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1 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 03, n° 13-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E ARCHIVES DE E NECROLOGIE- HEVUE MENSUELLE Il DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fonder par J.-1H. CIIA1VCOT 1 l
). F. RAYMOND I'ofescur de clinique des m.dlltlies du système nerveux à L Faèullé de médecine de Paris. C01.LA11C
. III. Janvier 1897. N° 13. ARCHIVES DE NEUROLOGIE 1 PATHOLOGIE NERVEUSE . , L'OBSESSION DE LA ROUGEUR (ÉREUTHOPHOBIE) ;
psychopathologique. Archives, 2° série, t. III. 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE . on le sait, d'un sentiment de trouble et de co
des délicats, des candidats à la tuberculose, des arthritiques, des nerveux , hystériques, neu- rasthéniques, ayant le plus
rons les suivants, qui peuvent passer pour typiques. 4 pathologie NERVEUSE . Une jeune fille est prise à dix-huit ans de ch
servation 1. - J. X..., vingt-quatre ans, étudianten médecine. Père nerveux , émotif, à émotion se traduisant par des afflux d
rivent aussi très facilement. A dix-huit ans, crise de B pathologie NERVEUSE . neurasthénie, troubles gastriques, maux de têt
ns, sauf un, âgé aujourd'hui de trente-sept ans. Tous avaient des nerveux , des alcooliques ou des tubercu- leux dans leur
alement, ils sont mieux le matin que le soir.Toutefois 8 PATHOLOGIE nerveuse . lorsque vient la nuit, ils recouvrent à la fav
ueur plus ou moins abondante et plus ou moins généra- 10 PATHOLOGIE NERVEUSE . lisée, parfois compliquée d'autres phénomènes
ons cliniques), thèse de Reneurel, Bordeaux, 1896. '12 PATHOLOGIE NERVEUSE . , à mâcher, à faire quelque' chose, comme celu
u cerveau. Que voulez-vous ? Mourir pour mourir ! » 14 " PATHOLOGIE NERVEUSE . On voit suffisamment par ce qui précède que l'
, vingt-un ans, étudiant, très intelligent, instable, pessi- miste, nerveux , impressionnable, sujet aux palpitations, est att
e souffre beaucoup. L'idée que je ne pourrai me déga- 16 PATHOLOGIE NERVEUSE . ger, fuir, que forcément on me verra rougir, a
lle est atteinte d'asthme=. II. Antécédents personnels. Tempérament nerveux , affaibli. ' Le malade fait ici allusion à une
d'autres points ont été unanimes à me dire : * Cela tient à un état nerveux prononcé. » Une particularité : si j'entre dans
te, un peu pénible. Archives, 2" série, t. III. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . ne rougissais que quand on m'adressait la paro
la négation. Ainsi aujourd'hui je suis convaincu que 2Û PATHOLOGIE NERVEUSE . · comme le dit Biieliiier dans « Force et Mati
lirift sur Psy- chiatrie. B. 3, IL 1895). U>. U). PATHOLOGIE NERVEUSE . Il n'est pas sans intérêt de faire remarquer q
nom de délire émotif et les à rattachées à une névrose du système nerveux ganglionnaire 1. L'état actuel de nos connaissa
rougir, et cela non 'More). - Le délit e émotif, névrose du système nerveux ganglion- naire (Arch. générales de médecine, 1
pondérance absolues, dans la phobie et la rougeur, de 24 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'élément affectif. C'est que les crises de ro
ifications morbides qui s'effectuent dans la nutrition, des centres nerveux , et dont un résultat est la diminution de l'éli
des aliénistes et neurologistes, Nancy, 1896. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 4S 5 voit qu'elle paraît osciller dans sa mass
médico-psychologiques, décembre 1896.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. UN CAS DE CHORÉE CHRONIQUE CHEZ L'ADULTE AV
té gauche ; à l'examen histologique, la pie- 46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mère est épaissie, adhérente par endroits il l
combinaison de signes cliniques avec des modifications du système nerveux central analogues à celles qu'on rencontre dans
ciés à la tumeur, à l'abcès, à l'hémorragie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 47 Dans les méningites de types aigus et subai
sédentaire, irrégulier, dans le surmenage, l'épuisement du système nerveux général, associés à des prédispo- sitions névro
le de faire prendre au nègre aucun médica- 48 ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ment lorsque les symptômes visibles ont dispar
s de dyspnée avec vomissements : le malade a ,, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 49 également souffert d'une affection pulmonai
bruits répé- Archives, 2° série, t. III. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tés très gênants dans l'oreille droite; pas de
ue, mais les convulsions fibrillaires indiquent REVUE pi PATHOLOGIE NERVEUSE . 51 une lésion aiguë du centre bulbaire de l'hy
Graves par- lait desiaireclions causées par l'altération du système nerveux péri- phérique. Depuis, l'existence de ces lési
périphérique et de déterminer en outre ce qu'on entend par système nerveux périphérique d'une part, et système central de
meron, I.lIIarinesco rappelant les travaux 82 * REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de MM. Charcot, Marie et Souques, appelle l'at
r les cas de névrite périphérique liés à des altérations du système nerveux central avec troubles trophiques. A. M. XI. C
la diathèse lépreuse et même activer l'apparition de complications nerveuses centrales si l'on en juge par l'éclosion précos
aralysie et contracture des extrémités. A. M. XIII. Complications NERVEUSES DES maladies infectieuses ; par H. IIANDRORD. (
cription définitive. Le progrès de nos connaissances sur le système nerveux permet d'en expli- quer le mécanisme et la path
ntile l'a éclairé clinique- ment. On peut diviser les complications nerveuses des maladies infectieuses en différentes classe
eau et ses membranes; 2° la moelle ou ses enveloppes; 3° le système nerveux périphérique. Ces différentes lésions peuvent êtr
n, Donkin, Barlow, Gowers, Bury, Griffiths, etc. A. M. XIV. SURDITÉ NERVEUSE ; par GItANT. (British médical Journal, 16 nove
r l'importance de la recherche des causes ayant provoqué la surdité nerveuse . Il préconise l'emploi de REVUE DE PATHOLOGIE N
é la surdité nerveuse. Il préconise l'emploi de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 53 la pilocarpine et du galvanisme, considère
idère comme de nature fonc- tionnelle la plupart des cas de surdité nerveuse et termine en étu- diant l'influence de l'insén
et de la jugulaire en trois endroits. A. M. 54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . r XIX. Cas de cécité brusque ET de brusque res
s filiforme, température 38 ? Pas d'antécédents REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 55 de nature névropathique ni héréditaires ni
demain matin : angoisse extrême, lividité de 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . la face, rigidité des muscles thoraciques, con
es antécédents connus, l'ab- sence de signes de lésions des centres nerveux l'ensemhle des symp- tômes entraine le diagnost
me quand la substance grise anté- rieure de la moelle et le système nerveux périphérique ne présentent t 58 REVUE DE PATHOL
système nerveux périphérique ne présentent t 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . que des modifications histologiques à peine ap
mba à une pneumonie. L'examen microscopique a porté sur les centres nerveux , le nerf crural et une portion du muscle quadri
f crural et une portion du muscle quadriceps fémoral. Les centres nerveux n'ont présenté aucun signe d'altération. Il n'e
cle suivie de raideur des membres inférieurs et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . oU fourmillements des mains. En 1892, rigidité
signifiante, qui ressemble à un léger clonus 60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ou à une oscillation latérale il droite ou à g
du tympan. La persistance des douleurs si vio- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 61 1 lentes qui, dépassant la région de la fac
s vaisseaux. 11 est à remarquer que la lésion 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ." des artères s'attaque surtout à la tunique in
al et l'anal- . gésie bilatérale du péronier. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 63 jambe fortement tendus ; on les sent à la p
ont on discute actuellement l'importance. Ce 64 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sont les granulations qui, dans le corps des c
s du corps de la cellule. Ces granulations colorables de la cellule nerveuse , seraient pour Benda des parties du corps organ
s figures sont de l'acide nucléique. Les granulations de la cellule nerveuse ont donc une importance fonctionnelle extrême,
l montrent ce qui suit : la substance fondamen- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 6b taie ne se voit plus, ou bien dans la cellu
non dans les prolongements cylindraxiles qui, eux, sont des organes nerveux purs. P. Ii6R.IVAL. Aucun es, 2° série, t.
e de l'isolement rigoureux se meurt, que l'avenir est au pathologie NERVEUSE . 95 système de liberté et que, tant dans l'inté
lle, notre devoir est d'aider à son déve- loppement '. PATHOLOGIE NERVEUSE . HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'H
HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. THÉORIE DES NEURONES. par Jules SOUR
- cerveau est si intimement liée à celle de l'histologie du système nerveux central et périphérique que les travaux des gra
me qui, au sujet des méthodes de coloration des éléments du système nerveux , a écrit que les procédés de Weigert et de Golg
mière méthode d- Golgi, la méthode lente : des fragments du système nerveux étaient laissé ? dans une solution de bichromat
plus de précipité, ils étaient prêts pour les coupes. 96 pathologie NERVEUSE raitre, avec une puissance incomparable, les él
avec une puissance incomparable, les éléments essentiels du système nerveux , les cellules avec leurs prolongements ramifiés,
position des principaux problèmes de l'anatomie générale du système nerveux , tels que Golgi les a conçus, et nous indiquero
a révélé les lois de leur fonctionnement : dans l'étude du système nerveux , l'anatomie était encore la ser- vante de la ph
ie ne met pas en doute qu'entre les différentes parties des centres nerveux il n'existe une liaison intime, condition de la
ure et la morphologie élémen- taire des organes centraux du système nerveux , idées alors em- pruntées à Gerlach, à JCIIULTZ
diquait l'existence, dans l'écorce cérébrale, de couches d'éléments nerveux , à morphologie différente, réguliè- rement stra
it en rayonnant dans l'écorce. Dans la troisième couche, les fibres nerveuses issues de la base des petites pyramides commenc
la surface de l'écorce. La stria- lion du protoplasma des cellules nerveuses sur les pièces traitées par les solutions d'aci
o/'del'hÏ1'IIS, 1892. Archives, 2° série, t. III. 7 98 PATHOLOGIE NERVEUSE . raies », qui, dit-il, prennent part à la forma
oujours l'opinion qui tend à faire dériver la fonction d'un élément nerveux de la- forme de cet élément ; il combat donc l'
41, avait découvert, à la surface de l'écorce, une couche de fibres nerveuses à myéline. Exner, avec sa méthode de coloration
l compare les fibres à des fils de chanvre), d'une couche de fibres nerveuses myélilliques, d'épaisseur et d'orientation vari
lilliques, d'épaisseur et d'orientation variées 1. Outre les fibres nerveuses à direction parallèle de la surface de l'écorce
enfant nou- veau-né, Exner ne trouva dans cette couche aucune fibre nerveuse à myéline, mais de très grosses cellules, pourv
stries des six couches de Baillarger, est constitué par des fibres nerveuses à myéline dont la direction n'est point, chez t
ué sa méthode il l'étude histolo- gique d'autres parties du système nerveux central, telles que le cervelet et la moelle ép
jusqu'alors, les directions et les connexions de ces grandes voies nerveuses centripètes qui seules expliquent, par le reten
d'Exner : l'un montre les formes et la disposition des corpuscules nerveux , qui sont la condition même de l'élaboration des
iques ; l'autre ne laisse guère apercevoir qu'un feutrage de fibres nerveuses à myéline, dont le caractère change aux différent
x méthodes se complètent. Par quels caractères propres la cellule nerveuse se distingue- t-elle au point de vue objectif d
u point de vue objectif des autres éléments anatomiques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse, une cellule
éléments anatomiques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse , une cellule munie d'un prolongement spécial, t
elle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Selon Golgi, les caractères du protoplasma vé
otoplasma vrai n'existait que dans la partie centrale de la cellule nerveuse qui environne le noyau. Golgi a rappelé que la
e noyau. Golgi a rappelé que la structure fibrillaire de la cellule nerveuse a déjà été reconnue par Bemak (1853), et que d'
reconnue par Bemak (1853), et que d'autres observa- 100 PATHOLOGIE NERVEUSE . teurs (Beale, Fromman, Kolliker) en avaient ég
e que Sclultze (1865, 18G8, f871), en étudiant les grosses cellules nerveuses du cerveau des torpilles, pût se con- vaincre d
r la nature des parties chromatiques et achromatiques de la cellule nerveuse , de Vissl, de Benda, de Lugaro, etc. Il n'y a p
8, ait déjà été agitée par Walther ' : il estimait que les cellules nerveuses ont le pouvoir d'exécuter, dans une certaine me
des. Walther avait pu observer directement ce fait sur les cellules nerveuses de cerveaux congelés de grenouilles, au moment
rsistance de la contmctililé du protoplasma cellulaire des cellules nerveuses . Les prolongements de la cellule nerveuse sont
ellulaire des cellules nerveuses. Les prolongements de la cellule nerveuse sont de deux sortes : l'un, toujours unique, af
, affirmait Golgi, et qui va constituer le cylin- draxe d'une fibre nerveuse à myéline, est le prolongement ner- veux ; les
- yements protoplasmiques. Physiologiquement, toutes les cellules nerveuses sont donc unipolaires ; ce n'est que morphologiqu
irectement, de manière à former un réseau inextricable de fibrilles nerveuses amyéliniques, donnant pourtant naissance à leur
cette hypothèse, alors la plus généra- lement admise, les cellules nerveuses affectaient deux modes de connexion avec les fi
lules nerveuses affectaient deux modes de connexion avec les fibres nerveuses : d'une part, au mojen des 1 Walther. ! 7;t<
3, 1873. HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 101 prolongements nerveux ou cylindraxiles ; de l'autre, au moyen des ram
le, et les rapports fonctionnels des différentes régions du système nerveux . Malheureusement, les plus célèbres histologist
si grand relief, les plus fines et les plus délicates arborisations nerveuses . Un examen minutieux de plusieurs centaines de
Anat., p. 19.) Selon Golgi, loin de donner naissance à un réticulum nerveux , les ramifications des prolongements protoplasm
les ramifications des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses , dont l'orientation vers la surface des circonvol
e purement trophique : ils ser- vaient à la nutrition de la cellule nerveuse . de pense, disait Golgi, qui a persisté, avec q
a névroglie, le plasma nutritif arrive aux éléments essentiellement nerveux ; il serait du reste difficile decom- prendre pa
oie la matière nutritive arriverait à ces éléments. » Si les fibres nerveuses ne dérivent ni directement ni indirectement des
oyen d'anastomoses diver- ses, soit dans l'hypothèse d'un réticulum nerveux diffus. Quelle est alors, pour Golgi, l'explica
alors, pour Golgi, l'explication anatomique de l'origine des fibres nerveuses de la substance grise ? Comment s'établissent e
tence ? Quant à la première question, celle de l'origine des fibres nerveuses dans les diverses provinces du système nerveux
origine des fibres nerveuses dans les diverses provinces du système nerveux central, le prolongement nerveux, sans doute d'
les diverses provinces du système nerveux central, le prolongement nerveux , sans doute d'origine nucléaire, loin de se mai
fibre à myéline, émet toujours, à une distance plus ')02 PATHOLOGIE NERVEUSE . ou moins grande de la cellule, des ramuscules
arborescents, dont la forme varie, et sert à distinguer les fibres nerveuses en deux catégories distinctes : 1° les unes, to
urir, par ces ramifications secondaires, à la formation d'un réseau nerveux qui existerait dans toute l'épaisseur de la sub
cline à croire que ces innombrables ramifications des prolongements nerveux s'anastomosent entre elles pour former un vérit
evenir le cylindraxe d'une fibre à myéline, sont issues de cellules nerveuses qui rappellent celles des cornes antérieures de
érieures et de la substance de Holando. Delà deux types de cellules nerveuses en rapport avec ces deux catégories de fibres n
de cellules nerveuses en rapport avec ces deux catégories de fibres nerveuses . Les cellules du premier type seraient motrices,
olgi l'explique encore par les anastomoses reliant, dans son réseau nerveux diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des pro
rveux diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolon- gements nerveux moteurs des cellules du premier type avec celles,
ype avec celles, en nombre infiniment plus grand, des prolongements nerveux sensitivo-sensoriels des cellules du deuxième t
ttribuer, écrivait Golgi, aux fibrilles qui, émanant du prolongment nerveux des cellules du premier type (supposées motrice
s le réticulum diffus, constitué essentiellement de prolongements nerveux des cellules du deuxième type (cellules sensitivo
anastomoses directes des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses ou dans le réseau diffus, également hypothétiqu
RE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 103 Mais l'idée d'une transmission nerveuse isolée, soit centripète, soit centrifuge, entre
a point de base anatomique dans cette conception d'un réseau diffus nerveux de l'écorce, constitué, non par l'anastomose de
stitué, non par l'anastomose des prolongements directs des cellules nerveuses , mais par les ramifications ultimes et latérale
ndues. Telle est bien, en effet, la doctrine de Golgi. Chaque fibre nerveuse , loin de se trouver isolément en rapport avec u
n avec des groupes étendus de cellules. Inversement, chaque cellule nerveuse des centres nerveux peut être en rapport avec u
endus de cellules. Inversement, chaque cellule nerveuse des centres nerveux peut être en rapport avec un certain nombre de
s localisations fonctionnelles du cerveau, de voies de transmission nerveuse « électives », et de territoires corticaux où c
e « électives », et de territoires corticaux où certaines fonctions nerveuses « prévali- draient », mais sans délimitation ri
itation rigoureuse. Enfin, les variétés morphologiques des éléments nerveux corres- pondent-elles à des fonctions différent
rlain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules nerveuses , si l'on n'observe les rapports de ces éléments
digne de foi. Ajoutez que, si la structure anatomique des cellules nerveuses ne sauraitnous renseigner sur leurs fonctions,
rveau, une indication physiologique quelconque. Dans 104 PATHOLOGIE NERVEUSE . toutes les régions des cenlres nerveux, les de
que. Dans 104 PATHOLOGIE NERVEUSE. toutes les régions des cenlres nerveux , les deux types de cellules qu'il a distingués
niquement par la direction et les rapports périphériques des fibres nerveuses . La spécificité de fonction des diverses zones
pas d'autre moyen de déterminer l'activité spécifique des cellules nerveuses que l'élude ' Betz in Kiew. Lebel' die feinere
HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES. 105 de leurs prolongements nerveux . Toutefois, arrivé au terme de son grand ouvrag
ire à une cellule motrice, tant qu'on n'a point vu son prolongement nerveux constituer une fibre des racines antérieures ?
avec la coloration noire la fine et délicate structure des éléments nerveux apparaît avec d'autant plus de netteté que les
du premier type sont en rapport direct, non isolé, avec les fibres nerveuses ; je pourrài dire dorénavant, et avec toute raison
es; je pourrài dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses motrices (cellule 7ze ? ,uose motrice), sont en r
7ze ? ,uose motrice), sont en rap- port, non isolé, avec les fibres nerveuses (du mouvement). » Quant aux autres cellules ner
ec les fibres nerveuses (du mouvement). » Quant aux autres cellules nerveuses , à celles du deuxième type, dont le prolongemen
cellules nerveuses, à celles du deuxième type, dont le prolongement nerveux se subdivise en fibrilles de plus en plus ténue
en fibrilles de plus en plus ténues, qui vont constituer le réseau nerveux diffus de l'écorce cérébrale, < elles peuven
le di senso). De ces études de Golgi sur l'histologie des centres nerveux se dégageait une conception de la structure de
s et aux observations des cliniciens sur les fonctions du sys- tème nerveux central. Ferrier et Exner avaient vu, comme Tambu
estructives, des centres corticaux de la sensibilité 106 PATHOLOGIE NERVEUSE . générale ou spéciale, déterminer des réactions
anatomiquement, les deux formes d'activité spé- civique du système nerveux central ont un siège commun, où leurs éléments
249.) Cette thèse ne vaut point, à la vérité, pour tout le système nerveux central : Golgi reconnaît que les régions motri
ions motrices et sensitives de la moelle épinière, que les cellules nerveuses des cornes anté- rieures et postérieures sont r
olgi fonde sur l'existence des deux types distincts de ses cellules nerveuses , mêlées et confondues dans toutes les provinces
erveuses, mêlées et confondues dans toutes les provinces du système nerveux central, une loi générale, qui depuis a été sou
ormes d'activité spécifique (sensi- bilité et mouvement) du système nerveux central ». Ainsi, « il 1 aura mélange, dit-il,
par la spécificité de l'organe auquel, périphériquement, les fibres nerveuses vonz aboutir, et non point par une spécificité
te de Vienne enseignait que « les énergies spécifiques des cellules nerveuses ne sont que le résultat des différences existan
rminaux des nerfs, et que la seule énergie spécifique de la cellule nerveuse , c'est la sen- sibilité (Empfindungsfoehigkeil)
es éner- gies fonctionnelles spécifiquement différentes. La cellule nerveuse ne possède qu'une seule énergie fonctionnelle :
s périphériques des sens, non aux énergies spécifiques des cellules nerveuses des différentes aires corticales du cerveau, que
aire devrait être appelée motrice, et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qui innervent le muscle : « Le nerf ni la cellu
cellule nerveuse qui innervent le muscle : « Le nerf ni la cellule nerveuse ne renferment un principe moteur. » (Meynert. P
- reils musculaires, tendineux, etc., annexés à ses prolongements nerveux moteurs : « La substance grise et blanche du cerv
ald, 1890, in-8° (X internat, medicin. Congress). '108 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . Max Schulze. Les fibres nerveuses qui sont lié
n. Congress). '108 ' PATHOLOGIE NERVEUSE. Max Schulze. Les fibres nerveuses qui sont liées à ces organismes élémentaires, n
e leurs prolongements; la seule différence, c'est que les filaments nerveux sont~des formations permanentes. La forme ou l'
r de chercher à distinguer entre elles les cel- lules et les fibres nerveuses , et à supposer des différences dans leurs proce
férences dans leurs processus internes. L'état interne des cellules nerveuses , c'est l'aptitude à sentir l' (Em.p(indun¡Js{æh
férenciées et transformées du tégument cutané : toutes les cellules nerveuses de ces organes sont la postérité de cellules ép
e de l'écorce cérébrale. L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments nerveux constituant ces centres résulterait de cette obse
ale, démonstration dirigée contre W. Wundt, dont les 110 PATHOLOGIE NERVEUSE . idées à ce sujet ne diffèrent guère de celles
à ce sujet ne diffèrent guère de celles de Meynert. Les élé- ments nerveux de l'écorce cérébrale étant fonctionnellement i
tition d'un mode uniforme d'excitation. Si la fonction des éléments nerveux d'un de ces centres vient à être inhibée ou aboli
un de ces centres vient à être inhibée ou abolie, d'autres éléments nerveux de l'écorce seront capables de la suppléer. Ain
veux de l'écorce seront capables de la suppléer. Ainsi, une cellule nerveuse qui, en vertu de ses connexions ana- tomiques,
uire une sensation tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellule nerveuse de l'écorce qui, par l'intermé- diaire du résea
e cellule nerveuse de l'écorce qui, par l'intermé- diaire du réseau nerveux central de Golgi ou de Gerlach, serait en rappo
cas inutile l'hypothèse de toute fonction spécifique des centres nerveux corticaux. Cependant l'ablation des deux sphères
pour les fonctions de la sensibilité. Par exemple, si les cellules nerveuses des sphères visuelles n'ont rien qui les différ
is que le travail de Golgi, Recherches sur l'histologie des centres nerveux , publié dans les Archives italiennes de biologi
es anastomoses entre les prolongements soit proto- plasmiques, soit nerveux , des cellules nerveuses, Forel se demande pourq
es prolongements soit proto- plasmiques, soit nerveux, des cellules nerveuses , Forel se demande pourquoi l'on continuait à pa
uoi l'on continuait à parler de ganglions d'interruption des fibres nerveuses , de réseau nerveux diffus de l'écorce, etc. S'il
parler de ganglions d'interruption des fibres nerveuses, de réseau nerveux diffus de l'écorce, etc. S'il n'exis- tait pas
lindraxiles, et, de fait, il n'avait jamais pu apercevoir le réseau nerveux de Golgi, non plus d'ailleurs que Kiilliker. Dans
ches de Golgi (loc. cit.), il remarque expressément que ce réseau nerveux ne lui est pas suffisamment prouvé et que c'est u
o- thèse à abandonner que celle des anastomoses des prolongements nerveux des cellules, puisque aucun fait ne l'appuie. Kol
Golgi : celle que « les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses ne seraient t pas dénature nerveuse ». Golâi,di
s protoplasmiques des cellules nerveuses ne seraient t pas dénature nerveuse ». Golâi,diait-il, fonde celle étonnante hypo-
dans des régions de l'écorce « où ne se rencontrent point de fibres nerveuses à myéline ». Voici d'ai Heurs les paroles mêmes d
ine ». Voici d'ai Heurs les paroles mêmes de Gol;i : 112 PATHOLOGIE NERVEUSE z En manière de conclusion, je me crois autoris
protoplasmiques ne prennent aucune part à la for- mation des fibres nerveuses ; elles se maintiennent constamment indépendant
« tendance à se porter dans des régions où n'existent pas de fibres nerveuses ». Ces régions étaient les couches supérieures
e son côté, à nier toute anasto- mose entre les éléments du système nerveux central : chaque fibre nerveuse n'était que le
mose entre les éléments du système nerveux central : chaque fibre nerveuse n'était que le prolongement d'une cellule nerveus
l : chaque fibre nerveuse n'était que le prolongement d'une cellule nerveuse et la transmission des excitations de cellules
ramifications terminales elles colla- térales de ces prolongements nerveux . On sait que, d'une manière indépendante, et sa
oins en moins pourquoi la conti- nuité des plus fines ramifications nerveuses serait un postulat phy- siologique. Pour expliq
ns continuité directe ; il en pourrait être de même pour le système nerveux . » Puis, pourquoi parler encore de cellules mot
, une cellule périphérique de sensibilité d'où sort un prolongement nerveux , comme des cellules du premier type : c'est de
cette cellule périphé- rique que part le nerf qui gagne le système nerveux central, où elle ' V. His. -Zur Gescleiclzle de
ules du deuxième type : la seule diffé- rence, c'est que la cellule nerveuse d'où sort la fibre sensitive ou sensorielle est
on n'a point le droit d'appeler sensibles ou motrices ces cellules nerveuses . Seul, le mode de terminaison d'une fibre parai
st bien aussi de l'Ecole de Golgi, les prolon- gements des cellules nerveuses sont de deux sortes, nerveux et pro- toplasmiqu
gi, les prolon- gements des cellules nerveuses sont de deux sortes, nerveux et pro- toplasmiques : ceux-ci, orientés vers l
inage des vaisseaux sanguins et servent à la nutrition des cellules nerveuses ; il n'existe point d'anastomoses des cellules n
es cellules nerveuses; il n'existe point d'anastomoses des cellules nerveuses au moyen de ces prolongements. Les prolongements
quelques ramuscules latéraux, vont constituer directe- ment un tube nerveux , ou bien encore ils perdent leur individua- lit
. Nansen a vu aussi, dans la moelle épinière des myxines, des tubes nerveux sortir directement des cellules des cornes anté
des racines postérieures seraient formés de la réunion de fibrilles nerveuses . Avec Golgi on peut, dit-il, appeler moteurs le
appeler moteurs les premiers, sensibles les seconds. Les cellules nerveuses n'ayant absolument aucun rapport direct entre ell
tion des arcs réflexes et à l'importance physiologique des cellules nerveuses , ne peut plus se soutenir, du moment où ces der
n'ont pas entre elles de communication directe, et où les cellules nerveuses centrales offrent tout aussi peu de communica-
es offrent tout aussi peu de communica- tion directe avec les tubes nerveux sensitifs ou centripètes. » L'arc réflexe est c
ses ramifications fibrillaires, passant directement dans le réseau nerveux central de l'écorce ; 2° par la propagation de
ission des excitations jusqu'aux fins ramuscules latéraux des tubes nerveux centrifuges. « Il suit que l'incitation est tra
ise aux centres supérieurs sans passer directement par les cellules nerveuses . On peut admettre de la même façon, continue Na
i émergent des centres supérieurs, se rendent directement aux tubes nerveux centrifuges des centres nerveux inférieurs sans
s, se rendent directement aux tubes nerveux centrifuges des centres nerveux inférieurs sans passer par les cellules nerveus
rifuges des centres nerveux inférieurs sans passer par les cellules nerveuses de ces centres. Il est par consé- quent impossi
res. Il est par consé- quent impossible d'admettre que les cellules nerveuses des centres Archives, 2° série, t. III. 8 114
erveuses des centres Archives, 2° série, t. III. 8 114 PATHOLOGIE NERVEUSE nerveux inférieurs possèdent une importance dir
s centres Archives, 2° série, t. III. 8 114 PATHOLOGIE NERVEUSE nerveux inférieurs possèdent une importance directe, auss
érieurs 1. Quel est donc le siège de l'activité centrale du système nerveux , de l'intelligence, de la conscience ? Ce siège
complexité de structure du réseau. Quant aux cellules des centres nerveux , déchus de leurs fonctions psychiques, devenues d
entres trophiques, elles ne serviraient qu'à la nutrition des tubes nerveux et de leurs innombrables ramifications. En Ital
difficulté d'avouer que l'absence de transmission isolée des fibres nerveuses qui communiquent entre elles dans le vaste rése
c la doctrine, ou plutôt avec le postulat de la double transmission nerveuse (centripète et cen- trifuge, 1881). Bianchi, to
la sensibilité et de la motilité volontaire, pourquoi les cellules nerveuses centrales des divers organes de la sensibilité et
aient être morphologiquement distinctes. Les deux sortes d'éléments nerveux coexistent dans la zone visuelle, parce qu'il n
centres moteurs et pour les centres d'arrêt : parlout les éléments nerveux de la sensi- bilité et du mouvement devaient êt
S CONTEMPORAINES '1'11> pas sans doute au moyen de transmissions nerveuses isolées, mais en quelque sorte « électives ». D
tion de la nature anatomique et du rôle physiologique de son réseau nerveux dif- fus des organes centraux du système nerveu
ique de son réseau nerveux dif- fus des organes centraux du système nerveux . Il y soutient, contre les récentes négations »
» des histologistes et des physiologistes, l' « existence du réseau nerveux diffus de la substance grise des centres *. Ce
ellulaires ». Quant à la provenance de ce réseau, tous les éléments nerveux , sans exception, des organes centraux, entrent
éminent anatomiste. Mais, pour ce qui est de la nature de ce réseau nerveux diffus, s'agit-il toujours d'un réseau au sens
vers groupes de cellules et entre les diverses provinces du système nerveux cen- tral. » Il ne croit plus, pour la même rai
on sait autorise pourtant pleinement à croire qu' * une seule fibre nerveuse peut avoir des rapports avec un nombre infini d
nerveuse peut avoir des rapports avec un nombre infini de cellules nerveuses centrales ainsi qu'avec les parties les plus di
ogique » domine toutes les manifestations physiologiques du système nerveux , et partant la question des localisations fonct
er. II, vol XXIV, fasc. V111 e IX. Milano, 1891. 116 ? ' PATHOLOGIE NERVEUSE 3. û'i ~· i nerveux aucun fondement qui puisse
V111 e IX. Milano, 1891. 116 ? ' PATHOLOGIE NERVEUSE 3. û'i ~· i nerveux aucun fondement qui puisse servir d'assise à ces
'organisation caractéristiques pour les diverses parties du système nerveux central en rapport avec les fonctions spéciales e
ons des organes périphériques des sens; 3° marche isolée des fibres nerveuses depuis les organes destinés à revoir les impres
nature propre des organes périphé- riques avec lesquels les fibres nerveuses sont en rapport, les faits histologiques étant
s organes périphériques. Sur le second point, l'existence du réseau nerveux , qui envahit toute la substance grise centrale,
etc., et repré- sente un tissu continu interposé entre les cellules nerveuses , dont l'unique destination est de relier foncti
lrice. Enfin, quant au troisième point, la marche isolée des fibres nerveuses des organes périphériques des sens aux centres
s fibres nerveuses des organes périphériques des sens aux centres nerveux , c'est un postulat encore incompalible avec le fa
ible avec le fait que, avant de pénétrer dans ces centres, la fibre nerveuse envoie, sur tout son parcours, nombre de fibres
racter les rapports et les connexions les plus divers. « Les fibres nerveuses non seulement ne sont pas en rapport indi- vidu
elles contractent des rapports avec des groupes étendus de cellules nerveuses ; inversement, toute cellule nerveuse des centres
s groupes étendus de cellules nerveuses; inversement, toute cellule nerveuse des centres peut être en rapport avec ces mêmes
ule nerveuse des centres peut être en rapport avec ces mêmes fibres nerveuses , et cette connexion peut vraisemblablement avoi
t cette connexion peut vraisemblablement avoir lieu avec des fibres nerveuses qui HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES 117 7
ent à la distribution de ces fibres, tout conspire, dans le système nerveux central, à rendre plus étendus et plus compliqu
ndus et plus compliqués les rapports des divers groupes de cellules nerveuses et ceux des différentes provinces de ce système.
aires centrales exactement déli- mitées de distribution des fibres nerveuses ». Mais Golgi croit tou- jours à l'existence de
i di prevalente e più diretta distribuzione délie fibre. Les fibres nerveuses venant de la périphérie ou allant vers celle-ci
» : celui du revêtement myé- linique dont sont pourvues les fibres nerveuses cérébro-spinales dans leur trajet depuis la pér
Golgi, « une limitation dans la transmission latérale des courants nerveux . » Si, en anatomie comme en physiologie, l'existe
lontiers à reconnaitre que la continuité substantielle des éléments nerveux de son réseau n'est peut-être qu'une contiguïté
,' sinon isolée, du moins « prédominante et élective » des courants nerveux , conciliant ainsi, dans un esprit critique vrai
té dans la science. Ainsi Golgi n'admet pas l'existence de cellules nerveuses pourvues de deux, trois, quatre prolongements n
de cellules nerveuses pourvues de deux, trois, quatre prolongements nerveux , telles qu'en ont signalé en certaines régions
e la division des pro- longements cellulaires en protoplasmiques et nerveux , car rien 118 PATHOLOGIE NERVEUSE. n'est plus
cellulaires en protoplasmiques et nerveux, car rien 118 PATHOLOGIE NERVEUSE . n'est plus opposé à ses idées que d'attribuer
ns propres et exclusives des cylin - draxes, éléments de son réseau nerveux . La formule synthétique de ces nouvelles connex
l'a résumée sous le nom de polarisation dynamique des élé- ments nerveux . Ainsi, la direction du courant nerveux, pour t
on dynamique des élé- ments nerveux. Ainsi, la direction du courant nerveux , pour toutes les catégories de cellules nerveus
irection du courant nerveux, pour toutes les catégories de cellules nerveuses , n'irait plus du prolon- gement cylindraxile à
la signification des différentes parties constitutives des cellules nerveuses 1. » Il n'admet pas que, * pour les besoins de
uné du bruit que fait le triomphe de la doctrine de la transmission nerveuse par contiguité, et non plus par continuité, Gol
par son action isolatrice, à l'admission des « prétendus courants nerveux par contiguïté ». Jules SouRY. 1 C. Golgi. - Su
o e nel cadavre, Mitonna medica, 1896, n° 25. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXVII. Recherches expérimentales ET : 1VAT0)I
homme. Chez ce dernier, les fibres du ruban 120 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de Reil supérieur et sa couche principale se d
s corticales anciennes ou récentes amènent chez REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 121 l'homme une dégénérescence secondaire de
optique Fig. 1. Hémisphère d'un chat. '122 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . il, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE..^y 124 REVUE
chat. '122 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. il, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ..^y 124 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. présent
VEUSE. il, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE..^y 124 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . présente à la fois une station terminale pour
ne seraient que des stations intermédiaires par où passe le courant nerveux centripète. Les autres noyaux gris joueraient l
'en douter, et sont amenées à s'en apercevoir quand quelque trouble nerveux , les privant de l'écri- ture normale, les oblig
à l'envers en gaucher de l'alphabet digital des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 125 sourds-muets ; 4° un alphabet nouvellement
par la gauche sans aucun exercice préalable de ce côté, le système nerveux entraîné pour un seul côté peut- envoyer les mê
. (Mère hystérique ayant subi une crise d'aliénation mentale ; père nerveux , dissipé, mort d'angine de poi- trine ; un frèr
ion forcée. En octobre, attaque et contrac- 126 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ture identique du membre supérieur gauche perm
que l'hystérie est seule en cause, redoute les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 11-) -1 suites de la dénutrition et des contra
, Ossipon. A peu d'exceptions près, dit-il, les cellules du système nerveux central des mammifères supérieurs paraissent un
rqués, elles ne possèdent qu'un seul prolongement cylindraxile ou nerveux . La couche externe de l'écorce du cerveau de ces
s'anastomosent point non plus les uns avec les autres. Les cellules nerveuses représentent donc des éléments com- plètement s
s, Forel, Kolliker, Waldeyer) ; en revanche, il n'y a pas de fibres nerveuses indépendantes puisque partout elles ne sont que
tes puisque partout elles ne sont que des prolongements de cellules nerveuses . Les faits ne justifient point la division des
t plutôt des cellules de trains- mission à distance, à des cellules nerveuses éloignées, puisqu'elles se continuent en fibres
cellules nerveuses éloignées, puisqu'elles se continuent en fibres nerveuses . Les secondes peuvent également se rencontrer e
itation de telles cellules à telles autres cellules. Chaque système nerveux contient un chaînon de cellules de plusieurs ty
ant, comme les pro- longements cylindraxiles. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 129 Chacune des cellules nerveuses entre en re
ndraxiles. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 129 Chacune des cellules nerveuses entre en relations alternatives l'une avec l'au
des décharges par voisinage. Chaque neurone ou anneau d'un tractus nerveux développe des excitations nerveuses par modific
neurone ou anneau d'un tractus nerveux développe des excitations nerveuses par modifications moléculaires, chacun d'eux déch
e décharge développe l'excitation des éléments suivants. Le courant nerveux en marche (conducti- bilité) résulte donc de la
s de l'énergie dans les neurones qui servent à constituer la chaîne nerveuse , l'excita- Archives, 2° série, t. III. 9 130
, l'excita- Archives, 2° série, t. III. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tion nerveuse de chaque neurone devant son ori
hives, 2° série, t. III. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tion nerveuse de chaque neurone devant son origine à la décharg
res termes la déséquilibration de la tension énergique des éléments nerveux voisins les uns des autres donne le courant ner
ue des éléments nerveux voisins les uns des autres donne le courant nerveux ; et il suffit pour cela qu'il y ait voisinage d
erveux; et il suffit pour cela qu'il y ait voisinage des extrémités nerveuses d'un neurone avec le corps ou les prolongements
le degré de résistance qu'offrirontàla transmission de l'excitation nerveuse tels ou tels neurones. Ainsi se produit le cour
on de l'agent extérieur, non seule- ment ils préserventles éléments nerveux conducteurs de l'excitation, mais ils jouent en
ent l'excitant extérieur en une modalité apte à solliciter la fibre nerveuse . Selon l'organisation de l'appareil périphériqu
excitation mé- canique ou chimique, avec variantes, des extrémités nerveuses . De là les différences radicales entre les qual
veuse qui se rend aux centres ; c'est-à-dire que : les excitations nerveuses engendrées à la périphérie ont déjà leur caractèr
périphérie ont déjà leur caractère propre et produisent un courant nerveux spécial. P. IiEB4VAL. XLI. TREMBLEMENT conséc
ce tremblement post- grippal, les auteurs supposent que le système nerveux de ce malade REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE
, on trouve, en - dedans de celui-ci, quelques trousseaux de fibres nerveuses qui, de plus en plus fournis à mesure qu'on se
ération du système vasculaire qui dimi- nue la nutrition du système nerveux central. 6° Dans nombre de cas récents on peut
'autre côté. P. KERAVAL. X. SUR LES VOIES LYMPHATIQUES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL; par DALE1VUD0. (Ann. di nev1'ol., alln
la MORPHOLOGIE ET la valeur DES parties constituantes DE la CELLULE NERVEUSE ; par C. COLUCCI. (Ann. di nevrol., fasc. III, I
fication DE la méthode de WElGERT-PAL POUR la COLORATION DU SYSTÈME NERVEUX ; par DE, I(CHELE. (Ann. di 7teuTOl., anno XIII,
des troubles apportés par le tabes dans la nutrition de la cellule nerveuse . (Un état gastrique particulier, se manifestant
erné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies nerveuses . L'Académie a reçu cinq travaux pour ce concour
erné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies nerveuses . Prix Orfila, 2,000 francs (bisannuel). Questio
erné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies nerveuses . Prix Lefèure, 1,800 francs (triennal). Questio
l'étude DE l'étiologie DE l'épilepsie; par 13ESSIGRE. L'hérédité nerveuse ou vésanique n'intervient dans l'épilepsie que
Essai CRITIQUE SUR L\ LOMBO-PONCTION dans LES affections DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL; par DEGROOTE. La lombo-ponction
egrettable que l'auteur ait limité son sujet à la pseudo- grossesse nerveuse et en ait écarté la pseudo-grossesse vésanique
pseudo-grossesse vésa- nique est inséparable de la pseudo-grossesse nerveuse , dont elle est une sorte d'aggravation, et il
her dans une étude d'ensenble. L'auteur distingue dans la grossesse nerveuse : 1° la pseudo-grossesse propre- ment dite, dan
a chute spontanée des dents parait être due à un trouble du système nerveux dans le territoire du trijumeau et des vaso-mot
les convulsions éclamptiques par son action normale sur le système nerveux . XIII. Essai sur LE rôle PSYCHOLOGIQUE DE l'act
état général du sujet, leur distribution sans rela- tion anatomique nerveuse , leur rapport avec les phénomènes cri- tiques d
cides, LEUR influence au POINT DE VUE DU développement DES maladies NERVEUSES ET mentales. Aperçu MÉDICO-LÉGAL ; par DE PERRY
e que jamais, et leur action néfaste sur les maladies mentales et nerveuses , tant au point de vue cliniqne que médico-légal.
surajouté. - - E. Régis. BIBLIOGRAPHIE. II. Du rôle du système nerveux dans l'infection de l'appareil broncha- pulmona
imentales, a étudié l'influence qu'exercent les troubles du système nerveux dans les infections de l'appareil bron- cho-pul
de défense éner- giques ne fonctionnent que par l'action du système nerveux , et l'appareit broncho-pulmonaire se trouvera l
uer, infection d'autant plus sûre et plus pro- fonde que le trouble nerveux est plus grave. Expérimentalement, l'auteur nou
ique : 4° la localisation de l'infection (unilatéralité des lésions nerveuses périphériques et des lésions infectieuses; -croi-
ériphériques et des lésions infectieuses; -croi- sement des lésions nerveuses centrales et des lésions infectieuses; localisa
La fréquente coïncidence d'infections pulmonaires et d'affec- tions nerveuses générales ; 3° La constatation journalière d'in
ion journalière d'infections pulmonaires succé- dant à des troubles nerveux réflexes, démontrent les relations entre les in
elations entre les infections pulmonaires elles troubles du système nerveux . BIBLIOGRAPHIE. 155 Ce sont les névrites prim
is cette infection est encore favorisée par les lésions des centres nerveux , comme l'hémorragie cérébrale, le ramollissemen
c.). L'auteur nous indique ensuite par quel mécanisme les lésions nerveuses livrent le système pulmonaire à l'infection : 1
st une malformation primitive des éléments de l'ectoderme : système nerveux central et périphé- rique et revêtement cutané.
Feindel partage l'opinion de Recklinghausen sur le point de départ nerveux des fibromes; dans les deux tumeurs examinées p
Soc. méd. psych., in Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses , p. 107, Archives, 2c série, l. III. 11 i 162
- Une soeur, bien portante, mère d'enfants sains. - Pas de maladies nerveuses dans le reste de la famille.] , Mère, cinquante
amille.] , Mère, cinquante ans, fruitière, intelligente, sobre, peu nerveuse , bien portante. - [Père débardeur, quelques exc
ence lourde et bégaie un peu ». Un autre frère (de mère seulement), nerveux , fait des excès de boisson. Une soeur, morte id
re plus âgée). Six enfants d'un premier lit : 1° une fille un peu nerveuse dont un des enfants a eu des convulsions intern
e convulsions ; 2° notre malade ; 3° une fille, quinze ans et demi, nerveuse , peureuse, sujette à des cauchemars, a eu des c
ives est rapide; et l'action morbide n'est pas limitée aux éléments nerveux , elle s'exerce sur tous les tissus (vasculaire,
la lésion de la cellule est la condition primitive : par elle l'arc nerveux est brisé, et l'adaptation des relations intéri
e côté les cas où la folie relève d'une dégénérescence des éléments nerveux ). L'observation tant clinique que nécroscopique
traire conserver précieusement à un tel malade toute son énergie nerveuse afin d'en faire bénéficier son organisme tout ent
eut pas toucher la moelle, et s'engage simplement parmi les racines nerveuses flottantes de la queue de cheval. Le but de l'o
et des troubles du langage consécutifs à la, frayeur. Les troubles nerveux des écri- vains et des artisans cèdent promptem
ale périphérique ne l'est aucu- nement : le tic convulsif, l'asthme nerveux peuvent être traités avec succès par ce moyen,
paraît qu'à la suit d'une certaine prédisposi- tion et d'un système nerveux mal équilibré est d'un système ner- veux mal éq
l'état mental des indigènes, et 2° l'état émotif, la susceptibilité nerveuse des indigènes chez lesquels les psychoses dégénér
n sentiment de bien-être et de gaieté. La concentration de la force nerveuse sur les centres où ces sentiments sont localisés
naissance (on sait que Gowers désigne ainsi les lésions du système nerveux qui se produisent au moment ou à l'occasion de
. Les deux derniers cas sont des exemples de symptômes mentaux et nerveux déterminés par des lésions traumatiques du cervea
associent aux lésions viscérales que par l'intermediaire du système nerveux sympathique; ce sont ceux dont on va s'occuper,
une élévation de température, de la prostration et des symptômes nerveux durant une semaine environ, au bout de laquelle t
idérable chez les alcoo- liques. L'alcool altère surtout le système nerveux et en trouble les fonctions sensorielles, motri
aces elle présentait l'aspect d'un angiosarcome. Absence d'éléments nerveux et de substance névroglique. Les kystes avaient
. La présence de kystes à épi- thélium avec tumeurs dans le système nerveux central jette quel- que lumière sur le mécanism
lésions produites par l'action de quelques poisons sur les cellules nerveuses corticales, par Berkley; - Classification de la
tre les antécédents héréditaires, le milieu familial, les accidents nerveux les maladies infectieuses subies par la « brute »
a. Vol. III. Avril 1897. N° 16. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . DGS TROUBLGS DU GOUT I : T DG L'ODO)taT DANS L
dans leurs traités : Archives, 2e série, 1. HT. 17 î 58 CLINIQUE NERVEUSE . Vulpian 1, dans son traité des maladies du sys
INIQUE NERVEUSE. Vulpian 1, dans son traité des maladies du système nerveux , écrit : « L'odorat est rarement modifié ou du
igestion difficile ». Plus loin il ' Vulpian. - Maladies du système nerveux , 1879, t. I, p. 330. 2 Pierret cité par Vulpian
<" 43 et li, cité par de Mas- sary dans sa thèse. 2GO CLINIQUE NERVEUSE . moment un tabétique percevait une odeur de mat
persécution des tabétiques.) B. Sensibilité générale. 26 CLINIQUE NERVEUSE . Abolition du réflexe olfactif. Diminution ou
tivement peu ou pas du tout au cours de leurs coryzas. z CLINIQUE NERVEUSE . Du côté du goût les réflexes sont difficiles à
précédant l'éternuement par accès et ce sont ses bran- 266 CLINIQUE NERVEUSE . ches de la pituitaire qui sont intéressées, et
approcher de ces troubles l'état physique de la langue 268 CLINIQUE NERVEUSE . et l'état des fonctions digestives. Incontesta
plus persistant et qui semble se lier plus étroitement à la maladie nerveuse , est caractérisé par une coloration blan- châtr
ue de la muqueuse linguale sous l'unique dépendance de la maladie nerveuse . La cause qui le régit, autorise le terme de lang
ntale. Blois, 1893, et la thèse de M. Rogipr (Lyon). 270 CLINIQUE NERVEUSE . complet : l'hallucination est présente, l'accu
èrement sujets aux pervertions du goût et de l'odorat. 272 CLINIQUE NERVEUSE . Marche des symptômes. Les troubles du goût et
un cas il y avait en Archives, 2e série, t. III. 18 274 CLINIQUE NERVEUSE . outre une soif intense et une polyurie proport
t en rapport avec ce qu'on observe dans les autres nerfs et centres nerveux des tabétiques, en particulier dans les ganglio
dans les ganglions correspondants au centre tro- phique des fibres nerveuses . Pour les nerfs rachidiens ces centres sont les
ces travées épaisses il y a beaucoup de gaines vides. Les fibres nerveuses examinées après action de l'acide 1 L'examen hi
ésentent des réac- tions pathologiques. Enfin la plupart des fibres nerveuses qui persistent avec leur enveloppe' de myéline,
au- lin, externe des hôpitaux, sont la reproduction. Les cellules nerveuses de ce ganglion sont nombreuses, mais petites, à
Fig. il, - Ganglions d'Andersch (glosso-phal'yngien). 276 CLINIQUE NERVEUSE . veux. Des deux côtés ces fibres sont également
ales, mais accusées, d'atrophie et de dégé- nérescence des éléments nerveux , surtout des tubes nerveux et des capillaires.
phie et de dégé- nérescence des éléments nerveux, surtout des tubes nerveux et des capillaires. Toutes ces lésions ont sa
w Iz r-13 m N 5 *D S I 1 ec z 278 CLINIQUE NERVEUSE . peuvent-elles expliquer les symptômes de perve
s ou efférenles. L'ensemble du système de ces nerfs, leurs branches nerveuses aussi bien que leurs cellules ganglionnaires se
e la nutrition de la pituitaire ou de la muqueuse lin- 280 CLINIQUE NERVEUSE . guale sont des conditions indispensables de la
HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. THÉORIE DES NEURONES'. PAR JULRS SOU
ON Y CAJAL. Les libres terminaisons arborescentes des prolongements nerveux apparaissent, avec Ramon y Cajal, à la place du
ents nerveux apparaissent, avec Ramon y Cajal, à la place du réseau nerveux diffus de Golgi 2. A l'exception de quelques ca
tion du nerf sur le muscle. » (Leçons sur l'histologie du sys- tème nerveux , 1878, II, 348.) La différence entre les deux cat
78, II, 348.) La différence entre les deux catégo- ries de cellules nerveuses de Golgi s'est aussi évanouie : il n'y a plus q
uses de Golgi s'est aussi évanouie : il n'y a plus que des cellules nerveuses à prolongements nerveux longs ou courts, et tou
évanouie : il n'y a plus que des cellules nerveuses à prolongements nerveux longs ou courts, et toutes les formes de transi
ière, la rétine. Les branches collatérales de chaque prolonge- ment nerveux se terminent aussi librement que l'arborisation t
rales a profondément transformé les idées sur l'activité du système nerveux central. On donnait le nom de « voies courtes »
« voies courtes » ou de « commissures longues » aux prolonge- ments nerveux que beaucoup de cellules envoyaient, par exemple,
dans la substance grise de la moelle épinière : mais la décharge nerveuse résultant de l'excitation transmise par la cellul
sultant de l'excitation transmise par la cellule à ;on prolongement nerveux n'avait lieu, pensait-on, qu'à la terminaison d
du cylindraxe de cette cellule. On sait aujourd'hui qu'une cellule nerveuse des ganglions spinaux peut influencer tous les
s territoires de la substance grise que tra- verse son prolongement nerveux central, non seulement par les arborisations te
uc- cessivement ce prolongement sur tout son parcours. Ainsi, les nerveux chez l'homme et chez les vertébrés, trad. par le
sl/'almicl'o ! 71', I, I. THÉORIE DES NEURONES. 283 longues voies nerveuses des cordons postérieurs qui montent jus- qu'au
ans la substance grise de la moelle épi- nière, autour des cellules nerveuses surdes préparations au Weigert- Pal, est consti
existent des collatérales et des arborisations terminales de fibres nerveuses s'entrelaçant à des prolongements protoplasmiqu
la substance blanche, une grande partie des commissures des centres nerveux . En somme, il n'existe point d'anastomoses entr
d'anastomoses entre les prolongements protoplasmiques (Gerlach)-ou nerveux (Golgi) des neurones ou uni- nits nerveuses de
toplasmiques (Gerlach)-ou nerveux (Golgi) des neurones ou uni- nits nerveuses de Waldeyer (1891). La théorie des réseaux à dû
sai de classifica- tion physiologique ou fonctionnelle des cellules nerveuses en cel- lules de la sensibilité ou de la motili
anatomo-physiologique de Golgi, la fonction trophique de la cellule nerveuse attribuée aux prolongements pro- toplasmiques,
ature, que présentent la morphologie et les connexions des éléments nerveux de la moelle épinière. I. Chaque fibre nerveuse
nexions des éléments nerveux de la moelle épinière. I. Chaque fibre nerveuse n'est que le prolongement d'une cellule nerveus
I. Chaque fibre nerveuse n'est que le prolongement d'une cellule nerveuse , soit périphérique, soit centrale. Chaque fibre n
ne cellule nerveuse, soit périphérique, soit centrale. Chaque fibre nerveuse , de son origine à sa terminaison, n'est donc qu
tous les auteurs qui ont fondé l'hystogénèse actuelle du système nerveux , Cajal, Lenhossek, Retzius, etc. II. Les expans
ssek, Retzius, etc. II. Les expansions protoplasmiques des cellules nerveuses se ter- minent librement dans la substance gris
nent librement dans la substance grise (Golgi); les prolonge- ments nerveux des cellules nerveuses se terminent de même au
a substance grise (Golgi); les prolonge- ments nerveux des cellules nerveuses se terminent de même au moyen de libres arboris
part, les arborisations collatérales et terminales du prolongement nerveux d'un ou de plusieurs autres neurones, d'autre p
ions protoplasmiques et le corps cellulaire servant à la conduction nerveuse comme les cylindraxes et leurs appendices fibri
manière générale, dans les organes des sens comme dans les centres nerveux , le corps cellulaire et ses prolongements proto
miques sont des appareils de réception, non d'émission des courants nerveux . Dans les éléments qui, comme les cellules nerv
ion des courants nerveux. Dans les éléments qui, comme les cellules nerveuses des ganglions spinaux ou les spon- gioblastes d
racine antérieure; les cellules des cordons, dont les prolongements nerveux constituent les fibres des faisceaux ou cordons
eur passage à travers la moelle des collatérales entre les cellules nerveuses . IV. Les fibres sensitives des vertébrés ne nai
moelle : elles proviennent, comme l'a établi W. His, des cellules nerveuses des ganglions spinaux intervertébraux. Dans la ca
cette capsule et le protoplasma cellulaire, s'arbo- rise une fibre nerveuse d'origine inconnue (Lenhossek, Ehrlich, Cajal)
ajal) : cette arborisation prouve en tout cas que, entre le courant nerveux apporté de la pequ, des muqueuses, des articulati
mis à la moelle épinière par la branche centrale, d'autres courants nerveux encore, provenant peut-être des cellules du gra
grand sympathique, peuvent parvenir à ces neurones. Ces cellules nerveuses , issues de l'ectoderme, et d'abord bipo- laires
ns en apparence), envoient la branche centrale de leur prolongement nerveux dans la substance blanche de la moelle épinière
nt dans la substance grise où elles s'arborisent entre les éléments nerveux de la moelle épinière. Outre les arborisations
formes ou triangulaires de Mar- tinotti. Mais la plupart des fibres nerveuses de la zone moléculaire proviennent des quatre t
x ou plusieurs filaments très longs, qui paraissent être des fibres nerveuses , restant toujours dans la zone moléculaire (cellu
très longs, d'abord horizontaux, se continuant peu à peu en fibres nerveuses ou de nature analogue, peu ramifiés, émettant s
leur trajet de fines collatérales qui se perdent dans les fibrilles nerveuses de la zone moléculaire; 4° cellules fusiformes un
à cette zone aux strates inférieures de l'écorce : du prolongement nerveux u nique de ces neurones sortent par bifurcation
s embryons d'hommes et d'autres mammifères, il s'agit de cellules nerveuses pourvues de plusieurs expansions d'apparence nerv
eloppe- ment ultérieur, selon Veratti, le caractère de prolongement nerveux , tous les autres prenant peu à peu celui de pro
hez d'autres animaux, cette différenciation entre le prolonge- ment nerveux et les prolongements protoplasmiques existerait d
chez tous les vertébrés, comme un exemple important de transmission nerveuse par contact ou contiguïté, comparable à celle q
uelles semblent être contenues étroitement les plus fines fibrilles nerveuses dépour- vues de myéline. » Ces fibrilles nerveu
fines fibrilles nerveuses dépour- vues de myéline. » Ces fibrilles nerveuses agiraient donc ici sur ces prolongements protop
c ici sur ces prolongements protoplasmiques pour transmettre l'onde nerveuse aux cellules pyramidales. Toute cellule pyram
rminant, en bas, dans la substance blanche, où il devient une fibre nerveuse à myéline du faisceau de projection. Mais, pend
s, les expansions protoplasmiques basi-' laires et les collatérales nerveuses sont encore très courtes et simples; il est trè
ppement de l'appareil protoplasmique et du système des collatérales nerveuses . » Non seu- lement les associations déjà créées
s s'établiraient par le fait d'une * néoformation de collaté- rales nerveuses et d'expansions protoplasmiques ». Une fois organ
tta, a coïncidé avec un cerveau de petites dimensions, les cellules nerveuses seraient moins nombreuses ou peut-être simpleme
ou par un coude, ou par une division en T, avec une ou deux fibres nerveuses de la substance blanche. On distingue dans cette
ramidales, soit les branches collatérales nées de ces prolongements nerveux . Les collatérales des fibres d'association mont
ions, et sans doute l'activité presque toute entière des élé- ments nerveux de l'écorce cérébrale. Mais ce n'en est pas moins
es des . cellules pyramidales, soit indirectement sur les fibrilles nerveuses de cette zone; bref, « le stimulant du physiolo-
euse et le bulbe olfactifs, contiennent un grand nombre de cellules nerveuses à cylindraxes longs; des organes à fonctions mo
donc impossible de ramener à une morphologie spéciale les cellules nerveuses dites sensitives ou sen- sorielles, motrices, c
des cellules de sensibilité, mais comme toutes les autres cellules nerveuses , sans exception, la sensibilité étant la seule
e moléculaire, point commun de rencontre d'une « infinité de fibres nerveuses ter- minales avec les dendrites des cellules py
s avec les dendrites des cellules pyramidales », voici les courants nerveux que les terminaisons arborescentes des cylin- d
rise des vertébrés sont plus énormes encore : cinqespèce- de fibres nerveuses peuvent en effet venir, par leurs contacts, éveil
rois couches profondes pendant leur trajet intracortical. Le plexus nerveux formé autour de ces cellules par un si grand no
. Il semble en résulter que, comme l'admet Golgi, une seule cellule nerveuse peut être en connexions indépen- dantes les une
en connexions indépen- dantes les unes des autres avec des éléments nerveux fonctionnelle- ment différents. De même pour le
neurones est enveloppé par une espèce distincte de ramifications nerveuses terminales : par les corbeilles terminales, le co
lianes aux branches d'un arbre des tro piques, » avec les éléments nerveux de la moelle ou du cerveau ; les vastes ramures
des fibres moussues apportant peut- être à ces grains les courants nerveux de la voie cérébelleuse directe de la moelle ép
ite cellule pyramidale peut, par l'intermédaire de ses collatérales nerveuses , influer sur plusieurs séries de cellules pyram
expansions basilaires, peut recueillir un grand nombre de courants nerveux des petites cellules pyramidales situées au-des
aux cellules polymorphes. Tous les éléments constituant le système nerveux central et péri- phérique sont donc des individ
rapports de contiguité, condi- tion de la transmission des courants nerveux des arborisations terminales et collatérales de
indraxes aux corps et aux expan- sions protoplasmiques des cellules nerveuses . Si ces expansions font défaut (spongiohastes d
sens. La branche centrale, plus fine, est un véritable prolongement nerveux , à courant de direction cellulifuge. Les expans
la névroglie ; elles ont la même fonction conductrice des courants nerveux que le prolongement cylindraxile et ses collaté
e de la rétine, où les ramifications proto- plasmiques des cellules nerveuses ganglionnaires entrent. en rap- port avec les c
rt avec les cellules bipolaires. Partout où s'arborisent des fibres nerveuses , dans la substance grise ou dans la substance bla
s représentent sans doute les points où les terminaisons des fibres nerveuses entrent en contact avec ces branches 1. Entre
contact avec ces branches 1. Entre le volume du corps des cellules nerveuses et la grosseur et le nombre des éléments chroma
tent à cet égard une supériorité semblable sur les petites cellules nerveuses des mammifères, telles que les grains du cervel
ngements protoplasmiques, pour ne pas gêner le passage des courants nerveux . Ceux-ci paraissent suivre les fibrilles d'un r
éléments chro- matiques, entrent en conflit avec les ramifications nerveuses am- biantes, les aiborisations des prolongement
res se rencontrent chez tous les vertébrés et dans tous les centres nerveux ; elles se caractérisent constamment par l'allo
sans doute, comme Nissl le croit, un état fonctionnel de la cellule nerveuse , peut-être en phénomène d'arrêt provoqué par la
orme toutefois d'amas con- sidérables que dans les grandes cellules nerveuses . L'hislologisle espagnol est porté à voir dans
baaophile, 1 Non seulement elle fait défaut dans quelques cellules nerveuses , remarque Ramon y Cajal, mais dans les neurones
cylindraxe, permettent au réseau fibrillaire de propager les ondes nerveuses . , 296 REVUE CRITIQUE. dans ces corpuscules c
façon notable pendant la contraction. Quant au noyau de la cellule nerveuse , il se modifie lui aussi d'une manière correspo
une concentration progressive en un ou deux nucléoles. Les cellules nerveuses dont la nucléine s'est ainsi différenciée ont san
73-377). J. Ni la structure interne ni les connexions de la cellule nerveuse cérébrale n'ont rien qui la distingue des autre
nerveuse cérébrale n'ont rien qui la distingue des autres cellules nerveuses de même type. Quelle que soit sa fonction, tout
nerveuses de même type. Quelle que soit sa fonction, toute cellule nerveuse semble posséder la : même structure, les mêmes
hiques pourraient n'être point de même nature que ceux des cellules nerveuses de ces catégories inférieures. ' Ramon y Cajal.
de ses parties (corps cellulaire, tige, dendrites) avec des fibres nerveuses d'nne certaine catégorie, les cellules pyramidale
la complexité croissante de l'organe, c'est-à-dire de la cel- lule nerveuse . Vraisemblablement les fonctions d'une cellule ps
longues, plus ramifiées. Le degré de développe- ment de la cellule nerveuse est souvent en rapport avec son volume; souvent
nsion et la richesse des arborisations terminales du prolonge- ment nerveux , ou, en d'autres termes, que plus une cellule est
plus une cellule est grande, plus est grand le nombre des cellules ( nerveuses , glandu- laires, musculaires) avec lesquelles e
qui séparent les cellules psychiques étant remplis de ramifications nerveuses et protoplasmiques (la névro- glie prend rareme
ciproques existant entre la supériorité fonctionnelle d'une cellule nerveuse et le nombre de ses prolongements peut sans dou
oique incapable de produire de nouvelles cellules (car les cellules nerveuses ne se multiplient pa, comme les cellules muscul
veloppement des prolongements protoplas- miques et des collatérales nerveuses , et créer ainsi des connexions intracorticales
re, qu'il y avait ou diminu- tion corrélative du corps des cellules nerveuses ou réduction du tissu de soutien. Pour le secon
cessus ne peut être que celle des prolonge- ments cellulaires, soit nerveux , soit protoplasmiques, et que l'am- pleur et l'
our l'étude des fonctions du cerveau : I. Une ou plusieurs cellules nerveuses servent-elles de subs- tratum à chaque percepti
héorie de l'attention. I. Entre les organes des sens et les centres nerveux , il existe une chaîne déterminée de conducteurs
c'est-à-dire par l'intermédiaire d'un nombre croissant de cellules nerveuses , jusqu'au cerveau. 11 existe donc des chaines d
en quelque sorte des surfaces sensibles de l'organisme aux centres nerveux . Cette loi, entrevue par Golgi, dit Cajal, n'a ét
té démontrée que depuis qu'on connaît les véritables terminaisons nerveuses des neurones afférents dans l'axe cérébro-spinal.
