maître d'une attaq
elle se présente chez nos malades pendant une des phases du sommeil
nerveux
désigné sous le nom d'hypnotisme. L'état cata
'indiquer les principaux traits constitue un des modes du sommeil
nerveux
, bien distinct de cet autre mode que nous avons
ig. 28. recueil DE faits. 32) corps granuleux. Enfin les cellules
nerveuses
y font absolument défaut. La corne antérieure
e au contraire toutes les apparences de l'état normal, les cellules
nerveuses
y sont en grand nombre, munies de beaux prolong
ent à droite et à gauche et renferment la même quantité de cellules
nerveuses
saines. Réflexions. Autant qu'on peut en juge
. Voyez également à ce sujet les Leçons sur les maladies du système
nerveux
de 5 ! . Charcot (7e leçon) et le remarquable art
mari et a disparu. Ni frère ni smtr; pas d'antécédents héréditaires
nerveux
dans la famille.] Mère, 34 ans, couturière, a e
e, a eu des convulsions jusqu'à l'âge de sept ou huit ans; elle est
nerveuse
et sujette, depuis la puberté, à des palpitatio
e a toujours fait de nombreux excès de boisson (vin); il est très
nerveux
et a tous les cinq ou six mois, depuis une dizain
lesquelles il se mord la langue. Sa mère est bien portante, un peu
nerveuse
. Un frère est mort d'une fièvre cérébrale à tro
dante des autres couches de la rétine, y compris celle des cellules
nerveuses
. P. K. IV. Anatomie des tubercules antérieurs d
nologie allemande, se reporter au livre de Huguenin sur les centres
nerveux
. (Traduction française, 1879.) 3t6 revue d'anat
la voie tracée par les travaux deBetz. P. M. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XIX. NOTE SUR la relation ENTRE la SYPHILIS ET
e général des troubles laryngés tabétiques, 3b0 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. consiste essentiellement dans une toux spasmod
sie de la muqueuse du larynx et d'une byperexcitabilité des centres
nerveux
, par suite de laquelle l'irritation du larynx p
i- nante dans le tableau symptomatique. C. F. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 351 XXI. DE la paralysie DU nerf MOTEUROCULAIR
onsultation de M. Charcot à la Salpêtrière. 352 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Maladie de l'âge adulte et de l'âge mûr, plus
de l'âge mûr, plus fréquente chez les goutteux, les anémiques, les
nerveux
, la migraine ophthal- mique, atteint souvent de
le plus fréquemment aux phénomènes décrits plus REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 353 haut, celui qui impressionne le plus fâche
ermanents. D. BERNARD. XXIII. CONTRIBUTION A l'étude DES phénomènes
NERVEUX
, nommés réflexes tendineux ; par J.-L. Prévost.
et Westphal rapprochent de ces faits, 23 354 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. la contraction du triceps crural qui suit la p
tendon. Erb en fait un réflexe déterminé par l'excitation de fibres
nerveuses
tendineuses (Tschiriew a démontré l'existence d
, probablement la 3° et la 41 chez l'homme. ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 355 Deuxième partie. -Ici M. Prévost rapporte
peu ou point apparents, à prolongements rares et grêles. Les fibres
nerveuses
ont aussi diminué en nombre et en épaisseur ;
gnostiques physiques, et facilement appréciables des divers états
nerveux
, ont été recherchées à la Salpêtrière. A l'appare
méthode éprouvés, surtout lorsqu'il s'agit de maladies du système
nerveux
. Ces conditions, M. Hublé les a réalisées grâce l
s rl(, la sensibilité dit membre supérieur consécutives aux lésions
nerveuses
; par G. 111mcnnt.r; thèse de Paris, 1881 . De
1tale, 1881, fasc. 9.) Contribution an traitement de la gastralgie (
nerveuse
) par les courants constants- par ]taffae ! eVt/
par des expériences la et la thérapeutique des malidies des centres
nerveux
et principale- ment de l'épilepsie. Prix : 8 00
un progrès capi- tal dans la thérapeutique des maladies des centres
nerveux
, tel que serait, par exemple, la découverte d'u
gine cérébrale, par Ch, Féré, 338. Anatomie comparée du système
nerveux
central, 237. Anomalie de formation particulièr
et (atrophie du), 360. Chaire de clinique des maladies du système
nerveux
, 268. Cloree dite électrique, 213. Choroidien
es sur l'), 376. Ergot de seigle (action (10 l') sur le système
nerveux
central, 242. Er«onsme (psclioses claus l'), 1&
entales (leçons de Guis- laiu sur les), 110. Maladies mentales et
nerveuses
(in- fluence de notre civilisation pré- sente
a I)LOVIII(;(3 du Lilnn, IOS. - de 1 ? cliiiitiie et des maladies
nerveuses
de Berlin, 529. d'anthropolo- iC ? 7J. Syph
stratum yanulosum ; - c, stratum radiatum; - z couches des cellules
nerveuses
étoilées; ? couche de substance blanche médulla
e picro-carnmaate. Faisceau postétteur supérieur montrant des tubes
nerveux
à myéline volumineuse et presque égale avec des c
d'axes larges et colorés vivement. Fig. ? 3/711art. : Trois tubes
nerveux
à myéline du faisceaupostétieur supérieur du ne
trai- tée par le hicro-carmmate. Faisceau iiloiitrliit des tubes
nerveux
de diverse dimension avec des cylindres d'axes so
se colorent pas par le picro-carmin. Fit. fi. 3/7Hart. : Deux tubes
nerveux
à mvéline du faisceau antéro- inférieur du nerf
-carniiu montrant au milieu une large cloison conjonctive. A, Tubes
nerveux
avec (les cylindres d'axes larges et colorés. Il,
bes nerveux avec (les cylindres d'axes larges et colorés. Il, Tubes
nerveux
avec des cylindres d'axes fins qui ne se colorent
icro-cainmiate. Faisceau postéro-supéiieur montrant parmi des tubes
nerveux
volumineux un îlot de la substance grise avec bea
DE il. LE PROFESSEUR RAYMOND. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
DANS LE MAL DE POTT SANS GIBBOSITÉ ' (SÉMÉIOL
L. ALQUIER Chef des travaux anatomiques à la Clinique des Maladies
Nerveuses
. Au cours du mal de Pott ci les troubles dépend
uses. Au cours du mal de Pott ci les troubles dépendant des racines
nerveuses
prennent souvent place dès la phase de début. L
aque, et des disques intervertébraux qui les séparent; les troubles
nerveux
sont, le plus souvent, consécutifs à la gibbosi
ur le Mal de Poli. Paris, 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
3 pour le diagnostic. Chez l'adulte, au contrai
ux, et se pro- pager à l'espace épidural, occasionnant des troubles
nerveux
avant l'ap- parition de la déformation rachidie
malades auxquels il faisait allusion avaient éprouvé des phénomènes
nerveux
bizarres : de l'engourdissement et même de la pa-
exposer succinctement les principales formes cliniques des troubles
nerveux
dans le mal de Pott sans gibbosité, afin.de mie
hyméningite externe caséeuse o est la cause habituelle des troubles
nerveux
, en déterminant la compression de moelle, puis,
ssion de moelle, puis, il ajoute : « Il va sans dire que les troncs
nerveux
, dans leur trajet à travers des parties ainsi alt
cas que nous résu- (1) Brissaud, Leçons sur les maladies du système
nerveux
. Paris, 1893=i$94. (2) Touche, Travaux de neuro
voies sensitives, et par le fait qu'un petit nombre de conducteurs
nerveux
peut suffire pour assurer les fonctions sensiti
s assez vagues sur l'origine radiculaire ou médullaire des troubles
nerveux
du mal de Pott ; nous (1) Touche, Soc. méd. hôp
unde, t. xvi (1899), 110 pages. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
S savons seulement que la spasmodicité avec exa
in. Faute de mieux, nous nous contenterons de diviser les accidents
nerveux
du mal de Pott, d'après leur seul aspect clinique
(1) CHARCOT, loc. cü., p. 122. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
7 une paraplégie spasmodique, bilatérale, compl
ure d'un abcès froid dans les bronches ; on trouve, comme accidents
nerveux
, des douleurs qui avaient été rapportées il une n
eurs Pootot)1ue Bert6aud, Pa^us LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
9 9 mois après le début on constate une paraplé
la région dorsale moyenne. En somme, dans les cas où les symptômes
nerveux
sont ceux d'une NOUVELLE Iconographie DE la SAL
SANS GIBBOSITE (L. Alqitier.) LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
11 compression de la moelle et des racines dors
cas de Wert montre jusqu'où peut aller la variabilité des troubles
nerveux
: dans celui de M. Achard, comment aurait-on pu é
fort heureusement, qu'un petit nom- bre de faits, car les troubles
nerveux
dus à un mal de Pott lombo-sacré sans signes ra
SANS GIBBOSITE (L..Alr¡uier.) LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
13 des douleurs dans le genou gauche, avec irra
sensitifs chez leur malade. ' LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
15 rotuliens forts, achilléens forts à droite,
aucune observation nouvelle de ce genre. Au contraire, les troubles
nerveux
engendrés par la tuberculose des vertèbres cerv
ical de Bruxelles, 2 mars 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
17 aucun trouble du côté des membres inférieurs
S GIBBOSITE (T. ? lt ! ! Cl ? LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
19 fléchit sous le poids du corps ; la droite e
le diagnostic ne saurait être trop mise en évidence. Les troubles
nerveux
ultérieurs se présentent sous deux aspects princi
Diagnostic. Tel sont les principaux aspects cliniques des troubles
nerveux
dans le mal de Pott; ils peuvent, on le voit, r
res, c'est-à-dire ne sont pas exactement localisées sur des trajets
nerveux
, mais plus diffuses, sont de carac- tère fulgur
l'épreuve des injections aiiestliésiantes, sui- le trajet du tronc
nerveux
: la douleur sera momentanément calmée si elle es
rfs, comme dans le mal de Pott. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
23 c'est-à-dire dans le mal de Pott lombo-sacré
t cervical, située au-dessus de LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
25 l'origine des racines du plexus brachial, do
rincipales causes d'erreur que rencontre le diagnostic des troubles
nerveux
survenant au cours du mal de Pott, sans gibbosité
celui-ci, il peut, encore être, parfois simulé par r les accidents
nerveux
consécutifs aux fractures ou luxations de la colo
ons on voit un traumatisme vertébral marquer le début des accidents
nerveux
du mal de Pott;-or, nous avons autopsié, il y a
entent seulement les aspects les plus caractéristiques des troubles
nerveux
du mal de Pott, qui peuvent varier à l'infini,
ignes positifs, permettant de rapporter au mal de Pott les troubles
nerveux
constatés, sont de deux ordres : les uns permette
se ; si, peu de temps après, apparaissent des signes de compression
nerveuse
sans cause bien évidente, on doit penser au mal d
si l'examen des viscères est négatif, tandis qu'il y a des troubles
nerveux
pouvant dépendre d'une tuberculose ver- tébrale
lo med. Journ., septembre 1901. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
27 Effectivement, dans les 5 cas personnels rel
agnostiquer le mal de Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES
NERVEUX
29 troubles nerveux sans gibbosité, il arrive p
Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 29 troubles
nerveux
sans gibbosité, il arrive parfois que le diagnost
tre écarté de l'infantilisme. (1) BRISSAUD, Leçons sur les maladies
nerveuses
(Hôpital Saint-Antoine). Paris, 1899, p. 454.
s morphologiques de l'enfance (1) Brissaud, Leçons sur les maladies
nerveuses
(Hôpital Saint-Antoine). Paris, 1899, p. 444.
t s'associer avec la dégénérescence psychique héréditaire de nature
nerveuse
, c'est-à-dire, ayant pour origine les maladies
e de nature nerveuse, c'est-à-dire, ayant pour origine les maladies
nerveuses
des parents. C'est sur cette association que je v
ervation. Antécédents héréditaires. Nombreuses maladies mentales et
nerveuses
chez les ascendants, ainsi que la tuberculose,
germains. . 1° Côté maternel. - Grand'mère : Femme intelligente et
nerveuse
, a eu une grossesse gémellaire. Un grand-oncl
et « il avait beau- coup de manies ». Une grand'tante était très
nerveuse
. Grand-oncle : Débile, mettant, excessivement t
ts et les mains. Mère : La mère du malade, encore vivante, est très
nerveuse
et hystérique. Elle souffre de l'utérus. Reve
de force. ' . Il y avait des époques auxquelles il se sentait moins
nerveux
, et alors il était un peu plus docile et obéiss
ssaud, Loc. cil., p. 29. (2) Cité par Brissaud, Leçons sur les mal.
nerveuses
(Hôpital Saint-Antoine). Paris 1899, p.457. (
e écarta en grand nombre du type normal, en leur donnant un système
nerveux
imparfait, et parfois une organisation INFANTIL
une origine commune, une seule cause initiale : l'hérédité morbide
nerveuse
. C'est fort vraisemblablement, à mon avis, l'hé
e cause initiale. Ce sont, je le répète, les maladies mentales et
nerveuses
successivement accumulées entre les ascendants,
t transitoire. Il n'est pas douteux que la secousse morale, le choc
nerveux
provoqué par cet accident, survenu au cours du
e lésion du corps thyroïde. La dégénérescence héréditaire d'origine
nerveuse
est, si je ne me trompe fort, une de ces causes
édité de l'alcoolisme et d'autres intoxications, l'hérédité morbide
nerveuse
, elle aussi, peut produire l'infantilisme indirec
ble logique d'admettre rien ne s'y oppose à priori que l'hé- rédité
nerveuse
puisse encore produire l'infantilisme en troublan
ne trouve dans cette famille ni des cas de syphilis ni des maladies
nerveuses
ou mentales, ni la consanguinité. Jamais il ne s'
de volume supposée de la glande thyroïde et une série de symptômes
nerveux
forment ensemble un complexe symptomatique, que
ntrée en étudiant l'hystérie, la syringomyélie et d'autres maladies
nerveuses
. C'est le clinicien anglais sir William Gull, q
nerfs spéciaux pour conduire les sensa- tions thermiques au système
nerveux
central. Comme on rencontre aussi dans la syrin
moi tiré depuis longtemps la conclusion, qu'en tout cas le système
nerveux
parti- cipe pour beaucoup il cette maladie très
dérable de la musculature, ainsi qu'aux troubles du côté du système
nerveux
, je ne pourrais que ranger la maladie de notre
ales, on trouve la croissance excessive : 1° Dans quelques maladies
nerveuses
(névrite, syringomyélie, tabès, sclé- rose en p
ction glandulaire in- suffisante ou pervertie. Et dans les maladies
nerveuses
il n'en est pas autre- ment (tabès, neuritis, s
tion héréditaire, la glycosurie avec ou sans polyurie, les troubles
nerveux
, la myasthénie générale. Lorand (1) a fixé notre
ou, ce qui me semble plus vraisemblable par l'influence du système
nerveux
(moelle dorsale, vaso-moteurs, système nerveux
influence du système nerveux (moelle dorsale, vaso-moteurs, système
nerveux
périphérique) ont troublé entre autre la croiss
. Certains observateurs ont cru-même que la nutri- tion des centres
nerveux
dépendrait de la glande pituitaire. La suppositio
este encore à envisager l'influence des vaso-moteurs et' du système
nerveux
central. L'appareil vaso-moteur est certainement
les études remarquables de Flechsig sur la myélinisation des fibres
nerveuses
et sur l'existence de « centres d'association »
arqué le début d'une phase nou- velle dans l'histoire de l'anatomie
nerveuse
. Depuis les importants travaux de Dejerine et d
mie des Menschen, 1851. (3) GRATIOLBT, Anatomie comparée du système
nerveux
. Paris, 1839, 1857. (4 Mayxenr, Psychiatrie, 18
suelle et le cunéus. Paris, 1894. (4) DHJERINB Anatomie des centres
nerveux
, 1895. 106 LA SALLE AHCHAMBAULT . Au voisinag
orale. A la suite de ses recherches sur la myélinisation des fibres
nerveuses
chez les nouveau-nés, Flechsig (1) prétend que
), élève de Flechsig,après avoir étudié la myélinisation des fibres
nerveuses
'et' pratiqué des coupes dans tous les sens de pi
Slosel (1), la la suite de recherches sur la myélinisation des fibres
nerveuses
des grands faisceaux de l'hémisphère, insiste s
e des éléments qui constiluent un muscle, un nerf, un os, un centre
nerveux
, etc., mais que cette diminu- tion de nombre es
tion sont atteints de la même façon et cela jusque dans les centres
nerveux
, par exemple dans la corne antérieure de la moe
héréditaires. Mère morte à 43 ans d'hyperthophie du foie ; fut très
nerveuse
pendant sa vie, eut des crises de durée diverse o
ans, a eu au. moment de ses premières règles, à 13 ans, des crises
nerveuses
qui ont duré pendant 7 ans. A chaque contrariété,
irrégulières. Rougeole à 15 ans. Elle eut, dès 19 ans des crises
nerveuses
la prenant tous les deux jours environ avec sen
s 2 ans 1/2 elle n'a plus eu de crises convulsives ; cependant très
nerveuse
et excitable elle a parfois des crises de larmes
t héréditaires de la malade, celle-ci semble au plus haut point une
nerveuse
. Outre les crises hystériques que nous avons dé
à décrites, la malade présente encore actuelle- ment des phénomènes
nerveux
accentués. Actuellement les troubles de sensibi
nous paraît intéres- sant à cause des phénomènes du côté du système
nerveux
qui accompa- gnent l'hypotrophie présentée par
ombre de fibres, presque la moitié des fibres de chaque fasci- cule
nerveux
, dans l'intérieur des fibres nerveuses, une multi
s fibres de chaque fasci- cule nerveux, dans l'intérieur des fibres
nerveuses
, une multitude de granula- tions de volume inég
séries et sont disséminées sur presque toute l'étendue de la fibre
nerveuse
. Plusieurs de ces granulations, sont libres, c'es
ue l'opinion de M. le professeur Marinesco. qui croit qu'un élément
nerveux
s'est ajouté au cours d'une myopathie primitive
s à de faux névromes ; 2° des lésions dé- génératives des faisceaux
nerveux
; 3 une stase de la lymphe dans le conjonc- tif
lAlliBAULT · - faut avoir recours pour l'étude du trajet des fibres
nerveuses
; c'est à l'aide des dégénérescences secondaires
INSKI, A L'HÔPITAL DE LA PITIÉ). RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
T>JRM1NÉL,S ? ? ARM`ÛES MASSUES DE CROISSANC
rière T. XIX. Pl. XXXIV Fig. 2 Fig. 3 RÉGÉNÉRATION DES FIBRES
NERVEUSES
/Y ATrf1.)'/f.L. . m««M<tjL jt ! NOUVELLE
g. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 4 · Fig. 5 .REGENERATION DES FIBRES
NERVEUSES
(I N.7,o-eotte.) RÉGÉNÉRATION COLLATERALE DE
se qui est habituel dans le tabes, ne présente pas d'autres lésions
nerveuses
, visibles par la méthode de Pal, au niveau de l
ontrent de mul- tiplication des noyaux à l'intérieur des fascicules
nerveux
que dans des points très limités, donc il n'exi
ne infiltration abon- dante de polynucléaires autour des fascicules
nerveux
; néanmoins les éléments nobles sont intacts, à
; nous savons en effet de longue RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
221 date que les gonflements et l'état monilifo
usque dans les cordons postérieurs. Il semble donc que les éléments
nerveux
atteints dans les racines postérieures du tabes
Fig. 8 1 Fig. 9 Fig. 10 Fis. 1 il ? RÉGÉNÉRATION DES FIBRES
NERVEUSES
RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 22
ÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
223 L'observation que je viens de relater compl
lacer : c'est là une disposition commune à toutes les régénérations
nerveuses
, qui a pour effet de mieux assurer l'obtention
u glo- mérule, soit enfin de la portion extra-capsulaire des fibres
nerveuses
. Parmi ces trois modes d'origine, celui qui se
phie de la Salpêtrière ' T. XIX. PI. XXXVHI RÉGÉNÉRATION DES FIBRES
NERVEUSES
RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 22
ÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
225 5 ainsi que les boules qui les terminent. U
e réflexion de la fibre qui leur RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
227 donne naissance est situé très près de la m
ent un peu autrement; les fibres RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
229 ne sont plus arrêtées par le foyer de névri
éter l'étude des ganglions tabétiques j'indiquerai que les cellules
nerveuses
pourvues de dendrites, avec multiplication des ce
i pu acquérir aucune certitude à cet égard. ' Massues des centres
nerveux
(cervelet et substance grise de la moelle). - D
t substance grise de la moelle). - Des massues terminant des fibres
nerveuses
ont été vues par Ramon y Cajal dans l'écorce du
capsule, et qui terminent des fibres fines ou moyennes du réticulum
nerveux
des cornes antérieures et postérieures. Leur volu
s massues, non connues jusqu'à présent, sont situées en plein tissu
nerveux
, et non dans les espaces vasculo-conjonctifs d'or
me volume, la même forme et la même capsule que dans les cicatrices
nerveuses
; un seul point diffère : tandis que dans la ré
uxquelles elles se rapportent. RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
231 line faite sur le type classique, dispositi
ration collatérale à ce mode par- ticulier de réparation du système
nerveux
, qui n'est certainement pas pro- pre exclusivem
tue, sans aucun doute, un phénomène très répandu dans la pathologie
nerveuse
et aussi très proba- blement, ainsi que nous le
tion normale destinée à remédier à l'usure physiologique des fibres
nerveuses
. Tandis que dans la régénération terminale la r
tion des axones de remplacement. RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
233 3 schématiquement,à côté de l'état sain pri
e nous venons d'observer au cours de maladies définies du sys- tème
nerveux
ne sont que l'exagération d'un processus qui exis
sance, sous l'influence de certaines excita- tions, à des bourgeons
nerveux
destinés soit à rester au repos, comme les oeil
it-il d'un fait entièrement phy- RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
235 siologique, d'une sorte de mue normale des
t croire qu'il s'agit en réalité d'une altération légère du système
nerveux
. D'ailleurs la limite précise entre la santé et
êtres vivants, à la quantité énorme et à la fragilité des éléments
nerveux
, on ne s'étonnera pas de trouver constamment un
se est exacte. Conclusions. I. A côté de la forme de régénération
nerveuse
qui est seule connue actuellement et que l'on p
NAGEOTTE · soit du corps cellulaire lui-même, soit du prolongement
nerveux
, sous la forme de collatérales. Comme celles de
logique des « cet; nies pourvues RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES
NERVEUSES
237 d'appendices terminés par des boules encaps
ne, une moyenne, une interne. La zone externe renferme des cellules
nerveuses
dont les altérations ne dif- fèrent guère de ce
générescence. ' D. - A droite, altérations nécrotiques des cellules
nerveuses
de l'écorce, petites et moyennes pyra- ... ? r
ci- lement reconnaissable. Des altérations profondes des cellules
nerveuses
se retrouvent sur toute la surface de l'écorce.
ensive ou réparatrice ait pu se produire. Les contours des cellules
nerveuses
sont ratatinés, anguleux ; les prolonge- ments
ssl a décrite à l'état normal ; enfin, sur certains petits éléments
nerveux
, se colorent les corpuscules po- laires. ' .
, frappé tous les éléments de l'écorce, principalement les cellules
nerveuses
et névrogliques. Du côté des cellules nerveuses
lement les cellules nerveuses et névrogliques. Du côté des cellules
nerveuses
, les modifications profondes des contours du no
cédé le 16 mai 1904. Une soeur morte poitrinaire ; pas d'hérédité
nerveuse
. B... est garçon de café depuis l'âge de 20 ans
noyaux lenticu- laires paraissent normaux. Le nombre des cellules
nerveuses
de l'écorce est diminué ; on en voit dont les p
rmale prédominent de beau- coup. Il y a diminution aussi des fibres
nerveuses
, mais les réseaux suprara- diaire et tangentiel
ande qu'il couvre. Cela supposerait pas mal d'élasticité des fibres
nerveuses
et n'expliquerait pas les varicosités et les dé
ée) se colorant mal au Weigert-Pal. Elle est occupée par des fibres
nerveuses
plus ou moins dégénérées, variqueuses, et d'inn
blanche. Enfin, où le néoplasme est contigu à l'écorce les cellules
nerveuses
ne sont souvent plus perpendiculaires à la surfac
tra-1)entriculaire. 3. L'épendyme épaissi est contigu il des fibres
nerveuses
eu dégénérescence. Pour l'observation VII, il n
s symptômes géné- raux éloignent l'idée d'une affection des centres
nerveux
et tendent à faire admettre au contraire que ce
s, Vulpian dont l'attention fut attirée spécialement par le système
nerveux
, ne put constater aussi bien dans la moelle que d
e, ressortir non pas au rhumatisme ou à une affection des cen- tres
nerveux
, mais essentiellement aux altérations musculaires
eux dont l'impotence motrice a pour cause une altération du système
nerveux
. C'est après 70 ans que se développe surtout l'
ession un peu. forte détermine des douleurs assez vives, les troncs
nerveux
ne sont pas hyperesthésiés. Il est en général f
usser des cris au malade, on peut ma- laxer au contraire les troncs
nerveux
périphériques sans que la malade ressente de do
facilement grâce à l'existence de douleurs vives le long des troncs
nerveux
, douleurs réveillées par la pression et affectant
sivement limitées à l'appareil musculaire strié sans que le système
nerveux
présente d'autres modifications que celles qu'i
lles ou orga- niques. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY ARTHROPATHIE
NERVEUSE
CHEZ UN PARALYTIQUE GÉNÉRAL NON TABÉTIQUE PAR
ligainents ; mobilité anormale dans tous les sens : l'arthropathie
nerveuse
était complètement établie. A ce moment, son ar
Masson et Cie, Editeurs Phototypie Berthaud. Pans 3RTROPATIIIE
NERVEUSE
CHEZ UN PARALYTIQUE GÉNÉRAL NON TABÉTIQUE 279 2
'une prochaine com- munication. Deux observations d'arthropathies
nerveuses
, répondant bien au type de Charcot, sont surtou
s tabétiques et troubles de la sensibilité. Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1895, p. 313. (3) Joffroy, Journal de médecine
s douloureuse fut un prodrome. Dans ces deux cas, les arthropathies
nerveuses
paraissent bien avoir évolué, non parce que les
uer ce fait ? Il faut admettre en partie ici l'influence du système
nerveux
central. Les deux hémisphères cérébraux sont lo
officier de marine et paraissait jouir d'une santé robuste. Mère
nerveuse
, impressionnable, sans maladies antérieures, nett
bre 1902 et 3 janvier 1903. (2) DEJBRIlVB, Séméiologie du système
nerveux
, 1900. xix . 20 9-98 ROUX ET UE1TZ Si donc,
comme une affection portant une atteinte complexe à tout le système
nerveux
: telle était autrefois l'opinion de Babinski (1)
l'autre de ces deux solutions, les phénomènes de la vie du système
nerveux
étant infiniment trop complexes pour rentrer fa
constatations faites au niveau des différentes portions du système
nerveux
. Technique expérimentale. Nous avons choisi p
té- rieure. A toutes les autopsies nous avons disséqué les filets
nerveux
cutanés dans le domaine des racines sectionnées
nées, et prélevé aussi, chaque fois que nous l'avons pu, les troncs
nerveux
commandant ces filets cutanés. Presque tou- jou
s cutanés. Presque tou- jours, nous avons aussi disséqué les filets
nerveux
symétriques du côté opposé, pour contrôle, et q
périphériques. Avant d'aborder pour chacune des régions du système
nerveux
, l'exposé de nos propres constatations, nous cr
mal enfin, il n'existait aucune dégénéres- cence ni dans les troncs
nerveux
(ide et 1 tue nerfs intercostaux) ni dans les ner
1900. (3) Trouchkowsky, Rapports du grand sympathique et du système
nerveux
central. Moniteur neurol. russe, 1899, p. 55.
sa base la plus large environ un sixième de la périphérie du tronc
nerveux
, zone où les fibres fines myéline apparaissent tr
(4) Joseph, loc. cit. (5) LUGARO, Sur les altérations des cellules
nerveuses
des ganglions spinaux à la suite de la section
ganglion paraissait légèrement réduit de vo- lume. Quant aux fibres
nerveuses
, un certain nombre d'entre elles, au pôle mé- d
Nissl. Contrai- (1) Van GEIIUCIITEN, L'anatomie fine de la cellule
nerveuse
. La Cellule, 1897. (2) MARINESCO, Presse médica
ifférents ganglions du même animal. Au sujet des lésions des fibres
nerveuses
, Kuster est à peu près d'accord avec Kleist. Dè
ons surtout nous rendre compte de l'état des cellules et des fibres
nerveuses
au bout de plusieurs mois. Nous avons utilisé l
yéline (obj. 8, ocul. 1). . Fio. 3 et 4. Dissociation de 2 branches
nerveuses
cutanées issues d'un nerf inter- costal (observ
t Brissaud et de Massary (1), mais même sur l'ensemble du sys- tème
nerveux
(Jean Lépine) (2). Nous admettrions volontiers qu
toxique exercée par le virus syphilitique sur l'ensemble du système
nerveux
. Cette action toxique se ma- nifesterait en pre
e nouvelles dissociations, nous eu avons vu, dans chacun des troncs
nerveux
, un nombre assez considérable pour qu'on ne pui
côtés, et dissé- quons, symétriquement des deux côtés, des rameaux
nerveux
périphériques, à' ! a croupe, au périnée, à la
s des deux côtés. Enfin, sont disséqués un certain nombre de filets
nerveux
cutanés symétri- ques, dans les régions de la q
au-dessus des racines sectionnées. Sur les dissociations des troncs
nerveux
et des filets cutanés, correspon- dant aux raci
ues ont été examinés par dissociation. Les prépara- tions de troncs
nerveux
, ou de filets cutanés, du côté droit, ne nous ont
ous n'avons trouvé dans ce tissu conjonctif aucune trace des fibres
nerveuses
normales ni altérées. Par contre, les dissociat
5e nerfs sacrés. Nous disséquons enfin un certain nombre de filets
nerveux
cutanés de la croupe et de la queue de l'animal
peut-être 2e et 5e sacrées. Nous dissé- quons enfin quelques filets
nerveux
cutanés de la croupe et de la queue. Examens rr
hilitique. Oppen- heim, dans son Traité sur les maladies du système
nerveux
, dit que la sclérose en plaques n'a rien à voir
se montre souvent beaucoup plus rapide et se complique d'accidents
nerveux
graves qui peuvent en quelques mois en- traîner
la syphilis. » Nonne dans sa monographie sur la Syphilis du système
nerveux
dit que quoiqu'on puisse avoir des foyers multi
uisse avoir des foyers multiples d'origine spécifique dans le tissu
nerveux
, néanmoins le tableau symptomatique n'est pas le
possible de foyers d'ori- gine spécifique disséminés dans le tissu
nerveux
, foyers qui d'ailleurs ont été déjà démontrés p
t, Bechterew, etc.. Gowers aussi décrit dans la syphilis du système
nerveux
des formations sclérotico-inflammatoires sembla
la myélite syphilitique en plaques, les cylindraxes et les cellules
nerveuses
ne se- raient pas conservés au milieu du tissu
ins complète des éléments cellulaires et des cylindraxes des libres
nerveuses
, lésions vas- culaires légères ou absentes, abs
gliose ne serait pas en rapport avec la dis- parition des éléments
nerveux
; elle semblerait plutôt constituer. un pro- ce
NIO CATOLA mique dans la sclérose en plaques commence dans le tissu
nerveux
. Ils arrivent à cette conclusion surtout parce
ssolimo lui aussi dans le Traité d'anatomie pathologique du système
nerveux
publié par Jacobson, Minor et Flatau, au chapitre
es de névroglie, par la destruction des cylindraxes et des cellules
nerveuses
. L'auteur conclut en admettant la coexistence de
ement autour des vaisseaux sanguins, mais aussi autour des cellules
nerveuses
de la substance grise. Cramer, Greiff et quelqu
origine syphilitique, on a fréquemment la des- truction de la fibre
nerveuse
entière ; mais parfois cependant les cylin- dra
rose multiple, cela cons- titue bien une forme spéciale de syphilis
nerveuse
, mais il n'y a pas de raisons pour refuser à ce
moitié gauche de la moelle ne contient qu'un petit groupe de fibres
nerveuses
normales situées à peu près au niveau de la parti
-olivaire, jusqu'à la 8° racine dorsale, presque toute la substance
nerveuse
, sauf quel- ques petits îlots disséminés, est r
tout à fait normale. Ce fait et celui de l'in- tégrité des cellules
nerveuses
au milieu de zones complètement sclérosées cons-
Au niveau des plaques de sclérose il n'existe presque plus une fibre
nerveuse
avec sa gaine myélinique. Un certain nombre seu
préalablement, ne nous permettait pas de les utiliser. Les cellules
nerveuses
sont presque complètement conservées partout. Dan
nt plus étroite que la paroi qui les limite du côté de la substance
nerveuse
est en général repré- sentée par un anneau de n
larges zones de sclérose entrecoupées par des petits îlots de tissu
nerveux
sain ou à peu près. Les racines antérieures et po
ervation plus ou moins bien directement démontrable des cylindraxes
nerveux
. L'étude des plaques de sclérose y met en évide
tose non douteuse. Aucune lésion grossière microscopique du système
nerveux
central. Léger épais- sissement méningé surtout
l obtint la guérison de tous les symptômes, y compris les symptômes
nerveux
. La critique que Rumpf fait à cette observation
utiques. Nous admettons bien que la syphilis chronique du sys- tème
nerveux
, disséminée ou non, puisse être assez souvent fac
oit dans la moelle épinière son dans le cervelet, dans la substance
nerveuse
non encore transformée en plaques scléreuses.
des hôpitaux, 1868. , 18. IBID. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, 1892. 19. CHARCOT et Gombault. Note sur
ARCOT et Gombault. Note sur un cas de lésions disséminées des centres
nerveux
chez une syphilitique. Archives de physiologie,
wEns. - Syphilis and nervous sys/ent, 1893. 38. Traité des maladies
nerveuses
, 1892. , 39. Greiff. Ueber diffuse und disseml1
pas le chant. Mais le cas n'est (1) BLocQ, Eludes sur les maladies
nerveuses
, ch. xvi, Paris, 1894. INGEGNIEROS. - LES APHAS
ar Blocq et Onanoff (4) dans leur excellente séméiologie du système
nerveux
,bien qu'ils aient groupé les types d'amusie par
iüsik- wissenschaft, fas. I, 1891. (4) BLOCQ et ONANOFF, Maladies
nerveuses
, séméiologie et diagnostic. Paris, 1892. 368 1N
de telles températures obser- vées au cours de lésions des centres
nerveux
. Malheureusement,les recher- ches entreprises à
i, nommé Char- les H..., fils d'un père buveur et d'une mère un peu
nerveuse
; il était le deuxième enfant de ses parents. So
Professeur du Laboratoire de- de Bucarest. la Clinique des maladies
nerveuses
. La question de la régénérescence de la moelle
-Séquard a constaté la régénérescence presque complète des éléments
nerveux
après la section de la moelle chez des pi- geon
daires d'origine mésodermique. Malgré cette néoformation des fibres
nerveuses
, la régénérescence de la moelle n'est t cependa
ère ne constitue pas une voie conductrice favorable à la croissance
nerveuse
, comme cela ar- · RECHERCHES sur la ftEGËNÈHESC
eurotisation du bout dégénéré se fait par l'intermédiaire des tubes
nerveux
partis du bout central qui traversent la cicatr
l'opération. Dans tous ces cas, on voit une régénération des fibres
nerveuses
ni In ti l d'une part, du point de section des
montré la possibilité d'une régénérescence très étendue des fibres
nerveuses
détruites chez l'homme par le processus pa- tho
ts un riche tissu embryonnaire où pullulent les faisceaux de fibres
nerveuses
se terminant par des boutons. Le fait le plus int
ait le plus intéressant t consiste dans l'existence d'arborisations
nerveuses
de néoformation dont les rameaux se disséminent
ctionnés. Ce névrome est constitué par un grand nombre de faisceaux
nerveux
sans myéline, disposés en plexus et disséminés
éterminées, font échouer le processus de réparation. Les pous- sées
nerveuses
s'atrophient et il persiste seulement des portion
G. Marinesco, Etudes sur le mécanisme de la régénérescence des fibres
nerveuse
" des nerfs périphériques. Journ. f. Psychologie
ils de structure relatifs au processus de régénérescence des fibres
nerveuses
à la suite de la section de la moelle pratiquée d
ant sur eux-mêmes. Dans le bout supérieur on voit pas mal de fibres
nerveuses
, iso- lées ou réunies en faisceaux, affectant d
dans lesquelles se trouvent des débris de dégénérescence des fibres
nerveuses
et des cellules granuleuses. La cicatrice est e
u tissu conjonctif. Cette cicatrice ne contient que de rares fibres
nerveuses
de nouvelle formation et rarement réunies en fa
is des divisions latérales sur leur trajet. Un bon nombre de fibres
nerveuses
ne pénètrent pas dans la cicatrice à cause de la
cicatrice sans pouvoir pénétrer dans son épaisseur. Les cellules
nerveuses
situées tout près de la région traumatisée présen
n pénètre l'extrémité du bout inférieur de la moelle, mais le tissu
nerveux
, à ce niveau, est altéré,assez souvent aréolair
RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 429 logent les fibres
nerveuses
, isolées ou réunies en faisceaux, fibres assez ép
des coupes longitudinales on voit très bien l'enlacement des fibres
nerveuses
épaisses au- Fin. 7. - Détails de structure rel
anche fortement altérée ne présentent pas de fibres ni de faisceaux
nerveux
de nouvelle formation. Il y a d'autres régions
e plus récente qui ne possèdent pas d'aussi riches plexus de fibres
nerveuses
nouvellement for- mées, ou bien ces dernières s
éseau dans les mailles duquel il existe un certain nombre de fibres
nerveuses
, épaisses, à rendements fusiformes sur leur traje
stices de laquelle on constate des cellules FM. 8. Plexus de fibres
nerveuses
de nouvelle formation qui s'infiltrent entre les
de la présence de corps granuleux (les vrais macrophages du système
nerveux
central et des nerfs périphériques), disposés en
accumulés en groupes ou disséminés, parfois même dans les faisceaux
nerveux
les corps granuleux sont en grande abondance. L
on de la cicatrice, comme dans la précédente, les cordons de fibres
nerveuses
sont séparés par des tractus de tissu conjonctif
où les vaisseaux de uuu- velle formation sont entourés de faisceaux
nerveux
disposés parfois en plexus. A l'extrémité infér
nâtres, absolument uniformes, sans connexion aucune avec les fibres
nerveuses
, elles ressemblent aux corpuscules amylacés. On v
i représentent assurément un produit de dégéné- rescence des fibres
nerveuses
.Beaucoup de fibres ramifiées,dont les branches
occasionné par la compression ou la section,et les nombreux plexus
nerveux
fibrillaires que nous avons décrits autour des
'autre part, nous avons également signalé d'autres plexus de fibres
nerveuses
presque inextricables autour des ma- crophages
res fines qui s'entremêlent de toutes fio. aU. - faisceau de libres
nerveuses
de nouvelle formation dont quelques-unes se ter
on constate qu'elle est constituée principalement par des faisceaux
nerveux
, volumineux,visibles la loupe; se divisant souv
pauvre en cellules. Là où ce tissu est trop abondant les faisceaux
nerveux
diminuent de nombre et ils apparaissent comme étr
re lombaire. Elle est constituée presque exclusivement de faisceaux
nerveux
de dimensions à peu près égales, à direc- tion
de fibres de nouvelle formation. On rencontre encore des faisceaux
nerveux
autour des vaisseaux qui se trouvent dans cette
n nombre plus ou moins considérable d'hématophages. Les faisceaux
nerveux
de nouvelle formation que nous avons décrits au n
là des zones de nécrobiose dans lesquelles il n'y a que des tissus
nerveux
ou des vaisseauxnouvellement for- més, des corp
que. A la périphérie de ces foyers, les neurofibrilles des cellules
nerveuses
présentent iadégérescence granuleuse, Il y a ég
la région comprimée nous avons trouvé des signes de régénérescence
nerveuse
consistant dans la présence e de quelques rares
dans la présence e de quelques rares massues terminales, des fibres
nerveuses
, tantôt minces tan- tôt épaisses et qui se divi
bservés. Dans les deux cas il se produit une néoformalion de libres
nerveuses
suivant les deux types décrits par Cajal et nou
s de nouvelle formation fng, fnp, lisp'. En (l117 on voit un faisceau
nerveux
, assez considérable, compact, constitué de fibr
urir d'un bout ;i l'autre de la moelle, les faisceaux et les fibres
nerveuses
s'égarent et malgré leur tentative de franchir le
apotrophiques. c'est-à-dire qui attirent et nourrissent les fibres
nerveuses
. Elles jouent un rôle essentiel, non seulement
s nerfs périphériques, mais aussi dans celle des fibres des centres
nerveux
; aussi nous avons vu qu'il se forme de pareill
la base du poumon gauche. Les autres viscères normaux. Les troncs
nerveux
ne sont pas hypertrophiés. Les muscles sont très
- Elle a porté sur les muscles, les nerfs périphériques, les troncs
nerveux
, les ganglions, les racines nerveuses et la moell
nerfs périphériques, les troncs nerveux, les ganglions, les racines
nerveuses
et la moelle. 1° Muscles. Un certain nombre de
uivie d'examen histologique des muscles, des nerfs et des cen- tres
nerveux
. Les lésions étaient absolument semblables à cell
sa consultation. C'était le 6e enfant de parents sains et sans tare
nerveuse
, dont seul le leur né avait présenté des troubles
cas rap- portés ci-dessus, les auteurs n'ont constaté aucune lésion
nerveuse
à l'au- topsie et concluent à une affection mus
l'exception du diaphragme) et depuis quelques semaines, des crises
nerveuses
paraissant avoir leur point de départ dans la rég
observation permet de rapporter à une névrite tépreusetesaccidents
nerveux
constatés en clinique. Nous avons eu l'occasion
premier examen, l'état de maladie. Etudions en détail les accidents
nerveux
et les, accidents cutanés que présente ce malad
rès de Limoges, 1901. (2) RAYMOND, Clinique des maladies du système
nerveux
, 1897-1898, ; 3' série. Doin,éd. MARCHAND ET PE
ussitôt après la mort et nous avons fixé immédia- tement le système
nerveux
dans du formol à 10 0/0. Ainsi, les lésions que
n est si bien conservée qu'on ne peut mettre en doute leur na- ture
nerveuse
(fig. 2). La tumeur est peu vascularisée à son ce
petites cellules rondes néoplasiques envahissent peu à peu le tissu
nerveux
sans le détruire immédiatement. Il existe une zon
du sillon et n'attaquent l'iG. 2. - Tissu néoplasique. 1. Cellules
nerveuses
; 2, Fibrilles névrogliques 3. cellules sarcoma
o. 3. - 1. Tumeur; 2. Cortex sain; 3. Sillon et pie-mère; 4. Cellules
nerveuses
. 462 MARCHAND ET PETIT. GLIO-SARCOME DU LOBULE
e l'a amenée consul- ter le 5 juin 1906, à la clinique des maladies
nerveuses
, à la Salpêtrière, pour des manifestations ment
membre n'est petit ou mal- formé ; personne ne présente de maladies
nerveuses
. Le père, bien por- tant, n'est pas buveur; la
pérature oscille entre 37° et 37°7. Poids : 32 kil. 500. Le système
nerveux
n'offre rien à signaler au point de vue somatique
ations faciales, thoraciques, (1) Brissaud, Leçons sur les maladies
nerveuses
, 9895 ; Meige, Gazette des hôpitaux, 1902 ;.Ico
lpêtrière, 1901. (2) LA11DOUZY. (3) Brissaud, Leçons sur les mal.
nerveuses
, 1895-1898, Iconographie delà Salpê- trière, 18
pertrophie très marquée avec dureté très accusée de tous les troncs
nerveux
des membres accessibles à la palpa- tion ; ces
e, ayant successivement atteint les nerfs périphériques, les troncs
nerveux
, les racines antérieures et postérieures, avec lé
- lade après avoir pratiqué l'autopsie de sa soeur, tous les troncs
nerveux
des membres accessibles la palpation, à savoir
nous nous bornerons à exposer les résultats de l'examen des centres
nerveux
,des muscles et des nerfs. , Examen macroscopi
nous avons pu suivre, sur les coupes de muscles, des petits filets
nerveux
intrafasciculaires, c'est pourquoi nous commencer
l'examen des muscles, nous la continuerons par l'examen des rameaux
nerveux
intra-musculaires, Examen des muscles. Cet ex
ématoxyline ou par le picro-carmin. Sur tous, la plupart des fibres
nerveuses
ont presque complètement disparu, et chaque filet
fibres nerveuses ont presque complètement disparu, et chaque filet
nerveux
n'est plus représenté que par des petits fascic
Le périnèvre est relati- vement peu épaissi. , Examen des troncs
nerveux
. Nous n'avons pas eu à notre disposition des ne
cependant la comparaison des nerfs intra-musculaires et' des troncs
nerveux
permet d'affirmer qu'il y a moins / de fibres d
i (PI. LXXVB). Dans chaque fascicule il y a à considérer les fibres
nerveuses
et le périnèvre. Les fibres à myéline sont très
t. B'. - La même coupe vue à un plus fort grossissement. Les fibres
nerveuses
sont entourées d'une gaine de tissu conjonctif.
ement rares dans les gaînes conjonctives qui entourent chaque fibre
nerveuse
; il s'agit en effet d'un tissu complètement or-
re un peu plus de noyaux dans la gaîne conjonctive de, chaque fibre
nerveuse
, mais ce sont des différences à peine appréciable
re la part de ce qui revient, dans cet en- chevêtrement, aux fibres
nerveuses
,aux gaines vides et au tissu conjonctif; ce- pe
- jonctif ; plusieurs faisceaux paraissent constitués par une fibre
nerveuse
entou- rée de tissu conjonctif. ' En résumé,l
riables.Le centre de ces cylindres est souvent occupé par une fibre
nerveuse
dont la myéline se colore en gris violet et don
aisée. , Tout d'abord les petits cylindres constitués par une fibre
nerveuse
centrale et une gaine dans la constitution de l
le et une gaine dans la constitution de laquelle entrent des fibres
nerveuses
de plus petit calibre, des vacuoles, du tissu c
tissu conjonctif et les gaines vides. Si on remarque que les fibres
nerveuses
sont plus nombreuses dans les raci- nes antérie
plus nombreuses dans les raci- nes antérieures que dans les troncs
nerveux
et dans les nerfs mtra-musculaires; si d'autre
ire la comparaison ; mais ce que nous avons observé dans les troncs
nerveux
du membre supérieur, ou inférieur, nous permet
ataxique atrophique avec cypho-scoliose et hypertrophie des troncs
nerveux
. Les troubles de la sensibilité, souvent 496 DE
ons devoir à nouveau attirer l'attention. L'hypertrophie des troncs
nerveux
enfin est d'une constatai ion facile, non seule
externe au niveau de la tête du péroné mais encore sur les rameaux
nerveux
cutanés d'un certain volume. L'augmentation de
alablement injectées à la gélatine. La pression enfin de ces troncs
nerveux
, même intense, ne ré- veille pas de douleur. Il
interstitielle hyper- trophique, une véritable analgésie des troncs
nerveux
à la pression et à l'excitation électrique. L
soeur (obs. II) en 1893. Elles sont de trois ordres : musculaires,
nerveuses
et médullaires. Les lésions musculaires consist
n du mésoderme ne s'est pas faite indifféremment entre les éléments
nerveux
comme dans certains processus d'endonévrite : la
504 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS .. orientée suivant l'axe des fibres
nerveuses
, formant à chaque fibre et quel- quefois à plus
- phique, suivant qu'on examine les nerfs périphériques, les troncs
nerveux
ou les racines, on est tout disposé à admettre
u'elle a débuté à la péri- phérie pour s'étendre ensuite aux troncs
nerveux
et aux racines : les lésions sont plus marquées
t a-t-elle occasionné la dégénérescence en étouf- fant les éléments
nerveux
? Ces deux hypothèses ne nous semblent pas conf
ne, novembre 1896. (3) F. Raymond, Clinique des maladies du système
nerveux
, t. 6, p. 184. M. Piehhe Marie a présenté l'an
rophie musculaire et enfin l'hyper- trophie considérable des troncs
nerveux
dont nous avons pu nous rendre compte par nous-
que l'autopsie a été faite à une époque où la technique du système
nerveux
était encore peu avancée ; parce que les observ
dentes, parce que l'examen anatomique révéla l'existence de lésions
nerveuses
périphériques diminuant de bas en haut, et l'in
l'âge de cinquante ans, après trente années de maladie, les troncs
nerveux
étaient d'un volume au- dessous de la normale.
nt une opinion contraire : pour Marinesco l'hypertrophie des troncs
nerveux
et des racines médullaires serait une conséquen
e place à part dans la nosologie des maladies familiales du système
nerveux
. 1 Avant de terminer, nous attirerons l'attenti
QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE ' ÉTUDE DES LÉSIONS
NERVEUSES
' PAR ) L. ALQUIER, , Chef des travaux anat
ALQUIER, , Chef des travaux anatomiques à la Clinique des Maladies
nerveuses
. Pour expliquer les accidents nerveux du mal de
à la Clinique des Maladies nerveuses. Pour expliquer les accidents
nerveux
du mal de Pott,on invoque actuel- lement plusie
substance grise les lésions sont moins considérable : les cellules
nerveuses
sont en chromatolyse, et peuvent être déformées,
ger l'hypothèse d'une action analogue à celle qui, dans la syphilis
nerveuse
, engendre les lésions spinales. L'ischémie, not
i pratiqué l'autopsie de 15 pottiques ayant pré- senté des troubles
nerveux
, dans le service de M. le professeur Ray- mond.
pleurale. Pas de tuberculose viscérale nette. Foie gras. Centres
nerveux
supérieurs Cerveau, cervelet, bulbe, protubérance
elle. Méninges molles et vaisseaux sanguins sans lésions ; cellules
nerveuses
: les unes aplaties, déformées, d'autres normales
E 515 5 très sclérosées, avec atrophie intense de nombreuses fibres
nerveuses
, et dispa- rition de nombreux cylindres-axes. P
vec pâleur diffuse des cordons antéro-latéraux. Quelques cel- lules
nerveuses
sont en chromatolyse légère, avec pigmentation.
térieurs ; léger épaississement de la névroglie ; dans les cellules
nerveuses
à peine de chromatolyse ; les vais- seaux, larg
Pas de lésions dans les autres régions de la moelle. Les cellules
nerveuses
présentent, dans toutes les régions du névràxe, d
elle, disparaissent dans la région dorsale moyenne. Les cellules
nerveuses
présentent des lésions de chromatolyse avec amas
ffuse sans pigmentation, et avec légère désorientation des cellules
nerveuses
. Multi- plication diffuse des noyaux névrogliqu
total de la moelle est plutôt supérieur à la normale. Les cellules
nerveuses
sont déformées, aplaties, mais c'est à peine si
le Marchi de la région centrale des cordons postérieurs ; cellules
nerveuses
intactes : oblitération du canal épendymaire. A
ire. Au-dessous, chromatolyse et pigmentation de certaines cellules
nerveuses
: canal épendymaire dilaté, plein de débris épi
direct, py- ramidal). A distance (région lombaire), les cellules
nerveuses
présentent à peine une ébauche de chromatolyse
ue de la sclé- rose névrogliqueet de l'atrophie de certaines fibres
nerveuses
, sans dila- tation des gaines de myéline, ni tu
altération qu'un peu de pigmentation avec chromatolyse des cellules
nerveuses
. De la partie supérieure du 1er segment lombair
épaississement des méninges mol- les ; lésions banales des cellules
nerveuses
, dégénérescence des cordons pos- térieurs corr
ssissement con- sidérable de la névroglie, avec atrophie des fibres
nerveuses
, dont les cylindres- axes sont irrégulièrement
issement des méninges avec infiltration de polynucléaires. Cellules
nerveuses
en état de légère chromatolyse avec pigmentatio
intégration de la névroglie : les racines gau- ches et les cellules
nerveuses
offrent les mêmes lésions que dans le 6e segment,
au-dessus ou au-dessous du siège de la compres- sion. Les centres
nerveux
supérieurs (cerveau, cervelet, bulbe, protubéranc
ges molles. La moelle n'est ni comprimée ni déformée. Les centres
nerveux
supérieurs sont sains, macroscopiquement et histo
ignes de myélite diffuse légère ; désintégration diffuse des fibres
nerveuses
, dont les gaines de myéline ne se colorent presqu
- lière des gatnes myéliniques et de leurs cylindres-axes. Cellules
nerveuses
à peine touchées ; très légère chromatolyse, pe
rempli de cellules polymorphes. Chroma- tolyse légère des cellules
nerveuses
, les vaisseaux sont dilatés, pleins de sang. Ce
-dessus et au-dessous. Dans toute la hauteur de la moelle, cellules
nerveuses
globuleuses ; ébauche de chromatolyse avec pigm
estion pulmonaire, petits tubercules anciens. Intégrité des centres
nerveux
supérieurs (même au microscope) ; pas d'amyotroph
rficielle des cordons postérieurs. Canal central oblitéré, cellules
nerveuses
globuleuses avec chromatolyse et pigmentation dan
t particulière- ment complexe, pour le dernier cas, où les troubles
nerveux
semblent indiquer l'évolution simultanée d'un t
ci- pales : 1° quelle est la genèse et la signification des lésions
nerveuses
ob- servées ; 2° quelles indications pratiques
eurs et de préciser la part qui revient, dans la genèse des lésions
nerveuses
à la compression osseuse, Il convient cependant
ntégration de la myéline, ou bien sclérose avec atrophie des fibres
nerveuses
, et, au Pal et au Marchi, lésions dégénératives.
dème et l'âge ou l'activité des lésions tuberculeuses. Les cellules
nerveuses
peuvent être aplaties, déformées mécaniquement
cule protubérantiel (V. Reo. neurol., 1906, p. 325) où les cellules
nerveuses
étaient saines, immédiatement en dehors du proc
culière lorsqu'au mal de Pott s'ajoutent ceux d'une autre affection
nerveuse
; dans l'observation XII, la myélite syphilitique
rapport constant avec le siège, l'intensité, la nature des lésions
nerveuses
. Une fois nous avons noté la dissociation syrin
me de Brown-Sé- quard. On sait combien le pronostic des accidents
nerveux
du mal de Pott pré- sente de difficultés ; on n
ASTIIVE, lac. cit., p, ' 134. (2) V. DRJHRINE, Anatomie des centres
nerveux
, t. il, f. 1, p. 588. IIÉMIASYNERGIE DROITE 543
scléreux, pas de dimi- nution de nombre des fibres et des cellules
nerveuses
. Quelques cellules seule- ment ont des vacuoles
live bulbaire du côté opposé, la réaction à distance des cellu- les
nerveuses
, et on ne voit pas dans l'écorce cérébelleuse de
opérant une distinction entre les cas symptomatiques d'altérations
nerveuses
et les cas dans lesquels on n'a pu constater au
bide, ne sont pas très nombreux ; la clinique explique leur origine
nerveuse
par certains arguments comme l'influence hérédi-
i- taire, le caractère familial, la coexistence d'autres phénomènes
nerveux
: l'anatomie pathologique a confirmé les notion
la maladie de Dupuytren, en nous permettant d'appliquer la théorie
nerveuse
à une plus grande quantité de cas, nous fait co
nèvre et du tissu con- nectif, disparition d'une quantité de fibres
nerveuses
, et lésions dégénératives en activité irréguliè
es cas déjà décrits, sous le nom de maladies de Dupuytren d'origine
nerveuse
; en effet, la lésion nerveuse, sinon par sa natu
m de maladies de Dupuytren d'origine nerveuse ; en effet, la lésion
nerveuse
, sinon par sa nature du moins par son extension
ue la simple manifestation d'une altération dy- namique des centres
nerveux
? Le mécanisme de production, de la maladie de
ses variées, dont la plus commune est l'artério-sclérose. La théorie
nerveuse
trouve là une confirmation nouvelle et une appl
ne longue série de résultats démonstratifs. La théorie de l'origine
nerveuse
périphérique de la maladie de Dupuy- tren est s
TIt.1 : Wiener klin. Vochen., 1901. Oppenheim : Traité des maladies
nerveuses
. Perrero : Ace. Med. Turin, juillet 190.t. CA
nuance quelque peu radicale de nos idées sur l'anatomie des centres
nerveux
. Nous avions présumé que notre thèse susciterai
dmiration que nous avons pour les auteurs de l'Analomie des centres
nerveux
nous porterait à garder en face d'eux le silence.
caractère à chaque faisceau. Les auteurs de l'Anatomie des centres
nerveux
ont évidemment fait subir quelques modification
nion nouvelle, on nous renvoie au tome I de l' Anatomie des centres
nerveux
(1895), p. 773. Mais ainsi qu'on voit par le pa
Encore faut-il s'en rapporter à la p. 12 de ['Anatomie des centres
nerveux
(t. II), pour apprendre que les fibres du segme
enouillé externe ... et l'on nous fait remarquer (Anat. des centres
nerveux
, t. II, p. 176) « la dégénérescence très nette
eau longitudinal) et le tapétum. On observe (Anatomie des centres
nerveux
, t. II, p, 109) : « Une dégéné- rescence très i
'élément le plus indispensable à l'harmonieux progrès de l'anatomie
nerveuse
. C'est donc conformément à ce principe que nous
pas conformes » à la doctrine qu'enseigne l'Analo- mie des centres
nerveux
. Il est un autre élément que nos contradicteurs
ion du neurone ; nous savons', en effet, que la section d'une fibre
nerveuse
retentit sur sa cellule d'origine (on y constat
'idée que dans le voisinage d'une lésion destructive les élé- ments
nerveux
doivent forcément plier sous l'onde de répercussi
e et du bulbe représente le chapitre le plus solide de l'ana- tomie
nerveuse
; il faut admettre aussi que c'est à la base du c
mide bulbaire mar- que donc le début d'une ère nouvelle en anatomie
nerveuse
; on peut prédire que cette acquisition importan
efois s'est effrangé depuis l'avènement de la précision eu anatomie
nerveuse
. Nous nous demandons si l'on ne s'est pas laiss
ui. Il s'agit d'un principe et l'on sait que ['Anatomie des centres
nerveux
demeure fidèle à ses principes. C'est pourquoi,
assez analogue. Or, la rétine qu'on ne peut assimiler aux éléments
nerveux
périphériques, se rapproche certainement de l'é
pour la plupart, les éléments superposés ressemblent aux formations
nerveuses
des ganglions crâniens ou aux arborisations pér
d'un système qui possède deux corticalités, ou plutôt d'un appareil
nerveux
comprenant deux lobes ; les deux réunis par l'in-
TABLE DES AUTEURS ALQUIER. Les principales formes des trou- bles
nerveux
dans le mal de Pott sans gibbosité \4 pl.), 2.
séniles des doigts (2 pl.), 381. ETIENNE et Perron. Arthropathie
nerveuse
chez un paralytique général non tabéti- que(l
lle (1 pl.), 383. NAGEOTTE. Régénération collatérale des fibres
nerveuses
terminées par des mas- sues de croissance, à l'
avec infanti- lisme (2 pl.), 16. PERRIN et Etienne. Arthropathie
nerveuse
chez un'paralytique général non tabéti- que (
paralytiques géné- raux, par A. Marie, (2 pi.), 592. Arlhropalhie
nerveuse
chez un paralytique général non tabétique (1 pi
sceau optique rentrai, par L \5 \LLf;-AHCII,UIU,\ULT, 103. Fibres
nerveuses
terminées par des massues de croissance, à l'ét
. Mal de Pott sans gibbosité (les principales formes des troubles
nerveux
dans le) (4 pl.), par ALQUIER, 1. Malde Poil
nomalies multiples congénitales (M. KLIP- reL), XXV. Arthropathie
nerveuse
chez un paralytique générd non tabétique (G. Et
J.-C. Roux et J. HEiTz), XLVIII, XLIX, L. Régénération des fibres
nerveuses
(J. NA- GCOTTE), XXXIV, XXXV, XXXVI,XXXVII, X
ier 1888. Nu 43 ARCHIVES DE NEUROLOGIE /. ' · te z PATHOLOGIE
NERVEUSE
SUR UNE DÉFORMATION PARTICULIÈRE DU TRONC CAUSÉ
pas une simple coïncidence, mais Archives, l. XV. 1 2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. une véritable relation de cause à effet, et de
et rappelant les douleurs fulgurantes. Ces douleurs 4 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. se manifestent surtout quand le malade marche
ré d'amyotrophie. Voici le résultat des mensurations : 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. commises. Dans le cas présent, pourrait-il en
fléchi sur le bassin. L'épaule droite est plus élevée 8 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que la gauche. Le rebord costal droit est rapp
térite, dit la malade.- Mère vitet se porte bien. Un frère est très
nerveux
, a souvent des cauchemars la nuit, se lève parfoi
t une petite fille de treize ans qui est bien por- tante, mais très
nerveuse
. La malade tousse un peu tous les hivers. La
vant le début de l'affection. Elle garde la chambre 10 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. huit ou dix jours, éprouve au bout de ce temps
ronc du côté opposé. Diminution des réflexes tendi- 12 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. neux du côté gauche. Léger amaigrissement du m
symptômes consignés, le dia- Fig. 3.. . Fig. t. il, PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gnostic de sciatique. Mais est-il besoin de fa
r une assez grande importance. Archives, 1. xv. 2 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous venons de voir les signes qui caractérise
la déformation était moins accentuée qu'au début. - 20 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Cette déformation peut-elle disparaître complè
ercer une pression du côté affecté, laisse son pied 22 ) PATHOLOGIE
NERVEUSE
. complètement appliqué sur le sol, car le soulè
tronc en sens inverse, en vertu de laquelle le rebord '4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. costal du côté sain se rapproche de la crête i
portant exclusivement sur la station et sur la mar- 26 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. che » ce trouble caractéristique. D'après l'av
plégies et ataxie du mouvement . Paris, 18G}, p. 653. 2b PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cependant, le sujet couché a conservé l'intégr
cli- niques très intéressantes dans ses Leçons sur les ma- ladies
nerveuses
des femmes (1885). Il distingue tout d'abord de
e hystériques. (Etudes du Pr Lasègue, t. II, p. 25. 30 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. être y a-t-il un retard dans l'incitation céré
- lazione. (Gazetta degli ospitali, n° 76, p. G03,) 32 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tération que peut subir la fonction de la stat
utteux confirmés; elle est rhumatisante elle-même et de tempérament
nerveux
; elle a eu des attaques d'hystérie. Il y a auss
fréquemment de douleurs névralgiques. Elle n'a eu aucune affection
nerveuse
avant le début de la maladie actuelle. 1 Débu
reconnues à la vision centrale. Archivas, t. XV. 3 34 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. On ne peut déterminer le champ des couleurs à
s en 1882, cinq ans après, le malade n'avait plus eu aucun accident
nerveux
depuis. Observation III. (Personnelle.) Hen
encore, assis sur sa chaise, il la l'ait avancer 36 , . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. par petits petits sauts. Toutefois, peut peut
u'il ne pouvait pas marcher, ni même se tenir sur ses 00 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pieds. Pendant les jours suivants il renouvela
a marche. Il ne s'agissait pas d'une lésion anato- mique du système
nerveux
, mais d'une altération dynamique fonctionnelle.
n observe aujourd'hui, dans les membres inférieurs, 40 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Etat actuel. Le malade se tient couché sur un
Résumée.) A... T..., vingt-huit ans, référendaire, sans antécédents
nerveux
héréditaires, ni personnels. Pas d'excès alcool
excès de travail pendant huit à dix mois, à la suite 42 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. desquels survinrent des secousses dans tous le
s, . des envies de pleurer, la solilude l'effraye ? 44 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Début et marche. Dans les derniers jours de l'
de l'apparition de la maladie actuelle, elle n'a pas eu d'affection
nerveuse
. Depuis l'époque de son mariage, elle a eu des
ques jours après l'accouchement, elle a commencé à avoir des crises
nerveuses
ainsi constituées : battements dans les tempes,
e corps ; cela dure dix à quinze minutes, puis la ma- 46 pathologie
NERVEUSE
. lade revient à elle un peu l'alignée, mais san
arents sont morts à un âge avancé : elle ne connaît pas de maladies
nerveuses
dans sa fa- mille. Elle-même n'a jamais fait
amais été sujette à des crises de nerfs, ou à d'autres phé- nomènes
nerveux
. Début. Le 12 février 1886 elle fit une chute s
par la pression. , Fi ? S.. Archives, t. XV. 4 o PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les membres inférieurs atteints dans leur leur
ioration sensible dans l'état de la' malade. (A suivre.) CLINIQUE
NERVEUSE
DES ÉPHIDROSES DE LA FACE; Par M. PADL RAYMON
qui ait été dans ces dernières années étudiée et mer- 52 CLINIQUE
NERVEUSE
. veilleusement élucidée, c'est assurément la pa
veilleusement élucidée, c'est assurément la pathologie du système
nerveux
. La gloire en revient tout entière et sans cont
tu- dier ici un trouble assez rare et encore peu connu du système
nerveux
: les sueurs localisées de la face, les épidros
e ces observations, on peut remar- quer que dans toutes, le système
nerveux
est affecté, fait qui, pour le dire en passant
importance si la subordination de la fonction sudorale au système
nerveux
était encore à démontrer. On voit en outre que
damentales. Nous terminerons enfin en discutant le 51 1 CLINIQUE
NERVEUSE
. diagnostic de la lésion qui chez notre premier
cité plus loin), ou encore celles qui ressortis- sent à une lésion
nerveuse
centrale d'ordre réflexe. Les éphidroses partie
pendant il aurait eu une typhlite. Il y a un an, il est 56 CLINIQUE
NERVEUSE
. tombé d'une échelle sur le coude : il en est r
les grands-parents. Deux soeurs sont en bonne santé et ne sont pas
nerveuses
. Lui-même étant jeune, ne présentait pas de sig
ciable du cou ni du thorax. Les urines sont normales. 58 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'état général est bon. D... mange bien, dort
sont dues à une névralgie intercostale du côté droit.) 60 CLINIQUE
NERVEUSE
. lit. Passons maintenant en revue les princip
ns une première classe, il y a une altération matérielle du système
nerveux
cérébro-spinal. A cette catégorie appartiennent
nstate la pigmentation et la dégénérescence graisseuse des cellules
nerveuses
; la proliféra- tion des éléments conjonctifs.
des parois avec dégénérescence graisseuse de leur con- 62 CLINIQUE
NERVEUSE
. tenu. En somme sclérose ot dégénérescence grai
e on trouva une infiltration de cellules rondes entre les faisceaux
nerveux
et les cellules gan- glionnaires. Les vaisseaux
étaient inégalement dilatées par places. La plupart des 64 CLINIQUE
NERVEUSE
. cellules ganglionnaires ne présentaient pas d'
ions successives de diamètre pu- Ancurves, t. XV. a 66 . CLINIQUE
NERVEUSE
. pillaire viendraient corroborer cette opinion.
u'il ait fait avant de mourir le moindre mouve- ment. 68 CLINIQUE
NERVEUSE
. Autopsie. A l'ouverture du thorax on constate
ble d'éléments embryonnaires qui entou- rent à la fois les cellules
nerveuses
et les vaisseaux, sans tou- tefois prédominer a
s cellules saines fixent davantage l'acide pi- crique. Les fibres
nerveuses
qui traversent le ganglion sont parfai- tement
sudorales qui accompagnent le facial ou le trijumeau. 70 CLINIQUE
NERVEUSE
. On connaît plusieurs exemples d'hypéridrose fa
On la rencontre ordinairement chez des sujets hystériques, chez des
nerveux
. L'hyperexcita- bilité sudorale est mise enjeu
ait du sel sur le côté correspondant de sa langue qui 72 CLINIQUE
NERVEUSE
. était excoriée. Hartmann rappelle l'observatio
e faits, c'est une émotion, une excitation psychique 74 1, CLINIQUE
NERVEUSE
. qui déterminent l'éphidrose. Parfois même, il
ouen) a rapporté au congrès de Bor- deaux l'observation d'une femme
nerveuse
atteinte d'éphidrose latérale droite de la face
est possible de noter un trouble dans le fonctionnement du système
nerveux
. Ces éphidroses peuvent rentrer, pensons-nous,
s quatre groupes suivants : . 1° Altération matérielle du système
nerveux
cen- tral ; ; 2° Lésion du cordon cervical du
l"' 10 et il, p 55 et 23à, juillet et septembre 1887. 76 . CLINIQUE
NERVEUSE
. tion symptomatique entre les différents actes
directe- ment, d'abord à droite, puis enfin à gauche. 78 CLINIQUE
NERVEUSE
. Période de stertor. Décomposition de la face q
M Il M M '1 : 1 a o e2 m en M rm 80 CLINIQUE
NERVEUSE
. DE l'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. Poids. 1879. Novemb
n des points de vue. Nous appuierons, dès l'abord, sur l'hérédité
nerveuse
hétéromorphe, comme il a été si souvent noté da
liés à la ' Déjérine. - De l'hérédité dans les maladies du système
nerveux
. RAPPORT SUR MISTRAL. 81 notable accélération
Nous, soussignés, J. Charcot, professeur de clinique des ma- ladies
nerveuses
à la faculté de médecine de Paris, officier de
GILLES DE LA TOUHËTTE Chefde clinique des maladies du S&tèIllL
nerveux
. I. « Un grand anatomiste, je dy grand et cél
dans sa troisième classe, de toutes la plus grave. « A l'agitation
nerveuse
la plus intense, dit-il, aux convulsions les pl
stoire de la léthargie. Paris, 1833, sil 309. Traité des maladies
nerveuses
ou vapeurs et particulièrement de l'hys- térie
n'avait jamais fait de grave maladie. Tou- tefois elle fut toujours
nerveuse
et, à la suite d'une peur, - nous dit la mère e
autres variétés de l'attaque hystéro-épileptique ou aux phénomènes
nerveux
de même ordre ? La première question est import
st t 11 p- ' Voy. Déjerine. L'hérédité dans les maladies du système
nerveux
. Th. agrég., Paris, 1886. DES ATTAQUES DE SOM
énomènes de la série hystérique chez un même sujet. Ces accidents
nerveux
antérieurs sont très variés, et il fau- drait p
pathologique DE la démence POST- FÉBRILE. Remarques sur les fibres
nerveuses
de l'éeorce cérébrale; par H. E31MINGHAUS. (Arc
Série d'exacerbations et de rémissions des accidents psychiques et
nerveux
; guérison graduelle presque complète. Mort subite
s. Altérations vasculaires et conjonctives de l'ensemble du système
nerveux
central et périphé- rique. L'évolution générale
ne constate pas de lésions. Les altérations vasculaires du système
nerveux
central et périphérique n'auraient, d'après Zac
mmatoires dans les cordons latéraux, la substance grise, les fibres
nerveuses
. P. K. VII. D'UNE forme TOUTE particulière D'IL
Discutant son observation, M. Ballet montre que son malade était un
nerveux
, bien avant d'être un halluciné, que si chez lui
'agit là. en somme, d'un sujet chez lequel la plupart des réactions
nerveuses
se traduisent par l'hallucination de l'ouïe com
tervient au plus comme cause occasionnelle. C'est la prédisposition
nerveuse
qui crée l'hallucination. Dans les cas analogue
mammifères, la muqueuse olfactive se compose encore de renflements
nerveux
semblables à ceux que l'on rencontre il la peau
goût ce dernier appareil présente également les mêmes renflements
nerveux
), et probablement aussi l'organe de l'ouïe doiven
me sur la substance grise. Observa- tion II. Enfant issu d'une mère
nerveuse
. Il est, en pleine santé, pris de convulsions q
à plusieurs noyaux, cellules contenant graisse et substance blanche
nerveuse
dans lesquelles, par un traitement approprié, o
but en blanc, et dans le tissu conjonc- tif, et dans le parenchyme
nerveux
, des altérations intenses égale- ment, tandis q
s le réseau conjonctif, remplies de graisse et de substance blanche
nerveuse
, émanent, au moins pour un certain nombre, des
matoire participe vivementà toutes les proliférations. Les cellules
nerveuses
subissent en même temps la régression : re- coq
et de coupes de moelles de chiens, afin de montrer que les cellules
nerveuses
normales présentent dans les ganglions et la mo
ent TuczET (de Marbourg). Nouvelles communications sur les troubles
nerveux
permanents consécutifs à l'ergotisme. - Il s'ag
ons à l'appui), une atrophie presque complète des réseaux de fibres
nerveuses
dans les colonnes de Clarke. M. le professeur B
d'admission dans les maisons de santé dites ouvertes pour maladies
nerveuses
. Le nombre des maisons de santé ouvertes, corre
teur du Traité complet de l'anatomie et de la pathologie du système
nerveux
, né à liouen en 1830, vient de mourir à Paris.
. Vol. XV. Mars 1888. N" 44 ARCHIVES DE NEUROLOGIE , PATHOLOGIE
NERVEUSE
s ! 1 u ` ' V CONTRIBUTION A L'ÉTUDE SY11P'fO
de : " " lisez : (11) -(11) Archives, t. XV. 1 1 162 ^ pathologie
NERVEUSE
. ses camarades; mais il était chétif avant d'êt
hitisme. Le malade rattache l'incurvation de la co- '164 pathologie
NERVEUSE
. lonne vertébrale à son travail d'enduiseur. Le
ires s'observent dans les muscles du bras et du thorax. Les cordons
nerveux
et les muscles ne sont pas douloureux à la pres
hélice est repoussée. Recherche du 9 lévrier 1886. jÔ PATHOLOGIE
NERVEUSE
. DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 167 l'omoplat
ts, où l'épiderme est fort épaissi. Au Fig. li. '168 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. bout des doigts les pointes du compas de Weber
mitée en haut par le niveau de l'ombilic, en bas par les expansions
nerveuses
supé- rieures du plexus lombaire (fig. 3)'. La
IV, 87, le ll1alade prrcevalt la djllérene de 10 ? 170 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des soubresauts musculaires, de la scoliose, d
la moitié gauche du corps. Sur le membre Fig. 16. 1 I PATHOLOGIE
NERVEUSE
. inférieur droit le malade perçoit de petites d
Le nerf trijumeau est en bon état; les autres symptômes du système
nerveux
n'ont pas subi d'altérations. Mars. Au mois de
érence. L'état général est bien meilleur. Fig. 17. 174 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4887. Janvier. Point d'altérations motrices no
stants et induits, on n'observe pas de diminution de l'excitabilité
nerveuse
et musculaire, comparativement au côté - 176 6
erveuse et musculaire, comparativement au côté - 176 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. opposé;- on ne remarque non plus aucune réacti
(atrophie musculaire, anes- Archives, t. XV. , 12 178 pathologie
NERVEUSE
. thésie partielle, douleurs) se localisèrent ic
ne coïn- cident pas avec la région de la distribution des cordons
nerveux
séparés ; 3) on ne saurait admettre l'action de
de même que leur hyperé- mie associée peut-être à celle des cordons
nerveux
, ce qui explique leur sensibilité douloureuse à
ux yeux et ce n'est que depuis le moment où le pouce 180 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. commença à être gêné dans ses mouvements, il y
tion d'un seul attouchement. L'attouchement du tendon 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. extenseur de chaque doigt se définit aussi d'u
ue visite. - Point d'altérations dans les autres sphères du système
nerveux
. Les organes des sens sont normaux, les pupille
es mouvements sont peu limites Fig. 19. Fig. 20. 184 pathologie
NERVEUSE
. par l'oedème; il augmente parle travail ; au r
ais même aux limites de la distribution de deux ou trois branches
nerveuses
; elle donne peut-être quelque indication de la
faute d'avoir mon thermesthésiomètre sous la main. 186 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Tous ces symptômes permettent à peine de doute
qu'on lui ordonne. Ainsi ' Tome XV, n° 13, p. 2 1. 188 pathologie
NERVEUSE
. peut-on lui faire lancer un coup de pied, croi
t la station et la marche, des oscillations du corps 190 pathologie
NERVEUSE
. en avant et en arrière ou de droite à gauche,
ssent ré- gulièrement et l'état général reste bon. 192 pathologie
NERVEUSE
. D'après nos observations et la description que
iquet puis Lasègue ont nommé Archives, t. XV. 13 3 194 pathologie
nerveuse
. ataxie hystérique, c'est-à-dire l'incoordinati
Il n'y aurait pas lieu de distinguer l'affection qui 196 pathologie
nerveuse
. nous occupe de celle qu'a décrite Erlenmeyer s
abituelle de stigmates hys- tériques en fait foi. '198 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Traitement. - Le traitement qui a été institué
bot, Les Maladies de la mémoire.. Paris, 1881, p. 9. 200 pathologie
NERVEUSE
. mais, à force de répéter le même travail, les
veuse correspondent une modification et une usure de la substance
nerveuse
; et, quoique la nutrition régé- nère peu à peu
aisemblablement à cause du développe- ment incomplet de ses centres
nerveux
. « Si l'en- fant, dit-il, présentait un degré d
t l'intelligence. 3 Maudstey. Loco citato, p. 143. 202 pathologie
NERVEUSE
. d'énergie et correspond à un développement pro
nsi, nos 1 Messes Loco citato, p. 26 et suivantes. 204 pathologie
NERVEUSE
. actes habituels, et en particulier la marche,
ion immédiate était dans l'écorce, un très grand nombre de fibres
nerveuses
seraient nécessaires pour trans- mettre les ord
De là, pouvait-on conclure, qu'en raison du petit nombre de fibres
nerveuses
qui subsis- taient, un centre cérébral organisé
sychique : dès que, par suite de la régénération de quelques fibres
nerveuses
, la transmission de cette im- pulsion fut rendu
ne initial, puis l'ascension s'opère à l'aide du mé- 206 pathologie
NERVEUSE
. canisme acquis, que ce fait psychique suffit p
de l'acte, il pourra y avoir cessation momentanée de 208 pathologie
NERVEUSE
. l'action des extenseurs, bientôt suivie d'une
r; au contraire la phrase «Tu Archives, t. XV. I i 210 pathologie
nerveuse
. ne sais plus marcher » suggère l'idée seulemen
où l'influence émotive paraît 1 Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. 111, p. 453, sur les Pa- ralysies émotives.
qu'elle soit, l'affection n'en occupe pas moins \ dans les centres
nerveux
certaines régions, certains organes, qui, secon
sans doute bientôt à l'aide d'observations appropriées. CLINIQUE
NERVEUSE
DES ÉPHIDROS1 : S DE LA FACE ' ; Par M. Paul
statèrent que le cordon cervical ne contenait que 214 lë pathologie
NERVEUSE
. peu de fibres excito-sudorales, si même il en
fibres irido-dilatatrices (suivant on le sait, le 216 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cordon sympathique) et les fibres excito-sudor
ne excitation portant sur les fibres sudorales et iriennes du tronc
nerveux
ne porte pas également sur les fibres vaso-motr
-sud. de la face. C. R. Acad. des sciences, 1879. z'18 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. fibres homologues des deux derniers groupes, r
rvation de Raymond et (Iieviie de 22zé(leciiie, 18S4.) -20 CLINIQUE
NERVEUSE
. rappeler les recherches de M. Pierret et de ci
ordons la- téraux, région éminemment mixte qui renferme des tubes
nerveux
sensitifs, moteurs et vaso-moteurs. Ces dernier
montré qu'après avoir excité le ganglion cervical su- LI CLINIQUE
NERVEUSE
. périeur et premier thoracique, l'électrisation
pigmentaire, tantôt en une dégénérescence graisseuse des cellules
nerveuses
et en altérations vasculaires, congestion et th
es faits dans lesquels on ne trouve qu'intégrité absolue du système
nerveux
. M. dans les observations qu'il rapporte d'é-
caux une dilatation marquée de vais- seaux, l'atrophie des cellules
nerveuses
avec accu- mulation de granulations pigmentaire
développement exagéré d'éléments fibreux étranglant les éléments
nerveux
. 2 CLINIQUE NERVEUSE. Mais il est probable qu
ré d'éléments fibreux étranglant les éléments nerveux. 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. Mais il est probable que, dans ces deux cas, l
conséquence de l'excitation des cellules du ganglion ou des filets
nerveux
qui la traversent. il est donc avéré, pour co
sur le côté opposé qu'autant que le permet l'intrication des filets
nerveux
qui dépassent la ligne médiane. Puis tantôt l
tent stationnaires et qu'on en a Archives, t. XV. 15 226 CLINIQUE
NERVEUSE
. signalé qui, après plusieurs années, avaient d
du grand sympathique. A. Enveloppe fibreuse du ganglion. B. Tubes
nerveux
intéressant le ganglion. C. Tissu cellule-adipe
5j et 235, juillet et septembre 1887; vol. XV, p. 75. 228 CLINIQUE
NERVEUSE
. automatiques que l'on observe si fréquemment c
-père et Grand'mère paternels pas de détails. - Grand- 230 CLINIQUE
NERVEUSE
. père maternel, mort d'une tumeur abdominale à
ite est peut-être un peu plus saillante que la gauche. 232 CLINIQUE
NERVEUSE
. gées ; manquent : deux petites molaires et pre
sibilité cutanée avait disparu, le réflexe tendineux 234 CLINIQUE
NERVEUSE
. rotulien était conservé sauf de suite après le
cri ne s'est pas renouvelé jusqu'à présent. T. R. 39°. 236 CLINIQUE
NERVEUSE
. 16" accès. En tout semblable au précédent. Pas
près : 4'1° ; une heure après : 39°, ? . ! % ig. 22) 238 ' CLINIQUE
NERVEUSE
Poids. - 1886. Janvier. 57 kil. I. - Mars. Ap
ique bien développée est par suite très irrégulière et 240 CLINIQUE
NERVEUSE
. mal délimitée du lobe temporal. -Toutes les pa
ale, à la scissure parallèle. Archives, t. XV. G G . 242 CLINIQUE
NERVEUSE
. La presque totalité du lobule pariétal inférie
e fell in a lit. » ((;owers, On Epilepsg, p. 121.) : 2M" CLINIQUE
NERVEUSE
. montre la marche de la température dans un éta
a période mél71ll- gilique terminale. ' Observation XXXVII. Mère,
nerveuse
. - Grand'mère maternelle, attaques de nerfs, so
le lit de camp, comme si c'élait un véri- table lit. 246 CLINIQUE
NERVEUSE
. Observation XLIII. -Père, mort plzllhisique. U
bout de quelques minutes, il revint à lui. Observation XLV. Mère,
nerveuse
, inconduite, migraineuse, morte phthisique.- Co
tement de l'épilepsie; Paris, 1882, obs. X, p. 97. ' 248 CLINIQUE
NERVEUSE
. Nous avons ici affaire à un cas d'automatisme
de 31. Bourneville) et y est décédé le 15 avril 188. 250 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'observation de ce malade a déjà été publié p
ral. Dissertation. Ber- lin, 1867. Observ. 1, p. 24. 2S2 CLINIQUE
NERVEUSE
. été atteint d'aucune maladie en dehors de l'ép
s où la Catatonie se déve- loppe au milieu d'un état d'excitabilité
nerveuse
ou d'un état de dépression physique générale. M
côté apparaissent, comme phénomène capital, les troubles du système
nerveux
moteur présentant le caractère général de la cr
geant d'une façon cyclique et s'accompagnant de troubles du système
nerveux
moteur qui, dans ce cas, auraient au contraire
également typique, mais qui ne présente rien du côté- du système
nerveux
moteur. Cette dernière forme que l'on ren- cont
rneville. - Etudes Ihel'/llOmell'iqltes sur les maladies du système
nerveux
, p. 117. ' Leçons sur les maladies du système n
du système nerveux, p. 117. ' Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, 3e et)., p. 376. Paris, 1877. 270 0 RE
Il est présumable que ce sommeil était le résultat d'une affection
nerveuse
, d'une volonté puissante qui commandait à toute
mi : telles, par exemple, que les épistaxis, véritables hémorhagies
nerveuses
qui existaient aussi dans notre observation'.
us et impossibilité de la déglu- tition ; après le tétanos, un rire
nerveux
et des hoquets, puis des palpitations qui ont t
es bains aromatiques et des toniques, et la malade, dont le système
nerveux
était débarrassé entièrement de son état morbid
ppris qu'elle avait dû succomber à une rupture du coeur; le système
nerveux
n'a pas été observe, à mon grand déplaisir. Peu
lésions de tuberculose avancée, ne ré- véla rien du côté du système
nerveux
. Cette dénutrition et les complications qui sui
us avons dit que l'autopsie n'avait révélé aucune lésion du système
nerveux
chez le malade de Legrand du Saulle ; de même c
ont été guéris d'accidents divers (névralgies, vomissements, toux
nerveuses
, anesthésies, contractures, spasmes de 1'urèthre,
on déchire complètement les lobes frontal et temporal; la substance
nerveuse
apparaît écrasée, - jaune, et, par places, blan
de l'hémisphère gauche des cellules granulo-graisseuses, des fibres
nerveuses
fracassées; aucun élément cellulaire ne dénote
- 388. Vol. XV. Mai 1888. N" 45 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES (symptômes DE l'at
une espèce morbide parfaitement Archives, L. XV. 22 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. distincte'. » Pour lui, la spécificité nosolog
esse de faire ainsi pour certains cas d'apoplexie cérébrale, dite
nerveuse
, dont l'obscurité n'a porté aucune atteinte à c
lopédique des Sciences médicales. 1877, t. VII, p. 69. 340 CLINIQUE
NERVEUSE
. écrivait ces lignes on est parvenu à classer e
s, sans qu'à l'autopsie on découvre aucune altération des centres
nerveux
, des racines rachidiennes ni des nerfs périphé-
-alblait sur Nerucnkeillacnde, von Erlenmeyer, 1881. 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. des émotions résultant de la vie en commun ave
suivi d'une autopsie régulière avec examen histologique des centres
nerveux
et des nerfs périphériques. Observation. Ho
aliassec (Floride). Ni l'un ni l'autre n'était atteint d'affections
nerveuses
. Pas de renseignements sur les grands parents.
deux blennorrhagies sans gravite. Il affirme qu'il n'a 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. jamais eu de chancres. Pendant la guerre franc
ers le mois d'août les érections devinrent incomplètes 346 CLINIQUE
NERVEUSE
. et inefficaces, mais il y avait de fréquentes
coup de peine à se diriger dans l'usine, au milieu des 348 CLINIQUE
NERVEUSE
. machines, des foyers et de la fonte en fusion.
ui paraissent tout à fait saines. Pas d'épaississement 350 CLINIQUE
NERVEUSE
. de la pie-mère. Pas de néo-membranes de l'arac
postérieures renferment, aussi bien que les antérieures, des fibres
nerveuses
intactes, pour- SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 351
e grosses altérations. Il ne renferme pour ainsi dire plus de tubes
nerveux
à myéline. Il est composé presque exclusivement
une bonne santé antérieure est pris, sans cause connue, d'accidents
nerveux
variés analogues à ceux qui caractérisent l'ata
organique de la moelle, ni des racines rachidiennes,- 352 CLINIQUE
NERVEUSE
. ni des nerfs périphériques. A peine trouve-t-o
n n'est plus difficile, du reste, que de reconnaître si un symptôme
nerveux
quelconque est déterminé par une lésion organiq
e de cas, indépendants de toute altération matérielle des centres
nerveux
. L'apoplexie elle-même est quelquefois le résul
ws Archiv., Il·1 108, 1887), etc. Ancmves, t. XV. 23 354 CLINIQUE
NERVEUSE
. plaques ou de tabes, quoiqu'on ne trouve à l'a
inexplicables. NOUVELLES ÉTUDES SUR LE ROLE DE LA PRÉDISPOSITION
NERVEUSE
DANS L'ÉTIOLOGIE DE LA PARALYSIE FACIALE DITE A
aciale, sont purement secondaires et qu'elles se trou- 356 CLINIQUE
NERVEUSE
. vent entièrement subordonnées à ce facteur pui
èrement subordonnées à ce facteur puissant qui s'appelle l'hérédité
nerveuse
. Si, au lieu d'établir l'étiologie de la paraly
ent à leur hémiplégie de la face, avaient eu d'autres acci- dents
nerveux
, tels que des tics, des convulsions, des névral
s malades qui s'efforcent de dissimuler au médecin les affections
nerveuses
et surtout les affections vésani- ques qui ont
une émotion ou à tout autre facteur banal, n'est plus qu'un épisode
nerveux
en parfaite connexion avec le passé du sujet et
mière enfance. Réglée à quinze ans, Louise G... a toujours été très
nerveuse
depuis l'époque de la menstruation ; tendance f
'attaques de nerfs, ni de perte de connaissance; ? ni- 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. graines fréquentes. Mariée depuis dix ans, ell
e faciale n'a pas été chez elle un accident isolé, c'est un trouble
nerveux
de plus à ajouter à ceux qui l'avaient précédée
ce d'une tare familiale. Dans la deuxième observation, le terrain
nerveux
apparaît plus manifestement encore; les antécéd
ce qui concerne les ascendants et les col- latéraux, les accidents
nerveux
dont ont été frappés les deux enfants de la mal
pés les deux enfants de la malade (le mari de celle-ci n'étant ni
nerveux
, ni issu de souche névropathique) sont là pour
uche névropathique) sont là pour attester l'existence delà diathèse
nerveuse
chez la mère. DE LA PARALYSIE FACIALE. 359
concluantes et les preuves abondent en faveur de la prédisposition
nerveuse
héréditaire. Observation III. F... (Pauline), s
ans environ. Antécédents de famille : Père bien portant, mère très
nerveuse
. Un oncle maternel est épileptique, une sceccr
. Antécédents personnels : Rougeole dans l'enfance. F... est très
nerveuse
, elle a souvent des étouffements {boule hystériqu
cinquante-neuf ans à la suite d'une attaque d'apoplexie; mère très
nerveuse
, âgée aujour- d'hui de soixante-dix ans, a été
jamais eu d'attaques couvulsives, mais elle avoue qu'elle est très
nerveuse
; elle se plaint surtout d' étouffements et d'une
tre, à vrai dire, douloureuses; pas d'a- nestliésie. 360 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'hémiplégie faciale date du mois d'octobre de
ents de famille : Père mort depuis dix ans à la suite d'une maladie
nerveuse
( ? ). Su mère, qui souffrait habituellement de m
elées depuis deux ans environ ; niais S... est toujours restée très
nerveuse
et très impressionnable . La paralysie date de
Antécédents personnels : Le malade n'a jamais eu aucun acci- dent
nerveux
; interrogé sur les causes de sa paralysie, C... n
re est épileptique. B... a une soeur qui est atteinte d'une maladie
nerveuse
( ? ), d'une maladie noire, nous dit-elle. Anté
malade nous raconte que depuis son enfance elle a toujours été très
nerveuse
, qu'elle a des migraines qui reviennent environ
une maison de santé, où elle resta pendant trois mois. 362 CLINIQUE
NERVEUSE
. Antécédents personnels : Irrégulièrement menst
très souvent de violentes dou- leurs de tête. Pas d'autre accident
nerveux
à signaler. La paralysie faciale est survenue s
siégeant du côté droit. ' Antécédents héréditaires : Son père, très
nerveux
, s'est noyé il y a treize ans (les renseignemen
nte. Antécédents personnels : Le malade n'a jamais eu d'accidents
nerveux
; mais il nous dit qu'il est très impressionnable
t. Sa mère, nous dit-il, a eu, durant de longues années, des crises
nerveuses
qui se le ? -- minaient par un sommeil se prolo
i est également névropathe. Antécédents personnels : II... est très
nerveux
, d'une impression- nabilitê excessive; il pleur
sique, père ataxique. La malade a trois soeurs qui toutes sont très
nerveuses
; l'une d'elles (t fréquemment des attaques conv
ivement le matin au réveil. La malade n'a pas eu d'autres accidents
nerveux
et parait, du reste, jouir d'une bonne santé.
iénés. Père mort ataxique à l'âge de cinquante-huit ans, mère, très
nerveuse
, est morte à l'âge de soixante ans à la suite d
malade, bien réglée depuis l'âge de quinze ans, a toujours été très
nerveuse
; elle souffre habituelle- ment de migraines. I
paralysés, les réactions électriques sont normales. 364 CLINIQUE
NERVEUSE
. En dehors de la valeur que les antécédents hér
II, nous avons relevé l'ataxie locomotrice parmi les affec- tions
nerveuses
des ascendants; dans l'observation suivante, no
ts héréditaires : Grand-père et grand'mère paternels sans affection
nerveuse
; père rhumatisant mort d'une affection 366 CLI
ction nerveuse ; père rhumatisant mort d'une affection 366 CLINIQUE
NERVEUSE
. cardiaque. Grand-père maternel aurait eu une a
UE NERVEUSE. cardiaque. Grand-père maternel aurait eu une affection
nerveuse
qu'on cachait dans la famille; grand' mère mate
nerveuse qu'on cachait dans la famille; grand' mère maternelle très
nerveuse
; mère morte diabétique ; une tante maternelle
e est instructive sous tous les rapports. La question de l'hérédité
nerveuse
s'y trouve parfaitement élucidée; le sujet est
ue sceptique que l'on soit à l'endroit du rôle de la prédisposition
nerveuse
dans l'étiologie de la paralysie faciale, il fa
nsanguins {cousins germains); le père est bien portant, la mère est
nerveuse
, a eu souvent des crises hystériques ; une sceun
e et le diabète coïncident fréquemment avec les maladies du système
nerveux
et 368 CLINIQUE NERVEUSE. leur combinaison av
fréquemment avec les maladies du système nerveux et 368 CLINIQUE
NERVEUSE
. leur combinaison avec les névropathies n'est p
face; une tante paternelle est atteinte de rhumatisme noueux. Mère
nerveuse
, souffre fréquemment de maux de tête et de douleu
s mala- DE LA PARALYSIE FACIALE. 369 dies héréditaires du système
nerveux
) pouvait se ren- contrer à l'état d'affection f
la suite d'une tumeur abdominale; mère, âgée de soixante ans, très
nerveuse
, a des atta- ques convulsives qui reviennent to
t, comme dans les autres cas relatés jusqu'à pré- sent, la diathèse
nerveuse
qui se manifeste sous une forme plus ou moins é
eine lumière, c'est la paralysie Archives, t. XV. 24 370 CLINIQUE
NERVEUSE
. faciale se montrant sans interruption dans tro
ie de la septième paire sont tous ce qu'on pourrait appe- ler des
nerveux
de race, chez lesquels on retrouve, sous des as
bons, toutes les causes seront efficaces pour réveiller la diathèse
nerveuse
; il suffira d'une perturbation physique, intell
que minime dans la genèse de la maladie. Seule la prédisposition
nerveuse
se retrouve dans tous les cas, parce que seule,
n, sans autre levier, elle peut faire éclore le mal. 372 CLINIQUE
NERVEUSE
. Dans cette étude sur l'éliologie de la paralys
e et, d'autre part, elle vien- drait plaider en faveur de l'essence
nerveuse
de la maladie. Il est incontestable, en effet
373 entachée de nervosisme que l'homme et que certaines maladies
nerveuses
, les névroses en particulier, trou- vent chez e
ubsister aucun doute sur le rôle capital que joue la prédisposition
nerveuse
dans l'étiologie de la paralysie faciale dite a
vantage les liens qui l'unissent aux diverses affections du système
nerveux
. Confinant'à l'arthritisme, se rattachant par d
e rattachant par de nom- breux traits d'union à toutes les maladies
nerveuses
, la paralysie faciale est parente à un degré be
aralysie de la septième paire, on retrouve toujours, ' 374 CLINIQUE
NERVEUSE
. soit les grandes névroses, comme l'épilepsie,
et faradique. Le même auteur relate un autre cas qui 376 CLINIQUE
NERVEUSE
. avait les apparences d'une forme grave avec to
permit de reconnaître l'in- tégrité de la grande majorité des tubes
nerveux
ren- dait compte du peu d'altération de la cont
tant plus d'un mois (jusqu'à la mort), sans que tous les faisceaux
nerveux
participent à la dégénération. En d'autres term
ques, un certain nombre d'hémiplégies de la septième 378 CLINIQUE
NERVEUSE
. paire dont le point de départ semble être plut
paire dont le point de départ semble être plutôt dans les centres
nerveux
que dans la périphérie. En réalité la physiolog
11edicin. Dec. 1887), d'admettre l'in- fluence de la prédisposition
nerveuse
dans une mala- die s'accompagnant de lésions an
vons, consistent en une altération totale ou par- tielle des fibres
nerveuses
comme nous l'enseigne d'ailleurs l'étude des ré
'encéphale, la cause dominante n'en est pas moins la prédisposition
nerveuse
héréditaire. L'histoire de la paralysie faciale
re, vient ainsi se modeler sur celle des autres maladies du système
nerveux
et l'étude des conditions étiologiques qui prés
son développe- ment nous montre une fois de plus qu'en pathologie
nerveuse
, il n'y a qu'une seule cause constante et néces
V, n°' 43 et 44, p. 75 et 227, janvier et mars 1888. 380 CLINIQUE
NERVEUSE
. de porter un diagnostic rétrospectif. Nous avo
garni avant la guerre ; toujours bien portante, ni migraineuse, ni
nerveuse
; elle a eu, il y a deux ans, un abcès à la jam
e la moyenne. De plus la mère parle mal le français. 382 CLINIQUE
NERVEUSE
. Rougeole vers trois ans, puis beaucoup de dart
1 m M a 5 DE l'épilepsie PROCURSIVE. 383 ' * 386 CLINIQUE
NERVEUSE
. - On ne peut le faire parler, ni lui faire tir
re dans la cavité péricardique. La pointe du coeur est 388 CLINIQUE
NERVEUSE
. formée par le ventricule gauche surtout. Le ve
t presque entièrement, l'un même, médian, atteint' son 390 CLINIQUE
NERVEUSE
. bord postérieur ; il semble en ce cas que la d
agrinées. Les scissures sont profondes et sinueuses. 392 CLINIQUE
NERVEUSE
. - DE l'épilepsie PROCURSIVE. La circonvolution
près toutes les perturbations possibles dans le domaine du système
nerveux
moteur et des fonctions musculaires (sauf pourt
Il, p. 85 et suiv. 5 Charcot. - Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III, p. 357. 6 A. Binet et Cl. Féré. - Rech
ion, et en particulier dans le délire aigu, les troubles du système
nerveux
moteur peuvent être des plus accentués. Krafft-
l'écorce, hydrocé- 1 Charcot. - Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, p. 220, et t. III, p. 216. 2 Consulter
es; total : 26 résiliais sur 88. P. Keraval. XXIV. DE L'INFLUENCE
NERVEUSE
dans la PRODUCTION DU vitiligo ; par le Dr ÛHMA
Les phénomènes de nutrition sont sous la dépendance des cen- tres
nerveux
, par l'intermédiaire des nerfs, quand les uns ou
eur pourtour foncé, sont bien faites pour faire penser à une action
nerveuse
, comme cause de ce trouble de la pigmentation c
t Chabrier. En 1881, Déjérine trouva dans un cas, des altérations
nerveuses
, à l'examen histologique. Le Dr Ohmann-Dumesnil c
n-Dumesnil cite deux observations, recueillies par lui, d'individus
nerveux
, chez lesquels apparurent des plaques de vitili
ts de troubles de la pig- mentation cutanée, dans lesquels l'action
nerveuse
est indéniable. Tels sont : les points de décol
héorie. Les individus qui en sont atteints sont le plus souvent des
nerveux
, des gens ayant des affections nerveuses bien car
nts sont le plus souvent des nerveux, des gens ayant des affections
nerveuses
bien carac- térisées, ou présentant des antécéd
tions nerveuses bien carac- térisées, ou présentant des antécédents
nerveux
héréditaires. L'u- sage des médicaments agissan
eux héréditaires. L'u- sage des médicaments agissant sur le système
nerveux
ont donné des résultats sérieux, et c'est surto
auteur demande une étude comparée de toutes ces maladies du système
nerveux
. il. S. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-PS
ue chez les individus ne pré- sentant aucune altération des centres
nerveux
. J'ai cependant SOCIÉTÉS savantes. 449 consta
dont les anté- cédents fournissent habituellement d'autres troubles
nerveux
. Le pronostic devient dans ce cas beaucoup moin
qu'il existe. MARCEL L3RIAND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE BERLIN Séance du 11 janvier 18861. - Prési
cale et de la moelle lombaire regorgent de grosses et larges fibres
nerveuses
. Elles mesurent en épaisseur 0'°m,018 à 0,02, i
rieures des deux mêmes régions contiennent un grand nombre de tubes
nerveux
fins en faisceaux isolés ou en petits groupes;
parence du tissu fondamental; aux alentours du noyau, peu de fibres
nerveuses
à myéline; les racines sont amincies. Cette alt
distribuées un peu irrégulièrement; un plus grand nombre de libres
nerveuses
en parlent, elles sont plus touffues, plus pres
87. PRÉSIDENCE DE M. WESTPHAL. M. WESTPHAL. Des groupes de cellules
nerveuses
ganglionnaires au niveau du noyau de l'oculomot
nglion spinal confient un centre trophique autonome pour les fibres
nerveuses
sensitives, mais il n'y a pas d'argument sérieu
contient un centre pour les organes périphériques. 4° Toute cellule
nerveuse
ganglionnaire est en connexiou aussi bien avec
omsen. Des foyers formés dans les nerfs crâniens par des cel- iules
nerveuses
altérées. Préparations microscopiques empruntées
ut au point où le nerf sort du cerveau; ils sont formés de cellules
nerveuses
modifiées. C'est au jeune âge que doit remonter
processus, car chez le nouveau-né on ne rencontre que des cellules
nerveuses
normales, et c'est chez l'adulte et l'en- fant
en- fant de quatre ans qu'on trouve ces foyers à côté de celiules
nerveuses
isolées. Séance du 14 novembre 1887. Présidence
ux, beaucoup furent convertis en asile pour les maladies du système
nerveux
, surtout à cause du manque d'expé- rience dans
ont caché leur spécialité sous le nom d'asiles pour les maladies
nerveuses
. Il n'y a pas moins de deux mille intempérants
re fondé eu Portugal, de même que le cours de pathologie mentale et
nerveuse
, créé il y a deux ans à l'asile d'aliénés de Li
se scientifique de l'électricité dans les maladies rhu- matismales,
nerveuses
, mentales, etc. Volume iu-8° de 99 pages. Paris
érapie et de metalloseopie, appli- quées au traitement des maladies
nerveuses
, au diabète et aux maladies épidémiques. Burqui
133, 326. Vertige-marin, par Pampoukis, 393. Vitiligo (influence
nerveuse
dans la production du), par Dumesml, 4t6. V
du grand sympathique. A. Enveloppe fibreuse du ganglion. B. Tubes
nerveux
intéressant le ganglion. C. Tissu celliilo-adip
RLES IIÉR1SSEY ARCHIVES Dh n. NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE .1.-
Vol. XXI. Janvier 1891. N" 61. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
DE L'OBSESSION DENTAIRE; Par le D' V. GALIPPE
ré- parables conséquences. , Archives, t. XXI. 1 2 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les faits qui vont suivre apportent aux idées
lumière par M. le Pr Charcot dont l'opinion fait loi en pathologie
nerveuse
, aussi bien dans notre pays qu'à l'étranger.
tre principalement rapportée à des troubles préexistants du système
nerveux
. Ces faits avaient certainement été observés pl
ayant déterminé l'affection imaginaire de la langue. 4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Comme M. Verneuil, M. Fournier fait jouer un
chez des névropathes. M. Luys a observé les mêmes faits chez les
nerveux
et chez les hypocondriaques. Pour cet aliéniste
alement considérée comme se produisant sous l'influence de troubles
nerveux
. Ce serait donc à juste titre qu'on l'aurait re
représentée comme le prodrome d'un état pathologique des centres
nerveux
, devant se révéler plus tard. Enfin M. Pitres,
trop absolue l'opinion qui fait de ces malades exclu- sivement des
nerveux
. En lisant attentivement les observations publi
et si ses malades étaient des arthritiques,' c'étaient aussi des
nerveux
, pour ne pas dire des hypocondriaques. Que ces
e 1 Mendel neurologiache Centralblatt, p. 389, 1890. 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ces sensations se localisaient parfois à la po
mastica- tion de la viande. La majorité de ses malades était des
nerveuses
. Chez une de celles-ci, les sensations douloure
tention bien arrêtée de se faire opérer d'un cancer 8 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de la langue dont elle se croyait atteinte. ,T
de la muqueuse buccale, était absolument convaincue 40 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'elle allait avoir un cancer. Depuis, son in
à la fois à leur raison (thérapeutique morale) et à leur système
nerveux
(bromure, hydrothérapie, etc.). Chapitre Il. De
tuer à ses fausses dents. Elle guérit complètement. 12 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Au mois de juillet 1880, M. le Pr Charcot m'ad
lle appelle des attaques de pros- tration morale. Elle comptait des
nerveux
, voire même des aliénés dans ses ascendants.
nséquences vraies ou fausses des interventions ma- 1 ! t PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lencontreuses qu'elle avait subies. D'après el
ts qui m'ont servi à compléter cette observation. 16 - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le malade dont il s'agit est un Américain plus
e cet état mental particulier que ces malades appellent prostration
nerveuse
; il avait subi différents traitements et com- m
e malade convenait parfois que sa maladie résidait dans les centres
nerveux
, il n'en analysait qu'avec une anxiété plus grand
n; jamais cette douleur ne m'a empêché de dormir, bien que l'état
nerveux
dans lequel je me trouve ait rendu mon sommeil tr
rien du tout, mais cette même ARCHIVES, t. WI. 1. 2 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. douleur revient lorsque j'y songe, ou que je c
rt de l'unique désir de plaire à la malade. La diffa. 20 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. culte de prendre les empreintes des arcades de
et dans cette solitude volontaire, exhalait encore son excitabilité
nerveuse
. Tel était l'état de Mmo de X... lorsque, sur l
avait raison. Mmo de X... appartenait tout entière à la pathologie
nerveuse
et mentale, c'est pour avoir méconnu la véritab
ui ren- daient douloureuses les arcades alvéolaires. M PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La situation était cruelle ; Mme de X... n'ava
pourra intervenir uti- lement qu'après la disparition des troubles
nerveux
et mentaux qu'elle présente. Il est certain, en
rétexte, qu'une cause occasionnelle de l'ex- plosion des phénomènes
nerveux
. Lorsque ces malades sont au point, s'il est pe
aient des candidats sérieux aux accidents cérébraux. Les troubles
nerveux
et mentaux ayant succédé pendant un temps plus
eut modifier dans un sens ou dans un autre la statique d'un système
nerveux
patho- logique, et, de même que l'extraction d'
ions, je veux dire l'état de tex- ture et de structure des éléments
nerveux
, variant continuellement, comme tous les autres
t arrivé son maître sur les rap- ports de réchauffement des centres
nerveux
avec l'activité psychique, et qui peuvent être
ainsi 1. « Chez un animal jouissant de l'intégrité des cen- tres
nerveux
, toutes les impressions sensibles sont con- dui
ttent en jeu, est liée à une production de chaleur dans les centres
nerveux
, chaleur quantitativement supérieure à celle qu
Schiff. - Recherches sur Réchauffement des nerfs et des cen- lre.s
nerveux
à la suite des 2rritalioas sensorielles et sensit
t par de simples réflexes. Point d'action spontanée des cen- tres
nerveux
, mais irradiation d'impressions, toujours périp
exus de conditions organi- ques favorables à l'activité des centres
nerveux
. Chez les êtres vivants, il n'y a pas plus de s
logiques la conception purement mécanique des fonctions du système
nerveux
, Herzen démontre que les différentes formes de
, - qui n'est rien de plus, natu- rellement, qu'un état des centres
nerveux
, un phéno- mène d'accompagnement de certains pr
lusivement à la période de désintégration fonctionnelle des centres
nerveux
. 2° L'intensité de la conscience est en raison
de la rapidité de la transmission des impressions dans les centres
nerveux
. Le système ner- veux tout entier, et non pas s
à l'intensité de la désintégration fonctionnelle de ses éléments
nerveux
'. 4° Les activités psychiques accompagnées de
portée au maximum, réchauffe- ment le plus considérable des centres
nerveux
. Les fonctions psychiques accompagnées de la co
somme de cons- cience manifestée en un moment donné par un centre
nerveux
, quel qu'il soit, ou par un groupe d'éléments n
r un centre nerveux, quel qu'il soit, ou par un groupe d'éléments
nerveux
, est toujours le produit, ou plutôt la somme al
tégration et de réintégration impliqués dans tout acte du système
nerveux
central. » Ces lois, comme l'a fait remarquer B
des organismes déjà assez hautement différenciés pour qu'un système
nerveux
central, condition de la conscience, ait apparn.
pendant le mouvement de désintégra- tion fonctionnelle des cellules
nerveuses
de l'écorce; le sentiment de la cénesthésie, do
ns l'espèce de catalepsie où tomberaient les élé- ments des centres
nerveux
. Dans la démence et dans les formes d'affaiblis
teur ou de la cessation des processus d'oxydation dans les éléments
nerveux
de l'écorce. « Dans les cerveaux atrophiés de c
ur ainsi dire à zéro. » Dans la manie et le délire, où les courants
nerveux
sont trop rapides et trop diffus, où les images
ment aussitôt en réactions motrices, la désintégration des centres
nerveux
a lieu, mais avec une durée et une intensité in
nt une durée et une intensité suffisantes pour désintégrer le tissu
nerveux
. L'attention subsiste; le malade a conscience d
de la mémoire organique qui présidait à l'automa- tisme des centres
nerveux
cérébro-spinaux. Les élé- ments moteurs de ces
que déploient encore ces malades est inconsciente; les décharges
nerveuses
de ces centres ont lieu avec une fatalité d'aut
sion, in- cohérence, arhythmie, épuisement rapide des pro- cessus
nerveux
, voilà ce qui les caractérise. Bianchi compare
t fort éloignés, le défaut de fusion et de direc- tion des courants
nerveux
psycho-moteurs, correspon- dent, selon lui, au
faiblesse dynamométrique du groupe musculaire sur lequel un courant
nerveux
est primitive- ment dirigé, l'affaiblissement d
part doivent prendre à la pathogénie de ce phé- nomène les centres
nerveux
de l'écorce cérébrale dont la désorganisation s
ice, c'est la conscience de l'excitation fonctionnelle des éléments
nerveux
sensitifs d'un cen- tre de l'écorce cérébrale,
, que l'expression d'une seule et unique propriété des cel- lules
nerveuses
de l'écorse cérébrale, j'entends de la propriét
fique, acquise au cours de l'évolution phylogénique, des cellules
nerveuses
de telle ou telle aire corticale, elle est touj
ojection des représentations verbales motrices; 2° d'un cou- rant
nerveux
centrifuge qui, suivant le degré d'irrita- tion
lie directement la psychologie, la science des fonctions du système
nerveux
, aux sciences physico-chimiques. On se rappelle
es expériences de Schiff sur réchauffement des nerfs et des centres
nerveux
à la suite des irritations sensitives, sensorie
ique et de la chimie » '. Comment, seules, les fonctions du système
nerveux
se manifesteraient- elles sans résulter d'une é
e, ce qui provient du muscle et ce qui provient de la subs- tance
nerveuse
, le moyen de ne tenir compte que des produits d
de ne tenir compte que des produits de désassimilation de l'élément
nerveux
vrai- ment actif ? Cette « partie de la substan
l'élément nerveux vrai- ment actif ? Cette « partie de la substance
nerveuse
où l'activité s'exerce sous la forme propre de
ments anatomiques dési- gnés habituellement sous le nom de cellules
nerveuses
. Celles-ci, toujours d'un volume notable, toujo
s- soire comme collecteurs, accumulateurs, diffuseurs d'é- nergie
nerveuse
. Tout porte à penser qu'elles ne sont jamais le
ble siège des facultés conscientes est dans les petits élé- ments
nerveux
déterminés, pour la première fois, comme tels,
toujours immanentes à un poids très faible de substance cellulaire
nerveuse
. Les Principes de Newton, V Enfer de Dante n'on
de volume de l'élément anatomique que G. Pou- chet considère comme
nerveux
, qui me ferait reculer ; car on ne saurait imag
de rapport nécessaire d'au- cune sorte entre la forme d'un élément
nerveux
et sa fonction. En ce domaine, si obscur encore
déchéance fonctionnelle dont sont encore frappées ici les cellules
nerveuses
: nous avons assisté déjà à d'autres verdicts d
e qu'il manquait du critérium indispensable pour juger de la nature
nerveuse
des diverses catégories d'éléments constituant
mbe l'une ou l'autre des fonctions spécifiques relatives au système
nerveux
. « Mais il y à plus. A mesure que progressent n
e que progressent nos connaissances sur l'anatomie fine des organes
nerveux
centraux, il apparaît tou- jours pius clairemen
onnellement un lien étroit entre les diverses catégories d'éléments
nerveux
, et qu'une délimitation rigoureuse de groupes c
t qu'une délimitation rigoureuse de groupes cellulaires ou de zones
nerveuses
est impossible. Aussi, vouloir localiser avec p
représentent^ somme des activités coordonnees de tous les éléments
nerveux
- aucune catégorie exclue, - je pourrais bien f
e de la fantaisie. C. GOLGI'. » (La fin prochainement .) CLINIQUE
NERVEUSE
SUR L'ASTASIE-ABASIEI; Par le D' TIlYSSE : ï
ent sous le poids du corps; on dirait qu'à un moment donné l'influx
nerveux
, dont la malade a fait provision, est épuisé. »
- bulatisne. (Gazetta degli ospitali, n° 76, p. 605.) 60 CLINIQUE
NERVEUSE
Mais jusque-là toutes ces observations étaient
er 1888. 3 Souza Leite. - Réflexions à propos de certaines maladies
nerveuses
observées dans la ville de Salvador : faits d'a
inik zu Jhia. '' Moebius. Ueber Astasie-abasie, 1889. 62 clinique
NERVEUSE
continue à marcher très bien à cloche-pied, mai
on notable, et en mai, la station et la marche sont re- 64 CLINIQUE
NERVEUSE
devenues possibles, quoique toujours sautillant
o. - ? Loco citato. Loco citato. ARCHERS, t. XaI. 5 66 CLINIQUE
nerveuse
. maître de musique et compositeur de 35 ans, s'
nalysant les observations, on trouve le plus souvent des affections
nerveuses
chez les parents; on n'a pas à s'étonner de voi
ou vieux, comptent parmi les prédisposés à contracter des maladies
nerveuses
. M. Char- cot le faisait remarquer, du reste, l
ns de Blocq. La petite fille dont parle Souza-Leite sort de famille
nerveuse
du côté de la mère. Chez la malade deB. Salemi
OGIE PATHOLOGIQUE. cend d'une famille avec antécédents héréditaires
nerveux
légè- rement accusés ; plusieurs membres de cet
ous pouvons donc conclure, que dans la majorité des cas, l'hérédité
nerveuse
a été constatée chez des sujets atteints d'abas
'oculo-moteur ; indiquantainsi que dans le premier cas, l'impulsion
nerveuse
doit être transmise à travers au moins un centr
impulsion nerveuse doit être transmise à travers au moins un centre
nerveux
de plus que dans le dernier cas. Ceci concorde
un exemple des lois de l'évolution et de la dissolution des centres
nerveux
qui ont été si habilement exposées par Hughling
de l'acétanilide (à la dose de 0 gr. 40 par kilog.) sur le système
nerveux
est très nette. Le chien présente du trem- blem
n tranchées : une action antithermique et une action sur le système
nerveux
; toutes deux utilisables en thérapeutique. D'
et amène le sommeil. Elle exerce une action marquée sur le système
nerveux
et principalement sur la moelle. Le D'' Lépine
ue le point de départ de la maladie doit se trouver dans les tissus
nerveux
dont les modifi- - 10 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
llucinations simples, non compliquées; c'est-à-dire dans le système
nerveux
périphérique et dans les centres cérébraux infé
ontestable nous montrent avec évidence qu'une altération du système
nerveux
périphérique est parfaitement capable de déterm
aque retour de l'époque menstruelle s'accom- pagne de modifications
nerveuses
et mentales, variables dans leur nature et leur
pliquer le développement au moment de la puberté, - d'une affection
nerveuse
ou men- tale ; l'auteur rappelle les principale
romure de potassium s'accumule donc de préfé- rence dans le système
nerveux
central, mais c'est tout ce qui ressort de cett
ent, de sorte qu'elle présente bientôt des accidents d'épui- sement
nerveux
. Par l'eau froide, la tranquillité, la réclusion,
U TRAITEMENT PAR LA SUSPENSION DU TABES DORSAL ET D'AUTRES MALADIES
NERVEUSES
CHRONIQUES ; par EULEVDUISG et Mendel. (Neural.
use. Intégrité macroscopique, clinique, et microscopique du système
nerveux
, artérite des artères de la peau. Ce sont les v
us du nerf optique, gagnent la rétine en haut ou en bas. Les fibres
nerveuses
, après avoir traversé la lame criblée, se place
se placent presque toutes dans la partie supérieure de la membrane
nerveuse
, de sorte que le bord inférieur du coloboma, fo
érotique, est séparé du nerf optique, sans intermédiaire d'éléments
nerveux
, par un collet tranchant. Il existe par suite e
pos- térieure. L'orateur traite aussi de la persistance de fibres
nerveuses
à myé- line dans la rétine chez des névropathes
tions, parlent, suivant l'élément morbide prédominant, d'affection
nerveuse
organique traumatique, de commotion cérébro-spina
l- sive peut être symptomatique de lésions anatomiques du système
nerveux
central. (Archio fùr Psychiat, Xllf, 2.) P. Kerav
te. L'auteur décrit trois types de diabète : le diabète par lésions
nerveuses
(diabète de Claude Bernard), le diabète maigre
ns de la Salpêtrière, ont commencé des conférences sur les maladies
nerveuses
et mentales, le jeudi, 4 décembre à 9 heures 3/t,
it 1 Vol. XXI. Mars 1891. Nu 62 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
DE L'INFLUENCE DES CENTRES TROPHIQUES DE LA MOE
res. ' Leçon du 8 août 1890. Archives, t. XXI. 11 '162 CLINIQUE
NERVEUSE
. Vous avez constaté chez un de nos malades, par
ner- veux bien nettement circonscrit, à un nerf ou à une branche
nerveuse
. C'est un de ces cas que nous allons étudier en
du tégument, très voisines les unes des autres, super- 164 CLINIQUE
NERVEUSE
. N 1 posées, à la face interne du tibia gauche,
des cas, sinon toujours, une manifestation dystrophique d'origine
nerveuse
. Il suc- cède quelquefois à des névralgies in-
exemples d'ecchymose ou de purpura survenus au cours des affections
nerveuses
, particulièrement des névrites péri- Fig. 12.
apparente ; du moins elle ne répond qu'à une variation 166 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'intensité des phénomènes rparétiques. Lorsqu
- quable ouvrage, va nous renseigner sur ce point. - 168 CLINIQUE
NERVEUSE
. , Le relief en question s'appelle le repli sus
était un zona, représenté par deux groupes Fig. 1 i. 170 CLINIQUE
nerveuse
: r importants de vésicules, dont l'un siégeait
produit chez des sujets plus âgés. Restait à déterminer le tronc
nerveux
sur le trajet ou les ramifications duquel l'éru
nomène fortuit et sans aucune corrélation avec les manifesta- tions
nerveuses
? La chose est possible à la rigueur. Mais con-
mpris le zona, ont eu pour localisation anatomique, dans le système
nerveux
périphérique, une certaine portion des branches
r et scia- tique poplité externe, c'est-à-dire dans des territoires
nerveux
dont les origines radiculaires peuvent être enc
rigines radiculaires peuvent être encore plus étroite- 172 CLINIQUE
NERVEUSE
. ment circonscrites entre la deuxième paire lom
, ainsi que l'a fait remarquer M. Charcot, au cours de 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. la paralysie alcoolique. C'est d'abord une tri
éralité de la paralysie, ni même de sa limita- tion à un territoire
nerveux
nettement circonscrit. Si, en effet, le type pa
lleurs que toute autre substance toxique, agissait sur les éléments
nerveux
- il n'y a pas à pré- ciser davantage - pour en
r que les sels de plomb exerçaient leur action nocive sur les tubes
nerveux
directement, c'est-à-dire sans l'intervention o
'paralysie radiale, comment, en effet, expliquer l'in- 176 CLINIQUE
NERVEUSE
. tégrité presque constante du muscle long supin
la même immunité ? Si l'on admet que cer- taines parties du système
nerveux
sont plus ou moins sensibles que d'autres à l'i
'on accorde habituellement à ce mot, c'est-à-dire de petits organes
nerveux
différenciés, tant par leur siège que par leurs
s et physiologiques qui, jusqu'à cejour, ont repré- senté les tubes
nerveux
, sensitifs ou moteurs, comme des con- ducteurs
S CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE. 177 circonscrite à un territoire
nerveux
. Vulpian, qui poursuivit longtemps des recherch
(il s'agissait d'une paralysie des quatre mem- bres), les cellules
nerveuses
étaient en voie de destruction. » Dans une obse
la moelle une étendue correspondant assez exacte- ment aux origines
nerveuses
des territoires musculaires para- lysés. A cô
que de prétendre que l'alcool agit localement sur les ramifications
nerveuses
, du moins dans tous les cas. Lorsqu'on se trouv
on se trouve en présence d'un Archives, t. XXI. 12 2 178 CLINIQUE
NERVEUSE
. de ces faits singuliers de polynévrite, où l'o
essivement des phénomènes sensitifs et moteurs dans des territoires
nerveux
absolument indépen- dants les uns des autres, p
econnaître l'influence des altérations dites dynamiques des centres
nerveux
sur l'ap- parition de troubles trophiques diver
des grandes cellules motrices des cornes antérieures sur les fibres
nerveuses
, auxquelles elles donnnet naissance, et corolla
corollairement, sur les muscles auxquels se distribuent ces fibres
nerveuses
. Le symptôme capital de la téphromyélite antéri
ours elle détermine l'atrophie dés muscles tributaires des cellules
nerveuses
altérées. La forme primitive n'a rien à voir av
l'autopsie démontre, dans un certain nombre de cas, 180 1 CLINIQUE
NERVEUSE
. que les cellules des cornes antérieures ont su
e faisceau pyramidal ne renferme pas la vingtième partie des fibres
nerveuses
repré- sentées à la périphériepar les branches
sans altéra- tion reconnaissable, est suffisant pour que les fibres
nerveuses
du petit sciatique, qui naissent dans la même r
encore profondément altérés 1. » ' Vulpian. - Maladies du système
nerveux
, t. II, p. 536. 'F. Raymond. - Atrophies muscul
éroche. - Tu. Paris, 1870 (Des amyotrophies réflexes). 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE. Quoi qu'il en
te ou ne présente une certaine inten- sité que dans les territoires
nerveux
paralysés. Pour ma part j'incline à croire que,
queletrouble trophique se manifeste d'abord à l'extrémité du trajet
nerveux
, c'est-à-dire à la partie laplus éloignée du ce
ions nous font voir l'influence des troubles dynamiques des centres
nerveux
sur la nutrition des tissus, et particulièremen
raumatisme des connexions relativement assez directes par le chemin
nerveux
de l'arc réflexe. Aucune névrite n'est capable
s à l'influence directe de la substance toxique sur les conducteurs
nerveux
, il en est d'autres où la distribu- tion des ph
n circonscrite du névraxe. De là à admettre l'influence des centres
nerveux
sur la production des lésions périphériques, il
résenter, en soi, un intérêt indiscutable. ANATOMIE DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION 2 Par M. P. TROLARD, P
commence par un crochet, dont la partie effilée sé- DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 185 pare en partie la p
l'épaisseur de la corne d'Ammon, à base dirigée en DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 187 bas, à sommet allan
maintenant la substance grise de la circonvolution. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE r.'01,FAÔ'PION. 189 Extrémité antéri
ré- milé postérieure de la lame réticulée, que nous DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 191 avons vue diminuer
ance grise tranchant par sa couleur différente sur la subs- tance
nerveuse
de la circonvolution. Elle se distingue non seu
ette dernière le genou calleux et semble se confondre DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 193 après un trajet plu
erne était bien moins développée que d'ordt- naire. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 195 il faut ajouter de
ps godronné et de ses annexes, notamment le trigone DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 191 chez le foetus à un
ntribué à enrayer les recherches du côté de l'existence d'un centre
nerveux
cortical. Le bulbe olfactif ayant été considéré
une véritable autonomie, lui permettant de jouer le rôle de centre
nerveux
. Tout en accordant au bulbe ce rôle prédominant
au bulbe ce rôle prédominant, Broca a néamoins admis trois centres
nerveux
secon- daires, un supérieur, un postérieur, et
e centre olfactif supérieur est situé sur la face in- DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAI. DE L'OLFACTION. 199 terne de l'hémisph
omme parmi les anosmatiques, lui accorde cepen- dant quatre centres
nerveux
olfactifs, un principal et trois secondaire. C'
'attention sur les rapports de la formation ammonique DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 201 avec le trigone che
de membranes que nous avons présentés comme formant DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 203 l'origine de ce mêm
pourrait la suivre au-dessous de celui-ci jusque dans DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE 1,'OLFACTION. 207 les petites lames
avoir vu au niveau du raphé (du corps calleux) une traînée grise
nerveuse
qui serait en continuité avec l'origine du corp
rentes qui en sont données, je ne saurais l'affirmer. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 20H de l'ourlet. Elles
guenin, il semble que Archives, t. XXI. 14 210 ANATOMIE. APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. Lancisi n'ait pas limit
d'être , examinée plus attentivement. » (A suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
SUR L'ASTASIE-ABASIE1 1 Par le D' THYSSEN V
eurologie, n° 61, p. 58. ' Charcot. - Loco citato. 212 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. assis. Il en est même, ainsi que nous en avons
atégorie. Aussi proposons-nous le cadre sui vant : 214 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. hystériques, mais ne déterminent pas en réalit
res dans le lit) spinale per neuropthia reumatica. 216 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion qui vient troubler l'accomplissement du f
ection n'en occuperait pas moins certaines régions dans les centres
nerveux
, qui détermineraient clini- - quement le même e
dieser psachopatholo- gischen Vorgilnge hinneigt. 218 pathologie
NERVEUSE
. cation entre la « paralysie émotive », dont pa
pure dont souffrent des gens d'une autre catégorie de ma- ladies
nerveuses
que l'hystérie. Le seul rapport qu'on puisse ét
triques des physiologistes italiens sur la température des centres
nerveux
durant le travail psychique. Dans sa réponse à
il avait établi que la fibre musculaire, séparée de ses connexions
nerveuses
et circulatoires, possède un pou- voir propre d
détermine pas seulement une élévation de la température des centres
nerveux
dans la phase sta- tique de leur activité, comm
oidissements sont dus à des processus de désintégration des centres
nerveux
, les échauffements à des processus d'intégratio
ogie postule pour expli- quer le mécanisme des fonctions du système
nerveux
. A un point de vue plus général encore, le fait
eil successif ou simultané de leurs représentations. Or, le travail
nerveux
de ces régions de l'écorce s'accompagne certain
aires jusqu'aux plus hautes 236 PHYSIOLOGIE. activités du système
nerveux
de l'homme, n'est donc, en dernière analyse, co
rait impossible s'il existait des rapports isolés entre les déments
nerveux
périphériques d'un organe des sens et les éléme
éments nerveux périphériques d'un organe des sens et les éléments
nerveux
du centre cortical correspondant. V. Les rappor
e sensitivo-motrice. VI. Les variétés morphologiques des éléments
nerveux
de l'écorce cérébrale n'apprennent rien sur leu
rien sur leurs fonctions : c'est dans la nature des prolongements
nerveux
et dans celle de leurs connexions anatomiques,
corce cérébrale dépend, non d'une diversité spécifique des éléments
nerveux
de ces centres, mais de la nature des sensation
res sont reliées par les nerfs. IX. Il n'existe pas de transmission
nerveuse
di- recte, isolée, soit centripète, soit centri
e, soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules
nerveuses
centrales et périphériques. La communication de
nerveuses centrales et périphériques. La communication des fibres
nerveuses
entre elles a lieu, dans le système nerveux cen
munication des fibres nerveuses entre elles a lieu, dans le système
nerveux
central, non par l'anastomose des prolongements
tral, non par l'anastomose des prolongements di- rects des cellules
nerveuses
, mais au moyen d'un vaste réseau diffus, consti
s de fibres dé la sen- sibilité et du mouvement. , X. Les organes
nerveux
masculo-tendineux de Golgi sont les organes pér
s de désintégration et de réintégration fonc- tionnelle des centres
nerveux
. Le travail cérébral est une forme de l'énergie
aient une augmentation du tissu conjonctif, une atrophie des fibres
nerveuses
et avec des espaces remplis de matière comme co
p. 208. ' Leçons de Clin, méd ? 1867, p. 45. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 263 jambe droite est parétique et raide. Le ré
ts de la moelle. (La fin au prochain numéro.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Paralysie DISSOCIÉE du NERF SCI1TIQUE poplit
e épidémie d'influenza a occasionné de nombreux troubles du système
nerveux
central et périphérique. L'auteur a 264 REVUE D
nerveux central et périphérique. L'auteur a 264 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. observé à la suite de la grippe, chez un emplo
te, en outre, l'atrophie ou la destruction de nom- breuses cellules
nerveuses
et une diminution du nombre des fibres nerveuse
breuses cellules nerveuses et une diminution du nombre des fibres
nerveuses
. L'auteur pense que ces lésions répondent à l'enc
ns répondent à l'encéphalite parenchymateuse. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. '205 Il est intéressant de rapprocher ce fait'
tte malade, la névrose hystérie affectait successivement le système
nerveux
de la vie de relation et le grand sympathique e
période de temps, de douze heures environ, 266 REVUE DE pathologie
nerveuse
. antérieure à l'accident et n'a repris réelleme
etits capillaires de l'encéphale, que le plomb intoxique le système
nerveux
central. La diminution de l'élasticité et de la
facteurs peuvent se combiner. P. KCRAV.1L. · revue DE pathologie
NERVEUSE
. 267 X. Du DÉBUT DE la SCLÉROSE EN plaques ET D
rités symptoma- tiques sont sous la dépendance de l'état du système
nerveux
cen- tral lui-même émané de la prédisposition (
épileptiformes - une surdité complète. , 268 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Elle devient hydrocéphale, et meurt dans un ét
eur; OBs. VIII, tirée de la bibliographie). - REVUE DE pathologie
nerveuse
. 269 Au point de vue de l'interprétation, l'aph
essions optiques (cécité psychique), ou d'une altération des fibres
nerveuses
d'association qui unissent le centre visuel au
ons. IV. Accidents pathologiques dans les 270 REVUE DE PAl'HOf.OGIE
NERVEUSE
. muscles des yeux. V. Allures des pupilles sur
aux exposé avec beaucoup de clarté. P. B. XX. Pathologie du SYSTÈME
nerveux
sympathique (The pathology of the human syrnpct
xamine enfin le rôle qu'il joue dans la patllo- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 71 génie de différents états morbides : la mig
noyau, retrouvé intactes les cellules qui correspondent aux fibres
nerveuses
en question, non touchées par la section. - 4° Le
e. Ces procédés ont montré nettement à M. Greppin : 1° Les cellules
nerveuses
de l'écorce (1" et 2° catégorie de Golgi); 2° L
Golgi); 2° Les cellules cérébelleuses de PurMnje; 3" Les cellules
nerveuses
de la 2' catégorie et lesfibies nerveuses des c
PurMnje; 3" Les cellules nerveuses de la 2' catégorie et lesfibies
nerveuses
des couches granuleuses et moléculaires du cerv
s zonulaire et mierocelltilaire de l'é- corce ; . 5° Les cellules
nerveuses
de la 2- catégorie dans le corps strié; G° Les
ciatique soit resté indemne. P. K. XIX. DE l'allure DES corpuscules
nerveux
dans LES NERFS malades ; par A. ADAM61EWICZ. (A
tion proliférative des méninges spinales provoque, dans les tractus
nerveux
des racines spinales, un processus analomo-path
e déterminer l'ordre de succession : la dé- chéance de la substance
nerveuse
- 1 hyperplasie du tissu con- jonctif. Quoi qu'
du tissu con- jonctif. Quoi qu'il en soit, le sort des corpuscules
nerveux
est tou- jours lié à celui des fibres nerveuses
sort des corpuscules nerveux est tou- jours lié à celui des fibres
nerveuses
; les premiers sont les éléments trophiques des
r suite, des organites dont la vitalité dépend de celle de la fibre
nerveuse
, ou, plus exactement, de la gaine myétinitique
tudinaux postérieurs. n M. Pick a retrouvé c un trousseau de fibres
nerveuses
qui commencent dans le segment supérieur de l'e
taire et l'atrophie des cellules pyramidales et des autres cellules
nerveuses
de la substance grise des frontales y compris l
aire correspondante) due à la dégénérescence primitive des cellules
nerveuses
des cornes antérieures. La dégéné- rescence des
. Névrite interstitielle intra- musculaire, névrite des gros troncs
nerveux
et des racines spinales antérieures. Dans les c
baire supérieur, foyers hémorrhagi- ques ayant détruit la substance
nerveuse
jusques et y compris le tiers antérieur des cor
ation des parois des vaisseaux; recoquillement des grosses cellules
nerveuses
. Epaississement des cylindres-axes dans les tro
tralbl, 1890.) Les conclusions sont intéressantes : 1° les cellules
nerveuses
du bulbe et du pont de Varole prennent, dans la
très active, très énergique, au processus pathologique du sys- tème
nerveux
central ; - 2° leurs altérations paraissent être
s altérations atteignent presque sans exception toutes les cellules
nerveuses
de la région; elles acquièrent leur plus haute
XXXVII. DE la genèse DE la CARYOKINÈSE dans LES CELLULES DU SYSTÈME
nerveux
central DES CHIENS ET DES lapins jeunes ou NOUVEA
ié- REVUE d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. 38' ! ments
nerveux
ou au tissu de soutènement du système nerveux c
logiques. 38' ! ments nerveux ou au tissu de soutènement du système
nerveux
central. La caryocinèse se produit surtout dans
t le conduit. Moins luxuriante est la caryocinèse dans les cellules
nerveuses
de l'écorce et des gros ganglions. Encore moins
ut cas, jamais il ne se fait de scission du noyau dans les cellules
nerveuses
arrivées à leur par- fait développement. La car
es cellules cérébrales. Il est même pro- bable que, dans le système
nerveux
central, chaque groupe de cel- lules en état d'
out de quatre jours d'influenza fébrile. P. K. XLII. LES CELLULES
NERVEUSES
SONT-ELLES amiboïdes ? hypothèse A l'appui du m
RUCKHARD. (Neurol. Centralbl., 1890.) Un grand nombre de cellules
nerveuses
(cellules multipolaires de la substance grise d
u fin d'éléments ner- reux ou neurosponge de Waldeyer. Ces cellules
nerveuses
multi- polaires sont le siège de mouvements mol
te le nombre des pulsations et dé- termine la congestion du système
nerveux
et du cerveau. Elections pour 1891. Sont élus :
est caractérisée par la sensation de besoin, la présence d'un état
nerveux
héréditaire ou acquis, l'existence des stigmate
parties du tome second, qui sont consacrées aux maladies du système
nerveux
. L'analyse d'un cas de paralysie radiculaire du
pôt. »- Il s'agit là vraisemblablement d'un cas d'amnésie par shock
nerveux
. UN CRIME COMMIS SUR UN épileptique EN état d'a
uivantes : « D... souffre depuis assez longtemps déjà d'une maladie
nerveuse
314 FAITS DIVERS. des plus singulières qui a
! H. Vol. XXI. Mai 1891. N" 63 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Hospice DE la SALPÈ1RIÈRE. - M. LE PRorr : SÓEU
imulatrice tou- jours féconde des maladies organiques des centres
nerveux
, il faut s'attendre chaque jour aux surprises e
' Leçon du 24 février 1891. Archives, t. XXI. 2l 322 ) CLINIQUE
NERVEUSE
. plaignait d'avoir, depuis quelques années, la
., mars 1877. 3 Gubler. Gazette hebdom., n° 6, 1859. 324 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'observation de Gubler est la première en dat
' Gintrac. Traité théorique et pratique des maladies de l'appareil
nerveux
. Paris, 1869, t. IV, p. 860. ' Duchenne. Electr
lectrisation localisée. Paris, 1SG1, 2° édit., p. 376. 326 CLINIQUE
NERVEUSE
. par une paralysie alterne de l'oculo moteur co
nimer un des muscles de l'oeil, et, d'autre part, le 328 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. trajet intrapédonculaire des fibres qui émanen
e et sous l'aqueduc de Sylvius, donnent chacun naissance à un filet
nerveux
indépendant. Cette indépendance originelle, le
ilet nerveux indépendant. Cette indépendance originelle, le filet
nerveux
la garde dans tout son trajet protubérantiel et
et pédonculaire, de telle sorte que la totalité de ces filets 1.
nerveux
représente schématiquement autant de petits ner
droit. Gazelte >néd. de Pars, n° 7, p. 555, 1870. 330 CLINIQUE
NERVEUSE
. mination qui aura encore ici, comme dans le sy
tres variétés cliniques, mais ce ne sont en général 332 CLINIQUE
NERVEUSE
. que des variétés de ces deux types fondamentau
uait de ce côté. Cette hémiplégie droite, vous dis-je, 3H4 CLINIQUE
NERVEUSE
. a guéri complètement sans laisser aucune trace
lorsque le malade fait effort pour ouvrir son oeil et 336 CLINIQUE
NERVEUSE
. que, quand on cherche à la relever de force, o
trière, 1889, p. 1 tO et 118. Archives, t. XXI. ' il 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. , nombre de photographies anciennes de bléphar
les hystériques. [Nouvelle Ico- nogr., 1889, p. 107. 340 CLINIQUE
NERVEUSE
. sommes donc en possession de plus de signes qu
mps de « crises gastralgirlues e qui s'accompagnent de 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. sensation de strangulation et d'étouffement, d
ions dans son enfance, et reste aujourd'hui très émotionnable, très
nerveuse
. Du côté des grands-parents, dans la branche pa
coupés du côté paternel ; du côté ma- ternel, il n'y aurait rien de
nerveux
ou de mental. Antécédents personnels. Lu' .....
che des hémiplégiques hystériques (démarche de Todd). 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. Pendant cette longue période hémiplégique (deu
r M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de réaction. PATHOLOGIE
NERVEUSE
DE L'INFLUENCE DES EXCITATIONS DES ORGANES DES
QUE HYSTÉRIQUE; . Par Georges GUINON, chef de clinique des maladies
nerveuses
, et SOPHIE WOLTKE (d'Odessa), docteur en médeci
ologique. (Union médicale, 21 et 23 juillet 1874.) 348 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sujet dans le délire de la phase passionnelle
. Après son attaque il ne conserve aucun souvenir de 380 PATHOLOGIE
nerveuse
. ses hallucinations, mais quand on le presse fo
salut militaire, lorsqu'ils rencontrent un officier. 382 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Sulfate de quinine.-Il cherche, fait un geste
ont ses exercices avec N Archives, t. XXI. 23 334 -lit PATHOLOGIE
NERVEUSE
. le fusil et le sabre qu'il a mimés lorsqu'on l
ire par les excitations sensorielles était évidente, 3j6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ainsi que l'impossibilité dûment constatée de
L.. où est-il, papa ? ... Qu'est-ce que tu veux ? j'ai toujours été
nerveuse
. Tu me gâtais, mon père, tu avais un penchant p
rbone. Oh ! c'est infect. (Mouvement de dégoût.) Où 358, PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sommes-nous, dis ? Il ne sent pas, lui. (Elle
sse large, chaude, sur l'épaule. Où sommes-nous ? en 360 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Afrique... c'est comique. Ce que j'ai chaud !
uvelle Iconographie de la Salpêtrière,^ 1890. n° 6.) 362 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Arrivons maintenant à la description de nos ex
ituel, c'est-à-dire en essayant de lui rappeler soit 364 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. par la parole, soit p
e. In JI1'chi- chives de Neurologie. Juillet 1890. 366 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - de Neurologie un mémoire complet sur la même
ent vulgaire d'une part (ce qui nous a laissé penser 368 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que pour M. Ballet ces deux formes ne se diffé
a marge. 1 P. 22, loc. cit. Archives, t. XXI. 24 370 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Chez le ho 4, il n'y a pas trace d'aucun des c
ien aux cas de M. Ballet. Aussi bien s'il ne s'agis- 372 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sait que de l'observation même de M. Pitres, m
ase du traitement de M. Chervin : gym- 1 Loc. cit. 374 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nastique respiratoire d'abord, puis gymnastiqu
nd nombre de faits, on pourra mieux qu'à l'heure ac- 376 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. , tuelle en apprécier la nature et l'importanc
soit que l'ébranlement périodique que font subir à leurs centres
nerveux
les attaques convulsives contribue à provoquer un
r H. OPPENHEIM. (Ibid.) CONTRIBUTION A la simulation DES affections
NERVEUSES
CONSÉCU- TIVES au traumatisme; par A. SEELIGMUE
RUSSES Réunis .1 Moscou le 15 janvier 1891. SECTION DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES. Cette section a eu trois séances d
eux, celles du 17 et du 20 janvier, étaient consacrées aux maladies
nerveuses
et une, celle du 19 janvier, aux maladies menta
19 janvier, aux maladies mentales. Séance du 17 janvier (Maladies
nerveuses
). Présidence de M. le professeur KOJEVNIKOFF.
emandé si dans les cas où on a trouvé des lésions dans le sys- tème
nerveux
central et dans les nerfs périphériques, les modi
lte d'une autointoxication de l'organisme et les pallies du syslème
nerveux
central qui ont le plus des rapports avec l'ati-
ou s'il peut s'observer également dans une foule d'autres maladies
nerveuses
et mentales comme une des manifestations de la
IBLIOGRAPHIE XII. Traité élémentaire d'analomie médicale du système
nerveux
; par CI ! , Féré. Paris, 1891. (Publication du
polio- encéphalomyéliles. La deuxième partie consacrée au système
nerveux
périphérique est, par contre, extrêmement compl
es par'Ré- gnier, 303; Traité élémentaire d'a- natomie du système
nerveux
, par Féré, 5G9; - Psychologie physio- logique
: , 159, 319, 4.7r,. CAnYOMfLSE dans les cellules du s's- tème
nerveux
, par Buchholz, 286. Cécité psychique et confusi
sonnes par Hoppe, l l6;- par Lissauer, Siemerling, 271. Cl7LLÜLES
nerveuses
, amibonles par Huckhardt, 290. Centres nerveu
271. Cl7LLÜLES nerveuses, amibonles par Huckhardt, 290. Centres
nerveux
(méthode de colo- ration des), par Golgi,278.
( altération des noyaux des -1 dans un cas de rage canine, 28G.
Nerveux
(corpuscules), allure des - dans les nerfs mala
ury, 159. Obsession dentaire, par Galippé, 1. Olfaction (appareil
nerveux
central de l'), par Trolard, 183. Optiques (c
ES IIÉRI93EY. ARCHIVES DE " NEUROLOGIE REVUE ' DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-1
s. 1883 Vol. V. Janvier 1883. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
SPASME MUSCULAIRE AU DÉBUT DES MOUVEMENTS VOLON
ez uu étranger qui eu est atteint, A)H.HI\'HS, l. V. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. probablement depuis son enfance, et qui tout r
d saisie de raideur en flexion, puis quand cette raideur 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. a cessé, c'est la jambe droite qui à son tour
ncore lorsqu'on agit faradiquement ou galvaniquement sur un tronc
nerveux
. Ainsi en faradisant le nerf cubital au coude;
obtenue comparativement chez un individu sain avec les 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. mêmes appareils. Nous avons alors augmenté l
minutes et cette fois le spasme ne s'est plus montré. 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. Dans le tracé que nous venons d'analyser le sp
ans ses Recherches sur la physio- logie et la pathologie du système
nerveux
, décrit des phénomènes analogues. Benedikt en 1
on amenait des contractions musculaires toniques ; de 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. môme avec les excitations mécaniques ou électr
nullement embarrassée. Etat psychique normal. Les 1 Il. CLINIQUE
NERVEUSE
. Muscles- des extrémités inférieures sont extra
l'âge de sept ans, le père est très affirmatif sur ce i (i CLINIQUE
NERVEUSE
. point; elle serait survenue après une grande f
rouver dans trois générations de sa propre famille où les accidents
nerveux
sont d'une remarquable fréquence. Sa bisaïeul
istence propre et indépendante AIICHI'I,S, L. V. 2 t8 s .CLINIQUE
NERVEUSE
. de cette affection, et l'identité des symptôme
c'est une soeur; signalons sa coïnci- dence avec d'autres maladies
nerveuses
dans la fa- mille, cas de Thomsen, affaiblissem
pas prévenu sur ce sujet, puisque son observation est 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. une des premières sinon la première complète,
obser- vation de Thomsen, nous voyons que deux de ses 22 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' oncles, qui présentaient les raideurs muscul
lification de paralysie spinale spasmodique hypertro- 2 1. CLINIQUE
NERVEUSE
. Me que propose Seeligmùller, car elle nous par
r cette tension exagérée de tout l'appareil amène une 26 CLINIQUE
NERVEUSE
.. diminution brusque d'intensité du son perçu p
ve- ment d'avaler, tantôt après un éternuement, ou un 28 CLINIQUE
NERVEUSE
. accès de toux; tantôt après un bâillement; ou
n des trompes ; scélérose auriculaire ; montre entendue 30 CLINIQUE
NERVEUSE
. à gauche collée au méat, et non perçue par les
uve des pressions à gauche, au premier coup, extinction 32 CLINIQUE
NERVEUSE
. nette du son du diapason posé sur le front à g
cessive au bruit et le vertige sont Archives, t. V. 3 34 CLINIQUE
NERVEUSE
. facilement associés et dus à une lésion auricu
neux chez une jeune fille de seize ans ; cet état fut jugé purement
nerveux
tout d'abord, l'oreille ou les oreilles n'ayant
douleur frontale vive. Voilà cinq jours que cela dure. 36 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'audition de la montre est excellente à 1 mèt
son qu'elles produisent, ont suivi les phases diverses 38 CLINIQUE
NERVEUSE
. de l'affection, et des états organiques qui ac
des membres inférieurs. » - (Lecoi2s sur les maladies du sys- tènzc
nerveux
, tome II, 3° édition, p. 293.) Dans notre cas,
trent fréquemment dans le passé des malades atteints d'affec- tions
nerveuses
. Son père, alcoolique, est mort par suicide à l'â
ût survenu une modification quelconque dans la scène des phénomènes
nerveux
. L'autopsie, faite vingt-quatre heures après la
r le champ du micros- cope, nous laissent voir, à côté des éléments
nerveux
altérés et à peine reconnaissables, un stroma f
s par une néoformation conjonctive en masse qui éteint les éléments
nerveux
. En définitive, sauf cette dernière particulari
110 '32, hôpital Iieaujon. Le malade ne connaît pas d'antécédents
nerveux
dans sa famille. Sa mère est bien portante, son p
i à la suite de l'amputation d'un membre la dégénération des fibres
nerveuses
pouvait remonter jusque dans le cerveau ; les o
La nommée L. Il.... âgée de cinquante-cinq ans, est née d'une mère
nerveuse
. Les premiers symptômes de l'ataxie, à laquelle e
our son âge, elle est de constitution délicate. Elle a toujours été
nerveuse
, et avait souvent de petites crises hystériques
qui approche, et se produit alors le troisième groupe de symptômes
nerveux
: l'évanouissement hystérique. La face pâlit, l
magna spinalis). On la rencontre vers les 8°, 9t, 10e, 110 paires
nerveuses
dorsales. Elle parcourt sur le sillon médian post
l'adulte, grâce au développement de la face 88 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qui à 7 ans seulement aura établi l'équilibre
oils qui la remplace, à la postérieure. D. B. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Foyers scléreux multiloculaires congénitaux
que sa tête est molle et oedématiée, à ce point REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 89 qu'on prétend que la calotte osseuse n'exis
mbe; enfin des accès périodiques de congés- 9*) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion apoplectiforme(hypérémie cérébrale) compr
illamment une rougeole violente sans aggravation du côté du système
nerveux
. La seconde dentition s'effectue chez elle norm
lyse chimique, y com- pris la signature P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 91 tachant parfaitement comme les réflexes exa
contre le rôle des branches du trijumeau et 92 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du ganglion sphéno-palatin dans l'olfaction; t
et y provoquent les vibrations moléculaires des REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 93 libres nerveuses irradiant jusqu'au centre
brations moléculaires des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 93 libres
nerveuses
irradiant jusqu'au centre olfactif du cerveau.
apeutique ne possède que deux médicaments 9Ï re REVUE DU PATHOLOGIE
NERVEUSE
. agissant immédiatement sur l'odorat, la strych
otecteurs de l'031l et de la région visuelle de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 95 -) Munk (atrophie secondaire du corps genou
den et Forel qu'il est étranger à la rétine. 9G REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. M. Monakow insiste en manière de conclusion su
la moelle allongée, du faisceau pyra- midal. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 97 Observation III. - Foyer de ramollissement
l'existence des cavernes Archives, l. V. 7 98 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. coïncidait avec d'autres modifications du syst
HOLOGIE NERVEUSE. coïncidait avec d'autres modifications du système
nerveux
cen- tral, notamment de l'excavation cérébelleu
ilatation du canal central en son siège normal. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 99 On a attribué une grande importance dans la
, l'organe réagissant à peine à la lumière. 100 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Une mort accidentelle survenue sur ces entrefa
de cellules granuleuses (avant-coureurs de l'atrophie des éléments
nerveux
) témoigneraient que, dès la régression clinique
a double question : Quel est, du tissu conjonctif ou de l'élément
nerveux
, le premier atteint dans l'espèce ? De combien de
e la règle dans le tabès ne permet qu'une série REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lût d'hypothèses pendantes'qui sont : ou avant
tis à droite. Formication et sensation vel- 103 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vétique sur les avant-bras et les mains. Deux
dant trois mois. Durant quelques semaines para- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 103 lysie de la sensibilité des quatre membres
e (intégrité de l'hypoglosse). Tenant compte de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 105 l'acuité continue du processus, de l'excel
356.) P. K. X. ÉTUDE générale DE la localisation dans LES CENTRES
NERVEUX
, SUIVIE D'UNE ÉTUDE CRITIQUE SUR LES RECHERCHES
onde sur les réactions diverses des différentes parties des centres
nerveux
, envisageant toutes l'échelle animale. M. Duret
. Les faits ainsi puisés dans le vaste domaine de la patholo- gie
nerveuse
tout entière, acquièrent une nouvelle force par
nt l'affection produite par le contact direct du métal sur la fibre
nerveuse
. 11 est bien connu aujourd'hui, ajoute-t-il, que.
on publiée antérieurement dans le Traité des mala- rlies du système
nerveux
. Le 27 mai 1882, assisté par le Dr Osborne, M.
t à tous les pays cultivés de l'Europe; la constatation de troubles
nerveux
à l'époque des examens est générale en Suède, e
83. Vol. V. Mars 1883. N" 14. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX; P
sion est toujours périphé- rique, qu'elle n'intéresse que le cordon
nerveux
ou tout au moins un noyau qui lui est exclusive
le peut intéresser encore le cor- Archives, t. V. 10 146 CLINIQUE
NERVEUSE
. don nerveux dans son trajet intra-cérébral, fr
er encore le cor- Archives, t. V. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE. don
nerveux
dans son trajet intra-cérébral, fréquem- ment e
hes de MM. Duval, Laborde et Graux ont établi qu'il existe un filet
nerveux
qui, du noyau de la sixième paire, va se joindr
uval (Société de Biologie, 28 juin 1879) a signalé un nouveau filet
nerveux
, qui 148 CLINIQUE NERVEUSE. du noyau de la si
28 juin 1879) a signalé un nouveau filet nerveux, qui 148 CLINIQUE
NERVEUSE
. du noyau de la sixième paire va se rendre au p
onnus, on distinguera plus facilement les formes atté- 150 CLINIQUE
NERVEUSE
. nuées ou plus complexes. Le diagnostic des aff
ments de convergence ; . c Mouvements de divergence. 152 CLINIQUE
NERVEUSE
. A. Mouvements parallèles horizontaux. Observ
prononcés à droite, et que la contraction des muscles 15le CLINIQUE
NERVEUSE
. s'accompagne de tressaillements qui n'existent
-quatre ans. Service de M. Raymond (hospice d'Ivry). 156 CLINIQUE
NERVEUSE
. Symptômes oculaires. Impossibilité de porter l
é, par exemple, lorsque l'on fait regarder à gauche, 158 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'oeil droit sain se dévie brusquement en deda
quante-deux ou cinquante-quatre à la minute. Il existe 160 CLINIQUE
NERVEUSE
. un peu d'albumine dans les urines; pas de sucr
et, qui a examiné avec soin la malade au point de vue des symptômes
nerveux
généraux, suppose l'existence d'une lésion en f
ui s'est reproduit plusieurs fois Archives, t. V. 11 162 CLINIQUE
NERVEUSE
. depuis huit jours et a laissé un certain degré
tellectuel et à l'impotence fonctionnelle des muscles. 164 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'ophthalmoscope révèle l'existence d'une névr
ervice de M. CHARCOT., salle Duchenne, de Boulogne). 166 CLINIQUE
NERVEUSE
. Symptômes oculaires. Diplopie pendant trois mo
ccompagnent de quelques saccades ; mais leur amplitude 168 CLINIQUE
NERVEUSE
. est normale dans toutes les directions du rega
l'erreur soit probablement fréquente. Je l'ai moi-même 170 CLINIQUE
NERVEUSE
. commise, ainsi que j'ai pu m'en convaincre en
xistence d'un nerf spécial dit aer'de l'espace, annexé 172 CLINIQUE
NERVEUSE
. au nerf auditif, dont la lésion produit le ver
rchives de Neurologie, no 12, p. 273, et 13, 1). 24. 17'l- CLINIQUE
NERVEUSE
. sans que le reste de la chaîne des osselets la
esquelles le vertige ne la quitte pas. Chose curieuse, 176 CLINIQUE
NERVEUSE
. elle a remarqué qu'au plus fort de sa crise le
oit l'extinction brusque du son ARCHIVES, t. V. 12 ) 178 CLINIQUE
NERVEUSE
. crânien tandis que l'observateur constate l'ex
auditif causait immédiatement l'extinction de l'audi- 180 Clinique
nerveuse
. tion du son du diapason frontal, et aussitôt l
able de faire un pas; assourdi par le bourdonnement en 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. jet de vapeur. S'il bouge, il se sent tourner;
iciellement vingt-deux fois sur ces cinquante-trois 184 le CLINIQUE
NERVEUSE
. malades. Sur les trente et un cas, où le verti
n des pressions centripètes ont pu être enregistrés. 186 CLINIQUE
NERVEUSE
. On doit conclure, malgré l'énorme différence d
'affection indique déjà que l'idiosyncrasie, le tempérament, l'étal
nerveux
constitutionnel ou acquis du sujet, toutes ces
serva- tions avec ou sans vertige, annoncent déjà que l'élé- ment
nerveux
entre pour quelque chose dans cette évolution m
sanguin à l'état sain, se trouve dans l'impossibilité 188 CLINIQUE
NERVEUSE
. de se prêter à en recevoir un surcroît si les
ertains vertiges. Aux congestifs, j'ai donné avec suc- 190 CLINIQUE
NERVEUSE
. ces la médication émétique; à la plupart des v
s leur bourdonnement au milieu du bruit de la ville. ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES NÉVRITES PËR ! PHÉRI
affection commune. Elle peut naître sous l'influence 192 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du froid, de l'intoxication saturnine, des mal
complication dans le cours de plusieurs états morbides des centres
nerveux
. Elle provoque, selon la fonction du nerf qu'el
S. 193 pique du nerf malade. Pour constater les lésions des tubes
nerveux
et à plus forte raison pour en apprécier le deg
es malades et les lésions rencontrées après la mort dans les troncs
nerveux
altérés. C'est donc une simple série de faits r
ls de nos observations, les différents types d'altération des tubes
nerveux
que nous avons rencontrés. Archives, t. V 13
x que nous avons rencontrés. Archives, t. V 13 19t . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I Dans tous les cas de névrite spontanée non
s deux cas, on observe au début le gon- flement du noyau des fibres
nerveuses
et la segmen- tation de la myéline, à la fin la
s rachidiens et la moelle elle-même. , Les altérations des fibres
nerveuses
, dans les névrites spontanées . que nous avons
ut y distinguer cinq phases ou types d'altération. 196 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ilr Type. Fragmentation de la myéline en blocs
g. 5, 6 et 7.) A ce degré un peu plus avancé de la lésion le tube
nerveux
garde encore un diamètre sensiblement égal, mai
eux comble tous les points de la gaîne qui ne sont 198 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' pas occupés par les boules myéliniques. Les n
myéline en fines granulations avec atrophie discontinue de la fibre
nerveuse
. Etat variqueux, monilifornie. Renflements fusi
s l'intérieur des gaines. (PI. III, Fig. 11, 12 et 13.) Les tubes
nerveux
présentant cette altération se caractérisent fa
issée longitudinalement et paraît absolument vide. 200 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 5e Type. Atrophie complète des tubes nerveux ;
de. 200 PATHOLOGIE NERVEUSE. 5e Type. Atrophie complète des tubes
nerveux
; vacuité des g aînés. (PI. 111, 7. 14, 15, 16,
isparition complète des produits transformés de la myéline. Le tube
nerveux
se trouve alors réduit à l'enveloppe de Schwann
s souvent elles sont inégalement alté- rées. Alors, à côté de tubes
nerveux
dont la myéline est fragmentée en blocs volumin
fondément dégénérées, réduites à l'état de gaînes vides, des fibres
nerveuses
grêles, à con- ton ! 'sgi' ! sAh\'s, llf)Iltle.
, llf)Iltle.i t;tl'i11171C.I11Cl7tS étaient plusrap- 303 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. proches les uns des autres qu'ils ne le sont d
USE. proches les uns des autres qu'ils ne le sont dans les fibres
nerveuses
adultes. Selon toute vraisemblance, il s'agit l
gauche 34°, 2. Etat des forces au dynamomètre : 201 le PATHOLOGIE
NERVEUSE
. une phlyctène de la grosseur d'une noisette qu
ifférence importante à signaler entre cette forme de 206 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. névrite spontanée et les dégénératious walléri
e eu un aussi petit nombre de jours une atrophie complète des tubes
nerveux
.. Notons incidemment que, contrairement aux idé
du côté paralysé. État des forces au dynamomètre : 208 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de la première circonvolution sphénoïdale et d
elle n'a pu être conservée pour l'examen histologique. Des filets
nerveux
cutanés ont été disséqués vingt-quatre heures a
de de cette région. Il y a très vraisemblablement entre les lésions
nerveuses
et la nécrobiose de la peau une relation direct
oche, interne du service. .iiciiivns, t. V. 11 i 2t0 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. un peu du coma et comprend les questions qu'on
dont quelques-unes semblent en voie de cicatrisation. Des filets
nerveux
cutanés ont été recueillis quelques heures aprè
ar des segments très courts, très rapprochés, conte- 212 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nant parfois deux noyaux ovoïdes colorés en ro
tructure normale. 2° Nerfs de la plaque /eM ? 'e gauche. Les filets
nerveux
recueillis à ce niveau ne semblent pas avoir ét
un travail de restau- ration. Aussi existait-il sur chaque branche
nerveuse
un certain nombre de fibres susceptibles d'un f
Physiologie normale et pathologique; 1868, p. 308). 214 pathologie
NERVEUSE
. monie droite, deux éruptions de zona de siège
t les mailles de grandeur variable entourent les débris des tubes
nerveux
. Ces derniers ne possèdent plus de cylindre-axe.
erpendiculaires à son grand axe, faites après action 216 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de l'acide osmique à 1 p. 150 et durcissement
iatement frappé par la diminution très évidente du nombre des tubes
nerveux
; les points noirs qui résultent de la colorati
t semblent en voie d'atrophie. La trame conjonctive et les cellules
nerveuses
ne présentent aucune modification appréciable.
croscope. Tandis en effet que, dans la racine antérieure, les tubes
nerveux
ont gardé leur structure normale, dans la racin
rcelles de tissu conjonctif dissociées en même temps que les fibres
nerveuses
, les cellules plates ont paru plus nombreuses,
, sur le cadavre d'un sujet dont l'histoire clinique 218 pathologie
nerveuse
. J0 nous est malheureusement très incomplètem
s dans toute l'étendue du sixième nerf intercostal, dans les fibres
nerveuses
qui traversent le sixième ganglion rachidien et
ns de zona dans lesquelles on a trouvé à l'autopsie des altérations
nerveuses
périphé- riques. Mais ces observations sont loi
PLANCHE II. Figures 1, 2, 3, 4. Fragmentation en blocs des tubes
nerveux
. Fig. 1 et 4, nerfs cutanés an voisinage, de l'
rcostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes
nerveux
. Fig. 14 et 15, atrophie avec coloration jaune
e nerf intercostal (Obs. IV). Névrite mixte : destruction des tubes
nerveux
et épaississement conjonctif intra- fasciculair
es soeurs, plus âgée qu'elle, est mariée et sujette à des accidents
nerveux
, se manifestant surtout sous forme de gastralgie.
apparues, sans aucune particularité. Jusqu'au début de l'affection
nerveuse
actuelle, cette jeune fille s'est toujours asse
était un peu capricieux. La première manifestation de l'affection
nerveuse
s'est produite il y a trois ans (1878), sans au
découvrir son ori- gine, M. Ayres s'est d'abord adressé au système
nerveux
. La section du nerf optique et du trijumeau; l'
étine. Il pense en outre qu'il doit exister dans l'oeil des centres
nerveux
particuliers, analogues aux ganglions intra-car-
tine et dont la production n'est pas influencée par les gros troncs
nerveux
de l'oeil. Nous ne connaissons pas de substance
centres d'inhibition. D'après lui, quand on retranche les centres
nerveux
supérieurs, ou quand on sectionne un nerf, l'augm
on d'un centre modérateur, mais à une con- centration de l'activité
nerveuse
. Au lieu d'employer la méthode de Setsehenow, q
i, cette augmentation est due en partie l'in- terruption du courant
nerveux
, en partie à l'influence de la section sur les
ier cas, l'écorce cérébrale n'étant plus apte à percevoir, la force
nerveuse
se concentre dans les parties situées au-dessou
raction d'un seul. Il faudrait aussi tenir compte des interférences
nerveuses
. En dernière analyse, l'augmentation de l'excit
xcitabilité réflexe, ou, si l'on veut, la concentration de la force
nerveuse
qui lui donne naissance est due à l'interruptio
rveuse qui lui donne naissance est due à l'interruption des cordons
nerveux
. R. BL. etJ. P. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
erruption des cordons nerveux. R. BL. etJ. P. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XI. DES rapports DE l'hystérie ET DE CERTAINS S
NERVEUSE XI. DES rapports DE l'hystérie ET DE CERTAINS SYMPTOMES
nerveux
avec la GYNÉCOLOGIE; par HOLST. (A ? ,ch. f. Psyc
t, de l'autre des relations évidentes qui existent entre le système
nerveux
et les fonctions génitales (grossesse, lactatio
résulte d'un état d'irritation particulier de certains départements
nerveux
de la sphère génitale, indépendant de toute aff
des troubles de nutrition persistants dans l'ensemble du sys- tème
nerveux
, c'est-à-dire l'hystérie. Que l'irritation génita
ines (hystérie autonome) ou concurremment avec elles, la dystrophie
nerveuse
qu'elle détermine, désignée par nous sous le no
pera pas moins pour le traitement et de l'excitabilité du sys- tème
nerveux
utéro-ovarien et de l'état local des organes sexu
rale de notre savant maître. Ses recherches lui REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 237 7 ont permis de trouver très fréquemment c
l'exagération de la pression coupe un accès. La nature pure- ment
nerveuse
de l'hyperesthésie ovarienne aurait au reste en
les régions. La main et les doigts sont ré- 238 REVUE DE pathologie
nerveuse
. tractés à un degré tel que l'on aurait pu croi
; la jambe gauche, très faible, ne présente pas REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3') non plus d'atrophie. L'anesthésie, totale
e pour trancher la question si ditréreiii- 2tf) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment comprise en Allemagne et en France, de l'
sme distingue trois lormes principales. Ils ont REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 2H pu sur leurs sujets reproduire expérimental
ambulique. Les carac- tères vraiment distinctifs de ces trois états
nerveux
différents consistent dans des modifications de
es divers stades de Archives, t. V. ·) (i 2V2 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'hypnotisme, ne doivent être considérés que c
prompte à le montrer. Il vit alors que déjà, au REVUE de pathologie
nerveuse
. 2 li 3 bout de 'i.8 heures, la hauteur des sec
thode dans différentes maladies (paralysie faciale de Bell, section
nerveuse
ancienne, atrophie musculaire progressive). Dan
tracés sont à peu près analogues à ceux obtenus par les sections
nerveuses
chez les animaux, paralysie pseudo-hypertrophique
les c et a, ce qui ne peut que favoriser 34t "9 REVUE de pathologie
nerveuse
. des fautes d'impression toujours fâcheuses en
e et chancelante du vieillard dépend seulement de l'affaiblissement
nerveux
et musculaire. Quant à la nature de l'affection
e tremblement rhgthmiquc uàcilltituii-c. D. li. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 245 XVIII. De. LA DISLOCATION DES OS DU f.R1\T
uce et de celui des autres doigts. ' Il. IL 246 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. XXI. Tremblement observé au cours d'une fièvre
prolongées, ce qui est le cas de ses deux Ci[ REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 247 XXIII. PÉRIMÉNINGITE SPINALE AIGUË par G.
é. L'hyperthermie, l'anesthésie, la douleur 218 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. raciiidienne, les troubles rectaux et vésicaux
) L'auteur fait une rapide énumération des principaux symp- tômes
nerveux
observés dans cette affection, notamment les ph
ibue ces hallucinations à ce que. dans le myxoedème, les extrémités
nerveuses
sont tellement isolées et comme capitonnées qu'
oedémateux, solide, de la peau et du tissu con- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 2 i 9 jonctif est dû à une forme d'obstruction
sourd-muet-aveugle. M. WALDEYKR (de Strasbourg) : Des terminaisons
nerveuses
dans les muscles. Il s'agit de recherches faite
eur a reconnu l'exactitude des données de Brenner, quant aux troncs
nerveux
moteurs. D'une manière générale, la formule se
exe ; ainsi l'exci- tation d'une étendue de muscle pauvre en filets
nerveux
par l'anode provoquera une forte contraction à
le l'était peut-être au début. Les lésions systématiques du système
nerveux
de par le seigle ergoté et le plomb ne constitu
lique el spécialement du Kt pour les lésions spécifiques du système
nerveux
central 1. M. BAuiLFn (deFiil)otir- , montre
syphilis dans le développement de certaines affections du sys- tème
nerveux
et en particulier du l'ataxie locomotrice. Pour l
veloppe pâles, mais distincts). Les grosses cellules ganglionnaires
nerveuses
, de quelque centre qu'elles proviennent chez l'
nt l'époque où s'accentue la différence d'action entre les éléments
nerveux
et conjonctifs, on trouve exclusivement ou pres
erne la pathologie, Strickeret Ungcronl découvert dans les cellules
nerveuses
enflammées des altérations particulières qui pe
r Brun et. Thèse de Paris, 1883. Des symptômes laryngés d'origine
nerveuse
dans le cancer de 1'oeso- phage; par Genty. Thè
3s3. Vol. V. Mai 1883. N" 15. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A' L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS MOTRI
us Revue mensuelle, 1877. Archives, L. V. 18 274 zon PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ne pensons pas que l'on puisse dire, par exemp
Voir i Bulletins de lit Société, IS82, p. 192. )7(i ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' Au membre inférieur, la paralysie est absolu
»i» g-i'i- » - il /un ' ? ( -i1 >di il -v 1 Outre les -symptômes
nerveux
qui précèdent, on constate que la malade est pâ
sions très pro-, ' ' '" ' I . , n.r I - ! 1 me I 278 8 pathologie
nerveuse
. .·IwU; ,t r' m, )'lf ? 7 li « i , * m ? f ? ^i
e de médecine et de chirurgie; il ? 1 et 2, 1880,) 280 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I 1 . i 't1 , , l,il u - / ' i ' " " ' ' i d
re inférieur gauche, avec crampes dou- û4 . W '' %'1 'I'.W'lIOLOGIE
NERVEUSE
.' a ' a t i ' IW ' ' 'f' ' - t'fi J·iw loureu
ons de mentionner lès faits dont il s'agitez 386 m 1 ? ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
., . "I)s sont de deux-ordres, dans] ceux .d'une
les localisations corticales. Thèse de Paris, 1879. 288 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. taux, 1878), Haddon (Biaiii, p. 11, 1878), Fer
*'e- ? .SIWiV1/Sn icr arrst ? rrsii'I s-WWlts 'TU .292 , PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tLuy,.ll1 k' ? M\ igilillt 9-t 4' yiiaa. 1 2r
enton ? t ? n.))f) ? )uh1.i<'j...,...,n ? [ ? 29t ' ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' ' et de la lèvre inférieure. Ces derniers sy
crachoirs.' T.37j°,2; pouls, ti.J·,1 r ! ·,- 1' ! r. 296 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. -. - '-Dans 1 après-midi la température s'élèv
les branches terminales qui rampent sous la 298 | ' ' PATHOLOGIE-.
NERVEUSE
. · muqueuse de la lèvre inférieure, ont l'aspec
'iky ait.inij,peu1,de4pn^imc^nà"nlâ1cônstip^tion^Lcs 302 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. urines sont normales ; mais la malade urine le
le même .volume et la même coloration que du côté opposé.- Système
nerveux
. = L'encéphale est sain; l'examen des mé- ninge
e présentent'rien.d'anormal.' Sur plusieurs, préparations les tubes
nerveux
paraissent avoir 30 ' ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE.
préparations les tubes nerveux paraissent avoir 30 ' ' ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. leurs' caractères normaux ; on'ne'trouvo aucun
ique gauche. On aperçoit distinctement, au milieu des . faisceaux
nerveux
, un certain nombre de libres altérées et présenta
11 t w -' '1 ",f il On ne trouve pas dans ces préparations de tubes
nerveux
de nouvelle formation.twlr (1·1 ? m ? l' i. i/i
de]);'ataxie.' D'autres ! 1 Aucun i : s, t. V. 20 306 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. raisons rendent les doutes plus légitimes. Si
t;J;)- u ? n ')< : c.tt0)f;t)n) ? ft m ;IY Jtl)J). ,·1 v rations
nerveuses
périphériques dans le;membre affecté soe, n A ?
''d'étre dans une''m6dificati6nspécia)è'de l'activité1 dû 'centre
nerveux
* I .11 . vlle)itt il` t crlll u1't1 1J : , rl7tln
l ^"V ]fW./tt)' "îVi- V ' 1 résultat, ! 1 action spéciale du centre
nerveux
a du luter- - ti t Mm a- ? » ' r rl' 11`1 '-(,i
d'action d'arrêt qui détruit la modi- iication spéciale du centre,
nerveux
, .premièrement ÉTUDE DE L'HYPNOTISEE CHEZ LES H
l'intérieur de la moelle entre les différents groupes de cellules
nerveuses
qui correspondent'aux'groupes mus- culaires ant
tre dans' une ' modification 'spéciale- de"l 'activité' du" centre'
nerveux
. - m ,n ....' / 1. 'j -If l\) 1)( ? Un phénom
rivée ou nerfs sensitifs ;h2° le,, lieu, de réception,' ou centre'
nerveux
; '3° le1 chemin 'de -retotir -oui iierfs mo- 't
jqui ont pour, propriété le,, .disparaître l'excitabilitéidu centre
nerveux
doivent.né- t cessairem.ent.Je faire.disparaîtr
, - ,i T-- i'Ii , , , , ? 1 . i-li> 9 1 4, , j,j 1 e tt 1 > 1
nerveuses
organiques, n'est pas sans .donner .quelque t ?
.-T-'Alfi' Ii-ttI t ,, ? 1.1-071 ? it ? ilililll ynu marnfestations
nerveuses
, multiples, que nous avons, vues se , ? 1'" ? r
. VHI-, |... ? J. t. 1jh| ,nhi, ,. "h petit abcès dans la substance
nerveuse
, une zone de congestion, ' ? .r .I1 11 ? H ? ))li
, " , publions ici' : lque les`11é- ? t.(.t't ? jftf ? [ t 4.1 ) z
nerveux
, les lésions 'de ses enveloppes ou des organes
i stir,ce, fait que des lésions même peu importantes, des, centres,
nerveux
? des organes protecteurs, ou qui avoisinent l'
y hm : l1 -.\,-\ .Vi .;\i> '.«T ? m\ ? i'i-7/ L étude des plexus
nerveux
lormés parles paires spinales, et^qui, donnent
rédominant au niveau, des noyaux ,d origine de cer- ..gaines fibres
nerveuses
ou au niveau de, leur; émergence Une t paire ne
aines fibres nerveuses ou au niveau de, leur; émergence Une t paire
nerveuse
peut, donc être affectée soit dans' le'canal rrié
au du trou de conjugaison, et en imposer pour une lésion d'un tronc
nerveux
périphérique; ce, sont des faits qui,ont, été m
de muscles, toujours .les mêmes, sans que le. domaine, d'un. tronc
nerveux
soit, tout -, entier ou exclusivement pris-^En
liysiologiquemeiitles plexus. rrLc r'o,le,rl,es nérfs et des paires
nerveuses
étant connu, il (levicii- ,i drait plus facile
.. , ).)..., tes racines ont pour but de transmettre par les troncs
nerveux
,il " ? t , ? . nécessalres am muscles - It " "
érentes' combinaisons fonctionnelles. La section do , chaque racine
nerveuse
détermine la paralvsie d'un'môuve- 1·tfiti 't`t
e 1 lien, c 1 la t)'on'cotipe ou'on excite électriquement une paire
nerveuse
;on paralyse ou on excite un groupe de muscles c
que chez l'homme, l'excitation, ou-.la. destruction d'une ci paire
nerveuse
,, détermine, la-, contraction ;,ou» la .paralysie
peut)pas il( admettre un seul instant que chez l'homme, les paires
nerveuses
on aient toujours,une même constitution identiq
donnent toujours une même proportion de fibres aux mêmes 1 troncs
nerveux
. Quand on, examine la moelle, , il est facile d
es soit antérieures, soit postérieures qui' constituent' une paire'
nerveuse
,' sont' souvent en'nombre différent et de volum
! qùe,' lâ'plup'àrt'du"" temps,ril manque une ou'plusieurs paires1
nerveuses
,' principe' lement dans larégion'dorsale. En ou
ër'giquës né'sônt pôilitl'ëôils ? tamment'groupés'dans les ! paires
nerveuses
, et qu'au contraire'1^ leur mode de combinaison
xiste une'SYstématisation fonction- ' -f nellei dans chaque 'paire,
nerveuse
.- <niin ? ? - ' Le seul ! point 'qui soif'ét
oint 'qui soif'établi par "esl'dissetions ? c'ëst' que chaque paire
nerveuse
fournit' plusieurs nerfs;'dâns'jdesprô= ' porti
p. 110.) . r " ? "<- Archives, t. V 22 DISTRIBUTION DES PAIRES
NERVEUSES
QUI CONSTITUENT LE PLEXUS BRACHIAL SUR LES PLEX
dances ne sontjpasfondamen- ' llîg. 2. - des pnuc[pates)jranc ! )es
nerveuses
fourmespar les ! huit paires cervicales et')a.*pr
n nnu1 rl mi · In v ;» · 4, I'iy : 3. ocnema'despnnetpntes branches
nerveuses
tourel ! estpar,les paires lombaires et sacrées
avous faites relativement aux varié- tés de distribution des paires
nerveuses
du plexus brachial aux» nerfs qui en émanent, n
roupement sys- tématique dans les trous de conjugaison-; des fibres
nerveuses
se rendent aux muscles,, à la peau qui les reco
es variétés anatomiques démontrent ne pas exister dans les paires
nerveuses
, n'existe pas, au contraire, dans la moelle; mais
il ne s'agit plus de chercher à quel nerf se distribue telle paire
nerveuse
ou de quelles paires nerveuses tel nerf tire son
à quel nerf se distribue telle paire nerveuse ou de quelles paires
nerveuses
tel nerf tire son origine, il faudrait étant do
la périphérie vers le centre, dans tout son trajet le long du tronc
nerveux
. dont il émane, et le suivre à travers le plexu
x. dont il émane, et le suivre à travers le plexus jusqu'à la paire
nerveuse
. Enrépé- tant cette opération pour chaque nerf
, on arriverait a. s'assurer si les origines de ces diverses filets
nerveux
sont toujours, à leur origine, superposés régul
avons essayé de mettre en pratique, t ± ~ . >t , Certains troncs
nerveux
sont bien nettement constitués part des cordons
recherches de Krause, d'où il résulte qu'il existe, dans les troncs
nerveux
eux-mêmes de véritables .plexus, à-<peu près,
omplexe, de sorte qu'ilest en général impossible de suivre un filet
nerveux
de son extré-, mité périphérique à la paire ner
suivre un filet nerveux de son extré-, mité périphérique à la paire
nerveuse
qui lui donne naissance.- - Nous avons cherché
solument inextricables;, et quand, on considère à'la loupe'un tronc
nerveux
bien dépouillé, de, sa, gaine ! conjonctive,"on
x dans un plexus veineux : il faut renon ? ;, cer à suivre un filet
nerveux
dans cette intrication., Cependant, il faut dir
systématique des.'ra-.q cines'des différents,nerfs, que les filets
nerveux
naissent de-laiq moelle dans' un ordre constant
ns' un ordre constant : a partir de son origine spi- nale, un filet
nerveux
peut sortir soit par un trou de comparai- son,
er, à, la.même destination. EnlI' somme, dans'.le trajet des fibres
nerveuses
, il ne parait y avoir"' · que deux points const
? ,, t'If , tfï litijlàu ) , J. '41 ? - 1, combines'dans lesTtaires
nerveuses
,1 ces, résultats quiequivau-jb draient àuiieldi
océdés de dissection actuels, il, est bien, démontré que les paires
nerveuses
n ont pasf otujoüszmnéônstitution,,I Mentioue'-
'911z,z'ltllztzyl,t 1LZ ? t ? b ? y ? iriy,t ? REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XXVII. RECHERCHES ET observations SUR l'hystéri
quand une puissante excitation galvanique des plexus et des troncs
nerveux
engendre des mouvements convulsifs inconscients
elles du cerveau, l'inexcitabilité du trijumeau revue DE pathologie
nerveuse
. 317 étant demeurée entière. A raison de la non
culaire des 'petits vaisseaux du'centre'optiquc REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ;t i J cortical (région occipito-postérieure)j
. Telle est, en effet,' la rubrique, sous ' 350 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. laquelle M. Rosenthal expose l'historique de l
- Neurologie] t. 11, p. 1'2'2.) -1 ' .. 1 . - . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. -3jl sympathique après lésion cérébrale cliniq
, par la dépression des ganglions centraux 352' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vaso-dilatateurs (prédominance des vaso-constr
ne étendue suffisantes, mais non exagérées, dé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 353 . .- J . terminent une Iivpertbermie de
5's- ? 'i ? y-tir/ "il , -'11' ! '' 4"1, 41 . 1 . 1, , z. 1 . terne
nerveux
vaso-moteur et des plexus spinaux, communi- cat
en- , . tl ? ( il · t lit -. ,1 > ? T- , ,lj , ? ? I , ,ll , I
nerveux
du derme et la cavité sous-arachhoidienne branche
"un h ' 'l y m '' ISCIll1'CS, t. V. 23 35 si REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. larmes, après deux nouvelles attaques, cessent
ement chaque matin pour les deux yeux. D. li. revue de pathologie
nerveuse
. 355 contraction idio-musculairc. Trépidation r
us rare de crises gastriques, caractérisées 356 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. essentiellement par des vomissements non doulo
ie locomotrice, Paris, 1882). D. B. XXXII. Altérations des cellules
nerveuses
D1NS'L'IN1L : lvi- ' TIrl1'ION de la moelle épi
nt en revue la plupart des alté- rations que subissent les cellules
nerveuses
dans'les différentes variétés de myélite, à'sav
près qu'on lui a soustrait une quantité plus ou REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 357 moins considérable de liquide. Tout au con
té dans le protaplasma de la cellule, de l'autre côté dans le tissu
nerveux
voisin. 31 Ces mêmes corpuscules se retrouvent
s mêmes corpuscules se retrouvent loin des cellules, en plein tissu
nerveux
, et cela aussi bien dans la substance blanche q
ture et l'origine de ces cor- puscules ? A l'intérieur des cellules
nerveuses
fortement colo- 35S REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
ieur des cellules nerveuses fortement colo- 35S REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rées par le carmin, ils restent blancs ; donc
atoire. Ces boules de myéline seraient incorporées par les cellules
nerveuses
, lorsque celles-ci ont été modifiées par l'infl
ération vacuolaire » ! celui d'infiltration médullaire des cellules
nerveuses
? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et
et atrophie pigmentaire. L auteur pense que le pigment des cellules
nerveuses
est de provenance hématique. On le'verrait augm
phases de l'al- tération et de'l'atrophie pigmentaires des cellules
nerveuses
.' En résume, le mémoire de M. Barraquer soulevé
- des psychoses, appartenant à la même période et au même appareil (
nerveux
), doivent être reliés à l'état des reins. Ces p
es au-dessus de la moyenne. Ainsi dans les familles dont le système
nerveux
est atteint, l'hérédité non croisée (mêlée ou u
sympathique, et termine en citant des cas d'otllématome sans lésion
nerveuse
centrale (G uéniot et l,odentu, Heyfolder, l3as
· ? 1.'aifectum peuaHeindrO) certains déparLoment-s.) du s3'tiattn
nerveux
central dprmit : ro.impot.ancc;;t,cmoinsqIes,symp
e doit ne se manifester que lorsqu'une somme considérable de tubes'
nerveux
ou de racines a subi la destruction. » Quoi qu'
ence réflexe; parWESTPiiAL : Société de psychiatrie et des maladies
nerveuses
de 7 ? (A'cle. f. Psych. u. lYei,veiiki,a71k.,
s lors douloureux, devenant le point de départ graduel de symptômes
nerveux
, d'abord irritatifs, puis psychopa- thiques (ag
le cas com- muniqué par lui à la Société de psychiatrie et maladies
nerveuses
de Berlin', dans lequel l'autopsie décelait les
curable. Mais, cet état, se rapportent L maintes/ormes d'épuisement
nerveux
, nombre d'affections intercur- rentes de divers
dt admet-il simplement comme pathogénie une excitation des éléments
nerveux
de lamuqueuse stomacale du fait de la prolongat
rigine mécanique. Le traitement a pour effet de rendre aux éléments
nerveux
leur vigueur et leur résistance; de là, la disp
ression hémisphérique ; il semble qu'on ait enfoncé dans la matière
nerveuse
une bille de billard de petit calibre. Cette dé
rme de trem- blement sénile, soit sous forme de toute autre maladie
nerveuse
, l'hystérie par exemple. La fréquence serait la
re, et Lamarre pour son ouvrage intitulé : Sur le rôle du sys- tème
nerveux
dans les affections du CCE2l>'. Protection D
se spécialisa dans la pratique de l'électrothérapie et des maladies
nerveuses
. Son premier travail (1866) a pour titre : Elec
sévère. Citons encore ses études sur la Neurasthénie, l'épuisement
nerveux
(lmca·icaz nervousness) : si Beard n'a pas été
de SI. Boucbut, il a plus que personne contribué à dégager cet étal
nerveux
de ses complications, et à montrer qu'à lui seu
poque il avait publié un certain nombre de travaux sur les maladies
nerveuses
, parmi lesquels nous citerons des articles sur
t plusieurs mémoires sur les troubles laryngés dus à des affections
nerveuses
. Le rédacteur-gérant, 130UIvNEV'ILI E. TABLE
thal, 310. Hystérie (des rapports de 1' et de certains symptômes
nerveux
et de la gynécologie), par 1 lolst, 230. Hyst
ques de la), 962. .Moelle épinièrc (altérations des cel- lllles
nerveuses
dans l'inflamma- tion de la), par Barraqucr, 35
articulière et curable), par Déjelinc, 3311. Myxoedème (symptômes
nerveux
du), par Ilatlllcu, 953. Nécrologie : Fox, 27
ration des chez les animaux et chez l'homme), par Amidon, 2'i2.
Nerveuses
(terminaisons dans les muscles), 258. Né\ rit
uches, par Giraudeau, 289. Surmenage intellectuel, 123. Système
nerveux
(sclérose multi- loculaire du), 88. Tabès (su
. PLANCHE II Figures 1, 2, 3, 4. Fragmentation en blocs des tubes
nerveux
. Fig. 1 et 4, nerfs cutanés au voisinage de l'e
rcostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes
nerveux
. - Fig. 14 et 15, atrophie avec coloration jaun
» nerf intercostal (Obs. IV). Névrite mixte : destruction des tubes
nerveux
et épaississement conjonctif intra- fasciculair
DE r' NEUROLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
Vol. XXV. Janvier 1893. Nu 73. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. HÔPITAL SAINT-ÉLOI DE MONTPELLIER. CLINIQUE MÉ
ilités, même la sensibilité muscu- Archives, t. XXV. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. laire sont fort bien conservées. Il y a donc c
ique, que Blocq et Onanoff ont consacré à la séméiologie du système
nerveux
. «Nous ne saurions, disent-ils 1, à l'exemple d
'il s'agissait d'un hystérique, ou d'un individu à tempérament très
nerveux
, je vous dirais, en attirant votre attention su
ion ait 1 Blocq et Oiianofï. Séméiologie et diagnostic des maladies
nerveuses
. 1892, p. 62. 4 CLINIQUE NERVEUSE. joué ici
gie et diagnostic des maladies nerveuses. 1892, p. 62. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. joué ici un rôle quelconque. Le père est migra
oué ici un rôle quelconque. Le père est migraineux, et sa mère très
nerveuse
. A l'Age de dix ans, il aurait eu une anasarque
syphilitique. Tabes spécifique, 1882, p. 6. ' Maladies du système
nerveux
, 1. 1, 1878, p. 329, et t. II, 1879, p. 689. 3
ées sérieusement et sont suivies bien moins fréquemment d'accidents
nerveux
. En soutenant cette doctrine, j'ai toujours ess
r et celle de Charcot sur le rôle étiologique capital de l'hérédité
nerveuse
dans l'ataxie locomotrice. Les deux ordres de c
us comprenez, en effet, sans peine que chez les personnes à système
nerveux
faible, impressionnable, par des prédisposition
1 Chauvet. - Influence de la syphilis sur les maladies du système
nerveux
central, th. d'agrégation, 1880. 3 Pierre Marie
rre Marie. Leçons sur les maladies de la moelle, 1892. ' 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. syphilis l'origine unique et constante du tabè
urs étiologiques trou- vons-nous ? D'abord, il possède une hérédité
nerveuse
mani- feste démontrée par les migraines du père
pour comprendre l'influence néfaste du chemin de fer sur le système
nerveux
, il faut tenir compte non pas seulement des sec
veau Montpellier médical, décembre 1892 et janvier 1893. 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' façon plus accentuée, et perd l'équilibre lo
quelquefois se montrer isolément. Aussi, Charcot a 10 0 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. décrit un tabès sensitif réduit aux douleurs f
pê- trière, sur ce point comme sur bien d'autres de la pathologie
nerveuse
, d'avoir remis toute chose à sa place, et d'avoir
âge assez avancé ; pas de déments, pas d'originaux. z2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Antécédents personnels et histoire de la malad
ternels s'ajoutent ceux du côté paternel quevoici : 14 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Père, quarante-huit ans, sanguin, coléreux; pa
. Enfin, la mère présente des troubles coprolaliques' 16 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dont le trait saillant est de ne pas échapper
sur l'abdomen et ensuite ramené Archives, t. XXV. 2 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vers la tête ; du côté de la face on note simp
s de remercier ici notre distingué confrère M. le 20 0 , PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'acte de porter la main' sur la partie latéra
jour. » ' " - De la sorte, ça va bien. » ,... . 1 . 22 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. le dos, elle le répand à terre. Interrogée sur
rette. Archives de Neurologie, vol. IX, n° 2v, p. il. II PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mais, dans le cas actuel, n'est pas exaète. En
des trois soeurs, l'une, est âgée de vingt-cinq ans, anémique, très
nerveuse
, mais sans attaques convulsives; une autre a tr
eu J... au bout d'un au de. mariage; trois ans après, 26 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. seconde grossesse, elle donne naissance à une
une autre fille, âgée aujourd'hui de neuf ans et demi, lymphatique,
nerveuse
. Dans les antécédents, on ne note aucune maladi
poitrine à l'âge de deux ans et demi qui a laissé une toux sèche,
nerveuse
; à quatre ans, rougeole; pas de convulsions, pas
éralisées par minute ; par contre, si l'attention est 28 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tenue en éveil, il s'écoulera vingt, trente se
tisme ; mais, de même que Aucune, t. XXV, 3 34 R.&TFIOLOGIE .
NERVEUSE
. z l'émotion leur adonné naissance, de, même el
- Inscription des mouvements du bras droit de J... V. 36 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sur les stigmates hystériques ; la force muscu
par des mouvements involontaires avec troubles divers du système
nerveux
. Les mouvements, d'abord limités, se généralise
ns le moindre rythme, avec l'a rapidité de l'éclair. Les troubles
nerveux
consistent dans l'émission involontaire de paro
actères, à l'exception de la plupart de ceux afférents aux troubles
nerveux
qui manquent en partie, se retrouvent chez la m
d'autre part elle est consécutive à la dégénérescence des cellules
nerveuses
; mais est-ce que dans l'une et l'autre affectio
nt, sont considérés comme deux des principaux facteurs des maladies
nerveuses
; et si l'on admet l'efficacité de la diathèse,
escendants les mêmes conséquences étiologiques... * 38 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. par M. Charcot des mouvements des tiqueux et s
s, graduelles, progressives 2 ». Arrivons aux troubles du système
nerveux
. Dans notre cas, l'écholalie seule est manifest
ouvent le mouvement convulsif, certainement ce trouble du système
nerveux
fait défaut chez la malade. Mais si on étend sa'
uinon. Revue de médecine, 7' année, Il'' G, f. 511;. 40 .PATHOLOGIE
NERVEUSE
. DE LA MALADIE DES TICS. des lésions relevant d
tion, de son évolution, des qualités du mouve- ment et des troubles
nerveux
. Elle se manifeste dans le jeune âge : quatre a
us avons 1 Voir Archives de Neurologie, p. 387. , . 42 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. exposées donnent lieu à quelques considération
le quatrième cas, le caractère hystérique du bégaie-- 44 PATHOLOGIE
NERVEUSE
., ment, du bredouillement et de la monoplégie c
asionnelle de Fig. 13. - Examen du 1" juillet 1892. 46 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la crise ? L'on serait tenté de le croire, si
. Antécédents DE famille. La famille de AU... est exempte de tare
nerveuse
. Ses parents sont morts à un âge très avancé. Il
Du reste, pas de trouble du langage parlé ou écrit. 48 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Motilité. AU..., en se mettant en train de mar
me sujet, thèse de Paris, 1SS7. Archives, L. XXV. 4 50 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. posent à l'hémorragie cérébrale. La preuve que
us d'une bonne santé. Personne de sa famille ne souffre de maladies
nerveuses
. Antécédents personnels Bo... n'a jamais eu de
à convexité droite. Bo... ne peut pas se tenir debout 54 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. avec les talons rapprochés que pour peu de sec
, dans une zone de forme triangulaire ayant pour base 56 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. la clavicule, les impressions tactiles et dolo
il y avait donc probablement une- paralysie du.facial 58 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - droit, évidemment d'origine périphérique, à
Tolken. Beabachtungen über hysterischen contracluren. 60 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment elle peut être observée dans l'hystérie d
ous fait connaître avec une précision pour ainsi dire 62 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mathématique l'état mental de B...; en outre d
morbide. Il s'agissait d'un homme très vigoureux, sans antécédents
nerveux
, avec des stigmates hystériques très imparfaits
s ' Y. Charcot. Leçons du Mardi, 1887-1888, p. 111. 64 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - L'HYSTÉRIE ET LE CERVEAU. notre cas, cette d
ntre que de prudence est nécessaire dans le diagnostic des maladies
nerveuses
, même lorsque, par l'apparence et par l'attitud
uéri et indemne d'un retour offensif assez rapproché. Sa décharge
nerveuse
, ou plutôt son élimination toxique ayant eu lieu,
le sang. Ces toxines retenues dans l'économie excitent le sys- tème
nerveux
de différentes manières suivant les individus,
, Mairet et Lemoine sur les troubles de nutrition dans les maladies
nerveuses
. M. Lemoine, dans la Gazette des hôpitaux, 1889
ion de la fonction sécrétoire qui est sous la dépendance du système
nerveux
. Cette lésion de fonction agit à un moment donn
des symptômes qui nécessitent l'intervention de tous les appareils
nerveux
connus (circonvolutions, bulbe, protubérance, e
stique ; mais, cette auto-intoxication est favorisée par un système
nerveux
défectueux congénital ou acquis, agissant sur l
ur toute la nutrition en général. Cette prédis- position du système
nerveux
à contracter ces troubles nutri- tifs est due à
bstance blanche et grise de la moelle, même au microscope; cellules
nerveuses
normales. Rien qui puisse expliquer la paralysi
ntique. Jeunes et âgés appartiennent à des familles où le sys- tème
nerveux
central est électivement frappé de déchéance, et
central est électivement frappé de déchéance, et où les affections
nerveuses
sont prédominantes, sinon exclusives. L'origine
ffections nerveuses sont prédominantes, sinon exclusives. L'origine
nerveuse
, cérébrale, de ci s morts subites, étant admise
résultat de congestion cérébrale apoplecti- forme, ou d'aploplexie
nerveuse
, cette dernière étant un accident de nature épi
n, hypothermie pouvant atteindre 3 et 4' degrés; du côté du système
nerveux
, phénomènes consistant suivant les doses, en un
ale pour ce qui concerne toutes les fonctions autres que le système
nerveux
. Pour ce qui concerne le système nerveux, on re
ns autres que le système nerveux. Pour ce qui concerne le système
nerveux
, on retrouve dans tous les cas des symptômes se
ielles sont d'origine centrale, mais il peut se faire que les voies
nerveuses
périphériques entrent simultanément en vibratio
chiasma; elle montre que, dans tout nerf optique, il y a des fibres
nerveuses
qui appartiennent à la bandelette du même côté
tés étaient atrophiés. P. Kéraval. VI. Des altérations DES cellules
nerveuses
DE la moelle; par K. SCHAFFER. (Neurolog. Centr
st affecté. 3 Il s'agit d'une dégénérescence partielle des cellules
nerveuses
entraînant la diminution de fonction. P. K. V
élite transverse élevée ; quand il y a lésion anatomique du système
nerveux
accompagnée d'excès des fonctions de sensibilit
us gros, qui va directement dans la couche optique et les ganglions
nerveux
adjacents ; dans la cap- sule interne même, exi
racines ascendantes, au moyen du plus fort calibre de leurs fibres
nerveuses
, ce qui permet de reconnaître que la racine des
n de volnme de la substance de soutènement; compression des tubes
nerveux
; tuméfaction, puis segmentation en grumeaux des
a dégénérescence secondaire demeure des mois limitée à la substance
nerveuse
, 'ce n'est qu'à une période avancée que le tiss
elle est graduel- lement remplacée par la karyomitose. Les cellules
nerveuses
n'y prennent aucune part. P. K. XV. Contribut
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XVIII. LES CORPUSCULES amyloïdes DU SYSTÈME
NERVEUX
; par E. REDLICH. (Jahrberch. f. Psychiat., X, 1
décharge, des stries ou des plis sur le revêtement corné des fibres
nerveuses
(cônes et bâtonnets). Etudes de Kuehn, A. Fick,
lieu par exemple que sur un cône et, par suite, sur un seul élément
nerveux
; une impres- sion composée, une image résulte d
ession qui affecte simultanément les extrémités de plusieurs fibres
nerveuses
. La force de chaque impression dépend de l'expl
reste de la charge empêche l'affaissement de l'enveloppe des fibres
nerveuses
; la strie ne se produit pas. Une image peut man
est pas assez épaisse, parce qu'il n'y a pas assez de prolongements
nerveux
pris dans une explosion commune. L'action de
courants électriques; ils suivent ces éléments jus- qu'à la cellule
nerveuse
du cerveau où, les mêmes conditions phy- sico-c
us ou moins grand nombre de raies sur une seule et même terminaison
nerveuse
de l'appareil sensoriel. Cette théorie chimique
intense qui témoigne de l'hyperex- citabilité impulsive du système
nerveux
, soit un affaiblissement progressif avec exagér
u dans les idées est une psychopathie due à l'épuisement du système
nerveux
par le surmenage physique, l'anémie, les maladi
des altérations musculaires, une atrophie très prononcée des fibres
nerveuses
, dissociation de la myéline, tuméfaction des cyli
ésé contient, sur tout le trajet depuis l'en- trée dans les centres
nerveux
, jusqu'au noyau beaucoup de masses noires carac
t par les lésions consécutives des éléments cellulaires des centres
nerveux
. On pourrait invoquer ces mêmes lésions pour ex
git ici d'un seul et même poison, qui se produirait dans le système
nerveux
sous l'influence des causes différentes par- mi
huit mois, eut six rechutes'du même complexe de troubles du système
nerveux
. Les rechutes se suivirent à intervalles à peu pr
cessus anatomique s'est propagé sur le segment supérieur du système
nerveux
, il s'appuie sur un cas de gliomatose spinale a
que des nerfs et des muscles. L'auteur croit expliquer ces troubles
nerveux
par l'excitation de la moelle épi- nière, déter
santé de la malade n'est pas satisfaisant, elle est encore faible,
nerveuse
. Vu les résultats obtenus, l'auteur en- visage
re un Traité complet de l'histo- logie fine des maladies du système
nerveux
. Cette histologie est bien décrite dans les tra
ption de l'anatomie pathologique d'une partie déterminée du système
nerveux
, illustrée d'un grand nombre de planches lithog
eursdécrivent en premier lieu l'histologie normale des terminaisons
nerveuses
: nous trouvons ici à signaler particulièrement
ations des plaques motrices dans les diverses affections du système
nerveux
central et périphé- rique : maladie de Charcot,
e motrice. et de la sensibilité,- un ralentissement des pro- cessus
nerveux
et un affaiblissement^ intellectuel.' Cette influ
intellectuel modéré entraînant une exci- tation générale du système
nerveux
s'accompagne d'une sensation de bien-être, de p
xcessif comme l'inac- tion amène une dépression générale du système
nerveux
, accom- pagnée de malaise et d'une tendance aux
sur le développement et la marche des maladies BIBLIOGRAPHIE. z7
nerveuses
et mentales,- de même que, dans des cas inverses,
ord s'il n'existe pas une cause de dépression étrangère au' système
nerveux
ou un état dépressif curable de ce système, Con
é ni analysés, ni résumés dans aucune autre publication. CLINIQUE
NERVEUSE
. CLINIQUE DES maladies DU système NERVEUX. M. C
publication. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES maladies DU système
NERVEUX
. M. CHARCOT SCLÉROSE LATÉRALE .1\II'OTROPIIIQUE
ncore se rencontrer dans le cours du tabès. Mais alors 164 CLINIQUE
NERVEUSE
. le diagnostic est trop facile, je n'ai pas à y
qui était de vous retraccr les grandes lignes du dai- 168 CLINIQUE
NERVEUSE
. gnosticdiuerentiel des formes spinales del'amy
commencement d'atrophie, qu'ils sont le siège de con- 172 CLINIQUE
NERVEUSE
. tractions fibrillaires manifestes et qu'enfin
cas où la névrose s'associe à telle ou telle affection du système
nerveux
sont loin d'être rares. En est-il ainsi chez no
s'attacher à une pareille proposition pour des audi- 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. teurs peu familiarisés avec les difficultés de
réservées. Telle est, messieurs, l'attitude si je ne 176 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. me trompe, véritablement médicale, véritableme
, se croit très intelligent, grand lettré. Une tante a des attaques
nerveuses
« on la tient pendant ses crises et elle pousse
reprit son entrain habituel. Archives, t. XXV. 12 178 CLINIQUE
NERVEUSE
. De retour à Paris le 11 janvier, il alla le le
n° 73, p. 1. ' 8 Rosenthal. Traité clinique des maladies du système
nerveux
, trad. franc, de Lubansky, 1878. Eicthorst. T
ie. . Vanlair. - Manuel de pathologie interne, 1890. 180 CLINIQUE
NERVEUSE
. yeux, ou mieux du passage brusque de la lumièr
se produisent. Enfin vous 1 Hammond. Traité des maladies du système
nerveux
; trad. franc, de Labailie-Lagrave, 1879, p. 681
s de la moelle épinière ; trad. franç., 1885, p. 224. '182 CLINIQUE
NERVEUSE
. cela les prive peu de ne plus les voir, ainsi
berg, dit Vanlair ? n'a rien à faire 1 Vulpian. Maladies du système
nerveux
; maladies de la moelle, t. 1, 1879, p. 502. 1
athol. interne, t. I de la 7° édition, 18S3, p. 651. 184 CLINIQUE
NERVEUSE
. même toute l'ataxie aux troubles de la sensibi
ubles de la coor- ' Duchenne, loc. cit., p. 781. , . 186 CLINIQUE
NERVEUSE
. dination étaient encore augmentés, car alors i
, 1SG'r, et Etudes znéd., 1884, t. II, p. 25, 35, 37.) 188 CLINIQUE
NERVEUSE
. Ce dernier élément que je n'hésitais pas à qua
c du tabès d'origine syphilitique, 1885, p. 76 et 357. PATHOLOGIE
NERVEUSE
SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE
nfirmé le dia- 1 Voir : Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, Paris, 1887, t. III, p. 202. 190 PATHOLOGIE
s du système nerveux, Paris, 1887, t. III, p. 202. 190 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gnostic porté pendant la vie, mais ce n'est là
six enfants et une fausse couche; deux sont morts d'affections non
nerveuses
. Parmi les quatre qui restent, Léonie seule est
er isolément quelques mouvements de latéralité aux - 192 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. commissures, mais extrêmement faibles. La lang
c renversé en arrière, Archives, t. XXV. 13 1\) ! ¡. " PATHOLOGIE
NERVEUSE
. on ne peut le lui redresser que par un effort
" J. Lav... » du tableau produit par ces auteurs. 196 " PATHOLOGIE
NERVEUSE
. coururent leurs phases ordinaires, et c'est à
ment que parfois elles apparaissent isolées et d'au- 198 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tres fois réunies en nombre variable. Dans ce
ires qui tranchent par leur couleur claire sur le reste du faisceau
nerveux
.. Leur forme est irrégulièrement ovoïde; elles
les sont situées sur une même partie de la périphérie des faisceaux
nerveux
, et regardent toutes du même côté, tant par rap
mpte deux ou trois, soit réunies, soit séparées par quelques filets
nerveux
. Nous décrirons d'abord une de ces aires, chois
istique. Elles sont limitées, du côté de la périphérie du fascicule
nerveux
par une formation lamelleuse qui résulte de l'h
et, du côté central, par le tissu intra- fasciculaire du fascicule
nerveux
. L'espace ainsi circonscrit, qui forme l'ensemb
n qu'ils paraissent avoir. On y voit, en effet, parfois, des fibres
nerveuses
ou des fragments de fibres reconnaissables à le
. (Revue de médecine, avril 1892. n° 4, p. 335.) . 202 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. merlin ? et que ces auteurs les considéraient
uivie nous porte à croire que ces formations représentent des tubes
nerveux
pro- fondément modifiés. Leur paroi lamelleuse
cela, que nous avons pu distinguer nettement un fragment de tube
nerveux
dans certaines figures ; l'absence de protoplasma
), elles sont le fait du plissement de la gaine conjonctive du tube
nerveux
. Si l'on tient compte de ce que les auteurs ont
e l'homme, et qui dérive d'une trans- formation de certaines fibres
nerveuses
, en vue d'un but qui reste à déterminer. 204
nerveuses, en vue d'un but qui reste à déterminer. 204 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous devons ajouter que presque en môme temps
thie primitive, c'est-à-dire sans altération appréciable du système
nerveux
. ' Schuitxe. Ueber circonscriple Bindegewebs hg
l probable, pour cet auteur qu'il existe des altérations du système
nerveux
que la technique actuelle serait impuissante à
terminés (groupe d'Erb), sa fréquente coïncidence avec des troubles
nerveux
comme l'idiotie, l'épilcpsie. - Cette manière
précisément pour' cela, permet de comprendre qu'à l'égal du système
nerveux
il puisse transmettre ses vices, par voie héréd
elle être considérée comme une preuve en faveur de leur ori- gine
nerveuse
. Nous en dirons autant du mode de distribution
le développement des mus- cles, bien plus qu'avec des localisations
nerveuses
spinales. Quant à la coïncidence de l'atrophie
uant à la coïncidence de l'atrophie musculaire avec divers troubles
nerveux
, elle s'explique aisément pour peu qu'on se sou
rimitive progressive. (Société de Biologie, 18SG.) zou PATHOLOGIE
NERVEUSE
. commun d'observer la coexistence de diverses t
f. {Revue Scientifique, 10 sept. IS9` ? ; p. 324.) 208 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pement. La substance contractile -- myoplasma
u tissu interstitiel est réglé par l'action frénatrice du sys- tème
nerveux
. Quand cette action d'arrêt est suspendue, le s
es myopathies primitives, d'où vient l'impuis- sance de l'influence
nerveuse
trophique ? Ce serait précisé- ment un désordre
t d'ajouter que M. Metch- AncmvES, t. XXV. - 14 210 -- PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nikoff a modifié, comme déjà nous l'avons dit,
organe de transmission des sons, et est relié de l'autre au système
nerveux
central ? C'est par ces derniers liens que la p
ue la pathologie auriculaire se rattache à la pathologie du système
nerveux
. Ainsi le labyrinthe peut être primitivement fr
e; enfin, en troisième lieu, dans les maladies générales du système
nerveux
et de l'appareil cérébro-spinal. Dans ces trois
igine : c'est ce que j'appelle le labyrinthisme. ,)Il) pathologie
nerveuse
. L'état de souffrance de l'oreille interne, que
s les névropathies, la simultanéité et la bilatéralité des troubles
nerveux
otiques sont fréquentes, et s'expliquent faci-
ien nous sommes loin de la simplicité du dia- gnostic de la surdité
nerveuse
par exclusion. Aussi les troubles otiques qui r
exclusion. Aussi les troubles otiques qui reconnaissent une origine
nerveuse
sont-ils aussi fréquents qu'on les trouvait rar
face; à 10 centimètres du côté gauche; un peu mieux, 214 pathologie
NERVEUSE
. un peu plus clairement après le Politzer assoc
les douches et le sirop d'iodure de fer. Les maladies du système
nerveux
, avec ou sans lésions systématiques ou en foyer
lements qui concordent avec la marche des accidents d'as- thénie
nerveuse
générale, avec leur progression ou leur dimi- n
ux et mobiles sur les yeux, mem- brane et marteau. 216 pathologie
nerveuse
. De cet examen il résulte que la surdité n'a pa
is ce n'est pas seulement par suite de ses rapports avec le système
nerveux
central que l'appareil percepteur des sons réag
instructif et très suggestif à ce point de' vue. 218 8 pathologie
NERVEUSE
. Observation CCLXXVI. 14 mars 1891. (Résumé.) -
rnoiement qui se répè- tent plusieurs fois dans la journée. Femme
nerveuse
, impressionnable, émotive, craintive, mais non
urds ont une sensibilité exagérée au bruit. Quant à l'hypéresthésie
nerveuse
, elle est aussi connue. Tout récemment nous con
ue d'emblée, s'il y a surdité; mais il y a plus de 220 0 pathologie
nerveuse
. difficulté à ne pas les confondre avec les tro
logie nerveuse. difficulté à ne pas les confondre avec les troubles
nerveux
généraux, quand l'oreille est restée en apparen
es au point de vue de la localisation de la lésion dans les centres
nerveux
. Observation CCCLIII. (Résumé.) F. Mo... trente
CLINIQUE OTOLOGIQUE ANNEXE STATISTIQUE 1891-1892. 222 pathologie
NERVEUSE
. SERVICE OTOLOGIQUE 223 RECUEIL DE FAITS GA
rsonnes qu'il rencontrait. » Depuis il ne fut pris d'aucun accident
nerveux
. Il n'a jamais été atteint de dermatoses et ne
e la pierre qu'on exécutait sur lui pour la seconde fois. Mère, non
nerveuse
, morte à vingt-quatre ans, d'une affection pul-
s le reste de la famille du père, aucune autre affection psychique,
nerveuse
, arthritique, etc.] Mère, cinquante ans, ména
Elle est très sobre, ne porte pas de traces de syphilis, est vive,
nerveuse
sans avoir jamais eu de crises, ni d'accidents
, est vive, nerveuse sans avoir jamais eu de crises, ni d'accidents
nerveux
d'aucune sorte. [Père robuste, sobre, d'ha- tud
lle : 1° une fille (vingt- sept ans), n'ayant jamais eu d'accidents
nerveux
, ni de convulsions, toujours bien portante. D'u
convulsives ; - 5° un garçon de dix-neuf ans, sobre, sans accidents
nerveux
; Go 6° une fille de dix-septans, sans accident
accidents nerveux ; Go 6° une fille de dix-septans, sans accidents
nerveux
, bien que nourrie pendant le siège; z notre mal
sont pas toujours l'expression de troubles fonctionnels du système
nerveux
. Il existe une variété de myoclonie à secousses
esure qu'on s'élève dans l'échelle animale. Là où existe un système
nerveux
, l'énergie qu'engendre l'attention est inhérent
, est apte à accomplir un travail compliqué, à choisir les éléments
nerveux
exigés pour for- mer des combinaisons originale
e d'une façon satisfaisante, la réexcitation des séries des centres
nerveux
qui y concourent devient aisée et la répé- titi
rationnelle est pratiquement reconnue par la division de l'appareil
nerveux
en système volontaire et involontaire. Tandis
état de veille, avant l'hypnotisme. 5° Invariablement, quand l'état
nerveux
des sujets s'aggrave (accès d'hystérie antérieurs
s habitants sont cependant plus éclairés. 260 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 261 III. Du RA
s éclairés. 260 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 261 III. Du RAPPORT DU POIDS DU CORPS AVEC UN
ge, des périodes d'agitation (Obs. XXV111). 262 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Conclusion. Le poids du corps n'a aucune valeu
in un noyau impair sagittal ou central avec ses REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 263 groupes acolytes pairs. Il n'y a pas du re
mnes cliniquement de toute complication du côté du reste du système
nerveux
, mais l'autopsie démontre, dans l'im- mense maj
dans l'im- mense majorité des cas, la complication d'une affection
nerveuse
et les troubles intellectuels n'y sont point ra
VI. Contribution A l'étude des affections syphilitiques DU système
nerveux
central; par R. SCHULZ. (Neurolog. Centralbl., 18
nts paralytiques. P. K. VII. UNE observation DE syphilis DU système
nerveux
central BEVL- tant l'aspect d'une paralysie gén
séminées occupant tous les systèmes et tous les éléments du système
nerveux
central; de là la multiplicité des symptômes. P
des douleurs spinales avec irradiation. , 264 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. Ces accidents ne s'observent que d'une façon i
le D'' KRAFFT. Histoire d'une jeune fille de treize ans, qui a des
nerveux
dans sa famille, qui est timide et craintive, e
itable, surtout des organes sexuels. Obsessions REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 265 5 érotiques ou obscènes relatives à des pe
tourée d'une bordure rouge érythémateuse ; 266 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. A la sixième ou à la septième minute, le bourr
t conclut en disant « qu'on ne peut alléger le cadre des affections
nerveuses
du syn- drome de Friedreich et de Morvan qui n'
Lyon). (Gaz. hebd. de méd. et de chir., 1890.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 267 XIX. QUELQUES cas DE TREMBLEMENT chez LES
; par le Dr Wiglesworth. Dans toutes les hémorrhagies du système
nerveux
, se pose la ques- tion des rapports de l'hémorr
er dans l'espace sous-jacent à la dure-mère 268 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sans répandre leur contenu dans l'espace sous-
limètres de long sur 15 millimètres de large. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 269 En somme, le clou entré au niveau du centr
ue. Conclusion. - La tétanie est une affection de tout le système
nerveux
dont quelques symptômes peuvent être expliqués pa
omène de Trousseau se rattachent à l'hyperexcita- bililé du système
nerveux
central (cerveau -bulbe - moelle). Les troubles
es affections spinales syphilitiques, cette 270 REVUE DU PATHOLOGIE
NERVEUSE
. paralysie spasmodique peut-elle être considéré
ansverses des vertèbres cervi- ' cales. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 271 XXVIII. UN CAS DE PARALYSIE ISOLÉE DU NERF
oedème de la pie-mère. Anémie cérébrale. Vacuolisation des cellules
nerveuses
du noyau du facial et des deux trijumeaux. Inté-
halmoscopique; la cons- tatation chez les malades d'autres troubles
nerveux
et des Stig- mates de l'hystérie, tels étaient
ement, laisse après elle un trouble de la conductibilité des fibres
nerveuses
cédant elle-même à la strychnine ou à une influ
rocédant du reste, se rattachent à des lésions occupant les centres
nerveux
. L'amblyopie chronique de l'hystérie ou anesthé
çons présentait une végétation osseuse qui avait détruit les filets
nerveux
; le bourgeon osseux hyperplasié se prolongeait
la phtisie pulmonaire, mais ni syphilis, ni alcoolisme, ni maladies
nerveuses
dans sa famille. Aucun accident pendant l'accou
M. KnOEPEUK. De l'action de quelques médicaments sur les centres
nerveux
. Etudiant les effets de ces médicaments sur l'act
re-croisaient. Entre ces éléments, il n'y avait que de rares fibres
nerveuses
. 2° A la périphérie, un tissu très riche en cel
t 27 à 47 centimètres. L'auteur a trouvé que les pre- mières fibres
nerveuses
à myéline apparaissent dans les cordons postéri
du cordon postérieur se développe, c'est-à-dire qu'entre les fibres
nerveuses
myéliniques déjà développées, de nouvelles fibr
qui est surtout lésée ; or, cette partie est occupée par des fibres
nerveuses
relevant du troisième stade du développement. L
bide déterminant la microcéphalie dépend essentiellement du système
nerveux
central, et la déformation (ou malformation) cr
dépende, à l'origine, des os.' Glle se rattache toujours au système
nerveux
. Cette condition n'est pas seulement limitée au c
ement limitée au cerveau. 11 y a aussi la micromyélie. Le système
nerveux
dans la microcéphalie ne présente aucune altéra
sultats i dans d'autres circonstances, la dégénération des cellules
nerveuses
dans des portions particulières du cerveau, les
malformations congénitales ou accidentelles, de maladies du système
nerveux
central ou périphérique, ou de laloneuroses spa
s, ou encore à des maladies organiques ou fonctionnelles du système
nerveux
, ou enfin .consti- tuent une névrose spéciale,
ions. P. SOLFIER. VIII. Les troubles de la marche dans les maladies
nerveuses
, par le Dr P. BLOCQ. (Bibliothèque CHARCOT-DEBO
éméiologique les troubles de la marche dans les maladies du système
nerveux
. En faisant une étude d'ensemble de ces trouble
e fonction. Il expose rapidement dans quelles affections du système
nerveux
on rencontre des troubles de la marche, puis ab
bles de la marche sous le nom de dysbasie. Les fonctions du système
nerveux
se réduisent en der- nière analyse : motilité,
rrive à leur description dans les différentes affections du système
nerveux
, en n'entrant, bien en- tendu, dans les détails
ncore fait, à notre con- naissance. P. S. IX. Syphilis du système
nerveux
(Syphilis and the nel'VQUS sslems) ; par W.-R.
s, et l'action de la vérole. La seconde leçon a trait aux symptômes
nerveux
attribuables à la syphilis; leur diagnostic est
s et le diagnostic de nombreux processus syphilitiques du sys- tème
nerveux
, gommes, méningites chroniques cérébrales locali-
n M. Gowers a surtout en vue d'en poser le pronostic des affections
nerveuses
d'origine syphilitique. Nombre de symptômes dép
ou à guérir les accidents. P. BLOCQ. VARIA ASSISTANCE DES ENFANTS
NERVEUX
ET ARRIÉRÉS. La Commission inter-départementale
eux qui ont été accordés à des travaux sur la pathologie mentale et
nerveuse
. Pria; Alvarenga de Piarchy (Brésil) (800 fr.),
500 fr.). MM. Deuierre et Doumer : Album stéréoscopique des centres
nerveux
. Prix Adrien Buisson (10,500 fr.). 4,500 fr. à
tumine et alcoolique. Prix Falret (1,000 fr.). Question : Accidents
nerveux
(le l'urémie, M. BERNARD (de Ducard-les-Bains);
RAND (de Gros) : publications diverses sur les fonctions du système
nerveux
chez les animaux et l'homme. Pria; Pourat (1,
érimentales et cliniques sur les phénomènes inhibiloires du système
nerveux
. LES CONCOURS POUR LES places DE médecins alién
natomique et anatomo- pathologique d'organes appartenant au système
nerveux
. Les candidats peuvent choisir entre les deux m
le maison de santé pour LE traitement DES affections MEII- tales ET
nerveuses
. 11. le D'' PACHOUD, ancien médecin directeur d
8p3 Vol. XXV. Mai 1893. N, 75. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
SUR TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQU
40. 1885.) GEuvrescon : plètes : Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III,' p. 299-3G9. - Cette observation a é
ultés de diagnostic. , An : anws, t. XXV. 21 1 322 1), CLINIQUE
NERVEUSE
. Antécédents héréditaires. -Père, aubergiste, b
a flexion, la main se met en supination. Ce n'est donc 324 CLINIQUE
NERVEUSE
. pas le biceps qui produit ce mouvement. D'aill
s spéciaux. C»il. Pas de différence dans les pupilles. 326 CLINIQUE
NERVEUSE
. Réactions normales. Pas de différence dans la
brachiale et localiser cette monoplégie dans le côté 328 - CLINIQUE
NERVEUSE
. droit. Il a dû dans sa personnalité consciente
. ' Charcot. OEuvres complètes : Leçons sur la maladie du système
nerveux
, t. III, p. 353. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHI
l, 1890, 2' s., t. XII, 1103 41, 42, p. 259, 275.) 1 330 CLINIQUE
NERVEUSE
. tôt à des altérations de la sensibilité, anest
s émoussé. Dyschromatopsie monoculaire gauche etachro- 332 CLINIQUE
NERVEUSE
. matopsie même pour le rouge. Le champ visuel n
re supérieur droit sont tout à fait libres. Fig. 42. 334 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'hypoesthésie au niveau du poignet a disparu.
mique avec l'hystérie. Thèse de Paris, juillet 1891. 336 CLINIQUE
NERVEUSE
. Début. A quelque temps de là (1886), il tomba
ourdes, profondes, vagues, ne correspondant pas à tel ou tel trajet
nerveux
. Il en souffre encore quand on presse fortement
a Ira,in. Voici la mesure des circonférences du bras : 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. La sensibilité pharyngée est abolie. L'ouïe,
hystérie et la sclérose en plaque sont les deux maladies du système
nerveux
qu'on voit coexister le plus souvent chez un mê
ot. - Leçons du mardi, policlinique, Il décembre 1888. 340 CLINIQUE
NERVEUSE
. En ce qui concerne l'existence chez notre mala
suivi immédiatement le choc et l'atrophie mus- culaire dégénérative
nerveuse
par la suite. A l'hystérie seule doit être attr
elles se rattachait la paralysie de ses muscles. 1 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. 3S2 CLINIQUE NERVEUSE. REFLEXIONS SUR LES CA
ralysie de ses muscles. 1 342 CLINIQUE NERVEUSE. 3S2 CLINIQUE
NERVEUSE
. REFLEXIONS SUR LES CAS DE MONOPLÉGIE HYSTÉRIQU
les autres cas, les choses, ont été comme il suit : 384 CLINIQUE
NERVEUSE
. de la paralysie brachiale un autre membre du m
1885.) - OEuu7-es complètes. Leçons sur les maladies du sys- tème
nerveux
, t. III, p. 299-3G9. ' r-G. Marie et SOUZ : 1-L
Archives de Ne¡¡- rl),lce, l. Xl V, 1337, p. 1;' 7.) 356 CLINIQUE
NERVEUSE
. 19. Journée. Monoplégie /t< ? M)'o-<t'a.
Mém. de la Soc. méd. de Paris, 1890, p. 407.) 27. SÉRIEUX. - Choc
nerveux
local et hystél'o-tl'Humatique. (Archives de Ne
t. XX, 1890, p. 231.) 28. Charcot. Clinique des maladies du système
nerveux
, t. 1, Pa- ris, 1892, p. 29. UN CAS DE SCOLIO
s soeurs, sans enfants, présente tantôt des névralgies 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. et tantôt des manifestations herpétiques. Une
gauche paraît légèrement plus amaigrie. De chaque côté 360 CLINIQUE
NERVEUSE
. des creux poplités, on sent une saillie formée
é. Le sternum est porté de droite à gauche. Fig. 45. 362 CLINIQUE
NERVEUSE
. , L'extrémité du sacrum et le coccyx soulèvent
d'abord, et puis à cause du cachet spécia Fig. 16. 364 ' CLINIQUE
NERVEUSE
de l'atrophie qui n'a été précédée que d'une hy
nc beaucoup à celle que l'on rencontre dans la plupart des maladies
nerveuses
, et peut-être joue-t-elle à l'égard des myopath
ée des autres dé- ' Déjerine. Hérédité dans les maladies du système
nerveux
. Thèse agrég., 1886. lérv. Famille névropathiqu
uvrons aucun des autres signes habituels (déformations 366 CLINIQUE
NERVEUSE
. du thorax, nouures épiphysaires, incurvation).
ntes du tremblement, qui ont été jamais observé dans les maladies
nerveuses
, et ne possède aucune particularité qui, d'elle-m
lité le manque de pondération, le défaut du stabilité des fonctions
nerveuses
, en un mot le trouble profond du dynamisme ment
sement cérébral qui amène un état de faiblesse irritable du système
nerveux
central ; toutes les causes dépressives pourron
auses prédis- posantes sont l'hérédité et l'existence d'une maladie
nerveuse
. Quelle est la nature de la catalepsie ? Marcé
e également pour une part im- portante dans la composition du tissu
nerveux
normal : il serait intéressant de rechercher si
rt, les maladies mentales et, en même temps, non pas les ma- ladies
nerveuses
mais les maladies de l'encéphale. Il chercha al
ent, dit-il, sous le nom d'hystérie un ensemble de manifes- tations
nerveuses
se produisant de préférence chez les jeunes fem
es sont la conséquence de troubles purement fonctionnels du système
nerveux
; 2° ils peu- vent être brusquement provoqués, m
sivante. « L'hystérie, disait Brachet, est une né- vrose du système
nerveux
cérébral, qui se manifeste plus ou moins brusqu
tre expliqués par aucune lésion grossière et déterminée des centres
nerveux
. Dans ses leçons de 18811-1885, il a expliqué c
me une méthode scientifique de diagnostic et d'analyse des maladies
nerveuses
. Il a montré que cette paralysie pouvait se rep
sensation dépendant of idea, 1869. , Charcot. - Maladies du système
nerveux
, t. III, p. 288 et sq. 3 Charcot. Maladies du s
stème nerveux, t. III, p. 288 et sq. 3 Charcot. Maladies du système
nerveux
, t. III, p, 351. Id., ibid., t. III, p. 335.
oment d'une émotion, l'attention du sujet 1 Charcot. Maul, du syst.
nerveux
, t. I, p. 417. Paul Richer, La grande hystérie,
eux, comme chez les collatéraux, on ne trouve pas trace d'affection
nerveuse
ou diathésique quelconque. Mention- nons, toute
ion de cette nature ne sortirait pas des idées reçues en pathologie
nerveuse
. Toutefois, on ne peut s'empêcher de reconnaitr
lades traités est considérable, et l'effet du remède sur le syslème
nerveux
consiste en une dimi- nution de la vision, la p
qui peut, dans certains cas d'aliénation mentale ou d'affec- tions
nerveuses
, rendre des services signalés. Il faut surtout re
redou- bler de prudence chez les cardiaques. Mais dans l'agitation
nerveuse
, dans l'excitation surtout motrice, dans l'inso
inspirations irrésistibles, mais qu'elle est atteinte d'une maladie
nerveuse
, l'hysthérie, qui a pu contribuer à développer se
uble de la santé générale déterminé par cette atteinte. Le symptôme
nerveux
que l'auteur a constaté le plus souvent pendant
s quelques névroses anciennes, sans trouble mental, dans la surdité
nerveuse
par exemple, il a pu ob- server des amélioratio
i qu'il a vu des cas plus nombreux dans lesquels cette même surdité
nerveuse
avait été au contraire la conséquence de l'infl
ystériques très accusés, l'hypno- tisme détermine des modifications
nerveuses
qui rendent subite- ment manifestes les phénomè
e chez des types différents de personnes, par suite de dispositions
nerveuses
encore inexacte- ment connues, l'hypnose devien
douleur, et que l'on pourra probablement l'étendre à des affections
nerveuses
très diverses. Dans l'aliénation mentale, l'hyp
arkchévitch et Fikhonof. - Des affections consécutives du sys- tème
nerveux
central. Après avoir présenté deux malades attein
ous la déno- mination générale d'affections consécutives du système
nerveux
cen- tral survenant après des lésions périphéri
, expériences qui l'ont amené à conclure que les lésions des troncs
nerveux
périphériques entraînent non seulement des modi
adies men- tales, par Régis, 141 ; atlas de pathologie du système
nerveux
, par Babès ei Blocq, 142 ; pa- thologie des é
ques, par Richer, 304; - troubles de la marche dans les maladies
nerveuses
, par Blocq, 306; syphilis du système nerveux, p
dans les maladies nerveuses, par Blocq, 306; syphilis du système
nerveux
, par Gowers, 308; leçons cliniques sur les ma
e la -, cn Orient, par Rastonil. 88 ; - alté- ration des cellules
nerveuses
de la -, par Schaffer, 107 ; atro- phie des f
âniennes, sensibilité des , par Kreuser, 127. Syphilis du système
nerveux
, par Schultz, Brasch, 263. Syringomyélie avec
gomyélie avec atrophie de la langue, par Fambourère, 104. Système
nerveux
, corpuscules amy- loïdes du -, par Redlich, 114
CHARLES HÉRISSEY. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE J.-b
AMILLE NÉVKOPATH 1Q LIE : Par Cn. FEUE. * Les maladies du système
nerveux
, qu'elles se ma- nifestent par des troubles psy
s l'hérédité qui nous a engagé à considérer les maladies du système
nerveux
dans leur ensemble, et à rassembler les membres
a- thologiques de l'esprit et n'ont considéré les autres maladies
nerveuses
qu'accessoirement et d'une manière générale. De
ropa-- thique proprement dite, comprenant les maladies du système
nerveux
qui affectent plus particulièrement la sensibil
nt la sensibilité et le mouvement. I. Les affections du système
nerveux
qui ont les pre- mières paru unies entre elles
Des maladies mentales, 183, t. II, p. 74. 4 PATHOLOGIE GÉNÉRALE.
nerveuse
' : on ne devient fou d'amour que quand on avai
états anor- maux non héréditaires, mais congénitaux. Les troubles
nerveux
et mentaux, si fréquents chez les sujets dont l
s le verrons encore plus loin, ce n'est pas d'emblée que l'hérédité
nerveuse
produit l'aliénation mentale, il arrive souvent
ux (Maudsley), ou encore des sujets atteints de maladies du système
nerveux
, et surtout de névroses. 1 Hammond. A Treotise
de folies, nous verrons qu'elle est un lien à différentes maladies
nerveuses
. MM. Bail et Régis ', se basant sur certains ca
qu'elles comprennent le plus grand nombre des affections du système
nerveux
; mais les affections mentales occupent incontes
très irascible et a quelques idées de persécutions. - Trois soeurs
nerveuses
; une seule a eu des attaques. LA FAMILLE NÉVROP
Grand-père maternel mélancolique. Mère névralgique. Père, crises
nerveuses
( ? ) jusqu'à treize ans. Observation XVIL- M.
ve en connexions fré- quentes avec les autres affections du système
nerveux
, qu'il s'agit maintenant de rallier pour consti
s ces névroses et toutes les affections dites spontanées du système
nerveux
sont unies par un lien de parenté intime. D'ail
s qui existent entre les maladies men- tales et les autres maladies
nerveuses
. (Ann. méd. psych., 4e série, t. IX, 1867, p. 1
Pour ce qui est de la chorée, sa parenté avec les autres affections
nerveuses
a été fréquemment signa- lée5; elle affecte les
par une émotion morale vive. Or, la biologie générale des maladies
nerveuses
nous montre que ces sortes de causes n'agissent
ent la maladie de Parkinson est en rapport avec d'autres affections
nerveuses
existant soit chez le sujet lui-même, soit chez
paralysie agitante se transforme elle- même en d'autres affections
nerveuses
; en voici trois exemples : 1 Vassitch. Etude
e trouve associé dans la même généalogie avec d'autres affections
nerveuses
. Quant à la maladie de Basedow, les recherches
mais que fré- quemment elle est liée par l'hérédité aux maladies
nerveuses
et en particulier aux maladies mentales qui peu
èse, 1S82.) '- G. Ballet. De quelques troubles dépendant du système
nerveux
central ob'e¡'vé, chez les malades atteints de
les mêmes liens. Elles sont fréquem- ment associées aux affections
nerveuses
, à l'hystérie, en particulier. Elles sont aussi
nsfor- mations de la névropathie : un peintre de talent a un fils
nerveux
et daltonien qui a sept enfants, dont six euren
tétanie, qui se rencontre surtout chez les enfants nés de parents
nerveux
irritables atteints eux-mêmes de névroses ou en
émotions ? La sclérodermie peut aussi être rattachée à la famille
nerveuse
: Observation XXXIV. Une des sclérodermiques de
érodermie et d'épilcpsie. M. Pautry accepte l'origine et la parenté
nerveuse
de la morphea albo qui, pour les auteurs modern
c l'idiotie, l'épilepsie, l'alié- nation, le suicide, les accidents
nerveux
bizarres, etc. M. Charcot professe depuis longt
aris, 4c édit., 1873, l. 13G, GIO. IA FAMILLE NLVROPATHIQLE. 35
nerveuse
est la cause primordiale de l'ataxie locomo- tr
aussi des liens de parenté avec les autres affections du système
nerveux
. Duchenne (de Boulogne) cite un sujet dont le p
nt quelquefois, dans leur histoire morbide, d'autres phé- nomènes
nerveux
: un malade cité- par Mahot" avait eu plusieurs
eudo-hypertrophique. Plus Grasset. - Truite des maladies du système
nerveux
, 2- édit., p. 431. 1. 'Gowers. Pseudo-hyperlrop
des trois malades de Dunlop est mort aliéné. D'ailleurs l'hérédité
nerveuse
est peut-être moins exceptionnelle qu'elle ne l
parenté de la sclérose multilocu- laire avec les autres affections
nerveuses
ne saurait être mise en doute. Observation LX
t assez fréquemment dans l'hérédité des sujets atteints de maladies
nerveuses
. Mais nous pensons que ces affections ne peuven
cident. Si les liens de parenté qui existent entre les affections
nerveuses
sont souvent difficiles à mettre en lumière, c'
a gestation, le développement de telle ou telle partie du système
nerveux
subisse un trouble quelconque, il y LA FAMILLE
physique ne vient mettre en jeu leur prédisposition. L'épuisement
nerveux
' produit par le surmenage physique et intellec
, le satur- alisme" etc., le générateur primordial des affections
nerveuses
. L'influence de ces causes incessamment renouve
s par l'in- toxication saturnine lente. (Thèse, 1873.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
ÉTUDE D'UN CAS DE FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE
. les D" G. BALLET, ancien chef de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de Paris, et L. MINOR, de Moscou.
tablie, il reste à déterminer si, dans les faits où t 46 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. on l'observe, la sclérose postéro-latérale aff
rvé par nous dans le service de la clinique des maladies du système
nerveux
, et que nous avons pu étudier avec soin, grâce
clérose des cordons pos- térieurs et latéraux. - Atrophie des tubes
nerveux
dans les nerfs de la deuxième paire. Syphilis p
Les membres supérieurs sont un peu moins atteints. 48 8 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Cependant il n'est pas possible à la malade de
sang, n'ont pas été pratiqués. Archives, t. VII. 4 50 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Au demeurant, c'est exclusivement sur les lési
USE. Au demeurant, c'est exclusivement sur les lésions du système
nerveux
et spécialement sur celles de la moelle que nous
relever que sur les points où les lésions scléreuses 52 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. étaient le plus prononcées et le plus diffuses
ont beaucoup de prolongements, qu'elles envoient entre les éléments
nerveux
non encore détruits. Ces cellules sont en plus
les points où la sclérose n'a pas étouffé complètement t les tubes
nerveux
, on remarque que certains de ces tubes ont subi
correspondantes, avec multiplication des éléments du 5t PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tissu interstitiel. On ne relève aucune lésion
faisceau pyramidal, situé en dedans du premier. Ces 56 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. deux systèmes, pour être très voisins l'un de
, 1878. 3 Morgan. British med. journal, janv. 1881. 58 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. à la suite d'un refroidissement, l'existence d
cordons latéraux et postérieurs) et quelques autres. 60 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Tous ces cas nous ont paru ne pas être absolum
in Arch. de phys. nornz. et patlaol., 1877, p. 764. 62 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans la région dorsale et s'accompagnant à ce
rkslrdnge, in Arch, sur Psychiatrie, Bd. VIII, u. IX. 6t PATHOLOGIE
NERVEUSE
. « Les lésions, dit l'auteur, offrent leur maxi
isa- ger comme systématiques. Ancutvta, t. Vil. 5 66 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. elle est assez bien localisée aux cordons de G
savoir l'intégrité habituelle des cylindres-axes, ce 68 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qui explique, dans une certaine mesure, l'abse
ons comme atteintes de myélite diffuse, un grand nombre des tubes
nerveux
, sinon tous, étaient détruits. 5e type. - Il no
t dans quelques autres plus ou moins analogues, ont 70 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. suffisamment établi, croyons-nous, qu'on ne sa
c'est la différence assez nette qui existe dans l'aspect des tubes
nerveux
sur une coupe transversale de la moelle de notr
avancé. En A, on ne distingue plus qu'un très petit nombre de tubes
nerveux
, mais ceux qui persistent au sein de la gangue
core plus exact en examinant sur une coupe longitu- dinale un tube
nerveux
heureusement isolé (PL. III, fig. 15). On voit
cence systématique (secondaire ou autre). Elle paraît 72 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. être commune, au contraire, au dire de M. Char
à la nôtre, on l'a vu, 1 Charcot. Si»' la tuméfaction des cellules
nerveuses
motrices, et du cylindre-axe des tubes nerveux,
ction des cellules nerveuses motrices, et du cylindre-axe des tubes
nerveux
, dans certains cas de myélite; in AI'ch. de phy
. norm. et pathol., 1871-72, p. 93, et Leç. sur les mal. du système
nerveux
, t. II, p. 385. , Jastrowitz. Studien ueber die
nov. et déc. 1871. 4 Fr. Boll Histologie et lzislogénie du système
nerveux
central; in Arch. sur Psychiatrie, 1873. 5 De
tout ce qui précède qu'il faut chercher ailleurs que dans les tubes
nerveux
eux- mêmes le point de départ de la sclérose in
usqu'à ce jour, accoutumé à considérer surtout les il- 4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. scléroses dites systématiques, c'est-à-dire ce
atiques, c'est-à-dire celles qui se développent au pourtour du tube
nerveux
groupés en systèmes. Quant aux autres, on les a
les scléroses qui se développent au pourtour d'un système de tubes
nerveux
(systématiques de M. Vulpian); d'autre part, ce
tel' Akadcmic de/' 11'issettscltateti, lSb3, p. 'iG9. 76 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gorie. Mais il s'en faut que l'examen des cas
ns ont une remarquable tendance, par- ticulièrement dans le système
nerveux
, à se répartir sans ordre et sans méthode appar
jonctifs avec compression, puis disparition consécu- tive des tubes
nerveux
; formation de cellules à prolon- gements ou ce
sur les myélites syphilitiques. Thèse de Paris, 1882. 78 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. un exemple de myélite syphilitique avérée, qui
é pat' l'Académie de médecine (pn\ Curieux, ils63.) 80 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tomatologie qui résulte de l'association d'une
qui étaient un peu exagérés. Abchivks, t. VII. 6 82 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Enfin, dans l'observation de M. Raymond, à laq
sortir, c'est que dans le cas de Pick et Kahler, bien 84 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'il existàt une dégénérescence scléreuse du
Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieurr. Fig. 13. -Tube
nerveux
surune coupe IoniVulinale. Tulie variqueux. Frr
secondaire. Il, Coupe du cordon latéral dans notre cas. a, Tube
nerveux
avec cylindre-axe; hypertrophie. 6,Tubenerveuxd
x soeurs dont l'une a cinq enfants et l'autre deux, sans affections
nerveuses
. Pas de névro- pathes, de difformes, de suicide
yenne et d'une intelligence ordinaire. Elle ne présente ni troubles
nerveux
, ni affections cons- titutionnelles ; elle est
nts; une soeur en a deux; tous sont bien portants. Pas d'affections
nerveuses
dans la famille]. -Pas de consanguinité. Six
re typhoïde : elle était intelligente et n'avait pas eu d'accidents
nerveux
; - 2° une fille, mort-née par strangulation (ci
Cette jeune fille est hystérique; elle a éprouvé une première crise
nerveuse
, à de quatorze ans, et, pendant l'année qui vie
otre malade, dépendant de la durée et de la violence des phénomènes
nerveux
, ou de la prédominance de certains symptômes, n
rante-trois ans, petit, mais bien portant ; pas d'excès de boisson,
nerveux
, impressionnable; pas de migraines, quelques né
ralgies dentaires. [Père : pas d'excès alcooliques, ni d'affections
nerveuses
. Mère : asthmatique, morte à soixante ans d'une
d'épilep- tiques, de difformes]. Mère, quarante ans, petite, très
nerveuse
; pas d'attaques de nerfs, de migraines, de név
; enfin une soeur a succombé à une fièvre typhoïde. Pas d'accidents
nerveux
dans la famille. Pas de mérycoles du côté du pè
constitué, très sobre. Aucune maladie; pas de migraine, d'accidents
nerveux
, de syphilis. [Aucun antécédent névropathique d
s de maladies antérieures, de migraines, de céphalalgies ; elle est
nerveuse
et impressionnable, pleurant souvent sans motif
de nerfs ni de syncopes. [Père et mère : n'ont présenté d'accidents
nerveux
d'aucune sorte. Deux tantes du côté paternel n'on
con- firment dans cette opinion : que c'est bien dans le système
nerveux
qu'il faut chercher la cause première du mérycism
e l'accroisse- ment progressif du tissu connectif dans la substance
nerveuse
, à mesure qu'on descend l'échelle zoologique.
ques épileptiformes 1 Charcot. - Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 4° édit., t. I, p. 376. ' Bourneville et P.
servation dans le service de la clinique des maladies du système
nerveux
, à la Salpêtrière. Il s'agit d'une jeune femmequi
e nous ne nous étions pas trompé) comme des hémop- tysies d'origine
nerveuse
. Nous avions donc bien affaire à une hystérique
devaient être expliqués par un ébranlement des dif- férents centres
nerveux
.Duret, quelques années plus tard. s'efforça de
de résistance de la moelle allon- gée« l'ultimum moriens du système
nerveux
» ; mais aussi par,l'iu- fluence indirecte du t
t dire qu'un homme qui connaît à la fois les,itialadies mentales et
nerveuses
est un être exceptionnel. 11 n'est donc pas adm
eurs peuvent, en effet, être observés : ,. %IL. 10 146 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1° A la suite de lésions corticales; 2° - de
corps strié voisines du ventricule. La moelle allon- 150 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gée et la moelle épinière étaient saines. Pas
épinière étaient saines. Pas d'altéra- tion appréciable des racines
nerveuses
. A l'examen microscopique , on trouve de la dég
ce graisseuse dans les fibres musculaires de la langue. Les tubes
nerveux
dans le nerf hypoglosse étaient sains. 6° Fer
centre est bilatéral, différant en cela de celui de 152 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'aphasie qui, comme on le sait, est unilatéra
a Salpêtrière (service de M. le professeur CHARCOT). 1Ô4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. En 1871, parésie momentanée du côté droit du c
aire et s'étendant en avant jizsqu'à un centimètre 1.j(; PATHOLOGIE
NERVEUSE
. environ au delà de la coupe /)e ? c<Jo-/ ?
marquables par leur disposition symétrique. Celui du 158 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. côté gauche présente à peu près la grosseur d'
érysipèle de la face. Une soeur, morte folle. Pas d'autres maladies
nerveuses
dans la famille. Archives, t. VII. I I 162
nerveuses dans la famille. Archives, t. VII. I I 162 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Antécédents personnels. - Pas d'affections sér
existe toujours, à un degré plus ou moins prononcé, 166 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des signes de paralysie glosso-labiée. Qu'on s
A gauche, premier foyer symétrique, de deux cen- 168 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. timètres de hauteur, à la limite externe du no
seules utilisées et l'un des hémisphères (comme cela 170 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. a ·lieu pour le langage), se trouverait seul c
sement des membres inférieurs qui va jusqu'à la para- 17 pathologie
NERVEUSE
. plégie. Le 25 décembre, nouvelle attaque avec
ille, soit ''chez1' les' sujets' eux-mêmes, avec les « affections
nerveuses
'que nous' 1 avons.lpasséesl en'revue, il' faut
dent fréquemment avec certaines formes de dégénérescence du système
nerveux
, notamment avec l'idiotie, soit chez l'individu
tème pileux, par excès ou par défaut, coïncider avec des troubles
nerveux
ou psychiques. Ireland rapporte deux généalogie
vent à des degrés va- riables chez les sujets atteints d'affections
nerveuses
ou dans leurs familles... , 1 1 , VIII. a '
de fréquemment avec les névropathies. On rencontre souvent chez les
nerveux
et dans leur famille le rhumatisme, la dartre e
rédis- position héréditaire. Le rhumatisme réveille la dia- thèse
nerveuse
qui se traduit par des manifestations convulsiv
. , i ""1 u Mais c'est surtout dans la goutte que les troubles'
nerveux
sont fréquents;'et'its méritent de fixer plus p
en être la conséquence. Ces troubles peuvent affecter le système
nerveux
central et périphérique dans toutes ses fonctio
a' fait jouer au vertige un rôle prépondérant parmi les symptômes
nerveux
dus à la lithémie. A côté du vertige, il faut p
Vigla, Bazin, etc.). Avec l'asthme, il faut citer les palpitations
nerveuses
, survenant surtout la nuit, avec douleur rétros
ondon, 1854, 1). 126. 180 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. aucun antécédent
nerveux
dans la famille, mais il y a un oncle et un gra
t d'eczéma. Observation LXXIV. - Mn'e A..., cinquante ans. - Mère
nerveuse
sans crises. Elle a eu une chorée très forte vers
ie générale. il n'est pas rare pendant le sommeil chez les sujets
nerveux
, principalement les enfants. Nous avons pu voir
bert\ etc., nous paraissent devoir être séparées des manifestations
nerveuses
de la goutte, parce qu'elles sont attribuables
nérale. un accès de goutte articulaire. Il fait remarquer que les
nerveux
héréditaires sont plus sujets à ces sortes d'ac
ales' il faut surtout citer la gastralgie. On a décrit des coliques
nerveuses
, coliques arthritiques, que l'on a comparées à
rie par le colchique; et, comme plusieurs autres manifes- tations
nerveuses
, on les a vues souvent cesser à l'ap- parition
e irido-choroïdien) n'ont aucun rapport avec les lésions du système
nerveux
. Pourtant, M. Gauté 1 rattache à la goutte une
tte par une parenté aujourd'hui bien établie, et que les troubles
nerveux
sont loin d'être rares chez les diabétiques et
l Ga ? IS78, t. I, p. 401.) , D. Bernard etCh. Féré. Des troubles
nerveux
observés chez les dia- bétiques. (Arch. de Neur
logie, 1S82. t. IV, p. 336. F. Dreyfous. Pa- tkuycrzze et accidents
nerveux
du diabète. Thèse d'agrégation. Paris, ISSJ.
on. Paris, ISSJ. 190 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. que tous ces troubles
nerveux
qui se combinent avec la goutte ou le diabète,
le veut M. Duckworth, que la goutte est une affection du système
nerveux
et aussi le diabète', montrent au moins qu'il y
es n'agissent pas autrement lorsqu'elles détermi- nent des troubles
nerveux
psychiques, sensoriels ou mo- teurs ; elles ne
des maladies sont susceptibles de s'accompagner de quelque trouble
nerveux
chez les névropathes. L'arthritisme n'a-t-il qu
tations se transforme : ! t ou s'excitent réciproquement. CLINIQUE
NERVEUSE
DE L'11G111.1'l'ltOl'Illh : DE LA LANGUE DANS L
ibliographiques, voir : Charcot. Leçons sur lre maladies du système
nerveux
, t Il, p. 233. 192 CLINIQUE NERVEUSE. non plu
s sur lre maladies du système nerveux, t Il, p. 233. 192 CLINIQUE
NERVEUSE
. non plus que la marche pour ainsi dire fatalem
muscles de l'é- ' Grasset ? 5·aite ywatigue des maladies du système
nerveux
. Paris, 1881. , Ross. - The diseases of the ne,
epsie, etc., compte rendu il service on 4881, p. 67. 200 CLINIQUE
NERVEUSE
. être une manifestation courante de l'ataxie, n
double arthropathie du genou 1 Blum. - Des arthropathies d'origine
nerveuse
. Thèse d'agrégation ; Paris, 1875. F ? 3. - I
rs d'observation. Observation III. Ataxie locomotrice,- Antécédents
nerveux
, héréditaires. Atrophies musculaires multiples
s à M. Blum par M. Charcot avaient été recueillis. 202 2 . CLINIQUE
NERVEUSE
. artistiques très développées; lui-même a beauc
représente Fig. z. Amyotrophie de la main gauche. 20t CLINIQUE
NERVEUSE
. une sorte de petit croissant, circonscrit par
oin de rétrocéder, continua à progresser. En l'absence 206 CLINIQUE
NERVEUSE
. de toute trace de syphilis ancienne, de tout a
lis. Thèse de Pans, 1876. .lucutvr.s, L. Vil. I i : 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. tabes, c'est de les rapprocher des phénomènes
, dans la Iteueatre clmslca e <et'ap<M<tca. 212 CLINIQUE
NERVEUSE
. les limites du système sensitif, pour empiéter
le emprunté aux leçons de M. Vulpian, sur les maladies du système
nerveux
. De la note relative à la ma- lade (Cas. VI, p.
cles de la langue (Trousseau), sans parler de celles 21 lé CLINIQUE
NERVEUSE
. des muscles oculaires qui sont de notion vulga
t pas, par exemple, unesimple localisation sur un pointdu système
nerveux
d'une tendance de l'économie à faire de la sclé
COMOTRICE; Par Cn. FÉRÉ. Dans l'évolution des maladies du système
nerveux
, les or- ganes urinaires sont assez fréquemment
e; aussi, après les avoir considérés dans les maladies du système
nerveux
en général, étudierons-nous les troubles urinaire
s les principes ' AI. Charcot. - Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, 'i° éd., p. 279. ' Rabow. llettrtt,ge
re de beaucoup la plus fréquente. a) La rétention d'urine d'origine
nerveuse
peut être détermi- née soit par le spasme ou la
le lieu de faire remar- quer que si, dans les affections du système
nerveux
, les lésions locales des voies urinaires, donna
s rénales que succombent les sujets atteints de maladies du système
nerveux
qui souffrent de rétention d'urine. b) Il est
nence nocturne est parfaitement indépendante de tout autre trouble
nerveux
caractérisé contemporain ; mais fréquemmeut les
lorsque les centres médullaires sont détruits ou lorsque les filets
nerveux
sont altérés dans leur trajet périphé- rique.
ves- sie et de l'urèthre sous la dépendance de lésions du système
nerveux
, il faut surtout citer les crises vésicales et ur
ez de jeunes sujets 1 Charcot. - Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. II, 3e éd., p. 295. DES TROUBLES URINAIRE
TROUBLES URINAIRES. 237 (Stephanini, Dieu, etc.) ou chez des sujets
nerveux
; il est per- mis de comparer quelques-unes de c
- Elude sur les troubles de la miction dans les maladies du système
nerveux
. Thèse, 1884. DES TROUBLES URINAIRES. 239 rar
l' ataxie lo'coin otriée est certainement l'affec- tion du système
nerveux
qui 'offre' les troubles les plus variés de la
-eh. de Neurologie, t. VI, 1883, p. : 106). 244 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. signes pathognomoniques. Rien n'est moins exac
aires, ces signes doivent faire soupçonner une affection du système
nerveux
et en particulier l'ataxie, qui paraît une des
s sont affectés reconnaissent pour cause une affection du système
nerveux
; mais il reste à chercher, en s'aidant de la conn
ataxiques, peut leur être très préjudiciable. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Grande hystérie chez l'homme; par PASTRRNATX
é du corps. Il s'agit d'un jeune officier de vingt-quatre ans. Mère
nerveuse
. Étiologie bien vague ; à l'âge de dix-neuf ans
es des voies urinaires, 1881, p. 2f, 73, 205. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 245 il était attaqué de temps en temps sous l'
tavec l'âge des individus atteints. P. K. 2tH REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ,111. Fièvre zoster ET exanthèmes zostériforme
une maladie générale à détermination cir- conscrite sur le système
nerveux
(c'est une neuropathie infectieuse), et à expre
ostic de fièvre typhoïde. Plus lard, la lenteur REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 247 du pouls, les cris poussés par la malade q
dix-huit ans, qui, entre autres manifestations hystériques (crises
nerveuses
, apho- nie, hémianesthésie droite, etc.) était
un signe d'intoxication géné- rale. G. D. 248 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. VIII. Paralysie DIPHTHERITIQUR; par M. DAMASCH
82.) Sous ce nom, l'auteur décrit un trouble permanent du système
nerveux
, caractérisé par des désordres fonctionnels varia
, peuvent, à l'âge de la seconde enfance, deve- REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 2t9 nir idiots ou épileptiques. Les soins hygi
le centre des vaso-moteurs rénaux. P. K. 250 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XV. Sclérose latérale AY01[tOP)HQUH; par MM. l
n l'étude du coma diabétique offre encore d'in- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 251 1 connues : il importe donc de signaler de
resse : enfin le sujet ressent un impérieux 252 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. besoin de dormir; la somnolence s'établit, pui
ne difficulté de considérer l'acétonémie comme la cause de troubles
nerveux
. On raisonnait par analogie en assimilant ces s
les diabétiques qui succombent à la phthisie sans aucun accident
nerveux
. Frerichs conclut que la cause de la mort en pa
éristique, l'auteur pense qu'il s'opère dans le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. po3 sang du diabétique une série de décomposit
es de liquides et sur l'état de sécheresse particulière des centres
nerveux
qui parait jouer un rôle si important dans la p
fficiles qu'on saisira la chambre du conseil. Du rôle de l'hérédité
nerveuse
dans la genèse de l'ataxie locomo- trice progre
in aux causes accidentelles et accessoires, c'est la prédisposition
nerveuse
héréditaire. Nos recherches en effet nous ont c
Duchenne appartient à la grande famille des affections du sys- tème
nerveux
, mais aussi par ses accointances, par sa parenté,
mple, le cas de telle malade, exempte absolu- ment de toute parenté
nerveuse
, au dire de son mari et de son frère, gens inte
ssez significatives pour démontrer l'influence de la prédisposition
nerveuse
en matière d'ataxie locomotrice. Nous vous rapp
'ataxie locomotrice progressive. Mais il est bon nombre de troubles
nerveux
autres que ceux de la paralysie générale qui vi
rsécu- tions. Que prouvent ces coïncidences, sinon que le système
nerveux
des ataxiques est frappé d'une tare qui le préd
ents de démonstration s'accu- mulent pour établir la prédisposition
nerveuse
, chez les tabétiques. Cette prédisposition ress
et peut-être nécessaire de la maladie de Duchenne, c'est l'hérédité
nerveuse
. M. Falret. Morel avait déjà remarqué cette coï
natomie, histologie et homologie des différentes parties du système
nerveux
des poissons. » Le prix est de deux mille franc
tations subjectives ? Je me borne à poser la question. PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBR
on- cule cérébral (Soc. Biologie. 1882, p. S ? 9.) 298 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. motrices destinées à l'innervation des muscles
l'aphasie traverse la capsule interne dans son seg- 300 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment antérieur, en avant du faisceau géniculé,
. Frère goutteux. Soeur actuellement bien portante. Pas de maladies
nerveuses
dans la famille. Antécédents personnels. -Bon
é électrique. Pas d'atrophie des muscles atteints. 302 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Paralysie légère du bras gauche, qui peut enco
s et d'hémiplégie portant sur Archives, t. Vil. 20 306 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. les membres et le fa
faits qu'à un moment où lui-même ruminait déjà aussi. - Mère un peu
nerveuse
, soeur autrefois anémique; elle passe actuellem
(imbéciles et idiots, 100; autres aliénés, 471) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XIX. SUR quelques réflexes pendant l'enfance; p
du phénomène du genou préalablement absent, 328 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. il faut s'occuper des réflexes cutanés qui, ai
nt, depuis le bord inférieur de la protubérance REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 329 jusqu'à la naissance de l'entrecroisement
e Neurologie, t. 1 ? p. 597, et II, p. 244. 330 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. symptômes, les variétés nosographiques résulta
s du côté du nerf optique et de l'oculomotetfr, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 331 1 et de la sélection de la maladie pour te
ns mises en relief par M. Men- del. P. K. 332 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXIV. DE L'OEDÈME circonscrit COMME cause DE S
. Pneumonie, entérite catarrhale chro- nique. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 333 L'analyse critique de M. H... le mène à ce
ctrisation par les courants de la pile, et, 331 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ce à notre avis, il est de la plus haute impor
eur du bisaïeul de l'enfant de l'observation I. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 335 Deux descendants de frères de ce bisaïeul
eures atteintes. P. K. 1 Voyez : Société de Psychiatrie et maladies
nerveuses
de Berlin. (Ar- chives de Neurologie, t. III, p
r- chives de Neurologie, t. III, p. 230). 336 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXX. Cas INSOLITE DE MYÉLITE par compression ;
llules ; inté- grité des cellules multipolaires grises et des tubes
nerveux
en dehors des foyers. Suprà : faible dégénéresc
rgane. P. K. XXXII. SUR l'inflammation parenchymateuse DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL ET SES RAPPORTS AVEC LE GLIOME ; par Pa
nomènes évidemment en rapport avec la plus grande partie du système
nerveux
central, survenant sous furme d'accès à évoluti
re des manifestations Archives, t. VU. 22 338 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. générales telles que céphalalgie, vertiges, ab
évroglie épaissie et hyperplasiée. Pour les auteurs, c'est la fibre
nerveuse
et non le tissu conjonctif qui aurait été le po
se préciser davantage. En un mot, participation active des éléments
nerveux
au processus ; néoplasie cellulaire se renfer-
te parenchymateuse vraie et les gliomes ou neuro-gliomes du système
nerveux
central. L'échelonnement des accès et le cachet
d fait a trait à un homme da soixante et un ans REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 339 en état de déchéance organique, ramassé su
lant aux cellules ner- veuses, issues, pour les auteurs, des fibres
nerveuses
. Ils con- cluent à la dégénérescence sarcomateu
1 V. Archives de Neurologie, t. II, p. 242. 3t0 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. alors un peu la force, on promène lentement, m
-bras : flexion a angle droit de la main sur le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3 il bras avec déviation vers le bord radial.
ornes antérieures sont atteintes, on voit une diminution des fibres
nerveuses
partant de ces cornes et se dirigeant vers les
tomiques (augmentation du tissu conjonctif aux dépens des fibres
nerveuses
) que dans le cinquième et le sixième nerfs moteur
Saulle décrit de main de maître les effets du froid sur le système
nerveux
périphérique et central, sur la congestion céré
sible de supposer qu'il existe une certaine disposition du système
nerveux
central à s'affecter en plusieurs segments à la f
nts à la fois, sousla forme de disparition progressive des éléments
nerveux
(cellules ganglionnaires et fibres nerveuses).
progressive des éléments nerveux (cellules ganglionnaires et fibres
nerveuses
). [Depuis cette communication , l'examen micros
tions précé- dentes. Il existait bien encore de nombreuses cellules
nerveuses
, mais la plupart d'entre elles étaient plus pet
e première série de préparations concerne la disparition des fibres
nerveuses
à myéline dans l'écorce du cerveau des déments
dans lesquels, que la maladie fût récente ou an- cienne, les fibres
nerveuses
myéliniques avaient disparu plus ou moins compl
placer encore sous les yeux de l'assemblée les attaches des fibres
nerveuses
en question avec les cellules envisagées. Ce n'
mot le cerveau est atteint d'encéphalite interstitielle : cellules
nerveuses
partout normales. Le malade visé dans l'espèce,
es in- terstitielles, M. Tuczek insiste sur ce point que des fibres
nerveuses
avaient été détruites en grand nombre et que, p
elles prouvent, selon lui, uniquement que la disparition des fibres
nerveuses
à myéline s'observe dans l'encépha- lile cortic
de celte manière de voir, puisqu'il a toujours trouvé le- cellules
nerveuses
normales. M. Mendel espère d'ailleurs montrer p
prochainement à M. Tuczek, les lésions indubitables des cellules
nerveuses
de cerveaux de paralytiques. Il l'engage, en atte
nion anatomique des fibres tangentes à la surface avec les cellules
nerveuses
ganglionnaires était encore à montrer, que la d
ment, qu'on ne constate aucune altération pathologique des cellules
nerveuses
. C'est évidemment aux préparations histologi- q
r les auteurs touchant la structure du tissu conjonctif des centres
nerveux
, et les théories sur l'inflammation de ce systè
s, exclusives (dégénérescence atrophique des cellules et des fibres
nerveuses
). Il a notamment observé ces altérations chez des
calcifiés sur une étendue plus ou moins considérable. Le parenchyme
nerveux
au voisinage des canaux avait subi la transform
'un genre particulier, qui ont déterminé l'atrophie de la substance
nerveuse
. 11 ne manque pas non plus de pièces où la subs
tance nerveuse. 11 ne manque pas non plus de pièces où la substance
nerveuse
a été atrophiée primitivement, d'emblée. Si à l
. Meynert (de Vienne). On a peu constaté d'altérations des cellules
nerveuses
dans la substance grise. Tout ce qui regarde la
partie de ces états pathologiques compris sous les noms de maladies
nerveuses
fonctionnelles, névrosisme, neurasthénie. La dé
moteur commun. Un noyau gris spécial comprenant de grosses cellules
nerveuses
occupe le foyer de ces irradiations. Les deux f
se extrême des cellules qui ne permet pas de suivre les conducteurs
nerveux
. M. MENDEL voit dans le foyer du ruban de Reil
bé- tique. Les coupes ont été exécutées sur l'ensemble du système
nerveux
central d'un homme ayant succombé à la forme tabé
d'abord dans le bichromate de potasse, puis dans l'alcool, le tissu
nerveux
se présenta sous l'aspect d'une éponge, tant il
nterstices du tissu; il les avait dilatés en refoulant la substance
nerveuse
(fibres et cellules) atrophiée contre les vaissea
ques, à peu près comme pour les corpuscules amyloides. Les cellules
nerveuses
ganglionnaires présentent les mêmes variétés de
nt aux couches qui renferment des SOCIÉTÉS SAVANTES. 381 cellules
nerveuses
ganglionnaires. La pointe du lobe temporal, l'm-
liés et dont la plus grande partie ont trait à l'étude des maladies
nerveuses
ou mentales. Cette publication sera très appréc
érations sur la sciatique, de la migraine, de l'onanisme, accidents
nerveux
du diabète, ergotisme convulsif épidémique, des
un ouvrage nouveau. C'est un traité complet des maladies du système
nerveux
comprenant les affections du cerveau, de la moe
u premier chef l'attention de tous ceux qui s'occupent des maladies
nerveuses
. CB. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Des hémiplégies
Martinet. Thèse de Paris, 1884. Contribution a l'élude des troubles
nerveux
périphériques dans les entorses et en particuli
e de la pathologie et de la théra- peutique des maladies du système
nerveux
. La majorité n'a pas été de cet avis et elle a
ts qui leur sont con- sacrés. Organisation des maladies mentales et
nerveuses
. Un volume in-8- de 355 pages. Paris, 1884. Lib
ans l'), 191; - (troubles uri- naires dans l'), z24 ; - (hérédité
nerveuse
dans la genèse de l'), 259. Atrophie, muscula
Bloch, 334. Gliôme (inflammation parenchyma- ' teuse du système
nerveux
central 420 TABLE DES MATIÈRES. et ses rapp
niques dans la paralysie générale), par Sau- ton, 395. Hérédité
nerveuse
(du rôle de l' - dans la genèse de l'ataxie loc
ction, 363. Syphilis cérébrale, par Chante- messe, 249. Système
nerveux
(des troubles uri- naires dans les maladies du)
eubner, 329. Urinaires (des troubles dans les maladies du système
nerveux
et en particulier dans l'ataxie loco- motrice
, Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieure. Fig. 15. Tube
nerveux
sur une coupe longitudinale. Tube variqueux. Fi
secondaire. B, Coupe du cordon latéral dans notre cas. a, Tube
nerveux
avec cylindre-axe; hypertrophie. L, Tube nerveu
tre cas. a, Tube nerveux avec cylindre-axe; hypertrophie. L, Tube
nerveux
dilaté et vide. E\I'UI UI Ihill."3K' Imp - 584.
ARCHIVES . D It NEUROLOGIE , REVUE MENSUELLE . DES MALADES
NERVEUSES
ET MENTALES FOND Itl PAR J.-lI. CIIARCOT 1`UI
c). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. COI.LABO
grise et peu caressée auprès d'un père aimant le faste et le luxe,
nerveux
, qu'elle a à peine connu; de soeurs plus âgées
dans la suite. 0 6 CLINIQUE MENTALE. '- Au printemps 1901, l'état
nerveux
du ménage était précaire, celui de M. Schtein s
sa défense était l'esprit de sa belle-mère. Dans l'état d'éréthisme
nerveux
où elle était,elle la sentait toujours présente,
ssée au second plan disparaisse jamais tout à fait. Vision.- L'état
nerveux
de Cam... s'aggrava encore, elle devint plus ag
malade en pleine dépression neurasthénique avec angoisse et malaise
nerveux
, sans que rien puisse faire supposer autre chos
par- lant de son séjour en Suisse, elle mentionnait souvent l'état
nerveux
grave pendant lequel elle disait avoir eu du dé
Toute cette exaltation n'allait pas sans augmentation des malaises
nerveux
, l'éréthisme génital redevenait particulière- m
tion exacte de son mari en pensée seulement augmentent ce malaise
nerveux
. Elle éprouve alors une céphalée frontale pénible
otecteur sans apporter aucune entrave à la crois- sance des centres
nerveux
. Que devient cette loi dans les cas pathologiqu
ue soit la causé première de l'arrêt de développe- ment des centres
nerveux
, le forme cranienne n'est-elle même que l'expre
s de la Société d'Anthropologie de l'année 1883 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1. Spasme essentiel ou idiopathique ; par Will
s une certaine constance dans'l'ordre des causes de cette affection
nerveuse
. C'est ainsi que dans un cas très signi- ficati
probablement placer le siège des troubles 52 ) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. donnant lieu aux paresthésies dans la moelle é
ortit au réflexe pupillaire sensitif; l'excitation des terminaisons
nerveuses
sensitives du conduit par le corps étranger ave
insèque totale et complète à gauche avec abais- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 53 sèment considérable de la vision du même cô
ransformation maligne primitive des éléments 51 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du système nerveux d'origine mésodermique, une
rimitive des éléments 51 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du système
nerveux
d'origine mésodermique, une sarcomatose primiti
ne sarcomatose primitive et généralisée d'emblée.Mais, les éléments
nerveux
pro- prement dits, cellules nerveuses et cylind
sée d'emblée.Mais, les éléments nerveux pro- prement dits, cellules
nerveuses
et cylindraxes résistent longtemps au processus
pébral dans le cours de la paralysie faciale. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 55 Deux nouveaux cas leur permettent de reveni
(facial, sympathique, trijumeau) et d'ad- mettre que la lésion est
nerveuse
et qu'elle siège dans les centres sans qu'il so
hronique d'emblée, restant à peu près immo- 56 .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. bile, type essentiellement héréditaire ou fami
eures, foyers lacunaires des deux côtés). R. C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 57 Un cas de syphilis héréditaire tardive à fo
qui permet de le ranger dans la série des cas mixtes où le système
nerveux
doit sûrement intervenir. R. C. XXV. Monstrueus
des hôpitaux de Lyon, 20 janvier 1903.) .. 5b REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'observation que rapporte l'auteur l'a condui
accompagner cette hémiatrophie, est celle d'une atrophie de rameaux
nerveux
moteurs de certains nerfs craniens sous la dépe
à l'âge de dix-sept ans, présenta des accidents REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 59 cérébraux graves qui en imposèrent pour une
ivants : 1° la généralisation souvent très 60 - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tardive du tremblement dans la plupart des cas
ent, pour ainsi dire, charger les appareils ré- flexes de l'énergie
nerveuse
et de même les décharger artificielle- ment par
façon efficace que lorsqu'elles exercent leur action sur un système
nerveux
pré- disposé. Dans l'observation relatée par le
production d'autres foyers de ramollissement au niveau du sys- tème
nerveux
central. Le malade ayant succombé, l'étude métho-
tral. Le malade ayant succombé, l'étude métho- dique de son système
nerveux
central fut faite par la méthode de Marchi. o-
a gaine des vaisseaux, puis infiltrent d'une façon diffuse le tissu
nerveux
et enfin tombent dans la cavité centrale.. Pour
n trouve dans les dif- férents processus inflammatoires du système-
nerveux
. Peut-être cette transformation des cellules in
elleux, est l'existence primitive d'une surdité complete, de nature
nerveuse
, avec paralysie faciale, suivie à bref délai de s
emeure convaincu qu'elle occupe une place à part parmi les maladies
nerveuses
, et que ses facteurs principaux ne lui sont com
iste pas d'épilepsie incomplète. L'idée d'une « décharge » de force
nerveuse
n'est pas davantage admissible. L'auteur, en
nsidérer certains faits fondamen- taux de la physiologie du système
nerveux
, car, après tout, la pathologie n'est pas autre
e physiologie nous apprend c'est que, à l'origine de toute activité
nerveuse
, on trouve une action afférente, et qu'une acti-
rouve une action afférente, et qu'une acti- vité spontanée du tissu
nerveux
est un phénomène inconnu en physiologie. Mais
veux est un phénomène inconnu en physiologie. Mais cette activité
nerveuse
d'origine afférente est soumise à ]'inhibition
nhibition la résistance engen- drée par l'habitude dans les centres
nerveux
, à l'égard de toute réponse efférente Ï1'l'égul
rt, l'inhibition implique l'existence et l'accumulalion d'une force
nerveuse
sur laquelle elle puisse s'exercer. La physio-
de l'inhibition régulatrice normale qui s'exerce entre les centres
nerveux
corticaux, trouble qui est originairement provo
iques douloureux, avec certains oedèmes et pseudo-lipomes d'origine
nerveuse
. Toutefois ils pensent que cette association mo
toxication saturnine : colique de plomb, néphropathie, accidents
nerveux
. La paralysie saturnine a pris une extension gran
écifique aux os de la main. Un cas de kyste derrnoïde dus centres
nerveux
. MM. RAYMOND et COURTELLEtONT. Un peintre en bâ
ces cas nous n'ayons trouvé dans le nerf correspondant aucune libre
nerveuse
et que dans la plupart des autres le nombre des
xister une autre lésion qu'une simple atrophie sur place des fibres
nerveuses
. Cette disproportion nous a été expliquée par l
conjonctives que l'on trouve à l'état normal entre les faisceaux
nerveux
. Les nerfs de volume très réduit ne présentaient
ré- existants et néoformés essentiellement chronique ; les fibres
nerveuses
disparaissent alors faute d'irrigation sanguine ;
nerf dans des cas d'altéra- tions syphilitiques diverses du système
nerveux
, paralysie générale, paraplégie spasmodique, et
l'absence de ce réseau ne saurait infirmer la conception du lobule
nerveux
polycellulaire. La limitation des dégénérescences
simplement une unité fonctionnelle que personne ne refuse au lobule
nerveux
. La dégénérescence Wallérienne ne prouve pas pl
gène le bout périphérique doit se mettre en rapport avec l'influx
nerveux
. Par exclusion, ce rapport ne parait pouvoir s'ef
ie par les anastomoses vraies d'Apathey. La question de suppléances
nerveuses
ne saurait être invoquée et ne cadre pas avec l
objections ne contredisent en rien la conception du lobule primitif
nerveux
ou neurule qui fait rentrer le système nerveux
du lobule primitif nerveux ou neurule qui fait rentrer le système
nerveux
dans le plan des autres organes et permet d'expli
e une pathologie de l'épendyme peut-être comparable pour le système
nerveux
, abstrac- tion faite de la nature et de la caus
que je leur en ai faite, dès qu'elles souffrent de quelque malaise
nerveux
, il leur suffit, pour s'en débarrasser, de fixe
un manque d'aptitude lié à une disposition défectueuse du système
nerveux
; elle se constate chez les idiots, les imbéciles
'ont pas été. Le 12 novembre de 1902 on constata du côté du système
nerveux
SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 des phénomènes de lésio
d'un trouble psychique avec des modifications organiques du système
nerveux
, Comme endroit de la plus grande concentra- tio
maladie donnée, non seulement surles modifications dans le système
nerveux
périphérique, mais aussi dans le système centra
ellules de la névroglie, son oedème, la dégénérescence des cellules
nerveuses
, etc.). Le processus morbide s'était exprimé. p
ours des formes complexes (altération des vaisseaux et des éléments
nerveux
). Mais dans une seule et même infection on peut
par des symptô- mes digestif (vomissements, diarrhée) des troubles
nerveux
: con- tractures, convulsions épileptiformes, t
Vol. XVIII. Août 1904. N° 104. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. CLINIQUE DES MALADIES NEUVE USES. - LA SALP1 :
UE DES MALADIES NEUVE USES. - LA SALP1 : TIIIGItE Deux cas de lèpre
nerveuse
1. Par le professeur RAYMOND Messieurs, Je
confondre, au premier abord, avec des maladies communes du système
nerveux
telles que nous en voyons dans cet hospice : on
de clinique adjoint. Archives, 21 série, t. XVIII. 7 98 clinique
nerveuse
. été, au moyen âge, dans notre pays, un objet d
lle et déjà fruc- tueuse. C'est donc; Messieurs, un des syndromes
nerveux
d'une affection bacillaire pouvant être beaucou
p plus généralisée. pouvant intéresser d'autres tissus que le tissu
nerveux
, que vous allez voir chez le malade que je vais
eu de syphilis, de paludisme ni de dysenterie. DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 99 Les premiers symptômes qu'il ait constatés
e. Procédons maintenant à l'examen des symptômes que 100 CLINIQUE
NERVEUSE
. nous observons au membre supérieur gauche d'un
bras, cette atrophie n'est pas moins évidente, la DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 101 t mensuration montre, entre le côté gauc
altérations objectives dont sont le siège les troncs et les filets
nerveux
; l'exploration montre, en effet, qu'ils sont no
iliforme. Ces altérations sont particulièrement accen- 102 CLINIQUE
NERVEUSE
. tuées au niveau du cubital et du médian, que l
plications s'appliquent à toutes les figures. " DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 103 Enfin, Messieurs, les réactions électrique
ns encore, de ce côté, nombre de symptômes Fig 15. 104 , CLINIQUE
NERVEUSE
. importants, intéressant à la fois la peau et l
le siège d'un érythème spécial : il Fir¡. 1 il. DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 105 est surtout marqué autour de l'oeil et sur
ette affection ne faisait ici défaut. 1 1 Fig. 17. tUb CLINIQUE
NERVEUSE
. La région sus-orbitaire droite, au niveau de l
itaire gauche, elle est séparée de la Fi-7. 18. DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 107. précédente par une bande de peau saine..
ère supérieure : cette infiltration est Fig 1 ! 1. 108 . CLINIQUE
NERVEUSE
. assez accentuée pour empêcher l'occlusion comp
olume ne se rencontre qu'à droite. Elle intéresse DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 109 notamment les deux branches supérieures du
qu'au premier abord on pour- rait hésiter à reconnaître des filets
nerveux
; avec un peu d'attention, on peut encore sentir
utre symptôme digne d'être mentionné; les autres parties du système
nerveux
aussi bien que tous les viscères ne présentent
souffrir du bas-ventre, en même temps que de nouvelles 110 CLINIQUE
NERVEUSE
. plaques apparaissent au niveau des bras puis s
ononcé au niveau des deux mains. Celles-ci, en un DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. l'il 1 mot, présentaient tous les caractères c
rne du bras droit, une large macule brunâtre que nous ll . CLINIQUE
NERVEUSE
. , avons vue depuis desquamer et pâlir jusqu'à
t datant de cinq à six ans ; à la face Fis. 20. DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 113 dorsale du pied gauche un oedème dur et él
alléoles. Archives, 2- série, t. XVIII. 8 . li. '1 114 CLINIQUE
NERVEUSE
. i L'étude de la sensibilité n'était pas moins
est l'impor- tance de ces troubles. Fig, 22, DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 115' J'ajoute enfin, 'Messieurs, que la santé
x; celle-ci a persisté pendant une F ig. 21. i. DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 11-7 quinzaine de jours, puis a disparu progre
sa suite une ulcération cratériforme, 1'ér. 25. lui[8 m CLINIQUE
NERVEUSE
., 1 laquelle a persisté. Ces symptômes ont été
ans les deux cas, et qui mérite de retenir notre DEUX CAS. DE LÈPRE
NERVEUSE
. 119 attention. Chez notre femme, elle occupait
s en présence de la maladie type de Duchenne, que vous 120 CLINIQUE
NERVEUSE
. vous trouvez. Ici nous n'avons pas à songer à
ous considérons à bon droit comme constant en cas DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 121 de syringomyélie; la déformation des mains
x, la lèpre affectant dans cette région une forme lar- 122 CLINIQUE
NERVEUSE
. vée spéciale, mais demeurant par sa nature et
névrite qui réalise une semblable augmentation du volume des troncs
nerveux
: devons-nous donc conclure dans le cas présent
s musculaires, des troubles sensitifs, l'hy- pertrophie des cordons
nerveux
et par ces caractères elle se rapproche des mal
ynévrite saturnine seule présenterait des locali- DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. li3 sations rappelant celles que je vous ai in
phi- ques du côté de la peau, enfin par l'hypertrophie des troncs
nerveux
périphériques, le tout survenant chez un sujet ay
atives au mariage des lépreux. Mais c'est sans contre- 124 CLINIQUE
NERVEUSE
. dit au moyen âge, à l'époque des croisades, qu
ngue deux formes, la forme tégumentaire ou tuberculeuse et la forme
nerveuse
, mais il convient encore de compter avec une fo
ure et la répartition des troubles trophiques que DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. t25 l'on rencontre chez les'lépreux nous sont
étreraient dans l'épaisseur de la peau à la laveur des 126 CLINIQUE
NERVEUSE
. ,\ moindres érosions : je vous signale aussi l
elles réactions histologiques 'sa ' présence pro- DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 127 voque dans les tissus en général et en par
veux vous montrer maintenant comment se fait l'infection du système
nerveux
. 1 - Les travaux de tous les auteurs qui ont ét
elle voie se fait l'arrivée du bacille dans l'épaisseur des cordons
nerveux
? On peut bien admettre, pour certains cas, l'a
sant comme point de départ une macule cutanée et suivant les filets
nerveux
eux- mêmes : ainsi se crée une névrite bactérie
l'endonèvre ou tissu intrafasciculaire pénétrant entre les fibres
nerveuses
. Eh bien ! la lésion lépreuse se rencontre en d
qu'en ce dernier point elle arrive au voisinage immédiat des tubes
nerveux
. On comprend bien alors les conséquences qu'ent
blables lésions au point de vue de la structure et. du 128 CLINIQUE
NERVEUSE
. fonctionnement des tubes nerveux. Agissant à l
structure et. du 128 CLINIQUE NERVEUSE. fonctionnement des tubes
nerveux
. Agissant à la fois par compression et aussi pa
tensité et la rapidité du processus, soit une atrophie de la fibre
nerveuse
qui devient plus grêle dans ses éléments, soit
de savoir jusqu'où peut remonter l'infection spécifique du système
nerveux
: peut-elle dépasser les nerfs périphériques et
insi que mon collègue Déjerine l'a fait remar- quer. Enfin le tissu
nerveux
ne se refuse pas à faire des lésions histologiq
t Cestan, ont repris les expériences d'infections DEUX CAS DE LÈPRE
NERVEUSE
. 129 expérimentales de. poudres inertes, soit d
le tétanos, la toxine remonte de la plaie cutanée vers les centres
nerveux
en suivant le nerf et très vaisembla- blement e
et mutilations diverses ; enfin, après de longues années- la forme
nerveuse
peut durer vingt, trente et même quarante ans l
ement selon les états d'esprit ou les états de calme et d'éréthisme
nerveux
par lesquels passe la malade. Elles peuvent se
tion. Lutte contre l'automatisme. Amélioration. En somme, la malade
nerveuse
, distraite et rèveuse, aigiie de ne pouvoir aut
at de ses centres automatiques au moment où renaît dans son système
nerveux
le calme dont elles soulignent l'apparition. Su
portante, a une hérédité chargée. Son père fort, intelligent mais
nerveux
, est mort depuis longtemps. La famille de sa mère
a famille de sa mère compte plusieurs aliénés. Ses soeurs sont très
nerveuses
, l'une d'elles est une giande obsédée phobique.
nce, mais nulle part, elle n'avait envahi ou détruit la sub- stance
nerveuse
. L'auteur pense qu'on peut expliquer les vomiss
e ces recherches, M. ALTER déduit que certaines maladies du système
nerveux
central, au premier rang la paralysie générale et
psie, tiennent à ce que sur les substances prél'ormées du sys- tème
nerveux
s'accrochent des toxines spécifiques dont l'origi
st l'expression directe de l'an- crage de la toxine dans la cellule
nerveuse
des divers territoires, d'où la physionomie mul
les attaques d'épi- lepsie sllbintmntes; l'épuisement des cellules
nerveuses
, les dégé- nérescences de ces cellules. Général
de celles des solutions chlorosodiques, notam- ment sur le système
nerveux
central du paralytique général. M. ALTEU attend
ehaval. XXIX. L'état actuel de l'anatomie pathologique du système
nerveux
central, par 1VISSL. (Centmlblatt sur Ne2ueizheil
es plus récents, efforcé de déterminer les altérations des cellules
nerveuses
et des fibres en insistant surtout sur la loca-
'enceinte duquel on constatait l'exis- tence des cellules et fibres
nerveuses
altérées. Par contre, on ne s'est préocccupé qu
consécutifs au traumatisme, les phénomènes de réparation des tissus
nerveux
détruits. Il nous reste à pénétrer le mécanisme
le ; on ne connaît pas de dégénérescence graisseuse de la cel- lule
nerveuse
. Les états dits de tuméfaction trouble ne se voie
ats dits de tuméfaction trouble ne se voient ni dans les composants
nerveux
, ni dans les composants d'autre nature des orga
dp-l'inflam1Jlation. Si nous désignons ainsi une lésion du tissu
nerveux
s'accompagnant de prolification des ingrédients h
s'accompagnant de prolification des ingrédients histolo- giques non
nerveux
et de réaction de l'appareil vasculaire sanguin
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 185 en ce qui concerne les centres
nerveux
, aucune raison de conserver l'étiquette d'infla
faire de prodigieux progrès à l'histologie pathologique des centres
nerveux
. Mais, le problème le plus important, celui des r
siste, non pas à délimiter rigoureusement, à localiser les éléments
nerveux
affectés, non pas à rattacher les signes cliniq
semblent être en réalité les excitants spécifiques des terminaisons
nerveuses
profondes qui sont mises en action pendant les
oncé. P. Keraval. XXXIV. De l'origine et de la nature de la narcose
nerveuse
; N. E. WEDEN5KY. 0&o. : )'eHt'e psichiatrü.
Y. 0&o. : )'eHt'e psichiatrü. VII, 1902, 2, 3, Il. Chaque fibre
nerveuse
possède deux propriétés fondamentales; l'excita
de même ordre, tenir à une seule et même modification des éléments
nerveux
, aune transformation de l'éréthisme devenu cont
jusqu'ici été vue que dans les maladies fonc- tionnelles du système
nerveux
central ; la réaction paradoxale apparente à la
exceptionnellement dans les affections organiques graves du système
nerveux
. P. IiEnAVAL. z Archives, 2- série, t. XVIII. 1
comparaison montre des lésions des neurofibrilles dans les cellules
nerveuses
du paralytique, au maximum dans les petites et mo
profes- seur Bard qui n'explique pas tout le phénomène. Accidents
nerveux
tardifs du rhumatisme articulaire franc. M. LHE
ite d'une polyar- thrite rhumatismale aiguë, offre divers accidents
nerveux
: amyo- trophie des mains, de l'avant-bras, du
Y, - Le malade, de quinze ans, s'adressa à la Clinique des maladies
nerveuses
le 11 janvier 1903, se plaignant sur la faibles
hénomènes dé myokymie peuvent dépendre de l'irritation des cellules
nerveuses
des cornes anté- rieures. H2 Z . SOCIÉTÉS SAV
ues se trouvaient dans la tumeur et aussi au milieu de la substance
nerveuse
. On apercevait encore beaucoup de petites cellu
isme vivant, se trans- met à distance et paraît dépendre du système
nerveux
. Cette force varie suivant que l'organisme est
ions seraient en rapport avec des troubles d'évolu- tion du système
nerveux
. Les naevi acquis ne sont pas moins fréquents c
aucun cas nous n'avons vu les lésions se localiser à un tra- jet
nerveux
. Un fait, déjà signalé par Hébra, est la rareté d
ans que cela dure ! » Observation II. NI-0 F..., trente-deux ans,
nerveuse
et impres- sionnable, grande timidité. La mal
estation, c'est l'existence d'une profonde altération de la cellule
nerveuse
et de ses prolongements dans tous les cas de dé
de psychoses. A cette objection, nous répondrons que si la cellule
nerveuse
est 220 SOCIÉTÉS SAVANTES. lésée isolément, c
i semblent jouer le rôle de neuronophages vis-a-vis de la cellule
nerveuse
. Cette prolifération de la névroglie n'est, du
produit chez 3 sur 4 des malades dont ils ont examiné les centres
nerveux
. Après les réserves cliniques que nous venons d
les de la névroglie, la même localisation du processus à la cellule
nerveuse
dont les angles sont arrondis, les prolongement
rapporteur, rappelle que les localisations motrices dans le système
nerveux
ont été étudiées en France par Vulpian et Hayem
: enlever un muscle et trouver dans la moelle un groupe de cellules
nerveuses
en réaction à distance, c'est prouver la rela-
une pre- mière période, les auteurs se sont contentés des sections
nerveuses
. Marinesco a aussi démontré que chaque nerf rac
hages ; il semble que ces cellules sont remplacées par des cellules
nerveuses
sim- ples, voisines du groupe moteur, qui s'ada
. Foveau de Courmelles dit les mérites du radium en thérapeuti- que
nerveuse
. Sur l'exploration clinique du sens musculaire.
xploration du sens musculaire. Examen de la suggestibilité chez les
nerveux
. Le Dr SCHNYDER (de Berne). - L'auteur a examin
NYDER (de Berne). - L'auteur a examiné la suggestibi- lité chez les
nerveux
soignés à la clinique du Professeur Dubois, de
leurs auto-suggestions préexistantes. Le radium en thérapeutique
nerveuse
. M. le Dr Foveau de CouauttES, de Paris. Le rad
constaté l'action sédative sur la douleur, organique ou cancéreuse,
nerveuse
ou névralgique. La suggestion a été diminuée ou
siologique le sont plus encore à l'état pathologique. Si le système
nerveux
normal se laisse pétrir par des circonstances e
rmal se laisse pétrir par des circonstances extérieures, le système
nerveux
anormal, plus suggestible, plus automatique, mo
ont très fréquentes ; elles constituent le reliquat, sur un système
nerveux
spécial, des iusomnies quel- conques, que celle
nerveux spécial, des iusomnies quel- conques, que celles-ci soient
nerveuses
, circulatoires ou toxi-infec- tieuses. Elles cè
e à l'administration des hypnotiques qui régularisent les fonctions
nerveuses
en rendant l'habitude de dormir. Les attaques
es d'habitude, le reliquat, sur un système 248 SOCIÉTÉS SAVANTES.
nerveux
prédisposé, du même phénomène (qui est ici l'atta
qua- lités, la sensibilité de la cornée. Le climat de Pau et les
nerveux
. M. le Dr CROUZET traite de l'action sédative d
stives de la tuberculose pulmonaire, mais encore dans les accidents
nerveux
qui peuvent survenir au début de cette maladie.
st un puissant calmant dans un certain nombre d'autres affec- tions
nerveuses
. Séance du vendredi 5 août. La question d'ass
uvement en puissance ; 3° le feuillet externe constitue les centres
nerveux
: cerveau et moelle épinière ; les organes sens
rveau : le feuillet externe; 5° Chaque sujet nait avec un potentiel
nerveux
; il peut l'élever par l'éducation ; ce potenti
x ; il peut l'élever par l'éducation ; ce potentiel va à la cellule
nerveuse
, pour la cërébration ; à la cellule musculaire,
, le tronc et les mem- bres. Stigmates physiologiques. 1° Système
nerveux
, troubles de la 266 SOCIÉTÉS SAVANTES. motili
oubles de la mi- mique ; 2° Aux actes impulsifs ; 3° A une hérédité
nerveuse
capi- talisée ; 4° Aux troubles de la volonté e
, et encore plus dans le sommeil provoqué l'équilibre des fonctions
nerveuses
tend à se rétablir. C'est proba- blement par ce
e qui domine ici ce sont les phénomènes de compression des fibres
nerveuses
qui prennent le pas sur les troubles inflammatoir
ales permettant à l'acide gastrique d'irriter violemment les filets
nerveux
, nous le trouvons ici à l'état de phénomène sai
ces nouvelles sensations soient la conséquence même des mouvements
nerveux
, les sujets ont tou- jours tendance à croire l'
explique par l'infériorité organique des centres et des conducteurs
nerveux
chez les vieillards. Les habitués des Asiles.
cuisse. On pourrait de même soutenir qu'il s'agit d'une topographie
nerveuse
incomplète ou d'une topographie radiculaire ave
n diagnostic facile d'avec ceux dont l'origine est dans les centres
nerveux
; d'autant moins qu'ils peuvent exister en dehor
on de cette maladie particulière à d'autres affections du système
nerveux
(ictus cérébral, etc.) dont la symptomatologie mo
marquée de la névroglie. Lésions profondes et diffuses des cellules
nerveuses
frontales : disparition du protaplasme avec dég
lement la psycholo- gie, mais l'anatomie, la psychologie du système
nerveux
, la patho- logie nerveuse et mentale. La comp
mais l'anatomie, la psychologie du système nerveux, la patho- logie
nerveuse
et mentale. La composition de ces tables biblio
L'histologie a été confiée à F. Henneguy, l'ana- tomie des centres
nerveux
à Van Gehuchten, la physiologie du système nerv
omie des centres nerveux à Van Gehuchten, la physiologie du système
nerveux
à Fredericq, la pathologie nerveuse et mentale
chten, la physiologie du système nerveux à Fredericq, la pathologie
nerveuse
et mentale à Grasset, Pitres, Simon, l'anthropo
ris, n° 161]. On con- nait de lui un Traité pratique des affections
nerveuses
et anémiques considérées dans les rapports qu'e
'assez nombreux excès sans jamais varier le procédé. Vite, son état
nerveux
habituel s'accrut dans de grandes pro- portions
partir du second mois, il constata une aggravation de ses troubles
nerveux
. Il fut plus enclin à se croire sous le coup de
ement disparut, mais elle fut remplacée par l'obsession d'un spasme
nerveux
qui angoissa davantage le malade. Un rétré- cis
e le malade. Un rétré- cissement s'opère, se dit-il, mais un spasme
nerveux
résiste sou- vent à toute médication, aboutit p
ue bien que peu versé dans la connaissance des maladies mentales et
nerveuses
, qu'il ne pratiquait pas, sa clientèle étant ex
me sont des manifestations identiques d'un même trouble des centres
nerveux
: tous les somnambules ne sont pas des hystériq
e communication sur une nouvelle méthode de colora- tion du système
nerveux
central; par H.-v. SCHROETTER. (ACli-0- log. Ce
anche, brun jaune. L'alizarine colore proto- plasma, noyaux, fibres
nerveuses
, névroglie.La structure du noyau et les grains
ion névro- glique. Fibres des nerfs optiques indemnes. Les cellules
nerveuses
offrent tous les stades de la déchéance, en mar
organismes supérieurs; mais ici intervient la complexité du système
nerveux
et du développement mental. REVUE D'ANATOMIE ET
semblent pour le cheval suffisantes pour provoquer dans le système
nerveux
un état de tension et d'excitomotricité qui fai
musculaire constituent des con- ditions propres à donner au système
nerveux
la tonicité indispen- sable à la procréation du
celle exagération de l'auto- activité mentale est l'état du système
nerveux
qui constitue la con- dition de la conception d
que le coeur de ces animaux contient dès la naissance des éléments
nerveux
spéciaux dont l'excitation par le courant d'ind
ent dans les parties du cerveau appelées à remplacer la substance
nerveuse
détruite de nouvelles images commémoratives des m
l'or ou au platine. (Voir le mémoire). Par ce procédé, les cellules
nerveuses
témoignent fréquemment d'une structure nettemen
in ? On ne sait. Le procédé rend visible les cylindraxes des fibres
nerveuses
myéliniques ou amyéliniques. Outre ces élémen
s compliqué. Ils se rapprocheraient plutôt du feutrage des cellules
nerveuses
de la rétine décrit par Uogiel. Les raies parais-
fibres et qui semblent être les intégrantes absolues de la cellule
nerveuse
. P. Ki.raval. LXV. Les formes pathologiques de
flexe périostiqne et non cutané. P. 1ERA\'dL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXI. Discussion de quelques nouveaux travaux
nt-bras gauche est fort maigre ; la sensibilité REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 345 thermique est diminuée, de même qu'à la ma
oplectique se justifie par l'abcès dentaire 346 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. compliqué de suppuration de l'antre d'Highmore
la myélite aiguë. , P. KERAVAL. XXXIII. Des affections mentales et
nerveuses
à la période secon- daire de la syphilis; par M
us importants du diagnostic des troubles syphilitiques de la sphère
nerveuse
et mentale. P. Keraval. XXXIV. De l'ataxie céré
endrer le syndrome en question. P. KERAYAL. , REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 347 XXXV. Observation remarquable d'hémicranie
e quatre observations, l'auteur établit que 348 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. la paralogie constitue un symptôme qui n'est p
nostique des irrégularités des bords des pupilles dans les maladies
nerveuses
dites organiques ; par J. Pilez (Neurolog. Cenl
Elles se montrent aussi dans le cours d'autres maladies mentales et
nerveuses
; on ne les observe qu'exceptionnellement chez l
ement chez l'individu sain. IV. On peut occa- - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 349 sionnellement voir survenir dans la catato
upillaires correspondants ou de leurs noyaux (atrophie des cellules
nerveuses
correspondantes). X. Chez un enfant nouveau-né,
chez qui la crainte d'une affection pulmonaire détermina des crises
nerveuses
alternant avec des crises de toux. L'absence de
thoraciques et abdominales avec expirations 330 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. longues et convulsives et toux explosive ; la
- Friedreich et Unverriclit imputent le paramyoclonus aux cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la- moelle. Unverritc
eur du processus patholo- gique, de l'atteinte des grandes cellules
nerveuses
. Chez ce malade la myoclonie fut très probablem
ctions constitutionnelles, de troubles de la nutrition, de maladies
nerveuses
. 4. La photothérapie est à l'étranger appliquée
hanges (Axenfeld et Huchard), théorie de l'épuisement de la cellule
nerveuse
(Beard), théorie anatomique et vaso-motrice de
rs (G. Dumas), par un trouble intime dans la nutrition des éléments
nerveux
(Erb), etc. En ce qui le concerne, l'auteur pen
issances, c'est dans un trouble primordial des éléments cellulaires
nerveux
qu'il faut chercher l'origine de la maladie. Il
de la maladie la plus répandue de toutes les affections du système
nerveux
. Pierre Roy. VARIA. Les aliénés en liberté.
XVIII. Novembre 1904. N° 107. ARCHIVES DE NEURO* " " '" CLINIQUE
NERVEUSE
Epilepsie, pathogénie et indications thérapeuti
y'. Généralités. Le prédisposé à l'épilepsie naît avec un système
nerveux
spécialement impressionnable; c'est donc à dimi
; n° 99, p. 206. Archives, 2" série, t. XVIII. 24 370 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. interprétation. Ils prouvent que le bromure de
x principaux facteurs étiologiques, qu'il ne modifie que le terrain
nerveux
préparé ou par orga- nisation congénitale ou pa
atif en quelque sorte dans l'épilepsie légère, alors que le terrain
nerveux
épileptogène ne reçoit pas de fortes excitences
en de posséder un casier judiciaire vide, il n'est pas 372 CLINIQUE
NERVEUSE
. moins utile de posséder pour bien agir dans la
t la nourrice peut être exposée ou sujette elle-même à des troubles
nerveux
. Si la mère est épileptique, il est donc évidem
T INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 373 d'excitances anormales du système
nerveux
de l'enfant. Il importe de donner à cet enfant
ce et tous les accidents qui en résultent, mais on place le système
nerveux
de l'enfant dans de meil- leures conditions pou
es oeufs auront la plus grande place, car les excitances du système
nerveux
se multiplient à mesure que le dévelop- pement
dévelop- pement physique et intellectuel progresse. 374 CLINIQUE
NERVEUSE
. C'est aussi pour prévenir le plus possible les
ra tous les exercices qui conges- tionnent spécialement les centres
nerveux
ou qui exposent à des chutes sur la tête ou à d
à des trépidations pouvant avoir une action facheuse sur le système
nerveux
, trapèze, sauts, équitation par exemple. En r
tation par exemple. En raison de l'irritabilité spéciale du système
nerveux
de l'enfant prédisposé à l'épilepsie, de l'impr
culièrement dangereuse n'est pas nettement franchie, que le système
nerveux
ne semble pas arrivé à une activite ferme et ré
d'irritation méningo-cérébrale directe que pour éviter 376 CLINIQUE
NERVEUSE
. - les conséquences de la vie sédentaire. Le ca
siblerie, accusant ou une impressionnabilité plus grande du système
nerveux
ou des excitences plus intenses exercées sur le
e nerveux ou des excitences plus intenses exercées sur le système
nerveux
, viennent indiquer que la prédisposition s'aggrav
s, car cette 1 Dont nous verrons plus loin l'action. 378 CLINIQUE
NERVEUSE
. périodicité régulière permettra d'instituer av
, l'exercice physique, la marche surtout, exerceront sur le système
nerveux
et sur les organes génitaux une action dépressi
lepsie que l'on prend cure de' l'enfant pour lequel on 380 CLINIQUE
NERVEUSE
. redoute des accidents de nature syphilitique e
ient volontiers leurs services. Ce moyen thérapeutique 382 CLINIQUE
NERVEUSE
. complémentaire utilisé par elles chaque fois q
eptique . dont bénéficie un peu le tube digestif ? ` 384 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les améliorations obtenues grâce au régime pré
. KERAVAL. LXXIII. Existe-t-il une régénération autogène des fibres
nerveuses
1 Contribution à la théorie du neurone ; par E.
- worn a soutenu que le corps de la cellule avec son prolongement
nerveux
et ses dendrites constitue une unité. Nissl a dit
la substance fibrillaire serait autonome, indépendante des cellules
nerveuses
. M. Muenzer pense que toutes les fibres qui pro-
Muenzer pense que toutes les fibres qui pro- viennent d'une cellule
nerveuse
appartiennent à un neurone; le neurone comprend
e appartiennent à un neurone; le neurone comprend toutes les fibres
nerveuses
sous la dépendance trophique d'un protoplaste.
Sud-Ouest, de juin 1901 (Bade), Betlie combat la genèse des fibres
nerveuses
du neuroblaste, soutient la v genèse multicellu
é sa fonction. D'après les mêmes expériences de Muenzer, les fibres
nerveuses
néoformées constatées dans le bout périphérique
, entre le bout périphérique et les parties centrales, les cellules
nerveuses
. Il n'existe pas de régénération autogène des f
ules nerveuses. Il n'existe pas de régénération autogène des fibres
nerveuses
. Du tout, répond Bethe, ces anastomoses extérie
e rétablissemeni par la cicatrice de la continuité avec les centres
nerveux
expliquant les fibres néofor- mées, et sauvegar
es données de l'histologie, de la physio- logie et de la pathologie
nerveuse
, l'auteur tire de ces nouvelles données quelque
t de la restau- ration fonctionnelle des cellules ou des extrémités
nerveuses
alté- rées par une infection ou une intoxicatio
sque totalité des organes moteurs terminaux, après section du tronc
nerveux
, se font avec le concours et la participation d
l'ensemble de toutes les lésions des enveloppes et de la substance
nerveuse
de tout le névraxe; 5° que le mode d'introduction
istologique a montré en outre dans le bout périphé- rique des tubes
nerveux
indiscutables dont le nombre augmentait à mesur
ies. L'angoisse s'observe : dans les diverses affections du système
nerveux
; dans les affections des voies respiratoires;
s intoxications et auto-intoxications. Dans les maladies du système
nerveux
, l'angoisse a été observée : dans les paralysie
que l'angoisse peut apparaître dans deux cas : 1° Quand les centres
nerveux
qui com- mandent ce syndrome sont directement a
'hydrothérapie, les agents médicamenteux qui calment l'excitabilité
nerveuse
, la suggestion hypnotique, l'autosuggestion. Ma
ts, imbéciles, arriérés, épileptiques, amoraux. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLIII. Contribution à la psychologie de l'apra
1'olog. Centralbl. 1902, p. 615. Société de psychiatrie et maladies
nerveuses
de Berlin. 9 juin 1902). A rapprocher de l'obse
muscles du côté gauche de la face. Incessantes, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 423 elles ne produisent pas de mouvements; ce
tement de cette névrose. En ce qui concerne 424 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. l'étiologie, il pense que l'hérédité ne joue q
t à « Whoa ». Ces bruits involontaires et qu'il revue DE pathologie
NERVEUSE
. 425 ne peut retenir en font la risée de tout l
le segment antérieur de la capsule interne, 426 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. et non celle de Bechterew, pour qui le symptôm
suicidée à soixante-deux ans. Mère : atteinte de coxalgie ; très
nerveuse
, très émotive, sans vo- lonté, se laissant faci
es règles eurent lieu le 28 février et s'accompagnèrent de troubles
nerveux
(énervement, céphalée, insomnie). Les secondes
r les alié- nés dits criminels et sur la rélégation. 13. CLINIQUE
NERVEUSE
. Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; éta
rticolis congénital avec autopsie et examen histologique du système
nerveux
; par MM. Gallavardin et Savy. (Lyon médical. 22
nces inflammatoires périmusculaires. Examen histologique du système
nerveux
: Aucune lésion dans le système nerveux périphé
men histologique du système nerveux : Aucune lésion dans le système
nerveux
périphérique (filets du spinal, tronc du sympa-
e cette affection; 2- que l'absence de lésions au niveau du système
nerveux
périphé- rique (filets du spinal, tronc et gang
e le fait est dû à la sensibilité plus ou moins grande des cellules
nerveuses
suivant qu'elles sont préparées à des fonctions p
t probable que le sucre joue un rôle dans la nutrition des éléments
nerveux
avec lesquels il est en contact. 4° Le taux d
isant comme une véritable section graduelle et progressive de l'axe
nerveux
. Cette observation, dans laquelle l'évolution n
ne l'amélioration de l'état mental. ' Simon, ', REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LIV. Sur les Hémispasmes de la face. Hémispasm
une idée ou un sentiment, mais est en rap- port avec un territoire
nerveux
périphérique, celui de la VIle paire. Ces diffé
e reflexe, le centre de réflexion est au niveau REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 491 du bulbe, la voie centrifuge motrice est r
me facial vrai, non douloureux, ales caractères d'une manifestation
nerveuse
organique systématisée. Il est essentielle- men
icale des Hôpitaux, 10 fé- vrier 1903.) . 492 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. MM. Pic et Bonnamour mettent en évidence un ty
fférents faits, ils croient que chez des vieil- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 493 lards athéromateux, on peut observer des p
eures avec des accidents imprévus ne rappe- 494 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lant pas le coma diabétique; (céphalée plus vi
grand rôle aux compressions exercées par la tumeur sur les centres
nerveux
, en particulier sur le tuber cinereum qui conti
ntractures; l'état intellectuel était normal. ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 495- Les auteurs rangent ce cas dans le groupe
s'en rattachent pas moins à la famille névropathique. Cette tare
nerveuse
, dit l'auteur, expliquerait la fragilité anor-
itale probablement, des centres trophiques- 496 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. conjonctifs, cause première du trophoedéme. Il
la corne antérieure. G. Carriep. .LXIII. Ostéomalacie sénile. Forme
nerveuse
; par MM. V. Chap- . PET et G. MOURIQUAND (Soc.
mars 1904). r Une observation dont l'intérêt réside dans la forme
nerveuse
de l'ostéomalacie présentée par le malade. Les
e nerveuse de l'ostéomalacie présentée par le malade. Les symptômes
nerveux
consistaient en une paraplégie (contracture dou
d'individus ayant présenté les signes cli- niques de l'ostéomalacie
nerveuse
, ils ont trouvé dans trois cas des lésions médu
organes génitaux le développement d'un adulte. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 491 -1 LXVI. Hypertrophie congénitale d'une ma
la ma- ARCIIlVES, 21 série, t. XVIII. 32 498 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.- ladie de Recklinghausen n'est-elle qu'un mode
adie de Recklinghausen n'est-elle qu'un mode de dystrophie du tissu
nerveux
et cutané qui, dans certains cas, vient se surajo
igine indéterminée, mais plus ou moins généralisé à tout le système
nerveux
. ' Ces neuromyéhtes optiques aiguës ne seraient
le, nerfs optiques), d'altérations généralisées à tout le sys- tème
nerveux
, tout comme d'autres syndromes, la psychose pol
d'autres points (nerfs, encéphale). G. Carrier. XV. Arthropathie
nerveuse
traitée par la résection; par PATEL et CAVAILLO
iques conduit d'autre part à formuler le dia- gnostic d'arthropatie
nerveuse
sur un fond de tabes frustes, elles résultats d
périphérique persistant avec névrome terminal et présence de fibres
nerveuses
présentant tous les stades entre les tubes prot
stades entre les tubes protoplasmiques embryonnaires et les fibres
nerveuses
adultes. Fibres jeunes de néoformation. Cylin-
de la 804 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. chimie des dégénérescences
nerveuses
, à la fois d'après l'étude du métabolisme (sang
métabolisme (sang et urine), du liquide cérébro-spinal, et du tissu
nerveux
lui-même ;.2°les recherches personnelles de l'aut
18 p.'100 des cas ; 4° les mala- dies sans relation avec le système
nerveux
paraissent n'exercer qu'une influence héréditai
venue une excel- lente institutrice et n'a souffert d'aucun trouble
nerveux
pendant dix-huit ans. Ces jours-ci, à la suite
très très vrai que la musique, par elle-même, porte au déséquilibre
nerveux
. La musique, en effet, est excitatrice d'émotio
à la pathologie des -- toxiques par Alter, 151. Des - mentales et
nerveuses
à la période secon- daire de la syphilis, par S
phalie . Anatomie pathologique. L'état ac- tuel de l ? du système
nerveux
central, par Nissl. 154. A : 'EI\CEPII ,"LIE.
raphie : par Thomas, 74. Voir' Surdité. Voir Paralysie. Centres
nerveux
. Voir Kyste. Des corticaux de l'accommodation,
goût, par Kron, 332. Existe-t-il une régénération autogène des -
nerveuses
? Con- tribution il la théorie du neurone, pa
par Guil- liarovsky, 172. Kyste. Un cas de dermoide des centres
nerveux
, par Raymond et Courtellemont, 76, Langue. Un
e -, par Iliéry, 480. Léchage. Voir Tics : Lèpre. Deux cas de -
nerveuse
, par Raymond, 97. Lésions corticales et sous-
Courte communication sur une nouvelle de coloration du système
nerveux
central, par Schroetter, 320. Meurtrier. Un -
Voir Infantilisme. Narcose. De l'origine et de la na- ture de la
nerveuse
, par We- densky, 158. NÉCROLOGIE Mordret, 287
es terminaisons motrices des - coupés, par Odier et Ilerzen, 402.