, peut affecter des centaines et peut-être des milliers de cellules nerveuses d'un centre de l'écorce cérébrale, et cela grâc
es. Nous avons insisté sur les parcours et les relais-de ces routes nerveuses qui vont de la périphérie aux centres, des cent
e compose d'autant d'unités d'im- pression qu'il y a eu de cellules nerveuses simultanément exci- 300 REVUE CRITIQUE. tées.
ont pour substratum les connexions établies entre les collatérales nerveuses et les expansions protoplasmiques des cellules
bitions de cer- taines zones cérébrales; interférences des courants nerveux ; aug- mentation de la résistance des conducteur
teurs due à des modifications de la composition chimique des fibres nerveuses , ; troubles physico- chimiques sans altération
n ne peut constater le moindre mouvement amiboïde dans les fibres nerveuses et les arborisations terminales observées durant
pothèse de llathias Duval. 1° Les arborisations et expansions, tant nerveuses que protopla- miques, du cervelet, du bulbe olf
empoisonnement par le curare, la strychnine); 2° les arborisations nerveuses terminales de la rétine et du lobe optique, che
ologiques corrélatives à l'état de repos ou d'activité des cellules nerveuses , que, pendant l'activité psychique, les formes de
abandonner. Sile,plasma sanguin destiné à la nutrition des cellules nerveuses passait par les cellules de la névroglie avant
ait par les cellules de la névroglie avant de parvenir aux cellules nerveuses , elles commenceraient par en absorber une grand
, et elles sont précisément en plus grand nombre là où les cellules nerveuses abondent le moins. Des cellules aussi petites,
ne sauraient non plus servir de soutien (sustentaculo) aux cellules nerveuses . Pourquoi ces dernières manqueraient-elles même
cumulées en très grand nombre dans la substance blanche des centres nerveux , qui a moins besoin que la grise de soutènement ?
tours nets. Leur fonction parait être d'interposer entre les fibres nerveuses une substance nauvaise conductrice des courants
de la névroglie abondent surtout là où. se rencontrent les courants nerveux , par exemple dans la couche moléculaire de l'éc
llules pyramidales.entrent en contact avec une infinité de ramilles nerveuses terminales. En rétractant le protoplasma de leurs
l'établissement de contacts entre les cellules et les arborisations nerveuses aupara- vant séparées. En vertu de ce mécanisme
qui, en réalité, représentent « une matière isolatrice des courants nerveux », pénètrent alors entre les arborescences nerv
ice des courants nerveux », pénètrent alors entre les arborescences nerveuses et les cellules nerveuses ou leurs expansions p
pénètrent alors entre les arborescences nerveuses et les cellules nerveuses ou leurs expansions protoplasmiques, rendant très
ues, rendant très dif- ficile ou suspendant le passage des courants nerveux : c'est la phase de repos mental, et du sommeil
il isolateur (un app( ! 1'ato aislador) et commutateur des courants nerveux , selon les phases d'activité ou de repos. Cajal
s' de ce même centre doit éga- lement favoriser l'énergie de l'onde nerveuse en portant au maximum les phénomènes corrélatif
avoriser ces hyperhémies physiologiques, en protégeant les cellules nerveuses voisines contre les pressions et les ébranlemen
névroglie, simple organe de soutènement ou de protection du système nerveux , masse de remplissage, tissu qui pro- lifère qu
rveux, masse de remplissage, tissu qui pro- lifère quand la cellule nerveuse dégénère, ne posséderait point les THÉORIE DES
y Cajal, en particulier celle de * matière isolatrice des courants nerveux . L'hypothèse des « états latents » des principa
dans les vaisseaux; elle ne colore ni le protoplasma des. cellules nerveuses ou névrogliques ni les prolongements protoplasm
lorer nettemenl, isolément, complètement, sans teindre les éléments nerveux et surtout leurs cylindraxes. Comme elle ne rep
La méthode de Golgi imprègne en effet tous les éléments du système nerveux cen- tral, à l'exception des gaines de myéline,
eption des gaines de myéline, et fait apparaître, avec les cellules nerveuses et leurs prolongements, les cellules épen- dyma
ablissent les recherches embryologiques. Le cylindraxe des cellules nerveuses est aussi du protoplasma modifié, dit Weigert ;
iaison (Binde substanz). La névroglie n'est pas davantage de nature nerveuse (Colella), et il ne peut être douteux un seul i
e : 1" parce que, avec la coloration de Weigert, rien de ce qui est nerveux ne se colore électivement, et que ces fibres se c
une substance connective, c'est-à-dire prolifèrent lorsque le tissu nerveux disparaît. Lorsque l'on répète, après Frommann et
la période embryonnaire et pour les états pathologiques du système nerveux : à l'état normal, et quand le développement est
e sont des cellules émigrées des surfaces inté- rieures des centres nerveux ; les cellules épithéliales du canal cen- tral e
s qui s'étendent jusque sous la pie-mère, traversant tout le centre nerveux . Dans la période embryonnaire des oiseaux et des
loppement phylogénique. Parmi les différentes parties du système nerveux central d'une seule et même espèce, a écrit Sala
poissons, écorce du cerveau des amphibiens et des reptiles, centres nerveux des mammifères aux premiers stades de leur déve
cérébrale et le lobe optique des oiseaux. En outre, plus un centre nerveux augmente de volume, plus diminue le nombre des
entiques pour écrire ou esquisser déjà une paléontologie du système nerveux cérébro-spinal des vertèbres. C'est de quoi con
u- trage est le plus épais qui existe normalement dans le système nerveux central; 2° les surfaces externes du système nerv
ans le système nerveux central; 2° les surfaces externes du système nerveux cen- tral (l'écorce cérébrale, par exemple) pré
t pas seulement pour les surfaces internes et externes du sys- tème nerveux de l'homme adulte, telles qu'elles existent prése
nes, attestant encore un état antérieur de développement du système nerveux , nous sont révé- lées par la présence de traîné
-unes. Et d'abord, entre les fibres de la névroglie et les éléments nerveux , il n'existe jamais la moindre transition de pa
ert, où les corps et les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses , ainsi que le commencement des cylindraxes appa
dmis par Golgi entre les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses et la. névroglie n'existent donc point. Quant a
, ainsi qu'à Lloyd Andriezen, par rapport aux vaisseaux des centres nerveux , le même que celui qu'elle paraît remplir quant
ux surfaces internes et externes du névraxe : elle protège le tissu nerveux contre toutes les causes de lésion pouvant prov
ci de substance de soutènement, les vaisseaux sont, pour le système nerveux central, des corps étrangers au même titre que la
itre que la pie- mère ; au regard des vaisseaux, la limite du tissu nerveux est une surface interne ; il doit être protégé
et leurs mailles plus serrées dans le cerveau. Dans tout le système nerveux central, c'est une règle que toute fibre nerveu
ns tout le système nerveux central, c'est une règle que toute fibre nerveuse à myéline de la substance blanche est isolée de
r, à isoler, sinon à défendre, à protéger et à soute- nir l'élément nerveux . Tantôt une ou plusieurs fibrilles de névro- gl
ou plusieurs fibrilles de névro- glie séparent des autres une fibre nerveuse (dans le cerveau, le cervelet, la partie intern
ie, confirmé par l'histologie pathologique, que partout où le tissu nerveux laisse par sa disparition la place libre, la né
lifere et remplit, comble les espaces vides. Il semble que le tissu nerveux , tant qu'il est vivant, oppose une sorte de rés
en etfet, comme dans la sclérose mul- tiple, que toutes les fibres nerveuses dégénèrent comme dans le tabes et les dégénéres
tabes et les dégénérescences secondaires, que toutes les cellules nerveuses soient frappées comme dans la poliomyélite antéri
ient détruites comme dans la paralysie générale, que tout l'élément nerveux , cellules et prolongements, dégénèrent comme da
e les lacunes laissées par la mort totale ou partielle de l'élément nerveux . Dans la paralysie générale en particulier, on
pagnols cités, le rôle de la névroglie serait d'isoler les courants nerveux , c'est-à-dire d'empêcher la pro- THÉORIE DES NE
à côté, qui pourraient nuire à la transmission directe des courants nerveux efficaces. Weigert démontre que les faits sur l
blanche. Le rôle physiologique de substance isolatrice des courants nerveux , attri- bué par les savants espagnols aux éléme
vroglie, convient d'autant moins à la substance blanche des centres nerveux que les cylindraxes sont déjà entourés d'épaiss
tact avec les dendrites. Mais le moyeu de croire que les courants nerveux sont transmis au hasard des rencontres des prolon
nerveux sont transmis au hasard des rencontres des prolongements nerveux et cylindraxiles qui s'enchevêtrent inextricablem
ale ? Il doit exister, selon Weigert, dans la structure des centres nerveux , des conditions de transmission des courants ne
des centres nerveux, des conditions de transmission des courants nerveux qui ne permettent point à ceux-ci de s'égarer en
a bonne direction, s'il fallait en croire ces auteurs, des courants nerveux , dans des centres d'importance bien inférieure,
se d'une ivresse voulue, préméditée. G. Deny. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLII. Un cas de tétanie; par FRANCIS EDWIN Par
se résumer de la façon suivante : Femme de 37 ans, sans antécédents nerveux personnels ou héréditaires (sauf une grande exc
lement amélioré. Un point importnntà noter, 320 REVUE DE pathologie NERVEUSE . c'est que la malade et aitattcinte d'un astigm
s, tantôt limitées au côté gauche; à droite une REVUE DE pathologie NERVEUSE . 321 1 paralysie qui parait surtout sur le bras
étique, Archives, 2e série, t. III. 21 j" : 2 revue de pathologie NERVEUSE . et qu'elle était due à l'acétonémie. Il insist
rattacher, au moins dans ses formes légères, au REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 323 catarrhe de l'oreille moyenne qui est très
uer le contraste absolu qui existe entre les phénomènes d'agitation nerveuse qui viennent d'être décrits et l'état d'apathie
la façon d'un stimulant ou à la façon d'une toxine sur les éléments nerveux , et plus particulièrement sur ceux de ces élément
d'environ soixante-quinze, qui ont été 324 Il. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . publiés depuis la première description donnée
s tractus pyramidaux. ' Il. de MUSGIIA VE CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 325 5 LII. Epilelpsie sénile; par ! \OVALF : W
. Si la syphilis provoque si fréquemment la dégénération du système nerveux central c'est en outre de l'action spécifique d
entral c'est en outre de l'action spécifique du poison sur la fibre nerveuse qu'aucune autre maladie infectieuse ne persiste
à la voûte crânienne. L'examen histo- logique montre que les fibres nerveuses sont normales; de même les cellules nerveuses,
montre que les fibres nerveuses sont normales; de même les cellules nerveuses , la névroglie, les vaisseaux. Dans la gaine adv
upes des théories extra-thyroïdiennes (théories cardio-vasculaires, nerveuses ) ont cédé le pas aux théories thyroï- diennes e
le Dr Arnaud, médecin de la maison de santé de Vanves. Pathologie nerveuse . - L'hystérie infantile. Rapporteur : M. le D1'
nées à des travaux sur la physio- logie et la pathologie du système nerveux : Prix Montyon de médecine et de chirurgie, 7,5
stiné à « récompenser ou encourager les travaux relatifs au système nerveux , dans la plus large acception des mots». Les tr
irect ou indirect avec l'étude de la plus fine structure du système nerveux , devrait aussi arrêter l'attention des psycholo
nt, jette une nouvelle lumière sur l'activité variée du méca- nisme nerveux , mécanisme extrêmement compliqué et parfait dan
. III. 22 2 338 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. prouvé que tout le système nerveux central et périphérique consiste dans l'ensembl
assent à ceux d'une autre. M. Waldeyer a proposé pour ces entités nerveuses le nom de neurone. Ce terme fut admis par tout
de nitrate d'argent, nous atteignons l'imprégnation des éléments nerveux , qui nous apparaissent au microscope comme des co
toplasmiques ou de dendrites. Outre ces dernières, chaque cellule nerveuse a un ou plusieurs prolongements cylin- draxiles
autour de ceux-ci tout un réseau d'arborisations, composé de fibres nerveuses extrêmement fines et àl'endroitoù le cylindraxe
xe atteint les prolongements protoplasmiques d'un autre élé- ment nerveux , il ne s'opère jamais de continuité d'un prolon-
ndamental de notre conception contemporaine du rapport des cellules nerveuses entre elles. Pour ce qui con- cerne le mode des
e le mode des arborisations terminales des collatérales de la fibre nerveuse principale, nous pouvons supposer qu'il s'y opè
eur côté vers les prolongements protoplasmiques des autres cellules nerveuses , ne se continuant nulle part avec eux. Ainsi à
tinuant nulle part avec eux. Ainsi à chaque terminaison de la fibre nerveuse , quel que soit le nombre des prolongements qu'e
uel que soit le nombre des prolongements qu'elle émette, la cellule nerveuse LA THÉORIE DES NEURONES. 339 peut être consid
mme un élément isolé de ses semblables. C'est justement cette unité nerveuse , avec tout l'ensemble de ses prolongements prot
cylindraxiles, qui est désignée du nom de neurone. Tout le système nerveux central et périphérique apparaît à ce point de
e forme caractéris- tique de neurones pour chaque région du système nerveux ; par exemple, les cellules pyramidales avec le
longements cylindraxiles jouent le rôle de conducteurs des courants nerveux . La vibra- tion moléculaire, qui commence aux d
dirige vers le corps cellulaire, passe de ce dernier au conducteur nerveux , à la fibre nerveuse, atteint les arborisations
s cellulaire, passe de ce dernier au conducteur nerveux, à la fibre nerveuse , atteint les arborisations terminales du cylind
es élé- ments en y excitant une vibration moléculaire. La cellule nerveuse joue, à l'égard du cylindraxe, le rôle du centr
pour la nutrition de la cellule. Outre leurs fonctions spécialement nerveuses , les dendrites servent d'organes nutritifs aux
Un savant allemand, M. VViedersheim, a réussi à observer la cellule nerveuse d'un animal inférieur pendant son activité, et
longements du cylindre-axile et ses collatérales, toutes les fibres nerveuses du neurone constituent l'organe passif de ce de
l'organe passif de ce dernier, qui sert à transmettre le courant nerveux ; il est à remarquer que ce dernier se dirige tou
oplasmiques des cellules pyramidales, se trouvent d'autres éléments nerveux qui ont la forme de corpuscules fusiformes, tri
les pyramidales ou psychiques, outre leur lien avec les corpuscules nerveux environnants, entrent en contact avec différent
cellule pyramidale quel- conque. Une grande quantité de ces fibres nerveuses forme une longue voie d'associàtion entre le lo
de ces derniers entrent en contact avec les dendrites des éléments nerveux . Cette circonstance nous convainc aussi que le
re de voies d'association, c'est-à-dire de liens entre les cellules nerveuses situées dans le même hémisphère est presque fab
ui naissentde la fibre principale, à une grande quantité d'éléments nerveux ; LA THEORIE DES ]'OEURONas. 343 2° Pour ce qu
i concerne les liens commissuraux destinés à transmettre le courant nerveux d'une cellule, située par exemple dans l'hémisp
ransmettre les impulsions dans les régions sous-jacentes du système nerveux central et qui traversent, par exemple, l'hémis
gmentent extrêmement l'étendue des voies de transmission du courant nerveux : ce dernier, naissant d'une cellule, peut se t
llules de l'écorce cérébrale, dans cette dernière passent les ondes nerveuses des régions infé- rieures du système nerveux ce
re passent les ondes nerveuses des régions infé- rieures du système nerveux central. Nous parlerons des courants centripète
es ramifications, descend dans les régions sous-jacentes du système nerveux . Nous ne savons pas encore quelles sont les fon
e, peut passer par son cylindraxe dans d'autres sections du système nerveux , ou transmettre à l'aide des liens latéraux d'u
isme des voies unissant les appareils périphériques avec le système nerveux central, les investigations nouvelles ont donné
est pas encore élucidée. Ces cylindreaxes, qui naissent de cellules nerveuses , qui nous sont encore inconnues, conduisent les
nt du cerveau. Nous avons le droit de rapporter à tout le système nerveux périphérique ce que nos investigations nous ont
e, de pair avec les fibres centripètes, qui conduisent les courants nerveux de la périphérie aux centres, d'autres fibres q
, entrent en contact entre elles de façon à ce que les impulsions nerveuses puissent aller dans des directions inverses. Il e
xiste entre les procès psy- chiques et la fine structure du système nerveux . Mais, dans tous les cas, nous devons tenir com
et du laboratoire de chimie de la clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière. 348 RECUEIL DE FAITS. même
une femme qui s'est présentée à la clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière présentant les symptômes clas
. I, 1896.) L'auteur a soumis à un'examen microscopique les centres nerveux dans quatre cas d'anopllthalmie et trois cas d'
s n'occupent qu'une couche mince qui borde le contour de la cellule nerveuse . Le noyau n'est presque jamais rond; il est apl
térêt pour l'étude de l'anatomie normale et pathologique du système nerveux . Mais le montage d'une grande quantité de coupe
rnal ofinsanity, octobre 1896.) E. B. XXXIII. Coloration du système nerveux central EN morceaux ; par G. ILBERG. (neural. C
ue répétée. Ces con- vulsions se limitent strictement au territoire nerveux atteint et se montrent immédiatement; elles ne
que persistait la tétanisation. C'est donc une forme de réaction nerveuse nW1'otunique qui est l'opposé de la réaction my
dique combien celle-ci confine aux mala- dies organiques du système nerveux . En réalité l'hystérie, la neu- REVUE D'ANATOMI
ilepsie sont de véritables maladies constitution- nelles du système nerveux , puisqu'elles apparaissent dès l'enfance, s'éte
s apparaissent dès l'enfance, s'étendent à l'ensemble de l'appareil nerveux et ne sont jamais gué- ries pour toujours, ni c
avail. R. DE Musgrave-Clay. XXXVII. SUR H nomenclature DES cellules nerveuses ; par FR : 1NE- BAKER. (Nem-York Médical Journal
propose la classification et la terminologie suivantes : Eléments nerveux = neztres. Ils se divisent en : 1° Éléments c
ir un diag- nostic différentiel entre la méningite et les accidents nerveux dus à la pneumonie, à la fièvre typhoïde ou à l
nicomio, XII, fasc. 1.) XLIV. Guérison des altérations DES CELLULES NERVEUSES cérébrales; par eiLE5Sl. (Il l11anicomio, XII,
e, avec tendance à de la dé- pression psychique, et de palpitations nerveuses , et qui vint à avoir un rétrécissement mitral;
ls ont déter- miné.. J. SÉGLAS. XLIX. DE l'influence DE l'élément nerveux ET mental dans LES maladies EN général; par CLO
neuf ans) par un ictus, l'existence de troubles, du côté du système nerveux dès la première enfance, la fréquence et l'im-
ubles d'origine syphilitique, on obtient comme proportion des tares nerveuses 66,6 p. 100. 5° Etiologie. En ne tenant compt
dans lesquels, à la suite de blessures, se montrèrent des troubles nerveux parfois assez graves. Ces faits sont intéressants
est souvent un agent provocateur de l'hystérie ou d'autres troubles nerveux . L'apparition fréquente de ces mani- festations
es troubles nerveux. L'apparition fréquente de ces mani- festations nerveuses dans le personnel des asiles peut être attribuée
violence accomplis par les aliénés et aussi à l'état d'excitabilité nerveuse qui se rencontre chez certains infirmiers qui ont
urs qui seraient de nature à diminuer la résistance de leur système nerveux . M. JULIUS13ERGER (Ilerzberge) présente des pré
M. TRONER (Ileidelberg). Modifications pathologiques des cellules nerveuses ; leur mto'op/tOtoftp/He. T... insiste sur les ava
s de la microphotographie pour l'étude des altérations des éléments nerveux . Il a examiné les lésions du système nerveux pr
térations des éléments nerveux. Il a examiné les lésions du système nerveux produites chez le chien par l'empoisonnement pa
Nissl (IIeildell)ei--). Les rapports de la substance des cellu- les nerveuses avec les états de repos, d'activité et de fatigue
es avec les états de repos, d'activité et de fatigue des élé- ments nerveux . Les couleurs basiques d'aniline montrent l'exi
s basiques d'aniline montrent l'existence, dans toutes les cellules nerveuses fixées par l'alcool, d'une substance qui se col
ion n'est .d'ailleurs pas résolue si, dans tous les autres éléments nerveux , la substance non chromatophile est com- posée
Kronthal ont mëmeidentifié la substance chromatophile des cellules nerveuses motrices avec les fibrilles de Max Schultze. Po
us permettent que de faire l'analyse de la substance des cellules nerveuses . INISSL a fait. depuis plusieurs années, des re
me scientifiquement établis sont : 1° l'existence dans les cellules nerveuses d'une substance chromatophile et d'une substanc
ucture fibrillaire (appa- reils de conductibilité pour l'excitation nerveuse ) ; 3° la substance chromatophile offre de grand
408 SOCIÉTÉS SAVANTES. qui agissent sur la substance de la cellule nerveuse , déterminent d'abord une modification de la sub
pondant à l'état d'activité, de repos et d'épuisement de la cellule nerveuse . Dans ces expé- riences, il n'est pas possible
t non de l'activité physiologique ; 5° la chromophilie des cellules nerveuses est une production artificielle, post-mortem.
entuée à la pression des muscles, et à peine perceptible des troncs nerveux ; abolition de la réaction fara- dique de tous l
rapide de leur électro-sensibilité l'absence de lésions des troncs nerveux et la polyurie du début de la maladie, tout ind
inaperçue tant qu'elle ne pénètre pas des méninges dans le tissu nerveux . Le néoplasme de ce genre a d'ordinaire le caract
s relations de la syphilis héréditaire avec les maladies du système nerveux et en particulier avec les maladies nerveuses d
les maladies du système nerveux et en particulier avec les maladies nerveuses de l'enfance est tout il fait à l'ordre du jour
es (maladies humorales, maladies infectieuses, maladies à réactions nerveuses , maladies à dystrophie élémentaire, etc.). Le t
anes bibliographie. 421 1 sont plus ou moins atteints, le système nerveux ne fait pas excep- tion : « le délire, le coma,
au contraire obtenue aisément en rendant préalablement les centres nerveux moins résistants (sai- gnée générale antérieure
bien aussi avec celle émise, par Féré et pour laquelle les cellules nerveuses restent influencées après l'attaque, l'auteur l
conceptions consécutives aux récents travaux de structure du tissu nerveux , ont diminué la profondeur de l'abime qui sépare
lin (Allemagne). V. Influence de l'accouchement sur les mala- dies nerveuses et mentales que présentent ultérieurement les e
re et de la contrac- ture dans les affections organiques du système nerveux . Rappel'- leur : professeur VAN GEHUCIITEN, de
Ballet (G.) - Leçons de clinique médicale (Psychoses et affections nerveuses ). - Volume in-8°, de vi-451 pages, avec 52 ligure
cides, leur influence au point de vue du développement des maladies nerveuses et mentales (Aperçu médico-1t ? al). - 111-8- d
nismes très différents : 1° agitation, fonte paralytique et marasme nerveux ; 2° attaques congestives ; 3° asphyxie aliment
rabataires, et bientôt, sous l'influence de l'altération du système nerveux , ils présentent des troubles trophiques et de d
et dans la Semaine médi- cale, janvier 1897. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LIV. CONTRIBUTION A l'étude DE la paralysie as
rmal des cornes postérieures, des tractus sensoriaux et des racines nerveuses concorde avec l'absence de symptômes du côté de
guë dans laquelle l'agent toxique affecte principalement le système nerveux . La lésion siège le plus ordinairement dans la
moelle mais on peut la rencontrer dans l'écorce et dans les racines nerveuses . Lorsqu'elle siège dans la moelle elle-même, le
guë, suivant la distribution de la branche cen- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 457 Î traie de l'artère spinale antérieure, av
ation des cellules de la névroglie et une dégénérescence des fibres nerveuses . Il est actuellement impossible de contester qu
ns laisser d'altérations histologiques démontrables dans le système nerveux . Il est certain que les cas où l'autopsie a été
es questions. La faculté d'écrire spontané- 458 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ment est également très troublée. Si on lui di
apparente, d'une lésion cérébrale. R. M.-C. ' ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 459 LIII. UN cas DE paralysie BULBAIRE AIGUË,
rat. Démarche titubante, penchant à droite, 460 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .' * impossible sans assistance. Dans la station
superficiels sont normaux. La sensibilité n'est REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 461 pas atteinte ; les réactions électriques s
oncordance entre le réflexe radio-bicipital 462 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et le phénomène du genou. D'après M. Francottc
nifeste. Les jours suivants, la situation s'ag- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 463 grave ; il n'y a pas de paralysie vraie, m
la médecine interne, à Gothembourg, 1896. 464 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . .C'est connu que la neurasthénie peut être aus
causer la neurasthénie chez les personnes disposées aux maladies nerveuses . Quant à l'étiologie de la neurasthénie, il fau
accidentelles dont les premières ont plus d'importance. Un système nerveux manquant de force pour résister à des irritatio
est la principale cause pré- disposante. Cette faiblesse du système nerveux est souvent innée; mais elle peut aussi s'acqué
enfants, avec des symptômes d'une irritabilité anormale du système nerveux . Quand l'irritabilité est plus pro- noncée, la
es ; le combat pour la vie s'est compliqué et les forces du système nerveux en sont réclamées au plus haut point. La diminu
ce de cette concurrence agrandie et il constate REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 465 que le célibat prédispose à la neurasthéni
hommes. Des mouvements, ne pouvant manquer d'influencer le système nerveux d'une manière nuisible, dominent de nos jours;
e à l'école, ils ne dorment pas assez pour le repos de leur système nerveux . On les habitue à la con- sommation du thé, du
acquises à Archives, 2e série, t. III. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . la clinique médicale d'Helsingfors, démontrant
nde. On sait que les enfants d'alcoo- liques ont souvent un système nerveux faible, ce qui est une des causes les plus grav
cédanés, il exerce pour sûr une influence mauvaise sur le système nerveux et sur les organes de la digestion ; et il est pe
, du strabisme externe desdeux yeux et un léger REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 467 nystagmus transversal. Les pupilles, régul
rd postérieur du pariétal gauche, il existe 468 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . une dépression ovalaire, à grand axe oblique d
l'étendue des déformations osseuses et de certaines manifestations nerveuses . Homme de cin- quante-huit ans, lithographe, ne
spect marbré formé par des taches blanches jau- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 469 nâtres d'ostéite condensante et d'autres t
sans décroiser les jambes. Il insiste sur certaines manifestations nerveuses telles que les phé- nomènes vésicaux, les contr
PALM aire ; par E. FEINDEL. Certains troubles trophiques d'origine nerveuse peuvent présenter REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
trophiques d'origine nerveuse peuvent présenter REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 471 l' des analogies avec les déformations du
les attaques frustes ou irréguliores où les 472 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . .convulsions se montrent d'emblée sous la form
ie par névrite. Suites de couches fébriles avec REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 473 albuminurie. Guérison encore incomplète au
s : aussi paraît-il logique d'admettre ici une violente compression nerveuse momentanée portant sur le tronc lombo-sacré au
présence de la double 'influence étiologique : 1° d'un traumatisme nerveux , et 2° d'une infection ulté- rieure venant déve
ien présents à l'esprit, car la paraphasie' 474 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . peut être confondue avec l'incohérence, et la
(American journal of insanity, oc- tobre 1896.) E. R. LXXVI. CHOC nerveux ET maladie DU SYSTÈME nerveux COMME cause d'ané
oc- tobre 1896.) E. R. LXXVI. CHOC nerveux ET maladie DU SYSTÈME nerveux COMME cause d'anémie PERNICIEUSE ; par le docte
a rapport de cause à effet entre le choc ou la blessure du système nerveux et l'anémie consécutive. Il est difficile de dire
ifficile de dire si le choc agit par interférence avec le mécanisme nerveux des organes digestifs, le résultat étant une an
nt une anémie grave ou si, en raison de l'altération de l'influence nerveuse , il y a trouble de la fonction des organes héma
de la fonction des organes hématopoiétiques. En assignant au choc nerveux une influence sur la production de l'anémie, il
er comme la seule cause ou même comme la cause principale : le choc nerveux ne fait peut-être que favoriser l'action de que
l'auteur conclut à l'existence de trois, facteurs : 1° La substance nerveuse est plus ou moins prédisposée à la paralysie pa
ries) ou interne (acide urique, urée, créatine) pénètrent le tissus nerveux . 3° Les cellules qui entourent les manchons amy
tion lymphatique) leur sont défavorables. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 475 LXXVIII. EMPYÉME DU SINUS FRONTAL GAUCHE,
plus étendues ou à des formes combinées. 476 REVUE DE pathologie NERVEUSE . L'auteur passe en revue ces principaux symptôm
droite, le muscle tibial antérieur excepté et, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 477 Î dans la région- tibiale postérieure (sau
ulien et de celui du tendon d'Achille, con- 478 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . servation du réflexe planlnire. Phénomènes mal
tile, pour la construction duquel se dépense une masse de substance nerveuse si précieuse pour l'organisme. Quelques questio
prouver qu'une hémorrhagie, dans n'importe quelle partie du système nerveux , puisse produire une hyperplasie chro- nique pr
M. BuscH. - Sur quelques nouveaux procédés de coloration du système nerveux . L'essentiel consiste dans la colo- ration suiv
munication sur une nouvelle espèce d'affection mycosique du système nerveux central. Il s'agit d'une malade qui venait d'ar
re : le processus tabétique est paren- chymateux, il frappe le tube nerveux tout en entier (gaine de myéline et cylindraxe)
émie de médecine, 143. AFFECTION MYCOTIOUE. Nouvelle - du système nerveux central, par Hossolmo, 485. Alcoolique. Intox
traduc- tion de Hamel et A. Marie, 492. Anémie pernicieuse. Choc nerveux et maladies du système nerveux comme cause d'
rie, 492. Anémie pernicieuse. Choc nerveux et maladies du système nerveux comme cause d' -, par Derrick. AÉ'lHÓ"E cirso
s , par Korlinoff, 357. BHO\CIIO-PULIO\ 11RE. Rôle du sys- tème nerveux dans l'infection de l'appaleil -, par Meunier,
. par Kroepelin, 396. Cécité brusque, par Vanghop, 54. Cellules nerveuses . Pathologie de la -, par Julinsburer, 63. Sur
ce des - avec les états de repos d'acti- vité, etc., des éléments nerveux , par Nissl, 406. - Centres de projection et d
la paralysie générale, par nlarmesco, 358. COLOR ITIOX du système nerveux cen- tral, par llberg, 360. -, par Rossolimo
ébrales et méningées, par Mac Casliey, 215. Histologie du système nerveux centra). Théorie des neurones, pal, Soury, 93
van Gehuchten,353. L031BO-YONCTION dans les affections du système nerveux spinal, par Degrotte, 147. - de l'espace sous-
147. - de l'espace sous- arachnoïdien, par Jacoby, 211. Maladies nerveuses ET mentales. Le repos et l'exercice dans le tra
sur les psychoses chroniques, par Najcke, 369. Mental. Élément nerveux et dans : les maladies, par Clouston, 373. Ment
ff, 184. Nerfs. Lésions des - périphériques, par Williams, 328. Nerveux . Elément et mental dans les maladies, par Clous
s jugulaires dans les tentatives de - , par Thomas, 53. Surdité nerveuse par Grant, 52. Paraphasie et - verbale, par W
2 (1895) Anatomie des centres nerveux. Tome 1 : Méthodes générales d'étude-embryologie-histogénèse et histologie, anatomie du cerveau
DE NOTRE ILLUSTRE MAITRE VULPIAN PRÉFACE L anatomie du système nerveux central est avant tout une ana- tomie de textur
s, nous assistons en effet à une véritable révo- lution en anatomie nerveuse . La découverte des collatérales du cylindre- ax
nt modifié l'état de nos connaissances sur la structure des centres nerveux et en parti- culier sur les connex ons des diff
veux et en parti- culier sur les connex ons des différents éléments nerveux entre eux. Aujourd'hui la théori , du réseau an
la théori , du réseau anastomotique de Gerlach a vécu et le système nerveux , périphérique et central, apparaît constitué par
é, ne se propage pas aux faisceaux voisins et respecte les cellules nerveuses neurones de 2", 3e, 4° ordre, etc., - autour des-
t en s'arborisant. Si, pour ce qui concerne la structure du système nerveux chez l'embryon ou le nouveau-né, la méthode de
anatomiques les plus précises et les plus solides, sur les centres nerveux de l'homme. L'emploi des coupes microscopiques
19, au lieu de : (L2 [w], lire : (L2 ; ANATOMIE 1) ES S CENTRES NERVEUX INTRODUCTION Le système nerveux, qui atteint
; ANATOMIE 1) ES S CENTRES NERVEUX INTRODUCTION Le système nerveux , qui atteint chez l'homme son plus haut degré de
lement que l'on voit apparaître le système musculaire et le système nerveux , et que l'on voit certains éléments s'unir sous
wcnfckl a décrit, dans la paroi des pores, un rudiment de sys- tème nerveux : ce sont les cellules sensorielles situées au se
lules sensoriel- les de l'c('Ío'](,I'J1H'. 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules mosculo et neuro-·pith6liales de
délicates, formant avec les fibrilles des cellules voisines un plexus nerveux sous-épithélial très serré. Dans ce plexus nerv
isines un plexus nerveux sous-épithélial très serré. Dans ce plexus nerveux qui entoure les tentacules, le disque buccal et
de, de fines fibrilles qui entrent dans la constitution d'un plexus nerveux sous-épithélial. Chez l'Actinie on trouve donc
erveux sous-épithélial. Chez l'Actinie on trouve donc deux éléments nerveux bien distincts : d'une part, la cellule sensori
muscles. Chacun de ces deux éléments, constitue une véritable unité nerveuse parfaitement indépendante, un neurone , composé d
use parfaitement indépendante, un neurone , composé d'une cel- lule nerveuse dont le prolongement se ramifie. Malgré la comp
prolongement se ramifie. Malgré la complexité que prend le système nerveux lorsqu'on s'élève dans l'échelle zoologique, on
it situées immédiatement essous de ce tégument; leurs prolongements nerveux , à direction cen- te, entrent en connexion avec
ns aux autres par de fines commis- s, constituées par les fibrilles nerveuses . )ans toute la série des Invertébrés, les neurô
calibre et des de fin calibre. Les libres de gros calibre ou fibres nerveuses motrices, se terminent dans les couches ilaires
la substance ponctuée centrale de Leydig à laquelle leur prolongement nerveux princi- audouuc de nombreuses ramifications. Le
udouuc de nombreuses ramifications. Les fibres de fin calibre (fibres nerveuses sensitives) prennent origine dans les cellules
nt les nerfs entre les bouches de fibres musculaires. (hn) ollier nerveux l'extrémité oesophagienne du tube digestif; ce co
nt réunis par de fines commissures verti- t transversales de fibres nerveuses . Ces deux cordons ganglionnaires omosent en out
t unipolaires, plus rare- ipolaires. Elles émettent un prolongement nerveux , à direction cen- ? Système nerveux du lombric. C
s. Elles émettent un prolongement nerveux, à direction cen- ? Système nerveux du lombric. Coupe transversale d'un lombric passa
phériques latéraux. (D'après G. Retzius.) 4 .k ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX ....... 1 Substance ponc- tuée de Leydig. Ne
es prolongements secondaires ainsi qu'avec celles des prolongements nerveux des neurones périphéri- ques ; elles forment da
une substance finement granuleuse, véritable feutrage de fibrilles nerveuses : c'est la substance ponctuée centrale de Leydi
ou le névraxe, connu encore sous le nom .01 de 'I t .oï1l' CENTRE NERVEUX ENCÉP11AL0-MÉDULLAIRE, OU de 1111GLE\CI : PIIeII.
chez les Vertébrés, un système ganglionnaire spé- cial, le Système nerveux de la vie organique, ou zo-yélaléve, ou Systl\¡II
t il tort commo d'orrn- plètement indépendant du système ou Système nerveux ifaela vie animale, présente de nombreuses conn
s donnent naissance, comme les cellulddu névraxe, à un prolongement nerveux unique qui se continue avec urie'tYlr2 de Remak
upériorité. Dès qu'il apparaît dans la série zoologique, le système nerveux J*011-( ? ,dil rôle prépondérant dans les phéno
soit spontanés et volontaires, impliquent l'intervention du système nerveux , et la plus simple action réflexe, comme les op
natomie dite de texture. Dans un ouvrage sur l'Anatomie des centres nerveux , il est indispen- sable de décrire, avec détail
avec détails, les différentes méthodes d'étude usitées en anatomie nerveuse , les progrès réalisés dans nos connaissances conc
ursuivre et d'étudier le trajet d'un î Rote joué par le systèmo nerveux dans les phénomènes de la vie. G ANATOMIE D
e les connexions entre les ganglions infra-corticaux et les centres nerveux inférieurs (cervelet, isthme de l'encéphale, moel
a calotte du pédoncule, et sera décrit avec cette partie du système nerveux central. La troisième partie de cet ouvrage c
à l'aide du scalpel et la séparation au moyen de pinces des fibres nerveuses , opérations pratiquées sur des tissus frais ou
par lzti)«S(11, Vicq- rl' : lzyr. Ieil. 8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Gall, Spurxheim, F 0 v i Il e, BUl'dach, I
r la première fois l'embryogénie à l'étude de l'anatomie du système nerveux . L'histologie qui, vers 1830, commençait à se d
eussent découvert en 1833, le premier la cellule, le second le tube nerveux , le trajet des fibres nerveuses dans le système
premier la cellule, le second le tube nerveux, le trajet des fibres nerveuses dans le système nerveux central restait encore in
ond le tube nerveux, le trajet des fibres nerveuses dans le système nerveux central restait encore inabordable aux histolog
que les données sur la texture de la moelle épinière et des centres nerveux étaient encore très hypothé- tiques; c'est à Sl
ode qui nous permette d'étudier la texture si compliquée du système nerveux central. Or, tandis que la structure de ce systèm
mparaison chez des animaux différents de P¡F ? dwJP.88'S du système nerveux central ; la Pathologie expérimentajti ? \}}t ? I
auteur formula ainsi la loi générale de la dégénération : « un tube nerveux dégénère lorsqu'il est séparé de son centre troph
es, a été d'une importance capitale en histologie et en physiologie nerveuses . Waller avait vu d'emblée, le parti que l'on po
i Découverte des centres trophiques. 10 () ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Emploi de la mé- thode de \\'aller en anat
ve- loppement. pour étudier certains points d'anatomie du système nerveux périphérique, et de fait cette méthode a été em
été employée plus d'une fois, pour élucider le trajet de faisceaux nerveux traversant des plexus ou s'anastomosant entre e
eux. La méthode de \\'aller, fut par la suite appliquée aux centres nerveux , dans le but d'y produire des dégénérescences s
ndre-axe que nous devons à Golgi, montre en effet, que de tout tube nerveux , encéphalique ou médullaire, se détachent des fib
entres trophiques encéphalo-médullaires ou sur le trajet des fibres nerveuses , se traduit uniquement par un processus de dé-
FLECHSIG. Cette méthode est basée sur le fait que, dans le système nerveux central, les différents systèmes de fibres se rec
orées en noir. Les nouvelles tech- niques de coloration des centres nerveux dues à Weigert et à Pal, ont rendu la méthode d
méthode, basée sur l'époque de myélinisation différente des fihres nerveuses , a rendu, entre les mains de Flechsig et de ses é
ces, pour déterminer dans la moelle et en général dans le sys- tème nerveux central le trajet de certains faisceaux. Mais cet
quée pour la première fois, et avec succès, à l'anatomie du système nerveux , par Leuret et Graliolet, et la voie que ces au
gués. Travaux de Leur- : et Gratiolet. 12 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . DWém`rcsconces ecoftdaîrescxpcri- lentales
s organes périphériques, et le développement des parties du système nerveux central, auxquelles aboutissent les nerfs apparte
lication de l'anatomie comparée il l'étude de l'anatomie du système nerveux central peut fournir de précieux renseignements.
moyen des dégénérescences, le trajet des faisceaux dans le système nerveux cen- tral, et, on a pratiqué tantôt des lésions
des animaux nouveau-nés, à une époque par conséquent où le système nerveux est en pleine voie de développement. On obtient a
s ou même davantage, puis on le sacrifie. On fait durcir le système nerveux central, et on le coupe en séries au microtome,
ve, Vignal, Edinger, Phisalix, Held, etc. Enfin, l'étude du système nerveux central dans les cas d'arrêt de déve- loppement
rowicz, Kaufman, Hoffmann, etc. Il. MODES DE PRÉPARATION DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL 1. Ouverture du crâne et extraction du
ne chez l'adulte à l'aide du marteau. 14 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Chez les enfants le crâne doit être ou- ve
jeté. Extraction de la moelle épinière. 10 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Étiquetage des ra- cines.. ? .. Coupe dite
aire durcir la pièce. Coupe de Meynert. 18 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Technique de la coupe de Meynert. Inconvén
noïdal. - xll, chiasma des nerfs optiques. 20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le procédé de Pi- tres n'est pas appli- ca
CD, coupe que nous pratiquons it Bicétre. 22 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Technique du pro- cédé que nous em- ployon
u'en anatomie pathologique comme en anatomie normale, les faisceaux nerveux doivent être étudiés de préférence, sur des coupe
sion corticale, avant de le faire durcir. 21 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Durcissement des centres nerveux dans le l
rcir. 21 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Durcissement des centres nerveux dans le liquide de Millier. Nécessité d'em-
'hui d'un usage, général pour obtenir le dur- cissement des centres nerveux , et nous donnons, pour notre part, la pré- fére
e couche épaisse d'ouate hydrophile, sera interposée entre le tissu nerveux et le fond du récipient. Afin d'éviter les défo
istologique des lésions à l'état frais. 2G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Durcissement des troncs nerveux. Durcissem
frais. 2G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Durcissement des troncs nerveux . Durcissement ra- pide obtenu par le liquid
Nécessité d'em- ployer le microtome pour les coupes du système nerveux cen- tral. -Méthode d'inclu- sion des pièce
un bon dur- cissement des pièces. Pour le durcissement des troncs nerveux , on emploiera la même technique que pour la moe
s coupes., 1 d'inclu- sion à la parafrlne. fragments de tissu nerveux moelle épinière, troncs nerveux, - les pièces a
à la parafrlne. fragments de tissu nerveux moelle épinière, troncs nerveux , - les pièces au sortir du collodion liquide, s
à la paraffine. Pour imbiber de paraffine, un fragment de substance nerveuse préalablement durcie dans les bichromates, il fau
crotome de ' Gudden modifié par* Forel. 30 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Microtomes trahi- neau. le fond du cylindr
océdés ont été indiqués pour obtenir des coupes sériées des centres nerveux . Le plus simple, le plus pratique et le plus co
'on colorera et moulera dans une série. 32 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Méthodes de colo- ration. Coloration des
e plongées dans la solution suivante : 34. ANATOMIE DES CENTRES ' NERVEUX . Déshydratation et éclaircissement des coup
ir la pièce, n'est applicable qu'à de petits fragments de substance nerveuse , et ne peut être employé pour des coupes d'hémi
puis placées dans la solution suivante : . 36 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Décoloration des coupes dans la mé- thudcd
ble,-les cellules et leurs prolongements, le cylindre-axe des tubes nerveux , les septa conjonctifs, les tuniques des vaisse
é ou lithiné. Carmin-borax (Greenacher) : 38 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Carmin aluné de Croenacher. Carmin lithiné
ès nettement et très intensivement colorées, ainsi que les cellules nerveuses et les cylindre-axes.. En anatomie pathologique
ir différencier nettement, dans le tissu de soutènement des centres nerveux , le tissu con- jonctif proprement dit de la név
permet le mieux d'apprécier l'état des tissus annexés au parenchyme nerveux , (méninges, tissu con- jonctif, névroglie, vais
i de l'hématoxyline alunée comme colorant cytologique. Les tissus nerveux étant durcis dans les bichromates, les composés
n omploi pour la coloration dos noyaux. 40 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX .. Double coloration pat'1'hmatoxytmcct 1 éo
? Iërcie recommande la formule suivante : 12 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Méthode d'P;hrlich an bleu de méthylène em
Avec cette méthode, on obtient une bonne coloration des cel- lules nerveuses et de leurs noyaux, ainsi que des cellules de la
hrlich donne de précieux résultats, surtout pour l'étude du système nerveux périphérique. Dogiel et Riese l'emploient de la
iaque. Retzius, appliquant cette méthode à l'étude des terminaisons nerveuses chez les Invertébrés, injecte dans le corps de
00 de méthylène, et au bout de quelques minutes met à nu le système nerveux en enlevant les enveloppes. Il opère sur un ass
t la plus nette. cr. Méthodes d'imprégnations métalliques. (Centres nerveux et nerfs périphériques). Acide osmique, Chlorur
cerne l'emploi de l'acide osmique comme agent fixateur des éléments nerveux à l'état normal. A l'état pathologique, l'acide
s dissociations à l'état frais, ainsi que pour étudier les cellules nerveuses . On expose la prépara- tion pendant quelque tem
smique sert à étudier, à l'aide de coupes, des fragments du système nerveux central ou périphérique. Méthode d'Exner. - L
intense, se détachent avec une grande netteté. L'étude des troncs nerveux périphériques, à l'aide de coupes pratiquées su
nce à l'aide d'un rasoir bien affilé, on sectionne, dans les troncs nerveux que l'on veut examiner, des fragments de z1 cent.
comme durcissant et comme colorant. 44 Il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . , Inclusion à la pa- raftine des tronçons
nclus dans le collodion par les mêmes procédés que pour les centres nerveux . Dans les deux cas, les coupes, avant d'être mont
dans le baume de Canada, sont traitées comme les coupes du système nerveux central. Dans les deux cas, enfin, au sortir de
omie pathologique, mais elle n'est guère applicable aux gros troncs nerveux de l'homme, dont la dissociation est des plus dél
i- cates et difficiles. Elle est surtout utilisable pour les troncs nerveux de petit calibre nerfs musculaires, rameaux cut
de osmique puisse pénétrer dans toute l'épaisseur du nerf. Le tronc nerveux est placé ensuite pendant vingt-quatre heures,
ns les cas expérimentaux), à une époque par conséquent où les tubes nerveux dégénérés, contiennent encore une assez grande qu
la solution suivante dite de Marchi : .' 40 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Méthode d'Upson. Elles y séjournent cinq à s
une dans le liquide de réduction suivant : 48 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Procédé lent de Golgi. La méthode de Golgi
On procède de la manière suivante : on enlève avec soin le système nerveux central en entier, moelle et cerveau, la dure-m
chette, puis on ouvre la dure-mère dans toute sa longueur. Le tissu nerveux étant mis à nu, on sectionne, à l'aide d'un rasoi
e, à l'aide d'un rasoir très tranchant, tics fragments de substance nerveuse de 3 à il millimètres d'épaisseur que l'on plac
t, ou mélange osmio-bichromique de Golgi. 50 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . nouIlle et triple imprégnation de Ra- mon
prégnation et van (telmchten a employé ce procédé pour les cellules nerveuses du sympathique. Après avoir fait une première i
hodes de Golgi ont rendu des services considérables en histo- logie nerveuse . C'est grâce à elles et à la méthode d'Ehrlich, q
es prolongements protoplasmi- ques et cylindre- axiles des cellules nerveuses , ainsi que leurs modes de terminaison. Les méth
s méthodes, on constate qu'un petit nom- bre seulement des cellules nerveuses sont convenablement imprégnées, et que le nombr
s cellules névrogliques imprégnées l'emporte sur celui des cellules nerveuses . Il existe dans les coupes de nombreux précipités
u'ici, soient applicables à l'étude de la structure fine du système nerveux central, et les découvertes faites à l'aide de
e Golgi. Inconvénients de ces méthodes. 52 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Modification des méthodes de Golgi. Méthod
thode de Ziehen, les fibres à myéline et sans myéline, les cellules nerveuses avec leurs prolongements cylindre-axiles et proto
ont colorées en bleu-gris. Les noyaux et les nucléoles des cellules nerveuses sont également colorés et différenciés. Cette mét
au pro- cédé de Greppin de ne pas respecter les fines ramifications nerveuses . 7. EXA3/EN microscopique des coupes. - L'étude
ppin. Examen mic-0sco pique des coupes. 54 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . placée par une plaque d'ébonite, avec ouvertur
core remplacé le dessin, pour la reproduction des coupes du système nerveux . Pour les coupes macroscopiques, les résultats si
ou- pes. Appareil employé par nous. 50 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . mèches et, comme cet éclairage nécessite. un p
on employé pour dessiner nos préparations. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . bî ment nettes et qu'il est très facile de des
s très justes, et une mise en place absolument exacte des faisceaux nerveux ainsi que des noyaux gris. Toutefois, comme ave
XI, 1885. - Mercier. Technique microscopique des coupes du système nerveux central. Paris, 1894. Nissl. Neurologisches CeK&l
u blasto- derme. Sillon neural. Gouttière neurale. Le système nerveux tout entier, ainsi que les organes des sens, déri
las d'embryologie du poulet, Paris, 1889). DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 5t . Les lames neurales atteignent leur comple
vasculairc. - a, b, c, lignes de coupes. 60 "- ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La lame cornée n'entré pas dans la constit
ea. cardiaca. in, lames entodermiques. - DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 61 encéphalique se dilate (fig;. 1 ï.) et para
x proto-vertèbres nette- ment délimitées. 62 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Vésicule anté- .rieure. Fermeture'le la
eur. V0.11, veine oll1phalo-nHsentéri{lue. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 63 derme, que la première vé- sicule encép
l'Atlas d'embryologie de Mathias Duval.) 6 i. ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La cvelopie et ses différentes variétés. É
- V0, vésicule ^oculaire secondaire. - y 66 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . - Fente oculaire pri- mitive. Sa persistan
yons un peu développés (fig. z19 et 20). DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 67 Les vésicules auditives se produisent de ch
et même cavité, le quatrième ventricule. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 69 La deuxième vésicule encéphalique grossit r
Constitution du cer- veau intermédiaire. 70 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le vésicule des hé- misphères est d'a- bor
Un léger sillon prolonge celle-ci en avant DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 71 et sépare un petit lobe étroit, le lobe olf
mamillairc. - VB, vésicule des hémisphères. 72 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . t . Les indexions de l'encéphale embryon-
érieur; il correspond au futur espace per- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 73 3 foré postérieur et donne naissance il deu
e. - VUJ1, vaisseaux omphalo-mésentériques. 74 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . cerveau moyen, puis empiète sur la partie post
f spinal. - Xll, nerf gi-aii(l hypogiosse. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . TA phalique antérieure primitive de deux saill
nière. Lame fondamentale. Lame alaire. 76. ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Plancher du canal neural. Voûte du canal
e motrice. Rs, racine sensitive. V, voûte. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 77 ventricule. La forme est en général celle d
, AVEC LES NERFS CRANIENS CORRESPONDANTS S DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 79 II. DÉVELOPPEMENT ULTÉRIEUR DU NÉVRAXE 1.
ndrique. sm, sillon marginal. V, voûte. so ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX Lame alaire. Pièce intermédiaire. Développe
on cylindrique. - S111, sillon marginal. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 81 et la corne postérieure commence a se délim
drique. - sm, sillon mar- ginal. voûte. ! 82 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Rapports de la moelle avec le canal rachid
sillon cylindrique. - sm, sillon marginal. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 83 conjonctive lisse, la membrane limitante mé
on cylindrique. - sm, sillon marginal. 84 Il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Apparition tardive des artères des ra- cin
quatrième ventricule. Le plancher s'élar- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 85 git, les parois latérales s'étirent au nive
pneumogastrique. - XII, grand hypoglosse. 86 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Couche grise de la . substance réticulée.
glosse. - X, ganglion du pneumo-gastrique. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 87 respiratoire (fib. 33, Fs), et qui est l'ho
bial interne. - S/l, substance réticulée. 88 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Lèvre rhomboïdale. Soudure de la lèvre rho
eumo-gastrique. - XII, grand-hypoglosse. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 89 forment les fibres arclfonnes internes du b
ticulée. - Vs, racine spinale du trijumeau. 90 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le développement du bulbe et de la pro- tu
lc1lx. Pédoncules céré- belleux moyens. 92 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Recessus latéraux du quatrième ventri- cul
ans les recessus latéraux. La lame inférieure est formée d'éléments nerveux , rudimentaires, adhérents aux fibres radiculair
n trouve dans toute la largeur du quatrième ventricule des éléments nerveux rudimentaires, qui forment, après l'abla- tion
ubit peu de modifi- cations. Sa cavité. 01 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses sillons. Son plancher. l'\oyaud'ol'igi
rs constitués par deux étages, séparés par une cou- che de cellules nerveuses pigmentaires, le locus niger de Sommering. L'ét
e. Tubercule quadri- jumeau postérieur. 96 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Face externe du cerveau intermé- diaire.
. l'a, 3" ventricule. roi' 41' ventricule. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 97 en arrière du trou de Monro une surface arr
ev- terne du cerveau in- tcrmédiairc. 98 8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La face interne du cerveau intermé- diaire
viron cinq semaines. (D'après W. His.) 1 DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 99 , '. La face interne ou ventriculaire sub
trou de Monro. - Tm, tubercule mamillaire. 100 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Limites définitives de la cU11chc optique.
T.11, trou de Mouro. - V, 4° ventricule. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . loi. 1 1 i renferment chez les vertébrés supér
I, grand hypoglosse. Fs, Corps pituitaire. 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Formations (lui dé- pendent du segment ant
fundibulum, qui chez les vertébrés inférieurs conserve sa structure nerveuse toute la vie; chez les vertébrés supérieurs, au c
e prolifération pie-mérienne, en un appendice conjonctif du système nerveux central. Le lobe antérieur, véritable appa- rei
lesquels la paroi postérieure de l'infun- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 103 dibulum se réduit à l'état d'une mince lam
un diverticule du troisième ventricule. 104 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . E11t' pst formée de cellules épithéliales
épithéliales dégénérées, n'ayant aucune con- nexion avec des libres nerveuses et aucune analogie avec des cellules gan- glion
tinue avec la toile choroïdienne, sa paroi postérieure avec la lame nerveuse qui " donne naissance à la commissure postérieu
ssus de l'embouchure antérieure de l'aqueduc de Sylvius. Des fibres nerveuses apparaissent en outre dans toute la partie infé
lame qui limite ce diverticule en arrière, apparaissent des fibres nerveuses , qui forment la commissure des pédoncules de la g
tie impaire et médiane, la base ou portion DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 10a ti Il 1 B : ) axiale du cerveau antérieu
riquc. Plis radiés transi- toircs. / 1os ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Paroi interne de la yésicule hémisphé- riq
antérieur se porte verticalement en haut, DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 107 au, arrière-cerveau. - us buioe. - un, Dan
i externe de la vésicule des hémisphères. os ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les vésicules des hémisphères sont réunies
ord en bas, puis en arrière ; et sa pointe DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 109 se place au-dessous du lobe olfactif posté
Monro. - VU, vésicule des hémi- sphères. ii0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . raratlelederap- pareil olfactif et de l'ap
atteint la surface suturale opto-striée au DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 11f f voisinage du lobe temporal (fig. 50). Tr
h, thalamus. VU, vésicule des hémisphères. 112 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . L'union du cerveau antérieur avec le cer- ?
e des hémisphères. 17, ventricule latéral, DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 11 : 1 premier mois de la vie intra-utérine En
t nO'yal1'h'ntie111aÏl'1 \ov;m rwtdé. f.14 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX. 115 AM, av
wtdé. f.14 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 115 AM, avant-mur. - BU, bandelette optique. -
iseum, est colorée en rouge, sans hachures. un ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fic. 58, 59, 60, 61, 62, 63. - Coupes horizont
lobus pallidus, à la laine cornée, au tri- DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 117 gone, au septum lucidum, à la couche épith
icule latéral. - 1 ? troisième ventricule. 118 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Noyau lenticulaire. Capsule externe. Serme
les fibres du pédoncule cérébelleux moyen, DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 119 dont le développement est contemporain; el
s et région sous-thalamique. - U, uncus. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 121 fjn arrière ue la glande pmeaie, les Hures
calleux. z 4 ¡ i 12 l 1.. 122 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Rapports du trigone et du corps calleux.
halamus. - U, circonvolution du crochet. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 123 U autres fois, le corps calleux est incomp
s, définitifs. Sillon ammonique. I \-2't ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le sillon ammoni- que produit la saillie d
cule. TII, chiasma des nerfs-optiques. 126 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Région centrale de la face interne ou lobe
ilier postérieur du trigone. - U, uncus. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 127 - - T1 - 7 - Z - 1 1 * * l - . 1- 1 1 T 1
llc forme la bau- de lette de Giacomini. 128 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa partie sphé- noïdale devient le corps g
ts antérieur et postérieur, circonscrivent DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 129 le lobule de l'insula, et sont limités en
e postérieure de la scissure de Sylvius. 130 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Scissure de Rolando. Scissure pariéto- occ
rale. fil sillon parallèle. - V, 5" paire. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 131 septième- mois-dè la vie intra-utérine et
us. - Sih, scissure inter-hémisphérique. 132 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Circonvolutions et sillons du lobo occi- p
rdre, l'écorce est lisse et ne présente ni DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME NERVEUX . 133 sillons, ni circonvolutions; l'animal est
haics. CHAPITRE III HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX I. - SYSTÈME NERVEUX CENTRAL Cellules neuro-épi- théliales. Memb
terne. Mp, IUCl1lIJrana prima de Ueuson. 136 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules germina- tives. Les cellules épit
Les cellules ger- minatives donnent naissance aux cellu- les nerveuses et né- vrogliques. Cordon ganglion- naire.
ront naissance, aux neuroblastes de Bis, c'est-u- dire aux cellules nerveuses proprement dites, et aux cellules de la névroglie
- LN, lame neurale. - P V, protovcrtèbrcs. 138 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Stade embryon- maire. Stade foetal. Tran
es en charpente épendymaire, et celles des neuroblastes en cellules nerveuses et en cellules névrogliques. - - § I. PREMIER
Sp, spongioblastes. ZC, zone des colonnes. 140 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Bâtonnet interne des spongioblastes. Les p
sur le poulet. A un certain stade de leur développement, la cellule nerveuse embryon- naire et la cellule névroglique embryo
bryon- naires. Cellules de transition. 142 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Neuroblastes. Naissance ducy- 1Înlll'e.axc
tte fibre n'est autre chose que le futur cylindre-axe de la cellule nerveuse , qui présente dès le début de sa formation un
JllP, membrana prima. - V6, neuroblastes. la ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les neuroblastes de la corno posté- rieure
ique. - sm, sillon marginal. - V, voûte. 146 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le nerf spinal naît do la corne latérale.
bach et de 111eiss- ner. Entre les ganglioblastes et les fibres nerveuses , s'insinuent de nombreuses cellules mésodermiqu
e semaines et demie. (D'après \\'. His.) 148 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres centrales des ganglions cra- niens.
t et s'entrecroisent dans l'intérieur du tronc mixte. Plus un tronc nerveux est jeune, plus il est court : peu à peu, il s'ac
naux des cinq premiers nerfs cervicaux. loto ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Trajet rectiligne ùes ncrfs périphed- ques
si former un angle droit avec l'axe primitif du tronc. Les fibres nerveuses s'entrelacent et s'entrecroisent non seulement da
t et s'entrecroisent non seulement dans l'intérieur d'un même tronc nerveux , mais encore avec les troncs voisins et forment
e, et, d'autre part, la transformation des neuroblastes en cellules nerveuses et en cellules névrogliques, répond à peu près,
rivent au stade de leur développement; quelques cellules même, soit nerveuses , soit névrogliques, conservent leur caractère f
ssivement en revue : A. La charpente névroglique; B. Les cellules nerveuses . A. CHARPENTE NÉVROGLIQUE. La charpente névro
3) sous le nom de névroglie, la charpente de soutènement du système nerveux central n'a été bien connue que depuis les trav
, Bidder et Kuppfer, Gerlach, Boll, etc., etc.), bien que sa nature nerveuse eût déjà été soupçonnée par Wagner, Ilenle . et
logies qui existent entre les cellules névrogliques et les cellules nerveuses , et en 1877 M. Duval démontra chez les oiseaux l'
si la charpente névroglique est de nature épi- théliale, de nature nerveuse ou bien dénature conjonctive, comme l'admet- te
glie constitue à elle seule tout le tissu de soutènement du système nerveux central, ou si ce tissu de soutènement contient d
nous reviendrons lorsque nous étu- dierons la structure des centres nerveux . Le réseau fibrillaire de la névroglie émane-t-
Lenhossek. Cellules opemiy- ' maires. 152 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Leur disposition ra- (liairc et lellrs pro-
ndique les limites des cornes antérieures. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cône épendymaire postérieur. 1 Faisceau ép
tituent qu'une minime partie de la charpente névroglique du système nerveux central. La plus grande partie est formée en ef
c'est-à-dire des mêmes éléments qui donnent naissance aux cellules nerveuses . Kolliker s'est rallié à cette dernière opinion
gli- ques. Leurs transforma - tions. 15G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellule névrogliquo adulte. Les cellules n
ères qui dis- tinguent les cellules névrogliques des cel- lules nerveuses . , I Cellules névrogli- ques de la moelle.
ut et Vignal. Les cellules névrogliques se distinguent des cellules nerveuses par leurs rameaux droits et rigides, le riche c
e do la commissure grise postérieure. 1;i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules araignées de la stil,tance géla-
cède les dendrites. Transformations successives de la cel- lule nerveuse . mann, aecrites par th. ocnuitze, et s atcacnen
r de longs prolongements rarement ramifiés (fig. 94). B. - CELLULES nerveuses Les cellules nerveuses proviennent des neurobla
rarement ramifiés (fig. 94). B. - CELLULES nerveuses Les cellules nerveuses proviennent des neuroblastes. Leur prolongement
éné- ral tous les intermédiaires entre le neuroblaste et la cellule nerveuse pro- prement dite. A côté de cellules constitué
éritable structure fibrillaire, et à la naissance, les cel- lules nerveuses , tout à fait sembla- bles à celles de la moelle
e de pigment fig. 97). ' Suivant leur situation, les cel- lules nerveuses peuvent être divisées en cellules nerveuses cen
ation, les cel- lules nerveuses peuvent être divisées en cellules nerveuses centrales, gan- qlionnaires ou périphériques :
ses centrales, gan- qlionnaires ou périphériques : Les cel- lules nerveuses centrales siègent dans la substance grise de l'
signées sous le nom de grains ou de myélocytes (Robin). La nature nerveuse des grains, soit du cerve- let, soit de la réti
171e de Scarpa) sont bipolaires, celles des ganglions il Cellules nerveuses centrales. Cellules géantes. Cellules grand
. Cellules bipolaires du ganglion auditif.' FiG. 95. - Cellules nerveuses de la moelle d'un embryon de mouton long de 45
ryon de mouton long de 45 millim. (D'après W. Vignal.) a, cellule nerveuse peu développée. - b, c, cel- lules nerveuses bi
. Vignal.) a, cellule nerveuse peu développée. - b, c, cel- lules nerveuses bien développées ; il y a plusieurs larges vacu
ées ; il y a plusieurs larges vacuoles dans c. ric. 96. - Cellule nerveuse de la moelle d'un embryon de brebis long de 0m,
ebis long de 0m,10. (D'après W. Vignal.) 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . t V 91 . Cellule nerveuse péri pliéril u
. Vignal.) 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. t V 91 . Cellule nerveuse péri pliéril ue desver- 1, tèbrés. Il il
e péri pliéril ue desver- 1, tèbrés. Il il I 1 Cellules nerveuses périphériques des In- vertébrés. sympathiqu
brés, au contraire, les nerfs sensitifs naissent tous d'une cellule nerveuse périphérique découverte par v. Lenhossek chez
lules sensitives périphériques, des cellules d'origine de fibres nerveuses . Elles envoient leur prolongement périphérique
ment renflée. Leur prolongement central représente une fine fibre nerveuse , qui se réunit aux fibres voisines et se dirige
e abandonne la situation superficielle et inler" FIG. 97. - Cellule nerveuse des cornes antérieures do la moelle d'un enfant
dendrites. F1U. Uô. - veuille unacuve pen- phériqueetterminaisons nerveuses sensitives du trijumeau dans l'épi- thélium d
souris. Méthode rapide de Golgi. (D'après G. Retzius.) ? il, fibres nerveuses qui so portent sur la surface do l'épithélium p
m pour s'y y , terminer par dos arborisations libres. - n, libres nerveuses provenant du prolongement central des cellules
senso- rielles secondaires , en connexion indirecte avec des fibres nerveuses et qui ne peuvent être comparées aux cellules o
optique, nerf glossopharyngien, nerf auditif, etc.) Les cellules nerveuses , quelles que soient leurs dimensions et lem sit
et lem situation, qu'elles appartiennent aux variétés des cellules nerveuses propre- ment dites ou aux variétés des grains o
suelles, auditives gustatives. u Prolongements dos cellules nerveuses . i Amas protoplasme 1 ques des dendrites
és et des Vertébrés. (D'après G. Retzius.) 104 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les dendrites et cnrscaractëres. mas qui v
ssure. - cy, prolongement cylindre-axile. 1611 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Divisions du cy- ,lindre-axe. Collatérales
queuse et plexiforme (fig. 105, 111). Les cylindres-axes du système nerveux central se terminent donc tous par une extrémit
ainsi que nous le verrons plus loin, des cylindres-axes du système nerveux périphérique, qu'il s'agisse des nerf moteurs, gl
p. 220). Les cylindres-axes et les dendrites impriment aux cellules nerveuses de très grandes variétés de forme, qui tiennent
rapide de Golgi. (D'après v. Gehuchten.) 468 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . sa longueur varie. La cellule de Golgi est car
es cellules sensitives, elles répondent au 170 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellule de Golgi. Cellule de Deiters. Son
09). La division du cylindre-axe et sa richesse Fin. 107. - Cellule nerveuse à cylindre-axe court de la quatrième couche de
ti- cales. c, ramuscules variqueux terminaux. FIG. 108. - Cellule nerveuse cylindre- axe court de la corne postérieure de
disproportion numérique considérable qui existe entre les cellules nerveuses et les fibres nerveuses, entre le volume de la
considérable qui existe entre les cellules nerveuses et les fibres nerveuses , entre le volume de la substance grise et celui
ules proto- plasmiques, qui se terminent librement entre les fibres nerveuses de la zone corticale superficielle (fig. 110).
quer, émet une branche collatérale. 172 "> ANATOMIE .L1S CENTRES NERVEUX . Cellules globu- leuses. Cellules mitrales
atérales à di- rection ascendante et se continue avec une fibre nerveuse (fig. 111). Du corps cellulaire se déta- chen
es que les spongioblastes de la rétine, nepos- Fie. 111. - Éléments nerveux de l'écorce cérébelleuse. Coupe sagittale d'une c
ent. d, petite cellule de Golgi à prolongements ramifiés. - hf, fibre nerveuse avec sa termi- naison en forme de nid péri-cell
re grimpante de Cajal.- m ? fibres moussues do Cajal. - lef, fibres nerveuses à ramification spéciale (prolongement nerveux des
ajal. - lef, fibres nerveuses à ramification spéciale (prolongement nerveux des cellules do Golgi). - e, cellule névrogliqu
ylindre- Spongiolilastes do la rétine. 174 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX .. Conception de Deiters. Conception de Golg
, et le prolongement cylindre- axile comme seul doué d'une fonction nerveuse . Pour Ramon y Cajal et v. Lenhossek, les dendri
xes sont de même nature et jouent un même rôle, celui de conducteur nerveux . Les dendrites représen- teraient, d'après Ramo
rieurs, etc.; que toute région de substance grise pourvue de fibres nerveuses terminales possède également des arborisations de
ions dendritiques. Aujourd'hui, grâce aux recherches sur le système nerveux des Inverté- brés, faites par Buchholz, Nansen,
'opinion de Ramon y Cajal et de v. Lenhossek, et admettre la nature nerveuse des dendrites, et leur rôle de conducteur nerveux
mettre la nature nerveuse des dendrites, et leur rôle de conducteur nerveux . connexions des cellules nerveuses ENTRE elles.
drites, et leur rôle de conducteur nerveux. connexions des cellules nerveuses ENTRE elles. Jusqu'aux tra- vaux de Golgi, paru
les prolongements protoplasmiques ramifiés des différentes cellules nerveuses , réseau destiné à établir une continuité de sub
r une continuité de substance, entre les divers éléments du système nerveux . Ce réseau, connusousle nom de réseau de Gerlac
la fibre motrice des cellules des cornes antérieures, et le courant nerveux ou l'arc réflexe sczzsi.tivo-zzot.czzr se faisait
e la racine antérieure abandonnait son manchon de myéline. Nature nerveuse et rôle conducteur des dendrites. Réseau de
teur des dendrites. Réseau de Gerlach. 176 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Travaux de Golgi. Réseau de Golgi. Travaux
orter la preuve anatomique de la continuation directe d'une cellule nerveuse avec le cylindre-axe d'une fibre motrice ; il m
-axe d'une fibre motrice ; il montra : 1° Que toutes les cellules nerveuses donnent naissance à un cylindre- axe, soit long
libres. Quant aux connexions réciproques des cellules et des fibres nerveuses , Golgi se laissa évidemment influencer par la t
es parties de toute participa- tion dans la transmission du courant nerveux . En 1887, Forel et His s'opposèrent simultanéme
endrites, qu'il se termine par une extrémité libre, et que la fibre nerveuse qu'il concourt à former ne doit pas être considér
un élément à part, mais comme une partie constituante de la cellule nerveuse , que celle-ci soit d'origine centrale ou ganglion
nérescence est dite descendante. La propriété que possède la fibre nerveuse de dégénérer, lorsqu'elle est séparée de sa cel
es blanches encéphalo-mé- dullaires de certains faisceaux de fibres nerveuses . (Voy. méthode des dégénérescences secondaires,
P. Marie, etc.) Cette atrophie.de la cellule d'origine de la fibre nerveuse , qui se produit lorsque l'on sectionne cette de
den, son application aux nerfs moteurs. 178 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Dans la méthode expérimentale de Gudden. f
s sont importants à connaître car, en nous montrant qu'une . lésion nerveuse périphérique retentit sur les centres, ils nous d
d'un nerf sensitif est l'analogue du bout périphérique de la fibre nerveuse , puisque la libre HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEU
dden et la méthode des dégénéres- cences montrent donc que la fibre nerveuse périphérique ou centrale, motrice ou sensitive,
que que nous venons de faire, il résulte donc que : 1° Les cellules nerveuses de la moelle, du cerveau, ou des ganglions, son
- ment lente Uc l'atro- phicindirectc. 180 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . avec la périphérie. Elles représentent, suivan
phérie. Elles représentent, suivant l'expression de His, un système nerveux sans nerfs. Bientôt elles émettent des prolongeme
ns toute leur indépendance. 4° Il n'existe donc pas dans le système nerveux deux éléments, l'élément cellule nerveuse et l'
e donc pas dans le système nerveux deux éléments, l'élément cellule nerveuse et l'élément fibre nerveuse; il n'existe qu'un se
erveux deux éléments, l'élément cellule nerveuse et l'élément fibre nerveuse ; il n'existe qu'un seul élément, une seule unit
unité, présentant son autonomie propre et constituée par la cellule nerveuse , son prolongement cylindre-axile et les arborisat
nom de NEUIIONE, et Kolliker sous celui de neurodeudron. Le système nerveux central ou périphérique n'est donc constitué qu
e). Le cylindre-axe peut être plus ou moins long; une seule cellule nerveuse peut posséder plusieurs cylindres-axes (cellule
l pénètre dans la moelle où il s'arborise librement. De là l'influx nerveux est transmis à un neurone de 2° ordre, lequel p
Wal- curo(lcnùron de V. Kolliker. J, I 182 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La fonction des fi- lires nerveuses dé- pe
, I 182 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. La fonction des fi- lires nerveuses dé- pend de leur termi- naison périphérique.
té de Vul- pian. Absence d'anasto- moses entre les cel- lules nerveuses . Différents modes de contact entre les cell
lorsque les dendrites font défaut. ne réunit jamais deux cellules nerveuses ; le cylindre-axe périphérique ou central se ter
té est, suivant toute vraisemblance, la même dans toutes les fibres nerveuses , qu'elles soientmotrices, ou sensitives, ou sympa
anes des sens et peut-être même qu'elles fassent partie des centres nerveux . On peut se la représenter comme une, agissant
oit pas être cherchée dans les propriétés physiologiques des fibres nerveuses elles-mêmes, mais bien dans la différence des c
avec les arborisations terminales d'un très grand nombre de fibres nerveuses (cellules pyramidales de l'écorce céré- brale,
mblablement des lieux d'impression ou de contact pour les fibrilles nerveuses terminales (Ramon y Cajal). Lorsque les dendrit
on péri-cellulaire extrêmement fine, qui se continue avec une fibre nerveuse dont l'origine est inconnue, mais qui appartient
rique, glosso-pharyngien, facial, triju- meau, etc.). II. SYSTÈME NERVEUX PÉRIPHÉRIQUE § 1. STADE EMBRYONNAIRE Les nerf
nsitifs, représentent, ainsi que nous l'avons vu, les prolongements nerveux périphériques, soit d'une cellule radiculaire d
ue fibrille représente le prolongement cylindre-axile d'une cellule nerveuse et se détache de la cellule par un cône d'inserti
es qui prolifèrent, pénètrent dans l'in- térieur même des faisceaux nerveux , s'y multiplient et divisent les fibrilles nerv
me des faisceaux nerveux, s'y multiplient et divisent les fibrilles nerveuses en petits faisceaux qu'elles recouvrent (fig. 116
'appliquent en effet à la surface des petits faisceaux de fibrilles nerveuses , se modèlent sur Arborisations péri- cellulai
lulaires des cel- hiles ganglionnaires. Développement des tubes nerveux . Travaux de His. Travaux de Vignal. 184 ANA
ux. Travaux de His. Travaux de Vignal. 184 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Formation de la gaine de Sehwann et des se
A cet état de développement, les parties essentielles de la fibre nerveuse sont consti- tuées : le faisceau de fibrilles e
ar une enveloppe, la gaine.. de Schwann et, pour constituer un tube nerveux semblable à celui de l'adulte, il ne lui manque
de l'adulte, il ne lui manque que sa gaine de niyéline. La fibre nerveuse à cet état de. développement, même lorsqu'elle es
s. - Sp, spongioblastes. - ym, voile médullaire. FiG. 115. - Fibres nerveuses d'un embryon de brebis de Om,3d5 de long. (D'aprè
rès Vignal.) F, portion d'un faisceau du nerf sciatiqne. -a, fibres nerveuses . - b, cellules connectives très allongées ot is
ngées ot isolées. c, cellules connectives appliquées sur les fibres nerveuses et dont les noyaux sont seuls visibles. d, cell
sont seuls visibles. d, cellules lymphatiques. A -et B, deux fibres nerveuses plus fortement- grossies. HISTOGENÈSE DIT SYSTÈ
mps dans toutes les fibres, ni sur tous les points d'une même fibre nerveuse , elle apparaît au contraire du centre à la péri-
ryonnaires recouvrant la périphérie du faisceau. Fig. 117. - fibres nerveuses (['un embryon de mouton de 0 ? 2S de long. (D'a
embryon de mouton de 0 ? 2S de long. (D'après Vignal.) a, fibres nerveuses . - b, cellules connectives enveloppant les 3/4
ctives complètement détachées du faisceau. 186 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . allongées et irrégulièrement distribuées le lo
RVEUX. allongées et irrégulièrement distribuées le long de la fibre nerveuse . Sur d'autres enfin, elle revêt la forme de gra
naissance, une teinte beaucoup plus foncée, jusqu'à ce que la fibre nerveuse ait atteint les caractères qu'elle possède à l'
vie embryon- naire approche de sa fin, le protoplasma de la fibre nerveuse devient de plus en plus capable de sécréter une
u'à croître. Ils s'accroissent en largeur et en longueur. Les tubes nerveux du foetus sont en effet des tubes nerveux de tr
en longueur. Les tubes nerveux du foetus sont en effet des tubes nerveux de très petit calibre, calibre que l'on ne trou
conséquence de la croissance des éléments qui constituent la fibre nerveuse . Si l'augmentation du calibre du tube nerveux s
constituent la fibre nerveuse. Si l'augmentation du calibre du tube nerveux s'explique ainsi aisément, il n'en est pas de mêm
ait donc expliquer la croissance en lon- FiG. 118. - Quatre tubes nerveux du sciatique d'un embryon d'une brebis, long
s deux segments inter-annulaires voisins. 188 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . - - Signification des segments de Renaut.
que chez l'homme adulte comme chez les animaux, on trouve des tubes nerveux en voie de dégénérescence (S. Mayer), bien que
sent des prolongements vers la périphérie, pour remplacer des tubes nerveux dont l'évolution est ter- minée. BOLL. Die Hi
tschr. f. Anat. und Physiol., Bd VII, 1890. - Du même. Sur les fibres nerveuses de la couche granuleuse du cervelet et sur l'év
mifères. La Cellule. Tome Vf, 1890. Du même. La Structure des centres nerveux . La moelle . épinière et le cervelet. Li Cellul
Les Découvertes récentes dans l'anatomie et l'histologie du système nerveux central. Annales de la Société belge de microsc
microscopie. Tome XV, Bruxelles, Manceaux, 1891. Du même. Le Système nerveux de l'homme. Lierre, 1894. - Gerlach. Von dem Ru
ggio Emilia, 1875, - Du même. Recherches sur l'histologie des Centres nerveux . Archives italiennes de Biologie. Tome II[, 188
et path., 1884. - Du même. Recherches histologiques sur les centres nerveux de quelques invertébrés. Archives de zoologie e
t générale. Série 2, t. I, 1883. - Du même. Accroissement des tubes nerveux en longueur par la formation de segments intercal
h. de Phys., 1883. - Du même. Développement des éléments du système nerveux cérébro-spirzal chez l'homme et chez les mammif
Milliers Archiv, 1852. CHAPITRE IV HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE Substance grise et substance bl
u point de vue de sa structure générale macro- scopique, le système nerveux est essentiellement formé de deux substances qu
substance grise. La substance grise, riche en cellules et en fibres nerveuses , forme les ganglions périphériques et constitue
La substance blanche est constituée presque exclusivement de fibres nerveuses ; elle est remarquable par son opacité et se montr
e même aspect et avec le même éclat dans toute l'étendue du système nerveux . HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'AD
toute l'étendue du système nerveux. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 191 Elle forme la plupart des nerf
varie suivant que l'on considère les différentes parties du système nerveux : ainsi le système nerveux périphérique (nerfs
idère les différentes parties du système nerveux : ainsi le système nerveux périphérique (nerfs et ganglions), présente une
ons), présente une consistance autrement ferme que celle du système nerveux central. Le degré de consistance tient en grand
abon- dance du tissu conjonctif dans la texture générale du système nerveux . Partout où le tissu conjonctif abonde, comme p
outien des vaisseaux sanguins et lymphatiques comme dans le système nerveux cen- tral, la consistance est faible. Dans le
ème nerveux cen- tral, la consistance est faible. Dans le système nerveux central, le mode de répartition des substances
cncyhali- ques, ou noyaux cen- traux. 192 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La substance blan- che est formée do li- b
et et arquées. Conception ancien- ne de la structure un système nerveux . Conception moderne. blanche, comme la format
ies expérimentales et sur l'époque de myélinisation des conducteurs nerveux . C'est le système de projection directe qui rel
dernières années, on divisait les éléments constitutifs du système nerveux central en deux variétés : les éléments nerveux p
titutifs du système nerveux central en deux variétés : les éléments nerveux proprement dits et les éléments non nerveux. Le
variétés : les éléments nerveux proprement dits et les éléments non nerveux . Les éléments nerveux comprenaient les fibres n
s nerveux proprement dits et les éléments non nerveux. Les éléments nerveux comprenaient les fibres nerveuses et les cellul
éléments non nerveux. Les éléments nerveux comprenaient les fibres nerveuses et les cellules nerveuses; les éléments non nerve
éléments nerveux comprenaient les fibres nerveuses et les cellules nerveuses ; les éléments non nerveux compre- naient les ép
nt les fibres nerveuses et les cellules nerveuses; les éléments non nerveux compre- naient les épithéliums, les vaisseaux e
thode de Golgi, cette division des éléments constitutifs du système nerveux central, en éléments nerveux et en éléments non
n des éléments constitutifs du système nerveux central, en éléments nerveux et en éléments non nerveux, ne peut plus être mai
du système nerveux central, en éléments nerveux et en éléments non nerveux , ne peut plus être main- tenue. Il résulte en e
névroglie, qui présentent de si grandes analogies avec les cellules nerveuses , proviennent, comme ces dernières, des neuroblast
, c'est-à-dire des mômes éléments embryonnaires. Les éléments non nerveux ne comprennent donc que les vaisseaux san- funi
de tissu conjonctif qui leur sert de soutien. Quant aux éléments nerveux proprement dits, ils sont constitués par l'épit
par l'épithélium épendymaire, la cellule névroglique et la cellule nerveuse munie de son prolongement cylindre-axile, prolo
prolongement qui constitue la partie la plus importante de la fibre nerveuse . L'étude histogénique, que nous avons faite plu
s sur la constitution anatomique des différents éléments du système nerveux central, dont nous allons rapidement passer en re
ndymaire adulte; 3° La cellule névroglique adulte ; 3° La cellule nerveuse adulte ; 4° La fibre nerveuse adulte de la subs
névroglique adulte ; 3° La cellule nerveuse adulte ; 4° La fibre nerveuse adulte de la substance blanche; 5° Les éléments
fibre nerveuse adulte de la substance blanche; 5° Les éléments non nerveux , tels que les vaisseaux et la trame conjonc- ti
thélium épendymaire à l'état adulte. 1 194 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ! i Structure des cel- lules névrogliques
bles prolongements, le véritable tissu de soutène- ment des centres nerveux . Elles entourent d'un feutrage très dense les cel
les entourent d'un feutrage très dense les cel- lules et les fibres nerveuses , doublent les cellules épendymaires et se pro-
ur qui s'entrecroisent dans tous les HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 19 : i sens et constituent les lib
encore à déter- miner, se séparer du proto- plasma. 3" Cellules nerveuses . - Nous avons étudié plus haut les formes si
Nous avons étudié plus haut les formes si variées de la cellule nerveuse , ainsi que le mode d'origine et de ramifi- ca
la structure de sa masse pro- toplasmique. Le corps de la cellule nerveuse est formé d'une masse de protoplasma à striatio
rale d'un supplicié. (D'après Vignal.) 196 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Aspect nioniliformc des fibrilles. Parapla
rme. Cet aspect, facile il constater lorsqu'on examine des cellules nerveuses à l'aide de la méthode d'Ehrlich, c'est-à-dire à
ons pigmentaires. Ces granulations, qui sont propres aux cellules nerveuses adultes, se pré- sentent, dans la majorité -des
présente le seul point clair de la cellule. Le noyau des cellules nerveuses est relativement volumineux, et mesure de 3,4 i
e vacuoles dési- z gnées sous le nom de nucléolules. Les cellules nerveuses des centres encéphalo-médullaires sont dépour-
méthode de Nissl. [D'après Edinger.) HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE -L'ADULTE. 191 il seaux et les fibres nerveu
ÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE -L'ADULTE. 191 il seaux et les fibres nerveuses . - Sous l'influence des bichromates alcalins, e
e grise. Ces différences d'imprégnation que présentent les cellules nerveuses , différences qui correspondraient, d'après Fles
ules chromophobes et les cellules chromophiles, et que les cellules nerveuses rétractées se colorent plus intensivement que les
sivement que les cellules non revenues sur elles-mêmes. 4° Fibres nerveuses adultes du névraxe. - Le cylindre-axe des cellule
Fibres nerveuses adultes du névraxe. - Le cylindre-axe des cellules nerveuses adultes, qu'il entre dans la constitution d'un ne
tution d'un nerf périphérique ou qu'il concourre à former les tubes nerveux du névraxe, se revêt en géné- ral, aune certain
es cylindres- axes, de telle sorte que l'on peut diviser les fibres nerveuses soit du système nerveux périphérique, soit du s
le sorte que l'on peut diviser les fibres nerveuses soit du système nerveux périphérique, soit du système nerveux central, en
res nerveuses soit du système nerveux périphérique, soit du système nerveux central, en fibres à myéline et fibres sans myé
arborisations terminales, soit des col- latérales, soit de la fibre nerveuse elle-même, qu'il s'agisse d'une fibre des centr
mak. Les fibres ci myéline constituent l'immense majorité des tubes nerveux de la substance blanche du névraxe, mais elles
s. 1 Gaine de myéline. Dift'crcllccs do structure des tubes nerveux à myéline du système nerveux central et des n
ft'crcllccs do structure des tubes nerveux à myéline du système nerveux central et des nerfs périphériques. Dans le
central et des nerfs périphériques. Dans les centres les tubes nerveux n'ont pas de gaine de ? chWaJ1l1. 198 ANATO
veux n'ont pas de gaine de ? chWaJ1l1. 198 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Étranglements an- nulaires. 1 Incisurcs da
rfs du névraxe. Germano, Cajal, admettent cependant dans le système nerveux central l'existence d'étranglements annulaires
ements annulaires de Ranvier. La gaine de myéline de certains tubes nerveux , en particulier celle qui entoure les prolongemen
uvent une apparence variqueuse. Enfin, de même que dans les tubes nerveux périphériques, les incisures de Schmidt, ainsi
l 1), appa- raissent très nettement sur les dissociations des tubes nerveux du névraxe pratiquées après injection interstit
x concentriques que l'on observe dans la gaine de myéline des tubes nerveux de la moelle coupés transversalement après durc
olu et de l'éther, on obtient facilement, sur les tubes des centres nerveux , le réseau décrit par Ewald et Kuline sur les F
Ewald et Kuline sur les Fia. 123. - l, B, C, D et. E, divers tubes nerveux des cordons antérieurs de la moelle opinièro du
t protoplasma quo l'on observe à la surface de quelques rares tubes nerveux . HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'AD
ace de quelques rares tubes nerveux. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 109 nerfs périphériques. Mais ce r
r). L'absence de gaine de Schwann est constante dans tous les tubes nerveux de la substance nerveuse centrale. Ranvier a mo
e Schwann est constante dans tous les tubes nerveux de la substance nerveuse centrale. Ranvier a montré, en effet, que les tub
de la gaine de Schwann et de son origine ectodermique. "7wcH non nerveux , vaisseaux, tissu con jonc tir Les vaisseaux sa
llaires, dont les mailles allongées suivent la direction des fibres nerveuses . Dans la substance grise, le réseau capillaire,
on l'a vu plus haut, le véritable tissu de soutènement des éléments nerveux , on rencontre encore dans le système nerveux ce
utènement des éléments nerveux, on rencontre encore dans le système nerveux central du tissu conjonclifvéritable. Ce tissu co
e dc Ho- bin soit 111lC 'ail]c lymphatique. 0 Dans le système nerveux central. le tissu eonjonctif n'e- . xiste' ql
yl'o- glic et (lu tissu COtl- jonctif. 200 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le tissu conjonctif péri-vasculairc est to
te (Ranvier, Cours du Collège de France, inédit). Dans le système nerveux central, le tissu conjonctif ne se rencontre qu
clif, entre donc dans la con- stitution de la charpente des centres nerveux , mais les libres de ce tissu n'entrent pas en c
ssu n'entrent pas en contact direct avec les cellules ou les fibres nerveuses , dont elles sont toujours séparées par une couc
aire et inter-tubulaire. En résumé donc, les vaisseaux du système nerveux central sont entourés de deux gaines de nature
3111 NHRVELX P É I ! 1 1' II K R I Q U E I. Structure des ganglions nerveux . Les ganglions nerveux peuvent être divisés, au
II K R I Q U E I. Structure des ganglions nerveux. Les ganglions nerveux peuvent être divisés, au point de vue de leur s
nglions sympathiques. A. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. Les cellules nerveuses adultes des ganglions cérébro-rachidiens, à l'e
olaires et d'aspect piriforme ; elles n'émettent qu'une seule fibre nerveuse , laquelle se divise en T après un court trajet, a
présente ni la striation fibrillairc HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 20t H parallèle, ni le réticulum s
'ADULTE. 20t H parallèle, ni le réticulum si manifeste des cellules nerveuses du névraxe, en particulier des grosses cellules
ogiques, ou des organes du conductibilité. Le volume des cellules nerveuses adul- tes est très variable et oscille entre 29
interne de la capsule. Le cylindre-axe qui se détache de la cellule nerveuse unipolaire se recouvre bientôt d'une gaine de m
en général, un deuxième segment inter-annulaire avant que la fibre nerveuse ne se divise en T (fig. 121). Cette division s'op
lules. ... Divisions en T de Ranvier. Fig. 124. Deux cellules nerveuses des ganglions spinaux du lapin, iso- lées par
r,noyandc l'épithélium sous-capsulaire. 202 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . i 11 La Mire la plus prêle de la division
- rachidiens est coniparabteauuccel- 'lulc olt;vcticc. Cellules nerveuses bipolaires du ga : =- Iioaacoutiu<'. t
iliées de la macule auditive ou de V organe de Corli . Les cellules nerveuses des ganglions acoustiques (ganglion spirale du
liforme du nerf vestibulaire) sont bipo- laires, comme les cellules nerveuses des ganglions rachidiens des poissons. Elles do
e dernière ne se moule pas comme la gaine de Schwann, sur les tubes nerveux et leurs prolongements annu- laires, mais reste
es intermédiaires entre les cellules HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 203 bipolaires transitoires et les
borisation péricellulaire très fine, qui se continue avec une fibre nerveuse amyélinique, d'origine inconnue, mais provenant
asmique et l'arborisation terminale du cylindre-axe. Les cellules nerveuses ne sont pas répandues d'une, manière uniforme,
serrées, et en cellules cen- trales. Elles forment, avec les tubes nerveux en T qui en émanent, la majeure partie des élém
s tubes nerveux en T qui en émanent, la majeure partie des éléments nerveux du ganglion. A côté de ces fibres qui .naissent
terstitielle d'acide osmique à 2 p. 100. (D'après Ranvier.) t, tube nerveux . E, étranglement annulaire. - ca, cylindre-axe dé
ule. - a, noyau de la gaine secondaire. ` ? Or ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres nerveuses partant de la corne antér
la gaine secondaire. ` ? Or ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres nerveuses partant de la corne antérieure de la moel-
poulet au quatrième ou cinquième jour de l'incubation, des cellules nerveuses , situées dans la corne antérieure, dont le prol
es travées connectives. Ces travées servent de soutien aux éléments nerveux et aux vaisseaux et augmentent considérablement
is confirmées ' par v. Gehuchten, Retzius et Sala, que les cellules nerveuses adultes des ganglions sympathiques centraux des
entraux des mammifères sont comparables en tous points aux cellules nerveuses du névraxe, et qu'elles sont pourvues de deux e
s pour se terminer librement, tantôt HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 20o entourent les corps cellulaire
l'autre et se colorant vivement par le carmin. Outre les cellules nerveuses avec leurs prolongements dendritiques multiples
s plus superficielles du ganglion sont formées, en outre, de fibres nerveuses amyé- liniques, longitudinales, qui émettent su
ts dendritiques des cellules des couches superficielles. Ces fibres nerveuses qui traversent ou recouvrent le ganglion s)'l11pa
on. C, cylindre-axe des fibres de Rcmak. 206 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres venant des cellules de la moelle ép
nt en outre de la moelle, par les racines anté- rieures, des fibres nerveuses centrifuges, qui prennent leur origine dans les
fibrilles variqueuses qui courent tortueusement entre les cellules nerveuses , s'entrecroisent et s'enchevêtrent en tous sens,
els que le plexus de Meissner et d'Aucrbach, possèdent des cellules nerveuses multipolaires (Ranvier, ç . Schwalbe, Toldt, ])
exus de Meissner et qui se terminent HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 207 par des extrémités libres légè
la couche musculaire circulaire de l'intestin (Cajal), des cellules nerveuses isolées, qui constituent les ganglions sympathi
res sont destinées. IL - Structure des nerfs adultes. Les tubes nerveux , qui constituent par leur réunion les nerfs propr
ivant les nerfs que l'on examine. La très grande majorité des tubes nerveux cé1'ébro-l'achidiens sont munis d'une gaine de
sont peu nombreuses ou font même complètement défaut et les troncs nerveux présentent une apparence grisâtre. Nous étudi
t une apparence grisâtre. Nous étudierons successivement les fibres nerveuses à myéline, les fibres nerveuses sans myéline ou
tudierons successivement les fibres nerveuses à myéline, les fibres nerveuses sans myéline ou fibres de Remak, ainsi que le tis
ue le tissu de soutène- ment et les vaisseaux des nerfs. A. tubes nerveux A myéline. - Les tubes nerveux à myéline pré- s
et les vaisseaux des nerfs. A. tubes nerveux A myéline. - Les tubes nerveux à myéline pré- sentent un diamètre qui varie de
s un même nerf périphérique, on trouve en général d'épaisses fibres nerveuses à côté de fibres très grêles ou de moyenne épai
es grêles proviennent de petites cellules d'origine. Chaque fibre nerveuse à myéline est constituée par le cylindre-axe, é
myéline est constituée par le cylindre-axe, élément propre du tube nerveux , entouré d'une gaine de myéline, limitée elle-m
-mème par une membrane découverte par Schwann en 1839. Chaque fibre nerveuse est donc un véritable tube, lequel, examiné à l'é
ébro-ra- chidiens. Nerfs sympathi- ques. Diamètre des tubes nerveux à myéline. Gaine de Schwann. 208 ANATOMIE DES
s nerveux à myéline. Gaine de Schwann. 208 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Étranglements de Kauvier. Examen après dis
ylindre-axe au contraire est continu dans toute la longueur du tube nerveux , depuis sa cellule d'origine jusqu'à son arbori
ien se rendre compte de ces particula- rités de structure des tubes nerveux à myéline, il faut, ainsi que l'a montré Ranvie
n du cylindre-axe, qui fait saillie au niveau du point où le tube nerveux a été sectionné, se colore la première en rouge,
etites dimensions, dont les branches longitu- . Fio. '12ï. - Tube nerveux à myéline du nerf sciatique du lapin adulte,
ine de myLlino.- cy, cylindre-axe. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 209 dinales sont parallèles à l'ax
rer : « Le cylindre-axe a été déplacé suivant la longueur du tube nerveux ; l'étranglement annulaire est encore marqué par
i ne font pas défaut au niveau des points de bifurcation des fibres nerveuses (Kolliker), se colorent également facilement, ain
s un séjour de Í heures dans l'acide osmique il 1 p. 100, les tubes nerveux isolés apparaissent sous forme de filaments noirs
rfs il myéline au moyen Il de l'acide osmique. Fin. 128. - Tube nerveux et cylindres-axe du nerf sciatique du lapin adu
ent annulaire. - m, gaine médullaire. - cy, cylindre-axe. B, tube nerveux dont le cylindre-axe et l'an- neau a sont impré
Frommann et en r un renflement Liconiquc. 210 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Etranglements an- nulaires de Ranvier et s
ur longueur est en général pro- portionnelle au diamètre des fibres nerveuses ; « les segments inter-annulaires sont d'autant
triques de la torpille sont beaucoup plus courts que ceux des tubes nerveux de même dimension pro- venant des nerfs mixtes.
s cylindro-coniques. 35U diam. ' HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 2tt des plis, des stries, des fila
t l'étendue augmentent progressivement, de telle sorte que la fibre nerveuse présente bientôt un aspect granuleux. Au niveau
e, les segments cylindro-coniques s'arrondissent et donnent au tube nerveux une apparence moniliforme. En traitant les nerf
e- ments annulaires et des incisures obliques. En effet, si le tube nerveux est sectionné au milieu d'un segment cylindro-c
u apparaîtra sous forme d'un anneau simple; si au contraire le tube nerveux est sectionné au niveau d'une incisure, la gaine
neaux concen- triques de la myé- line. 212 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Filaments de Golgi et de Rczzonico. Réseau
t assez comparables à ceux qui s'échappent de l'extrémité des tubes nerveux sectionnés, examinés frais et dans l'eau. » Gol
Ils signalent en outre dans certains cas, à la surface de la fibre nerveuse , une striation transversale ou oblique étendue
n seulement sur les nerfs périphériques, mais encore sur les fibres nerveuses des masses blanches du névraxe : aussi les cons
Golgi (imbuti). (D'après Kolliker.) HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 213 tine, décrit par Ewald et Kühn
pas, sauf toutefois les incisures de Schmidt (Ranvier), sur la fibre nerveuse vivante, dont la myéline constitue une masse ho
absolu et l'éther, les gouttes de myéline qui s'écoulent d'un tube nerveux au niveau mème de sa section. 3. Cylindre-axe
uant au cylindre-axe, qui constitue la partie essen- tielle du tube nerveux , car les gaines qui l'entourent ne sont que des a
;i ! /o ? a.fH ! o', qui jouerait le rôle de la véritable substance nerveuse conductrice. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NER
able substance nerveuse conductrice. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 2t : : B. tubes nerveux sans myéli
HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 2t : : B. tubes nerveux sans myéline ou fibres DE REMAK. Découvertes pa
icilement à isoler les unes des autres, sans les rompre, les fibres nerveuses qui le constituent. Les fibres de Remak ne sont p
résentent une texture übrillairc comme les cylindres-axes des tubes nerveux à myéline, et il est certain que ces fibres son
haque fibrille conserve dans la fibre de Remak, comme dans la libre nerveuse à myéline, son individualité propre depuis son or
terminaison. Chacune d'elles représente, en effet, le prolongement nerveux ou cylindre-axile d'une seule cellule sympathiq
il une gaine véritable autour des fibres de Remak, et les fibrilles nerveuses qui les constituent, sont-elles en contact direct
es sont très fines, c'est-à-dire constituées par une seule fibrille nerveuse , le protoplasma qui entoure leur noyau se répand
une simple gaine. Lorsqu'elles sont formées par plusieurs fibrilles nerveuses , elles sont munies non seulement d'une enveloppe
les fibres de Remak, commc dans les fibres à myéline, les fibrilles nerveuses sont également entourées par une couche de prolop
urées par une couche de proloplasma. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 211 Quant à la structure du nerf o
savoir : la gaine lamelleuse qui entoure un certain nombre de tubes nerveux , en les réunissant en faisceaux, le tissu conjonc
asciculaire situé dans l'intérieur des faisceaux et entre les tubes nerveux . La gaine lamelleuse possède une structure d'au
simple, que le faisceau qu'elle circonscrit contient moins de tubes nerveux . Si, comme l'a fait Ranvier, on étudie chez la
de manière à former une enveloppe distincte à chacun des ra- meaux nerveux partant du tronc principal. Lorsque, par suite de
donc, ainsi que le fait remarquer Ranvier, à la périphérie du tube nerveux , un espace occupé par le plasma nutritif ou lym
par le plasma nutritif ou lymphatique « qui baigne ainsi l'élément nerveux et peut en pénétrer la partie essentielle, le c
e en remontant le long du nerf, c'est-à-dire à mesure que les tubes nerveux qu'elle contient augmentent de nombre et que les
erveux qu'elle contient augmentent de nombre et que les fais- ceaux nerveux augmentent de diamètre, on voit cette gaine se do
e la gaine lamelleuse est d'au- tant plus marquée que les faisceaux nerveux sont plus gros; elle est éga- lement plus dével
la Endothélium de la gaine de Henle. ' 218 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Tissu conjonctif péri et intra-fascÍc\1- ? l
ux ner- veux et qui constitue le lissu de soutènement des tubes nerveux , apparaît d'après Han- vier sous forme de lames
font partie de la gaine la- melleuse et pénètrent entre les tubes nerveux , soit pour y conduire les vaisseaux san- guin
ourbées, conservant ainsi la forme qu'elles avaient mtour des tubes nerveux . Elles présentent des crêtes et des dépressions
;orrespondant à l'empreinte des faisceaux conjonctifs et des tubes nerveux ;ur lesquels elles étaient appliquées (Ranvier)
de la pré- paration dans la glycérine. - 150 diam. /'n, faisceau nerveux . - gl, gaine lamelleuse. - a, cloison de divisi
eux. - gl, gaine lamelleuse. - a, cloison de division d'un faisceau nerveux . - n, un faisceau nerveux très grêle. - v, vais
e. - a, cloison de division d'un faisceau nerveux. - n, un faisceau nerveux très grêle. - v, vaisseau sanguin. - fe. tissu
jonctif. - ca, cellules adipeuses. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 2111 (Schultze). fuseaux conjoncti
à l'état normal dans les nerfs de l'homme et représentent des tubes nerveux profondément modifiés. Sur une coupe transversa
erveux profondément modifiés. Sur une coupe transversale d'un tronc nerveux , les corpuscules de Renaut se présentent sous l
irrégulièrement ovoïdes et situées à la péri- phérie des fascicules nerveux . Ils sont entourés d'une paroi lamelleuse strat
artère (Hyrtl, Zuckerkandl, Quénu et Lejars); ils abordent le tronc nerveux obliquement, puis se divisent et se subdivisent
sent et se subdivisent avant de pénétrer dans l'épaisseur du cordon nerveux . Les vaisseaux du plus gros calibre se rencontren
à l'état de vaisseaux distincts, ni dans l'épaisseur des faisceaux nerveux , ni dans la gaine lamelleuse qui les entoure, e
san- guins et lymphati ques des nerfs. 220 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . *- Houton terminal et arborisations termi-
liaIes. 111. Terminaison des nerfs. Les cylindres-axes des fibres nerveuses périphériques, qu'ils appar- tiennent aux nerfs
se terminent tous, ainsi du reste que les cylindres-axes des fibres nerveuses centrales, par une extré- mité libre, soit légè
s, la terminaison est une terminaison libre et nulle part, la fibre nerveuse n'entre en connexion directe, soit : '1° avec une
s; ils ne présen- tent par conséquent aucune relation avec la fibre nerveuse . ^ Nous passerons successivement en revue ces d
ns successivement en revue ces différents modes de ter- . minaisons nerveuses périphériques. 1° Arborisations terminales <
e papille du derme et en avoir gagné HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 221 . la surface, se divisent et s
E. 221 . la surface, se divisent et s'entrecroisent avec les fibres nerveuses voisines. Après un trajet plus ou moins compliq
ou moins compliqué sous la membrane basale des papilles, les fibres nerveuses , recouvertes encore de leur gaine de myéline, d
ue les corpuscules de Langerhans n'appartien- nent pas au système nerveux , et que les fibres sensitives se terminent par
res, sans aucune connexion cel- lulaire directe. b) Arborisations nerveuses dans les muqueuses. Dans les muqueuses recouv
sont les mê- mes que dans l'épi- derme. FiG. 132. Terminaisons nerveuses sensitives dans l'épithélium pavimenteux stratifi
s G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. IPic. 134. - Terminaisons nerveuses - sensitives dans l'épithélium des lèvres d'u
G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. 222 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres nerveuses terminales de la mu- queu
thode rapide de Golgi. 222 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Fibres nerveuses terminales de la mu- queuse olfactive de la
de la souris. 1 Chaque poil ne 1 reçoit qu'une seule libre nerveuse . 1 des ramuscules libres dont quelques-uns se
etzius). Dans les muqueuses à épithé- / ? M vibratile, les libres nerveuses présentent en général un trajet ré- current (fi
ithélium olfactif avec l'épi- thélium respiratoire, de fines fibres nerveuses , ramifiées, variqueuses, d'aspect moniliforme,
es extrémités libres, quel- quefois légèrement renflées. Ces fibres nerveuses terminales, découvertes par v. Brunn, et dont
borisations libres inter-épithéliales (fig. 98). c) Arborisations nerveuses des poils. Les poils ne présentent pas une inne
poil ne reçoit en général, ainsi que Ran- Fie. 135. - Terminaisons nerveuses sensitives dans l'épithélium de l'oesophage du
nctive sons-épithéliale. - o, sur- face de l'épithélium. - n, fihre nerveuse . Fic,. 136. - Terminaisons ner- veuses sensit
olgi. Arborisation termi- nale libre extrêmement riche des libres nerveuses n, entre les cellules d'un épithélium pavimen
épithélium pavimenteux stratifié. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 223 vier Ira signalé, qu'une seule
STÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 223 vier Ira signalé, qu'une seule fibre nerveuse , .qui se détache du tronc ner- veux un peu au-d
'un sinus sanguin caver- neux, et reçoivent plusieurs petits troncs nerveux , qui atteignent la paroi du follicule dans son
de nom- Poils tactiles des 1 animaux. * Fic.131. - Terminaisons nerveuses sensitives dans l'épithé- lium de la vessie du
épithélium. - bg, couche conjonctive sous-épi- théliale. - n, fibre nerveuse montant du tissu conjonctif dans la couche épit
des arborisations intercellulaires libres. Fia. 138. - Terminaisons nerveuses sensitives dans l'épithélium de la muqueuse des c
semaines. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. n, fibres nerveuses qui, de la couche conjonctive, montent dans la co
des arborisations ramifiées et libres. - 224 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . i 1 I i Roseau nerveux autour des cell
libres. - 224 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. i 1 I i Roseau nerveux autour des cellules rlandulaires. .1 Term
illes arrondies ou polygonales, dont se détachent de fines fibres nerveuses , qui sont en contact direct avec la [cellule
à leurs extrémités de petits rendements... Fio. 139. - Terminaisons nerveuses sensitives dans l'épithélium vibratile de la ré
sales. (D'après G. Retzius.) Méthode rapide de Golgi. , n, libres nerveuses montant (le la couche conjonctive- sous-épithél
par des extrémités s libres et ramifiées. Fic. 140. Terminaisons nerveuses sensitives autour des poils du museau d'une sou
ide de Golgi. hst, couche cornée. - réseau de Malpighi. - c, plexus nerveux superficiel de l'épiderme (Cutis). - 1l, rameau
ne externe. -- dr, glandes sébacées. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 225 2° PLAQUES MOTRICES.-CORPUSCUL
verses. Au voisinage de l'éminence terminale de Ranvier, la fibre nerveuse à myéline ou bien reste indivise, ou bien se di
à myéline, formées chacune d'un segment inter-annulaire. Ces fibres nerveuses sont des fibres complètes, pourvues de leur gai
r- minale de la plaque motrice. 1<'10. 141. - Terminaisons nerveuses sensitives au- tour des poils tactiles de la
1, poil. -is, gaine o intcrnc.-Itb, follicule pileux. - n. fibres nerveuses . - hiv, Hoorzwicucl. - hp, pa- pille du folli
. - hp, pa- pille du follicule pileux. Fio. 142. - Terminaisons nerveuses sensitives dans le conduit excréteur de la gl
e ra- pide de Golgi. 1. lumière du canal excré- teur. ? i,hbres nerveuses cir- culaires et inter-cellulaires. 226 ANATO
uses cir- culaires et inter-cellulaires. 226 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Noyaux de l'émi- nence terminale. Variétés
t du type nor- mal, et qui peut-être rapproché des termi- naisons nerveuses musculaires que l'on rencontre chez les Vertébr
erminale. Dans les cas plus compliqués, la Fie. 143. - Terminaisons nerveuses sensitives dans les dents du lézard (lacera a
- p, plaquo motrico vue do face. , HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 227 branche collatérale se divisé
ar Cajal, ni par Retzius. Ces deux auteurs admettent que les fibres nerveuses du coeur se divisent dichotomiquement entre les f
rice do Ranvier daus les muscles lisses. Fio. 14. -Terminaisons nerveuses motrices dans les muscles de l'oeil du lapin ad
(D'après G. Retzius.) Coloration au bleu de méthylène. , n, fibre nerveuse pourvue d'une gaine de myéline. 228 ANATOMIE DE
e nerveuse pourvue d'une gaine de myéline. 228 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Travaux de Ret- zjns. organique. Les nerfs
hes de bifurcation sont pourvues de petits Fie. 146. - Terminaisons nerveuses motrices dans le muscle cardiaque d'une souris
(D'après G. Retzius.) Méthode de Golgi. Fie. 147. - Terminaisons nerveuses motrices dans les muscles lisses de la vessie d'u
après G. Retzius.) Méthode de Golgi. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 229 boutons très rapprochés, qui r
et se rapprochent singulièrement du mode de terminaison des fibres nerveuses des muscles des Vertébrés (lig. 147). Il n'exis
es ne dépendent en aucune manière de la forme de leurs terminaisons nerveuses . b) Corpuscules de Golgi. - Les tendons reçoive
tour naissance à une véritable arborisation terminale de fibrilles nerveuses .dépourvues de myéline. Le corpuscule de Golgi re
myéline. Le corpuscule de Golgi reçoit quelquefois une seule libre nerveuse , mais le plus souvent il en reçoit 15"" Nerfs
tendineuse surtafi)jrf;niuscn- laire. 230 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Corpuscules del'a- cini des tendons. Corpu
qui constituent autant de corpuscules et reçoivent chacun une fibre nerveuse distincte. Ils présentent tous un aspect strié ca
que Langerhans l'a montré, il la direction transversale des fibres nerveuses , revêtues de myéline, qui pénètrent dans le corpu
es, revêtues de myéline, qui pénètrent dans le corpuscule. La fibre nerveuse qui aborde un corpuscule du tact l'atteint, en gé
ur à tour regardées comme des cellules épithéliales ou des cellules nerveuses , ces cellules sont aujourd'hui, depuis les travau
formée de libres annulaires, et tra- HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 231 : versée par quelques fibres à
homme ces corpuscules sont sphériques et reçoivent plusieurs libres nerveuses à myéline qui s'enroulent, se replient et se te
. Corpuscule du tact du bec du canard. 232 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ménisques tactiles. constitué par des cellul
r forme des feuilles de lierre, représentent un mode d'arborisation nerveuse , terminale et libre, auquel Ranvier a donné le
77. - G. Cattani. L'appareil de soutien de la myéline dans les fibres nerveuses périphériques. Arch. italiennes de Biol. 1886,
los mamiferos. Madrid, 1893. - Du Même. Sur les ganglions et plexus nerveux de l'intestin. Mem. Soc. Biol. 1893, p. 217. - GE
- GEDOELST. Recherches sur la . constitution cellulaire de la fibre nerveuse . La Cellule. Tomes III et IV. - v. Gehuchten. L
e nerveuse. La Cellule. Tomes III et IV. - v. Gehuchten. La cellule nerveuse du sympathique chez quelques Mammifères et chez l
üstologie. Paris, 1888. Du même. Lecons sur l'Histologie du système nerveux . 2 vol. Paris, 1878. - REVAUX. Recherches sur q
1892, Bd CXXIX. B. Segall. Sur des anneaux intercalaires des tubes nerveux produits par imprégnation d'ar- gent. C. R. de
ncephale. Cerveau. 1·'nrme lu ccrccau. 234 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cervelet. Isthme de l'cnd'- phale. Volum
t l'âge. Poids relatif de l'encéphale. 23G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Rapports du YO- Inmc de l'encéphale avec l
a) parce qu'ils sont déjà en possession d'une provision d'éléments nerveux embryonnaires qu'ils utiliseront plus tard ; 6)
eynert donne les chiffres suivants : 1 238 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Densité de l'en- eéphale. Hémisphères. S
iétale. - Vs, vermis superior du cervelet. 240 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Faces des hémi- sphères. cervelet qu'elle
olfactif. - U, circonvolution du crochet. 242 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . frontal (LOr). La partie postérieure- de la fa
rochet. - xll, chiasma des nerfs optiques. 244 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les scissures et les sillons ne présentent
niveau de l'espace perforé antérieur. 240 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Scissures princi- pales ou lobaires do la
iel interrompant la scissure de Rolando. 248 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Plis de passage qui relient le lobe tempo-
llon parallèle; t'i, sa branche verticale. 250 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . - Circonvolutionsro- landiques. Limites su
sillon parallèle; t, sa branche verticale. 2a2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . LO ! J111c orbitaire de (Iratiolct. Lolmlc
sillon parallèle; G ? sa branche verticale. 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Deuxième sillon frontal. Incisures des sil
tp, sillon temporal profond. 1 . 1 ... 258. ANATOMIE DES. CENTRES NERVEUX . Pôle frontal. Division en trois parties de
- mentaire chez les an- tltruyoïulec. 260 ANATQMIE..DES CENTRES NERVEUX . Fin. 160 et 161. Pli courbe et variétés d'inse
ofonde. - Ip, sil- lon temporal profond. 262 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Circonvolution frontale ascendante. Trajet
le, premier et deuxième sillons temporaux. 264 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Circonvolution pa- riétale ascendante. Syn
verticales. ' tp, sillon temporal profond. 266 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . donne souvent naissance, avant de décrire sa c
. (1-)'l'11S ? 111)1\\-111,11'" ginalis. 268 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ]li courbe. médiaire de Jensen, puis coiffe
place du pli courbe. Lobe occipital. 2ïO 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le lobe occipital a la t'ormo d'une- pyra-
, deuxième et troisième sillons temporaux. 212 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Circonvolutions occipitale.. Gyrlls desccn
' branche verticale du sillon parallèle. : 274 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Tt'oisicmccit'con- volntion occipitale. Ci
erticale. - l" deuxième sillon temporal. 276 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Deuxième sillon temporal. D'autres fois, l
Troisièmo circon- volution temporale. 278 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Deuxième circon- volution temporale. Premi
lle. Sillons mar;;i- naux de l'insula. 280 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sillon marginal su- périeur. l'insula (sul
e de l'insula. - : Lolntlc vlc l'insula. 282 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ,. , Division de l'insti- la (l'après Schnop
s de la .aec interno de l'ht nisphère. 284 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Scissure pariéto- occipitale. nale (cm) et
porale. - t3, troisième sillon temporal. 286 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La scissure calcarine représente une scissure
l'a. lncisure lwdoca- laÎl'c ùe Broca. 288 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Scissure sous-pa- riétale. détache quelque
terne do l'hémi- slnhèrc cu ciu loLes. ! 290 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . 1 Lobe frontal. Circonvolution frontale
on du crochet. - V3, troisième ventricule. 292 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cunéus. Sillon tln cuneus. Plis de passage
actif. - U, cir- convolution du crochet. 204 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le sillon du lobule lingual (lg) divise le lob
de circonvolution oc- cipito-tomporalc. 296 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Lobe limbique de Broca. Le lobe limbiiiuc
1* 't ,MI Isthmo du lobe limbique. 298 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Pli cuneo-limbi- quc. Plu Deuxième circo
ns la profondeur de la scissure calcarine. 300 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Substance blanche réticulée d'Arnold, Sill
on trajet. 81llùIl Ilm¡'rio-o- drouné. 302 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La circonvolution godronnée (Cg) suit le pilie
volution go- dronnle. Lobule olfactif. 301 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le .sillon primaire - <lc Ilis sdpare Ic
de l'ethmoïde, et reçoit par sa face inférieure de nombreux filets nerveux qui traversent les orifices de la lame . criblé
'a. Lo ! >c olfactif l'°s- térieur. 306 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Espace perforé an- térieur. La bandelette
du pédoncule cérébelleux supérieur. i - 308 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Mol ! Pédoncules du sep- tum lucidum. Dé
elette diagonale de Broca......... b : l 312 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . . BARACHt. SullecÏ1'convoluzioni cerebrali. Mo
1886. FÉRI £ . ,Tl'aité élémentaire d' Anatomie médicale du système nerveux . Paris, 1886. Foville. Traité complet' de V anato
et' de V anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébrv-spincel, 1844. Giacomini. Varietadelle cÏ
ngen tuber das Gehirn. Berlin, 1874. HUGUENIN. Anatomie des centres nerveux . Trad. de l'allemand par Keller et annoté par M
London, 1871. - LEURET et Gratiolet. Anatomie comparée du sys- tème nerveux . Paris, 1839-1857. - LUSSANO. Compendio anatomico
a hase de Ileule. Eléments surajoutes. 1 314 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Chiasma des nerfs optiques. Livertir : ule
oteur oculaire comnun. - II, nerf optique. 318 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Losange opto-pé- donculaire ou cen- tral.