Nerveux
. Voir Suggestibilité. Le climat de Pau et les -
par Bien- fait. 427 Contribution à la chimie de la dégénérescence
nerveuse
dans la - génél ale et autres ma- ladies ment
rmes anormales 'de la maladie de , par Collet, t, 59. PAU. Voir
Nerveux
Phénomène plantaire combiné. Etude de la réfl
eune incendiaire par Leroy, f 19. Radium. Le - en thérapeutique
nerveuse
, par Foveau de Cour- melles, 247. De l'action d
Du- bonrdieu, 279. RLvEs Voir Anesthésie Rhumatisme. Accidents
nerveux
tar- 1 difs du - articulaire franc, par Il Lh
La des alcooli- ques. par Berillon, 176. Examen de la - chez les
nerveux
, par Schnyder, 246. Suggestion hypnotique. At
par Raymond et Guillain, 163. Système lymphatique. Voir Moelle
nerveux
; voir Anatomie pa- thologique. nerveux ; voir
lymphatique. Voir Moelle nerveux ; voir Anatomie pa- thologique.
nerveux
; voir Mé- tlzocle. Tabès. A propos du cytodi
de - con- génital avec autopsie et examen instologique du système
nerveux
, par Gallavardin et Savy, 482. Toux hystériqu
NEUROLOGIE ARCHIVES NEUROLOGIE , REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par .T.-eL. CI l ltl PU]31
.-¡ Vol. XX Juillet 1905 Ne 115 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Morphinisme familial par contagion , 1'.\Jl L
nteur et dispensateur des faveurs de la déesse ; en bon 4. CLINIQUE
NERVEUSE
. égoïste calculateur, s'il s'en réservait lu me
ieux et peut s'appeler « le coup de la bonteittc » : il Ci CLINIQUE
NERVEUSE
. - consiste il substituer au flacon que vient d
lorsque la société se sent débordée par le flot montant 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. a du crime, qu'elle proclame le plus haut le
ic ? Peut-être yscrail-il admis s'il prouvait contre le 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. médecin la faute professionnelle qui, seule, p
arrêté sur ces états el j'ai décrit dans trois cas nouveaux l'élut
nerveux
pathologi- que spécial qui se distingue «d'une
t-1't ? tersbourg, le C janvier 190, dans la section des maladies
nerveuses
et. de ly-clviWnic ('). En général, après avoir
el demi. A celle époque il se manifesta chez lui un étal hautement
nerveux
; sc l'L'oal1l ingul'ri ? nlJlc il voulut se Ui-
hrite dure jusqu'à présent. « Un autre état pathologique du système
nerveux
, c'e1 la fai- blesse de la vue el la faiblesse
tré aucuns changements spéciaux de la part des fonctions du système
nerveux
et des organes internes. La sensibilité et les
d'autres indications sur l'hérédité défa- vorables. La malade était
nerveuse
depuis l'enfance. Elle a ac- tellement 2fi ans.
s beaucoup d'occupa- [ions précises. Tout cela dérangea mon système
nerveux
; j'avais mal au dos, à la tête ; des Heurs bla
uite de ces tourments se montra un dérangement très fort du système
nerveux
, plus fort, qu'aupa- ravant et la destruction d
ne grande nervosité et il buvait. Ses SICI11'S étaient anémiques et
nerveuses
. Le malade lui-même se distinguait depuis longt
te possibilité de don- ner une réponse quelconque. Tout mon système
nerveux
vibre el m'expose il ce moment iL une souffranc
huisseries yeux, et provoque chez eux toute une série de symptômes
nerveux
: la respiration gênée, le battement .le coeur,
moyens du traitement général qui contribuent il calmer le système
nerveux
, les bains, les douches, les bromures avec des
cont- binaison est, un très bon moyen' contre les différents états
nerveux
, surtout, neUl'1lslhéni'lucs, . 32 asiles d'a
irectes et superposées, reliées entre elles par au- tant de centres
nerveux
intermédiaires et qu'il appelle le système eOl.
lus que l'organisme, et en particulier, les muscles, nerfs, centres
nerveux
, soient aptes à renforcer l'éclatdes surfaces p
ficiels se peut rattacher soit à des conditions inhérentes au tissu
nerveux
, soit il. des vices dans la technique C'est le
tissu nerveux, soit il. des vices dans la technique C'est le tissu
nerveux
qui est en jeu quand, quelques précau- tions qu
a myéline. Ou bien dans les pro- cessus atrophiques de la substance
nerveuse
,ils représentent les éléments, transportés à di
léments cons- tituants déterminés préformés de la substance blanche
nerveuse
; c'est ce qui parait avoir lieu dans la tubercu
res,doiven têtl'e imputés à des conditions physiologiques de fibres
nerveuses
très jeunes ou enétat de formation, conditions
plus tût possible après la mort les organes et morceaux du système
nerveux
. On les fixera dans le liquide de Muller qui se
miquo déjà et souvent utilisé. P. Keraval. X. La forme des éléments
nerveux
de l'écorce du cerve- let de divers vertébrés,
s la théorie de Golgi, les dendrites ne remplissent pas de fonction
nerveuse
, elles sont destinées à la nutrition delà cel-
s et cylindraxes sont des conducteurs centripètes de l'excita- tion
nerveuse
; ils ne participent pas à l'activité qui prend sa
drite secondaire. Bethe a sur le carcinus mêlas montré que l'influx
nerveux
se peut transmettre des or- ganes de réception
reconnaître que les den- drites peuvent prendre part ci l'activité
nerveuse
parallèlement au corps au la cellule. Nous tend
ellule ; elles ne servent pas seulement il. conduire les impulsions
nerveuses
, elles peuvent être le siège de processus nerve
les impulsions nerveuses, elles peuvent être le siège de processus
nerveux
complexes auxquels parait particulièrement apte
ointes latérales amplifient le périmètre et la surface de l'élément
nerveux
, ce qui crée des con- ditions prop res ci une a
activité fonctionnelle. Ce parallélisme entre la forme des éléments
nerveux
et leur fonction est confirmé par la forme exté
ent dans le cervelet un rôle prépondérant au mo- ment où l'activité
nerveuse
se centralise en les éléments fonda- mentaux du
té nerveuse se centralise en les éléments fonda- mentaux du système
nerveux
propres à l'organisme développé. C'est ainsi qu
us élevés, ceux-ci attirant à eux le pouvoir suprême sur le système
nerveux
central en augmentant la masse et la surface de
a leurs pointes laté- rales un rôle plus important dans l'activité
nerveuse
fait com- prendre pourquoi ces parties de l'élé
iège unique d'après la théoriedela polarité dynamique de l'activité
nerveuse
change extrêmement peu de forme et même de volu
Ceci est prouvé non pas seulement par l'existence de fines libres
nerveuses
(qui pourraient être d'origine' endogène), mais p
pération, surtout quand on n'indique pas la constitution des libres
nerveuses
dans la portion centrale (le la racine postérie
is que de mon côté j'ai imputé l'absence éven- tuelle de la réunion
nerveuse
à la suite d'une section à des cau- ses accesso
s ; on double ce temps pour le cerveau. On voit en outre des fibres
nerveuses
à myéline (bleu-noir), les noyaux des cellules
s optiques, alors même qu'il n'y a plus dans les nerfs aucune fibre
nerveuse
. Ce faisceau résiduaire ne représente ni la com
s insalubres sur la production des ma- ladies chroniques du système
nerveux
; {'inégalité de poids des hémisphères cérébrau
ant de troubles digestifs qui viennent impres- sionner les éléments
nerveux
, mais les poisons dus à la fatigue et aux émoti
(hypertension) ou si l'on a à soigner un vrai déprimé du système
nerveux
(hypotension). Dans le 1 CI' cas : régime lacté o
raire, nécessaire de favoriser la nutrition, de stimuler le système
nerveux
, d'activerles fonctions musculaires et les sécrét
n sait sur la localisation des fonctions dans le cerveau. Le centre
nerveux
qui contrôle la parole est étroitement associé
n avantage, peut-être considérable, pour le côté gauche, en énergie
nerveuse
, lequel implique naturellement un avantage corr
main que la nature a le mieux douée sous le rapport de l'énergie
nerveuse
. (Traduit du Pratical Teachu, par. Gaston Mouchet
frères. Vol. XX Août 1905 ? 116 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
c 1 sur un cas ae lésion ae ia queue ae cnn
1903, XI Bd.) , . Archives, 2° série, 1905, l, XX, 6 82 CLINIQUE
NERVEUSE
. ,rurgiens nous, démontrent cependant que la tu
l'attention des observateurs était peu atti- rée sur les phénomènes
nerveux
intervenant dans cette localisation de la tuber
le man- que d'observations détaillées au point, de vue du système
nerveux
. . Cependant dans les traités de chirurgie publ
les observations et les traités de chirurgie, de cette complication
nerveuse
et desasymptomatologic est naturellement incomp
ahresbericli6 sur Neur. und Psyschiatrie, 1901, 497.) 84 CLINIQUE
NERVEUSE
. travaux cités plus haut, sur la possibilité de
ite et oedème de membres inférieurs), il était très éthylique, très
nerveux
el rhumatisant. Mère morte à 58 ans, cardiaque. D
ulements, l'un à 19 ans, l'autre au sei- ice militaire. Tempérament
nerveux
, emporté, mais sans crises, 3 ans de sen ice mi
triceps) forts des deux côtés. flaccidité et,peut-être, 86 CLINIQUE
NERVEUSE
. très léger amaigrissement des muscles des main
s et remplis de caillots tibrineux : pas de tubercules. 88 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le tissu épidural, au niveau de la face antéri
bryonnaire. Dans les racines même, il caistedes lésionsdes libres
nerveuses
qui semblent parallèles, par leur intensité, au d
ensité, au degré de la pachyméningite environnante (perle en fibres
nerveuses
, nom- breuses fibres grêles, libres qui se colo
rtaine abondance de libres grêles, dans d'autres la perle en fibres
nerveuses
est très forte, sans être toutefois complète. E
n point on constate de l'infil- tralion embryonnaire. 90 CLINIQUE
NERVEUSE
. Moelle. Les coupes faites au niveau de tous le
uteurs, sont en grande majorité normales- ; on retrouve 92 CLINIQUE
NERVEUSE
. seulement quelques rares cellules avec chromat
e fasse, dans le sac durai même, par les masses caséeu- 94 CLINIQUE
NERVEUSE
.. ses du tissu épidural ou par un abcès ; d'aut
au symptomatique constitué presque essentiellement par des troubles
nerveux
: dans le domaine des deux sciatiques concorden
dans la production des accidents. L'intégrité absolue des troncs
nerveux
parle déjà contre celte hypothèse ; seulement d
, de fibres grêles, sans aucune forme de dégénérescence de la fibre
nerveuse
. Même en ne tenant pas compte de la prédominanc
e la symphyse sacro-iliaque; cyphose des dernières ver- 96 CLINIQUE
NERVEUSE
. tèbres lombaires, pression douloureuse au nive
e. Si notre malade avait survécu plus longtemps, les phé- nomènes
nerveux
sinon les signes de localisation osseuse de la
hologie mentale on se cantonne trop au centre psychique, au système
nerveux
; l'on ne tient pas compte des relations qui ex
. (7) LÉOPOLD Lévi. (Bull. de la Soc. anatomique, 1895. Trou- Mes
nerveux
d'origine hépatique. Hépalo-loxémie nerveuse. (A
omique, 1895. Trou- Mes nerveux d'origine hépatique. Hépalo-loxémie
nerveuse
. (A i-cil. gérr, de Médecine, 1896.) 100 CLIN
ut-il rapporter cette es- pèce de stupeur, de sidération du système
nerveux
? Pour ce cas, je ne vois que deux explications
cès de la douleur locale avait, par action réflexe sur les centres
nerveux
, amené cette prostration, cet aspect quasi-coma
énocque, in Gai. hebdo- madaire, n° 48, 1880.) (2) CYn. Accidents
nerveux
graves, déterminés par des coliques hépatiques.
tare, plus profonde pour l'individualité psychique, c'est la tare
nerveuse
, la tare mentale. Morel a observé, il y a plus
hilis secondaire, in- demne d'une affection syphilitique du système
nerveux
central, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 111 trahit u
QUES XIV. Une variante dans la méthode de coloration des cellules
nerveuses
de Nissl par A. A. PIEWNITZKI. (Oboz- ¡'cniJ ps
noyaux de la névroglie sont d'un violet-bleuâtre; ceux des cellules
nerveuses
clairs, vésiculeux, montrent un réseau délicat ;
OLOGIQUES. XV. Contribution à la méthode de coloration des fibres
nerveuses
du système nerveux central ; par A. D. KAT- ZOW
ribution à la méthode de coloration des fibres nerveuses du système
nerveux
central ; par A. D. KAT- ZOWSKY. (Obozn ! nie p
illé correspondrait à la charpente neuro-fibril- laire des cellules
nerveuses
centrales où l'on distingue également des fibri
millim. de long a révélé des traces de fibrilles dans les cellules
nerveuses
de la moelle ainsi que des grilles fibrillaires
nge dans ce mélange pendant 5 à 7 heu- res les fragments du système
nerveux
central ; on les porte en- suite dans une solut
forme par les processus de métamorphose régressive de la cellule
nerveuse
. Evidemment la substance chromatophile sécrétée p
euse. Evidemment la substance chromatophile sécrétée par la cellule
nerveuse
, en se morcelant en granules excessivement menu
matophile dépendent de la présence dans le protoplasma des cellules
nerveuses
de subs- tance achromatique. Conclusions. Le
ns, je me crois en droit de supposer qu'il existe dans les cellules
nerveuses
trois formes de canalicules : 1° un réseau de b
es fixes du protoplasma. P. KERAVAL. XVII. Les relations du système
nerveux
avec les facul- tés mentales ; par P. 11RONTHAL
49'olOr. Cen/mlblatt" 1111L 1904.) Après avoir examiné le système
nerveux
et le fonctionnement mental dans l'échelle asce
ctuellement prédomine presque universellement l'idée que le système
nerveux
est l'organe, le siège des facultés psychiques.
siège, de ces facultés; l'organisme entier les produit. Le système
nerveux
n'y collabore qu'en ce qu'il conduit les excita
uit les excitations; il ne fait que les conduire. Jamais la cellule
nerveuse
n'engendre de stimulus. P. KERAVAL. De l'iner
ite gommeuse de la base du cerveau affectant en l'espèce les troncs
nerveux
en question. L'état ophtalmoscopique et l'anoma
pliquer par un oedème stasique dû il la compression de la substance
nerveuse
ainsi qu'au barrage des voies sanguines et lymp
président à la conductibilité thermique et douloureuse ; la cellule
nerveuse
du premier neu- rone (nommé aussi protoneurone)
ulement, pour qu'il se produise, il n'est pas besoin que le système
nerveux
entre directement en action. Il existe une* ond
perdue temporairement ou pour toujours. 5. La clinique men- tale ou
nerveuse
enregistre ce qui suit : A. L'onde musculaire a
°% ) ; b) l'affaiblis- sementde l'influence exercée sur les centres
nerveux
inférieurs parles centres psychiques supérieurs
complète d'onde musculaire trahit un état patholo- gique du système
nerveux
en rapport : a) avec une suractivité musculaire
musculaire parexcitation ou irritation du centre ou du conducteur
nerveux
, ex. : convulsions, contractures, états de tensio
nactivité du muscle par rupture de la communication avec le système
nerveux
central, ex. : destruction et atrophie des centre
rites; c) la dégénérescen- ce du muscle dépendant ou non du système
nerveux
, ex : myosi- tes, atrophie musculaire par inact
y a accentuation de l'onde musculaire au moment où la vie du tissu
nerveux
est presque complètement éteinte : cela prou- v
iques de dédoublement et de la cessation de l'influence des centres
nerveux
. 7° Dans les psychoses aiguës l'onde musculaire
ressortissant à une affection profonde jusque là latente du système
nerveux
central. P. KERAVAL. SOCIETES SAVANTES SOCIÉT
) et dans nos Etudes cliniques et thermométriques dans les maladies
nerveuses
, lb72-1873, clc. - 13. SOCIÉTÉS SAVANTES. 137
e même sur beaucoup d'animaux. Des modifications que subit la force
nerveuse
relativement à l'état de santé des sujets. M.
t on constate au moyen du thermomètre l'extériorisation d'une force
nerveuse
. Le caractère de cette force chez les sujets sa
déviations constantes et spécia- les pour chaque maladie du système
nerveux
. Ainsi, les neuras- théniques présentent le ren
u- coup plus considérable entre les deux chiffres. Chaque maladie
nerveuse
présente ainsi sa formule spéciale et, ce qui d
loppement de la maladie a été plus précoce, présentait une hérédité
nerveuse
assez chargée. » . . Les congés d'essai, comme
pas parler, de l'éducation du système musculaire à celle du système
nerveux
et des sens, de celle des sens aux notions, des
t indépendante de tout état pathologique. Prévention des maladies
nerveuses
ou mentales dans l'armée. D' GR : 1NJUX.- Le
NJUX.- Le nombre des réformes prononcées chaque année pour maladies
nerveuses
ou mentales montre l'insuffi- sance des mesures
e revision est insuf- fisant pour permettre un diagnostic exact des
nerveux
ou des aliénés. Il est indispensable que les co
de l'établissement des tableaux de recensement, d'affections soit
nerveuses
,soit mentales, soient, avant les opérations du
soient, avant les opérations du PRÉVENTION DES MALADIES MENTALES OU
NERVEUSES
. 189 conseil de revision,l'objet d'un examen de
lés au médecin du corps.et s'ils sont reconnus atteints de maladies
nerveuses
ou mentales, réformés dans les mêmes conditions
devoir être remplacée par ces mots : « ne présente pas de troubles
nerveux
carac- térisés ». Cette modification a été fait
qui, parties de la périphérie,se propa- geaient le long des troncs
nerveux
,pour gagner la moelle. Uneréaction contreces th
t encore des réactions cellulaires à distance au cours des sections
nerveuses
et des amputations. J'estime qu'il est nécessai
n), jus- LE SYNDROME DE LA NEVRITE ASCENDANTE. 191 qu'aux centres
nerveux
. Il n'est pas douteux cependant que les réactio
. Au cours du té- tanos,durant la période d'incubation, l'ascension
nerveuse
periphérique de la tétanine se fait sournoiseme
,localisé primitivement au siège de la morsure, gagnait les centres
nerveux
en cheminant le long des nerfs péri- phériques
s. Peut-être même, dans les rares observations où quelques troubles
nerveux
localisés et rayonnants au loin de la plaie con
névrite ascendante.il s'agit là d'affinités spéciales pour le tissu
nerveux
lui-même,de vraies ascensions nerveuses, ou mie
nités spéciales pour le tissu nerveux lui-même,de vraies ascensions
nerveuses
, ou mieux, de conductibilités nerveuses spécifi
i-même,de vraies ascensions nerveuses, ou mieux, de conductibilités
nerveuses
spécifiques : a) 11'euo-cotductibilité toxiquc(
ismes ouverts sont à l'origine des névrites ascendantes. Les plaies
nerveuses
par section in- complète, par attrition, lacéra
des 192 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. plaies
nerveuses
ne nous a donné qu'un total de 4,5 % de névrite
distinguer les processus ascendants initiaux rapprochés des centres
nerveux
(névrites ascendan- tes proximo-ccntrnles,névri
lus haut placé, plus rapproché des ganglions rachidiens,des centres
nerveux
. Evolution. PRONOSTIC.-Le processus ascensionne
- ble par la radiographie, et surtout par la palpation des troncs
nerveux
souvent hypertrophiés. Le diagnostic de traumat
endo-névritique avec destruction plus ou moins ac- cusée des tubes
nerveux
; la phase chronique s'accuse par la proliférati
on du tissu conjonctif, l'hypertrophie des bran- ches et des troncs
nerveux
, et la destruction secondaire des tubes nerveux
ches et des troncs nerveux, et la destruction secondaire des tubes
nerveux
. L'anatomie pathologique des réactions centrale
icrobe ne remonte ni bien haut, ni bien loin à l'intérieur du tronc
nerveux
. Il est appelé du reste à disparaître, après ex
es éléments inlra-ner- veux (tissu conjonctif, vaisseaux, faisceaux
nerveux
) et celle delà réaction inflammatoire également
ulaire para-nerveux (tissu cellulaire ambiant, en- tourant le tissu
nerveux
). - Archives, 2° série, t. XX. , 13 194 CONGR
rgicale témoigne de ces interventions les plus variées : élongation
nerveuse
, névrotomie (section simple), névrectomie (rése
gouttière; parfois la compression brusque et forcée des extrémités
nerveuses
toutes périphériques, et surtout l'électrothéra
par BOURNçVILI.1 ? (Sera publié.) Carcinome secondaire des centres
nerveux
avec pré-' sentation.de pièces. (D1' Sabrazès.)
de confusion mentale hallucina- toire, les altérations des centres
nerveux
sont d'ordinaire ou trop faibles, ou trop diffu
la mélancolie avec conscience, la tension doulou- reuse du système
nerveux
sera combattue par les bains pro- longés d'une
à l'influence plus ou moins dépressive qu'exercent sur les centres
nerveux
des préoccupations tristes et angoissantes, lor
emmaillotements froids, Thomsen fait obser- ver que certains sujets
nerveux
les supportent mal dès qu'ils dépassent la duré
it, comme sim- ple prédisposition, dans ce qu'il appelait les états
nerveux
des héréditaires : «Je tiens à signaler, disait
pas de vue que la dépression organique fonctionnelle des centres
nerveux
n'est point adéquate à leur dépression organique
l'emploi d'une telle médication agissant par sidération des centres
nerveux
, n'est pas exempte de dangers et rend nécessair
., trouveront aussi leur utile emploi pour combattre l'irritabilité
nerveuse
et psychique sous ses divers aspects initiaux d
ongrès de Rennes la ques- tion de Y Hydrothérapie dans les maladies
nerveuses
et mentales. BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 221
. Cette der- nière résulte à son tour de la suppression de l'influx
nerveux
venu des centres supérieurs et agissant sur les
partie végétative. Cette étiologie de la fièvre con- somptive, dite
nerveuse
, n'est pas vulgaire. Les désordres de l'innerva
passions.par la douceur et la persuasion, les maladies des centres
nerveux
par l'har- monie et la musique. Sans les passio
de l'épuisement du liquide nourricier par la sécheresse des centres
nerveux
, des nerfs qui en émanent et des expressions ne
se des centres nerveux, des nerfs qui en émanent et des expressions
nerveuses
de la périphérie. Les principes de tous les act
d'impressions. Elle parle de l'ac- tion des poisons sur le système
nerveux
. Cette action est im- médiate et directe. Rés
t la nature humaine en particulier, à l'unité souveraine du système
nerveux
, fut complet. Une futtenu aucun compte de cette
out à fait désarmés. Deux cas de carcinome secondaire des centres
nerveux
. MM. Sabrazès et Bonnes (Bordeaux) présentent d
ions microscopiques de deux cas de carcinome secondaire des centres
nerveux
, se révélant plus de deux ans après l'abla- tio
erre. Bonne santé dans l'enfance. Intelligente et affectueuse, mais
nerveuse
et impressionnable. Vers 17 ou 18 ans, aurait eu
, p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons clin. sur les maladies mentales et
nerveuses
, 6S]. juin (3) 1903. L'aschématie, par P. Bon
1° soit de l'action directe des microbes localisés dans les centres
nerveux
; 2° soit de l'action des produits sécrétés par
r des bacilles très petits dans le voisinage de quelques cellules
nerveuses
. 4° Pronostic. Les psychoses grippales, aussi b
s, car notre conception toute schématique de la division du travail
nerveux
en énergie de sensation et énergie de motilité
ssociation, mais non sur la connaissance de la na- ture de l'influx
nerveux
. Et,d'autre part, en faisant appel- aux expérie
istologiquc qui paraît indispensable à la propagation de l'influx
nerveux
. C'est donc au plus tôt dans la seconde semaine
le l'acti- vité fonctionnelle de l'écorce rolandique et des voies
nerveuses
qui s'y rattachent. Le phénomène du jam- hicr a
ble aussi qu'ils aient considéré comme une même source d'activité
nerveuse
toutes les régions du cerveau. Cet anencéphale
aisance il reprendre devant moi l'étude des préparations du système
nerveux
de son anencéphale. 294 PSYCHOLOGIE. ment d'e
294 PSYCHOLOGIE. ment d'expansion..., » (1). Le reste du système
nerveux
« se compose simplement de la moelle avec ses g
ves et motrices et l'excitation peut bien parvenir aux ra- cines
nerveuses
qui sont en état d'intégrité physiologi- que. C
res moteurs de la moelle, ont démontré que l'excitation des racines
nerveuses
produisait des mouvements syner- giques. « Chez
ves y sont bien constituées, en rapport avec des racines des troncs
nerveux
du moteur oculaire externe des septième et huit
me. Le foetus est donc un être spinal puisque l'activité du système
nerveux
médullaire et l'activité des (1) SANO. Les loca
i lui sont nécessaires. Les fonctions végétatives ont des centres
nerveux
distincts placés dans le bulbe. Or le bulbe n'e
énitales du cerveau dans leurs rapports avec les états des cellules
nerveuses
de la moelle. (Nouvelle Iconographie de la Sal,
phénomènes qui se passent .dans les parties inférieures du système
nerveux
ne lui sont pas con- nues. Ce sont des réflexes
le fonctionnement intense des acquisitions antérieures. Le système
nerveux
s'est déve- loppé de bas en haut par étapes néc
e élément. taisre chez l'enfant. Hospice de BIC1 : TR. - Maladies
nerveuses
, chroniques des enfants : Dr Bourneville, le sa
ou en congé. (2) Pourquoi exclure le chef de clinique des Maladies
nerveuses
'' Celle-ci et les Maladies mentales n'ont-elle
f de la Seine par un concours où l'on v er- 312 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rait des collègues se jugeant les uns les autr
dans le n° 3 du Progrès Médical, p. 594). h. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Myotonie avec atrophie musculaire ; par Lann
sent un rapport évident entre la myotonie et la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 313 myopathie et sont un bon argument clinique
ulier nos conceptions actuelles dans la classification des maladies
nerveuses
, conceptions qu'autorisent d'ailleurs de plusen
tagmus),qui réunit dans un groupe des types 314 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de localisation différente, toutes affections
de prévoir que l'oeuvre de synthèse en- treprise pour les maladies
nerveuses
familiales augmentera à mesure que la neuropath
alysie des ye, Vl°,5rll°, VHP', IX1" et Xe pai- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 315 res crâniennes, par la multiplicité des dé
cas de spasmes fonc- tionnels bilatéraux. 310 revue de pathologie
nerveuse
. IX. Note sur les concrétions calcaires dans le
es dans les glo- bus pallidus : les unes disséminées en plein tissu
nerveux
et in- dépendantes des vaisseaux, les autres di
ce de ceux-ci. ll n'y avait aucune réaction patholo- gique du tissu
nerveux
environnant. Discussion sur l'origine de ces gr
s prononcée, permis chez un homme de 30 ans, de revue DE pathologie
nerveuse
. 317 diagnostiquer un processus occupant les mé
bassin. Il existait des douleurs aiguës indépendantes ; les troncs
nerveux
étaient sensibles ; les doigts médians de la ma
lairesont presque complètement disparu ; la 318 REVUE de pathologie
NERVEUSE
. plupart des autres ont subi une atrophie plus
nté de rattacher ces accidents à une lésion orga- nique des centres
nerveux
. G. D. Xi. - Pachyméningite hémorrhagique compl
zone rolandique avec épaississement de la dure- REVUE DE pathologie
nerveuse
. 319 mère. Le foie a l'aspect classique de la c
e : il n'y avait aucune altération des pla- 320 REVUE DE pathologie
nerveuse
. quesdePeyer ni des follicules solitaires. La m
énale, une pigmentation anormale des divers viscères et des centres
nerveux
même du sympathique, de l'hypertrophie de la ra
ire, l'examen du sang, etc., chez les épilepti- REVUE DE pathologie
nerveuse
. 321 ques. De l'ensemble de ces travaux se déga
llement trauma- tisés les blessures ont été légères et les troubles
nerveux
ou psychiques nullement en rapport avec la grav
autour de la lésion primitive la névroglie prolifère et les fibres
nerveuses
perdent leur myéline. Fait intéressant et qui m
llaires : l'hypertrophie conjonctive refoule, disloque la substance
nerveuse
, dont elle compromet ainsi la nutrition et qui
l'Asile de Mois. '' De nombreux examens histologiques des centres
nerveux
d'a- liénés ont permis à l'auteur d'attribuer à
veux. Le même résultat pourra être atteint, pour les idiotes et les
nerveuses
, lorsque les constructions volées tout dernièreme
progressivement Archives, 2- série, 1905, t. XX. 22 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. (vin, absinthe). Il a eu dans l'enfance une af
QUE NERVEUSE. (vin, absinthe). Il a eu dans l'enfance une affection
nerveuse
qui a nécessité des applications de glace ; il
1\ILn, 39 ans (en 1595), fièvre lypboïdc à 12 ans : aucun accident
nerveux
. Sa famille. Son père est mort de la rupture d'
harite ciliaire à 9 ans. Température à l'entrée. ' 340 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. contre l'oreiller. Les yeux se tournent à gauc
perd ses crayons, plu- . Fig. Il.- nar... Juin 9SW. 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. mes et porte-plumes et accuse les autres enfan
te à peu près constamment. . rr ? 13. - Mars 1897. 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. Fig. 14. Août 1897. Fig. 15.- Octobre 1397.
Par moments. H syllabe à peine. La parole s'embarrasse 346 CLINIQUE
NERVEUSE
. de plus en plus. Il hésite toujours un instant
tout. L'attitude 1'ir. 19. - l3ar... cu .eoul 1J01.- 348 CLINIQUE
NERVEUSE
. , devient de plus en plus mauvaise. Le corps e
1. - Ilar... en janvier 1fK)\. - Mesures de la tête. 352 CLINIQUE
NERVEUSE
. accès ont continué malgré un traitement énergi
épilepsie. Archives, 2° série, 1905, t. XX. - 23 35-1 -1 clinique
nerveuse
. Aùdoll ! Cl1. -Foie cl rate l'OIl8'l'StiOHIlé
nt ces soins ne suffisent pas toujours pour combattre les symptômes
nerveux
de la mélancolie. En instituant un traitement c
physiologistes, aux excita- lions de ces trois catégories do filets
nerveux
, à la condition que ces excitations soient suff
de la peau ctdes muqueuses une quatrième catégorie de terminaisons
nerveuses
all'ectécs spécialement aux excitations doulour
al, résultant uniquement de la difficulté qu'éprouvent les éléments
nerveux
à réagi i aux excitations lorsque, sous unnintl
ndu que les conditions qui président au développement des atrophies
nerveuses
sont encore trop mal déterminées pourcluel'al)s
issement, qui comprend plusieurs pavillons séparés pour les malades
nerveux
et pour les aliénés n'a pas empêché les congres
ées peuvent être utilisées comme moyeu de décompression des centres
nerveux
et de drainage des matériaux septiques et toxiq
enir sérieux dans le traitement de certaines affections des centres
nerveux
. La modération de ces conclusions qu'on sentait
eur puisse heureusement agir sur leur état mental et sur leur tenus
nerveux
, c'est-à-dire les excités dans une cham- bre bl
ellectuel assez précoce ainsi qu'à la faiblesse irritatde dus lénie
nerveux
. Parmi les accidents moteurs, on observe presque
ais aucun membre de celte famille n'avait eu d'all'edions mentales,
nerveuses
ou la syphilis. Durant la grossesse, la mèreava
esse, la mèreavail eu beaucoup d'ennuis. Elle lotaiL une femme très
nerveuse
, mais en aucune façon hys- térique ou irritable
es probablement à quelque déraul dan 1p dl"\('l°l'Iw- ment du tissu
nerveux
, .le pense que ces quelques brèves noies seront
e son ! d'un 1)1'(]le Lout spéciaJ pl sont homologues aux accidents
nerveux
p('riplu>l'Ïques, : ;i fl'Í'quem Illent ohsP
dinairement labétiques. Que, dans la plupart des ca ? le phénomènes
nerveux
, surtout au il( ? but, masquent les troubles pu
de la ('(donne venlubralc rln rôle où porte le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 397 poids du rnrp·. et au déplacement de la ve
ntes et des dégénérescences rétrogrades. Chez une femme il hérédité
nerveuse
manifeste el quatorze mois. après une fracture
du bégaiement à mesure que le besoin de \fI)a- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 39U ertlipuruil. I : uliu lu mutimne 'in·lallt
tions d'assurance ? M. (j'piue adl11eL IJn't'll REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4U1 l'espèce le rapport de causalité doit être
tou- lnclnvES, 2° série, 100,ï, t. Y. 20 402 REVUE DU PATHOLOGIE
NERVEUSE
. IL,,fois de celle-ci. L'attitude surtout est t
1° Une r preccre écritc siirT'anatomie et laphxsiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé lrois lu : nres;
. Vol XX Décembre 1905 N" 120 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
Sur la pathogénie des altérations médullaires
par la cy- AncmvES, 2' série, 1005, ) t XX, 27 418 ' - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. phose ou par simple dislocation, fracture ou l
premiers à soutenir cette théorie mécanique osseuse des phénomènes
nerveux
survenant dans lé mal de Pott, insiste sur l'or
la pachyméningite. A travers la dure-mère et les gaines des racines
nerveuses
qui la ' traversent, l'inflammation se propage
sFcr. Pathologie uni Thérapie 'X ! ,[). : 3 ? 1S7G 420 pathologie
nerveuse
. matoire : lui aussi admet que la compression e
L'irritation que la compression exerce sur les éléments du tissu
nerveux
. Enfin, il paraît aussi indéniable que, dans ce
dans l'espace épispinal ; la lymphe qui stagne détruitles fibres
nerveuses
de la moelle d'autant plus facilement qu'il s'a
is qu'il peut y avoir aussi une lésion mécanique directe des fibres
nerveuses
parla com- pression ; celles-ci alors offrent u
empêcher le retour de la lymphe et produire une lésion des éléments
nerveux
; ainsi s'expliquerait l'aug- mentation de volu
lytiques, en admettant quc dans ces cas la destruc- tion des libres
nerveuses
se fait en foyers dans les par- tics centrales
s les par- tics centrales de la substance blanche. 422 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La nouvelle théorie de Kahler. qui, même en ad
bei Karies der \Vir belsaule. 1'iesbaUcn. 1890. 424' t PATHOLOGIE
NERVEUSE
. produite par une dislocation lente ou subite d
RES. 427 tion capables de déterminer la dégénération des éléments
nerveux
, moins peut être par un processus mécanique dir
que le rôle le plus important, le plus fréquent t - 128 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et le premier en date dans la production des l
cas, du facteur mécanique de la compression directe des éléments
nerveux
. Mais il ne faut pas oublier, ainsi que l'ont fai
erviennent conjointement pour amener la dégé- nération des éléments
nerveux
, dans des proportions toutefois d'importance va
me, présentait les caractères histologiques d'oe- dème des éléments
nerveux
déjà décrit par Kalher et Schmaus. Pour la plup
(2) WEs'n'HAL. )'c/ ! tf./)i)- Psychiatrie. 1898. 430 0 pathologie
nerveuse
. qu'il ne devrait pas arriver à la moelle plus
les plus petits espaces lymphati- ques siégeant dans le parenchyme
nerveux
proprement dit. Or 1 ? csLa (Le.) ne croit pas
ns veineuses qui sortent de la moelle et de la pie avec les racines
nerveuses
, mais soit à cause de la petitesse de ces rami
ré. suffit à rendre invraisemblable cette hypothèse. 432 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Dans l'élude de ses 20 cas, il a trouvé seulem
cas, il a trouvé seulement dans les cas de forte perte en substance
nerveuse
une dilatation dans le domaine du système lymph
ons du système lymphatique spinal, et c'est par elle que les libres
nerveuses
, les cellules et la névroglie subissent la dégé
) n'exerce pas. selonFicklcl', une action délétère sur la substance
nerveuse
; cette dilatation et cette stase initiales s'ex
processus de destruc- tion de la masse tumorale ou de la substance
nerveuse
même n'a pas été accueillie avec faveur. Mais
assez important et assez fréquent dans la dégénération des éléments
nerveux
; " (1) Endeiuien. Deutsehe Zcitsehri¡t sur Chi
I. pu»-. 539 Archives, 2" série, t005, l. XX. , 28 434 pathologie
nerveuse
. , Contrairement à l'opinion de Schmaus, une ca
est presque exclusivement caractérisée par l'infiltration du tissu
nerveux
par des traînées d'é- léments inflammatoires pr
s. Société de Neurologie, séance du 18 avril 1901. 436 - pathologie
nerveuse
. il s'agissait dans ce 'cas de mal de Pott dors
'ott, pour la production des faits dégéné- ratifs de ' la substance
nerveuse
ne laisse pas que d'être hypothétique et loin d
uleux peuvent produire des phénomènes d'in- toxication de l'élément
nerveux
, ils ne produisent pas d'altérations de l'éléme
l'élément nerveux, ils ne produisent pas d'altérations de l'élément
nerveux
appréciables par les techniques histologiques q
h dans la méningite tuberculeuse et dans la tuberculose des centres
nerveux
, 1903. 438 PATHOLOGIE NERVEUSE. bles circul
et dans la tuberculose des centres nerveux, 1903. 438 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. bles circulatoires d'ordre mécanique, l'action
e l'oedème collatéral inflammatoire, soit directement sur l'élément
nerveux
même. Si on admet cette hypothèse pour ces cas,
à donner au mot de myélite, la difficulté de décider si une lésion
nerveuse
, comme le ramollisse- ment, est produite par de
faire effort ; apparition d'une eschare fessiere. 440 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Septembre. La rétention disparaît et t'ait, pl
l'aiÍIm dl's lihres n ? 1 pas eOlllpll'lt', c'esl-à- 442 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dire à la périphérie de la moelle, il existe u
is, entre ses mailles, de nombreux vides correspondant à des libres
nerveuses
détruites Les vaisseaux,autant dans le sillon a
ontrées dans la coupe précé- dente : la plus grande perte en fibres
nerveuses
se trouve ici dans les cordons antero-tateraux
ées parmi ces ,ides, on observe un nombre encore abondant de libres
nerveuses
normales, bien -conservées, el des nombreuses m
pale. > <- . Dans les cordons postérieurs, la perte en libres
nerveuses
esl moins forte, les mailles vides de la'névrog
dilatation et renflement des mailles de la névroglie et des libres
nerveuses
décrit dans les cordons antéro-tatéraux. Des co
ut abondants dans le cordon antéro-latéral, et de nombreuses fibres
nerveuses
tuméfiées en pleine dégénération, disséminées s
liféree el les septa épaissis dans les points où la perte en fibres
nerveuses
est très inlense ; dans d'autres points où cell
e diminue toujours de plus en plus dans les segments 444 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lombaires supérieurs et disparaît dans les inf
la substance blanche avec phénomènes de tuméfaction des éléments
nerveux
) peuvent relever de plusieurs -causes. SUR L4 P
rès probablement relève plus de la perte centrale complète en tissu
nerveux
que de l'action directe de la compression ; en
tteint un degré encore très considérable et où la perle en fibres
nerveuses
est moins forte, la moelle, bien que présentant
ée au-dessous du point oil la lésion est au maximum, 446 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. montre que, à côté d'une perte diffuse en fibr
supérieure, à la périphérie de laquelle il existe encore des fibres
nerveuses
en abondance, et dans les segments immédiatemen
oelle, sont d'aspect normal. Tuberculose pulmonaire. 448 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lÙ'Il/ncn histologique : Le gros noyau central
l dans la partie interne des cordons latéraux où la perte en libres
nerveuses
est au maximum, il existe une légère pro- lifér
ans les cordons A nCntvr.s, 2° scric. t. l\. 2a 4.GU ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. postérieurs, desdegenerations qui, sans être f
ées de la moelle lU1l1 ho-a- cree montrent une diminution en libres
nerveuses
, beaucoup de libres grêles ; auGieaoti une légè
inflammatoire. Dans la moelle, à côté d'une raréfaction des fibres
nerveuses
, il existe très nettement, encore plus accentué
i marks V('1/7 ul, Cellt7'.1blntt, 12° : 3, S. 331. 4tS2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cas précédent, des phénomènes d'oedème des élé
GIE NERVEUSE. cas précédent, des phénomènes d'oedème des éléments
nerveux
(dilatation diffuse des mailles né vrogliqucs, re
issement, mais sous la formc d'une perte discrète diffuse en libres
nerveuses
. soit par- ce que les artères méningées,radicul
plus saillante n'est pas ici représentée parla diminution en fibres
nerveuses
, mais parles phénomènes d'oedème due la moelle.
l/>'Ologisclles Centrnhlatt, 1902, n° 10, p. 438. 454 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rieures amenant l'ischémie et la diminution te
constate dans les zones dégénérées une simple diminution des libres
nerveuses
, beaucoup de libres qui se colo- rent mal, et,
substance blanche constituées par une sim- ple diminution en fibres
nerveuses
; les lésions diffuses, qui se retrouvent avec
oubles circulatoires, que par action mécanique directe sur le tissu
nerveux
. Les lésions diffuses de la substance blanche d
vec la bande opposée un mince triangle ou les fibres 402 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sont pour la plupart conservées : une prolifér
rent sous deux formes : d'une part sous la forme de perte en fibres
nerveuses
qui, dilfuse à toute la moelle, est toutefois p
érieur s;d'autr e part sous la forme d'oedème des éléments du tissu
nerveux
qui frappe surtout les parties centrales des co
te, et qui peut bien présenter des phénomènes d'oedème des éléments
nerveux
. La limitation de tout phénomène inflammatoire
e l'action de la pachyméningite et que la perte dif- fuse de fibres
nerveuses
n'est, peut-être, que la suite de l'oedème de l
en la moelle, écartent, enell'et, l'hypothèse que la perte en libre
nerveuse
relève de faits ischémiques ou de la compressio
téral inflam- matoire que par une action directe sur les éléments
nerveux
. Ce sont ces cas qui donnent à penser que, même
men histologique du cerveau fit constater des lésions des 'cellules
nerveuses
et l'absence de toute lésion vasculo-conjonc- t
R. BIBLIOGRAPHIE 11 ? Les écrits et les dessins dans les maladies
nerveuses
et F mentales ; par le D''RûGUES nE 1 URAC. O
s. Dès le début, il se consacra à l'étude des affections du système
nerveux
. Interne des asiles d'aliénés de la Seine, où i
GIE et de la psychiatrie. Cours de CLINIQUE des maladies DU système
nerveux
. M. le ! )''UAYMONn a commencé le cour» de clin
uervew, il. le ])' Ctaudt : : Séméiologie des ma- ladies du système
nerveux
, M. le Dr Ll'jonne; llisLologie normale et path
ux, M. le Dr Ll'jonne; llisLologie normale et pathologie du système
nerveux
, M. le Ur Alquier ; Psvcho- loiiic clinique, M.
nces complémentaires. 500 varia. Clinique des maladies DU système
nerveux
, (il. le Prof. 1 ? IIAYMOVD. Cour'; conaplétcnr
1'0\\ n-SequaI'l1 et de la queue de chenal. Tuberculose des centres
nerveux
. Syphilis des centres nerveux. Paralysie généra
ue de chenal. Tuberculose des centres nerveux. Syphilis des centres
nerveux
. Paralysie générale. Atrophie musculaire progre
var- din et Varay, p. 483. - Carcinome secondaire des cen- tres
nerveux
avec présenta- tion de pièces, par Sabrazès,
4. psy- chique fonctionnelle, par Van Vlenten, p. 317. Cellules
nerveuses
. Voir l'isel. Nouvelle méthode de colora- tio
-. Voir Fibres ne) ? e1lses. ? . Voir Ra11lon. -. Voir Cellules
nerveuses
. Commotion médullaire.^ Para- lysie des membr
ix. Extatique. Voir Obsédé. Facultés mentales. Voir 8111,- tème
nerveux
. - Faisceau longitudinal info- rienr, Pat' \r
, 492.. Fatigue. La - suggérée, par Verjnollc, p. 380. Fibres
nerveuses
. Contribu- tion it la méthode de colora- tion
Contribu- tion it la méthode de colora- tion des - - du système
nerveux
central, par Kat- sowslw, 11 : 1. Folie de la
t épilepsie. Drame de la -, p. 2o3. meur- trière, h. 502. FoncE
nerveuse
. Des niodifica tions que subit la - - rcla- t
wald à Ahrweiler, par Maere, p. 487. Maladies. Prévention des
nerveuses
ou mentales dans l'armée par Granjux, p. 188.
ales, par Nissl, p. 388. Les écrits et « les des- sins dans le, -
nerveuses
et mentales, par Rogues de j<'urac; p. 49
de la - et de la psychiatrie. Clinique des maladies du système
nerveux
par Ray- mond, p. 499. < , XEUROXAL. Reche
Nissl. Une variante dans la méthode de coloration des cellules
nerveuses
de -, par Piewnitzki, p. 113. Noircissures ar
quec ! pa ! hng(''nt('d(')n parTtiomasctHauser,}]. 322. Système
nerveux
. Voir Fi- bi es. Les relations du a\ ce les f
NEUROLOGIE ARCHIVES NEUROLOGI REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES FONDÉE par J.-M. CHARCOT & BOUR
groupe, en se basant sur de (1) MAGNAN.- Recherches sur les centres
nerveux
, 2° série, 1893, 499. DE LA FOLIE MANIAQUE-
ircularité n'était pas une loi du fonctionne- ment de notre système
nerveux
, si nous n'étions pas tous, quelque degré, des
sible. A ces phénomènes spasmodiques, se joint un léger tremblement
nerveux
, qui s'amplifie également sous l'influence des
l est satisfaisant, le sujet est grand, fort, bien portant, quoique
nerveux
et impressionnable. Tous les traitements essa
Prof. Pierret entre autres, à régulariser l'écoulement do la force
nerveuse
, de la canaliser. Pour obtenir ce résultat, il s'
ctuellement, à mettre en évi- i- dence les altérations des cellules
nerveuses
(substances chroma- toltlmle et ncurolibrilles)
stine ont recherché les altérations cada- vériques dans lescellules
nerveuses
de l'homme et des animaux, d'une à 200 heures a
omo-clinique, qui a déjà donné tant de résultais dans la pathologie
nerveuse
. Pour obéir à ce desideratum, 3131. Gilbert Bal
dieuse. De même, le mode do réaction symptomatique de la rcl- lule
nerveuse
est fonction de l'hérédité, de la prédisposition
008.) Cas de tumeur cérébrale chez une femme de 40 ans à hérédité
nerveuse
. Cliniqucment, la malade présenta des phénomène
use. Ces nappes ne sont interrompues que par des traînées de fibres
nerveuses
en fascicules. Cette observation concourt à l'é
èrement liée par sa sé- crétion interne à la nutrition des éléments
nerveux
, par son siège spécial près des centres psychiq
s, par ses étroites rela- tions physio-pathologiques avecle système
nerveux
central, est sans doute la glande plus propre à
ue l'hypophyse ait aussi des propriétés hypnotiques sur les centres
nerveux
, hypothèse d'ailleurs confirmée dans certains c
mblablement doit *-on origine à l'intoxication initiale des centres
nerveux
par un pervertissement fonctionnel de l'hy po-
ond parfaitement à son action trophique antitoxique sur les centres
nerveux
. 38 REVUE d'anATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
ême au microscope on ne puisse trouver aucune altération du système
nerveux
de l'écorce, dos pédoncule ou des faisceaux pyr
scence graissseuse du foieet du rein, la clroniatolyse des cellules
nerveuses
, lésions habi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 4
ation des conclusions sui- vantes. Le diabète produit des accidents
nerveux
et mentaux. Tous les symptômes qui constituent
tique siégeant simul- tanément sur les diverses régions des centres
nerveux
, qui peu- vent produire les svmptômes 'de la pa
ême organisme où a commencé le processus destructif dans le système
nerveux
central, des conditions par- ticulières inconnu
nopause et comprimant le chiasma. Alcoolisation locale des troncs
nerveux
. )1.)I. Brissaud, Picard et'fAHON ont pratiqué
ont pratiqué des injections d'alcool stovainé au contactdes troncs
nerveux
pour névralgie du trijumeau et pour spasme faci
ble essentielle, et non s5-mp- tomatique d'une affection du système
nerveux
. Cependant un début d'atrophie de la langue lai
de la tumeur. SOCIÉTÉS SAVANTES. 49 Les transformations du tube
nerveux
. 11. ])URANTE. -Tandis que la théorie du neuron
11. ])URANTE. -Tandis que la théorie du neuroneassimilela fi- bre
nerveuse
à une cellule mésodermique perforée par le cylind
, conjonctive, myxomateuse, graisseuse, etc. Fréquence des maladies
nerveuses
chez les Arabes. M. Dumollard rapporte des stat
. Dumollard rapporte des statistiques pour prouver que les maladies
nerveuses
, sauf peut-être la P. G., sont aussi fréquentes
stant ayant trait aux questions d'hérédité des maladies mentales ou
nerveuses
: ce matériel sera ensuite complété par sa libr
ie pas de notation spéciale (voir Dé,jerine, Anatomie des centres
nerveux
, I, fig. 180, p. 294 et 181, p. 299), et qui se
le sillon prérolandique, lequel, d'après Déjerine (.4. des Centres
nerveux
, 1 p. 252), « n'at- teint qu'exceptionnellement
ean GAL ! : XOSKt. Le fond de l'oeil dans les affections du système
nerveux
. Thèse de Paris, juin 1904. 100 , CLINIQUE ME
croLoistes,c'est-à-dire tous ceux qui aiment et étudient le système
nerveux
de l'homme. Trop longtemps les médecins, raison
dir le plus possible le fonctionnement normal et morbide du systeme
nerveux
, garantir leplus possible la société contre l'e
sible la société contre l'envahissement progressif par les systèmes
nerveux
anor- maux, guérir ou tout au moins soulager le
r ou tout au moins soulager le plus possible les malades du système
nerveux
. Ce n'est pas trop de l'effort combiné de tous
vailleurs du système ner- veux basée sur l'unité même de ce système
nerveux
. Il m'a paru utile d'affirmer et de développer
plus spécialement aux questions, si éminemment sociales, du système
nerveux
. Et, comme votre Président est condamné par l'i
rer une fois de plus devant vous 1 unité de la science du système
nerveux
de l'homme, étudié à l'état normal et pathologiqu
érie comprend les recherches faites sur le cadavre dans les centres
nerveux
eux-mêmes, dans environ 100cas oùlamortavaitété
sang d'un certain nombre de sujets atteints d'affections du système
nerveux
(méningite chronique, con- fusion mentale, déme
nce des modifications du sang par rapport à l'énormité de la tare
nerveuse
et à l'intensité des lésions et des troubles fonc
à l'intensité des lésions et des troubles fonction- nels du système
nerveux
. Sans doute, les causes morbigènes qui peuvent
ectieuses ou to- xiques, exercent leur influence et sur les centres
nerveux
et sur la crase sanguine ; aussi n'est-il pas s
modifications du sang, imputables il ces causes plutôt qu'à la tare
nerveuse
contemporaine, et variables avec elles (paludis
ur propre compte sur sa composition, plus puissam- ment que la tare
nerveuse
(cardiopathies, brightisme, tuber- culose, etc.
et à l'équation personnelle. En somme, je crois que bien des tares
nerveuses
une fois acquises ne troublent pas d'une façon
, contrairement à l'opi- nion soutenue par M. Dide, que les centres
nerveux
se suffi- sent à eux-mêmes dans la défense cont
soit les cellules névrogliques qui interviennent quand la substance
nerveuse
est impliquée dans des inflam- mations lentes o
es du tréponème, faites par M. Queyrat et par moi, dans les centres
nerveux
et dans les méninges de plusieurs paralytiques
dre succès, le tréponème pâle dans le sang et au niveau des centres
nerveux
d'un sujet qui a succombé à une méningo- myélit
, et dans ses trois sortes de lésions diffuses : lésions du tissu
nerveux
, lésions du tissu névroglique, lésions des vais-
rophie n'atteint pas le même degré. B) Etude histologique. 1° Tissu
nerveux
, a) Les cellules nerveuses s'atrophient et disp
e degré. B) Etude histologique. 1° Tissu nerveux, a) Les cellules
nerveuses
s'atrophient et disparaissent : le nom- bredes
pro- longées (alcoolisme chronique, urémie, etc.). b) Les fibres
nerveuses
peuvent être toutes très dimi- nuées de nombre.
elle est surtout relative et résulte de la diminution des éléments
nerveux
. Les noyaux qui entourent certaines cellules ne
n des éléments nerveux. Les noyaux qui entourent certaines cellules
nerveuses
en voie de destruction ne jouent nullement le r
du tissu dans les espaces laissés vides par l'atrophie des cellules
nerveuses
. b) La prolifération des fibriles névrogliques
s,dont un personnel). Les mêmes lésions des cellules et des fibres,
nerveuses
et névrogliques, peuvent être observées dans l'
ltérations des vais- seaux. Les scléroses diffuses et les atrophies
nerveuses
de la sénilité sont dues sans doute à l'action
t l'altération des vaisseaux. L'atrophie des cellules,et des fibres
nerveuses
en par- ticulier, semble être l'aboutissant dir
xistence ; la sénilité et la dégénérescence atrophique des cellules
nerveuses
seraient ainsi la conséquence de multiples état
toxique, de désintégration et d'atrophie des cellules et des fibres
nerveuses
. ' 2° Les petites lésions en FOYER DU cerveau s
une « encéphalite destructive avec corrosion excentrique du tissu
nerveux
», mais aussi la résorption d'une hémor- rhagie
r cause la prédominance d'une désintégra- tion progressive du tissu
nerveux
avec prolifération né- 110 CONGRÈS DES MEDECI
rio-sclérose, mais non oblitérées. L'intensité de la désintégration
nerveuse
sur- tout des fibres tangentielles et de la pro
rophie et la dégénérescence des cellu- les cérébrales et des fibres
nerveuses
ils peuvent appa- raître précocement, commme la
La lésion des cellu- les cérébrales est indiscutable. Les éléments
nerveux
sont altérés qualitativement et quanti ta Li ve
rébrales très différentes, que l'on pouvait considérer la cel- lule
nerveuse
et la cellule névrogliqùo comme des soeurs en-
re occasion morbide. La maladie diminue la résistance de la cellule
nerveuse
, exalte, au con- traire, l'activité de la cellu
isme, des paralysies ou des contractures, a certainement un système
nerveux
plus touché que la jeune fille chez laquelle on
'irresponsabilité de l'hystérique avec trou- bles graves du système
nerveux
est déjà pratiquement recon- nue. Lorsqu'un dét
le fond de l'hystérie, c'est un trou- ble de l'équilibre du système
nerveux
. On trouve toujours,en effet, chez elle des dim
c, Le pronostic et le traitement de cer<a'ne maladies du système
nerveux
. 11, P. Joire, professeur à l'Institut Psycho -
ument qui permet de constater et de mesurer les troubles du système
nerveux
dans un certain nombre de maladies, Quand on
ui varie chez l'homme sain et dans les diverses maladies du système
nerveux
. M. Joire a démontré que ni la chaleur, ni la l
st variable suivant que l'on a affaire à des sujets dont le système
nerveux
est déprimé, ou à des neurasthéniques, à des hy
s histologiques sur l'origine et le mode de formation de la cellule
nerveuse
dans la moelle épi- nière et dans la protubéran
remières phases du développement une distinction entre les éléments
nerveux
elles éléments de soutien : tousles éléments de
e nombreux neuroblastes, entre la 60° et la 65° heure. Les fibres
nerveuses
périphériques sont dues à la transforma- tion d
parallèlement à cette migration, a lieu l'apparition des fibrilles
nerveuses
dans la moelle et dans la protubérance. Les rap
la moelle et dans la protubérance. Les rapports entre les éléments
nerveux
s'établis- sent à la suite de la formation des
nts nerveux s'établis- sent à la suite de la formation des cellules
nerveuses
. La cellule nerveuse se développe aux dépens d'
sent à la suite de la formation des cellules nerveuses. La cellule
nerveuse
se développe aux dépens d'un neuroblaste unique
ion cérébrale..1. Séglas. XII. - Le mode de formation de.la cellule
nerveuse
dans les ganglions spinaux du poulet ; par CARI
ment de travaux anté- rieurs sur le mode de formation de la cellule
nerveuse
dans la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
érance des embryons de poulet. L'étude de laformation de la cellule
nerveuse
dans les ganglions spinaux a été faite sur les
e 1.) La méthode de Donaggio est basée sur ce fait que les fibres
nerveuses
, dans la première phase de la dégénération primai
r les erreurs de mé- moire..1. S. XV. Le développement des fibres
nerveuses
périphé- riques et centrales dans les ganglions
ganglions spinaux et céphaliques se différencient dans les chaînes
nerveuses
et sensitives seulement vers la fin du troi- si
rencie, en se recouvrant d'un manteau fibrillaire ; 9° Les libres
nerveuses
centrales dérivent des prolongements ncuroblasL
organes sont. dès l'origine, réunis matériellement avec le système
nerveux
central. Ce travail, extrêmement intéressant, e
du texte. J. Séglas. Y'I. - Recherches sur la coloration des fibres
nerveuses
fit la phase initiale de dégénération primaire
ration primaire et secon- daire, systématique où diffuse du système
nerveux
cen- tral ; par ARTURO Donaggio. (In Rivista sp
mené les au- teurs à considérer la dégénération primaire des fibres
nerveuses
comme d'origine toxique. Les lésions systématiq
sa méthode au bichromate de potasse, émet l'opinion que les fibres
nerveuses
, dans la première phase de la dégénération prim
être d'un grand secours dans l'anato- mie pathologique des maladies
nerveuses
et mentales. J. Séglas. - Atrophie cérébrale
al et de Donaggio, a u qu'il y a un rapport identique dans le tissu
nerveux
des animaux adultes, entre le nombre des fibrille
tra, 1904. Vol. XXX, fascicule Il, 111.) Les altérations du système
nerveux
dans l'acromégalie ont attiré l'attention des a
otopie. Ce développe- ment doit se faire au moment où les ganglions
nerveux
entrent en connexion avec les parois du canal m
um fibrillaire endo-cel, lulaire et sur le cylindraxe de la cellule
nerveuse
des vertébrés ; les différentes méthodes de col
um péri- phérique basées sur l'action de la piridine sur le tissu
nerveux
; par ARTltRO Donaggio. (In Rivista sperimentale
me de nature névrogliqùe. Plus tard, Cajal, loinde considérer comme
nerveux
les filets du réticulum péricellulaire, les con
eures, et traitement variable des corps suivant le point du système
nerveux
dont on s'occupe. B. Coloration DU réticulum fi
iculum péricellu- laire. E. Coloration DES cylindraxes DES fibres
NERVEUSES
CEN- TRALES et PÉRIPHÉRIQUES. - Mêmes procédés
ement cylindraxile. - Le prolongement z nylinclravile de la cellule
nerveuse
des vertébrés vient du reticu- lum fibrillaire
XXVIII. Sur la- manière de faire un examen objectif des troubles
nerveux
dans les traumatismes; par LoRsrNwo Rossi. (in
tion des lésions des fibres descendantes dégéné- rées de la cellule
nerveuse
, à travers la substance grise spinale, les nerf
re dont s'établissent les rapports réciproques entre les éléments
nerveux
embryonnaires et sur la formation du réti- culu
bryonnaires et sur la formation du réti- culum interne delà cellule
nerveuse
; par Carlo 11EST.\. (In Rivista di- Freniatria,
bien déterminée, marquant l'apparition des fibrilles dans le tissu
nerveux
, etla formation du réseau dans son intérieur.
té aveclesneuroblastes, el il en résulte la for- mation d'un réseau
nerveux
continu dans le tube médullaire. Chaque neurobl
réuni à un autre neuroblaste plus ou moins éloigné. 4" La cellule
nerveuse
n'est pas une unité embryologique. Kilo se form
unité embryologique. Kilo se forme à partir du moment où le réseau
nerveux
est constitué par une différenciation des nouve
présente sans aucune régularité ; lÕ4 REVUE liE Y : 1'CHOLO.iII,
NERVEUSE
. 2° La qualité du travail va en diminuant (nec
début de l'année d'enseignement. .1. Séglas. lieue DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
1. -- Le Tic hystérique ; par 3131. Pitres et C
esse lui-même brusquement huit jours avant le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 155 retour des règles absentes depuis si mois.
atomique elle réalisait un type mixte à lésions à la fois spinales,
nerveuses
et musculaires. De ces rapports entre les forme
prédomine tantôt sur le centre trophique. tanlôt sur le conducteur
nerveux
, tantôt sur le muscle, et qui dans d'autres cas
oint reste douteux : c'est celui de savoir les lésions des éléments
nerveux
sont primitives, ou si elles sont secondaires il
es altérations vasculaires. Pour l'auteur, les lésions des éléments
nerveux
succèdent à un processus d'altération des vaissea
. Contribution à l'étude du réseau endocellulaire dans les éléments
nerveux
des ganglions spinaux par le procédé de Korsch)
n Gehuchten. Considéra- tions sur la structure interne des cellules
nerveuses
et sur les annexions anatomiques des neurones.
e l'aspect externe des prolongements protoplasmatiques des cellules
nerveuses
colorés par le bleu de méthylène. 6° A Van Gehu
à l'étude des voies olfactives ; - '.)° Albert 3licliotte. La libre
nerveuse
et sa bifurcation dans les ganglions spinaux (m
liotte. Contribution à l'élude de l'his- tologie fine de la cellule
nerveuse
; 12° A Van Gehuchten. La poliomyélite antérieu
ain. Prix : 15 fr. LlLU' ! (Paul). Des anesthésies psychiques dites
nerveuses
ou hystériques. Etude historique, clinique, exp
ES SUR LE T11.11T1 : >ILN T DU L'ÉPILEPSIE, 169 170 CLINIQUE
NERVEUSE
. de régime sans sel et sans bromure, donne dans
u, qui devient plus nuisible qu'utile en supprimant la réac- tion
nerveuse
nécessaire. Nous ne préconisons donc pas l'inst
également le plus souvent aux adolescents de Hi à 18 ans. CLINIQUE
NERVEUSE
Un cas de compression de la moelle avec des p
de 111. le Professeur 1), Mal'ineseo, Chef du service des maladies
nerveuses
de Bucarest. L'étude des compressions médullair
nel, ou encore si tels autres traduisent une lé- sion des faisceaux
nerveux
. Nous nous sommes heurtés il cette difficulté q
mités do flexion et d'extension dans les genoux. \ 172 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les mouvements passifs dans toutes les jointur
du rachis. Paraplégis spasmodique ; laminectomie. 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. la spasmodicité, avec clonus et extension des
ors de l'entrée à l'hôpital. ATHETOSE DOUBLE. 193 L'affection
nerveuse
de l'enfant étant de suite reconnue, en dépit d
ons que c'est la première fois que la malade prend de telles crises
nerveuses
, que sa mère est hyste- rique et qu'elle avait
ans. Conclusion ? De tout cela résulte qu'il s'agissait de crises
nerveuses
de forme liystéro-épileptique. Seulement on peu
MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 107 crises, ou bien si l'état
nerveux
(par hérédité) de son or- ganisme fit arrêter e
e lui paraîtra diffi- ficileou dangereuse, peut, si elle est un peu
nerveuse
, perdre une partie de ses moyens. L'examen cl
ettre, n'a-t-il pas simplement actionné et orienté vers les centres
nerveux
une syphilis en évolution qui sans lui les aura
résence de la choline dans le sang au cours des maladies du système
nerveux
. M. Clause. - Des recherches récentes ont attri
uide céphalo-rachidien des mala- des atteints de lésions du système
nerveux
, d'un corps qui a été regardé comme de la choli
e. L'examen histologique montra, outre les lésions des cellu- les
nerveuses
, une extraordinaire activité de la prolifération
t pas de virus rabique, mais d'un microbe pathogène pour le système
nerveux
. On comprend donc la nécessité des inoculations
l'oxygénation des cellules dans l'inti- mité des tissus. Le système
nerveux
est l'élément noble de l'organisme, car c'est l
ces sont les éléments les plus sensibles, c'est-à-dire les cellules
nerveuses
. Que le système nerveux vienne à souffrir, la m
us sensibles, c'est-à-dire les cellules nerveuses. Que le système
nerveux
vienne à souffrir, la machine hu- maine sera «
feront qu'augmenter de plus en plus. L'action du fer sur le système
nerveux
est rendue plus ma- nifeste par l'etude de l'hi
amènent une aggra- vation des symptômes d'excitation chez certains
nerveux
déjà surexcités, par exemple, les hysteriques,
n de la médication martiale dans les différents genres d'épuisement
nerveux
: « Il n'y a, dit- il, de règle absolue que pou
riquesou alimentaires ; 2» Tous les genres d'épuisement musculaire,
nerveux
, secrétaire ». Axenfeld et Huchard recommandent
s, les ferrugineux et les toniques. » Dans le Traité des maladies
nerveuses
de Kraft-Ebing, je lis : « Vu que nous ne conna
ments chimiques les plus subtils qui se passent dans notre système
nerveux
et qui sont peut-être la cause de la neuras- th
ontraire facilitent la régularité des selles. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 217 Nouvelle méthode de 1'ééducation de la mar
la paralysie géné- rale, par A. Marie. Appréciation des troubles
nerveux
au moyen d'un appareil nouveau, le sténomètre,
n appareil nouveau, le sténomètre, par Joire. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
Vit Les micromélies congénitales. Achondroplasi
mvxoedémateux, le rachitisme. L'infection 21S REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et l'intoxication sont des causes également pl
tres négalives. Laconstante positive est due à l'action des centres
nerveux
; les deux constantes négatives sont le résulta
e qui traduit l'action excitante de cette substance sur les centres
nerveux
. L'ingestion de sucre, qui est un aliment de pr
et partant une augmentation de la force mus- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 219 culaire. Sous l'influence de la caféine, t
e cette substance n'est pas un aliment, mais un excitant du système
nerveux
qui permet une meilleure utilisation des réserv
de ces paramètres pourra donc être utilisée à l'avenir en clinique
nerveuse
pour reconnaître l'origine et le siège des ma-
A un examen plus attentif, on trouve des signes d'hystérie : crises
nerveuses
anciennes ; actuellement, large pla- que d'anes
'une époque récente ; leur intérêt clini- 220 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que et pathogénique est bien établi par les re
, telle que le véritable tic douloureux de la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 221 face, il est indiqué aujourd'hui de procéd
n faire un très grand nombre afin de détruire la plupart des filets
nerveux
du triju- meau et surtout agir par choc en reto
x du triju- meau et surtout agir par choc en retour sur les centres
nerveux
toujours malades dans ces cas ; au ne recourir
de la Salpêtrière, 1905, ne /1.) 11 n'existe pas entre les maladies
nerveuses
familiales des li- mites bien tranchées, on ren
nier syndrome qu'ils le désignent sous le 222 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nom, plus général cependant, d'affection spast
es seraient dues à la prédominance fonctionnelle de certains filets
nerveux
voisins, dans les efforts spontanés de sup- plé
as un vain mot), l'allure spéciale de l'acci- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 223 dent qui l'amène. D'après L3abinsl : i, le
uses convulsives épileptiformes. L. Wahl. 224 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - Le syndrome myoclinique ; Iiucx,aD et N.Fies
lonique comprend les affections suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 225 considérer ni comme étant simplement des l
é Archives, 2, série, 100G, t. XXII. 15 220 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. psychique. Absence de syphilis dans l'ascendan
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures aux
ire concernant l'or- ganisation pathologique congénitale du système
nerveux
, les cas de folie gémellaire soulignent et font
llaire. Mais encore une fois, là où il n'y a même pas tare purement
nerveuse
, les jumeaux issus des parents les plus proches
de demi-rémission d'une durée peu longue, amenéespar l'épuisement
nerveux
dû à l'énorme dépense d'influx. Eh bien ! chez no
t pour sujets les ambulatoires et les sanatoriums populaires pour
nerveux
. Citons un rapport 'de M. Ellero sur les asiles u
us avons fait nous-même un long rapport sur l'hospitali- sation des
nerveux
, où nous avons montré l'intérêt qu'il y au- rai
êt qu'il y au- rait à organiser des sanatoriums populaires pour les
nerveux
, que l'on devrait édifier dans des endroits pro
grès émet le voeu de voir organiser des sanatoriums populaires pour
nerveux
, édifiés dans des endroits propices, ouverts à
nombre de connaissances assu- rées à propos des causes des maladies
nerveuses
et mentales et en général de la dégénération hu
nt coordonnées ; Considérant que la vie moderne, usant le système
nerveux
, a augmenté énormément et menace d'agrandir enc
croyons devoir reproduire. '1. - Des anesthésies psychiques dites
nerveuses
ou hystériques; Par le Dr Paul GLU ? (U. Doin,
apporte longuement plusieurs observations clini- ques d'anesthésies
nerveuses
et iladmel que cette anesthésie ner- veuse est
us étions, ont t toujours pensé que l'étude des maladies du système
nerveux
élait du ressort des uns et des autres. M. Solf
sont morts à un âge avancé, ils n'étaient pas atteints de maladies
nerveuses
. Son père est mort à 77 ans ; alcoolique, il ét
ladies nerveuses. Son père est mort à 77 ans ; alcoolique, il était
nerveux
, irritable, sujet à de fréquentes colères, vite
es, vite passées du reste. Mère morte à 74 ans, non alcoolique, pas
nerveuse
. Pas d'antécé- dents nerveux signalés dans la f
morte à 74 ans, non alcoolique, pas nerveuse. Pas d'antécé- dents
nerveux
signalés dans la famille, tant du côté paternel
3 soeurs. Une soeur est morte à 27 ans, elle toussait, n'était pas
nerveuse
. Les survivants sont bien et pas plus que leurs
e Donaggio des lésions du réticulum neuro-fibrillaire de la cellule
nerveuse
dans l'inanition expérimentale ; par Riva. (Riv
ans la majorité des cas limité en principe aux vaisseaux du système
nerveux
cen- tral. Par sa diffusion sur la pie-mère, il
de la leplo- méningile el consécutivement l'altération des éléments
nerveux
. Les lésions anatomo-pathologiques rencontrées
XL1. - Sur la présence des corpuscules à l'intérieur des cellules
nerveuses
spinales dans l'inanition expérimen- tale ; par
corce en profondeur. G. Deny. XLIV. Sur la nucléole de la cellule
nerveuse
; par .Ion. G. Lâche (de CucaresL). (Journal de
tails sur la mor- phologie et la structure du nucléole des cellules
nerveuses
. D'après l'auteur, deux substances, au moins, e
9, 10 und 11 Gehirnnerven. (Un cas de fracture, avec para- lysies
nerveuses
rares. Contribution à la physiologie des 9e pai
v rier 1906.) Vues très ingénieuses sur l'histophysiologie du tissu
nerveux
, de l'écorce cérébrale en particulier, appuyées
qui accompagnent le fonctionnement de tout élément. La conduction
nerveuse
serait accompagnée d'une sorte de désintégratio
; p. 260 à 263.) 1. - Quoique la théorie de Bethe sur la conduction
nerveuse
et l'indépendance relative des fibrilles et des
ogène cumme une preuve de l'in- dépendance embryogéniquo des libres
nerveuses
périphériques par rapport aux cellules nerveuse
géniquo des libres nerveuses périphériques par rapport aux cellules
nerveuses
. Il existe cependant de nombreux résultats cont
ité. Chez trois chiens tués les 39°, 10 î^, 17 Ie jours, des fibres
nerveuses
nées du névrome du bout central traversaient la
e 1' « anneau ner- veux') (libération presque complète d'un segment
nerveux
etmise en contact définitif des deux extrémités
ue les résultats rapportés par Bethe sur la régénération des libres
nerveuses
des centres sont insuffi- samment explicites et
pas vous fournir de moyen de diagnostic. Mais, dans votre pratique
nerveuse
, il vous arrive, à chaque instant, d'instituer
-8. de 310 pages. Rio de Janeiro. FOllEt, (A). L'aine et le système
nerveux
. 1 vol. in-8" de 340 pages. Steinheil, éditeur,
courbes de fatigue comme procédé de diagnostic dans les maladies
nerveuses
; Par Mlle le D' I. IOTEYKO Chef des travaux
us parler de l'ergographie appliquée au diagnostic des ma- ladies
nerveuses
; autrement dit, j'ai à vous entretenir des rév
certitude que le paramètre positif b est dû à l'action des centres
nerveux
, dont l'effort grandit au cours du travail ergo
ribuée à ce para- mètre, qui traduit l'action excitante des centres
nerveux
à l'égard du muscle. La diminution de a montr
l'alcool. A côté des effets excitants qu'il produit sur le système
nerveux
et qui le font ranger parmi les poisons redouta
est augmenté, ce qui s'explique par la nécessité, pour les centres
nerveux
, d'envoyer des excitations plus fortes quand l'
duit à admettre une action excitante de la caféine sur les centres
nerveux
, et c'est par l'intermédiaire des centres nerve
sur les centres nerveux, et c'est par l'intermédiaire des centres
nerveux
que se produit l'action excitante sur le muscle.
'intoaica 11Õn-parIëS déchets de la nutrition. Quant aux centres "
nerveux
""non seulement ils ne présentent aucune fatigue,
ra définitivement si leur affection a son ori- gine dans le système
nerveux
ou dans les muscles. Dans les différentes paral
427 pas eu de convulsions dans l'enfance mais est cependant très
nerveuse
; la troisième morte à 7 ans de méningite, n'av
anomalie congénitale physique, intel- lectuelle et pas de maladies
nerveuses
]. J. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge : 6
: 100 grs. Sur toute la surface, la pie-mère adhère à la substance
nerveuse
à des degrés variables. Moelle épinière : 35 gr
ienne, l3fa ? (llenriclle), âgée de 38 ans (1). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Ueber Narkoselaehmung des N. cruralis und o
tions nou" avons ci le les travaux étrangers. REVUE nE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4*)7 les symptômes suivants : lebasin s'inclin
ble de paralysie et éli- mine successivement : la lésion des troncs
nerveux
pendant l'opé- ration (rapidité de l'améliorati
ration (rapidité de l'amélioration) ; - l'inflammation des troncs
nerveux
par une paramétrite (examen négatif pendant l'opé
trophiques cutanés et unguéaux des mains. 458 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
, L'action locale du poison est d'autant plus év
on de ces symp- tômes est lente et suit parallèlement les accidents
nerveux
. Il est possible qu'ils soient une conséquence
as encore définitivement prou- vée. 11. II. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 453 XXXIV. Aphasie hystérique avec agraphie, c
cl'dan< II) cadre plus vaste de »l'ar no REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. phasie hystérique » ; 6) th distinguer de as,
Essai de classification de ces divers étals : REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 401 "2" Le phénomène du pied, apparaît de quat
e louche et l'enfant mourut de méningite. 462 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Au point de vue du phénomène d'hippus les fait
ément. A l'autopsie, on trouva de la tubercu- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 463 lose viscérale et sur le cerveau un exsudâ
ation, il s'agit d'une jeune fille de 25 40 i REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ans présentant des crises nerveuses depuis ans
25 40 i REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ans présentant des crises
nerveuses
depuis ans. Une de ses soeurs est une névropath
temporale superficielle. Le territoire de la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 465 jugulaire interne est intéressée : la voie
tte seconde observation est intéressantes par les deux affec- lions
nerveuse
et veineuse réunies chez le même malade. Elle l
se réunies chez le même malade. Elle l'est aussi par les phénomènes
nerveux
présentés par le petitmala'le comme ceux de l'a
nche Archives, 2' série 1906, t. XXI 30 4GG REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
interne gauche, il traverse la ligne médiane, l
intra-bulbaire sur une éten- duede 7 millimètres environ, le tissu
nerveux
est légèrement ra- molli et de même coloration
u ralentissement du pouls. Reprise des phéno- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4C7 mènes cérébraux douze jours après l'interv
le même sujet de deux lésions extrêmement 4C8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rares dans le premier âge ; l'existence d'une
liouide céphalo-rachidien. Cette hypertension REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4G9 suffit il expliquer certains symptômes dou
dix-neufle nombre des ras connus. G. C. 470 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. \lut. - Quelques manifestations cérébrales du
aire, que les causes morales ou psychiques. , REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 471 Parmi les syndromes encéphaliques d'ordre
ite déformante de Pajet peuvent figurer sur la liste des' accidents
nerveux
du rhumatisme chronique. G. C. L. Considération
hronique. G. C. L. Considérations pathogéniques sur les accidents
nerveux
du rhumatisme chronique; par \I..1. Lépine. (Lyon
arge de poisons, qui viennent soit de l'organisme, soit des centres
nerveux
. Les mé- ninges peu perméables de dedans en deh
si longtemps certaines substances nocives qui baignent le système
nerveux
. Les réactions de défense qui en découlent, com
chidien contribuent à exagérer l'exci- tabilité anormale du système
nerveux
. Plus les causes toxi-infec- tieuses s'ajoutent
uses toxi-infec- tieuses s'ajoutent, plus l'irritabilité du système
nerveux
s'accroît. Le système nerveux des rhumatisants
utent, plus l'irritabilité du système nerveux s'accroît. Le système
nerveux
des rhumatisants chroniques est donc le siège d
té- rielles des méninges spinales. Cette participation du système
nerveux
explique que, suivant les prédispositions indiv
rhumatisme chronique loca- lise à telle ou telle partie du système
nerveux
les manifestations, qu'elles soient articulaire
les manifestations, qu'elles soient articulaires, abarticulaires ou
nerveuses
; para- plégiques ou atrophiques chez les manou
ersistance indéfinie du rhumatisme chronique,dès que les phénomènes
nerveux
durables sont apparus. 472 REVUE DE PATHOLOGI
phénomènes nerveux durables sont apparus. 472 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Une double thérapeutique est nécessaire pour é
n évitant les circonstances susceptibles d'augmen- ter l'excitation
nerveuse
centrale ou périphérique. G. C. LI. Rapports du
vait apporté des ob- servations de rhumatisants affectés d'épisodes
nerveux
d'impor- tance secondaire. Les nouveaux faits q
publie correspondent à un degré de plus dans l'atteinte du système
nerveux
. Quatre observations ont trait à des sujets att
ningo-myélilo. Dans la première série d'observations, les accidents
nerveux
sont à localisation radiculaire, ce sont des si
action déséquilibrante que les chocs peuvent exercer sur le système
nerveux
central et on s'explique que des troubles névro
ble d'apporter d'importantes contributions à l'étu- de des maladies
nerveuses
. La timidité en Orient. M. ])AMOGLOU (du Cair
rganisée comme les Landerziehungsheime (V. Foret, L'âme et le syst.
nerveux
). Enfin, l'art ne doit pas être pornogra- phiqu
r l'étude etiologique, et pour l'action prophylactique des maladies
nerveuses
et menlales. avait été adoptée par le Congrès s
que. Alcooliques. Voir Suicide. Alcoolisation locale des troncs
nerveux
, par Brissaud, Picard et Talion, p. 48. Alcoo
rale, par Caracciolo, p. 1 o. Anesthésies. Des psychiques dites
nerveuses
ou hystériques par Blum, p. 322. ANESTHÉSIQUE
légal; par Pierre Marie et Crouzon, p. 230. Arabes. Voir Maladies
nerveuses
. ARaN-DUCHESNE. Voir A myotro- phie. -- Voir
es. Voir Patio- logic mentale. Cécité. Voir Hystérique. Cellule
nerveuse
. Recherches Iiistologiques sur l'origine et l
ou- let, par Besta, p. 140. spi- nales, voir Neuro-Fibrilles. -
nerveuse
, voir Réticulum fibril- laire. nerveuse, voir I
, voir Neuro-Fibrilles. - nerveuse, voir Réticulum fibril- laire.
nerveuse
, voir Inani- tion expérimentale. Sur la nu- c
rveuse, voir Inani- tion expérimentale. Sur la nu- cléole de la -
nerveuse
, par Lâche, p. 3R9. Sur des modtti- cations p
e, par Lâche, p. 3R9. Sur des modtti- cations particulières des
nerveuses
et de leurs prolon- gements dans le S. IvT. C.,
Cervelet. Fonctions du -, par Babinski, p. 48. - Voir Cel- lules
nerveuses
. Choline. Sur la présence de la dans le sang
la présence de la dans le sang au cours des ma- ladies du système
nerveux
, par Claude, p. 213. Chorée. Voir Huntingtou.
ue des - de fatigue comme procédé de diagnostic dans les maladies
nerveuses
, par Mlle Ioteyko, p. 417. Crampe des écrivai
l- lei, p. 153. -. Voir Courbes. FER. Voir Neurasthénie. Fibres
nerveuses
. Le développe- ment des nerveuses péri- phéri
FER. Voir Neurasthénie. Fibres nerveuses. Le développe- ment des
nerveuses
péri- phériques et centrales dans les ganglio
u poulet, par Pighini, p. 142. Recherches sur la colo- ration des
nerveuses
à la phase initiale de dégénération [ primair
[ primaire et secondaire, systé- matique ou diffuse du système
nerveux
central, par Donaggio, . p. r43. 1' a-t-il une
culum. Sur la présence des corpuscules à l'intérieur des cellules
nerveuses
spinales dans 1' - -, par Riva, p. 387. Insti
à pla- cer dans les colonies, par Pee- ters, P. 31 5. Maladies
nerveuses
. Fréquence des nerveuses chez les Arabes, par
nies, par Pee- ters, P. 31 5. Maladies nerveuses. Fréquence des
nerveuses
chez les Arabes, par Dumollard, p. 49. L'anal
des courbes de fatigue comme pu- reté de diagnostic dans les -
nerveuses
, par Mlle Yoteyko, p. zIE,¢I7. 1\IRCHS. Nouve
a démence précoce, par Klippel et Thermite. p. 34. - Voir Cellule
nerveuse
. Les alté- rations de la épinière dans un cas
t Perre- tière, p. 219. -- générale, voir VeM)'o ? &)' : 7/M.
nerveuses
, voir Fracture. Un cas de générale juvénile,
s sur le - - endo-cel- lulaire et sur le cylindraxe de la cellule
nerveuse
des verté- hré,; les différentes méthodes de
du périphé- rique basées sur l'action de la piridine sur le tissu
nerveux
, par Donaggio, p. 148. Recher- ches histologi
re dont s établissent les rapports réciproques entre les éléments
nerveux
embryonnaires et sur la formation du - in- te
ux embryonnaires et sur la formation du - in- terne de la cellule
nerveuse
, par Besta. Etude par la mé- thode de Donaggi
hode de Donaggio des lésions du - neuro-fibrillaire de la cellule
nerveuse
dans l'inani- tion expérimentale, par Riva, p
le pronostic et le traitement de certaines mala- dies du système
nerveux
, par Joire, p. 134, 217. Suicide. Tentative d
et Pétroff, p. 39. Sur la manière de faire un examen objectif des
nerveux
dans les traumatismes, par Rossi, p. t5o. App
ux dans les traumatismes, par Rossi, p. t5o. Appréciation des -
nerveux
au moyen d'un appa- reil nouveau, le sténomètre
'un appa- reil nouveau, le sténomètre, par J oire, p. 217. Tube
nerveux
. Les transforma- tions du - , par Durante, P.
ARCHIVES NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par J.-M. CIIARCOT PUBLIÉE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
Vol. XXX. Juillet 1895. N° 101 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. CLINIQUE médicale DE l'Hôpital SAINT-ÉLOI DE V
s circonvolutions sur laquelle Archives, t. XXX. , 1 2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nous insisterons dans le cours de l'observatio
lors l'état du malade alla toujours en s'aggravant. La 4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. céphalalgie, excessivement intense se générali
ur là que tout le côté droit était paralysé et dans la 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. , résolution complète; de plus, il paraissait
La pie- mère est congestionnée, mais ce qui domine, c'est la stase
nerveuse
qui est bilatérale. Elle présente des adhérence
g. 1. Configuration extérieure de l'hémisphère gauche. 0 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Elle est devenue plus molle et plus rosée. Ell
entimètres environ de . la corne frontale gauche. 10 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mais le processus néoplasique n'avait envahie
sarcomes du cerveau sont relativement rares, surtout 12 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. si l'on tient compte de ce fait que la plupart
n'ont été constatés que 34 fois sur 300 cas de tumeurs des centres
nerveux
, si nous en croyons la statistique fort remarqu
artérite oblité- rante. ' Traité pratique des maladies du système
nerveux
, t. I, p. 424, il édition, 1891. ' PHYSIOLOGI
até M. Féré, et pour lui elle est sous la dépendance de la décharge
nerveuse
. On signale aussi une diminution du nombre des
par lui dans l'organisme entier, il viendrait irriter les cellules
nerveuses
de l'encéphale et de la moelle et détermi- nera
i- cation sont réduits à invoquer ce qu'ils appellent la décharge
nerveuse
. Il est évident que ce n'est là qu'un mot, il n'e
lors la prédispo- sition n'existe pas et n'a pas préparé le système
nerveux
à réagir dans un sens donné. On nous opposera
souvent et qui domine toute la scène. L'individu dont le système
nerveux
normal a tendance à réagir par des convulsions
ne lésion cérébrale ou d'une irritation quelconque des terminaisons
nerveuses
(vers intestinaux par exemple). Chez les autres
l y a donc là une irritation prolongée par inhibition des cen- tres
nerveux
ou altération cellulaire, d'où la déchéance plus
onc de cet essai pathogénique : 1° Que la prédisposition du système
nerveux
, prédisposition presque toujours héréditaire es
ament et tout en lui reconnissant des pro- priétés hyposthénisantes
nerveuses
et vasculaires, on est loin de lui accorder ple
téro-intoxication de l'économie et contre l'irritabilité du système
nerveux
. Nous laisserons de coté la thérapeutique des é
e méde- cin, en effet, est en présence d'un tempérament à système
nerveux
défectueux, à impressionnabilité plus ou moins gr
e l'épilepsie résulte de modifications de nutrition de la substance
nerveuse
, et comme d'autre part il sait que les épilepti
hore. Pour lui, le phos- phore est un principe tempérant du système
nerveux
, et dans l'épilepsie, il serait remplacé par de
r obtenir la sédation et en même temps la tonifi- cation du système
nerveux
. De plus, il favorise les fonctions de la peau
e en hypnotisant certains individus. Or, ils ont une prédisposition
nerveuse
; l'hyp' otisme développe, par suite, chez eux l
e association nosoiogique comme on en observe souvent en pathologie
nerveuse
(Ballet et Joffroy). Le tabès se rencontre comb
s sont capables de faire, chez eux l'influence trophique du système
nerveux
est activée par l'idée de grossir. Il arrive un
la sensation. Etude des conditions de la sollicitation des éléments
nerveux
et de l'irritation des centres engendrant des m
e l'oeil où ce corps se meut. Elude des différences de l'irritation
nerveuse
produite par l'excitation. Qualités physiques.
uand il est entré en équilibre de forces avec un autre. Une cellule
nerveuse
n'a de sensation que quand elle a l'occasion d'
rités par des excitations identiques.- Et par suite, notre appareil
nerveux
doit être construit comme la machine élec- triq
ne peut être admis que dans des cas excep- tionnels. Les troubles
nerveux
et psychiques consécutifs aux traumatismes crân
psychique provoqué par la blessure ou par l'émo- tion. Les troubles
nerveux
sont très variés et ne réalisent que rare- ment
t faire supposer l'origine traumatique de l'affection. Les troubles
nerveux
tantôt se développent immédiatement après 56 RE
quants, instruits de ce fait que beaucoup de ma- ladies mentales ou
nerveuses
peuvent ne pas se traduire au dehors par des ra
folie, soit par rapport à son inaptitude à dis- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 59 tinpuer le bien et le mal dans l'acte accom
en dehors de tout accident. L'hystérie ou les troubles fonctionnels
nerveux
s'ajoutent fréquemment à des affections graves
apoplexie, tabes, sclérose en plaques). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Cas d'atrophie infantile unilatérale DES mus
et en dehors, produit un léger nystagmus. Il 60 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. peut siffler et former le groin. L'électrisati
mbres. Elle calcule très mal. Au début, l'écri- REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 61 ture spontanée et l'écriture sous la dictée
êmes allures à l'égard des objets concrets : 62 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Voici tout au moins une observation à marche'
maine médicale, 1893, n° 37, 15 juin.) , P. K. VI. DES phénomènes
nerveux
consécutifs UNE COMMOTION de La colonne vertébr
ons dans le domaine des rameaux cutanés du nerf REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. G3 cubital et du médian ; l'atrophie évidente,
que de Charcot et de Joffi oy. Homme de trente-neuf ans, hérédité
nerveuse
assez lourde, entre à la Salpêtrière en 1892. S
le aussi prononcée qu'avant le traitement. 64 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. En somme donc, l'affection répond au diagnosti
primitives, c'est-à-dire des myopa- thies sans lésion médullaire ni
nerveuse
, le muscle lui-même étant primitivement atteint
aciès quelque chose de spécial, les traits sont REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 65 épaissis, flasques, pas ou peu de rides, l'
ourdissement dans le Archives, t. XXX. a .66 .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - membre pelvien gauche qui s'affaiblit progre
et marcher. Bassin fléchi sur les cuisses et ne REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 67 pouvant se relever. Cuisses maigres, jambes
sent à l'électricité d'une façon anormale. ' 68 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Observation. Femme, vingt-sept ans à l'époque
eresthésie cutanée et des douleurs sur le trajet de certains troncs
nerveux
, ces symptômes ne furent que transitoires. Enfi
toutes deux, au début, sous la dépendance de lésions médullaires ou
nerveuses
, et il propose l'hypothèse suivante : dans les
hèse suivante : dans les myopathies dites pri- mitives, les lésions
nerveuses
profondes survenues dans les premiers temps de
de M. Brissaud faite à la Salpêtrière. Les arthropathies d'origine
nerveuse
ont une allure caractéristique. Ainsi les arthrit
une allure caractéristique. Ainsi les arthrites REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 69 du tabes qui sont typiques de ces athropath
ne sont donc pas primitifs, ils sont secon- 70 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. daires, les troubles sensitifs sont toujours l
cette affection. Du reste le tabes est loin d'être la seule maladie
nerveuse
qui justifie la loi de corrélation entre les trou
de corrélation entre les troubles trio- phiques et les conducteurs
nerveux
centripètes : se rappeler l'hé- miatrophie faci
e soit la forme du tabès, il ne s'ensuit pas que les mêmes éléments
nerveux
soient lésés dans toutes les formes, on sait que
sent rien de l'écorce cérébrale. - - Camuset. REVUE.DE pathologie
NERVEUSE
. 71 L XIII. TROIS CAS D'ARTHROPATHIE TABÉTIQUE
re observation. Femme, cinquante-quatre ans, sans tare héréditaire,
nerveuse
dans son enfance, syphilisée par son mari. Débu
ticulations peuvent devenir le siège d'une 72 2 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. arthrite syringomyélique. Voici par ordre de f
es déformantes, des arthrites de la lèpre. C. - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 73 XV. Un cas DE syringomyélie atypique; par M
n trophique c'est ainsi qu'il désigne les arthropathies d'origine
nerveuse
acquiert une occasion chirurgicale par l'adjoncti
ée, troubles trophiques graves, nature. chirurgicale de l'affection
nerveuse
causale.. Viennent d'abord quelques observation
'abord quelques observations de traumatisme au début de l'affection
nerveuse
, ou pendant le cours de celle-ci. Suit l'étude
fectieuse peut se propager aux nerfs péri- 7,1, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. articulaires. Les articulations tropho-infecti
l'hémiopie et le scotome scintillant. Il arrive REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 75 5 que les accès de cette migraine soient fr
nait endormant, on- constate que les circon- 76 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. flexes sont tiraillés quand ils ne sont pas fl
t atteint de la maladie de Little. Le second, , REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 77 une fille, née à terme, bien conformée, int
nt avec l'auteur que nous venons de citer que cet état d'excitation
nerveuse
quasi délirante qui s'empare de cer- taines fem
st du devoir de l'expert de remonter à la cause de cette excitation
nerveuse
et cette recherche pourra l'amener à d'in- tére
n'avait pas tué son enfant. Cette exaltation maladive du système
nerveux
avait déjà été remarquée dès le début de l'inst
ans avoir causé de lésions internes a déterminé de graves accidents
nerveux
. Lanature deces 104 MÉDECINE LÉGALE. accident
e de potassium est générale et qu'elle atteint partout les systèmes
nerveux
et musculaire. « C'est un anesthésique aussi bi
re. « C'est un anesthésique aussi bien des centres et des cordons
nerveux
que des surfaces muqueuses et tégumentaires. C'es
l'olighémie et non pas une action spéciale élective sur les tissus
nerveux
; en outre il excite les centres modérateurs. Po
ations sous la dépendance d'une disposition particulière du système
nerveux
; 2° L'épilepsie générale, suivant les causes dé
psie; 9° Les bromures agissent sur la prédisposition du sys- tème
nerveux
, mais ces médicaments doivent être employés à d
LOGIQUES. I. Les conditions DE l'excitabilité électrique du système
nerveux
PÉRIPHÉRIQUE DE L'HOMME DANS LE JEUNE AGE ET SE
; ils par- raissent plus nombreux que chez l'adulte; 5° Les fibres
nerveuses
périphé- riques du nouveau-né sont considérable
esse de noyaux; 7° A partir de la naissance la structure des fibres
nerveuses
périphériques se développe; les manchons de myé
ivement et alors se développent tous les autres éléments des fibres
nerveuses
; 8° Dans la deuxième et la troisième année de l
développement des manchons de myéline et celui de toutes les fibres
nerveuses
périphériques est irrégulier. Il y a souvent de
e même individu dans ses divers nerfs ou dans chacun des trousseaux
nerveux
à la même époque du même enfant; il Il est impo
he en noyaux. En conséquence : La bien moindre largeur des fibres
nerveuses
et musculaires, l'absence d'étranglements des f
bres nerveuses et musculaires, l'absence d'étranglements des fibres
nerveuses
, la richesse en gros noyaux du parenchyme et du
ue pour le prolongement cylindraxile protoplasmique de la cellule
nerveuse
ganglionnaire centrale et que la formation ou la
'au début du quatrième ventri- cule. Atrophie complète des éléments
nerveux
, fibres et cellules. Extrême altération des vai
la paralysie AGIT.1NTE ET DE SES rapports avec certaines MALA- DIES
nerveuses
DE la vieillesse; par E. REDLICH. (Jahrbùch. f.
r confluence, se forment de gros foyers avec altérations des fibres
nerveuses
; dans les petits foyers scléreux, les fibres nerv
s des fibres nerveuses; dans les petits foyers scléreux, les fibres
nerveuses
conservent leur aspect normal. Les parties inte
VII. SUR la NOUVELLE méthode DE coloration DE l'ensemble DU système
NERVEUX
DE ROSIN ET SES REMARQUES SUR LES CELLULES NERVEU
ncert avec le membre du côté non paralysé. P. K. XIII. DES FIBRES
NERVEUSES
A myéline DE L'ÉCORCE DU cerveau de l'homme; pa
e d'une série d'articles sur les myopathies et sur les athropathies
nerveuses
. CAMUSET. XVII. DE la station ET delà marche ch
son étude, l'homologation du nerf labyrin- thique et des faisceaux
nerveux
divers qui le composent. C'est ainsi qu'il fait
ndibul'aire, la névroglie des parois ventri- culaires, les éléments
nerveux
du tuber cinereum et enfin des corps mamillaire
vue histologique, on a surtout noté la dégénérescence des cellules
nerveuses
, l'augmentation des éléments lymphatiques et la p
plupart de celles qui sont atteintes on retrouve des antécé- dents
nerveux
personnels ou héréditaires. L'auteur termine son
dans l'atrophie ordinaire. Sur la rétine on voit, entre les fibres
nerveuses
, des stries ou petites plaques de tissu conjonc
par exemple, à la suite d'un traumatisme; c'est en somme le délire
nerveux
des chirurgiens. L'étlquelle' étio- logique de
Vol. XXX. Septembre 1895. N° 103 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA TUBERCULOSE DE
ses mala- dies, Paris, 1827. Archives, t. XXX. 12 178 CLINIQUE
NERVEUSE
. fuleuse du rachis. » Olivier dit que Lapeyre a
'origine des tubercules médullaires. Virchow affirme que le système
nerveux
est réfractaire à l'invasion tuberculeuse et pa
r Rüclcezzmarlcslcranlcheitezz, 1874,1, Dd., p. 473. 180 . CLINIQUE
NERVEUSE
. nique, elle se manifeste soit sous les symptôm
es du cerveau. Charcot, dans ses Leçons sur les maladies du système
nerveux
, tome II, 1880, dit qu'on peut considérer la tu
ns la tuberculose aiguë et les rat- tache à des lésions anatomiques
nerveuses
. Cette même année encore, Voisenet, également é
leptomyélites tuberculeuses. (Revue de méd., 1886.) 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. Hellich' a décrit chez un homme de quarante-de
ète des membres inférieurs. La malade est incapable de 184 CLINIQUE
NERVEUSE
. soulever ses jambes au-dessus du plan du lit.
ne portion prise sur la limite qui sépare la F1g,6. 1 86 CLINIQUE
NERVEUSE
. moelle cervicale de la moelle dorsale. 5.-Une
asculaires émanent des méninges et se propagent dans la subs- tance
nerveuse
, on trouve l'infiltration de la pie-mère très abo
missure postérieure devient plus large. La dégénérescence des tubes
nerveux
commence à apparaître même dans les racines pos
ce entière du cordon latéral droit parsemée de petites 188 CLINIQUE
NERVEUSE
. agglomérations de leucocytes qui sont plus ou
plus atteint que le faisceau droit. La dégénérescence des fibres
nerveuses
dans les cordons laté- raux marche parallèlemen
re coupe, on trouve, sur le côté externe des Fig. 8. 190 CLINIQUE
NERVEUSE
. racines antérieures droites, un tubercule cont
mar- quable. Dans une coupe on voit se propager dans la substance
nerveuse
une infiltration allongée, en connexion avec un
moins diffuses, qui ont entraîné la dégénérescence de la substance
nerveuse
. Dans le canal central et dans la pie-mère nous
ie lombaire. On trouve seulement dans cette partie une 192 CLINIQUE
NERVEUSE
. légère augmentation des noyaux et des leucocyt
ré. Dans les cordons latéraux la dégénérescence corticale des tubes
nerveux
est insignifiante. Nous avons par conséquent
ns autour du canal central. Archives, t. XXX. 13 194 . CLINIQUE
NERVEUSE
. nodulaire de la moelle, toujours coexistante a
es ver- tèbres, combinée avec la myélite transverse. 196 CLINIQUE
NERVEUSE
. La tuberculose peut envahir toutes les parties
a aussi de petites hémorragies. La dégénérescence de la substance
nerveuse
reste localisée, en général, mais, dans le cas
leux en quantité considérable. Voir Hellich, loc. eti. 198 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'aspect clinique est si différent et, d'autre
s inférieures et sont très exagérés; ils se montrent 1 200 CLINIQUE
NERVEUSE
. apparents même spontanément. - 17. Il. Le mala
âle. A l'endroit où la pie-mère adhère à la dure-mère, la substance
nerveuse
de la moelle se ramollit; par places se trouven
ceaux de Goll, dont il reste encoie à la périphérie quelques fibres
nerveuses
intactes. La substance blanche, du reste est co
idérables de nutrition. Il s'ensuit une dégénéres- cence des fibres
nerveuses
, sous forme d'îlots; ou bien qui atteint seulem
, sous forme d'îlots; ou bien qui atteint seulement quelques fibres
nerveuses
. La dégénérescence en îlots est causée visiblem
el leur ' Magnan. -- Leçons cliniques et recherches sur les centres
nerveux
, . 113 ? lIall et Dahove. - Les Dégénérés (tiib
e Paris, une clinique spécialement consacrée à l'étude des maladies
nerveuses
, elles comptent du moins dans leur corps enseig
ent toujours joui d'un esprit bien pondéré, aucune tare héréditaire
nerveuse
ni chez les ascendants, ni chez les descendants
nce toxique, et c'est cette subs-- tance qui exerce sur les centres
nerveux
les actions pathogènes diverses qui se traduise
ntité morbide, est plutôt envisagé actuellement comme un syn- drome
nerveux
. De même l'épilepsie dont les anciens faisaient u
eut être mis en jeu par des causes multiples. En matière de système
nerveux
, la lésion n'est rien, la localisation est tout
e, parfois similaire (Mignon). Les causes spéciales sont les causes
nerveuses
accidentelles, les chocs émotionnels, les maladie
ut à droite. Cette dimidiation serait en faveur plutôt d'une action
nerveuse
. Les partisans de la théorie nerveuse placent d
faveur plutôt d'une action nerveuse. Les partisans de la théorie
nerveuse
placent dans le bulbe l'inci- tation initiale q
e, peuvent produire ce même résultat. Ainsi, en faveur des théories
nerveuses
s'inscrit l'étiologie. Pour la théorie thyroïdi
tion cause la maladie de Basedow, comment agit-elle sur les centres
nerveux
? Il faudrait ici céder la place aux physiolo-
utre part, que nous ne connaissons pas le mécanisme que les centres
nerveux
mettent en oeuvre pour créer les conditions ana
investigation. J'ai d'abord cherché une lésion en dehors du système
nerveux
central, où rien de typique n'était relevable.
quez. La sécrétion thyroïdienne est sous la dépendance du système
nerveux
central et, dans l'espèce, d'un centre butbo-prot
la glande thyroïde en hyperactivité par l'intermédiaire du système
nerveux
. L'bypel'lhyroïdisation commence lentement, sou
tement dans la circulation sanguine et va impressionner les centres
nerveux
. Alors apparaissent les symptômes majeurs based
« par la mise en jeu de deux facteurs combinés, une per- turbation
nerveuse
et un agent infectieux, celui-ci devant peut-être
ses morales, infectieuses ou toxi- ques qui agissent sur le système
nerveux
, mettent en branle l'hy- persécrétion. Cette
aveur auprès du monde savant, la théorie thyroïdienne et la théorie
nerveuse
. La lecture de ce rapport, très impartial, ne c
gênée, elle répond négativement. Cette dyspnée serait donc purement
nerveuse
, bien que l'état du coeur puisse contribuer à s
éthylène dont M. Renaut et lui se servent pour colorer les éléments
nerveux
. Question III : Des impulsions il'résistibles d
u'on n'envoie pas au régi- ment des malades dont les manifestations
nerveuses
sont très pré- judiciables à l'armée. «Ce n'est
ur la distinction de la nature hysté- rique des troubles mentaux et
nerveux
. Il estime, en effet, que les seuls hystériques
par une disproportion, d'une part, entre cette puissance d'activité
nerveuse
transmise par l'ascendant et d'où dérivait pour
autre part, entre l'insuffisante utilisation de cette même activité
nerveuse
imposée par l'hérédité à l'organisme et bien au
mal préparé à s'assimiler avec avantage cette surabondance d'influx
nerveux
, la nécessité, au contraire, de s'en dégager, p
n équilibre normal rompu, par intervalles, au profit d'une activité
nerveuse
pathologiquement prépondérante. 252 SOCIÉTÉS SA
par une forte contraction des muscles de la face et le tremblement
nerveux
des bras. Sa voix était rauque, involontaire et
une attitude plus normale. La physionomie échappe à la contraction
nerveuse
qui en dominait toutes les expressions ; le cor
Vol. XXX. Octobre 1895. N° 104 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. ÉTUDE SUR LA \fÉNI\GO-11YL,LITE DIFFUSE DANS L
Chef des travaux d'anatomie pathologique de la Clinique des maladies
nerveuses
à la Salpêtrière '. Les faits sur lesquels le
érale et même aux affections syphilitiques loca- lisées des centres
nerveux
. Nous n'avons pas la prétention de décrire des
ptions histologiques est' que, dans un certain : groupe de maladies
nerveuses
chroniques, dont la clinique. nous montre Trava
oratoire de M. le P' RAYMOND. Archives, t. XXX. " 18 274 CLINIQUE
NERVEUSE
. les rapports particulièrement étroits avec la
le tissu con- jonctif et étendues à une très grande partie de l'axe
nerveux
; ces lésions diffuses, considérées indépendamme
Antécédentshérélilcciresetpersotnels. - On ne découvre aucune tare
nerveuse
dans ses antécédents. Lui-môme n'aurait fait aucu
1 F. Raymond. - Contribution à l'étude de la syphilis du système
nerveux
. (Arcla. de Neurologie, 1894.) ÉTUDE SUR LA lIf
rt de granulations fines. Le cerveau est peu atrophié. 276 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les méninges molles, oedémateuses et blanchâtr
ine de tous les tubes ne sont pas absolument saines. Les cellules
nerveuses
et les cylindres-axes n'ont pas souffert; les t
dont les ondulations, loin d'être parallèles, circons- 278 CLINIQUE
NERVEUSE
. crivent par leur juxtaposition, une série de p
en colorées ; c'est ainsi qu'on peut voir Fig. 10. , 280 CLINIQUE
NERVEUSE
. 3, 4, 5 noyaux colorés sur une coupe de veine,
tielles de même nature, mais relativement assez minimes, les tubes
nerveux
sont intacts, ainsi que les noyaux d'origine. Q
ion intersti- tielle et diffuse qui porte sur l'ensemble du système
nerveux
central. Il est bien évident que les lésions dé
t localisées à ce niveau presque exclusivement sur les 282 CLINIQUE
NERVEUSE
. méninges, ne représentent qu'une évolution ult
écédents personnels. Blennorrhagie à dix-sept ans, pas 284 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'histoire de syphilis Marié en 1882, G... a e
. Dans la région cervicale elles sont moins malades. 286 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les cornes postérieures, bien que privées en g
s postérieures, bien que privées en grande partie de leur réliculum
nerveux
, n'ont pas subi une grande réduction de volume.
our les cellules des colonnes de Clurke, dont pourtant le réticulum
nerveux
a presque entièrement disparu. En résumé, il
7EL'ÎLLLI('I'1 ! 0. - lG'9Yt(C0.2,' ? lillB el éosine. 288 CLINIQUE
NERVEUSE
. éléments nobles, sont le siège, surtout dans l
nt pas épargnés par l'altération intersti- tielle, mais leurs tubes
nerveux
ne paraissent pas lésés. Sur leur trajet les mé
de méningite spinale et traces Archives, t. XXX. 19 290 CLINIQUE
NERVEUSE
. manifestes de méningo-encéphalite . La méningi
dégénérescence est absolue dans la moitié postérieure 292 CLINIQUE
NERVEUSE
du cordon de Goll; la moitié antérieure contien
lativement peu atrophiées, malgré .la disparition de leur réticulum
nerveux
normal. Leurs cellules sont absolument intactes
de Clccrke présentent la dis- parition classique de leur réticulum
nerveux
. Les racines posté- 1'ieu1'es, fortement lésées
dance t ! Odulait'e.7f<;n)n<o.t ? i;;cc<(W)f. 294 CLINIQUE
NERVEUSE
. ont leurs parois infiltrées; cette lésion est
contient une veinule à parois fortement infiltrées; mais les tubes
nerveux
ne paraissent nullement atteints par cette lési
elle est séparée de la méninge, dans presque toute son 296 CLINIQUE
NERVEUSE
. étendue, par une mince couche de fibres saines
ésions des capillaires. - J/émaloxyline et éosine. ' 298 CLINIQUE
NERVEUSE
. intégrante du processus de méningo-myélite vas
nique (F. Raymond, Contribution à l'étude de la syphilis du système
nerveux
, Arch. de Neurol., lS9u, Obs. III), l'autre d'u
e la moelle, constituée comme chez nos tabétiques. 300 . CLINIQUE
NERVEUSE
. Si l'on rapproche dé ces faits la petite plaqu
iste des lésions d'inflammation, diffuse étendues à tout le système
nerveux
central, ou au moins à une grande partie de ce
tions qui sont consécutives à la simple disparition des éléments
nerveux
: on ne peut établir aucune parenté entre l'infil
demment sa tendance. On pourrait s'étonner de voir une 302 CLINIQUE
NERVEUSE
. inflammation garder si longtemps des caractère
e, il ne nous est pas possible de distinguer les symp- 304 CLINIQUE
NERVEUSE
. tomes qui lui appartiennent au milieu des mani
cutives des éléments Archives, t. XXX. 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nobles. Elle parait constante si l'on emploie,
té des cas c'est de la syphilis qu'il relève. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. C0lfèfOTlON cérébrale, blessure DU cerveau ou
a jambe sont agités de secousses et exécutent t REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 307 parfois des mouvements coordonnés; les glo
s d'acromégalie conforme au type de la des- 308 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cription de Marie, en ce qui concerne les extr
avail sont les suivantes : 10 le substratum anatomique 'des lésions
nerveuses
des arthropa- thies neuro-spinales est l'altéra
postérieurs); 2° ce sont les fibres centripètes REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 309 affectées à la transmission des sensations
directes. Elles sont déterminées par l'influence médiate du système
nerveux
central (troubles vaso- moteurs, etc.) combinée
appât pas à son influence nocive. E. B. , 310 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. XVI. POLYNÉVRITE récidivante, envahissement DE
uché dans la maladie de Friedreich ? Ce qui est REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 311 certain, c'est qu'il n'est pas .toujours i
of insanity, 189.) Les rapports de l'influenza avec les affections
nerveuses
ont été l'objet, au cours de ces dernières anné
e de la neu- ratrophie générale, de la débilité générale du système
nerveux
central. A cet égard, le mot de Cullen n'est pa
très loin de la vérité que c toute maladie est une sorte de maladie
nerveuse
». Et de fait, le système nerveux est plus ou m
maladie est une sorte de maladie nerveuse ». Et de fait, le système
nerveux
est plus ou moins atteint dans toutes les malad
int dans toutes les maladies et en soignant les maladies du système
nerveux
, nous recherchons et portons remède aux symptôm
uisse être le champ de leurs travaux. E. B. 312 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ('XX. Contribution A L'ÉTUDE DE l'aphasie; par
che et la capsule interne du même côté. Dans la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 313 moelle, complète sclérose du cordon latéro
roposées pour expliquer la pro- duction des arthropathies d'origine
nerveuse
centrale, et particu- lièrement des arthropathi
récents l'a conduit simplement à reproduire 314 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et à maintenir les conclusions suivantes, form
vée de façon à rétrécir symétriquement la fente REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3Hi JP palpébrale. La pupille droite est contr
r; on rompt les adhé- rences et on met à nu le ganglion et le tronc
nerveux
sur une étendue de deux pouces : ni l'un ni l'a
rique de l'autre côté. Une seconde variété, 316 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. désignée sous le nom de syndrome de Weber, est
ns gommeuses, il suffirait qu'une pareille lésion entourât le tronc
nerveux
de la sixième paire en comprimant ou altérant l
déduit de leurs associations symptomatiques. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 317 Les faits sur lesquels l'auteur appelle l'
ctes, à l'exception d'une légère- infiltra- 318 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. tion de la pie-mère et de l'arachnoïde aux end
x décrits : c'est l'ancien tabes dorsal spasmo- REVUE DE pathologie
nerveuse
. 319 dique de Charcot, un instant condamné et a
nsable de faire intervenir la fragilité héréditaire d'un territoire
nerveux
et la maladie infectieuse ne fait qu'accélérer
de douleur réflexe; 6° l'auteur se propose 320 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de montrer que les affections des viscères tho
n à localiser les connexions centrales de ces zones avec le système
nerveux
. Nous ne pouvons entrer ici dans le détail des
part et de celles produites par des lésions des troncs ou branches
nerveux
. D'accord avec Mme Déjerine Klumpke, il re- mar
XXXVIII. Traumatisme SUIVI DE phénomènes rares du côté . DU SYSTÈME
NERVEUX
; par le D'' HARVEY. - , Cas d'hystéro-traumatis
, spéciale, distincte de l'anorexie hystérique et de la dys- pepsie
nerveuse
de Leube. Le pronostic en diffère ainsi que le tr
variable quotidiennement. L'application de la gymnastique chez les
nerveux
est très délicate, aussi faut-il qu'elle soit app
le traitement le plus rationnel et le plus efficace de l'épuisement
nerveux
. M. DEVAY (de Lyon). De la mélancolie chez les
vention médicale en hydrothérapie dans son application aux maladies
nerveuses
. Dans ce travail l'au- teur, dont la compétence
urait avoir rien d'absolu sauf dans la thérapeutique des affections
nerveuses
, dans lesquelles le traitement moral vient ajou
femme de trente-deux ans dont le père était épileptique et la mère
nerveuse
. Elle a eu deux frères morts d'affections céréb
Régis. On peut réveil- ler des attaques d'hystérie chez les malades
nerveux
par les opéra- tions chirurgicales. Les aliénés
RTIN. Essai sur le rôle de l'infection dans les maladies du système
nerveux
central.- BAU7.AN. Du traitement de l'alcoolism
à la dose de 0 gr. 2 à 0 gr.4 agit dans les maladies mentales et
nerveuses
comme sédatif; à dose plus forte, 0 gaz à 1 gramm
solement peut être nécessaire : peu ou point de sédatifs du système
nerveux
; 5° Le meilleur remède dans l'état de mal épile
iègent la conscience et l'idéation et respectant les autres centres
nerveux
, spécialement la moelle et le bulbe. Le chloral
ies qui ont pu être pratiquées n'ont douné aucune lésion du système
nerveux
central ou périphérique. Pineles donne quatre o
ET DE LEUR PERCUSSION; NOUVELLE MÉTHOEE D'EXAMEN DANS LES maladies
nerveuses
; par.\V. de Bechterew. (Nell1'olog. Cen- trnl6l
u tout de la prolifération du tissu conjonctif étouffant les fibres
nerveuses
. Ce que les auteurs ont pris pour des travées d
eurs ont pris pour des travées du tissu conjonctif entre les fibres
nerveuses
, ce sont des produits d'ulcération des fibres n
les fibres nerveuses, ce sont des produits d'ulcération des fibres
nerveuses
mêmes. Cette erreur est due à l'insuffisance de
ls dégé- nèrent. Il est probable que leur présence entre les fibres
nerveuses
exerce une influence nuisible sur les fonctions
la substance ner- veuse ; il y a aussi une régénération des fi6·cs
nerveuses
. En quel- ques endroits de la préparation, on v
nguins, tandis qu'autour du vaisseau lésé là destruction des tissus
nerveux
suit son cours graduel. Mais on n'a pas vu la r
anvier 1895.) E. B. XXXIX. ETUDE SUR la dégénérescence DES CELLULES
NERVEUSES
dans UN cas d'atrophie cérébrale localisée; par
ermis d'étudier les divers stades de la dégénérescence des cellules
nerveuses
. Tout d'abord, les granulations de chromatine s
procédés classiques de conservation et de pré- paration des centres
nerveux
et des nouvelles méthodes de colo- ration des c
re anatomo-pathologique de la démence paralytique : 1° les éléments
nerveux
reçoivent du sang un apport insuffisant de maté
est difficile de démontrer qu'ils débutent par une perle du tonus
nerveux
des artères. (Amer. joum. of insanity, janv. 1895
oct. 1894.) E. B. XLIV. DE la nomenclature anatomique DES CELLULES
NERVEUSES
ET DE son but immédiat; par F. NISSL. (Neu1'olo
at; par F. NISSL. (Neu1'olog. Cezlt·al6l., \IV, 1895.) Les cellules
nerveuses
centrales se décomposent en : a. Cellules nerve
Les cellules nerveuses centrales se décomposent en : a. Cellules
nerveuses
cytochromes. Grains. Le corps cellulaire 396 RE
e. y. Noyaux du bulbe olfactif (renflement olfactif). b. Cellules
nerveuses
kàryochromes. - Cellules noyaux. Le corps cellu
'indiqué. Le noyau'coloré atteint le volume des noyaux des cellules
nerveuses
, volume toujours supérieur à celui des noyaux d
ouche de Rolando. Cellules du ganglion de l'habenula. c. Cellules
nerveuses
somaiochromes. Cellules à corps cellulaire. Le
a la forme de raies ayant 'la même direction. 1. Type des cellules
nerveuses
motrices ; . 2. Type des grandes cellules de la
d'Ammon ; 3. Type des cellules de l'écorce ; i. Type des cellules
nerveuses
spinales. (. Arl¡yostichoch1'omes. Un seul type
faction de ce besoin, l'usage crois- sant des stimulants du système
nerveux
, l'abus surtout en fait d'alcool, la nervosité
ion. Dans les classes élevées les causes d'excitation et de dépense
nerveuse
sont encore plus actives. Enfin, alors que jadi
alcool n'est donc ni un aliment d'épargne, ni un tonique du système
nerveux
. Il détermine au contraire un cortège de troubl
u système nerveux. Il détermine au contraire un cortège de troubles
nerveux
par son action sur les nerfs périphériques. Il ag
it de deux façons : 1°- par son action toxique sur le protoplasma
nerveux
; 2 par l'inflammation qu'il produit dans les tiss
r l'inflammation qu'il produit dans les tissus voisins de l'élément
nerveux
. Pour ce qui est de l'influence de l'alcool sur
fein). L'état actuel de l'anatomie et de la pathologie des cellules
nerveuses
. - Les cellules nerveuses ne sont pas toutes co
anatomie et de la pathologie des cellules nerveuses. - Les cellules
nerveuses
ne sont pas toutes construites sur le même plan
construites sur le même plan : il y a de nombreux types de cellules
nerveuses
, bien caractérisés au point de vue morpho- logi
és au point de vue morpho- logique et en rapport avec des fonctions
nerveuses
spéciales. Grâce à la méthode spéciale qu'il em
exactitude du schéma de Max Schullze sur la structure de la cellule
nerveuse
et de l'existence de types variés d'éléments nerv
de la cellule nerveuse et de l'existence de types variés d'éléments
nerveux
. L'ab- sence de connaissances positives sur le
ves sur le rôle fonctionnel des diffé- rents territoires du système
nerveux
est cause de notre ignorance touchant les fonct
tre ignorance touchant les fonctions de tel ou tel type de cellules
nerveuses
. Dans toute la série des vertébrés chaque terri
ses. Dans toute la série des vertébrés chaque territoire du système
nerveux
renferme des cellules du même type. Si donc on
de cellules. Le rapport qui existe entre la structure des éléments
nerveux
et ' leur fonction est bien établi pour les cel
trées. Ces éléments sont nettement différenciés des autres cellules
nerveuses
, et il est aisé d'en donner les carac- tères an
ême fonction que les éléments des ganglions spinaux. Les cellules
nerveuses
d'un même type, par exemple les cellules motric
seulement au rapport qui existe entre les quantités des substances
nerveuses
colorée et non colorée de la cellule. La dimens
olumineuses et vice versa. La différence de coloration des cellules
nerveuses
n'est pas artificiellement produite : elle corr
veux. Les différences constatées dans la coloration des cellules
nerveuses
tiennent probablement à des états fonctionnels di
es (repos, activité); c'est ce que confirmerait l'examen d'éléments
nerveux
excités faradiquement. En outre des signes cara
er d'une façon précise les types nor- maux- des différents éléments
nerveux
(Aequivalent formen), en tenant compte des alté
fications mé- caniques et de la chromophilie. L'examen des éléments
nerveux
des animaux pourra fournir d'utiles indications
ce de la race sur la fréquence cl la forme des maladies mentales et
nerveuses
. 4 Dans le groupe de la race européenne, ce son
on d'ailleurs, la conception du neurone comme base de la pathologie
nerveuse
, , La symptomatologie générale (quatrième chapi
représente une véritable monographie sur la séméiologie du système
nerveux
. A signaler particulièrement la contracture, le
sur les processus anatomiques de la moelle épinière. . Le courant
nerveux
n'influence d'une façon favorable que les troub
allèle les lésions nécroscopiques et l'étude histologique du centre
nerveux
, de= paralytiques ayant présentés de tels sympt
u'ils ont présentée doit être rapportée à une excitation du système
nerveux
par suite d'un vice de la nutrition, absolument
établir entre cette affection et les lésions de sénilité du système
nerveux
. Il déclare d'une façon très catégorique que ce
ont en rapport avec des altérations minimes et fugaces des cellules
nerveuses
. 428 BIBLIOGRAPHIE. 5° Maladie des tics convu
nents et les plus écoutés en matière d'hypnotisme et d'affections
nerveuses
. ' La municipalité d'Orléans n'en a pas moins c
fluxion de poitrine à cin- quante-sept ans, sobre, pas d'accidents
nerveux
. Mère. Migrai- neuse, morte à cinquante-cinq an
d'enfant.] Mère, quarante-huit ans, bien portante, pas d'accidents
nerveux
, physionomie intelligente. A son mariage, nous
e. Mort écrasé par un mur, sobre, très intelligent; pas d'accidents
nerveux
. Mère, soixante-douze ans, bien portante pas d'
une morte d'un cancer du sein, très intelligente, pas d'acci- dents
nerveux
, pas d'enfants quoique mariée; l'autre soeur céli
autre soeur céliba taire. Dans la famille de la mère, ils sont tous
nerveux
, mais ni paralytiques, ni aliénés.] Pas de co
l'objet des moqueries de ses compagnes. Elle devint de plus en plus
nerveuse
, « méchante », désobéissante, paresseuse. C'est
S (d'Albi). Tr..., vingt-quatre ans, militaire. Constitution sèche,
nerveuse
. Père bien portant; mère impressionnable, sujet
es substances toxiques exercent une action directe sur les éléments
nerveux
, et que les agents infectieux, dans le plus grand
s par influence directe, locale, du micro- organisme sur le système
nerveux
, mais par une action chimique, générale de prod
ité, les substances toxiques qui empoisonnent le sang et le système
nerveux
, agissent de préférence sur les diverses partie
ois pour que ces agents pathogènes s'attaquent ainsi aux éléments
nerveux
, il est nécessaire que.d'autres facteurs (hérédit
pend principale- ment de troubles fonctionnels du système de fibres
nerveuses
destinées à relier entre elles les cellules de
, il est probable que les différents degrés d'altération des fibres
nerveuses
constituant le système d'associa- tion de l'éco
le; bactériologiquement par la présence dans le sang et les centres
nerveux
d'un bacille particulier que les auteurs ont to
ves, t. XXX. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tions du système
nerveux
, dont le trouble maximum est le délire hallucin
re spécial relativement aux tares dégénéra- tives ou à des troubles
nerveux
spéciaux. L'accès rotatoire est parfois précédé
vue de la démence. J. SÉGLAS. LUI. SUR LES connexions DES éléments
nerveux
DE l'écorce cérébelleuse; par E. LuGARO. (Riv.
s enfants à l'école, un certificat constatant l'absence de troubles
nerveux
ou moraux, tout aussi bien qu'un certificat de
aisemblablement à une lésion unique affectant l'ensemble du système
nerveux
. (Revue neurologique, août 1895.) E. B. LXVII
e foyers multiples, comme la syphilis et la tuberculose des centres
nerveux
, que de véritables néoplasmes. Leur allure cliniq
les SUR la fatigue des muscles de l'homme sous l'action des poisons
nerveux
, par Rossi. (Riv. sp. di '7'e72., t. XX, fasc.
. M. Pieu (de Prague). Communication sur la pathologie du système
nerveux
central. L'auteur communique d'abord un cas de
atiquait sur lui ». Ce malade a des antécédents héréditaires : mère
nerveuse
, père morphinomane. Rachitisme dans l'enfance.
nstaté l'existence, d'un seul côté, du signe de Biernacki. Le tronc
nerveux
était intact ce qui prouve que l'analgésie du c
es traumatiques sont mieux connues et outre les lésions des centres
nerveux
eux-mêmes, le shock émotif produit fréquem- men
dernier article sur les causes patholo- giques a trait aux maladies
nerveuses
donnant lieu dans leur cours à des troubles men
ne saurait, en aucun cas, laisser de côté l'in- fluence du système
nerveux
, car le système nerveux est partout : son étude
s, laisser de côté l'in- fluence du système nerveux, car le système
nerveux
est partout : son étude permet à l'oculiste de
320. Anomalies. Rapports des mor- phologiques avec les maladies
nerveuses
et mentales endogènes par Sommer, 40. Anorexi
502 TABLE DES MATIÈRES. muscles de laface, par Bernhardt 59. -
nerveuses
et troubles de la sensibilité, par Brissaud, 68
reuse du cerveau par Alzheimer , 260. Dégénérescence des cellules
nerveuses
dans l ? -.cérébrale localisée par Prout, 39t.
hologique par Hahn, 477. corticale par Bonhoffer, 480. Cellules
nerveuses
. De la nomen- clature anatomique des -, par N
, 392. Coloration. Nouvelle méthode de de l'ensemble du système
nerveux
par Nissl et Rosin, Hl. Commotion cérébrale, bl
. Dualité. Deux cas de cérébrale par Bruce, 319. Ecorce. Fibres
nerveuses
à myé- linedel'-du cerveau de l'homme, par Ka
l'homme, par Kaes, 144. Electrique. Excitabilité - du sys- tème
nerveux
périphérique par Westphall, 135. Encéphale. A
echterew, 144. FA 1 IGur; des muscles sous l'action des poisons
nerveux
parRossi,466. Folie. De la induite par Roller,
G3. Paralysie AGITA : 1TE et ses rapports avec certaines maladies
nerveuses
de vieillesse par liedlich, 139. Paralysie gé
ar Klippel et Dumas, 328. Modifications macroscopiques du système
nerveux
dans la -, par Kaes, 389. Sur l'augmentation de
mann, 417. Race. Influence de la . sur les 1 maladies mentales et
nerveuses
, par Buschan, il5. Raretés d'un asile d'alién
er les habitudes vicieuses, les défauts graves du caractère, les tics
nerveux
, les incontinences nocturnes et diurnes de l'urin
systématiquement la suggestion hypnotique au traitement des maladies
nerveuses
de l'en-fant. Mais ayant eu dans un certain nom
mêmes affections; 2° Les troubles fonctionnels liés aux affections
nerveuses
: chorées, tics, attaques convulsives, anesthésie
ont la légitimité ne sera contestée par personne : calmer l'éréthisme
nerveux
du sujet et faire l'éducation de ses centres d'ar
sans vouloir jurer d'être absolument dans le vrai, comme une pléthore
nerveuse
du cerveau. Cet état d'impressionnabilité à la
s ensuite en volume sous le titre de Cours de Braidisme ou Hypnotisme
nerveux
, j'ai adopté une nouvelle appellation, celle d'ét
iences entièrement nouvelles, et par l'histoire rai-sonnée du système
nerveux
. Paris 1855, 1 v. in-8*, pp. 306-307. SOCIÉTÉS
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
guste Voisin a commencé son cours annuel sur les maladies mentales et
nerveuses
le jeudi 13 juin, à 10 heures du matin (section R
ccuse-pas de maladies antérieures, pas d'antécédents héréditaires, ni
nerveux
, ni tuberculeux. Le père et la mère sont bien por
es fonctions disparues ; 3° En ravivant la dynamogénie des cellules
nerveuses
et des fibres musculaires ; 4° En augmentant
s biographes (1), qu'Ignace de Loyola fut souvent atteint de troubles
nerveux
ou mentaux. (1) Voy. en particulier : P. Ribade
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique) est ann
ait m'avait amené à. admettre chez cet homme l'existence d'une lésion
nerveuse
(élongation ou contusion) et des troubles associé
sée. Tout depuis a confirmé ces vues : les troubles dus à la lésion
nerveuse
traumatique ont continué à se résoudre et il y a
inertes, nombre de sujets affectés de douleurs, d'insomnie, d'aphonie
nerveuse
, etc., qui ne voulaient pas se prêter à l'hypnose
peutique. Le premier est un typographe, âgé de 17 ans, lymphatique,
nerveux
, pâle. Il est venu hier à la consultation, accusa
les fonctionnels ; il n'a jamais été malade, dit-il ; mais il est
nerveux
et impressionnable. Hier, je l'ai endormi par sim
impressions morbides en les vissant de plus en plus dans son système
nerveux
. Nous ne pouvons pas prendre le (aureau par les c
u as une bonne nature ; tes organes ne sont pas malades. Les douleurs
nerveuses
que tu as guériront toutes seules. Il faudra, san
urs. Je me contente d'affirmer que ce sont des douleurs rhumatismales
nerveuses
qui ne sont pas inquiétantes et se dissiperont sp
à la cause qui les avait engendrés, retenus par l'impressionnabilité
nerveuse
de certains malades, à la faveur aussi d'une thér
le bromure, qui ressentent, à la suite de tout médicament, des effets
nerveux
que leur imagination crée ou grossit à leur insu,
ne constate aucune lésion, il est certain que la douleur est purement
nerveuse
; que s'il veut bien m'écouter et avoir confiance
e avec l'anorexie hystérique primitive (Sollier) ou avec la dyspepsie
nerveuse
de Leube. Or, le pronostic en est absolu- men
res-sionnabilité individuelle de chacun, je n'ai jamais aucun trouble
nerveux
. Les grandes hystériques seules peuvent avoir, dè
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire neurologique et pédagogique), est an
son initiateur M. Liébeault. On concède encore que certains troubles
nerveux
sont justiciables de la suggestion. Ce sont là, d
t douloureuses, a sans doute une conformation vicieuse de son système
nerveux
qui réagit anormalement aux diverses influences.
onne, et un nerf inerte ? Savons-nous ce qui se passe dans la cellule
nerveuse
quand elle fait des idées, du délire, du mouvemen
; et la suggestion elle-mêm peut éclairer le diagnostic. L'élément
nerveux
n'existe pas seulement dans les névroses pures; i
e dans toutes les affections organiques; toutei ont un retentissement
nerveux
qui peut compliquer, aggraver entretenir la malad
veux qui peut compliquer, aggraver entretenir la maladie. Cet élément
nerveux
, qui n'est qu'ur réflexe, une irradiation, un dyn
t certain, c'est qu'il existe chez notre homme une impressionnabilité
nerveuse
spéciale qui a pu, à la faveur de la tuberculose
douleurs, quelle que soit leur origine, sont retenues dans le système
nerveux
par G auto-suggestion et qu'il est possible de le
est possible de les déraciner. Le malade avoue avoir toujours été
nerveux
et impressionnable : sa mère aussi était nerveuse
e avoir toujours été nerveux et impressionnable : sa mère aussi était
nerveuse
et colère. Pour tâter la suggestibilité thérape
ue j'ai enlevé, c'est le retentissement de l'emphysème sur le système
nerveux
du poumon, c'est un trouble dynamique greffé sur
lle, l'expulsion de sécrétions bron-, chiques. C'est une toux surtout
nerveuse
qui se produit par quintes prolongées, elle est d
scles expirateurs. Or l'emphysème pulmonaire augmentel'excitabilité
nerveuse
des terminaisons du nerf vague pulmonaire; elle c
minaisons du nerf vague pulmonaire; elle crée une im-pressionnabilité
nerveuse
spéciale du poumon. Cette impressionnabilité d'
ressionnabilité locale et alimente les quintes de toux que le système
nerveux
, une fois qu'il les a produites plusieurs fois, r
ique encore inconnu de l'asthme, il s'agit en tout cas d'un processus
nerveux
. Que les périphéries du nerf vague agissent par r
obstacle dans les petites bronches, il s'agit toujours d'un processus
nerveux
qui peut être dû à un retentissemet de l'emphysèm
de ces accès? Peu nous importe le mécanisme précis. C'est le système
nerveux
du poumon, vague ou sympathique, qui est en jeu.
ctivité la propriété inhibitoire du cerveau et refrène l'excitabilité
nerveuse
exagérée qui crée les quintes de toux et qui crée
, lorsque la dyspnée emphysémateuse n'est pas subordonnée à l'élément
nerveux
, lorsqu'elle est due à l'usure trop grande de la
lus d'air ou plus de sang. Elle n'agit que sur l'élément dynamique et
nerveux
. C'est au clinicien à faire le diagnostic et à
épinière sur celles du cerveau, c'est-à-dire de la sphère des centres
nerveux
d'automatisme sur la sphère des centres nerveux d
la sphère des centres nerveux d'automatisme sur la sphère des centres
nerveux
de volonté et de conscience. D'autres fois, qua
l'excitation est remplacée par un épuisement considérable du système
nerveux
, le visage prend une expression de souffrance et
contre l'insomnie due à la perception de bruits. Beaucoup de sujets
nerveux
sont éveillés ou ne peuvent s'endormir par suite
évelopper une insomnie persistante, susceptible d'amener des troubles
nerveux
plus ou moins graves. L'occlusion des oreilles av
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
{dispensaire neurologique et pédagogique), est an
isme psychique est plus effet que cause et qu'il annonce une décharge
nerveuse
se préparant, décharge qui se créerait une voie à
moindre résislance étant établie par un état d'adynamie des cellules
nerveuses
présidant à la formation de la volonté. Le jugeme
Quand la résistance des centres volitifs est plus élevée que la force
nerveuse
qui va se décharger, la volonté arrête la crise p
r, selon toute probabilité, de l'intégrité fonctionnelle des cellules
nerveuses
volitives, celle-ci actionnent les centres représ
.. est un masturbateur. L'onaniste provoque la fatigue de ses centres
nerveux
non seulement par l'ébranlement dû à l'excitation
leptiques. 11 est permis de se demander si l'irritation des centres
nerveux
qui provoque ces crises n'est pas due à la fatigu
ment polybromuré à haute dose, qui a agi chimiquement sur les centres
nerveux
, et la gymnastique médicale, qui a diffusé la ten
centres nerveux, et la gymnastique médicale, qui a diffusé la tension
nerveuse
vers les muscles, ont donné d'excellents résultat
e surmenage intellectuel compromettent l'évolution normale du système
nerveux
. » Et il faut bien conclure, avec le D' Bérillo
e rongeait ses ongles en cachette, on ne la voyait jamais; elle était
nerveuse
et probablement hystérique, elle est morte à 27 a
ur et peu intelligent. Il a un caractère bizarre. Son père est un
nerveux
, un peu buveur et fumeur endurci de la cigarette,
olique, un brightique et un syphilitique. Sa mère une anémique un peu
nerveuse
et un peu usée ou fatiguée par les grossesses.
é d'arrêt qui est une des propriétés les plus remarquables du système
nerveux
. La volonté du sujet étant impuissante à réagir
'origine externe ou d'origine interne qui peuvent éveiller un trouble
nerveux
gênant ou douloureux, laissant à sa suite l'appré
nction entre un trouble et la conscience de ce trouble, entre un état
nerveux
et la perception de cet état nerveux ; et cependa
nce de ce trouble, entre un état nerveux et la perception de cet état
nerveux
; et cependant cette distinction est rendue néces
roubles fonctionnels, pour la faim, la soif, etc., qui sont des états
nerveux
non localisés, tandis que d'autres sensations int
e sous la forme douloureuse. Il en est ainsi également des opérations
nerveuses
elles-mêmes, qui nous sont inconnues dans leurs é
dre psychique. Si le siège de la perception consciente de ces états
nerveux
localisables ou non, est, selon toute évidence, c
ntime de nos fonctions organiques. Enfin certains d'entre ces états
nerveux
subjectifs peuvent non seulement s'imposer d'une
sucre, etc. ? Et la peur ? Il est évident que c'est un de ces états
nerveux
non localisables que nous connaissons surtout com
ieux qu'il suffise d'un peu de réflexion pour trouver dans le système
nerveux
central un grand nombre de fonctions de première
ons néanmoins que par suite du développement ultérieur de son système
nerveux
et grâce aussi au traitement général que je lui f
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
nerveuses
et à la pédagogie. Il se continuera les jeudis
du cerveau. Faculté de Médecine : Clinique des maladies du système
nerveux
,— M. le professeur Raymond a commencé le cours de
sseur Raymond a commencé le cours de clinique des maladies du système
nerveux
le vendredi 15 novembre 1895, à 10 h. du matin (H
été amené à rechercher les effets de la fatigue chez les héréditaires
nerveux
, instables, dégénérés, épileptiques, hystériques,
bies entrent pour une large part. Tout agent qui actionne les centres
nerveux
, soit par une excitation violente mais subite, pr
une excitation violente mais subite, provoque la fatigue par décharge
nerveuse
, selon toute apparence. Cette décharge découronne
découronne les centres psychiques, en leur enlevant la somme d'influx
nerveux
nécessaire à la formation du jugement, de la volo
t aux excès ceux-là mêmes qui auraient besoin de se ménager, tels les
nerveux
qui réparent (1) Travail communiqué au Congrès
l ne faut pas oublier qu'on a affaire à des sujets dont la résistance
nerveuse
est peu élevée, qui dépensent rapidement et répar
uses est celle de Marguerite N... A l'âge de 21 ans, sans antécédents
nerveux
notables, la malade est brusquement prise d'attaq
e que ces hypnotisations antérieures ont développée dans leur système
nerveux
. Mais ce n'est pas là une condition indispensable
ases physiologiques de la vie psychique). Développement des centres
nerveux
. Localisations. Neurones. Voies de conduction. St
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
nerveuses
et a la pédagogie. Il se continuera les jeudis
ique. Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système
nerveux
. — M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heure
vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les maladies
nerveuses
tous les jeudis à S b. (salle de la consultation
l Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon clinique sur les maladies
nerveuses
, le dimanche à 10 heures. M. Albert Robin ava
ofesseur à l'Université de Moscou, est âgé de 30 ans, bien constitué,
nerveux
et impressionnable. La sœur du malade est une hys
cutanée sous l'influence d'une prédisposition particulière du système
nerveux
. Tout le monde connait maintenant le rôle que jou
nerveux. Tout le monde connait maintenant le rôle que joue le système
nerveux
dans les affections cutanées. Les observations dé
nctionnement des follicules pileux. Si sous l'in-llucnce d'un trouble
nerveux
ces follicules s'enflamment, ils présentent un te
cas la sycose staphylogène se développe sous l'influence d'un trouble
nerveux
et que l'influence des microbes est alors seconda
ection, la disparition de la maladie causale, c'est-à-dire du trouble
nerveux
, estindispensable. Dans le cas présent on n'a pu
ysique ou chimique. Mais il est impossible de méconnaître l'influence
nerveuse
comme cause prédisposante. En faveur de cette inf
des lésions. Les médecins qui ont au début négligé l'état du système
nerveux
ont à la dernière consultation prescrit des calma
patienter pour le trouver ; on ne peut donc supposer que les troubles
nerveux
étaient secondaires à la sycose. Le malade s'est
phylogène, qui n'était pas considérée jusqu'à présent comme d'origine
nerveuse
, dépend directement des troubles du système nerve
comme d'origine nerveuse, dépend directement des troubles du système
nerveux
et incite à un traitement qui ne consiste pas seu
ction des micro-organismes, mais qui doit s'adresser aussi au système
nerveux
. Pour les neuropathologistes, ce cas ne présente
ement dans l'hystérie, mais aussi dans les autres troubles du système
nerveux
. Cette communication a fait un grand bruit; la
tion des médecins sur la nécessité de prendre en considération l'état
nerveux
des malades atteints de sycosis. La communication
ent de la Russie. On lui doit la création de la clinique des maladies
nerveuses
et mentales, d'un musée neurologique, auquel la F
ikoff lui ont dédié un recueil de travaux sur les maladies du système
nerveux
et les maladies mentales. En 1894, au 15me annive
J. Luys. On rencontre quelquefois, dans le domaine de la pathologie
nerveuse
, des cas de sommeil impératif dans lesquels on vo
ère mariée, mère de amille, sans aucune tare héréditaire ni accidents
nerveux
, qui, pendant plusieurs mois, était sujette à des
les artères de la base (\) Voir Luys : « Recherches sur le système
nerveux
», 1865. — « De l'état de sommeil de l'axe spinal
dire que j'ordonnais un lien pas trop tendu, pour éviter des troubles
nerveux
. — D'autres expériences s'appliquaient aux doigts
erew, professeur et directeur de la Clinique des maladies mentales et
nerveuses
à Saint-Pétersbourg. Elle contiendra : I. Des t
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
nerveuses
et à la pédagogie. Il le continuera les jeudis su
ue. _ Hospice de la SalpÈtrière. — Clinique des maladies du système
nerveux
. — M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heure
vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les maladies
nerveuses
tous les jeudis à 5 h. (salle de la consultation
l Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon clinique sur les maladies
nerveuses
, le dimanche, à 10 heures. M. Richer, ancien ch
icher, ancien chef du laboratoire de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris, est nommé chef
états ne sont pas des phénomènes extraordinaires liés à une diathèse
nerveuse
hystérogène; ce ne sont au fond que des phénomène
ne des manifestations les plus remarquables de l'éducation du système
nerveux
. C'est ce qui explique le peu de succès des moyen
ne. Un nouveau schéma de l'aphasie basé sur l'histologie du système
nerveux
Par M. le Docteur Félix Regnault. Les schémas
u forme de nombreuses ondes de plus en plus développées. Les filets
nerveux
sont en rapport de contiguïté. Que cette contiguï
duiront, différents de ceux qui sont causés par la lésion de cellules
nerveuses
. [Voir la figure ci-dessous). Schéma des aphasi
uivi.d'une crise. C'est sans doute ce qui a fait attribuer ma maladie
nerveuse
à de la dyspepsie. D'autres médecins n'ont voulu
sait que l'onanisme est une cause fréquente d'épilepsie. Les centres
nerveux
ressentent vivement, en effet, le contre-coup de
sa crise et à la modérer! Il n'est pas de médecin ayant soigné des
nerveux
qui n'ait observé la puissance inhibitoire de la
s l'immense majorité des cas, une frayeur immense envahit les centres
nerveux
et les sidère aussi rapidement que la foudre, san
clut avec raison de ce fait que l'hypnotisme, dans certaines maladies
nerveuses
, a une action curativc bienfaisante que n'a pas l
ille. La médication nervine modifiait fréquemment les retentissements
nerveux
des troubles fonctionnels de l'estomac. Lorsque l
ns long ; que ce vice de fonction, primitif ou commandé par des actes
nerveux
morbides, peut être mécanique, morphologique ou c
itrine longtemps rebelle à toute médication, reconnue enfin de nature
nerveuse
et guérie par la suggestion. Après un historique
aractères cliniques des pseudo-angines qu'il divise en pseudo-angines
nerveuses
et en pseudoangines d'origine gastrique. Les prem
, si minime soit-il, de l'innervation cardiaque, et en pseudo-angines
nerveuses
proprement dites où le point de départ des phénom
dyspnée, respiration bruyante, saccadée, sifflante, et de phénomènes
nerveux
: cris, agitation, etc., qui ne s'observent pas d
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
que sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
nerveuses
et à la pédagogie. Il le continuera les jeudis su
ique. Hospice de la Salpètriére. — Clinique des maladies du système
nerveux
. M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures.
vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les maladies
nerveuses
tous les jeudis à 5 h. (salle de la consultation
matin. Hôpital de la Pitié. — M. Babinski. Leçons sur les maladies
nerveuses
, les samedis à 10 heures. Congrès de médecine m
nerveuses, les samedis à 10 heures. Congrès de médecine mentale et
nerveuse
. — Le septième Congrès annuel des médecins aliéni
l'hallucination de l'ouïe. Rapporteur : M. Ph. Chaslin; Pathologie
nerveuse
. — De la séméiologie des tremblements. Rap-, port
s capable de permettre le sommeil en amenant la résolution du système
nerveux
, plutôt que de l'imposer en le frappant directeme
é de tous ; le camphre diminue les phénomènes d'excitation du système
nerveux
; il secondera par conséquent l'action du bromure;
mphre est un médicament précieux dans certaines affections du système
nerveux
. L'association des divers agents produisant l'h
de médicaments ; leur action commence sur un point spécial du système
nerveux
, mais l'extension de celle-ci aux diverses partie
la narcose à proprement parler ; ce sont des modificateurs du système
nerveux
central portant leur action d'abord sur le bulbe,
ésultant de la forme : si l'absence de sommeil est due à des troubles
nerveux
sans lésion anatomique, les hypnotiques, qui sont
ion anatomique, les hypnotiques, qui sont des modérateurs de l'action
nerveuse
, trouveront leur emploi. Certaines excitations va
est encore de mise; elle a en effet pour but d'apprendre à la cellule
nerveuse
à dormir. Les hypnotiques devront être plus lég
celles qui résultent de cause pathogène ayant produit les altérations
nerveuses
: maladies générales, maladies infectieuses, into
ation physiologique. LA SUGGESTION LE FONCTIONNEMENT DU SYSTÈME
NERVEUX
Par M. le D' Vax de Laxoitte, de Verviers. Le
' Vax de Laxoitte, de Verviers. Le fonctionnement intime du système
nerveux
est encore un mystère, malgré les découvertes de
e, et ces énergies accumulées animent les corps organisés. Le système
nerveux
en particulier, chez les animaux, n'est qu'une dé
brés, c'est que la machine fonctionne bien ; c'est en effet le fluide
nerveux
, sur lequel on a bâti tant d'hypothèses, qui,
c'est-à-dire l'augmentation de vivacité et de complexité des courants
nerveux
cérébraux ou extra-cérébraux, dont parle M. L. Ma
nfluence de la variabilité de la pression ou' de la tension du fluide
nerveux
. En 1889, le Dr Ochorowitz disait : « Y a-t-il de
r les études nouvelles sur l'histologie et la physiologie des centres
nerveux
, faites par MM. Golgi et Ramon y Cajal; ce dernie
ur). Elles renversent la théorie ancienne de la continuité des fibres
nerveuses
avec les prolongements des cellules du cerveau et
cerveau et de la moelle ; on reconnaît actuellement que les courants
nerveux
se propagent aux nerfs en passant d'une expansion
es courants nerveux se propagent aux nerfs en passant d'une expansion
nerveuse
à une autre qui lui est contiguë, absolument comm
admis aujourd'hui, dit le professeur Mathias Duval, que les cellules
nerveuses
sont en rapport les unes avec les autres, non par
ciation d'idées, serait due aux nombreuses ramifications des cellules
nerveuses
, ramifications venant s'accoler à celles des cell
ophie l'organe qui en est le siège, et le passage répété des courants
nerveux
doit provoquer l'hypertrophie dans les cellules n
des courants nerveux doit provoquer l'hypertrophie dans les cellules
nerveuses
en fonction ; quand le passage de l'influx nerveu
ans les cellules nerveuses en fonction ; quand le passage de l'influx
nerveux
devient très facile par plus de proximité, il dev
oup de cas ; ainsi, à la suite d'une frayeur, par exemple, le système
nerveux
, vivement frappé chez une personne plus ou moins
ment ou la disparition des arborisations protoplasmiques des cellules
nerveuses
? La connexion entre le centre d'arrêt et le cent
aumatisme ou d'une maladie reste plus ou moins ancrée dans le système
nerveux
après la guérison du trouble anatomique qui lui a
Détruire ces expansions maladives, ou au contraire ramener l'influx
nerveux
et l'allongement des pseudopodes, voilà le but à
des douleurs, peut agir localement sur les fibrilles et les cellules
nerveuses
périphériques, ou d'une façon générale sur les ce
e en agissant sur les lieux de contact des prolongements des cellules
nerveuses
; l'idée qu'un poison peut porter son action non s
veuses; l'idée qu'un poison peut porter son action non sur la cellule
nerveuse
, mais spécialement et exclusivement sur les ramif
sans doute pour action directe d'exciter l'amceboïsme des extrémités
nerveuses
en contiguïté, de faciliter les passages. » Les
canisme de ces modifications cérébrales. La contiguïté et l'induction
nerveuses
expliquent ces processus physiologiques et pathol
dence la réalité de ce phénomène étrange, d'après lequel nos cellules
nerveuses
seraient en tous points comparables à des amibes
ngements étalés, il y aurait facilité de transmission de l'influx
nerveux
, suractivité du fonctionnement nerveux. Inverseme
té de transmission de l'influx nerveux, suractivité du fonctionnement
nerveux
. Inversement, la rétraction de ces ramifications
s communications moins intimes et moins nombreuses, un fonctionnement
nerveux
ralenti pouvant même arriver à être suspendu. Si
Grâce à la nouvelle méthode de Golgi pour la coloration des cellules
nerveuses
, M. Azoulay a pu révéler à la Société de Biologie
t dans le corps : « Après plusieurs jours, le nerf séparé des centres
nerveux
dégénère dans toute l'étendue du bout périphériqu
t donc pas, aussi longtemps qu'elles sont en rapport avec une cellule
nerveuse
. Les bouts centraux des nerfs moteurs ne dégénère
des cornes antérieures de la moelle. On suppose donc que les cellules
nerveuses
exercent une influence trophique sur les fibres n
es cellules nerveuses exercent une influence trophique sur les fibres
nerveuses
; dès qu'une fibre n'a plus de rapport avec une ce
bres nerveuses; dès qu'une fibre n'a plus de rapport avec une cellule
nerveuse
, elle dégénère. On ignore absolument de quelle na
pas le fluide vital ou électro-chimique, qui se dégage de la cellule
nerveuse
, comme le courant électrique sortant d'une pile s
ir prévu qu'il y avait autre chose que la continuité et la conduction
nerveuses
; voici ses réflexions sur ce fait que l'excitati
à une contraction musculaire, et non pas à un effet dans les centres
nerveux
, à une sensation par exemple, puisque le nerf mot
us le verrons, affecte un rapport de continuité avec tous les centres
nerveux
. Il faut donc qu'à l'origine centrale des nerfs c
vant jaillir, de même que l'influence"tephique, que hors des cellules
nerveuses
—(voir tome II, op. cit. p. 98). — Nous citerons
tir de cette constatation physiologique : « Le temps que met l'influx
nerveux
pour traverser les centres nerveux, et surtout le
ique : « Le temps que met l'influx nerveux pour traverser les centres
nerveux
, et surtout le cerveau, varie entre des limites t
i en résulte. Rappelons ici que la vitesse de propagation de l'influx
nerveux
dans les nerfs moteurs et sensibles de l'homme, v
hénomènes vitaux, c'est cette mobilité des prolongements des cellules
nerveuses
, qui parait hors de doute aujourd'hui. On a don
détruites; mais on a démontré en outre que le mouvement des cellules
nerveuses
n'est pas une simple hypothèse. En 1890, Wiedersh
douce appelé leptodera hyalind, a vu que chez cet animal les cellules
nerveuses
présentèrent des mouvements amiboïdes absolument
s cellules olfactives sont considérées aujourd'hui comme des cellules
nerveuses
, et on sait que leurs prolongements périphériques
encore une preuve de la possibilité de cette poussée de ramifications
nerveuses
? Après ces arguments tirés de la psycho-physio
o-dynamique, en voici encore d'autres, que nous fournit la pathologie
nerveuse
. Nous avons déjà émis plus haut des hypothèses su
chant les mouvements automatiques de certaines maladies, les troubles
nerveux
qu'entraîne la vieillesse, les idées fixes, les m
omoteur et les muscles de la jambe, par l'intermédiaire des filaments
nerveux
, on ne voit pas pourquoi la paralysie de cette ja
té a été amoindrie par une maladie anémiante, ou par une intoxication
nerveuse
, telle que celle qui résulte de l'influenza, de l
lte de l'influenza, de la diphtérie, de la fièvre typhoïde, le fluide
nerveux
ne passe plus, la conduction et l'induction ne se
e s'est retirée, l'incontinence s'est reproduite; ou bien, la tension
nerveuse
pendant ces 3 mois avait-elle été trop forte, et
ême des excitations spéciales produiront larétraction des pseudopodes
nerveux
, l'arrêt de la fonction nerveuse correspondante (
oduiront larétraction des pseudopodes nerveux, l'arrêt de la fonction
nerveuse
correspondante (actes d'inhibition, chorée de l'i
nerveuse correspondante (actes d'inhibition, chorée de l'interférence
nerveuse
), et des excitations violentes, anormales, par le
exions maladives, rétablir les communications interrompues ; l'influx
nerveux
par induction est rétabli, ou supprimé là où il é
e circonstances: le trouble fonctionnel dans les maladies des centres
nerveux
dépasse souvent le^champ de la lésion anatomique
rganique. » Pourvu que quelques fibres aient échappé à la destruction
nerveuse
, la fonction peut se restaurer plus ou moins. « C
entretenu par la lésion, mais retenu, si je puis dire, par le système
nerveux
, et on sait que celui-ci a une grande tendance à
fait, grâce aux théories nouvelles de la contiguïté et de l'induction
nerveuses
. Séance du 20 Octobre 1895.— Présidence de M.
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
précieuses à déterminer ; mais comme en dernière analyse les centres
nerveux
se composent de cellules, ici encore la recherche
se que les modifications de forme, d'aspect, de rapports des cellules
nerveuses
. Pour la contraction musculaire, l'observation
encore la constatation d'une modification incontestable de la cellule
nerveuse
. C'est donc uniquement par des hypothèses que nou
ques bien établies. l°Le sommeil consiste en un repos des centres
nerveux
supérieurs par le fait de la non réception ou de
moins nous sommes aujourd'hui très autorisés à croire que les centres
nerveux
fonctionnels sont représentés, non par les corps
ar Cajal, par Vax Gehuchten, etc., que ces éléments sont des cellules
nerveuses
bipolaires et représentent le neurone sensitif de
nt deux prolongements: l'un profond, cylindre-axe, va former la fibre
nerveuse
du nerf olfactif ; l'autre, dirigé vers la superf
le passage de l'influx quelconque qui est l'essence de la conduction
nerveuse
est comparable à l'étincelle électrique qui, entr
il est rendu nécessaire par l'épuisement, par la fatigue des éléments
nerveux
. Une cellule nerveuse est comme une cellule gland
re par l'épuisement, par la fatigue des éléments nerveux. Une cellule
nerveuse
est comme une cellule glandulaire; quand elle a l
ent le sommeil s'établit d'une manière inéluctable. Si les cellules
nerveuses
ne sont pas fatiguées, si le sommeil n'est pas im
pas imposé par le besoin, il faut, pour ramener, mettre les cellules
nerveuses
dans les conditions mêmes du repos. Une position
e protopiasma; peut-être l'état de veille ou d'activité de la cellule
nerveuse
con-siste-t-il dans l'oscillation de ces tentacul
pas comparer ce sommeil de l'être uni-cellulaire à celui des cellules
nerveuses
des êtres composés? Ce n'est pas d'aujourd'hui qu
nstance de réveil. Le fonctionnement total et synergique des cellules
nerveuses
se rétablit ainsi peu à peu, par un progrès inter
réveil; il y a autant de sommeils et de réveils qu'il y a d'éléments
nerveux
capables d'activité, et auxquels par suite le rep
théorie n'est guère neuve, car elle ne fait qu'appliquer aux cellules
nerveuses
ce qui est admis aujourd'hui pour tous les élémen
n qu'ait celte théorie, c'est de chercher quelle est, dans la cellule
nerveuse
, la partie modifiée. Nous pensons avoir rendu bie
uisse s'acclimater et se fortifier, qu'elle rencontre dans le système
nerveux
un état de réceptivité, caractérisé par une crédi
la forme purement psychique avec les formes compliquées d'épuisement
nerveux
réel, acquis ou héréditaire; et enfin VépUepsie,
ins cas, devenir le point de départ de lésions matérielles du système
nerveux
et des organes. « C'est pourquoi jamais l'on ne d
survenue fin janvier de cette année. II en est résulté des phénomènes
nerveux
tels que soubresauts, étouffements et une grande
nique, 5 de troubles sexuels, 6 de neurasthénie et de légers troubles
nerveux
, 7 d'insomnie et do troubles du sommeil. Il a t
acs et F. Jacobs d'Anvers 0) Une fillette de 8 ans, dont l'hérédité
nerveuse
est très chargée, fut atteinte d'influenza en fév
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
. — L'hystérie mentale. Mardi Î2 Mai. — Les névroses par épuisement
nerveux
. — Le traitement psychothérapique de la neurasthé
table du champ visuel, dè rhémi-hypoesthésie, une extrême sensibilité
nerveuse
avec pleurs, ont paru confirmer cette hypothèse.
ncore dans les maladies, en particulier dans les maladies mentales et
nerveuses
. Pour ce qui est de l'hystérie, leur rôle y est d
omique sur les tempes et le front, et pour combattre la surexcitation
nerveuse
à l'intérieur, deux grammes de bromure de potassi
ire du malade, persiste au même degré, même cécité absolue, même état
nerveux
, pleurs spontanés dès qu'on l'interroge, contract
la simulation, et je le soignai comme s'il était atteint d'amblyopie
nerveuse
, hystérique (courants continus, injections de str
t à fait improbable. Le laps de temps écoulé, une amblyopie d'origine
nerveuse
(et elles sont bien rares) s'accompagne toujours
discussion : Cours théorique et pratique de Braidîsme ou Hypnotisme
nerveux
. considéré dans ses rapports avec la Psychologie
es règles disparaissent, mais en même temps il survint des phénomènes
nerveux
; impossibilité de parler pendant quelques heures;
t second. Cet état ne s'établissait cependant qu'à la suite d'un choc
nerveux
: fatigue corporelle, onanisme, émotion, contrari
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ntellectuellement et plus inculte que telle ou telle petite maîtresse
nerveuse
, qui avait, elle, des songes toutes la nuit et se
aboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
, à 10 heures (section Rambuleau), leçons sur les malades mentales et
nerveuses
. — Plusieurs des leçons sont consacrées à l'appli
puissante exercée par la suggestion sur le fonctionnement des centres
nerveux
. Enfin le conférencier, par de nombreuses proje
ils (D'j.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système
nerveux
dans les paralysies diphtériques. I vol. in-4° de
médicale, 313. Schéma de l'aphasie basé sur l'histologie du système
nerveux
(un nouveau) par Félix Regnault, 239. Sarcome d
r Bernheim, 33. 70, 97. Suggestion et le fonctionnement du sys-tème
nerveux
(la), par van de Lanoitte, 263. Suggestion en 1
ES HÉRISSE Y ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE ruz, DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE .J.-
plus aisée, .ou ne savait rien de l'irrigation sanguine du système
nerveux
périphérique, et jamais on n'avait recherché à
III. 1 ? 2 \ ' ANATOMIE, queuses dans l'épaisseur des gros troncs
nerveux
, ainsi que Bichat l'a vu le premier sur le nerf
cal superficiel, qui peut servir d'exemple. A côté des bran- ches
nerveuses
on voit émerger de la région sous- musculaire e
ui- vre les minces filets rouges, qui soulignent chaque ramuscule
nerveux
. Aux membres, la répartition est la même : un n
, à ce point de vue, on peut poser une double loi : 1° chaque tronc
nerveux
tire ses artères d'une origine constante; 2° el
nterne, et le sang que charrie la sous-clavière n'aborde les troncs
nerveux
qu'après un double détour. Poursuivant leur tra
ments un réseau à mailles serrées immédiatement appliqué au tissu
nerveux
et que recouvre, en dehors, le plexus veineux p
s arcades artérielles qui règnent sur tout le tra- z jet du tronc
nerveux
et se continuent sur ses deux branches de bif
l'iliaque externe, dessinent une série d'anses entre les cordons
nerveux
, s'insinuent dans leurs interstices et jusque d
e. 10 O ANATOMIE. ils assurent l'irrigation artérielle des troncs
nerveux
par la multiplicité des sources et des voies d'
e rechercher les traces de cette circulation collatérale par voie
nerveuse
ou les signes cliniques qui pourraient la révél
eviendront très étroites avec la circulation artérielle des centres
nerveux
. On sait que les artères cérébrales se coudent
t de même : les précautions sont aussi bien prises. Lorsqu'un tronc
nerveux
reçoit ses arté- rioles d'une grosse artère don
, elles se recourbent, elles aussi, avant de plonger dans le cordon
nerveux
. Au cou, la direction des vasa nervorum artérie
est pas tout. Une artériole ne plonge jamais d'emblée dans un tronc
nerveux
; elle se divise et se bifurque, avant d'y péné
n par grandes arcades anastomotiques. Au contact ou près du tronc
nerveux
, chaque rameau qui l'aborde se sépare en deux r
Ainsi divisés, les vasa nervorum rampent à la sur- face du tronc
nerveux
, presque toujours parallèles à son grand axe, r
se en longues arcades, avant de s'insinuer entre les fasci- cules
nerveux
, de dedans en dehors, et de s'y ter- miner (g.
ait, que les derniers ramuscules artériels n'abordent les troncules
nerveux
qu'à un état de finesse très grande, ce qui con
qui constitue une analogie de plus avec la circulation des centres
nerveux
. Voici, en somme, résumés en quelques formules,
s direc- trices du système artériel sous-cutané ; 2° Chaque tronc
nerveux
reçoit ses artères d'ori- gines constantes, et
mpor- tance (pneumogastrique et sympathique au cou) ; 3° Un tronc
nerveux
ne reçoit jamais toutes ses artères d'un seul t
du sang artériel, se retrouvent pour les nerfs. a. Quand un tronc
nerveux
reçoit ses artères du tronc artériel satellite,
. Une artère ne plonge jamais d'emblée dans l'épaisseur d'un cordon
nerveux
; elle se divise avant ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX S
r volume, et ne plongent définitivement dans l'épaisseur du tronc
nerveux
, qu'après une nouvelle division et une nou- vel
rfs superficiels; 2° les veines des nerfs profonds : plexus, tissus
nerveux
satellites des gros vaisseaux, nerfs musculaire
ans un instant les terminaisons; plus bas, le long des deux cordons
nerveux
, ce sont de longues arcades, souvent doubles, q
ineux du pneumogastrique et du sympathique; plus haut, les veinules
nerveuses
se rendent aux veines thyroïdiennes supérieures
musculaire. Et le fait se reproduit sur toute la longueur du tronc
nerveux
: c'est toujours par la voie d'un affluent musc
urs par la voie d'un affluent musculaire que les veines d'origine
nerveuse
se rendent à la veine principale. Si, de loin.
'une veine névro-nausculaia·e. A, affluent musculaire. A', affluent
nerveux
. R, veine néno-musculaire nais- sant de la conv
m de l'artère numérale (au bras) rece- vant les veines d'un tronc
nerveux
satellite (nerf médian). ÉTUDE SUR LES VAISSE
cela surtout au niveau des articulations, aux points où les cordons
nerveux
sont soumis à des alternatives fréquentes d'ext
entre la circulation des nerfs péri- phériques et celle des centres
nerveux
: en réalité, si l'on tient compte des différen
cence et de terminaison, destinés tous à préserver les élé- ments
nerveux
du choc de l'ondée artérielle ou de la stase du
qui s'échelonnent à courte distance sur chaque segment d'un cordon
nerveux
, leur volume relatif, leurs origines multiples
ent associées , et, dans l'athérome , un grand nombre d'accidents
nerveux
, reconnaissent, sans doute, une telle pathogéni
ves faites sur la quatrième période, dite de démence. 48 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. le rôle principal ne revient-il pas aux troubl
la clinique nous fait découvrir chez les persécutés. - PATHOLOGIE
NERVEUSE
ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ';
es et chaque attaque durait de Ancmves, t. XXIII. 4 80 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. deux à quatre- mois. Il a été soigné soit à Ne
ni laryngées, ni stomacales, ni rectales, etc.. - tJ2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Du côté des sens spéciaux, le goût et l'odorat
que. ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 53 54 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que nous voulons établir l'existence du tabes
té sous la dépendance de celui-ci. En résumé, si quelques accidents
nerveux
: perte du réflexe rotalien, troubles de la sen
moelle épiniére (Th. de Paris, 1890.) - . . ? .... 56 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Antécédents héréditaires. Le malade ne peut do
rmale de liquide; il n'a de polydipsie que la nuit. 00 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Dans ces derniers mois son caractère s'est mod
Ici encore nous avons à relever la double héré- dité arthritique et
nerveuse
. Nous soulignerons en outre ce fait qu'il s'agi
n ' Bullet. de l'Académie de Aféd., septembre 1891. 60 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du tabes avec le diabète sucré. Et d'abord le
agit d'un cas de pseudo-tabes diabétique dans lequel les phénomènes
nerveux
ont précédé la gly- cosurie pendant vingt ans.
ère objection n'est pas soutenable, car, si parmi les acci- dents
nerveux
quelques-uns sont communs au tabes et au diabèt
abétiques, les douleurs fulgurantes en particulier et 62 pathologie
NERVEUSE
. la démarche. Mais celle-ci reste encore assez
le. Tous les mem- bres qu'il connaît n'ont ou n'ont eu ni affection
nerveuse
, ni goutle, ni diabète, ni rhumatisme, ni obési
nt et d'engourdissement dans la moitié inférieure 64 -il PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du visage. Toutes ces sensations sont purement
Que peut-on conclure de cette succession morbide ? Les accidents
nerveux
actuels ressortissent-ils au tabes vrai ? Ne po
étique, durant depuis deux ans, avec aggravation des phéno- mènes
nerveux
, en l'absence de la glycosurie et des autres si
ale, 5° édit., t. II, p. 812. Archives, t. XXIII. 5 66 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Sauvage', ne déclare-t-il pas que lorsqu'un di
araît parfois de l'urine ? Du reste, dans les affections du système
nerveux
, l'atté- nuation, l'arrêt ou la disparition de
nfirmités physiques, que des affections dites organiques du système
nerveux
, voire même certaines monstruosités soient le r
s bots, affligés de telles ou telles maladies organiques du système
nerveux
(ramollissement cérébral, ataxie locomotrice), vi
imentaire, pour ainsi dire, d'une perturbation dans leurs fonctions
nerveuses
. « L'étude des phénomènes de l'hérédité morbide
me spécimen le résumé d'un de ces trois cas : z L 68 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Observation VII. (FiscHER Centralb. fùr Nerven
un d'eux, éliminer le diagnostic de tabes. » (A suivre.) CLINIQUE
NERVEUSE
HOSPICE DE la Salpêtrière. SERVICE DE M. CHARCO
HORÉIQUES, LES TIQUEUX ET DANS QUELQUES AUTRES MALADIES DES CENTRES
NERVEUX
' ; MESSIEURS, . Les hasards de la clinique o
été omise par erreur dans le III' volume des Mala- dies du système
nerveux
. Il en a paru un extrait dans la Semaine médi-
it dans la Semaine médi- cale du 15 septembre 1886. - 70 CLINIQUE
NERVEUSE
. du palais, pharynx, etc. Au point de vue du mé
larynx (Gazette hebdomadaire, n 42, p. 692, 1883). - 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. donnée en 1854, de la toux hystérique, peu
tion la plus étroite du mot des phénomènes d'hystérie 74 CLINIQUE
NERVEUSE
. locale. Ils ont, en d'autres termes, une tenda
se manifester en dehors d'elle, dans d'autres affections du système
nerveux
, sans lésions organiques appréciales, en partic
au pis. Alors survinrent de l'insomnie, de l'inappé- 76 CLINIQUE
NERVEUSE
, tence, des crises convulsives et délirantes da
s héréditaires, ni antécé- dents personnels relatifs à la catégorie
nerveuse
. Il vit depuis quelques années dans un collège
té caractérisés, paraît-il, par le médecin, sous le nom 78 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'embarras gastrique et c'est huit jours après
t c'est huit jours après qu'il a commencé à ressentir les accidents
nerveux
qui ont persisté jusqu'aujourd'hui. Vous l'ente
gnaler, à proprement parler, chez cette jeune 'fille, d'antécédents
nerveux
héréditaires; mais elle appartient cependant à
non expiratoire. Le bruit se répète à toute heure du 80 CLINIQUE
NERVEUSE
. jour, sans cesse et sans trêve ; il ne dispara
61(c/i,XXI,Bd. 2, p. 408. , . Archives, t. XXIII. 6 82 CLINIQUE
NERVEUSE
. ne pas confondre les exclamations, cris, aboie
vons pas pu trouver la marque évidente d'anté- cédents héréditaires
nerveux
ou arthritiques; seulement elle a été élevée pa
sonnes, éduquées, bien élevées. Le nommé Bont...che, 84 CLINIQUE
NERVEUSE
. : que je vous présente, à ce propos, comme un co
se transmettre d'un. sujet à un autre par une sorte de contagion
nerveuse
. On pourrait citer plusieurs épi- TOUX ET BRUIT
rimentalement l'une au moins des circonstances ou cette contagion
nerveuse
peut s'opérer dans conditions particulièrement
ellement endormie, t Traité de l'hystérie, 1). 317. - 86 CLINIQUE
NERVEUSE
. présente les phénomènes du grand hypnotisme av
pendant trois ans, sans s'accompagner d'aucune autre manifestation
nerveuse
. Cela résulte des notes que m'a obligeamment re
encore sur eux par une électrisation intense 92 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des muscles qui s'y relient, on ne constate to
astasiques, la question ne peut qu'être posée. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. HÉIIIATROPHIE faciale PROGRESSIVE, par M. le
miques. Les parties profondes ne sont pas épar- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 93 gnées : la moitié droite de la langue est a
dans Berl. Klin. Wochensch., 1888, n° 19. 94 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ques-unes de ses branches présentaient quelque
t parler spontanément, répéter les mols, lire à REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 98 haute- voix, il ne peut écrire spontanément
à laquelle on pouvait attacher des rubans. 1 96 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le pansement employé était une solution de bi-
rvelet et le pen- chant à l'amour physique. ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 97 Contrairement encore au système de Gall, la
on . du moi. P. K. Archives, t. XXIII. 7 vs REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. i. ' * XIII. Contribution LA pathologie DES
trique du champ visuel des deux côtés. Diplopie REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 99 monoculaire de l'oeil droit. Amblyopie, sur
branche, dans le nerf sus-scapulaire. P. K. 100 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XVII. D'UNE NÉVROSE PEU commune DE la langue E
chez des femmes de trente à quarante ans, aisées, de consti- tution
nerveuse
au moment de la ménopause. Douleurs, pares- thé
se probable mais non une périostite; d'origine presque certainement
nerveuse
(prolification du périoste et des ligaments par
léger traumatisme lui a donné le coup de fouet REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 101 (parésie subite des extrémités droites), i
e préciser la terminaison. Elles se détour- 102 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nent pour la plupart des colonnes de Clarke av
entre les racines antérieures qui rayonnent et les grandes cellules
nerveuses
. Les fibres de la zone radiculaire postéro-médian
iane s'unissent surtout aux cornes antérieures; REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. '103 celles de la zonepostéro-latéralese perde
onclusion : Tabes classique avec arthropa-- 104 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. thie tabétique, méningite cérébro-spinale, d'o
ée de goitre exophthal- mique. P.$ER.1V.1L. ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 105 XXVII. Contribution A L'ÉTIOLOGIE du tabès
e névrite, caractérisé par l'apparition sur 106 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'ongle de points blancs laiteux qui se réunis
ir. P. KERAVAL. XXX. D'UNE modalité morbide singulière DU SYSTÈME
NERVEUX
CEN- TRAL PROPRE A une même famille; par M. Non
même endroit, comme avant (Obs. Il; VII), soit REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 107 à un autre (Obs. X). Ce sont des sensation
éminiscences émanent de sou- venirs de choses réelles. Les éléments
nerveux
fournissent les lueurs d'impressions antérieure
. La grippe doit donc être rangée au nombre des REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 109 maladies infectieuses (variole, fièvre typ
qu'on devait assigner dans les cadres neurologiques, aux accidents
nerveux
d'origine traumatique. Tandis que l'école alle-
les lésions de la capsule interne. G. D. 110 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXVIII. Sur un cas d'aphasie motrice ET senso
dominaux indiquent qu'il s'agit là d'une lésion REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. H'1 centrale. Si l'on épluche avec soin les an
e l'accouchement. P. K. XL. CONTRIBUTION A la syphilis DU système
NERVEUX
central, par E. SIEUERLING. (Archiv f. Psychiat
t anatomo-pathologique de trois observations de syphilis du système
nerveux
central, qui se résument brièvement ainsi. La p
ation des lésions syphilitiques, tant en ce qui concerne le système
nerveux
qu'en ce qui a trait aux autres organes. Les al
nt la neurasthénie par un mécanisme purement chimique, les éléments
nerveux
sont empoisonnés^ par les produits de la métamo
amorphose régressive qui, fatiguant le pro- 112 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. .toplasma, provoquent une inanition générale d
asthénie acquise chez des gens jusqu'alors bien portants, à système
nerveux
indemne. La genèse de la neu- rasthénie hérédit
préside aux ano- malies anatomiques ou fonctionnelles des éléments
nerveux
? Il est des cas où ces anomalies se révèlent p
ptiques et les criminels. B. Les anomalies mor- REVUE DE pathologie
nerveuse
. US phologiques du cerveau, du crâne, du squele
présenté auparavant, pour la plupart, aucune anomalie ni du système
nerveux
en géné- ral, ni de la sphère psychique en part
deux cas. Conclusion. L'influenza est au premier chef une affection
nerveuse
épidémique. Pronostic d'ailleurs favorable à la
s causales tendent à se confondre, la part qui revient au système
nerveux
ou au trouble de la nutrition, comme cause premiè
ont une grande tendance à croire à l'action primordiale du système
nerveux
dans la production des troubles de la nutrition
eur fournit : a Rien, dit ce journal, ne détraque autant le système
nerveux
d'une per- sonne qui élimine de la force nerveu
autant le système nerveux d'une per- sonne qui élimine de la force
nerveuse
, comme de coucher toute une nuit avec une autre
ent les personnes qui éliminent et celles qui absorbent de la force
nerveuse
? Il y a bien quelque chose d'analogue dans l'h
tage l'opinion du jour- nal : Un grand nombre, dit-il, des malaises
nerveux
dont on se plaint souvent le matin au lever son
1892. -. N" 68. 1 s 1 .. , 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE '. CLINIQUE
NERVEUSE
SUR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGRESSIVE
e n" G du Mercredi Médical. Archives, t. XXIII. 10 146 CLINIQUE
NERVEUSE
. pie, que de pouvoir constater la paralysie gén
rès, que l'intelligence s'affaiblit de plus en plus. 148 clinique
NERVEUSE
. Il y a deux mois environ, on s'est aperçu pour
le des réilexes rotuliens, sans trépidation spinale. 150 CLINIQUE
NERVEUSE
. - On ne constate pas de troubles de la sensibi
aire soit acquise, ni une autre maladie infectieuse ne 152 CLINIQUE
NERVEUSE
. sauraient être invoqués dans le cas particulie
aissent les premiers indices de la maladie. Jusque-là aucun trouble
nerveux
, aucun incident particulier. L'on peut dire que
comme dans la paralysie générale des femmes. Il en a 154 CLINIQUE
NERVEUSE
. été ainsi dans des observations précitées. C'e
- Traité pratique des maladies mentales, 1862, p. 469. 156 CLINIQUE
NERVEUSE
. conforme à la réalité des choses, qu'on peut e
etc. Il résulte, de ces secousses répétées imprimées au sys- tème
nerveux
, ainsi que des lésions anatomiques de ce même s
tème nerveux, ainsi que des lésions anatomiques de ce même système
nerveux
dues aussi à l'alcool, il résulte, dis-je, outr
obser- vation a déjà été faite par Billod. (A suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ 1
e seule espèce 1 Voir no 66, p. 305; n° 67, p. 48. 182 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. morbide : pseudo-tabes diabétique ou glycosuri
tôt, au cours d'un diabète authentique, surviennent des accidents
nerveux
tabétiformes; tantôt, chez un tabé- tique avéré
ion serait résolue en faveur du pseudo-tabes. ' ,. 184 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. A côté de cette première catégorie de signes c
5. Galezowsky. Traité des maladies des yeux, 1875. 186 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. déclare que l'amblyopie diabétique grave est d
: Etant donné un diabétique chez lequel surviennent des accidents
nerveux
tabétiformes, déterminer si ces accidents relèv
le cas d'Oppenheim, la malade ' Dreyfous. PathQ[jénilJ et accidents
nerveux
du diabète sacré. Th. agréa., 1883, p. 89. · '
eux du diabète sacré. Th. agréa., 1883, p. 89. · ' 188 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rendait de 7 à 13 grammes de sucre par litre,
l faut pourtant ajouter que ces phénomènes dépendent 190 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. soit de la polyurie, soit de la déperdition én
nt donné un diabète sucré au cours duquel surviennent des accidents
nerveux
tabétiformes, dire si on se trouve en présence
e trouve en présence d'un vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents
nerveux
se bornent à des signes tels que : pertes des r
ucré. Le résultat du trai- tement anti-diabétique sur ces symptômes
nerveux
donnera certaines présomptions pour ou contre l
signes spinaux. Si, par contre, l'amendement de ces 192 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. accidents est notable et général, il plaidera
manière suivante : a. Il s'agit d'un diabétique avéré avec signes
nerveux
tabétiformes. Si le traitement antidiabétique a
eux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique amende ces signes
nerveux
en même temps que les symptômes habituels du di
ié au dia-, bète sucré. Archives, t. XXIII. 1 13 194 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. b. Il s'agit d'un tabétique avéré dont les uri
au point de vue héréditaire, du diabète et des maladies du système
nerveux
; d'autre part ceux qui ont trait principalemen
trait principalement à celle du tabes et du diabète. 198 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ASSOCIATION DU TABÈS -AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 1
. ASSOCIATION DU TABÈS -AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 199 200 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. TABÈS ET DIABÈTE. Si tout ce que nous avons dé
ère, le 22 décembre 1887. 1 Père buvait à l'occasion; mère un peu
nerveuse
. Développement tardif, niveau mental faible. 11
r son travail. C'est sans doute ce que sa famille appelle une crise
nerveuse
, car elle n'a jamais eu d'attaques de nerfs. C'
st mort à trente-cinq ans d'un refroidissement. Sa mère n'était pas
nerveuse
. Elle est morte à quatre-vingt-trois ans à la S
mois, l'autre à deux mois. Il lui reste deux frères dont l'aîné est
nerveux
et ressemble à sa mère, avec laquelle il avait
maladie d'épuisement, après avoir soigné un ami. Elle était très
nerveuse
sans jamais avoir eu d'attaques. Elle se mettai
conduit à penser que la maladie reconnaissait pour cause une lésion
nerveuse
centrale. L'état général du malade s'est amélio
lysie générale, reconnaissent pour cause la dissolution des centres
nerveux
supé- rieurs, dissolution qui atteint un mécani
Dans certains cas, l'anesthésie est évidemment liée à des lésions
nerveuses
périphériques ou centrales, mais dans la plupart
ut la considérer comme une perversion de la sensibilité sans lésion
nerveuse
. Le diagnostic de l'anesthésie n'est pas ordina
coup de troubles mentaux est dû à des épui- sements locaux de force
nerveuse
qui produisent tout d'abord une irritation de l
onnaire. La douleur est un puissant agent d'épui- sement des forces
nerveuses
de la vie animale, surtout lorsqu'elle est en c
rectement dans des désordres organiques ou fonctionnels des centres
nerveux
moteurs. L'épilepsie provoquée par lacuichonidi
n d'un bouleverse- ment fonctionnel, partiel ou général, du système
nerveux
central, sous le conp d'une excitation auormale
degré actuel des mêmes centres. C'est, en un mot, pour les centres
nerveux
psychiques et moteurs l'analogue de l'accès de
défaut de pouvoir réceptif aux impressions du dehors, et un système
nerveux
non développé, chargé de ses défec- tuosités pr
sidence DE M. JOLLY. M. SCIIULTZE. Encore un mot sur les affections
nerveuses
consécu- tives au traumatisme. - Depuis le cong
ur la plu- part d'altérations organiques) fonctionnelles du système
nerveux
. Un seul d'entre eux présentait un rétrécisseme
urement fonctionnel. Le traumatisme peut donc produire des troubles
nerveux
très variés. La névrose traumatique n'est pas u
eune dame de vingt et un ans se plaignant d'an- goisse et de pleurs
nerveux
; céphalalgies ; tremblements convulsifs de la
et un - ans et ayant depuis cette époque éprouvé quelques troubles
nerveux
, de la rétention d'urine, de la dysurie. Mariée
avail publié in extenso 1. M. Hoche (de Strasbourg). Des cellules
nerveuses
des racines ~ antérieures de la moelle de l'hom
nt ni paralysie motrice, ni phénomène d'excitation. Or le système
nerveux
central du pigeon ne possède pas de système qui,
tituent un groupe nosologique distinct. Discussion sur les troubles
nerveux
consécutifs au traumatisme. M. Ef8E1VL011n. *La
de l'élever à la dignité de symptôme de valeur. Parmi les troubles
nerveux
qui survivent aux traumatismes, il en est beauc
xiliaire de l'influenza. - M. HOFFMANN. Le pronostic des troubles
nerveux
post-trauma- tiques n'est pas aussi fâcheux qu'
Le traumatisme est simplement la cause occasion- nelle des troubles
nerveux
. Leur persistance tient à certaines in- fluence
s. M. LEBËR. Dans les fractures du crâne, on observe des troubles
nerveux
avec diminution de l'acuité visuelle et rétréciss
hé- nomènes inflammatoires suivis de la dégénérescence des fibres
nerveuses
. M. Kalilden n'a, dans l'ensemble de ses observat
la forme de cellules granulo- graisseuses accumulées; les cellules
nerveuses
des cornes antérieures contenaient des granulat
opage aux racines de la moelle. M. SCHULTZE. Les lésions du système
nerveux
central, chez les phlhisiques ne sont pas encor
ltération des vaisseaux, symptômes propres à la syphilis du système
nerveux
. Le rapporteur considère la sclérose combinée d
OFF. Il est impossible d'attribuer il une certaine partie du centre
nerveux
une influence trophique simultanée sur le tissu
ure était assez prononcé. Pas d'autres symptômes du côté du système
nerveux
. L'exagération des réflexes tendineux serait, d
n des noyaux. ' L'auteur suppose que les altérations musculaires et
nerveuses
sont indépendantes les unes des autres. Toute
s prouvée, l'état des dernières ramifi- cations et des terminaisons
nerveuses
n'étant pas indiqué. M. Roth ne voit non plus a
bles de la sensibilité « sont sous la dépendance d'une complication
nerveuse
, telle que l'hystérie surtout, et ne prennent a
ans la thérapeutique des maladies des cen- 286 FAITS DIVERS. tres
nerveux
, telle que serait, par exemple; la découverte d'u
aison de ce dormeur qui inquiète son entourage, car il a des crises
nerveuses
qui semblent le faire beaucoup souffrir. Voilà
uses et intéressantes études de psycho-physiologie et de pathologie
nerveuse
(la psychologie naturelle; étude scientifique sur
. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BLOCQ (P.) et ONANOFF (J.). - Maladies
nerveuses
(séméiologie et dia- ,qnostic). Volume in-12 ca
e l'Hôtel-Dieu. En 1872, il y a vingt ans, alors que les troubles
nerveux
du somnambulisme, loin d'être acceptés comme un
int-Antoine quelques malades, qui par la singularité des phénomènes
nerveux
qu'elles présentaient, ne furent tout d'abord,
s et demi elle a pré- senté pour la première fois quelques troubles
nerveux
, assuré- ment de nature hystérique, bien qu'ell
pousse des cris de douleur; Elle a depuis longtemps une légère toux
nerveuse
, sans troubles appréciables à l'auscultation. S
e d'essayer l'action hypnotique comme agent perturbateur du système
nerveux
, et de substituer aux crises périodiquement éta
a religieuse de la salle, femme intelligente, habituée aux maladies
nerveuses
que j'avais toujours en assez grand nombre dans
e trentaine d'années sur les HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 307 troubles
nerveux
consécutifs aux maladies aiguës. Fritz, Roger e
la peau font naître cette obsession ; cela lui porte sur le système
nerveux
, suivant son expression. Quand il résiste à cet
les mêmes, quelle que soit l'étrangeté de ce syn- drome. CLINIQUE
NERVEUSE
. Clinique DES Maladies DU système NERVEUX. M. C
syn- drome. CLINIQUE NERVEUSE. Clinique DES Maladies DU système
NERVEUX
. M. CHARCOT. L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE; CONFÉRE
mais.voulu séparer l'étude de l'esprit humain de l'étude du système
nerveux
et que par son influence et ses propres recherc
àla pathologie. Ily ades doctrines proprement psycho- 324 CLINIQUE
NERVEUSE
. logiques qui sont passées dans l'enseignement
e pour rester toujours dans la spéculation abs- l' 326 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. traite. Je vous décrirai des faits et je vous
dans une leçon. 'Mesnet. - Automatisme, 1871, p. 19. 32 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' que la lampe apportée par elle avait besoin
hysté- l'ie, 18 ! H, p. 183. 3 Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1887, t. III, p. 3411, . L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQ
I, p. î 4, et Gilles de la Tourelle, op. cit.. p. 161. 330 CLINIQUE
NERVEUSE
. fait souvent autrefois, qu'elles portent sans
trécissement double de 1° ? Est-ce que Messieurs les 332 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. .médecins oculistes ont suffisamment médité su
no- mène tout particulier qui ne ressemble pas aux autres lésions
nerveuses
. Un certain nombre d'observations que nous avons
corps et ne présentait plus nulle part aucune trace du 334 CLINIQUE
NERVEUSE
. sens musculaire. Comme une malade que l'on vou
se d'agrégation de M. Grenier : Des localisations dans les maladies
nerveuses
, 1886; M. Parinaud : Anesthésie de la rétine, etc
1889, p. 777. 1 Revue de l'hypnotisme, 1887, p. 68. 336 CLINIQUE
NERVEUSE
. suivi des recherches dans le même sens et les
s les observations cliniques. Archives, t. XXIII. 22 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. un tampon à tenir et avecl'autre tampon, je lu
rtir de ces explications grossières et puisque l'in- 340 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. sensibilité comme la sensibilité sont des fait
ion vaste et antérieure de la personnalité : Fig. 1. 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. C'est seulement après cette opération que nous
éoccuper des impressions tactiles qui con- Fig. 3. ' 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. tinueront à l'assaillir; au deuxième moment, i
ontré l'année 'Cf. Pitres, op. cit., t. I, p. 71. 1. 346 CLINIQUE
NERVEUSE
. dernière au moyen d'un appareil fort ingénieux
gauche un petit bou- 1 ri 1/1011/. l ? ych,, p, 295. 348 CLINIQUE
NERVEUSE
. quet de fleurs, et vous m'avez fait sentir un
tait tout à l'heure sensible, et elle ne s'en aperçoit 350 clinique
nerveuse
. aucunement. Son champ de conscience si petit a
il. P. Blocq et J. OnanolT, 5'èmeiologie et diagnostic des maladies
nerveuses
, 1892, p. 199. l'anesthésie hystérique. 351 p
vité, le groupement plus ou moins grand des phénomènes 3n2 CLINIQUE
NERVEUSE
. subconscients qui peuvent faire varier les exp
n s'aggravant. Il est certain qu'il s'agit d'une maladie du système
nerveux
qui intéresse spécialement les parties antérieu
e révèle alors une substance jaune rouge dans laquelle les éléments
nerveux
sont REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
y a dégénérescence des capillaires, il y a dispa- rition des fibres
nerveuses
. Les capillaires lymphatiques restent intacts.
i-ci, il faut et il suffit que dans la région tourmentée les fibres
nerveuses
soient revêtues de leur myéline. Conclusion : -
t revêtues de leur myéline. Conclusion : - Le revêtement des fibres
nerveuses
par des manchons de myéline correspond à peu pr
sclérose des vaisseaux de la base. La seule altération des éléments
nerveux
est la suivante : Tandis que le carmin ammoniac
et cellules de la paroi, - une altération consécutive des cellules
nerveuses
, finalement, l'atro- phie cérébrale. Or, c'est
pas encore d'altération de la substance céré- brale ni des cellules
nerveuses
. P. K. VII. DES différentes situations ET dimen
vons certainement affaire ici aux cellules desoutènement du système
nerveux
central. Comme il existe en outre une proliféra
tion vasculaire, il s'agit d'un gliome télangiectoïde. Les éléments
nerveux
n'ont en rien pris part au pro- cessus. Au po
E A FORME DE DYSTROPHIE, MAIS OCCASIONNÉE PAR UNE LÉSION DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL; par G. WERDNIG. (Archiv. f. Psych., XX
ulement pour effet d'aug- menter l'excitabilité de certains centres
nerveux
qui sont comme un locus minoris résistentiae, e
inoris résistentiae, et de scinder, de désagréger quelques éléments
nerveux
du complexus qui forme la base organique d'un e
circulation encéphalique, les lésions et les commotions des centres
nerveux
que par cette inhibition. Des troubles fonction
emploi du terme de métaphysique. (68). Des propriétés des centres
nerveux
et de leurs modes d'action. Des caractères que
ductions relatives aux propriétés et aux modes d'action des centres
nerveux
. (69). Impressionnabilité. Elle est un des cara
sionnabilité. Elle est un des caractères fondamen- taux des centres
nerveux
; elle est en opposition avec la .-ponta- 4'10 R
être suivie chez le sujet qui observe d'une action sur les centres
nerveux
qui correspondent à ceux dont l'action chez le
ouvements visibles qui sont imités. - - (71). Liberté des centres
nerveux
. Les centres nerveux, lors- qu'ils ne sont que
qui sont imités. - - (71). Liberté des centres nerveux. Les centres
nerveux
, lors- qu'ils ne sont que légèrement stimulés,
se par un mouvement visible. (74). Double action dans les centres
nerveux
. Il semble que les centres nerveux affectés par
. Double action dans les centres nerveux. Il semble que les centres
nerveux
affectés par une impression puissent à la fois
a déterminé l'excitation primitive. (76). Renforcement. - Un centre
nerveux
, stimulé par une impul- sion afférente peut tra
ion efférente à plus d'un centre, de telle manière que les courants
nerveux
soient ren- forcés à mesure qu'ils aboutissent
actique. Nous entendons par là la mise en préparation des cellules-
nerveuses
en vue d'une action com- binée. (78). Psychos
« durant « la période d'inhibition, il se forme entre les cellules
nerveuses
« des groupements fonctionnels » ; la preuve, c
uvements du corps sont des signes produits par l'action des centres
nerveux
et l'auteur a tenté depuis plusieurs années d'e
action mentale. La sensibilité graduellement croissante des centres
nerveux
à l'égard de l'action immédiate ou retardée, so
Enfin certaines propriétés et certains modes d'action des centres
nerveux
paraissent être démontrés par l'observation et
géné- rale, et que les altérations de la névroglie et des cellules
nerveuses
ne sont que consécutives. 1 414 REVUE D'ANA
ubstances présenlent une propriété caractéristique du proto- plasme
nerveux
, et quoiqu'elles n'aient rien de commun avec les
lobuline, stromine et nucléïne comme base matérielle du protoplasma
nerveux
. En même temps, on a remarqué que les substance
bstances albuminoïdes se trouvent non-seulement dans les cel- lules
nerveuses
, mais aussi dans la névrogie, d'où les auteurs
l'hypothèse que la névrogie est par essence une substance purement
nerveuse
, un élément nerveux d'un ordre tout particu- li
évrogie est par essence une substance purement nerveuse, un élément
nerveux
d'un ordre tout particu- lier pour lequel il es
re. La globuline de la substance grise, qu'il s'agisse des cellules
nerveuses
ou de la névrogie, tout en présen- tant les mêm
parations à l'alcool, d'une atrophie plus prononcée des cellules
nerveuses
en des couches déterminées, notamment dans les se
s, tandis que les nerfs périphériques aussi bien que les cellules
nerveuses
de la, moelle sont complètement intactes. L'atrop
er le suc. P. Keraval. VIII. Séméiologie et diagnostic des maladies
nerveuses
; par le D'' Paul BLOCQ et J. ONANOFF,. 1 vol. a
ouvrage comble une lacune que l'extension qu'ont prise les maladies
nerveuses
depuis un certain nombre d'années rendait indis
ymptômes d'ordres divers que présen- tent les affections du système
nerveux
, les auteurs s'en sont tirés à leur honneur, et
ogique qui prend de plus en plus de place dans certaines affections
nerveuses
n'a pas été laissé de côté par les auteurs et q
et aux chefs de services auxiliaires de la clinique des maladies
nerveuses
(électrothérapie, ophtalmologie, otologie, etc.).
couches pressées les maladies chroniques incurables, les affections
nerveuses
et mentales, avant de révéler leurs secrets. A
à la Salpêtrière une école incomparable de cli- nique des maladies
nerveuses
, comme il n'en existe nulle part ail- leurs.
ous avez réussi à faire pour un grand nombre de maladies du système
nerveux
inconnues jusqu'a vous ou peu étu- diées. Pou
est-elle l'Ecole clinique par VARIA. 447 excellence des maladies
nerveuses
, aussi connue, aussi estimée dans tout le Monde
Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). Clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpétrière. Leçons du professeur, mémoir
92 ? J.-B. Baillière et fils. GAJKIEWICZ (W.) : Syphilis du système
nerveux
. Volume m-8° de 210 pages. Prix : 5 fr. Pans, 1
(A.). De l'élimination des phosphates dans les maladies du système
nerveux
et de l'inversion de leur formule dans l'hystérie
Imprimeme Pitrat. DEBIERRE (CI).) et Doumer (E.). Album des centres
nerveux
. Brochure in-12 oblong de 21 pages, avec zig fi
ie, par Bourneville, 441 ; séméiologie et diagnostic des maladies
nerveuses
, par P. Blocq et Onanoff, 443. BULLETIN bibli
q et Onanoff, 443. BULLETIN bibliographique, 288, 457. CELLULES
nerveuses
des cornes an- térieures de la moelle, par Hoch
. Syringomyélie , par Rosenbach et Schttscherbach, 100. Système
nerveux
, modalité Inor- bide familiale du -, par Nonne,
1 . ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE TRIMESTRIELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
e des progrès accomplis par l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
pen- dant le cours des trente dernières années,
x pen- dant le cours des trente dernières années, la patholo- gie
nerveuse
s'est, à son tour, renouvelée et agran- die. Da
ncessants. C'est que, dans l'orga- nisme vivant, le rôle du système
nerveux
est presque universel : ici, dominateur, là sub
ant spécialement à établir des rapports intimes entre la pathologie
nerveuse
livrée à son autonomie légitime et les autres p
uyetliiere. St¡'ickel"s Ilandbuch. 3 Huguenin. Anatomie des centres
nerveux
. Traduction Th. Kellel et .\1. Duval. Paris 187
t pour caractère commun de déterminer dans la structure de la fibre
nerveuse
elle-même des modilica- tions profondes qui abo
ue des affections dans lesquelles l'atrophie dégénérative des tubes
nerveux
périphériques a été constatée. Toutefois, les c
ant d'autre part la destruction totale d'un certain nombre de tubes
nerveux
, les auteurs ont assimilé, 12 -) ANATOMIE PATHO
xplicitement, toute la série. des phénomènes qui conduisent le tube
nerveux
de l'état normal à l'atrophie complète, à celle
t de celui qu'on a admis jusqu'ici, et que l'état morbide des tubes
nerveux
se traduit alors par des modifications qui ne s
ne nous occuper que de celles qui se montrent dans les gros troncs
nerveux
des membres. Celles-ci du reste ne surviennent
tres, toutefois, nous avons pu rencontrer un petit nombre de fibres
nerveuses
altérées. Avant d'aborder la description de ces
e mode de distribution de cette lésion dans l'en- semble du système
nerveux
périphérique; il nous faut pour le moment l'exa
in même des masses de 1 Ranvier. Leçons sur l'histologie du système
nerveux
. T. I, p. 268. - T. Il, p. 33. NEVRITE SEGMEN
itue, croyons-nous, la phase de restauration. Ici (fig. 7) la fibre
nerveuse
est, comme précédemment, modifiée dans une éten
ble de distribution de la lésion dans la conti- tinuité de la fibre
nerveuse
, depuis l'origine médullaire de celle-ci jusqu'
lindre d'axe, destruction fatalè et nécessaire de tous les éléments
nerveux
du tube, et, plus tard, régénération possible d
et, plus tard, régénération possible du nerf par formation de tubes
nerveux
nou- veaux, développés par une sorte de bourgeo
s les nerfs que nous avons examinés. Dans ce cas, la lésion du tube
nerveux
ne paraît pas différer de celle qui s'observe d
, bien que rarement, on observe une véritable régénération de tubes
nerveux
. Ainsi, on rencontre parfois un tube large, s'a
lindre d'axe. Le travail pathologique qui se passe dans les tubes
nerveux
, et qui est de beaucoup le plus important, ne v
entiques, dans un certain nombre d'affections chroniques du système
nerveux
. Pour ce qui est des amyotrophies chroniques de
opathique. Dans la figure 3, planche XXVIII, qui représente un tube
nerveux
atteint de dégénération, on voit combien la lés
érale amyol1'opltique. (drch. de Physiolog., 1879, p. 735. (Racines
nerveuses
). 3 3t ANATOMIE PATHOLOGIQUE. malade observ
ment en tissu conjonctif un certain nombre de' fais- ceaux de tubes
nerveux
. Ces coupes permettent égale- ment de constater
onc fait ici sur cer- tains points une régénération active de tubes
nerveux
, mais indépendamment des lésions que nous venon
dans l'intoxication saturnine chez le cochon d'Inde. , : Les troncs
nerveux
(sciatique, nerfs du plexus brachial, etc.) ont é
édiatement à l'action de l'acide osmique. Fig. 1. Faisceau de tubes
nerveux
examiné à un faible grossis- sement et montrant
ltérés sur toute la longueur d'un segment interannulaire. - A, Tube
nerveux
normal. B, NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE. 37
s annulaires bien marqués. (Période de restauration.) fit. 2. Fibre
nerveuse
vue à un faible grossissement et présentant une
ent reconnaissable du seg- ment B. " Fig. 14. Portion d'une fibre
nerveuse
présentant un dédoublement de la gaine de myéli
u segment B, atteinte de dégénération au début. 4 Fig. 16. -Fibre
nerveuse
prise au niveau d'une racine antérieure cervi-
, cylindre d'axe. B, gaine de myéline. c, noyau. Fig 18. - La fibre
nerveuse
constituée par des segments interannulaires cou
DES ATAXIQUES. 47 produire des lésions limitées' à quelques filets
nerveux
, ainsi' que le -fait la nature, et atteindre is
à la diminution du 1 Vulpian. - Leçons sur les maladies du système
nerveux
. Paris, 1879, p. 499. 8 8 *- PATHOLOGIE. to
ralysie, ni même avec sa parésie. Sous l'influence d'une excitation
nerveuse
faible, le muscle dont le tonus est diminué, se
dente, et supposons un mouvement pour lequel il faut une excitation
nerveuse
produisant une force muscu- laire 10; les muscl
chez le même individu de la présence simultanée de deux maladies
nerveuses
. La coexistence de l'épilepsie, dont les caract
lus complexes dans lesquels l'alcoolisme s'ajoute à deux maladies
nerveuses
préexistantes chez le même sujet. Ces deux mala
DELASIAUVE le 16 octobre 1877. Antécédents (1877). Aucune affection
nerveuse
chez les ascendants directs ou collatéraux. Pèr
nfluence des 76 CLINIQUE MENTALE. bains sulfureux.-Aucun accident
nerveux
ni chez lui, ni dans sa famille. Mère, trente
eux-mêmes sains et intelligents d'ailleurs, n'a offert d'accidents
nerveux
et qu'on ne saurait invoquer l'alcoolisme. Au
un accident névropathique dans sa famille. Mère, 40 ans, fleuriste,
nerveuse
: elle a eu des attaques de nerfs pendant qu'el
morts de la poitrine. Aucun de ses parents n'aurait eu de maladies
nerveuses
. Pas de consanguinité. Cinq enfants : 1° la m
aison entre la Planche in et les planches des Leçons sur le système
nerveux
de 1\1. chariot mettront en évidence la différe
ndres, 1879. Recherches sur l'échauffement des nerfs et des centres
nerveux
à la suite des irri- tations sensorielles et se
51). - Thermométrie cérébrale, dans : Revue des maladies du système
nerveux
pour 4879, par Henry C. de BOYER. (Année médica
es. M. Schiff s'est, du'reste, occupé de l'échauffement des centres
nerveux
eux-mêmes dans l'important travail des Archives
xée par ses muscles ; nous en avons des exemples dans la pathologie
nerveuse
. Ne voit-on pas la paralysie des muscles de l'o
tions de température que l'on peut observer au cours des affections
nerveuses
et mentales, après avoir vu cette thermométrie
'un chat, avaient été frappés par la présence de quelques faisceaux
nerveux
qui paraissaient établir une connexion croisée
ément d'accord- avec la loi générale-; de développement des régions
nerveuses
qu'il a exposée dans le Journal of nervous and
chez les premiers. CH. F. IV. ÉTUDES microscopiques sur LE SYSTÈME
nerveux
central DES REP- TILES ET DES BATRACIENS; par F
p. 100, et celui de la liqueur de Mûl- ler, pour durcir le système
nerveux
des petits animaux. La colora- tion se fait au
, plus souvent que ceux des cellules plus petites ; 3° les cellules
nerveuses
du renflement crural, sont au moins aussi abond
nt les détails de l'expérience et montre que la durée de la section
nerveuse
doit être moindre que 1/10 de seconde pour évit
t de « faire disparaître les propriétés d'autres parties du système
nerveux
» (influence inhibitoire ou d'arrêt) , tantôt,
s précédents portent fort à croire que ce n'est REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 139 pas dans l'écorce qu'il faut chercher le p
l'écorce, ou dans des portions plus profondément situées du centre
nerveux
, et aussi que dans un certain sens, une simple
essentielle des relations anatomiques et physiologiques du système
nerveux
central de l'homme et du chien, nous avertit de
ralblatt f. Nerw., etc., etc.). R. VicouRoux. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Cas DE MÉNINGITE aiguë SUPPURÉE CONSÉCUTIVE
nte-cinq ans admis à l'hôpital de Montréal, 140 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. le 17 janvier 1880, dans un état de délire et
tion d'une tumeur pulsatile à l'extrémité ster- REVUE DE pathologie
nerveuse
. 141 nale de la clavicule droite. Le pouls caro
ante. Un homme de trente-trois ans, atteint 142 REVUE DE pathologie
nerveuse
. de rétrécissement de l'urèthre, est opéré le 5
ciaux qu'ils affectent dans la syphilis céré- brale. Aucun symptôme
nerveux
n'est caractéristique de lasyphilis ; mais cert
sur ce qui constitue ce que Jackson appelle le style des symptômes
nerveux
syphili- tiques. ' C. TALAmoN.. V. Sarcome DU
ude qui duraient depuis trois mois. Pendant les REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 143 premiers mois de son séjour à l'hôpital, e
euvent être provoqués par le chatouillement 144 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de la plante des pieds. Pupilles égales; yeux
stème régulier d'éducation, qui leur apprenne à diriger l'influence
nerveuse
jusqu'au groupe musculaire qu'ils veulent mouvo
ribuent aux muscles paralysés, soit de quelque partie des centres
nerveux
. En quoi il ne parait pas avoir tort; le point dé
re ou désordon- née, quelles parts respectives assigner aux centres
nerveux
, 1 Voir Progrès médical, t. III, p. 462, 472; t
ois épidémiqucment, des troubles psychiques 158 BIBLIOGRAPHIE. et
nerveux
où, sous les formes les plus variées, incubes, su
E. IL Des lésions trophiques consécutives aux maladies du système
nerveux
; par le Dr X. ÀRNOZAN. Vol. in-8° de 266 pages. P
éditeurs. III. Influence de la Syphilis sur les maladies du système
nerveux
central, par le Dr Cu. Chauvet. Vol. in-8° de 9
udier les lésions trophiques con- sécutives aux maladies du système
nerveux
: le sujet était difficile, et, dans l'état act
un premier chapitre consacré aux lésions trophiques dans le système
nerveux
lui- même, M. Arnozan insiste sur les dégénérat
ation de ces nerfs, M. Arnozan s'applique à étudier les atrophies
nerveuses
périphériques et centrales, telles par exemple qu
ologique de la syphilis sur quelques-unes des affections du système
nerveux
central et non pas de décrire des lésions syphi
central et non pas de décrire des lésions syphilitiques du système
nerveux
. C'était en somme une donnée étiologique à mett
s cas pour la plupart des grands.' processus morbides des centres
nerveux
. Nous reprocherons^ M. Chauvet de n'avoir pas sui
l'auteur du meilleur travail sur un sujet de pathologie mentale et
nerveuse
. Les mé- moires manuscrits doivent être parvenu
à celui-ci et survenant lorsque, par le fait de la névrite, le tube
nerveux
se trouve séparé de ses centres trophiques. N
section cutanée. A ce niveau, les extrémités cen- trales des tubes
nerveux
étaient englobées dans un magma assez dense', c
l'a établi M. Charcot, la lésion dominante' est celle des cellules
nerveuses
de la corne antérieure spinale. La question est
tdesavoirparquelmécanisme cette lésion réagit sur l'état des fibres
nerveuses
qui en émanent : or, à ce propos, la théorie la
royons-nous, consiste à admettre que la destruc- tion de la cellule
nerveuse
entraîne à sa suite la dégé- nération du nerf,
n du nerf, et équivaut, en quelque sorte, à'une section de la fibre
nerveuse
portant sur le prolonge- ment du cylindre axe d
uisqu'elle ne nous renseigne en aucune façon sur l'état de la fibre
nerveuse
pendant que sa cellule d'origine subit les modi
ion est transmise par le cylindre axe à toute l'étendue de la fibre
nerveuse
. z La première hypothèse s'appuie sur cette cir
certain nombre de cas d'atrophie musculaire, les lésions des tubes
nerveux
ont paru plus prononcées du côté des troncs et
térieure de la moelle épinière A, de laquelle partent quatre fibres
nerveuses
dont la partie B est saine ou atteinte de lésio
ainsi toute l'apparence d'une dé- génération ascendante des troncs
nerveux
, alors qu'en réalité rien de semblable ne s'est
'est produit, ou que tout au moins l'action trophique de la cellule
nerveuse
n'est pas directement en cause, mais bien ce qu
ésions évidentes ; elles sont exclusivement localisées aux cellules
nerveuses
des cornes antérieures qui sont en grand nombre
ons beaucoup plus pro- fondes. (Voir Vulpian. - Maladies du système
nerveux
, 1879.) 190 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. line et le
tremblement est un des symptômes les plus fré- quents des maladies
nerveuses
, soit qu'il se manifeste spontanément, soit qu'
venons de rapporter;9ellesînôiltéérit bien l'influence du système
nerveux
sur la production des secousses secondaires. On
l'un de 25 ans; .le deuxième de 18 ans, n'ont jamais eu d'accidents
nerveux
. Une fausse couche. ' Notre malade est née à te
ée actuellement de .01,1 ans, bien portante pas d'hé- moptysie, pas
nerveuse
, pas de malàdies de peau ; quelquefois douleurs
difficile de distinguer la pie-mère et de la différencier du tissu
nerveux
sous-jacent : on pourrait croire que la surface
e des alté- rations bien manifestes de la névroglie, des éléments
nerveux
et des vaisseaux. D'abord cette coloration plus
ion DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 243 t nuisible sur 1 es. cellules,
nerveuses
, sous-jacen tes. Dans -les parties où cette, ba
ions de la substance grise, il est ^certain que cellesides cellules
nerveuses
jouent le rôle f« le, plus, important. Or, à pa
blanche sont si profondément altérées. L'état trouble des cellules
nerveuses
, décrit par M. Mier- zejewsky dans la paralysie
"11'1"" ? 111ql . ",qp"r¡""(T d encéphalite chronique, des cellules
nerveuses
munies , '0*UjJjJR')' ,-l ? sa ? f· . 1 ' mv I.
s sont bien des cellules 1 Ir .J. t . 1.1"" "Il -1 ? ^ i t Il' ,1
nerveuses
et n'appartiennent pas plutôt à cette caté- .J
Gi0(U ! G'JI<OUhil .'JlJ;f11'" li r't'iw/`rll ll bl vi'ltm)II)fu
nerveuses
: leurs dimensions, la nature de leur proto- Gu
? tJl'1 Il 11 t r rr '111 1f)'J te 1 1 1 ! 'I ? ! ftlil ? ¡CI tubes
nerveux
, se colorant .vivement par le carmin , , 1 , ,
f' 1 ... 1 '(11 ra rflfn formement de petit calibre comme des tubes
nerveux
0/" 'I 'oH ? II. \ Jllo.f1' .n j' '1 ,.Jldf Jtr
' '))f ? )t0 1 ; rir.rl 1 I ? " spéciale. Quanta dire si ces.tubes
nerveux
sont envahis ' . .) , 1, J 1 1 . l, t 1 j 1'1 \
allèle a Il 1 '1"' t l' l',j il il - 1 1 ;I ,, , celui des fibres
nerveuses
. Enfin, parmi ces cellules, . i' m ... " ' ' 1.
ir,nn^ .. 3'm'r ? t[fqrro"d'dl1Cf';¡ b 14tilAt, IO'l> ? ,.lil 4P
nerveuses
. Leur trajet est donc a peu près rectiusne. >
proéminent tantôt en dedans, tantôt en dehors. Fig. 8. - Cellules
nerveuses
dont le noyau s'est divisé. L'explication des P
il y voit une distribution vicieuse de la force ou de la dépense
nerveuse
; dans certains points des centres nerveux cette d
a force ou de la dépense nerveuse; dans certains points des centres
nerveux
cette dé- pense est exagérée; de làrésultent, d
mant jouit d'une efficacité certaine, 'surtout contré les désordres
nerveux
. Des gravures annexées à leur travail montrent
r le prof. Maksiorani sur l'emploi de l'aimant .dans les maladies
nerveuses
. Il faut dire que ces travaux, malgré .leur valeu
e expérimentation, à te- nir une grande place dans la thérapeutique
nerveuse
. Ce point sera traité plus loin avec les dévelo
tes, l'action du chloroforme et des anes- thésiques sur les centres
nerveux
. Si on empêcbe le sang chlo- roformé de pénétre
physiologiste a indiqué que l'ânes- thésie produit dans les centres
nerveux
un état analogue à celui qui naît par le sommei
anes- 27< ! REVUE CRITIQUE. thésiques agissent sur la cellule
nerveuse
centrale, sur la cel- lule sensitive principale
t une partie d'un nerf aux mêmes vapeurs, on constate que les tubes
nerveux
ont perdu leur excitabilité et leur transparenc
sous leur influence, la sensitive, qui n'a pourtant pas de système
nerveux
, perd les mouvements de ses feuilles; que la ge
atmosphère chloroformique. On s'explique ainsi comment les cellules
nerveuses
des hémisphères cérébraux et de la moelle épini
squ'au bulbe ; soit, à la lin, lorsqu'il y a saturation des centres
nerveux
par les mêmes vapeurs. Nous avons été ainsi con
n minimum presque nul, les différents chocs exercés sur les centres
nerveux
. On ne peut citer comme demandant préférablemen
sur les anesthésiques, principalement en ce qui concerne le système
nerveux
. Toute l'attention doit maintenant se concentre
nation, ait le minimum pos- sible d'action chimique sur les centres
nerveux
. II. DUIOET. REVUE DE PHYSIOLOGIE i' VII. D
du point d'application de l'excitant dans le direction des centres
nerveux
, d'une façon centripète. Dans ce cas, il s'agit
es éléments interstitiels avec altéra- tion atrophique des éléments
nerveux
. Ces expériences ne tendent à rien moins qu'à r
e. R. Y. XVI. Note sur un appareil servant a soumettre les troncs
nerveux
A DES COMPRESSIONS GRADUELLES D'UNE VALEUR CONN
ération du cylindre-axe dans les lésions non traumatiques des tubes
nerveux
. L'auteur pense . que les résultats obtenus jus
'erreur à cause de l'irritation produite par la section des cordons
nerveux
. La nouvelle série do recherches a été entrepri
laisser entre elles une distance égale à plusieurs segments du tube
nerveux
. Cette rétraction se ferait graduellement et se
érieure par les processus réticulaires restés sains. Là, les fibres
nerveuses
manquent encore presque complètement. A la haut
che de la moelle subit des altérations qui portent sur les fibres
nerveuses
. M. C. Eisenlohr, termine son article par quelq
et en médecine légale, mais encore en physiologie et en pathologie
nerveuse
; ils sont, du reste, parfaitement con- formes a
ès important travail sur les effets de la strychnine sur le système
nerveux
paru en avril 1879 (Journal of Nervous and Ment
eût été effrayé par un chien. A 1 école, vers 9 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 293 et 10 ans, il était fréquemment puni parce
t1u Tq ')'{ £ 'll1s imo J n,'t115 1 ·, . 29t REVUE DE'PATHOLOGIE !
NERVEUSE
: pondre aux questions. (L'amélioration marcha
2b30q ab 9' ! JJlTlo'ld aI ! \.JlJY,'lsdgÍ1 REVUE' DE' PATHOLOGIE !
NERVEUSE
; 295 XI.. CAS GRAVE'' de PROSOPOSPASMB A' march
de potassium et lè9chloral'à haute 'dosé, ' 296 REVUE DE pathologie
nerveuse
.1' des injections sous-cutanées de morphine (ma
pagnes¡ dcjnensurationsjpiillj 'DEÆ ! td.6t 298 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - . : IJd"'}l : d(f 0 ! 1 't;)1 I.lVll , t 1 J
s que nous pouvons ainsi constater nousu permet REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tent'de'Iocatiser la cause de la paralysie, ma
aralysie dissociée ? '' répondant à des lésions isolées- des filets
nerveux
, qui;- émanées d"poÍ)1tsJ divers, j.vont ! eu d
oo Izms 8núvIJoq zuuu onp ajJ1Sffi91511.1HÍO 3, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il ; ? 'T J{ ? jtT ! tf/1lQ'1 ' ! "il ... Le
- r';1 fT"iT./j "Tf" Il 1 r ( ].(1" 'H ,.r-¡ H REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ? 301 rh',dr TP ... ? 1 ' ,'1 "'f ¡. ? ... fI
ine. Le docteùr JTàylÓi'prescriviHe ft'rai- 304 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. tement mercuriel; dès le sixième jour, le mala
L ! f 'fLl ? 1-' .. ? .....i d . des racines plutôt que, des troncs
nerveux
. En effet, la pupille ? 1 ' 1 r4 , - -le 1 1 tU)t
être bien fixée que par l'accumulation 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. grand nombre de faits cliniques et pathologiqu
e droite;. à, la base, du cerveau, , un exsudat REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 307 épais couvrait les origines des nerfs'. En
lè ïl L'in ite à l'oplittiâlmoscopé ; quel- 308 revue.de pathologie
NERVEUSE
. ques symptômes paralytiques ; il ressemblait u
tt ? tt 11 cul" du réflexe rotunen dans le diagnostic des aneotions
nerveuses
du réflexe, rotulien dans le diagnostic des aff
ns nerveuses du réflexe, rotulien dans le diagnostic des affections
nerveuses
. y u1)1LL1 1 .flü s')71 clJ1 Li rJil `fttllr11
lJ1 Li rJil `fttllr11111teyl na .t)jjt)f ? j un REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 309 Erb, Wéstphal admettent que'l'absence 'du"
ervation'V (p. 3'), qui est un bien intéressant exemple dé diathèsé
nerveuse
, tous les parents du malade ayant des affection
rveuse, tous les parents du malade ayant des affections des centres
nerveux
. Des dix observations qu'il donne, M. Hughes, c
urent dû1côtéJ'désî,ufine's"ètl''des'jambes.0 r REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 311 Dans tous ces cas, l'engourdissement ou qu
éralement, dans, les cas de, traumatisme de 31O REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
? 4 , III t -' la moelle une élévation thermi
dans l'épithélium vésical, par suite de la suppression des actions
nerveuses
physiologiques ; il s'agirait là d'un véri- tab
à d'un véri- table trouble trophique. H. D'0. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 313 XXXI. Diminution' du POIDS A la' suite DES
't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1 XXXII.. Observations de, troubles
nerveux
(insolites (hyperesthésie avec, troubles vaso-m
q i. sa ? ' `ill' . "'l'1TIIOlI"r -j XXXIX : Syphilis; DU[ système1
nerveux
; par f.-Ti.IÇFUT.I(Çlçieago med. ,.», Tinies; a
en remontant dans, le passé des inculpées, ,on trouve des troubles
nerveux
.variables,, le plus, souvent des accidents ver
ophobes; r la' conséquence- du refus des aliments, quejl'épuisement
nerveux
par vacuité et la distension) brusque de l'esto
logique DE la para- LYSIE AGITANTE : DE L'HYPERTROPHIE DES CELLULES
NERVEUSES
DE la RÉGION protubérantielle ; par M. Luys. (S
tations. L. LANDOUZY. IV. Soulagement apporté dans DES affections
NERVEUSES
graves , par l'énucléation du GLOBE DE L'OEIL ;
'emploi de l'électricité en thérapeutique des mala- dies du système
nerveux
: on lira avec intérêt les développements que M
ol sans faire assez la part de la misère elle-même et d'antécédents
nerveux
souvent si difficiles à retrouver. Quant aux st
produirait d'abord une excita- tion, puis une paralysie des centres
nerveux
en commençant par les plus élevés pour finir pa
loriformateurs. Cette exagération résulte de cer- taines influences
nerveuses
spéciales encore inconnues dans leur essence. E
2 Etudes cliniques et thermométriques sur les maladies du système
nerveux
. Paris, 1872-1873. ' FAITS DIVERS. 345 complé
: 1° une épreuve écrite sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures ; 2
à ce propos, à nos lecteurs, l'importance qu'a prise la pathologie
nerveuse
en Italie sous l'influence de cette société et
en France, et sa mort prive la faculté de Paris et la pathologie
nerveuse
d'un des maîtres les plus sympathiques et les plu
i Rechiedel, editori Milano. Bnoute (B.). Leçons sur les affections
nerveuses
locales, traduites de l'anglais, par le Dr D. A
l. S T, troisième sillon suprà-orbitaire longitudinal. PATHOLOGIE
NERVEUSE
NOTE SUR UN CAS DE MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AI
dit atteinte de fièvre typhoïde ; sa température est 374 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. élevée, son abattement est extrême ; pas de re
loppement précoce, par son embonpoint : la tempéra- 376 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ture était du reste beaucoup trop élevée pour
endons. Le ventre est unpeu ballonné; les troubles 378 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vaso-moteurs paraissent : la face est vultueus
froide. Chaque ligne verticale répond à 5 minutes. 380 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Ni contractures, ni convulsions, ni hémiplégie
es râles sous-crépitants à la base du poumon gauche, 382 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sans souffle ni matité. Il y a de ce côté une
. - +, mort de la malade. - j., jours de maladie. 38le PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cordes vocales sont vascularisés, mais n'offre
lement dorsal et la recouvrir jusqu'au filum terminale. Les racines
nerveuses
ne sont cependant pas comprimées par cet exsuda
l'examen après durcissement a confirmé. Les 25 38G .' PATHOLOGIE
NERVEUSE
? exsudats fibrineux et purulents des méninges
résentaient pas non plus de granulations tuberculeuses. Les racines
nerveuses
paraissaient irritées, mais cependant la dissoc
ncohérents; d'ailleurs, la coercition n'a pas besoin 388 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'être très .énergique. Pas d'hallucinations d
en déterminée; les reins et la rate sont indemnes. 390 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. On voit comme ces deux observations sont compa
lgie. [Nul dé- tail sur son père, qui est mort ; sa mère est un peu
nerveuse
, mais sa santé est bonne ; quatre frères et soe
ique. Elle aurait eu des convulsions dans l'enfance. Elle est assez
nerveuse
, mais n'a pas d'attaques. [ Ses père et mère so
; elle ne sait de quelle maladie; ils n'auraient pas eu d'accidents
nerveux
; quatre frères et soeurs bien portants. Rien ch
a mère, le 21 no- vembre).- Père, 30 ans, jardinier; aucun accident
nerveux
, pas d'alcoolisme, etc. Rien dans sa famille. M
uvé au- cun exemple dans les ouvrages consacrés à la patho- logie
nerveuse
. Les observations publiées sous le titre de scl
s de constater, peut se résumer en très peu de mots. Les éléments
nerveux
font absolument défaut dans toute l'étendue des
successivement, au point de les anéantir complètement, les éléments
nerveux
qu'il englobe. ÉTUDE SUR L'IDIOTIE. 411 i Dan
alement l'état de la sensibilité dans les parties profondes, troncs
nerveux
et muscles. Il serait intéressant de voir com
à l'hystérie. (A suivre.) REVUE D'ANATOMIE V. QUELQUES anomalies
nerveuses
; par WENZEL GRUHER, pro- fesseur d'anatomie à
te étude par la dissection seule; ainsi, il mentionne des ganglions
nerveux
à l'entrée du trou nourricier ; M. Rémy et Vari
araît avoir suivi exactement sur le cheval la direction des rameaux
nerveux
; mais il ne dit rien de leur structure intime.
acide osmique, réactifs qui leur ont permis d'apercevoir les filets
nerveux
les plus ténus et les détails de leur structure
e 20 fi- à 40 fi- où ils sont réduits à deux ou même à un seul tube
nerveux
. Les éléments constituant ces filets nerveux sont
ou même à un seul tube nerveux. Les éléments constituant ces filets
nerveux
sont des tubes à myéline et quelques fibres de
part, sur les vaisseaux ou ailleurs, on n'a aperçu de terminaison
nerveuse
. La moelle des os du chien a semblé particulièr
t des éléments de la moelle, on peut suivre facilement les filets
nerveux
sur les ramifications vasculaires. Ces nerfs prés
és de fibres à myéline et de fibres de Remak ; autour des faisceaux
nerveux
, on distingue nettement une gaîne de péri- nèvr
fs en font foi. CH. FÉRÉ. VIII. NOTE SUR la morphologie DES CENTRES
nerveux
CHEZ LES CAL- MARIENS ; par Joannes CHATtN. (So
es SUR la GLYCOSURIE CON- sidérée DANS SES RAPPORTS AVEC LE SYSTÈME
NERVEUX
par M. LAFFONT. (JOU1'n. de l'anat. etdela phys
et de là dans les nerfs sphanchniques. L'arrachement de ces paires
nerveuses
empêche ou supprime l'action de la piqûre du pl
mène particulier qu'il a observé dans certaines maladies du système
nerveux
central : lorsqu'on vient à rac- courcir passiv
dominaux, au POINT DE VUE DE la PRODUCTION DU diabète par INFLUENCE
NERVEUSE
; par M. LAFFONT. (Gazette médicale, n° 37, p. 4
s pour l'étude des actes intimes de la nutri- tion. Sur les centres
nerveux
, la perte des fonctions est instan- tanée, et c
l'ordre suivant : en premier lieu les gros troncs, puis les filets
nerveux
qui se rendent aux muscles extenseurs, enfin le
le maximum d'excitabilité du muscle a lieu quand les gros troncs
nerveux
deviennent inexcitables. La perte de la contracti
yngien donne naissance. On peut dire encore que REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 441 le nerf intermédiaire de Wrisberg est un d
pha- ryngien et le facial ne constituent qu'un seul et même tronc
nerveux
. R. BL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XL. Tabl
uent qu'un seul et même tronc nerveux. R. BL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XL. Tableau CLINIQUE DES dégénérations secondai
ue le côté clinique de l'affection, et tout 442 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. d'abord établit une distinction un peu subtile
égiques, février 1880,in-8"de 208 pages, Paris. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 443 s'exerçant sur des cellules plus susceptib
tivement restreint, et il est très vraisem- 444 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. blable que les différences qu'ils présentent a
membre supé- Clinique de la Charité, p. 562. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 445 rieur, on assiste presque toujours à la ré
lieu que dans une éten- due fort restreinte. L'ensemble des fibres
nerveuses
qui subis- sent cette décussation en faveur du
ogie de l'âge adulte ou de la vieillesse. 446 6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Lorsque on examine un bon nombre d'hémiplégiqu
t aune affection particulière des membres infé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 447 rieurs. Lorsqu'il est forcé de rester long
a pas d'autres sensation qu'une inquiétude. 448 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Dans les dernière années, cet état avait empir
ouze ans, elle fut atteinte d'une pneumonie accompagnée d'accidents
nerveux
et d'une raideur du membre inférieur gauche. Il
e, projection de la langue, ouverture et ferme- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 449 ture alternative des mâchoires. Oscillatio
èvres remueront intempestivement et la 29 450 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. langue viendra sans nécessité, s'engager entre
e comme vermoulue. Les alvéoles de ce tissu po- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. z5" reux sont remplies d'une matière gélatineu
erminé le type clinique de la chorée izei4- 452 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rable, des processus à réparation facile en ce
hungen ubel' die Cntwicklung des Schâdelgrunds. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 453 3 XLIII. Trois observations DE paraplégie
stait de lésions que dans l'encéphale (Bir- 454 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. mingham médical 7 ? e ? ( ? ! f, oct. 1879). C
ans qui fut, en cinq jours, complètement para- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 455 lysé. Cet état dura trois mois, au bout de
raissent douloureuses à une forte pression. 456 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La surdité est complète, mais l'indocilité de
en a pas dans les deux observations ci-dessus. REVUE DE pathologie
nerveuse
. 457 L'auteur termine par une discussion des op
le, et conclut en faveur de cette dernière. 458 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. Quant à la nature de la tumeur, il la considèr
nce au point de vue de la syphilis cérébrale, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 459 L'auteur rapporte ensuite deux observation
alternatives d'affaissement et de réveil 460 ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. intellectuel, affaiblissement progressif, anes
et déjà réunis pour un bon nombre dans les tra- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 461 vaux antérieurs de MM. Landouzy et 'Grasse
t à coup un rapide développement. H. D'O. 462 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L. Du VERTIGE DE ÏfIÈNIÈRE; par GUYE. (Revue m
iste sur l'intérêt que présente au point de vue REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 463 du diagnostic, ce début de la pneumonie pa
epti- formes chez les animaux, en produisant l'anémie des centres
nerveux
, et particulièrement du bulbe, par l'électrisatio
. En résumé, appauvrissement du sang, anémie relative des centres
nerveux
, telle serait, d'après l'auteur anglais, la doubl
es ressortent clairement de cette théorie. II. D'O. LUI. Affections
NERVEUSES
SYPHILITIQUES PRÉCOCES; par CH. MAURIAC. M. M
développent pendant les deux ou trois pre- 464 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. mières années. D'après une statistique de 168
aux, M. Féréol a décrit en détail les accidents REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 465 laryngobronchiques du tabes ataxique. M. C
elevées dans les diverses observations 30 466 REVUE de pathologie
nerveuse
. ont été tantôt un épanchement péricardique abo
in 1879) ; une seconde qui lui est personnelle; REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 467 Î enfin une troisième publiée en 1836 par
l, n'ayant plus que de l'aphonie. C. T. ' 468 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LX. L'ÉLÉMENT HYSTÉRIQUE DANS LA CHIRURGIE ORT
ou persistait même à un degré prononcé. » C. T. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 469 LXI. Toux hystérique ; par J.-C. MULIIALL
ncinati. (Cincinati Lancet and Clinic, 8 mai 1880.) Une affection
nerveuse
épidémique, présentant les caractères des forme
rée dans cette école. Une semaine plus tard 470 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. environ, huit élèves tombèrent malades dans la
« une véritable porte ouverte à la plupart des maladies du système
nerveux
», qui met en quelque sorte les sujets dans un
2° les névralgies erratiques; 3° l'ivrognerie : REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 471 d'après M. Beard, certains ouvriers épuisé
ptique ordinaire recueilli dans le principe 472 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. à l'hôpital en raison de ses accès, deux ans p
. Décroissance générale et graduelle des facul- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 473 tés intellectuelles, mais absence de troub
s) ou à l'état abstrait (délire des idées). 474 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Or, étant donné la lésion du cervelet constaté
r les suppurations de la caisse. MM. M'Bride et REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 475 James rapportent l'observation d'un malade
membraneuses, et cette paralysie se trouve exagérée quand l'influx
nerveux
lui-même se rapproche de ses conditions de mini
ons plus haut, et ce qui se trouve aussi d'accord avec la théorie
nerveuse
de M. Angelucci. H. DE B. XXXIV. Du DÉLIRE HYPO
gtemps ont mis obstacle à la con- naissance des maladies du système
nerveux
central, et parti- culièrement des maladies men
la psychiatrie avec la physiologie cérébrale et avec la pathologie
nerveuse
en ajou- tant pour son auditoire spécial quelqu
f, j'eus l'idée de tenter d'enchaîner par la picrotoxine le système
nerveux
moteur et les muscles, et de substituer au téta
nné de bons résultats dans la mélancolie, les sédatifs du système
nerveux
et en particulier l'hyosciamine dans les formes a
ns à la plupart des questions les plus importantes de la pathologie
nerveuse
, et on peut, à bon droit, le considérer comme u
bibliographie. 501 VIII. Traité pratique des maladies du système
nerveux
; par M. J. Grasset (2° édition). Un vol. in-8°
e publier une seconde édition de son traité des maladies du système
nerveux
. L'édition précédente (1878- 79) formait deux v
e, des méninges, des nerfs et des névroses, et les manifestations
nerveuses
des maladies générales. M. Grasset présente dans
ésente dans un discours préliminaire les généralités sur le système
nerveux
qui constituaient ses premières leçons dans l'é
sont largement représentées dans ce traité des maladies du système
nerveux
, aussi ne pouvons-nous que lui souhaiter un suc
KA99ETJ.).j ? XrjijtéjipC £ [tiquend8s'(3maydi'ers>rduasyètèirièJ'|
nerveux
Deuxième édition revue et considérablement augm
iuao 3')Iii'ij ), ij) D : ) 1 ? L 8bm 1-iiiil vraie de la substance
nerveuse
,, mais. bien de néofor- 891 9f101 911 .9Ull HII
tantiel pararaphe ,de'ses''Leôizs, sur5 lès maladies du système,
nerveux
iaux 'éruptions cutanées que 1 on ob- serve.-pa
s'est couverte d'une éruption de zona limitée au trajet des filets
nerveux
occupé par les fulgurations douloureuses^ Une t
Jv jjb )ibv^ Il 9pirqi;ropin ! T(Ilj * Vutpian. Maladies du système
nerveux
, leçons professées- à la Fa- cutte'de mé'decine
cchymoses spontanées, liées, a-1 existence dépenses. 5fo PATHOLOGIE
NERVEUSE
? fulgurantes,; chez luiid'une intensité .et^d'
ne se produisant que par instants ^'d'autres' fois ' 542 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - r( .. ,*j«'r1,1 » ;., ? or orrn ? » 'n t. ?
. l'L ' \\ Jui " GR; n`101T;TrIfT »as=oi.'THioa - 54t PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3'[f ! fr'9m 111 Jnnm'9a. at gncb jtt9912 a98o
aune-verdâtre ultérieurement ? Ces taches sont inti- 548 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 8,·lTiIfI T 2.1 U11 rI m , mement liées aux
, disparition, absolue, des douleurs fulgurantes. 550. PATHOLOGIE
NERVEUSE
.^ i,Cestachesi,sorit.,multiples'etUrréguliefeif
î9loiv 4b 9ti : z sI s'jjp iBupiBffiai-9[ " .T ? - 552 pathologie
NERVEUSE
.'S -inÎBb s i-w-,M M sto 3 ,'ioiaajî ê dooqhG o
jeluii ? ? j ? ? 'V/ r ) ' r·r ? ·r 2cr ntrvr.·, . 556 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - 3rrn *,Tosp/«'iRnafîVr r-i'f*T .7(*n ifr3[t'
'hquga ? e ? c ? etïglles3z ? unq z Snamor'9rlq sI 560 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les douleurs si caractéristiques de l'ataxie l
racines postérieures et de l'irritation directe 36 562 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Récemment, M. S. Stricker, se basant sur des e
e que les excitations produites sur un point quelconque d'une fibre
nerveuse
sen- sitive ou motrice, se propagent aussitôt e
ns la direction centrifuge jusqu'à l'extrémité terminale des filets
nerveux
, c'est-à-dire dans les papilles du derme, ou en
au moins de troubles trophiques consécutifs aux lésions du système
nerveux
trouveront peut-être dans cette hypothèse leur
t sur la peau, de leur position relative par un rapport au centre
nerveux
. Ainsi, lorsque la plaque neutre se trouve entre
ules"" motrices des'cornes antérieu- res, avec atrophie des racines
nerveuses
qui partaient du point malade. Les cellules ner
e des racines nerveuses qui partaient du point malade. Les cellules
nerveuses
étaient remplacées par des globules de graisse;
lobules de graisse, semblables à ceux qui remplaçaient les cellules
nerveuses
, adhéraient à la membrane externe de quelques v
énérescence névro-musculaire consécutive à l'interruption du cordon
nerveux
depuis le début jusqu'à la' fin de la paralysie
r la contusion, la section, la résection, ou la ligature du tronc
nerveux
correspondant (expériences sur des chiens et des)
occuper du tissu cicatriciel qui, à la suite de la section du tronc
nerveux
, inter- vient dans la réparation. L'auteur se p
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 577 E. Régénération. La néoplasie des fibres
nerveuses
s'observe toujours à la 4° ou 5° semaine; ses p
'excitabilité du 1 ? stade, autant'qu'à la dégénérescence du tissu,
nerveux
; la proliféra- tion cellulaire- et nucléaire d
DE l'appareil POLARISATEUR DANS L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DES CENTRES
NERVEUX
ET DE L'ATÉLECTASIE médullaire spinale; par le
traîne l'auteur à établir l'atteinte simultanée de certaines fibres
nerveuses
concourant au même but physio- logique, bien qu
r passe en revue : d'unepart, les différences entre les altérations
nerveuses
ressor- tissant aux affections spinales et cell
nternes. Bien qu'on sache que les altérations ordinaires du système
nerveux
central d'origine syphilitique coïncident avec
ait. Jusqu'à présent, les lésions de cette diathèse dans le système
nerveux
ont constamment présenté le caractère diffus qu
seuls malades : Dans les régions dorsale et lombaire, les cellules
nerveuses
, aussi bien dans les cornes postérieures, que d
I. Dans QUELLES MESURES LES anomalies DE DÉVELOPPE- ment DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL PEUVENT-ELLES SERVIR DE base anatomique
baire). Au même ordre d'idées appartiennent la petitesse du système
nerveux
central coïncidant avec des altérations anatomi
ts de tétanie, le défaut de myéline observé dans certaines fibres
nerveuses
, les rapports étiologiques des anomalies médullai
ismes que celui-ci impose au patient. P. K. - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
LXXVI. SUR L'ÉPILEPSIE LIÉE aux lésions des.cou
he optique. Pour lui, la couche optique est 588 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. un centre de perception, sensorielle. Si la co
égères pertes de connaissance isolées ou accom- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 589 pagnées d'accès épileptiformes, atrophie m
l;- 8° Phosphaturie, symptôme commun à beaucoup d'autres affections
nerveuses
; 9° Appétit vorace. D'après Lawson et Bevan Le
, comme le recommande H. Jackson. (Lecture on · REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 591 optie neuritis from ïntra-craniai diseases
de la pie-mère, un ramollissement rouge des 592 REVUE DE pathologie
nerveuse
. zones corticales, correspondant à ces vaisseau
èvres. Ces deux troubles sont souvent réunis. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 593 C'est dans l'enfance que débute l'infirmit
avant d'être tout à fait passée à l'état d'habitude pour le système
nerveux
. L'imitation joue un grand rôle, à ce point que
l'état déplorable du système ner- veux chez les scrofuleux. L'état
nerveux
n'est pas, comme on l'a dit, la cause, mais bie
plus facilement obtenus. i CH. FÉR. 38 594 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LXXXI. DE la SURDI-MUTITÉ ET DE l'éducation DE
, méningite cérébro-spinale, fièvres typhoïdes, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 595 scarlatine, rougeole, affections idiopathi
ive et limitée que dans l'entité classique; 596 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. les troubles de coordination des extrémités in
avait pas pour chef paternel un buveur. P. K. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 597 LXXXIII. CONTRIBUTIONS A la pathologie DE
isation au pinceau qui ne détermine plus de 598 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rougeur, le gonflement testiculaire indolore,
gyll Robinson en 1869 (Edanb. Med. Joum.), puis REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 599 par Knapp, Leber, Wernicke, a été indiqué
la paralysie générale et dans plusieurs autres maladies du système
nerveux
. Erb, dans son mémoire sur la pathologie du tab
xe des pupilles à la lumière est conservée. 600 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. On'sait que dans les conditions de sommeil nor
ment du biceps, est normal. A l'avant-bras gau- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 601 che atrophie et paralysie complètes des mu
arche ininterrompue de la maladie, et, dans 602 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. deux cas elle fut constatée jusqu'à la mort. D
ès génésiques et d'éléments d'hérédité. P. K. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 603 LXXXIX. SÉRIE DE cas DE paresthésie, princ
localisé dans les vaisseaux des petits rameaux ou des extrémités
nerveuses
qui se distribuent aux parties affectées. 601 1
es mêmes que chez les femmes saines ; elles agissent sur le système
nerveux
central soit par action réflexe, soit par l'épu
, C. T. LI. DES rapports DE la sclérose multiloculaire DU SYSTÈME
nerveux
central avec la paralysie générale progressive
cales consécutives aux lésions des différentes parties du système
nerveux
(couche optique, pédoncule, bulbe, etc.) Pour M. S
ets magnétiques signalés par divers observateurs chez les personnes
nerveuses
. Il cite, entre autres, quelques observations p
ions curieuses, nous citerons la suivante : « Mm° S..., dame très
nerveuse
, souffrait d'une névralgie violente des nerfs q
anisation centrale SUIVIE D'UNE faradisation générale, DES TONIQUES
NERVEUX
, d'une NOURRITURE abondante ET du repos; par ED
aintenant sept à huit attaques la nuit. C. T. XXIX. Cas DE TROUBLES
nerveux
améliorés par l'emploi DE VERRES ; par M. H.-N.
Les spécialistes ont observé des névralgies tenaces et des troubles
nerveux
généraux dus à des troubles de réfraction et à
et que la race noire est spécialement prédisposée aux affections
nerveuses
à forme convulsive. Celui qui est mort était un
ussi chez les alcooliques. (Observa- tions du Dr Anstie.) Système
nerveux
. - Tous les degrés des troubles ont été observé
née dernière. CH. P. XXXIII. Emploi DE la QUININE avec les sédatifs
NERVEUX
; par Lardon, Carter Gray. (New-York Arch. of Me
r une vive impulsion aux échanges nutritifs, de tonifier le système
nerveux
, de faire fonctionner la peau et le système mus
'attention t;de'tous ceux qui .s'intéressent à-1'étudc des maladies
nerveuses
9Jet'mentales. q 1 -it) j11>'> ' ! - ,. '
mémoires' sur 'des'' sujets touchant à l'intelligence et au système
nerveux
a état de santé et dans les cas pathologiques ;
'i ? .'f ï ' '11\., £ 1', f.' ' - . t -t* ' t spéciale des maladies
nerveuses
a 1 université de Aew-iork. Deux'fascICules de
thermiques localisées du cuir chevelu. H. DE B. XII. Des troubles
nerveux
locaux consécutifs aux arthrites; par M. P. Des
inau- gurale un certain nombre de documents relatifs aux troubles
nerveux
consécutifs aux arthrites, il y a joint six obser
ires la thèse de 111. Ch. Avezou : Etude sur la contusion de troncs
nerveux
du bras. (Paris, 1879, publication du Progrès m
e Neurologie, journal trimestriel, consacré aux maladies du système
nerveux
et dirigé par le professeur Charcot. M. Bournev
sseur Charcot, résumeront toutes les études faites sur les maladies
nerveuses
et mentales. 1 '" « De même qu'il est d'un loua
uis le droit d'affirmer dans le camp médical que le rôle du système
nerveux
domine toute l'économie animale, aussi bien .ap
sor prisdans ces dernières années par la pathologie du systè- ., me
nerveux
rendait nécessaire la'création d'une revue spécia
alytiques embrassant tous les tra- f récemment parus sur le système
nerveux
, une revue bibliographi- que, une chronique, et
jets proposés. Anatomie : 1° Les méthodes de préparation des tissus
nerveux
; 2° Les apparences morbides occasionnées par l
gnan a recommencé ses leçons cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
le dimanche 22 janvier, à 9 heures 1/2 du matin
nces 648' ` FAITS 'DIVERS. cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
, et les continue 4 depuis tous les dimanches il
e. DuneT (H.). Et7tde,yé7zérale de la localisation dans les centres
nerveux
, suivie d'une Étude critique sur les recherches
luence d'une nouvelle lésion, par Brown Séquanl, 132. Anomalies
nerveuses
(rapport des) ut Mes uév ropatlies, par Schultz
mphie, par Dean, 145. liai- ! ossdorf, 292, Arthrites (troubles
nerveux
après, les), par Descosse, 631. Arthropathiet
153. Enucléation de l'oeil (1'), soulageant certaines affections
nerveuses
graves, par Stevens, 328. Encéphale (anatomie
sur les psychoses, par Fiedler, 476. Fièvre tellurique (troubles
nerveux
liés il la), «[ ? igérie), par Sorel, 313.
aralysie du), par Baumler, 600. Glycosurie (rapports du système
nerveux
et de la), par Latiotit, 335. Giiis sigmoïde
327. Surdimutité (éducation dans la), par Hartmann, 594. Suture
nerveuse
du médian, par Hulke, 333. Strychnine (recher
atique (altération pathologi- que du), par Blanchi, 284. Syphilis
nerveuse
. Affections pré- coces, par Mauriac, 463 - Sy
, par Westphal, 580. Syphilis (influence de la), sur les maladies
nerveuses
, par Chauvet. 164. Syphilis cérébrale, parSte
(rapports de la) et de l'a- liénation, par Mickle, 152. Syphilis
nerveuse
, par Fut, 313. - Système nerveux central (étude
tion, par Mickle, 152. Syphilis nerveuse, par Fut, 313. - Système
nerveux
central (études microscopiques sur le), des rep
n, 461. Troubles trophiques consécutifs aux maladies du système
nerveux
, par Arnozan, 163. Tumeur cérébrale avec géné
rfs dans l'intoxication saturnine chez le cochon d'Inde. Les troncs
nerveux
(sciatique, nerfs du plexus brachial, etc.) ont é
édiatement à l'action de l'acide osmique. Fig. 1. Faisceau de tubes
nerveux
examiné à un faible grossis- sement et montrant
altérés sur toute la longueur d'un segment interannulaire. A, Tube
nerveux
normal. B, segment interannulaire en voie de dé
s annulaires bien marqués. (Période de restauration.) Fig. 2. Fibre
nerveuse
vue à un faible grossissement et présentant une
ement rcconnaissable du seg- ment B. Fig. 14. Portion d'une fibre
nerveuse
présentant un dédoublement de la gaine de myéli
du segment B, atteinte de dégénération au début. Fig. 16. -Fibre
nerveuse
prise au niveau\d'une racine antérieure celui-
, cylindre d'axe. B, gaine de" myéline. c, noyau. Fig. 18. La fibre
nerveuse
constituée par des segments interannulaire cour
i proéminent tantôt en dedans, tantôt en dehors. Fig. 8. Cellules
nerveuses
dont le noyau s'est divisé. EXPLICATION DES PLA
E*^ ARCHIVES NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE 1 ? , DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA A D t RE C T ! 0 DE
Vol. XIV. Juillet 1887. N" 40 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
DU ROLE DE LA PRÉDISPOSITION NERVEUSE DANS L'ÉT
nerf. Depuis lors, ce fait Archives, t. Xt V. 1 2 . " PATHOLOGIE
NERVEUSE
. , . a été accepté par tout le monde, quoiqu'il
dans les hémiplégies faciales qui surviennent à la suite d'un choc
nerveux
, d'une émotion, d'une impression morale vive et
ont absolument défaut : on ne peut mettre en cause ni i la secousse
nerveuse
, ni le froid; l'origine du mal reste inconnue e
tion indispensable à sa produc- tion : c'est l'existence d'une tare
nerveuse
héréditaire chez l'individu frappé. On sait a
chez l'individu frappé. On sait aujourd'hui qu'une prédisposition
nerveuse
constitue la cause dominante daus la genèse de
dominante daus la genèse de la plu- part des affections du système
nerveux
. . Depuis longtemps déjà, dans ses leçons de la
iale dite a frigore ne fait pas exception à cette loi de pathologie
nerveuse
; ni le refroidisse- ment, ni l'ébranlement nerv
i de pathologie nerveuse; ni le refroidisse- ment, ni l'ébranlement
nerveux
ne peuvent suffire à eux seuls pour déterminer
par- ticulier qu'on appelle avec plus ou moins de raison diathèse
nerveuse
, nervosisme, neurasthénie, mais sur l'existence
ut le monde s'entend, c'est un état spécial de faiblesse du système
nerveux
, presque toujours héréditaire, et qui se manife
plégie fa- ciale, toujours en corrélation avec d'autres accidents
nerveux
existant soit chez le sujet lui-même, soit chez
ses ascendants, doit être intimement rattachée, de par 4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'étiologie au faisceau des maladies du systèm
atre DE LA PARALYSIE FACIALE. 5 ans, nous dit-il, d'une affection
nerveuse
après être restée pa- ralysée des deux jambes p
ns, il a été bien portant ; depuis cette époque, il est devenu très
nerveux
et très irritable ; il souffre fréquemment de m
on d'aliénés.- Antécédents personnels : M. N... a toujours été très
nerveux
; comme maladies d'enfance, il a eu des con- vul
ème paire du côté droit de la figure ; douleurs assez 6' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vives au niveau de l'apophyse mastoïde. Réacti
t 1882. - Antécédents héréditaires : Mère bien portante ; père très
nerveux
; un oncle paternel est paralytique général; un
epuis ce moment jusqu'à la menstruation, aucune autre manifestation
nerveuse
. A partir de cette époque jusqu'à ce jour, M"°F
Elle jouit d'ailleurs d'une bonne santé, cependant elle est très
nerveuse
et très impressionnable. La paralysie faciale dro
nfance d'autre maladie que la rougeole ; il nous dit qu'il est très
nerveux
, sujet aux migraines ; nous avons affaire à un
juillet 1881.. - Antécédents de famille : Père bien portant ; mère
nerveuse
, a souvent des crises convulsives s'accompagnan
resté une légère claudication de la jambe droite. , 8 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La paralysie faciale pour laquelle Mme F... vi
un oncle paternel a un tic convulsif de la face. Pas d'antécédents
nerveux
du côté de la mère. Une soeur du malade est hys
ans, rougeole à huit ans. M. P... nous dit que, tout en étant très
nerveux
, il jouit néanmoins d'une bonne santé. Il y a h
paternel morte à la suite d'une paraplégie. Mère rhumatisante, très
nerveuse
, sujette à des migraines périodiques. Observa
ignes de la réaction de dégénérescence partielle. 0 10 pathologie
NERVEUSE
. Observation XI. - Albert H..., trente-trois an
suffire à elles seules pour établir le rôle prépondérant de la tare
nerveuse
héréditaire dans l'étiologie de la paralysie fa
s observations qui précèdent ont trait à des sujets issus de souche
nerveuse
; la tare héréditaire est manifeste et indéniabl
défaut, les antécédents personnels des malades, les manifestations
nerveuses
qui, chez la plupart, ont pré- cédé ou suivi la
bète, obs. XIV), dont les connexions avec les affections du système
nerveux
sont aujourd'hui bien établies, nous permettent
tibilité particulière, à une vulnérabilité spéciale de leur système
nerveux
. Observation XIII. - \h'° A..., âgée de soixant
écis quant aux antécédents de famille. Mme G... a toujours été très
nerveuse
; depuis quelques mois, - 12 PATHOLOGIE NERVEUSE
a toujours été très nerveuse; depuis quelques mois, - 12 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. à la suite de chagrins profonds, son nervosism
ements au point de vue des antécédents de famille. M. D... est très
nerveux
; depuis un an il a eu des préoccupations morale
conditions essentiellement défectueuses au point de vue du système
nerveux
et sans autre cause apparente qu'est survenue l
uche), diminution notable de l'excitabilité faradi- que des rameaux
nerveux
, tant pour le facial inférieur que pour le faci
lumière la part prépondérante qui doit revenir à la prédisposition
nerveuse
dans l'étiologie de l'hémiplé- 14 PATHOLOGIE NE
rédisposition nerveuse dans l'étiologie de l'hémiplé- 14 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. DE LA PARALYSIE FACIALE. gie faciale friore et
étroits qui unissent cette paralysie aux autres maladies du système
nerveux
et, en particulier aux névroses. Que le froid,
n, une enquête minutieuse et bien conduite fera découvrir la tare
nerveuse
héréditaire sans laquelle toutes les causes occ
pour provoquer une hémiplégie de la face. Affection essentiellement
nerveuse
, la paralysie fa- ciale rhumatismale doit donc
u'il apportait en toutes ses observations, il faisait 16 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. remarquer que l'insensibilité de certains indi
le en avait eu à plusieurs reprises. Son frère avait le tempérament
nerveux
, développé d'une façon très remarquable. A la s
t pas une perte de connaissance Archives, t. XIV. 2 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. complète. Cependant il conservait seulement un
ible des douleurs abdominales chez les hystériques. 20 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Chez la femme qui a subi la castration, la dou
'opération et du chloroforme qui devait, disait-il, 22 . pathologie
NERVEUSE
. le faire mourir. Aussitôt que je lui mis la co
les troubles de la sensibilité sont très fréquents, dont le système
nerveux
est facile à l'excitation, à l'épuisement ? En
d'idées, j'ai vu quelques phénomènes qui m'ont paru 24 pathologie
NERVEUSE
. avoir échappé à d'autres observateurs. J'ai de
raît tout simplement que ces races sont plus faciles aux phénomènes
nerveux
favorisés du reste par le climat et le genre de
bien curieuse. Il a longtemps exercé à l'Oued Atme- 26 pathologie
NERVEUSE
. nia, province de Constantine. Il avait très vi
ls subissent des entraînements qui nous sont inconnus. Ce système
nerveux
si excitable est encore à la merci d'une ali- D
nissent à des cérémonies entraînantes et conduisent 28 pathologie
NERVEUSE
. à des manifestations où le fait de braver la d
impressionne d'abord fort désagréablement, vous donne 30 pathologie
NERVEUSE
. au bout de quelque temps une sensation singuli
moins acérées. Tout cela est dégoûtant, désagréable, 32 pathologie
NERVEUSE
. douloureux, mais point dangereux. Les seuls ex
large, étalée, et fait dire aux Archives, t. XIV. 3 34 pathologie
nerveuse
. spectateurs qu'ils lèchent des pelles rougies
s sont bien et méthodiquement t groupés pour obtenir une excitation
nerveuse
détermi- née, favorable à une anesthésie relati
ment fort négligé aussi. La plupart ne quittent leurs 36 pathologie
NERVEUSE
. occupations ordinaires que peu avant la séance
pratique comme destinée plutôt à modérer l'individu 38 pathologie
nerveuse
. trop entraîné par l'ardeur de la danse. Il n'y
dente. Un homme vaillant peut à la rigueur, supporter sans réaction
nerveuse
apparente une douleur de courte durée. Mais, qu
C'est un fait sur lequel les Aissaouas attirent cons- 40 pathologie
NERVEUSE
. tamment votre attention; ils vous montrent san
poings fermés il comprima vigoureusement le ventre; le 2 pathologie
NERVEUSE
. cela lui était d'autant plus facile, que le pa
t. Il a vu à plusieurs reprises des gens présentant des antécédents
nerveux
. Il m'en citait un qui avait un père épileptiqu
Peut-être cela s'est-il produit autrefois; peut-être 44 pathologie
NERVEUSE
. observait-on là une détermination de l'ordre d
vulsions, de véritables attaques d'hystérie. Ces pra- 46 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - DE L'HYSTÉRIÈ. tiques religieuses offrent, c
clure qu'ils indiquent, pour la plupart des Orien- taux, un système
nerveux
beaucoup plus émotif que le nôtre. Il est pro
des données qui lui ont été fournies par la physiologie du système
nerveux
, il n'en est pas de même pour ce qui concerne l
l'homme sain et malade, en particulier dans les maladies du système
nerveux
. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE DE L'ÉPILEPS
culier dans les maladies du système nerveux. (A suivre.) CLINIQUE
NERVEUSE
DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE1; Par BOURNEVILLE e
ives de Neurologie, vol. XIII, no 39, mai 1887, p. 321. 56 clinique
nerveuse
. coordonnés ! de Romberg, etc., etc., sont tous
gitante. 1 Tulpius. 06 ! e''M. naéd. Amsterdam, 1672. 58 CLINIQUE
NERVEUSE
. Dans sa Pratiqzieden2édecine spéciale, Etmùl 1
p. 2. 3 Welsch. Deet7c ? <i. Iena, 1719, p. 26-27. 60 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les cas de Sauvages et de Gaubius, de Thileniu
' Journal de Hureland, juin 1811, vol. XXXII, p. 88. 62 CLINIQUE
NERVEUSE
. refroidi à l'âge de dix ans, avait été attaqué
cou d'assez grandes cicatrices. A dix ans, il fut pris d'une fièvre
nerveuse
; à quatorze ans, à l'exception des vers, sa san
Hufeland's Journal, vol. L, vu, décembre, p. 61, 1823. 64 CLINIQUE
NERVEUSE
. le tenait pendant quelque temps, il le laissai
ï, ao année, t. VIlI, p. 385-t01.) Ancmves, t. XIV. 5 66 CLINIQUE
NERVEUSE
. publiques; il resta, malgré l'usage des sangsu
oth, puis Berger ont publié l'observation com. plète. 68 CLINIQUE
NERVEUSE
. ne se détournant ni à droite ni à gauche, et n
ie de sang en partie coagulé et mêlé à quelques débris de substance
nerveuse
ramollie et colorée par ce liquide. De cette
nous aurons lieu plus tard, au chapitre de l'Anatomie 70 CLINIQUE
NERVEUSE
. pathologique, de revenir sur ce cas et de l'in
s de Notre-Dame. On nous raconte que déjà elle avait des mouvements
nerveux
dans les lèvres ; dès sa plus tendre enfance, e
epuis l'apparition de la chorée, l'épilepsie ne s'est 72 . CLINIQUE
NERVEUSE
. en rien modifiée ; la menstruation a été suppr
as suivant a été publié par Romberg' dans son Traité des maladies
nerveuses
. Observation XV. Homme de soixante-onze ans. -
ues. Revue nzédico-chirurgicale de Paris, 1827, p. 168. 74 CLINIQUE
NERVEUSE
. mois, suspension, d'ailleurs, dont la cause es
73, t. Il, épilepsie, p. 112. ' Hammond. -- « Traité des maladies
nerveuses
; traduction française, 1876, p. 785. 76 CLINI
ladies nerveuses; traduction française, 1876, p. 785. 76 CLINIQUE
NERVEUSE
. Observation XVIII. - Accès ordinaires d'épilep
ms, 4, 2.) Unregelmdssige Formai der anfcïlle, p. 2 il. 78 CLINIQUE
NERVEUSE
. - DE L'ÉPILEPSIE. ment un cas d'épilepsie proc
ue ordinaire. (Sandras et Bourguignon. Traité pratique des maladies
nerveuses
, 2° édit., t. 1, p. 278, 18G0.-Ghe- neau. Reche
p. 278, 18G0.-Ghe- neau. Recherche* sur le traitement des maladies
nerveuses
, ,1811, p. 32.) RECUEIL DE FAITS PARALYSIE GÉ
logie : « Nous avons une notion fort exacte de la quantité de force
nerveuse
partant du cerveau, qui est néces- saire pour p
e sensation dans le muscle, mais une notion de la quantité de force
nerveuse
que le cerveau est excité à mettre en jeu. » Wi
t ne paraît pas être dans les muscles mais bien dans les cellules
nerveuses
motrices... Nous n'avons pas seulement la sensati
ns accompagnant la contraction des muscles naissent dans les fibres
nerveuses
qui transmettent l'impulsion mo- trice du cerve
s mouvements musculaires sont excités par le cerveau et les centres
nerveux
, ce que nous en pouvons déduire avec le plus de
ements musculaires coïncide avec le courant centrifuge de l'énergie
nerveuse
et ne résulte pas, comme dans le cas de sensati
faits contemporains, s'accomplissant simultanément dans les centres
nerveux
. On pourrait alors invoquer la puissance de l'h
des expériences électriques montrant que si on électrise les troncs
nerveux
dans un moignon ou au- dessus on provoque l'ill
t informé que d'une manière médiate, et peut les négliger. L'action
nerveuse
qui excite le mouvement ne peut donc fournir à
ens musculaire ne dépend pas de nos notions de la quantité de force
nerveuse
mise en liberté durant un effort volitionnel, o
urnit l'idée de résis- tance sert à déterminer la quantité de force
nerveuse
néces- saire pour produire un mouvement, un rés
e sensation remplit le rôle de dynamomètre à l'égard de l'influence
nerveuse
. » Nous avons vu d'après la façon dont Wundt in
s de la marche et de la préhension. E. Fournie (Physiol. du syst.
nerveux
) est aussi d'accord sur l'importance de ces sen
librement associées avec celles de la vue, et avec les conducteurs
nerveux
et les mécanismes ner- veux d'organisation nouv
nt leur substratum organique, et plus précisément dans les cellules
nerveuses
motrices de ces centres. Elles seraient princip
alement constituées par le sentiment d'innervation », de « décharge
nerveuse
», et auraient une origine centrale. Les notion
des impressions concomi- tantes des courants efférents de l'énergie
nerveuse
. » - « Je vais plus loin, ajoute-t-il, et je ma
conographie phologr. de la Satpèt1'ière, t. II. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1ù1 permettra d'arriver à des données plus pos
existent entre la sensation et le mouvement. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
1. 10,NOI'LEGIA ANÆ5TlllnICA; par le professeur
ticulier à la palpation. Douleur nulle à la pression sur les troncs
nerveux
, sur le plexus brachial, au-dessus et au-dessou
x articulations ni aux muscles. La peau de- 102 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vient livide à la pression, froide, humide, lé
s de l'écorce); - ` ? ° ou bien il y a interruption des conducteurs
nerveux
qui vont de l'un à l'autre de ces organes. Dans
La diffusion de l'anesthésie qui n'est pas limitée à un département
nerveux
spécial, mais s'étend à une large surface cutan
rtains caractères de l'anesthésie fonctionnelle REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 103 font défaut. L'application de <inapi<
hystérie. Il s'agit par conséquent ici d'une lésion des conducteurs
nerveux
, c'est-à-dire soit des nerfs périphé- riques, s
postérieures contiennent des nerfs vao- IO4 se REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. moteurs et trophiques bien que la grande niass
ieures et sur le sympathique cervical ; pôle positif sur les troncs
nerveux
du plexus brachial. De temps à autre, quelques
mental propre aux hystériques ; -2° présence de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 105 troubles trophiques. Qu'il nous soit permi
'anesthésie, Les caractères sont à tous les 106 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. points de vue semblables à ceux que M. Charcot
e la sensibilité dans 1 Charcot. Leçon* sur les maladies du système
nerveux
, t. III. Pig. I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
maladies du système nerveux, t. III. Pig. I. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 107 ses divers modes (tact, douleur, températu
les limites sus-indiquées, et poursuivons. S'il s'agit d'une légion
nerveuse
organique, en supposant qu'elle soit superficie
passage de courants électriques. Fin- 2. 108 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. D'après nous cette anesthésie ne peut être due
sthésie ne peut être due qu'à une modification dynamique du système
nerveux
, à une névrose, à l'hystérie. - Mais l'opinion
qu'il s'agit la d'une anesthésie hystél iyue. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 109 Celte observation, que l'autour rapproche
on du liquide intra- 1 ah} rinthique et à la compression des filets
nerveux
, qu'il faut attribuer dans ce cas les crises ép
ne se distendit pas. Il y avait suffisant- 110 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nient de place sur les côlfs, mais il était év
uf une douleur à la pression au point de Erb. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. III 1 Se fondant sur l'ensemble des caractères
constituer une forme nouvelle de diabète qu'a réédifier une théorie
nerveuse
de cette affection (de Ferry de la Bellonne), n
de celle des tumeurs cérébrales en général. 112 REVUE DE pathologie
nerveuse
. L'auteur con,idèrc successivement les tumeurs
t beaucoup le malade. Cet écoulement était plus REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 113 prononcé le matin; le patient était somnol
ne présentait aucun signe de myélite. Les muscles et lesgros troncs
nerveux
portaient des signes de processus inflammatoire.
rescence des nerfs périphériques seulement, sans que les centres
nerveux
soient touchés. Les formes de paralysies par suit
le» ; beaucoup plus souvent, dans cette contrée REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 115 et en Europe, elle est due aux excès alcoo
cérité de l'artiste, que ce diagnostic rétrospectif d'une affection
nerveuse
alors méconnue et attribuée à une cause surnatu
Vol. XIV. Septembre 1887. Nu 41 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'HISTOIRE DES MONOPLÉGIES PARTI
l'hystérie; et cela, non seu- Archives, t. XIV. 42 178 pathologie
nerveuse
. lement à l'instant où s'exerce le traumatisme,
Chauffard. Ga. hebd. de méd., 11° 21, p. 31l, 1886. 130 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lieu à une vive douleur dans le membre supérie
rrillon il la Société de chi- rurgie, 29 mai 1883. f83 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. est d'autres où la paralysie a succédé à un tr
ische (Lo Speriuteialale, uov. et décembre 1886). 1811 - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ni morsure de la langue, ni coma consécutif. I
a main et du poignet est la consé- quence évidente de l'ébranlement
nerveux
dont la crise convulsive était la manifestation
t pour les détails 1 la lecture du texte original. 18G PATHOLOGIE
NERVEUSE
. à la piqûre et au froid, se terminant brusquem
demment, il faut faire la part de l'attaque qui a mis le système
nerveux
dans un état de vibration spéciale ; mais on ne
'est développé, au niveau de l'articulation radio- 188 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. carpienne gauche, une petite tumeur de la gros
ant un fait encore plus curieux, dans lequel la mo- 1 ut PATHOLOGIE
NERVEUSE
. noplégie partielle constitue l'unique manifest
deux ans, qui n'a jamais pré- senté la moindre tendance aux crises
nerveuses
et chez laquelle, même maintenant, l'observatio
les troubles de la sensibilité. La diminution des 192 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. forces est telle, qu'il est impossible u 1VI"°
es de l'éminence thénar, par- ARCHIVES, t. XIV. 13 194 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ticulièrement du court adducteur du pouce droi
ulaire ; cette dernière a été la première à revenir, 196 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. huit jours à peine après le début du traitemen
qu'on ne l'observe d'habitude. Malgré l'absence complète de crises
nerveuses
et de stigmates hystériques, malgré l'intégrité
e typique qui à lui seul suffisait pour faire affirmer la paralysie
nerveuse
, à savoir la terminaison brusque en manchette c
n segment de membre sans tenir compte de la distribution des fibres
nerveuses
. Enfin, il n'est pas jusqu'aux résultats du tra
ltats du traitement qui ne militent en faveur de l'origine purement
nerveuse
de cette paralysie. L'anesthésie qui pendant pr
méthodiquement des pressions sur le dyna- momètre. 198 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Ces quatre observations nous montrent donc la
douleur. A ce moment, la malade s'aperçoit que la 200 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sensibilité est très émoussée et presque aboli
le membre supérieur droit. Etat actuel. Fille robuste, nullement
nerveuse
, n'ayant jamais fait de maladies sérieuses, ne
serait facile, au nom de la clinique et de l'anato- 202 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mie pathologique, de prouver l'inanité d'une p
es et des réactions électriques, tout milite en faveur de désordres
nerveux
purement fonctionnels, vraisemblable- ment d'or
e son diagnostic. « Quelle peut être, dit-il, la lésion des centres
nerveux
capable de donner lieu à une analgésie limitée
à gauche, puis atrophie musculaire et troubles vési- 204 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. DES MONOPLÉGIES PARTIELLES. eaux. Il rejette c
l'anesthésie est bien en rapport avec l'origine réelle des racines
nerveuses
sensitives sus-dé- nommées ; il trouve fort nat
ont pas de taille à supporter « le combat pour la vie ». CLINIQUE
NERVEUSE
DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE' ; Par BOURNEVILLE
ion. Observation XX. - Epilepsie. - Père, hémiplégie droite. Mère
nerveuse
; grand-père maternel, mort à quatre- 1 Voy. Ar
, n 39, mai 1887, p. 321, et vol. XIV, n" 40, p. 55. 236 CLINIQUE
NERVEUSE
. " vingt et un ans d'une pneumonie ; - grand'mè
t ; elle était vive, impressionnable, mais n'a jamais eu d'attaques
nerveuses
. On n'a aucuns rensei- gements sur les grands-p
ans la rue, t'accès n'était pas précédé de course. 238 CLINIQUE
NERVEUSE
. DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 239 leur diminuti
Mère morte d'accidents pulmonaires sans avoir jamais eu d'affection
nerveuse
. Un frère bien portant, un autre mort de la poi
es scènes de colère à éprouver de son mari, ce qui lui 240 CLINIQUE
NERVEUSE
. était d'autant plus sensible qu'elle avait été
on de la circonvolution qui est indurée, blanche, for- 244 CLINIQUE
NERVEUSE
. mant un léger relief; même hypertrophie sur la
sur le rapport moral vis-à-vis des enfants de son âge 246 CLINIQUE
NERVEUSE
. que sous le rapport des dégâts matériels dont
u'elle a pu apprendre le catéchisme. Elle a appris à 248 CLINIQUE
NERVEUSE
. coudre et à tricoter, mais est incapable de co
mariée à trente ans, morte à soixante-cinq ans, phthisique, un peu
nerveuse
, vive, pas de migraines ; elle avait des crises
n germain du côté paternel est atteint d'épilepsie.] 250 CLINIQUE
NERVEUSE
. Consanguinité : le père et le mère du malade é
; quelquefois cependant, Car... avait plusieurs petits mou- vements
nerveux
. Peu à peu les accès sont devenus de plus en pl
est tout à fait valide et possède encore ses facultés. 252 CLINIQUE
NERVEUSE
. 4 septembre. Purgatif. G. 3 capsules de bromur
ne ecchymose; elle est mince, mais s'enlève facilement 256 CLINIQUE
NERVEUSE
. sans entraîner de substance grise, si ce n'est
passage maigre, à niveau, à la Archives, t. XIV. 17 238 CLINIQUE
NERVEUSE
. circonvolution du corps calleux. Le lobule par
première scissure temporo-occipitale avec la seconde. 260 CLINIQUE
NERVEUSE
. Lobe frontal. - La scissure calloso-maigiiiale
boisson. Mère, soixante ans, n'a jamais été malade, pas d'accidents
nerveux
. Trois frères ; un poitrinaire, faisait des exc
, très colérique, elle l'est devenue de plus en plus 262 . CLINIQUE
NERVEUSE
. par les ennuis que lui a causé son mari. Intel
arié, a quatre enfants en bonne santé et n'ayant pas eu d'accidents
nerveux
. Les deux derniers frères ne sont pas mariés. U
trois ans et demi il a eu des vertiges qu'on appelait un grand tic
nerveux
. « « Le regard se portait en haut.puis au bout
ne croit pas qu'il ait eu la rougeole; il semblerait 264 CLINIQUE
NERVEUSE
. avoir eu la rubéole ? Coqueluche pendant six s
ale ascendante, 12 centimètres. Longueur de ce dernier 266 CLINIQUE
NERVEUSE
. point à l'extrémité postérieure du lobe occipi
ion de ses auditeurs dans une leçon clinique, sur certains troubles
nerveux
qu'il a observés chez des pianistes. Cette affe
a position qu'elle avait pour exécuter ces derniers. La sensibilité
nerveuse
qui accompagne ses troubles se traduit : 1° par
la cause de la lésion ; mais le plus souvent ce sont des individus
nerveux
ou présentant certaines affections (anémie, rhu
ux questions qu'on lui adresse ; on constate aussi des tremblements
nerveux
sans raideur. Dans l'intervalle des accès, fort
prostitution professionnelle dans ses rapports avec les ma- ladies
nerveuses
et mentales ». La doctoresse a fait des recherche
le contingent le plus grand des personnes prédisposées aux maladies
nerveuses
et men- tales, et cependant, dans aucun pays il
la prostitution et de son .importance dans l'étiologie des maladies
nerveuses
et mentales. La proposition est approuvée par a
sultent du mouvement 302 BIBLIOGRAPHIE, du protoplasma des tissus
nerveux
et musculaire. Pour l'auteur.- les phénomènes p
r.- les phénomènes psychiques ne peuvent avoir lieu dans le tissu
nerveux
sans que le tissu musculaire y prenne part en mêm
a mémoire». La mémoire, dit l'auteur est une fonction de la cellule
nerveuse
centrale sur la voie de l'arc réflexe. De cette
inition découle l'application de toutes les propriétés des éléments
nerveux
à l'étude des lois de la mémoire. Les fonctions
suite son étude « sur la personnalité considérée comme un organisme
nerveux
et psychique». XXXII. La dernière lecture a été
iste surtout sur la mise en jeu chez des prédisposés des phénomènes
nerveux
par le déve- loppement de la gastropathie. Outr
? Vol. XIV. Octobre 1887. N" 42 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
HISTOIRE DUNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE (contri
l'état spontané, naturel, normal, des grandes fonctions du système
nerveux
, en dehors de toute influence suggestive et de
ue continue depuis trois ans. Archives, t. XIV. 21 322 ) CLINIQUE
nerveuse
. C'est incontestablement M. Charcot qui a inaug
les symptômes observés dans tous les ordres de fonctions du système
nerveux
étaient de nature et d'origine purement suggest
ersonnels, quelques renseignements intéressants. Sa mère était très
nerveuse
, elle est restée quatorze ans malade et est mor
abondantes, ayant une durée de quatre à cinq jours et 321 CLINIQUE
nerveuse
. s'accompagnant de violentes coliques qui l'obl
as d'accidents chloroti- ques, mais elle est sujette à des troubles
nerveux
(crampes d'esto- mac, névralgies, etc.). - Ma
bien, et ne présente rien à signaler, sinon une grande excitabilité
nerveuse
. Mais, au mois de juillet 1883, ayant eu une al
mois on cellule : là, elle endure des pri- vations, et son système
nerveux
, déjà fort impressionnable, subit un ébranlemen
. hebd. des Se. naéd. de Montpellier, 1886, p. 122.) 326 CLINIQUE
NERVEUSE
. effet est produit par l'influence de certaines
ivement en pronation et en supination ; de nouveau les 328 CLINIQUE
NERVEUSE
. bras s'élèvent au-dessus de la tête, les doigt
caractère capricieux ne lui permettant que difficile- 330 CLINIQUE
NERVEUSE
. ment de se plier à la discipline de l'hôpital,
nir ; ne sachant pas l'adresse de M. Grasset, elle l'a 332 CLINIQUE
NERVEUSE
. demandée, on lui a dit, rue Basse, 6, mais dan
i l'ont vu ont constaté les mêmes phénomènes que nous. 334 CLINIQUE
NERVEUSE
. Ce n'est que le 30 mai 1885 que nous la revoyo
édigé d'après les notes du Dr Sarda, chef de clinique. 336 CLINIQUE
NERVEUSE
. exécute aucun. Cela se comprend facilement si
jours après, nous appliquons un Archives, t. XIV. 22 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. hypnoscope semblable, mais non aimanté, et obt
dans la face et les membres et des signes de congés- 340 CLINIQUE
NERVEUSE
. tion cérébrale avec gêne de la respiration et
chez F... il y a des attaques de sommeil avec contrac- 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. tures fixes généralisées, conservation de l'ou
és. En dehors de ces deux types d'attaques, qui sont 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. de beaucoup les plus fréquentes, nous avons vu
rentre pas du tout dans le cadre du grand hypnotisme, 346 CLINIQUE
NERVEUSE
. magistralement étudié et décrit à la Salpêtriè
e qu'elle la présente, ne peut être assimilée ni à la z8 CLINIQUE
NERVEUSE
. catalepsie, ni à la léthargie, ni au somnambul
our la motililé, il y a des contractures fixes qui im- 350 CLINIQUE
NERVEUSE
. mobilisent le corps et qui ne rappellent ni la
le nervosisme simple). Chez les premiers, le sommeil 352 CLINIQUE
NERVEUSE
. provoqué peut s'accompagner de phénomènes soma
atteint. Ce résultat fut obtenu très simplement, en 368 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. se plaçant à des distances variables des fenêt
uarante centimètres de l'oeil des malades. (A suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE SYAIP'fOAIATOLOGIQUE D
omo-pathologique; mais de même Archives, t. am, 21 370 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nous avons dû renoncer à essayer de peindre le
quelle les cornes postérieures avaient été atteintes 372 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. plus que les antérieures. La racine ascendante
limités en haut au thorax jusqu'à la sixième côte et 374 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. les membres supérieurs, et s'étant manifesté d
embres supérieurs, avec anesthésie ou analgésie par- 376 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tielle et des lésions de la peau et du tissu c
. En citant quelques-uns de ces cas, nous avons eu 378 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. principalement en vue, de réunir un plus grand
l'état de la sensibilité dans les différentes affections du système
nerveux
, j'ai réussi pendant ces dernières années, à di
ù le développement de la maladie est moins avancé. 380 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Observation I Troubles trophiques et atrophi
tain amaigrissement général. La mesure de l'épaule : 382 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tonner; il peut cependant prendre une épingle
nt constant : DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE 383 38t le PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'épine de l'omoplate à la surface postérieure
lesquelles nous allons appeler l'attention ont trait à une maladie
nerveuse
encore peu con- nue et dont le diagnostic préci
s; asthma- tique, pas de maladies de peau, ni d'attaques; n'est pas
nerveuse
, aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. M
marcher avec ses souliers que pieds nus. Observation II. Père très
nerveux
, sujet à des accidents probable- ment épileptiq
onsécutive à sa fracture. Il n'avait pas d'attaque, mais était très
nerveux
. Il disait que son enfant (notre malade), lui ava
(notre malade), lui avait emporté "sa maladie et qu'il était moins
nerveux
. [Père, garde champêtre, est mort très âgé; on
à des douleurs de tête; pas de migraines; pas d'attaques; n'est pas
nerveuse
. [Père, culti- tivateur; excès de boissons, mor
l'ataxie locomotrice et l'ataxie héréditaire. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XI. Cas d'atrophie musculaire PROGRESSIVE DU A
-issi légèrement atrophiés. On constata, en 406 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. outre, un empyème du côté droit datant du mois
s courants faradiques, du massage, etc. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 407 XILI. PARALYSIE INFANTILE ; TUBERCULOSE PU
n trajet des circonvolutions à la moelle. 408 . REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. Il n'y a pas de centre distinct pour chaque va
is que les individus atteints d'une affection organique des centres
nerveux
ferment au commandement sur-le-champ, com- plèt
e, soit de la part de l'entourage, soit de la part de son système
nerveux
; un vertige, par exemple; en outre ses muscles in
à obtenir d'un appareil muscu- laire fatigué. P. K. XVI. Troubles
nerveux
chez les arthritiques; par le Dr DELICNx (DE TO
de malades qui ont été soignés à Saint-Gervais pour des troubles
nerveux
divers (insomnie, tristesse extrême, dégoût de la
frayeurs nocturnes, etc...). Tout en reconnaissant que ces troubles
nerveux
ont eu pour cause immédiate des influences dépres
pour cause immédiate des influences dépressives REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
' /¡OU (chagrins violents, déceptions, ménopaus
tat du trouble apporté par cette diathèse à la nutrition du système
nerveux
. Au point de vue du traitement, l'auteur proscr
ose en plaques, et, en général de toutes les affections des centres
nerveux
, carac- térisées par des lésions scléreuses pro
exe dont la voie centripète et centrifuge se passait dans le plexus
nerveux
et, réagissant sur les muscles correspondants,
des nerfs de deux sources bien distinctes. En avant, les filaments
nerveux
proviennent du plexus lombaire par la branche m
veau antérieur sur le développement des autres parties du système
nerveux
central; par Alexandra STEINLECHNEit- GRETSCHIS
céphalée témoigne de la diminution d'un certain nombre de cellules
nerveuses
. Il semble qu'il y ait dans l'espèce plutôt agé
se sont arrêtées en route. Conclusions. 1° La formation des libres
nerveuses
de la moelle qui correspondent aux pyramides da
ne les faisceaux pyramidaux et les cordons de Goll; 50 les cellules
nerveuses
des cornes antérieures sont en moins grand nombre
ion s'arrêter. P. K. VII. Remarques sur la structure DES cellules
nerveuses
ganglion- NAiRn-z par M. FLESCJI et II, KO;'iEF
EFF, (neural. Centralbl., 1886.) Kreyssig a trouvé que les cellules
nerveuses
de la moelle (1711-choiv,s. Archiv., t. CII, p.
e la part que fait M. Lallemand il l'influence de la prédisposition
nerveuse
dans le développement de la névrose professionn
n particulière de la loi de l'hérédité dans les maladies du système
nerveux
formulée par M. Charcot. L'auteurénumère les di
observations de neurasthénie recueillies à la clinique des maladies
nerveuses
pendant l'année 1886. Ces observations ont été
i, dans ces troubles trophiques, est sous la dépendance des lésions
nerveuses
centrales, et ce qui revient aux altérations pé
ecin adjoint de l'asile de Buffalo'; l'autre : L'urt de soigner les
nerveux
et les insensés 2, par le professeur Charles mi
s soins à donner aux aliénés et aux personnes atteintes de maladies
nerveuses
. Les infirmiers et les infirmières des asiles ont
miracles, chez beaucoup de personnes, chez celles surtout qui sont
nerveuses
, hystériques, qui sont exaltées et hypochondria
e lI1elhnrt. CHARCOT (J.-51.). - Leçons sur les maladies du système
nerveux
, pro- fessées à la Salpêtrière et recueillies p
320. Amnésie traumatique, par Ritti, 277. Arthritiques (troubles
nerveux
chez les), par Deligny, 408. Articulation cox
(état cé- phalométrique dans la), par Bene- dikt, 416. Cellules
nerveuses
ganglionnaires (structure des), par Flesch et K
c, 304. Paralysie faciale a frigore (du rôle de la prédisposition
nerveuse
dans l'étiologie de la), par Neu- mann, 1.
professionnelle dans ses rapports avec les maladies men- tales et
nerveuses
, par n1 ? Tar noskaia, 300. Psychique (états
S IIF : 111SSE1'. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
passager, parce que la destruction n'a pas atteint les conducteurs
nerveux
que ces muscles reçoivent ; ces conducteurs n'o
d elle apparaît dans une famille, indemne jus- qu'alors de troubles
nerveux
, elle a été, à coup sûr, préparée de longue mai
exception à la loi; le poison travaille pour ainsi dire le système
nerveux
, et le dispose aux mani- festations délirantes
la démence; une fois le réseau intellec- tuel entamé, les éléments
nerveux
, associés à ceux mortifiés, se mortifieraient à
toute sa raison et succombant au marasme tuberculeux. PATHOLOGIE
NERVEUSE
ÉCLAMPSIE ET ÉPILEPSIE; Par Ca. FÉRÉ. Les a
du sang altéré (urémie, ammoniémie, urinémie, etc.) sur le système
nerveux
central. Pourtant les formes ci iniques si dive
onvulsions des jeunes enfants, on n'hésite guère à en 38 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rattacher l'origine à un état nerveux natif :
guère à en 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. rattacher l'origine à un état
nerveux
natif : les con- vulsions sont fréquentes chez
re que les sujets qui en ont été atteints offrent d'autres troubles
nerveux
ou qu'ils produisent dans leur descendance des
de les trouver soit dans les auteurs qui ont traité des maladies
nerveuses
, soit dans nos observations personnelles. III.
ltation de la Salpê- trière, le 22 octobre 1881 ; pas d'antécédents
nerveux
hérédi- taires avoués. N'a jamais été malade, e
sur le pariétal gauche; réflexes rotuliens égaux des 40 pathologie
NERVEUSE
. deux côtés. Rien dans les urines. (Elixir d'Yv
'est présenté.) . Dans ce fait, nous ne trouvons point d'hérédité
nerveuse
. Il montre toutefois nettement l'origine de l'é
ibuer an poison de la scarlatine une action spéciale sur le système
nerveux
. Pour nous, l'albuminurie et la scarlatine n'on
ampsie. Marie R..., onze ans. Grand'mère paternelle excitée. Mère
nerveuse
, fugues érotiques ayant motivé le divorce. Père f
eut une grande frayeur, à la suite de laquelle il eut des attaques
nerveuses
, et il mourut quelque temps après d'une affecti
ffection cérébrale. Un cousin germain de la ligne 42 -') PATHOLOGIE
NERVEUSE
. maternelle estné chétif, presque idiot et est
fer dans un accident de voiture, eut pendant trois ans des crises
nerveuses
, dont il guérit, et aucun de ses enfants n'éprouv
uses, dont il guérit, et aucun de ses enfants n'éprouve de troubles
nerveux
. -- La malade a eu la scarlatine vers l'àgede n
laquelle, la menstrua- tion s'établit, elle n'offrit aucun accident
nerveux
. A partir de ce moment jusqu'à vingt et un ans,
ée suivante, elle en eut une autre avec quelqueslégers mouvements
nerveux
( ? ). Vers l'époque de son mariage, à vingt-quat
vingt-quatre ans, elle éprouvait presque tous les mois des troubles
nerveux
légers, caractérisés par du clignotement, des m
2 Delasiauve. Traité de l'épilepsie. 1864, p. 235. 44 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. action n'est pas constante'. En tout cas, ees
eau le passage suivant : « ... Il est certain que la susceptibilité
nerveuse
qui, chez certaines femmes, a pu se traduire da
res de l'innervation, il est certain, dis-je, que cette sensibilité
nerveuse
est une cause prédisposante dont la connaissanc
ois facteurs : 1° exaltation de la tension physiologique du système
nerveux
central, conséquence immédiate de la grossesse;
ichéa. Traité de l'hypocoibd7,ie. 1845, p. 106 et 299. M PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Handfield Jones cite une primipare éclamptique
u à peu pour dis- paraître au bout de six mois. Aucun autre trouble
nerveux
jusqu'à sa grosessse. -Au huitième mois, albumi
a souffert de rhumatisme subaigu. On n'avoue pas d'autre antécédent
nerveux
dans la famille. La malade, qui a eu quelques d
le. Éludes cliniques et thermométriques sur les maladies du système
nerveux
. 1873, 2e fasc., 171-239. - Hypolitte. De l'éclam
température qui l'accompagnent. Thèse de Nancy, J879. 48 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. n'ajamais eu de troubles nerveux ni d'autre ma
de Nancy, J879. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. n'ajamais eu de troubles
nerveux
ni d'autre maladie, jusqu'à l'âge de vingt-six
premiers symptômes du mal actuel. Ce furent d'abord des faiblesses
nerveuses
qui s'accentuèrent peu à peu, revinrent plus fr
nopause. Thèse. IS7 i, p. 12î. Archives, t. VIII. 4 50 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'oedème a disparu. Depuis les suspensions du
cun parent ascendant ou collatéral qui soit atteint d'une affection
nerveuse
quelconque. Avant son mariage, elle n'avait pas
mmencé les accidents actuels, elle n'avait souffert d'aucun trouble
nerveux
, pas de migraine ; elle était d'un caractère ca
bien pour le reste, a trois enfants qui n'ont jamais eu d'accidents
nerveux
; 2Q sa mère a actuellement quaraute-six ans. A
lligence moyenne, fort calme, n'avait jamais eu le moindre accident
nerveux
. Elle a été réglée à seize ans, correctement, d
seize ans, correctement, d'embléeet sansdouleur. Elle 52 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. s'est laissé marier à dix-huit ans à un homme
des sujets 1 Iloseiitlitl. Traité clinique des maladies du système
nerveux
. Édit. Ir0.nÇ., 1878. p. 551. 5t le PATHOLOGI
du système nerveux. Édit. Ir0.nÇ., 1878. p. 551. 5t le PATHOLOGIE
nerveuse
. qui ont des antécédents hystériques', et surto
ANXIEUSE. 57 des troubles sérieux du côté de l'intelligence. Mère :
nerveuse
sans attaques, caractère emporté. Antécédents
fût nouée lorsqu'elle était petite. Cette dame, qui a toujours été
nerveuse
, d'un caractère violent, emporté, changeant, se
s. C'est pendant cette période qu'elle se maria. Puis elle redevint
nerveuse
, diffi- cile à vivre; elle se disputait continu
vie journalière. « C'est, dit M. O'Brien, cette intense sensibilité
nerveuse
, qui, selon moi, est la base des phénomènes que
ette classe, je placerai les individus chez lesquels les phénomènes
nerveux
se produisent en dehors de toute excitation app
de quoi il retournait. Il semblait affecté d'une maladie mentale ou
nerveuse
qui l'obligeait à imiter tous les gestes qui ve
L. Witkowski. (lrrl. f. Psyr/r., XIV. 1.) Si l'on traite le système
nerveux
central de l'embryon par une solution de pepsin
qui n'a pas lieu quand on fait subir le même traitement aux centres
nerveux
parfaitement développés. Quand donc la névrogli
e prouve encore, selon lui, que la névroglie est bien de la matière
nerveuse
. Il s'agit d'une dégénérescence consécutive à u
tion de la névroglie à cette destruction parenchymateuse du système
nerveux
central indiquerait que la névroglie est de nat
système nerveux central indiquerait que la névroglie est de nature
nerveuse
et qu'elle est en particulier semblable à la my
du bout central du pneumogastrique après avoir enlevé les centres
nerveux
sensibles, c'est-à-dire les hémisphères centraux
t dans les mailles de ce dernier, existe une collection de cellules
nerveuses
multipolaires, de gros calibre, que Clarke a dé
montent obliquement dans le corps restiforme 80 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dont ils occupent d'abord le champ latéral pui
lleux touche peu au noyau envisagé ici. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Coliques de plomb. I : NCI3PII9LOP.1TIIIE sa
omb. (1;1,11 ? lce Mé(l., 1882, t. 11.) G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. si 11. CO\THIüU7lo\ .\ L.\ l'.\THULOGIE LT .a
ni d'une sclérose ARCIIIVLS, t. VIII. 6 8 : ) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. en plaques, ni de la sypliilis. Leur évolution
ne de rhumatisme ? soixante ans. énorme dilata- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 8* bon du coeur avec insuffisance valvulaire e
rmet seule d'en apprécier l'étendue. p. K. 81 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. VIII. Ull LI; SUDSTR : 1TU\I 1 ? AlUNIOUE UU T
rosco- pique. les assertions d'Aufrecht sur l'atrophie des cellules
nerveuses
de la moelle cervicale et dorsale (granulations
elle lombaire présente une disparition presque absolue des cellules
nerveuses
; en même temps on constate des altérations vasc
e myéliteaiguë parenchymateuse, une atrophie primitive des cellules
nerveuses
. Peut-être, vu la présence de la ma- tière colo
e du grand dentelé qui persiste depuis un temps REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 85 assez long, le corps étant vertical, et le
Neurologie, t. II, p. 242 ; t. VII, p. 339. 86 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion sont impossible^ pendant l'accès, qui n'e
t joui de la plénitude de son odorat. AI. Duval a trouvé des filets
nerveux
olfactifs dans la lame cri- blée, dans la muque
e et probablement une manifestation héréditaire REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 87 ardive. M. Lépine suppose que les terminais
HOLOGIE NERVEUSE. 87 ardive. M. Lépine suppose que les terminaisons
nerveuses
du nerf auditif se trouvaient dans une conditio
es centres moteurs corticaux, situés sur les 88 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. deux circonvolutions ascendantes et les partie
de la vérole sur l'origine de cette maladie; REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 89 2° L'ataxie locomotrice progressive d'origi
ahn. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Sur la disposition des fibres
nerveuses
r\ myéline dans l'écorce DU CERVE11J ET LEUR f.
e strychnine dans le traitement DE quelques affections du SYS- TÈME
nerveux
; par M. DE Cérenville (de Lausanne). (Soc. méci.
injections de strychnine dans le traitement de quelques affections
nerveuses
: atrophies musculaires, myélites chroniques, a
a cause qui leur a donné naissance. Uans les affections des centres
nerveux
les effets ont été trop variables et les observ
it du fait d'un élément pathogénétique constitutionnel (dyspepsie
nerveuse
, neurasthénie, anémie, chlorose, hypochondrie , h
e.) BIBLIOGRAPHIE 1. Leçons cliniques sur les maladies du système
nerveux
; par Thomas l3zzann. Londres, Cturcliill, 1882,
à proprement par- ler un traité didactique des maladies du système
nerveux
, c'est plutôt une série d'études sur quelques p
, quelques symptômes suffisent, et. en dehors de tout autre trouble
nerveux
, la coïncidence del'abolition du réflexe rotu-
e livre où il soit ques- tion du rôle de la syphilis sur le système
nerveux
; dans la leçon XVI l'auteur rapporte plusieurs
es manifestations avec diffé- rentes maladies organiques du système
nerveux
(teruous mimicry de James Paget); dans aucun ca
en Italie l'organisation de l'enseignement des maladies mentales et
nerveuses
, M. Billod reproduit, sous forme d'instruction,
u. Thèse de Paris, 1884. Du positivisme en médecine par la fonction
nerveuse
, nervisme ; par 1. Rivière. Thèse de Paris, 188
o- gramme des concours. 1882-1885. Étudier l'influence du système
nerveux
sur la sécrétion urinaire, en se basant spécialem
Vol. VIII. Septembre 1884. N" 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PAR
mettre en relief leur valeur. Archives, t. VU). l. 9 130 CLINIQUE
NERVEUSE
. Quaud l'hystérie revêt la physionomie de l'épi
its et comparés à ceux de l'épilepsie (Bourneville). 132 CLINIQUE
NERVEUSE
. corticale. Mais l'examen attentif et minutieux
uefois sortir la langue. L Fig. 1 ? Phase tonique. 13V CLINIQUE
nerveuse
. A droite, le membre supérieur rigide est étend
mais elle ne prononce aucune parole. Ces hallucina- 13f; CLINIQUE
NERVEUSE
. tions durent de cinq à dix minutes. A son réve
e pas, on le voit, de celui relevé dans le casde Rosa. 138 CLINIQUE
NERVEUSE
. pour le blanc et les couleurs. Les autres sens
quelques jours plus tard). Une seule particularité, iio 0 CLINIQUE
NERVEUSE
. capitale à la vérité, différenciait cette épil
.., que cite M. Charcot dans ses leçons sur les maladies du système
nerveux
'. Charcot. Leçons sur les maladies du système
s du système nerveux '. Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, p. 375 et suiv. Paris, 1s7f. - Bonrnecil
cessives et souvent répétées, si la colonne tlaernzo- le2 CI INIQUE
NERVEUSE
. métrique s'élève notablement au-dessus de 37°,
. Antécédents héréditaires. La malade appartient à une famille de
nerveux
. Une de ses cousines germaines (du côté pa- ter
nvulsions ». Foisn... a encore un frère et une soeur, qui sont très
nerveux
. Antécédents personnels et Histoire DE la malad
vêtent le plus souvent, Archives, t. VIII. 10 " -· 146 CLINIQUE
nerveuse
. chez Foisn..., les caractères que nous venons
ôubrefds accès constituant chaque série.,( ? r - 1 1 14S CLINIQUE
NERVEUSE
. Il est une autre particularité à relever. Les
si Bulletins de la Société anatomique, novembre 1882. .150 CLINIQUE
NERVEUSE
. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. cas'.dijuesrde, fixer
e. la chose n est pas ad- missible. Nous savons bien que les fibres
nerveuses
périptiériques ; séparéésideoleur3lcentré9troph
auteur, dans le deuxième volume de l'anatomie com- parée du système
nerveux
, commencée par Leuret, désigne sous ce nom les
convexe latérale, mais très souvent, ' dans la partie de substance
nerveuse
intermédiaire; existe un - sillon transversal a
ronlal gyrus (IIuxley) ; Gyrus frontales me- 1 Anatomie des centres
nerveux
. Eilit. française de Relier et- Jlatliias- Dnva
nnectif est l'élément primi- tif de la maladie, et que les cellules
nerveuses
ne sont atteintes que consécutivement. » M. W
de ne traduire que très imparfaitement par l'expression « obtusion
nerveuse
», est un état t plus aisé à décrire qu'à resume
ésultant d'un mode vicieux ou incomplet de dévelop- pement du tissu
nerveux
. Anatomiquement, rien ne différencie le le tiss
t du tissu nerveux. Anatomiquement, rien ne différencie le le tissu
nerveux
de ces « obtus » du tissu nerveux des sujets nor-
, rien ne différencie le le tissu nerveux de ces « obtus » du tissu
nerveux
des sujets nor- maux ; et l'auteur est amené à
e que ce n'est point la quan- tité, mais la qualité de la substance
nerveuse
qui est imparfaite. De pareilles modifications
et cette théorie, aujour- d'hui acceptée par beaucoup, que la force
nerveuse
n'est qu'une modification spéciale du mouvement
ne sorte de viscosité des molé- cules constituantes de la substance
nerveuse
. Lorsqu'il est congénital, cet état peut être h
à mal faire». Si cette obtusion atteint surtout la portion du tissu
nerveux
qui est affectée aux opérations mentales, le da
ou et irresponsable. Au point de vue médico-légal, de pareils états
nerveux
ont une importance de premier ordre : sans rech
? ^ ,,f"» zn Observation. Homme de trente-six ans ; pas d'hérédité
nerveuse
.ni tuberculeuse. [Renseignements très incerta.
ns 80 à 85 pu100 des cas, et dérive d'un affaiblissement du système
nerveux
central, localisé sur lestractûs`p's3chiqüès; s
aturnine., de rattacher, aune altération fonctionnelle des cellules
nerveuses
ganglionnaires, la dégénérescence périphérique
des cellules pyramidales à une dégénérescence ascendante des fibres
nerveuses
sensitives section- nées qui, sans nul doute, d
u'à ce jour, point observé d'atrophie centripète gagnant les noyaux
nerveux
. Donc, il regarderait comme fort probable la re
ek -, croire que, dans la paralysie générale, l'atrophie des fibres
nerveuses
à myéline est primitive et que tout autre altér
ues généraux, fait par la méthode de Weigert, montre que les fibres
nerveuses
n'ont'pas disparu, qu'il n'existe pas, sous ce
x anatomistesJqui considèrent la' névrôglie comme étant ? de nature
nerveuse
; et qu'il a essayé de démontrer qu'elle est pro
e l'hypothèse trop libérale des noyaux libres, parce que le système
nerveux
central possède beaucoup plus de cellules qu'on
à un contenu cellulaire. Il oublie que le développement du système
nerveux
central comporte une période fondamentale dans la
ute la substance finement granuleuse de la destruction des -fibres,
nerveuses
à myéline. On sait, depuis Koelliker et W. Krau
ier attribue aux cellules araignées la même origine qu'aux cellules
nerveuses
; il les rattache au neuroépithé- blilini.' Mais
été veuille bien se joindre à'ia Société de psychiatrie et maladies
nerveuses
de Berlin pour,faire les démarches nécessaires
ussion est écartée, b.n '. n t 111. K\HL))\UM.SM)' les affections
nerveuses
et mentales de la jeunesse et, leur traitement
-stéroide accompagnée o non de conceptions irrésistibles (faiblesse
nerveuse
, neurasthénie). ! Souvent ces types ne se diffé
doivent souffrir d'anémies locales. Signa- tons'enfin des malaises
nerveux
semblables en tous points à ceux des hystérique
ment 1lI. IialiILaum comprend la Pédagogie médicale des maladies
nerveuses
et mentales des jeunes gens. Une première proposi
? . uyrrtyrr,1 t - ', ')i OCl);Tl ? D1 ? PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
- a,nrmnrtt rrr".rr,7 , ,'DE BERLIN' - o2nl·
uatrième paires cervicales, dès i-e^tions transverses, de faisceaux
nerveux
dont la forme' ressemble énormément à celles du
dans la subs- tance blanche; dégénérescence graisseuse des cellules
nerveuses
dans leur voisinage. Les cordons postérieurs de
ralysie au sciatique poplité externe, par le fait que cette branche
nerveuse
serait la continuation du nerf lombo-sacré qui,
uY. (Thèse de Paris, 1884.) Contribution à l'étude des phénomènes
nerveux
de la fièvre ty- I)hoîde, leurs rapports avec l
I ° une épreuve écrite sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
pour laquelle il sera accordé trois heures; 2°
evue de nid- decine 1881,. Archives, t. VIII. 18 8 37t CLINIQUE
NERVEUSE
. dont l'apparence est plutôt un peu grêle. Tout
que lentement et difficilement, tandis que les bras et 376 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'avant-bras sont contracturés. Le spasme dure
i est arthritique, sa DES ATTAQUES D HYSTÉRIE. 277 mère qui a été
nerveuse
, son frère aine qui jouit d'une bonne santé ; a
onte que c'est à l'âge de dix-neuf ans que les pre- miers accidents
nerveux
se sont manifestés. A la suite d'une frayeur oc
ès accusé du champ visuel (Fig. 8, 8, a et b). ' . , 280 CLINIQUE
NERVEUSE
. III. Points douloureux. Les seuls points doulo
vulsion clo Fig. 9. - Attaque de Rosa G...(Oss.I.) 282 CLINIQUE
NERVEUSE
. nique, pas de contractions imprimant aux diver
u bilatérale, pratiquée avec la main ou à l'aide de 281 le CLINIQUE
NERVEUSE
. la ceinture compressive, a toujours été impuis
e seule matinée, on a vu le manège du membre supérieur 288 CLINIQUE
NERVEUSE
. gauche se reproduire six fois de suite. Puis l
lles reviennent environ toutes ARCHIVES, t. V111. 19 290 CLINIQUE
NERVEUSE
. les cinq à huit minutes; elles sont plus rares
malade fond en larmes, gémit quelques instants et est 292 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' prise aussitôt après d'un fou rire. » N'est-
empiètent les unes sur les autres, de façon que les 29t CLINIQUE
NERVEUSE
. DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. diverses périodes con
es phthisiques. Grands-pères paternel et maternel alcooliques. Mère
nerveuse
. Grand'mère maternelle morte d'une affection pu
xante-six ans, en 1852, d'un catarrhe pulmonaire ; elle n'était pas
nerveuse
. Un frère qui, pense-t-on, est en Amérique; Cin
, ménagère, assez intelligente, sujette à des troubles digestifs et
nerveux
(gastralgie) : depuis quinze ans, elle éprouve
3° notre malade; 4° fille, dix-neuf ans, très iutelli- gente, très
nerveuse
, pleure et rit sans motif, n'a eu ni attaques n
SONNIEKNE. H07 forme d'une lamelle qui entraine un peu de substance
nerveuse
. Le foyer a une coloration jaunâtre générale av
plusieurs de ses grands parents, nous ne trouvons aucune affection
nerveuse
ou héréditaire dans la famille de notre malade;
ent séparé de la scissure callosomarginale par un pont de substance
nerveuse
, de sorte que l'on ne sau- rait dire qu'il dépe
rait au lobule paracentral que par un pont très étroit de substance
nerveuse
situé à la lisière du manteau des circonvolutio
o-occipitale. P. Kérwal. IX. La substance DE soutènement du système
nerveux
central ; par Gierke. (Neurol. Cenlrulbl., 1883
nature, l'auteur adopte les expressions de glie, névroglie, ciment
nerveux
de Virchow, et refuse de la consi- dérer comme
névroglie forme la substance de soutien et d'enveloppe des éléments
nerveux
; elle sert de tuteur à chaque fibre, à chaque c
.VtII. 21 322 REVUE d'anatomie et de physiologie. tout le système
nerveux
central, depuis les méninges jusqu'au re- vêtem
- elle peu importante, que dans la moelle allongée, où les fibres
nerveuses
du stratum zonale d'Arnold arrivent tumultueuseme
n constate le mieux les rapports, parce que la plupart des fibres
nerveuses
ont un très gros calibre, et que la disposition e
re. Les cellules de la névroglie s'appliquent contre les élé- ments
nerveux
, soit par elles-mêmes, soit à l'aide de leurs pro
le; c'est elle qui cimente le nombre prodigieux des fines fibrilles
nerveuses
et les fibres amyéiiniques, tandis que les cell
s, tandis que les cellulesnévrogliquesassu- jettissent les cellules
nerveuses
. Il y existe aussi des endroits tout entiers co
de l'oculo-moteur commun correspondant. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XXIII. Un cas d'affection chronique DE la moell
es accidents, mais après six ans de traitement. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 327 Dans la seconde observation, toutes les br
topsie. P. K. XXV. SUR la sclérose diffuse ET disséminée du système
nerveux
cen- TRAL, ET SUR la dégénérescence vitreuse en
euses, d'un tissu périvasculaire finement granuleux, et de cellules
nerveuses
ayant subi, elles aussi, la dégénérescence vi-
e disséminés dans les divers cordons. P. K. 328 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXVI. Contribution A l'anatomie pathologique d
pente conjonctive n'est pas continue, les gaines cornées des fibres
nerveuses
sont en connexion avec elle. L'auteur doute qu'
sur le tissu conjonctif, mais encore sur les fibres et les cellules
nerveuses
, sans qu'il soit permis de préciser davantage.
nte, traînante, engendrant la destruction graduelle de la substance
nerveuse
; l'autre, à évolution rapide, dans laquelle le
nerveuse ; l'autre, à évolution rapide, dans laquelle les éléments
nerveux
seraient primitivement et promptement désagrégé
. La sensibilité est conservée presque par- 330 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tout, mais les réflexes cutanés sont soit anéa
, a la région cervicale, se composeraient essentiellement de fibres
nerveuses
en connexion avec les racines sensitives postér
rent à M. Schultze quelques aperçus sur l'ana- primitive des fibres
nerveuses
, et pense que l'expansion de la dé- générescenc
rectum, l'absence de phénomènes bulbaires. 332 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Mort par une affection respiratoire intercurre
ules araignées, disparition absolue d'un certain nombre de cellules
nerveuses
). Dégénérescence fort prononcée (nombreuses cel
l'observation est une femme de cinquante-neuf ans, sans antécédents
nerveux
personnels. L'affection a débuté il y a trois a
s. Il constate alors que la formation de vacuoles dans les cellules
nerveuses
ganglionnaires pourrait se produire par le seul f
ent une altéra- tion artificielle; que la pigmentation des cellules
nerveuses
constitue un état normal régulier; que l'hypert
des autour et jztsytt'ri l'i7ztérieur du 131 i- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. canal central est normale. - M. Sebulz ajoute
stances, nécessaire d'admettre que le sphincter REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 335 du pylore ne ferme pas suffisamment ou ne
. P. K. 1 Nous l'analyserons à ce moment. 336 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. \IaVII. Ilrl'EU'raoeulE GLIOUA'rEUSE DE LA PRO
MYLUNE dans L'LCOUCL du CLIiIE.IU; par Tlxzek. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 337 C. Remarques concernant cette note ; par M
fectés et toujours, dans ces trois zones, la raréfaction des fibres
nerveuses
à myéline était des plus nettes. Intégrité consta
Weigert 2. La méthode de Weigert ne fait res- sortir que les fibres
nerveuses
du plus fort calibre, elle est inégale et ne fo
d., t. VII, p. 365. Archives, t. VIII. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et que les autres altérations lui succèdent, i
ord à la lisière de la substance blanche qu'apparaissent les fibres
nerveuses
à myéline, puis elles se montrent dans l'écorce
res zones du manteau dont la subs- tance grise contienne des fibres
nerveuses
à myéline. Et encore les circonvolutions précéd
circonvolutions précédemment nommées ne renferment-elles de fibres
nerveuses
à myéline que dans le tiers inférieur de l'écorce
nt; on C'est à une période plus tardive que se forment les fibres
nerveuses
à myéline dans le lobe frontal, qu'il s'agisse de
tiennent encore, dans la lisière de substance blanche, aucune fibre
nerveuse
à myé- line. P. K. XL.ASPHYxIE parles vapeurs
t connaissance. L'autre, personne vigoureuse, à REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 339 laquelle un des assistants avait assez lon
, et les muscles masticateurs se paralysent 340 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. passagèrement; enfin, un mois plus loin, l'on
cathode, qui permettent de graduer la force du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3H courant : une diminution de la fréquence du
oque des altérations perinôvritiques. P. K. 312 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XHV. Sur la sommation DES excitations dans LES
ntrvlLl., 1883.) On dit qu'ily a sommation d'excitations d'un tronc
nerveux
quand ces excitations, trop faib)espare))es-m6m
tes) avec leur fréquence. La sommation des excitations sur le tronc
nerveux
s'opère plus facilement, quand le segment du ne
u Voy. Archives de Nemologie, t. VIII, p. S2. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 343 radial gauche; la troisième porte sur une
étaillée du malade présenté à la Société de psychiatrie et maladies
nerveuses
de Berlin (décembre 1882) Nous rappelons que l'
ion des signes allemands la leçon de M. Charcot Maladies du système
nerveux
, t. 111, fascia. i, p. 135, et comparative- men
oy. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 99. 3t4 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. phie bilatérale du nerf optique. Puis survenai
férieure valide perd une quantité de force pro- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3 15 portionnelle à la perte en force du bras
ses ueBer[iii, avril 1883, t. Viii, p. 251. 3t6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. llexes cutanés, un réflexe crémastérien très a
es tendineux. P. K. l11. Sur les altérations DE texture DES centres
nerveux
produites par l'inanition; par Rosenbvch. (JVe
cellules ner- veuses, de la névroglie et des vaisseaux, les fibres
nerveuses
et les parties constitutives du tissu conjoncti
tération arrive rarement aux phases ultimes. C'est sur les cellules
nerveuses
des ganglions spi- naux du grand sympathique qu
nt une bonne santé physique et étant exempt de toute prédisposition
nerveuse
». R. M. C. XXXVII. Du prix relatif DES grands
s salles sépa- rées. M. Savage avuun cas dans lequel des troubles
nerveux
ont fait leur apparition au même moment chez de
développement, l'autre qui résulte de la disparition deséléments
nerveux
qui existaient auparavant. Le cas dont il s'agit
éléments eux-mêmes,- qui sont en majeure partie de petites cellules
nerveuses
étoilees, ne paraissent que peu altérés. Les
les nerveuses étoilees, ne paraissent que peu altérés. Les fibres
nerveuses
qui succèdent ordinairement à la couche granule
urologie, t. VII, p. 366. 2 Voy. Société de psychiatrie et maladies
nerveuses
, de Berlin (juillet 1883); Archives de Neurolog
r une dégéné- rescence primitive prenantson origine dans les fibres
nerveuses
. La moelle allongée ne révèle pas de localisati
. Les unes ont trait à la poursuite des libres au coeur des centres
nerveux
; les autres ont été obtenues par la méthode des
l'influence de quelques médicn- ments sur l'excitabilité des fibres
nerveuses
. Dans l'ensemble des complexussymptomatiques qu
aments dits nervins, les modifications de l'excitabilité des fibres
nerveuses
périphériques ne jouentà peu près jamais aucun
tion locale, produisent des chan gements dans l'activité des fibres
nerveuses
. Ces transformations peuvent apporterleur conti
gent à l'intelligence de l'action toxique exercée sur les appareils
nerveux
complexes. C'est ainsi que les nerfs traités pa
tement de la sciatique au moyen du massage. Les manuels de maladies
nerveuses
les plus usités ne parlent pas plus que bien de
reuse et très flo- rissante, ne présentait aucun trouble du système
nerveux
, et ce- pendant, sans qu'on eût constaté de per
lieu. 3S. ! sociétés savantes. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE BERLli\'' Séance du S juillet 1883. Présid
raux agités. Les au très formes de perturbation mentale, l'insomnie
nerveuse
, etc., ne permettent pas de consigner de différ
ls se plaignent presque sans exception de toute sorte de sensations
nerveuses
(battements de ceeur, tremblements, chaleurs pa
himiques produit par l'ac- tivité de la matière vivante. Le système
nerveux
tout entier col- labore à la production des fon
même que les divers organes du corps viennent alimenter le système
nerveux
etqu'inversement celui-ci, de par ses propriété
iation; elle témoigne simplement qu'en dernier ressort le sys- tème
nerveux
est le locus dolens et que l'écorce, ainsi que le
sent des phases dans l'anomalie de fonctionnement des conducteurs
nerveux
malades; pour un même individu considéré, la foli
'histologie, d'anatomie, d'embryologie et de physiologie du système
nerveux
; la psychophysique y tient notamment une large
du malade, c'est-à- dire à tel ou tel âge de la maladie des tractus
nerveux
, sous la forme aujourd'hui de mélancolie, plus
A. Après avoir exposé les processus de formation de chaque or- gane
nerveux
, après avoirmis en lumière la lutte qui, à un mom
résulte de l'excitation de l'organe psy- chique par une incitation
nerveuse
; le mouvement ondulatoire gagne la cellule de
effets de l'hyperexcitabilité et de l'hy- poexcitabilité du système
nerveux
, ici aussi on a affaire au déve- loppement des
Brenner, Erb) à la physiologie pathologique du cerveau. Les tractus
nerveux
intracérébraux malades, mourants sont, en cela,
ment dit, toute psychose exprime le mode de réac- tion d'un système
nerveux
, et spécialement du cerveau, gêné dans sa nutri
marche sont identiques à celles de l'évolution de la dégénérescence
nerveuse
périphérique. Quand les trois stades présentent
a évidemment sous roche un trouble de nutrition avancé du système
nerveux
; les manifestations observées trahissent la convu
: Considérations physiologiques et pathologiques sur les affections
nerveuses
dites hystériques. Paris, 1841 ; Plan et mémoir
e résultant de coups dans la région de la nu- que, 339. Centres
nerveux
(influence de la faim sur les), par Rosenbach,
oucher, 173. Démence paralytique (sur la dis- position des fibres
nerveuses
à myéline dans l'écorce du cerveau et leur ma
es muscles delà), 346. Faim (influence de la -. sur les centres
nerveux
), 78. Faradisation générale, par Fischer, 100
un), par Shaw, 901. Inanition (altérations de texture des centres
nerveux
produits par], 346. Index bibliographique, 15
, Moreau de Tours, 127; Girard de Cailleux, 397; Dumesnil, 398.
Nerveuses
(excitabilité des fibres nerveuses sous l'influ
Cailleux, 397; Dumesnil, 398. Nerveuses (excitabilité des fibres
nerveuses
sous l'influence de cer- tains médicaments), 37
res nerveuses sous l'influence de cer- tains médicaments), 379.
Nerveuses
(fibres à myéline dans l'écorce du cerveau, a l
, 75, 235, par Gierke, 321. Nominations : N. Riu, 497. Oblusion
nerveuse
, par Kesteven, 206. Occupation (de l'), dans
ogique, 104, 219, 363. Société de psychiatrie et des ma- ladies
nerveuses
de Berlin, 246, 382. Strychnine (Injections s
e (Injections sous-cuta- nées dans quelques affections du système
nerveux
), par de Céren- ville, 99. Surdité centrale u
t ataxie, 88. Syphilis et démence paralytique, 361. I . Système
nerveux
(traité des mala- dies du), par Blizzard (An. P
z F. RAYMOND Professeur «le clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine «le Paris. COt.l.A
c des nerfs optiques éveilla l'attention sur une maladie du système
nerveux
, fit suspecter la paralysie géné- rale qui s'af
lésions suivantes : OEil droit. - 10 Rétine : La couche des fibres
nerveuses
est en certains points très altérée, les fibres
ésions sont surtout apparentes aux points où la couche des cellules
nerveuses
présente des altérations plus intenses. De nomb
à divers degrés, les altérations ordinaires des éléments du système
nerveux
: le gonflement du noyau et du protoplasme cell
sont réduites a leur noyau n, nombreux neuronophages d. les libres
nerveuses
, également altérées, nioliiii- formes en o ont
lules de névroglie. On les rencontre dans le voisinage des cellules
nerveuses
plus ou moins altérées, accolées à elles et sem
les pénétrer. Les lésions semblent surtout cantonnées aux cellules
nerveuses
de la rétine, et les autres couches ne présente
, le plus souvent, dirigées transversalement par rapport aux fibres
nerveuses
, et paraissent provenir surtout des parois des
de l'artère mais surtout de la veine pour pénétrer entre les fibres
nerveuses
. Nous venons de voir que c'est surtout, ainsi q
ait dans son voisinage aucun élément leucocy- taire. 0 Les fibres
nerveuses
qui constituent la papille apparaissent bien gr
papillaire apparaît dans toute son évidence au point,où les fibres
nerveuses
se recourbent pour gagner la rétine, et, où par
nt pas présenter d'altérations notables, et les faisceaux de fibres
nerveuses
qui la traversent ne nous sem- blent en aucun p
uvent rangées en séries le long de la surface externe des faisceaux
nerveux
, sont beaucoup plus impor- tantes que normaleme
ne semblent pas, à ce niveau, différer de la normale. Les fibres
nerveuses
paraissent pour la plupart normales et les lési
s, on ne trouve, dans la coupe transversale d'un faisceau de fibres
nerveuses
du nerf optique, que quelques cellules névrogli
ns ici jusqu'à quarante; ces cellules, disséminées entre les fibres
nerveuses
, accolées aux capillaires autour desquels elles
a réunion d'un certain nombre de cellules névrogliques. Les tubes
nerveux
ne présentent pas d'altération évidente. OEil g
, cantonnées à la couche des fibres et surtout à celle des cellules
nerveuses
, au niveau de laquelle elles sont en certains p
écrites pour l'oeil droit. Raréfiées en certains points, les fibres
nerveuses
sont réfractaires à la coloration par la fuchsi
eur minceur extrême en certains points. Dans la couche des cellules
nerveuses
, de nombreux éléments sont profondément altérés
ALYTIQUES GÉNÉRAUX. 17 différent de celle du côté droit. Les fibres
nerveuses
dans leur ensemble paraissent normales et leurs
roit. 1° Rétine : Pas de lésions apparentes de la couche des fibres
nerveuses
. La couche des cellules nerveuses présente quel
pparentes de la couche des fibres nerveuses. La couche des cellules
nerveuses
présente quelques éléments en voie d'altération
e la rétine dont l'épaisseur est normale. 2° Papille : Les fibres
nerveuses
sont d'apparence normale et leur nombre ne semb
s en o représenté un spécimen. On voit, en outre, que les faisceaux
nerveux
sont très riches en cellules de névroglie, ces
thode de Marchi ne nous révèle aucune altération notable des fibres
nerveuses
. OEil gauche. 1° Rétine : Celte membrane parait
de cellules conjonctives et névrogliques, situées entre les fibres
nerveuses
, n'est que bien peu supérieure à la normale, et
de formol à 40 p. 1000, ce qui nous a permis d'étudier les cellules
nerveuses
, la névroglie, la myéline à l'aide des méthodes
ntre très altérée dans toute son étendue. a) La couche des fibres
nerveuses
présente de notables altérations la plupart des
elques points ils ont totalement disparu, b) La couche des cellules
nerveuses
est celle qui présente le ma- ximum d'altératio
ions il n'est plus possible de retrouver même la trace des cellules
nerveuses
qui ne sont plus représentées, en quelques endr
. La figure 6 montre bien l'envahissement de la couche des cellules
nerveuses
par ces éléments tous pourvus de proto- plasma
evêt la même intensité; c'est en vain qu'on recherche les faisceaux
nerveux
constitutifs, tout élément noble a disparu : On
itutifs, tout élément noble a disparu : On ne trouve plus de fibres
nerveuses
, et la papille n'est plus constituée que par de
la. Seules sont représentées ici la couche des fibres et des cellules
nerveuses
et une paitie (le la couche granuleuse interne.
veuses et une paitie (le la couche granuleuse interne. Les cellules
nerveuses
ont disparu, à leur place nombreuses cellules d
i- sine de la rétine où en M, par exemple, la couche des cellules
nerveuses
qui ne contient plus un seul élément nerveux prés
couche des cellules nerveuses qui ne contient plus un seul élément
nerveux
présente une quintuple rangée de cellules conjo
et ne laissent plus constater au milieu d'eux l'existence de fibres
nerveuses
(voir fig. 7). 3° Le nerf optique est altéré
s; 7, rétine avec ses diffé- rentes couches; 7), couche de cellules
nerveuses
de la rétine au niveau de laquelle on ne rencontr
intense à mesure qu'on remonte vers le cerveau. L'état des fibres
nerveuses
du nerf optique nous intéressait au plus haut p
erf optique apparaissent presque uniformément jaunâtres, les fibres
nerveuses
encore entourées de myéline, étant très raréfié
gert pour la mjélme. travées conjonctives épaissies ; n, faisceaux,
nerveux
complètement remplis de cellules de névroglie d
oglie dont les uojau\ sont représentés par des points; m, faisceaux
nerveux
où. nous avons figuré les fibres à myélmc, elles
la lésion). Le nerl optique de V.... bien que moins riche en fibres
nerveuses
que normalement, étant donné la sclérose conjon
10 La rétine présentait des altérations de la couche des cellules
nerveuses
caractérisées par une série de modifica- tions
rations tout à fait semblables à celles qui frappent les cellules
nerveuses
de l'écorce dans la paralysie générale. 2° La p
l'écorce dans la paralysie générale. 2° La papille dont les fibres
nerveuses
disparues dans un cas étaient atrophiées dans u
s conjonctives de sa gaine piale, altérations diverses des fibres
nerveuses
. LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRA
ns pas quant à présent de différencier les altérations des cellules
nerveuses
de la rétine de celles que l'on rencontre dans
f, altérations diffuses des cellules ganglion- naires et des fibres
nerveuses
de la rétine susceptibles de déterminer dans le
er dans les cas les plus avancés la destruction totale des cellules
nerveuses
de la rétine et la production de la sclérose pa
ion médicale, 1866. BOUCIIUT. Du diagnostic des maladies du système
nerveux
par l'ophthalmoscope, 1866. Voisin. Union méd
RAPEUTIQUE. La Rééducation motrice dans les maladies du sys- tème
nerveux
. Ses applications à l'ataxie des tabétiques ;
'est plus aujourd'hui de médecin habitué à la pratique des maladies
nerveuses
qui ne connaisse la rééducation motrice et ne s
ons faites alors de ces procédés thérapeutiques aux cas de maladies
nerveuses
; pour ce dernier groupe d'affections, le besoi
nnels par exemple. C'est en tenant compte de l'influence du système
nerveux
qu'on comprend les effets d'une semblable éduca
qui leur sont donnés et transmis par les centres et les conducteurs
nerveux
; les organes nerveux au contraire constituent
t transmis par les centres et les conducteurs nerveux ; les organes
nerveux
au contraire constituent le mécanisme délicat q
ans le second, il n'est pas douteux que c'est avant tout le système
nerveux
qui, par l'exercice méthodique, par l'éducation
organe altéré ; quant aux troubles de la motilité dans les maladies
nerveuses
, ils étaient aussi peu connus que celles-ci ell
de nouveaux chapitres s'ouvraient tous les jours en patho- logie
nerveuse
, et bientôt il fallut compter avec tout un grou
nt ou l'adulte que par un travail d'éducation spéciale des éléments
nerveux
qui com- mandent aux contractions musculaires e
evoir que, dans les cas où une perturba- tion quelconque du système
nerveux
est venue dérégler ce mécanisme délicat, sans t
n déficiente ; d'autre part, si les fonctions dépendant des centres
nerveux
moteurs présentent normale- ment des localisati
'elles soient les seules susceptibles de l'acquérir : que ce centre
nerveux
vienne à être détruit, ou que ses con- nexions
UCATION MOTRICE. 00 lement : c'est pourquoi, même en cas de lésions
nerveuses
profondes, de destruction complète de certains
obéir passivement aux ordres qui leur sont donnés par les centres
nerveux
et transmis par les nerfs. Enfin, la sensibilité
sibilité sous ses divers modes influence à tout instant les centres
nerveux
et les muscles, et assure d'autre part le contr
pas la seule. Bien que nous ne connaissions pas tout le mécanisme
nerveux
de la coordination motrice, quoique certains poin
d'autre part, elle se fait toujours par l'intermédiaire du système
nerveux
, or il s'agit en cas de troubles moteurs d'affe
d'affections essentiel- lement chroniques et elles-mêmes J'origine
nerveuse
, aussi ne saurait-on compter alors sur les réac
aux muscles, puisque leurs contractions sont réglées par le système
nerveux
et que c'est l'action de ce dernier qu'il faut
, mais c'est toujours aux modifications fonctionnelles du système
nerveux
qu'il faut revenir et notamment à ces deux pro-
mêmes de la rééducation motrice : la faculté qu'ont les éléments
nerveux
de régénérer leurs fonctions compromises : la pos
n par des auxiliaires, par un médecin ayant l'habitude des maladies
nerveuses
et connaissant les difficultés de la clinique,
ucation en géné- ral. Elle intéresse particulièrement la pathologie
nerveuse
. 3° La rééducation motrice résume l'ensemble de
nous n'avons plus à nous demander quelle part revient au système
nerveux
et quelle part aux muscles dans la genèse de tr
volontaire et de la coordination. Celle-ci est fonction du système
nerveux
et ne peut se reconstituer que par la réparatio
rveux et ne peut se reconstituer que par la réparation des éléments
nerveux
ou, à défaut, par leur rééducation. L'état de
s, sachant que le tonus musculaire n'est que la traduction du tonus
nerveux
et que ce dernier est influencé, entre autres c
rs semble préétablie chez l'enfant et dépend sans doute des centres
nerveux
inférieurs ; au contraire, la coor- dination, c
rationnelle et simple : l'hérédo-ataxique naîtrait avec un système
nerveux
et un système vasculaire débile, la débilité ne
vec un système nerveux et un système vasculaire débile, la débilité
nerveuse
portant sur le cervelet et ses voies ; les trou
à altérer du centre à la périphérie toutes les parties du système
nerveux
. R. C. IV. Recherches sur la structure anatomiq
erveux. R. C. IV. Recherches sur la structure anatomique du système
nerveux
chez un anencéphale en rapport avec le mécanism
éactions sensitivo-motrices malgré la dégéné- rescence des cellules
nerveuses
sur toute la hauteur du névraxe. En résumé, ce
gique rudimentaire, indépendamment dn fonctionnement des centres
nerveux
supérieurs et d'autre part, l'incompatibilité not
naire que l'on donne du fonction- nement et du mécanisme du système
nerveux
et les constatations que nos recherches histolo
elques endroits, et sensibilité à la pres- sion de plusieurs troncs
nerveux
(sciatique, péronier, médian, tri- jumeau, inte
erf crânien, pour atteindre avec le temps également d'autres troncs
nerveux
. Parmi les nerfs crâniens, le facial, plus rare
s spinaux, entraine la dégénérescence ascendante de quelques fibres
nerveuses
dans les cordons posté- rieurs. Il peut aussi s
bleu de méthyle, excelle pour la substance chromophile des cellules
nerveuses
. L'auteur emploie le violet de crésyle RRI de l
contact prolongé du sel mercuriel. Dans le second cas, un hématome
nerveux
en même temps que l'appari- tion des premiers t
filets qui s'y annexent en différents points. G. C. XII. Accidents
nerveux
consécutifs à la suppression d'une otite ; trép
at méningitique spécifique spécial, point de départ des altérations
nerveuses
. M. DUFOUR a aussi toujours trouvé des lymphocy
ire. La secousse musculaire dans les diverses maladies du système
nerveux
. M. MENDELSON (de Saint-Péter§bourg) résume ses
n lue par M. Marie au sujet de plusieurs cas de lésions des centres
nerveux
manifestement indemnes de syphilis et pourtant
rs de la lente incubation, que le tubercubeux présente des troubles
nerveux
et mentaux. Ce qui m'a le plus frappé à cette é
cette différence du milieu influe sur lés modifications mentales ou
nerveuses
. M. Jules Voisin. Dans mon service de la Salpêt
; les autres ne considèrent que l'activité particulière du système
nerveux
. Mais peu à peu le tempérament change de sens,
de sens, il ne désigne plus que l'excitabilité variable du système
nerveux
: Kant, Seeland, Wundt paraissent considérer ce
essentielles ; leur BIBLIOGRAPHIE. 111 1 rapport avec le système
nerveux
, les subdivisions ultérieures et dérivées. La f
le. Première ÉPREUVE écrite : (Anatomie et physiologie du système
nerveux
). Les nerfs de la langue. Questions restées dans
preuve orale. (Sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
, 15 minutes de préparation, 15 minutes d'exposi-
e épreuve orale portant sur l'auatdmie et la physiologie du système
nerveux
soif transfor- mée en épreuve écrite ; 3° qu'il
e, 4 eurent dans les dernières années de leur jeunesse des maladies
nerveuses
curables, 2 seule- ment manifestèrent des défec
s nerveuses curables, 2 seule- ment manifestèrent des défectuosités
nerveuses
congénitales. Les 50 autres, soit 81 p. 100 éta
u professeur KRAFTELI,NG ; le célèbre spécialiste pour les maladies
nerveuses
est mort hier à Gratz. Asiles d'aliénés. Mouv
vendredis et lundis suivants, à la même heure. Maladies du système
nerveux
: M. Pierre Marie, agrégé; mer- credi à 4 heure
credi à 4 heures (Grand Amphithéâtre). Hospice DE BICÊTRE. Maladies
nerveuses
et mentales des Enfants : M. BOURNEVILLE, le sa
L'Université de Buda- Pest vient de fonder une clinique de maladies
nerveuses
et a dési- gné comme professeur le célèbre neur
rnat, aned. rundschau. Chipault (A.). - Etat actuel de la chirurgie
nerveuse
. Z In-8° de 800 pages avec 230 figures. Paris 1
e, ch. i, 1859. Dagron. Archives cliniques des maladies mentales el
nerveuses
, 1863. 8 Maret. Du délire des persécutions, th.