eur, le plus petit, d'un gris jau- nâtre contient seul les éléments nerveux ; le lobe antérieur de coloration rougeàtre et d
. - lI(Ch), chiasma des nerfs optiques. 32.0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le lohe postérieur de la glando pitui- tai
uses, riches en pigment, et qui représentent peut-être des cellules nerveuses incomplètement développées. Le lobe antérieur,
e du tu- horculo mamillairo latéral. i 322 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ganglion iutcr- pédonculaire. Fascicuiusru
Direction des pé- dnn''u)('sc6r))rnux. 1 324 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . 1 . 1 : Disposition fasci- culée de la fac
oteur oculaire commun. - II, nerf optique. 326 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Chez l'homme la commissure de Mey- nert oc
e cellulaire et la terminaison de ce faisceau formé de fines fibres nerveuses sont encore inconnues. Il n'est pas en connexion,
nce dc Iicudc. Trajet du txuia pontis. 328 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Étage supérieur des pédoncules ou ré- gion
de Sylvius. On y trouve, en outre, d'importants faisceaux de fibres nerveuses et un noyau volumineux bien circonscrit, le noy
oi- sième et de la qua- trième paires. 330 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . l'isthme de l'encéphale : elle est connue sous
roisième ventricule. - IV, nerf pathétique 332 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Tubercules quadri- jumeaux antérieurs. Bra
k, 1863. Déité. Traité élémentaire d'anato- mie médicale du système nerveux . Paris, 1886. - Forel. Beitnlge zur Kenntniss des
VII, 1877. GALL et Suunz- HEIM. Anatomie et physiologie du système nerveux , 1810-1820. Gonflw. Ueber veine¡¡ bisher nicht
e, 3 Aufl., 1886. LEURET et Gratiolet. Anatomie comparée du système nerveux . 2 vol. et un atlas, 1839-1857. Loc- : uanr-CL :
h. Trans. 1858- 1869. - LONG ET. Anatomie et physiologie du système nerveux . 2 vol. Paris, 1842. Luys. Recherches sur le sy
ystème nerveux. 2 vol. Paris, 1842. Luys. Recherches sur le système nerveux cérébro-spinal. Paris, 1865. Du même. Iconographi
inal. Paris, 1865. Du même. Iconographie photographique des centres nerveux . Paris, in-4°, 2 vol. 1873. Meynert. Vont Gomme d
choroïdienne. Seuil do l'hémi- sphère. 334 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Corps calleux. Trigone cérébral. Troisième
). - Il (Ch), chiasma des nerfs optiques. 33fi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ventricules laté- raux. Capsule interne
e nom de globus pallidus (NL2, NL,); ils sont plus riches en fibres nerveuses , et présentent une origine et une structure diffé
u grillagée. II, bandelette optique. 22' 338 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . C Centre ovale de Vieussens. Corps calle
. - I's, vcrmis superior du cervelet. t 3-in ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Bourrelet. Genou. Iicc ou rostrum. Sa fa
cta. Ses rapports. Sa face inférieure. 312 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . sont réunis l'un à l'autre par des fibres tran
I i Ventricule de Ver-a. i j I ! 344 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Radiations du corps calleux. Forceps du co
éral. - VSl, ventricule du septum lucidum. 346 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses bords. Trous de Monro. Piliers antérie
cules quadri- jumeaux. Il, nerf optique. 348 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Piliers postérieurs du trigone. Lyre de Da
corne occipitale. Vsph, corne sphénoïdale. 350 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . nales du trigone s'unissent aux fibres du sept
- III, fihres radiculaires de la 3° paire. 352 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Septum lucidum. Pédoncules du sep- tum luc
ent à la surface libre de la vésicule hémisphérique) des cel- iules nerveuses pyramidales, dont le sommet regarde la cavité du
ntricul' .1.. la ;Ioison Sa structure. 354 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ventricules laté- raux. dum est souvent si
Ses limites. Sa voûte. Son plancher. 3110 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . le sillon opto-strié et le sillon choroïdien,
e en bas et en dehors. La lame cornée, qui contient quelques fibres nerveuses longitudi- nales du ta'nia semi-circularis, con
ol' corporis slriati de 1\'illis (le), estun petit faisceau de libres nerveuses qui occupe la partie inféro-externe du sillon o
strié. Bandelette demi- circulaire. 35S ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Corno' sphénoïdale th. ventricule laté- ra
u noyau caudé (NC'), masquée souvent par une mince couche de fibres nerveuses . Contiguë en arrière à la bandelette demi-circu
Corne occipitale du ;entriculc lat6ral. 360 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses limites. Sa voûte. lobe occipital est
plexus | choroïdes. ' . ! 1 t i I 362 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . 1 Êpcndyme Ventri- claire. Son épaisseur v
te, en arrière de la circonvolution du crochet, à une mince lamelle nerveuse , le vélum termi- nale d'Aeby (vt), tapissé par
e, ou grillagée. - II, bandelette optique. 366 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son sommet. Sa base. Ticnia thalami et g
icule.- VSl, ventricule du septum lucidum. 368 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Lafcntccet'eht'ale 0C' Bichat n'existe pas
divise le corps strié en deux noyaux. 30 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Forme du noyau caudé. unique située au-des
-ventriculaire. Sa face adhérente. 1 372 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses rapports avec . la substance grise sou
Il répond l'in- sula. Sa face externe. 374 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa face supéro- interne. Sa face inférieur
pports de cette face. Ses bords. naissance qu'à de rares fibres nerveuses , et n'affecte que des rapports do contiguité av
idus. Rapports et den- duc du putamen. 3ïû ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres du corps strié. Lames médullaires
Sa face interne. , Sillon do Monro. r 378 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Commissure grise. Son extrémité pos- . tér
ce inférieure s 1 ! i ' 1 i 'i 380 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Anse pédonculaire. Ses rapports avec la ré
Noyau antérieur ! ou supérieur. ! 1 382 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Noyau externe, lame médullaire ex- terne e
oduit un état de différenciation de la substance blanche du système nerveux , bien connu depuis longtemps, et (1.'i rend de
e des dégénérescences secondaires. 2 : ; 38R ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Nous ne décrivons donc dans ces coupes macrosc
zontale du bord supérieur de l'hémisphère. 388 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ment à la profondeur propre du sillon, mais en
e . , détails à noter par suite de la grande intrication des fibres nerveuses il ce niveau. On y reconnaît cependant les fais
li, partie verticale du sillon parallèle. 390 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . qui de la couronne rayonnante et du corps call
, tsenia tecta. - VI, ventricule latéral. 39 ? ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . mente considérablement, et forme une couche ép
téral. - ZI', zone réticulée ou grillagée. 390 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La capsule interne (Cia et Cip) a conservé il
ucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 398 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . n'en est que le prolongement. La pointe occipi
strié. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 400 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . circzdaris ; elle est limitée en dehors et sép
(NC), et à la portion réfléchie de sa 26 402 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 224. - Coupe horizontale de l'hémisphère
lucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 404 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fin. 32u. Coupe hofizonfate de l'hémisphère dr
al. J'sl, ventricule du' septum lucidum. 406 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . du cunéus; une troisième fois enfin au niveau
de la scissure calcarine (K) et sur le pli 408 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FJG. 226. - Coupe horizontale del'hémisphèrc d
S.\ Zr, zone réticulée ou grillagée. 1 : 410 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . convolutions, la couche sagittale du lobe occi
alcarine et pariéto-occipilale (K + po) ' , 4t ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . qui sépare le lobule lingual (Lg) du pli Ctlll
al. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 414 IL. ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fie. 228. - Coupe horizontale de l'hémisphère
e présente toujours avec l'aspect foncé, caractéristique des fibres nerveuses coupées perpendiculairement à leur axe ; mais les
ou troisième sillon frontal (f3); la 27 418 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 229. Coupe horizontale de l'hémisphère dr
te le bord d'arrêt de l'écorce cérébrale. .É20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Substance blanche. - La masse blanche du lobe
tie au système du faisceau lenticulaire de 422 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Forel (FI) (voy. Coupes microscopiques de la c
corne sphénoïdale. - IV, zone de Wernicke. 424 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La région sous-optique contient déjà tous les
rieure ou pied du pédoncule (P) séparée de 426 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . la région précédente par une bande de substanc
radiculaires de la troisième paire. ) - 430 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . et la circonvolution du crochet (U); elle inté
, corne sphénoïdale du ventricule latéral. 432 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cette coupe sectionne les parties inférieures
ventricule latéral., 1 "ç'\\ v \ . '' ? $' 434 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . système du faisceau longitudinal inférieur (Fl
ondent à ceux de la figure précédente. 436 ANATO ? l1lE DES CENTRES NERVEUX . Coupes nos 30, 33, 37, 40, 43, 46. Coupe n°
le. - pCH, pied do la couronne rayonnante. 438 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . divise la face interne du lobe frontal en deux
onvolution frontale (oF3) avec l'extrémité 444 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . antérieure du lobe temporal, en passant par le
du cro- clict. - VI, ventricule latéral. 448 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . la face interne de la première circonvolution
cule latéral. - Il, bandelette optique. '450 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . apparaît (coupe n° 63, fig. 245) l'extrémité a
tricule latéral. - II, bandelette optique. 452 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . insensiblement avec l'écorce de la circonvolut
rise sous-épendymaire (Sge) et le faisceau 454 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . occipito-frontal (OF), son bord interne répond
ulée ou grillagée. Il, bandelette optique. 456 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . externe concourt à former avec le noyau caudé
dant aux lignes 78 des figures 235 et 236. 458 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ces coupes passent toutes par le lobule parace
icule latéral. - II, bandelette optique. 460 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . par la lame cornée (le), la queue du noyau cau
ou grillagée. - Il, bandelette optique. 462 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . sur la fig. 249 sous la forme d'une lentille b
rise COUPES MACROSCOPIQUES DU CERVEAU. 463 par une zone de fibres nerveuses bien décrite par Forel et que nous désignerons
fibres radiculaires de la troisième partie 464 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . (NL3), qui le sépare de la bandelette optique
: e. - 1.1', zone réticulée ou grillagée. 468 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . appartiennent pour la plupart au système thala
le latéral. Vsph, corne sphénoïdale. 472 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . temporale (T3) forme le bord inféro-interne de
rieur du trigone. l'l, ventricule latéral. 474 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . : ' (fig. 258 et 259), cette circonvolution ch
c, corne occipitale du ventricule latéral. 47G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . coupe n° 92 (fig. 256). La coupe n° 93 (fig. 2
aux lignes 107 des figures 235 et 23tri. 4-78 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Coupe n° 116 (fig. 263), passant à 9 millimètr
corne occipitale du ventricule latéral. 480 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Large sur les coupes nos 116 et 122 (fig. 263,
c, corne occipitale du ventricule latéral. 482 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX .; qu'occupe le cunéus à la face interne du lobe
orne occi- pitale du ventricule latéral. 484 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . nzajor(Cc, Fm). Leur section affecte la forme
oyau lenticulaire. Ces deux noyaux ne for- 490 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . nient qu'une seule et même masse (NC ? NL3). L
rès le même aspect que sur la coupe pré- 492 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Inc. 21.HJ. - Coupe sagittale de l'hémisphère
corps strié. - v, veinule du corps strié. 494 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX ., neuse, sectionnée transversalement, et qui so
u-dessous du noyau caudé (NC), apparait ,49G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fin;. 270. Coupe sagittale de l'hémisphère dro
ique. - V, origine apparente du trijumeau. 498 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . segment antérieur de la capsule interne (Cia),
onne rayonnante (CR). Le reste de la masse 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fit.. 271. - Coupe sagittale de l'hémisphère d
ée ou grillagée. - Il, bandelette optique. 502 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . (fig. 270). Les fibres de ses 2/3 postérieurs
édonculaires et représente la continuation 504 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Vu; 272. Coupe sagittale de l'hémisphère droit
tique. j ! i ? ' 1 I \ k ! 1 I ? ... ? 506 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 273. Coupe sagittale de l'hémisphère droi
ou grillagée. - Il, bandelette optique. 508 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FG. 274. - Coupe sagittale de l'hémisphère dro
occipitale. - Vsph, corne sphénoïdale. ; ! )0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . mité antérieure recourbée de la queue du noyau
corne sphénoïdale du ventricule latéral. at2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fig. 276. Coupe sagittale de l'hémisphère droi
apport avec la région rétro-insulaire. 516 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fig. 277. -Coupe sagittale de l'hémisphère dro
avec les capsules externe et interne. ! : 20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les coupes C, D et E, comprennent les 2/3 anté
première circonvolution frontale (mF,). : : 24 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . En dedans des fibres calleuses (Cc), on trouve
Vf, corne frontale du ventricule latéral. 526 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . contourné l'extrémité antérieure de la corne f
tal (voy. lig. 297, 314, 320) ou sagittal. 528 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les fibres du corps calleux (Ce) se portent en
llons temporaux. - Pl, ventricule latéral. 530 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . trouve l'avant-mur (AM), qui se présente au ni
e portent en haut, longent la face externe 532 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fie. 282. Coupe vertico-lransversale, no IV, p
cule latéral. - Il, bandelette optique. : ! 34 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . suivent le trajet des fibres des piliers posté
en bas et en dedans. Au niveau du noyau 536 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ho. 283. - Coupe vei-Lico-1 i-illisvel-saie, n
ntricule latéral. J/, bandelette opt ique. 538 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . et du faisceau uncinalus (Fu) par le pédoncule
tique qu'il présente soit sur les coupes 540 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX Vu : . 284. Coupe vertico-transversale, n° VI,
u grillagée. - II, bandelette optique. : ¡2 A\ : 1TOII1 DES CENTRES NERVEUX . zone irrégulière, riche en fibres, le champ de
de la troisième paire, i \ o i i i>i" 541 ! ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . dedans. Ce faisceau prend son origine dans les
(Cip); les inférieures abordent la capsule 548 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fiu. 286. -Coupe vertico-transversate, no VIII
ndelette optique. III, troisième paire. 50 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . dier. Dans la région lhalamique il reçoit tout
capsule interne (Cirl), passent au-des- Kb2 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fie. 287. Coupe vei-lico-Li-aiisversale, n° IX
I/I, fibres radiculaires de la : 3` paire. 334 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . sectionnées en travers du pilier postérieur du
ssent comme les fibres du tapetum (Tap), 330 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ftc. 288. - Coupe vertico-transversale, n°X, p
ec, Uenia tecta. VI, ventricule latéral. 358 . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . et du forceps major du corps calleux (Fm) ; ce
sant par la ligne A de la fig. 291. 36 562 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cette coupe, parallèle à la deuxième circonvol
es libres précédentes, elles se trouvent 564 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fic. 292. Coupe horizontale microscopique A, c
tale. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 566 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX , Fie. 293. - Coupe horizontale microscopique B,
radiant dans ltroi circonvolution frontale. z0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . nuer avec les fibres du tapetum (Tap). Pour l'
e du noyau lenticulaire (Al). Ces fibres 572 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX Fin. 296. - Coupe horizontale microscopique D,
s. - T{fa, pilier antérieur du trigone. 57 r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . I c. 297. Coupe horizontale microscopique E, c
olfactif. - U, circonvolution du crochet. 576 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . gros fascicules qui morcellent sa partie exter
ndo (R), la circonvolution frontale 37 578 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ascendante (Fa), le fond du sillon ]Jl'é-l'ola
. - Sge, substance grise sous-épendymaire. 580 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . diffuses ; elles dissocient en effet de volumi
grise sous-épendymaire. tec, taenia tecta. 582 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le tænia tecta (tec) est doublé par une couche
tec, toenia tecta. VI, ventricule latéral. 584 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . coupes précédentes, grâce à l'apparition d'un
isser toute la face ventriculaire du corps 586 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . calleux. Dans la tête (NC) et dans la queue du
atéral. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 588 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . interne (Cip) des fibres sectionnées perpendic
ucidum. Zr, zone réticulée ou grillagée. 590 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . du ventricule latéral (VI), on trouve les fibr
(Ip) plus grandes. Le pli le plus saillant 592 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX .' correspond à l'insula antérieur; il est sépar
strié. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 591 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . noyau caudé (NC) ou au putamen (NL.,), sont co
e du noyau caudé (NC) par un large pont de 596 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . substance grise qui interrompt le segment anté
rnicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 598 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . texture tout il fait particulière. On y trouve
De la partie posléro-externe de ce noyau. 600 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . part un faisceau conique et compacte, de fines
rnicke. Zr, zone réticulée ou grillagée. 602 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . zonlales qui relient entre eux les deux noyaux
èles qui embrassent le fond du sillon. ' 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Couche optique (Th). Le noyau antérieur de la
ise qui consti- tuent de véritables petits nids, entourés de fibres nerveuses . Il reçoit plusieurs systèmes de libres : les f
(Sgc); elle fait partie du troisième vcn- 606 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . luc. 308. Coupe horizontale microscopique n° .
ijumeau antérieur (Qa) n'est pas intéressé 608 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . dans sa plus grande largeur. Il est surtout ca
a protubérance à la suite de lésion i 39 610 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . portant sur la corlicalilé de la partie moyenn
apside (Cip) et du faisceau lenticulaire 612 1 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . loc. 309 ? Coupe horizontale microscopique, n°
rnicke. - Zi, zona incerta de Fore). 614 4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FIG. 310. Coupe horizontale microscopique n° 1
incerta de Forel. Il, bandelette optique. 616 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . de la capsule; le cinquième postérieur est occ
upe le segment moyen du noyau lcnticu- 6d8 8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 311. Coupe horizontale microscopique n° 1
tricule latéral. 11, bandelette optique. 620 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . plus en arrière et en dehors que sur la coupe
udé (NC) jusqu'à la partie antérieure du 622 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . faisceau longitudinal inférieur (Fli), c'est-à
ventricule latéral. ? bandelette optique. 624 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . quelques fibres peuvent être suivies il la par
i le traversent et il est entouré d'une véritable capsule de fibres nerveuses , dont les internes affectent une direction antéro
la partie interne du pied du pédon- 40 626 ANATOMIE,DES CENTRES NERVEUX . cule cérébral (P) est sillonnée par de nombreu
e sphé- noïdalc. Il, bandelette optique. 628 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sur les coupes précédentes nos 12 et 13 (fig.
entricule latéral. Il, bandelette optique. 630 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . gentielles, très abondantes dans cette région
gion thalamique ou sous-thalamique . G32 . . ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Coupe n° 1 x (fig. 316), passant par la ligne
atéral. z ? zone réticulée ou grillagée. 634 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . A l'extrémité antérieure de la couche nhlic/tt
de Forel. Zn, zone réticulée ou grillagée. 636 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le segment antérieur de la capsule interne (Ci
Forel. Zr, zone réticulée ou grillagée. 038 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le t,l'nia thalami a disparu dans le ganglion
Zr, zone réticulée ou grillagée. , ... ' 640 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . substance grise, qui relient incomplètement la
ur de la capsule interne (Cip) au niveau U44 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . de sa partie moyenne, et pénètrent dans l'extr
j Meynert's de Forel) (xM, fig. 3'23). Ces 646 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . libres sont limitées en dedans et en arrière p
optique. xll, chiasma des nerfs optiques. 648 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . la capsule interne. Ces trois ordres de fibres
lée ou grillagée. ? bandelette optique. 6 : in ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . capsule externe (Ce) et V avant-mur (AM), morc
fibres radiculaires de la troisième paire. 632 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . les corps genouillés interne et externe (Cgi,
uns de ces fascicules semblent provenir, 654 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . non pas de la queue du noyau caudé (NC'),mais
ptiques (xll) et le trigone olfactif (Toi) avec sa couche de fibres nerveuses . Au niveau de sa partie postérieure, on trouve :
ra-vent riculaire de la couche optique. 6 : i0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Coupe n° 11 x (fig. 326), passant par la ligne
très réduite de volume, entourée d'une très mince couche de fibres nerveuses . Le corps genouillé externe (Cge) est très augm
ilets radiculaires de la troisième paire. 6;i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . faisceau de fibres parallèles fortement coloré
ilet radiculaires de la troisième paire. 660 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . (Ln), tandis que la troisième paire (III) n'es
on trouve de chaque côté de la ligne médiane un groupe de cellules nerveuses assez abon- dantes, qui appartiennent au gangli
diculaires du nerf pathétique (iv* paire). 662 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . gros fascicules de fibres qui constituent le p
l'écorce cérébrale est formée de cellules ner- veuses, de fibres nerveuses , de névroglie et de vaisseaux. Les cellules ner
es, de fibres nerveuses, de névroglie et de vaisseaux. Les cellules nerveuses présen- tent des formes très variées : elles so
al pyramidales et se disposent en cou- ches stratifiées. Les fibres nerveuses qui naissent des cellules pyramidales se réunis
y Cajai. ; i Structure de l'é=; ,orce cérébrale. i Cellules nerveuses Cellules nerveuses. Fibres radiées. Fibres
cture de l'é=; ,orce cérébrale. i Cellules nerveuses Cellules nerveuses . Fibres radiées. Fibres transversal es ou t
rt ou . couche des cellules fusiformes. 6li6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ric. 330. Schéma résumant la concordance des d
- leux, dans laquelle on trouve disséminées quelques rares cellules nerveuses petites et irrégulières. Sur des préparations t
Origine des fibres du réseau d.Exncr. 668 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules delà cou- che moléculaire. Cellul
a cylindres-aaes. - b, leurs collatérales. 670 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le cylindre-axe des cellules fusiformes de
a couche moléculaire est donc formée par les cellules et des fibres nerveuses autochtones a à direction surtout tangentielle;
ndants des cellules polymorphes, ramifications terminales de fibres nerveuses de la substance olanche des hémisphères) et con
les Ver- tébrés, ainsi que l'a mon- tré Cajal. La transmission nerveuse se fait ici par contact; elle est analogue à
des caractères généraux communs à toutes. 672 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . . Dendrites de la ccllnlc pyramidale. Tige
es ramilles de Cajal qui se terminent librement entre les fibrilles nerveuses de cette zone. Ces ramifications protoplas- m
ires. p, panaches protoplasmiques. 43 11 674 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Collatérales du cy- lindre-axe de la cel-
a corticalité du cerveau, constitue le véritable centre des actions nerveuses d'ordre supérieur, la cellule psychique de Cajal.
e blanche cellule du type II de Golgi. ' 676 6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les cylindres-axes des petites cellules py
'anastomo- seraient entre elles, pour contribuer à former le réseau nerveux continu, dont cet auteur admet l'existence dans
che ou couche anznzo- nique de Meynert, couche moyenne des cellules nerveuses de Stieda, strata- medio de Golgi, fig. 329 et
grandes cellules pyramidales sont comblés par un feutrage de fibres nerveuses , particulièrement serré au STRUCTURE DE L'ÉCORC
puis se coudent ou se divisent en T et se continuent avec une fibre nerveuse de la substance blanche (Cajal). i Couche des
terminales ci variqueuses du cylindre-axe. 678 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules du type U de Golgi. Cellules à cy
ent des faisceaux - compacts et serrés, entre lesquels les cellules nerveuses sont disposées en colonne radiaire; ils renferm
suivant : FiG. 342. Ce schéma représente la disposition des libres nerveuses dans l'écorce céré- brale, ainsi que la nomencl
cinquième couches. Sb, substance blanche. 682 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres tangentielles de l'écorce. Elles oc
terminales des fibres d'association et probablement d'autres libres nerveuses , venant des ganglions centraux ou des centres i
épaisses, qui constituent la strie interne de Baillarger ou plexus nerveux interne de Krause. 5° Les fibres d'association
se font par contact nervoso-pro- toplasmique. Sens du courant nerveux .. c-- Excitations volon- taircs. L'intellig
ymnastique céré- . brale, puisqu'elle ne peut produire des cellules nerveuses , porte un peu plus loin que d'ordinaire le déve
développement des expansions protoplasmi- ques et des collatérales nerveuses , en forçant l'établissement de connexions infra
ullaire des stries blanches, indices de la myélinisation des fibres nerveuses . Cette myélinisation s'accroît et se perfection
pendant un temps assez long une légère teinte violacée. Les fibres nerveuses de la masse blanche des hémisphères ne se recou
n est si avancée qu'il est im- ' t4 La myélinisation des fibres nerveuses qui augmente avec l'âge est en laveur de ce
t6- rine. Anse rolandique dc Parrot. 690 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La myélinisation des fibres tangen- tielle
sième année, il n'en est pas de même de la myélinisation des fibres nerveuses intracorticales et en parti- culier des fibres
couche est remarquable par son épaisseur et sa richesse en fibres nerveuses tangentielles. ' Elle présente les caractères
pyramidales, et un nombre extrêmement consi- dérable de fibrilles nerveuses , provenant soit des cellules ner- veuses auto
al); dans les mailles du feu- trage, formé par de nombreuses fibres nerveuses ramifiées, se rencontrent quelques cellules dit
tres régions de l'écorce cérébrale, est constituée par des cellules nerveuses et de nombreuses fibres à myéline et sans myéline
moléculaire, au voisinage des cellules dites de Cajal. Les fibres nerveuses du ruban de Vicq d'Azyr, ou couche médullaire m
utrage très serré, dans les mailles duquel se trouvent les cellules nerveuses . A l'exception des fibres verti- cales, qui rep
résentent les cylindres-axes ascendants ou descendants des cellules nerveuses , toutes les fibres du ruban de Vicq d'Azyr sont c
tangentielles sont très nombreu- ses. 698 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Elles présentent leur maximum de de- velop
et nerfs de Lancisi. 1 i f i 1 : . 700 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Structure des nerfs dc l,ancisi. On trouve
on des cylindres-axes des cellules de la couche moyenne. Ces fibres nerveuses donnent nais- sance à des collatérales, qui se
voisinage de la scis sure collatérale. 702 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . les autres régions de l'écorce, les quatre cou
es yrami- dales et stratum ra- diatum. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Coucho des cellules polymorphes. Substance
uches de la corne d'Ammon de Meynert. 708 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Parallèle entre les couches de la corne d'
région godronnée de la corne . d'Ammon. , 0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . oriens ou couche des cellules polymorphes, par
stratum radiatum dont le cylindre-axe fournit des rameaux au plexus nerveux situé entre les cellules pyramidales. - e, f, cel
is le stratum radiatum contient en outre quatre espèces de cellules nerveuses et un feutrage de libres plus ou moins dense. Par
lules de Golgi de la couche moléculaire. 712 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Couche des cellules pyramidales (2 cou- ch
pro- toplasmiques et de longues épines. 716 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le cylindre-axe des cellules pyrami- dales
horizontale dans le stratum lacunosum et se continue avec une fibre nerveuse à myéline de cette région (fig. 359). Ces fibre
pyramidale ou supérieure. ? faisceau formé de grosses collatérales nerveuses ascendantes /, collatérales de la substance bla
-axe des cellules pyramidales et contient trois espèces de cellules nerveuses , dé- crites par Schaiffer : les cellules à cyli
Cellules a cylin- vlre-axe ascendant. lis ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules à cylindre- axe arqué de Cajal. (
re-axe horizontal. F, couche des cellules pyramidales avec son plexus nerveux inter-cellulaire. G, Il, deux cellules à cylind
i' j Fibres do la corne d'Ammon. 1 d2o ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . F 1 ilrcs nervcuscs de l'alvéus. 1 Ce
elques cellules polymorphes égarées du stratum oriens. Les fibres nerveuses de l'alvéus affectent une direction variable suiv
e involuta s. circozvolzcta de la corne d'Ammon est riche en fibres nerveuses à myéline. Sur les préparations traitées par le
e la couche moléculaire se recou- vrent de myéline. b) Les fibres nerveuses du stratum lacunosum sont extrêmement nom- breu
medullare médium ou stratum lacunosum. 722 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres du stratum radiatum. Feutrage péri-
dronnée de la corne d'Ammon. '1 1 i 724 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . i La circonvolution odronnéc est for- mé
région godronnée de la corne d'Ammon. 1 726 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Stratum granulo- siim (2- couche). Les gra
de cette écorce avortée. Caractères des grains. a £ Fibres nerveuses collatérales et terminales de l'alvéus. Ces fibre
lgi a montré que ces « grains » représentent de véritables cellules nerveuses ovoïdes, qui sont morphologiquement l'analogue
se ramifiant entre les grains. e, autres cellules dont les expansions nerveuses s'arborisent dans la couche moléculaire. - h, c
s'effectuent les contacts nervoso-protoplasmiqiies avec les fibres nerveuses terminales de la couche moléculaire. Par leur c
sue de Cajal). p, panache protoplasmiquc. 72R ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . , Collatérales mous- sucs des grains. Le c
a corne d'Ammon (fig. 366) et représente une véritable arborisation nerveuse terminale, superposée aux corps et aux den- dri
yramidale ou suhéricure.-1/, faisceau formé de grosses collatérales nerveuses ascendantes. /, collatérales de la substance bl
xe pénètre dans la corne d'Ammon. ! ' - 730 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX .- - I Les fibres moussues mettont en rapport
mifiant entre les grains. - e, f, autres cellules dont les expansions nerveuses s'arborisent dans la couche moléculaire. - h, c
cellules à cylindre-axe ascendant.- j, g, cellules il prolongements nerveux descendants. - ici, collatérales variqueuses de
xes ascendants dans la couche moléculaire. 732 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules du type II de Golgi. Cellules u6v
olfactif cinq cou- ches concentriques : 'Í. La couche des fibres nerveuses super- ficielles. 2. La couche des glomérules
couche des cellules mitrales. 5. La couche des grains et des fibres nerveuses profondes. 1. La couche des fibres nerveuses su
s grains et des fibres nerveuses profondes. 1. La couche des fibres nerveuses superficielles est exclusivement formée par les
use de Schneider et représentent un remarquable exemple de cellules nerveuses périphériques (Voy. fig. a69 et p. 162). , 2"
difiée. Les cinq couches du bulbe olfactif. Couche des libres nerveuses superfi- cielles. (1re couche.) Couche des gl
is. Méthode rapide de Golgi. (D'a- près G. Retzius.) n', fibres nerveuses qui se por- tent sur la surface de l'épithélium
titèneiiieiit. - o, surface épithéliale. 731 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les filnrilles olfac- tives se terminent d
i les fibres olfactives constitueraient dans le glomérule un réseau nerveux anastomotique qui se continuerait avec d'autres
seau nerveux anastomotique qui se continuerait avec d'autres fibres nerveuses centri- pètes, émergeantdu glomérule. Les ramif
mitrales. 4° La couche des cellules mitrales renferme des cellules nerveuses géantes, les unes triangulaires, les autres en
t des fibres à myéline. Cette couche com- prend une trame de fibres nerveuses à myéline entre-croisées dans tous les sens, ma
rnic olfactif. - o, libres olfactives. ' ï36 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules de Golgi. Origine et termi- naiso
us grêles et dont les cel- FiG. 31 Schéma de la marche des courants nerveux dans l'appareil olfactif des mammifères. (D'apr
ainsi que le fait remarquer Cajal, que la transmission de l'influx nerveux n'est' pas individualisée, c'est-à-dire ne- va
s pyramidales de la région, avec un nombre con- sidérable de fibres nerveuses de fin ou de gros calibre. Les fibres de fin ca
es ccilu- les pyramidales (-" couche). 738 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Couche plexiforme mu des ccllules poly- : no
ules des îlots olfactifs sont enlacées d'une très fine arborisation nerveuse et variqueuse. Cette arborisation appartient à de
e fibres tan- gentielles, on rencontre une couche mince de cellules nerveuses , de forme pyramidale et dont le prolongement pr
ons de l'hémisphère. Elle contient un très grand nombre de cellules nerveuses , analogues à celles de l'écorce, dont elles ne se
L'origine et l'aspect des cellules de la névroglie dans les centres nerveux de l'enfant. Soc. de Biologie, 1894. Baillarger.
'Ammon. Septum lucidum des mammifères. 740 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . existencia di bifurcaciones y colaterales en l
t 4, 1893. - Du même. Les nouvelles idées sur la structure du système nerveux chez l'homme et chez les vertébrés. Traduit de
sych. u. Nervenkr. Bd XVIII, 1887. - 6rriUCIITE.\ (Van). Le système nerveux de l'homme. Lierre, 1893. Gehuchten (Van) et MA
er Nervenlehre des Menschen. 1879. - Huguenin. Anatomie des centres nerveux . Traduction française de Keller, annotations pa
t, même recueil, 1888. Du même. Développement des éléments'du système nerveux cérébro-spinal chez l'homme et chez les mammifè
ale de Vieussens, est essentiellement formée de faisceaux de fibres nerveuses à myéline, à trajet plus ou moins sinueux, non
es courtes et longues d'associa- tion. 744 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Entre-croisements des fibres d'associa- ti
projec- tion. .. i z Leur origine. * j 740 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Trajet des fibres de projection. Fibres ce
de l'écorce admettent qu'elle contient les ramifications de fibres nerveuses , provenant des différentes régions du système ner
s de fibres nerveuses, provenant des différentes régions du système nerveux central. D'après Golgi, les ramifications de ce
s de la sub- stance grise; elles ne s'abouchent avec aucune cellule nerveuse , et leur nombre est assez considérable pour con
substance blanche. B, couche moléculaire. 748 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres courtes d'association ou Il- bi-es
chez l'enfant et ne se distinguent de la masse générale des fibres nerveuses , que lorsque l'éducation et l'exer- cice ont in
ceau d'association du rhinencéphalon. 750 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Forme et trajet du cingulum. sous le nom d
Origine et ter.ni- naison du cingulum. il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les trois faisceaux du cingulum d'après Be
de ses fibres dans le lobe trontal. i 754 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . les autres dans la partie orbitaire des premiè
lon temporal. - 1'S, vallée de Sylvius. il 75G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . 1 Faisceau longitu- dinal supérieur ou f
le profonde. - VS, vallée de Sylvius. 7 : i8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Terminaison du faisceau arqué. Opinion de
halamus. - U, circonvolution du crochet. . 7G0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Interprétation per- sonucllc. Le faisceau
tha- lamiques. - Voc, corne occipitale. 762 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa iorme sur les coupes vertico-trans- ver
ions de la convexité" de l'hémisphère. 761 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 382. - Coupe vertico-transversale, passan
ieur. Sa forme dans le* lobe temporal. 166 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa for111e dans le lobe occipital. Son asp
c, ttenia tecta. VI, ventricule latéral. ; 768 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les crêtes de cette face. Faisceau basai i
périeur. * Origine de ses li- brcs. - 770 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ]'H. 383. Coupe horizontale microscopique para
rieur. Terminaisons an- térieures. " 772 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . De- faisceau lon- gitudinal inférieur four
socia- tion dans sa partie inférieure. 774 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FIG. 387. - Coupe vertico-transversale de l'hé
endent dans le pied du pédoncule cérébral. 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le faisceau ex- terne du pied du pé- doncu
ne et les fibres tomporo- thalamiques. 778 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . l<JG. doa. Coupe horizontale d'un cerveau d
erta. Gn, zone réticulée ou grillagée. 1 780 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Los dégénères. cences secondaires montrent
vertical. Son origine et son trajct. 782 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Faisceau occipital transvcrse du cu- néus.
corne occipitale du ventricule latéral. 78t ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Couche des libres propres des circon- volu
- Sage, substance grise sous-épendymaire. 786 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les fibres d'asso- ciation propres au lobc
al- Icux. Leur origine. Leur trajet. 788 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Tronc du corps cal- cux. Sa texture. Le
u corps calleux d'Arnold n'existe pas. 790 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ins. 391. - Coupe horizontale comprenant les d
d'Azyr. Zr, zone réticulée ou grillagée. 792 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . forceps major et forceps miner. }11lll'e d
et Vialet, Thèse de Paris, 1893, Obs I.) - 796 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . calcarine (K), la dégénérescence intéresse de
Broca. Th, tha- lamus (couche optique). 798 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le corps calleux dégénère à la suite de to
ociation intra et inter-hémisphérique. 800 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La coupe passe par la partie postérieure du bo
Le foyer primitif est coloré en orange.). 802 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . lire. Pendant les deux premières années de son
es rapports avec la handelcttc optiquc. 80 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . direction de cette dernière (voy. série IV, p.
s au- teurs sur son origine corticale. 806 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son étude par la néthoc1c des dégéné- esce
encore indéterminée. Capsule externe. 808 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Origine et trajet 'es fihres de la cap- su
et de l'aizatomie, de la physiologie et de la'pathologie du système nerveux cérébro-spinal. Paris, 1844. Ganser. Ueber die
f Physiology, 189 1. - LONGET. Anato- mie et physiologie du système nerveux de l'homme et des animaux vertébrés. 2 vol. Paris
maux vertébrés. 2 vol. Paris, 1842. Luys. Recherches sur le système nerveux cérébro-spinal, etc. Paris, 486 ? Msxaiec.Ein Fal
atomische Untersuchungen Uber dieoptischen 810 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Centren und Balmen nebst lilinischen Beitrâgen
3 (1890) Archives de neurologie [Tome 19, n° 55-57] : revue des maladies nerveuses et mentales
Vol. XIX. Janvier 1890. N" 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES SCOLIOSES DANS LES NÉVRALGIES SCIATIQUES ;
ique, Th. Paris, 1888, tio 150. ARCHIVES, f,. XIX. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . d'une cause organique locale, nettement déterm
ris l'habitude de rechercher le signe du tendon dans les maladies nerveuses , c'est à peine si une dizaine d'observations à
sion avec laquelle ils décrivent, môme par-dessus 4 , . CLINIQUE NERVEUSE . leurs vêtements, le trajet douloureux de leur
l autre. C'est pourtant de leur pré- Fig. 5. Fit. 6. 8 CLINIQUE NERVEUSE . sence ou de leur absence que résultent le redr
L'attitude n'est pas aussi constante, il s'en faut de 10 CLINIQUE NERVEUSE . beaucoup, que ne le prétend M. Babinski. Nous
à titre de complication immédiate, une compression des ra- cines nerveuses destinées au nerf sciatique. Une arthrite sacro
te. Il est d'abord de toute évidence que la déviation 12 CLINIQUE NERVEUSE . est le résultat d'une action musculaire. Ce so
gauche porte le poids du corps tout entier. Si les deux 14 CLINIQUE NERVEUSE . jambes restent parallèles, comme dans le cas p
nc insensiblement à appliquer sur Fig, 11. Fig. 12. 16 CLINIQUE NERVEUSE . le sol la plante du pied du côté malade; et ai
bien obser- Archives, t. XIX. 2 Fig. 13. Fig. 14. 18 CLINIQUE NERVEUSE . ver et de bien décrire les cas que le hasard l
s de la Tournette, in NUe Icoto,q. de la Salpêtrière IL 20 CLINIQUE NERVEUSE . cloche-pied, la colonne vertébrale s'incline d
t des plus ordinaires et il est incontestable qu'elle 22 CLINIQUE NERVEUSE . s'étend, comme nous l'avons plusieurs fois obs
gauche ; il en indique si nettement le siège qu'il est' 24 CLINIQUE NERVEUSE . impossible de douter que ce ne fût une douleur
s impossible ; le pied gauche reste tourné en dedans. 20 CLINIQUE NERVEUSE . Le 16 juin, l'amélioration s'est confirmée. Le
us sommes assuré que l'existence de points douloureux 28 CLINIQUE NERVEUSE . du côté opposé à la sciatique n'est pas un fai
si caractérisés qu'ils soient, ne nous semblent avoir 30 CLINIQUE NERVEUSE . ici qu'une importance fort secondaire. La plup
- tion indécise. C'est pour ces névralgies que Piorry 32 CLINIQUE NERVEUSE . · et Brown-Séquard ont adopté la dénomination
côté sain ne Archives t. XIX. 3 Fig.17. Fig. 18. 34 CLINIQUE NERVEUSE . peutpas s'effectuer, comme dans les cas ordina
s nécessairement les mêmes que les li- mites de convention du tronc nerveux . En d'autres termes, la sciatique n'est pas la
muscles innervés par le sciatique ; elles peuvent ce- 36 CLINIQUE NERVEUSE . pendant envahir tout le territoire de ce nerf,
la- tive du membre malade, c'est-à-dire du membre sur 38 CLINIQUE NERVEUSE . lequel on ne s'appuie pas. Celui-ci est plus o
donc impossible; il peut être rétabli cependant, à la 40 CLINIQUE NERVEUSE . condition que le malade porte la plus grande p
es par L. Bourget, (Olottpellier médical, mars 1889). 42 CLINIQUE NERVEUSE . et me remettre en route, car les Indiens avanc
dos, douleurs rongeantes dans la région lombaire supé- 44 CLINIQUE NERVEUSE . rieure, qui m'empêchaient de rester assis long
, écrit-il. Seulement, je ne peux pas écrire longtemps sans devenir nerveux et sans perdre alors la facilité de tenir ma pl
es bras en l'air et renverse un peu la tête, comme s'il 46 CLINIQUE NERVEUSE . venait de recevoir un coup inattendu sur l'occ
Il ne s'agit évidemment pas d'une affec- tion organique des centres nerveux , car nous n'avons pu déceler chez le malade auc
ais bien un syndrome de la grande névrose protéiforme 48 CLINIQUE NERVEUSE . qui s'appelle l'hystérie, à moins qu'elle ne s
qu'elle ne soit le symp- tôme d'une affection organique du système nerveux . A côté de toutes les variétés connues d'attaqu
es d'urine par le cathétérisme; Archives, t. XIX. 4 50 . CLINIQUE NERVEUSE . fourmillement dans les membres inférieurs ; se
on trouve le maximum d'intensité de la lésion ; là, les élé- ments nerveux sont complètument dégénérés et réduits en granu-
ophie considérable et la disparition du plus grand nombre des tubes nerveux et par la prolifération du tissu conjonctif qui
11 est à noter qu'on distingue çà et là un certain nombre de tubes nerveux restés intacts au milieu du 52 ' CLINIQUE NERVE
n nombre de tubes nerveux restés intacts au milieu du 52 ' CLINIQUE NERVEUSE . - tisssu sclérotique ; il m'a été impossible d
ettement délimitée. Dans quelques endroits de la région 54 CLINIQUE NERVEUSE . dégénérée, dans les cordons postérieurs et dan
ne coupe ne fait voir la destruction complète de toute la substance nerveuse , et par conséquent, il n'y a pas de myélite tra
des cordons latéraux, et les cordons postérieurs portent des fibres nerveuses qui ne présentent rien d'anormal. Il va sans di
lésion profonde, on constate une disparition complète des éléments nerveux à la place desquels on voit un amas, vaguement
t rien à la moelle malgré la grande quantité de'bul-; 56 CLINIQUE NERVEUSE . lettes de gaz que l'on y voit emboliser ses va
u conjonctif sous-jacent et de la tunique musculaire. » 58 CLINIQUE NERVEUSE . ' Pour être complet, on ne peut pas omettre le
ans la substance des cordons postérieurs et avaient séparé le tissu nerveux ; ils étaient situés dans une fente. On ne pouvait
ne pouvait observer dans cet amas de cellules aucun débris de tissu nerveux ou de reticulum de la névroglie. On n'y rencont
ulièrement ovale. Le tissu çircpnvQisin des cordons 60 - ' CLINIQUE NERVEUSE . postérieurs offrait plus ou moins les signes d
les signes de la myélite paren- chymateuse c'est-à-dire les fibres nerveuses étaient gonflées plus grandes et tout le tissu
ous manque des observations avec examen micros- copique du système' nerveux , etc., chez l'homme. DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI
athologie moderne aborder la physiologie pathologique des accidents nerveux . Com- mençons par les accidents cérébraux et tâ
e de la branche de l'artère sylvienne qui se porte en 62 CLINIQUE NERVEUSE . avant pour se rendre en particulier à la régio
s. Nous avons surpris plus d'une fois le mécanisme de 64 CLINIQUE NERVEUSE . ce phénomène vraiment curieux sur le cerveau d
le sujet de ]'ÜnsEuvATION XLVIIL Archives, t. XIX. 5 66 CLINIQUE NERVEUSE . L'embolie et l'ischémie du rameau que cette br
zone motrice et par analogie aux lésions matérielles 68 CLINIQUE NERVEUSE . organiques de l'épilepsie partielle brachiale,
e nerf de l'espace une fois comprimé, la sensation de 70 CLINIQUE NERVEUSE . l'équilibre disparaît, les troubles locomoteur
lations etc. ; c'est la raison pour laquelle nous avons 72 CLINIQUE NERVEUSE . appelé ces symptômes extrinsèques. L'étude de
ois minutes. De 30 à 32 brasses, une seule minute. On ï4 CLINIQUE NERVEUSE . ne dépasse jamais cette profondeur. C'est aux
onseillée par Paul Bert est d'un emploi très difficile, 76 CLINIQUE NERVEUSE . sinon impossible, pour les scaphandriers. Le s
génation et cette augmen- tation de nutrition régénérant les fibres nerveuses détruites qu'il faut attribuer l'efficacité de
précision. Pour acquérir une idée des fonctions de ce grand centre nerveux , il ne suffit pas de léser ou de désorganiser p
onsidéré le cervelet comme le centre LES FONCTIONS DU CERVEAU. 83 nerveux du sens musculaire, centre coordinateur des mou
tion et la locomotion '. Les organes de trans- mission de ce centre nerveux sont, suivant Lussana, les cordons postérieurs
onus et de l'énergie des mouvements. Ce défaut d'énergie du système nerveux moteur, conséquence directe de la perte des fon
rifiques ou bien dépend du mode diffé- rent d'excitation des fibres nerveuses , ou de ce que les fibres des sensibilités tacti
e pulmonaire, et qui à l'âge de quatre ans avait eu des accidents nerveux suivis.d'une paralysie complète du membre infér
urant son séjour à Bicêtre : 100 RECUEIL DE FAITS. manifestations nerveuses . La plus âgée des filles semble avoir eu des cr
urs dans la tête, surtout au niveau des tempes. Pas de convulsions. Nerveuse , mais jamais d'attaques. Appétit médiocre. Tymp
pour des douleurs dans le ventre et à la tête. A toujours été très nerveuse . Fréquents accès de colère. Pleure facilement e
elle n'a eu ni crises, ni ver- tiges, ni syncopes, mais elle était nerveuse et colère. Elle s'est mariée le 12 février 1889
douches et aux toniques que nous avons dû la disparition des crises nerveuses . N° 4. Lav... (Joseph), onze ans, en 1886; tabl
re. Elles auraient été très légères. Depuis ledébutde ses accidents nerveux , il travaille moins bien. La sensibilité parait
rande irascibilité. 1889. Décembre. - Il n'a plus eu aucun accident nerveux . Il est resté un peu irascible. Il est obéissan
e ans, une fièvre typhoïde compliquée de délire et le laissant plus nerveux qu'auparavant ; à douze ans et demi, il est pri
r E. STADELfANN. (Neurol. Centralbl. 1887.) Autour des trousseaux nerveux , prolifération du périnerf, la subs- tance nerv
r des trousseaux nerveux, prolifération du périnerf, la subs- tance nerveuse paraissant comprimée de la périphérie au centre.
paraissant comprimée de la périphérie au centre. Dans les troncules nerveux , couches d'un tissu formé par de grands noyaux
semble des branches des prolongements potoplasmi- ques des cellules nerveuses se terminent à l'aveugle sans débou- cher aille
t ne présentent aucune structure fibrillaire ; - 2° toute cellule nerveuse est unipolaire, c'est-à-dire qu'elle possède un p
longement fibrillaire ou autrement dit ner- veux 30 ce prolongement nerveux , cylindraxile, est toujours ramifié ; lui et se
s potoplas- miques ; 4° il y a en effet deux catégories de cellules nerveuses : a. des cellules dont le prolongement cylindra
en un fouillis de fiébrilles et ne donne pas naissance à une fibre nerveuse (exemple : nombreuses petites cel- lules nerveu
sance à une fibre nerveuse (exemple : nombreuses petites cel- lules nerveuses ). Mais M. Forel n'admet pas que des fibres issues
longements cylindraxiles s'anastomosent avec les branches de fibres nerveuses qui de la substance blanche entrent dans la sub
ives. Il n'y a que le' mode de terminaison périphérique d'une fibre nerveuse qui décide de sa fonction. La cellule d'où prov
veuse qui décide de sa fonction. La cellule d'où provient une fibre nerveuse sera, si elle est sensible, placée à la périphé
a périphérie (cellule cpithéliale de la peau transformée en cellule nerveuse ) ; si elle est motrice, placée au centre. - Quant
e facon extrêmement insuffisante, probablement parce que l'influx nerveux nécessaire à ces fonctions est à la fois exagéré
Ces malades ont hérité de leurs parents d'une extrême sensi- bilité nerveuse , qui se réveille au moindre choc et se caractéris
, et chez les alcoo- liques acquis, il existe une hyperexcitabilité nerveuse , qui donne naissance à des phénomènes ressembla
en avant de la cavité en question dont elle est séparée pardu tissu nerveux usé, elle proémine un peu en bas et en dedans d
nés par l'hyoscine ont dû la faire supprimer), dans un cas d'astbme nerveux , dans un cas de chorée chronique. Discussion.
reille moyenne du côté gauche qui entretenait chez lui des troubles nerveux limités au même côté gauche exclusivement.' Il
BIBLIOGRAPHIE. I. - Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses , par le Dr Jules FALRET. 1890. M. Falret a eu
mêmes sont la plupart du temps des gens atteints de quelque maladie nerveuse ou mentale. A ce pro- pos, l'auteur fait une lo
érite d'être lu de tous ceux qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses ou mentales. Introduction à l'étude de la Spéci
, depuis le 3 novembre courant, des troubles insolites du sys- tème nerveux . Après de violentes crises de nerfs et une perte
it résulté de ces opérations une altération fâcheuse de son système nerveux et un affaiblissement de ses facultés mentales.
et fils. Edwards (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en pl
médical. Falret (J.) Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses . Volume in-8 de 623 pages. Prix : 8 fr. - Paris
90. Vol. XIX. Mars 1890. N, 56. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDES SUR L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DE LA MOEL
le carmin : elles sont formées Archives, t. XIX. 11 162 CLINIQUE NERVEUSE . par un feutrage serré de fibres, au milieu des
du T, le sillon longitudinal postérieur et Fit. 20. 164 CLINIQUE NERVEUSE . l'extrémité antérieure des cordons de Goll sub
Psychiatrie, t. X, p. 200. 8 1.oco citalo, 1. 366. . 166 CLINIQUE NERVEUSE . l'exception d'un seul où l'on avait affaire à
ences l'Ecole pratique des Hautes-Etudes. 1 HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX ANATOMIE NORMALE ET PATHOLOGIQUE L'étude des
aux d'anatomie de Golgi et. de ses élèves sur la texture du système nerveux ont ouvert t une ère nouvellle pour la psycholo
et des méthodes de coloration des éléments anatomiques du système nerveux , que les procédés de Weigert et de Golgi « étai
ntes conquêtes qu'aient faites de nos jours l'histologie du système nerveux z. La méthode de la coloration noire, où les pi
moignage de Koelliker, lorsqu'il s'agit de représenter les cellules nerveuses avec leurs prolon- gements. Or c'est précisémen
tion des prin- cipaux problèmes de l'anatomie générale du système nerveux , tels que Golgi les a conçus, et nous rappel- l
études avec celles de la physiologie et de la pathologie du système nerveux central. Tout d'abord, des difficultés presque
a révélé les lois de leur fonc- tionnement. Dans l'étude du système nerveux , Pana- tomie est encore la servante de la physi
ie ne met pas en doute qu'entre les différentes parties des centres nerveux il n'existe une liaison intime, condition de la
ure et la morphologie élé- menlaire des organes centraux du système nerveux , idées empruntées à Gerlach, à Schullze, à Meyn
lluguenin, de Luys, sur la direc- tion et le parcours des faisceaux nerveux ne sont que des schémas imaginaires. Par quel
des schémas imaginaires. Par quels caractères propres la cellule nerveuse se distingue-t-elle, au point de vue objectif,
u point de vue objectif, des autres étémentsanatomiques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse une cellule
étémentsanatomiques des centres nerveux ? Golgi définit la cellule nerveuse une cellule munie d'un prolon- gement spécial;
elle est la nature de la substance qui forme le corps de la cellule nerveuse ? Selon Golgi, les carac- tères du proloplasma
a cellule qui environne le noyau. Les prolongements de la cellule nerveuse sont de deux sortes. L'un, toujours unique, nou
nous le répétons, et qui va constituer le cylindre-axe d'une fibre nerveuse à myéline, est le prolongement nerveux. Les aut
le cylindre-axe d'une fibre nerveuse à myéline, est le prolongement nerveux . Les autres, dont le nombre peut s'élever de tr
ongements protoplasmiques. Physiolo- giquement, toutes les cellules nerveuses sont donc uni- polaires ; ce n'est que morpholo
- tement, de manière à former un réseau inextricable de fibrilles nerveuses sans myéline, donnant naissance à leur tour à d
ner- veuses affecteraient deux modes de connexion avec les fibres nerveuses : d'une part, au moyen des pro- longements nerv
c les fibres nerveuses : d'une part, au moyen des pro- longements nerveux ou cylindraxiles ; de l'autre, au moyen des ram
, et les rapports fonctionnels des diffé- rentes régions du système nerveux . Malheureusement, les plus célèbres histologist
raître, avec un si puissant relief, les plus fines ramifi- cations nerveuses . Or, un examen minutieux de plu- sieurs centain
ontact'. » Selon Golgi, loin de donner naissance à un réti- culum nerveux , les ramifications des prolongements protoplasm
x, les ramifications des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses , dont l'orien- tation vers la surface des circo
ture purement trophique : ils serviraient à la nutrition du tissu nerveux . « Je pense, dit Golgi, que ces prolon- gements
a névroglie, le plasma nutritif arrive aux éléments essentiellement nerveux ; il serait du reste difficile de comprendre pa
e la matière nutritive arriverait à ces élé- ments. » Si les fibres nerveuses ne dérivent ni direc- tement ni indirectement d
moyen d'anastomoses directes, soit dans l'hypothèse d'un réticulum nerveux diffus. - Quelle est alors l'explication anatom
Quelle est alors l'explication anatomique de l'ori- gine des fibres nerveuses de la substance grise ? Com- ment s'établit ent
? Qua : .t à la première question, celle de l'origine des fibres nerveuses dans les diverses provinces du sys- tème nerveu
ine des fibres nerveuses dans les diverses provinces du sys- tème nerveux central, le prolongement nerveux, sans doute d'
es diverses provinces du sys- tème nerveux central, le prolongement nerveux , sans doute d'origine nucléaire, loin de se mai
rbores- cents dont la forme varie et sert à distinguer les fibres nerveuses en deux catégories bien nettes : 1° Les unes, t
ir, par ces ramifications secon- daires, à la formation d'un réseau nerveux qui existe dans toute l'épaisseur de la substan
rien affirmer, que ces innombrables ramifications de prolongements nerveux s'anastomosent entre elles pour former un vérit
ir le cylindre-axe d'une fibre à myéline, sont issues de cellules nerveuses qui rappellent celles des cornes anté- rieures
ieures et de la substance de Rolulldo. De là deux types de cellules nerveuses en rapport avec les deux catégories de fibres n
de cellules nerveuses en rapport avec les deux catégories de fibres nerveuses . Les cellules du premier type seraient motrices
olgi l'ex- plique encore par anastomoses reliant, dans son réseau nerveux diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des p
nerveux diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolongements nerveux moteurs des cellules du premier type avec celle
ype avec celles, en nombre infiniment plus grand, des prolongements nerveux sensilivo-sensoriels des cellules du deuxième t
attribuer, écrit Golgi, aux fibrilles qui, émanant du prolongement nerveux des cellules du premier type (supposées motrice
ans le réticulum diffus, constitué essentiellement de prolongements nerveux l'il, I PHYSIOLOGIE. des cellulules du deuxiè
astomoses directes des prolongements pro- toplasmiques des cellules nerveuses ou dans le réseau diffus, également hypothétiqu
prolongements protoplas- miques ». Mais l'idée d'une transmission nerveuse isolée, soit centripète,. soit centrifuge, entr
,. soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveuses centrales et péri- phériques n'a point de base
ques n'a point de base anatomique dans cette conception d'un réseau nerveux diffus de l'écorce constitué, non par l'anastom
stitué, non par l'anastomose des prolongements directs des cellules nerveuses , mais par les ramifica- tions ultimes de leurs
étendus. Telle est bien en effet la doctrine de Golgi. Chaque fibre nerveuse , loin de se trouver iso- lément en rapport avec
dus de cellules. Inversement, chaque cellule ner- veuse des centres nerveux peut être eu rapport avec LES FONCTIONS DU CERV
rine des localisations fonctionnelles, de voies de trans- mission nerveuse « électives », et de territoires cor- ticaux où
« électives », et de territoires cor- ticaux où certaines fonctions nerveuses « prévau- draient » , mais sans délimitation ri
ation rigoureuse. Enfin, les variétés morphologiques des éléments nerveux correspondent-elles à des fonctions différentes
l y ait à tenir compte de la forme ou de la grandeur des cellules nerveuses pour la connaissance de leurs fonctions. Certes
ain sur la fonction de telle cellule ou de tel groupe de cellules nerveuses , si l'on n'observe les rapports de ces élé- men
nt entre le volume des cellules motrices ou sensitives des ce tires nerveux , et la longueur du trajet qu'ont à parcourir les
in 1878. 176 G PHYSIOLOGIE. donc dans la nature des prolongements nerveux , et dans ses connexions anatomiques, non dans l
digne de foi. Ajoutez que, si la structure anatomique des cellules nerveuses ne saurait nous renseigner sur leurs fonctions,
ion physiologique quelconque. Dans toutes les régions des centres nerveux , les deux types de cellules qu'il a distingués
t, ne manque point de noter expressément que les petites cellules nerveuses globuleuses y prédominent, surtout dans le tier
ation susceptibles d'être notés. Quant aux fonctions des éléments nerveux de la FA et de la 0', il est clair que ces desc
pas d'autre moyen de déterminer l'activité spécifique des cellules nerveuses que l'étude de leurs prolongements nerveux. Arr
pécifique des cellules nerveuses que l'étude de leurs prolongements nerveux . Arrivé au terme de son ouvrage, dans un Append
faire à une cellule motrice, tant qu'on n'a pas vu son prolongement nerveux constituer une fibre des racines antérieures ?
la coloration noire la fine et délicate structure des élé- ments nerveux apparaît avec d'autant plus de netteté que les
de la nature physiologique des deux types différents de cellules nerveuses . Au lieu de dire, comme je l'ai fait jusqu'ici
u premier type sont en rap- port direct, non isolé, avec les fibres nerveuses ; je pourrai dire dorénavant, et avec toute rais
; je pourrai dire dorénavant, et avec toute raison : Les cellules nerveuses motrices [cellule nervose ntotuici) sont en rap
es fibres ner- veuses (du mouvement). » Quant aux autres cellules nerveuses , aux cellules du deuxième type, dont le prolong
es nerveuses, aux cellules du deuxième type, dont le prolongement nerveux se subdivise en fibrilles de plus en plus ténue
n fibrilles de plus en plus ténues, qui vont constituer le réseau nerveux diffus de l'écorce cérébrale, « elles peuvent d
Mais, de ces grandes études de Golgi sur l'histolo- gie des centres nerveux , se dégage une conception de la structure de l'
é; anatomiquement, les deux formes d'activité spécifique du système nerveux central ont un siège commun, où leurs éléments
'. » Cette thèse ne vaut point, à la vérité, pour tout le système nerveux central : Golgi reconnaît que les ré- gions mot
) - Archives ital. de biologie, Il, p. ? 93 sq. 182 PHYSIOLOGIE nerveux sous-jacents, comme essentiellement dis- tincte
a- tivité. En se différenciant, les différents centres du système nerveux central n'ont point conservé, comme on le voit
ative, dans le mode de répartition locale des deux types d'éléments nerveux admis par Golgi. Or, cet auteur a pu se convain
FONCTIONS DU CERVEAU. 183 gane auquel, périphériquement, les fibres nerveuses vont aboutir, et non par une spécificité d'orga
te de Vienne enseigne que « les énergies spéci- fiques des cellules nerveuses ne sont que le résultat des différences existan
aux des nerfs, et que la seule énergie spécifique de la cel- lule nerveuse , c'est la sensibilité (Empfindungsfâhig- keit)
es énergies fonction- nelles spécifiquement différentes. La cellule nerveuse ne possède qu'une seule énergie fonctionnelle :
s périphériques des sens, non aux énergies spécifiques des cellules nerveuses des diffé- rentes aires corticales du cerveau,
evrait être appelée « motrice », et non pas le nerf ni la cellule nerveuse qui innervent le muscle. Au point de vue phylog
renciées et transformées du tégument cutané, toutes les cellules nerveuses de ces organes sont la postérité des cellules é
de l'écorce cérébrale. L'hétérogénéité fonctionnelle des éléments nerveux qui constituent ces centres résulte déjà avec é
Wundt à ce sujet ne sont guère que celles de Meynert. Les éléments nerveux des centres de ' CI. Bernard. Leçons sur les ph
n mode uni- forme d'exatations. Mais, si la fonction des éléments nerveux d'un de ces centres vient à être inhibée ou abo
un de ces centres vient à être inhibée ou abolie, d'autres éléments nerveux de l'écorce seraient capables de la suppléer. A
ux de l'écorce seraient capables de la suppléer. Ainsi, une cellule nerveuse qui, eu vertu de ses connexions anatomiques, do
uire une sensation tactile ou musculaire. Il y a plus : une cellule nerveuse de l'écorce qui, par l'intermédiaire du réseau
une cellule nerveuse de l'écorce qui, par l'intermédiaire du réseau nerveux central, serait en rapport avec plusieurs nerfs
ndrait inutile l'hypothèse de toute fonction spécifique des centres nerveux corticaux. Cependant l'ablation des deux sphère
pour les fonctions de la sensibilité. Par exemple, si les cellules nerveuses des sphères visuelles n'ont rien qui les différ
tions dérive de la spécificité naturelle, non acquise, des cellules nerveuses centrales ? Un partisan des idées de Gudden, Au
dversaire de la doc- trine des anastomoses entre les prolongements, nerveux ou protoplasmiques, des cellules nerveuses, For
s entre les prolongements, nerveux ou protoplasmiques, des cellules nerveuses , Forel se demande pourquoi l'on continue à parl
rquoi l'on continue à parler de ganglions d'interruption des fibres nerveuses , de rapports des cel- lules nerveuses avec les
s d'interruption des fibres nerveuses, de rapports des cel- lules nerveuses avec les différents nerfs de sensibilité et de
différents nerfs de sensibilité et de mouvement, avec le réticulum nerveux de l'écorce, etc.2 Dans le muscle, la terminais
l n'est pas nécessaire que ces ramifications ultimes des éléments nerveux soient en continuité : il suffit qu'elles soien
ns continuité directe : il en pourrait être de même pour le système nerveux . » Puis, pourquoi parler de cellules motrices e
e, une cel- lule sensible périphérique, d'où sort un prolongement nerveux , comme' des cellules du premier type de Golgi :
est de cette cellule que part le nerf sensible qui gagne le système nerveux central, où elle se ter- mine, dans le réseau n
ne le système nerveux central, où elle se ter- mine, dans le réseau nerveux de l'écorce, en fines ramifications arborescent
es du deuxième type : la seule différence serait que la cel- lule nerveuse d'où sort la fibre sensible est périphé- rique,
n n'a point le droit d'appeler sensibles ou motrices les cellules nerveuses centrales. Seul, le mode de termi- LES FONCTION
rmi- LES FONCTIONS DU CERVEAU. 189 naison périphérique des fibres nerveuses paraît être décisif pour le diagnostic de leurs
; de cet auteur, touchant la struc- ture des fibres et des cellules nerveuses . Je ne veux que montrer, avec ses conséquences
gique de Golgi. Pour Nansen aussi, les prolongements des cellules nerveuses sont de deux sortes, nerveux et protoplasmiques
ussi, les prolongements des cellules nerveuses sont de deux sortes, nerveux et protoplasmiques : ceux-ci, orientés vers la
ner- veuses; il n'existe point d'anastomoses entre les cel- lules nerveuses au moyen de ces prolongements. Les prolongement
lules nerveuses au moyen de ces prolongements. Les prolongements nerveux , toujours uniques, ou con- servent leur individ
quelques ramuscules latéraux, vont constituer directement un tube nerveux , ou ils perdent leur individualité, et donnent
. Nansen a vu aussi, dans la moelle épinière des myxines, des tubes nerveux sor- tir directement des cellules des cornes an
des racines postérieures seraient formés de la réunion de fibrilles nerveuses . Avec Golgi, on peut appeler moteurs les premie
appeler moteurs les premiers, sensibles les seconds. Les cellules nerveuses n'ayant absolument aucun rap- port direct entre
lion des arcs réflexes et à l'importance physiologique des cellules nerveuses , ne peut plus se soutenir, du moment où ces der
'ont pas entre elles de com- munication directe, et où les cellules nerveuses cen- trales offrent tout aussi peu de communica
ales offrent tout aussi peu de communication directe avec les tubes nerveux sensitifs ou centripètes.» L'arc réflexe est co
es ramifications fibrillaires, passant directement dans le réseau nerveux central de l'écorce ; 2° par la propa- gation d
mission des stimulus jusqu'aux fins ramuscules laté- raux des tubes nerveux moteurs centrifuges. « Il suit que l'irritation
ise aux centres supérieurs sans passer directement par les cellules nerveuses . On peut admettre de la même façon, continue Na
tinue Nansen, que les impulsions volontaires, provenant des tubes nerveux qui émergent des centres supérieurs, se rendent
i émergent des centres supérieurs, se rendent directement aux tubes nerveux centrifuges des centres nerveux inférieurs sans
se rendent directement aux tubes nerveux centrifuges des centres nerveux inférieurs sans passer par les cel- lules nerve
ges des centres nerveux inférieurs sans passer par les cel- lules nerveuses de ces centres. Il est par conséquent impossibl
ntres. Il est par conséquent impossible d'admettre que les cellules nerveuses des centres nerveux inférieurs possèdent une im
uent impossible d'admettre que les cellules nerveuses des centres nerveux inférieurs possèdent une importance directe, au
olontaires, ce que l'on semble pouvoir appliquer aussi aux cellules nerveuses des centres supérieurs 1. » Quel est donc le
urs 1. » Quel est donc le siège de l'activité centrale du système nerveux , de l'intelligence, de la conscience ? 1 Fridti
lexité de structure de ce réticulum. Quant aux cellules des centres nerveux , déchues de leurs fonctions psychiques, devenue
entres trophiques, elles ne serviraient qu'à la nutrition des tubes nerveux et de leurs innom- brables ramifications arbore
la nature purement protoplasmique des prolongements des cellules nerveuses , à l'exception du prolongement nerveux unique,
olongements des cellules nerveuses, à l'exception du prolongement nerveux unique, ainsi que celle de la composition du ré
nt nerveux unique, ainsi que celle de la composition du réticulum nerveux central, sont naturellement très discutées. Koe
logique des circonvolutions. Que certaines catégories de cellules nerveuses l'emportent en ' nombre dans certaines régions
l'écorce soit en rapport avec le nombre et l'activité des cellules nerveuses qui les constituent, ce sont là, pour Seppilli,
iculté d'a- vouer que l'absence de transmission isolée des fibres nerveuses , qui communiquent entre elles dans le vaste rés
euses, qui communiquent entre elles dans le vaste réseau du système nerveux central et périphé- rique, est un fait incompat
4 PHYSIOLOGIE. plutôt avec le postulat, de la double transmission nerveuse (centripète et centrifuge'.) Les cliniciens d'I
ils être morphologiquement distincts ? Les deux sortes d'éléments nerveux de la sensibilité et de la motilité coexistent
ces centres corticaux, non pas sans doute au moyen de transmissions nerveuses isolées, mais en quelque sorte « électives ».
e de ceux qui ont un intérêt capital pour la physiologie du système nerveux , est le travail Sur les nerfs des tendons de l'
e et des autres vertébrés, où il faisait connaître un nouvel organe nerveux ter- minal musculo-tendineuz, découverte qui n'
au sujet de ces travaux que M. Ran- vier, parlant des terminaisons nerveuses sensitives, a écrit : « La découverte des organ
Dans ces corps, de nature tendineuse, pénètre toujours une fibre nerveuse qui se ramifie en nombreux rameaux. Golgi croya
e laboratoire de Golgi, par Alfonso Cattaneo, l'étude des organes nerveux musculo-tendineux nous paraît assez avancée pou
usculaire qui se contracte sont certainement transmises aux centres nerveux par des 1 Ranvier. Traité technique d'histologi
ne première hypothèse s'imposait touchant les fonctions des organes nerveux musculo-tendineux Si l'on considère, dit Cattan
ns musculaire, ils devront être en connexion intime avec des fibres nerveuses sen- ' A. Cattaneo. 5ugli organi nervosi termin
nsidérable, en rapport avec l'intensité de la contraction. La fibre nerveuse centri- pète qui se termine dans chacun des org
t qui en sort, excitée par cette modification, transmet aux centres nerveux une impression qui, si elle a une intensité et
ification produite dans le muscle n'a pas été transmise aux centres nerveux (interruption du courant centripète), alors, po
ogiques traditionnelles les résultats de l'anatomie fine du système nerveux '. Dans les corps striés comme dans les couches
gulièrement disséminées, et sans orientation spéciale. Les cellules nerveuses des corps striés, pyramidales, globuleuses on f
s des cornes antérieures de la moelle épinière. Toutes ces cellules nerveuses envoient un prolongement nerveux unique et de n
le épinière. Toutes ces cellules nerveuses envoient un prolongement nerveux unique et de nom- breux prolongements protoplas
- breux prolongements protoplasmiques (de 4 à 8). Le prolongement nerveux des cellules du premier type devient, on le sai
arborescentes qui vont former la plus grande partie d'un réticulum nerveux diffus. C'est au moyen de ce réseau fibrillaire
ions des prolongements protoplasmiques des deux espèces de cellules nerveuses , elles n'ont rien de commun avec ce réseau nerv
es de cellules nerveuses, elles n'ont rien de commun avec ce réseau nerveux ; elles se confondent avec les prolongements des
ue des fonctions trophiques. Du fait que les deux types de cellules nerveuses coexistent dans les corps striés comme dans les
est arrivé lui ont permis d'affirmer que « la structure du système nerveux central des vertébrés inférieurs ne diffère poi
es, ces recherches d'anatomie sur la constitution intime du système nerveux central sont à peine commencées. Ainsi, il ne s
e : il faudrait déterminer quelle est celle des couches de cellules nerveuses stratifiées, ou, si l'on veut, quelle est l'esp
uses stratifiées, ou, si l'on veut, quelle est l'espèce de cellules nerveuses , pyramidales, globuleuses, fusiformes, qui conc
constitution histologique de la Fi =. Des trois sortes de cellules nerveuses morphologiquement distinctes que Golgi, comme s
quoique assez rares relati- vement, les autres espèces de cellules nerveuses ne laissent pas de se rencontrer en particulier
a subs- tance blanche. En somme, cette disposition dès-élé- ments nerveux correspond toujours « en partie », Roscioli l'a
t et de Betz. Qu'il n'existe point de stratifications de cellules nerveuses au sens rigoureux du mot, à la bonne heure; mai
circonvolution, confondues avec les deux autres formes de cellules nerveuses . Soit; mais si l'on constate que les premières
nd, fort, brun, sobre, d'un caractère doux, n'ayant pas d'accidents nerveux . Il est mort en 1873, à de quarante-cinq ans, d
ues vertiges très fugaces. Elle exciterait donc quelques phénomènes nerveux artificiels, analogues aux spasmes morbides ; c
dies des femmes qu'on désigne, faute de mieux, sous les noms d'état nerveux , état spasmodique, etc. Elle possède une action
d'ailleurs si l'on se conforme aux indications REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ami qui viennent d'être énoncées et si l'on ag
et faciliter la tâche du personnel. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Sur l'alternance des névroses; par G.-H. SAV
premier abord, ne paraissent avoir aucune connexion avec le système nerveux . 1° Tout le monde sait qu'un père aliéné peut a
e d'un membre guérir Archives, t. XIX. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pendant un accès de folie ; dans plusieurs cas
il ne s'ensuit pas nécessairement que cette dernière soit de nature nerveuse ; l'auteur pense toutefois que si cette alterna
ent, elle constitue au moins une présomption en faveur de la nature nerveuse de l'affec- tion qui remplace la névrose. Le rh
alisation goutteuse, il y a une intoxication du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 241J sang qui peut expliquer l'éclosion des tr
utre, les accidents diabétiques peuvent alterner avec les accidents nerveux . - Pour compléter cette étude, il faut ajouter
es de l'existence d'une tumeur. R. M. C. 41.. ` REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . IV. Observation de cécité TOTALE par lésion co
V. Contribution : 1 L'ÉTUDE des affections syphilitiques DU système nerveux central avec quelques REMARQUES sur LA POLYUROE E
ite et névrite noueuse des deux oculomoteurs communs et des racines nerveuses de la moelle. Intégrité du cer- veau ; légère m
perplasie de petites cellules autour du canal central. Les cellules nerveuses sont indemnes. Endartérite fibreuse de l'aorte
atrices multiples dans le foie ; gommes hépati- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 245 ques. On n'a pas trouvé le bacille de la s
côté, on se rappelle que le pneumogastrique se rattache aux tractus nerveux qui relient physiologiquement le quatrième vent
esquelles nous cueillons le principal. La forme de dégénérescence nerveuse la plus simple et la plus habituelle que l'on r
jonctive si fortement vasculaire que l'éloiiifeiiieiit des éléments nerveux s*ellectue très promptement; 246 REVUE DE PATHO
éments nerveux s*ellectue très promptement; 246 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mais ces faits, rares dans le tabès, s'appliqu
édiaire aux cordons antérieurs et postérieurs). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 247 L'intégrité de la sensibilité tactile et d
s, dissociées et non atrophiées. P. K. IX. Travaux sur LE système NERVEUX parus dans LE « Finska LARARIsS.ILLS6A1'ETS IiA
ropsie et étude histologique. Intégrité de '248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . la moelle et des racines antérieures. Dégénére
simultanément sur les cel- lules des cornes antérieures, les fibres nerveuses , motrices périphéri- ques, les plaques terminal
phénomènes physiologiques qui président à la fonction des cellules nerveuses . De nouvelles recherches s'imposent en ce sens.
ir ses attaques , il semblait qu'alors elle fût char- gée de fluide nerveux ; quand on procédait aux expériences en questio
t apprécié des individus qui, affectés de névralgies et de malaises nerveux agaçants avaient passé souvent de longs mois sa
ue les faisceaux de Goll. Il existe aussi une atrophie des cellules nerveuses multipo- laires des cornes antérieures; il est
tinguer la maladie qui nous occupe des autres affections du système nerveux et de lui créer une place à part. M. BUCHHOLZ (
IMER (d'IIeidelher). De la constatation chez les embryons de fibres nerveuses non entre-croisées dans le chiasma du nerf opti
rrêt de l'intestin tandis que de fortes doses paralysent ces filets nerveux . Il en est tout autrement chez l'homme; chez lu
ès se sépare après avoir visité le nouveau sanatorium pour maladies nerveuses , construit par M. Schneider (de Ba.de-les- Bain
d'un morphinisme. - C'est une observation d'accidents d'épuisement nerveux tenant au surmenage du système cérébro-spinal c
uit jours apparaît un accès vespéral d dyspnée accom- pagné de toux nerveuse ; on remplace la morphine par 8 grammes de K Br
rologies M. le Dr ROSENTHAL, professeur extraordinaire des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Vienne, mort d'urém
sans compter de nombreux mémoires sur divers sujets de pathologie nerveuse . M. le Dr DANis, médecin directeur de l'asile deS
Professeur, extraordinaire en il Il fit des cours sur les maladies nerveuses et cérébrales; en 1874, il fut nommé professeur
la paralysie générale des aliénés et à divers sujets de pathologie nerveuse ; il a décrit le premier l'agoraphobie. On conna
89. - Librairie J.-B. Baillière et fils. CliATIN (J.). La cellule nerveuse . Etudes d'histologie zoologique sur la forme di
rt. ED1VARIS (B.-A-.). - De l'hémiplégie dans quelques aff'eeLiult' nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en pl
médical. FALRET(J.). Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses . Volume in-8 de 623 pages. Prix : 8 fr. - Paris
39o. Vol. XIX. Mai 1890. N, 57 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE,. - M. CHARCOT SUR
des relations qui exis- tent entre certaines affections du système nerveux et le diabète. C'est un sujet très compliqué, s
n 1 Leçon du 13 décembre 1889. Archives, t. s1. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE . effet le moment où venaient d'être introduites
urie, même dans la glycosurie diabétique, une affection des centres nerveux et de chercher à démon- trer dans ces cas l'exi
demment secondaire et n'est pas le point 1 Bernard et -Des troubles nerveux observés chez les diabétiques Arch. de Netrol.,
diabétiques Arch. de Netrol., 1883, t. IV, p. 336.) 308 CLINIQUE NERVEUSE . de départ du diabète. Remarquez qu'on ne préte
abète. Remarquez qu'on ne prétend pas ici qu'une lésion des centres nerveux placée comme il faut, un foyer du plancher du q
On tentera peut-être d'objecter que certains troubles du système nerveux sont capables de provoquer l'ap- parition du di
de ceux où la glycosurie est consécutive à une lésion des centres nerveux . Mais ceux-ci doivent former une classe à part,
diabète vrai qui est le point de départ de la lésion des centres nerveux . Il ne s'agit plus ici de glycosurie, mais du d
se demander quel est le méca- nisme de la production de ces lésions nerveuses secon- daires dans le diabète. Sont-ce des alté
depuis longtemps reconnu chez ces malades l'existence 310 CLINIQUE NERVEUSE . de la claudication intermittente, produite par
we;< ! < ? e)'< : . lalellbl., 1885, n° il. 312 CLINIQUE NERVEUSE . Il ne faudrait pas prendre au pied de la lettr
'il aurait fallu dire. Traitant de l'étude des lésions du système nerveux en général, dans ses rapports avec le diabète e
ent des sciences, Congrès de Blois. septembre 1884.) 314 CLINIQUE NERVEUSE . ques ressemblent aux tabétiques. Mais pourquoi
tent l'existence dans le diabète d'une forme paraly- 316 CLINIQUE NERVEUSE . tique ou mieux paraplégique et plus précisémen
lysie musculaire portant principalement sur les exten- 318 CLINIQUE NERVEUSE . seurs du pied, de telle sorte que l'avant-pied
t bu, il était sujet à des crampes. - Mère, morte hydropique, pas nerveuse . frères et saurs, dont le premier n'a pas été c
bres supérieurs. Pas de douleurs à ce niveau. Pas de 320 0 CLINIQUE NERVEUSE . maux de tête. Rien du côté de l'estomac. Troub
urbes qui sont reproduites ici. Archives, t. XIX. 21 322 CLINIQUE NERVEUSE . comme énormes. D'après Bouchardat en effet les
ble- ment parvenue à un haut degré de développement. 324 CLINIQUE NERVEUSE . Vous voyez à quel point cela ressemble à la pa
3 Vous vous rappelez sans doute un malade fort inté- 326 CLINIQUE NERVEUSE . ressant que je vous ai montré il y a trois moi
malade rendait jusqu'à 180 grammes d'urée par jour. 328 ' CLINIQUE NERVEUSE . Aujourd'hui il n'en excrète plus guère dans le
pérature n'est nullement augmentée dans la région à 330 CLINIQUE NERVEUSE . ces moments et même bien souvent, il sent ses
e aussi les progrès récents de la technique histologique du système nerveux ont rela- tivement facilité notre tâche. Nous
ur est morte jeune, nous ne savons de quelle maladie. La mère est nerveuse , impressionnable; elle a eu vers l'âge de 30 an
sives qui paraissent être de nature hystérique. Pas d'antécédents nerveux à signaler du côté du grand-père et de la grand
lose pulmonaire dont on trouve des lésions très avancées. , Système nerveux . - Les méninges cérébrales non plus que le cerv
cellentes préparations. De plus, comme par ce procédé, les cellules nerveuses se décolorent complètement, on peut employer po
tra-médullaires présentent une sclérose assez avancée; leurs fibres nerveuses ont des diamè- tres inégaux, plusieurs ont disp
généré montre à sa base une disparition presque complète des fibres nerveuses tandis que son sommet offre une structure presq
ce des racines postérieures contient un plus grand nombre de fibres nerveuses que dans la région lombaire. Il existe de mème
la région lombaire. Il existe de mème une augmen- tation des fibres nerveuses dans les parties du cordon de Bur- dach qui côt
t qui existe, à ce niveau, à l'état normal. La plupart des cellules nerveuses ont disparu. Celles qui subsistent sont diminué
galement atteintes. Les cordons de Goll sont plus pauvres en fibres nerveuses que dans la région lombaire. La partie des co
ve des globules hyalins fortement colorés et deux ou trois cellules nerveuses pâles, atrophiées et sans prolongements. Régi
erne de Westphall présente une diminution considérable des fibres nerveuses . Les cordons de Goll sont surtout altérés dans le
cipalement dans leur partie cenlrale où l'on ne voit plus de fibres nerveuses . Il reste encore deux ou trois cellules sans pr
rdons de Goll. Même dans son tiers postérieur, le nombre des fibres nerveuses n'est pas accru. Quant au cordon de Burdach. on
e bande de tissu très peu altéré. La partie la plus riche en fibres nerveuses est celle du tiers antérieur. Région cervicale
corne antérieure. Le cordon de Goll est un peu plus riche en fibres nerveuses . Le faisceau pyramidal présente un minimum d'al
moyenne, et ce faisceau offre seulement une raréfaction des fibres nerveuses dans son tiers postérieur. La sclérose occupe p
à fait normaux ; on y constate une disparition de quel- ques fibres nerveuses ; et aussi (lésion peu importante du reste) des
ion des pyramides, on observe une diminution peu marquée des fibres nerveuses des pyramides postérieures et une altération mo
s'arrêter. L'examen microscopique a démontré l'atrophie des fibres nerveuses des cordons postérieurs à la place desquels on
dégénérescence fibreuse des fibres cardiaques. Examen des centres nerveux pratiqué par Schüllze. Il donne les ré-uttats s
et gauche. Ce dernier est atteint inégalement. Le nombre des fibres nerveuses est considérablement réduit dans les cordons po
postérieurs et des faisceaux pyramidaux avec destruction des fibres nerveuses des cordons postérieurs s'étendant un peu aussi a
maladie semble pluLôt démontrer un vice de développement des tubes nerveux et des cellules dans certaines parties bien déf
colonnes de Clarke. Dégénérescence de quel- ques fibres des racines nerveuses postérieures et dans d'autres coupes des cornes
s postérieur, et moyen on trouve seulement çà et là quelques fibres nerveuses dans une substance conjonctive fibril- laire.
égion dorsale. Dans les parties sclérosées elles-mêmes, les tubes nerveux ont disparu, en plus ou moins grand nombre, mai
cependant même dans les endroits les plus altérés. Parmi les tubes nerveux qui subsistent, certains se font remarquer par
s noyaux de la gaine myéliuique. La seule altération des cellules nerveuses qu'on puisse constater est celle des cellules d
celui de la pie-mère, qui étouffe par son développement les tubes nerveux . Il s'agit en réalité dans la maladie de Friedr
es qui produisent non seulement l'atrophie et l'altération du tissu nerveux , mais corré- lativement le remplacement du même
ryonnaire, qui sous le coup d'une nutrition normale évolue en tubes nerveux sains, ne peut plus, dans le cas que nous consi
taient atteints, comme simulateurs. Dans la clinique des maladies nerveuses de notre excellent maître Charcot, nous avons i
stion dont la solution est une des plus difficiles de la pathologie nerveuse ; et, quoi- que l'idée d'apporter un éclaircisse
otiques comme dépendant du défaut d'association entre les centres nerveux . Ainsi les conditions essentielles de la per- c
missure postérieure, il existe une zone peu étendue où les fibres nerveuses sont bien conservées. En oulre, à la partie ext
ar une teinte noire et l'examen microscopique montre que les fibres nerveuses y sont relati- vement bien conservées. La moi
mi- croscope fait constater une raréfaction manifeste, des fibres nerveuses . Le foyer de dégénérescence dans les cordons laté
nt par le fait qu'elle atteint des groupes bien définis de fibres nerveuses , mais encore, parce qu'elle se retrouve avec le
de pair avec les autres désordres. En ce qui concerne le système nerveux , il s'agit d'un tabès à marche ascendante (par le
atiquement. C'est pourquoi on ne constata pas d'atrophie des fibres nerveuses intracorticales. (Techniques d'Exner et de Tucz
phie symétrique de la calotte crânienne sous l'influence du système nerveux . - L'atrophie de la calotte crânienne se ren- c
poraux ont été atteints d'enfoncements semblables. C'est au système nerveux qu'il convient d'en imputer la genèse. 3° M. Ro
d'argent imprègnent le réseau lymphatique qui enserre les cellules nerveuses , les cellules de la névroglie, et les prolongem
(de Iéna). De quelques détails de structure des fibres et cellules nerveuses . Il existe actuellement trois opinions sur la c
nt trois opinions sur la constitution du cylindre-axe ou des'fibres nerveuses . D'après l'une d'elles, le cylindre-axe se comp
des mailles du réseau en question. Dans le corps même des cellules nerveuses multipolaires on trouve des fibrilles qui émane
nucléaire et protoplasmique ; elle est, notamment dans les cellules nerveuses de la rétine et des cornes antérieures, perforé
- glion étoilé de la seiche (élédone). Communication des cellules nerveuses entre elles, connexion des cellules nerveuses a
nication des cellules nerveuses entre elles, connexion des cellules nerveuses avec la substance grise, les cellules du tissu co
es du protoplasme et du SOCIÉTÉS savantes. 409 noyau des cellules nerveuses ou autres étaient reliées entre elles par des s
lus, la paroi des capillaires de la substance grise et les cellules nerveuses émettent des fibrilles exactement semblables, M
a voici : En quoi cette structure intime des fibres et des cellules nerveuses intéresse-t-elle la conductibilité et l'activit
articularités. Les rapports des ramifications terminales des fibres nerveuses avec les appareils de terminaison du système se
isageons les fibres des muscles striés. Le cylindre axe de la fibre nerveuse après avoir pénétré le sarcolemme se divise en
De cette description il appert que les fibrilles des terminaisons nerveuses conduisent et les impressions centripètes et les
indres-axes et que les cylindres-axes s'abouchent dans les cellules nerveuses , il s'agit de savoir quels sont les éléments du
illes cylin- draxiles qui continuent les fibrilles des terminaisons nerveuses et que les éléments fibrillaires des cellules n
erminaisons nerveuses et que les éléments fibrillaires des cellules nerveuses et de la subs- tance grise jouent le même rôle
sultante d'un processus dégéné- ratif s'étendant depuis l'extrémité nerveuse lésée jusqu'à l'encé- phale, mais bien le fait
Ils ont recours aux injections de morphine pour calmer leur état nerveux ; ils se font de 10 à 20 injections de morphine p
fr. 35. EDV.1RD5 (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections nerveuses (Alaxie locomotrice progressive, sclérose en pl
llorsley. 235. Naphtolisme, 296. Nécrologie, 158, 300, IJ.3 \.. Nerveuses (structure des fibres et cellules), par rromman
pathique (galvanisation du), Engelskaen, 110. Sy plUis du système nerveux cen- tral, pai Buttersack, 2H, Système nerveu
y plUis du système nerveux cen- tral, pai Buttersack, 2H, Système nerveux (évolution et dis- solution du), par Hugtings J
4 (1897) Archives de neurologie [2ème série, tome 04, n° 19-24] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ne). F. RAYMOND Professeur de clinique des mendies du système nerveux à à la Faculté de médecine de P.iris. COLLA
Vol. IV. Juillet 1897. N° 19. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE . UN CAS DE GLIOME VOLUMINEUX DU CERVELET. \ ?
anente dans la fixation Archives, 2e série, t. IV. 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE . du regard ci gauche et en haut. Névrite optiqu
nt tortueux, très turgescents, d'apparence variqueuse. 4 PATHOLOGIE NERVEUSE . 0. G. Cornée, normale. Pupille très large, imm
x tiers moins volumineux que le droit. A, Amygdales. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . le bord interne du lobe temporo-sphénoïdal qu'
en visibles sont arrondis ; ces cellules sont séparées par du tissu nerveux ; 2° On constate des vaisseaux sous forme de.la
régulière, présentent des amas de granula- tions ocreuses (cellules nerveuses dégénérées) ? En résumé, d'après les caractères
ces divers points une sclérose légère, avec raréfaction des fibres nerveuses facilement appréciable. Nerfs acoustiques. - Po
de l'écorce frontale gauche, traitées par les procédés 8 PATHOLOGIE NERVEUSE . de technique habituels, ne présentent pas de d
leux. (Progrès médical, 20 janvier 189r, et Leçons sur les maladies nerveuses .) 2 Blin. Bulletins de la Société analomique, 1
Traité des maladies de l'ettcéphale. Trad. Keraval. 10 PATHOLOGIE NERVEUSE . lapapille. Bourneville et Isch-Wall' notent da
ment pas aux symptômes rele- ' Notlinagel. p. 1 48. 12 PATHOLOGIE NERVEUSE . vant de la protubérance » ; mais l'absence de
thèse de Paris, 1869. Lelarge, thèse de Paris, 1885. 14 PATHOLOGIE NERVEUSE . la papille de l'oeil gauche présentait à l'exa
ébrale de tous les vertébrés inférieurs est pourvue de ces éléments nerveux . L'observation nous indique qu'au sur et à mesu
aduellement dans son volume. Il est plus probable, que la substance nerveuse a la faculté de produire de nouvelles excroissa
vie psychique en procès d'association. Puisque la quantité d'unités nerveuses reste la même chez l'adulte, et puisqu'il suffi
parviennent. Il est très probable, que le développement des fibres nerveuses devance quelque peu la formation de nouveaux bo
e l'écorce cérébrale une interruption de la transmission du courant nerveux , amenée, par exemple, par la diminution et la c
brale; mais peut se rapporter aussi à toutes les régions du système nerveux périphérique et central. Nous ne pouvons donc p
dire, la fermeture de la chaîne interrompue,qui transmet le courant nerveux , et la disparition des idées causer l'ouverture
d'interruption sus-mentionnée entre les prolongements des cellules nerveuses . Le sommeil amène un relâchement général de la
e se pro- duise pas durant le sommeil de disjonction de la chaîne nerveuse , il est probable que le mode de connexion des den
re à une vibration cérébrale renforcée, c'est- à-dire, à un courant nerveux plus tendu, qu'aux impulsions faibles et moins
ste toujours sous l'influence stimulante des impulsions de la fibre nerveuse , avec laquelle elle entre en contact. Cette in-
modifie selon la force de la vibration moléculaire. Si le cou- rant nerveux est fort et si la dendrite est stimulée davantage
cule protoplasmique ne réussit pas à s'adapter à la force de l'onde nerveuse il peut arriver, que la tension du courant nerv
force de l'onde nerveuse il peut arriver, que la tension du courant nerveux sera grande, et la voie conductrice trop petite
ontradictoires. Nous connais- sons mieux les altérations du système nerveux central, que nous observons dans les affections
tout d'abord les ramuscules terminales des dendrites et des fibres nerveuses de développement postérieur, comme formations m
vons constater des altérations visibles et indiscutables du système nerveux , nous pouvons bien souvent observer, outre l'af
lindraxiles, se détruisent rapidement. Par conséquent, la substance nerveuse de l'individu donné se montra incapable de prod
MIE PATHOLOGIQUE. velles voies durables, pour les nouveaux courants nerveux . Bien que les nouvelles images et les nouvelles
provoquent un renforcement de la vibration moléculaire des éléments nerveux et bien que leurs traces se conservent dans l'é
ne tension et de certain tonus. La fonction insuffisante des fibres nerveuses entraine la destruction continuelle de nouveaux
cessent de se former uniquement à cause de la faiblesse des fibres nerveuses terminales. Il existe en outre, du moins dans c
ticulier, devient incapable de s'adapter régulièrement aux courants nerveux que lui trans- mettent les fibres cylindraxiles
ns jusqu'à un certain point, nous expli- quer pourquoi les courants nerveux ne suivent pas leur marche régulière. Un plus g
corps d'un autre. Bien que ce mode de connexion entre les unités nerveuses soit un phénomène habituel et très répandu, il
l se trouve, qu'il existe des neurones qui sont dépourvus de fibres nerveuses et qui ne possèdent que des prolongements proto
ver des connexious à l'aide des dendrites seules entre des éléments nerveux , auxquels le prolongement pro- toplasmiquene ma
non plus nier, que des liens entre des neurones à l'aide des fibres nerveuses terminales sont aussi possibles. Somme toute, n
OMIE PATHOLOGIQUE. ment protoplasmique commun , tandis que la fibre nerveuse part d'une des deux cellules. Ce seront des neu
ouplés de M. Renaut. Les liens de cette espèce entre les éléments nerveux con- duisent M. Renaut à modifier la doctrine d
ts nerveux con- duisent M. Renaut à modifier la doctrine des unités nerveuses isolées auxquelles il applique le terme d'idion
davantage les phénomènes de l'accumulation et décharge de l'énergie nerveuse . L'opinion de M. Renaut demande à être confirmé
pement ultérieur de nos connaissances de la texture fine du système nerveux ; mais dans tous les cas la théorie que nous ve
iginale sur les faits qui se rap- portent au mécanisme des éléments nerveux . Dans la seconde moitié de notre mémoire, nous
ysique; 2° par la faiblesse de l'intelligence ; 3° par des troubles nerveux passagers ou durables; 4° par une tradition hér
itue toujours une grande cause d'insuccès. L'influence du système nerveux sur le résultat d'une opération n'est pas moind
n de l'activité vitale, causée par un état d'épuisement des centres nerveux et surtout du grand sympathique qui gouverne le
ne, Détroit, novembre 1896.) L'électro-diagnostic dans les maladies nerveuses permet de dire si la lésion intéresse ou non le
Une lésion de ce neurone a pour effet la dégénérescence des fibres nerveuses et des muscles, en détruisant leurs centres tro
e l'électricité dans le traitement des diverses maladies du système nerveux , tant organiques que dynamiques. Dans aucune
ne prouve que l'électricité puisse hâter la régénération des fibres nerveuses . L'électrothérapie joue un grand rôle dans le t
ue de 100 ampères). Les céphalées des neurasthéniques et des sujets nerveux sont souvent très amé- liorées par un faible co
le avoir été la cause déterminante de la folie, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 47 ensuite parce que l'ablation de la tumeur a
la démence progressive. R. DE IUSGRAYE-CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Sur un cas DE maladie DE LITTLE; par M. lep
ité spasmodique des muscles dans cer- taines affections des centres nerveux est un sujet sur lequel M. le professeur F. Ray
touchent. Il est impossible d'écarter les 48 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . cuisses, les mouvements de la jambe sur la cui
cou-de-pied sont totalement abolis et Fig. I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 49 la résistance qu'oppose l'état spasmodique
re. Archives, 2e série, t. IV. - l'i ? 2. ù REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . P1-1. 3. La malade peut marcher en se ser-
n re- trouve des troubles analogues au bord REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 51 interne du bras gau- che et au niveau de
de varia- bilité et de leur ah- l'ig. 4. 32 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sence possible, furent au contraire placés au
ts nés avant terme, c'est-à-dire avant que soit REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Où achevé le développement des faisceaux pyram
losion d'une rougeole en juillet dernier. S4 1. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . A ce moment la partie inférieure du visage ava
idation spinale (fig. 5, 6 et 7). Fi.']. 5. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ss Aux membres supérieurs parésie, contracture
ments étaient douloureux et que Fifl. 6. 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . même au repos la malade ressentait de vives do
i se borne il prescrire un traite- Fig. 8. 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ment local, les mouvements des lèvres, de la l
des faisceaux blancs. Les négations de Vulpian, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . raz de M. Déjerine ne sauraient aller contre l
le type Aran-Duchenne, la maladie de Charcot 60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ajoute d'abord la dégénération du neurone supé
ue atteint d'amaurose de l'oeil droit, cet oeil REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Cl restant ouvert, si l'on en supprime et réta
palpitations cardiaques neuropa- thiques. 62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . VU. Assistance DES aliénés par l'état, dans l'
ndre un peu le nombre de demandes d'appel, il a REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 63 i), été décidé qu'avant que pareil appel pu
t libres et entourés de soins bienveillants. 64 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sous le nom d'Hôpital des Innocents. Tout alla
du régime des asiles même les mieux aménagés de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 65 la plupart des pays d'Europe. Aux yeux des
t de l'année 1893, à l'entré du malade à la clinique des maladies nerveuses , on constata : un abaissement de la paupière supé
née 1894, lorsque la malade fut placée à la clinique des mala- dies nerveuses , outre les phénomènes déjà décrits, on constata l
e. Ces changements, sont exprimés parle même épuisement de la force nerveuse ; cet épuisement est un symptôme le plus caract
de paralysie asthénique des degrés différents de lésion des centres nerveux sont possibles et que l'atrophie peut se manife
s procès morbides en même temps dans différentes régions du système nerveux , et prouvent la possi- bilité de coexistence de
r morbide, mais encore dans différentes autres régions du système nerveux central. M. `ŸEIDENH11)1GR trouve possible, que
érie, t. IV. 6 BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des maladies du système nerveux (2° série); par le professeur RAYMOND (1897. 0.
ue par d'autres auteurs. L'étude de l'histologie fine de la cellule nerveuse , les recherches expérimentales mon- trant que l
mentales mon- trant que la lésion d'un nerf retentit sur la cellule nerveuse d'ori- gine, ont changé singulièrement la face
auto-intoxication, ou d'une infection. Mais c'est la prédisposition nerveuse qui entraîne la localisation de l'agent toxique
euse qui entraîne la localisation de l'agent toxique sur le système nerveux . De cette étiologie découle le traitement. La p
), de la respiration, de la sécrétion urinaire, du foie, du système nerveux . Le chapitre IV (Anatomie pathologique et local
DE médecine. Moscou, 7-14 (19-26) août 1897. Section des maladies nerveuses mentales. Comité d'organisation. Les gérants :
Serbski (Moscou). VARIA. 91 Programme préliminaire. A. Maladies nerveuses . Thèmes de programme : 1. Pathologie de la cell
ladies nerveuses. Thèmes de programme : 1. Pathologie de la cellule nerveuse (Anatomie fine et lésions pathologiques). Rapport
prévu : V. Gehuchten (de Louvain) : « L'anatomie fine de la cellule nerveuse . » Communications annoncées : Pr Ch. Dana (de N
dans une séance, que tiendront en commun les sections des maladies nerveuses et de chirurgie. Traitement opératoire des mala
. - Archiv. sur Psychiatrie. GLnvrewv (L.). Chirurgie des centres nerveux . - 111-81 (le 300 pages, avec 2j, figures. Pari
96 AVIS A NOS abonnés. RAYMOND. Clinique des maladies du système nerveux (hospice de la Salpêtrière, 1895-1896; 21 série
791. Vol. IV. Août 1897. N° 20. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . CLINIQUE médicale DE l'hôpital SAINT-ELOI DE M
édicale DE l'hôpital SAINT-ELOI DE MONTPELLIER. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ET SCLÉROSE MULTIPLE DISSÉMINÉE ; Par le prof
rap- ports qui existent entre certains cas de maladies du système nerveux et la maladie que nous avons étudiée ensemble il
, 1" série, p. 28 à 187. Archives, 2''surie, t. IV. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE . vation, presque de création, est caractérisée
Avant cela, la grosse anatomie et la physiologie normale du système nerveux s'étaient établies, surtout depuis Ch. Bell et
et en déduit tout ce que vous savez pour la géographie du système nerveux . Cette méthode a été si puissamment féconde que
vertes de l'histologie la plus délicate sur la structure du système nerveux . Cependant le côté éliologique et nosologique r
e côté éliologique et nosologique reste très en MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 9 lui retard et, chose remarquable, à une époq
ait pour l'étude étiologique et nosologique des maladies du système nerveux ? D'abord on a adopté la vieille et juste idée
lis et son influence sur le déve- loppement des maladies du système nerveux . C'est là une grosse question très fouillée et
sations syphilitiques vraies, directes et complètes, sur le système nerveux , comme le chapitre des localisations tuberculeu
me appareil, est distinct et séparé du bloc des maladies du système nerveux . Quand la syphilis envahit la neuropathologie o
iscuterons, mais qui met un peu les maladies vul- gaires du système nerveux hors du domaine de la syphilis ordinaire. Puis
ues, in Clin, (les du syst. nerf., 9c série, lss7. , iuo CLINIQUE NERVEUSE . tables à une intoxication ou à une infection u
musculaire progressive, p.31 I « « L'étiologie MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 101 est fort obscure. Sclérose latérale amyotr
être intéressant d'étudier les rapports de ces maladies du système nerveux avec une autre maladie plus générale : la sclér
entre la sclérose multiple disséminée et les maladies du système nerveux . Voici d'abord un fait que vous avez observé au
che pour le biceps. Il n'y a pas de réaction de MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 103 dégénérescence. Cette association de l'amy
ic de sclérose latérale amyotrophique. Voilà une maladie du système nerveux bien caractérisée. Si maintenant nous poursuivo
eux, in Lef. (le clin, méd., 1" sétic, 1891, p. 522. 104 CLINIQUE NERVEUSE . râles ronflants et sibilants disséminés. Les c
c'est-à-dire que le tissu névroglique ne parait MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 105 s'allumer que de seconde main pour remplir
érose multiple disséminée avec l'ensemble des maladies du système nerveux . Pour le moment, enregistrons des matériaux doc
faire rentrer dans la sclérose multiple disséminée un des syndromes nerveux anatomo-cliniques les plus obs- curs au point d
tel-Dieu) : arthritisme. -Avril 1895, Cornil (Hôtel- 106 ' CLINIQUE NERVEUSE . Dieu) : encéphalomyélite. - Juillet 1S95, Babi
ôté du tube digestif nous trouvons une gastrite MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . toi chronique avec dilatation de l'estomac : d
1010 et leur teneur en azote très faible ; 5° L'examen du système nerveux nous montre des troubles multiples. La mémoir
ypesthésie de la cornée. A la face dorsale du deuxième 108 CLINIQUE NERVEUSE . orteil gauche existe une ulcération assez prof
e, sur les cornes antérieures de la subs- tance grise. DU SYSTÈME NERVEUX . 109 On peut rapprocher de notre cas le suivant
ans, qui depuis quel- ques années présenté quelques vagues troubles nerveux et depuis quatre ans un diabète d'intensité moy
as cirrhose, (le-1. 7t ? i Wocli, 1896, p. ` ? oui,) Il (1 CLINIQUE NERVEUSE . n° 33 de la salle Fouquet un tabétique très cu
u sy ? ncit'. : malud. de la moelle, 181 ! ). ' MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 1 I 1 rieure et médiane des circonvolutions de
t souvent chez le même sujet d'autres syn- dromes anatomo-cliniques nerveux qui correspondent à d'autres foyers disséminés
i correspondent à d'autres foyers disséminés de sclérose du système nerveux ; 3° au tabès on trouve également associées che
traitement du tabes au Congrès de Moscou (1897). 11 : 2 CLINIQUE NERVEUSE . De plus, si l'on peut placer dans ce protoneur
ent souvent chez le même sujet d'autres syndromes anatomo-cliniques nerveux qui corres- pondent à d'autres foyers disséminé
rres- pondent à d'autres foyers disséminés de sclérose du système nerveux . Ce sont d'abord les polynévrites dont nous ven
ch. de Xeurol., 1887, XI, 15G et 380; XII. 27.) MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 113 3. Au tabes on trouve également fréquemmen
ez le même sujet diverses scléroses d'organes autres que le système nerveux . Nous trouvons d'abord le coeur des tabétiques.
méd., 1880, XLIV, 483). Aucuives, 2e série, t. IV. 8 114 CLINIQUE NERVEUSE . D'autres causes collaborent souvent avec la sy
c, après les atrophies musculaires, un deuxième MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . '1 1 5 grand exemple de syndrome anatomo-clini
inée, de l'autre de la localisation de cette maladie sur le système nerveux . Personnellement : cet homme à l'âge de vingt e
gourdissent facilement ; et les crampes sont fréquentes Ho CLINIQUE NERVEUSE . dans les mollets. Il n'y a ni paralysie motric
s d'une myélopathie ; il y a de la douleur à la pression des troncs nerveux , etc. Mais à côté de cela, notre homme se lève
Leçons de clin, méd., 3° série, 1897, p. 301. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 117 une infection pneumococcique aiguë pourra
minée. Ces causes deviennent ainsi celles des maladies du système nerveux que nous rattachons à la sclérose multiple diss
e. 1 Leçons de clin, méd., 2c série, 1890. p. 671. 118 8 CLINIQUE NERVEUSE . Tout ce que nous venons de dire de la moelle o
amment étayé ma thèse : dans beaucoup de cas de maladies du système nerveux il y a en même temps de la sclérose multiple di
: la slcérose multiple disséminée. Les diverses maladies du système nerveux sont donc de plus en plus, suivant une idée que
ons sur les maladies du système raer- veux. , MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 119 D Il va sans dire que tout ceci ne s'appli
D Il va sans dire que tout ceci ne s'applique qu'aux syn- dromes nerveux dont la lésion est une sclérose. Ils sont légio
on. Mais cela peut-il s'appliquer à toutes les scléroses du système nerveux ? Ici nous trouvons une difficulté et unc objec
. (Encyclop. scieulif. des Aides mém.). 1897, p. 95. 120 CLINIQUE NERVEUSE . tissu interstitiel hypertrophié au tissu actif
hose est généralement admise pour les organes autres que le système nerveux . Pour le rein, que le point de départ soit pare
s de la sclérose. Il en est de même pour le foie... Dans le système nerveux lui-même, ce qui prouve qu'il n'y a pas opposit
isse- 1 Journal des Praticiens, 1897, p. 303. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 121 ment de cette question M.Grasset aurait dû
rtérios- 1 Leçons de clin, Ire série, p. 522 et 535. 122 CLINIQUE NERVEUSE . clérose forme « le lien initial commun de bien
x dans la production des scléroses observées. MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 123 Tout récemment encore, dans un livre que n
, la sclérose multiple disséminée, tout en gardant sa '124 CLINIQUE NERVEUSE . grande unité clinique et nosologique, a des va
que et spécialement pour la théra- peutique des maladies du système nerveux , puisque c'est plus spécialement de ce chapitre
ensemble de nos connaissances cliniques sur les maladies du système nerveux . RECUEIL DE FAITS. OBSERVATION D'APHASIE STAT
el enfant bien constitué. lI ? X... vingt-six ans, d'un tempérament nerveux , sans stig- mates cependant d'hystérie. Hérédit
en l'avouer, grand résultat, ne croyant pas qu'un accident purement nerveux , purement hystérique, puisse en si peu de temps
nce, et par conséquent plus accessibles aux influences physiques ou nerveuses auxquelles ils se sont trouvés soumis. H. de Mu
s. Dans les zones corticales l'influence tro- phique des impulsions nerveuses devient suprême. Et si l'on objecte qu'il n'y a
ifférence de nature. Dans les tissus organiques autres que le tissu nerveux , la régénération des cellules épuisées, ou mieu
inaires de nutrition. Mais Foster fait remarquer que les impulsions nerveuses qui portent sur les cellules constituent l'agen
un plan aussi simple que dans les, niveaux inférieurs du sys- tème nerveux : il est probable que, dans une certaine mesure,
avec stupeur une lésion primitivement inflamma- toire des cellules nerveuses . R. DE MUSGRAVE CLAY. VII. UN cas DE FOLIE diab
mme au contraire est une pré- disposée, on l'a toujours connue très nerveuse , viulente, facilement irritable. Ce cas de fo
lière, un peu décolorée et gélatineuse. La destruction des éléments nerveux est excessive, spécialement dans la moitié exté
ale largeur au voi- sinage immédiat de la membrane, où les éléments nerveux sont détruits. Aucun neurone n'est spécialement
la DÉGÉNÉRESCENCE ascendante sur LES nerfs MIXTES, SUR LES CELLULES NERVEUSES DES GANGLIONS, SUR LES RACINES POS- TÉRIEURES E
ritique et expérimen- tale à cette question d'histologie du système nerveux , qui suscite actuellement tant de travaux et de
esco (1892). Ce dernier observe qu'après une amputation, les fibres nerveuses sont plus nombreuses. Les résul- tats des diffé
es (ganglions des racines postérieures), consécutives à une section nerveuse , surviennent du quatrième au septième jour, bie
, le bromisme, dont les manifestations peuvent atteindre le système nerveux sous forme d'idées délirantes, de tendances au
s automatiques stupides n'ont pas d'utilité. 2° Dans les ma- ladies nerveuses qui, généralement, ne sont que des troubles fonc-
r Vraarco (de Paris) : Influence de l'accouchement sur les maladies nerveuses et mentales. D1' FOYEAU de COURIfELLES (de Pari
(de laples) : Contribution à l'anatomie pathologique du traumatisme nerveux . Réceptions et excursions : réception et raout
l. IV.. Septembre 1897. N° 21 : ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE nerveuses 1 ? CONTRIBUTION A L'ETUDE AN1TO110-CLINÎQ ?
nt tout, une maladie Archives, 2e série, t. IV. 12 178 pathologie NERVEUSE . · de la région 'sensitive de la moelle, compre
du tabes doit établir sur quels systèmes de fibres ou de cel- lules nerveuses évoluent ces lésions, au niveau des cordons pos
derniers travaux, comme formés par deux grands sys- tèmes de fibres nerveuses ; et chacun de ces systèmes com- prend des fibre
Les mêmes considérations s'appliquent à l'autre sys- tème de fibres nerveuses qui constitue, avec le précédent, 1 Nous n'igno
oit forcément entraîner un fonctionnement variable.. Les cellules nerveuses qui se rencontrent dans la portion sensitive de
atomique montre la complexité des systèmes de fibres et de cellules nerveuses qui constituent la portion sensitive de la moel
ous l'avons dit plus haut, cette formule topogra- '180 . PATHOLOGIE NERVEUSE . phique ne répond qu'à la. première partie du p
ne suffit pas de savoir sur quels systèmes de libres ou de cellules nerveuses évolue le tabes médullaire, depuis son début ju
s- sus. Est-il primitivement parenchymateux, frappant l'élé- ment nerveux lui-même (fibre ou cellule) ? Est-il, au contrair
raphie et leurs caractères histo- logiques'. , ' Mais, en système nerveux surtout, la clinique doit trou- ver son compte
ésions médullaires tabétiques par rapport aux faisceaux de fibres nerveuses des cordons postérieurs et aux cellules de la por
du labes dorsalis. (Th. iuaug. Paris, 1897.) )8 : 2 . PATHOLOGIE NERVEUSE . croisé, ou du faisceau cérébelleux direct par
de Waller (Académie des sciences, 1852). * Après section d'un tube nerveux , le bout périphérique, séparé de son centre tro
entre trophique, dégé- nère. » Supposons donc un faisceau de fibres nerveuses com- plètement séparé de sa colonne cellulaire
t de suivre la topographie, le trajet, les connexions d'un faisceau nerveux ; elle est précieuse surtout avec la technique
remière étape, peu importante, qu'il nous suffira de 184 PATHOLOGIE NERVEUSE . mentionner. Un- peu plus haut, les grosses fib
nférieures. G" fibres longues dorsales supérieures). 188 PATHOLOGIE NERVEUSE . mélangées aux autres fibres, moyennes et longu
d'un foyer de myélite trans- vei'se totale. 1 . 190 PATHOLOGIE NERVEUSE . extrémités en forme de fuseau : c'est le « cen
e gros avantage d être électif pour les gaines de myéline des tubes nerveux , qu'il colore seules à l'exclusion de tout autr
s radiculaires moyennes), le tabès avancé montre les 196 PATHOLOGIE NERVEUSE . autres localisations de la maladie qui a suivi
ux qui accompagnent toujours une dégénération secon- 198 PATHOLOGIE NERVEUSE . daire. Enfin, des coupes sériées, pratiquées s
expliquer par quel mécanisme elles déterminent l'atrophie des tubes nerveux . A ce propos, nous rappellerons qu'un examen hi
parenchymateuses existent, dès le début du tabès, au niveau du tube nerveux ; la cellule du ganglion vertébral reste intact
ette réduction de volume résulte de l'atrophie considérable du tube nerveux . Le processus atrophique nous a paru passer par
' Arche. de médecine expérimentale, juillet 1801. 200 PATHOLOGIE NERVEUSE . n'augmentent pas de nombre; le protoplasma n'e
période de son évolution (période de la disparition totale du tube nerveux ). Les cellules des ganglions vertébraux nous on
ovoquer des lésions dégénératives considérables au niveau des tubes nerveux , la technique la décèle aisément; en d'autres t
es termes, on peut dire que, dans les lésions chroniques du système nerveux , il existe une certaine proportionnalité entre
ons cellulaires et les processus dégénératifs secondaires des tubes nerveux . Or, dans le tabes, la destruction des tubes ne
ires des tubes nerveux. Or, dans le tabes, la destruction des tubes nerveux est très intense; l'altération de la cellule or
ion wallérienne, ni la dégénération rétrograde. 20 : 2 PATHOLOGIE NERVEUSE . Sur le terrain clinique, le gros problème à ré
it peu de tendance à s'étendre; les cas que nous 112011. PATHOLOGIE NERVEUSE . avons pu observer, parmi les tabes arrêtés dan
n se consacrant exclusivement à la pratique des maladies du système nerveux . D'ailleurs, même en consacrant six à huit heur
, car, sauf à Paris, je doute qu'une clientèle exclusive du système nerveux suffise, même dans les très grandes villes, à f
udice aux malades et à la science mentale. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . IX. Accidents nerveux causés par l'intoxicatio
a science mentale. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. IX. Accidents nerveux causés par l'intoxication goutteuse (acide uriq
sent beaucoup plus souvent par des accidents portant sur le système nerveux que par l'attaque de goutte. Ces accidents sont
nts sont très variés, étant donné que le poison imprègne le système nerveux en entier. Les palpitations que l'on observe ch
st pas jus- Archives, 3' série, t. IV. 15 226 REVUE DE pathologie NERVEUSE . qu'à l'épilepsie que l'acide urique ne puisse
'anesthésie du côté opposé. Il faut remonter au REVUE DE pathologie NERVEUSE . 227 cerveau pour voir une lésion de la partie
e et pas d'aneslhésie si limitée. On peut donc exclure toute lésion nerveuse organique. Il s'agit de contracture hystérique.
tatives gagnent le cerveau par la cinquième 228 REVUE DE pathologie NERVEUSE . paire ; la corde du tympan rejoindrait le trij
la maladie possède avec les fièvres exanthéma- REVUE DE pathologie NERVEUSE . 229 tiques, savoir la marche de toute la malad
absolue ou tout au moins très accentuée. 230 REVUE DE pathologie NERVEUSE . XV. Troubles amnésiques DE l'écriture ; par F.
u mécanisme de la parole et de l'écri- ture : REVUE DE pathologie NERVEUSE . 231 geichgùltig au lieu de gleichgûltig ; il o
e l'encéphale et, en particulier, la pointe 232 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . du lobe occipital, le coin, la circonvolution
ntes dans leur totalité ; le radial est affecté REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 233 dans sa plus grande partie ; le médian et
de déféquer. Il s'agit d'un homme de trente-quatre ans, de famille nerveuse qui, à la suite d'excès de tabac, se sentait de
e d'excès. L'exagération de l'activité car- 234 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . diaque et l'augmentation de la pression du san
e crétinisme, l'hérédité et la prophylaxie des maladies mentales et nerveuses ..Ne sont-ce pas là, en effet, des questions soc
t pas qu'elle ne puisse pas déterminer d'autres lésions des centres nerveux : ces lésions de syphilis cérébrale don- nent s
coolique qui survient chez des individus indemnes de tous accidents nerveux antérieurs. M. GIII.IUD (de Saint-Yon). - Il
éléments histologiquçs : substance blanche, substance grise, tubes nerveux , cellules nerveuses, enveloppes séreuses, etc. ?
iquçs : substance blanche, substance grise, tubes nerveux, cellules nerveuses , enveloppes séreuses, etc. ? A côté des myélite
se cérébrale peut débuter comme celle de la moelle par des éléments nerveux différents; de là des variétés cli- niques avec
rares, est celle dont le processus morbide commence par la cellule nerveuse . Les autres sont sujettes à des rémissions plus o
rémissions plus ou moins complètes et durables parce que la cellule nerveuse est la dernière atteinte, et leur pronostic est
ion de la substance blanche ou des SOCIÉTÉS SAVANTES. ! 249 tubes nerveux avec phénomènes d'ophtalmoplégie initiaux et pré-
e toute la famille névropathique, épilepsie, migraine, excitabilité nerveuse , etc. Certaines diathèses peuvent aussi se tran
z l'enfant en vertu de ce facteurl Au lieu .d'envoyer les fillettes nerveuses se coucher de bonne heure après une journée tra
fantile qu'il attribue, en partie, à des mariages consanguins entre nerveux et alcooliques, en partie aux histoires fantast
enfants d'une même famille. Comme on le voit, les cas de contagion nerveuse sont loin d'être rares dans l'hystérie infantil
ail clinique de M. Terrou sur le même sujet. La Revue de pathologie nerveuse de ce numéro renferme l'analyse d'une observati
rès long. Dénucé a rapporté des cas analogues, insistant sur l'état nerveux causé par l'état préputial, et qui disparaissent
Nous devons à la vérité de recon- naître qu'en présence d'accidents nerveux chez les enfants les médecins manquent le plus
rable à l'éclosion, dès les premières années de la vie, de troubles nerveux très variés (perversions instinctives, accès de
de chloral, de morphine ou d'autres stupéfianls ont sur la cellule nerveuse une action beaucoup plus délétère que .le procé
ous avons pu nous assurer qu'elle était le résultat d'une contagion nerveuse , l'enfant ayant assisté à des crises d'hystérie
ques et à l'étude de l'anatomie normale et pathologique des centres nerveux . Le ser- vice des retraites des directeurs-méde
ULT, d'Orléans. Du rôle des artérites dans la pathologie du système nerveux : rapporteur, M. SABRAzÈs, de Bordeaux. Des dél
les plus fixes, durables et périodiques qui sont dues à des lésions nerveuses . Dr F. DC1' : 1Y. VARIA. LES aliénés EN lib
à la suite d'un malaise VARIA. 287 i faisant pressentir une crise nerveuse dont elle avait une autre fois déjà éprouvé les
jusqu'à présent comme secondaires, ou passant inaperçus. CLINIQUE NERVEUSE . HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE; Par le Dr F. T
ais la fréquence de cette névrose dans cette partie du 300 CLINIQUE NERVEUSE . Bocage, les formes multiples sous lesquelles e
ns soient venues jeter un peu de lumière sur ce sujet de pathologie nerveuse , malgré des observations intéressantes parues d
aris, 1896. 3 Charcot. Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux , t. I, II, III. Leçons du mardi, 1887-1888 et 1
du mardi, 1887-1888 et 1888-1889. Cliniques des maladies du système nerveux , leçons publiées par Guinon, t. I, 1892. Boume-
ans ma clientèle, dans un pays précisément très riche en affections nerveuses , en fai- sant suivre ces faits de quelques réfl
ents personnels. On n'a rien de particulier à noter. 302 ' CLINIQUE NERVEUSE . Pas de maladies depuis la naissance. L'enfant
re, aucune crise de suffocation : c'était de l'aphonie 304 CLINIQUE NERVEUSE . hystérique. Cet accident dura trois jours, pui
de faire son frère. Guérison en trois jours. H... six ans. Hérédité nerveuse , mère neurasthénique; tante hystérique avec cri
côté paternel (grand- mère paternelle, oncle paternel excessivement nerveux ) je pose le diagnostic : paraplégie et hypérest
parler de cet enfant, Archives, 2e série, t. IV. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE lorsque, un an après, on le ramène dans mon cab
garçon de onze ans. Guérison par suggestion. X..., onze ans. Mère nerveuse , père congestif, n'avait jamais rien présenté d
sorte de bégaiement, ce bégaiement qui termine souvent ce phénomène nerveux . Outre ce bégaiement je constatais que la mémoi
la contracture a cessé. Elle a donc duré trois jours. 308 CLINIQUE NERVEUSE Le 8 mai, on me rappelle près de l'enfant, le b
oplectique ? Est-ce une méningite ? Est-ce, en raison de l'hérédité nerveuse dont je savais la famille entachée, une pseudo-
a douleur dans les hanches. Claudication qui s'est 3110 () CLINIQUE NERVEUSE effacée, paraît-il, au bout de deux mois enviro
e petite pille, il huit ans, dix ans et quatorze amas. - Hérédité nerveuse . Mère ayant eu des crises de nerfs dans sa jeun
senté une contracture hystérique du bras et du cou. Ses frères sont nerveux , impressionnables. Comme antécédents personnels
e se met à uriner, une urine claire, limpide assez abondante, urine nerveuse . Ceci m'étonne un peu, car une demi-heure aupar
n, cris, véritables cris hydrencéplialiques, constipa- 312 CLINIQUE NERVEUSE tion, ventre rétracté; mais pas de vomissements
ômes avaient disparu. Comme héridité père et mère alcooliques, mère nerveuse . Observation YS.. Pseudo-méningite chez un peti
: père, mère, tante, oncles tant du côté paternel et maternel, tous nerveux . Antécédents personnels nuls, mais caractère tr
semaines sans laisser de traces chez un petit malade excessivement nerveux qui a fait déjà du méningisme hys- térique. H
térique. Le père, d'après les renseignements, serait également très nerveux . Le grand'père l'est également. Les tantes, les
en plus agité, la température n'est pas abaissée. c 316 CLINIQUE NERVEUSE Quelle était la nature de ce diabète insipide h
il + 15° = -) ? 002 Réaction très faiblement acide. 318 CLINIQUE NERVEUSE cependant que ne l'est la soif, il urine un peu
bas âge, même faite pendant le sommeil hyp- 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . notique, donne des résultats souvent négatifs;
ante et de date déjà si ancienne. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . IX. Contribution A l'étude DE la 16RALGIL pare
Gum- PERTZ. (Neurolog. Cenh·al6l. , XV, 1896.) Suivre les fibres nerveuses dans la peau pour bien en déterminer le nombre
1° dans un cas de névrite du cubital, on ne rencontre aucun élément nerveux de la peau nulle part; 2° dans un cas d'herpès
mble y avoir désintégration granuleuse; 3° chez REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 321 un malade atteint de tabes avec hypoalgési
sie généralisée, il existe une évidente dégénérescence des éléments nerveux cutanés. Mais dans l'anesthésie hystérique, dan
s efforts. -Cet homme ne présente d'ailleurs pas d'autres accidents nerveux , ni troubles réflexes, ni troubles de la parole
t au niveau Archives, 2e série, t. IV. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . des muscles de l'omoplate et de l'épaule, et e
yélite aiguë. XIII. INFLUENCE du tabac -sur LES maladies du système nerveux ; par Niccolo 13UCCELLI. (Riv. di. pat. nerv. et
xique, qui, plus encore peut-être que les autres poisons du système nerveux , a peu d'action lorsqu'il est naturel : il en a
ie est assez fréquente pour qu'on ait souvent attribué les troubles nerveux aux troubles de la circulation. Mais l'epilep
endant la période de ralentissement du coeur. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 323 La part que prend le coeur dans l'attaque
faire son apparition à tout âge ; les 324 liez REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . accès de migraine qui la précèdent datent au c
nt terme ; par le Dur Van GEUUCUTEN. ' Un grand nombre d'affections nerveuses de l'enfance sont accom- pagnées de rigidité mu
oduisent que l'auteur a proposé de les désigner REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 325 sous le nom de rigidité spasmodique spinal
corlieo-médullaire, on observe encore un grand nombre d'affections nerveuses dans lesquelles la triade symptomatique du synd
e peut pas être elle aussi, en état de mau- 326 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . vais fonctionnement, il y aurait donc une dysp
ce propos, il est intéressant de rappeler que la peau et le système nerveux dérivent embryologiquement d'un même feuillet,
La muqueuse du gland étant une des plus riches en terminai- sons nerveuses , il peut arriver que des convulsions épileptiform
peut arriver que des convulsions épileptiformes REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3 : 27 7 réflexes se produisent consécutivemen
se produisent consécutivement à l'irritation de ces termi- naisons nerveuses par le smegma accumulé entre le gland et le pré
alement profond sommeil calme. Durée totale 328 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . deux heures et demie. Le jour suivant le malad
III, N. F., vi, 1895.) L'auteur étudie comparativement la léthargie nerveuse des neu- rasthéniques, de certains aliénés, des
ement cérébral engendré par la constitution hyslé- rique du système nerveux , probablement- par auto-intoxication. On en tro
al et l'insomnie des hystériques. P. IEaA ? 1L. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 329 XXVII. Troubles DE l'écriture occasionnés
(d'Orléans) ; 2° Rôle des artériles dans la palhogénie du système nerveux : rap- porteur, M. Sabrazès (de Bordeaux) ; 3
ifférentes de nature. Du nycthémère appliqué à l'étude des maladies nerveuses et mentales. M. PAILHAS (Albi). S'appuyant sur
ion des états hypersthéniques et hyposthéniques dans les affections nerveuses , mentales et autres. Finalement il arrive à ces
ions respec- tives vis-à-vis du nycthémère, il semble que les états nerveux , vésaniques ou autres, puissent se différencier
MM. NoGuÉs et SAIR : 1L. Il s'agit d'un gendarme retraité un peu nerveux , mais sans antécédents personnels ou héréditaires
tisme. alcoolisme, tubercu- lose, cérébralité, maladies mentales et nerveuses . Le second groupe comprend : a) les intoxicatio
e. N'existent jamais seuls : les hérédités tuberculeuse, mentale et nerveuse ; les infections aiguës, la tuber- culose, le ta
us ont amené aux conclusions suivantes : 1° L'hérédité mentale et nerveuse n'a aucune influence. La pré- disposition née d
scléro-graisseuse. L'hérédité cérébrale produit du côté du système nerveux central, d'une part, une tendance à l'inflammat
re et, d'autre part, une moindre résistance organique de la cellule nerveuse . Cette moindre résistance s'affirme par une fatig
ool. Aussi voit-on, sous l'influence d'une cause légère, la cellule nerveuse chuter. Or, cette moindre résistance organique
ité arthritique, soit une moindre résistance orga- nique du système nerveux cenlral, comme l'hérédité cérébrale. L'alcoolis
nfection, etc., qui usent la cellule et con- gestionnent le système nerveux . Seulement ces dernières causes trouvent un ter
rands groupes de paralysie générale, l'un maladie locale du système nerveux , l'autre symptomatique d'une maladie géné- rale
s compliquées que chez les adultes, consiste en ce que le système nerveux des enfants se trouve encore dans un état d'évolu
ins russes à Kiew (en 1896), les membres de la section des maladies nerveuses et mentales onléluunecommission de cinq personn
et Rora. M. Oar.ovsxr. Syphilis et sclérose disséminée des centres nerveux . - La. combinaison d'une sclérose disséminée av
ules (surtout dans la substance grise altérée) ; beaucoup de fibres nerveuses ont péri, mais dans certains endroits sont rest
is dans certains endroits sont restés des cylindraxes. Les cellules nerveuses sont presque intactes. Dans la partie dorsale i
r que les vasomoteurs des veines cutanées sont situés dans le tronc nerveux général, très près des nerfs de la sensibilité
es et présentent des phénomènes de dégénérescence, plusieurs fibres nerveuses ont perdu leur myéline; d'autres n'en ont conse
la contraction à deux courants (comme du muscle ainsi que du tronc nerveux ) = 0 ; dans les muscles qui ont conservé leurs
M. MOURAVIEFF. De l'influence du poison diphtérique sur le système nerveux . Les expériences concernant l'influence du pois
riences concernant l'influence du poison diphtérique sur le système nerveux ont donné jusqu'à présent des résultats contrad
ite pour son prolongement cylindr-axile, c'est-à-dire pour la fibre nerveuse ; cette dernière s'altère à son tour, peut-être
remarquer dans sa préface. L'auteur a étudié le rôle de l'élé- ment nerveux dynamique psychique dans diverses affections ner-
onctionnelle », et, an cas particulier, une modalité de la fonction nerveuse , une variation des pouvoirs de dynamogénie et d
M. Aimé définit ensuite l'élément psychique morbide « toute action nerveuse anormale qui, ne correspondant à aucune altéra-
nces les plus étendues dans la physiologie et l'anatomie du système nerveux , la psychologie normale et l'anthropologie, et il
r. ' ' - Collet. (F. -J.). Les troubles auditifs d'ans les maladies nerveuses . Volume in-12 de 182 pages. Paris, 1897. Librai
Vol. IV. Novembre 1897. N° 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDGE1; Par le D'' F.