'imitation, dit M. Marandon, « est le besoin éprouvé par la cellule
nerveuse
de reproduire ce qui l'impressionne. Il nécessi
nctionnement des facultés mentales, en un mot, de l'état du système
nerveux
central. Si le système nerveux est taré, soit h
les, en un mot, de l'état du système nerveux central. Si le système
nerveux
est taré, soit héréditairement, soit d'une faço
ns à la suite d'une fluxion de poitrine ; elle était de tempérament
nerveux
. La malade, enfin, a eu cinq frères et une soeu
frères dont deux jumeaux morts en bas-âge. Un frère professeur, est
nerveux
. Une soeur bien portante s'intéresse particuliè
d'instabilité; d'un caractère mobile, elle paraissait en même temps
nerveuse
, sensible et émotive. En pension et au couvent
yperesthésie dans la région des ovaires, boule hysté- rique, crises
nerveuses
, évanouissements et tremblements muscu- laires
a situation, et sa santé était excellente, à part quelques troubles
nerveux
de nature hystérique, quand, tout à coup, l'obs
la suite d'une fluxion de poitrine. Sa mère vit, est bien portante,
nerveuse
. Une soeur est morte à la suite d'une paralysie
'esprit, mort^à la suite d'une attaque d'apoplexie. Ses deux soeurs
nerveuses
excentriques. Son frère faisant une bouffée de
deuse dans les magasins, ne travaillant plus la soie qui la rendait
nerveuse
et lui provoquait des crises répétées. Malgré
es. M.Louise F... a deux enfants dont une fille de ^quatorze ans,
nerveuse
, souffre de douleurs dans le ventre et par moment
eurs dans le ventre et par moments s'éva- nouit ; a la même maladie
nerveuse
que sa mère ; un fils, faible d'esprit, est por
éraux indiqués au commencement de ce travail. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 177 Bref, comme conclusion, nous estimons pouv
par- tenant à la grande classe des dégénérés. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Une observation de sein hystérique; par le D
ulier des os Archives, 2- série, t. XV. 12 n8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lésés (fémurs et os de la jambe). Les particul
ge de dix ans, à la suite d'un traumatisme cra- REVUE DU PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 179 uien compliqué de troubles choréiques et d
es exemples de myasthénie caractérisée par l'inté- grité du système
nerveux
, et par l'existence de néoplasmes en dehors de
tres altérations. Par suite il conviendrait 180 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de penser que les relations qu'on a voulu étab
scle en est la note fondamentale. 11 suffit que REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 181 celui-ci fonctionne un peu pour que se pro
à n'importe quel moment du jour, et dure 182 ) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. une demi-heure à une heure. On constate 30°, 3
rien aux papilles optiques; il n'existe pas de' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 183 douleurs de tête; la syphilis est catégori
nts pathologiques nets dans la famille. 184 -li REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. C'est le même type de nystagmus avec oscillati
s de faire un diagnostic et un pronostic exacts REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 18S d'une façon très précoce en l'absence de t
sont pas discutables. Le traitement a amené 186 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'amélioration immédiate des symptômes; et son
usquement, a présenté les phénomènes suivants : REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 187 Picotement dans les fosses nasales suivi o
unehystérie symptomatique, toxique. G. C. 188 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXII. Paralysie asthénique bulbo-spinale; par
, la malade présentant de l'affaiblissement des REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 189 facultés intellectuelles avec crises d'épi
vent atteinte, l'homme peut l'être aussi. 190 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La conséquence de cette déglutition incessante
sommeil est mauvais. Il y a des troubles fonctionnels du système
nerveux
, céphalée, vertiges, asthénie neuro-musculaire
te. Ce tableau symptomatique se rapproche de celui delà dyspepsie
nerveuse
, mais les troubles gastriques, comme le fait rema
gestion morale, où un fort dominé un faible ; dans ceux de maladies
nerveuses
, où l'individu ne se possède pas assez ; dans l
nt le sujet présentait exactement les signes, mais dont les centres
nerveux
ne portent aucune lésion. Il s'agit d'une atrop
ophique sans alté- rations interstitielles ni vasculaires ; le tube
nerveux
est atteint primitivement. Inutile d'insister s
t-Pal ; Marchi ; coupes et dissociations) sur les pièces du système
nerveux
central et périphérique, démontre avant tout l'
bert Ballet reprendra ses leçons cliniques {Traitement des maladies
nerveuses
), le Dimanche le, février, à 10 heures (Amphith
-I3 Baillière, éditeur. Giiipallt (A.). Etat actuel de la chirurgie
nerveuse
. T. Ier. In-8» de 800 pages avec 230 figures. P
écrit depuis sur ce sujet ont cru devoir y ranger tous les troubles
nerveux
qu'on peut obser- ver à la suite des opérations
e; son père, sa mère et son frère se portent bien, mais sont plutôt
nerveux
. Sauf une fièvre typhoïde légère dont je l'ai s
portait bien, tantôt mal. Pourtant, elle était très faible et très
nerveuse
et les gardes- malades la regardaient comme éta
félicitations à notre collaborateur et ami, le Dr Régis. CLINIQUE
NERVEUSE
. Travail du Service D'ELEC'CROTIiÉR 1PIE de la
assez intéressantes pour valoir une courte analyse. 238 clinique,
nerveuse
. z I. sur quelques particularités cliniques de
nt on ne retrouve pas les lionto- logues sur les autres territoires
nerveux
. D'ailleurs, rien n'est semblable entre les deu
ur, quelle que soit sa forme, suit toujours le trajet d'une branche
nerveuse
, débutant soit par le sus-orbitaire, soit par l
ontant « leur cours » avec plus ou moins de rapidité 240 0 CLINIQUE
NERVEUSE
. jusqu'au tronc principal et aux centres. Dans
roid ou de l'humidité, Archives, 2° série, t. XV. 16 242 CLINIQUE
NERVEUSE
. mais le passage brusque d'une température douc
a paru donner quelques bons résultats (pulvérisa- 12 Il. r CLINIQUE
NERVEUSE
. tion de chlorure de méthyle, stypage), mais il
e névralgie faciale. Nous avons eu recours à cet effet 246 CLINIQUE
NERVEUSE
. au même manuel opératoire, mais nous nous somm
e feuille d'étain souple découpée d'après le modèle de 248 CLINIQUE
NERVEUSE
. Bergonié et recouverte de plusieurs épaisseurs
un cas entre autres, la névralgie trifaciale datait de 250 CLINIQUE
NERVEUSE
. dix-huit ans. Un mois de traitement actif a fa
isante lorsqu'on applique des intensités élevées, mais 252 CLINIQUE
NERVEUSE
. lorsqu'on se contente d'une intensité ne dépas
s, si l'on juge l'amélioration suffisante, on pourra - 254 CLINIQUE
NERVEUSE
. interrompre le traitement, mais non pas le sus
un moment donné un ou plusieurs épisodes douloureux, 256 CLINIQUE
NERVEUSE
. épisodes il est vrai très supportables, et com
ue le courant continu. archives, 20 série, t. XV. 17 258 CLINIQUE
NERVEUSE
. G. Mode d'action. Ces résultats sont-ils effec
e les mouvements intenses, le massage, la pression sur les branches
nerveuses
au niveau de leur émergence, les mouvements de
De l'état actuel de la théorie de l'inflammation dans le sys- tème
nerveux
central; par E. STORCH. (Ceitti,albl. f.Nerueilae
et de la disposition du vaisseau ainsi que de l'endroit du système
nerveux
central atteint. La toxine peut aussi, en péné-
nité chimique, qui fait que l'agent toxique s'adresse à des groupes
nerveux
phy- siologiques, à des systèmes, et s'exprime
la marche de la lésion de bas eu haut, progressivement. Les fibres
nerveuses
disparaissent pour être remplacées par des fibr
s sont destinées à combler le vide produit par la mort des éléments
nerveux
; les fibres névro- gliques se multiplient, mai
nce et de réaction locale et individuelle du tissu. Le parenchyme
nerveux
possède une très faible puissance' de régénérat
niques où l'irritation caresse les couches périphériques des fibres
nerveuses
, fouette la nutrition du cylindraxe et provoque
c activité modérée de la névroglie ; 2° la déca- dence des éléments
nerveux
avec conservation de la charpente de soutien ;
ie, modérément riche en noyaux, rappelant la disposition des libres
nerveuses
, fréquemment tra- versé par des fibres nerveuse
osition des libres nerveuses, fréquemment tra- versé par des fibres
nerveuses
amyéliniques; dans la zone margi- nale, cellule
disparu, montre bien qu'il s'agit de la com- pression d'une branche
nerveuse
indépendaute du facial, c'est-à- dire du nerf i
tion. [Revue neurologique, août 1901.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XXVI. Les porencéphalies traumatiques ; par M.
la suite, l'existence d'une dépression ou 272 ) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'une perte de substance osseuse au point atte
ement et il est exceptionnel de voir une ménin- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 273 3 gite cérébro-spinale entraîner la mort d
n ; cypho-scoliose ; hypertrophie et dureté très marquée des troncs
nerveux
des extrémités ; hérédité simi- laire. L'obse
es. E. B. Archives, 2» série, t. XV. 18 274 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. f - XXX. Maladie de Friedreich et hérédo-syp
euls à gauche, le réflexe crémastérien est plus REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 275 faible à droite qu'à gauche, enfin le réfl
s causés par des modifications moléculaires généralisées du système
nerveux
pro- duits par la commotion. G. D. X\,TII1. C
soit du membre inférieur. XXXVI. Sur un cas de colique hépatique
nerveuse
; par le , Dr HOBINSON. Observation de névral
u'une lithiase larvée. L'auteur donne quel- 376 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ques indications sur l'étiologie et le diagnos
de la névralgie et une raréfaction assez considérable des cellules
nerveuses
. Il existe de l'atrophie des fibres pyramidales
ue de la paralysie bulbaire asthénique, qui est REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 277 7 XXXVIII. Trois observations de paralysie
evue neurologique, janvier 1901 .) b E. Il. 278 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. matiques, toxiques, infactieux, némotrophiques
é de ces lésions et aussi de leur cause productrice. Ainsi la forme
nerveuse
de l'arthropathie est grave surtout parce que l
outre exister en dehors de toute altération organique du sys- tème
nerveux
, on ne saurait lui accorder la même valeur patho-
tic. La première manifestation motrice d'un tic REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 27f> est donc, au moins dans la majorité de
intercostales dues à une pleurésie grippale 280 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et s'étant étendues peu à peu au plexus cardia
nes vraies ou coronaires, toujours graves, et en angines fausses ou
nerveuses
, toujours bénignes. Beaucoup d'angines fausses
ark sur le sujet. XLIX. Du pronostic dans les affections du système
nerveux
; par IUDSON l3oaY. (Brit. naed. Jourra., novemb
e de l'agent provocateur, de l'altération morbide intime du système
nerveux
, au point de vue des symptômes géné- raux et du
e provoquée par la mobi- lisation de la peau. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 281 Les deux autres observations se rapportent
t à une famille de cinq personnes ayant présenté une même affection
nerveuse
et dont les troubles ont été déjà décrits par M
bles gastriques, l'auteur donne quelques observations d'accidents
nerveux
consécutifs à des indigestions. Ces observations
nt la plupart sur des sujets névropathes. 282 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'indigestion produisit chez les uns des synco
tions des nerfs périphériques (dégénération des REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 283 libres nerveuses des nerfs intra-musculair
riques (dégénération des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 283 libres
nerveuses
des nerfs intra-musculaires, lésions des troncs n
s observations que le poison tuberculeux peut attaquer le système
nerveux
périphérique, il lui semble logique de rattacher
observe, par contre, un phénomène peu com- 284 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mun qui suit cette excitation; en touchant ave
ce de la rétraction de l'aponévrose palmaire et REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 285 de la pellagre, fait qui n'a pas été noté
tant une maladie qui porte son action spécialement sur le système
nerveux
, on peut soutenir, à cause de l'apparition de la
rétraction est un trouble trophique dû à une altération du système
nerveux
{Revue neurologique, juin 1902). E. B. LXVI.
érie des actes qualifiés de fonctionnels, 286 6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. exception faite pour les fonctions de la vie v
lis héréditaire probable, ayant débuté cinq ans REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 287 auparavant avec le tableau clinique d'une
lement la question de savoir si, par hasard, la lésion du système
nerveux
ne contribue pas à déterminer ou, au moins, à agg
des malades, en combattant les altérations nutritives des cellules
nerveuses
, par une meilleure irrigation du cerveau. Des é
dans ces cas, la cause delà dépression est l'action sur les centres
nerveux
de la toxine ou d'une des toxines du bacille tu
e les toxines tuberculeuses sont des poisons déprimant les cellules
nerveuses
. Les cas qu'il publie seraient donc comparables
r.»gion postérieure de la moelle forme nn bloc composé de l'élément
nerveux
, vasculaire et méningé. Les lymphatiques font p
breux cas où celle-ci est loin de suffire. Certains de nos malades,
nerveux
ou mentaux, sont en imminence de guérison, mais
CIÉTÉS SAVANTES. -303 en vue, que les lésions organiques du système
nerveux
sont sou- vent compliquées de symptômes de cara
des accerbations, tantôt des rémis- sions. 4. Présence des troubles
nerveux
spéciaux pour les lésions syphilitiques (céphal
n'a pas de rapport avec les voies dites conductrices de la cellule
nerveuse
; il présente seulement un système particulier,
tion des auteurs. ' Hospice de la Salpêtrière. Maladies mentales et
nerveuses
, M. J. Voisin : jeudi à 10 heures. , , , ' On
G. Ballet a repris ses leçons cliniques (Trai- tement des maladies
nerveuses
), le Dimanche 1er février, à 10 heures (Amphith
. 1/2 (Salon de la Salle Sainte-Anne). Hospice DE Bicêtre. Maladies
nerveuses
et mentales des enfants ; M. Bourneville, le sa
B Baillière, éditeur. CHIP.1ULT (A.). - Etat actuel de la chirurgie
nerveuse
. T. I". In-8° de 800 pages avec 230 figures. Pa
question est donc de savoir actuellement, si, en pré- 336 CLINIQUE
NERVEUSE
. sence des risques de lagasserectomie, l'interv
lle s'était aperçue Aucmvn.s, 2" série, t. XV. 22 1- 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'une certaine gêne avec fourmillements et pic
ons insignifiantes'; les règles viennent sans douleur. 340 CLINIQUE
NERVEUSE
. A partir de septembre, la malade ne vient plus
déclare avoir eu quelquefois des crises qui paraissent 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. avoir été des crises d'hystérie fruste, mais q
inue à venir de temps en temps. Les douleurs sont très 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. supportables; elles sont rares et n'augmentent
ement d'une douleur semblable aune décharge électrique 346 CLINIQUE
NERVEUSE
. excessivement violente. Il a été soigné à ce m
endant vingt-cinq jours, mais à partir du 21 juillet 3118. CLINIQUE
NERVEUSE
. 1901, et après une crise douloureuse assez for
die, et un peu de tremblement mais sans exophtalmie. 350 CLINIQUE
NERVEUSE
. A l'examen physique on constate de la dilatati
les points d'émergence pendant une ou deux minutes. 35° ? 6HIQtJE
nerveuse
. de névralgie faciale à forme grave que présent
cause précise. Il Archives, 2e série, t. XV. 23 3 ? j 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. faut noter que la malade a eu des dents cariée
, tabes, etc). Pas de troubles oculaires, pas de signe 356 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'it,-yll. Syphilis improbable. La seule éliol
pagnée de troubles vaso-moteurs, injection de la face, 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. chaleur gênante, rougeur des paupières. L'épip
te maladie, il existe une certaine faiblesse congénitale du système
nerveux
qui fait d'eux une catégorie à part de dégénéré
libromatose est l'indice d'une faiblesse coiigéîîi- tale du système
nerveux
, suivant l'expression même des auteurs, ce cas
s, mariée à vingt-deux, ayant eu huit grossesses normales. Hérédité
nerveuse
. Enfance normale sauf depuis l'âge de treize an
on définitive : ne recon- naît-on pas une place dans la séméiologie
nerveuse
à l'amblyopie unilatérale fonctionnelle, fût-el
Dr ROUDNEW. La question des rapports du vitiligo avec les maladies
nerveuses
est d'un certain intérêt; l'achromie cutanée pe
dominales et vésicales, mais un relâchement sphinctérien par action
nerveuse
centrale du centre correspondant. Un phénomène
que l'image motrice sexuelle mette en action de nom- breux centres
nerveux
, dont chacun apporterait ses éléments à cette i
des doigts suivis d'atrophies et de douleurs le long des tra- jets
nerveux
. L'infection est bien la cause de ces complicatio
'embarras peut être grand quand on trouve en dehors d'une affection
nerveuse
caractérisée le symp- tôme trépidation épilepto
aractères typiques et constants, surtout s'il existe chez un malade
nerveux
, dégénéré. On sait, en effet, que ce symptôme p
moteurs. L'étiologie des tics est celle de la plupart des maladies
nerveuses
et mentales. L'hérédité, l'imitation, le surmen
ts sédatifs, hyp- notiques stimulants qu'on donne ordinairement aux
nerveux
. Il ne faut pas cependant éliminer d'emblée ce
té est niée (12.50 p. 1 00), dans 22 cas sont notées des maladies
nerveuses
et mentales et l'alcoolisme du père et de la mère
uette uniforme et générale de neurasthénie la plupart des désordres
nerveux
mal définis et non classés qui n'appartenaient
ssification des désordres si déli- cats et si complexes du systèmes
nerveux
il doit subsister encore bien des ignorances et
st essentiellement une névrose dépressive par épuisement du système
nerveux
cérébro-spinal. Ce qui caractérise l'état neura
t cet état mental. Céphalée intense, en forme de casque. Dépression
nerveuse
pro- fonde. Fatigue, pesanteur des membres, dég
Conformément à sa théorie générale selon laquelle tous les troubles
nerveux
, ceux de l'hystérie comme ceux de la neurasthén
urelles, au moyen de « l'acte spécifique u, reflue vers les centres
nerveux
supérieurs et se crée des voies de dérivation e
- 111 ? M..., quarante-deux ans, habituellement bien portante, peu
nerveuse
et nullement dégénérée, a perdu son mari il y a
de atteint franchement d'une hyperexcita- bilité de tout le système
nerveux
viscéral et émotionnel, c'est-à-dire du système
le système nerveux viscéral et émotionnel, c'est-à-dire du système
nerveux
sympathique. Par contre, les grandes fonctions
e nerveux sympathique. Par contre, les grandes fonctions du système
nerveux
cérébro-spinal parais- sent intactes : sensibil
unique. Les causes qui agissent sur l'une des parties du sys- tème
nerveux
, fatigue, intoxication, infection, etc., ontbien
. Loc. cil,, 367. PHYSIO-PSYCHOLOGIE DES RELIGIEUSES. 435 système
nerveux
. En effet, elle tomba « pçu à peu dans une espèce
dégénérescence joue un très grand rôle, non seulement en pathologie
nerveuse
et mentale, mais encore en pathologie générale;
chent ensuite en présentations anormales. Guéries de leur affection
nerveuse
, elles accouchent de nouveau normalement, etc., e
mentaux ou physiques, lesquels sont unanimement admis en pathologie
nerveuse
et mentale, mais 'dont la valeur pathogénique,
1902). E. B. XXXI. Réseau endocellulaire de Golgi dans les cellules
nerveuses
de la moelle épinière ; par le Dr SouKHAKOFF.
faisait présumer qu'il y avait une destruction complète des fibres
nerveuses
du membre atteint, aussi les auteurs ont-ils ét
M. DE Bourgade expose les troubles du caractère et les phéno- mènes
nerveux
qui résultent des diverses affections de l'estoma
ques fixes, au commencement de marset la fin dejuillet, destroubles
nerveux
etmentaux lelsque anorexie, vomissements, const
lement ou plutôt expérimentalement par un indi- vidu sur le système
nerveux
d'un autre individu : cet état psycho- logique
ué essentiellement par une série de modifica- tions dans le système
nerveux
du sujet. Ces modifications varient selon le de
) l'atrophie primaire de certains sys- tèmes accessoires des fibres
nerveuses
ayant rapport aux mouve- ments. Le traitement d
ns la plupart des cas on. a trouvé des indications sur les maladies
nerveuses
et psychiques au moins chez 3 membres de la fam
-IDOJ. Vol XV. Juin 1903. N"90. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. Note sur un cas de bestialité chez la femme ;
énilal,1898, p. 268. Arscmves, 2· série, t. XV. 32 498 CLINIQUE
NERVEUSE
. On est très porté à la considérer comme une pe
a quand on lui eut donné des explications. A partir de 500 CLINIQUE
NERVEUSE
. cette époque elle éprouva surtout quelques jou
mâle bien conformé et vigoureux, sans avoir présenté aucun trouble
nerveux
. Elle ne pouvait pas manquer d'accepter l'allai
péciaux, qui n'ont cessé que environ cinq ans après la g02 CLINIQUE
NERVEUSE
. menstruation, à cinquante-six ans. Il n'existe
e. 4" II est des cas dans lesquels on peut rapporter les troubles
nerveux
de l'enfant aux orages sensoriels provoqués par l
; Association de l'hystérie avec les maladies organiques du système
nerveux
, les névroses et diverses autres affections 2 ;
ractères ressortissant en propre aux maladies organiques du système
nerveux
et les carac- tères positifs ou négatifs qui ap
neurasthénie, à la mélancolie, à la confusion mentale, à l'anxiété
nerveuse
. M. Bernheim paraît avoir à coeur de faire un d
page 938). Et, l'auteur, après avoir parlé, à propos de l'anorexie
nerveuse
, « d'une psychose d'évolution qu'il croit infec
vre, l'association de l'hystérie aux maladies organiques du système
nerveux
(Epilepsie et hystérie ; angine de poitrine vra
ratoire d'anatomie. La « policlinique pour les maladies mentales et
nerveuses
» com- prend une salle d'attente, une chambre n
he collection de types cliniques des diverses affections du système
nerveux
c de sorte qu'à l'occasion d'un cas spécial il pe
à fait isolée de ce pavillon favorise les admissions de malades «
nerveux
» qui entrent facilement de leur propre volonté à
-Scherbitz. Archives, 2* série, t. XV. 3t 830 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. A l'exception des pavillons cellulaires qui po
endie, avec le matériel nécessaire. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LXVII. Un cas d'akathisie, d'après MM. Raymond
anxieuse, le coeur palpite, la face exprime la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 531 douleur, la terreur et l'angoisse : enfin,
ente pas des signes d'hystérie, mais il a dans sa famille des tares
nerveuses
importantes, et son père et sa mère étaient tou
locomoteur, sur l'appareil circulatoire, le rein, etc... Le système
nerveux
n'est point à l'abri de l'action, soit du gonocoq
deux observations publiées par les auteurs montrent que le système
nerveux
périphérique n'est pas épargné. Il s'agit, en e
e neurologique, février 1901). 1. Blin. , 532 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LXXIV. Paraplégie flasque avec exagération des
as les voies courtes médullaires. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 533 LXXV. Formes cliniques du tremblement dans
34 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. présentait pas d'autres phénomènes
nerveux
, ni de paralysie des nerfs crâniens. , Se bas
aitement spécifique intensif et prolongé. G. C. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 835 LXX1X. Sclérodermie et atrophie musculaire
état de la conductibilité électrique. R. C. 530 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LXXXII. Une variété peu commune de myopathie a
rtionnel à la .gravité du phénomène myotonique, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 337 avec troubles qualitatifs et quantitatifs
amp de,Vicq d'Azyr. Presque en même temps que la case 8, les fibres
nerveuses
se myélinisent dans une région de l'écorce qui
us aigus et chroniques lésant le territoire nucléaire ou les fibres
nerveuses
du sphincter. En attendant les recherches micro
'être des pupilles dans le cours des maladies organiques du système
nerveux
central, M. Piltz en vient au phénomène pupilla
le. I. En effet, la vie végétative.régit la nutrition des centres
nerveux
supérieurs tout aussi bien que celle des muscles
L'écorce du cerveau étant le lieu où aboutissent les termi- naisons
nerveuses
de l'organisme périphérique et des viscères, les
troubles vaso-moteurs et trophiques dus l'alté- ration des centres
nerveux
. Cet oedème précoce montre une défaillance inte
Cet oedème précoce montre une défaillance intermittente du système
nerveux
et traduit l'action de l'infection sur les centre
RGE SouKHANOFF et Feliks GZ : IIiNIEC61. Les dendrites des cellules
nerveuses
de la moelle épinière chez les vertébrés adultes
tient, dans certains cas, une assez bonne imprégnation des éléments
nerveux
et une parfaite imprégnation suffisante de leur
evoir sur le corps 58Ë SOCIÉTÉS SAVANTES. cellulaire des éléments
nerveux
de la corne postérieure des appen- dices, rappe
instrument on réveille partout la sensibilité où la dégénérescence
nerveuse
a créé de l'anesthésie. Les anesthésies société
chial a montré que l'existence d'une quantité considérable de tubes
nerveux
laissa subsister une anesthésie absolue. Ici le c
e sur 190 sujets, dont 130 atteints de maladie organique du système
nerveux
, 45 normaux adultes et la enfants nouveau-nés.
IOGRAPHIE. portant sur les méthodes suivies dans l'étude du système
nerveux
sur son anatomie, sa physiologie, sa pathologie
l. Dans l'intoxicatiou alcoolique il existe, avant que le système
nerveux
suit définitivement lésé et que des faits cliniqu
les deux étais sont engendrés par un état corrélatif de la cellule
nerveuse
. De déduc- tiou en déduction l'auteur a) rive à
ement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales et
nerveuses
. ltap- porteur : M. le D'' Trenel (de Saint-Yon
l faut enten- dre par ces mots, par )lac Dnncan, 371. Accidents
nerveux
, consécutifs à la suppression d'une otite ; tré
type Charcot-\Iarie, par Soca. 536. AnEacÉl : l,a.r.. Voir slènze
nerveux
. Angoisse et anxiété, parSouques.101. J'ECTOU
s sensorielles, Voir Mémoire. Apophyse mastoïde. Voir Accidents
nerveux
. Apoplexie. Voir Orteils. ARG1LL-130BERTSO\.
ai-, 283. Asthme vésical, par Hawinski, 379. Ataxie. Voir Système
nerveux
. Un cas cl' - cérébelleuse aiguë d'ori- gine
asie par lésion droite du cer- v·eau, par .lolTroy, 203. Cellules
nerveuses
. Contribution à la technique de la coloration d
hose de - , par Ileiberg. 26n. Colique hépatique. Sur un cas de
nerveuse
, par Robinson, 275. Colonne vertébrale. V. Anky
clii, 284. GOLGI. Réseau endocellulalre de - dans les éléments
nerveux
de la moelle épinière. par Soul : llauolF, 30
Soul : llauolF, 307. Réseau emlocellllalre de - dans les cellules
nerveuses
ils la moelle épinière, par Soukliariolï, 154
ie, par Urissaud, 101. Ostéite. Voir Pagel. Otite. Voir Accidents
nerveux
. Pncnvméswcme. Sur un cas de liéinorrhagique,
es, par Marie Vaschitle, 292. Rééducation motrice. Voir Système
nerveux
. Réflexes. Des- musculo-tendinew complexes de
Secousses musculaires. Les clans les diverses maladies du système
nerveux
, par\Iendelson, 10î. Sein liystéi ique. Une obs
l0ïr. - médullaire et bulbalreprécoce, par Collet,185. Système
nerveux
. La rééducation motrice dans les maladies du -
ns les affections du , par .ludson Bury, 280. Tabès. Voir Système
nerveux
. fruste. Voir Argyll-Hobertson. . Voir Amyolr
ir abcès cérébral double. -(le t'apophysemastoide. Voir Accidents
nerveux
. Trépidation épileptoïde, par Lévi et liauer,
S DE NEUROLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIIIECTION DE J.-
rer évidemment comme la preuve d'un amoindrisse- ment des fonctions
nerveuses
, d'un épuisement des organes. Ce n'est pas là u
se rattachent précisément à un arrêt du fonctionnement des centres
nerveux
qui servent à cette sensation tactile ou visuel
opinions de cet auteur sur les épuisements localisés des centres
nerveux
qui nous semblent encore bien hypothétiques, nous
avons toujours adopté ses idées sur l'épuisement général du système
nerveux
chez l'hystérique. « Le fait fondamental de l'h
reprenant la conception de M. Oppenheim parle aussi d'une faiblesse
nerveuse
incontestable, qui permet l'exagération des phé
uet ' et qui, aujour- d'hui, attire justement l'attention, les toux
nerveuses
, les sanglots, les hoquets, toutes sortes de mo
¡mo- tisme, suggestion, 1891, p. 191. 3 Charcot. - )lal. du syst.
nerveux
, t. I, p. 278, 296. 14 REVUE GÉNÉRALE. table
ncontre généralement chez les personnes atteintes de ces affections
nerveuses
graves et que j'ai rencontrés chez toutes mes c
quet, op. (;il., p. 481. ' Despine (d'Aix). Traitement des maladies
nerveuses
par le ma- gnétisme, 1840, p. 222; même remarqu
notre avis, écrivait M. Sollier, il n'y a qu'une sorte d'a- norexie
nerveuse
, c'est l'anorexie mentale 3. » Nous aurions peu
on 1 Despine (d'Aix), op. cit., p. 222. ' Charcot.. Mal. du sysl.
nerveux
, t. III, p. 238. 0 3 solfier. L'anorexie hystér
sain. Les actions et les réactions des diverses parties du système
nerveux
et même de tous les or- ganes, les uns sur les
chez les hystériques, le somnambulisme dispa- raît quand la maladie
nerveuse
se guérit 2. « Ce sont les maladies de nerfs et
umains sont hypnotisables en proportion directe de leur instabilité
nerveuse
? «Nous devons ajouter, si notre petite expérie
s cas les auto-intoxi- cations', les maladies organiques du système
nerveux
4, les diverses intoxications 3, les shocks phy
ls affaiblissent l'organisme et augmentent la dépression du système
nerveux
. 11 est un âge surtout qui est à ce point de vu
ins et les psychologues sur l'état mental des hystériques. CLINIQUE
NERVEUSE
, QUELQUES CONSIDERATIONS POUR UNE ÉTUDE COMPARA
il cette époque, me confier le soin de faire une étude 30 CLINIQUE
NERVEUSE
. comparative des paralysies motrices organiques
s motrices organiques, d'ailleurs généralement admises. La clinique
nerveuse
reconnaît deux sortes de para- lysies motrices,
st parfaitement en accord avec les données de l'anatomie du système
nerveux
qui nous montrent qu'il n'y a que deux segments
de là jusqu'à l'écorce cérébrale. La nouvelle histologie du système
nerveux
, fondée sur les travaux de Golgi, Ramon v Cajal
fibres de conduction motrices est constitué par deux neuron (unités
nerveuses
cellulo-fibrillaires), qui se rencontrent pour
isolément. Cela ne dépend que du siège et de l'étendue de la lésion
nerveuse
, et il n'y a pas de règle fixe pour que l'un de
paralysie cérébrale doit être cherchée dans la structure du système
nerveux
. Chaque élément de la périphérie correspond à u
dans l'axe gris, qui est, comme le dit M. Charcot, son aboutissant
nerveux
; la péri- phérie est pour ainsi dire projetée s
par sa plus grande aptitude à la.dissociation, présente 32 CLINIQUE
NERVEUSE
. cependant toujours le caractère d'une paralysi
souvent attribué à l'hystérie la faculté de simuler les affections
nerveuses
organiques les plus diverses. Il s'agit de savo
diale, etc., sont parmi les affections les plus communes du système
nerveux
. Il est bon de faire observer ici, de manière à
ambe doit ètre traînée en masse. AucatvES, t. XXVI. 3 34 CLINIQUE
NERVEUSE
. organique, elle reproduit l'aphasie motrice à
ontre avec quelle ténacité la sensibilité persiste en cas de lésion
nerveuse
. 36 CLINIQUE NERVEUSE. Si. l'on sectionne un
cité la sensibilité persiste en cas de lésion nerveuse. 36 CLINIQUE
NERVEUSE
. Si. l'on sectionne un nerf périphérique, l'ane
ent affaiblie, car il persiste toujours quelque part des éléments
nerveux
qui ne sont pas complètement détruits. En cas de
de critique sur l'aphasie, parce qu'il ne s'agit pas de 38 CLINIQUE
NERVEUSE
. centres séparés, mais d'un territoire continu
la lésion, qui dans les conditions données de structure du système
nerveux
produisent les caractères de la paralysie organ
localisation, de l'étendue de la lésion et de l'anatomie du système
nerveux
? M. Charcot nous a enseigné assez souvent que
, doit être moins durable que la paralysie par destruction du tissu
nerveux
. Toutes les autres conditions leur sont com- mu
les autres conditions leur sont com- munes et l'anatomie du système
nerveux
déterminera les pro- priétés de la paralysie au
ériques doit être tout à fait indépendante de l'anatomie du système
nerveux
, puisque l'hys- térie se comporte dans ses para
uméros des Archives de Neurologie ; les paralysies hys- 40 CLINIQUE
NERVEUSE
. tériques en donnent la preuve aussi bien que l
qu'un autre côté de l'altération organique. Supposons que le tissu
nerveux
soit dans un état d'anémie passagère, son excit
n n'est pas fondée sur une connaissance appro- fondie de l'anatomie
nerveuse
mais sur nos perceptions tac- tiles et surtout
rante et indépendante de toute notion de l'anatomie du sys- tème
nerveux
. La lésion de la paralysie hystérique sera donc
est effacée. Alors la conception du bras existe dans le 42 CLINIQUE
NERVEUSE
. substratum matériel, mais elle n'est pas acces
nd le nerf en dedans, on aperçoit un infundibulum dont la branche
nerveuse
représente l'axe. Dans cette cavité il faut disti
au nombre de deux : l'une placée au-dessus ou en avant de la racine
nerveuse
, l'autre au-dessous ou en arrière. Aux lombes e
ée principalement DANS SES RAPPORTS AVEC LES ALTÉRATIONS DU système
nerveux
; par L. STIEGLITZ. (AI'ch. f. Psychiat., XXIV, 1
bservation III. Paralysie spinale aiguë, vacuolisation des cellules
nerveuses
. Dégénérescence segmentaire des racines; dégéné
lw2tioz Il ? Paralysie d'un seul membre, vacuolisation des cellules
nerveuses
, dégénérescence très marquée des racines qui ce
sie générale, peut-il y avoir lésion concurrente de tout le système
nerveux
périphérique ? Existe-t-il entre la lésion de c
e la lésion de ce dernier et les processus pathologiques du système
nerveux
Archives, t. XXVI. 4 50 REVUE D'ANATOMIE ET D
ssus primitif est cons- titué par la dégénérescence de la substance
nerveuse
. Le nombre des observations existantes jusqu'ic
t absentes sur les coupes fraîches; sur ces dernières, les cellules
nerveuses
sont considérablement plus larges, leurs pro- l
Dr I\hNGAZzm. (Riv. sp. di fren., fasc. III-IV, 1892.) Le réseau
nerveux
de la corne antérieure (excepté dans sa por- ti
ATIJOLOGIQUE D'UN cas DE POLlOM1ÉL ! TE antérieure avec altérations
NERVEUSES
PéRIPHéRIE- QUES ; par F.-S.-John BULLEN. (The
nterpréta- TION difficile) observées SUR certains points DU système
NERVEUX
dans un cas d'hémiplégie spasmodique; par Edwin
L. minot. Sur les modifications de la physionomie dans les maladies
nerveuses
et mentales. Le rapporteur accompagne sa commun
celles qui dépendent de lésions de régions déterminées du système
nerveux
; 2" la forme réflexe; 3° la forme essentielle.
bien portant et ne présente pas de traces de syphilis; sa mère est
nerveuse
, son grand-père maternel, alcoolique et un de s
); Délire de persécution (23 juillet 1880); Note sur les phénomènes
nerveux
du goitre exophthalmique (p. 292, 1874), etc.
Verneuil et Dareste. Dans le milieu et sur le terrain scientifique
nerveux
, qui ou- vraient les larges horizons à l'histoi
t sur ses genoux une fillette de quatre ans, affligée d'une maladie
nerveuse
pour laquelle on a, sans succès, consulté le do
Vol. XXVI. Août 1893. N" 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TUMEURS NÉVROGLIQ
oisière, salle Bouley, 'no 10. Archives, t. XXVI. 7 98 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Renseignements héréditaires. - La mère de M...
résent, je ne relevais aucun phénomène hystérique. 100 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Je discutai ensuite les dystrophies nusculaire
ées de la ligne médiane (davantage à droite). 0 10 : 2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. modes; il n'existe pas d'anesthésies, ni d'hyp
t cependant facilement à vaincre la con- tracture. 104 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La force musculaire est conservée. On constate
'était séparé de la surface que par une très faible couche de tissu
nerveux
, mesurant de 1 à 2 millimètres. Il s'est écoulé
te sérosité a été examinée au point de vue bactério- 106 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. logique par M. le Dl' Netter,qui n'y a trouvé
t l'hyperthermie présentée par le malade était de nature pure- ment
nerveuse
. Il n'y a pas d'épanchement notable dans le can
nt par une infiltration diffuse, contenant encore de nombreux tubes
nerveux
écartés, dissociés et. tordus par les éléments
le, au ni\eau du col de la corne postérieure gauche. 108 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. beaucoup plus nombreuses, en dedans. Ces derni
térieurs. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. 110 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. La figure 4 représente une coupe de la moelle
cipale ait diminué de volume, la portion infiltrée a 112 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. fait de tels progrès qu'elle a détruit complèt
tingue parfaitement du reste; son tissu ne contient plus d'éléments
nerveux
. Mais en dehors de cette formation, à laquelle
mêmes éléments néo- plastiques, qui tendent à étouffer les éléments
nerveux
; tandis que dans la partie circonscrite de la t
même direction générale , il Archives, t. XXVI. 8 1J4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. en résulte la formation de bandes fibreuses qu
mes éléments, mais on trouve encore dans son épaisseur des éléments
nerveux
qui n'ont pas été étouffés complètement. Les ce
les. (Obj. ° Véric6, oc. 1. Hëmtoxime et éosine.) 'lez 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. s'épaissit, au contact de l'élément épithélial
us à son centre qu'un vaisseau en voie de dégénères- 118 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cence; à la périphérie, on aperçoit bien la me
Obj. 2, Vérick, oc. 1. Coloration de Pal et éosine.) 120 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous venons de passer en revue les principales
, à différentes hauteurs de la moelle. Ce sont de petits fascicules
nerveux
, de forme arrondie, qui ressemblent parfaitemen
oprement dit, ils ne peuvent pas être considérés comme les éléments
nerveux
d'un neurogliome. En pratiquant un grand nombre
le pour les bacilles de la tuberculose. III. Lésions des éléments
nerveux
. Les éléments nerveux sont détruits soit par at
de la tuberculose. III. Lésions des éléments nerveux. Les éléments
nerveux
sont détruits soit par atteinte directe du néop
mpression, elles conservent encore leurs cellules et leur réticulum
nerveux
intacts en apparence, sauf vers le milieu de la
açon, particulièrement à droite (fig. 6). Mais cette 122 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lésion ne parait pas donner lieu à une dégénér
re travail. IV. Lésions des nerfs et des muscles. - Les gros troncs
nerveux
des membres supérieurs et inférieurs, examinés
res inférieurs, puis du côté de ses membres supérieurs des troubles
nerveux
dont l'intensité rapidement croissante le rédui
rapidement croissante le réduit bientôt à l'impotence. Ces troubles
nerveux
comportent dès le début un élément dou- loureux
e atrophie évidente, mais qui ne devient jamais très 124 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. considérable. Il existe également quelques tro
de la moelle, l'écartement, le refoulement, l'étirement des fibres
nerveuses
ne permettent pas toujours d'apprécier exacteme
lancs environnants subissent une lésion à peu près 126 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. analogue à celle que l'on observe à la région
t Van Lair, sur des grenouilles, ont vu, au mi- croscope, des tubes
nerveux
régénérés. Sur les mammifères, Eichhorst (1874)
lus haut suffiront pour prouver qu'il s'agit là réellement de tubes
nerveux
régé- nérés, qui affectent beaucoup plutôt la d
haut. D'ailleurs, on comprendrait difficilement comment ces fibres
nerveuses
, perdues dans le stroma conjonctif de la tumeur
"» 7'T 1 (,J T'11ft a : : r'Ja'fffTT" a`f'3 '158 " ? - - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. '. , i ,. 10-. 'Tf1 n\Jt. tJ 5.1 . (\ ? t\ \ t
lui donner lenom de gliome. Archives, t. XXVI. 0 130 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il existe donc différents genres de tumeurs dé
s, (dans le, cas acluel ? IésiIlI t,rop41qe 132 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. f.f'1 3f 'M7aa : fInO,ItlHT4r' 3Q ? UV3n de
,1() it ? ('t t.' /tt ? t0' ' .... En tout seize cent quarante-deux
nerveux
. '" " " l ' "i Chez les Jûisslôlîtroûve'5 \yphi
a'I 3 ? uavH3K h ? O`IGHTL9 sa ,·1 ? 3° Si ` .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 133 ..1) R3ft4h90'ItlA '9 aiirh 9jt;rt^ ? sa I
., pour .'résultat immédiat; une destruction localisée de substance
nerveuse
, suivie de> méningite" chronique : ' les' tr
1 ? n : I< : OQ . ! Ht. ,fi...'1 ! l ? 0 1 REVUE ),DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 135 IX;rcNŸRîBûTÎÓÑ A l'a1' SYMPT03f.1TOLOG1E'
e la première sphénoïdale^et du lobul i e 136 REVUE.DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pariétal inférieur ? mais, en cet endroit, 'la
nent à une lésion non pas du lacis du plexus, mais bien des racines
nerveuses
? Exemple la paralysie totale et iiifé, rieure
! côté externe du bras ? dans le territoire t REVUE/ DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. '137 ; de 1 l'axillaire et du..inusculo-cutané
ouvent leur raison dans la diffusion des, lésions à tout le système
nerveux
. Les troubles sensitifs, la céphalée, les vertige
qués par Cl. Bernard. < 1 . , ]L'examen microscopique du système
nerveux
d'un malade faisant le sujet d'unei de ses obse
probabilité, débute en même temps en, plusieurs points du- système
nerveux
central et périphérique, mais plus particulière
r' secondairement par l'hyperplasie de né- 138 REVUETDE,PATHOLOGIE',
NERVEUSE
;¡' « vroglic ? l'atl'Ophie l,et la ldégéuératio
;. atrophie des grandes cellules de Betz. Dégénérescence des fibres
nerveuses
à myéline. Les paquets 1 delcellliles accumulées;
due à des troubles dans la fonction des centres thermiques (fièvre
nerveuse
fonctionnelle). C'est probablement une fièvre d
'P,)T1"q 113'1''1 'f)n TOT-t" Aq -ts a Ia'( 140 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ^r rt ? r;' J. ·'1 ot , n.l ·, ' i, ,I91 'rfJ(
genou. Lorsque le patient est assis, le genou .revue DE pathologie
NERVEUSE
. 141 1 ! 1t"'\ J t /jj.i/ 0l') iw ? ·1 ? 1 1 1
on. C'est surtout le cas de ceux qui s'ac- .compactent de symptômes
nerveux
légers. Comme M. Charcot l'a dit, l'arthropathi
dans les deux cas; une- de' ces -observations ,REVUE¡DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. il 43 contientle résultat de d'autopsie,, ou i
? ? h." .J o1...I.J I rf;1"`I,je 1 P. K'I.T 144 REVUE DE PATHOLOGIE
nerveuse
. , Il ? , . I ' .1. t , XXVI. Du symptôme de
du cerveau. .. . l `r > > ` s lxf 1 REVUE 'DE -PATHOLOGIE -
NERVEUSE
.- 145 ' XXVIII.(1Un,cas d'anurie hystérique;, p
pathe ou déséquilibrée, à la suite de surexcitations ; la faiblesse
nerveuse
ouvre la scène, puis les mouvements déterminent
e absolue, ressemblent à des paralytiques. 148 REVUE, DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Cet état peut subsiste^ très longtemps. En) mê
cerveau;- l'autre, qu'il y a déve- loppement' imparfait (du système
nerveux
central et que les os crânienss partagent celte
t,un petit verre fI'de whiskey pour donner plus de force au système
nerveux
. 'Port ne'-Je fais une incision d'environ, troi
est que son état mental s'est amélioré, il est moins agité et moins
nerveux
qu'avant l'opération, s'assoit parfois pendant qu
s de ces der-, niers dans certaines couches, et le manque de fibres
nerveuses
. L'embryologie nous apprend que le cerveau se d
841. ' BOURNEVILLE. XIV. DES causes ET DE l'hérédité DES affections
nerveuses
ET LIEN- tales ; par RIÉGER. (Cenlrnlbl. f. Ner
es médicaments * dérivatif externes dans les maladies cérébrales et
nerveuses
. Le séton à la nuque est indiqué quand il y a c
, 5.) P. KERA VAL. BIBLIOGRAPHIE. II. La neurasthénie (Epuisement
nerveux
) ; par A. AhTnIGU. Un vo- lume de la Bibliothèq
el ou tel appareil, il distingue les formes atteignant le sys- tème
nerveux
(cérébro-spinale, cérébrale, spinale, périphériqu
l'emploi des bromures qui amènent une sédation complète du système
nerveux
sans agir sur la maladie même. Aussi dans l'emp
L'ouvrage se termine par un chapitre sur le régime et l'hygiène des
nerveux
et l'abus de quelques médicaments (alcool, morphi
ue l'excès d'aliments hydrocarbonés est cause de tous les accidents
nerveux
. Il recommande une nourriture forte, composée d
de suivre dans ces études ardues de physiologie et de pathologie
nerveuses
: Au lieu, disait-il, de se laisser aller à la
iologiques facilement ap- préciables des divers états et phénomènes
nerveux
produits ; de se renfermer d'abord dans l'exame
eurs sur les sujets de cette catégorie surtout, que les diversétats
nerveux
, produits artificiellement, semblent atteindre
uivi par le Maître est réalisé. Une chaire de clinique des maladies
nerveuses
est créée pour lui, à la Salpêtrière. Ce n'étai
ostic ', et les deux volumes. de Clinique des mala- dies du système
nerveux
qui réunissent ses travaux pendant les années 1
umul de facteurs étiologiques ; trau- matisme, alcoolisme, hérédité
nerveuse
, 1801 ; Sur un cas de para- lysie radiculaire d
oréiques, les tiqzecux et dans quelques autres maladies des centres
nerveux
, 1802 ; - Sur un cas de paralysie générale prog
rapides et continues au traitement de quelques maladies du système
nerveux
. - 1893 : Amyo- trophies spinales réflexes d'or
e locomotrice progressive et de quelques autres maladies du système
nerveux
; Les malades dans l'art. - 1890 : Deux bas-reli
rapides et continues au traitement de quelques maladies du système
nerveux
(1892). Bulletin médical : Rétractions fibi o-l
contractée 35 ans auparavant ; De la syringomyélie ; Des accidents
nerveux
provoqués par la foudre (1889) ; - Traitement d
r au lit ; non, c'est en calmant directement, paraît-il, la cellule
nerveuse
cérébrale en éréthisme qu'elle amena l'apaiseme
os trente-cinq sujets sié- gèrent aux organes visuels, digestifs et
nerveux
et aussi, chose plus importante, intéressèrent
importante, intéressèrent la nutrition générale. Du côté du système
nerveux
, outre la sédation, une certaine lassitude avec
ir eu une efficacité. Hirt, dans son Traité des maladies du système
nerveux
mentionne les accès de fièvre précédant la sclé
travail inédit, comme ouvrage spécial, sur la structure du système
nerveux
ou l'étude des manifestations de la force connu
l'étude des manifestations de la force connue sous le nom d'influx
nerveux
. Ces travaux devront con- courir au but que s'é
et cérébrale, les injections d'extraits organiques, la transfusion
nerveuse
. Physiologie, indications cliniques et thérapeu
ris, 1892. Librairie Ollier Henry. Pechère et Funck. - Le système
nerveux
dans la fièvre typhoïde. Brochure in-8° de 76 p
Vol. XXVI. Octobre 1893. N" 80 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. CONTRIBUTION A L'ETUDE DES TUMEURS DU CERVEAU
roduire un élément d'une aussi haute différenciation que la cellule
nerveuse
; au point de vue plus spécial du système nerveu
on que la cellule nerveuse; au point de vue plus spécial du système
nerveux
, ces néoplasmes sont encore intéressants parce
aires et de leur parenté avec les éléments de soutien des cen- tres
nerveux
, les cellules de la névroglie. Je viens d'obser
licité presque schématiques : Ancull'Es, t. XXVI. 18 274 CLINIQUE
NERVEUSE
. 0 S ERVATION. Céphalalgie violente avec crises
compte, on porte le diagnostic de tumeur cérébrale. Les 76 CLINIQUE
NERVEUSE
. troubles de l'équilibre et les symptômes ocula
en arrière dans la circonvolution crètée, sa cavité. 278 CLINIQUE
NERVEUSE
. substance blanche : c'est un prolongement post
iquée suivant la ligne ce' des (lgtll'es 13 et 1 L 580 - CLINIQUE
NERVEUSE
. coupes après durcissement prolongé dans la liq
ue et un protaplasma trouble; 3 neuroblaste plus développé; 4 cellule
nerveuse
adulte du type multipolaire, avec vn gros noyau
vrogliques; tantôt au contraire le tissu parait composé de cellules
nerveuses
, à prolonge- ments multiples, et de filaments é
d'aspect légèrement fibrillaire, qui ne sont autres que des fibres
nerveuses
amyéliniques, Nous étudierons successivement ce
ctement le type de la névroglie, en un mot d'un gliome. B. Le tissu
nerveux
proprement dit a un aspect un peu blan- châtre
châtre et est, un peu plus ferme; il est constitué par des cellules
nerveuses
à différents stades de leur évolution et des fibr
reconnaissables à leur volume énorme, à leurs pro- 282 . ,CLINIQUE
NERVEUSE
. longements nombreux, à leur protoplasma troubl
eu intense par les différents colorants nucléaires; - 4° des filets
nerveux
amyéliniques qui forment des feutrages ou des f
Coupe prise dans une portion glanglionnaire de la tumeur; cellules
nerveuses
éparses dans un bain formé exclusivement par' des
rveuses éparses dans un bain formé exclusivement par' des filaments
nerveux
isolés ou groupés en faisceaux. Neuroblastes dess
t finement, grenu et ne diffère en rien du protoplasma des cellules
nerveuses
normales; il ne contient pourtant jamais de pig
fectuer. ' 11'1 .Il.... ,,1. 'i : o dll ,1(l Á}\ Y"" 2o4 CLINIQUE
NERVEUSE
. 4 . 19.11 ` . ` 1/ · t > - " fi. '1 ? >
nt par des cellules ganglionnaires du type pyramidal, des filaments
nerveux
et des neuroblastes; les vais- seaux sont rares
aitement vivantes et elles sont tapissées par un feutrage de fibres
nerveuses
, ainsi qu'on le verra plus loin. J'ai déjà dé
plasique(Tg.47). Dans les endroits où le tissu est fait sur le type
nerveux
pur, on n'aperçoit que des cellules ganglionnaire
e interstitielle ni fibres névrogliques (rtg. 18 et 19). Des fibres
nerveuses
amyéliniques plus ou moins groupées en fais- Fi
min et hématoxyline. (Immers. 1/10, Vérick, oc.) 1 286 " CLINIQUE
NERVEUSE
. ; ' ceaux parcourent le tissu dans tous les se
ppartenant à un neuroblaste destiné à remplacer la grande cel- lule
nerveuse
au cas où elle viendrait à manquer; 01 ? on trouv
éri- vent évidemment du petit noyau de remplacement de la cellule
nerveuse
. En descendant vers le néoplasme, on voit cette d
ion; hématoxyline et éosine. (Obj. 7, Vérick, oc. 3.) '288 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'aplatissement subi par le centre blanc des d
collodion; coloration de Pal. (Grandeur naturelle.) 290 CLINIQUE
NERVEUSE
. . de coupes colorées par la méthode élective d
oigner de l'intégrité relative des tissus ; d'ailleurs les cellules
nerveuses
ne paraissent pas avoir souffert. Les circonvol
tangentielles des couches superficielle et moyenne. 292 CLINIQUE
NERVEUSE
. assez mal fournies. Dans la par- tie postéri
dehors du cerveau il n'y a aucune dégénérescence du reste de l'axe
nerveux
. Le bulbe et la moelle sont complètement sains.
ibres à myéline tangentielle. D'autre part, la subs- t 294 CLINIQUE
NERVEUSE
. tance blanche du lobe frontal droit est 'compl
upe horizontale. (Soc. méd. des 116 ? 24 juin 1892.) 296 CLINIQUE
NERVEUSE
. dois ajouter qu'à l'état, normal, ainsi que je
elles de l'écorce de l'hémisphère droit. (Loc. cit.) 298 1 CLINIQUE
NERVEUSE
. petites tumeurs renferment quelquefois une tra
voit .par ces quelques faits que les parcelles aberrantes de tissu
nerveux
, qu'elles 'restent dans les centres ou qu'elles
aucune anomalie psychique, me portent à croire' qu'il 300 CLINIQUE
NERVEUSE
. s'agit d'une tumeur primitivement développée a
celle de Rénaut (Note sur le gliome neuro-formatif et l'équivalence
nerveuse
de la névroglie, Gaz. méd., 1884), qui est la s
s tumeurs développées aux dépens des cellules formatives des tissus
nerveux
peuvent donc reproduire les deux espèces d'élém
quérir la diffé- renciation supérieure qui caractérise les cellules
nerveuses
. Dans un mémoire précédent je me suis efforcé d
ine. On voit quelle variété d'aspects les tumeurs issues du tissu
nerveux
peuvent revêtir; elles ont pourtant toutes une pa
nt les formes intermédiaires entre les neuroblastes et les cellules
nerveuses
, formes qui sont si abondantes dans la tu- meur
plus sûrement à dépasser la mesure de résistance de leur système
nerveux
et à s'intoxiquer d'une façon complète. Comme e
issent se rattacher à l'action lente et spontanée de divers centres
nerveux
séparés. A l'àge de trois mois, ces mouvements
on pendant laquelle la microkinèse est suspendue, les groupements
nerveux
s'organisent en vue de l'action qui va suivre : m
Si la microkinèse révèle une action spontanée de plusieurs centres
nerveux
disticnts, sa sus- pension révèle un arrêt temp
elle, il s'est produit, pendant l'arrêt du mouvement, un groupement
nerveux
aboutissant à l'activité. . En poursuivant l'
nformité de cette loi que s'accom- plit la coordination des centres
nerveux
. Chez l'adulte, les groupe- ments nerveux qui c
coordination des centres nerveux. Chez l'adulte, les groupe- ments
nerveux
qui correspondent aux idées sont déterminés par l
une action intellectuelle défectueuse, parce que la somme d'énergie
nerveuse
d'un groupe de cellules n'est pas plus considér
ce du milieu soit réelle, car si les lésions organiques des centres
nerveux
étaient la cause unique et primordiale de l'alién
e affection, décrit des lésions des cornes antérieures ? Le système
nerveux
périphérique sensitif ou moteur y a été trouvé
n systéma- tique, car comment englober dans le système des cellules
nerveuses
atteintes. Enfin je n'ai vu qu'un tabes typique
s. Il formule le mécanisme suivant : A l'état normal les extrémités
nerveuses
sen- sitives sont le siège d'un état de tension
uilibre de la nutrition et la fonction des nerfs. Aussi, les fibres
nerveuses
du bout périphérique du nerf dégénèrent- elles.
absolu ; ornais la grande fréquence' des tares 344 BIBLIOGRAPHIE.
nerveuses
dans la race juive, sa prédisposition remarquable
r- tophilus, Ahasvérus, Isaac Laquedem, relèvent de la pathologie
nerveuse
, au même titre que les névropathes voyageurs de l
n'arrive à perpétuer lés symptômes. Les. malades sont toujours très
nerveux
, et il, semble qu'il existe là une idiosyncrasi
apporter de son autopsie que ce qui a trait aux lésions des centres
nerveux
. Le cerveau paraît absolument indemne : on ne t
niveau de la partie supérieure de la protubérance. . 1 faisceaux
nerveux
des voies pyramidales; 2, 2', faisceaux transvers
M. Pierret a longuement insisté, sur la disparition de ces cellules
nerveuses
comprises à l'état normal entre les fibres des
rches expérimentales sur les propriétés et les fonctions du système
nerveux
. 2" édit. Paris, 1842. ' Luciani. Linee general
lcer's 7/aMHtMMcA. Bd XII, p. 768. 2 Huguenin. Anatomie des centres
nerveux
. Trad. Keller. 1879. 3 Bechterew. Rapports fonc
symétriques pendant toute l'évolu- 1 Edinger. Anatomie des centres
nerveux
. Traduction Siraud, 1889, r p. 207. SUR UNE L
dernière affection; dans l'une et l'autre il s'agit de conducteurs
nerveux
cheminant au milieu d'un tissu de sclérose, que
ombre de deux ou trois, 1 Charcot. Leçons sur les maladies du syst.
nerveux
, t. I, p. 267. 374 RECUEIL DE FAITS. comme c'
C'est M. Magnan qui en a donné ' Magnan. Recherches sur les centres
nerveux
. Paris, 1893. 376 RECUEIL DE FAITS. l'explica
elure dense. La face présente un léger degré d'asymétrie. Les tares
nerveuses
abondent dans les antécédents héréditaires de B
rchives de Neurologie, 1892), et Magnan, Recherches sur les centres
nerveux
, 2e série. Paris, 1893. PERVERSIONS SEXUELLES
vement cité le cas de cet homme dans ses Recherches sur les centres
nerveux
(p. 31). Nous avons relevé et reproduisons in e
J. T...n'a jamais eu ni maladie grave, ni convulsions, ni troubles
nerveux
reconnus pendant sou enfance. Son développement s
ce qu'a essayé de préciser Hughlings Jackson. Pour lui, le système
nerveux
central se compose de trois plans superposés repr
bouteille de Leyde, il pose comme principe que tous les phénomènes
nerveux
sont dus à une décharge nerveuse, c'est-à-dire
me principe que tous les phénomènes nerveux sont dus à une décharge
nerveuse
, c'est-à-dire à la mise en liberté de l'énergie
rveuse, c'est-à-dire à la mise en liberté de l'énergie des éléments
nerveux
: cette décharge accompagne la fonction nerveus
nergie des éléments nerveux : cette décharge accompagne la fonction
nerveuse
normale; c'est seulement dans les cas anormaux
ings Jackson. Mais M. Christian fait observer que si par « décharge
nerveuse
» on entend, comme Spencer, la « simple mise en
me Spencer, la « simple mise en liberté de l'éner- gie des éléments
nerveux
, » on fournit une explication qui n'ex- plique
e la lymphe cérébrale. De là des troubles de nutrition des cellules
nerveuses
, des modifications de l'innervation des fibres d'
bachiques et vénériens; hystérie avec accès périodiques de troubles
nerveux
et psychiques complexes associés. Perversion du
est la lésion anatomique primitive du tabes ? Sont-ce les éléments
nerveux
, est-ce le tissu conjonctif ou conjonctivo- vas
essentiel. Il nous faut donc en revenir au parenchyme et aux libres
nerveuses
dont la déchéance entraîne consécu- tivement le
lente pour déceler de très bonne heure la dégénérescence des fibres
nerveuses
et, par suite, pour l'élude expérimentale des f
brunâtre, dans lequel on distingue parfaitement fibres et cellules
nerveuses
. P. K. Archives, t. XXVI. 26 402 revue d'anat
nfondent. Donc, chez l'homme comme chez les animaux, les cellules
nerveuses
qui occupent l'extrémité caudale de la couche opt
ans l'espèce des mêmes lésions que celles qui frappent les cellules
nerveuses
en d'autres parties du cerveau et que leur der-
c carotte et la théorie « navet » appliquées à l'étude des centres
nerveux
. Il faut forcément une fusion et dire que le pr
tres nerveux. Il faut forcément une fusion et dire que le processus
nerveux
fonctionnel de l'écorce est sensitivo-moteur. E
diamètre. Au-dessous de cette couche externe est une bande de tissu
nerveux
de 150 d'épaisseur, bien délimitée vers la périph
. On y distingue 1° des noyaux du tissu conjonctif; 2° des cellules
nerveuses
à forme pyramidale constituées par un noyau ent
larges noyaux irrégulièrement ovales, formés probablement de tissu
nerveux
propre. A la partie la plus profonde de l'écorc
corce con- siste dans la prédominance des noyaux, soit des cellules
nerveuses
, soit des cellules du tissu conjonctif et dans
ées émises par M. Bevan Lewis au sujet des altérations des cellules
nerveuses
et de leurs noyaux dans l'épilepsie. R. M.-C.
très fré- quents chez certains animaux. R. M.-C. XLIV. La CELLULE
NERVEUSE
CONSIDÉRÉE COMME BASE DE LA £ neurologie; par S
posé des plus récentes recherches sur la constitution de la cellule
nerveuse
, et en particu- lier des importants travaux de
uillet 1893. -PRÉSIDENCE de M. CHRISTIAN. Traitement de la céphalie
nerveuse
par la douche statique avec les disques ci poin
nvisagée comme mo- ment étiologiqzie dans les affections du système
nerveux
. Se basant sur les données que nous fournit la
on peut expliquer tous les cas de lésion biennorrhagique du système
nerveux
soit par la myopathie arthro- pathique, soit pa
ffisantes, il est prématuré d'expliquer ces ailec- tions du système
nerveux
par l'urëthrite blennorrhagique antérieure et q
pinière quoiqu'on l'ait cherché. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE et MALADIES
NERVEUSES
DE BERLIN Séance du 13 juin 1892. Présidence
f optique; l'aplatissement était dû à la compression des trousseaux
nerveux
qui finissaient par s'atro- phier ; ces altérat
io-sclérose et tiennent à une altération mé- canique des trousseaux
nerveux
; car ce sont les trousseaux ner- veux centraux
orts avec le rétrécissement concentrique, des affections du système
nerveux
ceza- li-al. Qu'est-ce que la fatigue du champ
St'ffan); asthénopie neurasthé- nique (Beard-Wilbrand) ; asthénopie
nerveuse
(Wilbrand). L'asthé- nopie nerveuse en question
e (Beard-Wilbrand) ; asthénopie nerveuse (Wilbrand). L'asthé- nopie
nerveuse
en question est l'expression locale d'un état gén
en question est l'expression locale d'un état géné- ral"du système
nerveux
; elle va de pair avec une exagération de la sen
nombreux qui s'observent du côté des fonctions physiques du système
nerveux
central ou péri- phérique et qui consistent en
nt liée à la neurologie. Du côté des systèmes autres que le systèmo
nerveux
, on observe souvent des troubles chez les alién
GRAPHIQUE. Dacionet (J.). Les nouvelles recherches sur les éléments
nerveux
Brochure m-8°de 47 pages. Prix, 1 11·, 25. Pari
quarts des malades venant me consulter viennent, pour des troubles
nerveux
. Si cette fréquence des névroses chez le Vendée
périences sur le rôle que peut jouer l'hypnotisme dans les maladies
nerveuses
, en particulier dans l'hystérie. J'es- saierai
tre mois. Guérison. (Une séance.) B..., dix-neuf ans, mère et tante
nerveuses
, plusieurs soeurs hys- tériques. Dès son bas âg
r et de marcher. A son réveil, elle demande à haute voix et système
nerveux
, les névroses et diverses autres affections, par
ois. Guérison (une séance). G..., treize ans, père hystérique, mère
nerveuse
, présentant de- puis cinq mois de vives douleur
é qu'autrefois. Depuis cette époque, il n'a présenté aucun accident
nerveux
. - A propos de ce dernier cas, il me semble uti
s ovariennes. Guérison. Demoiselle Br..., vingt-deux ans. Mère très
nerveuse
, père très vif, frère hystérique avec crises co
ulsives. Jusqu'à l'âge de seize ans, n'avait présenté aucun trouble
nerveux
, quand, à la suite d'une vive contrariété au su
de six années dans des hôpitaux spécialement affectés aux maladies
nerveuses
, posséderait à un suprême degré ce que l'on app
. Demoiselle Maq..., vingt-cinq ans. Mère alcoolique, soeurs très
nerveuses
, vint un jour à mon cabinet; elle était aphone et
nou chez un garçon de onze ans. Guérison. X..., onze ans. Mère très
nerveuse
, père congestif, n'avait jamais rien présenté d
sorte de bégaiement, ce bégaiement qui termine souvent ce phénomène
nerveux
. Outre ce bégaiement, je constatai que la mémoi
édité chargée. Père, mère très ner- veux, tantes et oncle également
nerveux
. Tous les enfants de cette femme présentent des
le avait un rétrécissement du champ visuel considérable, la boule
nerveuse
lui montant à la gorge et l'étouffant, une diminu
ul vomisse- ment. , Observation II. G..., trente ans, mère très
nerveuse
, soeur nerveuse, père con- gestif, souffrant de
nt. , Observation II. G..., trente ans, mère très nerveuse, soeur
nerveuse
, père con- gestif, souffrant depuis trois mois
n'ai pu avoir de renseignements bien précis au sujet de l'hérédité
nerveuse
de cette malade. La femme S... n'a que des souv
ues de son père et de sa mère. Une soeur et ses frères auraient été
nerveux
. Comme elle, ses enfants sont tous très nerveux
frères auraient été nerveux. Comme elle, ses enfants sont tous très
nerveux
. Jusqu'à l'âge de soixante-quatorze ans, notre
En présence des antécédents de cette malade, des quelques troubles
nerveux
présentés jadis (cons- triction à la gorge, éto
suggestion sans sommeil. G..., quinze ans, mère hystérique, tantes
nerveuses
, vint me DE L'HYSTÉRIE EN VENDEE. 463 consult
ssement concentrique très marqué du champ visuel sensation de boule
nerveuse
lui serrant la gorge et la suf- foquant. Le gen
chappe- ront donc dans cette relation. G..., vingt-cinq ans, mère
nerveuse
, père alcoolique, n'a rien présenté d'anormal j
ient à une famille de névropathes, père, mère, tantes, oncles, tous
nerveux
. Pas de tuberculeux dans les ascendants et les
stérique. J'avais bien toujours jusque-là considéré ma malade comme
nerveuse
. Mais je n'y avais attaché aucune impor- tance,
aison le père et les deux filles, tous trois hystériques avec boule
nerveuse
, rétrécissement du champ visuel, plaques hystér
nts pris au hasard dans le canton de Saint-Fulgent, je trouverai 90
nerveux
, hystériques ou neurasthéniques. Saint-Fulgent
vie est si calme, les habitudes si austères, trouve-t-on tant de
nerveux
? Est-ce l'alcoolisme des parents ? On boit en ef
plus ou moins rapproché. Supposons à l'origine deux ou trois troncs
nerveux
à côté de deux ou trois troncs non nerveux. Le
ine deux ou trois troncs nerveux à côté de deux ou trois troncs non
nerveux
. Le mariage des branches de ces différents tron
xcep- tion issus de ces branches devaient porter avec eux la tare
nerveuse
. Il y a enfin cette autre considération qu'un p
ations terrifiantes ne sont-elles pas propres à ébranler le système
nerveux
, à le surexciter, au point de produire bientôt
é névropathique surtout que sont dus ces nom- breux cas de maladies
nerveuses
, hérédité, il est vrai, qui se trouve doublée p
e opération chez des femmes saines d'esprit. C'est dans les centres
nerveux
qu'est le siège du mal et non dans des organes
dégénérescence Wallérienne - ceci est très remarquable, car le bout
nerveux
tient encore à son centre trophique. Cependant
ent une influence trophique sur les fibres qui'partent des cellules
nerveuses
; 4°'quand on'coupe untmembrH'ou un nerf,nles exci
H'ou un nerf,nles excitations normales' qui 'partent des extrémités
nerveuses
sont remplacées par. des excitations différente
dégénérescence lente'et continuellement pro- gressive des fibres .
nerveuses
qui', en' partent : ' 5° les extrémités ner- ve
s); 7° les mêmes causes qui président a la dégénérescence des bouts
nerveux
centraux président aussi à l'altération des fib
centraux président aussi à l'altération des fibres que les cellules
nerveuses
des ganglions spinaux envoient à la moelle. Ain
maux, ce. qui prouve leur indépen- * danco embryogenique du système
nerveux
, central.du. tuyau me- " dullail'e.,w.,m.,nrn M
fois'do plus, L que le nerf opliquc,et la rétineémanent du, systôme
nerveux
contrai, t L'on sait en effet que ]a vésicule o
rs supérieur du noyau de l'hypoglosse, existe un groupe de cellules
nerveuses
situé en dehors etf uiîc peu u au-dessus du noy
uivent,la privation ,de' cet exci; 1 tant ressemblent aux accidents
nerveux
qui accompagnent la bas-3 ' p...T;- >;r ? ..
Contribution à l'élude des affections postsyphilitiques du système
nerveux
central et périphérique. Le malade en ques- tio
C'est donc un complexus autonome indépendant de toute autre maladie
nerveuse
organique ou fonctionnelle qui appartient réell
ique du nerf séparé. Ces cellules pénètrent dans la lumière du tube
nerveux
; leur protoplasma boit les gouttes de myéline du
tout à fait aux cellules granuleuses des dégénérescences du système
nerveux
cenlral. On les rencontre d'ailleurs dès la qua-
CIÉTÉS SAVANTES. 499 dant rien à faire avec la régénération du bout
nerveux
. Pour former déjeunes fibres nerveuses, il faut
e avec la régénération du bout nerveux. Pour former déjeunes fibres
nerveuses
, il faut du tissu conjonctif. La régénéra- tion
. Le sixième ou septième jour, commence cette néoplasie de fibres
nerveuses
jeunes extrêmement minces; à peine nées, celles-c
ne nouvelle des jeunes fibres. En tout cas, il n'y a ni hyperplasie
nerveuse
discontinue par cellules isolées ou systèmes de
lules indépendantes, ni réunion par première inten- tion des fibres
nerveuses
sans dégénérescence du bout périphé- rique. (Vo
ès un sommeil de quelques heures; chez d'autres, notamment chez les
nerveux
, la réparation est si lente que les signes de l
ses simulatrices et des névrites de l'autre. SOLLIER. IX. Système
nerveux
dans la fièvre typhoïde; par V. Pechère et M. 1
XIV. L'hydrothérapie dans les maladies chroniques et les maladies
nerveuses
; parlesDSBENI-BARDE etMATERNE. 1 vol. in-8°. Mass
t de passer en revue toutes les affections chroniques et du système
nerveux
. Ils ne se sont pas contentés d'indiquer la mét
erveau amenant une surexcita- bilité excessive de certains éléments
nerveux
. Tous les chapitres consacrés aux affections me
t dans leur livre d'une façon spéciale du trai- tement des maladies
nerveuses
par l'hydrothérapie, auraient dû rappeler les t
endant la journée du lendemain, le cours du professeur des maladies
nerveuses
a été exclusivement consacré à un exposé des tr
893. Au Siège social. Charcot. - : Clinique-des maladies du système
nerveux
(leçons du professeur, mémoires, notes et obser
r. " ' J' VIALET. Les centres cérébraux de la vision et l'appareil
nerveux
visuel intra-céréúml, avec une préface du D' De
' sagée comme moment étiologique dans les affections du système
nerveux
, par Dourdorfi; 419. , Blépharoptose, lésions a
? ' =r" ¡ud Causes, des 'et'de l'hérédité dans les 1 affections 1
nerveuses
etf men- , 0, taies, par Rieger,' 1G ? .1" 11/9
rale' avec psychique, 'par Vorster, 1fI5 ? - I P'1'JIII.) Cellule
nerveuse
, la considérée "comme base''de' la neurologie,
des mél31ca- ments - externes dans les mala- 'dies cérébrales et
nerveuses
, par Erlenmeyer, 165. ; , Diplégies, - cérébr
s aliénés, par Pelle- blini, 322. Ea.a.umr, - dans les maladies
nerveuses
et mentales, par Ven- tura, 236. ' ' 1 Exerci
372. , Hérédité, des causes* et de 1' i. ' dans les affections
nerveuses
et ' mentales, par Rieer, 162; normale etlrat
Craème M. Ham- q'Ínond 56 cas'' de ? antérieure avec altérations)
nerveuses
péri- phériques, par J., Bullen; 58. '; Polit
M1'I;LIE, cas de pellagre avec - , par l'ellizzi; 131. ? Système ^
nerveux
. «Contribution au développement' pathologique d
, 410. 'Typhoïde, psychose et , fièvre ? Par Klinke, 389. Système
nerveux
dans la fièvre , par' Pechère et ,·runcl : ,
E ARCHIVES DE 7 1 · NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par J.-M. CIIAIICOT PUBLIÉ
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. Rédacteu
Vol. XXVII. Janvier 1894. ? 83 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈM
HOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
, Paralysie générale, M.NIN(-0-MYÉLITE vasculair
ôle considérable que la syphilis joue dans la pathologie du système
nerveux
n'est bien connu que depuis peu ; après avoir d
es et les infiltrations gommeuses des méninges et de la substance
nerveuse
, on en est arrivé à soupçonner, puis à démontrer
emples bien probants, que le Archives, t. XXVII. 1 2 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. substratum anatomique de la paralysie générale
ment étendue à tous les faisceaux de la moelle, et, si les cellules
nerveuses
souffrent de la circu- lation défectueuse des l
s nourriciers, on peut la voir évo- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 3 luer sous les allures cliniques d'une atroph
pf, dans son beau livre sur les affections syphilitiques du système
nerveux
, compare bien les lésions de l'écorce cérébrale
de la paralysie générale est une lésion histologique- 4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment syphilitique ; qu'elle est à la gomme mén
concerne un homme atteint autrefois ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 5 d'une myélite transverse syphilitique de la
asculaire diffuse, peu avancée, avec intégrité absolue de l'élément
nerveux
, or le malade n'avait présenté, en fait de symp
me m'est adressée et je la reçois dans mon service. (3 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. En interrogeant la malade, on s'aperçoit bient
ssurée, sans qu'il y ait d'ataxie à ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 1 proprement parler; la station debout, les ye
oelle, dans la moitié inférieure de la région dorsale, 8 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et dans la région lombaire supérieure, on aper
membranes épaisses et anciennes. Examen histologique. Les centres
nerveux
et les nerfs périphé- riques ont été étudiés à
° Cette lésion vasculaire s'étend en outre à tout le reste de l'axe
nerveux
, en constituant dans la moelle une méningo-myélit
atteints, surtout dans la région des cellules pyrami- 10 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dales, aussi dans les préparations colorées à
alysie générale légitime. Fi3. 1. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. Il La lésion n'est pas très avancée, quoique p
e ; il n'y a encore que peu de cellules arai- gnées. Les éléments
nerveux
cellulaires n'ont pas non plus souffert d'une f
volumineux et plus pâles. (Obj. 7, oc. 1 Vérick.) ' 12 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. matif, car le cadavre était un peu putréfié au
la retrouve dans toutes les autre- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 13 parties du cerveau et, plus accusée encore,
syphilis à l'aspect des lésions méningées. Les éléments cellulaires
nerveux
et névrogliques ne participent guère au processus
n, ce qui fait qu'elle est plus large du ce niveau. ]4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' matoire. C'est la lésion que jusqu'ici j'ai
. Carmin. (Obj. 3, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 15 tement limitées à l'écorce, elles mesurent
eaucoup plus intenses. Pourtant il n'y a aucune lésion des éléments
nerveux
: les cellules des noyaux gris et les fibres de
ions des gros vaisseaux, je les décrirai plus loin. 16 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'infiltratiou méningée se continue dans le ne
, éosine. (Obj. 0, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 17 l toutes leurs branches orbitaires, des ner
ue tous les détails sur les coupes colorées au carmin. Les éléments
nerveux
de la moelle ont en vérité peu souffert; les ce
liae de Delafield, éosine. (Obj. 0*, oc. 1 Vérick.) 18 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. colorées par le procédé de Pal on ne constate
dosiize. (Obj. 1, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 19 La membrane élastique interne et la tunique
s altérations les plus considérables portent sur la 20 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tunique celluleuse qui est épaissie et infiltr
, éosine. (Obj. 3, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 21 de la base du cerveau et de la région dorso
line de Delafield, éosine. (Obj. 1, oc. ,t Vérich.) 22 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tunique interne est envahie, détruite, et alor
s. Son père est mort asthmatique, à ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 23 l'âge de cinquante-quatre ans; il était cha
lade parle, tous les muscles de la face sont animés 24 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'un tremblement intense, particulièrement ceu
d'ailleurs normal. L'examen histologique a montré que 26 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cette légère dureté du foie est en rapport ave
nent aussi quelques corps amyloïdes. Dans le cerveau les cellules
nerveuses
sont toutes fortement pig- mentées et leur prot
du renflement lombaire, on observe ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 27 1 une sclérose fort intense, à en juger par
es zones marginales de Westphal. Coloration de Pal. 28 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Dans la région cervicale les cordons de Goll s
de Westphal. Colo- ration de Pal. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 29 par disparaître progressivement à mesure qu
ant dans le faisceau cunéiforme. Coloration de Pal. 30 PATHOLOGIE
NERVEUSE
.. que les autres appartiennent à la paroi vascu
lémccloxgline de Delafield, éosine. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 31 du processus de myélite vasculaire; cette m
s des petits, vaisseaux. (Obj/0, oc. 1 Vérick.) ' 32 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sauf un peu de congestion; la lésion s'arrête
be frontal et dans le'pied des circonvolutions motrices'/ la lésion
nerveuse
restant très considérable;' que, -dans les circon
olutions motrices à leur partie moyenne, les lésions vasculaires et
nerveuses
sont nulles dans les sillons, assez avancées à
s nerfs cutanés du dos du. pied sont très altérés; sur un fascicule
nerveux
on aperçoit cinq à six fibres intactes, plusieu
Ulbaum. Vaesovie, 1893. , . Archives, t. XXVII. 3 34 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 'lJ<f'. ' - 1 '1 v'i . 1 ` 1 La confusion
'f i-»*. * Psychologie de l'idiot et de l'imbécile. 36 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. . rt.. , t i . point de vue pathologique, et
elle de. ces faits dans l'exa- men anatomo-pathologique des centres
nerveux
de ces deux L'IDIOTIE ET l'imbécillité. 37 ty
est toujours symptomatique d'une affection 'organique des' centres
nerveux
. Quanta' l'imbécillité elle est complètement pa
mbécillité proprement dite. . l '41 ' . 1 1 1 k ' . 38 pathologie
NERVEUSE
. L'imbécillité nous apparaît donc comme une aff
un trouble fonctionnel mais non à une lésion organique des centres
nerveux
. Elle constitue [le degré le plus inférieur de
pond un état de spasme vaso-moteur avec suspension d'irra- diations
nerveuses
, ainsi s'explique d'après M. Stéfanowski cer- t
dent, le D1' Hughes a rapporté plusieurs cas de troubles mentaux et
nerveux
consécutifs à l'atrophie ou à l'ex- a, 1` ? « *
stinées à éclaircir le domaine'encore''obscur de 'la" pathologie t'
nerveuse
; dans lequel, jusqu'à présent, la réthorique semb
uestion. Cj Cette. question, relative, à la 8 pathologie mentale ou
nerveuse
est laissée au choix de l'auteur ? 0 ? . , cll,lu
sseil,r agrégé (de la-Faculté' de médecine' dé Paris; 2° Pathologie
nerveuse
? des névrites péri-' phériques. Rapporteur ( I
même but. ' FAITS DIVERS. Asile clinique (Sainte-Anne). Maladies
nerveuses
ci mentales. M. AlAGNAN : Amphithéâtre de l'Adm
à l'Asile clinique. Hôpital S.11NT-A : TOiNE. Pathologie mentale et
nerveuse
. M. Gilbert Ballet a repris ses leçons clinique
t Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et
nerveuse
, à l'hôpital Saint-Antoine, le dimanche 3 dé- '
pages. Prix : 5 fr. LEFERT (P). La pratique des maladies du système
nerveux
dans les hôpitaux de Paris. Volume in-12 carton
que tout particulier situé entre la gaine lamelleuse et le faisceau
nerveux
propre- ment dit, enveloppant ce dernier comme
développement chez le cheval et l'âne, où il occupe les gros troncs
nerveux
des extrémités.. 1 ? ' Il se compose essentie
é- diaire entre le périnëvre et la masse endoneuriale du faisceau
nerveux
? J'ajouterai qu'un vocable univoque tel que celu
t, se localisant exac- tement aussi, entre le périnèvre et la masse
nerveuse
, mais distribuée cette fois en une série de foy
n individu'atteint de myopathie primitive,.mais,dont Je 1 système (
nerveux
^ central-, et périphérique n'offrait* aucune an
ve, tandis que le 1 fuseau se renfle' librement aux dépens du tissu
nerveux
qu'il déprime en proportion de son volume. En d
s faisceaux : celui qui regarde la sur- face extérieure du funicule
nerveux
(PI,. I, fig. 1). Considéré isolément, chacun d
re, tau moins, du côté où'le nodule vient,en,contact avec la masse,
nerveuse
du faisceau. (PL. I,-fg.,3,·g.LPL. II, 9' 12; n
onglomératanoduleuxr d'une'. part,, le. périnèvre j et le'faisceau'
nerveux
L de l'autre.Cettissu=. revêt le, même . aspect
mier type sont toujours reliés au périnèvre d'une part, au faisceau
nerveux
de l'autre, tantôt par un,pur réticulum, tantôt
re. La couche profonde du' foyer confine immédiatement à la masse
nerveuse
, mais il n'en existe pas 'moins une démarca- ti
nuité de tissu entre la gaine et le'foyer, que du côté du faisceau
nerveux
on ne constaté au contraire l'interposition' d'
ticulo-alvéo- laire et qui.se trouvent en, outre reliés-au faisceau
nerveux
par une couche du même tissu. " ' . Quant aux
plus l'espace méso- neurial, niais" l'intérieur même, du ^faisceau -
nerveux
. Nulle .- ri- tint, , ,-y -u ' t.. 4J-. '. -*-
us résiderait d'après lui dans une atrophie dégénérative des fibres
nerveuses
. La disparition, ou tout au moins la dimi- nuti
lume de ces éléments, amènerait entre le péri- nèvre et le faisceau
nerveux
la formation d'un vide que tendrait à combler l
e Blocq et Marinesco. Eux aussi font jouer un rôle actif aux fibres
nerveuses
dans la production des foyers ; mais t Ralchman
tudinales on peut apercevoir dans certaines préparations des fibres
nerveuses
altérées, mais encore reconnaissables aux fragm
s, l'élément essentiel du foyer ne serait autre chose que des tubes
nerveux
profondément atteints, et leur paroi devrait êt
teraient simplement du plissement de la gaine con- jonctive du tube
nerveux
. Outre qu'il ne siérait guère de révoquer en do
rs dit en effet avoir rencontré mais une fois seulement une fibre
nerveuse
coupée en travers au centre même d'un de ses fo
permis de' se demander si, dans certains cas au moins, les éléments
nerveux
dont on a noté la présence n'ont pas été accide
neuriales et qui bien certainement n'ont rien à faire avec le tissu
nerveux
? Même sans tenir compte de ces restrictions, o
les. Plusieurs d'entre elles sont si largement enveloppées de tissu
nerveux
qu'elles prennent une apparence insulaire ou pé
nt de mésos rares et délicats allant de la face externe du faisceau
nerveux
à la face pro- fonde dti*périèvre. Dans l'appar
fin, dans certaines circonstances, une atrophie relative des fibres
nerveuses
corticales par suite de la compres- sion exercé
'appareil nbro-hyalin forme un véritable manchon autour du faisceau
nerveux
. Les fuseaux surtout contribueraient à atté- nu
bueraient à atté- nuer la brusquerie des'chocs'auxquels les cordons
nerveux
des membres sont continuellement exposés. Rien,
tractiles dont le jeu déplace et comprime sans cesse, les faisceaux
nerveux
^ Si chez l'homme et le chien, comparés aux soli
ciale des fuseaux dans. les portions, minces, ,rubanées des' troncs
nerveux
, lesquelles subiraient trop directement sans ce
x, on sait qu'entre la , face profonde de la gaine et la substance.
nerveuse
il existé un, espcé t'rèsëxiâü, mais par- faite
antilogie de la'gaine'lamelleuse sur la face extérieure du faisceau
nerveux
relativement immobile. Que"" ce déplacement s'o
is jusqu'à déterminer un 'Certain degré d'atrophie dans les tubes
nerveux
en rapport avec le foyer, mésoneurial. Encore moi
ation fonctionnelle. Kopp déclare catégoriquement que ces désordres
nerveux
de la cachexie strumiprive n'ont rien à faire a
s- sionnable, ne compromît en rien la conductibilité des éléments
nerveux
. Seulement, .pour savoir positivement à quoi s'en
ttant beaucoup de méthode et de soin jusqu'aux plus légers troubles
nerveux
qui viendraient à se manifester d'une façon que
odronnées de Renaut rencontrées par Kopp et Langhans, et. les tubes
nerveux
segmentés de Blocq et Marinesco, lesquels à vra
évricule de gauche : elle formelàunanneau complet autour delà masse
nerveuse
. On remarque en outre que partout la gaine péri
montre enveloppé de toutes parts, mais surtout du côté du faisceau
nerveux
, par une zone alvéolaire. Lestroma interfascicu
réseau lâche (e) fortement nucléé surtout au voisinage du faisceau
nerveux
(g), représentant une des formes diffuses du tiss
rique, surtout à gauche (n.), est assez nettement nucléée. La masse
nerveuse
est partout séparée du foyer par une ligne de d
gulée ou détritus cellulaire ? ). Fig. 15. 1/500. Un petit faisceau
nerveux
aplati (f) pris entre deux couches mésoneuriale
sez nombreux noyaux. En c, de petits groupes superficiels de fibres
nerveuses
à demi atrophiées. v, une artériole dont l'adve
pour mieux dire les prismes circonscrits latéralement par la masse
nerveuse
, le périnèvre et le foyer, sont seuls occupés p
uée contre la face profonde du périnèvre et sa masse 112 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tout entière se compose de lamelles compactes
ineux (a). -' Comme dans- les figures 21,' 25,' 26, 27, le faisceau
nerveux
n'est représenté que par le contour de ses fibres
, 7 · : Ii'. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA' SYPHILIS DU'* SYSTÈME"
NERVEUX
, ''3- ' z , - .* ' fca Paralysie générale, 3r
t. XXVII, page 1. , ' ' ,, i' . - ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. Il 1 i» réflexes, épilepsie spinale, abolition
ncépha- lite vasculaire diffuse avec intégrité absolue des éléments
nerveux
. Dur..., Léonce, âge de trente-deux ans, tourne
lus du tout marcher; on exa- Archives, t. XXVII. 8 114 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. t, 1 r l', 'ilul il. i,P, f, l(- -.iaeil i , .
ulose ? pulmonaire, sans avoir présenté de nouveau symptôme d'ordre
nerveux
? ,, . ,, ,.AoTOPSIE.1-iCadavretrès émacié;`jam
, r» ,a a(I mDla 31, iTi,. 0 Il, f t 1 a(l 4(lui a 116 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 'l '» / il,, * 'TH Il. 3 Il /( -item,- '^f( n*
ndante des faisceaux pyramidaux« 1 ? 1. »- , - J ' 118 PATHOLOGIE
NERVEUSE
., , , . . z .racine ascendanle du trijumeau pou
q sf 'le- ans.. , ? ! .... ? m J. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 119 9 supposition ces fibres ascendantes hypot
ninges, des vais- seaux, de la névroglie, des cellules et des,tubes
nerveux
.. La pie-mère'est épaissie partout, mais -surto
ure que l'on se rapproche davantage du t"120 F,J31 ? ? l"pATHULOHIE
NERVEUSE
.Ra 31UT3 Jrpoint malade; ces-corps prennent une
. ? . 1, ? ., O"fa m' h .5 imdnr.e ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 121 - M malien eiidügèiie. 1 Alors -le corps d
pré- sentent des dilatations fusiformes vacubtiseës. Les cellules
nerveuses
des cornes antérieures, grandes et petites, t's
stérieures, jnei présentent/on aucune altération, de leurs éléments
nerveux
, ! même autniveaufdum M foyerttransverse ; elic
la huitième racine cervicale.' · ÉTUDE DE LA SYPHILIS^DU ^SYSTÈME
NERVEUX
. '123 f quée, surtout la sylvienne gauche ; leu
ale la moins atteinte.. 31%/[t;ij,<i ul n[ ,lmraplq Les éléments
nerveux
, cellules et fibres, sont absolument sains; les
es nerfs périphériques sont peu malades ;' de tous 'les gros troncs
nerveux
, étudiés sur des coupes,' le nerf crural est'le s
lles peut intenses.n Les'nerfs ÉTUDE DE LA' SYPHILIS : DU : SYSTÈME
NERVEUX
. 125 cutanés'du pied 'préseiitent uneir dimin
. (Obi. 0, oc. 1 ? '. ? nuT ? , , r-Tr, r·p ! 33Qjr '* PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - ·"ITnÎlstt la' femme, 'Revue générale de c
üsë qui est la cause des accidents ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU. SYSTÈME
NERVEUX
. '1 L Î. , 1 '-%'tL'lVJ1f ? U .n ..v v -n ' t
> tu ir.j 'U)...si ! ."-... ' «>.iUt>.... ' 128 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Systems, Neurolog. Centralbl. 1891). Dans le c
s figures - e·t T · ' ,a. ! * ' ' ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. d29 l '.>'.»- - \ .>. I ? \ > -;\ v-.
éline; cette dernière lésion, véri- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. '131 ~ table myélite-traumatique, ne remonte p
s'agit ici d'une destruction ascendante, progres- F sive, des tubes
nerveux
irrités au niveau du foyer de myélite' ' qui le
épinière. (Soc. de Biol., 25 nov. 1892.) . , 132 ' '-J' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' 0 ·str - - ment fructueuse;- voilà un 'syphi
-" /» ^ >» Dans le cas actuel, l'absence'de lésions des éléments
nerveux
explique l'absence1 de troubles cérébraux; ce m
itique, les lésions vasculaires précèdent toute lésion,des éléments
nerveux
; ce sont les vaisseaux qui com- mencent, les fi
généraux; le troisième ne l'était pas encore.parce.que'Ses éléments
nerveux
avaient résisté; peut-être .même ne le serait-i
général. La paralysie générale ne survient que lorsque - l'élément
nerveux
commence à souffrir du mauvais- étude son appar
itoire, la mi- graine ophtalmique, etc. A un moment donné, le tissu
nerveux
- cède et l'encéphalite, de purement' vasculair
léments'de la névroglie s'hypertrophient ? se sclérosent, les tubes
nerveux
se détruisent en commençant par la super- a fic
commençant par la super- a ficie des circonvolutions, les cellules
nerveuses
s'altèrent et la z -- lésion de l'écorce devien
général ; il pourra même peut-être âuérir·parce que ses élé- ments
nerveux
, sont' solides, 'tandis quel tel 'aùtre i tombera
uses manies : Il prend la, syphilis ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME
NERVEUX
. 135 en 1870. En 1884, surviennent des douleurs
la manie et la mélancolie périodiques. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1. Trouble DE la sensibilité générale SE tradu
énéraux. Nous croyons que l'hysté- rie reste une névrose du système
nerveux
tout entier, avec prédo- minance, si l'on veut,
la réalité de son Archives, t. XXVII. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. délire, car « sa personnalité consciente n'est
la troisième la maladie - de Basedow. J. S. , REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 147 V. LE tempérament épileptique; par 1)EL GR
tendues, il était encore n F r, ' ' ' V U 148 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. t ' capable de les chanter. En somme l'absen
u sang chez une femme grosse, MM pllerv (' ? ). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 141) OBSEdV.1'l'101\ II. - Frisson initial, ac
dégénéré, tantôt exagérément, tantôt tour- 150 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mente sans motif (hypérémie corticale ou anémi
o-corticale). ' P. K. XIII. LES découvertes récentes sur LE système
nerveux
: lu par F. BAFER, professeur d'anatomie à l'un
substance gélatineuse). ' ' · Abordant ensuite l'étude des cellules
nerveuses
, il fait l'historique des recherches relatives
r contact plutôt que par continuité de structure que les élé- ments
nerveux
communiquent entre eux. " ' . Kolliker, Ramon y
22). L'étude se termine par des rappro- chements entre la structure
nerveuse
centrale et celle des expan- sions nerveuses ol
ents entre la structure nerveuse centrale et celle des expan- sions
nerveuses
olfactives, acoustiques et rétiniennes. (Tlte Ali
hs les lignes caractéristiques seraient l'enva- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 151 hissement d'emblée par l'affection d'une p
t, 656, XIV, z 1 - ' 1 ' ' Dr A. Marie. 152 - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XVII. HLMATOMYÉUE centrale; par L. 111NOB. (Ar
turellement le , tissu du cerveau est imbibé, dissocé; les cellules
nerveuses
et les fibres myéliniques sont dégénérées, détr
ui ouvrent la scène. Puis se montrent des symp- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 153 tomes de lésions en foyer : monoplé;ié, hé
publiée par WEST- PHAL sous LE TITRE DE Un cas de lésion du système
nerveux
à dia- gnostiedouletix in Clea71teAn7zalien, XI
s tard de phlegmon périnéal avec asystolie. 154 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Autopsie. Dégénérescence partielle et atrophie
ie du a langage de l'enfant. Les revues sur l'éducation, le système
nerveux
, les bibliographies, etc. · BULLETIN .BIBLIOG
Il y a donc essentiellement chez notre jeune sujet déséquilibration
nerveuse
, prédominance tantôt d'un centre tantôt d'un au
s de la dégénérescence,' ni l'hérédité névropa- thique, ni une tare
nerveuse
acquise pendant l'enfance. Le malade ne présent
les] affections portant directement Qu'indirectement sur de système
nerveux
, pendant' la" vie1 utérine etJpendant'Ténfance^
dure-mériennes/pùis il s'est étendu'aux'méninges et à la substance
nerveuse
vôisine : a9 AT`ifïl .r , ·-9,· Ihl.g;D prr^ ? y
sodiiatation dans le. système ,3 musculaire irite(les, terminaisons
nerveuses
et produit la sensation ndè,mâlaisé etle,liesô7
T^ UUl41llJll^c,^l.0Ji 1,1L4 0 - ? & - - 1 .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' 183 mènes sensitifs sont, eux aussi, assez f
fnsr / - *m.-y XXIV.)PATHOL3GIE MODERNE ET pathologie des^ maladies
nerveuses
; ,1'AVEC QUELQUES[DÉDUCTIONS thérapeutiques,;
être applique avec certaines restrictions aux affections du système
nerveux
; - 2° Dans les névroses organiques du type dég
8 » ? -, ) 5° L'origine toxique; a été' démontrée dans les maladies
nerveuse
pour- le myxoedème, elle est fort probable dans
r de' romoplate"s'écarte"'du thorax. P. K. REVUE, DE , PATHOLOGIE -
NERVEUSE
. ii.,187 XXIX. Du NYSTAGMUS .HORIZONTAL | ARTIF
4ou ! .ne,connait-jusqu'alors pàsde.lésion"anatonïiqué ? du4 système^
nerveux
9 en; rapport] avec) cestiphén'oinènes-la;T2° le
és ? 1- Lalma ? -che est surtout chronique REVUET DE 1 PATHOLOGIE t
NERVEUSE
: · 189 mais parfois aiguë. ;La convalescence !
T-rM '/ >» ^l/\ri'nt»«r nul arîV'ïj, , 190, REVUE DE 'PATHOLOGIE
NERVEUSE
. o .. et 0....r rr... r ünv lld 1 1 ? provoqu
croit au bout d'un' certain' temps voir A sans REVUE DE. PATHOLOGIE
NERVEUSE
? 191 \< \J * JAV /J lH J<J '11-11 ? <
ions de la moelle,) telle que l'hyper- 192 t REVUE, DE IPATHOLOGIE.
NERVEUSE
. trophie de la névroglie dans le canal central,
sie) avec conservation de la sensibilité ! a, , REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
^ 193 tactile, elle se rencontre ailleurs que da
nt un carac- tnCIIIN'ES, t. XXVII. 13 .194 jREVUE DE PATHOLOGIE ?
NERVEUSE
. tère spasmodique; 5° les réflexes thermiques d
eure et non directement sur les muscles 1 t REVUE DE ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. '*19 ? ' Il y a d'autres cas d'atrophie muscul
'Anomalie, du champ.visuel, non encore;signalée dans les mala- dies
nerveuses
, suites d'accidents (hystérie traumatique;. Champ
a' w .· . ,- II. LE sens quantitatif DES COULEURS dans LES MALADIES
NERVEUSES
produites par LES accidents; par,`VOLrfBEHG. (l
fruit la patho- génie de quelques troublés fonctionnels du système
nerveux
. P. KÉrsAVnL. t 9t) ilrk ? I -"M'loe8 ? mo')8oJ
ns leur J trajet, elles ne sont pas interrompues par'des cellules t
nerveuses
! "} Il ne nous a pas été possible de décider s
lt;5l ' ? .·. 1., . ,. Quatorze observations., Lésions ^des fibres,
nerveuses
, du tissu conjonctif interstitiel 'et des cellu
nérescence peut être suivie (obs : ·4 et 2), on voit que les fibres
nerveuses
participent à l'altération et dans une mesure qui
évrite qui, graduellement, détermine,, la destruction. des éléments
nerveux
, fibres d'abord, cellules ensuite, REVUE D'ANAT
. Ceci explique cliniquement les'phénomènes d'irritation du système
nerveux
sensitif dans le, tabès. ? 91 t. ! P."KERAVAL. h
même' temps que des troubles diges- tifs,' éprouvent dès accidents
nerveux
. Les uns'constituent de vraies gastropathies,'·
des atteintes répétées. Quoi, qu'il en soit, quand' les extrémités
nerveuses
de l'estomac ont été làn,,te 1. «t' *' t qu'ell
s fibres qui vont de l'écorce à à la couche optique et les cellules
nerveuses
des divers noyaux de la couche optique et' de l
trième paires sacrées : en' cet endroit, il n'y a plus de substance
nerveuse
, les fibres radiculaires seules sont partiellemen
partout il y a encore intégrité.,d'un nombre, respectable de,tubes
nerveux
(conservation de la conductibilité). L'intégrité
entales sur l'inoculation DE L : 1TUBER- GU ? E'I)AIN7S les centres
nerveux
; par 'FEDESCHI (Riv. sep. di fren. ; fas. 11-1
tuberculose inoculés;, avec^ du virus tuberculeux dans les centres
nerveux
^meurent en moins de temps que lorsqu'ils sont i
l'intervention d'autres infections. L'inoculation dans les centres
nerveux
détermine une augmentation de lence de la matiè
virus tuberculeux i succombent à- l'inoculation j dans les centres,
nerveux
. Leur mort-l n'est.pas en rapport avec la,lésio
u. Chez* les. animaux résistants, le virus inoculé dans les centres
nerveux
subit un certain degré d'exaltation. Pour évalu
er les effets de l'ino- culation de la tuberculose dans'les centres
nerveux
, on ne doit pas tenir compte seulement, du déve
rinévrite qui, graduellement, détermine la destruction des éléments
nerveux
(fibres, puis cellules), des ganglions spinaux.
: rrmrrhrl3lr : m. ( ? t.'r-t dans le tabes. Les lésions des fibres
nerveuses
croissent du centre à la périphérie, ce qui-' '
FOUR ÉCLAIRER NOS CONNAISS : 1NCES SUR LA ;DESTRUCTIONt DU SYSTÈME
nerveux
; par OBERSTEINER.,(Jahrhicch ? Psyhiat.,XI"1,2.)
gen,Go)gi..h ? ,of> ? ... ? ...., ,r . t ^ Le, neurone ou unité
nerveuse
histologique^de Watdeyer'se compose ,de 1° ]es/
'nerveuse tenant à' là cellulepârsôn éylili= draxe ; 30 les rameaux
nerveux
terminus de'là' fibre.1 'Lés cellules s'unissen
ts, mais pas directement, ou par le bas à l'aide de leurs, rameaux^
nerveux
qui vol,it il au x1'pi-oloii -e- ments protopla
ments protoplasmiques de deux cellules simultanément. 'Les rameaux
nerveux
s'enchevêtrent dans' les' rameaux nerveux d'au-
multanément. 'Les rameaux nerveux s'enchevêtrent dans' les' rameaux
nerveux
d'au- tres cellules, où. tes rameaux nerveux ab
ent dans' les' rameaux nerveux d'au- tres cellules, où. tes rameaux
nerveux
aboutissent au''nerf même. tres 'Cellules,'oà l
minale d'üiii fibre ? iüùscûlairé' pàr, éâémple),`vônt à la cellule
nerveuse
d'un-autre,neurone ou aux' cellules3 de^ plusieur
année classique'' 1890-91, ai la section des hommes de la 'clinique
nerveuse
de Moscou'Snt'ràita cinquanteneuf malades, ,. j
UR LES stigmates permanents laissés par l'ergotisme SUR' LE système
nerveux
central ; par R. WAL- KERI. (Archiv f. T/C/M'a
Hyperplasie de la' substance ! intermédiaire aux dépens des fibres
nerveuses
. La lésion, qui'a terminé'son évolution, remonte
phosphorique qu'il renferme, a une actimi, excitante surt l'élément
nerveux
, surtout sur. celui des e e n Cr e's ? t-r'o 'p
out dans la forme psychopathique reposant sur un fonds d'épuisement
nerveux
. J. S., c96ob : 9l 79offj1b 'Io `t9fl ? y ? ? 1
logiq*ue'Elle'était cependant venue au monde avec de la «^fragilité
nerveuse
^.A ;.si; asa.9SA La seconde observation, est ce
'on «ti*. v Fn.,lr ? IILabfanuelod'examena métlrdique,,des'maladies
nerveuses
, par ' M.^A'.f'A ? KoHNiLov^jmédecinen chef de
yens pratiqués d'ex- plôrâtiôn'désimâlade"s'attelnts''de : maladies
nerveuses
., Aussi ce livré s'âdres`sé-t-lsûrtoûtàréua qut
est. de ·guider,les débutants dans l'étude clinique des affections
nerveuses
.i,^.vz,lt 10 ? 'd Lpjtt : ' f r'ui ? Le livre a
vec plus de fruit la. lecture de llamlels'dè'diâ%nôslicdés maladies
nerveuses
: ' . ' ? ? ' '.i«»"'WO*»"Oi- J {,b.BJMB 8'Ttû J
médecine de paris. La chaire de clinique des mala- dies'du système
nerveux
de la Faculté de médecine de Paris, vient enfin
j..9 ? c'f''t : t< ! Yjl ' ,yp 191Ai' h ·ytg b ') PATHOLOGIE,
NERVEUSE
? . ,f t .i .1 F ? : , . n)n hIW , . n r - .n
ionnelles du cerveau humain. Archives, t. XXVI. 16 ibâ pathologie
nerveuse
. testables. Elle permet de vérifier à tout inst
ont la'légitimité est presque toujours contestable, car les centres
nerveux
des vertébrés, même des vertébrés supérieurs, n
oblige à attendre, souvent fort longtemps, les '44 il - pathologie
nerveuse
. cas simples, typiques, qui'seuls ont une valeu
ogique s'étendait jusqu'au sillon de Rolando. · 24() 6 pathologie
NERVEUSE
. centraux. S'il existe des taches ocreuses sous
tance, s'associant aux effets de la destruction limitée des centres
nerveux
, ont provoqué des réactions complexes- dont le
volontaires dans le membre inférieur du côté opposé 248 ,PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Et cette conclusion sera d'autantmieux établie
isuccomber. Si son autopsie ne révèle aucune altération des centres
nerveux
l'absence» absolue de lésions sera; par elle-mê
conversation, avec un de.ces sourds-muets' qui 250 .' f PATHOLOGIE
NERVEUSE
, y répondent,sans hésitation aux, questions qu'
vue sont symptomatiques d'un grand nombre de maladies mentales et
nerveuses
. Mais on' peut les observer également dans d'au
. r : " ê Sa mère, très impressionnable, aurait eu quelques crises
nerveuses
. , . ' 1 .V 1J,7.A/J a ? tt. 1" In.n 11 ? i ?
,- exceptionnelle aux alcools, lé 'miasme^paludéen placé la cellule
nerveuse
cérébrale vis^à-vis ' Jdes ^liqueurs' fortes ^d
vidus dont les parents étaient atteints de maladies ' mentales ou
nerveuses
. Tous les cas.de neurasthénie pourraient être rép
a neurasthénie peut guérir ou dégénérer en-une maladie men- tale ou
nerveuse
. Parmi les maladies mentales/c'est le plus souven
et Institut, consacré au traitement dés enfants idiots, arriérés ou
nerveux
, appartenant, aux'.classes aisées^est [une oeuvre
, 1893.) II. Sur l'action du chlorure de calcium sur l'excitabilité
nerveuse
; par le D'' Stéfani (Riv. sp. di fren., t. XIX,
iimel ne 19br.lq Jtl9rrn9f`· V. Sur.les effets de, la\ transfusion
nerveuse
: (méthode de Paol) Iclae lec ,,5 malades d'esp
ucocytes mononucléaires;' il s'agit là d'une invasion'de la7ééil-ul
nerveuse
* pàr'des-phagocytes. Cette lésion intéresse la
s4.môûvéménts, ,les,, sensations motrices .verbales; « 2°un courant
nerveux
centrifuge qui sui- motriçes s; « .entri ni v
elle de médecine ? idées 1877);iu. Recherches ! ,surS%les-\\centres
nerveux
, · 2° série,'Masson, 1893. \ct'Is «o\)tt<5 ?
éôlié et, des' conséquences qu'il'-Iài 'atti-il»6è'e*n@ pàlh*olozie
nerveuse
.. Voici comment 1 auteur expose sa théorie : ,
enser rapidement. r5-F ? a ? z 2 2° ! Dans les parties des centres,
nerveux
^désignées sous le nomade substance grise,; ou
ces centres au degré^convenable ide,J, tension. ^ Dans les cordons
nerveux
le même processus s'accomplit, en soi'té que sous
uence ^de" la combustion qui se passe dans les centres, les cordons
nerveux
, cérébraux et spinaux sont amenés à l'état de t
soit''de'la périphérie vers'les'centres. Dans les nerfs, le liquide
nerveux
est à l'état statique ; il se condensé -facilem
des l'excrétion'. 3° Cette théorie, explique les grands -phénomènes
nerveux
, de la vie dans l'activité et dans le repos. La
s d'activité, toutes les parties qui correspondent avec les centrés
nerveux
sont t l'état de veille et d'action. Si la tens
ations de - pression et de .température extérieures sur l'organisme
nerveux
,,central. La pression atmosphérique agit sur 1
rique agit sur 1, oi,,aiiisiiie, stermédiairei denses prolongements
nerveux
, "absolument comme -elle agit sur, le mercure d
on,'sufnsantpour produire une véritable solidification des surfaces
nerveuses
cën- - traies ou périphériques, provoquera une
lée par -le liquide spinal, se trouve' maintenu le degré de tension
nerveuse
nécessaire à la vi- bration dans toutes les par
ivent eux-mêmes un apport excessif. Les plexus .sont des carrefours
nerveux
, dont la complexité assure le transfert des1' v
ent anéantie par une ' maladie ou une lésion'directe.La décussation
nerveuse
est l'artifice par lequel les centres sont'mis
animal . deux combustions d'ordre différent : l'une,'1 centrale ou
nerveuse
, .» oui -llrtl .. I H - ... I .1 1 ? 4 ., 1 a
ations spéciales aux ''phénomènes' dé*physiologie'et de' pathologie
nerveuses
: ici encore nous traduisons' peu près textuell
n d'une fièvre, elle yi voit un excès d'activité des grands centres
nerveux
? ayant-) leur «originen dans .ces, centres 1 mêm
- tions p en , u point péripbériquë3des, prolongements dû système
nerveux
,- comme dans la pneumonie ou Ja pleurésie aiguës.
ement à l'application des'- altérations f de1 structure des masses'
nerveuses
elles-mêmes. L'excès dés' matières1 grasses- ab
fdestruction des fibres ner- veuses étales allérations^des cellules
nerveuses
. Enfin, depuis que ^ Tuczek1 eut' constaté' dan
rimitive," le 'point' de départ, est iadegéué- rescéiice dés'fibres
nerveuses
; tandis'que les lésions des vaisseaux, des cell
, tous, l'opinion de uTuczek sur l'altération, primitive des : fibres
nerveuses
: il. s'agit, enf effet, d'après Schiitz, dans la
. 31ri( ).u ? jt,i. j z En' résumé, si la compression' des éléments
nerveux
par. le;tissu interstitiel agissant comme dans
ale : ils'favorisent, la dégénérescence et l'atrophie démêle- ments
nerveux
dont les'* échanges nutritifs se font d'une maniè
parois, vasculaires et, pourZacher, la vulnérabilité des, éléments
nerveux
, ^ des fibres "d'association". (Annales médico-
,Homme de, cinquante-deux ans, de nature impressionnable,'sans tare
nerveuse
héréditaire, atteint d'influenza. Cinq jours-aprè
ions : 1. 777- La folie est une maladie.du cerveau y et du système.
nerveux
, l'aliéné est un malade irresponsable de sest)
lgi qui a fait faire de si grands progrès à'la structure du système
nerveux
ne colore que peu de cellules et peu 'de fibres
olongements et les ramifications de ces derniers. Mais les fibres.*
nerveuses
à myéline ' sont très, heureusement .colorées par
t électif pour la névro-lie. L'étude de ila structure; des cellules
nerveuses
exige un durcissement préalable qui les fixe !
parce que les substances d'inclusion ne donnent pas à la matière
nerveuse
une résistance et en* même temps une sotiple,ss-é
est un termeigénérique qui comprend bien des, formes 'de cellules^
nerveuses
, <ayant chacune sa morphologie ^caractéristiqu
atis79tiuJn·Iq si é i* £ ub `IN1F nLài substahcecgrise'du'système1
nerveux
7central'Test habitée par- des formes cellulair
. Le courant faradique augmente le pouvoir colorable; des cellules-
nerveuses
.1- Ilc semble, qu'après l'action dé ce; courant !
les cinq théories qui on eu cours sur cette maladie : : la théorie ^
nerveuse
, faisant siéger, la^ rage, dans' les méninges,
lté de médecine a présenté, pour la chaire de clinique des maladies
nerveuses
laissée ivacante par la mort de M.' Charcot, en
94 Vol. XXVII. Juin 1894. N° 88 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
, SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE
in médical du 11 juin 1893.) Archives, t. XXVII. 26 2. CLINIQUE
NERVEUSE
. -, , Ir Y. -1. M. V..., quarante-trois ans. ?
ude- " ? » ? '" .. ''>}> lî>"' t 1JJW 404 ;5 "· CLINIQUE
NERVEUSE
. ' ! " a" ' ' ,,l- 'Al, -*', <iu . o'n- , -B
ix fois par seconde; puis, à OS I'f·=·1 -> ;~ ' 3 ? AT CLINIQUE)
NERVEUSE
. : 33 OE18'.IAqAq -'quelques jours de' distance
ultats suivants : r=nwb..r ,of;m)uf)T i ? 408 .'r'r ? ;-3. CLINIQUE
NERVEUSE
. viîâilàa ^ICYOA^W q -Le trouble mental ne s'es
autres termes, et pour adopter le langage , 1 A,,1.3;, o ? CLINIQUE,
NERVEUSE
. "· ,Y ? ? du jour, .il. s'agirait. d'un cas de ,
ui ? ...iaSr ; iitt,i~.o ; , o 3C ' ' Vulpian ? Maladies du système
nerveux
, p. 322. · -· Pitres. - Journal de médecine de
ot. - Le,rons du mardi, 1888-1889, p : 3é0. 412 'il;,), 3, CLINIQUE
NERVEUSE
? q leurs vives, brûlantes, se produisant au mo
ons sur les maladies de la moelle, 1892, p. 211. 414 7 ? q b 1 u E ;
NERVEUSE
.gM&6 SYJ/A ? capital, dans, le,tabes, le mu
de Chirurgie pratique, 10 avril 1894. ' ' ` " > 1G G , CLINIQUE
NERVEUSE
. * : y ? . se passeraient pas toujours.de la so
ns' pas que -Ton dénie"' la syphilis toute ' action sur les centres
nerveux
/ alors que l'on accorde 'ce pouvoir aux autres
et l'un, et, l'autre parais- sent avoir été indemnes.de toute tare
nerveuse
ou mentale. .bUU.m uC...nr ii r.n ,JU ? n m.. ,
aux d'électrophysiologie - et d'électrothérapie relatifs au système
nerveux
et à ses maladies 'en les, groupant non par ord
RO-DIAGNOSTIC ? '^ / h ' I. RÉACTIONS ÉLECTRIQUES DANS LES MALADIES
NERVEUSES
. Dans la séance du 6 février delà Société deNeu
de vue du pronostic. · ' y- 1 e- D'après ses recherches les fibres
nerveuses
périphériques pos- sèdent une faculté de régéné
e illimitée de quelques semaines à sept ans. Donc, dans les lésions
nerveuses
graves la cause, l'étendue et le caractère de l
considère la valeur de l'exploration électrique dans les affections
nerveuses
comme très limitée, attendu que dans un certain
ant le degré du mal et son' extension... ' IV. L'obésité, D'ORIGINE
nerveuse
ET SON traitement' par l'électri- 4 ? ' cité; p
non seulement comme il le dit' pour rétablir l'équilibre du système
nerveux
dont le trouble est 'la cause première de cet e
ossède une action incontestable dans la cure de l'obésité d'origine
nerveuse
,' si fréquente dans la neurasthénie; 2° Le bain
x qui fait .disparaître l'embonpoint exagéré, atténue les accidents
nerveux
et ramène les forces et l'appétit à l'état norm
nant de troubles de nutrition. En : ce*qui : concerne les maladies'
nerveuses
rien d'extraordinaire n'a*1 été obtenu jusqu'ic
un signe extérieur d'une constitution, d'un état anormal du système
nerveux
, par conséquent les individus n'ont ou peu de r
notre pratique, personnelle.. Sur2,200 malades atteints de maladies
nerveuses
ou mentales, nous avons trente-deux fois établi
1) 9"·3,a; 'r VIII. Étude sur l'emploi du massage dans les maladies
nerveuses
; 4 " ' S-F" ''par le Dr Massy.' G. Masson, édit
me l'action thérapeutique du mas- sage dans les maladies du système
nerveux
. z .jjyvV"- ; Première partie. Le massage varie
réflexe, il provoque des changements mo- léculaires dans le système
nerveux
central. M ...,. ? La deuxième partie traite de
ose, myxoe- dème, oedèmes localisés, pseudo-lipomes, arthropathies,
nerveuses
). A propos de chacune de ces maladies, l'auteur
orte la "plupart des maladies congénitales et chroniques du système
nerveux
chez les enfants. ' 1 1 Très rares encore aujou
à la commotion et enfin les troubles fonctionnels des < centres
nerveux
. Toutes les variétés de blessures peuvent se pr
aller occuper la chaire de phy- siologie et des maladies du système
nerveux
à, Harvard Uni- versity. Nous le retrouvons à P
de ? ancien professeur de physiolo- gie et de pathologie du système
nerveux
à l'Université d'Harvard (Etats-Unis) : chargé
ûe ? 4852; Le- çons sur la physiologie et la pathologie des centres
nerveux
(encan- glais), 9860;-Leçons sur les paralysies
les maladies mentales ont poui\siège,'n6nI]cerveau'Rt le système
nerveux
, mais l'élément spirituel de )a;vie étroitement u
évricule de gauche : elle formelàunanneau complet autour delà masse
nerveuse
. - On remarque en outre que partout la gaine pé
montre enveloppé de toutes parts; mais surtout du côté du faisceau
nerveux
,'par une zone alvéolaire. Lestroma interfascicu
réseau lâche (e) fortement nucléé surtout au voisinage du faisceau
nerveux
(9), représentant une des formes diffuses du tiss
érique, surtout à gauche (n), est assez nettement nucléée. La masse
nerveuse
est partout séparée du foyer par une ligne de d
gulée ou détritus cellulaire ? ). Fig. 15. 1/500. Un petit faisceau
nerveux
aplati (y) pris entre deux couches xnésoneurial
sez nombreux noyaux. En c, de petits groupes superficiels de fibres
nerveuses
à demi atrophiées. v, une artériole dont l'adve
pour mieux dire les prismes circonscrits latéralement par- la masse
nerveuse
, le périnèvre et le foyer, sont seuls occupés p
x (a) ? Comme dans'les figures1 21 ? >' 25;, 26, 27,'le faisceau
nerveux
n'est représenté que par le contour de ses fibres
les affections des lobes occipitaux, par Soeppili, 195., Cellule
nerveuse
, anatomie de la - , par \issl, 391. Centhe th
ppe, 136. 1 , Couleurs, le sens quantitatif des dans les maladies
nerveuses
, par Wolfberô, 197... ? ,. , . Crampe, traite
nervo-musculaire, par Mares, r39 ; réactions - dans les maladies
nerveuses
,' par Dana, 449. TABLE DES matières. 485' E
,' 188 ; stigmates perma- nents laissés ' par I' ? sur le système
nerveux
central, par ' \Vall : er; 224. t ? ? ' ? <
f -' . 1 Massage, étude, sur. l'emploi', du ? 0 ? dans les maladies
nerveuses
, par 1 - Massy,.462 ? r",....A ? rTO Médecine
pour l'étude des dégénérescences des -, par Beer; 222 : ' ? ''
Nerveuses
, pathologie des maladies , parDana,"184 : ' 0 ?
izontal artificiel, par " Bach, 187., , ., Obésité, l'- d'origine
nerveuse
et son traitement.. par l'électricité, par Im
40." ' ? 1, ,) Syphilis, contribution à l'étude de la du, système
nerveux
, par .. Raymond, 1, 112... , , . SYxmcovvELiE
hie, musculairei et hystérie , parErb,192..ac ,y· ? · ? ? Système
nerveux
, . les découvertes ' '' récentes * sur ' le ?
par Mabon, 284. Tuberculose, inoculation de la .dans les centres
nerveux
, par Te- deschi, 217; dans les asiles (..d'id
mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
Rédacteur en Chef : Docteur Edgar BÉRILLON PR
que; car personne n'oserait soutenir aujourd'hui qu'il y a un système
nerveux
moral fonctionnant indépendamment du système nerv
l y a un système nerveux moral fonctionnant indépendamment du système
nerveux
anatomique. L'hypnose ou mieux l'ensemble des phé
ence d'urine qu'on observe si fréquemment chez les prédisposés et les
nerveux
précoces. Plusieurs de nos confrères étrangers
et créées par un affaiblissement de l'organe psychique ou du système
nerveux
en général. Aussi observe-t-on souvent les émotio
e. Dans les autres cas. on réussit à enlever les maux de tôte, l'état
nerveux
, les palpitations ; surtout on arrive à amoindrir
nski, invité par M. le professeur Charcot, à la clinique des maladies
nerveuses
, à exposer les doctrines professées à la Salpétri
iève et assez délicat de santé, israélite de race et peut-être un peu
nerveux
: « Donne-moi ta composition, je vais la signer,
individu, laite par des médecins de Londres, n'a montré aucune lésion
nerveuse
consia-table à l'œil nu. Cela semble indiquer a p
s phsychiques ou, d'une façon plus générale, des fonctions du système
nerveux
. M. Tokarski en rapporte deux observations : 1
par Charcot et Guinon. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Hygiène des gens
nerveux
, par le docteur Levillain. Paris, Alcan, 1891.
ialement aux personnes prédisposées et à celles atteintes de maladies
nerveuses
. M. Levillain expose d'abord l'hygiène spéciale d
M. Levillain expose d'abord l'hygiène spéciale des grandes fonctions
nerveuses
: les sens, l'intelligence et le mouvement; puis
essentiellement pratiques, sont précédés d'une description du système
nerveux
et de son mécanisme, des diverses affections nerv
ption du système nerveux et de son mécanisme, des diverses affections
nerveuses
qui sont à redouter et par suite à éviter, et d'u
mmeil et ses analogues, et. d'après la loi de fluctuation de la force
nerveuse
établie par Cabanis et Bichat, que naissent : non
ue suggestivement s'améliorent ou guérissent, a l'aide d'un mouvement
nerveux
en sens contraire de ces phénomènes, un très gran
Paris, 1891, I fr. — Une nouvelle clinique de maladies mentales et
nerveuses
vient d'être inaugurée à Balle. — Un mémoire de
pages. — Ollier-Uenry, 1891. Levillain (Dr F.). — Hygiène des gens
nerveux
, précédée de notions générales et observations su
servations sur la structure, les fonctions et les malndica du système
nerveux
, gravures dans le texte, in-12, 310 pages. — Pari
rAts de rémotion morale dans la pathogénie des maladies du système
nerveux
. (Union méd., Paris. Î4 janvier 1*01, p. 121).
e notre système musculaire, mais aussi des exercices de notre système
nerveux
central, du cerveau et de la moelle épinière. Les
qu'on aurait affaire a des hystéries plus prononcées et a des malades
nerveux
. Eb bien, c'est le contraire qui se produit. L'hy
ire qui se produit. L'hypnotisme réussit mieux chez les personnes noa
nerveuses
que chez certaines personnes nerveuses. Les neu
t mieux chez les personnes noa nerveuses que chez certaines personnes
nerveuses
. Les neurasthéniques, par exemple, se laissent
n malade d'hôpital. II semblerait que les premiers, généralement plus
nerveux
, fussent plus facilement hypnotisables que les se
51 sur 69 sont hallucinantes. La population d'hôpital, quoique moins
nerveuse
que la population de la ville, se laisse plus fac
ans une observation de thérapeutique suggestive beaucoup de symptômes
nerveux
, parce que c'est à ces symptômes que la thérapeut
ique s'adresse. Beaucoup de maladies organiques ont un retentissement
nerveux
; le champ des troubles fonctionnels dépasse celu
les maladies peuvent donner lieu à des troubles dynamiques du système
nerveux
. Si on veut donner a tous ces troubles le nom d'h
es troubles le nom d'hystérie, si on veut admettre que toute modalité
nerveuse
anormale sans lésion constitue l'hystérie, alors
ont autant du domaine de la pédagogie que de la pédiatrie : insomnies
nerveuses
, terreurs nocturnes, somnambulisme, kleptomanie,
de se ronger les ongles, perversité morale, etc. 10° Les affections
nerveuses
dans lesquelles le traitement psychothérapique a
une dame des environs de Narbonne vient me trouver pour une affection
nerveuse
remontant à dix ans. Elle ne peut rien Lire sans
s démentie un seul instant, malgré les diverses émotions et secousses
nerveuses
qu'elle doit avoir éprouvées depuis. Considérat
est surtout indiquée est celui des maladies fonctionnelles du système
nerveux
, c'est-à-dire celles où le rétablissement de la f
observe d'autres, liées à la perturbation de la fonction des éléments
nerveux
, il est possible de les faire disparaître, et il
qui, en réalité, tenaient à un trouble fonctionnel réflexe du système
nerveux
. 14. — En dehors des cas de guérison totale, l'
é par la dilatation de l'estomac dans la production de certains états
nerveux
morbides, beaucoup d'auteurs ont pu confirmer la
iennent à se tenir au courant des récentes conquêtes de la pathologio
nerveuse
Déjerine. (Médecine moderne.) NOUVELLES -
r M. le Dr DE JONG, médecin spéciali*t» pour les maladies mentales et
nerveuses
, à la Haye (Hollande). Monsieur le Président,
Eu ma qualité de médecin spécialiste pour les maladies mentales et
nerveuses
, il n'est pas besoin de dire que la plupart des m
dus, jouissant d'une parfaite santé et en les comparant à mes malades
nerveux
je n'ai pas remarqué de différence sensible. J'ai
ffirmé être issu d'une famille robuste, et il ne connaît aucun malade
nerveux
parmi ses parents. C'est un homme de grande énerg
: La nommée P.... âgée de onze ans, fille d'une mère excessivement
nerveuse
, souffrant d'une mélancolie périodique, est sujet
Les deux dames ci-dessus sont toutes les deux ce qu'on appelle un peu
nerveuses
, mais elles n'accusent aucun symptôme d'hystérie.
ucune douleur. * La malade descendait d'une famille où les maladies
nerveuses
ou mentales étaient absolument inconnues, n'accus
'accusait pas le moindre svmptômc d'hystérie cl toutes les affections
nerveuses
lui sont tout à fail étrangères. Dans les névra
de notre moi, pour peu que ces actes soient de ceux que notre système
nerveux
a appris à réaliser. Si je suggère à A... une vio
ous les phénomènes réflexes d'origine cérébrale. L'action des centres
nerveux
sur la circulation, sur la respiration, sur la di
nconnu mis en œuvre par la suggestion, n'envoie plus au bras l'influx
nerveux
destiné à le mouvoir. Or, la tentative même que l
droit de les passer sous silence. Au fond de l'activité des centres
nerveux
, au fond des sensations, des représentations qui
protoplasma de ces centres ; ce mouvement se propage sur les cordons
nerveux
qui sont liés avec eux, arrive jusqu'à tel ou tel
ion de sucs spéciaux, etc. Ce mouvement moléculaire, nommé excitation
nerveuse
, se manifeste sur le galvanomètre par de faibles
erve en fait de forces physiques accompagnant l'activité des éléments
nerveux
, et il en va de môme dans le cas où cette activit
e, d'admettre que ce mouvement moléculaire peut se passer des centres
nerveux
de l'inducteur dans l'air et de l'air dans les ce
entres nerveux de l'inducteur dans l'air et de l'air dans les centres
nerveux
du « lecteur » des pensées; et dans le cas où l'i
r et le lecteur se touchent, ce mouvement moléculaire de l'excitation
nerveuse
devrait se transmettre des nerfs d'un homme, par
adiction directe avec les faits physiologiques connus. L'excitation
nerveuse
est incapable non seulement de traverser les couc
mains se touchent, mais elle est même incapable de passer d'un cordon
nerveux
mis à nu dans un autre nerf mis à nu, fussent-ils
e temps à l'état de repos. Ce fait prouve clairement que l'excitation
nerveuse
, si forte qu'elle soit, n'est pas capable de se p
r d'une façon moins scientifique, mais plus mystérieuse, l'excitation
nerveuse
qui se propage le long d'un nerf n'est pas capabl
ue une contraction nette des muscles. Il est évident que l'excitation
nerveuse
n'est pas capable de passer par les endroits liés
ulte avec évidence cet axiome général physiologique, que l'excitation
nerveuse
n'est pas capable de passer ou de sauter d'un ner
, en d'autres termes, la loi de la propagation isolée de l'excitation
nerveuse
par des filets nerveux isolés et continus est obl
loi de la propagation isolée de l'excitation nerveuse par des filets
nerveux
isolés et continus est obligatoire poulies phénom
x isolés et continus est obligatoire poulies phénomènes de l'activité
nerveuse
. Ce qui a été dit à propos des nerfs est complè
i a été dit à propos des nerfs est complètement applicable au système
nerveux
central. Des expériences analogues faites avec
Ici régnent aussi les lois de la transmission isolée de l'excitation
nerveuse
suivant les centres et les filets nerveux à l'éta
ion isolée de l'excitation nerveuse suivant les centres et les filets
nerveux
à l'état intact, et le caractère, la propagation
tat intact, et le caractère, la propagation et la direction des actes
nerveux
se déterminent par la liaison des filets nerveux
direction des actes nerveux se déterminent par la liaison des filets
nerveux
avec des centres déterminés, et par les connexion
une minute, que les choses se passent autrement, et que l'excitation
nerveuse
ne se limite pas aux sphères directement excitées
limite pas aux sphères directement excitées des centres et des filets
nerveux
, mais se propage d'un filet nerveux à tous les au
xcitées des centres et des filets nerveux, mais se propage d'un filet
nerveux
à tous les autres filets voisins, et d'un centre
du cerveau, ou, en d'autres termes, s'induise dans tous les éléments
nerveux
voisins. On pourrait bien se demander si, dans ce
rait bien se demander si, dans ces conditions, une activité régulière
nerveuse
serait possible? Sans aucun doute. — non. puisque
e mouvements généraux, qui écarteraient la possibilité d'une activité
nerveuse
normale. En admettant cette hypothèse, nous dev
de nos organes des sens arrivant jusqu'à tel ou tel groupe de centres
nerveux
, ou chaque excitation apparaissant en eux indépen
centre à l'autre, mettre en jeu simultané toute la sphère des centres
nerveux
sensoriels, psychiques et moteur-*, et provoquer
tous les appareils du corps. En admettant l'induction de l'excitation
nerveuse
dans les éléments nerveux de notre corps, l'affai
. En admettant l'induction de l'excitation nerveuse dans les éléments
nerveux
de notre corps, l'affaire se réduit, comme on voi
avec tous les faits physiologiques, n'est pas applicable aux éléments
nerveux
du même organisme, il doit l'être encore moins da
même organisme, il doit l'être encore moins dans le cas où le système
nerveux
d'un homme devrait agir sur celui d'un autre. L
nerveux d'un homme devrait agir sur celui d'un autre. L'excitation
nerveuse
, se trouvant au fond de notre activité nerveuse,
autre. L'excitation nerveuse, se trouvant au fond de notre activité
nerveuse
, se manifeste, subjectivement, par l'apparition e
, des glandes, des vaisseaux, etc., qui sont gouvernés par le système
nerveux
. La nature de l'excitation nerveuse reste dans to
qui sont gouvernés par le système nerveux. La nature de l'excitation
nerveuse
reste dans tous les cas la môme, et les différenc
u'aux centres des sensations, des représentations, etc., l'excitation
nerveuse
provoque en eux une série de phénomènes qui mènen
les nerfs périphériques jusqu'aux organes du corps, cette excitation
nerveuse
provoque, dans un cas, l'activité des muscles, da
s, par exemple le vert luisant (Lampyris), chez lesquels l'excitation
nerveuse
provoque même le développement de la lumière, grâ
particulières luminantes qui se trouvent sous l'influence du système
nerveux
. Dans ce cas, le développement de la lumière est
e l'appareil luminant, et ce dernier entre en jeu sous les impulsions
nerveuses
que lui envoient les centres nerveux. Détruisez,
tre en jeu sous les impulsions nerveuses que lui envoient les centres
nerveux
. Détruisez, éliminez ces impulsions en chloroform
ecommence A briller. Ainsi, la sphère de l'activité de l'excitation
nerveuse
est limitée par les frontières du corps, et les d
corps, et les différentes formes de la manifestation de l'excitation
nerveuse
dépendent des fonctions particulières physiologiq
Examinée à ce point de vue-là, qui est le seul correct, l'excitation
nerveuse
ne fait que donner l'impulsion à l'activité de te
rganes du corps; et telle qu'elle est. sans ces organes, l'excitation
nerveuse
ne se transforme en aucune des formes connues de
les courants électriques se développant dans les limites des éléments
nerveux
excités. Je crois qu'après tout ce qui a été di
s (comme il l'avance lui-même), et surtout le rayonnement de la force
nerveuse
, sa transformation en lumière, en force dynamique
erveau, s'accompagnent d'une transmission excentrique de l'excitation
nerveuse
sur les nerfs sécréteurs des glandes lacrymales e
es vaisseaux sanguins par la transmission excentrique de l'excitation
nerveuse
des centres de sensations et de représentations s
, et l'attente d'un certain résultat provoque l'irritation de centres
nerveux
déterminés, qui président précisément aux mouveme
re tout ceux qui appliquent l'hypnotisme au traitement dés affections
nerveuses
. Cependant, sur vingt epileptiques traités par la
que de La Haye, je soigne beaucoup d'Israélites atteints d'affections
nerveuses
, un jour, une jeune fille de cette race arrive pa
par leur répétition fréquente, peuvent altérer la santé des personnes
nerveuses
et surtout des enfants, doués d'un système nerveu
té des personnes nerveuses et surtout des enfants, doués d'un système
nerveux
qui n'est pas encore stable. Nous voyons ainsi
carré du menton, le risorius d£ Cantorini, etc., ou bien les branches
nerveuses
du cubital, du médian, etc. La rapidité avec laqu
ne constitueraient pas seulement des divers phénomènes d'un même état
nerveux
, mais représenteraient, pour me servir des mêmes
3) C ha «cor. • Essai d'une distinction nosographique des divers «als
nerveux
compris sous le nom d'hypnotisme >. {Comptes r
e d'un eut unique, c'est-à-dire de VexcilabUité augmentée des centres
nerveux
, et que la variété des dites manifestations est d
ient retombe dans l'état léthargique. Or, peut-on dire que cet étal
nerveux
est véritablement nouveau et distinct? N'est-ce p
proportionnée? Dans ce cas, en effet, on a fait agir sur les centres
nerveux
, par une voie ou i«ar une autre, une excitation f
culaire intense et prolongée. Ici encore il ne s'agit pas d'un état
nerveux
nouveau et distinct, mais plutôt de simples manif
ion employée. Par conséquent, nous ne voyons pas ici non plus un état
nerveux
spécial, mais seulement une nouvelle manifestatio
relève pas des caractères tels qu'on puisse constituer autant d'éiais
nerveux
spéciaux et distinctifs, mais nous voyons seuleme
aient pas la valeur des caractères nosograpbiques dislinclifs d'étals
nerveux
complètement différents, nous en avons la preuve
veille, avec des moyens simples, tels que la pression sur les troncs
nerveux
, le massage des muscles, l'application du diapaso
après la guerre de 1870, s'est voué depuis au traitement des maladies
nerveuses
. Il a, depuis quelques années, élu résidence à Ba
périence personnelle dans le traitement d'un grand nombre de maladies
nerveuses
. C'est à lui que le professeur Dr Albert Eulcnbur
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée â l'Institut psycho-physiologique. Le
institut l'enseignement de l'hypnotisme. Le lit à deux et la force
nerveuse
. Un argument pour les ménages qui aiment a (air
e leur fournit. « Rien, dit ce Journal, ne détraque autant le système
nerveux
d'une personne qui élimine de la lorce nerveuse,
aque autant le système nerveux d'une personne qui élimine de la lorce
nerveuse
, comme de coucher toute une noit avec une antre p
toute une noit avec une antre personne, qui absorbe cette même force
nerveuse
. Celle-ci dormira profondément tonte la nuit et s
ssent les personnes qui éliminent et celles qui absorbent de la force
nerveuse
? Il y a bien quelque chose d'analogue dans l'hist
artage l'opinion du journal : • Un grand nombre, dit-il, des malaises
nerveux
dont on se plaint souvent le matin an lever sont
is), professeur libre d'anatomie. — La loi de la position des centres
nerveux
. (Brochure de 8 pages. — Chez l'auteur, 35, rue M
à la Société, la preuve évidente que, même dans certaines affections
nerveuses
cum materia, où l'apparition de symptômes fonctio
Ses antécédents héréditaires sont favorables : il ne connaît pas de
nerveux
dans sa famille. Son père est mort à soixante-dou
il a eu une fièvre typhoïde pour laquelle (I) Clinique des maladies
nerveuses
, 49, rue Saint-André-des-Arts. il est resté tre
de l'action complémentaire exercée dans le traitement des affections
nerveuses
par la suggestion hypnotique. Si, d'un côté, la m
ette secousse, ce coup de fouet, qui semble raviver dans les cellules
nerveuses
encore engourdies, celle dyna-mogènie qui en cons
fession, n'ayant d'autres antécédents héréditaires qu'une mère un peu
nerveuse
et affligée de fréquents maux de tète ; son père
s'assurer que ce n'est pas une hystérique. Elle est sans doute un peu
nerveuse
, mais après dix années de souffrances il n'y a pa
L'enfant est intelligent, laborieux, docile, n'a pas d'antécédents
nerveux
héréditaires. Depuis deux mois on a constaté seul
ut-elle définitivement guéri? Il s'agissait d'un enfant indiscipliné,
nerveux
; je pouvais bien rendormir en sommeil profond av
; l'habitude de la masturbation n'était pas greffée sur une diathèse
nerveuse
héréditaire; elle était la conséquence d'une sugg
r ce moyen thérapeutique très piopre à calmer l'irritation du système
nerveux
. L'hypnose a été produite de la mémo manière ch
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psycho-physiologique. Le
l-Kwai Medical Journal, de Tolcio, deux cas rrmarqudbles d'atTectioas
nerveuses
, traitée» avec succès par la suggestion hypnotiqu
euro-Hypnologie, études sur l'Hypnotisme et les différents phénomènes
nerveux
, physiologiques et pathologiques qui s'v rattache
saires qui s'efforçaient de prouver qu'il n'existait aucune connexion
nerveuse
entre la mère et le fœtus; tous ces cas, collecti
gt-quatre ans, d'une condition très aisée, n'ayant pas un tempérament
nerveux
, me demanda mes soins au commencement de l'année
nt découvertes et connues. II est vrai qu'il n'y a pas de connexion
nerveuse
entre la mère et le fœtus, mais cette absence exc
ou, en autres termes, cela est impossible sans le travail des tissus
nerveux
. II. Il existe beaucoup de phénomènes qui ne pe
it. (4) Perez, loc. cit. tement. Selon le Dr Luys (1), les cellules
nerveuses
sont pendant un certain temps dans un élat de vib
des fables. A côté de cela, il est connu qu'une déviation des fibres
nerveuses
pendant le développement, ne fût-elle que d'un di
Buffon. La nature n'a pas donné à tous les hommes la même sensibilité
nerveuse
, etc'est pourquoi les impressions ne sont pas les
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psycho-physiologique. Le
ogie. Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système
nerveux
. — M. le professeur Charcot a repris ses leçons d
conférence sur les applications de l'ophtalmoscopie à. la pathologie
nerveuse
, arec te concours de M. Parinaud. — Une affiche u
Bicêtre. — Maladies des vieillards et maladies chroniques du système
nerveux
.- M. Déjerine, mercredi, à 10 heares. — Maladies
adies mentales : M. Charponiier. mercredi, à 8 heures 1/2. — Maladies
nerveuses
des enfants -M. Bourneville, samedi, à 9 heures.
lle donnée par Beard, en 1868, à un ensemble de troubles fonctionnels
nerveux
greffés sur l'organisme, sans lésion apparente. L
vralgie générale de Valleix, la névrose protéiforme de Cerise, l'état
nerveux
de Sandras, le nervosisme de Bouchut, la névropat
s neurasthéniques ont de l'épuisement (nervous exhaustion) du système
nerveux
, comme le dit Beard, ou de l'irritation nerveuse
xhaustion) du système nerveux, comme le dit Beard, ou de l'irritation
nerveuse
comme ledit Mouneret? Les Anglais ont tourné la d
irritable. Parmi les neurasthéniques, il en est qui ont une activité
nerveuse
excessive, psychique et physique : volonté énergi
oncer plutôt une exagération qu'une diminution dans le fonctionnement
nerveux
. D'autres, au contraire, sont inertes, sans volon
musculaires déprimées, la sensibilité émoussée, toutes les fonctions
nerveuses
languissantes, traduisant plutôt une asthénie ner
les fonctions nerveuses languissantes, traduisant plutôt une asthénie
nerveuse
générale. La plupart ont un mélange d'excitation
des phénomènes d'irritation aussi bien que l'hypérémie, la faiblesse
nerveuse
peut réaliser les mômes troubles fonctionnels que
euse peut réaliser les mômes troubles fonctionnels que la suractivité
nerveuse
; je veux conclure simplement que rien ne démontr
te neurasthénie, il y a anomalie, modalité anormale du fonctionnement
nerveux
; et l'ancien terme de névropathie, que je propose
pothétique; il dit simplement: fonctionnement pathologique du système
nerveux
. Nervosisme, état nerveux, sont des mots qui dé
t: fonctionnement pathologique du système nerveux. Nervosisme, état
nerveux
, sont des mots qui désignent plutôt un tempéramen
mots qui désignent plutôt un tempérament qu'une maladie. On peut être
nerveux
sans être névropathe, comme on peut être lymphati
, comme on peut être lymphatique sans être scrofuleux. Le tempérament
nerveux
prédispose aux névropathies, comme le lyraphatism
impressionnable, ressent vivement les émotions diverses ; son système
nerveux
réagit avec intensité sous l'influence des irrrit
ubles digestifs, etc. Alors une névropathie s'est greffée sur un état
nerveux
, sur une diathèse nerveuse générale préexistante.
s une névropathie s'est greffée sur un état nerveux, sur une diathèse
nerveuse
générale préexistante. Mais tous les nerveux ne d
rveux, sur une diathèse nerveuse générale préexistante. Mais tous les
nerveux
ne deviennent pas névropathes. Il y a plus. Tou
pas névropathes. Il y a plus. Tous les névropathes ne sont pas des
nerveux
, j'entends nerveux dans le sens qu'on attache d'h
Il y a plus. Tous les névropathes ne sont pas des nerveux, j'entends
nerveux
dans le sens qu'on attache d'habitude à ce mot. T
me physiquement et moralement, est sujet, par exemple, à des douleurs
nerveuses
abdominales revenant par accès, sans lésion organ
revenant par accès, sans lésion organique; tel autre a des battements
nerveux
du cœur, un autre a des troubles digestifs gastro
et la disparition subites sans cause indiquent le caractère purement
nerveux
; ce sont là des névropathies locales qui implique
là des névropathies locales qui impliquent bien l'idée d'une diathèse
nerveuse
purement locale, d'une vulnérabilité spéciale dan
erveuse purement locale, d'une vulnérabilité spéciale dans le système
nerveux
du cœur, des organes digestifs, alors que tous le
organes digestifs, alors que tous les autres départements du système
nerveux
n'ont aucune réaction insolite. Ce ne sont pas, j
eux n'ont aucune réaction insolite. Ce ne sont pas, je le répète, des
nerveux
d'une façon générale; ils ne sont que partielleme
pète, des nerveux d'une façon générale; ils ne sont que partiellement
nerveux
, dans un seul domaine. La névropatbie peut donc
cas elle se développe presque toujours sur un terrain héréditairement
nerveux
; ou bien elle est partielle ou locale, et dans ce
st partielle ou locale, et dans ce cas elle se développe sur un sujet
nerveux
ou bien sur un sujet qui, sans paraître nerveux,
éveloppe sur un sujet nerveux ou bien sur un sujet qui, sans paraître
nerveux
, ne présente qu'une diathèse nerveuse localisée.
sur un sujet qui, sans paraître nerveux, ne présente qu'une diathèse
nerveuse
localisée. Mais cette névropathie primitivement l
nt de la région primitivement atteinte et envahissent tout le système
nerveux
. Une douleur d'abord localisée au bras peut se pr
a névropathie locale s'est généralisée, et dans ce cas, c'est un état
nerveux
général héréditaire qui, presque toujours, a serv
r la vie incite à une suractivité fonctionnelle qui épuise le système
nerveux
! La lame use le fourreau, la tension nerveuse ex
e qui épuise le système nerveux ! La lame use le fourreau, la tension
nerveuse
exagérée use l'organe ! Sans doute cela est vrai
ions vives semblait faite pour épargner toute secousse à leur système
nerveux
, si la loi fatale de l'hérédité n'avait imprimé à
adie guérit, et depuis la digestion était parfaite. Il a toujours été
nerveux
, sans être névropathe ; depuis son enfance, il tr
la, il se portait à merveille, sans douleur, sans autre manifestation
nerveuse
. Son nervosisme parait héréditaire. Son père, sur
ns être malade. Il a perdu, il y a cinq ans, sa sœur, d'une affection
nerveuse
qu'il ne peut définir ; elle avait habitnelleraen
peut définir ; elle avait habitnelleraentdes maux de tête, des crises
nerveuses
: pendant la nuit, elle sautait dans son lit en rê
heure le jour. Il ne présente d'ailleurs aucune antre manifestation
nerveuse
: pas de céphalalgie, pas de rachialgie, pas de t
le répète, une névrite du mollet. La douleur incarnée dans un système
nerveux
impressionnable a pu être le point de départ d'un
. Vous voyez tous les jours avec quelle facilité on provoque chez les
nerveux
ou les névropathes, des douleurs variables, par s
e grossie par le sensorium exalté, conservée et répétée par le centre
nerveux
, devenant ainsi le point de départ d'une nouvelle
pas obtenir un sommeil profond, souvent difficile à réaliser chez les
nerveux
tenaces et auto-suggestionnistes. Contrairement à
pathie devient chronique, elle s'incarne profondément dans le système
nerveux
, et il arrive un moment où elle s'identifie pour
ar la suggestion. Elle peut se généraliser, envahir d'autres domaines
nerveux
; elle peut envahir le domaine psychique et dégéné
Mariée à vingt ans. elle eut un enfant sans éprouver aucun phénomène
nerveux
. Son mari attribue celte attaque de nerfs à une é
que cette émotion ait provoqué la crise, mais la cause de l'affection
nerveuse
réside surtout dans les nouvelles conditions de v
particulière dans laquelle se trouvait alors la malade, les troubles
nerveux
résistaient à mes suggestions; il m'aurait fallu
re de jours sans la voir, lorsqu'on vint me prendre pour des troubles
nerveux
nouveaux. Il lui arrivait fréquemment de voir che
eu la satisfaction de voir disparaître, non pas seulement les crises
nerveuses
, mais encore les idées de persécution et de suici
et morbides par auto-suggestion. D'après la loi dynamique du système
nerveux
donnée par M. Bernheim, le savant professeur de N
donnée par M. Bernheim, le savant professeur de Naney, toute eetlule
nerveuse
actionnée par un phénomène extérieur actionne les
ule nerveuse actionnée par un phénomène extérieur actionne les fibres
nerveuses
correspondantes. Lorsque la conscience est absent
it d'ailleurs commencé par appeler f nervous exhaustion », épuisement
nerveux
, l'état moibide dont il est question; c'est qu'il
signification bien vague, puisqu'il veut simplement dire a souffrance
nerveuse
» ou « maladie nerveuse ». Gardons-le donc pour l
, puisqu'il veut simplement dire a souffrance nerveuse » ou « maladie
nerveuse
». Gardons-le donc pour les maladies du système n
ou « maladie nerveuse ». Gardons-le donc pour les maladies du système
nerveux
qu'on ne peut encore classifier. Mats vraiment
r SI. le D' A. GOIX. L'anorexie hystérique, encore appelée anorexie
nerveuse
, se caractérise cliniquemeni par le refus systéma
tion hypnotique a-1-elle contribué à faire disparaître cette anorexie
nerveuse
? Il est difficile de le dire. Toutefois, l'observ
ophobie et qni avait refusé (1) Charcot, *ur Ut Maladie» du tytlème
nerveux
. Paris, 1837, t. III. p. 243. tout aliment liqu
sin font, à la Salpétrière, des leçons sur les maladies mentales et
nerveuses
, le jeudi à neuf heures et demie. Hôpital Larib
locq (Paul) et Onanoff (J.). — Seméiologie et diagnostic des maladies
nerveuses
. (Un ia-18 de 530 pages, avec 83 figures dans l
arte, Paria, 1893.) Julien (Alexis). — Loi de la position des centres
nerveux
. (Brochure de 8 pages. — Chez l'auteur, 35, rue
mats, dit-elle, très sensible. Un rien peut l'agiter. Pas d'accidents
nerveux
dans sa famille, ni chez les ascendants, ni chez
connu des cliniques spéciales soit de dermatologie, soit de maladies
nerveuses
, et dont l'étude avait été mise à l'ordre du jour
urticaire factice, urticaire fictive, urticaire provoquée, urticaire
nerveuse
, urticaire graphique, etc. M. Dnjardin-Beaumetz
ant un migraineux; sa mère, sujette elle aussi aux migraines, est une
nerveuse
. Notre client, comme antécédents pathologiques
re vers la même époque. Son interrogatoire révèle qu'il s'agit d'un
nerveux
(sensibilité exagérée, colères fréquentes, etc.).
Michelson, Baumgarten;. on l'a noté d'une façon particulière chez les
nerveux
et les hystériques (Dujardin-Beaumetz, Gourbeyre,
chez les alcooliques (Paul Raymond). Or, notre sujet est à la fois
nerveux
, urticarien, ex-alcoolique; ce trio de circonstan
hypno-tisation profonde. Marguerite D..., Igée de quinze ans; très
nerveuse
. Elle s'est assez bien portée jusqu'en mai 1890.
, et les spectateurs impressionnables ressentent parfois des troubles
nerveux
devant les expériences terrifiantes des Barnums d
térieuses des manifestations extraordinaires des maladies mentales et
nerveuses
qui se propageaient surtout dans les époques de t
orte ». La pauvre femme, au debut d'une grossesse, avait des syncopes
nerveuses
qu'elle attribuait au démon. Mais en attendant, l
t le plus souventd'une impression morale. Les symptômes de la maladie
nerveuse
en étaient modifiés en conséquence. On lit dans
plus que nous avons dans l'écorce cérébrale îles amas de substance
nerveuse
, centres moteurs qui président précisément aux mo
elle et toute sa famille. Aussi, la guérison complète d'une surdité
nerveuse
chez une autre malade par la suggestion hypnotiqu
i ont pour base des pertur- bâtions plus ou moins aiguës du système
nerveux
, comme paralysie, tic douloureux, névralgies, bég
en est faite dans les procès-verbaux, qu'il s'agissait ici de crises
nerveuses
de grande hv»lérie, causées par un violent dépit.
gé, fait, tous les samedis, à neuf heures, ane leçon sur les maladies
nerveuses
. M. Charles Henry, maître de conférences à l'Éc
Blocq (P.) et Onanoff (J.). — Séméiologie et diagnostic des maladies
nerveuses
. (Un volume in-12 de 530 pages, avec 88 figures d
rla, 1891.) Debierre (Dr Ch ) et Douser Dr E.). — Album des centres
nerveux
. (48 figures schématiques. — Félix Alcan. éditeur
-ratifs m'en donnaient l'assurance. Donc, chimères dans cette tète de
nerveux
. Plus de craintes à avoir. Vivre de celte salutai
ez, la vie militaire présente de grands avantages pour un tempérament
nerveux
comme le mien. Ce qui me nuisait surtout, c'était
ans, présentant de» troubles du caractère liés à diverses affections
nerveuses
(épilepsie. Chorée, imbécilité). Ces troubles du
rler et qu'elle savait réussir quelquefois à endormir certains-sujets
nerveux
. Cette jeune malade est ce qu'on appelle, eu ps
incisives; mais, dès que j'approchais mon instrument, une contraction
nerveuse
lui fermait la bouche de telle façon que mes plus
ré toute sa bonne volonté elle ne pouvait combattre cette contraction
nerveuse
spasmodique. Après plusieurs tentatives infructue
ale, voulait se faire plomber deux molaires, et en raison de son état
nerveux
, désirait être endormie. Elle m'assura à son réve
ion de diminuer ou même défaire disparaître l'anxiété et l'irritation
nerveuse
qui, souvent, occasionnent plus de mal que le plo
laquelle, le 23 août, une violente émotion a déterminé des accidents
nerveux
, suivis d'une amnésie de caractère très particuli
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies
nerveuses
esi annexée a l'Institut psycho physiologique. Le
ceront à la Salpetrière un cours clinique sur tes maladies du système
nerveux
, a partir du 2 mai. Le cours aura lieu quatre f
is la voie que des médecins n'ont pas osé suivre avant eux. Le choc
nerveux
consécutif aux explosions de dynamite. Les expl
ant sur les animaux compris dans cet espace une sidération du système
nerveux
, un véritable shoeb, dû à la transmission des vib
C'est évidemment cette vibration explosive qui se transmet au système
nerveux
des animaux éloignes du foyer de l'explosion, mai
gât matériel. On doit donc admettre qu'ils ont subi seulement lo choc
nerveux
, et qu'ils sont sous le coup d'une sorte d'inhibi
méditer d'un bout ò, l'autre. Dr 11" : LaCRBNT. Album des centres
nerveux
, par MM. Cit. Dbbibrre et E. Douubr. Paris, F.
Dbbibrre et E. Douubr. Paris, F. Alcan, 1892. L'Album des centres
nerveux
se compose de quarante-huit figures schématiques,
anato-mie, et particulièrement de l'Album stéréosco pique des centres
nerveux
, de* mêmes auteurs; chacune de ces figures corres
Archives de Neurologie, mars 1892.j Charlton-Bastian. — - Processus
nerveux
dans l'attention et la volition ». (Revue philoso
D- BOURDON, de Méru (Oise). M»* S..., âgée de trente ans, anémique,
nerveuse
, fille d'un alcoolique, a eu deux enfants et une
ossesse, étant enceinte de deux mots, fut prise brusquement de crises
nerveuses
avec pleurs, agitations, sueurs, convulsions, gra
interroge la mère sur les antécédents et j'apprends que la malade est
nerveuse
, rit et pleure sans motif, d'un caractère très ca
lle rêve tout haut la nuit, qu'elle n'a cependant jamais eu d'attaque
nerveuse
bien caractérisée [crises hystériques ou autres).
de l'appétit, assurer le sommeil parfait de la nuit, modifier l'état
nerveux
. La malade a bien voulu M pré 1er à ces hypnotisa
on* de la possession, il faudrait passer en revue toute la pathologie
nerveuse
et mentale, car on trouve sous le nom de démoniaq
e renferment mie véritable clinique fossile des affections du système
nerveux
. Lorsqu'on parcourt les pièces de ces procès, les
suivant est du même genre. On reconnaît facilement dans les symptômes
nerveux
manifestés chez la malade l'effet do la suggestio
eue (les maladies inconnues de l'époque, c'était surtout les maladies
nerveuses
, qui ne lardaient pas à s'annoncer comme manifest
l'atmosphère. Elle avait souffert l'année précédente d'une affection
nerveuse
assez tenace, et se trouvait sous l'influence de
éjà cité un cas, est bien connu dans l'histoire clinique des maladies
nerveuses
; on l'appelle coprotafie). Le même jour, interr
e sens, cela ne prouve qu'une chose, c'est qu'un tempérament maladif,
nerveux
, est généralement mieux préparé à recevoir l'acti
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psycho physiologique. Le
u, à la Salpétrière, une série de leçons sur les maladies mentales et
nerveuses
. Plusieurs leçons seront consacrées aux applica
ofesseur Charcot, 286. Britisch medical association, 393. Centres
nerveux
(album des), 351. Chloroforme (aide donnée par
eux (album des), 351. Chloroforme (aide donnée par le), 114. Choc
nerveux
consécutif aux explosions de dynamite, 315. Civ
(la), par A. Voisin, 267. Folklorisme (un congrès de). 94. Force
nerveuse
( le lit à deux et la), 159. Guérisseur en Alle
ff, 65, 101, 135. Lettre de M. Masoin, 79. Lit à deux et la force
nerveuse
(le), 159. Loge maçonnique médicale (une), 224.
c). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Farulté de médecine de Pans. coi 9.ADO
l'épilepsie, mais dans un grand nombre d'affections du sys- tème
nerveux
. 1 . Observation I. ÉPILEPSIE SYIIPTOM.TIQUr.
et elle affirme qu'elle n'a eu, depuis son départ,aucun accident t
nerveux
. ,1901. - Le 23 janvier, nous recevons une lett
nté, bien qu'elle ait un peu maigri et n'au- rait eu aucun accident
nerveux
. La surveillante, Allie Langlet, qui est allée
Bromure DE camphre. Guérison. ' ' Sommaire . Père, aucun accident
nerveux
, mort de tuberculose en décembre 1890. Renseign
r sa famille, mais on pense qu'il n'y a jamais eu de cas de maladie
nerveuse
. Mère, trente-huit ans, migraines fréquentes dè
Elle n'a jamais pleuré. Parfois accès de petits rires, courts et «
nerveux
». . Elle ne souffre de la tête qu'après ses ve
Céphalalgies après la naissance du malade. Grand'mère pater- nelle
nerveuse
, sujette à de violentes colères et à des crises é
haschisch sur le <)'< : - vail. IGicl., p. 696). -Les poisons
nerveux
[L'année psychologique, 1902). ' Ch. Féré. Note
s'exerce exclusivement sur la fonction la plus élevée de l'activité
nerveuse
; elle agit aussi, sans doute, sur les autres.
e ; elle agit aussi, sans doute, sur les autres. Lorsque l'activité
nerveuse
éprouve une décharge généralisée sous l'influen
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 55 des cellules
nerveuses
varie avec le degré d'amenée ou de démence exis
de la sensibilité ni de la motilité. Tout ici indiquait une. lésion
nerveuse
centrale, grave, et probablement cérébelleuse.
les à celles que l'on observe dans les régions soumises aux centres
nerveux
organiques. S'il y a un petit ulcère sous-cutan
oyenne grosseur, et, dans l'écorce visuelle, au niveau des cellules
nerveuses
' étoilées (Stzadien u6. d. Hirnrinde d. Afensc
bale pure. Le père était, alcoolique, l'enfant est intelligent mais
nerveux
, l'acuité visuelle est diminuée, il y a une éba
énomène, le rôle important est dévolu à la multiplication des tubes
nerveux
comme dans un véritable névrome. Dans les nerfs
au con- traire, l'hyperplasie conjonctive est énorme et les tubes,
nerveux
sont très raréfiés. L'affection était familiale
stions les plus impor- tantes de l'anatomie pathologique du système
nerveux
. O. CROUZON. II. Les enfants retardataires ;
ormal, est souvent devenu ainsi parce que une lésion de ses centres
nerveux
a existé un moment donné. Il a eu la chance que
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle il sera accordé trois heures aux c
écrologie. M. le Dr Meredith Clymer, ancien professeur des maladies
nerveuses
à l'Albany Médical Collège. Nous avons le vif r
l'extension et de son application dans le trai- tement des maladies
nerveuses
. In-S° de r4 4 pages. Prix : 1 fr. 50 aux burea
off (N.). Essai sur la classification Talltoréizi7ue des mala- dies
nerveuses
. In-8° de 6 pages. Extrait de la Revue Neurologiq
02. Vol. XIV. Août 1902. N° 80. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
? Sur un cas de papillome épithélioïde 'du noya
aymond CESTAN, Ancien Chef de Clinique à la SalpéLrire. [Clinique
nerveuse
de la Salpêtrière) Des théories imaginées pour
des plus importants, Archives, 2' série, t. XIV. t 6 82 CLINIQUE
NERVEUSE
. r sinon même tout à fait exceptionnel, puisqu'
t (Photographie instantanée pendant la marche). 84 -il - CLINIQUE
NERVEUSE
. 1 , 4 , bisme externe n'étaient absolus que da
s la Fig. 6. Paralysie du droit supérieur gauche. 86 ' ' CLINIQUE
NERVEUSE
. marche; le malade talonne de cette jambe comme
le est extraite facilement ; le canal osseux, les méninges et l'axe
nerveux
ne présentent rien d'anormal ; Il en est de même
à 4 millimètres environ. Son extrémité supé- Fin. 7. 88 CLINIQUE
NERVEUSE
. rieure n'atteint pas la couche optique, son ex
ellules cylindriques ame- nant la destruction progressive du tissu'
nerveux
voisin. Sur des coupes perpendiculaires à leur
sous la forme de petits bourgeons qui vont pé- nétrer dans le tissu
nerveux
avoisinant; ce caractère est surtout évident da
ue d'envahissement. L'espace intertubulaire est rempli par le tissu
nerveux
conznlc- tement dégénéré sans fibres à myéline,
rveux conznlc- tement dégénéré sans fibres à myéline, sans éléments
nerveux
, sans réaction névroglique proprement dite, mai
quée ci-dessus, qu'il a complètement respecté au contraire le tissu
nerveux
qui l'entoure. Il a produit un véritable ramoll
c les moyens de recherche ordi- naires. Ii J. 9. 92 1) CLINIQUE
NERVEUSE
. ' , Au surplus, ce noyau cancéreux secondaire
ie de papilles envahissantes à pointes dirigées vers la subs- tance
nerveuse
. Enfin, l'étude attentive des éléments néoplasiqu
es tumeurs épilhé- liales développées primitivement dans le système
nerveux
; la plu- part les passe même sous silence. Cepe
. La tumeur a eu une action destructive pour les parties du système
nerveux
envahi. Son centre 94 CLINIQUE NERVEUSE. · es
pour les parties du système nerveux envahi. Son centre 94 CLINIQUE
NERVEUSE
. · est en effet occupé par des masses en pleine
eux typiques. Ces masses sont le résultat de la nécrose et du tissu
nerveux
et des parties centrales néoplasiques. Nous avo
vé des granulations caractéristiques de dégéné- rescence des fibres
nerveuses
, en petit nombre dans le pédoncule cérébelleux
la description donnée par M. Babinski. Ces troubles mo- 96 CLINIQUE
NERVEUSE
. 1 teurs ont été signalés depuis longtemps dans
est vrai, occupait.les Archives, 2- série, t. XIV. 7 98 CLINIQUE
NERVEUSE
. membres du côté de la lésion ; ces faits consi
ératrice. La première aurait son centre d'origine dans 100 CLINIQUE
NERVEUSE
. le mésocéphale, en particulier dans le noyau r
r- rompue dans le cas actuel au niveau du noyau rouge. PATHOLOGIE
NERVEUSE
Tremblements infantiles et nystagmus congénitau
nt du tremblement des yeux sympto- matique d'une maladie du système
nerveux
ou d'une alté- ration de l'appareil de la visio
retrouver d'autres signes indiquant la participation du sys- tème
nerveux
à la production du phénomène. Il y avait là aut
donc cherché à leur assigner un rang dans les affections du système
nerveux
, et nous avons tenté, d'après leur tableau clin
établi une progression allant du Tremblement ou 103 'l) PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du Nystagmus simples aux formes rendues plus c
présentent rien de spécial. L'examen du fond d'oeil '104 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pratiqué par le Dr Aubineau a été trouvé norma
r Tollemer. TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX '108
nerveuse
semble influencer sa production. La dentition p
ts fournis par notre observation, nous trouvons une importante tare
nerveuse
chez les ascendants maternels : le grand-père e
scendant. Chez l'un d'eux le développement irrégu- lier des centres
nerveux
se traduit d'autre part par l'exagé- ration des
occasion qui peut d'ailleurs ne pas se présenter. 106 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il. Nystagmus congénitaux . Les cas de nysta
éliminé de cette étude les nystagmus symptomatiques d'une affection
nerveuse
caractérisée et ceux qui pouvaient être la " co
de la tête caractérisés par de petites oscillations. 108 PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' Ce nystagmus remonte à la naissance; mais la
infections et en particulier de la fièvre typhoïde pour les centres
nerveux
, et l'on peut se demander si l'infection ébertb
cas impres- sionner d'une façon nuisible le développementdu système
nerveux
du produit de la conception. Remarquons encore
, 3 présentent déjà des signes indéniables d'altérations du système
nerveux
central. B. -11'ystugmus avec exagération des r
quatorze ans, rien de particulier. 2° G..., douze ans. Extrêmement
nerveux
, est venu consulter pour des douleurs d'oreille
oid qu'il est très difficile de faire disparaître. 110 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Examen des yeux. Nystagmus mixte, horizontal e
donc qu'ici encore une anomalie dans le développe- ment du système
nerveux
central a entraîné l'apparition des signes morb
s réflexes patellaires sont normaux. Il ne présente pas de troubles
nerveux
ni de signes d'une affection des centres ner- v
en arrière de ce côté. Le nez est incliné à gauche. 112 PATHOLOGIE
NERVEUSE
.. La dentition est assez bonne, mais la langue
modifications du thorax, aucun signe de troubles du côté du système
nerveux
. Observation IV. App... Jean, soixante-quatre a
le sujet des observa- ARCHIVES, 2 série, t. XIV. 8 114 PATHOLOGIE
NERVEUSE
tions V et VI. Il n'a jamais eu que des maladie
tremblent pas. Les parents sont bien portants et n'ont pas dé tare
nerveuse
. L'enfant vit à la campagne, à Pedan-Trahon (Ke
l'étude des ascendants et des collatéraux au point de vue des tares
nerveuses
qui ont frappé certains d'entre eux.' Cette réf
ins- crire en tête de toutes les affections familiales du système
nerveux
se retrouve ici fidèlement observée 3 : il semble
ardel et Gilbert, t. VIII, 1901, p. 598, en noie.. 116 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'il existe parfois à titre de symptôme isolé
lus souvent se surajoutent à ce signe primordial des manifestations
nerveuses
de même nature, d'origine nettement centrale (i
, manifestation isolée. 2e type. Nystagmus essentiel avec symptômes
nerveux
variables surajoutés : asymétrie faciale, inéga
, inégalité pupillaire. 3e type. Nystagmus essentiel avec symptômes
nerveux
spéciaux : exagération des réflexes, trépidatio
me (tremblement) isolé ou associé à plus ou moins d'autres signes
nerveux
surajoutés. 1 Une pareille classification n'a é
rend l'excitation venue de la périphérie et d'où part l'excitation
nerveuse
qui se rend au muscle. » (Abadie L. C. p. 223-2
i- quer le tremblement, dont on a placé la cause dans les centres
nerveux
, les conducteurs, les muscles. a. « Les centres
s centres nerveux, les conducteurs, les muscles. a. « Les centres
nerveux
pourraient provoquer le tremble- ment soit par
lérose en plaques, p. 613. 1 2 Loc. cil., p. 600 : 118 PATHOLOGIE
NERVEUSE
...* ' . tantôt à un état d'excitation des centr
THOLOGIE NERVEUSE...* ' . tantôt à un état d'excitation des centres
nerveux
. La pre- mière interprétation conviendrait au t
e saurait être admise dans la plu- part des cas. Le rôle du système
nerveux
central a été démontré expérimentalement. Vulpi
es lésions de l'encéphale tend aussi à démontrerle rôle des centres
nerveux
. » En possession de ces connaissances, pouvons-
x elles tremblements infantiles à une altération définie du système
nerveux
central Sans vouloir empiéter sur le domaine de
, s'il y a une déviation dans l'achè- vement définitif' de la fibre
nerveuse
, cette modification associée à une malformation
it tous les jours. A un premier stade, l'atteinte légère du système
nerveux
s'accompagnerait de lésion diffuses et rudiment
des réflexes pouvant déjà traduire une tendance à la 120 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. systématisation des lésions. Enfin nous trouvo
que l'on pourra quelque jour se rendre compte de l'état des centres
nerveux
au cours d'une affection somme toute aussi légè
ment donné de leur existence des symptômes nouveaux d'une affection
nerveuse
nettement caractérisée comme la maladie de Frie
stagmus et aux Tremble- ments essentiels dans le cadre des maladies
nerveuses
sera sans doute l'objet de remaniements success
, la plus clinique pour parler en médecin, celle dont les accidents
nerveux
se succèdent dans l'ordre le plus régulier. On
romanesque ; avec cet ascen- dant bizarre qu'ont les petites filles
nerveuses
sur les petits garçons, à l'âge de huit ans, el
, si l'on veut, car de sourdes hallucinations et quelques symptômes
nerveux
persistent encore ; mais enfin c'est le repos ;
r vaquer à ses occupations variées. Ne croirait-on pas entendre ces
nerveuses
qui semblent accablées et prêtes à mourir, et q
ques survenues soit dans le trajet sensoriel, soit dans les centres
nerveux
peuvent être à leur tour la cause prochaine des
hloroforme, etc. En somme l'action des anesthésiques sur les troncs
nerveux
se- rait comparable à celle des mêmes agents su
nerveux se- rait comparable à celle des mêmes agents sur le système
nerveux
central (anesthésie chirurgicale). Il est certa
chloroforme est un poison plus violent que l'éther pour le système
nerveux
aussi bien central que périphérique, et cela pr
ue les divers modes d'intoxication qui peuvent agir sur les centres
nerveux
(toxines des maladies infec- tieuses, de la gou
de la névroglie envahie par les cellules gliomateuses. Les éléments
nerveux
présentent un aspect qui varie suivant la date
état maladif du sujet; ils naissent dans les affections des centres
nerveux
, surtout des cornes postérieures de la substanc
pparaître l'autointoxication et une altération de tout le sys- tème
nerveux
périphérique et central; tantôt c'est le système
eagles, qu'il se préoccupe depuis longtemps de l'étude des maladies
nerveuses
chez les juifs. C'est un fait incontestable que
un fait incontestable que les différentes formes de dégénérescence
nerveuse
(paralysie générale, ataxie, etc.), ainsi que l
és caractéristiques du peuple juif, et il commence par les qualités
nerveuses
et men- tales. Dans l'ancien temps, quinze sièc
malgré tout, pour y entrer, pour y rester, pour REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 157 i s'y distinguer, la lutte est plus âpre p
que pour les autres, et d'autant plus dangereuse pour leur système
nerveux
qu'ils y apportent la ténacité héréditaire des
mes semblables d'aliénation mentale. R. M.-G. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Deux cas de myélite conjugale ; par le Ruz'
le fait d'une simple coïncidence, i G. D. · 158 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. II. Les paralysies post-anesthésiques; par le
rs au niveau de l'épaule et du membre supérieur REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 159 droits, douleurs qui furent bientôt suivie
des nerfs médian et cubitaux. Quant à l'envahissement des filets
nerveux
de l'oculo-moteur commun, l'auteur l'attribue à
au niveau des membres inférieurs. " G. D. 160 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. VIII. Paralysie labio-glosso-laryngée (Atrophi
ortes de zones sensorielles, celles du toucher, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 161 celles de la douleur, et celles de la chal
ues, on ne Archives, 2* série, t. XIV. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. doit jamais oublier qu'ils peuvent coexister a
mais on l'a observée dans certaines maladies organiques des centres
nerveux
. et Déjérine et Thuitant notamment ont observé
tion, ont aussi presque disparu. P. KERAV.1L. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 163 XII. Contribution à la connaissance de l'h
arçon, car sa blessure guérit rapidement et parfaitement. L'origine
nerveuse
est évidente dans la seconde observation. Noton
fibres sécrétoires de la salive. An niveau 164 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du ganglion géniculé, elles se détachent en av
e laryngolo- giste à connaître exactement la physiologie du système
nerveux
. R. M. C. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ MÉDICO
europathologie, celle de l'anatomie et de la physiologie du système
nerveux
et de l'anatomie pathologique. Parmi les objets
problème de l'influence de l'hérédité sur les maladies mentales et
nerveuses
fut abordé des 1867. mais il s'agit là d'une enqu
erreurs pos- sibles dues à la coexistence d'une maladie du système
nerveux
. Il cite un fait où un myosis d'origine syphili
périphériques du cobaye donnait lieu à des altérations de la fibre
nerveuse
. Restait à se demander comment se comportait le
s, sous le titre de : Etudes cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
, et les Aliénés et les asiles d'aliénés (Paris,
mposition du personnel. A. Marie. VI. Analomie clinique des centres
nerveux
; par le professeur Gras- SET. (Vol. in-16 carr
mé de nos connaissances anatomo-cliniques actuelles sur les centres
nerveux
, pour déterminer ce prélude et cette base indis
déterminer ce prélude et cette base indispensable de la pathologie
nerveuse
. Après avoir fait le tableau de l'anatomie clin
s avoir fait le tableau de l'anatomie clinique générale des centres
nerveux
telle qu'elle se présente à l'heure actuelle avec
etc., l'auteur arrive à l'anatomie cli- nique spéciale des centres
nerveux
et décrit successivement l'ap- pareil nerveux c
spéciale des centres nerveux et décrit successivement l'ap- pareil
nerveux
central : Ie De la motilité et de la sensibilité
s sensoriomoteurs, les voies efférentes et afférentes de l'appareil
nerveux
central du langage, etc. M. B. VII. Des maladie
ur, 108, boulevard Samt-Germatn, Paris (6°). Vires (J.). - Maladies
nerveuses
. Dt ? o<<c. Traitement. In-8° de 614 page
pilles. 1 Concernant la mobilité des pupilles, on nota : CLINIQUE
NERVEUSE
. Dépression kératique et états encéphalopathiqu
s de large, fusiforme, légèrement plissée dans le sens 308 CLINIQUE
NERVEUSE
. de la longueur et située à l'union des deux ti
- Archives, 2' série, t. XIV. 14 1% ig. 13 à 16. 210 0 CLINIQUE
NERVEUSE
. tion générale avec loquacité, déclamations, ri
aine malfaisance impulsive et féline à 1% 17. 17 20. 212 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'égard de ses gardiennes, par une expression
, l'une en dehors, l'autre en dedans. 1 ir. 25 à 28. 214 CLINIQUE
NERVEUSE
. 2° Une troisième, de forme ovalaire, occupe la
farouché par la présence des gens qui F ? 29&32. 216 CLINIQUE
NERVEUSE
. - -- " passent, préoccupé de les éviter, s'en
st avancée, la dilatation diminue et l'oeil reprend sa 218 CLINIQUE
NERVEUSE
/* dimension habituelle ; la contraction peut se
tre la genèse de la pression kératique ? ` ? Evidemment les centres
nerveux
encéphaliques sont seuls en cause : la promptit
u'en soient le mode et l'intensité, cer- taines lésions des centres
nerveux
encéphaliques exercent sur la cornée une influe
ngt-trois, vingt-six et vingt-huit ans, bien portants et sans tares
nerveuses
; deux soeurs également vivantes (dix et trente-d
perte sanguine ordi- naire, sans grosses coliques; pas de troubles
nerveux
concomitants. Depuis quatre ou cinq mois enviro
te sensation de boule hystéri- que, aucun autre phénomène insolite,
nerveux
et mental. Les dernières règles remontent au 12
commun quelques-uns des maux qui frappent l'homme dans son système
nerveux
, et chercher les meilleurs moyens de l'en préser-
e immédiats rêvaient encore esprit, démon, perturbation de la force
nerveuse
, vous prononcez les mots de sclérose, de thromb
ureux, à réflectivité parfois modifiée, siégeant dans un territoire
nerveux
anatomiquement défini; les mouvements du tic so
Traitement médicamenteux, basé sur l'emploi des calmants du système
nerveux
; b), hygiène, régime, hydrothé- rapie, électrot
pas être confondues. Morel avait observé le tic indolent chez des
nerveux
, candidats à l'aliénation mentale, sans y arriv
tion des faits, est celle de savoir si ce sont les mêmes élé- ments
nerveux
ou des éléments différents qui président aux acte
cerveau. Bien qu'il n'y ait pas identité absolue entre les centres
nerveux
du chien et ceux de l'homme, ces résul- tats ex
t de nouvelles mauvaises habitudes, et quelquefois même de troubles
nerveux
. Cette donnée explique comment agis- sent les d
trente ans à anté- cédents héréditaires peu chargés et dont l'état
nerveux
est resté 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. parfaitement
rès pratique pour faire disparaître des anesthésies et les troubles
nerveux
qu'elles conditionnent. Ilypcracuilé sensorie
ire sur eux- mêmes. D'une manière générale et surtout en pathologie
nerveuse
, il est souvent indispensable de soigner d'abor
athologiques qui nous révèlent des troubles dynamiques du sys- tème
nerveux
. L'hystérie se traduit par une modification de l'
équi- libre. normal telle que l'activité ou le potentiel du système
nerveux
se trouve diminué sur certains points et augmen
lité augmentation ni diminution absolue dans le total de l'activité
nerveuse
disponible. Le traitement de l'hystérie a pour
s cas suivants dont l'observation est rapportée par l'auteur : toux
nerveuse
, aphonie hystérique, astasie, abasie, ptosis, spa
, abasie, ptosis, spasmes musculaires, parésie, paralysie, diarrhée
nerveuse
, pollakiurie. Les troubles somatiques et psychi
l'hystérie et de considérer cette dernière tantôt comme une maladie
nerveuse
, tantôt comme une maladie mentale. C'est une ma
s pour lesquels se manifeste cette dernière. Le médecin de maladies
nerveuses
ne peut plus se dispenser d'être psychologue.
ix : 1 francs. Doin, édit. - Dé.ierine (J.). dzzcclomie des centres
nerveux
, t. II. Grand in-S de 730 pages. Prix : 32 fran
n de la névroglie, surtout au niveau de la périphérie. Les cellules
nerveuses
paraissent dimi- nuées en nombre. Le protoplasm
son de la soeur, on prépare le jar- din où pousseront les symptômes
nerveux
. Laissons décote ces deux premières oraisons, e
orps est moins maître de lui. » Pendant la longue durée de cet état
nerveux
, les périodes d'extase et d'union viennent remp
s cette voie. Les trau- matismes antérieurs aux troubles mentaux et
nerveux
peuvent appeler l'intervention chirurgicale. Ce
Celle-ci peut être faite avant l'apparition des troubles mentaux et
nerveux
pour remédier aux conséquences ordinaires du tr
re intervention opé- ratoire peul, sans compliquer l'état mental ou
nerveux
, rester sans action curative : il ne s'ensuit p
est caractérisée par les symptômes sui- vants : a) Surexcitation
nerveuse
générale ; b) Etat d'angoisse rhro- nique ou «
dit maintes fois Beaucoup de médecins, peu au courant des maladies
nerveuses
chroniques des enfants, sont fort embarrassés e
ou des aliénés atteints de lésions ou de troubles graves du système
nerveux
central ; or, l'influence du système nerveux su
bles graves du système nerveux central ; or, l'influence du système
nerveux
sur l'état général de l'organisme ne saurait êt
1° La rétine présentait des altérations de la couche des cellules
nerveuses
, caractérisées par une série de modifications : g
térations tout à fait semblables à celles qui frappent les cellules
nerveuses
de l'écorce : -. 2° La papille, dont les fibr
ellules nerveuses de l'écorce : -. 2° La papille, dont les fibres
nerveuses
étaient atrophiées dans un cas, était en outre
ribution à l'élude des localisations cancéreuses sur le système . '
nerveux
périphérique. MM. J. Obertiiur et A. Mousseaux.
tumeurs épithéliales, et en particulier des carcinomes, le système
nerveux
périphérique est fréquemment atteint ; il présen-
omme dans l'intérieur dis fascicules, repousse et enserre les tubes
nerveux
; la myéline se fragmente et devient granuleuse
re le cylindraxe lui-même. Cepen- dant, un certain nombre de filets
nerveux
sont généralement res- pectés. Finalement les p
ralement res- pectés. Finalement les petites branches de ces troncs
nerveux
peu- vent être réduites à des tractus fibreux m
s fois, y sont apportés' par les capillaires san- guins ; les tubes
nerveux
sont refoulés ou comprimés, la myéline fragment
créer plus loin un nouveau foyer métastatique. c) Les petits filets
nerveux
, n'opposant en général aucune résis- tance, son
à leur point de pénétration dans la tumeur. d) Dans les ganglions
nerveux
, les amas épithéliaux envahissent le stroma con
envahissement considérable du ganglion, ur. certain nombre de tubes
nerveux
y conservent leur myéline. III. Le cancer rachi
de phlébites cancéreuses. Les racines rachidiennes et les ganglions
nerveux
intervertébraux sont alors les premiers atteint
és que les troubles sensitifs par suite de la résistance des troncs
nerveux
et de la persistance d'un certain nombre de cyl
encore peu connues. " Contribution à l'étude du gliome des centres
nerveux
. M. J. Obertiiur. Nous avons pu examiner au lab
u laboratoire de la Clinique Charcot sept cas de gliome des centres
nerveux
. Trois d'entre eux avaient envahi la substance
cerveau et nullement d'aspect néoplasique. D'ailleurs, la substance
nerveuse
avoisinante est plu- tôt lentement refoulée que
le tissu spongieux. Dans les cas habituels, il n'y a pas d'éléments
nerveux
au sein de la masse et les corps granuleux peu
peu connue de sarcome, le sarcome solitaire envahissant des centres
nerveux
qui semble réunir la plus grande partie des cas
à de telles tumeurs des éléments nobles par excellence du z système
nerveux
, c'est-à-dire les cellules nerveuses. Maintes foi
bles par excellence du z système nerveux, c'est-à-dire les cellules
nerveuses
. Maintes fois, nous avons rencontré de ces gran
xistait aucune parenté d'origine entre ces cellules et les cellules
nerveuses
, mais encore qu'elles n'étaient nullement carac-
ais non comme des néoplasmes. Sarcomes et sarcomatoses du système
nerveux
. Classification. Etude clinique ET AN : 1TOIO-P
formes analomo-cli- niques parmi les sarcomes primitifs du système
nerveux
. Suivant l'exemple donné par Westphal, Schlesin
arcomes solitaires des mé- ninges ; sarcomes solitaires des centres
nerveux
);. 2° les sarcomes multiples, pour lesquels nou
ande au point d'envahir, dans- certains cas, la totalité du système
nerveux
central et périphérique à la façon d'une vérita
ion exercée par les sarcomes solitaires des mé- ninges sur le tissu
nerveux
, la lésion la plus fréquente, bien con- nue, re
cérébrales immédiatement adjacentes à la tumeur, on voit les tubes
nerveux
tassés, étirés, se démyélini- ser par petits îl
lindraxes, qui contraste avec la démyélini- sation rapide des tubes
nerveux
, est intéressante à souligner, puis- qu'elle pe
oncevoir avec quelle rapidité se ferait la restau- ration des tubes
nerveux
, si l'agent compressif pouvait être enlevé par
t l'inaptitude du sarcome solitaire des méninges à envahir le tissu
nerveux
voisin, quelle que soit sa durée. Ainsi, il pourr
érison complète et définitive. B. Sarcomes solitaires des centres
nerveux
. Cette forme est rare. Nous avons pu en observe
quement, dans nos observations, ces sarcomes solitaires des centres
nerveux
avaient débuté, au moins apparemment, d'une faç
niquement, des sarcomes envahissants, sar- comes malins des centres
nerveux
. - Certains auteurs, s'appuyant sur les figures
solitaire des méninges à celles du sarcome soli- taire des centres
nerveux
. Pour le premier : structure essentielle- ment
ue ; évolution lente ; destruction modérée et toute locale du tissu
nerveux
; tumeur non envahissante, avec tendance marqué
, qui montrent des tumeurs 7nul- tiples envahissant tout le système
nerveux
central sous la forme de noyaux isolés, plus ou
us avons eu à examiner deux cas de ces tumeurs multiples du système
nerveux
central, et toujours, dans tous les noyaux, nou
outre, comme dans nos deux cas, nous avons retrouvé sur le système
nerveux
périphérique (plexus brachial, nerfs cubital, m
ous avons affaire, en réalité, à une sarcomatose de tout le système
nerveux
central ou périphérique. Enfin, comme nous le v
lumière et l'existence des noyaux sarcomateux dans tout le système
nerveux
, central ou périphérique, et leur évolution fib
les méninges, plutôt embryonnaires dans la moelle dont les éléments
nerveux
paraissent plus refoulés que détruits, ces tume
ec la neuro-fibro-sarcomatose. Dans ces deux affections, le système
nerveux
périphérique est envahi par des noyaux néopla-
par des noyaux néopla- siques. Dansies deux affections, le système
nerveux
central peut être atteint, alors que le fait es
de Reclclingliausen, elle aussi, est capable d'envahir les centres
nerveux
. Histologiquement, la structure et l'histogenèse
nnées. Elle a eu 13 enfants, tous, sauf un peut-être, plus ou moins
nerveux
et Archives, 2* série, t. XIV. * 21 370 SOCIÉ
en certains points la confusion des parois vasculaires et du. tissu
nerveux
. Méninges épaissies et infiltrées ; augmentatio
e-mère de la surface du cerveau, on ne trouve ni cellules ni plexus
nerveux
dans les parois des artérioles ou des veinules
est une loi plus importante encore qui domine toute la physiologie
nerveuse
com- posée : c'est qu'à mesure que l'on s'élève
qu'à mesure que l'on s'élève dans l'échelle animale, les fonctions
nerveuses
remontent graduellement vers l'encéphale et se
inspirant des données concernant la physiologie comparée du système
nerveux
dans l'échelle animale, données qui, de l'avis
éréditaires, on releva un père syphilitique et alcoolique. une mère
nerveuse
arthritique, un grand-père maternel cérébral. S
grande distance des vaisseaux. B. Lésions cellulaires. Les cellules
nerveuses
, devenues globu- leuses, ont leurs grains chrom
, soit à l'état isolé, soit en association avec d'autres mala- dies
nerveuses
syphilitiques. Le mariage entre géants. M. He
fections physiques de toutes sortes, et fréquem- ment des désordres
nerveux
et mentaux, on conviendra que les . tentatives
des lésions organiques du cerveau. Les leucomdines de la substance
nerveuse
. M. LAB1TLTT. Vous entendiez, ces jours dernier
ais vous affirmer que les lécithines, qui entrent dans la substance
nerveuse
, contiennent, à l'état physiologique normal, un
« Je ne doute pas que ce composé ait été extrait de la subs- tance
nerveuse
, mais si nos procédés chimiques avaient conservé
l'organisme, votre composé ne serait pas un toxique de la substance
nerveuse
, il en serait plu- tôt un aliment. » Messieur
nt plus rien, pour]ainsi dire, sur lesleu- comaïnes de la substance
nerveuse
, comment procéder pour éta- blir quelques conna
ts de comparaison étant établis, nous rechercherons si la substance
nerveuse
contient de tels composés. Pourquoi cet effor
S SAVANTES. des composés qui, au lieu d'être des poisons du système
nerveux
en seront un aliment, et nous permettront de lu
urs, avec quelle facilité les alcaloïdes se fixent sur la substance
nerveuse
en donnant des effets physiologiques remarquabl
t es- compter qu'ils se fixeront avec la même facilité sur le tissu
nerveux
. La création des points de comparaison, des com
oils de la moustache, qui repoussèrent plus tard ; ; pas de maladie
nerveuse
, ne boit pas, ne fume pas ; migraines, il y a u
e-même alcoolique et vivait de la prostitution. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 425 avait manifesté le désir de devenir infirm
ù elle s'est parfaitement conduite jusqu'ici. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XV. De la paralysie bilatérale du nerf facial (
les émotions et toutes les circonstances qui excitent les systèmes
nerveux
, ce tic diminue quand on distrait l'attention d
de patronage sollicité par le médecin. 42G 6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. apparaît juste au moment où il a le plus besoi
s sérieux, dans le monde, et est fort remarqué. Causes : hérédité
nerveuse
, coryza chronique. La seconde observation a trait
ces trou- bles sensitifs érotiques et ceux qui dépendent de lésions
nerveuses
l¡i8 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. périphér
ceux qui dépendent de lésions nerveuses l¡i8 8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. périphériques ou centrales. Les auteurs ont ch
risés anatomo- pathologiquement par la même lésion du même appareil
nerveux
pris en des étages différents pouvant se succéd
différents pouvant se succéder par extension ou REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 42'J 9 pouvant exister isolément ; ce sont tro
és par d'autres auteurs, desquelles il ressort que : les mala- dies
nerveuses
et mentales sont fréquentes dans les familles d'a
t à qui il a été appelé à donner ses soins à l'occasion de troubles
nerveux
parti- culièrement pénibles (douleurs, troubles
part, l'examen du fond de l'oeil permettait 430 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de mettre en doute l'atrophie du nerf optique,
est pas produite par suggestion. A. Fenayrou. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 431 1 XX VI. Le diagnostic différentiel de la
il et les résume dans le tableau suivant : 1t3' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. muns, dont le diagnostic est facile il est des
hystérie dans un grand nombre de cas. A. Fenayrou. XXVIII. Troubles
nerveux
secondaires portant sur les fonctions de la nut
Il n'est pas rare d'observer des malades présentant des troubles
nerveux
secondaires à des âastropatbies ; ces troubles oc
et que le diagnostic porté est celui de neurasthénie. Ces désordres
nerveux
ont leur origine, soit dans les centres supé- r
if (dilatation gastrique par atonie ; constipa- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 433 tion). En somme, cet état est caractérisé
e, d'inaptitude au travail, ou- encore il se combine à des troubles
nerveux
prove- nant des centres supérieurs (douleurs né
e siège. ' Archives, 2e série, t. XIV. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Cette fracture a amené une compression du cône
2° Des paraplégies nettement trau- matiques, dues à la compression
nerveuse
seule, et dont l'obser- vation citée est une dé
en raison de son origine, il désigne cette 43C REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. perturbation sous la' dénomination d'asynergie
'abolition de tous les modes de la sensibilité, revue DE pathologie
nerveuse
. 437 Î au lieu de la dissociation syringomyéliq
ut des accidents, fait qui vient con- A 4 438 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1 tredire les résultats des expériences antéri
Contribution à l'étude de l'état et du développement des cel- lules
nerveuses
de l'écorce cérébrale chez quelques vertébrés n
ge SOCKUANOFF. (Revue neurologique, septembre 1899.) Les cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale de différents verté- brés
peu de la structure d'une poule adulte. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 439 XLI. Syndrome de Brown-Séquard avec début
fait s'il s'agit d'un neurasthénique, s'il faut remonter un système
nerveux
épuisé; mais il y a. une différence entre l'épu
tème nerveux épuisé; mais il y a. une différence entre l'épuisement
nerveux
et la perver- sion mentale. Tous ceux qui ont e
céphalo-l'achidien; par J.-A. Sicann, chef de clinique des maladies
nerveuses
à la Salpêtrière; I vol. del'Ency- clopédie Léa
Pr Brissaud établit l'unité d'ori- gine et de fonctions des cavités
nerveuses
; ses conclusions confir- ment l'expérimentatio
; tous points qui ont trait à la pratique journalière des maladies
nerveuses
. Une deuxième partie précise les indications th
u dont s'est enrichie la clinique dans le diagnostic des mala- dies
nerveuses
. L.-E. MOREI,. IX. Rapport médical et compte mo
alise le point de départ, non dans le cerveau, mais dans le système
nerveux
ganglion- naire viscéral, source supposée des é
ve violente allant jusqu'aux explosions de désespoirs et aux crises
nerveuses
. » En France. Magnan dit : Il ne faut pas oubli
nation fonctionnelle de l'écorce à l'activité du restant du système
nerveux
. Signalons encore dans le même sens l'opinion d
fance ou à la puberté, phobie constitutionnelle ou plus tard à tare
nerveuse
moins chargée à l'occasion d'un choc émotion- n
s réflexes tendineux et de sa valeur diagnostique dans les maladies
nerveuses
; par W.-M. Becutehew (06ozrcsnié psichiatrü, V,
plus haut intérêt résume la suite de ses recherches sur la cellule
nerveuse
. Les deux premiers élé- ments qui apparaissent
e. Les deux premiers élé- ments qui apparaissent dans toute cellule
nerveuse
depuis ses premières origines sont : 1° la char
qui remplit les mailles de cette charpente, à mesure que la cellule
nerveuse
s'accroît, il apparaît un troisième élément : l
ce cellulaire vers la profondeur en' envahissant toute la cel- lule
nerveuse
, il n'en est pas de même pour les cellules des co
loppés dans la région périnucléaire. Malgré la fixité de la cellule
nerveuse
, la persistance remarqua- ble de sa structure a
les pyramidales. Une caractéristique de la sénescence de la cellule
nerveuse
, c'est la présence, dans son cyoplasma, de gran
'est que toute altération prolongée dans la nutrition de la cellule
nerveuse
s'accompagne de formations de pigment. E. B.
se. Quand la lumière frappe l'aeil, elle met en jeu une impul- sion
nerveuse
qui se transmet au cerveau : dans l'impulsion ell
verses méthodes aux recherches d'anatomie pathologique du système
nerveux
. U. M.-C. XL1V. Un cas d'anévrisme sacciforme d
ent à l'opi- nion de Solovizoff, que le développement de la cellule
nerveuse
radiculaire est indépendant de sa connexion cer
tière de réserve des- tinée à subvenir à la nutrition de la cellule
nerveuse
. Enfin, la constatation par M. von Biervliet pe
De l'asymétrie de la mimique faciale d'origine otique en pathologie
nerveuse
; par Lannois et Pautet. (Revue de méde- cine, 1
Signalant la fréquence des troubles de la mimique faciale chez les
nerveux
, les auteurs appellent en même temps l'attention
bable qu'il faut invoquer l'in- fluence d'une toxine sur le système
nerveux
, chez un sujet déjà très déprimé par les'au trè
es d'exister isolément ou bien ils peuvent alterner avec des crises
nerveuses
spasmodiques, être remplacés par elles ou les r
rapproche de celui des psychores par auto-intoxication du sys- tème
nerveux
, mais en l'absence de données permettant de démon
'influence du sang ainsi modi- fié sur certaines parties du système
nerveux
. La lésion anato- mique la plus fréquemment ren
s'écarter des sen- tiers battus... Les rapports de ses -souffrances
nerveuses
avec son trouble mental ne sont pas clairs, mai
n., octobre 1901.) 12 figures, montrant des altérations de cellules
nerveuses
à di- vers degrés ; l'auteur développe la théor
ance l'un de l'autre, ce sont deux effets d'un même état du système
nerveux
central. ' Un cas de paralysie radiculaire supé
cérébro-spinale con- sécutive à un abcès de l'oreille, de syndromes
nerveux
intéressants : tétraplégie spasmodique coïncida
itue l'un des meil- leurs agents thérapeutiques contre les maladies
nerveuses
et men- tales. (Voir nos Comptes rendus de Bicê
tribution à 1'(tiide des localisations cancéreuses sur le système
nerveux
périphérique, par Oberthur et Mousseuux. 358.
-, par llasoin, 150. Sur un cas de -, par Cuylitz, 50. Cellule
nerveuse
. Etudes sur l'évo- lution et l'involution de la
lution et l'involution de la-, par Il 119arlnesco, 500. Centres
nerveux
. Anatomie clinique des -, par Grasset, 185. Con
ntribution à l'étude de l'état et du développe- ment des cellules
nerveuses
de l' -' chez quelques vertébrés - nouveaux-n
ICALES. Voir Troubles mentaux. LEUCOMAINES. Les de la substance
nerveuse
, par Labatut, 392. LOBE frontal. Ramollissement
les -, par Lalanne, 249. men- tales. Voir Capsules surrénales.
nerveuses
. Voir Réflexe. Quel- TABLE DES MATIÈRES. 581
e faciale. De l'asymétrie de la d'origine optique en patho- logie
nerveuse
, par Lannois et Pautet, 506. Miracles. Etudes
t (les - tendineux et de sa valeur diagnostic dans les mala- dies
nerveuses
, par Bechterew, li97. - I)Iaiitiire contra-laté
ec paraplégie, par Léonard We- ber, 55 et sarcomatoses du système
nerveux
, pa,4 Illiilipl)e, Cestan et Oboi tlitir, 361.
oculaire, asnesthésit's-eg- mentaire. par Bouclland, 436. Système
nerveux
. Voir Cancer. - Voir Sai-coi2e. Tares. Voir M
ROLOGIE A.RCH1 VS DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE ma MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES F 0 N D 1 : ; PAR H J. -]\1. CIIARC
c). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Facilité (le médecine de Paris. COI.LA
00 Vol. X. Juillet 1900. Nu 55. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. Sur un cas d'hémorrhagie méningée sous- arac
nom d'apoplexie méningée. Archives, 2' série, t. X. 1 "2 CLINIQUE
NERVEUSE
. rencier des autres hémorrhagies péri-encéphali
que gauche (facial inférieur et membres) persiste aussi. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. Il y a toujours un état de contracture de la f
s foncée allant du rouge franc au rose pâle et parsemées 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. de quelques rares noyaux. Ces flaques s'observ
artérielle et rhémorrhagie eérébrale se poursuit encore 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. lorsqu'on examine de plus près le mode de cett
sances )2 éclico- chii,ii ? q ic(t 1(,s, 1839, p. 55.) 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. , moitié droite du corps. Ces contractures du
ne change donc avec l'acteur. Mais ce n'est pas tout. 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. Chez un même sujet on la voit subir du soir au
est difficile de porter ce diagnostic et de l'af- 14 -fit CLINIQUE
NERVEUSE
. firmer. Tous les auteurs sont unanimes sur ce
re-vingts ans. Sa mère, soixante-dix-neuf ans, sobre sans accidents
nerveux
, est eczémateuse. Grands-parents 1)(/te1'- neh
sa famille. Mère, soixante-quinze ans se porte bien; aucune maladie
nerveuse
. Grand-père maternel mort vieux, on ne sait de
t resté une apathie un peu hébé- tée due à l'épuisement des centres
nerveux
; G° La rapidité de la guérison est remarquable
mus, novembre 1899 et mars 1900.) Neuf malades atteints de troubles
nerveux
et psychiques ont été traités par l'hypnotisme
mes d'idiotie et quelques cas curieux de difformités et de troubles
nerveux
. Les malades sont bien nourris, convena- blemen
vient corroborer la présence d'autres signes de lésion des centres
nerveux
tels que affaiblissement intellectuel et embarr
des : la pénétration, la fixation de l'impression dans la substance
nerveuse
, et sa conservation. Dans la reproduction il y
99. F. Deuticke. POLL1CK IB.). Préparation el coloration du système
nerveux
. Traduit de l'allemantl, parNicolaïdi, par Laun
ibrairie Carré et Naud. - Raymond. Clinique des maladies du système
nerveux
(hospice de la Salpêtrière, 1897-1898). Volume
e quiaurail perdu la possibilité démarcher, par suite d'une maladie
nerveuse
, rhumatismale ou autre ; clans ces derniers tem
des épilepsies n'est pas toute dans la détermination 104 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. du point de départ des décharges convulsives ;
e réservée dans l'efficacité finale de l'intervention. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Méningo-myélite syphilitique avec signe d'Ar
accuse des fourmillements dans la sphère du cubital. 106 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'examen des yeux montre l'absence de nystagmu
te-trois ans, couturière. Père mort d'hémorragie cérébrale. Famille
nerveuse
. Pas d'antécé- dents personnels, Deux fausses c
it ce signe. Ne faudrait-il pas, d'ailleurs, en pre- 108 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mier lieu, connaître la physiologie exacte, le
server le signe d'Argyll en dehors de tout autre trouble du système
nerveux
. Faut-il, dès lors, faire de la syphilis la cau
la lésion du faisceau pyramidal. D'autre part, nos 110 0 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. malades ne sauraient être considérés comme des
comme tailleur. Une soeur, mariée, n'a jamais présenté d'accidents
nerveux
; elle a deux-filles, l'ainée, âgée de six ans,
eu de crises depuis sa sortie de Villejuif mais elle est tou- jours
nerveuse
. Sa mémoire s'affaiblit. Albertine dit que de tem
é que de ces tubercules, portaient un nombre considérable de fibres
nerveuses
descendantes reliant cette masse grise aux mass
raux et bilatéraux, quine reposent que sur la diffusion de l'influx
nerveux
à des centres plus ou moins éloignés de ceux ap
neurones et les théories nouvelles sur les connexions des éléments
nerveux
; par VAN Gehuchten. (Journal de Neurologie, 1S
- Dans ces derniers temps, le fait de l'indépendance des éléments
nerveux
, mis en lumière par Hamon y Cajal et adopté par l
e d'un côté et l'atrophie de l'autre devraient envahir les éléments
nerveux
voisins. G. D.- -- 126 REVUE D'ANATOMIE ET DE P
26 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. VI. Le système
nerveux
chez les aliénés ; par J. F. Belstvs. (British
tomie topographique et la physio- logie de cette partie des centres
nerveux
. It. C. IX. Nouveau myographe; par le Dr BUFALI
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 127 X. Sur les altérations du système
nerveux
central dans l'em- poisonnement lent par le chl
l'auteur sur des chiens, il résulte que les altérations du système
nerveux
produites par l'empoisonnement lent de la cocaïne
, état mental sain. Autopsie : l'examen microsco- pique des centres
nerveux
à l'état frais fait défaut, le cerveau et le ce
exes. ( ? 1). : ` XX. Rapports entre les prolongements des cellules
nerveuses
des invertébrés et des vertébrés; pdr le D1' Hv
mentale de Belgique, décembre 1900.) L'étude comparée delà cellule
nerveuse
des animaux des divers, embranchements conduit
es divers, embranchements conduit à cette conclusion que la cellule
nerveuse
est construite d'après un même plan. Le type, c
pendant que chez les divers animaux, les prolongements des cellules
nerveuses
se terminent librement et se mettent en rapport
oumet à l'action d'un courant induit un nerf sensitil, les cellules
nerveuses
motrices changent de formes. Les auteurs ont né
nes. Dans un premier type, les fibrilles continuant le prolongement
nerveux
s'en vont, comme un méridien, au pôle de la sph
pôle de la sphère de la cellule, et s'en reviennent au prolongement
nerveux
. Dans un second type, les neurolibrilles formen
res délicates, viennent les fibrilles périphériques du prolongement
nerveux
; de la grille périnucléaire, à grosses fibres,
ibrille primitive, épaisse, axile, qui s'en va dans le prolongement
nerveux
. Le limaçon traité par la méthode rapide de Gol
se traduit par les détails suivants. Il y a imprégnation des fibres
nerveuses
périphériques et de celles du neuropile, mais i
montre les types d'Apâthy f figures). On voit dans le prolongement
nerveux
de tout petits grains nombreux, ordonnés en sér
t donc très épais au niveau du col de la cellule et du prolongement
nerveux
. Plus minces sont les granulations, plus diffic
cipaux du schéma d'Apàlhy. Leur manière d'être dans le prolongement
nerveux
les rattache aux fibrilles primitives. Ces grou
'est-ce que le neurosome qui réagit au pôle négatif ? Si les fibres
nerveuses
composées d'un cordon de fibrilles primitives,
on de fibrilles primitives, se comportent, de même que les cellules
nerveuses
des vertébrés, autrement que les fibrilles nues
également im- prégnables, bien que pas au même degré que les fibres
nerveuses
. Les nerfs périphériques enclavés dans les tiss
ssant d'une manière tout à fait analogue sur les autres territoires
nerveux
périphériques ou cen- traux des vertébrés ou de
ux des dendrites et des den- draxones, sont partout dans le système
nerveux
central révélées par le sel d'argent sous la fo
olés. L'impéné- trable embrouillement de ces fibres dans le système
nerveux
central des vertébrés nous empêche et nous empê
'expliquer, ni par un trouble de l'activité trophique de la cellule
nerveuse
médullaire, ni par des perturbations vaso-motrice
uber- culose avancée ou généralisée. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Le diagnostic différentiel de l'apoplexie h
-neurasthémque d'ori- gine traumatique. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 149 IV. Un cas de poliomyélite aiguë en voie d
ques desbras etdesjambes. En revenante lui, 1DO REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. il ne peut pas parler, mais se fait comprendre
eurs, le tout ayant pour substratum un état morbide de la substance
nerveuse
. La question de savoir si cet état morbide a po
n de savoir si cet état morbide a pour siège le neurone, la cellule
nerveuse
, la fibre nerveuse, ou bien tous ces divers élé-
état morbide a pour siège le neurone, la cellule nerveuse, la fibre
nerveuse
, ou bien tous ces divers élé- ments, demeure en
rare chez les enfants au-dessous de huit ans. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. loi 4° La symptomatologie de l'hystérie devien
let de l'hémianopsie sous toutes ses formes 152 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' (homonyme, bitemporale, binasale, centrale i
uelques stigmates sensitifs d'hystérie ont per- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 153 mis d'établir le diagnostic. Tous les trai
es coupes : épaississement et sclé- rose de la pie-mère et du tissu
nerveux
sous-jacent de toute la région du 4° ventricule
ant également importants.. - F. B ... 154 -11 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XIV. De l'inflammation ankylotique de la colon
abilité électrique du dos (Beer). L'ensemble du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1 SS complexus symptomatique serait, d'après B
ait donc ici plutôt tabétique. P. KERHAL, 156 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XVII. De la microgyrie et de la microphthalmie
ent de la névralgie, stratification anormale des cellules et fibres
nerveuses
). L'auteur croit à la simultanéité des lésions
me de quarante-six ans. Nécropsie. Figures. - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 157 droite, ramollissement cortical des deux p
énomènes de déficit sensitifs et moteurs. 158 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'inconscience avec délire de plusieurs jours
été atteints non pas seulement de chorée semblable mais de maladies
nerveuses
éaractérisées. L'hérédité chronique remonte à R
s éaractérisées. L'hérédité chronique remonte à REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 159 ses arrière-grands-parents maternels : un
illr., 1111;1V. l·'. X, 1899.) Critique de la division des maladies
nerveuses
de P. J. Moebius. L'étiologie sert surtout à di
émonstration. BIBLIOGRAPHIE. VI. Clinique des maladies du système
nerveux
(quatrième série) ; par le professeur RAYMOND.
des principales du tabes : paralysie générale, syphilis des centres
nerveux
, ophtalmie pro- gressive, hémiatrophie de la la
(Le Bonhomme Normand du 12 juillet.) Hospice DE Bicètre. - Maladies
nerveuses
des enfants : Ji. BOUR- NEVILLE, le samedi à 9
is à hospitaliser un certain nombre de sujets atteints de, maladies
nerveuses
. " Chaque division d'hommes et de femmes compre
fondée en 1890) pour une quinzaine de malades convalescents ou de «
nerveux
». Il sert de bureau d'admission pour l'autre é
rient de 1,20 à 0 marks 50. Le nombre des admissions de malades «
nerveux
» va sans cesse en augmentant. Le professeur de
e sépare de ces auteurs en ce que : 1° Je n'assimile pas la cellule
nerveuse
à un condensa- teur comme la bouteille de Leyde
'il existe certaines THÉORIE DES NEURO-DIÉRECTRIQUES. 209 lésions
nerveuses
que j'appelle les ae2cro-diélecf·iqtces paflao-
r aux cellules du bulbe et de l'écorce l'assimilation de la cellule
nerveuse
à un élément électrique, je l'étends à toutes l
nerveuse à un élément électrique, je l'étends à toutes les cellules
nerveuses
; 4° Au lieu de limiter la conception de la déc
ules nerveuses ; 4° Au lieu de limiter la conception de la décharge
nerveuse
à l'épilepsie, je l'étends à toutes les secouss
la vitesse de propagation et la longueur d'onde des oscil- lations
nerveuses
, nous permettent de croire, après du Bois- Raym
n seulement un organe de transmission, mais un organe de dégagement
nerveux
. Autant dire que l'axone, et, d'une façon plus
quences d'un excès de travail ou d'un trop long repos. Le système
nerveux
est une machine qui, comme toute machine, et pa
la source princi- pale de notre force. On peut dire que la machine
nerveuse
reçoit ces mouvements. Mais d'autre part, les
ivalence des forces étant applicables aux êtres vivants, la machine
nerveuse
rend des contractions muscu- laires, et des mou
r animale, électricité organique, trophisme). En un mot, le système
nerveux
n'est qu'un lieu de passage et l'origine de not
été dans les sens. Il n'y a pas un instant de la vie ou le système
nerveux
ne reçoive du mouvement, et il n'y a pas un ins
st la une preuve certaine qu'il existe des barrages dans le système
nerveux
. Ces barrages, je les appelle les 1WW'I) ,diéle
Or il se forme normalement des diélectriques, dans les conducteurs
nerveux
. Le défaut fréquent d'équivalence entre la prov
erlé de Jean Renaut). Or c'est il la formation dans les conducteurs
nerveux
de lIellro-diélectriqlles pathologiques que son
u neuro-diélectrique est due : 1° Soit à l'action sur le conducteur
nerveux
d'un poison non microbien ou microbien (tremble
upture (paralysies trau- matiques diverses). Dès qu'un conducteur
nerveux
est altéré physiquement, chimiquement ou histol
s encore que les neuro-diélectriques grossiers. Ce sont ces lésions
nerveuses
qui ont été constatées en correspondance avec l
tué dans un conducteur, le potentiel, ou, si l'on veut, la pression
nerveuse
augmente peu à peu en amont, par suite de l'arr
e. - Que se passe-t-il entre les décharges ? 1° Ou bien les ondes
nerveuses
continuent de traverser le neuro-diélectrique s
fréquence. De même : - Cinquième LOI. Pour une quantité d'influx
nerveux
donnée, la force des décharges nerveuses est en
. Pour une quantité d'influx nerveux donnée, la force des décharges
nerveuses
est en raison in- verse de leur fréquence. C'
Sixième LOI. Si en amonl d'un 1wllI'o-diélecll'irjlW la pression
nerveuse
augmente, les décharges nerveuses aug- mentent
1wllI'o-diélecll'irjlW la pression nerveuse augmente, les décharges
nerveuses
aug- mentent de fréquence. La pression nerveu
e, les décharges nerveuses aug- mentent de fréquence. La pression
nerveuse
augmente en amont d'un neuro- diélectrique :
plosif qui correspond à l'émotion). L'augmentation de la pression
nerveuse
eu amont du neuro-diélectrique peut même rendre
SLPTlÈ.lOE loi. Si en amont d'un ueecro-diélectoictaee, la pression
nerveuse
diminue, les décharges nerveuses dimi- nuent de
ueecro-diélectoictaee, la pression nerveuse diminue, les décharges
nerveuses
dimi- nuent de fréquence. La pression nerveus
ue, les décharges nerveuses dimi- nuent de fréquence. La pression
nerveuse
diminue en amont d'un neuro-diélec- trique :
e est beaucoup moins volumineux que le droit. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXIV. Polynévrite avec incontinence d'urine et
cervico-inférieure dans le bras, et il était 18 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. survenu une atrophie très marquée des muscles
emblent sincères et se trompent eux-mêmes comme REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 2 I l) ils trompent les autres. Il est possibl
qui se forment sur une rétine saine, ayant toutes ses connexions
nerveuses
normales. La perception est en suspens. Quelque c
s faits qui tiennent à la marche si souvent 220 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rapide de la maladie. Dans des cas plus lents
la moelle, mais ce peut être également dans le corte et les racines
nerveuses
(Bailey et Ewing). Pour Meyer, la paralysie de La
pliquer le nom de « maladie », et, dans ce cas, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 11221 il vaut mieux abandonner un nom qui est
nelles qui a été la cause de la chute. . D. 224 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XL. Parésie des quatre membres, contractures,
résie linguale; démarche ébrieuse et hémiplégie REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 3M droite. L'examen attentif de tous les organ
and nombre dans toute l'étendue de la tumeur. Les éléments du tissu
nerveux
n'étaient pas refoulés par la tumeur, mais on l
drait être Archives, 2° séiie, t. X, 15 2G C) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. insensé pour en contester l'existence ; mais j
tique et critique sur cette discussion. (B.) .) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 227 I vauché l'une sur l'autre de manière à co
e REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 231 sens de la loi. Mais les troubles
nerveux
que présentait M-9 S..., son faible niveau inte
les buveurs d'habitude, les alcoolisés délirants et les aliénés ou
nerveux
avec appoint alcoolique. Quelques promoteurs im
mois et plus, est consacrée à une thérapeutique générale du système
nerveux
. Traitement de l'affection générale (artério-sc
ette période, au bout de laquelle on assure au malade, que son état
nerveux
général, qui constitue l'élément important, éta
i embrasse l'anatomie, la physiologie et la pathologie du système
nerveux
. A ne considérer que l'étude des maladies nerveus
ologie du système nerveux. A ne considérer que l'étude des maladies
nerveuses
, nous la voyons occuper, au milieu des autres b
ent à une époque où la structure et l'agencement intime des centres
nerveux
étaient à l'état de lettres mortes pour 1(.s an
rgane, était méconnue ou niée. On ignorait l'existence des cellules
nerveuses
. Les représentants officiels de l'enseignement
rt des anatomistes niaient la pré- sence de fibres dans les centres
nerveux
, Gall et Spurzheim affir- maient catégoriquemen
nctionnement de la moelle se reflète dans les traités de pathologie
nerveuse
de l'époque. L'anatomie pathologique n'avait gu
onnels qui figurent dans la symptomatologie des maladies du système
nerveux
. Indépendamment des maladies ner- veuses propre
matisation n'allait pas plus loin, dans le domaine de la pathologie
nerveuse
; n'empêche qu'elle s'affirmait, d'une façon très
s'éclaira d'une lueur nouvelle, grâce à la découverte des cellules
nerveuses
, dont l'honneur revient à Ehrenberg, à Valentin
riquement, que toutes les fibres du cer- veau naissent des cellules
nerveuses
. Entre temps, Virchow nous avait révélé l'exist
vait révélé l'existence d'une trame interstitielle dans les centres
nerveux
, l'existence de la névroglie, déjà entrevue par C
déchiffrer l'agencement intime des cellules ner- veuses, des fibres
nerveuses
et de la névroglie; de démêler l'enche- vêtreme
en apparence inextricable, des appareils qui composent les centres
nerveux
et qui président, pour ainsi dire, à toutes les
rniers temps, notre conception de l'organisation intime des centres
nerveux
; elle subsiste encore en grande partie. Wa- gn
s éléments cel- SECTION DE NEUROLOGIE. 257 Î lulaires des centres
nerveux
. Gerlach objectivisait'cettè couceptiou des rap
ettè couceptiou des rapports anatomiques des cellules et des fibres
nerveuses
. Il édifiait sa doctrine de l'agencement réticu
ulé des fibrilles qui étaient censées unir entre elles les cellules
nerveuses
. La doctrine du réseau de Gerlach a régné, sans
e ; elle aboutit à une rénovation de cette branche de la pathologie
nerveuse
. Une fois en possession de cette donnée fondame
Une fois en possession de cette donnée fondamentale que les centres
nerveux
se composent d'éléments parenchymateux, cellule
soutenus par une trame interstitielle, on appliqua, à la pathologie
nerveuse
, les mêmes principes qui ont cours dans les aut
nous révélaient l'existence d'une sclérose qui envahit les centres
nerveux
sous la forme d'îlots disséminés; les recherches
it pas moins les hémisphères cérébraux comme une masse de substance
nerveuse
, homogène au point de vue fonctionnel. On se re
ches de Flechsig, sur la chronologie de la myélinisation des fibres
nerveuses
dans le cerveau du foetus et du nouveau-né, pou
le de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie des centres
nerveux
et des nerfs pérphiériques. Aussi me bornerai-je
NATIONAL DE MÉDECINE. fond en comble, notre connaissance du système
nerveux
. Elles ont abouti à nous doter d'une conception
t, sans témérité aucune, qualifier d'iné- branlables : Le système
nerveux
. nous apparaît maintenant comme un ensemble d'a
qui a été fait, dans ces trente dernières années, pourra pathologie
nerveuse
, de fonder, sur des bases objectives, le diagno
ppement des maladies mentales et dans le développement des maladies
nerveuses
, nous incriminons les mêmes causes pro- vocatri
d'une prophylaxie rationnelle des maladies mentales et des maladies
nerveuses
. Une connaissance 64 CONGRÈS INTERNATIONAL DE M
exacte de l'organisation structurale et fonctionnelle du sys- tème
nerveux
concourra à faire édifier, sur des données positi
vec une ri- gueur croissante, le siège et le mécanisme des maladies
nerveuses
ou mentales, de distinguer celles qui résultent
compromettre le bon fonctionne- ment et l'intégrité de leur système
nerveux
. Et c'est la ce qu'il y a de plus salutaire et
er les intoxications qui menacent le plus directement nos appareils
nerveux
, en commençant par la plus néfaste et la plus r
et des fonctions de la plus noble partie de notre être, du système
nerveux
. M. le D1' Pierre Marie, secrétaire général du
vancement de nos connaissances pour tout ce qui concerne le système
nerveux
normal et pathologique. » M. le Dl' Magnan, Pré
e au développement de nos connaissances sur les maladies du système
nerveux
. » Sont nommés Présidents d'honneur de la Secti
cette question fut mise à l'ordre du joùr à la section des maladies
nerveuses
et mentales au Con- grès des Médecins russes, e
e haute température et chez les personnes très épuisées. CLINIQUE
NERVEUSE
. Syndrome de Basedow post-typhoïdique ; Par F
entre 110 et 120. Ai-.r.nnE : , e sél ie, t. X. 19 290 CLINIQUE
NERVEUSE
. Cette complication attira l'attention vers le
13 du même mois pour une recrudescence de ses pal- 292 1-) CLINIQUE
NERVEUSE
. pitations, amenée par quelques tentatives pour
oger et Garnier. Société de biologie, 30 juillet 185S. 294 CLINIQUE
NERVEUSE
. de vue, nous ne relevons aucune propathie pers
ladies infectieuses, Thèse de Paris, 5 février 1809. 296 CLINIQUE
NERVEUSE
. tation de volume de la glande thyroïde, et l'h
omme n'en demeure fort gênée. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. L'énergie
nerveuse
et l'énergie électrique, à propos de la théorie
héorie et qui ne tend à rien moins qu'à l'assimilation de l'énergie
nerveuse
à l'énergie électrique ; l'autre particulier, q
de prétendre que la force produite par le fonctionnement du système
nerveux
était de nature électrique. Je voulais simpleme
peut établir l'équivalence. Ce que je soutiens, c'est que la force
nerveuse
n'est également qu'une forme de l'énergie : se
e, mais non de nature. La similitude est telle entre les phénomènes
nerveux
et psychiques et les phénomènes électriques que
r aux derniers, d'au- tant plus qu'il n'est aucun de ces phénomènes
nerveux
et psy- chiques qu'on ne puisse reproduire au m
ion reçue. Je n'ai pas voulu conclure à l'identité des phénomènes
nerveux
et électriques, et on s'est servi de cette réserv
oyé, alors que mon but était de démontrer l'identité des phénomènes
nerveux
et psychiques, non pas avec les phénomènes élec
ue, et de faire rentrer ainsi ces phénomènes dans l'ordre l'énergie
NERVEUSE
ET l'énergie électrique. 299 physique, dont on
dans ses premières phases. De même pour l'analogie entre l'élément
nerveux
et l'accu- mulateur (p. 1 G, 196, 202). Tout le
ésonance électrique. Mais je crois que le principal rôle du système
nerveux
est dans la transformation de l'excitation reçu
culier comme de véritables transformateurs et producteurs d'énergie
nerveuse
. Une excitation périphérique atteint l'extrémit
ration ainsi produite se propage le long du nerf : c'est le courant
nerveux
, mesurable et comparable à toutes les vibra- ti
t comparable à toutes les vibra- tions d'ordre physique. Ce courant
nerveux
aboutit, en sui- vant les fibres nerveuses, à d
ordre physique. Ce courant nerveux aboutit, en sui- vant les fibres
nerveuses
, à des agglomérations de cellules de l'écorce c
de cette excitation soit tout à fait différente de celle du courant
nerveux
. - De sorte qu'en fin de compte l'état molécula
ec l'excitation provocatrice. En se propageant à travers le système
nerveux
, la force qui a agi sur lui se trans- forme don
différentes formes d'énergie prennent une nouvelle forme : énergie
nerveuse
et psychique. M. Binet-Sanglé, se basant sur
arités qu'on observe dans le rendement si je puis dire du système
nerveux
, pense qu'elles sont dues à des barrages, et ce s
ment aussi sur les résistances qui s'opposent au passage du courant
nerveux
et à l'accumulation de l'énergie psy- chique, e
du cerveau, les fuites qui se produisent dans le trajet du courant
nerveux
au niveau des groupes de neurones éche- lonnés
rragesplus ou moins résistants interposés sur le passage du courant
nerveux
, mais j'ai encore étudié ces variations de rési
variations de résistance et les causes de déperdition de l'énergie
nerveuse
. J'ai même cherché à montrer (p. 197), à l'aide
des arguments à l'appui de sa thèse de l'assimilation de l'énergie
nerveuse
à l'énergie électrique. J'avais conclu à la sim
ns la période de croissance, aussi bien les cellules que les fibres
nerveuses
. Parfois, comme dans un cas rapporté par Bournevi
les cas névropathiques congénitaux (genetous), surtout des enfants
nerveux
ordinairement issus de parents névrotiques, nou
ION DE PSYCHIATRIE. 309 rations de dégénérescence dans les cellules
nerveuses
du cortex, dans la motor area, et une augmentat
ellules local ou diffus, avec une atrophie progressive des cellules
nerveuses
. « Les cellules du cerveau des imbéciles épilep
étendue considérable, un développement des neurones ou des cellules
nerveuses
, pas plus grand que celui qu'on observe chez l'
atrophique, diminution de la sub- stance corticale et des éléments
nerveux
, avec production excessive de tissu connectif,
membres paralysés. Dans la forme acquise, il y a perte de substance
nerveuse
, par inflammation du cerveau ou de ses méninges,
évroglie, une dégénérescence graisseuse et pigmentaire des cellules
nerveuses
et une atrophie de leurs processus, avec dimi-
ugmentation de la névroglie et la disparition d'une partie du tissu
nerveux
. Jusqu'à maintenant, il y a quelques phénomènes
ouvons d'ailleurs résumer les anomalies, en disant que les cellules
nerveuses
sont ordinairement arrondies ou poirciformes, e
: anomalies de croissance et de nutrition im- primées à la cellule
nerveuse
croissante aussi bien qu'à la cellule de névrog
duisent successivement les dispositions des cellules et des' fibres
nerveuses
dans les diffé- rentes régions en jetant un cou
giques grossiers, évidents, la plupart morphologiques, du système
nerveux
central, correspond aux besoins pratiques de la s
mo-palhologique basée sur l'étude de la structure délicate du tissu
nerveux
et de ses éléments, et sur des notions embryolo
es des cerveaux d'idiots est la déviation du développement du tissu
nerveux
; il faut cher- cher son origine dans la vie em
e, parce que dans ce dernier, avec amoindrissement général du tissu
nerveux
des hémisphères, les proportions correspondante
e grise des hémisphères cérébraux et le centre semi-ovale, le tissu
nerveux
parfois se trouve dans un état d'arrêt de dével
n que la richesse de la substance grise et l'abondance des cellules
nerveuses
peuvent être accompagnées d'idiolie. Mais dans
e défaut d'harmonie dans le développement des différents élé- ments
nerveux
, rend imparfait un organe si prodigieusement doté
certains rapports et si pauvres sous d'autres. Mais dans le système
nerveux
central, tout dépend non pas de la quantité, ma
blanche n'est que la continua- tion des prolongements des cellules
nerveuses
: ainsi la richesse des ramifications dendrique
cerveaux où la substance blanche est peu déve- loppée, les cellules
nerveuses
doivent être pauvres en prolonge- ments et leur
leur connexion (Déjerine). Par conséquent la richesse des cellules
nerveuses
peut coexister avec l'idiotie, si les cellules
lesquelles se propagent, s'accu- mulent et se combinent les forces
nerveuses
. L'abondance de la couche de neuroblastes dans
rébral, provoque sans doute l'insuffisance des fonctions du système
nerveux
jointe à la manifestation de l'intellect. Mais
transformer en éléments d'ordre supérieur, c'est-à-dire en cellules
nerveuses
. Dans la couche des neuroblastes se rencontrent
sous l'influence d'une impulsion propice se transformer en cellules
nerveuses
et contribuer à rehausser l'acti- vité des fonc
des circon- volutions sans malformations, avec lésions des cellules
nerveuses
(Idiotie congénitale idiopathique); 4° Idioti
tenant en nombre toujours plus grand, dans le domaine des fonctions
nerveuses
inférieures; et, par là, les essais tentés jusq
e son entrée dans le service de la Clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpêtrière, cet homme réalisait l'associ
cette méthode. Il est un principe général d'après lequel des fibres
nerveuses
équivalentes (c'est-à-dire appartenant au même
te de tout ce que l'on sait sur l'ordre de développement des fibres
nerveuses
, que les territoires primordiaux, présentant su
XIV, p. 209, 1S98. = Cilles de la Tourette. Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1898. \'on Leyden et P. Jacob. Beriel itbcr di
it M. Courtade 3, nous massons l'hémiplé- 1 Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1898. 5 Professeur A. IIof1'a. Technik der mas
arésie. On croit aussi, que c'est par l'action directe sur la fibre
nerveuse
, que le massage ' GoliakhoWSky. La technique cl
70 femmes); 25 lits sont réservés aux sujets atteints d'affections
nerveuses
. Le prix de revient du lit a dépassé 10 000 fra
s en fer. Dans les locaux destinés aux aliénés tranquilles et aux «
nerveux
», les barreaux sont supprimés. Les fenêtres des
e 2 hectares. Les jardins réservés aux malades tran- quilles, aux «
nerveux
», sont vastes, avec pelouses, allées ombra- gé
olique, et 40 sujets (26 hommes et 14 femmes) non aliénés (maladies
nerveuses
). Les sorties pour cause de guérison ont été da
ont eu pour base l'étude de l'anatomie du développement du système
nerveux
. Tout le monde connaît ses recherches, vul- gar
sa méthode basée sur l'apparition de la myéline dans les centres
nerveux
; ses travaux sur les lésions systématiques de la
clinique modèle 376 G ENSEIGNEMENT. pour les maladies mentales et
nerveuses
, fit. pour la somme de 150 000 francs, l'acquis
lasse, 73 de troisième classe, plus 20 sujets atteints d'affections
nerveuses
, soit un total de 110 malades répartis en six p
ance permanente ; l'autre est destinée aux malades paisibles et aux
nerveux
. Elles communiquent par un corridor de 10 mètre
qu'il ne s'agisse d'un agité, ou d'un malade inoffensif, ou d'un «
nerveux
». Si un accès d'agitation se déclare chez un d
tes. Quant à la deuxième salle du pavillon, elle est réservée aux «
nerveux
». On dispose donc, en dehors des « nerveux »,
elle est réservée aux « nerveux ». On dispose donc, en dehors des «
nerveux
», de vingt à trente lits pour les catégories s
874, Hitzig pouvait écrire « qu'une portion considérable des masses
nerveuses
constituant les hémis- phères cérébraux - on pe
alades el du personnel de la Clinique de psychiatrie el de médecine
nerveuse
de l'Université de llctlle-1T'illenLea·ll. Ce q
ntacte un an après la destruction de l'influence directe du système
nerveux
. Enfin le muscle conserve ses caractères his- t
dépression varie suivant l'animal. Les nerfs sensitifs, les centres
nerveux
, le coeur possè- dent chacun leur seuil de dépr
ur l3ernslein à Halle les expériences de Mendelssohn sur le courant
nerveux
axial c'est-à-dire sur la différence de potenti
Suivant lui, grâce à l'influence trophique des centres sur la fibre
nerveuse
, la désorganisation se fait plus rapidement dan
Le goût styptique particulier provoqué par l'excitation des filets
nerveux
gustatifs ne dépend donc que de cette excitatio
ctrode indiffé- rente sur le sternum, électrode active sur le tronc
nerveux
ou le muscle. Les résultats sont d'ailleurs ide
: les travaux : de Gaetano Corrado sur les altérations des cellules
nerveuses
dans la mort par l'électricité et ceux de Prévo
nt faire revenir les animaux à la vie. Les altérations du système
nerveux
, consistent- en. congestion ou. hémorragies- de
s ou spinales de nombreuses, bulles de gaz. Le corps* des- cellules
nerveuses
: subit. des- déformations variées, éro- suions
n lacunaire totale ou partielle dans un certain nombre de, maladies
nerveuses
, soit cérébrales, soit périphériques et l'a tro
rothérapie est toujours en bonne place dans les maladies du système
nerveux
et des acquisitions nouvelles viennent chaque a
a cilé les boni effets qu'il obtient de la galvanisation du système
nerveux
central dans certaines névroses. Il nie que les
astriques, la neurasthénie, l'hypochondrie, la fatigue cérébrale ou
nerveuse
. La migraine, le goitre exolihthalmique, la mal
ndrait bien, d'après l'auteur, à toutes les incontinences d'origine
nerveuse
ou musculaire ou d'origine centrale. S. Leduc
dont le minimum est nécessaire pour produire chez l'adulte un acte
nerveux
(une impression lumineuse, par exemple). Une voie
sseur Gras- SET (de Montpellier). M. Grasset considère l'appareil
nerveux
kinesthésique et les modes d'observation et d'e
inématographe à l'élude des troubles de la marche dans les maladies
nerveuses
; par Marinesco (de l3ucharest). M... rappelle l
se que l'on peut admettre que la constitution de la substance grise
nerveuse
se prêle plus qu'aucune autre à cette réaction
n, quels qu'en soient la nature et le siège, agira sur les cellules
nerveuses
pour en modifier la structure et la fonction. D
. Vol. X. Décembre 1900. N° 60. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. Clinique psychiatrique DE Montpellier. (Serv
n'est pas d'investigation clinique, dans le domaine des affections
nerveuses
, qui n'ait, comme complément nécessaire, sinon
. Ceci est surtout à re- marquer pour certaines maladies du système
nerveux
central et en particulier pour la paralysie gén
nurie des travaux sur Archives, 2° série, t. X. 29 - 150 CLINIQUE
NERVEUSE
. cette dernière question, mais aussi par les re
ide au diagnostic dans les maladies mentales, 189G. 452 li CLINIQUE
NERVEUSE
. neurologie de Bruxelles (1897), dans une deuxi
Par sa constance dans certaines affections, avec lésions du système
nerveux
central, ce phénomène acquiert une significatio
t le réflexe plantaire dans les différentes affections du système
nerveux
central. Nous citerons principalement celles de
nous permettre d'apprécier avec plus d'exactitude l'état du système
nerveux
dans cette maladie. Pour mieux mettre en relief
1 d 1 m 1 1 1 1 5 m 1 1 1 z 458 CLINIQUE
NERVEUSE
. vant la technique que nous venons d'indiquer,
xagération du réflexe se rencontre : ait beaucoup plus 460 CLINIQUE
NERVEUSE
. fréquemment i : t cette période que les autres
893 l'Institut médico-pédagogique, consacré aux enfants arriérés et
nerveux
pour les familles aisées. Par de nombreuses pub
t les expé- riences tendaient à faire admettre l'identité des ondes
nerveuses
et des ondes électriques, ou tout au moins leur
-docenteu ; 1,3-13 étudiants). La clinique des maladies mentales et
nerveuses
de l'Université de Berlin est installée dans le
e 11 à 12 h. 112) avec poli- clinique. La policlinique des maladies
nerveuses
de la Charité est publique; elle a lieu trois f
e). En dehors des leçons magistrales, l'enseignement des maladies
nerveuses
et mentales est encore assuré à Berlin (18\H-) pa
Mendel ; le cours (payant) du professeur Bernhardt sur les maladies
nerveuses
, l'électrodiagnostic et l'électrothérapie (prés
tions) ; -le cours (payant) de dia- gnostic des maladies du système
nerveux
et d'électrothérapie du D' Hemah ; - le cours (
lenburg ; le cours (payant) de dia- gnostic des maladies du système
nerveux
avec exercices pratiques du D1' Goldscheider :
s (payantes) de diagnostic et de traitement des maladies du système
nerveux
, avec considérations sur l'électrodiagnostic et
'' Moëli; -le cours public sur les rapports des maladies du système
nerveux
avec les autres affections, du professeur Bernh
' Koppen ; - les conférences de thérapeutique générale des maladies
nerveuses
, du D' Goldscheider. Le non-restreint, introdui
ivat-docenten; 233 étudiants.) La clinique des maladies mentales et
nerveuses
de l'Université de Stiasbourga été fondée en 18
e normal de la population est de 90 aliénés et 30 épilep- tiques ou
nerveux
. Au point de vue économique, la clinique dépend
ue était, au commencement de 1889 : aliénés, 73 ; épileptiques et «
nerveux
», 58. Nombre des admissions en 1889 : aliénés
Nombre des admissions en 1889 : aliénés : 274 ; épileptiques et «
nerveux
» : 123. Consultations, en 1889 : 564 cas. Po
Population (1° janvier 1898) : aliénés : Ci (23 hommes, 38 femmes);
nerveux
et épileptiques : 28 (16 hommes, 12 femmes). No
hommes, 12 femmes). Nombre des admissions en 1897 : aliénés : 304;
nerveux
et épilep- tiques : 173. - Malades traités à
nts et leurs collatéraux, toutes les formes pos- sibles de maladies
nerveuses
et mentales : en effet, il n'est pas rare d'y r
des hystériques, des épileptiques, des sujets atteints d'affections
nerveuses
de toute nature et aussi des suicidés, des désé
n, quels qu'en soient la nature et le siège, agira sur les cellules
nerveuses
pour en modifier la structure et la fonction.
'elles exercent sur la natalité, sur la léthalité et sur le système
nerveux
, ces derniers s'exprimant sous la forme de ces st
ut degré, sans toutefois constituer une véritable folie; l'hérédité
nerveuse
; l'hérédité diathésique; l'hérédité cérébrale et
s saines aux familles d'aliénés, de psychiques, de diathésiques, de
nerveux
, de cérébraux et d'alcooliques ; 3° La di- minu
des aliénés, des dialhé- siques, des psychiques, des cérébraux, des
nerveux
et des alcooli- ques ; il' La léthalité des sur
eu près la même dans les familles saines, vésaniques, psychiques et
nerveuses
; elle serait t augmentée dans les familles diat
Ces causes héréditaires peuvent marquer leur action sur le système
nerveux
des descendants par des stig- mates. A ce point
vésanique et cérébrale; puis viennent les hérédités diatéhsique et
nerveuse
, dont l'action est déjà plus générale : et, enf
lexes pathologiques résultant d'une sorte de débordement du courant
nerveux
empêché de trouver son chemin au cerveau, ou d'
er son chemin au cerveau, ou d'une excitabilité accrue des éléments
nerveux
de la moelle séparée des centres supérieurs.
aladie du cerveau, est exceptionnelle et peut être causée par shock
nerveux
ou par une lésion secondaire de la moelle. .
ullement une preuve d'une division transversale totale des éléments
nerveux
de la moelle. 9° L'abolition des réflexes pat
ssibles mais rares où la perte de ces réflexes est causée par shock
nerveux
. 10° L'examen des réflexes rotuliens n'est pas
clure la possibilité d'une réaction par l'intermédiaire d'un centre
nerveux
. La « secousse » est une réponse directe du mus
réflexe dont dépend le tonus spinal du muscle est composé de fibres
nerveuses
afférentes venant du muscle lui-même (le tricep
rouge comme un centre réflexe important. Il montre que les centres
nerveux
supérieurs réagissent sur les cellules motrices
clérose à l'action immédiate d'une substance toxique sur les fibres
nerveuses
. Elle est attribuée par Marie à une affection de
tre elles. P. KERAVAL. XXVIII. De quelques altérations des cellules
nerveuses
de l'écorce du cerveau révélées par la méthode
eures, de l'excitation que le choc du tendon produit sur les fibres
nerveuses
sensibles intratendineuses. Un facteur physique
dégénérescence tabétique des cordons postérieurs dont les éléments
nerveux
sont atteints, non tous et simultanément, mais
iliaire et au nasal interne. Les parties les plus basses du système
nerveux
central amène- raient les segments les plus pos
nt probablement les éléments sensitifs de la même partie du système
nerveux
central que les parties de la peau du front voi
nt quitté l'hôpital, le présentant encore. Deux fois les phénomènes
nerveux
ont réalisé le tableau d'une myélite aiguë béni
érales, par Maurice Faure, 4 : 7. Cellules. Prolongements des -
nerveuses
chez les invertébrés et les vertébrés, par Ilav
r P. ni- cher et [.onde, 334. Clinique des maladies du système,
nerveux
, par le Pr Ltaymond, 172. Les-psychiatriques de
sités allemandes, par P. Sérieux, 193, 371, 473. Cocaïne. Lésions
nerveuses
dans l'empoisonnement leut par la-, par Daddi
a moelle dans les Illyoelopathies -, par Chipault, 421. Energie
nerveuse
et - électrique, par P. Sollier, 296. Epilept
s. Méthode d' - et mou- vements, proposée comme cure des maladies
nerveuses
, par Thalo, 87. Faiblesse d'esprit. Remarque
urone. Doctrine des -, et nou- velles théories sur les connexions
nerveuses
, par van Gehuchten. 125. Névrose . Rôle des m
taire dans la -, par AnI III - Dell ell et Rouvièr, 450. Cellules
nerveuses
rie 1'01- corce dansia, par Agapoff, 514. - L
LOGIE ARCHIVES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fond 13 FAR J.-M. CHAKCOT f'UIILI
de l'idée fixe et de Y obsession ? « Il y a, dit Laurent, nombre de
nerveux
et de mélancoliques qui se plaignent de ne pouv
e chez les héréditaires. L'idée obsédante émotive procède d'un état
nerveux
anté- rieur dépressif. Exemples : les mélancoli
ies générales. C'est encore le mécanisme de l'épuisement du système
nerveux
. Voici une observation de délire de persécutés
tration). Pans, librairie du Progrès médical. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. La rétraction de l'aponévrose palmaire chez
des trophonévroses, attribuables soit à une altération des rameaux
nerveux
périphériques, ou plutôt, en raison de sa bilatér
, ou plutôt, en raison de sa bilatéralité, à une lésion des centres
nerveux
. G. DERNY. IL Un cas d'acromégalie en gant; par
rait, tantôt une insuffisance mitrale. Ces deux REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 49 lésions peuvent être relatives et absolues;
cas. > Archives, 2" série, t. VIII. 4 sol REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'opération fut la suivante : incision horizon
ones ganglionnaires sensitifs et les voies cen- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 51 trifuges sont les prolongements cellulifuge
t il y a « quelque part » un centre régulateur d'où part une action
nerveuse
double et antagoniste : une action inhibitrice
t servir à éclairer cette difficile question de pathologie générale
nerveuse
. La complication constituant les paralysies gén
tuant les paralysies généralisées, observées 52 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans le cours ou dans la convalescence de la f
e l'étiologie de cette affection, il se demande REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 53 s'il faut incriminer, comme on le fait géné
ées par la marche. A la suite du traitement .54 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mis en oeuvre (pulvérisations de chlorure d'ét
, cinq mois après avoir été atteinte d'un érysipèle. Les mouvements
nerveux
consistaient au début, en un simple cligne- men
té et la variabilité des mouvements choréiques. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 55 A raison de ces particularités, le terme ch
damental de cette névrose, caractère commun à tous les phé- nomènes
nerveux
de la dégénérescence, le polymorphisme. Mais co
la branche postérieure de la capsule interne 56 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. par la tumeur explique l'hémianesthésie, sympt
n intérêt pratique au point de vue de la prophylaxie des affections
nerveuses
et men- tales en particulier, en montrant l'inf
res de la syphilis acquise : la syphilis maligne précoce du système
nerveux
, les myélites aiguës, les myélites chroniques,
uérison; elle se tient au courant de tout ce qui parait en médecine
nerveuse
; elle lit les ouvrages de médecine et de scienc
re physique. Son hérédité n'est pas très chargée : son père était
nerveux
de la même manière qu'elle, et parait avoir été
res et une soeur : ses frères ne présentent aucune trace d'hérédité
nerveuse
, mais ils ont eu les uns et les autres des mani
n grand-père paternel est mort jeune par accident. Sa mère est très
nerveuse
, elle a eu des attaques de nerfs, elle a une so
Il s'agit en résumé d'un homme qui, des suites d'une affec- tion
nerveuse
aiguë de l'enfance, a gardé une amyotrophie hém
'existence de l'enfanta C'est certainement une affection du système
nerveux
qu'il fallait rechercher à l'origine de cette i
uête sur l'action thérapeutique de la trépanation dans les maladies
nerveuses
, nous demandons à nos collègues des asiles de b
iER, croient à l'unité structu- rale et fonctionnelle de la cellule
nerveuse
et expliquent par les connexions périphériques
dans ce complexus de fibres myéliniques, où tant de prolonge- ments
nerveux
sont mêlés, Cual a distingué : 1° des cellules ne
llules dont les dendrites se ramifient exclusivement dans ce plexus
nerveux
. L'observation toujours plus approfondie de cet
es entrent certainement en contact avec des cen- taines de cellules
nerveuses
de la zone des cellules étoilées et avec un nom
RITIQUE. 127 7 A quelle espèce de cellules appartiennent ces fibres
nerveuses
? Sont ce des fibres optiques venues des centre
one des cellules étoilées, dès qu'on admet que les puissants plexus
nerveux
que ces fibres contribuent à former, constituen
s polymorphes, ou septième zone, renferme quatre espèces d'éléments
nerveux
: 1° les plus nombreux sont des cellules fusifo
sulter de cette première étude de morphologie comparée des éléments
nerveux
constituant les diverses couches stratifiées d'
verticales ; il estime donc vraisemblable que ces nouveaux éléments
nerveux
, d'une morphologie si curieuse, appartiennent à
rte l'observation d'un homme de quarante-deux ans, sans aucune tare
nerveuse
héréditaire et sans antécédents spéciaux, qui,
de d'aggravation continue douze heures. Pour calmer l'exa- gération
nerveuse
on donne trois fois par jour la solution de chlor
açon inconsciente, ou plus exactement subcon- sciente, un dynamisme
nerveux
quelconque, central ou irradiant la périphérie.
tent de poser les conclusions suivantes : 1° des lésions du système
nerveux
central ont été observées chez des lépreux; 2°
l'urobilinurie et l'hématoporphyrinurie toxiques dans les maladies
nerveuses
; par le D1' IlAsco\ EC. L'urobilinurie et l'hém
e et l'hématoporphyrinurie ont été observées dans quelques maladies
nerveuses
et souvent après l'empoisonnement par le sulfon
paralysie générale ne serait qu'une des nom- breuses manifestations
nerveuses
de l'état diatMsÏlfue c'est-à-dire d'un état mo
de éminemment héréditaire caractérisé par une altération du système
nerveux
amenant à sa suite des troubles nutritifs ou in
ériques des membres; certaine sensibilité à la palpation des troncs
nerveux
, notablement gonflés et durs, et qui, aux membr
ine, trouve que chez la malade, présentée par Rossolimo. les troncs
nerveux
se comportent quelque peu autre- ment à la palp
oky et Worobieff. T. IlTr3 : lhONr·. Sur les altérations du système
nerveux
central dans les paralysies saturnines. En in
r le formol. M. KOR : \1 LOI'F croit que les altérations du système
nerveux
peuvent également relever de la cachexie générale
ives, secondaires. M. Mocravieff dit que les altérations du système
nerveux
peuvent varier d'une espèce animale à l'autre.
Voici l'histoire du malade : T... est un dégénéré, fils d'une mère
nerveuse
dont la soeur est hystérique il présente une no
t de tous ceux qui s'intéressent il l'étude des maladies du système
nerveux
. Surdité vc bale pure, de nature hystérique.
tion. Il existe donc une action spéciale de l'aimant sur le système
nerveux
. M. Joire rapporte plusieurs observations de cr
son traitement .comme s'il avait reçu la suggestion d'autrui. Tic
nerveux
traité avec succès par la suggestion hypnotique.
perficielle et beaucoup trop rapide, les principales manifestations
nerveuses
, la neurasthénie, l'hystérie, l'aliénation ment
mique surtout des recherches embryologiques de Flechsig. Le système
nerveux
est un chemin de la force, répète volontiers le
ntiers le professeur Pierret. L'écorce cérébrale reçoit de l'influx
nerveux
et en projette : pour cela des fibres ner- veus
re est sensitif. Puis l'im- pression s'est réfléchie par les fibres
nerveuses
centrifuges, mêlées aux radiations optiques cen
des centres oculo-moteurs postérieurs restés intacts. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. DE L'APOPLEXIE PROGRESSIVE DE SA VALEUR EN T
l apoplexy (Med. chier. TraRSaU.. 1876, LIX, 335). 200 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Broadbent ' a repris cette étude en 1876 en se
889). Nous sommes heureux de l'en remercier... 20' : 1 2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le 4, la tête et les yeux tournent brusquement
psule externe qui est peu atteinte. 11 existe éga- 204 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lement à la partie moyenne du segment externe
yau lenticulaire, au niveau de la pédiculo-frontalé. 206 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Un peu plus loin, le foyer s'accentue et on a
'hémiplégie totale s'est établie, elle ne présente 208 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pas de rétrocession ; elle est flasque bien qu
te de la céphalée, Archives, 2° série, t. VIII. 14 210 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des vomissements, un engourdissement d'un bras
e et qui venait affleurer en bouchon à la surface. 212 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. On peut encore trouver du sang dans la scissur
e point par la substance cérébrale à l'hémorragie. 214 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Quant à l'absence de coma primitif et il la ma
malade, en .effet, qui présentait la symptomatologie 216 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. typique de l'apoplexie progressive, l'hémorrag
cyclopie.. Il. Ctunox. II. Recherches sur les lésions des centres
nerveux
consécutives à l'hyperthermie expérimentale et
e ou toxique et en cas de constatation des lésions dans les centres
nerveux
, il faut savoir distinguer ce qui revient à l'hyp
il 1899 '.) E. B. IV. Les phénomènes de réparation dans les centres
nerveux
après la section des nerfs périphériques; par A
vé, ainsi que l'affirme M. Marinesco que la réparation des cellules
nerveuses
, altérées par suite de la section du nerf corre
ion, « un organe homogène, de renforcement, exerçant sur le système
nerveux
une influence neuro-musculaire sténique, toniqu
plus en plus complète rétablit rapidement la fonction des cellules
nerveuses
endommagées par l'anémie. Mieux s'établit cette
les pendant l'opération, n'imposent aucune fatigue à leurs cellules
nerveuses
anémiées par la forcipressure. Anatomie patholo
médicaments s'explique par les troubles de la nutrition du système
nerveux
et d'autres organes concomitants. Bains, fricti
1'carnwcucrr. Sur les altérations pathologo-analomiqlles du système
nerveux
central, dues à l'cmpoisonnement par le poisson.
rendre maître de ces phobies. La lumière tolorée en thérapeutique
nerveuse
. M. Guignan revient sur la communication faite
région. L'existence de ces lésions donne l'explication des troubles
nerveux
réflexes pour lesquels il est poursuivi. A cert
e génie, si diversement inter- prêtée, est plutôt faite d'éréthisme
nerveux
que de folie et que les grands créateurs sont s
doses. Devignevielle (Amédée). Contribution à l'étude des accidents
nerveux
consécutifs aux frac- turcs. Deyber (René). Eta
turcs. Deyber (René). Etal actuel de la question de l'awoeboi : ,me
nerveux
. Doré. La mort dans la paralysie générale. Dorlia
. De la tarsalgie dans ses relations avec les trou- bles du système
nerveux
. Ganault (Ernest). Contribution à l'élude de qu
. Des fausses grossesses et fausses tumeurs hystériques (grossesses
nerveuses
, tumeurs fantômes). Kirkoff (Nicolas). Contribu
ie spasmodique familiale. Luts- garen (Isidore). Les manifestations
nerveuses
de la blennol'1'hagie. Macé (Georges). Quelques
énique). Margouliss (Abraham). Contribution ci l'étude des troubles
nerveux
dans la tuberculose pulmonaire . - Martin (George
es périodiques, les médecins qui s'occupent des maladies du système
nerveux
. Elle se compose de membres titulaires et de me
anisme par cette substance, a certainement produit dans son système
nerveux
des altérations de nature à diminuer encore sa
nt guéri, sans affaiblissement intellectuel appréciable. CLINIQUE
NERVEUSE
. DEUX OBSERVATIONS D'HÉMIPLÉGIE AVEC Ht : \IIAN
n intérêt, était en traitement pour troubles dyspep- 17S 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. tiques consécutifs à une distension de l'estom
ralysé. Les mouvements imprimés aux articulations du 280 0 CLINIQUE
NERVEUSE
. membre supérieur déterminent de vives douleurs
. 5. a. substance grise; b, ,eulriculc5j c, lésions. 282 CLINIQUE
NERVEUSE
. le segment rétro-lenticulaire et le tiers post
té de la con- jonctive palpébrale du côté parahsé. 284 CLINIQUE
NERVEUSE
. Il n'a pas été possible de prendre le champ vi
lance grise; G, ventricules; c, lésions. SUR L'AMÉNORRHÉE D'ORIGINE
NERVEUSE
. 285 mêmes précautions que dans l'observation I
blent constituer un point assez obscur et délaissé de la pathologie
nerveuse
. Il serait cependant utile de se rendre un comp
ture et de la palhogénie de ces phénomènes ; peut-être 28G CLINIQUE
NERVEUSE
. trouverait-on dans certains cas la raison des
'ex- pliqueraient par l'anémie ou va.so-constriction' des centres
nerveux
les états mélancoliques et par l'hyperhémie ou
par compression des veines ; ainsi s'ex- SUR L'AMÉNORRHÉE D'ORIGINE
NERVEUSE
. 287 Î pliqueraient la chute de l'oeuf, son arr
distension de ce dernier. Cette action réagi- rait sur les centres
nerveux
et amènerait par voie réflexe la congestion des
utre endroit. Elle aurait pour cause des phénomènes essentiellement
nerveux
de vase-dilatation. Ces phénomènes ne se produi
latation. Ces phénomènes ne se produiraient pas dans certains états
nerveux
où les fonctions des centres sont troublées (an
ans, qui avait toujours été bien réglée ; 5° une manie 288 CLINIQUE
NERVEUSE
. intermittente, chez une malade de vingt-quatre
z des religieuses, instruc- tion assez bonne. A toujours été pn peu
nerveuse
, réagissait vive- ment à toutes les impressions
jour d'entrée disparaissent rapidement. SUR L'AMÉNORRHÉE D'ORIGINE
NERVEUSE
. 289 Au bout de quinze jours, la malade est trè
s quinze premiers jours. Ainsi, voilà une malade qui, ordinairement
nerveuse
, emportée et anémique, présente, à chaque émoti
urait anémie partielle des organes géni- taux au profit des centres
nerveux
; la congestion utéro- ovarienne n'aurait pas l
qu'il est difficile Archives, 20 série, t. VIII. 19 290 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'imaginer qu'un état congestif du cerveau soi
perception ne se faisant pas, nous devons admettre que le mouvement
nerveux
ne se transmet pas jusqu'à l'écorce cérébrale.
s constants entre des faits d'ordre très différent; et l'histologie
nerveuse
, encore si incomplète, nous réserve sans doute
ises au sujet des fibres incon- nues qui relient les divers centres
nerveux
entre eux et avec le système sympathique. REC
hermaphrodisme des moins avancés : il n'y avait REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 305 chez lui aucune dépression simulant plus o
mapl ! 1'odisme (J.-B. Baillière, 1891, Paris). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XVI. Une observation de pseudo-tabes; par le D
existence Archives, `3e séné, t. YIU. ;0 306 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. très ancienne d'un point douloureux au creux é
ileptique de cinquante-deux ans, éprouvant la - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 307 sensation d'un courant d'air glacé sur la
icieuse datant de l'enfance ; mais l'occlu- 308 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sion de la bouche seule produisant l'apnée com
fait que cette maladie existait longtemps avant REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 309 la découverte de l'alcool paraît à l'auteu
onjonctif interfasciculaire et de la gaine lamelleuse des faisceaux
nerveux
par des streptocopes et des leucocytes; 2" des
ons parenchymateuses (tous les degrés de dégénérescence de la fibre
nerveuse
, depuis la tuméfaction légère du cylindre-axe jus
l'infiltration leucocytaire persistait dans la gaine des faisceaux
nerveux
, dans lestravées conjonctives intra et iuterfas
dans la moelle, il n'y avait des microbes. Les lésions des cellules
nerveuses
, loca- lisées principalement dans la corne laté
es lésions du nerf dans la zone d'infection 310 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sont dues en grande partie aux masses considér
hymateuses du nerf ont elles-mêmes réagi à distance sur les centres
nerveux
, déterminant ainsi des lésions cellulaires seco
édullaire. Toulefois la des- truction d'un certain nombre de fibres
nerveuses
par le microbe et ses toxines, détermine, dans
la forme ou la phase du tabes dans laquelle se REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 311 1 manifestent particulièrement les trouble
nt observés qui se décomposent comme suit : 312 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXIX. Manifestations larvées de l'épilepsie; p
ait pas une névrose forcément généralisée à l'en- semble du système
nerveux
, mais une névrose cérébrale pouvant même n'inté
ce côté la localisation de la cause de la cho- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 313 rée ; mais dans les deux cas de La Biva l'
à quelques remarques sur un certain nombre 314 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de symptômes (réflexes du genou, anesthésies,
; raison de plus pour qu'il croie aux sorciers. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 315 Il s'agit en réalité non d'une narcolepsie
15° Une qua- trième est constituée par les paralysies faciales des
nerveux
ou héréditaires prédisposés (13,3 p. 100); - 16
constater les causes précédentes; - 17° Les 316 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. hypothèses de Despaigne, Philip, et autres, re
lle a résisté parce que la malade a changé bien REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 317 souvent de médecins. « Nous lui suggérons,
e d'excitabilité maxima. L'excursion de la pau- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 319 pière supérieure est, au début, très faibl
taxie et la simultanéité de la même maladie 320 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. chez les deux frères attirent l'attention en p
g extenseur des doigts. La fonction des muscles REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 321 1 innervés par le radial (long supinateur,
la tête, Archives, 2° série, t. VIII. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mais il repousse l'idée d'une lésion cérébrale
anglion spinal étaient surtout arrondies, quel- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' 323 quefois allongées ou un peu anguleuses, l
sont pas précédées par des causes profondes d'altération du système
nerveux
ou un grand shock psychique. L'auteur cite qu
glandes à sécrétion interne comme l'hypophyse réagit sur le système
nerveux
et détermine l'éclosion d'affections nerveuses
réagit sur le système nerveux et détermine l'éclosion d'affections
nerveuses
ou mentales variées. , Un cas de paralysie géné
e l'affection fondamentale per- siste (même hypertrophie des troncs
nerveux
) les phénomènes mor- bides sont en grande parti
parallèles faites sur des malades atteints de diverses affec- tions
nerveuses
ont permis de constater la présence de ce phéno-
dans nombre d'affec- tions organiques et fonctionnelles du système
nerveux
, et dans les états d'épuisement général. Le rap
ntribution à l'élude des affections blf11nOI'- rhagiques du système
nerveux
(avec présentation de planches et de préparatio
estion de la pathogénie des affections blennorra- giques du système
nerveux
, M... expose les résultats des expériences qu'i
e de l'action du gonocoque de Neisseret de sa toxine sur le système
nerveux
des animaux : souris blanches, cobayes et lapin
re des extrémités postérieures. L'examen microscopique du système
nerveux
de 25 cobayes et de 20 lapins ayant subi l'into
sions suivantes : 1° La toxine gonococcique produit dans le système
nerveux
des altérations bien nettes et bien déterminées
de, dans sa thèse inaugurale, deux questions connexes de pathologie
nerveuse
, mises à l'ordre du jour en ce moment, un peu p
rolandiques, avec toutes les méthodes usitées en histo- pathologie
nerveuse
(Weigert, Pal, Nissl, Marchi, etc ). La con- cl
sous le coup de toutes es maladies avec ou sans lésions du système
nerveux
. P. 1301SSlER. VARIA. L'Union médicale DU C
De l'idiotie et en particulier des lésions anatomiques des centres
nerveux
dans l'idiotie : M. Hricon (1.200 francs). 1889
Vol. VIII. Novembre 1899. N° 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. SYNDROME DE LANDRY PAU LÉSIONS EXCLUSIVES DE
apporté à l'hôpital Archives, `3° série, t. VIII. 23 354 CLINIQUE
NERVEUSE
. complètement paralysé. Il vivait seul et n'éta
chidien 1 Fait au laboratoire d'histologie générale. 356 CLINIQUE
NERVEUSE
. (noyaux de l'hypoglosse et du vague) et les ci
fs périphériques - qu'une étude restreinte bornée à quelques troncs
nerveux
: médian et sciatique poplité externe de chaque
motrices ne nous montrèrent non plus aucune altération des cellules
nerveuses
, des méninges, ni des vaisseaux. Moelle. La moe
observateurs (Ballet et Marinesco) qui ont étudié les 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. lésions secondaires des cellules d'origine de
es légèrement déformées et mal colorées. Contrairement aux éléments
nerveux
, les éléments conjonctifs (méninges, vaisseaux)
H n'existe en aucun point de trace de diapédèse autour des cellules
nerveuses
altérées. Les vaisseaux ne présentent nulle par
et intramédullaire des racines antérieures. Le pigment des cellules
nerveuses
est, dans 'ces préparations, fortement coloré e
uels, en particulier pour aucun des fixateurs employés en technique
nerveuse
on ne possède un détermi- nisme absolument étab
pelé à propos des ganglions rachi- clients2@ l'aspect d'une cellule
nerveuse
prise dans un ganglion spinal et examinée à l'é
s des racines posté- rieures, (Thèse de Lyon. 189î.) 360 CLINIQUE
NERVEUSE
. de leur protoplasma. Après fixation par l'alco
ntes méthodes. Dans de récents articles sur les soi- disant lésions
nerveuses
du tétanos, Paviot2 montra quelles interprétati
drilc. Or nous n'avons pu trouver de relation constante 36 CLINIQUE
NERVEUSE
. entre cette disparition, cet aspect chromatoph
ales, ou même des simples modifications fonctionnelles des cellules
nerveuses
(Lugaro). Quelquefois ces déplacements paraisse
s à tort comme l'indice d'une dégé- nérescence lente du protoplasma
nerveux
. Dans les processus myélitiques ordinaires, ses
s fois tout le corps cellulaire et allant même jusqu'à 364 CLINIQUE
NERVEUSE
. masquer le noyau. Suivant les différentes modi
s notre cas ont porté- sur le sang pendant la vie et sur le système
nerveux
après la mort. a) Examen du sang pendant la v
lement cautérisée. Les tubes ensemencés avec des fragments de tissu
nerveux
ont donné des cultures mélan- gées de cocci, de
es pures de diplocoques analogues à ceux des cultures des centres
nerveux
. Étant donné les causes inévitables de contamin
ables de contamination acciden- telle dans l'ensemencement du tissu
nerveux
, réduites au mini- mum au contraire dans la pri
d'ailleurs, mais mélangé à d'autres, dans les cultures des centres
nerveux
. Les caractères de ce microbe furent les suivan
fère absolument par la longue végétabihté des cultures 366 CLINIQUE
NERVEUSE
. - en bouillon que nous avons pu réensemencer a
sible de déceler aucun agent microbien par colora- tion des centres
nerveux
médullaires après durcissement et inclusion dan
démie de paralysie ascendante d'origine infectieuse. 368 CLINIQUE
NERVEUSE
. pression exercée sur la moelle par la tension
s bulbaires, sans adjonction d'aucune autre altération du système
nerveux
, ce qui explique la pureté du type clinique : m
On sait en effet que rien n'est plus variable que l'état du système
nerveux
central ou périphérique dans les maladies donna
fection qu'il décrivait, puisqu'il croyait à l'intégrité du système
nerveux
dans ces cas, les découvertes ultérieures et le
professeur Raymond dans une de ses cliniques', l'examen du système
nerveux
dans les cas de paralysies ascendantes a fourni
es lésions des éléments 1 Raymond. Clinique des maladies du système
nerveux
, 1896. , Giraudeau et Levi. Revue nelll'ol., 15
esse médicale, 1898. Archivas, 2» série, t. VIII. 't 370 CLINIQUE
NERVEUSE
. nobles ne soient accompagnées d'altérations va
- jectifs, par la douleur à la pression des muscles et des troncs
nerveux
, par une évolution plus lente et une guérison plu
odin. Les paralysies ascendantes. (Thèse Paris, 189G.) 373 CLINIQUE
NERVEUSE
. cliniques. Sans doute une telle division, outr
ond. Presse médicale, 1896, p. 29. Clinique des maladies du système
nerveux
, 1896. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES.
s ses éléments psycho-moteurs. ' E. Fournie. Physiologie du système
nerveux
, 1Si`3, p. 818. 2 Max Simon. Lyon médical, 1880
e détermine : 1° La représentation des mouvements : 1° Un courant
nerveux
centrifuge qui, suivant le degré d'irritation p
ent, progressivement produit son action morbide sur tout le système
nerveux
. Dans le délire alcoolique, l'encéphale, sursat
olisme.- Fas de renseignements sur la famille ¡Jutemelle. -1llèl'e,
nerveuse
, morte ci trente-deux ans d'une affection cardi
ts sur la famille maternelle. - Frère arriéré. - il utre frère très
nerveux
. Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de six
Grand'mère paternelle, soixante ans, bien por- tante, intelligente,
nerveuse
. Pas d'autres renseignements sur la famille pat
ès souvent des cauchemars, « c'est aussi un candidat aux troubles
nerveux
». Notre malade. Au moment de la conception, et
s l'effraie au point de déterminer chez l'enfant une violente crise
nerveuse
qui dura de huit heures du matm à dix heures. O
zones hystériques ainsi que de la rachialgie. Juin. Aucun accident
nerveux
. Les progrès en classe et en gymnastique contin
mpressionnabilité s'est fortement atténuée. Juillet. Aucun accident
nerveux
. - Persistance de l'amélio- ration intellectuel
le médecin qui nous l'avait amené. L'enfant n'a plus eu d'accident
nerveux
. Il est retourné au collège, où il se conduit b
par une lettre de sa grand'mère du 7 octobre. TABLEAU DES ACCIDENTS
NERVEUX
REVUE D'ANATOLE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES
l très complexe ; ses connexions avec les autres régions du système
nerveux
central sont multiples et, d'autre part, ses di
dans la substance grise et dans les faisceaux blancs des cen- tres
nerveux
, de voie indispensable à la transmission de la se
clinique, des éléments chromatophiles. Cette réaction de la cellule
nerveuse
pyramidale, allant jusqu'à son atrophie à la su
à un moment donné et du nombre, et surtout de la nature des fibres
nerveuses
médullaires momentanément ou définitivement mis
ité. A. FENAYROU. XV. Les phénomènes de réparation dans les centres
nerveux
après la section des nerfs périphériques; par M
Dans les ganglions spinaux tabétiques, il n'y a guère de cel- lules
nerveuses
à considérer comme pathologiques. La substance
nce (abstraction faite d'un très petit coin postérieur de substance
nerveuse
saine) est immédia- tement accolée à la cloison
log. Centralbl.. XVII, 1898.) Il s'agit des relations de la cellule
nerveuse
avec les dernières ramifications cylindraxiles.
nières ramifications cylindraxiles. Dans tous les points du système
nerveux
central les cellules nerveuses et aussi leurs d
xiles. Dans tous les points du système nerveux central les cellules
nerveuses
et aussi leurs dendrites sont enlacées d'un rés
illes fort épais qui les enveloppe ; il est formé de petites fibres
nerveuses
qui portent de petits nodules. Ce réseau, par p
s, ni réseau il mailles. Enfin, çà Ft là, au voisinage des cellules
nerveuses
, un vrai réseau fermé est formé de fibrilles bi
t concourir à l'égale répartition du courant excitateur de l'influx
nerveux
, est généralement répandue. Dans les cornes pos
nombreux, de formes irrégulières (Golgi. Fine structure du système
nerveux
central et périphérique, p. 249 et 250). La c
extérieure, plus pâle, se pro- longe dans un plexus formé de fibres
nerveuses
mille fois anasto- mosées, tandis que le centre
rétiforme. Ces tractus membraneux qui portent les réseaux de fibres
nerveuses
se déploient à travers la couche granuleuse forma
de fines fibrilles ayant tous les caractères de vraies terminaisons
nerveuses
puis- qu'elles s'ajustent au corps des cellules
n n'observe de passage ininterrompu du protoplasme des terminaisons
nerveuses
et des cellules nerveuses. Les coupes les plus
nterrompu du protoplasme des terminaisons nerveuses et des cellules
nerveuses
. Les coupes les plus minces à la paraffine mont
la paraffine montrent une limite linéaire tranchée entre les fibres
nerveuses
amyéliniques et la cellule nerveuse. D'autre pa
aire tranchée entre les fibres nerveuses amyéliniques et la cellule
nerveuse
. D'autre part il est certain que les terminaiso
cellule nerveuse. D'autre part il est certain que les terminaisons
nerveuses
ont une structure plus ou moins grenue, les gra
ssinet de leurs boutons terminaux, sur le protoplasme de la cellule
nerveuse
d'une manière que nous ignorons; les boutons te
forme et en rayons analogues à ceux d'une ruche. Mais la cellule
nerveuse
des animaux supérieurs n'est pas un simple endroi
t récepteurs de l'excitation. Assuré- ment les fonctions du système
nerveux
prennent, chez les animaux supérieurs au moins,
sé- parable des arborescences terminales d'une part, des cellules
nerveuses
et des dendrites d'autre part. P. KERAV.4L. XX.
e des libres myéliniques, l'atrophie et la destruction des cellules
nerveuses
; abondance de cellules à gra- nulations graisse
gnes qui passent entre les cellules à petits grains sont des fibres
nerveuses
ou un simple stroma con- jonctif ; mais la situ
ditif. A l'intérieur de ce tissu, gros et pe- tits amas de cellules
nerveuses
évidentes dont chacune est séparée du tissu con
noyau central entouré d'une zone plus claire. Ce sont des cellules
nerveuses
, bien qu'elles n'aient ni prolongements protopl
car elles ont un aspect tout à fait semblable à celui des cellules
nerveuses
de la moelle anencéphale et des ganglions spina
t va jusqu'au voisinage de la macula, où cesse la couche des fibres
nerveuses
. En dedans de la papille, on ne constate que qu
membre supérieur en entier, vitiligo, irritabilité et surexcitation
nerveuse
, etc. A aucun moment, il n'y eut d'ophtal- mie.
des racines médullaires lombaires et son échappée vers les centres
nerveux
supérieurs, restent subordonné à sa nature, à s
e plus ou moins persistante d'un agent médicamenteux sur les centre
nerveux
sous- 420 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. jacents; el
onditions, la dissémination de cet agent actif à travers tout l'axe
nerveux
cérébro-spinal. Mais la valeur de cette méthode
ou post-syphili- tiques, qui sont à la syphilis ce que les[maladies
nerveuses
épiphé- noménales sont aux maladies infectieuse
aussi bien produits par une myé- lite que par une lésion du système
nerveux
périphérique. 2° Les accidents paralytiques con
s les condi- tions, mentales ou physiques, qui relèveront son tonus
nerveux
, amélioreront sa stabilité nerveuse surtout dan
siques, qui relèveront son tonus nerveux, amélioreront sa stabilité
nerveuse
surtout dans les couches psy- chomotrices du ce
Vol. VIII. Décembre 1899. N° 48 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. FOYERS DE RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES
dans le mémoire des Archives, 2. série, t. VIII. 28 434 CLINIQUE
NERVEUSE
. auteurs, car elle montre que la question n'a p
r, remarquables autant par la localisation des lésions 436 CLINIQUE
NERVEUSE
. que par leur étendue. Cinq des malades sont dé
culièrement de la vue et du goût. Contractures du côté 438 CLINIQUE
NERVEUSE
. gauche, suivies d'une inertie absolue du même
avec hallucinations terrifiantes et fièvre qui a dis- 440 CLINIQUE
NERVEUSE
. paru au moment de l'admission. Il ne persiste
es de la nutrition de l'écorce cérébrale et parfois même du système
nerveux
en son en- tier (psychoses oL2éueülicesl. Que l
EMENT DES MALADIES MENTALES. 433 Dans ces divers états d'épuisement
nerveux
, le neurologue américain se proposait pour but
mettre l'existence d'une sensation spéciale accompa- gnant l'influx
nerveux
volontaire lancé par le cerveau. Cette théo- ri
ve facilement, la surface de l'organe est rouge REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 419 et parsemée d'étoiles de Vereheyen. A la c
de dégénérescence graisseuse très accentuée. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
L\'I11. Névrites hémiplégiques par intoxication
'électro-diagnostic ; par P. LEREBOULLET et F. ALURD. Les accidents
nerveux
qui surviennent à la suite de l'empoison- nemen
(Revue neurologique, juillet 1899.) E. Uux. 480 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLIX. Quatre observations de tremblement; par
é gauche et 24 seulement pour la main droite. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' 481 l L'hypertrophie du bras droit parait po
mouve- AncmvES, 2° série, t. VIII. 31 482 '2 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ments de flexion et d'adduction, on pourra aff
profonde, par les signes nettement accusés de la perte de l'influx
nerveux
encéphalique. La théorie cérébrale de la respir
nsemble de symptômes qui relèvent de diverses sphères de l'activité
nerveuse
(psychisme, motricité, sensibilité, vaso- motri
la peau : c'est le pli des adducteurs. Chez les REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 483 enfants plus âgés et même chez l'adulte il
ction des produits d'un trouble d'oxydation primitif sur le système
nerveux
. Elles REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4b5 tien
xydation primitif sur le système nerveux. Elles REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4b5 tiennent, comme le diabète sucré, la goutt
ation anormale, qui, en même temps qu'elles agissent sur le système
nerveux
central, exercent une influence locale. L'évolu
lever que neuf mois plus Lard. Un an après 486 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. on trouvait encore de la faiblesse des mains e
conjonctives, cornées, et iris normaux. Milieux REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 487 de l'oeil transparents. Pupilles égales, m
ne, vasomotrice par émotion morale intense. 488 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Suit, à titre de comparaison, la nomenclature
cours de l'attaque produite par l'influence du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. * 489 courant faradique; dépendent non de l'ex
: uévrose hystérique par terreur : perte de 490 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. connaissance, contracture tonique généralisée,
st que, probablement, pour qu'elle ait lieu, il faut que le système
nerveux
ait perdu sa résis- tance, comme chez le buveur
auteur la rattache, de même que l'insensibilité REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 491 farado-cutanée et farado-musculaire, à la
ulaires. Myosis punctiforme de la pupille 492 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gauche; mydriase au maximum de la pupille droi
nces, ont provoqué une inflammation aseptique, méca- nique du tissu
nerveux
, çà et lux côté de ces altérations et de thromb
érien au niveau du lobe temporal gauche et l'on REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 493 songe à une opération, quand, pendant la n
teinte de l'hémisphère gauche. L'absence de 494 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. troubles sensitivo-sensoriels dénonce la moiti
es et de l'exagération des réflexes tendineux à REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 495 droite; il cause de l'existence d'une blép
est moins vif. Il n'existe aucune perturbation objective du système
nerveux
, mais on constate une tare névropathique chez les
ce de la masturbation est probable. M. Uay- 496 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
mond a signalé des observations dans lesquelles
l'alcoolisme chronique a provoqué les lésions REVUE DE ^PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 497 méningées et les granulations épendymaires
e l'emploi de la notion trauma- tique dans l'étiologie des maladies
nerveuses
; par R. Gauppe. (Cenlralbl. f. t1'envenlcillc
qualificatif traumatique dans la question de la genèse des maladies
nerveuses
. Les inconvénients en sont évidents, notamment
re, dans l'espèce, que l'accident a affaibli les parties du système
nerveux
ultérieurement lésées puisque l'hystérie est un
R : 1Y1L. Archives, 2" série, t. VIII 3 : 498 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LXVIII. Contribution à la pathologie des paral
ie que la voie habituelle ? Oui, d'après les expériences de sutures
nerveuses
croisées de Stefani et Cavazzani, et l'opératio
erveuses croisées de Stefani et Cavazzani, et l'opération de greffe
nerveuse
de Sick et Soenger. Ou bien certaines parties m
aque anté- rieure et supérieure provoque des élancements; le cordon
nerveux
y est perçu. Il se rappelle, trois mois avant l
ppelle, trois mois avant la pérityphlite, avoir REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 499 perçu une sensation de velu au milieu de l
atteints par les progrès de l'irritation inllammatoire des cordons
nerveux
, mais l'affection n'a point passé à droite. P.
lette de six ans. Anatomie et histologie d''7OO REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pathologiques. On constate : 1° une lésion tox
au huitième mois de la vie embryonnaire (Horsley) et les centres
nerveux
supérieurs étant, à cette époque, en voie de déve
ngt-deux ans, d'accès douloureux le long des sciatiques. Les troncs
nerveux
sont en effet très sensibles au tiraillement et
microscope, les vasa nervorum sont dégénérés et oblitérés; le tissu
nerveux
est hypérémiée ou infiltré de noyaux ou de cellul
ns le traitement du myxoedème de l'enfant. (B.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 501 d'auraprae-épileptique ou à l'état d'accès
a éprouvé que de l'affaiblissement, qu'elle 502 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. a pu continuer à exécuter tous les mouvements,
Contribution à la symptomatologie et à l'étiologie des para- lysies
nerveuses
périphériques de la région du cou; par A. 1101-F-
u provoque des deux côtés des mouvements de dé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 503 glutition sous l'influence d'un courant de
ue cyanose de la face avec macules blanches. On REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 503 note bientôt-0°,G-'r0°,8. Il se-produit de
e ; généralement à la périphérie il existe une lisière de substance
nerveuse
saine. Des foyers qui avoisinent le centre part
se borne à des mailles vectrices de vaisseaux sans traces de tissu
nerveux
. Ni dans la paroi des vaisseaux, ni dans leur v
elle dorsale, le canal central est dilaté ; 506 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ailleurs il semble divisé en deux ; tout près,
asse dure; un prolongement s'en va dans les ca- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 507 vités oculaires ; lisse brillant. sans adh
taire, s'étant accusée par des troubles nu- 508 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tritifs (pachyacrie molle), de l'hypoplasie de
e qui, longue de 1 cent. 1/2 à 2 centimètres, avait aplati le tronc
nerveux
. Au microscope, on ne put déceler aucune lésion
l'excitation électrique, portée au-dessus, de passer par les filets
nerveux
com- primés. Il rappelle qu'il n'a jamais pu cr
pice de la SALPÊTRIÈRE. - Cours de clinique des maladies du système
nerveux
(Professeur M. BAYUOND). M. Gilles de la Tou- r
de cours, a commencé le cours de clinique des ma- ladies du système
nerveux
le vendredi 24 novembre 1899, à dix heures du m
enseignement supplémentaire : Séméiologie des maladies du sys- tème
nerveux
. M. le Dr Cestan. Ilistologie normale et patholo-
. M. le Dr Cestan. Ilistologie normale et patholo- gique du système
nerveux
. M. le Dl' Philippe. Psychologie cli- nique, M.
confé- rences supplémentaires. Hôtel-Dieu. Pathologie mentale et
nerveuse
. - M. le Dr E. Dupré, professeur agrégé, a comm
20 francs. Berlin, 1899. Librairie Fischer's. SOUli1' (J.). Système
nerveux
central. Structure et fonctions. Histoire criti
blennoriiiiagiques. Con- tribtitioii à l'étude des - du sys- tème
nerveux
, par Moltschanôff', 340. Agoraphobie. L'hypno
générale, par ! \1arandoll de Montyel, 142. Aménorrhée. Sur l' -
nerveuse
, par Conlon,jou, ? 85. Anasthésies. paralysie
ôpitaux et ré- formes urgentes, par Bourneville, 522. - Centres
nerveux
. Les phénomènes de la léparatiun dans les - apr
tiolls Empoisonnement. Sur les altérations anatomiques du système
nerveux
central dues il l' - par le poison, par Tehe
IIIE. Noies sur l'urobilinurie et l' - toxiques dans les maladies
nerveuses
, par Ifascovec, 113. IIÉ111CIioIiEES. Sur les
Febvré, 00. Hyperthermie. Recherches sur les lésions des centres
nerveux
con- sécutives à l' - expérimentale et à la f
n, par Iiovalewsky, 142. Lumière colorée. La en théra- peutique
nerveuse
, par Grignan, 238, par Regnault et Bérillon,
périphériques. Les phéno- mènes de réparation dans les cen- tres
nerveux
après la section des , par van Gehuchten, 220 L
sie, par Babinski, 156. Paralysie. Sur les altérations du système
nerveux
central dans la - saturnine, par Rybakolf, l'r9
URS. 539 Traumatique. Notion - dans l'etio- logie ries maladies
nerveuses
, par Gauppe. 497. Tumeurs cérébrales avec dia
otes sur l' - et l'hématoporphyrinurie toxiques dans les maladies
nerveuses
, par Ilascovec, l 13. Visuel. Structure du ce
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALAD
. Souques et GASNE (3). Homme, 23 ans, maçon. Père alcoolique, mère
nerveuse
. A 21 ans, vient à Paris après avoir toussé tout
est âgé de 52 ans ; il est en bonne santé, mais d'un tem- pérament
nerveux
, se met facilement en colère. Probablement alcool
ellement, est âgée de 54 ans ; elle serait su- jette aux migraines,
nerveuse
aussi, mais moins que le mari. Ni l'un ni l'autre
, mais moins que le mari. Ni l'un ni l'autre n'a présenté de crises
nerveuses
. Le malade a eu 2 frères et 2 soeurs. L'aîné de
croup à 13 mois. Une soeur, âgée de 20 ans est sujette à des crises
nerveuses
, depuis plusieurs années : elle a été traitée à
u dans son travail pour ses « rhumes ». Il dit avoir été toujours
nerveux
, d'un caractère emporté : il se met facile- men
orté : il se met facile- ment en colère. Il n'a jamais eu de crises
nerveuses
, mais depuis 2 ans en- viron, il a quelquefois
s, emporté, se met facilement en colère. Il n'a jamais eu de crises
nerveuses
, mais des secousses nocturnes, comme il est dit
uf le certain degré de min- ceur précédemment mentionné. Les troncs
nerveux
ne sont pas sensibles à la palpation. Pas de
dans la vascularisation du fond de l'oeil. Du côté droit, fibres
nerveuses
à myéline du côté inféro-nasal (disposition ano
t du volume de ce dernier, de la douleur à la pres- sion des troncs
nerveux
; le symptôme caractéristique était la forme des
de vue névropathique : les malades sont issus de parents émotifs ou
nerveux
, d'un caractère emporté, prenant des crises ou af
exposée dans la thèse inaugurale de Lande, de l'autre, une théorie
nerveuse
qui plaçait la lésion tantôt dans le nerf facia
ent hémilalérale que nous nous trouvons en présence d'une affection
nerveuse
. Pour les deux théories nerveuses invoquant une
ouvons en présence d'une affection nerveuse. Pour les deux théories
nerveuses
invoquant une lésion du facial ou du trijumeau,
ection exactement hémilatérale, envahissant plu- sieurs territoires
nerveux
(trijumeau, facial, hypoglosse, glosso-pharyn-
en soit, nous conclurons que pour des cas comme le nôtre la lésion
nerveuse
doit être transportée de la périphérie dans les c
de la périphérie dans les centres. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE (Professeur RAYMOND
cours des cachexies, et de certaines maladies chroniques du système
nerveux
. B. OEdème chronique éléphantiasique (dû à la f
t Le Lorier. Antécédents familiaux.- Sa mère, morte à 55 ans, était
nerveuse
. Un des frères de la malade est hystérique. Les
lle ou tactile de l'espace par la disposition spatiale des éléments
nerveux
dans l'écorce cérébrale. En un mot, les faits sub
dification de la conscience correspond une modification des centres
nerveux
; mais on ne préjuge pas la question de savoir
connaître encore les processus intimes, et à l'anatomie des centres
nerveux
qui, quels que soient les progrès qu'elle a pu
s que la sim- ple « distribution » des impressions dans les centres
nerveux
(2), puisque, pour distinguer les deux pointes
yant déterminé la dégénération secondaire de différents fais- ceaux
nerveux
. Etant donné la rareté relative des lésions limit
lié deux photographies de ce malade dans sa Sémio- logie du système
nerveux
(Traité de Pathologie générale de Bouchard, tom
avait en réalité une diminution du nombre et du volume des cellules
nerveuses
. Les coupes de la région inférieure du bulbe et
qu'ils recouvrent presque complètement, pénétrant dans la substance
nerveuse
à,quelques millimètres. Ils existent aussi, moins
ante à la pression qui la fragmente facilement. Comme les centres
nerveux
avaient été conservés par la méthode de Kai- st
liqués à la surface de la circonvolution. A côté d'eux la substance
nerveuse
apparaît avec ses caractères normaux. Tout le p
nicellulaires. Elle se distingue encore nettement de la subs- tance
nerveuse
, dont les capillaires apparaissent dilatés, puis
'éléments'isolés, par nodules bien distincts au milieu des éléments
nerveux
, ou, plus en avant encore, dans les gaines vas-
s : partout la lésion méningée prédominante, pénétrant la substance
nerveuse
par les sillons et secondairement par un envahi
isant face à la perforation crânienne, le tassement de la substance
nerveuse
est extrême ; le tissu con- jonctif en larges b
ux se différencient peu à première vue de ceux des petites cellules
nerveuses
voisines ; ces derniers cependant sont vivement t
continuité directe avec la méninge refoule devant lui la substance
nerveuse
et arrive presque au contact de la substance gris
cordon antérieur sans le refouler, mais en se substituant au tissu
nerveux
, comme dans les lésions de l'encéphale précédemme
ment de la base se révéla par les symptô- mes visuels, la déchéance
nerveuse
totale apparut graduellement. Il n'y eut à aucu
don fibreux, laissant subsister à peine quelques ilots de substance
nerveuse
, nous avons noté l'énorme déformation du cylind
e de pelites hémorrhagies, des dégénérescences va- riées des fibres
nerveuses
, des altérations constantes du canal central el d
dystrophie lente de la moelle, qui amène la déchéance des éléments
nerveux
et cet état de dystrophie coïncide avec des modif
ant très rarement décelé dans les lésions tuberculeuses des centres
nerveux
. A défaut de signes cliniques, le diagnostic pe
ne limitation secondaire, il esl vrai, mais bien exacte aux centres
nerveux
, une faible réaction scléreuse, et une tendance
levée à 49. L'autopsie est faite 26 heures après la mort. Système
nerveux
. - Pas d'adhérences entre la dure-mère et la calo
ico-transversale, on ren- contre encore un certain nombre de fibres
nerveuses
saines ; du côté gauche, il est impossible de d
s visuelles et aboutissant à la destruc- tion complète des cellules
nerveuses
de ces centres. 1 Wilbrand avait émis l'hypqthè
iculier avec les circonvolutions rolandiques. (1) J. Soury, Système
nerveux
central, t. II, p. 1387. (2) V. Nodet, Les agno
e les atrophies musculaires myopathiques et les atrophies d'origine
nerveuse
semblent de plus en plus s'effacer, et,sur les
La clinique donne de plus en plus raison aux partisans de la nature
nerveuse
des myopathies et il semble bien aujourd'hui que
soit sous la dépendance d'une altération fonc- tionnelle du système
nerveux
(Brissaud) le résultat d'une trophonévrose musc
mposent l'idée d'une intervention au moins fonctionnelle du système
nerveux
. On trouvera ces faits rassemblés dans quelques
0/0) (Lion et Gasne) (4). Par contre les stigmates de l'hérédité
nerveuse
y sont fréquents. Sans parler du cas classique
ssique de Cénas et Douillet (5) où atrophie myopathique et atrophie
nerveuse
sont signalées dans la même famille, dans beaucou
ême famille, dans beaucoup d'observations on trouve des antécédents
nerveux
, des stigmates psychi- ques ou même des déforma
u type pé- riphérique que l'autopsie montra indemne de toute lésion
nerveuse
. Inver- sement, la variété d'atrophie décrite p
ique du muscle et force est d'admettre une participation du système
nerveux
. Le cas que nous rapportons ici rentre dans la
l n'avait pas le ca- ractère familial, mais présentait une hérédité
nerveuse
bien accusée, on comprendra que nous le rangion
a que nous le rangions dans la série des cas mixtes où le sys- tème
nerveux
doit sûrement intervenir. Observation. R... P
ant. Pas de maladies antérieures. Pas d'alcoolisme. Pas d'accidents
nerveux
. Mère morte à 62 ans d'une affection cardiaque
n inconnue ; 4 oncles ou tantes n'ayant jamais présenté d'accidents
nerveux
. Une cousine du malade serait restée pen- (1) S
e la face. En résumé : Absence de caractère familial, mais hérédité
nerveuse
non douteuse. Traumatisme et 7 ans. Début à 10
oelle. Notre malade n'est pas un myopathique simple. C'est aussi un
nerveux
: nerveux par la présence de ces troubles de la
re malade n'est pas un myopathique simple. C'est aussi un nerveux :
nerveux
par la présence de ces troubles de la sensibili
erveux : nerveux par la présence de ces troubles de la sensibilité,
nerveux
aussi par ses antécédents ; sa mère avait de fo
t s'est suicidée; lui- même avait commencé à marcher tard, à 4 ans;
nerveux
encore par un stigmate qu'il présente, l'aplati
bre inférieur gauche. A )'age de 8 mois il a présenté des accidents
nerveux
graves, convulsions, fièvre, qui auraient été dia
té de ces portions rachidiennes'on constate des saillies de racines
nerveuses
dans leur trou de conjugaison. Tous ces troncs
dissection de toute cette cavité n'a montré aucune trace de système
nerveux
central ; l'examen histologique de toutes les fib
e. En dedans du sac durai on ne trouve que quelques courts tronçons
nerveux
et des tractus conjonctifs, fibreux et vasculai
plusieurs gros infarctus de globules rouges. Vestiges de centres
nerveux
névraxiles. Malgré cette absence totale du névr
celles de l'écorce cérébrale, enfin au centre une couche de fibres
nerveuses
. Un nerf optique se constitue ; passant par le
usionnés les uns aux autres. Leur masse donne naissance (les troncs
nerveux
qui constituent un plexus brachial à disposition
chacun des ganglions (Schéma 2) du côté central part un petit tronc
nerveux
qui vient faire une des saillies que nous avons v
sont pas fusionnés, mais réunis entre eux par de fortes anastomoses
nerveuses
(Schéma 3). A la région dorsale on ne trouve pa
ue fibreuse de ces ganglions des foyers hémorrhagiques ; les troncs
nerveux
au-dessus et au-dessous ont des cylin- draxes,
ation. Sur les côtés de ces ganglions on trouve toujours des fibres
nerveuses
, qui représentent peut- être des racines antéri
mar- quée que celle des autres nerfs. En résumé, tout le système
nerveux
périphérique a une distribution normale, malgré
ue a une distribution normale, malgré l'absence complète du système
nerveux
central (Sché- ma 5). Dans ces conditions une q
moteurs qui à l'état ordinaire, exige, en quelque sorte, un système
nerveux
central. Tout d'abord nous devons dire que, mal
ées aux masses musculaires il est à peu près certain que les fibres
nerveuses
motrices existent. t. L'absence des cellules
les fibres nerveuses motrices existent. t. L'absence des cellules
nerveuses
motrices centrales étant bien constatée, on peu
entes. V. Leonowa (1) admet l'absence complète de tous les éléments
nerveux
(1) V. Leonowa, Ein fall von Anencephalie combi
morrhagies du névraxe, causes de l'absence ultérieure de ce système
nerveux
. Le thymus avait des proportion normales. Le co
ent presque exclusivement sur l'appareil respiratoire et le système
nerveux
. Appareil respiratoire. Les deux poumons sortis
s. Le foie, les reins sont le siège de congestion légère. SYSTÈME
nerveux
(1). La moelle épinière prélevée hâtivement a été
ntes,sauf à la région cervicale au niveau d'une zone où le cylindre
nerveux
est très augmenté de volume. La PI. XXXII montr
one où la dure- mère était adhérente. La. consistance du cylindre
nerveux
, ferme dans la moelle cervicale, comme à l'état
, aux réseaux fibrillaires les plus purs. On rencontre les cellules
nerveuses
principalement en avant de chaque côté du sillon
es réseaux névrogliques préexistants, et à leurs dépens, les fibres
nerveuses
se trouvent étouffées, dissociées, englobées ;
nglobées ; elles disparaissent en très grande partie ; les cellules
nerveuses
sont-elles aussi isolées, elles sont globuleuses
vroglique accompagne une diminu- tion, une dégénérescence des tubes
nerveux
. Le canal épendymaire est ici très apparent, il
es vaisseaux n'offrent aucune modification sensible. Ni les racines
nerveuses
, ni les méninges ne présentent de lésions appré
issu médullaire tend à remplacer complètement celui-ci ; les éléments
nerveux
, cellules et fibres nerveuses, disparaissent gr
er complètement celui-ci ; les éléments nerveux, cellules et fibres
nerveuses
, disparaissent graduellement ; il ne reste plus q
le formation. La substance blanche est également envahie, les tubes
nerveux
sont étouffés d'abord par un tissu névroglique
llaire et de ses capillaires que se fait son extension. Les racines
nerveuses
que l'on rencontre sur la coupe ont conservé leur
leur disposition générale, mais l'on constate que beaucoup de tubes
nerveux
ne contiennent plus de myéline, et ne sont plus
de même de la substance blanche. Il n'existe presque plus de tubes
nerveux
ayant l'apparence normale, il y a une dégéné- r
ement de la moelle est moindre ; il existe encore quelques cellules
nerveuses
dans les cornes antérieures, qui ne sont pas to
s, qui ne sont pas touchées par le processus atrophique. Les fibres
nerveuses
de la substance blanche sont pour la plupart comp
m et une gaine de fibrilles névrogliques très épaisse. Les fibres
nerveuses
des cordons antérieurs et latéraux sont presque t
ortée comme une véritable section graduelle et progressive de l'axe
nerveux
. 154 SP1LLMANN ET HOCHE La nature, le dévelop
brilles névrogliques préexistantes,et étouffant graduellement tubes
nerveux
et cellules ganglionnaires. C'était là le fait
considéré cette tumeur intramé- dullaire comme une tumeur de nature
nerveuse
, développée aux dépens de la névroglie, ce tiss
aux dépens de la névroglie, ce tissu de soutien spécial des centres
nerveux
. Cette opinion est basée sur divers arguments :
oglie : les gliomes, véritables tumeurs spécifiques pour le système
nerveux
; toute- fois les sarcomes pouvaient aussi s'y
formes étoilées qui caractérisent le tissu interstitiel du système
nerveux
. « Leurs éléments sont aussi différents que ceux
: < Le gliome contient le plus souvent passablement de faisceaux
nerveux
et de cellules ganglionnaires encore en fonctio
avons vu qu'en pleine masse de la tumeur persistaient des cellules
nerveuses
, quelques-unes ayant encore leurs prolongements.
her il les rapporter à leur cause productrice. Deux phases, l'une
nerveuse
, l'autre respiratoire ont partagé le cours de l
musculaire, quand dans une (1) E. Brissaud. Leçons sur les maladies
nerveuses
. Paris, 189.'i. 160 SPILLMANN ET RIOCTIE deux
èrent rapidement la malade, si rapidement que l'étude des symptômes
nerveux
ne put être aussi complète qu'on eut pu le désire
int avant qu'aucun diagnostic satisfaisant eût été porté. Symptômes
nerveux
. Les symptômes nerveux, bien évidemment en rela
nostic satisfaisant eût été porté. Symptômes nerveux. Les symptômes
nerveux
, bien évidemment en relation avec le développem
e fut pas constatée. Quoi qu'il en soit, le tableau des symptômes
nerveux
constaté au mo- ment de l'entrée à l'hôpital co
icuspidée. En rapport avec cette lésion le tableau sympto- matique (
nerveux
) était le suivant : Membre supérieur droit. Atr
ment par son développement excentrique la destruction des faisceaux
nerveux
environnants et une interruption plus ou moins co
e presque complète, due à l'interruption a peu près totale de l'axe
nerveux
intraver- tébral, on se trouva en face d'un éta
l'hôpital seulement quatre jours, pendant lesquels, les désor- dres
nerveux
préalablement établis, furent masqués par l'expre
poumons, la suppuration due à une fistule anale, enfin des troubles
nerveux
divers furent les derniers incidents pathologiq
nce du pigment dans les vésicules et le tissu interstitiel. Système
nerveux
(2). Bien qu'il n'y ait pas d'épaississement des
ippel et Lefas qui ont bien voulu se charger de l'examen du système
nerveux
. NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE, T. XVI,
ssion : il avait subi un élargissement transversal, mais les fibres
nerveuses
qui entrent dans sa constitution avaient conservé
de celui de sa mère il n'y eut de maladies mentales ni de maladies
nerveuses
; aucun parent ne pré- senta une taille excepti
bretons, il res- sort que chez eux on se trouve en présence de gens
nerveux
, malgré leurs airs calmes, leurs yeux tristes e
que. 17° Année N° 4 Juillet-Août CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
(HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE) SPASMES ET TREMBL
montrait aucun symptôme bien net d'une lésion organique du système
nerveux
. Sans doute, au premier abord, les réflexes sem
si avons-nous écarté la pensée d'une affection organique du système
nerveux
et avons-nous. été tout naturelle- ment conduit
e ni d'incontinence d'urine dans son jeune âge. Enfant unique, très
nerveux
; il a eu une poussée de croissance très forte
anicien ; éthylisme probable, pas de syphilis. Grand- père paternel
nerveux
, très irritable ; un oncle et une tante paternels
à caractère violent, très emportés. Mère bien portante, ne serait pas
nerveuse
, n'a pas eu de maladies pendant la grossesse ;
nerveuse, n'a pas eu de maladies pendant la grossesse ; aucune tare
nerveuse
dans la fa- mille du côté maternel. Histoire
l'hystérie dont le malade ne présente aucun sti- gmate ; une lésion
nerveuse
centrale qui s'accompagnerait d'exagération des
t qui relève d'une irritation matérielle des centres ou conducteurs
nerveux
, ou d'un tic, trouble psycho-moteur ? (Brissaud
s deux facteurs étiologiques principaux. Mais tandis que cette tare
nerveuse
, à la fois héréditaire et personnelle, n'est da
réunit ces deux conditions : il est fils d'aliéné, il a des oncles
nerveux
, irritables jusqu'à la violence et dont l'irrit
pathie physique invincible et (1) BRiSSAUD, Leçons sur les maladies
nerveuses
, t. I, 30° leçon et t. II, 22°-25e le- çons.
ie de Recklinghausen n'est-elle qu'un mode de dystro- phie du tissu
nerveux
et cutané,qui, dans certains cas, vient se surajo
Reste la dernière hypothèse, celle qui met sur le compte du système
nerveux
les variations et déformations diverses des membr
eules atteintes et d'autres où, avec une affection grave du système
nerveux
foetal, il n'y avait aucune maladie, ni aucune
de cet ensemble, ce n'est point une subordination du membre à l'axe
nerveux
, mais bien plutôt la possi- bilité d'une atroph
tion initiale ait pour siège le tissu des membres ou celui de l'axe
nerveux
, quelle que soit l'étendue de l'influence de l'un
DE MEDECINE DEjLYON CLINIQUE DU PROFESSEUR JABOULAY ARTHROPATHIE
NERVEUSE
TRAITÉE PAR LA RÉSECTION PAR Maurice PATEL,
dernièrement M. le professeur Jaboulay, dans un cas d'arthropathie
nerveuse
du pied, utilisa avec succès la résection. En rai
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVI. PI LU ARTHROPATHIE
NERVEUSE
Traitée par la résection. (Patel et Cavaillon
SE Traitée par la résection. (Patel et Cavaillon). ARTHROPATHIE
NERVEUSE
TRAITÉE PAR LA RÉSECTION 259 continue la jambe
olonne vertébrale ; aucune asymétrie crânienne. Examen du système
nerveux
. - Il n'y a pas de troubles moteurs ; les mus-
erminée ; la consolidation est encore plus parfaite. ARTHROPATHIE
NERVEUSE
TRAITÉE PAR LA RÉSECTION 261 Le malade quitte l
modifier cette question du traitement chirurgical des arthropathies
nerveuses
et voir si l'on doit maintenir les conclusions en
entait une arthropathie de l'épaule gauche avec différents troubles
nerveux
qui ont fait admettre la nature syringomyélique
pas trouvé d'autres dans les travaux récents sur les arlhropathies
nerveuses
et dans les communications aux Sociétés neurolo
été trouvées al- térées indépendamment de n'importe quelle maladie
nerveuse
(Klippel). Existe-t-il une pseudo-paralysie gén
continuer encore les re- cherches sur cette question de pathologie
nerveuse
tant discutée, et si une observation isolée ne
peu muscade. Sclérose rénale et néphrite suppurée double. Système
nerveux
. Encéphale : les méninges sont épaissies et injec
cielles de l'écorce (l'l. LIV, B). En plusieurs points les cellules
nerveuses
sont augmentées de volume et le protoplasma se pr
aux irritations chroniques diffuses portant à la fois sur les centres
nerveux
et sur les autres appareils. L'identité de ces
gies avec le myxoedème), ou que l'on invoque une lésion des centres
nerveux
du trophisme cellulo-cutané (ainsi que la réparti
de la tuberculose. Parmi les consanguins, il n'y a pas de maladies
nerveuses
et mentales. r Le malade jouissait toujours d'u
tention sur la richesse du matériel en ce qui concerne les maladies
nerveuses
dans la Salpêtrière, mentionnent t mes cas comm
quoiqu'elle ne montre pas de lésions dans la position assise. Femme
nerveuse
, émotive, inquiète dans sa jeunesse. Sa maladie n
cle Gheel était déjà un lieu de rendez-vous pour les aliénés et les
nerveux
: les principaux fervents de sainte Dymphne se
boli : oedèmes, ulcérations cutanées, troubles trophiques d'origine
nerveuse
, ou simplement des noevi, des taches de vitilig
représenté debout, soutenu par un assistant et en proie à une crise
nerveuse
. Selon la tradition il est enchaîné ; - dans le c
avec sclérose fasciculée du nerf. Au centre des faisceaux, les tubes
nerveux
, pressés les uns contre les autres, se colorent
al semblant indiquer, dans ce point, une prolifération des éléments
nerveux
séparés de leurs centres médullaires. 2° La p
yaux, les seuls colorants myéliniques. De tous les éléments du tube
nerveux
, cette subs- tance grasse parait être le moins
ition, la reproduction, la régénération de la cellule. Dans le tube
nerveux
ce protoplasma est situé, non seulement sous la
NTE, le Neurone et ses impossibilités. Conception caténaire du tube
nerveux
, agent actif de la trans- mission nerveuse. Soc
ception caténaire du tube nerveux, agent actif de la trans- mission
nerveuse
. Soc. Neurol., 5 novembre 1903 et Revue Neurologi
aire nous parait 1 eprésenter, dans son ensemble, une seule cellule
nerveuse
périphérique, dont le protoplasma a différencié d
riksen, etc. etc., à la conception caléiiai,e,qui voit dans le tube
nerveux
, non pas le produit d'un bourgeonnement central,
dans la transmission de ce que l'on est convenu d'appeler l'influx
nerveux
. 326 DURANTE Sous ce rapport, parmi les diver
Il est constitué par le feutrage d'une infinité de petits faisceaux
nerveux
entourés chacun d'une gaine fibreuse propre. Ce
ait un oedème intrafasciculaire général ayant dissocié les éléments
nerveux
. L'infiltration adipeuse est surtout périfascic
élève, moins le tissu lâche cellulo- adipeux séparant les faisceaux
nerveux
devient abondant. Ces faisceaux présentent, du
Pal. Ce proto- plasma est beaucoup plus abondant que dans les tubes
nerveux
normaux. Certains points où il se teinte en gri
es éléments disposés à l'in- térieur de larges faisceaux. Les tubes
nerveux
y paraissent plus nombreux que sur les coupes l
es faisceaux d'aspect fibreux se montrent comme de larges faisceaux
nerveux
, d'un diamètre à peu près normal, et infiniment
ignée, ces points représentant bien la coupe transversale des tubes
nerveux
dont ils occupent la place. Mais il s'agit ici
nciés. Les coupes longitudinales à la safranine montrent des fibres
nerveuses
en plus grand nombre que celles au Pal, ce qui
s coupes longitudinales (Voy. pl. LXIII, fig. F, G, II), les fibres
nerveuses
myélinisées sont, suivant les faisceaux, tantôt a
s, On peut donc suivre ici tous les états successifs,depuis le tube
nerveux
purement protoplasmique formé de segments disco
urement protoplasmique formé de segments discontinus, jusqu'au tube
nerveux
définitif, en passant par le tube myélinisé à axe
e plus haut, d'un périnèvre épaissi. Leur champ est rempli de tubes
nerveux
serrés les uns contre les autres; les uns, rela
en rendre compte sur la fig. I delapl. LXIV, le nombre des éléments
nerveux
est assez grand. Les faisceaux paraissent formé
ux étouffé par son périnèvre exubérant. Ce qui distingue les fibres
nerveuses
du bout périphérique de celle du bout central e
des éléments plus jeunes en voie d'achèvement. A côté de ces tubes
nerveux
myéliniques existaient des fibres dépour- vues
x nombreux se colorant fortement. Ces fibres, du diamètre d'un tube
nerveux
mince, et assez régulièrement cylindriques, se
e pratiquée quatre ans après, permet de vérifier l'absence du tronc
nerveux
sur une étendue de 17 centimètres. Le bout supéri
ion élective. Près du col de ce moignon périphérique, les faisceaux
nerveux
sont, sur les coupes longitudinales, formés, le
ns des autres. Il y a donc conservation ou 7'égéllération des tubes
nerveux
du bout pé- riphérique en dehors de toute réuni
es deux bouts. L'ensemble des caractères histologiques de ces tubes
nerveux
semble indiquer qu'ils se développent bien aux
s pas d'autre fait analogue de lipome diffus cylindrique des troncs
nerveux
. Nous verrons, du reste, qu'il y a lieu de discut
du neurone; on ne concevait pas, en effet, la possibilité de tubes
nerveux
proliférant en l'absence des cellules ganglionn
uleux noirs et ramifiés, rappelant parleur forme certaines cellules
nerveuses
. Il ne nous est pas possible de nous prononcer su
out l'é- difice de nos connaissances actuelles relatives au système
nerveux
, sont-elles exactes ? Nous ne le croyons pas.
travaux récents permettent de concevoir la constitution du système
nerveux
(1). Nous ne pouvons reproduire ici cette discuss
quer les lignes principales. D'après la doctrine classique, l'unité
nerveuse
, ou neurone, est consti- tuée par la cellule ne
ique, l'unité nerveuse, ou neurone, est consti- tuée par la cellule
nerveuse
centrale (cellule ganglionnaire), ses prolon- g
NTE. Le neurone et ses impossibilités. Conception caténaire du tube
nerveux
. Rôle actif des neuroblastes périphériques dans l
rveux. Rôle actif des neuroblastes périphériques dans la transmission
nerveuse
(Rev. neurologique). 336 DURANTE n'a que de
ig, Apathy, Bethe, Raf- faele, etc., etc., ont montré que les tubes
nerveux
se développaient aux dépens de neuroblastes d'o
résence des nerfs périphériques chez les monstres privés de système
nerveux
central (IIertwig, G. Durante, Brissaud etBruan
e, Semper,Vijhe,Hoffmann,Beard, lcroriep,Iiatschensl;o). La cellule
nerveuse
centrale, dont la structure est si complexe, sera
, montrent que chaque segment inlerannulaire représente une cellule
nerveuse
ayant différencié, selon son axe, un faisceau d
is que le reste de son protoplasma s'est imbibé de myéline. Le tube
nerveux
n'est donc pas le prolongement d'une cellule ce
eurs NÉVROME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 337 une chitine de cellules
nerveuses
périphériques (neuroblastes neuroforma- tifs) p
s parties du système ner- veux (Apathy, Bethe, Nissl). Les cellules
nerveuses
s'anastomosent souvent aussi entre elles par de
érinhéruiue ne dégénère pas, mais se transforme. Privés de l'influx
nerveux
, ses neuroblastes constitutifs perdent leur diffé
re respectés suffiraient à entretenir dans le nerf un faible influx
nerveux
capable de maintenir son état différencié. (1
ur une part, à la formation du tissu adipeux qui infiiti e le tronc
nerveux
. Les fibres renflées de distance en distance par
1'0- pager aux neurones voisins, aussi bien dans le sens du courant
nerveux
que dans le sens contraire(G. Durante, Klippel,
ur inerte comme un fil de cuivre. Les éléments constitutifs du tube
nerveux
interviennent clans celle fonction. Il semble,
etits postes intercalés se transmettant individuelle- ment l'influx
nerveux
. Ainsi qu'on le voit, la loi de Waller et la co
régénération discontinue du bout périphérique, considèrent le tube
nerveux
comme une chaîne de cellules nerveuses périphériq
iphérique, considèrent le tube nerveux comme une chaîne de cellules
nerveuses
périphériques dilié- renciées, véritable sociét
lulaire (Bethe), ou entité sociale (Kaplan, assimilable à un lobule
nerveux
primitif (Durante). Westphal, Kronthal, Nissl,
mode, la faiblesse de nos connaissances sur la structure du système
nerveux
. On reproche aux détracteurs du Neurone de récu
rminaisons. Nous y voyons, au contraire, une preuve des anastomoses
nerveuses
34U DURANTE. périphériques vraies telles que
bout central, le bout périphérique peut subir l'action de l'influx
nerveux
. Peut-être est-ce à ces anastomoses vraies entr
s que normalement et permettant ainsi le pas- sage partiel d'influx
nerveux
dans le bout périphérique, que l'on doit attri-
tué un névrome terminal. Ilislologiquement, il contenait des fibres
nerveuses
. La plupart étaient à l'état de bandes protopla
IPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 341 toplasmiques embryonnaires et les fibres
nerveuses
adultes complètement différenciées. Ces dernièr
différenciées. Ces dernières, cependant, se distinguaient des tubes
nerveux
normaux par la largeur insolite de leurs étrang
upérieur, près de son col. Forte infiltration adipeuse. Les faisceaux
nerveux
sont beaucoup plus gros que ceux de la coupe B,
du protoplasma myélogène noir en protoplasma rose (gris). Les tubes
nerveux
sont ici parfaitement continus. On ne voit pas d'
rrespondant environ à l'un des faisceaux de la fig. I. Les fibres
nerveuses
sont abondammcnt myélinisées, mais plusieurs d'en
colore. Planche LXIV. Fis. I. Coupe transversale d'un des faisceaux
nerveux
de la figure D à un très fort grossissement. Le
constitue une enveloppe fibreuse concentrique à chacune des fibres
nerveuses
qui sont représentées par de petites taches ron
. Dissociation d'une des branches digitales. A droite, grosses fibres
nerveuses
complètes avec myéline et cylindraxe. A gauch
tance chromatophile pendant le cours du développement de la cellule
nerveuse
(Journ. de Neurol., 1900). Bqll. Ueb. Zerzetzun
escence rétrograde dans les nerfs périphériques et dans les centres
nerveux
(Soc. anat. et Soc. de Biol., 1894 ; Bull. méd ?
894 ; Bull. méd ? 1895). Des dégénérescences secondaires du système
nerveux
. Dégénérescence Wallérienne et dégén. rétrograd
, 1895). Gedoelst. Etude sur la constitution cellulaire de la fibre
nerveuse
(La cellule, 1887 et 1889). V. Gehuchten. - P
Lateralscl. (Neurolog. Centralbl., 1891). L. Le Fort, Sur la suture
nerveuse
(Ac. de méd., 1893). Létiévant. Traité des sect
suture nerveuse (Ac. de méd., 1893). Létiévant. Traité des sections
nerveuses
. Paris, 1813. Marenghi. Nevrotomia e nevrectomi
evrectomia (Lo policlinico, 1898, supplément). La régén. des fibres
nerveuses
à la suite de la section des nerfs (Arch. ital. d
lpian. - Rech. expér. sur la régén. des nerfs séparés des cen- tres
nerveux
(Soc. de Biol., 1859 et Journ. de l'Anat., 1863).
ques et les oedèmes névropathiques liés à des affections du système
nerveux
central que leur étiologie précise suffit à car
urement dystrophiques et liées à des lésions matérielles du système
nerveux
est importante à connaître. Il est incontestabl
ujets pré- disposés à ce défaut par un état spécial de déséquilibre
nerveux
. Exis- te-t-il des animaux, en particulier des
t ces désordres on pouvait retrouver des indices de ce déséquilibre
nerveux
, plus ou moins analogues à ceux qu'on observe c
es que chez les chevaux atteints du tic de l'ours. Le lécheur est
nerveux
, émotif, impressionnable. Ciseau etNotus s'iso-
op, fond, obsta- cle). C'est un nervosisme spécial, un déséquilibre
nerveux
, s'atténuant avec l'âge et distinct de la rétiv
cs s'observent de préférence chez les chevaux de sang beaucoup plus
nerveux
que les che- vaux d'armes communs. Mais il impo
cisément, d'établir une dis- tinction profonde entre le tempérament
nerveux
que les cavaliers reconnais- sent aux chevaux d
en effet, dans une énergie exceptionnelle, une grande excitabilité
nerveuse
qui font que l'organisme qui en est doté résist
vi- légiés se montrent insuffisants, accusent une grande dépression
nerveuse
». Il n'y a là rien de comparable au déséquilib
pression nerveuse ». Il n'y a là rien de comparable au déséquilibre
nerveux
des clievaux ti- queurs atteints de stéréotypie
os lécheurs est probant à cet égard. Tous les tiqueurs humains sont
nerveux
, émotifs, impressionnables, L'impatience pendan
eur ou non, lé- chage non convulsif, fréquent, quotidien, rapide.
Nerveux
, émotif, impressionnable, irritable, difficile à
. (2) Bassi, in Cadéac, Path. int. des animaux domestiques. Système
nerveux
, Paris, 1899, p. 452. (3) G. JoLY, L'affaisse
ngeoire ; l'habitude de lécher les poils date de cette époque. Très
nerveux
, très émotif, très impressionnable, s'affole faci
otidien, nullement gêné par la pré- sence du mors dans la bouche.
Nerveux
, très émotif, très impressionnable, craint le fou
arence convulsive de la contraction. Impressionnabilité extrême ;
nerveux
, impatient, très chaud à l'obstacle. L'examen e
ide, interrompu à intervalles inégaux par un mâchonnement. Cheval
nerveux
, très impressionnable, toujours inquiet, s'affola
fféremment son voisin, la mangeoire ou le bàt-f'laac. Tempérament
nerveux
, émotif, impressionnable ; impatiente quand elle
de temps à autre par du mâchonnement. Pas de caractère convulsif.
Nerveux
, émotif à l'excès au point de tomber sous le coup
ueur, ne s'observe que sur des chevaux présen- tant un déséquilibre
nerveux
bien caractérisé et des stigmates physiques dys
contraire, l'animal atteint de stéréotypie du léchage est un sujet
nerveux
, émotif, impatient, impressionnable ; il présen
des pho- 384 RUDLER ET CHOMEL bies ; et cet état de déséquilibre
nerveux
explique, pour cette catégorie d'accidents psyc
alcoolisme des parents, principalement du père, dans 3 des maladies
nerveuses
et men- tales chez des proches parents; dans 5
(tableau de P.Longhi) (1 phot.), par 1lARInNt, 201. Arthropathie
nerveuse
traitée par la ré- section (l pl.) par PATEL et
rogressive (2 pl. photocoll.), 26. Cavaillon et Patel. Arthropathie
nerveuse
traitée par la résection (t pl. 257. Calla. M
(2 pl. photocoll.), 26. PATEL (M.) et P. Cavaillon. Arthropathie
nerveuse
traitée par la résection (1 pl.), 251. PéHu (
Apothicaire, tableau de P. Longhi (Mariani), XLVI. Arthropathie
nerveuse
(PATEL et CAVAI- LO-1), LII. Gigantisme et Ac
LOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES FONDÉE par J.-M. CHARCOT & BOUR
X : F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. MM. ADAD
Vol. XXI Janvier 1906 NI- 121 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Deux cas de méningo-encéphalite chronique avec
de la naissance. Archives, 2° série, 1906, L. XXI. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. A partir de décembre 1897, marche progressivem
ampes dans les jambes. Pas de traumatismes céphaliques. Caractère
nerveux
; se met en colère facilement, mais sa colère ne d
ans, soldat, pas de convulsions; 5° garçon, 19 ans, pas de maladie
nerveuse
, intelligent; 6° fille, 15 ans, bien portante;
ans, jusqu'en décembre 1897; elle apprend assez bien. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. La malade n'a jamais fait de maladie grave; cl
20 mai. La malade est passée en chirurgie dans le ser- 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. vice de M. le Dr MONOD, où on décide de l'opér
se d'une arthropathie tuberculeuse, on élimine celle d'arthropathie
nerveuse
. 16 novembre. - L'enfant, dans le même état, es
e talon d'abord sur le sol. Etant assise, elle exécute 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. assez bien avec ses jambes les mouvements comm
existe autour de la brèche est bien plus saillant, 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. ne se continue pas avec la frontale ascendante
et cérébelleux n'ont fait découvrir aucune tumeur. 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. Cou et Titoi@ax. - Persistance du thymus qui f
il peut être retardé par l'insouciance des parents. 14 CLINIQUE
NERVEUSE
. sort de l'hôpital pour entrer quelques mois pl
ccordait pas avec sa femme; l'a quittée il y a 12 aus 16 CLINIQUE
NERVEUSE
. et, depuis, on ne sait ce qu'il est devenu, s'
la Pologne; on ne sait si leurs enfants sont atteints d'affections
nerveuses
. 4 soetti,,q : 1 45 ans, 7 enfants vivants et e
ment aveugle en Archives, 2" série, 1906, I. XXI. 2 18 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'espace de deux ans, pendant son séjour à Ber
te. Pas de signe de Babinski : l'enfant cric quand on 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. excite la plante du pied, mais ne fait aucun m
nué de la prendre chaque jour. Voici sa marche : .' 22 pathologie
nerveuse
. un peu plus petite que la droite. La séparatio
culose pulmonaire; congestion pulmonaire terminale. 24 clinique
nerveuse
. V.La sein ])le avoir débuté vers 11-12 ans :
de l'hémisphère gauche et sur la protubérance un cube de substance
nerveuse
non décortiquée : la pie-mère était adhérente.
ofonde de la méninge molle, cellules qui envahissent la substance
nerveuse
dans sa superficie ; mais en aucun point, il n'a
temporale du côté gauche. Elles n'étaient adhérentes à la substance
nerveuse
que par quelques points. L'examen pratiqué par
Observation. Mme z ? 51 ans, est fille de père buveur et de mère
nerveuse
. Une tante maternelle étaitaliénée et (ut interné
quièrent une cer- taine mobilité qui leur permet d'envahir le tissu
nerveux
ambiant. M. de Buck attribue aux cellules pla
présence d'un réseau spécial dans la région pigmentée des cellules
nerveuses
; par G. Marinesco. {Journal de Neurologie, 1905
e trans- formation chimique du réseau préexistant dans la cellule
nerveuse
: sa présence est intimement liée à celle du pig-
lement le même résultat. On comprend, de cette façon, que l'énergio
nerveuse
soit réduite d'une façon con- 42 REVUE D'ANAT
ement progressif. L'évolution de la maladie a REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 45 été interrompue par une rémission de dix jo
permis d'intervenir par une opération. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
1. - Nature du Tabès ; par S. \ ? GOWERS (Briti
ès de la maladie sont ordinairement (comme 4G REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans le cas cité), extrêmement longs. Ils peuv
paralysie générale fut, assez rare- ment il est 'vrai, le surmenage
nerveux
, l'alcoolisme, les excès vénériens et l'hérédit
surmenage nerveux, l'alcoolisme, les excès vénériens et l'hérédité
nerveuse
, seulement, 18 fois chez 112 malades de la vill
particulièrement celles relatives au bon fonctionnement du système
nerveux
. Le professeur Four- nier insiste d'ailleurs su
récédèrent la mort. Cette hypothermie était exclusivement d'origine
nerveuse
, car il n'existait ni sucre, ni albumine dans i
l'intervention des globules blancs dans les altérations des centres
nerveux
et que, en matière de psychoses, le tableau ana
aturelle REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 53 ou acquise des centres
nerveux
: de telle sorte que, finale- ment, il n'y aura
t de moindre résistance du sys- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 55 tème
nerveux
, mais une forme particulière de maladie ner. ve
érescence par conséquent, dans les maladies chroniques du système
nerveux
sera interdit. Exceptionnellement ; il peut être
it comme soporifique, et, dans les troubles fonctionnels du système
nerveux
il donnf parfois de bons résultats. Dans les ca
souvent guérie par des moyens empiriques. Dcsguérisonsde ce trouble
nerveux
ont été également obtenues à la grotte de Lourd
n d'états psychologiques constitués par de l'inhibition des centres
nerveux
; 2° Les phénomènes d'inhibition observés dans l
té est âgée de 24 ans, elle est depuis 7 ans atteinte d'une aphonie
nerveuse
complète ayant résisté à tous les traitements m
actes : impulsions). Vient ensuite l'étude des troubles du système
nerveux
, suivie de celle des troubles des fonctions org
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, pour laquelle sera accordé trois heures aux ca
Vol. XXI Février 1909 No 122 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Pachyméningite interne post-traumatique. 1',\
ique adjoint à la Faculté. [Travail de la cliniq lie des112alad ¡es
nerveuses
Salpêtrière.) L'histoire clinique des fractures
aris, 1905. ' Archives, 2. série, 100(3, t, XXI. li 82 CLINIQUE
NERVEUSE
. La malade, dont les antécédents tant héréditai
ron 1 mois 1 ? . L'état de la malade au point du vue des troubles
nerveux
ne s'est pas modifié. La malade, minée par une
oût 1905, c'est-à- dire un mois après >on entrée. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. Autopsie. - Raclas : La partie postérieure des
nstituées par du tissu muqueux un peu particulier. Dans les centres
nerveux
supérieurs ainsi que dans les viscè- res, rien
trace d'inflammation. La moelle ne confient presque plus de fibres
nerveuses
normales, on en rencontre encore quelques paque
rties anté- rieures de la coupe. Il existe encore quelques cellules
nerveuses
arrondies, ayant gardé leur noyau et un ou deux
sens, formant des espèces du nids. On ne rencontre pas de libre'
nerveuses
fines pouvant faire supposer un processus de régé
ar le processus méningitique, ne contiennent presque plus de fibres
nerveuses
; et celles qui subsistent se colorent mal. La
qui, ans avant son entrée, subit un traumatisme, in- Su CLINIQUE
NERVEUSE
. tense en apparence, de la colonne lombaire. Pa
ours d'une section de compression in- complète indiquait un système
nerveux
incapable de réagir. Car c'est à une réaction d
lui de la pachyméningite consécutive. Le shock, que 88 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. l'on voit, dans certains cas, durer jusqu'à 4
s endocraniennes en général sont assez rares. C'est 90 CLINIQUE
NERVEUSE
. à ce titre, et en raison de particularités spé
ors des moments où elle se trouve sous l'influence de 92 CLINIQUE
NERVEUSE
. troubles épileptiques, elle reste calme, mais
ux avec quelques séries de 4 à 5 crises quotidiennes. 91 CLINIQUE
NERVEUSE
. de la malade s'aggrave tous les jours, elle es
faux du cerveau jusqu'à son insertion postérieure. 96 CLINIQUE
NERVEUSE
. Cette tumeur affecte la forme d'un secteur de
alement peu altérées. 2 ? (*i-ii. 1906. t. XXI. 7 98 CLINIQUE
NERVEUSE
. La face plane déprimée comprend F2Ft et toute
llules osseuses typiques et système de llavurs. 102 PATHOLOGIE ^
NERVEUSE
. Les masses Galeuses contiennent un très grand
e de 1900. ( : 1) Ami. Méd. pysclrol., 1902, n" 2. 104 CLINIQUE
NERVEUSE
. semble 128 cas, et, dans six mois de pratique
ait hyperesthésie des ovaires et du creux de l'esto- mac. Système
nerveux
. Les réflexes lendineux augmentés : trem- bleme
bottines aussi aisément qu'une personne normale. Examen du système
nerveux
. - Sensibilité normale tant pour la finesse que
côté de l'alcoolisme invétéré chez le père, il y a une hé- rédité
nerveuse
et surtout mentale du côté de la mère. 2° L'abs
taire, ne présentant pas d'antécédents héréditaires au point de vue
nerveux
. Le père serait mQrt à 24 ans d'une affection c
T ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115 actuelle du mal perforant : la théorie
nerveuse
, d'après laquelle lemal perforantestun trouble
trouble trophique lié assez souvent à de graves lésions du système
nerveux
central. Bali et Thibierge ont signalé le mal p
, d'après la thèse de Gasoul, la proportion des diverses affections
nerveuses
compliquées de mal per- forant : Nombre des cas
ter, en ce qui concerne l'étiologie des maux perforants, la théorie
nerveuse
d'une façon trop exclusive et la compression au
clil faut y joindre les troubles résultant de lé- sions du système
nerveux
, soit périphérique, soit cen- tral ; néanmoins
d'une certaine importance. C'estdouc la théorie mixte, mécanique et
nerveuse
qui semble devoir fournir au mal perforant l'ex
l des pyramides particulièrement affectée contient moins de tissu
nerveux
et une très notable exagération de la névroglie.
dé à l'excitation directe (musculaire) ou indirecte (par les troncs
nerveux
ou leurs branches) des régions affectées, alors q
cancer); c) des lésions secon- daires à d'autres lésions du système
nerveux
(moelle) ; d) des lésions banales d'infection.
énile. Celles du 2° groupe offrent à considérer dans les cel- lules
nerveuses
des phénomènes de chromatolyse,de haryokinèse e
f anatomique périphérique cl con- sidérer successivement l'appareil
nerveux
du psychisme supérieur et inférieur,celui des n
ystiques. Au microscope, autour d'un vaisseau, on voit que le tissu
nerveux
est raréfié et peu coloré : la névroglie plus a
'del qui paraît dû surtout à une rétraction -en masse du parenchyme
nerveux
. L. ? AHL. XXVL- Pathogénie et ontogénie du sys
'appareil 134 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
nerveux
central de l'olfaction. Chez tous les vertébrés m
ité réflexe générale est plus grande : elle relève p des affections
nerveuses
fonctionnelles. Dans certaines affections organ
P. KERAVAL. XXXIII. Nouvelles méthodes de coloration des cellules
nerveuses
; appoint a la question des canalicules sé- reu
ur la ligne médiane lu sacrum, le sujet élanl REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 141 couché sur le ventre, on fait contracter l
lue dans les cas pathologiques. P. 1W aw ? L. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Hygiène du baiser ; par Féré. ll ? Cb. de mc
a capsulaire '1 Après une discussion très 112 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. bien faite de eus div crses hypothèses, les au
es. Peu à peu les douleurs se calmèrent, mais REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 113 la laiblesse augmenta. Cet état n'a ni la
rophie du tissu con- jonctif. Pas de lésions importantes du système
nerveux
. Cet état probablement infectieux (Cnwerricht)
dus il des foyers de ramollisseinenljus- 144 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'alors méconnus qui donnent lieu à des sympt
e d'un mauvais état général. Conclusions : une lésion des centres
nerveux
, compensée ou latente, s'étant ou non manifesté
fectés d'une In perexcitabililé spéciale, des neu- rones du système
nerveux
central, de produire des convulsions l1lyocloni
is dans lajeunesse, chez des sujets du souche REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 140 neura-arthritidue, une raideur plus ou moi
AncuivE ! ? , 2' série, 1906, t. XXI. 10 14G REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. serve, paraît-il,un cas où à la sialorrbée éta
l penser que, comme dans les expériences d'E- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 147 ,linner sur lus rats, il se produit des tr
du cerveau et de la moelle. P. KERAVAL \\ ? D'une forme d'affection
nerveuse
présentant les si- gnes extérieurs de la myoton
lles aH'C les doigts l'une après l'autre. 148 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Du même pour la bouche ; d'ordinaire il la fer
l'Université de Giesseii,dans la clinique des maladies mentales et
nerveuses
, sous la direction du D'' H. Sommer, professeur d
plus exact et conviendrait bien mieux à ce genre d'état. CLINIQUE
NERVEUSE
Grossesse et puerpéralité chez une épileptiqu
s convaincre que, si l'attention s'est portée depuis 172 CLINIQUE
NERVEUSE
. quelques années sur l'existence de troubles ch
neumonie il 45 ans ; trois soeurs en bonne santé. Pas d'all'ections
nerveuses
, ni de maladies mentales déclarées dans la fami
érée, n'amène pas la moindre, exaspérai ion motrice. 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. La sensibilité est conservée ; pas d'analgésie
en exagérantleur flexion. Si les bras étaient allon- 176 CLINIQUE
NERVEUSE
. gés le long du corps, ils sont soulevés de dix
es autres ré- .RCmvr.s. ? ".éri. 1906, i. \t. 12 178 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. flexes tendineux sont normaux. Les réflexes du
atiquée au Laboraloirc des cliniques, le t8 mars : 180 CLINIQUE
NERVEUSE
. chôment annonce la fin de la crise qui est sui
PUERPKRAL;TE CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE. 181 d'épilepsie. Aucun l rouble
nerveux
ne vient entraver ni modifie) la marche du trav
e détail de l'évolution du travail, pour montrer que les trou- bles
nerveux
n'ont exercé aucune influence sur lui, et pour ét
les quatre premiers jours après l'accouchement, le calme du système
nerveux
est presqueahsolu. De loin en loin, quelques ra
ne avec perte de connaissance, écume aux commissures 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. labiales, mais sans cyanose du visage, et d'un
clinique le lendemain, dans un état de calme relatif : l'affection
nerveuse
a repris les caractères et la marche qu'elle pr
la double névrose. C'est sur cetcrrain que nousavons 184 CLINIQUE
NERVEUSE
. vu évoluer une grossesse : il était intéressan
ge les conditions de leur fonctionnement; le cerveau, et le système
nerveux
tout entier, est atteint par ces modifications.
entier, est atteint par ces modifications. Qu'une pré- disposition
nerveuse
individuelle favorise la prédomi- nance des tro
lle favorise la prédomi- nance des troubles fonctionnels du système
nerveux
sur ceux des autres organes, ce système réagit
s dans le placenta ; c'estenfin l'albuminurie légère 186 CLINIQUE
NERVEUSE
, apparue dans le dernier mois de la grossesse.
part, l'on suppose que des agents toxiques ont imprégné les centres
nerveux
pour provoquer un mouvement con- vulsif spécial
toxi-infection passagère par la convulsion choréi- que, les centres
nerveux
, affaiblis déjà auparavant parla prédisposition
ué qu'un rôle étiologique. Mais alors, nous reve- nons à la théorie
nerveuse
à laquelle nous donnons la pré- férence ; que l
équilibre préexistant était essentielle- ment instable et l'élément
nerveux
très vulnérable. Loin- fluence extérieure a dév
te, puisque c'est elle qui crée la faiblesse anatomique des centres
nerveux
on le suppose du moins, en l'absence des preuve
ROSSESSE ET PUERPÉRALITÉ CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE. 187 table du système
nerveux
tout entier rendent il peu près inévitable le d
un état convulsif à la plus minime cause provocatrice. La théorie
nerveuse
explique facilement pourquoi le travail a attén
- canisme (réflexe d'inhibition ou autre), l'attention du système
nerveux
, si l'on peut s'exprimer ainsi, s'est por- tée
sem- ble résolu aussi complètement que possible par la théo- rie
nerveuse
, malgré les signes certains o'auto-intoxica- ti
tion gravidique que présentait notre malade. Enfin, les troubles
nerveux
n'ont exercé chez notre malade aucune influence
ce, M ? était ner- veux, cependant il n'a jamais présenté de crises
nerveuses
d'au- cune sorte. Son intelligence ne s'élevait
-rachidien, incom- pressible, se fait place en réduisant les fibres
nerveuses
à l'a- trophie : c'est le second stade. Les lés
mme révélateur de pcl'lul'1m ! i ons dans la circulation du système
nerveux
central. F. T. XL. Les oedèmes circonscrits aig
èmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système
nerveux
(rôle de la sécrétion lymphatique dans leur pat
des vaisseaux ; ils sont nettement sous la dépen- dance du système
nerveux
qui agit en provoquant des troubles de la sécré
hes sur l'origine des prolongements pro- toplasmiques de la cellule
nerveuse
; par 1 RAGNITO. (In .ln,nali di Nevrologia. Nap
sujet de l'origine, des prolongements protoplasmiques de la cellule
nerveuse
, l'auteur conclut que le seul fait démontrable
e corps neuro- blastique, destiné à devenir le centre de la cellule
nerveuse
, et à augmenter son proloplasma. En terminant,
il'emenl les rapports qui existent entre la névroglie et la cellule
nerveuse
, rapports qui montrent les dispositions avec ré
avoisinants, on devrait arriver à cette conclusion que l'excitation
nerveuse
, arrivant par une grosse fibre afférente, venai
ndant du tonus et des conditions toniques et trophiques des centres
nerveux
. Le mouvement est prompt, ample, de brève durée
mo- difié : exagéré, diminué ou aboli. Dans certaines affections
nerveuses
, le réflexe peut être un signe différentiel, co
LRecherches histologiques sur la structure fibrillaire de lacellule
nerveuse
il. l'état normal et il. la suite des lé- sions
rrier. Archives, 2' série, t906, t. XXI. 14 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.\\'111. -- De la méningite tuberculeuse à form
minisme de ces formes délirantes. (. Carrier. revue DE pathologie
nerveuse
. 211 \)X. Hémiatrophie faciale droite; sclérode
t être considérée dans ce cas comme un trou- Mtitrophique d'origine
nerveuse
. Il fait remarquer que l'atrophie des tissus pr
e de cas, qui peuvent enrichir la litL·m- 212 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ture de cette maladie, dont l'origine thyroïdi
re comme caractéristique du l'achondroplasie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 213 Les caractères du crétinisme sporadique pe
ette affection, et donnent l'examen anthropologique, physiologique,
nerveux
, avec l'état des réflexes, delà sensibilité, de
diagnostic, différentiel d'avec un grand nombre d'autres affections
nerveuses
est pour ainsi dire impossible et qu'il faudra
e : Abondance extraordinaire du pigment jaune- brun dans la cellule
nerveuse
. 214 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2c cas ;
t jaune- brun dans la cellule nerveuse. 214 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 2c cas ; Surtout marqué par des troubles psych
; Surtout marqué par des troubles psychiques. Fixa- tion du système
nerveux
par des méthodes variées, (solution de sublimé
et demi pour cent). Un trouve une diminution numérique des éléments
nerveux
de la couche corti- cale cérébrale, siégeant su
varus équin, les muscles jumeaux et le tendon REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 215 d'Achille sont fortement tendus. Le signe
c- lant la face, les mains, les jambes et les pieds. Les troubles
nerveux
étaient caractérisés par de l'exophtalmie et qu
ncontinence d'urine, seulement des sueurs 2Hi REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. abondantes. La crise dure environ une iluini-h
de la lièvre qui l'accompagne, il y a chez ces névrosés, à système
nerveux
en équilibre instable, des modi- fications dyna
fonctionnelles qui se produisent. C'est sous REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 217 celle influence qu'il y a tantôt sédation,
uence qu'il y a tantôt sédation, tantôt excitation du sys- Li-IIII'
nerveux
et que les crises convulsives cessent on apparais
s faits cités, il y en a où la lésion cardiaque agit sur un système
nerveux
héréditairement troublé dans son fonctionne- me
d'autres, au contraire, où elle paraît, par l'absence de toute lare
nerveuse
héréditaire ou personnelle, créer entière- ment
récissement mitral datant de la première enfance. Pas d'antécédents
nerveux
héréditaires ni personnels. Réglée à lu ans, le
s et congestifs s'accentuèrent et au bout 218 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de 48 heures la première crise d'hystérie écla
s étrangers pour l'étude bis- ? 38 varia. (.«logique du système
nerveux
pathologique est caractérisée : d'une part, par
ologique, il existe un service spécial chargé de Vexamen des pièces
nerveuses
. En ou- tre, les manipulations étant toujours l
hnique histologiquc employée il l 'étranger dans l'J/ude du système
nerveux
pathologique, le mode du fixation et de durciss
Pour le diagnostic rapide et pratique des ail éral ions du système
nerveux
, on se s'ert de préférence de la méthode Ù l'OI1(
nt), ner- FAITS DIVERS. 239 veux pris en particulier : cellules
nerveuses
. ueurolibrilles, cylin- draxes, gaines du, 11l)
e que demande l'examen com- plet delà plupart des cas de pathologie
nerveuse
. Mais grâce a la spécialisation des travailleur
ermet, lorsqu'on est habitué à lire et il in- terpréter les lésions
nerveuses
. une étude d'ensemble rapide de tous les élémen
erveuses. une étude d'ensemble rapide de tous les éléments du tissu
nerveux
. On peut ainsi, presque de suite, avec ces proc
numéro l de 1900. Ai.orir.n. Lus principales formes «les I roubles
nerveux
dans le mal de l'oit sans gibbusilê (4 pland,l ?
mentale, chorée, strabisme, affaiblissement du bras gauche. L'état
nerveux
de cet enfant s'est modifié favorablement : la
l'enfant était très arriérée. Elle avait des moments d'excita- tion
nerveuse
, pendant lesquels elle se livrait à des jeux déso
vais instincts se sont dissipés. Plus d'onanisme. Plus d'excitation
nerveuse
, comme au début. Elle ne cherche plus à faire d
ou partie de l'organisme a subi un schock physique dont les centres
nerveux
ont pu subir le contrecoup en masse. Les lésion
Père mort de rupture d'anévrisme. Plu- sieurs frères sans troubles
nerveux
ou mentaux. Observation V. - Cerf ? quarante-ne
. Renseignements personnels : jeune, jamais malade,- sobre. Etait
nerveux
, soubresauts dans les tendons, quand il s'endor-
ection médullaire ; mère démente ayant été internée ; quatre soeurs
nerveuses
. Syphilis il y a dix-huit ans (soigné au Midi).
Recherches sur l'origine et les rapports récipro- ques des éléments
nerveux
dans la moelle épinière du poulet ; par IUGENIO
llule ganglionnaire no prend aucune part à la formation do la libre
nerveuse
; 2" la libre nerveuse au début de son dévelop-
prend aucune part à la formation do la libre nerveuse ; 2" la libre
nerveuse
au début de son dévelop- pement ne présente auc
nte aucune connexion avec la cellule ganglion- naire; - 30 la fibre
nerveuse
périphérique et centrale se déve- 328 REVUE D
erveuse périphérique et centrale se déve- 328 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. loppe aux dépens des chaînes cellulaires ; - 4
e cette fibre. - 5° Les prolongements protoplasmiques de la cellule
nerveuse
se développent aux dépens des chaînes cellu- la
s des chaînes cellu- laires ; - G" les neurofibrilles de la cellule
nerveuse
sont un pro- duit tardif de différenciation el,
le dixième jour d'inoculation. ,1. S. ŒVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
111111. -Retour du phénomène du genou dans le t
miplégie. Mais quand, comme ici, on se trouve REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 329 en présence de retour graduel ou du renfor
la peau du voisinage. Sauf cela la jeune 330 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - personne est normale et intelligente. C'est
sur les noyaux puisque les muscles sont contractiles, et les filets
nerveux
exci- tables ? z P. ILERAVAL, XXXV. Trouilles
ssent à cet égard indemnes. Dans la névrite- mulLi- ple, les troncs
nerveux
et les muscles présentent une sensibilité exagé
ourrelet ou onde musculaire) qui se traduit L REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 331 par le gonflement local limité iL l'endroi
ontiennent deux tissus excitables, le tissu muscu- aire et le tissu
nerveux
. Il faut donc que l'état du système ner- veux s
la réaction de dégénérescence électrique. 332 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les lésions du neurone central se traduisent d
sse jouer un rôle dans la pathogénie de l'o ? REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 333 Léite déformante, comme on admet l'hypothè
es que les ont retrouvées, à l'exclusion de toute lésion du système
nerveux
, -MM. Déjerine et Sottas. Soit d'exaltation de
s'agit alors de myotonie acquise avec lésions variables du système
nerveux
. Le sarcoplasma représente la partie tout à fai
ut passé infectieux. Au point de vue de 334 . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'âge, la maladie est survenue de 45 60 ans av
as où les mouvements associés d'ordre ration- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 335 ,,et et les paraliin6sies statiques et cin
lite ou de mé- ningo-myélite, soit ir, des altérations des cellules
nerveuses
de la moelle; - scléroses postérieures tabétiqu
ez un même malade, ne soient que deux mo- 336 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. monts différents, simultanés ou successifs, d'
sthénique et les causes de sa gravité restent REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 337 inconnues. L'observation de Dupré et Pagni
es de haltes venant interrompre la dé- pense exagérée de l'activité
nerveuse
. Malgré leur durée limitée, elles permettent à
asthénies, 11syc ! ¿onè')J'oses et maladies orpa- niques du système
nerveux
, particulièrement celles dues à un choc physiqu
à élucider l'étiologie et la pathogé- nie des affections du système
nerveux
consécutives à un trauma- tisme, ou à un choc m
proprement dite. Il a été frappé par certains points spéciaux, état
nerveux
particulier, longue durée de ces affections, ma
c signes indéniahles d'une lésion maté- rielle organique du système
nerveux
. Ce sont là des faits qu'un simple ébranlement
e nerveux. Ce sont là des faits qu'un simple ébranlement du système
nerveux
ne peut expliquer et que l'auteur compare à l'e
éréditaire ou acquise offerte par le BIBLIOGRAPHIE. 341 système
nerveux
, et de l'extrême sensibilité de celui-ci à l'acti
levons les suivants relatifs à des travaux de pathologie mentale et
nerveuse
. .. Prit : Alvanettqa de Piauhy « Brésil » 800
erné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies
nerveuses
. , Prix Gelièure. -1.S00 francs. - Question : D
de l'angle du maxillaire infé- rieur. ' Céphalalgie, irritabilité
nerveuse
, insomnie, se croit épié pour surprendre une si
nt il est difficile d'établir le rapport effectif avec les troubles
nerveux
et mentaux actuels;une partie semble toutefois
ience du malade pourrait lui permettre d'exagérer certains troubles
nerveux
ou cérébraux réels, et par difficulté de simula
ratuites pour les enfants indigents atteints de maladies du système
nerveux
, le jeudi à 9 h. 1/2. REVUE CRITIQUE L'ép
une maladie toxique, à action réflexe et excitante sur les centres
nerveux
. Il s'est con- vaincu que pendant l'accès de mi
si morts en bas âge ; ceux qui sont restés en vie sont tous malades
nerveux
ou bien ont des attaques. A l'épo- que de la de
de même naturellement du lien génésique - La malade a une hérédité
nerveuse
très accusée. Elle avait souvent des convulsion
s qui laissent à désirer au point de vue du caractère, car elle est
nerveuse
et irritable, mais ces moments-là sont de court
co ? continue à s'améliorer à tous les points de vue; les accidents
nerveux
{chorée) ont disparu, fille se porte admirablem
906). Fig. r. - Kram ? à 14 ans 1/2 (19C6.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
Xl.VII. Nouveau cas de de pellagre accompagnée
raît être lié à la pellagre et être un trouble trophique du système
nerveux
comme les syndromes du même ordre qu'on rencont
ales, rhumatisme chronique, diabète ou même des maladies du système
nerveux
comme la syringo- myélie. M. Il. XLYIII. Les
use Archives, 2- série 1906, t. XXI. 23 418 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. locale qui aurait rétrocédé mais n'aurait pas
le de fonctionnement de l'hypophyse. )1. IL REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 410 LUI. Paralysie des deux hémioculomoteurs,
lévation, l'abaissement et la convergence 420 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des deux globes oculaires avec conservation pa
ait,être patllognomoniyue et n'est qu'une manifestation de syphilis
nerveuse
; de môme le signe de Romberg ne peut être exig
e par une tumeur du voisinage sont assez fré- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 421 queutes. Il est plus rare de constater l'e
Cochin, où le docteur Richelot diagnosti- qua aisément une maladie
nerveuse
. 11 fit mine de croire,lui aussi, à l'existence
Hôpital de la Pitié. Leçons cliniques sur les maladies du système
nerveux
. - M, le Dr Babinski reprendra ses conférences
e Dr Babinski reprendra ses conférences sur les maladies du système
nerveux
le samedi 5 mai 1906. Hospice de la SALPÊTRIÈRE
ratuites pour les enfants indigents atteints de maladies du système
nerveux
, le jeudi à 9 h. 1/2. . Cours DE PHYCHIATRIE
ence mélancolique consécutive à une affection organique des centres
nerveux
: perte de la mémoire, sensiblerie, automatisme,
t ainsi conçu : « Est atteint d'une affection organique des centres
nerveux
(sclérose latérale amyotrophique) compliquée de
conséquence. Et l'origine de cette infériorité vi- tale du système
nerveux
de ce malade peut être soupçon- née, si la lési
ysie générale n'est elle-même qu'un mode de réac- tion d'un système
nerveux
anormalement développé, frappé en un mot de dég
pensons avec d'éminents neurolo- gistes, les affections du système
nerveux
ne sont pas des maladies ; si ce ne sont que de
érébro-psychiques. (1) F. Raymond. Clinique des maladies du système
nerveux
, pre. mière série, Paris, 1896. ANATOMIE PA
ntre qui forme la li- mite entre la membrane de l'abcès et le tissu
nerveux
.- Ziegler parle simplement d'un (issu de granul
de leucocytes. Enfin, une der- nière zone nous montre des éléments
nerveux
plus ou moins altérés, au milieu desquels on tr
formes en voie de formation. Celles-ci, disséminées entre les tubes
nerveux
, sont assez régulièrement dis- posées et parall
ès cérébral expérimental, par inoculation directe dans la substance
nerveuse
d'une culture récente de sta- phylocoque doré.
t étudier les altérations progressives des divers éléments du tissu
nerveux
. Il a pu noter progres- sivement les altération
veux. Il a pu noter progres- sivement les altérations de la cellule
nerveuse
, la dégé- nérescence de son protoplasma, la des
fusiformes analogues à ceux de la couche précédente.Des éléments
nerveux
préexistants, il reste des traces plus manifest
ne zone d'irritation, où le processus irritatif frappé les éléments
nerveux
, la myéline, et surtout les vaisseaux et la név
rnes où s'organise progressivement la réaction défen- sive du tissu
nerveux
. - Nous devons à l'obligeance de notre excellen
ette zone interne occupe une ré- gion normalement riche en cellules
nerveuses
, on voit sur les pièces colorées par les méthod
a pas de noyau, parfois un noyau mal coloré. Ce sont des cellules
nerveuses
en nécrose de coagulation. Par places on trouve
veuses en nécrose de coagulation. Par places on trouve des cellules
nerveuses
parfaitement reconnaissables, mais prenant moin
ulation nous ont semblé les deux modes de disparition de la cellule
nerveuse
. II. A cette première zone, granuleuse, en succ
zone, sur les coupes favo- rables, on peut reconnaître des cellules
nerveuses
plus ou moins modifiées. Les cellules normales
que par ses caractères irritatifs et qui ne se distingue du tissu
nerveux
voisin normal que par cette extrême abon- dance
in- filtration embryonnaire des zones précédentes. Les cellu- les
nerveuses
sont normales. Leur noyau reste central, fortem
ait de ne pas être vue. Parfois elle avait des moments d'excitation
nerveuse
et se livrait à des jeux désordonnés et excentr
sse, ateliers, soins du ménage, tout marche de pair. Aucun accident
nerveux
à signaler, très grande amé- lioration : on pou
vices de prononciation, des impulsions violentes, de l'irritabilité
nerveuse
(1), des perversions des ins- tintes, de l'onan
btention du certificat il) Les cnfanls chez lesquels l'irritabilité
nerveuse
constitue le 3'llll)tô : lle le plus important,
'imbécillité intellectuelle, d'imbécil- lité morale, d'irritabilité
nerveuse
avec impulsions violentes et d'épilepsie. , 2
aliens ; les particularités anatomiques et histologiques du système
nerveux
et du tissu pseudencéphalo- médullaire ; la rép
OGIQUES. 497 et concuremment avec des hémorrhagies détruit le tissu
nerveux
en se substituant à lui. C'est la méningite q
s ; par G. Marinesco. D'après Walter, lorsqu'on sectionne un cordon
nerveux
, de manière à empêcher la réparation, le bout p
expérimentales peuvent trouver leur application dans la pathologie
nerveuse
. « J'ai eu l'occasion, écrit M. Marinesco, d'ob
une influence certaine sur les phénomènes de réaction de la cellule
nerveuse
à la suite dp la section de son cylindraxe et q
te dp la section de son cylindraxe et que la suspension de l'influx
nerveux
venu des centres supérieurs favorise l'intensité
stence de relations importantes entre le vitiligo et les mala- dies
nerveuses
. L'auteur a eu l'occasion de faire l'autopsie d'u
e présentait à l'examen clinique aucun signe d'affection du système
nerveux
. Mais l'examen histo- logique de la moelle perm
tre ce nouveau cas de coïncidence en- tre un vitiligo et une lésion
nerveuse
. (Revue neurologique, 1905.) ZD E. D. LXXI1,
faites dans diverses formes mentales et dans certaines mala- dies
nerveuses
à complications psychopatiques. Ils concluent en-
. Affections cérébrales. Voir Mou- vements de compensation. - -
nerveuse
. Voir Myotonie. - familiale congénitale, par
ses. par Marinesco, 41. - Nou- velles méthodes de coloration des
nerveuses
, appoint à la question des canalicules sé- re
cherches sur l'origine des pro- longements protoplasmiques de la
nerveuse
, par Fragnilo, 201. - Structure fibrillaire de
la nerveuse, par Fragnilo, 201. - Structure fibrillaire de la -
nerveuse
à l'état normal et il la suite des lésions des
tes et centrifuges dans le fonction- nement et la nutrition des
nerveuses
, par Marinesco, 4 ! jus, Influence exercée par
muscles ou aux soi-disant réflexes musculaires dans les maladies
nerveuses
, par Bcchte- rew, 3.10. Excitations centripèt
par Bcchte- rew, 3.10. Excitations centripètes. Voir Cel- lules
nerveuses
. ' Exophtalmie par épaississement des muscles
ique histologique em- ployée à l'étranger pour l'étude du système
nerveux
pathologi- que, par Carrier, 237. Laminectoni
rasthénies; psy- cho-nëvroses et maladies orga- niques du système
nerveux
, par- ticulièrement celles dues ù un choc phy
echerche sur l'ori- gine nt les rapports réciproques des éléments
nerveux
dans la épinière du poulet, par La Pegna, 327
Myotonie congénitale, par \feens, 108. p'tne forme d'affection
nerveuse
présentant les signes extérieurs de la , par Re
irconscrits ai- gus et chroniques sous la dé- pendance du système
nerveux
(rôle de la sécrétion ]ymp))nti- que dans leu
t et Mail- lard, 503. Système connnissural. Voir Cer- veau. - -
nerveux
. Voir Oedè- mes, Laboratoires. Tabès. Nature
is PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE - MÉDECINE LÉGAL MALADIES MENTALES &
NERVEUSES
Rédacteur en Chef Docteur Edgar BÉRILLON PRIN
ier par la suggestion, de provoquer chez les sujets une série d'états
nerveux
spéciaux, essentiellement différents de l'état de
zzolo et Silva ont signalé l'aggravation de toutes sortes de maladies
nerveuses
, chez des sujets qui avaient été soumis aux manœu
d'expé- » riences; puis... on cessa. Cette fille, jeune, était très
nerveuse
, un peu » hystérique, souvent souffrante. Elle
uve quelque tare, qui diminue l'équilibre ou la résistance du système
nerveux
. Ces sujets prédisposés sont malheureusement le
peu pour troubler, pour déséquilibrer, pour désorienter leur système
nerveux
. Pour eux surtour, tout ce qui diminue la respons
de vingt ans, fut prise, après avoir passé ses examens, d'une maladie
nerveuse
. En mai 1886, elle eut un premier accès, qui se r
st enchaînée, il en est d'autres dont la constitution héréditairement
nerveuse
ne se trahit par rien d'anormal dans les actes, s
hystériques, dit James Pajet (1), vous trouverez de la simulation
nerveuse
, » Entre les deux groupes extrêmes, c'est le grou
oint de vue mental. On constate le plus souvent chez eux une hérédité
nerveuse
plus ou moins manifeste. Dans la troisième catégo
ospice de la Salpêtrière. — Court de clinique des maladies du système
nerveux
: M. le professeur Charcot. Leçons le mardi et le
on définies. Je n'ai étudié que ces sujets-là, chez lesquels l'influx
nerveux
présente une mobilité tout à fait spéciale. e
s émotions qui en sont la conséquence et qui déterminent des troubles
nerveux
de diverses sortes. » Mois comment, poursuit-il
ntal décidément morbide que force est bien d'admettre. Si les enfants
nerveux
du second groupe peuvent être, en une foule de ca
rales, état qui aurait la plus grande analogie avec les modifications
nerveuses
déterminées par Thypnotismc. Antérieurement déj
nt à la suite du traumatisme, ou consécutivement à l'émotion, au choc
nerveux
qui suit les accidents de chemin de fer, ou bien
'appellerai* volontiers l'imitation émotive qui préside aux épidémies
nerveuses
et névropathiques, et enfin par l'appréhensio
ceux que nous avons mentionnés se développent chez des jeunes filles
nerveuses
, chez des femmes, je le comprends ; mais qu'on ai
de fiacre, qui n'ont présenté antérieurement aucun signe it, diathèse
nerveuse
, et ceto pour expliquer des troubles moteurs et s
résentent aussi chez des sujets indemnes absolument de toute dîatnèse
nerveuse
jusqu'au moment o*: ils apparaissent, grâce toujo
et de la fatigue du sujet et des traces persistantes d'un ébranlement
nerveux
antérieur. Il laisse le sujet se reposer et oubli
sme? Je suis de l'avis de l'Ecole de Nancy; je pense que tout système
nerveux
quelconque étant susceptible d'actions instinctiv
impVessionnabilité varie dans une très grande mesure; plus le système
nerveux
périphérique est prédominant, plus la sensibilité
voue à Motet |i) qu'à diverses reprises, il a vu sa mère qui est très
nerveuse
« dans ses attaques de nerfs » et que l'idée lui
n, elle se prit à reproduire, tour a tour, les diverses perturbations
nerveuses
dont, en toute sincérité, hélas ! son entourage l
illox. DE L'ACTION CONTRAIRE OU PARADOXALE DES MÉDICAMENTS CHEZ LES
NERVEUX
Par le Dr P. BU ROT MOFESSEU* A i."ÉCOLE DE X
ention, c'est que les médicaments agissent souvent, sur les personnes
nerveuses
, en opposition avec les connaissances de la physi
s connaissances de la physiologie. Quand on voit un grand nombre de
nerveux
, on ne tarde pas à s'apercevoir que chez eux les
ndent à démontrer les observations suivantes : I. — Mlle M..., très
nerveuse
, a éprouvé des douleurs névralgiques en différent
é à l'intérieur put arriver à la réveiller. II. — Mme C... est très
nerveuse
. Elle fut un jour empoisonnée par des compresses
même, par intervalles, pendant huit à dix heures, de fortes secousses
nerveuses
. IV. — Gir... est un grand hystérique ayant pré
es sujets, au moins pour la première fois. Ce sont principalement les
nerveux
qui les présentent. Us sont variables chez les mê
nt variables chez les mêmes malades, suivant l'orientation du système
nerveux
. L'expérimentation sur les animaux et même sur
rieusement l'attention des praticiens. L'HYPNOTISME ET LE SYSTÈME
NERVEUX
Par M. le D' CROCQ V»i1i Dï L'ACADÉMIE DE NSD
xposer d'abord quelques idées générales sur la physiologie du système
nerveux
. Dans le système nerveux, nous pouvons reconnaî
es générales sur la physiologie du système nerveux. Dans le système
nerveux
, nous pouvons reconnaître deux espèces d'actions
deux genres de forces, qui ont toutes deux leur siège dans le système
nerveux
, qui y prennent leur point de départ, présentent
au — centre commun de toutes les actions qui se rapportent au système
nerveux
. — La, par conséquent, nous- rencontrons tout à l
ssionnabilité, c'est-à-dire la faculté que possède le / système
nerveux
de recevoir les impressions du monde extérieur. P
chouer devant l'impressionnabilité, I devant la domination du système
nerveux
périphérique, nous rencontrons ce qu'on appelle l
ler. Cette base nous étant donnée relancement à l'action du système
nerveux
central, voyons en quoi consistent les phénomènes
e et de la réaction Habilité, si je puis ainsi m'exprimer, du système
nerveux
vis-à-vis de ces actions venues de l'extérieur. O
t d'autant plus marquée qu'on a affaire à des animaux dont le système
nerveux
est plus développé et qui, par conséquent, se rap
ce n'est pas chez des animaux tout a fait inférieurs, dont le système
nerveux
est en quelque sorte rudimentaire, qu'on rencontr
r l'intelligence de l'homme. Au point de vue de l'activité du système
nerveux
et des centres nerveux en particulier, il y a bie
omme. Au point de vue de l'activité du système nerveux et des centres
nerveux
en particulier, il y a bien des animaux considéré
sus de ceux-là. J'admets parfaitement, par conséquent, que le système
nerveux
instinctif de ces animaux soit susceptible d'exal
, je me range a l'avis de l'éjole de Nancy. Je crois que tout système
nerveux
quelconque est plus ou moins accessible aux manœu
de l'étendue plus ou moins grande de l'impressionnabilité du système
nerveux
. Plus le système nerveux périphérique est impress
ns grande de l'impressionnabilité du système nerveux. Plus le système
nerveux
périphérique est impressionnable, plus l'individu
e, plus l'individu est susceptible d'être hypnotisé. Moins le système
nerveux
périphérique est accessible aux impressions senso
, en effet, un degré d'impressionna-bilité excapiionnelle des centres
nerveux
. Ici, messieurs, se place l'intervention de la
rement à sa volonté, lorsque, bien entendu, cet individu a un système
nerveux
suffisamment impressionnable. Il n'est pas nécess
pas toujours les individus a intelligence bien développée, à système
nerveux
bien actif, qui étaient les plus sensibles aux ph
isme ? Nous savons qu'en dehors de l'état d'hypnotisation, le système
nerveux
est susceptible de présenter des phénomènes très
certains individus en état de sommeil, de façon à meure leur système
nerveux
dans des dispositions particulières. Ces sensatio
s dispositions particulières. Ces sensations, agissant sur le système
nerveux
et mettant en jeu son activité, donnent naissance
sommeil normal. Je ne vois aucun inconvénient à considérer le système
nerveux
comme présentant les mêmes modifications de vascu
par le soleil. Cet homme éprouve un strabisme convergent, une fatigue
nerveuse
, et il s'endort. Je produirai facilement le même
certains, une étude attentive, éclairée, approfondie des phénomènes
nerveux
et des troubles intellectuels qui les accompagnen
de cas, le médecin hypnotiseur fait disparaître certaines affections
nerveuses
, sans suggestion, en laissant dans leur intég
l doit l'exercer, a son réveil. Dans l'immense varicet des affections
nerveuses
, le rôle de l'hypnotiseur consiste ainsi simpleme
Très utile, écrit le docteur Barth, dans certaines formes de maladies
nerveuses
où l'on peut, grâce a ce puissant moyen, soulager
soit un passe-temps à l'usage des oisifs, soit un moyen pour les gens
nerveux
de satisfaire leur besoin d'émotions on. leur rec
rel, les rêves, le somnaanfl lisme naturel? Savons-nous si le sommeil
nerveux
provoqué par l'éther, le colorai, l'opium, le chl
andant à être guéri, par la suggestion hypnotique, de divers troubles
nerveux
dont le point de départ serait dans l'urèthre.
La cystite disparut. C'est à cette époque que survinrent les troubles
nerveux
pour lesquels il vient nous consulter. Très fré
st alors que le malade vit le Df Tillaux qui, en piésence de son état
nerveux
, l'adressa au Dr Mesnet. L'n examen minutieux r
urement médical, il était important de ne point méconnaitre la nature
nerveuse
des troubles présentés parle malade. Nous avons v
ans la voie de la sincérité. Ou bien, c'est à un sujet a constitution
nerveuse
; et alors, une question se pose : Est-ce un hysté
chemin de l'hvsiérie, c'est-à-dire un individu encore en santé, mais
nerveux
à l'excès et mal équilibré? Dans la manière de se
i) Galézowski, Traité des maladies des yeux, p. 927. — Simplement
nerveux
, il y n un but caché, mais pratique à ses manœuvr
ont des malades; c'est en malades qu'il les faut traiter. Quant aux
nerveux
proprement dits, leur état purement et simplement
nfants abandonnés? Toujours est-il que, sur la direction mentale du
nerveux
, les procédés Mssortissant à la pédagogie ont une
co citato, p. 133. (a) Ci ... .. Leçons sur les maladies du système
nerveux
. T. III. p. ajô, 1S87. Parti. l'a-t-il emport
état dnypermric'sie qui sel manifeste dans un certain nombre d'états
nerveux
et, en particulier, dans le somnambulisme spontan
F... n'a jamais eu de maladie grave dans son enfance. Pas de maladies
nerveuses
ou mentales dans sa famille. Un jour de l'année ¦
ta- I lepsîc et la léthargie sont des états particuliers du système
nerveux
qui peuvent se développer soit spontanément, soit
rois états, l'idée n'a été pour rien: c'est la rupture de l'équilibre
nerveux
dans un certain sens qui les a placés dans l'un o
thes, d'oxyures notamment, dans les voies intestinale». Les désordres
nerveux
qui reconnaissent pareille cause sont en effet co
termine la crise. Là. l'incontinence est la suite de la surexcitation
nerveuse
. Aux yeux du professeur Atkînson ,3 ,qui vient de
ignement d'un but d'activité mystique sur la surexcitation du système
nerveux
. Cerise (t) lui-même — un croyant — s'exprime, su
e, quels désordres profonds dans le mode de fonctionnement du système
nerveux
n'a-t-on pus lieu de redouter? Si, dans les manif
rnatioiuIei. 1870, Paris.) 3) Ceris». Des Fonctions et des Maladies
nerveuses
, pp. îy4 et sy»; 1S4;, Paris. a fait imimc Je
el dans l'enseignement. Jusqu'ici, que s'cst-îl passé? un phénomène
nerveux
de tout point regrettable : un spasme. Le cours d
s les écarts en seront compressibles, moins l'équilibre des fonctions
nerveuses
sera facile à récupérer. Heureux si ces coups d
ritabilité maladive qu'entraîne, comme conséquence, un semblable état
nerveux
, que Ton veuille bien ne pas perdre de vue une ch
.* Oui, il tend à s'établir dans le mode de fonctionnement du système
nerveux
une irrégularité fâcheuse. Oui, il *3Ut s cvcriuc
comme chez l'autre, il s'est produit un trouble de la fonctionnalité
nerveuse
. Ici, le phénomène se traduit par une douleur.
la constatation même du fait dénonce l'émotivité excessive du système
nerveux
; et c'est un peu comme des malades que ces enfan
édagogie. Brochure in^S», 1SS8. dans le local où repose un entant
nerveux
et impressionnable, nous n'admettons le demi-jour
ec tant de satisfaction par M. Nussbaum, tombe d'elle-même. Ni l'état
nerveux
spécial, ni la différence du sexe ne sont la caus
tre produit plus facilement. L'auteur n'a jamais remarqué de troubles
nerveux
consécutifs à l'hypnose. Dans certains cas, les m
ants, anomalie des menstrues, psychoses, hystérie, amblyopie. surdité
nerveuse
, alcoolisme, et. finalement, il s'est servi de l'
ns complètement échoue. L'auteur n'a fas essayé de traiter l'asthme
nerveux
: j'ai été assez heureux dan» ces cas-là. Ni le m
ai été assez heureux dan» ces cas-là. Ni le morphinisme. ni l'aphonie
nerveuse
, ni la paralysie hystérique et les contractures n
Elle s'appliquera principalement aux troubles fonctionnels du système
nerveux
. Suivent une relation de l'application de l'hyp
, les troubles secrétaires, l'exaltation vu l'affaissement du système
nerveux
, s'observent dans toutes les maladies, et cha-pm
l'alcoolisme et son expansion pandémique, sur l'alcool et le système
nerveux
, la responsabilité des alcooliques, l'action des
Il lut conduit h admettre que, dans certaines conditions d'excitation
nerveuse
, l'homme peut voir. même de loin, sans le secours
ants et de médecins, ses leçons cliniques sur les maladies du système
nerveux
. Conformément à sa méthode d'enseignement ai cl
par quel aKCanisme s'effectue la contagion de certaines affections
nerveuses
. Eue hystérique a é;_: amenée en eu: ce somnamb
ve.) luys : Procédé et instruments nouveaux pour obtenir le sommeil
nerveux
. Compt, rend Soc. de biol., sér. VIII. t. V, n° 2
la Salpétrière, le 3i août 1S88. Antécédents héréditaires. — Mère:
nerveuse
sans attaques, sourirait souvent de ses nerfs, a
mais santé toujours faible; apprenait bien à l'école; pas de maladies
nerveuses
de l"enf3nce ; aurait eu deux fièvres typhoïdes (
ade depuis loge de 20 ans. 11 n'existe dans sa famille aucune maladie
nerveuse
. Habituée aux travaux de la campagne, elle n'a
oulagée, en produisant des selles momentanément; mais : irritabilité]
nerveuse
persistait. J Je fais de la suggestion et,dès l
es du uibe digetif à sécréter; jjecoridciiun;. je calmai l'irritation
nerveuse
. Après un mois de traitement. Mme V... est guér
de complexion jsvétive. présente tous les attribut.* d'un tempérament
nerveux
a l'excès. Je ne connais en aucune façon ses anté
employé comme moyen thérapeutique dans le traitement des maladies
nerveuses
. C En anesthésie, il est encore un puissant moy
e pria donc de l'accompagner et d'essayer l'anesthésie par le sommeil
nerveux
provoqué. J'endormis la malade par le regard, apr
eresthésie testiculaire, pas de zones hystérogénes. Jamais d'attaque»
nerveuses
, ni de maux de tête, ni d'irrégularités 'e caract
ades ne parle pas davantage ; il s'agit le plus souvent de phénomènes
nerveux
plus ou moins graves, qui passent pour une espèce
présente la nature humrine, surtout quand l s'agit de phénomènes
nerveux
, qui voudrait affirmer à priori que, dans tous le
sommeil ordinaire. Si, par le fait de cet état anormal, de ce trouble
nerveux
passager, des accidents sérieux doivent se produi
ève, hypnotisé par ses camarades, fut atteint d'une série de troubles
nerveux
qui l'amenèrent à la Salpètriére. M. Pitres, ce B
pilepsie. Du reste, il n'est pas seulement question ici de troubles
nerveux
proprement dits ; on est en droit de dire que les
'être physicien pour uppliquer l'électricité a la cure des affections
nerveuses
. Dans les cas de ce genre, la théorie pure ne sau
hygiène et non aux médicaments. Reste la grande classe des maladies
nerveuses
, dont les limites sont encore indéterminées. Cell
rôle de l'inhibition dans les fonctions et les maladies des centres
nerveux
. L'abondance des matières nous oblige à reporte
itoire ne me pardonnerait pas si, étant entre dans l'étude du système
nerveux
, je laissais complètement dans l'ombre tout ce qu
ulté merveilleuse de notre être. C'est un état particulier du système
nerveux
, susceptible, comme tous les états psychiques, d'
ouvé aux prises avec ces longues et interminables maladies du système
nerveux
, où l'on épuise trop souvent sans résultat toutes
.... née F.... 3o an«, originaire Je l'Oise, cuisinier.1. Tempérament
nerveux
Constitution robuste. Dans la soirée du mardi 5
Sur sept entants de la même famille, tous ont présenté des symptômes
nerveux
; deux de ses soeurs sont mortes. La malade n'a
ue les collatéraux maternels auraient aussi été atteints d'affections
nerveuses
. Antécédents personnels. — La malade a toujours
tions nerveuses. Antécédents personnels. — La malade a toujours été
nerveuse
. Mariée à quinze mis, n'étant pas encore réglée.
euil. Début de /lï maladie. — La malade, avons-nous dit, était très
nerveuse
dans son enfance ; toutefois, avant son mariage,
y a vingt-six ans, à l'âge de vingt-sept ans; e!le a des antécédents
nerveux
fort remarquables : ¦ Mère épileptique dans l'e
épileptique dans l'enfance; Père ivrogne (psut-être dipsomane); Sœur
nerveuse
. A dix-huit ans. elle a commencé a avoir des at
sans qu'on puisse affirmer qu'il s'est fait quelque lésion du système
nerveux
, présente une paraplégie dont elle ne guérira évi
pays étrangers — ces représentations, véritables foyers de contagion
nerveuse
. Déjà dans plusieurs villes, à Bordeaux, a Poitie
oracique et malgré la section des nerfs splanchniquei. Les influences
nerveuses
et la circulation artérielle ne louent donc aucun
et, agrégé, est nommé professeur de clinique des maladie» mentale* ci
nerveuses
à la Faculté de médecine de Montpellier. Facclt
nous, il faut que cette impression arrive d'abord jusqu'aux cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale, auxquelles se termine le n
nsciente. A la suite, se place un phénomène de conscience. La cellule
nerveuse
sensorielle impressionnée, par un mécanisme d'éla
qui paraissent plus spécialement dévolus à ces phénomènes, la cellule
nerveuse
sensorielle, Ss-je, donne lieu ainsi secondaireme
elle me verrait rentrer. A son réveil, elle craint d'avoir une crise
nerveuse
en mon absence; elle me cherche et, ne me voyant
nce. Et plus tard, quand je produis par suggestion la concentration
nerveuse
spéciale pour évoquer le souvenir, l'acte enregis
s paralytiques, et des inconnues non encore dégagées de la pathologie
nerveuse
, quelques sceptiques pouvaient émettre des doutes
sistant en taches 'gris saumoné disséminées en divers points de l'axe
nerveux
. Examen microscopique. — La moelle et le cervea
été impossible de relever, en quelque point que ce fût de l'appareil
nerveux
optique, ni plaques de sclérose, ni même un état
centraux, un certain épaississement de leur paroi. Mais les éléments
nerveux
sont intacts, la névroglie normale, et la myéline
En définitive, aucune lésion confirmée, surtout du côté de l'élément
nerveux
; simple trouble nutritif, peu accusé, du reste.
ent pas en relation directe avec les points les plus malades de l'axe
nerveux
. On peut tirer de ces considérations deux conclus
remières semaines. Mais la suggestion avait-elle agi sur les éléments
nerveux
atrophiés, qu'elle aurait contribué a régénérer?
ature qu'en se conformant à ses lois. ÉTUDE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
EN RUSSIE Par M. le D' RAYMOND (i) proxesseck
'envisagerai surtout dans cette éiudc ce qui est spécial aux maladies
nerveuses
, but officiel de ma mission, tout en tenant compt
culièrement h Paris, où il existe une chaire de clinique des maladies
nerveuses
et une chaire de clinique des maladies mentales,
clinique des maladies mentales, en Russie l'enseignement des maladies
nerveuses
et des maladies mentales est concentré entre les
Mais, pendant le professorat de Balinski, l'enseignement des maladies
nerveuses
fut négligé, ou, du moins, il fut purement théori
mé titulaire de cette chaire en 1877, enseigne à la fois les maladies
nerveuses
elles maladies mentales; l'enseignement pratique
de la neurologie date de cette époque. L'enseignement des maladies
nerveuses
est une chose si nouvelle en Russie, que dans une
rochaine (1888-1889). A Karkoff, la clinique des maladies mentales et
nerveuses
se trouve dans une maison de santé appartenant au
linique à l'Université. La nouvelle clinique des maladies mentales et
nerveuses
à Moscou vient d'être Installée. C'est Mme Moroso
e inhibàoire. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Clinique de» maladies
nerveuses
. M. le docteur Bérillon, directeur de la Bévue
e jeudi 21 février, à dix heures du matin, à la Clinique des maladies
nerveuses
, 55, rue Saint-Andrc-des-Arts, une série de leçon
st, les mercredi et vendredi de chaque semaine. Maladies du sritême
nerveux
et maladie»-mentales. M. Gilber. Billet ; — phas&
. Lubet-Barbon La première conférence sur le» affections du système
nerveux
aura lieu le mercred 16 janvier, i 10 heure». S
échanges possibles avec toute autre personne qu'avec moi; son système
nerveux
se réveillait plus ébranlé, plus névrosé qu'avant
uence dominatrice que l'hypnotiseur exerce sur les diverses modalités
nerveuses
de l'hypnotisé. Je me crois donc autorisé â ins
es transmissions auditives, appartenant comme elles aux perturbations
nerveuses
du grand hypnotisme. L'exercice partiel des sen
en réalité, les deux termes extrêmes de ces singulières perturbations
nerveuses
que Brnwn-Séquard a très judicieusement comprises
étais plus convaincu de sa puissance. ÉTUDE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
EN RUSSIE Par M. le Dr RAYMOND PBOPtsfEur. voat
on de M. Kojewnîkoff, professeur de clinique des maladies mentales et
nerveuses
a Moscou. Ces constructions ne laissent rien à dé
cinquante lits, ce qui est suttsant pour l'enseignement des maladies
nerveuses
. Une autre clinique, encore en construction, se
truire à Varsovie un hôpital-clinique pour renseignement des maladies
nerveuses
. On vient de terminer à Kazan la construction de
erminer à Kazan la construction de l'hôpital des maladies mentales et
nerveuses
; cet hôpital contient trois cents lits. L'or
t l'été. Pour les cliniques autres que celles des maladies du système
nerveux
, cette fermeture annuelle peut ne pas offrir les
pas offrir les mêmes inconvénients: mais quand il s'agit de maladies
nerveuses
, c'est-à-dire de maladies le plus souvent a évolu
égard a été réalisé à Moscou, où la clinique des maladies mentales et
nerveuses
est restée ouverte pendant les vacances, et cela
rtante, en Russie, en matière d'enseignement des maladies mentales et
nerveuses
, et en même temps la plus ancienne, est celle de
rjiewsky fait, par semaine, trois leçons sur les maladies mentales et
nerveuses
, avec présentation de malades et de préparations
ne, seize heures consacrées a l'enseignement des maladies mentales et
nerveuses
. A cetic liste des membres du corps enseignant, i
considérables. Les professeurs de clinique des maladies mentales et
nerveuses
dans les Facultés de médecine de Russie sont : MM
eur agrégé Je la Faculté de Saint-Pétersbourg, un service de maladies
nerveuses
très bien compris, auquel est annexé un laboratoi
elle de Tomsk, en Sibérie, n'a pas encore de chaire pour les maladies
nerveuses
. Ce qui est surtout remarquable dans l'organisa
urtout remarquable dans l'organisation de l'enseignement des maladies
nerveuses
, en Russie, ce sont les laboratoires annexés aux
aux services des cliniques. Chaque clinique des maladies mentales et
nerveuses
possède un vaste laboratoire, largement pourvu d'
importants sur l'anatomie. la phvsiologie et la pathologie du système
nerveux
. Les plus connus de ces travaux appartiennent au
onnent ose large pbce aux travaux concernant les maladies mentales et
nerveuses
. Les principaux sont : i" Le Médecin, journal h
r ta Pathologie de la lèpre (Lésions des cellules et des terminaisons
nerveuses
), par Soudafcewitch, 1887. , La Physiologie de
isme, par Mocioutkowsky 'Odessa, 18^7^ Traite d"anatomie du système
nerveux
de Thomme, par Zernoff. i8S5. Rapport sur l'éta
ivants, qui sont des plus remarquables pour ce qui a trait au système
nerveux
: Des organes du sixième sens cheq les amphibie
s cheq les amphibies, par Mitrofanoff, 1887. Des Lésions du système
nerveux
central après Tablation du corps thyrt>ïde, pa
>ïde, par Rogowitch, 1888. Le» Travaux sur l'anatomie du système
nerveux
central, publiés par Bech* terew dans les différe
que de ce rapport. Sur la Striation du cylindre-axe et des cellules
nerveuses
, par Jakimowitcb. 1887. Des Altérations an atom
ses, par Jakimowitcb. 1887. Des Altérations an atomiques du système
nerveux
central dans la démence senile, par Belakoff: tra
r de Mier-jiewsky. Des Changements anatomo-pathologiques du système
nerveux
central des animaux sous l'influence de l'électri
ix heures, le docteur Be'rillon a inauguré à la clinique des maladies
nerveuses
, rue Saint-André-des-Arts, 5?. la série de ses le
de la suggestion hypnotique dans le traitement de certaines maladies
nerveuses
, que le l>" Bérillon a cru devoir fonder cette
ardis, a 9 heures 1/2, une leçon clinique sur les maladies du système
nerveux
. Les vendredis, à g heures 1/3, examen des malade
ur l'iivpnctisme expérimental. Cours libre. — Clinique des maladies
nerveuses
. 55, rue Saint-Andrc-des-Arts.— M. le D' Bérillon
s plus bizarres : Une jeune fille (Louisa C... âgée de 19 ans, très
nerveuse
) «gnalc une carte en déclarant qu'elle vient d'ép
tion et qui n'ont pas su détruire les auto-suggestions de tremblement
nerveux
, de crises hystériques, de terreurs, etc., à leur
uggestion se renforce rapidement, se fixe, et peut devenir un trouble
nerveux
. Si l'on ne se rend qu'à moitié maître de son suj
cérébrale, qui n'est elle-même qu'une partie de l'activité du système
nerveux
. — la partie la plus importante et la plus consid
émisphères cérébraux. Elle ne miroite l'activité d'aucun autre centre
nerveux
, tant que cette activité n'est pas transmise aux
aux hémisphères. Rien ne nous empêche d'admettre que d'autres centres
nerveux
n'aient des miroirs conscients analogues ou, si l
en plus à notre guise, grâce à la tendance qu'ont tous les phénomènes
nerveux
de s'accentuer et de se reproduire d'autant plus
ts dynamiques ^'inhibition ou de dynamogénie produits dans le système
nerveux
par la suggestion, c'est-à-dire par le dynamisme
tière à cette étrange influence sur les yeux d'abord, sur les centres
nerveux
ensuite, des vibrations lumineuses agissant d'une
auditoire, une série de leçons cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
. Dans la première leçon, le professeur a fait l
edis, à 9. heures 1/2, une leçon clinique sur les maladies du système
nerveux
. Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies men
sûr l'hypnotisme expérimental. Cours libre — Clinique des maladies
nerveuses
, 55. rue Saint-André-des-Arts.— M. le Dr Berillon
1/2 du matin, des coaférences cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
. Congrès international de thérapeutique et de m
intitulée : a Essai d'une distinction noso-graphique des divers états
nerveux
compris sous le nom d'hypnotisme », M. Charcot dé
nt chez les sujets hypnotisés ne répondent pas à un seul et même état
nerveux
. En réalité, l'hypnotisme représente cliniquement
présente cliniquement un groupe naturel, comprenant une série d'états
nerveux
différents les uns des autres, chacun d'eux s'acc
à bien définir, d'après leurs caractères génériques, ces divers états
nerveux
avant d'entrer dans l'étude approfondie des phéno
moins. Une analyse littérale semblerait indiquer que les divers états
nerveux
dont il s'agit ne font pas partie d'une même unit
. On doit donc interprêter les termes de Charcot dans le sens d'états
nerveux
svmptomatologiquement différents. Le grand hypn
i prouve bien, comme je le disais plus haut, que ces divers états
nerveux
ne sont pas des maladies distinctes et peuvent co
rce avec une pointe-mousse une certaine pression au niveau d'un tronc
nerveux
, on détermine les mômes réactions fonctionnelles
olu des théories de la Salpêtrière: on n'est plus en présence d'états
nerveux
distincts, mais bien d'un même état nerveux offra
plus en présence d'états nerveux distincts, mais bien d'un même état
nerveux
offrant des degrés variables. La léthargie, la ca
l'hypnotisme de Nancy, ce n est plus la production de certains états
nerveux
symptomatologique-ment différents; c'est, d'un mo
elle fut très affectée et présenta, pour la première fois, des crises
nerveuses
. En 1884, une de ses tantes tomba malade: elle
ient en sursaut; elle croyait tomber dans un précipice. Lts secousses
nerveuses
augmentèrent de fréquence et d'intensité. Elle so
nir la Société clinique ne présente pas dans sa famille d'antécédents
nerveux
bien neis, sauf une paralysie agitante qui aurait
anée. — Signé : Dr Rouitlard. Antécédents héréditaires. — Père très
nerveux
, mère facilement irritable; un frère exalté et pr
Ecole pratique delà Faculté de médecine, un cours libre de Pathologie
nerveuse
sur les Applications de l'hypnotisme à la thérape
es contre-indications de l'hypnotisme dans le traitement des maladies
nerveuses
et dans ses applications à la pédiatrie. (i) Cu
en j^uan: avec l'hypnotisme, » sans parler des troubles psychiques et
nerveux
qui en sont malheureusement les conséquences trop
du premier étage. Ce cours aura pour objet les maladies du système
nerveux
et les applications thérapeutiques de l'hypnotism
l'hypno-tisation puisse coexister avec l'exquise intégrité du système
nerveux
. Les sujets hypnotisables sont toujours des nerve
égrité du système nerveux. Les sujets hypnotisables sont toujours des
nerveux
, des névrosés en état ou en puissance, ils font p
otisme peuvent être ou ne pas être des hystériques ; ce sont tous des
nerveux
ou des prédisposés. Si l'on considère la totali
lement le trait d'union qui relie la veille aux phénomènes du sommeil
nerveux
complet en grand hypnotisme. * Babinski qualifi
tats foncièrement distincts dans l'hypnotisme; il faut y voir un état
nerveux
unique, particulier, caractérisé par un groupe de
grand n'est la réduction du petit. Donc, l'hypnotisme étant un état
nerveux
un. ce que l'on appelle le grand et le petit hypn
le petit hypnotisme ne sont que des formes symplomàtiques de cet état
nerveux
, formes symptomatiques distinctes, qu'il est impo
bsence de suggestion, peut être un moyen de soulagement pour certains
nerveux
; mais il ne constitue qu'un élément secondaire.
ences dans les propositions suivantes : 1» L'hypnotisme est un état
nerveux
un à manifestations variées; le'grand hypnotisme
ouvement était exécuté simultanément par l'intermédiaire des éléments
nerveux
erférents, à partir d'un point quelconque de l'ax
paternels et maternels. Elle-même a eu dans son enfance des troubles
nerveux
: terreurs nocturnes, migraines, une attaque de c
insi que dans l'insomnie, les vomissements et les diarrhées d'origine
nerveuse
. Par contre, j'ai guéri radicalement un cas de pr
rigine nerveuse. Par contre, j'ai guéri radicalement un cas de prurit
nerveux
. Ce fait n'a rien de surprenant, attendu que l'on
combien est prompte et facile la suggestibilité de certains individus
nerveux
, particulièrement disposés à présenter des phénom
s au-dessous de 20 ans. non encore réglées, de constitution faible et
nerveuse
, et un jeune garçon de 11 ans. Obligées a un trav
urot, 169. Action contraire ou paradoxale des me-dicaments chez les
nerveux
, par Burot, 99. Action des médicaments à distan
eurs, 63. Charité et dégradation sociale. 93. Clinique des maladies
nerveuses
. 454. Colère (pression artérielle dans la), par F
hypnose (les), par de Rochas, 41, 76. Etude des maladies du système
nerveux
en Russie, par Raymond. 240, 278. Exercice illé
66. Hypnotisme (discussion sur l'), 87, 88. Hypnotisme et le système
nerveux
(l') . par Crocq. 104. Hypnotisme (la réglement
Médicaments à distance (l'action des) , 63. Médicaments chez les
nerveux
(action paradoxale des), par Burot, 99. Mésaven
e huit jours. guérie par la suggestion, par Burot, 250. Système
nerveux
;l'hypnotisme et le), par Crocq. 104 Table hygi
hystériques traités par l'hypnotisme, par par Besse, 213. Troubles
nerveux
, guerison par l'hypno-tisme. par Mesnet et Roux,
ANATOMIE DES S CENTRES
NERVEUX
Bibliothèque des Internes en Médecine de la S
rnes en Médecine de la Salpêtrière ANATOMIE ? 231 DES CENTRES
NERVEUX
PAR R J. DEJERINE l'ROPE581 : 1'H AGRÉGÉ -1
1) 10(') z) 0 1 Tous droits réservé *. ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
DEUXIÈME PARTIE (suite) CHAPITRE VI FIBRE
rtébrés pourvus d'un manteau cérd- bral. 2 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les fibres do pro- jection du manteau céré
xterne du centro ovale de Vieussens. 1 4 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Concentration des fibres do projection en
Son aspect sur les coupes horizontales. ' 6 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fig. 3. - Segment antérieur de la couronne ray
Sa division en deux couches sagittales. 8 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son aspect sur les coupesvertico-trans- ve
la voie du faisceau occipito-frontal. 10 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fig. 7. - Les segments supérieur et inférieur
on ver- tico-transversale. Son origine. 12 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa continuation avec le segment pos- térie
Tap, tapetum. - V, ruban de Vicq d'Azyr. 14 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FIG. 9. - Le segment postérieur de la couronne
postérieur. Son origine. Sa direction. 16 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fc. 10. - Le segment postérieur de la couronne
Internes en Médecine de la Salpêtrière» 18 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ds, diverticule du subiculum. - Epa, espace pe
r les coupes vertico-trans- versales. 20 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. 45° au niveau du genou de la capsule interne [
e du thalamus. izcl, pli cunéo-limbiqtic. 22 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fig. 1 ? - Coupe horizon- tale passant par l
innommée sous- lenticulaire de Reichert. 24 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Division do la cap - suie interne en ré- g
région thalamique; Cip(slle), région sous- 2G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Dans la région sous-thalaml(jue, la capsul
, insula. - lme, lame médullaire externe du 28 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le segment anté- rieur est formé de fibres
que de la capsule interne. Cette coupe sec- 30 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Aspect du genou aux différentes hau- teurs
ernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 32 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Lo faisceau géni- culé n'apparaît qui dans
ieur de la couronne rayonnante, ion Il. 3 34 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses origines. Le segment pas- (prieur de l
culo-caudées. -- Fli, faisceau longitudinal 36 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Leurs rapports dans la région ttta- lamiqu
ée du contin- gent sous-lenticu- laire. 38 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son aspect sur les coupes horizontales. Le
aire; Cisl, segment sous-lenticulaire de la 40 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les fibres de CI ! ' se rendent les unes d
la capsule interne. Ses deux couches. 42 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Faisceau de Turck. Faisceau temporo- thala
e du subiculum, - ma, sillon marginal anté- il ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. rieur de l'insula, - mp, sillon marginal posté
r les coupes vertico-trans- versales. 46 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fic. 31 et 32. - Dégénérescence partielle du s
xions ditfé- entes do ses deux ;ouches. 48 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa constitution. Son aspect sur les coupes
Plch, plexus choroïdes. - Qa, TOME II. 4 50 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. tubercule quadrijumeau antérieur. - 71M ! , ru
pé- donculaire. Pos lemniscus pro- fond. ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Pes lemniscus su- perficiel. de la pyramid
e. Fibres aberrante postéro-esternes. 54 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Importance do ces faisceaux dans la to- po
ieure. - 1 lp, faisceau longitudinal posté- 56 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le taenia pontis ne doit être confondu ni
région déterminée de la couche optique. 60 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres cortico-tha- lamiques antérieu- res
q, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. 62 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres cortico-tha- lamiques supérieu- res
ulvinar. - 111'la, radiations optiques de 6t ' ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Gratiolet. - Sexv, surface extra-ventriculaire
-tlia- lamiqncs inférIPI : - rc&. 66 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les unes relient le lobe temporal au pul-
taSia2unscorUCO- irenouilléos externes. 68 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Zone de Wernicke. gros fascicules onduleux,
, lame médullaire externe du noyau lenticu- 70 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Radiations cortico- quadrigéminales. s. Br
e doublant le chiasma des nerfs optiques. 72 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Bras du tubercule quadrijumeau posté- rieu
au interne. Son trajet. Sa terminaison. 74 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses rapports. Ses diverse*, dingo- minatio
ais- ceau interne du pied du pédoncule. 76 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Origine cortical du faisceau moyen Son tra
al au corps opto-strié, à une époque, par conséquent, où les cellules
nerveuses
corticales sont encore à l'état de neuroblastes
e la capsule interne; le pulvinar (Pu/), le 78 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa constitution. Ses différentes ca- tégor
l trajet. bes diverses déno- minations. 80 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. fra constitution. Lésions qui en- traînent
hémisphère. Leur origine oper- culaire. 82 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Leur origine ro- landique. Morgagni. Cru
s systèmes de fibres de projection. 84 zur ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fig. i. - La constitution du tronc encéphaliqu
bres du pied du pédon- cule cérébral. 86 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Conttngont corti- cal direct occipito. tem
erne du pied du pédoncule par Brissaud. 88 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les travaux de Flechsig basés sur la métho
raient dépourvus do fibres de projection. 90 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Recherches de De- jerine, Sachs, v. Mo- na
a moitié croisée de la moelle épinière. 92 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. intense que la lésion frappe un sujet à un âge
rtici- pation des notant gris centraux. 94 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Hypertrophie com- pensatrice de la voie pé
é ont été dessinés à un même grossissement. 96 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. petit à petit, au sur et à mesure de l'épuisem
tcs en aval et on amont do ces lésions. 98 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Importance de la méthode de Marchi pour ce
ale. Connexions corti- cales directes. 100 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Connexions corti- cales indirectes. jumeau
otale du pied du pédoncule cérébral. 102 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans pa
otale du pied du pédoncule cérébral. loi ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans pa
ale du du pied pédoncule cérébral. 1 106 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Pradel. \'aste lésion corticale sans p
totale du pied du pédoncule cérébral. 108 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. peu de connexions de la corticalité cérébrale
anche est très dégénérée (fibres longues 110 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. d'association) (Fig. 83), l'autre partie (fibr
rck et du pieddu pédoncule cérébral. 112 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Courrière. Cé- cité verbale pure. Plaq
irck et du pied du pédoncule cérébral. 114 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fie. 86. - Cas Courrière. Cécité verbale pure.
es centres corticaux de la vi- sion. 116 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Bras. Cécité corticale par double lési
ébral et do la bandelette optique. , 118 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Bras. Cécité corticale par double lési
e Tùrck et de la bandelette optique. 120 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Bras. Cécité corticale par double lési
Dessin fait d'après une photographie. 122 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe
rne du pied du pédoncule cérébral. L 124 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe
ral, intégrité du faisceau de Turck. 126 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Leudot. Apha- sie sensorielle. Lé- sio
ral. Intégrité du faisceau do 'l'urck. g2g ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. En résumé : le lobe pariétal contient des fibr
y. dégénéres- cences, Fig. 102 à 117.) 130 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Scheulc Hé- miplégie gauche. Ha- molli
de la pyramide anté- rieure du bulbe. 132 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Naudin Mo- noplégie brachiale droite.
couronne rayonnante (pCR), le segment lenticulo- 134 DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Schweigotfer. Monoplégie f acio-lin- g
n de volume de la pyra- mide bulbaire. 138 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. partie postérieure et inférieure de ce lobe et
uillé externe et du faisceau de Turck. 140 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Heudebert. Aphasie totale. Pa- ralysie
a voie pédonculaire. Méthode de Weigert. z ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. interne (R Cgi) (Fig. 126). Sur les coupes plu
iées de la partie postérieure du noyau 144 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Le Seguillon. Plaque jaune du pli cour
ticulairc (Cirl) ; les unes TOME u. 10 146 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Neumann. Dé- générescencedufas- ceau e
grité du pied du pédoncule cérébral. 148 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Moriceau. Ra- mollissement de l'ex- tr
Méthode de Weigert, 2/1 grandeu nature. 150 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La pointe frontale et les deux tiers antérieur
raux, en particulier le noyau caudé (Fig. 144) ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Hicaud. lIé- miplégie cérébrale infant
ho, faisceau py- ra midal homolatéral. 154 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infanti
les Fig. 14G et 149, 3/2grandeurnature. 156 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Rivaud. Ilê- miplégie cérébrale infant
ho ; faisceau py- ramidal homolatéral. 158 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infanti
uche; faisceau p- ramidal homolatéral. 162 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infanti
auche, faisceau p3- ramidal homolatéral. 164 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. dans le cas Pradel (Fig. 78), les radiations s
le chiasma, le tuber cinereum, les tuher- 166 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. cules mamillaires, la bandelette optique, la r
grité partielle du faisceau gé 1 calé. 168 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Racle. Ilénit- plégie droite avec apha
égrité partielle du faisceau géniculé. 170 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Racle. Hémi- plégie droite avec aphasi
égrité partielle du faisceau géniculé. 172 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ceau interne du pied du pédoncule avec les fib
ostérieur do la couronne rayon- nante. 174 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. de la capsule interne sectionnant le faisceau
ostériour de la cou- ronne rayonnante. 170 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Cogery. Hémi- plégio gauche, sur- tout
inquième externe du pied du pédoncule. 180 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Carre. 1° Lé- sion de la partie an. te
érébral. Intégrité du faisceau do Turck. 182 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. gion du ruban de Reil médian et le bras du tub
s conduc- teurs centraux de la vision. 184 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
Cas Dautriche. Hémiplégie gaucho avec contr
ogiques (cas Longery et Richard) diffèrent 186 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. des cas Pradel et Rivaud en ce que l'anomalie
irconvolutions développées sont limitées 188 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. par un bord toujours nettement accusé, parfois
ala- miques etstrio-sous- thalamiques. 190 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agé
alanu- ques et strio-sous- thalamiques. 19 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ventriculaire des circonvolutions sphéno-occip
1halamiques et strio- sous-thalamiques. 196 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. myélinisés, et grâce à l'absence du système de
lamiqucs et strio- sous-ilialaniiiiiies. 198 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le ruban de Reil médian (Rm) est bien développ
halamiques et strio- sous-thalamiquos. 200 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. développées de cet hydrocéphale correspondant
a- nuques et strio-sous thalamiques. 202 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. par de nombreux plis de passage, mais à direct
- Juqucs et strio-sous- thalamiques. f i ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Richard Por- encéphalie double avec ma
la face interne. Méthode de Weigert-Pal. 206 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. logue des segments postérieur et inférieur de
' mique et strio-sous- thalamiques. 208 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. bourrelet et le tronc du corps calleux font dé
la- nuques et strio-sous- thalamiques. 210 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. logue du forceps postérieur normal, mais d'un
la- miques et strio-sous- thalamiques. 212 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Richard. Po- rencéphalie double avec m
e Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. 214 lui ANATOMIE [DES CENTRES
NERVEUX
. ronne rayonnante ? Dans le premier cas, elles
la- miques et strio-sous- thalamiques. 21G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. aux deuxième et troisième segments du noyau le
. Th. Paris, 1880. - Ciiahcot. Leçons sur les mala- dies du système
nerveux
, 1874. - Charcot et Turnkr. Atrophie cérébrale av
de Biologie, 1862. - Ciiarpy. Traité d'Anatomie humaine du système
nerveux
, 1894. - CORNIL. Noie sur les lésions des nerfs
d. franç., 1879. - F. A. Longet. Anatomie et physiologie du système
nerveux
. Paris, 1S'r, - J. Luys. Recherches sur le systèm
erveau, 1877. LGUURET et Gn 1T10LET. Anatomie compa- rée du système
nerveux
. Paiis, 1839-1857. - TU. Meynert. Vom GeMme der S
ologie und Thérapie der Geistesknankheiten. 18 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Braunschwcig. Scuohowshc. Ueber anatomische Vc
du membre supérieur. Centro du pouco. 220 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. convolutions pariétale et frontale ascendantes
férieur. Centre facial su- périeur. 222 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Mouvements con- jugués do la tête et des y
ricule latéral et siège à droite à l'union 224 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Représentation corticale bilatérale du fac
ptiformes (Bicêlre, 1894). Voy. J. Déjerine. Séméiologie du système
nerveux
. In Bouchard, Traité de pathol. étz., T. V, p.
on cottju- guée dota tète et des yeux. 22C ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Centres laryngés bilatéraux distincts pour
lorsley et Schafer (Philos. Trans., 1887). 228 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Zone motrice de l'urang. i Zone des memb
mouvements d'uno IDPIne articulation. 230 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Zone de la face. Sa division chez le macaq
unilatérale do ses centres secondaires. 232 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Centro cortical hi- latéral pour la langue
onnées dans l'ordre général suivant : -. 234 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 2ho Localisations motrices capsulaires ch
S DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 235 236 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les lésions do la zone rolandique s'ac- co
sens spéciaux vue, ouïe, goût, odorat. 238 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son interprétation. Localisation et étendu
tie posté- La sphère visuelle de Munk. 240 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Projection réti- nienne corticale. Centre
r le domaine do la scissure calcarine. 242 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa destruction pro- duit l'hémianopsie. Ca
es a été écartée afin de montrer le segment antérieur de l'appareil
nerveux
visuel : bandelettes optiques chiasma, et nerfs
G première circonvolution limbique, - ni, 24'r ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Elle peut s'accom- pagner d'hémtachro- mat
gage. Ses trois contre^ secondaires. 248 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Toute altération do la zone du langage ret
t que la zone du langage est lésée ou non, introduite en pathologie
nerveuse
par l'un de nous, repose sur l'examen clinique
sé pour les mouvement') de l'écriture. 250 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 249. - Les connexions de la zone du langa
ndante et par conséquent ne peuvent repro- 252 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Troubles moteurs. Leurs caractères. Ils ne
ésion est bilatérale et symé- trique 2'i 1 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les monoplégies s'observent rarement à la
là une question d'irritation bien plus que de destruction de tissu
nerveux
; Gowel', avait déjà fait remarquer du reste que
géné- ral par une henu- plégie banale. 256 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le carrefour sen- sitif do Charcot. L'hémi
tion de l'hémianesthésie cap- sulaire. 258 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Kilo relève d'une lésion du thalamus dans
Investigation into the Arrangement of the 260 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. excitable fibres ofthe internai capsule of tle
Souso. Les fonctions du cerveau. Paris, 1892. - Du même. Le système
nerveux
central. Structure et fonctions. Paris, II vol.,
étés de l'Aphasie. Cécité verbale. Progrès 262 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. médical, 1883, p. 23, 27, 44<, 521, P39. -
c- tives superficielles. Leur origine. 264 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Leur trajet. Strie olfactive ex- terne.
. Leur trajet. Leurs terminai- sons. 266 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. olfactives profondes poursuit son trajet antér
aisceau septo- thalamique. Son trajet. 268 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Scbeidewand) ; par Ad. Meyer, sous celui de fa
aa scnllcircula- ris. Sa constitution. 270 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son trajet. t. Ses rapports. Ses connexion
ance grise centrale. - Zr, zone réticulée. 272 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses connexions tlialamiques. Système du tr
nerf moteur oculaire commun. TOME Il. 1S 274 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fimbria ; i corps bor- dant ou bordé. Fibr
r postérieur du trigone. Son trajet. 376 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Los fibres trans- versales ou commis- sura
me nôvrogli- que intertrigonale. i 2T8 S ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son contingent am- monique : Alveus in- tr
tingent ex- til.1,1 lll ! llon iq tie. 280 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les libres perfo- rantes du corps cal- leu
- VI, ventricule latéral. Leur origine. 282 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. cules. En réalité, il s'agit ici soit de radia
n origine. Son trajet. rihcrantéftour. 284 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son trajet. trigone diminue de volume et s'a
nculaire. Son aspoct sur les coupes. 286 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses fascicules aberrants. leur direction (
re et du faisceau occipito- frontal. 288 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La dégénérescence do l'alveus et de la fimbria
re et du faisceau occipito- frontal. 290 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. thalami du même côté (Fig. 269), qui ne peut ê
eure et du faisceau occipito- frontal. 292 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Chab. Plaque jaune du pli retro- Innbi
ment postérieur de la couronne rayonnante. 294 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les segmonts in- térieur et supérieur de l
Alveus ealraven- culaire. Psalterium. 296 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. l.o psalterium ven- tral de Ganser. Lo psa
sement sous-thala miquo postérieur. 298 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. . Le ganglion interno du tubercule mamil-
mamil- ]aire principal. Son trajet. 300 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses deux brandies de bifurcation. Le faisc
e commun. Le faisceau de'%'icq d'Azyr. 302 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa terminaison dans le noyau anté- rieur d
jet et ses terminaisons chez le lapin. 304 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. del corpo calloso e del psalterium. Rivista di
isine de celle de l'écorce cérébrale. On y trouve : 1° des cellules
nerveuses
et des cellules névrogliques plongées au sein d
nt leur origine dans le corps strié ou s'y terminent. 1° Cellules
nerveuses
. - Les cellules nerveuses sont pourvues de nom-
rps strié ou s'y terminent. 1° Cellules nerveuses. - Les cellules
nerveuses
sont pourvues de nom- breux prolongements proto
et sont couvertes d'épines et d'aspérités ; TOME Il. 20 Cellules
nerveuses
. Cellules à cylindre a\o court ot à den- tr
e a\o court ot à den- trites velues. 306 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules à cylindre- axe long et a trajet
rsent souvent le segment antérieur de la capsule inlerne. 2° Fibres
nerveuses
. - Le corps strié possède de nombreuses fibres
cellules de Golgi et des cellules à cylindre-axe long. Les fibres
nerveuses
qui prennent leur origine dans le corps strié son
diations striées .i trajet descendant. 308 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres terminales. Le noyau caudé et le pu
on complexe et sou- vent fort élendue. Les cellules et les fibres
nerveuses
du corps strié sont plongées au sein d'un feutr
e Golgi. Dans ce feutrage entrent encore les dendrites des cellules
nerveuses
du corps strié et les prolongements des cel-
corne sphénoïdale du ventricule latéral. 310 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fig. 282. - Coupe sagittale passant par les tr
V. Monakow a noté la diminution de volume et de nombre des cellules
nerveuses
du corps strié; Marinesco, à l'aide de la métho
déterminent qu'une atrophie en masse. 312 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le faisceau occi- pito-frontal n'est pas u
corps do Luys; intégrité du putamen. 314 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. la partie du ruban de Reil situées au-dessus d
obus pal- lidus et du corps do Luys. 316 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Hilaire. Plaque jaune du pli courbe du
antérieur des vertébrés infé- rieurs. 318 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Difficulté d'étude de ce système de fibres
nt yov- térieur de la capsule interne. 324 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Radiations strio- thalamiques. émergence u
hode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur nature. 326 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les radiations strio - sous -thalami - '[t
par une couche de substance grise riche en volu- mineuses cellules
nerveuses
, qui appartient à la substance innominée sous-l
thalamus ot la capsule du noyau rouge. 330 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Dégénérescence des radiations striées cons
diaire en amont des lésions primitives. 332 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Dégénérescence en aval. Trajet des radia-
rougo et de sa cap- sule de fibres. * 334 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Ronse. 1° Lé- sion sous-corticalo sous
au rouge et de sa cap- sule de fibres. 33G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. remplis de corps granuleux (H, Fig. 296 et 297
e pas de fibres dans la voie TOME II. 22 338 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La dégénérescence des radiations striée",
rne du pied du pédon- cule cérébral. 31O ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Gardette. Dou- ])le lésion de l'hémi-
terne du pied du pédon- cule cérébral. 342 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cas Gardette. Dou- ble lésion de l'hénu- s
, Bd. VII, 1877. - VAN GEnucnrEX. Contribution à l'élude du système
nerveux
des Téleostéens. La Cellule, t. X, 1893, fasc.
le locus niger ne sont pas démontrées. 344 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les noyaux du thalamus. Les noyaux intrin-
ow (1su) enfin, se basant à la fois sur les dimensions des cellules
nerveuses
, leur groupe- ment et les connexions des différ
lés externe et interne et le ganglion de l'habenula. Les cellules
nerveuses
des différents noyaux du thalamus appartien- ne
es-axes courts ne serait pas démontrée chez l'homme. Les cellules
nerveuses
du thalamus présentent des formes variables. Le
cellu- laires des noyaux thalamiques. z46 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le feutrage inter- cellulairc. Noyau antér
face supérieure du thalamus (Fig. 310 et 7, p. 10). Les cellules
nerveuses
du noyau antérieur (Na) sont petites, étoilées et
dédouble- ment du stratum zonale, est caractérisé par ses cellules
nerveuses
volumineuses, ainsi que par la richesse de sa s
\T03'au interne. soit Sa structure. 348 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 310.- Coupe sagittale-des ganglions de la
do Luys, dépendance du noyau interne. 330 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa structure Ses connexions avec la cortic
noyau, on trouve un petit groupe très bien différencié de cellules
nerveuses
, le noyau Il grandes cellules, nucleus magno-cell
remarquable, comme son nom l'indique, par le volume de ses cellules
nerveuses
multipolaires. Il se retrouve également chez l'
supérieur et la for- mation réticulée. 352 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Lame médullaire interno. Sa lamo supplé-
e constamment, dans la lame médullaire interne, de petites cellules
nerveuses
, et quelques rares cellules multipolaires plus
pas encore élucidée. La plupart proviennent évidemment des cellules
nerveuses
situées dans la lame médullaire interne, ou adj
yau externe. Son aspect. Son étendue. 3Cî4 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses rapports. Fig. 304 et 305). Ce n'est que
e : 11) avec la corticahté cérébrale ; 356 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. 2° a^ ce le corps strié ; : ! avec la région
llulipète et peut aller jusqu'à la disparition complète de la fibre
nerveuse
lorsque la lésion est ancienne ou remonte à la
Son aspect dans la région du pnh lI1ar. 358 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ts o va semi-lu- naire de Flechsig, dépend
mentaire divisant en deux segments le seg- 360 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les cellules ner- veuses du noyau ex- tern
ostérieure du pied du pédoncule cérébral (v. Monakow). Les cellules
nerveuses
du noyau externe sont en général volumineuses,
t un peu spécial. Dans la zone réticulée ou grillagée, les cellules
nerveuses
sont petites, entourées d'une substance fondame
u voisinage du centre médian de Luys, la disposition des cel- lules
nerveuses
est autre. Elles sont, ainsi que v. Monakow l'a i
Pulvinar. Sa situation. Ses rapports. 362 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le champ triangu- laire de Wernicke. Strat
é externe. - Ci, corps genouillé interne. 36'r ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules nerveuses du pulvinar. 16 Cing,
ps genouillé interne. 36'r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules
nerveuses
du pulvinar. 16 Cing, cingulum; Ciccg(p), s
vinar contient, comme les noyaux externe et inlerne, des cel- lules
nerveuses
multipolaires et étoilées, de dimensions variable
Corps genouillé externe. Son aspect. 366 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa structure la- 1H('I1.lII'C. Ses rapport
qui se mettent en relation avec un nombre considérable de cellules
nerveuses
(Fig. 314 c, D). Les fibres profondes travers
u- laire du corps po- nouillé externe. 368 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses connexion avec la zone visliell cortic
le quadrijumeau antérieur (Voy. Nerf optique, p. 419). Les cellules
nerveuses
du corps genouillé interne sont analogues à celle
exions multiples do la couche optique. 370 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Connexions avec la corticalité céré- brale
cas Les fibres thala- mo-corticalcs. 372 2 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. » Counexionsavcclc corps strié. Connexio
Cas Longery, p. 186, Fig. 197 a 212.) 374 ' ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Elles s'ellectuent t par le faisceau tim-
eure. Ses parties dorsale et ventrale. 37C ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La commissure postérieure no reçoit pas de
an,Lou dc 1·Ia- I)CI111l'i. Situation. 378 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa valeur phylogé- nétique. Ses connexions
u rétroflexe de Meynert. \ oyau interne. 380 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Noyau externe. Tréma thalami. Son aspect s
tlia- la1111 avec le trigone cérébral. 382 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Lotheisen, Kolliker., avait déjà été signalée
sure inter- habenulaire. Sa situation. 384 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Elle no doit pas être confondue, avec la c
oculaire commun : Nm, son noyau d'origine. 386 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses deux espèces de libres. -- Leurs lieux
sons des fibres du faisceau rétroflexe. 388 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Cellules du gan- glion intcrpddoncu- lairc
ucture lyni- phoidodolagtando pinéale. 390 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses libres ner- vcu,esappartiennent au sys
ert et à llage- mann qui considéraient cet organe comme un ganglion
nerveux
. D'après Bizzozero, un certain nombre de ses ce
contiendrait de nombreuses cellules névrogliques. Quant aux fibres
nerveuses
de la glande pinéale, admises par Meynert, par
mmissure inlerhabénulaire ne lui abandonne aucune fibre. Les fibres
nerveuses
sympathiques forment, d'après Cajal, dans l'épa
inal (Cajal). Entre ces rameaux on trouve quelques petites cellules
nerveuses
, analo- gues aux grains du cervelet, pourvues d
t de la commissure inteihabénulaire, mais vehrésenterait un tractus
nerveux
distinct provenant non du trijumeau, ainsi que de
wllI ? s. forphol. Jahrb. Bd. VU, 1881. - V. GEHUCtfTËN. Le système
nerveux
de l'homme. Lierre, 893. - Honegger. Vetgleiche
logique suisse, t. V, 1890. Genève. - Luys. Recherches sur le système
nerveux
cérébro- spinal, avec Atlas. Paris, 1865.- Marc
., n° 5, 1886. - VAN Gehuchten. Contri- bution à l'étude du système
nerveux
des téléostéens. La Cellule, t. X, 1893. - GULDEN
ebelo, etc., XVIII. Glandula pinéal. Madrid, 189. CHARpY. Sys- tème
nerveux
, p. 3 ? 1-3 ? G, in Traité d'Anatomie humaine de
er Neurologie. Erlangen, 1881, p. 471-474. 392 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. III. - RÉGION SOUS-OPTIQUE La région sous-
ure. Sa face interne. Sa face externo. 394 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son sommet et sa base. La couche dorsale
one réticulée. - Il, bandelette optique. 396 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La zona Il1certa, dépendance de la zono ré
'il doit à sa richesse en capillaires et au pigment de ses cellules
nerveuses
; sur les coupes traitées par le carmin, il pré
Surlescoupesver- tico-transversales. 398 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. puis diminue graduellement et. disparaît sur l
De sa face ven- trale. De ses bords. 400 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. De ses extrémités, Connexions du corps de
édiaire do la commissuro de Mey- nert. 402 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Avec la bande- lette optique et le chiasma
dense feutrago de fibres à myéline. ·'e04 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Scsccilulcsmuht- polaires et étoilées. La
e contient de nombreuses cellules névrogliques et quelques cellules
nerveuses
disséminées, plus nombreuses et plus volu- mine
s cellules ppcn- dymaires. Les libres. 406 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Commissures du plancher du troi- sième ven
ouche optique. - II, bandelette optique. 408 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les fibres du fais- ceau longitudinal post
de Luys et le ruban de Reil mé- dian. 410 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Elle représente vraisemblabl e m e n t une
té générale. Tlièse. Paris, 1899. - Luys. Recherches sur le système
nerveux
cérébro-spinal, avec Atlas. Paris, 1865. - liax
s cornets et de la cloison des fosses nasales. Ce sont des cellules
nerveuses
périphériques et disséminées, non groupées en c
e olfactif Voies olfactives centrales. 414 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Leurs relais gan- glionnaires. Le bulbe ol
outre quelques fibres ric. 326. - Schéma de la marche des courants
nerveux
dans l'appareil olfactif des mammifères (d'aprè
lamique. Txnia semicurcu- laris. t 416 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. commissurales qui, passant par la commissure a
et 1893. -Du .même. Les nouvelles idées sur la structure du système
nerveux
chez l'homme et chez les vertébrés. Trad. par S
chez les mammifères. La Cellule, 1891. - Du même. Anatomie du système
nerveux
de l'homme, z édition. Louvain, 1897. - et CAST
schen und den 1Yil'belthiere. Halle, 18G2. - TaoL,nn. De l'appareil
nerveux
central de l'olfaction. Arch. de Neurol. 1890-189
anches de division de la bandelette. 420 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 328. - Les voies conductrices de la visio
es a été écartée afin de montrer le segment antérieur de l'appareil
nerveux
visuel : bande- lettes optiques, chiasma, et ne
ur les doux segments dos voies optiques. 422 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les connexions de la rétine avec l'encé- p
e une atrophie du segment antérieur, extra-cérébral de l'ap- pareil
nerveux
visuel. Les dégénérescences secondaires consécuti
r- tiairement au segment postérieur. Chaque segment de l'appareil
nerveux
visuel comprend donc un neu- rone indépendant,
rétines, de telle sorte que toute lésion destructive de l'appareil
nerveux
visuel située en arrière du chiasma, qu'elle si
a centralis), les cellules gan- glionnaires et, partant, les fibres
nerveuses
font complètement défaut, la rétine très mince
es, s'entassent en 7 à 9 couches et donnent naissance à un faisceau
nerveux
volumineux, le fais- ceau des fibres maculaires
. / La constitution du nerf optique. 424 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa trame névro- qliqnc. Trajet des fais-
l'homme, démontrent que, dans le segment antérieur de l'ap- pareil
nerveux
visuel, les faisceaux qui proviennent des différe
olatérale, et une partie nasale ou croisée 426 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le faisceau nasal. Indépendance de ces fai
faisceau na- sal. Les fibres en anse. 428 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Trajet du faisceau temporal ou direct. ira
ection corticale en ilni de la macula. 430 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les fibres pupil- laires du nerf opti- que
e l'oeil. Fibres optiques centrifugea. 432 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Connexions dou- teuses des voies optiques
on xistelice (1011- teuse chez lïl0trmc. 434 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Gehirns. Upsala, 1890-1892. - v. KÔLLIKER. Han
u. Ner- venheilk, 1898, 31. - Nicvn. De la distribution des fibres
nerveuses
dans le chiasma des nerfs optiques. Arch. de ph
93. 1884. VIOLET. Les centres cérébraux de la vision et l'appareil
nerveux
visuel intracérébral. Th. Paris, 1893. - Vnzou.
supérieure. ; échancrure mar- supialc. 438 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ]il ci semi-In- nau P. Vermis supérieur.
. w Face inférieure. Vallée de Reil. 440 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. \'rrmi infriear. ? Parties consti- tuantes
. , Grande circonfé- rence. Bords. 442 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les [bords très épais, obliques en arrière et
du 41- ventricule. Hile du cervelet. 444 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. giilièrenient arrondie du volumineux pédoncule
hémisphères. Sillons supcrli- ciels. 446 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ils délimitent les lames et lamelles des l
mordiaux. Lf ? 10\'( ? ? ccon daires. 1118 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Homologie em- bryogénique. Mode d'agence
le développement du vermis (V) est rudi- 1050 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Mode propre au lobe postérieur. Mode propr
urs caractère communs. Sillons limitant 4M ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fig. 336. Les lobes primordiaux et les seconda
lanta- tion. Ses lames et la- mellco. 4o ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. lamelles sont nettement transversales, parcour
indi- valusetsurun même hémisphère 4 : ;8 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. supérieur gauche, puis s'élargit brusquement e
e, dimension, aspect caractcrb- tique. 460 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les faces. Les lobules secon- daires de sa
Lobe postérieur. Dimensions. Limites. 462 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. ne, cloppement ru- dimentairc de la l'('8ï
férentiel. Sa prolondeur, son étendue. 464 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses variétés mdi- viduelles. on constate q
erminal. : : Son aspect, ses dimensions. 466 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses faces. Lames et lobules secondaires.
be semi-lunaire inférieur. Son aspect. 468 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sa subdivision par le sillon semi-lunaire.
inférieur. Itomologf em- bryologiqno. i/70 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. sillon post-pyra- nudal. Sillon pré-pyraml
digastrique. Lobe inréro -111- terne. 4ï2 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Luette. Aspect, dimen- sion. tière ouver
amygdale. Nid d'hirondelle. Amygdalos. 474 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Base tl'lml'lulItu- Base d'implanta- tion
transversales. Lobe inféro-anté- rieur 476 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Module. Situation profonde. Faces. ou ve
on dcs valvules. Flocculus. Situation. 478 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Flocculus acces- soire. Il concourt iL for
let de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système
nerveux
cérébro-spinal. - Henle. Handbuch de;' Nervenle
culus. Forme. Limites. Direction. 480 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Configuration exté- rieure. Face antérieur
éré- ]¡f'UCUX mo,) ('Il. 1 1 l 1 482 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Aspect de la région pontine. StDaLiontrans
bulbaire. Sillon médian an- térieur. 484 .ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Pyramides anté- rieures. Leur déenssation
Oh\c bulbaire. Fossette sus-oh- vaire 486 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Vol uni o. Sillon olivaire in- trn. Sill
Constitution. Pcdoncnicscurc- elleux 488 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres arciformes me. Vah ule de Viens-
iguration. Sillon médian pos- térieur. 490 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Pyianudes posté- rieures. Noyau du l'ordol
tnc('\ln leycntricnh'. Forme. Etendue. 492 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Epaisseur variable suivant les régions et
fait l'office d'une véritable membrane de soutènement. La membrane
nerveuse
proprement dile est épaisse chez le foetus et pen
A sa périphérie elle est formée par de minces et blanches lamelles
nerveuses
, atrophiées, variables dans leur forme et leur
guettes do la mem- brane obturatrice. 491 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Segment vertical ventriculaire. Segment an
paisse et pourrait à un examen superficiel être prise pour un tronc
nerveux
. Le plus souvent elle se comporte comme la ligu
sant suite à la valvule de Tarin, une mince languette ou bandelette
nerveuse
, que l'on peut désigner sous le nom de tænia ou
e repli pie-mérien sous-tend plus ou moins la partie membraneuse et
nerveuse
du diverticule. Lorsque celle-ci est ferme et p
e prépara z tion. 'Trous le Lu...c'hka. 4M ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Plexus choroïdes du te ventricule. Quatriè
ricule d'Alau- tius. Funiculi teretes. 498 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fossettes su pé- ricm'cctinfcricnrc. Aire
d jus- qu'à l'aqueduc de Sylvius et renferme de nombreuses cellules
nerveuses
fortement pigmentées. Les fossettes supérieur
'as- pect du plancher du le ventricule 500 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les trois régions du jnlanchcr. Région sup
Direction. Diverticule angu- lairo. 502 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Diverticules laté- raux. 1,0 plancher. L
t sur le corps resli- forme, on trouve constamment deux bandelettes
nerveuses
, rudimen- taires, plus ou moins développées, le
t de l'anatomie, de la physiologie et de la patho- logie du système
nerveux
cérébro-spinal. Paris. Henle. llandbzech d. Ne7·U
s axes des lobes dé- pourvus d'écorce. 500 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Substance blanche centrale. Ses prolongeme
s supérieur. Centre ovalo du cervelet. 508 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Aspect do la sub- stance blanche cen- tral
'Azyr. - sla, sillon transverse antérieur. 510 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Arbre do vie du lobe médian. Modifications
tales. Noyaux dentelés accessoires. .;i2 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Noyaudubouchon. Noyau du bouchon (Nem). Embolu
ive cérébelleuse. Olivo cérébelleuse. 514 ik ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Situation. Forme. Direction. Votume dans
ubérance un peu au-dessus du sillon bulbo- 516 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Hile de l'olive cé- roheticuso. Substance
voie pédonculaire et les pou- tiques. 518 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. voisinage du plan oblique passant par l'émerge
x tiers iupéneurs de la pro- ubéranco. 520 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Mntrc-crooment des libres protubé- l'antlc
postérieur de la capsule interne. - Cirl, 522 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Disposition géné- rale. Ses trois segments
opposôctsacapsu)' de fibres. oyaurouo. °6 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Situation. Rapports. Aspect général. Cap
ial. - 1-ll,, quatrième segment du facial. 528 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Trajet. Connexions. Aspect général et ra
res arciformes dorsales TOME II. 3k > 530 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres arciformes céréhello - olivaires pr
le de 1 olive Feutrage intra olivaire. 532 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Capsulede l'olive. les dentelures delà face
ndue. Son c\tmmte lu- férieure coudee. 534 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les deux régions longitudinales du tronc e
ntéro-m- terne do la 1'O'l1ho- raneo. a3fi ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Elle s'effectue de haut en bas, et cle dedans
ant dans le bulbe : faisceau pyramidal. 38 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Happol't> du fais- ccau y3 ramidal avec
intcr-olivairc et l'o- livo bulbaire. 540 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
Avec le noyau juxta-olivaire in- terne et l
u sein d'une substance grise riche en névroglie, pauvre en cellules
nerveuses
. Les fibres transversales de laprotu- bérance e
l. Fibres aberrantes postéro-externes 4 Il ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 374, 375, 37G, 377. -- Les fibres aberran
du raphé bulbaire. (Méthode de Marchi.) 546 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres aberrantes protubérantielles. céréb
é générale. Thèse de Paris, 1899, p. 224). 548 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Inc. 385 à 391. - Mode de décussation du faisc
un petit Fibres aberrantes bulbaires. 550 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibies pyramida- Us loniolatérale% superfi
ibres radiée 2° Voios cérdlhe (e1150s. 552 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. 3n Substance grise centrale et ses no) aux
on rétl- culée du segment pédonculaire 554 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son étendue. Son aspect et ses rapports.
s pé- doncules cérébelleux supérieurs. 556 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le noyau central supérieur lièrement riche
édonculawe. - Il', nerf pathétique. M : j;j8 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. coupe Hl, Fig. 394); sur quelques coupes, corr
région lorotubbran- tielle inférieure. 500 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. réticulée cesse d'occuper toute la largeur de
, branche vestibulaire du nerf acoustique. 562 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le noyau central inlérieur. La formation r
sceau central de la calotte et.le faisceau 364 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. 1 ? rniation rétieu- 1('(' blanche. l'o ma
gastrique. XII, nerf grand hypoglosse. ! ;66 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son aspect dans la région bulhalro moyenne
i lemniscus. Synonymies du lacpieus. 5ï0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. S) nonynncs de la pni-tio supérieure du ru
aux d'ori- giiio du ruban de Reil. S-72 -) ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. aux noyaux du corps restiforme (coupe H13, Fig
gment ov- terne ou noyau de Monakow. : ii4 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son segment m. terne ou masso I)rjn- clpal
e segment ou segment horizontal du facial. 518 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ruban do Reil latéral. Les libres aber-
an de Heil dans la région tous- optiquc 80 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres croisant le ruban de Reil dans les
i- veau du 110) au du nerf pathétique. 582 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son aspect dans la région protubéran- ticl
é se rendant dans les noyaux du trijumeau. z84 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son aspect dans la région bulbaire. sa fus
uc und Leben des Gehirns. 3 Bd. Leipzig, 1819-1820. - Charpy. Système
nerveux
in Traité d'Anal, humaine de P. Poirier, T. III
eife. in Reil und Autenrieth, Arch. f. die 586 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Physiologie Halle, T. IX, 1809 p. 485 et 505.
f. Psych., XXI, 1890, p. 897. - Sappey et DUVAL. Trajet des cordons
nerveux
qui relient le cerveau à la moelle épinière. Ac
s faire double emploi avec les coupes SI 588 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. et S2 (Fig. 408 et 410), le vermis, sectionné
grêles et courts des lames et lobules plus 590 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 408. - L'arbre de vie du vermis, la forma
correspond en effet à la section du sillon 592 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. longitudinal médian et du raphé. En bas, au vo
u bulbe, et l'olive bulbaire tome Il. 38 594 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. (Oi), qui se présente sous l'aspect de quatre
glosso-pharyngien ou faisceau solitaire. 59fi ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. quelques fibres du pédoncule cérébelleux supér
'acoustique le long du noyau de Deiters. 598 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. l'olive bulbaire, représente les noyaux latéra
cérébelleuse qui tapisse ce profond sillon 602 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. du globe grêle (slg, coupes S 5 et S 6, Fig. 4
VII, fibres radiculaires du nerf facial. 604 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. centrale, des noyaux accessoires de l'olive cé
Rolando (SgR). Les fibres longitudinales G06 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. qui la bordent en arrière et en bas appartienn
le, a disparu et la partie hémisphérique 608 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fic. 414. - L'arbre de vie de la région de tra
de la branche cochléaire du nerf auditif. 610 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. lunaire inférieur s'étalent de même à leur bas
'aspect de trois, quatre ou cinq lobules 612 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. d'autant plus volumineux qu'ils sont plus anté
1', nerf trijumeau. - 1-11, nerf facial. 614 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. tiennent à la couche des fibres semi-circulair
apport à l'axe longitu- dinal du bulbe). 616 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. COUPES HORIZONTALES OBLIQUES INTÉRESSANT LA
ment en arrière de l'aqueduc de Sylvius. 618 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. parallèles sur toute l'étendue antéro-postérie
-croisent sous des angles plus ou moins z620 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. obtus, sillonnent la substance grise de la pro
de Vieussens. \VK, quatrième ventricule. 622 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Sur les coupes P3 (Fig.421)P4(Fig. 422), la dé
oie pédonculaire. - IV, nerf pathétique. 624 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. transversales, les fascicules les plus petits
al de la calotte (Fcc). TOM ! : Il..\0 626 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Un noyau angulaire, le noyau circonflexe (Nef)
iveau du raphé. Les fibres sagittales du G28 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. FiG. 423. - La calotte et l'étage antérieur do
rtenant au ruban de Reil laléml j elle est 630 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fir. 426. - Coupe verticu-transversale de la c
et ainsi s'explique la surface de section semi-lunaire de ce tronc
nerveux
. La comparaison de cette coupe avec la coupe ve
ine motrice descendante (Vd) du trijumeau fi32 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
qui apparaît encore avec sa surface de section
on- culaire. - li, quatrième ventricule. 634 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. le noyau de Deiters situés au niveau de l'angl
du facial. - T's, quatrième ventricule. 636 6 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. (Oc), passe au-dessous des noyaux du trijumeau
eau, qui correspond au hile du cervelet, 638 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. les fibres du pédoncule cérébelleux inférieur
nsitive descendante du trijumeau (Vsd), en 6t0 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. arrière des fibres transversales profondes du
oyau du facial (Nvn) et de la TOME II. 41 6H ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. grosse racine sensitive descendante du trijume
tal du facial. - V,, quatrième ventricule. 646 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. filent en arrière au voisinage de la région de
bouchon et l'olive cérébelleuse. - Coupe 648 - ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. horizontale C 3, du rhombencéphale, sectionnan
et avec la calotte. Coupe horizontale C 4 'G50 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. du rhombencéphale sectionnant le tiers inférie
upe horizontale C 5 du rhombencéphale pas- 652 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. sant par l'extrémité antérieure du vermis infé
du ilocculus. Le quatrième \entricule, ses 654 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. diverticules angulaire et latéraux. Coupe hori
e du flocculus (PFloc), petit faisceau - 6'i(i ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. compact dont les fibres fortement colorées par
entricule. Le corps resti- TOMEM. 11. 42 638 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. forme et les fibres arciformes cérébello-oliva
tion rectangulaire et sont plus nombreuses 660 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. sur cette coupe que sur celles de la région pr
quatrième ventricule a la face postérieure 062 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. de la pyramide, elle est essentiellement const
de la pyramide, elle est essentiellement constituée par des fibres
nerveuses
et connue sous le nom de formation réticulée bl
baire et la pyramide antérieure du bulbe. 6fi4 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. - Coupe transversale H9 passant par la ligne H
) qui fait saillie sur le plancher du qua- 666 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. trième ventricule au-dessus du noyau de l'hypo
ntricule. - IX, nerf glosso- pharyngien. 668 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. inter-olivaire de la formation réticulée blanc
eumogastrique. XII, nerf grand hypoglosse. 670 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. s'épuiser pour la plupart dans les travées gri
t se termine dans le vermis supérieur. 672 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le corps juxta-resliforme (Cj) est à peine rec
n qu'il n'existe encore il TOME II. 43 674 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. cette hauteur aucune indication permettant d'é
ette coupe intéresse la partie inférieure, 616 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. fermée, du bulbe au niveau de l'obex et du ven
umeau. - xpin, cntre-croisemenl piniforme. 678 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. prend le faisceau de Gowers et le faisceau cér
Y7. nerf spinal. - XII, nerf hypoglosse. 680 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le sillon longitudinal postérieur se réduit un
. On trouve néanmoins, toujours dans cette 082 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. région, des amas irréguliers de substance gris
e, mais qui déjà appartiennent au cordon 681 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. antéro-latéral de la moelle (CI). La substance
ndante du trijumeau. - 1'l, nerf spinal. 686 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Le noyau de Goll (NG) affecte une forme en mas
trijumeau. ? décussation des pyramides. G88 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. voit, à droite comme à gauche, des travées gri
ando. ,1'1' ! J. décussation pyramidale. 690 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. les deux cornes postérieures diminuera; en se
use. Son épaisseur. Ses trois couches. 692 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. lulaires, soit] des ramifications dendritiques
e ou astrocyte de la substance blanche. fi9r ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Son noyau. Ses prolongements dendritiques.
par les réactifs colorants. A l'encontre de la plupart des cellules
nerveuses
, la cellule de Purkinje ne contient que de très
nt perpendiculaire au etsont orientés dans 696 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ses collatérales. Couche mtcmo Les grains
rains disséminés ou égarés. Golgi a démontré le premier la nature
nerveuse
des grains. Cajal, dont les recherches furent c
du névraxe. Les grains (Fig. 457) représentent de petites cellules
nerveuses
, arrondies ou anguleuses, de G à 10 p., formées
type Il de Golgi de la coucho interne. 698 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. La couche externe couche intermédiaire, aux
e-axe de la cellule du type 11 de Golgi. 700 ' ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les grandes cellu- les etoilées etlesiiids
-pie-mérienne et occupe de ce chef une place à part dans le système
nerveux
central. Elle constitue en effet ainsi que Golg
empanachée et les libres de Berg- mann. 02 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les cellules arai- gnées de la substance b
nt fort étendus et en général parallèles à la direction de la fibre
nerveuse
. Ce sont là, du reste, des caractères communs -IL
v. Kôlliker, aux fibres parallèles de Cajal, c'est-à-dire aux fibres
nerveuses
des grains du cervelet. Si le quart ou le cin
sont toutes d'origine pur- kinjicnnc. 704 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Les fibres termi nalesou centripètes. Fibr
e Cajal. III/" libres 11lUllllC de Cajal. '706 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Ces deux variétés de libres représen- tent
428 à ! a0) et, Coupes C3 à C6 (Fig. 31. à li-a-7).] Les cellules
nerveuses
occupent les mailles d'un feutrage de fibrilles
ncules cérébelleux supérieur,moyen ou inférieur. Entre les cellules
nerveuses
, on rencontre des fascicules plus ou moins lâch
lules multipolai- res du noyau du toit. i 08 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres de la sub- stance blanche du cervel
ur va- riable suivant les ré- gions. 710 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fig. 463. - L'écorce cérébelleuse du lobe supé
stance blanche centrale du cervelet. 7m t) ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Système des feu- tl'ago5U1tl'a r.t c'\.11'a-
LA SUBSTANCE BLANCHE DU CERVELET ", .¡. 71G ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Fibres semi-circu- laires externes. Leurs
de la branche cochléaire du nerf auditif. 718 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. Aspect des fibre semi-circulaires ex terne
axes du lobe central et de la lingula. 720 ANATOMIE DES CENTRES
NERVEUX
. (fsme) qui se présentent sur les coupes sagitt
Vol. XXII. Juillet 1891. N" 64 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Hospice de la S1L.I ? fItIItC. M. le professeur
CUMUL DE FACTEURS ETIOLOGIQUES : TRAUMATISME, ALCOOLISME, HÉRÉDITÉ
NERVEUSE
, · Leçon recueillie par Georges GUINON, ' Che
ces deux agents dans le développement et l'évolution des accidents
nerveux
: cumul des agents provocateurs. Messieurs,
que jour un motif d'étonnement, a Archives, t. XXII. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. pris- une place importante dans la clinique de
s si t hôpital ,Sainl-Imlré clc Bordeaux, '1'11. 1890. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. chester ont beaucoup contribué faire avancer l
rau- matismes jouent ici un grand rôle, sans compter l'héré- dité
nerveuse
. Dans les petits centres, sans aucun doute, cel
est le reflet d'une attitude préalable, d'une résolution " CLINIQUE
NERVEUSE
. prise a priori qui pourra rendre difficile peu
e causes provocatrices diverses à démontrer que, ainsi 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. que je le soutiens depuis longtemps, l'hystéri
i la révèlent, mais bien dans la prédisposition que crée l'hérédité
nerveuse
. Mais avant de traiter les différents points qu
. 1. Anesthésie dans le domaine du facial inférieur. ' -10 CLINIQUE
NERVEUSE
. les deux yeux, sans scotome central. Le goût,
plus vraisemblable- ment dans celui de l'alcoolisme. '12 CLINIQUE
NERVEUSE
. Maintenant c'est sur les caractères de la para
s on panalysis, etc. 1° édition. Loiulon, 186, p. 20. li CLINIQUE
NERVEUSE
. souvent tordue, enroulée sur elle-même et le m
décidée, appelé des recherches précises sur ce point de pathologie
nerveuse
. Les résultats de ces recherches, sans être enc
0. J Chantemesse. sou. ucérl. cles h(ili., 1890. 16 () ' CLINIQUE
NERVEUSE
. chez l'homme. Il faisait remarquer que, dans t
duisent jamais bien nettement. .\1\CI11HS, L. XXII. 2 18 CLINIQUE
NERVEUSE
. Passons maintenant à l'autre point qu'il convi
encore une profonde cicatrice, sans qu'il s'en suivit aucun trouble
nerveux
durable. 1 L'absinthe c'est « la Musc aux yeux
eux verts » comme l'appelle une chanson de carrefour. 20 CLINIQUE
NERVEUSE
. Il fut soigné comme blessé à l'hôpital de la P
ontre un mur qui lui coupe la retraite. Alors il tombe dans un état
nerveux
indicible et dont il ne peut parler aujourd'hui
mporte de relever qu'à la suite de cet accident les effets du shock
nerveux
n'ont pas cessé de se faire sentir pendant une
ervous shock) produit par l'accident du tonneau détermine un état
nerveux
permanent qui aboutit au bout de quelques mois
de grandes attaques, mais seulement de petits vertiges 22 CLINIQUE
NERVEUSE
. qui le prennent quelquefois sur les rangs. Aus
se n'est point là, elle est dans la prédisposition, dans l'hérédité
nerveuse
qui, du reste, chez notre malade est fortement
. En effet, son père ancien militaire, employé d'octroi, était très
nerveux
, très coléreux et s'adonnait à la boisson. Sa m
rveux, très coléreux et s'adonnait à la boisson. Sa mère irascible,
nerveuse
à l'excès, était sujette à des attaques de nerf
ifs à la thérapeu- tique et au pronostic. L'influence de l'hérédité
nerveuse
est là, sans doute toujours présente, mais on p
t plus jeune que sa femme de cinq à six ans ; celle-ci était un peu
nerveuse
, sujette à des migraines; a éprouvé une peur vi
cause puis- sante du dédoublement de la personnalité. PATHOLOGIE
NERVEUSE
NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE 11YS1');BO-TRrIUII
c solidement établi. Bien plus, la pathogénie de ces 3 ? PATHOLOGIE
NERVEUSE
. accidents a été formulée, et leur reproduction
isme. Thèse de Paris, 1887. . AncmvEs, t. XXII. 3 34 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. terre et disparaît. D... s'imagine l'animai to
ite supérieure du territoire insensible ( : l sept.). 36 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Membres inférieurs. Motilité. L'impuissance es
Quadrillé : perte de tous les modes de sensibilité. 38 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. aux deltoïdes ne sont pas touchés par l'anesth
taux : persistance de surdité à la température seule. 40 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Vision. OD. Champ visuel très rétréci, irrégul
énergiques, mais non perçues. Fig. 5. Fig. (5. 42 ? PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 26. Traitement psychique. Mouvements très limi
jour. D... remue les pieds. Fig. 8. Fig. 9. Vit liez PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le 27. Le traitement psychique ayant été suspe
noté dans mainte observation), et enfin l'émotion morale, le choc
nerveux
produit par l'effroi qui- a été particulièrement
pour l'élaboration de la paralysie a été plus consi- 46 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dérable pour les membres supérieurs que pour l
s, froids comme dans certaines paralysies organiques. 48 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Perte de l'excitabilité électrique. Ce n'est p
onsistant d'après M. Berlaud, en mou - Charcot. Maladies du système
nerveux
, t. III, p. 460. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE ME
la chorée électrique. Archives, t. XXII. 4 , , - 50 , PATHOLOGIE
NERVEUSE
" " Comment interpréter cette paraplégie suivie
me hypnotique, dans l'état men- tal particulier produit par un choc
nerveux
intense, et dans tous les états analogues où le
près le processus que nous ve- nons d'indiquer. L'intensité du choc
nerveux
primitif aété très énergique ; il a suffi pour
a suffi pour provoquer les attaques convulsives ; en outre, ce choc
nerveux
s'est reproduit plusieurs fois, ra- mené par la
laie une cicatrice lisse et ferme. Un examen soigné des fonc- tions
nerveuses
succédait ordinairement à l'opération. Comme je
érents grossissements, on n'a pu dé- couvrir nulle trace d'éléments
nerveux
; il n'y avait ni cellules, ni fibres, mais seul
e haut et d'en bas - offrent une ramification difffuse des éléments
nerveux
; des fibres nerveuses de la substance blan- che
offrent une ramification difffuse des éléments nerveux; des fibres
nerveuses
de la substance blan- che et grise, ainsi que l
ité paralysée, - l'absence complète de la régénération des éléments
nerveux
doit avoir un sens particulier : vu qu'il n'y a
s particulier : vu qu'il n'y a, dans la cicatrice,* point de fibres
nerveuses
, qui puissent conduire les fonctions motrices,
scope une certaine quantité de cellules ganglionnaires et de fihres
nerveuses
. Une année plus tard, Brown-Séquard publia un a
térale chez les cobayes; il résultait une ré- génération d'éléments
nerveux
dans la cicatrice. ' Hl'OWI1-SÚqnard. Régénérat
oupes de la moelle épinière démontra dans la cicatrice des fibres
nerveuses
dégénérées. ' Bientôt après, Naunyn avec Eichor
état de trouver des traces quelconques de régénération des éléments
nerveux
. En outre, dans les opérations des nos XXI et X
chiellerdecker ne trouva aucun signe de régénéra- tion des éléments
nerveux
. Les opérations de N. Weiss 1 d'hémisectioii de
seulement n'a pu dé- montrer une seule fois la présence d'éléments
nerveux
dans la cicatrice, mais au contraire, après des
n ne put découvrir dans la cicatrice de régénération des élé- ments
nerveux
; chez le troisième, trente-cinq jours après l'o
ère chez les chiens il ne put découvrir de régé- nération de fibres
nerveuses
; il faut donc admettre que les éléments de la
e, la question sur la possibilité de la régénération des éléments
nerveux
de la moelle épinière n'est pas encore définitive
l n'y avait ni restitution des fonctions, ni régénération du. tissu
nerveux
de la moelle épinière, et dans l'autre se produ
où sur les .. coupes prises dans la cicatrice, on trouve des fibres
nerveuses
; ces dernières s'étendent sans interruption à t
titution des mouvements volontaires ni la régénération d'é- léments
nerveux
dans la moelle épinière (Schiefferdecker, Freus
conductrice de la moelle épinière puisse être rétablie et son tissu
nerveux
régénéré. De là, il est facile de passer à d'au
tre que dans ce cas aussi il n'est point de régénération d'éléments
nerveux
, d'autant plus que les observations de Piccolo
ls ne trouvaient dans la moelle de leurs ani- maux point d'éléments
nerveux
régénérés (de même que dans nos opérations pers
es). Ce n'est que Brown-Séquard qui parle de régénération de fibres
nerveuses
trouvées dans les cas d'hémisection chez les co
ci, ne doit avoir aucune influence sur les mouvements DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 69 rétablis de l'extrém
imentations seront analysés plus lard. (11 SMture.) DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION1 Par M. P. TROLARD, Pr
milieu d'autres. Je laisse à d'autres plus habiles et DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 71 mieux outillés que m
du tube¡' cinerium quand il n'est pas à découvert. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 73 En résumé, les conne
l existe, entre la base d'adhérence du crochet hippo- DE l'appareil
nerveux
central DE l'olfaction. 7." 1") campique et le
pénètrent profondément dans la couche optique et vont DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 77 Je me demande s'il n
nd volume, notamment dans sa moitié antérieure, renferme des fibres
nerveuses
facilement distinyuables à l'u'il nu. DE L'APPA
ibres nerveuses facilement distinyuables à l'u'il nu. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 79 où ce pilier contour
postérieur du pavillon pédonculaire. » l'lus loin, il DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 81 dit : « Nous avons d
se continuer, ' d'une autre part, au corps bordant. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 83 A la description cla
et de la branche interne de bifurcation de Fig. 13. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 85 la circonvolution go
arentes, d'autres fois plus difficiles à constater. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 87 Î Je reprends le tra
omme faisant partie de l'appareil de l'olfac- tion. DE l'appareil
nerveux
central DE l'olfaction. 89 bien fondé à compren
tion la station intermédiaire de la cou- che optique avec le centre
nerveux
. Quant aux bandelettes olfactives, bien qu'ayan
veloppement t entre le trigone et la corne d'Ammon. du l'appareil
nerveux
central de l'olfaction. 1.) 1 til' et un seul p
orment les cordes transversales de la lyre. 92 ANATOMIE. APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION Luys. - Le système commi
une taille et d'une force bien au-dessus de la normale. La mère est
nerveuse
, sujette à des névralgies et des migraines. Un
nous paraît proche parent de l'hystérie, malgré l'absence de crises
nerveuses
proprement dites. Nous constatons en effet chez
e a une santé délicate; une soeur de la malade a eu quelques crises
nerveuses
; un de ses frères est arriéré. Nous avons soign
aladie et la mort de son père, apparaissent les premiers phénomènes
nerveux
: modifications du caractère, crises convulsive
struelle est toujours l'occasion d'une recrudescence des phénomènes
nerveux
. Les attaques d'hystérie que présente cette mal
action réflexe, et que cette action s'exerce sur d'autres centres
nerveux
véritablement moteurs '. Dario Maragliano nia d
es véritablement mo- teurs, situés dans d'autres régions du système
nerveux
central. » Non seulement l'épilepsie a toujours
lle paraît bien impliquer une altération de la nutrition des tissus
nerveux
(Gowers). N'importe quelle région de l'écorce p
e encore de remarquables obser- vations d'hypertrophie des cellules
nerveuses
de l'écorce, sur- tout des grandes cellules pyr
ppareils et des organes de la machine animale. Parlant des fibres
nerveuses
d'association, Edinger s'ex- prime ainsi à son
es Vorderlzirzts I. H. 1884. 1. = Edinger. - Analomie des centres
nerveux
. Trad. par M. Siraud (Paris, 1889), 57-58. 3
nier, dit-il, que tantôt l'épilepsie dépende de lésions des centres
nerveux
proprement dits, tantôt d'une irritation pé- ri
ui détermine l'accès peut partir de n'importe quel point du système
nerveux
. Que l'on songe aux cas d'éclampsie ou d'épilep
altération (appréciable tout au moins, ajou- terai-je) des centres
nerveux
. Mais, si l'origine diffère, dans l'un comme da
s labile et plus instable de l'équilibre mo- léculaire des cellules
nerveuses
. Voilà pour la nature et les analogies de l'épi
ultant de l'excitation de régions également distinctes du sys- tème
nerveux
central, n'y voit qu'un symptôme complexe. Unve
l'examen microscopique, il n'existait dans celte zone aucun élément
nerveux
, mais une quantité considérable de cor- puscule
XIX. Contribution A L.t ' T11ÉORIE 'de l'entrecroisement DES fibres
nerveuses
dans le CHIASMA des nerfs optiques; par A. DELJ3R
nce des fentes foetales et, par suite, à une métastase do substance
nerveuse
. La moelle a pour ainsi dire tourné autour de s
els résultats avons-nous atteints dans le trai- tement des maladies
nerveuses
" ! Le rapporteur, examinant la ques- tion sur t
oyé, s'il n'y a pas de contre- indications : 1) quand les symptômes
nerveux
, principalement les symptômes hystériques, ne c
post-typhoïde. Un prêtre, âgé de 41 ans, sans hérédité psychique ou
nerveuse
ni syphilis dans l'anamnèse, mais ayant abusé d
marquer l'intérêt de la question en ce que la clinique des maladies
nerveuses
est éclairée à l'électricité et aura en outre une
alement une grande impor- tance dans la thérapeutique 'des maladies
nerveuses
, notamment dans les légers états d'angoisse ave
RUSSES RÉUNIS A 1110scou LE t5 JANVIER 48911 SECTION DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES. Séance du 20 Janvier. (Maladies
S MALADIES NERVEUSES ET MENTALES. Séance du 20 Janvier. (Maladies
nerveuses
.) Présidence de M. le Professeur KOJEVNIKOFF.
lables étant surtout fréquentes dans les cas de syphilis du système
nerveux
(et peut-être aussi dans l'alcoolisme) et les s
s seulement symétrique, périvasculaire. Dans la syphilis du système
nerveux
, on peut observer des névri- 1 Voy. Arr/tines d
tabes, l'alcoolisme et les autres affections toxiques du sys- tème
nerveux
. La méningite syphilitique (et toute autre, peut-
, d'après M. Epoff, de 3/5 à 4/5 de l'épaisseur entière de la fibre
nerveuse
; on sait, cependant, que dans les manuels cour
ntiel entre les affections anatomiques et fonctionnelles du système
nerveux
. - - " M. Tokarski a lu les principales conclus
l de l'application de l'hypnotisme est constitué par des affections
nerveuses
fonctionnelles dans lesquel- les il peut être c
n dans la nutri- tion ou dans la circulation par influence purement
nerveuse
. Mais dans les cas où la maladie est entièremen
trouvent d'autres déterminés par une in- fluence réflexe du système
nerveux
, on peut, à l'aide de l'hypno- tisme, ramener l
se trouvent sous la dépendance d'un trouble réflexe d'une fonction
nerveuse
. A côté de la possibilité d'écarter au moyen de
(1890, J.-B. Ddillière.) Sous ce nom, l'auteur décrit l'épuisement
nerveux
; autrement dit l'irrilalion spinale de Franck,
t l'irrilalion spinale de Franck, le névrospasme de Brachet, l'état
nerveux
deSandroos, la névralgie raréiforme de Caisan, la
151 cérébro-cardiaque de Krishaber. Des phénomènes de dépression,
nerveuse
depuis l'amoindrissement léger de la force nerveu
de dépression, nerveuse depuis l'amoindrissement léger de la force
nerveuse
jus- qu'à la prostration et des symptômes d'exc
ux du Progrès Médical. Bodveret (A.). - La Neurasthénie (Epuisement
nerveux
). - Volume in-8' de 480 pages. Prix : 6 fr. F
n. Hirt (L.). Pathologie et thérapeutique des maladies du Système
nerveux
. Manuel pratique à l'usage des étudiants et des m
Vol. XXII. Septembre 1891. N" 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
SUR UN CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE DE LA PREMI
eurs, . La syringomyélie, cette nouvelle venue dans la pathologie
nerveuse
, a pris rang, vous le savez, parmi les maladies
s allusion, 1 5, mai 1891. ' Archives, t. XXII. 11 162 CLINIQUE
NERVEUSE
. ne sont pas rares, ils réclament une étude fin
s'accentue trois semaines plus tard, quand survient de 164 CLINIQUE
NERVEUSE
. la raideur du membre. Bientôt la main droite s
que le choc ait favorisé le déve- loppement d'un gliôme des centres
nerveux
. Vaut-il mieux admettre que la maladie, latente
égénération de l'éminence thénar et de quelques autres 166 CLINIQUE
NERVEUSE
. petits muscles de la main; les contractions fi
ans lacompression spinale'. ' Charcot. Leçons sur les Mal. du syst.
nerveux
, t. II, p. 116 et 292. CAS DE PARALYSIE DE LA P
upille en est plus petite, la face est aplatie du même 168 CLINIQUE
NERVEUSE
. côté. Ces symptômes ne sont pas exceptionnels
sensibilité àladou- leur étant absolue. (A. Sass. Deux cas de lèpre
nerveuse
, Dnitsch. arch. f. Kli2z. Ile(l. Vol. 17" fasc.
tsch. arch. f. Kli2z. Ile(l. Vol. 17" fasc. 3 et i.) 170 CLINIQUE
NERVEUSE
. cédez -moi qu'ici la zone d'anesthésie partiel
e cutanée interne. - Cire, ciroâf flexe. C, cubital. 172 CLINIQUE
NERVEUSE
. innervation purement motrice ; 3° au médian qu
est au niveau du trou de conjugaison. En effet, parmi les rameaux
nerveux
qui émanent de la première paire dorsale, il en
lysie détermine l'enfoncement du globe de l'oeil. Or, ces filets
nerveux
n'accompagnent la première dorsale, en dehors d
on latente, d'inflammation lente, d'où résulte la fra- 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. gilité de ce côté du corps vertébral. Survienn
e se produire parfois très tardivement, et engendrer des phénomènes
nerveux
beaucoup plus graves que n'avait fait l'acciden
. Nouvelle iconographie de la Salpêtrière. 1888-89. 176 CLINIQUE
NERVEUSE
. J'espère vous avoir montré, par cette sorte de
t le lobule paracentral droit, Archives, t. XXII. 12 178 CLINIQUE
NERVEUSE
. puis pénétra dans les troisième et quatrième v
t suffisamment par la plaie; l'introduction d'un drain 180 CLINIQUE
NERVEUSE
. placé avec les plus grandes précautions, perme
tit. Depuis deux jours, le malade est atteint d'hémi i 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. plégie gauche, et parle avec beaucoup plus de
e perpendiculaire interne. - 7, scissure calcanne. ' 184 CLINIQUE
NERVEUSE
. et très intimes à la faulx du cerveau, dans la
e travail pathologique doit correspondre à la crise du 186 CLINIQUE
NERVEUSE
. '22 novembre, date de la paralysie de la paupi
e produit la crise d'épilepsie essentielle, c'est-à-dire pure- ment
nerveuse
, sans cause matérielle apparente. La frayeur, c
ariétale, devient motrice, et correspond, d'arrière en 188 CLINIQUE
NERVEUSE
. avant, au centre des mouvements des membres in
petit nombre de vaisseaux et ne contiennent aucune trace d'éléments
nerveux
; 2). du côté droit unediminution prononcée de f
ye ne se produit grâce à une régénération quel- conque des conduits
nerveux
détruits, mais résulte de la resti- tution des
ts nerveux détruits, mais résulte de la resti- tution des fonctions
nerveuses
abolies par d'autres voies dispo- sées dans la
état primitif, cela se produit toujours par la suppléance des voies
nerveuses
atteintes par l'opération par d'autres voies, d
te- ment du côté de la lésion. Moscou, juin 1889. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION' Par M. P. TROLARD, Pr
OLFACTIF AVEC L'ÉCORCE cérébrale. [Arc direct.) Toutes les fibres
nerveuses
qui viennent de la moelle épinière se rendant a
ui revêt la face juxta-pédonculaire du crochet, subs- DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 205 tance blanche dont
couche médullaire de la cloison transparente était en DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 207 grande partie compo
paraît prouver la solidarité des différents éléments de l'appareil
nerveux
de l'olfaction. La tubé- rosité de l'hippocampe
les nerfs de Lancisi, comme l'admettait Foville ,. DE l'appareil
nerveux
central DE l'olfaction. 209. FOVILLE ET A'lEYNE
ûte se terminent, par les piliers réfléchis, dans, le DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 11 tubercule antérieur
Le carrefour est ensuite mis en communication avec DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 213 le tubercule antéri
piliers anté- rieurs. C'est l'arc direct. Réflexions. L'appareil
nerveux
central de l'ol- faction, tel que je viens de l
n appareil complet, en tout "semblable à celui des autres appareils
nerveux
. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION.
ut "semblable à celui des autres appareils nerveux. DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 21 J> En dehors de l
tre embarrassé celui qui a étendu aussi loin le champ de l'appareil
nerveux
de l'olfaction ? J'essaierai cependant de répon
ercées sur le sens de l'olfaction » d'où la nécessité d'un appareil
nerveux
central en rapport avec ce sens. Aussi, est-il
ait subi le contrecoup de la suractivité imprimée aux DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 217 autres sens; que so
. Léopold Bernard, que le chef de l'Ecole naturaliste DE L'APPAREIL
NERVEUX
CENTRAL DE L'OLFACTION. 2190 doit probablement
III. DE quelques PIIÉr\OÈrOES observés dans LE domaine du système
nerveux
central après LE rappel A la \'lE DES tendus; par
cun effet, ni M8 revue DE thérapeutique. comme sédatif du système
nerveux
, ni comme hypnotique; dans la mélancolie et la
e les injections de liquide testiculaire exer- cent sur les centres
nerveux
, surtout spinaux, une stimulation plutôt qu'une
s de molilité. Contrairement à ce qui a lieu d'habitude, le système
nerveux
semble se dédoubler, tout ce qui appartient à l
fants idiots, et une division pour les femmes atteintes de maladies
nerveuses
. Depuis avril 1885, tous les épileptiques adult
au grand trochanter, fièvre typhoïde à l'âge de : 3 ans avec troubles
nerveux
, avec délire de convalescence (man- geait de to
, l'auteur croit que dans ce cas l'in- fluence de l'état du système
nerveux
doit être admise au moins dans une certaine mes
développement d'une affection infectieuse qui a frappé leur système
nerveux
. M. ContnEMALE communique un mémoire sur les ra
Briand. 268 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
.DE MERLIN Séance du 12 novembre 1888 1. - PR
phal des deux côtés. La pression sur les ori- gines des gros troncs
nerveux
(radial, cubital, sciatique poplité externe) et
On constate au microscope l'inté- grité de la moelle et des racines
nerveuses
. Les nerfs périphériques (radial, sciatique, po
étaient isolés ou pelotonnés en petits amas libres au sein du tissu
nerveux
. Leur structure révélait la stratifi- cation eu
uivantes : l'influenza est capable de nuire à l'ensemble du système
nerveux
et de produire les névroses les plus différente
ins d'esprit des états de dépression passagers; c'est de l'asthénie
nerveuse
. Les psychopa- thies de l'influenza apparaissen
présenté des anomalies marquées de la menstruation, avec accidents
nerveux
. Chez quatre d'entre elles, l'onde mens- truell
uvements volontaires, les découvertes histologiques sur les centres
nerveux
, les résultats des expériences de thermogé- nie
sensoriels. Les recherches de Golgi sur l'histologie des cellules
nerveuses
ont fixé spécialement l'attention de M. Soury;
ncident et ont un siège anatomique commun. A lire aussi les organes
nerveux
musculo-tendineux, ces dynamo- mètres organes d
sur le re- froidissement et réchauffement oscillatoire des centres
nerveux
pendant la période d'activité, d'où il résulte
et que ces substances toxiques atta- quent de préférence le système
nerveux
périphérique. Mais lors- qu'il s'agit de ces ca
eils élus, serait une faute. (B.) Concours du clinicat DES maladies
NERVEUSES
. - Le concours vient de se terminer par la nomi
Dr Oppenheim : Considérations sur les maladies toxiques du système
nerveux
; pro- fesseur Binswanger : anatomie pathologiqu
ralysie géné- rale ; Drs llloeli et Marinesco : syphilis du système
nerveux
; Dr Sioli : sur un cas de cécité corticale avec
o-hypnologie. (Eludes sur l'hypnotisme et les différents phénomènes
nerveux
physiologiques et pathologiques qui s'y rattach
Vol. XXII. Octobre 1891. N, 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ';
ée d'une part sur l'existence dans le diabète de quelques symptômes
nerveux
analogues à ceux que l'on rencontre dans l'atax
mes s diabète et glycosurie. Archives, t. XXII. 20 306 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'urine de certains tabétiques. Dans le premie
l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, les troubles
nerveux
ont été mis sur le compte du dia- bète sous le
Î ! 'chow's .9rclt., XXIX DI ? 1885, p. 2( ! ) . 308 ' ' CLINIQUE
NERVEUSE
. On avait donc, avant Oppenheim, signalé la gly
symptomatique du tabes et que d'autre part l'apparition de troubles
nerveux
, au cours d'un diabète avéré, veuille toujours
surie d'ordre tabétique ; l'existence de certaines mani- festations
nerveuses
, au cours d'un diabète, ne veut point toujours
iv. de Neurol., t. XIX, p. 305, 1890.) . - .. 4 310 ,' . CLINIQUE
NERVEUSE
. placer ud second. Dans celui-ci il s'agit enco
étique présenter un tremble- ment des mains, entre autres accidents
nerveux
. Il a vu chez les descendants des diabétiques d
s frayeurs maniaques, etc... Niepce signale de même un état morbide
nerveux
chez le fils d'un diabétique. Zimmer rapporte l
atoires et gangreneux des diabétiques . Paris, 1861. 312 CLINIQUE
NERVEUSE
. tiques un assez grand nombre étaient morts d'a
servation de Lèjroux. La voici résumée : TABLEAU III 314 CLINIQUE
NERVEUSE
. TABLEAU VI : . X... 70 ans. Epilepsie, diabè
ATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 315 TABLEAU X' 316 CLINIQUE
NERVEUSE
. TABLEAU XIV ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIA
ébraux trouve son explication dans les antécédents héréditaires ,
nerveux
qu'on relève habituellement chez les diabétiques.
Diabète et hystérie. (Archiv. génér. de méd., 1888.) 318 . CLINIQUE
NERVEUSE
. reste fournir ici un exemple de celle associat
encore à M. le professeur Charcot 2 : - TABLEAU XV 320 CLINIQUE
NERVEUSE
. TABLEAU XVII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DI
alade de la façon suivante : ARCHIVES, t. XXII. 21 323 CLINIQUE
NERVEUSE
. TABLEAU XXI ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIA
énérales, à tant de troubles permanents de la nutrition. Le système
nerveux
est, en effet, le grand modérateur des actes nu
métamorphoses de la ma- tière peuvent être ralenties par un trouble
nerveux
, elles le sont également par une disposition co
terprété par une simple coïncidence, si on considère que l'hérédité
nerveuse
est représentée par le chiffre dix-sept et la s
Civrieux, 1883, et Annales méd. psych., 1881, p. 29.) 324 CLINIQUE
NERVEUSE
. ASSOCIATION DU TABES, ETC. haut que M. Charcot
3 regarde la goutte et le diabète comme deux affections du système
nerveux
. Si l'étude que nous venons de faire ne permet
r une pseudo-démence, qui, offrant tous les caractères 346 CLINIQUE
NERVEUSE
. extérieurs de la démence, en diffère cependant
erveau, etc.) : j'en ai rencontré des cas. ' (A suivre.) CLINIQUE
NERVEUSE
IIEMIATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE; Par le pro
vait souffert long- temps de rhumatisme musculaire. Mère vivante, «
nerveuse
? avait eu douze enfants dont six vivent encore
emiatrophia facialis. (St-Barthol. Hosp. Rep., XVIII.) 348 CLINIQUE
NERVEUSE
. enfance, s'est toujours bien portée, bien que
de dans les derniers mois sont dignes d'être signalés. 350 CLINIQUE
NERVEUSE
. n'avons qu'à indiquer les matériaux, pour la p
ue de ce qu'on observe également dans les autres parties du système
nerveux
périphérique. C'est, par conséquent, de pair av
nio-pathologiqtie insuffisant, sont sans importance. 382 CLINIQUE
NERVEUSE
. épileptique; de pareilles attaques renouvelaie
n de ce nerf soit moins évi- Archives, t. XXII. 23 354 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. dente, le tableau clinique est, en beaucoup de
s et, par conséquent, sont plus sou- mises à l'influence du système
nerveux
vaso-moteur. Romberg nous décrit deux cas analo
lle n'a aucune raison d'être dans la science exacte. 386 CLINIQUE
NERVEUSE
. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. DES1ME. - Hemiatrophi
d'une famille de meuniers solides. Rien d'héréditaire, 358 clinique
NERVEUSE
. d'autre part aucune maladie antérieure. L'affe
res que celles qui sont atteintes chez notre malade. 360 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'analyse attentive des symptômes nous permet
ar BOURNEVILLE et P. SOLLIER; I Sommaire. Père, excès de boisson,
nerveux
. - Grand-père paternel , excès de boisson. z Co
de-vie sur- tout. Il rentre une vingtaine de fois ivre par an. Très
nerveux
d'habitude, son irritabilité augmente encore pe
lle est encore parfai- tement réglée. Pas d'attaques de nerfs ; peu
nerveuse
; pas d'alcoo- lisme. Faisait le commerce avec
lère, morte à soixante-huit ans on ne sait de quoi ; pas de maladie
nerveuse
. [Grand-père paternel, mort à quatre-vingt-cinq
bien portantes; leurs enfants sont bien portants, sans accidents
nerveux
. Pas d'aliénés, d'épileptiques, d'hystériques, et
t-on ; - 6° fille, dix-huit ans, pas de convulsions, bien portante,
nerveuse
, intelligente, bonne conduite; - 7° notre malade;
x ; - 9 fille, treize .ans, pas de convulsions, bien portante, très
nerveuse
, intelligente, est presque toujours la première
le grand-père du malade; des migraines chez la mère; des accidents
nerveux
, divers chez les frères et soeurs (hystérie, a
perversion des instincts, instabilité mentale, en un mot un - état
nerveux
probablement d'origine congénitale et qu'il est
dividus isolés mais sur la collectivité et créant chez elle un état
nerveux
ethnique qui prédispose ses membres d'une façon
dès l'enfance. 1 II. Sommaire. - Père, convulsions de l'enfance;
nerveux
et irritable. Grand-père paternel toedillm vitæ
le cou; le troisième est bien portant et n'a jamais eu d'accidents
nerveux
. Il en est de même de ses trois enfants. Deux d
usqu'à l'ivresse, « c'est comme un tonneau J. Calme, sans accidents
nerveux
. [Mère morte il y a longtemps, d'une affec- .li
morte il y a longtemps, d'une affec- .lion abdominale; n'était pas
nerveuse
. - [Grand-père paternel, 'mort jeune, paralysé
onvulsions dans l'enfance; non mariée; pas d'attaques de nerfs; pas
nerveuse
. 2° Noire malade. - Au moment de la conception,
on dut le supprimer parce que cela le ren- dait très méchant, très
nerveux
'. Mis à l'école vers quatre ans, il apprenait
cament agit promptement chez ceux qui sont atteints d'insom- nie
nerveuse
, le sommeil se produit d'après Kast d'une demi-
obtenu le sommeil 7 fois sur 10 et toujours dans les cas d'insomnie
nerveuse
. Le résul- tat était incertain ou peu marqué da
le sulfonal est un bon hypnotique. utile surtout dans les insomnies
nerveuses
, et dans celles qui accompagnent REVUE D'ANATOM
ies diverses, et l'on a trouvé quelques altérations de ces éléments
nerveux
ainsi que de petites hémorrhagies; dans un cas d'
ude CONVULSIVE DES pupilles (hippus) dans LES affections du système
nerveux
central; par 0. Damsch. (Neurol. Centralbl., 18
des individus sains conservent une largeur constante; celles des
nerveux
subissent une série de rétrécissements et de de d
n monte dans le baume. Par ce procédé, on voit que : 1 les cellules
nerveuses
des cornes anlérieures n'ont pas de granulation
à celui-ci, et occupe une situation plus profonde dans la substance
nerveuse
. Plus haut, ces deux faisceaux se rapprochent et
e sain; ils produisent une aliénation quelconque chez l'héréditaire
nerveux
; ils pro- duisent la paralysie générale quand c
s consécutives A l'influenza; par SOLLHRIG. - Battements DE COEUR
NERVEUX
consécutifs A l'influenza; par R3fIRING. Angine D
ance physiologique (hyponutrition) retentissant sur les conducteurs
nerveux
. P. K. XV. CONTRIBUTION A la pathogénie DE la F
ltérations de la névroglie, des vaisseaux, des cellules, des fibres
nerveuses
, des lésions de la moelle, comparées aux altéra-
ouges, l'inflammation de la névroglie; secondairement, les éléments
nerveux
sont détruits. C'est une encéphalite interstiti
S névroses fonctionnelles AVEC DES AFFECTIONS ORGANIQUES DU SYSTÈME
NERVEUX
; par H. OPPP : NHEI3f. (Neurol. Cenltwlbl., 18
dans la série des vertébrés on constate, dans la sphère du système
nerveux
central, une ten- dance au déplacement des fonc
hiat¡ ? XLVII, 3-4.) P. KERAVAL. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
. DE BERLIN Séance du 9 juin 1890 '. Présiden
tion de névroses fonctionnelles à des lésions organiques du système
nerveux
. Voy. Neurol. Centralbl., 18906. ' Voy. Archive
es lecteurs. Au point de vue scientifique, qu'est-ce que l'hystérie
nerveuse
périphérique, surtout à propos d'une observatio
errefeu. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Audry (J.). Elude de pathologie
nerveuse
: L'athétosc double et les chorées chroniques d
ticulaire dans les maladies mentales, par Fronda, 228. Maladies
nerveuses
, traitement des - , par Aliiioi, 136. Mamie t
mentale, par Richter, 227; - et affections organiques du système
nerveux
, par Oppenheim, 411. Neurasthénie tardive avec
ssive des mus- cles de l ? par Westphal, 269. Olfaction, appareil
nerveux
central de l ? par Trolard : -63, 203. OPTIQU
ROLOGIE ARCHIVES DB NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUNLIfiE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecin* de Paris. COLLABOU
Vol. XVI. Juillet 1903. N° 91. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. i Délire et petit brightisme ; FIR A. VIGO
i-ovoqziée, Masson 1900. Archives, 2- série, t. XVI. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. nous avons injecté un centimètre cube de, solu
y. Leçons delà &t<p<'7;'t'e, 11 décembre 1890. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. sujets du troisième groupe rentrent dans le ca
symptômes d'une maladie générale ; 3° Les psychoses et les maladies
nerveuses
provoquant de l'albuminurie. Sans insister sur
dies mentales (Rapport-Congrès de la Roclielle, 1893). 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. décrit par M. Waler chez un individu indemne d
Manuel de pathologie interne, 7° édition. T. III. p. 75. 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. ainsi qu'au début. Comme le fait remarquer Mor
ulafoy, Société médicale des hôpitaux, 10 juillet 188à. 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. porté le diagnostic : Alcoolisme, hallucinatio
lièrement à la selle et mange avec assez d'appétit. '1 il, CLINIQUE
NERVEUSE
. Ses urines recueillies le 2 juin ont donné à l
et il est allé chez le commissaire s'accuser de ce vol. 14 CLINIQUE
NERVEUSE
. Des camarades le traitent de prussien, on lui
n ouverture, la policlinique a traité 10 malades, parmi lesquels 48
nerveux
, 37 sujets atteints d'affections organi- ques d
48 nerveux, 37 sujets atteints d'affections organi- ques du système
nerveux
et 20 aliénés. Statistique. La clinique de Gies
rasthéniques, celui de la para- lysie agitante et d'autres maladies
nerveuses
. Son appareil lui permet, aussi de faire une ét
la clinique psychiatrique est annexée une clinique externe pour les
nerveux
atteints de troubles psychiques. II. Admission
les parents aucun degré de consanguinité : ni syphilis ni hérédité
nerveuse
ou mentale. D'ailleurs, les ascendants, par- fa
- meH<s nuls sur sa famille. Mère eczémateuse, pas d'accidents
nerveux
. Grand-père maternel mort de paralysie du cerveau
e Golgi dans les éléments ner- veux en général et dans les cellules
nerveuses
des ganglions sympathiques en particulier; par
usqu'à présent susceptible de trancher le différend, quelques tubes
nerveux
pouvant persis- ter au milieu des foyers de myé
. L'étude comparative des altérations consécutives aux résections
nerveuses
et aux désarticulations semble démontrer que le n
diminution résulte de phénomènes dégénératifs du côté des cellules
nerveuses
: c'est une véritable agénésie. Malgré cela, le
ion des couches corticales, des ganglions de la base, et du système
nerveux
tout entier. La mentalisation consciente est pro-
a plus tardive et la plus élevée dans les fonctions de la substance
nerveuse
, bien que, considérée en elle-même, elle ne soi
ne soit qu'une fonction plus ou moins latente de toute la substance
nerveuse
, dont le degré d'acti- vité varie simplement su
ction, à un degré inférieur, par des régions plus basses du système
nerveux
sur des régions situées encore plus bas qu'elle
et l'action réflexe étant la propriété spéciale de toute substance
nerveuse
se rencontrent à des degrés divers du haut en b
euse se rencontrent à des degrés divers du haut en bas de l'échelle
nerveuse
, depuis la substance à organisation élevée de l
e de cette tumeur n'a pas été pratiqué. G. 1) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
1. Abcès traumatique du lobe occipital droit av
n'ont pas permis de la constater. G. DENT. 68 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. IL A propos du goitre exophtalmique. Le centre
plaider en faveur de cette étiologie. G. D. IV. Deux cas de maladie
nerveuse
familiale intermédiaire entre l'hérédo-ataxie c
Friedreich; par les Drs LENOBLE et AUBINFAU. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 69 Il s'agit de deux cas d'hérédo-ataxie céréb
; 2° Par l'apparition relativement tardive des autres phénomènes
nerveux
; 3e Par la tendance à revêtir un certain nombr
aissant entraîner, il le répète encore, plus 70 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'il ne serait raisonnable, sans se lasser. A
, très différent de ces « yeux grands ouverts » REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. -il dont il est question dans la description d
e description topographique et anatomique. 72 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Or dans les deux cas il s'agissait de syringom
interposées entre le rachis et la dure-mère qui REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 73 constituent la cause première de la compres
s ; l'enfant ne peut pas élever le bras. 7t i REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Saillie accusée de l'omoplate droite par paral
ces médullaires sont pour les uns musculaires (Nano), pour d'autres
nerveuses
(Marinesco), radiculaires (Déjerine), fonctionn
e toxine, simplement par suite d'un trouble fonctionnel des centres
nerveux
. La répétition de ces accidents peut être égale
Prix : 6 francs. Raymond (F.) Leçons sur les maladies du système
nerveux
(1900- 1901). 1 vol. in-8" de 650 pages. Librai
e, jusqu'à une certaine profondeur. Cellules NnVGUSRS. Les cellules
nerveuses
ne sont pas intactes. Dans les légions où le pr
irconvolu- tions du lobe lrontal et du lobule paracentral. Fibres
nerveuses
. Etant donné les lésions cellulaires précé- den
uses. Etant donné les lésions cellulaires précé- dentes, les fibres
nerveuses
ne sauraient être intactes. Partout, on note nu
être intactes. Partout, on note nue diminution de nombie des tubes
nerveux
, qu'il s'agisse des couches tangentielles ou de
Ext)er Itisqu'a.1 centre ovale proprement dit. En outre, les fibres
nerveuses
, exami- nées isolement, sont plus grêles qu'à l
es fascicules radiaires. En un mot, on relrouve au niveau des tubes
nerveux
la dysgénésie ou l'arrêt de développe- ment si
sgénésie ou l'arrêt de développe- ment si évident pour les cellules
nerveuses
. Sclérose 1\ÉVItOGLQUR. - Malgré les altération
on e,t surtout marquée au niveau de la lame criblée où tout élément
nerveux
a disparu. A mesure que nous approchons de la p
IQUES GÉNÉRAUX. 129 décrites à ce niveau, et les fibres et cellules
nerveuses
des couches correspondantes ont disparu pour fa
lement vers les couches externes delà rétine,' La couche des fibres
nerveuses
, ne semble plus contenir de fibres opliques int
ées. Non seulement il est impossible de découvrir une seule cellule
nerveuse
saine, mais en maint endroit, toute trace d'élé-
noyau volumi- neux demeurées là après la destruction de la cellule
nerveuse
, ou quelques débris de la cellule disparue : un
semblant être le vestige d'un essai de multiplication d'une cellule
nerveuse
irri- tée. Les éléments fibrillaires de la co
70 p.. a, par suite de la « métamorphose régressive » des éléments
nerveux
de la rétine, métamorphose fréquente dans les c
ns les cas de décollement, perdu tout le fin réticulum de fibrilles
nerveuses
, qui la constitue normalement; de sorte qu'il n
es. 1, Limitante interne; 2, fibres de lluller, 3, noyauide cellule
nerveuse
proliMree; i, lacuacresula l'a désintégration des
donné la mort. (Le Progrès de Lyon, 10 juil- let 1903.) CLINIQUE
NERVEUSE
. Délire et petit brightisme; PU ! A. VIGOUR
s six mois il suivait un régime approprié au cet état. 138 CLINIQUE
NERVEUSE
. Il arrive dans le service le 3j janvier 1902.
omplet des urines a donné les résultats suivants : . 140 CLINIQUE
NERVEUSE
. que s'aggraver jusqu'à sa mort survenue au mil
res sont conservés, mais faibles, surtout le réflexe 1.4'2 CLINIQUE
NERVEUSE
. lumineux. La langue est animée d'un tremblemen
ne les résultats suivants pour vingt-quatre heures : 144 CLINIQUE
NERVEUSE
. Le coeur est volumineux (450 gr.). Le ventricu
quelles se voient également des corpuscules hyalins. Les cellules
nerveuses
à l'exception des cellules géantes parais- sent
al. V. Le dosage toxique dans le traitement de quelques désordres
nerveux
; par William C. Krauss. (Tlle lYezo-I'orh..9lecic
des médecins obtiennent dans le traitement de beaucoup d'affections
nerveuses
sont probablement dus à l'emploi de doses insuf
teur désigne par l'épithète de neurotiques, sont ceux dont la force
nerveuse
est au-dessous de la normale, 152 REVUE DE THÉR
sous de la normale, 152 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. dont les éléments
nerveux
, soit par tare héréditaire, soit par acci- dent
nt très peu. C'est le plus souvent vers la puberté que des troubles
nerveux
plus précis font leur apparition Si l'on veut r
estl'un des plus sûrs moyens d'aboutir à une aggravation de l'état
nerveux
. Au point de vue de l'instruction, il 3 a des p
'hypotension artérielle et chez eux la disparition de la dépression
nerveuse
et de l'état men- tal particulier qu'ils présen
été décrits ci-dessus. Il. DE Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XIV. Le tabès chez la femme; par E. i)llNDEL (N
et un ans qui, de la fin de décembre 1899 au 1 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. '16). il janvier 1901, présente les accidents
omyélite : il y- AncHivM,2'SKne,t.XVI. H '162 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. manque l'atrophie musculaire progressive, les
sé sur 8 observations, duquel il résulte qu'il existe une dysphagie
nerveuse
propre aux héréditaires dégénérés. Ce trouble d
e fois survenue prend généralement racine; elle REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 163 dure des années. Les accès sont plus court
n'est pas pius en cause, ici qu'une' lésion organique du système
nerveux
. Mais celte dysphagie peut être symptomatique d'u
celte dysphagie peut être symptomatique d'une altération anatomique
nerveuse
ou non. Voici l'exemple d'une dame de quarante-
ce qu'il est venu avant terme, à huit mois. 164 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Sa soeur est scrofuleuse, mais ni le père ni l
, mais ni le père ni la mère, ni celle-ci ne présentent de troubles
nerveux
. Le jeune garçon est pris en outre, de temps à
insuffisance de l'appareil musculaire de l'intestin, héréditaire ou
nerveuse
. Il n'est pas nécessaire que cette insuffisance
a plus de résistance au toxique que l'adulte. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 165 II s'agit d'un homme de vingt-huit ans jus
dans le sérum du sang, la lutéïne. R. LEMY. 166 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1\ll. Un cas d'asthénie bulbo-spinale. Syndrom
ne vingtaine d'années une maladie purement fonctionnelle du système
nerveux
, dont la symptomatologie se résume dans une ast
ldtlam en élargit le cadre. L'asthénie bulbaire REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 167 î devient l'«sthénie bulbo-spinale et cett
eutiques d'un confrère morphinomane. Le ma- 168 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lade ne dépasse pas la dose de 2 à 3 centigram
bservé un cas portant sur une période de vingt- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 169 quatre heures. Elle est tantôt permanente
es qui entrai- nent une détermination cérébrale, certaines cellules
nerveuses
apparaissent partiellement détruites et semblen
très perceptibles, formant un réseau localisé autour de la cellule
nerveuse
. Ils sont d'autant plus ner- veux que celle-ci
ssent par l'envahir tout entier. C'est la phagocytose d'une cellule
nerveuse
devenue inutile, désagrégée et digérée par des
e ces deux notions ne soient pas en contra- 170 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. diction et que les deux processus puissent évo
gne ? S'agit-il d'une sclérose en masse du cer- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 171 L velet, non, le début des symptômes a été
s la réaction à la lumière est paresseuse, 172 -REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' surtout à droite. Mais le malade prend de la
nent les commotions musculaires. Il n'est aucune maladie du système
nerveux
qui réclame une connaissance aussi exacte des l
la mentalité et que les physiologistes parais- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 173 sent d'accord pour localiser dans les lobe
euxième cas de sarcomatose nodu- laire primitive de tout le système
nerveux
central el périphérique. Cette variété de néopl
, la maladie de Recklinghausen peut s'accompagner de locali- sation
nerveuse
centrale (1 cas personnel de Tailleur), d'autre p
es deux sont une neoplasie primitive du tissu conjonctif du système
nerveux
. Maladie de Little. M. BmssuD présente une en
en dehors des deux cas suivants : A) dans les affections du système
nerveux
: il n'a cependant pas dans ce cas la même vale
ule cérébrale actionnée par une idée actionne à sou tour les fibres
nerveuses
qui doivent réaliser cette idée, on arrive à ce
A suivre.) BIBLIOGRAPHIE. XII. Leçons sur les maladies du système
nerveux
; par F. LWYMOonD, membre de l'Académie do médec
mbre de l'Académie do médecine, professeur de clinique des maladies
nerveuses
à la Faculté de médecine de Paris. Sixième séri
suivi son accession à la chaire de Clinique des maladies du système
nerveux
, à la Salpétrière, le professeur Raymond faisai
tir d'un fait clinique pour envisager les problèmes de pa- thotogie
nerveuse
, tels qu'ils se présentent dans la réalité, en mo
volumes touchent aux questions les plus diverses de la pathologie
nerveuse
; dans chaque volume, il s'en trouve qui s'enchaîn
rtée de tous les praticiens la connaissance des maladies du système
nerveux
, c'est-à-diie d'une branche delà pathologie, do
ion de tous ceux qui suivent pas à pas l'évolution de la pathologie
nerveuse
, mais qu'ils ont aussi leur place marquée dans
mille dégénérative. La malade était considérée comme une personne
nerveuse
et impressionnable ; d'après ses paroles, elle se
noncée. En parlant de divers symptômes, se rencontrant 202 CLINIQUE
NERVEUSE
. dans de semblables cas, il faut pourtant, pour
considérer comme une forme psychopathologique autonome. CLINIQUE
NERVEUSE
. Délire et petit brightisme ' ; S A. VIGOUROU
ans une période d'euphorie les résultats suivants : 20 i CLINIQUE
NERVEUSE
. attitude suspecte. Il passa par la suite au Co
de galop a dédoublement du premier temps. Le pouls est 206 CLINIQUE
NERVEUSE
. tendu et vibrant. Le foie est gros, sensible à
s tics ; guérison ; P.n COITIi\E'ILI,1 : eT POULITtD' L'affection
nerveuse
désignée par Chariot sous le nom de maladie des
e à deux ans. Marche à onze mois. Propreté vers un tin. Acci- dents
nerveux
mal déterminés et rachitisme des membres inférieu
ès sobre, rhumatisant, n'aurait pas eu la syphilis. Pa, d'accidents
nerveux
. Il aurait été « débauché » à dix- sept ans par
tantes, ses quatre soeurs et leurs enfants n'ont pas eu de maladies
nerveuses
ou mentales. [Rien à noter dans le reste de fam
e reste de famille.] Mère, quarante-huit ans, ménagère, tempérament
nerveux
, caractère vif, sujette à des céphalalgies, ne
syndrome morbide commun à toute une série d'affections mentales et
nerveuses
. Enfin un troi- sième groupe d'auteurs y voient
i nombreuses et si variées d'un trouble de l'évolution du système
nerveux
, la question changerait de face et nous ne serion
ces lymphatiques et viennent se mettre eu contact avec les cellules
nerveuses
elles-mêmes. Les hémorrhagies miliaires formées
l'ensemble de son organisme, c'est-à-dire en dehors de son système
nerveux
et cela, pendant tout le cours de sa maladie, c
et dégé- nérescence granulo-graisseuse et pigmentaire des éléments
nerveux
et des artérioles à tunique lymphatique de l'éc
ondaire sur les lésions atrophi- ques et dégénératives des éléments
nerveux
et des capillaires de l'encéphale, qui sont fré
dans l'exsudat, ou bien seulement des dégénérescences des éléments
nerveux
sont ici les lésions préalables. Telle est la p
'on rencontrait souvent dans le tabes des dégénérescences des tubes
nerveux
de l'écorce cérébrale. Ces lésions sont tabétiq
es ner- veuses, les figures de karyokinèse, le contact des éléments
nerveux
avec des exsudations ou des cellules embryonnai
urs est de savoir par quel tissu névro- glie, vaisseaux ou éléments
nerveux
débute le processus mor- bide. On voit de suite
et que son développement croissant en vient à étouffer les éléments
nerveux
et à envahir les vaisseaux. S'il en était ainsi
ossible, que 236 SOCIÉTÉS SAVANTES. les vaisseaux et les éléments
nerveux
sont souvent altérés, alors que la névroglie, à
tout, d'après l'opinion actuelle, sur les vaisseaux et les éléments
nerveux
eux-mêmes que se fixe le processus dès le début
es tascitla7,ites et les formes dégénératives des dégé- nérescenees
nerveuses
primitives. Mais, dans ces dernières formes, j'
é des dégénérescences des vaisseaux analogues à celles des éléments
nerveux
et, par conséquent, il est aussi difficile de c
st aussi difficile de conclure ici que là. On sait que la cellule
nerveuse
est un organe complexe, com- prenant des fibril
pas mon avis. La lésion des méninges précède celle de la substance
nerveuse
. La pacliyméningite,1'arach- noïdo-pie-mérite s
i- vité nucléaire. Les prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
reçoivent des excitations anormales qui expliquen
que le premier rôle revient aux lésions des fibres et des cellules
nerveuses
, engendrées par des substances toxiques dont la
V.1ST11E (de Paris). J'ai examiné, avec M. Vigou- roux, les centres
nerveux
de 42 paralytiques généraux. Les résul- tats de
bres tangentielles et les altérations de degré divers des .cellules
nerveuses
. Ici on ne trouve jamais de dégénérescence des
ation du tissu conjonctivo-vasculaire, et que l'atrophie des fibres
nerveuses
à myéline est due, quand on l'observe, à un pro-
cédents héréditaires de ces enfants n'étaient. pas chargés de tares
nerveuses
. Ces idiots ne semblaient pas être les aboutiss
it encore 30 centimètres en moins. De la lumière en thérapeutique
nerveuse
. M. Foviîau DE Courmelles (Paris). Des recherch
mante, sous laforme de lampes à incandescence éclairant les centres
nerveux
et combinée à la dou- che statique par le trait
ines névralgies. Il existe donc actuellement, dans la thérapeutique
nerveuse
, un grand nombre de faits d'utilisation de la l
eux agissent sur la circulation, sur la nutrition et sur le système
nerveux
. Les AHCmn.s, 2° série, t. aVI. 17 258 SOCIÉT
ntissent au con- traire la nutrition. En ce qui concerne le système
nerveux
, les rayons blancs et rouges favorisent la guér
eux exercent des actions très diverses dans les maladies du système
nerveux
; on peut employer utilement, tantôt leur actio
urces d'une utilité in- contestable pour le traitement des maladies
nerveuses
. Les rayons lumineux s'emmagasinent dans l'orga
elles peuvent aussi intervenir (hyperesthésie affective, dépression
nerveuse
, sur- menage physique et intellectuel, chagrins
suit exactement la même distribution géographique que les maladies
nerveuses
en général. Sur le traitement sérothérapique du
iation de ce tonus-fait maintenant partie de l'exa- men des malades
nerveux
et pourtant nous n'avons pas de moyens de mesur
à la Faculté de Lyon. De très nombreuses observations de troubles
nerveux
, en relation avec'les maladies du nez, ont été pu
persistant du tissu adénoïdien resté dans la caverne. Les symptômes
nerveux
réapparurent et guérirent par une seconde adéno
cées chez une faible d'esprit congénitale ou par lésion des centres
nerveux
dans la première enfance. Agitation incessante :
ns réflexes : directement, par action vaso- motrice sur les centres
nerveux
, action réflexe démontrée expén- mentalement ;
7 1) SOCIÉTÉS SAVANTES. rasthéniques, a son origine dans le système
nerveux
central, non dans le muscle. Il y dans ce fait
avoir passé en revue les diverses théories de l'6rythro- mélalgie (
nerveuse
, médullaire, cérébrale, névropathique) et tout
VURPAS. Nous avons eu l'occasion d'exa- miner en détail le système
nerveux
de quatre anencéphales. Deux étaient nés morts
ons nous permettent de penser que le bulbe est la partie du système
nerveux
nécessaire et suffisante pour satisfaire aux ac
autrement, puisque la vie végétative régit la nutrition des centres
nerveux
supérieurs comme celle de tous les autres systè
roubles vaso-moteurs et trophi- ques dus à l'altération des centres
nerveux
. Cet oedème précoce montre une défaillance inte
et oedème précoce montre une défaillance intermittente du sys- tème
nerveux
et traduit l'action de l'infection sur les centre
ance dynamogénique ne doit pas être seulement réservée aux maladies
nerveuses
et mentales; elle a sa place dans le traitement
Prix : 3 lr. 50. Raymond. (F.). Leçons sur les maladies du système
nerveux
(1900- 1901). 1 vol. in-8- de ti0 pages. Librai
xamen médico-légal. L'expert lui recon- naît une impressionnabilité
nerveuse
tout à fait particulière, aug- mentée encore pa
édecin au aWestEnd Hospital, Loudon o, », hôpital pour les maladies
nerveuses
, l'épilepsie et la paralysie. Médecin à la Colo
ement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales et
nerveuses
. (Rapport présenté par M. le 1), TRI,.iEL, médeci
ques, quels centres entrent en jeu dans ces phénomènes d'excitation
nerveuse
, ni à plus forte raison quels troubles phy- sic
on anormale du besoin de sommeil, d'où résulte un état d'exhaustion
nerveuse
qui peut être grave; 2° les malades dorment un
ement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales et
nerveuses
, c'est demander presque, de résoudre celle du t
quels nos moyens thérapeutiques puissent agir. Pour les maladies
nerveuses
, au contraire, ce n'est qu'un chapitre important
ire), en partant de la dose de 2 grammes. Il n'est pas de maladie
nerveuse
ou mentale où les sulfones n'aient été employés
chement s'en abstenir, du moins en injection sous-cutanée, chez les
nerveux
quels qu'ils soient et les aliénés curables. Peut
s succédanés utilisables, mais leur emploi en médecine mentale et
nerveuse
, hors les faits de substitution à la morphine, es
ticiables et il faudrait énumérer toutes les affections mentales et
nerveuses
pour exposer les cas SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 o
, surtout chez les neurasthéniques, les hystériques, dans les états
nerveux
des adolescents, nous devons citer le bromure de
u encore mieux à la favoriser. Il importe donc de rejeter, chez les
nerveux
simples, les neurasthéniques et les hysté- riqu
chaleur agit directement comme énergie excita- trice sur le système
nerveux
et produit rapidement une vaso-dila- tation con
enveloppante. Dans les parties détruites, il n'y a plus ni cellules
nerveuses
, ni fibres nerveuses. On y rencontre en abondan
s parties détruites, il n'y a plus ni cellules nerveuses, ni fibres
nerveuses
. On y rencontre en abondance des vaisseaux san-
l depuis leur noyau d'ori- gine réelle jusqu'à leur sortie de l'axe
nerveux
. On pourra ainsi : 1° établir les masses grises
l est formé exclusivement de fibres directes. Le faisceau de fibres
nerveuses
que la plupart des auteurs considèrent comme re
lles). Il est généralement admis que, dans la conduction du courant
nerveux
, les prolongements dendritiques du neurone joue
uent l'appareil de dis- tribution du courant. Le passage du courant
nerveux
s'opère par le contact entre les dendrites d'un
axiles d'un neurone voisin. Or, l'étude de l'anatomie de la cellule
nerveuse
nous permet d'affirmer que, dans la majorité des
firmer que, dans la majorité des cas, le contact entre les cellules
nerveuses
est assuré à l'aide d'ap- pareils terminaux app
. ainsi que c'est là un mode général de terminaison des dendriles
nerveuses
. D'un autre côté, l'éminent histologique espagnol
al a décrit depuis longtemps que les fines arborisations des fibres
nerveuses
dans la moelle épinière. l'écorce cérébrale et cé
t avec les dendrites. , · En résumé, les deux pôles de la cellule
nerveuse
portent des ter- minaisons épaissies, dont le c
minaisons épaissies, dont le contact assure le passage du courant
nerveux
, exactement comme cela se passe dans les machines
gie superficielle ne préjuge en rien sur la vraie nature du courant
nerveux
, mais en revanche elle permet de nous placer su
our comprendre aussi bien la distribution indépendante du courant
nerveux
suivant les voies préétablies, que la variation d
appareils terminaux puissent ouvrir ou fermer le passage au courant
nerveux
dans une direction déterminée. Cette communic
diverses indispensables au maintien de l'action normale du système
nerveux
ou qu'il détruit, par un mécanisme encore incon
lation circulant dans le sang et empoisonnant ainsi nos cellules
nerveuses
. En tout cas, l'absence ou la mauvaise qualité de
eure lixe. Je citerai le fait d'une jeune fille atteinte d'une toux
nerveuse
, véritable rugisse- ment continu, commençant à
e un cheval qui se cabre toujours au même endroit. Les vomissements
nerveux
qui viennent régulièrement après cha- que repas
pour laquelle on avait réclamé la gastro-entérostomie. C'était une
nerveuse
, souvent dyspeptique, maltraitée par un mari iv
ements de la grossesse sont d'origine réflexes. Mais chez certaines
nerveuses
, ces vomissements, après une cer- taine durée,
ce qu'une bonne suggestion, bien faite, ait déraciné cette habitude
nerveuse
. Le fait est que j'ai souvent guéri des vomisse
ujet qui est habitué à avoir une douleur ou une autre manifestation
nerveuse
à une certaine heure de la nuit peut, pendant s
ns qu'il soit nécessaire de faire intervenir l'influence du système
nerveux
. Les recherches physiologiques de ces dernières
l'auteur a constaté, dans le bout périphérique non réuni, des tubes
nerveux
complets ne différant des tubes nor- maux que p
e a montré les lésions suivantes : Un très grand nombre de cellules
nerveuses
sont altérées, parti- culièrement dans les circ
matisme, surmenage, infection. Des lésions marquées des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale ont été constatées. Fréqu
par les auteurs présentaient des ano- malies psychiques : caractère
nerveux
, émotif au point que l'un des chevaux tombe sou
celle-ci, d'une intelligence peu développée, présenta des troubles
nerveux
dès l'époque de la puberté ; aboulique, inquièt
une syphilis héréditaire ; les auteurs recherchent si les troubles
nerveux
et mentaux ne peuvent être rattachés à la même
contestables, ils admettent des fésions syphi- litiques des centres
nerveux
et indiquent comment les troubles psy- chasténi
emaines, les malades reprenent leurs forces, l'équilibre du système
nerveux
se rétablit, les malades peu- vent alors quitte
bon résultat qu'au moyen de l'hypnose profonde. Moins le malade est
nerveux
, plus il s'endort facilement. Le D1' Wetterstra
seë;/t<- ? 7 : <Ai ? Me. M. Paul Faiez (Paris). En pathologie
nerveuse
ou mentale, de nombreux cas paraissent justicia
SAVANTES. térie, en aggravant l'état d'engourdissement des centres
nerveux
, caractéristique de la névrose. L'hystérie peut
lus grande circonspection quand il s'agit chez elle d'accidents non
nerveux
et douloureux qui en réclament habituellement l
vue d'un objet et de ses marques particulières excite un cou- rant
nerveux
sur quelques fibrilles optiques, et ces courants
et ces courants arri- vent dans un nombre correspondant de cellules
nerveuses
du lobe ' Nous avons signalé bien des fois, apr
ui aura lieu dans l'écorce ? En tàtant, un grand nombre de cellules
nerveuses
dans la circonvolution centrale est mis en acti
çais et étrangers parus sur l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, sur la psychologie proprement' dite, tant anim
matin une impossibilité complète «l'uriner). A section des maladies
nerveuses
à l'hôpital militaire de Kief. (2li-cit. de Neu
gt ans, entre fin novembre 1902 à l'asile de Maréville. Fille d'une
nerveuse
(pro- bablement aliénée), nièce d'une aliénée,
ée par une couche de noyaux couchés ovoïdes. On ne voit nulle fibre
nerveuse
. Cet arrêt de développe- ment cérébral est anté
es omanes sensoriels de la peau est indépendant de celui du système
nerveux
correspondant. 1'. KlR ? VAL. XX. L'examen, à l
diffus : ils ne doivent pas présenter de granulations. Les cellules
nerveuses
sont invisibles ou très faiblement colorées en
endritiques. Les expansions terminales péri- cellulaires des fibres
nerveuses
restent d'ordinaire incolores, bien que, dans l
De la brachybiotie congénitale de, certaines parties du sys- tème
nerveux
, parADLEK. (NeU ? '010,q. Cecatralbl. XX, 1901).
a démence juvénile. Mais ces formes précoces de la dégénérescence
nerveuse
si caractérisées par l'hénédoatoxte cérébelleuse,
x et de la valeur diagnos- tique de ce symptôme dans les affections
nerveuses
, par V. de l3ECnrEnEw. (Neurolog. Centralbl. XX
ui avait comprimé le tiers supérieur de l'olive et détruit le tissu
nerveux
en arrière de celle-ci (ligures). L'analyse mon
· rieur était conservé. P. Keraval. a1\II. Coloration du système
nerveux
à l'aide du rouge Magenta, par l'. ZosIN. (Neur
-brun, le tissu scléreux et la névroglie rouge-violet; les cellules
nerveuses
sont rouges. La coloration est plus nette que d
myélinique irrégulièrement distri- buée de la substance blanche du
nerveux
central. Les cellules de la moelle et du cervea
ils éclairciront certainement le diagnostic de plusieurs affections
nerveuses
dans lesquelles s'observent des phénomènes ocul
angeant. On ne constatait chez lui aucun autre symptôme de troubles
nerveux
sauf la névrite optique. R. de Musguave-Clay.
e-Clay. XLI. Sur les rapports des lésions locales avec les troubles
nerveux
et en particulier avec la neurasthénie, par Fré
pas plus satisfaisant si l'on se préoccupe exclusivement de l'état
nerveux
sans soigner simultanément les causes accessibles
par les échanges nutritifs agissant non seule- ment sur le système
nerveux
, mais sur les muscles striés. La réaction muscu
donné la conviction que la surdité avait son origine dans le tissu
nerveux
. Nous résumons ici les remarques que ce fait su
i-cellulaire intimement associé au reticulum semblable des cellules
nerveuses
voisines. Cette disposition figure très bien un
n de ce mouvement, de même l'impression pro- duite sur la substance
nerveuse
vivante au cours de la production de l'image, f
cipes de l'hygiène, les soms à donner aux malades, aux blessés, aux
nerveux
et aux aliénés. Les élèves sont en outre astrei
médical l'ataxie, jusqu'alors confondue dans Ig chaos des maladies
nerveuses
, reconnut, à leur démarche, une série d'ataxiqu
ts, il ne faut pas l'oublier, à une époque où le champ des maladies
nerveuses
s'est trouvé comme fertilisé par les excès d'un
l de certaines affections, particulièrement fréquentes du système
nerveux
, vous me permettrez, pour répondre à votre invita
e la Salpêtrière, fut entraîné vers l'étude d'une série de maladies
nerveuses
, caractérisées par des lésions d'apparence irré
un nouveau cycle de conférences libres sur les maladies du système
nerveux
, il faisait remarquer que son enseignement étai
ploi des eaux de Lamalou dans le traitement de certaines affections
nerveuses
et surtout de l'ataxie locomotrice, maladie à l
i-même de l'in- iluence de ces eaux dans le traitement des maladies
nerveuses
et plus particulièrement de l'ataxie locomotric
traitement de l'ataxie locomotrice et d'autres maladies du système
nerveux
, tributaires de vos eaux. Messieurs, j'avais pr
decins du siècle dernier, du savant dont les travaux sur le système
nerveux
, ont une si haute portée philosophique de l'hom
de Charcot dans le domaine jusque là mysté- rieux de ces désordres
nerveux
, dont la pathologie avait à peine tenté d'abord
Vol. XVI. Décembre 1903. N" 96. ARCHIVES DR NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
Hémisection traumatique de la moelle ; (Syndr
ervées à la. AItClll\'H5, ` ? ^ série, t. a\'l. HO 466 pathologie
nerveuse
. perception de la douleur se croiseraient. Bris
aitées par les techniques habituellement employées par le système
nerveux
central. A. Coupes uzt niveau du foyer principa
quel aucune technique ne permet de déceler la présence d'un élément
nerveux
quelconque, cellule oil fibre. Ce tissu est con
nctifs adultes. La plupart de ces faisceaux'-sbn't 470 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. placés parallèlement les uns aux autres et pre
le tissu de sc'érose Fig 39. - Foyer de myélite. 472 - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. une sclérose qui. au lieu d'être conjonctive c
aux tuniques, externe et moyenne. Dans cette région, la substance
nerveuse
n'a pas complètement disparu. Ainsi, sur toute
érie de la préparation, en avant et en arrière, se voient des tubes
nerveux
formant de petits îlots qui s'enfoncent plus ou
ou moins profondément à travers la sclérose iiévro-lique. Ces tubes
nerveux
sont intacts, ils ont des gaines de myéline suf
ore quelques fascicules radiculaires plus ou moins riches en fibres
nerveuses
. Tous ces caractères histologiques (sclérose su
à droite que par quelques fascicules petits et peu riches en tubes
nerveux
; à gauche, au cent ! aire, elles forment à la
ar un tissu névroglique contenant encore un certain nombre de tubes
nerveux
. Les faisceaux conjoncttfs de cette sclé- rose
ulaires rencontrés dans les coupes précédentes. Les îlots des tubes
nerveux
conservés sont plus nom- breux. sur toute la pé
à travers le tissu de la corne antérieure : à ce niveau, les tubes
nerveux
sont très clairsemés, après coloration par la mét
dons postérieurs et les racines adjacentes se remplissent de libres
nerveuses
, eu même temps que les méninges redeviennent à
contiennent encore quelques nodules inflammatoires 474 r PATHOLOGIE
NERVEUSE
disséminés çà et là ; par contre les cornes de
roglique appréciable, elles sont simplement entourées par les tubes
nerveux
plus ou moins enroulés et refoulés; les petites
s points de vue. Les cordons postérieurs sont bien garnis de libres
nerveuses
. Les cordons antéro-iatéraux continuent à être
térieures présentent encore beau- coup de fascicules vides de tubes
nerveux
. E. Coupes au niveau de la 3 dorsale. La moelle
ière ne déterminent pas de myélite suppurée. La résistance du tissu
nerveux
à la suppuration est une sorte de privilège que
z long. Des expériences de B. Sequard nous rendent 176 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. compte' de ces phénomènes. Elles ont montré qu
lus curieux à signaler, est incontestablement la tolérance du tissu
nerveux
pour le corps étranger implanté dans sa substan
atologie complexe de la phase terminale qui est venu 478 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. altérer la pureté du syndrome de Brown-Séquard
on l'est malade, mais on ne le croit pas. La force physique, l'état
nerveux
; l'être n'a pas d'autre chose que l'acte chimiqu
ajorité des cas d'hallucinations unilatérales). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXIX. Hématome de la dure-mère cérébrale (Pach
intestinale. Cette conception de la narcolepsie REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. bit comme syndrome d'origine auto-toxique est
des muscles cervico-thoraciques supérieurs. 5t2 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Voix bacce, étouffée, inintelligible; respirat
ette association a son uti- lité. La section ouverte s'applique aux
nerveux
, aux modalités moyennes intermédiaires aux psyc
x modalités moyennes intermédiaires aux psychoses et aux affections
nerveuses
, aux aliénés guéris et aux aliénés au début de
e place- ment dans l'établissement ouvert. La clinique mentale et
nerveuse
de St-Pétersbourg réunit sous le même toit, sou
quelques nevropathies et les formes mixtes de maladies mentales et
nerveuses
telles que : démence organique, et aussi quelqu
te d'une chute grave le 28 juillet 1903. Il fut atteint de troubles
nerveux
multiples qui semblaient d'abord se rapporter à
tion épileptoïde bilatérale mit sur la voie des lésions des centres
nerveux
. On constate alors le syn- drome cérébelleux de
notions en cours sur la structure et le fonctionnement des organes
nerveux
. M. DURANTP présente les pièces d'un cas de sec
tées à divers auteurs et tendant à infirmer la notion de la cellule
nerveuse
considérée comme centre trophique de la fibre n
la cellule nerveuse considérée comme centre trophique de la fibre
nerveuse
correspondante et l'unité cellulaire du neurone.
e à fonctionner et à se nourrir si elle est atteinte par le courant
nerveux
général. Le cylindraxe ne serait pas un produit
rveux général. Le cylindraxe ne serait pas un produit de la cellule
nerveuse
, et le nerf périphérique ne serait pas issu par
uestions de t'hé- rédité pathologique dans les maladies mentales et
nerveuses
sont étudiées le mieux par les savants français
des causes des maladies mentales. Selon M. Déjérine, les affections
nerveuses
sont toujours hérédi- taires. Le célèbre More)
ôté du père et du côté de la mère. On sait que, selon Clrarcot, les
nerveux
se recherchent. Notre cher conlrère, M. Legrain
l a prononcées mardi à l'amphi- théâtre de la Clinique des maladies
nerveuses
, à la Salpêtrière : Messieurs. Un événement d
d'autres points de l'histologie normale et pathologique du système
nerveux
. Tous, vous avez présentes à la mémoire ses pub
tes aiguës, les Myélites tuberculeuses, la Sarcomatose du sys- teme
nerveux
, les Lésions cérébrales dans la sclérose en plaqu
été chargé, avec M. Gombault, de l'anatomie pathologique du système
nerveux
. Tel est l'énorme la- beur scientifique qu'il a
0y5 mentales. Voir Lobes pré- frortlaux. Friedreich. Voir Maladie
nerveuse
. Ganglions sympathiques. Voir < ? 0t. GIES
, 535. Golgi. Sur le réseau endocellulaire de - dans les éléments
nerveux
en général et dans les cellules nerveuses des
de - dans les éléments nerveux en général et dans les cellules
nerveuses
des ganglions sympa- thiques en particulier, pa
on de la Maison nationale de Charenton, 383. Leçons. Voir Maladie
nerveuse
. LETHARGIE. D'une sorte de des processus de c
eich. par Leno- hle el Aulrineau, 08. Leçons sur les - du système
nerveux
, par Ra\mond, 185. - des Tics. Voir Tics. M
tremeutdela pression sanguine e par Strauss, 27. - voit, Troubles
nerveux
. F ROI 11111011%rOSF. La - par Cestan, 17 i.
'évolution et la constitution de la vie mentale, par Pion, 277. -
nerveux
, voir Il'alle ? Organisme. Voir Hystérie. Ort
eux et de la valeur diagnostic de ce symptôme dans les affections
nerveuses
, par de Bechtrrew, 430. Le - Iri- gémino-faci
élie, par Kienbneck, 125. Bouge DE Magenta. Coloration du système
nerveux
par le -, par zozl ! ll, 135. Saturnisme. Voi
SLtOi091e La- suggestive en ophihalinologie, par Leprince, 1S3. -
nerveuse
. Voir Lumière. Thymus. Voir Goitre. f'1111t
ion en coins s sur la structme et le fonctionne- ment des organes
nerveux
, par Durante, 530, WESTpmL. Voir Réflexes.
E DE LA /O \ SALPÊTRIÈRE \ CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
FONDÉE PAR LE PROFESSEUR CHARCOT (DE L'instit
re au point de vue des manifestations de la syphilis sur le système
nerveux
et nous permettront d'exposer l'enseignement de
omme son état phy- sique est tout à fait déprimé. Etat du système
nerveux
. Femme pâle, amaigrie, très affaiblie, elle repos
f de clinique des maladies Chef de clinique des maladies du système
nerveux
. cutanées et syphilitiques. DEUX CAS DE MYOPATH
on, Progr. méd., 1 mars 1885) et Leçons sur les maladies du système
nerveux
, tome III. (2) Pierre Marie et Georges Guinon.
'on (1) Voir à ce sujet : Charcot, Clinique des maladies du système
nerveux
; leçons du pro- fesseur, mémoires, notes et ob
osition sociale élevée. Père de tempérament pblegmatique, sans tare
nerveuse
personnelle ni du côté des siens. Le premier
que un peu grêle et pâle ; mais il avait conservé son tempéramment
nerveux
et irascible, ses bizarreries d'allure et d'esp
elle, dont la résolution spontanée devait amener celle des troubles
nerveux
produits par elle L'hypothèse de l'hysléro-trauma
est tout naturel qu'une affection organique ou dynamique du système
nerveux
, qu'un état patho- logique préexistant, quel qu
10 ans. Examinée le 28 octobre 1891. Antécédents héréditaires. Mère
nerveuse
sans maladie déterminée. Père alcoolique. Dans
dépendre soit de l'hystérie, soit de lésions organiques des centres
nerveux
ou de lésions des nerfs périphériques. En ce qu
nerfs périphériques. En ce qui concerne les contractures d'origine
nerveuse
organique, si l'on met à part les contractures
es affections chirurgica- les ou les maladies organiques du système
nerveux
. Il faut donc les analy- ser à fond pour les ap
à motilité et de la sen- sibilité ; pas de pleurs faciles, de rires
nerveux
ni d'attaques convulsives... (1) P. RICHER, op.
étudiés. Les contractures sont en effet le type de ces « affections
nerveuses
locales » si bien décrites par l'auteur anglais
quand elles existent seules, à des lésions orga- niques des centres
nerveux
. Encore faut-il en être prévenu pour ne pas se
scle soit flaccide ou raide suivant la réaction spéciale du système
nerveux
. Mais la pathologie a des exigences plus sévère
es hystériques, pendant laquelle se développe l'in- fluence du choc
nerveux
initial. - C'est surtout la considération des car
t 9. 42 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. gnée des centres
nerveux
, tel que la section du tendon d'Achille. On peut
1892. Antécédents héréditaires . - A peu près nuls au point de vue
nerveux
. Antécédents personnels. Aucune maladie antérie
. Antécédents héréditaires. Rien de spécial à noter au point de vue
nerveux
du côté des grands parents, des parents ou des
nels. Pas de convulsions dans la première enfance, mais tempérament
nerveux
. Rougeole il ans 1/2. Coqueluche il 4 ans. Opér
idal, tandis qu'au même niveau le trajet est direct pour les libres
nerveuses
du facial ou du nerf oculo-moteur commun. Il es
s qui permettent aujourd'hui d'affirmer un diagnostic en pathologie
nerveuse
. Mais ce qui n'est pas moins surprenant, c'est
limite peut être poussée la simulation par l'hystérie des maladies
nerveuses
à foyer circonscrit et quels soins il faut appo
l'électrolyse, il faut songer que l'électrolyse doit exciter le tissu
nerveux
comme agent chimique. Que de fois j'ai vu des c
orte que je dois traiter mainte- nant. La faradisation de ce plexus
nerveux
est indiquée dans l'hyperémie des viscères, not
spect terne et mat, ayant perdu l'apparence translucide d'un cordon
nerveux
normal, enfin impossible à isoler de sa gaine c
à la suite de 70 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lésions
nerveuses
traumatiques sont aujourd'hui bien connus ; ils s
e l'on observe dans les troubles trophiques consécutifs aux lésions
nerveuses
; quelquefois c'est un zona, avec de belles vésic
qui présen- tait une éruption pemphigoïde consécutive à une lésion
nerveuse
. Les trou- bles trophiques ont apparu tardiveme
y a plaie ou cicatrice de plaie, et dans le voisinage des troubles
nerveux
trophiques, le diagnostic s'impose. Mais il est
érieur, mais non localisés, et dus à des lésions centrales du système
nerveux
, lésions qui ressortiraient à trois maladies bi
les lésions ul- cératives se produisent dans la sphère d'une plaie
nerveuse
bien et dûment constatée. Mais il n'est pas rar
bles de la sensibilité sont généralement distribués par territoires
nerveux
, tandis que, dans les maladies centrales comme
oir ce que l'on fait, et ne pas être gêné parle sang dans la suture
nerveuse
. Après l'incision verticale des téguments suiva
enflements sont réséqués, ainsi qu'une tranche suffisante de cordon
nerveux
, de manière à suturer des tissus sains ; une dern
forme un véritable cadre qui rapproche les deux extrémités du tronc
nerveux
et les main- tient déjà sensiblement en contact
seulement d'une cicatrice fibreuse ayant amené l'atrophie des tubes
nerveux
, mais qu'il y avait eu production d'un véritable
vait eu production d'un véritable névrome par néoformation de tubes
nerveux
. Ceux-ci présentaient une disposition enchevêtr
'est suicidé. Soeur alcoolique, morte de néphrite. Pas d'autres cas
nerveux
dans la famille. , Antécédents personnels. Céli
petite, cheveux châtains, yeux gris, a toujours eu un tempéra- ment
nerveux
et une intelligence peu développée. Les bras, s
Antécédents héréditaires. Il n'y a pas eu dans sa famille d'autres
nerveux
qu'un frère mort à 60 ans d'hémiplégie droite.
QUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système
nerveux
(t) En présence de statistiques imposantes, il
façon de certains poisons, il agisse avec élection dans les centres
nerveux
sur tel système dif- érencié, en n'intéressant
se, et non un fil conducteur dans l'étude de la syphilis du système
nerveux
. En attendant que les résultats des recherches
sible, les relations qui existent entre la syphilis et les maladies
nerveuses
. En conformité avec ce que l'on observe dans le
ui revient en propre aux lésions anatomiques dans les complications
nerveuses
de la syphilis. Plus récemment en France, les pub
comme dans les autres organes, des altérations secondaires du tissu
nerveux
et des réactions irritatives interstitielles qu
moelle à ce niveau ; mais il n'existe pas de lé- sions des éléments
nerveux
. La coloration d'un certain nombre de coupes par
n forme de triangles très allongés à base périphérique. Les tubes
nerveux
ne sont pas lésés toutefois ; pas de corps granul
se colore vivement par le carmin et l'hématoxyline. Les cellules
nerveuses
des cornes antérieures sont toutes dans un état d
ns la gly- cérine. Ils sont en nombre modéré, situés en plein tissu
nerveux
: on n'en voit pas de semblable dans les gaînes
radiculaires qui en partent. Dans la substance blanche les lésions
nerveuses
sont réparties d'une façon très singulière. Ell
. 1, B, B' B"). Chacun de ce groupe est composé de 20, 30, 40 tubes
nerveux
en voie de destruction. Les moins avancés ont s
sale (Pl. citée, lig. 6). On reconnaît la les altérations des tubes
nerveux
décrites dans un grand nombre de myélites aiguë
s cordons postérieurs, au niveau de la 2e racine dorsale, les tubes
nerveux
sont détruits suivant un mode tout diffé- rent
es con- jonctives qu'elles suivent le plus ordinairement. Les tubes
nerveux
sont com- plètement détruits dans les points où
Petit foyer gommeux intra-médullaire émané de la pie-mère ; le tissu
nerveux
est déruit à ce niveau. Infiltration gommeuse d
tersti- tielles et qui n'ont pas fait irruption au milieu des tubes
nerveux
. Les colorants nucléaires les teintent beaucoup
dans le voisinage de la substance grise, les interstices des tubes
nerveux
sont occupés par une substance colloïde teintée e
s capillaires, mais aussi les intervalles qui séparent les éléments
nerveux
eux-mêmes. Mais nulle part, dans les cordons bl
ans les cor- nes antérieures et dans la commissure grise. Les tubes
nerveux
dans les régions où cette matière colloide s'es
altéra- tions, peu étendues d'ailleurs, que présentent les racines
nerveuses
. Le proces- sus offre ici une analogie complète
celles-ci, parfois irrup- tion de la néoplasie au milieu des tubes
nerveux
, et finalement destruction plus ou moins complè
Pal et la double coloration, à l'aide du carmin d'alun, ces filets
nerveux
se montrent sous la forme d'amas de cellules em
lymphatique d'un vaisseau. B, B', B" - petits territoires de tubes
nerveux
dégénérés. Leur orientation dans le sens des tr
a partie moyenne du renflement cervical, on retrouve quelques tubes
nerveux
à gros cylindre-axe, en voie de dégénération, sem
iquées aux différentes hauteurs ont dé- montré l'intégrité du tissu
nerveux
. Mais les méninges et les vaisseaux offrent la
A suivre.) H. Lanlr, Interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
. DE L'HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQ
sculaire d'origine périphérique (branches terminales du nerf, tronc
nerveux
basilaire et racines pédonculaires) s'accompagne
avec hémispasme facial; récidive. A nes thés ie en plaques, crises
nerveuses
. Augustine 11L.... âgée de 10 ans, se présente
cédents personnels, pas de maladies antérieures, mais tempé- rament
nerveux
et petites crises ( ? ) assez fréquentes. MALAD
énumération indique déjà que ce sont surtout des phénomènes d'ordre
nerveux
, parfaitement imputables à l'hystérie. Nous avons
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. époque, sujette il des crises
nerveuses
( ? ) Bonne santé habituelle. Réglée pour la pr
ngée, de l'ovaralgie ci droite. Ces deux signes rapprochés des crises
nerveuses
d'autrefois fortifient singulièrement le diagno
. Antécédents héréditaires. Rien relever de spécial au point de vue
nerveux
du côté des grands parents ou des parents. An
entes et durables qui simulent les maladies organiques du sys- tème
nerveux
. IL En ce qui louche seulement les maladies org
IR.. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SYRINGOMYÉLIQIJE Dans une récente com
sommaires sur le diagnostic différentiel de la lè- pre systématisée
nerveuse
et de la syringomyélie. I OBSERVATION. Homm
ze mois. La rate reste très volumineuse. Pendant LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 123 cinq à six ans il e
a repoussé normal ; les phalanges se sont un peu LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 123 infléchies. Deux mo
J3ATTAJLLE 12T ^C raz ÉDITEURS r. éDITEURS LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME S YR I NG OM YÉL1 Q UE 127 cuisses, les
ent. Cet ulcère est absolu- ment anestbésique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SYR1NGOVLYÉLIQUE 129 Pied gauche (fig.
te la jambe et tout le pied sont Fig. J et 10. LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 131 absolument insensib
solument négative. (1) Séance du 23 août 1802. LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 133 Le procédé de Kalin
uccès. Nous résolûmes alors de faire l'examen bacillaire d'un filet
nerveux
; si les troubles trophiques n'étaient que le r
eux ; si les troubles trophiques n'étaient que le reflet de lésions
nerveuses
c'était, en dernière analyse, celles-ci qu'il f
de l'innocuité que présentait pour lui l'excision d'un petit filet
nerveux
dans une zone in- sensible, nous avons réséqué
éléments cellulaires ; ils sont libres, situés entre les fibrilles
nerveuses
, isolés ou le plus souvent groupés en amas irré
n chapelet. Nous n'avons trouvé ces bacilles que dans les faisceaux
nerveux
; l'épi- 134 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
ique de Renaut. A l'examen microscopique comparé à celui d'un filet
nerveux
super- ficiel de l'avant-bras tout à fait norma
es sont manifestement hypertrophiées. Dans l'intimité des faisceaux
nerveux
, le tissu conjonctif s'est en grande partie sub
ltrées de cellules jeunes et dissocie, en quelque sorte, les fibres
nerveuses
qui ont survécu. La plupart de ces libres ne so
lles que nous avons rencontrés en grand nombre au milieu des fibres
nerveuses
ayant bien les apparences morphologiques et les
lleurs confirmé ce diagnostic bactériologique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SYRIYG0111YÉLIQUE 135 III ' Le malade
y a de l'analgésie. Les sensa- Fig. 13 et Il. LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SIRINGU1111ELIQUE 137 tions thermiques
de la face, de la dis- (1) Thibierge. Un cas de lèpre systématisée
nerveuse
avec troubles sensitifs se rappro- chant de ceu
Soc. méd. des hôp., 13 mars 1891. (2) Chauffard. Lèpre systématisée
nerveuse
simulant la syringomyélie. Soc. méd. des hop.,
d Glenilo. Urinary diseases, janvier 1890, p. 1. LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SYXINGOMYÉLIQUE '139 2 ans et au Sénéga
isaient défaut notamment dans les trois cas do lèpre systémati- sée
nerveuse
que nous étudions, mais elles manquent aussi dans
stance des nerfs cu- bitaux d'un syringomyélique vrai dont un filet
nerveux
superficiel examiné au point de vue bacillaire
illes. Ainsi donc les nerfs cubitaux peuvent, dans des cas de lèpre
nerveuse
bien avérés, être indemnes de toute nodosité.
de Bordeaux, 1891. (2) Raichline, loc. cil, LÈPRE SYSTÉMATISÉE
NERVEUSE
A FORME SYRING01111'ÉLIQUE 'Ht notre cas elles
atique peut se montrer en dehors des maladies organiques du système
nerveux
auxquelles elle est ordinairement liée. Il semb
nt donc pour attribuer au côté paternel l'hérédité ar- thritique et
nerveuse
qu'a subie le malade. Antécédents personnels. -
ont disparu en 1889 depuis sa première saison de la Bourboule. Toux
nerveuse
surtout le soir qui vint et disparut avec les tro
nt (2). - P. Londe Interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
. (1) Bacakakis, Thèse de Paris, 1883. (2) « B
QUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système
nerveux
(Suite) (I). En résumé, un homme de 50 ans, syp
tion satisfaisante à l'autopsie ni dans l'envahissement des centres
nerveux
supérieurs, ni dans une thrombose ou embolie d'or
Par endroits celles-ci font irrup- tion au sein même des faisceaux
nerveux
, et les fibres, comprimées, refou- lées, sont d
n lepl us attentif ne fait découvrir rien autre chose que des tubes
nerveux
dans leur premier stade de destruc- tion : d'én
de simples trous à l'emporte-pièce représentant la place d'un tube
nerveux
disparu. A peine le tissu névroglique ambiant a
es territoires dégénérés, il n'y a pas trace. Ajoutons que le tissu
nerveux
clans leur intervalle, est par- failemenl. norm
otablement. On est autorisé il en conclure que d'une part les tubes
nerveux
ne sont altérés que sur une faible étendue de leu
s méningées et vasculaires, de l'autre des altérations des éléments
nerveux
dans les deux substances de la moelle. Pour une
grise, en apparence indépendantes des lésions méningées. Les tubes
nerveux
qui ont subi une dégénération primitive sont gr
ui envahissent par places le tissu adjacent en détruisant les tubes
nerveux
plus ou moinspro- fondément. N'est-il pas tout
envahir la substance médullaire, détruire ou comprimer les racines
nerveuses
qui en partent. Ilomolle en 1876 a publié une o
s altérations des veines dans les lésions syphilitiques des centres
nerveux
. Il admet qu'il y a une relation intime entre la
n date occupent les méninges et les vaisseaux et que les élé- ments
nerveux
sont intéressés secondairement, soit par propagat
ce de gaines lymphatiques autour des vaisseaux sanguins des centres
nerveux
pourrait expliquer la fréquence des lésions syp
ue pourrai I s'appliquer au sac lymphatique qui entoure les centres
nerveux
et qui n'est autre que la cavité, arachnoïdienne.
treptocoques : il a observé des altérations primitives des éléments
nerveux
, sans participa- tion aucune des méninges ni de
èle de la région sacro-coccygienne. Autopsie. - Du côté des centres
nerveux
, pas d'altérations macroscopiques importantes.
quent le trajet. La névroglie a proliféré abondamment; les cellules
nerveuses
sont atrophiées. Les lésions des cordons blancs
nappes de sclérose conjonctive vraie. La destruction des éléments
nerveux
est complète, surtout dans la partie cen- trale
cen- trale des cordons postérieurs. Il ne persiste pas un seul tube
nerveux
recon- naissante. Des corps granuleux cellulair
commissure grise. Dans cette partie, on voit encore quelques tubes
nerveux
en voie de destruction. La sclérose n'a plus l'
ancienne, et sans doute la conservation d'un grand nombre de. tubes
nerveux
empêche les fibrilles névrogliques de se groupe
est développé autour d'un vaisseau. Il n'existe plus un seul tube
nerveux
dans cette partie. Dans toutes les racines d'ai
traitées par la double coloration, on ne distingue plus d'éléments
nerveux
. La pie-mère adjacente est très infiltrée par les
le périnèvre, des champs de scléro- se au niveau desquels les tubes
nerveux
ont disparu. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQ
int. Quant t au reste de la racine, il n'a pas souffert ; les tubes
nerveux
sont au contact les uns des autres, présentent
t intimement soudées à la moelle à ce niveau, englobant les racines
nerveuses
atrophiées. Le cordon latéral correspondant était
e siège d'une sclérose très avancée, au point que tous les éléments
nerveux
avaient dis- paru. Les auteurs font remarquer à
qu'il est rare de voir une destruction aussi complète des éléments
nerveux
dans les autres variétés de sclérose médullaire
) CHANCIT et GOMIIAULT. Sur un cas de lésions disséminées des centres
nerveux
chez une femme syphilitique, Archives de physio
e à la nature syphilitique des lésions rencontrées dans les centres
nerveux
de leur malade. (A suivre.) II. Lancr, Inte
uivre.) II. Lancr, Interne de la clinique des maladies du système
nerveux
. Le gérant : Louis BATTAII.1,E. Imp. Vve LOUR
ose. C'est chose remarquable qne la grande fré- quence des maladies
nerveuses
dans la race juive. Chez elle, qu'il s'agisse d
QUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système
nerveux
(Suite) (1). Les lésions méningées de la syphil
a syphilis peuvent se limiter aux enveloppes immédiates des centres
nerveux
, aussi bien dans la moelle que dans le cerveau,
ien de particulier dans les antécédents héréditaires. Pas d'accidents
nerveux
dans l'enfance. Mariée do bonne heure, elle a e
un épaississement fibreux manifeste, avec adhérence intime au tissu
nerveux
sous-jacent, notamment dans l'espace inter- péd
à la face antérieure de la pyramide droite : la consistance du tissu
nerveux
est manifestement diminuée en ce point. La lési
be. On ne saurait en détacher les ménin- ges, sans enlever le tissu
nerveux
sous-jacent. Les origines des nerfs crâniens, à
si dire, couverte de corps granuleux, disséminés entre les éléments
nerveux
qui persistent ou situés dans la gaîne lymphati
semble devoir sa grande fragilité dans cette région. Les fibres^
nerveuses
sont gravement-lésées, presque toutes en voie de
des vaisseaux à parois hypertrophiées, sans aucune trace de filets
nerveux
. D'autres montrent des tubes rares et altérés.
breuses, très épaissies sont étroitement adhérentes il la substance
nerveuse
. La pyramide correspondante est dégénérée, et l'o
Cepen- dant, dans la moitié gauche do toute la région, les cellules
nerveuses
qui com- posent ces noyaux paraissent peu nombr
gion périphérique du nerf est dégénérée ; un grand nombre de fibres
nerveuses
ont disparu. Cette zone marginale présente en out
sseur et les parois des capillaires infiltrées légèrement, le tissu
nerveux
lui-même est nor- mal. Les coupes du nerf oculo
ue l'infiltration cellulaire est un peu plus diffuse ici. Les tubes
nerveux
sont aussi plus raréfiés que dans le chiasma. C
sisse- ment et infiltration du périnèvre; dégénérescence des fibres
nerveuses
de la zone péri- phérique (Méthode de PAL). D
r conséquence la destruction des fibres a la périphérie des cordons
nerveux
en question (voir fig. 26). Une autre particula
nnées. Ajoutons que l'ordre d'enchaînement des différents accidents
nerveux
dans cette longue période, débutant par des cép
1) a l'ait remarquer il ce propos que la syphilis, dans les centres
nerveux
, paraissait suivre fréquemment une marche desce
syphilitique du rectum. Les lésions rencontrées du côté des centres
nerveux
justifient le diagnostic de méningite cérébro-
troubles circulatoires et une nutrition insuffi- sante des éléments
nerveux
. Si l'importance des lésions méningées est géné
vait émis l'opinion que les lésions syphilitiques, dans les centres
nerveux
, suivaient une marche descendante. Il semble que
22 ans. Bonne santé habituelle avant son mariage. Pas d'antécédents
nerveux
personnels ou héréditaires. Se marie en janvier 1
, et que l'apparition d'accidents syphilitiques du côté des centres
nerveux
paraît avoir été déterminée par un traumatisme
Seize ans plus lard, à l'occasion d'un revers de fortune, accidents
nerveux
graves : céphalées nocturnes d'une grande inten
a vie. Mère morte en couches a 34 ans, bien constituée; n'était pas
nerveuse
. Pas d'antécédents nerveux dans la fa- mille, à
a 34 ans, bien constituée; n'était pas nerveuse. Pas d'antécédents
nerveux
dans la fa- mille, à la connaissance du malade.
uë (fièvre typhoïde ? ), sa soeur vit encore ; elle est mariée, pas
nerveuse
, mais mal portante depuis un accouchement diffi
de maladie il proprement par- ler ; mais il eut quelques accidents
nerveux
. A la mort de l'un de ses frères, qu'il apprit
riage de son père) qu'il aimait beaucoup. Il eut une sorte de crise
nerveuse
pendant la cérémonie fti- nèbre ; il voulait se
s du côté de la moelle épinière indiquent la participation du tissu
nerveux
. Toutefois ici, les symptômes cérébraux du débu
Chancre induré en 1886. Cinq ans plus tard (1892) début des accidents
nerveux
par des vertiges accompagnés de vomissements, d
tion de la Salpêtrière au mois de février 1893. Pas d'antécédents
nerveux
héréditaires. Le malade lui-même a fait, à de H
ques maux de tête peu intenses à la même époque, mais pas d'accidents
nerveux
. Il a pris alors des pilules et des médicaments
la première, et elle a été manifestement indépendante des troubles
nerveux
dont il vient d'être question. - ' On conçoit a
ur oculaire commun à gauche, quinte de toux, vomissements d'origine
nerveuse
. Traitement spécifique. Guérison complète en l'
- veuse. Quatre enfants, tous vivants. Il n'y a pas de maladies
nerveuses
dans les collatéraux ou les ascendants ; le gra
observation suivante en fait foi. La encore, la série des accidents
nerveux
est inaugurée par des céphalées d'une grande vi
grave antérieure, et n'a jamais présenté en particulier d'accidents
nerveux
. Il est d'une constitution assez chétive ; et il
re.) H. Lamy, Ancien interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
. SUR UNE ESQUISSE RETROUVÉE DE RUBENS REPRÉSE
Difformes dans l'art qui sont toute une évocation de la pathologie
nerveuse
du passé. Aussi son commerce n'était-il véritab
n ' spécialiste, génial il la vérité dans le domaine des affections
nerveuses
, alors que parmi ses collègues il était déjà cé
du liquide sanguin. J'arrive du reste à ses études sur les maladies
nerveuses
dans lesquelles il a brillé d'un éclat incompar
t, créait à la Salpêtrière l'ensei- gnement des maladies du système
nerveux
. Tout était à faire dans le vieil hospice : une
ire, 3 décembre 1892. JEAN-MARTIN CHARCOT 247 terribles accidents
nerveux
. Établissant les lois physiques du somnambu- li
thologique pour prendre possession de celle des maladies du système
nerveux
qu'on créait pour lui. Rien ne changea du reste d
E Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies , du Système
nerveux
(Suite et fin) (1). I. Paraplégies SYPHILITIQUE
rtériel le ? et n'est- il pas bien établi aujourd'hui en pathologie
nerveuse
que la localisation d'une lésion en régit les m
nêtre dans un accès de fièvre chaude. Il n'y a dans la fa- mille ni
nerveux
( ? ) ni aliénés à la connaissance du malade. L
u antérieurement d'affection grave. Il n'a pas présenté d'accidents
nerveux
dans son enfance ; mais il était sujet à de grand
e de méningite cérébro-spinale, qui a marqué le début des accidents
nerveux
. ' Mentionnons par exemple les paralysies ocula
-jacents. Observation X. Chancre induré 8 ans avant les accidents
nerveux
. Poussée aiguë de ménin- gite cérébro-spinale s
aît assez mal sa famille, et ne saurait dire s'il a des antécédents
nerveux
. Personnellement, il a toujours eu une bonne sa
portée plus haut, dans laquelle les étapes successives des accidents
nerveux
peuvent se résumer ainsi : céphalées spécifique
int de vue. Dans un important travail sur la syphi- lis des centres
nerveux
, Oppenheim (l)a émis cette opinion, très fondée,
l'examen des yeux. Il est inutile de rappeler, parmi les accidents
nerveux
delà syphilis, la fréquence des paralysies oculai
- Dans un récent travail deGajkiewicz(l)sur la syphilis des centres
nerveux
accompagné d'observations personnelles, il est
es, et des engourdissements légers dans les ! 1) Syphilis des centres
nerveux
. Paris; Ballière 1892. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SY
ice de M. le professeur Charcot, salle Prus, n° 2. Pas de maladie
nerveuse
clans la famille à la connaissance du malade. Lui
s syphilitique paraît s'exercer de très bonne heure sur les centres
nerveux
. Sans vouloir émettre autre chose qu'une hypoth
qui précèdent dans certains cas les lésions organiques des centres
nerveux
. Jarisch et Finge n'ont-ils pas signalé une exa
Admettre par exemple que toute altération syphilitique des centres
nerveux
est falalement limitée, circonscrite parce qu'ell
rquer seulement en terminant que la localisation du côté du système
nerveux
des lésions sy- philitiques que nous avons envi
out particulièrement de ceux qui sont prédisposés aux complications
nerveuses
par leur hérédité ou leurs anté- cédents person
e et dans leur répartition les désordres anatomi- ques des éléments
nerveux
. IL Dans une première variété, la lepto-méningo
e point. II. LAMY, Interne de la clinique des maladies du système
nerveux
. LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE ÉTUDE SUR CE
E 279 Aucune lésion viscérale quelconque.. Les lésions du système
nerveux
constituent tous les symptômes : Contracture sp
Observation IV (1). Sigmund S... hystéro-neurastliénique, accidents
nerveux
provoqués par un coup de foudre. Israélite, l
. Tous leurs enfants sont bien portants et aucun n'a eu d'affection
nerveuse
. Sigmund S. est le quatrième enfant : Marié 2 f
tympan normale, et un appareil d'accommodation normal donc surdité
nerveuse
. Le 7 mai 90, l'examen de la sensibilité permet
la sensibilité de réflexe des yeux est liée évidemment à des filets
nerveux
différents des filets qui servent à la division
t à la moitié temporale de la rétine de l'oeil droit par des filets
nerveux
éveillant des sentiments de lumière et en même
tend ci la moitié nasale de la rétine de l'ail droit par des filets
nerveux
conduisant des sensations de lumière et des réfle
de lumière et des réflexes, il la moitié temporale avec des filets
nerveux
donnant seulement des mouvements réflexes. Mê
st insignifiante. L'excitabilité mécani- que des muscles des troncs
nerveux
(phénomène facial) n'est pas aug- mentée. Les r
ces troubles et leur développement dans les affections des centres
nerveux
et des nerfs (Charcot) où se trouvent les lésio
nt morts. Au dire de la malade, il n'y aurait jamais eu do maladies
nerveuses
dans sa famille ni du côté paternel, ni du côté
nt elles-mêmes une conséquence presque inévitable de cette hérédité
nerveuse
, et, si, parmi les Juifs, les désordres nerveux
de cette hérédité nerveuse, et, si, parmi les Juifs, les désordres
nerveux
abondent, il faut reconnaître qu'on rencontre sou
mblable que comme lui, musi- cien, beaucoup d'entre eux étaient des
nerveux
à des degrés divers. Il n'est pas besoin d'aill
, de retrou- ver dans les ancêtres ou les collatéraux des accidents
nerveux
similaires. L'hérédité en neuropathologie revêt
ont dû contribuer pour une large part à l'é- closion des accidents
nerveux
. En somme c'est le chapitre (,Llolociqtie de la
nie, dit Beard, peut ouvrir la porte à toute une série de désordres
nerveux
. « Beaucoup de mélancoliques qui entrent dans les
es voyageurs, par IIenry Meige, 19t, 277, 333. Lèpre systématisée
nerveuse
à forme syrin- gomyélique par Pitres et Sabrage
du nerf médian, VIII. TABLE DES FIGURES Champ visuel dans : lèpre
nerveuse
, 6. contractures réflexes, 47. Juif-Errant à
e la moelle, 4, 5, 15, 16, 17, 18, 19, 26, 27. Pied dans la lèpre
nerveuse
, 7, 8. Pseudo-lzypertropTzie dans la myopathie,
enu à perpétuer la tradition de la Clinique des maladies du système
nerveux
en continuant à offrir la primeur de ses travau
rologistes et des Psychiatres, aux travaux consa- crés aux maladies
nerveuses
sont venus s'ajouter les études de pathologie m
de processus dystrophiques liés à des pertur- bations de l'appareil
nerveux
? Il est d'ailleurs d'usage constant t de décri
lleurs d'usage constant t de décrire dans les « Traités de maladies
nerveuses
» des affec- tions telles que l'acromégalie, le
leurs. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. MALADIE DE FRIEDREICH et HÉRÉDO-ATAXIE CÉR
PAR F. RAYMOND, Professeur de Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. Messieurs, Personne de vous n'est étonné en
irmée la notion d'une prédisposition générale à toutes les maladies
nerveuses
transmises héréditairement; je vous rappelle le
- phithéâtre, il y a déjà dix années (2). Vous le savez, l'hérédité
nerveuse
peut être définie : l'aptitude à faire éclore d
nerveuse peut être définie : l'aptitude à faire éclore des maladies
nerveuses
, conférée à un organisme] vicié dans ses-caract
Hôpitaux. (2) Professeur RAYMOND, Clinique des maladies du système
nerveux
, ! r série, p. Õ20. 6 RAYMOND maladies famili
3 ans d'une affection car- diaque sans avoir présenté de phénomènes
nerveux
. Elle a six frères et soeurs, tous vivants, et
un d'eux n'a jamais été atteint d'une maladie quelconque du système
nerveux
. Les deux soeurs sont mariées et de ses quatre
males. Pas de troubles trophiques; rien à noter au sujet des troncs
nerveux
. Le thorax ne présente rien de particulier à si
ni l'atrophie musculaire, ni l'hypertrophie douloureuse des troncs
nerveux
, ni le signe d'Argyll-Robertson, communément obse
tre les traits es- sentiels de cette nouvelle affection des centres
nerveux
. En 1863, il affir- ma son existence, dans un m
tout simplement, dit P. Ma- rie, l'indice des scléroses des centres
nerveux
réunissant les deux condi- tions suivantes : 9
nues dans l'enfance pendant la période de développement des centres
nerveux
. » C'est ainsi qu'elle a pu être constatée dans
une dégénérescence dans les parties les moins résistantes de l'axe
nerveux
. Le dernier mot de la question, du moins avec l
gie cérébrale, inondation ventri- culaire. Il y a quelques troubles
nerveux
chez les collatéraux. Douée elle-même d'un temp
ncement et une fin, une période de (1) VuLpiAN, Maladies du système
nerveux
, 1819-1886, t. I. p. 658 (2) Bulletin médical,
de traitement con- nus actuellement » (Vulpian, Maladies du système
nerveux
, t. I, p. 672), nous demandons une heureuse exc
du corps. Je pense qu'à la faveur de la pneumonie, dans un système
nerveux
vas- culairement adultéré par l'alcool et les e
inement aucun rapport avec les déformations thoraciques. Le système
nerveux
ne semble pas altéré : les réflexes sont normaux.
lité et déformations du squelette, fractures multiples,excitabilité
nerveuse
particulière, contractures musculaires douloure
vril IIOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
MALADIE DE FRIEDREICH ET HËRËDO-ATAXIE CÉRÉ
), PAR F.RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. Messieurs, Dans la précédente leçon, je vous
un homme vigoureux, bien por- tant, indemne de toute manifestation
nerveuse
, et chez qui on ne pouvait soupçonner quelque t
iculaire ne sont pas modifiés. Les masses mus- culaires, les troncs
nerveux
sont indolores ; ces derniers ne présentent pas
mba à 41 ans, au cours d'une polynévrite éthylique. Sa mère, grande
nerveuse
, mourut à l'époque de la ménopause d'un ictus a
et 18 ans. Bref, les premiers symptômes apparents de son affection
nerveuse
ne se signalent guère avant la 18e année et se tr
aite 24 heures après la mort, après formolage préalable des centres
nerveux
(Voy. Planches XIX, XX, XXI, XXII). Les centres
arnisation avec quelques infarctus. Reins décolorés. Le système
nerveux
a été débité complètement et placé dans divers ré
Mais ici, il n'y a pas de surcharge pigmentaire. 90 Autres cellules
nerveuses
. - a) Couche moléculaire, très diminuée de haut
ur- kinje qui se perdent dans cette couche. De plus, les cellules
nerveuses
de cette même couche sont petites, souvent étoi
ne s'accompagne pas de sclérose névroglique appréciable. B. Fibres
nerveuses
myéliniques. La coloration de Weigert-Pal montre
ration de Weigert-Pal montre une diminution considérable des fibres
nerveuses
partout (sauf au niveau des noyaux dentelés ; c
dénomination. De plus en plus, dans l'étude des maladies du système
nerveux
, on tend à réunir dans des groupements synthéti
ients à multiplier à l'infini les espèces morbides de la pathologie
nerveuse
hé- réditaire et familiale. Il y a mieux à fair
KI de la coupe du vaisseau et la direction prépondérante des fibres
nerveuses
ambiantes. Très nombreux dans la moelle des cir
on rouge uniforme, dans laquelle on voit difficilement les cellules
nerveuses
. Celles-ci paraissent par endroits entourées d'
SSU CEREBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 145 de nombreuses fibres
nerveuses
. Cependant il y a'des fibres conservées jusqu'au
n ne retrouve que très rarement l'image caractéristique de la fibre
nerveuse
. Mais déjà la région des corps genouillés exter
vacuoles sans membrane propre, délimitées simplement par des fibres
nerveuses
serrées (fig. 5). Mais ici ces vacuoles sont lo
air qu'à ces va- cuoles doit correspondre une déperdition en fibres
nerveuses
, mais elle est Fie. 3. - P, pigment. V, vaissea
ous trouvons en avant de la tumeur une forte raréfaction des fibres
nerveuses
radiaires et surtout supraradiaires, en même temp
uables des domaines corticaux correspondants. Destruction de fibres
nerveuses
limi- tée à une zone étroite située directement
if, il y a cependant des îlots de cellules infiltrées dans le tissu
nerveux
(fig. 6). Point de réaction inflammatoire. La
dem- ment. Dans la substance grise des vacuoles autour des cellules
nerveuses
; dans la blanche, partout des vacuoles de forme
en concluons que le cerveau avait subi une perte notable en fibres
nerveuses
. Ceci peut fournir l'explication de l'état dément
les, dans la masse même du cervelet. Donc ici aussi perte de fibres
nerveuses
(Fig. 9). XV) H i i FiG. 9. Pcm, pédoncule cé
l n'est pas possible de distinguer les images en soleil de la fibre
nerveuse
. Nous croyons remarquer que les faisceaux d'assoc
lo-rachidien, incompressible, se fait place en réduisant les fibres
nerveuses
il l'atrophie. C'est le second stade 158 WEBER
dus ou de la nutrition cérébrale ou de la dégénérescence des fibres
nerveuses
. Nous avons démontré l'existence de cette dégénér
BERTOLOTTI. Un des chapitres les plus intéressants de la pathologie
nerveuse
est bien celui de l'hémiplégie alterne. Etudié
ues-uns des problèmes les plus intéressants de la physio-pathologie
nerveuse
. OBS. [. R.... Domenico, laboureur, âgé de 28 a
oyaux du pathéti- que sont pris, on ne voit pas de trace des fibres
nerveuses
entrecroisées à ce niveau, la section de la bra
29, p. 227. (4) It.wwo;vo, Leçons cliniques des maladies du système
nerveux
, VIe série, 1903. SYNDROME DE LA CALOTTE PÉDONC
ieu ce qui est écrit dans les plus récents traités de la pathologie
nerveuse
: (1) Loc. cilato. (3) BaucE, Rev. of. Neurol
troubles profonds de la sensibi- (1) Oppenheim, Traité des maladies
nerveuses
; 2 vol. de la traduction italienne, p. 381.
on italienne, p. 381. (2) T. CLIFFORD ALBCTT, Traité des maladies
nerveuses
. (3) Voir ce propos : M.FBRRON, De l'ophtalmopl
al et Laborde. Toutefois dans l'état actuel de la physio-pathologie
nerveuse
, force nous est d'admettre des fibres ascen- da
sseaux de la base de l'encéphale rend compte des lésions du système
nerveux
central. Alors que les coupes de Fleschsig et d
corpuscules hyalins dans les espa- ces sous-méningés. Les cellules
nerveuses
sont peu pigmentées. La méthode de Nissl les mo
ombre. Sympathique. Dans les ganglions senti-lmcaires, les cellules
nerveuses
sont normales ; mais il y a prolifération des c
de vue. Après avoir comparé les lésions squelettiques, musculaires,
nerveuses
et viscérales que nous avons rencontrées,aux de
le de rapprocher cette atrophie des lésions paralytiques du système
nerveux
que d'en faire une dépendance directe de l'acromé
'atrophie musculaire des hémi- plégiques (1). L'examen du système
nerveux
cérébro-spinal et sympathique, central et périp
ce qu'on pourrait citer encore d'autres observations où des lésions
nerveuses
existent chez des acromégaliques, on n'en tirerai
nécessité avec l'acromégalie. Nous pensons en effet que les lésions
nerveuses
de notre malade ne dépendent pas de l'acromégal
e, car il tra- duit une perturbation dans la circulation du système
nerveux
central. Rappelons en effet l'observation de Ca
ÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME
NERVEUX
(RÔLE DE LA SÉCRÉTION LYMPHATIQUE DANS LEUR PAT
ge de phénomènes secondaires qui fontsongerà l'influence du système
nerveux
. Selon Meige ces deux formes seraient la manife
lon le même auteur l'altération fondamentale serait dans le système
nerveux
dont le trophisme qui normalement s'exerce sur le
issement, ne présente au- cun phénomène objectif du côté du système
nerveux
. En résumé « Chez un jeune garçon dans la pério
e très intelligent, très sain, d'un tempérament un peu excitable et
nerveux
. OBS. IV. P. Giuseppina, 26 ans, sage-femme. Au
aite. Après la puberté elle a été toujours un peu excitable, un peu
nerveuse
, mais elle n'a jamais souffert d'aucune ma- lad
cherché d'assimiler cette affection aux autres affections d'origine
nerveuse
. Brück, par exemple, la comparait au bégaiement ;
o- fessionnelle serait une conséquence d'une altération des centres
nerveux
.Nords- trôm attribue la crampe professionnelle
gistes modernes attribuent la crampe profession- nelle à l'hérédité
nerveuse
, à la diathèse rhumatismale, à la goutte, au trau
ger courant continu peut rendre service, comme stimulant du système
nerveux
, l'électrisation sera plutôt nuisible, comme exci
nuls et il n'en pouvait pas être autre- ment. L'élongation du tronc
nerveux
n'a aucune raison d'être, car dans l'airec- tio
ns ici il ne s'agit nullement d'une maladie des nerfs ou des troncs
nerveux
. Zuber et plusieurs auteurs modernes ont procla
old de Stockholm pro- posa de provoquer une irritabilité des troncs
nerveux
en massant les muscles avec les extrémités d'un
à la fois sur le fonctionnement du tube digestif et sur le système
nerveux
, aident beaucoup la marche progressive de la rééd
pas nécessairement les mêmes que les limites de convention du tronc
nerveux
. En d'autres termes, la sciatique n'est pas la
- ét 1903, p. 35. ' ' ' ' (4) Voy. Dejerine, Sémiologie du système
nerveux
, p. 841. Z40 HENRY MEIGE ? 1. . 1 , En somm
faisceaux blancs delà moelle épinière. Hislologiquement 1 les tubes
nerveux
subissent une démyélinisation subaiguë, avec corp
s la région lombo-sacrée jusqu'au bulbe. Histologique- ment le tube
nerveux
s'atrophie graduellement, avec peu de corps granu
ce. Les vaisseaux méninges sont en dégénérescence hyaline. Le tissu
nerveux
n'est pas infiltré, mais la vascularite est inten
faisceaux de Goll et de Burdach (pl. XXXIII, fig. ). Les cellules
nerveuses
paraissent normales. A la région dorsale, on ne
tion extrêmement intense de petites cellules rondes. Les cellules
nerveuses
sont très pigmentées. , Foie. Dégénérescence gr
alcooli- ques. Syphilis probable. - Il a un enfant de 3 ans, très
nerveux
. Les troubles du caractère remontent à cinq ann
zone cornu-commissurale présente encore un certain nombre de tubes
nerveux
normaux. La zone d'entrée des racines postérieu
lles ont, en grande partie, disparu. Le nombre des petites cellules
nerveuses
superficielles (cellules de Cajal) est très dim
n bandes de beaucoup de leurs fibres à myéline. Nissl. Les cellules
nerveuses
sont relativement bien conservées. Moelle dorsa
faisceau de Burdach est complètement dégénéré. Nissl. Les cellules
nerveuses
sont fortement colorées. Beaucoup sont défor- m
QUES GÉNÉRAUX 217 Bulbe, - Il existe de la méningite ; les cellules
nerveuses
paraissent nor- males. Ecorce cérébrale. Les
ite et dépôt pigmentaires sont aussi plus alté- rés. Les cellules
nerveuses
ont pour la plupart conservé leur forme et leur n
ellules rondes, déformation globuleuse et chromatolyse des cellules
nerveuses
, fragmentation, destruction, disparition d'un g
iltration intense de petites cellules rondes. Au Nissl les cellules
nerveuses
n'ont pas de grains nets ; elles ont des taches d
e et les aires des faisceaux pyramidaux se trouve une zone de tissu
nerveux
sain. Au Nissl, les cellules des cornes antérie
vicale colorée au Weigert, on constate : une raréfaction des fibres
nerveuses
au niveau des aires des faisceaux pyramidaux qu
rs que d'autres de la même racine sont intacts. Au Nissl ; cellules
nerveuses
normales. Moelle dorsale. - A l'hématoxyline-éo
elativement normal de la moelle. Au Nissl, la majorité des cellules
nerveuses
sont normales ; la quantité de pigment est asse
flam- matoire à maximum au niveau de la pie-mère et de la substance
nerveuse
de la moelle dorsale. Enfin, il y a dans les
sont également infiltrées de cellules rondes. Beaucoup de cellules
nerveuses
, altérées, sont en neurono- phagie. Les racines
e médiane antérieure est atteinte d'endartérite marquée. Le tissu
nerveux
, - cellules et fibres - se. colore très mal. Les
asculaire de l'artère spinale postérieure. 11'issl.- Les cellules
nerveuses
en état picnomorphe sont souvent déformées, pri
périphlébite marquée et de l'endartérite très prononcée. Le tissu
nerveux
se colore mal, seulement au niveau de la substanc
la moitié postérieure de la moelle. Nissl. La plupart des cellules
nerveuses
sont normales. Quelques-unes ont leur noyau exc
la périartérite assez accentuées. L'infiltration de la substance
nerveuse
prédomine dans la substance grise et surtout au
onstatations précédentes. Dans les cornes antérieures, les cellules
nerveuses
sont rares ; celles qui subsistent sont altérée
ment ocre. Les artères sont en dégénérescence hyaline. Les cellules
nerveuses
ont conservé leur forme ou sont en chromatolyse e
moelle cervicale, moins la radiculite parenchymateuse. Les cellules
nerveuses
sont normales au Nissl. Moelle lombaire. Hén,
ons cervicale et surtout dorsale. Nissl. Les lésions des cellules
nerveuses
sont énormes : chromatolyse, caryolyse, déforma
ieures, peut entraîner une dégé- nérescence de voisinage des fibres
nerveuses
périphériques des cordons latéraux. ' Dans l'
rre Marie, Guillain et Crouzon, soit à des altérations des cellules
nerveuses
de la moelle, lé- sions sur lesquelles insiste
jourd'hui moins difficile que naguère. A la conception des maladies
nerveuses
, caractérisées par la systémati- sation de leur
ns, tend à se substituer une idée plus large faisant des affections
nerveuses
, que la clinique distingue, de simples syndromes
r dans les autopsies tardives, surtout lorsqu'il s'agit des centres
nerveux
. Nous venons d'observer un chien qui présentait
'est relevée du côté des organes thoraciques et abdominaux. Centres
nerveux
. Les os du crâne et de la colonne vertébrale ne p
générescence hyaloïde. Pas de néoformation vasculaire. Les cellules
nerveuses
sont atrophiées ; les noyaux sont très gros relat
Il convient de faire remarquer que l'examen histologique du système
nerveux
de notre sujet montre que les lésions observées s
que la maladie des chiens se lo- calise fréquemment sur le système
nerveux
,et qu'elle provoque d'ordinaire la chorée. En
hologie générale de M. Bouchard, à l'article Séméiologie du système
nerveux
(tome V), M. Dejerine signale la possibilité de
it eu, à l'époque de l'apparition des règles, quelques légères crises
nerveuses
qui se sont reproduites depuis, à intervalles t
us existait et pesait 8 grammes. L'examen macroscopique des centres
nerveux
: cerveau, bulbe, moelle, ne révéla aucune part
a myasthénie,puisque nous n'avons constaté aucune lésion du système
nerveux
central ou périphérique. Nous ne connaissons ju
ins auteurs d'établir l'existence, de deux ordres de lésions extra-
nerveuses
. D'une part, des tumeurs à siège variable et de n
psiques,'le pendant du cas de Laquer-Weigert : intégrité du système
nerveux
central et périphérique ; lympho-sarcome du thymu
ÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME
NERVEUX
(ROLE DE LA. SÉCRÉTION LYMPHATIQUE DANS LEUR PA
sont l'apanage des névropathies, ou mieux des individus à sys- tème
nerveux
faible, prédisposés aux maladies et chez lesquels
lièrement une intoxication qui a une action élective sur le système
nerveux
: éthylisme, CO, tabagisme, th y- 2S6 ' VALOBRA
sence des oedèmes de Quinke dans les maladies organiques du système
nerveux
(1). (1) Je laisse à part les formes hystérique
ces oedèmes présentent dans leur étiologie une faiblesse du système
nerveux
et très souvent une intoxication de nature vari
peau, l'oedème circonscrit se trouve dans le chapitre des maladies
nerveuses
, et cela dans les meilleurs traités classiques.
rsuivons l'étude sont sous la dépendance des altérations du système
nerveux
. Pour ce qui concerne {'urticaire, cette affirm
vés dans l'estomac, on ne peut pas douter de l'influence du système
nerveux
central dans la production de l'urticaire. La thé
els ont essayé de soustraire l'ur- ticaire à l'influence du système
nerveux
pour en faire une lésion due à l'inflammation e
, aux mains, et parfois à la glotte. Dans ces cas, l'action réflexe
nerveuse
est certaine, et on ne peut pas songer que, sui
que toujours héréditaires. Au moins « la débilité ou l'insuffisance
nerveuse
... se retrouve dans leurs antécédents héréditaire
nels » (Merlleo). Mais la démonstration de l'influence du système
nerveux
est complète dans les expériences que les labor
s'agit des maladies avec lésions profondes etanatomiques du système
nerveux
, il est bien plus fréquent d'observer l'oedème pe
des observations de trophoedème sans lésion démontrable du système
nerveux
,' nous avons une série d'observations dans lesq
sagère de la même région dont la lésion définitive produit l'oedème
nerveux
persistant. La main succulente pourrait, selon
dions étaient symptomatiques d'une affection bien connue du système
nerveux
, nous rappelons l'observation de Bonnier (89) :
ces manifestations sont en rapport avec des altérations du système
nerveux
en général. Mais nous n'avons encore aucune notio
rétion et de la circulation lymphatique sous l'influence du système
nerveux
: les trois formes ont de ce côté de la pathogé
lus il prouva que cette sécrétion était sous l'influence des fibres
nerveuses
secrétrices spéciales. Cette dernière affirmation
tous les auteurs ont basé leurs idées sur l'in- fluence du système
nerveux
dans la production de l'urticaire. Cela nous ex-
s vasomoteurs peuvent être provoqués pour une action sur le système
nerveux
de certaines substances, ou bien par voie réflexe
production serait parfaitement indépendante de l'action du système
nerveux
. Mais les expériences de Heidenhain sont une ép
oeeme circonscrit, sont sous la dépendance de l'action du sys- tème
nerveux
. « Il suffit d'exciter par un courant électrique
osmotique des divers tissus, se forment sous l'influence du système
nerveux
; et il s'agit d'une influence sécrétoire. Il n
s ont admis pour expliquer le trophoedème une altération du système
nerveux
et plus précisément une anomalie des centres tr
s d'éléphantiasis ont songé à des altérations trophiques du système
nerveux
. Nous avons vu que la seule différence consiste
dème se fait pour une stase de la lymphe qui a lieu pour une lésion
nerveuse
, et les travaux de l'école de Brissaud nous ont
nctionnelle ou bien anatomique, passagère ou permanente des centres
nerveux
dont l'intégrité est nécessaire pour que la séc
nt l'indépendance des phénomènes vasomoteurs de l'action du système
nerveux
central, et d'autres qui localisent ces centres
krankh., VIII, p. 612. 40. COUTY. - Etude sur une espèce de purpura
nerveux
. Gaz. hebd. de Paris, 1876, p. 563. 41. 11loN
lus pénible encore, en novembre 1899, que se montrent des accidents
nerveux
d'un autre ordre : un torticolis mental. Nous
se après elle et qui aurait produit une impression violente sur une
nerveuse
surmenée, le premier jour où, après trois semai
en question, est fils d'un alcooli- que mort à la suite d'accidents
nerveux
mal définis. Lui-même a fait quel- ques excès a
ques dans son adolescence ; il a eu à plusieurs reprises des crises
nerveuses
d'une nature indéterminée, paraissant épileptifor
enfants est conservée et même assez vive. L'examen de leur système
nerveux
a montré son intégrité absolue ; les réflexes p
rtébrale. III. Anomalies conco- mitantes. Chapitre II. Le système
nerveux
et le tissu cérébro-spinal. I. Moelle épinière et
inal des foetus à rachis déhiscent : absence de tout vestige de tissu
nerveux
; per- sistance de fibres nerveuses ; tumeur cé
absence de tout vestige de tissu nerveux ; per- sistance de fibres
nerveuses
; tumeur cérébrale sacciforme. Chapitre III. -
le ou partielle de la voûte ; déhiscence du rachis. -IV. Le système
nerveux
et la nutrition générale. CnAPiTRElV. Les cause
ant des vaisseaux, au sein duquel s'élabore secondairement le tissu
nerveux
. Et alors, « qu'est-ce qu'un anencéphale ? Un ê
façon plus générale l'idée d'une destruction secondaire du système
nerveux
ne fut pas accueillie avec faveur, malgré l'app
ncéphalie était une affection destructive et convulsive des centres
nerveux
(7). Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire, toutefois,
un véritable kyste. Dans d'autres circonstances, toute la substance
nerveuse
est détruite, des faus- ses membranes, des brid
résultent toutes d'une maladie, d'ailleurs indéterminée, du système
nerveux
, Jules Guérin devait presque fatalement tomber
transparente recouvre ces filets, qui ne sont autres que des troncs
nerveux
. Tout en haut, dans la région cer- , vicale, ce
ncs nerveux. Tout en haut, dans la région cer- , vicale, ces troncs
nerveux
se perdent dans une masse en tout semblable, à l'
n bas, vers la région lombaire, le spina bifida cesse et les troncs
nerveux
s'engagent dans un canal rachidien normal. Le s
encéphalie com- pliqué de célosomie (1). CHAPITRE Il Le système
nerveux
et le tissu pseudencéphalo-médullaire. En étudi
de colonnettes cylindriques n'ayant plus aucune apparence de tissu
nerveux
. L'examen histologique nous renseignera plus am
Au surplus, ces considérations morphologiques relatives au système
nerveux
n'ont qu'une importance secondaire ; elles ne n
filum terminal, on distingue sur les coupes transversales un tissu
nerveux
ayant au centre un canal épendymaire nette- men
en conservés. Dans l'intimité de ce tissu, se trouvent des éléments
nerveux
caractéristiques. Ces éléments ne présentent au
g. 8). En dehors de la pie-mère se trouvent les sections des troncs
nerveux
, dans les interstices desquels s'insinuent une as
galement un léger épaississement de la gaine conjonctive des troncs
nerveux
. Fio. 8. Coupe transversale de l'extrémité infé
njonctivo-vasculaire, qui tend à se substituer peu à peu au système
nerveux
et qui s'y substitue ell'ectivement à la partie-
titue ell'ectivement à la partie- tout à fait supérieure du système
nerveux
. b) Hémorragies et exsudation. - Dans cette rég
fération vasculaire et la coalescence de leurs parois. R. Racines
nerveuses
. M. Moelle. - Vpc.Couche des vaisseaux postérieur
aux. Malgré tout, l'envahissement conjonctivo-vasculaire du système
nerveux
ne semble pas être rapide ; s'il est notablemen
vance que les amas sanguins se trouvent non seulement dans le tissu
nerveux
, mais encore dans les os, les muscles et d'autr
leuco- cytes abondants tant dans les vaisseaux que dans les tissus
nerveux
, et enfin avec une prolifération vasculo-conjon
remier abord, et tout porte à croire que l'envahissement du système
nerveux
est une tendance constante de la méningite, ten
Dès la région la plus inférieure de la moelle, on observe un tissu
nerveux
fragmenté en faisceaux, dans lequel ne se trouv
loppé de la gaîne vasculaire ; tout autour sont disposés des troncs
nerveux
atteints par l'inflammation à un faible degré.
ble réside ici dans la moelle. Elle ne renferme plus aucune cellule
nerveuse
, mais elle ne renferme pas davantage de vaisseaux
chien pseudencéphale, chez lequel existait des vestiges du système
nerveux
intercalés entre des parties conjonctivo-vasculai
egmentaire, c'est-à-dire à des destructions partielles d'un système
nerveux
préalablement constitué au com- plet. Suivant t
nnels ; un tissu disposé sur une aussi grande longueur que le tissu
nerveux
présente presque nécessairement des variations pl
- phale. Le tissu lui-même n'a aucun caractère commun avec le tissu
nerveux
. Les dispositions que l'on constate d'une façon
eules les hémorra- gies internes marquent la participation du tissu
nerveux
. Chez le foetus, au contraire, la vie parasitai
T DE L'ANENCÉPHALIE 383 la vie de se prolonger, bien que le système
nerveux
subisse une destruction lente. Dans ces conditi
; elle envahit également en dedans et tend à se substituer au tissu
nerveux
, ou plus exactement à un magma fait de débris n
tuer au tissu nerveux, ou plus exactement à un magma fait de débris
nerveux
et de globules sanguins d'origine hémorragique.
onjonctive. Si les capillaires pénètrent dans l'inti- mité du tissu
nerveux
, leur multiplication est surtout intense en dehor
, leur multiplication est surtout intense en dehors ; dans le tissu
nerveux
lui-même nous observons plus particulièrement une
e encéphalique peut renfermer encore une certaine qnantité de tissu
nerveux
. Il ne saurait y avoir aucun doute sur la réalité
ente la peau, mais aussi par l'envahissement tar- dif des ganglions
nerveux
. Nous avons noté ce fait, pour ce qui est des gan
à grands traits la marche des phénomènes sur l'ensemble du système
nerveux
. Cette indication nous sera nécessaire pour com
Sans doute, il s'agit bien encore ici de méningite ; mais le tissu
nerveux
se trouve dans un état de dégénérescence extrêmem
BAUD progresse en dehors, vers la dure-mère, intéressant les troncs
nerveux
péri- médullaires. L'intensité du processus s'a
able. Même, dans les segments inférieurs de la moelle, les cellules
nerveuses
devraient être à peine modifiées. Or il en va ici
ue dépend cet état de désinté- gration totale où se trouve le tissu
nerveux
. D'ailleurs, la discordance entre les lésions d
n cervicale, une vague apparence du canal épendymaire. Les cellules
nerveuses
sont un peu moins dégénérées, elles sont groupé
as d'une destruction secondaire, portant à la fois sur les éléments
nerveux
et sur les éléments conjonctivo-vasculaires. Il e
l'on ne peut, sous aucun prétexte, pla- cer la destruction du tissu
nerveux
sous la dépendance de la méningite racbi- vienn
us inflammatoire n'est pas l'agent immédiat de destruction du tissu
nerveux
. Ces deux cas nous montrent, en somme, une dégé
nne ne suffit pas à ex- pliquer la désintégration complète du tissu
nerveux
. Nous avons insisté sur ce point, en faisant re
s encépha- liques, les détruit et détruit, en particulier, le tissu
nerveux
. L'évolution mor- bide ne marque qu'une faible
sus tout à fait accessoire. Il peut aider à la disparition du tissu
nerveux
; cette dispa- rition s'effectuera sans lui, co
ent ; il n'y a plus substi- tution d'un tissu néoformé aux éléments
nerveux
: ceux-ci se présentent sous 390 RABAUD l'asp
purement et simplement un tissu dépourvu de tout vestige d'éléments
nerveux
; celle où, au-dessus des tissus de remplace- m
, au-dessus des tissus de remplace- ment, sont disposées des fibres
nerveuses
en nombre variable (Fig. 11). 1° Absence de tou
s en nombre variable (Fig. 11). 1° Absence de tout vestige de tissu
nerveux
. Le premier fait à mettre en évidence, pour ce
état et reconnais- sables par leur continuité avec le seul élément
nerveux
encore distinct : le FiG. 11. Coupe transversal
ent que le ganglion rachidien est, de toutes les parties du système
nerveux
, celle qui résiste le plus longtemps, qui est,
a néo- formation conjonctivo-vasculaire. 2° Persistance de fibres
nerveuses
. Les foetus qui présentent cette disposition si
dépourvus de moelle épinière, mais de posséder cependant des troncs
nerveux
courant dans une gouttière rachidienne largement
renferme un tissu mince, résistant, sur leque e reposent des troncs
nerveux
recouverts eux-mêmes par un voile extrêmemen mi
II Il 26 394 RABAUD uniquement constituées par de nombreux troncs
nerveux
, dans les interstices desquels quelques vaissea
étalement sur le plancher du canal rachidien ouvert. Ces faisceaux
nerveux
appartiennent aux racines postérieures, ainsi que
rent plus aucune trace de moelle, mais, au contraire, des faisceaux
nerveux
abondants. Ceux-ci d'ailleurs, ne sont guère pl
dentité duquel il ne saurait y avoir aucun doute. · Les faisceaux
nerveux
reposent directement sur la dure-mère, fort épais
foetus ca- ractérisés, morphologiquement,par la présence de filets
nerveux
dans une gout- tière rachidienne. Ce second cas
ion inférieure de la moelle; il con- vient d'ajouter que les troncs
nerveux
sont comme toujours moins atteints que les tiss
isparaît complètement, et l'on ne retrouve plus que quelques filets
nerveux
reposant sur la dure-mère, infiltrés de vaisseaux
vant que la prolifération vasculo-conjonctive n'ait envahi le tissu
nerveux
. Le processus a été ici le même, et nous pouvon
DU LABORATOIRE DE Mr LE DOCTEUR KLIPPEL MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME
NERVEUX
PAR MAURICE RENAUD, Interne des hôpitaux.
lement l'étude histologique précise de tous les éléments du système
nerveux
. Telle qui donne des résultats remarquables dan
et applicable à tous les éléments de toutes les parties du système
nerveux
. La méthode que nous avons proposée à la Sociét
La moelle a une coloration semblable. MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME
NERVEUX
401 débarrasse des cristaux de sublimé dont ell
yélinejaune, fibrilles de névroglie). De minces tranches de tissu
nerveux
et les nerfs peuvent être avant inclu- sion col
ngitudinalement, ils montrent à un faible grossissement leurs tubes
nerveux
parallèles,presque uni- formément teintés avec
rossissement on reconnaît les grosses travées de soutien, les tubes
nerveux
serrés les uns contre les autres, les noyaux et l
rt loin. Nous n'avons jamais pu y découvrir de fibrilles. Tubes
nerveux
. Coupés transversalement ils montrent leur cylind
laisse décomposer en un réseau de fines fibrilles mêlées aux fibres
nerveuses
. A la périphérie de la moelle, au bord du sillo
illes quittent les travées et pénètrent en ondulant entre les tubes
nerveux
. Celles qui sont dans le plan de la coupe peuvent
ux. . D'ailleurs ces fibrilles n'affectent jamais avec les cellules
nerveuses
que des rapports de contiguïté. La substance
r prolongements plus ou moins ramifié ! MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME
NERVEUX
403 Cerveau. Dans substance blanche on distingu
rra étudier les dégénérescences par la méthode de Pal, les cellules
nerveuses
par la co- loration de Nissl, on décèlera facil
t MM. Raymond et Jendrassik, qu'il n'existe pas, entre les maladies
nerveuses
familiales, des limites bien tranchées et qu'on
ge de 5 ans, a été pris alors d'étourdisse- ments et de tremblement
nerveux
dans les jambes, qui lui rendaient la station d
embres de la même famille ne prouve pas qu'une affection du système
nerveux
ne soit pas héréditaire. Obs. de VESTPIIAL (Arc
lifération de la névroglie qui tend à prendre la place des éléments
nerveux
affaiblis. Bing a récemment tenté d'expliquer p
ogie de la maladie de Friedreich ; il suppose que dans des systèmes
nerveux
congénitalement insuffisants (et les autopsies
topsies montrant un certain nanisme du système 416 BALLET ET ROSE
nerveux
appuyent cette façon de voir, Marie et Londe, Bon
ties de l'orga- nisme demande une réparation plus rapide du système
nerveux
qui préside à à ce fonctionnement, cette répara
erveux qui préside à à ce fonctionnement, cette réparation du tissu
nerveux
ne se fait pas et l'atrophie et la sclérose app
ale pourrait atteindre toutes les parties congéni- tales du système
nerveux
. - Touchant le cervelet, elle produirait l'héré
lésions (Westphal), ou l'exis- tence d'un simple nanisme du système
nerveux
, semble être en faveur de la théorie d'Edinger
que les mouvements convulsifs (1) Bmssnun, Leçons sur les maladies
nerveuses
, 189;i, p. 206. HÉMISPASME FACIAL PÉRIPHÉRIQUE
imitée à ce nerf. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du système
nerveux
siégeant au-dessus du noyau du facial, telle qu
gle de trouver dans les antécédents des jeunes hystériques une tare
nerveuse
manifeste. Celle-ci n'est pas toujours directem
la cause provocatrice, mais assez souvent il semble que le système
nerveux
attende pour réagir, qu'il y ait, comme disait
on père est mort de congestion célébrale, il était, parait-il, très
nerveux
, sans attaques toutefois ; la mère est bien por
s dans un groupement musculaire insolite, paradoxal ; aucune lésion
nerveuse
centrale ou péri- phérique ne permettait d'expl
r la suspension cervicale. Au premier abord, l'enfant ne paraît pas
nerveuse
. Elle rit et pleure facile- ment, est très dist
rculose pul- monaire,la mère est en bonne santé, elle ne paraît pas
nerveuse
, dit-on,elle n'a jamais eu d'attaques de nerfs,
kilomè- tres de Morzine, une fillette de 9 ans fut prise de crises
nerveuses
singu- lières qu'aucun médicament ne semblait c
en droit d'admettre l'existence d'une lésion surajoutée du système
nerveux
venant compliquer la dystrophie osseuse. 13.
leur squelette, mais aussi dans leurs viscères et dans leur système
nerveux
. 2° Les peuples nains, races humaines qui, à pa
ici par lésion directe, là, indirectement par altération des centres
nerveux
. La même distinction doit être établie entre l'
he). - On pouvait également songer à un trouble trophique d'origine
nerveuse
, car les centres nerveux des achondroplasiques
t songer à un trouble trophique d'origine nerveuse, car les centres
nerveux
des achondroplasiques n'avaient jamais été,jusqu'
dystrophie osseuse. L'achondroplasie paraît indépendante du système
nerveux
et semble relever d'une cause générale, la- que
i parfois se développent secon- dairement à des lésions des centres
nerveux
et qui rentrent dans la catégorie des troubles
e déterminante. S'agit-il de modi- fications invisibles des centres
nerveux
? s'agit-il de troubles glandulaires con- génit
ement transmissible au même titre que la prédisposition musculaire,
nerveuse
, cardiaque ou hépatique dans d'autres familles.
nous l'ignorons au même titre que la cause de telle systématisation
nerveuse
ou myopathique. Il nous paraît inutile de repro
). Deux cas d'achondroplasie avec examen histol. des os et du syst.
nerveux
(Soc. anat., 1900 ; Congr. internai, de méd. de
es auteurs ont observé, outre les altérations osseuses, des lésions
nerveuses
qui tendraient, d'après eux, à démontrer l'orig
en constituée ; jamais on n'y a observé de monstres, ni de maladies
nerveuses
ou mentales. La grossesse de la mère et l'accou
des troubles trophiques consécutifs à des altérations du sys- tème
nerveux
. Je crois que les deux premières théories conti
es membres on observe souvent un arrêt de développement des centres
nerveux
correspondants. T'iedemann (8), Gurlt (3), Serres
Gudden (9), de lJ1aysel' (92), de ll9ozzaltow (93), sur le système
nerveux
des animaux amputés à la naissance, et des re-
le défaut des excitations qui arrivent de la périphérie aux centres
nerveux
, produit leur atrophie progressive. Cette donné
véritable amputation foetale. Déplus : lorsqu'on étudia le système
nerveux
des monstres ectromélie 568 VALOBRA pendant l
odes du développement foetal, lorsqu'il n'y a pas encore de système
nerveux
. Babès (14) est récemment revenu sur cette théo
d'une forte dose d'imagination pour songer qu'une lésion du système
nerveux
eut produite toutes les altérations par excès e
rs après le choléra. Autopsie. L'examen macroscopique des centres
nerveux
nous montre NOUVELLE Iconographie DE la SALPETR
upe S S 1 bis du schéma de Dejerine (fig. 407, anatomie des centres
nerveux
), on voit que les couches superficielle et prof
ersalement, sont raréfiées et plus minces qu'ailleurs. Les cellules
nerveuses
semblent à ce même niveau moins nom- breuses qu
diatement à côté du vermis (PI. LXI) la dégéné- rescence des fibres
nerveuses
occupe une grande partie du corps dentelé et du
ébelleux supérieur reste décolorédans sa moitié moyenne; les fibres
nerveuses
y sont extrêmement réduites de nombre.Le grand
la couche moléculaire contient encore un nombre dis- cret de fibres
nerveuses
. Le feutrage de la couche granuleuse et le feutra
eau pyramidal est très claire et contient à peu près 1/5 des fibres
nerveuses
colorées, c'est-à- dire le même degré de lésion
rsale, les faisceaux pyramidaux contiennent à peine quelques fibres
nerveuses
normales : les faisceaux pyramidaux directs son
sous- pie-mérienne beaucoup plus épais que d'ordinaire : les fibres
nerveuses
, bien colorées par la laque hématoxylinique y f
égénérées, mais elles existent aussi dans les parties où les fibres
nerveuses
semblent encore complètement intactes. Tous les
multiple ; ensuite parce que dans cette observa- tion les symptômes
nerveux
s'étant manifestas 5-6 jours seulement après le
un lien incontestable et in- time entre l'infection et l'affection
nerveuse
(2). (1) Elle a été décrite par P. hlmue et Jor
e Médecine, avril 1853. (3) Hammond, Traité des maladies du système
nerveux
, p. 604 et suiv. (4) Raymond, Soc. méd. des hôp
rpérale 17 jours après sa naissance. Son père, alcoolique invétéré,
nerveux
, irritable, atteint d'un trem- blement continue
eu de faire remarquer qu'ici, comme dans tant d'autres affec- tions
nerveuses
, une série de causes prédisposantes se sont réuni
prédisposantes se sont réunies pour favoriser l'atteinte du système
nerveux
. Ce sera d'abord la prédisposition héréditaire,
Ce sera d'abord la prédisposition héréditaire, le père alcoolique,
nerveux
, agité de tremblements continuels, ayant fini s
ers les enve- loppes conjonctives et osseuses, en dedans vers l'axe
nerveux
sous forme d'un tissu conjonctivo-vasculaire sa
tout à fait extraordinaire. Chez l'adulte, l'excitation des centres
nerveux
détermine des troubles intenses, et la mort sur
ve d'accès à aucun moment. C'est que, très probablement, le système
nerveux
profondément atteint n'est plus capable de réag
n processus terminal, consécutif à la destruction totale de système
nerveux
; quand ce processus survient, la contraction a
ion initiale du tissu médullaire. Il faudrait admettre que le système
nerveux
a persisté sous forme de gouttière ouverte plus
embraneux est nettement t corrélatif de l'évolution normale du tube
nerveux
. La non-fermeture de la 612 RABAUD gouttière
é de la peau suivant la ligne dorsale : nous trou- verions le tissu
nerveux
à ciel ouvert. En aucune façon, il ne peut en êtr
n'est point provoqué par un développe- ment insuffisant de système
nerveux
; ce spina-bifida est strictement limité aux pa
pinale de la méningite a été précédée d'une dégénérescence du tissu
nerveux
: pour déterminer les contractions et, par elles,
e jouent également dans tous les cas où une inflammation du système
nerveux
intervient chez le foetus, quelle que soit d'ai
aire Encyclopédique des Sciences médicales on trouve que le système
nerveux
central peut être le siège de tumeurs de cette
être le siège de tumeurs de cette nature, développées dans la masse
nerveuse
même, au centre du cerveau ou du cervelet. Corn
hogénie des tumeurs, il en vient à parler de l'influence du système
nerveux
, le- quel agirait comme régulateur de la foncti
bien- tôt à attribuer une importance exagérée à l'action du système
nerveux
sur les fonctions végétatives et spécifiques de
'organisation des tissus, au dehors : de toute influence du système
nerveux
, et même avant son apparition. - D'autre part,
l ne fut jamais précisé quelle devrait être l'altération du système
nerveux
, génératrice du procédé néoplasique ». E. Launo
être dépendante d'une affection non pas encore localisée du système
nerveux
(substance grise de moelle) (1). Tordeus aussi,
ue les exostoses multiples sont dépendantes d'une lésion du système
nerveux
. (2) Ménétrier, après avoir critiqué la théorie
'un de péritonite et l'autre poitrinaire. L.... a toujours été très
nerveux
: il a eu une pleurésie dans son enfance. Marié
eule ne conduit pas à un état moniliforme aussi prononcé des fibres
nerveuses
; nous pensons donc que l'inflamma- tion a larg
s musculaires et osseux normaux. Rien de spécial du côté du système
nerveux
. Cette enfant marche étant sou- tenue ; elle co
pouvaient relever de lé- sions portant exclusivement sur les troncs
nerveux
. Le fait donc pour une ophtalmoplégie d'être se
et mère, cinq frères et une soeur en bonne santé ; aucune affection
nerveuse
dans la famille ; pas d'alcoolisme ni de syphil
RABAUD Docteur en médecine et docteur ès sciences. IV. LE SYSTÈME
NERVEUX
ET LA NUTRITION GÉNÉRALE, Les déformations prod
perturbations d'un autre ordre relevant de l'altération des centres
nerveux
. Il ne serait pas surprenant, à priori, que la
l'ordre du jour à l'heure actuelle,celle de l'influence du système
nerveux
sur le développement. Nous l'abordons sous un a
iers de la vie foetale. Pour ce qui est de l'influence du système
nerveux
sur les premiers temps du développement, nous s
ntes, de Wintrebert (1) que (1) Wixthebert, 1° Influence du système
nerveux
sur l'ontogenèse des membres Acad. des sc., 13
ens, des membres postérieurs et de la queue en l'absence du système
nerveux
(Acad. des sciences, 9 nov. 1903). 2° Sur la ré
d'une irritabilité excilo-molrice primitive indépendante des voies
nerveuses
chez les embryons ciliés des batraciens (Soc. de
ifférents, sur lesquels nous n'avons pas à insister ici. Le système
nerveux
peut faire défaut, l'équi- libre n'est pas détr
oire la deuxième partie du principe de Roux, l'influence du système
nerveux
serait prépondérante : cet appareil réglerait l
ent des parties soit proportionnel, on peut admettre que le système
nerveux
joue le rôle de régulateur. Nous savons, par les
pement (1). L'ectoderme irritable tient lieu à ce moment de système
nerveux
; celui-ci entre en jeu bientôt après. Dans que
peuvent résulter des différences dans le mode d'action du sys- tème
nerveux
. Cependant, les faits observés chez les pseudencé
nt à croire qu'il ne faut pas confondre l'action motrice du système
nerveux
avec son action trophique ; que ce ne sont poin
tandis que les muscles striés, ainsi étroitement soumis au système
nerveux
, déforment les ébauches squelettiques et impri-
de plus en plus conduits à reconnaître la non-influence de système
nerveux
. Nous ne constatons aucune dysharmonie dans le
- tion reconnaît pour cause, non pas l'action trophique des centres
nerveux
, mais l'action immédiate de la méningite qui év
ombre ; l'examen histologique des organes, aussi bien des ganglions
nerveux
et de l'oeil que des organes somatiques révèle
roire qu'un tel processus est indépendant de l'influence du système
nerveux
. Rien des phénomènes entrent en jeu, dans un or
nécessaire d'invoquer un trouble dans l'action trophique du système
nerveux
. Et cela est ici d'autant moins nécessaire que
contre-coup de celle-ci par l'intermédiaire des lésions du système
nerveux
. Destruction du tissu céré- bro-spinal, arrêt d
pas davantage. Toutefois, il serait assez surprenant que le système
nerveux
central, sans action sur l'ensemble de l'organi
ur volume propor- tionnel. S'il en était ainsi, l'action du système
nerveux
serait une action in- directe, purement motrice
ntrent l'indépendance de la nutrition générale vis-à-vis du système
nerveux
; elle explique logiquement une apparente excep
, 1903, p. H3T. 680 - RABAUD en disant que les lésions du système
nerveux
ont une répercussion motrice très vive et des c
e ne porte donc pas nécessai- rement sur les méninges ou le système
nerveux
. Son origine peut remonter assez haut dans la s
nge ; c'est de là qu'il envahit à la fois en dedans vers les tissus
nerveux
et en de- hors vers le revêtement cutané. Dans
volution a pu se poursuivre jusqu'à destruction complète du système
nerveux
et son remplacement par un tissu de sclérose, g
nel, d'autre part à l'influence extrêmement légère que le sys- tème
nerveux
exerce sur les processus évolutifs. En dehors d
retrouvons dans un certain nombre de cas. Et tandis que le système
nerveux
disparaissait ainsi, envahi par la prolifératio
oires qui apportent un trouble très grave à la nutrition du système
nerveux
et ne tardent pas à supprimer le cerveau, origi
int, alors que les ménin- ges sont bien constituées, que le système
nerveux
, fermé depuis longtemps, à déjà pris son aspect
un rachis ouvert, il ne reste plus qu'un nombre variable de troncs
nerveux
et une tumeur réduite à la méninge. La précocit
-utérine ; tous les individus perdraient intégralement leur système
nerveux
en entier si la grossesse était suffisamment prol
phales et anen- céphales), intervient une dégénérescence du système
nerveux
antérieure àl'en- vahissement de la néoformatio
sont fondés sur l'absence du crâne et surtout sur l'état du système
nerveux
. Sans doute, on trouve parfois, chez l'acéphale
ssez mauvais état ; mais la différence est essentielle entre le tissu
nerveux
de l'anencéphale et celui de l'acéphale : chez
de l'anencéphale et celui de l'acéphale : chez le premier, le tissu
nerveux
disparaît sous l'effort d'un processus de néo-f
ous l'effort d'un processus de néo-formation, chez le second le tissu
nerveux
entre en dégénérence granulo-graisseuse, sans i
rer la nutrition générale du couple, l'acéphale meurt ; son système
nerveux
tombe le premier en dégénérescence. 4. Spina-
on des centres et persistance des ganglions. - L'absence de système
nerveux
chez les pseudencéphaliens a fait éclore un certa
précède ne laisse aucun doute sur l'existence préalable du système
nerveux
central ; il s'est formé, il s'est développé, tan
ppé, tandis que nais- saient les ganglions et que les prolongements
nerveux
apparaissaient en rela- tion de continuité avec
ifficile à franchir, se propageant d'ailleurs avec peine aux troncs
nerveux
qui parcou- rent le canal rachidien. C'est très
s avancée que ne le comporterait l-'âge^auquel a disparu le système
nerveux
. Quant aux nerfs moteurs, ils dégénèrent beaucoup
l est fort douteux que la vie extra-utérine soit le fait du système
nerveux
lui-même. Quel que soit le degré des lésions, ces
d'une manière indéfinie chez les foetus dont l'ensemble du système
nerveux
est parfaitement sain. Des raisons analogues va
lte, pour conclure immé- diatement que ces mêmes lésions du système
nerveux
, loin de contribuer à conserver la vie, la supp
fonctionner dans la mesure où le permet leur autonomie : le système
nerveux
non enflammé entretient la vie ; le système ner
ie : le système nerveux non enflammé entretient la vie ; le système
nerveux
enflammé la supprime. Ainsi que nous l'avons pr
er contre les causes de mort qui viendraient précisément du système
nerveux
si le système nerveux jouait chez le foetus le rô
e mort qui viendraient précisément du système nerveux si le système
nerveux
jouait chez le foetus le rôle im- portant qu'il
ant qu'il joue chez l'adulte. Au moment de la naissance, le système
nerveux
central, quand il en persiste un fragment, repr
ns se développent tout d'abord sur les méninges, en dehors du tissu
nerveux
: les vaisseaux se multiplient, leur paroi s'épai
98 RABAUD V. Pendant ce temps, se produisent à l'intérieur du tissu
nerveux
des hé- morragies de plus en plus abondantes qu
lus abondantes qui envahissent peu à peu la majeure partie du tissu
nerveux
et le détruisent. Concurremment, la prolifération
sudation séro-sanguine inflammatoire peuvent détruire tout le tissu
nerveux
avant la constitution de la tumeur vasculaire. Co
ition générale de l'individu. Ce fait permet de dire que le système
nerveux
n'a pas une action nécessaire dans le développeme
'M ! 0<et'AetMMde, IV, 1902. P. Wintrebert. Influence du système
nerveux
sur l'ontogenèse des membres. C. R. de l'Académ
iens des membres postérieurs et de la queue en l'absence du système
nerveux
. C. B. de l'Académie des Sciences, 9 nov. 1903.
d'une irritabilité excito-motrice primitive, indépendante des voies
nerveuses
chez les embryons ciliés de Batraciens. Société d
onsidérations sur les Anencéphaliens. Etude histologique du système
nerveux
d'un foetus anencéphale. Annales de Gynéco- log
ar Marchand, G. Petit et CoQUOT, 234. Méthode d'examen du système
nerveux
(1 pl.), par RENAUD, 399. Micromélies congéni
èmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système
nerveux
(2 pl.), par VALODRA, 201, 255. Ophlalntoplég
leuse (3 pi.), 5, 121. RENAUD (M.). Méthode d'examen du sys- tème
nerveux
(1 pl.), 399, Ri : VILLIOl) (L.). Sclérose médu
es circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système
nerveux
(rôle de la sécrétion lymphatique dans leur pat
AGASSE - L.ar.ovT), XXXVII, XXXVIII. Méthode d'examen du système
nerveux
(REnAuD), XLVI. Micromélie congénitale (PoRAI
de eût à son service. Il fut un temps également où la toux, la toux
nerveuse
, alternait avec le bâillement et l'on peut suivre
ité par un certain degré d'anoxémie, un besoin d'hématose des centres
nerveux
. Tantôt le bâillement est simple, tantôt il est s
ep-tique. Je dois ajouter que le bâillement pathologique, phénomène
nerveux
par excellence, n'appartient pas exclusivement à
xcellence, n'appartient pas exclusivement à la catégorie des maladies
nerveuses
proprement dites. L'ancienne séméiologie s'attach
ai eu bien souvent l'occasion de le répéter, en matière de pathologie
nerveuse
l'observation du malade qu'on a sous les yeux ne
étude. — Rien à noter, paraît-il, chez la mère, en fait de phénomènes
nerveux
. Il n'en est pas de même pour ce qui concerne la
i, en effet, on remonte dans le passé, on peut dire que les accidents
nerveux
d'aujourd'hui ne sont, en quelque sorte, que la
mois. De l'âge de neuf ans jusqu'à l'époque présente, les troubles
nerveux
s'effacent complètement. Ils ont reparu en mai de
qu'on a de bonnes raisons de considérer comme indemnes de toute tare
nerveuse
. Eh bien, je tiens à vous rendre, à présent, té
reil milieu, d'un sujet atteint de toux, d'aboiement ou de bâillement
nerveux
, puisse devenir le point de départ d'une véritabl
te, et je relevais, à ce propos, combien, dans la race, les accidents
nerveux
de tout genre, entremêlés le plus souvent avec de
naître maintes fois les nombreux méfaits des diathèses arthritique et
nerveuse
entrant en combinaison. Mais c'est là un sujet
Vous avez pu remarquer qu'au moment où le malade est pris de son tic
nerveux
, on l'entend souvent produire un bruit laryngé :
guérison, que se manifestèrent les premiers symptômes de l'affection
nerveuse
dont notre homme souffre actuellement à un haut d
mment pas de cette cause qu'ils'agit. C'est le traumatisme, le choc
nerveux
qu'il faut invoquer ici, évidemment, les circonst
urasthéniques en conséquence d'un traumatisme ou simplement d'un choc
nerveux
tend à devenir aujourd'hui de plus en plus un fai
shockin their surgicalandmedico légal aspects. London 1885). Le choc
nerveux
, la commotion nerveuse, L'émotion nécessairement
landmedico légal aspects. London 1885). Le choc nerveux, la commotion
nerveuse
, L'émotion nécessairement à peu près inséparable
nt contribuer à lui imprimer une forme grave. Mais au fond la maladie
nerveuse
se montre toujours la même quelle que soit la cau
ccasionnelles dont nous parlions tout à l'heure : traumatisme ou choc
nerveux
. On pourrait dire, au contraire, qu'il n'est pas
re, qu'il n'est pas une seule des espèces composant la grande famille
nerveuse
qui ne se soit pas montrée dans les conditions ét
rent le plus vulgairement à l'observation comme conséquence des chocs
nerveux
avec ou sans accompagnement d'une lésion traumati
opie monoculaire des hystériques : Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III p. 322. Io période épileptoïde ; 28 pér
es de nature à faire comprendre la genèse, sous l'influence du choc
nerveux
des deux névroses : hystérie et neurasthénie. S'a
tout à l'heure, les névroses que font apparaître vulgairement le choc
nerveux
ou le traumatisme. Quelques auteurs cependant don
ou le traumatisme. Quelques auteurs cependant donnent, des affections
nerveuses
qui se manifestent dans ces conditions-là, une in
mbinées. Qu'il s'agisse d'une collision de chemin de fer, d'un choc
nerveux
quelconque avec ou sans traumatisme, tremblement
nt arthritique dans la famille ; recherchons maintenant si l'hérédité
nerveuse
n'est pas en cause. S'adressant à la fois à la
e : Avez-vous connu des membres de votre famille atteints de maladies
nerveuses
ou ayant eu la tête dérangée? Le père. — Ma gra
ces industries en raison de certains accidents principalement d'ordre
nerveux
auxquels se montrent sujets les ouvriers qui trav
orcent à l'envi de bien établir les caractères spéciaux des accidents
nerveux
produits par l'action du sulfure de carbone, afin
us avons justement sous les yeux un pauvre homme chez qui l'affection
nerveuse
dont il souffre actuellement a été évidemment dév
pas à trouver exactement ce que nous cherchons ; c'est une affection
nerveuse
vulgaire, très vulgaire qu'elle va mettre en évid
ne attaque apoplectiforme a été la première révélation de l'affection
nerveuse
dont il s'agit de déterminer maintenant les carac
non seulement lorsque la maladie relève d'un traumatisme ou d'un choc
nerveux
, mais lorsqu'elle s'est développée en conséquence
les formes de l'hystérie. Après avoir montré que tous les accidents
nerveux
relevés chez notre homme appartiennent sans excep
En résumé donc, il existe vraisemblablement des affections du système
nerveux
relevant directement de l'action des vapeurs du s
sulfure de carbone et qui mériteraient de porter le nom d'affections
nerveuses
sulfo-carbonées. Il faudra s'appliquer, à l'ave
emêlés avec elles. C'est ainsi que, dans la pathologie des phénomènes
nerveux
saturnins et alcooliques, il faut savoir distingu
i appartient à l'hystérie provoquée par l'intoxication, des accidents
nerveux
relevant directement de l'intoxication, et qui, l
ui appartenant en propre, méritent seuls de porter le nom d'accidents
nerveux
toxiques. • Maintenant que notre malade s'est r
I, flg. 1 et 2. ?. Voir Charcot, Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, p. 103 et t. II,p. 132. — Là se trouvent r
e cette altération n'a pas amené la destruction complète des cellules
nerveuses
de la région, et que la restitution ad integrum e
e mécanisme de la suggestion, dans le temps où en conséquence du choc
nerveux
produit par l'accident, son état mental pouvait ê
ire ; 3° Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité
nerveuse
. Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, e
que, ni la faradisation intense de la peau ou des muscles, des troncs
nerveux
eux-mêmes, ne sont cap.ables de produirele réveil
la léthargie hypnotique. La pression sur les muscles, sur les trajets
nerveux
, ne détermine pas la contracture des muscles corr
bien entendu à la pression exercée sur les muscles ou sur les troncs
nerveux
, est un caractère inhérent à la léthargie hypnoti
st rapportée dans le 3e volume des Leçons sur les maladies du système
nerveux
. — Voir l'Appendice 11 2e Malade. Je vais m
athlète. Il est âgé de trente et un an. Il ne procède pas de gens
nerveux
et jamais il n'avait été malade avant un accident
onstances, en particulier dans les Leçons sur les maladies du système
nerveux
(t. III, 1887, p. 27 et suivantes), et plus récem
la substance grise spinale, et plus précisément aux grandes cellules
nerveuses
•des cornes antérieures : d'où l'amyotrophie cons
ompte de la situation, — de rechercher s'il n'existe pas quelque tare
nerveuse
dans la famille. Or, voici quels sont chez cett
très irrégulière, est mort paralysé d'un côté du corps. —Sa mère est
nerveuse
, très impressionnable ;la grand'mère maternelle a
e sujet, dans un nouveau travail de M. Neumann : De la prédisposition
nerveuse
dans l'étiologie de la paralysie faciale dite « «
t. (Au malade) : Y a-t-il dans votre famille quelque cas de maladie
nerveuse
autre que le bégaiement? le bégaiement en somme e
érique pris au hasard ; ne sont-ils pas au point de vue de l'hérédité
nerveuse
suffisamment significatifs ? 5e Malade. On in
probablement d'enlever le bouchon pour mettre un terme aux accidents
nerveux
. Si, au contraire, le point de départ des acciden
peu plus tard de sa famille considérée au point de vue de l'hérédité
nerveuse
: pour le moment je me borne à relever que son pè
a famille neuropathologique, ou autrement dit une maladie de diathèse
nerveuse
. Voici autant, qu'il a pu être reconstitué d'ap
'avons déjà présenté comme tel. Il est fils naturel — pas de maladies
nerveuses
bien déterminées; mais il est emporté, colère, et
généalogique, nous] ne [relevons chez les antécédents aucune maladie
nerveuse
typique, de parfait développement : seuls, peut-ê
rte, en outre des accidents à proprement parler toxiques, la diathèse
nerveuse
qui pourra ou non se traduire déjà chez lui par u
phiquement bien déterminée ; que, une fois con-tituée, cette diathèse
nerveuse
artificiellement produite pourra se transmettre a
u, créer chez un individu resté jusque-là non taré une prédisposition
nerveuse
qui pourra, suivant les lois de l'hérédité se tra
formel des parents de la jeune fille que sont survenus les accidents
nerveux
variés qu'il nous reste maintenant à décrire. E
éciale antérieure, ou qui encore, dans certains cas, crée la diathèse
nerveuse
d'où pourra naître, par le concours de circonstan
il se trouve. Personne ne veut plus l'employer à cause de ses crises
nerveuses
fréquentes et d'ailleurs terribles, et aussi à ca
ulier et oublieux. C'est ici le lieu de rappeler que les affections
nerveuses
d'ordre dynamique, sans lésions appréciables, ne
personnels et héréditaires du malade les preuves d'une prédisposition
nerveuse
accentuée. Lui-même est névropathe ; dans l'enfan
aître dans le nerf facial l'intégrité de la grande majorité des tubes
nerveux
. « Nous avons eu l'occasion, dit M. Neumann, d'
ns les antécédents héréditaires du malade la moindre trace d'une tare
nerveuse
. Le second malade, âgé de 18 ans. est également
as avoir été soumis à l'action du froid. La recherche des antécédents
nerveux
dans la famille ou chez le sujet lui-même est res
1° Chorée aiguë grave chez un jeune homme de 18 ans. — Antécédents
nerveux
héréditaires très accentués. — Rhumatisme articul
ite date du 16 novembre, trois jours après la première. Les accidents
nerveux
s'étaient rapidement aggravés : le malade est ce
duirait, vraisemblablement presque toujours, à la révélation de tares
nerveuses
des plus significatives. Nous verrons dans un ins
ne modification générale de l'organisme, et en particulier du système
nerveux
, résultant du surmenage, de l'épuisement causés p
uisse jamais être considérée comme un « équivalent » dans les centres
nerveux
, de l'affection articulaire, ou des affections vi
des représentants les plus communs, les plus vulgaires et la diathèse
nerveuse
s'associent volontiers l'une avec l'autre pour cr
sa femme. Le père du malade La mère du malade Suicide Hémoptysies
nerveuses
(?) supplémentaire S'est noyé volontairement da
s âge. Gabriel, notre malade, né le 13 avril 1871 (après le siège),
nerveux
exalté, chorée grave. Entrons dans quelques dét
ès significatif. Le côté maternel n'est pas non plus indemne de tares
nerveuses
. La grand'mère du malade a en effet souffert d'at
le hérédité, on comprend aisément qu'A...el ait toujours été un sujet
nerveux
,singulier, bizarre, irritable et qu'à la suite de
e, affirme que tous les membres de la famille « étaient excessivement
nerveux
, aussi nerveux que possible » ; on n'a jamais pu
tous les membres de la famille « étaient excessivement nerveux, aussi
nerveux
que possible » ; on n'a jamais pu en savoir plus
empes, etc. Tels ont été les premiers symptômes relatifs à la maladie
nerveuse
que nous avons à considérer actuellement. Celle-c
as de chorée vulgaire chez une jeune fille âgée de 12 ans. Hérédité
nerveuse
et antécédents personnels névropathiques très c
de 19 ans. Je faisais ressortir l'autre jour qu'à mon avis l'hérédité
nerveuse
jouait dans l'étiologie de la chorée un rôle beau
mme il figure dans leurs antécédents héréditaires ; mais les maladies
nerveuses
n'y font pas défaut non plus, et bien des fois mê
e et vous allez reconnaître jusqu'à quel point il est chargé de tares
nerveuses
. COTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Un frère du père
mort Père, 45 ans. Mère, 38 ans. tliéné à 1 âge de 30 ans. Rien de
nerveux
, pas de Plusieurs atteintes de manie Une cousin
s. Il n'est point, vous ai-je dit et répété, une seule des affections
nerveuses
dontl'ensemble forme ce que j'appelle la famille
ropathologique qui ne puisse apparaître comme conséquence du schock
nerveux
ressenti dans; un accident de chemin de fer. À sa
éciales dés collisions de trains, s'il y a production d'une affection
nerveuse
purement dynamique, c'est-à-dire ne relevant pas
sans doute, dans l'espèce, un fait de première gravité; les accidents
nerveux
dont souffre notre homme se montrent cependant ch
du larynx à l'âge de 56 ans ; la mère n'a jamais souffert de maladies
nerveuses
: réponses également négatives en ce qui concerne
négatives en ce qui concerne les autres parents. Ainsi,ni la diathèse
nerveuse
, ni la diathèse arthritique, autant qu'il le sach
qu'antérieurement à l'accident il n'a jamais souffert d'une affection
nerveuse
quelconque, il faut relever que, par contre, il a
es de l'accident. Elle est à peu près la règle dans les grands shocks
nerveux
et même dans certains cas de ce genre on peut obs
re dans le troisième volume de mes Leçons sur les maladies du système
nerveux
. (Appendice, p. 4il et suiv.) Il avait été renver
ssentit, —- à part les douleurs liées aux contusions, — aucun malaise
nerveux
, et lorsque guéri de son angioleucite, il quitta
qui ont été en j eu ; le mal s'est produit en conséquence d'un shock
nerveux
, d'un ébranlement soudain et il est intéressant d
ient introduits dans sa maison. Vous n'ignorez pas que les troubles
nerveux
qui constituent la neurasthénie cérébro-spinale o
rriez-vous penser, messieurs, que les désordres produits par le shock
nerveux
chez un homme robuste, exerçant les fonctions de
ut se développer en dehors de toute action traumatique, de tout shock
nerveux
, chez un employé de chemin de fer, agent à la vér
es de Paris à la frontière jour etnuit), et prédisposé aux affections
nerveuses
par son hérédité. Mais, même chez les agents qui
Rien n'est plus tenace quelquefois, vous le voyez, que ces affections
nerveuses
purement dynamiques cependant, et mieux eut valu
fait remarquer, il y a longtemps (Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. II, p. 163,— oette leçon date de juillet 1870
voudrait initier à la connaissance des maladies organiques du centre
nerveux
et de la moelle épinière en particulier, comme un
enté par un petit foyer de sclérose. (Extrait des Maladies du système
nerveux
, t. II. Œuvres complètes de J. M. Charcot). int
pareil fébrile plus ou moins accentué, envahit la région des cellules
nerveuses
motrices des cornes antérieures et en détruit un
ntôt survient une période de réparation pendant laquelle les éléments
nerveux
et musculaires qui n'ont été que molestés, sans ê
le à l'âge de 3 ans 1/2. 1. L'hérédité dans les maladies du système
nerveux
. 1886, p. 204. Je relèverai à ce propos que plu
re 5 empruntée au 2e volume de nos Leçons sur les maladies du système
nerveux
(t. II, fig. 5, 8, p. 181), offre précisément un
faire reconnaître la paralysie infantile comme une maladie d'hérédité
nerveuse
. Mais je ne puis vous laisser ignorer que, par
es.) 3e Malade. — Chorée molle chez un enfant de 12 ans. — Hérédité
nerveuse
. M. CnARcoT : Je voudrais, à propos du cas qui
grand fait nosologique, que même, et peut-être surtout en pathologie
nerveuse
, les espèces ou types morbides, offrent, dans la
cidation d'un très grand nombre de problèmes attenant à la pathologie
nerveuse
, surtout en ce qui concerne le diagnostic et le p
s à cet égard remontent en effet à l'année 1872. (Maladies du système
nerveux
, t. II, 1° 2° 3e et 4e leçons.) Mais nous allons
s fulgurantes tabéti-tiques, a éprouver ce qu'elle appelle ses crises
nerveuses
» Ces crises ont persisté jusqu'à ce jour. Voici
Il y a bien eu,vers cette époque-là, explosion de quelques accidents
nerveux
, tels que, étourdissements, nausées, bouffées de
inconnus » équivaut presque nécessairement au privilège de l'hérédité
nerveuse
. 2e Malade. La seconde malade qui va nous occ
car sa mère, morte de phtisie pulmonaire, était sujette à des crises
nerveuses
, sans perte de connaissance. Les antécédents pers
véritables crises hystériques. Elle avait aussi autrefois des tics
nerveux
consistant en mouvements brusques des muscles de
d'Eulenbourg et de Gnauk) où la sclérose multilocu-laire des centres
nerveux
s'accompagne de névrite optique. 1. Au membre s
térie se cachait, chez P...et, la sclérose multiloculaire des centres
nerveux
. L'examen de revision du complexus que nous avons
lérose en plaques est de toutes les affections organiques des centres
nerveux
celle qui se combine le plus souvent à l'hystérie
it il y a quelques semaines, a donné ce qui suit : Affection purement
nerveuse
. Aucune lésion organique,conservation du réflexe
z-vous quelqu'un de vos parents qui ait souffert de quelque affection
nerveuse
, de la goutte, du rhumatisme ? La mère. — Ma mè
résente, comment dans l'arbre généalogique de cet enfant, la diathèse
nerveuse
occupe une large place à côté de l'arthritisme.
'avait, dans son pays, jamais eu de Radies graves, elle n'était point
nerveuse
, elle n'avait jamais eu d'attaques de nerhV » e^e
sion qui nécessairement, autant qu'on sache, a produit dans le cordon
nerveux
, au niveau du point comprimé, les lésions de la m
que présente le 1. Voir Charcot. Leçons sur les malades du système
nerveux
. T. II p. 93. Delà compression lente de la moelle
tuber-culcux. ( Il y a lieu de remarquer en passant que les racines
nerveuses
, dans leur trajet à travers des parties aussi alt
nce ferme, le microscope faisait découvrir un certain nombre de tubes
nerveux
munis de leur cylindre axile et de leur enveloppe
éline, en somme très normalement constitués. Le nombre de ces tubes
nerveux
sains était, onle comprend, bien au-dessous du ta
gmentent par la flexion de la t. Leçons sur les maladies du système
nerveux
. T. II, p. 104 et suiv. ¿0 tête et du tronc e
te intercostale déterminée par la compression exercée sur les racines
nerveuses
à leur passage dans les trous de conjugaison ou a
motions morales, causes vraisemblables du développement des accidents
nerveux
. Il y a deux ans, en septembre 1886, lors d'un dé
ement à la présence du mal de Pott. Cependant, dans ce cas, le schock
nerveux
déterminé par l'émotion de la chute est bien le s
C'est, suivant lui, en produisant une légère, élongation des racines
nerveuses
qu'il compare de loin à l'élongation du scia-tiqu
laire est trop courte, il peut se produire une compression des troncs
nerveux
susceptible de déterminer des fourmillements, des
Il remplit les fonctions d'inspecteur dans un commissariat. Hérédité
nerveuse
très prononcée ; père exalté, instituteur, s'occu
Il s'agit dans ce cas,d'un nommé G...rges, âgé de 32 ans. Hérédité
nerveuse
très chargée,syphilis.Chez ce malade, l'évolution
ns le traitement de quelques autres affections organiques des centres
nerveux
, autres que l'ataxie locomotrice, et aussi de que
quelle la paralysie de ce genre est souvent une maladie d'hérédité'
nerveuse
, Mais je n'ai jamais été jusqu'à prétendre, bien
ue n'est jamais une affection toute locale, ne relevant d'aucune tare
nerveuse
, produite de toutes pièces en un mot par l'applic
fois, vous constaterez qu'il 1. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. II, p. 348. s'est produit dans sa situation
e d'après laquelle dansl'histoire de la maladie de Basedow,l'hérédité
nerveuse
tient une large place.La grand'mère maternelle de
us fâcheuses, puisqu'elles ont provoqué la réapparition des accidents
nerveux
qui cette fois se sont produits sous une forme gr
que en effet, c'est-à-dire durant une période de six mois, les crises
nerveuses
, avec les troubles psychiques que vous savez, n'o
s pratiquèrent l'hypnotisme sur leurs camarades et quelques accidents
nerveux
s'en suivirent. Le principal du Lycée mit bon o
doute ; mais voici le côté fâcheux. Le jeune Blan... sans antécédents
nerveux
remarqués, n'avait jamais eu d'attaques jusqu'au
ise en jeu exagérée des forces physiques, etc. ; sans parler du shock
nerveux
produit dans les grands accidents auxquels ils so
lement apprécié. Il ne faut pas oublier, d'autre part, que l'hérédité
nerveuse
n'est pas l'exclusif privilège des grands de la t
e de lui payer l'indemnité qui lui est due ; aussi tous les symptômes
nerveux
qui, jusque-là, n'étaient encore qu'esquissés, em
sont de nature à provoquer ce que l'on est convenu d'appeler le shock
nerveux
, pourront, à courte échéance, produire les mêmes
é, avant l'accident, était parfaite à tous égards ; pas d'antécédents
nerveux
personnels. On n'a pu recueillir de renseignement
e que chez les sujets rustiques des classes ouvrières, les affections
nerveuses
sans «substratum» organique, la neurasthénie, l'h
ontrairement à ce qui avait lieu chez le malade précédent, l'hérédité
nerveuse
ne fait pas défaut chez celui-ci : COTÉ PATERNE
. Aucune maladie Aucune maladie Aliénée mélan- mane; s'est suicidée
nerveuse
. nerveuse. colique en se jetant par la fenêtre.
aladie Aucune maladie Aliénée mélan- mane; s'est suicidée nerveuse.
nerveuse
. colique en se jetant par la fenêtre. Le frèr
é • sujet à de violentes colères. On voit que le tableau d'hérédité
nerveuse
est ici passablement chargé. Lui n'avait jamais é
du membre inférieur correspondant. Tels furent les premiers accidents
nerveux
qui ouvrirent la scène. Quelques jours plus tard,
me vigoureux, mais à la vérité prédisposé par hérédité aux affections
nerveuses
, et, en outre, affaibli par une maladie antérieur
as défaut dans la famille. Chez notre malade les premiers accidents
nerveux
de quelque importance se sont montrés il y a envi
72 n° 3 et 4 et the Lancet 1872. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I p. 320 — La douleur iliaque dite ovarienne
n élève de cethospice, s'occupe beaucoup et avec succès de pathologie
nerveuse
et qu'il a pu par conséquent, dans un but d'étude
tant, mais ivrogne. en tombant du haut d'une voiture. Mère, 76 ans,
nerveuse
irritable, violentes colères, épilep-tique ou hys
uelle sans l'intervention d'une cause nouvelle, on voit les accidents
nerveux
se multiplier en même temps qu'ils s'accroissent
ne du chemin de fer de Paris-Lyon-Méditerranée (1). Quelques troubles
nerveux
plus ou moins vagues, surtout des insomnies, sont
uteurs qui se sont occupés particulièrement des affections du système
nerveux
déterminées par les accidents de chemins de fer;
ependant pour ne pas continuer son travail. Tels sont les accidents
nerveux
d'ordre neurasthénique qui seuls ont régné chez n
jeune. Notre malade — Hystéro-neurasthénique. On voit que les tares
nerveuses
ne font pas défaut dans la famille Je crois utile
onduit à rattacher l'apparition plus ou moins immédiate des accidents
nerveux
jusque-là nuls, inconnus ou pour le moins restés
omme hystérique. noms et professions age antécédents héréditaires
nerveux
ou arthritiques antécédents personnels caus
ou équivalentes d'attaques rêves époque du début des accidents
nerveux
T Laf...cque, plombier, 48 ans. V. 12e leçon
ômes hystériques un an après. 1. Leçons sur les maladies du système
nerveux
. 4e édition, page 424. ýì.ËâÒóð. • ?òî;«»ò'. .,
'ai présenté ici même, il y a un an environ, à l'occasion d'accidents
nerveux
analogues à celui qui nous le ramène aujourd'hui.
deux ans, commencèrent à paraître, sans cause appréciable, les crises
nerveuses
dont la description va nous occuper, et qu'enfin,
crois devoir le répéter, n'a jamais souffert autrefois d'une maladie
nerveuse
quelconque et ne compte pas, autant qu'on puiss
e passent sans qu'on ait pu remarquer chez notre homme aucun accident
nerveux
. Il avait repris toutes ses habitudes, son travai
et où elle a acquis une grande réputation d'habileté. Pas de maladies
nerveuses
antérieures à l'affection dont il va être questio
. et 8 janv. 1873). Voir aussi les Leçons sur les maladies du système
nerveux
faites à la Salpêtrière, t. II,'1" partie. 2. A
t normal il n'y a, en quelque 1. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. ]I, 2e éclit., p. 35. 2. Voir sur ce sujet,
ont séparées par des intervalles parfaitement libres de tout accident
nerveux
; pas de douleurs fulgurantes. Les réflexes rotul
ons du type, s'allonge extraordinairement de 1. Maladies du système
nerveux
, loc. cit., p. 322. 2. 27 janvier 1884. façon
rlez-nous de vos crises gastriques. 1» Loe. cit. Maladie du système
nerveux
, 1879, p. 211. 2. J. Straus. Des ecciiymoses ta
occupent non seulement les membres inférieurs mais encore les trajets
nerveux
du domaine 1. Voir sur les accidents laryngés t
ncontrer presque toujours dans les antécédents héréditaires des tares
nerveuses
plus ou moins accentuées. Il n'en est rien chez n
tion plus haut, tous les svmptômes à relever sont relatifs au système
nerveux
. Il existe dans toutes les articulations du membr
niques qui lui ont été prodigués, nous avons vu les accidents d'ordre
nerveux
se modifier rapidement d'eux-mêmes de la façon la
i-quement et physiologiquement qu'il devra organiser dans les centres
nerveux
pourchacunde ces groupes de mouvements spécifiés,
rofesseur Weir-Mitchell, de Philadelphie, sur les maladies du système
nerveux
chez la femme, publié en 1885 (1), le passage sui
comptent parmi les prédisposés par hérédité à contracter des maladies
nerveuses
. Les troubles moteurs abasiques se manifestent d'
ce genre d'intoxication. Peut-on en dire autant des autres accidents
nerveux
, et en particulier de l'abasie qui se sont, par l
us faut passer rapidement en revue les diverses affections du système
nerveux
qui peuvent être considérées comme relevant direc
nt, nos connaissances précises relativement aux affections du système
nerveux
qui peuvent survenir en conséquence de l'intoxica
e l'intoxication par l'oxyde de carbone. Il est toutefois une maladie
nerveuse
dont on pouvait s'attendre qu'elle viendrait un j
sur leur compte il ne peut rien dire de précis. Sa mère n'était pas
nerveuse
; elle est morte à 60 ans, hydropique. Une sœur
les membres qui ont survécu portent avec eux pour la plupart une tare
nerveuse
plus ou moins accentuée : Père Alcoolisme — S
ler le sommeil. On les voit figurer souvent chez les enfants issus de
nerveux
et qui ont été eux-mêmes, plus tard, victimes de
de nerveux et qui ont été eux-mêmes, plus tard, victimes de maladies
nerveuses
diverses. À partir de l'âge de 14 ans, il est d
res héréditaires névro pathiques fort accentuées ; les dispositions
nerveuses
du sujet se révèlent en conséquence dès l'enfance
i fortement ébranlé une perturbation plus profonde encore des centres
nerveux
, est venue fournir en quelque sorte le dernier ap
mettre. Il affirme qu'il n'y a pas eu dans sa famille d'antécédents
nerveux
. A cet égard, je me permettrai de ne pas l'en cro
ce. C'est vers la même époque qu'ont commencé à paraître des crises
nerveuses
convulsives, qui n'ont pas cessé de se manifester
'a pas cessé de fréquenter, tantôt les hôpitaux lorsque les accidents
nerveux
dont il souffrait le laissaient à peu près calme,
e l'a pas ménagé. Lui aussi est un dégénéré, et cette fois l'hérédité
nerveuse
nous sera facile à établir. Son intelligence est
sa femme et ses enfants. La pauvre malheureuse était, paraît-il, très
nerveuse
. Elle est morte pendant le siège. Après la mort
développement de cette maladie d'enfance, je relèverai que les tares
nerveuses
ne font pas défaut dans la famille du malade. Sa
ienne surtout comme on l'a voulu prétendre, qu'une maladie d'hérédité
nerveuse
. Ils pourront contribuer peut-être du même coup à
nt dans les membres paralysés, une atrophie dégénérative des troncs
nerveux
émanant des parties altérées des cornes antérieur
aire, primitive elle-même et indépendante de toute lésion des centres
nerveux
? Après quoi, la myopathie étant classée, catégori
itée aux cornes grises antérieures; l'altération des grandes cellules
nerveuses
étant d'ailleurs une condition nécessaire, sine q
peut évoluer, on le sait bien t. Leçons sur les maladies du système
nerveux
etc. t. II. Voir onzième leçon, p. 213 et quatorz
Policlinique du Mardi 28 Mai 1889 DIX-NEUVIÈME LEÇON Accidents
nerveux
provoqués par la foudre. Messieurs, Je saisis
er un sujet chez lequel nous pouvons étudier ensemble divers troubles
nerveux
qui relèvent plus ou moins directement de la fulg
s, 1855. 59 peut produire chez l'homme, on a signalé des troubles
nerveux
divers et plus particulièrement des paralysies. D
ort survient après quelques jours, en sont quittes pour des accidents
nerveux
, en général bénins et de courte durée, parmi lesq
e voyez, messieurs, je tiens à vous le faire bien remarquer, la santé
nerveuse
de D... cy était incontestablement déjà fort ébra
sprits forts » élevés à l'école du nihilisme en matière de pathologie
nerveuse
, dont le nombre tend à décroître chaque jour à me
sthénique, tels que douleur en casque, la plaque sacrée, la dyspepsie
nerveuse
, etc, et vous aurez rassemblé une collection de f
it retrouver en effet, chez notre foudroyé, la plupart des phénomènes
nerveux
que nous avons vus se produire tant de fois, dans
t à l'accident. Et puis, il faut se demander si les premiers troubles
nerveux
apparus immédiatement après la fulguration, au mo
stériques, tout comme elles détermineraient l'apparition d'affections
nerveuses
d'un autre ordre, la chorée, l'épilepsie par exem
les concernant l'hystérie, l'hystérie masculine surtout, les troubles
nerveux
divers qui s'observent chez les foudroyés. La p
pital du Midi. Il est issu d'un père émotif qui a eu plusieurs crises
nerveuses
(?) et d'une mère également nerveuse mais sans cr
motif qui a eu plusieurs crises nerveuses (?) et d'une mère également
nerveuse
mais sans crises. Lui, a été autrefois atteint de
en valeur : 1° Dans les cas de fulguration, en outre des accidents
nerveux
qui relèvent directement de la commotion électriq
Symptomatologie de l'hystérie, sont souvent cités parmi les troubles
nerveux
qui se développent en conséquence de la fulgurati
muniqués par M. Dutil, interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
.) vements involontaires de la tête chez les deu
le. Mais il n'y a à cet égard rien de bien accentué. Sa mère est très
nerveuse
, sujette à des colères sans frein : elle a plusie
ans lorsque cet événement eut lieu. Du côté maternel : grand'mère «
nerveuse
», c'est tout ce qu'on en sait ; elle serait mort
t jamais été malade; sa santé était parfaite, seulement il était très
nerveux
, très émotif ; d'ailleurs élevé par sa mère, dans
lever au-dessus des rangs les plus modestes. Les premiers accidents
nerveux
bien caractérisés qu'il ait éprouvés remontent à
nnaissance. La crise se calmait de temps à autre ; puis les accidents
nerveux
reparaissaient comme de plus belle. Pendant près
pendant ce temps le malade ne put pas quitter le lit. Les accidents
nerveux
, au bout de cette période, s'étant amendés, il vo
tub et des bains de rivière. Il n'est pas du tout ce qu'on appelle un
nerveux
et n'a jamais donné de signes d'émotivité maladiv
nt de ces cas typiques. Nous ne trouvons pas ici, en effet, les tares
nerveuses
héréditaires, les antécédents névropathiques, l'a
» dont il se plaint parfois, on ne lui trouve aucun symptôme d'ordre
nerveux
surajouté à l'abasie. Entre autres, pas de troubl
n faut, une règle absolue, les lésions dites dynamiques des centres
nerveux
cèdent volontiers la place aux lésions anatomique
2. Dans la première édition des leçons sur les maladies du système
nerveux
de M. Gharcot (1874) la syringoymélie est signalé
que nous avons établis à propos de la sclérose en plaques des centres
nerveux
. Quoi qu'il en soit, en lui rendant, pour la pr
rice, comme je l'ai dit ailleurs, des maladies organiques des centres
nerveux
. Jamais le clinicien avisé ne devra un instant la
ultiples ; celles-ci, tantôt sont comme infiltrées parmi les éléments
nerveux
qui peu à peu tendent à disparaître ; tantôt elle
gliomatose médullaire. La compression ou la destruction des éléments
nerveux
est seule la condition indispensable. Parmi les l
ue suivant le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules
nerveuses
motrices,) et les zones radiculaires antérieures
servations qui paraissent parfaitement authentiques, que les éléments
nerveux
qui dans les cornes postérieures servent à la tra
ou moins directement d'une affection de certaines parties des centres
nerveux
ou des nerfs périphériques. Ces troubles trophiqu
la lèpre anesthésique, les diverses affections organiques du système
nerveux
que, dans la pratique, on a cru, le plus souvent
seulement la lésion plus ou moins profonde que subissent les éléments
nerveux
des cornes antérieures et postérieures en présenc
le, les mêmes conditions anatomo-pathologiques relatives aux éléments
nerveux
se trouveront reproduits. Gela est évidemment dan
s travaux récents relatifs à 1. Gharcot. Leç. sur les mal. du syst.
nerveux
, t. Il, p. 275, 276, 1886. 69 la Symptomatolo
un homme vigoureux, solide. Jamais il n'avait été atteint d'affection
nerveuse
jusqu'à il y a trois années; et on n'a pas relevé
é maternel : Sa mère est morte subitement à 69 ans : elle n'était pas
nerveuse
et n'avait jamais été malade. Un oncle vit encore
sa santé resta parfaite. 11 n'éprouvait aucun malaise, aucun trouble
nerveux
notamment, lorsqu'il fut victime d'un accident de
ou moins vive, une émotion soudaine. On dit alors qu'il y a eu shock
nerveux
. Cette expression fait image ; mais elle ne saura
trop à la lettre et ne pas s'imaginer, sous prétexte que dans « shock
nerveux
» il y a « shock », qu'un sujet qui devient hysté
spine ou de la névrose traumatique, nous demanderons en quoi le shock
nerveux
éprouvé par un individu qui voit avec terreur une
i,mais qui peut se sauver à temps sans être atteint, diffère du shock
nerveux
de tel autre individu qui apprend tout à coup qu'
senti au moment où la foudre tombait sur un lieu éloigné. Le « schock
nerveux
» produit par l'éclair, le bruit de la foudre son
un de ses parents dans la ligne collatérale fût atteint d'une maladie
nerveuse
quelconque. 11 a quatre enfants qui jouissent d'u
i syncopes, H... n'en est pas moins, comme il le dit lui-même, « très
nerveux
, » très impressionnable;parfois il s'émeut d'un i
ctère que la précédente, avec cette différenee toutefois que le shock
nerveux
a déterminé immédiatement une attaque d'hystérie
... 72 3°. Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité
nerveuse
. Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, e
N 1°. Chorée aiguë grave chez un jeune homme de 18 ans. Antécédents
nerveux
héréditaires très accentués. Rhumatisme articulai
. Cas de chorée vulgaire chez une jeune fille âgéede 12 ans. Hérédité
nerveuse
et antécédents personnels névropa-thiques très ch
. . 162 3° malade. — Chorée molle chez un enfant de 12 ans. Hérédité
nerveuse
...................... 171 NEUVIÈME LEÇON l01'
manie combinées . . .............. 419 DIX-NEUVIÈME LEÇON Accidents
nerveux
provoqués par la foudre........ . . 435 VINGTIÈ
on, 93. — et epilepsie, 95. — et hystérie, 35, 99, 288. — et maladies
nerveuses
, 93. — Hallucinations, 390. — Rêves, 288, 389.
ar l'oxyde de carbone, 369. — dans la paralysie alcoolique. — et choc
nerveux
, 133. Amnésie traumatique, 317. — et automatism
harcot, 35, 54, 179, 277, 362, 418, 487, 501, 527, 533, 534. Choc
nerveux
. (Voy. Sfiock.) Chorée (Ch. vulgaire, Ch. de Sy
thme et cadence dans la, 5. Classe ouvrière (Pronostic des maladies
nerveuses
dans la), 261. Clinique (de la Méthode), 25.
a paralysie infantile, 144,146, 408.--dans la syringomyélie, 502. —
nerveuse
, 6, 92, 420. — nerveuse des juifs, 11. Herpin,
44,146, 408.--dans la syringomyélie, 502. — nerveuse, 6, 92, 420. —
nerveuse
des juifs, 11. Herpin, 118, 289. Hirtz, 536.
es, 389. Hystérie.— épilepsie et morphino-manie, 420, sq. — et Choc
nerveux
, 132. — et Dégénérescence, 392, 393, 395, 399, 40
ans le grand hypnotisme, 10. Intellectuel (Surmenage).— et maladies
nerveuses
, 93. Ischias arthritica, 25, 27. Ischias nerv
. ^;'« Joffroy, 54, 243, 490. 51 1. Jouet, 432. Juifs.— (Hérédité
nerveuse
chez les), 11, Névropathie des, 348. K Kaempf
la sclérose en plaques, 164. N Nacrée (Papille du tabès), 164.
Nerveuses
(Maladies). — et rhumatisme, 114. — et Traumatism
nie). —Cérébro-spinale, 438. — Dans la classe ouvrière, 256.— et choc
nerveux
, 132, 139,200.—ethystérie, 31. — et hystérie (Hér
, 487. Onanoff, 200, 204. Onimus, 460. Ophthalmologie en pathologie
nerveuse
, 152. Oppenheim, 119, 288, 336, 423, 488, 527,
achyméningite cervicale hypertrophique, 536, 537. Rêves. — chez les
nerveux
, 372.— dans l'alcoolisme, 288, 389. — dans la par
humatisme articulaire. — et chorée, 104? 113, 114, 130. — et maladies
nerveuses
, 114. Rhythme. — dans le bâillement, 2. — dans
attler, 417. Saturnisme, 84. — et hystérie, 121 sq. — et maladies
nerveuses
, 93. Sayre (Corset de), 200, 204, 209. Schiff,
202, 204, 212, 213, 214, 216. Shakespeare, 5, 53, 93, 197. Shock
nerveux
, 131 sq. 136,138,534, 543. — et amnésie, 133. —
épileptique, 323. — et épilepsie, 322 — et hystérie, 30 — et maladies
nerveuses
, 30. — et neurasthénie, 30. Traumatismes de la
MALADIES DES MALADIES MENTALES DES MALADIES CUTANÉES ET DU SYSTÈME
NERVEUX
. SYPHILITIQUES PAR ' PAUL RICHER GILLES DE l
ue le siège de la sclérose.) 4 JOUKOWSKY couche de la substance
nerveuse
de la paroi interne de la corne postérieure. Un
LCifcutc uc fctuucnc Il se sépare par une mince couche de substance
nerveuse
. L'écorce du coin, u se sépare par une mince co
se. L'écorce du coin, u se sépare par une mince couche de substance
nerveuse
. L'écorce du coin, qui borne la lèvre supérieur
a destruction ne se sépare que par une mince couche de la substance
nerveuse
de la corne postérieure. L'écorce de la partie
- lissement ne se sépare que par une mince couche de la substance
nerveuse
de la corne postérieure. Une partie de l'écor
tion dans une partie des éléments moteurs, et sensoriels du système
nerveux
. Ce n'est qu'en admettant un processus anatomiq
ésitons pas à re- jeter l'idée d'une origine corticale des troubles
nerveux
, cette supposition serait en effet très invrais
nsi que nous le verrons plus loin, mais leur étude dans les centres
nerveux
n'a pas été spécialisée ; leur aspect et leur évo
ec l'observation anatomique du parasite lui-même et de la substance
nerveuse
où il s'est développé, quelques considérations
ge du kyste ne nous a pas montré d'altération appréciable des tubes
nerveux
colorés par la méthode de Weigert-Pal. Au poi
ègle, en ce qui concerne le siège des cysticerques dans les centres
nerveux
. C'est là qu'on les rencon- tre le plus souvent
suppression brusque ou rapide de l'ap- port sanguin ; les éléments
nerveux
subissent des modifications moins profondes et
e qui amène la déchéance fonction- nelle et anatomique des éléments
nerveux
. C'est de cette façon du moins qu'il nous sembl
à une plus grande friabilité des conduits sanguins. 4. Substance
nerveuse
(axe gris et faisceaux blancs). - Le relevé topog
re la nomencla- ture complète des lésions en foyers de la substance
nerveuse
. Il montre bien que les dégénérescences seconda
'apparition de ces foyers de lésions destructives dans la substance
nerveuse
- faisceaux blancs et substance grise - coïncide
histo- logique, soit par une dystrophie généralisée de la substance
nerveuse
(tissu parenchymateux et tissus interstitiels).
que une atrophie partielle de la moelle. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA. HYDROPISIE DU
lication de mes premières recherches sur les difformités du système
nerveux
central dans le spina bifida, j'ai eu l'occasion
loff.) \I1 ? c : ("\n x ri.. F,htf'l1r LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 119 séparées des h
. l'h ! Jt')I\I'IC BI'IIILa,nl, r'nrls LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA 1SIFIDA 121 latéral). Les
ouvrant la partie dorsale de la (null) LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 123 moelle épinièr
de la sub- stance gélatineuse de Rolando on voit partir des fibres
nerveuses
arciformes, correspondant au nerf accessoire de
9NIN11d7VS V7 3Q 3111dVNOOOJ1 3'I'I3hOON LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA B1FIDA 125 entre le faisc
artie postérieure de la moelle allongée. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 127 L'intérêt de c
e.) TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. (Hospice de la SALI'ÊTnItBE). DESCRIPTION D'
djoint du laboratoire de la Clinique de radiographie des maladies
nerveuses
de la Salpêtrière Les malformations qui peuvent
à celles qui nous occupent on a voulu voir une influence du système
nerveux
central sur le développement des parties malfor
ur la plupart à la période embryonnaire, à une époque où le système
nerveux
central est en pleine période de développement, o
rteurs de difformités congénitales on trouve des lésions du système
nerveux
dans les parties correspondant aux régions de l
s probable. DE LA CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET DES AUTRES AFFECTIONS
NERVEUSES
PROFESSIONNELLES OBSERVATIONS DE PARALYSIE CHEZ
onsulter, et plus particulièrement ceux qui présentent les troubles
nerveux
que nous allons étudier. Il est, certes, assez
e guérir ou tout au moins d'arrêter dans leur marche les affections
nerveuses
professionnelles par la suppression complète des
t de notre sujet et toute la difficulté du traitement. Ces troubles
nerveux
sont très fréquents dans la pratique journalièr
en étudiant ici quelques-uns d'entre eux. Sous ce nom affections
nerveuses
professionnelles, nous comprenons tous les trou
s professionnelles, nous comprenons tous les troubles fonctionnels,
nerveux
ou musculaires, survenant à la suite de l'usage
, . il est mieux d'étudier ici quelques autres types des affections
nerveuses
professionnelles. OBSERVATION ! . Le premie
male. L'anesthésie n'accompagne pas habituellement les affections
nerveuses
pro- fessionnelles. Dans le cas présent, on peu
iment parfaitement tonique et parti- culièrement électif du système
nerveux
. Grâce à cette médication, le malade est sûreme
e morue et du malt. Chez elle, nous devons noter une prédisposition
nerveuse
: céphalalgie, boule et autres symptômes hystér
boule et autres symptômes hystériques. Le pronostic des affections
nerveuses
professionnelles est en général bon, et l'on pe
igoureuse, employée au « Post office ». Elle se plaint de faiblesse
nerveuse
, dit-elle, presque subitement, il y a 2 ans. A vr
sse position des muscles de l'épaule, qui est la cause des troubles
nerveux
. Devenant incapable d'assurer, dès lors, la tra
battre. Ces quatre cas sont des exemples typiques de ces affections
nerveuses
professionnelles que nous rencontrons journelle
affection. Le diagnostic est en général facile pour les affections
nerveuses
profes- sionnelles, qui sont toujours occasionn
as ne rentrent pas dans notre cadre. La pathogénie des affections
nerveuses
professionnelles est encore très obscure ; les
; soit dans le muscle lui : même, soit dans cette partie du système
nerveux
qui comprend la cellule multipolaire des cornes
s cornes antérieures de la moelle, le nerf moteur et sa terminaison
nerveuse
intra-musculaire. On peut rejeter, je crois, la p
dans lequel nous observons les différents symptômes des affections
nerveuses
professionnel les. Enpremierlieu, nous rencontr
nous en- seigne que le fonctionnement répété et forcé d'un élément
nerveux
amène avec le temps son atrophie, puis sa destr
individu prédisposé, par exemple, à la dégénérescence des éléments
nerveux
arrivera probablement à la pa- ralysie, tandis
nécessité par les diverses profes- sions, pour produire l'affection
nerveuse
professionnelle. Notre premier malade s'est ser
ée du travail. Dans cer- tains cas, on rencontre une prédisposition
nerveuse
héréditaire ou acquise; qui peut jouer un grand
des parents. Quelquefois on trouve une histoire familiale de crises
nerveuses
, de troubles mentaux, de paralysie, etc. Le ner
nous semblent avoir une action élective sur la nutrition du système
nerveux
. On doit aussi rechercher et traiter toules les
e l'artiste a copié plus ou moins fidèlement était atteint de lèpre
nerveuse
. Cette forme de lèpre, sans doute fréquente alors
xagéré. Ni sucre, ni albumine : pas de polyurie. Du côté du système
nerveux
, on note EXPLICATION DE LA PLANCHE XXIV Fw. 1
de leur développe- ment. (Obj. DD; oc. 4 Zeiss.) Fic. 4. Cellule
nerveuse
de l'écorce en chromatolyse périphérique. Gonfl
otoplasmiqne. (Obj. immers 1/12; oc. 4 Zeiss.) Fic.. 5. - Cellule
nerveuse
de l'écorce en chromatolyse périphérique avec g
protoplasmique. (Obj. immers i/12; oc. i, Zeiss.) Fig. 6. Cellule
nerveuse
dont le noyau, refoulé à une extrémité, est enc
ès légèrement. (Obj. immers 1/12; oc. 4, Zeiss'.) FIG. 7. Cellule
nerveuse
de l'écorce, en- vahie par le heuronophage. Le
de nucléose. (Obj. immers 1/12; oc. 4, Zeiss.) Fic.. S. Cellule
nerveuse
de l'écorce, presque complètement disparue sous
euronophages. (Obj. immers 1/12; oc. 4, Zeiss.) Fin. 9. - Cellule
nerveuse
de l'écorce dont le protoplasma, en partie détr
leuco- cyte. (Obj. immers 1/12; oc. 4 Zeiss.) FIG. 10. - Cellule
nerveuse
de l'écorce en achromatose. (Obj. immers 1/12;
achromatose. (Obj. immers 1/12; oc. 4 Zeiss.) Fis. 11. Cellule
nerveuse
de l'écorce dont le noyau est à peine indiqué p
de processus angiolithique, ni de calcification. Pas trace d'élément
nerveux
dans le néoplasme. L'examen histologique de l
ne sclérose névroglique intense, proliférante, étouffant les fibres
nerveuses
tout le long du tractus op- tique. ' L'examen
actérisée par une sclérose névroglique intense étouffant les fibres
nerveuses
, ainsi que le démontre la figure de la planche
odifications que chaque jour apporte dans la technique du sys- tème
nerveux
, les divergences de vues émises par les auteurs q
canal rachidien, elles ne s'insinuent jamais au milieu des éléments
nerveux
, elles les refoulent, les tassent ; quelquefois m
les tassent ; quelquefois même leur évolution les éloigne du tissu
nerveux
, puisqu'elles peuvent se développera la sur- fa
une première, ce sable serait dû à l'ossifi- cation de la substance
nerveuse
; el dans une autre, il accuse la myéline épanc
e sur différents points et nous avons recherché l'état des cellules
nerveuses
. Technique employée. Durcissement au formol, co
es-ci sont telles qu'on ne reconnaît que difficilement les éléments
nerveux
. En effet les cellules sont ratatinées, aplatie
- cée, plus la cellule est gonflée. On trouve,à côté des cellules
nerveuses
,un nombre considérable d'éléments plus petits q
urologie, 1899. (2) NAGEOTTE et L ? fTLI\G6lt, Lésions des cellules
nerveuses
dans les intoxications et les infections. Press
EbCO, Des lésions primitives et des lésions secondaires de la cellule
nerveuse
, Société de biologie, 1896. Dps polynévrites en
avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellules
nerveuses
, Revue de Neurologie, 1896. Pathologie gé- néml
ses, Revue de Neurologie, 1896. Pathologie gé- némle' de la cellule
nerveuse
, Presse médicale, 1897. Hiblopal1wlogie de la cel
sco, loc. cil. et Elude sur l'évolution et l'involulion de la cellule
nerveuse
, Revue de neurologie, 1899. Les phénomènes de r
ue de neurologie, 1899. Les phénomènes de réparation dans les centres
nerveux
après les sections des nerfs périphériques. Pre
(5) Ossipopp, Influence de l'intoxication bolulinique sur le système
nerveux
central, Annales de l'Institut Pasteur, 1900.
teur, 1900. (6) MOLIIIITOFP, De l'action des toxines sur le système
nerveux
, Société de Neurologie et de Psychiatrie de Mos
seaux et les cellules. Ils semblent appelés à détruire les cellules
nerveuses
qui ont perdu toute valeur fonc- tionnelle et t
éraliser à tous les éléments mésodermi- ques. - Dans la substance
nerveuse
, le même phénomène phagocytaire se cons- tate d
taire se cons- tate dans toute une série d'affections où la cellule
nerveuse
est atteinte de façons différentes; cependant l
ait vu la pénétration des leucocytes dans l'intérieur de la cellule
nerveuse
. Dans le lobe électrique de la torpille, après
ui grâce à leurs mouvements amiboïdes pénétraient dans les cellules
nerveuses
pour les détruire. Ce sont donc bien les globules
llules névrogliques. Van Gehuchten et Nelis, étudiant les ganglions
nerveux
dans l'infec- tion rabique, ont signalé la prés
présence de leucocytes en très grande abondance autour des cellules
nerveuses
;et, d'autre part, la prolifération des cellules
hagie est appliqué par Marinesco (4) à l'englobe- ment des cellules
nerveuses
par la névroglie. Cet auteur, qui fait la part la
apporte à la névroglie la présence de noyaux entourant les cellules
nerveuses
dans des cas de méningites et d'encéphalites. D
t intervenir les leucocytes seuls, dans la destruction des cellules
nerveuses
. Franca et Athias (6) reprennent la question ch
r du cône d'origine de l'axone, restent assez éloignés des cellules
nerveuses
ou, si elles s'en rapprochent, ne pénétrent jam
ément la névroglie prolifère pour combler la place que les éléments
nerveux
laissent après leur dis- parition. Cette manièr
eurologistes, Angers, 1898. (5) Pugnat, La destruction des cellules
nerveuses
par les leucocytes. Compt. rend. Soc. Biologie,
le râle joué par les leuco- cytes dans la destruction des cellules
nerveuses
. Compt. rend. Soc. Biologie, 1890. (1) Ossipof
ssu cicatriciel. Les deux savants belges rapprochent la phagocytose
nerveuse
de la phagocytose musculaire. Le tissu interstiti
cytose nerveuse de la phagocytose musculaire. Le tissu interstitiel
nerveux
est comparable au myoblaste qui renouvelle le m
mps que l'élément névroglique. Mais très probablement, les cellules
nerveuses
sont d'autant moins résistantes qu'elles sont p
leucocytaire. Les leucocytes se précipitent donc vers les cellules
nerveuses
, peut-être, suivant une hypothèse de Ranvier, p
enir dans leur lutte. Accumulés en grand nombre autour des cellules
nerveuses
malades ou mortes, ils jouent peut-être un rôle d
dans ses antécé- dents héréditaires. Il n'y a ni crises ni maladies
nerveuses
dans sa famille. En dehors d'un point sur leque
ables au développe- ment du dermographisme : d'une part, un système
nerveux
spécialement susceptible, d'autre part, un toxi
sa fille, les crises n'auraient pas reparu. - Pas d'autres maladies
nerveuses
dans la famille. Il n'y a rien à noter dans ses
artère. Très légères varices aux membres inférieurs. - V. Système
NERVEUX
. - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sai
formation de neuro- diélectriques dans l'intérieur des conducteurs
nerveux
, et aux décharges consécutives à la tension ner
des conducteurs nerveux, et aux décharges consécutives à la tension
nerveuse
en amont de ces neuro-diélectri- ques (1). Le
s bretons. Les neuro-diélectriques qui interceptent les ondulations
nerveuses
se manifestent chez lui : 1° par une paralysie
; et il suffit, comme on va le voir, à expliquer tous les symptômes
nerveux
de notre malade. Pour la facilité de l'interp
'ailleurs que la douleur sera d'autant plus intense que la pression
nerveuse
sera plus élevée dans ces neurones. Je suis a
charger sur les neurones voisins. Il en résulte que les ondulations
nerveuses
, après avoir déterminé l'élévation de la pression
e médicale, 1899, p. 113). (2) E. IBussnon, Leçons sur les maladies
nerveuses
(Salpêtrière, 1893-1894),XXI" leçon. NOEVUS VEI
l existait pour chaque couleur un système parti- culier de cellules
nerveuses
et que ces diverses cellules se trouvaient in-
générale de la contracture me paraît assez simple. Des ondulations
nerveuses
qui résultent de la transformation des mouvements
immédiate, et plus considérable qu'à l'état normal, des ondulations
nerveuses
vers les ré- gions mêmes qui sont excitées. C'e
it naître, par une excitation, un nombre considérable d'ondulations
nerveuses
. Un autre réflexe fut exagéré chez notre malade
u'enfin ils parviennent à conserver leurs relations avec le système
nerveux
vésical. Alors, la ré- plétion de la vessie ent
de laztlso-coaastrictioat. J'arrive à la plus apparente des lésions
nerveuses
que présente notre malade, à la paralysie des v
x de la peau. Il n'est pas possible en effet de douter de l'origine
nerveuse
de ce naevus dont les taches s'arrê- tent sur l
n X n'), d'où une vaso-paralysie plus étendue. Où siège la lésion
nerveuse
qui donne lieu à ce naevus ? Ce qu'on peut dire
ion d'un ou plusieurs nerfs ni à celui d'une ou plusieurs ra- cines
nerveuses
. Cette lésion, qui est une lésion diffuse, sièg
l'i Il 21 1 13 22 23 -2li 27 / DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LA SPINA BIFIDA (N. Solnvtzo). M
). M : 1 ? on & 0< : . fditenl" LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DA\5 LR SPINA BIFIDA. HYDROPISIE DU
s'amoindrir, surtout dans sa partie au- LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 233 térieure et da
iteurs l'hutot) /,11 Heilliauil, Paris LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CEITRAL DANS LE SPINA BIFIDA 255 placent dans s
moelle allongée, elle n'est presque pas LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA B1FIDA 257 indiquée, mais
disposée des deux côtés de la moelle et LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 2a9 contenant les
p; Cie, Editeurs I limtullpr IlcnhauJ, LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 261 deux côtés, pa
ons dit jusqu'à présent, nous voyons que les difformités du système
nerveux
central dans le spina bifida concernent surtout
de la colonne vertébrale, provoquée par LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 263 l'accumulation
quatrième ven- tricule, étendu en bas. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 265 Ainsi, comme l
, 4 Homme de 26 ans, spina bifida latent révélé par divers troubles
nerveux
et trophi- ques. Pas d'hypertrichose dorsale
peler 1 ! 'ussi « maladie de Marie ». Nous avons trouvé à la clinique
nerveuse
de la Salpêtrière un nouvel exemple d'achondrop
xcellente. Son coeur, ses pou- mons, son tube digestif, son système
nerveux
sont de constitution nor- male. Son intelligenc
s, lésions spécifiques des autres organes, testicule, foie, système
nerveux
, sont des signes différentiels suffisants. D'ai
stétrique). Ces auteurs ont constaté aussi des lé- sions du système
nerveux
, mais ne mettent point les lésions osseuses sous
t, disent-ils, de rechercher et de mettre en évi- dence ces lésions
nerveuses
qui, par leur nature, tendent à démontrer l'ori
de ce doigt. On ne peut trouver cette artère, pas plus que le filet
nerveux
qui l'accompagne. On ne voit que du tissu adipeux
e tendance à la cyanose. ' Antécédents héréditaires . Sa mère, très
nerveuse
, est morte, à 68 ans, d'une maladie du coeur qu
ments affectueux pour ses parents. L'examen méthodique du système
nerveux
n'ajoute rien il ce qui vient d'être décrit. W.
qui est devenu classique ; les mêmes causes portant sur un système
nerveux
à texture plus ou moins atypique créeront un hy
'il devient habituel, provoquer un état de torpeur ou un épuisement
nerveux
durable qui constitue un état neurasthénique. L
enne ? Les théories modernes considèrent les phénomènes de l'urémie
nerveuse
comme étant sous la dépendance pres- que unique
in- toxication, il faut aussi viser dans la pathogénie de l'urémie
nerveuse
le facteur hypertension. L'hydropisie ventricul
nt de multiples analogies avec le syndrome bien connu en pathologie
nerveuse
de l'hyper- tension du liquide céphalo-rachidie
s par exemple. Il y aurait donc lieu de différencier, dans l'urémie
nerveuse
, les symptômes fonction d'intoxication et les sym
orachidien. - Or, la constance de cette hypertension, dans l'urémie
nerveuse
, n'est pas encore démontrée : et, d'ailleurs, l
ien prouvé dans la doctrine de l'urémie, en général, et de l'urémie
nerveuse
en particulier, c'est l'origine toxique des acc
, l'électivité particulière des poisons cancéreux pour le sys- tème
nerveux
est également démontrée (2). Klippel distingue
cancer étudié au point de vue de son action générale sur le système
nerveux
. « Comme cachexie, la maladie s'accompagne d'une
s profonds de la nutrition, atteignant tous les organes, le système
nerveux
y compris. » Appliquant cette notion générale à
emperer, llommclaire, Jaccoud, Albarran. (2) Klippel, Les accidents
nerveux
du cancer. Archives générales de médecine, 1899.