Durée cinq mois. Sueurs abondantes succédant à celte hydrurie. Tare nerveuse , tempérament nerveux. C'est également un enfant
s abondantes succédant à celte hydrurie. Tare nerveuse, tempérament nerveux . C'est également un enfant naturel comme le dia
e le diabétique précé- dent. Son père est inconnu. Sa mère est très nerveuse . La grand'- mère l'est encore davantage. Les ta
eurologie, no 22. . Archives, 2e série, t. l1'. 21 r 370 CLINIQUE NERVEUSE . Malheureusement, je n'ai pas l'analyse complèt
vaux de labour. Observation XIV. Fillette de sept ans. Etouffements nerveux , eii ? ,ozie- ment nerveux. A quatorze ans, apr
XIV. Fillette de sept ans. Etouffements nerveux, eii ? ,ozie- ment nerveux . A quatorze ans, après une tentative de viol, cri
orze ans, après une tentative de viol, crises de sommeil, aboiement nerveux , accès convulsif. Poir..., sept ans. Plusieurs
it conduit cette jeune fille; un jour c'était pour des étouffements nerveux qui inquiétaient les parents, étouffements surv
qui faisait craindre le croup à la famille. En raison de l'hérédité nerveuse de l'enfant- grand'mère maternelle hysté- rique
s j'ai été appelé à les constater dans ma clientèle. 372 CLINIQUE NERVEUSE . grande intensité; l'enfant, le visage anxieux,
en a guéri heaucoup par la suggestion hypno- tique. 374 CLINIQUE NERVEUSE . vaincre, bien qu'il m'en coûte encore; je vais
le verrons, doit être écartée. Estelle S..., treize ans, a une mère nerveuse , un père intelligent, mais ayant présenté à l'â
tant d'aisance les yeux fermés que les yeux ouverts. 376 CLINIQUE NERVEUSE . hystérique dont la durée variait de quatre à s
st le traite- ment par excellence ; mais dans les autres affections nerveuses , neurasthénie, dégénérescence mentale, etc., el
réquemment des crises de dyspnée avec toux croupale. 378 CLINIQUE NERVEUSE . Nous trouvons donc ici association d'une choré
ombre qu'il présente, offre cet avan- tage, qui, dans la pathologie nerveuse , est particulièrement appréciable : on peut sui
ns qui ne relèvent en rien de la névrose. Si l'impres- 380 CLINIQUE NERVEUSE . sionnabilité, toute spéciale d'un jeune cervea
peut simuler chez l'enfant, presque toutes les maladies du système nerveux HYSTÉRIE INFANTILE EN VENDÉE. 381 médullaire
udo-méningite hystérique (observa- 1 Toutes les maladies du système nerveux cérébral. (Thèse Barde), 189,3, et Fabvre, 1883
Barde), 189,3, et Fabvre, 1883, Marseille médical.) 382 CLINIQUE NERVEUSE . lion 23, thèse Burdol) ; mais, pourmon compte,
téristique. ' Hystérie en Vendée, p. 471, ibid. , 384 - CLINIQUE NERVEUSE . On n'a donc, le plus souvent, devant soi qu'un
ante quand ce n'est qu'un symptôme névropathique, une manifestation nerveuse plus ou moins gênante, plus ou moins fugace et
distance de très loin tous les autres facteurs. Après l'hérédité nerveuse , on trouve l'hérédité alcoolique. En Vendée, l'
raisonnable au paysan Archives, 2e série, t. IV. 25 386 CLINIQUE NERVEUSE . du Bocage. Or, il est fréquent de constater l'
sme, la plupart de mes alcooli- ques portant déjà avec eux, la tare nerveuse héréditaire. On ne doit pas contester cependant
ations terrifiantes ne sont-elles pas propres à ébranler le système nerveux , à le surexciter au point de produire bientôt u
élément de diagnostic. Je viens de dire le résultat. 388 ' CLINIQUE NERVEUSE . Donc de la prudence dans l'emploi de l'hypnoti
econnaissent comme pathogénie ou 392 CLINIQUE MENTALE. une lésion nerveuse (racines nerveuses, moelle, cerveau en avant de
pathogénie ou 392 CLINIQUE MENTALE. une lésion nerveuse (racines nerveuses , moelle, cerveau en avant des tubercules quadri
nié l'exis- tence de tout autre cas d'aliénation mentale ou maladie nerveuse dans la' famille. Cette négation ne nous a pas
e et comme nous connaissons aujourd'hui la fré- quence des maladies nerveuses et mentales chez les individus de cette race ;
e pratique des Hautes-ÉLudes, Les différentes catégories d'éléments nerveux constituant les deux écorces du cerveau et du c
dans le second '. Dans le cervelet, où les divers types d'éléments nerveux offrent la plus grande diversité, la dispositio
gu- liers de superposition et de contiguïté des différentes voies nerveuses afférentes : l'épaisseur de l'organe dépend du
ou pallium et du^cervelet ne sont, elles aussi,, que deux ganglions nerveux situés chacun au sommet d'un arc diastaltique c
ue complexe où, dans la profondeur de l'organe, se mêlent les voies nerveuses centripètes et centrifuges. Le nombre et la var
ombre et la variété des types cellulaires, la grandeur des éléments nerveux , ainsi que leur situation,'sont l'expres- sion
érentes variétés de neurones. Les rapports anatomiques des éléments nerveux de l'écorce dépendent donc, en dernière analyse
alement en premier lieu de la disposition anato- mique des éléments nerveux déterminée par les fonctions de l'écorce, centr
ôle physiologique divers dépend uniquemenl de la nature des centres nerveux corticaux d'où partent (sphères sensorielles) e
st, on le sait, enveloppée par une espèce distincte d'arborisations nerveuses terminales. Les cylin- draxes des grains ou fib
propos de ces cellules étoilées, dont Golgi avait reconnu la nature nerveuse , mais sans pouvoir mettre en évidence leur termin
évidence leur terminaison, et cela à cause de l'hypothèse du réseau nerveux interstitiel destiné à expliquer les communicat
bien établi "(1' line terminaison des cylindraxes dans les centres nerveux . Jusqu'alors on avait suivi les fibres nerveuses
xes dans les centres nerveux. Jusqu'alors on avait suivi les fibres nerveuses delasubs- 400 REVUE CRITIQUE. corps de la cel
nant que nous étions en présence, non d'un fait isolé de connexion nerveuse , mais de la loi qui commande les rapports de tous
mais de la loi qui commande les rapports de tous les corpus- cules nerveux , on comprendra facilement la satisfaction et l'ém
re découverte. Notre conviction d'avoir trouvé la clef des rapports nerveux centraux n'était pas une illusion, presque tout
re que la confirmation ou l'extension à diverses parties du système nerveux du fait fondamental... Le fait le plus importan
descendants, aussi bien que l'arborisation terminale de cette fibre nerveuse , cylindraxile, des cellules étoilées, constituent
our ainsi dire, doublé d'une corbeille formée par des ramifications nerveuses terminales, excessivement épaisses et variqueus
DES CIRCONVOLUTIONS DU CERVEAU, ETC. 401 excellence des excitations nerveuses . En même temps le corps cellulaire devient libr
et efférentes aussi régulière, aussi capable de distribuer l'influx nerveux symétriquement aux deux moitiés du corps et se
t entre les cellules des noyaux protubérantiels : les prolongements nerveux de ces cellules se terminent par les arborisati
t déterminée par le nombre, l'épaisseur et la lon- gueur des fibres nerveuses . Le nombre de ces fibres dépend directement de
ntité de la substance blanche et, partant, sur le nombre des fibres nerveuses de cette substance. Le volume ou calibre de ces
ur 404 .. - REVUE REVUE CRITIQUE. la longueur des fibres : l'onde nerveuse tend à se propager par le plus court chemin, ca
tion de poids de l'or- gane ; ? ° l'allongement de toutes les voies nerveuses , soit de projection, soit d'association, amenan
des nouvelles mé- thodes d'imprégnation et de coloration du système nerveux , une atteinte assez grave. Dans aucune des nomb
rties les plus diverses du même organe, voire avec d'autres centres nerveux . La démonstration a été faite en particulier po
es, capables de retentir à leur tour sur la morphologie de l'organe nerveux . Ces influences modificatrices de la forme du c
la raison explicative de l'extension différente de ces territoires nerveux dans telle ou telle direction. Déjà en se fonda
c'est surtout dans les effets de l'activité prolongée des éléments nerveux de cette province du névraxe, dans les excitati
XI. Effets comparés DE l'antipyrine ET DES TOXINES SUR LES éléments nerveux ; par le Dr Debray. (Journal de Neurologie et d'H
usceptible d'après quelques auteurs de déterminer dans les éléments nerveux des altérations comparables à celles de certain
pratique, soutient que le meilleur moyen de conjurer les accidents nerveux qui compliquent si souvent la grippe est de don
e mesure plus ou moins large, le traitement oculaire des maladies nerveuses : s'ils ne sont pas devenus enthousiastes de la m
s sur la néces- sité, lorsqu'on se trouve en présence d'une maladie nerveuse (et particulièrement de celles de ces maladies
couverte d'histologie normale ou pathologique concernant le système nerveux périphé- sociétés savantes. 417 rique et cent
les ont été présentées au Congrès. A. Marie. SECTION DES maladies NERVEUSES ET mentales ' Séméiologie des obsessions et idé
utient aussi Dallemagne, sont à la base de l'idée comme les centres nerveux inférieurs constituent les agents secondaires d
IÉTÉS SAVANTES. z Sur quelques lésions expérimentales de la cellule nerveuse . MM. Gilbert Ballet et A. DUTIL (de Paris). Nou
ur le cobaye dans le but d'étudier les lésions légères des cellules nerveuses de la moelle provoquées par l'anémie temporaire
gies que peuvent présenter les altérations primitives de la cellule nerveuse ainsi produites, avec celles qui apparaissent con
c celles qui apparaissent consécutive- ment aux sections des troncs nerveux , telles qu'elles ont été cons- tatées par diffé
ntéressants au point de vue de la pathologie générale de la cellule nerveuse . La première lésion apparente, c'est la dissolu
rès nettes qui existent entre les lésions secondaires de la cellule nerveuse , c'est-à-dire consécu- tives aux sections des n
d'un type de dégénération, l'altération secon- daire de la cellule nerveuse et à l'opposer eu même temps aux modes de dégén
n'en est pas moins vrai qu'une atteinte directe portée à la cellule nerveuse , lorsqu'elle est suffisamment atténuée, peut pro-
yons donc que la séparation des lésions dégénératives de la cellule nerveuse en deux types, le secondaire et le primitif, es
stologie est la première lésion appréciable par laquelle la cellule nerveuse révèle sa souffrance; mais elle n'implique pas un
gravement atteint et si les connexions physiologiques de la cellule nerveuse avec les cellules voisines sont conservées. i
voisines sont conservées. i > L'histopathologie de la cellule nerveuse . - M. Marinesco. Quand on se rapporte à la stru
- M. Marinesco. Quand on se rapporte à la structure de la cellule nerveuse , telle qu'elle élait admise il y a quinze ans, et
a notion de la texture intime de l'élément fondamental du système nerveux ? C'est, comme dans toute autre branche de la sci
ode de Golgi permet d'étudier la configuration externe des éléments nerveux , le trajet des fibres nerveuses. Ce qui a fra
la configuration externe des éléments nerveux, le trajet des fibres nerveuses . Ce qui a frappé les premiers observateurs, Fle
eurs, Flemming, Nissl, Benda, etc., dans la structure de la cellule nerveuse , c'est la décou- verte d'un nouvel élément jusq
hten, etc., ont confirmé cette donnée fondamentale de la pathologie nerveuse : je dis fondamentale parce qu'on avait admis d
lindraxe. La chroma- tolyse peut gagner tout le corps de la cellule nerveuse , mais, une chose essentielle à noter, c'est, qu
alité qui présente dans les cas de lésions primitives de la cellule nerveuse , lésions que nous étudie- rons plus loin. Cet
omique a eu une autre conséquence : celle de prouver que la cellule nerveuse constitue une unité, un neurone dont l'intégrit
montré l'application importante qu'on pouvait faire à la pathologie nerveuse de cette donnée expérimentale. En SOCIÉTÉS SAVA
i déterminent la destruction du nerf réalisent en somme une section nerveuse . Par conséquent, il n'existe pas de névrites sa
paration. Pour connaître exactement ce qui se passe dans la cellule nerveuse pendant la phase de réparation, il faut laisser l
gure cet aspect est des plus nets : les fibrilles du prolon- gement nerveux , en traversant le collet de la cellule, se présen
44° centigrades la tempé- rature des lapins, le volume des cellules nerveuses est agrandi et les corpuscules de Nissl sont dé
S (Bordeaux). - Il' semble que l'élude du proloplasma -des cellules nerveuses ait absorbé toute l'attention des observateurs
oyau qu'il importe d'étudier. Or, cette étude du noyau des cellules nerveuses , à l'état normal comme à l'état pathologique, e
Iconographie de la Salpétrière (1897), étudié l'état des ,cellules nerveuses médullaires dans la rage humaine. A coté des SO
es névrogliques, une ébauche de karyokinèse qui avorte. La- cellule nerveuse réagit, vis-à-vis de l'irritant pathologique (vir
tant perdu une grosse partie de sa chevelure. Quant aux phénomènes nerveux , nous apprenons qu'elle a eu, dès les premiers
a démarche dite titubante tenait la première place. Dans le système nerveux central, la corne antérieure de la moelle et le
cool, à un degré faible de concentration, détermine dans le système nerveux central des lésions extrêmement nettes qu'on pe
au microscope. . Parmi les intoxications qui atteignent le système nerveux cen- tral, il en existe une que nous devons men
e ou de ses toxines détermine chez les animaux les mêmes' accidents nerveux graves que chez l'homme. L'examen du système ne
s' accidents nerveux graves que chez l'homme. L'examen du système nerveux central des animaux qui ont succombé à la suite d
à la suite de l'ino- culation de ce microbe m'a montré des lésions nerveuses centrales caractéristiques. ' / Gangrène de
rimaire ou secondaire et dépendre elle-même d'un trouble du système nerveux . Quoi qu'il en soit, les expériences que j'ai f
gue, et qui concernent l'action du liquide thyroïdien surle système nerveux central, sont assez intéressantes et importantes
rtantes ont été trouvées dans la moelle épinière et dans les troncs nerveux . Dans la moelle, ces lésions s'observent dans les
conjonctif entre les faisceaux et les fibres de nerfs ; les fibres nerveuses sont soumises aux altéra- tions dégénératives q
sant par des stades divers, finissent par la destruction des fibres nerveuses . Des morceaux de muscles . pris du muscle gastr
énérescence rétrograde qui, à la suite de l'interruption d'un tronc nerveux , remonte dans le bout central vers le centre tr
s qui sont la cause présumée de régé- nération tabétique du système nerveux . L'usage des iodures à hautes doses, surtout da
l'asthénie on a opposé la médication séquardienne et la transfusion nerveuse , qui peuvent être rempla- cées aujourd'hui par
ication secondaire : a) Des modifications inflammatoires du système nerveux péri- phérique ; 6) Une inflammation chroniqu
prépon- dérance de l'une ou de l'autre. L'inflammation du système nerveux périphérique peut provo- quer une dégénérescenc
, Masson, éditeur. Voici les titres des travaux relatifs au système nerveux parus dans cet important recueil durant l'année
mportant recueil durant l'année 1897 : La néoformation des cellules nerveuses dans le cerveau du singe, consécutive à 462 BIB
tétanique ; par M. H. Claude; Période réfractaire dans les centres nerveux ; par MM. André Broca et Charles Richet; Influen
. Vol. IV. Décembre 1897. N° 24 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . RECHERCHES CLINIQUES SUR L'ALCALESCENCE DU SAN
et l'enfant que chez Archives, 2e série, t. 1 V, 30 466 CLINIQUE NERVEUSE . l'homme (Beau, Delasianve, Statistiques de Bic
s accès épileptiques heure par heure pour 130 malades. 468 CLINIQUE NERVEUSE . U3.G p. 100, 21,3 p. 100, soit ensemble, pour
répétés à différentes heures sur 21> épileptiques.) 470 CLINIQUE NERVEUSE . régulièrement isochrones et inversement propor
NG CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 471 2° Solution à '1 /'1 : 472 CLINIQUE NERVEUSE . Le 13, injection de 30 cent. cubes. L'excitati
cher. Les attaques restent isolées et peu fréquentes. 474 CLINIQUE NERVEUSE . Le 2 juillet, injection de 20 cent. cubes deso
du 1 ? au 7 juillet, donne les résultats suivants : 478 CLINIQUE NERVEUSE . des attaques. Élévation transitoire du taux de
. Examen du sang et des urines du 1 ? au 7 juillet : 480 CLINIQUE NERVEUSE . En résumé, 32 injections comptant 1,020 cent.
l c C 1 z Q 1 1 m 1 1 S C 00 484 CLINIQUE NERVEUSE . immédiatement après une attaque =111. Après l'
ra de la même façon. A cette époque, A... avait déjà un tremblement nerveux . De vingt-huit à quarante ans, la santé a été r
st-à-dire par la formation, dans l'organisme, de poisons du système nerveux . \ Malgré l'exislence, chez notre malade, de tr
sedow détermine dans quelque cas, par le fait de poisons du système nerveux , soit incomplètement détruits par la glande thy
ome basedowien. Archives, 2e série, t. IV. 32 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXI. Courte communication SUR UN cas DE dystr
avec sa soeur. Ce sont ces souvenirs qui, ulté- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 499 rieurement, provoquent l'hystérie par le m
frère. Cette scène a précisément trait à un 500 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . souvenir d'enfance; c'était, parait-il, une ha
halie tardive (même genèse). Dans ces deux cas, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 501 l'embolie (Kundrat, Kreuser, Heubner), la
e ne pouvait se tourner dans son lit. Les S02 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . bras seuls pouvaient se mouvoir. Il n'y avait
rogressive. Ces faits de paraplégie semblent se rattacher à un choc nerveux subi par la moelle et résultant de l'excitation
journalière nous montre des phénomènes analogues, où un épuisement nerveux passager succède à une excitation trop forte. L
ces entreprises par Ferrier et Aldren Turner. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Oc3 Les faits cliniques ne sont pas plus proba
éagit parfaitement. D'ailleurs, on ne trouve pas d'autres accidents nerveux . Tout se borne donc à une paralysie complète de
actère, prit des habitudes nomades, eut des 504 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . crises d'intempérance, chaque crise étant acco
, surviendrait-elle d'emblée sur les plus fins vaisseaux du système nerveux central, à l'exclusion d'altérations du même ge
s, dont on connaît les rava- ges et leurs modalités dans le système nerveux ; le calibre de la lumière des vaisseaux n'est
ui épargne pendant longtemps les organes conducteurs de subs- tance nerveuse , les cylindraxes, à l'iuverse des maladiesexogène
et piobablement ausssi dans la gliose centrale. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 505 M. Strumpell annonce que s'il y a des cas
a tellement exagéré l'innervation des centres moteurs que l'énergie nerveuse en excès a continué, plus tard, à faire appel a
d'ordinaire ils se bornent à des impulsions 50G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . inoffensives. Ici ils subsistent continuelleme
endues, auxquelles contredit en effet l'état de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 507 l'oreille. Il faut, conséquemment, croire
ion brusque et simultanée de l'hémiplégie faciale et de la 'surdité nerveuse ; puis, dans l'intégrité complète de certains mu
ublié trois observations de irnoclome fami- 508 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . liale avec épilepsie (Rivista spel'imentale di
NATIONAL DE MEDECINE DE MOSCOUI. Section DES maladies mentales et nerveuses (Suite). Pathogénie el anatomie pathologique de
ections centrales (syringomyélie) et dans des affections du système nerveux périphérique (de nature lépreuse). La vie dans
yaux, ni sur les tractus intrabulbaires des quatre premières paires nerveuses céré- brales et de la petite portion du trijume
probablement multiples et agissant sur différents points du système nerveux . L'étude des lésions qu'elles y provoquent condui
sus de l'organisme animal, que comme affection de la branche même nerveuse , doit être prise en considération sérieuse dans l
on. Il ne peut produire que l'abaissement de la fonction du système nerveux , et par conséquent il agit comme un sédatif.
fonction dans une direction déterminée. Cette excitation du système nerveux par la suggestion ne peut être que de courte duré
ltats dans le traitement des états d'excitation générale du système nerveux , quelle que soit la cause de cette excitation.
ue sous la condition de l'amélioration de l'état général du système nerveux . Par exemple, la disparition des idées impulsiv
ypnotisation provoque une espèce d'ex- citation générale du système nerveux , qui est toujours passagère, mais qui peut quel
être guéris que par l'hypnotisme. Quant au traitement des maladies nerveuses , l'hypnotisme et la suggestion doivent être reg
de Moscou. Au point de vue bio-chimique la pathogenèse des maladies nerveuses à substratum anatomique peut être réduite à une
de la nutri- tion moléculaire tant générale que spéciale du système nerveux . En principe, l'organothérapie doit être applic
e, l'organothérapie doit être applicable au traitement des maladies nerveuses , puisqu'il s'agit de l'introduction dans l'or-
e thèse est juste surtout quand il s'agit des affections du système nerveux sur un terrain syphilitique, podagrique, diabét
d n'est pas seulement un des maîtres de la physio- logie du système nerveux et un des fondateurs de la pathologie expérimen
veux et un des fondateurs de la pathologie expérimentale du système nerveux , mais c'est à lui encore qu'ap- partient de tou
deconquérir ses droits de citoyen dausle traitement t des maladies nerveuses . L'application de la méthode de Brown- Sequard
lication de la méthode de Brown- Sequard au traitement des maladies nerveuses pourrait bien jeter une nouvelle lumière sur la
ndie, Cl. Bernard, Vulpian ont démontré la prépondérance du système nerveux dans les domaines physiologique et pathologique
ologique et pathologique. Dans la théorie des auteurs, le sys- tème nerveux devient l'agent principal de l'action de chaque i
acquis se réduit pour lui à une action réflexe spéciale du système nerveux sur les cellules germinatives. La pathologie et
nx, des poils, il faut faire intervenir un trouble local du système nerveux se généralisant et se répercutant sur l'en- sem
araissant ou disparaissant sans cause apparente. Sur la dyspepsie nerveuse et son rapport avec les névroses en général.
ofesseur l3osisNIICm (de Berlin). - L'auteur considère la dyspepsie nerveuse comme une entité morbide; comme Leube, il la dé
il y a lieu généralement de penser qu'il ne s'agit pas de dyspepsie nerveuse , mais d'une autre affection gastrique (gastrite,
ion) qui a pu d'ailleurs se développer aux dépens d'une dys- pepsie nerveuse . Cette dernière est relativement rare, même chez
euse. Cette dernière est relativement rare, même chez les individus nerveux ; l'auteur cite 50 cas de neurasthénie dont 27
0 cas de neurasthénie dont 27 ne se rapportaient pas à la dyspepsie nerveuse , mais à d'autres affections stomacales et dans
et dans 11 seulement se rencontraient les symptômes de la dyspepsie nerveuse . On ne peut donc admettre que celle-ci soit une
quand un muscle est frappé d'atonie, c'est, ou bien que le système nerveux qui l'anime est lui-même atteint, ou que le mus
ections de ces organes retentissent sur elle par la voie du système nerveux , en produisant d'abord le spasme et la contract
déplacements (ptoses). Je vais plus loin ; considérant la richesse nerveuse du tube digestif avec son double plexus, je pen
son double plexus, je pense que, sous la seule influence du système nerveux , il peut se produire une susceptibilité, une irri
elle-même des difficultés qui, ajou- tées à l'irritation des plexus nerveux gastro-intestinaux, exercent une influence fâch
s dites primitives sont sous la dépendance d'une lésion des centres nerveux , et, ayant observé un certain nombre de myopalh
ladie infectieuse quelconque, et que la localisation sur le système nerveux de ces agents infectieux divers ou de leurs tox
par l'âge, le sexe et par toutes les causes qui mettent le système nerveux en état de moindre résistance. DUCAUP. VARIA.
aceraient avantageusement l'ona- nisme, si commun parmi les enfants nerveux et arriérés, mal surveillés. ? 6°, 7°, 8° et 9°
ouveau journal. Nous signalons l'apparition du Journal de* maladies nerveuses , paraissant tous les mois, sous la direction du
nma, 1897. Societa éditrice Dante Alighieri. GLATZ (P.). Dyspepsies nerveuses el neurasthénie. - Volume in-12 de 348 pages. P
comparative sur I l'action de Il et des toxines sur les éléments nerveux , par Debray, 408. Aphasie stationnaire pendan
r Charon, 362. CRtE cervicale, par Hetherington, 155. Cellule nerveuse . Sur quelques lé- sions expérimentales de la-,
ffets de la - as- cendante sur les nerfs mixtes, sur les cellules nerveuses des gan- glions, sur les racines posté- rieur
Geofli-oy, 528. Diphtérique. Influence du poison , sur le système nerveux , par Mouravieff, 356. DYnAusw : psychique, pa
mé, 360. Dyspepsie nervornotrice, par llali- pré, 61. Dyspepsie nerveuse ou dans les névroses en général, par ltosen-
syphilitique de la moelle, par Orlowsky, 78. Goutteuse. Accidents nerveux pro- duits par l'intoxication- , par Inglis,
rophique il 'début bulbaire, par Raymond, 47. Maladies du système nerveux et - multiple disséminée, par Gras- set et Ve
Mou- vements cloniques dans la , par Uarinesco, 526. ' Système nerveux . Cliniques des ma- ladies du -, par Raymond, 82
ar Raymond, 82. Tabac Influence du - dans les maladies du système nerveux , par l3uccelli, 322. Tabès. De 1 éducation mo
Toxines. Etude comparée de l'anti- pyrine et des sur les éléments nerveux , par Debray, 408. Travail manuel, par Fore ! ,
5 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 05, n° 25-30] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
e). F. RAYMOND Piofasseur de cliniyue des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOH
8 Vol. V. Janvier 1898. ` N° 25 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL \ e , el4l
s désordres anatomiques. Archives, 2° série, t. V. " 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . La richesse symptomatique de la syphilis céréb
e la motilité, de la sensibilité, de l'intelligence. 4 ' CLINIQUE NERVEUSE . A. Troubles moteurs. Ce que l'on observe de be
l'action directe du virus syphilitique sur les nerfs. 6 ¡ CLINIQUE NERVEUSE . C. Troubles intellectuels. Là encore il n'y a
eux périodes assez distinctes : l'une pendant laquelle les éléments nerveux sont simplement atteints dans leur fonctionneme
oup plus rares, déterminer comme nous l'avons déjà dit une décharge nerveuse , un ictus épilep- tiforme. Il est rare, dans la
Cette hémiplégie peut même débuter par un ictus apoplec- 8 CLINIQUE NERVEUSE . tiforme et. cependant être encore due à des ph
'S)ji)tmann. .l ? t.c/eerMft<o/. et syphil., 1886. 10 CLINIQUE NERVEUSE . II. Période des accidents incurables. Il ne s'
cès de pression considérable. ' Loc. cil., p. 607. 12 '2 CLINIQUE NERVEUSE . Charier et Klippel' décrivent de plus une form
éningée. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL DE LA SYPHILIS. 13 14 ? CLINIQUE NERVEUSE . ' · absolument indolent. On trouve de plus act
ésie à la douleur : les piqûres sont plus vivement sen- 16 CLINIQUE NERVEUSE . ties qu'à l'état normal. La sensibilité thermi
ement le diagnostic pen- Archives, 2e série, t. V ? 2 18 CLINIQUE NERVEUSE . dant la vie, mais l'interprétation après la mo
tiques de Duval et Laborde 6) 5 1 Brissaud. Leçons sur les maladies nerveuses , 1893, 189t, IX, XI, XII, Paris, Masson, 1895.
, Augensloe¡'ungen. Leipzig, 1893. 2 11¡¡l1Jo : Jd, - Mal. du syst. nerveux , 1896, p. 363. 20 CLINIQUE NERVEUSE. Le faisc
2 11¡¡l1Jo : Jd, - Mal. du syst. nerveux, 1896, p. 363. 20 CLINIQUE NERVEUSE . Le faisceau pyramidal étant atteint-avant d'av
ait remarquer les relations étroites qui existent entre les lésions nerveuses , médullaires et cérébrales dans la paralysie gé
n. - Gazette des Hôpitaux, mars 1871, et Recherches sur les centres nerveux . Paris, 1876, p. 70. 3 A. Voisin. Traité de la
ient pas davantage attiré l'attention dans une maladie du système nerveux qui s'étend aux méninges, cerveau, cervelet, bulb
s physiologistes ont démontré qu'une lésion quelconque du système nerveux produisait fréquemment une action directe ou in
en effet dans la paralysie générale des lésions de tout le système nerveux central. Nous sommes forcés ici de sortir de no
e la méningo-encéphalite diffuse est une maladie de tout le système nerveux . Dans la paralysie générale, les cellules corti
premiers atteints; pour Colella 2, au contraire, les prolongements nerveux résistent longtemps. Outre les altérations de l
dans sa thèse inaugu- 1 Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux , 1876. 2 Bulletin de l'Acad. des Sciences. 1893
de tissu-conjonctif épaisse, couverte de noyaux, entoure les tubes nerveux . Ceux-ci sont pour la plupart granuleux ; les u
Magnan* qui en 1878, dans ses Leçons cliniques, signala les lésions nerveuses de la paralysie géné- ' Magnan. De la lésion an
UE MENTALE. raie et attira l'attention sur les rapports des centres nerveux et des nerfs. Ayant étudié les névrites des div
oedème (Arnozon)2. Aussi plusieurs auteurs pensent-ils que l'action nerveuse ou tro- phique peut produire l'oedème, en dehor
2 Artiozon. - Lésions trophiques consécutives aux maladies du syst. nerveux (Thèse d'agrégation, 1880, p. 81). 3 Brocq. - T
e d'une modification de l'influence spéciale exercée par le système nerveux sur la nutrition des éléments de ces tissus ».
. fran- çaise 1881. » * Charcot. Leçons sur les maladies du syst. nerveux faites à la Salpêtrière, t. I, 5° édit., 1884.
e générale, in Dict. Dechambre. ° Fèvre. - Des altérations du syst. nerveux cutané dans la folie (Ann. médico-psych., 1876)
qu'il est aussi fréquent que dans les autres mala- dies du système nerveux . En général, le mal perforant est indolent, sup
les fois aussi qu'il a vidé la cavité oculaire, toutes les cellules nerveuses du noyau en question appartenant au type moteur
L. V. Du PHÉNOMÈNE ROTULIEN COMME SIGNE DIAGNOSTIQUE D'AFFECTIONS NERVEUSES ET D'AUTRES MANIFESTATIONS DU MÊME GENRE; par W.
itabilité réflexe, qui est en faveur de lésion organique du système nerveux . M. de BechLerew dit encore : On trouve aussi l
s extrémités inférieures : une hyperexcitabilité réflexe du système nerveux , car ils sont toujours accompagnés d'une forte
réflexes tendineux l'existence d'une affection organique du système nerveux central, car, d'ordinaire, on n'observe pas ces
isme, conclut M. de Luzenberger, en modifiant la structure du lacis nerveux , a permis l'action des micro-organismes de l'into
hénomène, une notable inteusiti; de la sensation première. Chez les nerveux , la nuance sentimentale d'une sensation est trans
ovoquera justement sa propagation à d'autres territoires du système nerveux . De là chez l'aliéné les sensations morbides et
union subit dans le cerveau moyen une interruption par des cellules nerveuses . Lesquelles ? C'est à chercher. P. KERAVAL. X
esquelles ? C'est à chercher. P. KERAVAL. XII. SUR LES terminaisons NERVEUSES dans la dure-mère cérébrale DE l'homme ; par V.
elles données ET nouveaux problèmes sur la pathologie DE la cellule nerveuse ; par E. LUG.1R0. (Riv. di. 7at. et ment., fasc
XVII. Recherches expérimentales sur LES altérations DES cellules nerveuses dans l'intoxication alcoolique AIGUH ; par II. DL
ut pas dire que ces anomalies prédisposent à e affection du système nerveux ; pour décider de la question il faül-r drait, e
coup de moelles d'individus n'ayant jamais eu de maladie du système nerveux . De nombreux examens cliniques pourrraient seul
ans le jeune âge, présenté de symplômes qui dénotassent d'affection nerveuse . Point à noter, ce génie de préparation est trè
oint de départ et leur raison d'être dans l'irri- tation des filets nerveux contenus dans la cicatrice des moignons. On se
es excite par la faradi- sation. Il est il remarquer que les filets nerveux compris dans la cicatrice y conservent toute le
HYSIOLOGIE pathologiques. 59 XXI. Pathologie générale DE la cellule NERVEUSE (lésions secon- daires et primitives); par lli.
mobile et fugace l'expression des lésions primitives de la cellule nerveuse et combien celles-ci diffèrent toujours des lés
caractères essen tiels ». M. Marinesco prend pour type la cellule nerveuse de la corne antérieure, qui est composée de tro
, il se produit une répercussion sur la moelle avant que la portion nerveuse inter- médiaire soit atteinte. Dans ces cas la
ct vitreux. Dans les deux cas, elle aboutit à la mort de la cellule nerveuse . On observe aussi dans les lésions primitives,
les cellules névrogliqucs qui se trouvent au voisinage des cellules nerveuses s'hyperplasient et jouent le. rôle de neurophag
aussi, dans la plupart des cas d'affections primitives des centres nerveux , des lésions vascu- laires qui font presque déf
poison a une action différente sur les diverses espèces de cellules nerveuses . A. FENAYMU. revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOG
à la netteté de l'ouvrage. L'auteur y poursuit l'élude des troubles nerveux sans lésions pour en déterminer la genèse, l'év
ques. Il définit ainsi l'élément dynamique morbide : « Toute action nerveuse anormale qui ne correspond à aucune altération
rajet que suivent pour se rendre de la langue au cerveau les fibres nerveuses préposées à la gustation, est loin d'être éluci
obson est une branche afférente du glosso-pharyngien; la conduction nerveuse doit donc se faire dans le même sens. On sait q
f sensitif, c'est bien vers ce ganglion qu'il doit diriger l'influx nerveux . De même, le grand nerf pétreux superfi- ciel é
. XXV. État actuel DE l'anatomie ET DE la pathologie DES CELLULES nerveuses ; par F. NISSL. (Centralbl. f. JVC ! 'MH/tCt ? XVI
ssons exactement le mode de manifestation du réactif sur la cellule nerveuse , et que nous pouvons en distinguer les dessins
urones soient la dernière unité anatomique; que les pro- longements nerveux , les collatérales, les ramuscules terminaux et
ites représentent des organes conducteurs et de contact, la cellule nerveuse n'en reste pas moins l'article spécifique par e
)tt2'alGl., XV, 1896.) M. Benda a critiqué la division des cellules nerveuses de Nissl, disant que les dénominations proposée
ts. Sont-elles dues à des aplasies simples indépendantes du système nerveux central, dérivent-elles d'ab- sences ou d'atrop
) La substance grise de la moelle contient trois sortes de fibres nerveuses : 1° les unes viennent des faiceaux pyramidaux ;
ostérieures ; 3° les dernières prennent naissance dans les cellules nerveuses de la substance grise et passent à divers endro
ch) et la branche descendante éJl1E'.lteut à angle droit des fibres nerveuses à myéline nombreuses, qu'on appelle des collaté
ours une dégénérescence secondaire ascendante d'un cordon de fibres nerveuses blanches occupant la substance grise entre les
ui suit. Chez le lapin et le cobaye il n'existe pas un seul tractus nerveux dégénéré, c'est-à-dire coloré en noir, allant d
uels on a recours et qui ont pour action de diminuer l'excitabilité nerveuse , aucun n'est spéci- fique, et l'on peut se dema
chimique des cel- lules de l'écorce cérébrale, source de l'énergie nerveuse . Les effets localisés de l'épilepsie jacksonien
ne sont assez démonstratifs, et permettent de considérer le système nerveux central comme un réservoir d'énergie, se déchar
u sujet exerce aussi son action sur la reproduc- tion des accidents nerveux et il est certain qu'une première attaque convu
cal supérieur avec 3 centimètres et demi à 4 centi- mètres du tronc nerveux sous-jacent des deux côtés. Immédiate- ment apr
ndes, peut-être, même des phé- nomènes destructifs dans les centres nerveux . En faveur de cette supposition plaide l'atroph
thénique bulbaire », en ajoutant que les altérations des élé- ments nerveux , principalement des cellules nerveuses, y sont pr
les altérations des élé- ments nerveux, principalement des cellules nerveuses , y sont pro- bablement plus profondes que dans
embre 1896, la malade entra de nouveau à la Clinique des mala- dies nerveuses dans un état très pénible. L'appétit était très m
trophie des muscles, qui dépend des modifications dans les cellules nerveuses , comme centres tro- phiques, peut diminuer et m
ps, sert à confirmer l'opinion que les mo- difications des cellules nerveuses dans l'affection en question, mal- gré leur pro
les. II. MM. Rossolimo et Mouravieff. De la structure de la fibre nerveuse dans l'état normal et pathologique, Méthode de fo
s rapporteurs proposent une nouvelle méthode de traitement du tissu nerveux . Des morceaux du système nerveux, pour leur dur-
lle méthode de traitement du tissu nerveux. Des morceaux du système nerveux , pour leur dur- cissement, doivent être mis pou
particulier. En même temps se colorent aussi très bien les cellules nerveuses (comme par la méthode de Nissl), les noyaux mus
- gliques, en un mot tous les éléments principaux de la substance nerveuse . A l'examen du bout périphérique chez un lapin, c
sparut tout à fait. Sur les coupes transversales, prises des troncs nerveux et des racines, on remarque une formation des m
la coloration de presque toutes les parties intégrantes du système nerveux dans son état normal et pathologique; et 2° la
tome IX (1897) renferme les articles suivants relatifs au systèmes nerveux : De la méningite séreuse due au pneumocoque ;
ar Deléarde. De l'influence de la toxine diphtérique sur le système nerveux des cobayes; par i\1oUl'a vieff.. , BULLETIN BI
ges. -'fouleuse, 1897. Librairie Edouard Privât. DACODET. Système nerveux central; coupes histologiques. - Volume in-8o c
er, 1896. Imprimerie L. Declume. Gerest (J.-1L). - Les affections nerveuses systématiques el la théorie des neurones. - Vol
Vol. V. Février 1898. i N° 36' z ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . ESSAI DE DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL ENTRE LA SY
ves de Neurologie, n° 25. Archives, 2e série, t. V. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE . - lésions sont et restent purement méningées ;
ux panaches protoplasmiques des cellules pyramidales, de l'influx nerveux apporté par les cylindraxes centripètes, venus
logues dus à l'ischémie dans la syphilis artérielle. 100 CLINIQUE NERVEUSE . Ces troubles de la sensibilité, par leur perma
syphilitique lui-même, ou bien à une infection secon 't02 CLINIQUE NERVEUSE . daire ou associée ? Il nous est impossible de
asal, associé à une thrombose de la sylvieuue opposée. 104 CLINIQUE NERVEUSE . Observation II. Sommaire : Syphilis probable d
. Une soeur morte de la diphtérie. Il ne parait y avoir aucune tare nerveuse dans sa famille. Antécédents personnels. Aucu
t disparu ; celle-ci est remplacée par une large tache 106 CLINIQUE NERVEUSE . blanchâtre, faisant légèrement saillie, d'aspe
tre très agitée, à délirer et à crier. Depuis quelques 108 CLINIQUE NERVEUSE . jours elle est plus calme et on a pu la faire
ose ulcéreuse des deux som- mets, prédominant à gauche. - Système nerveux . Rien d'anormal à l'ouverture de la boite crâni
eaux de la base ne présentent pas de lésions macrosco- 110 CLINIQUE NERVEUSE . piques : leur calibre est normal et régulier,
a utilement à celui de la syphilis artérielle : . 'H 2 - CLINIQUE NERVEUSE . Les gommes du cerveau, ainsi comprises, sont a
grossière, plus évidente, puisque leurs lésions empêchent l'influx nerveux d'arriver à l'écorce ou d'en sortir. Les zones
tes, les admettre serait affirmer que certaines portions du système nerveux ne servent à rien. On trouvera plus loin l'obse
tion sur une substance Archives, 2c série, t. V. 8 11 Il CLINIQUE NERVEUSE . cérébrale mise en état de moindre résistance,
' Gamel (de Marseille). Thèse Montpellicr, 1871. ,1,1 (; CLINIQUE NERVEUSE . l'observation, nous fûmes surpris de trouver d
oisines, création de nou- ' Revue de médecine, 1897. 118 CLINIQUE NERVEUSE . velles associations entre les neurones, ouvert
ants. Il ne parait avoir dans la famille ni tuberculose, ni maladie nerveuse . Antécédents personnels. Scarlatine à l'âge de
as de paralysie musculaire,pas d'asthénie bien pronon- 120 CLINIQUE NERVEUSE . cée; la malade résiste assez bien aux mouvemen
rose et un aspect légèrement strié suivant la direction des fibres nerveuses . Ses bords paraissent flous et se délimitent ma
nt par les antiseptiques intestinaux. Il s'est produit 122 CLINIQUE NERVEUSE . une amélioration très rapide, disparition de l
ble du côté des yeux, si ce n'est à l'examen ophtal- J24 4 CLINIQUE NERVEUSE . moscopique qui montre des lésions absolument s
es ordres sont exécutés immédiatement et fidèlement. 126 CLINIQUE NERVEUSE . La malade n'a pas non plus d'aphasie motrice;
par exemple, chez des alcooliques descen- dants de vésaniques ou de nerveux ivrognes (n'y a-t-il pas des individus qui ont
iverses phases) ; chez d'autres sujets ayant une autre organisation nerveuse congé- nitale, l'aliénation mentale ne se tradu
nation de la forme peut être fixée à la fois pai- la prédisposition nerveuse , héréditaire ou acquise, et par la nature des s
lectuel CONSIDÉRÉS COMME FACTEURS DANS LA PRODUCTION DES MALADIES NERVEUSES ET LA DÉGÉNÉRESCENCE DE LA RACE; par le D1' L I'.
détermine une déchéance dans la vitalité, une dégénération du tissu nerveux qui peut amener le développement de l'idiotie d
tale J. Un important agent de production des maladies mentales et nerveuses est le surmenage intellectuel, qui correspond à u
issement mental mais à une lésion plus ou moins diffuse des centres nerveux . A côté des autres psychoses de la vieillesse,
ntal Science, janvier 1897.) La maladie mentale, ou plus exactement nerveuse , que les Malais désignent sous le nom de Latah,
s petit nombre de descriptions. Elle est constituée par divers état nerveux passagers qu'il est extrêmement difficile de cl
'asfociation possible avec certaines maladies organiques du système nerveux (sclérose en plaques, maladie de Basedow) sont
hypothèse d'après laquelle l'état de faiblesse irritable du système nerveux central auquel est due la confusion mentale ser
rtaine. A l'autopsie, on ne trouve, en pareil cas, dans les centres nerveux que de la congestion passive, de la stase sangu
nd elle existe, le diagnostic doit être basé sur le caractère, soit nerveux , soit céré- bral, plus grave, de la neurasthéni
oit céré- bral, plus grave, de la neurasthénie. Les neurasthéniques nerveux , chez qui la syphilis est venue renforcer la né
ntent à la suite de la syphilis une neurasthénie plus cérébrale que nerveuse , s'accompagnant de symptômes nouveaux, troubles
s accessoires, tremblement, sensation de chaleur, hyperexcitabilité nerveuse , etc., pourraient être sous la dépendance d'une
nent le texte. A. V. XIV. DISCUSSION SUR LE traitement DES maladies NERVEUSES ET mes- tales par les extraits organiques. (.8
sont que la myéline et la cérébrine sont des stimulants du système nerveux qui peuvent agir dans certains états morbides.
~dispose, ainsi qu'aux affections syphilitiques directes du système nerveux , aussi à des affections post ou parasyphilitiques
du ganglion cervical supérieur du grand sympathique et du tronçon nerveux sur une longueur d'environ quatre centimètres. Au
1896, époque de la rentrée de la malade à la clinique des maladies nerveuses , on a constaté : paraplégie inférieure complète
le prix entre M. Henri Meunier pour son étude surle Rôle du système nerveux dans l'infec- lion de l'appareil pulmonaire, et
rante pour son étude sur les Dégénérescences secondaires du système nerveux . Des men- lions honorables sont accordées à M.
géné- rale, et d'un autre travail intitulé : Les coupes du système nerveux central. Programme des prix proposés pour les
iné à « récompenser ou encourager les travaux rela- tifs au système nerveux , dans la plus large acception des mots ». Les t
le premier semestre à l'Académie des sciences, relatives au système nerveux : Recherches sur l'histologie de la cellule ner
ives au système nerveux : Recherches sur l'histologie de la cellule nerveuse , avec quelques consi- dët'< : t(MKSp/tt/MO&l
homme, par Binet et Vaschide; -Période réfractaire dans les centres nerveux , par A. Broca et Ch. Richet (trois commu- BIBLI
r Delezenne; Action de la bile et des sels biliaires sur le système nerveux , par Bickel ; Sur l'application de la photograp
e la Légion d'honneur; M. le D'' F. RAYMoND, professeur de clinique nerveuse , médecin de la Salpêtrière, a été nommé Officie
, l'Académie a décerné les prix suivants, concernant les maladies nerveuses et mentales : Prix Civrieux. 1.000 fr. Question
toutes des affections consécutives à, « une modification du système nerveux central, ganglion- naire ou périphérique* ». '
t Brocq3, chez certains indi- vidus atteints de maladies du système nerveux central ou périphérique, un état iehthyosique p
re une lésion de la substance grise. Dans les deux cas les cellules nerveuses traitées par l'acide chlorhydrique et le ferrocya
mes généraux. A. V. XXXVI. SUR l'anatomie pathologique DES éléments nerveux dans l'urémie aiguë expérimentale ; par ACQUIST
olongements protoplasmiques, le citoplasme et le noyau des cellules nerveuses . Elles représentent le substratum anatomo-patho
XXXVII. Recherches SUR la capacité PROLIPÉR.1TI\'E DE la CELLULE nerveuse ; par Giuseppe LEvi. (Biv. di. part. nerv. et ment
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rentes portions du système nerveux et parfois a été constatée aussi dans les vasa
même chez les gauchers. J. S. ULT. SUR LES altérations des cellules nerveuses par imitation PARTIELLE DU PROLONGEMENT NERVEUX
ions des cellules nerveuses par imitation PARTIELLE DU PROLONGEMENT NERVEUX ; par E. LuGARO. (Riv. di pat. nerv. e ment., v
atériaux de déchet; il pense même qu'elles s'attachent aux cellules nerveuses dégénérées, et que, par leur intermédiaire, ces
er trois ou quatre, et presque toujours le cytoplasme de la cellule nerveuse la plus voisine de la cellule envahissante manque
ahissante manque en par- tie : il semble qu'on ait mordu la cellule nerveuse , et qu'elle soit entamée; on peut observer tous
AL. LUI. Nouvelles recherches SUR la STRUCTURE FINE DE la CELLULE NERVEUSE ET SUR LES LÉSIONS PRODUITES PAR CERTAINES INTOXI
e ses nouvelles recherches sur les lésions primitives de la cellule nerveuse produites par l'intoxication expérimentale par
émises sur la structure de la substance achromatique de la cellule nerveuse . Cette substance n'est pas amorphe, comme on le
romatiques. M. Marinesco continue par une description de la cellule nerveuse telle qu'elle résulte de ses recherches personn
bstance achromatique organisée sert à la conductibilité de l'influx nerveux . Quant à la substance chromatique, certains aut
t. A. FENAYROU. LIV. DE l'interdépendance FONCTIONNELLE DES CENTRES nerveux DU LAN- gage ; par le D1' Fritz Sans. (Jo2tI·n.
lle des différents centres du langage. G. DERNY. LV. DES CELLULES nerveuses DE chiens vaccinés contre la rage; parB. NAGY.
on lente dans l'économie, par degrés de ce neurotoxique; le système nerveux s'accoutume au poison, de sorte que plus tard o
du refroidissement de la région. P. 11ERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. L'amaurose hystérique unilatérale ; par M.
u côté paralysé chez les hémiplégiques 224 liez REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . d'origine infantile. MM. Vigoureux et lllally
leptiformes. L'auteur a observé aussi un malade REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 225. qui a présenté de la paralysie des membre
nage (allai- Archives, 2" série, t. V. 1S 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tement prolongé, veillées et fatigues après le
U DIAGNOSTIC DES AFFECTIONS ORGANIQUES OU FONCTIONNELLES DU système nerveux ; par Sudson Bure. (British. médical Journal, 25
uvénile qui est produit par une atrophie de la REVUE 'DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 227 7 glande thyroïde qui pendant un certain t
s la dépendance de ces faisceaux. ' A. V. 228 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . X. SUR un cas DE myélite SUBAIGUF DORSO-LOMBAI
faut mentionner que les auteurs ont trouvé dans certaines cellules nerveuses , surtout dans la corne antérieure gauche de la
cas, où l'enfant avait succombé avec des symp- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 229 tomes méningitiques, l'autopsie ne montra
ssociée à une réaction, à une irritabilité exagérées. L'rritabilité nerveuse de l'épileptique se manifeste dans une directio
eurs sur les réflexes à la-façon d'un shock » affectant les centres nerveux . La contrac- tion des muscles de la nuque crée
e la nuque crée d'autre part un obstacle au 230 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . retour du sang veineux et détermine l'accumula
quarante ans, peut survenir chez des individus indemnes d'hérédité nerveuse , une épilepsie qui ressemble sous beaucoup de p
l'encéphalite. Ces cas présentent une première période d'épuisement nerveux suivi par des états vertigineux accompagnés. so
es. Ces phénomènes sont dus à des toxines résultant de l'épuisement nerveux : leur apparition commence lorsqu'une des voies
tes pour le diagnostic différentiel. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 231 XIV. Tétanos A frigore. GUÉRISON; par A. R
l'autre moitié, elle l'influence favorablement. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 233 L'épilepsie est très rarement la cause de
t procédé après sa mort a l'examen analomo-palholcgique des centres nerveux et des nerfs, en utilisant les méthodes de colo
rfs qui émanent de ces noyaux. Les lésions des cellules des centres nerveux consistent essentiellement 234 REVUE DE PATHOLO
centres nerveux consistent essentiellement 234 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dans la désintégration des éléments chromatoph
iels, il s'agit sans doute d'une altération primi- tive des centres nerveux ; il n'a pas été possible de savoir si les alté
certains cas impossible entre la polyurie hystérique et la polyurie nerveuse des dégénérés, laquelle n'est qu'un syndrome de
s incurable, demande à être revisée. A côté 236 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . des paralysies récurrentielles, toujours fonct
net a pu élucider la pathogénie de ce symptôme. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 237 Cette cause n'était autre que l'idée fixe,
estionnées. Il existait aussi de la congés- 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tion des vaisseaux de la substance blanche et
tique héréditaire ou familiale. M. 11 Il [tL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 239 XXVI. Contribution A l'étude DES lésions m
s de l'auteur, l'état psychique des malades 240 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'il a observés est celui d'une démence progr
à respiration diaphragmatique, à abdomen proéminent, de tempérament nerveux . Ils s'exagèrent sous l'in- fluence d'une émoti
nin, n'était la prédisposition des malades aux maladies mentales ou nerveuses . Les traitements sont le plus souvent impuissan
st essentielle ;. c'est : l'état d'équilibre instable de la cellule nerveuse . Le sang de ces malades, noir, poisseux, se coa
sifs. Mais il faut, au préalable, un état particulier de la cellule nerveuse connu sous le nom de prédisposition héréditaire
matisme, cicatrice, lésion du cerveau, irritation des terminaisons nerveuses , influence morale ou physique, etc. Quel que soit
M. le Dr Rayueau, médecin en chef de l'asile d'Orléans. Pathologie nerveuse . Du rôle des artérites dans la pathologie du sy
logie nerveuse. Du rôle des artérites dans la pathologie du système nerveux . Rapporteur : M. le Dr Sabrazès, professeur agrég
mpathique. Jusqu'à la puberté, elle n'avait présenté aucun accident nerveux et n'avait souffert d'ailleurs que de quelques
s, mais en dehors de ce trouble elle n'a souffert, d'aucun accident nerveux jusqu'à la puberté qui s'est établie nor- 284 C
l'hérédité directe de son anomalie sexuelle, et dans les accidents nerveux des deux autres son inaptitude génératrice, ell
Grtd-po'e paternel gout- teux. Grand'mère paternelle migraineuse et nerveuse . Grand- père maternel mort tuberculeux. Grand'm
me.Il fumait beaucoup. Doux, travailleur, il était cependant « très nerveux » et se laissant facilement abattre. Famille
Mère, cinquante-six ans, jouit d'une bonne santé générale; elle est nerveuse , sans avoir de crises cependant; les grandes ém
ons moyennes. Sa santé aurait toujours été parfaite, elle n'est pas nerveuse . Elle n'a jamais eu d'autre maladie qu'une légère
a duré cinq mois. Il était sanguin, puissant, calme et nulle- ment nerveux . Mère, morte à quarante-sept ans, probablement
que son mari, sujette aux douleurs rhumatismales, elle n'était pas nerveuse . Dans sa jeunesse, très dévote, elle se destina
e de la Fédération : b, rue de Pontoise, Paris. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXX. DE L'IMPORTANCE DE LA DÉGÉNÉRESCENCE POUR
l'esprit uniquement comme la résultante de l'activité des cellules nerveuses , comme une sorte de sécrétion du cerveau. L'act
grande pour le praticien de connaître tous les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 309 sligmates physiques et psychiques de la dé
lienist and neurologist, oct. 97.) E.BuN. XXXI. Action du système nerveux SUR LES processus NUTRITIFS, A l'état DE santé
CI\- NEAR. Considérations générales sur la physiologie du système nerveux , sur les rapports du système nerveux avec les v
sur la physiologie du système nerveux, sur les rapports du système nerveux avec les vaisseaux : de l'équi- libre de la cir
une diminution de la quantité de sang qui circule dans les centres nerveux . Delà l'importance que pourra présenter l'appli
u du froid sur la colonne vertébrale, autrement dit sur les centres nerveux spinaux. C'est ainsi que le froid sur la colonn
es les formes spasmodiqhes en chassant l'excès de sang des cellules nerveuses motrices et, en déterminant, par son action sur
lienist and neurologist, oct. 97.) E. B. XXXII. Syphilis DU système nerveux central ; par le 1)' SYDNEY Hun. Dans un long
ssances sur les différentes formes que revêt la syphilis du système nerveux central. D'.une façon générale, les accidents se
égers ; de même ils seraient plus fréquents 310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . avec les chancres extragénitaux. Les accidents
le meilleur remède de cette forme de syphilis. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' 311 Alors que les iodures seront donnés par
auto-infection; par le Dr CL.nKG. La base auto-toxique des maladies nerveuses est de toute évi- dence en mainte circonstance,
tivement la part qu'elle joue, elle jette 31 '2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . un jour nouveau sur la compréhension de certai
ition : elle n'est pas localisée à une partie quelconque du système nerveux , mais extrêmement généralisée. Il est plus ra
it et les oeufs. Le traitement moral sera d'une REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 313 grande importance, et pour l'entreprendre,
part, on a souvent décrit sous le nom de neurasthénie des symptômes nerveux associés à l'anémie, à la chlorose, à certaines
ion récente de Binswanger : son expression clinique est une fatigue nerveuse dont les symptômes, suivant l'organe considéré,
c). Les lois d'association sont universelles pour tout l'organisme nerveux , moteur aussi bien que mental. d). Nos capacités
n Journal of insanity, juillet 1897.) E. B. 3t4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXIX. A propos D'UN cas très intéressant DE m
e lésions antérieures ou concomitantes du sympathique et du système nerveux périphérique. Cette observation vient s'ajouter
conclusions de son travail sont les suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 315 1° Les mouvements involontaires qu'on renc
'est un fibrome pur n'englobant pas dans son intérieur d'éléments nerveux et n'en comprimant pas dans son voisinage ; du re
n'affectent nullement la zone de distribu- tion de l'un des filets nerveux de cette région. La malade, très émotive, est a
re seulement. Moelle intacte ainsi que le bulbe REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 317 sauf quelques dilatations vasculaires. Dan
s douloureuses et à celle des points viscé- 318 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . raux lésés, origines des douleurs en question.
juvénile d'Erb, il s'agit d'un enfant de sept ans, sans aucune tare nerveuse , qui, étant resté suspendu par les bras à un trap
t resté suspendu par les bras à un trapèze pen- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 319 dant un temps immodéré, présenta au bout d
rences de sarcome gliomateux. A. Marie. XLV11. Affection DU système NERVEUX DE l'enfant EN rapport avec l'accouchement diff
paraissent amener les hémorragies ménin- 3^0 0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . gées et les premiers-nés sont, dans les présen
e 20 cas personnels se décomposant comme suit : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 321 L. Tic CONVULSIF SUBSTITUÉ A UNE NÉVRALGIE
S PRODUITES EXPÉRIMENTALEMENT PAR L'ALCOOL ÉTHYLIQUE SUR la CELLULE NERVEUSE corticale ; par Henry BERKLEY (de Balti- more).