, penser que « peut-être, à côté des systématisations des faisceaux
nerveux
, il y a une systématisation de la circulation l
'origine première et l'évolution de certaines affections du système
nerveux
». En appliquant ces idées théoriques et ces do
roglique ou leucocytaire qui semblent jouer, vis-à-vis des cellules
nerveuses
, un rôle neuronophagique sur lequel nous avons in
ération ni dans les viscères, ni dans les autres parties du système
nerveux
. Examen histologique. - Tumeur. Après décalcifi
nt, les fibres tangentielles sont peut-être raréfiées. Les cellules
nerveuses
des diverses couches sont normales comme nombre,
s produits toxiques sécrétés par la néororll¿ati01 sur les éléments
nerveux
. Militent en faveur de cette hypothèse certains
rébelleuse el dans un de ces cas de pratiquer l'exa- men du système
nerveux
. L'observation clinique du malade dont j'ai exa-
ux. L'observation clinique du malade dont j'ai exa- miné le système
nerveux
a été déjà le sujet de plusieurs publications.
ute la substance grise une diminution énorme du nombre des cellules
nerveuses
. Les cellules qui existent encore sont tantôt n
rmal. F. Coupe du nerf optique droit. Les fas- cicules des fibres
nerveuses
sont plus minces que ceux du nerf gauche; ils
a remarquable thèse de M. Londe. Le résultat de l'examen du système
nerveux
de ces deux cas, excepté des petites différences,
ans ce dernier cas, mais le résultat obtenu par l'examen du système
nerveux
est différent. C'est pourquoi P. Londe considère
ner- veux et un système vasculaire débiles. La débilité du système
nerveux
ne l'intéresse pas tout entier mais porte seule
squ'à un certain âge il n'existe pas de troubles du côté du système
nerveux
, du moins pas de troubles appréciables, caries va
e quelcon- que, ils ne peuvent plus suffisamment nourrir le système
nerveux
. Les parties résistantes ne réagissent pas sous
., premiers indices des troubles cérébelleux. Plus Lard, le système
nerveux
commence à se ressentir de la diminution de la nu
à maladie. Si à ce moment survient la mort nous trouvons le système
nerveux
atrophié comme il l'est dans les cas de Fraser,
ème vasculaire sont plus profondes, ou la prédisposition du système
nerveux
plus grande, le processus d'atrophie va plus lo
va plus loin et se manifestera par une dégénéres- cence des fibres
nerveuses
. La dégénérescence se produira en premier lieu
débile, mais elle peut atteindre aussi d'autres parties du système
nerveux
par suite des lésions des vaisseaux,comme les v
pouvait pas produire une atrophie d'une certaine partie du système
nerveux
. La partie atteinte doit avoir une certaine pré
te une dégénérescence dans les parties moins résistantes du système
nerveux
. Ce processus pathologique peut aussi se produi
nt par présenter des lésions. De cette façon les lésions du système
nerveux
dans l'hérédo-ataxie céré- belleuse auront touj
ires et d'un, plus ou moins grand arrêt de développement du système
nerveux
(1). (1) Je ne puis mieux terminer qu'en exprim
le, 1893. KLIPPEL ET DubANiE, Contribution à l'élude des affections
nerveuses
familiales et héré- ditaires, Revue de Médecine
HAUTES ÉTUDES. RECHERCHES SUR LA STRUCTURE ANATOMIQUE DU SYSTÈME
NERVEUX
CHEZ UN ANENCÉPHALE EN RAPPORT AVEC LE MÉCANISM
ui ont facilité l'étude scientifique et l'examen minutieux du tissu
nerveux
. Pour toute la partie historique nous renvoyons
rveau. Comptes rendus, 29 juillet 1901. (2) Jules SOURY, Le système
nerveux
central. Structure et fonction. Histoire criti-
1139 et passim.- Voir aussi A. Van GEIIUCIITEN, Anatomie du système
nerveux
de l'homme, 3° édit., 2 vol. 527; 579 ; t. II, pa
mp; Ctr, Editeurs l'h"tnllplI' 111,¡h.tU. ! "<Ir... DU SYSTÈME
NERVEUX
CUEZ UN ANE11CÉPIlALE 383 tent à notre sujet ne
i, la double coloration de Weigert avec le picro-carmin. Cellules
nerveuses
. - Les cellules nerveuses ont été colorées par la
Weigert avec le picro-carmin. Cellules nerveuses. - Les cellules
nerveuses
ont été colorées par la méthode de Nissl et le
point légèrement renflé, tel est l'aspect présenté par les cellules
nerveuses
. Dans quelques-unes on remarque les vestiges d'
icro-carmin a surtout montré une absence de coloration des éléments
nerveux
qui se détachaient très mal sur le reste de la pr
et longitudinales ne montrent pas de lésions appréciables des fibres
nerveuses
. Le processus inflammatoire qui touche la moell
-médullaire du neurone sensitif et des neurones centraux DU SYSTÈME
NERVEUX
CHEZ UN ANENCÉPHALE H91 moteurs et sensitif. Ce
du névraxe. Nous le suivrons depuis la partie supérieure du système
nerveux
, qui correspond aux tubercules quadrijumeaux, j
ubérantielle. A. Faisceau sensitif. B. Entrecroisement des fibres
nerveuses
. Fig. 2. - Région moyenne du bulbe. A. Faisce
t sain et permettant la transmission des impressions ou incitations
nerveuses
. Puis on voit les fibres se diriger d'abord en
urdach. G. Faisceau de Goll. O. Canal de l'épendyme. DU SYSTÈME
NERVEUX
CIIEZ UN ANENCÉPHALE 393 donner raison à cette
P. Fibres courtes d'association sensitives et motrices. DU SYSTÈME
NERVEUX
CHEZ UN ANENCÉPHALE 395 La sixième coupe porte
V Les préparations qui intéressent la partie supérieure du système
nerveux
montrent qu'à ce niveau les formations ventricu
dans un précédent travail) ? (1). Dans ces conditions la substance
nerveuse
aurait été détruite par une néoformation vascul
agrandies et que (1) VASCIIIOE et C. VUAPAS, op. cil. DU SYSTÈME
NERVEUX
CUEZ UN ANENCÉPHALE 397 l'épendyme semble inter
- mation qui aurait succédé à une inflammation trop vive des masses
nerveuses
encéphaliques. VI Nous n'en aurions pas fin
lie. - La névroglie a été étudiée dans toute la hauteur des centres
nerveux
par l'ancienne méthode du picro-carmin. Les éléme
e ou médullaire. Cette abondance n'est pas moindre au sein du tissu
nerveux
. Outre la néoformation, on constate une dilatat
tteint la plupart des vais- seaux, tant ceux qui entourent le tissu
nerveux
que ceux qui le pénètrent. Il en est résulté de
ur du né- vraxe, aussi bien dans les méninges que dans la substance
nerveuse
. Il semble cependant d'une façon générale que l
s de sang vont en dimi- nuant d'abondance de haut en bas du système
nerveux
. Le bulbe et la moelle sont parsemés d'ilots sa
nombreuses et abondantes hémor- rhagies produites au sein du tissu
nerveux
. Le nombre de ces dernières semble aller en déc
jet iutra-médullaire ou intra bul- baire. Dans l'intérieur du tissu
nerveux
ils forment de larges couronnes péri- vasculair
aisseaux sanguins tantôt indiquent seuls leur direction. Le tissu
nerveux
présente également par place des amas d'éléments
globules blancs, qui infiltrent d'une façon générale tout le tissu
nerveux
. Les phénomènes de diapédèse semblent très actifs
porté à la fois sur les vaisseaux, les méninges et tout DU SYSTÈME
NERVEUX
CHEZ UN ANENCÉPHALE 399 le névraxe, inflammatio
n d'autant plus vive que l'on s'élève davantage du côté des centres
nerveux
supérieurs. VIII Dans l'examen psycho-physiol
anifestement inhibiteur et nullement dynamogène. II. - La cellule
nerveuse
est profondément dégénérée sur toute la hau- te
? Malgré les lésions avancées de l'élément cellulaire, les racines
nerveuses
ne présentent pas de dégénérescence, ni de lésion
fonctionnement normal ? ? IV. - Notons que malgré l'état du système
nerveux
et de la cellule en particulier les muscles éta
actuelles rapprochées de cette cons- (1) Mort, Ganglions et centres
nerveux
. Archives de physiologie, 1895, n 1, p. 200- 20
, 1895, n 1, p. 200- 205. Morat, Qu'est-ce que c'est qu'un centre
nerveux
. Revue scientifique, 24 novembre 1894, p. 642.
ux. Revue scientifique, 24 novembre 1894, p. 642. BlOnnT, Centres
nerveux
fonctionnels et centres nerveux trophiques. Revue
bre 1894, p. 642. BlOnnT, Centres nerveux fonctionnels et centres
nerveux
trophiques. Revue scienti- fique, 1er déc. 1894
Arch. de médecine expérim., 1er janvier 1889, p. 5î. 1. DU SYSTÈME
NERVEUX
CHEZ UN ANENCÉPHALE 401 tatation semblent place
n intense en tissu fibro-vasculaire ayant détruit tous les éléments
nerveux
et jusqu'à l'apparence du tissu nerveux. IX. -
t détruit tous les éléments nerveux et jusqu'à l'apparence du tissu
nerveux
. IX. - Signalons sur toute la hauteur du névrax
processus inflammatoire très actif et très intense touchant le tissu
nerveux
, les méninges et les vaisseaux. Les considéra
logique rudimentaire indépendamment du fonctionnement des centres
nerveux
supérieurs et d'autre part l'incompatibilité noto
naire que l'on donne du fonctionnement et du mécanis- me du système
nerveux
et les constatations que nos recherches histologi
, âgée de 47 ans, garde-malade, suit la con- sultation des maladies
nerveuses
depuis trois mois. Son père est mort à 69 ans d
ois mois. Son père est mort à 69 ans de l'influenza : il était très
nerveux
. Sa mère est morte à 53 ans d'une entérite et é
Sa mère est morte à 53 ans d'une entérite et était également très'
nerveuse
. D'ailleurs la malade, sans donner de détails p
du côté paternel comme du côté maternel étaient exceptionnellement
nerveux
. Elle était fille unique et ne parait avoir rie
c crispation des mains, contractures, etc. Elle se plaint d'un état
nerveux
tout à fait particulier : elle est très excitable
proie facile pour les guérisseurs et les charlatans. La contagion
nerveuse
est ici particulièrement à redouter. Brodie a bie
e bilatérale des deux derniers doigts de la main chez une pianiste,
nerveuse
et fille de mère nerveuse, avec douleurs dans l
iers doigts de la main chez une pianiste, nerveuse et fille de mère
nerveuse
, avec douleurs dans la région du cubital depuis
ectrisation localisée, p. 672. (2) Dejeiune, Séméiologie du système
nerveux
, p. 756. (3) BEHNHARDT, A Notunagel, Lahmung de
Main- tenant, dans le cas que je décris, pour peu que la puissance
nerveuse
anormale, produite par la contracture des deux
stigmate hystérique. t) CUARCOT, Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. 8. 414 DE LÉON En recherchant la cause de
une dame opérée de cancer du sein. Charcot. - Leçons de maladies
nerveuses
, t. 3. Raymond. - Paralysies radiculaires par c
e double du cubital et du médian. DEJEnIiVB. Séméiologie du système
nerveux
. Decroly. Brûlure électrique du nerf cubital. J
e qu'un examen nécroscopique du squelette, des viscères, du système
nerveux
central. Nous n'avons guère eu que vingt-quatre
e de la maladie de Pagel. Comme on le verra, les lésions du système
nerveux
central ne nous ont pas paru assez spéciales et
vu quelque chose de semblable du côté du corps thyroïde. Système
nerveux
. - Les circonvolutions cérébrales, après durcisse
onctif d'enve- loppe, et ceux contenus dans l'intérieur du faisceau
nerveux
sont tous notable- ment épaissis, certains impe
. Sur un petit filet détaché, ou note, très nettement que les tubes
nerveux
sont très clairsemés, que la gaine de Schwann,
veux sont très clairsemés, que la gaine de Schwann, sur chaque tube
nerveux
, est double ou triple d'épaisseur, et la gaine de
la région lombaire, ils ont noté une raréfaction notable des fibres
nerveuses
, dans la partie moyenne des cordons postérieurs
njonctif intra-fasciculaire, état légère- ment clairsemé des fibres
nerveuses
. L. Lévi (2) a également trouvé dans le tronc d
faits suivants relatifs aux excitations sensorielles et aux poisons
nerveux
, la décroissance est rapide, et les séries termin
phoedème des deux membres inférieurs, coexistant avec une affection
nerveuse
organique, hémiplégie gauche. L'affection s'est d
idenls, mais c'est encore un nouvel argument en faveur de l'origine
nerveuse
du trophoedème et une preuve de sa parenté anat
les oedèmes qui accom- pagnent les affections organiques du système
nerveux
(oedèmes des hémi- plégiques, main succulente d
in- suffisance de nos connaissances en physiologie et en pathologie
nerveuse
. La question du trophisme, entre autres, est de
le intimement liée aux propriétés motrices et sensitives du système
nerveux
? Questions qui divisent encore physiologistes et
reux, n'ayant jamais été atteints de convulsions ou autres troubles
nerveux
. Accouchement facile à terme. Père et mère jeun
sur les atrophies mus- culaires, soit sur la physiologie du système
nerveux
, ni dans les études sur la nutrition et les tro
liaison entre t'épaississement du tissu cellulaire et les troubles
nerveux
, une subordination du premier aux se- conds ),.
ues consécutifs à des lésions encore mal déterminées du département
nerveux
chargé de diriger la nutrition et de la tenir en
alité de leur expres- sion, invitent déjà à penser que les éléments
nerveux
, atteints par l'agent infectieux, réagissent à
omment, en effet, pourrait-on nier l'étrange sélection des éléments
nerveux
médullaires réalisée par tous ces processus destr
it Brissaud, l'action des substances toxiques sur certains éléments
nerveux
, à l'exclusion de certains autres, encore faut-il
e infantile ne comportait pas ce caractère électif sur les éléments
nerveux
que nous supposons exister, nous comprendrions di
obésités locales dont nous citons des exemples. Cette perturbation
nerveuse
qu'il faut démontrer en ce qui con- cerne le ti
n, étroitement liées aux modifications mêmes subies par les lésions
nerveuses
. Landouzy fait ressortir les liens qui unissent
iens qui unissent les modifications du tissu cellulaire aux lésions
nerveuses
, non seulement dans ses propres obser- vations,
ence de centres trophiques spéciaux dont serait pourvu le sys- tème
nerveux
central ne tire pas sa vraisemblance de la seule
des rôles dans le domaine de la sen- sibilité. L'étude des fondions
nerveuses
à la périphérie nous apprend, en effet, que tou
itutifs en vue de telles excitations venues du dehors. Les éléments
nerveux
pél iphériques ne percevraient donc pas tous égal
ressions subjectives si pénibles de chaleur dans certaines affections
nerveuses
SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 487
si la même cause, selon la profondeur de son action sur les centres
nerveux
, n'était pas sus- ceptible d'effets consécutifs
part, l'on considère le rash comme une hyperémie liée à des troubles
nerveux
, selon l'opinion de quelques auteurs, l'on ne s
ent comme épiphénomènes au cours d'une maladie dé- finie du système
nerveux
(hémiplégie, paralysie infantile, etc.) ». En r
uses que l'on observe, soit expérimentalement à la suite de lésions
nerveuses
, soit d'iniquement au cours d'affections névrop
pothétique, qu'il n'est pas impossible.qu'une altération du système
nerveux
soit la cause de la maladie. » M. Meige place m
diagnostic de troubles trophiques consécutifs à une ancienne lésion
nerveuse
pourrait être soutenue avec vraisemblance. De
sé- parant de plusieurs états oedémateux mal caractérisés : oedèmes
nerveux
, segmentaires, hystériques, l'oedème neuro-arth
ue des mouvements dans la station debout. t. - De plus, symptômes
nerveux
, tels que boule hystérique et phobies hal- luci
ers supérieur), on ne peut plus admettre uniquement la distribution
nerveuse
ou radiculaire ; il faut admettre de plus la dist
les dystrophies musculaires, relevant d'une altération des centres
nerveux
, qui président au développement et à la nutriti
consulter. Les parents sont bien portants, il n'existe aucune tare
nerveuse
dans la famille, soit dans les ascendants, soit
u plus d'un an, au mois de février 1897, elle fut prise d'une crise
nerveuse
, elle se jeta dans les bras de son père, puis ell
e malade. Je ne vois pas non plus qu'une lésion acquise des centres
nerveux
, méningée, céré- brale, ou spinale, puisse se t
llogr.), 517. Crampe des écrivains (De la) et autres af- fections
nerveuses
professionnelles, par TH. SAVILL, 149. Délire
Lannois (1 pl. en photocollographie), 201. Difformités du système
nerveux
central dans la spina bifida, par N. SOLOVTzoFF
nois (1 pl. en photocollogr.), 402. Structure anatomique du système
nerveux
chez un anencéphale, par V ASCII IDE et Vuarw
5. SAVILL TH. De la crampe des écrivains et des autres affections
nerveuses
profes- sionnelles, 149. Sérieux (PAUL) et RO
38. Vaschide N. et CLAUDE VURPAS. Structure anatomique du système
nerveux
chez un anencéphale (6 fig., 2 pl. en photocol-
entale, 238. VURPAS et V ASCHIDE, Structure anatomique du système
nerveux
chez un anencé- phale (6 fig., 2 pl. en photoco
at- teints d'helminthiase (LANNOis), XXVI. Difformités du système
nerveux
central dans la spina bifida (N. Solovtzoff),XI
II à LX, LXX111 et LXXIV. Sein hystérique lLANNOIS), LII. Système
nerveux
d'un anencéphale (vars- cHmE et VuRpAs), L et L
ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME
NERVEUX
CONSIDERE DANS SES RAPPORTS AVEC L'INTELLIGEN
itées dans cet ouvrage. Enfin, M. Lelut, auquel la science du système
nerveux
doit tant de belles découvertes, a bien voulu enc
démonstration, lises : la réalité. ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'HOMME ET DES PRIMATES CONSIDÉRÉ onus s
ue d'employer son expression qui résumera ma pensée. Vaxe d'une fibre
nerveuse
est un filament de sarcode primordial (1). (1)
de sarcode primordial (1). (1) On a cru voir souvent dans ces tubes
nerveux
une organisation bien n. 1 Un caractère bien re
une organisation bien n. 1 Un caractère bien remarquable des fibres
nerveuses
périphériques, c'est de ne jamais s'anastomoser d
euses périphériques, c'est de ne jamais s'anastomoser dans les troncs
nerveux
avec les fibres voisines. Chaque fibre nerveuse e
omoser dans les troncs nerveux avec les fibres voisines. Chaque fibre
nerveuse
est donc un fil simple, et chaque nerf est un fai
toute récente, et date seulement des travaux de Fontana. Les fibres
nerveuses
animales se rangent, eu égard à leurs fonctions,
relation. Suivant mon illustre maître, M. de Blainville, toute fibre
nerveuse
complète forme un arc, une des plus compliquée
mple dans laquelle cet esprit puissant résumait l'histoire du système
nerveux
(1). Cette ingénieuse conception est malheureus
Cette ingénieuse conception est malheureusement incomplète. Si l'arc
nerveux
n'était qu'un simple conducteur, l'énergie de la
ffire, et il faut aller au delà. II. En réalité, il y a deux fibres
nerveuses
: Y impressionnable et Y excitante. Ces fibres so
. Cet organe intermédiaire est Une cellule centrale. Les cellules
nerveuses
sont connues depuis longtemps des anatomistes. Du
agner. Société des sciences de Gottingue, 16 janvier 1854. les arcs
nerveux
; mais elles ne sont plus de simples conducteurs d
idée qu'il faut se faire des propriétés et des réactions des cellules
nerveuses
centrales. III. Nous avons considéré un arc sim
ns considéré un arc simple, mais jamais dans les corps vivants un arc
nerveux
n'existe seul. Les corps vivants sont des composé
ul. Les corps vivants sont des composés, et en conséquence le système
nerveux
qui les anime est lui-même composé en un très-hau
ui-même composé en un très-haut degré. De même que plusieurs fibres
nerveuses
fasciculées forment un nerf, de même un grand nom
uses fasciculées forment un nerf, de même un grand nombre de cellules
nerveuses
agrégées forment un ganglion. Les ganglions, eu é
ent des cellules, sont de quatre ordres. 1° Dans certains ganglions
nerveux
, les cellules sont accumulées comme des grains da
ns une masse de sable, sans paraître communiquer soit avec les fibres
nerveuses
qui traversent le ganglion, soit les unes avec le
re comprend des cellules auxquelles ne se rattache qu'une seule fibre
nerveuse
, du moins en apparence. 3° Souvent dans un gang
nce. 3° Souvent dans un ganglion une cellule reçoit une seule fibre
nerveuse
, et en émet une seule qui continue son trajet ver
arquis de Corti les a retrouvées chez les mammifères dans le feuillet
nerveux
de la lame spirale du limaçon. 4° Dans d'autres
a lame spirale du limaçon. 4° Dans d'autres ganglions, les cellules
nerveuses
émettent des prolongements multiples. De ces rayo
même ganglion ; d'autres se continuent avec l'axe de certaines fibres
nerveuses
périphériques. On désigne ces cellules à rayons m
multipolaires. Cette structure se retrouve surtout dans les centres
nerveux
proprement dits, et elle est évidemment très-prop
ents de cet ensemble d'appareils connu sous le nom de centre ou d'axe
nerveux
, et des organes qui dans le crâne lui sont surajo
sont inséparables et unies sur un plan médian. De même, les centres
nerveux
qui animent les deux moitiés du corps s'unissent
symétrique, et le plan médian qui sépare ces deux moitiés du système
nerveux
central coïncide avec le plan médian du corps.
vec le plan médian du corps. Dans les animaux vertébrés les centres
nerveux
principaux sont logés au côté dorsal, dans le can
supérieurs des vertèbres. La relation qui existe entre ces centres
nerveux
et l'axe osseux vertébral est remarquable. Les ve
observation démontre qu'il y a également des segments dans le système
nerveux
central. Cette proposition est certaine dans le
chaque anneau du segment vertébral une certaine partie de cette tige
nerveuse
; mais cette partie, ce segment idéal, est-il un
est-il un segment réel ? y a-t-il pour chaque vertèbre un ganglion
nerveux
central? C'est là une question importante au poin
donc être regardés comme autant de ganglions propres « à des systèmes
nerveux
particuliers, qui ont des branches « de communica
d'abord et immédiatement de (1) Anatomie et physiologie du système
nerveux
. Paris, 1810. (2) Expériences sur le principe d
ification se prolonge dans toute l'étendue de la chaîne ou de la tige
nerveuse
, en avant et en arrière du point qui a reçu l'exc
e du point qui a reçu l'excitation. Il y a donc à la fois, dans l'axe
nerveux
, multiplicité et unité. Toutefois, nous devons
itomotrices, d'avec celles qui ont l'in- (1) Physiologie du système
nerveux
, traduite par Jourdan. Paris, 1840, 1.1, p. 211.
us croyons, avec Gall, qu'en regard de chaque vertèbre est un segment
nerveux
particulier. Mais tous les segments s'enchaînent,
en effet, les filets de communication entre deux ganglions ou centres
nerveux
sont d'autant plus nombreux, d'autant plus gros,
plus élevés; dans la plupart des insectes, les ganglions de la chaîne
nerveuse
, séparés dans l'origine, se confondent graduellem
igne de supériorité, et ce signe ne saurait être méconnu dans la tige
nerveuse
rachidienne des animaux vertébrés. Un autre fai
où elles se confondent, (1) Considérations générales sur le système
nerveux
dans : Journal de physique; reproduites en entier
a-lomie et de physiologie. Paris, 1839, t. 111, p. 349. 1 es masses
nerveuses
moindres sont attirées en quelque sorte, et absor
roissement, comme cela a lieu dans les mammifères, quand les segments
nerveux
antérieurs dominent, l'axe nerveux tout entier se
les mammifères, quand les segments nerveux antérieurs dominent, l'axe
nerveux
tout entier se trouve en quelque sorte attiré et
et condensé vers la tête ; et la tige se raccourcissant, les segments
nerveux
postérieurs sont souvent placés très en avant des
On sait que dans tous les animaux inférieurs ce qui représente l'axe
nerveux
est une chaîne, logée au côté ventral du corps, e
ans les animaux vertébrés, au contraire, la chaîne, ou plutôt la tige
nerveuse
, occupe, dans le plan médian de l'animal, le côté
l'animal, le côté dorsal du corps. Ainsi, dans les invertébrés, l'axe
nerveux
est inférieur au tube digestif; il est supérieur
ls du a cœur ou vaisseau dorsal, du canal alimentaire et du système «
nerveux
autorisent cette comparaison... La seule difficul
ablie. Ainsi, cette opinion de Treviranus et de Weber que la chaîne
nerveuse
des insectes représente par ses relations et par
e très-exacte et très-simple de la disposition élémentaire du système
nerveux
central dans un animal vertébré (1). Nous prendro
cette région n'est pas moins intéressante, quand il s'agit du système
nerveux
, et les résultats que j'ai obtenus concordent si
la modification que j'apporte ici à son idée première sur le système
nerveux
. missures, l'une à droite, l'autre à gauche, un
A chaque segment complet d'un animal vertébré, il y a donc un anneau
nerveux
, et le système nerveux de cet animal, considéré d
et d'un animal vertébré, il y a donc un anneau nerveux, et le système
nerveux
de cet animal, considéré dans son ensemble, est c
. Fig. 1. La figure première représente la composition du segment
nerveux
et ses rapports avec la vertèbre. La seconde Fi
d'une condensation poussée à l'extrême. Il est évident que les paires
nerveuses
qui s'y relient par les espaces intervertébraux d
ercule, et supprimons par la pensée toutes les vertèbres. Les racines
nerveuses
n'ayant plus rien qui règle leur distribution, po
mportance de l'anneau œsophagien, et la forme particulière au système
nerveux
des insectes. Telle était il y a quelques années
lus précis encore. Nous venons d'indiquer la composition du système
nerveux
propre à un segment complet d'animal vertébré ; d
n général d'autant plus que ses deux moitiés sont en regard de masses
nerveuses
supérieures plus puissantes. Fig. 4. Dans ce
emment concevoir un cas inverse, attribuer la prédominance au système
nerveux
inférieur, et supposer que dans ce cas, au lieu d
on inférieur, ce sera le ganglion supérieur qui se divisera, l'anneau
nerveux
s'ouvrant alors du côté de son chaton supérieur.
chaîne du sympathique, doit affecter chez les invertébrés le système
nerveux
supérieur. Nous sommes conduits, en conséquence
Nous sommes conduits, en conséquence, à considérer le type du système
nerveux
{les animaux articulés comme modelé sur le type d
en névrologie, que lorsque des nerfs émanés de l'un des deux systèmes
nerveux
passent à l'autre système, ils en suivent l'arran
ibution. Par suite de cette loi, fondée sur l'observation, le système
nerveux
supérieur descendu dans la sphère du système nerv
tion, le système nerveux supérieur descendu dans la sphère du système
nerveux
inférieur en suivra la distribution, et sera abso
s de mon savant et à jamais regretté ami M. Sou-leyet, sur le système
nerveux
, et plus particulièrement sur le collier œsophagi
nglions supérieurs que les anatomistes ont désignée sous le nom d'axe
nerveux
céphalo-rachidien. Grâce au ciel, l'anatomie est
sujet que nous traitons ici. PREMIÈRE PARTIE anatomie des centres
nerveux
cérébro-rachidiens de l'homme et des primates C
o-rachidiens de l'homme et des primates CHAPITRE PREMIER de l'axe
nerveux
céphalo-rachidien § 1. De la moelle épinière en
le épinière en général. La chaîne des ganglions qui composent l'axe
nerveux
céphalo-rachidien forme une longue tige renflée d
dinal et parfaitement tracé qui divise chacune des moitiés de la tige
nerveuse
en deux cordons. L'un, l'antérieur, est le plus c
ent successif. Mais à mesure qu'ils s'épuisent, de nouvelles fibres
nerveuses
se groupent sur leurs côtés, et constituent au ni
stérieurs par l'adjonction de fibres nouvelles, en regard des racines
nerveuses
des membres antérieurs. Ainsi dans cette successi
un des plus ingénieux physiologistes qui se soient occupés du système
nerveux
, a faites sur les ganglions des racines postérieu
ion cervicale et sousbulbaire. Les deux moelles qui composent l'axe
nerveux
sont semblables, ou du moins parfaitement symétri
ents réflexes. (2) Foville, Traité complet de l'anatomie du système
nerveux
. Paris, 1844, t. I, p. 286. antérieure de la co
blanche, les autres à ses axes gris. Les premières sont des fibres
nerveuses
blanches. Elles ont le caractère de toutes les fi
ibres nerveuses blanches. Elles ont le caractère de toutes les fibres
nerveuses
centrales. Dépourvues du névrilemme qui les revêt
s variqueuses. La transformation des fibres périphériques en fibres
nerveuses
centrales se voit aisément dans la moelle de la g
ent dans la moelle de la grenouille. La première enveloppe des fibres
nerveuses
qui composent les racines postérieures des nerfs,
en aux vaisseaux capillaires multipliés, qui nourrissent la substance
nerveuse
. Les axes gris ne présentent point, dans toute
est très-clair et très-brillant. De toutes les parties de la cellule
nerveuse
, c'est celle que l'œil découvre le plus facilemen
mulait, il y a quelques années, cette proposition que tous les tissus
nerveux
sont composés de granules dont le diamètre égale,
s prolongements ramifiés qui leur ont fait donner le nom de vésicules
nerveuses
à queues, caudate nerve-vesicle, sous lequel elle
thèse d'un simple dépôt de cellules ganglionnaires « entre les filets
nerveux
, par rapport auxquels ils joueraient le rôle de m
ond qui devient un nerf sensitif, un troisième qui se change en fibre
nerveuse
motrice, un quatrième, enfin, qui unit les cellul
me elles un contenu granuleux, mais avant de se transformer en fibres
nerveuses
, ils perdent graduellement ces granules et se cha
e qu'on les voit en certains lieux se continuer avec l'axe des fibres
nerveuses
. Tood et Bowman ont déjà remarqué leur grande éla
les moins curieux de leur histoire. Quoi qu'il en soit, ces plexus
nerveux
cellulaires de la tige médullaire rappellent asse
s dans les animaux inférieurs, et ressemblent encore mieux aux plexus
nerveux
de l'organe électrique de la torpille que MM. Wag
Cet entrecroisement est si évident, qu'il n'y a point dans le système
nerveux
de disposition plus facile à démontrer ; c'est da
de la substance gélatineuse, outre ces (1) On a eontesté la nature
nerveuse
des fibres transverses de la commissure. Ce serai
et de grandes différences dans les propriétés. L'histoire du système
nerveux
est là pour le démontrer. fibres transversales,
ns réelles de ses segments avec ceux du rachis ; à chacune des paires
nerveuses
qui passent par les trous de conjugaison, répond,
e la vertèbre qui leur correspond, et pour s'y rattacher, les racines
nerveuses
parcourent un trajet plus ou moins long dans le c
trajet plus ou moins long dans le canal rachidien. De là ce pinceau
nerveux
qu'on a désigné sous le nom de queue de cheval, d
'adulte est d'autant plus significative, qu'un grand nombre de paires
nerveuses
s'attachent à cette région de la moelle, et devra
les faisceaux postérieurs à la région cervicale en regard des racines
nerveuses
de membres cependant plus grêles que ceux qui dép
roposition que j'ai plus haut soutenue, savoir, que toutes les fibres
nerveuses
des régions postérieures du corps ne remontent pa
ire présumer par avance. A priori, on doit supposer que les actions
nerveuses
reflexes sont plus apparentes dans les membres po
uverne plusieurs chevaux. Combien, en effet, ne faut-il pas de fibres
nerveuses
élémentaires pour mouvoir un seul doigt ? Combien
yau de l'encéphale. § 1. Prolégomènes et esquisse première. L'axe
nerveux
, en pénétrant dans le crâne, se renfle encore une
ntricule intermédiaire est le fait fondamental de l'anatomie du noyau
nerveux
encéphalique. Nous verrons plus loin qu'un mouvem
e service que ce célèbre anatomiste ait rendu à la science du système
nerveux
. elle. Sa figure se rapproche de celle d'une py
Icônes cerebri, in-fol. (3) Traité complet de l'anatomie du système
nerveux
. un plan superficiel de fibres, que ce dernier
re. Ce noyau forme le bouton terminal de chacune des moitiés de l'axe
nerveux
. 4° Région du bouton terminal. Le noyau gris
eau du système du grand sympathique, et il est certain que des filets
nerveux
, en grand nombre, le rattachent à la sphère de la
lets nerveux, en grand nombre, le rattachent à la sphère de la chaîne
nerveuse
inférieure, mais c'est là tout ce qu'on peut affi
gie humaine, page 337), la glande pituitaire n'offre point d'éléments
nerveux
dans son lobe antérieur de couleur rouge. Il acce
le corps pituitaire était profondément altéré. Il y eut des troubles
nerveux
dus à la compression qu'il exerçait sur le cervea
llules pâles, arrondies, sans prolongements, et quelques rares fibres
nerveuses
de 0m,002 à 0m,005 de diamètre (Histologie humain
soire, le deuxième lobule est caractérisé par la relation qu'une lame
nerveuse
transversale établit entre lui et la luette du ve
oisement, sauf (1) Exposition anatomique de Vorganisation du centre
nerveux
. Paris, 1844. une grande exagération, rappelle
acun de ces petits ganglions est à son tour formé de petites cellules
nerveuses
, accumulées suivant un certain ordre autour de ce
manifeste pour les noyaux accessoires, au travers desquels les fibres
nerveuses
peuvent être plus facilement suivies. Mais la pet
e. Ainsi, la plupart des fibres de cette catégorie sont des racines
nerveuses
partant de l'axe gris et gagnant la superficie du
ent leur substance : il sort de leur partie interne une fibre blanche
nerveuse
, qui en est comme le vaisseau propre, qu'on peut
couche est grise, et contient une grande quantité de petites cellules
nerveuses
. Cette couche est parcourue par des fibres nerveu
petites cellules nerveuses. Cette couche est parcourue par des fibres
nerveuses
très-grêles, qui forment des arcades irrégulières
deuxième couche, mais beaucoup plus rares. Un grand nombre de fibres
nerveuses
, très-serrées, pénètrent dans son épaisseur et
elles semblent formées par des stratifications très-minces de fibres
nerveuses
. La mieux distincte de ces couches est la superfi
omicœ, fasc. 1, t. X, fig. 5. (2) Anatomic etphysiolouiç du système
nerveux
, pl. 18, iig. 1. particulièrement dans son bord
physiologique? Contiennent-ils-, dans tous les cas, les mêmes fibres
nerveuses
? Nous essayerons de résoudre plus tard ces différ
ulbe olfactif, en tant qu'elle reçoit immédiatement toutes les fibres
nerveuses
olfactives, qui pénètrent dans le crâne par les p
re médiane à la manière des nerfs optiques. Anal, et Phys. du système
nerveux
. Paris, 1S42, t. II, page 21. type élevé. Ce ce
s fibres sont de deux ordres ; les unes se continuent avec les fibres
nerveuses
qui composent les faisceaux postérieurs, les autr
sens tout différent. Les anatomistes anciens comptaient sept paires
nerveuses
crâniennes. Willis et Vieussens en ont compté dix
ux d'origine des nerfs. M. de Blainville concevait ainsi les paires
nerveuses
crâniennes; on sait que, par cette expression,pai
cette expression,paire rachidienne, on désigne l'ensemble des filets
nerveux
qui passent par les deux trous de conjugaison com
âniens et les nerfs rachidiens. « On conçoit que le nombre des paires
nerveuses
a dû être « subordonné au nombre des vertèbres cr
dans le crâne trois vertèbres; il admet, en conséquence, deux paires
nerveuses
crâniennes, l'une postérieure, l'autre antérieure
rveuses crâniennes, l'une postérieure, l'autre antérieure. La paire
nerveuse
postérieure comprend le pneumogastrique, le gloss
eprésentent les racines postérieures des nerfs rachidiens. La paire
nerveuse
antérieure se compose, a, du nerf de la cinquième
r le moyen, l'olfactif pour l'antérieur. Ce sont là les vraies paires
nerveuses
du crâne. Toutefois, outre les sensations spéci
ce ressemble au tronc. Il pourra donc y avoir dans chacune des paires
nerveuses
crâniennes, des nerfs pour la sensibilité général
re supérieure (1), et l'ophthal-mique du trijumeau. Enfin, la paire
nerveuse
antérieure se distribuant à un bulbe immobile, es
composée des nerfs olfactifs auxquels s'unit seulement un petit filet
nerveux
du trijumeau, savoir : le filet ethmoidal du rame
ruminants. (2) Celle manière de concevoir la composition des paires
nerveuses
crâniennes rend raison du trajet singulier que su
orie, en montrant l'unité du plan de composition de toutes les paires
nerveuses
crâniennes, tal, savoir: que le trijumeau est u
es multipolaires, qui prolonge (1) Longet, Ànat. etphys. du système
nerveux
, torn. II, page 408. (2) Essai sur ['origine de
pour indiquer comment le nerf trijumeau se partage entre trois paires
nerveuses
. Racines du trijumeau. Le tronc commun de ces
mouvements, est un fait bien digne de fixer l'attention. Les fibres
nerveuses
qui vont de la moelle et des nerfs aux hémisphère
qui existe entre le nombre des fibres cérébrales et celui des fibres
nerveuses
médullaires ou périphériques. Il serait donc pl
posait en principe que la substance grise engendre partout des fibres
nerveuses
, elle était donc pour lui la matrice des nerfs, e
urrait servir à la réduction autant qu'à la multiplication des fibres
nerveuses
. Il nous semble donc que l'assertion de Gall est
fondement solide. On pourrait, à priori, concevoir dans le système
nerveux
central trois moyens de multiplication des fibres
le système nerveux central trois moyens de multiplication des fibres
nerveuses
centripètes, et réciproquement trois moyens de ré
s centripètes, et réciproquement trois moyens de réduction des fibres
nerveuses
centrifuges. Dans le premier cas les fibres peu
nouvelles ; 2° par une division en plusieurs fibres d'une seule fibre
nerveuse
; 3° par l'union d'une fibre unique avec une cell
ltiplication est à coup sûr possible dans quelques régions du système
nerveux
. Dans le second cas, le nombre des fibres pourr
ibres pourrait se réduire par trois moyens semblables : 10 des fibres
nerveuses
en s'éloi-gnant des couches corticales pourraient
uer dans les pédoncules, se terminer brusquement; 2° plusieurs fibres
nerveuses
pourraient se réunir en une seule; 3" d'une cellu
loppement de l'Encéphale. CHAPITRE VII. DÉVELOPPEMENT DES CENTRES
NERVEUX
. § *. Prolégomènes. La ligne que l'on observe d
erminativa, est le point de départ des premiers linéaments du système
nerveux
. Suivant Baër, cette ligne est l'indice d'un lége
ui limitera immédiatement le canal central du tube. Ce tube est l'axe
nerveux
primitif; de toutes les parties du système nerveu
Ce tube est l'axe nerveux primitif; de toutes les parties du système
nerveux
central, celle-ci apparaît la première et persist
ouveau, celui de ventricule céphaloracbidien. Les diamètres du tube
nerveux
central ne sont point uniformes. Avant même que l
bryon subit dans sa partie cépha-lique une forte courbure, et le tube
nerveux
central se plie à ce mouvement général. Cette i
ux central se plie à ce mouvement général. Cette inflexion de l'axe
nerveux
n'est point simple : elle se compose d'une suite
s des hémisphères futurs. A partir du point D, l'ensemble du centre
nerveux
encéphalique se recourbe assez régulièrement d'ar
la vie embryonnaire, l'ensemble des dilatations cé-phaliques de l'axe
nerveux
est réduit, du moins quant aux apparences, aux pa
d, leurs parois s'épaississant, la configuration générale des centres
nerveux
subira des modifications plus ou moins grandes; m
nerveux subira des modifications plus ou moins grandes; mais ce tube
nerveux
, axe et point de départ des formations futures, c
(1) C'est seulement ver3 le milieu du troisième mois que le système
nerveux
commence à perdre sa physionomie première, par su
us nécessaire que Meckel, qui a donné une assez bonne figure de l'axe
nerveux
d'un Embryon âgé de 7 à 8 semaines, a mal à propo
histoire semblable à celle des végétaux qui s'accroissent. Le système
nerveux
pousse non-seulement dans son ensemble, mais enco
définitif; elle consiste dans ces incurvations particulières à l'axe
nerveux
du capuchon céphalique de l'embryon, alors que so
, de plus hautes aptitudes dans l'ordre des manifestations du système
nerveux
. Non-seulement les animaux qui ont beaucoup de ci
qui nous occupent ici. CHAPITRE VIII. DES ENVELOPPES DES CENTRES
NERVEUX
CÉPHALO-RACHIDIENS. Après avoir décrit le cerve
ent, et sur la forme du crâne. § fl. BJe la pie-mère. Les centres
nerveux
sont compris sous une enveloppe immédiate. Une me
x parois du canal rachidicn par les gaines qu'elle fournit aux paires
nerveuses
et qui les accompagnent jusqu'aux trous de conjug
élémentaire de physiologie, tome I, page 223. tiôres sur le système
nerveux
, en les mettant en rapport immédiat avec les surf
rébrales (1). § 4. Structure des enveloppes membraneuse* du système
nerveux
céphalo-rachidien. V Éléments anatomiques propr
llules pigmentaires. 2° Nerfs et vaisseaux des membranes du système
nerveux
céphalo-rachidien. (a) Valsalva l'un des premie
iomie descriptive, tome IV, page 548. (2) Anat. et phys. du système
nerveux
cerebrospinal, page 5G1 - (3) Ant. M. Valsalvae
opinion avait été négligée jusqu'à Arnold (2), qui a décrit un filet
nerveux
qui se porte de la branche ophthalmique du trijum
econnus, » dit-il, c de chaque côté de la ligne médiane deux filamens
nerveux
étendus de la cinquième paire jusqu'au voisinage
u'au voisinage du sinus longitudinal supérieur. Un troisième filament
nerveux
occupait l'épaisseur de la tente du cervelet. Je
ngées et sont composés de fibres grises. M. Luschka décrit des filets
nerveux
dans l'arachnoïde. M. Kôlliker ne partage point s
erveau, et les accompagnent profondément dans l'épaisseur de sa masse
nerveuse
(4). (b) Nous ne dirons rien ici des vaisseaux
n ici des vaisseaux de la lame pério- (1) Anal, et phys. du système
nerveux
. (2) Icônes nervorum capitis. (3) Anat. descr
rappeler sommairement la disposition des vaisseaux propres au système
nerveux
encéphalique. Les artères de l'encéphale provie
es est très-marquée, la vie nutritive l'emporte sur la vie animale ou
nerveuse
. D'ailleurs, le vomer et Y intermaxillaire représ
. Pl. I et II. DEUXIÈME PARTIE. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL. Nous laisserons ici de côté les mouvem
ation et l'expérience ont appris de plus certain touchant les centres
nerveux
céphalo-rachidiens, sous le triple point de vue d
'est par eux que la volonté agit sur les muscles. Or le même filament
nerveux
est-il à la fois moteur ou sensitif, ou bien ces
nimait. Cela est vrai; mais le sujet est complexe. En effet, un tronc
nerveux
n'est pas une seule chose et comprend un grand no
ux n'est pas une seule chose et comprend un grand nombre de filaments
nerveux
élémentaires. Or ce qui est vrai du tronc en géné
rai du tronc en général peut ne l'être pas de chacun de ces filaments
nerveux
pris à part. Il peut donc y avoir deux ordres dis
es sensations pareilles ; elles contiennent en effet autant de filets
nerveux
distincts que le toucher perçoit de propriétés di
CHAPITRE II. DE LA MOELLE. §1. De la moelle en tant que centre
nerveux
. Mais quelles sont les fonctions de la moelle à
tées successivement. La moelle est certainement un centre d'actions
nerveuses
. Un jeu cruel a depuis longtemps résolu cette que
décapitation n'amène point l'anéantissement immédiat de la puissance
nerveuse
dans les segments du tronc; c'est là un fait parf
ent, n'était pas encorde laite. » (Propriétés et fonctions du système
nerveux
. Première édition, note de la page 182. Paris, 18
moelle une influence beaucoup plus grande que l'irritation des troncs
nerveux
eux-mêmes. Cette observation prouve deux faits, s
dans la peau cessent graduellement d'être excitables dans les troncs
nerveux
qui se rapprochent de la moelle, et 2° qu'il y a
. phys., t. IV, sect, vu, § 26, p. 327. (2) Millier, Phys. du syst.
nerveux
., trad, par Jourdan. Paris, 1839. (3) Volkmann.
oints, on pouvait créer dans ces animaux plusieurs centres d'activité
nerveuse
indépendants les uns des autres (1). Des observat
usqu'à un certain point être expliqués par l'organisation des centres
nerveux
. Les cellules multipolaires dont nous avons parlé
l. 1 Band, 1849.— Faivre, Études sur l'histologie comparée du système
nerveux
chez quelques Anne-Hdes. Dans Ann. des se. nat, 4
curieux travail de M. Yersin. Recherches sur les fonctions du système
nerveux
dans les animaux articulés (Bulletin de la Sociét
la région cer- (1) Fodera. Recherches expérimentales sur le système
nerveux
. (Journ. de Physiologie expérimentale. T. Ili, p.
e. Il en conclut que cette dernière section épuise bien plus la force
nerveuse
que celle des cordons postérieurs. Rolando coup
exes. 11 y a une sorte d'antagonisme entre ces deux sphères de la vie
nerveuse
. Lorsque, en effet, l'animal a été décapité à une
rs de leur fonction sensitive. Il admet, il est vrai, qu'aucune fibre
nerveuse
ne se rend immédiatement dans les cordons postéri
utes les impressions ne sont point semblables ; la variété des fibres
nerveuses
qui composent les nerfs est presque infinie ; il
s à dire que ces cordons sont beaucoup moins sensibles que les troncs
nerveux
, et rien ne prouve que les fibres qui s'entrecroi
expériences, il est arrivé à démontrer 1° que cette portion de l'axe
nerveux
, qui est essentielle à la respiration, s'étend en
se qui occupe le centre du bulbe. M. Van Deen, qui a fait sur l'axe
nerveux
des grenouilles tant d'expériences diverses, va p
(1). » M. Flourens (1) Flourens. Propriétés et fonctions du système
nerveux
, lre éuit., p. 115. Je fais remarquer que cette c
cette curieuse expérience indique clairement que la marché des fibres
nerveuses
, suivie d'arrière en avant dans la moelle, se fai
ns qui lui sont faites par l'opération qui a été pratiquée au système
nerveux
. Nous nous bornerons en conséquence à dire dans q
tions qu'il accomplit ont plusieurs agents dans l'économie du système
nerveux
central. Nous pen- sons que, dans ces cas où le
s possibles (2). Il admet donc trois ordres de fibres dans le système
nerveux
moteur : les unes excitent, d'autres modèrent, d'
onclusion n'est peut-être pas à l'abri de toute objection. Le système
nerveux
est un tout harmonique. La destruction d'un seul
u parce qu'elle y exerce les actes de la mémoire (1). » Ces centres
nerveux
ont un effet croisé sur les yeux. En effet, après
(1) Anat. comp. du cerveau. T. H, p. 643. (2) Études sur le syst.
nerveux
, Paris, 1838, p. 446. M. Flourens, a été attrib
, dans cette partie de mon livre, l'histoire physiologique du système
nerveux
central. Parmi les faits que j'ai rappelés, j'ins
ésiennes. Ainsi répandue, infuse dans toutes les parties du système
nerveux
, l'âme sensitive a pour forme celle de ce système
tre corps, et des sentiments généralisés qui se rapportent au système
nerveux
tout entier. Cette distinction, comme on le verra
Gerdy ayant éveillé l'attention, ces singulières maladies du système
nerveux
dont on avait trop négligé l'observation sont dev
-il, uniquement parce qu'il y a une plus « grande quantité de houppes
nerveuses
à l'extrémité des « doigts que dans les autres pa
p. 214. quand ils sont exercés sur le trajet des principaux troncs
nerveux
. On ne peut s'empêcher de rappeler que les chatou
ntré que cet ordre d'impressions est complètement étranger aux fibres
nerveuses
qui la composent? C'est précisément parce que nou
umière. Ils semblent démontrer, en effet, que le retour à l'équilibre
nerveux
suppose une succession ordonnée d'états intermédi
t la cause première n'est point aperçue, remuent cependant le système
nerveux
tout entier, et donnent à toutes les pensées le c
es influences du monde extérieur et de celui des idées sur le système
nerveux
, et plus particulièrement sur celui des viscère
ltats merveilleux, il faut concevoir la région automatique du système
nerveux
comme étant jusqu'à un certain point indépendante
disent-ils, (1) Flourens. Recherches expérimentales sur le système
nerveux
. Deuxième édition, Paris, 1842. qu'un courant p
ans l'extase, dans l'hystérie, la catalepsie et les autres affections
nerveuses
, la mémoire peut illuminer tout à coup les région
a mémoire. Si la mémoire a pour cause le corps ou plutôt le système
nerveux
qui l'anime, et si ce système est lui-même formé
e cette seconde hypothèse. Il est certain qu'il reste dans la cellule
nerveuse
quelque chose de l'impression première; et delà m
sera cet ordre? Par quelles séries d'états intermédiaires les centres
nerveux
élémentaires reviendront-ils à cet équilibre un i
re contesté, dépend probablement de la constitution de chaque cellule
nerveuse
prise à part, car au point de vue de l'automatism
t, car au point de vue de l'automatisme, chaque cellule est un centre
nerveux
complet. Cette manière de voir paraît trouver u
ressionnée, et chaque fois qu'une cause suffisante a agi, l'organisme
nerveux
entier vibre, pour ainsi dire, sous la dépendance
de l'intelligence. Il en résulte que la partie automatique du système
nerveux
y est moins intéressée ; et tandis que des mouvem
ncluaient dans le même sens, « Que le somnambulisme est une affection
nerveuse
qui nous saisit et. qui nous quitte pendant le so
ple : Un jeune homme âgé de quatorze à quinze ans, d'un tempérament
nerveux
, d'une imagination vive et très-sujet aux rêves,
l'ëpilepsie, p. 295. (2) Delaroche. Analysa des fondions du système
nerveux
. Genève, 1778. T. I, p. 196, cilé par M. Michéa.
Visions (1). Il ne faut pas confondre l'extase avec les affections
nerveuses
dont elle est souvent compliquée. L'extase n'est
n Boré. Paris, 1846, p. 2T. dition exceptionnelle, faite au système
nerveux
, peut résulter d'une préparation volontaire qui a
le démontrer qu'une idée vive peut ébranler tout un système de fibres
nerveuses
, jusqu'à leur point d'origine dans un organe sens
des idées fixes, en entretenant une excitation sympathique du système
nerveux
central. Le principe d'association que nous avo
J'ai eu plusieurs fois occasion de m'interroger sur ces modifications
nerveuses
dont les accès étaient nocturnes, et me jetaient
chose de l'automatisme de l'instinct. Ces faits ont dans le système
nerveux
une cause naturelle; ils se produisent, il est vr
là le magnétisme est éminemment naturel, et ses effets sur le système
nerveux
sont incontestables. Mais voici des assertions d'
est impossible de décider ici jusqu'à quel point des correspondances
nerveuses
eussent expliqué ces phénomènes remarquables. On
. Mais il n'en était pas de même des organismes humains. Des troubles
nerveux
, des convulsions singulières les agitent. D'aille
éterminent des convulsions, des accidents hystériques, des mouvements
nerveux
très-divers, plus souvent encore de la somnolence
'à peine. Qui pourrait nous dire comment de l'organisation du système
nerveux
de l'abeille résulte sa singulière industrie ? Le
le suppose, ne peut rien sans le corps, je veux dire, sans le système
nerveux
qui l'anime. Des expériences concluantes, que nou
avons plus haut rapportées, ont fait voir que celte partie du système
nerveux
qui préside immédiatement aux mouvements de l'aut
volume du noyau de l'encéphale, du bulbe, de la moelle et du système
nerveux
périphérique. En effet, et toutes les expériences
r les instincts, il faut tenir compte de l'organisation et du système
nerveux
tout entier. 6. Les modifications d'où la mémoi
d'où la mémoire résulte ne sont pas propres au cerveau, et le système
nerveux
tout entier y joue son rôle. Elle n'implique d'ai
-RACHIDIENS DE L'HOMME ET DES PRIMATES. CHAPITRE PREMIER. —»e l'axe
nerveux
céphalo-rachidien. 19 § 1. De la moelle épinièr
xposés............... 217 CHAPITRE VII. — Développement des centres
nerveux
. . . 224 § 1. Prolégomènes....................
t réel............... 258 CHAPITRE VIII.—Mes enveloppes des centres
nerveux
céphalo-rachidiens.......................... 266
......... 276 § 4. Structure des enveloppes membraneuses du système
nerveux
céphalo-rachidien................... 278 CHAPIT
.... 315 Pages DEUXIÈME PARTIE. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL CHAPITRE PREMIER. — Des nerfs..........
moelle.................... 332 § 1. De la moelle en tant que centre
nerveux
.......... ib. § 2. De la moelle comme conducteu
exe, je me limiterai au cerveau, c'est-à-dire à la masse de substance
nerveuse
, composée de deux hémisphères et située à l'extré
i avec fruit la traduction du livre de Huguenin (Analomie des centres
nerveux
), par Keller et M. Duval. diverses régions dési
ructure de l'écorce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou
nerveuses
; — cellules pyramidales. Notions Sur les cellu
res ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions Sur les cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la substance grise de l
noyau, nucléole, protoplasma, fibrilles et granulations ; --- réseau
nerveux
; — prolongements du protoplasma: prolongement ner
ns ; --- réseau nerveux; — prolongements du protoplasma: prolongement
nerveux
. Comparaison des cellules nerveuses motrices de
ents du protoplasma: prolongement nerveux. Comparaison des cellules
nerveuses
motrices de la moelle avec les cellules pyramidal
nt le rôle fondamental, je veux parler des cellules ganglionnaires ou
nerveuses
, qui forment en définitive l'élément caractéristi
es principaux traits de la constitution d'un des éléments cellulaires
nerveux
dont Fétude est la mieux connue à l'heure qu'il e
ices. La descrip-tion abrégée que je vais vous tracer de ces cellules
nerveuses
nous servira pour ainsi dire d'étalon. J'aurai à
en une sorte de réseau anastomosé qu'il désigne sous le nom de réseau
nerveux
. Ces prolongements sont compo-sés d'ailleurs, com
r tous les anatomistes. Il consiste en ce que la plupart des cellules
nerveuses
motrices, toutes, peut-être, possèdent, en outre
caractères particuliers. Ce prolongement porte le nom de prolongement
nerveux
, et vous allez saisir dans un instant la'raison d
e certaine distance, comme un nerf complet. La connexité des cellules
nerveuses
, par la voie de ce prolongement, avec les tubes d
teuse. Tels sont, Messieurs, les principaux caractères des cellules
nerveuses
motrices spinales; il est temps de mettre en rega
. Ces prolongements se résolvent-ils dans l'écorce grise en un réseau
nerveux
, ainsi que cela a lieu, d'après M. Gerlach, pour
e couche assez dense. Divers auteurs les regardent comme des éléments
nerveux
incomplètement développés ; d'autres leur dénient
ranuleuse de la rétine. M. Meynert range encore, parmi les éléments
nerveux
des zones corticales, des cellules allongées, en
fibres du système d'asso- (1) J. Luys. — Recherches sur le système
nerveux
, etc.,p. 162 et suiv. Pa-ris, 1865. (2) Meynert
exclusivement constituée par la substance con-jonctive. Les éléments
nerveux
y sont très rares ; cependant, Kolliker et Arndt
(1) décrivent vers la surface, sous la pie-mère, une couche de tubes
nerveux
parallèles, très délicats. Là aussi les cellules
che de tubes nerveux parallèles, très délicats. Là aussi les cellules
nerveuses
sont très disséminées^'//. 5,1). A l'œil nu, cett
raît être en rapport et avec la pau-vreté de cette couche en éléments
nerveux
et avec le petit nombre des vaisseaux capillaires
ième couche {Fig. 5, 2) est marquée par une agglomération de cellules
nerveuses
pyramidales de la petite espèce, très nombreuses,
ns-nous d'a-bord de celui de la région postérieure. 1° Les éléments
nerveux
, bien développés, sont, ici, des cellules assez v
essieurs,, que, chez le singe, cette répartition des grandes cellules
nerveuses
est à peu près l'apanage des circonvolutions où l
et. — Type de stratification en cinq coaches des éléments cellulaires
nerveux
. — Régions où existe ce type de stratification. —
de type de stratification en cinq couches des éléments cellu-laires
nerveux
ou réputés tels. Je vais vous rappeler, très so
ulaires et qui reçoit les pro-longements protoplasmiques des cellules
nerveuses
situées dans une couche sous-jacente ; — 2° plus
out en conservant la forme pyramidale propre aux éléments cellulaires
nerveux
de la région, ces cellules, vous le savez, se dif
ment par leurs dimensions, mais encore par la netteté du prolongement
nerveux
et par le développement des pro-longements de pro
plasma. Ces derniers traits permettent de les rapprocher des cellules
nerveuses
motrices des cornes antérieures de la moelle épin
ongé à rechercher dans les centres psycho-moteurs l'état des cellules
nerveuses
. • Un cas, observé par M. Luys, se rapproche
e général de l'écorce grise, dans ces régions, c'est que les cellules
nerveuses
pyramidales y sont, en règle, peu nombreuses et p
manière notable. Ce n'est point qu'il n'existe là de grosses cellules
nerveuses
, mais elles sont comparativement très rares, soli
sion de M. Meynert. M. Betz ajoute qu'elles n'ont pas de prolongement
nerveux
distinct et que les pro-longements de protoplasma
d'un bon nombre de lésions anatomiques dont cette partie des centres
nerveux
peut être le siège. . Vous-vous souvenez commen
va peut-être trop loin quand il écrit dans sa des-cription du système
nerveux
que la capsule interne est com-posée surtout de f
pourrait avoir pour effet de déterminer la com-pression des faisceaux
nerveux
qui composent la capsule in-terne et consécutivem
nt de ces faisceaux. Mais comme, en pareille circonstance, les fibres
nerveuses
de la capsule sont seulement comprimées et non pa
iption, un faisceau séparé. Quelle est la destination de ces fibres
nerveuses
? Chez l'homme, il est à peu près impossible de s'
es (1) L. Tûrck, voir Charcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
. T- I. 2e édit., p. 315. (2) Rosenthal. — Klini
postérieure de la capsule interne, l'existence de faisceaux de fibres
nerveuses
centripètes, ayant pour rôle de conduire vers le
qui a été dit sur (1) Charcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, lre éd., 1872. (2) Magnan. — De l'hémianesthés
ecroisement. Ces derniers (voyez Fig. 29, a\b) c'est-à-dire les tubes
nerveux
non entrecroisés occuperaient le côté externe dan
G) de chaque rétine, et l'inverse aurait lieu (DD) pour les faisceaux
nerveux
provenant de la bandelette optique du côté droit.
des arguments du même ordre, ont essayé de dé-montrer que les fibres
nerveuses
des nerfs optiques subissent dans le chiasma, mêm
la consé-quence nécessaire d'une lésion qui rencontrerait les fibres
nerveuses
optiques, au-delà des corps genouillés (G, G), da
ussation une modification légère. On admet communément que les fibres
nerveuses
provenant de l'œil droit et de l'œil gauche qui c
et cette vue s'accorde avec l'idée régnante qu'une lésion des fibres
nerveuses
optiques, dans leurs parcours intra-cérébral, équ
c le corps genouillé interne. Ce dernier ne contient que des cellules
nerveuses
rudimentaires (Henle) et ne peut être, par conséq
raversé le corps genonillé, soit par un trajet direct, les fais-ceaux
nerveux
de la racine interne vont en définitive aboutir a
faits cliniques conduisent à supposer qu'il s'y mêle aussi des fibres
nerveuses
entrecroisées, en rapport avec les nerfs auditifs
tion produisent la destruction ou la brusque compression des éléments
nerveux
de la circonscription affectée et non pas seuleme
estructive de la capsule interne, une lente régénération des éléments
nerveux
pourrait seule, au contraire, permettre le rétabl
1851. Idem xi. Bd. 1853. (2) A. Vulpian. — Phi/siologie du système-
nerveux
. Paris, 1866. (3) Ch. Bouchard. — Des de'généra
tent parfaitement indemnes. On constate en même temps que les racines
nerveuses
, tant antérieures que posté-rieures, que les méni
t, en dedans, elle s'avance jusqu'au contact de ce faisceau de fibres
nerveuses
, peut-être sensitives, qui constituent la partie
cède, que la sclérose consé-cutive n'affecte qu'une partie des fibres
nerveuses
qui forment les faisceaux latéraux, à savoir les
érieure du même côté, ayant amené la destruction des grandes cellules
nerveuses
de la région. L'en-vahissement des cornes grises
aire. — Introduction. — Progrès de l'anatomie pathologique du système
nerveux
. — Beaucoup de maladies nerveuses sont cependant
de l'anatomie pathologique du système nerveux. — Beaucoup de maladies
nerveuses
sont cependant inaccessibles à l'anatomie patholo
dans le cours de cette année, de l'anatomie patholo-gique du système
nerveux
. Déjà, à plusieurs reprises, dans cet enseignem
u connu, que jouent les. altérations de certaines parties des centres
nerveux
sur le développement de divers troubles trophique
dre, que des épisodes dans l'histoire anatomo-pathologique du système
nerveux
. Il m'a semblé qu'il serait utile d'envisager act
traités dogmatiques concernant spéciale-ment la pathologie du système
nerveux
. Dans ces ouvrages, les documents nouveaux tienne
idérable d'états pathologiques ayant évidemment pour siège le système
nerveux
, qui ne laissent sur le cadavre aucune trace maté
ais cela est vrai, surtout en ce qui concerne les maladies du système
nerveux
. Quelques exemples suffiraient pour montrer que l
a maladie connue sous le nom d!'induration multiloculaire des centres
nerveux
, àe sclérose en plaques, prêterait à des con-sidé
les résultats nouvellement introduits dans la pathologie des cen-tres
nerveux
: cerveau, bulbe rachidien, moelle épinière ; je
ur ce qui est du man-teau médullaire, formé par l'assemblage de tubes
nerveux
à direction presque partout longitudinale, on y d
, où elles intéressent nécessairement l'appareil des grandes cellules
nerveuses
motrices. Ainsi, voilà, de par l'anatomie patho
moelle, les cornes antérieures pour y dé-truire les amas de cellules
nerveuses
microscopiques qui y sont contenues : la maladie
es, ou, en d'autres termes, anatomiquement distribuées dans le cordon
nerveux
d'une façon diffuse et inégale. L'analyse dirig
véritable jour les tra-vaux relatifs à l'anatomie morbide des centres
nerveux
, vous n'auriez pas manqué de reconnaître la tenda
ur ainsi dire, dans de certaines régions bien circonscrites du cordon
nerveux
; que ces maladies constituent, en quelque sorte,
n-fondues. Lorsqu'on prend entre les mains un fragment de cette pulpe
nerveuse
et qu'on lui imprime quelques oscillations, on cr
quantité de graisse sous forme de granulations. Par contre, les tubes
nerveux
sont absents à peu près partout, ou tout au moins
rchow, reproduisant une vue déjà émise par Billard, la vie du système
nerveux
est en quelque sorte Fig. 48. — Région cervical
nt pas. L'acide osmi-que, vous ai-je dit, est fixé, dans les éléments
nerveux
déve-loppés, par la myéline. Or, vous voyez sur c
en dehors, elle est séparée de la pie-mère par une zone de substance
nerveuse
lui formant une sorte de manteau et cons- titué
n parallèle, et, lorsqu'ils sont développés, ils renferment des tubes
nerveux
de toutes dimensions. Comment se comportent-ils à
t plus bas dans la moelle, on est en droit de conclure que les fibres
nerveuses
qui les composent s'arrêtent successivement en ch
racines antérieures? Non, caries racines antérieures et les cellules
nerveuses
sont déjà très développées alors que les faisceau
is-sent prendre leur origine. 1° Dans la protubérance, les éléments
nerveux
qui, tout à Fifí. 52. — Schéma de la coupe des
ise qui n'est au- tre que le locus niger de Sœmmering. Les cellules
nerveuses
de cette région ne sont pas encore pénétrées de m
g-ments interne, externe et moyen). Dans les deux premiers, les tubes
nerveux
ne sont pas encore recouverts de leur enve-loppe
space de forme rhom-boïde et opaque, parce qu'en ce point, les fibres
nerveuses
ont acquis leur développement complet. Or, c'est
aire, c'est le contraire qui a lieu dans les pédoncules. Les fibres
nerveuses
qui composent les faisceaux pyrami-daux de l'étag
t, dans les cellules ganglion-naires qui s'y trouvent, que les fibres
nerveuses
des futures pyramides prennent leur origine; là,
ation blanche, en un mot, correspond à la structure achevée des tubes
nerveux
(cylin-dre-axe recouvert de sa gaîne de myéline).
e ou sous-rolandiqne du cerveau est marquée par la présence de fibres
nerveuses
revêtues de myéline. En ce point, les faisceaux d
après les documents fournis par l'examen du développement des centres
nerveux
. Cet exposé préliminaire, un peu long peut-être,
t à tous égards une place importante dans la pathologie des centres
nerveux
(1). II. Les dégénérations secondaires de la
e s'établit, une véritable perte de substance aux dépens des éléments
nerveux
. Aussi les anciens foyers d'hémorrhagie ou de ram
part des tumeurs, celles-ci pouvant déprimer ou refouler les éléments
nerveux
sans les détruire. 3° En dehors d'un cas partic
a surface du pied, qui représente le côté le plus large. Les fibres
nerveuses
étant pour une bonne partie détruites dans l'aire
ersales de la moelle, pratiquées dans les diverses ré-gions du cordon
nerveux
, nous reconnaissons aussitôt le cor-don antéro-la
ourrait l'appeler région pyramidale de la capsule, puisque les fibres
nerveuses
qui la traversent semblent être une émanation dir
s l'écorce de l'hémisphère l'existence des cellules ganglionnaires ou
nerveuses
qui, en raison de la forme sous laquelle elles se
orrespondant au tiers postérieur du segment postérieur. «des fibres
nerveuses
se dirigeant vers la portion de la capsule intern
La propagation se fait-elle parle tissu conjonetîf ou par les fibres
nerveuses
elles-mêmes ? Messieurs, J'en aurais fini ave
y produisent, a permis d'établir, vous l'avez reconnu, que les fibres
nerveuses
qui les composent prennent leur origine dans l'éc
e ce fait ne soit pas démontré, — que dans l'écorce grise, ces fibres
nerveuses
sont en rela tions plus ou moins directes avec le
vers le fîlum terminal. Ce fait démontre suffisamment que les fibres
nerveuses
qui les constituent s'épuisent peu à peu dans le
ticulum de la substance grise où s'épuisent successivement les fibres
nerveuses
du cordon latéral. - F, F, F, Racines antérieures
bien entendu, aucune trace d'altération ; aussi les grandes cellules
nerveuses
sont parfaitement intactes et la corne elle-même
squ'ici inconnue. Quoi qu'il en soit, s'il en est ainsi, la cellule
nerveuse
mo-trice dans le cas de dégénération descendante
rise le travail de dégénération et l'empêche de se propager aux tubes
nerveux
des racines antérieures qui ont très certainement
de M. Vulpian, a observé (1) Voy. Leçons sur les maladies du syst.
nerveux
, 1.1, p. 62et t. II, p. 269, quelques faits du
e le crois du moins, relevé le rapportentre l'altération des cellules
nerveuses
et l'atrophie des muscles. Tout récemment, M. P
t à l'heure, est en relation d'une façon quelconque avec les cellules
nerveuses
des cornes antérieures. Dans la règle, lorsqu'il
nière, il ne peut guère s'établir une lésion destructive de ce cordon
nerveux
, sans que la dégénération secondaire, à un degré
s intra-spinales, gliô- (1) Voy. Leçons sur les maladies du système
nerveux
faites à la Salpéfrière, Œuvres complètes, t. II,
que soit remplie la condition expresse de la destruction des éléments
nerveux
. Ainsi, dès l'instant que la lésion totale et t
s du foyer d'origine à une dis-tance dépassant deux ou trois origines
nerveuses
. D'ailleurs, Messieurs, j'entrerai plus tard da
uche. (1) Voy. Œuvres complètes. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, T. II, p, 121. J'ai observé des faits du même
rdon antérieur (ou cordon latéral). — E, Portion amincie de substance
nerveuse
fermant en arriè-re le canal central (d'après Kol
, d'après ce qu'enseigne l'étude directe de l'ar-rangement des fibres
nerveuses
, la constitution particulière des deux faisceaux
oche, dans toutes les directions, partie suivant le trajet des fibres
nerveuses
, partie suivant les tractus conjonctifs, et gagne
eur sarcomateuse ou myxomateuse qui englobe et comprime les faisceaux
nerveux
. Il n'est pas douteux, Messieurs, que la lé-sion
trouverez dans les leçons de Cl. Bernard sur la Phyiologie du système
nerveux
tout ce qui concerne cette question, sur laquelle
l. Bernard. -- Leçons sur la pl ysiologie et la pathologie du système
nerveux
, t. I, p. 237, La cause de l'entretien de la vi
estant indemne : donc le centre trophique de ces racines et des tubes
nerveux
qui en émanent est dans la moelle épinière, « pro
, semblerait plus légitime encore si ces dégénérations des fais-ceaux
nerveux
pouvaient être reproduites expérimentalement, à c
t, car déjèf elle se traduit par la perte des propriétés des éléments
nerveux
. Par conséquent, Messieurs, vous le reconnaisse
tifs à la structure de la moelle épinière, à l'arrangement des fibres
nerveuses
et des éléments cellulaires qui la compo-sent, à
n dernier ressort, sur la physiologie des diverses parties du système
nerveux
, en ce qui concerne l'homme; il est également-v
re eux de mille façons, par l'intermédiaire— pense-t-on — d'un réseau
nerveux
. Quoiqu'il en soit, l'axe gris donne naissance, e
les^raçin^s.antérieures..ne santpas un simple prolongement des tubes
nerveux
de ces faisceaux ; _(eiles en sont séparées par l
e le sont les nerfs? En d'autres termes, l'irritation de leurs fibres
nerveuses
par des agents mécaniques, chimiques ou électriqu
se détachent perpendiculairement ; elles pénètrent dans la substance
nerveuse
au niveau de l'es-pace perforé antérieur. On vo
omène dans ses relations avec les différentes affec-tions des centres
nerveux
et d'en chercher la signification. Ainsi, j'ai mo
gique. Mais, aujourd'hui que l'action delà strychnine sur les centres
nerveux
a été étudiée (1) Ce deuxième travail est insér
e développe très souvent, en apparence d'emblée, chez certains sujets
nerveux
, en conséquence d'une action traumatique banale.
dépend-d'une stimu-lation également permanente exercée par le centre
nerveux
spinal. « La moelle épinière, dit M Vulpian, agit
s'est-il passé quelque chose d'ana-logue à la réparation des éléments
nerveux
au sein du fais-ceau pyramidal induré ? C'est là
grise des hémisphères, sont transportés à la moelle par des fibres .
nerveuses
qui se mettent en rapport avec des groupes de cel
e la dénomination de sclérose. a) Dans la première phase, les tubes
nerveux
étant sépa-rés de leurs centres trophiques qui so
les connexions anatorniques établies entre les extrémités des fibres
nerveuses
du faisceau pyramidal et les cellules motrices de
es connexions sont telles que, dans certains cas, la lésion des tubes
nerveux
se propage aux cellules ganglionnaires qui s'a-tr
e concession, — que, sous l'in-fluence de l'irritation dont les tubes
nerveux
en voie de des-truction sont le siège, les élémen
agerait en rayonnant à une certaine distance par la voie du réticulum
nerveux
, jusqu'aux autres éléments ganglionaires de la mê
de la substance grise centrale, au contact des extrémités des fibres
nerveuses
du faisceau pyramidal, on peut se rendre compte d
ture. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des tubes
nerveux
mélan gés à ceux du faisceau pyramidal. La caus
es, qui paraissent exister entre les extrémités terminales des fibres
nerveuses
du faisceau pyra-midal et les cellules motrices d
; et j'ai proposé d'admettre que la lésion irritative, dont ces tubes
nerveux
en voie de destruction sont le siège, retentit su
aire de ce qu'on appelle, depuis les travaux de Gerlach, le réticulum
nerveux
. C'est ainsi que les cellules aesthésodiques qu'o
aesthésodiques qu'on sup-pose être l'aboutissant principal des tubes
nerveux
centripètes seraient touchées à leur tour d'une f
est la suivante : on suppose qu'elle résulte de l'irritation de tubes
nerveux
n'appartenant pas au faisceau pyramidal, mais se
ant pas au faisceau pyramidal, mais se mêlant à ses fibres. Ces tubes
nerveux
n'étant pas séparés de leurs centres trophiques,
e fibrillaire traitée par l'acide osmique, ne renfermait pas de tubes
nerveux
. 3° La myélite transverse primitive reproduit,
udié ce sujet avec beaucoup de soin, prétend avoir reconnu des fibres
nerveuses
qui, parties du faisceau latéral droit, se porter
xes, non systématisées, ou, autrement dit, distribuées dans le cordon
nerveux
, d'une façon diffuse et inégale, c'est-à-dire qu'
ment et physiologiquement, elles représentent un sys-tème. La cellule
nerveuse
motrice, avec ses prolongements multiples, peut ê
ontinuité directe avec les nerfs moteurs , de telle sorte que le tube
nerveux
moteur, dans sa partie essentielle qui est le cyl
mé par un amas de substance granuleuse dans lequel se termine le tube
nerveux
, réduit au cylindre axile. Les travaux de Krause,
i variées des affections qu'on rencontre dans la clinique des centres
nerveux
. L'ar-rangement, l'enchaînement des symptômes, fo
ructure de l'écorce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou
nerveuses
; — cellules pyramidales. Notions sur les cellu
res ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions sur les cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la substance grise de l
s, noyau, nucléole, protoplasma, fibrilles et granulations ; — réseau
nerveux
; — prolongements du protoplasma: prolongement ner
ions ; — réseau nerveux; — prolongements du protoplasma: prolongement
nerveux
. Comparaison des eellules nerveuses motrices de
ents du protoplasma: prolongement nerveux. Comparaison des eellules
nerveuses
motrices de la moelle avec les cellules pyramidal
et. — Type de stratification en cinq couches des éléments cellulaires
nerveux
. — Régions où existe ce type de stratification. —
aire. — Introduction. — Progrès de l'anatomie pathologique du système
nerveux
. — Beaucoup de maladies nerveuses sont cependant
de l'anatomie pathologique du système nerveux. — Beaucoup de maladies
nerveuses
sont cependant inaccessibles à l'anatomie patholo
La propagation se fait-elle par le tissu conjonctif ou par les fibres
nerveuses
elles-mêmes ?.............'......................
ture. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des tubes
nerveux
mélan-gés à ceux du faisceau pyramidal. La caus
— diffuse, 384. Processus cerebelli ad testes, 205. Prolongement
nerveux
des cellules, 21 ; — pyramidal, 23; — basai, 24.
es, 184 ; —, Atrophie des —, 336. (V. Entre-croisement. r Racines
nerveuses
, 272. Radiations optiques, 143. Ramollissemen
— dans la paraplégie spasmodique, 365 ; — abdominaux, 351. 11ÉSEAU
nerveux
de GeRLACH ou ré- ticulum nerveux, 20, 350. rlb
65 ; — abdominaux, 351. 11ÉSEAU nerveux de GeRLACH ou ré- ticulum
nerveux
, 20, 350. rlbsenzellen, 21. (v. cellules géante
ARLES HÉRISSËY. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE . DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIEE 9 0 U 8 I. A D I Illï C T 1
tait déjà agitée avant notre embarquement. (1 suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE SY11P1'OIfA'l'OLOGIQUE
rchives de Neurologie, t. XIV, p. 368; t. li. 161. 24 ik PATHOLOGIE
NERVEUSE
. été atteinte de la syphilis, ni des fièvres in
resta stationnaire et la malade nepré- senta pas d'autres troubles
nerveux
. Il y a quatre ans qu'une atro- phie accompagné
tre fois dans le courant de dix-huit mois. Fig. tf. 26 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Dans le courant de la première moitié de 1884,
e tiers inférieur de l'avant-bras gauche est un peu 28 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. amaigri (il a 1 cent, de circonférence moins q
s mouvements de la langue et des mâchoires sont 30 ' - PATHOLOGIE
NERVEUSE
. faibles. Il n'y a pas eu de troubles trophique
s et les membres inférieurs, la sensibilité douloureuse des cordons
nerveux
, qui avaient accompagné le développement d'une
nerfs mêmes des membres inférieurs, avec périneurite 32 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ou neurite interstitielle plus ou moins grande
e ou en haut d'un escalier élevé. Un épuisement rapide du système
nerveux
, impossibilité de travailler. Courbature généra
athies accusées dans la Archives, t. XVI. 3 . 18. 34 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. famille du malade. Le père était alcoolique, l
la seule indi- cation directe d'une lésion anatomique du système
nerveux
; mais on ne saurait nier de l'existence d'un pr
nt eu une marche aiguë pendant l'enfance du malade. 36 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Sept mois avant l'entrée du malade à l'hôpital
et AFC ne sont pas obtenus à 6 M. A; interosseux IV, 38 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. C F C - 4, A F C
RL.I3R0-SPINAL. Par JULES GLOVER. L'étude des maladies du système
nerveux
nécessite pour pouvoir aisément se tenir au cou
neuropathologie une notion constante de la topographie des centres
nerveux
. Une carte schématique fournissant un ensemble
nsemble, les rapides progrès incessamment ac- complis en pathologie
nerveuse
permettant du reste à l'heure actuelle de tente
systémisation répondant à la notion anatomique moderne des centres
nerveux
, savoir : 1° L'étude parallèle des lésions anat
s sur les différents points de l'anatomie topographique des centres
nerveux
. Nous indiquerons en détail l'opinion des auteu
. 1, 285 et suiv. 1882. Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. Il, lec. XII, 23gaz. Grasset. Traité pratiq
l, Mozer, Ranadier) tendent à assigner au mal perforant une origine
nerveuse
, car les observations qu'ils ont recueillies ap
impulsifs revenant à la même heure pendant plusieurs années chez un
nerveux
(Obs. I de Hecker) avant le début de la cataton
dents héréditaires. Père, faible d'esprit, et de carac- tère. Mère,
nerveuse
sans attaques, intelligence faible, tremble- me
ze ans seulement, Mlle Ch ? aurait com- mencé à être malade, un peu
nerveuse
: elle fut soignée alors comme anémique. A l'âg
rand-père paternel de la malade. Le père est lui-même un homme très
nerveux
, bizarre, violent; accidents arthritiques. An
renseignements sur l'enfance de la malade; elle a toujours été très
nerveuse
, bizarre, fantasque. Depuis quelques années, el
s pourrions répéter en substance à propos de la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 68 catatonie ce que disait autrefois M. J. Fal
e phénomène prédo- minant c'est la présence des troubles du système
nerveux
moteur, au point de vue psychique, l'état de mé
endu et si vague de la dégénérescence mentale'. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. SUR LES anomalies DE L1 sensibilité ET LEURS
ly. New- York, 1883. Archives, t. XVI. 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vases pleins d'eau à diverses températures. Le
l'origine de la troisième paire et celle de la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 67 douzième paire. L'observation qu'il décrit
ns ' Voy. Archives de Neurologie, XI, 257. 68 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. au point de vue de la pathogénie anatomique de
être réflexe et provenir en particulier d'une irritation du plexus
nerveux
gastro-hépatique. Il résulte en outre de l'étud
(d'origine traumatique), hémiplégie brusque du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 69 côté droit. Mort, autopsie : pâleur de l'hé
ère gauche, aug- mentation relative de Ja proportion d'eau du tissu
nerveux
de cet hémisphère. » Voici le sommaire de la
Gilles de la Tourette a décrit une maladie qu'il nomme « affection
nerveuse
caractérisée par de l'incoordination mo- trice
elle ne se manifeste que par l'un quelconque 70 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de ses signes, la maladie des tics convulsifs
roubles intellectuels. Guérison à peu près complète des symptômes
nerveux
. Phtisie diabétique. Autopsie : destruction des c
; les OBS. II, 111, IV : mouvements associés, à REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 71 l'appui de la théorie de Broadbent et Ross;
rale des troubles molcurs-posthémiplégiques. 72 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. matières. Telle est la situation jusqu'en 1885
à l'autopsie un grand nombre de foyers, exces- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 73 sivement pressés les uns contre les autres,
l'émigration de leucocytes hors des parois vascu- laires ; le tissu
nerveux
, infiltré de grosses et petites cellules, souff
ivasculaires, débarrassant ainsi le foyer, mais enlevant la matière
nerveuse
(mailles névrogliques vides, surtout dans la mo
is par du tissu modulaire ou de la graisse ; une partie des tubes
nerveux
ont paru en voie de désintégration. D'autre part,
elle et l'élongation des sciatiques. G. D. 74 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. XV. Anévrysmes MILIAIRES DE la MOELLE épinière
n que la circulation placen- taire se modifie par suite de l'action
nerveuse
agissant sur elle, et que par là la circulation
etus, que ce que ressent l'un, est transmis à l'autre. Les troubles
nerveux
chez l'enfant dont la mère a reçu quelque impre
nion de l'auteur. Ce dernier conclut en montrant que les cel- lules
nerveuses
de la mère ont une action sur le foetus. Mais t
ent entre la méningite aiguc et certains troubles de l'ouie d'ordre
nerveux
qui, après s'être installés rapidement se termi
labyrinthe et la destruction consécutive complète des terminaisons
nerveuses
en cet organe. Mais on n'est pas encore autoris
que par la syphilis, avec pièces anatomiques de syphilis du système
nerveux
. On sait que Struempell croit' que paralysie gé
u système vasculaire et non la dégénérescence primitive des tractus
nerveux
qui fait les frais du processus anatomopatholog
ée, qu'il existe un nombre exces- sivement marqué de petites fibres
nerveuses
, que la myéline a subi la décomposition molécul
xemple chiasmatique, et de conclure à une affec- tion de l'appareil
nerveux
optique qui au début a été seulement fonctionne
aliénés para- - lytiques généraux et mélancoliques, dans l'insommie
nerveuse
, et dans quelques cas de maladies infectieuses.
ihardt) qui ne possèdent encore pas de circonvolu- tions cérébrales
nerveuses
, et chez les amphibies ou les reptiles dont le
daire peu étendue. Troisième cas : dégénérescence diffuse de fibres
nerveuses
à myé- line dans la substance blanche corticale
ieurs places du cerveau de ces dégé- nérescences diffuses de fibres
nerveuses
de la substance blanche, tandis que l'écorce of
ment détruite à un endroit isolé par un 1 Voy. Anatomie des centres
nerveux
, de Huguenin. Archives, t. XVI. 98 SOCIÉTÉS S
s le même des deux côtés. À côté de cela, dans l'espèce, les fibres
nerveuses
des colonnes de Clarke, pour la plupart situées
ientôt compliquées de paralysie de la motilité dans les territoires
nerveux
périphériques les plus divers (du radial, du cu
tenso '. - M. (de Mannheim). Des altérations actives des cellules
nerveuses
ganglionnaires dans les inflammations. Il s'agit
mmations. Il s'agit de la question de la prolifération des cellules
nerveuses
ganglionnaires avec présentation de dessins. Le
oduit fréquemment dés karyo- kinases. Du reste, toutes les cellules
nerveuses
ne semblent pas être capables de subir cette al
f. Psych., XIX, 1.) P. KERAVAL. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE MERLIN Séance du 12 décetitbi-c 1887. Prés
es grosses granula- tions qu'on rencontre dans les grandes cellules
nerveuses
de la moelle épinière du lapin. On injecte l'an
s préparations, ne croit pas que ces granulations dans les cellules
nerveuses
aient rien à faire avec les granulatious d'Altm
rtance au point de vue de l'histoire du développement de la cellule
nerveuse
. Vignal a vu que, dans les cellules em- bryonna
ation du corps de la cellule que nous connaissons chez les cellules
nerveuses
développées. M. Benda réclame l'honneur d'avoir
attribué aux lésions cen- trales seules la pathogénie des accidents
nerveux
, on considère maintenant les lésions périphériq
nfluence de l'esprit sur le corps dans le traitement des affections
nerveuses
et même des affections orga- niques. La quatriè
us grande; enfin, un grand nombre d'individus, originaux, bizarres,
nerveux
, peuvent dans des cir- constances données, deve
t du cuir chevelu un chiffre de 1,32 p. 400. Parmi les affections
nerveuses
antérieures, nous trouvons l'épi- lepsie avec u
up sûr celle des rapports que peuvent avoir les maladies du système
nerveux
avec le traumatisme. Les récents travaux de M.
her à déterminer le rôle du traumatisme dans la genèse des maladies
nerveuses
; toutefois, l'auteur étudie aussi l'influence d
d'observations, et dans quelques- unes le rôle de la prédisposition
nerveuse
est évident; aussi, là encore, l'influence du t
lesquelles est manifestement démontré le rôle de la prédisposition
nerveuse
des sujets, tant pour la production des contrac
térieur qu'on devrait cher- cher la raison d'être de ces phénomènes
nerveux
consécutifs à des traumatismes portant sur le t
nce, c'est quand il donne au tétanos, pour cause, la prédisposition
nerveuse
, alors qu'actuellement, la nature infectieuse d
vropathie. La doctrine, suivant la- quelle l'étiologie des maladies
nerveuses
est dominée par les lois de l'hérédité ou, plus
e 0. Doin. CIIARCOT (J ? 11.). Leçons sur les maladies du système
nerveux
, pro- fessées à la Salpêtrière et recueillies p
Vol. XVI. Septembre 1888. N" 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
gie nouvelle, pathologie qui pré- ? ncmvFS, t. XVI. 10 146 CLINIQUE
NERVEUSE
. sente plusieurs formes morbides dont chacune s
tion et les sécrétions sous l'influence du séjour dans 148 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'air comprimé. Le reste de son travail est co
oidi ; mais c'est, comme on le verra , à un moment - 150 - CLINIQUE
NERVEUSE
. tout à fait différent et opposé, à savoir non
cision scientifique qui est réclamée aujourd'hui dans 15 CLINIQUE
NERVEUSE
. ce genre de recherches. L'étude, surtout des d
accidents, dont la pre- mière contient ceux qui frappent le système
nerveux
central et qui constituent la plus grande parti
breux, qui ont pour siège d'autres organes ou tissus. I. Accidents
nerveux
. Suivant que la localisation de l'agent pathogè
ne à telle ou telle partie de l'axe cérébro-spinal, les accidents
nerveux
se présentent cliniquement sous des formes mult
arcos, pas d'antécédents, âgé de trente ans, travaille 154 CLINIQUE
NERVEUSE
. depuis douze ans dans l'air comprimé. Deux ann
ant trois minutes seulement. Revenu à lui, le malade a 156 CLINIQUE
NERVEUSE
. les membres de nouveau complètement paralysés
yant nécessité l'emploi de la sonde et des purgatifs.' 158 CLINIQUE
NERVEUSE
. La monoplégie du membre supérieur droit n'a ét
ession avec constriction à la nuque, comme si, dit-il, 1G0 CLINIQUE
NERVEUSE
. une main le pressait et le serrait fortement :
la décompression a été assez Archives, t. XVI. 11 1 162 CLINIQUE
NERVEUSE
. brusque, moins d'une demi-minute. Notons bien
n Colovolis, âgé de trente-huit ans, pas d'antécédents 164 CLINIQUE
NERVEUSE
. héréditaires ou personnels, a commencé le trav
compression brusque, une minute. Symptômes d'invasion; 166 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' perte de connaissance et serrement spastique
imique. Il ne savait ni lire ni écrire. Pas d'aphonie. 168 CLINIQUE
NERVEUSE
. Au bout de dix minutes, ses douleurs ainsi que
ale. Rien du côté des organes génitaux. Enfin, le seul 170 CLINIQUE
NERVEUSE
. signe qui existait comme souvenir pour ainsi d
marche, ce qui la rendait bien plus difficile encore. '172 CLINIQUE
NERVEUSE
. Etat actuel le 15 juillet 1886. Le malade marc
faire avancer sans pencher le tronc à droite, etc. - 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. Si l'on fait mouvoir les membres du malade, on
considérable. La constipation a nécessité l'emploi de 176 CLINIQUE
NERVEUSE
. purgatifs drastiques (huile de croton). La par
t n'avait pas mangé avant cette Archives, t. XVI. 12 478 CLINIQUE
NERVEUSE
. immersion. Ajoutons aussi qu'il n'avait pas ét
marchait sans bâton, ses membres lui paraissaient plus 180 CLINIQUE
NERVEUSE
. légers, les érections, sans être tout à fait n
es ont commencé à recouvrer leur motilité. Les membres 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. inférieurs restent dans le même état. Le malad
membre droit, constituait tout le tableau clinique. 186 CLINIQUE
NERVEUSE
. Les treize observations qui viennent d'être ra
e connaissance a été variable, toutefois assez courte, 188 CLINIQUE
NERVEUSE
. elle a varié entre une heure (OBS. IX), et deu
naient parfaitement bien ce qu'on disait autour d'eux 190 CLINIQUE
NERVEUSE
. sans pouvoir y répondre. Le seul moyen à l'aid
symptôme le plus fréquent, car elle a figuré six fois 192 CLINIQUE
NERVEUSE
. parmi nos observations ; tantôt ce sont les do
s trois heures il n'y avait pas Archives, t. XVI. 13 194 CLINIQUE
NERVEUSE
. - ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. trace de para
ômes gastriques. Elle a duré trois heures. (A suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
contribution A L'ÉTUDE symptomatologique DE l
gie, t. XIV, p. 368; t. XV, p. 161; t. XVI, p. 23. 196 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gauche, elle descend plus bas par devant presq
hent dans la substance grise de la moelle épinière, '198 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. et que la plupart des symptômes cliniques énum
riode de la maladie, la surface totale du corps peut 200 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. être atteinte. Dans la sixième observation, no
la thermanesthésie occupe une région où cette coïn- 202 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cidence n'existe pas, par exemple celle qui es
anesthésie ne se localise pas selon les ré- gions des ramifications
nerveuses
, mais suivant les seg- ments de la peau, limité
r pourtant la différence de température à 20°-30°. 204 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les degrés d'anesthésie à un certain moment so
ue. Parfois, dès le début, les deux espèces d'anes- zou) PATHOLOGIE
NERVEUSE
. thésie partielle se distribuent dans les mêmes
te avec le sens du tact et s'abaisse parallèlement à 208 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ce dernier. Il avait été excessivement abaissé
oindre qu'on pourrait le sup- ARcHivEs, t. XVI. 14 210 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. poser d'après les plaintes des malades ; à l'e
La formation de tumeurs pâteuses limitées dans le 2112 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tissu cellulaire sous-cutané, dans le genre de
prévoir et d'éloigner, des traumatismes arrivant à 9.14 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. chaque pas, etc., secondement, parce qu'elle d
sont atteints assez souvent, à la suite se déve- '316 6 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. loppe la scoliose musculaire dans les première
enchaînant constamment l'attention du malade, épuisant son système
nerveux
, surtout au moment des douleurs, et agissant d'
impres- 220 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. sionne tellement le système
nerveux
, que l'action du vertige marin cède la place à
in. En général, le tout dépend du degré d'excitabilité du système
nerveux
et de l'état de l'estomac. Ainsi , les personne
res. La crainte d'avoir le vertige prédispose et prépare le système
nerveux
central. Ceux qui voya- gent pour la première f
que la barque pourrait chavirer et par conséquent leur sys- tème
nerveux
est attaché à cette idée du danger im- minent.
g avec une grande diminution d'albu- mine. Les vaisseaux du système
nerveux
se répandent à la surface de la pie-mère ; là,
remier flot du liquide sort en jet. Dans l'état normal, les centres
nerveux
subissent une certaine pression de la part de c
on sur les mouvements du liquide céphalo-rachidien. Pour le système
nerveux
central, comme aussi pour les autres organes no
hidien à l'état normal exerce une certaine pression sur les centres
nerveux
, A la suite de la suppression de ce liquide, l'
x. Ces déplacements auraient pu agir par ini- mition sur le système
nerveux
et provoquer ainsi le vertige, etc. - En résu
elle, comme on le fait actuellement de Calais à Londres. CLINIQUE
NERVEUSE
DE 1,'ÉI)ILI ? PSII PROCURSIVE'; Par BOURNEVI
lli- gente, taille ordinaire; pas de migraines, pas d'antécédents
nerveux
, etc. [Père, homme de peine au chemin de fer, mor
upérieures. Voûte palatine et gencives normales. 238 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. 28 décembre. Amélioration très notable qui per
hérent. , Fig. 20. DE l'épilepsie PROCURSR'1;. 239 240 CLINIQUE
NERVEUSE
. DE l'épilepsie PROCURSIVE. 241 sillons. Par
re de la troisième frontale. La Archives, t. XVI. 16 242 CLINIQUE
NERVEUSE
. deuxième scissure frontale, très irrégulière,
rontale, profonde, sinueuse postérieurement est inter- 244 CLINIQUE
NERVEUSE
. · rompue en avant par un des plis de passage d
is contiennent un certain nombre d'amas névrogliques et de cellules
nerveuses
arrondies, granu- leuses et pigmentées ; elles
plus prononcé d'ailleurs dans d'autres cas d'idiotie. 246 CLINIQUE
NERVEUSE
. Au-dessous de ces points très lésés, il n'exis
sous de ces points très lésés, il n'existe plus de grandes cellules
nerveuses
, mais on en rencontre tout à côté par amas abon
filtration des gaines. Pourtant la sériation verticale des éléments
nerveux
à laquelle nous attachons une grande importance
très développée avec diminution de nombre et de volume des cellules
nerveuses
qui ont perdu leur sériation dans les points ex
opposé. Dans cet îlot à contours diffus un certain nombre de tubes
nerveux
persistent. En résumé, les lésions du bulbe et
: 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules
nerveuses
; 3° formation des cavités. Ces lésions forment
que le gauche; aussi le cerveau ne recouvrait-il le 248 CLINIQUE
NERVEUSE
. - DE l'épilepsie PROCURSIVE. cervelet qu'en pa
plètement exposés en fran- çais dans Huguenin. Anatomie des centres
nerveux
, trad. Keller; Paris, 1879. * NothnageL Malad
d'anatomie, peuvent être considérés comme de simples gan- glions
nerveux
placés sur le trajet intra-bulbaire des nerfs G
I, 1883. Leçon IX. Grasset. Traité pratique des maladies du système
nerveux
. Paris, 1886, p. 429. A. d'Espine et Picot. Man
es signes qu'on trouve si souvent chez les dégénérés, et le système
nerveux
était absolument indemne de toute affection aus
alles entre les élé- ments du tissu sous-jacent. Quant aux cellules
nerveuses
de la ' moelle épinière, une grande partie n'a
- rieures. Un phénomène plus rare est représenté par des cellules
nerveuses
qui se distinguent par un protoplasma fine- men
nant en propre à la myélite aiguë. Quant aux altérations du système
nerveux
périphérique sur- venues à la suite d'une intox
ule, on peut parfaitement bien expliquer la plupart des symp- tômes
nerveux
si fréquents et si variables qu'on observe dans
ept jours. L'autopsie révèle une intlammation aiguë des gros troncs
nerveux
avec hémorrhagies interstitielles; faible lésio
de la symétrie de l'éruption, de l'existence de quelques accidents
nerveux
, de l'absence de causes connues de cette derma-
écrite portant sur i'ftM(f<om<e et la physiologie du système
nerveux
pour laquelle il sera accordé trois heures aux
exemplaires. CIIARCOT (J.-M.). Leçoiis sur les maladies du système
nerveux
, pro- fessées à la Salpêtrière et recueillies p
dirigé, produit géné- ralement les meilleurs résultats. CLINIQUE
NERVEUSE
RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
spinale, on est certainement frappé aussi bien de leur 348 CLINIQUE
NERVEUSE
. extrême variabilité et de leur multiplicité, q
iés. A. Mode d'invasion. L'invasion de la paraplégie 350 CLINIQUE
NERVEUSE
. est presque toujours brusque. Dans l'immense m
nsistaient en troubles : 1° de la sensibilité, 2° de 382 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. la vessie, 3° du rectum, 4° des organes génita
ntre une impuissance complète. Archives, t. XV. 23 354 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. 5). Douleurs aux lombes. C'est un symptôme qui
droite, la jambe se projette d'une façon brusque et 356 CLINIQUE
NERVEUSE
. spasmodique, mais une seule fois; tantôt l'exa
ertainement en rien de celles qui s'observent dans les 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. paraplégies spasmodiques ayant une toute autre
avorté commence à rétrograder et devient de plus en 360 CLINIQUE
NERVEUSE
. plus faible, de plus en plus fruste, il va mêm
survenant à chaque pas et très intense; contractures 362 CLINIQUE
NERVEUSE
. passagères fortes, etc. Ici encore, le syndrom
jamais au terme de son développement complet et une 364 CLINIQUE
NERVEUSE
. fois arrivée aux points que nous avons longuem
vessie ayant recouvré complètement l'intégrité par- 366 CLINIQUE
NERVEUSE
. faite de ses fonctions. En outre, le malade de
omplètes suivies plusieurs fois de pertes séminales. 368 CLINIQUE
NERVEUSE
. B). Symptômes négatifs. A côté du grand nom-
oubles de la sensibilité sous AIICIIIVES, t. XVI. 21 370 CLINIQUE
NERVEUSE
. forme d'anesthésie et troubles de la vessie et
spécial qui ne se rencontre dans aucune maladie con- nue du système
nerveux
central. 13. Forme centrale spinale l'0511'sn0-
e 4 novembre, c'est-à-dire 3j jours après l'accident 372 q CLINIQUE
NERVEUSE
. durant lesquels il était resté au lit, il a pu
e 1 illusion visuelle au fond de la mer. Perte de con- 374 CLINIQUE
NERVEUSE
. naissance, au moment (4 heures et demie) o'<
qui, étant plus dégagée, peut se détacher du sol et 376 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. s'avancer sans inclination du corps. Il y a un
régions des membres paralysés. Le sens musculaire est 380 CLINIQUE
NERVEUSE
. fortement troublé. Il perd très souvent la not
e qu'il soulève et avance sans aucune difficulté appa- 382 CLINIQUE
NERVEUSE
. rente. Après une longue course, le membre droi
ontinence d'urines et de selles, secousses, clonus des 384 CLINIQUE
NERVEUSE
. pieds, contractures passagères, crises de doul
tifs. , - A. Syndrome des symptômes céphaliques. Ces 388 CLINIQUE
NERVEUSE
. symptômes ont une place prépondérante parmi le
r surnaturelle. L'illusion a continué durant la com- 390 CLINIQUE
NERVEUSE
. pression de la cinquième immersion; pour cette
céphalalgie se combinent aux douleurs à l'épaule 393 »1 CLINIQUE
NERVEUSE
. droite. La même chose se passe à I'Observation
m- plète dès le moment de son invasion, accompagnée 39'1 CLINIQUE
NERVEUSE
. ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. de la monoplégi
rmal et tantôt à l'incontinence de selles. (A Suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
contribution A l'étude ST\IP'fOIIA'fOL001QU1,
XIV, p. 368; t. XV, p. ICI; t. XVI, p. 23 et 195. 39G PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous avons montré que l'on confondait sous le
yperplasie d'une manière plus diffuse et pénètre entre les éléments
nerveux
. Dans cette forme se produit le plus souvent la
se combine avec des hyperplasies néoplastiques de 398 PATHOLOGIE
NERVEUSE
l'épendyme plus limitées de forme et de structu
ntre l'hyper- ptasie pathologique de la neuroglie et les éléments
nerveux
et l'altération produite dans ces derniers. Il es
axes avaient été conservés par places. Les altérations des éléments
nerveux
de caractère régressif, diverses altérations de
erses altérations de la myéline, des cylindres axes et des cellules
nerveuses
avaient déjà été constatés par Zacher et Fùrstn
connaissons seulement que certains groupes de fibres et cellules
nerveuses
peuvent périr, se détruire et se déplacer en ma
r un peu le champ des inves- Archives, t. XVI. 20 1102 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tigations. Sous ce rapport, les intérêts de la
ymptôme et, en général, nous savons avec quelle facilité les fibres
nerveuses
s'écartent et s'accommodent à une pression se f
anesthésie partielle, on voit une destruction en ap- 404 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. parence complète avec substitution de la corne
e, soit par le néoplasme. Mais il faut se rappeler que les éléments
nerveux
peuvent être conservés au milieu des parties le
et leurs ana- logues que par des troubles nutritifs des éléments
nerveux
dans les cornes postérieures, consécutifs à l'h
ucteurs aux impressions thermiques. (Nous savons que les - fibres
nerveuses
de diverses catégories ne réagissent '/7 pas ég
spéciaux aux différentes espèces de sensibilité). 406 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le degré d'influence de ces deux facteurs serv
tion des cylindres axes. Une lésion aussi considérable des éléments
nerveux
, mais limitée par un très petit espace de la co
être même la disparition des symptômes mor- bides. 408 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le pronostic découle de ce qui vient d'être di
agissent d'une manière débilitante sur la nutrition des éléments
nerveux
, en diminuant leur résistance aux éléments de l
ervés dans quelques cas de lèpre. (Rosenbach. 30.) 410 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. symptômes de luxe, ne servent qu'à confirmer l
iagnostiquer la gliomatose de la moelle épinière. 4 1 z2 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que nous doutions, si nous n'avons affaire à u
ons tomber sur des cas, où la sensibilité douloureuse des cordons
nerveux
et des muscles nous induira en erreur. Il faut
- rizontales, ne correspondant pas aux sphères de dis- tributions
nerveuses
, mais à la lésion de parties de certains segmen
matose. Il convient d'exclure le tabès dorsalis dans 414 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. les cas de la dernière catégorie et dans la lo
ention des malades et souvent échappent à l'observa- 410 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion du médecin dans le cas où le malade le co
augmentant la résistance, en amélio- rant la nutrition des éléments
nerveux
, ou en tâchant d'éloigner les productioiis path
de l'altération, apaisera-t-elle ncmvES, t. 1n 27 418 PATHOLOGIE
NERVEUSE
les douleurs etc. D'un autre côté, nous trouvon
écrébro-spinale et à contribuer aux moyens théra- - 420 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. peutiques plus conformes au but, ou bien à l'u
à une attaque de ce genre que succomba le malade, 423 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. M. llescllede s'étend ensuite sur l'élat intcl
rchives générales de médecine, décembre 18G9.) 424 -if PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans les cas d'épilepsie procursive, on procèd
siologie humaine, Ir, édi- tion, 1876, p. 1005, 43G 6 pathologie-
NERVEUSE
. irrésistibles qu'ils rattachent à des troubles
ussi affecter une fréquence insolite dans les affections du système
nerveux
central les plus diverses dénuées d'action sur l'
s dénuées d'action sur l'aire des 1 Luys. Recherches sur le système
nerveux
cérébro-spinal. Paris, 1865, p. 616. Nothnage
pt ans, eut, à la suite d'une commotion morale violente, des crises
nerveuses
avec besoin de tourner. De nouvelles émotions r
hives de Neurologie, n° 25, vol. IX, 1885, p. 99.) 428 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gauche à droite, qui s'opérait delà manière su
éré- 1 Archives de Neurologie, 1885, t. IX, p. 99. 430 pathologie
nerveuse
. DE l'épilepsie PROCURSIVE. belleuses et la phy
'autopsie d'un nouveau malade, nommé Bourg... REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 435 centres inférieurs, car les convulsions cl
fs et s'y montre surtout accentuée là où il y a abondance de filels
nerveux
; de plus, il y a des régions du corps plus sensi
ensibles à la chaleur ou au froid, enfin chaque REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 437 endroit possède son maximum de sensibilité
omplémentaires dans le texte précisent les lieux et les territoires
nerveux
. Sept observations cliniques sont données comme
apparition de la chorée, de l'athétose, de 438. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'ataxie, de la paralysie agitante, du tremble
uscle, le signe de Romberg. Enfin, tout à fait à la fin, les troncs
nerveux
sont atteints à leur tour : douleurs spontanées
alement, démence progressive rapide. Autopsie : REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 439 octobre 1887. OEdème pie-mérien, coagulum
érieurement, à une parésie légère du membre 4'0 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' inférieur droit, à quelques tiraillements su
que légèrement affecté. R. )I. C. XXVI. Des affections du système
nerveux
A LA suite de maladies infectieuses aiguës; par
anisation de la moelle, l'auteur étudie principalement les troubles
nerveux
consécutifs à la fièvre typhoïde. Nous relevons
ive des paralysies posltypliiques (anémie et épuisement des centres
nerveux
) dont une relative à une aphasie sans paralysie
après la fièvre typhoïde. Puis M. Lunz examine ensuite les troubles
nerveux
par inllam- malion infectieuse (quatre observat
e (quatre observations) et par altérations vascu- laires du système
nerveux
contial (hémorrhagies, thromboses em- bolies).
rités : intégrité des cylindraxes au milieu des REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ï ! i l foyers scléreux (aussi pas de dégénére
là de myoclonie essentielles. (V. 2 obser- 442 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. vation.) Quant aux myoclonies symptomatiques,
Ii. XXX. Contribution A l'étude DE la tuberculose dans LE système
nerveux
central ; par A. Hoche. (rh·c7t. f. Psyciv., XIX,
ures de la moelle lombaire et ayant détruit une quinzaine de fibres
nerveuses
; elles sont finement grenues et possèdent chac
ct est celui de la paralysie générale, si ce n'est les phé- nomènes
nerveux
et psychiques accoutumés ; en février 188H, en
ce insignifiante des racines antérieures. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 4li3 XXXII. Contribution A L'I : rUDE DESI',ln
vation de névrite avec atrophie musculaire 4'l4 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. inexpliquée, si ce n'est par la syphilis (infe
sons comme l'une des nombreuses manifestations anormales du système
nerveux
chez les dégénérés. M. CIIRISTIAN pense que l'a
du Congo en micrographie et de son application à l'étude du système
nerveux
central : préparations à l'appui. Séance du 1
D'abord la démence paralytique est une affection de tout le système
nerveux
central. Sans doute, en bien des cas, elle se loc
tème est peu'ou prou atteint. Examinant, par conséquent, le système
nerveux
central d'un malade mort au cours d'une premièr
sente dans la 111 temporale gauche 1,3 cellule ronde pour 1 cellule
nerveuse
. Sur le cerveau de cette malade, elle présente
résente dans la 2, frontale gauche 1,4 cellule ronde pour 1 cellule
nerveuse
. Sur le cerveau de celte malade, elle présente
la folie affecte chez les enfants, mais aussi de tous les troubles
nerveux
qu'ils peuvent présenter tels que convulsions,
peuvent présenter tels que convulsions, tics, bâillements et rires
nerveux
, hoquet, etc., etc. La première partie de l'ouv
complet et très consciencieux en tout ce qui touche aux affections
nerveuses
et mentales des enfants, cet ouvrage pourra tou
asses. Mais il n'est pas douteux que dans certains cas d'affections
nerveuses
, les métaux appliqués d'une façon rationnelle n
d'un très réel talent littéraire. VARIA Thèses sur les maladies
nerveuses
1888. (Paris.) ravreau : Du secret professionne
: 10 francs. Ciiarcot (J.-11.). Leçons sur les maladies du système
nerveux
, pro- fessées à la Salpêtrière et recueillies p
ue par la), par Rumpf, 88; (cérébrale), par Hertz, 449. Système
nerveux
(affections du après les m.ladies infectieuses)
tait le plus jeune de six.garçons dont aucun ne suufrit de troubles
nerveux
et qui moururent tous très vieux. La mère est
st sobre et se porte bien. Deux frères et deux so-urs sont de grand
nerveux
, mais autrement se por- tent bien. Enfin, not
intelli- gent. Comme tous les membres de sa famille, il est un peu
nerveux
. Nous n'avons pu déceler aucun signe de syphili
neux, cutanés et oculaires sont normaux ; il n'existe aucun trouble
nerveux
. Les organes génitaux sont bien développés et les
antôt la dystrophie est la conséquence d'ajlérations vasculaires ou
nerveuses
lointaines, tantôt elle résulte de la mise en cir
tre malade, nous n'avons trouvé ni foyer infectieux (3), ni trouble
nerveux
(4), ni trouble vasculaire. Le champ des hypothès
ne lésion de la base du crâne sans admettre l'existence d'un centre
nerveux
spécial de la trophicité. Une altération de sph
l POLYDACTYLIE ET TÉRATOME HYPOPHYSAIRE 17 18 BERTOLOTTI troncs
nerveux
indolores à la pression, aucune parésie aux membr
Ces fibres, au contraire, sont détruites en cas de lésion du tronc
nerveux
où les fibres homo-latérales et contro-latérales
itzung, 13, , XII, 1908.. Van GI311UCIiTEN. - Anatomie du système
nerveux
. Louvain, 1906. VALOBRA. - Rea : .ione elettric
iesbaden. LA CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DANS LES CENTRES
NERVEUX
ÉVOLUANT CHEZ DES SUJETS D'AGE MOYEN, PAR W
de Rotterdam). Nous pouvons distinguer, parmi les cas où la maladie
nerveuse
se ma- nifeste chez des malades, atteints d'une
ue ordinaire. Ensuite il y a une grande série de cas, où la maladie
nerveuse
évolue, le plus souvent sous une forme chroniqu
deux cas l'existence d'une cirrhose hépatique. L'examen des centres
nerveux
ne révélait pas d'altérations macroscopiques, o
gigantesques aux grands noyaux riches en chroma- tine. Les cellules
nerveuses
montraient parfois des altérations, quelques- u
sychiatrie, 1913, , CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES CENTRES
NERVEUX
43 il y a quelques traits, qui nous permettront
ordi- naires. Parfois ils sont parallèles à la surface. Cellules
nerveuses
. Un certain nombre d'entre elles ont les contours
lasma ayant une struc- ture spongieuse (PI. XII). Quelques cellules
nerveuses
sont sur le point de dis- paraître : on reconna
petits. Ils sont trouvés aussi bien dans la proximité des cellules
nerveuses
, qui sont en forte dégénération qu'au- tour des
trouvée autour des grands noyaux névrogli- ques, dans les cellules
nerveuses
et le tong des vaisseaux. , . Nouvelle Iconogra
§f<S4t réfkukke. CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES CENTRES
NERVEUX
47 Fibres à myéline (Spielmeyer). Etat normal,
marquées plus haut. On y trouve une simple disparition des cellules
nerveuses
,dont quelques-unes sont encore vague- ment reco
étudier de plus près. C'est comme si à. certains endroits le tissu
nerveux
était en train de fondre. Nous remarquons à ces
perforés, les chercher attentivement. Couches optiques. Cellules
nerveuses
en forte dégénération ; noyaux à la périphérie
nts clairs, fortement déformés, à dimensions énormes.. Les cellules
nerveuses
sont en forte dégénération, les noyaux sont petit
les il y a quelques spécimens qui ressemblent beaucoup aux cellules
nerveuses
dégénérées, mais qui montrent leur identité par l
au type ordinaire. CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES CENTRES
NERVEUX
49 lières. Ils peuvent atteindre des dimensions
ons caractérisant les centres corticaux et sous-corticaux. Cellules
nerveuses
sans grosses lésions. Coupes coloriées suivant
ire et où le délire était le seul symptôme d'une lésion des centres
nerveux
, l'intérêt est surtout d'ordre anatomique. Le p
délire de persécu- CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES CENTRES
NERVEUX
51 tion), dont la valeur est encore diminuée pa
lopper, donnant naissance à des altérations graves dans les centres
nerveux
. Cliniquement ces cas peuvent se manifester par
ermet de les attribuer à des pertur- bations fonctionnelles d'ordre
nerveux
; ces perturbations, au moment des épisodes asp
s (3). (t) ACIIARD et Lévi, Traité GILUERT et TII01\OT, SéméIOlogie
nerveuse
, t. XXI. (2) VtMVENEL et Fo.T<]NE,A pyopos (
s avons recherché, comme je le fais ordinairement dans les maladies
nerveuses
, d'origine traumatique, le symptôme de Mannkopf
apparence, mais il est entouré d'une zone dans laquelle les fibres
nerveuses
sont démyélinisées, les cellules ner- veuses et
e lésion ne permet pas de délimiter avec certitude ce qui, du tissu
nerveux
, a été réellement détruit ou simplement déplacé
intes que l'on doit avoir en pareil cas. En effet, lorsque le tissu
nerveux
subit une compression exercée par. une masse in
xation élective sur les fragments de myéline dégénérée ; les fibres
nerveuses
normales, et les tissus interstitiels, en absorbe
u-dessus de la lésion, aucune imprégnation anormale de la substance
nerveuse
; la vacuolisation et la diffusion des grains noi
ch. u. Neur., vol. 26, 1909, p. 534. Dejerine. Anatomie des centres
nerveux
, t. II, 1901. Dejerine et A)i[1RÉ-THOIAS. - Mal
ées au Weigert Pal ils forment des taches claires, car aucune fibre
nerveuse
n'y laisse voir sa couronne noire ca- ractérist
es uns aux autres. On ne retrouve qu'un très petit nombre de fibres
nerveuses
rejetées à la périphérie, elles ont une apparen
de deux ordres. Les unes ont trait à l'histoire des déterminations
nerveuses
de la maladie de Recklinghausen, les autres se
de 50 ans. Malade uu mois et demi ; forme cutanée, intesti- nale et
nerveuse
d'une pellagre. Le sang contient des leucocytes v
gée de 27 ans. Malade pendant 4 mois ; forme cutanée-intestinale et
nerveuse
d'une pellagre. Le sang contient : un petit nombr
sés. 1` ? ° 13. S., âgé de 42 ans ; malade 1 an ; pellagre cutanée-
nerveuse
. Les myéloblastes, les leucocytes vacuolisés, d
rincipaux agents auxquels on attribuait autrefois les insuffisances
nerveuses
qui résultent d'occupations régulières. Si la
a réflexion n'avaient pas fait défaut dans l'étude de ces désordres
nerveux
fonctionnels, on ne se serait pas contenté des ex
t pas à expliquer pour- quoi les mêmes muscles et les mêmes centres
nerveux
qui exécutent d'une façon normale des opération
nnel. Nous n'expliquons rien en classant les désordres fonctionnels
nerveux
professionnels d'après la topographie des muscl
y prédisposer en affaiblissant l'activité physiologique du système
nerveux
et conséquem- ment la tension psychologique.
quelquefois. Plus tard, elle se plaignit d'une.sensation de tension
nerveuse
lorsqu'elle était pres- sée, phénomène qui fut
u'il ne pou- vait dormir, et restait dans un grand état d'agitation
nerveuse
, au point de fou- dre en larmes quelquefois. So
itation périphérique empêchant l'intégration harmonieuse du système
nerveux
nécessaire pour l'adaptation psychologique. Les
ier (Haute-Marae). - CONTRIBUTION A LA SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
PÉRIPHÉRIQUE par L.BARRAQUER Médecin neurol
ographi- que de quelques symptômes objectifs appartenant au système
nerveux
périphérique. C'est à ce point de vue que j'ai
symptômes par lesquels s'extériorisent les affections du sys- tème
nerveux
, afin de joindre nos constatations à celles qui o
publieront plus tard. Je m'attacherai plus spécialement à la lèpre
nerveuse
parce que cette maladie est une de celles qui c
adie est une de celles qui contribuent le plus à la symptomatologie
nerveuse
périphérique et où se trouvent les caractères les
ndant une description détaillée de la sympto- matologie de la lèpre
nerveuse
, celle élude sérail trop longue; elle com- pren
examen de toutes les altérations d'origine névri- tique. La lèpre
nerveuse
frappe tout le système nerveux, mais de préférenc
d'origine névri- tique. La lèpre nerveuse frappe tout le système
nerveux
, mais de préférence et plus t6t le périphérique
médul- xxvii 9 126 RIRItAQUER. SY11P'l'O\fA'rOLOGII : OU SYSTÈME
NERVEUX
laire, etc. On trouve cependant des cas, mais e
alement sur les bran- ches périphériques avant d'envahir les troncs
nerveux
. Bien plus, les ter- minaisons nerveuses les pl
s avant d'envahir les troncs nerveux. Bien plus, les ter- minaisons
nerveuses
les plus superficielles des organes les plus supe
ie de quelque muscle interosseux. Le symptôme culminant de la lèpre
nerveuse
est t'anesthésie. Aussi décrit- on une forme de
anlpulleuses ou maculeuses qui contribuent à caractériser la forme
nerveuse
de la lèpre. Diverses variétés de. paresthésie
êtir tou- tes les formes qu'on rencontre dans les autres affections
nerveuses
. Si dans la région douloureuse il n'y a pas d'h
ors par conséquent inverse. Cela dépend de l'évolution de la lésion
nerveuse
. Si elle régresse, le nerf peut se rétablir, ma
uvent reparaître long- temps après, parce que, quoique les branches
nerveuses
correspondant au territoire périphérique soient
phine. Fig. 2' Fig. 2 130 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
Mais cette réapparition de la douleur dans le t
ru dans le même endroit. Lorsque la formation de la tumeur du tronc
nerveux
se trouve dans la période ascendante, alors la
le type segmentaire, quoique la maladie intéresse aussi le système
nerveux
central. La cause en est que, avant qu'on puisse
ériser ces deux systèmes. Quoi qu'il en soit, le type de projection
nerveuse
par effet de la lésion de quelque tronc s'obser
les plus su- perficiels et par conséquent de la portion de système
nerveux
sensitif de ces parties; 2° que, il mesure que
loc irrégulier qui n'a aucune relation avec les zones de projection
nerveuse
qu'il intéresse. Il comprend une zone d'anesthé
e doit par conséquent intéresser la fonction sensitive des branches
nerveuses
suivant la direction du pointillé. Le type anes
. 17 Fig 16 Fig. 18 140 BARRAQUER. - SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
moins excitée parce que l'exercice sensoriel es
Fig. 22 XXVII 10 142 BARHAQUER. - SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
thésie articulaire chez des malades atteints d'
imprimé à chaque article. Sans nul doute il existe une sélection
nerveuse
dont la 1 ègle deconduite se trouve dans la pré
in point de leur évolution, et avant qu'ils aient détruit les tubes
nerveux
, ils peuvent se résorber, faisant cesser alors pa
lépromes dans la peau des avant-bras et des mains. ' Les symptômes
nerveux
consistent en aneslhésie incomplète de la peau
g. 30 Fig. 29 Fig. 32 14G BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
La réaction de Wassermann est négative. Ce ca
où se trouve l'instabilité simple ou sans aucune autre complication
nerveuse
. ` Laissant à part les formes aiguës ou actives
irecte du quatrième ventricule, soil enfin par effet des connexions
nerveuses
connues de tous, qui relient ces orga- nes avec
ire ne se trouve pas intétessée. Il s'agit, dans ce cas de la lèpre
nerveuse
dont l'iu- fiction envahit le plus fréquemment
s musculaires des nerfs faciaux. Les troubles moteurs dans la lèpre
nerveuse
dépendent de la lésion spécifique dans les nerf
en travail. Quand il y a altération visible et palpable d'un tronc
nerveux
, la com- pression exercée sur elle et sur un po
. Fig. 51 51 ' Fie. 52 156 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
Il y a des auteurs qui prétendent que dans la l
SYSTÈME NERVEUX Il y a des auteurs qui prétendent que dans la lèpre
nerveuse
, il n'y a point de paralysie, et que ce qui exi
Fig. 54 Fig 56 Il 11 158 BARRAQUEU. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
Le manque d'association des mouvements des yeux
, l'atrophie musculaire non paralytique est fréquente dans la lèpre
nerveuse
. Cette persistance de la motilité relative, joint
pectoral du côlé droit. On ne trouve pas non plus, dans la lèpre
nerveuse
, l'atrophie des muscles de la région antérieure
articles et ils n'ont pas de signes de dégénération. Dans la lèpre
nerveuse
les contractures sont fréquentes parce qu'elles
ières contractures ont pour cause la lésion spéci- fique des filets
nerveux
des mêmes muscles qui entrent en contracture, et
cture ultérieure des derniers, et vice versa. C'est dans la lèpre
nerveuse
que l'on trouve les attitudes des extrémités le
ar Babinski en substitution des anciens. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
163 Le réflexe du tendon d'Achille se trouve bi
r évolution). En troisième lieu, le fait qu'on trouve dans la lèpre
nerveuse
les phénomènes dépendant des nerfs sensitifs en
culaires pro- duit la contraction réflexe exagérée. Dans la lèpre
nerveuse
on trouve le phénomène de la contracture sans e
mme on le voit souvent dans le tabès, se trouve aussi dans la lèpre
nerveuse
. Mais si, dans le tabès, la présence ou la majeur
elle augmente et disproportionnellement aussi à cause de la lésion
nerveuse
. Il est évident que nous trouvons souvent l'irr
st évident que nous trouvons souvent l'irréflectivité dans la lèpre
nerveuse
par l'effet de l'atrophie musculaire dégénérative
ion de dégénération partielle. Mais c'est précisément dans la lèpre
nerveuse
qu'on l'observe le plus fréquemment, car cette
, car cette maladie est le plus riche alsenal de la symptomatologie
nerveuse
Dans cette maladie on trouve les plus graves si
débute chez lui et, déplus, que la forme de la maladie sera plutôt
nerveuse
que tubéreuse. Un état gastrique accompagné de
e, la lépride maculeuse et l'atrophie cutanée accompagnent la forme
nerveuse
. On voit l'atrophie cutanée dans les figures 38
t après les macules, soit- primitivement SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME
NERVEUX
167 dans certaines régions, mais spécialement a
due à la maladie de Morvan. La figure 182 du Traité des maladies
nerveuses
d'Oppenheim est un cas de la même maladie, d'or
exogène. Il est, en outre, forcément nécessaire que l'insuffisance
nerveuse
nutri- tive des tissus, due à la lésion spécifi
sister jusqu'au retour de l'innervation du pied par la régénération
nerveuse
(Voir à ce sujet la fig. 42). Mais si les condi
ujet mon travail sur la dégénéra lion et la régénération du système
nerveux
périphérique paru dans la Revue neurologique du 3
nge du pouce de la main qui corres- SFML'T061AT(ILOGIG : LU SYSTÈME
NERVEUX
171 pond à la figure 44, se trouvent décalcifié
xemptdes ? mp- tômes rénaux et cardiaques, d'altération des centres
nerveux
et du sang, puisqu'il s'agit d'un homme jeune e
die de Morvan, mais elles sont encore très fréquentes dans la lèpre
nerveuse
et aussi dans d'autres névrites à cause de la r
même analogie entre les manifestations pro- duites par des lésions
nerveuses
névritiques et d'autres dépendant des centres.
nt des centres, la même systématisation doit exister dans un cordon
nerveux
susceptible d'être envahi sélectivement Et le f
vahi sélectivement Et le fait connu de l'hérédité de dériénérations
nerveuses
de topographie et de fonctions distinctes, rend
rigine périphérique, nous voyons d'un autre côté que l'insuffisance
nerveuse
ou sa disposition embryonnaire se présente à tr
t dans les nerfs correspondants. Ainsi, hors les cas de faiblesse
nerveuse
acquise par quelque cause toxique ou autre, la
veuse acquise par quelque cause toxique ou autre, la prédisposition
nerveuse
estd'origineembryonnaireet les déclarations de
a dégénération, soit commune, soit élective, des fibres des cordons
nerveux
. DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCUL,\IRE CH.\nCOT-IARIE
ades. Je ferai particulièrement remarquer que, chez eux, les troncs
nerveux
périphériques ont un volume normal et une excit
rement votre attention sur l'hypertrophie considé- rable des troncs
nerveux
: certains filets du plexus cervical superficiel
contraction musculaire, consécutivement à l'électrisation détrônes
nerveux
qui pourtant transmettent encore assez convenab
t pas primitive ; elle est sous la dépendance de lésions du système
nerveux
. Les lésions de la moelle frappent et les corne
t, d'uue fragilité héréditaire de plusieurs départements du système
nerveux
. Le dernier mot n'est pas dit et il le sera san
ées du système , DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE 187
nerveux
, c'est-à-dire la genèse des maladies hérédo-famil
a tient sans doute à ce que ce chapitre particu- lier de l'anatomie
nerveuse
a élé singulièrement négligé. Il suffit en effet
misphère gauche, la moitié anté- (1) Dejerine, Anatomie des Centres
nerveux
, 1. II, p. 12, Paris, 1901. xxvii 13 190 LA ,
'a pas constaté de phénomènes dégénératifs au niveau des cellu- les
nerveuses
, et ne décrit aucune altération portant sur la ch
ès nettement, en effet, que le noyau rouge e est dépourvu de fibres
nerveuses
au niveau de son tiers supérieur, en d'au- tres
sont pour la plupart purement réflexes ou automatiques, les fibres
nerveuses
provenant de l'écorce cérébrale ne sont encore qu
puis ensuite comme traduisant également la compression des centres
nerveux
et susceptible, dans cecas, de comporter l'indi
ociation albumito-cytologiqte au cours des compressions des centres
nerveux
. Variations de l'albumine après ponction lombaire
ême d'accomplir le même mouvement par un (1) Brissaud, Les troubles
nerveux
post-tmmnatiques, Bulletin Médical, 1906. (2) P
énesthésiques fixes 1res affectives qui, attirant tout le dynamisme
nerveux
, créent un désé- quilibre de la cénesthésie ell
e comporte comme un noyau de cristallisation à l'égard de l'énergie
nerveuse
et exerce une action inhibitrice sur l'activité d
r sa réalisation trop rapide provoque un dé; bordement de l'énergie
nerveuse
, d'où son irradiation à toute l'écorce cérébral
ntéressantes de cette affection, à savoir la plasticité des centres
nerveux
, par laquelle les idées affectives se traduisent
énomènes doit être cherchée dans des faits vaso-moteurs des centres
nerveux
d'origine émotive. Ce qui est certain c'est que
fective et motrice, qui, attirant sur elles-mêmes tout le dynamisme
nerveux
, en- traînent un déséquilibre de la cénesthésie
aissons pas non plus le rôle précis dans la physiologie des centres
nerveux
. La différence est que nous connaissons bien le
ne. Au milieu des noyaux névroglique, on remarque quelques cellules
nerveuses
.de petite taille. Les cellules, rares, de gran
ique et la commissure de Meynert ont un aspect normal. Les cellules
nerveuses
du globus pallidus sonton dégénérescence pigmen
sont, pour un individu de cet àâe, en très bon état. Les cel- lules
nerveuses
du noyau rouge contiennent beaucoup de pigment, o
corps quadrijumeaux une augmentation de la névroglie, les cellules
nerveuses
ne sont pas diminuées d'une manière bien appréc
rise de l'étage ventral : augmentation du pigment dans les cellules
nerveuses
avec quelques proliférations diffuses de la névro
res n'ont rien de particulier. Ce n'est que le pigment des cellules
nerveuses
et l'augmentation légère de la névroglie qui pe
ffuse de la névroglie et la dégénérescence pigmentaire des cellules
nerveuses
des cornes antérieures et surtout des colonnes
nulle part très avan- cés. Il est vrai qu'un bon nombre de cellules
nerveuses
ont disparu et qu'on en remarque qui sont en at
oglie fibrillaire est constatée en plusieurs endroits. Les cellules
nerveuses
sont souvent entou- rées par quelques noyaux né
ps que la crise doulou- reuse. Ces tuméfactions, d'origine purement
nerveuse
, peuvent cependant parfois se prolonger au delà
courant. » Puis, passant en revue les diverses fonctions du système
nerveux
périphérique, le Dr Schnyder ajoute : a La force
pédon- cule et se demandent en même temps si l'insuffisance du lobe
nerveux
, producteur de pituitrine, n'y intervient pas.
temps et surviennent à date irrégulière. ' L'examen des fonctions
nerveuses
ne révèle aucun trouble moteur, aucun trouble d
s : les pupilles sont régulières et réagissent. L'examen du système
nerveux
montre l'intégrité de la motricité, de la sen-
le l'évolution a été celle d'une dystrophie bénigne et les troubles
nerveux
d'ordre fonctionnel qu'elle pré- sente sont lég
ns aucun de ces cas on ne constatait la coexistence d'une affection
nerveuse
telle que la neurofibromatose. On a signalé la
cas d'une dystrophie frappant les tissus ectodermiques, cutanés et
nerveux
, avec localisations variables suivant les sujets,
ures. Il est d'usage démettre en ligne de compte le rôle du système
nerveux
. Nous ne voulons pas examiner ici la question e
hie adiposo-génilale, les différentes formes de syphilis du système
nerveux
central (syphilis héréditaire, paralysie cérébr
ur du nerf sympathique ou peut-être de certaines parties du système
nerveux
central ? ), fonctionne insuffisamment, il surv
s glandes thyroïde et paralhyroïdes (ou peut-être de leurs éléments
nerveux
, c'est-à-dire du nerf sympathique), de même que
portantes : ils pu- rent démontrer que certaines parties du système
nerveux
central (par exemple le noyau du valgus, le noy
s, comme les alcaloïdes (morphine, cocaïne, strychnine), le système
nerveux
parut avoir également une grande affinée qui, t
Guii.lin (G.) et Laroche (G.). La fixation des poisons sur le système
nerveux
. La Sem. médic., 1911, p. 337. IJEILHIIOXXJ'I
iffen. Archiv f. experim. Path., 1909, t. 16, p. 297. c- DÉBILITÉ
NERVEUSE
par A. AUSTREGESILO, Professeur de Neurolog
r un terrain approprié, qui est l'élat névlopathique ou la diathèse
nerveuse
proprement dite. Ce mot diathèse est employé ic
t employé ici pour désigner la prédisposition morbide aux syndromes
nerveux
fonctionnels. , Débilité nerveuse. Cette diathè
isposition morbide aux syndromes nerveux fonctionnels. , Débilité
nerveuse
. Cette diathèse, cet état constitutionnel, cette
el, cette prédisposition congénitale, je préfère l'appeler débilité
nerveuse
, parce qu'ainsi on désigne bien la condition d'
plus fréquents. La l'aligne précoce est la caractéristique chez le
nerveux
de toutes les modalités de travail, mental, cor
e musculaire comme aussi aux viscères, souvent les malades débiles,
nerveux
, se plaignent que mouler un escalier leur donne
généralisée, par l'exacerbation du coefficient de l'insuffi- sance
nerveuse
, pour employel une expression qui traduit bien la
si qu'une insuffisance cardiaque ou rénale, il y a une insuffisance
nerveuse
, dont nous estimerons ultérieurement le dosage.
dosage. Instabilité. Irritabilité. - S'il y a fatigue de la cellule
nerveuse
, cérébrale, médullaire, ou même des ganglions s
dullaire, ou même des ganglions sympathiques, parce que la débilité
nerveuse
est générale, avec la fatigue surviennent deux ré
trice ou viscérale, est l'une des caracté- ristiques de la débilité
nerveuse
L'instabilité motrice et l'instabilité psy- chi
fatigue. L'irritabilité est un élément des plus communs aux débiles
nerveux
. Promptes explosions d'humeur, d'idées, d'émoti
thique, c'est-à-dire des neurones centraux, périphériques, DÉBILITÉ
NERVEUSE
407 l ' , ou de leurs rapports. L'expression
rmoiement ou larmes faciles, la tendance il )'irritation des plexus
nerveux
abdominaux = so- laire, ovariens, etc., sont la
x = so- laire, ovariens, etc., sont la preuve de celle irritabilité
nerveuse
, centrale et périphérique. Souvent la sphère gé
ésique, etc. En fait l'émotivité exagérée apparaît chez les débiles
nerveux
comme un élément constant tant et si bien que p
s faits de la sphère morale, etc. Emotifs et instables, les débiles
nerveux
sont en outre suggestionnâmes. L'auto-suggestion
s des idées, et ainsi de suite. La suggestibilité conduit le débile
nerveux
à se croire souffrant de maux dont on parle devan
iants, après la lecture d'un chapitre sur les affections cardiaque,
nerveuse
, pulmonaire, consulter leurs maîtres, parce qu'il
, digestive, elc., sont rythmiques et périodiques. Chez les débiles
nerveux
celle condition s'exagère. La fatigue matinale de
our l'explosion de névi9 ses et de psychoses. Il y a des maladies
nerveuses
et mentales qui sont essentiellement rythmiques
e, dont l'im« portance est quelquefois dominatrice chez les débiles
nerveux
. Selon Freud, l'hystérie, la névrose de la peur
erversion, etc.), apporte son appoint à la personnalité du dé- bile
nerveux
. * Réactions vaso-motl'ices. Vagotonie et sympa
linique, lessyniliatlio5Qs, qui font partie du cadre de la débilité
nerveuse
. Or l'excilabililé du système auto. nome et du
approprié à ces réactions, terrain qui n'est autre que la débilité
nerveuse
. - Sensibilité de l'appareil digestif. - L'appa
est probable- ment celui qui a le plus de contact avec la débilité
nerveuse
. Troubles de type dyspeptique, hyperesthésies d
is ces troubles peuvent s'observer dans le do- maine de la débilité
nerveuse
, Quand, par exemple, le débile nerveux se force
le do- maine de la débilité nerveuse, Quand, par exemple, le débile
nerveux
se force en un travail mental, ou émotif, ou mô
rmes et poisons de n'importe quelle origine recherchent les parties
nerveuses
où s'opèrent le plus facilement les échan- ges
e se rencontre d'autant plus accentuée que l'individu est un débile
nerveux
. L'accou- tumance aux intoxications est telle,
un des toxiques qui présentent le plus d'éleclivilé pour le système
nerveux
, et si l'humanité, pour se développer, a besoin
r, a besoin d'une religion el d'une boisson alcoolique, les débiles
nerveux
, en grande partie, en sont la cause. En relatio
onséquent, une tendance énorme, une électivité évidente des débiles
nerveux
pour les intoxications, et nous pouvons répéter i
vulsions. Cette' hypersensibilité s'étend aux autres toxi- DÉBILITÉ
NERVEUSE
- 411 ques, môme en dehors de l'alcool. Le fils
is héréditaire, présente une tendance accentuée pour les mala- dies
nerveuses
, de type familial, si, par hasard, il vient à con
a syphilis. . Les intoxications accentuent cette hypersensibilité
nerveuse
chez les 'descendants. Messieurs, ce résumé est
nces générales en neuriatrie. , - Nous ne pouvons appeler le débile
nerveux
un dégénéré. C'est un mot un peu exagéré et, ju
classe de sujets. N'importe lequel de nous peut se juger un débile
nerveux
, et non un dégénéré. La vie "intense, intelle
a grippe, les troubles gastro-intestinaux, etc., mettent le système
nerveux
en état myopragique, pour nous servir du néolog
ique, pour nous servir du néologisme dePotain ; mais la myopra- gie
nerveuse
n'est pas une dégénération, dans l'acception de M
idées que je développe. Le névropathe est déjà un malade du système
nerveux
, il est déjà un psycho-névrotique, il rentre da
entre dans le vaste cadre des dégénérés élémen- taires. Nervosisme,
nerveux
, sont des mots incomplets et d'acception très i
, nerveux, sont des mots incomplets et d'acception très inégale. Un
nerveux
, c'est pour le public un individu impression- n
sisme désigne, en langage médical, l'excitation générale du système
nerveux
, caractérisée par l'irritation, l'insomnie, les t
blements, etc. La neurasthénie est une phase morbide de la débilité
nerveuse
, et bien caractérisée par les auteurs depuis la
apidité de son expression. Nous pourrions employer le mot myopragie
nerveuse
. Mais puisqu'il existe déjà en psychiatrie l'ex
n débilité mentale, 'il nous est facile d'adopter celle de débilité
nerveuse
. - Avant de terminer, je veux répéter ici, et u
autre travail sur les réactions cliniques élé- mentaires du système
nerveux
général, et qui constituent des syndromes fonct
s syndromes fonctionnels qu'on observe fréquemment dans la débilité
nerveuse
. Ces réactions s'appellent : Réactions neuras
elle intoxication, si atténuée soit-elle, si elle frappe le système
nerveux
total, par ordre la première réaction sera la neu
nce, bien entendu, de la prédisposition congénitale, de la débilité
nerveuse
, qui esl la diathèse en question. Selon ma manièr
sthénie est la réaction pathologique la plus élémentaire du système
nerveux
. Si la cellule est intoxiquée il est facile d'int
la cause de ces étals. Le second syndrome fonctionnel du système
nerveux
, à un degré plus élevé que le précédent, est ['
rie correspond il un stade plus avancé d'aggravation de la débilite
nerveuse
. Le neurasthé- nique répond à l'intoxication pa
toxication par l'asthénie, c'est-à-dire par la faiblesse du travail
nerveux
; l'hystérie par la facile désagrégation de la pe
éléro-suggestion. L'hystérie correspond à un état de prédisposition
nerveuse
telle qu'une intoxication quelcon-. que, endogè
nsi de suite. L'hystérique étant un conscient, le degré de débilité
nerveuse
est au-dessous de la neurasthénie, mais supérie
urte parce qu'elle atteint la sphère psycho-motrice avec - DÉBILITÉ
NERVEUSE
413 perte de conscience. L'irritabilité facile
de guérison de cette névrose à cette époque. Beau- coup de malades
nerveux
racontent, en leur anamnèse, qu'ils ont eu des
c semblait sombre. En conclusion : . Il y a en clinique des étals
nerveux
qui ne peuvent être classés dans le groupe des
A SOURDIÈRE, 327. Cirrhose hépatique avec altérations des centres
nerveux
chez des sujets d'âge moyen, par W. van Woerkom
cas de lésion bilatérale du -), par W. vAN Woerkom, 213. Débilité
nerveuse
, par Austregesilo, 405. Dégént'mtion. sccondaÎ1
o-physiologique de l' -), par SALMON, 257. Lèpre, symptomatologie
nerveuse
périphé- rique, par BARRAQUER, 125. Livres (U
as de lésion bilatérale du corps strié), par W. VAN Woerkom, 273.
Nerveux
(La cirrhose hépatique avec alté- rations des c
à bascule, 34. AUS1REGESILO (A.) (de Rio-de-Janeiro). Dé- bilité
nerveuse
, 405. Barraquer (L.) (de Barcelone). Sympto-
405. Barraquer (L.) (de Barcelone). Sympto- matologie du système
nerveux
périphé- rique, 125. Barré (A.) et COYON (Am.
oerkom (W. van). La cirrhose hépatique avec altérations des centres
nerveux
évoluant chez des sujets d'âge moyen, 43. (
ièns), LIV et LV. Cirrhose hépatique avec altérations des centres
nerveux
(W. VAN Woerkom), XII. Corps strié (Lésion bi
ARCHIVES NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES l'0\DI : L PAR J.-M. CIIAIICOT l'
. F. RAYMOND Professeur de clinique ' des maladies du système
nerveux
à la Facullé de médecine de P.trts. COLLtBO
Vol. XXIX. Janvier 1895. ? 95. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAU
s vaso-motrices des extrémités. Archives, t. XXIX. - 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. A. IL EST CERTAINE FORME DE MALADIE DE RAYNAUD
, est atteinte d'une affection cardiaque. Elle est d'un tempérament
nerveux
, mais n'a jamais eu de crises de nerfs. Antéc
nes. Environ un an après en décembre 1892, apparurent des accidents
nerveux
. Pendant l'enfance, la malade n'a présenté aucu
fluence des disputes qui se répétaient entre elle et son 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. mari, son caractère impressionnable s'assombri
luence de ces troubles que pour la première fois elle eut une crise
nerveuse
en février 1893. A la suite d'un accès de contr
bien. Il existe quelques craquements dans les genoux. 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. Réflectivité. Les réflexes patellaires sont co
mière séance eut lieu le 1er avril ; les séances d'abord 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. rapprochées, tous les jours ou tous les deux j
plus souvent de syncope locale, rarement d'asphyxie. , 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. En outre, à l'état de veille, la malade ne se
régulières des menstrues revenant 2 fois par mois.... 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 13 vent
es vaso-moteurs : sueurs abondantes, oedème de la face. 14 CLINIQUE
NERVEUSE
. rie légère persistante. Les crises des extrémi
e, t. V, p. 510. 3 De Saint-Germain, th. Paris, 1893. 16 CLINIQUE
NERVEUSE
. débute l'asphyxie locale des extrémités. C'est
ille, âgée de vingt-sept ans, intelli- gente et rangée, mais un peu
nerveuse
. Les deux autres enfants sont morts en bas âge.
as, comme la folie systématique acquise, le produit d'une affection
nerveuse
tardive, mais qui se cons- titue sur le terrain
ent être im- médiatement attribuées à une dégénération des cellules
nerveuses
. Cette dégénération peut être primitive ou seco
condaire. Dans la paralysie générale la dégénérescence des cellules
nerveuses
sur- vient fréquemment sans les apparences morb
t cependant plus que probable que la lésion primitive de la cellule
nerveuse
est la condition essentielle de la maladie. P.
part. III, 1893, p. 452.) Dans ce cas où un pouce et demi du tronc
nerveux
fut enlevé, la réparation musculaire se fit cep
rfs dans les membres et de la diffusion de l'irritation aux centres
nerveux
dans les maladies viscérales. P. S. XI. UN ca
ogrès réalisés dans les sciences chimiques, les sédatifs du système
nerveux
et les hypnotiques se sont multipliés. Le trait
dilatation stomacale. C. Mater. Méthode de 31ai-chi sur le système
nerveux
central des nouveau-nés. KoaFELD. De la folie s
AYER. Présentation de deux frères atteints d'une maladie du système
nerveux
central de famille. Redlich. Présentation d'un
ppée sur le terrain prédisposé d'une faiblesse irritable du système
nerveux
central. On ne saurait contester qu'une vive ém
La lésion ne peut en effet porter que sur des fibres etdes cellules
nerveuses
, le genre de la lésion ne peut alors ressembler
alors ressembler qu'à celui de la névrite multiloculaire du système
nerveux
périphérique. Dans la névrite aussi, il y a des
ntier pour ses remar- quables travaux sur les affections du système
nerveux
. Nous sommes heureux d'avoir encore parmi nous
e, t. XX, p. 138 à 168. A. 1839; Anatomie et physiologie du système
nerveux
, t. XX, p. 465 à 606. A. 1839; Paralysie généra
ara-infectieuses reconnaissent comme facteur prin- cipal l'hérédité
nerveuse
ou arthritique; elles ont un début souvent insi
sies sont ou purement névrosiques ou liées à une lésion du système
nerveux
central ou périphérique; ces troubles nerveux rés
une lésion du système nerveux central ou périphérique; ces troubles
nerveux
résultent ou de l'action directe des microbes o
l'action directe des microbes ou de leurs racines sur les éléments
nerveux
ou indirectement de l'artérite. Les eaux de La
toxines peuvent 68 BIBLIOGRAPHIE. par leur action sur le système
nerveux
engendrer la névrose chez un sujet prédisposé.
IN BIBLIOGRAPHIQUE. CIIIPAULT (A.). Chirurgie opératoire du système
nerveux
. - Préface du professeur Terrier. Tome I : Chir
. XXIX.. Février 1895., > ? 96 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
QUELQUES OBSERVATIONS DU TROUBLE DE L ? 1LII ?
poser, se rattache à la dysbasie par affection organique du système
nerveux
. I. Dysbasie psychique. Nous avons pris l'obs
ôpitaux, 17 novembre 1893. , . Archives, t. XXIX. 6 82 ) CLINIQUE
NERVEUSE
. Observation I. Del..., soixante-sept ans, scul
le plus douloureux retentissement. Pendant quinze jours 84 CLINIQUE
NERVEUSE
. après cette révolution, j'eus de violentes dou
. X..., ce sont les signes de la Neurasthénie classique, épuisement
nerveux
, inquiétude vague, mais constantes, douleurs pe
inutes de suite, et encore ne peut-il répéter cet exer- 86 CLINIQUE
NERVEUSE
. cice plusieurs fois en un jour sans éprouver,
montrèrent associés à des troubles dyspeptiques, divers phénomènes
nerveux
: lassitude géné- rale, lourdeur de tête, verti
ent moins marqués que chez le sujet précédent : M. M... 88 CLINIQUE
NERVEUSE
. était simplement contraint de se reposer de te
nt le cas suivant'. III. Dysbasie par LÉSION organique DU système
nerveux
. A la consultation externe de M. Brissaud, se p
exie; frère légèrement rhumatisant. Dans la famille, aucune maladie
nerveuse
ni mentale, pas de déformations congénitales ;
semblable l'hypothèse d'une lésion organique. dysbasies d'origine
nerveuse
. 89 Etat actuel. Sujet très solidement musclé ;
ascularisation cutanée prédominent beaucoup à gauche. 90 CLINIQUE
nerveuse
. Atrophie de la cuisse et de la jambe gauches.
tion de sen- sibilité existant dans cette zone. Examen du système
nerveux
. Partout ailleurs, sensibilité cutanée et muscu
. 11 s'agit évidemment ici d'une affection organique du sys- tème
nerveux
; malgré l'existence d'un léger signe d'athérome
dans la paranoïa, d'observer des phénomènes dus à l'épuise- ment
nerveux
et qui sont de l'amentia. Quant à la Paranoïa o
on parlée et agie de la confusion mentale. (A suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAU
cie du service et ont donné les résultats suivants : 104 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. FORME HYSTÉRIQUE ET EItY1'H11,0111ELALGIE. 105
SE. FORME HYSTÉRIQUE ET EItY1'H11,0111ELALGIE. 105 106 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. consacré sa dissertation inaugurale (d872) à l
l'observation XIV de sa thèse, Raynaud dit : jamais aucun accident
nerveux
. Plus loin, il parle de véritables phénomènes h
nent ni sucre, ni albumine. Ce sont, dit-il, de véritables urines
nerveuses
. En outre dans nombre d'observations rapportées
nts. Accès régulièrement intermittents, bi-quotidiens, de sommeil
nerveux
, d'asphyxie des extrémités, de congestion locale
normal. Les vaisseaux avaient repris leur calibre. 108 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous avons trouvé d'autre part un cas de malad
s semble provoquée par une violente émotion morale.» 110 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dehors et apprit seulement à une heure du mati
donc une observation qui nous montre chez, une ma- lade à hérédité
nerveuse
chargée (névropathie, aliénation mentale), ayan
pour faire l'expérience. Le père de la malade, éthylique, goutteux,
nerveux
, atteint de crises de pseudo-angine de poitrine
hérédité de maladie de Raynaud, ou plutôt d'hérédité de tempérament
nerveux
? L'influence exclusive des émotions apparaît e
quante-un ans, cuisinière, ne paraît pas éthy- lique. Elle est très
nerveuse
. Son état névropathique s'est considérablement
uit jours. Chaque fois qu'elle entrait dans mon cabinet, la malade,
nerveuse
, éprouvait, disait-elle, comme une commotion vi
alyse psychologique est en général insuffi- sante. 112 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Dans l'observation V, il s'agit d'une jeune fi
bservation fondamentale. D'ailleurs, Raynaud, frappé des phénomènes
nerveux
, avait fait une classe spéciale intitulée : Asp
xie locale et gangrène superficielle avec prédominance de l'élément
nerveux
. Nous détachons l'observation VIII, concernant
tion VIII, concernant une femme de vingt-deux ans, d'un tempérament
nerveux
, ayant eu des convulsions dans l'enfance. Depui
: A mesure que la maladie se développe et s'enracine les accidents
nerveux
se généralisent, s'aggravent, aidés par les émo
-mêmes, sur un terrain aussi délicat. A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Chirurgie DE la moelle épinière ET DE SES a
s causes principales à passer en revue. 120 0 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. topsies, l'influenza était la seule cause visi
, en juin 1893, à Buffalo, devant l'Association REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 121 américaine de Chirurgie, en août, dans les
bres ont recouvré leur force et leur volume 122 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. et à présent, sept mois après le début de la m
tumeur kystique ayant débuté dans la partie de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 123 la pie-nière qui tapisse le mésocéphale et
tation directe de l'infection qui peut se manifester sur le système
nerveux
, soit par une maladie organique, soit par des n
a démonstration est acquise pour les maladies organiques du système
nerveux
, quant à l'hystérie elle ne saurait faire excepti
la conséquence directe d'une infection, de l'action sur les centres
nerveux
du mi- crobe ou de ses toxines, et cela sans qu
itation dont l'existence ne peu}, être éta- 124 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. blie, au moins dans beaucoup de cas, pourquoi
le poison ou l'infection se localisent dans ces cas sur le système
nerveux
, avec leurs habitudes spéciales et y déterminent
arrive à l'inflam- mation. L'hystérie est une névrose du système
nerveux
tout entier, sui- vant les cas, la localisation
e infectieuse de l'hystérie existe comme pour les autres mala- dies
nerveuses
et qu'elle existe sans nécessiter une idée d'auto
es dans la production de ce qu'on appelle les maladies du système
nerveux
. » DUCA3tP. XII. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE du tabè
e, des cicatrices spécifiques sur pénis, etc. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 125 5 Le traitement spécifique ne doit pas êtr
troubles sensitifs subjectifs, des picote- 126 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ments, puis survint une faiblesse musculaire p
suggestion hypnotique. Amé- lioration. P. S. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 137 1 XX. CENT cas .d'épilepsie; état DE la ré
n anormale de la maladie sur la plus grande 128 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. partie de la moelle, comprenant à la fois, com
fection spécifique sur les mêmes points ou dans d'autres du système
nerveux
central. Tels sont les caractères principaux qui
sitifs, vaso-moteurs et trophiques et l'as- sociation des symptômes
nerveux
avec des altérations très mar- quées des artère
'ose pas se prononcer sur le rapport de causalité entre les lésions
nerveuses
et artérielles. Deux planches histologiques acc
tions dans le bras et la jambe gauches. P. S. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 129 XXVII. Paralysie diphtérique ; ALLOCHIRIE;
quatorze ans; sa famille est remarquablement indemne de toute tare
nerveuse
; ses cinq frères ou soeurs de même. Sur les 23
hystérique, d'après Archives, t. XXIX. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'abondance de l'urine et l'intensité des acci
ervations rapportées par l'auteur viennent à l'appui de l'influence
nerveuse
. Dans la première, une hydarthrose intermit- te
chez une hystérique à la suite d'une émotion. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 131 La dernière observation a traita à une hyd
tés par le torrent de la circulation et ont pu altérer les éléments
nerveux
corticaux dans leur consti- tution, leur nutrit
des circonvolutions, des noyaux gris ou des 132 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. colonnes antérieures de la moelle, altération
de Morvan et la lèpre. L'anatomie pathologique REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 133 ne fournit pas plus les éléments de certit
reconnaissent pour unique cause une congestion intense des centres
nerveux
qu'on constate à l'autopsie. M. BRIAND. On ne p
xtrêmes de la vie; soit par la dépression mentale et l'irritabilité
nerveuse
acquises par tous les genres de traumatismes mo
uté par M. Keraval.' FAITS DIVERS. Congrès DE médecine mentale ET
nerveuse
. Le sixième Congrès annuel des aliénistes et ne
s. Le programme comprendra : 1° Questions à discuter : pathologie
nerveuse
glande thyroïde et goitre exophtalmique ; rapport
L'inculpation d'homicide volontaire avait été trans- 166 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. formée en accusation de meurtre par la mise en
rants d'un air attentif, mais sans manifester d'émotion. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAU
worth, Samuel, Kornfeld). Soc. Biol., juin 1891. 168 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Enfin, ne peut-on croire dans certains cas à l
e du défaut d'innervation vas- culaire et la diminution de l'influx
nerveux
trophique ? Le fait est vrai dans certains cas
and-père paternel est mort du choléra. Il avait un tempérament très
nerveux
. La graud'mère paternelle est morte à vingt-sep
C'est à huit ans que les premiers phénomènes de son tempéra- ment
nerveux
se manifestent. Au cours d'une dispute avec une d
ralisé et éprouvait des sensations comparables à des 170 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. décharges électriques. En même temps sa face s
ut à la suite une éruption d'acné médicamenteux. - 172 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Elle quitta le service au mois de juillet, non
une très bonne semaine. Les règles sont venues au 17 li. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. jour prescrit, mais n'ont duré que quelques he
'habitude aux environs des quantités habituelles : 176 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. MALADIE DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 177 '1
ale seulement deux cas de guérison, ceux de Grenier, où les détails
nerveux
manquent, et de Sigerson. Dans son article réce
rent comme des rémissions. Archives, t. XXIX. 12 178 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Il nous faut insister sur d'autres détails.
e de quinze ans. Le deuxième concerne une femme de trente-deux ans,
nerveuse
, su- jette à des pertes de connaissance, qui, à
ella Lekai,ska, 1891. Féré, etc. ' Clinique des maladies du système
nerveux
, t. I, 1892. ' Voir pour l'oedème bleu la thèse
rée par M. le Pr Raymond. Communication orale. 180 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. même avons transformé une ischurie en polyurie
essionner primitivement ou consécu- tivement les parties du système
nerveux
qui tiennent sous leur dépendance les actions v
nsation de doigt mort au niveau du pouce. droit. 182 ) PATHOLOGIE
NERVEUSE
. consciente a disparu. A ce point de vue il y a
int de départ de la stimulation qui, par la média- tion des centres
nerveux
déterminerait l'excitation des nerfs vaso-moteu
uant à la période menstruelle, Vulpian pense qu'elle met le système
nerveux
dans un état d'excitabilité tout à fait exagéré
o-mo- 1 Berliner Kiiiiische Wochenschrift, 1893. 184 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. teurs dépendant de l'influence d'une cause com
comme cause un réflexe dont le point de départ est dans les centres
nerveux
eux-mêmes (réflexe interne). Suivant que l'émot
on directe ou réflexe des ganglions situés sur le trajet des fibres
nerveuses
. Suivant les cas observés, ils acceptent l'une
t périphérique. Elle est en rapport avec le froid. 186 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. consciente; fait important au point de vue thé
à l'épuisement rapide et brusque du 192 CLINIQUE MENTALE. système
nerveux
central (très souvent consécutif, pour les aute
ésente nettement la progression. (ft suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XXXVII. Note SUR l'amnésie rétrograde après DES
xieuse avec délire de culpabilité imagi- 202 12 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. naire et d'indignité, peur de l'excommunicatio
qu'elle s'étendait en avant à toute la période REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 203 de ranimement, à ce point que M. X... ne s
les raisons de celte différence. J. Noir. 204 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXXVIII. Observation d'un cas DE NÉVROSE traum
es racines sacrées, soit par en haut, jusqu'aux REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 205 premières racines dorsales. A partir du ma
que ou dans les autres polynévrites de natures diverses, le système
nerveux
sympathique est fort influencé dès le début de
d'une lésion cérébrale de peu d'étendue. ' e6 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Mais d'autre part l'intensité de la paralysie
ovoqués, selon toute vraisemblance, par l'évolution des altérations
nerveuses
périphériques qui ont fini par déterminer la mo
ération primitive de la névroglie dans certains cas et des éléments
nerveux
dans les autres serait une intoxication d'origi
se à lui seul exercer une action aussi destructive sur les éléments
nerveux
, il faut que le terrain soit préparé par d'autr
ts que sous l'influence de certaines causes agissant sur le système
nerveux
; comme d'autres poisons de la même classe, ell
s poisons de la même classe, elle ne s'attaque que sur un système
nerveux
affaibli et ces causes de dépression du système n
un système nerveux affaibli et ces causes de dépression du système
nerveux
sont fournies par le traumatisme, le surmenage
cation. Ce qui est vrai, c'est qu'un groupe important de phénomènes
nerveux
provient de l'alcool; les buveurs invétérés eng
en proie aux incommodités si fréquentes de la ménopause, trouble
nerveux
, céphalalgie, etc... Le terrain étant ainsi prépa
on peut enregistrer des symptômes positifs du côté de l'ap- pareil
nerveux
. En revanche, rhébétitde, qui facilite le diagn
La pathogénie a tour à tour invoqué le mécanisme de l'irradia- tion
nerveuse
, de l'urémie, de la méningite cérébro-spinale, de
fort gros- sissement révèle les altérations suivantes des cellules
nerveuses
. Les unes n'ont présenté que peu d'altération,
nque. Nulle part il n'y a de dégénérescence graisseuse des cellules
nerveuses
, ni de désagrégation grenue des proto- plasmas.
it eu multiplication des noyaux non cellulaires autour des cellules
nerveuses
. M. FunEn. De la genèse des hallucinations de l
L. Communications relatives à la lia ? ,yokiitèse dans le sys- tème
nerveux
central. La constatation a une grande importance
bitable des noyaux non cellulaires à la destruction de la substance
nerveuse
non spécifique, il en résulte un rappro- chemen
ssl, Sur une nouvelle méthode de recherche expérimentale du système
nerveux
central notamment pour fixer la localisation des
nerveux central notamment pour fixer la localisation des cel- lules
nerveuses
. M. Sommer. La question des infirmiers et la su
t., LI, 1.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE. XII. Azzalomie des centres
nerveux
; par J. DEJERINF, avec la colla- boration de Mm
moelle épinière. Les progrès faits dans la connaissance du système
nerveux
ont été dus surtout aux méthodes d'étude de plu
al et le plus complet qui ait jamais paru sur l'anatomie du système
nerveux
. Le développement du système nerveux est étudié
ru sur l'anatomie du système nerveux. Le développement du système
nerveux
est étudié dans le second chapitre. L'auteur s'
sacré à l'histogenèse et le chapitre iv à l'his- tologie du système
nerveux
adulte. On sait quelles modifications 238 BIBLI
on en est arrivé à la notion du neurone constitué par la cel- lule
nerveuse
, pourvue de prolongements protoplasmiques et cyli
ssée sous silence dans la plupart des traités d'anatomie du système
nerveux
, c'est la région sous-optique. C'est une région
'agit pas là seulement d'un traité quelconque d'anatomie du système
nerveux
, se contentant d'exposer l'état actuel de nos con
il constitue un grand progrès dans nos connaissances sur le système
nerveux
, grâce aux nombreuses recher- ches personnelles
fit à la lire. P. S. XIV. Les nouvelles recherches sur les éléments
nerveux
; par J. DAGONET. Brochure in-8°. Doin, Paris, 1
, van Gehuchten, etc., sur l'embryologie et l'histologie du système
nerveux
central. P. S. XV. Monopole de l'alcool et dixi
ont été traités inutilement par toute la kyrielle des médi- caments
nerveux
ou calmants, s'améliorer et guérir. Si les maladi
isposés. En effet l'épileptique nait épilep- tique, il a un système
nerveux
défectueux, prédisposé à réagir aux excitations
y attacher une certaine importance, et devant ces manifesta- tions
nerveuses
du bas âge le pronostic restera d'autant plus r
s antécédents héréditaires du sujet seront plus chargés. L'hérédité
nerveuse
joue ici un grand rôle, surtout lorsqu'elle est
pas lieu, suivant lui, d'admettre la lésion primitive des cellules
nerveuses
au sens de la théorie de Charcot. P. Keraval.
6 paraître un mémoire en danois sur le trajet central des tractus
nerveux
vaso-moteurs (en partie traduit dans les Archiv f
aire de la moelle cervicale. En outre, un grand nombre de fibrilles
nerveuses
parlent de la masse enveloppante de l'olive pou
tables à la localisation du plan incliné. Ils dépendent des organes
nerveux
atteints par les lésions de ce dernier. Troubles
naissance DE la richesse DE l'écorce cérébrale DE l'homme en fibres
nerveuses
: 1 myéline ; par Th. Kaes. (Archiv f. FsyeAt6[
de la deuxième racine dorsale, on trouve simplement quelques fibres
nerveuses
affectées de myélite, notamment sur le bord des
cela jusqu'à la moelle lombaire; en revanche, l'aspect des cellules
nerveuses
des colonnes de Clarke laisse à désirer. Pour le
ules ou fibres), des fibres antérieures et postérieures, des fibres
nerveuses
extra-pie-mé- riennes, y compris celles delà qu
dons latéraux droits. Dans les couches corticales, petites cellules
nerveuses
bien plus nombreuses que normalement; par la mé
escence sera toujours suspect pour ce qui concerne son état mental,
nerveux
ou moral; il pourra devenir plus facile- ment,
re presque exclusivement carnée, s'il a une tendance aux mala- dies
nerveuses
et à l'instabilité mentale ; il en est de même de
qu'entité morbide : un désordre psychique aigu produit par un choc
nerveux
ou une maladie générale, sans trouble émotionnel,
uis viennent les impres- sions brusques et profondes sur le système
nerveux
, les maladies , fébriles, L'était puerpéral, le
e que l'écorce cérébrale, la portion la plus com-" plexe du système
nerveux
au point de vue anatomique, ne soit' l'origine
naitre qu'à chaque phénomène psychique» correspond un phéno- mène
nerveux
: la folie n'est donc rien autre qu'un symptôme^
ablement arachnoïdien ; il n'y restait pas un seul élément de tissu
nerveux
. Ce fait vient à l'appui . de la théorie ancien
al, n° 36, 1893) et collecter des faits d'altérations psychiques ou
nerveuses
chez des arthritiques. z M. SCHULTZE communique
lis) ont un point commun, c'est l'atrophie primitive' des' éléments
nerveux
, mais cette communauté anatomique et la fréquen
processus anatqmo-pathologique dans cer- tains serments du système
nerveux
central et peut-être dans les organes périphéri
parents n'ont présenté aucune anomalie de formation, aucune maladie
nerveuse
. - 20 Syringomyélie (gliose centrale). Femme de
al notamment dans le but de déterminer la localisation des cellules
nerveuses
. Voici en quoi consiste cette méthode. Sur un a
entres ou on sectionneles tractus dont on veut trouver les cellules
nerveuses
aux- quelles ils commandent. On sacrifie l'anim
entre. · i 1° Si l'on supprime les liens qui unissent' les cellules
nerveuses
avec leur organe terminal, qu'il s'agisse d'une
ensorielle, il se produit une altération rétrograde de ces cellules
nerveuses
; 2° quand, dans l'organe central, on enlève un
2° quand, dans l'organe central, on enlève un centre, les cellules
nerveuses
du centre voisin et qui en dépend directement s
rétrogression suit une marche variable suivant le type des cellules
nerveuses
. Mais on peut dire, en géné- ral, que l'altérat
e masse grenue particulière. Si l'on sait bien colorer les cellules
nerveuses
, toutes les altérations peuvent être facitement
'organe central obéit à la loi suivante : au moment où les cellules
nerveuses
sont directement atteintes par l'agent nocif, e
soit l'in- fluence nuisible dont l'action soit limitée aux cellules
nerveuses
et aux fibres nerveuses, toujours les cellules
ble dont l'action soit limitée aux cellules nerveuses et aux fibres
nerveuses
, toujours les cellules voisines de la névroglie
rcheur éprouve aussi de très grandes difficultés quand les cellules
nerveuses
qui dépendent du foyer de la destruction sont d
e. Quant à d'autres points encore obscurs dans l'étude des cellules
nerveuses
, telle la chromophilie, il faut se montrer prud
autre série qui présente les altérations régres- sives des cellules
nerveuses
motrices du noyau du facial à leurs dif- férent
lules des ganglions spinaux, ainsi que d'une catégorie de cellules
nerveuses
rétiformes ou de tout autre structure dont l'inte
les relations régio- nales de ces organes. De même que les cellules
nerveuses
de la substance gélatineuse de Rolando se ratta
pposé. Pareilles particularités se voient pour les grandes cellules
nerveuses
à structure rétiforme, tandis que les cellules
s cellules nerveuses à structure rétiforme, tandis que les cellules
nerveuses
motrices subissent toujours une altération du m
planches fixant la structure différente de chaque type de cellules
nerveuses
. M. Sommer. Quelques résultats de la méthode d'
i, effrayés, peuvent devenir épileptiques, surtout les héréditaires
nerveux
; 2° pour les femmes enceintes qui peuvent être
ne hémia- nopsie hystérique. Archives, t. XXIX. 22 338 clinique
NERVEUSE
. I. Ce symptôme aurait été signalé il y a que
es cas qu'ils décrivent aucune altération fonctionnelle des centres
nerveux
ou des conducteurs optiques, mais considèrent c
rine et Vialet. -Société de Biologie, 28 juillet 1894. 340 CLINIQUE
NERVEUSE
. donc en opposition avec la plupart des opinion
morragies utérines considérables au moment de '342 1 ? ( 1 CLINIQUE
NERVEUSE
. ·E é,5 ? épôques. Inquiet de ces hémorragies,
t un affaiblisse- ment considérable à la suite duquel les troubles ^
nerveux
et mentaux-qui; avaient disparu depuis longtemp
ut le constater tel - . -1' 1 1 xi Fig. 1 ? . ",Il 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. qu'il est. Nous avons donc affaire à une perso
hésie. 3 r 9p3 ? r'· ? ^^a1ucs d'hjpcrcslhesic. n % 346 -CLINIQUE
NERVEUSE
. facilement que les sons très violents et le ti
(Revue philosophique, février 1894, p. 147.) 348 3ti, ., CLINIQUE
NERVEUSE
. ,, . de phénomènes oculairestrèsivariés;,ellea
87, I, 467.) 3 Archives de Neurologie, mai 1892. 350 ' ' CLINIQUE
NERVEUSE
. ' -- pour déterminer définitivement la nature
suc) subconscient. .. (T < fn ? . -1 v 1.1 1 -1 352 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. ' gulier qui préside à sa-1 formation me paraî
uel pour la couleur rouge. YÎ111 a ? t t ' i . * 354 fl CLINIQUE,
NERVEUSE
. » , raître, telle., personne,, tel , objet,,m-
roituhémyopie"qui"existait'ie'crois anférieu- rement aux phénomènes
nerveux
. Vous ne serez pas surpris de ces infériorités
suggestion et de l'idée fixe. Depuis que l'on examine 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'hémiopie de Justine, il me semble qu'elle es
mporté. Mère morte tuberculeuse. Soeur de la malade a des secousses
nerveuses
. Un frère est mort de convulsions à sept ans.
que l'on constate dans les lésions des diversas artiesdu s stème
nerveux
.-Nous ayons encore présent a la mémoire le souven
t..., vingt-six ans. Epilepsie. Antécédents héréditaires. Mère très
nerveuse
, pas d'autres renseignements, accouchement norm
ondérant par son action essentiel- lement modificatrice des centres
nerveux
. 380 RECUEIL DE FAITS. CAS DE CHORÉE DE SYDEN
e 6 novembre, sa mère me dit qu'elle est prise la nuit de secousses
nerveuses
qui la projettent horsdebon lit. En examinant l
urs résultats, leur action se diffusant davantage dans le système
nerveux
central ; 2° Voici maintenant en quoi l'observa
: Mlle Jeanne A... est la fille d'un père arthritique et d'une mère
nerveuse
, qui a elle-même eu une attaque de chorée penda
é 382 RECUEIL DE FAITS. six mois. Une tante de l'enfant également
nerveuse
a eu aussi de la chorée et présente des poussée
u'à la condition de rencontrer un terrain 'propice : le tempérament
nerveux
. C'est du moins ce que me semble démontrer cett
me semble démontrer cette courte observation. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLV. Plaie pénétrante DE la. base DU CRANE; am
ni sa-femme, ni ses plus vieux amis, et se 384 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. méprenait pur la nature des objets les plus vu
ison avant que la Compagnie ne vienne l'ennuyer REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 385 pour cela. Cet état mental s'accuse de plu
dans un très petit ARCHIVES, t. XXIX. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nombre de cas de tabès, ont été désignés sous
régions sensitives que celles des régions motrices du sys- " terne
nerveux
et, le plus souvent, les névrites multiples. (Rev
êmes qui les constituent ne suffisent pas à les REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 38 ? séparer d'une manière bien tranchée. Ains
vaisseaux ; la névroglie hyperthrophiée avait étouffé les fibrilles
nerveuses
et les cellules ganglionnaires particulièrement l
u pharynx à l'égard des excitants mécaniques même chez les gens non
nerveux
, il faut l'attribuer à l'habitude de fumer, à d
térieure; la confu- sion mentale détermine en outre dans le système
nerveux
des troubles consécutifs plus ou moins graves.
devant le magistrat. z La femme Cleary souffrait de surexcitation
nerveuse
compliquée de bronchite. Son mari s'imagina qu'
erné à M. Bayer, ancien instituteur à l'école des enfants idiots et
nerveux
de Bicêtre, professeur à l'Institut médico- péd
tout ce qui frappe l'un, retentit forcément sur l'autre. Le système
nerveux
est très souvent le siège de cette localisation
Tours)3, Féré et d'autres. On sait que pour les maladies du système
nerveux
, l'héré- dité de transformation est bien plus f
s, le mode de succession et de trans- formation morbide en hérédité
nerveuse
. La neurasthénie engendrerait l'hystérie, celle
lui donnera la consanguinité chez les descendants. La moindre tare
nerveuse
sera immédiatement portée au carré, pour employ
tré M. Martin 3. On conçoit du reste facilement que les excitations
nerveuses
exagérées, répétées et parfois même con- tinuel
chez les alcooliques chroniques soient une cause de dégénérescence
nerveuse
, et nous verrons que les accidents alcooliques
inem- ment propre à déterminer un véritable épuisement du système
nerveux
qui favorise les réactions convulsives ». On sa
tion, et peuvent donner des prédispositions spéciales à son système
nerveux
qui est le plus fragile d'entre eux. C'est d'ai
pouvoir s'accorder facilement avec une lésion permanente du système
nerveux
. Cette lésion aurait d'ailleurs échappé jusqu'i
n admettant que ce soit une question d'his- tologie fixe du système
nerveux
, que nos méthodes d'investi- gation et nos inst
ffisante, et que l'irritation progressive par le poison des centres
nerveux
pré- disposés, est arrivée au degré voulu pour
l'irritation des DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 449 centres
nerveux
disparaissent, ne laissant après eux qu'une fat
ellectuelle plus ou moins marquée, résultat naturel de l'épuisement
nerveux
. Les symp- tômes constants que l'on observe du
it. En même temps, le caractère est modifié et l'impressionnabilité
nerveuse
s'accroît considérablement. Ces deux considérat
epsie générale ? D'une part, l'augmentation de l'impressionnabilité
nerveuse
, chez une malade dont le sys- tème nerveux est
de l'impressionnabilité nerveuse, chez une malade dont le sys- tème
nerveux
est déjà prédisposé aux réactions convulsives,
'influence de doses immodérées d'al- cool, il faut avoir un système
nerveux
prédisposé. Certains individus en boivent des q
tion fâcheuse sur le coeur, l'estomac, la respiration ou le système
nerveux
cen- tral. M. Ram croit pouvoir établir que la
aluation du travail physiologique corres- pondant au fonctionnement
nerveux
. Mais il faut tenir compte aussi de l'habitude
'habitude qui fait que la répétition des mêmes actes par le système
nerveux
absorbe de moins en moins de travail. Suivant l
evient ? e désignant la force contre électro-motrice due au travail
nerveux
. C'est cette force qu'il s'agit de mesurer. On
tte mesure du travail des nerfs fournira évidemment en patho- logie
nerveuse
des éléments nouveaux et intéressants pour l'élec
éactions électriques de l'oeil est utile au diagnostic des maladies
nerveuses
quoiqu'elles soient loin jusqu'ici de donner de
on du pinceau galvanique dans le traitement de certaines affections
nerveuses
. (Sein. mcd. 93 oct.; 1894.) Le pinceau galva
roduire des effets profonds sur la nutrition générale et le système
nerveux
. La douche hydrogalvanique locale convient dans l
ir par voie, réflexe sur le système REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. - 463
nerveux
. Les indications sont les mêmes que pour les mode
que ce mode d'électrisation permet d'agir localement sur un trajet
nerveux
ou sur un muscle beaucoup plus rapidement qu'av
ent supérieure lorsqu'on veut agir sur la nutrition, sur le système
nerveux
, la sensibilité cutanée, les réflexes sécrétoir
LE massage considérés comme agents thérapeutiques dans LES maladies
NERVEUSES
, avec observations ; par GUST SANDBLOM. (The A'
ue peuvent rendre ces deux moyens dans le traitement des affections
nerveuses
; il énumère les maladies dans lesquelles il con
qui peuvent conduire a la déter- mination de l'origine des troubles
nerveux
réflexes; C . .' ' - ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE
ques, de rechercher s'il n'existe pas d'autres sources d'irritation
nerveuse
périphérique (par exemple : carie dentaire, phi
ia dépendance d'une 1 bibliographie. 481 intoxication des centres
nerveux
surajoutée aux lésions chroniques de la méningo
l's ou comateux déterminés par l'action des toxines sur des centres
nerveux
déjà profondément altérés peut être comprise à
peut être bon de faire abs- traction des seules lésions du système
nerveux
central et de voir dans certaines de ces manife
nérale n'est pas une malade exclusivement cantonnée dans le système
nerveux
central. On sait en effe t combien sont nom- br
ce groupe et les normaux, il y a encore ces enfants à tempérament
nerveux
marqué, dont la mentalité alfecle une excessive m
une excessive mobilité ou vivacité, et ceux au contraire à activité
nerveuse
retardée et insuffisante. Il y a lieu de fair
dont les crises influent défavorablement sur les classes d'enfants
nerveux
autres. Cette sélection est déjà commencée dans
? srE, pathogénie de l' par Rossoiimo, 385. Anatomie des centres
nerveux
, par Déjerine, 237. Anémie, maladies de la mo
a-asso- cié au scorbut, par Sutherland, 127. DYSBASiE d'origine
nerveuse
, par Hallion et J.-B. Charcot, 81. Dyspepsie
lisations sensitives de l'écorce, par Déjeune, 299 ; des cellules
nerveuses
, par nlssl, 329. Magistrature, les aliénés et l
naux, par Thornburn, 3î ; blessure du médian, par Sa- vill, 36.
Nerveux
, recherches sur les éléments , par Dagonet, 21l
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALAD
) par F. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système
Nerveux
à la Salpêtrière (1). . MESSIEURS, Je vais
eur honoraire du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système
nerveux
, à la Salpêtrière. La station hanchée est une a
e vivant, en particulier de l'appareil cir- culatoire et du système
nerveux
central. Ainsi comprise, l'étude d'un cas térat
xamen minutieux de leurs appareils géné- raux, vaisseaux et système
nerveux
, apporte quelque notion nouvelle, si faible soi
un membre est la conséquence d'un arrêt de développement du système
nerveux
central, du centre trophique du membre. Cette t
de volume tenait à la réduction du nombre des cellules et des tubes
nerveux
; enfin Variot a remarqué dans la moelle de deux
QUE par G. GASNE Interne de la Clinique des Maladies du Système
Nerveux
, . il la Salpêtrière. On désigne sous le nom
syphilis grave touchant avec une insistance remarquable le système
nerveux
. Observation : Le jeune Thér... Ernest, âgé de
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
X UN CAS D'HÉMIMÉLIE CHEZ UN FILS DE SYPHILIT
ïncidence entre certain cas d'ectromélie, une altération des filets
nerveux
et une atrophie des renflements de la moelle ép
e, pourquoi nous faisons remarquer que sa syphilis est une syphilis
nerveuse
et qu'elle était en pleine période d'acuité lors
elle est la pathogénie de ces vices de développement ? Leur origine
nerveuse
a été soutenue par bien des auteurs, ce que nous
ns de la tendance qu'a la syphilis congénitale à frapper le système
nerveux
ne fait que confirmer leur opinion. M. le pro
ur du service photographique de la Clinique des Maladies du Système
Nerveux
, à la Salpêtrière ET HENRY MEIGE. « Un an s
eu il une confusion. Et tout d'abord, comme pour tout autre trouble
nerveux
, il faut se délier de l'hystérie, la grande simul
signe d'insuffisance rénale ; il s'agit donc d'un oedème d'origine
nerveuse
. Mais quelle est la partie du système nerveux q
'un oedème d'origine nerveuse. Mais quelle est la partie du système
nerveux
qui, dans l'espèce, détermine cet oedème ? Qu
troubles moteurs de la syringomyélie. L'histologie fine du système
nerveux
, entre les mains de Cajal, Len- hosék et Van Ge
J'ai pu constater à l'aide de la méthode de Nissi, que les cellules
nerveuses
sont atrophiées non seulement au voisinage de l
du 'milieu ambiant. (A suivre.) CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
UN CAS DE CONTRACTURE HISTRO-TRAU1VIATIQUL. D
assez exquise pour que la pression légère amène une véritable crise
nerveuse
. A n'en pas douter, il s'agit ici d'hystérie mâ
NC. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET. INTERPR
u membre supérieur ne sont pas le siège d'altérations. Le système
nerveux
ne présente aucune lésion macroscopique important
ique, a pensé que l'ostéite de Paget était une dystrophie d'origine
nerveuse
, et fait valoir, en faveur de cette hypothèse, qu
ée altérée macroscopiquement qu'une ra- réfaction légère des fibres
nerveuses
avec un peu d'épaississement du tissu de soutèn
e Paget. Reste à remarquer l'absence de symptômes cliniques d'ordre
nerveux
(hormis les douleurs localisées au niveau des o
mensurations, non plus sur le fourreau durai, mais sur les organes
nerveux
intra-duraux eux-mêmes; ce que nous fîmes, alor
du rachis produit un allongement constant de l'ensemble des organes
nerveux
intra-duraux : il a été, sur nos 5 cadavres, resp
plète- tement par cet objectif : agir mécaniquement sur les organes
nerveux
ma- lades. Dans une première période, qui dur
du tabes, cetle technique reste, appliquée non plus aux gros troncs
nerveux
, mais aux petites branches périphériques, le seul
t de l'alaxie locomotrice et de quelques autres maladies du système
nerveux
. Leç. recueillie par Gilles de la Tuu- nETTE. P
e locomotrice progressive et de quelques autres maladies du système
nerveux
. Progrès médical, 23 février 1889. (4) Gilles
de l'ataxie locomotrice el de quelques autres maladies dît système
nerveux
. Nouv. Iconographie de la Salpêtrière, ne 3, 1890
uve qu'il se produit une élongation de la moelle et des gros troncs
nerveux
qui se rendent aux membres inférieurs : nous in
E LA FACULTÉ DE BORDEAUX. NOTE - SUR LES LÉSIONS DES CELLULES
NERVEUSES
DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE PAR J. SA
Golgi (1). Il décrit trois phases dans le processus des altérations
nerveuses
. Au début, on observe, dans la moelle et le bul
i se mul- tiplient par karyokinèse. A un second stade, les cellules
nerveuses
se creu- sent de vacuoles, les cellules névrogl
ennent des granulations graisseuses. A une 3e période, les cellules
nerveuses
deviennent vésicu- leuses et elles perdent leur
o- cytairedesespaces lymphatiques autour etjusque dans les cellules
nerveuses
qui s'atrophient, deviennent vacuolaires, le no
ont intéressés. La névroglie interposée aux fibres et aux cellules-
nerveuses
est hyperplasiée, les cellules en araignée se mul
n très vive. Nous avons borné nos recherches à l'étude des cellules
nerveuses
de la moelle cervicale d'un rabique qui a succo
95. (2) MAIIINESCO. Presse médicale, no 8, 1897. , , DES CELLULES
NERVEUSES
DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 157 Sur des c
nous tenons à rappeler succinctement quel est l'aspect des cellules
nerveuses
de la moelle après l'action de la thionine et d
ier sur ce sujet un travail des pJus remarqua- bles. Les cellules
nerveuses
de la moelle appartiennent toutes au type multi-
matique qui constitue en quelque sorte la char- pente de la cellule
nerveuse
se termine à la périphérie en s'insérant il une
e est traversé par un réseau irrégulier de linine dans DES CELLULES
NERVEUSES
DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 159 les noeud
tent d'autres types cellulaires ; c'est ainsi que dans les cellules
nerveuses
de la substance gélatineuse de Rolando, les granu
tion, on compte 7 à 8 cellules répondant à ce type, B. La cellule
nerveuse
encore polygonale a perdu en grande partie (1)
prépara- teur du laboratoire. ' Fio. 2. Fin. 3. A. - Cellule
nerveuse
dépourvue de prolongements et dont le noyau est r
hérie (partie posté- rieure de la corne antérieure). B - Cellules
nerveuses
transformées en globes réfringents (corne postéri
que et centrale (corne antérieure). Disparition du noyau. D Cellule
nerveuse
au début de l'altération. COUPES DE MOELLE RABI
hode de \ ? 1. = f un 1)) MASSON & cte, éditeurs DES CELLULES
NERVEUSES
DE LA MOELLE DANS LA RAGE RIUMAINE 161 ses prol
alogues. Les 1<'w. 13, 14, 15, 1G. Fio. 17, 18. DES CELLULES
NERVEUSES
DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 163 cellules
orphologiques rendent impossible toute confusion entre ces cellules
nerveuses
et les corpuscules névrogliques ainsi que les é
yau bien digne de fixer l'altention, on ne relève dans les cellules
nerveuses
aucune phase karyokinétique régulière, ni centr
ne nucléaire. Une double tendance s'accuse au début dans la cellule
nerveuse
dont le protoplasma'perd ses granulations chrom
données les plus récentes sur la physiologie générale des cellules
nerveuses
, on est conduit il tenter une interprétation du
aux centres, mais les désordres qu'il a entraînés dans les cellules
nerveuses
ne ressem- blent en rien aux phénomènes de réac
citation de la rage correspond un hyperfonctionnemen t des cellules
nerveuses
qui consomment, sans les réparer, les matières de
éparer, les matières de réserve, substances génératrices de tension
nerveuse
(1), accumulées dans leur protoplasma : ce stad
tir vers la karyokinèse. On se demande actuellement si les cellules
nerveuses
sont susceptibles de manifester des propriétés
ines exci- tations ; M. Giuscppe Lévi (2) a montré que les cellules
nerveuses
de l'é- corce cérébrale,au voisinage de lésions
nt (les (igu- (1) llnnmcsco. Recherches sur l'histol. de la cellule
nerveuse
avec quelques considé- rations physiologiques.
ppE Liivi. Recherches sur les propriétés prolifératives de la cellule
nerveuse
(Rivista di Pathologia nerv. e mentale, oct. 18
(Rivista di Pathologia nerv. e mentale, oct. 1896). DES CELLULES
NERVEUSES
DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 165 res karyo
e, comme l'a prétendu M. Babés (1), une multiplication des cellules
nerveuses
, maison est obligé'd'admettre,avec cet auteur,q
t des recherches de D. S. Ramon Y Ca- jal (2) que dans les cellules
nerveuses
, et dans celles des cornes antérieu- res en par
(2) D. S. Ramon y Cajal. Loc. cit. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE). SUR UN CAS D'MÉ
PAR F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies' du système
nerveux
. II Messieurs, Les questions que soulève le
géniques. ' Parmi celles-ci la théorie musculaire et par conséquent
nerveuse
con- vient heureusement à bon nombre de cas qui
rale) sans intervention d'un trouble au moins dynamique des centres
nerveux
. Je ne veux pas rééditer ici les arguments de c
a- lysie, si paralysie il y a eu, ne se rattache à aucuu territoire
nerveux
péri- phérique déterminé. L'aspect des mains de
vrite du cubital ait pu, par la paralysie des muscles du territoire
nerveux
malade, déterminer pareille attitude. « Cette a
us ont montré les cenlres correspondant non point à un terri- toire
nerveux
anatomique, mais à telle' ou telle fonction dans
nction dans laquelle entrent en jeu des muscles dépendant de troncs
nerveux
très différents. C'est ainsi que pour le membre
nous apparaît comme une déchéance fonctionnelle générale du système
nerveux
moteur. Et nous voyons, sauf de très exceptionnel
. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES 1 DU SYSTÈME
NERVEUX
. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. APPLICATION DES H
du service photographique de la Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. A propos d'un cas de maladie de Paget publié p
3 et 5, p. 88 et 139, 1893. (3) BIIISSAUO. Leçons sur les maladies
nerveuses
, Paris, 1895, p. 201. : 206 G. MARINESCO s'ét
ones moteurs et sensitifs qui (1) Brissaud. Leçons sur les maladies
nerveuses
. Paris, 1895, p. 22;i. (2) Gilbert Ballet. Leço
sous le nom de main de prédicateur. A. quoi tient-elle ? les tubes
nerveux
qui consti- tuent le radial naissent-ils plus h
. M. CIIAIiCOT. OEuvres complètes. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1889, p. 147. 212- : - - -' G. MARINESCO -
nguer cette atrophie de celle due à d'autres altérations du système
nerveux
. En effet, il s'agit d'une atrophie musculaire
, commun il bien des maladies, et à une maladie spéciale du système
nerveux
. Ainsi il y a les chorées- symptômes et la chor
ire de Gilles de la Tourelle est intitulé : Étude sur une affection
nerveuse
caractérisée par de l'incoordination motrice acco
ou comme l'expression d'une lésion portant sur un point des centres
nerveux
? En (1) Brissaud. Loc. cit., p. 512. 226 GRA
es fonctionnels d'un élal morbide quelconque d'un point des centres
nerveux
. Et Gauliez conclut simple- ment : « celte inte
nctionnel ». Nous retrouvons bien à notre cas les caractères du tic
nerveux
« c'est-à- dire un ensemble d'actes musculaires
isant et une histoire complète. Des causes de dépression du système
nerveux
(alcoolisme, excès, préoccu- pations morales) e
ne musculaire par atro- phie de certains muscles, adopte la théorie
nerveuse
, mais rejette la théo- rie nerveuse périphériqu
ains muscles, adopte la théorie nerveuse, mais rejette la théo- rie
nerveuse
périphérique de Jaccoud. Dans la théorie centra
'a- bolition de la fonction parathyroïdienne provoque les accidents
nerveux
et en particulier les troubles intellectuels as
ie évolutive. DES NÆVI . DANS LEURS RAPPORTS AVEC LES TERRITOIRES
NERVEUX
ESSAI DE PATHOGÉNIE ET d'ÉTIOLOGIE . PAR G.
distribution de certains Naevi suivant les territoires de branches
nerveuses
. Les cas anté- rieurs à 1877 ont été relevés pa
arotidienne suit rigoureusement la zone d'innervation de la branche
nerveuse
auriculaire ; que le placard qui occupe la régi
ivers de nævi peuvent se développer en rapport avec des territoires
nerveux
: nacvi verruqueux ou ichtyosiformes (observ. I
; cic, Éditeurs DES NI'.VI DANS LEURS RAPPORTS AVEC LES TERRITOIRES
NERVEUX
273 dont la forme se serait retrouvée plus ou m
er aucune connexion apparente avec un appareil autre que le système
nerveux
. Quant à la distribution territoriale des naevi
naevi dans ses rapports avec la disposition anatomique des rameaux
nerveux
, nous nous trouvons en face de deux théories pr
ers, 1S89. ' 274 G. ÉTIENNE théorie de Bmrensprung, caries filets
nerveux
ne s'arrêtent pas rigou- reusement à la ligne m
rale ; cependant Recklinghausen accepte que l'abolition de l'influx
nerveux
sur la nutrition de la peau peut déter- miner d
es cutanés sont innervés par toutes les ramifications d'une branche
nerveuse
; une altération de l'action nerveuse devrait ab
es ramifications d'une branche nerveuse; une altération de l'action
nerveuse
devrait aboutir à une lésion diffuse occupant t
ont aussi celles où se heurtent les diverses expensions des rameaux
nerveux
des territoires voisins, et ne sont que les lig
quels le noevus occupe la zone intermédiaire entre deux territoires
nerveux
voisins. Mais dans l'un comme dans l'autre cas,
ncevoir encore, avec Recklinghausen, que la suppression de l'influx
nerveux
sur la nutrition cutanée puisse déterminer des tr
° Les nævi croisant plus ou moins obliquement plusieurs territoires
nerveux
. En effet, dans les premiers cas, il est diffic
où découle la possibilité de la manifestation,suivant le territoire
nerveux
périphérique, de lésions médul- laires intéress
oelle. Restent les nfovi croisant obliquement plusieurs territoires
nerveux
. Il y a défaut de superposition entre les troub
éfaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions
nerveuses
. Ici, il semble que l'on puisse faire intervenir
le des propriétés de l'être achevé ; il a, notam- ment, un appareil
nerveux
central, le neurotome, pourvu d'une paire rachi
t du développement de l'individu les troubles du côté de l'appareil
nerveux
se répercutent donc tout naturellement du côté de
utanés. EN résumé, les naevi, reconnaissant pour origine une lésion
nerveuse
intra-utérine, peuvent être attribués à une lés
poursuivre plus loin encore cette recherche as- cendante des étages
nerveux
pouvant être intéressés et pouvant déterminer l
opeau. Nævus lichénoïde ké1'atopilaÍ1'e distribué suivant les trajets
nerveux
. France médicale, 1890, p. 158. ^Hallopeau et
Année N° 5 SEPTEMBRE-OCTOBRE 1897 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE) SUR UN CAS D'HÉM
i) PAR F.RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
? - -- III Messieurs, , III ' Vous voilà, j
néralement de l'irréparabilité d'une lésion traumatique des centres
nerveux
? Messieurs, voilà une question embarrassante,
t encore fort con- troversée, celle de la régénération des éléments
nerveux
, à la suite d'une désorganisation partielle de
lles à l'élucidation de ce problème de la régénération des éléments
nerveux
. Les résultats qu'il annonce peu- vent se résum
aumatique de la moelle est imputable à une tuméfaction des éléments
nerveux
dans les par- ties avoisinantes. 3° La restau
IQUE DE LA MOELLE 313 le long prolongement cylindraxile d'une fibre
nerveuse
motrice ; ce pro- longement aboutit à une fibre
le caractère irréparable de la lésion qui intéresse les conducteurs
nerveux
au siège de l'hémisection. C. Hyperesthésie dir
e d'une solution de continuité traumatique de la moelle, les fibres
nerveuses
divi- sées subissent, jusqu'à une certaine dist
i se résout à la longue. On conçoit donc que les segments de fibres
nerveuses
, compris en deçà d'une hémisection, et ces segmen
ant donné que la dégénération irritative, la tuméfaction des fibres
nerveuses
, s'étend à une certaine distance au-dessus lie
st morte dans une attaque d'apoplexie à l'âge de 43 ans. Elle était
nerveuse
, irascible : Ses parents ont eu quatre enfants. L
nts. L'aîné est mort de delirium tremens. On ne relève ni affection
nerveuse
, ni affec- tion mentale parmi les autres membre
lir. Peut-on incriminer un produit toxique agissant sur les centres
nerveux
(3) C'est un point sur lequel je n'engagerai pa
M. Charcot, Arch. de physiol., 1868, et Leç. sur les mal. du syst.
nerveux
, t. I). Ces arthropathies sont souvent aiguës,
DE LA POLYNÉVRITE DANS SES RAPPORTS AVEC LES LÉSIONS DE LA CELLULE
NERVEUSE
PAR SERGE SOUKHANOFF, Médecin de la cliniqu
t de nos con- naissances concernant la structure fine de la cellule
nerveuse
l'état nor- mal ou pathologique. Le succès du d
re une connais- sance plus détaillée de la structure du protoplasma
nerveux
, et, en outre, nous avons à présent la possibil
e, nous avons à présent la possibilité de définir dans les cellules
nerveuses
altérées des modifications qu'on ne pouvait par
encore de nombreuses modifica- tions. Le protoplasma des cellules
nerveuses
coloré ainsi n'apparaît pas uniforme. L'une de
la dis- position desquelles il résulte que les différentes cellules
nerveuses
n'ont pas un aspect identique. Dans l'état path
'ont pas un aspect identique. Dans l'état pathologique des cellules
nerveuses
on observe toute une série de modifications dan
e série de travaux rela- tifs aux différentes affections du système
nerveux
. Au nombre des mala- dies, pour lesquelles cett
découvrir de nouvelles modifica- tions survenues dans les cellules
nerveuses
, se trouve la polynévrite. Ce ne sontpasseuleme
polynévrite, mais encore les substances blanche et grise du système
nerveux
central. Pour la recherche des modifications réce
igment noir ayant l'aspect d'une poussière menue. Certains éléments
nerveux
en contiennent plus, d'autres moins, et sa disp
anglions intervertébraux, on peut constater dans certaines cellules
nerveuses
, ainsi que dans les cellules motrices de la corne
ection des nerfs périphé- riques et l'examen consécutif des centres
nerveux
correspondants par la méthode de Nissl démontre
qu'après la lésion du prolongement cylindre-axile dans les éléments
nerveux
cor- respondants survient une réaction particul
En comparant les données des recherches microscopiques des centres
nerveux
après la section de leurs cylindres-axes avec l
histologique qui résume les modifications principales des cellules
nerveuses
dans notre cas de polyné- vrite- ont été observ
baire de la moelle (1) Mabinesco, Pathologie générale de la cellule
nerveuse
. Lésions secondaires el pri- ntilives. Presse m
avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellules
nerveuses
. Revue neurologique, 1896, no 5. SUR L'HISTOLOG
i), il résulte que les modifications sus- nommées dans les cellules
nerveuses
restent stationnaires très longtemps, plusieurs
le droit de dire que les modifications observées dans les cellules
nerveuses
, où le noyau se trouve sur la périphérie du cor
ie du corps cellulaire et où l'on voit dans le centre de la cellule
nerveuse
une coloration bien plus claire, dépendent de la
une coloration bien plus claire, dépendent de la lésion des troncs
nerveux
. Nous pouvons désigner ces anomalies dé la stru
. Nous pouvons désigner ces anomalies dé la structure de la cellule
nerveuse
, d'après la terminologie de M. Marinesco et les
apparaissent après l'action immédiate d'un poison sur les cellules
nerveuses
ou à la suite d'un trouble de leur nutri- tion.
ns provoquent des anomalies définies dans la structure des cellules
nerveuses
. Mais on ne peut considérer comme chose indiscu
ogie et d'hypnologie, 1897. (2) Marinesco, Pathologie de la cellule
nerveuse
. Paris, 1897, p. 37. (3) Sabrazès et CABANNES,
is, 1897, p. 37. (3) Sabrazès et CABANNES, Les lésions des cellules
nerveuses
de la moelle dans la rage humaine. Nouvelle Ico
) Marinesco, Nouvelles recherches sur la structure fine de la cellule
nerveuse
et sur les lésions produites par certaines into
la fonction et les modifications de la structure fine des cellules
nerveuses
. Dans notre casde polynévrite, outre les modifi
polynévrite, outre les modifications secondaires dans les cellules
nerveuses
, il y en avait encore des modifications primitive
s primitives,de même que les modifications secondaires des cellules
nerveuses
dans notre cas, consistaient principalement en la
e forme des corpuscules chromati- ques qui, dans certaines cellules
nerveuses
, semblaient subir une dissolu- tion dans la sub
logie de M. Ma- rinesco). Mais dans un très petit nombre d'éléments
nerveux
on pouvait noter l'altération de la substance a
ire définitivement à quel degré de lésion du protoplasma la cellule
nerveuse
peut se reconstituer, et quel est le degré qui
Année N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1897 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE MALFORMATIONS DES M
E (f) F. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. PAR ET PIERRE JANET. Directeur du labora
les parties. Elle doit correspondre à des malformations des organes
nerveux
. Nous n'osons pas dire à une hémiatrophie céréb
4. Main d'un homme de taille moyenne (lm70). DE L'ARTHROPATHIE
NERVEUSE
VRAIE ET DES TROUBLES TROPHIQUES ARTICULAIRES
Il PAR R PAUL LONDE Ancien Interne de la Clinique des Maladies
Nerveuses
. Quand Charcot démontra que des lésions articul
res survenaient dans le tabes sous la seule influence de la maladie
nerveuse
et avec un cortège de symptômes tout nouveaux,
vec un cortège de symptômes tout nouveaux, l'idée de l'arthropathie
nerveuse
déjà an- cienne, mais incertaine s'affirma. J.-
Char- cot avait vu autre chose que ses devanciers : l'arlhropathie
nerveuse
pure, essentiellement différente des arthropath
arence paradoxale : l'arthropathie, qui est exclusivement de nature
nerveuse
par ses caractères cliniques (Charcot la décriv
s que les névrites ne don- nent pas à elles seules une arthropathie
nerveuse
type. On range, aussi parfois le syndrome de Ch
s : c'est l'auto-intoxication ou l'infection d'une part, le trouble
nerveux
d'autre part. Une revue complète des observatio
onséquences, traduit par D.\STaE, 1874. (8) Leçons sur les maladies
nerveuses
recueillies et publiées par H. MEME, 1893 ; XIV
nnent les indications bibliographiques nécessaires. I. Arthropathie
NERVEUSE
PURE. La description de l'arthropathie tabétiqu
ulement quelques mots des caractères essentiels de l'arthro- pathie
nerveuse
, type commun à ces deux maladies. Il y a fréque
n'est capable de la simuler quand elle est typique. L'arthropathie
nerveuse
pure offre donc des caractères précisément oppo-
a- dies qui ont passé pour être capables de produire l'arthropathie
nerveuse
pure. La paralysie générale a été incriminée
hal du cas en question a trait à n'en pas douter à une arthropathie
nerveuse
et ce fait suffit à faire soupçonner une erreur d
ttiré l'attention des auteurs, n'a rien (1) Leçons sur les maladies
nerveuses
, tS9o, p. 313. (2) Traité clinique des maladies
erveuses, tS9o, p. 313. (2) Traité clinique des maladies du système
nerveux
(trad. de LuBAisKI), 1878, 20 édi- tion. Il est
s. x 27 386 PAUL LONDE de commun avec les grandes arthropathies
nerveuses
. L'observation, rap- portée plus loin en note,
te, de MM. Prautois et Etienne, nous a paru l'uni- que arthropathie
nerveuse
dans l'atrophie musculaire myélopathique. Ce n'
e W. S. Taylor (1) est à n'en pas douter une véritable arthropathie
nerveuse
, mais son cas est fort suspect de tabès : tel e
ronique : M. Auscher a observé un cas inédit de grande arthropathie
nerveuse
dans cette affection (communication orale). (3)
sthésie du même côté : nous avons vu qu'au contraire l'arthropathie
nerveuse
pure était anesthésique (2). 2° Forme subaiguë
on soil en droit d'assimiler la double hydarthrose à l'arthropathie
nerveuse
vraie. L'hydarthrose n'a peut-être été que la c
ult lui-même. En tout cas il ne peut être question d'arthro- pathie
nerveuse
vraie (1). 3° Forme chronique (se terminant par
ar atrophie musculaire et rétraction consécutive. DE L'ARTHROPATHIE
NERVEUSE
VRAIE 391 Parallèle avec l'arthropathie nerveus
DE L'ARTHROPATHIE NERVEUSE VRAIE 391 Parallèle avec l'arthropathie
nerveuse
pure. Etablissons maintenant un parallèle entre
ariétés d'arthrites qui viennent d'être énumérées et l'arthropalhie
nerveuse
vraie. Nous voyons que presque toutes ont été d
s autres, nettement en rapport par leur localisation avec la lésion
nerveuse
. Enfin le niveau de la lésion médul- laire pas
ut y ajou- ter une observation de Reuillet dans laquelle une lésion
nerveuse
datant de l'enfance avait amené une atrophie co
: on n'y note les arthropathies qu'à l'autopsie (2). Les lésions
nerveuses
capables de donner lieu à une arthropathie peu-
constant entre le siège de l'arthropathie et le siège de la lésion
nerveuse
: ainsi dans un cas où le nerf médian était ble
s des arthropathies spinales ? On voit aussi à la suite des lésions
nerveuses
périphériques, l'oedème dur pseudo-éléphantiasi
est sans doute en rapport avec l'évolution pro- longée de la lésion
nerveuse
périphérique ; la lésion médullaire qui cause l
es périphériques et spécialement de la névrite. DE L'ARTHROPATHIE
NERVEUSE
VRAIE 393 cieuse. Ce fait et la localisation fr
1° que jamais une névrite n'a donné lieu à une grande arthropathie
nerveuse
; 2° que les arthropathies névritiques comme les
hiques cutanés très accentués n'a rien à voir avec l'arthropa- thie
nerveuse
vraie. La distinction est tout à fait palpable qu
mpagne d'in- fection plus volontiers que l'hémorrhagie. Le cachet
nerveux
leur est donné par la localisation hémiplégique,
idérations pré- cédentes, c'est qu'il ne s'agit pas d'arthropathies
nerveuses
au sens propre du mot. Sans doute un trouble tr
es lésions (d'origine infectieuse ou auto-toxique). Mais ce qui est
nerveux
dans cette affection ce n'est pas tant l'arthropa
nt l'arthropathie que la détermination périarticulaire ; ce qui est
nerveux
c'est la contracture, l'exagération des réflexe
'origine infectieuse ou autre) s'adjoignent des phénomènes purement
nerveux
, contracture, atro- (i) Dans un rapport récent
ivantes : 1° arthropathies infectieuses; 2° a. dyscrasiques ; 3° a.
nerveuses
; 4° a. mixtes (tropho-infectieuses et' toxi-ne
la nous permet de penser que les formes infectieuse, dyscrasique et
nerveuse
représentent chacune un élément étiologique prédo
bles trophiques que nous avons étudiés et la véritable arthropathie
nerveuse
? Telle est la question que nous nous posons.
r considèrent les arthropathies du psoriasis comme une arthropathie
nerveuse
. A nos yeux pourtant elles ne diffèrent pas du
arence rhumatoïde : elles n'ont aucune analogie avec l'arthropathie
nerveuse
vraie. (2) Cité par Arnozan. Nous n'avons malhe
rès douloureuses. Arch. de physiologie, 1868. / , DE l'arthropathie
nerveuse
vraie 397 phale. Elle n'existe pas dans les név
e conclusion à en tirer au sujet de la pathogénie de l'arthropathie
nerveuse
vraie. CONCLUSION. Les arthropathies du tabes
ies du tabes et de la syringomyélie méritent le nom d'arthropathies
nerveuses
vraies parce qu'elles sont produites exclusi- v
ans certains cas au moins, à des lésions correspondantes du système
nerveux
. Il y a un autre facteur étiologique à mettre i
ot arthropathies tropho-infectieuses pour désigner l'arthro- pathie
nerveuse
pure infectée accidentellement, mais l'infection
rthrites et si elles méritent de conserver le nom d'arthro- pathies
nerveuses
c'est à cause de leur localisation exclusive dans
'arthropathie ? Nullement. On peut très bien admettre que la lésion
nerveuse
périphéri- que par exemple puisse créer un trou
ques ne sont jamais comparables cliniquement à la grande arthrophie
nerveuse
, celle du tabes et de la syringomyélie, qui est,
ir dès le début par des consi- dérations historiques,l'arthropathie
nerveuse
vraie ne ressemble ni aux arthropathies névriti
musculaire est le fait essentiel. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE HYPERTROPHIE CONGÉN
E PAR R. CESTAN. Interne de la Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. Le développement des extrémités peut dévier en
été impossible de déterminer la nature et il aurait une soeur très
nerveuse
. Le malade affirme que dans sa famille il n'a j
lques stigmates de dégénérescence, qu'il des- cend d'une famille de
nerveux
, qu'il a un état mental tout particulier, on re
ne puisse survenir chez un sujet hystérique, ou neurasthénique, ou
nerveux
. Au contraire, des causes de dépression sont né
lir, mais les autres signes qui seraient capables de révéler l'état
nerveux
du malade sont nuls ou très effacés. 1 La cau
ENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 405 pas l'intervention d'un centre
nerveux
anatomique, mais d'un centre fonc- tionnel dont
a donnée M. Grasset lui-même : « Des causes de dépression du système
nerveux
(alcoolisme, excès, préoccupations morales) ent
'mère avait eu des attaques de nerfs. Sa mère et sa soeur sont très
nerveuses
. Lui-même, à 18 ans, a eu du rhumatisme articulai
pratiques, 25 janvier 1894. E. Brissaud, Leçons sur les maladies
nerveuses
recueillies et publiées par H. Meige (Salpêtriè
bien à la description de Ji Éléphantiasis des Grecs. 2° la Lèpre
nerveuse
anesthésique ou trophoneurotique, dont les lésion
une égale vérité des exemples de la Lèpre tuberculeuse, de la Lèpre
nerveuse
, et de la forme mixte de cette ma- ladie. Nou
sur le dos des mains, sur les coudes et les genoux. Dans la Lèpre
nerveuse
(Lèpre de Danielssen), à ces phénomènes tro- (1
bras gauche pend, inerte, sans main, terminé par un moignon : Lèpre
nerveuse
et mutilante. A gauche, un autre s'avance, mont
age d'analogies avec les pieds déformés par les lésions de la Lèpre
nerveuse
et mutilante. La main gauche sur laquelle s'appui
gne presque exclusif d'une autre affection, d'origine exclusivement
nerveuse
celle-là, et décrite par un éminent clinicien d
radiographies), par ALBERT LONDE et Henry MEIGE, 36. Arthropathie
nerveuse
vraie et troubles trophiques articulaires d'app
ol, par P. E. I,AUNOts (2 phototypies), 355. Lésions des cellules
nerveuses
de la moelle dans la rage humaine (note sur l
ototypies), 332. Noevi dans leurs rapports avec les terri- toires
nerveux
, par G. ETIENNE (3 des- sins, 4 phototypies et
3. , Polynévrite dans ses rapports avec les lésions de la cellule
nerveuse
(histolo- giepathologique),par SOUKIIANOFF (4 f
, CABANNES (C.) et J. Sabrazès. Note sur les lésions des cellules
nerveuses
de la moelle dans la rage humaine (25 figures
. ETILNNE (G.).Des nsevi dans leurs rapports avec les territoires
nerveux
(3 dessins, 4 4 phototypies et 1 photogravure),
mante de Paget) (2 planches), 198. LONDE (Peur.). De l'Arthropathie
nerveuse
vraie et des troubles trophiques articu- lair
. Sabrazès (T.) et C. CABANNES. Note sur les lésions des cellules
nerveuses
de la moelle dans la rage humaine (25 figures
de la polynévrite dans ses rapports avec les lésions de la cellule
nerveuse
(6 figu- res), 347. Souques (A.) et PAUL ;RIC
plus : le type oxycéphalique, en dehors de son cortège de symptômes
nerveux
bien connus (atrophie des nerfs optiques, strabis
son « His- toire critique des théories et des doctrines du système
nerveux
» des têtes mal conformées chez lesquelles il f
enir que, ni les lésions des nerfs optiques, ni les autres troubles
nerveux
concomitants, ni tous les autres symptômes ocul
nital de la petite fille. Aucune symptomatologie du côté du système
nerveux
, tous les réflexes sont normaux. L'intelligen
dans sa famille d'affection pareille à la sienne, ni d'affec- tion
nerveuse
d'aucune sorte. Pour ce qui est des antécédents
d'après la méthode de Cajal n'a pas démontré l'existence de fibres
nerveuses
. Mais l'examen complet des nerfs SUR LA COEXIST
l'épidémie de grippe de 1910. L'examen macros- copique des centres
nerveux
fut négatif. On trouva de l'infiltration tubercu-
s pièces d'une tuberculose banale. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'HOP1TAL PANTELIMON (BUCAREST) DEUX CAS D
malade accepte d'entrer dans le service de la clinique des maladies
nerveuses
de l'hôpital Pantélimon, seulement pour quitter
père l'amène à Bucarest dans le ser- vice de clinique des maladies
nerveuses
, le 2 octobre 1910. Etat présent. - A l'entrée
. D'ailleurs Oppenheim, dans son traité bien connu sur les maladies
nerveuses
, men- tionne que les formes aiguës de méningite
sme. Il y a des faits qui plaident pour la participation du système
nerveux
dans beaucoup d'états toxi-infectieux, d'aulres o
éninges sont atteintes même dans les cas où il manque de phénomènes
nerveux
. En effet, Liebermeister (1), parmi onze cas de
ze cas de pneumonie sans symptômes méningiliques et dont le système
nerveux
était macroscopiquement normal, a trouvé trois fo
(1), dans un article du Manuel d'Anatomie pathologique du sys- tème
nerveux
, dit que dans l'hydrocéphalie les plexus choroïde
e non seulement une hydrocéphalie, mais d'autres lésions du système
nerveux
central donnant lieu à des syndromes divers. C'
nt décrites. Il en est résulté, dans ce territoire de la Pathologie
nerveuse
, une oeuvre de syn- thèse qui tend à faire de c
s de l'enfance ni de traumatisme crânien. Le début de son affection
nerveuse
n'a pu être déterminé, un fait du moins paraît
ce trop contingent pour servir de carac- téristique à une affection
nerveuse
. Il n'en est pas de même du caractère héréditai
oelle est généralement diminuée de volume; sur aucun point de l'axe
nerveux
on ne trouve de plaques de sclérose. Le sys- tè
s souvent en effet on rencontre des formes hybrides de ces maladies
nerveuses
dites héréditaires et fami- liales. Soderberg e
romes étant d'ailleurs atypiques. Suivant Ettore Levi, l'hypoplasie
nerveuse
congénitale el l'usure fonc- lionnclle des élém
lologiques sont les deux fadeurs des maladies familiales du système
nerveux
. L'organisation anatomique défectueuse est la c
is, en effet, chez des sujets en apparence indemnes de toute lésion
nerveuse
, n'a-t-il pas orienté le diagnostic vers une sy
omme sain elque leur absence dénoie un état pathologique du système
nerveux
. Cette opinion, basée sur un nombre d'examens p
s de Minor (4) où l'abolition des réflexes rotuliens, seul symptôme
nerveux
, était en rapport (1) In thèse de TIIIÈME, Pari
entent pas d'altérations notables. IL Examen particulier du système
nerveux
GaST1t111UE. - Nous n'avons malheureusement pu
t111UE. - Nous n'avons malheureusement pu examiner que les éléments
nerveux
enfermés dans les parois de l'estomac; il nous
dans les parois de l'estomac; il nous a manqué l'examen des filets
nerveux
macrosco- piquempnt visibles hors de l'estomac
n'avons pu appliquer la méthode de Weigert-Pal à l'étude des fibres
nerveuses
de la paroi gastrique, si tant est que ce procé
nt la même région ; elle est traduite par une raréfaction des tubes
nerveux
et par l'abondance du tissu hyalin, fibreux, où
t des régions similaires du cordon posté- rieur gauche où les tubes
nerveux
sont serrés et compacts. 5° Régions lombaire su
ans un fonction- nement défectueux du pouvoir conducteur des fibres
nerveuses
. La perte de la gaine de myéline, la nutrition
tent sans effet, qu'il sur- vienne une modification dans le système
nerveux
capable d'exagérer les réflexes rotuliens, comm
hérapeutiques don- naient plus de vivacité aux fonctions dynamiques
nerveuses
. En outre, le traitement spécifique, surtout da
ent le flot des excitations nouvelles qui circulent dans le système
nerveux
. Maintes observations faciles à faire sur soi-mêm
s, il n'est pas vain de soupçonner derrière ce syn- drome la lésion
nerveuse
qui fait le fond de la maladie ; et nous prenons
qui fait le fond de la maladie ; et nous prenons le terme de'lésion
nerveuse
dans son sens le plus large, tenant compte de c
qui prendrait plus près de leur début anatomique les déterminations
nerveuses
de la vérole, car une des raisons qui fait qu'on
omparativement, la part qu'on peut faire à l'estomac et aux lésions
nerveuses
dans la pathogénie des crises gastriques du tabes
tante, dans la pathogénie des crises gastriques, à des altérations
nerveuses
périphériques du sympathique et du pneumogastri
l'hypothèse que nous avons émise, parce que l'étendue des lé- sions
nerveuses
sympathiques permet de considérer ces lésions ner
s lé- sions nerveuses sympathiques permet de considérer ces lésions
nerveuses
sympathiques comme leur étant secondaires, conf
gastropathies simplement concomitantes et indépendantes des lésions
nerveuses
ou de la syphilis (gastrites médicamenteuse, étly
variées soient sous la dépen- dance directe des lésions du système
nerveux
. . Quelles que soient leurs causes, ces lésions
nir les crises gastriques chez les malades atteints d'une affection
nerveuse
qui, elle, est nécessaire^ Quelle est celle ci
amens histologiques complets portant non seulement sur le sys- tème
nerveux
central, et sur les parois de l'estomac, mais enc
central, et sur les parois de l'estomac, mais encore sur le système
nerveux
périphérique. Cette impression que nous nous so
penser qu'il s'est produit une amélio- ration anatomique des fibres
nerveuses
malades et une amélioration des DE LA CONSERVAT
DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES RÉFLEXES ROTULIENS 99 fonctions
nerveuses
en général. L'influx autrefois incapable de passe
réalisent, sans doute par une sorte de mise en tension des éléments
nerveux
, des condi- tions plus favorables au passage à
i- tions plus favorables au passage à travers la moelle de courants
nerveux
renforcés et plus nombreux, ainsi qu'à leur uti
es s'améliorent ou si les excitations qui circulent dans le système
nerveux
augmentent, les réflexes peuvent réapparaître.
ntenses. 100 CHALIER ET NOVf-JOSSERAND Quant à la pari du système
nerveux
, elle demande à èlre précisée par de nouvelles
de l'uro- tropine dans toutes les opérations intéressant le système
nerveux
central. Actuellement, ce médicament est très e
calme et très doux. La mère a 52 ans ; elle est, dit-elle, « aussi
nerveuse
, aussi impressionnable que son garçon ». Il f
très mince et mange à peine. A quinze ans, il a plusieurs crises
nerveuses
a caractère névropaihique. Elles se produisent
ents que plds tard, il 132 . GALLA1S ' devient sombre, les crises
nerveuses
se rapprochent, il en a plus de dix par jour.
rticaire et dermographisme paraissant en rapport avec l'éré- thisme
nerveux
. La sensibilité d'ailleurs et les réflexes cuta
n'est ni une forme mixte, ni une forme systématisée tégumentaire ou
nerveuse
. Il n'y a-ni tubercules, ni léprômes, ni ulcères.
ace cutanée. » Et c'est particulièrement dans la lèpre systématisée
nerveuse
, que cet auteur a pu la relever. Ici en faveur
cet auteur a pu la relever. Ici en faveur de l'atteinte du système
nerveux
,d'une part la symélrie des joues colorées ou dé
es arguments appréciables. Sans doute la lésion possible des troncs
nerveux
ne se manifeste pas par une hypertrophie évidente
une hypertrophie évidente des nerfs,mais il est net que l'appareil
nerveux
est en cause; dans le livre de Leloir l'ob- ser
ES RÉFLEXES ROTULIENS . , SANS AUTRE SIGNE D'AFFECTION DU SYSTÈME
NERVEUX
PAR le D' Louis DUPUY, Médecin major de 2-
utres cas, le réflexe est nul en l'absence de tout autre symptô- me
nerveux
. Celte absence du réflexe achilléen ou du réflexe
du réflexe rotulien chez des sujets indemnes de tout autre trouble
nerveux
est mal connue. Les sta- tistiques publiées à c
Ileens et rotuliens peuvent être trouvés nuls sans autres troubles
nerveux
à un âge avancé, vieillesse (Mubius),au delà de
réflexes acllilléens oudes réflexes rotuliens sans autre trou- ble
nerveux
est estimée pathologique par Bahinsl : i,Oppenbei
ou plusieurs réflexes chez un sujet indemne de tout autre symptôme
nerveux
peut être qualifiée absence monosymploma- tique
xe achilléen a élé trouvé nul des deux côtés et l'examen du système
nerveux
a décelé un tabès jusqu'alors ignoré. Un sujet
nul, soit d'un côté, soit des deux côtés, en l'absence de symptômes
nerveux
d'ordre différent; chez 7 d'entre eux celle irr
orsqu'un homme présentant cet état vient à contracter une affection
nerveuse
ou susceptible d'intéresser le système nerveux
acter une affection nerveuse ou susceptible d'intéresser le système
nerveux
et se présente à un médecin, celui-ci peut plac
ou des réflexes roluliens constatée en dehors de tout autre trouble
nerveux
? ' ? Quelle est la nature et quelle est l'orig
e ceux-ci ne peut qu'être infime. L'abolition sans autre symptôme
nerveux
des réflexes achilléens ou des réflexes rolulie
L'une des diverses affections, des nerfs, des racines ou des centres
nerveux
, susceptibles d'abolir les réflexes est en caus
d'entre eux les réflexes rotuliens nuls sans autre signe de maladie
nerveuse
. Les auteurs trouvent ces ré- flexes absents da
u examen clinique complet décèle une affection organique du système
nerveux
, soit jusqu'alors insoupçonnée, soit anté- rieu
t guérie. Dans d'autres cas, le réflexe est nul sans autre symptôme
nerveux
. Dans les conditious où j'ai observé, cette irr
up plus fréquente que l'irréflectivité associée à d'autres troubles
nerveux
. Elle existe dès la 25e année. Le nombre des cas
ont le sujet ne songe pas à se plaindre, peut révéler une affection
nerveuse
. Sa recherche doit faire partie de la prophylaxie
dent au cerveau. Quant au mécanisme de leur action dans les centres
nerveux
et en particulier de celle qu'ils y exercent su
i i faire jouer un rôle prépondérant dans la physiologie du système
nerveux
(i) Lettre CLXXXVI il 111ersenne [t avril 164 O
re du cerveau parl'ou- verture variable de chacun des petits tuyaux
nerveux
dont la réunion cons- titue le nerf optique. D'
tre une résistance variable suivant l'ouver- ture des petits tuyaux
nerveux
. En sorte que la glande se trouve influencée en
eçeu l'impres- sion de quelque idée » ils pénètrent dans les luyaux
nerveux
qui consti- tuent la substance cérébrale et plu
'actuellement nous tenions d'expliquer le fonctionnement du système
nerveux
: par des comparaisons que nous empruntons à de
hisme de la plupart des glandes à sécrétion interne et les troubles
nerveux
dont s'accompagnent leur hy- perfonctionnement
ructure du cytoplasma ou du noyau. Ce genre d'études sur la cellule
nerveuse
qu'on a élevé, pour ainsi dire, en cul te de so
ion. Mais il est permis de se de- mander si les images des cellules
nerveuses
que nous avons obtenues au moyen des agents fix
agents fixateurs qui tous allèrent la vraie structure de la cellule
nerveuse
, correspondent à la réalité et si les conclusions
tique de nos connaissances actuelles sur la structure de la cellule
nerveuse
et de l'examen à la lumière des données nouvelles
t, d'autre part, les réactions chromatiques qu'offrent les cellules
nerveuses
, encore vivantes, xxv 13 194 MARINESCO trai
orantes. C'est de l'application de la première méthode à la cellule
nerveuse
que je m'occuperai dans ce travail, car l'avène
étés générales des colloïdes, car ainsi que je l'ai dit, la cellule
nerveuse
comme toute autre cellule peut être définie comme
eau et pauvre en colloïde. Le cytoplasma des cellules des ganglions
nerveux
et sympathiques de tous les mammifères et d'ani
ence de-granulations plus ou moins fines qui impriment aux cellules
nerveuses
une luminosité variable avec t'age et l'espèce
és optiques font partie intégrante de la constitution du cytoplasma
nerveux
. Elles existent probablement à tous les âges et d
la vie embryonnaire. Comme tous les autres composants de la cellule
nerveuse
, elles subissent des modifications parallèles à
constatations nous autorisent à affirmer que les diverses cellules
nerveuses
offrent une structure ultramicroscopique différen
stance et la viscosité du cytoplasma et du karioplasma des cellules
nerveuses
, car celles-ci varient avec les différents centre
llules nerveuses, car celles-ci varient avec les différents centres
nerveux
chez les différents animaux. En effet, même dan
gtemps. Les modifications que détermine la compression des cellules
nerveuses
peuvent nous fournir quelques données sur la co
ication très intéres- sante qui dénote la plasticité de la cellules
nerveuse
, c'est la tendance à la 204 ' MARINESCO lobul
t de conclure que le complexus colloïdal qui constitue les cellules
nerveuses
ne peut pas être considéré comme un sol, mais c
bservations, c'est que le cyloplasma et le karioplasma des cellules
nerveuses
ne peuvent pas être comparés à un sol et que la
, les cellules des ganglions spinaux et sympathiques et des centres
nerveux
contiennent chez toutes les espèces animales ob
ulations colloïdales. C'est ainsi par exemple qu'après les sections
nerveuses
, lorsqu'on traite des cellules de ganglions greff
lerfibrillaires, lesquels ressemblent par la structure au réticulum
nerveux
Mais quelques auteurs italiens ont à leur lour
elle méthode d'investigation consistant dans la fixation du système
nerveux
il l'aide d'un mélange réfri- gérant, n'a pas p
retrouver la structure fibrillaire dans le protoplasma des cellules
nerveuses
, ni dans leurs prolongements : aussi, bien qu'il
les neurobiones s'usent ou subissent des pertes pendant l'activité
nerveuse
. Parmi les émigrations et les métamorphoses des n
ne constate pas de pareils phénomènes lorsqu'on traite les cellules
nerveuses
par des agents coagulants et particulièrement par
oyé le chlorure de nickel , de manganèse et de cobalt. Les cellules
nerveuses
ont été dissociées dans la solution corresponda
age latéral avec ceux donnés par l'éclairage direct. Les cellules
nerveuses
des ganglions spinaux dissociées dans l'acide a
analogues. Dans l'acide chlolydri- que, le cytoplasma des cellules
nerveuses
est parsemé de fines granulations lumineuses, t
emier ordre, a été fréquemment employé pour la fixation des centres
nerveux
. Il produit des modifications profondes de l'ét
oduit des modifications profondes de l'état colloïdal de la cellule
nerveuse
.. Les cellules sont évi- demment rétractées, le
endant quelque temps la structure ultrami- croscopique des cellules
nerveuses
. Mais si nous faisons usage d'une solution hype
ytes telles que l'urée, l'antipyrine et la glycérine sur la cellule
nerveuse
. Dès le commencement, il faut établir que l'ac-
ents corps est sous la dépendance de l'état où se trouve la cellule
nerveuse
en expérience, de l'âge et de l'espèce de l'ani-
ESSAI DE BIOCYTONEUROLOGIE AU MOYEN DE L'ULTftAhiICROSCOPE 217 les
nerveuses
et qui consistent en une cytolyse rapide, par sui
it pas visible, on ne saurait pas si l'on a devant soi des cellules
nerveuses
. Si l'on fait usage d'une solution salée d'ammoni
nocive se borne plus particulièrement à la périphérie de la cellule
nerveuse
, il n'y a pas de vide périnucléaire. La membrane
es gra- nulations. La glycérine, de par son action sur la cellule
nerveuse
, occupe une place tout à fait à part dans le ca
oit, les modifications que la gly- cérine pure imprime à la cellule
nerveuse
ne sont pas définitives, mais en grande partie
es nous ontpermis-de mieux comprendre l'état physique de la cellule
nerveuse
et nous avons vu que le complexus col- loïdal q
fluide extrêmement visqueux. Toutes les modifications des cellules
nerveuses
réalisées par tous leurs- éléments constitutifs e
a- neuse serait dirigée parcelle de la moelle spinale. Le système
nerveux
naissant avant le système osseux, il est admissib
marches pathologiques garde toujours un gros intérêt en séméiologie
nerveuse
, grâce au secours qu'elle apporle au diagnostic
valeur de celte méthode dans l'étude et l'enseignement des maladies
nerveuses
. En ayant eu occasion d'employer la méthode cin
'utilité de la cinématographie dans l'élude des maladies du système
nerveux
(Encéphale, 1909, p. 410). Nouvelle Iconographi
, des racines rachidiennes avec leurs ganglions spinaux, des troncs
nerveux
périphériques et des muscles choisis dans les r
us un fort grossissement, conservent une structure normale : fibres
nerveuses
tassées les unes contre les autres, sans grande
ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 287 Les fibres
nerveuses
sont plus ou moins atrophiées ; on trouve tantôt
ects très variés et sans relations évidentes avec l'état des fibres
nerveuses
; il existe des gaines de Schwann linéaires, no
su conjonctif intrafasciculaire est moins aisée. Lorsque les fibres
nerveuses
sont tassées les unes contre les autres, entourée
aissent, au microscope (PI.XXXVIII), occu- pées par de rares fibres
nerveuses
très espacées, et composées essentiellement d'u
présentent les étapes principales de la dé- sintégration des troncs
nerveux
. Sur la fig. e les fascicules contiennent encor
/ témoigne d'un degré plus avancé dans la destruction des éléments
nerveux
: ceux qui restent paraissent dissociés, les uns
le tissu conjonctif réticulé. Ces coupes longitudinales des troncs
nerveux
périphériques permettent d'étudier les variatio
nn n'est pas propor- tionnelle au degré d'altération de la la fibre
nerveuse
: il est fréquent qu'une gaine hypertrophiée co
emble qu'il y ait là un processus de régénération. Fio. 3. - Fibres
nerveuses
. Coupes longitudinales des troncs nerveux. Obs.
ation. Fio. 3. - Fibres nerveuses. Coupes longitudinales des troncs
nerveux
. Obs. IV. oc. 6. NOUVELLE Iconographie DE la
trouve quelques-uns dans des espaces en apparence privés de libres
nerveuses
: ils sont dénudés, sans gaine de myéline, ni mem
état pathologique de faible inten- sité. Sur l'ensemble des troncs
nerveux
examinés, il ne semble pas qu'il y ait une augm
ment sensitive. L'étude histologique a porté surtout sur les troncs
nerveux
de la racine des membres : les modifications si
uscles exten- seurs du pied très atrophiés et parésiés), les fibres
nerveuses
sont moins non]-, breuses qu'il l'état normal,
s des gaines de Schwann. Plus loin encore, notamment sur les filets
nerveux
intramusculaires des 290 LONG muscles extense
vant-bras, on constate que la disparition d'une partie des éléments
nerveux
est remplacée par une sclérose de faible intensit
e faible intensité. Les lésions si caractéristiques des gros troncs
nerveux
ne se retrouvent donc plus à la périphérie. P
ns (PI. XL). Il s'agit, tantôt d'une raréfaction diffuse des fibres
nerveuses
qui fait paraître le tractus moins coloré par l
retrouve aussi la même disposition histologique que dans les troncs
nerveux
périphériques : atrophie des fibres nerveuses et
que que dans les troncs nerveux périphériques : atrophie des fibres
nerveuses
et épaississement concentrique de leurs gaines
figure i montre la ire racine dorsale, la dégénérescence des fibres
nerveuses
n'apparait qu'au niveau du trou de conjugaison et
ent cervical. Pans les nerfs : atrophie d'un grand nombre de fibres
nerveuses
; hypertrophie fréquente des gaines de Schwann so
en tissu conjonctif dense, sans augmen- tation de volume des troncs
nerveux
. Quelques vasa nervorum en état d'hypertrophie.
s, bleuâtres ; sur les coupes, on voyait une raréfaction des fibres
nerveuses
qui parfois atteignaient une épaisseur anor- ma
tacte ; dans les nerfs des régions malades, une atrophie des fibres
nerveuses
et une infil- tration interstitielle par du tis
aissies. Ces altérations, qui n'atteignent pas la totalité du tronc
nerveux
, mais laissent des fibres et des fascicules sai
uleurs. Les cordons postérieurs de la moelle sont sclérosés (fibres
nerveuses
incluses dans une substance granuleuse à noyaux
t épaissies dans la partie infé- rieure de la moelle ; leurs libres
nerveuses
sont entourées d'un tissu conjonc- tif abondant
altérées, les racines du plexus cervical sont indemnes. Les troncs
nerveux
périphériques, jusque dans les muscles, ont un
et un tissu conjonctif abondant, riche en noyaux, autour de fibres
nerveuses
plus ou moins altérées. Ces lésions font défaut d
aires. Dans les formes plus extensives, elle atteindrait les troncs
nerveux
, les racines rachidiennes et même la moelle. (2
e de Médecine, 1890, p. 441. 290 LONG la disparition des éléments
nerveux
. « Certaines de ces enveloppes, qui sur les cou
coupes se présentent comme des anneaux, ne contiennent pas de fibre
nerveuse
noire (imprégnation par l'acide osmique el le car
érieures à peine altérées. Dans les nerfs périphériques, les fibres
nerveuses
avaient disparu en partie, séparées par de larges
degrés. Dans les nerfs périphériques, tantôt diminution des fibres
nerveuses
, épaississement de la gaine lamelleuse et dévelop
ite interstitielle ni de dégénération apprécia- ble dans les troncs
nerveux
des membres ; les nerfs cutanés sont intacts ; le
graisseuse; fuseaux neuro-musculaires lésés avec atrophie des tubes
nerveux
(Dans la discussion de cette observation, les aut
iphériques, diminution numérique et diminution de volume des fibres
nerveuses
incluses dans une sclérose inters- titielle de
on des réactions électri- ques, parfois RD. Hypertrophie des troncs
nerveux
, sans nodosités, sans douleurs à la pression. D
bots, scoliose, perte des réflexes tendineux, hypertrophie des troncs
nerveux
, troubles de la sensibilité cutanée : pas de ph
eri, on trouve un phénomène anato- mique, l'hypertrophie des troncs
nerveux
, appréciable à la palpation, et qui constitue u
clinique ; or les .coupes histologiques montraient dans des troncs
nerveux
de volume normal des gaines de Schwann d'une ép
n IIISTOLOGIQUE. - Intégrité de la moelle épinière. Dans les troncs
nerveux
périphériques, diminution du nombre des fibres à
éticulé, tantôt épaissi et condensé dans les intervalles des fibres
nerveuses
. Présence de gaines conjonctives annulaires et
303 rieures seules sont lésées et à un moindre degré que les troncs
nerveux
du plexus brachial. Pas d'augmentation du tissu
les maladies relevant de processus dégénéra tifs lents des centres
nerveux
, des nerfs ou des muscles. Dans ces maladies di
berg ont fait t défaut. Quant à l'absence d'hypertrophie des troncs
nerveux
, elle est due au fait que la sclérose interstit
de la fibre musculaire. Les rapports entre l'atrophie des fibres
nerveuses
et t'hypertrophie des éléments interstitiels so
RESSIVE TYPE-ABAN' DUCHENNE oua en indiquent l'absence ; les fibres
nerveuses
disparaîtraient donc dans certains cas d'amyotr
une hyperplasie interstitielle ac- compagne l'atrophie des éléments
nerveux
, sans avoir de relations pro- portionnelles ave
ctif dense ou de tissu réticule, dans laquelle passent t des fibres
nerveuses
, normales ou atrophiées (cas Westphal, Gierlich,
, l'hypertrophie des gaines de Schwa.nn constitue autour des fibres
nerveuses
d'épais man- chons, cylindriques, composés d'él
apport avec l'état de l'élément conducteur ; on peut voir une fibre
nerveuse
bien conservée, entourée d'une gaîne de Schwann
t d'un état dégénératif disséminé, altérant avant tout les éléments
nerveux
pé- riphériques et avec moins de gravité l'axe
rocessus dé- génératif a porté son action exclusive sur les centres
nerveux
. Pour les muscles, la même question se pose : l
l, âgé de 51 ans, entre dans le service de la Clinique des maladies
nerveuses
le 21 juillet 1911 pour une paralysie marquée d
stent à droite avec leurs mêmes caractères ; la pression des troncs
nerveux
, la manoeuvre de Lasègue ne les réveillent pas. L
u ; toujours pas de douleur à la pression des muscles et des troncs
nerveux
; il existe une hypoesthésie à tous les modes, su
ment dégénérées. La tumeur est parsemée de petits amas de fibrilles
nerveuses
enroulées (n), véritables névromes de régénératio
e, PAR le P' G. MINGAZZINI, Professeur de clinique des maladies
nerveuses
à l'Université de Rome. Malgré tout le soin que
forme que ce soit de la sensibilité, que la compression des troncs
nerveux
et même de la colonne vertébrale n'est pas doul
ophie musculaire, on puisse faire appel à l'intervention du système
nerveux
central ou périphérique comme dans la myopathie
arinesco, loc. cit. (2) Raymond, Leçons sur les maladies du système
nerveux
, Paris, Doin 1900, IV° s., p. 253. (3) Halls
ien d'étonnant à ce qu'un traumatisme puisse déterminer des lésions
nerveuses
ou vasculaires qui, à leur tour, provoquent au
ou de plusieurs os des lésions identiques à celles que des lésions
nerveuses
ou vasculaires diffuses pourraient déter- miner
l'ostéopathie pagétique, sans doute par l'intermédiaire de lésions
nerveuses
ou vasculaires qu'il détermine. Notre cas nous
partie antérieure ex- pliquerait particulièrement bien ces lésions
nerveuses
ou vasculaires, le paquet vasculo-nerveux étant
différents organes à la suite de lésions trophiques d'origine soit
nerveuse
soit surtout vasculaire. Ce syndrome pourrait ê
une affec- tion généralisée (infection ou intoxication avec lésions
nerveuses
ou vas- culaires diffuses) quand elle est génér
u'il peut à lui seul déterminer de gros- ses lésions vasculaires ou
nerveuses
dont d'importants troubles trophi- ques peuvent
22 juillet 1911. A sou arrivée à l'H. G. de N., dans le service des
nerveux
, le petit malade a les yeux fixes, ouverts d'un
persé- cution. - La mère, après avoir été toute sa vie une grande «
nerveuse
», est prise subitement, quelques mois après la
, Mosny et Ba- rat, etc. Dans son livre sur la syphilis des centres
nerveux
, Nonne cite trois cas analogues. Enfin dans un
ste ou qu'il n'existe pas de signes évidents de syphilis du système
nerveux
. I Sur nos quatre cas avec examen anatomique, d
examen anatomique, deux se rattachent cer- tainement il la syphilis
nerveuse
dont' on pouvait poser le diagnoslic pendant la
cas. Cette variabilité pathogénique, cette fréquence de la syphilis
nerveuse
, et en particulier l'association possible du ta
e dans un certain nombre d'observations. 1 Dans les cas de syphilis
nerveuse
et plus particulièrement de tabès, elle / est r
côté droit, et déterminant une des- truction considérable des tubes
nerveux
facile à mettre en évidence par le Weigerl-Pal
e. La lésion consiste essentiellement en la dispari- tion des tubes
nerveux
, disparition qui est telle que le cubital à parti
nés, il existe quelques gaines myéliniques vides, et quelques tubes
nerveux
déformés, monili formes. L'on peut dire pourtant,
se rapportent. (A (A suivre.)- ). CIVIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. HOSPICE DE LA SALPÈ1HIÈRE. Tiavail du labora
éoplasmes de môme nature qui se développent dans les autres centres
nerveux
. Admet-on, au contraire, l'origine inflammatoire,
naît pas parmi les maladies fran- chement inflammatoires du système
nerveux
une seule affection, dans la- quelle les lésion
Dyi la commissure antérieure fait défaut et aucun pont de substance
nerveuse
ou gliomateuse, n'est jeté entre les deux côtés
s sont nettement striées ; à leur voisinage on voit quelques fibres
nerveuses
, dont quel- ques-unes viennent s'appliquer à le
use, ainsi que la couche névro- glique sous-pie-mérieqne. Les tubes
nerveux
les plus périphériques sont dissociés par place
es cavités, des fentes et des diver- ticutes, en morcelant le tissu
nerveux
et le gliome, en poussant des bour- geonnements
re au même niveau ; des hétérolopies, telles que des amas de fibres
nerveuses
dans la cavité. La présence de fibres musculair
tante, n'ayant pas présenté de convulsions dans son enfance, mais «
nerveuse
» et assez facilement irascible. La femme de Th
le sait actuellement, conditionnent souvent des lésions du système
nerveux
, demeurées silen- cieuses pendant de longues an
es : les lésions sem- blent guérir en apparence, mais les séquelles
nerveuses
, qui subsistent d'abord silencieuses, se tradui
oid latent ou visible causé par la dépression, ou bien des troubles
nerveux
provenant de la compres- sion médullaire. La gi
très difficile de dia- gnostiquer la maladie de Pott avec symptômes
nerveux
à un âge avancé et : sans qu'il y ait signe extér
ertèbres. Alquier, dans son travail Principales formes des troubles
nerveux
dans le mal de Pott sans gibbosité, lâche de di
ubstance blanche, occa- sionne une solution de continuité des voies
nerveuses
et comme résultat final, on a des symptômes de
rs dans les faisceaux postérieurs, on constate l'absence des fibres
nerveuses
isolées. Le faisceau de Goll dans sa partie posté
s vaisseaux et les espaces périvasculaires sont dilatés. Les cellules
nerveuses
des cornes antérieure et postérieure sont norma
plutôt d'une influence prépon- dérante de l'oedème de la substance
nerveuse
et des troubles circulatoires. Il y a lieu de s
provoqué l'interruption totale ou partielle dans la conductibilité
nerveuse
des voies sensitives et motrices amenant, par s
on., 1906, t. XIX. 3. Alquier. Les principales formes de troubles
nerveux
dans le mal de Pott sans gibbosité. Nouv. Icon.
oyé de commerce. Il est venu à la consultation externe des maladies
nerveuses
de Santa Mar- tha le 28 février 1912. Il a co
, couturière. Elle est venue à la consultation externe des maladies
nerveuses
de l'Hôpital Santa Martha le 29 mai 1912. Il
raides, mais tous les mouvements sont faciles. Examen du système
nerveux
. - Rendu difficile par les ankyloses et l'état
onne et des genoux sans signe d'affectation caractérisée du système
nerveux
on note une atrophie de date ancienne isolée et
e est limitée au côté droit. A l'autopsie, la moelle et les centres
nerveux
paraissent macroscopiquement indemnes, sauf que
sse. Lésion massive du cubital. Il ne reste plus que quelques tubes
nerveux
conservés groupés en un fais- ceau minuscule et
dans la figure précédente. Lésion dimidiée du médian, à droite tubes
nerveux
relativement conservés (un grand nombre d'entre
grossissement présen- tent des lésions manifestes), à gauche, tubes
nerveux
vides, étouffés par le tissu scléreux. Augmenta
ssermann positif, sans autre signe clinique de syphilis des centres
nerveux
. Observation VI Ga..., 70 ans, ménagère. Mari
i que les membres supérieurs et infé- rieurs. L'examen du système
nerveux
ne révèle rien de spécial. Les réflexes rotu- l
rant gal- vanique. En résumé, c'est un malade atteint de syphilis
nerveuse
, à type de tahes supérieur. Atrophie isolée d
gts. Pas d'autres troubles sensitifs. L'examen somatique du système
nerveux
ne révèle rien autre chose. Les réflexes rotu
ants pour éviter de confondre une amyotrophie thénarienne d'origine
nerveuse
avec une atrophie parlésion simple de voisinage
rouvé une névrite périphérique intense avec intégrité des cen- tres
nerveux
. Or plusieurs de ces malades avaienl des mains
e. . Parmi nos 6 cas cliniques, 3 présentent des signes de syphilis
nerveuse
. La syphilis sera donc d'emblée soupçonnée, et
ette singulière fragilité. EsL-ce une question d'irrigation ? L'axe
nerveux
est-il à ce niveau plus débile ou moins bien no
natiunal des sciences médicales, Moscou, 1807. Section des maladies
nerveuses
et mentales, p. 159. `VALLEC7WEaf·It. - Sur le
nous émettons l'hypothèse très logique de l'influence de la lésion
nerveuse
. La tumeur pituitaire a pu jouer un rôle favori
eux dans le mécanisme de l'intoxica- tion. Ces rapports entre l'axe
nerveux
et le rein sont d'ailleurs bien connus. Ascoli
riences avaient démontré l'action de la néphrolysine sur le système
nerveux
, action presque élective, et on a presque unive
ve, et on a presque universellement admis le rôle de l'imprégnation
nerveuse
dans la pathogénie des accidents urémiques. Si
istence d'une tumeur l' hypophysaire constitue déjà pour le système
nerveux
une lésion qui le rend plus vulnérable, il est
présenter presque fatalement comme une intoxication rapide à forme
nerveuse
. II. - Ceci pourrait déjà constituer quelques r
e contre-indication particulière des signes d'excitation du système
nerveux
. C'est une thérapeutique de dernière analyse, ell
Hospice Marcoutza. C. PARHON, Professeur de Clinique des Maladies
Nerveuses
et Mentales à la Faculté de Médecine de Jassy,
abondante, excepté toutefois la région d'union du lobe épithélial et
nerveux
. Notons encore une riche vascularisation de l'o
i, in Traité de méd. de Gilbert et THOINOT, t. XXXI, Sémiolo- logie
nerveuse
, p. 559. (2) Laionel-Lavastwe et VL\RI1, Adipos
station debout prolongées, mais pas de douleurs vives. Ni troubles
nerveux
, ni troubles psychiques. L'exploration des visc
cas l'infection tuberculeuse a pu déterminer au niveau des éléments
nerveux
des lésions se traduisant à la périphérie par d
vie de l'homme consiste dans le feu naturel qui est la hase du suc
nerveux
et du balsame électrique lequel est-introduit par
l s'affaiblit par la constipation ou par d'autres obstacles, le suc
nerveux
ne peut être, ni tontine par le hal- same du fe
on d'autres re- mèdes] qui dissipe la constipation, fortifie le suc
nerveux
, lequel conduit dans les vaisseaux. Je crois al
ents n'ont aucune effica- cité, comme par exemple dans les maladies
nerveuses
, dans la goutte, dans les maladies des yeux où
ectri- cité. L'hémiplégie est causée par l'imperméabilité du fluide
nerveux
dans les nerfs du côté paralysé ce qui a lieu a
s d'un processus morbide du côté opposé. L'imperméabilité du fluide
nerveux
provient ou bien d'une faiblesse de la force mo
s renseignements intéressants sur la physiologie surtout du système
nerveux
central qui valent la peine d'être lus dans l'ori
ssaie d'en donner une explication. Il s'étend ensuite sur le fluide
nerveux
qui est un fluide électrique et dont on peut pr
'électrothérapie au moyen de laquelle on donne des forces au fluide
nerveux
et on dissout les obstacles dans les nerfs. - O
et des réflexes rotuliens sans autre signe d'affection du système
nerveux
), par Dupuy, 153. - rotuliens (Conservation et
lexes achilléens et des z sans autre signe d affection du système
nerveux
), par Dupuy, 153. Spondylose rhizomélidue (1 pl
ude. On sait qu'une des propriétés les plus remarquables du système
nerveux
est la tendance à l'activité automatique. L'accom
la présence des stigmates de dégénérescence phvsiquc et des-troubles
nerveux
chez les individus de race îsraélite. La constata
e surmenage intellectuel ont compromis l'évolution normale du système
nerveux
. D'une façon générale les «mychophages sont dan
s ont disparu rapidement sous l'influence du traitement. Son père est
nerveux
Cl doué d'un caractère emporté. Sa mère n'accuse
erveux Cl doué d'un caractère emporté. Sa mère n'accuse aucun trouble
nerveux
. Un oncle maternel a eu quelques crises de somnam
Un frère de l'enfant est bien portant, mais il a deux so-urs qui sont
nerveuses
. Siss ilenls sont défectueuses ; ses oreilles son
eudormi profondément. Sous l'influence îles suggestions, les troubles
nerveux
, onychophagie. vertiges, somnambulisme, oui dispa
rchand de vins, c est-à-dire buveur professionnellement : su mère esl
nerveuse
. La malade a élé en retard dans son dé\cloppciucn
«I arrêt qui est une des propriétés les plus remarquables du système
nerveux
: c'est ce qui explique In dilliculté de la gttéri
e— d'une légèreté île moeurs avérée, Grand d'mère maternelle — crises
nerveuses
— porlée un lihrrti-nage. Oncle maternel : menteu
isme el de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psycho-physiologique. De
l'estimait hvstérique. l'on attribuait ses douleurs à son a lier-lion
nerveuse
. M. Von Winiwarter me priaitde venir l'Inpnoliser
le l'appel au cerveau de l'at-tentioii, ou autrement dit. de la force
nerveuse
qui. dans cet organe, vient se concentrer avec ac
par exemple, qui est en grande partie l'objet de ce travail, la force
nerveuse
s'accumule et se lixe sur l'idée de dormir: de là
où. comme auparavant, il reste encore au dormeur quelque peu de force
nerveuse
libre et en mouvement. Par l'effet de relie dis
pos de» mouvement- du cerveau pendant, el ronoéculivemcnl dr la force
nerveuse
. Sans îmago.il me wrail difficile de bien rendre
ues.ou range la maladie dusomuieil. la peur, la colere, les accidents
nerveux
qui succèdent aux grandes exci-" talions morales,
En outre, en ce livre il a été établi que. dans le sommeil, la force
nerveuse
d'attention, force abstraite que j'y ai considéré
onné aux autres parties de l'organisme, où les mouvements de l'action
nerveuse
diminués continuent toujours à se produire, mais
uite île celle dissociation inverse dans la distribution «le la forée
nerveuse
d'attention, il arrive que. dans le sommeil, les
nerveuse d'attention, il arrive que. dans le sommeil, les mouvements
nerveux
habituels étant devenus beaucoup moins actifs, ce
ons'esl endormi est comme vivifiée par une grande provision d'énergie
nerveuse
mise en réserve sur ces idées. Alors cette pensée
soutirants l'énergie qui est à sa disposition pour ramener les forces
nerveuses
â l'harmonie là où l'harmonie était troublée. D
scients sont construits, pendant le sommeil profond, avec de la force
nerveuse
en excès et arrêtée d'abord siu L'idée de dormir,
épète : au pôle d'inertie, pendant le sommeil profond, là on la force
nerveuse
s'est en grande partie immobilisée sur l'idée con
e, ces mouvements pensants, devenus allaihlis par diminution de force
nerveuse
, continuent encore à se faire d'eux-mêmes avec li
té, deviennent partout ailleurs et par contre-coup délaissés de force
nerveuse
, au point de perdre de leur acuité et de cesser p
l'expérimentation précédente, les sens restent délaissé» par la forée
nerveuse
au ; 'tut de n'être plus parfois susceptibles d'ê
ssement qu'il avait déterminé un sommeil spécial qu'il appela sommeil
nerveux
ou hypnose. Ainsi, il dit dans sa Neurypnologie I
tisme n'est qu'un certain mode simple et rapide de plonger le système
nerveux
dans un étal nouveau ». C'était une grande erreur
, le (tôle d'inertie, la plus grande somme d'attention ou de la force
nerveuse
libre s'est accumulée et lixée sur l'idée de repo
nt formé, «m distingue doux pôles, dnpl~es la distribution des forces
nerveuses
et pensantes durant cel état, il s'ensuit qu'il y
ers, inconscients on apparence, et construits avec un excès de forci"
nerveuse
portée et mise en ri-serve sur l'idée fixe de dor
souvent conscients et construits prescpie toujours avec «le la force
nerveuse
encore resiée libre «lans les sens «¦! la mémoire
ns des limites élroites aux dépens, d'autre part, des mêmes fonctions
nerveuses
deve-nues à l'opposé moins actives par contre-cou
s délirantes se sont manifestées au milieu d'une période d'excitation
nerveuse
pendant laquelle la malade pleurait et riait tour
tisme et de la psveliologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psvcho-physiologique. De
epoque que datent ses iniportantes études sur les maladies du système
nerveux
. Membre de l'Aeadémie de mède, cine en 1873. il f
ne en 1873. il fut nommé ru 1886 professeur de clinique des mala-dies
nerveuses
, chaire créée spécialement pour lui : il fonda al
publication la plus importante en France sur les maladies du système
nerveux
. Eu 1883. il était élu membre de l'Institut, en r
iurd bagage seieutifique. Outre ses Cliniques des maladies du système
nerveux
, ses travaux publiés dans la revue de médecine, d
es à toutes les branches de la pathologie cérébrale et des affections
nerveuses
: l'ataxie locomotrice, les perturbations médul
les conséquences naturelles d'affections du ressort de la pathologie
nerveuse
ou mentale. Quoi qu'il en soit, le nom du docte
n sens ou L'antre,y a lieu eu proportion île la quantité de la force,
nerveuse
quia quitté auparavant les sens et les autres par
ni en plus ni en jnoius. Pour nu tel résullat physiologique, la force
nerveuse
n'a donc pu être prise qu'aux dépens de celle qui
r déjà que de la dissociation inversement proportionnelle de l'action
nerveuse
pendant le sommeil, résulte l'automatisme ou l'ac
ant de l'idée, leurs opérations d'esprit augmentées de toute l'action
nerveuse
qui est accumulée au pôle d'inertie, deviennent r
ille. Il rêve : dans le sommeil profond, c'est aux dépens de la forée
nerveuse
portée au pôle d'inertie; el dans le sommeil lége
ôle d'inertie; el dans le sommeil léger, c'est aux dépens de la force
nerveuse
restée au pôle d'activité. De là. deux sortes de
au foyer mémoriel. une lorie diminution de ratleulion ou de la force
nerveuse
qui s'était accumulée au cerveau : celle force re
s partisans de l'occultisme attribuent à un fluide ou à une influence
nerveuse
quelconque involontaire, et même à des êtres hype
inseîeiument sur une ou plusieurs idées lixes aux dépons de la force
nerveuse
répartie partout ailleurs dans l'organisme. J'a
aussi implicitement de l'action spéciale de chaque centre ou ganglion
nerveux
qui agissent sous l'influence de cette pensée, c'
ffet de suggestion, ils prennent naissance dans les points du svslème
nerveux
et du corps, sens et mémoire, où par contre-coup,
ste au pôle actif de l'action pensante, au moins quelque peu de force
nerveuse
d'attention dans le domaine îles sens et dans cel
bles, par la cause qu'ils sont eu forte partie abandonnés de la force
nerveuse
qui s'est portée, de ces organes sur l'idée fixe
que chez moi avec les images remémorées. Je ne doute pas que les gens
nerveux
, que les personnes dont les sens sont très excita
93. — Présidence de M. DUMONTPALLIER. Quelques exemples de troubles
nerveux
observés chez des Musiciens. Par M. IE Docteu
uit dans plusieurs circonstances importantes et elle était devenue si
nerveuse
qu'elle n'avait plus osé chanter pendant près d'u
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psycho-phvsiologique. De
ettre, car il s'agissait dans l'un dune vieille femme dont le système
nerveux
laissait fort à désirer, et dans l'autre d'un név
t être attentivement surveillée, surtout lorsqu'il s'agit de malatles
nerveux
ou alcooliques. Association de la Presse médica
ique qu'à mesure que l'on dort plus longtempsdans la nuit, les forces
nerveuses
se détachent peu à peu du pôle d'inertie où elles
squ'ils ont chez tous, leur cause dans ce qu'il reste encore de force
nerveuse
libre dans les sens et la mémoire. Et c'est par s
ur saisir ce qui se passe en lui ou hors de lui qu'il a plus de force
nerveuse
portée au pôle d'inertie. Ce qui lui manque, c'es
velés ensuite, certains souvenirs reparaissant, de même que les accès
nerveux
des épileptiqucs ou d'autres malades, lesquels re
qui a la propriété de rappeler vers les sens et le cerveau, la force
nerveuse
qui, depuis la formation du sommeil, y était deve
ns et celles de retour, s'ajoutant ensemble pour servir à l'entretien
nerveux
des fonctions organiques, il s'ensuit que ces fon
estion hypnotique comme moyen de diagnostic des affections du système
nerveux
. Par M. le docteur Ernould, de Liège. Il arri
ques avec ceux qui peuvent dépendre de lésions matérielles du système
nerveux
. Le diagnostic qui. dans nombre de cas. est d'une
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psycho-phvsiologique. De
vec I action de cette substance. S'agissait-il dès lors de troubles
nerveux
toxiques cum materîa ou de phénomènes hystériques
onnu, descend d'une famille dont aucun membre n'a soufiert de maladie
nerveuse
ni mentale. Il jouît dune santé parfaite. Un jour
a main et qu'il réalise cette suggestion, je crois que dans les voies
nerveuses
qui conduisent du centre où se forme l'idée du mo
ion s'accompagne de diminution ou d'enlèvement total de la conduction
nerveuse
: les expériences démontrent que chez le même indi
l'influence de la suggestion n'est pas la même pour toutes les voies
nerveuses
. Quelle est la cause de celte différence dans l
peut-être de variations accidentelles dans l'organisation du système
nerveux
, l.a même influence suggestive sur la conduction
e influence suggestive sur la conduction se fait valoir sur les voies
nerveuses
dans le cerveau et, par conséquent, sur les voies
'ai dit déjà des variations individuelles dans l'organisme du système
nerveux
; souvent chez le même individu, les suggestions
st une loi physiologique que la puissance conductrice dans les fibres
nerveuses
devient plus grande à mesure que la conduction se
e idée tout à fait nouvelle, les voies d'associations entre le centre
nerveux
où se forme cette nouvelle idée et les centres où
tres sains et deux enfants, le jeune A... et sa sœur ni maladifs, ni
nerveux
. A 7 ou 8 ans. A... vît sa grand'mère saigner un
our eux. Il n'y avait eu, en effet, dans la famille, aucun antécédent
nerveux
et surtout point de ces convulsions si fréquentes
mettre au collège où il se fortifia beaucoup. A 15 ans. les accidents
nerveux
idiopathiquea avaient disparu complètement, grâce
apable de fournir un tel résultat. Mme X, 24 ans, anémique, vive et
nerveuse
, sans être hystérique, grande et belle femme il y
que dans son genre. Deux oncles paternels de la malade étaient très
nerveux
. Elle présente des hallucinations de la vue et de
la Salpetricre montrent clairement Cette prédominance des affections
nerveuses
dans la race juive. Qu'il s'agisse d'hystérie, d'
ée 1802-93. de la suppléance et de la chaire de clinique des maladies
nerveuses
. M. le Dr Wogislaw Soubotisch. membre de la Soc
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psycho-physiologiquc. De
recommencera ses conférences cliniques sur le traitement des maladies
nerveuses
et du diabète par la métallo-thérapie, le dimanch
l'homme arrivé, qui ne se donne plus la peine de travailler. Œdème
nerveux
a la suite de traumatisme. Beaucoup plus souven
croit l'œdème qu on voit survenir après un traumatisme est d'origine
nerveuse
, trois faits recueillis par M. Horwîtz viennent c
leur disparition lui font croire qu'il s'agit de troubles simplement
nerveux
. Nouvelles. M. le Dr Poussié, de Paris, est c
lui -même. Le docteur de S... s'est proposé. Chez les personnes tres
nerveuses
. les émotions. les impressions et même les pensée
e sensibilité â dislance de la part du sujet récepteur et d'influence
nerveuse
a distance de lu part de l'agent transmetteur.
due de la surface sensible, varíe essentiellement avec la sensibilité
nerveuse
de la personne en expérience; et c'est même là un
eut être involontaire et inconsciente, elle consiste en une influence
nerveuse
qui s'exerce à distance, mais dont nous ne connai
la désigner sous un autre nom qfle l'énoncé même du fait : influence
nerveuse
à distance. Névralgie faciale avec clignoteme
. le Dr Bourdon. de Meru. Mlle G... institutrice. 20 ans, anémique,
nerveuse
et sensïtive était atteinte d'influenza, à forme
t de suggestibilité domine les choses de l'hypnotisme. Bégaiement
nerveux
traité par la suggestion hypnotique. Guériaon com
e dégénérescence le plus manifeste que présente le sujet. Tremblement
nerveux
des mains «le temps en temps. Aucun trouble de la
e Dr Saint-llilaire. Sa maladie consiste en un bégaiement d'origine
nerveuse
. Depuis l'âge de trois ans. il bégaie tellement q
, je reçois un nombre considérable de malades présentant les troubles
nerveux
les plus divers. J'ai eu à traiter beaucoup de su
énérescence. Récemment j ai observé une malade qui préente un trouble
nerveux
qui peut être rapproché du bégaiement hystérique.
rler de cent autres petites misères. Croiriez-vous que je suis devenu
nerveux
comme une le m me ? Un rien m'agace, nie tourment
s purement fonctionnels et non à des affections organiques du système
nerveux
. Cependant la guérison de ces malades est souvent
à cette sorte de fatal regard intérieur sî fréquent dans les maladies
nerveuses
. — Après le « Kindergarten », après l'âge de l'éc
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée s l'Institut psveho-pfiysiologique. D
rt Ballet reprendra ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et
nerveuse
, â l'hôpital Saint-Antoine, le dimanche 3 décembr
s de l'Index bibliographique. Thomas G. Ashtox. — Trois cas d œdème
nerveux
(Médical News, 8 avril 1893, p. 391). Léon Cimu
faits de conscience, précédant la plupart des actes. Nerfs ou centres
nerveux
sensitifs et moteurs hiérarchisés, tension nerveu
. Nerfs ou centres nerveux sensitifs et moteurs hiérarchisés, tension
nerveuse
et courants nerveux, actions réflexes simples et
rveux sensitifs et moteurs hiérarchisés, tension nerveuse et courants
nerveux
, actions réflexes simples et com|tosées. impressi
mcnt, qu'une tendance motrice résultante ou prédominante, une tension
nerveuse
intra-cérébrale â direction centrifuge déterminée
ification. Considérons que le dégagement d'énergie dans les centres
nerveux
est le résultat d'une désintégration moléculaire,
la phase désintégrative, c'est-à-dire à la phase de dépense des actes
nerveux
centraux, llerzen ajoute à cela que l'intensité d
n proportion inverse de la facilité avec laquelle chacun des éléments
nerveux
centraux transmet à d'autres la désintégration qu
comme si la conscience et la désintégration moléculaire des éléments
nerveux
centraux n'étaient que deux faces du même phénomè
ise par cet éminent psychologiste entre la conscience et le processus
nerveux
qui l'accompagne cl s qui lui seul est l'événemen
llement si l'on ne sépare pas la conscience (ici volonté du processus
nerveux
qu'elle accompagne. Cette séparation semble être
cience el si un mouvement moléculaire peut se traduire par un courant
nerveux
, alors il n'y a aucune difficulté a admettre qu'u
te que ces derniers symptômes ne fussent des manifestations d'un étal
nerveux
hystérique. Ce fut alors qu'un professeur d'hum
tomba dans la mer d'oii elle fut retirée, mais en proie à une attaque
nerveuse
qui, s'étant ensuite renouvelée, fut reconnue plu
son affection mentale, mais pour redevenir ensuite la proie de crises
nerveuses
aussi fréquentes qu'autrefois. Ce fut comme je
es accidents dont j'ai parlé jusqu'ici, moins l'apparition des crises
nerveuses
. Cet examen fait, je lis immédiatement à la malad
obéit. Toujours est il, au cas présent, que non seulement les accès
nerveux
disparurent dès le premier jour: que l'inflammati
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée â l'Institut psveho-physiologique. De
ues d'électro-physiologie. Asile clinique (Sainte-Aune). — Maladies
nerveuses
et mentales. — M. Magnan : Amphithéâtre de l'Admi
t, chef de clinique. Hôpital Saist-Astoise. — Pathologie mentale et
nerveuse
. — M. Gilbert Ballet a repris ses leçons clinique
ert Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et
nerveuse
, à l'hôpital Saint-Antoine, le dimanche, à 10 heu
n moléculaire des éléments cérébraux est une cause directe de courant
nerveux
, de sorte que toute désintégration commençante es
s, mais non cohérentes, restées trop faibles pour produire un courant
nerveux
suffisant, a été cependant accompagnée d'un certa
it de la réalisation partielle de ces tendances opposées des courants
nerveux
actuels dont les inhibiteurs étaient les plus for
intégrations naissantes restées trop faibles pour produire un courant
nerveux
, a constitué une volonté faible ou naissante. Ce
actes résultent de contractions musculaires causées par des courants
nerveux
centrifuges à l'origine desquels se trouve une dé
st donc cause des mouvements, en ce sens qu'elle est cause du courant
nerveux
incitateur des muscles; elle est, à la rigueur, u
V Envisagée comme force, la volonté n'est pas distincte de la force
nerveuse
en général. Aussi la force de la volonté est-el
, rapidement et énergiquement suivie d'exécution parce que le courant
nerveux
énergiquement commencé par celte désintégration c
olonté, mais insullisantc pour donner Heu â la formation d'un courant
nerveux
centrifuge capable de mettre enjeu les muscles. E
Les nerfs, du reste, doivent partager l'état de faiblesse des centres
nerveux
. Ainsi peuvent être inleprétécs ces maladies de l
faiblesse des modifications moléculaires d'où résultent les courants
nerveux
cérébraux ou extra -cérébraux suffit pour expliqu
influencc de la variabilité de la pression ou de la tension du fluide
nerveux
(I). Chacun peut la contrôler par l'observation d
soient les causes certainement très diverses. Cet étal de faiblesse
nerveuse
peut résulter palhologíquemcnl de décharges intem
palhologíquemcnl de décharges intempestives et exagérées des courants
nerveux
, par exemple à la suite des attaques d'épilepsie
choree, etc. C'est la neurasthénie par excès pathologique de dépense
nerveuse
. Le cerveau est comparable, en ce cas. à une ar
e pathologique de la nutrition générale et de la nutrition du système
nerveux
en particulier. Telle est sans doute la forme qui
ant et qui présentent néanmoins une dépression persistante du système
nerveux
; les émotions tristes, les excès vénériens, les
icale? Je n'envisage d'ailleurs, je le répèle, que Pétai de faiblesse
nerveuse
en lui-même jet plus spécialement dans le cerveau
re à la fois consciente et motrice parce que l'étal général du centre
nerveux
est neuroslhéniquc, parce qu'en même temps il y a
es sont de vrais géants ». Il est. en effet, certain que l'épuisement
nerveux
le plus accentué peut coïncider avec des apparenc
étudiant en droit. vient me trouver le 1er mai 1892 pour dei troubles
nerveux
qui ont débuté pendant son volontariat. Les premi
es exercices capables d'exaspérer à un trop haut point sa sensibilité
nerveuse
. Obs. II. — M. C... âgé de 21 ans. étant en 188
t dans sa famille qu'un cousin maternel qui ait présenté des troubles
nerveux
. Ce parent éprouvait uu sentiment de crainte, lor
était un aveu. Le liseur de pensées n'opère bien, en effet qu'avec le
nerveux
qui ne s'observe pas. » REVUE BIBLIOGRAPHIQUE
r, Membre de l'Académie de médecine. Maladies et hygiène des gens
nerveux
. Par le Dr GELINEAU, un volume relié chez O. Do
rateur, le Dr Gélineau. où il passe en revue les principales maladies
nerveuses
qui sont, pour ainsi dire, la caractéristique de
e résultante d'images motrices composantes, qu'une image ou mouvement
nerveux
conscient prépondérant parmi d'autres images, que
nscience résultant de faits île conscience antécédents, c'est un état
nerveux
conscient résultant de processus antécédents. La
ule et même chose. Si l'état de conscience volonté n'est pas l'étal
nerveux
même qui résulte de la délibération et qui précèd
sant. Si. au contraire. la volonté n'est nuire chose que cet étal
nerveux
lui-même, alors elle apparaît comme une idée île
me-laere avait traité sans succès une malade atteinte d'une paralvsie
nerveuse
. La malade avait dans l'esprit que le médecin ser
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psycho- physiologiqu
cole pratique de la Faculté de médecine, un cours libre de pathologie
nerveuse
et de psychiatrie sur les applications cliniques
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies
nerveuses
et mentales. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTERNATIONA
e les autres ». Dans les observations 9, 12. 14 et 15, des aphonies
nerveuses
sont guéries par suggestion, à l'état hypnotique
. Et cette hallucinabililé extrême une lois produite, celte maladie
nerveuse
une fois créée n'est pas toujours facile à guérir
it cependant que l'hypnotisme par lui-même donne lieu à des accidents
nerveux
. Des sujets au réveil se plaignent de céphalalgie
r certains sujets. Mais ces accidents sont dus à l'impressionnabilité
nerveuse
, à l'émotivité spéciale du malade. L'idée seule q
nabilité individuelle de chacun, je ne détermine jamais aucun trouble
nerveux
. Quelques hystériques seuls peuvent avoir, dans l
alement les crises d'hystérie. j'affirme donc que tous les troubles
nerveux
persistants, faussement attribués à l'hypnose, ne
uérir définitivement. Et que de douleurs ou autres symptômes purement
nerveux
, se greffent sur les maladies organiques les plus
exemple une jeune fille nervo-artbrilique, qui a souvent des douleurs
nerveuses
, une vraie hyperesthésie doulou-rense. 11 m'est a
otisme el de In psychologie physìologiquc. une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à I Institut psvchos physiologique. D
elli s'est chargé de la direction de lu consultation des maladies
nerveuses
. L'installation de sa clinique est très confortab
cole pratique de la Faculté de médecine, un cours libre de pathologie
nerveuse
es de psychiatrie sur les applications cliniques
de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement tics maladies
nerveuses
et mentales. Facclte de .medecine de Paris — M.
tre nommé professeur à. la chaire de Clinique des maladies du système
nerveux
en remplacement de M. professeur Chareol. — Par
oi de l'ossification des os longs. — Loi de la position des centres
nerveux
brochure in-4°. 8 pages, chez-Iauteur. 35. rue Mo
estion hypnotique est appelée à rendre dans le traitement de maladies
nerveuses
et mentales. M. Bcncdickt, do Vienne, dont on con
sscx égale, esprit calme et confiant, intelligence ordinaire, système
nerveux
paraissant bien équilibre, santé très bonne. Au
simple. « Nous allons profiter, lui dis-je, de ce que votre système
nerveux
m est sous la dépendance du mien, pour vous guéri
ur bonne santé ordinaire dénote que chez toutes les quatre le système
nerveux
de la vie végétative fonctionne régulièrement.
s et il s'est toujours attaché â démontrer la part majeure du système
nerveux
dans tous les phénomènes delà vie. Ses patien
misection de la moelle ; sur les excitations périphériques du système
nerveux
dans l'étiologic de l'épilepsie expérimentale hér
expériences que le savant professeur avait entreprises sur le système
nerveux
et se rattachait aux leçons déjà anciennes qu'il
t et l'endorment après quelques instants d'attention. Tout son influx
nerveux
disparaît, épuisé, en un instant ! S'il a de bell
ssel, le phosphore étant, par excellence l'agent nutritif dos centres
nerveux
. — M. X... fumait beaucoup, je lui conseille d'êt
t riiomme sain. Tout autre est le dégénéré. L'anomalie de son système
nerveux
l'ompcclie d'apprécier le monde extérieur, il ne
surchauffée, dit-elle avec grand sens, des artistes mal disposées ou
nerveuses
aient accusé des symptômes laryngés, c'est possib
à l'anglaise, i fr. — Félix Alcan éditeur). L'hérédité des maladies
nerveuses
et leur parenté avec les maladies diathésiques es
otisme et do la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée â l'Institut psychologique. Des consu
eprendra ses conférences cliniques sur les maladies et les affections
nerveuses
, le jeudi 31 niai 1801, a 10 heures du matin, et
pages. Alcaii, Paris, 1891. df aubel. — Les maladies par réactions
nerveuses
et tes eaux de Neris, in-8°. Hi pages. Henri Jouv
aux, on se confirme dans la pensée que tous, ou presque tous sont des
nerveux
destinés à devenir la proie du minotaure neurasth
ût d'une maladie ou d'un événement susceptible d'ébranler -on système
nerveux
. Or, il y a quelques mois, entrant au Printemps,
un peu de lumière sur un des points les plus obscurs de la pathologie
nerveuse
. Chaque nerveux, en effet, a sa manière d'être pa
sur un des points les plus obscurs de la pathologie nerveuse. Chaque
nerveux
, en effet, a sa manière d'être particulière, son
es les deux variétés suivantes que IL Mathieu (1) signale, Un médecin
nerveux
, arthritique, atteint de colite pseudo-membraneus
Grand'mèrc paternelle, morte de paralysie, mère bien portante ; très
nerveuse
. Depuis son enfance, la malade a toujours uriné a
ur la matière organique, sur les organismes vivants, sur i le système
nerveux
, sur le corps social, les innombrables actions de
à part quelques originalités il n'a jamais éprouvé aucun trouble
nerveux
. Lorsqu'un jour vers trois heures de faprès midi,
lfred A.... 43 ans, célibataire. Son père était d'un tempérament très
nerveux
, et sa grand'mère paternelle est morte d'une apop
tement subissant de temps en temps une aphasie d'origine probablement
nerveuse
car on a examiné son larynx et on n'a rien trouvé
rs médecins dont les certificats disent qu'il est atteint de troubles
nerveux
. Cette obsession augmentait petit à petit et un b
mois environ, a aggravé un peu sa nosophobie on épuisant son système
nerveux
déjà fatigué, et j'ai été obligé de recommencer d
otisme et do la psychologie psysiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
repris ses conférences cliniques sur les maladies et les affections
nerveuses
, le jeudi 31 mai 1894, à 10 h du matin, e. le- j
chologie criminelle), par J. Liégeois, 234. Affections du système
nerveux
(de la suggestion hypnotique comme moyen de diagn
anquet de la Société d'hypnologie et de psychologie, 60. Bégaiement
nerveux
traité par la suggestion hypnotique, guérîson com
lon, 90. Hématophobie (de l'), par Gélineau. 136 Hygiène des gens
nerveux
. 256. Hyperesthésie de la sensibilité chez un s
me devant l'académie de Belgique, 120. Maladies et hygiène des gens
nerveux
, par Gélineau, 256. Mémoire des hypnotisés (la)
ente (traitement de la), par O. Jen-nings, 346. Musiciens (troubles
nerveux
observés chez des), 85. Mutisme hystérique avec
e chanter, 185. Narcolepsi (Observation de), par Gélineau. 332.
Nerveux
à la suite de traumatisme (œdème) , 158. Neuras
hypnotique comme moyen de diagnostic des affections du sys- tème
nerveux
, par Ernould. de Liège, 118. Suggestion hypnoti
e trois ans, guérie par la), 175. Suggestion hypnotique (bégaiement
nerveux
traité par la), 176. Suggestion indirecte (la),
taux traités avec succès par la suggestion, par A. Voisin, Troubles
nerveux
observés chez des musiciens, par Lloyd-Tuckey, de
ROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par .< M CHARCOT PUBLIÉ
' F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies 'du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
5 Vol. XIX . Janvier 1905 N"109 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;, Clinique des ma
UE NERVEUSE Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;, Clinique des maladies
nerveuses
. Paralysie faciale périphérique due à un fibro-
\Li(llbilill' gallanique .li;come, 2^ cri·, l. \I\. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. des m use les est rurll'l1JellL dill11llu('e c
IwU Lu hl' l'an 1 ie 1. on extrémité inférieure ric.2. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. légèrement effilée, affleure le bas de l'olive
tissu fibreux am- biant et cesse d'être perceptible ; les faisceaux
nerveux
sont dis- sociés par le tissu fibreux ; les fib
on les distingue nettement, aussi loin qu'on peut suivre les libres
nerveuses
. En plein centre de la tumeur, un seul des fais
su in- lersliliel sont Il't\'' épaissis, sclérosés..Mais les libres
nerveuses
ne sont pas détruites, leur cv lindre-axe est n
e du facial présente une atropine nota- ble des faisceaux de fibres
nerveuses
, avec sclérose bien moins considérable que le t
n un fibro-sarcome conjonctif, nettement déli- mité d'avec le tissu
nerveux
du cervelet qui est simple- ment atrophié et dé
se confondre avec le tissu constituant la tumeur,les fais- ceaux
nerveux
sont dissociés et comme étouffés par le tis- su
nt dissociés et comme étouffés par le tis- su fibreux ; un faisceau
nerveux
, demeuré visible au cen- 8 CLINIQUE NERVEUSE.
u fibreux ; un faisceau nerveux, demeuré visible au cen- 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. tre de la tumeur, présente l'aspect typique d'
l'endonèvre, infiltration diffuse, dissociant, entourant les fibres
nerveuses
sans les détruire. La différence con- siste dan
facial, à sa sortie du bulbe, disso- ciant et comprimant les fibres
nerveuses
,qui, après avoir traversé la tumeur, sont frapp
matose, on trouve d'habitude des tumeurs multiples dans les centres
nerveux
, les racines ou les nerfs périphériques, nous n
- cune autre localisation sarcomateuse en aucun point des centres
nerveux
, ni dans les racines, bien que la paraly- sie f
Philippe CESTAN et OnEUTIIurt. Sarcomes et sarcomatose dit système
nerveux
(Congrès des nenrolog. et aliénisles français, Gr
urs enfants sont très bien portants, n'ont jamais eu aucun accident
nerveux
. Dans le reste de la famille, rien à noter.] .
état vari- v queux des prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
motrices corticales et de sa signification ; pa
être assimilées il des manifestations fonction- neiles des cellules
nerveuses
. u. Elles peuvent d'ailleurs pro- venir de la m
tribuent, les altérations précitées h l'Ullloe- boisme des cellules
nerveuses
doivent êlre considérés comme totalement erroné
forment des reullements constitués par l'entortille- meut de libres
nerveuses
dont chacune est entourée d'une gaine de Schwan
es d'émettre des rejets qui bien souvent ont la structure de fibres
nerveuses
périphériques. Les libres nerveuses en question
vent ont la structure de fibres nerveuses périphériques. Les libres
nerveuses
en question étaient donc bien néofoL'l11l'L'S e
, 103). Remarques sur ce tra- vail, par A. STttaEaLt3ea. Les fibres
nerveuses
amyé- liniques dans les foyers de sclérose en p
Ii0\'SKY.-Contribution à la question de larégé- nération des fibres
nerveuses
dans les foyers de la sclé- rose en plaques, pa
indraxes ont suc- combé. De concert avec les altérations des fibres
nerveuses
, constamment, il existe une prolifération de la
use, il la fois interstitielle ; dès le début né- vrogtio et fibres
nerveuses
participent au processus d'origine toxique ou p
ocessus d'origine toxique ou post infectieuse. Seulement les libres
nerveuses
sont bien plus uniformément atteintes que la né
ont bien plus uniformément atteintes que la névroglie. Les fibres
nerveuses
dénudées, privées de leur myéline sont- elles d
uteur, qu'il s'agit, non de la substance périlihrillaire des fibres
nerveuses
il myéline, mais bien d'une substance spéciale, e
ntrecroisé. l'. 1lER.tV1L. IX. -, Biologie et travail de la cellule
nerveuse
centrale; par P. Kronthal. (Neurolog. Centralbl
en notre pou- voir d'agir sur la naissance et la mort des cellules
nerveuses
. Tant que les leucocytes arriveront au système
s cellules nerveuses. Tant que les leucocytes arriveront au système
nerveux
central, les cellules nerveuses naîtront et mou
les leucocytes arriveront au système nerveux central, les cellules
nerveuses
naîtront et mourront. Les processus ly- chiques
al, mais non celles des cellules en particulier. Dès que le système
nerveux
central est lésé, l'aclil ité mentale présente
moelle lombaire. P. Keraval. XI. -- Examen histologique du système
nerveux
central d'un malade affecté d'idiotie amaurotiq
nératif exclusivement extra-utérin, qui a porté sur tout le système
nerveux
central, et avant tout sur l'écorce des hémisph
e du ganglion supérieur du sympathique cervical gauche. Les centres
nerveux
ne présentaient aucune lésion macroscopi- que n
s consta- tés pendant la vie du malade. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. De la chorée de Huntington ; par G. Renuart.
oedème dur, cya- nose de la peau, etc. Sans nier que des lésions
nerveuses
, incontestables dans le cas présent (raideur de
ur des yeux, indemne égale- ment d'affections organiques du système
nerveux
, de tout nys- tagmus apparent, et ouvrez-lui av
nt, et ouvrez-lui avec précaution au maximum il REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 59 l'aide des doigts la fente palpébrale ; pui
l'émolivité consistant dans une insuffisance congénitale du capital
nerveux
émotif des obsé- des. C'est celte psychasthénie
puyant sur les graves lésionsjjbservéesà la fois du côté du système
nerveux
central, des nerfs et des vaisseaux chez un idiot
ledécubilus latéral gauche un moyen héroïque 64 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'arrêter les accès d'épilepsie et peut-être a
es nerfs optiques, un lé- ger (J'dl'IIIl' de la couche des cellules
nerveuses
, un épaissis-c- 11ll'111 dl' la couche molécula
on sans modification de composés agissant tels quels sur le système
nerveux
. D'ailleurs la flill'('OSe qu'ils pl'IHluil'111
a créosote, ou de l'acide phosphorique séparément, quant au système
nerveux
. Et cependant les deux observations précéden- t
nistré par l'auteur dans des cas d'insom- nie dépendant de maladies
nerveuses
ou mentales très diverses : arll'rio ? c1l'rose
. D. y, Principes [fondamentaux de l'électrothérapie des maladies
nerveuses
; par M, 1)oumrR. (Joul'n. de Neu1'ologie, 1904,
signes font défaut. En ce qui concerne les affections des cen- tres
nerveux
en particulier, ce n'est donc pas comme nnl'admel
t survenus, elle est tombée peu ai peu dans un état de dé- pression
nerveuse
qui ayant élé inteinpeslivement traité par les
nt des héréditaires, e est-a-dire des individus dont le sys- tème
nerveux
est frappé d'une déséquilibration originelle et
ns mobilisées et l'anxiété déclanchéc. Selon que la tare du système
nerveux
sera légère ou grave, l'affection pourra avoir
ignalés dans les états névrohathiqucs, ne (1) .1. Soury. Le système
nerveux
central, Paris 1899. (2) 'l'Il. Robot. - La psy
idence fortuite, et la vulnérabilité particu- lière de leur système
nerveux
nous parait d'autant plus admissible que la pré
lle, entrepreneur ayant brassé des affaires, a dû avoir son système
nerveux
bien plus surmené que sa sieur qui a toujours e
rêt de ces l'aits, et toute une leçon de sa 2'' série des « Centres
nerveux
» est consacrée aux multiples variétés que la p
s été de caractère emporté, mais il n'a jamais présenté d'accidents
nerveux
, ni de troubles mentaux proprement dits. Nous
'àge de].') ans apparaissaient cependant déjà chez lui des (roubles
nerveux
qui, d'après les renseignements que nous avons
acrant à certains malades : « Quoi des malades ! Mais, monsieur, je
nerveux
pas vous en donner des malades ! Ne savez-vous
ire détaillé est en préparation. P. KElU\'AL. XX. L'état des fibres
nerveuses
à myéline dans l'é- corce du cerveau des épilep
sR.\V.1L. XXI. Critique du mémoire'de Kronthal intitulé : Cellule
nerveuse
et psychose; par 1\ ISSL. (Centralúlatt (il}' Ne1
, XX\'lI, N. F. XV, mai 1904.) 1" Il n'est pas vrai que les centres
nerveux
normaux de l'hom- me, du chien, du chat et du l
issent que sur le noal1 et non sur le protoplasina des cellules non
nerveuses
ou que les REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
cl1l'oll1hLine nUcll'ail'e, -- 4° 1)[éten4li.e(lue dans le système
nerveux
central normal, les Ieucoclles quittent les cap
ittent les capillaires pour émigrer dans le tissu, que les cellules
nerveuses
soient le produit de leucocytes en liquéfaction
ucocytes ? ;>° Il n'est pasexael d'aflirmerque dans le ? li'lIlc
nerveux
centrât le transport des granules de matières c
. (1Yeur%g, .yt'72t7'Ulbl, XXHL 1. 1904.) Chromatolyse des cellules
nerveuses
occupant la partie du noyau dorsal qui borne le
qu'il y ait que coïncidence entre l'anomalie osseuse et l'affection
nerveuse
. Il se peut aussi que la sclérose en plaques so
es de fIlond lo ! et Charpentier, surtesravons qui sortent du tissu
nerveux
en activité, transforment la sugges- tion menta
libres de projection que d'autres. S'il est vrai tlue les libres
nerveuses
du niant eau ne se myél ini- sent pas dans le m
PEGNA, (Ann. di nérrol. Anno \\Il, fasc. 1-11 j REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' 139 1 \ \L\'. Sur le temps de réaction aux st
de libres directes et de libres croisées. L. W. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
ri, La paralysie enfantile ; par Glorieux. (Pol
, tandis que celles d'autres zones est, simple- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 141 ment conservée ; 3° ou enfin qu'il y a une
vation avec autopsie d'un homme de 31 aus. 112 REVU : DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 11 s'agissait d'une aphasie motrice (ranscorfi
ux notamment d'objets concrets ; le patient,par REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1,3 exemple, ne pouf trouver le terme d'un obj
-cortical occupant la'parlie anLi'ro-infé- 144 REVUE. DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rieuredupti courbe ; observation de Ilenaclten
utres complexus conceptuels des objets. Mais ce REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 145 n'est point un centre spécial, une fonctio
e \ncJIl\'E, 2. él'il') t005, 1. XIX. ](} 146 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'oblique inférieur. Par contre les images se
ent : il y a lieu de supposer une altération du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 147 métabolisme, de la structure chimique ou m
métabolisme, de la structure chimique ou moléculaire dos élé- ments
nerveux
. Un peut concevoir les deux espèces de genèses
sies faciales corticales et sous-cortica'3s 148 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. par \\. 13E CH TF RE ? (Ubozrèniè psichiatrii,
AL. REVUE DE THERAPEUTIQUE VU. Action de la pyridine sur le tissu
nerveux
et mé- thode pour la coloration élective du rét
aire endo-cellulaire et du réticulum périphérique de la cel- lule
nerveuse
des vertèbres : par Donaggio. (Ann. di ne- 1)1'
CIIl'UII11) diagnostic) ;Ij> lI1alalLies chro- niques du système
nerveux
: paralysie générale, tabès, épilopsic, scléros
e d'itlenau, on érigerait un sanatorium popu- laire pour affections
nerveuses
telles que névropathies et psycho- pallies à la
auteur. Ibid. 1903, n-s eL 3.)-3° Histoire des maladies mentales et
nerveuses
au Cau- case, par E. W. Erikson (Ibid, 19 )3, n
dans les grandes villes, les sanatoria populaires pour les maladies
nerveuses
, les hospices pour aliénés chroniques, les asil
l'Oise, 110 lIu 20 janvier 190a.) Hôtel-Dieu {Clinique des maladies
nerveuses
). - Jl. Gilbert ¡; \LLET il repris ses leçons s
uses). - Jl. Gilbert ¡; \LLET il repris ses leçons sur les maladies
nerveuses
le iliman- 176 bulletin bibliographique. CI l
uivants..Consultation externe l'l polirlilli- que pour les maladies
nerveuses
et mentales, le samedi it ! ) Il. 1 ? alle Sain
- : 'Iédl'l'inl'. 1'I'ix : 3 fi', 50, (;1\ ISSI.'l' ( ? Les centres
nerveux
. 1 vol. In-S* de 730 pages, I,ilo·airit· .1.-Ii
(fig. 12). Il est facile de constater l'appau- vrissement en fibres
nerveuses
de la partie supérieure de c. g. c. (fig. 12 et
peu réussies, il nous esldiflicile de juger de l'élal des cellules
nerveuses
duc. n. e. Il nous paru ce- pondanl qu'elles ét
n au carmin a donné de meilleurs résultats, l'atrophie des cellules
nerveuses
de c. g. e. (non comprises celles'de la base) n
i. 18S ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Pour Déjerine (Anatomic des centres
nerveux
I, page 780), « les dégénérescences secondaires
rientation ». L. W. XLV. - Les altérations histologiques du système
nerveux
dans la méningite ; par Stefanelli. (Rivista cr
nomènes morbides des méningites. Il y a des lésions de la substance
nerveuse
elle-même déjà signalées parle Pr de Grocco et
trouble de la sensibilité, de sensibilité à la pression des troncs
nerveux
, de réaction dégénérative, l'allure des réflexe
ce descendante, le droit abdominal, le pectiné, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 235 l'obturateur interne et l'obturateur exter
eu une communication à cet égard. P. IaERSV,tL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XIX. Recherches sur la rage ; par J)ODDI. (Riv.
corpuscules de Negri seraient véritablement 236 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. les agents pathogènes de la rage humaine et ex
ntale. Dans ce dernier cas, ils se localiseraient le long du trajet
nerveux
suivi i parle virus injecté. On ne peut les con
nomonique de l'infection ludique acquise ou héréditaire des centres
nerveux
; 3° le signe d'Argyii est un épiphénomène de l
cet accident que débutent les processus sy philitiques des centres
nerveux
; 4° lana- tureépiplastique de la membrane qui
é l'historique de la question, les auteurs rap- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 237 portent : l''quel'urine a une réaction aci
qu'une variété de la syringomyélie. L. W. 238 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XX'.=Symptômes nerveux dans l'urémie; par Capp
ngomyélie. L. W. 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XX'.=Symptômes
nerveux
dans l'urémie; par Cappezolli. (Riv. crit. di c
praticiens de toutes les variétés même les plus rares de symptômes
nerveux
plus ou moins graves que l'on peut rencontrer d
e d'autres phénomènes hystériques concomitants. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 239 XXV11L Diagnostic différentiel entrel'atax
ganique méconnue, prise pour de l'hystérie 240 REVUE DE 'PATHOLOGIE
NERVEUSE
. fébrile. La dissociation des phénomènes fébril
l'exagération de divers réflexes : ce qui indi- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 24l ([lierait chez eux un état de l'écepth ilé
([lierait chez eux un état de l'écepth ilé lout spécial du sterne
nerveux
et tout porte à croire que sous l'influence d'une
mv.\L. .lncnwr, 2° ·urin 190 ? I. \1\ -10 242 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. \\\\'1.-Répliqne aux critiques de M. Kienboeck
lade devaient, de par l'affection de la moelle. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
.' 243 être prédisposés à cela, à raison de l'al
braux d'ordre général se manifestent par le 244 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. coma, l'apathie, la démence ; il n'existe pas
agit d'une hystérie traumatique ou du foudroiement direct dusystème
nerveux
. Elle concerne une téléphoniste de 24 ans, qui,
) en 10 cas. L'amaurose à plusieurs accès s'est REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. s 245 monlrée : - a. intermittente régulière e
myasthénie peut être le résultai de di- verses maladies du système
nerveux
, ou apparaître à titre d'as-» sociation morbide
et à présenter de l'ataxie. Au mois de juillet 1904, les accidents
nerveux
, subirent une poussée ; quand if vint au mois d'a
du cer\"cau, t l'llps que les t UlTII'UI'S, par exemple. Sections
nerveuses
. il. llt.tA (Ue Milan) a étudié par la méthode
pendant la grossesse un rôle important dans l'étiologie de troubles
nerveux
chez des enfants indemnes de toute hérédité mor
d'urine jusqu'à 5 ans.Depuis,des cette époque, les autres accidents
nerveux
ont aussi diminué de fréquence ; tellement que,
ns leurs familles, il -n'existait aucune difformité, aucun accident
nerveux
on mental et qu'eux-mêmes étaient tout, à fait
guérison en 24 heures après un lavage (2). L'origine des troubles
nerveux
de cet enfant et de ses particularités somatiqu
érédité de /'o6M)'.(/r.;<' de ntédecinc,19U2,p. 338.) CLINIQUE
NERVEUSE
Asile Clinique SamTr3 .4vNr. - Bureau d'admissi
de prétend ne se rappeler nullement l'inculpation dont 2Gi clinique
nerveuse
. elle a élé l'objet, ni sonpassageàlaPrefectUt'
mps la voix de son ami lui faire des propositions. - 266 CLINIQUE
NERVEUSE
. Pendant qu'évoluaient ainsi les troubles menta
irconstances elle a commis le délit de grivèlerie pour 26S CLINIQUE
NERVEUSE
. lequel elle a été arrêtée) : enfin en créant u
o-temporal (trijumeau) le produise : cela tient à des distributions
nerveuses
empiétant les unes sur les autres. - P. KERAVAI
issus dissociés par la secousse ou des coupes, notamment du système
nerveux
central ; par F. Reich. (1'\"e(1-010g. Centralb
és. Le liquide laiteux qui a traverse l'élamine contient des fibres
nerveuses
ou des fragments de fibres, des cellules nerveu
tient des fibres nerveuses ou des fragments de fibres, des cellules
nerveuses
, des cellules névrogliques. des hématies, etc.
entale delà paralysie générale inflammatoire réside dans la cellule
nerveuse
. G. D, LX1V. La dualité fonctionnelle du muscle
aux de la sensibilité on ses modalités diverses, tous les processus
nerveux
qui se rattachaient à telle ou telle de ces mod
pression du froid et du chaud. Dans la né- vrite, toutes les fibres
nerveuses
ne sont pas également atteintes. Lorsqu'un nerf
. Il. C. LXXIX. Sur l'aspect extérieur des dendrites des cellules
nerveuses
des tubercules quadrijumeaux antérieurs et post
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 303 dendrites des cellules
nerveuses
des tubercules quadrijumeaux postérieurs et des
pendices collatéraux en grande quantité. Les dendrites des cellules
nerveuses
des tubercules quadrijumeaux antérieurs présent
ntent la plus grande ressemblance avec les den- drites des cellules
nerveuses
de la moelle épinière. Il, C. LXXX. Un cas de t
- La conclusion qui se dégage de ces données est, que le système
nerveux
périphérique joue un rôle très important dans la
té musculaire qui accumllaânegéné- ralement les maladies du système
nerveux
peut se mesurer au moyen des empreintes plantai
Bull, ttzéd., 1904, nu 39.) - L'auteur insiste sur les phénomènes
nerveux
qui constituent 1 un véritable danger de contag
on dans le milieu scolaire ; l'hys- Lirie la neurasthénie, les tics
nerveux
du maître ou des élè- ves ; il montre les incon
ntale est en somme une démence curable, une 310 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. psendo-demcnre qui pourrait mettre jusqu'à 12
l, semble être constamment primitif. L. Wahl. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XLI. Un symptôme rarement décrit dans la paraly
à la formation de la contracture. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 311 XLII. - Un cas de maladie de Friedreich ;
émiplégiques a été attribué à une localisation spéciale des lésions
nerveuses
(noyau caude. capsule interne, 312 REVUE DE PAT
ns nerveuses (noyau caude. capsule interne, 312 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. noyau lenticulaire. Parhon). Les ailleurs pens
olue d'uriner ; la constipation. Diagnostic : all'ection du système
nerveux
léripltér iyuc peut-être - compliquée d'une lég
yuc peut-être - compliquée d'une légère participation du s sLt'll1e
nerveux
cen- tl'a1. La paralysie arsenicale a, comme to
éphalalgies périodiques, vomissements inex- 314 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. plicahles, fiè\ l'e, eczéma, impétigo, urticai
resse de la cogitation, amnésie, vertiges, synco- pes. La système
nerveux
manifeste ,a sou11'rance par l'oppression, les
rapports avec la goutte : le trouble de la nutrition des élé- ments
nerveux
par lésion des parois artérielles y esl représent
lis, l'alcoolisme, etc., etc. l'. I\eR.\VAL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 315 LII1.-Névrits multiple associée à. la ma.l
s ont déjà élé cités par Parmenlier. L. W. 3l0 REVUE DE PATHOLOGIE -
NERVEUSE
. LV1.La, syphilis héréditaire; leçon deM. le Pr
des cas où dans les 24 heures qui suivent immé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 317 diatement l'opération du phimosis, il Y a
renseignent nullement sur l'étal préalable du sujet au point de vue
nerveux
ni sur ses antécédents héréditaires. Elles ne nou
mais aussi les plus constants symptômes du 318 REVUE LE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tabes, Jlalltcurcu·ement,clles son Lasaez souv
énie, l'angoisse seule torture le patient; chez REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 310 l'historique il s'y joint le sentiment del
Bruns. Neurolog. CerttralLl. XXI, 1902.) Sur 8.500 cas d'affections
nerveuses
, 95 présentaient de la pa- ralysie des nerfs pé
l>iliLé. Ce clui faiL que les paralysies traumatiques des troncs
nerveux
périphériques ont deux fois et demie plus de ch
eux fois et demie plus de chances de guérir que celles des ple- xus
nerveux
. Pourquoi ' ? Après avoir examiné avec soin les d
s des plexus tiennent, quant aux chances de 320 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. leur guérison, le milieu entre celles, très fa
et finalement sans cause apparente. Complexion délicate, système
nerveux
finement développé, pas de tares héréditaires o
y a guérison. Sans effel thérapeutique sur les maladies du système
nerveux
à évolution chronique (tabès, paralysie général
où sont reçus, il titre définitif ou plus ou moins dé- finitif, les
nerveux
chroniques considérés comme incurables (épi- le
e : 1 médecin chef avec les infirmeries de vieillards, les maladies
nerveuses
chroniques et les maladies mentales ; 1 médecin
on mère esl à l3esan(;on), Les soeurs des deux services de maladies
nerveuses
et mentales (hommes et femmes) ont passé par l'
ur a rendus. Hospice de la S.wl·>·'.Taat2E, Maladies mentales et
nerveuses
. : M. le D1' .1. Voisin, le jeudi à 10 heures.
n, le jeudi à 10 heures. Hospice de 131ClhRE : Maladies mentales ou
nerveuses
des enfants. - Consultations pour les enfants i
frères. Vol. XIX Mai 1905 N 113 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Sur l'amblyopie hystérique monoculaire et sa
gie, 1901 n° G9. Archives, 2' série, 1905, t XIX. 22 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. gère, devient constante, correspondant ainsi à
grave qu'une fièvre typhoïde ( ? ) à l'âge de 3 ans. Elle est très
nerveuse
, mais prétend qu'elle l'est surtout devenue à la
qui la voit le lendemain lui dit de ne pas se baigner 340 CLINIQUE
NERVEUSE
. et ordonne des lofions de l'oeil matin et soir
drap mouillé et des frictions avec un gant de crin. 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. Au bout de 8 jours, on constate un mieux sensi
ntrée une fois positive sur six recherches. C'est surtoutle système
nerveux
qui offre des modifications importan- - AMBLYOP
es sensibilités profondes, les sensibilités osseuse, tendineuse, el
nerveuse
sont abolies ; mais le sens musculaire et ses v
la Soc. de Biol., Paris, 11 février 190.'), p. 28d. 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. maie à gauche. La pression du globe oculaire e
, du droit par exemple, ce n'est pas un prisme qui me '346 CLINIQUE
NERVEUSE
. rendra la vue de cet oeil : et je ne percevrai
étachent en rose et avec leur grandeur réelle ; enfin, 348 CLINIQUE
NERVEUSE
. si les deux yeux sont ou verts, elle lit la ph
eil droit, elle ne voit que la lettre F; si elle ferme 350 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'oeil gauche, elle ne voit rien avec l'oeil d
stion de vision binoculaire, que si les deux yeux per- 352 CLINIQUE
NERVEUSE
, , çoivent ensemble un même objet ou les mêmes
e ce genre (lac. cit.1 .lncnIVr, 2^ çric, I. I\. 23 351' CLINIQUE
NERVEUSE
. Celle expérience se montrait par suite en cont
ue les éléments musculai- res, élastiques, osseux, cartilagineux ou
nerveux
se déve- loppent, il est nécessaire que l'anima
nisme, il n'en n'est pas, de plus sensible iL l'alcool quelle tissu
nerveux
. L'alcool altère profondément les neurones et,
s l'ovule, la substance qui les représente. Aussi est-ce le système
nerveux
qui est surtout atteint chez les dégénérés alco
La découverte soudaine me paraît être le résultat d'une décharge
nerveuse
éclatant, par suite de la difformité du condens
deux règnes et à divers tissus. Elle a été observée chez la cellule
nerveuse
, par J. Havct, Jean Demoor, Micheline Stcfanows
éflexion, qui n'est qu'une rêverie intense et li- mitée. Le courant
nerveux
fait s'illuminer, sur les neurones qu'il traver
nde que les neurodiélectriques qui s'opposent au passage du courant
nerveux
sont moins résistants. Dès lors on conçoit que
odiélectriques s'y forment aisément, et si, par suite, les courants
nerveux
y sont aisément inter- rompus, la réflexion ser
ble il l'élude de la physiologie normale et pathologique du système
nerveux
et au diagnostic des affections nerveuses. Elle
et pathologique du système nerveux et au diagnostic des affections
nerveuses
. Elle permet en chargeant certains segments du
u, des jambes. La cuisse atrophiée aug- menta de volume. Le système
nerveux
, en se rechargeant, a ré- cupéré son influence
asme de l'estomac et a permis de relier celui-ci aux manifestations
nerveuses
ob- servées dans les derniersjoursde la vie. pa
n exagérée, d'une destruction des arcs stéréo- psychiques, l'influx
nerveux
trouve obstacle à son passage et soit forcé de
rchives, 2' série l(JO : 5, t. XIX. 1~> 38(i REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1902 de pneumonie. Autopsie (ligures). L'étude
avant consécutivement déterminé l'arrêt de développement du système
nerveux
central. Le développement excessivement faible
1 pense qu'au début de l'accès épileptique il y REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 387 a anémie cérébrale ; toute condition qui d
nl pas donné de sérieux résultats (B.). 3KK -REVUE DU. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous donnerons, il l'occasion de ce travail, l
ement dans une maison (1( galité. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 389 L\ \ l1'. Tétanos à. début sous forme de p
l'âge de 12 ans. * - Le malade n'a pas d'antécédents héréditaires
nerveux
ou patho- logiques. Il est lui-même un peu nerv
nts héréditaires nerveux ou patho- logiques. Il est lui-même un peu
nerveux
, mais n'a jamais eu ni crises convulsives, ni r
l'enfance anormale. Création d'un institut pédagogique pour enfants
nerveux
, débi- les ou maladifs. - La question de l'enfa
ts confrères spécialistes : le docteur Glo- rieux pour les maladies
nerveuses
elle docteur Vanlangendonck pour l'orthopédie.
l'orthopédie. Seront reçus à l'Institut : 1° Les enfants simplement
nerveux
; 2° les enfants atteints d'af- fections nerveu
enfants simplement nerveux ; 2° les enfants atteints d'af- fections
nerveuses
accompagnées de paralysies, d'agitations ou de
levons les suivants décernés à des travaux de pathologie mentale et
nerveuse
. Prix Bailla1'ge1' : ' ! ,000 francs. Ce prix,
.' I\.IHR \ de Curepipe. ile Maurice : Les deséquilibrés du système
nerveux
. Prix Theodore lfapin (de ( : ent·ve) : 3.000 f
e Fleurs, de Paris : Manuel pour l'étude des malta- dies du système
nerveux
; les grands symptômes neurasthéniques ; 2" à M
ement de 300 francsà \I. le))'' Henri Carrier, de Lyon : La cellule
nerveuse
normale et patholofli- que ; une mention honora
ncs (annuel), au meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les mala- dies
nerveuses
: Prix llc·n,oi Lorquet : 300 francs (annuel) au
ait honneur à notre payc. Hospice de BICHTRE : Maladies mentales et
nerveuses
des en- fants. Consultations pour les enfants i
: OUIrELI,EION"I' (\'Iclol'). Contribution à l'étude des accidents
nerveux
, consécutifs au méllill"ites aiguës simples, 1 \'
de l'état des mou- vements de l'iris en rapport avec les processus
nerveux
et psychi- que des aliénés, du réflexe cortico-
on de l'orifice pupillaire obéit à l'organe psychique et au système
nerveux
. Chez les gens bien portants, sauf peut- être q
ne se prêtant pas à l'anal) se. L. WAHL, 446 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XGVlll. Essai sur la physiologie pathologique
n, sous-aractmofdien et intra-ventriculaire en excès ; la substance
nerveuse
est mulle, il exisle des lésions inflammatoires
siques de la syringomyélie médullaire. L. WAHL. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
LXXVll. Accidents syphilitiques pendant le tabè
e tabès débute de 4 à 19 ans, après l'infection REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 417 syphilitique et que les syphilides présent
teint, lui aussi, de lésions de même nature 448 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que celles de la moelle, en particulier les vo
e de cocaïne à deux pour cent supprime fonctionnellement les libres
nerveuses
sensitives situées dans sa zone d'action ; et q
tion ; et qu'une telle injection pratiquée dans la gaine d'un tronc
nerveux
équivaut à une section trans- versale temporair
où par conséquent la lésion causale est au niveau des terminaisons
nerveuses
; 2" celui dans lequel l'injection n'agit pas,
Benvud expose une nouvelle méthode d'examen bistologique du système
nerveux
. 1(. IAf.LION présente un appareil pour enregis
agit d'un terme mal défini, comme celui de cachexie sénile, marasme
nerveux
, etc., communément employé, terme vague, qui mo
sont les principaux agents du traitement des maladies mentales et
nerveuses
. M. Paris aborde ensuite une autre question très
ation (1898) ; - Traité de thérapeutique des maladies mentales et
nerveuses
(1901). Parmi ses publications dans les périodi
sad¿fétichisme (1900) ; - L'alitement dans les maladies mentales et
nerveuses
(1900) ; -- Séméiologie et traitement des idées
s maladies mentales font partie des maladies générales du système
nerveux
, et, par conséquent, ne peinent pas être traitées
ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE. La division pédagogique reçoit les enfants
nerveux
, neurasttté- niques, hystériques et en général
épileptiques, 10 hystériques, 2 kleptomanes, 11 neurasthéniques, 4
nerveux
. Le prix est de 1.800 francs pour une année com
vos débiteurs. Vos travaux personnels sur les maladies moniales et
nerveuses
et (laits d'autres départements de la médecine,
ient. (Bonhomme normand du 10 fév.) Hôpital de la Pitié. Maladies
nerveuses
: M. BABINSKI, samedi il 10 h. 1/4. Hospice d
0 heures (section Rambuleau). ,1 Clinique des maladies DU système
nerveux
. M. le professeur HA YMOND. Cours complémentair
au laboratoire d'anatomie pathologique de la clinique des maladies
nerveuses
, à la Salpétriere. Ce cours aura pour objet l'é
de quelques symptômes dans l'é- tat , par Aller, 146. Cellules
nerveuses
. Des condi- tions dans lesquelles apparait l'
a si- gnitlcation, par Iwanoff, 41. Biologie et travail de la -
nerveuse
centrale, par Kron- (lIai, : il. - - Voir Kroni
le, par Fragnito, 138. De l'aspect extérieur des dendri- les des-
nerveuses
des tuber- cules quadrijumeaux anté- rieurs e
Electrothérapie. Principes fon- damentaux de l'- des mala- dies
nerveuses
, par Doumer, G9. Empoisonnement. Voir Véronal
Enfance anormale. Création d'un institut pédagogique pour enfants
nerveux
, débiles ou maladifs, par Matagne, 411. Enfan
fécales dans 1 ? par Goelze, 66. Etat variqueux. Voir Cellules
nerveuses
. De l'- mental des épileptiques réveillés de fo
étichisme. D'une forme origi- nale de , par Bechterew,390. Fibres
nerveuses
. Voir Sclérose. Des d'association de la couch
323. 1010'1'. Voir Raynaud. Idiotie amaurotique. Voir Sys- tème
nerveux
. Nouvelle con- tribution à l'étude clinique de
9. Main. Action hypnogénique de la , par Demonchv, 7b. Maladies
nerveuses
. Voir Elec- trotlrérapie. Des mentales conséc
an, Aviragnet et Délot, 320. Contribution à l'étude des accidents
nerveux
, consécutifs aux aiguës simples, par Courlell
r Faisceau anti- rolatéral. Pyridine. Action de la sur le tissu
nerveux
et méthode pour i- la coloration élective du re
endo-cellu- laire et du reticulum périphé- rique de la -.cellule
nerveuse
des vertèbres, par Donaggio, 149. ' Radium.
ie cérébrale, par Le- clerc et Beutter, 382. SAC;is..Voir Système
nerveux
. Sciatique. "Le signe du salut dans la , par
v, 40. Remarques sur ce travail, par Stroehuber, 45. Les fibres
nerveuses
amyéliniques dans les foyers de en plaques, p
- nération du ruban de Reil, par Kinner et Wilson, 446. Système
nerveux
. Examen his- tologique du- - central d'un mal
par Babinski, 159. Les alté- rations histologiques du sys- tème
nerveux
dans la ménin- gite, par Stefanelli, 229. , n
u sys- tème nerveux dans la ménin- gite, par Stefanelli, 229. ,
nerveux
. Voir Préparations histologiques. -, pyramidal.
GIE ARCHIVES DE NEUROLOGFE £ REVUE MENSUELLE . DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par .1.-111. CHARCOT & B
; l'il (l 1 ? à -% Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Bordeaux. COLLABO
braham. l'homme EST-IL symétrique ou double ? 19 §. 2. CONNEXIONS
NERVEUSES
ET ENTRECROISEMENTS. Le Duplicisme suppose l'in
es motrices et sensitivo-sensorielles de chaque moitié du sys- tème
nerveux
. Elle serait incapable d'expliquer les entrecrois
mes arguments. Eh oui ! eh oui ! Entre les deux moitiés du système
nerveux
, les deux moi- tiés' latérales, il faut des con
un bloc un, un tout unique, il n'y aurait pas besoin de connexions
nerveuses
, Ces connexions sont, sous la direction des cer
M.Bonne, non- votre unicisme, qu'expliquent au contraire connexions
nerveuses
et entrecroisements. Dans la critique aussi t
èse de la dua- lité organique,tandis que l'existence des connexions
nerveuses
et des entrecroisements témoignerait de la conj
Eh bien ! je commence par le plus important d'entr'eux, par le tube
nerveux
. Tube nerveux, névraxe. M. Bonne a consacré plu
mence par le plus important d'entr'eux, par le tube nerveux. Tube
nerveux
, névraxe. M. Bonne a consacré plusieurs pages à
ent toute sa thèse. Je me borne à la reproduire. « Bien que le tube
nerveux
, passe habituellement pour une for- mation impa
anatomie em- bryonnaire vient de nous l'apprendre, la forme du tube
nerveux
définitivement constituée est manifestement bil
s (paroi dorsale et ventrale). Ensuite l'étude de la genèse du tube
nerveux
nous mon- tre que l'épaississement ectodermique
èse du tube nerveux nous mon- tre que l'épaississement ectodermique
nerveux
, la plaque médul- laire qui doit s'incurver en
me EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? a 23 raie primitive qu'offre l'axe
nerveux
des vertébrés de celle qui ca- ractérise le sys
e l'axe nerveux des vertébrés de celle qui ca- ractérise le système
nerveux
central ou chaine ganglionnaire des Annélides».
ont il ne contestera d'ailleurs pas l'autorité, je tiens le système
nerveux
central, le névraxe, pour primitivement dou- bl
e l'anatomie, c'est-à- dire la différence de poids entre le système
nerveux
dépendant d'un hémisphère et celui dépendant de
tront successivement tous les organes, en commençant par le système
nerveux
. Ce bour- relet formant anneau autour du blasto
s le sens méridien, sur la ligne médiane. Tous les organes, système
nerveux
compris seront donc doubles et médians cependan
Les trois feuillets du blastoderme étaient distincts, et le système
nerveux
représenté par une tache pigmentaire..... Cette
milieu extérieur, la Nature a-t-elle entrecroisé les deux systèmes
nerveux
. Voilà bien toute la thèse du Duplicisme dans l
eu de dire qu'elle est formée, et voit dans la formation du système
nerveux
la col- laboration des co-êtres. Comment justif
çon si baroque, la « théorie de la concrescence » ? Si le « système
nerveux
est double «chez les Mam- mifères parce que, ch
ales motrices et sensitivo-sensorielles de chaque moitié du système
nerveux
etc. » (p. 219 et p. 19). On me répond que « le
Le père et la mère sont. bien portants ; la famille nie toute tare
nerveuse
tout alcoolisme chez les ascen- dants. A... a
lisme chez les ascen- dants. A... a toujours été d'un tempérament
nerveux
et impres- sionnable mais il n'a jamais eu de m
e. Il est à peine besoin d'ajouter que la nature de cette influence
nerveuse
nous échappe aussi bien que les transformations
s il ne nous semble pas nécessaire d'invoquer une lésion du système
nerveux
périphérique pour expliquer des troubles vaso-m
te son évolution est à la fois une cachexie, une maladie du système
nerveux
, et une infection qui ouvre la porte à toutes l
p. 293 à 297.) Chez les individus sains ou atteints d'une maladie
nerveuse
fonctionnelle, la percussion du dos du pied pro
. Chez plusieurs sujets atteints d'affections organiques du système
nerveux
, M. (Neural. Ctrbl., 1904, nez 13) obtint au co
lumière d'une facon inattendue. (1) Sur la question de la fonction
nerveuse
trophique. 58 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
érales, profond affai- blissement intellectuel. Les seuls symptômes
nerveux
consistaient en tremblement de la parole sans t
e réduite à peu près à ses signes physiques, sans aucun phéno- mène
nerveux
nouveau. L'intérêt du cas réside dans la gravit
ie mode de généralisation de l'infection. L'A. rattache les signes
nerveux
mentionnés plus haut à l'an- cienne hémorrhagie
ules spéciales qui apparaissent en colonies au niveau. des sections
nerveuses
et par leurs propriétés chimiotaxiques alti- re
eurs propriétés chimiotaxiques alti- rent à elles les jeunes fibres
nerveuses
et les nourrissent ; ces cellu. REVUE D'ANATOMI
ont le rôle apparaît important dans les processus de régéné- ration
nerveuse
, ont reçu le nom de « cellules apo trophiques».IV
ont divisés sur la question de savoir si ce sont les mêmes éléments
nerveux
ou des éléments différents qui servent à la con
e, conformément à l'opinion de Fnrannini. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Anatomie pathologique et pathologie de l'épi
ans ce travail les résultats de l'exa- men microscopique du système
nerveux
dans quarante et un cas d'épilepsie idopathique
qui survient chez les sujets atteints d'une défectuosité du système
nerveux
,soit con- génitale,soit involutionnelle, et che
compri- Arcuives, 3- série, 19C7, t. IL 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mant sa propre carotide, a provoqué des spasme
teur pense que cet autre facteur est un état approprié des cellules
nerveuses
, et pro- bablement un état d'extrême instabilit
s capillaires expliquerait la dégénérescence en plaque des cellules
nerveuses
; leur enchâsse- ment dans les petits vaisseaux
désaccord avec la théorie; suivant le mécanisme REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 61 du thrombus intra-vasculaire, il ne faut pa
s tissus céré- braux, degré suivant lequel l'équilibre des cellules
nerveuses
va- riera de telle facon que les unes seront in
certains moments et dans certains cas particuliers, les cel- lules
nerveuses
soient particulièrement irritables, si bien que d
s de l'épilepsie, quelquefois c'est l'état indispensable du système
nerveux
qui man- que ; d'autres fois, ce sont les quali
i ont observé des malades présentant des dé- 68 REVUE bE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. fectuosités mentales,- lui a montré que les ma
ces deux facteurs sont, d'abord, l'état d'instabilité des cellules
nerveuses
, la dissolution sénile du système nerveux, et e
nstabilité des cellules nerveuses, la dissolution sénile du système
nerveux
, et ensuite un état de stase ou d'anémie cérébr
mplète de la céphalalgie et de la paralysie des REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 6J divers muscles de l'oeil. Seule, la cécité
ue très peu et dont voici les principaux : 70 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Domaine du trijumeau gauche : perte complète d
cédent et également sans autopsie. Ch. Bonne. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 71 L VI I. - Die Prognose der Tetanie der Erwa
térie, l'épilepsie, etc. Le signe d'Hoffmann (percussion d'un tronc
nerveux
: sensations ir- radiées dr.3 le domaine de ce
arfait état de santé ; 7 étaient atteints de 72 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tétanie chronique ; 19 présentaient des états
de la langue à droite. A l'autopsie pas d'autre lésion des centres
nerveux
que sclérose de la corne d'Ammon gauche, beauco
uscles de l'avant bras et de la main normaux. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 73 L'A. a trouvé dans la littérature une dizai
e, dont les autopsies publiées sont peu nom- 74 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. breuses. L'observation actuelle concerne un en
la sécrétion interne des organes génitaux accé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 75 1ère le processus d'ossification. L'auteur
des organes sécréteurs, du système musculaire ou moteur,du système
nerveux
ou de la sensi- bilité. Ces troubles fonctionne
'un peu de lait et d'eau. BIBLIOGRAPHIE I. Séméiologie du système
nerveux
; par le Dr Henri Duroun, et médecin des hôpita
it celui du Dr Grasset sur la thérapeutique des maladies du système
nerveux
. On sait déjà que dans l'esprit de ces auteurs
s varia. 95 dans les vues d'ensemble sur la pathologie du système
nerveux
. Il n'y a pas entre les psychoses et les névros
e plan de son ouvrage : réunir dans une même étude les af. fections
nerveuses
et les affections mentales, en montrant les sym
fonctionnement des organes dans leur retentissement sur le système
nerveux
, pour ne citer que les prin- cipaux. Citons à
8 ans, est admise le 18 mars 1891. Elle appartient à une famille de
nerveux
et a toujours manifesté elle-même un tempéramen
tercalaires où domine la neuras- thénie pure et simple : phénomènes
nerveux
polymor- phes et incessants, troubles utérins,
qu'explique son état de souffrance habituel et sa déséquilibration
nerveuse
originelle, mais ses sentiments affectifs ne so
t par le courant électrique n'est pas due à l'inhibition du système
nerveux
, mais à une para- lysie du coeur. Ces courants
t peut se présenter sous les for- mes suivantes : 1° Hyperthyroïdie
nerveuse
. L'expérimen- tation animale, le thyroïdisme al
onique, disséminée ou 10eilisée.r-i,isedow fruste. 2° Hypothyroïdie
nerveuse
. Le ner- vosisme accompagne tous les degrés de
ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. rasthénie thyroïdienne. 3° Instabilité
nerveuse
thyroïdienne. 4° Dysthyroïdie avec hyperthyroïd
ison pathogénique, car si toute l'hystérie réside dans le paroxysme
nerveux
créé par l'émotion pourquoi déclarer que celui-
nt, en général, son origine dans un état constitutionnel du système
nerveux
, le nervosisme caractérisé par un défaut de rég
(constitutionnelle ou acquise, ce point est à trancher) du système
nerveux
caractérisée par une tendance à l'exagé- ration
peut être constitutionnel ou acquis. Acquis, c'est l'ébranle- ment
nerveux
, choc physique ou moral, c'est l'émotion ou enc
i les déterminent. C'est donc une question de résistance du système
nerveux
d'abord, qui permet à certaines réactions de se
pas une entité morbide. C'est un mode spécial de réagir du système
nerveux
et particulière- ment de l'écorce cérébrale, qu
Nancy) : Les cellules des cornes antérieures dans les arthropathies
nerveuses
.- Ataxie oculo- motrice d'origine labyrinthique
NS ALIÉNISTES ET NEUROLOGIS 1 ES, Trois cas d'hypothermie d'origine
nerveuse
. MM. L. Marchand et M. Olivier. A côté des hype
. Olivier. A côté des hyper- thermies dues à des lésions du système
nerveux
, il y a lieu de décrire des hypothermies. Contr
nnets. Hyperplasie névroglique dissé- minée. Atrophie des fibrilles
nerveuses
. Dégénérescence, neu- ronophagie et destruction
irradiations locales. Or nous n'avons jamais observé d'accidents
nerveux
im- putables à des lésions médullaires ou céréb
athologique peut nous expli- quer par les seules lésions du système
nerveux
la symptoma- tologie si variable de l'affection
nt songer à la possibilité d'une régé- nération possible des fibres
nerveuses
. M. CRocQ (Bruxelles) remercie M. le prof. Bern
ues-unes offrent une marche rétrograde. Avant d'arriver au faisceau
nerveux
, les fibres de nouvelle formai ion affectent le
o-pathologiques. Dans la paralysie générale, les lésions du système
nerveux
s'y schématisent et s'y éclairent. On peut, d'o
re partie : développement, mor- phologie et connexions des cellules
nerveuses
(tome II, fascicule 6, de la Revue générale d'H
sivement consacré au développement et à la morphologie des cellules
nerveuses
du pallium ; un prochain fascicule traitera de
escendants des cellules se différencient et deviennent des cellules
nerveuses
ou névrogliques); 3° la filiation ontogénique et
es, elles ne sont pas complètement formées. On n'a jamais vu les C.
nerveuses
se diviser ; mais on peut faire l'hypothèse d'u
der- niers stades de développement. On ne rencontre jamais de C.
nerveuses
jeunes dans les organes centraux chez l'adulte.
la réparation des plaies du cortex (Lévi,1896) concluent que les C.
nerveuses
pleinement différenciées ne peuvent se diviser
plusieurs éléments d'ori- gines diverses à la constitution de la C.
nerveuse
. Elles ne différent de l'ancienne théorie que d
ir en tous cas à l'opinion classique, qui considère le prolongement
nerveux
comme le premier formé. L'auteur a eu soin de m
éciproques. Il ne faut pas oublier, en effet, que toutes les fibres
nerveuses
, toutes les cellules nerveuses de l'écorce, ne co
ier, en effet, que toutes les fibres nerveuses, toutes les cellules
nerveuses
de l'écorce, ne con- tiennent pas des neurofibr
res ayant trait au nombre, au volume et au poids total des cellules
nerveuses
du cor- tex terminent l'article ; mais leur peu
I. 3e Série. Septembre 1907. N° 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Les auras visuelles des épileptiques ; i Par
de Paris, 1885. Archives, 3' série, 1907, L. II. 12 178 clinique
nerveuse
. entre une demi-heure avant l'accès et le momen
lquefois aussi le bleu. Pour Hammond (1) Hammond. Traité du système
nerveux
, Trad Labadie. La- grave, 1879. (2) Axenfeld
Axenfeld et 1 IUCIL112U. - Traité des névroses, 1883. 180 CLINIQUE
nerveuse
. ce serait même le rouge,la seule couleur pour
inique mentale. (6) M.\nxAx. Leçons sur l'cpilcpsic. 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. au début de ses' attaques les'objets- scintill
si le temps se. faisait sombre ». La malade.se trouve 184 CLINIQUE
NERVEUSE
. alors dans une sorte de- crépuscule, et la cri
e, puisque l'auteur remarque qu'il n'a pas trouvé les altérations
nerveuses
notées dans cette maladie... » Dans le cas publ
(1) Govibauli- et PHILIPPE, -1 1 lislologie pathologique du système
nerveux
central. (In Manuel d'Histologie pathologique de
sant de côté les restrictions précédentes,on envi- sage les lésions
nerveuses
rapportées dans les différents travaux que nous
erait toujours des modifications d'importance variable des éléments
nerveux
de l'écorce; en certains points restreints il y
aliénés. précoces, la perplexité où conduit en matière de système
nerveux
,la constatation de l'absence de caractères anato-
portant sur les tissus conjonctivo- vasculaires ou sur les éléments
nerveux
et névrogliques. En dehors de la pathologie men
r outre mesure de notre igno- rance puisqu'on connaît en pathologie
nerveuse
notam- ment des maladies dégénératives avec lés
du système CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 209
nerveux
, indépendante de toute lésion saisissable et souv
tation mentale, mais exprime un trouble fonc- tionnel de la cellule
nerveuse
. Quant aux troubles psychiques qui l'accompagne
ent hygiénique, physique ou médica- menteux a redressé l'épuisement
nerveux
. J'estime donc que la psychothérapie n'a que pe
y).-Pour. lui, il n'y a pas de neuras- thénie ; il y a des troubles
nerveux
qui sont émotifs, auto- suggestifs. Ceux-là, il
ce sur l'influence de la vie moderne sur, les maladies des systèmes
nerveux
. La plupart des dé- légués des gouvernements, D
ière fois toutes les différentes branches de la biologie du système
nerveux
d'une part, avec la doctrine de l'assistance de
la manière dont se déroule le procès psychologique dans le système
nerveux
central malade. I Et enfin lorsque nous nous pl
us pourrons regarder la doctrine de l'assistance des aliénés et des
nerveux
comme le résultat final de toutes ces recherche
re qu'aussi bien pour l'assistance des aliénés et le traitement les
nerveux
entre autres des épileptiques et des alcoolique
suggestion mais qu'il faut une modification générale de tout l'état
nerveux
CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. 223 pou
us considérons ici l'hystérie comme un trouble dynamique du système
nerveux
. Et d'abord, il n'est pas du tout anliscientIfiql
isant que c'est une modifica- tion de l'équilibre normal du système
nerveux
, modification telle que l'activité ou le potent
rveux, modification telle que l'activité ou le potentiel du système
nerveux
se trouve dimi- CONGRÈS ]-4TLI,NAliON ? L DE PS
lité,augmentation ni diminution absolue dans le total de l'activité
nerveuse
disponible. C'est cette proposition que nous' a
que nous' allons démontrer.A l'état normal, le potentiel du système
nerveux
est réparti régulièrement en vue du fonctionne-
ormal. L'hystérie est un simple trouble de l'équilibre du sys- tème
nerveux
, cela ressort clairement des symptômes principaux
ce ne sont que des mo- dalités différentes de l'activité du système
nerveux
; elles peuvent, par conséquent, se compenser l'
té,on trouve toujours que le déplacement de l'équilibre de la fon.e
nerveuse
, diminuée d'une pii,t,atigmeitée de l'autre, trou
ne façon pour ainsi dire mathématique, ces déplacements de la force
nerveuse
, c'est l'exploration au moyen du sthénomètre.
déterminés par une disposi- tion héréditaire défectueuse du système
nerveux
central. Ils sont comparables à des processus m
un et l'autre à une cause mécanique, à une interruption de l'influx
nerveux
au niveau des extrémités de deux neurones conli-
éry, de Nantes, pour avoir trépané les animaux. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 31 Expérimental and histological examination o
et au rapatriement ». (Dr. A. Marie et LADAME). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XX. Sur le syndrome vestibulaire ; par M. Raymo
minutes sous l'eau, durée normale à cette profondeur. Les accidents
nerveux
présentés par ce malade réalisent le type clini
inférieurs en extension, avec une rigidité qui REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 233 résiste à toute épreuve. La station debout
'immersion, fatigue. G. Carrier. ? 4 Zi REVUE t J, P : 1T.IOLU Il :
NERVEUSE
. XXII. Sur un cas de rhumatisme cérébral ; rech
Layon, 30 juin 1905.) Rhumatisme cérébral chez un sujet de 33 ans,
nerveux
et sur- mené au décours d'un rhumatisme articul
propos du diagnostic avec les myopathies primi- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 235 tives, insiste sur l'avenir de la myopathi
cines de la 1re et de la 2e paire cervicale. 3G REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Au point de vue histologique, c'est un sarcome
emière ; était d'aspect plus spongieux et englobait quelques filets
nerveux
appartenant à la 11 paire dorsale. Dégénérescen
et d'analgésie. Pas d'autres troubles objectifs du côté du système
nerveux
. La ma- lade n'a jamais été affectée de maladie
grandes attaques convulsives. Depuis son enfance la malade est très
nerveuse
et'très impres- sionnable ; elle a passé les pr
e- ment et manifesta un vif désir de se débarrasser de la maladie
nerveuse
dont elle-même rejette la cause sur ses abus véné
générescence; les organes intérieurs sont sains. Du côté du système
nerveux
on ne trouve aucun signe de lésion organique, q
quetterie pathologique dans mes « Leçons cliniques sur les maladies
nerveuses
et mentales Il. Var- sovie 1901, p. 482 (en rus
pas de troubles du côté des organes internes ni du côté du système
nerveux
. Les organes génitaux sont bien développés. L
par un aliéniste. Leur clientèle sera donc fatalement réduite à des
nerveux
et des aliénés ; pour la plu- part d'entre eux
signalé les eschares de la région sa- crée. L'influence du système
nerveux
sur les échanges nutritifs ne s'exerce plus que
e les eschares deviennent une source d'infection directe du système
nerveux
.Diffé- HSCHAHES DE LA REGION SACREE. 297 re
rs de la moelle, toutes portent des amas purulents, mais les fibres
nerveuses
ne sont pas détruites ou même seulement altérée
postérieurs ne sont pas sclérosés. A la cauda equina, les faisceaux
nerveux
sont soudés par des masses de pus, mais à mesur
matoire se limite à l'espace sis entre la dure-mère et la substance
nerveuse
avec prédomi- nance postérieure. La dure-mère e
ques étaient lé- sés. 11 est regrettable que ces parties du système
nerveux
n'aient pas été conservées. Ces lésions facilit
ds du corps refoula les matières infectieuses le long des faisceaux
nerveux
et jusque dans le canal vertébral. Deux point
ineuse directe ou indirecte, à toutes les excitations psychiques ou
nerveuses
) peut se transformer en immo- bilité absolue (p
oce serait fonction d'un processus lent de destruction des cellules
nerveuses
, prédominant surtout au niveau des couches prof
et GiNOUx donnent une complète des- cription anatomique du système
nerveux
d'une malade atteinte de paraplégie spastique p
énitales ; syringomyélie congénitale ou lésions diffuses du système
nerveux
. Il. DUFOUR présente le malade qui a fait l'obj
rcogène (Magnan et Laborde 1887. Magnan. Recherches sur les centres
nerveux
2e sé- rie, p. 65. Eaux-de-vie de maïs et de be
apparues à l'âge de treize ans et demie, elle ne présente de crises
nerveuses
. Elle avait quatorze ans, quand son père vient
les uns, elle est due à une lésion d'ailleurs inconnue du systè- me
nerveux
, tandis que les auteurs qui l'ont les premiers dé
tion de Jolly on ne peut pas admettre l'épuisement des terminaisons
nerveuses
motri- ces intra-musculaires (placche motrici)
cette conception,s'oppose la parfaite excitabilité des terminaisons
nerveuses
intramusculaires, qui, on sait, s'épuisent toujou
sion fonctionnelle des centres corticaux qui président à l'appareil
nerveux
de la peau. L'origine corticale de la réaction
t cellules névrogliques, les vaisseaux, mais surtout les cellu- les
nerveuses
toutes gonflées par une masse granuleuse contenan
V.-Ueber den Abbaudes Nervengewebes.(Surladésintégra- lion du tissu
nerveux
) ; par lLZn>;tntEn,de Munich. (Ctrbl. f. Ner-
dans d'autres éléments ; on la ren- contre aussi dans les cellules
nerveuses
et névrogliques. Dans l'idiotie amaurotique,ell
outefois que sous forme d'une très fine poussière dans les cellules
nerveuses
; il existe en même temps un autre pro- duit de
t de désintégration, protagonoide,très abondant dans les cellu- les
nerveuses
, dont la coloration exige des méthodes spéciales.
ncore de distinguer des lésions purement dégénératives des éléments
nerveux
de leur dégé- nération consécutive à un process
L'influence physiologique des vibrations mécaniques sur le système
nerveux
; par STCIEUR13AK. (L'Eiicéphale, 1907, n° 3.
pason, vibra- teur électrique) est capable de « charger » d'énergie
nerveuse
cer- tains appareils du système nerveux que l'o
e de « charger » d'énergie nerveuse cer- tains appareils du système
nerveux
que l'on peut alors » déchar- ger » à l'aide de
ction nécessite l'intégrité des con- nexions entre les terminaisbns
nerveuses
périphériques et la moelle, ainsi que de celles
let, celui-ci se montrant comme un accumulateur important d'énergie
nerveuse
. La nature de ces phénomènes vibratoires semble
enu de l'extérieur,mais dans une nouvelle distribution de l'énergie
nerveuse
propre : sous l'influence des vibrations, des voi
velles,du moins plus faciles.seraient créées au passage de l'influx
nerveux
. Au point de vue thérapeutique l'auteur a obtenu
e ramollissement isché- mique. F. TISSOT. XLI. Examen des centres
nerveux
dans deux cas d'hystérie ; par CLAUDE. (L'Encép
cas d'hystérie ; par CLAUDE. (L'Encéphale,1907, n° 7.) Le système
nerveux
de certains sujets hystériques est loin d'être
arité et un certificat de bonnes vie et moeurs. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XXVIII. - Les maladies nerveuses dans la pratiq
ie et moeurs. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXVIII. - Les maladies
nerveuses
dans la pratique journa- lière ; par Albert Cha
onseils que l'auteur donne aux praticiens sur lafaçon d'examiner un
nerveux
: il n'attache pas à l'interrogatoire l'im- por
ge de l'ophthalmoscope et du laryngoscope dans l'étude des maladies
nerveuses
; il insiste sur les troubles sensitivo-sensorie
que les hyperesthésies.les troubles systémati- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 373 sés du mouvement, les tremblements et les
La psychonévrose hys- térie résulte d'une modification du dynamisme
nerveux
caractéri- sée par un trouble du régime des réf
nctionnement isolé et sans contrôle. Ainsi sont créés des syndromes
nerveux
plus ou moins durables dans les divers domaines
anger lorsqu'elle est judicieusement emplo- 374 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. yée ; les courants électriques faibles, l'exer
à la paralysie complète du muscle. F. Tisser. XXXIII Les accidents
nerveux
du mal de Pott chez les adultes ; (Revue généra
eurs à caractères radiculaires marquent lo début des manifestations
nerveuses
; leur siège n'est pas toujours en rapport avec
cervicale hypertrophique. Le pronostic du mal de Pott avec troubles
nerveux
n'est pas toujours mauvais, la guérison s'ob- s
chirurgical est peu roeommamiahle. F. TisSOT. , REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 375 XXXIV-La compression radiculo-ganglionnair
u liquide céphalo-rachi- dien qui agit en disloquant les fascicules
nerveux
. F. Tissot. XX<TV. - Contribution à l'étude
t, guéri l'une sous la menace d'un divorce, 376 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'autre à la suite de la frayeur qu'il a éprou
in, c'est-à-dire la forme constitutionnelle originelle de faiblesse
nerveuse
, en fai- sant des réserves sur la préexistence
t ; on doit détourner l'attention du sujet et · REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 377 comparer attentivement les deux côtés. Les
tifs indiquant également une excitabilité pathologique des ce-ities
nerveux
exa- gérée exagération des réflexes achilléens;
ta négatif ; seuls les vaisseaux du bulbe 378 8 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. furent trouvés athéromateux. Est-ce à cela que
lésions cutanées, herpès urticaire, impétigo, · REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 37p érythème noueux, pelade, pemphigus, eczéma
u'on peut formuler ainsi : « une irritation quelconque du systè- me
nerveux
exalte la sensibilité du même côté, l'abaisse de
omplètement l'équilibre dynamique de la presque totalité du système
nerveux
. Il y a lieu de tenir compte de ces phénomènes
t à la dose de vingt-cinq gouttes par jour. 380 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. deux membres inférieurs paraît être due à un a
veau d'origine otique, fait d'abord pratiquer · REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 381 une attico-antrotomie ; puis examiner au s
airement à l'opinion, maintenant d'ailleurs 382 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. abandonnée, de Charcot, il y a bien parésie hy
de la vue à droite, puis l'amaurose probable- . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 383 ment sans névrite optique, qui dura six se
ression de la conduction par le nerf facial 3H4 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. le centre réflexe de ce nerf, c'est-à-dire le
s soudés. La malade qui fait l'objet de l'ob- . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 385 servation, toute jeune et acromégale qu'el
vèle Archives, 3' série, 1907," I. Il. 25 386 REVUE de Pathologie
nerveuse
de nombreux signes d'hystérie entre autres la p
mR. (L'Encéphale, 1907, n° 5.) Hystérique chez laquelle le syndrome
nerveux
constaté ne pa- raît pas être sous la dépendanc
vec une sclérose peu avancée, altérations destructives des éléments
nerveux
, périvascularite évidente. Pour expliquer r la
ants des écoles pour tout ce qui concerne les affections du système
nerveux
et en particulier, de l'inspection médicale des
IVERS Hospice de la Salpêtrière. Clinique des maladies du système
nerveux
. M. le Professeur RAYMOND reprendra ses leçons le
commencera ses conférences cliniques sur les mala- dies mentales et
nerveuses
, spécialement chez les enfants, le jeudi 9 janv
tude sur les variations de la pression artérielle dans les maladies
nerveuses
et particulièrement les psychoses. l3roclt. de
I. 3- Série. Décembre 1907. N° 12 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Empoisonnement par les homards conservés en b
ait pas cinq nuits de suite ; depuis cette date, il est devenu très
nerveux
, très irrita- ble ; de temps en temps,il éprouv
'abord de ,\Clll\ï : S, 3' 3" série, 100T, 1. Il. 2G 402 CLINIQUE
NERVEUSE
. nature alimentaire puis bilieux et enfin mélan
anormal, sauf que les bruits du coeur sont un peu étouffés. Système
nerveux
. La marche a le caractère ataxique très prononc
sibilité de la langue et du palais est nor- male. Les grands troncs
nerveux
et les plexus ne sont pas dou- loureux à la pre
cé que sa lettre était très difficile il lire) ; les 401 i clinique
Nerveuse
. paresthésies des mains et des pieds, dit-il, s
pas néanmoins dépourvue d'intérêt. Quant à la ma- ladie du système
nerveux
, son début, son évolution pro- gressive et sa d
leurs et les paresthésies locales, les troubles objec- 40S CLINIQUE
NERVEUSE
. tifs locaux de la sensibilité, de la motilité
nflamma- tion qu'on peut nommer l'acronévrite ; les grands troncs
nerveux
dans ces cas ne sont pas du tout douloureux à la
commun entre eux, tous indiquent notamment l'af- fection des fibres
nerveuses
provenant non de la peau mais des parties profo
utres régions des symptômes or- dinaires de la névrite : les troncs
nerveux
et les plexus ne sont pas douloureux à la press
e parésie. Mais soit que la polyné- vrite affecte les grands troncs
nerveux
ou qu'elle n'affecte que les petites branches t
moment où l'amélioration a commencé, le même carac- 410 CLINIQUE
NERVEUSE
. tère partiel persistait toujours ; 8 jours apr
rite dans notre cas, si on n'admettait pas l'af- fection des filets
nerveux
les plus minces innervant les territoires déter
et ne perce- vait pas les autres. Quant à l'affection des filets
nerveux
terminaux, il de- vient indispensable de la rec
les anastomoses extrêmement riches entre les différentes branches
nerveuses
; dans ces circonstances anatomiques, l'affectio
MPOISONNEMENT PAR LES HO ? 1RDS CONSERVÉS EN 1301TC. 411 des filets
nerveux
les plus minces qui sont atteints au- delà de l
des doigts portaient leur attention particulièrement sur les filets
nerveux
sensitifs de la peau (Arloing et Tripier, Brook
ux, le Dr Saposchkof décrit et représente par des images les filets
nerveux
les plus minces qui provien- nent des nerfs dor
notre cas. Dans ce cas, simultanément, sont affectées des branches
nerveuses
plus fortes (les troubles diffus de la sensibil
utre ce processus, il faut reconnaître encore une lésion des filets
nerveux
les plus minces dans le voi- sinage des articul
et périphérique ; d'après l ? n : mm : (Srl1¡Nn/pllir, 'III système
nerveux
, p. 88 : 3) on trouve fré- qneuuenL des n|ié|ip
la sensation de direction de ce mouvement pissociees). 412 CLINIQUE
NERVEUSE
. cipalement certaines petites branches périphér
er enfin la disparition de cette hypoesthésie. Ainsi les branches
nerveuses
destinées à la face palmaire de la main et à la
l'ataxie aiguë dans notre cas par une lésion quelconque du système
nerveux
cen- tral. « L'ataxie aiguë » en soi n'est pas,
éd. ci de fJll(/r11l. militaires, 1886, v. 9, p. 11. , 416 CLINIQUE
NERVEUSE
. consommés frais, soit par les conserves, on a
- tômes plus délicats, les symptômes objectifs du côté du système
nerveux
(du côté de la pupille, des réflexes, de quelqu
s, 1961, p. 360. . Archives, 3" série, 1907, t. Il. 7 ho CLINIQUE
NERVEUSE
. poisonnement non par les homards frais mais co
lsions ; pas de rhumatismes, pas de chorée ; pas de 4' ? 0 clinique
nerveuse
. fièvre typhoïde ; aucun indice de syphilis ; p
s de fièvre typhoïde. Elle est sobre, de caractère calme, nullement
nerveuse
. De- puis un an, est atteinte fréquemment au mo
é 36 heures. C'est à la suite de ces convulsions que li 22 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'enfant aurait eu de la paraplégie; et le méd
meil. Epilepsie ; tableau des accès et dos vertiges. 424 CLINIQUE
NERVEUSE
. normale ; les selles sont régulières, sans con
t; r R. 1 P M - 4 t5 C. M .r, et c 12c CLINIQUE
NERVEUSE
. Face allongée, pas de cicatrices. Arcades sour
n cri plaintif et ses membres supérieurs et inférieurs 4 ? CLINIQUE
NERVEUSE
. sont animés de violentes secousses cloniques,
nt la tempé- rature ambiante 9 heures après la mort. 430 CLINIQUE
nerveuse
. en forme de grosse amande allongée, pèse envir
8 vertiges. La coexistence des accès et des vertiges - t32 clinique
nerveuse
. semble lui faire perdre le peu d'intelligence
nombre de cas. Archives. 3- série, 1PC7, t. II. 28 434 CLINIQUE
NERVEUSE
. Dans d'autres cas, après cette période convuls
n) du complexus psycho-somatique ». On peut ad- mettre que, chez le
nerveux
, la force musculaire est conservée et qu'il y a
que, chez le neurasthénique, au contraire, il y a déficit d'énergie
nerveuse
, capable d'entraîner des paralysies passagères
I Quelques points du traitement précoce des maladies men- tales et
nerveuses
(principalement en ce qui concerne les pau- vre
du territoire, des établissements pour le traite- ment des maladies
nerveuses
et des cas de folie à la période du dé- but où
a été ouvert cette année à Brighton et où l'on soigne tous les cas
nerveux
,sauf ceux qui nécessitent l'inter- nement dans
uberculose parentale prépare un développement imparfait des centres
nerveux
et est capable à elle seule, comme l'alcoolisme o
hologiquedesnévrosesenglobe tout un ensemble disparate d'affections
nerveuses
, sous le pré- texte que leurs lésions nous sont
et l'alternance sont tributaires de l'automatisme. Dans le domaine
nerveux
, les fonctions les plus automatiques se montren
1<ESTl ! OPATIlIES. Les -, par Dupré et Camus, p. 208. Centres
nerveux
. Voir Hystérie. Cervelet. Voir Encéphalite. C
dans la - maniacluc dépressi- vc, par Ducostc, p. 83. Fonction
nerveuse
. Sur la -- trophique, par Trendelenburg, p. 5
Hypophyse. Voir Tumeurs. Hypothermie. Trois cas d' - d'origine
nerveuse
, par Mar- chand et Olivier, p. 156. Hystérie.
nition et nature de l' -, par Crocq, p. 365. Exa- men des centres
nerveux
dans deux cas d' -, par Claude, p. 371. Consi
er- veux du -- chez les adultes, par Alcluicr, p. 374. Maladies
nerveuses
. Les - - dans la pratique journalière, par Ch
l- ques points du traitement pré- coce des maladies mentales et
nerveuses
(principalement en ce qui concerne les pauvres)
évolution rapide, par Verger, p. 384. Voir Radiothérapie. Système
nerveux
; Séméiologie du-, par Dufour, p. 94. ? Voir V
midité morbide guérie par la suggestion, par Damoglu,p. 89. Tissu
nerveux
. Sur la désinté- gration du - -, par Atxhei-
Vibrations mécaniques. L'in- fluence physiologique sur le système
nerveux
, par Stcher- back, p. 370. Vieillesse. Introd
MPLÈTES DE J. M. CHARCOT LEÇONS sur les MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
RECUEILLIES ET PUBLIÉES par MM. BABINSKI, B
Sommaire. — Création de la chaire de clinique des maladies du système
nerveux
. — Moyens d'étude : hospice-hôpital, consultation
— Légitimité de la spécialisation de l'enseignement de la pathologie
nerveuse
. — Intervention des sciences anatomiques et physi
ont illustrés, deviendrait quelque jour, pour les maladies du système
nerveux
, un centre régulièrement organisé d'enseignement
mettre en pleine valeur ! Charcot. Œuvres complètes,, t. m, Système
nerveux
, 1 Cette opinion, depuis l'époque, je n'ai jama
le émotion, je l'avoue, la chaire de clinique des maladies du système
nerveux
, mes premières paroles seront l'expression de ma
de tout genre, de celles en particulier qui ont pour siège le système
nerveux
. Tel est le matériel considérable, mais nécessa
e photographie; un 1. Limité à la réception des maladies du système
nerveux
. laboratoire danaiomie et de physiologie pathol
sances générales. Il était donc légitime que la pathologie du système
nerveux
qui, à l'avenir, devra absorber tous les efforts
nt ces trente dernières années, a reculé les limites de la pathologie
nerveuse
et en a rendu la spécialisation légitime, la Fran
it se faire qu'en créant, pour l'enseignement des maladies du système
nerveux
, une chaire magistrale. Car, seule, une chaire oc
n vain mot. S'il fallait, dans la catégorie des maladies du système
nerveux
, montrer toute la puissance de cette méthode, il
s'est montré vrai, surtout en ce qui concerne les maladies du système
nerveux
. Un^exemple suffira pour montrer que lavdécouyerl
grand nombre d'états morbides, ayant évidemment pour siège le système
nerveux
, et qui ne laissent sur le cadavre aucune trace m
mple concret, choisi entre Chargot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 2 bien d'autres, et propre, si je ne me trompe
la jointure est aussi parfaitement libre; c'est donc dans le système
nerveux
ou dans les muscles qu'il faut chercher la cause
nique se contracte au con- Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 3 Dans ce cas, l'affection spinale d'origine a
les mêmes effets que dans les cas où il existe une lésion des centres
nerveux
; la paralysie spasmo-dique des membres sans rigi
s faire connaître, en 1837, dans son livre sur certaines affections
nerveuses
locales, cite des contractures du membre supérieu
hez un jeune sujet qui, jusqu'à ce jour, n'a présenté aucun phénomène
nerveux
; regardez-y de près, et, vraisemblablement, vous
connue, sans douleur. Peu de temps après, il se produisit des crises
nerveuses
avec rires, pleurs, cris. En août dernier, à la s
hoses d'un peu près. L'existence d'un blé-pharospasme chez des sujets
nerveux
, hystériques, n'est pas une chose rare, qui doive
jeune fille à Saint-Pétersbourg' : en effet, une opération de section
nerveuse
a été préparée, la malade a été chloroformisée ;
une attaque de nerfs plus Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 4 ou moins légitime est imminente. Nous n'avon
ui permettent de rapprocher ces amyotrophies des myopathies d'origine
nerveuse
: à savoir, l'irrégularité de l'atrophie, qui att
e spasmodique des muscles. Chàrcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 5 Veuillez remarquer que la contracture spasmo
spinal déterminent tantôt une exaltation des propriétés des cellules
nerveuses
, d'où dérive la contracture musculaire ; tantôt,
l est des cas dans lesquels la dépression fonctionnelle de la cellule
nerveuse
paraît se développer primitivement d'emblée : ain
eures ; il paraît se remettre complètement, en apparence; mais il est
nerveux
, irrilé ; il peut se remettre au travail, cependa
ique, depuis quelques semaines, et qui présente une série d'accidents
nerveux
assez intéressants. Tous ces accidents, comme vou
a tendance Voir p. 38. Chakcot. LEuvres complètes, t. ni, Système
nerveux
. 6 hystérique qui s'est manifestée dans ces der
tre relevé ; c'est que, en agissant sur les muscles et sur les troncs
nerveux
, la faradisation détermine des contractions muscu
ulement la peau, mais encore les parties profondes, muscles et troncs
nerveux
, puisqu'on peut, en excitant les nerfs et les mus
péricardite consécutive à la scarlatine; mais sans que les accidents
nerveux
se fussent reproduits. Parmi toutes les observa
ses parents sont en bonne santé, le père est très impressionnable et
nerveux
, mais sans rien de bien caractérisé. Vous voyez l
ude paternelle, laquelle ne fait que provoquer l'exaltation de l'état
nerveux
, ou, du moins, de la part du père, un maintien pl
ne excitation extérieure. Charcot. Œuvres complètes, t. ui, Système
nerveux
. 7 J'ajouterai que si l'un de ces faits est rel
ormation, les parents étant affectés d'une autre affection du système
nerveux
, de folie, d'épilepsie, etc. Parmi les antécéde
défaut chez notre malade, elle présente cependant nombre de troubles
nerveux
qui constituent autant de stigmates caractéristiq
uels la volonté du malade Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système
nerveux
. 8 n'entre pour rien, absolument pour rien. Je
tendant à établir que certaines lésions des extrémités, ou des troncs
nerveux
peuvent retentir sur le centre spinal et y déterm
scialique, un peu après leur sortie de l'échan-crure. Les deux troncs
nerveux
ont donc pu, et ils ont dû être simultanément sou
hute sur la fesse, alors que celle-ci porte sur un plan uni, le tronc
nerveux
reste protégé. Vous voyez que les conditions d'un
eux éléments: a) douleur permanente, localisée sur le trajet du tronc
nerveux
, particulièrement en certains points où la pressi
l'ignorez pas, la suivante : on admet que l'irritation dont les tubes
nerveux
centripètes affectés sont le siège, remonte en qu
trophique. En conséquence, les muscles auxquels se rendent les tubes
nerveux
centrifuges qui naissent de ces éléments ganglion
t où il s'agit d'une scia- Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 9 tique survenue à la suite d'un accouchement
muscles innervés par le grand et le petit sciatiques, les deux troncs
nerveux
simultanément contus, sont, pour la plupart, prof
pourrait à la rigueur s'expliquer, en admettant une lésion des tubes
nerveux
moteurs, développée au-dessous du point contus, e
ésion éteinte, ou ayant même peut-être sur les points où les éléments
nerveux
ne sont pas complètement détruits une certaine te
senter ; diabète, certaines méningo-myélites ; compression des paires
nerveuses
au niveau des trous de conjugaison. — Pseudo-névr
a) Dans le diabète, il n'est pas très rare d'observer des troubles
nerveux
très divers1, parmi lesquels il convient de signa
alysie ou uneparésie des membres 1. Bernard et Féré. — Des troubles
nerveux
observés chez les diabétiques* In Arch. de neurol
soit sur les nerfs inler- Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveuse
. 10 costaux, soit sur les nerfs lombaires ou sa
ississement de 6 à 7 millimètres ; 2° en une altération des racines
nerveuses
qui traversent la méninge enflammée, et qui sont
sous le nom de main de prédicateur. A quoi cela tient-il ? Les tubes
nerveux
qui constituent le radial naissent-ils plus haut
eront reprises et publiées ultérieurement. élevées de notre système
nerveux
central ; car si, à proprement parler, elles ne f
. Si nous interrogeons Yhérédité, nous ne trouvons aucun antécédent
nerveux
dans sa famille ; son père est encore vivant et b
ubliés, il n'ose pas s'a- Charcot. Œuvres complètes, t. tu, Système
nerveux
. il venturer seul. Il reconnaît parfaitement le
, dans le domaine de l'artère pariétale, et, en conséquence, le tissu
nerveux
a subi dans cette région des altérations plus ou
d'infirmité indélébile. Charcot. Œuvres complètes, t. iii, Système
nerveux
. 12 TREIZIÈME LEÇON o Sur un cas de suppr
s lui semblaient nouvelles et étranges autour de lui. Il était devenu
nerveux
et irritable. En tous cas, la mémoire visuelle de
édecine, octobre, 1835.) Cuarcot. Œuvres complètes, t. iii, Système
nerveux
. 13 amyotrophies progressives demande à être re
lus ou moins généralisée est indépendante de toute lésion des centres
nerveux
ou des nerfs périphériques. 11 s'agit donc ici d'
apporter toutes ces myopathies progressives à des lésions des centres
nerveux
. Il y a, disais-je alors, des myopathies primitiv
fonctionnelle, impotence non paralytique, c'est-à-dire non d'origine
nerveuse
, mais plus ou moins exactement correspondante, se
te ni atrophie ni hyper- Charcot. Œuvres complètes, t. iii, Système
nerveux
. li Irophie, il existe des troubles des mouveme
ge de l'attaque d'hystérn Ciiarcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. lo convulsive. Enfin se produisent des mouveme
tant un pénitencier militaire et adonnée au spiritisme. Antécédents
nerveux
et rhumatismaux. — Description des attaques; hall
p. 550. Madame X...., âgée de 36 ans et mariée depuis 1879, est une
nerveuse
; elle est impatiente, vive, très émotive : jamais
es environs du pénitencier. Dès son bas âge, elle a toujours été fort
nerveuse
: au couvent, comme chez elle, elle était désobéi
sister à la genèse et à l'évolution de la maladie dans une famille de
nerveux
et à'arthritiques, tributaires partant de deux di
it déclarée ; Vabsence du père et de la mère devenus eux-mêmes très
nerveux
, et dont la présence devait, d'après mon expérien
sible, l'élément psychique Chaucot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 16 joue dans la plupart des cas un rôle consid
e, en France, et par \V. Cuil., en Angleterre, sous le nom d'anorexie
nerveuse
ou ^anorexie hystérique. Les malades ne mangent p
ticulier. Ce que je viens de dire, en effet, à propos de l'anorexie
nerveuse
, je pourrais le répéter à propos de la plupart de
our ce qui est de nos enfants, je crois que, malgré la prédisposition
nerveuse
qui, chez eux, semble si accentuée, les voilà dés
cupé de cette question en Angleterre 2, que beaucoup de ces accidents
nerveux
désignés sous le nom de Railway-spine et qui, d'a
hock, London, 188ii. vent c'est l'hystérie qui est enjeu. Ces états
nerveux
, graves et tenaces, qui se présentent à la suite
en pareille occurrence, d'autant plus utile, que souvent les (roubles
nerveux
se produisent en dehors de toute lésion traumatiq
de toute lésion traumatique et simplement à la suite de l'ébranlement
nerveux
psychique qui résulte de l'accident et que, fréqu
vail de trois ou quatre mois, une autre sera sous le coup d'accidents
nerveux
qui vont peut-être l'empêcher de travailler penda
croiront, je suppose, s'il existe des troubles sensoriels avec crises
nerveuses
simulant plus ou moins la crise comi-tiale, aune
tpkal. Bd. XV. Heft 2 et 3. Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système
nerveux
. 17 contient,d'ailleurs,un grand nombre de fait
Rig..., a eu sept frères et sœurs qui ne présentaient pas de maladies
nerveuses
. Quatre sont morts; parmi les trois restants, une
nnaître. En premier lieu, je signalerai particulièrement l'hérédité
nerveuse
si fortement accentuée dans sa famille : hystérie
ût-il suffi à lui seul, pour provoquer le développement des accidents
nerveux
? Cela est possible, mais je ne saurais l'affirmer
paralysie survenue sans attaques. Sa mère, morte tuberculeuse, était
nerveuse
, mais n'avait jamais eu d'attaques. Les antécéd
ecret. L'autopsie absolument négative, en ce qui concerne les centres
nerveux
, est venue confirmer pleinement le diagnostic.
lui assigne dans sa remarquable monographie est l'une des affections
nerveuses
qui se développent le plus fréquemment, en conséq
mère encore vivante, qui paraît n'avoir jamais souffert d'affections
nerveuses
. Il a eu sept frères et sœurs ; un seul de ses fr
frères est vivant : il n'a jamais été malade, paraît-il, et n'est pas
nerveux
. Vers l'âge de 12 ou 13 ans, G. est devenu très
al paraît satisfaisant. L'é-Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système
nerveux
. 18 tat mental n'a présenté actuellement aucune
ve, pour que, pendant quelques jours, il souffrit de légers accidents
nerveux
tels que coliques, douleurs et secousses dans les
parfois plusieurs accidents spasmodiques ou autres, tels que la toux
nerveuse
, les contractures permanentes, certaines arthralg
, bien musclé, mais le fonc-Chaucot. Œuvres complètes, t. ni, Système
nerveux
, 19 tionnement du système nerveux a toujours la
Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux, 19 tionnement du système
nerveux
a toujours laissé chez lui beaucoup à désirer. De
ndes ; on peut, en effet, faradiser fortement les muscles, les troncs
nerveux
eux-mêmes, tirailler énergiquement les ligaments
Sa mère est morte à 59 ans d'une maladie du foie ; elle était fort
nerveuse
; P... se souvient de l'avoir vue plusieurs fois,
e. Son père, grand buveur d'absinthe, n'a jamais présenté d'accidents
nerveux
. Sa sœur est souvent prise d'attaques de nerfs, p
e qui suit : Dans l'enfance, bien qu'il ne fut pas particulièrement
nerveux
, lorsqu'il se trouvait seul, il avait peur, dit-i
ue la faradisation, même énergique, soit des muscles, soit des troncs
nerveux
, alors qu'elle provoque cependant de fortes contr
éaction de dégénérescence Gharcot. Œuvres complètes, t. ni, Système
nerveux
. 20 D'un autre côté, pas de teinte livide ou vi
dans l'hypothèse d'une contusion agissant directement sur les trajets
nerveux
, elle eût dû intéresser, non seulement le plexus
e genre. Le siège du mal doit être cherché ailleurs, dans les centres
nerveux
par conséquent ; s'agit-il donc d'une lésion orga
quoi s'agit-il donc alors? A n'en pas douter, une lésion des centres
nerveux
est présenle dans ce cas ; mais où siége-t-elle,
. Séance du 27 mars 1885. CiuncoT. Œuvres complètes, t. ni, Système
nerveux
. 21 Je relèverai tout d'abord ce fait que, chez
*, par Weir Mitchell enfin, dans son excellent livre sur les maladies
nerveuses
des femmes 4 ; pour mon compte, je n'ai pas encor
e. — Erlangen, 1869. 3. Charcot, Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, lre édit.., 4e édit., p. 351. — 12e leçon.
cret), l'autopsie absolument négative, en ce qui concerne les centres
nerveux
, est venue confirmer pleinement le diagnostic.
J.-M. Charcot, Essai d'une distinction nosographique des divers états
nerveux
compris sous le nom d'hypnotisme. Note comm. à l'
L'homme plus que machine. Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 22 ainsi que nous l'avons fait voir, M. Richer
s haut degré, les parties profondes, à savoir les muscles, les troncs
nerveux
, les ligaments, etc. Ainsi l'on peut, vous le voy
ts de torsion ou d'élongation les plus violents, faradiser les troncs
nerveux
et les muscles au point de produire dans ceux-ci
s haut, la notel, p. 316. Charcot. Œuvres complètes, t. ra, Système
nerveux
. 23 abolition des notions du sens musculaire. L
de se demander si l'étal mental occasionné par l'émotion, par le choc
nerveux
(Nervous Shock) éprouvé au moment de l'accident e
l'hypnotisme ; dans l'autre cas, ainsi qu'on l'a imaginé, par le choc
nerveux
, cette idée une fois installée, 1. C'est très p
n mécanisme de ce genre que se développe la plupart de ces affections
nerveuses
variées, souvent si durables et si tenaces, bien
ression exercée sur les masses musculaires, les tendons ou les troncs
nerveux
(contracture des léthargiques), et l'immobilité c
st, dans le for intérieur, le mouvement lui-même. Elle est le courant
nerveux
actif qui, dirigé sur les nerfs appropriés, donne
e d'un mouvement particulier, avait dit Slùller, détermine un courant
nerveux
vers les muscles impliqués et produit leur contra
, j'ai été témoin plus d'une fois [Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. I, 3e édit., p. 33G et s. — P. Janet. Revue p
I'Appe.ndice I, p. 441. Ciiarcot. Œuvivs complètes, t. iii, Système
nerveux
. 24 VINGT-TROISIÈME LEÇON Sur tin cas de coxa
al Affections, p. 35 et seq. Les leçons de Brodie, sur les affections
nerveuses
locales, ont été traduites en français, par le D1
il n'a notamment jamais éprouvé, à aucune époque de sa vie, de crises
nerveuses
ni de manifestations rhumatismales. Il exerce l
coxalgie. — Caractères de la coxalgie hystérique artificielle. —Shock
nerveux
. — Suggestion traumatique. — Méthode de traitemen
'âge de 7 ans, contracture douloureuse du pied droit. A 9 ans, crises
nerveuses
. A l'âge de 10 ans, reprise des crises nerveuses.
oit. A 9 ans, crises nerveuses. A l'âge de 10 ans, reprise des crises
nerveuses
. A 11 ans, survient une douleur de la hanche droi
ssion complète qui fait croire à l'existence d'une affection purement
nerveuse
et on laisse, en conséquence, l'enfant marcher. U
de 18 ans. Antécédents héréditaires nuls. A 6 ans et à 14 ans, crises
nerveuses
nombreuses qui paraissent avoir été des accès d'h
, à l'état, qu'en Angleterre on est convenu d'appeler du nom de shock
nerveux
{Nervous shock), par opposition au shock traumati
e souvent, d'ailleurs, mais dont il peut rester indépendant. Ce shock
nerveux
se produit quand survient une émotion vive, une f
ochement que je vous indique entre l'état mental produit par le shock
nerveux
et celui qui caractérise la période som-nambuliqu
de ce genre; le traumatisme qu'il a subi a produit chez lui un shock
nerveux
et l'état mental correspondant à celui-ci. Sans d
gie permanente, qu'en raison de l'état psychique produit par le shock
nerveux
. Telle est, Messieurs, la théorie que je propos
égies dites hystéro-traumatiques, — fracture de l'avant-bras, — shock
nerveux
; ce que c'est que le shock local : son rôle dans
on a dû le porter chez un pharmacien. Il est probable que le shock
nerveux
qu'il a éprouvé là a été assez profond, car, actu
oids de quarante livres. » Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 26 Le membre, d'ailleurs, paraîl avoir été abs
nt, sont le résultat d'une participation par voie réflexe des centres
nerveux
. On peut, croyons-nous, sans forcer les analogies
neuil, seraient le résultat de la compression des troncs artériels et
nerveux
par un épanche-ment profond ; il suffit, en effet
du tissu cellulaire sous-cutané. La compression portant sur un tronc
nerveux
aurait pu, à la rigueur, produire la paralysie d'
se développent à la suite de certaines lésions organiques des centres
nerveux
: lésions, vous le savez, diverses quant à leur n
tôme pouvant se rapporter à une lésion organique en foyer des centres
nerveux
, par les résultats que nous donne la recherche de
s phénomènes d'hystérie locale, in Leçons sur les Maladies du système
nerveux
, t. I, p. 449. Appendice, et, dans ce volume les
al, n° 41,9 octobre 1886.) Chakcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 27 l'expérience a été plus souvent répétée et
d'une excitation périphérique entraînant la participation des centres
nerveux
, suivant le mécanisme des actes réflexes. Par ce
. 1. Charcot, Œuvres complètes : Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III, 1er fascicule, p. 123. 2. Le 18 octobr
édecin malgré lui, scène VI. Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 28 à un prêtre, dont elle croyait avoir eu à s
ers, il est aujourd'hui au service de la Compagnie du Gaz. L'hérédité
nerveuse
ne semble pas exister chez lui. Pas de maladies a
, la modification mentale appropriée est déterminée par l'ébranlement
nerveux
général [iier-vous shock) qu'a nécessairement pro
ble parésie paraplégique accompagnée parfois de tremblement1. Le choc
nerveux
cérébral (nervous-shock), inséparable de l'émotio
tations hystériques, se montrent fréquemment en conséquence d'un choc
nerveux
(Nervous Shock), plus particulièrement quand le c
manœuvre. Jamais il n'a été malade jusqu'ici; il ne parait nullement
nerveux
et ne sait pas ce que c'est qu'une attaque de ner
pas jouer chez lui un grand rôle. 11 ne paraît pas qu'aucune maladie
nerveuse
ait existé dans la famille. Mouil... était en é
t développé par le fait de l'ébranlement cérébral produit par le choc
nerveux
. On remarquera que la paralysie motrice n'a pas é
nt leur sub-stratum organique, et plus précisément, dans les cellules
nerveuses
motrices de ces centres. Elles seraient principal
palement constituées parle « sentiment d'innervation », de « décharge
nerveuse
» comme on l'appelle encore et auraient, je le ré
faire défaut, en conséquence d'une lésion survenue dans les cellules
nerveuses
du centre moteur cortical d'un membre, ou dans le
blable, de plus, que dans Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système
nerveux
. 30 ces faits de paralysie par suggestion hypno
, les noyaux gris sous-corticaux et bulbaires, ainsi que les cellules
nerveuses
spinales qui, dans l'état normal, sont en relatio
mouvement musculaire coïncide avec le courant centrifuge de la force
nerveuse
et ne résulte pas, comme dans la sensation propre
ent ne paraît pas être clans les muscles, mais bien dans les cellules
nerveuses
motrices... Nous n'avons pas seulement la sensati
s étourdissements. Sa mère et sa sœur ne présentent pas de phénomènes
nerveux
anormaux. Quand à notre malade elle-même, elle
de M. Ciiarcot, recueillie par M. le Dr Marie. ques. Ces accidents
nerveux
n'ont duré qu'une année, de 16 ans à 17 ans; ajou
implique pas fatalement l'idée d'une altération matérielle du système
nerveux
, appréciable à nos moyens d'investigation ; elle
ités. Or, il s'agit là d'une altération purement dynamique du système
nerveux
; les centres gris de la moelle et les nerfs périp
séance du 20 février 1886. Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système
nerveux
. 31 phie développée du côté paralysé, dans une
topsie n'a pas encore parlé; il est certain qu'elle dépend du système
nerveux
central ; or, puisque les cornes antérieures de l
dans le second cas, les modifications des diverses parties du système
nerveux
sont toutes dynamiques. Quelles que soient, du
hypocondriaque et a fini par se suicider. Grand'mère maternelle, très
nerveuse
, morte à 72 ans, d'un catarrhe (?). Il y avait eu
e tuberculeuse à l'âge de 57 ans; avait des crises épileptiques. Mère
nerveuse
, très emportée, morte de phtisie; a eu huit enfan
cette époque (fin 1871) que survient la première grande manifestation
nerveuse
. Pendant un souper avec quelques amis, il est pri
es ne parviennent pas à le réveiller. Yers le matin, éclate une crise
nerveuse
avec délire terrible. Le médecin crut à une ménin
ui. Rechute, quelques jours plus tard; application de sangsues, crise
nerveuse
encore plus terrible que la première, mais la f
étoulfe-menls, il entra dans une pharmacie où il fut pris d'une crise
nerveuse
analogue aux précédentes, mais qui ne dura que de
1885. Ce qu'on peut apprendre, c'est qu'il a eu, en 1884, cinq crises
nerveuses
ressemblant aux premières (en 18G9) en un mois
e, service de M. Charcot. Homme, âgé de 30 ans. La première attaque
nerveuse
eut lieu en septembre 1882. Depuis le mois de jan
lques mots l'observation sui-Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système
nerveux
. 32 vante d'aphasie hystérique, chez une enfant
médecins ont qualifié de chorée hystérique. Le père lui-même est très
nerveux
. Jusqu'à ces dernières années, l'hystérie ne s'
de 28 ans, entrée à l'hôpital de la Pitié le 27 mars 1885. Mère très
nerveuse
; père hypochondria-que. Il y a deux ans, la malad
harynx. Signes de phlhisie pulmonaire commençante. La malade est très
nerveuse
, pleure sans motifs et entre dans des accès de co
ir. Leur caractère est typique; survenues subitement, chez des sujets
nerveux
, elles sont le plus souvent bilatérales et porten
ce qui confirme la nature psychique, centrale de cette manifestation
nerveuse
, c'est que les muscles du larynx ne sont pas touj
'un maître rompu à toutes les difficultés du diagnostic désaffections
nerveuses
, préciser aussi nettement et du premier coup d'œi
Progrès médical, 1S8^, n° S. Charcot. Œuvres complètes, il m, Système
nerveux
. 33 donner aux lettres. On a pu s'assurer, d'ai
a substance. — Voir aussi Charcot: Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III, p. 154. 2. Une autre observation d'agr
Sommaire. — Création de la chaire de clinique des maladies du système
nerveux
. — Moyens d'étude : hospice-hôpital, consultation
— Légitimité de la spécialisation de l'enseignement de la pathologie
nerveuse
. — Intervention des sciences anatomiques et physi
ésenter; diabète^ certaines méningo-myélites ; compression des paires
nerveuses
, au niveau des trous de conjugaison. — Pseudo-név
nt un pénitencier militaire et adonnée au spiri. tisme. Antécédents
nerveux
et rhumatismaux. — Description des attaques; hall
cette affection : Bailway- Charcot. Œuvres complètes, r. m, Système
nerveux
. 34 spine. — Ténacité des stigmates hystériques
oxalgie. — Caractères de la coxalgie hystérique artificielle. — Shock
nerveux
. — Suggestion trauma-tique. — Méthode de traiteme
légies dites hystéro-traumatiques ; fracture de l'avant-bras; — shock
nerveux
. Ce que c'est que le shock local : son rôle dans
dans la paralysie-hystérique, 446; — dans les névrites, 308. Shock
nerveux
, 355, 392, 403; — local, 402. Simulation, 1620;
ralysie faciale, 414. Spécialisation de l'enseignement des maladies
nerveuses
(Légitimité de la —), 7. Spinale (Exemple d'une
es, 344, 351, 402 ; — traumatique, 354, 357, 392, 393, 402. Système
nerveux
(Organisation de la chaire de clinique des maladi
-thésiques,37, 97 ; — leur influence sur le développement de troubles
nerveux
en dehors de l'hystérie, 399; — et hystérie, 250,
MALADIES DES MALADIES MENTALES DES MALADIES CUTANÉES ET DU SYSTÈME
NERVEUX
SYPHILITIQUES PAR' PAUL RICHER GILLES DE la T
nés d'accès répétés d'an- gine de poitrine. Il n'y a aucune maladie
nerveuse
ni mentale dans sa famille. Ses parents sont mo
yélique et qui a été observé dans bien d'autres affections du système
nerveux
. Dès lors on a pu constater chaque jour l'exist
vision de Nachet, tel qu'il est décrit dans l'Anatomie des centres
nerveux
de Déjerine (Paris, 1895, p. Si). La pyramide
e aussi une légère prolifération de la né- vroglie, mais les fibres
nerveuses
y sont normales. Les lésions de l'olive gauche
érébral, on constate une dégénéres- cence considérable des cellules
nerveuses
et leur disparition en masse, dans la région où
t atrophiée à gauche qu'on zip aperçoit que quelques rares cellules
nerveuses
normales; la plupart des cellules sont réduites i
tie dorsale de cette substance, est aussi très appauvrie en libres
nerveuses
. Cervelet. Les modifications les plus prononcée
avasations sanguines, en partie organisées, et des restes de fibres
nerveuses
atrophiées et désagrégées. Il n'y a pas trace d
pédoncule cérébelleux moyen que par une étroite languette de tissu
nerveux
. Pédoncule cérébral. Les modifications produite
a calotte du pédoncule céré- bral droit sont plus pauvres en fibres
nerveuses
que les mêmes régions à ga'uche. Les libres qui
ravasations sanguines et dans le voisinage des vaisseaux les fibres
nerveuses
sont atrophiées; on y remarque des lacunes, mai
lo-optique de la capsule interne à droite. On y remarque des fibres
nerveuses
brisées et dispersées, mais non dégénérées, ce
grave pour entraîner un trouble des fonctions des divers faisceaux
nerveux
touchés, des voies pyramidales, par exemple. Pe
qu'il existe dans cette région une diminu- tion sensible des fibres
nerveuses
. Nous avons constaté dans notre cas un aminciss
préciables, mais on y constatait une diminution certaine des fibres
nerveuses
. Il en était de même dans la ré- gion sous-thal
de l'atrophie du noyau rouge, et non pas à une atrophie des fibres
nerveuses
elles-mêmes. Le noyau rouge était tout à fait a
s ni avec les vaisseaux. La muqueuse stomacale est saine. Système
nerveux
. Le cadavre a été presque entièrement disséqué au
ction a permis de constater les faits suivants : Les- gros troncs
nerveux
(cubital, radial, médian, sciatique, crural), les
ntent rien de particulier. Si l'on prend isolément un petit tronc
nerveux
, par exemple à la cuisse un rameau sous-cutané
nté- ressantes (Planche VI, B).Ainsi sur le trajet de cette branche
nerveuse
on voit se succéder sans interruption quatre no
e faisceau 1 s'est développé un fibrome qui a dissocié les fibres
nerveuses
; le néoplasme est encapsulé par la gaine lame
isceaux 1, 2, 3, sont intéressés par la coupe. On suit les fibres
nerveuses
de la partie saine du faisceau 1 dans la partie
e noyaux; 4, tissu conjonctif interfasciculaire avec ramuscules
nerveux
5. Coupe F Coupe de la peau de la région sous
son & Ci, Editeurs neurofibromatose généralisée 33 Les troncs
nerveux
en apparence normaux ou les portions des troncs n
Les troncs nerveux en apparence normaux ou les portions des troncs
nerveux
intermédiaires à deux neurofibromes ne sont pas
permet de reconnaître. Sur une même cou- pe transversale d'un tronc
nerveux
non déformé comme le sciatique par exem- ple (P
donnance des nodules fusiformes développés sur le trajet des troncs
nerveux
. Le nodule est constitué par la réunion de tous
s. Autrement dit un nodule tron- culaire est constitué de faisceaux
nerveux
normaux et de nodules fibromateux fasciculaires
e ce tissu dans la presque totalité des coupes on trouve des fibres
nerveuses
à myéline. Leur disposition doit être étudiée sur
et longitudinales. Sur une coupe transversale on trouve des fibres
nerveuses
avec leur gaine de myéline. Ces fibres ont leur
dinalement coupé. La diversité de ces figures prouve que les fibres
nerveuses
ont dans leur traversée du fibrome un trajet asse
ent- noble, le cul-de-sac sébacé, le tube sudoripare comme la fibre
nerveuse
gardent au milieu de la néoplasie qui les englo
ement que la surface de coupe du nodule est plus grande. Les fibres
nerveuses
sont rarement au centre même des nodules. Les g
t d'assez nombreux noyaux, des fins vaisseaux et quelques faisceaux
nerveux
. Les nerfs extra-musculàires sont les uns norma
décrit et figuré des fibromes nettement développés sur les rameaux
nerveux
de l'intestin, en revancheRecklinghausen est beau
inductions. Il n'a pas constaté d'une façon indiscutable l'origine
nerveuse
de ces tu- meurs intestinales, mais il fonde sa
ulaire, au milieu de laquelle court le faisceau dissocié des fibres
nerveuses
intactes. Quelques coupes de ces nodules ne ren
tactes. Quelques coupes de ces nodules ne renferment pas des libres
nerveuses
; , n'importe, c'est toujours la môme figure his
st là, comme la signature du neurofibrome. S'il n'y a pas de fibres
nerveuses
sur ces coupes, ce n'est pas en effet qu'elles on
nous répétons que la néoplasie respecte l'élément noble du faisceau
nerveux
), c'est que la coupe a porté sur un segmenl du
orté sur un segmenl du neurofibrome que ne traverse pas le faisceau
nerveux
dissocié. Les autres * tumeurs au contraire son
se intra-fasciculaire encerclée par la gaine lamelleuse du faisceau
nerveux
? Ne doit-on pas considérer qu'à côté de la neu
matose cutanée qui semble s'être déve- loppée en dehors des rameaux
nerveux
,dans le tissu con,jonctif périlandu- laire. A c
qui respecte l'élément noble dans lequel il se développe, ici fibre
nerveuse
, là tube sudoripare ,ou cul-de-sac sébacé, et c
c'est bien plutôt l'identité de ce processus que la systématisation
nerveuse
de la fibromatose -qui réalise l'uni té patlio('é
rmes (Ver- neuil), lipomes multiples, lipomes symétriques d'origine
nerveuse
, lipo- mes diffus du cou et de la nuque, IYIÏ1p
ée de 16 ans, sans profession. Antécédents héréditaires : Mère très
nerveuse
, n'a pas de grande crise, mais éprouve pour un
t depuis trois ans. Parmi ses parents, sa mère seulement était très
nerveuse
, elle souffrait également de névralgie crânienn
homme avait fini par comprendre qu'il s'a- gissai 1. d'une anorexie
nerveuse
. Il m'apprit, chose cruelle, qu'il avait perdu
n de santé il m'arrêta, un de nos meilleurs maîtres en pa- thologie
nerveuse
lui avait affirmé cette nécessité de l'isolement
riées, ayant chacune deux enfants ; l'un de ceux-ci est malingre et
nerveux
à l'excès. Antécédents personnels. Pas de malad
, III, p. 344. 14. ANDHÉ. Précis clinique des maladies du système
nerveux
, 1895, p. 65. 15. CIIEIiCnEWSKl. Contribution à
ne des coupes imprégnées à l'acide osmique ne donne trace de libres
nerveuses
à myéline. Les vaisseaux se réduisent le plus s
cette interprétation ; cependant, l'absence absolue de tout trouble
nerveux
du côté des membres inférieurs, de la vessie et
a fait réformer ce diagnos- tic, en démontrant l'absence de fibres
nerveuses
dans ces boyaux, comme dans toutes les parties
grec des temps héroïques, avait guéri Hercule d'une grave affection
nerveuse
, folie ou épilepsie, on ne sait trop, en tous c
n de P. Richer qui figure dans le musée de la clinique des maladies
nerveuses
, représentant une tabétique, vue de dos, attein
onat, en 1895 (3), reprennent l'étude des arthropa- thies d'origine
nerveuse
, et s'occupent surtout dans leur travail, de la
1893, p. 136. (3) Mouchet et Coroxat, Des arthropathies d'origine
nerveuse
. Archives générales de médecine, décembre 1S95
é conslalée pendant (t) Vllpiax, Leçons sur les maladies du s;/lème
nerveux
. t.I, Paris, 1879, X\la leçon, obs. Il, p. 399.
nt la cécité marque du même coup le dé- but et la fin des accidents
nerveux
. Observation I. Racariés, berger, 48 ans, ent
-même et tombe. ' ' En 1897, un an après le début de ces troubles
nerveux
, il commence à boiter du côté droit. Etonné de
sont peu intéressants : son père est mort subi- tement, sa mère est
nerveuse
. Il a une fille en bonne santé. xut 10 150 GI
ire voisin de l'appareil sensitif. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. LA POLYNÉVRITE SY
ITIQUE, PAR R. CESTAN, Chef de Clinique des maladies du Système
Nerveux
. A l'heure actuelle, nous avons une connaissanc
omplète de l'histoire anatomo-clinique de la tuberculose du système
nerveux
dans ses localisations aussi bien cérébro-médul
s, motrice et sensi- tive, centrale et périphérique, que le système
nerveux
est lésé par la tu- berculose. En est-il de mêm
venons d'indiquer pour la tuberculose étudier les mani- festations
nerveuses
de la syphilis ? ' ! L'histoire anatomo-cliniqu
philis ? ' ! L'histoire anatomo-clinique de la syphilis des centres
nerveux
a été ap- profondie dans ces dernières années e
iel. Boet... Eugène, 34 ans, paveur. Pas d'antécédents héréditaires
nerveux
. Père et mère morts à 58 et 56 ans de maladie a
56 ans de maladie aiguë. 5 frères et soeurs vivants et sans maladie
nerveuse
. Pas d'antécédents personnels. Pas d'alcoolisme
malade paraît être très sérieusement syphilisé. Du côté du système
nerveux
, nous constatons une intégrité de la muscula- t
poignet sont abolis. On ne constate ni douleurs le long des trajets
nerveux
ou dans les masses musculaires, ni troubles de la
mel1 admise. De la topographie de la DR dans ces divers territoires
nerveux
et de l'évolu- tion suivie par les réactions él
nstate alors l'intégrité des organes abdominaux. Du côté du système
nerveux
, l'attention est attirée par l'atrophie musculair
marche ataxique. Un traitement iodo- mercuriel aggrave les troubles
nerveux
; le malade s'est rétabli peu à peu. Ces. VIII.
phinc- ters. Albuminurie abondante. Aggravation rapide des troubles
nerveux
mal- gré des injections de calomel. Bientôt par
4 membres avec atrophie musculaire, douleurs la pression des troncs
nerveux
mais sans trou- bles objectifs de la sensibilit
es du tronc et du facial gau- che. Hyperesthésie intense des troncs
nerveux
et des masses musculaires. Pas de troubles obje
Myélites syphilitiques. Baillière, 1899. Bl..... 20 ans. Parents
nerveux
. Pas de maladie antérieure. Très nerveuse. Mari
9. Bl..... 20 ans. Parents nerveux. Pas de maladie antérieure. Très
nerveuse
. Mariée le 16 septembre 1893. Syphilis en octob
es ; infil- tration embryonnaire de l'épinèvre, atrophie des fihres
nerveuses
, production de petites nodosités fusiformes ou
90, six mois après vient consulter pour manifes-, tation cutanée et
nerveuse
. Traitement par injection hypodermique de sublimé
n a pu se poser dans ces dernières années à l'occasion des troubles
nerveux
d'origine périphérique qui apparaissent au cours
es précédemment. Nous avons mis dans un premier groupe les troubles
nerveux
qui ne rentrent pas dans le cadre de la polynévri
l'histoire clinique de la polynévrite^ syphilitique. Les troubles
nerveux
font leur apparition pendant la période secondair
observés dans ce même groupe. Notre malade n'a présenté ni hérédité
nerveuse
ni intoxication telle que saturnisme ou alcoolism
ire au minimum l'influence de ces causes favorisantes. Les troubles
nerveux
s'installent rapidement et nous pouvons assister
l faut pourtant se rappeler que la syphilis affectionne les centres
nerveux
et parfois d'une manière très précoce. Le début s
des réactions électriques sur les muscles de plusieurs territoires
nerveux
sans aucun ordre, topographie très différente de
us prouverait que la toxine syphi- litique peut atteindre l'élément
nerveux
lui-môme, que l'altération paren- chymateuse pe
rie généralement admise pour expliquer les altérations des éléments
nerveux
, observées dans le coeur de la syphilis cérébro
ioV/ntH M : ¡S50n A CI Fditll\l" CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
HOSPICE DE LA SALPÈTRIÈRE ANGIOME SEGMENTAIRE
les autres on estpeut- être en droit de faire intervenir le système
nerveux
. Nous attirerons seulement l'altention sur l'ex
dents héréditaires bien accusés. Mariée à 15 ans,elle eut une crise
nerveuse
à 15 ans et demi à la suite d'une émotion. Cett
imité de la surface ; les autres, générales, agissant sur le centre
nerveux
même de cette sécré- lion. Les premières (irrit
p- primant les tumeurs, on n'a pas pour cela modifié les influences
nerveuses
agissant sur le territoire cutané correspondant
admet que l'adé- no-lipomatose évolue sous l'influence de troubles
nerveux
d'origine alcoo- lique. Virchow concède une gra
lus généralement admise, tout au moins à l'étranger, est la théorie
nerveuse
; elle a été en particulier discutée au 59e Congr
uels, en môme temps que les tumeurs, on trouve des ma- nifestations
nerveuses
, rhumatismales ou rhumatoïdes; la deuxième a Ir
artiennent incontestablement cette deuxième catégorie. La théorie
nerveuse
s'appuie surtout sur l'état cérébral des malades,
ns quelques cas avec des affections plus ou moins graves du système
nerveux
, telles que le tabes (obs. de VIadelun, deBouju
entre la distribution des masses lipomateuses et celle des rameaux
nerveux
. Hennigsen a noté, dans le fait qu'il a publié, q
faut attribuer une influence aussi impor- tante au rôle du système
nerveux
dans la production des tumeurs. Si les muscles
réac- tion de dégénérence (Curschmann). Cette absence de phénomènes
nerveux
avait déjà frappé, en 1892, M. A. Siredey. « Le
eux avait déjà frappé, en 1892, M. A. Siredey. « Le rôle du système
nerveux
, écrit-il, semble donc se bornera une influence
eulement dans la distribution des troubles trophiques. » La théorie
nerveuse
, sans satisfaire Madelung, lui semble encore la
cutif à un traumatisme. En somme, aucun des partisans de la théorie
nerveuse
n'a réussi à établir de relation tant soit peu
réussi à établir de relation tant soit peu précise entre le système
nerveux
et l'hy- pertrophie adipeuse ; on ne peut donc
e en considération que si l'on veut mettre sur le compte du système
nerveux
tous les phénomènes morbides dont on ne connaît
la théorie ganglionnaire s'applique beaucoup mieux que .la théorie
nerveuse
à tons les faits que nous avons réunis ; elle per
il présente plaident en fa- veur d'une lésion organique des centres
nerveux
. Il y a en cela plusieurs raisons : in Chez l
ne fracture étendue du crâne, nous admettons une lésion des centres
nerveux
causée par un ou plusieurs plombs ayant pénétré
ait antérieurement jamais été malade. Mère, fille unique, sans tare
nerveuse
, issue d'un père dans la famille duquel il y av
le malade ne sait de quoi, la mère, d'hydro- pisie. Pas de maladie
nerveuse
dans la famille. Le malade dit n'avoir jamais é
1 : \ ? . ? 1, 1't ," . LA MARCHE DANS LES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
(A propos d'un article de ll. Marinesco). PAR
e d'articles de l'auteur sur la marche dans les maladies du système
nerveux
, dont j'aurai bientôt à parler. M. Marinesco
eux ans à des recherches sur la marche dans les maladies du système
nerveux
en m'aidant de la méthode des emprein- tes. J'a
atif de cette question : « La marche dans les mala- dies du système
nerveux
», je lui répondrais qu'à part quelques rares no-
ce dernier point de vue. . marche dans les maladies du système
nerveux
étudiée par la méthode des empreintes, in-8\ Th
dicale, p. 225, n° 29, 1899. LA MARCHE DANS LES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
295 Dans une seconde, tenant compte de ce que j
ue physiologique, j'étudiais la marche dans les maladies du système
nerveux
où ces recherches me semblaient avoir quelque uti
l connaît mes recherches sur la marche dans les maladies du système
nerveux
longtemps prolongées, faites ai une époque où l
S LADAME Nissl, touchant la fine structure analomique de la cellule
nerveuse
et ses lésions. 1. Quelques modifications heu
connaissances que nous possédons sur l'anato- mie fine des éléments
nerveux
fera l'objet de la seconde partie. La troisième
hnique histo- logique, nos notions sur l'anatomie fine des cellules
nerveuses
étaient très élémentaires ; on possédait un sch
i découvrirent de nombreux détails delà fine structure des éléments
nerveux
et analysèrent une foule de points importants ign
e de nous dévoiler les plus fins détails histologiques des éléments
nerveux
, elle a une portée beaucoup plus générale, puis
e met en évidence les modifications qui s'opèrent dans les cellules
nerveuses
pendant leur activité fonction- nelle et les lé
a méthode au bleu de méthylène permet de localiser dans les centres
nerveux
les noyaux d'origine des nerfs d'une façon abso-
un vaste horizon à la pathologie gé- nérale et spéciale du système
nerveux
. Elle nous révèle en effet des modifications da
révèle en effet des modifications dans la structure des cellu- les
nerveuses
qui ont été décrites sous le nom de « dégénéresce
ance de plus en plus grande dans la pathologie générale des centres
nerveux
. Cette méthode nous montre dans les cellules ne
le des centres nerveux. Cette méthode nous montre dans les cellules
nerveuses
des lésions qui, hier encore, étaient absolumen
des maladies sine materia qui envahissaient naguère la patholo- gie
nerveuse
et mentale. Cependant les faits observés jusqu'
ent des pièces dans l'alcool. Il met de petits fragments du système
nerveux
central dans de l'alcool à 96°. Sans les enrobe
s résultats que le liquide de Gilson, pour la fixation des éléments
nerveux
. Les cellules se sont rétractées d'une façon tr
sur les cellules névrogliques et conjonctives que sur les éléments
nerveux
, elle agit cependant d'une façon si discrète sur
façon si discrète sur les premières que l'observation des cellules
nerveuses
n'en est nullement gênée. Le bleu de méthylèn
ments figurés des coupes et d'une façon si intense que les cellules
nerveuses
ne sont pas suffisamment différenciées des autr
otoplasma cellulaire. DEUXIEME PARTIE ANATOMIE FINE DE LA CELLULE
NERVEUSE
. On divise actuellement les éléments nerveux en
IE FINE DE LA CELLULE NERVEUSE. On divise actuellement les éléments
nerveux
en deux grands grou- pes (1), les cellules cary
: llax Schulze(` ? ), (1) Van GEIIl'CIITF,lI, L'analomie du système
nerveux
de l'homme, 2e édition, 1897, p. 169 et suiv. e
p. 169 et suiv. et p. 3` ? -2S : i. L'anatomie fine de la cellule
nerveuse
. Rapport de ilfoscuu. La Cellule, t. XIII, 2° r
a di pathologia nerv., 1896. (9) VAN Gehuchten, Analomie du système
nerveux
de l'homme, 21 édition, Louvain, 1897 ; L'anato
l'homme, 21 édition, Louvain, 1897 ; L'anatomie fine de la cellule
nerveuse
. Tirage à part du Rapport de Moscou, « la Cellu
) Marinesco, Nouvelles recherches sur la structure fine de la cellule
nerveuse
. Presse médicale, juin 1897. (11) RAMON Y Caj
chten et Nélis, Lugaro et d'autres auteurs, ont groupé les cellules
nerveuses
en divers types caractérisés précisément par la
matique n'étant que secondaire, nullement indispensable à l'élément
nerveux
, c'est une « espèce de substance de réserve qui
te substance chromatique n'existe d'ailleurs pas dans toute cellule
nerveuse
; elle n'est donc pas indispensable à la vie du
obser- vés dans nos propres expériences. La réaction des cellules
nerveuses
, qui se manifeste à la suite d'une lé- (1) V. G
réalité de ce fait. La chromatolyse se manifeste dans les cellules
nerveuses
quand elles sont directement atteintes par un a
es (l) VAN Gehuchten, Les phénomènes de réparation dans les centres
nerveux
après la section des nerfs périphériques, La Pr
vivement coloré, est central. La très grande majorité des éléments
nerveux
présente les bordures périnu- cléaire et péri-c
e destinées à disparaître complètement. Un bon nombre de cellules
nerveuses
qui ont subi la chromatolyse revien- nent à l'é
upes des ganglions (Pl. XLVI, G. p. d. III), des noyaux de cellules
nerveuses
, isolés de tout protoplasma, ayant encore leur
même davantage, qui marquent la place jadis occupée par un élément
nerveux
totale- ment disparu. Ces cellules paraissent ê
cas actuel, cette couche, dé- pouillée de la plupart de ses fibres
nerveuses
est réduite à son réticulum né- 336 J. dejerine
ur de la coupe, on peut néanmoins constater l'existence de cellules
nerveuses
. C. Substance blanche du cervelet (PI. XLVII et
existe une atrophie totale des noyaux du pont, toutes les cellules
nerveuses
ont disparu et sont remplacées par des cellules a
ie a eu un début tardif, chez des individus ne comptant aucune tare
nerveuse
dans leurs antécédents. Les observations de Pie
s autres observations le début a eu lieu après 30 ans. L'hérédité
nerveuse
est relevée dans l'observation de Menzel et dans
ième soeur, de constitution faible, n'est atteinte d'aucune maladie
nerveuse
. La mère, bien portante dans sa jeunesse, fut p
1892. (7) Klippel et Duhinte, Contribution à l'élude désaffections
nerveuses
familiales et héréditaires. Revue de médecine,
ion n'ayant été relevé dans les ascendants directs; mais l'hérédité
nerveuse
du malade de Nonne était néanmoins très chargée
ent le cervelet et la moelle comparés aux autres parties du système
nerveux
frappent par leur petitesse. Dans le pont ce so
ais sain arrêté dans son développement, comme d'ailleurs le système
nerveux
en général ; celui de nos malades un cervelet mal
un point commun avec le cas de Nonne, c'est la petitesse du système
nerveux
en général, bien moins nette il est vrai dans not
qu'un syndrome commun il plusieurs affections familiales du système
nerveux
et due à une lésion intéressant soit le cervele
sités de. la pathologie cérébelleuse que la fréquence de l'hérédité
nerveuse
, similaire ou non similaire et du caractère fam
a coexistence des malformations acquises ou congénitales du système
nerveux
. Si on se rallie à celle dernière opinion, on p
généralisée; c'est sans doute pour la même raison que les symptômes
nerveux
consignés dans certains cas d'anémie pernicieus
, la moindre intensité de la titubation, la coexistence de troubles
nerveux
de nature différente faciliteront le diagnostic.
(t) Dejerine et Thomas, Elude clinique et anatomique des accidents
nerveux
déve- loppés au cours de l'anémie pernicieuse.
uelle le cer- velet exerce, à l'état normal sur le reste du système
nerveux
, une influence qui se traduit par une action ne
'atrophie des olives, et la protubérance et la petitesse du système
nerveux
central coexistent avec l'atrophie cérébelleuse
spongieuse. 3° Une zone de matière cérébrale tiraillée, où le tissu
nerveux
est dé- chiré par des hémorrhagies capillaires.
ntrer avec évidence, à cause de la consistance même de la substance
nerveuse
. Les choses sont d'autant plus obscures qu'en c
cke présenta à la polyclinique royale de Breslau, pour les maladies
nerveuses
, l'observation suivante : Observation XIII (rés
llèlement pendant un certain temps séparés par un pont de substance
nerveuse
de 2 centimètres. Le premier de ces canaux se ter
ntraîné dans toute l'étendue de l'abcès une couche épaisse de tissu
nerveux
. Le pus évacué est verdâtre et contenu dans une v
e, elle est très certainement causée par des altéra- tions du tronc
nerveux
au niveau du rocher dans le canal de Fallope. C
hrift, 2nov. 1899, n 441, p. 1086. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
HOSPICE DE LA SALPÊTRIERE UN CAS RARE D'OSTÉO
de la rattacher aux mala- dies classées soit des os soit du système
nerveux
, mais les symptômes sont restés immuables penda
l'ai recueillie à son entrée au service de la clinique des maladies
nerveuses
, l'histoire de ce singulier ma- lade. B..., â
vigoureux et intelligent. Sa mère est bien portante, elle n'est pas
nerveuse
. Son père est mort à l'âge de trente ans, sans
dée d'une affection acquise,' bien que l'absence de tout antécédent
nerveux
chez ses ascendants ou collaté- raux, l'absence
sont enfin les compres- sions des racines rachidiennes, des troncs
nerveux
, de la moelle. Les symptômes habituels du tabes
Charles HUDOVERNIG, Assistant à la clinique des maladies du système
nerveux
de Budapest. J'ai eu l'occasion d'observer da
ont toujours été réguliers. En- fin dans la famille aucune maladie
nerveuse
, ni tuberculose. A l'âge de onze ans, la malade
les résultats de nos recherches personnelles concernant le système
nerveux
central de deux malades qui ont souffert de par
é de Busch dont nous nous sommes ser- vis : les morceaux du système
nerveux
central étaient durcis dans la solu- tion de fo
Busch nous avons employé pour la coloration des cellules du système
nerveux
central le bleu de toluidide, le bleu de poly-
ns il n'y en a presque point. A l'examen microscopique des cellules
nerveuses
saute aux yeux la finesse'd'un grand nombre de
lules névro- gliques entourent un vaisseau. Concernant les cellules
nerveuses
il faut remar- quer qu'on reçoit,en général, pe
veuses il faut remar- quer qu'on reçoit,en général, peu de cellules
nerveuses
imprégnées ; les dendrites sont souvent privées
r la méthode de Golgi dans le cas donné a démontré que les cellules
nerveuses
avec leurs dendrites ont été soumises à une déf
L'état variqueux des prolongements protoplasma tiques des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale est bien plus prononcé en
stance grise il saute aux yeux que la plus grande^ tie des cellules
nerveuses
est rembourrée par des globules noirs; dans cou
lus superficielles on peut s'assurer dans le périssement.des cellli
nerveuses
, dans l'excroissance de vaisseaux menus, dans l'e
n- dothélium capillaire est rempli de globules noirs ; les cellules
nerveuses
con- tiennent moius de pigment que celles du lo
boses de vaisseaux menus, accompagnées d'une désagrégation du tissu
nerveux
dans la circonférence des vaisseaux. Les cellul
re eux on observe une dégénéres- cence très accusée dans les fibres
nerveuses
de myéline ; la dégénérescence prédomine surtou
ntre des ané- vrysmes et des hémorrhagies très menus ; les cellules
nerveuses
contiennent une quantité assez marquée de pigme
ent. D) Lobe temporal. Ce qui saute aux yeux c'est que les cellules
nerveuses
contiennent une masse de globules noirs. Ici le
es menues, tromboses menues, dégénérescence graisseuse des cellules
nerveuses
, épaississements des parois vasculaires, périssem
s, épaississements des parois vasculaires, périssement des cellules
nerveuses
, surtout dans la partie périphérique de l'écorce
énérescence disséminée par places, plus accentuées .dans les fibres
nerveuses
. Les cellules nerveuses sont remplies de pigment.
ar places, plus accentuées .dans les fibres nerveuses. Les cellules
nerveuses
sont remplies de pigment. VI. Au niveau de l'ol
tout le long de la coupe transversale, Presque toutes les cellules
nerveuses
sont remplies de globules noirs, surtout les cell
es examinées, prises de la partie du tronc cérébral, les cel- lules
nerveuses
sont remplies de globules noirs. Les fibres radic
roit devient visiblement disséminée. La dé- générescence des fibres
nerveuses
sur la périphérie de la moelle épinière de- vie
us nous sommes assurés dans celà que la dégéné- rescence des fibres
nerveuses
est accentuée le plus dans les cordons postérieur
re,- Nous nous assurons ici aussi dans la dégénérescence des fibres
nerveuses
et dans l'existence des cellules, contenant une
ire. Les cellules de la corne antérieure et en général les cellules
nerveuses
de la substance grise de la moelle épinière par
dans le corps cellulaire des blocs chromophiles. Bien des cellules
nerveuses
apparaissent comme gonflées et arrondies; les p
e envisagé seulement comme une modification secondaire des cellules
nerveuses
; en faveur de notre doute parle aussi ce fait, q
DE BUSCH. I. Hémisphère rauclte.-a) Région frontale.- Les cellules
nerveuses
con- tiennent une grande quantité de pigment ;
grand développement de vais- (1) VAN Gehuchten, Analomie du système
nerveux
, 3° édition, volume I, p. 322. (2) Chaules NhLI
sez considérable de points noirs par places groupés. Les cellu- les
nerveuses
contiennent une quantité assez marquée de pigment
fondes, là la dégénérescence pigmentaire et graisseuse des cellules
nerveuses
était plus accentuée qu'ici. Là il y avait dans
un développement exagéré des vaisseaux, le périssement des cellules
nerveuses
des lobes frontaux bien plus grand ; là, on renco
t là par toute la coupe transversale des pédoncules. Les cel- lules
nerveuses
contiennent une quantité assez marquée de globule
liaison avec un petit foyer de désagrégation locale de la substance
nerveuse
. Les cellules des cordons de Clarke contiennent
assez visible de globules pigmentaires graisseux dans les cellules
nerveuses
, mais la quantité de ces globules est moins gra
ence pigmentaire et graisseuse des cellules corticales des cellules
nerveuses
du tronc cérébral de la moelle épinière, la dég
spinales. La modification de la pression dans la cavité du système
nerveux
central, le trouble de la circulation régulière
her la transmission régulière des influences trophiques des centres
nerveux
, c'est-à-dire, des cellules des ganglions spina
est plus accessible à l'influence trophique de la part des cellules
nerveuses
des ganglions spinaux. La paralysie générale do
xication générale, qui se reflète, entre autres, sur tout le système
nerveux
central, où les cellules nerveuses sont sujette
entre autres, sur tout le système nerveux central, où les cellules
nerveuses
sont sujettes à une dégénérescence pig- mentair
1, s.s. 1-14. (2) N. A. Vyrouboff, Des dégénérescences des cellules
nerveuses
et des fibres dans la moelle épinière dans la p
à la Salpê- trière, d'accidents cérébraux, avait toujours été très
nerveuse
, impressionnable, pleurant facilement, et qu'el
n ne relève pas de maladies graves dans son enfance, ni d'accidents
nerveux
. Elle a été réglée à 16 ans, et toujours ré- gu
ntît rien. Elle a eu depuis un garçon qui a 10 ans, intelligent, mais
nerveux
et une fille qui a 7 ans (1889), et est très ne
elligent, mais nerveux et une fille qui a 7 ans (1889), et est très
nerveuse
: elle a des céphalés avec sen- - sibilité du c
se, et à évolution lente. - (1) E. Bwssnou. Leçons sur les maladies
nerveuses
(Salpêtrière), recueillies par Il. Meige, 1·l'
u osseux, altéré dans sa nutrition par la névrite probable du filet
nerveux
nourricier, se raréfie. Le tissu compact d'envelo
endre, car c'est le cas ordinaire pour toutes les coupes du système
nerveux
central ; et du reste ces cellules s'observent
dans la troisième expérience et qui tenaient la place d'une cellule
nerveuse
atrophiée et disparue. Nos nombreuses mensurati
urs pertes. Le noyau est revenu au centre de la cellule. Ces éléments
nerveux
sont riches en blocs volumineux et foncés qui l
t pas à la constatation d'une tur- gescence quelconque des cellules
nerveuses
en chromatolyse, Nos mensurations ne peuvent av
e dire de quel côté le nerf a été réséqué. Le nombre des éléments
nerveux
est le même pour les deux noyaux dor- saux, aut
ntôt l'un, tantôt l'autre sur les coupes était plus riche en cellules
nerveuses
que celui du côté opposé. Mais, le nombre total
ssent et s'atrophient aussi, mais moins rapidement que les cellules
nerveuses
elles-mêmes, ils sont beaucoup plus résistants.
particulier de régression a atteint un très grand nombre d'éléments
nerveux
en voie d'atrophie. Nous nous bornons donc à si
la résection du vague au cou, une diminution du nombre des éléments
nerveux
dans le ganglion plexiforme 526 CHARLES LADAME
tense qui occupe le centre du noyau. Un petit nombre de cellules
nerveuses
(Pl. LXXVII, i) sont tout à fait pâles ; leur c
es conjonctives ou névrogliques aux points occupés par les éléments
nerveux
en voie d'atro- phie, phénomène que nous avons
de 122 jours. ' Cette vacuolisation a l'air de frapper les cellules
nerveuses
non pas, comme on pourrait le supposer, aux con
ui, du reste, est très rapidement résorbé. Les restes de la cellule
nerveuse
ainsi éclatée se désagrègent en de très fines p
lion droit présente une diminution manifeste du nombre des éléments
nerveux
, sans qu'on puisse dire toutefois qu'elle soit co
coïncidence de la suppression purulente avec l'explosion de l'état
nerveux
doit-elle faire admet- tre que la première circ
lade. En particulier il n'a jamais eu la syphilis ni aucune maladie
nerveuse
, il ne boit pas. Le 26 mai 1896, il était occup
un rétrécissement de Foesopbage, qui paraît être d'origine purement
nerveuse
car il cessa brusquement quelque temps après.
dies aiguës et lui attribuaient pour cause l'action sur les centres
nerveux
d'un agent infectieux. En France, Pierre Marie
sur la paroi des vaisseaux ou bien par l'inter- médiaire du système
nerveux
. Peu de temps après la pénétration de l'agent m
e à une autre infiltration qui peut apparaître autour de la cellule
nerveuse
(nodules péricellulaires de la rage, Babès). La s
aire, plus tardive des mêmes cellules qui apparaît lorsque la fibre
nerveuse
est altérée. En dehors de ces réactions vascu
se dans la myélite aiguë des phénomènes importants du côté du tissu
nerveux
, phénomènes qui ont un caractère régressif, par
vent à là désorganisation du parenchyme. Les altérations du tissu
nerveux
sont très variables et dépendent de la nature d
itogène, du siège que ce dernier occupe relative- ment aux éléments
nerveux
; enfin les altérations des cellules et des fibre
éléments nerveux ; enfin les altérations des cellules et des fibres
nerveuses
dépendent aussi des troubles circulatoires qui ex
oires qui existent dans la myélite. Les altérations de la cellule
nerveuse
varient depuis la tuméfaction de la substance c
le phago- cytaire des cellules névrogliques à l'égard des cellules,
nerveuses
. A l'état normal, comme il est connu, la cellul
ellules, nerveuses. A l'état normal, comme il est connu, la cellule
nerveuse
est entourée quelquefois d'une espèce de couron
e rappeler que le professeur Schultze, de Bonn, a FiG. 7-8. Cellule
nerveuse
radiculaire dans un cas de myélite expérimentale
llement l'influenza qui se com- plique si souvent de manifestations
nerveuses
doit surtout s'accompagner dans quelques cas de
so dans la Presse médicale. J'ai eu l'occasion d'étudier le système
nerveux
dans trois cas de rage observée chez l'homme, d
mort trois jours après. Ensuite, j'ai pratiqué l'examen des centres
nerveux
de six chiens enragés, et celui du système nerveu
amen des centres nerveux de six chiens enragés, et celui du système
nerveux
de sept lapins inoculés avec du virus fixe sous
des proportions considérables (fig. 9), de sorte que les cellules
nerveuses
se perdent dans cette masse de leucocytes. L'ia
ois sous forme de nodules qui existent tantôt autour des cellules
nerveuses
(fig. 10), tantôt dans le tissu intersti- tie
lifération considérable de l'endothélium de la capsule des cellules
nerveuses
; prolifération qui parfois est circulaire et ent
es ; prolifération qui parfois est circulaire et entoure la cellule
nerveuse
d'un anneau régulier. D'autres fois, cette prolif
du tissu in- terstitiel et péri-cellulaire. 574 MARINESCO Iule
nerveuse
disparait et les cellules endothéliales multiplié
le rôle du tissu in- terstitiel ou de la névralgie dans les centres
nerveux
dégénérés. Aussi j'ai rencontré fréquemment ces
t avec des phénomènes de paralysie ascendante de Landry. La cellule
nerveuse
est en- tourée d'une masse de leucocytes mononu
glionnaire, c'est l'altération plus ou moins profonde de la cellule
nerveuse
. C'est pour cette raison, je pense, que les réa
ance grise. Dans deux de ces cas, j'ai retrouvé autour des cellules
nerveuses
, mais sur quelques coupes seulement, la lésion dé
e par Babès sous le nom de nodule rabique. Les lésions des cellules
nerveuses
sont très variables quant à leur intensité et à l
e comme étant dus à la nécrose de coagulation partielle. Le système
nerveux
des chiens enragés est le siège de lésions encore
ou un vaisseau sanguin, ou bien encore, le pour- tour de la cellule
nerveuse
. Chez les lapins inoculés avec le virus fixe so
ne, je n'ai pas trouvé de lésions vasculaires' Fic. 13. Une cellule
nerveuse
radiculaire provenant de la région lombaire, à l'
avité capsu- laire par un tissu de nouvelle formation. La cellule
nerveuse
a disparu. Lapin injecté ave( virus fixe. '
oumis à l'expé- rience, c'est que chez le premier la prédisposition
nerveuse
joue un rôle beaucoup plus considérable que che
re, c'est-à-dire qu'elle ne dépend pas de la destruction des fibres
nerveuses
. La méningite aiguë, au cours de la myélite aig
tes formes de myélite. L'application de ces données à la pathologie
nerveuse
a été faite pour la première fois par M. Pierre-M
aire de ces toxines. En effet, l'action des toxines, sur le système
nerveux
, est moins violente; elle réalise surtout des l
lifération primitive des cellules névrogliques, tandis que le tissu
nerveux
présente des lésions de nature régressive. Parfoi
e des lésions de nature régressive. Parfois, la cellule et la fibre
nerveuse
avant d'arriver à la désorganisation et l'atrophi
conjonctifs, de la part de la névroglie et enfin de la part du tissu
nerveux
. Cependant, je tiens à souligner ce fait qu'auc
aires. Dans ce cas les microbes compromettent la nutrition du tissu
nerveux
par leur accumulation dans la paroi des vais- s
n dans la substance grise, et même pouvant pénétrer dans la cellule
nerveuse
. Je dois dire que la présence des microbes dans
ence des microbes dans la substance grise au voisinage des cellules
nerveuses
dé- termine des lésions très graves pour celle-
ère jusqu'à la dégénérescence profonde et irréparable de la cellule
nerveuse
. Il n'y a pas de lésions spécifiques en rapport a
ue je n'ai pu retrouver dans d'autres. Les altérations des cellules
nerveuses
sont d'autant plus intenses qu'elles se trouven
u'on rencontre du reste dans la plupart des réactions de la cellule
nerveuse
, c'est la tuméfaction des éléments chromatophil
ments. Cette lésion,marquant le début de la réaction de la cellule
nerveuse
n'a pas été vue fréquemment par les observateur
je désire attirer l'attention, c'est l'acliro- Fi(;. 22. - Cellule
nerveuse
radiculaire provenant de la moelle d'un lapin.
atolyse donnant naissance à une destruction partielle de la cellule
nerveuse
, atrophie avec homogénéisation du noyau. NATU
s ; 3° des phénomènes de réac- tion régressive du côté des cellules
nerveuses
variant depuis la simple chromatolyse jusqu'à l
isées du côté de l'opération. J'ajoute que les lésions des cellules
nerveuses
sont plus accusées du côté du sciatique opéré. En
être utilisée avec succès contre le microbe, sans détruire le tissu
nerveux
. J'ai essayé cependant l'emploi de l'injection
son cas la même pathogénie ; il incrimine une altération du système
nerveux
central sans laquelle est impossible d'explique
u père de notre malade. Il n'est ni alcoolique, ni syphilitique, ni
nerveux
. La seule maladie sérieuse qu'il ait eue date d
urs été bien portant et que sa vue est très bonne ; que sa mère est
nerveuse
et se plaint d'une maladie de coeur. Mais il af
d'hémiatrophie ou d'hémihypertrophie de la face. L'enfant est très
nerveuse
; elle se met facilement en colère. Elle crie a
tenant les courts renseignements qui concernent l'état du sys- tème
nerveux
: dans la seule observation qui fut suivie d'auto
ous ne trouvons de renseignements plus précis sur l'état du système
nerveux
que dans un cas de Bernhardt relatif à une paraly
thner, Gast, Lucanus, Hirschberg), partisans fervents de la théorie
nerveuse
, incriminent dans leur cas la paralysie ou le déf
iscuté les arguments mis en avant par les parti- sans de la théorie
nerveuse
et de la théorie musculaire, Kunn émet une conc
ganes, par suite d'un arrêt dans l'évolu- tion de l'un des chaînons
nerveux
, il en résultera un trouble de la moti- lité, m
dégénèrent au contraire, si une lésion est survenue dans le système
nerveux
lorsque l'as- sociation fonctionnelle précitée
ous semble-t-il, les opinions des partisans exclusifs de la théorie
nerveuse
et de la théorie musculaire. Elle nous paraît aus
ie), femme B..., âgée de 38 ans, entre dans le service des maladies
nerveuses
le 6 août 1897. Son père fréquente depuis longt
rement réglée, mais peu abondamment. - Elle n'a jamais eu de crises
nerveuses
d'aucune espèce' ; de 18 à 24 ans, elle était u
e n'a eu aucune affection grave dans l'enfance. Elle a toujours été
nerveuse
, mais n'a jamais eu de crises. Dès l'âge de 13 an
re ma- Iade.Son père est maigre, sans aucune trace d'oedème, un peu
nerveux
; pas de crises. » Le père donne les renseign
ais eu de grave maladie, s'est toujours bien porté ; il n'était pas
nerveux
, et était, à l'école, considéré comme intelligent
par M. Guilloz ne montre aucune altération des vertèbres. . Système
nerveux
. Pas de troubles, intellectuels. Motricité.- Pa
la lésion médullaire fut méconnue. Ici cependant les localisations
nerveuses
ne sont pas simplement spi- 644 17AUSIiALTER
moteur oculaire externe gauche. L'existence de troubles du système
nerveux
central au cours de la der- mo-neuro-fibromatos
des divers processus de dégénérescence et d'atrophie des cel- lules
nerveuses
, en nous arrêtant spécialement sur le phénomène d
e, soit qu'elle retentisse directe- ment sur le corps de la cellule
nerveuse
(1). » D'après les auteurs, la chromatolyse est
d. de Belgique, lS97, p. 1. (2) La pathologie générale delà cellule
nerveuse
. Presse Médicale, 27 janvier 1898. (3) JACOTT
janvier 1898. (3) JACOTTET, Etude sur les altérations des cellules
nerveuses
de la moelle et des gan- glions spinaux dans qu
ier 4899,,p. 3. (5) MARlIOESCO, Pathologie générale de la cellule
nerveuse
. Presse médicale, 27 janvier 189S. . LE PHÉNO
uvoir affirmer que (1) VAN GEHUCHTEN, L'anatomie fixe de la cellule
nerveuse
. Rapport de Moscou, 1897, p. 316. (2) VAN GEH
ration cellulaire. Une forme curieuse de dégénération de la cellule
nerveuse
est celle qui .a lieu par le processus de vacuo
eurs dans la moelle lombo-sacde el de la vacuolisation des cellules
nerveuses
, Revue neurologi que, 1898, p. 517. 656 CHARL
e nous venons de citer ont fait leurs observations sur des éléments
nerveux
fixés par des réactifs variés, et colorés par les
ès l'opération, présentent une sensible réduction de leurs éléments
nerveux
dont la moitié environ a disparu. 12. La substa
oue un rôle accessoire dans le fonction- nement normal des éléments
nerveux
. 13. La soudure des deux bouts du nerf réséqué
is- pensable à la réparation de la réserve chromatique des cellules
nerveuses
. 14. La vacuolisation est une des formes du pro
ROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE
. F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies 1 du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
tique ni de l'épi- lepsie, ni d'une affection organique des centres
nerveux
, est la manifestation d'un état névropathique l
n très heureuse de M. L. Gui- non', un stigmate bénin de l'hérédité
nerveuse
et psychique. Bien que Trousseau en ait, à une
d'incontinence a permis à M. L. Guinon de constater que l'hérédité
nerveuse
sous toutes ses formes se rencontre d'une facon
clusivement conditionnée par un fonctionnement imparfait du système
nerveux
. Et chez ceux dont l'inconti- nence se manifest
aux époques d'opportunité morbide créées par l'évolution du système
nerveux
, est bien le résultat d'une tare névropathique
peut être cherchée que dans un fonc- tionnement vicieux du système
nerveux
central. De là les théories psychologiques. L
leurs pas une hypothèse gratuite. L'état mental de certains enfants
nerveux
ressemble en effet beaucoup à celui des hysté-
d'un enfant chétif et très émotif quoique peu taré au point de vue
nerveux
, dont l'incontinence est due vraisem- blablemen
es, qui a pu favoriser l'action de la suggestion grâce à la détente
nerveuse
qui l'a accompagnée. Des auto-suggestions contr
me psychologique subconscient chez les enfants, et chez les enfants
nerveux
en particulier. Par là se trouve confirmée la j
. jeune homme de dix-neuf ans. Il nous dit ne connaître aucune tare
nerveuse
dans sa famille, ses frères et soeurs sont bien
R. S.. , fille de quinze ans. Sa famille n'est pas exempte de tares
nerveuses
. Forte fille rousse, très fraîche, d'aspect flo
suggestible que la première séance d'hypnose est suivie d'accidents
nerveux
inquiétants. Guérison rapide et qui semble devo
s. Observation XXI. Bée..., fille de douze ans. Père normal; mère
nerveuse
; ils ont plusieurs autres enfants dont la santé n
en général bénin, mais qui parfois est l'avant-coureur d'affections
nerveuses
plus ou moins graves, neurasthénie, hystérie, h
s de cette catégorie sont les plus tarés au point de vue du système
nerveux
; on constate parfois chez eux les stigmates de
ions, du doute pathologique. La mère de X... était, paraît-il, très
nerveuse
, très sensible ; il y a, du côté maternel, beau
rès nerveuse, très sensible ; il y a, du côté maternel, beaucoup de
nerveux
. De quel genre de ner- vosisme s'agit-il ? II n
dent. X... est aujourd'hui guéri. L'avenir nous REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 37 apprendra, si, comme il y a lieu de le crai
ous ne pouvons malheureusement pas l'assurer. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Athétose double. Leçon clinique de M. le pr
, elle leur préfère des bâtons. C'est seule- 38 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment vers cette époque que la malade commença
ous le nom de démarche de gallinacés. Fig. 1. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 09 40 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. L'athéto
Fig. 1. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 09 40 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'athétose est tantôt consécutive à une affect
par M. F. RAYMOND, profes- seur de clinique des maladies du système
nerveux
. Leçon faite il la Salpêtrière, le 24 mai 1895,
ue, ni syphilitique, ni athéromateux, Fig. 5. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 41 ayant cependant dans ses antécédents person
a queue de cheval. Il est impossible d'ad- 43 ) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mettre une semblable sélection : donc le foyer
Richer, chef du laboratoire de la clinique des maladies du système
nerveux
, à la Salpêtrière. (Nouv. iconographie de la Sa
, le thorax présente une voussure du côté de la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 43 3 convexité de la courbure rachidienne. On
e principe que la peau est un organe intimement lié avec le système
nerveux
, l'auteur suppose que les centres tro- phiques
ion des autres symptômes de l'hystérie. C. 44 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. VI. Zona généralisé A la PRESQUE totalité DE l
absolue; 2° la distribution anatomique parallèle à certains troncs
nerveux
; 3° le caractère névralgique des douleurs. C.
opsie justifia le diagnostic, on trouva au lieu REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 45 indiqué un foyer de ramollissement, suite d
ne double, en même temps que la marche est titubante. Le syndrome
nerveux
s'était établi progressivement sans ictus, et apr
n de compte, tous les symptômes relevés chez 46 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'enfant, sujet de l'observation. La conclusio
observation suivante : Une femme de trente et un ans, à antécédents
nerveux
hérédi- taires et personnels prononcés, convuls
érie qui s'accuse quelque temps après la syphi- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 47 lis et le traumatisme, et qui se manifeste
l'amyotrophie forme Charcot-Marie; due manifestement à des lésions
nerveuses
avec réaction de dgé- nérescence et contraction
sensiblement vers une myopathie généralisée. 48 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Remarque importante, chez ce malade, les muscl
nsmise par le maître. On sait que d'après cetle théorie, l'hérédité
nerveuse
est, pour les affections névrosiques la seule c
génèse des grandes névroses, l'hérédité remplit REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 49 le rôle d'une condition puissante dans tous
fique très sérieuse avec une disposition médiocre ou d'une hérédité
nerveuse
chargée avec une influence spécifique légère. A
ue très ana- ' Archives, 2e série, t. IL 4 80 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. logue à celle de l'hystérie. On y trouve aussi
cervelet n'avait déterminé aucun trouble fonc- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1)1 tionnel jusqu'à l'accident mortel qui le f
els de la dégénérescence des alcoo- liques. A lami-1893, les troncs
nerveux
sont tuméfiés, douloureux 52 REVUE DE PATHOLOGI
les troncs nerveux sont tuméfiés, douloureux 52 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. spontanément et à la pression, la démarche est
la sensibilité aux extrémités les plus reculées des membres, troncs
nerveux
un peu sensibles à la pression; muscles très se
gers de la vessie et du rectum. Accidents du 54 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. décubitus aigu au niveau de l'olécrâne droit.
ence très accusée des vasa nervorum; il existe dans tous les tronqs
nerveux
une prolifération du tissu conjonctif endoueura
ssu conjonctif endoueural, un recoquillement partiel des trousseaux
nerveux
dégénérés. Dans les artères, il y a épaississem
ause centrale (obs. Il).'Ici, ce sont des anes- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 55 thésies digitales tenant à une légère névri
ie. Deux autop- sies témoignant d'une certaine déchéance des fibres
nerveuses
dans les racines postérieures lombaires et sacr
y avait, par suite, tabes sous-jacent. P. K. 00 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXIV. Observation DE mutité hystérique; par B.
du pouvoir contractile, amiosthénie par amoindrissement de l'influx
nerveux
. Moins constantes sont les mouches volantes qui s
ans un grand nombre de maladies, principalement celles du système
nerveux
, est mieux reconnue ailleurs que chez nous. Sol
. Quelques auteurs lui attri- buent une action excitante du système
nerveux
(Oinhart) : cette opinion est démentie par les
t indiquée en raison de la susceptibilité parti- culière du système
nerveux
qui a subi le traitement opiacé à haute dose. I
nt accompagnées de changements dans l'excitabilité élec- trique, ou
nerveuse
, ou musculaire; dans ces cas l'électricité peut t
u cours de ces dernières années, dans la thérapeutique des maladies
nerveuses
: le chloralose, le sul- t'onal, la paraldehyde
s constatations. La diversité de l'action qu'exerce sur les centres
nerveux
les différents poisons doit, au cas où la maniè
groupes cellulaires. L'ac- tion pharmacologique de certains poisons
nerveux
étant bien connue, on pouvait ainsi obtenir des
ements' sur différents points intéressant la physiologie du système
nerveux
central. Dans ces expériences on ne peut utilis
irmités portant soit sur les organes des sens, soit sur les centres
nerveux
et produisant des modifications va- riables dan
e des hôpitaux. , TRAVAIL DE L\ \ CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈ\lE
NERVEUX
. Laboratoire de )1. le professeur Raymond, il l
latamische" .rI1lei[jel', V, 1891. l. 3 Gehuchten (van). Le système
nerveux
de l'homme. * Tooth. Lectures of seciindary cle
ailleurs ; nous ne ferons que rapporter ici l'examen des élé- ments
nerveux
. III. Examen histologique. Les racines postér
s les racines lombaires, on trouve encore un grand nombre de filets
nerveux
conservés. Les coupes de la moelle ont été colo
hnen in Gehime und Reiickenm, 181G. 19. Gehuchlen (van). Le système
nerveux
de l'homme. 20. Gombaull et Philippe. Archives
. 55. Weslphal. Archiv. sur Psychiatrie, 1878 et 1880. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. NOTE SUR UN CAS DE PACHYMÉNINGITE HÉMORRAGIQUE
, Ancien interne des Agiles d'aliénés de la Seine. Peu de lésions
nerveuses
sont d'un diagnostic plus générale- ment obscur
'«c/;yh ! e) : t<iy'<e cérébrale. Paris, 1873. 102 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. puisse évoquer l'idée d'une ancienne syphilis;
ent plus fréquents et plus pénibles pour lui; il sent qu'il devient
nerveux
. A la fin de cette même année son caractère est
nts d'un général dont il était alors l'ordonnance. loi PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sance, pouls à 102 et température 38° le matin
es gouttes de sang encore rouge exlravasé et infiltré dans le tissu
nerveux
dans le voisinage du noyau réticulé. Pas trace
que nos anciens auraient appelé la diathèse congés- 106 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tive, qu'avec cela il était en voie d'artério-
and 11t·m ologlst, 1803. 2 13aillarâer. Recherclies sur le système
nerveux
. Paris, 1817. 1 Vil'Chow. - Das hoema/om dei' d
niquement atteints de la pie- mère. Les artères malades des centres
nerveux
étaient en effet ' Wiglesworth en des travaux t
Chef du laboratoire de tlidi-apetilicltie de la Clinique des maladies
nerveuses
à la S,dpêlrièl'c. Parmi Pes questions que le
. Tous les organes sont sains et fonctionnent bien, sauf le système
nerveux
; on ne constate pas dans les urines l'inversion
E DE PATHOLOGIE MENTALE. type sauvage primitif possédant un syslème
nerveux
imparfai- tement développé'. » F. Borssrca. I
tement développé'. » F. Borssrca. II. Sur la syphilis du système
nerveux
; par J. Mickle. (Brain, printemps, été et autom
érébro-spinales par infiltration gommeuse diffuse ; les acci- dents
nerveux
rapides des véroles séniles; les altérations ment
consécutif aux étals d'agitation, et les lésions graves du système
nerveux
, éveiller le soupçon de paralysie générale. C'e
nou. Ce procédé n'agit pas en augmentant l'excitabilité des centres
nerveux
; il agit, au contraire, directement sur le qua-
CEL 13RIAND. BIBLIOGRAPHIE. III. Clinique des Maladies du Système
nerveux
; par le professeur Raymond. (Paris, 1896, 0. D
époque actuelle où domine l'étude de la structure fine des éléments
nerveux
. A cette oeuvre de reconstitution, fait suite l
de dépend l'inter- vention chirurgicale. L'hérédité en palhologie
nerveuse
constitue un chapitre toujours ouvert, et des p
praticien. Ch. Mirallié. VARIA. Congrès DE médecine mentale ET
NERVEUSE
. (7e Session. Nancy, 1896.) Le septième Congr
ngrès une réduction 1 Les membres du Congrès de Médecine mentale et
nerveuse
, qui voudraient prolonger leur séjour à Nancy,
nschr., 1892, n° 17. Archives, 2° série, t. Il. 11 i 162 CLINIQUE
NERVEUSE
. remarque, c'est encore au même maître que nous
'1890, le Dr Frenkel nous fit part dans son sanatorium des maladies
nerveuses
, à cette époque à Horn (Suisse), -de ses idées
férents, etc. 1) j 1 Leytlell. - I,nc. cil. ' 164 ' " CLINIQUE
NERVEUSE
. Mouvements coordonnés compliqués : marcher, s'
x fléchis exécuter avec les bras des mouvements de 166 . ' CLINIQUE
NERVEUSE
. gymnastique; z,161, se tenir sur une jambe ; 1
notre publication (,N'eiii-ol. Centrb., n° 13, 1893). 168 clinique
NERVEUSE
. et repris confiance dans leurs jambes, à des p
trouver un autre mot pour caractériser les troubles de 170 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'équilibre, dont ces malades souffrent. Puis
té tactile et de la sensibilité musculo-articulaire. 172 CLINIQUE
NERVEUSE
. ' On sait que les organes qui, par les circons
sensibilité. Chez nos malades nous avons toujours vu, 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. que la sensibilité ne s'améliorait que très ta
pprécier les impressions affaiblies que lui transmettent les fibres
nerveuses
sensitives altérées. Les exercices les yeux fer
antaire chez le tabétique Revue de Neurologie, 1895. 176 clinique
NERVEUSE
. thésie tactile plantaire, et elle a lieu tantô
à l'aide d'une canne Archives, 2° série, t. II. 12 - 178 clinique
NERVEUSE
. circuler seul dans l'appartement, et faire des
de sa valeur réelle, il faut choisir des cas capables 180 CLINIQUE
NERVEUSE
. de bénéficier des bienfaits de ce traitement,
oussées. En examinant les malades pendant ces poussées 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. on constate toujours une aggravation de la sen
t à noter une sensation très pénible de constrictibn 184 , CLINIQUE
NERVEUSE
. dans la région thoracique gauche. Aucun troubl
l'âge de quatre ans aux Enfants-Assistés, prétend avoir des crises
nerveuses
depuis l'âge de dix ans. Elle entre en 1890 dan
sévérante nous ménage des victoires et que les maladies mentales et
nerveuses
bénéficieront à leur tour des grandes et récentes
Chaque jour s'éclairent et se précisent l'étude intime du sys- tème
nerveux
, la notion des résistances dont une nutrition exp
nous informer des réactions qu'elles déter- minent sur le mécanisme
nerveux
et des moyens de les prévenir ou de les réprime
liens qui doivent unir l'enseignement et la pratique des maladies
nerveuses
et mentales. Si ce voeu se réalise, vous aurez,
pas étrangère au culte passionné que provoque l'étude des maladies
nerveuses
; elle a vu éclore ici, sous la poussée d'un espr
l'une ou l'autre des deux grandes sections des maladies du système
nerveux
. Nous nous 202 SOCIÉTÉS SAVANTES.. en félicit
oupes séparés de l'armée des travailleurs s'occupant des mala- dies
nerveuses
et mentales est tout à fait artificielle. Elle ne
ue entre les études de pathologie mentale et celles de patho- logie
nerveuse
, si bien que les grandes découvertes qui ont été
ous nos yeux lorsque se sont établies dans la pathologie du système
nerveux
les doctrines de la dégéné- rescence et, un peu
s, gagna bien vite du terrain. Elle s'étendit à toutes les maladies
nerveuses
et les neuro- logistcs en firent l'application
érescence s'étendait ainsi de la pathologie mentale à la pathologie
nerveuse
, la microbiologie préparait dans le silence des
mie, portait d'une façon élective sur certains éléments des centres
nerveux
. Un peu plus tard, des expé- riences rigoureuse
des myélites infectieuses aiguës. On comprit alors que le système
nerveux
n'échappait pas aux lois générales de l'infecti
microbiennes, et que même certaines lésions organiques des centres
nerveux
, telles que celles de la paralysie infantile, d
es formes par lesquelles peut se manifester l'infection des centres
nerveux
. · En même temps ils étudièrent de près l'étiol
es qui jetaient un jour si im- prévu sur la pathogénie des maladies
nerveuses
et à en appliquer les principes à l'étude, de l
onnellement provoquées par des infections accidentelles des centres
nerveux
. Ainsi, dans cette question limitée, mais extrê
is extrêmement impor- tante de l'étiologie des maladies mentales et
nerveuses
, les alié- nistes et les neurologistes se sont
la dégénérescence qui s'est bientôt étendue à toute la pathologie
nerveuse
, les seconds ont préparé l'accès dans la médecine
reconnaissent toutes trois pour cause des perturbations des centres
nerveux
, mais cette dernière affection nous semble être
on l'intensité : 228 SOCIÉTÉS SAVANTES. dits normaux que chez les
nerveux
constatés. L'auteur aborde enfin l'étude des tr
stérie met le plus souvent en jeu tour à tour l'ensemble du système
nerveux
céphalo-rachidien et, sympathique, d'où l'indic
denham. Parfois la chorée s'é- ternise par mise en branle de l'état
nerveux
: la suggestion arrête alors le branle. Le pa
l'état de maladie, s'il n'est pas ancien, incrusté dans les centres
nerveux
, il guérit par suggestion. Dans la sclérose en
les 'mélancoliques simples se trouvent mieux au milieu de simples
nerveux
non obsédés eux-mêmes que parmi leurs pareils, ca
ntal, cette appréhension. La relation qui existe entre le système
nerveux
central et l'ap- pareil digestif est mise en év
iques, physiologiques et pathologiques sur le cerveau et le système
nerveux
. Ce voeu a été approuvé par tous les directeurs.
A suivre.) Archives, ` ? ° série, t. II. 19 9 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXVI. SUR LES affections DE la' QUEUE DE cheva
ns; par nI. RAYfoND, professeur de clinique des maladies du système
nerveux
. (Nouvelle iconographie de la Salpêtrière, 4899
crée, s'irradie plus ou moins aux membres infé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 291 rieurs. Elle est irrégulièrement intermitt
ate, puis revenu à lui le malade s'aperçoit 292 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'il est paralysé des membres inférieurs. Cet
t sans doute d'une plaque de méningite. A notre REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 293 3 époque, ajoute le professeur, les cas bi
voir ulcération de la peau, le mamelon peut 294 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. même tomber, on a alors des plaies fistuleuses
bras jusqu'au coude. Il existait aussi une zone REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 295 d'anesthésie tactile occupant la peau de l
iques morbides. En l'un des cas il faut, en 296 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. effet, reconnaître une affection syphilitique,
nt rares, alors qu'ils sont excessivement nombreux dans la syphilis
nerveuse
. On' voit les cylindres-axes à peine déformés,
dans le dernier cas la myéline est boursouflée, lésée. Les cellules
nerveuses
sont aussi atteintes, mais non profondément. En
, syphilitique avérée depuis dix ans et ayant éprouvé des accidents
nerveux
syphilitiques, enlre autres une hémiplégie faci
es dans les deux jambes, douleurs survenant par REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 297 crises, cette femme devint, en cinq ou six
es présentent de l'hyperplasie du tissu conjonctif, mais les fibres
nerveuses
sont saines. Cette lésion est de nature syphili-
sont saines. Cette lésion est de nature syphili- tique. Les centres
nerveux
, sauf la moelle et les méninges, sont indemnes.
es-axes dépouillés de leur myéline, mais non détruits. Les cellules
nerveuses
sont altérées, mais non détruites non plus. La
t l'autre syphilitique. A noter que, malgré 298 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'il soit de nature syphilitique, l'immense f
rie. L'auteur pense qu'il s'agit d'une myopathie sans aucune lésion
nerveuse
centrale ou périphérique. Il se base sur le carac
'on fait ordinairement le diagnostic à première REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 299 vue et qu'on néglige d'examiner les sujets
'autres manifestations diathésiques que des 300 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. gommes de la peau il y a un an. Début par un i
tique des lésions médul- laires est certaine. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 301 Cette observation renferme bien des points
combé ou sont venus au monde mort-nés. Il y 302 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. a sept ans, douleurs sourdes dans l'épaule gau
rt-né, la lésion consiste alors en uneruéningo- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 303 myélite diffuse embryonnaire. Ordinairemen
RÉFLEXES; par M. E. LENOBLE, interne de la clinique des maladies
nerveuses
. (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 1896, n° 1.)
e. Actuellement : ni paralysie, ni atrophie 304 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. , musculaire, la marche n'est pas ataxique, ma
est mise en communication avec le pôle positif REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 305 d'un appareil galvanique, on fait passer l
à gauche ; Archives, 2e série, t. II. 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dyschromatopsie. L'olfaction, l'ouïe, le goût
enzi, de Naples. Premier cas. Femme, vingt-neuf ans, mariée, tare
nerveuse
héréditaire, mais jamais d'accidents nerveux av
euf ans, mariée, tare nerveuse héréditaire, mais jamais d'accidents
nerveux
avant le phénomène morbide actuel. Opération de
as dû avoir une action curative bien puissante. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 307 A noter que dans deux de ces trois observa
a, preuve nouvelle de l'influence de cette affection sur le système
nerveux
, influence admise, du reste, par tous les clini
renthèse, que l'ophtalmoplégie est externe. 308 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Paralysie et ail ophie considérable des muscle
ions doubles en foyer. Exposé analogue à propos REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 309 de l'ophtalmoplégie externe qui peut dépen
ista clinica e lerapeulica, 1895, n° 2.) C. 310 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLI. Saturnisme chronique avec paralysie des n
t conservée. La malade est triste et irritable. Aucun autre trouble
nerveux
. Bord libre des gencives saignant, ramolli et b
ments intentionnels sont lents et un peu incer- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 311 I tains et les muscles de la face du côté
u un foyer circonscrit de myélite à la por- 312 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion dorsale de la moelle, l'hystérie n'est pa
a, Naples, 1896, n° 3.) G11USIïI'. XHV. Hystérie. Souffle cardiaque
NERVEUX
. OEDÈME des extrémités inférieures; parle profe
olongé, plus accentué à la pointe. Foie et rate REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 313 normaux. Urines normales. Réflexes patella
été trouvé normal. Le professeur Renzi diagnostiqua donc un souffle
nerveux
, pour lui le coeur est sain. Il a précisément d
eux, pour lui le coeur est sain. Il a précisément décrit le souffle
nerveux
dès 1878. L'oedème également est d'origine nerv
écrit le souffle nerveux dès 1878. L'oedème également est d'origine
nerveuse
, s'il tenait à une lésion du coeur, comme il es
c était exact, il s'agissait bien, en effet, d'un souffle cardiaque
nerveux
et d'un oeJème bleu hyté- rique. (Rivista clini
it dans les cordons postérieurs, avec raréfaction légère des fibres
nerveuses
avec un peu d'épaississement du tissu de soutène-
et postérieure. Quant aux nerfs hypertrophiés, ils ont leurs fibres
nerveuses
normales, mais ils sont oedématiés et leur tissu
.) Les troubles trophiques du système pileux, à la suite de chocs
nerveux
, ont été observés principalement sous forme de ca
ment. On peut supposer que ces troubles trophiques sont d'ori- gine
nerveuse
, mais il est difficile de le démontrer. Pourtant,
r 1896.) E. 13LIN. X. L'action DU LIQUIDE thyroïdien SUR LE SYSTÈME
nerveux
central; par le Dr HASKOVEC. Au moyen de nomb
lente du centre trophique ne produit pas l'altération des fibres -
nerveuses
périphériques dans toute leur longueur, de la cel
phique résultant de la diminution de l'énergie vitale de la cellule
nerveuse
se montre au point le plus périphérique ; mais
itre exophtalmique et les tremblements de quelques autresmala- dies
nerveuses
(polynévrites, tumeurs et commotions cérébrales,
ean) : Contribution ci l'élude d'une forme spéciale de vomissements
nerveux
. 1\1. Serrigny (René) : Psychoses génitales. Co
Vol. II. Novembre 1896. N° 11. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
, TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS
s de Neurologie, n° 9. Archives, 2e serie, t. II. 22 338 CLINIQUE
NERVEUSE
. étant à son travail fut subitement prise de fo
malade qu'elle arrive peu à peu par des efforts de vo- 340 CLINIQUE
NERVEUSE
. lonté à amener des contractions dans les muscl
partie externe des genoux et grande comme une pièce de 342 CLINIQUE
NERVEUSE
. 5 francs a conservé la sensibilité tactile. L'
à force d'exercices et d'une patience, dont nous avons 344 CLINIQUE
NERVEUSE
. droit d'être fiers, nous sommes tout de même p
de tabes (Westphal, Romberg), impossibilité de marcher 348 CLINIQUE
NERVEUSE
. sans appui et sans se tenir aux meubles, léger
t alcoolique, mort à l'âge de quarante ans. La mère du malade était
nerveuse
, elle est morte à l'âge de quarante- neuf ans d
e maladie de coeur. Une soeur du malade était atteinte 350 CLINIQUE
NERVEUSE
. de tabes dorsalis dès l'âge de vingt-sept ans.
apidité avec laquelle les symptômes tabétiques se sont 332 CLINIQUE
NERVEUSE
. développés, l'intensité des phénomènes ataxiqu
ns. Magistrat. Son père est gout- teux. Sa mère était toujours très
nerveuse
. Il y a quatre ans elle a eu une attaque d'apop
il a fini d'uriner. Il Archives, 2e série, t. IL 23 3S4 CLINIQUE
NERVEUSE
. faut qu'il voie, ou qu'il entende pour savoir
ttaque apoplectique. La mère du malade est bien portante, mais très
nerveuse
. Le grand-père paternel est mort aliéné. Dans l
dents personnels. - Le malade était toujours maigre et 350 CLINIQUE
NERVEUSE
. d'une santé délicate, mais il n'a jamais fait
e. Les deux pieds sont continuellement agités de mou-' 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. vements. De temps en temps la pointe du pied s
as de blépharoptose, ni de strabisme. Pas de diplopie. 360 CLINIQUE
NERVEUSE
. y Les pupilles sont moyennement dilatées et ég
signale le danger des maisons consacrées au traitement des maladies
nerveuses
qui échappent à la surveillance de la commis- s
vrite, ils avaient attribué leur origine à l'altération des centres
nerveux
. Ensuite Korsakoff avait décrit trois formes, d
, on est conduit à lui donner une origine certaine dans les centres
nerveux
. j) En effet, le trouble de la mémoire qui cons
ur la volonté, on voit à l'altéra- tion de quelle partie du système
nerveux
l'on doit attribuer la pro- duction du nouveau
.., vingt-trois ans, une soeur grabataire par le fait d'une maladie
nerveuse
ancienne. Lorsqu'il habitait avec sa famille, il
les soirées qui précédaient les nuits dans lesquelles les accidents
nerveux
se manifestaient, les malades étaient d'une act
réputée miraculeuse, de plusieurs personnes atteintes d'affections
nerveuses
et en particulier d'hystérie. Nous croyons util
lière de la comptabilité du nouvel hos- pice. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLVI. Un cas DE mal DE POTT suivi DE guérison
n diaphragmatique s'explique par ce fait que le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 455 nerf phrénique fonctionne, alors que les n
fait voir que, malgré une paraplégie absolue, bien peu de fibres
nerveuses
pourtant sont désorganisées. (Rivista clinica e t
se fait sentir sur tout l'organisme, principalement sur le système
nerveux
central, exemple : le vertige à slomaco lceso, le
r être très rapide, puis il se ralentit, ou t56 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. inversement. Quand il est lent, on peut compte
s douanes, il est obligé d'embarquer. Dès qu'il REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 451 est à bord, il lui est impossible d'uriner
ies sont toutes deux, on le sait, passibles 458 REVUE DE pathologie
nerveuse
. de bien des objections, l'auteur les rejette l
ur lesquelles il se base : le sommeil n'est pas le repos du système
nerveux
confiai exclusive-^ ment, mais bien une fonctio
aussi que cette infirmité ne se rencontre guère que chez les sujets
nerveux
et souvent héréditaires. La théorie psychique a
nnambulique. C. LI. Dissertation sur un cas peu commun DE maladie
nerveuse
; par le Dr L. AB13 MONDI, médecin chef de la ma
, ni héréditaire, est incorporé dans l'armée en REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 459 mars 1893. Il est alors vigoureux et bien
tres raisons encore, ou doit les considérer comme des arthropathies
nerveuses
. L'auteur recherche alors l'entité noso- logiqu
us la dépendance, non plus d'une lésion médullaire, mais de lésions
nerveuses
multiples périphé- riques disséminées dans les
que l'on discute depuis longtemps sur l'in- lluence que le système
nerveux
peut avoir sur la localisation et la REVUE DE P
me nerveux peut avoir sur la localisation et la REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. -16l marche des processus infectieux, sans que
alysie vaso-mo- trice, soit dans un membre en sectionnant son tronc
nerveux
, soit dans l'oreille du lapin en extirpant le g
rifie qu'un seul, le dixième jour; les li 6 4-) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. onze autres meurent spontanément dans un temps
u, par rap- port à une infection, est liée à l'intégrité du système
nerveux
de ce tissu. En résumé donc, la paralysie vas
dical. Octave Auguste, parait-il, était atteint REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 463 d'une sorte de rigidité et de contracture
er, homme robuste et d'une excel- lente santé, exempt de toute tare
nerveuse
héréditaire ou acquise, ni alcoolique, ni syphi
s le malade affirmait d'abord qu'il n'avait 164 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. jamais eu la vérole, ensuite que sa céphalée é
plusieurs d'entre eux aiment la ville qui leur REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 465 est malsaine et qu'ils ne la quittent qu'à
si elle peut atteindre les enfants. Les prédisposés aux affections
nerveuses
ne semblent pas y être plus sujets que les per-
démonstratives et de considérations sur l'histologie de la cellule
nerveuse
, montre que les polynévrites déterminent dans l
e réalise la Archives, 2" série, t. II. 30 66 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. section nerveuse, c'est-à-dire qu'il y a disso
ves, 2" série, t. II. 30 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. section
nerveuse
, c'est-à-dire qu'il y a dissolution partielle ou
tandis que la lésion périphérique porte surtout sur les ramuscules
nerveux
ou sur les troncs d'émer- gence. La lésion cell
es. Enfin, dans les polynévrites comme dans les lésions des centres
nerveux
consécutives à la section nerveuse, il y a à di
omme dans les lésions des centres nerveux consécutives à la section
nerveuse
, il y a à distinguer également deux périodes :
symptômes sont rangés selon leur fréquence : -. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 467 468 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Toute
ce : -. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 467 468 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Toute l'observation clinique du malade pourrai
D. Tous les médecins qui s'occupent plus spécialement de maladies
nerveuses
ont vu quelques types de ces chorées inconstantes
eurs vulgairement et vague- ment désignés sous le nom de mouvements
nerveux
. La similitude des cas a engagé l'auteur à les
de cette affection, il n'est pas question seulement de tempérament
nerveux
familial comme dans la chorée de Sydenham, ni d
ente à la chorée chronique : on se trouve, dans REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 469 cette affection, en présence de dégénérés,
ons dans l'hystérie est d'autant plus inté- 470 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ressante à connaître qu'en raison des réaction
xamen du malade suffit pour clore le débat sur le siège des lésions
nerveuses
poltiques et autorise à dire qu'elles portent t
se montrent fréquemment sur la ligne médiane. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 471 L'auteur ayant remarqué que souvent la lue
ide dans 2 cas, double dans 1. Chez 57 malades atteints de maladies
nerveuses
, la luette était 3 fois bifide, 13 fois déviée,
extenseur du pouce gauche avec parésie des 472 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. muscles de l'éminence thénar, et surtout de l'
este qu'une parésie très légère du facial infé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 473 à rieur droit. Guérison. De là le litre de
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. résultats dans le durcissement du tissu
nerveux
, en employant le mélange suivant : REVUE D'AN
ées et la hauteur de la vOl1Le palatine indiquerait une disposition
nerveuse
hérédi- taire. L'auteur a repris l'étude de la
ère lui d'une cavité. Plus haut apparition d'une masse de substance
nerveuse
qui adhère aux cordons postérieurs et qui est,
abondant a dilacéré les parois du canal central et pénétré le tissu
nerveux
, dans le point rendu le moins résistant par le
la même racine, alors que le mode de dislribution des divers filets
nerveux
donnés par celle-ci estanaiogue chez ces animau
les, les malformations du crâne seraient très rares chez les sujets
nerveux
. Il va sans dire qu'il distingue la nervosité de
és il y avait une atrophie des fibres tangentielles et des éléments
nerveux
avec une prolifération de la névroglie. Dans la
pinière. L'ordre adopté par l'auteur est très rationnel. Les fibres
nerveuses
étant destinées établir des rapports bien déter
1/2. Hospice DE la Salpêtrière. Clinique des maladies du Système
nerveux
. M. le professeur R.YMoND; le mardi et le vendred
4 h. 1/2 ; - Lundi à 10 h. 1/2, séméiologie des maladies du système
nerveux
. D''J. B. Charcot et Souques;- mardi 10 h., pol
mercredi, 10 h. 1/2, histologie normale et. pathologique du système
nerveux
, D1' Philippe ; jeudi, 10 h. 1/2 éleetrodiagnos
', hypnotisme, No ? & ? e ? 81 Clinique des maladies du système
nerveux
(2 volumes). 9° Les leçons du mardi à la Salpêt
. - chez un hystérique, par Gasne, 298. Mystique. Jeûne -, 414.
Nerveuse
, Cas peu commun de -, par Abbamondl, ibs. Neu
Surveillance. Quartiers de -, par Dehio, 489. Syphilis du système
nerveux
, par Itchle, 126. - cétéhrale, par de ISenzi,
lRt\(.0)IYI.LIt : , par Raymond, 301 -. par f3remnn, 171. Système
nerveux
. Cliniques des ma- ladies du -. par llamoncl, 1
e, etc.. par Bourneville, 255. Action du liquide - sur le système
nerveux
central, par llaskovec, 310. Extrait - et cré
lobine (Chlorose, Anémie). Sérum névrosthénique Fralsse (Dyserasles
nerveuses
). Neurosino Prunier. (Reconstituant général).
ôlestlns (Goutt*, Grovello. Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies
nerveuses
, Epilepsie, Hystérie), Lecithine Rogler (Neuras
ésinet (S.-ei*0.). D' Pottior. 10, rue Ptcput (Maladies mentales et
nerveuses
). D" Signes (Pavillon Cbarcot). 133. boulevard
nt hypnotisabtes les hystériques et tous les déséquilibrés du système
nerveux
, chez lesquels, par le fait de la maladie ou de l
très marqués, ohez des individus paraissant jouir d'un fonctionnement
nerveux
parfaitement équilibré, et même chez certains suj
effet une des nombreuses manifestations de cette propriété du système
nerveux
, qui nous est commune à tous, et que l'on appelle
suggestibilité. Comme les autres manifestations de cette propriété
nerveuse
, elle parait dépendre surtout des circonslances e
jet, de trouver les moyens d'exciter la suggestibilité de son système
nerveux
, de savoir le placer dans les conditions les plus
suite de l'influence de ses tantes, la suggestibilité de son système
nerveux
, au moment de ma visite, dominait tout son être p
I) Présentation de malade faite a la clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpetriêre. et elle a eu de très grand
à l'âge de 14 ans : il n'est pas rare, eu effet, de voir des troubles
nerveux
survenir au moment de la menstruation. 8es dive
tent certaines toxines qui vont influencer plus ou moins lus systèmes
nerveux
prédisposés. Pendant la durée do ses règles, cett
annuelles, très détaillées et critiques, sur V histologie du système
nerveux
, ía physiologie du système nórceux, la pathologie
oi* PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE HALA.DIES MENTALES ET
NERVEUSES
RtfifiMm M: Docteur Edoar BÉRLLLON collaborat
IL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
, MÉDECINE LÉO A LE, PÉDAGOGIE CRIMrNOLOOIE. PSYCH
globine {Chlorose, Anémie). Sérum nôvrosthénlque Frautie Dyscrasies
nerveuses
). Neurosln© Prunier. (Reconstituant général).
leatlna (Goutte. Gravelle, Diabète). Tri bromure de Qigon (Maladies
nerveuses
. Epilepsie, Hystérie), Leoithine Roglor (Neuras
u Véstnet (S.-ei-O.J. D* Polder. 10. rue Picpus {Maladies mentales et
nerveuses
). D' Signez [Pavillon Charcot), 138, boulevard Di
l U YXtUhll ill SeWIKl, 13 S*ft JMI. lit. Neurat&énle, Maladies
nerveuses
, tic-Dragées de 4 a 8 par jour . . Le flacon 4 50
do Paris. Une nouvelle conception de la thérapeutique des maladies
nerveuses
et psychiques, semble devoir s'imposer définitive
tion à l'auto intoxication dont l'organisme de la plupart des malades
nerveux
, excités ou déprimés, est déjà victime. Il s'agit
tion du dynanisme cérébral et médullaire, au repos procuré au terrain
nerveux
, et à la suspension d'une habitude morbide de
n d'accumulation. L'hypnose calme l'hyperactivité morbide des centres
nerveux
en isolant le cerveau des causes d'excitation inu
par un effort volontaire, les idées qu'ils ont dans l'esprit. Sédatif
nerveux
par excellence, le sommeil provoqué rend aussi pl
a signalé les bons résultats obtenus pour le traitement des maladies
nerveuses
par l'hypnose sans suggestion. Rappelons que c'
lus ou moins prolongé, » dans le traitement d'un grand nombre d'états
nerveux
. Ce « sommeil est éminemment réparateur, rien ne
fond et prolongé répond à « des indications précises. Dans les formes
nerveuses
carac-» térisées surtout par des troubles psychiq
. » Tout en questionnant, j'appris que l'enfant soufTrait de crises
nerveuses
depuis quelques semaines, qu'il avait été transpo
s tôt? » Des accidents très graves, et en particulier des accidents
nerveux
accompagnent l'évolution dentaire. Qu'il me suffi
au prix de grandes fatigues. Ce jeune garçon souffrait d'accidents
nerveux
causés par une évolution dentaire et compliqués d
1J Présentation de malade faite à la clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpétriére. met a manger voracement
olonté. On s'appliquera à la relever, ainsi qu'à tonifier son système
nerveux
. Ce dont il a besoin c'est d'une éducation et d'u
lme et les pratiques d'Hytrotbéraple et d'Electrolbéraple. Maladies
nerveuses
et rhumatismales. Anémie, Diabète, Obésité, Dyspe
moli PSTCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
Riiittcur ti (M: Docteur Edoar BKRILLON COLLA
IL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES et
NERVEUSES
. MÉDECINE légale, PÉDAGOGIE CWMINQLOOIE. PSÏCHOLO
l'Hémoglobine (Chlorose, Anémie). Sérum névro*thônlque Fraisae . • *
nerveuses
). Neurosine Prunier. (HeconsliUiani général). V
célesii as (Uoutl-, Gravclle. Diabète). Trlbromure de Glgoa (Maladies
nerveuses
. Epilepsie, Hystérie). Léclthine Rogler (Neurasth
u Véslnei (S.-ei-O.J-LV Pottier, 10. tue PIcpus (Maladies mentales et
nerveuses
). D' Sigoez ^Pavillon Charcol). 138, boulevard Di
tissus ont inspiré Blchat. Ses vues sur le fonctionnement du système
nerveux
ont eu une influence certaine sur les idées de Pi
édents héréditaires et morbides qui démontrent l'existence de la tare
nerveuse
, expose les circonstances dramatiques qui ont pro
t pédagogique; 4* fe musée de psycholoijie. La clinique de maladios
nerveuses
[dispensaire neurologique et pédagogique/, annexé
à l'examen des organes, aucun indice de lésion matérielle des centres
nerveux
, pas plus que du système nerveux périphérique.
ice de lésion matérielle des centres nerveux, pas plus que du système
nerveux
périphérique. L'alimentation de la malade penda
ette petite opération avait pour résultat, soit d'atténuer les crises
nerveuses
, soit même de les faire disparaître. En tous ca
ur eu cas. La malade appartient à une famille névropathique; la mère,
nerveuse
, irritable, a eu, dès sa plus tendre enfance, des
nt sombre, violente, et présente des douleurs ainsi que des secousses
nerveuses
dans tous les membres. A la puberté on remarque d
II. — -'.. âgée de 26 ans, mère de quatre enfants, d'un tempérament
nerveux
et colère, garde le lit depuis vingt-cinq jours,
mois PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
Rfliftar m (M: docteur Edgar bérillon COLLABO
IL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOLOGIE, PSYCHOL
oglobine (Coloróse, Anémie). Sérum névzosthénique Fralaso (Dyscrasies
nerveuses
). Nflurosine Prunier, (fteconslituant général). V
Celestina (Goutte. Cravclle, Diabète). Trlbromure- de Otgon (Maladies
nerveuses
, Epilepsie, Hystérie). Lecltbinc Rogler (Neurasth
Vésinet (S.-et-O-;. D' Portier, 10, rue Picput (Maladies mentales et
nerveuses
). D" Signez (Pavillon Charcot), l3*,boulcvard Did
i-ftidu (* l'itilfalr in yi-- 1.13 SfiL lui. Saura ¦¦¦ r . Maladies
nerveuses
, etc-Drsgées de * â S par jour . . Le flacon 4 BO
ime accident pour faire éclorc le déséquilibre fonctionnel du système
nerveux
. On se rappelle que, chez notre dormeuse, l'aud
et pédagogique; h' le musée de psychologie. La clinique de maladies
nerveuses
{dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
procure une analgésie absolue. D'autre part, cette personne est très
nerveuse
, très impressionnable; étant somnambule, elle est
n). Le mal de mer consiste en un dérangement fonctionnel du système
nerveux
en particulière! de l'organisme en général, carac
u même incoercibles ; il peut en résulter une dépense énorme de force
nerveuse
qui se traduit par des sueurs profuses, un abaiss
trepris; sans se rendre bien compte on a peur de l'inconnu ; la force
nerveuse
se dépense en une auto-suggestion involontaire, c
hypnotisa ble. La suggestion pourra maintenir ou rétablir l'énergie
nerveuse
, conserver la résistance morale et physique, donn
me et les pratiques d'IljMrothéraple et d'Rleetrnthéraple. Haladlea
nerveuse
» et rhumatismales. Anemie, Diabete, Obésité, Dysp
TRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
resultarli (iti: Docteur Edgar BÉRILLON COLLA
il provoque, somnambulisme, suqgest10n névroses, maladies mentales et
nerveuses
, médecine legale, pédagogie criminolooie. psrchol
ne (Chlorose. Anémie). Sérum névrotthénique Fraisso (Dy&crasies
nerveuses
). Nourosino Prunier. (Reconstituant général).
éleslins (Goutte, Gravelle, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies
nerveuses
, Epllepsie, Hystérie). Leclthine Rogler (Neuras
u Vésfnet (S.-et-O.). D* Pottler, 10, me Plcpus (Maladies mentales et
nerveuses
], Dr Signez (Pavillon Charcot). 1M, 1k. . • . . D
bs. IL — C..., âgée de 28 ans, caissière, ne présente pas de troubles
nerveux
appréciables. Elle se plaint seulement de no pouv
Obs. III. — M" C..., âgée de 39 ans, couturière. Dès l'enfance a été
nerveuse
impressionnable ; elle avait des peurs, des anxié
et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
évoir le délire, il est un prodrome, un signe du trouble de l'élément
nerveux
, mais il ne peut à lui seul déterminer le délire.
e à sa rêverie qui n'a jamais d'objets bien précis. Sa mère est une
nerveuse
, et sa sœur autrefois a eu des crises hysté-rifor
-riformes, mais se porte bien aujourd'hui. Quant à elle, les troubles
nerveux
dont elle se plaint sont les seuls qu'elle ait ja
iées à son état, je lui prescrivis, en oulre, des toniques du système
nerveux
, et quelques gouttes de laudanum le soir pour don
est-ce beaucoup prétendre, puisqu'en réalité l'ensemble des symptômes
nerveux
éprouvés par la malade, n'est qu'une de ces forme
es formes si nombreuses que revêt la rupture fonctionnelle du système
nerveux
, et ne saurait constituer une maladie véritable c
u'à présent de cette forme spéciale de trouble fonctionnel du système
nerveux
, bien que mon attention ait depuis trois ans, été
ormule mentale. Tout chez lui procède de la dégénérescence du système
nerveux
, de l'arrêt du développement des neurones cérébra
tes, revêtent une intensité qu'explique le passage de toute l'énergie
nerveuse
dans un nombre restreint de conducteurs. De là le
) Présentation de malades faite a la clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpétrière. répète, il fait songer au
ru* Gorbert. 10- H CHLOROSE — ANÉMIE — HYSTÉRIE S 6 Epuisement
nerveux
- Dysménorrhée f ROB I • HÉMOSTHÉNIQUE \ S
PROVOQUE. S CM A MBDLISME, SUGGESTION NÉVROSES. MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
. MÉDECINE LB6ALE, PÉDAOOOIB CRIMINOLOOIE, PSYCHOL
lobine (Chlorose, Anémie). Sérum névrosthénlque Fraiase (Dyscrasies
nerveuses
). Kourcttino Prunier. (Reconstituant général].
les tins (Goutte. Cravcllc, Diabète). Tribromure de Gigon (Maladies
nerveuses
, Epllepsie. Hystérie). Lécithine Rogier (Neuras
Vésinet (S.-ct-O.). D' l'oiti. r 10. rue Plcput (Maladies mentales et
nerveuses
). D' Signe* (Pavillon Charcol), 13$, boulevard Di
et pédagogique; 4* le musée de psychologie. La clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
programme et la date de leur ouverture. Traitement des Dyscrasies
nerveuses
SÉRUM NÉVROSTHÉNIQUE FRAISSE au Cacodylate de
qu'elle danse et chante pour Dieu. Antécédents héréditaires : mère
nerveuse
, tante maternelle également nerveuse, mais sans a
Antécédents héréditaires : mère nerveuse, tante maternelle également
nerveuse
, mais sans aucune crise. Antécédents personnels
Intelligence moyennne, bonne musicienne, très exaltée au point de vue
nerveux
. A l'hôpital, on lui met la camisole do force,
ur de vous entretenir d'une certaine catégorie de jeunes soldats, les
nerveux
, nostalgiques, neurasthéniques ou hystériques, qu
nie, en tant que représentée par les états spéciaux observés chez les
nerveux
, terme générique employé pour désigner tous ceux
s désirons forcer votre attention. Nous établirons que la suractivité
nerveuse
et cérébrale imposée aux jeunes gens par un progr
ns la vie, deviennent les facteurs quotidiens d'un état de dépression
nerveuse
qui se traduit, chez les prédisposés surtout, par
ut autre est la caractéristique de la neurasthéiiie, dont la détresse
nerveuse
habituelle est la véritable note. La neurasthénie
nent d'une hérédité nettement pathologique. Une succession d'ancêtres
nerveux
, surmenés, intoxiqués, aliénés ou géniaux — mal d
on — a diminué la vigueur physique, affaibli et désorienté le système
nerveux
. Il en est advenu que les régions de l'écorce cér
ent plus fréquente dans les familles sujettes aux maladies du système
nerveux
; mais la déviation qui en résulte, que l'on y co
de pareilles situations. • • La neurasthénie exprime la faiblesse
nerveuse
, la fatigue chronique, le déficit d'énergie qui s
de prédisposition originelle, de dégénérescence préalable du système
nerveux
, tous ou à peu près tous, enfants issus d'arthrit
me nerveux, tous ou à peu près tous, enfants issus d'arthritiques, de
nerveux
, d'alcooliques, en un mot, des dégénérés fils de
st, pour nous médecins, que l'état de moindre résistance d'un système
nerveux
resté longtemps à la limite de la fonction suffis
itutionnels, ce que nous disons des formes exceptionnelles, graves ou
nerveuses
, d'une même maladie : ils sont latents chez certa
ste et quand Ton se trouve en état d'infériorité préalable du système
nerveux
. Mais, de ce que l'hérédité puisse le plus souven
lité, nous retrouverons la môme scénologie, le même tableau, chez les
nerveux
. N'e sait-on pas combien est grand le nombre des
caractéristique de cette insuffisance, de ce déséquilibre du système
nerveux
, sans impliquer un désaccord sérieusement incompa
ar suite, moins graves chez les hystériques réels que chez les autres
nerveux
, les psychasiénigues. Ces derniers nous présent
pons, la fatigue génitale, de toutes la plus terrible pour le système
nerveux
, au moins chez l'homme, le tableau est complet et
ur l'enseignement professionnel des gardes- définitif de la cellule
nerveuse
. C'est alors que l'on' voit en peu de temps, en q
lme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'EleclrothérapIe. Maladies
nerveuses
et rhumatismales, Anémlo, Diabète, Obésité. Dyspe
il provoque. somnambulisme. suggestion NÉVROSES. maladies mentales et
nerveuses
. médecine légale. PÉDAG001S criminologie. psvchol
lobine 'Chlorose. Anémie). Sérum névrosthénlque Fralaso (Dyscrasies
nerveuses
). Neurosino Prunier. (Kcconstituant général].
lestlna (Goutte, Gravelle, Diabete). Tri bromure de Glgon (Maladies
nerveuses
, Epilepsie, Hystérie). Léoithino Rogier (Neuras
Vésine; (S.-et-O.). D* Pottier. 10. rue Plcpus (Maladies mentales et
nerveuses
). D[ Signex(PavIIlon Charcot), 138, boulevard Did
nte et atteinte de tuberculose. Elle éprouvait également des troubles
nerveux
, au sujet desquels elle me demanda une consultati
e la plus grande excitation, par contre elles vident vite les centres
nerveux
; qu'à l'impétuosité, succède l'abattement le plu
pouvoir en faire un nouvel usage, il faut d'abord réparer les pertes
nerveuses
. Il me reste à parler de la mystérieuse Ecole d
de tous les névropathes chez lesquels l'insuffisance et l'épuisement
nerveux
peuvent coïncider avec des apparences physiques t
. En résumé, en dehors de l'hérédité, nous signalons, pour 1'* état
nerveux
», deux causes étiologiques d'ordre contraire : l
causes étiologiques d'ordre contraire : la dépense excessive d'influx
nerveux
et l'épuisement; l'inertie cérébrale et la dépres
'atrophient par défaut d'activité physique, le cerveau et les centres
nerveux
s'aveulissent par l'inertie habituelle et cessent
et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire neurologique et pé-dagogique), annex
e Oberkampt. — Prii du placon ; 3 franca. Traitement des Dyscrasies
nerveuses
SÉRUM NÉVROSTHÉNIQUE FRAISSE au Cacodylaie de
ers, nous emploierons l'exercice automatique sans travail des centres
nerveux
, les mouvements faciles, la marche-promenade, tou
faire sortir da la cellule cérébrale une certaine quantité d'énergie
nerveuse
qui y resterait engourdie faute d'excitant. Le né
d effort. Autant pour le - surmené « nous devrons éviter la fatigue
nerveuse
, autant nous devrons la provoquer pour le « désœu
e, la h&te fébrile, se trouve être le principal facteur do l'état
nerveux
.... Or, ne rien précipiter, ne pas se hâter, devi
organique. Or, c'est tout le contraire qui a lieu : presque tous les
nerveux
, épileptlques, neurasthéniques, hystériques, se p
ne nutri- tion défectueuse, à un entretien insuffisant des tissus
nerveux
. On peut dire que si les nerveux dorment mal, c'e
un entretien insuffisant des tissus nerveux. On peut dire que si les
nerveux
dorment mal, c'est parce que leurs nerfs et leur
de production est identiquement le même —, le sommeil est le sédatif
nerveux
par excellence. Il faut l'obtenir à tout prix et
premier chef : elle devra soigneusement être évitée. L'organisme du
nerveux
étant donc, et sans conteste possible, reconnu d'
pertes, et même en pertes énormes); l'harmonie des grandes fonctions
nerveuses
est compromise et le cerveau, anémié, déminéralis
avec tristesse les déplorables résultats. Ce désordre des fonctions
nerveuses
incompatible avec l'exercice de la volonté abouti
ous l'influence de préoccupations intenses, dans un état d'épuisement
nerveux
, de neurasthénie viscérale aussi, tel, que la vie
pétrière, reprendra ses leçons cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
, le jeudi 12 janvier 1905 à dix heures, et les co
l de la Pitié. — M. le d' Babinski, leçons cliniques sur les maladies
nerveuses
, les mercredis à dix heures. Ouvrages déposés à
lme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'Eleetrothérapfe. Maladies
nerveuses
et rhumatismales, Anémie, Diabète, Obésité, Dyspe
EU, nie Gerbert, ? -ï CHLOROSE — ANEMIE — HYSTERIE 5 P Epuisement
nerveux
- Dysménorrhée g ! ROB 1 | HÉMOSTHÉNIQUE g
française, p. 245. II. — TRAVAUX ORIGLNAUX. — 1. Etude de la force
nerveuse
extériorisée et enregistrée par le sthénomètre,
Vésiaet (S.-et-O.). D* Pottier, 10, rue Plcpus (Maladies mentales et
nerveuses
). D* Signai (Pavillon Charcol), 1M, boulevard Did
ii it l'Auiiaie tu Sfiaeti, II UfL ISM. ifa. Ncaraaüteale, Maladies
nerveuses
, elc Dragées de * à S par jour . . Le flacon 4 50
observation inverse et, dans cette observation Inverse, la pathologie
nerveuse
joue un rôle considérable. » Charcot amenait ai
ssé le cri d'alarme, et le professeur Lan-douzy signalait la débilité
nerveuse
de notre génération» qui compte tant de jeunes ho
la suspension d'activité de groupes plusou moins étendus de cellules
nerveuses
. L'homme, dépourvu de tout pouvoir de contrôle, s
et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
programme et la date de leur ouverture. Traitoment des Dyscrasies
nerveuses
SÉRUM NÉVROSTHÉNÏQUE FRAISSE au Cacodylate de
ontrer l'influence de l'hypnotisme et de la suggestion sur le système
nerveux
. Ces faits sont entrés dans le domaine scientifiq
e résulte des besoins sociaux, s'organise en instinct dans le système
nerveux
. Personne n'a exprimé cette opinion avec plus de
eur caractère propre ne peut être réduit à aucune mesure de vibration
nerveuse
, ou de réaction chimique. De là l'antagonisme irr
du mardi ?I juin 1904. — Présidence de M. Bcàwns. Etude de la force
nerveuse
extériorisée et enregistrée par le sthénomôtre
t, il est juste d'admettre que, si l'on peut démontrer que le système
nerveux
possède une force capable de s'extérioriser, c'es
ument capable de démontrer l'existence d'une force émanant du système
nerveux
et s'exer-çantà distance. Il était évident qu'i
llait arriver à mettre l'objet, destiné à être influencé par la force
nerveuse
, complètement à l'abri des mouvements de l'air, s
ats constates furent les suivants : Chez les sujets dont le système
nerveux
est déprimé par une maladie générale ou infectieu
omètre, subit une diminution générale proportionnelle à la dépression
nerveuse
du sujet. Chez les hystériques, le sthénomètre
slavl, Kiev, Saratoff, Ekaterinoslav, Astra- trouble de l'équilibre
nerveux
dans cette maladie, et du bien fondé de la théori
nifestations de l'hystérie, le déplacement de l'équilibre de la force
nerveuse
est proportionnel au trouble existant. De sorte q
au fur et à mesure de la guérison, on constate le retour du la force
nerveuse
qui reprend peu ù peu son équilibre normal. Dan
re colorée. Les applications pratiques de l'observation de la forco
nerveuse
extériorisée sont donc multiples dans le traiteme
orisée sont donc multiples dans le traitement des maladies du système
nerveux
. Les conclusions de ces expériences et observat
isme vivant, et paraissant spécialement sous la dépendance du système
nerveux
. Cette force se trouve modifiée et troublée dan
se trouve modifiée et troublée dans les diverses maladies du système
nerveux
; et la constatation de ces troubles au moyen du
portant Le moindre excès alcoolique provoque une sorte d'irritabilité
nerveuse
qui CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'h
TRÉE PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
MMar m i(!: DocTEOR Edgar bér1llon COLLABORAT
I. PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
, MÉDECINE LESALE, PÉDAGOGIE CRIMINOLOGIE, PSYCHOL
lobine (Chlorose. Anémie). Sérum névrosthénique Fraisse (Dyscrasies
nerveuses
}. Kouroslna Prunier. : 'instituant général).
éleatins (Goutte, Gravelie, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies
nerveuses
, Epilepsie. Hystérie). LOcithino Rogier (Neuras
Vésiaet (S.-et-O.). D* Potiler, 10. rue Picpus (Maladies mentales et
nerveuses
;. Dr Signez (Pavillon Gharcot), 1M, boulevard Did
oi «t l'»-.in Au kïata, U >r,:. IS01. tb. N'euruUieale, Maladies
nerveuses
, etc. Dragées de 4 à H par jour . . Le flacon 4 6
s convulsives et un réparateur des troubles dynamiques de la fonction
nerveuse
. PRIX : 3 francs foudre 3jÊpilatcire gory L
est un spécifique puissant contre I anémie, la chlorose, les troubles
nerveux
de l'estomac, la lièvre paludéenne, la dysménorrh
et tous les états dans lesquels l'anémie est associée à l'épuisement
nerveux
. Le ROB HÉMOSTHÉNIQUE, doué de propriétés laxat
chasthénies. l'anémie cérébrale, et toutes les formes de l'épuisement
nerveux
. La RADIOPHORINE diminue le sucre dans le diabè
ences contenues dans les boissons alcooliques exercent sur le système
nerveux
une action beaucoup plus nocive que l'alcool lui-
et pédagogique; 4* le musée de psychologie. La clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
1) Présentation de malade faite a la Clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpètrière. Notre malade, pendant son
st prise de rage, de désespoir, pousse des cris et présente une crise
nerveuse
. Ne vous y trompez pas, il ne s'agit point du tou
le fanatisme. Ce cas, vous le voyez, dépasse la clinique des maladies
nerveuses
. L'histoire des puritains et des sectaires pullul
1) Présentation de malade faite a la Clioiquo des maladies du système
nerveux
de la Salpetrière. mois, à 4 heures et demie.
lme et les pratiques d'Hydrothérapie et d Electrothérapie. Maladies
nerveuse
* ot rhumatismales. Anémie, Disbèto, Obésité, Dysp
oblno 'Ci .-, Anémie). Sérum Dévrosthénique Fraiase (Dyscr&sies
nerveuses
). Neurosuie Prunier. (Reconstituant général).
élcstins (Goutte, Gravelle, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies
nerveuses
, Epilepsie, Hystérie). Léoithlne Rogler (Neuras
Vésînet (S.-et-O.). LV Portier, 10, rue Picput (Maladies mentales et
nerveuses
). D' Signez (Pavillon Cbarcot), 138, boulevard Di
-.Uii'. iu &âaa, 13 &tfl 1901. lit. NenrasiheQie, .Usladici
nerveuses
, oie Dragoea de A à 8 par jour . . Le flacon 4 50
tiser le patient. II est vrai qu'on pouvait supposer que les éléments
nerveux
du sphincter de la vessie avaient été détruits po
t devenue une excellente Institutrice et n'a souffert d'aucun trouble
nerveux
pendant dix-huit ans. Ces jours-ci, à la suite de
ii est très vrai que la musique, par elle-même, porte au déséquilibre
nerveux
. La musique, en effet, est excitatrice d'émotions
inski, intitulée Introduction a fa sémiologie des maladies du système
nerveux
: des symptômes objectifs que la volonté est inca
et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
un an et demi ne peut dormir pendant la journée et le soir il devient
nerveux
. La mère se diisolc et abandonne bientôt l'idée d
t chez les adultes l'excitation a son point de départ dans le système
nerveux
central. Les confidences que nous avons reçues de
consulter, elle présentait toutes les manifestations de l'épuisement
nerveux
le plus profond. Bile reconnaissait elle-même qu'
oici l'observation : Mme M... S.., âgée de 28 ans, d'un tempérament
nerveux
, très impressionnable, mère de quatre enfants, so
ères avec (1) Présentation de malade faite a la Clinique du système
nerveux
de la Salpétriére. Dernièrement, comme ces accè
é ; le spasme n'est donc pas de nature hystérique. Cet homme est un
nerveux
, Dis de nerveux ; hésitant, Indécis, craintif, il
est donc pas de nature hystérique. Cet homme est un nerveux, Dis de
nerveux
; hésitant, Indécis, craintif, il doute toujours
che ; (1) Présentation de malade laite a la dos maladies du système
nerveux
de la Salpelrière. mais, la veille, l'hémip
p des survivants ont été très éprouvés par les effets de la commotion
nerveuse
subie. Mais ces malades spéciaux, que les service
énibles, vers Moscou. Le D'Jacoby estime que a transférer des soldats
nerveux
, aliénés, à dfx mille kilomètres, en temps de gue
TRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
fWutliLt ti tit\: Docteur Edgar BÉRILLON COLL
IL PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SU00B6TI0S NEVROSES, MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAOOÔIB CRIMINOLOGIE, PSYCHOL
lobine (Chlorose, Anémie). Sérum nOvrosthénique Praiase (Dyscrasies
nerveuses
). Neurosino Prunier. (ReconsUtuant général),
clesiins {Ooutte. Gravelle, Diabète). Tribromure de Gigon (Maladies
nerveuses
, Epilepsie, Hystérie). Lecithine Roglor (Neuras
u Véainei (S.-el-O.). D* Ponter, 10. rue Picpus (Maladies mentales et
nerveuses
). D* Signez (Pavillon Cborcol), 13s, bouletard Di
moment donné, subit des événements fâcheux qui ébranlent son système
nerveux
. Cette question est très compliquée; dans chaque
et pédagogique; 4" le musée de psychologie. La clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique ef pé-dagogique), annex
même durant des dizaines d'années. Dans ces conditions, leur système
nerveux
se fait tellement à l'alcool que celui-ci devient
de changer, de refaire, de rééduquer dans un certain sens le système
nerveux
de l'alcoolique, de l'adapter en quoique sort
ultai efficace du traitement, tant que l'état psychique et le système
nerveux
du malade ne sont pas appropriés aux nouvelles co
mportance et dont le but est d'adapter l'état psychique et le système
nerveux
des alcooliques aux nouvelles conditions créées p
érence pour l'alcool et la sérénité d'àme ; 2* elle adapte le système
nerveux
et l'état psychique des alcooliques aux nouvelles
faut une période de temps suffisamment prolongée, afin que le système
nerveux
de l'alcoolique puisse se faire aux nouvelles con
2 0/0} ; éthéromane ; a même employé le haschich ; agitation ; rires
nerveux
; sommeil hypnotique impossible. Elle accepte ave
les Illusions de son ancien toxique. IV. Mme L. R..., 35 ans; état
nerveux
indéterminé; idée fixe de jalousie ; croit que so
L., âgée de 17 ans, est de constitution assez forte et de tempérament
nerveux
. Dès sa plus tendre enfance, elle fut sujette à
lme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'ElectrolhérapIe. Maladies
nerveuses
et rhumatismal M, Anémie, Diabète, Obésité, Dyspe
TRÉE psychologie — pédagogie — médecine légale maladies mentales et
nerveuses
RUirbir ei ùtl: Docteur Edoar BÉRILLON COLL ?
il provoque, somnambulisme, suggestion KEVROS8S, maladies mentales et
nerveuses
, médecine légale, pedagogie criminologie, psychol
lobine (Chlorose, Anémie). Sérum névrosthénlque Fraisse (Dyscrasies
nerveuses
). Nourosine Prunier. (Reconstituant général).
élestins (Goutta, Gravelle. Diabète). Tribromure do Gigon (Maladies
nerveuses
, Epilepsie, Hystérie). Léclthine Rogier (Neuras
u Véslnet (S.-ct-O.). D* PotUer. 10, rue Piepus (Maladies mentales et
nerveuses
). D' Signez (Pavillon Chàrcot), 138, boulevard Di
façon indirecte, par une sorte de stimulation des cellules du système
nerveux
central, ayant une répercussion sur les vaso-mote
et pour la femme de 1.230grammes. (Obersteiner : Anatomie des centres
nerveux
, 1693). Fig. 55. - Fanny Kubaba, femme a barb
en que peu suivies, ont cependant laissé chez mon malade ces troubles
nerveux
qu'on pourrait aisément faire remonter à tout un
lle, jusque là bien portante cl n'ayant jamais manifeste' de troubles
nerveux
, contracte une fièvre typhoïde particulièrement g
I) Présentation de malade laite à la Clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpêtrière. vait le liesoin de marcher
Ainsi, cette jeune fille a une double hérédité ; sa mère était très
nerveuse
et son père alcoolique. Dès sa naissance, elle es
nte : elle a bien compris de quoi il s'agit. On tonifiera son système
nerveux
; et on l'aidera à guérir par la psychothérapie.
nstruation. Dr Paul Joibe (de Lille): Les modifications de la force
nerveuse
enregistrées par le stnénomètre. L" Pamart : La
de notoriété publique. Ce malade n'a pas d'antécédents héréditaires
nerveux
ou pathologiques. Il est lui-même un peu nerveux,
cédents héréditaires nerveux ou pathologiques. Il est lui-même un peu
nerveux
, mais n'a jamais eu ni crises con-vulsives, ni ri
p. 367. Souscription Liébeault. p. 63. Sthénomètre (Eludo de la force
nerveuse
extériorisée et enregistrée par le), par Paul
CHARLES HËRISSEY ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIEE sous LA DllIgCT¡ON 01 : c
411.) 4 PATHOLOGIE MENTALE. Ailleurs (Anat. et Physiol. du syst.
nerveux
en gé- néral et du cerveau en particulier, Pari
s symptômes immédiats que l'on peut considérer comme les phénomènes
nerveux
primaires ou primitifs des traumatismes du crân
inflammatoire excitée par les lésions produites au sein des centres
nerveux
par la violence extérieure; ils n'apparaissent
ture, après un temps plus ou moins long, surviennent des troubles
nerveux
. Le malade finit, alors son existence dans un h
trine à cet égard dans les beaux travaux d'anatomie fine du système
nerveux
et de physiologie expérimentale de Ferruccio Ta
s y contracteraient sans distinction des rapports avec les cellules
nerveuses
des différentes parties des sphères visuelles.
hémiop.,ie Fig. I. 44 PHYSIOLOGIE, bilatérale, car les éléments
nerveux
de l'aire corticale détruite se trouvaient à la
te bilatéralité fonctionnelle, pro- pre à chaque moitié des centres
nerveux
, pour être plus évidente dans les centres senso
le, mais réels, déterminés par une lésion unila- térale des centres
nerveux
. L'esprit critique de Seppilli excelle à dissip
n doute sur ce point chez les auteurs italiens. L'étude des centres
nerveux
dans les cas d'ano- phthalmie congénitale serai
nies à celles des embryogénistes, que le parcours des fais- ceaux
nerveux
a pu être suivi dans tant de régions du système
is- ceaux nerveux a pu être suivi dans tant de régions du système
nerveux
central et que le trajet intra-cépha- lique des
êt ou l'abolition fonctionnelle d'une partie seulement des éléments
nerveux
de la sphère 1 71 ! ferc/'e sulla anatomie pato
Golgi, le célèbre professeur de Pavie, sur l'histologie des centres
nerveux
. La thèse principale de ce savant anatomiste, q
s attirés vers ces idées, bien avant que l'histologie des centres
nerveux
leur eût prêté quelque fondement. Le chapitre d
énétration que l'on rencontre dans tous ses travaux de pathologie
nerveuse
. » Il est juste de reconnaître que, dès 1883, S
sensibilité spécifique; 2° les fibres optiques issues des éléments
nerveux
du grand hippocampe subiraient, comme celles qu
on, comme dans ceux des autres sens spécifiques : ainsi, les fibres
nerveuses
à myéline de la lamina medullaris involuta, per
à myéline de la lamina medullaris involuta, perdues dans le réseau
nerveux
diffus, appartiendraient, sui- vant Golgi, à la
ts, qu'aux singes anthropoïdes et à l'homme. (A suivre.) CLINIQUE
NERVEUSE
RECHERCHES CLINIQUES ET 1 ? XPÉit LES SUR LES A
I, p. 2Íl-27 ! J 1851. 1. Archives, t. XVIII. 6 8 : l CLINIQUE
NERVEUSE
. cette théorie : on a certes été frappé en lisa
pour qu'elle devînt inoffensive de la pratiquer avec 84 CLINIQUE
NERVEUSE
. une grande lenteur, beaucoup plus lentement qu
ainsi : « L'accroissement de pression du milieu nm- 86 . CLINIQUE
NERVEUSE
. biant produit son maximum d'effet sur les tiss
pénible, et l'excès de pression se porte sur les délicates parties
nerveuses
, ' Expériences comparatives sur la décompressio
ur l'iiijec- lion d'air dans le artères. Nancy, 1879. 88 CLINIQUE
NERVEUSE
. brisant les petits vaisseaux, et produisant la
tre pas la seule ni la véritable cause de ces hémorrha- 90 CLINIQUE
NERVEUSE
. gie8, ou du moins d'un certain nombre d'entre
ail dans l'air com- primé des plongeurs à scaphandre. 92 CLINIQUE
NERVEUSE
. Il est vraiment curieux de trouver cette théor
» ' Cette hypothèse de l'influence funeste des gaz du Ut CLINIQUE
NERVEUSE
. sang puissamment combattue par le travail de M
hez les sept autres. » Tout naturellement, et pour être 96 CLINIQUE
NERVEUSE
. conséquent avec lui-même, notre savant confrèr
il se demande pourquoi « elles se produisent plutôt dans le centre
nerveux
spécial que dans la masse céré- brale » et voic
, anémier et amener au ramollissement certaines régions des centres
nerveux
et particu- lièrement le renflement lombaire de
aux de la conjonctive injectés; Archives, t. XVIII. 7 98 CLINIQUE
NERVEUSE
. même à l'oeil nu, on voit des bullettes d'air
n distingue des perles de gaz qui distendent et dilatent les fibres
nerveuses
. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. to
st bien le dégagement de gaz dans le système artériel ')02 CLINIQUE
NERVEUSE
. qui est la cause prochaine, immédiate, directe
dans l'immense majorité des cas, ces accidents frappent le système
nerveux
central que, suivant la partie affectée de ce s
vante : ' Sociél. de biol., 187a, iio 1. page 58. , '104 CLINIQUE
NERVEUSE
. « A dose très forte, l'injection d'air dans le
az hebd. de méd. et de chir., t. XII, 21 série, 1875. '106 CLINIQUE
NERVEUSE
. distension, chose dont la possibilité est niée
il se combine avec l'hémoglobine et, à des pressions 108 CLINIQUE
NERVEUSE
. plus élevées, la proportion de l'oxygène disso
el alcoolique. - Cousine pater- nelle idiote et épileptique. - Mère
nerveuse
, névralgies, céphal- algies. - Grand'mère mater
enfants. Mise en correction. Tremblement léger des mains. - Crises
nerveuses
, épileptiques (1). Accès de colère. - Impulsion
blicain, grand, fort, bien portant d'ordinaire, sans aucun accident
nerveux
; rhumatisant. [Père, nombreux excès de bois- so
mps en temps à des céphal- algies. Pas de migraines, pas d'attaques
nerveuses
. [Père, soixante- six ans, cultivateur, n'a jam
s. [Père, soixante- six ans, cultivateur, n'a jamais eu d'accidents
nerveux
et jouit d'une bonne santé. - Mère, a eu il y a
s son retour de Mont-sous-Vaudrey; mais il était sujet à des crises
nerveuses
pendant lesquelles il étend les bras, crie, à l
t S.-C. L.1OU1).IhIS, externe de la Clinique des malades du système
nerveux
. Dans sa Policlinique du 1 mai 1889, M. le prof
DE L'ATAXIE LOCOMOTRICE, ET DE QUELQUES AUTRES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
PAR LA SUS- PENSION ; , Par A. RAOULT, intern
ulement dans les cas de tabes, mais encore dans d'autres affections
nerveuses
. Dans la plupart des services hospitaliers de P
t des services hospitaliers de Paris, où l'on s'occupe d'affections
nerveuses
, on a employé ce mode de traitement, et dans no
e est trop courte, il peut se pro- duire une compression des troncs
nerveux
susceptible de détermi- ner des fourmillements,
. 629. 140 REVUE CRITIQUE. II. De la suspension dans les maladies
nerveuses
autres que le tabes. Dans ses expériences sur l
tiques qui entourent les cordons postérieurs, ce qui rend aux tubes
nerveux
une con- ductibilité meilleure, surtout aux plu
elâchant et la rompant, d'où diminution de la compression des tubes
nerveux
subsistants. M. Althaus pense, en outre, que la
l'état général ; 2° affections des sys- tèmes cardio-vasculaire et
nerveux
; 3° certaines lésions locales. 1 The Lancet, j
influencer la dyspnée, la tendance syncopale. Du côté des troubles
nerveux
, on n'est pas encore bien fixé quant aux contre
nt les ataxiques et certains autres individus atteints d'affections
nerveuses
diverses; mais guérit-elle les tabétiques ? Ou
l\IAND. 152 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE BERLIN. Séance du 11 juin 1888'. Présidenc
gest. (Du reste, rritscli dit que ces fibres ne sont pas des fibres
nerveuses
.) Mais il révèle les cellules chromophiles et les
adial guérie par une suture secondaire {suture à distance) du tronc
nerveux
. Voyez Berlin. Klin. Wochenschrift, 1888, no 45.
les agents provocateurs de l'hystérie : émotions morales scliock
nerveux
, maladies générales et infectueuses, états pathol
de la nutrition générale se confinant de préférence sur le système
nerveux
. Ce travail est, on le voit, le remède le plus
du rapport qui existe entre le développement des différents centres
nerveux
et les phénomènes de la vie psychique. Ace prop
opos, il expose brièvement la structure et les fonctions du système
nerveux
en donnant un coup d'oeil d'ensemble sur l'arra
te fonction. Ces voies de passage, des commu- nications des trajets
nerveux
jouent un rôle important dans la formation du c
telle est l'idée que l'auteur développe dans ce chapitre. L'énergie
nerveuse
, dit-il, n'est qu'une forme de mouvement; elle
dire, praticable» aux sensations morales et utiles certains trajets
nerveux
restés jusqu'alors fermés et de faire disparaît
end d'abord les excitations simples pratiquées sur les terminaisons
nerveuses
et il étudie les mouvements réflexes (inconscie
de ces excitations venues du dehors qui impres- sionne nos centres
nerveux
et obligent ceux-ci à réagir d'une certaine faç
upérieurs. Ces conditions sont : la nutrition régulière des centres
nerveux
et le fonctionnement normal de tous les autres
ion cérébro-spinale en particulier avec les fonctions de la cellule
nerveuse
. Là finit cette première partie du travail entr
té do médecine, le premier dans la chaire des maladies du Système
nerveux
, le second dans celle des maladies mentales. La
t fils. FDl4.WlD3 (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections
nerveuses
{ataxie locomotrice progressive, sclérose en pl
u hématoxyline de Weigert, on ne peut donc faire l'étude des filets
nerveux
; on est réduit à celle de la substance grise en
oglique, avec ses éléments cellulaires, parsemé de petites cellules
nerveuses
peu abon- dantes, présente par le procédé à ! E
, on cons- tate que la vascularisation paraît normale; les cellules
nerveuses
sont nombreuses, disposées en séries; beaucoup
ce grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect normal des cellules
nerveuses
placées bout à bout n'existe plus dans les couc
s bout à bout n'existe plus dans les couches moyennes; les cellules
nerveuses
, surtout dans la couche' de petites cellules py
tes de substance. Ces foyers interrompant la disposition des fibres
nerveuses
qui gagnent la substance blanche, comprennent e
let, examiné du côté gauche, on trouve une raréfaction des éléments
nerveux
de la couche des myélocytes, et un certain degré
la modification moléculaire que le choc a déterminée dans la trame
nerveuse
, dans la cellule cérébrale. De cette modificati
aut se rattacher pour avoir chance de trouver la vérité. CLINIQUE
NERVEUSE
. RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
p. 22 j n° 50, p. 225; n° 51, p. 392; n° 52, p. 80. 208 CLINIQUE
NERVEUSE
. tenant, nous entrons en plein dans l'étiologie
décompression tant de gaz au point de faire éclater : 21'2 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'accident. Le nombre des immersions ne peut n
dence aussi que la seule et unique cause de, cet ac cl Il CLINIQUE
NERVEUSE
. cident est la durée prolongée du séjour au fon
mploi des scaphandres sont dus à la durée du séjour. 216 CLINIQUE
NERVEUSE
. Pour surcroît de preuves de ce fait nous avons
ue les accidents sont survenus. Les accidents de nos 218 CLINIQUE
NERVEUSE
. chiens doivent donc être directement attribués
tre question du nombre des immersions comme cause de 220 CLINIQUE
NERVEUSE
. l'accident, car c'est à la suite de la premièr
est, en outre, d'une très grande fréquence. Ce nouvel 222 CLINIQUE
NERVEUSE
. élément étiologique c'est le nombre des immers
s. y). Accident de /'Observation XI. - La seule et 14 t. CLINIQUE
NERVEUSE
. unique cause de cet accident est le nombre des
ofondeur de 22 à 24 brasses, Archives, t. XVI 11. 15 226 CLINIQUE
NERVEUSE
. la durée du séjour n'ayant pas dépassé les 4 à
ail sans accident. Etant donné en outre que ce plon- 238 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. geur était parfaitement bien portant, qu'il n'
d'étudier, agissent, nous l'avons déjà démontré, en 280 CLINIQUE
NERVEUSE
. favorisant le développement de l'agent pathogè
avec une rapidité de décompression tout à fait égale 232 CLINIQUE
NERVEUSE
. en durée à celle de l'immersion qui a causé l'
ce sont les accidents des Observations XXIX et LXI. 234 CLINIQUE
NERVEUSE
. a). Accident de /'Observation XXIX. Cet acci-
Pour finir avec les causes qui agissent en s'opposant 236 CLINIQUE
NERVEUSE
. à l'élimination de l'excès des gaz devenus lib
Encore bien moins peut-on considérer dans l'étiolo- 1238 CLINIQUE
NERVEUSE
. gie de ces accidents les causes qui agissent e
hogène, le gaz, à se localiser à telle ou telle partie du système
nerveux
, par exemple. La localisation se fait donc au h
décompression brusque et il est attaqué; notons bien 240 CLINIQUE
NERVEUSE
. qu'il est déjà antérieurement descendu exactem
squelles son esto- AIICIIIVC<, t. XVI11. 16 .) If il, CLINIQUE
NERVEUSE
. mac se gonfla faisant saillie; en même temps s
ers tubistes et des plongeurs. L'organisme et surtout son système
nerveux
perd de sa vitalité et résiste moins à l'in- fl
E (CHARCOT); Par P. KOVALEVSKI Professeur de maladies mentales et
nerveuses
a l'inisersité de KharcofT'. L'histoire de cett
pose le point de départ de cette maladie dans une lésion du système
nerveux
central. Goodhart publia l'observation d'un cas
rologiral 188 t. I, n° 3. 250 REVUE CRITIQUE. autour des cellules
nerveuses
ayant pour suite l'altération de leurs fonction
es éléments se formant dans le myxoedème. Il rapporte les symptômes
nerveux
à la compression des éléments nerveux par l'inf
me. Il rapporte les symptômes nerveux à la compression des éléments
nerveux
par l'infiltration. C'est dans l'inclination pa
ie qu'on pourrait diviser en trois états successifs : .¡ 0 pérl'ode
nerveuse
; 2° période mucinoïde; 3° période atro- hlaique
erveuse; 2° période mucinoïde; 3° période atro- hlaique. La période
nerveuse
présentait des symptômes ner- veux, comme du tr
'accumulation de la mucine dans les tissus, sans ménager les tissus
nerveux
, et se traduit par l'hébétude mentale et le ral
l'organisme ce qui provoque une altération des fonctions du système
nerveux
central aussi bien que de celui des autres orga
influence de ces changements, la myxoedémie et l'anémie, le système
nerveux
central subit de même des changements : ri., le
roïde produit une substance indispensable à la nutrition du système
nerveux
central. Les animaux survivent à l'extirpation
roïde produit une substance indispensable à la nutrition du système
nerveux
central, donc après l'extirpation le cerveau es
s négatifs. De scrupuleuses recher- ches et explorations du système
nerveux
central des animaux opérés démontrèrent que le
nce cérébrale, ce qui expliquerait tous les phénomènes du système
nerveux
central. L'auteur suppose que l'extirpation de la
émit l'avis que la raison de l'altération des fonctions du système
nerveux
central peut être expliquée avec le plus de pro
ction spéciale, dont l'absence a pour suite une série d'altérations
nerveuses
. Une des malades d'Ord consentit à se faire cou
atise. Le mécanisme est exactement le même que celui des affections
nerveuses
et men- tales dues aux excès et surtout à l'ona
de diminuer les excitations senso- rielles, de calmer les cellules
nerveuses
excitées, d'arrêter la dé- chéance organique. D
oxication saturnine avec TROUBLES DE L'INTELLI- GENCE ET DU système
nerveux
; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of mental Sc
paralysie générale. Le rapport intime qui existe entre les maladies
nerveuses
et l'arthritisme, déjà depuis longtemps signalé
tats qu'ils ont obtenu dans le traitement DE certaines AFFEC- TIONS
nerveuses
par l'hypnotisme. M. Bernheim (de Nancy) traite
S- TION HYPNOTIQUE DANS LES AFFECTIONS « CUM MATERIA » DU SYSTÈME
nerveux
. Il a pu guérir des hémiplégies cérébrales ainsi
'incontinence nocturne d'urine, des matières fécales, dans les tics
nerveux
, les terreurs nocturnes, la chorée rythmique, l
e, les attaques hystériques et les troubles sine materia du système
nerveux
; 3° aucun résultat n'a encore été observé duns
de l'INFLUENCE DES TRAUMATISMES SUR LE DÉVELOPPEMENT DES MALADIES
NERVEUSES
. 1\l. VIrrERT, dans un travail sur ce sujet, co
un travail sur ce sujet, constate en bloc l'exis- tence de troubles
nerveux
cérébraux ou médullaires, sans les classifier.
ation. Que deviendrait le diagnostic des psychoses, des acci- dents
nerveux
consécutifs aux accidents de chemins de fer, et t
sychiat., XX, 2.) P. Iien ? ·aL. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE BERLIN. Séance du 14 mai 1888. - Présidenc
1.el'ei. EDWARIIS (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections
nerveuses
(ataxie locomotrice progressive, sclérose en pl
l. XVIII. Novembre 1889. N" 54. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE
NERVEUSE
MIGRAINE OPHTALMIQUE ET PARALYSIE GÉNÉRALE Pa
mot, à côté de la migraine Archives, t. XVIII. 21 322 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ophtalmique maladie, il y avait place pour la
es dépendraient de la lésion de cette région déterminée des centres
nerveux
quelle que soit du reste cette lésion : ischémi
du mardi à la Salpêtrière, 1887-1888. - Vf° Leçon. : 324 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'observation qu'a tout d'abord rapportée M.
res; il parait se remettre complè- tement en apparence; mais il est
nerveux
, irrité, il peut se 'remettre au travail, cepen
, n° 32, hôpital l3eaujon. Le malade ne connaît pas d'antécé- dents
nerveux
dans sa famille. Sa mère est bien portante. Son.
est probable qu'il 1 M. Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. 1ï1, p. 78.. 326 PATHOLOGIE NERVEUSE. occ
sur les maladies du système nerveux, t. 1ï1, p. 78.. 326 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. occupait les deux moitiés droites du champ vis
dents d'hémi- paresthésie, et de migraine ophtalmique. (Antécédents
nerveux
. Grossesses malheureuses successives./ Henrie
mort à cin- quante-six ans, d'une congestion; grand'mère, vit, pas
nerveuse
. Parents : père rhumatisant; un oncle paternel,
rtante, goitreuse; un oncle maternel en bonne santé; pas de cousins
nerveux
. Frères : un frère est bègue depuis l'enfance,
i paraissait à la malade lourd et gonflé, puis à ' 328 . pathologie
NERVEUSE
. la jambe droite. La parole devint en même temp
lade fut prise d'un accès de migraine que malgré sa 330 pathologie
NERVEUSE
. débilité intellectuelle, elle a pu nous décrir
accompagnée. (Progrès médical, 1886, t. V, p. 477.) 332 pathologie
nerveuse
. -- MIGRAINE ophtalmique. - de la migraine est
qui par eux-mêmes ne nous renseignent que sur la région des centres
nerveux
qui est touchée, ' et nullement sur la façon do
ces dans les deux cornes antérieures. Il existe encore des cellules
nerveuses
en assez grand nombre dans les cornes postérieu
e processus parait plus avancé encore, et l'atrophie des élé- ments
nerveux
portée très loin. Ces lésions sont générales et d
de la condensation de la névroglie et de l'atrophie des éléments
nerveux
eux-mêmes et est masquée en partie à l'oeil nu pa
ication des cellules de la névroglie et la disparition des cellules
nerveuses
, disparition qui nous est expliquée par les diffé
vo..., 1877-1885. Idiotie complète, excès de boisson du père , mère
nerveuse
, quatre frères et soeurs mortes de convulsions.
ans la substance blanche que des espaces étoilés dépourvus de tubes
nerveux
, assez nom- breux dans les cordons postérieurs.
es nerfs. Il nous a même semblé en voir côte à côte 'avec des tubes
nerveux
dans la même gaine; mais nous ne pouvons l'affi
s, ici, les lésions de la moelle existent, portant sur les cellules
nerveuses
elles-mêmes, avec très peu de lésions de la con
ugno... (Charles), 1880-1883; grand'père maternel alcoolique ; mère
nerveuse
; frères morts de convulsions; .7342 ANATOMIE PA
l'accompagne. Le nommé Maisonh., 1868-1885, hérédité alcoolique et
nerveuse
, a eu ses premières convulsions à deux ans. Ell
bre 348 anatomie pathologique. d'amas névrogliques et de cellules
nerveuses
arrondies, granuleuses et pigmentées; elles emp
sous de ces points très lésés, il n'existe plus de grandes cellules
nerveuses
, mais on en rencontre tout à côté par amas abon
filtration des gaines. Pourtant la sériation verticale des éléments
nerveux
à laquelle nous atta- chons une grande importan
très développée avec diminution de nombre et de volume des cellules
nerveuses
qui ont perdu leur sériation dans les points ex
opposé. Dans cet ilôt à contours diffus, un certain nombre de tubes
nerveux
persistent. En résumé, les lésions du bulbe et
: 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules
nerveuses
; 3° formation des cavités. Ces lésions forment
ate que les capillaires sont très nombreux et dilatés, les cellules
nerveuses
ne sont pas disposées en séries, mais dispersées
re qui a disparu des coupes. On n'y rencontre pas une seule cellule
nerveuse
et cela dans plusieurs champs du microscope. A
éléments interstitiels. Même vascularisation ramifiée. Les cellules
nerveuses
sont globu- leuses, leur noyau volumineux, clai
grandes cellules, les altérations sont les mêmes pour les cellules
nerveuses
, dont le corps cyto- plasmique est pâle et effa
ceaux fibrillaires volumineux et entrecroisés autour des cel- lules
nerveuses
. Celles-ci, nettement diminuées de nombre, se c
onal des sciences médi- cales, 1878. Hammond. Maladies du système
nerveux
, p. 822, 1879. Leyden. - Maladies de la moelle,
édition 2, t. I. p. 700, 1881. Renaut. Recherches sur les centres
nerveux
amyeiiniques. Archives physiologie, p. ;i93, 18
-psychologiques, mai 1883. Déjerine. - lIé¡'édité dans les maladies
nerveuses
, Thèse agrég., 1886. Adamkiewicz. - Histogenè
ins allemands, septembre 1886. Féré. - Anatomie médicale du système
nerveux
, p. 238, 1886. Raymond. - Anatomie pathologique
nerveux, p. 238, 1886. Raymond. - Anatomie pathologique du système
nerveux
, p. 168, 1886. Fuerstner et Stuehlinger. Hype
veux, p. 54, 1889. W. Vignal. Développement des éléments du système
nerveux
P. 169, 1889. Lancereaux. Traité d'anatomie p
tronc, suivant l'intensité et la durée de l'excitation des cellules
nerveuses
de ces centres ? Rien de plus net que les paral
les véritables appareils moteurs ou d'exécution sont les cellules
nerveuses
du bulbe et de la moelle. « Psychologique- ment
» ou d' « isolement » (2), instituées par François Franck Système
nerveux
. - Physiologie. Dictionnaire des sciences médical
Pflüer sur l'extension des fonctions psychiques à tout le système
nerveux
central '. Ils s'acheminaient ainsi vers l'hypo
itée à l'origine dans des livres et dans 1 François Franck. Système
nerveux
. Physiologie. Dictionn. des sciences médicales
rus sigmoïde chez le 'chien) contient le centre (ou les conducteurs
nerveux
conduisant au -centre) des sensations du tact e
table de l'écorce cérébrale devait renfermer à la fois des éléments
nerveux
en rapport avec les mouvements volontaires des
premier cas, le courant électrique serait l'é- quivalent du courant
nerveux
; dans l'autre, l'ablation des centres abolirait
posé à la lésion cérébrale, non du côté correspondant. Les fibres
nerveuses
centripètes et centrifuges seraient donc toutes
la face. Deux grands oncles paternels, excès de boisson. - Mère,
nerveuse
, irritable. Grand-père paternel, excès de boisson
père paternel, excès de boisson. Grand'mè1'e maternelle phthisique,
nerveuse
, migraineuses Soeurs, attaques de nerfs. Frère,
fois tous les mois, aujourd'hui tous les deux ou trois mois. Assez
nerveux
; bon caractère... Enfant naturel. Pas de maladie
nvulsions dans l'enfance, pas de migraines ni de névral- gies. Très
nerveuse
, très impressionnable, ainsi qu'elle en a donné
a fille. - Mère, morte de phthisie galopante à ciuquante-sept ans ;
nerveuse
, mais sans attaques de nerfs, sujette 412 recue
uer. Après la fièvre typhoïde, il a grandi beaucoup et était un peu
nerveux
. l'lacé comme apprenti imprimeur vers douze ans
(Charcot); Par P. KOVALEVSKI, Professeur de maladies mentales et
nerveuses
à l'Université de Kharcoff. Le professeur Virch
le produit l'anémie et la cachexie, des changements dans le système
nerveux
central, pareils aux changements produits par d
éra- tions nutritives ont pour suite l'affaiblissement du système
nerveux
central ; la prolongation de ces altérations peut
cal, du 17 août 1889, p. 149). ' Bournlvillk. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. NOTES cliniques SUR LES HÉIIORRHAGIES dans L
du médecin de Cha- Archives, t. XVIII. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. renton sur la fragilité des os dans la paralys
sée dans ce cas avec une netteté peu commune. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 43S Ce fait est un de ceux qui forment, au poi
fut observé pendant la vie; mais la gaine, 436 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cédant à la pression, ne tarda pas à se rompt
iblement plus courte que la période ascendante. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 437 L'auteur, quoi qu'il eût constaté des alté
ade en raison de ses antécédents. G. D. 1 438 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. X. Hysiérie chez un homme; par M. Cil. Audry.
rthropathies du pied, oedèmes locaux, chule des REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 439 dents, etc.) ont marqué le début d'une ato
c supposer que la sclérose a envahi d'emblée dans ce cas les fibres
nerveuses
profondes, mais la constatation nécrosco- pique
'une part sur ce que son malade n'avait jamais présenté d'accidents
nerveux
avant son intoxication et d'autre part sur la l
ont apai- sées, le sommeil reparait. Ici la modification du système
nerveux
central a favorisé la cessation des hallucinati
Strasbourg). Le pronostic des affections syphili- tiques du système
nerveux
. Il y a une grande importance à le jauger d'apr
onclusions générales ? Les autres maladies syphilitiques du système
nerveux
, sans admettre un pronostic aussi sombre, sont
as moins vrai que la majorité des affections spécifiques du système
nerveux
central présentent une évolution défavorable; p
la première année qui suit l'infection syphilitique que le système
nerveux
est le plus souvent atteint (44 p. 100) puis, l
le plus souvent atteint (44 p. 100) puis, la fréquence des maladies
nerveuses
syphilitiques diminue d'année en année. A partir
tionnel au laps de temps écoulé entre l'apparition de la maladie
nerveuse
et l'infection syphilitique. Le pronostic ne dépe
entre le dernier accident syphili- tique et le début de l'affection
nerveuse
. Mais il y a une impor- tance à attacher au tem
le début du trai- tement syphilitique et l'apparition de la maladie
nerveuse
. Le pronostic est plus favorable quand on s'est
atre semaines sans agir, on peut attendre pour traiter la mala- die
nerveuse
au besoin une année sans que celle-ci subisse de
arie. Il croit à l'exis- tence, dans l'espèce, d'une dégénérescence
nerveuse
multiloculaire et propose le nom d'atrophie mus
le malade a 60 ans), c'estbien une gangrène symétrique et d'origine
nerveuse
Bien des motifs militent en faveur de la genèse
raval. BIBLIOGRAPHIE IX. De l'hémiplégie dans quelques affections
nerveuses
; par Mlle Blanche Edwards. Thèse de doctorat 18
Dr J. PRESroN est nommé protesseur d'anatomie appliquée au sytème
nerveux
, en remplacement de M. le D'' CaAMBEps, qui est a
der Psychiatrie, par I Krafft-Ebing, 958; - études sur le système
nerveux
central, par Obersteiner, (159; les enfants cri
hérapie, par Moricourt, 165 ; hémiplégie dans quelques affections
nerveuses
, par Bl. Edwards, 466. 472 TABLE DES MATIÈRES
statl>tique internationale des -, par llurel, 274. Maladies
nerveuses
(influence du traumatisme sur les), par Gilles
igence et 474 TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. du système
nerveux
), paa Robert- son, 270. Scaphandres (accident
par Welsh, 435. Suggestion (influence de la - sur les affections
nerveuses
organi- ques), par Fontan 289 ; (in- fluence
an, 281; Ballet, 281. Syringomyélie, par Kronthal, 297. Système
nerveux
central (nouveau procédé de durcissement du) pa
Il III S S E Y ARCHIVES D Ii NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES - PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE '
s à l'un ou à plu- z Gilles de la Tourette. Etude sur une affection
nerveuse
caracté- risée par de l'incoordination motrice
l'asile clinique (Sainte-Anne), le 30 octobre 1891. La mère était
nerveuse
et paraît avoir eu la crainte du toucher, elle
ubaiguë. > - Vu)pian, dans son Traité des, maladies du système
nerveux
, admet l'existence de la première de ces deux f
henne peut répondre à des altérations portant tantôt sur le système
nerveux
périphérique, tantôt sur le centre médullaire.
obtuse et non pénible. ' 1 ' z ' La pression le long des trajets
nerveux
est pénible et assez dou- loureuse sur le crura
un type de paralysie générale spinale diffuse subaiguë. CLINIQUE
NERVEUSE
. CLINIQUE DES Maladies DU système nerveux. M. C
use subaiguë. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES Maladies DU système
nerveux
. M. CHARC01'. L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE; 2e confér
ant est ' Voy. Archives de Neurologie, n° 69, p. 323. 30 CLINIQUE
NERVEUSE
. que l'on en puisse faire de décisives, sont be
les de la Tourette. Traité de l'hystérie, 1891, p. 552. 32 CLINIQUE
NERVEUSE
. j'ai contre elle; elle avait absolument oublié
(Archives de Neurologie, 1888.) Archives, t. XXIV. 3 34 CLINIQUE
NERVEUSE
. servir de ses jambes, il ne sait plus marcher.
De l'emploi du magnétisme animal dans le trai- tement des maladies
nerveuses
, 1810, p. 12. 36 . CLINIQUE NERVEUSE. moins c
e trai- tement des maladies nerveuses, 1810, p. 12. 36 . CLINIQUE
NERVEUSE
. moins complets chez quelques malades, en parti
ous faut considérer dans la mémoire des opérations plus 38 CLINIQUE
NERVEUSE
. élémentaires : la première de toutes est appel
rtain état où il retrouve les souvenirs cherchés. Cette 40 CLINIQUE
NERVEUSE
. . Mais, quand il s'agit de l'amnésie continue
nd pas ses souvenirs, mais qui montre leur existence. 42 CLINIQUE
NERVEUSE
Sion l'interroge directement, si je lui demande
, etc., dont elles semblent n'avoii aucune mémoire. . 44 clinique
nerveuse
. qu'une sorte de synthèse réunisse les sensatio
l ou tel cas particulier. Pourquoi donc, par exemple, 46 . CLINIQUE
NERVEUSE
. chez les malades qui n'ont pas des amnésies co
tain nombre d'observa- tions tout à fait analogues. 48 . CLINIQUE
NERVEUSE
. et blancs Elle n'avait pas plus à la dispositi
conforme à cette description. Archives, t. XXIV. 4 50 CLINIQUE
NERVEUSE
. images, quand elle a lieu, amène des amnésies
de de sommeil qui suit la crise, que telle personne est 52 CLINIQUE
NERVEUSE
. venue près d'elle, que son père l'a embrassée,
personnalité. (Revue scientifique, 1888, t. I, p. 616.) 54 CLINIQUE
NERVEUSE
. - L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE. mémoire est rétablie c
ute tare neuro- pathique. -On n'a jamais, en somme, noté de maladie
nerveuse
ou mentale chez aucun membre de la famill-e. Il
e en général chez tous les sujets atteints d'affections des centres
nerveux
, même quand ces affections sont détermi- nées p
q ans, d'un cancer de l'estomac était un homme sobre et nulle- ment
nerveux
. Sa mère vit encore; c'est une femme d'humeur c
ne soeur âgée de vingt et un ans qui est bien portante et n'est pas
nerveuse
. Antécédents personnels. - Eugène L..... est né
se un état d'irritabilité et tout à la fois de faiblesse du système
nerveux
: irritabilité en ce qui concerne les fonctions
du système nerveux : irritabilité en ce qui concerne les fonctions
nerveuses
inférieures, rentrant dans la catégorie de 68 R
ne sont qu'une des manifestations du désordre géné- ral du système
nerveux
. De même que sous la plus petite excitation, ém
ations. 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Comment dans les maladies
nerveuses
évoluent les obsessions qui les hantent ? Que d
n des réflexes patellaires, douleurs dans les muscles et les troncs
nerveux
, vomissements, diminution de l'urine, albuminur
enza, qui tend à nuire plus ou moins à l'ensemble de notre appareil
nerveux
, peut, atteignant les centres psychiques, deven
génie. Une toxine des plus dangereuses vient empoisonner les fibres
nerveuses
soit sous l'influence concussente de la fièvre
st, en tout cas, bien moins dangereux. P. K. REVUE DE; PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. CONTRIBUTION A l'étude DES TROUBLES DE la LE
urdité ver- Fig. 2. - Schéma de \Veissenberg. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 77 baie, paraphasie, paragraphie. Attaques apo
ture est traînante. C'est qu'alors A6B (cen- 78 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. très ou voies d'association correspondant à ce
yde de carbone. Le malade est un paysan, âgé de REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 79 vingt-cinq ans, provenant d'une famille pré
vingt-cinq ans, provenant d'une famille prédisposée aux affections
nerveuses
et mentales. En sortant du bain, le malade était
ixième forme clinique de Lichtheim ' : interrup- tion des faisceaux
nerveux
qui unissent le centre des images pho- nétiques
ns; la marche n'est atteinte que chez trois. Pas d'autres anomalies
nerveuses
dans la famille si ce n'est un peu d'émotivité
démonstra- Voy. Archives de Neurologie. . 80 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tions. En les astreignant à une occupation du
ent avec correction, il peut copier, mais alors REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 81 l'écriture devient bientôt indistincte, com
l'influence.d'onc- . Archives, t. XXIV. 6 82 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tions mercurielles, une légère amélioration se
après la syphilis), tantôt greffé sur d'autres maladies du système
nerveux
central, sur la poliomyélite antérieure (observat
i une attaque d'aphasie transcorticale caracté- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 83 risée par : la perte de l'intelligence, de
lieux (hémorrhagies, décollements) ou par inter- ruption des fibres
nerveuses
centrales de la rétine; finalement perte du sen
s sans qu'il y ait eu des phénomènes de déficit du côté dit système
nerveux
. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCH
e M. Christian était frappé, indiquait une modification des centres
nerveux
qui permet cette interprétation. M. Voisin. M.
topsie révélait l'hypé- rémie généralisée déjà signalée des oentres
nerveux
et notamment de l'encéphale. Au microscope, je
érie grave, la neurasthénie, la dysthymie par épuisement du système
nerveux
. Et cependant, ils présentent des troubles inte
insensibles qui nous ramènent aux troubles fonctionnels du système
nerveux
. Ces maladies men- tales sont de jour en jour p
un bâtiment propre à l'observation et au traitement des affections
nerveuses
, qui servirait simultanément d'asile de convale
e. Il faut aussi qu'elle soit ratta- chée à une section de maladies
nerveuses
qui la complète en lui procurant des troubles i
mpléter toute clinique psychiatrique par une clinique de mala- dies
nerveuses
. M. de KRAFFT-EBING. Toute à l'heure je me suis
vique. Sans doute, un individu, qui est affecté de tares du système
nerveux
central, succombera plus aisément à l'impul- si
décru; bien plus, à l'ex- ception de delirium tremens, les maladies
nerveuses
d'origine alcoo- lique ont plutôt augmenté que
nifestations psychiques ? Combien de maladies organiques du système
nerveux
? Faut-il mentionner maintenant la tâche psychi
le qu'il faille raccorder tels ou tels postes par tels ou tels fils
nerveux
. M. GRASHEY. M. Wernicke a trouvé la solution.
nt de vue de modifi- cateur et d'analyseur des fonctions du système
nerveux
. Je ne doute pas, pour ma part, que les vieux m
gissent sur sa vie matérielle ; c'est l'autosuggestivité du système
nerveux
par l'idéation ; la thérapeutique suggestive a ic
tion préexistante ou de par le fait du choc traumatique, le système
nerveux
central a subi une modification psyclio-pliysiq
tandis que l'excitabilité, l'excès d'impressionnabilité du système
nerveux
rétrocèdent. Cette action favorable sera aidée
est passé un an après l'opération, les symptômes du côté du système
nerveux
se présentent tels : les accès sont devenus moins
tudiés superficiellement. P. S. V. Clinique des maladies du système
nerveux
; par M. le professeur CHARCOT. Publiée par G. G
aphie. 141 congénitales ou accidentelles, à des maladies du système
nerveux
central ou périphérique, enfin à ce qu'il appel
par vice d'éducation, par malformation des membres, par mala- dies
nerveuses
, et par grapllonévroses (crampe des écrivains).
chante la lecture de ce livre. Paul BLOCQ. VII. Syphilis du système
nerveux
; par le Dr W. GijKOEWicH, Paris, 1892. J.-B. Ba
mps accumulées sur les déterminations de la syphilis sur'le système
nerveux
. Il expose dans des chapitres dis- tincts d'une
sin a repris ses conférences cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
, le dimanche 19 juin à dix heures du matin, et
rchives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). - Clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpêtrière. Leçons du professeur, mémoir
trente-cinq ans, dont le frère est mort d'une affection des centres
nerveux
et la soeur a été prise d'éclampsie pendant ses
iers temps au point de vue de la pathogénie des maladies du système
nerveux
par la recherche de l'uro-toxicité. Nous avons
de jour. 3 Deux attaques complètes de jour. (A suivre.) CLINIQUE
NERVEUSE
L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. CONTRIBUTION A L'ÉTU
RE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES VISUELS DANS LES MALADIES
NERVEUSES
; par le D' ALBCRT ANTONLLI. Au point de vue
par le D' ALBCRT ANTONLLI. Au point de vue des maladies du système
nerveux
, les am- blyopies et amauroses (troubles de la
t, sous forme de crises, souvent accompagnées par d'autres troubles
nerveux
. Ces troubles passagers de la vision ont reçu l
mes cliniques aux connaissances de la- physiopathologie des centres
nerveux
devait s'imposer..Voilà, justement, le plan- de
n évidence comme troubles visuels accompagnant différentes maladies
nerveuses
, et d'en esquisser la physiopathologie, d'après
quisser la physiopathologie, d'après nos connaissances 204 CLINIQUE
NERVEUSE
. actuelles sur les centres de la vision et les
ire qui se présente sous des formesdiverses, tandis que le syndrôme
nerveux
(migraine, trou- bles de la parole, etc.) peut
tions recueillies par nous-même, pour indiquer ensuite les troubles
nerveux
concomitants, étudier enfin la physiopatho- log
logie de l'affection et ses rapports avec les différentes maladies
nerveuses
. 1er. FORMES CLINIQUES DE l'amblyopie transitoi
d'ophtalm, de Paris, séance du 1" juil- let 1890. - 206 clinique
nerveuse
. côté de la vision, peut voir, par suite de l'â
n ouvrage de 1877 (16), nous semble très importante. 208 CLINIQUE
nerveuse
.' Plusieurs cas d'amblyopie transitoire, même -
s d'amblyopie temporaire, et plus rarement encore d'autres troubles
nerveux
, tels que l'embarras de la parole ou l'engourdi
éritable hémiopie transitoire. Archives, t. XXIV. 14 210 CLINIQUE
NERVEUSE
. nue de même après des excès, se prolongea un p
mblyopie transitoire accompa- gnée de migraine et d'autres troubles
nerveux
, sous forme de rétrécissement concentrique soud
l. ! \lme Françoise Hus... (39 ans). Antécédents héréditaires. Père
nerveux
, d'un caractère très vio- lent, mère morte tube
e la journée souffrante. Pesanteur dans la tête et les 212 CLINIQUE
nerveuse
. yeux, surtout lorsqu'une crise l'a prise dans
II. Rapports DE l'amblyopie transitoire avec DIFFÉ- RENTES maladies
NERVEUSES
. - Les principales névropa- 214 . clinique NERV
ENTES maladies NERVEUSES. - Les principales névropa- 214 . clinique
NERVEUSE
. thies auxquelles peut se rattacher l'amblyopie
e parler de ces rapports, de dire quelques mots des autres troubles
nerveux
qui peuvent en général accompagner les accès d'
de M. Bouveret, et surtout à celui de) ! . Levillain. ' y6 CLINIQUE
NERVEUSE
. sique sur la neurasthénie, indique comme étant
urasthénie, ne nous étonnera pas si nous songeons que même les gens
nerveux
ou simple- ment névropathes (selon la classific
une sensation de tremblement de l'aile du nez ou d'autres troubles
nerveux
, puis survient l'amblyopie et non rarement les
zone hystérogène dûment constatée, et dont la pression 218 clinique
NERVEUSE
. suffit pour déterminer l'accès, la difficulté
ccès migraineux, la névrose rudimentaire qui affirme le tempérament
nerveux
du sujet. , 4. Rapports entre l'amblyopie tra
trécissement concentrique permanent du champ visuel. 220 . CLINIQUE
NERVEUSE
. devient prédominante, même sans que la sensati
migraine res- - tent pendant un temps assez long les seuls troubles
nerveux
du malade, et c'est plus tard seulement que les
e une simple migraine périodique avait ouvert la série des troubles
nerveux
, est re- marquable. Plus tard, il survint l'épi
e rétablissent tout à fait. Pas d'antécédents ou d'autres stigmates
nerveux
, si ce n'est le caractère assez emporté du suje
ngues attaques de migraine ophtalmique et d'épilepsie 222. CLINIQUE
NERVEUSE
. partielle ou complète. En outre, Raullet rappo
u mixte) M. le professeur Charcot a indiqué le pre- mier un trouble
nerveux
que nous devons rappeler ici en quelques lignes
resse de lui en adresser ici tous mes remerciements. 224 CLINIQUE
NERVEUSE
. il se lève pour mieux y résister et en a toujo
blyopie transitoire non accoru ARCHIVES, t. XXIV. 15 226 CLINIQUE
NERVEUSE
. pagnées de migraines, mais suivies de phosphèn
férieure et droite du champ visuel des deux yeux (même 228 clinique
NERVEUSE
en les fermant l'un ou l'autre) lui semblait en
l'Observation V ci-dessus, la. malade, qui héritait du tempérament
nerveux
de sa mère, et dont presque toute la famille ét
que l'épilepsie sensitive puisse ouvrir le syndrome 230 . CLINIQUE
NERVEUSE
. de la paralysie générale, et, non comme une si
, et vivement intéressé par la physiologie du cerveau et du système
nerveux
, je pus constater combien peu satisfaisant était
s cir- convolutions s'accroît rapidement, il s'y forme des cellules
nerveuses
, tandis que le système des faisceaux conducteur
ncerne les nerfs spinaux, faut-il penser à l'influence des cellules
nerveuses
incluses dans le nerf lui-même ? P. K. VIII.
acobson). P. KÉRAVAL. IX. NOUVELLE méthode DE coloration du système
NERVEUX
central ; par Th. Ziehen. (Neural. Centralbl.,
t une colo- ration gris bleuté des fibres myéliniques, des cellules
nerveuses
, des cellules de la névroglie, avec leurs prolo
ET DE physiologie pathologiques. X. DE la DISTRIBUTION DES CELLULES
NERVEUSES
dans LE SEGMENT LE PLUS INFÉRIEUR DU CANAL VERT
ur une coupe transverse de moelle épinière, l'existence de cellules
nerveuses
est limitée à la substance grise et que, les qu
uses est limitée à la substance grise et que, les quelques cellules
nerveuses
isolées, qui occupent la substance blanche, avo
tes les racines postérieures de la moelle, il y a quelques cellules
nerveuses
, exceptionnellement même de petits groupes cell
ire le ganglion du nerf coccygien (Schlemm), ainsi que les cellules
nerveuses
des fins trousseaux nerveux du filum terminal (
ien (Schlemm), ainsi que les cellules nerveuses des fins trousseaux
nerveux
du filum terminal (Rauber) qui sont considérées
sont considérées comme les ganglions spinaux d'une 32" et 33° paire
nerveuse
rudi- mentaire. M. Hoche a aussi observé (5 cas
ntaire. M. Hoche a aussi observé (5 cas sur 6 examens) des cellules
nerveuses
au-dessous du renflement lombaire qui vont jusq
ntes, d'autant plus qu'en ces régions, on ne trouve pas de cellules
nerveuses
dans la substance blanche (il ne s'agit donc po
Dans la queue de cheval, il n'est pas rare de trouver des cellules
nerveuses
(embryon humain de huit mois). P. KERAVAL. XK
le plancher du qua- trième ventricule, dégénérescence des cellules
nerveuses
dans les noyaux des cordons postérieurs, du pne
cous- tique, dans le corps optostrie; lésions diffuses des cellules
nerveuses
de l'écorce. - P. IL XXI. LE topotiiermoesthé
usage, et souvent abus, les substances excitantes pour son système
nerveux
. Chaque peuple a son poison cérébral. Cet empoi
étrie cranioccphalique. Paris, in-8°, 1889. 270 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. droite ; exagération des réflexes tendineux du
ollis- sement dans l'hémisphère gauche. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XIII. Température élevée CHEZ UNE HYSTÉRIQUE.
it le sommet de la colonne qui marquait 112° F. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 271 (44°4). J'avais un bon thermomètre Hicks,
caractérisé par l'atteinte isolée des fonctions motrices du système
nerveux
; paralysie bilatérale de l'oculo-moteur commun,
polioencéphalite supérieure (ophthalmoplé- 272 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gie nucléaire) ; b, polioencéphalite inférieur
s rare, c'est la symétrie et la bilatéralité des lésions des noyaux
nerveux
homologues, avec une telle précision. ~La syphi
auraient pu justifier un essai d'extirpation. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 273 Les cas dans lesquels les opérations peuve
. Opérations pour des tumeurs du cerveau. ' 274 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XVII. DE l'asymétrie du crâne dans LE torticol
t au rectum. D'ailleurs, la maladie remontant à REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 21S douze années, il n'est pas étonnant que qu
e de l'articulation de l'épaule gauche. Pas d'altération du système
nerveux
. Atrophie musculaire simple (étude micros- copi
re petites observations. Nec plura. P. K. 276 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. - XXIV. DE l'hémianopsie bilatérale D'ORIGINE
gmus. Depuis le travail d'Unger, il y en a sept REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 277 Î observations dont six par infection. Che
e sont en cause. P. K. XXVII. Contribution A la syphilis DU système
nerveux
central ET des psychopathes ; par OEBEKE. (Allg
i les proportions que nous trouvons : . 278 ' REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. L'évolution, examinée dans les deux groupes, d
lution, examinée dans les deux groupes, donne : REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. zig XXIX. Hémianopsie bilatérale INFÉRIEURE ET
ômes de nature névritique, ou dérivant de la compression des troncs
nerveux
. P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS
l'encéphalite parenchymateuse, de la lésion primitive des cellules
nerveuses
. Il est à remarquer que, dans ce cas, on rencontr
te que dans la moelle ainsi que dans le cerveau toutes les cellules
nerveuses
, grandes et petites, psychiques, mo- trices, se
tiellement caractérisée par une altération primi- tive des cellules
nerveuses
. Cette conclusion s'impose d'autant plus que da
tend à en faire une variété des atro- phies chroniques des cellules
nerveuses
comme la sclérose latérale amyotrophique. Dis
i doit être attri- buée à l'épuisement rapide et brusque du système
nerveux
central (très souvent consécutif pour les auteu
t justiciable d'un état d'épuise- ment rapide et brusque du système
nerveux
. Je répondrai à M. Ballet que M. Chaslin ne me
re jusqu'au troisième mois; il eut'alors la coqueluche, devint très
nerveux
, poussant des cris comme s'il souffrait et ne d
ir-Mitchell à l'hôpital orthopédique et à l'infirmerie des maladies
nerveuse
. Très petite, ne fait aucun effort pour marcher
LADELPHIE. M. le Dr F. X. DERCUM est nommé professeur de pathologie
nerveuse
. NEw-Yon6 POLICLINIC. M. le Dr HERTER est nommé
Dr HERTER est nommé lecteur d'anatomie et de pathologie du système
nerveux
. LES aliénés de la Seine. Le Conseil général de
M. le Dr Wiederhold, directeur d'une maison de santé pour maladies
nerveuses
à Wilhelmshôhe, à trois mois de prison, pour av
Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). Clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpêtrière. Leçons du professeur, mémoir
rante-un ans, entre à Sainte-Anne le 16 décembre 1891. La mère très
nerveuse
avait sans motifs sé- rieux des accès de désesp
olie du doute. Arithmoman'e Onomatomanie. M. M..., dont la mère est
nerveuse
et très impressionnable et le père méticuleux e
chez la fille. Mme L..., âgée de quarante-cinq ans, a une hérédité
nerveuse
et vésanique très chargée. Son grand-père mater
ux pres- criptions générales que nous avons indiquées. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. HOSPICE DE la SALPÊTRIÈRE. - M. CHARCOT CONT
Travail de la clinique de M. le professeur CHARCOT. 388 pathologie
nerveuse
. Mais parfois il manque au syndrome hystérique
ervice de M. le professeur Ciurcot). Antécédents de famille. Père
nerveux
, il avait des tics, il mourut d'une maladie de
ans à une phtisie galopante; sa soeur plus jeune souffre de crises
nerveuses
. Antécédents personnels. - J'lotre malade, qui
est âgée de quarante-trois ans, a toujours été dès son enfance très
nerveuse
et impressionnable; elle a toujours souffert de
main gauche, qui après avoir envahi tout le membre, 390 pathologie
NERVEUSE
. s'irradia à la moitié correspondante du cou, d
le sens du diamètre longitudinal, comme on l'observe 392 pathologie
nerveuse
. chez les paralytiques généraux. Du reste il n'
ependant, en étudiant avec soin ses antécédents mor- 394 pathologie
NERVEUSE
. bides, nous pûmes démontrer que les accès épil
nt, s'associer tout d'un coup pour prendre une forme 396 pathologie
NERVEUSE
. d'accès. Dansl'observation suivante, nous trou
rchives de Neurologie, 1892. 1 Souza-Leithe. - Eludes de pathologie
nerveuse
, Steinheil, Paris, 1889. V : Strassmann. Ein
ussyr 1887.) ' 3 Voir dans les Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III, p. 213, la relation d'un cas extrêmeme
tion d'un cas extrêmement intéressant a ce propos. 1 398 pathologie
NERVEUSE
. corticale; dans le cas négatif, nous aurions a
a lipo isteroepilettrco. (Lo Sperimentale, 1891.) 400 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. valent du mal comitial ? Tous les autres phéno
quante-trois ans est obèse, mais elle ne présente pas de troubles
nerveux
. La mère au contraire, est très emportée et, para
uelle il dut garder le repos Archives, t. XXIV. 26 402 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. le plus absolu pendant un mois ; à cette pério
avec les verres Fig. 3 et 4. Char... 15 juin 1892. 404 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de couleurs. Il y a anesthésie complète des co
.. 2° Avant tout, Cha... est prédisposé par hérédité aux maladies
nerveuses
. Cette prédisposition héréditaire se manifeste dè
e chez l'homme. (Arch. géu. de méd., nov. 1890.) , 406 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' Nous avons'donc là des causes très puissante
comme celui-ci par une bronchorragie très grave ? 408 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. , de remarquer comment chacun de ces phénomène
on saline très forte n'ont produit aucune sensation. 410 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L'anesthésie était profonde et le sens muscula
est très bien portante. De ses parents aucun ne soutire de maladies
nerveuses
. Antécédents personnels. - Dès sa première enfa
à un traitement hydro- thérapique, il s'en trouva bien; les crises
nerveuses
s'arrêtèrent et B... parut guéri. Au commenceme
t C... fut en mesure de pouvoir sortir de son lit. 412 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le jour suivant, il eut deux attaques, une le
téressant relaté par M. Charcot (Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III, p. 80), qui démontre combien le milieu
à l'entretien des accidents hystériques. ' ' * J 414 4 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'est des deux côtés; cette faiblesse est en h
435. ' Virchow's.- Archiv., 1880, t. LXXX, p. 345. 416 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. à son travail, le marteau lui parut lourd et l
aires. Sa femme est sujette au moins une fois par mois à des crises
nerveuses
ayant le caractère hystérique.. ' * F... a to
rsistent même à présent. Le 24 septembre, il eut une deuxième crise
nerveuse
. Cette fois, après avoir perdu connaissance, il
première fois, et lorsqu'il Archives, t. XXIV. 27 418. PATHOLOGIE
NERVEUSE
. revint à lui, aucun phénomène digne de remarqu
pécifique. Et cependant, même dans ce cas, le dia- 420 ' PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gnostic d'hystérie nous parait le plus rationn
, n° 177. * Charcot. - Leçons cliniques sur les maladies du système
nerveux
, recueillies par le D' G. Guinon. Paris, 1892.
n à la névrose existait dans notre malade par le fait de l'hérédité
nerveuse
. De plus, le terrain était préparé par des phén
er que l'influenza a une élection toute particulière sur le système
nerveux
; les cas d'hystérie, d'aliénation mentale. de m
es agents provocateurs de l'hystérie, Paris, 1889. 422 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. En plus de cette manière d'action pour ainsi d
scientes, que par des altérations localisées dans tel ou tel centre
nerveux
. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE. L'AMBLYOPIE T
s localisées dans tel ou tel centre nerveux. (A suivre.) CLINIQUE
NERVEUSE
. L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE ? 1 contribution A l
1 contribution A l'étude DES TROUBLES VISUELS dans LES maladies '
nerveuses
; . par le D' ALBERT ANTONELLI. § III. - PHYSI
les formes de l'amblyopie transitoire et sur les autres syndromes
nerveux
qui peuvent s'y rattacher, nous pouvons maintenan
goy. Arch. de Nei41,ol., n° 72, sept. 1892, p. 203. 424 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. réfléchie sous forme d'incitation vaso-motrice
ciable entre le fond de l'oeil des deux côtés. " . 426 . CLINIQUE
NERVEUSE
. moteur dans le cerveau, par excitation du symp
, il nous semble, dans l'ordre des hallucinations. 428 . CLINIQUE
NERVEUSE
. En effet, rien ne s'oppose à cette manière de
liée à la perte de la mémoire (graphique) des mots. 430 . CLINIQUE
NERVEUSE
. mots (pied de la circonvolution de Broca), mai
très bien représentée par le schéma de Charcot. , 432 - CLINIQUE
NERVEUSE
. mique donné à la presque unanimité, pour indiq
mique donné à la presque unanimité, pour indiquer les trou- bles
nerveux
de cette espèce. Mais, d'autre part, le nombre
l'amblyopie transitoire comme des formes rudimentaires de troubles
nerveux
, le plus souvent stigmates élémentaires de névr
- térie ' et l'épilepsie, soit des maladies organiques du système
nerveux
. En admettant la distinction que M. Levillain e
ésenter dans chacune des trois classes d'individus. Chez les gens
nerveux
, c'est-à-dire surexcitables, sensitifs, 1 Insis
qu'une véritable hémiopie ! Archives, t. XXIV. ' 28 434 CLINIQUE
NERVEUSE
. simplement prédisposés au trouble du système n
434 CLINIQUE NERVEUSE. simplement prédisposés au trouble du système
nerveux
, il n'est pas très rare de voir que la migraine
es, c'est-à-dire chez les individus qui sont ' atteints de troubles
nerveux
plus ou moins graves et fugaces, très variés et
graves et fugaces, très variés et ne constituant pas une affection
nerveuse
à type défini et persistant, l'amblyopie transi
avec les troubles passagers de la sensibilité, de la palpitation
nerveuses
, de l'insomnie, etc., les petites souffrances de
; 5° Les rapports de l'amblyopie transitoire avec des mala- dies
nerveuses
(neurasthénie, hystérie) où les troubles vaso-
lant) confirme qu'il s'agit de spasme vaso-moteur. 436 . CLINIQUE
NERVEUSE
. Nous savons, en effet, que le spasme des vaiss
siège d'un trouble de nutrition Leçons sur les maladies du système
nerveux
, tome III. l'amblyopie transitoire. 437 de le
oins grave et prolongé. En conséquence, la vitalité de ces éléments
nerveux
que ces artérioles nourrissent pourra se montre
es maladies de l'encéphale. Paris, 1880, p. 357-358. 438 CLINIQUE
NERVEUSE
. Et tout cela, même sans migraine et autres tro
' 'Observations de Hosch, Wernicke, Forster, etc.. 440 . CLINIQUE
NERVEUSE
. puisque les cas de migraine vulgaire sont sûre
miopie, etc.) et s'il est accom- pagné ou non par d'autres troubles
nerveux
(migraine, aphasie, épilepsie partielle, etc.).
ou se confond avec les attaques migraineuses ou autres trou- bles
nerveux
. - L'amblyopie transitoire serait compliquée (p
gée, dans la plupart des cas, comme la migraine, parmi les troubles
nerveux
pure- ment dynamiques. Même dans les cas où l
as où les accès d'amblyopie accompa- gnent ou précèdent une maladie
nerveuse
organique, telle que le tabès ou la démence par
omme des névroses rudimentaires, pouvant rester les seuls stigmates
nerveux
du sujet, ou pouvant encore précéder ou accompa
ou moins intenses et étendues dans la moitié du crâne. 442 CLINIQUE
NERVEUSE
. L'accès de migraine est souvent suivi de nausé
journée) ou accompagnés de violentes migraines ou d'autres troubles
nerveux
, le malade se présente à la consultation. Il pe
équente (ainsi que la migraine) chez le sexe féminin, et l'hérédité
nerveuse
(goutte ou diabète) y joue un grand rôle. V.
s organiques) plusieurs particularités qui établissent 444 CLINIQUE
NERVEUSE
. entre elle et les faits expérimentaux (Munk, F
devenir organiques. VI. Au point de vue du diagnostic des maladies
nerveuses
, l'amblyopie transitoire est rangée parmi les t
repos en décubitus horizontal avec occlusion des yeux. 446 CLINIQUE
NERVEUSE
. Souvent le bromure de potassium ou de camphre,
de Paris, 1882.) 27. Charcot. - Leçons sur les maladies du système
nerveux
. (Paris, 1882 ) - 28. H. Parinaud. - Des rapp
erveau. (Rec. d'opht., novembre 1889 et janvier 1890.) 448 CLINIQUE
NERVEUSE
. 43. Babinski. De la migraine ophtalmique hysté
médicale, 27 janvier 1892.) 54. P. Blocq et J. Onanoff. - Maladies
nerveuses
(sémiologie et nosdiagtic). Paris, 1892, p. 131
nosdiagtic). Paris, 1892, p. 131. CLINIQUE DES maladies DU système
NERVEUX
. - M. CHARCOT. LA SUGGESTION CHEZ LES HYSTÉRIQU
; suggestion toute la thérapeutique, suggestion toute la pathologie
nerveuse
, suggestion surtout toute la psychologie. Rassu
dont je vous parlais dernière- Archives, t. XXIV. 29 450 CLINIQUE
NERVEUSE
. ment, a vu, une fois dans sa vie, un homme cac
ue, 1888, I, 224.) , ! Automatisme psychologique, 203. 452 CLINIQUE
NERVEUSE
. vous montrer quelques exemples sont faites à l
es dans l'Automatisme psychologique, 1889, p. 200. 454 . CLINIQUE
NERVEUSE
. rement, chez une personne normale, ce système
disons-nous, et je pense que cette action est en rap- 456 CLINIQUE
NERVEUSE
. port avec mon caractère, mes sentiments, mes i
on. Je répète cela, car c'est capital, nous avons tous mis CLINIQUE
NERVEUSE
. des habitudes, des souvenirs, des associations
la faiblesse de l'attention chez les hystériques. ' 460 CLINIQUE
NERVEUSE
. lisent, elles n'ont jamais l'esprit à ce qu'el
s. (Revue philosophique, 1891, t. I, p. 258 et 384.) 462 CLINIQUE
NERVEUSE
. prétation des symptômes, mais sur le diagnosti
ces dernières l'ont faite. Ces deux catégories d'actes 464 CLINIQUE
NERVEUSE
. existent toujours en nous, et notre santé mora
e suggestion. Une expérience Archives, t. XXIV. 30 466 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. curieuse, faite autrefois sur la malade de M.
science. Voir Automatisme psychologique, 1880, p. 185. 468 CLINIQUE
NERVEUSE
. haut point, Un peu grâce àmoije le dis toutbas
core, mais il est paralysé. Un frère, mort de la pierre, était très
nerveux
et « très rageur ». Une soeur bien por- tante m
rès nerveux et « très rageur ». Une soeur bien por- tante mais très
nerveuse
. Antécédents personnels. - John a toujours été
s sont pour leur famille et la société un véritable fléau. L'état
nerveux
crée nécessairement chez les dégénérés les dis-
leur guérison rapide caractérisent, en général, chez les dégénérés
nerveux
, les formes d'aliénation men- tale qu'ils prése
l'état normal par le simp 1 e fait de la volonté chez des individus
nerveux
et sous l'influence de circonstances particuliè
cellules se voient d'une merveilleuse façon ; leurs prolonge- ments
nerveux
sont des plus nets. Le mémoire sera publié in e
re temporale gauche, on était frappé de la disparition des cellules
nerveuses
au sein des première et deuxième couches de Mey
qui l'accepte, de fêter avec la Société de psychiatrie et maladies
nerveuses
de Berlin, l'anniver- saire de la vingt-cinquiè
ue appartiennent aussi à la société de psychiatrie et de mala- dies
nerveuses
. (Allg. Zeitsclt. f. Psychint., XLVIII, fui.) P
V. " 32 498 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
- DE BERLIN. Séance du 12 janvier 18911. Pr
lui (thèse de Gallinck, 1889), dix malades pré- sentaient une tare
nerveuse
des plus accentuées = 10,8 p. 100; 7,6 p. 100 c
S SAVANTES. maladie depuis l'âge de vingt-sept ans. La malade, très
nerveuse
, pâle, présentait des mouvements désordonnés, i
sion génitale; en outre on constate chez ces sujets-là des troubles
nerveux
, de la neurasthénie, du moins chez la plupart d
as une maladie mentale quand il n'existe pas de troubles du système
nerveux
d'un autre ordre ou d'accidents psychiques. Il
essus anatomique du tabes se propage suivant la fonction des fibres
nerveuses
, il n'a rien à voir avec un processus d'inflamm
x grandes causes au point de vue pathogénique : les dégénérations
nerveuses
et la compression mécanique. Ce sont là, à son av
OGRAPHIQUE. BLOCQ (P.). Les troubles de la marche dans les maladies
nerveuses
. Volume m-12, cartonné de 176 pages, avec 21 fi
s médical. CnAPMAN (J.). Résumé d'une communication sur l'origine
nerveuse
des maladies et de leur traitement efficace par
t de leur traitement efficace par l'action directe sur le sys- tème
nerveux
, faite à l'Académie de médecme de Paris, le 14 ju
. - Chez l'auteur, 31, avenue de l'Opéra. CHAPMAN (J.). L'origine
nerveuse
des maladies et leur traitement effi- cace par
s et leur traitement effi- cace par l'action directe sur le système
nerveux
. Brochure in-8° de 16 pages. - Paris, 1892. Ass
rchives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). - Clinique des maladies du système
nerveux
de la Salpêtrière. Leçons du professeur, mémoir
li, 1890. Tipografico A. Tocco. CULLEIiRE (A.). De la transfusion
nerveuse
chez les aliénés. Brochure n-8° de 15 pages. -
ons du mardi, par Charcot, 138; -Clinique des maladies du système
nerveux
, par Charcot, 139; - Troubles du langage chez
langage chez les aliénés, par Séglas, 140; Syphilis du sys- tème
nerveux
, par Gajkiewicz, 141 ; Oblitération des sutures
e, par P. Ma- rie, 359. Bulletin bibliographique, 159. CELLULES
nerveuses
, dans le seg- ment le plus inférieur du canal
et aliénistes de Moscou, 127; - de psychia- trie et des maladies
nerveuses
de Berlin, 498,-d'hypmologie, 364. SOCIÉTÉ DE
274; lésions artérielles dans la , par Brasch, 503; - du système
nerveux
central, par (Ebeke, 277. Système NERVEUX cen
ch, 503; - du système nerveux central, par (Ebeke, 277. Système
NERVEUX
central, coloration du, - par Ziehen, 261. Ta
CIlARLES HeRissry ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
vation, si on l'analyse. En soi, l'extase est une sorte d'éréthisme
nerveux
, qui se modifie suivant les causes, les degrés
ne prendrait pas pour indice de malfaisance l'effet d'une maladie
nerveuse
. D'autre part, ayant ouï que la folie se caract
gnée et elle se croit guérie. Sa conversation me prouve 26 CLINIQUE
NERVEUSE
. importante a été vaguement constatée. On n'en
t, .trait distinctif, des données de notre nomenclature. CLINIQUE
NERVEUSE
NOTE SUR L'ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQU
l'affaiblissement musculaire et la véritable paralysie. 28 CLINIQUE
NERVEUSE
. J'ai fait depuis quelques années de nombreuses
fres sont notablement moins élevés ; la moyenne est : 30 CLINIQUE
NERVEUSE
. Hémiplégies, droites. ÉTAT DES 1·'OKCGS CHEZ
KCGS CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 3t Hémiplégies gauches . 32 CLINIQUE
NERVEUSE
. Des observations résumées dans les tableaux pr
açon suivante. Pendant la période apoplectique, toute 34 CLINIQUE
NERVEUSE
. exploration dynamométrique est impossible. Que
légié est tellement variable qu'il n'y a aucun avantage 36 CLINIQUE
NERVEUSE
. à établir des moyennes pour les comparer à cel
d'un côté du corps obéissent imparfaitement aux incita- 38 CLINIQUE
NERVEUSE
. tions volontaires. Ils peuvent, il est vrai, e
droite paralysée fournit 20 ou 30 kilogr. de pres- 40 . PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sion au dynamomètre, mange cependant sa soupe
des forces le 17 février; B, le 2 mars; C. le 3 avril.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
NOTE SUR L'ÉTAT DE LA PUPILLE CHEZ. LES ÉPILEPT
erchions aussi leur état à la lumière du jour. La 4Î ! , PATHOLOGIE
NERVEUSE
. malade était dans une pièce éclairée par deux
classique. DE LA PUPILLE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 45 46 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. quer toutefois que, parmi nos malades, un cert
rmi les ascendants ou descendants ayant été sujet à quelque maladie
nerveuse
. 5) RECUEIL DE FAITS. Noire malade. Bonne san
pas non plus peureux et n'avait eu aucune espèce de manifestation
nerveuse
. Caractère vif, etsuhant lui, courageux l'ouvrage
u'on ne l'aurait pas gardé aussi longtemps s'il avait eu des crises
nerveuses
. Un autre fait viendrait à l'appui de cette opi
ne vigoureuse consti- tution, pas de rhumatismes. Pas d'antécédents
nerveux
. Vers l'âge de vingt-cinq ans, il aurait eu un
a colonne vertébrale. 1 Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
. T. 1er, 4e édi- tion, 1880. Appendice, p. 4'i6
sceau sensitif. Gratiolet et Leuret, Ana- tomie comparée du système
nerveux
, I 839-187. - lleyner t, Stricker's /t0) : d&am
s /t0) : d& : <c't, 1872. Huguenin,A ? ta<OMM des centres
nerveux
, trad. de Keller. Paris, 4879. - Charcot, Leçon
ns les maladies du cerveau, 4876. Luys, Recherches sur le système
nerveux
céré6ro-spinal, sa structure, ses fonctions et se
haften zu Vte ? 4839. - Charcot, Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1872. z Magnan, De l'hémianesthésie de la sens
rches expérimentales sur les fonctions et les propriétés du système
nerveux
. Paris, 4862. Ferrier, Les fonctions du cerveau,
Il importe de remarquer toutefois qu'un certain nombre de fibres
nerveuses
venues de la périphérie, fibres des nerfs opti-
aractères de la coloration communiquée par le bichromate aux fibres
nerveuses
, on conçoit que sur les sec- tions ainsi faites
assage au niveau du carrefour; 20 quand, sous certaines influences (
nerveuses
et peut-être aussi toxiques), les couches corti
actile, un autre pour la vue, pour l'ouïe, etc.) Ou bien les fibres
nerveuses
centripètes, après leur sortie de la capsule (f
quée qu'elle soit, n'interrompt jamais la conductibilité des fibres
nerveuses
d'une façon aussi complète et aussi dura- ble q
ésions des circonvolutions occipito-sphénoï- 86 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dales, l'anesthésie est possible mais. excepti
omique et clinique que nous avons poursuivie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. GOITRE exophthalmique ou maladie de BASEDOSV
causes, établit la pathogénie de la maladie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 87 Î Les troubles cardiaques précédant l'engor
peu modifiées, la contracture et les crampes 88 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. s'exagérèrent à la suite d'une attaque d'épile
les muscles du tronc et des extrémités. M. M. REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 89 V. La fonction bilatérale ET la SINAPISCOPI
contenaient un grand noyau et un protoplasma 90 revue de pathologie
nerveuse
. très délicat. Il a constaté les mêmes altérati
rès délicat. Il a constaté les mêmes altérations dans les cellullcs
nerveuses
de la moelle allongée et surtout dans le noyau du
depuis deux ans, d'une maladie deBright; il n'a pas eu d'affection
nerveuse
. Il avait deux frères, dont l'un est mort aussi
eu deux attaques de chorée dans son enfance. revue DE pathologie
nerveuse
. 9t 1 La famille se compose de neuf enfants. L'
mpose de plusieurs accès partiels dépendant chacun du département
nerveux
qui lui donne naissance; adoptant l'opinion que l
sme étant caractérisé surtout par un état d'épuisement du système
nerveux
central, il n'est pas étonnant qu'un moyen qui pr
nnant qu'un moyen qui prive complètement et brusquement les centres
nerveux
de leur ir- ritant accoutumé puisse entraîner l
tion de la morphine une action tonique et trophique sur les centres
nerveux
, et il calme les troubles gastriques. Le patient
: .- moins de trente ans, G8 p. 100; prédisposition, constitution
nerveuse
, anémie, puerpéralué, 31,5 p. 100; influences cn2
e proloii-en jusqu'à la convalescence; l'hérédité et l'excitabilité
nerveuse
interviennent déjà dans l'étio- logie. Ce sont,
ntanément par la faiblesse du coeur (hypérémie stasique des centres
nerveux
); ou bien du délire avec agitation, soit mélanc
absolue des actions antiphlogistiques exagérées. II. L'épuisement
nerveux
qui résulte de l'hyperthermie pneu- monique ent
sés par l'hérédité (60 p. 100), l'anémie, l'irritabilité du système
nerveux
. Aussi les voit-on sévir au delà de trente ans,
bumine dans les pustules (Emmin- ghaus), à la genèse des phénomènes
nerveux
, c'est encore à la distinction clinique qu'il c
t, et d'admettre plutôt dans l'espèce un épuisement aigu du système
nerveux
succédant à l'oscillation thermique considérabl
tive serait la cause essentielle et non pas l'occasion des troubles
nerveux
, puisque \\ p. 100 des patients avaient une sca
anies de la convalescence groupées par Thomas sous le nom de délire
nerveux
, résultat de l'épuisement, concer- nent égaleme
s s'y mon- trent pendant lej eune àge (faible résistancedii système
nerveux
). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 113 Ceux qui a
asie hématique), ainsi qu'à l'action directe du poison sur le tissu
nerveux
. Ils affectent d'ime manière générale la 8 11
rculatoires, dégénérescences parenchymateuses, consomption du tissu
nerveux
, complica- tions agissant immédiatement ou médi
n prédisposé ; la fièvre typhoïde a simplement préparé le système
nerveux
, elle n'est plus en cause. Les maladies voisines
quelle on compte plusieurs cas d'aliénation mentale et d'affections
nerveuses
. Son père a suc- combé à une maladie pendant la
ité et leurs excentricités et présentaient des désordres du système
nerveux
. , Dès sa première enfance, on remarqua chez X.
leva que grâce à des soins exceptionnels. Il était si délicat et si
nerveux
qu'on le garda longtemps dans la maison paterne
'urine chez les aliénés. Après avoir rappelé l'influence du système
nerveux
sur la nutrition et les sécrétions, après avoir
s observées ne consti- tuaient pas de simples périodes d'épuisement
nerveux
, car on re- marquait pendant leur évolution l'a
rigine. « Certainement, ajoute-t-il, les observations d'albuminurie
nerveuse
se multiplieront à mesure qu'on les recueillera s
premières, toujours les excès de tout genre et surtout le surmenage
nerveux
; parmi les secondes, l'exis- tence chez les as
lésions et à les disséminer sur les divers départements du système
nerveux
. Arrivant au traitement, AI. Fournier pose en p
ogie de beaucoup de maladies et spécialement de celles du système
nerveux
. , EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE Ht. Rés
énitales sur la production et la marche de la folie et des maladies
nerveuses
chez les femmes a déjà été traitée plusieurs fo
ents. Les uns croyaient que la plupart des affec- tions mentales et
nerveuses
de la femme étaient dues exclusivement ou, du m
rus et de ses (lll ? lexes,1858. 1 Boussi. Etude sur les troubles
nerveux
réflexes observés dans les maladies utérines. T
tion anatomique et physiologique qui est si intime entre l'appareil
nerveux
des organes génitaux chez la femme et le systèm
l'appareil nerveux des organes génitaux chez la femme et le système
nerveux
central, on reconnaîtra que toute irritation pé
ère fois que le 1 J.-M. Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. II, 3p édit., 1880, p. 305. , Alpii. Robc
2 Heydenreich. Bull. Soc. anat., 1874, p. 255. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
IX. NOTE SUR l'un DES « symptômes » de l'ataxie
r l'activité du « sens musculaire » par la rééducation des cellules
nerveuses
qui constituent les sources de cette forme part
fforts pour se tenir ferme et droit sur ses 220 REVUE de pathologie
NERVEUSE
. jambes pendant un quart d'heure d'abord, puis
on subjective de chute, tantôt chute véritable, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 221 Une force supérieure le pousse, le terrass
ces que le sulfate de quinine. ' (Cu. I.) 222 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le cerveau était mis à nu et l'on constatait s
stéro-épilepsie; ces observations sont accompa- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 223 gnées de dessins représentant les diverses
vent aussi elle est due à l'excitation d'autres régions des centres
nerveux
, telles que la moelle al- longée. P. M. le RE
ux, telles que la moelle al- longée. P. M. le REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XIV. L'ALBUMINURIE comme symptôme DE l'accès é
e ce fait de celui qui a été publié par Grasset REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 325 dans le Progrès Médical de 1880, n° 40. Il
formes de maladies mentales. Aussi le la 229 REVUE DE pathologie
nerveuse
. Dr Adriani, tout en reconnaissant qu'il n'est
des symptômes résultant d'un commencement d'a- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 227 trophie du nerf optique, inégalité pupilla
1 Voy. Arch. de Neurologie; n" 7, p. 100. 328 REVUE DE pathologie
nerveuse
. 2° Troubles moteurs. Contractures, convulsions
es, etc.). Le tableau clinique doit être complété par les symptômes
nerveux
ou somatiques de l'anémie (stéatose ou émaciati
t que les fatigues de la guerre ont causé un ébranlement du système
nerveux
tel que progressive- ment s'est développée cett
s voies d'aller et de retour sans intéresser l'ensemble de la masse
nerveuse
; tel l'automatisme de l'habitude. De sorte que
ervices voisins. MARCEL 13nLIND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE BERLIN. Séance du 9 ? ? ! «< 18R1.-PuGa
lace dans'de l'alcool plus ou moins concentré selon l'état du tissu
nerveux
, changeant 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. ce liquide
iqué de rechercher avec soin le mode d'en- trecroisement des fibres
nerveuses
; malheureusement la substance blanche du cervea
t particulièrement de la branche qui traite des maladies du système
nerveux
ont été considérables depuis cette époque, et l
thisme sont plus ou moins directe- ment sous l'influence du système
nerveux
. Le caractère des absin- thiques offre une rema
es zones hystérogenes des membres ont pour siège les irradia- tions
nerveuses
périphériques. La compression des troncs nerveux
s irradia- tions nerveuses périphériques. La compression des troncs
nerveux
qui innervent ces zones provoque l'attaque, tou
paraître toutes les zones hystérogenes et l'excitabilité des troncs
nerveux
qui s'y rendent. Les zones h3stero- gènes effac
trice; par HREL. Thèse de Paris, 1882. , La maladie et le système
nerveux
; par Cartier. Thèse de Paris, 1882. Des névralg
. 1882. Des hémorrhagies cutanées liées à des affections du système
nerveux
, et en particulier du purpura i-ityélopathique
Vol. IV. Novembre 1882. N" 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
ÉTUDE CLINIQUE DU VERTIGE DE àlÉNIÈRE DANS SES
perd pas connaissance; à peine Archives, L IV. 18 - 27' CLINIQUE
NERVEUSE
. t-il quelques secondes de surprise et d'émoi.
de la multiplicité et de Fa différence des lésions 276 ô . CLINIQUE
NERVEUSE
. étiologiques dans ces cas qui n'entraînent pas
e médecin est actuellement conduit à placer, sinon dans les centres
nerveux
, que la conser- vation de la connaissance perme
nce permet jusqu'à un certain point d'éliminer, mais dans la partie
nerveuse
de l'or- gane de l'ouïe que la surdité et les b
eurs, et ils ont conclu qu'il fallait chercher ailleurs 27 CLINIQUE
NERVEUSE
, la solution de la* question, à moins de faire
u moyen d'une poire à air, en poussant le tympan et, 280 CLINIQUE
NERVEUSE
. tout l'appareil conducteur du son vers la paro
n intensité, quand on, change l'état;, de tension, par 282 CLINIQUE
NERVEUSE
. influence, de l'appareil de transmission. Sava
t d'une mère qui avaient tous deux un tempérament excessive- ment
nerveux
; sa mère principalement, qui vit encore, et qui
ALE. aujourd'hui, dans un état presque permanent de surexcitation
nerveuse
et mentale. * Dans sa première enfance, M. X...
qu'il est sur le point de s'évanouir, ou bien il est pris d'un rire
nerveux
et incoercible, qui dure plusieurs minutes. M
aternel est mort aliéné à l'asile de Pontorson. La mère et la soeur
nerveuses
, irritables, sont toutes deux portées à la méla
'et à ses sels dont on se sert habituellem'ent'pour'dûrCir le tissu
nerveux
, et je divisai la ! tumbur et le tissu ambiant le
nt deve- nues étroites et minces. Sur la coupe colorée les cellules
nerveuses
et les tubes nerveux avec leur cylindre-axe-ava
et minces. Sur la coupe colorée les cellules nerveuses et les tubes
nerveux
avec leur cylindre-axe-avaient considérable^ me
dessins nous montrent en même temps la transformation des ganglions
nerveux
. Sur la figure 8 nous voyous les ganglions du c
r cela que toute modification matérielle survenue dans le système
nerveux
central chez l'homme, dont la marche a été suivie
é dans les limites du possible pour expliquer différentes fonctions
nerveuses
. Une proposition fondamentale de. mécanique nou
u des vaisseaux', tandis que les neurogliomes surgissent du système
nerveux
lui-même. Les sarcomes forment des masses de ti
ses de tissus hétérogènes qui ne se confondent jamais avec le tissu
nerveux
et s'étendent à ses dépens en le comprimant; le
; les neurogliomes, au contraire, sont des excroissances du tissu
nerveux
qui se développent à côté d'éléments de même natu
nts de même nature et qui s'épanouissent sans limites dans le tissu
nerveux
normal. Là où surgissent les sarcomes, le tissu
ns le tissu nerveux normal. Là où surgissent les sarcomes, le tissu
nerveux
périt; où les neurogliomes se développent, là l
ologiquement entre eux, qu'ils sortent de la névroglie ou''du tissu
nerveux
lui-même. Il considère, par conséquent, la névr
nt, la névroglie elle-même comme un tissu d'origine et de caractère
nerveux
, et propose dé donner de préférence le nom de'n
ités par Klebs, c'est-à-dire de se dévelop- peraux dépens du tissu,
nerveux
et de ne pas; se confondre avec celui-ci,- il !
, si riche en névroglie, cette/ névroglie. ne peut être, d'origine,
nerveuse
, mais bien, comme la tumeur elle-même, procéder
se contient , surtout des névro- glies. Il résulte que le système
nerveux
central se distingue des autres organes par la
grise antérieure du côté gauche. , REVUE CRITIQUE DES TROUBLES
NERVEUX
OBSERVÉS CHEZ LES DIABÉTIQUES; Par D. BERNARD e
étiques, on les a regardées comme primitives sans même DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LES DIABÉTIQUES. : ;37 se demander si, au
même époque, On-le rapportait aussi au diabète cer- tains troubles
nerveux
observés pendant le cours de cette maladie. La
ent un grand intérêt; mais l'étude épisodique des divers troubles
nerveux
que l'on rencontre, on peut dire si fréquemment,
térations vasculaires capables de modifier l'irrigation des centres
nerveux
. Dans l'état actuel de nos connaissances, on se
médecine et de chirurgie pratiques, lévrier 1882. ' ' DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LLS DIABETIQUES. 33J complet, qui laissa a
Saint Georges Ao.spatal Hcpurls, L. 1, 18G, [. 1G0.) DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 'il 1 Les troubles de l
hG et Tfttamon. Etudes médicales, etc., 1881, p. 27, ' DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces troubles moteur
parties similaires. Dickinson' a d'ailleurs décrit dans le système
nerveux
des diabétiques des lésions qu'il croit à tort,
t; ? ? p. 3 : ,3. ' Loiidel. Clin, mi'/l. ]i. 279. , DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3)5 5 rebelle ; mais les
corclié), tantôt complète (Dreysig), est-elle un phénomène purement
nerveux
(Prout3) ou bien relève-t-elle d'une lésion de
Annales des maladies de l'oreille et du larynx, 1882. DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 li 7 Troubles oculaires
ète et même aux troubles ou aux lésions concomitantes du syst( me
nerveux
? Les observations ne permettent pas de conclure.
vision, 18 cas ainsi répartis relèvent du diabète : DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 le ! ) place à la secon
cil., p. 2oS. Wickerslieiiner. Thèse de l',ma; 187 ' DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LES DIABÉTIQUES. 351 optique. Le champ vis
a benzourie, les pertes sémi- 1 Bellouard. Loc. cit. DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LES DIABÉTIQUES. 353 nales (Desmarres.) et
l'affaiblissement général. (Durand-Fardel.) A la suite de troubles
nerveux
divers, on peut voir survenir chez des diabétiq
ènes localisées, dont la relation avec leur altération du sys- tème
nerveux
, n'-est rien moins que démontrée. ' Cependant,
ines lésions cutanées notées dans plusieurs affec- tions du système
nerveux
Il est possible que ces troubles trophiques loc
ces chez des névropathes. (7roy)M ! t : edica/, 1881.) DES TROUBLES
NERVEUX
CHEZ LES DIABÉTIQUES. 355 OBSERVATION IX. M. J.
psies ; le dessèchement des tissus'et en particulier delà substance
nerveuse
(Ranke 3) peut le mieux expliquer les phé- nomè
ignaler un travail méritant de Duret sur la circulation des centres
nerveux
, et en extraire ce qu'il dit sur la vascularisa
'est-à-dire des vaisseaux artériels qui pénètrent dans la substance
nerveuse
: nous signalions pour la première fois, croyon
es coupes frontales et sagittales, apparaissent entre les faisceaux
nerveux
sous les formes suivantes ; tantôt ils sont ren
out riche et dense aux endroits où existent des groupes de cellules
nerveuses
(yaaylia), au niveau, des cornes antérieures/c'
ssure est pauvre en vaisseaux ; ils sont parallèles à ses faisceaux
nerveux
; la substance gélatineuse centrale en est tout
s les plus épaisses de la pie-mère entre les principaux faisceaux
nerveux
. Les plus externes atteignent la partie externe d
s granulations de pigment à l'inté- rieur ou en dehors des cellules
nerveuses
, quelle qu'ait été la cause de la mort. P. K.
1 Voir Archives de Neurologie, t. il, p. 297. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 369 et leur participation à la partie du revêt
sins (Luschka, Mendel, Kcy et Retzius). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XX. Lésion unilatérale DE la moelle ; par le Du
oins que la gauche. Archives, t. IV. 21 370 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Pas de différence de température ou de colorat
à gauche. Il y a eu seulement analgésie, avec REVUE DE PATHOLOGIE.
NERVEUSE
.' 371 1 conservation de la sensation tactile, p
t pathologique déjà établi, tel par exemple 372 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. qu'une carie dentaire, le procédé procure au m
lammations où la douleur est le premier symptôme. R. V. , ? XXII. «
Nerveux
H ; par le Dl SIG11UND Franck (d'Iéna.) , (Ce7z
répondérant de l'appareil génital dans la pathogénie des affections
nerveuses
de la femme. Il est d'avis, non seulement que l
het et l3rissaud : contraction de plus ou moins REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 373 longue durée d'un muscle, dont la volonté
res. (Prog·ès uéclical, 1880.) , 1 , CI 37t 1· .REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ture chirurgicale par allongement passif des a
, enfin pour exprimer la relation, avec les affec- tions du système
nerveux
central, et spécialement l'exagéra- tion des ré
ait pas. Lorsqu'on le priait d'articuler un mot REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 375 donné, il prêtait attention, mais semblait
d'une angine; l'inflammation s'étend de la 376 -revue DE pathologie
nerveuse
. muqueuse pharyngienne à la muqueuse de l'oreil
.parfois, elle se prolonge pendant trois à six REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 377 semaines. L'abcès chronique est caractéris
des exemples d'incoordination motrice avec anesthésie et trou- bles
nerveux
divers par simple irritation spinale. Voici une d
rale, le malade guérit en six semaines. 378 s REVUE DE pathologie
nerveuse
. L'auteur attribue une grande importance dans l
des attaques d'épilepsie crée une condition particulière du système
nerveux
(epilectic centre), une habi- tude épileptique
aits empruntés à la littérature médicale, admet REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 379 que les troubles de la digestion, et en pa
résultent de la surcharge stomacale, peuvent produire des symptômes
nerveux
divers dus à la paralysie ou à l'excitation du
près avoir quitté Tent laospital, il se fit 380 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. soigner comme malade externe à University Coll
rteils : les limites supérieures et inférieures REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 381 du territoire anesthésié étant parfaitemen
a circonvolution de l'ourlet sur la gauche, 382 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'autre, dans cette membrane, à la région moye
cen ces régions. Intégrité absolue de la moelle et des. gros troncs
nerveux
. Généralisation sarcomateuse dans les poumons,
te de l'humérus droit : à l'égard de cet os, l'intégrité des troncs
nerveux
du bras et de la cavité articulaire permettrait
. Monakow, de rendre la tumeur numérale irresponsable des accidents
nerveux
constatés. - Latrès faible atteinte de l'écorce
(prolifération interstitielle et atrophie consécutive des fibres
nerveuses
) ? Faut-il, de préférence, croire que les élément
ie des extrémités inférieures. Disparition 3J 4 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. des réflexes tendineux. Troubles de sensibilit
la raideur et des douleurs vertébrales (dixième REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 385 année de la maladie) devrait dépendre de l
na- logue à celui qui gouverne les régions inférieures du système
nerveux
) et que Ferrier localise dans les lobes antérieur
fois même par première intention. Cu. F. Des maladies mentales et
nerveuses
; par Ai. 13u,lod, médecin en chef, directeur ho
Thèse de Paris, 1882. De la chute des ongles dans les affections
nerveuses
et en particulier dans l'ataxie locomotrice; pa
152, 282. Dessiccation du cerveau, 249. Diabétiques (Des troubles
nerveux
observés chez les), par Bernard et Féré, 336.
ar Bur- mann, 95. TABLE DES MATIÈRES.. 407 Maladies mentales et
nerveuses
par Billod (bibliographie), 399. Maladies men
Nécrologie : Lagardelle, 143. Négations (délire des), 152, 282.
Nerveux
. 372. Nerveux (troubles - observés chez les d
agardelle, 143. Négations (délire des), 152, 282. Nerveux. 372.
Nerveux
(troubles - observés chez les diabétiques), par
hiatrique de Berlin, 12 ? Sociétédé psychia- trie et des maladies
nerveuses
de Berlin, 246. Statue de Ph. Pinel, 142. S
s autres névropathes. Thanatophobie, agoraphobie et divers troubles
nerveux
traités avec succès par la suggestion. Par M. l
epuis plus de dix-huit mois, m’écrivait-il, atteint par une affection
nerveuse
qui empoisonne mon existence, je vis dans une ang
bitudes d’ony-chophagie; cet état général défectueux et ces désordres
nerveux
se sont manifestés insidieusement en pleine santé
iemment ou non, ont laissé leur empreinte dans l’intimité des centres
nerveux
. Que ces centres à leur tour — par suite d'un tro
) Présentation de malade faite :i la Clinique des maladies du système
nerveux
, h la Salpûtrièr*'. serait commettre une gros
on des organes, mais simplement une mauvaise répartition de l’énergie
nerveuse
, une série d’actes physiologiques ou d’innervatio
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
te provoque l’excitation de plusieurs groupes de neurones; le courant
nerveux
centripète se divise en nombreuses ramifications
ertains sujets en dehors de l'hypnotisme. Si, dans certaines maladies
nerveuses
on lève le bras du sujet, il conserve cette altit
ophylactique; il réclame l'cntrainemcnt physique et moral des enfants
nerveux
. Quand la chorée est confirmée, on doit s’adresse
eptiques, ni celle des hystériques, ni celle dès dégénérés. Surdité
nerveuse
hystérique, guérison spontanée, par M. le Dr Du
n ni de l’oreille moyenne, ni de l’oreille interne mais d’une surdité
nerveuse
, probablement par auto-suggestion. On prescrit to
calcul difficile (1). Combien notre cerveau compte-t-il de cellules
nerveuses
? La réponse à ce rébus nous est donnée, non par u
dénombrer les cellules contenues dans un millimètre cube de substance
nerveuse
, tout cela ne fut qu’un jeu pour elle. Bref, des
que notre cerveau dispose de neuf milliards cent millions de cellules
nerveuses
. (1) Gabelle du médecin, 1« mars 1900. Les
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
Roumknteau.— Des ecchymoses spontanées dans les maladies du système
nerveux
, Th. do Paris, l'JOü. Bekmann. — De l’ictère ém
chaque année, dans son service, un cours sur les maladies mentales et
nerveuses
. De ses leçons fort appréciées, il est déjà sorti
emarquables sur la pathologie interne et, sur les maladies du système
nerveux
. Son ouvrage sur les atrophies musculaires et les
outre, un rapport qu’il écrivit, en 1888, sur les maladies du système
nerveux
en Russie, au retour d'une mission donl l'avait c
it jouer comme spécifique héroïque dans la thérapeutique des maladies
nerveuses
, comme succédané ou comme adjuvant de la médicati
affaires avait amené, après une semaine ou deux, les mêmes accidents
nerveux
. J'ai réussi à guérir plusieurs cas de grande d
énie, et j‘ai trouvé l'hypnotisme très utile pour calmer l’excitation
nerveuse
et redonner la santé à des esprits très malades,
1) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du «ystômo
nerveux
* la Salpétricrc. puis revient à l’etal normal
e Wurlzbourg. M. leDrTESDORFF (Paul), spécialiste pour les maladies
nerveuses
, Munich. Me le Dr Vogt (Cécile), de Berlin. M.
itaux, Paris. M. le Dr Raymond, professeur de clinique des maladies
nerveuses
à la Faculté de Paris. M. le Dr Saint-IIilairk,
Hollande. M. le Dr de Jong (Arie), spécialiste pour les maladies
nerveuses
, La Haye. M. le Dr Van Renterghem, directeur de l
é de Jassy. M. le Dr Marinesco, professeur de clinique des maladies
nerveuses
à la faculté de Bukarest. M. le DrThomas Tonesc
elui qui est chargé de renseignement officiel des maladies du système
nerveux
. A quelles appréciations désobligeantes il se fût
déjà donné de si beaux résultats dans l’étude des maladies du système
nerveux
. Il a fait rentrer le somnambulisme artificiel, l
de l’Ecole de la Salpétrière et do l’Ecole de Nancy, que les maladies
nerveuses
, par conséquent aussi les manifestations do l’hyp
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique) , est a
1887), nous avions fondé une clinique pour le traitement des maladies
nerveuses
par la suggestion hypnotique. A peu près à cette
tion hypnotique comme arme principale dans le traitement des maladies
nerveuses
et psychiques. M. S. Reeling Brouwer, directeur
d’autres genres de médication dans ses applications sur les maladies
nerveuses
et psychiques. Ces brillants résultats engageront
aradique et galvanique. Il vient d’ouvrir un sanatorium pour maladies
nerveuses
. Dans cet établissement, comme dans sa maison, il
ticiables de cette méthode dans leur service d’aliénés et de maladies
nerveuses
. Ils ajoutent qu'ils appliquent surtout la sugges
it un soldat, un gardien de la paix, elle est saisie d’un tremblement
nerveux
et s’écarte au plus vite. Les marchands des quatr
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
irent de combler l’abîme qui existait entre les actes réflexes, actes
nerveux
les plus humbles, et les actes volontaires actes
sentiments, entre idées différentes. Les voies suivies par le courant
nerveux
sont larges et faciles, la cérébration est machin
e réflexe est caractérisé par : 1° La sensation provoque un courant
nerveux
centripète P ; 2* Ce courant nerveux vient exci
sensation provoque un courant nerveux centripète P ; 2* Ce courant
nerveux
vient exciter un neurone sensitif : sensations S
Fig. I. Acte réflexe simple. P, sensation déterminant un courant
nerveux
centripète ; S, neurone sensitif; M, neurone mote
rveux centripète ; S, neurone sensitif; M, neurone moteur; F, courant
nerveux
centrifuge. 3° Ccllc-ci transmet l’excitation à
mment s’opère le contact entre neurones, ni la nature de l’excitation
nerveuse
. Tout cela en effet n’a rien à faire avec la repr
états profonds de l’hypnose présentaient une telle hyperexcita-bilité
nerveuse
que le professeur Jamin, après avoir assiste aux
ur un écran, le cinématographe nous montre divers exemples de marches
nerveuses
, de spasmes, de crises hystériques. Les arriéré
eur de 2.500 francs, à .M. Jules Soury, pour son livre sur le Système
nerveux
central. Le 18 décembre, à la séance annuelle de
omie macroscopique et microscopique, et sur la physiologie du système
nerveux
central, depuis les philosophes grecs jusqu’à auj
tes régions du cerveau, le siège des principales fonctions du système
nerveux
central dont les propriétés servent à définir la
eux tiers de son ouvrage, M. J. Soury étudie les fonctions du système
nerveux
central, les voies sensitives et motrices, les vo
plète de tout ce qui a été dit et fait, en anatomie et en physiologie
nerveuses
, par les philosophes, les observateurs et les exp
restera dans l’histoire de l’anatomie et de la physiologie du système
nerveux
central, comme un monument devant lequel s’inclin
liés au sommeil, avaient plusieurs fois conditionné certains troubles
nerveux
. Je dirige donc mon enquête dans ce sens. J'hyp
ant pour but de provoquer le souvenir de la cause initiale du trouble
nerveux
, il est rare qu’on n’obtienne pas de renseignemen
use et de supprimer ainsi toute cause capable d’entretenir la cellule
nerveuse
dans un état anormal d’irritabilité. Il est surpr
e: a Vous me demandez comment je me suis guéri des bailucinations
nerveuses
que je subissais autrefois? Par deux moyens: 1° e
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
du cours : Les doctrines esthétiques de Wagner. Cours des maladies
nerveuses
et mentales M. le Dr Jules Voisin commencera so
et mentales M. le Dr Jules Voisin commencera son cours des maladies
nerveuses
et mentales à la Salpêtrière, section Esquirol, l
ttres de Montpellier ; Jules Soury, professeur d’anatomie du sj-stème
nerveux
; le mathématicien Laisant, examinateur à l’Ecole
ulier, avait accepté la mission d'enseigner ici l'anatomie du système
nerveux
. En mourant il nous a légué les ingénieuses rep
e méthode d'investigation psychologique ; 2* la clinique des maladies
nerveuses
et mentales : 3° la pédagogie clinique; 4* tous l
questions qui relèvent de l'anatomie et de la physiologie du système
nerveux
. Cet enseignement devant être rigoureusement sc
ls et tous les instruments imaginés pour faciliter l’étude du système
nerveux
central et des phénomènes psychologiques. Il grou
artir eu huit branches : 1° L’anatomie et la physiologie du système
nerveux
. 2® La psychologie expérimentale (hypnotisme ex
bien portants. — On ne peut faire avouer à la malade une seule tare
nerveuse
dans sa famille. Antécédents personnels. — Dans
é chez cette malade les stigmates de l’hystérie, mais c’est une femme
nerveuse
évidemment, très excitable, et d’une loquacité ex
c fruit. Mais il convient de montrer qu’une catégorie de phénomènes
nerveux
, les troubles vaso-moteurs, rappellent les maladi
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
mplace l’expression « esprits animaux » par l’expression ondulatiojis
nerveuses
, on voit que le grand médecin anglais n’était pas
. » Pomme attribuait en effet l'hystérie au racornissement des fibres
nerveuses
. En 1859, Briquet attirait l’attention sur les
ctions infectieuses ou toxiques ayant plus ou moins frappé le système
nerveux
, telles que l'influenza ou la dothienenthérie, l'
II De l’amiboïsme et de l’hyperamiboïsme des neurones Le système
nerveux
est une machine, qui, comme toute machine, par le
s) sont transformés, dans la première partie de l’arc, en ondulations
nerveuses
. Ces ondulations nerveuses sont elles-mêmes tranf
a première partie de l’arc, en ondulations nerveuses. Ces ondulations
nerveuses
sont elles-mêmes tranformées, dans la seconde par
quivalence des forces est applicable aux êtres vivants, et la machine
nerveuse
n'est qu'un lieu de passage. Elle rend précisémen
ar les réactions chimiques qu’ils provoquent, les innombrables filets
nerveux
centripètes plonges dans nos tissus. Tantôt il es
n et de la dépense dans le même temps, tient à ce que les conducteurs
nerveux
sont interrompus par des barrages, que j’ai appel
ppelés les neuro-diélectriques normaux ('). Lorsque les ondulations
nerveuses
se trouvent ainsi arrêtées par les neuro-diélectr
et le plomb de l’anode du peroxyde de plomb, de même les ondulations
nerveuses
transforment une substance très instable que cont
ne autre substance que j’ai appelée substance x’ (2). Les ondulations
nerveuses
dessinent ainsi dans les neurones des figures qui
t de substance x, en restituant de l’énergie sous forme d’ondulations
nerveuses
. A cette décomposition de la substance at’ corres
s (réveil des images et des idées, souvenir}, d’autre part un courant
nerveux
quelconque (association dos images, idéation, ass
713.) (5) Mathias Duval : Hypothèses sur la physiologie des centres
nerveux
. Théorie histologique du sommeil. (Société de bio
rt Qdier : Recherches expérimentales sur les mouvements de la cellule
nerveuse
de la moelle épinière. (Genève 1898.) (8) Jean.
uxelles, 1897.) (2) Soukhanoff : Sur les modifications des cellules
nerveuses
et de Vécorce cérébrale dans l'anémie expérimenta
difications que subissent les prolongements dendritiques des cellules
nerveuses
sous l'influence des narcotiques. (La cellule, t.
896.) Voir aussi : Azoulay : La psychologie histologique du système
nerveux
. (Année psy-chol., 1895.) Dupin : Le neurone et
, Paris, 18%. R. Deyder : Etat actuel de la question de l'amiboisme
nerveux
, Paris, 1893. Mathias Duval. : L'amiboisme des
sme nerveux, Paris, 1893. Mathias Duval. : L'amiboisme des cellules
nerveuses
. (Rev. scient , 12 mars 1898). Les neurones. L’am
es nerveuses. (Rev. scient , 12 mars 1898). Les neurones. L’amiboisme
nerveux
. Théorie histologique du sommeil. (Rev. de l'écol
so-moteur. Mme D..., demeurant à Montrouge, souffrait d une maladie
nerveuse
aggravée à la suite des crises de son petit garço
l’énergie. Nous n’arriverons à expliquer les causes des maladies
nerveuses
, qu’en spécifiant la marche et les symptômes part
En rétablissant chez notre malade l’équilibre rompu par des troubles
nerveux
, nous avons obtenu sa guérison, ce qui prouve que
REGNAÜLT. Les hommes de génie sont fréquemment atteints de maladies
nerveuses
. Neurasthénie, hypocondrie, hystérie, états névro
les internes des hôpitaux; chez tous, cette maladie prenait une forme
nerveuse
grave. Un homme de génie, atteint de syphilis, a
sous prétexte qu’il est mort de cette maladie. Ou bien ces troubles
nerveux
sont-ils une condition du génie ? C’est la théori
ées, semblent plutôt dues à la distraction. Devenu adulte, il reste
nerveux
, a des névralgies, des gastralgies, des douleurs
s, éditeurs, 1900. Dans d’autres parties de son Traité du sommeil
nerveux
, il indique Je pouvoir de la sympathie et de l’im
hydrothérapie et les toniques ; en effet, en améliorant le substratum
nerveux
, on a des chances d’améliorer la mentalité ; en m
) Présentation de malade faite à la clinique des maiaüies du systùoie
nerveux
à la Salpétrière. Pseudo-sclérose en plaques
un léger degré de nystagmus. Un médecin qui connaît bien les maladies
nerveuses
a porté le diagnostic de sclérose en plaques : or
1) Présentation de malade faite» la clinique dea maladies du tyslèioo
nerveux
à la Salpêtrière. d’Angers qui avait acquitté
amon y Cajal. dont les remarquables travaux sur l’anatomie du système
nerveux
central sont universellement estimés, était resté
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire :neurologique et pédagogique), est a
que ou rabique) ; 3° A l'action des traumatismes, et des explosions
nerveuses
qui correspondent à l’émotion (chocs, chutes, ful
urones se rétractent aussi quand il ne leur arrive plus d’ondulations
nerveuses
. C'est ainsi que se produisent l'anorexie par déf
ique. s, neurone de sensation. La fléche indique le sens du courant
nerveux
. (I) Ou dans l'intérieur des prolongements de s
hissable d s’est formé entre le neurone cp et le neurone s, les ondes
nerveuses
résultant de la transformation des mouvements ext
s résultant de la transformation des mouvements extérieurs au système
nerveux
, n’en continuent pas moins de s'engager incessamm
résistance de ce neuro-diélectrique diminue rapidement, des décharges
nerveuses
éclateront entre les neurones cp' et s. C’est pré
’on restaure rapidement la sensibilité d'un hystérique. Les décharges
nerveuses
centripètes qui éclatent alors, donnent lieu à de
ou kinétique (anesthésie cutanée, musculaire, articulaire), des ondes
nerveuses
n’en continuent pas moins à parcourir le grand ar
la polyopie monoculaire dans l'hysterie et les réfections du système
nerveux
. (Ann. d’oculist., mal-juin 1878). Les troubles o
Tassourdissemcnt et de la somnolence. La privation des ondulations
nerveuses
centripètes (immobilisation, silence, obscurité)
s est en retard d’un ou de deux courriers, M“° C... devient inquiète,
nerveuse
, agitée ; elle s’affole, craint que son fils ne s
Dans les cas analogues à celui qui vient d’ètre rapporté, la cellule
nerveuse
, plus ou moins tarée, esc ce qu’elle est, et aucu
t) Présentation de malode fniie à la Clinique des maladies du système
nerveux
, h la Salpôtrière. convulsive, cette jeune fi
, particulièrement eu cc qui concerne les sensations et les réactions
nerveuses
que nous croyons spéciales à telle maladie et qui
e cas où l’hypnose est indiquée, dépend presque uniquement de la tare
nerveuse
du malade, qu'eilo soit acquise ou héréditair
adie non justifiable de l’hypnotisme ou parce qu’il présente une tare
nerveuse
trop chargée, et accepter d'autres patients en le
dessous une diminution préalable de la résistance normale et une tare
nerveuse
. M. Barthélémy, de son côté, rapporte l’observa
une grande frayeur à la suite de laquelle elle manifeste des troubles
nerveux
divers. Le 26 janvier dernier, subitement elle ne
noculaire. REVUE DES LIVRES Diagnostic et traitement des maladies
nerveuses
, par le Dr Joanny Roux (do Saint-Etienne), avec
l de sémiologie qui n’a point la prétention d’apprendre la pathologie
nerveuse
, mais d’ « exposer la méthode à suivre dans l'exa
rès succincte l'ensemble de nos connaissances actuelles en pathologie
nerveuse
et le bilan de ce que la neurologie moderne renfe
ves, les émotions tristes, les frayeurs créent souvent une dépression
nerveuse
qui s'accompagne de troubles de la nutrition: d’a
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
me que j’appelle isthme d’hyperesthésie (schème 2, I). CP Les ondes
nerveuses
arrivant incessamment par les voies centripètes d
resthésique et ne pouvant s’en échapper que par l’isthme, la pression
nerveuse
est plus élevée dans cet agrégat que partout Sc
Si par exemple je combine mentalement les diverses images de-cellules
nerveuses
que j’ai recueillies sous le microscope, je const
sous le microscope, je constitue une idée, qui est l’idée de cellule
nerveuse
, et qui pourra se fixer sur un neurone au même ti
pliquer de la manière suivante. Les systèmes identiques d'ondulations
nerveuses
centripètes suivent la môme voie. De telle sorte
quc. sic. neurone de mémoire. I.a flèche indique le sens du courant
nerveux
y ont été maintes fois sollicités au cours
émoire rétracté ne soit pas absolument infranchissable, des décharges
nerveuses
pourront éclater au travers. C’est à ces décharge
que j’appelle isthme d'hypermné-sie. (schème 4.1.). Les ondulations
nerveuses
arrivant incessamment par les voies centripètesda
permnésique et ne pouvant s‘en échapper que par l'isthme, la pression
nerveuse
est plus élevée dans cet Schcmc 4. -.p, voies
hallucination n'est en effet qu’une sensation provoquée par des ondes
nerveuses
réfléchies. C'est une sensation en retour. ' Et
lument isolé, c’est-à-dire amnésique. Supposons qu’une forte décharge
nerveuse
vienne à le traverser. Les empreintes qu’il conti
ériques. Dans le réflexe complet à sommet cérébral, les ondulations
nerveuses
, après avoir traversé les neurones des voies cent
’une partie de ce trajet. Soit par exemple un système d'ondulations
nerveuses
résultant de la transformation des mouvements chi
des neurones situés en amont ne sont pas infranchissables, le courant
nerveux
continue de passer, mais il passe par décharges,
décharges, et il se produit des secousses musculaires. Les décharges
nerveuses
, et par suite les secousses musculaires obéissent
s portées sur ces points auraient pour effet d’ajouter ii la pression
nerveuse
en amont du neuro-diélectrique l’appoint nécessai
der le vase. III. — Les contractures hystériques. Les ondulations
nerveuses
résultant de la transformation des mouvements ext
s résultant de la transformation des mouvements extérieurs au système
nerveux
ne parviennent pas toutes aux neurones de Técorce
pour expliquer la contracture, une prétendue irritation de la cellule
nerveuse
. Sans doute toutnouvel apport d’ondulations nerve
on de la cellule nerveuse. Sans doute toutnouvel apport d’ondulations
nerveuses
aux arcs diastaltiques séparés du réservoir céréb
remarquer que ces petites lésions, qui, chez d'aulres femmes plus
nerveuses
, auraient simplement suffi à déterminer un vagini
ite est la lésion, plus elle laisse de champ à l'intégrité des fibres
nerveuses
périphériques) ; cette érosion est le point de dé
ion initiale, petite le plus souvent, mais indispensable ; 2° Un état
nerveux
spécial. C'est cet état nerveux qui me parait l
nt, mais indispensable ; 2° Un état nerveux spécial. C'est cet état
nerveux
qui me parait le plus important facteur dans l’ct
peut voir actuellement dans l’affection qui nous occupe, qu’un spasme
nerveux
lié à un état psychique spécial. Nous en avons
usé de ce terrain nouveau, peut-être aussi les femmes sont-elles plus
nerveuses
, et peut-être enfin, le besoin de vivre vile en r
de des préliminaires ne devait jamais être négligée. En effet, si les
nerveux
sont en général « brusques », ce sont les brusque
rveux sont en général « brusques », ce sont les brusques qui font les
nerveuses
. De tout ce qui précède, il résulte : Io Que
certainement attaché à l’histoire d’un très grand nombre de maladies
nerveuses
et mentales, de la méningite hypertrophique, de l
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique;, est an
eures, à l’Hôpital de. la Pitié, un cours sur les maladies du système
nerveux
. Il le continuera les samedis suivants, à dix heu
ns la vie, sauf peut-être dans le sommeil profond, où des ondulations
nerveuses
ne parcourent les conducteurs qui réunissent entr
e dépend : 1° Du nombre de ces empreintes; 2° Du nombre des ondes
nerveuses
qui les traversent. Dès lors on conçoit qu'aux
gat hypermnésique. Le malade fait (1) Charcot : Maladies du système
nerveux
, III, 337. (2) Co mot est d’ailleurs mauvais. I
ine réfléchi, ou sans réflexion aucune. (1) Jules Soury: Le système
nerveux
, 1899, I, 225. (2) J’emploie ici le langage psy
-là entraîne la rétraction de ceux-ci, en les privant des ondulations
nerveuses
qui les sollicitent à l’extension. En effet, ch
à l’ataxie ; 3° L’occlusion des yeux, en supprimant les ondulations
nerveuses
résultant de la transformation des ondulations lu
? Si elle pouvait se produire, cette érection générale du système
nerveux
serait suivie d’un épuisement total et de la mort
t souvent de priver les hystériques d’un certain nombre d’ondulations
nerveuses
centripètes (par exemple de leur fermer les yeux)
ment les neurones inactifs ou fatigués, mais un nombre tel d’éléments
nerveux
que le sujet s’endort d’un sommeil particulier qu
parole et de l’écriture résultent de la transformation d'ondulations
nerveuses
, qui proviennent elles-mêmes de la transformation
elles-mêmes de la transformation des mouvements extérieurs au système
nerveux
. D’automatisme point, là pas plus qu'ailleurs dan
a trop rare application. I Neurasthénie ancienne, avec dépression
nerveuse
intense, troubles dyspeptiques et cardiaques gr
it qu’accentuer les symptômes etsurtoi;t la faiblesse et l’épuisement
nerveux
, avec étourdissements. etc. Avant l’influenza e
ées (d’une 1/2 heure à3/4 d’heure, surtout depuis un an. Epuisement
nerveux
complet, neurasthénie de plus en plus caractérisé
spacées, l’équilibre fonctionnel est complètement rétabli, les forces
nerveuses
chaque jour de plus en plus restaurées et la guér
rès une couche, perte qui avait causé une grande anémie et des crises
nerveuses
. Tristesse invincible depuis cette époque. Au p
propre aveu, trouvé dans l’hypnose prolongée le meilleur des sédatifs
nerveux
. Les faits obligent à constater que, loin de pr
la neurasthénie est due à une conformation vicieuse native du système
nerveux
, le plus souvent incurable, dit avec raison B
volonté, leur désir de se laisser endormir et de guérir, leur système
nerveux
peut offrir une resislance invincible à toutes le
lus ou moins considérable de leur état; que nés avec une constitution
nerveuse
, cette disposition morbide les expose fatalement
des enfants âgés de un à sept ans, jusque-là bien portants mais très
nerveux
, qui, au milieu de circonstances particulièrement
dans le pronostic des brûlures, même superficielles, chez les enfants
nerveux
. En pareil cas, le médecin doit prendre en sérieu
qui en découlent. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies
nerveuses
et mentales, par M. Haskovec, Klin. th. Woch, 13
e des autointo-xications et des toxines dans l’étiologie des maladies
nerveuses
. Les troubles de la nutrition, les maladies alime
s affections gastrointestinales entraînent non seulement des maladies
nerveuses
fonctionnelles, mais encore organiques ; il en es
tionnels des organes glandulaires. Les maladies toxémiques du système
nerveux
offrent une relation étroite avec les anomalies d
font dans le myxcedème, et c’est surtout aux injections de substance
nerveuse
et de spermine qu'il faut s’adresser, puis à la p
onction volontaire et de la fonction automatique dans tout le système
nerveux
. On voit donc que la thérapeutique psychologique
remarquable thèse intitulée : « Recherches sur les lésions du système
nerveux
dans la paralysie ascendante aiguë ». L’auteur, y
breux mémoires d’anatomie pathologique ayant trait surtout au système
nerveux
et avait, en 1877, obtenu le prix Godard de la So
, avec une thèse qui fit époque sur YHérédité des maladies du système
nerveux
. Dans ses travaux, il eut le rare avantage d’êt
a publié récemment deux volumes importants sur l’anatomle du système
nerveux
. A tous ces titres, nous devons ajouter qu’il n
Léthargie chez les animaux, par Félix Regnault, p. 208. Maladies
nerveuses
(Diagnostic et traitement des), par Roux, p. 316.
st l’homme, p. 63. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies
nerveuses
et mentales, par Haskovec, p. 377. Obsession du
e et la vasomotricité (La fonction) par Paul Farez, p. 268. Surdité
nerveuse
hystérique, par Dundas Grand, p. 60. Système ne
68. Surdité nerveuse hystérique, par Dundas Grand, p. 60. Système
nerveux
central (Le), par Bérillon, p. 200. Suggestion
, par Chiari, p. 314. Thanatophobie, agoraphobie et divers troubles
nerveux
traités avec succès par la suggestion, par Pau de
LOGIE AHCH1VËS DE NEUROLOGIE KEVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondéiî PAR J.-îll. CHAttCOT l'UI
c). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
a l.i Faculté de médecine de P.iris. COLLAB
Vol. VII. Janvier lbV9. ? IN au ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
. DE L'ÉTAT DU FACIAL SUPERIEUR ET UU MOTEUR O
même litre et au même ,lttcumrs, 2 série, t. VII. I 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. degré que le facial inférieur (Gibotteau). On
l reçoive l'expression de notre vive reconnaissance. 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. fermeture synergique volontaire et réflexe des
l'assurance de notre bien cordiale reconnaissance ! i 6 CLINIQUE
NERVEUSE
. En examinant avec soin le malade, en se plaçan
plus petite que celle du côté opposé. L'élévation des 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. sourcils ce fait aussi facilement d'un côté qu
e Le sourcil droit est abaissé par rapport au gauche, 10 CLINIQUE
NERVEUSE
. environ d'un demi-centimètre, Pas de signe de
t. Aucun des deux yeux ne peut se fermer isolément. 12 CLINIQUE
NERVEUSE
. Observation XIX. IL M..., quarante-cinq ans. H
e, avec hëmianesthésie incomplète datant de deux an-. 14 CLINIQUE
NERVEUSE
. Paralysie du facial inférieur droit. Le facial
ent parésiés, le facial supérieur est pour ainsi dire 16 CLINIQUE
NERVEUSE
. , indemne, et c'est à peine si l'on note dans
n, le retard du mus- jRciiivEs, 2° série, t. VII. 2 18 CLINIQUE
NERVEUSE
. cle paralysé sur son congénère et la différenc
1874, p. 59. - In Pugliese et Alilla, loco. cit. 30 0 CLINIQUE
NERVEUSE
. de trois des malades qui ont servi de base à c
e le cerveau de cet homme, décédé dans son service. 22 CLINIQUE
NERVEUSE
. le noyau lenticulaire montre dans son segment
e, 1886. " Houeix de la Brousse. Thèse Paris, 1888. 24 CLINIQUE
NERVEUSE
. convaincu que si l'on a l'esprit attiré de ce
palpébrale dans la paralysie faciale périphérique, il 26 CLINIQUE
NERVEUSE
. est impossible d'expliquer cette contradiction
oses, sa lésion anatomique n'étant pas encore connue. Les centres
nerveux
paraissent absolument indemnes. On note parfois
d sympathique prend part aux irritations et altérations des centres
nerveux
, les malades sont pris d'anxiété, angoisse préc
t par réaction sensitive. Il ne présente aucun signe pathologique
nerveux
(signe de Romberg, signe de Biernacki, etc., ab
et J. BOYER. SoMMA)nE. Père, soixante et un ans, asthmatique, très
nerveux
. Mère, quarante-cinq ans, rien ci signaler. Tan
s fournis par la mère). Père, soixante et un ans, asthmatique, très
nerveux
, pas de convulsions de l'enfance, démangeaisons
er- nelle morte des convulsions de l'enfance. Pas d'aliénés ni de
nerveux
, ni de bègues, ni de ticqueux dans la famille pat
Six enfants : 1° une fille de vingt-deux ans, bien portante, un peu
nerveuse
, mariée, a un enfant de treize mois bien venant ;
s été très dur pour apprendre. » N'aurait pas eu d'autres accidents
nerveux
jusqu'à il y a huit mois. A la suite des convul
er 1896, à la suite de reproches faits au collège, vio- lente crise
nerveuse
: le corps s'est raidi, puis l'enfant s'est écrié
s gai quand il n'est pas, toutefois, sous l'influence d'un accident
nerveux
; aime beaucoup 54 RECUEIL DE FAITS. rire, j
inutes environ. A partir du 26, l'enfant ne présente aucun accident
nerveux
et suit régulièrement le traitement suivant : u
de colère. A la fin de janvier 1896, il a eu ,une première crise
nerveuse
, hystériforme. De là, jusqu'à juillet 1896, il a
e; elle nous a assuré qu'il était redevenu 58 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tout à fait naturel, laborieux, et s'est montr
avec suite le traitement médico-pédagogique. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. I. Paralysie du voile du palais et du facial i
dissémination irrégulière des altéra- tions dans les ramifications
nerveuses
est uu des caractères les plus constants des po
lésions très notables ont été constatées dans REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 59 la moelle épinière : altérations d'intensit
postérieures, tiennent les cellules motrices REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 61 dans uu certain degré d'excitation. Mais di
tive des éruptions cutanées sur le côté intéressé par une affection
nerveuse
unilatérale d'origine cen- trale ; par M. G. Et
ur rapporte plusieurs observations de malades atteints d'affections
nerveuses
unilatérales d'origine centrale (hémiplégie ave
cularité, qu'elles se sont localisées du même côté que les troubles
nerveux
préexistants. M. Etienne rapproche ses observat
smo-paralytiques, ont respecté, complète- 612 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment ou presque complètement, les téguments de
ique de plus en plus riche de la maladie. · REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 63 11 s'agit d'un syphilitique héréditaire de
yroïdien, mais encore il y eut, chose 64 lui» REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. , intéressante à noter, amélioration de l'état
x et pupilles indemnes. Sensibilités diverses REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 65 et réflexes normaux. Pas de troubles trophi
les doigts, Archives, 2e série, t. VIL 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. surtout au mollet, apparaît parfois aussi dès
clinique de Charcot-Raymond à la Salpêtrière. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 67 Après avoir longuement analysé leurs partic
renversent la théorie centrale d'un centre coordinateur du système
nerveux
. L'ataxie s'exagère ou apparaît quand elle élai
s sensibles. Pas plus que l'apprentissage gaz REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. d'un travail de coordination manuelle n'affine
ymond et Kaiser. Aux hyperhidroses dues à des affections du système
nerveux
, l'auteur ajoute une observation d'épileptique
par maladie infectieuse sans autres symp- tômes du côté du système
nerveux
; b) il joint encore l'hémidrose d'apparence id
trop étendus et trop fréquents avec le monde. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 69 L'effet d'une telle vie est stimulant par l
te où l'individu perd de plus en plus la domination sur son système
nerveux
. Conformément à l'effet des autres matières sti-
l'organisme. Surtout chez les enfants on peut observer les troubles
nerveux
d'une vie en commun. Sans que l'enfant ait trop
en commun. Sans que l'enfant ait trop veillé, il est le lendemain
nerveux
et irrité. On voit que malgré le repos normal de
pproche et s'éloigne de a commissure exté- 70 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. rieure à 1 à 2 mm ; vers le haut et le bas la
dicale, dépendant d'une affection antérieure du malade (les centres
nerveux
exceptés) : 2° le délire toxique, dont le type
a malade était la suivante : femme de soixante-quatre ans, toujours
nerveuse
; crise de manie après la naissance de son prem
e Dr Gombault. BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des maladies du système
nerveux
; par le professeur Raymond (3° série). Doin, é
ccentuant la fragilité native qui faisait des muscles et du système
nerveux
de cet homme un locus minoris resiatenlix.
st leur début brusque. 1 La sclérodermie appartient à la pathologie
nerveuse
. Elle rentre dans le cadre des affections névro
II. Leçons de clinique thérapeutique sur les maladies du système
nerveux
; par Gilles DE la Tourette. Pion et Nourrit, édit
80 BIBLIOGRAPHIE. montrent que, si, dans les affections du système
nerveux
le traite- ment est souvent ingrat, il y a des
en : 1° état apo- plectique lié à une lésion organique des centres
nerveux
; 2° état apoplectique sous la dépendance d'un s
n ou autre dont la localisa- tion principale se fait sur le système
nerveux
central. Parmi les premiers, les néoplasmes int
tique devront relever la dépression physique. Contre les phénomènes
nerveux
le bromure de potassium à faible dose qu'on emp
que c'est un trouble trophique qui prend sa source dans le système
nerveux
. Les pieds bots doivent être divisés en congéni
raître. Le pied bot non congénital est également toujours d'origine
nerveuse
et l'auteur passe en revue les formes principal
tachés à la syphilis. Dans la syphilis maligne pré- coce du système
nerveux
, et que Charcot appelait anatomique- ment la sy
membres chez les neuroarthritiques. M. PELLE- Qui.4 : L'amoeboïsme
nerveux
. FAITS DIVERS. Concours pour une place DE méd
rette^ Leçons de clinique thérapeutique sur les maladies du système
nerveux
. Volume in-a", de 482 pages. Paris, 1898. Libra
n. Raymond (le professeur F.). Leçons sur les maladies du système
nerveux
faites à la Salpêtrière pendant l'année scolaire
18 francs. Paris, On. Doin, éditeur. Revue clinique des maladies
nerveuses
, à l'usage des praticiens, paraissant le 10 de
7'a)Y ? t'e infan- tile et chorée. Lésions microbiennes du système
nerveux
central. Biochure m-8" de12 pages. Lyon, 1S9S.
oliques. Enfin il est nul, dans la mala- die où domine l'héréthisme
nerveux
: l'épilepsie. Conclusions. Quelle est la concl
itabilité des nerfs cubi- taux est exagérée, la pression des troncs
nerveux
est doulou- reuse. Le réflexe pharyngien est
ue trouve, comme altération patho- logique : une anémie des centres
nerveux
encéphaliques et peut-être médullaire, plus rar
PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES. 1. Sur les altérations des cellules
nerveuses
, de la cellule pyramidale en particulier, dans
obe frontal du cer- veau gauche ont montré que pas une des cellules
nerveuses
n'avait conservé ses caractères normaux. La s
ychologiqties, août 1898.) " E. B. Il. Modifications des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale dans un cas de délire aig
s peuvent produire des modifications dans la structure des cellules
nerveuses
; aussi une autopsie complète est-elle nécessair
sychose. Dans le cas de délire aigu se rencontre, dans les cellules
nerveuses
de l'écorce, une REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
ATHOLOGIQUES. 147 Î V. Méthodes actuelles de préparation du système
nerveux
; par le Dr J. BERHLEY. Les méthodes de color
le Dr J. BERHLEY. Les méthodes de coloration pour l'examen du tissu
nerveux
dans sa structure la plus délicate, ont fait, a
ui pourrait servir d'introduction à un traité d'anatomie du système
nerveux
. Après avoir indiqué les divers procédés de con
procédés de conservation et de durcissement du cerveau ou du tissu
nerveux
, d'examen des tissus frais, d'inclusion pour les
rlich ; les méthodes do coloration des gaines de myéline des fibres
nerveuses
, méthodes de Weigert, de Pal, de Vassale, de Ma
olgi, d'Upson ; enfin les méthodes de colora- tion des terminaisons
nerveuses
et des vaisseaux sanguins. (American 'OM'Ha<
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 155 de ses fibres
nerveuses
; chacune aussi a ses particularités propres qu
s elle peut être due parfois à des toxines ayant agi sur le système
nerveux
(intoxi- cation nerveuse), issues de maladies i
fois à des toxines ayant agi sur le système nerveux (intoxi- cation
nerveuse
), issues de maladies infectieuses ; elle est alor
glande, son hypersécrétion qui agit défavorablement sur le système
nerveux
central. C'est un cercle vicieux qu'on peut int
a face. Cette dernière est due à ce que par l'opération, les fibres
nerveuses
motrices ayant été séparées, les cellules pyram
-t-elle une prédisposition en diminuant la résistance de la cellule
nerveuse
à la fatigue ? M. Ballet. Je ne veux retenir de
D1' Anglade, médecin-adjoint de l'asile de Braqueville. Pathologie
nerveuse
: Psychoses y)Oly72wl'itiq2ces. Rapporteur VA
ie H. Lamertin. DiiÉnÉ (c.) Recherches sur la variation des centres
nerveux
en fonction de la taille. Volume iu-8° de 68 pa
sinthe (C. R. A. des Se., 1864). Magnan. Recherches sur les centres
nerveux
, 1876, p. 73. Guillemin. Elude sur l'épilepsie
-dire des dommages de toute sorte qui peuvent porter sur le système
nerveux
central depuis la nais- sance ; 3° une cause oc
Tiiidierge. (Presse médicale, 9 juillet 1898.) Parmi les troubles
nerveux
dont le point de départ réside dans l'appareil
oppent que chez des sujets tarés au point de vue cérébral, chez des
nerveux
, des neurasthéniques, des hystériques et surtou
ropriées, an ti neurasthéniques, nervins, hydrothérapie, le système
nerveux
ébranlé des malades. A. FENAYRori. V. Note sur
; cette possibilité s'accentue lorsqu'il existe une lourde hérédité
nerveuse
. Un début rapide, une intensité modérée des sym
ble à la pro- phylaxie et, dans ce but, de s'opposer au mariage des
nerveux
, des hystériques, des épileptiques, surtout lor
e médicale constituera dans un trai- tement préventif des désordres
nerveux
et mentaux. Lorsque surviendra la première cris
uestions. Il pousse l'analyse des lésions histologiques des centres
nerveux
et des viscères jusqu'à y distinguer des groupe
clinique, leur diagnostic. Les altérations périphériques du système
nerveux
ne sont point omises et les lésions viscérales
pseudo-paralysies générales. Les altérations constatées du système
nerveux
sympathique et les troubles vaso-moteurs second
t que la mort est causée par l'action d'un microbe sur les cellules
nerveuses
ou au moins par l'action des ptomaïnes sécrétée
e, dépende non seulement de l'action associée des différentes voies
nerveuses
, mais encore de l'intégrité d'action de toute l
s de fièvre spécifique et particulièrement chez les gens à hérédité
nerveuse
très chargée, comme était le premier malade. Da
lésions et ses symptômes primordiaux sont localisés dans le système
nerveux
et indépendants du microbe. Si le Dr Ilansen n'
veloppement de la démence du fait de lésions irritatives du système
nerveux
produites soit par le bacille de Hansen, soit p
ébut de leur accès d'aliénation ou dont 224 4 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'état de folie ne serait pas encore confirmé,
ofonds pour les familles et les malades. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XX. Sur une épidémie de béribéri à l'asile de
article un intérêt particulier. D, Marie. Rt ? U1 : DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 225 X\1. Du myxoedème et des troubles qui s'y
u sterno- AncmvES, 2" série, t. VII. la 226 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mastoïdien, du splenius et du trapèze la plaça
ur important dans la production de celte ano- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 227 ilialie. A l'appui de son dire, il cite le
e début lent et insidieux. M. II l31EL. 228 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXVI. Trois nouveaux cas d'amyotrophie primiti
neurone et à une entrave consécutive à la transmission de l'influx
nerveux
. A cette explication physiologique M. Gerest da
mouvements cellulaires du. neurone. 1. Il. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 229 9 XXIX. Entraînement suggestif actif ou dy
on prémigraineuse qui provoquent l'illu- ? 30 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. sion : un étranger qui se présente, un objet q
eut-être, quelques résultats. A. 1"ENAYROU. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 231 XXXHL Deux cas de paralysie radiculaire ob
rescence faisait défaut, ce qui indiquait que la lésion des racines
nerveuses
avait été relativement légère. Le traitement a
ités, (aspect lunaire de la face, joues 232 - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pendantes, lèvres légèrement retroussées et pr
contrées, l'habitude d'user largement et même REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 233 d'abuser des boissons alcooliques. Suivant
uerpéral, de la fièvre typhoïde, de la 231 Il REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. gangrène, etc. correspondent exactement avec l
ux, douleur de la région frontale, anesthésie REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 235 5 cutanée et crânienne, hypoacousie*tout à
almie sympathique se déclara à l'occasion 236 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de l'application d'un oeil artificiel du côté
de l'application d'un oeil artificiel du côté opposé sur un mognon
nerveux
résultant d'énucléation totale. Dans le même nu
à l'opinion que l'hystérie chez les enfants, ainsi que les maladies
nerveuses
en général, est une résultante de l'excessive c
: soit qu'un trouble organique grave, particulière- ment du système
nerveux
, soit considéré par erreur comme hystérique, so
ar erreur comme hystérique, soit qu'un trouble organique du système
nerveux
, de l'estomac, du larynx, du poumon, etc., ait
fet, les paralytiques donnent le jour à des enfants dont le système
nerveux
est lésé d'une façon quelconque. M. JOFFROY. J'
ppement s'étend en dehors du cervelet à d'autres régions du système
nerveux
(là moelle épinière dans le cas de Nonne), et n
ie et hydromyélie comme source de diverses monstruosités du système
nerveux
central. La syphilis congénitale, qui dans les
e d'une vésicule quelconque entraine fatale- ment celle des système
nerveux
qui y prennent leur origne ou qui s'y terminent
ondaires, consécutives au manque de développe- ment de la substance
nerveuse
. IL T. RYBAKOFF. Contribution à la pathologie d
eff. Un cas de désagrégation aiguë de la ntyé- line dans le système
nerveux
central et périphérique ; sarcomes mul- tiples.
limites de la Psychiatrie et empiéter sur celle de la Patho- logie
nerveuse
proprement dite. Mais, si le rôle considérable
, quels qu'ils soient, ont une prédilection marquée pour le système
nerveux
et on s'étonnerait à bon droit que seuls, les p
tentatives heureuses, de résultats [définitifs. L'étude du système
nerveux
central et notamment des lésions des cellules d
es perfectionnées, quelques-unes des fines altérations des éléments
nerveux
réalisés dans les cérébropathics toxhémiques'.
nces nuisibles fabriquées qui produisent une irritation des centres
nerveux
, d'où, comme conséquence, le délire'. Le Dr S
iciel, l'eau oxygénée, l'opothérapie, les reconstituants du système
nerveux
, peu- vent rendre les plus grands services. Q
THOLOGIQUES. XVI. Sur les phénomènes de réparation dans les centres
nerveux
, après la section des nerfs périphériques ; par
spongio-plasmasout les agents du changement de volume de la cellule
nerveuse
. La réparation se fait, d'une façon générale, d
s de Mal de Pott ; par William G. SPILLER, professeur de Pathologie
nerveuse
à la polyclinique de P7tiladelphie. {Bulletin d
microbienne, et des toxines dérivées dans la genèse des affections
nerveuses
centrales et périphériques; par Th. Blizzard. (
ance, les affinités électives de certaines toxines pour les centres
nerveux
(diphtérie par exemple). 11 passe ensuite en revu
e début des premiers accidents. ' L'étude histologique du système
nerveux
a fait constater l'inté- grité des nerfs périph
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXI. L'élément conducteur du système
nerveux
et ses relations topographiques avec les cellul
e, dans la continuité de la fibre primitive conductrice. Le système
nerveux
est anatomiquement ininterrompu, au même titre
titre que le système circulatoire. Les cellules ganglionnaires et
nerveuses
sont essentiellement différentes. Les cellules
nnaires et nerveuses sont essentiellement différentes. Les cellules
nerveuses
sont analogues à la cellule musculaire et produ
aires produisent l'impulsion qui doit être conduite et les cellules
nerveuses
produisent la substance conduc- trice. Une ce
ules nerveuses produisent la substance conduc- trice. Une cellule
nerveuse
est généralement en connexion avec plu- sieurs
nglionnaire peut, de même, être en relation avec plusieurs cellules
nerveuses
; mais une cellule sensorielle n'est en relation
ne voit aucun réseau dans le protoplasma périnucléaire des cellules
nerveuses
. Dans le corps de la cellule ganglionnaire la f
? 21ly, j juillet 1898.) E. B. XXXII. Modifications des cellules
nerveuses
dans les maladies somatiques ; par le D1' Iloci
iques ; par le D1' Ilocii. En étudiant les altérations des cellules
nerveuses
dans le labo- ratoire du Dr 1\issl, à Heidelber
'auteur a été frappé de la fréquence des modifications des cellules
nerveuses
de l'écorce dans les maladies les plus variées
confirma- tion de la doctrine du neurone. Pour Apathy, le système
nerveux
est composé de deux variétés d'éléments cellula
ts cellulaires entièrement différents l'un de l'autre, les cellules
nerveuses
et les cellules ganglionnaires. Une fibre nerveus
e, les cellules nerveuses et les cellules ganglionnaires. Une fibre
nerveuse
sort du prolongement d'une cellule nerveuse et
nglionnaires. Une fibre nerveuse sort du prolongement d'une cellule
nerveuse
et traverse un certain -nombre de cellules gang
novembre 1898.) E. B. XXXV. Des difformités congénitales du système
nerveux
central par Nicolas SOLOVTZOFF. (Noua. Iconogr.
L'hydrocéphalie interne provoque différentes difformités du système
nerveux
central : absence de l'écorce, du pulvinar et des
t dysphagie pour l'autre. A l'autopsie, dégénérescence des cellules
nerveuses
médullaires dans les groupes correspondant-aux
toxine agissant directement et sur l'élé- 320 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ment nerveux et sur l'élément vasculaire. Enfi
irectement et sur l'élé- 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment
nerveux
et sur l'élément vasculaire. Enfin les progrès de
ef la dégénérescence artérielle. F. Boissier. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XLIV. Goitre exophtalmique avec symptôme ocula
'aphasie ; il ne présentait que celle variété REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 321 1 d'anarthrie indûment appelée par eertain
? 1. B. Archives, 2' série, t. VII. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1L1\. Un cas de tétanos suivi d'autopsie; par
s auteurs, le tétanos est une infection qui peut toucher le système
nerveux
de façons diffé- rentes et dans les points les
e mais encore injustement dégradante pour les REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 323 victimes de cette affection. Il était néce
té de l'organisme. Si la quantité de car- 324 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. bamate d'ammonium est trop grande pour que ce
é. (Revue neurologique, décembre 1898.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 35 LUI. Paralysie pseudo-bulbaire; par le D1'
lle se caractérise par le dépôt de masses 326 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. osseuses dans le tissu conjonctif des muscles,
ite ossifiante progressive semble provenir d'une lésion des centres
nerveux
; le processus ossifiant constitue un trouble t
et lymphatique, ou bien dans une déviation du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 327 processus d'ossification. Pour les auteurs
es craquements arti- culaires. R. C. 328 8 [REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LVIII. Sur un cas de tachypnée hystérique seco
ent dans un certain nombre de cas de maladies organiques du système
nerveux
, notamment dans la paralysie générale, dans la
ncoordonné depuis deux ans, tombe et se casse REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 329 9 la jambe droite. Après une immobilisatio
Observation I. Paysanne, âgée de cinquante-cinq ans, dont le père,
nerveux
, était affecté d'une scoliose. Parésie du bras dr
ris. Prix Portai : 600 francs. Question : Des lésions des centres
nerveux
et des reins, causées par la toxine du tétanos et
mari nous apprennent que le père de 111°1° H... a toujours été très
nerveux
et excentrique ; en outre, il faisait fréquemment
r complètement. La mère de notre malade, qui était également très
nerveuse
, est morte de tuberculose pulmonaire. Une tante m
un ans, elle eut dans les premiers temps de son mariage des crises
nerveuses
caractérisées par une sensa- tion d'ctounément
conversations avec ses voix. Or, la mère de cette malade était très
nerveuse
, elle avait fré- quemment des crises d'étouffem
rmes aiguës et subaiguës de la folie, calmer l'éréthisme du système
nerveux
par des moyens appropriés : balnéation prolongé
upille sont dilatés, les artères peut-être un REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 359 peu rétrécies. La papille du nerf optique
. Le sens des couleurs a été trouvé normal. ° REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. LXI. Myopathie primitive et progressive avec a
onévrotiques; les muscles super- ficiels sont amaigris. Les racines
nerveuses
et les prolongements périphériques jusque dans
tissées, les débris de fibres musculaires 360 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ont l'apparence de feuilles de membranes hydat
nce polychromatophw- lique des globules sanguins ; les terminaisons
nerveuses
dans ces débris musculaires sont dépourvues de
comme causes des diffé- rentes difformités congénitales du système
nerveux
central; par Nicolas SOLO-fZOI11. (1OLLU. Icoao
rsuivant ses recherches sur les difformités congénitales du système
nerveux
central, l'auteur présente quatre nouvelles obser
s néo-formations vascu- laires, résulte la déformation des éléments
nerveux
, l'exsudation du liquide lymphatique dans le ce
lis et con- clut que toutes les difformités congénitales du système
nerveux
central ont pour cause la syphilis héréditaire.
ur laquelle l'auteur appelle particulièrement REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 361 l'attention (distribution particulière de
s-normal, de façon à endiguer, pour ainsi dire, l'énergie, la force
nerveuse
qu'ils représentent et qui, sans cela, resterai
urs les médecins neurologistes vous étudiez et soignez les maladies
nerveuses
qui n'altèrent pas, du moins en apparence, l'ét
re maison de santé consacrée au traitement des maladies mentales et
nerveuses
; son initiative et ses efforts furent couronnés
des altéra- 378 SOCIÉTÉS SAVANTES. tions anatomiques du système
nerveux
périphérique et central. Le délire interprète d
élire interprète des sensations réelles. Ces altérations du système
nerveux
sont peut-être la conséquence d'auto-intoxication
sycho- névrose serait à la fois la cause et\le résultat des lésions
nerveuses
. Jl faudrait alors faire intervenir, dans la pr
es intoxications, l'alcoolisme, par exemple, influencent le système
nerveux
périphérique, éveillent des sensa- tions pénibl
stinaux, de l'anesthésie viscérale, ou. même des lésions du système
nerveux
. Ici, il est incontestable que le délire des né
de réaliser tant de progrès dans le domaine des maladies du système
nerveux
. M. le D'' Lalanne (de Bordeaux) apporte une ob
rique, j'avais la douleur provo- quée par la pression surles troncs
nerveux
et la masse musculaire, la réaction de dégénére
ntéressant d'apporter notre contribu- tion il l'étude des accidents
nerveux
de l'influenza : c'est pourquoi nous avons eu l
istoire de la distribution mélamérique ou segmentaire des symptômes
nerveux
ne parait pas achevée. Cette étude a principale
e du pied en équin, douleurs spontanées et à la pression des troncs
nerveux
, exagération des réflexes tendineux ainsi que d
la lésion, en distinguant le tremblement SOCIÉTÉS SAVANTES. 397
nerveux
périphérique, le tremblement radiculaire et le tr
de sa descendance. Le neurasthénique a perdu l'équilibre du système
nerveux
. Un surme- nage quelconque (fonctionnel, émotif
etc.) a fatigué le point trop excité d'abord, puis tout l'appareil
nerveux
. Mais pour cela il a fallu une prédisposition a
intervention médicamenteuse. Les lésions Itisiologiqiies du système
nerveux
central dans la chorée chronique héréditaire.
ouse) a eu l'occasion de praliqner l'examen histologique du système
nerveux
central d'un sujet atteint de cho- rée chroniqu
s rotuliens; parésie atrophique des membres inférieurs ; les troncs
nerveux
sont dou- loureux. Affaiblissement de la mémoir
olition des réflexes cutanés, crémastérien et abdominal. Les troncs
nerveux
sont souvent douloureux à la palpation. Légère
nets (Séglas et Chaslin), souvent on ne relève que de l'épuisement
nerveux
avec ou sans altération céré- brale organique p
utes les fois en un mot qu'il y a diminution de vitalité du système
nerveux
, la volonté et l'attention peuvent faiblir, et pe
tion du service militaire VARIA. ' 429 9 pour cause d'affection
nerveuse
à ceux d'exemption pour bégaye- ment, l'on voit
e plus clairement, chaque jour, que le bégayement est une affection
nerveuse
. Dès lors il n'y a rien d'extraordinaire à lui
a rien d'extraordinaire à lui voire suivre la marche des affections
nerveuses
. La statistique a montré à M. Chervin que 1.000
: Un jeune homme de l'arrondissement de Bayeux, atteint d'un mal
nerveux
, a été interné à l'asile du Bon-Sauveur de Caen e
l3ouclarcl. Séglas. Leçons cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
, et communications au Congrès d'Angers, 1898. Ron
générale reste bonne. M. B..., âgé de quarante ans, fils d'un père
nerveux
, exalté, très original, et d'une mère hypochond
riginal, et d'une mère hypochondriaque,a toujours été lui-même très
nerveux
, très impressionnable, fort intelligent d'ailleur
gayement comprend d'une part les moyens qui agissent sur le système
nerveux
en général, de l'autre, elle cherche à faire di
s dans la moelle lombo-sacrée et de la vacuolisation des cellules
nerveuses
; par les L)I, Van Cishuciu'en et de l3uci.. Les
au niveau de la moelle lombo-sacrée, deux groupements de cel- lules
nerveuses
ou noyaux qui sont en rapport avec l'innervation
action de ce bacille nouveau se porte spécialement sur les cellules
nerveuses
, dont les auteurs décrivent les lésions dans le
s que le signe de Westphal. f XLVL Des altérations des cellules
nerveuses
provoquées par l'ar- senic ; par le Dr SouMi.4K
LOGIE PATHOLOGIQUES. 475 'J rapidement des altérations des cellules
nerveuses
de la moelle qui peuvent se résumer ainsi : 1°
de qui s'échapperait de l'organisme vivant au niveau des extrémités
nerveuses
, nerfs périphériques et organes des sens. Nous
re concerne une femme de cinquante-sept ans ayant eu deux attaque-;
nerveuses
présentant le tableau clinique com- plet de la
le quinzième jour de l'intoxication, il survient une susceptibilité
nerveuse
, une impressionnabilité remarquables. L'animal
aiguë. Autopsie. - Congestion des poumons, des reins, des centres
nerveux
. L'examen histologique de la moelle montre un asp
elques nerfs rachidiens, on voit une assez grande quantité de tubes
nerveux
dégénérés. Sur un certain nombre de points du s
ances, symptomatique d'un trouble organique ou dynamique du système
nerveux
, d'une ma- nière accessible ou non à nos moyens
utilité incontes- table dans un grand nombre de maladies du syslème
nerveux
, à la condition qu'on le prescrive à doses conv
le l'incapacité totale de ill.- créer, par bturgis, 152. CELLULES
nerveuses
. Modifications z les maladies soma- tiques, p
tions des causées par l'arsenic, pir Souklranoff, 474. Centres
nerveux
. Sur les p Il 61101llè- nes de réparation dans
rucu- lalres, par Féré, 327. Les lésions histologiques du système
nerveux
central dans la - chronique téré- ditaire, Il
on, 399. Délire aigu, par Coston, 213. Modi- liuatiun Hescrllules
nerveuses
dans un cas de et dans un cas de delirmn trem
PH\HE et Ilydromyélle comme source de diverses mons- z du système
nerveux
cen- iral, par Solovizow, 250. L' et l'hulrom
comme causes des différentes difformités conéni- tales du système
nerveux
central, par Solovtzolf. 336. Sur un cas d' h
omme cause des différentes dif- loruiités congénitales du système
nerveux
, 360. Hydrocéphalie et- comme source de diverse
océphalie et- comme source de diverses mons- truosllés du système
nerveux
central, par Sulowzow, 250. li I'Fnw uaosE uu
icrobienne et des toxi- nesdélivees dans la genèse des affections
nerveuses
centrales et périphériques, par Blizzard, 309.
iai-atidoii de bloiityel, 189. - Sur les altérations des cellules
nerveuses
de la cellule pyrami- dale, en particulier dans
e la et de l'é- criture, par Itosa, 306. Pathologie de la cellule
nerveuse
. Contribution à la et de ses prolongements, p
sions éten- dues des uelfs crâniens, par Pres- ton, 61. Système
nerveux
. Clinique des ma- ladies du -, par Raymond, 16
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALA
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
HOSPICE DE LA. SALPÊTRIÈRE LA MALADIE DE PARK
evant vous, aujourd'hui, plusieurs malades atteints d'une affection
nerveuse
encore énigmatique à bien des points de vue. En
certitude, si elle reconnaît pour cause une altération des centres
nerveux
ou des nerfs périphériques, s'il s'agit d'une myo
bre de sa famille n'ont jamais eu ni rhumatismes, ni manifestations
nerveuses
: cependant, le malade dit que, depuis l'âge de
rations des dendriles. J'en aurai fini avec les lésions des centres
nerveux
, quand je vous aurai (1) ROLLIER, Arch. f. path
rondes, et sans lésions des fibres musculaires, des ter- minaisons
nerveuses
ou des vaisseaux sanguins. Schwenn n'hésita pas à
postérieurs dans son magnifique ouvrage sur l'anatomie des centres
nerveux
(1). « Nous avons déjà dit, en traitant des cel
ésenter aussi des corps granuleux indiquant une altération des plus
nerveuses
. Tout permet de conclure que tel est le mode de
ysiologie pathologique, principalement dans les maladies du système
nerveux
(2). Les empreintes prises à des intervalles dé
CZARNIECKI (de Moscou) La morphologie des dendrites des cellules
nerveuses
des tubercules qua- drijumeaux antérieurs et po
ntage aux modifications que subissent les dendrites et les cellules
nerveuses
des tubercules quadri- jumeaux sous l'influence
t pas préoccupée de l'aspect extérieur des dendri- tes des cellules
nerveuses
des tubercules quadrijumeaux dans les conditions
très marquée entre l'as- pect extérieur des dendrites des cellules
nerveuses
des tubercules quadri- jumeaux antérieurs et de
ules quadrijumeaux postérieurs ; de plus les dendrites des cellules
nerveuses
des tubercules quadrijumeaux anté- rieurs étaie
ntérieurs , partie périphérique. - Ici se rencontrent -des cellules
nerveuses
(V. fig. 1) avec des dendri- tes ; celles-ci pa
- bercule quadriju- meau antérieur du lapin. Fig. 3 ? Cellule
nerveuse
de la partie périphérique du tubercule quadriju
ue du tubercule quadrijumeau antérieur du lapin. ring. 4. - remue
nerveuse
ae ia partie ventrale au tubercule quadrijumeau
ercules quadrijumeaux antérieurs. -Ici les den- drites des cellules
nerveuses
(V. fig. 4) attenant au corps cellulaire par le
Tubercules quadrijumeaux postérieurs. - Les dendrites des cellules
nerveuses
des tubercules quadrijumeaux postérieurs, bientôt
x en grande quan- tité. Souvent il arrive qu'on voit des éléments
nerveux
des tubercules qua- drijumeaux postérieurs (V.
es. En nous rappelant l'aspect extérieur des dendrites des cellules
nerveuses
des régions plus souvent étudiées par la méthod
aci- lement en venir à la conclusion que les dendrites des cellules
nerveuses
des tubercules quadrijumeaux antérieurs ont la
semblance par leur aspect extérieur avec les dendrites des cellules
nerveuses
de la moelle épinière. Il existe une grande res
ne antérieure de la moelle épinière et les den- drites des cellules
nerveuses
de la partie ventrale des tubercules quadri- ju
jumeaux antérieurs d'un côté ; et entre les dendrites des cellules
nerveuses
de la corne postérieure de la moelle épinière e
rne postérieure de la moelle épinière et les dendrites des cellules
nerveuses
de la partie périphérique des tubercules quadriju
s tubercules quadrijumeaux antérieurs nous rencontrons des cellules
nerveuses
, dont les dendrites s'étendent à une grande dis
Devic ; elle vient à l'hôpital, parce qu'elle présente des troubles
nerveux
qui la rendent incapable de gagner sa vie. Anté
paces d'Obersteiner apparaissent sous forme de lacunes où l'élément
nerveux
ne se devine qu'à la présence d'une petite masse
rière la tumeur : le (1) In Rosenthal, Traité des maladies du syst.
nerveux
, p. 185. (2) Progrès médical, 1880. (3) Trait
, p. 185. (2) Progrès médical, 1880. (3) Traité clinique du syst.
nerveux
. (4) l\1ediz-Jarhbücher, 1865. (5) In Nothnag
relève de phénomènes de compression et de destruction de faisceaux
nerveux
. Mais, dit Klippel (2), toute tu- meur comprime
econdaire sur des lésions atrophiques et dégénératives des éléments
nerveux
qui ont été pour elle comme un point d'appel.
nse des noyaux de la Xe paire, avec disparition complète des fibres
nerveuses
. Dans les corps rectiformes, la partie intense
plète des faisceaux de Goll : il n'y reste plus que de rares fibres
nerveuses
. Les faisceaux de Burdach sont moins alté- rés,
blement lésées ; si dans leur intérieur on peut voir quelques fibres
nerveuses
qui semblent encore intactes, la plupart sont e
ARCOT, Leçons du mardi, 1887-1888. (5) Raymond, Maladies du système
nerveux
, 1894. (6) LADAME, Rev. méd. de la Suisse roman
ondants avec émission de sang pur rutilant, et une dyspnée purement
nerveuse
, à type spécial : dyspnée expiratoire, avec eff
ndamental de la nutrition, ou le trouble des organes ou des centres
nerveux
qui les commandent, on observe que la lésion pl
mais sont considérées comme telles) où l'on retient que la cellule
nerveuse
a subi dans la vie intra-foetale une évolu- tio
e cas de l'idiotie. Il y en a d'autres, au contraire, où la cellule
nerveuse
, qui a évolué d'une façon normale et complète,
es couturières. Les idiots sont réfractaires au travail. La cellule
nerveuse
qui a subi une lésion peut-être depuis la vie i
lus souvent de petite taille, (1) BRISSAUD, Leçons sur les maladies
nerveuses
, t. I, p. 605, 1893-1894, t. II, p. 417 et sq.,
a partie interne : Ces oedè- mes seraient donc réglés par la lésion
nerveuse
. Mais à côté d'eux, il reste un groupe d'oedème
de la précocité de cet oedème, qu'il était bien un oedème de cause
nerveuse
. M. Gombaut le rattache du reste à une lésion d
avril 1904). Ce cas nous semble devoir être rangé dans les oedèmes
nerveux
à cause de sa précocité (il est apparu une heur
t : leur pathogénie peut donc être différente : il s'agit d'oedèmes
nerveux
, alors que nos cas sont des oedèmes cardiaques
elle- mont, de Gombaut, le cas de Gilbert et Garnier, que la lésion
nerveuse
pro- voque seule l'oedème ou le pseudo-oedème.
rvation cli- nique. On peut réaliser l'oedème en excitant un plexus
nerveux
, telle l'ex- citation de l'anse de Vieussens da
icité des cellules des capillaires. C'est que, en effet, le système
nerveux
règle, non seulement le calibre des capillaires e
anes une action véritable- ment trophique. Les troubles de l'influx
nerveux
retentissent donc à la fois sur la perméabilité
iltrantes et sur l'équilibre molécu- laire des tissus ; et l'oedème
nerveux
n'est pas seulement un oedème vaso- moteur, c'e
tisme, un refroi- dissement,ajouter son action à celle de la lésion
nerveuse
elle-même et faire apparaître cet oedème, jusqu
ôt, avec la brusquerie qui caractérise les manifestations d'origine
nerveuse
. En résumé, pour nous, l'oedème du membre hémip
de D..., pas d'alcoolisme certain des frères et soeur, pas de tares
nerveuses
. Rien à signaler dans les antécédents collatéra
hilis. Ethylisme (pituite, tremblement des mains). Aucun antécédent
nerveux
, pas de convulsions dans l'enfance, pas d'incon
s nerfs. Il n'existe pas de tumeurs en série le long des bran- ches
nerveuses
sous-cutanées ni au niveau des gros troncs nerveu
des bran- ches nerveuses sous-cutanées ni au niveau des gros troncs
nerveux
: pas de névromes plexiformes. L'examen du fond
fréquentes. Zéglie- ^ ment léger, sans embarras de la parole. Très
nerveux
, émotif, impressionna- ble, D... éprouve des ma
et à leur sortie des ganglions, et d'apprécier l'état des cellules
nerveuses
, suivant qu'elles occupent les régions circonfére
tés jusqu'ici inconnus ou obscurs dans l'architecture de la cellule
nerveuse
, la solution de certains, problèmes anatomo-pat
es terri- toires ganglionnaires qui ne contiennent plus de cellules
nerveuses
, alors que les territoires adjacents sont très
bserver pour les cellules en voie d'atrophie. Le noyau des cellules
nerveuses
est plus ou moins bien coloré, de volume propor
ement très intéressant, on y trouve de grosses lésions des éléments
nerveux
et du tissu interstitiel. Un grand nombre de NO
il y a des territoires qui sont complètement dépourvus de cellules
nerveuses
et à leur place on voit des placards de tissu f
aux. La capsule gan- glionnaire est peu épaissie. Quelques cellules
nerveuses
contiennent des boules de graisse colorées en n
s cellules capsulaires font corps avec le protoplasma de la cellule
nerveuse
en voie d'atrophie : lorsque les cellules nerve
ma de la cellule nerveuse en voie d'atrophie : lorsque les cellules
nerveuses
sont très atrophiées, les cellules capsulaires
ar... Tabes datant de dix ans. 1er ganglion sacré droit. - Cellules
nerveuses
contenues dans une capsule épaissie, fibreuse e
né- trer dans la profondeur de celui-ci, d'autre part, des cellules
nerveuses
d'as- pect normal ou atrophiées comprises dans
malgré cette disposition si spéciale des cap- suies, . les cellules
nerveuses
peuvent conserver leur vitalité, c'est que sur
oliférations des cellules capsulaires, mais la plupart des cellules
nerveuses
sont normales ; les vaisseaux sont assez nombre
cellules sont transformés en tissu hyalin. Les capsules des cellules
nerveuses
ne sont pas très augmentées, elles sont plutôt
es atrophiées sont très étroites, allongées dans le sens des fibres
nerveuses
au milieu desquelles on les distingue difficileme
us gros qu'un gros leucocyte. La surcharge pigmentaire des cellules
nerveuses
n'est pas exagérée. La place des cellules nerve
re des cellules nerveuses n'est pas exagérée. La place des cellules
nerveuses
disparues est occupée par quelques cellules capsu
- fération capsulaire (fig. 5). La réduction simple de la cellule
nerveuse
, sans prolifération des noyaux constituant les
est une constatation importante; en effet, en présence de cellules
nerveuses
atrophiées entourées d'une capsule proliférée,
ement cette manière de voir et d'envisager l'atrophie de la cellule
nerveuse
et la prolifération capsulaire, comme deux phén
dans ces coques fibreuses on voit quelquefois s'aboucher une fibre
nerveuse
myélinisée dont la nutrition ne semble nullement
ns normaux, surtout chez les sujets* âgés. Le noyau de la cellule
nerveuse
subit ordinairement des modifications semblable
concerne le point qui nous occupe, c'est-à-dire l'état des cellules
nerveuses
; il n'y a aucun rap- port à établir entre le d
é faites chez des adultes qui n'avaientpas succombéà une 'affection
nerveuse
; et certains auteurs ont pensé que normalement un
un ganglion rachidien dans lequel il n'y ait pas quelques cellules
nerveuses
en voie de désintégra- tion. Le fait paraît mêm
ues. On est revenu plus récemmentsur cette destruction des cellules
nerveuses
chez les animaux âgés, et on a prétendu trouver d
ion de l'hypothèse formu- lée par IIodge, à savoir que les cellules
nerveuses
s'usant peu à peu meurent dans le cours de la v
le important dans les pro- cessus de la mort-physiologique du tissu
nerveux
. Ceci nous amène à parler des proliférations ca
apsulaires se disposent en plusieurs as- sises autour de la cellule
nerveuse
, et sont toujours entremêlées de fibres conjonc
ion de la capsule ait pour conséquence la destruction de la cellule
nerveuse
: il est plus probable que celle-ci pré- cède c
que les cellules capsulaires n'interviennent que lorsque la cellule
nerveuse
est déjà en voie de désagrégation. Les proliférat
signalées, par Kolesni- (1) Pugnat, De la destruction des cellules
nerveuses
par les leucocytes chez les animaux âgés, Soc.
nous ont précédés, de toutes les modifications que subit la cellule
nerveuse
au cours du tabes, il n'en est qu'une qui doive
ouver en présence d'une raréfaction aussi considérable des cellules
nerveuses
, alors que les fibres qui émergent au pôle péri
nés Ù supposer et à déduire que l'influence trophique de la cellule
nerveuse
est beaucoup moins effective pour la racine pos
sont pas suffisantes pour dé- celer les lésions fines des cellules
nerveuses
, mais elles le sont pour bien fixer leur morpho
nous ferons remarquer cependant que dans les affections du système
nerveux
dont le substratum anatomique est une altératio
te et de désintégration, qui aboutit à la disparition de la cellule
nerveuse
. 2° Malgré leur importance et leur fréquence, i
ia- mètres. Atrophie et disparition d'un grand nombre de cellules
nerveuses
, remplacées en partie par des amas capsulaires.