A. Marie. Archives, 2e série, t. Y. - 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LUI. Myasthénie BULB.\IRE PSEUDOP.1R : 1LYTIQU
corps, surtout celle du mollet. E. Margouliès. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 323 LV. Paralysie hystérique du grand dentelé
La constituée par un ensemble de iiiailli- 324 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . festations ayant une évolution progressive et
des défauts de ce pouvoir. Or raffinement exagéré imposé au système nerveux par ces conditions extérieures exige de sa part
, défaut de contrôle simple ou avec décharges irrégulières de force nerveuse (impulsi- vité, chorée, épilepsie, folie interm
ar une constante agita- tion ne permettant aucune épargne d'énergie nerveuse et entrai- nant des réactions indues aux excita
tabilité transmise est plus glo- balement physique que spécialement nerveuse , mais à la longue, de génération en génération,
énération en génération, le déséquilibre se localise sur l'appareil nerveux plus élevé et plus délicat. Il y à d'ailleurs une
r à un système spécial .à travers plusieurs 326 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . générations ; de même que dans certaines ligné
es (cancer, tuberculose, goutte), de même elle l'ouvre à l'hérédité nerveuse et dans celle-ci à des affections encore spécia
éciales (musique, dessin). Il faut donc, en matière d'instabilité nerveuse , compter avec la force de l'hérédité, mais auss
s quelconques en ont trouvé 90 bypnotisables et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 327 qui affirment que les névropathes sont les
lules corticales par -la stimulation monotone d'autres appareils nerveux , les impressions passent directement aux centres
supérieurs; « il y a production d'un court circuit dans le courant nerveux ». La doctrine de Hart présente ce même point f
mages ou idées subordonnées le contrôlant 3'2 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .' instinctivement ou subconsciemmentetdontil se
entration exclusive de l'attention sur un point REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 329 9 avec imitation de sa quantité. Beaunis e
DE PATHOLOGIE MENTALE. 331 jamais eu de convulsions ni d'accidents nerveux , n'ayant pas l'ha- bitude de boire de l'alcool,
tait pas altérée. L'enfant présente bientôt un état de dépres- sion nerveuse très marqué, avec tendance au coma et anesthésie.
on de la sen- sibilité des appareils périphériques aux terminaisons nerveuses rétiniennes et auditives étant affaiblies, émou
ités de patience, de tact et d'obser- vation des moindres symptômes nerveux qu'on ne rencontre pas aussi développés dans le
chez l'homme sain. Dans les maladies autres que celles du système nerveux , il n'a pas une bien grande valeur comme symptô
e au point de vue diagnostique. Dans les autres maladies du système nerveux , paralysie générale, paralysie agi- tante, etc.
jugement. 15. Les Idées de Descartes sur la physiologie du système nerveux ; par P.-L. MUL. 16. Contribution et l'étude d
i un ensemble de documents intéres- sant le traitement des maladies nerveuses et en particulier la plu- bibliographie. 349
drothérapiques dans 3SO bibliographie. le traitement des maladies nerveuses et des moyens qui en sont les auxiliaires. Parm
texte en facilitent l'intelligence. Dr F. VILLARD. X. Dyspepsies nerveuses et neurasthénie ; par PAUL GLATZ. Genève et Lyo
l'atonie et la névrose, et fixant enfin la diagnose de la dyspepsie nerveuse et neurasthénique. Sur cette base l'auteur, apr
travail vital universel qui, arrivant de tous les points du réseau nerveux à leur centre anatomique et, par celui-ci, au s
jà lienle 1 définissait la personnalité : le tonus de notre système nerveux et la perception par l'organisme de sa pro- pre
866. - Esquirol, OEuvres complètes, p. 414. 3 Traité des maladies nerveuses , Paris, f 81G. 360 PATHOLOGIE MENTALE. rien,
organiques (anémie, palpitations, perte de l'appé- tit, phénomènes nerveux , leucorrhée). Puis est survenu un état de malai
HISTOIRE DES DOCTRINES CONTEMPORAINES DE L'HISTOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. THÉORIE DES NEURONES; Par JULES SOUR
tour, comme llamoii y Cajal, contre la théorie erronée d'un réseau nerveux diffus des centres nerveux : ce réseau n'est en
l, contre la théorie erronée d'un réseau nerveux diffus des centres nerveux : ce réseau n'est en réalité qu'un simple 1 Cot
dit-il, comme un postulat physiologique, la continuité des éléments nerveux entre eux; au contraire. 1 » A l'hypothèse de la
ué le fait d'observation du contact des prolongements de la cellule nerveuse pour l'explication physiolo- gique des courants
la cellule nerveuse pour l'explication physiolo- gique des courants nerveux . L'onde nerveuse ne se propage plus parjiine vo
use pour l'explication physiolo- gique des courants nerveux. L'onde nerveuse ne se propage plus parjiine voie unique; elle p
'être pas de nature identique à celle 1 urone antérieur. Le courant nerveux peut varier ainsi de foffiié spécifique en trav
induction, et cela glateorde mieux avec la complexité des processus nerveux que l'hypothèse d'une voie directe, conduisant
nerveux que l'hypothèse d'une voie directe, conduisant l'excitation nerveuse , de son point de départ à son point d'arrivée,
son point d'arrivée, sans modification ni changement. Le système nerveux central des invertébrés est construit sur le mê
de méthylène ou avec le procédé de Golgi, on sait que les cellules nerveuses de la chaîne ventrale et des ganglions de ces êtr
resque toujours ce prolongement s'infléchit indivis dans une racine nerveuse et quitte la moelle : ces fibres sortent donc b
e la moelle : ces fibres sortent donc bien directement des cellules nerveuses du cor- don ventral pour se rendre aux muscles.
t par de libres arborisations ? constituant encore, non un « réseau nerveux central », mais fixa feutrage. « La connexion p
a feutrage. « La connexion physiologique des différents éléments" nerveux a donc lieu aussi chez les vers par contact, non
mpare les cellules ganglionnaires des invertébrés avec les cellules nerveuses du cerveau et de la moelle épinièreldes vertébr
ales : 1° On peut considérer les branches latérales du prolongement nerveux des cellules motrices de la chaîne ventrale des
z les vertébrés, du corps cellulaire, mais du tronc du prolongement nerveux (Retzius et Cajal); 2° on peut aussi suppo- ser
aux collatérales qui, chez les vertébrés, partent du proroger ment nerveux ou cylindraxile, parce que, chez les invertébrés
t-à-dire les fibrilles qu'émet à son origine lel<pu'px longement nerveux et sur lesquelles nous reviendrons, sont des or
es d'émission de l'eyi;t3a tion cellulaire. La direction du courant nerveux , ceilulipète.i4ans les dendrites, est cellulifu
, arrive à cetteteet- lule par les collatérales de son prolongement nerveux ; celles-eh par le tronc de ce prolongement, con
indraxiles de ces cellules ganglionnaires. La directipluadu courant nerveux des collatérales de ces cellules est donc csjjuji
ices de la chaîne ganglionnaire. S'il existe aussi, dans le système nerveux central des invertébrés, des cellules de sensib
s d'après le type régulier, les collatérales de leur pro- longement nerveux devront avoir une fonction différente de celle
devront ressembler aux collatérales des vertébrés, dont le courant nerveux est cellulifuge. I. Histologie du neurone. Le s
urant nerveux est cellulifuge. I. Histologie du neurone. Le système nerveux apparaît à v. Lenkossék comme constitué par la
one (Waldeyer) ou le neurodendrone (K&lliher), c'est la cellule nerveuse avec ses prolongements protoplasmiques et cylindr
d'une étendue et d'une surface souvent énormes. Le mot de cel- lule nerveuse doit être réservé au corps protoplasmique nucléé.
ps protoplasmique nucléé. * Tous les neuroblastes sont des cellules nerveuses jusqu'au moment, très rapproché de leur naissan
t, etc. Tous ces élémenls sans pro- longement n'ont avec les fibres nerveuses aucun rapport direct : ce sont bien des cellule
s fibres nerveuses aucun rapport direct : ce sont bien des cellules nerveuses , des « éléments qui déjà, par la nature propre
ni dendrites. Ce sont les ramifications cylindraxiles des cellules nerveuses , mises en rapport avec ces éléments, qui condui
ônes et des bâtonnets en particulier. Dans toutes les autres unités nerveuses , on distingue deux par- ties principales : la c
tés nerveuses, on distingue deux par- ties principales : la cellule nerveuse proprement dite (nezzrocyte) et son prolongemen
a cellule nerveuse proprement dite (nezzrocyte) et son prolongement nerveux (neurnxone ou axone (KÜlliher), long (inaxone)
(KÜlliher), long (inaxone) ou court (den(li-axone). Le prolongement nerveux peut être multiple et se diviser soit à proximi
aire du cerveau (cellules de Cajal). Mais le type propre de l'unité nerveuse , c'est le prolongement nerveux unique ou monax
l). Mais le type propre de l'unité nerveuse , c'est le prolongement nerveux unique ou monaxone; ce prolongement se termine
une arborisation (télotieiittî,oite), troisième élément de l'unité nerveuse . L'exemple le plus simple d'un prolongement ner-
es les cellules centrales, ce type simple se complique : la cellule nerveuse pousse ses den- drites, le prolongement nerveux
lique : la cellule nerveuse pousse ses den- drites, le prolongement nerveux ses branches collatérales ou paraxones.Ces anne
xones.Ces annexes, qui s'étendent souvent si loin dans le sys- tème nerveux , ne sont pourtant pas des attributs indispensable
rveux, ne sont pourtant pas des attributs indispensables de l'unité nerveuse , puisqu'il existe non seulement des cellules ner-
cellules des ganglions spinaux, etc.), mais aussi des prolongements nerveux dépourvus de collatérales, tels qne ceux des ce
optiques, des fibres olfactives. Chez les invertébrés, les cellules nerveuses typiques sont adendritiques; mais les collatérale
ypiques sont adendritiques; mais les collatérales des prolongements nerveux jouent un grand rôle. D Des trois parties const
grand rôle. D Des trois parties constituant le neurone, la cellule nerveuse , avec ses dendrites, nous apparait sûrement com
e l'élément perce- vant et impulsif D, écrit v. Lenhossék. La fibre nerveuse , ses colla- térales et son arborisation termina
ones, soit a proximité, soit éloignés, entourer d'au- tres cellules nerveuses de ses ramifications, s'élever dans les terri-
e chez les .invertébrés, depuis l'apparition de la première cellule nerveuse avec son prolongement nerveux, jusqu'aux mammif
l'apparition de la première cellule nerveuse avec son prolongement nerveux , jusqu'aux mammifères. Le prolon- gement nerveu
c son prolongement nerveux, jusqu'aux mammifères. Le prolon- gement nerveux est en réalité quelque chose de différent des den
clcer). A cet égard, et en calculant que les dendrites des cellules nerveuses des cornes antérieures ou de celles de Purkinje
ts protoplasmiques sont bien des organes de nutrition de la cellule nerveuse . Non qu'il faille confiner leur rôle à cette fonc
e à une période où il n'existait pas de vaisseaux dans la substance nerveuse , et, après l'apparition de ceux-ci, il n'a pu c
s que laissent entre elles lesdélicatesra- mifications des éléments nerveux . Sans doute ce liquide n'est point partout égal
ondante et plus active là où se trouvent de grands amas de cellules nerveuses , dans la substance grise de l'écorce, que parco
es échanges de ces cellules. Quant au mode de nutrition de la fibre nerveuse , et en particu- lier des nerfs périphériques, v
, mais parce que le cou- rant de la nutrition va, dans les cellules nerveuses , de la surface THÉORIE DES NEURONES 377 périp
dans une direction cellulipète. Les vaisseaux propres des faisceaux nerveux plaident déjà pour une nutrition autonome des f
sent, cela n'exclut point toute influence trophique de la cel- lule nerveuse sur son prolongement axile. Le bout périphérique
mporte, selon Waller. On peut croire, en effet, que le prolongement nerveux d'une cellule, quelque éloigné qu'il soit de sa
et du tout est sans doute une condition d'existence pour l'élément nerveux , considéré comme un petit organisme. Scloifer,
ions. D'après la loi de Waller, le segment périphérique d'une fibre nerveuse devrait bien dégénérer, non la cellule nerveuse
hérique d'une fibre nerveuse devrait bien dégénérer, non la cellule nerveuse et le bout central du nerf. Marinesco soutient
du nerf. Marinesco soutient que l'activité trophique de la cellule nerveuse n'est point une activité purement automatique,
fonctionnel et anatomique. Dans le cas de rétablissement du courant nerveux , les cellules 3-8 REVUE CRITIQUE. centrales s
se régénèrent. V. Lenhossék conclut donc que, « pour chaque cellule nerveuse , la connexion (Vea61ndung) normale avec l'organ
lule-- est une condition d'existence » (p. 122). Dès que la cellule nerveuse , par suite de la séparation de l'organe termina
tologiques, peut- être chimiques, résultantdu faitque les processus nerveux normaux étant empêchés, l'absorption et l'assim
s de nutrition qui détermineraient directement la mort des cellules nerveuses séparées de leur prolongement nerveux. Par le f
tement la mort des cellules nerveuses séparées de leur prolongement nerveux . Par le fait de cette désorganisation progressi
phique parait bien enchaînée à la persistance normale des processus nerveux . Ce ne seraient toute- fois que les troubles du
bles dus à une interruption totale de la continuité du prolongement nerveux qui détermineraient ces graves lésions de la ce
gement nerveux qui détermineraient ces graves lésions de la cellule nerveuse . Quant au fait de l'abolition de la fonction ne
de la cellule nerveuse. Quant au fait de l'abolition de la fonction nerveuse , il ne les expliquerait pas par lui-même. . Dan
est inconciliable avec l'hypothèse d'une dégénération de la cellule nerveuse suivant, avec une nécessité absolue, l'abolition
use suivant, avec une nécessité absolue, l'abolition de la fonction nerveuse de cet organisme. V. Lenhossék déclare donc ici
e blocs tigroïdes. De même encore au cône d'origine du prolongement nerveux . Autour du noyau, enfin, existe une petite zone
grouperaient en un réseau à mailles très étroites. Le prolongement nerveux sort, nous le répétons, d'un cône dépourvu de g
le particulièrement a proximité du cône d'ori- gine du prolongement nerveux . Le pigment ferait défaut dans toutes les petit
les. Il. Physiologie du neurone. Il est certain qu'aucune cellule nerveuse ne manifeste spontanément son activité, c'est-à-d
c'est-à-dire sans excitations externes. Les fonctions de l'élément nerveux doivent toujours être considérées comme de simp
le baigne : voilà pour le neurone le monde extérieur. Toute cellule nerveuse qui ne possède qu'un prolonge- ment nerveux (ii
térieur. Toute cellule nerveuse qui ne possède qu'un prolonge- ment nerveux (iiioncixone) propage toujours l'excitation dans
sens cellulifuge. Dans le nerf moteur périphérique issu du système nerveux central, le courant d'excitation va du protoplasm
ux central, le courant d'excitation va du protoplasma de la cellule nerveuse des cornes antérieures au protoplasma de la cel-
vec les fibres musculaires. De même dans la transmission du courant nerveux du nerf optique, par exemple : l'excitation d'u
nes agissent ici directement sur le protoplasma d'une vraie cellule nerveuse , pourvue d'un prolongement nerveux fort long, q
protoplasma d'une vraie cellule nerveuse, pourvue d'un prolongement nerveux fort long, qu'elle envoie dans le bulbe olfacti
pport qu'avec une seule cellule mitrale. Quoi qu'il en soit, l'onde nerveuse , apportée par l'arborisation terminale de la fi
s, et, par l'intermédiaire du corps cellulaire et des prolongements nerveux de ces magnifiques neu- roues, elle est finalem
l'existence de libres arborisations terminales provenant de fibres nerveuses venues à la rétine par le canal des nerfs optiq
vent à une distance consi- dérable de la cellule, les prolongements nerveux qui passent dans le faisceau des fibres optique
demment les fonctions de ces neurones; mais la direction du courant nerveux de ces prolonge- ments axiles, quoique en sens
deux prolongements ont absolument le même caractère de prolongement nerveux , de cylindraxes vrais ; ils sont entourés de my
extrémité. Pourtant le prolongement central conduit seul le courant nerveux dans le sens cellulifuge, de la cellule du gang
longement périphérique conduit dans la direction cellulipète l'onde nerveuse au ganglion, c'est-à-dire les impressions tacti
des muscles, des articulations, etc. Ce prolongement périphérique nerveux ne résulte-t-il pas de la transformation d'un pro
processus protoplasmiques, allant de la périphérie à leur cellule nerveuse d'origine ; peu à peu ils se seraient transformés
erveuse d'origine ; peu à peu ils se seraient transformés en fibres nerveuses , tandis que le prolongement central aurait toujou
al aurait toujours été un axone. Aussi le principe de la conduction nerveuse cellulifuge serait encore vrai, même chez les r
; il a donc été nécessaire d'admettre, dans les organes du système nerveux central des invertébrés, des cellules de sensib
tes dans la moelle. Il n'y aurait aucun doute ici : le prolongement nerveux re- çoit l'onde d'excitation par ses atborisati
as encore été trouvées. A la place d'une seule-catégorie d'élémenfs nerveux (cellules de Lenhossék), il en existe donc deux
observe, chez les animaux supérieurs, que les libres teimi- naisons nerveuses de Smirnow sont de nature sensitive Les cellules
ék touchant les fonctions des fibrilles latérales des prolongements nerveux ou cylindraxiles. La fibre sensitive qui, d'une
ls d'émission des stimuli sensitifs de la périphérie aux éléments nerveux de la moelle épinière. Grâce à ces collatérales,
postérieures aux noyaux des cordons postérieurs. Le pro- longement nerveux des cellules mitrales présente des dispositions
ion que la tige dont ils proviennent. De même que les prolongements nerveux des cellules mitrales, les fibres sensitives di
terminales de leur tige axile, et transmettent ainsi leurs courants nerveux celluli- fuges. Quant aux fibrilles latérales
eux celluli- fuges. Quant aux fibrilles latérales du prolongement nerveux , c'est-à- dire des ramuscules qu'émet ce prolon
veux axiles, les principaux organes de réception des excitations nerveuses apportées dans les centres sont les surfaces des
lité et de mouvement par les anastomoses reliant, dans son réseau nerveux diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des pro
nerveux diffus de l'écorce, les fibrilles émanées des prolongements nerveux moteurs avec celles des prolongements nerveux sen
ées des prolongements nerveux moteurs avec celles des prolongements nerveux sensitifs ou sensoriels, les dendrites n'interv
leur refusait donc toute participation aux processus de conduction nerveuse , et il fut suivi par lllartiuotti , Sala et un
desoii Traité, que les dendrites font partie des organes à fonction nerveuse . V. Lenhossék écrit : Si les dendrites sont con
s doivent pouvoir recevoir les effets et subir l'action des stimuli nerveux , et, comme cette action s'exerce à la surface d
s, une importance très élevée dans « la réceptivité des excitations nerveuses ». THÉORIE DES NEURONES. 385 Les couches supe
n d'être, comme le pensait Golgi, privées complètement d'élé- ments nerveux , sont au contraire le siège d'amas considérables
erveux, sont au contraire le siège d'amas considérables de cellules nerveuses et d'arborisations terminales de fibres nerveuses
ables de cellules nerveuses et d'arborisations terminales de fibres nerveuses . Elles contiennent non seulement les dernières
- veuses de Cajal avec leurs arborisations et leurs prolongements nerveux souvent multiples, qui appartiennent à cette couc
arallèles découvertes par Cajal, c'est-à-dire par les prolongements nerveux les grains, où montent les ramures protoplasmiq
Purkinje, dont les dendrites sont en contact avec les prolongements nerveux d'autres éléments du cervelet. C'est pourtant d
eux, que s'élevaient les ramifications protoplasmiques des cellules nerveuses pour y quêter les matériaux de la nutrition de le
ijumeau. Ibid., XXIII, 1895, 78), à propos d'une espèce de cellules nerveuses centrales, globuleuses, à contours nets, de 60
e 60 à 80 p., différant com- plètement du type général des cellules nerveuses centrales, puisque les prolongements dendritiqu
organes de réception des stimuli, pouvaient exercer leurs fonctions nerveuses . On aurait pu, avec Lenhossék, lui poser une qu
ndrites, un fait capable de ruiner la doctrine de la conductibilité nerveuse cellulipète des prolongements proloplas- miques
rolongements proloplas- miques, appareils de réception des courants nerveux dans la nou- velle école, alors qu'il continuai
considérer les dendrites comme des organes trophiques de la cellule nerveuse . En effet, si confor- mément au principe de la
for- mément au principe de la polarisation dynamique des éléments nerveux , la direction du courant, pour toutes les catégor
, la direction du courant, pour toutes les catégories de cel- lules nerveuses , ne va plus du prolongement cylindraxile à la c
ux me dispenser de faire observer, écrivait Golgi, que les cellules nerveuses spéciales dont j'ai reproduit plus haut une fig
n, poursuivant ses recherches sur l'organisation interne du système nerveux de la truite, au moyen de la méthode de Golgi,
u nerf pathétique sont bien des cellules unipolaires à prolongement nerveux unique. Quant aux cellules globuleuses voisines
collatérales, les prolongements cylindraxiles de ces deux cellules nerveuses pénètrent dans la racine périphérique du nerf d
r Golgi contre la théorie de la polarisation dynamique des éléments nerveux . D'ailleurs l'existence, dans le système nerveux
mique des éléments nerveux. D'ailleurs l'existence, dans le système nerveux central, de cellules uniquement pourvues d'un p
ise avec Ramon y Cajal, vu que l'appareil de réception d'un élément nerveux est constitué à la fois par le corps cellulaire
s dendrites participent donc bien à la transmission des pro- cessus nerveux . Dans le bulbe olfactif, les arborisations des fi
les mitrales : ces dendrites reçoivent donc bien directement l'onde nerveuse apportée par les fibrilles olfactives (Cajal).
on à ce fait une importance décisive, que dans beaucoup de cellules nerveuses le prolongement nerveux axile ne sort pas direc
e décisive, que dans beaucoup de cellules nerveuses le prolongement nerveux axile ne sort pas directement du corps de la ce
nt sous la forme d'onde (p. 140). Dans le protoplasma de la cellule nerveuse coexistent à la fois les conditions de la conduct
llule nerveuse coexistent à la fois les conditions de la conduction nerveuse et de l'activité automatique ou de la fonction ne
conduction nerveuse et de l'activité automatique ou de la fonction nerveuse ; la substance du prolongement nerveux axile n'e
utomatique ou de la fonction nerveuse; la substance du prolongement nerveux axile n'est qu'un organe de transmission. Von
l admet également la doctrine de la polarité dynamique des cellutes nerveuses , principe établi d'abord par van Gehuchten (189
ar Retzius (1893). Mais il ne croit pas que la direction du courant nerveux soit cellulipète dans tous les dendrites, sans
moHaa;OH6S. Dans les cellules multipolaires et sans pro- longement nerveux apparent, telles que les grains du lobe olfactif,
mettra-t-elle de les rattacher au type structural des prolongements nerveux . Sur un autre point encore von Lenhossék s'écar
s sont en rapport avec les associations fonctionnelles des cellules nerveuses auxquelles elles sont indispensables pour le mé
uxquelles elles sont indispensables pour le mécanisme des processus nerveux , et que ce mécanisme est préci- sément adapté à
tes, beaucoup de dendrites servent de voies de conduction aux ondes nerveuses et dans la direction indi- quée : c'est un fait
se sujet dans son Hypothèse des rapports fonctionnels des cellitles nerveuses entre elles (p. 142-3). Et d'abord, si les dend
sso- cier les neurones, les contacts nécessaires entre les éléments nerveux auraient pu avoir lieu sans un tel luxe de rami
moelle épinière, alors que les fibrilles latérales du prolongement nerveux , ainsi que nons croyons l'avoir démontré, suffi
u fait de l'exubérance des ramifications de la plupart des cellules nerveuses , chaque cellule peut entrer en contact avec un
ule peut entrer en contact avec un nombre considérable de fibrilles nerveuses de provenance et de genre différents ; comment,
à l'asile de Lafond, pour troubles mentaux consécutifs à des crises nerveuses . J'ai pu, de cette façon, l'observer pendant pl
ers jours de son admission, elle est atteinte d'une série de crises nerveuses que la compression de l'ovaire réussit à arrête
pavillon des malades excitées. A partir de cette époque, les crises nerveuses disparaissent, les vomissements s'arrêtent et,
ntales SUR LES ALTÉRATIONS artificielles ET CADAVÉRIQUES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL ET PÉRIPHÉRIQUE; par le Dr P. S FA MEN
parce que leurs auteurs n'avaient examiné qu'une partie du système nerveux et chez des sujets humains morts d'affections a
t-quatre heures. Aussitôt retirés de l'étuve, les pièces du système nerveux , isolées, étaient plongées dans le liquide durc
Miiller, tantôt l'alcool absolu. Chez quelques sujets, le système nerveux a été isolé et plongé dans le liquide durcissant
ons), en séries de 20 à 100, sur les différentes parties du système nerveux (cerveau, cervelet, bulbe, moelle épinière, ner
cervelet, bulbe, moelle épinière, nerfs périphériques, terminaisons nerveuses ). Après avoir décrit toutes ses expériences et
état vacuolaire à la périphérie des cellules. Dans tous les organes nerveux on observe la présence de corpuscules amylacés.
ction graduelle du protoplasma et du noyau dans toutes les cellules nerveuses et névrogliques. Les fibres nerveuses, d'abord
oyau dans toutes les cellules nerveuses et névrogliques. Les fibres nerveuses , d'abord dans la moelle épinière et le bulbe, p
iques concomitantes. Formation de l'état criblé dans les substances nerveuses du cer- veau, du cervelet et du bulbe. Tuméfact
- veau, du cervelet et du bulbe. Tuméfaction hyaline des cellules nerveuses de la moelle épinière. Cette étude consciencieu
E pathologiques. 397 des Leyden, qui ont expérimenté sur les tissus nerveux de l'hontnae, peut-être serait-il bon de se sou
erait-il bon de se souveuir qu'elle porte uniquement sur les tissus nerveux du lapin. R. Charon. LVIII. Atrophie unilatéral
érations aux épi- physes ; l'absence de symptômes cliniques d'ordre nerveux (hormis la douleur localisée au niveau des os a
La pâleur de cette zone relève d'une part de la finesse des fibres nerveuses à ce niveau et, d'autre part, de la disparition d
diabète sucré, soit isolément, soit en même temps que le système nerveux périphérique. Les lésions médullaires portent iso
cause immédiate présumée de la dégénéra- tion tabétique du système nerveux . Il est bien entendu que le traitement mercurie
sitive, dégénère principalement en direction caudale. Les cellules nerveuses de la substance grise qui avoisinent le bord inte
ions terminales cylindraxiles : il est très probable que les fibres nerveuses de ces cellules passent au côté opposé et se di
côté opposé et se dirigent vers les régions plus élevées du système nerveux central. Par conséquent, si l'on se représente
1. De l'emploi des méthodes DE colorations électives SUR LE système nerveux central durci AUI'ORMOL; par H. Gudukn. (Pieurolr
les granulations chromatophyles). Ap- pliquée à l'étude des tissus nerveux malades, elle rend manifestes certaines altérat
ions de la paralysie générale resteraient cantonnées dans le centre nerveux , alors qu'elles gagnent les méninges chez les syp
e, âgée de vingt-neuf ans, fut admise dans la clinique des maladies nerveuses , le 24 novembre 1895, avec des phénomènes de pa
qties. Foi,i ? ie ai2atoiniqiie; 2° D'un réflexe parti d'extrémités nerveuses comprimées, tiraillées, irritées d'une façon qu
le syndrome de Basedow est la mani- festation clinique d'un trouble nerveux fonctionnel primitif, d'une névrose. Cette névr
ation centrale par les calmants et les toniques généraux du système nerveux (hydro et électrothérapie). Il y aurait lieu de
une quinzaine d'années, E.-C. Séguin a été pro- fesseur de clinique nerveuse à la Faculté du Collège des médecins et chirurg
nt le même temps, il s'adonna activement à la pratique des maladies nerveuses , fut nommé membre de plusieurs Sociétés de neur
uelles il a publié 35 notes ou mémoires relatifs surtout au système nerveux et aux réformes concernant l'enseignement des h
zones sans disposition régulière, ne répondant ni à des territoires nerveux , ni à des territoires radiculaires. Pas de diss
uement sont sains. Nulle part on ne trouve de néoplasmes. Système nerveux . Le canal racliidien est ouvert de l'occipital
e parles partisans de l'origine médullaire. Ace niveau les cellules nerveuses étaient sûrement complètement annihilées, et ce
illes, il ne nous a pas été possible d'y reconnaître des formations nerveuses ; nous voulons dire qu'il n'était pas possible
une tendance au rétablissement des fonctions perdues par des tubes nerveux régénérés. Il nous semble, pour notre cas du mo
umeur, sur les racines, avec cette prédilection qu'ont- les tumeurs nerveuses dans leurs métastases de rechercher le tissu ne
les tumeurs nerveuses dans leurs métastases de rechercher le tissu nerveux . Comment interpréter cette fibrillation qui app
qui rendent encore nécessaires les techniques actuelles du système nerveux doivent certai- nement retenir souvent l'observ
he des énergumènes, « en s'insinuant dans les couloirs du système nerveux » ; il se sert souvent ainsi d'idiomes que les dé
évrier 1898.) Après avoir étudié les voies conductrices de l'influx nerveux et distingué l'arc médullaire, substratum anato
A. FENAYROU. LXXXIII. DES LÉSIONS histologiques FINES DE la CELLULE nerveuse DANS LEURS RAPPORTS AVEC LE DÉVELOPPEMENT DU TÉ
anos est dû à une combinaison du poison tétanique avec la cel- lule nerveuse , par suite de l'affinité de la toxine télanique p
production des lésious qui exaltent l'excitabilité de la substance nerveuse . La phase silencieuse de l'intoxication téta- n
ffectue la com- louaison de la toxine et des éléments de la cellule nerveuse . Lorsque cette combinaison est faite, l'antitox
nique se traduit ana- tomiquement par des modifications cellulaires nerveuses appré- ciables. A. FENAYROU. LXXXIV. L'évolut
E PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. est douloureuse; celle des gros troncs nerveux ne l'est pas. Mêmes oscillations qu'il y a huit
ATHOLOGIQUES. C. DES NOEVI dans LEURS rapports avec LES territoires NERVEUX . essai DE patiiogénie ET u'étiologie; par G. ET
tribution de cer- " tains noevi suivant les'territoires de branches nerveuses , l'auteur a eu l'occasion d'observer toute une
lesquels la distribution des noevi s'étendait entre les territoires nerveux suivant les lignes de Voigt, on doit reconnaîtr
els le ncevus occupe la zone intermédiaire entre deux terri- toires nerveux voisins. Dans l'un comme dans l'autre cas l'ano-
ite intra-utérine. Les noevi, reconnaissant pour origine une lésion nerveuse intra- utérine, peuvent donc être attiibués à u
s. Elle devait tenir compte : d'abord de la constitution du système nerveux , assez infirme pour permettre une décharge quel
la Faculté de médecine de Paris, relatives aux maladies mentales et nerveuses durant l'année scolaire 1896-1897. Aba (Isaac).
ulfo-carbonée. Arié (Joachim). Étude sur la compression des cordons nerveux des membres par du tissu fibreux cicatriciel. A
nes enfants. - Deglaire (Léon). Contribution à l'étude des troubles nerveux en rapporl avec la présence de végétations adén
o-vasculaires. - Frère (Emile). Contribution à l'étude des troubles nerveux par cals exubérants au membre supérieur. Fritea
lérioseléreux. Grognot (Eugène) Contribution à l'étude des troubles nerveux précoces du mal de Pott. Ilaopolf.(firihor). Co
rges). Des troubles de la menstruation dans les maladies du système nerveux . Lévy (Edmond). Des accidents nerveux au cours
ans les maladies du système nerveux. Lévy (Edmond). Des accidents nerveux au cours des arthropathies blennorrhagiques. Lour
rique et critique. (Travail de la clinique des maladies du système nerveux ). Marty (Albert). Du traitement de la sciatique r
drome de Basedow-Graves. Meunier (Henri-Valéry). Du rôle du système nerveux dans l'infection de l'appareil broncho- pulmona
mai. Les candidats ont eu à traiter la question suivante : Cellules nerveuses de l'écorce cérébrale, anatomie et phy- siologi
es névroses avec la grossesse et l' -, par Tarnier, 232. Maladies nerveuses de l'enfant et - difficile et pré- maturé, pa
veuses, par Berkley, 321. Alcoolique. Altérations des cellules nerveuses dans l'intoxication - aigue, par Dehio, 56. A
le, 251. Altérations artificielles et cadavé- riques du système nerveux , par Sfamenè, 395. Amaurose hvstérique unilat
chique, par Lountz, 8f. - psychique, par Lé- pine, 21. Cellules nerveuses . Méthode pour faire pataitreles-granuteusesdans
la - par J. Dumaz, 499. Diagnostic des affections du sys- tème nerveux , par Bury, 266. Douleur. Etude biologique sur l
ul« tsberger, 492. Dynamisme psychique, par Aimé, 61. 1)vsuenstns nerveuses et neurastté- me, par Glatz, 350. Emigrés. Id
in- fluence sur la sensibilité cutanée, par Vannori, 497. Fibre nerveuse . Structure de la -, par liossolimo et 111ourvme
eux, par Sabrazès et Cabannes, 315. Méthode de - des cel- lules nerveuses , par Harissa, 408. Folie. Etat (lui ciiculus nu
par Hughes, 225. Noevi dans leurs rapports avec les territoires nerveux , par Etienne, .f9s. Notes. Utilité des - mens
.11RE. Surfonction rle la âlande - , par Massatongo, 65. Polyurie nerveuse , par l3risu 1, 234. POULS. Changements du - (
es par Régis et liobert, 260. -de l'ai is, relatives aux maladies nerveuses et mentales en 1896 et 1897, 509. Tic comulsi
Du- cllev Tait, 320. -, par Auvray, 3a0'. Urémie. Les éléments nerveux dans l' -, par Acquisto et Pusateri, 211. V
6 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome premier
ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME NERVEUX CONSIDERE DAM SES RAPPORTS AVEC L'INTELLIGENC
la relation qui existe entre la perfection progressive de ces centres nerveux et l'état des facultés instinctives, intellectuel
Lorsque parut, en 1839, le premier volume de Y Anatomic du système nerveux de Leuret, fruit de dix années d'observations et
. Gratiolet, de vouloir bien compléter l'anatomic comparée du système nerveux . Personne ne nous paraissait, en effet, dans des
septembre 1857. PRÉFACE DE M. LEURET. Il existe entre le système nerveux et l'intelligence des rapports certains, mais don
es. On sait que l'intelligence ne se manifeste jamais sans le système nerveux , et l'on attribue aux différences de forme, de vo
hacun des individus qui composent la série animale, l'état du système nerveux et celui de l'intelligence, afin de savoir si une
avait été établi sur les rapports qui lient l'intelligence au système nerveux . Les travaux antérieurs, je les ai pris comme sim
scopiques une attention toute particulière ; la structure des centres nerveux , l'arrangement, le diamètre, la nature de leurs f
'aide des réactifs, puis toutes les conditions matérielles du système nerveux ainsi établies, je les ai mises en regard les une
ux séries de faits, les uns matériels, puisés dans l'étude du système nerveux , les autres psychiques, puisés dans l'étude des p
cés depuis longues années. Il rêvait son grand ouvrage sur le système nerveux , et consacrait ses jours et ses nuits à l'étude d
, en deux parties, le premier volume de VAnatomie comparée du système nerveux . Une somme de dix mille francs avait déjà été con
e médecine. 4 839, t. IV, p. 473). 25. Anatomie comparée du Système nerveux considéré dans ses rap- ports avec l'intelligen
Paris, 4846, in-8 de 414 pages. ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME NERVEUX considéré DANS SES RAPPORTS AVEC L'INTELLIGEN
n certain nombre d'animaux chez lesquels on ne connaît pas de système nerveux , soit que ce système manque complètement, soit qu
été indiquées par M*. Tiedemann (1) comme étant pourvues d'un système nerveux ; mais Délie Chiaje (2), qui dit avoir disséqué p
illier de ces animaux, n'a jamais pu y trouver de traces de substance nerveuse réunie en filamens; les recherches de M. de Blain
ans l'astérie rougeâtre, M. Tiedemann(2) a décrit et figuré un anneau nerveux entourant l'orifice de l'œsophage et duquel émane
erveux entourant l'orifice de l'œsophage et duquel émanent des filets nerveux divergens, au nombre de quinze $ Spix et R. Grant
r existence : il pense que ces filets, décrits comme étant des filets nerveux , sont de nature tendineuse, et Délie Chiaje dit p
une sorte de cordon gris, pulpeux, qu'il croit pouvoir regarder comme nerveux (5); toutefois ce n'est pas encore, même pour M.
de Blainville, un fait bien démontré. Les animaux privés de système nerveux sont-ils pour cela dépourvus de toute substance n
és de système nerveux sont-ils pour cela dépourvus de toute substance nerveuse ? M. Carus et avec lui plusieurs anatomistes ne le
Loc, cil. substance animale, dît M. Oken , a commencé par là masse nerveuse , c'est-à-dire parla chose la plus élevée, par cel
systèmes anatomiques ne font que se dégager ou se séparer de la masse nerveuse . L'animal n'est que nerf : ce qu'il est de plus,
se du nerf. La gelée des polypes, des méduses, etc., est la substance nerveuse au plus bas degré, de laquelle n'ont encore pu s'
substances qui sont ou cachées dedans, ou fondues avec elle. La masse nerveuse désigne ce qui, chez l'animal, est dans l'état d'
nimaux placés au plus bas degré de l'éclielle animale, soit une masse nerveuse ? Par sa disposition organique, par s-a nature chi
e, ajoute : « Voilà donc expliquée cette absence apparente du système nerveux dans les classes inférieures; leur massé pulpeuse
inférieures; leur massé pulpeuse n'est qu'une sorte à'albumine toute nerveuse ; les animaux primaires ressemblent donc à la subs
premiers rudimens des animaux supérieurs. C'est une substance molle, nerveuse , qui se nourrit par imprégnation et par imbibitio
oi eussent servi des divisions et des subdivisions de cette substance nerveuse , puisqu'il n'y avait aucun organe, aucun appareil
que la matière dont sont formés les animaux primaires ait une nature nerveuse : la faculté que possèdent ces animaux de se cont
r organisation s'élèvent au-dessus des rayonnes, on trouve un système nerveux ordinairement bien visible, et, d'après les reche
e en rapport avec le reste de l'organisme. Or, ce lien est le système nerveux . Le système nerveux existe donc nécessairement ch
reste de l'organisme. Or, ce lien est le système nerveux. Le système nerveux existe donc nécessairement chez tous les animaux
ez parfait, pour que l'on ne s'étonne pas de l'existence de ganglions nerveux ; on y découvre, en effet, une membrane double et
e. Mais comme je n'ai aucun fait nouveau à présenter sur le système nerveux des animaux microscopiques, ni sur celui des rayo
eux étudiés et plus complets, et chez lesquels l'existence du système nerveux ne peut être mise en doute. CHAPITRE PREMIER.
ème nerveux ne peut être mise en doute. CHAPITRE PREMIER. SYSTÈME NERVEUX DES MOLLUSQUES. Le système nerveux des mollusqu
e. CHAPITRE PREMIER. SYSTÈME NERVEUX DES MOLLUSQUES. Le système nerveux des mollusques a pour caractère d'être composé de
caractère d'être composé de ganglions réunis entre eux par des anses nerveuses et fournissant un nombre de nerfs très variable s
nombre de nerfs très variable suivant les espèces : c'est le système nerveux qui s'éloigne le plus de celui de l'homme, et il
mie des mollusques, mais à peine dit-îl quelques mots de leur système nerveux ; Swammerdam (2) en a parlé plus explicitement ;
ce sujet dans sa généralité. Le premier a décrit et figuré le système nerveux de plus de quarante mollusques; le second a essay
ier s'était moins spécialement occupé. Dans l'exposition du système nerveux des mollusques, je commencerai par ceux de ces an
par les naturalistes, car mon bul principal étant l'étude du système nerveux , quand il sera nécessaire, pour rendre celte étud
mollusques, je parlerai successivement, dans ce chapitre, du système nerveux des acéphales, des gastéropodes, des pté-ropodes
ion entre ces animaux et les articulés. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME NERVEUX DES MOLLUSQUES. 1° Acéphales sans coquilles, Cu
cés par Cuvier dans la première fa- (i) Ce que l'on sait du système nerveux des héléropodes montre qu'il y a uue grande analo
de ces animaux. Cuvier qui a distingué et fait représenter le système nerveux de l'ascidie mammelon-née,asuivi les filets nerve
senter le système nerveux de l'ascidie mammelon-née,asuivi les filets nerveux qui, parlant d'une source unique, le ganglion, vo
au manteau et à la bouche. Celte grande simplicité dans le système nerveux des ascidies est en rapport avec le reste de l'or
résoudre, pourrait trouver ici son application, puisqu'un même centre nerveux sert à-la-fois à la nutrition et au toucher. 2°
est surtout destiné au mouvement. Poli a donné la figure du système nerveux d'un certain nombre d'acéphales testacés, mais il
ganglions comme étant les réservoirs du chyle. La ténuité des fibres nerveuses et leur transparence, chez la plupart des mollusq
habile. Mangili a publié des observations fort exactes sur le système nerveux de plusieurs bivalves, et en particulier, des ano
nion de M. Garner. 3° Gastéropodes. Dans les gastéropodes, l'anneau nerveux commun à tous les invertébrés pourvus de nerfs, e
, les onchidies sont dans le même cas. Dans les tritonies, le système nerveux consiste en quatre tubercules placés en travers d
re tubercules placés en travers de l'œsophage, et réunis par un filet nerveux qui complète l'anneau ; il part de ces ganglions
iste un autre ganglion qui fournit les nerfs des viscères. L'anneau nerveux œsophagien des gastéropodes est ordinairement dou
i836, t. vu, pag. 424, Dans les acères et les aplysies, le système nerveux consiste en deux ganglions réunis par un filet tr
gré la forme spirée de l'animal, les parties centrales de son système nerveux ont une grande régularité ; c'est autour de l'œso
inférieure de l'œsophage, il communique avec l'anneau par deux filets nerveux formant une anse, comme cela a lieu chez la plupa
cordon dont il s'agit est formé à droite et à gauche, par deux filets nerveux qui marchent en se côtoyant, mais sans jamais s'u
'unir l'un à l'autre et ne fournissant aucune branche ou ramification nerveuse . L'apparence de ce cordon est la même que celle d
plus utilement. Dans certains gastéropodes, le nombre des ganglions nerveux s'élève jusqu'à onze : c'est ce qui a lieu dans l
l'organe commun et général du toucher.» Celte description du système nerveux du clio boréal, le seul des ptéropodes qui ait ét
phalopodes. Comme dans les autres classes des mollusques , le système nerveux des céphalopodes varie suivant les espèces, et po
chacun d'eux \ il y a pourtant une tendance bien visible de la masse nerveuse , à se porter en plus grande quantité vers l'orifi
nfin en communication avec le reste de l'anneau, par une double bande nerveuse . Le ganglion sub-œsophagien postérieur, outre l
mpair est située au-dessus de (i) "V. pi, tre, la figure du système nerveux du ponple, reproduite d'après Cuvier. l'œsophag
sont au nombre de sept paires. A ces parties fondamentales du système nerveux du poulpe, il faut ajouter les cordons qui formen
cuire eux dans aucun point de leur étendue. RÉSUMÉ. 1. Le système nerveux des mollusques consiste en ganglions, en nerfs et
rganes dans lesquels ils se divisent, et non avec celui des centres nerveux , auquel leurs troncs viennent aboutir. 9. Les g
éunit les ganglions de l'anneau œsophagien se compose de deux cordons nerveux adossés mais non confondus, et il ne s'en détache
plus volumineux que les autres ganglions. § IL STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX DES MOLLUSQUES. Il est difficile de découvrir l
ME NERVEUX DES MOLLUSQUES. Il est difficile de découvrir le système nerveux de la plupart des mollusques; mais une fois qu'on
t, la petitesse des ganglions, la ténuité, la transparence des filets nerveux permettent de placer ces organes tout entiers sou
les recherches encore récentes de cet habile micrographe, le système nerveux serait composé dans toute la série animale, de fi
ns sur la structura microscopique jusqu'à present inconnue du système nerveux . Berlin, i836 (en allemand). ganesdes sensation
les animaux articulés et les mollusques auraient seulement des tubes nerveux rectilignes, pour présider au mouvement, à la nut
s globules; c'est ce fluide que M. Ehrenberg propose d'appeler fluide nerveux , réservant le nom de matière médullaire pour la s
ilignes. J'ai examiné, avec grand soin, toutes les parties du système nerveux de l'escargot, et pour ne parler ici que de ce qu
ssante, le nerf optique de l'escargot, j'ai vu des séries de globules nerveux se diriger parallèlement les unes aux autres vers
. 3ag, Yiennae 1800), et M. Elirenberg (op. cit.), ont \ules globules nerveux sortir de leurs canaux : M. Elirenberg surtout a
si alors on comprime , les molécules médullaires s'écoulent des tubes nerveux ; leur enveloppe, quoique ayant aussi une apparenc
une apparence fibreuse, ne laisse échapper absolument aucune molécule nerveuse . Puisque les nerfs de l'escargot sont composés
iennent des globules, n'en résulle-t-il pas qu'il y a une circulation nerveuse , comme il y a une circulation sanguine; et n'est-
énérale, quand j'aurai exposé ce qui concerne la structure du système nerveux des animaux articulés et des animaux vertébrés. T
jection avait-elle pu pénétrer? On a dit que c'était entre les fibres nerveuses et leurs enveloppes ; je partage cet avis. En eff
euses et leurs enveloppes ; je partage cet avis. En effet, les canaux nerveux des mollusques ne peuvent pas être injectés, au m
iamètre,ils sont, par conséquent,beaucoup plus gros et que les canaux nerveux , et que les nerfs eux-mêmes', car le nerf optique
st donc de toute impossibilité qu'un tube de verre entre dans un tube nerveux , et qu'il y fasse pénétrer la matière à injection
lles l'injection pût être reçue, et de là se répandre dans les canaux nerveux , on réussirait peut-être à injecter les nerfs; ma
résout en fibres distinctes qu'il ne faut pas prendre pour des fibres nerveuses . On les reconnaîtra à deux caractères bien tranch
eilleure manière de distinguer ces fibres névrilémati-ques des fibres nerveuses , est d'examiner la section d'un nerf; on voit les
e les nerfs sont plutôt transparens. Chez les phallusies, le ganglion nerveux , unique dans ces animaux , est jaunâtre; celui de
qu'il fournit sont rarement transparens. RESUME 1. Les ganglions nerveux des mollusques sont composés de matière globuleus
gétative, sont toutes de même forme et de même nature *• les globules nerveux , qui remplissent ces fibres canaliculées, n'offre
ssures, mais pas d'entrecroisement. § III. signification du système nerveux des mollusques. Tout ce que j'ai dit jusqu'à pr
des mollusques. Tout ce que j'ai dit jusqu'à présent sur le système nerveux des mollusques ne s'applique pas aux mollusques c
sition qui existe entre les mollusques et les articulés. Le système nerveux des mollusques (celui des cirrhopodes excepté) a-
sa valeur, sa signification dans le développement comparé du système nerveux de la série animale? Ces questions importent beau
armi lesquels je dois citer Reil et Àckermann, pensent que le système nerveux des mollusques est l'analogue du système ganglion
e ou nerf grand sympathique des vertébrés. La disposition de la masse nerveuse en ganglions et en nerfs donne, sous le point de
glions épars, commit niquant les uns avec les autres par des filets nerveux , ont, au premier aspect, une parfaite ressemblanc
es du grand sympathique :représenlenl-ils chez ces animaux le système nerveux cérébro-spinal des vertébrés? Scarpa (1), Blumenb
affirmative; Cuvier, dans la description qu'il a donnée des ganglions nerveux du poulpe, indique, chez cet animal, non-seulemen
e à démontrer qu'il y a une très grande ressemblance entre le système nerveux des mollusques céphalopodes, et celui des poisson
hen Anal. Halle, i8r5, M. p. 34 r. (5) Anat. etpliysiol. du système nerveux . Paris, 1810, in-4° t. ' p. I09* (6) Op. cit.
sques, il n'y a pas seulement une commissure, c'est-à-dire des fibres nerveuses passant d'un côté à l'autre ; on y découvre en ou
s une idée théorique sur la valeur des différentes parties du système nerveux , considéré dans la série animale, et cette idée,
au rang des vérités, est au moins fort ingénieuse. Le système 3. nerveux est divisé, par M. Carus, en deux parlies fort di
a vie de l'animal. Les mollusques, quoique privés d'un double système nerveux , ne dérogent cependant pas au principe établi par
e la cinquième paire. La détermination faite par M. Serres du système nerveux des invertébrés, est donc tout-à-fait inadmissibl
aux autres par une gradation évidente, et facile à saisir. Le système nerveux de l'anatife (1) étudié d'abord par Cuvier, puisp
-céro-pédieux de l'escargot; réunissez au contraire les deux colonnes nerveuses le long de laquelle régnent les ganglions, et vou
qu'on le verra dans le chapitre consacré à la description du système nerveux des crustacés. Comparez (2) l'anatife au (i) "V
crustacés. Comparez (2) l'anatife au (i) "Voy. Pl. ne où le système nerveux de cet animal est figuré d'après les dessins qu'e
(a) Voy. Pl. ire où se trouvent les figures représentant le système nerveux de l'anatife, du talitre et du maïa. talilre, i
entre eux, une très grande analogie pour la disposition des ganglions nerveux ; comparez également l'escargot au maïa, vous ver
litre, le passage s'opère par une série de crustacés, dont le système nerveux va progressivement en se rapprochant de l'un ou d
s qu'il a découverts concernant la structure microscopique du système nerveux , M. Ehrenberg conclut que les invertébrés n'ont p
t-il, de tubes articulés, lesquels tubes ne contiennent aucune moelle nerveuse , mais seulement un fluide dense, transparent, hom
ransparent, homogène, qu'il propose de désigner sous le nom de fluide nerveux . Or, M. Ehrenberg, ne retrouvant rien de semblabl
iculés, ni dans les ganglions, ni dans les cordons, ni dans les fdets nerveux des invertébrés, conclut que ces animaux sont dép
elle épinière et le cerveau ne sont pas les seules parties du système nerveux des vertébrés qui consistent en une agglomération
invertébrés, par la seule raison qu'on ne trouve pas dans le système nerveux de ces animaux de tubes articulés, il faudra égal
e s'applique pas aux nerfs senso-riaux tout aussi bien qu'aux centres nerveux . Il est douteux que les mollusques aient un nerf
traces de son existence chez les anguilles. RÉSUMÉ. 1. Le système nerveux des mollusques n'est pas l'analogue du système ga
oelle rachidienne. 8. Toutefois, on ne peut pas dire que le système nerveux des mollusques soit seulement l'analogue du systè
céphalopodes; ceux-ci, les mieux partagés sous le rapport du système nerveux , sont aussi les plus élevés pour leur instinct. A
t de beaucoup sur ces derniers quant au développement de leur système nerveux . On ne rencontre que très rarement, chez les anim
n quelque sorte à l'existence des organes qu'ils animent ; la matière nerveuse se rapproche , se réunit pour former une longue c
fection. Le développement des facultés correspond à celui des centres nerveux ; on voit chez les insectes , par exemple, surgir
ils sont doués. Quoique construit sur un plan uniforme, le système nerveux des articulés offre cependant de notables différe
stacés, les arachnides et les insectes. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ LES ANIMAUX ARTICULÉS. 1° Enthelminthes. L
ICULÉS. 1° Enthelminthes. Les enthelminthes ont-ils tous un système nerveux ? On le dit, mais je ne regarde pas ce fait comme
s supérieur et inférieur de l'ascaride lombricoïde soient des cordons nerveux . « Vus sous le microscope, ils ne pré-Ci; Isis, 1
éphalique qui se trouve au-dessus de l'œsophage ; le reste du système nerveux est au-dessous du tube digestif. J'ai parlé de
de fidélité chez tous les articulés, c'est l'existence d'un appareil nerveux complet pour chacun des anneaux de l'animal, c'es
cupant l'anneau. 2° Annelides. J'ai soigneusement étudié le système nerveux du lombric de terre et de la sangsue, j'en parler
par un cordon unique ; il offre en outre (i) V. pl, ire le système nerveux du lombric de terre, un peu grtjssi. cette autr
comp. Paris, i835 (V. pl. v, fig. i3) donne la description du système nerveux du lombric de terre; on n'y voit pas le ganglion
logicœ duce, Rigœ et Dorpati, 1837, in-4),adonné la figure du système nerveux de la Néréide pub. Il y a beaucoup d'analogie ent
sifs, de chacun desquels il sort, à droite et à gauche, trois racines nerveuses . (2) Voy. pl. 1, fig. *p*. ressemble à celui
deux paires de nerfs. Entre les ganglions, on ne trouve aucune racine nerveuse . Ainsi, deux différences bien tranchées existent
mis de dire que la moelle de la sangsue se compose d'un double cordon nerveux , et M. Joseph Swan qui a publié la figure du Syst
e cordon nerveux, et M. Joseph Swan qui a publié la figure du Système nerveux du même Annelide, n'a pas même indiqué la trace d
5. in-40. L'auteur a été plus exact dans la représentation du Système nerveux de la scolopendre et du homard. 3° Crustacés. O
les crustacés une assez grande variété dans la disposition du système nerveux : il en est qui ont des ganglions isolés très ana
ont fait connaître les transitions successives qu'éprouve la matière nerveuse pour passer de la forme de ganglions isolés à la
t du travail fait en commun par ces deux naturalistes, sur le système nerveux des crustacés. (1) « Le système nerveux des cru
aturalistes, sur le système nerveux des crustacés. (1) « Le système nerveux des crustacés se présente sous deux aspects très
a-litre (2), cet appareil est formé par un grand nombre de renflemens nerveux , semblables entre eux, disposés par paires et réu
et pour s'en convaincre il suffit de suivre la disposition du système nerveux (r) Recherches anat. sur le système nerveux des
disposition du système nerveux (r) Recherches anat. sur le système nerveux des crustacés Ann. des se, nat.,mn. 1828, t. xrv,
les figures publiées par 3MM.-4»doiiin et Milne Edwards, ô*u système nerveux du talitre et du maïa, d'aulres crustacés. En e
ligne médiane en une seule masse ganglionaire ; mais les deux cordons nerveux qui lient ces ganglions entre eux restent encore
montre un nouveau degré de cette espèce de centralisation du système nerveux , car non-seulement les ganglions sont devenus imp
n dans le palémon celte réunion des deux moitiés latérales du système nerveux est portée à un plus haut degré encore, parce que
ans les crustacés. En même temps que les parties latérales du système nerveux se rapprochent de la ligne médiane, des modificat
ques sont, pour ainsi dire, soudés bout à bout, il n'y a qu'une masse nerveuse allongée, percée d'un trou pour le passage de l'a
s qui concourent à la former. « Dans le carcin (Cuvier), les noyaux nerveux se groupent autour d'un seul point. Dans le maïa,
ent autour d'un seul point. Dans le maïa, la concentration des noyaux nerveux est encore portée plus loin , ils sont réunis en
e seule masse solide. » Après cette description générale du système nerveux des crustacés, je vais entrer dans quelques détai
abdominale par six. Dans l'intervalle de ces ganglions, les colonnes nerveuses sont séparées naturellement ou très facilement sé
et vont se rendre à l'extrémité postérieure de l'animal. Le système nerveux du homard ne diffère pas sensiblement de celui
s, en raison du volume plus considérable de l'animal. Les ganglions nerveux des crustacés sont blanchâtres ou transparens; le
une dissolution saline. Il est des crustacés qui ont tout le système nerveux et même toutes les parties de leur corps, à l'exc
La forme d'un animal indique assez bien la disposition de son système nerveux : les crustacés, dont le corps est allongé, ainsi
d'eux et en rayonnant; les céphalopodes ont presque tout leur système nerveux dans la tête et ainsi des autres mollusques, suiv
est soudée au ganglion céphalique; un double cordon part de la masse nerveuse thoraci- (i) V. Quoy et Gaimard; Observ. sur qu
, aux organes génitaux, etc. (1) On voit dans l'ensemble du système nerveux des arachnides un type différent de celui des ann
un type différent de celui des annelides et des crustacés ; la masse nerveuse tend à s'agglomérer vers les parties antérieures.
leurs, même parmi les arachnides pulmonaires, on rencontre un système nerveux formé de deux cordons parallèles, réunis de dista
5° Insectes. Tous les insectes ont cela de commun que leur système nerveux consiste en une chaîne ganglionaire, mais le nomb
s sont séparés, à l'exception des deux derniers, par de longs cordons nerveux ? (i) F. Pl. (a) F. Cuvier, 'Règne animal^.. 4
ut rendre à chacun la justice que méritent ses œuvres. * Le système nerveux de la chenille du bois de saule est formé, d'aprè
sidérable et donne naissance à un grand nombre de nerfs. Deux cordons nerveux longitudinaux, l'un à droite et l'autre à gauche,
. Le carabe doré étudie par M. Léon Dufour (1) a une double colonne nerveuse réunie de distance en distance par neuf ganglions
oisième pectoral, et les autres appartiennent à l'abdomen. Les filets nerveux qui en émanent sortent tous des ganglions, il ne
Léon Dufour (3), la nèpe cendrée et le pentatome gris, ont un système nerveux (1) Recherches anat. sur les carahiques, etc.,
sur les carahiques, etc., 1824-25 et a6. (2) V. Pl. ire, le système nerveux du hanuelon, par M. Strauss-Durkeim. (3) Recher
'autre (1). La nèpe cendrée a trois ganglions réunis par deux cordons nerveux distincts et séparés; le pentatome gris, au contr
rès grande analogie en ce qui concerne la disposition de leur système nerveux ; chez tous deux c'est une chaîne ganglionaire do
, qu'il y a une très grande différence dans la disposition du système nerveux des animaux articulés ; cette différence peut-ell
(2) a appliqué aux insectes , en général , la description du système nerveux des chenilles décrites par Lyonet et par Hérold ;
été connues en France, et il a été évident, pour nous, que le système nerveux des insectes est construit d'après un plan bien d
(3) a entrepris d'indiquer les lois auxquelles est soumis le système nerveux des animaux articulés et il en a posé huit qui so
il en a posé huit qui sont applicables aux articulés dont le système nerveux est connu, mais qui probablement ne le seront pas
-t836, 3 vol. in-8° avec atlas. (s) Règne animal de Cuvier, Système nerveux des insectes, t. 4»pag- 2t)3« résumé. 1. Le s
stème nerveux des insectes, t. 4»pag- 2t)3« résumé. 1. Le système nerveux des animaux articulés est presque toujours compos
digestif. S. Il est douteux que les enthelminthes aient un système nerveux . k. Les annelides sont pourvus d'une chaîne gan
crustacés présentent une grande variété dans la forme de leur système nerveux ; on y retrouve l'analogue du système nerveux des
a forme de leur système nerveux ; on y retrouve l'analogue du système nerveux des gastéropodes et de celui des insectes. Des tr
hez les arachnides le nombre des ganglions est très borné, la matière nerveuse montre de la tendance à se réunir vers*la tête.