ées d'un amas de protoplasma assez volumineux. - Plusieurs cellules
nerveuses
en voie d'atro- phie. Epaississement du tissu i
nombreuses; enlin, dans les cornes antérieures, les rares cellules
nerveuses
qui subsistent sont ou granu- leuses et jaunâtr
iltration hémorrhagique légère qui parait avoir dissocié les fibres
nerveuses
de la zone antéro-interne de Westphall et de la
ires, des lésions du canal épendymaire, et des lésions des cellules
nerveuses
. Les lésions congestives légères, consistant en
dymairesdans les Ille et IVe segments. ' Les lésions des cellules
nerveuses
, étudiées par la méthode de Nissl, sont intéres
rne antérieure droite sans hémorrhagie du IVe segment, les cellules
nerveuses
, très nombreuses, sont en chromato- lyse et car
montre des altérations cellulaires très nettes. Toutes les cellules
nerveuses
sont altérées, toutes sont en chromatolyse tota
- Xvii 16 246 LA1GNEL-LAVASTINE nution de vitalité des cellules
nerveuses
probablement sous. la dépendance de l'index ner
des cellules nerveuses probablement sous. la dépendance de l'index
nerveux
tonique fourni par la moelle. Après l'analyse q
raumatique, des lésions de chromatolyse très accentuée des cellules
nerveuses
des cornes antérieures de la région trau- (1) V
. Déjà 21 heures après le traumatisme, non seu- lement les cellules
nerveuses
, au voisinage immédiat des hémorrhagies, mais c
la moelle dorsale. Nous serions donc ici en présence de ces lésions
nerveuses
à distance qui démontrent, mieux que toutes les e
itesse de la solidarité qui unit les différents éléments du système
nerveux
. ' (1) V. HALLION et Laignel-Lavastine, Soc. de
rents à la nature humaine, unifiés par la pathologie, la pathologie
nerveuse
. La procession dansante d'Echternach était une
e celles des voisins et des voisines. Et quant aux grandes attaques
nerveuses
, je n'en ai point vu.. . , Elles étaient, dit-o
de l'alaxie locomotrice et de quelques autres maladies du sys- teme
nerveux
. Un cas de syringomyélie, en collaboration avec
de l'alaxie locomotrice el de quelques autres ma- ladies du système
nerveux
. En 18892, Considérations sur la médecine vibra
. Enfin, il s'est efforcé d'isoler une forme morbide, « affection
nerveuse
caractérisée par de l'incoordination motrice acco
été l'objet de diagnostics variés : hystérie, syphilis des centres
nerveux
, neurasthénie et particulièrement migraine opht
s récupérassent leur mobilité ». Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1901. 5. s., p. 340. (2) Oppenheim : Die myast
e. HOSPICE DE LA SLPI;'T1t11;tiE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. PARALYSIE DES NERFS CRANIENS D'UN COTÉ ' ET
er, vient consulter, en novem- bre 1903, à la clinique des maladies
nerveuses
à la Salpêtrière pour une para- lysie faciale e
ngiennes des deux doigts auriculaires. Pour en arriver aux troubles
nerveux
qui ont amené le malade à consulter, disons qu'
atteints, chez ce malade, par le processus morbide. Ces troubles
nerveux
, vu leur étendue, ne peuvent être rattachés qu'à
e, ne peuvent être rattachés qu'à une compression des divers troncs
nerveux
; une lésion centrale d'abord ne serait pas auss
i is 282 rose strictement unilatérale et l'extension des lésions
nerveuses
intra-crànien- nes, ensuite par les déformation
fance, nous pensons que ce malade est atteint d'accidents osseux et
nerveux
d'origine hérédo-spécifique. NOUVELLE ICO¡';O
e aîné et de la soeur du malade dont nous pûmes examiner le système
nerveux
. François Hand..., père éthylique. Dysenterie e
jusqu'à la hauteur du Nucl. XII. Une diminution énorme des cellules
nerveuses
dans les cornes anté- rieures ; celles qui rest
nnes de Clarke très altérées, très pauvres en cellules et en fibres
nerveuses
. Dédoublement du canal central dans les parties i
d'une couleur normale. Examen microscopique. - Les parties du tissu
nerveux
central furent. conservées et durcies dans un m
re. Ce fait est encore aug- menté par la circonstance, que le tissu
nerveux
se colore dans le cas de Louis Hand..., très di
ns toute la moelle. Mirto (7) signale un amincissement du réticulum
nerveux
avec atrophie des cellules : la région dorsale
, le processus serait une dégé- nérescence primaire de la substance
nerveuse
, sans prolifération conjonc- tive, ayant son po
ns vasculaires syphilitiques pourraient être la cause de l'atrophie
nerveuse
« primitive ». La théorie rétinienne de l'amaur
hie des cellules gan- glionnaires est secondaire à celle des fibres
nerveuses
; les cellules gan- glionnaires peuvent d'ailleu
omparaison les rétines de 4 sujets normaux ou atteints d'affections
nerveuses
diverses et de 2 sujets atteints de cécité, mai
s plus internes, cellules multipolaires ou ganglionnaires, cellules
nerveuses
d'où partent directe- ment les fibres optiques.
à faire d'après une image un diagnostic plus précis des mouvements
nerveux
qu'elle cherche à ridiculiser; signalons seulem
blance avec certains phénomènes qu'on observe au cours d'affections
nerveuses
et mentales. Les uns, comme Calmeil, les ont décr
di- vidus qui la composent, pris isolément, soit atteint de maladie
nerveuse
ou mentale. De même qu'il existe des lois biolo
çon, par une sorte d'effet de sommation d'une infinité de décharges
nerveuses
. Ce sont, si l'on veut, des réflexes collectifs
au séminaire. Ce surmenage cérébral s'ajoutait à une prédisposition
nerveuse
particulière, dont nous relevons des traces dan
s muscles de la face en particulier. Il n'a ja- n mais eu de crises
nerveuses
, il n'y a pas de signes d'une syphilis antérieure
U ET DE LA FACE 341 tare, une faiblesse particulière de son système
nerveux
. Sans doute les' tracasseries, les sarcasmes au
ouvent du tronc et des (1) GIiASSET et RAUZIER, Maladies du système
nerveux
, t. II, p. 554. 342 GAUSSEL membres à l'agita
de nous (1) ; nous ne nous y arrête- rons pas. Le reste du système
nerveux
, moelle épinière et méninges rachi- diennes, ga
essés que les muscles du bras et de la cuisse. 2° Examen du système
nerveux
. - Notre examen a porté sur le système nerveux
2° Examen du système nerveux. - Notre examen a porté sur le système
nerveux
central, encéphale et moelle, et sur les nerfs pé
uis longtemps décrit des processus de calcification dans le système
nerveux
central ; c'est surtout dans le travail cle lIubr
e. ' B. - Dépôts calcaires autour des capillaires et en plein tissu
nerveux
sans relation avec les vaisseaux. Calola. )
s sont disposées soit autour des vaisseaux, soit au milieu du tissu
nerveux
sans relation, au moins apparente, avec l'éléme
culaires. En effet, nous pouvons rencontrer au beau milieu du tissu
nerveux
des formations calcaires de volume variable iso
très démons- trative la disposition interstitielle, en plein tissu
nerveux
, sans la moindre re- lation avec l'élément vasc
pas plus que l'examen macroscopique des lésions grossières du tissu
nerveux
environnant les formations calcaires : tout au
eaux sanguins et disséminés dans les espaces interstitiels du tissu
nerveux
. Les cellules ganglionnaires du noyau lenticula
n'avons pas suffisamment insisté est représenté de l'état du tis.su
nerveux
qui se trouve immédiate- ment autour des vaisse
ement, que dans le mécanisme des lésions désin- tégratives du tissu
nerveux
juxta-vasculaire, les lésions de perméabi- lité
cause de l'atrophie du nerf optique. Les partisans de la théorie «
nerveuse
» l'em- portent cependant sur les partisans de
uf en haut et en bas ; les bandelettes étaient dépourvues de fibres
nerveuses
, sauf sur leurs bords postérieurs. D'après cet ex
phies seraient dues à une compression, à un étranglement des troncs
nerveux
. On peut dire en somme que toutes les opinions
ne du- rale, à demi-vidée, est lâche et se plisse. Quand l'atrophie
nerveuse
est limitée à une portion périphérique du nerf,
ERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIOUC 363 presque totale des fibres
nerveuses
; certains nerfs presque privés de fibres (nerf
nerf un autre processus qu'une simple atrophie sur place des fibres
nerveuses
: l'examen histologique nous a en effet expliqu
Weigert, on arrive à y trouver la coupe d'au moins quelques fibres
nerveuses
isolées. Sur une Fig. 1. Chiasma de tabes-céc
ellules névrogliques, qu'il y a dans le nerf, à la place des fibres
nerveuses
disparues, une abondante prolifé- ration névrot
oyaux nombreux, probablement névro- gliques. Presque plus de fibres
nerveuses
. Lymphocytes extrêmement nombreux entre l'arach
tement perpendiculaire à la direction du Fig. 2. 366 LÉRI tronc
nerveux
, mais un peu obliquement. L'aspect du nerf se rap
emblent à demi- indépendants de ce qui représente le reste du tissu
nerveux
, et une ligne blanche marque souvent la limite
us étroites peut-être par le seul fait de la disparition des fibres
nerveuses
qu'elles contiennent, mais ce qui nous paraît ind
les nerfs optiques de notre malade, Bout... par exemple, des fibres
nerveuses
existent encore dans tous les faisceaux, mais ass
pas seule- ment sur lui-même par suite de la disparition des fibres
nerveuses
. Ces lésions sont-elles spéciales à l'atrophie
sclérose « nodulaire ». Ce nerf, qui ne contient plus aucune fibre
nerveuse
, a à peine le tiers du volume d'.un nerf normal.
ose « trabéculaire ». Ce nerf, qui ne contient presque plus de fibres
nerveuses
, a cependant conservé à peu près le volume d'un
des conjonctives, les parties claires sont les restes des faisceaux
nerveux
contenant quelques rares fibres éparses. e) N
asculaires, l'obturation des vaisseaux et la disparition des libres
nerveuses
. La méninge est très épaissie et infiltrée de lym
eaux sont perméables au cen- tre des nodules. Quelques rares fibres
nerveuses
éparses. Lymphocytes, épaississe- ment de la ga
n- core un globule rouge à leur centre. Très petit nombre de fibres
nerveuses
. Grosse lymphocytose et épaississement des gain
de quantité de travées vasculo-conjonctives, presque plus de libres
nerveuses
, très gros épaississement de la gaine piale avec
njonctives, l'obturation des vaisseaux et la disparition des fibres
nerveuses
. L'évolution de ce processus est représentée par
ié à la suite d'une lésion d'origine externe : obj. 8. - Les fibres
nerveuses
semblent avoir vidé leur gaine, ce qui donne à la
es conjonctives sont épaissies relativement au volume des faisceaux
nerveux
vidés, mais la fasciculation est restée la même q
nombreux et plus ou moins obturés ; les faisceaux, vides de fibres
nerveuses
, ont un aspect finement va- cuolaire. Il semble
e énorme des travées vas- culo-conjonctives. Disparition des libres
nerveuses
. Méningite intense. PLANCHE LU p, q, r, s) Dé
rale avec amblyopie. - La totalité du pourtour est privée de fibres
nerveuses
, les vaisseaux très nombreux y sont com- plètem
omi- nante ; dans le nerf optique comme dans l'ensemble des centres
nerveux
(dans le tabes ou la paralysie générale par exe
termédiaire de l'appareil circulatoire, sur la vitalité des éléments
nerveux
? ' ! Nous ne poussons pas si loin l'absolutism
mettre que celte action directe est limitée à certains des éléments
nerveux
, car, comme nous l'avons dit, dans presque tous.n
othèse d'une action élective du virus syphilitique sur les éléments
nerveux
, elle ne permet cependant pas d'en éliminer la
fait que se rétracter au- tour des faisceaux vidés de leurs fibres
nerveuses
(nerf de Faur..., de Ga- ra... p. ex.). En ré
rf se trouve privé de vaisseaux perméables et l'atrophie des fibres
nerveuses
s'explique par leur défaut d'irrigation sanguin
ne par une, en commençant par le pourtour des vaisseaux, des fibres
nerveuses
privées de leurs moyens de nutrition : ce process
ns, mais ayant conservé la notion du jour et de la nuit, des fibres
nerveuses
épar- ses encore assez nombreuses. HOSPICE DE
et leurs réactions lristochimidues tranchent vivement sur le tissu
nerveux
au sein duquel ils paraissent comme inclus. Tel
traversant la moelle sur une grande étendue, sans que les éléments
nerveux
voisins en paraissent en rien altérés; leur tis
n primitive de la moelle. Autour d'elle que deviennent les éléments
nerveux
? La méthode de Pal montre qu'elle est générale
e en noyaux et surtout en fibrilles ; et dans cette zone les fibres
nerveuses
ont perdu leur gaine myélinique. Quant aux cyli
et aucune barrière ne sépare plus la perte de substance, des fibres
nerveuses
. L'hypertrophie de la névroglie est donc manifest
a nulle réaction névroglique, et elle paraît creusée à même le tissu
nerveux
(PI. LIV, fig. A). Il serait difficile d'identi
juge par la réduction énorme de la surface occupée par les éléments
nerveux
. Avant de rechercher à reconstituer l'évolution
autour de la région atteinte, la névroglie prolifère et les libres
nerveuses
perdent leur myéline. Tel semble être le début,
nt et s'entourant de faisceaux conjonctifs, écar- tent la substance
nerveuse
et délimitent un espace qui pourra ultérieurement
nctive va désagréger les tissus et isoler des portions de substance
nerveuse
appelées dès lors à disparaître : de minimes fent
nctive partent des tractus qui à leur tour morcellent le parenchyme
nerveux
voisin et en englobent de petites portions : de
replis sont formés de fibrilles tassées. Elles écartent le parenchyme
nerveux
créant des pertes de substances parallèles à le
ues petits vaisseaux réunis, s'enrobant ailleurs de quelques fibres
nerveuses
; ou d'une véritable nappe de tissu nerveux. Il e
rs de quelques fibres nerveuses ; ou d'une véritable nappe de tissu
nerveux
. Il est évident qu'ils ne peuvent avoir perdu q
que partiellement leurs connexions avec les vaisseaux et les fibres
nerveuses
des régions saines, car leur nutrition en souffri
pathogénie analogue. Comment s'opère la destruc- tion de ces îlots
nerveux
et quels en sont les résidus ? L'étude des coupes
ts, entourée de tractus conjonctifs, qui occupe la place des fibres
nerveuses
. Remarquer aussi l'hyperplasie de la tunique ex
n irritative et destructive que ces lésions exercent sur les tissus
nerveux
voisins forment un complexus histologique qui par
ules détachés de la paroi, composés de petits vaisseaux et de tissu
nerveux
. , Les fentes sont limitées de côté et d'autre
mitants. 390 THOMAS ET UAUSEK Dans ces régions malades les fibres
nerveuses
ont disparu (méth. de Pals mais la réaction név
des vais- seaux, et des placards de dégénérescence hyaline du tissu
nerveux
. Il n'y a pas de végétations conjonctives ni de
constater des effets directs d'ischémie ; on ne trouve pas de tissu
nerveux
en voie de ramollissement aigu au sens propre du
lus particulièrement l'écartement, la dis- location de la substance
nerveuse
par des tractus végétants, le morcellement des
risé par l'hyperplasie de la névroglie et l'altération des éléments
nerveux
, peut dépendre direc- tement de lésions vascula
su coujonctif. Or, on se rappelle ces îlots, ces pelotons de fibres
nerveuses
mêlés de vais- seaux et que nous avons eu fréqu
rois vasculaires et sur les tissus de la paroi, névroglie ou fibres
nerveuses
, et contribue puissamment à l'extension des perte
njonctivo-graisseuse très notable dans l'in- tervalle des faisceaux
nerveux
. L. Muscles nrrléro-externes de la jambe droite.
celles que l'on est accoutumé à trouver à la suite soit de sections
nerveuses
, soit de lésions médullaires, dans la paralysie
a mère est morte à 68 ans. Il ne parait y avoir eu aucune affection
nerveuse
parmi les ascendants ou les collatéraux. Il a p
frère et une soeur plus âgés que lui qui ne présentent aucune tare
nerveuse
. Sauf de l'énurèse ayant persisté jusque vers l
s troubles trophiques se résume en trois faits : d'abord une lésion
nerveuse
470 TREPSAT produisant souvent un trouble cir
dégénérescence chez l'homme sont, les unes pathologiques (maladies
nerveuses
et mentales ; intoxications diverses, alcoolism
e médecine vétérinaire de M. Cadéac sur la séméiologie du sys- tème
nerveux
des animaux (4). I Signes morphologiques OU s
énés et les idiots »i Leçons cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
. Salpètr. 4S8 i-94, recueillies et pu- bliées p
ré et Séglas, Rev. Antliropol. ,4586.- J. Sscnc.s, Leçons mentales et
nerveuses
, XXII" leçon, p. 110, et in G. Ballet, p. 87.
e immobilité, et la bouche égarée, symptôme observé chez des sujets
nerveux
, au caractère violent (tel Apremont, (ils d'Alert
signale des « troubles delà coloration dits tro- phiques d'origine
nerveuse
», l'albinisme des mammifères, etc. 11 Symptô
ymptômes et d'en rechercher la valeur sé- méiologique. A. Système
nerveux
(6). 1. Motilité. Les troubles de la motilité n
rétivité chez les chevaux irritables et doués d'un tempérament très
nerveux
. Or la rétivité est un vice, un état morbide co
, était sujet à « de véritables accès de férocité.» » 3. Hérédité
nerveuse
. L'hérédité nerveuse accumulée, capitalisée che
véritables accès de férocité.» » 3. Hérédité nerveuse. L'hérédité
nerveuse
accumulée, capitalisée chez le cheval, peul abo
age des équidés, nous avons suf- fisamment distingué le tempérament
nerveux
ou ce qu'on appelle métapho- riquement le sang
veux ou ce qu'on appelle métapho- riquement le sang du déséquilibre
nerveux
observé chez les psychopathes. « L'expression d
ychomotricité. » On trouve de nombreux exemples de cette hérédi- té
nerveuse
dans la carrière des chevaux de course, plus ou m
ue. Tous les fils de Monarque (sauf Auguste) étaient si exagérément
nerveux
que leur seul pédigrée était une mauvaise recom
ement accusés qu'elle « ne pouvait pas courir souvent ». L'hérédité
nerveuse
est encore évidente pour Madzja (par Fitz Gladiat
vice caracté- risé par le refus d'obéir, fréquent chez les chevaux
nerveux
, de race dis- tinguée (1). » . La méchanceté
ent : aux troubles de la mimique, aux actes impulsifs, à l'hérédité
nerveuse
accumulée (nervosisme), aux troubles de la volont
n fondé de la distinction que nous établissons entre le tempérament
nerveux
des chevaux de sang et le déséquilibre nerveux
entre le tempérament nerveux des chevaux de sang et le déséquilibre
nerveux
des équidés psychopathes ob- servé aussi bien s
s stigmates peuvent manquer chez des che- vaux atteints de troubles
nerveux
ou psychomoteurs ou se rencontrer sou- vent che
n- fériorité individuelle » (Séglas), en rapport avec une affection
nerveuse
ou mentale coexistante, tics ouépilepsie. San
ois la clinique à qui elle apporte des faits nouveaux de pathologie
nerveuse
et mentale de l'animal et la zoo- technie à laq
fla- mande, du XVI0 siècle (1 pl.), par A. Marie, 493. Cellules
nerveuses
des tubercules quadri- jumeaux antérieurs et po
81. CzAnNiEcKi. Sur l'aspect extérieur des dendrites des cellules
nerveuses
des tu- bercules quadrijumeaux antérieurs et
LES HÉRISSE". ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE 1 DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Dr J.-M
3 Vol. VI. Juillet 1883. N° 16, ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS; Par le Dr Thé
ntrées sur la plupart des points. Archives, t. VI. 1 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. jusqu'alors l'attention des auteurs. Il nous e
ista. Je lui prescrivis alors une dose de 1 gramme 50 de 4 CLINIQUE
NERVEUSE
. chloral, le soir, au moment de se coucher. La
, mais M. Perrin, consulté à cet égard, ne rattache pas l'affection
nerveuse
à ce défaut de la vue. Les verres, appropriés à
reprimes les douches froides aussitôt que la guérison du 8 CLINIQUE
NERVEUSE
. genou nous parut suffisamment consolidée. Le r
l'enfant n'en persista pas moins dans ses études, et il 12 clinique
nerveuse
. eut neuf nominations à la distribution des pri
s n'ont pas cessé pendant cette interruption, et que 14 le CLINIQUE
NERVEUSE
. l'enfant est plein d'ardeur pour ses études, i
- 1" Lettres à M. le Dr LOI/flet; 2° Des fonctions et des maladies
nerveuses
dans leurs rapports avec l'éducation sociale et p
diot à ' quelque fonction -utile, 1 si, malheureusement, lescrisesi
nerveuses
, auxquelles il'est sujet,- ne revenaient à de c
conventionnel d'affection caractérisée par un trouble des fonctions
nerveuses
d'une nature spéciale,' et ne s'accompagnant pa
de notre'ami'G. Ballet, sur quelques troubles dépendant du système
nerveux
central dans lé cours de la maladie de Ba- sedo
, 1883. . Gillert Dallet. De quelques troubles dépendant du système
nerveux
central observés chez les malades atteints de l
s accidents placés'sôus lr1`dépeiîdâncé ün m édiatc^ du ? systèm e7
nerveux
^central '1\1 : Ballet ''en' "signal e d'autres
nt. rapporté son apparition à la présence d'altérations des centres
nerveux
indépendantes de la maladie DE LA MALADIE DE '/
hthalmie,'etc ? =elle est constituée aussi et s'ûrtout'par cet état
nerveux
particulier. que nous avons décrit 'plus' haut
nt ou ? non âvecia' célèbre triade le tremblement et les phénomènes
nerveux
multiples' dont nous avons parlé plus haut. l'i
z : aNNEXIONS CEREBRALES ET CEREBELLEUSES DES nIa à 1fJ xÍÍé paires
nerveuses
DU Racines spinales des JJINERFS SENSORIELS DU
a.mi j J 3n 8T'7.3Jr.'H[JOM ' tu .1117 's ? rREVUEcDEPATE'I0 : 0GiC
NERVEUSE
il" ! )1' l Jh71'I'7t0 > clt : 7 : 11'otl
4Rit, Il 1 1 , 1 . P.yl 1 , ? travaux,, sur la pathologie du, système
nerveux
..S'il, faut rapprocher . ()c ! \ ? ciq ! 11"q15
muscles. ,1 ? pe,, `"i ? 91[0.11(1'\ ? 1 QI 100 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. t(t ;7.tI : I'lFIliT : IIO,IOliTi.`I atI U'J·T
et 1 : ënfin ¿ ¡; ré'actioh deenërativë ? L'cxcitabi)itédës'tr6ncs
nerveux
* a baisser réaction llegenel'a Ive, . ,eXCl a )
eux* a baisser réaction llegenel'a Ive, . ,eXCl a )1 l e, es troncs
nerveux
a JalSe, 1 f'ApJ'èsr'êtl ! e dinÍ1cuÍÍéc 1 d ti
'1" JaVmT}'f 31+'0.1(\111 "q ail UU'JM31 00. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 101 'JJlJlIH. fil 1 : w ? uof, 'Jf1U : IIIJ. "
fJI : il'1 : 1f ! 111).H'liTAQ ao ajvaa 102 ? . REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. o-olit 2sb HOIJ')J¡ltJ1ti'l ami t) JIJJOCl'lq4
e le processus ulcératif et celui des troubles trophiques d'origine
nerveuse
ressort bien],d'allléurs es, divers phénomènes
nnoavec')ui ? L'e'faisceaux' primitifs sont' pénétrés' et leûi'tubs
nerveux
dissociés,"atrophics' yUW `fi n]ILHn '7`v I >
'corl : ésp'Óndânc'à' lâ"Í : âciÍ1etldeJnërl;s REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 103 Ur 13 t irai/' 151 ,l' 1(\' ! T' 21(l n'y
è' pécivâscu9l' laire; qui commençaient à' comprimer les' 'éléments
nerveux
. InflmÎ1)JJ mation . dCJJla'( piè ! mèl'e "de '
olq sa IX. : uQ9lj''r ? B,T ! Tl,N j +u AFFECTIONS,. DUly SYSTÈME 1
NERVEUX
.CBN- M TRL ? par Cl,nus(de Saûhel1byrg),(A,clt
l'autèùr'eoITr 'deux ^particularités9 ! 0 106). REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
., 1En outre, des foyers scléreux, disséminés, o
.ticllliè1e de,lf ! , "r' i;, Il ? 1, 1 H q f REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 07' n'ibeÚe'èlé'Z'lÍb;'Íl111'é; l'auteur appel
-.t ? ,T'.t-/ft ? )r ? {TA1 ? tfff ! T ? m 108 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - ? l.,\.ttl ? n vfilTt-;T5'"i ."J ;' ! : ; Kn
progressé en étendue comme en profondeur. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 103 : iaui-xrtni £ ai.joa.oHWT au (W/.u ,1 XII
ommoj 91JJlft()Ju na 'laa91¡jo1q gmom rrm 110 0 REVUE^DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
^. o1 Voici. ce que, l'on jençontre à l'autopsie
Onie, -5,, On trouve l'autopsie, une.sorte de lïÈŸüÉf'DÉ PATHOLOGIE
NERVEUSE
. (1'1'. 1 feston'dans la/moitié antérieure 'dÍ'
(WnI,hYl'iG L analyse histologique, décelait 1 alroplne des fibres ,
nerveuses
par la prolifération du' tissu 1 conj onctif fa
p : 93 : ' " '1< : 1 ''* l 't' ' . l ' REVUE; DE l ? rJ>,Q9),
NERVEUSE
. : 1J3 m&ne^cpté^uela déviation,des)yeux-pa
f,fL¡tI11 Il In 1 l. mn 1. servation. On trop oublie, les ganglions
nerveux
, do la pase, du ? r,yp,.1 ? I3" ? ux, J c ! 1 ehe
fièvre, ni convul- Archives, t. VI. 8 114 REVUE, DE, PATHOLOGIE,
NERVEUSE
. sions, ni paralysie, de déviation conjuguée de
.. . rf.Jt, i".1 f ' · i .1"1 ? 1 ,.1, , '" revue' de' pÂYiÎoÏogie1
NERVEUSE
? 115 5 4tiF9h '; YIt9 J ·`l ".Ifr'r ? rrlW IIO
ives. L'odorat, le goût diminuent et dispa- 116 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. en t ' ! 2<T : ! I'{H : ;¡¡¡r ;'¡,)o,rr.r'r
" J ? H JV' {.\).,<'1" id . ! 1. a'v9R ,If f REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 117 7 j{tr -9'. t "1 ? -. )'11 y 1 Ifi, T ' rf
sie du facial gauche, des tremblements ri 1,8 .REV,UE;DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. .convulsifs,.dans les muscles innervés par ce,
aux propositions suivantes toutes provisoires : REVUE^DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. hl9 j lie. Uneatr6phie'hémi)atéra ! e du cerve
catarrhale emporte lé ma- lade en huit jours. Durée dé'l'affection
nerveuse
? deux mois;3 nul accident de décubitus : = Le'
iati6ns'trans'vergès l le morcellement de la myéline dans les tubes
nerveux
! le ramol-"1 li .t -.i 1 1 ..)t« .alflY ir·fll
légale ? '" " On comprend sous le nom d'hypnotisme plusieurs états
nerveux
? m ? t ? ? f ? t" < ? - 1,.... " J nr '< ?
ient s'expliquer par 'l'interruption de» la conductilité des fibres
nerveuses
à' la base, celles qu'il faut ratta- cher à la
chique s'était invariablement manifesté par toute sorte de malaises
nerveux
et des hallucinations isolées. Il dé- bute la p
s récentes études d'anatomie et de physio- 1 ? -ic sur les centres,
nerveux
et pour point de ralliement. Texis- tènce du`se
vascuiaire' avec' pro- lifération du tissu conjonctif, les éléments
nerveux
subissant une métamorphose rétrograde' Le ramol
1f Thèse de e Paris, 4 883. ,'1.. 1 /, ? df ! . ' De l'élongation
nerveuse
dans l'ataxie et les affections médullaires; pa
méro de la première revue russe consacrée spécialement aux maladies
nerveuses
et mentales. Cette revue, publiée sous la direc-
ur J. Mierzejewski, porte le nom de Messager de clinique mentale et
nerveuse
(Wiestuick psyckiatrii, nervoi pathologie). Le
és à évolution incomplète ? Citons, par exemple, certaines maladies
nerveuses
, l'hystéro-épilepsie, la maladie de Parkinson o
comme on a voulu faire en aliénation mentale ? Le 180 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. type supérieur est donc là, comme un index : i
objet d'étudier : l'évolution du délire dans la vésanie. PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQU
mener bientôt la mort. 1 Il présente en outre une série de troubles
nerveux
qui font diagnostiquer chez lui une ataxie loco
e ne ressent plus, depuis quelques mois, de douleurs 182 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. fulgurantes à type lancinant; mais il éprouve
quelques racines rachidiennes ont été recueillis au 181 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. moment de l'autopsie et préparés pour l'examen
'acide osmique ne présentent aucune altération notable : les fibres
nerveuses
, le tissu conjonctif interstitiel, les vaisseau
cide osmique à 1 pour 150, on distingue un grand nombre de libres
nerveuses
atrophiées etprésentant les apparences décrites d
ié et traversées par des incisures sembla- bles à celles des fibres
nerveuses
les plus saines. Entreles fibres complètement a
ser beaucoup de peine pour séparer les uns des autres les faisceaux
nerveux
et pour les détacher du tissu conjonctif qui le
que nous considérons comme des fibres régénérées. 186 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Dans le tibial postérieur (fragment pris au mi
volume à l'oeil nu, sont presque exclusivement composées de fibres
nerveuses
totalement atrophiées ne présentant plus traces
uent pas néces- sairement des troubles trophiques. 188 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Notons incidemment que, dans l'observation que
et que les altérations inflammatoires ou dégénératives des fibres
nerveuses
, ne se propageaient pas uniformément de la péri
terminales de certains nerfs périphériques, tandis que les troncs
nerveux
intermédiaires et les racines anté- rieures éta
ant régulier, il n'y a pas de gêne respi- ratoire. 190 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Le malade se plaint d'une douleur contusive, p
ole externe on trouve deux petites ecchymoses viola- 192 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cées de quatre à cinq centimètres de diamètre,
es et sacrées, des fragments des nerfs fessiers et de divers troncs
nerveux
des membres inférieurs, enfin plusieurs ganglio
'/ennes et sacrées. Toutes les préparations provenant des faisceaux
nerveux
recueillis dans la peau, au voisinage des escha
eschares précitées, révèlent des alté- rations profondes des libres
nerveuses
. Toutes les fibres qui composent ces faisceaux
ue gauche. -Dans les nombreuses prépa- rations examinées, les tubes
nerveux
étaient sains et les coupes transversales du ne
lté- ration appréciable. - Archives, t. VI. 13 19 le PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 6° Ganglions lombaires et sacrés, correspondan
de osmique n'a pas permis une étude rigoureuse de l'état des fibres
nerveuses
dans ces ganglions. Les coupes, pratiquées sur
a fesse sont atrophiés et presque complètement détruits. Les filets
nerveux
recueillis au voisinage des phlyctènes malléola
c'est que l'altération remonte, en s'atténuant, le long des troncs
nerveux
. Dans les nerfs des membres qui sont plus favor
du moins qu'il n'y a pas de continuité apparente des altérations
nerveuses
depuis les centres jusqu'aux extrémités péri- p
ainsi dire perdues au milieu des fibres saines dans les gros troncs
nerveux
des membres. Mais nous avons dû renoncer à cett
Mais nous avons dû renoncer à cette interprétation. 196 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Nous nous sommes astreints, en effet, à examin
ltéra- tion appréciable des faisceaux ni des fibres de ces troncs
nerveux
. L'étude des racines rachidiennes a fourni, dan
inique communiquée par M. le pro- fesseur Vergely. 198 pathologie
nerveuse
. adipeux sous-dermique jusqu'au calcanéum. Il n
s ne présentent rien de particulier. z Un grand nombre de fragments
nerveux
des divers segments des nerfs du membre inférie
ures, étaient demeurés parfaitement indemnes. : 2,)0 0 pathologie
nerveuse
. Il est assez malaisé de comprendre comment une
r les terminaisons périphériques des nerfs, en épargnant les troncs
nerveux
intermédiaires. Il serait assurément plus simpl
l'in- flammation de la moelle aux racines, des racines aux troncs
nerveux
et des troncs nerveux aux terminaisons périphér
la moelle aux racines, des racines aux troncs nerveux et des troncs
nerveux
aux terminaisons périphériques. Mais l'étude de
hériques qui se montrent dans le cours des affec- tions des centres
nerveux
. Dans cette hypothèse, la lésion centrale modif
oduisent pas de désor- ganisation apparente à l'oeil nu, des filets
nerveux
sur lesquels elles siègent, de telle sorte que,
apprécier exactement l'état d'inté- grité ou d'altération des tubes
nerveux
, il faut de toute nécessité recourir à un exame
Elles portent exclusivement, au moins à leur début, sur les tubes
nerveux
eux-mêmes. Le tissu conjonctif reste normal pen
lorsque la névrite a déjà détruit ou profondément altéré les tubes
nerveux
eux-mêmes. Il y a de grandes analogies apparent
mes. Il y a de grandes analogies apparentes entre les altérations
nerveuses
que nous avons observées et les 202 pathologie
ltérations nerveuses que nous avons observées et les 202 pathologie
nerveuse
. dégénérations wallériennes. Toutefois, il n'y
rs, en quelques heures, amener une destruction complète des tubes
nerveux
ou durer, pour ainsi dire, indéfi- niment dans
riphériques des nerfs, s'étendre, en s'atténuant, dans les branches
nerveuses
voisines de ses extrémités et disparaître total
sines de ses extrémités et disparaître totalement dans les troncs
nerveux
; elles paraissent ainsi avoir une marche ascend
vrites paraissent liées à des altérations primitives des centres
nerveux
, nous n'avons pas trouvé d'altérations continue
tion centrale et l'altération des nerfs périphé- riques, les troncs
nerveux
étaient sains et présentaient toutes les appare
tre travail le caractère d'un simple recueil de faits. . CLINIQUE
NERVEUSE
DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS'; Par le D, Ti
, nous le constaterons de même 'v. o· " ic, 1,. 1. 20 1. CLINIQUE
nerveuse
. pour le siège et la nature de la douleur. Nos
205 sentait la douleur à la pression sur le trajet des ra- meaux
nerveux
de la région; nous n'avons donc point eu affair
iques ne nous permettent que des conjectures sur l'état des centres
nerveux
. Chaque fois qu'il s'agit de troubles purement
fois qu'il s'agit de troubles purement fonctionnels. - 306 CLINIQUE
NERVEUSE
. S'il était bien démontré que les modifications
e une prédisposition toute particulière à la congestion des centres
nerveux
chez les enfants et chez les adolescents. Nos m
s antécédents. Nous ne rencon- trons pas non plus de prédisposition
nerveuse
congé- nitale. Les parents de nos enfants n'ont
parents de nos enfants n'ont eu ni affection organique des centres
nerveux
, ni état névropathique qui mérite d'être signal
érite d'être signalé. Que d'enfants sont d'ailleurs rhumatisants ou
nerveux
, et combien peu en pro- portion sont atteints d
s maladies par ralentissenzent de la nutrition, p. 37. 208 CLINIQUE
NERVEUSE
. nifester à cet âge entre l'apport nutritif et
-on pas tous les jours des malades souffrir d'affections du système
nerveux
, sans qu'ils aient rien perdu des apparences de
encore s'appliquer à l'étude. Archives, t. VI. 14 210 CLINIQUE
NERVEUSE
. nuer leurs études, et ils le peuvent, en effet
; ils n'accusaient point de douleur au front. Ils- ,)Il) 2 CLINIQUE
NERVEUSE
. ne pouvaient ni écrire, ni lire, ni s'occuper
Dr Blache. M. Bucquoy nous audit avoir constaté les 31t le CLINIQUE
NERVEUSE
. bons effets des eaux de Saint-Nectaire. Son je
i- tives de l'organisme; par son action spécifique sur le système
nerveux
, elle modifiera directement l'innerva- tion; en
mps en temps au traitement pour assurer sa guérison. 216 CLINIQUE
NERVEUSE
. CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. Les observations que
S.-F. D.\nlLLO. (Laboratoire delà Clinique des maladies du système
nerveux
de M. CHARCOT.) Nous nous proposons de décrir
l'état frais, présentait les éléments suivants : cellules et fibres
nerveuses
; fibres, noyaux et cellules de la névroglie ;
méfaction, soit de la vacuolisation analogues à celles des cellules
nerveuses
. Le diamètre du corps de ces cellules n'excédai
on est attirée tout d'abord sur la tuméfaction notable des cellules
nerveuses
, qui les atteint indifféremment dans toutes les
ment dans la ré- gion voisine, sans altération notable des éléments
nerveux
. Sur des coupes à double coloration, hématoxili
un grossissement de 3/7 et 3/8 Vérick, les altérations des cellules
nerveuses
se présentaient avec les caractères que nous av
rapport mutuel entre les vaisseaux de cette ^région et les cellules
nerveuses
, on peut constater qu'il n'existe pas de parall
noyaux des parois, sans prolifération' ou division.' Les cel- lules
nerveuses
, au contraire, dans ces endroits conservent les
d'autres parties de la région corticale, d'altérations des cellules
nerveuses
, nous devons cependant remarquer que l'hy- peré
s distincts. Les premiers se rapportant à l'altération des éléments
nerveux
(cellules), les seconds à celle de la névroglie
encéphalite interstitielle avec altération consécutive des cellules
nerveuses
, ou bien est-ce le contraire qui a lieu et doit
ions parenchymateuses. Remarquons que la vacuolisation des cellules
nerveuses
se trouvait exclusivement dans les parties qui
e nous nous croyons pleine- ment autorisé à considérer les cellules
nerveuses
comme le véritable point d'issue du processus p
ions suivantes ; , 230 RECUEIL DE FAITS. On sait que les cellules
nerveuses
, après la tuméfaction du début, subissent ensui
éments de la névroglie deviennent alors plus nombreux, les cellules
nerveuses
, en se vacuolisant, finissent par disparaître e
s, dans un processus pathologique qui a dû débuter par les cellules
nerveuses
et qui, dans certains endroits, où il était plu
ltérations inters- titielles consécutives à l'atrophie des éléments
nerveux
affectés tout d'abord. Le processus d'altératio
ntrales indique également, à ce qu'il nous semble, que les éléments
nerveux
(cellules) doi- vent être considérés comme le p
ules, remarque que, dans certaines formes de myélites, les cellules
nerveuses
peuvent subir spontané- ment une altération qui
ogiques de 1872, de 1 Chnrcot. - Leçons sur tes maladies du système
nerveux
, 1880. °- UeGer palltologiscltc gerinnungs Yorg
s résultats de l'étude histologique sur une autre partie du système
nerveux
central. Malgré nos recherches bibliographiques
es et très fortes, mais on n'y constate pas la présence de cellules
nerveuses
, tandis que les noyaux de la névroglie s'y mont
e à 40 p. 100, fait par M. Brissaud, indiqua l'absence des éléments
nerveux
, épaisseur de la trame névroglique, présence de
arcot. M. Klebs a étudié la question des néoplasmes dans le système
nerveux
central. (Beitruge sur Geschwulst Lelare, 1S77.
on trouve certaines formes de gliomes avec éléments, dont la nature
nerveuse
n'est pas discutable. Comme dans le cas qui fai
'examen de neuf cas de ces tumeurs dans diverses parties du système
nerveux
central, M. Klebs dis- tingue trois périodes bi
tranchées dans leur évolution : hy- pertrophie diffuse des éléments
nerveux
(fibres et cellules) ; ensuite compression des
êmes caractères mor- phologiques et chimiques que ceux des cellules
nerveuses
, mais qui ne les sont pas pourtant, présentent
rtant, présentent des dérivés soit de ces éléments, soit des fibres
nerveuses
. En donnant la description de ces éléments, l'a
e fait s'expliquerait, d'après lui, par la segmentation de cellules
nerveuses
et par la formation d'étranglements sur les cyl
a principale altération consiste dans la tuméfaction des cel- lules
nerveuses
il n'en existe pas moins une différence fonda-
en outre, la présence de deux ou plusieurs noyaux dans une cellule
nerveuse
des centres, dans cer- tains cas au moins, est
s n'ont jamais pu constater ni la segmentation directe des cellules
nerveuses
ni leur néoformation, avec les caractères disti
er ce fait encore plus nettement. Nous dirons donc que les cellules
nerveuses
elles-mêmes, pour cette fois au moins, peuvent
ne ; pas d'excès d'aucun genre ; assez intelligent; pas d'accidents
nerveux
. [Père, cultivateur, mort à soixante-quatre ans
ente d'une fièvre typhoïde ; elle n'a pas d'attaques, mais est très
nerveuse
et se trouve quel- quefois mal, à la suite de c
e, issue d'une famille phlhisique, niais in- demne quant au système
nerveux
, est en effet une idiote, non apha- sique, en p
ement par ce coup de fouet régénéra- teur donné à ceux des éléments
nerveux
dont la destruction n'est pas encore complète.
aso-constrictive, engendrant par l'anémie, l'anoxhémie des éléments
nerveux
de cet organe, \S . 1,1 i 1 Voyez les Archi
de douleur (asphyxie vasculaire temporaire des centres). Les tissus
nerveux
de l'individu conservent du processus entier, y
SOCiI : I'1 : S SAVANTES. ',275 SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES
NERVEUSES
DE 131;RLlu 1 Séance du 9 janvier 1882. - PRÉ
i1'es (refroidissement, petitesse du pouls), et enfin des accidents
nerveux
(tétanie, hystérie, myxoedème ? ) sur lesquels no
dont le mécanisme duit s'expliquer par une modification du système
nerveux
sympathique, nous devons maintenant en signaler
ns la pathogénie de ces accidents, un rôle prépondérant aux lésions
nerveuses
sympathiques résultant de l'o- pération. Le c
s troubles trophiques des ongles dans quelques maladies des centres
nerveux
; par MiLircHEViTcn. Thèse de Paris, 1883. De
ur quelques variétés d'orbophites de la grossesse ; des acci- dents
nerveux
qui peuvent-Ie1O' être attribués; par Aubidan. Th
ude de l'influence du moral sur le physique ou influence du système
nerveux
sur la nutrition; par LAG.RRIGUF.. Thèse de Par
concours pour la place de chef de clinique des maladies du système
nerveux
vient de se ter- miner par la nomination de M.
térielle, des consultations gratuites pour les maladies mentales et
nerveuses
auront lieu, à l'asile des aliénés, le mardi et
préparations relatives à l'anatomic et à l'his- tologie du système
nerveux
; 2° Projets, plans, modèles relatifs à la cons
. Vol. VI. Novembre 1883. N" 18 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
AFFECTIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DU PIED C
. des Hôpitaux, lob70-[872. "A. Blum. - Des arthropathies d'origine
nerveuse
. Thèse d'agrégation en chirurgie, 1875. ô Mic
étaient pas Fq. 3. Artliropa- thie du niecl droit. 308 CLINIQUE
NERVEUSE
. seules en jeu, et que les os aussi devaient êt
pieds. 1V1 ? X..., de Bordeaux, vingt-deux ans. Pas d'antécédents
nerveux
dans la famille, dit-elle. Elle-même n'a jamais o
e oscillait. Jamais de diplopie. Quelquefois petits accès de toux
nerveuse
pendant la nuit. 9 janvier 1883. Incoordina-
s héréditaires l'existence d'une tante et d'un oncle 312 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. maternels aliénés. Elle-même n'a jamais, dit-e
les circonstances étiologiques, l'influence combinée de l'hérédité
nerveuse
(tante et oncle maternels aliénés), et de la sy
ion de constriction thoracique en cuirasse, s'exa- 31 Id CLINIQUE
NERVEUSE
. gérant par moments. Rarement elle se plaint de
ngtemps la solution de la question. Un cas analogue : 1 ¡¡ CLINIQUE
NERVEUSE
. à ceux que nous venons de relater s'étant prés
dem, p. 56. 3 Leçons sur la physiologie et la pathologie du système
nerveux
. Paris, z8, t. II, onzième leçon, p. 330-331.
ns procédés, l'activité psychique, sensitive et motrice des centres
nerveux
et cela isolément d'un seul côté, ou simultaném
Le malade ne paraît présenter aucune prédis- position aux maladies
nerveuses
; mais, dès son enfance, il s'est trouvé dans de
e 22 septembre 1881, d'entrer derechef à la clinique des maladies
nerveuses
. Etal actuel (22 septembre 1881). - Cette fois-
oduisit aucun changement essentiel dans le dérange- ment du système
nerveux
; seul, l'amaigrissement des muscles, comme celu
n, je ne décrirai en détail que celles qui se rapportent au système
nerveux
et aux mus- cles, ne faisant que mentionner bri
au bulbe. En même temps on s'assura que la myéline, dans les fibres
nerveuses
des fais- ceaux latéraux, avait diminué. Ces co
is ne l'atteignait pas, en étant séparée par une couche de fibres
nerveuses
normales (directe kleinhirn-seitenstrang-hahnen d
tité des corps granuleux, indices de la dégénérescence des éléments
nerveux
, tandis que, dans tous 366 RECUEIL DE faits.
é, 'ne présentant, semblait-il, qu'une simple atro- phie des filets
nerveux
. De toutes les racines des nerfs spinaux, il n'
nes antérieures de la partie cervicale, quelques- unes des cellules
nerveuses
avaient subi lés modifications pa- thologiques
ais- sentprouverque le processus morbide commence dans les fibres
nerveuses
qui constituent les faisceaux pyramidaux et ne pa
nt distribué et très prononcé dans la substance blanche des centres
nerveux
et de fort légères altérations dans la partie g
. Flechsig dans ses investigations sur le développement des centres
nerveux
; encore Flechsig ne parle-t-il qu'avec une cer
réduit à n'admettre comme principe du mérycisme qu'une disposition
nerveuse
, particulière, susceptibilité exagérée de la mu
Père, mort par accident, buvait beaucoup, n'a jamais eu de troubles
nerveux
. - Mère : cinquante-six ans, con- cierge, bien
d'un anévrisme : « C'était une femme bien sage. » Aucun antécédent
nerveux
. Deux frères bien portants, ma- riés, ont quatr
, mort d'une inflammation d'intestin : aucun excès, pas de maladies
nerveuses
. Mère, bien portante, intelli- gente, pas de ma
ies nerveuses. Mère, bien portante, intelli- gente, pas de maladies
nerveuses
. Trois soeurs bien portantes ont des enfants tr
ytiques généraux. P. K. XIX. LES troubles dans L\ sphère DU système
nerveux
périphérique chez LES aliénés; par TIGGES. (,Il
l'espèce a souffrir; comme on rencontre des lésions dans le système
nerveux
central, c'est à ses altérations qu'on doit s'e
e fibres englobant des cellules-araignées disséminées, les éléments
nerveux
étant à peine perceptibles; cellules araignées ou
s dans les parois et les espaces adventices; intégrité des cellules
nerveuses
. L'auteur fait ressortir que la prolifération nu-
tière, mariée, séparée de son mari; pas d'aliénation ni do maladies
nerveuses
dans sa famille ; un écoulement vaginal après s
, entre les mains du pre- mier orateur, jamais engendré d'accidents
nerveux
; l'état psychique des aliénés n'a jamais été in
servé une évolution semblable. Enfin, en ce qui concerne la surdité
nerveuse
ou la déchéance soudaine de l'acuité auditive,
effet, il existait une transition toute indi- quée ; de la théorie
nerveuse
du diabète, on était amené à l'étude des accide
théorie nerveuse du diabète, on était amené à l'étude des accidents
nerveux
qui en dépendent. L'auteur n'a pas pensé qu'il
M. Laffont qui précisent le rôle des divers départements du système
nerveux
dans le mécanisme de la glyco- surie. Cette étu
que le diabète est, avant tout, un trouble de nutrition. La théorie
nerveuse
nous a fait passer en revue les lé- sions des c
orie nerveuse nous a fait passer en revue les lé- sions des centres
nerveux
et des nerfs rencontrées chez les diabé- tiques
'appréciation de leur valeur exacte... le diabète n'a pas de lésion
nerveuse
qui lui soit propre ». Bien moins con- testable
ines névroses. Là les faits abon- dent et concordent. « L'influence
nerveuse
et donc l'une des causes du diabète, mais elle
de la science, aucune des lésions du foie, du pancréas, du système
nerveux
, etc., rencontrées à l'autopsie des diabétiques
De même, le diabète touche plus spécialement le foie, le système
nerveux
, voire même le pancréas qui seraient le « locus m
ou bien suivant le terrain où il prend naissance, il sera goutteux,
nerveux
, etc., si le sujet est goutteux ou nerveux. Les
sance, il sera goutteux, nerveux, etc., si le sujet est goutteux ou
nerveux
. Les variétés tiendraient donc au terrain et non
ire '. M. Dreyfous a bien indiqué les caractères de ces accidents
nerveux
: « au point de vue des phénomènes nerveux, le di
actères de ces accidents nerveux : « au point de vue des phénomènes
nerveux
, le diabète est une affection protéiforme ». Un
ire prévoir s'il se produira, à un moment donné, des manifestations
nerveuses
. Elles se différencient donc de celles de l'alc
sa cause, ne peut-on la trouver dans l'effacement de l'in- fluence
nerveuse
centrale, chez les diabétiques ? Rappelons-nous
xprime ainsi : « Elle est l'indice d'un état particulier du système
nerveux
qui débute par l'affaiblissement musculaire et
le atteinte tout d'abord, il n'y faut 1 Bernard et F6ré.DM troubles
nerveux
observés chez les diabétiques. (,17,ch. de Neur
r la motilité, tandis que la sensibilité persiste tant qu'un cordon
nerveux
, si petit qu'il soit, peut en assurer la transm
etit qu'il soit, peut en assurer la transmission vers les centres
nerveux
. » Les paralysies doivent être divisées en para
ne morbide, explique peut-être pourquoi la souffrance des centres
nerveux
dont l'amoindrissement est alors porté jusqu'à un
unité au milieu de la multiplicité et de la diversité des accidents
nerveux
: c'est là un point que l'auteur a eu le mérite
e trois heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
. Cette épreuve pourra être éliminatoire si le n
(hors de l'asile), 140 ; ; (troubles dans la sphère du sys- tème
nerveux
périphérique chez les) ? 05; - (pouls chez les)
. Cérébrales (connexions et céré- belleuses des 3' à 12' paires
nerveuses
), 94. Cérébrales (variétés des circonvolu- ti
bulbo-protubérantielles, 112. Diabète ,'pathogénie et accidents
nerveux
du), par Dreyfous, 436. Divorce et folie, 261.
ique, 120 .. 272, 413. Société de psychiatrie et des mala- dies
nerveuses
de Berlin, 275. Sorcières (de quelques médicame
erstition et responsabilité, 268. Syphilis et tabès, 107. Système
nerveux
central (affections du), 1 05 ;-(dans l'ergotis
périeure du filum terminal, ayant comprimé isolément les filets
nerveux
), 109. Archives, t. VI. 29 TABLE DES AUTEU
ONOGRAPHIE DE E LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
Imp. Vvc LouRnoT, 33, rue des l3atignolles, 33,
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
PUBLIEE SOUS LA DIRECTION Du PROFESSEUR CHARC
nel ont été atteints d'apoplexie. Sa mère, âgée de 56 ans, est très
nerveuse
, très irritable ; elle n'a jamais eu de crises
Huet. CONSIDÉRATIONS SUR LE TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
PAR LA MÉTHODE DU DOCTEUR MOTSCHOUTKOVSKY (Su
e il était naturel de se demander si la dure-mère et la subs- tance
nerveuse
de la moelle subissent un allongement pendant la
C B qui 1. Voir le no 6, 1891. TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
19 pourra s'allonger ; la partie A C, étant sit
ar le même procédé nous avons pu nous convaincre que la subs- tance
nerveuse
de la moelle s'allonge pendant la suspension. A
gitudinal et transversal ; il en TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 21 est de même pour le canal central. La press
sions anatomo-pathologiques des maladies sys- tématisées du système
nerveux
comme résultat d'un processus inflamma- toire o
évroglie amène consécutivement la compression et la mort des fibres
nerveuses
. Les manifestations extérieures du processus morb
f, seront toujours l'expression d'un état d'irri- tation des fibres
nerveuses
et de leur atrophie ou compression par la né- v
22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. anémie de la substance
nerveuse
qui doit avoir une action favorable et dans les
port des éléments toxiques qui produisent la destruction des fibres
nerveuses
. Dans les périodes avancées de la maladie, il d
apeutiques, nous n'osons même pas rêver de faire revivre les fibres
nerveuses
détruites et remplacées par du tissu conjonctif
dant, contentons-nous de chercher à relever la nutrition des fibres
nerveuses
et les préserver autant que possible de l'influ
d du sang, un allongement de la moelle avec écartement des éléments
nerveux
, nous rappelons à la vie les tubes nerveux, nou
écartement des éléments nerveux, nous rappelons à la vie les tubes
nerveux
, nous éveillons leur fonction à demi-éteinte et n
on répétée amenant chaque fois un afflux du sang nouveau aux fibres
nerveuses
comprimées et anémiées améliorera leur nutritio
revenir à l'état qu'elle présentait avant la suspension, les libres
nerveuses
deviendront de moins en moins enserrées par le ti
ar consé- quent pour résultat : 1" de retarder la mort des éléments
nerveux
et 2° de ren- dre possibles les fonctions des t
léments nerveux et 2° de ren- dre possibles les fonctions des tubes
nerveux
encore vivants. Cliniquement, ces résultats se
act, il faut s'attendre à ce que TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 23 la suspension ne donne des résultats favora
festations morbides sont provoquées par la compression des éléments
nerveux
par le tissu conjonctif proliféré et 2° quand l
onjonctif proliféré et 2° quand le trouble des fonctions des fibres
nerveuses
est lié à un état anémique et à une nutrition l
s où les symptômes morbides sont provoqués par la mort des éléments
nerveux
ou par un trouble de nutrition irrépa- rable.
ptômesmorbides sont la manifestation de la compression des éléments
nerveux
par le tissu conjonctif; quant aux névroses, la s
nctif joue un rôle notable. La dégénérescence secondaire des libres
nerveuses
se produit par suite de leur séparation d'avec le
dé- placement a une influence nuisible sur les fonctions des tubes
nerveux
intacts et la suspension peut devenir utile mêm
ouleurs ne sont qu'en partie provoquées par l'irritation des fibres
nerveuses
, elles tiennent principalement à la compres- si
es paresthésies tiennent surtout à l'état d'ir- ritation des fibres
nerveuses
malades et en partie seulement à la compres- si
nesthésie, elles sont dues à la conductibilité défectueuse de tubes
nerveux
comprimés et atrophiés. La suspension amène t
provoqués par la com- pression que celle-ci exerce sur les éléments
nerveux
. Il est beaucoup plus difficile de faire dispar
eaucoup plus difficile de faire disparaître l'irritation des fibres
nerveuses
qui tientau processus dégénératif, etparconséquen
par des troubles de la motilité TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 25 et des phénomènes spasmodiques. Les trouble
motilité (paralysie) sont déterminés par la compression des fibres
nerveuses
et leur atrophie, les phénomènes spasmodiques,
uve pas des symp- tômes uniquement dus à la compression de la fibre
nerveuse
par le tissu conjonctif, on constate que l'acti
sion une distension de la névroglie, une décompres- sion des fibres
nerveuses
encore aptes à fonctionner et une activité plus
tres dépendent de la mort ou des troubles de la nutrition des tubes
nerveux
contre lesquels le traitement est impuis- sant.
suspension ne se faisant plus, la névroglie se resserre, les fibres
nerveuses
sont de nouveau comprimées et leur nutrition de
u interstitiel des nerfs grâce à laquelle la compression des fibres
nerveuses
devient moindre et leur conductibilité augmente.
ents doit être mise sur le compte de la compression des gros Ironcs
nerveux
et vasculaires, l'autre doit être imputée à la mé
distension de la névroglie et il faut dire que cel état des centres
nerveux
n'est pas sans of- i'rir quelque danger ; certa
s. Enfin, il ne faut pas oublier TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 27 qu'une distension trop grande et trop brusq
aux et occasionner des hémor- rhagies dans la substance des centres
nerveux
. Pour se rendre compte des dangers de ces hémor
plan, en se déplaçant pendant le TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 29 mouvement de la planche, indique l'angle d'
u D' Bogroff pour la suspension. TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 31 n'ont que 37 centimètres ; quand au contrai
es qui passent sous les aisselles et qui compriment les gros troncs
nerveux
et vasculaires et nous avons renoncé complètement
sera en proportion directe av ec TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 33 la durée et l'énergie de l'acte de suspensi
par là améliorer la nutrition et rétablir les fondions de la fibre
nerveuse
et pour cela nous demanderons à la suspension u
née dernière, était traitée à la TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 35 clinique duDl' Motschoutko-\sky. Elle nous
des processus morbides inflam- matoires ou dégénératifs du système
nerveux
central. BIBLIOGRAPHIE MOTSCHOUTKOVSKY. Wrats
t de l'ataxie locomotrice et de quelques autres maladies du système
nerveux
par la suspension. Progrès me'd., XVIII, 25, 18
OULT. De la suspension dans le trai- tement des maladies du système
nerveux
. Progrès méd., 25, VI, il, 331, 1890. Du- jARBi
. ADAM. De la suspension dans le traitement des maladies du système
nerveux
. Progrès méd., 25, X, 44, 47, 48, 1889. - Mouis
2, 661, 1889. - Short. The brit. TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. 37 med. Journ., 14 sept., p. 602, 1889. Neurol
38. P. V. STEIN. La sus- pezzs. appliquée au traitement de maladies
nerveuses
. Piatigorsk, 1889. ALEXANDRE BOGROFF, Médecin
LATÉRALE HYSTÉRIQUE. Mademoiselle X., âgée de 17 ans, d'une famille
nerveuse
, vint me con- sulter en février 1891 pour une d
de récidive. C. C. DELPRAT, Chef de la Policlinique des maladies
nerveuses
, à l'hôpital de l'Université d'Amsterdam. FIÈ
il ne s'agit alors que d'excitations plus ou moins vives du système
nerveux
, transitoires ou prolongées, qui dans ces cas é
ment comme caractères des névroses le trouble spécial des fonctions
nerveuses
et la dépendance non nécessaire de lésions anat
lgies, nous dit qu'il était en proie à de fréquents accès de fièvre
nerveuse
. Cependanl, il ne nous est pas possible de savo
vroses. (2) Loc. cit. (3) Traité clinique des maladies du système
nerveux
, (4) Bail, Maladies' mentales, p. 84. 46 NOUV
itôt qu'ils ferment les (1) Traité clinique des maladies du système
nerveux
, page 495. - · v 4 50 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
tif, et comme il n'yeutni traumatisme ni inflam- mations dû système
nerveux
mais bien des symptômes hystériques, on en conc
anurie hys- (4) d. 1\1. Charcot-, Leçons sur les maladiesdu système
nerveux
, p. 275, 398, 1886. (2) A. Fabre. Les relations
, 398, 1886. (2) A. Fabre. Les relations pathogéniques des troubles
nerveux
, p. 120, 1880. FIÈVRE HYSTÉRIQUE. ' " . '. 53
lative de la nutrition et finalement on doit ajouter que la théorie
nerveuse
de la fièvre ne doit pas être mise complètement d
ble. - J. A. ESTÈYES, professeur agrégé , Des maladies du système
nerveux
à la Faculté Buenos-Ayres. (1) Progrès médical,
ons cérébrales. Mère. 76 ans, vit encore. n'a jamais eu de maladies
nerveuses
. Deux frères bien portants, une soeur également
oncles bien portants et cinq tantes qui n'ont jamais eu de maladies
nerveuses
. Une do ces tantes est tuorte'a la Salpètrièrc,
réditaires. Père de 39 ans, ouvrier sobre et bien portant mais très
nerveux
, s'emporte très facilement. Il a quatre frères et
Il a quatre frères et une soeur tous bien portants. Pas de maladies
nerveuses
. Grand-père paternel, mort à 66 ans d'une pneum
neumonie; grand'mère morte à 65 ans on ne sait plus de quoi. Pas de
nerveux
dans la famille. Mère âgée de 33 ans, nerveuse,
plus de quoi. Pas de nerveux dans la famille. Mère âgée de 33 ans,
nerveuse
, coléreuse; pas d'attaques de nerfs. Elle a trois
orts. M. P. Richer, chef de laboratoire de la clinique des maladies
nerveuses
, a exa- miné notre malade au point de vue des f
es maladies diverses el en particulier dans les maladies du système
nerveux
(1), Il nous sera permis de citer parmi ces aff
urs l'écriture, lorsqu'il s'agit d'un sujet atteint d'une affection
nerveuse
avec des troubles de la parole ou du mouvement.
la mère a eu beaucoup d'ennuis pendant sa grossesse, elle est très
nerveuse
et très coléreuse. C'est un petit garçon que l'on
e) E. Huet, Ancien interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
. Nouvelle iconographie de. la Salpètrière £ T.
colioses, sont fréquemment associées à diverses maladies du système
nerveux
. C'est la en neuropatho- logie un chapitre rela
ire, ail- leurs presque constante, la déviation vertébrale de cause
nerveuse
possède parfois une valeur séméiologique consid
inique. Cas particulier des rapports qui unissent l'étal du système
nerveux
et des muscles au dévelop- pement et à la nutri
nous nous contenterons de passer en revue les différentes maladies
nerveuses
où se sont rencontrées, il notre connaissance,
u'on a constatés entre les scolioses vulgaires et diverses maladies
nerveuses
. La scoliose vulgaire accompagnant une névropathi
exces- sives, est allé jusqu'à déterminer une compression de l'axe
nerveux
. llampfield (2) en a cité un exemple : une gibb
tres fois, son apparition est contemporaine du débul des trou- bles
nerveux
. Exceptionnellement, la scoliose peut précéder ce
s. Le malade ne connaît parmi ses proches, aucun exemple de maladie
nerveuse
ni de déviation verté- brale. A. P. Santé ant
atre autres ont suc- combé à des affections aiguës. Pas de maladies
nerveuses
connues dans la fa- mille. Le malade est père
ptable, même dans les cas où la scoliose précède les manifestations
nerveuses
caractéristiques. D'ailleurs Broca lui-même s'e
M. P. ficher, qui ligure dans le musée de la clinique des maladies
nerveuses
, et qui représente une femme tabétique assise, vu
I IALLIUN, Ancien Interne de la Clinique îles maladies du système
nerveux
. CONTRIBUTION A L'ETUDE LE L'EXCITABILITÉ É
e) E. HUET, Ancien interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAI
CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES
NERVEUSES
, SERVICE DE M. LE PROrr CHARCOT) 3. Symptômes a
thétose double, au repos et au calme absolu, les rendre ainsi moins
nerveux
et leur ordonner un régime tonique et hygiénique.
ières années nous avons appris à mieux connaître certaines maladies
nerveuses
. Nous nous proposons donc, dans ce chapitre, d'
ents héréditaires. Nous savons seulement que sa mère a toujours été
nerveuse
et émotive. Elle-même n'a jamais eu, dit- elle,
CHAPITRE IV DÉVIATIONS VERTÉBRALES DANS DIVERSES AUTRES MALADIES
NERVEUSES
. Aliénation mentale. Paralysie générale. Il r
auteurs rapprochent les cas de ce genre de l'osléomalacie de cause
nerveuse
admise par Virchow, par Litzmann (8). Peut-être
que son siège dans la région lombaire, ré- (1) Maladies du système
nerveux
. Amyotrophies. 214 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
ion peut éclairer la pathogénie des scolioses vulgaires. Maladies
nerveuses
diverses. Il nous reste à citer quelques maladi
aladies nerveuses diverses. Il nous reste à citer quelques maladies
nerveuses
où les déviations ver- tébrales sont trop rares
si toutefois cette maladie doit prendre place parmi les affections
nerveuses
. M. Broca (2) a étudié le rachis d'une femme ac
ie, où l'on a voulu localiser des centres vaso-moteurs, des lésions
nerveuses
capables de causer une altération des os, et en
a scoliose vulgaire frappait volontiers les sujets chargés de tares
nerveuses
héréditaires. Landois (1) a récemment produit à
rement créé dans cet hospice et rattaché à la Clinique des maladies
nerveuses
, un exemple intéressant de cette as- sociation.
e manifester, dans une même fa- mille, à la fois par des affections
nerveuses
, et par des malformations diverses, 222 NOUVELL
troubles du système osseux, aussi bien que des troubles du système
nerveux
; ces deux systèmes seraient frappés cha- cun po
ent frappés cha- cun pour leur compte. Rien ne prouve que la lésion
nerveuse
soit néces- sairement la première en date et la
e. HALLION, Ancien interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
. NOTE SUR QUELQUES ATTITUDES RARES OBSERVÉES
par deux de nos jeunes maî- tres les plus compétents en pathologie
nerveuse
; le diagnostic ne fut for- mulé d'une façon pré
fa- cial, des nerfs du plexus brachial, et des divers autres troncs
nerveux
, ne déterminait pas de contraction musculaire.
aison de nombreux malades atteints d'affections diverses du système
nerveux
ou du système musculaire (myopalhies primitives
E. HUET, Ancien interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAI
CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES
NERVEUSES
. SERVICE DE M. LE PROF'' CIL111C01' (Suite ').
la période intercalaire, en comprimant les gros troncs artériels et
nerveux
des bras (nerfs médians et les artères brachial
e et qui surviennent à titre de complication au cours d'une maladie
nerveuse
. Leur début est toujours accidentel, jamais con
s atteints ÉTUDE CLINIQUE sur l'athétose DOUBLE. 261 d'affections
nerveuses
. L'hystérie de la mère a été observée par Richard
ent, comme on le sait, agir d'une façon très fâcheuse sur le centre
nerveux
de l'enfant ; l'athétose double n'échappe pas à
ir au- jourd'hui : le traitement de certaines affections du système
nerveux
parles vibrations mécaniques. M. Vigouroux ét
apides et con- tinues au traitement de quelques maladies du système
nerveux
. Leçon recueillie par Gilles de la Tourette.
u'il a employée dans le traitement de certaines maladies du système
nerveux
. L'ouvrage de M. M. Granville peut être divisé
alisé, on percute et fait vibrer localement les nerfs et les plexus
nerveux
de voisinage, s'il est plus étendu, comme dans la
vibra- tion ainsi pratiquée ne soit un sédatif puissant du système
nerveux
. On sait que depuis longtemps les médecins alié
action sédative peut exer- cer une action excitante sur le système
nerveux
; en fait elle est contre-in- diquée dans toute
LES DE la TOURETTE, Ancien chef de clinique des maladies du système
nerveux
. DEUX CAS D'ANOREXIE HYSTÉRIQUE L'anorexie hy
dérer comme sa condition pa- thogénique une certaine dégénérescence
nerveuse
. Sa durée est indéfinie, on pourrait dire qu'el
es, de volume normal. La soeur est faible de constitution, mais,pas
nerveuse
. Antécédents personnels. D... aurait eu une fiè
ncien interne, médaille d'or de la clinique des maladies du système
nerveux
. ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAI
CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES
NERVEUSES
. SERVICE DE M. LE PROF'' CHARCOT') (Suite et fi
ns retrouver ces termes épars dans d'autres affec- tions du système
nerveux
. De même par exemple que l'hémiplégie appar- ti
un frère plus jeunes que notre malade, sont bien portants mais très
nerveux
. Antécédents personnels. Bien portante et intel
oncle du côté paternel. Le père de la mère de l'enfant. Pas de tare
nerveuse
. Un frère est mort tout petit on ne sait pas de
etit on ne sait pas de quoi ? Une soeur bien portante, sans accidents
nerveux
, a 2 filles bien portantes (18 et 13 ans). Pa
utôt agréable, pas de convulsions de l'enfance (ni son mari), assez
nerveuse
, pas de céphalalgie, ni de migraine, ni de né-
, ni de né- vralgie, ni de rhumatismes, ni dartreux, aucun accident
nerveux
. Mariée à 20 ans. Père mort d'une chute d'un ar
de la variole. Troisième on ne sait de quoi, mais pas d'ac- cidents
nerveux
. Leurs enfants seraient bien portants. Un frère m
ux ans pendant le siège. soeurs bien portantes, sans aucun accident
nerveux
, 3 ont des enfants bien portants, sans convulsi
rise des complications qui peuvent survenir dans certaines maladies
nerveuses
, sous forme de mouvements involontaires. Dans
, 1853). Progrès médical, 1878. Leçons sur les maladies du, système
nerveux
, t. II. - Leçons sur les maladies du système ne
es du, système nerveux, t. II. - Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III. Semaine médicale, 1886. Le- çons du ma
ICHER, Chef du laboratoire de la Clinique des maladies du système
nerveux
. Le gérant : Louis BATTAILLE, Imp. Vve Lounno
xiliaires indispen- sables, l'anatomie et la physiologie du système
nerveux
, la pathologie mentale, la psycho- logie des ra
eulement les rapports de l'hystérie simulatrice avec les mala- dies
nerveuses
organiques, un nouveau choix s'imposait parmi ces
uer et à cataloguer les affections les plus dispara- tes du système
nerveux
. Voici d'ailleurs les conclusions de l'auteur : «
n parcouru depuis 1850 dans la connaissance des maladies du système
nerveux
et de l'hystérie en particulier. C'était là not
e l'hys- térie infantile par la connaissance des lois de l'hérédité
nerveuse
. « Il est (1) Charcot, loco citato. 334 NOUVE
ystérie des enfants. L'impressionnahilité naturelle de leur système
nerveux
et les lois de l'hé- rédité, admises par tout l
priori; au con- traire, les lois de l'hérédité et la susceptibilité
nerveuse
du premier âge l'expliquent suffisamment, « En
er la question plus spéciale de l'hystérie simulatrice des maladies
nerveuses
organiques chez les enfants. Mais avant d'en fa
u respiratoires. Pour ce qui est des maladies organiques du système
nerveux
, leur étude était naguère encore si peu avancée
combinaisons de l'hystérie avec les maladies organiques du système
nerveux
; il en a fourni deux exem- ples où les lésions
t que si l'hystérie peut simuler les maladies organiques du système
nerveux
, elle peut aussi bien se combiner de diverses f
soutient au contraire la simulation de l'hystérie par les maladies
nerveuses
organiques ? Nombre de cas rapportés par cet aute
et non moins bien observés. Tant pis si l'hystérie et les maladies
nerveuses
organiques s'identifient au point d'être souven
Charcot, Gazelle hebdoniad. (1865) et Leçons sur les malad. du syst.
nerveux
, t. I, p. 361. (2) Grasset, Leçons sur les ma
ystem, London (1891). (6) Charcot, Leçons sur les malad. du syst.
nerveux
, t. III, p. in. 312 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
l'étude complexe des syndromes hystériques simulateurs des maladies
nerveuses
organiques. Pour être jus- tes, nous ne devons
l'hys- térie d'une part, clans cette maladie organique des centres
nerveux
d'autre part, des ressemblances assez grandes d
878), distinguait une forme primitive, indépendante de toute lésion
nerveuse
organique. La thèse récente de Michaïlowski (4)
argée cle la simulation hystérique des diverses maladies du système
nerveux
. Poursuivant notre comparaison de l'hémiplégie
ésiterait pas à se prononcer pour la lésion organi- que des centres
nerveux
. Mais les difficultés de diagnostic ne sauraien
ore fréquemment. Mère âgée de 49 ans, bien portante, nie toute tare
nerveuse
dans sa propre fa- mille. Aeu 2 enfants d'un pr
cas intéressant à cause de la netteté avec laquelle les phénomènes
nerveux
se sont produits, à cause de la nature particuliè
rts, tous dans le premier âge, et de maladies étrangères au système
nerveux
. Pour ce qui regarde ses antécédents personnels
même ne produisit qu'une légère hémor- rhagie. Mais l'ébranlement
nerveux
fut très intense, et vous voyez que notre malad
plet, s'est développé lentement. Trois ou quatre mois après le choc
nerveux
, notre malade commença à éprouver un poids et u
'est-à-dire, que les deux phénomènes, (1) Voyez Maladies du système
nerveux
, t. III, p. 323 et suivantes. HYSTÉRIE TRAUMATI
les phénomènes observés chez l'hystérique et provoqués par un choc
nerveux
, ont été des phénomènes capricieux : paralysies,
demander, si l'état mental oc- casionné par l'émotion, par le choc
nerveux
éprouvé au moment de l'ac- cident et qui lui su
notisme et dans l'autre cas, comme on se l'est imaginé, par le choc
nerveux
, celte idée s'installe, se fixe dans l'esprit, do
e manifestent pas immédiatement après que l'individu a reçu le choc
nerveux
; qu'ils apparaissent après deux ou trois mois et
airement la manière dont est liée la cause qui provoque le désordre
nerveux
, avec les phénomènes par lesquels celui-ci se t
pression ne l'aban- donne plus depuis le moment où il subit le choc
nerveux
. Il la ressent constamment depuis ce jour, elle
vent avoir pour base une rupture de la gaîne de myéline, des fibres
nerveuses
et la formation de substances colloïdes, lésion
tion traumatique. Au moins dans quelques-uns de ces cas, le trouble
nerveux
est le résultat d'une lésion réelle des tissus pr
Ecole de médecine et professeur de Clinique des maladies du système
nerveux
: l Santiago (Chili). LA FARADISATION THÉRAPEUT
ou trop irritables (comme cela se rencontre surtout chez les sujets
nerveux
). Un rhéophore peut être placé au point correspon
y a que rarement un exsudat considérable ou une altération du tissu
nerveux
grave. Les douleurs de la sciatique disparaisse
qu'il est établi depuis longtemps dans la physiologie qu'une fibre
nerveuse
conduit l'irritation vers le centre comme vers la
ou un autre viscère qui est inflammé ou hy-' perémié ? Les centres
nerveux
et les viscères sont-ils inaccessibles au trai-
Quelle doit être la méthode s'il s'agit d'une affection d'un centre
nerveux
ou d'un viscère ? Le grand sympathique contenan
puis sa crosse et traverse avec elle le diaphragme. Tous les plexus
nerveux
abdo- minaux sont reliés à lui par des anastomo
hagie cérébrale produit la paralysie en comprimant certaines fibres
nerveuses
et en déchirant d'autres ; c'est par un choc qu'e
e choc est un état passager, mais la continuité de certaines fibres
nerveuses
reste lésée pour toujours. La guérison complète
les cas légers (où l'on ne peut pas supposer Une rupture des fibres
nerveuses
) le retour des mouve- ments volontaires sans qu
er la contracture et la restitution de la conductibilité des fibres
nerveuses
. Cela est d'autant plus admissible que toute irri
tions sur des chiens, sur l'influence de la galvanisation des centres
nerveux
sur le ca- libre de leur vaisseaux. Ziemssen, ,
autres cas, non seulement le malade ne meurt pas, mais les éléments
nerveux
de la moelle résistent jusqu'à un certain point
rois que l'excitation est portée jusqu'à ces ganglions par les fibres
nerveuses
qui les relient entre eux. Le succès de notre m
anatomiquement cette affection, ne tend pas à détruire les éléments
nerveux
rapidement. Notre procédé est très efficace dan
icher, Chef du Laboratoire de la Clinique des maladies du système
nerveux
. (1) Parmentier, De la forme narcoléptique de l
is PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
fiêlieltirei chef : Docteur Edgar BÉRILLON CO
gr, James Braid définit l'hypnotisme « un état particulier du système
nerveux
délep-' miné par des manœuvres artificielles* f*)
eprésente cliniquement un groupe naturel comprenant une série d'états
nerveux
différents les uns des autres» chacun d'eux s'acc
stérie joue ici le plus grand rôle (2). Pour les autres, le sommeil
nerveux
n'a rien de pathologique. Pour Liébeault et ses é
s Siuo.s, 1883. p. 19. (t) J. M. Charcot: Note sur les divers états
nerveux
déterminés par Vhypnotisation sur les hystéro-éoi
en le considérant comme dû à la dissociation fonctionnelle desceñiros
nerveux
aboutissant à une annihilation plus ou moins fort
h, que les manifestations d'un seul et même état morbide, la diathèse
nerveuse
(3). Si nous ignorons la nature de cette débili
Si nous ignorons la nature de cette débilité fonctionnelle du système
nerveux
qui constitue l'état névropathique, nous ne la vo
oses. Or, cette même prédisposition commune à la plupart des maladies
nerveuses
se retrouve plus ou moins nettement dessinée dans
soi-disant tel, ou même atteint d'une autre affection du système
nerveux
et hypnotisable, le médecin ne pourra pousser plu
à-vis d'eux une indépendance relative ('). Ils prouvent que lesystème
nerveux
cérébro-spinal esttout comme la chaire ganglionna
imentale (4)¦ (1) E. BmsSAtii) : Leçvis sur les maladies du système
nerveux
, 1835, p. 225 et suiv. (2) Durand de Gaoâ citrt
n et les avantages d'une école qu'il vient de fonder pour les enfants
nerveux
à Wurtz-bourg. Les communications portées à Tor
eu. Ses parents étaient bien portants et je ne trouve aucune maladie
nerveuse
ou mentale à relever dans la famille. Je consei
ypnotique à entreprendre chez un malade ou plus généralement quand un
nerveux
se présente à notre examen, il est de la plus gra
itudes vicieuses. D' Henry Lemesle : Fausses grossesses et grossesses
nerveuses
. 0- Félix Regnault : Le dédoublement de la person
les-ci distendainnt les gaines adventices. Les cellules et les fibres
nerveuses
, ainsi que lanévroglio, étalent dans un état d'in
ibuent ce sommeil léthargique à l'effet du chloroforme sur le système
nerveux
de la jeune fille. Suggestion olfactive M. de
chroniques. Les résultats de ce traitement sont évidents: le système
nerveux
affaibli par le vin, réagit par le j retour de l'
e de changements d'humeur, une irritabilité prononcée de leur système
nerveux
et l'impossibilité presque complète de se retenir
t de ia suggestion^ réside dans son influence calmante sur le système
nerveux
, surexcité par l'alcool, ce qui amène immédiateme
t pas se i rendre compte en moins d'un an des oscillations du système
nerveux
propres à chaque organisation individuelle. Dan
osophie, âgé de 30 ans, souffrait depuis près de trois ans de spasmes
nerveux
du canal de l'urèthre. L'urine s'écoulait en un m
consulter de médecin, de peur do sondages ou d'opérations, se sachant
nerveux
et attribuant ces phénomènes en grande partie à s
u'elle est définitive, malgré la brièveté du traitement. Si ce spasme
nerveux
revenait, quelques suggestions de plus le déracin
suggestions les réduiraient si facilement. Chez bon nombre de sujets
nerveux
, il ne faudrait recourir à une autre médecine que
e se produirait pas. Le dégoût qu'il éprouve lui procure une secousse
nerveuse
salutaire. M. Bérillon en rapproche avec raison l
1) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du système
nerveux
, a la Salpetriùro. carotide, on constate qu'e
1} Présentation de malade faite a la clinique des maladies du système
nerveux
à la Salpêl . . . Cette jeune fille dérobe de
1) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du système
nerveux
, à la Sa!p£iriôrc. à ma connaissance, une err
u une évolution normale et a été réglée à 14 ans 1/2. Toujours un peu
nerveuse
, elle a même présente du somnambulisme nocturne.
us un verre grossissant. Or, le malade, homme d'un tempérament très
nerveux
, avait l'habitude' de mâchonner et de mordiller s
ait que par moments l'envie de ronger du fil la prend comme une crise
nerveuse
, avec une sensation d'angoisse qui ne se calme qu
m et un aliment à ses sensations voluptueuses, elle se créa un centre
nerveux
de dérivation, j'allais dire d'inversion sexuelle
ussés à leurs dernières conclusions, à mettre enjeu les mômes centres
nerveux
, provocateurs de mêmes sensations voluptueuses.
fillette devint femme, cette transformation s'accompagna de symptômes
nerveux
et de tendances rien moins que religieuses. La pu
er rang, en intensité et en durée, se montrèrent les tJOTiiis-sements
nerveux
qui persistèrent pendant vingt ans, et les maux d
ue nous montre une fois de plus l'esprit romanesque et le tempérament
nerveux
de Thérèse. « Il y avait là un ecclésiastique q
moi. » Cependant aucune amélioration ne se produisit et les crises
nerveuses
s'installèrent avec leur mise en scène habituelle
wurcu que « l'on ne me touchât pas. » C'est au milieu de ces crises
nerveuses
, si complètes qu'à elles seules elles fourniraien
n est intéressante et constitue une page ; très précise de pathologie
nerveuse
. « Lorsque, dans cette quatrième manière d'orai
cha, voyant Jésus toujours à sa droite. Tout cet ensemble do crises
nerveuses
, d'hallucinations, d'extases, fut sévèrement jugé
ours. II y a de cela plus d'un an. II Julia H..., 11 ans, vive et
nerveuse
, urinaitaulit toutes les nuits depuis sa naissanc
n. Cette notion d'œdème dur et localisé pouvant apparaître chez les
nerveux
, est importante. Elle explique les faux cancers d
s avec les procédés usités actuellement dans les services de maladies
nerveuses
. Aussi (1) Voir observation, Société d'hypnolop
c'est-à-dire quatre enfants profondément atteints ^dans leur système
nerveux
. Ma nouvelle série d'observations confirme les
t émises sur la valeur de l'incontinence comme stigmate de l'hérédité
nerveuse
. Dans les familles auxquelles appartiennent ces m
ns une œuvre nouvelle. Elle se trouvait dans un état de surexcitation
nerveuse
développée par le travail, la mémoire affaiblie,
pouvait en quelques instants briser son avenir. D'un tempérament très
nerveux
, très impressionnable, elle était devenue absolum
u d'exemples dans nos revues, mais nous savons tous que les accidents
nerveux
, même dus à une intoxication, sont susceptibles d
hement assez rapide la veille au soir, elle avait été prise de crises
nerveuses
, avec perte de connaissance. Depuis elle paraissa
fait qu'elle dormirait ainsi, dans un calme profond sans aucune crise
nerveuse
, jusqu'au lendemain matin et qu'elle se réveiller
défaut, mais les circonstances dans lesquelles apparurent les crises
nerveuses
signalées par la sage-femme et l'entourage de la
sionnable, riant et pleurant pour les choses les plus futiles. Crises
nerveuses
qui ont débuté à 19 ans et qui surviennent à la s
3) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du système
nerveux
à la Salpetrière. Bordeaux qui, de temps à au
1) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du système
nerveux
a la Salpétriere. l'éducation des mouvements,
la suggestion hypnotique. Victor B., 26 ans, de tempérament un peu
nerveux
et sans tare héréditaire appréciable, est malade,
ndre à l'hystérie ce qui lui appartient. Dans les nombreuses maladies
nerveuses
que nous sommes appelés à constater, le plus souv
e d'épilepsie et surtout de rage. En effet, tout ce qui est trouble
nerveux
, particulièrement chez le chien et le chat, est m
ela, elles peuvent être ressenties suffisamment pour produire un choc
nerveux
et provoquer des phénomènes hystériques. La peu
ence du traumatisme. — Le choc traumatique est tout différent du choc
nerveux
, celui-ci est la conséquence d'une émotion vive,
ion hystérique. La maladie des jeunes chiens est suivie d'accidents
nerveux
épilepti-formes, choréiques, dans lesquels l'hyst
tration. — Il ne faudrait pas oublier d'étudier de près les accidents
nerveux
des juments soumises constamment à ia reproductio
ayant présenté sous l'impression de causes d'ordre moral des troubles
nerveux
très accentués. Un de ces animaux, qui avait dé
été sacrifié, on ne constata, à l'autopsie, aucune lésion des centres
nerveux
. Dans le second cas, il s'agit d'un chien de on
bles sur leur marche et sur l'absence de lésions visibles des centres
nerveux
, capables de les expliquer, propose de les assimi
. Sa mère était une triste et avait de grandes crises; son père était
nerveux
, colère, irritable. Elle a été réglée à 12 ans. A
» « Les attaques de nerfs sont certainement une des manifestations
nerveuses
les plus connues. De tous temps on lésa regardées
urs écrivains montrèrent qu'il s'agissait tout simplement de maladies
nerveuses
. Voir A. Maury, la Magie et l'Astrologie, Paris,
X, 31, etc.). Il guérit aussi un hydropique, l'hydropisie peut être
nerveuse
, mais là-dessus nous n'avons point de ^détails (L
e {Actes, XXVIII, 7). Nous dirons simplement qu il existe des fièvres
nerveuses
d'une extrême violence, et que la suggestion peut
ics et des habitudes automatiques. Fausses grossesses et grossesses
nerveuses
Par M, le docteur Henry Leuesle. La Cour de S
erbie ayant donné un regain d'actualité à cette page de la pathologie
nerveuse
, il m'a semblé que notre Société était mieux qual
ous suggérer. Les fausses grossesses sont le plus souvent d'origine
nerveuse
directe ou indirecte, mais il convient de ne pas
. Il convient toutefois de distinguer nettement : 1° Les grossesses
nerveuses
à substratum organique; . 2° Les grossesses ner
es grossesses nerveuses à substratum organique; . 2° Les grossesses
nerveuses
essentielles. 1° Grossesses nerveuses a substra
anique; . 2° Les grossesses nerveuses essentielles. 1° Grossesses
nerveuses
a substratum organique Une lésion organique de
ique intervient seul et où l'on se trouve en présence d'une grossesse
nerveuse
d'origine purement suggestive. 2° Grossesses ne
une grossesse nerveuse d'origine purement suggestive. 2° Grossesses
nerveuses
essentielles Il faut envisager : a) La grossess
ossesses nerveuses essentielles Il faut envisager : a) La grossesse
nerveuse
résultant de la crainte de la maternité; b) La
e nerveuse résultant de la crainte de la maternité; b) La grossesse
nerveuse
résultant du désir de la maternité, a) Grossesse
a grossesse nerveuse résultant du désir de la maternité, a) Grossesse
nerveuse
par crainte de la maternité. Les deux observati
de veille l'obsession qui jouait le « rôle d'arrêt. » b/ Grossesse
nerveuse
par désir de la maternité. v Nous devons nous d
grossesse de la ménopause peut encore être accentuée par les troubles
nerveux
ou autres qui marquent cette crise de la vie fémi
eule aurait pu suffire à provoquer l'illu- Un cas de vomissements
nerveux
incoercibles guéris par suggestion. Par M. le Dr
la légation de Serbie à Paris, nous avons pu savoir que la grossesse
nerveuse
avait été occasionnée par une affirmation de gros
de la remonter; elle lui explique que ses vomissements sont purement
nerveux
, qu'ils sont le résultat d'une mauvaise habitude
à moi, je suis bien persuadé aussi que ces vomissements sont purement
nerveux
et qu'ils ne font que perpétuer une mauvaise habi
ements, il y arrivera aussi bien. C'est naturellement la pathologie
nerveuse
qui est la plus intéressée à connaître l'état du
. Salpétrière. — Le cours de M. le Dr Jules Voisin sur les maladies
nerveuses
et mentales aura lieu de décembre à mai, les jeud
ue l'hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres affections
nerveuses
et qu'il y a lieu de rayer cette prétendue névros
peler hystériques, les analyser et les rapprocher des divers troubles
nerveux
que l'on est unanime à séparer de l'hystérie. C
e. Considérons les grandes manifestations de l'hystérie, les crises
nerveuses
, les paralysies, les contractures, les anesthé-si
même capables de faire apparaître chez les diabétiques des accidents
nerveux
et de déterminer des troubles circulatoires grave
st inutile d'insister sur ce point. Enfin, il y a d'autres affections
nerveuses
qui ne retentissent pas gravement sur la nutritio
ais elle est incapable de le guérir. Il n'y a pas une seule affection
nerveuse
bien définie et située hors des limites de l'hyst
tés, rétabli les circuits interrompus, rendu l'équilibre à la machine
nerveuse
, et, comme par l'effet d'une commutation électriq
t jamais sortie de son village, détail à souligner. Père cultivateur,
nerveux
; mère journalière, obtuse. « Il y a quelques mo
nt est restée dix jours à l'hôpital, ne présentant plus aucun trouble
nerveux
, aucun symptôme du côté de l'abdomen » ('). La
attaques aux puissants. Il existait donc un milieu propice de gens
nerveux
, excitables, prêts à se grouper autour d'un chef.
ations Inscrites : 1» D' LeMesnant des Chesnais : un cas de grossesse
nerveuse
; 2» Dr Bérillon : Traitement des habitudes alcool
long ; que ce vice de fonction, « primitif ou commandé par des actes,
nerveux
morbides, peut être n enrayé ou modifié par une t
et lorsque nous nous efforçons de calmer l'irritabilité des cellules
nerveuses
, d'équilibrer les fonctions mentales, d'utiliser
rable qui ait jamais été tentée pour l'étude du cerveau et du système
nerveux
central. Comme nous ne pourrons jamais vous parle
étudiant, comme vous le faites, les déviations des grandes fonctions
nerveuses
, en fixant les variations des échanges organiques
directement par l'intermédiaire des agents qui modifient la nutrition
nerveuse
, en diminuant, par vos méthodes d'enseignement pé
icher L'hypnotisme est l'ensemble des états particuliers du système
nerveux
déterminé par des manœuvres artificielles. Tout
jets hypnotisés ne répondent pas, dit Charcot, à un seul et même état
nerveux
. L'hypnotisme représente cliniquement un groupe
eprésente cliniquement un groupe naturel comprenant une série d'états
nerveux
, différents les uns des autres, chacun d'eux
ment pour le suicide Le D* Charles Jacobs, spécialiste des maladies
nerveuses
à Chicago, a demandé l'autorisation d'établir dan
e certaines portions du corps ou d'un groupe particulier d'extrémités
nerveuses
(comme en produit par exemple la cocaïne) mais c'
nt de la souffrance est obtenu sans engourdir ou disloquer le système
nerveux
général. L'état de trance n'est même plus nécessa
stions inconscientes. Il est possible qu'à la Clinique des maladies
nerveuses
, on rencontre actuellement moins de grandes hysté
ifester chez les personnes d'un âge très avancé. Fausses grossesses
nerveuses
Par M. le D' Le Menant des Chesnais L'expressio
M. le D' Le Menant des Chesnais L'expression courante de grossesse
nerveuse
est incomplète au point de vue scientifique puisq
icutaire connue sous le nom de môle. Appelons donc fausse grossesse
nerveuse
l'ensemble de ces phénomènes dont j'apporte deux
onctionnelle de notre organisme, et dans la pathologie des affections
nerveuses
. Voici tout d'abord mes deux observations : U
on confrère, et a produit chez vous ce que l'on appelle une grossesse
nerveuse
. Vous n'êtes pas enceinte. » Malgré la peine pr
éressante communication. Il s'agissait également de deux grossesses
nerveuses
, mais à l'envers des cas ordinaires, elles avaien
reparaître les règles chez ces deux femmes. Les fausses grossesses
nerveuses
ne sont pas très rares, et peuvent quelquefois se
nctions de notre organisme. Discussion M. Lépinay. — La grossesse
nerveuse
existe dans les espèces animales, moins cependant
perd fl) Présentations faites a la clinique des maladies du système
nerveux
à la Sal-pêtrière. pas connaissance et on la
e a eu des hémoptysies, peut-être traumatiques, mais, peut-être aussi
nerveuses
. En tous cas, actuellement, l'examen minutieux du
se : s'agit-il d'une affection organique, ou d'une affection purement
nerveuse
, ou de l'association des deux? Pour faire le diag
se livre, en compagnie du regretté Dr Gibert, à l'étude des maladies
nerveuses
, en particulier de l'hystérie et de l'hypnotisme.
Directeur du Laboratoire de psychologie de la Clinique des maladies
nerveuses
à la Salpêtrière, il publie, en 1898, en collabor
; maladies organiques consécutives à une dépression morale; maladies
nerveuses
centrales ou périphériques, etc.) 2. Le trait
ilité; paralysies des membres, paralysies oculaires, mutisme, aphonie
nerveuse
, bégaiement, parésies, atrophies musculaires fonc
nsomnie persistante, affaiblissement de la volonté, hyperexcitabilité
nerveuse
, nervosisme, impuissance génitale d'origine psych
rigidité, cette théorie d'un raccourci que prendrait le mouvement
nerveux
expliquerait comment une action est exécutée en r
s d'anesthésie, d'autres d'hyperesthésie, des lopoal-gies, de l'œdème
nerveux
et quelques idées fixes. Je recours, celte fois e
sons n'ont jamais rien présenté d'anormal au point de vue cérébral ou
nerveux
. ' Enfin ce qui distingue essentiellement l'ant
uellement » l'antévu. Il est indispensable qu'à un moment ses centres
nerveux
aient reçu l'impression de cette image qu'ils ten
gaz, et il va imprégner directement les muscles, mais aussi le tissu
nerveux
pour lequel il a une affinité spéciale. A l'autop
ande persévérance ; ou essayera l'hypnotisme, on tonifiera le système
nerveux
, on exaltera la fonction respiratoire par des
ent entre les mains des ignorants. Alors on ne verra plus d'accidents
nerveux
touchant l'aliénation mentale, après des pratique
chologie en se refusant à étudier dans la chair palpitante le système
nerveux
de l'animal et de l'homme, ceux qui ont la préten
encé par l'étude anatomique et physiologique du cerveau et du système
nerveux
et ils ont trouvé par milliers les faits qui démo
t on concevait et dont on conçoit maintenant les maladies mentales et
nerveuses
. Dans les ténèbres du moyen âge, éclairées seulem
a sœur jumelle de la superstition religieuse, expliquait les maladies
nerveuses
et mentales par l'influence diabolique, et soigna
merveilleuse qui étudie toutes les gammes de la folie et des maladies
nerveuses
), l'école classique, dis-je, a continué à se déve
auto-suggestion appelle l'activité de l'individu sur certains centres
nerveux
. Elle développe certaines facultés et ce développ
nes facultés et ce développement, à cause de la facilité des cellules
nerveuses
à se reproduire en raison du travail qui leur est
t l'occasion d'une création ou d'une augmentation de certains centres
nerveux
. Considérons le centre nerveux dans l'exemple d
une augmentation de certains centres nerveux. Considérons le centre
nerveux
dans l'exemple d'auto-suggestion, auoir de bonnes
ux dans l'exemple d'auto-suggestion, auoir de bonnes idées. Le centre
nerveux
qui préside à ce travail peut donner dans une jou
l'auto-suggestion auotr de bonnes idées aura été pratiquée, le centre
nerveux
qui préside à ce travail aura été sollicité, son
s grand, soit cent bonnes idées dans une journée. Si ce même centre
nerveux
est sollicité tous les jours, si son activité est
ggestion bien pratiquée, en vertu de la loi d'entraînement, le centre
nerveux
grandira, grossira, s'augmentera; les cellules ne
ent, le centre nerveux grandira, grossira, s'augmentera; les cellules
nerveuses
se multiplieront. Et là où il n'y avait qu'une ce
ules nerveuses se multiplieront. Et là où il n'y avait qu'une cellule
nerveuse
, il y aura dix ou cent cellules nerveuses, effect
il n'y avait qu'une cellule nerveuse, il y aura dix ou cent cellules
nerveuses
, effectuant un travail dix ou cent fois plus gran
travail dix ou cent fois plus grand. Il existera un véritable centre
nerveux
, nous assistons à la création d'un centre nerveux
un véritable centre nerveux, nous assistons à la création d'un centre
nerveux
. Ce sont en effet les cellules nerveuses qui pr
ns à la création d'un centre nerveux. Ce sont en effet les cellules
nerveuses
qui produisent tout travail, musculaire ou intell
oduit sont des résultantes qui ont pour origine l'activité de centres
nerveux
. Le muscle qui se contracte se contracte parce qu
e qui se contracte se contracte parce que l'impulsion vient du centre
nerveux
qui lui est spécial. L'idée émise est émise parce
spécial. L'idée émise est émise parce que l'impulsion vient du centre
nerveux
qui lui est spécial. VII. — Exercice d'auto-sug
auxquelles il faut obéir. Les détraquements sont tous ces symptômes
nerveux
décrits par les traités, en nombre si considérabl
Vattention, qu'il envisageait dans ses manifestations comme un influx
nerveux
. Nous serions plus disposés à les considérer co
son état s'est constitué sont intéressantes. Son père était un homme
nerveux
qui avait de la tendance à parler seul, comme ces
qu'elle n'avait rien aux yeux. Un seul a prononcé le mot d'asthénopie
nerveuse
, et c'est déjà trop dire : elle n'a que des sensa
é endormie par un hypnotiseur célèbre. Avant cette époque, elle était
nerveuse
, impressionnable, mais pas d'un nervosisme morbid
la cause des accidents actuels. C'est ud cas d'aboulie sur un terrain
nerveux
, c'est de la psychaslhénie, un pur trouble mental
des troubles maladifs imputables à certaines modifications du système
nerveux
, guérissent parfaitement par l'hypnotisme et la s
ue à l'étude d'un état particulier des êtres vivants, dont le système
nerveux
présente un manque d'équilibre résultant de troub
— Mme X..., cabaretière, 40ans. —Constitution excellente. Est devenue
nerveuse
, irritable depuis quelques années à la suite de l
c droit. A la suite de cet accident, souffrances très vives et crises
nerveuses
fréquentes. Je suis amené à provoquer le sommeil
le, car la fillette a eu des convulsions dans son enfance et est très
nerveuse
. Depuis une dizaine de mois, le caractère a chang
Deux ans avant, c'est-à-dire il y a 10 ans, elle éprouve une secousse
nerveuse
violente. Au moment de ses règles, seule avec sa
r la pression ovarienne et oculaire. Je suggestionne longuement cette
nerveuse
, et j'insiste sur les rapport conjugaux. Comme tr
formée contre les spasmes de l'estomac et phosphate de soude, tonique
nerveux
. Je lui impose de revenir à ma consultation, huit
t presque instantanément le sommeil. Suggestion. Je maintiens cette
nerveuse
pendant plusieurs mois sous l'influence de me
ns la mesure du possible. Remarque. — Sous l'influence des troubles
nerveux
, alors que les ovaires sont troublés dans leurs f
aler dans ses antécédents. Sur cet ensemble se greffent des accidents
nerveux
(boule). Tous ces troubles ont été causés par cha
de gens revenus de l'Afrique du Sud sont en proie à une surexcitation
nerveuse
manifeste. D'autre part, il y a un accroissement
qui concerne les maladies de la nutrition, tes affections du système
nerveux
, la dermatologie, la gynécologie médicale. Le
s cas, en même temps que les leçons théoriques. Maladies du système
nerveux
M. Babinski commencera ses conférences clinique
nski commencera ses conférences cliniques sur les maladies du système
nerveux
le samedi 3 mai à 10 h. 1/2 et continuera tous le
le degré d'instruction du criminel, la misère économique, l'influence
nerveuse
d'une journée orageuse et chargée d'électricité,
el le criminel se développe, son tempérament qui peut être sanguin ou
nerveux
, lymphatique ou bilieux, — sa race, qui peut être
ve, ayant entraîné des blessures ou n'ayant provoqué qu'une commotion
nerveuse
tel qu'on l'observe dans le ralway Drain ou le râ
en apparence normalement ; mais les fonctions supérieures du système
nerveux
, l'attention et la volonté surtout, font défaut.
, si on lui applique une bonne pédagogie, si l'on tonifie son système
nerveux
, si l'on remonte sa volonté, on fera qu'il soit l
e à la fois épilcptiquc et alcoolique. Toute jeune-elle s'est montrée
nerveuse
et a eu des peurs morbides. Réglée à 13 ans, mais
u de temps. Elle va rentrer dans le service. On calmera son système
nerveux
; on lui fera de l'hypnotisme, mais du bon, de l'h
ant de), par Raymond, p. 124. Géant Hugo (Le), p. 128. Grossesses
nerveuses
et fausses grossesses, par Henry Lemesle, p. 178.
veuses et fausses grossesses, par Henry Lemesle, p. 178. Grossesses
nerveuses
(fausses), par Le Menant de Chesnais, p. 277. G
l'auto-suggestion (La), par Coste de Lagrave, p. 185. Vomissements
nerveux
incoercibles guéris par suggestion (Un cas de), p
T . F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE A. JOFFROY PRO
PAR F. RAYMOND, Professeur de Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. Messieurs, Le cas du malade qui va faire l'o
salle Bouvier ; il exerce la profession de maçon. Sa mère, une «
nerveuse
», est morte phtisique. Son père vit encore et
douleurs très vives. Le moindre ti- raillement, imprimé à un tronc
nerveux
, arrachait des cris au malade ; le NOU,ICONOCHA
es du malade, le moindre tiraillement auquel on exposait ses troncs
nerveux
et en particulier le sciatique (signe de Lasègu
utes les ressources capables de tonifier les systèmes musculaire et
nerveux
: massage, hydrothérapie, exercice en plein air,
n directeur Médecin adjoint de la Maison de Santé pour les Maladies
Nerveuses
de Toulouse. L'observation suivante relative
en portants et assez solides, n'ayant jamais présenté de phénomènes
nerveux
tels que : titubation, tremblements, strabisme.
t normale. supérieurs). Pas de troubles ob- jectifs. Les troncs
nerveux
ne sont pas sensibles à la près-, sion. Tro
nt pour nous permettre de rejeter l'hypotle ede toute autre maladie
nerveuse
, telle que : 1° Alaxie spinale médullaire ou ma
augmentée tant pour le courant de la moelle aux nerfs que pour 1 e
nerveux
musculaire ou musculaire direct, en tenant comp
COMME CAUSES DES DIFFÉRENTES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL (1) PAR R NICOLAS SOLOVTZOFF Prosec
ontinuation les corps vertébraux sont couverts d'une mince membrane
nerveuse
. Cette membrane représente la continuation dire
es cas de très forte hydrocéphalie. L'écorce se compose de cellules
nerveuses
dans la première époque de leur formation embry
côtés de la ligne du milieu se trouve une accumulation de cellules
nerveuses
à la première époque de leur formation, de là se
ours après, sa soeur est morte de diarrhée.A l'autopsie, le système
nerveux
central chez la seconde était normal, tandis qu
uissent être bien imbibés. Passons maintenant à l'examen du système
nerveux
central de la fillette sans cervelet. A l'exa
u de Meynert. La partie basale est très déformée. Toutes les fibres
nerveuses
qui forment le pied du pédoncule manquent; manque
dropisie du 3° ventricule. Passons maintenant à l'examen du système
nerveux
central des cas III et IV. Au-dessous de l'ou
elle épinière se transforme en membrane, nous trouvons les cellules
nerveuses
disposées symétriquement de part el d'au- tre l
recouverte de myéline et des deux côtés vont vers elle les racines
nerveuses
qui se terminent dans les cellules nerveuses. A
vers elle les racines nerveuses qui se terminent dans les cellules
nerveuses
. Au-dessus de l'ouverture, la moelle épinière a l
forte hydromyélie). Par conséquent, pendant la formation du système
nerveux
central, la partie dorsale située au-dessus de
e canal rachidien et ne s'unissait avec rien, parce que les racines
nerveuses
s'enfoncent seulement dans la partie antéro-laté-
. Ainsi, la cause de toutes les difformités congénitales du système
nerveux
central que nous avons décrites est l'hydrocéph
la quantité des vais- seaux, et il est de règle que plus le système
nerveux
est déformé, plus la quantité des vaisseaux nou
ie de vésicules qui provoque les différentes difformités du système
nerveux
central. Cette artérite généralisée dépend, pen
sons que la cause de toutes les difformités congénitales du système
nerveux
central est la syphilis héréditaire (1). , (1)
culation péronéo-tibiale supérieure qui est subluxée. Les racines
nerveuses
, le nerf facial, les nerfs du membre supérieur,
ers de sclérose ni cavités syringomyéliques. Le nombre des cellules
nerveuses
dans les cornes antérieures est sensiblement le
rativement, a donné les résultais suivants : le nombre des cellules
nerveuses
, les lésions de chromatolyse sont les mêmes que
par la méthode de Golgi on ne rencontre aucune trace de terminaison
nerveuse
en bouton à l'intérieur des reliquats de fibre mu
ne trouve pas de tubercules dans l'épaisseur des muscles.. Racines
nerveuses
et nerfs. Parmi les nombreux filets nerveux qui
des muscles.. Racines nerveuses et nerfs. Parmi les nombreux filets
nerveux
qui ont été examinés par dissociation après fix
que, il en est qui sont remarquablement sains ; ce sont les racines
nerveuses
cervi- cales et lombaires, antérieures et posté
s nerfs ou des ra- cines. Il est certain que l'influence du système
nerveux
peut nous échap- per lorsqu'une éruption consis
ur contester leur subordination à l'autorité régulatrice du système
nerveux
. Telles sont les lésions du zona dont nous avons
volume qui vient de paraitre. - E. Brissaud, Leçons sur les maladies
nerveuses
(2° série, hôpital Saint-Antoine), recueillies
et déterminée par une affection préalable des différents appareils
nerveux
, centres ou conducteurs. Vous serez ainsi ame
un lichen, un psoriasis semblent bien souvent n'obéir à aucun ordre
nerveux
, telles circonstances particulières font apparaît
le trou- ble initial d'où procède la trophonévrose occupe tel tronc
nerveux
ou telle racine. Enfin j'espère vous démontre
e de la cuisse, il n'y avait pas à douter que plusieurs territoires
nerveux
fussent intéressés : obturateur, crural, fémoro
pas de toutes - peuvent se dé- clarer sous l'influence d'un trouble
nerveux
, ce qui diminue d'autant leur prétendue spontan
ature, des trophonévroses, se manifestent à titre de dermopa- thies
nerveuses
lorsque la moindre résistance de l'appareil nerve
ermopa- thies nerveuses lorsque la moindre résistance de l'appareil
nerveux
laisse à la diathèse ou à la prédisposition inn
rédisposition innée toute latitude pour s'affirmer ; car l'appareil
nerveux
est le régulateur par excellence des phénomènes t
ymétrie et la régularité de développement d'une maladie des centres
nerveux
. 2° La sclérodermie en bandes ou en zones, dont
rophonévroses liées aux névrites des racines spinales ou des troncs
nerveux
; - 3° La sclérodermie en plaques qui, il l'inv
qu'il est absolument impossible de ne pas lui attribuer une origine
nerveuse
. Je vous signale- rai dans une leçon ultérieure
s de toute connexion avec les départements périphériques du système
nerveux
ou de l'appareil vasculaire (Fig. 2). Et cependan
s les yeux la figure, permet de préciser le lieu exact de la lésion
nerveuse
: c'est bien une lésion des racines, et non pas
cine implique une symétrie d'action qui n'apparlient qu'à un centre
nerveux
: moelle épinière ou cordon sympathique. Nous e
gitudinales sont parfois mathémati- quement superposées à un trajet
nerveux
, et ce ne peut être la l'effet du hasard (Fig.
ntestation possible, soumis à la sphère d'influence d'un conducteur
nerveux
péri- phérique, il y a tout lieu de croire qu'u
il l'opinion que je soutiens et qui fait intervenir ici une action
nerveuse
lointaine, n'est-on pas admis à opposer une aut
f, ne laisse subsister aucun doute sur le rôle dominant des centres
nerveux
trophiques. Vous ne vous méprendrez pas sur la
- qui excluent toute ingérence pri- mitive et directe des appareils
nerveux
centraux ou périphériques. VIII. Je reviens aux
le vitiligo. Et cependant le vitiligo est essentiellement d'origine
nerveuse
: « Se déve- (1) Contribution à l'élude de derm
). » Comment donc se fait-il que le vitiligo, en dépit de sa nature
nerveuse
, Fig. 10. - Hydrua gestatioizis (cas de Bar et
emander si leur formation n'est pas indépendante de toute influence
nerveuse
cen- trale. Car les centres nerveux, pendant le
ndépendante de toute influence nerveuse cen- trale. Car les centres
nerveux
, pendant le temps que dure le développe- ment,
ponctuelle et si sûre d'elle-même. L'action régulatrice du système
nerveux
ne s'exerce en effet que sur les organes en fonct
- bles de développement (2) ». La meilleure preuve que le système
nerveux
central n'est pas indispen- sable au développem
onstitué dans son ensemble, ou peu s'en faut, sans avoir de système
nerveux
central. Si, comme il arrive souvent, une monst
vé de moelle et de cerveau, il est bien évident que toute influence
nerveuse
est étrangère au développement de la monstruosité
s étaient sous la dépendance d'un état morbide antérieur du système
nerveux
central. Mais vous voyez bien que cette théorie
ent s'est accompli normalement malgré l'absence complète du système
nerveux
central. 88 B. BRISSAUD plus on moins grave d
s cylindri- ques du tronc, de la tête et des membres. Si le système
nerveux
prend une part quelconque à cette maladie, c'es
qu'un pareil désordre peut exister, faut-il conclure que le système
nerveux
doive être mis en cause ? Du moins le système n
ue le système nerveux doive être mis en cause ? Du moins le système
nerveux
est-il responsable parce qu'il cesse de disciplin
(1) Voy. Etienne, Des nxvi dans leurs rapports avec les territoires
nerveux
, in Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 18
aux eschares fessières. L'étude que nous avons faite de son système
nerveux
nous a montré les lésions suivantes concordant
à l'exclusion du cerveau, ce qui est rare dans les détermi- nations
nerveuses
de la syphilis héréditaire. Examen histologique
a observées, en effet, non seulement dans les maladies du sys- tème
nerveux
central et dans les affections des nerfs périphér
z les cancéreux ne faisant que de l'auto-intoxication. La mort * de
nerveux
est le plus souvent précédée d'une période plus o
cornes postérieures qui est recouvert par une mince couche de tubes
nerveux
conservés. Tous les autres cordons blancs, et p
également très nette. Dans l'aire de ces faisceaux, tous les tubes
nerveux
ne sont pas, toutefois, détruits ; quelques-uns
isseaux, une zone assez étendue de la commissure grise où les tubes
nerveux
à myéline n'exis- tent pas. D. Région dorsale
contre, dans la portion antérieure de la virgule altérée, les tubes
nerveux
sont plus nombreux qu'on ne le supposerait à un e
n fournis des deux côtés. Par les colorants nucléaires des cellules
nerveuses
se colorent bien, ne paraissent pas altérées et
mité inférieure de la circonvolution pariétale ascendante. Cellules
nerveuses
normales comme nombre, volume et prolongements.
profondes saines. 2) Circonvolution du lobe paracentral. Cellules
nerveuses
diminuées de nombre et un peu atrophiées, sans ce
qui présente moins de lésions vasculaires- que de lésions des tubes
nerveux
. Ces lésions des tubes nerveux sont limitées au
culaires- que de lésions des tubes nerveux. Ces lésions des tubes
nerveux
sont limitées aux fibres superficielles et moye
cervicale seulement : dégénérescence (ou plutôt atrophie des tubes
nerveux
) intéressant la zone qui sépare le faisceau de Go
peu de péri artérite syphilitique, nous n'avons pas trouvé de tubes
nerveux
dégénérés dans les racines postérieures. D'autr
veau, enfin, ne montre que des minimes altérations vascu- laires et
nerveuses
. Ces altérations qui intéressent surtout les fibr
erprété de cette façon. Du reste les altérations limitées aux tubes
nerveux
avec intégrité des cellules qui siégeaient uniq
t le plus (t) G. Dunwrr, Les dégénérescences secondaires du système
nerveux
. Bull. de la Soc. de Biologie, 1894. - Les dégé
'origine ancienne puisque la réparation des cellu- les et des tubes
nerveux
y est complète. On ne saurait la rattacher à la
ore eu le temps de provoquer des altérations secondaires du système
nerveux
ainsi que le prouve la parfaite intégrité des tis
ont hiérarchisés en vue d'un fonctionnement harmoni- que du système
nerveux
. . Des recherches physiologiques et anatomo-cli
e M. le professeur Grasset. Il a eu dernièrement quelques symptômes
nerveux
tels que phobies sur les routes, il la vue d'un
té ; ils n'ont eu ni troubles paralytiques, ni chorée, ni accidents
nerveux
d'aucune sorte, ni rhumatisme, ni obésité. Une so
le cubitus ; nulle sur les os de la main. 1 Le pincement des troncs
nerveux
se traduit par une hyperalgésie encore plus viv
dant, après une immobilisation de 40 jours. On connaît les troubles
nerveux
consécutifs à ces luxations. Au niveau de la
rtement. Quelle peut être l'action de cette luxation sur les troncs
nerveux
du voisinage ? Certains auteurs ont déclaré que
traumatismes qui en ré- sultaient pouvaient déterminer des lésions
nerveuses
(en dehors de la compression directe qu'on adme
de l'articulation a dû s'exercer particulière- ment sur les troncs
nerveux
les plus rapprochés de la tète articulaire. Le
n ou la propagation de l'inflammation articulaire aux autres troncs
nerveux
n'est guère possible. Les nerfs médian, cubital
ntacte sous tous ses modes. Mais la pression exercée sur les troncs
nerveux
en dehors des scalènes pour les branches radicu
évation exagérée, au 3e temps, entraîner un tiraillement des troncs
nerveux
, tirer en bas et en dehors les o°, G", 7e cervica
trous de conjugaison respectifs. Lors de la réduction, les troubles
nerveux
étaient limités aux nerfs cubital et médian, le
crasements par une roue de charrette par exemple, les autres troncs
nerveux
(médian et cubital) ne peuvent être atteints pa
s faisceaux musculaires sous-jacents. on n'ob- serve pas de lésions
nerveuses
. Or, ici on ne trouve aucune trace de cal, ce q
nons d'examiner, ceux du bras et de l'épaule en blessant les troncs
nerveux
expliqueraient les lé- sions des nerfs circonfl
anente ou passagère associée à la paralysie à la suite d'une lésion
nerveuse
tron- culaire s'observe quand les lésions des f
res sont suffisantes pour inter- rompre à la fois les transmissions
nerveuses
centrifuge et centripète. Quelquefois la lésion
Elle est très 128 J SABRAZÈS ET L. MARTY vive le long des troncs
nerveux
accessibles au doigt (circonflexe, radial, cubi
mpression et d'élongation ont joué un rôle essentiel. Les lésions
nerveuses
qui en ont été la conséquence ont-elles été la la
ullaires par élongation, les tiraillements que subissent les troncs
nerveux
dans la région de l'épaule, siège de la luxation,
n- draxiles est un fait actuellement établi. Bien plus, les centres
nerveux
sont susceptibles d'être modifiés à distance, s
Leyden (2), Achard et L. Lévi (3) d'atrophie localisée des centres
nerveux
en rapport avec l'atrophie musculaire et osseuse
flué par elles-mêmes sur la genèse de l'atrophie ; mais les lésions
nerveuses
fronculaires et radiculaires sur (1) Iir.mrrt,,
'atrophie sont la compression et l'élonga- tion exagérée des troncs
nerveux
et des racines jusque dans leur trajet rachidie
scendante, le long des racines, des lésionsirri- tatives des fibres
nerveuses
sensitives, lésions qui se traduisent par une hy-
traduisent par une hy- peresthésie cutanée, musculaire, osseuse et
nerveuse
du membre malade. Déplus l'élongation et l'ébra
e du membre malade. Déplus l'élongation et l'ébranlement des troncs
nerveux
et radiculaires sont susceptibles de retentir,
le à son tour par sa répercussion sur d'autres points de l'appareil
nerveux
, porte sur l'appareil nerveux.périphé- rique, s
ion sur d'autres points de l'appareil nerveux, porte sur l'appareil
nerveux
.périphé- rique, sur les fibres afférentes des é
ion de l'appareil labyrinthique à la symptomatologie des affections
nerveuses
en général, et plus particulièrement du tabes. Ce
IQUE 135 ditifs tiennent relativement peu de place dans la clinique
nerveuse
. Les troubles labyrinthiques tiendront, j'en su
ns la surdité d'origine périphérique sans lésion primitive du tronc
nerveux
, l'atrophie est loin d'avoir cette allure ; et il
ers le bulbe, ou sa localisation initiale dans ce point des centres
nerveux
; il n'y a rien d'étonnant à ce que le tabes frapp
n motrice. J'ai souvent cherché à analyser celle sensation d'effort
nerveux
et à voir si elle varie de forme selon ses appl
comme il en part de tout autre point de la périphérie de l'appareil
nerveux
. Seulement, ceux-ci sont, par adaptation LE TAB
ce fait qu'une irritation périphérique ou centrale, dans un domaine
nerveux
donné, pourra cheminer comme une aura, de noyau
ns ses antécédents nous trouvons la grand'mère paternelle qui était
nerveuse
et le père qui, sujet à des crises d'épilepsie,
éside,surtout dans l'absence complète d'antécédents et de symptômes
nerveux
. Issue d'une robuste famille de cultivateurs, l
dant trouver des rapports entre la lésion de la peau et des filets
nerveux
(br. oplitalm. du trijumeau). Mais l'existence
) : « La localisation d'une altération de la peau sur un territoire
nerveux
déterminé, indique bien que l'élé- ment nerveux
u sur un territoire nerveux déterminé, indique bien que l'élé- ment
nerveux
joue un rôle important, mais ne prouve pas que la
e, lequel peut être très variable, a élu domicile sur un territoire
nerveux
». On pourrait appliquer ces mêmes considératio
octobre 1898. - Enfant petite, intelligence vive, éveillée, un peu
nerveuse
. Sur le dos du pied droit une tache blanche d'asp
e le 4e avril 1898. Père bien portant, légèrement dyspeptique. Mère
nerveuse
. 2 autres enfants bien por- tants. L'enfanta to
stituée. Rien de particulier dans les différents appareils. Système
nerveux
normal. Mains assez petites. Doigts effilés. L'
7 ans en Afrique, alcoolique et absinthique invétéré. Mère 45 ans,
nerveuse
, migraineuse, goitreuse. 2 fausses cou- ches. 6
éthode de Nissl pour l'examen de la substance grise et des cellules
nerveuses
. 2° Méthode de Marchi.. : 3° Méthodes de Weiger
ur à la normale. - Dans la substance grise, te réseau des fibrilles
nerveuses
, qui jusqu'alors était très bien conservé dans
sente quelques altérations comme le montre la figure 1 ; les fibres
nerveuses
altérées sont en petit nombre, mais il existe u
ombreuses. Le nerf tibial postérieur est moins atteint : les fibres
nerveuses
sont normales ; il existe un peu d'augmentation
veloppement peu anormal du tissu interstitiel. Le nombre des fibres
nerveuses
est à peu près normal : quelques-unes ne sont p
altérations des nerfs périphériques : .' a) Dégénération des libres
nerveuses
des nerfs intra-mnsculaires, peu considérable.
erfs intra-mnsculaires, peu considérable. - b) Lésions des troncs
nerveux
de l'avant-bras et de la jambe consistant en sc
gère, bien nette seulement sur le nerf péronier. c) Les gros troncs
nerveux
, tels que le sciatique, sont normaux. : 3° Des lé
un traitement rationnel. On sait combien les affections du système
nerveux
, et particulièrement la méningite et les convul
urs auteurs, d'ailleurs, ont signalé la fréquence de ces affections
nerveuses
survenant chez les enfants issus d'ascendants syp
écidivant sans cesse.C'est une femme grande, vigoureuse,, maigre et
nerveuse
. Je lui demande si elle a des enfants; elle me
une malformation, aucun symptôme d'hydrocéphalie ou d'autre maladie
nerveuse
, avait été. prise subitement de convulsions vio
t rester hésitant pour le médecin qui n'a pas observé les symptômes
nerveux
qui ont entraîné la mort de tous ces enfants.
ories hippocratiques sur la ge- nèse et le traitement des accidents
nerveux
imputés de nos jours à l'hysté- rie. C'est qu'e
mbré du teint, plaqué de rouge aux joues. Il signale comme symptôme
nerveux
certaines hallucinations de l'ouïe et de la vue
encore d'éliminer les poisons qui produisent le malaise des centres
nerveux
(céphalalgie, rachialgie, névralgies), de rele-
z les vieil- lards. On le voit se développ.er surtout chez les gens
nerveux
sous l'in- fluence du froidou de chocs moraux (
La disparition rapide ne concorde guère avec une lésion des filets
nerveux
, lésion qui, au cours de la paralysie générale, n
connaissait. Il affirmait que lui-même n'avait jamais eu de trouble
nerveux
ou mental jusqu'au début de l'affection pour la
é au grattage et à l'épilation par un prurit lié soit à des lésions
nerveuses
, soit à une auto-intoxication dont on ne trouve
ou moins accen- tuées avec conservation presque complète des tubes
nerveux
. Dans les muscles on constatait une diminution
rcot-Marie était inconnue et où la technique de l'examen du système
nerveux
était peu avancée : au point de vue clinique, les
sont diminuées de nombre et atro- phiées. Le réseau de fibrilles
nerveuses
qui se trouvent dans les cornes posté- rieures
ig. 1.) Sur des dissociations on trouve (Marinesco) : 10 des fibres
nerveuses
dont la myéline est fragmentée ou réduite en bo
l avec hypertro- phie de la gaine lamelleuse ; diminution des tubes
nerveux
assez marquée dans le cas de Marinesco ; modéré
plupart des cas d'atrophie musculaire qui relèvent d'une affection
nerveuse
. I,6wentlial qui a fait une étude très complète
CE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
ÉTUDE SUR LES TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBIL
, viscérales, musculaires, articulaires, osseuseset même des troncs
nerveux
. Nous trouvons enfin altérées dans les cas de t
description et l'usage dans le Traité de Séméiologie des mala- dies
nerveuses
de Blocq et Onanoff, IS92. 330 ANDRÉ RICHE ET D
is soeurs, vivants et bien portants. On ne signale pas d'affections
nerveuses
chez les collatéraux. La malade est la dernière
deux frères et une soeur bien portants, Il n'y a pas de maladies
nerveuses
dans la famille. La malade est l'aînée ; réglée
bien portant, un autre est mort à 28 mois. Il n'y a pas de maladie
nerveuse
dans la famille. ' Réglée à 14 ans, elle l'a to
venot, Saint-Dizier (Haute-Marne). CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
HOSPICE DE LA SALPÊT1UÈRE NOTE SUR DEUX TICS
R F. RAYMOND. Professeur de la Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. ET PIERRE JANET. Directeur du Laboratoire
, d'une fa- mille assez normale, était assez bien portante, quoique
nerveuse
et colère. NOUV. ! CO'<OGRAPH ! E DE LA SALP
s cornes antérieures avec disparition presque complète des cellules
nerveuses
de ces cornes, atrophie et sclérose des racines
ssèdent une gangue conjonctive très épaisse, qui enserre des filets
nerveux
et des fibres à myéline moins abondants que nor
euvre (Pl. LXI, fig. D). Personne dans sa famille n'a eu de maladie
nerveuse
ni d'atrophie muscu- laire. . Père mort il 80
ans, de pneumonie; dans les ascendants collatéraux, pas de maladies
nerveuses
connues. A l'âge de 14 ans, demeurant dans le v
es de l'épaule, eschares multiples. Mort dans le marasme. - Lésions
nerveuses
classiques. G... Emile, formier de chapellerie,
° Nodule comme un gros pois à l'insertion du sous-épineux. Appareil
nerveux
. - Moelle. - La moelle ne présente aucune altérat
aires de l'éminence thénar. - Dis- parition très marquée des fibres
nerveuses
; très nombreux tubes sans cylindre- axe. Augme
titiel, dont des ilots et des tractus découpent la largeur du filet
nerveux
. Médian, eM&t<6tt)Y<t. Epaississement
Epaississement du tissu conjonctif, diminution du nombre des filets
nerveux
; nombreuses gaines vides. Mais lésions très nota
nt, d'après ce que nous connaissons actuellement de la pa- thologie
nerveuse
; mais rien ne permet de penser que cette névrite
ne sont que des nodosités osseuses aux mains et aux doigts chez des
nerveux
; quant au troisième, celui de Rosenthal, il pa
ntes pour différencier réelle- (1) P. LoNDE, De 1'(i ? ,thi,opathie
nerveuse
vraie et des troubles trophiques articulaires d
érisés analouio-palhologiquemenlpar la même lésion du même appareil
nerveux
pris en des étages différents, pouvant se succé
ent t une seule maladie. ni 26 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE AMYOTROPHIE DOUBLE
nels. On ne trouve chez lui ni stigmates arthritiques, ni stigmates
nerveux
. Ce n'est pas un syphilitique, ce n'est pas un
ilement. Il s'agit d'un homme en très bonne santé, sans antécédents
nerveux
héréditaires ni personnels qui, en 1898 au mois
uée dans le membre inférieur malade. Un jeune homme (1) héréditaire
nerveux
et nerveux lui-même dans le cours d'une promena
membre inférieur malade. Un jeune homme (1) héréditaire nerveux et
nerveux
lui-même dans le cours d'une promenade en bicyc
ie musculaire rhumatismale. Th. Paris, 1873. (3) Descosse, Troubles
nerveux
locaux consécutifs aux arthrites. Th. Paris, 1880
le consécutive un traumatisme banal chez un individu ni héréditaire
nerveux
, ni nerveux lui-même, que cette atrophie pouvait
ve un traumatisme banal chez un individu ni héréditaire nerveux, ni
nerveux
lui-même, que cette atrophie pouvait guérir par
à 50 ans, de congestion cérébrale. Le malade n'a qu'une soeur, fort
nerveuse
et émotive, mariée et mère d'une fillette en bo
nier lieu, les cas d'acromégalie associée il une maladie mentale ou
nerveuse
bien caractérisée. I. Hérédité des acromégaliqu
12), Lancer 'eaux (16), Pick (24)]. Au point de vue de l'hérédité
nerveuse
ou vésanique, voici quelques documents : Vers
n enfant de 14 mois microcéphale : la grand-mère mater- nelle était
nerveuse
et asthmatique ; la mère, faible et nerveuse, ava
ère mater- nelle était nerveuse et asthmatique ; la mère, faible et
nerveuse
, avait supporté beaucoup d'émotions pendant la
médiatement à l'examen des troubles les plus prononcés du sys- tème
nerveux
chez les acromégaliques. III. - Psychoses et né
e nous venons d'exposer succinctement, nous voyons que les maladies
nerveuses
et men- tales sont fréquentes dans les familles
andes et sécrétion interne comme l'hypophyse, réagit sur le système
nerveux
déséquilibré de l'héréditaire, dé- terminant ai
uivant les prédispositions individuelles, l'éclosion d'affec- tions
nerveuses
ou mentales variées, mais toujours en rapport ave
9) Gordinier, Medical News, 1895. (10) Grasset, Traité des maladies
nerveuses
, t. II, p. 231 (11) GUI : 010N, Nouvelle Iconog
CE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
ETUDE SUR LES TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBIL
trois qui vivent ont une bonne santé. On ne relève pas de maladies
nerveuses
dans la famille. Rien à signaler dans l'enfance
es et deux soeurs, tous bien portants. On ne relève pas de maladies
nerveuses
dans la famille. Rien à signaler dans ses antéc
té enlevée à la suite d'une fausse couche. Il n'y a pas de maladies
nerveuses
dans la famille. La malade est née à terme dans
'observe qu'à titre exceptionel dans d'autres affections du système
nerveux
. Le caractère dissocié des anesthésies et des h
autres, la plupart des régions cutanées reçoivent ainsi des filets
nerveux
provenant de deux ou trois racines contiguës.
du petit bassin, jamais de douleurs sur les trajets vasculaires ou
nerveux
. Tout le mal se réduit- à cette vaste enflure b
). . * .... x Ceci nous amène à parler des oedèmes qualifiés de
nerveux
, et c'estdans cette catégorie que nous allons t
ssent comme épiphénomènes au cours d'une maladie définie du système
nerveux
(hémiplégie, paralysie infantile, labes,'syringom
oir dans ces accidents des manifestations dys- trophiques d'origine
nerveuse
, favorisées par une prédisposition névropa- thi
v. des mal. de l'enfance, 1895. - Histoire d'une fillette de 3 ans,
nerveuse
, issue de pa- rents nerveux. Tous les 15 jours,
5. - Histoire d'une fillette de 3 ans, nerveuse, issue de pa- rents
nerveux
. Tous les 15 jours, un oedème dur, indolore de la
ait ressortir les analogies avec l'urticaire chroni- que. L'origine
nerveuse
de ces accidents semble indiscutable, et l'hystér
eilli un certain nom- bre de cas d'oedème éléphanliasique d'origine
nerveuse
. (1) Dans une seconde observation de Follet, il
ée par Lourier a trait à une malade de 30 ans, sujette à des crises
nerveuses
, atteinte d'un oedème du membre supérieur droit
s'est-il mon- tré disposé à rattacher ces cas aux oedèmes d'origine
nerveuse
. Tel fut aussi l'avis de M. Joffroy qui ce prop
s'agissait d'un trouble trophique consécutif à une ancienne lésion
nerveuse
. Chez une seconde malade âgée de 60 ans, obèse,
. la localisation de l'oedème, l'absence de lé- sions cardiaques et
nerveuses
, la conservation de la santé générale, l'in- do
pas non plus l'oedème observé au cours des affections du sys- tème
nerveux
, lésions organiques ou nécroses : c'est encore mo
ophiques de cause encore inconnue, mais vraisemblablement d'origine
nerveuse
. Il n'aurait d'autre mérite que sa brièveté. 47
idents dystrophiques. Et tous s'accordent à supposer qu'un désordre
nerveux
est la cause ini- tiale de ces accidents. Mai
es que l'on observe, soit expérimenta- lement à la suite de lésions
nerveuses
, soit cliniquement au cours d'affec- tions névr
thétique, qu'il n'est pas impossi- ble qu'une altération du système
nerveux
soit la cause de la maladie. On peut ajouter ce
ou plusieurs étages ' (1) Voy. E. BnissAuD, Leçons sur les maladies
nerveuses
, t. I, p. 203 et seq., t. Il, leçons 111 à VIII
eu semble avoir bien défini son rôle dans la production des oedèmes
nerveux
, en rappelant qu'on peut le consi- dérer « comm
on- nelle ». En somme, c'est toujours à une altération du système
nerveux
qu'abou- lissent, en dernière analyse, les hypo
de la myopathie primitive ne tient aucun compte de la distribution
nerveuse
périphérique : souvent même elle semble obéir,
n directeur Médecin adjoint de la maison de santé pour les maladies
nerveuses
de Toulouse. Depuis que le professeur Brissaud
vations de tortico- lis mental se sont multipliées. Cette affection
nerveuse
, sans être donc une rareté, n'est cependant pas
utien moral » que (1) Brissaud, Leçottç sur les maladies du système
nerveux
, 18J3-t894. (2) Biiissvui), loc. cil. UN CAS
st un jeune homme de 20 ans, chétif, mais ne présentant aucune tare
nerveuse
. Dans les commémoratifs on ne relève ni alcooli
yélie (causes des différentes difformités congénitales du système
nerveux
central), par N. So- LOVTzorF, 37. Hypothyroï
Hydrocéphalie et hydromyélie. Difformités congénitales du système
nerveux
cen- tral (N. SOLOVTZORF), VI, VII, VIII. IX,
F. RAYMOND Pioïeascur de clinique lies m.il.uiicb du système
nerveux
de Paris. COLLABORATEURS PRINCIPAUX \I1. A7
gra- vité,chirurgicalement;taupu produire'un'certain ébranlement
nerveux
; des causesidéprimantes'dordre)physiquewiennent3
tion ^ merci - braneuse del 1'urèthre,zi phénomènes essentiellement
nerveux
dans la genèse : desquels» l'intoxication alcoo
v4do'h J9tU3 qmrnoo 3bslctrr , ,1 flntomieét physiologie du sqsteme
nerveux
, (cerveau,, moelle 'etorpanes des sens). (Exerc
E EN AMÉRIQUE, do ? 3°Psyçhologie morbide et anormale- : le mondeides
nerveux
,' les pro- d-es; les génies, le monde des, dégé
irë,en`seignér ses élevés l'anatomie,et la physiologie, du système,
nerveux
? (. 1lescoizdu t, toiîs les dimaazches âl'la8pit
élicates, les transforma- tions subies par les cellules des centres
nerveux
sous l'influence de causes diverses, et je n'ai
ng dit que les -sieurs Boisleau et Semel esche- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ,35 vins, donnèrent ordre de faire sortir la d
l Grain.er,propose de/donner leinotn-d'alla- 36 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. choestésie, l'impression est localisée du même
1 ? ' ,r k ? ! : a·. ? 3c 7 l'-iaqfiis-» ïh< REVUE.DE,PATHOLOGIE
NERVEUSE
.Et ? ! i ,' ? 37 1 .- »- -f"r t-" »> -...>
,n° t, p. 60.) ' - A. Marie." ' >- i I : ` LÈl'RE'SYSTÉU.1TI5ÉEF
NERVEUSE
' A'* forme SYR1NG031YÉL1QUE par ' Mli.`le Drs
procédés ordinaires, on le trouve infiltré 38. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de'bacilles'de Hanseu. 11 existe aussi une név
nce, devient ataxique, il y a sept ou huit ans. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 39 Entre autres symptômes tabéliques, il prése
non fonctionnels.' '' ? ' ' ' ' 4 Quant aux désordres des centres
nerveux
, moelle ou cerveau, il admet qu'ils peuvent êtr
gist, XIV, 93, n b.) ? .en ï ,' ? A.Marie. 40 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 1· HÉ\fIANOPSIE ET NEURASTHÉNIE, ACCIDENTS DE
S ? (Jùurn.demécl : de Bordcctttx; n° 28.) 1 42 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
? XXI. Sur un cas d'ostéite déformante DE PAGET
s (des deux pieds participent à' l'hypertrophie REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 43 ii -1 osseuse généralisée. Une autre partic
ques cas de para- . ,fT ftdf 3 €' . ·' ï : 44 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. - ! ? ; r*»" - ". =>-4V ' . ? ®yF.4-aC' .âY
l : v ? r d L ? y ? ll&$d ? · J.lllEr r . z REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 15 XXIV. Deux observations POUR SERVIR au diag
asmodiques à marche lente'et insidieuse. - 46 - REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXV. Deux cas de myopathie progressive du TYPE
perdu foute'leur force. '' " ? a ? 0't) ? )t.t REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. , 47 A noter deux symptômes exceptionnels dans
oissements. Dans la station debout, le genou 48 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. est en récurvation, c'est-à-dire convexe en ar
avoir que les néoformations syphilitiques ont REVUE 'DE- PATHOLOGIE
NERVEUSE
. " 49 leur origine dans le tissu conjonctif ou
un hérédi- taire vésanique,, non t névrosé, mais d'un , tempérament
nerveux
, faible -d'intelligence, émotif, orgueilleux ?
Le mécanicien en question est atteint d'une affec- : tion du système.
nerveux
entièrement imputable, à l'accident de décembre
ellëa ? laissé après elle des troubles fonctionnels. Les symptômes
nerveux
, généraux ont été produits, directement ou indi
lorsqu'on a affaire à un état d'affaiblissement imminent du système
nerveux
central; ils relèvent'la'force de résistance' d
froids de rivières et de mer sont indiqués pourrenforcer le système
nerveux
central. La réaction des'individus' est" d'aill
utopsie montre une méningite suppurée diffuse.de tout le, sys- tème
nerveux
central; l'organisme ne contient cependant aucun
professeur agrégé de la Faculté de médecine de Paris; 2° Pathologie
nerveuse
: Des névrites péri- plaériques.Rapporteur : M.
questions avaient été mises dans l'urne : Pneumogastrique, cellules
nerveuses
. » " Epreuve orale. La question traitée a été :
plus importants en ce qui concerne la structure normale du système
nerveux
. Les travaux de Ramon y Cajal, pour l'encé- pha
permis de comprendre la morphologie et les connections des éléments
nerveux
, à tel point que l'on peut, aujourd'hui, consid
ourd'hui, considérer nos connaissances sur la structure des centres
nerveux
comme aussi parfaites que celles qui concernent
quels rapports existent entre eux et les prolongements des cellules
nerveuses
, quelle est la structure et les particularités
PATHOLOGIQUE. longements cellulaires et les terminaisons des tubes
nerveux
. S'il nous était permis d'insister ici sur les
aine formée, c'est-à-dire après développe- ment complet des centres
nerveux
, les imprégnations par le sel d'argent ne se fo
té de biologie 2. Ces recherches ont porté d'abord sur le système
nerveux
des paralytiques généraux. Nous décrirons en qu
-méningée, de nombreuses granulations isolées ou en amas. Les tubes
nerveux
sont très diminuées dans l'écorce; au niveau de
es polymorphes, on constate des atrophies dégé- nératives des tubes
nerveux
, de l'atrophie simple et çà et là des boules hy
es protoplasmas cellulaires, les changements de forme de la cellule
nerveuse
qui, de triangu- laire qu'elle est à l'état nor
s autres méthodes permettaient de croire à l'intégrité de l'élément
nerveux
; en nous montrant, frappé dans les moindres dé
rant, frappé dans les moindres détails de sa structure, l'élément
nerveux
, elle donne un appui nouveau à la théorie parench
nt cellulaire lui-même qui est troublé dans sa nutrition, les tubes
nerveux
, les vaisseaux et la névroglie ne devenant mala
la n'ôte rien à ce fait que dans la paralysie générale la cellule
nerveuse
s'amoindrit, s'étiole et s'atrophie. Il nous a
précisément d'établir des rapports fonctionnels entre les cellules
nerveuses
et les prolongements terminaux des cy- lindres
produire des modifica- tions dans les transmissions des impressions
nerveuses
d'élé- ment à élément, c'est-à-dire un retard,
un retard, un trouble ou une perversion dans la marche de l'influx
nerveux
, quel que soit sa nature. Ce n'est là qu'une
constituent la symptomatologie de la paralysie générale. PATHOLOGIE
NERVEUSE
NEURASTHENIE PALUSTRE Par le D' TRIANTAPHYLLI
ncontre habituellement dans la neurasthénie palustre. 94 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Les malades ont habituellement le visage pâle,
ades qui, dans l'espace de trois ans, n'ont eu que de 96 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. une à trois périodes neurasthéniques, sans auc
la chaleur et l'humidité ont une certaine influence sur le système
nerveux
. Mais leurs effets sont loin de ressembler, à n
malades n'en présentaient t Archives, t. XXVIII. 7 98 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. aucune. La plupart avaient le foie engorgé. Ma
ement les pigmentées ont complètement disparu et les 100 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. non pigmentées ont pris leur place. Cette dame
e. ' Depuis neuf mois, me dit-il, il se sentait de temps en temps
nerveux
et sujet à des mauvaises humeurs; mais cet état p
son complète et pas de récidive depuis deux ans. - 102 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. III. Mme Eu..., trente-quatre ans, paysanne, h
e, habite Batoum depuis deux ans. Aucun antécédent ni malarique, ni
nerveux
, d'une constitution forte. Depuis un an et demi
deux heures du matin. La malade saute subitement et 104 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. presque inconsciemment de son lit, dans une an
rès bien. NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 105 Rarement elle se sent un peu
nerveuse
; elle prend alors un peu de quinine et ça pass
elle -se sent très bien, l'appétit manque encore. 106 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. Après six jours, les accès ont reparu à la mêm
. En même temps la malade a une névralgie générale. Tous les troncs
nerveux
sans- exception présentent les points douloureu
stait sen- sible seulement à la pression, ainsi que tous les troncs
nerveux
sur leurs points de Valleix. L'état psychique s
mment, 13enschen 2 a publié un cas où ' Hirt. Pathologie du système
nerveux
. (Edit. franc., 1891.) - 2 Henschen. On arsenic
ralb., 15 fé- vrier 1894.) ÉTUDE EXPÉRIMENTALE DES MANIFESTATIONS
NERVEUSES
. 109 il a constaté des lésions médullaires prim
x et du catarrhe intestinal hémorragique. , La moelle, les troncs
nerveux
principaux et, dans la. plupart des cas, de fin
eux principaux et, dans la. plupart des cas, de fines ramifications
nerveuses
musculaires et cuta- nées, ont été enlevés. La
musculaires et cuta- nées, ont été enlevés. La moelle et les troncs
nerveux
ont été durcis par le bichromate de potasse. Ap
stante, mais parfois excessi- vement violente, causée par la lésion
nerveuse
elle-même. C'est en réalité le tableau clinique
droit fournit à la moitié temporale de la rétine droite des filets
nerveux
éveillant des sentiments de lumière et en même te
tend à la moitié nasale de la rétine de l'oeil droit par des filets
nerveux
conduisant des sensations de lumière et des réf
s de lumière et des réflexes, à la moitié temporale avec des filets
nerveux
donnant seulement des mouvements réflexes. En
il semble donc que la tumeur, sans avoir d'action sur les éléments
nerveux
dont elle occupait le siège, ait surtout agi pé
de l'automatisme psychique et l'indépendance relative des centres
nerveux
dont l'agrégat complet forme le substratum du moi
par des causes de nature dépressive chez des sujets dont le système
nerveux
est profondément débilité. Vient ensuite une ét
nt un nouvel élément à l'étude des affections familiales du système
nerveux
. Dans l'un et l'autre cas, la maladie se déclar
e d'activité intellectuelle, il faut comprendre la faculté à action
nerveuse
centripète, qu'a notre esprit de former des con-
infatigable travailleur, l'anatomie et la phy- siologie des centres
nerveux
, la physiologie, la pathologie et la clinique m
e trois heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
. Il sera accordé 30 points pour cette épreuve ;
publicain Orléanais du 7 juin.) Mercier (A.). Les Coupes du système
nerveux
centra ! . Volume in-18 de xn 2y8 pages. - Pari
tremblement des membres et du corps dans les diffé- rentes maladies
nerveuses
était jusqu'à ce jour enregistré cli- niquement
te du cylindre enregistreur, à régulateur de Foucault. ' CLINIQUE
NERVEUSE
AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE A TYPE CONTINU ET P
miculaire de la langue dans la - paralysie générale. 168 CLINIQUE
NERVEUSE
. M. Arnozan ? Charcot et M. Féré en ont cité qu
d'éner- gie ; cependant elle ne paraissait atteinte d'aucun trouble
nerveux
ni mental apparent... . L'incendie de la mais
e place de concierge, et ce fut le seul travail auquel 170 CLINIQUE
NERVEUSE
. elle se livra avant d'entrer à l'asile. Mais e
e la Soc. méd. ment, de Belgique, 1893, p. 161.) , 172 G), CLINIQUE
NERVEUSE
. deux pointes de l'aesthésiométre, car la malad
qui sont venues la prévenir, ni ce qu'elle a fait dans 174 CLINIQUE
NERVEUSE
. - les heures qui ont suivi, ni enfin aucune pa
st circonscrire exactement l'éten- due de l'amnésie. 176 CLINIQUE
NERVEUSE
La malade peut me citer sans erreur toutes les
, bien qu'étroite, a encore Archives, t. XXVIII. 12 178 CLINIQUE,
NERVEUSE
. un certain horizon. Et c'est en cela qu'elle e
lement à mes examens et qu'elle se les rappelle, non 180 ' CLINIQUE
NERVEUSE
. pas dans les détails, mais dans l'état émotif
tains moments, avaient une physionomie nettement fonc- 182 CLINIQUE
NERVEUSE
. '' "' tionnelle. Faut-il pour cela admettre qu
sations f s'emrriâgâsinent à l'état de résidus dansées- cellules
nerveuses
^' quelles modifications elles'y4 déterminent et d
longue durée. 9' fp ? Qu'y a-t-il sous cette faiblesse des cellules
nerveuses
à rete- nir les sensations qui les ont irritées
revenir à la charge. {La fin prochainement.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. XXVIII. AMBLYOPIE TOXIQUE DUE A L'ABSORPTION D
llcd. Jou· : z., 28 avril 1894.) A.MARIE. 208 REVUE DE pathologie
nerveuse
. À ,' . ' XXXII. Myélite diffuse aiguë'; par
eux ans et demi après l'accident une partie des REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. 209 mouvements est revenue, mais il persiste c
résentait une para Archives, t. XX V1H. 14 10 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lysie atrophique du membre inférieur droit, re
tion sur les talons, en effet, à l'état normal, REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 211 ? les muscles gastrocnémiens sont distendus
la pathogénese des plaques de sclérose disséminées dans le système
nerveux
central. (Revue neurologique. 1893.) E. B. XDL
ent entre le centre visuel et le centre era- 12 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. phique sont soumis aux mêmes lois que les rela
eures; quand on veut, en les saisissant par les REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 213 pieds, leur écarter les jambes, on se heur
oisses à forme somatique qui remplacent des 214 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. accès d'angoisse complets. Il est rare qu'ils
bles de la sensibilité, mais tristesse et irritabilité; antécédents
nerveux
indiquant une ten- dance à la dégénérescence; t
t les processus séniles. Les recherches sur les maladies du système
nerveux
étaient d'abord z plutôt concentrées dans les m
ins que la consta- tation définitive de la disparition des cellules
nerveuses
motrices dans le bulbe et la moelle d'une malad
médicale est en quête de la formule chimique propre aux différents
nerveux
. L'un montre combien les délires actifs modifie
n viciée se manifeste par les formes les plus diverses d'affections
nerveuses
ou mentales. On r conçoit dès lors aisément que
ration directe produite par l'agent morbide sur les fins ramuscules
nerveux
, l'expression c névrite périphérique exprime- r
es d'entre elles qui se voient au cours d'une affection des centres
nerveux
(tabes, sclérose latérale amyotrophique) ne ser
urajoutée, secondaire, due indirectement à l'altération des centres
nerveux
par suite du trouble diffus delà nutrition qui es
ent sous la dépendance des lésions qu'a provoquées dans les centres
nerveux
l'agent morbide. Tout d'abord, au seul point de
a localisation de ces différents troubles avec le trajet des troncs
nerveux
? Anesthésie par segments; conservation de cert
nis par l'électrisation sur les muscles appartenant à un territoire
nerveux
unique. Enfin le fait que la paralysie atrophique
it* pas qu'elle permette d'affirmer l'indemnité absolue des centres
nerveux
. En effet, nous savons que dans la polynévrite
sible d'expliquer l'intégrité des racines antérieures et des troncs
nerveux
dans la polynévrite, tout en admettant l'origin
névrites périphériques, de polynévrite, on désigne des altérations
nerveuses
indépendantes d'une lésion des. centres nerveux
des altérations nerveuses indépendantes d'une lésion des. centres
nerveux
! On en distingue deux grandes catégories, suivan
elle est absolument indé- pendante de toute modification du système
nerveux
central. Il existe, en revanche, un très grand
légère ou même d'une modification purement dynamique des cen- tres
nerveux
. Le fait a été démontré par Erb et Remak pour la
ntielle du nerf, n'est autre chose qu'un prolongement d'une cellule
nerveuse
dont il dépend étroitement. Le corps de la cell
OCIÉTÉS SAVANTES. exclusivement périphériques, mais que les centres
nerveux
ont eux-mêmes subi une perturbation. Si on les
dans la moelle des sujetsayantprésenté pendant la vie des troubles
nerveux
qu'on a l'habitude de rattacher à des névrites
contestable, il se développe parfois, dans les cellules des centres
nerveux
dont proviennent ces nerfs, des altérations plus
à l'autopsie d'un sujet qui a présenté pendant la vie des troubles
nerveux
, de grosses lésions de la périphérie des nerfs
de tous les troubles symptomatiques qu'on observe et que le système
nerveux
central ne présente aucune modification. Il sig
. Il signifie simplement que les altérations anatomiques du système
nerveux
, perceptibles par nos moyens d'investigation, s
ées dans les nerfs ou y sont bien plus accusées que dans le système
nerveux
cen- tral. Il y a tout lieu d'admettre, et ce n
inent des névrites provoquent à la fois une perturbation du système
nerveux
central et du système nerveux périphérique ; qu
à la fois une perturbation du système nerveux central et du système
nerveux
périphérique ; que parfois même ils exercent en
ception (largement corroborée par la structure complexe du filament
nerveux
, si on le compare au filament de Deiters initial)
nt de Deiters initial), on peut, on doit même admettre qu'un cordon
nerveux
est tout à fait disposé pour effectuer des proc
tion subie par le filament de Deiters alors qu'il devient un cordon
nerveux
chez les animaux, supérieurs, on choisit les gr
donc pas de ceux qui, pour expliquer la réaction locale des cordons
nerveux
à l'encontre des actions pathogènes, se croient
e sensitive est en quelque chose motrice. Elle l'est du mouve- ment
nerveux
qui va exciter la cellule motrice, laquelle est l
nerf dans tout son par- cours, j'estime qu'au point lésé le cordon
nerveux
peut et doit réa- gir. Il possède un dispositif
en définie et que cette place soit exactement marquée en pathologie
nerveuse
. Or, il faut avouer qu'il n'en' pas été tout à
celles de la gaine lamelleuse et de la cavité vaginale des cordons
nerveux
. Déjà, M. Vanlair', dans un travail très intéress
lement deux variétés suivant que la lésion préexistante des centres
nerveux
siège au niveau de la moelle (polymyélite, tabes,
on produite directement par l'agent morbide sur les fins ramuscules
nerveux
: ce sont de véritables névrites périphé- rique
, puisqu'elles sont sous la dépendance d'une affection du sys- tème
nerveux
central. La discussion n'étant pas épuisée et l
èse, comme celui des lésions du système sensitif, dans les cellules
nerveuses
. Les altérations périphériques des fibres motri
cours du tabes, de névrites cutanées. Toutes les parties du système
nerveux
sont donc altérées, à des degrés divers, dans l
tout aussi inexact de le considérer comme une affection du système
nerveux
central que d'en faire une maladie exclusivemen
ique d'une affection qui porte son action sur l'ensemble du système
nerveux
? Elle se traduira surtout par des phénomènes d
bles les retentisse- ments des maladies infectieuses sur le système
nerveux
. Or, ce malade, dont l'état mental est manifest
ou des extravagances, que son enfance a été traversée d'accidents
nerveux
ou psychiques, que ses ascendants étaient des dés
alcoolisme, névroses, lésions circonscrites et diffuses des centres
nerveux
. Un accès aigu ou subaigu d'alcoolisme éclate c
rejoindre le nerf lacrymal, et, à leur réunion, émanent les fibres
nerveuses
qui entrent dans la glande lacrymale. Selon c
Enriquez et Hallion. Dans ses recherches sur les lésions du système
nerveux
par le poison diphtérique, Stcherback n'a trouv
paralytiques et du tremblement qui semblent indiquer des lésions
nerveuses
centrales. (Revue neurologique , mai 1894.) E. B.
natomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. XI. DES lésions DU système
NERVEUX
par LE poison diphtérique ? ' par le Dr STCHERB
t les altérations des vaisseaux, tandis que l'atrophie des cellules
nerveuses
apparaît tardivement et constitue un phénomène se
omènes paré- tiques. Ces lésions frappent surtout les ramifications
nerveuses
arri- vaut aux muscles et débutent dans les cyl
représenta, tives) tenait à ce que les sollicitations des éléments
nerveux
partie- du centre optique ne parvenaient que ta
dans trois cas de syrin- gomyélie, pratiqués uue fois sur un filet
nerveux
et les deux autres fois sur la moelle, ont démo
des propriétés physiques et des fonctions physiologiques du système
nerveux
et du cerveau en particulier, suffit à montrer
ondent aux cellules du tissu conjonctif réticulaire. Les cellules
nerveuses
possèdent dans leur protoplasma une subs- tance
n'agit pas en tant qu'opération, mais simplement par l'ébranlement
nerveux
qui en est la conséquence. M. Régis observe q
médical, en ce qu'elle suffit à faire disparaître tous les troubles
nerveux
simulant l'aspect clinique du rein flottant dou
de la mort et celui de l'autopsie. Quand il s'agit de ramifications
nerveuses
engagées dans la peau, dans une muqueuse ou dan
r qu'on peut tourner la difficulté et mettre en évidence les fibres
nerveuses
avec tout leur dispositif conservé, y compris l
e. Dans les limites de l'injection interstitielle, tous les cordons
nerveux
sont fixés et imprégnés par l'osmium et par l'arg
cellules sinueuses. En second lieu, on voit que là où les troncules
nerveux
traversent des plans fibreux sériés et même ten
qui a été fixée comme soufflée à l'entour et à distance des fibres
nerveuses
, on peut conclure hardiment qu'il n'y a pas de
Dans l'état normal, la cavité vaginale des troncs et des troncules
nerveux
renferme donc non de la lymphe, mais bien un liqu
de la lymphe, mais bien un liquide aquiforme, protégeant les fibres
nerveuses
contre les actions exté- rieures. A l'intérie
qu'il en serait de même de toute lésion de la gaine ou de la fibre
nerveuse
consécutive à la névrite, à l'oedème, à la péri
n France, où la plupart des médecins connaissant peu les maladies
nerveuses
chroniques des enfants, ne croient pas encore qu'
téristiques du crétin. , , DES LOIS PSYCIIOPIIYSIQUES EN pathologie
nerveuse
. M. MENDELSSOIIN. De nombreuses recherches fait
nt de vue du diagnostic différentiel dans les affections du système
nerveux
central (hémiplégie hystérique et d'origine cér
vise, au point de vue des troubles visuels, les maladies du système
nerveux
en deux grandes catégories : 1° Celles dans les
. DES réflexes vasomoteurs A LONG trajet dans quelques affections
NERVEUSES
. MM. Hallion et Comte (de Paris). Nous avons fa
on sur une région où la peau est anesthésiée par suite d'une lésion
nerveuse
périphérique ; au contraire, ils se produisent d'
les histologistes qui s'occupent de l'anatomie générale du système
nerveux
ont fini par se ranger, presque tous et y compr
pithéliale. J'ajouterai pour ma part que c'est là aussi une cellule
nerveuse
, dont la différenciation est demeurée rudimentair
and-père, Louis de Bourbon. Traitement hydrothérapique DES maladies
NERVEUSES
. Dans le compte rendu de la première séance nou
1893. BIBLIOGRAPHIE. VII. Traité pratique des maladies du système
nerveux
; par MM. .1 GnnssET et G. Rauzier. Montpellier,
été créées de toutes pièces. On peut dire que l'ancienne pathologie
nerveuse
a subi d'une manière générale des modifications
vive lumière sur la détermination d'un certain nombre de mala- dies
nerveuses
. Aussi les anciens traités de neuropathologie ont
de comparer la troisième édition du Traité des maladies du système
nerveux
, publiée en 1885, par M. le professeur Grasset
féconde; elle a donné naissance au plus complet traité des maladies
nerveuses
que nous possédons. Tout en conservant le cadre
éninges, les maladies des nerfs et les névroses, les manifestations
nerveuses
des maladies générales. Enfin, comme appendices
s de modestie. En somme, le Traité pratique des maladies du système
nerveux
, de MM. Grasset et Rauzier, trouvera, nous en s
de plusieurs années. Toutes les questions concernant la pathologie
nerveuse
y sont traitées avec détails, d'une manière mét
Vol. XXVIII. Novembre 1894. ? 93 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
HYSTÉRIE. - CONFUSION MENTALE ET AMNÉSIE CONTIN
mont-Ferrand. (Août 1894.) Archives, t. XXVIII. - 23 384 clinique
NERVEUSE
. musculaire et articulaire, des notions de poid
tations de clinique psychologique d'une grande 3513 ? V' 5 CLINIQUE
NERVEUSE
. - --importance au point de vue de la nature et
e dans le même état. Mais si on les maintient ouvertes 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. alors la malade tourne la tête, fait de profon
on plus précise les mouvements qu'on lui commande. - 360 CLINIQUE
NERVEUSE
. Tels sont les symptômes observés à la suite de
es spéciales : par exemple, dans le somnambulisme pro- 362 CLINIQUE
NERVEUSE
. voqué par les moyens ordinaires ou par l'expér
s,, modifications respiratoires, frémissement des pau- 364 CLINIQUE
NERVEUSE
. pières... Mais, en revanche, nous constatons q
mmunication. 366 CHIMIE PATHOLOGIQUE. quand il s'agit de maladies
nerveuses
ou mentales, car les modifications des échanges
nséquences des altérations anatomiques et physiologiques du système
nerveux
sur la vie végétative. On peut même espérer dan
1° Cours du College Department (1892-93). a) Physiologie du système
nerveux
. Des sensations (cours professé au Biolo- gical
logique ; il a traité de l'anatomie et de la physiologie du système
nerveux
dans leurs rapports avec les problèmes psycholo
à ce mode d'assistance. Nous accueillerons 392 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. avec une vive reconnaissance toutes les indica
e sont jamais des quantités négligeables '. , REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L. OS'rL0-POROSE DE la voûte crânienne ; par G
' La cause la plus fréquente relevée est l'irritation des rameaux
nerveux
terminaux du vestibule par lesquels l'excitation
r les restituer à ces malades après guérison. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 393 avec purgatifs (calomel). Dans l'intervall
migraine ophtalmique, rentrent probablement 394 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. dans la catégorie des phénomènes de la sensibi
de l'origine bulbaire de la maladie de Basedow REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 395 est celle qui paraît actuellement s'appuye
crampes dans les pieds et les mains', pré- 396 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. cédés de sensations de chatouillement dans le
diminution de cette sensibilité douloureuse du REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 397 muscle qui se montre normalement à la suit
R LA PERMANENCE D'UN CORPS ÉTRANGER DANS LE 398 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. nerf occipital D'ARNOLD; par G. GALLERANI ET G
les autres filets cervicaux (tissu fibreux ayant altéré les fibres
nerveuses
) ; contrac- ture des muscles de la nuque à gauc
ouvement de flexion coordonnés de la jambe. ' REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 399 La régularité avec laquelle les zones exci
tique st du plexus sus- claviculaire qui est le restant de douleurs
nerveuses
antérieures. Action favorable de la galvanisati
lit que les troubles de la vision d'origine 400 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. hystérique sont, pour la plupart, unilatéraux
l'auteur établit l'existence de la syphilis héréditaire du système
nerveux
et de la syphilis nerveusejnalimie précoce. P.
en nous, ce sont des processus intimes qui oscillent, des courants
nerveux
qui vont et viennent pour provoquer ce complexu
la modalité, le but. La mémoire est la propriété de la substance
nerveuse
d'être mo- difiée par l'excitant de telle sorte
décor qui résulte de la synergie de toutes les fonctions du système
nerveux
et les propriétés du moi c'est l'habitude de ce
qui produisent des dégénérés sontceux qui ont détruit leur système
nerveux
par le surmenage, les excès alcooliques, lesmalad
ls transmettent à leur postérité cette faiblesse acquise du système
nerveux
. Le dégénéré ainsi produit devient un criminel
me âgée. Il lui fallut partir parce qu'il éprou- vait une agitation
nerveuse
croissante. En route, il fut assailli d'une ard
te de 3 heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
. Cette épreuve pourra être éliminatoire si le n
obscures qui, des profondeurs de l'organisme, arrivent aux centres
nerveux
» (Ribot). L'apparition dans la conscience d'un
OLYURIE HYSTÉRIQUE; Par A. SOUQUES, Chef de clinique des maladies
nerveuses
, à la Salpètrière. Il y a trois ans, MM. Debove
ité excessive, alors qu'ont pris fin les 1 Déjerine. De la Polyurie
nerveuse
. (Médecine mod., 1893, p. 650. ÉTUDE DE LA POLY
mêmes arguments, pour montrer qu'un certain nombre d'hyperdiurèses
nerveuses
, attri- buées aux émotions, aux refroidissement
t de la grande névrose. Il y a, au moins, deux variétés de polyurie
nerveuse
qui restent irréductibles. Ce sont la polyurie
rine tombe à 3 litres. Donc, les observations anciennes de polyurie
nerveuse
simple, où la recherche des stigmates n'a pas é
yurie organique par lésions, siégeant en d'autres points du système
nerveux
central et périphérique, s'expliquent dans cett
systématiques. La dégénération systématisée primitive des éléments
nerveux
, si elle a lieu chez les syphili- tiques (ceux
s formes aiguës sont des plus redoutables parmi les com- plications
nerveuses
de la vérole. Elles peuvent amener la mort en u
tits foyers était au voisinage du canal de l'épendyme. Les fibres
nerveuses
de la substance blanche présentent au bout de p
glande pitui- taire qui pour lui est un organe triple, glandulaire,
nerveux
et circulatoire. Chez les organismes inférieurs
re dorsal des acraniens. Il sert donc ainsi à la nutrition du tissu
nerveux
par oxygénation et à l'élimination des produits
t nécessaire au complet développement et fonctionnement des centres
nerveux
comme le montrent les trou- bles résultant de l
mence, nous trouvons assez souvent des symptômes somatiques d'ordre
nerveux
tels que de l'inégalité pupillaire, de l'affais
des idées sont en rapport avec la structure anatomique du système
nerveux
central et subsistent, mais l'opération terminale
effacer le délire en changeant les sollicitations des impressions
nerveuses
de ces fous systématiques. Ces malades peuvent do
lorsque la perception est demeurée cor- recte, parce que le système
nerveux
central est des plus affaiblis. De là les nombr
romes variés pro- duits par la présence de toxiques dans le système
nerveux
central et périphérique. M. Haury étudie une
es; beaucoup se rattachent aux intoxications avec ou sans lésions
nerveuses
connues. Quelques-unes sont à rejeter parce qu'on
FF. Ce livre ne constitue ni un traité, ni un manuel des maladies
nerveuses
.il a simplement la prétention de contenir quelque
Universal Médical Sciences ne s'occupe pas exclusivement de système
nerveux
, nous croyons pourtant devoir faire une mention
r. Le deuxième volume est presque entièrement consacré au système
nerveux
; les maladies de l'encéphale sont signées G2-ay,P
TITUER au MOT asile LE nom d'hôpitaux POUR LES maladies mentales ET
NERVEUSES
; par William REID. C'est une campagne analogue
Au Siège social : 41, rue des Ecoles. Déjemne. Anatomie des centres
nerveux
, avec la collaboration de M ? Déjerine-lilumpl
ie de Gallon, par Colin, 269. Coloration de l'ensemble du système
nerveux
, par Rosin, 318. Congrès de Clermont-1'errand,
rimentale , par Enriquez et Hallion, 315 ; des lésions du système
nerveux
par le poison -, par Stcherbach, 316 ; un cas
tner et Fedbausch, 57. Hydrothérapique, traitement - des maladies
nerveuses
, par Verrier, 343. HYPFRTRICHOSE, note sur un
u langage et localisations, par Struthers, 55. Lèpre systématisée
nerveuse
à forme syringomyétique, par Pitres et Sabraz
de la -, par Duprat, 40. PsYCHOPHYSiQUES, lois en patholo- gie
nerveuse
, par Mendelssohn, 336. Psychoses, traitement
,e, par Cul- lerre, 2. Vacuolisation des nucleus dos cel- lules
nerveuses
, par Larbert, 314. Varicelle, paralysie consécu
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
IX ¡"'p. G. Saint-Aubin et Thevenol. J. Tliev
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALAD
PAR E. LENOBLE , Interne de la Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. Observation. La nommée V... Alice, âgée de 28
nnus par V... et sont morts en bas âge. Il n'existe pas de maladies
nerveuses
dans la famille. Antécédents personnels . - Ell
troubles ne se sont pas reproduits.V... étant d'une susceptibilité
nerveuse
exagérée il faut mettre sur le compte de troubl
be digestif fonc- tionne très bien. Reins sains. Quant au système
nerveux
il présente des particularités que nous étudieron
hincters. Les réflexes tendineux sont exagérés. Examen du système
nerveux
. En examinant les yeux du malade on est frappé
leur existence, alors qu'elles n'ont aucune lésion de leur système
nerveux
, sans cause peut-on dire, le rétrécissement de
gion antérieure, laissant en arrière les gros troncs vasculaires et
nerveux
. Aussi l'hémorrhagie ne sera pas mortelle; mais
te raison comme une des modalités les plus rares des manifestations
nerveuses
de la vérole. L'observation que nous publions i
compléterons plus loin les signes fournis pas l'examen du sys- tème
nerveux
. Depuis son accident, le malade a perdu l'appét
duit aucun effet. La température est de 37°4. 1 Examen du système
nerveux
: ' , I. Motricité. Les troubles moteurssont ca
es éléments nobles de la racine, si ce n'est quelques amas de tubes
nerveux
pâlis, atrophiés, dans la partie la plus extern
on dominante est la sclérose embryonnaire qui dissocie les éléments
nerveux
et prend déjà en certains points l'apparence trab
scendante, on n'ob- serve que quelques ilots circonscrits des tubes
nerveux
gonflés, fortement colorés par le chlorure d'or
rstice des mailles de ces faisceaux, on reconnaît à peine les tubes
nerveux
disso- ciés, amincis, pauvres en couleur, fragm
t de véritables petites gommes miliaires. A ce niveau, les cellules
nerveuses
paraissent saines, leur noyau est normalement c
tumeurs; on reconnaît dans leur portion péri- phérique les cellules
nerveuses
et dans le reste de leur trajet quelques tubes
s cellules nerveuses et dans le reste de leur trajet quelques tubes
nerveux
plus ou moins altérés : il est des points cependa
s racines motrices droites ont gardé leur champ uni- forme de tubes
nerveux
, avec leur gaine de myéline et leur cylindraxe
es, caractérisées par la décoloration puis la disparition des tubes
nerveux
; une racine tout entière se montre môme privée d
colorations de Weigert montrent la disparition successive des tubes
nerveux
: plus des trois quarts des tubes sont dégénérés
retrouve dans les racines antérieures un plus grand nombre de tubes
nerveux
. Il est à présumer que le processus de dégénére
es espaces con- jonctifs interfasciculaires et même entre les tubes
nerveux
; les colorations faites à l'hématoxyline, ou m
ertaines racines sont à ce point envahies, que toute trace de tubes
nerveux
dispa- raît et qu'on n'aperçoit qu'une agglomér
certains amas cellulaires s'observent entre les faisceaux de tubes
nerveux
et peuvent expliquer un début de dégénérescence
des tubercules soli- taires et des gommes tuberculeuses des centres
nerveux
, nous croyons devoir nous arrêter au moins un i
ES. . Notre diagnostic clinique, basé sur l'analyse des symptômes
nerveux
présentés par notre malade, nous avait permis d
les particularités qui font de notre cas un exemple rare de trouble
nerveux
: c'est-à-dire la bilatéralité et la disso- cia
tions que nous possédions alors sur la syphilis acquise des centres
nerveux
commençaient à être satisfaisantes, on continua
édullaire, et combien peu-souvent songe-t-on à examiner les centres
nerveux
? Toutefois, si l'on se rangea l'opinion très d
es sillons et les cor- nes grises. Le microscope y montra des tubes
nerveux
très nets. « La moelle de l'autre foetus, au co
is rougeâtre. Au microscope, M. l'otain ne put découvrir ni cellule
nerveuse
ni presque aucun tube nerveux distinct. Toute l
l'otain ne put découvrir ni cellule nerveuse ni presque aucun tube
nerveux
distinct. Toute la moelle semblait formée par d
Charcot et Gombault (1) dans un cas de syphilis acquise des centres
nerveux
. Dans leur cas, le processus était nettement d'
très raréfiée avec atrophie des cellules ganglionnaires, des fibres
nerveuses
et de la névroglie. L'auteur résume cette obs
te, hydromyélie, atrophie des cellules ganglionnaires et des fibres
nerveuses
». La deuxième observation de syphilis congénit
névroglie épaissie pri- vée de cellules ganglionnaires et de fibres
nerveuses
. Il existe de l'endartérite. Autour de quelques
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE tain degré de résorption de la substance
nerveuse
et aussi de la névroglie. La substance des corn
cléreuse. Dans la substance blanche, on trouve de très rares fibres
nerveuses
, et de nombreuses cellules de la névroglie. O
e nombreuses cellules de la névroglie. On ne trouve pas de fibres
nerveuses
dans les cordons de Goll. Celles-ci com- LA SYP
lité, disposée irrégu- lièrement et très raréfiée. 0 Les cellules
nerveuses
sont ratatinées et atrophiées, mais laissent enco
e la coupe est constituée par de la névroglie avec très peu de fibres
nerveuses
. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La sub
egments est dégénérée, les cellules rares et atrophiées, les fibres
nerveuses
disséminées. Dans la partie inférieure de la ré
nt, le canal central est toujours revêtu d'épithélium, la substance
nerveuse
est réduite à une mince bande circulaire oit il
mince bande circulaire oit il est impossible de découvrir des fibres
nerveuses
et des cellules ganglionnaires. Entre cette ban
al central est déjà divisé en 2 parties par un tractus de substance
nerveuse
. Dans la région lombaire, sur une longueur d'un
s de la sy- philis héréditaire associées si fréquemment aux lésions
nerveuses
. Et si nous parlons de localisation cérébro-méd
; 5° fausse couche de 6 mois ; 6° fille vivante âgée de 9 ans, très
nerveuse
, santé débile. S... affirme n'avoir jamais co
erait, le plus souvent, reconnaître une cause indépendante du système
nerveux
central. Les faitsrapportés sont d'ailleurs aus
es de la pie-mère qui, de 1,'i, pénétraient la moelle. - 'es fibres
nerveuses
étaienf altérées, en partie par l'infiltration di
peu altérées, il exislait cependant une atrophie de quelques fibres
nerveuses
,surtout dans la région de la queue de cheval.
scussion sur les affections systématiques primiti- - ves du système
nerveux
dans la 65e- assemblée des naturalistes et médeci
A. GOII1AUL'l'. Note sur un cas de lésions disséminées' des centres
nerveux
observées chez une femme syphilitique. Archives d
ffections spécifiques (syphilides, gom- (1) Zambaco. Des affections
nerveuses
syphilitiques. Paris, 1862, p. 210. (2) BARTELS
tie et élargie. On ne trouva aucune autre anomalie dans les organes
nerveux
centraux ». « Evidemment ajoute Bartels, les ph
ue n'ayant été institué que longtemps après le début de l'affection
nerveuse
n'a pu donner encore de résultats satisfaisants
mme de 20 ans, n'ayant jamais souffert antérieure- ment'de maladies
nerveuses
, qui fut atteinte d'une paralysie flasque subai
note, en dehors des altérations dont la moelle ou mieux le système
nerveux
est le siège, des manifestations viscérales os-
à la consul- tation externe de la Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. Notre maître, M. le Professeur Raymond, nous a
sa et eut d'elle un enfant. (1) E. l3na.ou, Leçons sur les maladies
nerveuses
, XXX6 leçon, p. 606. (2) Ili-, ,ç i ,\11 : w);,
pour une assez large part chez des indivi- dus atteints de maladies
nerveuses
. llallion en a fait une revision complète dans
et MAURICE FAURE Interne de la Clinique des Maladies du Système
Nerveux
. Nous nous proposons de montrer la possibilité
hez un grand nombre de malades atteints de toute sorte d'affections
nerveuses
organiques ou fonctionnelles. En éliminant tous
t 6 grammes par jour, sans aucun résultat heureux pour les troubles
nerveux
. Il commença alors à se produire de l'intoléran
gauche se présente comme un morceau indépendant, parce que le tissu
nerveux
est détruit plus ou moins sur ses bords latérau
dilatée où'l'on trouve encore les plexus choroïdiens. Tout le tissu
nerveux
a été détruit complètement ; par la rétraction du
riétale supérieure)on constate une diminution des fibres etcellules
nerveuses
; ces derniers éléments se colorent mal, leur stru
gement sont courts. Dans les endroits les plus détériorés l'élément
nerveux
a tout il fait disparu ; on n'y trouve plus qu'
subi peu d'altérations ; c'est surtout la dégénération de l'élément
nerveux
qui nous frappe. B. Une atrophie du pied du p
nous n'avons pu constater d'autres anomalies. La masse de filets
nerveux
située au-dessous de la substance de Soem- meri
edpédonculaire passent directement, sans interposition des cellules
nerveuses
des noyaux centraux, dans l'écorce cérébrale, ou
rmé la nature de ces accidents, en un temps où l'étude des maladies
nerveuses
était encore pleine de contradictions et de mystè
incipalement la région (1) LOUYEII- VILLE1UIAY, Traité des maladies
nerveuses
ou vapeurs, Paris, 181G, t. I, p. III, cité par
DE la salpêtrière risés, mais qui en même temps a laissé le système
nerveux
intact : ce ma- lade ou plutôt cet infirme, âgé
néré partiel, localisé et pour ainsi dire systématique : le système
nerveux
est intact, l'épiderme peut être tenu pour tel,
il est remarquable de noter l'intégrité absolue de tout le système
nerveux
. Le cerveau n'est aucunement louché ; l'intellige
émangeaisons, pas de migrai- nes... De cette intégrité du système
nerveux
nous devons rapprocher le bon état de l'épidémi
diagnostiquer la syphilis chez les dégénérés physiques des centres
nerveux
. ¡ Du reste, à ce point de vue même, la règle n
on exclusif. ' " . '1 i Ici, la dégénérescence a épargné le système
nerveux
: ici comme ailleurs, *- la dégénérescence est
ysies oculaires au cours du tabès. (2) Raymond, Maladies du système
nerveux
, scléroses systématiques de la moelle, 1894.
élèves de M. Brissaud, M. de Massary (3). « L'activité de l'élémenL
nerveux
qui commande aux muscles estdétermi- née par l'
iques. Thèse Paris, 1885. (3) Michel, Etude sur les arthropathies
nerveuses
dans le cours de l'ataxie locomo- trice progres
les lésions osseuses et articulaires liées aux maladies du système
nerveux
remarque incidemment que dans deux observations
5) Muller, Archiv. sur klinische Chirurgie, 1888. (6) Arlhropathies
nerveuses
et troubles de la sensibilité. Nouvelle Iconograp
alpêtrière, 4894. (7) MouciOE'r et Coronat, Arthropalhies d'origine
nerveuse
. Archives générales de médecine, 1893. (8) Ch
rchives générales de médecine, 1893. (8) Chipault, Arthropatlzies
nerveuses
. Traité de Chirurgie clinique et opératoire, t.
sentées à maintes reprises ou simplement des lésions vasculaires ou
nerveuses
, toutes locales ? Ce qui n'est pas douteux, c'e
RE PAR G. GASNE. Interne de la clinique des maladies du système
nerveux
. M. Gilles de la Tourette'a groupé dans le rema
où l'hémorrhagie due à l'hérédo- syphilis siégeait dans les centres
nerveux
, malheureusement on n'a pas sou- vent songé à e
es sillons et les cornes grises. Le mi- croscope y montra des tubes
nerveux
très nets. (1) Cité par LANCEHEAUX, Traité de l
Au microscope M. Potain, M. Cornil ne purent découvrir une cellule
nerveuse
ni presque aucun tube nerveux distinct. Toute l
rnil ne purent découvrir une cellule nerveuse ni presque aucun tube
nerveux
distinct. Toute la moelle semblait formée par d
par Charcot et Gombault dans un cas de syphilis acquise des centres
nerveux
. Dans leur cas le processus était nettement d'o
tie et élargie. On ne trouva aucune autre anomalie dans les organes
nerveux
centraux. » . « Evidemment, ajoute Bartels, l
er'; si on tente de le faire on enlève de petits fragments do tissu
nerveux
. Partant de la pie-mère épaissie on trouve alla
de cellules rondes. Quant aux altérations spéciales de la substance
nerveuse
elle-même, elles sont de deux sortes. Tantôt le
rose par le picrocarmin forme la partie périphé- rique de la fibre
nerveuse
etengaine le cylindre-axe. A un stade plus avancé
racines antérieures et Postérieures. Çà et là seulement les fibres
nerveuses
des racines sont affectées par le processus vég
ouve les mêmes altérations que celles déjà décrites pour les fibres
nerveuses
de la moelle dorsale, le reste quoi- que engain
très raréfiée'aVec atrophie des cellules ganglionnaires, des fibres
nerveuses
et de la névroglie. » La deuxième observation
a névroglie épaissie privée de cellules ganglionnaires et de fibres
nerveuses
. Il existe de l'endarté- rite. Autour de quelqu
tour d'elles on note un certain degré de résorption de la substance
nerveuse
et aussi de la névroglie. La substance des corn
e scléreuse '. Dans la substance blanche, on trouve de rares fibres
nerveuses
et de nom- breuses cellules de la névroglie. ,
SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 289 On ne trouve pas de fibres
nerveuses
dans les cordons de Goll, elles com- mencent à
alité, disposée irrégu- lièrement et très raréfiée. Les cellules-
nerveuses
sont ratatinées et atrophiées, mais laissent enco
de la coupe est constituée par de la névroglie ou très peu de fibres
nerveuses
. Les cordons postérieurs sont sclérosés. La sub
egments est dégénérée, les cellules rares et atrophiées, les fibres
nerveuses
disséminées. Dans la partie inférieure de la ré
nt le canal central est toujours revêtu (l'épithélium, la substance
nerveuse
est réduite il une mince bande circulaire où il
central est déjà divisé en deux parties par un tractus de substance
nerveuse
. Dans la région lombaire, sur une longeur d'un
éninges, cndartérite oblitérante, liydromyélie, atrophie des fibres
nerveuses
et des cellules ganglionnaires. ix 19 ' 290 N
tractus entre de plus petits et de plus gros fais- ceaux de fibres
nerveuses
dissociant ainsi les faisceaux qui forment la rac
sque 292 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE entre les fibres
nerveuses
. Ces dernières ne présentent que peu de manifesta
petites places répondant à une section transversale de 4 à 8 fibres
nerveuses
qui sont comme découpées et se colorent en jaun
le tissu voisin de la né- vralgie. Les interstices entre les tubes
nerveux
de la substance blanche sont considérablement a
bres névroglillues, mais il la limite entre les cônes et la substance
nerveuse
ces fibres prolifèrent abondamment et forment u
e. Au milieu des végétations nucléaires compactes toutes les fibres
nerveuses
sont détruites à part quelques-unes isolées. Mais
e seulement éparses dans toute la substance blanche quelques fibres
nerveuses
plus ou moins malades. Les parties les plus altér
dor- sale qui est surtout atteinte. Outre l'écartement des tubes
nerveux
, démontré par une coloration plus claire à la m
s qui me renseignaient sur la diffusion des lésions hors du système
nerveux
. Je me suis servi comme fixateur du liquide de
au picrocarmin nous ont permis d'étudier de plus près les cellules
nerveuses
de l'axe gris. L'âge,des foetus a varié, le plu
ect que nous leur connaissons chez l'adulte; le réticulum des tubes
nerveux
abondant et bien mis en évi- dence par le Pal.
ans le sillon antérieur un prolongement plus épais, séparé du tissu
nerveux
et dans lequel courent des vaisseaux plus ou mo
r loger les racines, l'arachnoïde, la pie-mère et quelques détritus
nerveux
, restes de la moelle étranglée, pour ainsi dire,
se montre, de coloration et d'aspect, à peu près semblable au tissu
nerveux
auquel elle est accolée mais séparable, non fus
fascicule' est peu ou pas infiltré. Mais si dans ces cas les libres
nerveuses
restent indemnes il est certain que la lésion p
bryonnaires dans les travées cellu- laires, le long des conducteurs
nerveux
qui semblent respectés par l'infil- tration.
deux cas des désorganisations manifestes, indis- cutables du tissu
nerveux
. A part ces cas sur lesquels nous reviendrons a
rétraction due aux divers réactifs peut faire déchirer la substance
nerveuse
dont des lambeaux restent adhérents à la méning
orrespond au manteau blanc de ce côté on ne distingue plus de tubes
nerveux
, ni les nombreux noyaux névro- gliques qui pars
ns destructives empêchent-elles de nouveau toute étude des éléments
nerveux
. Il est assez facile d'interpréter de tels aspe
PHILIS HÉRÉDITAIRE 305 veines tiennent plus de place que les filets
nerveux
, dans la pie-mère où la veine spinale postérieu
sous-pie-mérien, l'adhérence du septum médian antérieur aux cordons
nerveux
voisins, tous phénomènes qui indiquent un process
tie d'un processus général qui ne frappe pas seu- lement le système
nerveux
mais bien tous les organes et elle est absolu-
7 cellules rondes embryonnaires qui se groupent autour des cellules
nerveuses
dans les travées laissées libres par les filets
e épaisse, d'énormes capillaires pleins de sang refoulent les tubes
nerveux
, et dans les minces travées qui séparent les fais
es, tiennent sur la coupe certainement plus de place que les filets
nerveux
eux-mêmes. De plus ces racines sont encore réun
le, et entre l'arachnoïde et la pie-mère d'autre part. La substance
nerveuse
n'est pas refoulée du reste et paraît n'avoir sub
oelle, sa consistance paraît également être à peu près celle du tissu
nerveux
. Examinée au microscope, la moelle comprimée, l
e qui forme leur base, vont eu s'atténuant vers le 'centre de l'axe
nerveux
. La dure-mère elle-même est peu encombrée de cell
rés par des cellules rondes qui emplissent-lès travées des cellules
nerveuses
, ces noyaux se réunissent parfois en véritables
st refoulée par le sang, elle s'avance en festons entre les racines
nerveuses
, sans que le sang s'échappe cependant. Région l
iers prolongent la lésion sur les travées occupées par les cellules
nerveuses
. La pie-mère est extrêmement épaissie, elle est
pect très spécial. Chaque disque qui représente un groupe de filets
nerveux
est entouré d'un tissu conjonctif abondant qui
dans le fascicule radiculaire et le dissocie; mais entre les filets
nerveux
et la gaine conjonctive qui les entoure se sont i
- tus fibreux que nous venons de signaler dissociant les fascicules
nerveux
. Région lombaire. -- La moelle est très altérée
qui vont se perdre dans les régions voisines en refoulant le tissu
nerveux
. A la place des vaisseaux spinaux antérieurs, on
les cellules embryonnaires s'infiltrent au mi- lieu des fascicules
nerveux
. La pie-nière est moyennement épaissie, elle es
ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
. HOSPICE DE LA SALPLTIi7LIiD. PARALYSIES ARSE
LA SALPÊTRIÈRE sèment de l'empoisonnement arsenical sur le système
nerveux
, et qu'on a imputés tantôt à la polynévrite, ta
n particulier ceux des membres infé- rieurs. La pression des troncs
nerveux
, en des points où leur trajet est superficiel,
et no 26, p. 93. (3) F. Raymond, Clinique des maladies du système
nerveux
, ire série, Paris, 1896, p. 269. PARALYSIES A
énible ne manque presque jamais ; les muscles et surtout les troncs
nerveux
sont douloureux à la pression, mais cela n'est
oid développait une sensation de chaleur. Les muscles et les troncs
nerveux
PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SE\SITIVO-11
uscles paralysés. Les réflexes tendineux étaient abolis. Les troncs
nerveux
étaient douloureux il la pression ; on constata
a sensibilité persistent. Les muscles, quelquefois aussi les troncs
nerveux
sont devenus douloureux à la pression. La paral
sonnement arsenical, lorsque l'intoxication retentit l surlesystéme
nerveux
? Une succession d'accidents qui, presque toujour
x l'alcool et l'arsenic, dans leurs manières d'atteindre le système
nerveux
. Dans l'un et l'autre cas, disai-je, c'est une
RE PAR G. GASNE, Interne de la Clinique des Maladies du Système
nerveux
. (Suite et fin.) Observation IX, 21 février 1
e une boullie rougeâtre contenant des grumeaux de nature évidemment
nerveuse
, les os sont écartés, il y a communication avec
canal de J'épendyme. Du côté gauche de la coupe, quelques fragments
nerveux
dans lesquels on distingue encore les cellules
cies d'éléments embryonnaires qui refoulent et cachent les cellules
nerveuses
. La pie-mère est très épaisse, infiltrée de noy
u côté gauche de la coupe, où on voit encore des fragments de tissu
nerveux
dissocié par les cellules embryonnaires attenan
ivre en partant du ganglion extérieur au canal rachidien une racine
nerveuse
qui pé- nètre dans la dure-mère et va se heurte
beaucoup moins bouleversés, on reconnaît nettement leurs fascicules
nerveux
et leurs travées cellulaires, niais ils sont ense
liers. Région dorsale inférieure. Ou reconnaît la présence de tissu
nerveux
, mais ce ne sont que des débris, la pie-mère fa
la substance blanche, mais on ne saurait y reconnaître les cellules
nerveuses
. Du côté gau- che la corne antérieure persiste,
ace compris entre les deux cornes n'a plus aucun caractère du tissu
nerveux
, on y voit seulement un magma grenu coloré en g
le elle-même mais ses dimensions sont bien deux fois celles de Taxe
nerveux
, il est en contact direct avec la dure-mère épa
des grands leucocytes connus en anatomie pa- thologique dn système
nerveux
sous le nom de corps granuleux. Sur certains es
ement visibles. Les ganglions sont évidemment altérés, les cellules
nerveuses
persistent au milieu d'une infiltration embryon
nnaire abondante mais les tractus formés par les faisceaux de tubes
nerveux
ne se voient plus avec la netteté habituelle. R
isolée dans ses contours et la pie-mère au lieu d'adhérer au tissu
nerveux
en est séparée par un exsudat abondant légèreme
impossible de distinguer dans la substance grise une seule cellule
nerveuse
. Il existe des espaces où la coupe n'a pris auc
upent presque tout l'espace laissé [libre sur la coupe par le tissu
nerveux
. Si la plupart des éléments sont absolument nor
és d'une gaine conjonctive très épaisse et très serrée, leurs tubes
nerveux
semblent être rassemblés, comme refoulés au centr
sont très souvent altérés. Il ne semble pas cependant que les tubes
nerveux
soient le plus souvent détruits, il est diffici
englobe. Les ganglions sont toujours infiltrés, mais leurs cellules
nerveuses
con- servent la plupart de leurs caractères nor
rties voisines. Espace sous-arachnoïdien libre Vaisseaux et racines
nerveuses
bien isolé ? 2. (OBS. II. Spécifique.) Moelle :
R GABRIEL DELAMARE Externe de la Clinique des Maladies du Système
nerveux
. Il a paru intéressant de réunir et de publier
s trophiques des ongles au cours d'affec- tions diverses du système
nerveux
(hystérie, maladie de Raynaud), parce qu'elles
. * Marie B..., 18 ans, vient à la clinique des maladies du système
nerveux
pour des lésions unguéales localisées au pouce,
UQUES. 1 Chef de laboratoire de la Clinique des Maladies du Système
nerveux
, à la Salpêtrière. « Nous avons entendu soute
i I INTRODUCTION A LA SÉMIOLOGIE DES MALADIES DU SIS- TÈ1JIIj,'
NERVEUX
. DES SYMPTOMES OBJECTIFS QUE LA VOLONTÉ EST INC
mple signe de lésion, c'est la lésion même d'une portion du système
nerveux
, du nerf optique, perceptible pendant la vie grâc
e de déceler l'existence d'une affec- tion plus étendue des centres
nerveux
. Or si l'on considère que les troubles ophtalmo
stations fort communes des affections les plus courantes du système
nerveux
, de la syphilis, du tabes qui d'ailleurs n'est
syphilis, du tabes qui d'ailleurs n'est qu'une forme de la syphilis
nerveuse
, de diverses autres infections, de certaines in
sans doute à ce que le noyau de la sixième paire fournit des fibres
nerveuses
au droit interne du côté opposé et que, par con
re ce signe comme le plus remarquable de la sémiotique des maladies
nerveuses
; il est dans bien des cas la seule manifestati
bès, à la paralysie générale ou la syphilis conglomérée des centres
nerveux
; il en constitue une manifestation caractéristiqu
des signes de lésion, c'est la lésion même d'une partie du système
nerveux
, la lésion des méninges, dans l'espèce, visible
ptible d'être créé par la volonté ? ' ? Enfin, il est une affection
nerveuse
, l'intoxication diphtérique du système nerveux,
l est une affection nerveuse, l'intoxication diphtérique du système
nerveux
, qui donne souvent lieu à un trouble oculaire qui
u'ils subissent des perturbations dans un grand nombre d'affections
nerveuses
et donnent des indications fondamentales au poi
des réflexes tendineux est caractéristique d'une lésion du système
nerveux
, et ce trouble est étranger à la symptomatologie
s signes, ce sont des lésions qui sont symptoma- tiques de maladies
nerveuses
et qui ne peuvent être simulées. On peut en dir
ceptibles de dépendre indifféremment, soit d'une maladie du système
nerveux
, soit de quelque cause banale facile à mettre enj
certifier sans examen plus approfondi qu'il s'agit d'une affection
nerveuse
de nature organique, car il est possible que vo
avail s'il existe ou non chez le sujet en observation des désordres
nerveux
organiques ; elle est encore fondamentale toute
festations hysté- riques celles qui dépendent de lésions du système
nerveux
. Mais n'oubliez pas que la constatation d'un ou
édecine, les Revues et les Leçons consacrées à l'étude des maladies
nerveuses
, les journaux périodiques pour voir que dans la
ates étaient le résultat d'une perturbation inconsciente du système
nerveux
. On le conçoit au contraire fort bien, si l'on ad
Ne constatant aucun signe objectif d'affection organique du système
nerveux
, je porte le diagnostic de 22 LA MÉTHODE EN SÉM
re. consulté à son tour, émet l'opinion qu'il s'agit là de troubles
nerveux
et me fait l'honneur de me deman- der mon avis
rale, les sujets se croyant à tort atteints d'une lésion du système
nerveux
ou de quelque organe ne sont pas nécessairement
XE CUTANÉ PLANTAIRE DANS CERTAINES AFFECTIONS ORGANIQUES DU SYSTÈME
NERVEUX
CEN- TRAL, i.r. Babinski.] Publié dans les
is vous indiquer maintenant quelques-unes des affections du système
nerveux
dans lesquelles le signe des orteils paraît faire
l'avez vu, dans des cas de tabes associé à une affection du système
nerveux
, telle qu'une hémiplégie organique ou la méning
ue dans les hémiplégies toutes récentes, dans les cas où les fibres
nerveuses
du faisceau pyramidal étaient détruites et dans
e de tout signe objectif classique d'affection organique du système
nerveux
avait conduit les médecins chargés de l'examen
logie. La main, munie du marteau percuteur, interroge le système
nerveux
qui, par l'intermédiaire de ces réflexes, répon
et des réflexes rotuliens sans autre signe d'affection du sys- tème
nerveux
(Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, n° 2, J
de l'irréflectivité tendineuse dans la symptomatologie des maladies
nerveuses
, il faut, après le tabès, étudier les névrites.
'est pas un indice cer- tain d'un désordre irrémédiable des centres
nerveux
. Les réflexes tendi- neux peuvent reparaître, a
sont les maladies musculaires placées sur les confins des maladies
nerveuses
^ Examinons, en premier lieu, la myopathie primi
oir chercher la raison du phénomène dans la concomitance de lésions
nerveuses
. Jarkowski et moi(2) avons étudié des faits de
e appartient plutôt à la pathologie du muscle qu'à celle du système
nerveux
; l'absence des caractères de la réaction de dé
ble peut-il être engendré directement par une altération du système
nerveux
central siégeant au-dessus des centres des réfl
erve chez des sujets dont il y a tout lieu de considérer le système
nerveux
comme absolument sain. Pour s'en convaincre il
de choisir quelques individus ne présentant aucun signe d'affection
nerveuse
, ayant simplement des réflexes tendineux forts
présentant, du reste, aucun signe d'affection organique du système
nerveux
. Si je suis entré dans des développements circo
Nous allons passer en revue les principales affections du système
nerveux
central dont la surréflectivité est une des manif
occupée par les faisceaux pyrami- daux dans cette partie du système
nerveux
. Il n'est peut-être pas sans intérêt de faire r
ème groupe il en va autrement. Dans certaines affections du système
nerveux
central, les mouvements réflexes de flexion du pi
que dans (') Voir : Dégénération lenticulaire progressive. Maladie
nerveuse
familiale associée à la cirrhose du foie (Revue
um anatomique, comme nous venons de le voir, des lésions du système
nerveux
central ; ces lésions intéressent la voie pyram
e du clonus dans les maladies organiques et fonctionnelles du système
nerveux
£ (Revue neurol., 1906, p. 82g). 86 SÉMIOLOGI
sur les réflexes tendineux une action pareille à celle des lésions
nerveuses
qui engendrent des paralysies ou des contractures
establement d'une monoplégie brachiale liée à une lésion du système
nerveux
central. Le signe de la pronation, l'hypothermie
: « Association de l'hystérie avec les maladies organiques du système
nerveux
, les névroses et diverses autres affections »,
plégie constitue un indice important de lésion organique du système
nerveux
et doit éloigner de l'esprit l'idée de para- ly
herchés d'une manière sys- tématique dans les affections du système
nerveux
, l'étude des réflexes a été négligée. On admet
e permet pas d'écarter l'hypothèse d'affection organique du système
nerveux
central, sa présence donne le droit d'affirmer
aralysie faciale dite périphérique avec DR. La paralysie des troncs
nerveux
et la DR étant étrangères à la symptomatologie de
'hystérie, ou si elle est liée à une affection organique du système
nerveux
central. VII CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUB
araplégie en extension, dépend comme celle-ci de lésions du système
nerveux
central intéres- (') Voir : Exposé des travaux
médecine désireux d'apprendre la sémiologie des maladies du système
nerveux
. Parcourant la table des matières d'un livre qu
anato- mique, comme nous venons de le voir, des lésions du système
nerveux
central ; ces lésions intéressent la voie pyram
est vrai, de la précédente par sa forme déterminée par des lésions
nerveuses
centrales atteignant les faisceaux pyramidaux, et
du pied. Sauf ces derniers phénomènes, le fonctionnement du système
nerveux
semble absolument normal. Est-il permis de sout
admettait qu'il est sous la dépendance de l'irritation des centres
nerveux
produite par le reliquat de la lésion ? Consi
du foetus humain de 2 à 3 mois et leurs relations avec le système
nerveux
foetal ('). » J'extrais de cet article (p. 1 n3
lexes constituent un chapitre important de la Pathologie du système
nerveux
. W Revue Neurologique, 1921, nos il et 12. X
mettant d'admettre ou d'écarter l'hypothèse d'une lésion du système
nerveux
. Cependant, en procédant ainsi, on s'expose à com
volitionnelle, quoique transitoire, prouve que la lésion du système
nerveux
n'est pas profondément destruc- tive ; du reste
qui peuvent se manifester dans les affections organiques du système
nerveux
, je fus frappé par ce fait que les pupilles exp
aucun signe d'affection oculaire ni de maladie organique du système
nerveux
m'ont donné un résultat nettement positif dans la
sie de la troisième paire, est l'indice d'une altération du système
nerveux
cen- tral, presque sûrement d'origine syphiliti
chez la malade qui nous occupe, c'est bien à une lésion du système
nerveux
central qu'il faut attribuer le trouble pupillair
algré l'absence de tout autre signe de maladie organique du système
nerveux
, on est en droit de porter le diagnostic de tab
porter, il en est tout autrement ; la lésion orga- nique du système
nerveux
eût fort bien pu être méconnue, ce qui me condu
notion classique qui fait dépendre ces trou- bles d'une compression
nerveuse
; n'a-t-on pas été amené à cette idée par des c
cifiées plus haut, cette abolition dénote une altération du système
nerveux
central, d'origine syphilitique selon toute pro
rb ("), qui déclare que ce signe lui paraît indiquer que le système
nerveux
central est touché par la syphilis, par Harris
ionnelle, aucun caractère objectif d'affection organique du système
nerveux
; les réflexes tendineux des membres supérieurs e
aucune manifesta- tion subjective d'affection organique du système
nerveux
. Voici un homme âgé de quarante-six ans, qui a
lui aucun autre caractère objectif de maladie organique du système
nerveux
. Mais, contrairement aux deux autres malades, il
e de Robertson comme manifestation d'affection organique du système
nerveux
. Elle ne se rappelle pas avoir eu d'accidents spé
ditions précédemment précisées, nous parait indiquer que le système
nerveux
central est atteint par la syphillis et que le
pupillaires est le seul signe d'une affection organique du système
nerveux
. Comme l'abolition du réflexe à la lumière n'appo
que peut exercer une influence favorable sur les lésions du système
nerveux
d'origine syphilitique, elle sera naturelle- me
plus efficace que ces lésions sont à leur début et que les éléments
nerveux
ne sont pas encore profondément altérés. SÉMIOL
u se développer jusqu'à un certain point en dissociant les éléments
nerveux
sans interrompre leur continuité. Dans une se
l'observation sur l'homme que le pouvoir de compensation du système
nerveux
est plus grand à mesure qu'un individu se trouv
pant le cervelet, les autres atteignant d'autres régions du système
nerveux
et en particulier les organes compen- SÉMIOLOGI
tres pensaient qu'il dépendait d'une irritation directe des centres
nerveux
. Par mes recherches sur l'homme, par des expéri
le muscle est alors complètement soustrait à l'influence du système
nerveux
et que l'excitation électrique ne porte (') Tra
lité électrique propre à une période où l'excitabi- lité des fibres
nerveux
intra-musculaires est abolie ('). HYPEREXC1TABl
ne constate aucun signe objectif d'af- fection organique du système
nerveux
. Les organes thoraciques et les organes abdomin
rinsèques, que la paralysie était due à une compression des centres
nerveux
; d'autre part, contrairement à ce qui avait ét
rac- tères appartiennent aux paralysies par compression des centres
nerveux
('). Le 3 mai un nouvel examen du fond de l'oei
il y a lieu de penser qu'elle est due à une compression des centres
nerveux
, à condition qu'elle ne soit pas associée à une
orteil du côté gauche. Or, si l'on admet que tous les phénomènes
nerveux
observés chez 1). sont de même origine, qu'en p
femme confirme ce qu'il dit, qu'il a toujours été, au point de vue
nerveux
, un homme normal, pondéré, qu'il n'a fait d'excès
e cette affection est liée à une perturbation organique des centres
nerveux
, je pense que les lésions dont elle dépend doiv
Il serait permis de supposer qu'elle occupe une région des centres
nerveux
avoisinant ces faisceaux, par exem- ple le corp
3, p. 1-18.' III TORTICOLIS SPASMODIQUE AVEC LÉSIONS DU SYSTÈME
NERVEUX
CENTRAL. EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES MULTIPLES JJ
t en outre, chez lui, divers troubles liés à des lésions du système
nerveux
central et des exostoses ostéogé- niques. Voi
idale ; on peut affirmer qu'il est atteint d'une lésion des centres
nerveux
. Les mouvements spas- modiques que l'on observe
l peut être sous la dépendance d'une affection organique du système
nerveux
central : on tend à admettre, comme on le sait,
nt dans certaines condi- tions, d'obtenir, après section des fibres
nerveuses
motrices, des dégéné- rations musculaires suivi
ablement de phénomènes liés à une perturbation organique du système
nerveux
, quelque soit l'idée qu'on puisse se faire de l
être tout simplement l'oeuvre du temps ; en effet, des phé- nomènes
nerveux
liés à l'encéphalite, tels que certaines clonies,
plication simple dans ce fait qu'à égalité de valeur de l'influence
nerveuse
vaso-constrictive, on comprend que la quantité
ce genre ne sont pas exceptionnels dans les affections du sys- tème
nerveux
central et il n'est pas rare de les constater dan
ribuer à établir le diagnostic d'une affection organique du système
nerveux
central et comptent parmi les manifestations obje
veloppe, comme dans les autres affections destruc- tives du système
nerveux
central, des dégénérations secondaires dont l'i
d'un phénomène mécanique, d'une compres- sion exercée sur les tubes
nerveux
par le tissu conjonctif de nouvelle formation,
ellules lym- phatiques. 3° La nature de la dégénération des tubes
nerveux
, analogue à celle qui s'observe dans le bout ce
s de la sclérose en plaques. La nature de la dégénération des tubes
nerveux
, analogue à celle qui s'observe dans le bout pé
plaques que de la sclérose secondaire. 6° La régénération des tubes
nerveux
de la moelle chez l'homme avec retour des fonct
r grosse comme une petite noix, qui a refoulé et déformé les tissus
nerveux
à son voisinage, sans toutefois produire de destr
eur structure d'altérations notables. Il en est de môme des organes
nerveux
, bulbe, protu- bérance, cervelet ; l'examen his
ès restreint de boules noires. On peut en conclure que les éléments
nerveux
ont résisté à la compression d'une manière rema
lésion, il n'existait aucune altéra- tion histologique des éléments
nerveux
, et qu'ils étaient encore plus marqués dans ce
ce cas que dans les autres. (') Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1886, t. II, p. 126. (Z) Zur Lehre von den Ges
dans les points de contact ; or, l'autopsie a montré que le système
nerveux
ne présentait pas d'altérations organiques. E
e cette forme de paraplégie était causée par des lésions du système
nerveux
central (sclérose spinale, néoplasme comprimant l
le j'ai appelé l'attention, qui dépend aussi des lésions du système
nerveux
central inté- ressant la voie pyramidale et dan
térêt à rechercher systématique- ment dans la clinique des maladies
nerveuses
le réflexe du tendon d'Achille. UN CAS DE CRI
quand on a éliminé par un examen méthodique et com- plet du système
nerveux
l'hypothèse d'un tabes, d'intervenir chirurgicale
es de l'ataxie, soit un trouble trophique dépendant des altérations
nerveuses
du tabes. N'est-elle pas le résultat d'une action
osseuses ? L'arthropathie de mon malade est-elle due à des lésions
nerveuses
du tabes, d'ailleurs hypothétique en l'espèce,
le tabès est lié à la syphilis et que, quand la syphilis du système
nerveux
frappe les racines postérieures et donne lieu à
le l'agent morbide frappe dans ce cas de part et d'autre le système
nerveux
. S'agirait-il d'une simple coïncidence fortuite ?
us syphilitiques auraient plus d'action que d'autres sur le système
nerveux
, ou bien parce que l'enfant hérite de son père
ère et de sa mère d'une prédisposition au développement de troubles
nerveux
? Ce ne sont là, que des hypothèses, sur lesquell
cins qui l'avaient soigné, qu'il pût avoir une affection du système
nerveux
; si, après avoir (') J. Babinski, Revue Neurol
tait pas que sa fille fut atteinte d'une affection grave du système
nerveux
, et ce n'est que sur mon conseil qu'il me l'a c
e, avec contracture, d'une très longue durée, sans que les éléments
nerveux
aient subi des désordres profonds, puisque les
uccombé, la nécropsie a été faite et l'examen anatomique du système
nerveux
a été pratiqué par notre regretté collègue et a
ant la tumeur ; . 3° Néanmoins on y trouvait de nombreuses cellules
nerveuses
aplaties, mais non détruites ; dans les racines
que les altérations n'étaient pas très profondes, que les éléments
nerveux
essentiels étaient plutôt irrités que détruits.
gine de tous les troubles symptomatiques observés et que le système
nerveux
central ne présente aucune modification. Il sig
. Il signifie simplement que les altérations anatomiques du système
nerveux
, perceptibles par nos moyens d'investi- gation,
ées dans les nerfs ou y sont bien plus accusées que dans le système
nerveux
central. Il y a tout lieu d'admettre, et ce n'e
ent des névrites provoquent à la fois une perturbation du sys- tème
nerveux
central et du système nerveux périphérique : que
la fois une perturbation du sys- tème nerveux central et du système
nerveux
périphérique : que parfois même ils exercent en
imitée à ce nerf. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du système
nerveux
siégeant au- (') Brissaud, Leçons sur les malad
système nerveux siégeant au- (') Brissaud, Leçons sur les maladies
nerveuses
, r8g5, p. 200. 442 AFFECTIONS DES NERFS dessu
l'atrophie musculaire est indépendante de toute lésion des centres
nerveux
ou des nerfs périphériques, et qui est connue sou
s cer- tains cas, pour le système musculaire, comme pour le système
nerveux
central, un lien entre l'anatomie pathologique
ie de développement ('). (') C'est, en particulier pour les centres
nerveux
, le cas de la sclérose latérale amyotrophique.
ste aucun signe pouvant faire supposer la concomitance d'une lésion
nerveuse
. 4° Enfin, il est à remarquer que l'abolition d
l'hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres affections
nerveuses
et qu'il y a lieu de rayer cette pré- tendue né
ler hystériques, les analyser et les rapprocher des divers troubles
nerveux
que l'on est unanime à séparer de l'hystérie.
e capables de faire apparaître chez les diabétiques des acci- dents
nerveux
et de déterminer des troubles circulatoires grave
est inutile d'insister sur ce point. Enfin il y a d'autres affections
nerveuses
qui ne retentissent pas gravement sur la nutrit
elle est incapable de le gué- rir. Il n'y a pas une seule affection
nerveuse
bien définie et située hors des limites de l'hy
médecins qui ne se sont pas spécialisés dans l'étude des mala- dies
nerveuses
. C'est pour m'aider à les propager que notre prés
ns avaient cru remarquer qu'il existait un groupe de manifestations
nerveuses
intimement liées à une perturbation dans le fon
efois, il n'en restait d'ailleurs pas moins établi que les troubles
nerveux
appelés hystériques avaient un cachet particuli
e, mais capable d'atteindre chacune des diverses parties du système
nerveux
et de produire ainsi des désordres variant avec
able, mais ces mêmes causes sont capables d'engendrer des accidents
nerveux
chez les diabé- tiques et de déterminer même de
nent en propre. Pour y arriver, il faut analyser les manifestations
nerveuses
telles que les grandes attaques, certaines para
idérer comme hystériques, il faut ensuite les comparer aux troubles
nerveux
qui, de l'avis de tout le monde, sont étrangers
réellement partie. L'hystérie peut donner naissance à des crises
nerveuses
sous des for- mes variées, à des paralysies qui
estion. Mais faut-il en conclure que toutes les for- mes d'attaques
nerveuses
, de paralysies, d'anesthésies, d'hyperesthésies,
ques ('). Il est impossible de reproduire par suggestion des crises
nerveuses
accompagnées de lividité des lèvres et suivies
(') Voir : « Introduction à la séméiologie des maladies du système
nerveux
. Des symptômes objectifs que la volonté est inc
s, que ce soient des névroses, des maladies organi- ques du système
nerveux
, ou des maladies viscérales. J'ai insisté sur la
r : Association de l'hystérie avec les maladies organiques du système
nerveux
, les névroses et diverses autres affections, pa
s, l'injonction verbale de dormir, on a développé certains troubles
nerveux
, des paralysies, des contractures, des anesthés
mènes qui relevaient de la simulation ; 3" on a confondu des états
nerveux
qui doivent être distingués les uns des autres.
d'affirmer que l'on a affaire à une affection organique du système
nerveux
central. Je n'ai pas besoin d'insister sur les si
ue à établir une ligne de démarcation tranchée entre les deux états
nerveux
que nous comparons, c'est que, contrairement à ce
s diverses, qu'ils peuvent s'associer, non seulement aux affections
nerveuses
, mais à toutes les affections viscérales, thora
une perturbation physique du sys- 5o8 Il YS Tl'RIE-1)1'F Il tème
nerveux
, dont une des conséquences est l'exaltation de la
'appui de cette opinion. Il est vrai que des phénomènes subjectifs,
nerveux
, psychiques peuvent être pathologiques, nulleme
ontagiosité des phénomènes hystériques, en particulier des attaques
nerveuses
; elles se propageaient autrefois dans les salles
ions qui sont ou semblent être propres au développement d'accidents
nerveux
, on se met en quête de troubles hystériques ; o
plus de (ioo « rescapés » dont quelques-uns souffraient de troubles
nerveux
divers constituant un véritable état morbide, u
ent d'une perturbation physique, voire même d'une lésion du système
nerveux
, ce qui, par parenthèse, aurait des consé- quen
perturbations physiologiques réelles, des altérations du dynamisme
nerveux
, des réac- tions vaso-motrices anormales et dan
et J. Froment.] Extrait du livre Ilystérie-Pithiatisme et Troubles
nerveux
d'ordre réflexe. Masson et C", Paris, 1917. D
qui veut apprécier le rôle de l'émotion dans la genèse des troubles
nerveux
. L'émotion-choc devait atteindre là son maximum
enir compte, dans les complications pithiatiques dont les accidents
nerveux
de nos malades peuvent être l'objet, d'un moyen t
elles les auteurs n'attachaient d'importance qu'à l'émotion, au shock
nerveux
et aux accidents hystériques qui suivaient. Il
ain, sans aucun signe dénotant l'existence d'une lésion des centres
nerveux
ou des nerfs périphériques, et que l'auteur rat
hiques que ceux qui sont liés aux lésions des centres ou des troncs
nerveux
. Aucun des caractères signalés dans l'observation
ulier par Bouveret et par Blum. Jus- qu'à cette époque les troubles
nerveux
de cet ordre (railway-spine, rail- way-brain) é
i que l'on a souvent rattaché à l'hystéro-traumatisme des accidents
nerveux
de toute autre nature. C'est ainsi qu'au début
tion vient apporter la preuve de la nature pithiatique des troubles
nerveux
constatés. Le fait est nettement mis en évidenc
par éclatement d'obus ait déter- miné ou non des lésions du système
nerveux
, il y a tout lieu d'admettre qu'elle peut, auss
que après avoir lu les chapitres que nous consacrons aux phénomènes
nerveux
d'ordre réflexe, de ne pas attribuer à l'hystér
aumatisme et indépendants de toute lésion des centres ou des troncs
nerveux
. Si exacte que soit la notion de l'hystéro-trau
crire sous ce nom, outre des phénomènes pithiatiques, des accidents
nerveux
qui n'ont pas la suggestion pour origine et que
ancienne des stigmates permanents de l'hystérie ? ' Les troubles
nerveux
qui ont été décrits sous le nom de stigmates ap
t en aucun cas nous autoriser à rattacher à l'hystérie les troubles
nerveux
qui les accompa- gnent, CRISES HYSTÉRIQUES.
re approximative celle des anesthésies liées aux lésions des troncs
nerveux
. , ". , ' .. 1 ? ? L'HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE
aussi bien celles qui rappellent une griffe par lésion périphérique
nerveuse
que d'autres tout à fait illo- giques. Un de le
r éclatement d'obus. Il est fort possible dès lors que les troubles
nerveux
incriminés ne soient pas de nature hystérique,
es ou, au contraire, d'une lésion organique de nature vasculaire ou
nerveuse
. Le malade de M. Raynaud, présentant une blessu
queles traumatismes de guerre ontfait surgir une série d'accidents
nerveux
qui ont été d'abord mal interprétés et rattachés,
dérer comme hystériques des accidents liés à des lésions du système
nerveux
central, lorsque les signes caractéristiques de c
gré de l'incapacité. 3° Pour les troubles physiopathiques (troubles
nerveux
dits réflexes) consé- cutifs aux traumatismes d
icacité. » DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES 1 TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE Syndrome physiopathique ('). '
i ET J. Froment.] Extrait du livre Hystérie-pithiatisme et troubles
nerveux
d'ordre réflexe, Masson, igi8. Parmi les acci
oubles nerveux d'ordre réflexe, Masson, igi8. Parmi les accidents
nerveux
constatés en neurologie de guerre, il convient
n propre aux affections organiques classées, aux lésions du système
nerveux
central ou périphérique et aux lésions des gros
ions des réflexes cutanés pou- (') Hystérie-pithiatisme et troubles
nerveux
d'ordre réflexe (en collaboration avec J. Froment
tout en traduisant une perturbation physique, matérielle du système
nerveux
, ils ne semblent pas correspondre à une lésion
e du système nerveux, ils ne semblent pas correspondre à une lésion
nerveuse
susceptible d'être décelée par les moyens d'inv
lètes, traduction de Bichclot. Paris, 83y, t. I, 1). 5111. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 55 confirmées et complétées par
Paris, 1872. (1) J.-M. Charcot, Leçons sur les maladies du système
nerveux
, faites à la Salpêtrière, t. III, 1885. (ô) Vul
ian, Des atrophies musculaires dites réllexes, in Maladies du système
nerveux
(moelle épinière), 1886, t. II, pp. 541-592.
sibilité (anesthésie, névralgies, douleurs à la pression des troncs
nerveux
), les troubles vaso-moteurs et thermiques, les
les cas d'inflammation dite réflexe (Brown-Séquard), etc. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 553 Le discrédit dans lequel ét
à attribuer à l'hystérie, presque sans exception, tous les troubles
nerveux
consécutifs aux traumatismes et ne relevant pas
aux traumatismes et ne relevant pas d'une lésion avérée du système
nerveux
. Voici ce que A. Pitres écrivait en 1891, dans
rie, il faut bien le reconnaître, la distinction entre les troubles
nerveux
d'ordre réflexe et les accidents hystériques ét
ions ne semblent pas avoir causé de dégâts notables, que les troncs
nerveux
et les artères n'ont pas été atteints. » Toutef
gine psychique. Société de Neurologie, Ier juillet 1915. TROUBLES
NERVEUX
. D'ORDRE RÉFLEXE 555 indirects avec l'opération
ue, nous ont conduits ainsi à rappeler l'attention sur ces troubles
nerveux
d'ordre réflexe consécutifs aux traumatismes des
é qu'il fallait y regarder de près avant de rattacher des accidents
nerveux
à l'hystéro-traumatisme et que l'absence, à l'éta
(2) J. Babinski et J. Froment, Contribution à l'étude des troubles
nerveux
d'origine réflexe. Examen pendant l'anesthésie
Revue Neurologique, novembre-décembre igi5, pp. j25-933. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 55; Au moment où nous poursuivi
qu'à l'origine la contracture est réflexe, provoquée par une lésion
nerveuse
ou par une sorte d'attitude de défense et que cet
ne pouvoir être attribuées ni à une affection organique du système
nerveux
, ni à l'hystérie, nous conduisait à établir entre
ique cl faradique. Académie de médecine, i i janvier igi6. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 55g Nous remarquions enfin que,
cidents hystériques, pithiatiques proprement dits; 2" Les accidents
nerveux
, nettement distincts des précédents, qui sont lié
la suite des lésions articulaires. SYMPTOMATOLOGIE Les troubles
nerveux
d'ordre réflexe se développent à la suite de bles
, de la jambe, du pied et, particularité intéressante, les troubles
nerveux
s'étendent habituellement au-dessus de la région
garde contre certains malentendus qui ont pu se produire. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 561 presque complète d'un segme
téraux et acquis. Ces troubles ne correspondent pas à un territoire
nerveux
bien défini. Ils peuvent occuper la totalité du
ations sphygmométriques et oscillometriques concernant des troubles
nerveux
purs ou associés à des lésions des troncs nerveux
nant des troubles nerveux purs ou associés à des lésions des troncs
nerveux
ou à des lésions artérielles ainsi que la notat
à 2 centimètres de mercure à la pression diastolique.) ; TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 563 Voici quelques chiffres con
r 12°,5" pour 5", 8" pour 6°. Chez les blessés atteints de troubles
nerveux
d'ordre réflexe, la vaso- asymétrie est souvent
tat paréticlue des plus manifestes, qui est transitoire. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 565 Chez les blessés atteints d
S NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 565 Chez les blessés atteints de troubles
nerveux
d'ordre réflexe, après immersion du membre mala
ousse provoquée par la percussion révélait l'existence d'une lésion
nerveuse
et qu'elle équivalait à la réaction de dégénéres-
au livre suivant : J. Babinski et J. Froment, Hystérie et troubles
nerveux
d'ordre réflexe. Collection Horizon, Paris, Masso
uefois très prononcée, aussi accusée que dans les cas d'altérations
nerveuses
les plus profondes, mais son domaine est généra
t à remarquer que dans certaines affections organiques du sys- tème
nerveux
central comme l'hémiplégie infantile on peut obse
'ordre réflexe. Presse Médicale, 24 février ici6, p. 83. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 56 ? Amyotrophie. L'amyotrophie
spontanées soit provoquées par la pression sur le trajet des troncs
nerveux
. Vulpian les avait déjà signalées, elles ont été
5o. ('') J. Tinel, Les blessures des nerfs. Sémiologie îles lésions
nerveuses
périphériques par blessures de guerre, Masson,
ues par blessures de guerre, Masson, J 9 ¡fi, pp. 84-y5. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 56g Dans plusieurs cas de parés
es physiopathiques se trou- vaient associés à une lésion d'un tronc
nerveux
et ceux où pouvait être soupçonné quelque reten
toires bilatéraux. Société de Neurologie, novembre 19 16. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 5Í[ 1 contractures et parésies
llement quelques altérations ; chez les sujets atteints de troubles
nerveux
d'ordre réflexe, leur croissance est moins rapi
e de Médecine, 19 octobre igi5. Contribution à l'étude des troubles
nerveux
d'origine réflexe. Examen pendant l'anesthésie ch
sure de le faire, comment apparaissent et s'installent les troubles
nerveux
d'ordre réflexe auxquels nous venons de consacr
agnostic serait relativement simple, mais il est loin d'en TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 573 être ainsi. Les association
asse. La main dans toute son étendue, quel que soit le terri- toire
nerveux
considéré, est cyanosée et froide. Il s'agit là d
e par l'as- sociation de manifestations pithiatiques à des troubles
nerveux
d'ordre réflexe. Et, en effet, la contre-sugges
projectile qui n'a, d'ailleurs, déterminé aucune lésion des troncs
nerveux
et vasculaires, est atteint d'une monoplégie brac
'aucun des signes objectifs pathognomoniques des lésions du système
nerveux
, doivent être mis, pour la plus grande part, sur
hystérie pouvant être tantôt légère, tantôt prépondérante. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE REFLEXE 55 Il faut toujours avoir cette
plus complexes que dans les cas que nous avons cités. Les troubles
nerveux
constatés chez un malade peuvent dériver de ces t
ssible, dans quelle proportion chacun d'eux y participe. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 577 PATHOGÉNIE C'est à l'hypo
UX D'ORDRE RÉFLEXE 577 PATHOGÉNIE C'est à l'hypothèse de troubles
nerveux
d'origine réflexe que se ratta- chent Charcot e
) : 1° d'un nerf centripète qui transporte l'excitation à un centre
nerveux
; 20 d'un centre nerveux qui reçoit cette excit
te qui transporte l'excitation à un centre nerveux ; 20 d'un centre
nerveux
qui reçoit cette excitation et la transforme en
t-il, déterminent tantôt une exaltation des propriétés des cellules
nerveuses
d'où dérive la contracture musculaire, tantôt au
on de Leriche) chez des sujets atteints de causalgie et de troubles
nerveux
d'ordre réflexe, a été suivie de vaso-dilatatio
maladies du coeur, des vaisseaux el du sang, février 1917. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 5 (à de nos observations oscill
éllexo- organique, rien n'autorise à admettre une lésion des troncs
nerveux
. Quant aux artères, les examens sphygmométrique
phéno- (') Cette répercussion sur le membre symétrique de troubles
nerveux
qui avaient d'abord été localisés au membre ble
rtance dans l'évolution de tels symptômes hypertoniques, » TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE REFLEXE 5tif 1 doivent avoir une tendan
anie qui, de l'avis unanime, dépendent d'une excitation des centres
nerveux
par un poison qui les imprègne, constituent un no
raumatisme, mais qu'elles impliquent une pertur- bation des centres
nerveux
, et c'est là l'idée principale que renferme la
ent l'emploi de la psychothérapie même dans les cas où les troubles
nerveux
d'origine réflexe sont très marqués. Il y a, (1
uivant : .1. Babinski et J. Froment, Hystérie-pithiatisme et troubles
nerveux
d'ordre- réflexe, Collection Horizon, Paris (Ma
, p. 151 et Notes complémentaires, p. 9,3r. '\. D. L. R. TROUBLES
NERVEUX
D'ORDRE RÉFLEXE 583 3 d'ailleurs, tout avantage
l y a lieu de prendre à l'égard des blessés présentant des troubles
nerveux
de cet ordre, nous nous contenterons de rappele
idents hystériques pithiatiques proprement dits ; « " Les accidents
nerveux
, nettement distincts des précédents, qui sont l
966 (conclusions). SRf TROUBLES PHYSIOPATHIQUES S « Les accidents
nerveux
répondant à cette deuxième catégorie se pré- se
objectifs sui- vants qui permettent de les distinguer des accidents
nerveux
de la pre- mière catégorie : troubles vaso-mote
aux. Sans qu'il y ait lieu de contester la curabilité des accidents
nerveux
de cette catégorie, il faut reconnaitre que, même
s avons cherché à prémunir les médecins chargés du soin des blessés
nerveux
contre la tendance au pessimisme dans les cas de
ion lombaire, comme procédé de diagnostic des affections du système
nerveux
, n'est plus à démontrer, l'impor- tance de cett
rvenir, après les traumatismes crâniens, des néoplasmes des centres
nerveux
. Et chez notre malade, souffrant longtemps enco
M. Dupuy-Dutemps dans sa thèse inaugurale. L'étiologie des troubles
nerveux
constatés chez nos malades des obser- vations I
qu'avec l'aide de deux cannes. Cinq ou six siphonages sur le trajet
nerveux
, des cachets de pyramidon, n'amènent aucun résu
Dejerine. Revue de Médecine, r 8S4). I I. Sur les lésions des tubes
nerveux
de la moelle épinière dans la sclérose en plaqu
1892). 36. Association de l'hystérie avec les maladies du système
nerveux
, les névroses et diverses autres affections (Id
xe cutané plantaire dans certaines affections organiques du système
nerveux
(Société de Biologie, 22 février 1896). 44. Rel
du cytodiagnostic du liquide céphalo-rachidien dans les affections
nerveuses
(en collaboration avec Nageotte. Id., 24 mai 1901
s Hôpitaux, 7 novembre 1902). 87. Lésions syphilitiques des centres
nerveux
. Foyers de ramollissement dans le bulbe. Hémias
il igo4). 108. Introduction à la sémiologie des maladies du système
nerveux
. Des symptômes , objectifs que la volonté est i
ation avec Froment. Presse médicale, 9 juillet igi5). 225. Troubles
nerveux
consécutifs aux lésions des nerfs. Troubles nerve
. 225. Troubles nerveux consécutifs aux lésions des nerfs. Troubles
nerveux
consé- cutifs aux lésions des centres nerveux.
s des nerfs. Troubles nerveux consé- cutifs aux lésions des centres
nerveux
. Accidents hystériques. Troubles ner- veux d'or
rologie, 4 novembre 1915). 228. Contribution à l'étude des troubles
nerveux
d'origine réflexe. Examen pendant l'anesthésie
Heitz. Société médicale des Hôpitaux, 14 avril 1916). 233. Troubles
nerveux
d'ordre réflexe ou syndrome d'immobilisation (en
ulaire dans les affections organiques et physiopathiques du système
nerveux
(en collaboration avec Froment. Société de Neurol
Neurologie, page 3l¡7, 1917). 251. Hystérie-Pithiatisme et troubles
nerveux
d'ordre réflexe (en collaboration avec Froment.
SÉMIOLOGIE I. Introduction à la sémiologie des maladies du système
nerveux
. Des symptômes objectifs que la volonté est inc
xe cutané plantaire dans certaines affections organiques du système
nerveux
central 27 II. - Du phénomène des orteils et de
asme du cor 258 III. Torticolis spasmodique avec lésions du système
nerveux
central 262 IV. De la dégénération et de la rég
guerre 5a8 DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES I. Troubles
nerveux
d'ordre réflexe r 54g ONZIÈME PARTIE THÉRAPEU
mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
Rèditleur en tief : Docteur Edgar BÉRILLON PR
IL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NEVROSES, MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
, MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOLOGIE, PSYCHOL
t d'hypnotisme, l'activité psychique sensitive et motrice des centres
nerveux
, et cela d'un seul côté ou simultanément des deux
lables et par le moyen d'organes semblables, et notamment d'un organe
nerveux
qui est l'analogue de mon cerveau, mais auxquels,
vité, plusieurs moi distinctifs et en nombre égal à celui des centres
nerveux
. Il y a quarante et un ans, un homme affirmait,
e tout à fait inouïe jusque-là dans son enseignement, que les centres
nerveux
de l'axe rachidien sont autant de cerveaux second
de M. le Dr Crocq fils, ayant pour titre: Les altérations du système
nerveux
dans les paralysies diphtêritiques ; Les névroses
découvertes de Cajal qui ont amené la théorie du neurone. La cellule
nerveuse
ne se continue pas avec les nerfs, mais est en co
môme il n'y a que simple contact entre les prolongements des cellules
nerveuses
. Cette nouvelle conception permet de comprendre
l (voir son livre sur les nouvelles idées sur la structure du système
nerveux
, p. 25), le filet nerveux d se divise en deux ram
nouvelles idées sur la structure du système nerveux, p. 25), le filet
nerveux
d se divise en deux rameaux : un d', en contact a
ifié a', deviendra un centre de vibration pour de nombreuses cellules
nerveuses
A' A" A"'. L'une d'elles, A"',_devient point
"', et l'acte s'accomplit fatal. Tantôt il est répété, habituel (tics
nerveux
, écolalie, manie). Si le sujet s'efforce de l
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
er avec elle-même — sont aussi des facteurs à rapprocher du caractère
nerveux
et impressionnable du malade. » Cette « prière
e cas suivant : Antoinette B..., 13 ans, a toujours été anémique et
nerveuse
; dès l'âge de 2 ans, elle ne dormait pas et était
ès, elle a des étourdîsse-ments. des syncopes, puis de grandes crises
nerveuses
, convulsives, des battements de cœur à la moindre
itution plus fine que celle du cerveau ordinaire ? Un étalon est plus
nerveux
qu'un cheval de charretier, 'et il n'est pas néce
ont pas conformes au type primitif du sauvage, qui possède un système
nerveux
imparfaitement développé. RECUEIL DE FAITS Qu
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ls (Dr J.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système
nerveux
dans les paralysies diphlériques. 1 vol. in-4° de
proportionnelle à leur surface tégumentaire, et que c'est le système
nerveux
qui adapte les combustions respiratoires à l'éten
trent aussi dans les diverses intoxications ou perversions du système
nerveux
central. Elles consistent principalement en deux
premier problème de la psychologie était la physiologie de la cellule
nerveuse
; mais il entrevoyait aussi pour la psychologie d
suggestion dans les maladies mentales et en médecine légale. Maladies
nerveuses
: 1° Pathologie de la cellule nerveuse ; 2° Patho
en médecine légale. Maladies nerveuses : 1° Pathologie de la cellule
nerveuse
; 2° Pathogénie de la syringomyélie ; 3° Chirurgi
erveuse ; 2° Pathogénie de la syringomyélie ; 3° Chirurgie du système
nerveux
central ; 4°Paralysies spasmodiques de l'enfance;
us intéressantes (3 pour les maladies mentales et 3 pour les maladies
nerveuses
) ; on pourra également en proposer d'autres si l'
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ès autorisés, ont été considérés comme étant la conséquence d'un état
nerveux
. Ces troubles oculaires ont duré plusieurs mois e
été sujette à des crises d'asthme qui ont duré plusieurs mois, asthme
nerveux
, sans qu'il fût possible de constater aucune lési
diminution notable de son embonpoint normal. Plus tard les troubles
nerveux
se portèrent principalement sur l'estomac et bien
ise et cela par l'auto-suggestion. En effet, pour guérir ces troubles
nerveux
d'ordre psychique, il suffit de suggérer aux mala
ou autre, il se produit immédiatement où à courte échéance un trouble
nerveux
dont le siège primitif est dans l'axe cérébro-spi
aient accessibles à l'in- : .(1) Hauzier. — Leçons sur les maiadirs
nerveuses
. Montpellier. 1892. fluence suggestive vulgai
Dyspepsie ato-nique grave, névralgies, céphalée, phobies, dépression
nerveuse
intense. Mme B..., couturière, 43 ans, mariée,
et 1895, il n'y a plus trace de douleurs, d'insomnie et de dépression
nerveuse
; l'appétit, sans être régulier, est satisfaisant,
te-neuf ans, sans antécédents héréditaires fâcheux, déclare avoir été
nerveuse
dès son jeune âge. Les troubles neurasthéniques a
tablir par des passes magnétiques le fonctionnement normal du système
nerveux
. Le succès dépasse mes espérances : le surlendema
ux puissantes modifications que j'imprime à son sang et à son système
nerveux
; je lui démontre, les viscères en main, qu'il n'
propre aveu, trouvé dans l'hypnose prolongée le meilleur des sédatifs
nerveux
. Enfin, les faits m'obligent à constater que, l
ument rebelles. Observation 1. — Madame de D..., 36 ans, légèrement
nerveuse
, d'une bonne santé habituelle, habite l'été avec
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
nerveuses
et à la pédagogie. Ii se continuera les jeudis
s expérimentales, a été atteinte de névrose traumatique. Les troubles
nerveux
qu'elle présentait étaient surtout caractérisés p
es réflexes Par M. le Dr Ed. Laoelouze. La fréquence des troubles
nerveux
tenus sous la dépendance de lésions acquises ou d
solue de faire l'examen méthodique des organes génitaux chez tous les
nerveux
. Ces notions ne sont pas moins indispensables
uréthrotornie interne. * * * Les liens qui unissent aux centres
nerveux
les organes de la fonction urinaire sont bien con
chappent qu'à un examen insuffisant. Il faut donc explorer tous les
nerveux
en ayant toujours présente à l'esprit la possibil
bonne heure en se rappelant que les causes d'irritations des centres
nerveux
peuvent amener des lésions dégénératives irrémédi
iver que le malade ne soit pas entièrement débarrassé de ces troubles
nerveux
, par celte habitude qu'il est si fréquent de cons
té opéré à l'hôpital Saint-Louis en janvier 1896- Les seuls accidents
nerveux
qu'il ait présentés sont deux crises de nerfs sur
s au minimum ; et, à mesure que cette tension se prolonge, la fatigue
nerveuse
s'accroît rapidement et devient bientôt presque i
d'autre résultat apparent que de produire en moi une extrême fatigue
nerveuse
. Lorsque le moment fut venu de présenter Gustave
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
nerveuses
et à la pédagogie. Il se continuera les jeudis
, se rapportant presque tous à des femmes hystériques vraies ou à des
nerveuses
atteintes de troubles menstruels. Chez notre mala
causes d'un acte peuvent être très diverses. On conçoit notre système
nerveux
comme composé d'un double appareil récepteur et é
tié du corps. S'il n'est pas épuisé, il s'irradie aux autres cellules
nerveuses
. Les réflexes simples : dilatation de l'iris, c
pposé, d'où acte semblable dans l'autre moitié du corps. Le courant
nerveux
semble tendre toujours à prendre le trajet le plu
même soit atteinte par la maladie qui détruit conducteurs et cellules
nerveuses
. De même Lasègue a montré que l'hystérique est
faits de mimétisme chez les animaux des actes d'imitation. Par action
nerveuse
, l'animal adapte sa couleur à celle du milieu (ca
rès 56 bains. » La parole en miroir. Chacun sait qu'en pathologie
nerveuse
on appelle l'écriture en miroir, écriture que les
t ; il avait obtenu de redoubler cette année perdue. Il était né très
nerveux
et sujet à des accès de somnambulisme, dont s'amu
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
nerveuses
et à la pédagogie. Il se continuera les jeudis su
ons de l'hypnotisme n'étaient pas limitées au traitement des maladies
nerveuses
, mais que beaucoup de processus communs pouvaient
fluence suggestive, en calmant l'hyperactivité morbide des centres
nerveux
, en isolant le cerveau des causes d'excitation in
son aptitude naturelle à accepter une idée ou à la réaliser. Sédatif
nerveux
par excellence, le sommeil provoqué rend plus fac
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
nerveuses
et à la pédagogie. Il se continuera les jeudis
ls (Dr J.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système
nerveux
dans les paralysies diphtériques, i vol. în-4° de
notre moral. Nous ne parlons point seulement d'affections morbides
nerveuses
. Un collaborateur du Relèvement Social, esprit ce
s accès de dêlirium tremens et mort fou de bonne heure. La mère, très
nerveuse
, ne pouvait qu'avoir, dans un tel milieu familial
ion cérébrale, et, à mesure que cette tension se prolonge, la fatigue
nerveuse
s'accroît rapidement et devient bientôt presque I
e saburrale. Perte complète de l'appétit. Cette femme est extrêmement
nerveuse
; dès le début de sa maladie, elle a senti, dit-e
ctivité psychique dans le traitement de, tous les troubles du système
nerveux
. L'auteur d'au-delà des forces a eu l'intuili
ganisme. C'est donc une véritable mort partielle que subit le système
nerveux
central de la femme et dont les autres centres qu
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pé-dagogique), est a
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies
nerveuses
et à la pédagogie. Il se continue les jeudis su
Pitié, a repris ses conférences cliniques sur les maladies du système
nerveux
, samedi 20 février 1897. à 10 heures du matin, et
s. — Recherches sur l'unité du Vilaliame avec l'ensemble des courants
nerveux
. Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan Enrique
Dr Gerard-Excausse. — Du traitement externe et psychique des maladies
nerveuses
. Un vol. in-8, 205 p. Paris, 1897. Dr Paul Fa
ls (Dr J.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système
nerveux
dans les paralysies diphtériques. 1 vol. in-4° de
aires, ils crurent à un épisode inflammatoire survenu dans l'histoire
nerveuse
de cette malade. On mit alors en œuvre lotions, c
uveau, qu'il emploie méthodiquement dans un grand nombre d'affections
nerveuses
: la suggestion indirecte à l'état de veille. Il
le marche très difficilement; elle est, de plus, sujette à des crises
nerveuses
. Cette dame est allée à Amélie, à La Malon, a abs
on a été fort modérée, parce que je craignais de déterminer une crise
nerveuse
. Il résulte de mon examen que la cause de la ma
lle marche comme avant d'être malade, mais elle n'a plus eu de crises
nerveuses
. Je soumets cette observation à la méditation d
ses ouvrages intitulé : "Neurologie, ou anafyse raisonnée du sommeil
nerveux
, etc. et semblent ignorer que ce traité n'était q
par laquelle il essayait d'expliquer certains changements du système
nerveux
central, et en particulier la décroissance de l'a
tionnelle, comme étant le résultat de l'épuisement des autres centres
nerveux
. « Mais, dit-il, en supposant même que mes théo
exempts », NEUROLOGIE Neurologie ou Analyse raisonnée du sommeil
nerveux
fut publié en 1843, et huit cents exemplaires de
sibilité d'ouvrir les yeux venait de la paralysie de certains centres
nerveux
et à l'épuisement des muscles releveurs. « J'ex
gie suivante : Neurologie, analyse raisonnée ou doctrine du sommeil
nerveux
. Neuro-hypnotisme, ou sommeil nerveux, condition
aisonnée ou doctrine du sommeil nerveux. Neuro-hypnotisme, ou sommeil
nerveux
, condition particulière du système nerveux produi
uro-hypnotisme, ou sommeil nerveux, condition particulière du système
nerveux
produite par des manœuvres artificielles. Alors
es termes suivants : Hypnotique : l'état ou la condition du sommeil
nerveux
. Hypnotiser : action de produire le sommeil nerve
dition du sommeil nerveux. Hypnotiser : action de produire le sommeil
nerveux
. Hypnotisé : être placé dans la condition du somm
sommeil nerveux. Hypnotisé : être placé dans la condition du sommeil
nerveux
. Hypnotisme : sommeil nerveux. Déshypnotiser :
être placé dans la condition du sommeil nerveux. Hypnotisme : sommeil
nerveux
. Déshypnotiser : action de tirer quelqu'un du s
mmeil nerveux. Déshypnotiser : action de tirer quelqu'un du sommeil
nerveux
. Hypnotiste : celui qui pratique le neuro-hypnoti
roduite dans toutes les conditions requises, est de placer le système
nerveux
dans un état de somnolence qui permet à l'opérate
un très haut degré, le pouvoir de diriger ou de contraindre l'énergie
nerveuse
, de l'augmenter ou de la diminuer à volonté, loca
vu beaucoup de ces expériences ne peut douter que, durant le sommeil
nerveux
, il existe un remarquable pouvoir d'exciter les s
(Dickens ; op. cit., p. 354.) Tics convulsifs ? — ou autres lares
nerveuses
de quelque nature que ce soit ? 36. — Décrivez
aboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
Berne) dans lequel se trouvent figurés les entrecroisements de fibres
nerveuses
. Celte pièce mesure encore 1 m. 50 de hauteur sur
ils (D'J.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système
nerveux
dans les paralysies diphtériques. 1 vol. in-4° de
ongs, de couleur blond-châtain. Sans avoir jamais eu aucune maladie
nerveuse
, Emma X... avait été toute sa vie souffreteuse et
é, tend à soumettre à son influence toutes les modalités du dynamisme
nerveux
. La séance est levée à 6 heures. De la nécess
lle, peuvent être appelées à agir de la même manière, dans le sommeil
nerveux
, et à produire des effets correspondants d'autant
t absorbée par une idée associée au mouvement, un courant de la force
nerveuse
est envoyé dans les muscles, et une motion corres
itation, de dépression ou de distribution particulière de l'influence
nerveuse
ou vitale dans le propre corps du patient peuvent
ultats, aucun échange positif, ni aucune transmission réelle de force
nerveuse
ou vitale de l'opérateur au patient. Je ne crois
rincipale différence que j'ai observée entre le sommeil hypnotique ou
nerveux
et le sommeil ordinaire est compatible à l'état o
; mais d'autre part, les procédés employés pour provoquer le sommeil
nerveux
, engendrent un état actif et concentré de l'espri
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
Berne) dans lequel se trouvent figurés les entrecroisements de fibres
nerveuses
. Celte pièce mesure encore 1 m. 50 de hauteur sur
s. — Recherches sur l'unité du Vitalisme avec l'ensemble des courants
nerveux
. Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan Enrique
r Gérard-En-causse. — Du traitement externe et psychique des maladies
nerveuses
. Un vol. in-8, 205 p. Paris, 1897. Dr Paul Farè
ions furent pratiquées, quelques-uns étaient des sujets excessivement
nerveux
, et, par cela même, très sensibles à la douleur d
ue générale que les individus les plus difficiles à endormir sont les
nerveux
et les hystériques ; l'équilibre des forces p
entèle se compose presque entièrement de sujets atteints d'affections
nerveuses
chroniques, j'obtiens plus difficilement le somme
nourriture ni aucune préparation n'est requise. 5°. L'appréhension
nerveuse
peut être écartée par la suggestion. 6°. L'hypn
, d'où il résulte que la question de l'influence à distance du fluide
nerveux
sur l'organisme mérite d'être réservée. M. Béri
e. Quant aux autres parents, ascendants ou collatéraux, ils sont tous
nerveux
, rhumatisants ou scro-fuleux. Pas d'alcoolisme ni
des inégalités d'humeur inexplicables trahissaient une prédisposition
nerveuse
qu'un surmenage hâtif et des émotions multipliées
emment favorable à l'invasion bacillaire et à l'éclosion des troubles
nerveux
. Tout à coup, en octobre 1893, éclatent des sym
. Sur ces entrefaites, nous avons pu étudier à loisir les réactions
nerveuses
de la malade et nous convaincre que ces prétendue
aryngé. De là, pour peu que tarde le retour à l'équilibre des centres
nerveux
, l'indication formelle du traitement par la sugge
itale s'étaient rencontrées chez une jeune fille pourvue d'un système
nerveux
normal, la castration totale aurait vraisemblable
une impression profonde et durable. Ainsi, c'est la prédisposition
nerveuse
de Jeanne F... qui a rendu possible chez elle, ap
tisme psychologique : en portant son action sur tous les départements
nerveux
en souffrance, elle a encore contribué dans une l
e. Son aspect physique n'est nullement en rapport avec les troubles
nerveux
qu'il présente. Il est robuste et vigoureux. A
entendu faire, agissant sur elle, dans l'état particulier du sommeil
nerveux
, comme des impulsions irrésistibles devant être e
té fonctionnelle, et, au cas particulier, une modalité de la fonction
nerveuse
. Il est une propriété inhérente à la cellule nerv
de la fonction nerveuse. Il est une propriété inhérente à la cellule
nerveuse
, aux neurones qui ont des pouvoirs de dynamogénie
giquement. L'élément dynamique psychique, morbide, est » toute action
nerveuse
anormale qui, ne correspondant à aucune altératio
rmet de classer de cette façon le psycho-dynamisme; ou bien l'élément
nerveux
dynamique psychique constitue seul la maladie, ou
circonscrit un champ dynamique où une polynévrite infectieuse chez un
nerveux
diathésique se développera. Le diagnostic du dy
suggestion sous toutes ses formes. Elle rétablit l'harmonie dynamique
nerveuse
; elle guérit de l'idée et de ses manifestations d
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
. Cette science expérimentale est en grande partie celle du dynanisme
nerveux
, du dynanisme cérébral. (1) Discours de M. Bous
s, successivement. Après Brown-Sequard1 Exner2 concède aux éléments
nerveux
deux importants pouvoirs de dynamogénie et d'inhi
ion. Ils consistent dans la propriété de certaines parties du système
nerveux
d'augmenter ou de diminuer l'excitation d'autres
ntielle d'expressions dynamogènes ou inhibitives de certains éléments
nerveux
. Les idées sont donc des faits nerveux dynamiqu
bitives de certains éléments nerveux. Les idées sont donc des faits
nerveux
dynamiques. M. le Professeur Bernheim établit u
i l'automatisme cérébral. La loi des réflexes domine la physiologie
nerveuse
. Elle se confond avec la loi de l'habitude. Cel
nt, soit acte, soit sensation; par elle, la conductibilité d'une voie
nerveuse
est plus grande dès la première excitation qui se
succède. En réalité, une émotion n'est qu'une phase de l'excitation
nerveuse
partie d'une cause quelconque. Elle fait suite à
elles-mêmes explicables et par les rapports du voisinage des éléments
nerveux
de l'encéphale et par la loi de l'habitude réglan
d'individus (famille, nation, etc.,) qui s'est légué un même terrain
nerveux
, la possibilité de rencontrer les mêmes condition
dépendance du terrain cérébral. Celui-ci, portion capitale du système
nerveux
, a une valeur proportionnée à l'importance totale
ait dans les perturbations vasculaires et musculaires. ce système
nerveux
dans l'organisme. Le corps d'un être est un ensem
e corps d'un être est un ensemble qui doit sa signification aux liens
nerveux
réunissant les parties constituantes, et aux élém
x liens nerveux réunissant les parties constituantes, et aux éléments
nerveux
intermédiaires avec l'extérieur. Si, par une exag
au fonctionnement normal des organes qui lui est attribué, le système
nerveux
crée une disposition constante aux accidents nerv
ibué, le système nerveux crée une disposition constante aux accidents
nerveux
fonctionnels, il y a ce qu'on appelle « diathèse
ux accidents nerveux fonctionnels, il y a ce qu'on appelle « diathèse
nerveuse
». Cette diathèse est transmissi-ble héréditairem
inir notre élément dynamique-psychique-morbide ; c'est « toute action
nerveuse
anormale qui, « ne correspondant à aucune altérat
oses par intoxications variées où l'imprégnation probable des centres
nerveux
par les toxines et les toxiques laisse supposer u
iner sur l'heure quels seront les troubles dynamiques dus à l'élément
nerveux
psychique. Réunis sous le nom de psycho-dynamisme
er de se faire représenter au Congres de Moscou {section des maladies
nerveuses
et mentales). 2° Un travail original de M. le D
; ils ne devront aboutir ni à la fatigue cérébrale, ni à l'épuisement
nerveux
; ils ne devront pas non plus étouffer Péclosion
ègle à peu près générale que les enfants prodiges présentent une tare
nerveuse
quelconque, leur développement intellectuel anorm
i risque fort d'entretenir, de stimuler, d'ac-croitre cette affection
nerveuse
et le déséquilibre mental qui lui est concomitant
mme énorme de travail qui ne fait autre chose que consumer le système
nerveux
et qui nous prépare une génération de névrosés. L
dans l'état de veille que dans l'état de double conscience du sommeil
nerveux
. Durant celui* ci, en effet, les gens vertueux on
émoignage de tout ce qui se serait passé durant son précédent sommeil
nerveux
. Or, je maintiens que les victimes de l'éther ne
ulagées par l'hypnotisme : ceux-ci étaient dus en majorité au système
nerveux
, mais il disait avoir également obtenu des résult
e devenir inconscient pour obtenir les effets bienfaisants du sommeil
nerveux
; beaucoup croient à tort que la perte complète d
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ational de Médecine, à Moscou, du 19 au 26 Août. Section des maladies
nerveuses
et mentales. Comité d'organisation. — Les géran
oisin a repris ses conférences cliniques sur les maladies mentales et
nerveuses
, le jeudi 10 juin 1897, à 10 heures du matin, et
us mes yeux, dans le service de la Clinique des maladies du système
nerveux
à la Salpêtrière. C'est dire que le plus grand no
exclusivement bornées, par exemple, à certains groupes de cellules
nerveuses
, à cer- tains faisceaux de fibres. Il est permi
met de constater quel groupe de cellules, quels faisceaux de fibres
nerveux
ont été irrités, atrophiés ou détruits. Mettez
avaux récents à l'époque, relatifs à l'anatomie morbide des centres
nerveux
: « Tous semblent en quelque sorte dominés par
études cliniques sur le développement de la pathologie des centres
nerveux
. (1) Leçons sur les localisations dans les mala
t photographique dépendants de l'incomparable clinique des maladies
nerveuses
de la Salpêtrière, il nous a élé donné depuis cin
né depuis cinq ans de recueillir sur diverses affeclions du système
nerveux
, et de la moelle épinière en particulier, des doc
F. Réseau fibrillaire de la région. G. Coupe transversale d'un tube
nerveux
. H. Coupe longitudinale d'un tube nerveux. L
pe transversale d'un tube nerveux. H. Coupe longitudinale d'un tube
nerveux
. L Espace vacuolaire péri-cellulaire. PLANCHE
canal. B. Cellule cylindrique revêtant la paroi du canal. E. Tubes
nerveux
de la commissure antérieure. C. Plateau des cel
cédente, vue à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). A-A. Tubes
nerveux
coupés transversalement. B. Gaine de myéline co
éseau fibrillaire. C. Substance gélatineuse de Rolando. D. Fibres
nerveuses
se rendant dans la colonne de Clarke. E. Entr
se rendant dans la colonne de Clarke. E. Entrée directe de fibres
nerveuses
dans la corne. F. Racine postérieure. G. Coup
la corne. F. Racine postérieure. G. Coupe transversale des tubes
nerveux
de la substance blanche coiiiiguë. PLANCHE V
llule de la corne antérieure. Figure 10. MOELLE NORMALE. Cellules
nerveuses
de la colonne de Clarke. Coupe pratiquée dans l
rmales. -R-B. Cellules atrophiées. C. Coupe transversale de tubes
nerveux
. D. Coupe longitudinale de tubes nerveux. E.
oupe transversale de tubes nerveux. D. Coupe longitudinale de tubes
nerveux
. E. Réseau fibrillaire. Ces préparations prov
-D. Coupes de vaisseau altérés. 7 : . Tissu de sclérose. F. Tubes
nerveux
conservés. G-G. Partie de la préparation très p
ique. D. Substance fibrillaire du tissu altéré. E. Coupe de tubes
nerveux
sains. Les pièces qui nous ont fourni ces prépa
par la méthode de Pall. On y voit la persistance de nombreux tubes
nerveux
indemnes dans le tissu de sclérose. A-A-A. Tiss
es dans le tissu de sclérose. A-A-A. Tissu scléreux. B-B-B. Tubes
nerveux
indemnes. C. Tube nerveux altéré, privé de sa m
. A-A-A. Tissu scléreux. B-B-B. Tubes nerveux indemnes. C. Tube
nerveux
altéré, privé de sa myéline et ré- duit au cyli
altéré, privé de sa myéline et ré- duit au cylinder-axis. D. Tube
nerveux
moins altéré ]. Vaisseau. Ces pièces provienn
ll. 11 n'existe guère que du tissu de nouvelle formation, les tubes
nerveux
ont presque complètement disparu, sauf en haut
B-B. Région moins altérée où persistent un grand nombre de tubes
nerveux
. G'-C. Tubes nerveux, encore reconnaissables, d
térée où persistent un grand nombre de tubes nerveux. G'-C. Tubes
nerveux
, encore reconnaissables, dé- pourvus de myéline
naires. A. Racines antérieures. B. Commissure grise. C-C. Tubes
nerveux
coupés transversalement de la substance blanche
- cédente, vu à un fort grossissement (obj. 4). On y voit les tubes
nerveux
disséminés dans un tissu de sclérose. A-A-A.
s dans un tissu de sclérose. A-A-A. Tissu de sclérose. B. Tubes
nerveux
restés indemnes, coupés transver- salement. C
ubes nerveux restés indemnes, coupés transver- salement. C. Tubes
nerveux
, coupés obliquement. /). Vaisseau à paroi épais
rossissement (obj. 4, Vérick). On y voit la dispa- rition des tubes
nerveux
remplacés par du tissu de sclérose, ainsi que des
laires. A-A. Tissu de sclérose. B. Corpuscule hyalin. C. Tube
nerveux
peu altéré. D-D. Tubes nerveux respectés. E-E
e. B. Corpuscule hyalin. C. Tube nerveux peu altéré. D-D. Tubes
nerveux
respectés. E-E. Vaisseaux sclérosés. PLANCHE
sceaux plus ou moins ondulés. A-A. Faisceaux scléreux. B-B. Tubes
nerveux
persistant. C. Globules hyalins. D. Vaisseaux
n y voit un tissu de sclérose dans lequel persistent quelques tubes
nerveux
. A. Tissu de sclérose. B-B. Faisceaux ondulés
u de sclérose. B-B. Faisceaux ondulés du même tissu. C-C-C. Tubes
nerveux
sains. D. Cavité d'un vaisseau altéré. E. Par
u de sclérose dans lequel persistent un assez grand nombre de tubes
nerveux
. A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux altéré
ssez grand nombre de tubes nerveux. A. Tissu de sclérose. B. Tube
nerveux
altéré. C-C. Tube nerveux sain. D. Corps gran
erveux. A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux altéré. C-C. Tube
nerveux
sain. D. Corps granuleux. E. Vaisseaux. Les
yalins, et des lésions vasculaires. A. Tissu de sclérose. B. Tube
nerveux
. C. Corps hyalin. D. Coupe longitudinale d'un
rmin, vue à un grossissement fort (obj. 4, Vérick). On voit des tubes
nerveux
disparaissant dans un tissu de sclérose. - A.
se. - A. Tissu de sclérose. B-B. Gros tractus fibreux. C. Tubes
nerveux
détruits. D-D. Tubes nerveux indemnes. PLANCH
B-B. Gros tractus fibreux. C. Tubes nerveux détruits. D-D. Tubes
nerveux
indemnes. PLANCHE XXXII Figure 63. SCLÉROSE
le épinière d'un même sujet, du service de la Clinique des maladies
nerveuses
, le nommé Néd..., qui présenta pen- dant sa vie
précédente, vu à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). Les tubes
nerveux
sont encore nombreux dans le tissu de Sclérose.
mbreux dans le tissu de Sclérose. A-A. Tissu de sclérose. B. Tube
nerveux
altéré. C. Tube nerveux sain. PLANCHE XXXVI
lérose. A-A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux altéré. C. Tube
nerveux
sain. PLANCHE XXXVI . Figure 71. MALADIE DE
Pall. A-A. Substance fibrillaire du tissu de sclérose. B-B. Tubes
nerveux
restés sains. - C-C-C. Tubes nerveux altérés.
issu de sclérose. B-B. Tubes nerveux restés sains. - C-C-C. Tubes
nerveux
altérés. D. Vaisseau. PLANCHE XXXVII FIGURE
Cellules de revêtement de la paroi. C. Tissu gliomateux. D. Tissu
nerveux
sain. T. Bourgeon gliomateux. F. Vaisseau.
dothéliales. C. Tissu gliomateux. D. Limite du gliome. E. Tissu
nerveux
. Les préparations qui ont fourni les planches X
d'une paroi ; la moelle est réduite à un mince manchon de substance
nerveuse
. A. Corne antérieure. B. Racine postérieure.
t les préparations viennent d'un malade de la clinique des maladies
nerveuses
, ayant donné lieu à de grandes difficultés de dia
l de médecine de Paris, 1888). D'une forme particulière de troubles
nerveux
des extrémités supérieures (Nouvelle Iconographie
nale aiguë de l'adulte (Bulletin médical, 1890). Grippe et maladies
nerveuses
(Gazelle hebdomadaire, 1890). Polynévrites et p
zette hebdomadaire, 1891). Article « Salivation dans les maladies
nerveuses
», in Dictionary Psychological medicine de IIACK-
KE. SOUS PRESSE Séméiologie et Diagnostic des maladies du système
nerveux
, en collaboration avec M. ONAKOFF (I vol. in-18 d
eurol., 1900, p. 901. Brissaud. - Geçous cliniques sur les maladies
nerveuses
, 1899, 2' série, p. 440. Bahnauo. Sui raphorti
l'origine réelle du syndrome, (1) BRISSAUD, Leçons sur les maladies
nerveuses
. - Henry Meige, L'infantilisme, t le féminisme
OPLASIE PAR le D, P. ZOSIN Docent, chargé du cours des maladies
nerveuses
et mentales à la Faculté de Médecine de Jassy (
des dystrophies vasculaires, splanchniques et même des dystrophies
nerveuses
, auxquelles on pourrait rattacher les arrêts et
rattacher les arrêts et les anomalies du développe- ment du système
nerveux
et aussi presque toutes ses affections constitu-
antes au moment actuel est sans doute 'celle des tumeurs du système
nerveux
central. Après une longue époque pendant laquel
i- cismeen ce qui concerne la thérapeutique de différentes maladies
nerveuses
j même organiques cède sa place à un point de v
cularisée qn'elle semble être injectée par un liquide. Les cellules
nerveuses
sont souvent entourées par de fins capil- laire
pathologiques, tandis que cliniquement, on constatait des symptômes
nerveux
. Pour m'assurer définitivement de la vérité de
a qu'il s'agissait de myélome lymphoplastique. Quant aux phénomènes
nerveux
on peut les expliquer facilement. Les fortes do
e la corne antérieure bien pauvre en fibres myéliniques et cellules
nerveuses
, tandis que de la corne postérieure, il ne reste
Dans le Il- segment cervical on ne trouve presque plus de cellules
nerveuses
; ça et là on distingue le contour d'une cellul
s, elles rappellent les Stâbchenzellen de Nissl. Quant aux cellules
nerveuses
, d'autres segments.médullaires, elles présenten
ZIP segment cervical par exemple on constate un nombre'de cellules
nerveuses
diminuées et toutes les cellules des cornes ant
pour la contrôler nous l'avons appliquée dans différentes maladies
nerveuses
de nature non tuberculeuse (sclérose en plaques
riques aussi) et que l'autopsie a) ne démontre rien dans cesorganes
nerveux
ou b) révèle des dégénérations qui n'ont pas de c
ou inlil- tration cancéreuse des méninges et envahissement du tissu
nerveux
). Dans les deux premiers cas il s'agit évidemme
asme malin) qui ont une action chimique et dynamique sur la cellule
nerveuse
et provoquent des troubles dans son fonctionnem
on fonctionnement, sans produire toutefois des changements de tissu
nerveux
(a) constatables avec nos moyens d'in- vestigat
reux ou une infiltration cancéreuse des méninges molles et du tissu
nerveux
. L'infiltration cancéreuse occupe alors les esp
ergen en août 1909. (2) Remarquons à celsujet que la lèpre purement
nerveuse
, ou presque uniquement nerveuse, est très fréqu
ns à celsujet que la lèpre purement nerveuse, ou presque uniquement
nerveuse
, est très fréquente en Birmanie et au Siam, contr
ne du cubital a une valeur capi- tale dans le diagnostic des formes
nerveuses
de la lèpre, le nerf, radial peut être égalemen
CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE DÉGÉNÉRATIVE DU SYSTÈME
NERVEUX
ASSOCIATION DE L'IDIOTIE,'DE L'AMAUROSE, DE TRO
c ces trois individus atteints d'un syndrome dégénératif du système
nerveux
à caractères tout à fait exceptionnels. Avant
time d'un accident au Gothard. Je fis un examen détaillé du système
nerveux
de cette femme, examen qui resta complètement n
tout à fait normale. Elle ne présente aucune altération du système
nerveux
central ou périphérique. Les réflexes ten- dine
mps. Jamais aucun membre de sa famille n'avait souffert de troubles
nerveux
plus ou moins analogues à ceux de ses filles.
t très développé pour son âge. A l'examen systémati- que du système
nerveux
, aucun symptôme morbide n'est décelable. Son in
normal dans son état mental. L'examen le plus complet du système
nerveux
demeure complètement négatif. Charles va à l'éc
ent identique au type Charcol-Marie. Aucune hypertrophie des troncs
nerveux
. - Aucun autre caractère de la névrile intersti
cette époque. Pendant que tous ces symptômes à la charge du système
nerveux
évoluaient d'une façon lente et progressive, l'
peut très bien distinguer la lame cribreuse au milieu des faisceaux
nerveux
très atrophiés. Les vaisseaux artériels et vein
ans toutefois présenter l'inversion nette de la 1). R. Les troncs
nerveux
des bras et des avant-bras sont à peu près inexci
ntractions fibrillaires. - Aucune trace d'hyper- trophie des troncs
nerveux
. Intégrité de la sensibilité objective et subje
sible dans sa totalité, on ne voit même plus la trace des faisceaux
nerveux
atrophiés. La vue chez Aurélie est complètement
nt. Nulle part l'on ne peut relever trace d'hypertrophie des troncs
nerveux
; de même la palpation sur le trajet des nerfs e
vec les manifestations les plus certaines de la D, R.. Les troncs
nerveux
des bras et de l'avant-bras sont presque inexcita
et les vaisseaux sont encore assez bien' dessinés, mais les fibres
nerveuses
sont très atrophiées et la lame cribreuse commenc
plaint t jamais de douleurs. La palpation sur le trajet des troncs
nerveux
est complè- tement indolore. L'action des mus
hypoexcitabilité assez marquée, galvanique et faradique. Les troncs
nerveux
des bras et des avant-bras sont encore excitables
ce ces enfants étaient tous exposés à une atteinte grave du système
nerveux
. En effet, sur les sept membres de cette famill
nvul- sives, trois ont donné lieu à la mani festation d'un syndrome
nerveux
d'une gravité exceptionnelle et deux seuls jusq
il existe dans cette famille une labilité dégénéra- tive du système
nerveux
poussée à son plus haut degré. Je ne m'attarder
ouvons en présence d'un syndrome étendu qui englobe soit le système
nerveux
central, soit le système périphérique. Il y a d
e importance assez grande dans la séméiologie de certaines maladies
nerveuses
. Si l'on se rappelle à présent la tendance à la
i est là pour démontrer la dé- générescence globale de leur système
nerveux
. Si, comme le dit très bien Strûmpell (1), les
plupart des maladies familiales, a donc produit une dégénérescence
nerveuse
sys- tématique. On ne peut même invoquer dans m
es cas la cause de l'usure fonctionnelle, puisque la dégénérescence
nerveuse
a commencé chez elles à un âge de la vie dans l
134 BERTOLOTTI forme Charcot-Marie chez laquelle la dégénération
nerveuse
a subi une extension tout à fait particulière.
le un échantillon type d'une nouvelle forme dégénérative du système
nerveux
, serait commettre sim- plement une faute grossi
par trop systématique les nombreuses maladies familiales du système
nerveux
. Elles doivent forcément se rallier entr'elles
ant systématique, peut t s'étendre à un seul ou à plusieurs réseaux
nerveux
. Envisagée de cette façon uniciste, toute malad
sous-ordre variable donné simplement par l'ex- tension de la lésion
nerveuse
. La conclusion logique qui en découle, c'est qu
Congrès de Toulouse, 1897, vol. II, p. 716. SERVICE DES MALADIES
NERVEUSES
(Dr E.' li'LA1'AV) A L'HOPITAL ISRAÉLITE A VARS
mites du foyer ne sont pas très nettes. Une dégénérescence du tissu
nerveux
ressort au premier plan. Larges mailles vides p
es parois des lacu- nes, des cellules avec granulations. Le tissu
nerveux
est alors aréolaire, troué comme un tamis ; il ra
art les corpuscules amyloïdes ne se disposent le long d'un faisceau
nerveux
. Les coupes longitudinales montrent par contre la
ral droit, et caractérisé par une dégénérescence accentuée du tissu
nerveux
; 2° le long de toute la moelle, des lésions vas-
v. Gieson ce sont des masses gonflées rose-rou- geâtre, des fibres
nerveuses
dégénérées, gonflées considérablement.) A côté
re considérées comme le produit de dégénérescence de toute la fibre
nerveuse
. Il est exceptionnel de voir dans ces masses énor
on ou de dégénérescence. La coloration du Nissl montre les cellules
nerveuses
dégénérées dans une région qui correspond à la
ns latéraux. En approchant de la substance grise on voit les fibres
nerveuses
plus pâles que dans la zone périphérique de la mo
i ainsi que des masses rosées rondes et mates (produits de la fibre
nerveuse
). Au-dessous de la moelle cervicale, pas de lés
olorées par la méthode de Nissl ont montré des lésions des cellules
nerveuses
dans les segments cervicaux de la moelle. Elles o
sait peu à peu, huit mois après sont apparus les premiers symptômes
nerveux
sous forme de douleurs dans l'épaule et le bras
ôts de cylindraxes gonflés ou des masses constituées par les fibres
nerveuses
dégénérées. Il est très important de noter qu
par la méthode de Nissl démontrèrent des lésions dans les cellules
nerveuses
de la corne antérieure gauche, là où les grande
dans le cas présent la compression mécanique exercée sur les fibres
nerveuses
jouait le rôle prin- cipal dans la production d
s la production de tout le tableau anatomo-pathologique. Les fibres
nerveuses
ont changé de forme (le plus souvent sont devenue
ité plus grande que normalement et provoque la destruction du tissu
nerveux
. Eh bien ! dans notre cas cette dilatation des es
é à produire les lésions médullaires. Les lésions dans les cellules
nerveuses
sont aussi à notre avis provoquées TUMEURS DE L
elles étaient presque nor- males. Dans la corne gauche les cellules
nerveuses
lésées rappelaient tout à fait celles qu'on ren
uite de cette cause mécanique agissant à la périphérie les cellules
nerveuses
de la corne gauche antérieure ont subi une dégé
Heymann). Dans les cas exceptionnels elles naissent dans les plexus
nerveux
et de là pénètrent à travers les trous de conju
ontre ordinairement dans les tumeurs de cette région.Les phénomènes
nerveux
peuvent être de deux sortes : 1° la tumeur peut
e deux sortes : 1° la tumeur peut comprimer les nerfs et les plexus
nerveux
périphériques ; alors nous constatons des doule
-mère montrent une tendance insignifiante à la destruction du tissu
nerveux
. En me basant sur l'observation personnelle je
ance destruc- tive peu notable par rapport aux méninges et au tissu
nerveux
médul- laire. Quant à la moelle elle ne démon
e- ments on constate dans ces foyers des lésions profondes du tissu
nerveux
, de grandes places vides avec les restes de myé
x sont partout élargis et remplis de sang (aussi bien dans le tissu
nerveux
que dans les méninges). Dans quelques cas rares
dure-mère comme la gra- nulation tuberculeuse, les lésions du tissu
nerveux
doivent être expliquées de la même manière (tro
èse, que les pro- duits néoplasiques toxiques agissent sur le tissu
nerveux
et le détruisent. Il est compréhensible que dan
e cérébrale ne restait pas indemne, que les cellules, les fibrilles
nerveuses
et la névroglie étaient le siège de processus p
surable ; 3) ils s'accompagnent d'une décomposition de la substance
nerveuse
, d'où proviennent des produits de désassimilati
, enfin, on peut démontrer au microscope des altérations des tissus
nerveux
, cellules et fibres, dans des coupes provenant de
de l'acte psychique et de la modification moléculaire de l'élément
nerveux
, sans préjuger pour cela du rapport de causalit
systèmes histologiques, les cellules ganglionnaires, les fibrilles
nerveuses
, les tissus névrogliques et le système connecti
elles ? Que sa- vons-nous du chimisme des cellules et des fibrilles
nerveuses
? Les altérations histologiques que nous observ
ugaces que les altérations constantes et défi- nitives des éléments
nerveux
; on pourrait la définir : tout changement effec
tions dans la constitution bio-chimique du protoplasma des élémenls
nerveux
. Examinons maintenant la deuxième question. E
la plus légère modification de la circulation sanguine des centres
nerveux
, soit par un agent physique, soit par une substan
il est question ici même pour la connaissance de l'état des centres
nerveux
, qui régissent le système de la circulation du
urs et les dilatateurs des vaisseaux qui sont régis par des centres
nerveux
particuliers, logés dans la moelle épinière et pa
ux sanguins, avoue qu'il ne peut comprendre les désordres d'origine
nerveuse
des vais- seaux sans admettre un désordre dans
e tout instinct, même incomplet, embryonnaire, suppose un mécanisme
nerveux
, des connexions, certaines associations de neur
icile,-se pose avec la contracture réflexe, secondaire à une lésion
nerveuse
, soit névrite, soit irritation de voisinage; dans
était dû à la toxi-infection hansénienne impressionnant les centres
nerveux
. Il ne le semble pas. L'étude des lé- preux ori
à l'action directe de la toxi-infection lé- preuse, sur les centres
nerveux
. En effet, le lépreux d'Orient, ignorant la gra
ving- taine d'années, parlant un peu le Français, atteinte de lèpre
nerveuse
sans lésion de la face mais dont les pieds étai
esse des muscles à se con- tracter sous l'influence des excitations
nerveuses
. Il y a donc une indica- tion toute spéciale à
s plus avancés. Et nous ne le serionspas davantage avec la tonicité
nerveuse
telle qu'on l'admet chez les neurasthéniques. S
e que son père, normale de constitution, est intel- ligente et très
nerveuse
, irritable. Dans le rire la bouche est tirée un p
es renseignements sur la famille de son mari,qu'elle dé- teste, est
nerveuse
, impressionnable et triste. Vers six ans elle a s
des glandes à sécrétion interne, ou par l'intermédiaire du système
nerveux
sur lequel elle commencerait a se localiser et qu
pas nettement artérioscléreuses. Pas de veines variqueuses. Système
nerveux
: Aucun trouble objectif de sensibilité ; les ner
la dystrophie osseuse aurait son origine dans une lésion du système
nerveux
central ou périphérique et même, pour quelques
Gail- 284 CATOLA lard), dans une névrite dégénérative des filets
nerveux
qui pénètrent par les trous nourriciers des os
os. Evidemment, si dans notre cas on voulait se ranger à la théorie
nerveuse
, on ne pourrait mettre en ligne de compte qu'un
pporter les lésions osseuses observées à des altérations du système
nerveux
périphé- rique de la tête ; on ne voudrait pas
hèse d'une névrite dégénérative rigoureusement localisée aux filets
nerveux
intra-osseux, s'extériorisant avec un tableau,
philigraphes et de névropathologistes ont démon- tré que le système
nerveux
central peut être attaqué par la syphilis déjà
qu'aujourd'hui plus que par le passé la syphilis attaque le système
nerveux
, non seulement fréquem- ment, mais aussi dans u
e la fréquence relative de la précocité dans la syphilis du système
nerveux
central, la- quelle, selon lui, atteindrait le
ve à cette conclusion, que les affections syphili- tiques du sytème
nerveux
apparaissent assez fréquemment dans la pre- miè
que le cas du développement d'une affection syphilitique du système
nerveux
dans une période précoce n'est pas rare. Parm
la dernière édition de son traité z1909) sur la syphilis du système
nerveux
, rapporte (Beob. 46) le cas d'un officier su- b
mportance de l'hérédité névropa- thique dans la syphilis du système
nerveux
central en généra)abstraction faite des infecti
mes multiples de maladies fonc- tionnelles et organiques du système
nerveux
central est reconnue de tous. 302 COSTANT1NI
la nouvelle édition (1909) de son Traité sur la syphilis du système
nerveux
, il rapporte deux cas qui lui appartien- nent d
évenir ou au moins retarder les affections syphilitiques du système
nerveux
, on a beaucoup discuté, soit pour ce qui concer
aucune valeur par rapport à la prévention des affections du système
nerveux
. Les opinions de Leyden, Herxheimer et Mauriac ne
t, attaque souvent, pour ce motif, l'appareil vasculaire du système
nerveux
. Pareil- lement d'insignes syphiligraphes comme
, Lion et Kuh déclarent que les affections syphilitiques du système
nerveux
se manifestent de préférence chez les individus
regarde le déve- loppement d'une affection syphilitique du système
nerveux
central, l'in- fluence favorable du traitement
ieur sur le développement d'une affection syphili- tique du système
nerveux
. L'autorité compétente me manque pour entrer à
nt compilé des statistiques d'affec- tions syphilitiques du système
nerveux
central ont naturellement tenu compte seulement
ode d'une durée variable, d'une affec- tion syphilitique du système
nerveux
central. Mais que savons-nous des autres cas d'
ignés ou non, et qui n'ont été suivis d'aucune affection du système
nerveux
central ? Il serait peut-être utile d'avoir une
tiques, soignés ou non, qui ont été frappés de lé- sions du système
nerveux
central et les syphililiques, soignés ou non, et
si dans des cas traités et non suivis d'une affection syphilitique
nerveuse
, une affection de ce genre se serait manifestée
oins en ce qui concerne le moyen de prévenir la syphilis du système
nerveux
, de soumettre à une cure spécifique, non exempt
la virulence plus grande de l'agent syphilitique (syphilis à virus
nerveux
), capable de résister à un traitement spécifique
ues sur la syphilis. Paris, 1881. GA ! K)EW;cx. Syphilis du système
nerveux
, 1892. Gilles DE la TOURETTE. - Syphilis malign
1892. Gilles DE la TOURETTE. - Syphilis maligne précoce du système
nerveux
. Bull. méd., 1892, n° 48. GOWERS. - Diseases
of the nervous system, vol. II. Gnos et LAxcEnEAux. Les affections
nerveuses
syphilitiques, 1861. Jolly. - Ueber Gehirns-Syp
ON OSSEUSE DU MAL DE POTT SON RÔLE DANS LA GENÈSE DE LA COMPRESSION
NERVEUSE
SON MODE DE RÉPARATION. - - Par L. ALQUIER et
est le rôle des lésions osseuses dans la genèse de la compres- sion
nerveuse
L'un de nous a présenté ici même, le rachis et la
ions osseuses, mais elle n'a pas en- travé la guérison des troubles
nerveux
. » Les photographies (pl. XXXIII et suiv.) perm
s) sont pratiquement négligeables au point de vue de la compression
nerveuse
. Enfin, entre la face postérieure de la moelle,
ariable d'un point à l'autre, mais jamais considérable. Les lésions
nerveuses
(dégénérations et léger oedème des cordons latéra
ent jouer un rôle réellement actif dans la genèse de la compression
nerveuse
, il faut quel- que chose de plus : qu'au cours
les lésions osseuses nesemblent pas pouvoir produire là compression
nerveuse
, par le simple fait des déformations du rachis,
re, n° 6, 106. HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES
NERVEUSES
(Dr E. PLATA ri) TUMEURS DE, LA MOELLE ÉPINIÈRE
ter 1'liéLéroLopie. La substance blanche est modifiée. Les fibres
nerveuses
, au lieu de présenter leur coupe transversale nor
grise. Même au sein de ces îlots, on ne distingue plus de cellules
nerveuses
normales. Partout sur la coupe, il y a des noyaux
ntôt antérieure, tantôt posté- rieure, distincte, mais les cellules
nerveuses
y ont disparu et on y trouve des hémorragies di
s que la figure de la substance grise devient normale. Les cellules
nerveuses
ysont presque normales.Quelques-unes d'entre elle
sa configura- tion normale, mais là aussi il n'y a pas de cellules
nerveuses
. On les décèle sous la forme d'ombres de cellul
croscopique démontra qu'au niveau de la tumeur les lésions du tissu
nerveux
étaient telles qu'il était impossible de distingu
modifiée, et les lésions y étaient telles que pas une seule cellule
nerveuse
normale ne persista au niveau de la tumeur et à
lle sacrée.1 . ' 18 FLATAU On n'a pas rencontré une seule cellule
nerveuse
normale dans toute la moelle lombo-sacrée. Au-d
e normale. En même temps on y voit déjà un grand nombre de cellules
nerveuses
normales, mais déplus on constate dans cette ré
vaisseaux est augmenté, qu'ils sont très dilatés et que les fibres
nerveuses
sont dégénérées (gonflement et destruction de l
pouvons dire que dans ce cas il s'agissait, d'une lésion des fibres
nerveuses
par compression avec une stase sanguine, mais san
on ou de stase lymphatique. Les changements qu'a subis le sys- tème
nerveux
ont été provoqués par une cause mécanique et non
ouve pas. Le malade ne buvait pas. Dans la famille, pas de maladies
nerveuses
ou psychiqucs. A pré- sent la malade se plaint
muscle triceps) et périostaux sont normaux. La pression des troncs
nerveux
est indolore. Le tonus musculaire est normal.
us l'observation XXI). L'examen microscopique démontra que le tissu
nerveux
ne présentait pas de lésions profondes quoique
seaux à la péri- phérie de la moelle aussi bien qu'au sein du tissu
nerveux
sont dilatés et gorgés de sang. Leur nombre est
le Fic. 15. Fibrosarcome psammeux de la moelle épinière. 1. Tissu
nerveux
provenant des cordons antéro-latéraux. - 2. liaci
s le cordon postérieur. Dans la moitié droite de la moelle le tissu
nerveux
est presque normal. La substance grise est sans m
ne normale. On n'y voit qu'une raréfaction insignifiante des fibres
nerveuses
dans le cordon latéral gauche, surtout au sein du
rées par la méthode de Nissl présentent un petit nombre de cellules
nerveuses
; celles-ci se trouvent aussi au niveau où la tum
agrégation. Parfois on ne distingue plus les contours de la cellule
nerveuse
, rien que la substance tigroïde indique l'endroit
le. Au-dessous et au-dessus de ce niveau le groupement des cellules
nerveuses
redevient normal. Elles paraissent pourtant très
sal, les coupes démontrent des lésions considérables au sein du tissu
nerveux
TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE
ormal, on voit une masse grise indistincte parcourue par les fibres
nerveuses
modifiées avec les contours mal dessinés. On ne v
odifiées avec les contours mal dessinés. On ne voit pas de cellules
nerveuses
. Les faisceaux de la substance blanche présentent
sidérables (déniyéliiiisatio[i, masses de myéline dégénérée, libres
nerveuses
rompues). Là où les fibres nerveuses persistent e
s de myéline dégénérée, libres nerveuses rompues). Là où les fibres
nerveuses
persistent encore en nombre suffisant (les zone
eure est presque normale avec le réseau bien conservé (les cellules
nerveuses
sont des deux côtés diminuées en nombre et à l'
cloisons sont partout élargies, les vaisseaux dilatés, les cellules
nerveuses
en petite quantité à l'état d'atrophie; les rac
Vie segm. dorsal), on voit de nouveau un- mince faisceau des fibres
nerveuses
qui couronnent la face postérieure des cordons po
istique que sur toute la périphérie de la tumeur on voit des fibres
nerveuses
à myéline qui constituent évidemment les racines
ces lésions se sont produites d'autres modifications dans le tissu
nerveux
, inconnues pour le moment, qui ont engendré l'a
l. Sensibilité, conservée. Pas d'ataxie. La pression sur les troncs
nerveux
et les os est dou- loureuse. 1 Réflexes abdom
ais aussi dans les méninges autour de la moelle et au sein du tissu
nerveux
(dans la snbsiance blanche et grise) en dehors de
ption du VIe segment dorsal les gommes n'envahissaient pas le tissu
nerveux
médullaire. Elles n'ont pas provoqué une modifi
quelques médecins. Le malade, -depuis dix ans, est sujet des crises
nerveuses
à caractère épileptiforme ; il y a huit ans, il
uelle, comme on le sait, nous permet d'étudier l'origine des fibres
nerveuses
. Les premières tentatives dans cette direction
ite dans la région lombaire. Arté- rio-sclérose intense des centres
nerveux
. Fxamen microscopique. Dans les lobules paracen
éfaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions
nerveuses
, ainsi que Brissaud et Achard venaient de le fa
(t) G. Etiknne, Des noevi dans leurs rapports avec les territoires
nerveux
. Essai de palhogénie et d'étiologie. Société de
des nævi dans leurs localisations et leurs rapports avec le système
nerveux
. Th. Paris, 1898-1899. (3) ICLIPFEL et Pierre W
ire ; et au tronc, ils croisent plus ou moins plusieurs territoires
nerveux
. Mais, aux membres, les naevi-névrites sont aus
éfaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions
nerveuses
. Ici, semble que l'on puisse faire intervenir la
gt, c'est-à-dire disposé suivant la fron- tière de deux territoires
nerveux
(1). (1) La rédaction de ce travail était termi
xcellent état de santé, ne présentant aucune autre anomalie ou tare
nerveuse
appréciable. Il affirme ne connaître dans sa fa
tir du 2e espace intercostal pour Usions cutanées dans les maladies
nerveuses
et mentales ne modifie pas ma façon de comprend
TIQUES 403 l'axe médian du bras (Van Gehuchten, Anatomie du système
nerveux
, 4° édi- tion, fig. 393 ? Il est facile de vo
re. Vieille femme ayant toujours été en bonne santé, sans accidents
nerveux
. Un vaste naevus constitué par le groupement de
, A côté de cette distribution suivant un ou plusieurs territoires
nerveux
, Philippson, puis Millier, Paterson, Galewsky e
forcé- ment une ligne frontière de Voigt. D'autre part, les filets
nerveux
se déve- loppent nécessairement dans les bourge
me origine, est notre type sérié, intéressant plusieurs territoires
nerveux
consécutifs (plus de trois cepen- dant, en rais
temps (1) ; 3° enfin le nxvus ne concordant plus avec un territoire
nerveux
, mais au contraire suivant les lignes de Voigt,
s de Voigt, c'est-à-dire la frontière entre plusieurs terri- toires
nerveux
. Mais je n'ai pas observé encore de noevus du t
- (1) G.ETIENNE, Des noevi dans leurs rapports avec les territoires
nerveux
. Société de médecine de Nancy,l0 juin 1896, in
ophique est vicié par sup- pression ou par adultération de l'influx
nerveux
apporté à ces cellules par des neurones altérés
ophique se produit, ainsi que je l'ai montré pour les arthropathies
nerveuses
, la cheiromégalieou les pa- naris mutilants.de
n fasse surgir du système du grand sympathique lui-même le ganglion
nerveux
des racines postérieures. Quoi qu'il en soit de
lulaires des cornes antérieures de la moelle dans les arthropathies
nerveuses
. Considérations sur la pathogénie générale des
thies. Encéphale, 1908, n° 5, mai. 2) SimoN et Hoche, Les ganglions
nerveux
des racines postérieures appartiennent- ils au
cet autre trouble trophique de la vie adulte qu'est l'arthropathie
nerveuse
. Et il en pourrait être de même encore lorsque le
rritoires sur lesquels se heurtent et s'accumulent les terminaisons
nerveuses
de deux systèmes voisins, et où, dit M. Hallope
s les couches sus-jacentes. Mais s'il existe un trouble de l'organe
nerveux
de ces territoires cutanés en voie de conjonction
parfois très étroite du naevus ; on en peut dire autant des filets
nerveux
périphériques. ÉCOLE DE NEUROPATHOlOGIE DE L'UN
as récent, qu'il m'a été donné d'étudier à la clinique des maladies
nerveuses
, dirigée par le Professeur Mingazzini : cas qui
mentaires, et la perception stéréognostique. La pression des troncs
nerveux
périphériques n'est pas douloureuse, ni celle d
urtout le rachis ont été abîmés au cours de l'enlèvement du système
nerveux
. 1 La calotte crânienne est normale, deux trous
t. Il, p. 1"0. HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES
NERVEUSES
(Dl' E. FLATAU) TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
gieuse, molle, rappelant par son aspect la truffe fraîche. Le tissu
nerveux
y est absolument invisible,excepté une zone périp
on voit : 1° que la masse néoplasique se sépare nettement du tissu
nerveux
; 2° qu'au sein de la tumeur même il y a une fe
segment dorsal une perte complète de la structure normale du tissu
nerveux
. Par contre on voit des masses bru- 462 FLATAU
oubles qui dépendent de l'interruption de la continuité de J'influx
nerveux
de la moelle. C'est un symptôme bien pénible po
énomènes provenant de l'interruption de la conti- nuité de l'influx
nerveux
(les phénomènes spastiques, la paralysie spasti-
ononcé que la moelle ressemblait à un ruban. Les lésions du tissu
nerveux
vues sous le microscope peuvent se diviser en t
eur, du caractère individuel du ma- lade, de la résistance du tissu
nerveux
, etc. Les lésions histologiques observées le pl
tion des cylindraxes, la déformation et la disparition des cellules
nerveuses
. Par suite de ces TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
hémorragie pendant ou après l'opération se faisant au sein du tissu
nerveux
ramolli). Un fait nous paraissait assez étrange
e de toute la coupe (comp. Fig. 15 dans-Ii XVIe obs.), les cellules
nerveuses
et les cylindraxes (quoique un peu modifiés) ét
quelquefois les méninges exclusivement sans pénétrer dans le tissu
nerveux
ou en n'y pénétrant qu'à faible degré (Westphal,
te la moelle lombo-sa- crée"(avec disparition complète des cellules
nerveuses
), et en allant vers le haut, la configuration n
la stase exercent une mauvaise influence sur les éléments du tissu
nerveux
et constituent une des causes qui modifient le
tissu nerveux et constituent une des causes qui modifient le tissu
nerveux
. Le phéno- mène d'oedème disparaît peu à peu, c
isseaux sanguins. " " La compression immédiate exercée sur le tissu
nerveux
provoque sans doute des lésions prononcées. La
breuses stases sanguines qu'on constate non seulement dans le tissu
nerveux
, mais aussi au sein des mé- ninges molles. et d
s prouve la persistance d'éléments délicats comme sont les cellules
nerveuses
et l'absence de dégénérescences secondaires. En
iveau du maximum de compression exercée par la tumeur, les cellules
nerveuses
ne disparaissent pas complètement et la dégénér
u'elles aussi ne constituent pas une preuve indéniable que la fibre
nerveuse
a perdu sa conductibilité. Maintes fois nous av
soudaine de Charcot. La chaire de Clinique des maladies du système
nerveux
, à la Salpê- trière,- étant devenue vacante, Br
le choix de ses collègues. Grâce à lui, l'enseignement des maladies
nerveuses
s'est poursuivi pendant quinze années à la Salp
ière, F. Raymond avait publié une série de travaux sur les maladies
nerveuses
, notamment sa thèse de docto- rat (1876) : Etud
de la chaire de clinique des maladies du système NÉCROLOGIE 491 1
nerveux
, le professeur F. Raymond a tenu à apporter son b
tion postérieure de la capsule externe, un certain nombre de fibres
nerveuses
sont disparues. Dans les sections horizontale
l'axe médullaire du gyrus tertius (brevis) manque un peu de fibres
nerveuses
; les deux gyri (brèves) actteriores insuloe so
lus grave dans leur portion dorsale ; légère raréfaction des fibres
nerveuses
de la circonvolu- tion antérieure de la môme fo
dorsale du gyrus temporalis plofundus, dégénéres- cence des libres
nerveuses
du tiers dorsal et antérieur de Ti. Les résulta
' temporalis transversus il n'est resté intact que quelques fibres
nerveuses
s'étendant à la base de l'axe médullaire ; le r
ardivement 508 AKCHAMBAULT acquise. Lorsque l'on détruit une voie
nerveuse
centrale chez l'animal nouveau-né, on constate
s cellules trophiques. La persistance du segment central d'une voie
nerveuse
sectionnée est dans ces circonstances extrêmeme
interne ». Voici, du reste, en quels termes l'Anatomie des centres
nerveux
décrit ce faisceau : « C'est un long faisceau d
et la substance grise sous-épendymaire, à (t) Analomie des centres
nerveux
, Paris, 1895, p. 758-765. xxiii 34 510 O ARCH
Sachs a déjà démontré qu'il n'existe pas à cet endroit de cellules
nerveuses
gan- glionnaires. En second lieu, il critique s
iée, comme on le sait, soit à dés altérations primitives du système
nerveux
central, soit à des lésions inflammatoires (éte
ux réductions mentales suscitées,par la lésion primitive du système
nerveux
central, plutôt que par l'insuffisance des sécr
Launois s'exprime à ce sujet : . « 11 n'est pas jusqu'au système
nerveux
, le grand régulateur de notre trophisme,qui ne
ion^ Atteints, dès le jeune âge, d'une lésion chronique des centres
nerveux
, telle que la sclérose. cérébrale, ils ne se dé
sujets montrent des signes psychiques et physiques de leur maladie
nerveuse
congénitale ou acquise, dont la microsomie n'est
s. La mobilité de tous les muscles faciaux est normale : les troncs
nerveux
de la Vlle paire ne sont pas hyperexcitables mé
E). A la limite supérieure du ganglion on distingue un petit filet
nerveux
qui se dirige vers les artères ciliaires et qui
u'il y ait une prolifération de tissu conjonctif entre les éléments
nerveux
(PI. LXV, I). L'arachnoïde est épaissie. L'aspect
. Celle-ci permet de voir-admirablement la morphologie des cellules
nerveuses
, qui pour la plupart, par la richesse des expan
rmer la main de l'embryon, à une lésion des vaisseaux ou du système
nerveux
? » (Polaillon, in Die. Declaantbre, t. 30, art
ment transmissible, au même titre que la prédisposition musculaire,
nerveuse
, cardiaque ou hépatique dans d'autres familles. »
connue. Le rachis et la base du crâne sont trop voisins des centres
nerveux
pour qu'il n'y ait pendant la jeu- nesse de l'ê
e du tissu squelettogèI1e consécutifs aune lésion propre du système
nerveux
, ils sont peu connus. Les faits, où lésion cent
e.) ! «ni . 39 HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES
NERVEUSES
(D'' E. PLA1'AV) TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
iques, 'et ! particulier des métastases cancéreuses dans le système
nerveux
central. Zeitschr. f. Krehsforsch, rr, 1906 ; Rev
mo)'. Neurol. Zentralbl., 1903, p. 749. lfaceoTre et Riche. Centres
nerveux
inférieurs. Tumeurs intrarachidiennes. Manuel d
is est le facteur étiologique, non seulement de 'certaines maladies
nerveuses
, mais aussi de quelques affections mentales déter
de l'origine luétique des affections parasyphi- litiques du système
nerveux
, de la paralysie générale en particulier, ne sa
eaux, dans le tissu conjonctif et autour des faisceaux de fibrilles
nerveuses
(fig.2). On observe la même chose dans la tun
emplies d'héma- ties et de leucocvtes. Les faisceaux de fibrilles
nerveuses
de l'adventice sont aussi fréquem- ment envahis
sont séparés les uns des autres par de grêles fascicules de fibres
nerveuses
, ce qui donne aux coupes de cette région l'aspe
- tion s'efface. L'incontinence nocturne est fréquente. La lésion
nerveuse
est latente : les réflexes cutanés et tendineux s
tte n'est pas le seul individu de sa famille présentant des lésions
nerveuses
et de la polydactylie : La mère et deux oncle e
formations digitales dans toutes sortes de diathèses et de maladies
nerveuses
, à savoir : les névrites, etc. ; il attribue au
e (Sur le-. Réponse à M. Eltore Levi), par BAUER, 25. Compression
nerveuse
(Sur la lésion osseuse du mal de Pott ; son rôl
erfs ciliaires (Etudes sur les -) (4 pi.), par André-Thomas, 562.
Nerveux
(Etude clinique sur trois cas de maladie famili
n osseuse du mal de ; son rôle dans la genèse de la compression 1
nerveuse
, son mode de réparation) (3 pl.), par ALQUIEN e
osseuse du mal de Pott. Son rôle dans la genèse de la compression
nerveuse
, son mode de réparation (3 pl.), 310. ANmcÉ-'
ique sur trois cas de mala- die familiale dégénérative du système
nerveux
. Association de l'idiotie, de l'amaurose, de tr
sseuse du mal de Pott ; son rôle dans la genèse de la compression
nerveuse
; son mode de réparation (3 pl.), 310. Kopezy
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALA
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE
NERVEUSE
DE 11. LE PROFESSEUR RAYMOND ( z CONTRIBUTION
ulaires à son axe et posséder au niveau du renflement spinal un axe
nerveux
rudimentaire décomposable en métamères correspo
s en effet qu'à la suite de la section de son cylindraxe,la cellule
nerveuse
de la corne antérieure peut présenter pendant q
scutables, à savoir : étude d'une moelle, 8 jours après une section
nerveuse
unique ou une ablation unique d'un muscle, le m
de la lésion car, d'une part l'infection remonte le long des troncs
nerveux
, d'autre part l'intoxication générale dont est at
r l'examen histologique. Or, selon Déjerine (Séméiologie du système
nerveux
) la clinique n'a jamais montré chez l'homme un ca
par le professeur Raymond et par Déjeiine(Séiiiéiologie du système
nerveux
), cet auteur fait d'ailleurs aussi participer l
clinique médicale, 1896. (3) Voy. Brsssaun.Leçons sur les maladies
nerveuses
, 1,8 série. Salpêtrière (1893-1894). UN CAS DE
ui a eu depuis des crises de nerfs ; le père et le frère sont aussi
nerveux
, mais on ne trouve pas, dans la famille, d'affe
maladies d'évolution. (1) E. Loitij, Revue générale. Les maladies
nerveuses
familiales (maladie d'vo¡u' lion), Revue méd. d
que à la Salpétrière. Interne des hôpitaux. [Travail de la Clinique
nerveuse
de la Salpêtrière) En même temps que s'édifiait
anté. La mère, cartonnière, ne présente pas de symptômes de maladie
nerveuse
. Elle a eu 7 enfants : 1° un garçon âgé de 29 a
aladie de Thomsen, comme pour beaucoup d'autres maladies du système
nerveux
qui attendent une explication satisfaisante de le
s muscles eux-mêmes, se basant sur l'intégrité apparente du système
nerveux
. On était surtout d'un avis pareil sur la dystr
i- mitive, mais d'une affection organique ou potentielle du système
nerveux
, particulièrement des noyaux des neurones moteu
hie des fibres musculaires), ainsi que certaines régions du système
nerveux
, correspondant probablement aux neurones moteur
-Avril HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
sun LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL ET
our, me fournit l'occasion de revenir sur un chapitre de pathologie
nerveuse
, en- core insuffisamment connu et sur lequel je
tenseurs, des muscles des mollets, à droite et à gauche. Les troncs
nerveux
superficiels étaient, à l'instar des muscles, trè
ent dans la substance blanche cérébrale. Il existe encore un centre
nerveux
que paraissent affectionner les lacunes et qui
la lacune il est constitué par les éléments ana- tomirrues du tissu
nerveux
. Nous verrons plus tard dans quel état on les ape
les gaines périvasculaires entourant tous les vaisseaux des centres
nerveux
. Mais les liquides fixateurs le chassent et le
diculairement à leur axe et paraissent émerger directement du tissu
nerveux
sans qu'on distingue autour d'eux une cavité. D
s, qu'elles ne contiennent plus qu'un nombre insignifiant de fibres
nerveuses
et que les cet-' Iules névrogliques se colorent
é qui la limite, espace dans lequel se voient les débris d'éléments
nerveux
et sanguins, et cela quelles que soient les dim
ociant plus ou moins des faisceaux blancs de fibres et des cellules
nerveuses
. Dans les noyaux gris normaux du cerveau comme
les noyaux gris normaux du cerveau comme partout dans la substance
nerveuse
grise on constate la présence de volumineuses cel
nce nerveuse grise on constate la présence de volumineuses cellules
nerveuses
peu nombreuses et qui se voient à un faible gro
nc rien d'anormal. A côté de ces cellules sont de nombreuses fibres
nerveuses
et pour mainte- nir le tout les éléments névrog
lement, leur petite dimension les fait bien distinguer des cellules
nerveuses
. Enfin le réseau de fibres névrogliques qui n'e
l'on puisse étudier sa topographie. Au milieu de tous ces éléments
nerveux
, des capillaires en nombre incommensurable décr
reste une paroi mince qui ne sé- pare que très peu le sang du tissu
nerveux
. Autour d'une lacune ce tissu subit des modific
pes qui ont été traitées par la méthode de Marchi. Ici les éléments
nerveux
ne sont pas visibles ; ils sont à peine estom-
ord même on les voit s'enfoncer dans la paroi écartant les éléments
nerveux
qu'ils détruisent à mesure, et montrant ainsi p
ps granuleux sont des leucocytes chargés de la myéline des éléments
nerveux
; leur trajet indique la lésion dont la gravité
colorées par les procédés ordinaires convenant le mieux au système
nerveux
, on distingue dans les parois de la cavité lacuna
st effectuée et elle s'est faite au prix de la rupture des éléments
nerveux
suivie de l'émigration des éléments sanguins.
etits espaces vides. Ils étaient normalement comblés par les fibres
nerveuses
: celles-ci ont en grande partie disparu; il ne
ci par là en trouve-t-on encore une qui a subsisté. Les cellules
nerveuses
manquent complètement dans cette région : on ne l
vient absolument normal. Du reste dans cette région où les cellules
nerveuses
manquent complètement, les rares fibres elles-mêm
ns larges dans lesquelles sont encore quelques fragments d'éléments
nerveux
. Les cellules ne disparaissent pas complètement
Les mailles de la névroglie se resserrent et se comblent de fibres
nerveuses
intactes. Les cellules névrogliques deviennent
rois lacunaires qu'autour du vaisseau. Ce sont d'abord des fibres
nerveuses
tantôt complètement dépouillées de leur myéline
visibles dans la cavité. A côté de ces éléments propres au tissu
nerveux
sont ceux qui viennent du sang. En premier li
e. Cependant au microscope on voit bien la cicatrice : les éléments
nerveux
nobles ne pouvant se reproduire, la cavité en s
eproduire, la cavité en sera totalement dépourvue. Plus de cellules
nerveuses
, plus de fibres à myéline et cependant la cavité
bres blanches, nous ne voyons naturellement pas de grosses cellules
nerveuses
puisqu'il n'y en a pas même normalement. Les fa
voque un arrêt de développement du système vasculaire ou du système
nerveux
(central ou périphérique). Cette théorie, qui peu
tômes divers relevant de lésions plus ou moins étendues du système
nerveux
. En t8S2, Little publiait une série d'observati
des ma- lades présentant des troubles de la motilité et du système
nerveux
(De- formities of the human frame) ; avant lui
les mouvements passifs, sans toutefois faire intervenir l'élé- ment
nerveux
dans l'origine de ces affections. Erb et Charco
eux encore, résulter de dégénérescences nécrobiotiques des cellules
nerveuses
chez le nouveau-né, à la suite d'un état de mort
dérablement l'état du malade et tonifie en quelque sorte le système
nerveux
. Le traitement chirurgical consiste essentielle
ypothèse ne cadre pas avec les données actuelles de la transmission
nerveuse
, mais elle expliquerait bien des choses. Ne voit-
u neurone moteur central). 1 Ce cas, publié dans l'Atlas du système
nerveux
du Dr Christfried Jakob, est extrêmement intére
s pour le cas que nous pu- blions, la formation de nouvelles fibres
nerveuses
dans le trajet nerveux. (Il est encore un point
- blions, la formation de nouvelles fibres nerveuses dans le trajet
nerveux
. (Il est encore un point intéressant, c'est la
2e cas, mort à 6 jours, les altérations atteignent peu les éléments
nerveux
proprement dits, les fibres et les cellules de la
fants les difformités du corps. Paris, 1741. 22. Allas du système
nerveux
. Christfried Jakob (traduction Rémond et Clavelie
tres unis dans la même contribution psychologique. Tous les offices
nerveux
qui constituent la psychologie mettant en jeu des
n point quelconque de l'organisme, elle se fait dans un département
nerveux
phériphérique défini anatomiquement ; c'est tel
ement nerveux phériphérique défini anatomiquement ; c'est tel filet
nerveux
qui est intéressé et aucun de tous les autres q
gent l'économie. Pouvons-nous admettre que plusieurs dé- partements
nerveux
différemment situés à la périphérie aient leur im
dère, on observe l'application d'une loi générale à tout le système
nerveux
sensitivo-sensoriel, l'opposition diamé- trale
nsoriel ait choisi, pour y porter ses images, la partie des centres
nerveux
la plus opposée à leur point de départ, la plus é
n motrice. J'ai souvent cherché à analyser cette sensation d'effort
nerveux
et à voir si elle varie de forme selon ses applic
; elle joue le premier rôle dans sa définition, car la morphologie
nerveuse
intervient dans la pensée comme la morphologie de
a été traitée très longuement par lui dans sa Sémiologie du système
nerveux
, pages 789 et suivantes (Traité de Pathologie g
ement en disant (p. 6) : « Or,selon Dejerine (Sémiologie du système
nerveux
), la clinique n'a jamais montré chez l'homme un c
cher de ceux signalés par M. Dejerine dans la Sémiologie du système
nerveux
. Nous avons plus spécialement in- sisté sur le
reproduc- tion (PI. XXI). Au premier plan, l'anatomie du système
nerveux
est figurée sous les traits d'une jeune femme a
202 BALLET ET ARMAND DELILLE Antécédents héréditaires. Père très
nerveux
, s'est suicidé de désespoir après la mort de sa
on de tumeur, constater que celle-ci est comme sertie dans le tissu
nerveux
de l'hémisphère, mais que la ligne de démarcati
ule. Ces cellules rappellent donc tout à fait l'aspect des cellules
nerveuses
vraies, et il nous semble permis de conclure, d
qu'il n'y a aucune manifestation tuberculeuse au niveau des centres
nerveux
. Dans les jours qui suivent se montrent des vom
ec ses cellules pyramidales et la substance blanche avec ses fibres
nerveuses
, mais dans lesquelles se serait faite une infil
ncissement, puis disparition presque totale de la lame de substance
nerveuse
. La bosse frontale droite existe, bien conformé
la peau et des méninges existant seules à l'exclusion de toute lame
nerveuse
. Aussi une ouverture circulaire devant se produ
ur une longueur de 2 centimètres par une languette aplatie de tissu
nerveux
, tapissée régulièrement de méninges et émanant de
écitée de 20 millimètres. Sur le bord gauche existe un peu de tissu
nerveux
donnant un aspect blanchâtre, sur une largeur d
n peu à sa partie inférieure, se fondre avec un cordon de substance
nerveuse
qui représente la plus importante formation int
région plus antérieure que d'ordinaire, et le gros cordon de tissu
nerveux
que nous mar- quions (3) sur le schéma qui préc
Ventricule moyen, dont la coupe présente la forme d'un T : 1 Bande
nerveuse
antéro-postérieure. 2 postéro-supérieure. 3 p
vasée ou base serait dirigée en haut ? » (Testut). Non. Les cordons
nerveux
qui sont figurés sur le schéma en 1 et 2, nous
niveau de la scissure (pl. XXVIII, fig. D), l'épaisseur de la paroi
nerveuse
varie entre moins d'un millimètre et 3 à 4 mill
n relief, saillant fortement dans la cavité distendue, des colonnes
nerveuses
que nous ne pouvons mieux comparer qu'aux pilie
anet). HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
LE SYNDROME PSYCHASTHÉNIQUE DE « L'A[{A TIHSIE
ien remarquable ; on ne décrit pas dans quelque endroit un symptôme
nerveux
bizarre et en apparence nouveau sans que nous n
faisait connaître à la Société de Neurologie deux cas d'une maladie
nerveuse
bizarre qu'il baptisait du nom de l'alcatlaisie o
ne peut rien nous dire sur ses antécédents héréditaires; elle était
nerveuse
, émotive, inquiète dans sa jeunesse. Mais les a
ses manières : s'agissait-il d'une altération primitive de la fibre
nerveuse
, ou d'une altération secondaire due soit à une af
re de fines tra- bécules conjonctives qui pénètrent entre les tubes
nerveux
et constituent l'endonèvre. LÉSIONS RADICULAI
t à mettre en relief ces divers éléments. a) Fibres.- Les fibres
nerveuses
, au moins leur gaine de myéline,sonl bien mises
, disparition, etc.). Mais ils sont insuffi- sants, car de la fibre
nerveuse
ils ne mettent en relief que l'un des éléments
il n'en est.plus ainsi dans cer- taines atrophies lentes des fibres
nerveuses
, où le filament nerveux peut persister longtemp
s cer- taines atrophies lentes des fibres nerveuses, où le filament
nerveux
peut persister longtemps après la disparition d
vident qu'à l'égard des lésions fines 'du cylindraxe, des fibrilles
nerveuses
, ou des cellules, les progrès de l'histologie son
pénétra- tion dans le ganglion ou même un peu au-dessus, les fibres
nerveuses
sont en quelque sorte dissociées, plus écartées
es lésions radiculaires, des altérations très notables des cellules
nerveuses
et des capsules péricellulaires. Les capsules p
; en effet la plupart des gaines de myéline ont disparu, les fibres
nerveuses
sont réduites à une gaine de Schwann au centre de
Les altérations ganglionnaires sont manifestes, plusieurs cellules
nerveuses
NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIERE, T. XV. PL
r, un vaisseau présente également des tuniques dégénérées. Les fibres
nerveuses
sont dissociées par le développement des travée
ts même ces résidus proto- plasmiques semblent dépourvus d'éléments
nerveux
, ou les masquent en tous cas au point qu'on n'e
particulièrement favorable à l'étude des lésions fines de la fibre
nerveuse
, met en relief ici la modalité et le proces- su
t s'atté- nuent au moment où elles côtoient le ganglion. Les fibres
nerveuses
ne sont nullement dégénérées, elles se colorent
et le tissu conjonctif sont proliférés et dissocient les élé- ments
nerveux
: par conséquent, à côté des lésions parenchymate
, au-dessus du niveau du ganglion rachidien, malgré cela les fibres
nerveuses
ne sont nullement dégénérées. Septième gangli
nombre considérable de gaines de myéline. Un grand nombre de fibres
nerveuses
sont réduites à une gaine de Schwann et aux noyau
ifeste, quelques capsules sont sclérosées. Malgré cela les cellules
nerveuses
ne paraissent pas en général sensiblement atrop
és de noyaux plus ou moins nombreux. Dans le ganglion, les cellules
nerveuses
ne présentent pas d'altérations ma- nifestes, m
racines un peu au-dessus du ganglion, on voit à la place des fibres
nerveuses
, une masse circulaire constituée par du tissu con
tissu conjonctif fascicule. Sur certaines coupes un petit faisceau
nerveux
subsiste au centre de cette masse (PI. XLI, B)
e par du tissu fibreux adulte. Sur quelques fascicules les fibres
nerveuses
qui occupent la périphérie sont gonflées, pren-
s la- quelle il est difficile de distinguer les gaines des fibres
nerveuses
du tissu conjonctif proprement dit hyalin aussi
ssies, les cellules capsulaires sont proliférées, mais les cellules
nerveuses
ne pré- sentent pas d'altération manifeste. L
au du nerf radiculaire de Nageotte),ce qui tient il ce que les fibres
nerveuses
y sont plus grêles individuellement. LESIONS
dant la racine antérieure reste intacte à la fois dans ses éléments
nerveux
et conjonctifs. Observation XI. Riv..., 74 an
ts. L'inflammation atteint le tissu interstitiel et entre les tubes
nerveux
s'accu- mulent les éléments nucléaires et fibri
e et pré- sentant, comme phénomène capital, des troubles du système
nerveux
moteur ayant le caractère général de la crampe
ifestant surtout pour les mots d'épreuves. Ces différents accidents
nerveux
furent traités par les frictions mercurielles e
toses multiples seraient sous la dépendance d'une lésion du système
nerveux
. « La multiplicité de ces productions osseuses,
alées dans la plupart des cas, font présumer, à priori, une origine
nerveuse
; en d'autres termes, selon moi, cette affectio
e trophi- que consécutif à une lésion non encore définie du système
nerveux
, sans doute, je ne puis m'appuyer, pour défendr
port entre les lésions des os et certaines altérations du sys- tème
nerveux
. Dans la paralysie spinale infantile, on consta
nutrition du système osseux et certaines alté- rations des centres
nerveux
... Il est donc permis de croire à l'influence du
es nerveux... Il est donc permis de croire à l'influence du système
nerveux
sur la production des exostoses multiples et peut
nisme de l'homme, le bacille d'Armaner Han- ' sen. Enfin les troncs
nerveux
ne semblent pas augmentés de volume et l'examen
160 Année N° 5. SEPTEMBRE-OCTOBRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
£ HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE LES DÉVIATIONS DE
e présente l'étude des déviations, du rachis, au cours des maladies
nerveuses
. M. Hall ion (3) avait même, dans sa thèse (1)
cours des diverses affec- tions organiques ou dynamiques du système
nerveux
: dans l'hémiplégie, la syringomyélie, le labes
tants, n'ayant ja- mais eu ni convulsions, ni autres manifestations
nerveuses
, et ne présentant aucun stigmate d'hystérie (2)
ifs, et qu'il les rattache à un état morbide quelconque des centres
nerveux
. Nous constations encore qu'un certain nombre d
il n'y a jamais eu, dans la famille, de tics, ni autres affections
nerveuses
. Antécédents personnels.- Né à terme, d'une gro
onisme parait être la règle dans les maladies organiques du système
nerveux
, et il est signalé, par M. Marie, dans le Friedre
sure que les mouvements se répètent. 1 406 DESTAI1AC les troncs
nerveux
ne sont pas douloureux à la pression. Il y a, de
ur les spasmes fonctionnels, un état morbide quelconque des centres
nerveux
. , M. Babinski est venu confirmer cette opinion
pas chez d'autres,soumis cependant au même surmenage, c'est la tare
nerveuse
héréditaire, fruit de la dégéné- rescence. Sa
héréditaire, fruit de la dégéné- rescence. Sans doute, l'hérédité
nerveuse
est le fond commun sur lequel germent toutes le
erveuse est le fond commun sur lequel germent toutes les affections
nerveuses
, tant psychiques qu'anatomiques. « C'est, dit M
E SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 409 Mais,de ce que l'affection
nerveuse
ne correspond pas encore à une al té- ration an
ntale, dit M. Féré (1), qui tend à envahir l'étiologie des troubles
nerveux
dont on ne connaît pas la cause physique, a l'imm
n possible des myoclonies avec les affections organiques du système
nerveux
. Ajoutons que pour cette catégorie d'affections
ique ne colore plus en noir et leur élimi- nation au dehors du tube
nerveux
traduisent ce processus essentiellement lent, q
t strié concen- triquement de l'ancienne gaine. Cependant le tube
nerveux
, réduit au cylindraxe et à son enveloppe conjon
conjonctive. Maisjamais, dans nos cas an moins, la totalité des tubes
nerveux
n'est tranformée en gaines vides ; quelque anci
croissant ou d'un cercle entier de tissu amorphe autour d'une fibre
nerveuse
, oubien encore ils constituent des i lots i rrégu
e cul-de-sac séreux, le nerf radiculaire. A ce niveau les faisceaux
nerveux
des racines postérieu- res et aussi des racines
e partir du périnèvre pour former un anneau qui étouffe le faisceau
nerveux
. Cet anneau s'accroît par sa face interne en mê
r sa face externe... A côté de ce processus d'écrasement des filets
nerveux
pris en masse, on voit sur les mêmes racines, m
des travées conjonctives intra-fasciculaires (endonèvre). Les tubes
nerveux
se trou- vent alors dissociés par petits groupe
un kyste dont les parois plus ou moins végétantes écartent le tissu
nerveux
. Au voisinage, les éléments nerveux n'en ont pas
ns végétantes écartent le tissu nerveux. Au voisinage, les éléments
nerveux
n'en ont pas moins con- servé leur vitalité et
us paraît être beaucoup plus fréquent, dans les maladies du système
nerveux
qu'on ne le croit généralement : cependant, dans
bien au cours des maladies primitives de la cellule ou de la fibre
nerveuse
, qu'à la suite de trauma- tismes ou de foyers i
rauma- tismes ou de foyers inflammatoires sur le trajet de la fibre
nerveuse
. D'autre part, on sait depuis les travaux de We
ition brusque de cette fonction réalisée par la section d'une fibre
nerveuse
ou la destruction de son centre a pour résultat l
om de dégénérescence wallérienne. , Nous savons encore que la fibre
nerveuse
peut dégénérer de deux façons différentes, lors
ation du nerf : elle soulève un problème intéressant de physiologie
nerveuse
: doit-elle être interprétée comme une réaction
cylindre axe ? En un mot on peut se demander notamment si la fibre
nerveuse
ne se régé- nère pas constamment, se détruisant
i mal le rôle trophique et les phénomènes biologiques de la cellule
nerveuse
. Pour d'autres auteurs, ce n'est pas dans le ga
vrai que par sa marche et son étiologie; mais le sort de l'élément
nerveux
qui traverse ce foyer inflammatoire est tout di
niveau du pôle central du ganglion; quelquefois cependant les tubes
nerveux
sont plus grêles dans la traversée de ce foyer
i faire encore le grave reproche de négliger une partie des lésions
nerveuses
du tabès (altérations des nerfs cutanés, musculai
ons histologiques se caractérisent par des modifications des fibres
nerveuses
comparables sous certain^ rapports à celles qui o
« anesthésiques et amyosthéniques » et « son action hyposthénisante
nerveuse
et vascu- laire ». Huette avait signalé des pro
on la retrouve d'ailleurs dans l'histoire de la plupart des poisons
nerveux
, cocaïne, atropine, duboisine, ergotine (4). (1
16" Année N° 6. Novembre-Décembre CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE SUR LES AFFECTIONS
si J'enveloppe-[-il de ouate et de bandes de flanelle. Les troncs
nerveux
ne sont pas douloureux à la palpation. Le signe d
nnelles dont sont susceptibles aussi bien les amas gris des centres
nerveux
que les muscles plus ou moins synergiques. Je m'e
ce se présentera de le faire. ' LÉSIONS SYPHILITIQUES DES CENTRES
NERVEUX
FOYERS DE RAMOLLISSEMENT DANS LE BULBE HÉMIAS
lésions mésodermiques superficielles. Dans la profon- deur du tissu
nerveux
on trouve des lésions de capillarité, surtout au
myéline tangentielles. En somme, l'appareil mésodermique du système
nerveux
tout entier est le siège d'un vaste Aomet, cara
2) est allongé verticalement, c'est-à-dire parallèlement aux fibres
nerveuses
de la région et perpendiculairement au trajet des
l'âge de 30 ans, est pris brusquement, en pleine santé, d'accidents
nerveux
graves : hémiasynergie du membre inférieur gauc
nt au mode de développement des affections syphilitiques du système
nerveux
, puis nous chercherons à établir les rapports qui
s méningées généralisées nous paraît être la règle dans la syphilis
nerveuse
en voie d'évolution, quelle qu'en soit la forme,
ns caractéristiques de chacune des formes de la syphilis du système
nerveux
. Les récents travaux accomplis à la suite do la
coce, qu'elle accompagne les tout premiers symptômes de la syphilis
nerveuse
, qu'elle peut même en être la seule manifestati
t, la méningite paraît être le premier stade des lésions du système
nerveux
, qui dérivent de la syphilis. L'observation que
partie postérieure de la couche interolivaire où siègent les fibres
nerveuses
provenant du noyau grêle auquel aboutissent les
rrivera à déterminer le rôle joué par les divers systèmes de fibres
nerveuses
bulbaires dans la transmission des divers modes
es ? Il nous parut tout d'abord qu'il s'agis- sait bien de cellules
nerveuses
et non de cellules névrogliques. Nous basant en
obes inférieurs, il n'y avait rien d'important en dehors du système
nerveux
. A l'ouverture de la dure-mère on constate qu'i
qu'à un faible grossissement, ils obscurcissent la vue des cellules
nerveuses
, surtout sur les coupes colorées à la safranine.
, surtout sur les coupes colorées à la safranine. Pour les cellules
nerveuses
du cortex, au Nissl, elles se montrent en leurs
uche des fibres transversales du pont et dans les ilots de cellules
nerveuses
des noyaux du pont. Et, par contre, les noyaux
Et, par contre, les noyaux ronds deviennent rares dans la substance
nerveuse
immédiatement sous-jacente au plancher, et devi
protubérance comme sur celles de la moitié inférieure. Les cellules
nerveuses
des noyaux du pont sont, par places au moins, net
s transver- sales du pont, on voit manifestement à côté de cellules
nerveuses
à limites nettes, à noyau bien serti, à protopl
entre les fibres transversales et au niveau des amas cellu- laires
nerveux
, dits noyaux du pont; altération inégalement répa
ns, est amenée pour la première fois à la consultation des maladies
nerveuses
le 13 octobre 1898. Son père est mort à 87 ans
couche molé- culaire est diminuée de hauteur ; la zone des cellules
nerveuses
, moins épaisse, offre surtout des cellules comm
iable suivant les points observés, portant sur la zone des cellules
nerveuses
; elle consiste en ceci : sur une certaine long
e la circonvo- lution, il semble que la couche des petites cellules
nerveuses
polygonales la plus superficielle est comme iso
plus loin, quelquefois même à côté, toutes les couches de cellules
nerveuses
, raréfiées il est vrai, sont présentes. Un autr
résenté par les variations dans cette raréfaction même des cellules
nerveuses
du cortex ; elle est très inégalement répartie;
on peut voir en un point de l'écorce où toutes les autres cellules
nerveuses
ont disparu, un nid isolé de 4-5 belles cellules
qu'il s'agisse de cellules névrogliques. Ce sont bien des cellules
nerveuses
. Si on examine avec soin un cervelet normal apr
rine et Thomas où coexistaient d'autres lésions diverses du système
nerveux
. Les lésions cérébelleuses nous paraissent donc
nce grise de la moelle, dans la protubérance et le reste du système
nerveux
. En résumé : 1° Il n'y a pas de différence hi
SCOU. SUR L'ASPECT DES PROLONGEMENTS PROTOPLASMIQUES DES CELLULES
NERVEUSES
DES CORNES ANTÉRIEURE ET POSTÉRIEURE DE LA MO
r l'aspect externe des prolonge- ments protoplasmiques des cellules
nerveuses
spinales chez les vertébrés adultes et dans not
ons réussi à obtenir l'imprégnation chromo- argentique des éléments
nerveux
de la moelle épinière chez les vertébrés adulte
oncernent l'aspect des prolonge- ments protoplasmiques des cellules
nerveuses
de la corne postérieure et de la corne antérieu
bstance blanche, auprès de la substance grise, on voit des cellules
nerveuses
dont les prolongements protoplasmiques sont pre
rnes postérieures. - Les prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
de la corne postérieure, outre qu'ils sont compar
jetons. Sur les prolongements protoplasmiques de certaines cellules
nerveuses
de la écorne postérieure, au contraire, le nom-
un aspect variqueux. Sur l'une des coupes on a observé une cellule
nerveuse
, située dans la sub- stance grise de la corne p
plus dense, tantôt plus raréfiée (voy. fig. 8). Outre ces cellules
nerveuses
à dentrites riches en appen- dices collatéraux,
rites riches en appen- dices collatéraux, on rencontre des cellules
nerveuses
, ayant les pro- Fig. 8. CELLULES DE LA MOELLE
rquée entre l'aspect des prolongements protoplasmiques des cellules
nerveuses
de la corne antérieure et de la corne postérieu
cornes anté- rieures, dans tous nos cas les dendrites des cellules
nerveuses
ont des con- tours comparativement plus régulie
ces collatéraux, était située juste au milieu d'une masse de fibres
nerveuses
de la substance blanche. On a l'impression que le
s aux dendrites xv 35 538 SOUKLIANOFF ET CZARNIECK des cellules
nerveuses
de la corne postérieure ; on n'en voit pas sur le
l'aspect des prolongements protoplasmiques de différentes cellules
nerveuses
, il est facile de s'assurer que quelques- unes
raire, en sont parsemées d'une manière très abondante. Aux cellules
nerveuses
, dont les prolongements protoplasmi- ques envoi
llatéraux, appartiennent aux cellules qui apparaissent comme unités
nerveuses
, moins subordonnées aux autres neurones, et qui
e très importante. Comme l'aspect des dendrites des autres cellules
nerveuses
n'est pas encore suffisamment étudié, nous ne p
mprendre la signification des appendices collatéraux pour l'élément
nerveux
. Il faut penser que ces derniers ne servent pas
collatéraux, en augmentant le volume de l'élément protoplas- mique
nerveux
, le rendent plus apte à retenir, à conserver et à
ver et à accumuler les excitations qu'il reçoit des autres cellules
nerveuses
et à les transmettre plus loin déjà transformée
Sur les coupes du sciatique, on note un peu d'atrophie des fibres
nerveuses
; les fibres normales sont en minorité ; le tis
normales sont en minorité ; le tissu fibreux l'emporte sur le tissu
nerveux
; mais il n'y a pas trace d'inflammation. Ni
côté droit (5 pl. en pliotocollogr.), par Brissaud, 281. Cellule*
nerveuses
des cornes de la moelle épinière chez les nouve
hésie cl hémi- plégie croisées. Lésions syphilitiques des centres
nerveux
(8 fig. dans le texte, 5 pl. en pliotocollogr.)
, 286. NAGEOTTE et BAi31NsKi. Lésions syphiliti- ques des centres
nerveux
. Ilermiasy- nergie latéropulsion et myosis bulb
ropulsion, myosis bul- baires ; lésions syphilitiques des centres
nerveux
(13AmXSI([ et NAGEOTTE), LV à LIX. Hémimélie
male à gauche (2 cm. 8 de largeur). L'examen détaillé du système
nerveux
s'imposait chez notre malade : or il nous a rév
tout d'abord sur des analogies ; à la suite de cer- tains troubles
nerveux
peuvent se développer des accidents osseux, dont
égie cérébrale infantile ou dans la paralysie infantile, trou- bles
nerveux
qui expliquent peut-être la fréquence des fractur
sant sur cette constatation que Lancereaux (4) dit que « le système
nerveux
paraît jouer un rôle important dans la pro- duc
ophonévrose soit un processus étiologique possible, que des lésions
nerveuses
puissent provoquer des altérations du squelette
te chronique; Pic (7) relate, dans son cas,certaines manifestations
nerveuses
(exagération des réflexes, troubles vésicaux) ;
des artères spinales postérieures. En résumé, des lésions de l'axe
nerveux
ont été observées chez les pagétiques ; mais el
a réflectivité, le psychisme même, mon- trent l'atteinte du système
nerveux
[Klippel (1), Cousin (2), Skoda, Risen- mann, R
nser, avec plus de raison, à la cause (1) M. KLIPPEL, Des accidents
nerveux
du rhumatisme chronique et de la goutte. Ann. m
uelques symptômes communs au rhumatisme chronique el aux affections
nerveuses
. Thèse de Paris, 1890. (3) Cités par Teissilh e
de rhumatisme déformant des mains et sur l'intervention du système
nerveux
dans les arthropathies de ce genre. Archives géné
es, ne s'accorde guère avec l'idée d'un trouble trophique d'origine
nerveuse
; elle s'explique mieux par l'hypo- thèse d'une
'est- à-dire que la déviation n'est pas secondaire à une altération
nerveuse
, paralysie, névralgie, etc. Certains auteurs
soit encore à cause des impor- tantes questions de physiopathologie
nerveuse
qu'il peut soulever. . Observation (pal. XII).
en portants, un frère en bonne santé, terrassier. Pas de maladies
nerveuses
dans la famille. Antécédents personnels. Aucune
ènes convulsifs provoqués par une lésion irritative d'un conducteur
nerveux
, ce qui n'ebt pas démontré, et ce qui en tout c
aurait perdu son aptitude à réagir sous l'influence de l'excitation
nerveuse
quand U aurait à remplir certaines fonctions, t
nt, au contraire, de supposer que la perturbation règne dans l'acte
nerveux
central. Cette hypothèse me paraît justifiée par
. » « Existerait-il ailleurs, écrit-il encore, un point des centres
nerveux
qui, surexcité ou épuisé par l'exercice souvent
pété de certaines fonctions musculaires, tantôt ferait une démarche
nerveuse
trop consi- dérable et produirait la contractur
a contracture de certains muscles; tantôt leur enverrait l'excitant
nerveux
irrégulièrement et occasionnerait des trem- ble
ents cloniques ; tantôt enfin cesserait de leur distribuer la force
nerveuse
, et tout cela seulement pendant l'accomplis- se
es memhres su- périeurs aucune altération vasculaire, musculaire ou
nerveuse
appréciable. Mais, en mettant la main au niveau
lise sur un terrain surmené et chez un sujet prédisposé. 3° Origine
nerveuse
: névralgies, névrites. De nombreux auteurs ont
ysie et atrophie du fléchisseur du pouce droit, et névrite du filet
nerveux
cor- respondant. Poore (109) rapporte l'obser
ifférents cas, étai t marquée, soitpardes douleurs le long du tronc
nerveux
, soit par des anesthésies dans le territoire cu
euvent P être l'occasion de surmenage musculaire ou de compressions
nerveuses
. Mais ce qui différencie essentiellement ces af
n nelles, avec leur caractère électif, occasionnées par des lésions
nerveuses
. Il est facile, à la vérité, d'en retrouver un
ano. Un exemple tort intéressant de crampe des écrivains, d'origine
nerveuse
, consécutive à la compression du nerf cubital, a
use ou en foyer, ou qu'il y a simple trouble dynamique des cellules
nerveuses
préposées à telle ou telle fonction ; l'état ac
t actuel de nos connaissances sur le rôle physiologique des centres
nerveux
est trop peu avancé pour que l'on puisse être a
ours, la correction des devoirs, écrivant beaucoup, d'ailleurs très
nerveux
et très émotif, qui un jour vit la toiture de l
ans tous les cas retrouver des traces de névropathies : soit crises
nerveuses
, soit émotivité extrême, soit encore tendance à l
ui-même a toujours été très émotif, mais il n'a jamais eu de crises
nerveuses
. Etant enfant il écrivait fort mal, mais surtou
nte surtout des lésions vasculaires : capillaires rompus, substance
nerveuse
« noyée dans le sang », sans alté- ration appré
« noyée dans le sang », sans alté- ration appréciable des cellules
nerveuses
(examen fait par Manouélian). Danysz ajoute que
ifs, et il émet l'hypo- thèse d'une action directe sur les cellules
nerveuses
. Scholz (2) expérimente sur 5 lapereaux et 10 s
les. Outre les modifications de la peau, ils consistent en troubles
nerveux
, presque uniquement d'ordre paralytique, soit f
ué par les rayons du radium ». En effet, il note, pour les cellules
nerveuses
,un certain degré de chromatolyse,parfois l'aspect
s tumeurs cutanées par exemple, sans avoir jamais eu aucun accident
nerveux
à déplorer. Des différences d'es- pèce (souris,
vons observé aucun trouble ni de la santé générale, ni du sys- tème
nerveux
. (t) Rappelons que, pour désigner un appareil r
gment sanguin. La névroglie ne parait pas modifiée ; quant au tissu
nerveux
, ses fibres ne présentent aucune altération par l
etites hémorrhagies dans la substance grise, intégrité des cellules
nerveuses
(coloration par le Bleu de toluidine- éosine-or
on des hémorrhagies. Méthode de Ramon y Cajal. E - Exp. 3. Cellules
nerveuses
de la corne antérieure, niveau très voisin de cel
3. Méthode L'ACTION DU RADIUM SUR LES TISSUS DU NEVRAXE 113 tissu
nerveux
n'apparaissent modifiés (Pl. XV, E) : c'est à pei
du névraxe que de minimes hémorragies, sans altération des éléments
nerveux
, décelables par les méthodes de la technique ac
ATÉRALE PAR LE Dr P. ZOSIN, Docent chargé du cours des maladies
nerveuses
et mentales à la Faculté ' de Médecine de Jassy
s avant l'ictus une certaine difficulté pour s'exprimer. Le système
nerveux
est seul intéressant à examiner, les autres app
ues dont les lésions siègent en des points diffé- rents des centres
nerveux
; -les unes frappent l'étage supérieur, cortical
eurer spasmodique in- dépendants d'une lésion organique des centres
nerveux
. Lorsque la lésion siège uniquement sur les noy
ibition volontaire rendue impossible par suppression des connexions
nerveuses
réunissant entre eux les centres, puisque un co
s nerveuses réunissant entre eux les centres, puisque un conducteur
nerveux
peut être et excitateur et inhibiteur. Mais si
s siègent dans la corticalité. Il faut admettre aussi que les voies
nerveuses
qui commandent soit au rire soit au pleurer dan
l y a toujours intervention des couches optiques et de leurs fibres
nerveuses
(2). BETCHEREW insistait sur le processus de de
imentale, Ne 11, 1906. Barssnun : Leçons cliniques sur les maladies
nerveuses
, Paris, 1S95, leçon XXI. 1. , TROIS OBSERVATION
apoplettiche Riv-speriment di fren. XXIII, 1841, in SOURY, Système
nerveux
central, 1899. (4) FRANcEsio Franceschi, Sur le
our des motifs futiles, a le rire facile. N'a jamais eu de crises
nerveuses
, pas de chorée, pas de tics de l'enfance, pas d
uf en ce qui regarde la face où le spasme est hémilatéral, l'action
nerveuse
se manifeste synergi- quement et symétriquement
septembrE-octobre 1904. (3) Grasset et RAUZIER, Maladies du système
nerveux
, t. II, p. 554. 130 RIMBAUD ET ANGLADA Dans l
du Ve nerf. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité mécani- que des troncs
nerveux
. La face en général n'est pas très petite, elle e
ion des surfaces articulaires. Les masses musculaires et les troncs
nerveux
sont indolents à la pression. Les réflexes tend
es achondroplases de ses prouesses sexuelles. L'examen du système
nerveux
nous a donné des résultats absolument négatifs.
apparentes du fonctionnement d'un ensemble d'organes, le sys- tème
nerveux
dont la fine anatomie est à peine connue et dont
fisant de nos connaissances au sujet du fonction- nement du système
nerveux
d'autre part, montre clairement en quelle mince
ir un sens physiolo- gique, en supposant la présence d'un mécanisme
nerveux
déterminé dont la pensée n'existait pas vraisem
ique connu ou seulement concevable, mais au moyen d'un agence- ment
nerveux
dont on pourra nier l'existence peut-être dans ce
ifi- cations parfaitement en rapport avec les lésions de la matière
nerveuse
, pour autant que celles-ci soient connues dans
de son ignorance. Si la fonction intellectuelle dépend du système
nerveux
comme un effet est assujetti à sa cause, il est
mps. Il se forme alors pour unir ces différents rouages une cellule
nerveuse
qui reçoit et transmet l'excitation reçue aux o
ion reçue aux organes dont la fonction est d'y répondre. Le système
nerveux
se complique à son tour et, à un degré d'organisa
sation un peu plus élevé, on rencontre deux, trois, quatre cellules
nerveuses
intermédiaires, de sorte que, à ce moment, l'ar
66 LEFÈVRE L'organisation s'élève au sur et à mesure que le système
nerveux
se com- plique, mais on continue à comprendre e
r et les différentes parties de ce dernier d'autre part, le système
nerveux
n'est en somme qu'un organe de transmission qui r
qui appartient, sans conteste, à tous les excitants. L'organisation
nerveuse
des mammifères inférieurs subsiste assurément l
et non en psycho- logue, j'affirme que l'accroissement de la masse
nerveuse
suffit à expliquer l'établissement de fonctions
vibrations se transforment ep oscillations, en vibrations du courant
nerveux
qui constituent elles-mêmes un équivalent physi
de forces ex- térieures. La matière vivante et plus spécialement
nerveuse
reproduit, en vertu de sa structure physico-chi
tence des mécanismes réflexes. L'aboulie et bien d'autres symptômes
nerveux
restent physiologiquement incompréhensibles si
sans cette interpositiou inutile et incompréhensible, les courants
nerveux
qui constituaient des équivalents physiologique
es, les usages, les coutumes, les rites vont atteindre la substance
nerveuse
sous forme d'équivalents mécaniques et s'y tran
eux, que chacune de ces circonstances est figurée dans la ma- tière
nerveuse
, représentée par un équivalent organique vivant.
nchevêtrent. Sous la pression d'excitations extérieures, la cellule
nerveuse
organisée par l'hérédité se modifie dans sa str
. Pour faire sortir les affec- tions mentales et certaines maladies
nerveuses
des ténèbres où elles sont encore plongées, il
main droite. Il a toujours joui d'une bonne santé, mais il est très
nerveux
, très impressionnable. Son métier l'obligeait à
ments associés dans les cas de traumatisme péri- phérique de plexus
nerveux
? : ' Il est beaucoup plus logique d'admettre q
soit lorsqu'il y a lésion périphérique, soit lorsque le sujet très
nerveux
s'étudie et craint d'avoir sa crampe en dehors
des doigts et de la main, remonter au bras le long des gros troncs
nerveux
, irradier à l'épaule ; dans quelques cas rares
on songe, écrit Zuber, à la multiplicité des organes musculaires et
nerveux
mis enjeu par l'acte d'écrire, à la régu- larit
d'écrire, à la régu- larité et à la longue durée de la distribution
nerveuse
nécessaire au con- sensus harmonique de toute s
s ou spasmodi- ques dus à une lésion des centres ou des conducteurs
nerveux
: hémi- plégie d'origine cérébrale par exemple,
s'il n'existe pas de lésion périphérique artérielle, musculaire, ou
nerveuse
, qui puisse expliquer dans une certaine mesure
nt, a toujours été émotif, impressionnable ; il a eu déjà une crise
nerveuse
avec perte de connaissance ; il pleure et rit pou
. A cela il faut ajouter le bruit ininterrompu des appareils, bruit
nerveux
, saccadé, presque aigre, 214 MACÉ DE LÉPINAY
NAY Observation XXI. Mlle du P..., âgée de 20 ans, a toujours été
nerveuse
et impressionnable ; très intelligente, ayant t
int localement une altération musculaire, tendineuse, vasculaire ou
nerveuse
qui puisse expliquer l'origine des troubles ; mai
érations osseuses ont été étudiées au cours de différentes maladies
nerveuses
: certains auteurs ont constaté une fragilité par
e H., il fut pendant trois mois atteint d'une grippe à prédominance
nerveuse
qui aurait été assez grave. Trois ans plus tard
ications professionnelles. Caractère violent, mais pas de stigmates
nerveux
. La mère est une femme robuste ; elle aurait eu
e bonne santé, n'a jamais présenté de troubles ni de manifestations
nerveuses
. Il est actuellement garçon d'hô- tel. Le cinqu
ne tare pathologique. Du côté paternel, on ne relève pas d'hérédité
nerveuse
. Le grand-père et NOUVELLLE Iconographie DE la
ouve dont point dans l'hérédité de notre malade de trace d'hérédité
nerveuse
; sim- plement un père mort de baccillose bien
l jouit d'une bonne santé, chez lui pas de traces de manifestations
nerveuses
, de convul- sions ni d'émotivité spéciale ; pas
ds en équinisme compliqué d'un certain degré de varus. Le système
nerveux
sera étudié en détail avec chaque partie du corps
ons tendineuses. Les phénomènes de paralysie et de dégénérescence
nerveuse
sont par- ticulièrement prédominants pour le dr
faire songer à un trou- ble trophique sous la dépendance du système
nerveux
. Cette théorie tro- pho-névrotique semble devoi
st seulement t le traumatisme. Nichols croit aussi que le trouble
nerveux
ou trophique se trouve au fond de la contractur
la contrac- ture de Dupuytren. Jordini en 1906 appuya la théorie
nerveuse
de l'origine de la contrac- ture de Dupuytren.
e, quand il s'agit de détermination de la localisation des maladies
nerveuses
, nous nous sommes convaincus qu'elle peut être
ntr der Finger. Neu- rol. Centre., 1883, n° 3. 6. Cénas. Troubles
nerveux
compl. des extr. consec. à une blessure du nerf c
voque les traumatismes [Etienne (11)], tantôt une lésion du système
nerveux
central (Testi) ; ou une altération des centres
ril 1907, p. 146. (12) N. VALOBRA, Pathogénie des oedèmes d'origine
nerveuse
. Soc. de neurol., 2 mars 1905. VARIÉTÉ DE TRO
fférentes autres affections fonctionnelles et organiques du système
nerveux
, sans provoquer par elles-mêmes des symptômes B
périeur ou inférieur ; l'autre électrode est placée sur les trajets
nerveux
. L'intensité du courant doit être faible : 2 à
hie avec excitation en raison de son action sédative sur le système
nerveux
. 30 Le massage, sous toutes ses formes, a donné
s-les-Bains. Cette dernière station, par sa spécialisation pour les
nerveux
algiques et excités, semble particulièrement in
ien vite le premier rang dans le traitement de certaines affections
nerveuses
. Les moyens sont infiniment variés, vis-à-vis d
logique d'admettre une altération dynamique passagère des cellules
nerveuses
préposées à la coordination des mouve- ments pr
165. 322 MACÉ DE LÉPINAY Y 35. Charcot. - Clin. des mal. du syst.
nerveux
, 1892, I, p. 169. 36. CHCRCH. La crampe des écr
Schmidt's Jahrbuch, 1838, p. 123. 117. ROSENTHAL. - Traité des mal.
nerveuses
, 1878, traduct. Lubanski, p. 614. 118. RoMBERG.
t. 38, 1816. 224. Hammond (traduct. Labadie-Lagrave). Mal. du syst.
nerveux
, 1S79, p. 943. 225. HAHTEXBEM. Crampe des écriv
surrénal, constaté dans ce cas, est très rarement observé. Centres
nerveux
. - On trouve sur la dure-mère un noyau cancéreux,
type brachial droit. On n'observe aucune autre lésion- des centres
nerveux
. Examen microscopique. Ce noyau métaslatique cé
ées d'une façon prédominante au voisinage des vaisseaux. Le tissu
nerveux
, comprimé par la tumeur, est très altéré ; il se
nne du néoplasme, il n'existe que quelques millimètres de substance
nerveuse
corticale effritée représentant les débris ramoll
ace de la face interne du lobe occipital par une épaisseur de tissu
nerveux
d'un centimètre ; elle est ainsi en rapport ave
il s'agit toujours d'uu épithélioma à cellules claires. Le tissu
nerveux
environnant présente une prolifération névrotique
ration névrotique très intense et on ne voit que très peu de fibres
nerveuses
sur ce point. Epithélioma primitif du rein. Il
ssements aqueux ou verdâtres, assez copieux, paraissant d'ori- gine
nerveuse
, se répètent à plusieurs reprises, sans cause app
sont atteints d'une faible dégénérescence grais- seuse. · Centres
nerveux
. - L'encéphale est très congestionné ; les veines
mme, aucun foyer d'hémorragie ni de ramollissement dans les centres
nerveux
. La dissection des globes oculaires, des vaisse
a tumeur gliomateuse au point de vue des éléments nobles du système
nerveux
. On observe de nombreuses cellules nerveuses to
éments nobles du système nerveux. On observe de nombreuses cellules
nerveuses
toutes très altérées et présen- tant les lésion
s de la cellule ; 4" chro- matolyse. Il existe très peu de fibres
nerveuses
reconnaissables. En résumé, cette observation p
s puerpérales peuvent être généralisées et frapper alors les troncs
nerveux
des quatre membres, et les nerfs crâniens, y comp
natomique fort malaisée et souvent infructueuse. Tantôt les lésions
nerveuses
se produisent au cours d'une infection grave qui
ortants. Dans ce cas on constate au niveau des nerfs et des centres
nerveux
de grosses lésions auxquelles i I est di fcici le
ynévrite est accompagnée de vives douleurs à la pression des troncs
nerveux
et des masses musculaires. Dans la paraplégie m
térieures. L'autopsie, et surtout l'examen microscopique du système
nerveux
, vinrent pleinement confirmer le diagnostic de
. Utérus : A repris son volume normal. Foie : De stase. Système
nerveux
central : Les centres nerveux ne présentaient a
normal. Foie : De stase. Système nerveux central : Les centres
nerveux
ne présentaient aucune lésion macroscopique. Le
l avec fixation préalable par l'alcool ammoniacal (1). Les troncs
nerveux
furent fixés par le mélange de Bouin, le liquide
venant témoigner de la destruction définitive de certains éléments
nerveux
. A côté des lésions chromolytiques, et souvent
arter ces différentes hypothèses. Ce mode d'altération des cellules
nerveuses
ne constitue pas une rareté anatomo-pathologiqu
s avons observé maintes fois la vacuolisation de certaines cellules
nerveuses
; encore tout récemment nous l'avons constatée da
ord ces noyaux sont en nombre beaucoup plus grand que dans un tronc
nerveux
normal ; d'autre part on peut à première vue dist
la maladie a réalisé une véritable section transversale des troncs
nerveux
innervant les membres inférieurs. Cette section t
es réactions habituelles en pareil cas, dégénérescence des segments
nerveux
périphériques et des muscles innervés par eux et
produit les vomissements incoercibles et secondairement les lésions
nerveuses
périphériques ? Ou bien au contraire la macératio
aux phénomènes infectieux dans l'apparition des troubles du système
nerveux
. Dans notre cas, les deux ordres de faits ontpr
pouvant plaider en faveur d'une répara- tion autogène des segments
nerveux
dégénérés. A quelle variété anatomique de névri
natomiquementet fonctionnel- lement; ou bien au contraire, la fibre
nerveuse
dans son ensemble est frappée, et dégénère ; da
RANSKY, Journ. f. Psych., I. LA POLYNÉVRITE GRAVIDIQUE 361 fibres
nerveux
de façon tout à fait élective. Dans ce dernier ca
isation de grosses lésions prédominantes, soit ou niveau des filets
nerveux
, soit au niveau du tissu conjonctif. Si l'on
s essentiellement caractérisés par la néoformation de prolongements
nerveux
atypiques. Aussi croyons-nous qu'en cas de péri
n cas de périném ite ou de névrite intertitielle lorsque les troncs
nerveux
sont environnés de tissu inflammatoire qui les
satellites. Les réactions très curieuses observées dans les centres
nerveux
au voi- sinage de tumeurs (BIELSCIIOWSKV) (3) o
nt d'une névrite parenchymateuse. (1) Maiunesco. Voir La cellules
nerveuse
, 2 vol. (2) BiescEowshr, Journ. f. Psycholog.,
ue 363 D'autre part nous avons constaté l'existence dans les troncs
nerveux
de petites colonies de cellules migratrices, qu
tous les trou- bles symptomatiques qu'on observe et que le système
nerveux
central ne présente aucune modification. Il sig
. Il signifie simplement que les altérations anatomiques du système
nerveux
perceptibles par nos moyens d'investi- gation s
ées dans les nerfs ou y sont bien plus accusées que dans le système
nerveux
central. Il y a tout lieu d'admettre, et ce n'e
nent des névrites, provoquent à la fois une perturbation du système
nerveux
central et du système nerveux périphérique, que p
à la fois une perturbation du système nerveux central et du système
nerveux
périphérique, que parfois même ils exercent en
quelconque, elles ont pu se multiplier, exercent sur le protoplasme
nerveux
une action excitante et cliimiotaxique provo- q
vons, en effet, trouvé des lésions importantes au niveau des troncs
nerveux
, et des altérations fort sérieuses des centres mé
re est-elle primitive ? Est-ce au contraire l'altération des troncs
nerveux
qui retentit secondairement sur les neurones radi
amique expliquerait fort mal la localisation des lésions aux troncs
nerveux
, tandis que les racines anté- rieures échappent
la dégénérescence. Enfin il est difficile de s'imaginer une cellule
nerveuse
frappée au point de voir son cylindraxe dégénérer
! Pourquoi l'agent pathogène se localise-t-il sur tel ou tel tronc
nerveux
? La première question n'a pas encore reçu de r
on marquée de l'agent morbide pour telle ou telle région du système
nerveux
, de même que nous voyons les lésions rabiques a
A MARCHE RAPIDE PAR L. ALQUIER. Par quel mécanisme la substance
nerveuse
est-elle altérée dans la syphi- lis ? Hormis le
sa masse, suffisante pour exercer une action mécanique sur le tissu
nerveux
ou ses vaisseaux, et ceux où l'épaississement des
les expliquer entièrement ! D'autre part, la des- truction du tissu
nerveux
est loin de se faire toujours dans le voisinage
uteurs admettant que la syphi- lis peut atteindre d'emblée le tissu
nerveux
, et produire des lésions paren- chymateuses pri
t que nous allons relater, le malade a été emporté par une syphilis
nerveuse
à marche rapide, la moelle présente les lésions d
s hypo- thèses formulées pour expliquer la destruction des éléments
nerveux
dans la syphilis médullaire. Histoire cliniqu
nes. Les tissus paraissent nécrosés,le plus grand nombre des fibres
nerveuses
présentent l'aspect de « l'oedème» ; la gaîne m
nt atteinte, le canal épendymaireest partout oblitéré, les cellules
nerveuses
sont mé- connaissables, et ne reprennent leurs
observe dans toutes les nécroses récentes, qu'il s'agisse du tissu
nerveux
ou d'un organe, tel que le poumon frappé d'apop
laires dans tous les foyers de nécrose aiguë ou t subaiguë du tissu
nerveux
qu'il nous a été donné d'examiner histologique-
s ce cas, tout semblait indiquer que l'altération profonde du tissu
nerveux
relevait à la fois du trouble circulatoire, et
paraît pas suffisant pour expliquer à lui seul les lésions du tissu
nerveux
, une part semble bien revenir à l'action des toxi
'au commencement de la maladie les lésions anatomiques du sys- tème
nerveux
ont une distribution diffuse et une extension trè
nous avons appris par le traité de Nonne sur la syphilis du système
nerveux
que des auteurs autrichiens, Fucus et Rosenthal,
méthode aussi dans un certain nombre de cas de maladies du système
nerveux
autres que des cas de poliomyélite aiguë, par e
a poliomyélite consiste en une inflam- mation très aiguë du système
nerveux
, il faut admettre à priori que le résultat obte
de parésie faciale à gauche. D'ailleurs aucun symptôme du sys- tème
nerveux
, sauf un certain degré d'hyperesthésie générale.
existent deux petits kystes remplis de substance colloïde. Système
nerveux
central. Nous avons employé les méthodes suivante
une cys- tite ; depuis 20 ans il souffrait d'une maladie du système
nerveux
dont le fils ne sait nous dire autre chose qu'e
se traîner sans cesse dans les rues de Florence. Du côté du système
nerveux
, M. Palazzi présente plusieurs symptômes très i
riste avec tendance à l'hypochondrie. L'examen objecti du système
nerveux
nous montre une série de symp- tômes très intér
hypothèse probable. Nous croyons au contraire que tout le syndrome
nerveux
que nous ve- nons de décrire (symptôme d'Argyll
niveau des téguments, d'une altéra- tion des systèmes vasculaire ou
nerveux
. Selon que la lésion siège ici ou là, et selon
culaire que défendirent Trélat et Monod (6), puis naquit la théorie
nerveuse
. Roger en 1835, Arndt en 1839, n'avaient fait q
ndes qui croi- sent plus ou moins obliquement plusieurs territoires
nerveux
. Morrow pouvait écrire (1898), « la théorie ner
urs territoires nerveux. Morrow pouvait écrire (1898), « la théorie
nerveuse
est battue en brèche par ce fait t que, peut-êt
ne altération vasculaire et le nævus lié à une affection du système
nerveux
. Celle dernière variété se rencontre assez souven
encontre assez souvent chez des enfants arriérés, faibles d'esprit,
nerveux
: elle peut coïncider avec (1) POLOS SON, Anoma
gie, 1883. 476 KLIPPEL ET PILRIIE-AVEIL des affections du système
nerveux
périphérique ou central, faits sur les- quels M
récoces et d'ostéohypertrophie. Nous opposerons le naevus d'origine
nerveuse
et le naevus d'origine vasculaire sous les déno
sions vasculaires qui sont dues à des troubles trophiques d'origine
nerveuse
; le fait est important à souligner. Le naevu
e; le naevus-névrite, au contraire, est dû il une lésion du système
nerveux
: c'est dans le plus grand nombre des cas une rad
etale, car il faudra pour qu'il puisse se constituer que le système
nerveux
soit en connexion trophique avec les téguments
ION RADICULAIRE DES N7 ? 1 4j 7 intra-utérine. Notre interprétation
nerveuse
de certaines formes de naevi nous permet donc d
ces naevi diffèrent totalement. Le naevus-névrite a une topographie
nerveuse
que nous préciserons plus loin ; le nffivus-vas
i ), renferme au contraire implicitement une idée de dis- tribution
nerveuse
, la ligne de Voigl étant en somme la ligne d'unio
e leur loca- liation. Certains d'entre eux siègent sur des troncs
nerveux
superficiels ou pro- fonds ; il est logique d'a
dans ces cas une corrélation étroite entre le trajet de ces troncs
nerveux
et la topographie des troubles cutanés. Des obs
observations de naevi apparem- ment distribués suivant les trajets
nerveux
mériteraient d'être étudiées dans un travail cr
par ses analogies cli- niques une autre affection à point de départ
nerveux
et à manifestations cutanées, le zona, mais qu'
à topographie radiculo-métamérique; zona et nævus-névrite d'origine
nerveuse
, à topographie névro-métamérique ; zona et naevus
isée (Gaucher) étant ici l'appareil légumen- taire et là le système
nerveux
. Nous voudrions pouvoir, à l'appui de la théori
rait passer inaperçue. A l'autopsie, l'examen complet du système
nerveux
n'a montré qu'une seule lésion, qui occupe une
rgument très favorable, fût-il incomplet, à l'idée d'une altération
nerveuse
en rapport avec le naevus à topographie radicul
terew distinguent deux formes de la maladie et soulignent l'origine
nerveuse
de la première. A nôtre-avis, cette question
r le malade à son entrée à l'hôpital parlent en faveur de l'origine
nerveuse
de son affection. Si nous admettions chez notre
ulaire, tantôt forme de petits amas libres. La plupart des cellules
nerveuses
de l'écorce cérébrale montrent des différents sig
uée des cellules de la moelle épinière et une atrophie des cellules
nerveuses
ganglionnaires. La plupart présentent des signe
anglion de la région lombaire, il a été trouvé beaucoup de cellules
nerveuses
touchées par différents processus de dégénéres-
n 500 ROUDNEW constate dans le cerveau des cellules et des fibres
nerveuses
en voie de dégé- nérescence. L'examen macrosc
ossification partielle; ils n'ont pas trouvé de lésions des centres
nerveux
ni de modifications au niveau des méninges. Le ta
mme des formes « neuropathiques », c'est-à-dire dépendant de causes
nerveuses
. Pourquoi considérer ces maladies comme des for
le résultat d'une tropho- neurose, malgré l'existence d'une maladie
nerveuse
(inflammation des méninges). On a également con
lus, on reproche à Marie et Léri de ne pas avoir examiné le système
nerveux
central dans leurs cas de spondylose. Si on dev
lc BN thAlitl POLICLINIQUE GÉNÉRALE DE TURIN Section des maladies
nerveuses
du Professeur D NEGRO SUR UN CAS D'OSTÉO-ARTHRO
OASENDA. J'ai eu l'occasion de suivre, dans la section des maladies
nerveuses
de la Policlinique générale de Turin, un cas de
igine médullaire, ou bien elle est due il la compression des troncs
nerveux
en quelque point de leur trajet- Nous trouvant
osseuse, on ne peut le penser, quand on se rappelle que les fibres
nerveuses
responsables de l'atrophie ont leur cellule d'o
ou à une compression des racines, en somme à une lésion des fibres
nerveuses
pro- duite elle-même par la déformation de la c
de laquelle nous aurons occasion de revenir. Rien pour le système
nerveux
. L'examen des autres appareils, permet de relev
n cas inédit de Bozzolo (cité par Ferri dans le Traité des maladies
nerveuses
de Clillord Albntt, p. 308) et enfin le cas le pl
ellement irrégulière qu'elle nous éloigne de l'idée d'une influence
nerveuse
centrale; d'autre part les lésions trouvées sur
'absence de symp- tômes médullaires et de signes du côté du système
nerveux
périphérique rend leur interprétation difficile
e façon normale, même si on l'a isolé de toute influence du système
nerveux
. Cette considération est évidemment juste ; néanm
(79), le traitement des différentes maladies organiques du système
nerveux
(sauf le tabes) par des exercices méthodiques.
se rapporteraient à des localisations différen- tes dans le système
nerveux
, savoir, sauf la poliomyélite ordinaire spinale,
et homme, dont l'hérédité était très chargée (père alcoolique, mère
nerveuse
) avait présenté à plusieurs reprises un écoulem
venot, Saint-Dizier (Haute-Marne). CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
(hospice DE la S,\LPÊl BIL.IOE) Travail du la
PHIE OLIVO-RU13RO-CRLeBEI,LEUSE 607 Examen microscopique du système
nerveux
. (PI. LXIV à LXVI). Cortex du cervelet. - Sur d
e lentille au niveau duquel disparaissent presque toutes les fibres
nerveuses
. Un autre foyer de démyélinisation existe à la
ancien. Les noyaux rouges ont des dimensions normales ; les fibres
nerveuses
qui les traversent sont évidemment très diminué
le partie du ruban de Reil. Au niveau de ce foyer tous les éléments
nerveux
ont disparu ; on constate seulement un tissu la
s- ceaux cérébelleux spinaux et la petitesse congénitale du système
nerveux
central associé à des symptômes cérébelleux.
cervelet développée indépendamment de toute autre lésion du système
nerveux
. Les atrophies primitives du cervelet doivent ê
malformation traduisant une déviation du déve- loppement du système
nerveux
, comme dans la démence précoce (Klippel et Lher
t être de nature diverse et porter soit uniquement sur les éléments
nerveux
, soit, ce qui est plus fréquent, à la fois sur le
nerveux, soit, ce qui est plus fréquent, à la fois sur les éléments
nerveux
et les éléments névrogliques vasculaires et ménin
olume d'une noisette, reliée par un pédicule rétréci à la substance
nerveuse
du bulbe. Ce n'est qu'à ce niveau que le processu
; partout ailleurs, les éléments néo- formés infiltraient le tissu
nerveux
, comme nous le verrons bientôt. Nous au- rons à
ur offrait exactement l'aspect, la couleur, la consistance du tissu
nerveux
normal. Nulle part, on ue pouvait trouver de dé
, on ue pouvait trouver de délimitation entre la tumeur et le tissu
nerveux
. Les deux tissus étaient visi- blement mêlés de
, est constituée uniquement aussi de tissu gliomateux. Les fibres
nerveuses
traversant les masses de tissu névrogliques, sont
hiques. Observation I. I. E. M. entré dans le service des malades
nerveux
de l'hôpital Pantélimon, le 30 août 1905, à l'â
comprimées on voit les vaisseaux très dilatés. Dans la portion dite
nerveuse
, on observe même une infiltration des parois des
6 ans, entre dans le service de la clinique des maladies du système
nerveux
en 1903. A son entrée on note : Antécédents. On
le métabolisme des différents tissus et organes. Dans le système
nerveux
nous avons trouvé les lésions habituelles de l'hy
ent des modifications importantes dans le fonctionnement du système
nerveux
, les dystrophies pourraient être une conséquence
, les dystrophies pourraient être une conséquence des al- térations
nerveuses
. En effet, de tels troubles peuvent se produire,
re d'une mé- ningite cérébro-spinale, n'avait jamais eu de troubles
nerveux
avant sa mort. Elle a eu deux enfants, dont un
USCULAIRES TARDIVES 657 est la suivante; il semble que l'hérédité
nerveuse
ait une part non in- différente sur le développ
ssus infectieux, ne nientpas une certaine susceptibilité du système
nerveux
central et qui est plus marquée en certains indiv
virus donné, des LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 659 cellules
nerveuses
situées près du foyer initial, en constituant ain
s-ci doivent être attribuées à une faiblesse congénitale du système
nerveux
; cette faiblesse fait que des causes mini- mes
EBER, - Med. New., 24 juin 4899. Brissaud. - Leçon sur les maladies
nerveuses
(deuxième série), Masson, Paris, 1899. Atrophie
er la répartition typique des symptômes en supposant que les fibres
nerveuses
les plus longues seraient les moins résistantes
la maladie : savoir que l'infection se répartirait dans le système
nerveux
par les voies lymphatiques, c'est-à- dire les m
a question de savoir com- ment l'infection vient d'abord au système
nerveux
est un tout autre pro- blème et je ne m'en occu
du cytodiagnoslic du liquide cdphalo-rachidren dans les affections
nerveuses
, Bull, et mém. de la Soc. méd. 1901, p. 537.
VII, mai 1909, 82. R\YMoxD (F.). Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 2' série, Paris, 1897. 83. Raymond et Sicard
Markeloff) Masson et O, Editeurs CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
DE L'UNIVERSITÉ D'ODESSA (Prof. N. POPOFF). U
âgée de 50 ans, célibataire, se présente à la clinique des maladies
nerveuses
se plaignant de maux de tête, de vertige, de trem
couvrir dans les antécédents héréditaires d'affections mentales, ni
nerveuses
. Th. W... fut dans son enfance vigoureuse et touj
et se faire tort. Aucun lien logique ou phy- sioloique,aucune fibre
nerveuse
ne les unit et elles vivent dans le même voisin
ts, celles-ci s'impriment isolément, elles quelles, dans la matière
nerveuse
qui, jusque-là,les avaient ignorées. Leur assoc
mécaniques des connaissances, vibrations de l'éther et vi- brations
nerveuses
s'imprimer dans le cerveau qui les pense ensuite,
ités vitales caractérisées par tant de besoins spéciaux, le système
nerveux
intervient uniquement comme moteur. Il ne déter
fonction des organes, mais les met simplement en marche. La cellule
nerveuse
est adaptée à la fonction qu'elle commande. La
hez les êtres inférieurs qui ne possèdent qu'un rudiment de système
nerveux
,que chez ceux dont l'organisation plus élevée pou
sont pas toutes de même espèce ; nous avons notamment les cellules
nerveuses
, musculaires, glandulaires différentes d'aspect e
me, notamment par l'adjonction d'une nouvelle quantité de substance
nerveuse
. Quand on voit les colosses de l'époque secondair
il prend sa source dans la vie d'une matière qui n'est pas du tissu
nerveux
. L'homme pourrait être dépourvu de facultés int
esoin pour entrer en scène d'une excitation spéciale que le système
nerveux
est adapté à leur fournir. L'énergie mise en li
r place et peut avoir des répercussions lointaines grâce aux fibres
nerveuses
qui la canalisent et qui représen- tent pour el
e, c'est-à-dire que chacune de leurs cellules est reliée au système
nerveux
central par deux fibres au moins dont l'une, ce
e, conduit la sensibilité et l'autre, centrifuge, transmet l'influx
nerveux
moteur. L'excitation initiale partie d'un point q
acte d'inhibition, en vertu des adaptations spéciales des cellules
nerveuses
. Lorsqu'un aliment tombe dans l'estomac, la muq
la moelle où elle est réflé- chie directement sur une autre cellule
nerveuse
qui réagira en excitant, par l'intermédiaire de
physiologie nor- male ou pathologique, en vertu desquels le courant
nerveux
passe de cer- taines cellules sur d'autres, se
us la réserve qui sera .énoncée tantôt, sous l'influence du système
nerveux
, mais quel est le moteur de celui-ci ? Où trouve-
re la question, pour trouver, en définitive, le moteur du sys- tème
nerveux
, il suffit de chercher la cause qui met en oeuvre
'influence de celles-ci qui constituent le primum movens du système
nerveux
. La matière étant suffisamment différenciée et gr
sforme directement en mouvement en se réfléchissant sur une cellule
nerveuse
, sans atteindre la phase de l'idéation. Si, à l'â
e de l'axe cérébro-spinal dans l'espèce humaine et la phy- siologie
nerveuse
, on opère sur des animaux, des embryons de vache,
ison, quand elle existe, n'est qu'un réflexe discipliné, un courant
nerveux
éduqué qui prend naissance en passant à travers
n travaillant intellectuellement, c'est en assouplissant la matière
nerveuse
qu'ils se développeront, comme c'est en forgean
stationnaire. Les découvertes modernes sur la physiologie du système
nerveux
avaient bien élargi un peu le domaine de l'antiqu
us fâcheuses, puisqu'elles ont provoqué la réapparition des accidents
nerveux
qui, cette fois, se sont produits sous une forme
que en effet, c'est-à-dire durant une période de six mois, les crises
nerveuses
, avec les troubles psychiques que vous savez, n'o
s pratiquèrent l'hypnotisme sur leurs camarades et quelques accidents
nerveux
s'ensuivirent. Le principal du lycée mit bon or
doute; mais voici le côté fâcheux. Le jeune Blan.., sans antécédents
nerveux
remarqués, n'avait jamais eu d'attaques jusqu'au
oqué se conçoit, d'après la théorie de M. Liébeault. Toute l'activité
nerveuse
étant concentrée vers le cerveau, vers les centre
sont créées, pour ainsi dire, avec une très grande quantité d'influx
nerveux
; d'où leur vivacité et leur netteté. Le sujet rév
où leur vivacité et leur netteté. Le sujet réveillé, toute l'activité
nerveuse
se diffuse de nouveau vers la périphérie, vers le
nt ; et les impressions qui ont été produites avec un excès de fluide
nerveux
ne sont plus assez animées pour être conscientes
s dans l'organisme une psychologie nouvelle. Toutes les perturbations
nerveuses
qui modifient profondément l'état de conscience p
la suggestion hypnotique dans les affections cum materia du système
nerveux
. 3- M. le Dr Paul Magnin (de Paris). — Les modifi
s psychoses. 5. M. le Dr Levinson de Saint-Pétersbourg). — Troubles
nerveux
consécu- tifs à un cas d'auto-hypnotisation.
re et de transformation de sensibilité en mouvement, en un mot l'acte
nerveux
réflexe est ce dont on se préoccupe le moins... O
oir. NOUVELLES Hospice de la salpétrière. — Clinique des maladies
nerveuses
. — M. le projeteur Charcot fait les mardis, à 9 h
ardis, à 9 heures 1/2. une leçon clinique sur les maladies du système
nerveux
; les vendredis, à 9 heures 1/2, examen des malad
sur l'hypnotisme expérimental. Cours Libre. — Clinique des maladies
nerveuses
55. rue Saint-Àndré des-Arts.— M. le Dr Bérillon
endroit du bras où l'on (1) Leçon faites à la Clinique des maladies
nerveuses
(55, rue Saint-André-des-Arts . (2) Landouzy, Tra
aire Encyclopédique. (5) Charcot, Leçons sur Us maladies du système
nerveux
. Paris, 1878, 1884. 1887. devait faire une prof
ourra amener une transformation complète de l'état général du système
nerveux
. Cependant plusieurs faits bien observés iraien
e ces manifestations sont : le mutisme hystérique, l'aphonie, la toux
nerveuse
, le hoquet, les vomissements, les arthralgies, le
» (Montaigne, Essais.) (2) Braid, Neurypnologie. Traité du sommeil
nerveux
, ou Hypnotisme, trad. Jules Simon. Paris, 1883.
hypnotisation's. laites dans un but curatif. ont aggravé les troubles
nerveux
qu'ils avaient entrepris de traiter. Tout au plus
d'abord, en deux mots, de qui il s'agit (1). L..., dont l'hérédité
nerveuse
est très chargée (grand'mère folle, grand-père al
demi-verre de sang sous forme de vomique. mais sans la moindre crise
nerveuse
. A partir du 24 janvier, je cessai de le suggesti
t' Certains produits toxiques exercent, on le sait, sur les centres
nerveux
une action perturbatrice assez profonde pour déte
ielle, alcoolique ou autre, l'intoxication imprime aux déterminations
nerveuses
son propre cachet. C'est ainsi qu'après avoir o
time d'un empoisonnement en rapport avec son métier, était né de père
nerveux
irascible et de mère hystérique. Sa sœur était at
son enfance, avait été sujet jus-qu à 1 âge de dix ans à des troubles
nerveux
bizarres, k des attaques mal caractérisées avec p
des deux côtés, diminution de la notion des couleurs, hérédité (mère
nerveuse
, frète épileptique). « Donc, cet homme, conclut
elle a perdu un enfant et son mari; n'a jamais eu de grandes crises
nerveuses
, mais est sujette à des crises de pleurs accompag
la suggestion hypnotique dans les affections cum materia du système
nerveux
. 3. M. le Dr de Jong (de La Haye). — 1. Les div
ire pour la France. NOUVELLES Cours libre.— Clinique des maladies
nerveuses
, 55. rue Saint-Andrc-des-Arts. — M. le Dr Bérillo
al pour l'instruction élémentaire. Clinicat des maladies du système
nerveux
.— Le concours du Clinicat des maladies du système
du système nerveux.— Le concours du Clinicat des maladies du système
nerveux
vient de se terminer par la nomination de M. le d
té nommé préparateur de la chaire Je clinique des maladies du système
nerveux
. Nécrologie. — M. Mesnet, médecin de l'Hôtel-Di
r Le Dr Ladame (de Genève) Le traitement des troubles psychiques ou
nerveux
par la suggestion hypnotique n'étant point encore
ante excessive du malade. 11 dit lui-même qu'il est très susceptible,
nerveux
et que son imagination est complètement détraquée
ccasion de m'assurer que Madame X . n'offre plus aucun des troubles
nerveux
graves contre les- quels la suggestion hypnotiq
lis on voit se manifester des phénomènes hysiériformcs : excitabilité
nerveuse
, impressioanabtlitè insolite, énervevement, irasc
gnostic, l'intoxication est la cause occasionnelle des déterminations
nerveuses
; et la névrose, le facteur culminant. Plomb, me
baiton profonde dans la nutrition en général et dans celle du système
nerveux
en particulier? L'hypothèse est plausible, c'est
ous avons en connaissance a cette époque de plusieurs cas de maladies
nerveuses
survenues chez les personnes qui avaient assisté
s reprises, nous avons été consulté par des malades dont les troubles
nerveux
dataient d'une séance de magnétisme. Tout récem
éter ce que tout le monde sait, je dirai donc, qu'outre les accidents
nerveux
immédiats qui peuvent frapper les sujets ou les s
ent. Le traitement a porté sur des maladies orga- niques du système
nerveux
, des névroses, des maladies mentales, des névralg
les, des névralgies, des maladies des autres appareils que le système
nerveux
. Dans 71 cas, aucun résultat ; dans 97. amélior
dubitable puisque l'on sait qu'il existe dans les muscles un appareil
nerveux
sensitif. 4° Il y aurait lieu aussi de préciser
nous, dans certains moments de fatigue ou de surexcitation du système
nerveux
, a observé chez lui-même ce phénomène que l'on ép
existence tout entiere, on peut les considérer comme de simples états
nerveux
et non comme l'expression d'une véritable maladie
vari que qui accompagne chaque déhiscence « spontanée ». Le systéme
nerveux
présidant à. toutes nos fonctions, tant de la vie
psychique spontanée ou suggérée puisse faire naître dans les centres
nerveux
cérébro-médullaires, par voie réflexe, des modifi
ménorrhée des fiancés, les retards des jeunes mariées, les grossesses
nerveuses
, les aménorrhées par contrariétés conjugales, par
tte forme spéciale de dysménorrhée connue sous le nom de dysménorrhée
nerveuse
ou spasmodique, qu'elle s'accompagne ou non d'hys
emple nous montre l'idée dans l'auto-suggestion actionnant !a cellule
nerveuse
en vue de la production de l'acte : ce qui n'a ri
remarquable. Au lieu de se concentrer sur la sensibilité de s plexus
nerveux
du bassin, la surexcitation menstruelle retentit
ical, a pour but d'exalter la sugges-tibilité et de mettre le système
nerveux
cérébro-spinal dans un état tel que la suggestion
ne lui en parlai plus ; je me contentai de lui dire : « Votre système
nerveux
se modifie. Les crises pour moi n'ont pas de sign
souvent contre les douleurs, névralgies, rhumatisme, lumbago,aphonie
nerveuse
, etc., quand j'alarme au sujet que le symptôme do
Pour éliminer l'hypothèse de modification vasculaire ou d'élonga-lion
nerveuse
, j'ai essayé la pendaison horizontale. Le sujet e
fonctions sont en rapport anatomique et physiologique avec le centre
nerveux
cérébro-spinal. Chaque point du corps a pour ains
que point du corps a pour ainsi dire son aboutissant dans une cellule
nerveuse
. Toute cellule cérébrale actionnée par une idée t
une idée tend à réaliser cette idée en mettant en activité les fibres
nerveuses
correspondantes à sa réalisation. L'idée tend à s
tion hypnotique. Quelle que soit la cause morale qui invite le centre
nerveux
psychique a intervenir pour modifier dans un inté
as, la cause était inconnue. — Cours libre. — Clinique des maladies
nerveuses
, 55. rue Saint--André-des-Arts. — M. le docteur B
t suggestive est indiscutable. Il s'agit d'un hystérique à hérédité
nerveuse
très chargée et dont l'existence a été, comme tou
E LA SUGGESTION HYPNOTIQUE DANS LES AFFECTIONS cum materià DU SYSTÈME
NERVEUX
Par M. le Professeur J. FONTAN, de Toulon (1)
de la suggestion est utile dans les affections matérielles du système
nerveux
. En employant ce mot « affections matérielles »,
i jamais guéri, par la suggestion, une maladie cum materià du système
nerveux
. Mais j'ai soulagé beaucoup de malades, j'ai rend
les paroles de Vulpian qui disait que la propagation des excitations
nerveuses
se fait ordinairement par des voies prévues et
e guérison ou d'amélioration dans les maladies matérielles du système
nerveux
, en dehors de toute hystérie, ne nous placent poi
ues. aux névropathes et 1 tous les sujets qui ont une tare du système
nerveux
, nous sommes parfaitement d'accord. Dans toute la
ts dt U surttstiou typaetùpu dams Us effectuât cum materiâ du système
nerveux
. (Voir plus haut). a* Par M. le D* Forel (de Zu
appliqué la thérapeutique suggestive au traitement des aliénés et des
nerveux
de mon service ou de ma pratique privée. On arr
L'incontinence nocturne et diurne des matières fécales ; Les tics
nerveux
; Le bégaiement ; Les teneurs nocturnes ; L
nvulsives d'hystérie ; Us troubles purement fonctionnels du système
nerveux
. 3° La suggestion n'a pas, jusqu'à ce jour, don
commune, à L'hystérie des anciens auteurs (c'est ainsi que les crises
nerveuses
font défaut), mais elle offre avec elle deux ress
ressemblances frappantes, à savoir : i° existence des mêmes troubles
nerveux
, moteurs et sensitifs, sans lésions matérielles a
ce qui est véritablement la caractéristique de l'hystérie : troubles
nerveux
sans lésions matérielles, et amélioration ou guèr
e : je n'ai cependant rien trouvé en dehors du tabagisme. Accidents
nerveux
provoqués par la foudre Dans une de ses dernièr
s dernières leçons, M. Charcot ayant pu étudier une série de troubles
nerveux
survenus chez un homme de quarante-cinq ans a la
vé fa plupart des phénomènes qu'on rencontre en étudiant les troubles
nerveux
consécutif* aux collisions de chemins de fer. Cel
e cheï lui i l'occasion de la fulguration. Mais, tous les accident»
nerveux
qui ont été observés dans ce cas, sont-ils hystér
i d'une esquisse de paralysie. Puis, i la faveur de l'état d'asthénie
nerveuse
créé par un surmenage récent, l'hystérie s'est bi
nos connaissances actuelles concernant l'hystérie mile, les troubles
nerveux
divers qu'on observe chez les foudroyés. Aussi
e qui suit : 1° Dans les cas de fulguration, en outre des accidents
nerveux
qui relèvent directement de la commotion électriq
eut devenir tout à fait inconscient, et sort de cet état tremblant et
nerveux
, ne sachant rien de ce qui s'est passé dans cette
esquels le patient paraît être dans son état normal, seulement un peu
nerveux
. Le troisième stade est une période d'insomnie
t une période d'insomnie pendant laquelle le malade est exessi-vement
nerveux
, livré sans frein à son imagination, et a horreur
COURS DE LA FACULTE DE MÉDECINE —clinique des maladies du système
nerveux
— m. Charcot, professeur. mardi, vendredí, à 9 he
7. rue des Saints-Pères, 7. — Cours libre. — Clinique des maladies
nerveuses
, 55, rue Saint-André-des-Arts. — m. le docteur Be
ages, 1890. — Prix : 4 Etude cliniques sur les maladies mentales at
nerveuses
, par le Dr Jules Falret.— Paris, J.-B. Balliere,
tat crée par l'auto-suggestion. 6° Excitation génésique. Cet état
nerveux
a été supprimé très facilement en quelques minute
e crois devoir signaler. Mme,Heu .., 30 ans,très impressionnable et
nerveuse
,soutirait depuis de longues années de douleurs da
n'existait aucune maladie organique et qu'il s'agissait de phénomènes
nerveux
localisés. Dès le lendemain, le ballonnement du v
était amélioré, me pria d'user de ce moyen pour dissiper les troubles
nerveux
que présentait sa femme. Tout d'abord l'effet m
'inversion sexuelle paraît innée. D'après son dire, son père est très
nerveux
et sa mère est morte d'un cancer utérin. Le frère
nt des aliénés. Les frères et les sœurs de R... étaient égalemont des
nerveux
. Un de ses frères souffre de neurasthénie et prés
enfance, R... n'a pas eu de maladies sérieuses. Son état physique et
nerveux
est satisfaisant. Jusqu'à ce jour, R... n'avait
d'urine, auto-somnambulisme, rhumatisme aigu et chronique, ambryopie
nerveuse
, habitudes vicieuses, dipsomanie, etc. j'ai fai
rait résulté de ces opérations une altération fâcheuse de son système
nerveux
et un affaiblissement de ses facultés mentales. D
eut se manifester sans lésion organique appréciables dans les centres
nerveux
. 6° L'épilepsie procursive se complique fréquem
tions de l'hypnotisme à la thérapeutique des affections mentales et
nerveuses
. Il étudiera spécialement les procédés d'hypnotis
lement d'« homme occupé ». d'« homme distingué ». a exigé une dépense
nerveuse
trop considérable. Rien de plus naïf, pour qui re
ormisation, à la fin de ia période plus ou moins notable d'excitation
nerveuse
, et dans les moments qui précèdent le délire tran
on songe avec quelle facilité se reproduisent les phénomènes chez les
nerveux
. C'est alors que j'ai tenté quelques expériences
es conditions semblables et qu'il faut toujours te demander si l'état
nerveux
n'a pas varié. La seconde remarque, est d'un au
r qu'un grand nombre d'observations d'asphyxie locale ont trait à des
nerveux
et il est permis de se demander, si dans certains
action par un artifice. « Il est plus vraisemblable que le système
nerveux
, comme le principal agent du sentiment, est animé
mparer à la force vitale ou musculaire, laquelle agissant, les filets
nerveux
peuvent être tendus, se raidir, se gonfler, être
tes que les mouvements des muscles, l'extrême délicatesse de la mœlle
nerveuse
est cependant cause qu'un exercice immodéré doit
raidis par les spasmes, ou devenus flasques, se relâchent ; la force
nerveuse
elle-même languit, se dissipe. Si on ne rétablit
sont encore augmentés par des nouveaux, lorsque l'agitation du genre
nerveux
porte â des mouvements extraordinaires les vaisse
le rapport mutuel des principes du mouvement est cause que les faces
nerveuses
étant trop tendues, fatiguées, dissipées, celles
même suiet ne soient très nuisibles. En effet, cette partie du genre
nerveux
qui alors est seule en action, et sur laquelle l'
gourdit les organes des sens internes, afflaiblit et détruit la force
nerveuse
, jette dans la langueur toutes les facultés de l'
alades qui eux-mêmes, font remonter le debut des accidents mentaux ou
nerveux
dont ils souffrent à des manœuvres d'hypnotisme a
des familles qui se plaignent qu'on ai tait accomplir a des personnes
nerveuses
des actes ridicules ou même reprehensibles sous l
parce qu'elles sont fréquemment le point de départ d'une contagion
nerveuse
dont les effets sont nuisibles, et parce que l'on
d'une hystérique, c'est-à-dire d'une femme affectée d'une sensibilité
nerveuse
anormale. D'autre part, on a su qu'à différente
hypnotisme et que j'applique la suggestion au traitement des maladies
nerveuses
, je me suis trouvé parfois embarrassé. Un malade
. malade depuis un grand nombre d'années, était atteinte d'un trouble
nerveux
très complexe qu'on peut désigner sous le nom de
on qui tendait toujours à se produire (1). Mme D..., arthritique et
nerveuse
, souffrait depuis de longues années de douleurs d
remière séance de suggestion hypnotique fut accompagnée de mouvements
nerveux
et fut suivie d'une diarrhée très abondante qui p
uisit un grand soulagement. N.. , ouvrier, âgé de 23 ans, de souche
nerveuse
, était atteint depuis plusieurs années de grandes
sont des crises qu'on peut appeler rétrogrades, parce que la maladie
nerveuse
, pour disparaître, suit une série des phases anal
n qui s'opère dans un nerf par suite de son excitation est un courant
nerveux
, ou plutôt une onde, une vibration. Ainsi M. Ch.
nde, une vibration. Ainsi M. Ch. Richet a proposé d'appeler vibration
nerveuse
la modification qui se passe dans les nerfs excit
aduisant par un raccourcissement de la fibre. Le terme de vibration
nerveuse
sert à exprimer l'ébranlement du nerf par l'excit
ment, la convulsion se produit ; c'est la vibration musculaire. Les
nerveux
sont dans un état vibratoire anormal, leur potent
e. Les nerveux sont dans un état vibratoire anormal, leur potentiel
nerveux
est change et notre but doit être de rétablir l'é
et savoir utiliser son impres-sionnabilité pour diriger la vibration
nerveuse
et musculaire. S'il en es: ainsi, notre manière
otisme et la suggestion doit se modifier. L'hypnotisme serait un état
nerveux
spécial, analogue au sommeil, dans lequel te suje
peut déterminer et diriger la réaction qui doit rétablir l'équilibre
nerveux
. Et, ce qui surprendra peut-être beaucoup mais
t de la fonction menstruelle, elle aurait éprouvé quelques phénomènes
nerveux
sur lesquels nous n'avons pu avoir d'indications
âgée de 19 ans. qu'apparaissent les premiers symptômes de l'affection
nerveuse
: peur des chevaux, des chats, modifications du c
est appelée à les assister. C'est le dernier coup donné à son système
nerveux
, déjà fortement ébranlé et le s avril 1885 se pro
une des secousses qui peuvent amener à son summum d'acuité la tention
nerveuse
ne lui a été épargnée. Aussi allons nous voir sa
ur apparition et sans y résister davantage, les différents phénomènes
nerveux
que Mlle X... a présentés avant d'être soumises à
s variées, du mutisme, de l'aphonie, des vomissements, de la diarrhée
nerveuse
, etc., etc. Etat de la malade à son arrivée à S
augmentation de la douleur locale et une recrudescence des phénomènes
nerveux
. Mlle X... ne dort qu'avec des doses énormes de
ses « crises d'étouffement » sont assurément, de tous les phénomènes
nerveux
qu'elle présente, de beaucoup le plus pénible et
téro-ovarienne. Le ptyalisme, les vomissements, l'anuric, la diarrhée
nerveuse
intermittente et périodique et bien d'autres mani
ec régularité et persévérance, en rétablissant l'équilibre du système
nerveux
, rendait stables les résultats obtenus. Quant M
on; chaque période menstruelle, par son retentissement sur le système
nerveux
général, venant faire perdre au bout du mots une
lire qualifié « fièvre cérébrale ». La mére, quoique d'un tempérament
nerveux
, est la mieux équilibrée de la famille.énergique
urieuse, c'est que M. Westfalen avait à Berlin la chaire des maladies
nerveuses
et avait perdant trois semestres étudié la morphi
et samedis, à quatre heures. — Cours libre — Clinique des maladies
nerveuses
, 55. rue Saint-André-des-Arts. M. le docteur Béri
cause qui donne naissance au tonus musculaire engendre aussi le tonus
nerveux
de l'axe spinal, du grand sympathique et de son d
eu près complètement à cette influence. Pour le Dr Gouzer. le tonus
nerveux
existe dans les conditions habituelles de la vie
les services reçoivent fréquemment des malades atteints d'affections
nerveuses
, n'aient pas le droit de se servir du procédé thé
guérir de ses maux ; l'hypnotiser pour empêcher le retour des crises
nerveuses
, qu'on rencontre si fréquemment chez les femmes e
eté et d'une moralité parfaites, d'un caractère très doux. Elle était
nerveuse
et son mar l'hypnotisait souvent dans un but th
e Paris Emile X..., 33 ans; fils d'un père original et buveur; mère
nerveuse
, un frère cadet rentrant dans la catégorie des ar
, Louise A...., offrait, depuis le mois de septembre 1S88. des crises
nerveuses
spontanées de deux types : de grandes crises conv
mme, âgée Je vingt-huit ans, très impressionnable et d'un tempérament
nerveux
, mère de plusieurs enfants, est accouchée de nouv
bromure de potassium, car il savait que la malade était excessivement
nerveuse
. Ce traitement rationnel n'amena aucune amélior
tion dans le traitement de l'hystérie et d'autres maladies du système
nerveux
. M. Krafft-Ebing est bien connu dans le public
riple, chaque état reposant sur un mécanisme particulier des systèmes
nerveux
. Ces cercles des états mentaux ne se superposent
frayeur. A partir de ce moment, elle a été sujette à divers accidents
nerveux
. De plus, elle avait de l'ovarie du côté gauche,
depuis trois ans, par suggestion ; elle n'a plus aucune manifestation
nerveuse
. C'est une bonne et honnête fille. Conversez avec
and on lui apprend sa grossesse qu'elle ignorait alors, une commotion
nerveuse
avec crises convulsives. Rappelons encore le ca
pas douteux que les sujets hypnotisables sont en grande majorité des
nerveux
, des prédisposés, des émotifs: hypnose et aliénat
les émotifs, les névrosés, en un mot tous les prédisposés du système
nerveux
, les dégénérés à état mental faible sont plus apt
s qui suffisent, d'ailleurs, pour faire sentir l'influence d une tare
nerveuse
de famille. La mère était excessivement émotive
mblance avec celles du délirant alcoolique? L'érethisme des centres
nerveux
est général ; tous les centres coriicaux intervie
ille d'une façon suivie, et apprécie a leur juste valeur les troubles
nerveux
dont il a été l'objet. Aujourd'hui on peut le con
iodiquement cette angoisse panophobique, pendant laquelle les centres
nerveux
sont à ce point surexcités que l'hallucination pr
ntonal, et soumit a mon examen plusieurs malades atteints de troubles
nerveux
(1). J'avais lu les travaux de Charcol, les mémoi
Logle; m'oc-cupant de préférence de l'étude des affections du système
nerveux
, et spécialement des maladies du cerveau. (2) C
Ecole pritique de la Faculté de médecine un cours libre de Pathologie
nerveuse
et de psychiatrie sur les applications cliniques
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies
nerveuses
et mentales. programme du cours Pathologie nerv
t des maladies nerveuses et mentales. programme du cours Pathologie
nerveuses
et psychiatrie. — Applications cliniques de l'hyp
ique dans le traitement des né- vroses et des affections du système
nerveux
. VII. Indications de la suggestion hypnotique d
ier devant l'Académie, une lecture sur une nouvelle forme de troubles
nerveux
qu'il a désigné sous le nom d'autographisme. Ces
suivants, à la même heure. Objet des conférences : Maladie du système
nerveux
. Enseignement des maladies mentales. — Le Londo
lé nulle part. Avant remarqué, en outre. la coexistence de troubles
nerveux
multiples, tels que des mouvements spasmodiques d
examiner avec lui cette malade, au double point de vue de son système
nerveux
, et des manifestations cutanées qu'elle présentai
t, d'autre part, à leur maximum d'intensité, tous les autres troubles
nerveux
de nature hystérique. l'expérience, chez un mal
n que non sentie, n'en a pas moins son retentissement sur les centres
nerveux
, centres d'action des actes réflexes, s'accusant
ait transitoire, d'une durée éphémère; il persiste comme les troubles
nerveux
au milieu desquels il se développe. Depuis plusie
ntensité. L'époque des règles, ainsi que les excitations du système
nerveux
, reportent momentanément le fait pathologique à s
e vingt neuf ans. de complexion délicate, et surtout d'un tempérament
nerveux
très prononcé. Son père est mort à cinquante et u
de accuse dès son jeune âge, une grande prédisposition aux affections
nerveuses
de tout ordre. A neuf ans, elle devient sourde
rvient à la même époque : alors se manifesta la première grande crise
nerveuse
. Elle perdit connaissance pendant trois jours e
qu'à l'âge de vingt-huit ans. sa santé fut assez bonne, bien que très
nerveuse
, très impressionnable, et sujette à des attaques
, si profondément hystérique par ses antécédents, révèle des troubles
nerveux
multiples du côté des sensibilités cutanées. La
re de céphalagie, de gastralgie, de vomissements, et autres accidents
nerveux
. Les lèglessont à peu près régulières ; l'exame
notique, prédisposée à cet effet par sa chlorose, et par les troubles
nerveux
fonctionnels qu'elle présente depuis si longtemps
ution vigoureuse et d'ne santé parfaite, sous la réserve des troubles
nerveux
dont nous avons à parler. Sa mère a toujours ét
s troubles nerveux dont nous avons à parler. Sa mère a toujours été
nerveuse
, d'une extrême sensibilité. Son père, irascible
En un mot il présente au plus haut degré les maniféstations de l'état
nerveux
chronique que presque tous les neuropathologistes
on sait de l'efficacité du traitement moral dans certaines affections
nerveuses
ou prédominent le défaut de réaction et l'atonie
de la suggestion hypnotique dans les affections cum matérià du sytème
nerveux
. (Congrès de l'Hypnotisme). FOREL De l'hallucin
n chirurgien anglais au sujet des affections chirurgicales du système
nerveux
: « J'ai à vous recommander, écrivait-il. de vous
tal et à beaucoup de médecins qui suivent notre clinique des maladies
nerveuses
En étudiant l'effet thérapeutique et les phénom
r par leur face intellectuelle et morale. « Ce qu'on appelle maladies
nerveuses
, dit M. Janet, serait souvent bien mieux dénommé
ur la matière organique, sur les organismes vivants, sur « le système
nerveux
, sur le corps social, les innombrables actions de
au par elle. Ce n'est donc en soi qu'une » simple série de phénomènes
nerveux
. » — « Le psychologue, répond M. Janet. est trop
s de phénomène cérébral purement cérébral, et toute action du système
nerveux
est toujours liée à une action mentale, claire ou
. Nous toi envoyons toutes nos félicitations Cliniques des maladies
nerveuses
— M. le docteur Bérillon. fait tout les samedis,
, de dix heures à onze heures 1/2 du matin à la clinique des maladies
nerveuses
, 55 rue Saint-André des Arts, une leçon pratique
ion de M. Bern-heim sur l'), 295. Affections cum materià du système
nerveux
(la suggestion dans les), par Fon-tan, 134. Alc
ures de l'activité normale, par Pierre Janet, 14. Foudre (accidents
nerveux
provoqués par la), par Charcot, 156. Fous en li
iégeois, 184. Suggestion dans les affections cum materia du système
nerveux
, par Fontan. 134, Suggestion et du somnambulism
orisé; 2° S'enquérir auparavant si le sujet est atteint d'accidents
nerveux
et de la nature de ces accidents. Même précaution
mais eu d'accès de somnambulisme spontané, ni d'autres manifestations
nerveuses
. II est assez intelligent et instruit ; honnête e
29 ans, mère de trois enfants vigoureux. Il ne connaît aucune maladie
nerveuse
dans sa famille. Le 21 mars dernier, M. le doct
il, enrhumé tous les hivers ; mais il n'a jamais eu de manifestations
nerveuses
, il n'a jamais eu d'accès de somnambulisme sponta
ien portante, ainsi que ses frères et sœur; aucun n'aurait de maladie
nerveuse
. Je dis à cet enfant: « Tu as entendu ce jeune
cat, atteint de paralysie infantile, n'ayant pas eu d'autres troubles
nerveux
; père, mère et une sœur bien portants. Assez int
un enfant de 9 ans, G..., convalescent de pleurésie, sans antécédent
nerveux
, bien constitué ; père et mère bien portants, deu
epuis deux ans au service pour une insuffisance mitrale, sans trouble
nerveux
, très suggestible à l'état de veille et de sommei
eurésie tuberculeuse, garçon un peu lymphatique, mais sans antécédent
nerveux
, très suggestible d'ailleurs : « Etiez-vous hier
de tenter un moyen nouveau et inoffensif. Du reste, la surexcitation
nerveuse
d'origine alcoolique paraissant prédisposer a l'h
cause dont ils dérivent. Les uns rapportent tout à une disposition
nerveuse
spéciale du sujet, disposition qui le rend apte à
es qui en sont la conséquence, mais encore de produire sur le système
nerveux
du sujet des modifications spéciales à la nature
rganisme des hystériques, de répéter inconsciemment une foule d'actes
nerveux
quand ces actes ont été produits une première foi
quence, chaque fois que le procédé opératoire influera sur le système
nerveux
du sujet, soit par la fatigue 1) Ce sont cet mo
e action à distance, plutôt qu'à une sédation essentielle des centres
nerveux
. Ajoutons que ces deux ouvrages contiennent, inte
e nombreux cas de névropathie. Elle a trois sœurs et un frère, tous
nerveux
, émotifs: deux des sœurs ont souvent des suffocat
œurs ont souvent des suffocations, des évanouissements, des accidents
nerveux
plus ou moins dans la voie de l'hystérie. Elle-
la conservai jusqu'à son accouchement. — Quels étaient les troubles
nerveux
que présentait Alice dans les derniers mois de sa
apparences, on ne tenait compte des troubles fonctionnels du système
nerveux
que nous venons d'indiquer, et dont la permanence
viens de vous le montrer, est un être sui generis. dont les fonctions
nerveuses
, profondément déséquilibrées, s'accompagnent de p
s premières douleurs, avec les exagérations propres à sa constitution
nerveuse
. Mise en état de somnambulisme, et suggestionné
contribué à démontrer combien est intime le lien qui unit les crises
nerveuses
aux variations de la personnalité. Car jamais n
u chez V... la personnalité se transformer sans crise ou modification
nerveuse
préalables. L'attaque est, chez notre sujet, co
arrêter parfois comme pour s'y fixer, à défaut peut-être d'incitation
nerveuse
suffisante, à certaines époques de sa vie, pour e
héréditaire et à ses rapports avec les diverses maladies mentales et
nerveuses
. Esquirol a pu dire à juste titre que la dipsom
x qui étaient atteints de douleurs locales ou d'affections du système
nerveux
, par l'exorcisme et l'imposition des mains; il pr
et de la conscience, une action secondaire qui excite le système
nerveux
et grâce à laquelle certaines facultés intellectu
ille ? Le récit de nombreux exemples d'habitudes vicieuses, de tics
nerveux
, de tendances et d'instincts pervers, modifiés et
anique : transmission des sensations, des états émotifs, transmission
nerveuse
physique des maladies, transmission des idées de
ns de l'activité mentale, il est un groupe tout spécial de phénomènes
nerveux
, qui joue, à l'état de veille, comme à l'état de
piratoires anxieux, par des larmes discrètes, les états d'ébranlement
nerveux
qui nous traversent. A l'état pathologique, dan
ions afférentes à ce sujet ne sont pas sans savoir que ces phénomènes
nerveux
si complexes sont régis par certaines lois fixes
changement d'état bien notable dans la manière d'être de son système
nerveux
. Dans la phase de léthargie, en effet, ce sont
lité s'est portée ailleurs; ce ne sont plus les muscles et les troncs
nerveux
qui en sont le siège, ce sont les régions émotisé
l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche, sujet à des attaques
nerveuses
hystériques, est plongé dans le sommeil magnétiqu
ènes que présente le fonctionnement normal ou pathologique du système
nerveux
, M. Richet consacre quelques pages instructives i
. Il donne en passant son avis sur le fluide magnétique, ou vital, ou
nerveux
, dont l'idée est à ses yeux une hypothèse simple,
ec quelle intensité le travail organique se développe dans le système
nerveux
chez les jeunes enfants ; le volume de leur tète,
me caractéristiques et indiquant un véritable épuisement de l'élément
nerveux
; ce sont des phénomènes d'amnésie qui dominent a
urmenage intellectuel sur la développement des affections mentales et
nerveuses
. La question si actuelle et si importante du su
c'est celui que M. Meynert a présente sur les affections mentales et
nerveuses
déterminées par le surmenage scolaire. Voici
ns l'âge de la puberté, avec la stupeur; 7° L'hérédité des maladies
nerveuses
rend responsable le surmenage intellectuel de l'i
de vue de la chirurgie. Reprenant à l'origine la question du sommeil
nerveux
, ils se livrèrent à une serie d expériences intér
temps que les régions émotives sont mises en action dans les centres
nerveux
, l'action simulatrice s'exerce aussi d'une façon
droite, et suivant qu'on interroge des régions différentes des plexus
nerveux
périphériques. Ainsi, placé à la nuque du côté
, la bière, sont susceptibles de déterminer des effets sur le système
nerveux
, analogues à ceux qu'ils déterminent chez l'homme
aucune trace des ébranlements profonds qui ont bouleversé son système
nerveux
. II. — Dans la seconde série des expériences, l
ue, suspendre les mouvements respiratoires, congestionner les centres
nerveux
, troubler l'innervation du cœur, provoquer dans l
iences des méthodes thérapeutiques agissant à distance sur le système
nerveux
, et acquérir ainsi des agents d'un ordre spécial,
ns torpides et à rétablir ainsi cet équilibre si précieux des actions
nerveuses
; et c'est là. évidemment, le but louable de tous
'incurabilité dans ce champ lui-même si vaste des maladies du système
nerveux
. L'ACTION A DISTANCE DES SUBSTANCES TOXIQUES ET
les nerfs, conducteurs des courants en dehors de la pile; les centres
nerveux
, accumulateurs, en échange incessant, d'une part,
s poisons et les médicaments, agissent par l'intermédiaire du système
nerveux
périphérique exactement de la même manière que po
la première. D'une façon générale, la rupture d'équilibre du systéme
nerveux
, la surexcitation de la sensibilité, toutes condi
étrissages produisent des tiraillements et des élongations des filets
nerveux
. Les passes que l'on emploie en magnétisme formen
ie en magnétisme forment une partie du massage qui produit des effets
nerveux
très étranges. Ces articles sont décrits dans le
la plupart de ces sujets. Les gauchers ont fréquemment une hérédité
nerveuse
lourde à porter. On trouve souvent dans leurs asc
et, quand celui-ci avait voulu le réveiller, il fut pris de sa crise
nerveuse
, que l'endormeur ne réussissait pas à calmer, M.
il n'avait rien, qu'il n'était plus malade et le réveilla. Les crises
nerveuses
ne se reproduisirent plus. La nou-velle suggestio
ployé avec plus ou moins de succès pour combattre d'autres affections
nerveuses
et mentales. Je n'ai pas besoin de rappeler les
ns, un précieux instrument dans le traitement de certaines affections
nerveuses
rebelles .1 toutes les médications; les résultats
in, la malade recouvra son étal normal et il n'y eut plus de troubles
nerveux
. Ce qui est important à signaler, c'est que ce
ns par Donato. éprouva des troubles psychiques et autres dérangements
nerveux
qui étaient loin d'être insignifiants. On peut mu
enté qui l'emploie comme moyen thérapeutique à l'égard d'autres états
nerveux
beaucoup plus graves; mais, d'autre part, ce proc
ladie des tics convulsifs, et M. Gilles de la Tourelle, une affection
nerveuse
caractérisée par l'incoordination motrice avec éc
maladie, il est facile de remarquer une perte d'équilibre du système
nerveux
. Tout prouve que le système nerveux involontaire
une perte d'équilibre du système nerveux. Tout prouve que le système
nerveux
involontaire est excité outre mesure et très impr
y a exagération de la vie réflexe cérébrale. D'autre part, le système
nerveux
volontaire est affaibli : il y a diminution de l'
sion qui a produit ce changement. Toutefois, pour calmer l'excitation
nerveuse
et rendre cette persuasion plus facile et plus
ypnotique, le plus puissant modificateur à employer dans les maladies
nerveuses
et mentales qui, sous les noms de névralgie, de m
me parce qu'elles sont contracturantes qu'elles produisent le sommeil
nerveux
(car tout ce qui contracture endort) ; elles le f
eau, d'où résulte l'anémie qui est la condition nécessaire du sommeil
nerveux
. Par opposition, les applications hétéronomes.. q
rant organique seront employées dans toutes les maladies des systèmes
nerveux
et musculaire caractérisées par la congestion, l'
enfant que dans ses antécédents héréditaires il n'y a aucune maladie
nerveuse
ou mentale. Marie est née à terme. Elle a été éle
lysie et l'hyperthermie, causées par une lésion organique des centres
nerveux
, peuvent être transférées d'un côté à l'autre du
pas nécessairement des effets de la destruction de certains éléments
nerveux
possédant certaines fonctions et qu'elles peuvent
ents extérieurs. La recherche des lois qui régissent les phénomènes
nerveux
observés chez les sujets hypnotisables présente d
LES Faculté de médecinede paris. — Clinique des maladies du système
nerveux
. — M. le professeur Charco: fera dans son à la Sa
neuf heures et demie, une leçon clinique sur les maladies du système
nerveux
. — Clinique de pathologie mentale et des maladi
reprises l'isoler à Sainte-Anne et à la Salpêtrière.) 2° Des tics,
nerveux
chez des petits garçons de douze ans. (L'un d'eux
ir des habitudes vicieuses, des défauts graves de caractère, des tics
nerveux
, des incontinences nocturnes et diurnes de l'urin
s faciles à hypnotiser sont des malades ou des êtres d'un tempérament
nerveux
particulier. M. Bérillon. — Je retrouve dans le
la science de l'hypnotisme. Tous les hypnotisés ne sont pas des gens
nerveux
. Au contraire, la plupart de ceux qui présentent
eaucoup plus intéressants à étudier, comme le traitement des maladies
nerveuses
par l'hypnotisme. M. Constantin Paul. — 11 nous
Aphonie hystérique 1 1 Toux convulsive 1 s Vertiges 1 2 Asthme
nerveux
1 1 Strangurie 2 • Céphalalgie 4 5 Agrypnie
gé de quinze ans et demi; le tempérament lymphatico-nerveux ù système
nerveux
très développé. Comme vous avez pu vous en rendre
une rougeole grave pendant laquelle j'ai eu i combattre des accidents
nerveux
et un subdelirium qui a duré plusieurs jours. Pas
est indispensable de scruter, d'étudier minutieusement les cen-» très
nerveux
d'hommes dont on a bien connu l'activité mentale.
t universelle, que le mot hystérie est synonyme d'impres-sionnabilité
nerveuse
quelconque ! Et comme nous avons tous des nerfs
pécial, ont une acuité excessive des sens, comme» toute leur activité
nerveuse
était accumulée sur l'organe dont l'attention est
ifférent a réussi ; Max Joseph a produit des pelades par des sections
nerveuses
; Mibelli a obtenu le même résultat. On voit la
résultat. On voit la maladie apparaître à la suite de perturbations
nerveuses
brusques, d'émotions inattendues et de chagrins v
ue succéder à des maladies intéressant l'équilibre général du système
nerveux
, la fièvre typhoïde, la scarlatine, la chorée, la
usieurs espèces de pelades, une par exemple qui dépendrait du système
nerveux
? Bazin était de cet avis. Mais il est impossible
s retentissements possibles d'un choc extérieur sur la fonctionnalité
nerveuse
, on est, avec Charcot. d'accord sur ce point; c'e
s toxiques, le plomb notamment, exercent, on le sait, sur les centres
nerveux
, une influence perturbatrice assez profonde pour
, elle est très fatiguée et agacée; mais c'est une espèce d'agitation
nerveuse
différente de la somnolence et de l'égarement qui
veille, si bien que j'ai eu beaucoup de peine à calmer son agitation
nerveuse
et que je n'ai pas réussi à dissiper une céphalal
antécédents héréditaires : Père mort tuberculeux à 39 ans; était très
nerveux
, très impressionnable. Sa mère vit. a 45 ans, e
ses diminuent de nombre et d'intensité, quoique l'impressionnabi-lité
nerveuse
reste exagérée. Pendant le cours de ce mois d'o
peresthésie du côté sectionné ; d'aprés Brown-Séquard, la suractivité
nerveuse
s'expliquerait par la dilatation des vaisseaux de
e de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'excès de sensibilité
nerveuse
se traduisait par des troubles hystériques aptitu
s, dont l'imagination s'exalte aisément, achève d'ébranler le système
nerveux
de ces impressionnables candidats à la folie, et
perstition. » Ne l'oublions point, d'ailleurs, c'est à la contagion
nerveuse
ou par imitation que furent dues ces graves épidé
pendant quelques mois de boiterie, probablement de coxalgie d'origine
nerveuse
; mais elle est actuellement tout à fait guérie,
oment où la suggestion fut acceptée, Mlle X... eut des frissonnements
nerveux
dans tout le corps, à trois ou quatre reprises, p
concourent, en dernière analyse, à l'ébranlement de La fonctionnalité
nerveuse
dans son équilibre, Et c'est, au demeurant, sur l
n équilibre, Et c'est, au demeurant, sur le fonctionnement du système
nerveux
que l'influence perturbatrice du froid polaire ag
spitalières, est. par suite de l'état congestif permanent des centres
nerveux
et de la torpeur de la circulation, exposé aux ve
taques d'aploplexie que favorise la congestion habituelle des centres
nerveux
, outre les gastrites et l'alcoolisme consécutifs
des désordres qu'il est si fréquent d'observer dans la fonctionnalité
nerveuse
chez les habitants des pays froids, une anémie d'
de l'analyse des effets du magnétisme sur les fonctions organiques et
nerveuses
. Aucun fait nouveau n'est signalé par lui dans ce
conseille la lecture a toutes les personnes qui étudient les maladies
nerveuses
, ces maladies dans lesquelles on est si porté à v
oureux, tout se passe rapidement. Si l'on est, au contraire, délicat,
nerveux
, les phénomènes mettent plus de temps à disparaît
n considérable à cause du défaut de jugement et de critérium. Le choc
nerveux
qui se produit dans les cataclysmes, et surtout d
on livre, sous le titre suivant: Neurrypnologie. ou Traité du sommeil
nerveux
, considéré dans ses rapports avec le magnétisme a
ment des maladies. Dans ce volume, il définit l'hypnotisme: « un état
nerveux
déterminé par des manœuvres artificielles », et c
Azam publie, dans les Archives générales de médecine, sur le sommeil
nerveux
ou hypnotisme, dont il donne la définition suivan
nte : « L'hypnotisme est un moyen particulier de provoquer un sommeil
nerveux
, un somnambulisme artificiel, accompagné d'anesth
ardane, la ménopause, chez nombre de femmes, avive les déterminations
nerveuses
qui ont occupé la scène a l'âge où s'établit la m
erturbation des fonctions nutritives dans leur ensemble et du système
nerveux
— leur régulateur — en particulier? Onze fois sur
ons aux criminels, tant soit peu versés dans l'application des forces
nerveuses
. Il parait que le constable 265. s. était récemme
de l'etranger. — Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies
nerveuses
: M. Charlot reprendra ses leçons mardi prochain,
une crédulité un peu exagérée. La malade elle-même est d'une nature
nerveuse
très impressionnable. A l'âge de 15 ans, à la sui
ar lui seul, est capable d'amener la guérison de certaines affections
nerveuses
et de plus, qu'à ce point de vue du moins, il n'y
arguments la démonstration de la similitude complète entre le sommeil
nerveux
ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou toxique e
dogmatiquement établi les différences qui se passent entre le sommeil
nerveux
et le sommeil naturel, et ses conclusions sont en
rès : D'après Lasègue : 1. Le sommeil naturel repose : le sommeil
nerveux
ne repose pas. Dans une cinquantaine d'observat
t du monde; quelques uns avaient même engraissé. 2. Dans le sommeil
nerveux
, il y a toujours un certain degré de rigidité mus
ons que ses muscles sont en état de contraction. 3. Dans le.sommeil
nerveux
, rien ne réveille, excepté le souffle. Ceci est
e de même, lorsque je lui dis : Réveillez-vous ! 4. Dans le sommeil
nerveux
, on peut fixer la durée du sommeil ; on ne le peu
pendant la narcose, ne vomit pas. J. On croit que durant le sommeil
nerveux
on ne peut pas se réveiller spontanément, et que
à son réveil. 6. 11 y aurait une autre différence entre le sommeil
nerveux
et le sommeil naturel : on peut suggestionner dan
ler les mêmes phénomènes exclusivement attribués jusqu'ici au sommeil
nerveux
: en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narc
nt attribués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil
nerveux
, sommeil narcotique, sommeil naturel, sont identi
ue joue l'hérédité sur la propagation des dégénérescences et maladies
nerveuses
de toute sorte esi prépondérant. Sans élargir o
rdre d'idées et sans exhumer le souvenir des misères dont une maladie
nerveuse
qualifiée alcoolisme, folie, épilepsie, hystérie)
up d'art, il rattache l'exaltation de l'élément affectif à l'appareil
nerveux
ganglionnaire viscéral (système nerveux grand sym
élément affectif à l'appareil nerveux ganglionnaire viscéral (système
nerveux
grand sympathique) auquel, dans le mode d'existen
es races, » Eh bien ! il est un fait avéré, celui-ci : les maladies
nerveuses
, en général, sont plus communes dans les pays cha
chocs réitérés que, sous l'aiguillon de l'âpre froidure, leur système
nerveux
subit, est-on en droit d'inférer que les habitant
nombreux chez les Arabes, présentent plutôt les caractères des formes
nerveuses
pures, hystériques, de la folie que ceux, des for
si grand intérêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies
nerveuses
et mentales. Pour comprendre les procès de sorc
es contre-indications de l'hypnotisme dans le traitement des maladies
nerveuses
et dans les applications à la pédiatrie. Ce cou
reux, pendant de longues heures, et il avait été soumis à une tension
nerveuse
considérable. A force d'exécuter les compositio
'excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un état de prostration
nerveuse
qui faisait craindre l'annihilation complète d'un
ie photographique de la Salpêtrière, clinique des maladies du système
nerveux
, publiée, sous la direction de M le professeur Ch
confrères ont pu difficilement se rendre compte du degré d'excitation
nerveuse
que peuvent déterminer chez ces individus les pra
as un bon terrain pour l'étude de l'hypnotisme. Beaucoup de symptômes
nerveux
hystériformes. d'origine émotive ou résultant d'a
année dernière, mes études sur le traitement des maladies mentales et
nerveuses
par la suggestion hypnotique. Je me suis toujours
'urine. C'est alors que l'amélioration a été sensible, car ce système
nerveux
était, pour ainsi dire, plus maniable. Ces accès
upe cellulaire a un autre groupe. A l'état morbide, quelques éléments
nerveux
sont seuls actifs ; toute l'énergie disponible es
ril. — Présidence de M. Grasset Traitement des maladies mentales et
nerveuses
par la suggestion hypnotique (i). M. A. Voisin
r le traitement par la suggestion hypnotique des maladies mentales et
nerveuses
, si résistantes aux moyens thérapeutiques connus.
lades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents mentaux et
nerveux
dont ils souffrent a des manœuvres d'hypnotisme a
s, parce qu'elles sont fréquemment le point de départ d'une contagion
nerveuse
dont les effets sont nuisibles à un certain nombr
aussi il y a dans la salle des personnes impressionnables, des hommes
nerveux
, des femmes hystériques ou sur le point de l'être
utes plus spécieuses, de se produire. L'oisiveté avive la sensibilité
nerveuse
. Le travail manuel la réfrène. Les privations émo
es éléments de débilitation de l'organisme et d'excitation du système
nerveux
? Pour les classes riches, l'oisiveté avec ses
ncipe actif du sang artériel est en défaut, les opérations du système
nerveux
sont en souffrance et deviennent désordonnées. Si
rdonnées. Si, maintenant, il est avéré que toute opération du système
nerveux
est au prix d'une dépense d'éléments nerveux et a
ute opération du système nerveux est au prix d'une dépense d'éléments
nerveux
et artériel, l'élément artériel nécessaire à la s
s nerveux et artériel, l'élément artériel nécessaire à la stimulation
nerveuse
ne saurait, lorsque la constitution est chétive e
plus en proportion avec les conditions normales de la fonctionnalité
nerveuse
, la surexcitation se produit. Aussi peut-on affir
icien qui souffrait depuis des années d'un affaiblissement du système
nerveux
et qui avait été subitement paralysé des bras et
ofesseur Ball. Hospice de la Salpètrière. — clinique des maladies
nerveuses
: M. Charcot a reprit ses leçons et les continu
lève, hypnotisé par ses camarades, fut atteint dune série de troubles
nerveux
qui l'amenèrent à la Salpêtrière. M. Pitres-(de B
crises épileptiformes, que le père et la mère sont des personnes très
nerveuses
; la mère a même eu une attaque d'hystérie franch
'emploi de la suggestion, de perversions graves du caractère, de tics
nerveux
, d'incontinence nocturne d'urine, d'impulsion au
« S'enquérir au préalable si le sujet n'est pas atteint d'accidents
nerveux
ou de troubles circulatoires, et quelle est leur
ans la même ville, bon nombre de personnes sont atteintes de troubles
nerveux
, par suite de la vulgarisation des pratique» hypn
rse, à des perturbations plus ou moins profondes de la fonctionnalité
nerveuse
. Et la gravité des désordres engendrés, purement
st pas moins à redouter pour le maintien de l'équilibre des fonctions
nerveuses
. Les mauvais traitements sont funestes. Sur 74 ca
que de coutume. » Non moins redoutable pour l'équilibre du système
nerveux
et non moins répandu est le travers— d'ailleurs d
à la profession sur l'équilibration ou la déséquilibration du système
nerveux
, une considération domine. L'anémie aiguise à l
une considération domine. L'anémie aiguise à l'excès l'excitabilité
nerveuse
. La pléthore sanguine en atténue les réactions. S
uissance musculaire considérable, sont au prix d'une dépense de force
nerveuse
de tous les instants. Les professions dites libér
ELLES Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système
nerveux
: M. le profeseeur Charcot. Leçons le mardi et le
ous les jeudis, à 10 heures, des leçons sur les affections du système
nerveux
. Hoipice de Bicétre.— Maladies mentales : M. Ch
teuse à distance (de l'). par Bernheim, 161. Affections mentales et
nerveuses
(action du surmenage intellectuel sur le dévelo
Tics convulsifs avec écholalie et copro-lalie, par Burot, 33o. Tics
nerveux
traités par suggestion, 176.. Vertu curative de
orisé; 2° S'enquérir auparavant si le sujet est atteint d'accidents
nerveux
et de la nature de ces accidents. Même précaution
mais eu d'accès de somnambulisme spontané, ni d'autres manifestations
nerveuses
. II est assez intelligent et instruit ; honnête e
29 ans, mère de trois enfants vigoureux. Il ne connaît aucune maladie
nerveuse
dans sa famille. Le 21 mars dernier, M. le doct
il, enrhumé tous les hivers ; mais il n'a jamais eu de manifestations
nerveuses
, il n'a jamais eu d'accès de somnambulisme sponta
ien portante, ainsi que ses frères et sœur; aucun n'aurait de maladie
nerveuse
. Je dis à cet enfant: « Tu as entendu ce jeune
cat, atteint de paralysie infantile, n'ayant pas eu d'autres troubles
nerveux
; père, mère et une sœur bien portants. Assez int
un enfant de 9 ans, G..., convalescent de pleurésie, sans antécédent
nerveux
, bien constitué ; père et mère bien portants, deu
epuis deux ans au service pour une insuffisance mitrale, sans trouble
nerveux
, très suggestible à l'état de veille et de sommei
eurésie tuberculeuse, garçon un peu lymphatique, mais sans antécédent
nerveux
, très suggestible d'ailleurs : « Etiez-vous hier
de tenter un moyen nouveau et inoffensif. Du reste, la surexcitation
nerveuse
d'origine alcoolique paraissant prédisposer a l'h
cause dont ils dérivent. Les uns rapportent tout à une disposition
nerveuse
spéciale du sujet, disposition qui le rend apte à
es qui en sont la conséquence, mais encore de produire sur le système
nerveux
du sujet des modifications spéciales à la nature
rganisme des hystériques, de répéter inconsciemment une foule d'actes
nerveux
quand ces actes ont été produits une première foi
quence, chaque fois que le procédé opératoire influera sur le système
nerveux
du sujet, soit par la fatigue 1) Ce sont cet mo
e action à distance, plutôt qu'à une sédation essentielle des centres
nerveux
. Ajoutons que ces deux ouvrages contiennent, inte
e nombreux cas de névropathie. Elle a trois sœurs et un frère, tous
nerveux
, émotifs: deux des sœurs ont souvent des suffocat
œurs ont souvent des suffocations, des évanouissements, des accidents
nerveux
plus ou moins dans la voie de l'hystérie. Elle-
la conservai jusqu'à son accouchement. — Quels étaient les troubles
nerveux
que présentait Alice dans les derniers mois de sa
apparences, on ne tenait compte des troubles fonctionnels du système
nerveux
que nous venons d'indiquer, et dont la permanence
viens de vous le montrer, est un être sui generis. dont les fonctions
nerveuses
, profondément déséquilibrées, s'accompagnent de p
s premières douleurs, avec les exagérations propres à sa constitution
nerveuse
. Mise en état de somnambulisme, et suggestionné
contribué à démontrer combien est intime le lien qui unit les crises
nerveuses
aux variations de la personnalité. Car jamais n
u chez V... la personnalité se transformer sans crise ou modification
nerveuse
préalables. L'attaque est, chez notre sujet, co
arrêter parfois comme pour s'y fixer, à défaut peut-être d'incitation
nerveuse
suffisante, à certaines époques de sa vie, pour e
héréditaire et à ses rapports avec les diverses maladies mentales et
nerveuses
. Esquirol a pu dire à juste titre que la dipsom
x qui étaient atteints de douleurs locales ou d'affections du système
nerveux
, par l'exorcisme et l'imposition des mains; il pr
et de la conscience, une action secondaire qui excite le système
nerveux
et grâce à laquelle certaines facultés intellectu
ille ? Le récit de nombreux exemples d'habitudes vicieuses, de tics
nerveux
, de tendances et d'instincts pervers, modifiés et
anique : transmission des sensations, des états émotifs, transmission
nerveuse
physique des maladies, transmission des idées de
ns de l'activité mentale, il est un groupe tout spécial de phénomènes
nerveux
, qui joue, à l'état de veille, comme à l'état de
piratoires anxieux, par des larmes discrètes, les états d'ébranlement
nerveux
qui nous traversent. A l'état pathologique, dan
ions afférentes à ce sujet ne sont pas sans savoir que ces phénomènes
nerveux
si complexes sont régis par certaines lois fixes
changement d'état bien notable dans la manière d'être de son système
nerveux
. Dans la phase de léthargie, en effet, ce sont
lité s'est portée ailleurs; ce ne sont plus les muscles et les troncs
nerveux
qui en sont le siège, ce sont les régions émotisé
l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche, sujet à des attaques
nerveuses
hystériques, est plongé dans le sommeil magnétiqu
ènes que présente le fonctionnement normal ou pathologique du système
nerveux
, M. Richet consacre quelques pages instructives i
. Il donne en passant son avis sur le fluide magnétique, ou vital, ou
nerveux
, dont l'idée est à ses yeux une hypothèse simple,
ec quelle intensité le travail organique se développe dans le système
nerveux
chez les jeunes enfants ; le volume de leur tète,
me caractéristiques et indiquant un véritable épuisement de l'élément
nerveux
; ce sont des phénomènes d'amnésie qui dominent a
urmenage intellectuel sur la développement des affections mentales et
nerveuses
. La question si actuelle et si importante du su
c'est celui que M. Meynert a présente sur les affections mentales et
nerveuses
déterminées par le surmenage scolaire. Voici
ns l'âge de la puberté, avec la stupeur; 7° L'hérédité des maladies
nerveuses
rend responsable le surmenage intellectuel de l'i
de vue de la chirurgie. Reprenant à l'origine la question du sommeil
nerveux
, ils se livrèrent à une serie d expériences intér
temps que les régions émotives sont mises en action dans les centres
nerveux
, l'action simulatrice s'exerce aussi d'une façon
droite, et suivant qu'on interroge des régions différentes des plexus
nerveux
périphériques. Ainsi, placé à la nuque du côté
, la bière, sont susceptibles de déterminer des effets sur le système
nerveux
, analogues à ceux qu'ils déterminent chez l'homme
aucune trace des ébranlements profonds qui ont bouleversé son système
nerveux
. II. — Dans la seconde série des expériences, l
ue, suspendre les mouvements respiratoires, congestionner les centres
nerveux
, troubler l'innervation du cœur, provoquer dans l
iences des méthodes thérapeutiques agissant à distance sur le système
nerveux
, et acquérir ainsi des agents d'un ordre spécial,
ns torpides et à rétablir ainsi cet équilibre si précieux des actions
nerveuses
; et c'est là. évidemment, le but louable de tous
'incurabilité dans ce champ lui-même si vaste des maladies du système
nerveux
. L'ACTION A DISTANCE DES SUBSTANCES TOXIQUES ET
les nerfs, conducteurs des courants en dehors de la pile; les centres
nerveux
, accumulateurs, en échange incessant, d'une part,
s poisons et les médicaments, agissent par l'intermédiaire du système
nerveux
périphérique exactement de la même manière que po
la première. D'une façon générale, la rupture d'équilibre du systéme
nerveux
, la surexcitation de la sensibilité, toutes condi
étrissages produisent des tiraillements et des élongations des filets
nerveux
. Les passes que l'on emploie en magnétisme formen
ie en magnétisme forment une partie du massage qui produit des effets
nerveux
très étranges. Ces articles sont décrits dans le
la plupart de ces sujets. Les gauchers ont fréquemment une hérédité
nerveuse
lourde à porter. On trouve souvent dans leurs asc
et, quand celui-ci avait voulu le réveiller, il fut pris de sa crise
nerveuse
, que l'endormeur ne réussissait pas à calmer, M.
il n'avait rien, qu'il n'était plus malade et le réveilla. Les crises
nerveuses
ne se reproduisirent plus. La nou-velle suggestio
ployé avec plus ou moins de succès pour combattre d'autres affections
nerveuses
et mentales. Je n'ai pas besoin de rappeler les
ns, un précieux instrument dans le traitement de certaines affections
nerveuses
rebelles .1 toutes les médications; les résultats
in, la malade recouvra son étal normal et il n'y eut plus de troubles
nerveux
. Ce qui est important à signaler, c'est que ce
ns par Donato. éprouva des troubles psychiques et autres dérangements
nerveux
qui étaient loin d'être insignifiants. On peut mu
enté qui l'emploie comme moyen thérapeutique à l'égard d'autres états
nerveux
beaucoup plus graves; mais, d'autre part, ce proc
ladie des tics convulsifs, et M. Gilles de la Tourelle, une affection
nerveuse
caractérisée par l'incoordination motrice avec éc
maladie, il est facile de remarquer une perte d'équilibre du système
nerveux
. Tout prouve que le système nerveux involontaire
une perte d'équilibre du système nerveux. Tout prouve que le système
nerveux
involontaire est excité outre mesure et très impr
y a exagération de la vie réflexe cérébrale. D'autre part, le système
nerveux
volontaire est affaibli : il y a diminution de l'
sion qui a produit ce changement. Toutefois, pour calmer l'excitation
nerveuse
et rendre cette persuasion plus facile et plus
ypnotique, le plus puissant modificateur à employer dans les maladies
nerveuses
et mentales qui, sous les noms de névralgie, de m
me parce qu'elles sont contracturantes qu'elles produisent le sommeil
nerveux
(car tout ce qui contracture endort) ; elles le f
eau, d'où résulte l'anémie qui est la condition nécessaire du sommeil
nerveux
. Par opposition, les applications hétéronomes.. q
rant organique seront employées dans toutes les maladies des systèmes
nerveux
et musculaire caractérisées par la congestion, l'
enfant que dans ses antécédents héréditaires il n'y a aucune maladie
nerveuse
ou mentale. Marie est née à terme. Elle a été éle
lysie et l'hyperthermie, causées par une lésion organique des centres
nerveux
, peuvent être transférées d'un côté à l'autre du
pas nécessairement des effets de la destruction de certains éléments
nerveux
possédant certaines fonctions et qu'elles peuvent
ents extérieurs. La recherche des lois qui régissent les phénomènes
nerveux
observés chez les sujets hypnotisables présente d
LES Faculté de médecinede paris. — Clinique des maladies du système
nerveux
. — M. le professeur Charco: fera dans son à la Sa
neuf heures et demie, une leçon clinique sur les maladies du système
nerveux
. — Clinique de pathologie mentale et des maladi
reprises l'isoler à Sainte-Anne et à la Salpêtrière.) 2° Des tics,
nerveux
chez des petits garçons de douze ans. (L'un d'eux
ir des habitudes vicieuses, des défauts graves de caractère, des tics
nerveux
, des incontinences nocturnes et diurnes de l'urin
s faciles à hypnotiser sont des malades ou des êtres d'un tempérament
nerveux
particulier. M. Bérillon. — Je retrouve dans le
la science de l'hypnotisme. Tous les hypnotisés ne sont pas des gens
nerveux
. Au contraire, la plupart de ceux qui présentent
eaucoup plus intéressants à étudier, comme le traitement des maladies
nerveuses
par l'hypnotisme. M. Constantin Paul. — 11 nous
Aphonie hystérique 1 1 Toux convulsive 1 s Vertiges 1 2 Asthme
nerveux
1 1 Strangurie 2 • Céphalalgie 4 5 Agrypnie
gé de quinze ans et demi; le tempérament lymphatico-nerveux ù système
nerveux
très développé. Comme vous avez pu vous en rendre
une rougeole grave pendant laquelle j'ai eu i combattre des accidents
nerveux
et un subdelirium qui a duré plusieurs jours. Pas
est indispensable de scruter, d'étudier minutieusement les cen-» très
nerveux
d'hommes dont on a bien connu l'activité mentale.
t universelle, que le mot hystérie est synonyme d'impres-sionnabilité
nerveuse
quelconque ! Et comme nous avons tous des nerfs
pécial, ont une acuité excessive des sens, comme» toute leur activité
nerveuse
était accumulée sur l'organe dont l'attention est
ifférent a réussi ; Max Joseph a produit des pelades par des sections
nerveuses
; Mibelli a obtenu le même résultat. On voit la
résultat. On voit la maladie apparaître à la suite de perturbations
nerveuses
brusques, d'émotions inattendues et de chagrins v
ue succéder à des maladies intéressant l'équilibre général du système
nerveux
, la fièvre typhoïde, la scarlatine, la chorée, la
usieurs espèces de pelades, une par exemple qui dépendrait du système
nerveux
? Bazin était de cet avis. Mais il est impossible
s retentissements possibles d'un choc extérieur sur la fonctionnalité
nerveuse
, on est, avec Charcot. d'accord sur ce point; c'e
s toxiques, le plomb notamment, exercent, on le sait, sur les centres
nerveux
, une influence perturbatrice assez profonde pour
, elle est très fatiguée et agacée; mais c'est une espèce d'agitation
nerveuse
différente de la somnolence et de l'égarement qui
veille, si bien que j'ai eu beaucoup de peine à calmer son agitation
nerveuse
et que je n'ai pas réussi à dissiper une céphalal
antécédents héréditaires : Père mort tuberculeux à 39 ans; était très
nerveux
, très impressionnable. Sa mère vit. a 45 ans, e
ses diminuent de nombre et d'intensité, quoique l'impressionnabi-lité
nerveuse
reste exagérée. Pendant le cours de ce mois d'o
peresthésie du côté sectionné ; d'aprés Brown-Séquard, la suractivité
nerveuse
s'expliquerait par la dilatation des vaisseaux de
e de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'excès de sensibilité
nerveuse
se traduisait par des troubles hystériques aptitu
s, dont l'imagination s'exalte aisément, achève d'ébranler le système
nerveux
de ces impressionnables candidats à la folie, et
perstition. » Ne l'oublions point, d'ailleurs, c'est à la contagion
nerveuse
ou par imitation que furent dues ces graves épidé
pendant quelques mois de boiterie, probablement de coxalgie d'origine
nerveuse
; mais elle est actuellement tout à fait guérie,
oment où la suggestion fut acceptée, Mlle X... eut des frissonnements
nerveux
dans tout le corps, à trois ou quatre reprises, p
concourent, en dernière analyse, à l'ébranlement de La fonctionnalité
nerveuse
dans son équilibre, Et c'est, au demeurant, sur l
n équilibre, Et c'est, au demeurant, sur le fonctionnement du système
nerveux
que l'influence perturbatrice du froid polaire ag
spitalières, est. par suite de l'état congestif permanent des centres
nerveux
et de la torpeur de la circulation, exposé aux ve
taques d'aploplexie que favorise la congestion habituelle des centres
nerveux
, outre les gastrites et l'alcoolisme consécutifs
des désordres qu'il est si fréquent d'observer dans la fonctionnalité
nerveuse
chez les habitants des pays froids, une anémie d'
de l'analyse des effets du magnétisme sur les fonctions organiques et
nerveuses
. Aucun fait nouveau n'est signalé par lui dans ce
conseille la lecture a toutes les personnes qui étudient les maladies
nerveuses
, ces maladies dans lesquelles on est si porté à v
oureux, tout se passe rapidement. Si l'on est, au contraire, délicat,
nerveux
, les phénomènes mettent plus de temps à disparaît
n considérable à cause du défaut de jugement et de critérium. Le choc
nerveux
qui se produit dans les cataclysmes, et surtout d
on livre, sous le titre suivant: Neurrypnologie. ou Traité du sommeil
nerveux
, considéré dans ses rapports avec le magnétisme a
ment des maladies. Dans ce volume, il définit l'hypnotisme: « un état
nerveux
déterminé par des manœuvres artificielles », et c
Azam publie, dans les Archives générales de médecine, sur le sommeil
nerveux
ou hypnotisme, dont il donne la définition suivan
nte : « L'hypnotisme est un moyen particulier de provoquer un sommeil
nerveux
, un somnambulisme artificiel, accompagné d'anesth
ardane, la ménopause, chez nombre de femmes, avive les déterminations
nerveuses
qui ont occupé la scène a l'âge où s'établit la m
erturbation des fonctions nutritives dans leur ensemble et du système
nerveux
— leur régulateur — en particulier? Onze fois sur
ons aux criminels, tant soit peu versés dans l'application des forces
nerveuses
. Il parait que le constable 265. s. était récemme
de l'etranger. — Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies
nerveuses
: M. Charlot reprendra ses leçons mardi prochain,
une crédulité un peu exagérée. La malade elle-même est d'une nature
nerveuse
très impressionnable. A l'âge de 15 ans, à la sui
ar lui seul, est capable d'amener la guérison de certaines affections
nerveuses
et de plus, qu'à ce point de vue du moins, il n'y
arguments la démonstration de la similitude complète entre le sommeil
nerveux
ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou toxique e
dogmatiquement établi les différences qui se passent entre le sommeil
nerveux
et le sommeil naturel, et ses conclusions sont en
rès : D'après Lasègue : 1. Le sommeil naturel repose : le sommeil
nerveux
ne repose pas. Dans une cinquantaine d'observat
t du monde; quelques uns avaient même engraissé. 2. Dans le sommeil
nerveux
, il y a toujours un certain degré de rigidité mus
ons que ses muscles sont en état de contraction. 3. Dans le.sommeil
nerveux
, rien ne réveille, excepté le souffle. Ceci est
e de même, lorsque je lui dis : Réveillez-vous ! 4. Dans le sommeil
nerveux
, on peut fixer la durée du sommeil ; on ne le peu
pendant la narcose, ne vomit pas. J. On croit que durant le sommeil
nerveux
on ne peut pas se réveiller spontanément, et que
à son réveil. 6. 11 y aurait une autre différence entre le sommeil
nerveux
et le sommeil naturel : on peut suggestionner dan
ler les mêmes phénomènes exclusivement attribués jusqu'ici au sommeil
nerveux
: en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narc
nt attribués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil
nerveux
, sommeil narcotique, sommeil naturel, sont identi
ue joue l'hérédité sur la propagation des dégénérescences et maladies
nerveuses
de toute sorte esi prépondérant. Sans élargir o
rdre d'idées et sans exhumer le souvenir des misères dont une maladie
nerveuse
qualifiée alcoolisme, folie, épilepsie, hystérie)
up d'art, il rattache l'exaltation de l'élément affectif à l'appareil
nerveux
ganglionnaire viscéral (système nerveux grand sym
élément affectif à l'appareil nerveux ganglionnaire viscéral (système
nerveux
grand sympathique) auquel, dans le mode d'existen
es races, » Eh bien ! il est un fait avéré, celui-ci : les maladies
nerveuses
, en général, sont plus communes dans les pays cha
chocs réitérés que, sous l'aiguillon de l'âpre froidure, leur système
nerveux
subit, est-on en droit d'inférer que les habitant
nombreux chez les Arabes, présentent plutôt les caractères des formes
nerveuses
pures, hystériques, de la folie que ceux, des for
si grand intérêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies
nerveuses
et mentales. Pour comprendre les procès de sorc
es contre-indications de l'hypnotisme dans le traitement des maladies
nerveuses
et dans les applications à la pédiatrie. Ce cou
reux, pendant de longues heures, et il avait été soumis à une tension
nerveuse
considérable. A force d'exécuter les compositio
'excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un état de prostration
nerveuse
qui faisait craindre l'annihilation complète d'un
ie photographique de la Salpêtrière, clinique des maladies du système
nerveux
, publiée, sous la direction de M le professeur Ch
confrères ont pu difficilement se rendre compte du degré d'excitation
nerveuse
que peuvent déterminer chez ces individus les pra
as un bon terrain pour l'étude de l'hypnotisme. Beaucoup de symptômes
nerveux
hystériformes. d'origine émotive ou résultant d'a
année dernière, mes études sur le traitement des maladies mentales et
nerveuses
par la suggestion hypnotique. Je me suis toujours
'urine. C'est alors que l'amélioration a été sensible, car ce système
nerveux
était, pour ainsi dire, plus maniable. Ces accès
upe cellulaire a un autre groupe. A l'état morbide, quelques éléments
nerveux
sont seuls actifs ; toute l'énergie disponible es
ril. — Présidence de M. Grasset Traitement des maladies mentales et
nerveuses
par la suggestion hypnotique (i). M. A. Voisin
r le traitement par la suggestion hypnotique des maladies mentales et
nerveuses
, si résistantes aux moyens thérapeutiques connus.
lades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents mentaux et
nerveux
dont ils souffrent a des manœuvres d'hypnotisme a
s, parce qu'elles sont fréquemment le point de départ d'une contagion
nerveuse
dont les effets sont nuisibles à un certain nombr
aussi il y a dans la salle des personnes impressionnables, des hommes
nerveux
, des femmes hystériques ou sur le point de l'être
utes plus spécieuses, de se produire. L'oisiveté avive la sensibilité
nerveuse
. Le travail manuel la réfrène. Les privations émo
es éléments de débilitation de l'organisme et d'excitation du système
nerveux
? Pour les classes riches, l'oisiveté avec ses
ncipe actif du sang artériel est en défaut, les opérations du système
nerveux
sont en souffrance et deviennent désordonnées. Si
rdonnées. Si, maintenant, il est avéré que toute opération du système
nerveux
est au prix d'une dépense d'éléments nerveux et a
ute opération du système nerveux est au prix d'une dépense d'éléments
nerveux
et artériel, l'élément artériel nécessaire à la s
s nerveux et artériel, l'élément artériel nécessaire à la stimulation
nerveuse
ne saurait, lorsque la constitution est chétive e
plus en proportion avec les conditions normales de la fonctionnalité
nerveuse
, la surexcitation se produit. Aussi peut-on affir
icien qui souffrait depuis des années d'un affaiblissement du système
nerveux
et qui avait été subitement paralysé des bras et
ofesseur Ball. Hospice de la Salpètrière. — clinique des maladies
nerveuses
: M. Charcot a reprit ses leçons et les continu
lève, hypnotisé par ses camarades, fut atteint dune série de troubles
nerveux
qui l'amenèrent à la Salpêtrière. M. Pitres-(de B
crises épileptiformes, que le père et la mère sont des personnes très
nerveuses
; la mère a même eu une attaque d'hystérie franch
'emploi de la suggestion, de perversions graves du caractère, de tics
nerveux
, d'incontinence nocturne d'urine, d'impulsion au
« S'enquérir au préalable si le sujet n'est pas atteint d'accidents
nerveux
ou de troubles circulatoires, et quelle est leur
ans la même ville, bon nombre de personnes sont atteintes de troubles
nerveux
, par suite de la vulgarisation des pratique» hypn
rse, à des perturbations plus ou moins profondes de la fonctionnalité
nerveuse
. Et la gravité des désordres engendrés, purement
st pas moins à redouter pour le maintien de l'équilibre des fonctions
nerveuses
. Les mauvais traitements sont funestes. Sur 74 ca
que de coutume. » Non moins redoutable pour l'équilibre du système
nerveux
et non moins répandu est le travers— d'ailleurs d
à la profession sur l'équilibration ou la déséquilibration du système
nerveux
, une considération domine. L'anémie aiguise à l
une considération domine. L'anémie aiguise à l'excès l'excitabilité
nerveuse
. La pléthore sanguine en atténue les réactions. S
uissance musculaire considérable, sont au prix d'une dépense de force
nerveuse
de tous les instants. Les professions dites libér
ELLES Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système
nerveux
: M. le profeseeur Charcot. Leçons le mardi et le
ous les jeudis, à 10 heures, des leçons sur les affections du système
nerveux
. Hoipice de Bicétre.— Maladies mentales : M. Ch
teuse à distance (de l'). par Bernheim, 161. Affections mentales et
nerveuses
(action du surmenage intellectuel sur le dévelo
Tics convulsifs avec écholalie et copro-lalie, par Burot, 33o. Tics
nerveux
traités par suggestion, 176.. Vertu curative de
ROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT & BOUR
nne). I-- ITllES Professeur de clinique des maladies du système
nerveux
à la Faculté de médecine de Bordeaux. COLLABO
8. GALEZEWSKI. Thèse de Paris, juin, 1904. Grasset. Les cen- tres
nerveux
, 1905. GOTTELAND. Contribution à l'étude de l'ap-
orts avec le rétrécissement concentrique, des affections du système
nerveux
central. Société médico-physiologique, séance d
ol. 1891. T. Il p. 268. RAYMOxn. Leçons sur les maladies du système
nerveux
. 1" série 1894-95. « Les délires ambulatoires e
ffection cardiaque. Un frère, une sneur bien portants. Pas de tares
nerveuses
ou mentales dans la famille. tttccfepet'sottK
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 111. - Sur la continuité des cellules
nerveuses
et sur quelques autres sujets connexes; par Joh
s'établit une connexion en- tre les différentes cellules du système
nerveux
central ; et bien qu'il soit aisé de construire
plus l'excès (l'indoxyl est considérable, plus REVUE DE 'PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 5t t les symptômes et les signes de toxémie so
e pour la bonne intelligence du texte R. 111. C REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. Un cas de pseudo-angine de poitrine chez un
ulenburg qui a été un des premiers à ranger le, troubles du système
nerveux
vaso-moteur parmi les variétés de névroses card
teur de la moelle allongée, semblable à la .-)2 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. perturbation des cellules cérébrales corticale
lgique, 1UOj. ue 121.) Sur 9. 9S1 malades, atteints tI'afrecli()n
nerveuses
l'auteur a relevé 1071 cas de neurasthénie, don
ui est l'analogue de celui plus fréquent ."il i REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. de l'audition colorée, serait dû soit à une as
e ; mais la fatigue détermine -t-elle une modification des cellules
nerveuses
elles-mêmes, ou bien des tissus environnants ?
général très difficile d'être fixé sur la nature exacte d'une crise
nerveuse
à laquelle on n'a pas assisté et qui d'après les
bir l'influence des toxines syphilitiques. Le début des accidents
nerveux
survenant à une date si éloignée de la lésion p
isseaux et s'était lentement diffusée de manière à léser les tissus
nerveux
de l'ordre le plus élevé et le plus vulnérable.
de plus, se résigner à reconnaître qu'il est des cas de pathologie
nerveuse
où le diagnostic clinique est à peu près imposs
est le « tic de l'ours » : il s'observe chez les animaux à syslème
nerveux
impressionnable et parait aussi se communiquer
mplissent automatiquement. BIBLIOGRAPHIE l. - L'Ame et le système
nerveux
(Hygiène et Pathologie] ; par A. FORE, ancien p
l'opportunité n'est pas contestable. L'hygiène sociale du système
nerveux
se trouve aujourd'hui en connexion intime avec to
expliquer sans contradictions, car les règles d'hygiène du système
nerveux
ne sauraient être com- prises sans la connaissa
s parties : 1° âme cerveau et nerfs à l'état normal ; 2° pathologie
nerveuse
; 3° hy- giène. Les phénomènes psychologiques
que Forel appelle la monnaie de la pensée. L'anatomie du sys- tème
nerveux
, qui fait l'objet du chapitre suivant, nous a sem
(Quel- ques détails, pour cette raison, sont inexacts : lesystèrne
nerveux
est comparé à un appareil électrique, dont la s
dont la substance grise constituerait l'accumulateur, elles libres
nerveuses
les fils con- ducteurs ; mais puisque nous reje
rejetons l'hypothèse dualiste, il ne faut pas dire que les cellules
nerveuses
sont un accumulateur; elles ne se contentent pa
'hypothèse du monisme scientifique; aujourd'hui l'étudedu systè- me
nerveux
central a permis de découvrir que les actions et
permis de découvrir que les actions et réactions du neurocyme (onde
nerveuse
) obéissent à la loi fonda- mentale delà conserv
ant. Li chapitre suivant e3Lcoilsicré à la physiologie du système
nerveux
: M. Forel y passe en revue les muscles, les nerf
el y passe en revue les muscles, les nerfs et les neurocymes (ondes
nerveuses
), les réflexes, les instincts ou auto- matismes
usions du souvenir, l'auto- suggestion obsessionnelle, les troubles
nerveux
qui ne sont pas des maladies mentales, sontpass
ies mentales, sontpassés en revue, et suivis des formes mentales et
nerveuses
, M. Forel divise ces formes en 4 groupes : .lnc
évolution rétrograde ou sénile, Les causes des maladies mentales et
nerveuses
se rapportent à l'huez rédité ou à la détériora
reux, libre et riche (du moins eu capacité de tra- vail). L'hygiène
nerveuse
de la conceptionet de l'hérédité fait l'ob- jet
es poisons, et en particulier de l'alcool et de l'opium.L'hy- giène
nerveuse
de l'enfance est ensuite examinée ; M. Forel est
ablis sur les mêmes principes. Enfin M. Forel traite de l'hy- giène
nerveuse
spéciale de l'adulte qui n'est guère qu'un résumé
l qui va sans cesse s'élevant. Quelques mots sur les sanatoria pour
nerveux
, sur la lutte contre l'alcool et l'enseignement d
érentes à notre civilisation ; etc'est évidemment grâce à l'hygiène
nerveuse
que la culture obligatoire des cerveaux des gén
ronophagie».en l'appliquantd'abord à la des- truction des cellulles
nerveuses
par phagocytose. M. Sano trans- forme cette obs
énétration d'un ou plu- sieurs éléments cellulaires dans la cellule
nerveuse
. Ainsi com- prisse processus est connu depuis l
un ganglion de Casser, des globules de pus s'accoler à des cellules
nerveuses
en creusant des encoches. Depuis, de nombreux a
la neuronophagie, qui revêt un aspect dif- férent dans les centres
nerveux
et les ganglions, ne peut se produire dans les
t, qui nécessite 2 conditions : altération régressive de la cellule
nerveuse
, et modification progressive delà névroglie. Elle
ans la sénilité. Enfin, il n'y a que dégé- nérescence de la cellule
nerveuse
suivie de cicatrisation par la névroglie et non
s \ ceux. Bernard P. » ? *" IV, - Leçons cliniques sur les maladies
nerveuses
et mentales, par le professeur Alexandre Stcher
et intéressant, traite des différentes questions de la patho- logie
nerveuse
et mentale. Dans la première leçon, l'auteur an
entre les neurones et des momifications de la direction du courant
nerveux
. Au moyen de l'hypothèse ci-des- sus, Stcherbac
thologique. La manière dont se pro- duisent les décharges d'énergie
nerveuse
entre les neurones, reste BIBLIOGRAPHIE. 89 a
essus morbide dans tous les cas de lésions, organi- ques du système
nerveux
. Ces cas sont si bien choisis qu'ils ou- vrent
a place secondaire aux symptômes dits « clas- siques » des maladies
nerveuses
. Dans ces conditions, cette partie de l'ouvrage
damentale. Alexandre AQUMAN, Assistant à la Clinique des Maladies
nerveuses
et mentales (Varsovie). VARIA FAMILLE FOLLE
quinze minutes sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
, après quinze minutes de préparation. Il sera a
ait ce dernier ? n'a-t-il pas été mis dans « l'hôpital des maladies
nerveuses
», n'a-t-il pas reçu le traitement qui convenai
le était enceinte de noire malade (éclamp- sie' ? ) Père, sans tare
nerveuse
ou mentale, mort à 51 ans de pneumonie. Un frèr
Ville-Evrard au mois de mars 1905 avec leriiagnoslic de troubles
nerveux
caractérisés par des impulsions, par des actes ré
scientes, amnésiques en totalité, ou presque. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
X. A propos ds récents travaux sur l'auscultati
ullanlle muscle ,Ion.; diverses afrcelions du système musculaire et
nerveux
a obtenu des résultats conlirma- .tirs des fden
de la réaction de dégénérescence on peut ajoll- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 135 ter maintenant celui de l'absence de bruit
cle dégénéré. Link ayant en outre, émis l'hypothèse que des centres
nerveux
différents doivent présider à la contraction de
tquele syndrome de la déminéralisation os- 133G REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. seuso dont la physiologie est encore mal connu
yotonie, par ses manifestations cliniquesrlui dépendent des centres
nerveux
, par les lésions des muscles, par son associati
uscles, par son association fréquente avec les maladies du y- tt'me
nerveux
, et surtout, avec l'atrophie musculaire, démontre
fisant d'altération de la zone calcarone (Bard) revue DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 137 mais bien plutôt à ce que le restant du lo
igine est variable. Le type de celle aller- 138 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. lion avec altération intéressant uniquement le
ubles cardiaques divers, de la dyspepsie : lorsque les terminaisons
nerveuses
sont englobées dans le tissus fibreux il semble
reste bon'; après une discussion très'longiip REVUE DE» PATHOLOGIE
NERVEUSE
. L3J l'auteur montre qu'il s'agit d'une fièvre
t d'une femme de 3S ans qui depuis huit mois, présentait des crises
nerveuses
à type hystérique, puis la vue se perdit progre
si rapporté des hallucinations obsédantes dans certaine^ allections
nerveuses
. L'auteur pense qu'il faut distinguer dans ces
tait probablement dû à une défectuosité de déve- loppement du tissu
nerveux
. Il faut noter que presque tous les cas, sinon
rité d'action de l'ensemble du cerveau et de l'ensemble des centres
nerveux
de la moelle et des ganglions spéciaux sur les
u résultat thérapeutique s'ajoute celui de de l'étude de l'asthénie
nerveuse
dans ses rap- ports avec les actes thyroïdiens
tte prophylaxie doit être dirigée contre : l'hérédité, la contagion
nerveuse
, la mauvaise hygiène, les infec- tions ou intox
service militaire fait en général plutôt du bien aux pré- disposés
nerveux
» ; (les mots soulignés le sont par l'auteur).
s ? suivent quelques règles d'hygiène générale pour les prédisposés
nerveux
: pas de vie à outrance, d'arrivisme, etc...
au point de vue philosophique, mais physiopathologique : le système
nerveux
est ou non en état d'intégrité, et l'individu peu
tuites pour les enfants indi- gents atteints de maladies du système
nerveux
, le jeudi à 9 h. 1 ? On peut se rendre à la Fon
U MARDI, et les deux volumes de CLINIQUES des maladies du système
nerveux
sont vendues au 'prix réduit de 50 francs au li
nstincts ; chacun d'eux,d'autre part, accapare la moitié du système
nerveux
, la moitié de tout l'organis- me, l'un des orga
la contraction doit agir dans une di- rection donnée, à la cellule
nerveuse
, quand le champ où elle recueille des excitatio
imal, dissemblance originelle, antérieure à l'apparition du système
nerveux
, est nécessaire au duplicisme, le système se tr
e dans l'échelle animale» » (p. 51), l'Auteur étudie l'organisation
nerveuse
« synthèse de tout l'animal » (p. 50). Après av
chacun de nos co-êtres... serait placé parmi les animaux à système
nerveux
continu)-, et par conséquent supérieur au plus
ués, il cherche, et s'étonne de ne pas trouver, un animal à système
nerveux
simple : « A en croire les classifications adop
: « A en croire les classifications adoptées, dès que le système
nerveux
se présente d'un seul tenant, il se. présente mul
as trouver dans les classifications en usage pour les organisations
nerveuses
, entre le système ner- veux disséminé... et le
tions nerveuses, entre le système ner- veux disséminé... et le type
nerveux
continu multiple ou double, un type nerveux con
disséminé... et le type nerveux continu multiple ou double, un type
nerveux
continu simple » (p. 53). La phrase suivante ac
lion cérébral », on peut « conclure à la simplicité de leur système
nerveux
entier » (p.;53 et 54). Malheureusement le phys
r tirer quel- que enseignement pratique de la phylogénie du système
nerveux
, il est bon de s'en tenir aux seuls Vertébrés.
s uns des autres (Wundt, 1902, 1. p. 228), organes dont les centres
nerveux
primitifs sont eux-mêmes très distants : au sur
, les deux co-êtres échangent-ils quelques-uns de leurs cen- tres
nerveux
, dont les fibres afférentes ou efférentes tra-
chique la plus simple est impossible, dès qu'il existe un système
nerveux
, continu si les deux moitiés de ce système sont
le début, pour les actes inconscients,certaines parties du système
nerveux
peuvent fonctionner sans la partie homonyme du
rétiniennes des doux yeux, mais encore redressement, dans le centre
nerveux
, de chaque image rétinienne : ce qui, dans cell
e- ment que nous rencontrerons tout à l'heure à propos du système
nerveux
. Quant au tube digestif (moins la portion bucco
en ses deux hémisphères, dou- ble la moelle, double tout le système
nerveux
» (p. 7). Pourtant, le développement de la gout
derme cutané : celui- ci, finalement, forme pont au-dessus du «vide
nerveux
» maintenant indépendant du feuillet qui lui do
i- que ». Donc, '«la constitution double et symétrique du système
nerveux
central n'a pas pour origine le rap- prochement
deux co-êtres ne con- courent pas également à la formation du Lubc
nerveux
? ... Mais la chose est infiniment vraisemblabl
irect pour le groupe hétéromère. En un mot, la structura du système
nerveux
est telle que tout ce qui lui arrive, tout ce q
ion absolue avec la synergie nécessaire des deux moitiés du système
nerveux
, et notamment des hémisphères, pour la formatio
oublions pas toute- fois que du fait de l'hypothyroïdie, le système
nerveux
est auto- inloxiqué, ce qui facilite les réacti
rps thyroïde auquel est subordonné en partie du moins, le système
nerveux
, est subordonné lui-même il sa propre innervation
étition de l'incitation sur les caractères de certaines réac- tions
nerveuses
élémentaires. Contribution à l'étude de l'adapta-
tre les « cellules à bâtonnets » (Stab- cheuzellen) et les éléments
nerveux
dans la paralysie progressi- ve ; par M.Cerlett
embryologiques sur la struc- . ture de la gaine myélique des fibres
nerveuses
périphériques ; par M. BE STA.in Rivista sperim
s, et dans les fibrilles longues. 5° Dans ces conditions, l'élément
nerveux
est gravement, compromis et peut être irrémédia
-auriculaire. J. S. XXII. Les altérations cadavériques des cellules
nerveuses
étu- diées par la méthode de DonaggIo ; par M.
n en évidence ces altéra- trous purement cadavériques de la cellule
nerveuse
. Cette méthode bÍ i LEGISLATION. de Donaggio,
Iogie humaine, surtout dans l'anatomie pathologique des maladies
nerveuses
et mentales. J. S. LEGISLATION. Proposition d
uée dans toute maison de santé consacrée au traitement des maladies
nerveuses
et dans tout asile d'aliénés. J'ajouterai que c
e deux heures sur un sujet d'anatomie etde physiologie du système
nerveux
. Il sera accordé vingt points pour celle épreuve.
rganiques à localisation hémiplégique et la topographie des centres
nerveux
des fonctions compromi- ses, la division anatom
a sensibilité du même côté par une irritation quelconque du système
nerveux
, avec abaissement du côté opposé (1882). Dumont
ux car ils ne correspondent pas à la division physique du système
nerveux
. Sans doute une certaine modification physiolog
incts de faits psychiques,mais la « dualité » anatomique du système
nerveux
n'y est pour rien : l'un de ces groupes occupe
: « A la théorie dupliste d'aucuns objecteront que des faisceaux
nerveux
relient ensemble la droite et la gauche et les
ui ne fût pas une personne. Le fait que les Artiozaires à système
nerveux
disséminé, les Rotifères, par exemple, sont dou
quelque valeur, l'Auteur aurait dû,ou partir d'un animal à système
nerveux
simple, qu'il a vainement cherché ou d'observat
t facilement atteint dans trois mala- dies bien définies du système
nerveux
, l'alcoolisme.la paralysie gé- nérale et la fol
ord parfait avec les doctrines de Hughlings Jackson sur l'évolution
nerveuse
, et avec son opinion au sujet des centres repré
MÉDECINE LÉGALE. , 313 nes ou d'une déchéance moléculaire du tissu
nerveux
, se révélant par l'affaiblissement ou la perte
ibut essentiel qui caractérise les mécanismes composés de' cellules
nerveuses
,l'inhibition. L'ins- tabilité fonctionnelle, es
iées et expliquées. Elles témoignent du défaut de fixité du système
nerveux
et du sys- tème musculaire et de la corrélation
ra les Jeudis suivants à cinq heures. Sujet du Cours : Les maladies
nerveuses
des enfants et des adolescents,Applications de
udi 6 Juin. Applications de l'hypnotisme à la pédagogie des enfants
nerveux
et vicieux. -Jeudi 13 Juin. La formation du car
Vo'. 1. 3e Série. Mai 1907, ? S 5 ARCHIVES DE-NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Hystérie et sommeil ( \ \ <\ \ /lo, 1 -
lcan,15J7, 2 vol. Archives, 3* série, 1007, t. 1. 23 354 CLINIQUE
NERVEUSE
. mieux que tout ce que je pourrais en dire leur
agit pas d'aboulie, mais de distraction. Le malade est 356 CLINIQUE
NERVEUSE
. paralysé parce qu'il est distrait. Il oublie d
as, ainsi que la volonté et le désir de le récupérer ; 358 CLINIQUE
NERVEUSE
. ou,si elle est le résultat d'une aboulie, pour
me la double manifestation d'un même trouble fonctionnel du système
nerveux
cen- tral ? Au lieu de faire appel à une psycho
es que nous sommes habi- tués à rattacher à des troubles du système
nerveux
cen- tral ? M. Pierre Marie reprochait un jour
du trouble hystérique - capabled'expliquer à la fois 300 clinique
nerveuse
. les manifestations 'somatiques et psychiques c
31bIioLl. de philos, contemporaine, Paris, (' ..llcan. 362 CLINIQUE
NERVEUSE
. représentation. C'est ce qui arrive dans les p
ec la théorie psychologique, ou plutôt avec les inter- 3G4 CLINIQUE
NERVEUSE
. prétations psychologiques multiples qu'on pouv
somnie complète des grandes hystériques à manifesta- 366 CLINIQUE
NERVEUSE
. tions multiples et surtout viscérales. On ne r
re' même de la vie du sujet, et cela ramène tous les 268 CLINIQUE
NERVEUSE
. événements que l'on a vus se dérouler dans l'o
le centre ovale ou dans toute autre masse blanche, de terminaisons
nerveuses
: ' dans l'état actuel de la neurhistogenèse, o
(icationscirculaLoiresliéesau dynamisme fonctionnel, des centres
nerveux
suffisent à provoquer des^ modifications bémalolo
les simultanés sur les organes hématopoié- tiques et sur le système
nerveux
. F. TtssoT. 4L6 revue de pathologie mentale.
: 1° une sclérose diffuse ou un développe- ment exagéré des fibres
nerveuses
de la névroglie dans la substance cérébrale ; e
cérébrale ; et 2° une altération simultanément étendue des cellules
nerveuses
qui est négative ou positive, la lésion négative
uteur ne révèlent aucune- augmentation du pigment dans les cellules
nerveuses
; 3° mais ils montrent la fréquence des altérat
s autres organes, dans les maladies fé- briles, etc., si le système
nerveux
est atteint, c'est la méningite qui est la lési
me : Les états de conscience sont abso- lument différents des états
nerveux
, mais se rencontrent concur- remment avec eux.
rent concur- remment avec eux. Pour tout état mental il y a un état
nerveux
corrélatif mais sans interférence connue. Les p
ce que nous considérons comme l'expression physique des élé- ments
nerveux
concomitants des états conscients ; 2° les phéno-
ience qui, pour nous-mêmes, sont en corrélation avec certains états
nerveux
, ayant une expression physiologique définie, so
e conscience qui chez les autres,sont en corrélation avec des états
nerveux
ayant en fin de compte une expression identique.
compagnant des états fonctionnels et dynamiques de tous les centres
nerveux
, ou tout au moins ces états de conscience qui a
tout au moins ces états de conscience qui accompagnent des états
nerveux
inférieurs dans des conditions qui ne sont pas no
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 425 tions de l'esprit et du système
nerveux
, lesquelles varient d'inté- gralité, de régular
et de rapidité, et sont déterminées, en ce qui concerne le système
nerveux
, par diverses causes physiques. On abandonnera
es, sachant par expérience que la restauration des états physiques (
nerveux
) s'accompagne nécessairement de la restauration
plus longtemps que les sujets à organisa- 4'28 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tion supérieure ; h) chez les sujets jeunes la
e maladie sera prolongé. H. de Musgrave CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
XX III. - Industrie et alcoolisme ; par M. W. C
dre l'alcoolisme ouvrier. R. de Musgrive CFAY- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 429 l lIr.- Un cas de tumeur cérébrale avec so
iLé dystrophique, il faut admettre en partie 1U REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. l'influence du système nerveux central sur le
en partie 1U REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'influence du système
nerveux
central sur le développement on- togénique, se
minués par suite de l'altération du système asiles d'aliénés. 433
nerveux
trophique. La dysenterie trouve un terrain partic
rable chez les aliénés par suite de la détérioration des cel- lules
nerveuses
qui modifie les fonctions nerveuses trophiques du
la détérioration des cel- lules nerveuses qui modifie les fonctions
nerveuses
trophiques du colon. Elle apparaît beaucoup'moi
lois générales qu'il'en a tirées. Ch. Donne. XI. De la Pathologie
nerveuse
et mentale chez les anciens hébneuxet dans la r
1907, par le Dr VULFING- LUER. L'étude clinique de la pathologie
nerveuse
et mentale des Juifs n'existe pas encore ; et t
raitées : 1° Epreuves écrites. Anatômic et physio- logie du système
nerveux
: Nerf optique (anatomie et physiolo- gie). Adm
épreuve écrite sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système
nerveux
. Les onze can- didats ont eu à traiter : Artère
autre vacant avant le le, mai 1908. Hôpital DE la PiTIÉ. Afa/atS
nerveuses
. M. le Dr DABINSKI, médecin de l'hôpital de la
, reprendra ses conférences cli- niques sur les maladies du système
nerveux
le samedi 4 mai 1907, à 10 heures et demie du m
ratuites pour les enfants indigents atteints de maladies du système
nerveux
, le jeudi à ! ) It. 1/2. On] peut se rendre à l
Vol. 1. 3e Série. Juin 1907. N° 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE
NERVEUSE
Hystérie et sommeil (Théorie physiologique de
'écorce cérébrale. A;cames, 3° série, 1907, t. I. 29 450 CLINIQUE
NERVEUSE
. modification de la sensibilité objective et su
ux sont avant tout des centres dynamiques. Leur siège, 452 clinique
NERVEUSE
. Les phénomènes psychiques de l'hystérie sont,
s un peu mieux ce qu'est un centre cortical, ce que sont les fibres
nerveuses
qui le relient aux organes pé- riphériques ; no
encore que nous igno- rions exactement ce que c'est que l'activité
nerveuse
elle-même, que nous ne pouvons que comparer à d
Voir : L'hystérie et son traitement». F. Alcan, 19ùl. 454 CLINIQUE
NERVEUSE
. nothérapie. C'est alors qu'on assistera à ces
bules, et que les réactions provoquées par ces excita- 456 CLINIQUE
nerveuse
. tions locales dans des cas de troubles localis
iste le sommeil pour reconnaître qu'il dort, et savoir 458 CLINIQUE
NERVEUSE
. comment le réveiller. Et s'il se réveille quan
sais rien. Cela importe peu d'ailleurs. J'ai pensé que l'épuisement
nerveux
pouvait être incri- miné, parce que c'est souve
d'arrêt se traduit à un moment donné par des manifes- 460 CLINIQUE
NERVEUSE
. tations fonctionnelles, d'ordre général le plu
que l'émotion provoque l'anesthésie, en engourdissant les centres
nerveux
, et qu'elle les engourdit en anesthésiant l'ind
is (1) « Les troubles de la mémoire a ? HuPff, 1893. 462 CLINIQUE
NERVEUSE
. disparaître en me bornant simplement à le réve
Les Phénomènes d'autoscopie ». Paris, F. Alcan, 1903. 461 CLINIQUE
NERVEUSE
. fut une surprise pour moi de voir des sujets à
manière de voir. Archives. 3' série 1907, t. I. 30 466 CLINIQUE
NERVEUSE
. En résumé, la théorie physiologique que j'ai p
l'un et l'autre une cause mécanique, à une interruption de l'influx
nerveux
au niveau des extrémités de deux neurones conti
l existe un obstacle à un mouvement volontaire unilatéral, l'influx
nerveux
tend à prendre la voie symétrique du côté opposé.
· Grasset (J.).-Plan d'une physiopathologie clinique des centres
nerveux
, Montpellier médical, XIX, 1904. L'action motri
de la puberté. F. TissoT. XXV. Régénération collatérale de fibres
nerveuses
terminées par des massues de croissance, à l'ét
Icon. de la Salpêtrière, 1906, n° 3.) La seule forme de réparation
nerveuse
connue jusqu'ici est celle décrite par Ranvier
lle. C'est là une disposition probablement générale dans le système
nerveux
et ces fibres à massues de croissance doivent êtr
placement destinés à remédier à l'usure physiologique des fibres,
nerveuses
. Leur multiplication excessive dans le tabes, l'o
ui, observation d'un homme tuberculeux qui, au milieu de troubles
nerveux
vagues, fait quelque ictus successifs et meurt av
urt une héré- dité convergente des plus chargées au,x points de vue
nerveux
, mental et dégénératif. Influence favorable du
s instinctifs sont exécutés par des trac- tus différents du système
nerveux
; 2° que le système moteur voli- tionnel évolua
is nous souvenir que beaucoup de toxines en s'unissant aux cellules
nerveuses
ou en modifiant de toute autre manière leur act
le qu'ils ont eu un prurit quelconque. F. T. LXVII.- Arthropathie
nerveuse
chez un paralytique général non tabétique ; par
iale pour la voie sensitive ou pour la voie 496 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. motrice. L'âge des malades et la durée de l'af
sation de ces troubles médullaires. G. Dl : nv. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
X X I X. - Deux frères atteints de myopathie pr
utôt qu'à une myo- pathie. Après tout il est possible qu'un élement
nerveux
soit venu s'ajouter au cours d'une myopathie pr
affection y est rare, mais les cas décrits sont REVUE de'pathologie
nerveuse
. 497 intéressants à rapprocher de ceux rapporté
évéla Archives, 3' série, 1907, t. I. 32 119S REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. une encéphalite diffuse'avec un syndrome confu
divers tissus. F. TISSOT. XXXV. Les principales formes des troubles
nerveux
dans le mal de Pott sans gibbosité ; par Alquie
oelle et des racines pouvant être réalisés par les mani- festations
nerveuses
d'origme pottique. Après l'exposé d'un grand no
s, l'auteur aborde le diagnos- tic différentiel avec les affections
nerveuses
médullaires ou para- médullaires dont le mal de
que parfois, et malgré une analyse conique minutieuse des troubles
nerveux
, il est absolument impossible, en l'absence de
Charcot, qui portait sa méthode dans le chaos de la patholo- gie
nerveuse
. Bientôt, l'esprit mûri de notre collègue prena
Leipzig, 1894 ; Traité élémcntaire d'anatomie médi- cale du système
nerveux
, 1 vol., ISU 1 ; - La pathologie des émotions,.
les effets du traitement, hydrothermal dans les maladies du système
nerveux
et en particulier de la moelle épinière. . J. R
le dévot esl un être ma- ladif, prédisposé aux troubles du système
nerveux
, smémutil, triste, humble .craintif, égoïste, é
iteur, 1907. M. le prof. Grasset, à qui la connaissance des centres
nerveux
doit tant de progrès, vient de publier une inté
ratuites pour les enfants indigents atteints de maladies du système
nerveux
, le jeudi à 9 h. t ? On peut se rendre à la Fon
hémorragique ; par Monro et Findlay, p. 54. Aw. L'- et le système
nerveux
; par Forel, p. 80. Amyotrophie juvénile progr
par Babinski, p. 437. Arriérés. Voir Enseignement. Arthropatiiie
nerveuse
chez un paralytique général non tabé- tique ;
s asiles ; par Marnaj.p. 435. Cellules. Sur la continuité des -
nerveuses
et sur quelques autres sujets connexes ; par
er, p. 50. Sur les rapports cuire les à bâtonnets et les éléments
nerveux
dans la para- il sic progressÏ\ e ; par CerlcLL
voir Réticulum fibrillaire. Les altérations ca- davériques des -
nerveuses
étudiées par la méthode de Donaggio. par Scar
ES. Voir Calfle muéliql1r. La dégénération et la régénération des
nerveuses
"périphéri- ques : par l3esta, p. 253. Ies- m
tologiques et embryologiques sur la structure de la des libres
nerveuses
périphériques ; par BesLa, p. 252. Ganglions
ion du : par Kéraval, p. 148. Leçons cliniques sur les maladies
nerveuses
et mentales ; par Stcherbax, p. 88. Législati
Pathologie. Voir Idiotie. - Voir ]'amll/sie- générale. De la -
nerveuse
et mentale chez les anciens hébreux et dans la
ne, p. 500. Porencépiialie. Voir Amaurose. l'OTT. Voir Troubles
nerveux
. Pouls. Voir Atropine. l'sr..ono-angine. Un c
3rissauU CL Mou- tier, il 191. Racines médullaires. Voir Fibres
nerveuses
. Rapport médical et compte mo- ral et adminis
le tétanos guéri ; par Bonniot, p. 156. - Voir Sérum. Réactions
nerveuses
. Voir "[dl/p- falioLL. Recherches cliniques.
que ; par Lejonne et Charticr, p. 155. - par Bar, p. 500. SYSTÈME
nerveux
. Voir Ame. Tabès. Voir Lésions syphilitiques.
folie ; par Sydney J. Cole, p. 495. Les principales formes des
nerveux
dans le mal de Pott sans gibbosité ; par Alquie
mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
- Rédacteur en chef: Docteur Edgar BÉRILLON
mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET
NERVEUSES
Rédacteru en chef: Docteur Edgar BÉRILLON PRI
e méthode d'investigation psychologique ; 2° la clinique des maladies
nerveuses
et mentales ; 3° la pédagogie clinique; 4° tous l
je n'aurais jamais soupçonnées. Un jour qu'elle avait eu une crise
nerveuse
, dont elle n'était pas coutumière, et qui me para
sur ce phénomène, et plusieurs fois j'ai pu constater que des crises
nerveuses
s'étaient produites par ce mécanisme. Permettez-m
Ses antécédents héréditaires sont chargés. Son père était irritable,
nerveux
. Sa mère avait 49 ans lorsqu'elle le mit au monde
suggestive. Il s'agit d'une dame, âgée de trente-huit ans, fille de
nerveux
et d'alcooliques, devenue éthylique elle-même apr
férocos, précipices, etc.), tout le tableau en un mot d'une déchéance
nerveuse
et organique profonde, bien faite pour servir de
e — le traitement de choix de tous les troubles dynamiques du système
nerveux
, quelles qu'en soient les formes cliniques et les
. — Extériorisation de la sensibilité. 12. M. Gorodichze. — Dyspnée
nerveuse
guérie par la méthode édu- cative. 13. M. H.
et je ne tardai pas à être convaincu que celte jeune femme était une
nerveuse
, je ne dis pas une hystérique classique, parce qu
e pouvoir pas avoir d'enfants. Cette jeune femme était pour moi une
nerveuse
, et son nervosismo, quelle qu'eut été son origine
communiquant ce que sera devenu cette grossesse inespérée, et l'état
nerveux
de mon intéressante malade. Je termine en disant
ur activer la nutrition générale et modérer l'irritabilité du système
nerveux
. Chez les convalescents de maladies graves, l'a
la dépendance d'une sorte d'inertie psychique, d'un défaut d'énergie
nerveuse
, morale, je résolus d'appliquer une stimulation v
ortant. Mère morte à ; trente-un ans, suite de couches. Sa mère était
nerveuse
. Deux frères ou sœurs sont morts, l'un en naissan
e de marcher et, le 24, elle dut rentrer à l'hôpital. Au point de vue
nerveux
, elle est très impressionnable. Elle a eu une cri
nt de vue nerveux, elle est très impressionnable. Elle a eu une crise
nerveuse
à la suite d'une visite de ses parents ; une seco
able d'ajouter le somnambulisme artificiel à la pathologie du système
nerveux
, chapitre que les investigations du plus grand no
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
rsqu'il entra à l'hôpital, il avait une céphalée continue, des crises
nerveuses
fréquentes et une telle sensibilité qu'un objet b
nd jour do son entrée, sa céphalée disparaissait.. Quant à ses crises
nerveuses
, il n'en eut plus jamais. } C'est la disparit
s exemples, vous êtes maintenant convaincus que, contre les accidents
nerveux
, l'hypnotisme peut être employé et rendre de gran
isme d'une malade qui, en même temps qu'elle présentait des accidents
nerveux
, portait une grave lésion rénale. , Il s'agit d
rs jours. Comme symptômes de névropathie elle a présenté des crises
nerveuses
, de l'aménorrhée, de l'anuriequi a duré une fois!
es que la guérison est réalisée. La douleur, l'insomnie, l'excitation
nerveuse
ou l'atonie, les troubles circulatoires digestifs
r faire disparaître d'une manière plus ou moins brusque des accidents
nerveux
; mais aussi comme mode de traitement de toutes le
l. Mais mes efforts répétés n'obtinrent aucun succès. Le malade était
nerveux
, inquiet, agité, secoué par des tressaillements m
ent à envisager d'une façon toute spéciale la nature de ses accidents
nerveux
. Evidemment, il s'agissait là d'une neurasthénie
n, développée à la faveur d'une dyspepsie et d'une fatigue du système
nerveux
, ainsi que je l'avais affirmé dans mon diagnostic
s qu'au contraire la douleur le rapetisse et l'avilit, « Les malaises
nerveux
, les bobos, les vapeurs, laissons cela aux femmes
son caractère, sur la recherche du mécanisme intime de ses accidents
nerveux
et qui appelle à son secours à la fois le jugemen
ra, certaines crises envahissantes peuvent rendre compte des troubles
nerveux
consécutifs observés, et rentrent du fait même da
rs rapports respectifs avec la dégénérescence mentale et l'épuisement
nerveux
. Pour lui, en effet, la phobie n'est d'abord « qu
s d'angoisse, et les considère comme traduisant « une véritable crise
nerveuse
, non plus dans le domaine de la motricité, mais d
rtout chez les phobïquss ? une augmentation morbide do l'excitabilité
nerveuse
». De là cette constatation si juste que « dans l
nir chez tout individu en imminence de fatigue ou de déséquilibration
nerveuses
, mais affectant de préférence les psycho-névropat
s préliminaires changements qui peuvent être apportés dans le système
nerveux
, tandis que l'Ecole de Nancy soutient que la sugg
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dûpemaire neurologique et pédagogique), est anne
e ont été également faites, à la section des maladies mentales et
nerveuses
: par M. A. de Joug (de La Haye), sur le traiteme
at est dû au libéralisme des organisateurs de la section des maladies
nerveuses
et mentales, MM. les professeurs Kojénikoff, von
e, de chloral, de morphine ou d'autres stupéfiants ont sur la cellule
nerveuse
une action beaucoup plus délétère que le procédé
nous avons pu nous assurer qu'elle était le résultat d'une contagion
nerveuse
, l'enfant ayant assisté à des crises d'hystérie.
pnotique ne peut produire que l'abaissement de la fonction du système
nerveux
, et par conséquent il agit comme un sédatif. 6)
fonction dans une direction1 déterminée. 7) L'excitation du système
nerveux
parla suggestion ne peut être que de courte durée
rs résultats au traitement des états d'excitation générale du système
nerveux
, quelle que soit la cause de cette excitation.
douleurs de toutes espèces et dans toutes les excitations du système
nerveux
chez les neurasthéniques, dans tous les états aff
s mentales, qui se caractérisent par l'excitation générale du système
nerveux
et du cerveau en particulier, qui produit divers
que sous la condition de l'amélioration de l'état général du système
nerveux
. Par exemple : la disparition des idées impulsive
l'hypnotisation provoque uuo espèce d'excitation générale du système
nerveux
qui est toujours passagère, mais qui peut quelque
nt être guéris que par l'hypnotisme. Quant au traitement des maladies
nerveuses
, l'hypnotisme et la suggestion doivent être regar
e 30 ans, actuellement enceinte de 8 mois et demi, est née d'une mère
nerveuse
et impressionnable, après une grossesse difficile
de nombreux revers de fortune. La grand'mère du côté maternel, très
nerveuse
, serait morte d'un transport au cerveau, avec gra
après des excès de toutes sortes ; garçon mal équilibré, extrêmement
nerveux
et sujet à des crises d'agitation. Une sœur un pe
oduit. En ligne descendante, Madame X... a deux petites filles très
nerveuses
de 9 et 8 ans. Les deux enfants sonts surveillées
vation I. — Mme T..., multipare, croit être enceinte do 9 mois. Femme
nerveuse
; plus clic a d'enfants, plus ses grossesses sont
ux s'étaient particulièrement concentrés sur la pathologie du système
nerveux
cérébro-spinal chez l'homme et sur l'anatomie com
eux cérébro-spinal chez l'homme et sur l'anatomie comparée du système
nerveux
central chez les vertébrés; on lui doit la découv
ifférentes époques, les ouvrages suivants : Recherches sur le système
nerveux
cérébro-spinal, sa structure, ses maladies (1865,
, ses maladies (1865, in-8°); Iconographie photographique des centres
nerveux
(1872, 2 vol., 70 pl.); Des aciions réflexes céré
éflexes cérébrales (1874, in-8°) ; Leçons sur les maladies du système
nerveux
(1875, in-S*} ; Des conditions palhogémques du dé
russes et français. M. Raymond, professeur de clinique des maladies
nerveuses
à la Faculté de médecine de Paris, a reçu du prof
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire neurologique et pédagogique), est.an
. X..., qui me déclare encore pendant celle opération qu'il n'est pas
nerveux
du tout et qu'il est bien persuadé que tenter une
blo état d'hypnose, il y a une orientation particulière de cet influx
nerveux
, et en même temps concentration de toutes sas for
n'a pas connu ses grands-parents. D'après son frère ils n'étaient pas
nerveux
. Son père alcoolique s'est suicidé sans qu'on ait
s'est suicidé sans qu'on ait su le motif. 8a mère est rhumatisante et
nerveuse
mais sans crises hystériques ou épileptiques. Ell
Les autres vivent; ils sont bien portants et aucun n'a eu de maladie
nerveuse
ou mentale. La malade a eu la fièvre typhoïde, ve
a eu un enfant Tannée suivante. La malade dit qu'elle était très
nerveuse
mais qu'elle n'a jamais eu de crises hystériques.
sur elle les renseignements suivants : « elle a toute jours été très
nerveuse
, exaltée et môme parfois très violente. Elle a «
mine, en effet, selon son expression, - le dérangement de son système
nerveux
m. Fernand P..., très incommodé par son tremble
e se faire soigner. Il vient, dans ce but, à la Clinique des maladies
nerveuses
, qui est annexée à l'Institut psycho-physiologiqu
l'un de 50, l'autre de 40 ans ; sa mère, à ce qu'il raconte, est très
nerveuse
, elle présente une émotivité exagérée, un rien la
il n'a fait, prétend-il, aucune maladie, ni manifesté aucun accident
nerveux
. Bien qu'il n'ait que 15 ans, il parait facilem
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ie beaucoup. Parmi mes premiers malades, j'eus peu de cas de maladies
nerveuses
graves ; et je réussis dans ma première centaine
s sont dus à des altérations dans l'activité fonctionnelle des fibres
nerveuses
de la matière blanche des hémisphères cérébraux-.
comporte ont leur source purement subjective qui est dans le système
nerveux
du sujet lui-même. La fixation d'un objet brillan
hef de l'asile d'Armenlières. Examiner le fonctionnement du système
nerveux
et des viscères des aliénés, n'est pas moins util
t pas ainsi, pourrait-on, en conscience, négliger l'examen du système
nerveux
dont l'activité mentale apparaît comme le produit
brication des facultés intellectuelles ? Les troubles des fonctions
nerveuses
communes doivent donc être recherchés dans le
r conséquent pas bien digéré et ayant, par contre, surmené le système
nerveux
, préoccupé du lendemain, n'a subi l'agitation d'u
plus divers: attaques d'hystérie nettement caractérisées, gastralgies
nerveuses
, crises de larmes, accès d'angoisse, tics convuls
ies infectieuses). Enfin, les époques où le développement des centres
nerveux
subit une poussée sont favorables à l'éclosion de
e sauté robuste, bien constitué, non hystérique, exempt d'antécédents
nerveux
héréditaires. Comme antécédents personnels, il co
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
a santé publique qui nous est démontré par la fréquence des accidents
nerveux
que provoquent les manœuvres intempestives des ma
ent fonctionnent les modes physiologiques habituels de la sensibilité
nerveuse
commune chez l'aliéné? L'examen n'est pas toujo
spéciaux qui transmettent l'action des agents extérieurs aux centres
nerveux
, déterminent, à l'état normal, la sensibilité cut
tions. Le sens de l'équilibre est encore le fruit d'une élaboration
nerveuse
d'origine organique qui se rattache, comme on sai
circulaires, et domine, de même que le sens musculaire, la pathologie
nerveuse
. Les tabétiques qui perdent leurs membres dans le
ction d'inhibition volontaire est une des plus importantes du système
nerveux
. La volonté d'arrêt, fonction essentiellement psy
cquérir une puissance extrême. Placée sous la dépendance des cellules
nerveuses
, elle en partage toutes les vicissitudes. Très ac
ds maux de tête, dans son enfance; a toujours été bien réglée, un peu
nerveuse
, sans offrir toutefois des stigmates d'hystérie b
nfants et de mauvaises couches, suivies de péritonite, etc. C'est une
nerveuse
et, probablement, une hystérique, bien qu'elle n'
que, bien qu'elle n'en offre pas les stigmates bien accusés ; de mère
nerveuse
qui, abandonnée par son mari, avec plusieurs enfa
es maladies qui se caractérisent par l'excitation générale du système
nerveux
et du cerveau en particulier, produisant des symp
e rendus par ce moyen, non pas seulement dans le domaine des maladies
nerveuses
et mentales, mais dans celui de la rnédecine en g
étude de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système
nerveux
. Il avait débuté en affirmant la part qui revie
un prix à l'Académie des sciences pour ses recherches sur le système
nerveux
cérébro-spinal, dont-il décrivit la structure, le
ivie de la publication de son Iconographie photographique des centres
nerveux
a Vétat pathologique. . Directeur de la maison
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
. — Applications des travaux de Branly à l'étude de la conductibilité
nerveuse
. Jeudi 3 Février, à cinq heures, M. le D' Béril
ntations d'appareils. Faculté de Médecine. — Cliniques des maladies
nerveuses
: M. le professeur Raymond, les mardis et vendredi
due de la surface sensible, varie essentiellement avec la sensibilité
nerveuse
de la personne en expérience ; et c'est même là u
ue la méthode du sommeil prolongé pour obtenir la sédation du système
nerveux
. Or, pendant ce sommeil, qui est du degré le plus
leur faire commettre les actions les plus délictueuses. Telle femme
nerveuse
refuse absolument de se laisser traiter par la su
malade à Nancy, et cela sur ma recommandation. Une dame de 37 ans,
nerveuse
depuis plusieurs années, parêsique droite avec co
— Applications des tra~ vaux de Branly à Vétude de la conductibilité
nerveuse
. Jeudi 3 FÉvniER, à cinq heures, M. le D' Bérll
terne de Briquet; c'est là qu'il prit le goût de.l'étude des maladies
nerveuses
: il recueillit dans ce service les matériaux de s
a avec une prédilection marquée des maladies du cerveau et du système
nerveux
. En 1856, il publia dans les Archives de Médecine
pnotisme, 2' année, 1888, p. 33. — Spasmes de l'urèthre et troubles
nerveux
— guérîson par l'hypnotisme. » Revue de VHypnotis
(i). Dès les premières recherches sur le fonctionnement du système
nerveux
, il a paru naturel d'admettre entre la conductibi
système nerveux, il a paru naturel d'admettre entre la conductibilité
nerveuse
et la conductibilité électrique une ressemblance
lectrique une ressemblance qui a été exprimée par le terme de courant
nerveux
. Le système nerveux passait alors pour constituer
blance qui a été exprimée par le terme de courant nerveux. Le système
nerveux
passait alors pour constituer un tout dont les di
res années, les recherches histologiques ont fait voir que le système
nerveux
est formé de neurones, éléments indépendants, san
extrémités ramifiées et par contiguïté. Il en résulte que l'onde
nerveuse
se propage par contiguïté et qu'elle est arrêtée
le est arrêtée par un défaut de contiguïté. L'assimilation du système
nerveux
à un système de conducteurs métalliques n'est plu
une analogie frappante se présente entre le fonctionnement du système
nerveux
et les propriétés d'un conducteur discontinu, pro
directe de violentes décharges. Assimilation avec la conductibilité
nerveuse
Si l'on compare le système nerveux à un conduct
milation avec la conductibilité nerveuse Si l'on compare le système
nerveux
à un conducteur discontinu, un neurone se comport
ression de la transmission, soit sensitive, soit motrice, de l'influx
nerveux
et par conséquent, à un défaut de contiguïté des
nerveux et par conséquent, à un défaut de contiguïté des terminaisons
nerveuses
. « D'autre part, de même que les oscillations d
du choc et des étincelles sur les radioconducteurs et sur le système
nerveux
hystérique se poursuit dans la susceptibilité de
causées par le ralentissement de la nutrition. Si ces alïections sont
nerveuses
et peuvent être attribuées à une transmission imp
et peuvent être attribuées à une transmission imparfaite de l'influx
nerveux
, on est autorisé à supposer que les oscillations
oscillations électriques agissent en rétablissant entre les éléments
nerveux
une contiguïté qui était devenue insuffisante.
ibilisation). Les courants continus agissant également sur le système
nerveux
, il y aurait lieu de rechercher si leur mode d'ac
ion de l'assemblée si éminente, qui constitue la section des maladies
nerveuses
et mentales, sur les mesures de restriction en qu
llants et permanents et dont un médecin spécialiste pour les maladies
nerveuses
ou mentales ne peut pas et ne doit plus se passer
it et qu'on le rasait il se perdit une demi-heure du meilleur sommeil
nerveux
) ; aussitôt après commença l'opération, en présen
s en indiquer une, basée sur l'ana-tomie et la physiologie du système
nerveux
. Nous avons vu ici même ('J-le parti qu'on peut
ux. Nous avons vu ici même ('J-le parti qu'on peut tirer du réflexe
nerveux
dans l'étude de la volonté et des causes des acte
olonté et des causes des actes. Ce réflexe décompose les phénomènes
nerveux
en trois phases : 1) La sensation arrive au cer
, paraît-il, un appareil permettant à toute personne d'un tempérament
nerveux
de s'hypnotiser elle-même en deux ou trois minute
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pé- dagogique],
, de suicide ; len-tauves de suicide ; excitation générale du système
nerveux
, insomnies, gâtisme, relus d'aliments et de médic
s cette disposition commune à tous les hommes par laquelle le système
nerveux
central de chacun est apte à recevoir, par l'inte
es grands suggeslibles peuvent être soumis à toutes les modifications
nerveuses
. On suscite en eux des algies et des analgésies,
influences diverses, de l'état général et particulièrement de l'état
nerveux
d'un sujet, transformation au cours de laquelle s
i, un des premiers, se livra avec grand succès à l'étude des maladies
nerveuses
qui font le sujet principal des travaux de notre
e développement des phénomènes d'hystérie locale. Mataaies du sysième
nerveux
. T. 1, p. 449. (2) : Sur la diathèse de contrac
l'intervention chirurgicale et principalement sur la part que l état
nerveux
de la malade pouvait avoir dans la persistance de
ostic fut que les douleurs éprouvées étaient la conséquence de l'état
nerveux
; que l'habitude do l'idée de la douleur entreten
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
{dispensaire neurologique et pédagogique), est an
itement de l'épilcpsle. Mardi 10 Mai. — Les névroses par épuisement
nerveux
. — La neurasthénie anxieuse. — Les obsessions et
période réjractaire, c'ost-à-Jlrc le temps pendant lequel le système
nerveux
, qui vient d'ôlre excité, demeure inexcitable; il
re l'idée conçue ou suggérée, agissant sur le cerveau, sur le système
nerveux
, sur les fondions de nutrition, de respiration, d
nous avons pu nous assurer qu'elle était le résultat d'une contagion
nerveuse
, l'enfant ayant été témoin de crises d'hystérie.
cès de colère, elle blessa son fils avec un couteau. La mère est très
nerveuse
. Elle a présente longtemps de grandes attaques d'
la force d'attention, omniprésente partout où il y a de la substance
nerveuse
, rayonne du cerveau, et, par un mouvement centrif
états passifs, la cause en est due certainement à ce que les centres
nerveux
agissent souvent indépendamment les uns des autre
st somatique. Aussi les voit-on, par exemple dans des cas de troubles
nerveux
ou mentaux, prescrire les potions ou les pilules
no s'est encore produiteque l'organisme est déjà changé; son système
nerveux
vaso-moicur est ému avant elle. » Ces recherche
fair; qui s'est toujours occupé spécialement des troubles des centres
nerveux
, prétend que lu jeune fille en question est à l'a
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladie»
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique)^ est an
oit avoir été fréquemment répété, de telle sorte quo le mécanisme
nerveux
n'offre plus aucune résistance à sa mise en œuvre
, (Revue neurologique, 1897, n° 11. p. 298.) — On sait que le système
nerveux
central est considéré de nos jours comme un a
s jours comme un assemblage de neurones, c'est-à-dire de cellules
nerveuses
à prolongements mobiles. En invoquant les vibrati
illain, qui a déjà écrit, sur diverses questions relatives au système
nerveux
, de nombreux travaux appréciés, vient d'entrepren
apitres comporte deux subdivisions ; les troubles viscéraux d'origine
nerveuse
et les troubles nerveux d'origine viscérale. L'
divisions ; les troubles viscéraux d'origine nerveuse et les troubles
nerveux
d'origine viscérale. L'auteur n'a pas eu la pré
oulèvent le diagnostic, le pronostic et la thérapeutique des maladies
nerveuses
;:., il peut se flatter d'y avoir réussi. On ne sa
ment, — neurasthénie, — psychoses, — hystérie, — amblyopieet sunrdité
nerveuses
, — alcoolisme chronique, — morphinisme, chlora-li
maladies rhumatismales, — hémorrhagies, — phtisie, — asthme et toux
nerveuse
, — maladies, de cœur, — congestions locales, — ma
nglais par le Df Petersen, alors que ce dernier étudiait les maladies
nerveuses
et mentales à Paris, à Nancy, â Zurich et à Vienn
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique rie maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
e des caractères (sur une), par le Dr Regnault, 250. Conductibilité
nerveuse
et conductibilité électrique discontinue, par le
. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' REVUE TRIMESTRIELLE DES MALADIES
NERVEUSES
ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
Les ganglions sont des confluents où les conducteurs de la force
nerveuse
cérébrale subiraient une in- terruption (Meyner
ique avec non moins de soin que les autres difficultés des centre
nerveux
, ne la démontre en réalité que sur le cerveau d
ns, peuvent conduire à la distinction de plusieurs modes du sommeil
nerveux
, jusque là confondus sous la dénomination génér
entation. L'état hypnotique, en effet, n'est autre chose qu'un état
nerveux
artificiel ou expérimental, dont les manifestat
quée ; le mode de succession chez un même sujet de ces deux états
nerveux
: léthargie provoquée et catalepsie provoquée ;
re, l'excitation mécanique localisée soit au tendon, soit au rameau
nerveux
, soit au corps du muscle lui-même '. § 1. EXC
isseurs ou des extenseurs au dessus du poignet. D'autres affections
nerveuses
au contraire sont, on le sait, marquées, dans l
tendineux, l'ataxie locomotrice par exemple. Les différents états
nerveux
auxquels les pratiques de l'hypnotisme donnent
ions nous ont appris que, souvent, dans l'hypnotisme cette activité
nerveuse
spéciale n'est pas modifiée d'une façon uniform
aison de l'excita- bilité variable des diverses parties des centres
nerveux
. Sous ce rapport, l'axe médullaire peut être di
avons choisi, pour les soumettre à l'expéri- mentation, des troncs
nerveux
assez volumineux et faci- lement accessibles à
nés au petit doigt et à l'annulaire reçoivent seuls leurs rameaux
nerveux
du nerf cubital, le nerf médian inner- vant les
les muscles innervés par le médian. A priori, l'excitation du tronc
nerveux
lui-même pro- duira les mouvements suivants :
médiaire entre l'adduction et l'abduction. (d suivre.) PATHOLOGIE
NERVEUSE
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES ARTHROPATHIES TABÉTI
point de vue qui nous occupe, et nous paraissent mé- 76 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. riter une description minutieuse. L'examen de
rement des accidents analogues dans d'autres jointu- 78 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. res. Ces observations montrent encore la symét
faisant saillie sous la chariot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. II, p. 59; Paris, 1873. ÉTUDE SUR LES ART
ait peut-être jamais existé, ou du moins n'eut apparu 80 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. que plus tard; le traumatisme a éveillé la man
on collatérale des veines superficielles. Le plus « 82 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. souvent, la synovie fuse dans le tissu cellula
peuvent être invoquées pour expliquer leur indolence; 8t PATHOLOGIE
NERVEUSE
. mais elle n'est pas la seule. M. Charcot (comm
18 9.1 3 R. Blanchard. - Société de biologie, 1881. 86 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. n'en avait que de fort minimes, on lesperçoitt
hies et les fractures des ataxiques reconnaissent une 88 PATHOLOGIE
NERVEUSE
. même cause, une altération du tissu osseux', e
ui se pro- duisent. 2 Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
. T. II. RECUEIL DE FAITS Asile Sainte-Anne. S
entre des limites qui peuvent être représentées par les courants
nerveux
et musculaire de la grenouille. M. Regnard obse
rait, selon lui admettre que les métaux agissent sur les extrémités
nerveuses
en leur communiquant des vibrations; que dès lo
ns différents coïncident ou non avec les vi- brations des molécules
nerveuses
, d'où impulsion ou arrêt, etc. On voit de suite
ent avoir la moindre influence. Aucune distribution vascu- laire ou
nerveuse
n'est suivie ; la sensibilité s'étend comme une
semble qu'elle se limite, par une sorte d'élection, aux extrémités
nerveuses
, tandis que les troncs et centres nerveux lui s
lection, aux extrémités nerveuses, tandis que les troncs et centres
nerveux
lui sont indifférents. Outre cette action local
distance, qui ne peut s'exercer que par l'intermédiaire des centres
nerveux
. Plusieurs circons- tances la démontrent. D'abo
vivisection pour les points déli- cats de la physiologie du système
nerveux
. En effet, et c'est ce qui constitue l'importan
es oesthésiogènes, Paris, 1880. Boussi (R.).-Etude sur les troubles
nerveux
réflexes observés dans s les maladies utérines,
PROUST et BALLET.- De l'action des aimants sur quelques troubles
nerveux
(Journ. de thérap., 1879). BoucsAUD. Contributi
que nous possédons sur la phy- siologie et la pathologie du système
nerveux
, de la sûreté de nos méthodes, nous pouvons abo
complète, suivant les sujets et aussi suivant l'état des centres
nerveux
. C'est « le phénomène du genou », dont l'étude a
ns et chez les malades atteints d'affec- tions diverses des centres
nerveux
. Dans tous ces cas, le réflexe est d'autant plu
t encore à faire ; les lésions qu'on a signalées du côté du système
nerveux
, telles que hyperhémie, infiltration séreuse ou
il avait une certaine classe d'individus présentant les phénomène»
nerveux
les plus incroyables. Dans le langage de paysan
; qu'ils se-trouvent après ces séances, mal à leur aise, épuisés et
nerveux
: aussi évitent-ils avec soin toutes les causes
ing » (action et état de celui qui bondit) est une sorte de maladie
nerveuse
psychique ou mentale , d'ordre fonctionnel. L'a
ychique, le « jumping » ne survient pas chez ceux qui sont faibles,
nerveux
ou anémiques, mais bien au contraire il atteint
leur existence. Ce n'est donc nullement une maladie « d'épuisement
nerveux
». Ceux qui en souffrent le plus sont l'opposé
trouvé dans les familles des « sauteurs » aucune trace d'affections
nerveuses
fonctionnelles ou organiques. Le «jumping » est
lente et inattendue ; il n'est aucun de nous, et je parle des moins
nerveux
, qui ne puisse sauter ou crier, à l'instar de c
ar des expériences, la pathogénie et la thé- rapeutique des centres
nerveux
et principalement de l'épilepsie. Prix : 8,000
é un progrès capital dans la thérapeutique des maladies des centres
nerveux
, telle que serait, par exemple, la découverte d
n, viennent de fonder un nouveau journal de maladies mentales et,
nerveuses
. Ce journal parait par cahiers trimestriels, à pa
postérieure, dite corne d'Ammon 1 G. Huguenin. Anatomie des centres
nerveux
. Traduc. franc. Paris, 1879. LA CORNE D'AMMON
ues, avons formulée et figurée à la page 474 de l'article Système
nerveux
du XXXIIP volume du Dict. de Méd. et de Chirur,
n se colorer presque avec la même intensité que la coupe de tissu
nerveux
quelle inclut, et, quoique l'addition de glycé-
laire elle-même, ou bien suit- elle l'excitation des petits rameaux
nerveux
et de leurs terminaisons dans la substance du m
a contracture est ici, comme ailleurs, le résultat d'une excitation
nerveuse
de nature réflexe. . Quoi qu'il en soit, la c
ques y sont multiples; enfin, il existe de nombreuses ramifications
nerveuses
qu'il est difficile d'éviter. Néanmoins, nos
de l'avant-bras d'une hystérique hypnotisée et présentant l'état
nerveux
spécial favorable à ce genre de re- cherches, o
d'élection dont le siège paraît indiqué d'avance par la topographie
nerveuse
de la région, il faut encore compter avec les v
ariations individuelles fréquentes dans la distribution des rameaux
nerveux
. La localisation de l'excitation mécanique dans
e-même, soit indirectement, en portant l'excitation sur le rameau
nerveux
qui lui est destiné, en quelque point que ce so
sion, exercée directement sur le muscle lui-même ou sur le rameau
nerveux
qui l'innerve, met les fibres muscu- laires en
tion des nerfs de la face, qui peuvent faire rencontrer une branche
nerveuse
destinée à mettre en mouvement un Plus ou moins
- voqué la contraction en masse des muscles innervés par ce tronc
nerveux
et n'a pu* produire qu'une grimace. » La même c
" nez, ' q41"'reçoi 'vent' leurs filets moteurs 'd'un même' rameau
nerveux
qui passe sous l'extrémité supérieure du grand
'intrication d'une partie de leurs fibres.. De plus, un même rameau
nerveux
les innerve. - Il y a donc à craindre de touc
c à craindre de toucher avec l'excitateur .une portion .du rameau
nerveux
, , dont les fibres se distribuent. à plusieur
cours des expériences que nous venons de rapporter, que les troncs
nerveux
comme les muscles- eux-mêmes'étaient aussi bien
est directe'ou indirecte. (Quel- ques expériences sur des rameaux -
nerveux
, isolés et i éloignés des muscles qu'ils -inner
ppuyant sur- le . cartilage inférieur; dans ce point,' son. tronc-1
nerveux
. n'est séparé du rhéophore que.de trois à quat
, ! ,inr,· ,3 lif - [;, 0 On conçoit qu'en ce même point ? ce tronc
nerveux
protégé par les os et les cartilages,- soit' di
aide de fibres de transmis- sion, atteint le bulbe, d'où les fibres
nerveuses
qui animent les diverses parties de l'appareil
tous les renseignements nouveaux dont s'est enrichie la pathologie
nerveuse
sont relatifs aux altérations de* la moelle, de
st bien portant; il y a lieu cependant de remarquer que sa mère est
nerveuse
et fort impressionnable. A l'âge de seize ans
cette singulière maladie, ou bien n'assistons- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 239 nous encore qu'à une rémission trompeuse ?
es avec symptômes cérébraux et bul- baires '. REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
I. CONTRIBUTION A la STRUCTURE ET A L'HISTOIRE
ts permettant de rapprocher les deux faits. 240 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. tumeurs existent sur plus d'un tronc nerveux p
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tumeurs existent sur plus d'un tronc
nerveux
principal ou sur ses branches. L'article contie
aucun doute, congénitale. Il est digne de remarque que ces lésions
nerveuses
coïncident souvent 'avec' des névroses ou des m
senté aucun symptôme qui pût faire soupçonner une lésion du système
nerveux
.' Des qua- torze autres ? huit ont 'présentera
urent de'maladies diverses n'ayant pas'de rapport- avec u affection
nerveuse
; les autres succom- bèrent par' épuisement ou
,le trajet .' '. ju. : <.n m r - \u* ; . j REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 241 d'un tronc nerveux de petites tumeurs fusi
t;.n m r - \u* ; . j REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 241 d'un tronc
nerveux
de petites tumeurs fusiformes, non adhé- rentes
nt fournie de tissu adipeux, normale ' 16 243 REVUE DE pathologie
NERVEUSE
. dans ses lignes et dans ses mouvements, fait u
n du trijumeau ou des fibres sympa- thiques contenues dans le tronc
nerveux
(Eulenburg) ; trouble vaso-moteur de la région
it. Telles les névralgies rectales et reclo-vé- REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 243 sa'cales qui se montrent chez des individu
. Neftel pense qu'il convient de combattre la dystrophie du système
nerveux
central, quel qu'en soit le fauteur pathologiqu
t amenée sur l'hypogastre (ligne médiane) 244 REVUE .DE PATHOLOGIE,
NERVEUSE
, étales deux régions ! inguinales;, on, pratiqu
s' tumeurs de cet or- gane ; la sclérose multiloculaire'des centres
nerveux
et l'hydro- cé' h'l "' ' " " "" ' limitée au' c
, ? l ? uiu ? ll, m,. i ? r,jii'.» ? iiij ? 216 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. on se propose comme objectif de déterminer ave
le de la Salpêtricre ;/te(<< ! e<tOH.) REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 247 ' : aboutissant à la dégénérescence stéato
aire, à, l'atro ? phie, et finalement à la disparition des cellules
nerveuses
pyra- midales (Obs. n° 90 du tableau); concurre
. n° 90 du tableau); concurremment, atrophie et sclérose des fibres
nerveuses
correspondantes, épaississement et infiltration
ur fit de la localisation des quatre autres 248 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. ' sens, goût, odorat, ouïe, vue en des régions
ies -fonctionnelles^ à l'homme; il se base sur le trajet des fibres
nerveuses
. L'arrivée dans la corne d'Aminon' oïl'dàiïs 1
ar, Neidhart qui fait jouer pourtant un certain rôle à l'irritation
nerveuse
; enfin par Salzer à des modifications anatomiq
est, extrêmement douloureux,,causant de l'in- somnie, un épuisement
nerveux
et , une prostration physique générale 1 If, 1
x n'est pas habituellement affecté, C. T. 250 REVUE.DE pathologie
NERVEUSE
. VIII. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE la paralysie s
e l'hémisphère droit, de la paralysie des nerfs REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 351 1 optiques oculo-moteurs hypoglosse à droi
oncis de recherches déjà( anciennes, que les phlegmasies du système
nerveux
ne dérogent pas, sous le rapport de l'aug- ment
ythème),'des muqueuses (angine, bronchite, 252 revue' de'pathologie*
nerveuse
.' vulvo-vaginite ? balanoposthite) ; ,`dans les
né gauche,, une tumeur de la grosseur d'une g54 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. pomme, on trouva àl'autopsie, sur la base du c
ait pendant la vie, grâce aux phéno- mènes très nets de compression
nerveuse
. Ces tumeurs sont survenues chez un jeune sujet
s de la maladie qui nous occupe ne sont marqués REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 255 que par une perte notable dans l'activité
u corps. On rencontre- également un foyer n revue de, pathologie,
nerveuse
. 257 i récent dans le corps strié droit en rapp
ur action chimique est irri- tante, plus aussi on voit les troubles
nerveux
qu'ils déterminent prendre, de gi : vité. Lorsq
, dont le docteur Hume a décrit, dans 17 258 REVUE de pathologie,
nerveuse
. 1- a zl, .2 Lrlntl W 11c'V.1u111 . ., J ·,uW
éme tee, 1 iris bleu, la paupière supérieure tombante. Le système
nerveux
est facilement troublé. Le système vasculaire est
yl9tqlfft4Fl ' LtUJ lClt i 1m kil- i si » .p FI REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. 259 VT ? mrm" rj ' ' ? '. ' '-* ir*.a4>- 4.
pleurs et enfin coma). Hémiplégie droite et 260 REVUE DE PATHOLOGIE
NERVEUSE
. aphasie (amnésie verbale). Deux mois et demi p
les différents CBR ? CLES DE TROUBLES INTELLECTUELS ; - LES MALADIES
NERVEUSES
MODERNES ; - L'ÉDUCATION DANS SES RAPPORTS AVEC
,,I,,aun : ) fl0lî f-a iu^En effet, (les troubles, intellectuels et
nerveux
,prennent,çha- que jour plus d'importance et de-
ses, nous-'voyons 's'augmenter le nombre des maladies indirectement
nerveuses
, 'c'est-à-dire' dé1 celles qui,' sans avoir leu
aiguë; d'où l'augmentation et l'excès^des^appel^faits à l'activité
nerveuse
,- et comme conséquence logique, les troubles nerv
à l'activité nerveuse,- et comme conséquence logique, les troubles
nerveux
oprésents ou éventuels. »,i ,,q. /f ? ,r tir.,n
rectement d'une infection.cLatprédisposition ? (hérédité, tempérament
nerveux
? anémie -préalable, émotion ? violente 'antérieu
s patients ; elle nous apprend, en' même temps'que si les accidents
nerveux
de la maladie recher- chent'de'préférence l'enf
x ; quelquefois, corpuscules amyloïdes abondants dans les centres'-
nerveux
; 'héo'-membrahes''étëndùes''dè*Ia dure-mère; da
ue et n'admet point son autonomie. L'intégrité absolue des centres,
nerveux
danssebservations/rapprochée de l'inconstance d
précis où le somMe ? tarde' à venir réparer la fatigue du 2 système
nerveux
.' Mais,* pas plus'qu'aux spontanées, IrlŸ.i`n'âQ
propagation coïncide un perfectionnement de structure du a,syst;ème
nerveux
,tout entier. Par conséqent"dans toute l'échelle
e dans des troubles de l'hémopoièse, daiis la dystrophie du système
nerveux
, dont nous ignorons autant la nature que nous l
tômes sont rapides, quelquefois foudroyants » (p. 7). Ces accidents
nerveux
sont» sou- - tagés parles hains froids; c'est-
théorie de la fièvre. L'auteur discute, son origine,héma- tique ou
nerveuse
. M. Wood semble, supposer que les produits sept
n'élèveraient la température qu'en irritant localement les centres
nerveux
. , « La fièvre, dit-il (p. 3t8), même quand ell
ne irri- tative, est produite par une action,exercée sur le système
nerveux
. La fièvre'qui survient après l'altération du s
BIBLIOGRAPHIE. action directe ou indirecte du poison sur le système
nerveux
cen- tral, c'est donc/de par cela même, une név
me cérébral, peuvent 'être dus à une paralysie complète des centres
nerveux
qui président tant à la production de la chaleu
me tend à rétablir l'équilibre thermique, compromis par ces lésions
nerveuses
. Enfin, il était néces- saire 'de voir si les a
température devait avoir, directement ou indirectement, une origine
nerveuse
. Ces re- cherches ont conduit M. Wood à opposer
' . i|i| 'I , il '' VI. Contribution à l'étude de quelques troubles
nerveux
qui surviennent , chez les diabétiques; par E.
^ Diabétiques,' (contributions' à@ l'é- tude de quelques troubles
nerveux
. qui surviennent chez les) , par - n Mary, 3
s 263. *Ma) formations dans les mala- dies, 296. , . i Maladies
nerveuses
(modernes) , ,,261 ;. ,t (l'éducation dans les
riapisme (persistant et non attri- buable à une lésion du système ?
nerveux
), parjPeabody, 249. 1(1 Prix Aubanel, 288. ,.
périeure. L'excitation, parfaitement localisée, porte sur le rameau
nerveux
destiné à ce muscle. 132 EXPLICATION DES PLANCH
se de ces déformations ? Existe-t-il une lésion primitive des centres
nerveux
? On a dit qu'il s'agissait là d'une névrite péri
se des phalangines. En un mot, s'il existe une altération des centres
nerveux
, ce qui paraît bien possible, étant donnée la sym
mot ; elle semblerait devoir être subordonnée à une lésion du centre
nerveux
spinal. C'est l'opinion de M. Morvan. Le foyer, d
est encore vivante; elle est bien portante, n'a jamais eu de maladies
nerveuses
, ni d'attaques de nerfs. Tous ses frères et sœurs
s diminuée dans la main qui ne peut serrer que fort peu. Les troubles
nerveux
ne sont pas limités à la main. La flexion de l'av
e l'épaule. Il ne pouvait donc s'agir exclusivement d'une compression
nerveuse
au poignet. Le nerf, cependant, était nettement
out prix éviter les suites ultérieures possibles de cette compression
nerveuse
, qui aurait pu aboutir à une dégénérescence du ne
s'est produit. Tout d'abord le malade a été délivré de sa compression
nerveuse
et il a échappé ainsi avec certitude à ses danger
de l'hystérie, p. 478. (2) Voyez Leçons sur les Maladies du Système
nerveux
, t- III, p. 213, et Leçons du Mardi, t. I, p. 398
bien distinctes. La première dans la sclérose en plaques des centres
nerveux
, l'autre dans l'intoxication mercurielle. Eh bien
ymptômes-là dans l'histoire de la sclérose multiloculaire des centres
nerveux
. Est-ce donc de la maladie en question qu'il s'ag
attaques. Toute idée d'une lésion matérielle appréciable des centres
nerveux
doit donc être écartée ; c'est de lésions fonctio
ans, cultivateur, est entré dans le service de clinique des maladies
nerveuses
le 1G janvier 1890. On ne connaît rien touchant
. Dans la période antérieure de sa vie, il n'avait eu aucun trouble
nerveux
. Il n'est ni syphilitique, ni alcoolique. C'est
ibuer un certain rôle dans le développement de ses premiers accidents
nerveux
, si l'on était mieux fixé sur sa date. Il aurait
chargée de la simulation hystérique des diverses maladies du système
nerveux
(1). (I) Voir sur ce sujet l'intéressante thèse
ation plus ou moins prononcé. En conséquence la vitalité des éléments
nerveux
que ces artérioles nourrissent pourra se montrer
x ou trois fois un coup sur la tête ; on parle quelquefois d'hérédité
nerveuse
et migraineuse. Chez notre malade, le père a été
aisser subsister après elles, dans les parties intéressées du système
nerveux
, une épine, un désordre permanent. C'est probab
l'affection, quelle qu'elle soit, ne porte pas sur la partie du tronc
nerveux
qui contourne le pédoncule cérébral, car une tell
st pas de même en ce qui concerne la famille de la mère. Celle-ci est
nerveuse
elle-même. Son père, le grand-père de notre malad
On appela un médecin. Celui-ci aurait fait le diagnostic d'arthrite
nerveuse
et essayé dès le début le salicylate de soude et
oute lésion organique, soit des nerfs périphériques, soit des centres
nerveux
spinaux. L'œdème bleu des hystériques, Messieur
ien portants, vivant encore. 2 sœurs, dont l'une, atteinte de maladie
nerveuse
, est en traitement dans le même service. La malad
traitement dans le même service. La malade nie absolument toute tare
nerveuse
, tout alcoolisme chez les ascendants et les colla
ignorance que par mauvaise volonté de leur part, aucune trace de tare
nerveuse
clans les ascendants et les collatéraux, il est b
ns tel ou tel groupe musculaire sous la dépendance d'une même branche
nerveuse
. Des faits de ce genre existent cependant. Plus
seurs, c'est-à-dire sur les muscles innervés par cette même branche
nerveuse
. Tout cela est bien caractéristique et se passe d
t de l'observation suivante, les conditions de production des lésions
nerveuses
ne sont plus tout à fait les mêmes que dans les c
re. — Thèse citée. tique poplité externe, » admet que cette branche
nerveuse
est formée uniquement par le tronc lombo-sacré. I
e plus ici. De même que dans le saturnisme, l'alcoolisme, les lésions
nerveuses
se localisent de préférence aux troncs nerveux an
oolisme, les lésions nerveuses se localisent de préférence aux troncs
nerveux
animant les muscles extenseurs, de même chez les
ni refroidissement, ni traumatisme, ni compression apparente du tronc
nerveux
ou du plexus sacré. Mais la scia-tique s'est déve
lleurs, pour localiser la lésion au domaine de telle ou telle branche
nerveuse
, exiger que l'anesthésie soit exactement superpos
u poplité interne). pour conclure à la lésion des diverses branches
nerveuses
. Observation X (personnelle). — Sciatique ancie
phie dégénérative constatée dans les muscles animés par ce même tronc
nerveux
. Les troubles moteurs et sensitifs sont donc fa
ofesseur Charcot. Antécédents héréditaires.— Mère violente, colère,
nerveuse
, n'a jamais eu d'attaques de nerfs. Le frère de s
ine de son grand-père est folle. Son père est sain, ni alcoolique, ni
nerveux
; un de ses frères est asthmatique. Les deux frè
soeur jouissent d'une bonne santé et n'ont jamais présenté d'accident
nerveux
. Arrière-grand-père. Frère, paroles incohéren
Frère asthmatique. Père sain. Pascal. Mère violente, colère,
nerveuse
. Deux frères et une soeur sans accident nerveux
violente, colère, nerveuse. Deux frères et une soeur sans accident
nerveux
. Antécédents personnels.— Fièvre typhoïde en 18
les limites de son anesthésie qui ne répondent à aucune distribution
nerveuse
. Mais il faut admettre d'abord qu'elles ne sont p
t sur le territoire de distribution musculaire et cutanée de ce tronc
nerveux
; 2° Cette complication se présente aussi bien d
sieurs fois on a relevé l'existence de diverses affections du système
nerveux
déterminées par l'abus de la machine à coudre. M.
fluence du travail et de la machine à coudre est nulle sur le système
nerveux
, douteuse sur le système génital, mais plus marqu
ou tumeur de la région. Ils varient, bien entendu, avec le territoire
nerveux
qui est atteint. D'après Thornburn, à qui nous de
l'âge gris, le trait d'union nécessaire entre l'affection des fibres
nerveuses
sensitives et motrices. X. Ophthalmoplegie ex
e Ophthalmoplegie externe se combiner à d'autres maladies des centres
nerveux
, parmi lesquels on peut citer la paralysie généra
abétique. Lui-même, d'un caractère calme, n'a jamais eu d'accidents
nerveux
avant l'apparition de la maladie actuelle. Il nie
ictérique à soixante-deux ans. Père en bonne santé, ni alcoolique ni
nerveux
. Pas d'affections^ nerveuses dans la famille du c
ans. Père en bonne santé, ni alcoolique ni nerveux. Pas d'affections^
nerveuses
dans la famille du côté des ascendants. Antécéd
ouroux, chef du service électrothérapique de la clinique des maladies
nerveuses
à la Salpêtrière. Nous en dirons autant au suje
ité n'est peut-être pas nécessaire; c'est la destruction de l'élément
nerveux
dans telle ou telle région qui importe surtout; m
se en pla- ques et d'autres lésions centrales organiques du système
nerveux
, peut, il importe de le remarquer, se compliquer
qu'elles relèvent d'une altération dynamique ou organique des centres
nerveux
ou des nerfs périphériques. Ressortissent à cette
tard, la protection de l'Assistance publique. Sommaire. — Accidents
nerveux
secondaires dans le diabète eonstftu-tionnel. — N
ujet des relations qui existent entre certaines affections du système
nerveux
et le diabète. C'est un sujet très compliqué, sur
osurie, même dans la glycosurie diabétique, une affection des centres
nerveux
et de chercher à démontrer dans ces cas l'existen
r eux l'attention. Dans les faits de ce genre, Messieurs, la lésion
nerveuse
est évidemment secondaire et n'est pas le point d
diabète. Remarquez qu'on ne prétend pas ici qu'une lésion des centres
nerveux
placée comme il faut, un foyer du plancher du qua
e. On tentera peut-être d'objecter que certains troubles du système
nerveux
sont capables de provoquer l'apparition du diabèt
n connus aujourd'hui et parfaite- 1 Bernard et Féré. — Des troubles
nerveux
observés chez les diabétiques. \Arch. deNeurol.,
mie de ceux où la glycosurie est consécutive à une lésion des centres
nerveux
. Mais ceux-ci doivent former une classe à part, b
t le diabète vrai qui est le point de départ de la lésion des centres
nerveux
. Il ne s'agit plus ici de glycosurie, mais du dia
de se demander quel est le mécanisme de la production de ces lésions
nerveuses
secondaires dans le diabète. Sont-ce des altérati
si jouer le rôle d'une cause à l'égard du développement des accidents
nerveux
. Il est difficile de faire un choix au milieu d
s qu'il aurait fallu dire. Traitant de l'étude des lésions du système
nerveux
en général, dans ses rapports avec le diabète et
avait bu, il était sujet à des crampes. — Mère, morte hydropique, pas
nerveuse
. — 5 frères et sœurs, dont le premier n'a pas été
2° Cumul de facteurs étiologiques : traumatisme, alcoolisme, hérédité
nerveuse
Sommaire. — Progrès réalisés dans la connaissan
de ces deux agents dans le développement et l'évolution des accidents
nerveux
: cumul des agents provocateurs. Messieurs, L
, les trau-matismes jouent ici un grand rôle, sans compter l'hérédité
nerveuse
. Dans les petits centres, sans aucun doute, cela
ou mieux, car il n'y a eu ni plaie, ni ébranlement mécanique, le choc
nerveux
, la terreur; ils trouveraient là tous les caractè
qui la révèlent, mais bien dans la prédisposition que crée l'hérédité
nerveuse
. Mais avant de traiter les différents points qu
de décidée, appelé des recherches précises sur ce point de pathologie
nerveuse
. Les résultats de ces recherches, sans être encor
nce prépondérante. Tout d'abord il s'agit d'un sujet originairement
nerveux
. Pendant son enfance il était d'un caractère diff
source, où il est représenté comme un « absinthique ». Les accidents
nerveux
que nous avons décrits plus haut à savoir : attaq
elle une chanson de carrefour. sans qu'il s'en suivît aucun trouble
nerveux
durable. Il fut soigné comme blessé à l'hôpital d
contre un mur qui lui coupe la retraite. Alors il tombe dans un état
nerveux
indicible et dont il ne peut parler aujourd'hui e
importe de relever qu'à la suite de cet accident les effets du shock
nerveux
n'ont pas cessé de se faire sentir pendant une pé
e (nervous shock) produit par l'accident du tonneau détermine un état
nerveux
permanent, qui aboutit au bout de quelques mois à
elatifs à la thérapeutique et au pronostic. L'influence de l'hérédité
nerveuse
est là, sans doute toujours présente, mais on peu
ause n'est point là, elle est dans la prédisposition, dans l'hérédité
nerveuse
qui, du reste, chez notre malade est fortement ac
ée. En effet, son père ancien militaire, employé d'octroi, était très
nerveux
, très coléreux et s'adonnait à la boisson. Sa mèr
nerveux, très coléreux et s'adonnait à la boisson. Sa mère irascible,
nerveuse
à l'excès, était sujette à des attaques de nerfs.
ette simulatrice toujours téconde des maladies organiques des centres
nerveux
, il faut s'attendre chaque jour aux surprises et
5 Gintrac. — Traité théorique et pratique des maladies de Vappareil
nerveux
. Paris, 1869, t. IV, p. 860. 6 Duchenne. — Elec
ule et sous l'aqueduc de Sylvius, donnent chacun naissance à un filet
nerveux
indépendant. Cette indépendance originelle, le fi
un filet nerveux indépendant. Cette indépendance originelle, le filet
nerveux
la garde dans tout son trajet protubérantiel et p
rantiel et pédonculaire, de telle sorte que la totalité de ces filets
nerveux
représente schématiquement autant de petits nerfs
lsions dans son enfance, et reste aujourd'hui très émotionnable, très
nerveuse
. Du côté des grands parents, dans la branche pa
encore nuls du côté paternel; du côté maternel, il n'y aurait rien de
nerveux
ou de mental. Antécédents personnels. — N.....e
essieurs, La syringomyélie, cette nouvelle venue dans la pathologie
nerveuse
, a pris rang, vous le savez, parmi les maladies s
ow, que le choc ait favorisé le développement d'un gliôme des centres
nerveux
. Vaut-il mieux admettre que la maladie, latente j
sthésie, symptôme qui est 1 Charcot. — Leçons sur les Mal. du syst.
nerveux
, t. II, p.. 116 et 292. particulièrement fréque
sensibilité à la douleur étant absolue. — (A. Sass. Deux cas de lèpre
nerveuse
, Deutsch. arch. f. KUn. Med. Vol. 47., fasc. 3 et
1 est au niveau du trou de conjugaison. En effet, parmi les rameaux
nerveux
qui émanent de la première paire dorsale, il en e
a paralysie détermine l'enfoncement du globe de l'œil. Or, ces filets
nerveux
n'accompagnent la première dorsale, en dehors du
mière paire dorsale, mais encore d'une lésion portant sur cette paire
nerveuse
au niveau du trou de conjugaison, entre la premiè
ive se produire parfois très tardivement, et engendrer des phénomènes
nerveux
beaucoup plus graves que n'avait fait l'accident
ans, officier, vient consulter M. Charcot en 1875 pour une affection
nerveuse
consistant en une incoordination de la marche lié
uste; du côté maternel, il n'a eu connaissance d'aucune manifestation
nerveuse
, malgré l'interrogatoire scrupuleux auquel il s'e
renseignements sont également négatifs sous le rapport des accidents
nerveux
. Il n'a eu ni convulsions, ni évanouissements, ni
s ramenèrent le mouvement. « Depuis lors, dit M. X..., la contraction
nerveuse
dans le flanc gauche et à la partie interne de la
nstituait alors toute la maladie, se sont ajoutées des manifestations
nerveuses
diverses, formant un ensemble symptomatique fort
s épais-sissements nodulaires du tissu conjonctif sur quelques filets
nerveux
, dans un cas de syringomyélie compliquée d'hypert
int de vue clinique, la nécropsie et l'examen histologique du système
nerveux
ont mis en évidence des altérations d'une similit
on père est alcoolique et vous savez quel grand générateur de lésions
nerveuses
est l'alcool; son cousin germain est mort aliéné.
; enfin, pendant son service militaire, il a présenté quelques crises
nerveuses
sur lesquelles nous n'avons pas de renseignement.
ue tous les phénomènes sont de nature hystérique. En résumé, c'est un
nerveux
par hérédité qu'un traumatisme plus mental que ph
semaines. Voilà les manifestations arthritiques, voici les accidents
nerveux
. Chagrin de ne pouvoir faire son service comme
s jours suivants j'ai souffert de grands maux de tête, de tremblement
nerveux
; la nuit, j'ai eu des cauchemars relatifs à l'ac
du service. suivant toute vraisemblance, la guérison des accidents
nerveux
sera parfaite. J'ajouterai que le cas offre dan
ce côté, nous n'avons rien appris. Mais nous avons trouvé l'hérédité
nerveuse
vulgaire. Notre malade est la fille d'une hystéri
jour. Mais n'oubliez pas que, dans ces syphilis tertiaires du système
nerveux
, l'intervention du mercure est nécessaire, et joi
es lésions gommeuses qui pénètrent dans la substance même des centres
nerveux
et s'y incorporent en quelque sorte, sous forme d
ffection est régie, comme les autres maladies chroniques du système
nerveux
, par des lois d'une fixité remarquable. Dans sa s
lement, dans le second cas, des foyers scléreux épars dans le système
nerveux
cérébro-spinal, alors que, du vivant du malade, n
Ses antécédents héréditaires r.e sont point chargés au point de vue
nerveux
. Son père est mort d'une hydropisie probablement
ar les Allemands en 1870. Ni l'un ni l'autre n'avaient eu de maladies
nerveuses
. Une sœur de la malade est morte de la poitrine à
conséquent, intégrité parfaite de l'appareil auditif périphérique et
nerveux
. L'examen de l'œil a été pratiqué par l'un de n
1888 à la Salpêtrière, service de la Clinique des maladies du système
nerveux
. Antécédents héréditaires. — Père inconnu. — Mè
éréditaires. — Père inconnu. — Mère, trente-cinq ans, domestique, est
nerveuse
, vive et emportée, mais n'a jamais eu d'attaques
Les grands-parents maternels ne paraissent pas avoir eu d'antécédents
nerveux
. Une tante, âgée actuellement de vingt-quatre ans
et conservent les mêmes caractères ; toutefois les secousses de toux
nerveuse
qui les accompagnaient souvent sont devenus beauc
portant. Pendant sa grossesse sont sur^ venus chez elle des accidents
nerveux
variés. Elle avait parfois la sensation d'une bou
t aucune altération de ces organes et pensant à des troubles purement
nerveux
, voulut bien demander à M. Gilles de la Tourette
une bronchite et, depuis cette époque, elle fut sujette à des crises
nerveuses
précédées d'é-tourdissements et accompagnées de p
ique. Elle sort de l'hôpital en juillet de la même année ; les crises
nerveuses
n'étaient point guéries. Elles persistèrent ainsi
sente à la consultation externe delà Clinique des maladies du système
nerveux
, avriH890. Antécédents héréditaires. — Père cin
euf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des attaques. Une autre sœur
nerveuse
, rit et pleure sans motifs. Frère apathique, inin
sè présente à la consultation de la Clinique des maladies du système
nerveux
, au mois de mai 1890. Antécédents héréditaires.
sant. La malade assure qu'il n'avait jamais souffert d'aucune maladie
nerveuse
ou mentale. Il était parfaitement sobre et n'avai
e à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un accident. Elle était
nerveuse
, sujette à des colères violentes. La grand'mère m
»in cas de Paralysie diabétique. 1 (Leçon). Sommaire. —Accidents
nerveux
secondaires dans le diabète constitutionnel. — Né
2° Cumul de facteurs étiologiques : Traumatisme, Alcoolisme, Hérédité
nerveuse
. (Leçon). Sommaire. — Progrès réalisés dans l
de ces deux agents dans le développement et l'évolution des accidents
nerveux
: cumul des agents provocateurs. . 285 XV. Su
4. Déviation secondaire dans le strabisme, 424. Diabète : lésions
nerveuses
secondaires, 259 ; — névralgies symétriques, 263
l, 345. Glycosurie et diabète, 258; — ta-bétique, 277; —par lésions
nerveuses
, 260. Gommes de cerveau : localisations des — 3
Hémispasme glosso-labié des hystériques, 298, 366, 368. Hérédité
nerveuse
: son rôle dans 1 étiologie de l'hystérie, 306.
yphilis cérébrale, 380,385 ; — héréditaire tardive 370; — et hérédité
nerveuse
, 382; Lésions de la—, 372; Névrite optique dans l
e nerven-. T. I. IM. I. Charcot. Clinique des maladies du système
nerveux
. T. I. Pl. II. Fig. 2. — Courbe des variation
. n° XIII, p. 2S7 à £84.) Charcot. Clinique des maladies du système
nerveux
. T. I. Pl. m. Fig. 5. — Courbe des quantités
j'étais assis vis-à-vis d'Eusapia, près de Mlle X., une personne très
nerveuse
et fortement soumise à l'hypnotisme. La séance du
émie do Médecine. Mlle C. V..., âgée de 14 ans, a l'extérieur d'une
nerveuse
; sa physionomie, sa toilette, son langage disent
ns à Néris n'ont pu amener de modifications importantes dans son état
nerveux
. Depuis 10 mois elle vomit tous ses repas, bien q
'elle ne vomira plus après ses repas et qu'elle n'aura plus de crises
nerveuses
ni de contractures. Le réveil est facile par simp
portants. Sa grand'mère paternelle est seulement impressionnable et
nerveuse
, sans maladie proprement dite. Pas de maladie d
° Les Phobies secondaires. qui sont sous la dépendance de la diathére
nerveuse
(épilepsie, hystérie, hypocondrie), ou arthritiqu
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
SIDÉRATIONS GÉNÉRALES. De toutes les manifestations de l'épuisement
nerveux
, les plus intéressantes à étudier sont assurément
e reste préoccupée de l'idée qu'elle doit être atteinte d'une maladie
nerveuse
, dont on lui dissimule la nature. Depuis lors, il
gne du nom compliqué de sidérodromophobie. Prédisposés aux troubles
nerveux
par les exigences de leur profession, ils peuvent
, ne sont en somme que le résultat d'une excessive fatigue du système
nerveux
. Les effets des divers surmenages intellectuel; m
mpuissance d'agir par un défaut d'impulsion résultant de l'épuisement
nerveux
. Ce qui établit entre eux et les dégénérés hérédi
te sérieux des premiers troubles fonctionnels résultant de la fatigue
nerveuse
. Quant au traitement, les indications fondament
tions fondamentales consistent à supprimer les causes de l'épuisement
nerveux
et à suspendre les occupations professionnelles.
, avait été la création d'une consultaiion spéciale pour les maladies
nerveuses
. C'était là une tentative absolument nouvelle,
nnue, le troisième est bien portant. La mère est sujette à des crises
nerveuses
pendant ses grossesses. Le malade que nous avon
rossesses. Le malade que nous avons sous les yeux est un exemple de
nerveux
dégénéré. Il est facile de relever chez lui plusi
sur le siège et, à la suite de cette chute, il présenta des accidents
nerveux
qui durèrent deux mois et paraissent avoir consis
n'ont rien présenté d'anormal. La malade est d'un tempérament très
nerveux
, d'une sensibilité exagérée. Réglée à 12 ans et t
dire que, par l'application d'un aimant puissant, je modifiais l'état
nerveux
qui, il faut bien le remarquer, est plus général
i, au bout d'un certain temps, à rétablir l'équilibre dans l'activité
nerveuse
des membres. Mais cela ne suffisait pas, et ce
ler bien d'autres observations bien intéressantes, parmi les maladies
nerveuses
qui se sont présentées à la consultation spéciale
logie, mais cela nous entraînerait trop loin. Le total des maladies
nerveuses
s'est élevé à 161, comprenant en grande majorité
ormes les plus variées. En somme, la consultation pour les maladies
nerveuses
à l'hôpital de la Charité a amplement démontré l'
. Ce sujet est entré dans mon service à la Charité pour des accidents
nerveux
, caractérisés par des phénomènes subits de léthar
du doigt absent comme si elle se manifestait sous forme d'un courant
nerveux
centrifuge, et qu'en faisant des pincements, des
ée. Alors l'activité cérébrale dissociée se concentre sur un appareil
nerveux
qui fonctionne automatiquement, et qui réagit à l
ons, telles l'incontinence nocturne et diurne d'urine, la dyspepsie
nerveuse
, les attaques d'hystérie, etc., qui rentrent dans
qui rentrent dans la catégorie des habitudes pathologiques du système
nerveux
, sont justiciables de la suggestion. Troubles p
ticulière de dyspepsie qui aboutit à une débilité générale du système
nerveux
. L'insomnie est aussi une conséquence de l'abus
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
umatiques, l'insomnie, les douleurs de tête habituelles, la dyspepsie
nerveuse
, les idées fixes, l'hystérie (surtout les accès h
r un examen et une connaissance incomplets et superficiels de système
nerveux
et de l'individualité sur lesquels on doit agir.
lesde 11 à 13 ans furent atteintes, pendant l'année 1891, d'accidents
nerveux
, états de sommeil, vertiges, maux de têtes, convu
l'hypnose. .5° Toujours, et sans exception, Vaggravalion de l'étal
nerveux
de la personne en expérience (par exemple par un
olement qui est d'une efficacité singulière dans beaucoup de maladies
nerveuses
, — et le fanatisme en est une. Qu'on fasse donc
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
corps qui obéit à l'esprit, il arrive à l'homme de perdre de la force
nerveuse
, malgré les apports de la nutrition, et d'éprouve
c'est une sorte d'irritabilité qui, partout où il y a des extrémités
nerveuses
sensibles, épie les impressions et les reçoit: on
uvement initial centrifuge, l'attention s'exerce dans tout le système
nerveux
, sous l'influence d'un effort cérébral de l'espri
s'appliquer sans doute de la même façon, à la distribution des forces
nerveuses
dans tous les états passifs dont le sommeil est l
râce à l'idée prise de s'éveiller, à la périphérie vers les fonctions
nerveuses
de sensibilité et, intérieurement, au siège du re
s, dès que le travail d'équilibration et de reconstitution des forces
nerveuses
qui s'opère pendant le sommeil est près d'être co
primitive de la carotide interne ou par une augmentation de Vactivité
nerveuse
dans le plexus carotidien interne et par une dila
essaires pour la production de l'hypnose, une augmentation d'activité
nerveuse
dans le plexus carotide interne,en d'autres terme
portent aux idées fixes, aux névralgies, à l'insomnie, à la dyspepsie
nerveuse
et à la mélancolie. Le traité de Nizet 40 compren
ans de légers accès passagers de manie hypochon-driaque et de maladie
nerveuse
temporaire, et a supprimé par suggestion la résis
ation de l'or (effet suggestif ?), une paraplégie et des vomissements
nerveux
datant de cinq ans, dans un cas de grande hystéri
e Bramwell. Il avait eu des succès notables dans de nombreux troubles
nerveux
fonctionnels, mais il signalait surtout ses résul
oteur de l'hypnose est une limitation de la conscience aux impulsions
nerveuses
. D'après Sommer, le tétanos de la raideur hypno
ataleptiques, céphalalgie continuelle, chlorose, chorée, constipation
nerveuse
, contraction spasmodique des muscles abdominaux (
que dans un certain nombre de ces cas, Forel concentra sur l'appareil
nerveux
agissant d'une façon automatique (pour l'activité
nts péristaltiques et écarta ainsi l'habitude pathologique du système
nerveux
central. Comme l'a montré Brugelmann 30, cette ha
laissait très volontiers hypnotiser parce que, sujette à une maladie
nerveuse
, elle se trouvait mieux après chaque sommeil magn
e l'état d'hypnotisme. « Tout ce qu'on peut dire, c'est qu'un sujet
nerveux
souffrant d'une affection cardiaque pourrait ress
Mesnet ont guéri par l'hypnotisme beaucoup de gens atteints de crises
nerveuses
, ils n'ont jamais provoqué chez leurs malades le
ons, à notre clinique, des centaines de malades atteints d'affections
nerveuses
les plus variées. Les malades sont endormis, sur
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
llesse ; oncles, tantes, cousins et cousines exempts de toute maladie
nerveuse
. Dans ses antécédents personnels, nous notons u
terme (dont quatre encore vivants) et trois fausses-couches. Toujours
nerveuse
, facilement irritable, très émotive, elle n'avait
nseigné à leur égard : ils étaient des suggestibles de la famille des
nerveux
en question. Quand, une baguette à la main, Dup
que, pour cela, il s'est porté au cerveau une accumulation de forces
nerveuses
sur une ou plusieurs idées fixes, d'où, par suite
on cesse de la soutenir ; elle a alors les yeux hagards et le système
nerveux
violemment surexcité. Puis elle se lève, appelle
unissent les femmes adultères, etc. Les nègres sont d'ailleurs très
nerveux
et impressionnables. Il suffit, rapportent les vo
accusés par un de ces devins. L'homme appartenait à une famille très
nerveuse
et dont presque tous les membres devenaient sorci
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psycho- 1 logique. Des c
1/2. Faculté de Paris. — Cours de clinique des maladies du système
nerveux
. — M. le professeur lîaymond a commencé le cours
seur lîaymond a commencé le cours de clinique des maladies du système
nerveux
, le vendredi 16 novembre 1894, à 10 heures du mat
et font, pendant le semestre d'hiver, un cours clinique de pathologie
nerveuse
. Les leçons ont lieu, le dimanche, à 10 heures (M
professeur Gran- " cher, des conférences sur les maladies du système
nerveux
. Hôpital de la Salpétriêre. — M. le D' Jules Vo
ant le mois de décembre, des conférences sur les maladies mentales et
nerveuses
. Faculté de Vienne. — M. le Dr Emile Redlick es
ire, quand elle est due à une conformation vicieuse native du système
nerveux
,-alors, il faut avoir le courage de le dire, elle
volonté, leur désir de se laisser endormir et de guérir, leur système
nerveux
peut offrir une résistance invincible à toutes le
nt leurs manifestations ; on supprime les douleurs et divers troubles
nerveux
: il y a une amélioration notable ; on a l'espoir
s ou moins considérable dans leur état; que nés avec une constitution
nerveuse
, cette disposition morbide les expose fatalement
des symptômes : une maladie organique pouvant s'ajouter aux syndromes
nerveux
fonctionnels ou éclore dans le cours du traitemen
arbre, toujours de droite. Elle ne se souvient pas d'autres anomalies
nerveuses
; mais elle a souvent des songes très vifs et très
épondérance de la fonction de la moelle épinière en qualité de centre
nerveux
, au lieu de la subordination naturelle de la fonc
te. Dans sa thèse récente sur le diabète et la glycosurie d'origine
nerveuse
, M. le Dr J. Sorel rappelle les deux observations
u lieu de 3 gr. par jour ), et cette perturbation violente du système
nerveux
s'est révélée non seulement par la glycosurie, ma
r la glycosurie, mais encore par des troubles fonctionnels du système
nerveux
rendus directement tangibles par la disparition t
ccesseur de M. Charcot, a inauguré son cours de clinique des maladies
nerveuses
à la Faculté de médecine de Paris, devant un audi
tout était à remanier ou à créer, savoir : la pathologie des centres
nerveux
. Cet enseignement offrait donc l'attrait de la no
t seulement un peu plus tard qu'il commença ses leçons sur le système
nerveux
. L'enseignement inauguré par Charcot, en 1866,
des relatives à l'anatomie, la physiologie, la pathologie des centres
nerveux
. Doué d'une érudition étonnante, il savait se b
phénomènes qu'on observe dans les différentes affections des centres
nerveux
. Par des artifices ingénieux, il amplifiait que
re. Il se consacra néanmoins de plus en plus à l'étude des affections
nerveuses
. » M. Raymond remémore ici l'époque où étaient
s exprimé par Charcot, une chaire de clinique des maladies du système
nerveux
fut créée à la Salpétrière, en 1889. Inutile de d
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
nser chaque année le meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies
nerveuses
. Les exécuteurs testamentaires achèteront dans ce
int de vue de la foi curative. Voici le long cortège des affections
nerveuses
sans lésion anatomique perceptible par nos moyens
s? Nous soumettons la question aux savants spécialistes en pathologie
nerveuse
et en hyp-nologie ; mais il est évident qu'une en
lauréat de l'Institut, chef de laboratoire à la clinique des maladies
nerveuses
; Saint-Hilaire, médecin de l'Ecole Turgot. Parm
ieurs, telle devait être sa fin. La malheureuse souffrait de crises
nerveuses
fréquentes, au point qu'elle ne mangeait plus et
ue, une personne malade, fût-elle aussi anémique, aussi faible, aussi
nerveuse
que l'était Mlle Salomon : c'est, d'un autre cô
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
ée et intéressant l'histologie, l'anatomie, la psychologie du système
nerveux
de l'homme et des animaux, la pathologie mentale
u système nerveux de l'homme et des animaux, la pathologie mentale et
nerveuse
, la psychologie, la philosophie, la morale, la pé
n de la Salpétrière, a commencé ses leçons cliniques sur les maladies
nerveuses
le jeudi 24 janvier, à 5 heures, Il les continuer
seur à la Faculté de Paris. Le programme comprendra : 1° Pathologie
nerveuse
: glande thyroïde et goitre exophtalmique; rappor
E HISTOLOGIQUE DU SOMMEIL Hypothèses sur la physiologie des centres
nerveux
. Par H. le professeur Matus-Duval (l). Les no
(l). Les notions nouvelles introduites dans l'histologie du système
nerveux
par les recherches de Golgi et Ramon y Cajal sont
es centres. Il est universellement admis aujourd'hui que les cellules
nerveuses
sont en rapport les unes avec les autres, non par
e, le centre réflexe, en un mot, est représenté non par une cellule
nerveuse
, mais par l'articulation à distance des prolongem
exe, agissant sur ces lieux de contact des prolongements des cellules
nerveuses
, l'idée qu'un poison peut porter son action non s
veuses, l'idée qu'un poison peut porter son action non sur la cellule
nerveuse
, mais spécialement et exclusivement sur les ramif
et comme il nous est permis d'étendre ces notions à tous les centres
nerveux
, nous pouvons aujourd'hui bien mieux comprendre l
trophie l'origine qui en est le siège, le passage répété des courants
nerveux
doit provoquer l'hypertrophie dans les cellules n
des courants nerveux doit provoquer l'hypertrophie dans les cellules
nerveuses
en fonctions ; si cette hypertrophie a lieu dans
de la Leptodera hyalina lui ont permis de constater que les cellules
nerveuses
ne sont pas immobiles, mais présentent des change
s cellules olfactives sont considérées aujourd'hui comme des cellules
nerveuses
, et on sait que leurs prolongements périphériques
ion faite à la Société de Biologie. de ramœboïsme des ramifications
nerveuses
terminales a ainsi pour bases des faits d'observa
ous pouvons donc penser que non seulement les connexions des cellules
nerveuses
, dans les centres, sont de pure contiguïté, mais
auraient sans doute pour action d'exciter l'amceboïsme des extrémités
nerveuses
en contiguïté, de rapprocher ces ramifications, d
me des excitations spéciales produiront la rétraction des pseudopodes
nerveux
, l'arrêt de la fonction nerveuse correspondante (
duiront la rétraction des pseudopodes nerveux, l'arrêt de la fonction
nerveuse
correspondante (actes d'inhibition, choréede l'in
nerveuse correspondante (actes d'inhibition, choréede l'interférence
nerveuse
), et des excitations violentes, anormales, par le
hypothèse de la neurilité ou conductibilité indifférente de la fibre
nerveuse
, et, par suite, combien perdent de leur intérêt l
mptôme se rattachant à l'hystérie ou à toute autre maladie du système
nerveux
. Les années s;écoulent, et rien d'anormal ne su
fond, pendant lequel je suggère la disparition de tous les phénomènes
nerveux
. Je passe en revue, sans en oublier aucun, tous l
contre la grammaire. » Le paravent aurait ainsi arrêté les vibrations
nerveuses
comme un écran intercepte les rayons de lumière.
u bien le D' Demosthène a contracté, sous l'influence de l'épuisement
nerveux
, une peur effroyable de microbes, ou bien le cont
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
samedi à 9 heures (asile Ste-Anne).— Clinique de maladies du système
nerveux
, M. Raymond, mardi et vendredi, à 10 heures (Salp
34 pages. — Habana 1895. Blnet. — Contribution à l'Etude du système
nerveux
sous intestinal des insectes. Thèse de doctorat.
rices qui les accompagnent, sont placés sous l'influence du système
nerveux
. Chez la marmotte, la température la plus convena
d'une crise, se faisait une piqûre pour éviter la souffrance. Déjà
nerveuse
à l'exès, la morphinomanie, qui se dessinait à l'
nt d'interrogation. Comment attribuer à un agent spécial du système
nerveux
comme la suggestion, une action directe sur un ét
ite) l'anatomie pathologique dans cet amphithéâtre, puis les maladies
nerveuses
à la Salpé- trière. Malgré le haut mérite de se
dies du foie, du rein, du poumon, etc..., ses leçons sur les maladies
nerveuses
ont surtout contribué à sa gloire. Avec quelle cl
lades étaient présentés aux élèves, et, comme la plupart des maladies
nerveuses
s'accusent par des signes extérieurs, il pouvait
pas. Je dois consacrer ce semestre à l'étude des maladies du système
nerveux
, et vous verrez que notre cours deviendra de ce f
lus que ne le font les guérisons médicales, dans lesquelles l'élément
nerveux
peut jouer un grand rôle. Mais, outre que certa
s peuvent elles-mêmes être parfaitement sous l'influence de l'élément
nerveux
, je demanderai pourquoi M. le Df Boissarie se ref
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
itut comprenant tout ce qui est nécessaire au traitement des maladies
nerveuses
. Parmi les procédés employés, M. le D' Peeters a
34 pages. —Habana 1895. Binet. — Contribution à l'étude du système
nerveux
sous-intestinal des insectes. Thèse de doctorat.
pendant plusieurs années. L'enfant était d'un tempérament inquiet et
nerveux
,facilement contrarié,impatient,irascible. Dès l
oi, cet eczéma était dû en grande partie à une excessive irritabilité
nerveuse
. 2e Cas. — Une dame âgée de 68 ans demande quel
d'impressions, lesquelles avaient un certain pouvoir sur son système
nerveux
. Sa peau bénéficiait du changement dans la mesure
égales, elles réagissent à la lumière et à I'acccommodation. Système
nerveux
: une légère incurvation angulaire de la colonne
ps — et cela sans aller si loin que Holywell — a réveillé une énergie
nerveuse
dormante, et a été suivie de résultais aussi sati
qu'exerce le sport vélocipédique sur la circulation et sur le système
nerveux
des membres inférieurs, et sur l'utilité ou le da
cles des membres inférieurs, inciiés à cette activité par les centres
nerveux
, ne reste pas sans effet sur les centres eux-même
ou je trouve un article intéressant au point de vue de la pathologie
nerveuse
. Il s'agit d'une lettre du R. P. Castets, mission
e. « Pour moi, dit-il, je n'hésite pas à reconnaître que la sympathie
nerveuse
peut avoir une grande part dans cette contagion ;
spose le tempérament physique et moral à ces débauches d'irritabilité
nerveuse
, et que, suivant une expression chère à la médeci
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
i d'un phénomène plus délicat encore. Tout acte laisse sur le système
nerveux
une trace ; si l'acte devient fréquent, la trace
ais par la mémoire même des modifications occasionnées sur le système
nerveux
par ce mouvement. Je dis moteurs les sujets pour
moire le souvenir de la sensation de ce qui se passe en votre système
nerveux
lorsque ce bras se meut. De là une nouvelle forme
manié par un médecin expérimenté capable de prévenir chez les sujets
nerveux
l'émotion, qu'il faut rendre responsable des palp
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
lligente, quoiqu'elle n'ait pas présenté dans sa jeunesse d'accidents
nerveux
bien caractérisés. Elle s'est mariée jeune et a q
se portait bien jusqu'à l'âge de vingt-neuf ans, quoiqu'elle fût très
nerveuse
et très impressionnable. A ce moment, elle éprouv
aria, fille et petite-fille d'alcooliques, était dès son enfance très
nerveuse
; à quinze ans, à La suite d'une colère violente
si comme médium, on le prend plutôt parmi les femmes ou les personnes
nerveuses
; un autre s'improvise guide. Le guide prend la ma
ffrait depuis trois ans. Sa mère était d'un tempérament quelque peu
nerveux
; à part cela, il n'y avait rien de particulier à
l'enfant pouvant avoir déterminé un certain trouble dans les centres
nerveux
, mais l'immobilisation prolongée (18 jours) est c
de la malade ? Jusqu'à ce moment elle n'avait présenté aucun accident
nerveux
, mais sa grand'mêre maternelle a été enfermée dan
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies
nerveuses
est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
guste Voisin commencera son cours annuel sur les maladies mentales et
nerveuses
le dimanche 9 juin, à 10 heures du matin (section
n, par F. Ke-gnault, 150. Hypothèses sur la physiologie des centres
nerveux
(Mathias. Duval), 240. Hystérie et de la folie
il provoqué, somnambulisme, suggestion névroses, maladies mentales et
nerveuses
, médecine légale, pédagogie criminologie, psychol
le Dr Edgar Berillon, p. 1. 2° La lainière colorée en thérapeutique
nerveuse
, par M. le Dr Félix Regnault, p. 7. 3° Agorap
re fameux sous le titre suivant : Neuryp/wlogie, ou traîlé du sommeil
nerveux
, considéré dans ses rapports avec le magnétisme a
n état expérimental, il te définit ainsi : « L'hypnotisme est un état
nerveux
déterminé par des manawvres artificielles. La déf
nt : « L'hypnotisme est un moyen part cu'.ier de provoquer un sommeil
nerveux
, un son.namôulisme art:ficielt accompagné d'anest
ypnotisme serait réservé » à la science « qui s'occupe des phénomènes
nerveux
compris généralement sous ce « terme en les expli
e, disait-il, est un état expérimental extra-physiologique du système
nerveux
. C'est une névrose artificielle que l'on développ
sées ;i notre eminent collègue. La lumière colorôo ou thérapeutique
nerveuse
par m. Ic .locteur Félix Reqsadlt Wundt av:tï
e. Il s'agit d'un homme, Victor L..., Agée de 52 ans. Son père très
nerveux
et colère est mort à 55 ans. Sa mère très emporté
e est mort à 55 ans. Sa mère très emportée aussi avait en plus un tic
nerveux
et souffrait de maux de tète tris fréquemment. So
oquer comme complications ou de laisser comme reliquats des accidents
nerveux
de divers ordres. Ces psychoses, ces névroses,
, tous ces efforts sont vains. Plus on laisse persister ces accidents
nerveux
, plus ils s'installent avec fixité et menacent de
et reproduit, pour ainsi dire, le phénomène qu'il révèle. Le système
nerveux
est le révélateur suprême, le plus délicat de tou
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
onnaissances récentes sur la morphologie et les rapports dos cellules
nerveuses
. Les méthodes do Golgi, de Nissl et de Cajal, en
thodes do Golgi, de Nissl et de Cajal, en démontrant que les éléments
nerveux
, leSi;ewiO//c.çn'ont entre eux quedes relations d
cises sur les divers modalités de l'activité fonctionnelle du système
nerveux
. Grâce à ses recherches sur l'inhibition et la dy
act des variations qui peuvent survenir dans le dynamisme des centres
nerveux
. L'inhibition, selon Brown-Séquard, est l'action
é, la puissance inhibitoire appartient à nombre de parties du système
nerveux
, et elle peut être mise en jeu, soit d'une manièr
La puissance dynamogénique appartient à nombre de parlies du système
nerveux
et, comme l'inhibition, elle peutêtre mise en jeu
="43"> vités et conséqucmment de toutes les fonctions du système
nerveux
. L'inhibition ne doit pas être confondue avec l
r suite d'une simple accumulalion de sang dans une partie des centres
nerveux
ou ailleurs. L'attention de Brown-Sequard avait
Sequard avait été appelée sur les perturbations dynamiques du système
nerveux
par un fait des plus surprenants, qui mérite d'êt
on dans l'appareil moteur, en y comprenant, non seulement les centres
nerveux
et les nerfs, mais aussi les muscles du tronc, de
iellement la science de l'inhibition et de la dynamogénie des centres
nerveux
, que cette inhibition ait son point de départ dan
la majeure partie des cas, cette inhibition est limitée aux cellules
nerveuses
affectées aux fonctions supérieures du cerveau, à
la sensibilité, anesthésie, hypéreslhésie ou de tout autre phénomène
nerveux
. Mais le malade n'est pas guéri, son infirmité a
'un phénomène spécial dû à l'action qu'exerce l'aimant sur le système
nerveux
. L'on voit quelquefois des opérateurs agir d'un
éorie, il n'y aurait pas une action propre de l'aimant sur le système
nerveux
, mais l'application de l'aimant ne servirait qu'à
hose, c'est une action spéciale et directe de l'aimant sur le système
nerveux
. Je veux ici répondre de suite à une objection
ez certains sujets, produire la guérison ou le transfert d'un trouble
nerveux
par suggestion, il ne s'en suit pas que l'on puis
er les prévisions. Celle action spéciale de l'aimant sur le système
nerveux
, quelle que soit sa nature, une fois constatée, i
suggestion hypnotique môme dans les affections cum ?naienadu système
nerveux
. Cetlc action ne nous parait d'ailleurs pas discu
substratum du rêve, ß On pourrait s'imaginer, dil-? que les cellules
nerveuses
et les fibres d'association de l'écorce cérébrale
ts. Citons le cours théorique et: pratique de Braidisme ou hypnotisme
nerveux
(1860), et son récent livre sur le Merveilleux sc
se manifestent suivant les circonstances. A la pluralité des centres
nerveux
, médullaires et cérébraux, correspondent des cons
ension ou l'augmentation des activités ou des propriétés des éléments
nerveux
est provoquée expérimentalement ; 2e La durée d
n peut être limitée à des territoires nettement déterminés du système
nerveux
et à des fonctions influencées isolement. 4" La
fonctions ou d'autres régions. 5e Après l'expérience, les cellules
nerveuses
influencées se retrouvent dans les mêmes conditio
es diviser en deux catégories, selon qu'ils impressionnent le système
nerveux
par action psychique ou que l'excUationaitsonpoin
L'action spécifique de la foudre ; 10° Les ébranlements du système
nerveux
consécutifs aux crises des maladies convulsives,
icrobiennes, de l'inanition, de la fatigue. Les propriétés du système
nerveux
/page> page n="74"> sont aussi influencé
que, dans une maladie où la cause la moins discutable est l'hérédité
nerveuse
, toute médication doit fatalement échouer. » Ains
ique de la maladie des tics. (1) G. ÂNDttu : Les nouvelles maladies
nerveuses
, 1892, p. 18*2./page> page n="77"> Pres
ciée à l'action psycho-mécanique. (1) GkaïSEt : Traité des maladies
nerveuses
, tome II, p: 592. (i) ? chût : Congrès de Toulo
ier à la consultation pour la première fois, est atteinte de troubles
nerveux
singuliers qu'elle va vous raconter en partie et
Babinski a d'ailleurs confirmé la nature hystérique de ces polyuries
nerveuses
en montrant qu'elles guérissent par suggestion. U
ions de la suggestion hypnotique au traitement des enfants vicieux ou
nerveux
. La Revue de l'Hypnotisme sera d'ailleurs repré
ysan des Cévenncs, âgé de 33 ans, vigoureux, sans tare dlathésique ni
nerveuse
autre qu'une légère tendance à -l'émûtivité, rend
que, la psychothérapie. C'est le traitement par l'âme, par le système
nerveux
, si vous préférez, grand maître de nos muscles et
emporain, si remarquable par ses résultats, vers l'étude des maladies
nerveuses
; et aussi tout le mouvement contemporain, encore
t, Rostan et Lallemand commencent l'anatomie pathologique des centres
nerveux
et étudient notamment le ramollissement cérébral,
agé et caractérisé les grands syndromes qui constituent la pathologie
nerveuse
, ils/page> page n="110"> ont appris à l
on de cette École. C'est lui qui a fait connaître et aimer le système
nerveux
, en France et à l'étranger, â tous ceux qui ont,
aucune donnée sur le mécanisme intime du fonctionnement de la cellule
nerveuse
. Aussi devons-nous accorder quelque attention aux
sur la découverte de Cajal, qui démontre que les différentes cellules
nerveuses
ne sont en rapport que par simple contact, M. Lép
ut de l'adhé-Tence de contact enlrc les prolongements de ses cellules
nerveuses
, le défaut de contact pouvant être attribué à un
es ne sont pas en continuité, mais en contiguïté, le passage de Ponde
nerveuse
d'un neurone à l'autre ne pourrait avoir lieu que
rrait avoir lieu que par le contact des prolongements de ces éléments
nerveux
. Dans cet état, les neurones seraient en activité
ctilité spéciale, les neurones cesseraient d'être en activité; l'onde
nerveuse
ne passerait plus. Ils se reposeraient. Si l'on
as-miques des neurones, l'explication d'un grand nombre de phénomènes
nerveux
en découle naturellement. Ainsi, l'apparition du
ition des cellules névrogliques suffirait pour interrompre le courant
nerveux
. Ce courant se rétablirait dès que, sous une infl
'hypnotisme s'expliqueraient par interposition dans les articulations
nerveuses
, des prolongements étalés des cellules névrogliqu
les recherches se font sur des personnes qui présentent des troubles
nerveux
très variés, et chez lesquelles on peut modifier
la vie » n'empiètent pas sur ce strict nécessaire. * Les enfants
nerveux
ont-Us besoin de plus de sommeil que les autres ?
repos réparateur; au surplus, ils réparent moins vite, leur substance
nerveuse
se prêlanl moins bien a condenser la force ; par
ions de réparation : de là un amaigrissement et une sorte d'éréthisme
nerveux
qui, par un cercle vicieux; mène alors à l'insomn
Charles Richet avait choisi pour sujet de la Conférence: La vibration
nerveuse
. La façon magistrale dont il a traité le sujet lu
laboratoire do psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
2? Octobre courant, u 10 heures et demie, à la clinique des maladies
nerveuse
», 49, rue Saint-André-des-Arts. 11 le continuera
cations et des infections dans la pathogénie des maladies mentales et
nerveuses
, rapporteurs : Pr D'Abundo et Dr C. Agostini. O
ontreral'Institut hypnotique du Dr Bérillon où il étudie les maladies
nerveuses
(') et il écrit parfois en excellent français dan
gestion hypnotique, l'insomnie, cette mère des accidents d'irritation
nerveuse
, et l'effet que par là on obtient indirectement s
II Alcoolisme M. L., 52 ans. de bonne constitution de tempérament
nerveux
, irascible, est un bon ouvrier, mais alcoolique q
t actuellement sous-surveillante et quoiqu'on contact avec les grands
nerveux
ne s'est jamais laissée influencer par eux. Il
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
26 Octobre L-ourant, à 10 heures et demie, à la clinique des maladies
nerveuses
, 49, rue Saint-André-des-Arts. Il le continuera l
malsain, maladif, prédisposé aux troubles et aux maladies du système
nerveux
, surémotif, et triste, humble, timide ou craintif
s le Dr Bernheîm, chaque homme possède une certaine quantité de force
nerveuse
ou d'activité cérébrale. A l'état de veille,cette
A l'état de veille,cette force se trouve concentrée dans les centres
nerveux
les plus élevés, c'est-à-dire dans la partie du c
s, mouvements, sensations, images) doivent leur origine à cette force
nerveuse
qui s'est concentrée et accumulée. Quand le sujet
ouvenir disparu ne devrait pas manquer de reparaître lorsque la force
nerveuse
est de nouveau concentrée dans les centres inféri
ion, est une femme de 24 ans, de taille moyenne, de tempérament assez
nerveux
, primipare arrivée au terme de sa grossesse après
é appelé en toute hâte, parce que la femme était en proie à une crise
nerveuse
des plus violentes. M. Mabboux lit ouvrir l'anima
toute élévation due à l'activité des portions supérieures du système
nerveux
. Les auteurs insistent, du reste, sur ce que, p
laboratoire de psychologie ¦expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
14 Décembre courant, à 10 heures et demie, à la clinique des maladies
nerveuses
, 49, rue Saint-André-dcs-Arts. Il le continuera l
sa en France les expériences de Braid, dans un mémoire sur le Sommeil
nerveux
ou hypnotisme paru, en 18G0, dans les Archives gé
ion : « L'hypnotisme est un moyen particulier de provoquer un sommeil
nerveux
, un somnambulisme artificiel, accompagné d'anesth
l était facile de trouver chez lui des symptômes spéciaux de son état
nerveux
. Ici au contraire le sujet ne se distingue en rie
t en effet révélé aucun signe objectif de lésion organique du système
nerveux
. Toutefois, nous avons pensé que les hemisphere
es Sciences, stance du 1 dôcembro 18SB./page> page n="217">
nerveux
et qui, à la suite d'une discussion avec son mari
anisme le plus élevé, la manifestation la plus complexe de l'activité
nerveuse
: les fonctions mentales. Sans doute, on ne pénèt
psychométrie peut rendre de précieux services en clinique mentale et
nerveuse
, aussi bien qu'en psychologie et en pédagogie. »
uérison même d'un symptôme qu'il en démontre la nature hystérique, ou
nerveuse
, ou fonctionnelle. Un cas de paralysie HYSTÉiti
e son beau mémoire de 1879. Rappellerai-je ses publications d'ordre
nerveux
, sur l'hypnotisme en par-/page> page n="223"
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
[dispensairo neurologique etpêr dngogique), est a
cette amnésie détermina la guérison de tout un complexus de troubles
nerveux
et mentaux. Une autre fois encore, après administ
s phagocytes ¦Jouent un râle très important, l'influence du système
nerveux
n'est pas i moindre. Cette influence est si pré
ce de l'organisme quo parce qu'ils amènent une défaillance du système
nerveux
. C'est lui qui assure la solidarité organique, le
. » C'est si;".-tout vis-à vis des agents infectieux qua la système
nerveux
aune infiu:-/;ccconsiderable. Sa façon de se comp
observations pour démontrer l'influence des lésions ou des affections
nerveuses
sur le développement dos diverses infections pulm
ais, réciproquement aussi, l'agent infectieux retentit sur le système
nerveux
et en entrave l'action défensive. 11 active cl pr
lément pathogène, ne sont-ils pasaccom-pagnés, compliqués desymptômes
nerveux
des plus graves? Et la simple lièvre n'est-ellc p
s preuves expérimentales. Ici et là, même mode du réaction du système
nerveux
vis à vis de l'agent infectieux, microbes ou toxi
recte sur le névraxe et qu'elle peut causer la défaillance du système
nerveux
central : en conséquence, les psychoses dont il s
laboratoire do psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispeiisaire neurologique- et pédagogique), est
la suite, » Développement. — L'impression est perçue par le centre
nerveux
au moyen des nerfs périphériques. Cette impressio
cause dans la suite d'une représentation mentale dans le même centre
nerveux
. (1) Momoîre lu à la Société d'hypoologie ù la
60"> Cette représentation mentale de l'impression dans le centre
nerveux
a lieu sans (nie les nerfs périphériques soient i
tale est un travail, une opération, un acte qui a lieu dans le centre
nerveux
seulement. Exemple : « Vue de visage souriant »
tation mentale, cette impression sera perçue de nouveau par le centre
nerveux
; mais elle sera perçue dans la suite sans que le
perçue, ou perception, en se reproduisant spontanément dans le centre
nerveux
devient représentation mentale. Autre exemple :
ges de cavalerie, etc., etc. Tout ce travail se fait dans le centre
nerveux
par autosuggestion. Voici ce que pense le peint
on parait être l'hy-perplasticité, l'instabilité moléculaire du tissu
nerveux
. S'il en (1) Lettre du 3 octobre 1656. (2) Ni
2"> est ainsi, on conçoit qu'une idée, ou mieux que l'ondulation
nerveuse
correspondante s'imprimera d'autant plus profondé
psychiques? II se produit alors, selon moi, une véritable commutation
nerveuse
qui explique assez bien la dévotion de certaines
ie des sciences, il s'agissait d'un jeune homme de 25 ans, à hérédité
nerveuse
chargée : père ivrogne, mère hystérique avec trou
ogne, mère hystérique avec troubles mentaux; ses frères et sœurs sont
nerveux
. Dans son enfance, le malade a eu obsessions et
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique et pédagogique), est an
vint demander à la suggestion hypnotique la guérison de ses troubles
nerveux
. Elle se montre très hypnotisable, néanmoinslc tr
i expliquer que ces médicaments ont pour but de « tonifier le système
nerveux
et d'accélérer le retour de l'énergie volontaire.
sion complète de morphine d'une durée d'un mois. Dès que les troubles
nerveux
qui avaient accompagné la suppression complète fu
elles déjà faites et appelle de nouveau l'attention sur les reliquats
nerveux
ou mentaux que laissent souvent après elles les m
es sources de nos jouissances. Dans le premier groupe, l'Impression
nerveuse
gagne les contres vaso-moteurs, soit par la route
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
[dispensaire neurologique et pédagogique), est an
seur Raymond reprendra ses leçons de clinique des maladies du système
nerveux
le mardi 20 mars 1000, à dix heures du matin (hos
'un neurone, sur un neurone, ou sur plusieurs neurones, d'ondulations
nerveuses
résultant de la transformation, dans les voies ne
'ondulations nerveuses résultant de la transformation, dans les voies
nerveuses
centripètes, des mouvements du milieu ambiant;
d'un neurone, sur un neurone ou sur plusieurs neurones d'ondulations
nerveuses
résultant de la combinaison, dans les circuits in
et cela proportionnellement à leur intensité, de même les ondulations
nerveuses
ont la propriété de convertir, proportionnellemen
e chaleur, de lumière ou d'électricité, mais sous forme d'ondulations
nerveuses
. C'est en ce sens que le neurone est comparable à
t certainement un phénomène analogue dans le neurone. Les ondulations
nerveuses
peuvent renaître sur leur empreinte. C'est le sou
à chaque idée, à chaque jugement correspond un système d'ondulations
nerveuses
. Le cerveau de l'homme est un monde. On peut le c
ire de trois manières. 1° Directement. Dans ce cas, les ondulations
nerveuses
traversent les parois des deux crânes, et les env
ir. 2° Par le geste et par l'écriture. Dans ce cas, les ondulations
nerveuses
du sujet A, lancées sur ses voies nerveuses centr
s ce cas, les ondulations nerveuses du sujet A, lancées sur ses voies
nerveuses
centrifuges se transforment, dans les muscles de
rétines du sujet B. 3° Par la parole. Dans ce cas, les ondulations
nerveuses
du sujet A lancées sur ses voies centrifuges se t
transformées ou non, d'un cerveau à un autre. Soit les ondulations
nerveuses
correspondantes à un jugement. Lorsque ces ondula
ues et le spasme du diaphragme disparaît, ainsi que tous les troubles
nerveux
qui lui sont associés. La guérison s'est maintenu
s'agit d'un homme âge de trente ans, de bonne constitution, sans tare
nerveuse
héréditaire. Déjà pendant sa vie scolaire, il mon
) Présentation de malades faite à la Clinique des maladies du système
nerveux
, à lo Salpetrière./page> page n="336">
malade ont présenté du somnambulisme naturel ; quand â lui, il était
nerveux
, émotif, coléreux et ne pouvait se contenir. L'hé
u sujet el l'ont frappé à son point faible qui, ici, élaii le système
nerveux
. Quant à la cause occasionnelle, il faut la cherc
e tumeur blanche suppurée. Le père, bien portant, est un éthylique,
nerveux
et irritable, ayant r. la boisson très mauvaise »
'elles, âgée de 24 ans, mariée et mère d'une fillette, est une grande
nerveuse
, une a tête chaude · se fâchant très aisément ; u
une a tête chaude · se fâchant très aisément ; une petite toux sèche,
nerveuse
la secoue constamment. L'autre sœur, célibataire,
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies
nerveuses
(dispensaire neurologique etpé-dagogique), est an
otique dans le traitement de l'épilepsie.—Les névroses par épuisement
nerveux
. — La neurasthénie anxieuse. —Les maladies des se
itié, reprendra ses conférences cliniques sur les maladies du système
nerveux
, samedi 28 avril, à dix heures un quart, et les c
expression du phénomène. En effet oublions un instant que les ondes
nerveuses
peuvent se fixer dans les neurones, en donnant à
Chaque pensée, ai-je dit, correspond à un système particulier d'ondes
nerveuses
. Or, on peut dire que les divers systèmes d'ondes
r d'ondes nerveuses. Or, on peut dire que les divers systèmes d'ondes
nerveuses
se réfractent au travers de la plupart des cervea
siècles et soixante générations ! — On peut encore comparer les ondes
nerveuses
aux ondes sonores, et la plupart des cerveaux aux
es de génie, ceux qui, recevant plusieurs systèmes différents d'ondes
nerveuses
, plusieurs pensées diverses, les combinent pour é
plus ou moins prolongée dans le traitement d'un grand nombre d'états
nerveux
. La durée des séances de sommeil à notre clinique
malheur et et qu'on se méfiât de lui, il fut pris d'un violent accès
nerveux
présentant les caractères d'un accès rabique; dur
1} Présentation de malade faite à la Clinique ùc* mnladios du système
nerveux
, à la Salpétriere./page> page n="377">
ntinuera chaque jeudi, à la même heure. Ce cours a trait aux maladies
nerveuses
et mentales. Dans sa leçon d'ouverture, M. Jule
p. 161, 225, 266, 289, 321. 353. Lumière colorée en thérapeutique
nerveuse
, par Félix Regnault, p. 7. Maîtres de l'hypnoti
AL HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
M. le Professeur CHARCOT Leçons du Professeur
nt entre elles des intervalles presque entièrement libres d'accidents
nerveux
, à part une lé- (1) Leçon du 12 mai 1891. —Recu
eux ne se plaignait guère, car c'est exclusivement pour les accidents
nerveux
qu'il venait nous consulter. J'avais, en admettan
, 1890, p. 339. , (8) Charcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. II, p. 372, De l'épilepsie partielle d'origin
je veux simplement appeler votre attention sur les lésions du système
nerveux
central. J'ai fait mettre ce cerveau sous vos yeu
te !... où est-il papa ?... Qu'est-ce que tu veux ? j'ai toujours été
nerveuse
. Tu me gâtais, mon père, tu avais un penchant po
vient spontanément au milieu du sommeil, ceux qui dépendent de crises
nerveuses
épileptiques et hystériques, celui enfin que l'on
dans leur jeunesse, n'offrent plus ultérieurement le moindre accident
nerveux
d'ordre hystérique ; cette considération ne perme
ogrès médical, 1891. (2) Charcot.—Leçons sur lesmaladies du système
nerveux
, 1S80, t. I, p. 373 et 432. — Voir aussi P. Riche
s ce second cas d'un homme de 27 ans, chez qui le début des accidents
nerveux
se fit à l'occasion d'une plaie par arme à feu du
médecin, le pre- (1) Charcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
. t. III, p. 232 et suiv. (2) Charcot. — Leçons
ire. Cet enfant, à propos de qui ses parents niaient toute hérédité
nerveuse
, avait vu les premiers accidents nerveux se dével
ents niaient toute hérédité nerveuse, avait vu les premiers accidents
nerveux
se développer sans cause connue. Ainsi que cela s
ville. Néanmoins, M. Dutil, alors interne de la clinique des maladies
nerveuses
, fut prendre son observation qu'il a bien voulu n
réditaire du côté maternel, le seul connu. Elle-même a toujours été
nerveuse
et impressionnable à l'excès. Elle est devenue hy
ent tuberculeuse. Parmi les autres, il y a deux frères, dont l'un est
nerveux
et l'autre est atteint d'une paraplégie consécuti
à la Salpêtrière, dans le service de clinique des maladies du système
nerveux
(1). Antécédents héréditaires. — Son père, âgé
eux et emporté. (La mère du père, morte à 84 ans, était aussi vive et
nerveuse
; elle a peut-être eu, d'après les renseignements
Sa mère est morte à 35 ans, de suites de couches. Elle était un peu
nerveuse
et s'impatientait facilement. (Le père de la mère
ne attaque d'apoplexie. Une sœur de la mère, âgée de 40 ans, est très
nerveuse
. Une autre sœur est morte de la poitrine). La m
înée a 24 ans, la plus jeune, 13 ans. La seconde, âgée de 23 ans, est
nerveuse
et sujette à des hallucinations (il y a quelques
rlé de bonne heure ; n'a pas eu de convulsions. Elle se montrait déjà
nerveuse
dans son enfance, et quand on la contrariait, ell
es bebête!... Où il est, papa?... Qu'est-ce que tu veux ? nous sommes
nerveuses
, j'ai toujours été diable. Tu me gâtais, mon père
e je suis à la Salpêtrière, parce qu'on a dit que j'avais une maladie
nerveuse
... Tu sais, c'est rupin dans c'te boîte-là, mais
. Très irritable, très emporté, il n'avait cependant aucune affection
nerveuse
. Rien de nerveux non plus du côté des grands-pare
très emporté, il n'avait cependant aucune affection nerveuse. Rien de
nerveux
non plus du côté des grands-parents paternels. Un
ient tous emportés comme son père, mais rien de plus. Pas de maladies
nerveuses
non plus chez la mère, qui est morte d'une affect
fin guéri, mais deux mois plus tard éclatèrent les premiers accidents
nerveux
. Le début de ces troubles eut lieu sans cause c
gé de descendre en route ; sans quoi il aurait peut-être eu une crise
nerveuse
. Auparavant il pouvait voyager en chemin de fer s
ent quatre ou cinq jours. Ces prodromes annonçaient la deuxième crise
nerveuse
, qui se produisit alors et fut suivie de plusieur
bre 1890, parce qu'il ressentait de nouveau les prodromes d'une crise
nerveuse
. Ces prodromes sont toujours les mêmes. Ils con
il n'est pas appréciable. Le malade décrit ainsi une de ses crises
nerveuses
, d'après le récit qui lui en a été fait à Montpel
détails. (G. G.). (3) Charcot.— Leçons sur les Maladies du système
nerveux
, t. III, p. 357. cèdent, en tout cas, dans la v
ession exercée sur les masses musculaires, les tendons, ou les troncs
nerveux
(contracture des léthargiques), et l'immobilité c
nis le 15 décembre 1853. Elle est donc âgée de 38 ans. Son père, très
nerveux
, est mort en 1871 d'un ulcère de l'estomac; il ét
. Sa mère est morte tuberculeuse. Sa sœur a des enfants qui sont très
nerveux
. Elle-même a eu des convulsions pendant son enf
nt pas été, tant s'en faut, de grands clercs en matière de pathologie
nerveuse
, cependant il nous est facile de retrouver dans l
d'être ramenée à l'état bête », accompagnée d'un violent «ébranlement
nerveux
». Le réveil s'annonce invariablement par trois bâ
s de sommeil. Sa sœur a souffert pendant quelques mois d'une coxalgie
nerveuse
. L'histoire de sa vie est assez caractéristique
al. C'est une jeune fille de 22 ans chez qui les premiers accidents
nerveux
remontent à l'âge de quatorze ans. A vingt ans el
s variées, du mutisme, de l'aphonie, des vomissements, de la diarrhée
nerveuse
, etc., etc. D'ailleurs, cette jeune fille porte
l'apparition est toujours marquée par une recrudescence des accidents
nerveux
, de morphine pour calmer ses diverses douleurs, d
la période précédente, cet accès la rendait muette. Une seconde crise
nerveuse
Va replongée dans son existence seconde, et ainsi
ite par une interpellation brusque ; immédiatement quelques secousses
nerveuses
se produisent dans les membres supérieurs, puis l
C'est une franche hystérique, avec attaques convulsives, hémoptysies
nerveuses
, etc... Elle est laborieuse et intelligente, mais
ont été très développés. Il était atteint depuis longtemps d'une toux
nerveuse
rebelle. Le 5 janvier 1875, dans un accès de toux
n essaie de l'éthériser, mais cette tentative exaspère les phénomènes
nerveux
, et des attaques convulsives suivies de paralysie
trinaire à trente-trois ans, était alcoolique et souffrait d'attaques
nerveuses
, qu'en l'absence de renseignements suffisamment c
t arrivait d'une petite ville de province, où tout foyer de contagion
nerveuse
ou d'imitation simple faisait absolument défaut.
16 décembre 1884. (3) Charcot. — Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III, p. 357. répondent de tout point au typ
ression exercée sur les masses musculaires, les tendons ou les troncs
nerveux
(contracture des léthargiques) et l'immobilité ca
en... je me sens bien... Ah! oui, quelquefois je suis colère, agitée,
nerveuse
..., mais maintenant je me sens bien, je suis plus
aint-Denis, Grande-Rue de La Chapelle, n° 3. Son père, qui était très
nerveux
, est mort d'un ulcère de l'estomac. Sa mère est m
aire à Lariboisière. Elle a une sœur, mariée, qui a deux enfants très
nerveuses
. Elle a été élevée à Persan, chez les sœurs. On
pprendre à lire « bien qu'elle fût intelligente, mais elle était trop
nerveuse
et avait trop mauvaise tête. » Pendant son enfanc
iqi np. hya!6iciç[u e ( 1 ) Sommaire. — Présentation du cas : shock
nerveux
, attaque, amnésie rétrograde ; amnésie antérograd
sme elle se souvient de tous les faits de chaque jour depuis le shock
nerveux
. Nature de cette amnésie : morceau d'attaque hy
e, quelques minutes après, on ramena le mari, elle tomba dans un état
nerveux
, marqué surtout par un délire dont j'aurai à vous
ne amnésie purement dynamique. Survienne une secousse, un ébranlement
nerveux
, un changement de polarisation des éléments organ
munie d'une lettre de M. le Dr J... (de C...), relative à la maladie
nerveuse
dont elle est atteinte. Après avoir fréquenté le
s de sa famille, du côté paternel. Enfin, la sœur de Mme D... est une
nerveuse
qui tombe facilement en syncope, quand on la cont
pliquer cette amnésie, invoquer un ébranlement profond, un épuisement
nerveux
consécutif à cette longue crise ? Je ne le pense
irée d'une part sur l'existence dans le diabète de quelques symptômes
nerveux
analogues à ceux que l'on rencontre dans l'ataxie
ans l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, les troubles
nerveux
ont été mis sur le compte du diabète sous le nom
lk, 1886, a° 18, p. 545.) que d'autre part l'apparition de troubles
nerveux
, au cours d'un diabète avéré, veuille toujours di
glycosurie d'ordre tabétique; l'existence de certaines manifestations
nerveuses
, au cours d'un diabète, ne veut point toujours di
diabétique présenter un tremblement des mains, entre autres accidents
nerveux
. Il a vu chez les descendants des diabétiques des
des frayeurs maniaques, etc.. Niepce signale de même un état morbide
nerveux
chez le fils d'un diabétique. Zimmer rapporte le
énation mentale. (Trois accès, le dernier suivi de mort.) Mère.
Nerveuse
. Fils. Epilepsie typique. Fille. Morte de
ls des diabétiques. (Gaz. des Hôp., 1884.) (2) Lecorché. — Troubles
nerveux
dans le diabète chez la femme. (Archiv, de Neurol
et cérébraux trouve son explication dans les antécédents héréditaires
nerveux
qu'on relève habituellement chez les diabétiques.
trouble commun aux manifestations arthritiques et aux manifestations
nerveuses
. « Cette connexion des affections du système nerv
manifestations nerveuses. « Cette connexion des affections du système
nerveux
avec la maladie diabétique, dit M. Bouchard,... p
adie diabétique, dit M. Bouchard,... prouve assurément que le système
nerveux
a une influence réelle sur le développement de la
générales, à tant de troubles permanents de la nutrition. Le système
nerveux
est, en effet, Je grand modérateur des actes nutr
les métamorphoses de la matière peuvent être ralenties par un trouble
nerveux
, elles le sont également par une disposition cons
interprété par une simple coïncidence, si on considère que l'hérédité
nerveuse
est représentée par le chiffre dix-sept et la syp
rth3 regarde la goutte et le diabète comme deux affections du système
nerveux
. Si Tétude que nous venons de faire ne permet poi
gnes classiques du diabète, on constate un certain nombre d'accidents
nerveux
tels que- : engourdissement, hypéresthésie, impui
té sous la dépendance de celui-ci. En résumé, si quelques accidents
nerveux
: perte du réflexe rolalien, troubles de la sensi
— Ici encore nous avons à relever la double hérédité arthritique et
nerveuse
. Nous soulignerons en outre ce fait qu'il s'agit
s'agit d'un cas de pseudo-tabes diabétique dans lequel les phénomènes
nerveux
ont précédé la glycosurie pendant vingt ans; 2° i
première objection n'est pas soutenable, car, si parmi les accidents
nerveux
quelques-uns sont communs au tabès et au diabète,
mille. Tous les membres qu'il connaît n'ont ou n'ont eu ni alfections
nerveuses
, ni goutte, ni diabète, ni rhumatisme, ni obésité
ne. Que peut-on conclure de cette succession morbide? Les accidents
nerveux
actuels ressortissent-ils au tabès vrai?Ne pourra
diabétique., durant depuis deux ans, avec aggravation des phénomènes
nerveux
, en l'absence de la glycosurie et des autres sign
isparaît parfois de l'urine? Du reste, dans les affections du système
nerveux
, l'atténuation, l'arrêt ou la disparition de la m
infirmités physiques, .que des affections dites organiques du système
nerveux
, voire même certaines monstruosités soient le rés
eds bots, affligés de telles ou telles maladies organiques du système
nerveux
(ramollissement cérébral, ataxie locomotrice), vi
udimentaire, pour ainsi dire, d'une perturbation dans leurs fonctions
nerveuses
. « L'étude des phénomènes de Vhérédité morbide
: tantôt au cours d'un diabète authentique, surviennent des accidents
nerveux
tabétiformes ; tantôt, chez un tabé-tique avéré,
ion : Etant donné un diabétique chez lequel surviennent des accidents
nerveux
tabétiformes, déterminer si ces accidents relèven
conde face : Etant donné un (l) Dreyfous. — Pathogénie et accidents
nerveux
du diabète sucré. Th. agrég., 1883, p. 89. tabé
tant donné un diabète sucré au cours duquel surviennent des accidents
nerveux
tabétiformes, dire si on se trouve en présence d'
e trouve en présence d'un vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents
nerveux
se bornent à des signes tels que : pertes des réf
ète sucré. Le résultat du traitement antidiabétique sur ces symptômes
nerveux
donnera certaines présomptions pour ou contre le
nière suivante : a. — Il s'agit d'un diabétique avéré avec signes
nerveux
tabétiformes. Si le traitement antidiabétique ame
rveux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique amende ces signes
nerveux
en même temps que les symptômes habituels du diab
rtants. 6 morts en bas âge, 5 enfants vivants. Pas de particularité
nerveuse
. Fils de 5 ans bien portant. Fille. 19 ans. H
é, au point de vue héréditaire, du diabète et des maladies du système
nerveux
; d'autre part ceux qui ont trait principalement
incipalement à celle du tabès et du diabète. 1° DIABÈTE ET MALADIES
NERVEUSES
TABLEAU XXV FAMILLE BER... (Dr Latil. d'Aix) GR
Fils unique. Obèse. — Diabétique. Comitial. TABLEAU XXVIII mere
Nerveuse
. pere Diabétique depuis 4 ans. Fille de 17
rt d'anthrax. Morte d'apoplexie. (coup de pistolet). I_I _L Mère.
Nerveuse
. Plusieurs parents apoplectiques. Père. Goutt
is (?) Tabes. TABLEAU XXXVII famille israélite PÈRE Diabétique.
MÈRE Nerveuse
. Fils. Neurasthénique. — Ataxique. TABLEAU
ille israélite PÈKE Ataxique non syphilitique. MÈRE Diabétique,
nerveuse
. Fils. Suicidé. Fils. Obèse, diabétique.
ice de la Salpêtrière, service de la clinique des maladies du système
nerveux
, au mois de janvier 1890. Ses antécédents héréd
surface épendymaire qu'il soulève que par un petit pont de substance
nerveuse
très mince dont les éléments sont tassés, et dans
de antérieure. Au point de vue de la structure intime, les éléments
nerveux
situés dans le voisinage des tubercules présenten
ie inférieure du tubercule principal, on retrouve quelques cellules
nerveuses
appartenant au noyau du moteur oculaire externe d
ui touchent au néoplasme, on observe un véritable tassement des tubes
nerveux
, coexistant avec une hyperhémie notable ; tous le
rgés de globules sanguins. A l'extrême limite du tubercule, les tubes
nerveux
présentent des altérations qui sont surtout remar
is par des leucocytes qui s'infiltrent dans les intervalles des tubes
nerveux
et dans les tubes eux-mêmes. Mais il n'existe nul
coudent en bas et en dedans. En aucun point de leur trajet les fibres
nerveuses
ne sont en rapport direct avec le néoplasme, qui
ion a été attirée en particulier sur le mode de réaction des éléments
nerveux
vis-à-vis des éléments tuberculeux. A cet égard,
A cet égard, nous avons vu, dans quelques préparations, des cellules
nerveuses
, encore reconnaissables à leur forme et à leur vo
ns doute étaient sur le point de terminer sa destruction. Les tubes
nerveux
, au voisinage du néoplasme, étaient réduits parfo
non. —Progr. méd., 7 mars 1885) et Leçons sur les Maladies du système
nerveux
, tome IIL (3) Pierre Marie et Georges Guinon. —
1). (2) Voir à ce sujet : Charcot. Clinique des maladies du système
nerveux
; leçons du professeur, mémoires, notes et être
st restée absolument négative en ce qui concerne l'examen des centres
nerveux
. Pendant la vie, l'atrophie prédominait au nive
e, etc. (Rev. de mèd., 1885). (2) F. Raymond. — Maladies du système
nerveux
; atrophies musculaires et maladies amvotrophique
s épileptiques simples, sur les cas d'épilepsie-névrose, sans lésions
nerveuses
manifestes. Nous ne nous appesantirons pas ici
.. Charles, 19 ans, sans profession. Pas d'antécédents héréditaires
nerveux
. Début dans l'enfance par des accès de convulsi
... Berthe, 18 ans. Un frère mort d'une méningite à 4 ans. Une sœur
nerveuse
et faible. Mère et une sœur mortes phthisiques.
les mêmes conditions. Observation X. Lév... Georges, 16 ans. Mère
nerveuse
. Convulsions dans l'enfance. A l'âge de 10 ans,
la suite d'une peur, une perte de connaissance, suivie d'une maladie
nerveuse
ayant duré un an. Début à 12 ans, sans cause co
de vue médicodégal. Observation XIX. Legr... Marie, 21 ans. Père
nerveux
, mère migraineuse. La malade est une enfant du si
adoptées. Observation XXI. Bien... Louise, 26 ans, lingère. Mère
nerveuse
, migraineuse. Grand'mère maternelle sujette à des
Observation XXV. H... Charles, 29 ans, employé de commerce. Mère
nerveuse
. Grand'mère maternelle nerveuse et émotive. Grand
, 29 ans, employé de commerce. Mère nerveuse. Grand'mère maternelle
nerveuse
et émotive. Grand-père du même côté alcoolique.
t, mort subitement d'une affection cardiaque. Deux frères et une sœur
nerveux
et violents. Convulsions dans l'enfance. Début
ontrer qu'il ne faut pas classer d'emblée dans l'hystérie toute crise
nerveuse
, précédée de ces phénomènes, avant de les avoir b
Observation XLI. Dr... Emile, 33 ans, fabricant de fleurs. Père
nerveux
et violent. Mère très nerveuse, sujette à des acc
le, 33 ans, fabricant de fleurs. Père nerveux et violent. Mère très
nerveuse
, sujette à des accès d'étouffements. Une sœur éga
nerveuse, sujette à des accès d'étouffements. Une sœur également très
nerveuse
, atteinte de fureur utérine. Incontinence noctu
» » » » » Mère morte d'une peur. Grand'mère épileptique. » Mère
nerveuse
. » Mère épileptique. Père suicidé. Mère épilept
. » Mère épileptique. Père suicidé. Mère épileptique, aliénée. Mère
nerveuse
. Père suicidé. » » » Cousine épileptique. Pèr
ique. » Père paralytique. * Mère suicidée. Père buveur. Famille
nerveuse
. » » » Convulsions chez un neveu. Sœur paraplég
ingite chez un frère. » Enfant trouvée. » Père alcoolique. Mère
nerveuse
. Grand-père alcoolique. » Père alcool., attaq
s. Convulsions chez un frère. Père alcool., attaques de nerfs. Père
nerveux
. Convulsions chez un frère. » Père alcoolique.
s. Père nerveux. Convulsions chez un frère. » Père alcoolique. Mère
nerveuse
. 2 cousines épileptiques. » i Père alcoolique.
Convulsions chez la mère. » » Grand-mère épileptique. » Parents
nerveux
. Enfant trouvée. » » » Père névropathe, î Mèr
e de l'année (1). Les chiffres qu'il fournit, 1.020 malades, dont 860
nerveux
, sont inférieurs à ceux que nous avons relevés pe
zoulay. — Consultation externe de la clinique des maladies du système
nerveux
; 1er semestre 1885. (Prog. mèd., 1885, n° 49, p.
nique neuropathologique, il n'y en que 8 ne présentant pas de maladie
nerveuse
vraie. Et parmi ceux-ci un grand nombre se plaign
ombre se plaignent de phénomènes touchant de très près aux affections
nerveuses
, et nécessitant un diagnostic précis. Ainsi dans
choréiques, les tiqueux et dans quelques autres maladies des centres
nerveux
(2). Messieurs, Les hasards de la clinique on
té omises par erreur dans le troisième volume des Maladies du système
nerveux
de M. Charcot. L'une d'elles a paru récemment dan
t se manifester en dehors d'elle, dans d'autres affections du système
nerveux
, sans lésions organiques appréciables, en particu
dents héréditaires, ni antécédents personnels relatifs à la catégorie
nerveuse
. Il vit depuis quelques années clans un collège d
t c'est huit jours après qu'il a commencé à ressentir les accidents
nerveux
qui ont persisté jusqu'aujourd'hui. Vous l'entend
signaler, à proprement parler, chez cette jeune fille, d'antécédents
nerveux
héréditaires; mais elle appartient cependant à un
n'avons pas pu trouver la marque évidente d'antécédents héréditaires
nerveux
ou arthritiques ; seulement elle a été élevée par
uvent se transmettre d'un sujet à un autre par une sorte de contagion
nerveuse
. On pourrait citer plusieurs épidémies d'aboiemen
expérimentalement l'une au moins des circonstances où cette contagion
nerveuse
peut s'opérer dans des conditions particulièremen
coolique, c'est-à-dire appartenant en propre à la série des accidents
nerveux
de l'alcoolisme chronique ? Vous savez, sans do
turnisme a-t-il pourtant joué un rôle dans la production des troubles
nerveux
que présente notre malade? Cela me paraît vraisem
donc un bel exemple d'hystérie chez un alcoolique. La prédisposition
nerveuse
existe à un haut degré : père violent, oncle vrai
ystérique. (Leçon). Sommaire. — Présentation de la malade : shock
nerveux
, attaque, amnésie rétrograde ; amnésie antérograd
me, elle se souvient de tous les faits de chaque jour depuis le shock
nerveux
. Nature de cette amnésie ; morceau d'attaque hy
ehoréiques, les tiqueurs et dans quelques autres maladies des centres
nerveux
. (Leçon). . . . . ,............. 443 II. Hé
ONOGRAPHIE DR E LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
4740. - Imprimeries réunies, B, rue Mignon, 2.
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Du PROFESSEUR CHARC
maladie n'est pas isolée ; elle se complique d'une autre affection
nerveuse
à laquelle la maladie de Morvan a servi en quel
n, A. Dutil, Chef de-Cliiiiqlie des .. Ancien maladies du système
nerveux
. interne do la Clinique. RHUMATISME ARTICULAIRE
itaires. - Père asthmatique ; mère migraineuse, dyspeptique et très
nerveuse
; une soeur aînée idiote; une tante (la soeur du
RICfIER Chef du laboratoire de la Clinique des maladies du système
nerveux
. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEM
conseils dans ce travail fait à la Clinique des maladies du système
nerveux
. 28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUËRE.
l'hystérie, p. 478. 2. Charcot. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, 1887, t. 111, p. 272. 30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
t la plupart des tremblements déjà décrits et classés en pathologie
nerveuse
. Ce sontlà, en effet, les deux données capitale
reille occurrence, on porte souvent le diagnostic de tremblements «
nerveux
», de chorée, etc., et l'on méconnaît la véritabl
ropres à certaines affections organiques ou inorganiques du système
nerveux
présente, au point de vue pratique, une importa
us pourrions relever parmi les faits de « tremblement émotif » ou «
nerveux
» qui ont été publiés çà et là, plusieurs cas q
l'âge de quarante-cinq ans. Sa mère n'a jamais souffert de maladies
nerveuses
, elle est âgée de soixante- quatre ans. Réponse
s de la famille de sa femme, paraissent être indemnes de toute tare
nerveuse
hé- réditaire ou acquise, la fille du malade, a
n'avait jamais été malade avant l'apparition des premiers troubles
nerveux
qui marquèrent le début de son 44 NOUVELLE ICON
as d'importance, n'est pour rien dans le développement des troubles
nerveux
qu'il a présentés plus tard. Le fait est que, pen
(A suivre.) Ancien interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
. LA QUEUE DES SATYRES ET LA QUEUE DES FAUNES
s qui vont suivre. Notre malade, âgée de dix-neuf ans, à hérédité
nerveuse
très char- gée, appelait, le 9 décembre 1889, n
ans le troi- sième volume de ses Leçons sur les maladies du système
nerveux
, et dans ces archives cliniques incomparables q
« s'accole » très volontiers avec un grand nombre d'autres maladies
nerveuses
, mais sans se fusionner jamais avec elles. L'at
s observations de M. Séglas '. ' L'hystérique, on le sait, est un
nerveux
héréditaire au premier chef, et si, peut-être p
ent est le souverain baume de 1. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. III, p. 4 il. I. 2. Leçons du mardi à la Sa
einte d'anorexie hystérique, il conseille l'isolement. Les parents,
nerveux
héréditaires eux aussi mais, en revanche, très
e-ci continue à dépérir et va mourir 1. Leçons sur les mal. du sus.
nerveux
, (luu. cil.), t. III, lï6lcçuJI, p. 235. CONSID
bien entendu des autres affections auxquelles sont prédisposés les
nerveux
héréditaires. C'est que, nous le répétons, chez
en lumière. Sa place est grande, très grande même dans la nosologie
nerveuse
; alors qu'on ne le soupçonnait pas, au lendemain
son histoire figurait tout entière dans une thèse sur les accidents
nerveux
du saturnisme; jamais il ne put se rappeler qu'
les DE la TOURETTE, Anrien Chef de clinique des maladies du système
nerveux
. UN CAS DE CARCINOSE VERTÉBRALE La malade don
ntué, mais est comme 1. Charroi. Leçons sur les maladies du système
nerveux
, t. t. 74 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈ
Salpêtrière dans le service de la clinique des maladies du système
nerveux
, le 1 février 1890. Antécédents héréditaires. -
r. GEORGES CUINON, Chef de clitii,itte des maladies du s ? lèlllc
nerveux
. lit. 0 HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE ÉP
s lorsque cet événement eut lieu. Du côté maternel : grand'mère «
nerveuse
» ; serait morte d'hémorrhagie cérébrale. Le gr
de 31. ans, sa santé avait été par- faite ; seulement il était très
nerveux
, très émotif. Il pleurait pour les motifs les p
chagrin; et ce fut là, semble-t-il, l'origine des premiers accidents
nerveux
bien caractérisés qu'il a éprouvés. Un jour, en
ES DE la TOURNETTE, Ancien Chef de clinique des maladies du système
nerveux
. Le gérant : Emile LECIt05\IEIi. 3Ja;l. - MO'
88, à la Sapêtrière, service de la Clinique des maladies du système
nerveux
. Antécédents héréditaires. -Père inconnu. Mère,
héréditaires. -Père inconnu. Mère, trente-cinq ans, domestique, est
nerveuse
, vive et emportée, mais n'a jamais eu d'at- taq
s grands-parents maternels ne paraissent pas avoir eu d'antécédents
nerveux
. Une tante, âgée actuellement de vingt- quatre
et conservent les mêmes caractères; toutefois les secousses de toux
nerveuse
qui les accompagnaient souvent sont devenus beauc
portant. Pendant sa grossesse sont survenus chez elle des accidents
nerveux
variés. Elle avait parfois la sensation d'une b
aucune altération de ces organes et pensant à des troubles purement
nerveux
voulut bien demander à M. Gilles de la Tourette
unebronclitc et, depuis celte époque, elle futsujefte à des crises
nerveuses
précédées d'étourdissements et accompagnées de
ue. Elle sort de- l'hôpital en juillet de la même année; les crises
nerveuses
n'étaient .point guéries. Elles persistèrent ai
LES DE la TOURETTE, 11UET, GUINON, Clinique des maladies du système
nerveux
. UN CAS DE M T L A N (; 0 L r E . (; A TA LEP T
ires. - Nous ne relevons rien de bien parti- culier au point de vue
nerveux
, ni du côté de son père ni du côté de sa mère.
urs de leur existence, ni dans la maladie terminale, aucun accident
nerveux
. Il en est de même pour les collatéraux de la mêm
s parents du côté maternel ne présentent pas davan- tage d'hérédité
nerveuse
. Deux soeurs sont mortes en bas âge, mais on ne
nt actuellement bien portants et n'ont jamais eu le moindre trouble
nerveux
. . Antécédents personnels. - Quoiqu'il ait touj
à la con- sultation externe de la Clinique des maladies du système
nerveux
, avril 1890. Antécédents héréditaires. - Père
ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des attaques. Une autre soeur
nerveuse
, rit et pleure sans motifs. Frère apathique, in
e présente à la consultation de la Clinique des maladies du système
nerveux
, au mois de mai 1890. Antécédents héréditaires.
nt. La malade assure qu'il n'avait jamais souffert d'aucune maladie
nerveuse
ou mentale. Il était parfaitement sobre et n'av
à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un accident. Elle était
nerveuse
, sujette à des colères violentes. La grand'mère
rna ah) Satpctriere. Interne de la Clinique des maladies du système
nerveux
. MODIFICATIONS APPORTÉES A LA TECHNIQUE DE LA
DE L'ATAXIE LOCOMOTRICE ET DE QUELQUES AUTRES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
' Depuis que M. le professeur Charcot a publié
t de l'ataxie locomotrice et de quelques autres maladies du système
nerveux
par la suspension', de nombreux travaux se sont
de malades se sont présentés à la Clinique des maladies du système
nerveux
pour être traités, par la suspension, d'affecti
Moabit, dit M. Gutlmann, on a traité un certain nombre d'affections
nerveuses
par la suspension : 10 cas de tabes, 2 casdemyéli
o locomotrice progressive et de quelques autres maladies du système
nerveux
, 132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'ËTRIËRE.
LES DE la TOURETTE, Ancien chef de Clinique des maladies du système
nerveux
. DEUX BAS-RELIEFS DE NICOLAS DE PISE Les deux
logie (Séance du 5 juillet 1890). 2. Raymond, Maladies du système
nerveux
, Paris, 1889, p. 375 et suivantes. , m. 10 13
ns extrêmement voisines résultant de l'action tantôt sur le système
nerveux
périphérique, tantôt sur le système nerveux cen
n tantôt sur le système nerveux périphérique, tantôt sur le système
nerveux
central, d'un seul et même agent pathogène, virul
espaces péri-cellulaires sont envahis par des leucocytes. Le réseau
nerveux
des cornes anté- rieures est altéré, ainsi que
mort, l'auteur a pu constater l'état station- naire des phénomènes
nerveux
. Autopsie. - Dlacroscopihcemerai. - Au niveau d
e nombre. De même, les prolongements du cylinder-axis et les fibres
nerveuses
qui traversent la substance grise n'existent plus
lombaire. En certains endroits, il ne reste plus trace de cellules
nerveuses
, ailleurs leur nombre est très réduit, et ceux de
fait ressortir nettement la fré- quence des altérations du système
nerveux
, apoplexie (grand-père et tante), délire des pe
de Bicètre. 1. G. Ballet. De quelques troubles dépendant du système
nerveux
central observés chez les malades atteints de g
effet. - GEORGES Guinon, Chef de clinique des maladies du système
nerveux
. ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES TROUBLES D A
is je serai assez heureux si je puis mettre en lumière les troubles
nerveux
, les phénomènes respiratoires et les lésions pu
contact immédiat de la muqueuse bronchique, peut exciter les filets
nerveux
qui président a)a sécrétion du mucus, tout en y
nt ces exemples, pris en dehors de toute autre affection du système
nerveux
, et les observations recueillies à la Clinique de
lkers à considérer le groupe anté- rieur comme le centre des filets
nerveux
destinés à la musculature interne du globe de l
tico-nucléaires, ou encore des faisceaux allant des noyaux au tronc
nerveux
basai; rnais une telle ophthalmoplégie s'accompag
sion périphérique des nerfs moteurs. Cette fois l'examen du système
nerveux
central à l'oeil nu et après durcissement resta
a absolument négatif. Par contre, l'examen des fibres et des troncs
nerveux
périphériques démontra l'existence d'une névrite
bout de peu de jours dans un profond marasme. L'examen du système
nerveux
central à l'oeil nu et après durcissement resta
yens d'investigation. Par contre, l'examen des fibres et des troncs
nerveux
périphériques démontra l'existence d'une névrit
e préférence autour des vaisseaux (PL XXXII, fig. 5, a). Les fibres
nerveuses
des cornes antérieures, très raréfiées dans le
a région, ont tout à fait disparu à ce niveau. De même les cellules
nerveuses
ont en grande partie disparu, et celles qui per
entées que par des débris, mal colorés d', d', d'; e, e, ramuscules
nerveux
où persistent des libres à myéline ; c, c, espa
s fibres musculaires ; /, faisceau neuro-musculaire ; g, ses filets
nerveux
; h, ses libres musculaires; /., sa gaine lamelleu
ébris de cellules ganglionnaires; c, leucocytes; d, débris de tubes
nerveux
; e, vaisseau. 1. Voy. le n' 4, 1890. 196 NOU
les parois des vaisseaux sont très épaissis, et beaucoup de fibres
nerveuses
ont disparu. La sclérose est exactement limitée
gue par sa constitution, il se montre formé, en effet, de fibrilles
nerveuses
plus ou moins dégénérées, de globules rouges et d
et de granulations. Celles-ci représentent soit des débris de tubes
nerveux
, soit de la fibrine. z La région externe de l
présente un petit foyer hémorrha- gique qui a détruit la substance
nerveuse
. La plupart des cellules sont détruites, mais i
Flechsig. Il est à remarquer, que malgré l'inté- grité des rameaux
nerveux
périphériques, nous avons constaté une dégénéra
il ne s'est rien produit de notable au point de vue des phénomènes
nerveux
sinon que le trouble nerveux amyotrophique, tou
notable au point de vue des phénomènes nerveux sinon que le trouble
nerveux
amyotrophique, tout en y restant cantonné, a pr
t des autres organes, pour ne mentionner que les lésions du système
nerveux
. \ Le cadavre est très émacié; le tissu adipeux
t sur des coupes longitudinales et transversales. Tous ces trônes
nerveux
sont presque normaux; du moins les seules parti
le tissu intra-fibrillaire est hypertrophié, et beau- coup de tubes
nerveux
ont disparu. Dans le territoire de ces traînées
us l'action des substances colorantes de la myéline, tous les tubes
nerveux
en étant dégénérés. On ne peut distinguer alors
tant dégénérés. On ne peut distinguer alors qu'il s'agit de rameaux
nerveux
, que parce qu'on découvre à côté d'eux d'autres
d'autres, leur gaine lamellaire est très épaissie, et leurs fibres
nerveuses
ont disparu' ¡ (Planche XXXII, fig. 4, f). Le
est vive, se met facilement en colère; elle n'a jamais eu de crises
nerveuses
et jouit actuellement d'une bonne santé. Ses deux
santé. Ses deux soeurs sont bien portantes. Il n'y a pas de maladie
nerveuse
à signaler parmi les différents membres de la f
rmis de rapporter à leur véritable origine l'ensemble des symptômes
nerveux
présentés par les malades. Dans certains cas, o
e. Er. PAUMENTIER, Interne de la Clinique des maladies du syslème
nerveux
NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE DU MOTEUR OCULAI
. Ses antécédents hérédt ? ne sont point chargés au point de vue
nerveux
. Son père est mort d'une hydropisie probablement
les Allemands en 1871. Ni l'un ni l'autre n'avaient eu de maladies
nerveuses
. Une soeur de la malade est morte de la poitrin
Chef du service ophlhallllologilllte Chef de Clillit1110 des maladies
nerveuses
, de la clinique des maladies nerveuses. SUR D
de Clillit1110 des maladies nerveuses, de la clinique des maladies
nerveuses
. SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE LA DÉFO
oliose névropathiclue; scoliose à la suite d'une affection musculo-
nerveuse
». Dans un de ces cas, grâce à un traitement élec
e. Les divers viscères sont sains. Le malade avoue qu'il est un peu
nerveux
, qu'il s'énerve facilement, se met en colère sa
de sa tare héréditaire, il ne serait pas impossible que l'élément «
nerveux
», dans le sens banal du mot, ait pu avoir une
nt, en somme, le maximum de lésions. Ainsi qu'on l'a vu, les troncs
nerveux
de ce membre, le médian et le cubital, examinés
1889, n° 13. POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 15 Dans les rameaux
nerveux
interfasciculaires, se distribuant à des fascic
r expliquerl'atrophie. On pourrait supposer, que la lésion du tronc
nerveux
a été intense autrefois, et que l'aspect 1. Bor
rois organes; cellules ganglionnaires des cornes antérieures, fibre
nerveuse
motrice, fibre musculaire. Cependant l'arc neur
ent des cellules ganglionnaires des cornes antérieures, de la fibre
nerveuse
motrice et de la fibre musculaire, mais encore et
s, Interne (médaille d'or) de la Clinique des maladies du système
nerveux
. 1. Résilier, loc. cil., p. 1013. DE L'OPIITH
forme achevée et indé- pendante de toute autre affection du système
nerveux
, poliomyélite, tabes, etc. Dans Ta première o
ngestion légère des enveloppes ménin- gées, sans lésion des centres
nerveux
: cerveau, bulbe, moelle épinière. L'examen mic
abétique. Lui-môme, d'un caractère calme, n'a jamais eu d'accidents
nerveux
avant l'apparition de la maladie actuelle. Il n
ptionnels par envahir la région de l'oculo-moteur. Parmi les noyaux
nerveux
étages dans la moitié supérieure du 4e ventricu
re part, Rosenthal rapporte dans son Traité des maladies du système
nerveux
que Hérard a vu deux fois une paralysie unilaté
phie musculaire, indépendamment de toute autre affection du système
nerveux
; il fit sa communication à la Société des médec
qui le produit. Ici, comme dans bien d'autres affections du système
nerveux
, la cause nous échappe. La syphilis a bien été
(objectif IF de Verick) : dans le nord de la préparation, les tubes
nerveux
sont assez abondants, mais ils de- viennent rar
ef du Service photographique de la Clinique des maladies du système
nerveux
. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T III
Région très altérée : c, c', Vaisseaux à gaines épaissies; (1, Tube
nerveux
. Le gérant : Emile Lecnosmen. 4140. - IHlpl i
de l'ataxie locomotrice et de quelques autres maladies du système
nerveux
), par Gilles de la Tourelle, 128. Tabès et di
ryon a déjà su se constituer tout seul, sans provocation du système
nerveux
, sans subordination au système nerveux ; et les
sans provocation du système nerveux, sans subordination au système
nerveux
; et les feuillets blastodermiques ont effectué
t son divorce, en juin 1904, il a commencé à présenter des troubles
nerveux
; agitation, insomnie ; fugues ; idées de grand
ver ». HOSPICE DE LA SALPÈTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE - VERTÉBRA
qu'il doit être chez un sujet normal. La pituitaire, dans sa partie
nerveuse
, paraît absolument saine. Dans sa partie glandu
le paraisse notablement épaissie. L'examen histologique des centres
nerveux
ne donne que des résultats né- gatifs. L'écorce
rconstance que nous avons pu faire un examen intéressant du système
nerveux
périphérique. Examen histologique. Durcisseme
e. Eu haut, lilet de la racine antérieure ; diminution des libres
nerveuses
. En bas, filet de la racine postérieure, aspect
t antérieur de la 7e racine cervicale droite. Diminution des fibres
nerveuses
, pelotons de libres de régénération. (Pal et Ca
t contraste avec les lésions considérables trouvées dans les troncs
nerveux
périphériques. II. Nerfs périphériques. - Exame
B et PI. VI, C) que le nombre des fibres que contiennent ces troncs
nerveux
est très inférieur à la normale. Celles qui son
res ou fusiformes et sou- vent parallèles à la direction des fibres
nerveuses
, si bien que sur ces coupes transversales, ils
s (fig. 3) les mêmes variantes de lésions, mais ici déjà les fibres
nerveuses
composées d'uu cylindre-axe et d'une gaine de m
s clairs, comme dans le tissu conjonctif lâche. Autour des éléments
nerveux
ce tissu conjonctif se condense soit pour former
un feutrage plus ou moins épais englobant parfois plusieurs fibres
nerveuses
soit (et c'est le cas le plus fréquent) pour co
(et c'est le cas le plus fréquent) pour constituer autour de la fibre
nerveuse
un manchon cylindrique. Cette dernière disposit
c les fibres plus espacées du tissu réticulé avoisinant. Les fibres
nerveuses
contenues dans ces gaines volumineuses sont parfo
qu'un espace central plus clair qui représente la place de la fibre
nerveuse
absente. Toutes ces variantes se retrouvent dan
ransversales des nerfs mixtes montrent une raréfac- tion des fibres
nerveuses
; celles qui restent sont les unes normales, les
dinales. - On retrouve la même répartition irrégu- lière des libres
nerveuses
, tautôt rassemblées en fascicules presque aussi
. On voit parfois dans un même manchon fibreux deux ou trois fibres
nerveuses
à des degrés divers d'al- tération, soit juxtap
Nous avons même trouvé une dis- position assez curieuse ; une fibre
nerveuse
qui dans sa gaine fibreuse épaissie se recourbe
n cordon fibreux dans lequel on ne trouve aucun vestige de la fibre
nerveuse
. Sur ces coupes longitudinales la structure du
fibreuses qui le constituent sont allongées dans le sens des fibres
nerveuses
, leurs noyaux, ovalaires ou fusiformes, sont de
ion par l'acide osmique et dissociation) ; il avait montré des fibres
nerveuses
en grand nombre dont la gaine de myéline, impré
ONG ces coupes avec un plus fort grossissement (fig. 8), les fibres
nerveuses
des racines antérieures se présentent pour la p
ssu conjonctif interstitiel. En outre, on voit qu'autour des fibres
nerveuses
même bien conservées le tissu conjonctif forme
une forme atténuée le double processus : atrophique pour les libres
nerveuses
, hyperplasique pour les éléments inter- titiels
aréfiées de la racine antérieure C 7 de pelotons compacts de fibres
nerveuses
enroulées (PI. VI, G). Cette disposition doit ê
ine-éosine et le pro- cédé de van Gieson). - Comme [dans les troncs
nerveux
, les lésions sont iné- gales et inégalement rép
sseaux ne sont pas altérés dans leur structure. Les petits filets
nerveux
intra-musculaires que l'on voit sur les coupes du
l'on voit sur les coupes du deltoïde contiennent encore des fibres
nerveuses
mais en nombre bien infé- rieur à la normale; c
il ne forme pas de gaines fibreuses distinctes autour des éléments
nerveux
comme dans les gros troncs nerveux ou les racines
s distinctes autour des éléments nerveux comme dans les gros troncs
nerveux
ou les racines rachidiennes antérieures. Par co
gros nerfs du creux axillaire, c'est-à-dire des zones où les fibres
nerveuses
raréfiées sont entourées d'une gaine fibreuse en
amen histologique. Intégrité de la moelle épinière. Dans les troncs
nerveux
périphériques diminution du nombre des fihres à
culé, tantôt' épaissi et condensé dans les inter- valles des fibres
nerveuses
. Présence de gaines conjonctives annulaires et
antérieures seules sont lésées et à un moindre degré que les troncs
nerveux
du plexus brachial. Pas d'augmentation du tissu c
deux catégories de lésions sont plus intenses au niveau des troncs
nerveux
du creux axillaire et de leurs branches de divi
onjonctif interstitiel et présence, autour de la plupart des fibres
nerveuses
, d'une gaine conjonc- tive annulaire et épaisse
ertaine de la moelle épinière et des nerfs sympathiques. Les filets
nerveux
des muscles de la main droite sont entourés d'u
augmentation du névrilème et du tissu interfasciculaire des troncs
nerveux
et des filets musculaires. Les filets sensitifs d
re une diminution considérable du nombre des fibres dans les troncs
nerveux
, et autour des fibres nerveuses,une enveloppe con
du nombre des fibres dans les troncs nerveux, et autour des fibres
nerveuses
,une enveloppe conjonc- tive fibreuse en anneau,
usieurs fibres à la fois et parfois aussi ne contenant pas de fibre
nerveuse
mais un point rose qui est soit un noyau, soit
ressive est nettement familiale, la diminution du nombre des fibres
nerveuses
dans les nerfs périphériques est évidente, mais
ntrafasciculaire ait formé des man- chons fibreux autour des libres
nerveuses
; on ne pourrait donc parler ici de névrite hyp
cine, 1890, p. 441. 1 60 LONG est intacte, du moins les fibres
nerveuses
y sont en nombre normal, mais il y a une légère
cordons postérieurs avec tourbillons névrogliques ; dans les troncs
nerveux
, dégénérescence des fibres à myéline, augmentat
Archiv. sur Psychiatrie, vol. XXIX, p. 996. (2) Long, Les maladies
nerveuses
familiales [maladies d'évolution). Revue méd. de
éléments histologiques (cellules ou fibres conductrices des centres
nerveux
, fibres périphériques motrices,sensitives ou symp
névrite interstitielle avec ou sans hypertrophie ; dans les centres
nerveux
la sclérose névroglique en tourbil- lons doit ê
le plus souvent en importance les lésions atrophiques des éléments
nerveux
ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUP
anal en tératologie. Ces lésions d'atrophie régressive des éléments
nerveux
ou musculaires avec ou sans hypergenèse des élé
la moelle ; dans les nerfs périphériques la raréfaction des fibres
nerveuses
était accompagnée d'une sclérose conjonctive avec
pagnée d'une sclérose conjonctive avec épaississement de ces troncs
nerveux
. L'observation I de Friedreich (atro- phie d'un
les nerfs périphériques, en même temps que la diminution des fibres
nerveuses
il y avait un épaissis- sement du névrilème, du
e, la névrite interstitielle périphé- rique forme autour des fibres
nerveuses
raréfiées des enveloppes en anneaux ; dans le s
variables, mais il n'y a pas de manchons fihreux autour des fibres
nerveuses
. L'observation de Marinesco qui se rapporte à u
les nerfs périphériques, à côté des lésions atrophiques des fibres
nerveuses
il y a une hyperplasie conjonctive, mais elle p
ions histologiques et ne pas les limiter à l'examen des appa- reils
nerveux
et musculaires. Quant à l'observation que nous
t et Malle[, de Dejerine, Sottas et Thomas ; raréfaction des fibres
nerveuses
, augmenta- tion du tissu conjonctif intrafascic
tissu conjonctif intrafasciculaire, si bien qu'en somme les troncs
nerveux
ne sont pas augmentés dans leur diamètre. Le ti
t altéré au même degré et on ne saurait supposer ici que les fibres
nerveuses
man- quantes ont été détruites par compression
sont normales ; dans les racines antérieures une partie des fibres
nerveuses
se sont atrophiées, ce qui d'une part vérifie l
façon suivante : Atrophie régressive d'un grand nom- bre de fibres
nerveuses
, hyperplasie du tissu conjonctif intrafasciculair
laire et formation de gaines fibreuses épaisses autour des éléments
nerveux
. Ces lésions sont au maximum dans les troncs ne
r des éléments nerveux. Ces lésions sont au maximum dans les troncs
nerveux
; elles sont notable- ment moins marquées au ni
iveau des racines rachidiennes et à la périphé- rie dans les filets
nerveux
intra-musculaires.Dans leur ensemble les fibres
rvelet peut être dû à des faits dégénératifs primitifs des éléments
nerveux
constituant l'écorce cérébelleuse, ces mêmes fait
us atrophiées on note une raréfaction tout à fait légère des fibres
nerveuses
. Ce fait est difficile à expliquer, nous nous bor
ux ont un certain intérêt clinique et anatomique pour la pathologie
nerveuse
en général et celle du cervelet en particulier.
(SÉANCE DU 6 DÉCEMBRE 1906) [Travail de la Clinique des maladies
nerveuses
, à la Salpêtrière ) OSTÉITE SYPHILITIQUE DÉFORM
Gerdy, puis par Cruveilhier. Charcot, qui créait alors la clinique
nerveuse
, se trouvait chaque jour aux prises avec les di
est l'existence de cette poliencéphalite comme unique manifestation
nerveuse
chez notre malade. Comme étiologie de l'ophtalm
on volume (PI. XXVII). Au niveau du foyer proprement dit les fibres
nerveuses
constituant le réseau myélinique de la corne so
xi-infectieuse capable de frapper aussi d'autres parties du système
nerveux
. Ces diverses localisations du même processus a
flammatoire, d'une vraie myélite intéressant à la fois les cellules
nerveuses
, les tubes nerveux et les vaisseaux. Mais c'est
vraie myélite intéressant à la fois les cellules nerveuses, les tubes
nerveux
et les vaisseaux. Mais c'est l'étude de cas de
raitplus facile encoresiM. Barbiéri (1) établit que les gan- glions
nerveux
des racines postérieures appartiennent au système
res appartiennent au système du grand sympathique. Et en pathologie
nerveuse
, ces accointances entre l'appareil sympathique
cellule du protoneurone centripète peut donc par action d'un influx
nerveux
vicié, agir irrégulièrement sur toute une série
s, 9 avril 1900 et 2 mars 1903. (2) Simon et Hoche, Les ganglions
nerveux
des racines postérieures appartiennent- ils au
es circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du sys- tème
nerveux
. Rôle de la sécrétion lymphatique sur leur pathog
utit à la formation exagérée de la lymphe sur les oedèmes d'origine
nerveuse
. Et nous en trouvons une preuve manifeste sur l
e du tisu conjonctif (Kapoji). Transportons dans l'oedème d'origine
nerveuse
ces données établies par les oedèmes chroniques
cas héréditaires ou familiaux, et une réaction vicieuse à un influx
nerveux
lui-même vicié par lésion du protoneurome centrip
- Ce nerf est notablement hypertrophié (fig. D), mais les faisceaux
nerveux
ne participent pas à cette augmentation de volume
s vient encore s'interposer en- tre les divers groupes de faisceaux
nerveux
et augmenter ainsi le volume total du nerf. z
la gaine externe et à l'intérieur de celle-ci on voit des faisceaux
nerveux
rap- prochés les uns des autres ; chacun d'eux
'étude des troubles trophiques relevant d'une altération du système
nerveux
constitue un des chapitres les plus intéressants
ue. xx Il 166 PARUON ET FLORIAN Mais de quelle façon le système
nerveux
intervient-il pour produire le trophoedème ?
tze. Dans les cordons postérieurs une raréfaction légère des fibres
nerveuses
. Dans des segments plus inférieurs de la région
s ventraux. Dans ces foyers si étendus de nécrose, on voit le tissu
nerveux
altéré, en îlots irréguliers séparés par des espa
grande dans les foyers de nécrose où la destruction des élé- ments
nerveux
est plus profonde. Apparemment ce sont des leucoc
hémorragie peu abondante. ' (1) VAN GEFIUCHIEN, Anatomie du système
nerveux
de l'homme. 212 ZOGRAPIDI Dans la substance g
iques, des leucocytes, des petits foyers d'hémorragie. Les cellules
nerveuses
des cornes antérieures sont troubles, leurs noyau
; le plus souvent on constate un lésion plus profonde des cellules
nerveuses
, quelquefois leur disparitio complète. Autour d
un pe les fondamentaux, de Gowers) les a aussi touchées. Les fibres
nerveuses
sont gonflées. Le canal épendymaire est obiitér
ges, ou par de simples déchirures, dus à la résorption des éléments
nerveux
altérés. Dans ces étendues nécro- tiques on voi
noyaux se colorent (1)(,matéine-éositie) très nettement. Les fibres
nerveuses
sont gonflées ou brisées ou à demi résorbées. L
r l'hématoxyline et incomplè- tement vers la périphérie. Les fibres
nerveuses
sont parfois résorbées et 214 ZOGRAFIDI ont l
s du tissu altéré, on constate différents débris fins névrogliques,
nerveux
, des libres des septa, quelquefois des corps gr
moins intenses. Les cellules ner- veuses sont troubles, les fibres
nerveuses
gonflées, les vaisseaux conges- tionnés ; infil
myélite (congestion, diapédèse leucocytaire, gonflement des fibres
nerveuses
, prolifération des éléments névrogliques), en d
uses présentaient les caractères suivants : on ne voyait des fibres
nerveuses
que dans la périphérie de la sclérose, et là même
lissement des réflexes tendineux, douleurs à la pression des troncs
nerveux
et des masses musculaires, hypoesthésie tactile e
ieurs des extrémités abdominales ; douleur à la pression des troncs
nerveux
et des masses musculaires, pression très pénibl
quand on soulevait les extrémités ou que l'on comprimait les troncs
nerveux
et les masses musculaires ; cela me démontra cl
ts déposition, par la pression des masses musculaires et des troncs
nerveux
, sont un in- dice d'une grande importance diagn
ctive. HOSPICE DE LA Salpêtrière CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME
NERVEUX
MYOPATHIE PSEUDO-HYPERTROPHIQUE DES MOLLETS ET
as- culaire on trouve du pigment ocre (hémoglobine). Les cellules
nerveuses
sont altérées, mais principalement les cellules p
oyau excentrique. 242 VIGOUROUX ET DELMAS Au Weigert ; les fibres
nerveuses
sont grêles, mais ne présentent pas d'al- térat
neuses et osseuses profondes. , Le malade n'a jamais eu de « crises
nerveuses
» ; les personnes de son entourage nous ont ass
é que ce- poison agissait simplement en paralysant les terminaisons
nerveuses
du sphincter de l'iris. La cocaïne, au contra
actions successives : tout d'a- bord, elle excite les terminaisons
nerveuses
du dilatateur de l'iris, d'où légère mydriase a
. Plusieurs heures plus lard,' la cocaïne paralyse les terminaisons
nerveuses
du sphincter et agit alors comme l'atropine ; m
me s'intoxique, c'est-à-dire modifie volontairement son équi- libre
nerveux
pour se donner une excitation ou une anesthésie v
E Professeur de Clinique Chef de clinique des Maladies du Système
Nerveux
à la Salpêtrière. Les phénomènes'bulbaires, les
part au pro- cessus. Chercher à localiser en un point du système
nerveux
une lésion qui expliquerait cette chiromégalie
blanche semée « d'araignées gonflées ». La répartition des cellules
nerveuses
dans l'écorce est « brouillée » depuis la calcari
e série de fraîches dans la partie médiane de Th. opt. Les fibres
nerveuses
de l'écorce sont généralement bien conservées à d
d'en étudier encore beaucoup mieux les effets généraux sur le tissu
nerveux
central. 2° Il faut surtout se souvenir que tou
ntr'autres le VIII. Le bord médian du néoplasme contient des fibres
nerveuses
encore colo- rahles. Il s'agit d'un sarcome à c
L z81 de S. et du IV° ventricule est semé de vacuoles et les fibres
nerveuses
y sont variqueuses, en voie de destruction. Le
ignon. Le tubercule cutané ne reçoit ni fibres musculaires ni filet
nerveux
apparent. Moelle épinière. Après durcissement d
ement, on ne remarque aucune modification histologique des éléments
nerveux
, tubes et cellules ; leurs dimensions sont les mê
rale, les veines superficielles sont presque imperceptiles. Système
nerveux
. - Du côté de l'encéphale, il n'y a rien à noter
celui du côté opposé, avait pour origine le même nombre de cordons
nerveux
, mais il ne partait de ce plexus que trois cord
cordons nerveux, mais il ne partait de ce plexus que trois cordons
nerveux
assez distincts. Le ter se portait vers la partie
e du deltoïde et l'humérus, et, après avoir donné quel- ques filets
nerveux
à ce muscle, il le perçait vers la partie moyenne
ar M. Durante. Le cubital est plus grêle, du côté malade. Les tubes
nerveux
sont normaux ; l'atrophie est seulement quan- t
l semble que la division s'est faite au niveau même des territoires
nerveux
du médian et du cubital, celui-ci formant un co
Arthur, actuellement Médecin de la clinique des maladies du système
nerveux
à ICie(f. A partir du 27 janvier 1904 (début de
uaient leur labeur devenait plus pénible et l'épuisement du système
nerveux
atteignit son apogée. TROUBLES MENTAUX PENDANT
qui ne pouvaient plus supporter la situation présente. Une tension
nerveuse
si longtemps prolongée provoquait un extrême épui
i longtemps prolongée provoquait un extrême épuise- ment du système
nerveux
n'arrivant pas jusqu'à la psychose, mais causanta
avaux de Babès et Marinesco en Roumanie sur l'anatomie pathologique
nerveuse
de cette intoxication sont venus compléter ceux d
hées, etc.). Nous nous restreindrons aux particularités mentales et
nerveuses
, dont les manifestations sont généralement cons
METTES de Bordeaux. Le problème de la déchéance sénile du système
nerveux
est, assuré- ment, trop bien posé pour qu'il so
as douteux que dans la symptomatologie si complexe de la séni- lité
nerveuse
quelque chose relève du cervelet sénile. Si pourt
c. cit., p. 533. - VAl'< GEIIUCII'l'EN, La structure des centres
nerveux
. La Cellule, t. 7, 1891. NOUVELLE Iconographie
au sénile. Elles fournis- sent la preuve que la sénilité du système
nerveux
est le résultat,non d'une nécrobiose pure et si
d, ne révèle par la méthode de Nissl aucune altération des cellules
nerveuses
. La moelle, examinée au Marchi, fait voir quelque
gras, la rate volumineuse. Les reins sont congestionnés. Système
nerveux
. Il existe sur la convexité des hémisphères une l
onstituée par une bande de tissu névroglique peu épais ; les fibres
nerveuses
sont bien conservées en avant et dans le voisinag
ornes antérieures et la méthode de Weigert fait voir que les fibres
nerveuses
sont irrégulières et moniliformes. Le groupe cell
la moelle lombaire, la substance grise est normale. ' Les cellules
nerveuses
des segments médullaires où n'existe aucun proces
t (cubital, médian, collaté- raux des doigts). Dans tous ces troncs
nerveux
la méthode de Marchi nous a permis de constater
érale, que leur abolition aux membres supérieurs dérive des lésions
nerveuses
périphériques et de la destruction des cellules
gauches on remarque un mode spécial de dégéné- rescence des fibres
nerveuses
. Celles-ci apparaissent inégalement renflées et
s périphériques étaient intenses et généralisées à tous les rameaux
nerveux
de la main. Dans les nerfs du bras (médian, cub
la raison intime qui fait que devant une lésion donnée du sys- tème
nerveux
, les I issus constitutifs d'un segment de membre
it d'autre maladie qu'une fièvre typhoïde à l'âge de 30 ans, un peu
nerveuse
, a son attention attirée le 18 mars 1907 par un
) Faisans, Des hémorragies cutanées liées à des affections du système
nerveux
el en particulier du purpura myélopathique, Thè
initial a donc été un phénomène sensitif traduisant une altération
nerveuse
, névralgie ou névrite, de la branche ophtalmiqu
ellule du protoneurone centripète peut donc, par action d'un influx
nerveux
vicié, agir irrégulièrement sur une série d'éléme
origine traumatique ; pathogéiie des oedèmes traumaliques d'origine
nerveuse
, Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière 1907,
n congénitale. Quelquefois on a voulu voir une influence du système
nerveux
central. Mais, comme on l'a fait remarquer, ces
la plupart à la. période embryon- naire, à une époque où le système
nerveux
central est en pleine période de développement,
nt cru trouver la cause de l'hémimélie dans une lé- sion du système
nerveux
, parfois dans la syphilis des centres. C'est ai
la syphilis des centres. C'est ainsi que Cousin attribue à la tare
nerveuse
du père (alcoolique et mental ensuite), et aux
syphilis grave touchant avec une insistance remarquable le système
nerveux
. L'avortement des membres est subordonné, suiva
inger, entre certains cas d'ectromé- lie, une altération des filets
nerveux
et une atrophie des renflements de la moelle ép
le ; l'atrophie consistait en une diminution du nombre des cellules
nerveuses
: « Un seul mécanisme peut en rendre compte, c'es
seul mécanisme peut en rendre compte, c'est l'agénésie des éléments
nerveux
, liée intimement, et probablement consécutive à
équence et non la cause de la monstruosité. La formation du système
nerveux
, comme celle du système vasculaire, est sous la
'évolu- tion retentissent, si on peut parler ainsi, dans le système
nerveux
lui même. C'est en rapport avec ce qui se passe
ux lui même. C'est en rapport avec ce qui se passe dans les centres
nerveux
, consécutivement aux sections des nerfs, comme
t nous devons éliminer comme cause prochaine l'amnios et le système
nerveux
. CHAPITRE III CONCLUSIONS A. - Après avoir
attendre. C'est qu'il existe pour la périphérie et pour les centres
nerveux
une indépendance dans le développement ontogéni
mplète de l'organisme em- bryonnaire et foetal vis-à-vis du système
nerveux
qui n'a d'autre valeur dans l'organisme que cel
tendon styloïdien ; ici, rien de semblable ; d'ailleurs, la branche
nerveuse
en question reste très superficielle et se perd à
es. C. - Examen likistalogique. L'examen histologique des centres
nerveux
, des nerfs et des muscles a montré, de son côté
dégénéra- tive frappant surtout, mais non exclusivement, le système
nerveux
central dans sa partie motrice. C'est encore à
u contraire limitée en correspondance du genou. Examen du système
nerveux
. - Il n'y a pas d'altération des mouvements dan
vec des manifestations insolites de dystrophie ostéo-articuiaire et
nerveuse
. La malade présente le facies typique ayant tou
; et cela peut défendre de la compression supportée par les racines
nerveuses
correspondant aux trous de conjugaison déformés
ne présen- tent rien d'anormal. Le troisième est au contraire très
nerveux
. La malade elle-même a eu des maladies infectie
es infections a été le point de départ d'une altération des centres
nerveux
ou d'une modification de l'état général de la mal
segmentaire du trophoedème, plaide hautement en faveur d'un trouble
nerveux
, d'origine médullaire. Certaines dispositions a
u dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière envisage l'eedème
nerveux
circonscrit de l'urticaire, de la forme de Quin
pho-sécréteur. L'auteur italien considère ces trois formes d'oedème
nerveux
« comme la conséquence d'une excilo-sécrélion l
ouble dans la circulation lymphatique sous la dépendance du système
nerveux
semble très admissible, ainsi que l'un de nous
que à celui du trophoedème chronique sans l'intervention du système
nerveux
. Hertoghe (7) dont les travaux sur l'hypothyro'
ction inliibilrice sur la sécrétion lymphatique de certains centres
nerveux
, surtout médullaires, et ces deux facteurs se p
n état constitutionnel qui peut bien ne pas résider dans le système
nerveux
, même si l'on veut admettre l'intervention néces-
ns tous les oedèmes dénommés d'une façon un peu précoce peut-être -
nerveux
. Ceci nous amène à parler et à faire intervenir
olisme calcique et le trophoedème chronique. L'influence du système
nerveux
pourrait n'être que celle de déterminer la prép
se une cause plus généraleet pouvant être indé- pendante du système
nerveux
, par exemple un trouble du métabolisme calcique
'une lésion ou d'une perturbation fonctionnelle de certains centres
nerveux
. Les cas de trophoedème avec goitre, comme celu
pêtrière, n- 2, 1907. 6. Valobra. Pathogénie des oedèmes d'origine,
nerveuse
. Urticaire, oedème de Quincte, trophoedème. Soc
e convaincu que ses accidents convulsifs dépendent d'une irritation
nerveuse
qu'il localise, non pas à la périphérie, mais d
iculier de la substance LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 469
nerveuse
cérébrale. Et il faut bien convenir que cette pal
tération ou tout au moins d'une irritation des nerfs ou des centres
nerveux
. Il s'en inquiète; mais il garde confiance dans
'ai cependant éprouvé un résultat bienfaisant, car ma surexcitation
nerveuse
, encore assez vive, a cependant diminué d'inten
inquiétudes » dans les jambes, sont sou- vent le fait d'une fatigue
nerveuse
. , , 4 avril 1903. - 1° Un peu calmé par le séj
munication avec le siège de la volonté les extré- mités des cordons
nerveux
, dirige ou établit dans ceux-ci le courant d'éner
is à faire fonctionner normalement quelques branches de mon système
nerveux
insubordonné, d'autres mettraient en dé- faut m
sortes : les unes seraient dues à une aggravation de l'excitabilité
nerveuse
: les contractions s'exacerbent alors, les mouv
où un individu n'est plus soumis à l'action de ses propres centres
nerveux
et où la fixation des yeux ne dépend plus de sa
ARLES BELL 513 M. Marinesco (13) coupa chez des chiens les branches
nerveuses
qui vont au muscle frontal, à l'orbiculaire des
e l'oblique inférieur. Dans le cas d'une interruption du conducteur
nerveux
pour l'élévateur des paupières on aurait dû avo
M. Giannelli, dans l'observation d'une femme, examinant les organes
nerveux
appartenant au muscle fron- tal, au muscle orbi
Ch. Bell doit être attribué à un réflexe ou s'il dérive des centres
nerveux
supérieurs. J'ai voulu reprendre la question co
neurolog. 1898, Nr. 2. 14. GEHUCIITEN (va\). 1. Anatomie du système
nerveux
de l'homme. III8 édit. Louvain. , , 2. Recher
opsie, 374. Long. Examen histologique des téguments et des troncs
nerveux
dans un cas de trophoedème congénital (t pt.),
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