9. Le nombre des ganglions qui entrent dans la composition du système nerveux des insectes est très variable ¦ il est différent
des rudimens du nerf grand sympathique. § II. STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX DES ANIMAUX ARTICULES. La conformation du systè
U SYSTÈME NERVEUX DES ANIMAUX ARTICULES. La conformation du système nerveux des animaux articulés est aussi variable que la s
e viens d'exposer il résulte que les parties fondamentales du système nerveux du ver de terre sont : 1° le ganglion céphalique
donner que des résultats.inexacts. Dans aucun des points du système nerveux du lombric de terre, je n'ai aperçu l'espèce de f
semblables, quant à la forme et quant à la structure de leur système nerveux . Le ganglion sur-œsophagien ou céphalique est le
er aux ganglions spinaux des vertébrés. J'ai pu isoler une des fibres nerveuses de la moelle ventrale , et j'ai trouvé à cette li
trouvé à cette libre un diamètre de 0,005. La structure du système nerveux des insectes rappelle de tous points celle des au
n céphalique , des fibres transverses faisant communiquer les racines nerveuses d'un côté avec celles de l'autre côté, en passant
int d'avoir et de donner des à-peu-près pour la réalité. Le système nerveux des insectes n'a que des fibres rectili-gnes; ces
lorsqu'on se sert de ce dernier instrument. RÉSUMÉ. 1. Le système nerveux des animaux articulés est formé de deux séries de
é ne se croisent pas avec celles du côté opposé. , 5° Les ganglions nerveux des animaux articulés sont formés de substance gl
és de substance globuleuse et de substance fibreuse. 6° Les cordons nerveux sont formés de substance fibreuse seulement. 7°
nerveux sont formés de substance fibreuse seulement. 7° Les fibres nerveuses sont canaliculées, rectilignes, et remplies de gl
lobules que l'on en peut faire sortir par expression. 8° Les fibres nerveuses naissent toutes des ganglions. 9° Les nerfs ont
ssures, mais pas d'entrecroisement. § III. SIGNIFICATION DU SYSTÈME NERVEUX DES ANIMAUX ARTICULÉS. Comparons la chaîne gang
ÉS. Comparons la chaîne ganglionaire du lombric de terre, au centre nerveux cérébro-rachidien de l'homme.Chez le lombric une
ric de terre, multipliés et énormément grossis chez l'homme. L'anneau nerveux (véritable prolongation des fibres de la chaîne g
arder la chaîne ganglionaire des articulés comme l'analogue du centre nerveux céphalo-rachidien des vertébrés. M. Léon Dufour
on : « La nature ne s'est pas écartée, pour l'organisation du système nerveux des hémiptères, du plan généralement adopté, car
ur la figure (pl. lre) qui représente la partie supérieure du système nerveux du lombric de terre, et vous trouverez qu'elle a
tc., pag. 25g. (2) Gall et Spurzheim : Anat. et physiol. du système nerveux en général et du cerveau en particulier. Paris, 1
re transformation (l)v: ce La jeune larve de la mouche-asile a un axe nerveux (chaîne ganglionaire), beaucoup plus court que la
la larve se développe, à l'époque où elle se change en nymphe, l'axe nerveux descend le long de la partie inférieure de l'anim
l; à mesure que cette descente a lieu, l'angle d'insertion des filets nerveux se redresse, les filets obliques deviennent horiz
horizontalement comme les précédens, lorsque la terminaison de l'axe nerveux est descendue jusqu'à leur niveau, le bel éventai
es filets disparaît insensiblement, et, à l'examen de la fin de l'axe nerveux des insectes parfaits, on ne se douterait jamais
u'il leur donne, mais je lui dirai : si les filets terminaux de l'axe nerveux de la mouche-asile, constituent une queue de chev
une queue de cheval, la plus belle qu'il soit possible de voir, l'axe nerveux des invertébrés ne représente donc pas la réunion
es, les ganglions spinaux des vertébrés, les nerfs terminaux de l'axe nerveux de la mouche-asile, ne représentent pas la queue
me je m'empresse de le reconnaître avec vous, il en résulte que l'axe nerveux ou chaîne ganglionaire des invertébrés, est l'ana
enne des vertébrés. Mais, en parlant de la signification du système nerveux des mollusques, j'ai déjà réfuté l'opinion des an
analogie entre le système ganglionaire des invertébrés et le système nerveux cérébro-spinal des vertébrés ; je ne crois pas qu
ens, au-delà des sensations qu'ils procurent, qu'y a-t-il ? Un centre nerveux et des facultés : une âme encore, ont dit un gran
; dans l'ordre organique, c'est suivre le perfectionnement du système nerveux . En effet, tout ce que nous savons des mœurs, des
fort au-dessous des fourmis et des abeilles, tandis que leur système nerveux , comme celui de tous les animaux vertébrés, offre
vertébrés, offre de nombreux caractères qui le rapprochent du système nerveux de l'homme. Est-ce donc qu'entre le système nerve
ochent du système nerveux de l'homme. Est-ce donc qu'entre le système nerveux et l'intelligence, il n'y aurait pas un rapport g
apport graduel et nécessaire? Nous verrons, en considérant le système nerveux non dans sa totalité, mais dans ses parties, que
les auteurs qui se sont particulièrement occupé de l'étude du système nerveux des poissons. Collins (1), Camper (2), Haller (3)
. (10) Recherches d'anatomie et de physiologie comparées du système nerveux dans les quatre classes d'animaux vertébrés, etc.
, p. 45.) (11) Op. cit., t. 1, p. i84- (12) Anatomic des systèmes nerveux des animaux à vertèbres} etc., in-8", Paris, i8a5
tem, part. 11, Lond., i836, in-40, fig. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES POISSONS. Chez les mollusque
ticulés, on trouve l'indice d'un nouveau fractionnement de l'appareil nerveux ; c'est un système particulier uniquement destiné
haut degré chez les mammifères, et enfin, chez l'homme. Le système nerveux principal, le seul dont il s'agira désormais, a r
is en formant un seul ganglion, ce Dans mes recherches sur le système nerveux des poissons, dit à cette occasion M. Gottsche, j
du nerf de la cinquième paire, on voit de chaque côté un petit filet nerveux qui s'implante à la partie inférieure de la moell
omment, si l'on parvient à les réunir, faire la séparation des fibres nerveuses et celle de leurs enveloppes? Cette séparation se
ait pourtant nécessaire, car ce qui constitue le nerf, c'est la fibre nerveuse , et le nombre des fibres nerveuses, ne peut pas s
i constitue le nerf, c'est la fibre nerveuse, et le nombre des fibres nerveuses , ne peut pas se déduire à priori du volume du ner
érieure. La même répétition eût été nécessaire en parlant des racines nerveuses de la moelle, qui sont antérieures et postérieu
ouvre plusieurs sillons qui en parcourent la longueur, et des racines nerveuses situées parallèlement de chaque côté, les unes su
rième ventricule. Par cette préparation qui n'a déchiré aucune partie nerveuse , car entre les bords du sillon dont il s'agit jus
fût, extensible, élastique, ou qu'elle fût plissée. Or, la substance nerveuse n'est rien moins qu'élastique; molle et fragile,
cinquante-quatre centimètres de longueur, Desmoulins a vu les filets nerveux qui forment la queue de cheval, (iy V. l'encéph
du côté fulcral, et l'autre, du côté spinal. L'isolement des filets nerveux chez la baudroie et le poisson-lune n'indique pas
nales, les autres aux fibres transversales dont se compose le système nerveux encéphalo-rachidien. 5. La comparaison du poids
moelle épinière est excessivement courte. § IL STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES POISSONS. Plusieurs des part
s données positives que l'on ait obtenues sur la structure du système nerveux , datent de l'époque à laquelle on a appliqué le m
choses que l'expérience n'a pas du tout confirmées (2). La substance nerveuse est pour Delia Torre, composée de globules dispos
sont les plus petits de tous. Prochaska admet aussi que la substance nerveuse est formée de globules, et pour lui, ces globules
ntana qui vient après, fait un grand pas; il annonce que la substance nerveuse est formée de cylindres à parois très minces, rem
toute la trame des parties organisées est celluleuse, les corpuscules nerveux ont la forme des cellules où ils sont logés : d'o
pas entre eux quant aux apparences, quant aux formes de la substance nerveuse , tandis que les frères Wenzel sont les seuls qui
nt tués, et après avoir enlevé une tranche très mince de la substance nerveuse , il Fa placée aussitôt sur une lame de verre que,
s globules réunis en séries parallèles, qu'il a vu formées les fibres nerveuses de la substance blanche et de la substance grise
oiseaux, les reptiles et les poissons. Toutes les parties du système nerveux sont, d'après M. Milne Edwards, composées de glob
unes et les autres sont remplies d'une matière liquide, d'une fluide nerveux ; (i) Archives générales de médecine, Paris, 18
rise contient en outre des globules arrondis, distincts de la matière nerveuse . En ce qui concerne les mollusques et les articul
core abordée, celle de savoir s'il existe réellement, dans le'système nerveux , deux ordres de fibres cana-liculées, les unes re
'ai attendu, pour cela, que j'eusse à exposer la structure du système nerveux cérébro-spinal des vertébrés. Les résultats obt
l'on a suivi jusqu'à présent, dans l'étude de la structure du système nerveux . On n'a jamais examiné que des portions séparée
ux. On n'a jamais examiné que des portions séparées de la substance nerveuse , et il ne paraît pas que l'on ait songé à pla-
réellement. Je commencerai l'exposition de la structure du système nerveux cérébro-spinal des poissons, en parlant de ce qui
nd de la manière dont M. Ehrenberg a opéré. Pour étudier la substance nerveuse , M. Ehrenberg l'écrase d'abord entre deux verres,
est nullement besoin d'admettre une nature différente dans les fibres nerveuses , il suffit de donner aux unes une enveloppe dense
t de même que pour les mollusques, il y a un névrilème à chaque fibre nerveuse . Ce névri-lème manque chez les autres poissons, e
eau formant la moelle épinière est constitué, non plus par des filets nerveux , mais par des fibres nerveuses. Ainsi, pour citer
e est constitué, non plus par des filets nerveux, mais par des fibres nerveuses . Ainsi, pour citer des exemples, chez l'anguille,
erveuses. Ainsi, pour citer des exemples, chez l'anguille, les fibres nerveuses sont réunies; chez le poisson-lune, les filets ne
, les fibres nerveuses sont réunies; chez le poisson-lune, les filets nerveux résultant de la fibre nerveuse et de son névrilèm
unies; chez le poisson-lune, les filets nerveux résultant de la fibre nerveuse et de son névrilème, sont rapprochés et marchent
tout particulier que j'y prenais , si l'on se rappelle que les filets nerveux des animaux articulés ont une double origine, l'u
cervelet; pour les lobes optiques et les lobes olfactifs, des racines nerveuses , pour tous une substance granulée et des fibres.
nant parler des fibres. 3. Diamètre et nature des fibres du système nerveux cérébro-spinal des poissons. Les fibres composa
des poissons. Les fibres composant la substance blanche du système nerveux des poissons présentent des différences suivant
dans tous les nerfs. Plusieurs auteurs ont parlé du volume des fibres nerveuses , et ils en ont déterminé le diamètre : parmi les
ns faites par ces anato-mistes, il résulte que le diamètre des fibres nerveuses varie beaucoup, non-seulement d'une partie à l'au
staté ce fait et j'en ai cherché la cause. Pour examiner la substance nerveuse , on l'écrase entre deux verres; j'ai dit précédem
les fibres est sujet à moins d'incon-véniens. On place un petit filet nerveux sur une lame de verre, on cherche à en isoler les
roscope. Il y a bien encore là une compression exercée sur les fibres nerveuses , mais elle est légère et d'ailleurs le névrilème
est légère et d'ailleurs le névrilème s'oppose à ce que la substance nerveuse s'élargisse beaucoup. Aussi, les fibres des nerfs
s, ne sont jamais variqueuses. Pour déterminer le volume des fibres nerveuses , je n'aurai pas recours aux mensurations publiées
lques poissons : j'ai disposé ce tableau suivant le volume des fibres nerveuses , en commençant par les plus ténues. Diamètre de
s nerveuses, en commençant par les plus ténues. Diamètre des fibres nerveuses des poissons. Millim. Carpe. Fibre du nerf ol
flemens que M. Ehrenberg appelle variqueux ou articulés. Les fibres nerveuses des poissons sont-elles creuses ou pleines? doit-
stes conclut des faits qu'il a découverts sur la structure des fibres nerveuses , qu'elles sont des véritables tubes contenant un
faitement transparent; jamais distinctement granulaire : c'est le suc nerveux , la liqueur nerveuse qui diffère de la moelle des
t; jamais distinctement granulaire : c'est le suc nerveux, la liqueur nerveuse qui diffère de la moelle des nerfs, comme le chyl
iffère de la moelle des nerfs, comme le chyle diffère du sang. Le suc nerveux n'a pas encore été vu en mouvement, mais il est p
ment, mais il est probable qu'il circule. ce Tous les autres troncs nerveux ne sont pas formés de tubes articulés, mais de fa
uelque chose de certain touchant la liqueur contenue dans les tubules nerveux ; car elle est transparente comme le verre. Seule
is l'appeler ainsi, était plus ténue que celle qui s'écoule des tubes nerveux cylindriques, et elle contenait quelques globules
pourquoi je suis en doute sur ce que contiennent réellement les tubes nerveux . Le docteur Valentin a vu s'échapper des tubes ne
ment les tubes nerveux. Le docteur Valentin a vu s'échapper des tubes nerveux formant la substance cérébrale, une liqueur limpi
s, en apparence semblables, peuvent être ou pleins ou vides de fluide nerveux , ce doit être un sujet fort intéressant pour la p
du microscope, quel est l'étal de ces tubes, dans les maladies dites nerveuses . Autour du nerf étaient, en grand nombre, des glo
l, je vois des corps blancs s'avancer vers l'ouverture de leurs tubes nerveux , et s'amasser au dehors. Tous les tubes pleins so
cente et oléagineuse. Ue expérience. — Carpe. Nerf branchial. Tubes nerveux très larges et entièrement vides; la matière qu'i
vu plus haut, du degré de consistance de l'enveloppe de chaque tubule nerveux . 9e expérience. —Carpe. Nerf olfactif. A l'œil
nchâtres que l'on voit toutes les fois qu'on a écrasé quelques fibres nerveuses . 14e expérience. — Goujon. Les fibres du cervel
es, des carpes, etc. Résulte-t-il de ces expériences que les fibres nerveuses soient canaliculées ? 1° Pour les fibres des ne
Ehrenberg et Langenbeck. J'admets avec M. Ehrenberg que les fibres nerveuses des poissons sont canaliculées, et je dis qu'elle
je ne pense pas comme lui. La liqueur que j'ai trouvée dans les tubes nerveux de l'encéphale , de la moelle épinière et des ner
décrites comme servant à caractériser un ordre particulier de fibres nerveuses . j'ai vu, ainsi que M. Langenbeck, une matière
Langenbeck, une matière d'apparence gélatineuse s'échapper des tubes nerveux de la carpe ; j'en ai conclu que ce sont bien des
de le faire, M. Langenbeck. En effet, que faut-il pour que le liquide nerveux puisse s'écouler des nerfs de la carpe, et qu'il
u le bœuf, il soit dense. C'est précisément ce qui a lieu: le liquide nerveux de la carpe se comporte presque comme de l'huile;
de l'huile; il n'en est pas ainsi chez les haut-vertébrés. Les fibres nerveuses des poissons sont donc de véritables tubes et s'i
xiste une notable différence entre la matière contenue dans les tubes nerveux des vertébrés et celle des invertébrés ; chez ces
es vertébrés et celle des invertébrés ; chez ces derniers, la matière nerveuse consiste en un liquide séreux dans lequel se trou
. RÉSUMÉ. 1. La moelle épinière des poissons est formée de fibres nerveuses longitudinales, de granulations et de vaisseaux s
se, des fibres composent la substance blanche. 3. Toutes les fibres nerveuses , celles des nerfs, comme celles de la moelle épin
et la moelle épinière fasciculée des autres poissons. 5. Les fibres nerveuses de la moelle épinière se continuent directement d
nglions encéphaliques donnent naissance à des nerfs. 12. Les fibres nerveuses des poissons varient depuis 0 mill. 00083, jusqu'
plus petites de toutes sont les fibres transverses. 13. Les fibres nerveuses sont creuses, canaliculées, toutefois ce fait n'e
nce , des passions et des instincts avec le développement des centres nerveux , non pas pour prouver une doctrine, mais pour en
c'est qu'il ne faut pas attribuer à la forme qu'affecte la substance nerveuse encéphalique, un très grande importance ; en effe
ser à de nombreux mécomptes. Avec des formes très simples, le système nerveux des insectes donne des produits extrêmement varié
ont en effet très analogues, pourtant il y a dans la forme du système nerveux cé-phalique des uns et des autres, une très grand
une très grande différence. La comparaison du volume de la substance nerveuse encéphali- (i) Op. ttY.pl. l,fig. 5 et6. que,
principal qui caractérise l'amour physique. CHAPITRE IV. SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES REPTILES. On a moins écrit s
ERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES REPTILES. On a moins écrit sur le système nerveux des reptiles que sur celui des poissons; ces dern
donnée en raison des nombreuses différences que présente leur système nerveux avec celui des autres vertébrés, et surtout à cau
de la tortue d'Europe, a donné des figures très exactes du sys*-tème nerveux de cet animal; l'ouvrage déjà cité de M. Swan con
age déjà cité de M. Swan contient des figures représentant le système nerveux de la tortue verte ; le savant professeur Mayer d
rte ; le savant professeur Mayer de Bonn a donné la figure du système nerveux encéphalique du meno--poma et du menobranchus, de
(1) dmtome testudinis europea, Wilna 1819-1831» in-fol. 40 pl. tème nerveux encéphalo-rachidien de la salamandre terrestre. (
érêt, méritent de fixer ici notre attention. Si les formes du système nerveux cérébro-spinal des reptiles sont bien connues, il
frappent nosveux. Les objets que nous avons décrits dans le système nerveux des poissons, sous quelles apparences se représen
ner tractatus, Berlin 1827.in-fol.3 pl. § I. description du système nerveux cérébro-spinal des reptiles. Le système nerve
iption du système nerveux cérébro-spinal des reptiles. Le système nerveux cérébro-spinal des reptiles n'offre pas, à beauco
z les reptiles, ce sont des nerfs moins considérables, et des centres nerveux , des ganglions plus gros. Ainsi, chez les reptile
xtrémité antérieure, ordinairement un peu renflée, fournit les filets nerveux olfactifs. 2° Lobes optiques. Ces lobes situés
les lobes optiques. Je n'ai pas eu l'occasion de disséquer le système nerveux du crocodile, je ne puis, par conséquent juger la
lle épinière, n'étaient aucunement nécessaires. En effet, les racines nerveuses n'entrent pas dans la moelle sans s'être auparava
doubles, comme chez tous les vertébrés. § II. structure du système nerveux cérébro-spinal des reptiles. Avant de parler de
pinal des reptiles. Avant de parler de la structure de la substance nerveuse , je consignerai ici un fait d'observation microsc
pour la résoudre. J'ai suivi, dans l'étude microscopique du système nerveux céphalo-rachidien des reptiles, les mêmes procédé
s filets d'origine des nerfs rachidiens. Ces filets divisés en fibres nerveuses , se continuent directement avec les fibres longit
à une légère pression. S. Diamètre et nature des fibres du système nerveux cerebro-spinal des reptiles. Le diamètre des fi
système nerveux cerebro-spinal des reptiles. Le diamètre des fibres nerveuses des reptiles est loin d'être égal dans les nerfs,
s , et j'ai fini par les plus volumineuses. Le diamètre, des fibres nerveuses des reptiles ne diffère pas en réalité de celui d
ramification, la fibre/1) (4) Voyez page 194. Diamètre des fibres nerveuses des reptiles. Grenouille Fibre du cerveau......
e tableau concernant les reptiles, c'est une fibre remplie de matière nerveuse . La différence qu'il y a entre une fibre pleine e
e avec celle qui la précède ; toutes deux appartiennent au même filet nerveux , celle qui était pleine avait un diamètre de 0mra
rait. En entrant dans la moelle rachidienne, les fibres des racines nerveuses perdent tout-à-coup de leur volume, elles présent
le point que j'ai indiqué, le né-vrilème les abandonne. Les fibres nerveuses des reptiles sont canaliculées comme celles des p
même que chez les poissons, il n'y a pas d'entrecroisement des fibres nerveuses de la moelle. 7. Les faisceaux fulcraux de la m
stent en aussi grand nombre qu'à la moelle allongée. 12. Les fibres nerveuses des reptiles varient de 0mi11-,00083 jusqu'à 0m!i
du corps strié sous-jacent à cette membrane. CHAPITRE V. SYSTÈME NERVEUX CEREBRO SPIBJAL DES [OISEAUX. L'étude des verté
, ou bien y a-t-il entre eux une relation nécessaire ? Peu de matière nerveuse , et des instincts bornés à l'alimentation, à la r
des conditions de développement, de forme et de structure du système nerveux qui coïncident avec telles ou telles facultés ins
c'est être également loin de la vérité. § I. DESCRIPTION DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-spinal DES OISEAUX. Dans tous les oisea
VEUX CÉRÉBRO-spinal DES OISEAUX. Dans tous les oiseaux , le système nerveux cérébro-spinal offre une grande conformité : c'es
Les lobes optiques sont creux, la cavité en est tapissée par une lame nerveuse blanche ; cette cavité communique avec l'aqueduc
élargie. V. t. r, p. 3î5 de l'édition in-40 de X Anntomie du système nerveux de Call et Spurzheim, 2. La face convexe du cer
ique avec le canal central de la moelle. § II. STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES OISEAUX. Des fibres nerveuse
STRUCTURE DU SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-SPINAL DES OISEAUX. Des fibres nerveuses canaliculées et des globules nerveux sont, en der
INAL DES OISEAUX. Des fibres nerveuses canaliculées et des globules nerveux sont, en dernière analyse, les élémens organiques
les des nerfs rachidiens. Elle est formée de granules et de fibrilles nerveuses transversales, d'un très petit diamètre. La subst
osition que des grosses fibres blanches, longitudinales. Les fibres nerveuses formant les racines des nerfs rachidiens provienn
a substance grise présente un aspect granulé, confus, quelques fibres nerveuses que la compression a rendues articulées, et un no
pag. et 8 pl.; pl. vii, fig. 5g. M. Valentin a fait figurer des anses nerveuses qui se rendraient dans^la substance jaune du cerv
étendu qu'ils ne l'ont en réalité. o. Diamètre et nature des fibres nerveuses du système cérébro-spinal des oiseaux. Les extr
ns : c'est là la seule différence importante à noter entre les fibres nerveuses de ces animaux et celles des oiseaux, car l'ordre
i, il ne faut pas nous presser de conclure que le diamètre des fibres nerveuses diffère d'après la nature de leurs propriétés.
échiré le névrilème de plusieurs d'entre elles. Diamètre des fibres nerveuses des oiseaux. M. Pigeon. Fibre de la commissur
, autant que chez les poissons et les reptiles, d'exprimer des fibres nerveuses la matière blanche qu'elles contiennent. Chez les
la différence de température que présentent ces animaux. Une matière nerveuse trop fluide s'échapperait des tubes nerveux des a
ces animaux. Une matière nerveuse trop fluide s'échapperait des tubes nerveux des animaux à sang chaud ; une matière nerveuse t
'échapperait des tubes nerveux des animaux à sang chaud ; une matière nerveuse trop dense ne serait pas appropriée à la températ
ansverses ou commissure diffuse du cervelet. 7. Les canaux ou tubes nerveux , sont moins facilement observables chez les oisea
ptiles et les poissons. 8. Les extrêmes d'élargissemétit des fibres nerveuses sont depuis 0, 001 jusqu'à 0, 01411. § III. FAC
cher? Celle question est posée depuis long-temps : l'étude du système nerveux doit en préparer la solution. 1. Les sens de la
nt d'aucun fait anatomique ou physiologique. CHAPITRE VI. SYSTÈME NERVEUX CÉREBRO SPINTAI. DES MAMMIFERES. En considérant
onsidérant quel grand nombre d'ouvrages ont été écrits sur le système nerveux cérébro-spinal des mammifères, on serait tenté de
a différence que présente leur cerveau. § I. DESCRIPTION du SYSTÈME NERVEUX CÉRÉBRO-spijnal des MAMMIFÈRES. Il sera ici peu
u acquiert une supériorité incontestable sur tout le reste du système nerveux , ses parties accessoires, telles que les couches
rrière elles communiquent au cervelet par l'intermédiaire d'une toile nerveuse mince, appelée valvule de Vieussens, laquelle est
v.), par une lamelle très mince et presque transparente de substance nerveuse qui sert de pont à la partie postérieure de l'aqu
e diamètre de chaque nerf. Des nerfs extrêmement petits ou des fibres nerveuses peuvent se mesurer facilement à l'aide du micro
est moins épais el surtout moins large. § II. structure du système nerveux cérébro-spinal des En exposant la structure du
tème nerveux cérébro-spinal des En exposant la structure du système nerveux cérébro-spinal de l'homme, j'aurai soin d'indique
ici sur l'ana-lomie des mammifères, en donnant le diamètre des fibres nerveuses chez la chauve-souris, le rat, le chien et l'âne.
mètre de ces fibres chez un même animal, suivant la partie du système nerveux cérébro-spinal où on les observe, j'ai mis à la s
les unes des autres toutes les mensurations qui concernent les fibres nerveuses de l'âne. Il résulte de ces mensurations, que la
es,les corps striés, les couches optiques, etc. diamètre des fibres nerveuses des mammifères. mammifères. mm. Chauve-souk
ir pu suivre, par la dissection, le cercle formé ainsi par les fibres nerveuses . La circulation nerveuse, et avec elle les fonc
ion, le cercle formé ainsi par les fibres nerveuses. La circulation nerveuse , et avec elle les fonctions intellectuelles, suiv
utre, d'après le volume relatif de la substance qui compose le centre nerveux céphalo-rachidien. La manière dont la substance
ue celui de l'homme de la moitié environ ( t) Anatomie des systèmes nerveux des animaux vertébrés, etc. Paris, f 8a: , ir.-S,
uels rapports existent, dans toute la série animale, entre le système nerveux et les facultés de l'intelligence. RÉSUMÉ. 1.
ÈRES TRAITÉES DANS LE PREMIER VOLUME. chapitre premier. système nerveux des mollusques. 7 § I. Description du système ner
remier. système nerveux des mollusques. 7 § I. Description du système nerveux des mollusques. 8 § II. Structure du système nerv
ption du système nerveux des mollusques. 8 § II. Structure du système nerveux des mollusques. 23 III. Signification du système
e du système nerveux des mollusques. 23 III. Signification du système nerveux des mollusques............... 31 § IV. Facultés
es animaux articulés.............. 53 § I. Description du système nerveux chez les animaux articulés.......| . . . . 55 §
les animaux articulés.......| . . . . 55 § II. Structure du système nerveux des animaux articulés..............71 § III.
animaux articulés..............71 § III. Signification du système nerveux des animaux articulés..............79 § IV. F
Facultés des animaux articulés......85 chapitre troisieme. système nerveux cérébro-spinal des poissons.............136 §
o-spinal des poissons.............136 § I. Description du système nerveux cérébro-spinal des poissons.............138 1
Moelle épinière des poissons.........157 % II. Structure du système nerveux cérébro-spinal des poissons............ 164 1
des poissons....... 184 3. Diamètre et nature des fibres du système nerveux cérébro- spinal des poissons...........191 §
éparties aux poissons.............215 CHAPITRE QUATRIÈME. Système nerveux cérébro-spinal des reptiles .......... 223 § I.
ébro-spinal des reptiles .......... 223 § I. Description du système nerveux cérébro-spinal des reptiles............. 225
oelle épinière des reptiles......... 237 § II. Structure du système nerveux cérébro-spinal des reptiles............. 240
des reptiles....... 242 3. Diamètre et nature des fibres du système nerveux cérébro- spinal des reptiles........... 444 §
rties aux reptiles.............. 264 CHAPITRE CIMQUIÈBIE. Système nerveux cérébro-spinal des oiseaux............. 270 §
o-spinal des oiseaux............. 270 § I. Description du système nerveux cérébro-spinal des oiseaux . . • ....... 276
Moelle épinière des oiseaux......... 291 § II. Structure du système nerveux cérébro-spinal des oiseaux............. 294 1
l'encéphale des oiseaux....... 295 3. Diamètre et nature des fibres nerveuses du système céré- bro-spinal des oiseaux........
éparties aux oiseaux ... .......... 343 CHAPITRE SIXIÈME. Système nerveux cérébro-spinal des mammifères............. 357
-spinal des mammifères............. 357 I. Description du système nerveux cérébro-spinal des mammifères...........358 1
7 (1886) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 2. Leçons sur les maladies du système nerveux
PLETES D E J.-M. CHARCOT LEÇONS sur les MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX RECUEILLIES ET PUBLIÉES par BOURNEVILLE T
a pu hésiter sur la question de savoir à quel département du système nerveux ou périphérique il fallait rattacher l'ensemble d
que l'ataxie était une névrose : pour ceux-ci, la lésion des centres nerveux , trouvée à l'autopsie, ne se produirait qu'à la l
lgurantes, on trouve, dans certains points bien déterminés du système nerveux — les faisceaux postérieurs de la moelle épinière
comotrice progressive, est une des formes de la sclé-rose des centres nerveux . La sclérose ou induration grise des centres ne
se des centres nerveux. La sclérose ou induration grise des centres nerveux répond, vous ne l'avez pas oublié, à l'un des mod
hose fibrillaire de la névroglie s'effectuant aux dépens des éléments nerveux ou s'opérant, tout au moins, parallèlement à la d
ésion irritative ? Est-ce la névroglie? Est-ce au contraire l'élément nerveux ? J'avoue que, considé-rant comment l'altération r
ns exclusivement bornées, par exemple, à certains groupes de cellules nerveuses , à certains faisceaux de fibres? Il est permis d'
ermet de constater quel groupe de cellules, quels faisceaux de fibres nerveuses ont été irrités, atrophiés ou détruits. Mettez en
ion occupant le même siège, mais dans laquelle la lésion des cellules nerveuses s'o-père non plus suivant le mode aigu, mais bien
ont à leur tour envahies par l'altération, et en même temps les tubes nerveux se mon-trent atrophiés en grand nombre dans les r
rée des Archi. ves de physiologie-) nés (Kôlliker). Mais ces filets nerveux n'entrent pas seuls dans la composition des bande
ue, suivant la des-cription de Kôlliker, un certain nombre des filets nerveux qui composent les faisceaux radiculaires internes
grise, et peuvent être suivis jusqu'à ce groupe externe des cellules nerveuses motrices. C'est vraisemblablement par la voie de
nerveuses motrices. C'est vraisemblablement par la voie de ces tubes nerveux que le processus irritàtif, primitivement dévelop
s et des crises gas-triques. Sommaire. — Relations entre les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules n
re les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures. — Des sympt
tions relativement à la connexion qui paraît exister entre les filets nerveux radiculaires internes issus des racines posté-rie
nes issus des racines posté-rieures et le groupe externe des cellules nerveuses multipo-laires des cornes antérieures. Je suis am
ires, soit de cellule à cellule, soit entre les cellules et les tubes nerveux , tant des racines antérieures que des ra-cines po
ramifier, et acquiert bientôt les caractères histologiques d'un tube nerveux . C'est ce prolongement que Deiters a fait con-naî
Deiters a fait con-naître sous le nom de Nervenforsatz (prolongement nerveux ). Tous, ou à peu près, les prolongements nerveux,
orsatz (prolongement nerveux). Tous, ou à peu près, les prolongements nerveux , suivant M. Gerlach, se dirigent manifestement ve
e manière à constituer ce que M. Gerlach appelle lere'seau des fibres nerveux [Nerven fasernetz). C'est par l'intermédiaire de
x radiculaires postérieurs entreraient en connexion avec les cellules nerveuses des cornes antérieures l. Il y a loin de ces donn
les cellules 1 Gerlach. — In Stricker's Handbuch, t. II, p. 683. nerveuses , soit entre elles, soit avec les filets nerveux d
h, t. II, p. 683. nerveuses, soit entre elles, soit avec les filets nerveux des ra-cines, tant antérieures que postérieures.
r, par une action à distance sur les régions supérieures de ce cordon nerveux . C'est ce que met bien en lumière une expérience,
primitive qui s'attaque simultané-ment à différents points du système nerveux , et qui, dans la règle, — il y a des réserves à f
y a quelques années, par deux malades accusant une foule de symptômes nerveux bizarres, que je croyais pouvoir rattacher à l'hy
quant à la texture, beaucoup plus de la substance blanche des centres nerveux que tous les autres nerfs. C'est ainsi que, dans
nctives étoilées et un réticulum fibroïde. J'ajou-terai que les tubes nerveux qui les composent sont très déliés, très délicats
licats et offrent, en conséquence, une grande analogie avec les tubes nerveux de l'encéphale Exposons, en premier lieu, les c
e beaucoup à croire que, de même que dans la moelle épinière, le tube nerveux est affecté en premier lieu, antérieurement à la
insi pourquoi, dans la lésion tabélique des nerfs optiques, l'élément nerveux subit une destruction comparative-ment bien plus
, avec substitution fibrillaire, destruction consécutive des éléments nerveux ; le processus morbide affecte là une marche plus
à l'étude ophthalmoscopique dans la clinique des maladies des centres nerveux . Je ne saurais donc trop vous recommander, Messie
nnées plus ou moins directement à une lésion protopathique du système nerveux n'est pas, tant s'en faut, un accident exceptionn
emment à titre de symptôme de la lésion de ce département des centres nerveux . On observe surtout ces arthropathies : 1° dans
ez pour plus de détails, Charcot : Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, p. 100, 5e édition. 2 Charcot, loc. «7.,
e vous, qui ne sont pas déjà versés dans la connaissance des maladies nerveuses pourront d'ailleurs reconstituer ce tableau class
accidents qu'elles occasion-nent, en interrompant le cours des fibres nerveuses dans la moelle, constituent souvent les premiers
nce. Car, Messieurs, les effets de la compression lente sur le centre nerveux spinal ne varient guère que suivant la région de
ente la moelle au milieu du canal rachidien. Vous savez que ce cordon nerveux , recouvert de son enveloppe propre, la pie-mère,
à laquelle il n'est guère attaché que par l'intermédiaire des racines nerveuses et du ligament dentelé. L'arachnoïde joue le rôle
a dure-mère (périméninge ) ; c) aux dé-pens des racines et des troncs nerveux ; d) dans la dure-mère ou dans l'arachnoïde et la
asies qui composent les tumeurs se substituent lentement aux éléments nerveux plutôt qu'elles ne les compriment méca-niquement.
nés en dehors de ce conduit osseux. avec l'interception des fibres nerveuses spinales, tandis que ces phénomènes, dans les cas
ation et tous leurs autres caractères, la substance grise des centres nerveux où, d'ailleurs, ils naissent de préférence. Les g
meurs bien déli-mitées, énucléables ; ils se confondent avec le tissu nerveux par des nuances insensibles. Cependant le gliôme
véolaire propre au réticulum de lanévroglie et, de plus, les éléments nerveux font absolument défaut. Je n'insisterai pas dav
ère et la moelle, occasionnent prompte-ment l'aplatissement du cordon nerveux et les phénomènes qui en sont la conséquence. 3
une partie de sa surface extérieure. Il va sans dire que les troncs nerveux dans leur trajet à tra-vers des parties ainsi alt
les plus graves de cet état de choses sera la compression des troncs nerveux en plus ou moins grand nombre, à leur passage à t
revenons, Messieurs, au cancer vertébral. La com-pression des troncs nerveux par le mécanisme qui vient d'être indiqué n'est p
lir malgré l'existence de lésions profondes. — Régénération des tubes nerveux au niveau du point com-primé . Des symptômes. —
ose et accompagnée d'une destruction plus ou moins complète des tubes nerveux . Je vous présente une planche où vous pourrez r
e-ment épaissies. Pour la plupart, les cylindres de myéline des tubes nerveux ont disparu, et on trouve à leur place des amas d
'aspect scléreux et où l'on aurait pu croire que toute trace de tubes nerveux avait disparu. L'histologie nous montre que la
dure, le microscope fait découvrir une assez grande quantité de tubes nerveux , munis de leur cylindre d'axe et de leur envelopp
très normalement constitués. C'est par l'intermédiaire de ces tubes nerveux que s'effec-tuait, pendant la vie, la transmissio
En premier lieu, comment s'est produite la réparation de ces tubes nerveux qui ont rétabli les communications ner- III.
ttachent directement aux effets de l'interruption du cours des fibres nerveuses dans la moelle, ne s'observent presque jamais, da
moelle nor-male, considérée dans le même point. — Le nombre des tubes nerveux était en conséquence, dans le point comprimé de l
substance grise où l'on ne retrouvait qu'un petit nombre de cellules nerveuses intactes. Cependant, ces conditions, en apparence
s de la colonne vertébrale, dans lesquelles se distribuent des filets nerveux en assez grand nombre et qui peuvent devenir, dan
e (périméninge) où pénètrent par les trous de conjugai-son des filets nerveux multipliés qui accompagnent les sinus vertébraux
la dure-mère. Purkinje, Kôlliker, Luschka la disent privée de rameaux nerveux ; Ru- clinicien, car c'est elle qui fournit, da
rtébrale à ses débuts. Les symptômes dus à l'irritation des racines nerveuses ou des nerfs périphériques sont d'ailleurs consta
n soit le point de départ, ne peut manquer de ren-contrer les racines nerveuses ou les nerfs mixtes dans leur VI. On désigne
lysie, la contracture. Au reste, la nature inflammatoire de la lésion nerveuse a été plusieurs fois nette-ment constatée, entre
amènent un résultat analogue, en produisant l'irritation des cordons nerveux après leur sortie du rachis (anévrysme aortique,
ns une région plus ou moins limitée ; tantôt, au contraire, le trajet nerveux paraît affecté dans toute l'étendue de son parcou
lus commun — quand la production morbide presse également les racines nerveuses des deux côtés de la moelle. A l'appui de ces a
n établissant qu'elle résulte de la pres-sion qu'éprouvent les troncs nerveux dans les trous de con-jugaison, et qu-'elle ne dé
ême: c'est la compression, l'irritation vive que subissent les troncs nerveux , et dans le cas de cancer vertébral, en particuli
t exclusive-xnent circonscrites à la distribution de tel ou tel tronc nerveux . Il importe d'ailleurs de remarquer que, quel que
en travers ou ne portent que sur une des moitiés latérales du cordon nerveux . Premier cas: Succession des symptômes. — Prédo
Second cas : Lésions portant sur une des moitiés latérales du cordon nerveux . — Circonscription de la lésion. — Hémiparaplégie
s ; tantôt elle ne porte que sur une des moi-tiés latérales du cordon nerveux . C'est le premier cas, — de beaucoup le plus fréq
dans l'immense majorité des cas, les éléments qui composent le centre nerveux spinal réa-gissent à leur manière. Au niveau du p
ns organiques primitivement situées en dehors de la moelle, ce centre nerveux n'a pas encore manifesté sa souffrance. Quels son
e fait de la seule intercession mécanique de la continuité des fibres nerveuses . Quoi qu'il en soit, Messieurs, la réalité para
émise récemment par M. Budge relativement au mode d'action du système nerveux central sur les fonctions de la vessie 2. En ré
est rendue difficile par l'interruption d'un certain nom-bre de tubes nerveux (centripètes), ces impressions seraient transmise
nnaires, liées entre elles par leurs prolongements jusqu'à des fibres nerveuses restées saines ; ces impressions parvenues au cen
la règle commune, rapportées à la périphérie de ces dernières fibres nerveuses , et de là proviendrait l'erreur dans la localisat
, que la compression porte, par exemple, sur le côté gauche du cordon nerveux , ainsi que cela avait lieu dans un fait dont j'ai
esthésie tan- 1 Voyez Charcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux , tome I, p. 27. dis qu'ils occuperaient le même
rcot et Gombault. — Note sur un cas de lésions disséminées des centre nerveux observées chez une femme syphilitique. In Archive
celle qui dépend d'une lésion de la moelle. — Altération des cellules nerveuses mo-trices et tumeurs de la moelle, cause d'une tr
nts : A l'origine, une douleur vive occuperait le trajet des troncs nerveux comprimés et irrités ; il pourra s'y joindre une
totale des actes réflexes 1. b) La compression subie par les filets nerveux qui donnent naissance au plexus brachial n'est pa
mem-bres. 1 Sur la paraplégie cervicale par compression des troncs nerveux , consultez : Brodie. — Injuries of the spinal Cor
rs (t. II, p. 319.) 2 Gharcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux , tome L, p. 218, 219. commotion cérébrale, —ne
ne époque où nos moyens d'exploration, en ce qui concerne les centres nerveux , étaient beaucoup moins puis-sants qu'ils ne le s
tendent à démontrer que la lésion primitive réside dans les cellules nerveuses . 1. Messieurs, Je veux appeler votre attent
n déterminés de la substance grise, à savoir : Yappareil des cellules nerveuses dites motrices, lesquelles, comme vous le savez,
xemple plus propre à éta-blir l'action directe des lésions du système nerveux central sur la nutrition des parties osseuses, pu
u des lésions des muscles, et en deuxième lieu des lésions du système nerveux . {"Lésions des muscles. — Je serai bref sur ce
un point qui réclame de nouvelles recherches. 2° Lésions du système nerveux . — Lésions spinales. Les lé-sions spinales dont j
ndus delà Société de Biologie, 1864, p. 187. La lésion des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infantile a été, pour
disparition ou l'atrophie granuleuse d'un certain nombre de cellules nerveuses motrices et, en outre, l'existence de plusieurs f
, nous nous sommes cru autorisé à admettre que la lésion des cellules nerveuses motrices, qui se trouve déjà mentionnée dans les
omique initial, les lésions de la névroglie et l'atrophie des racines nerveuses devant être considérées comme des phénomènes cons
ns une discussion en règle à propos du rôle que je prête aux cellules nerveuses motrices dans la production des lésions trophique
n point de départ dans le tissu conjonclil intermédiaire aux éléments nerveux ? N'est-il pas plus vrai-semblable qu'elle prend o
tement cloués de fonctions propres, comme sont les grandes cellules nerveuses dites motrices? C'est ainsi que, suivant la théor
ent être rattachées à une irritation occupant primitivement les tubes nerveux qui entrent dans la compo-sition de ces faisceaux
ration d'un certain nombre, voire même d'un groupe entier de cellules nerveuses , est la seule lésion que l'examen histologique pe
rer plus accusées vers les parties centrales d'un agrégat de cellules nerveuses que dans les parties périphé-riques ; beaucoup pl
nous paraît évident, d'après tout ce qui précède, que les cellules nerveuses motrices sont bien réellement le siège pri-mitif
e aux faisceaux antéro-latéraux. La lésion en question des cellules nerveuses , à en juger d'après le caractère des altérations
s, nous renseigner. De même, en effet, que cela arrive pour les tubes nerveux , les cellules nerveuses irri-tées s'atrophient et
même, en effet, que cela arrive pour les tubes nerveux, les cellules nerveuses irri-tées s'atrophient et, au dernier terme du pr
, seraient un fait secon-daire, consécutif à l'affection des cellules nerveuses . Dans les cas de date ancienne, elles consistent
oïde du réticulum, avec dispa-rition plus ou moins complète des tubes nerveux et conden-sation du tissu; mais ce sont là seulem
ne vient infirmer la théorie d'après laquelle f appareil des cellules nerveuses motrices serait le premier foyer et comme le poin
M. Petit/ils, travail ayant pour titre : Atrophie aiguë des cellules nerveuses . (J.-M. C.) et 15 ans 1/2), ils élablissent une
foyers limités ayant fait disparaître des groupes entiers de cellules nerveuses et produit l'épaississement fibroïde du tissu int
ésentent 1 Ces vues, relatives au rôle de l'altération des cellules nerveuses des cornes antérieures dans la pathogénie de la p
rès vraisemblable, que le processus morbide occupe d'abord la cellule nerveuse , pour se propager ensuite à lanévroglie. Comment,
à nos études, consiste, en général, pour ce qui concerne les cellules nerveuses , en une atrophie scléreuse plus ou moins accentué
ulaire surtout marquée au voi-sinage immédiat des groupes de cellules nerveuses . Ces observations établissent — comme on voit —
iphérie, les lésions trophiques musculaires les Fiq, 10. — Cellules nerveuses des cornes antérieures de la moelle épinière. — A
ormal et comme contournés. J'ai comparé cette altération des cellules nerveuses de la moelle épinière à l'hypertrophie que présen
fluence de certains processus irritatifs, le cylindre axile des tubes nerveux , soit dans le centre cérébro-spinal, soit dans le
ig. 16, B). plus graves, sans qu'il y ait dissociation des éléments nerveux et conjonctifs et autrement dit ramollissement *.
hino, c'est que, dans ses premières phases, l'altération des cellules nerveuses est marquée par une atrophie avec pigmentation ex
lieu de rappeler les principaux modes d'altération dont les cellules nerveuses des cornes grises antérieures de la moelle épiniè
e crois, du moins 2° Quelques auteurs ont décrit, dans les cellules nerveuses de l'encéphale, une multiplication des noyaux (Jo
ème du grand sympathique, la présence de deux noyaux dans une cellule nerveuse est un fait rare sans doute, mais qui se montre d
rocessus irritatif; on ne connaît pas une prolifération de la cellule nerveuse correspondant à la prolifération des * léments ce
terai plus longuement sur l'altération, dite pigmentaire, des celhdes nerveuses spinales. C'est un fait normal, pour ainsi dire,
ie? Quoi qu'il en soit, l'accumulation de pigment, dans une cellule nerveuse spinale, ne suffit pas, à elle seule, quelque mar
10, C, D). 5° Enfin, une dernière forme d'altération de la cellule nerveuse motrice est celle que l'on désigne quelquefois so
le temps, relativement à l'enchaînement des phénomènes. Les cellules nerveuses seraient le premier siège et le point de départ d
te simple de la désorganisation dont souffre l'appa-reil des cellules nerveuses motrices. De cette même lésion des éléments gangl
f tant de fois déjà, savoir: la lésion atrophique aiguë des cellu-les nerveuses motrices. D'un autre côté, les phénomènes sur les
ne vont pas toujours aussi loin et les éléments, tant conjonctifs que nerveux , pourront se montrer profondément altérés, sans a
cueil, 1874, p. 603.) hir une grande partie de la hauteur du cordon nerveux , de telle sorte que, par exemple, la région dorsa
de la paralysie infantile, relè-vent de l'atrophie aiguë des cellules nerveuses motrices. 1 Charcot. — Leçons sur les maladies
nerveuses motrices. 1 Charcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, p. 63, note 1. ONZIÈME LEÇON Des amyot
trophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses motrices cbt ici consécutive: elle se surajoute à
ltération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules nerveuses , névroglie). — Lésions des racines nerveuses et d
ubstance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines nerveuses et des nerfs périphériques. — Lésions mus-culaire
ée aux cornes grises antérieures ; l'alté-ration des grandes cellules nerveuses étant d'ailleurs une condition nécessaire, sine q
ques. Ici, en effet, la lésion des cornes antérieures et des cellules nerveuses est nécessairement présente aussi, mais elle n'es
conclusions de travaux français. (.T.-M. GharcoO. que les cellules nerveuses motrices subissent des altérations plus ou moins
ux latéraux de la moelle épinière, dans toute la hauteur de ce cordon nerveux . Cette sclérose fasciculée peut même être suivie,
ures de la substance grise, et plus particulièrement sur les cellules nerveuses de la région, en conséquence de quoi les symptôme
que l'on sait des paralysies propre-ment dites ou par défaut d action nerveuse . Soit, par exemple, une paralysie des membres inf
e-gré plus ou moins prononcé de paralysie par suppression de l'action nerveuse s'ajoute aux effets de l'amyotrophie protopa-thiq
usculaire protopathique. — A, Corne antérieure gauche. ('Les cellules nerveuses ont persisté, mais présentent des altérations qua
ion dans tous ses diamètres (Fig. 11). Pour ce qui est des cellules nerveuses , ce sont tantôt les ca-ractères de l'atrophie pig
ndance exclusivement dans l'aire des cornes antérieures. Les cellules nerveuses motrices présentent là tous les degrés pos-sibles
ur les coupes durcies, on retrouve cette même altération des cellules nerveuses . Beaucoup d'entre elles ne sont plus représentées
elle, mais surtout ù la région cervicale, un grand nombre de cellules nerveuses des cornes antérieures ont disparu, à l'exception
de la région cervicale, sont atrophiées ; on y trouve quelques tubes nerveux présen-tant l'altération granulo-graisseuse. 1
à ce point de vue, considérées comme non avenues l. 2° Les racines nerveuses antérieures et les nerfs périphéri-ques sont affe
heureusement la relation de l'autopsie, en ce qui concerne le système nerveux , n'est pas accompagnée, dans ces cas, de détails
peut, a l'œil nu, paraître tout à t'ait saine, alors que les cellules nerveuses de la substance grise ont subi cepen-dant les plu
t (Ueùer progressive Muskelatrophies Berlin, 1873), contre la théorie nerveuse de l'amyotrophie progressive (Obs. I, II, IV, et
d'une époque (de 1838-1867), où le rôle de l'altération des cellules nerveuses mêmes n'avait pas encore été mis en lumière, et n
dément altérées, on trouve habituellement un certain nom-bre de tubes nerveux vides de myéline, ou dans lesquels la myéline est
hie simple. Cette intégrité rela-tive d'un très grand nombre de tubes nerveux des racines an-térieures se voit alors même que c
-lysie infantile. Dans celle-ci, en effet, un certain nombre de tubes nerveux subissent les mêmes altérations qu'un nerf sec-ti
dernières phases du pro-cessus morbide. Les autres tubes de la racine nerveuse con-servent l'intégrité de leur constitution, au
dont les cellules sont le siège, se transmet, par la voie des racines nerveuses et des nerfs centrifuges, jusqu'aux faisceaux mus
accompagne pas tout d'abord de paralysie par interruption de l'influx nerveux parce que celui-ci peut se propager, pendant long
-ci peut se propager, pendant longtemps encore, par la voie des tubes nerveux émaciés, mais non détruits. 3° Il me reste, en
e et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), dans la moelle et dans le b
zone de substance blanche, laquelle est en connexion avec les racines nerveuses . Ces zones, dans la nomenclature proposée par M
petites masses ou tubercules de sub-stance embryonnaire, où les tubes nerveux ne se montreront que très tard (Fig. 13, /). Vers
à l'œil nu. L'examen microscopique fait reconnaître que là les tubes nerveux , à myéline sont rares, et que, au contraire la la
aux sont marquées encore par le diamètre relativement petit des tubes nerveux et une certaine prédominance de la névroglie. C
istologiquement, par les caractères propres à la sclérose des centres nerveux . Dans l'isthme et dans le bulbe, la sclérose fasc
le premier cas, elles portent et sur la névroglie et sur les cellules nerveuses motrices qui sont en plus ou moins grand nombre d
t au sujet de l'atrophie musculaire spi-nale pçotopathique. Les tubes nerveux tout à fait vides de myé-line sont rares dans les
hériques. Les tubes granuleux sont en minorité. La plu-part des tubes nerveux sont conservés, seulement presque tous ont subi u
n'ignorez pas, Messieurs, qu'il existe, dans cette partie des centres nerveux , un certain nombre de noyaux de substance grise q
rale amyotrophique. On voit qu'il existe à peine cinq ou six cellules nerveuses intactes dans l'aire du noyau de l'hypoglosse. —
tence de la sclérose la-térale symétrique, avec atrophie des cellules nerveuses motrices dans les cor-nes antérieures à la région
s vraisemblable que la propagation s'ef-fectue par la voie des filets nerveux , qui, vous le savez, établis-sent normalement une
se s'opère très vraisemblablement, ajoutais-je, par la voie des tubes nerveux qui établissent, à l'état physiologique, entre le
phie musculaire spinale deuté- 1 Leçons sur les maladies du système nerveux , 1.1, p. 61, 2e édition. 2 J'ai eu soin de fair
de M. Joffroy, loc. cit.). A, Dure-mère hypertrophiée. — B, Racines nerveuses traversant les ménin-ges épaissies. — C, Pie-mère
, sont seules la cause de l'augmentation du volume apparent du cordon nerveux . La pie-mère est affeclée, elle aussi, mais à u
passage à travers les méninges épaissies et enflammées. L'altération nerveuse périphérique affecte, en général, aussi bien les
les méninges ne soient lésées, tout d'abord, et peu après les racines nerveuses . Les phéno-mènes en rapport avec cette double lés
uence une déchirure 1 Gharcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux , t. Il, p. 16. qui se fait dans le trajet intra
cines jusqu'aux cornes grises antérieures, où les groupes de cellules nerveuses subissent consécutivement des altérations profond
ont montrés enclins à en cher-cher le point de départ dans le système nerveux 3 et plus par-ticulièrement dans la moelle épiniè
MM. Eulenbourg et Cohnheim 4, les résultats de l'autopsie des centres nerveux avaient été négatifs. À la vérité, dans ce cas, l
ulaires dans ce cas ne rele-vaient point de l'altération des cellules nerveuses des cornes antérieures ou des racines nerveuses,
tération des cellules nerveuses des cornes antérieures ou des racines nerveuses , il importait de rechercher si elles ne devaient
me rencontré, dans l'épais-seur des muscles affectés, plusieurs fdets nerveux qui nous ont semblé égale-ment exempts d'altérati
nifestement atro-phiées ; en outre, un bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices, présentaient une atrophie plus ou moins
cordons latéraux se combine avec l'atrophie pro-gressive des cellules nerveuses des cornes antérieures. Sans doute, les lésions
quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules nerveuses motrices. Rien, à mon sens, n'est moins justifiab
nière; j'ajouterai que, dans le fait qui m'est personnel, les racines nerveuses , et aussi les nerfs périphériques, se sont montré
progressive, se développant en dehors de toute in-fluence du système nerveux . Dans les amyotrophies d'origine saturnine, au
des nerfs périphériques ; je n'ignore pas que, sous le nom d'atrophie nerveuse progressive, on a tracé la description d'une affe
quelle on ait démontré anatomiquement cette névrite ou cette atrophie nerveuse progressive d'où dériverait la forme d'amyotrophi
ofondes de la substance grise centrale et en particulier des cellules nerveuses mo-trices, et, par conséquent, on est en droit de
ue, dans aucun de ces cas, la non-existence d'une lésion des cellules nerveuses des cornes antérieures ait jamais été régulièreme
ue suivant le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices) et les zones radiculaires antérieures (
arrivent pas à toucher le sol. 2 Leçons sur les maladies du système nerveux , 2e édit., t. I, p. 245. rectum. Enfin, et c'es
r ce phénomène singulier (Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux , lle édition. T. I, p. 218, 1872-1873). M. le p
cture hystérique voir : Charcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, pp. 3*4 et suivantes. — Bourneville et Vou
ière ». J'ajouterai, pour com- i Leçons sur les maladies du système nerveux , t. II, p. llQ, pléter le tableau, que, dès l'o
quelle qu'elle soit, restait limitée à une moilié latérale du cordon nerveux , la symptomatologie s'accuserait, suivant le type
ntre le tabès dorsal spasmodique et la sclérose enplaques des centres nerveux . C'est là, ainsi que je vous l'ai fait pressentir
puis lors. — Voyez à ce propos ses Leçons sur les maladies du système nerveux , 2e édit., t. I, p. 264. 2 L'une des malades pr
e qui se pré-sente tout d'abord à l'esprit, est celle-ci : Les troncs nerveux seraient la voie par laquelle, de proche en proch
ant les leçons de cette année2, de montrer que les lésions du système nerveux central retentissent quelquefois, par la voie des
, par l'intermédiaire des nerfs, sur les parties centrales du système nerveux et y déterminent un travail morbide plus ou moins
Leçons sur les troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux , faites en 1S70 (Tome I, p. 1-152). périphériqu
lexe, j'ai négligé à dessein de vous entretenir de certains accidents nerveux que Gir... a éprouvé pendant une bonne a été pl
emarquable de voir que, dans la règle, les lésions graves des centres nerveux qui sont si fréquemment la conséquence des divers
ces, oct. 1874, 342. 2 Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux , t. I, 1884, p. 316. Suivant la ligne de condui
ve nouvelle, s'il en était besoin, que, dans les mala-dies du système nerveux , comme dans toutes les autres, nul phénomène, pri
déterminé. Il est vraisemblable, déjà, d'après cela, que les éléments nerveux , faisceaux de fibres ou corpuscules ganglionnaire
ues intéressantes de M. Buzzard. (Loc. cit., ?p. 83). les accidents nerveux éprouvés par M. B.,., et je l'engageai à agir en
erruptions réglementaires, pendant environ trois mois. Aucun accident nerveux n'avait reparu. Il peut arriver que les attaque
santes. M. K..., né aux Antilles, d'une constitution très délicate, nerveux et impressionnable au plus haut point, a été atte
heures du soir. M. Lagneau, fils (Maladies syphiliti-ques du système nerveux . Paris, 1860, p. 125), a réuni plusieurs exemples
n air, pendant plus d'une heure. Depuis le 30 oc-tobre, les accidents nerveux n'avaient plus reparu. Malheureusement, durant
laps de temps suf-fisant ; à la suite de ce traitement, les accidents nerveux dispa-rurent définitivement. M. K... est venu m
er de croire, cepen-dant, que dans les cas où la nature des accidents nerveux étant reconnue à temps, le plan de traitement pro
fait de l'extension progressive des lésions méningées à la sub-stance nerveuse , celle-ci s'altère à son tour profondément ; alor
arties pé-riphériques, produits en conséquence d'une lésion du centre nerveux spinal, et sur lesquels j'ai "appelé l'attention
i une conséquence en quelque sorte immédiate de la lésion des centres nerveux . Cette hypothèse, se rattachant étroitement à cel
ssi même Ce vice de nutrition, subordonné aune influence du système nerveux qui rend les os fragiles et fait comprendre le dé
. II, p. 121 et t. III, p. 306 ; — Leçons sur les maladies du système nerveux , t. II, p. 62. 1 The influence of restili locom
t la langue. 2 Voir: Charcot. — Leçons sur les maladies du sijstème nerveux , tome II. p. 330. fluence de causes banales, ou
ion, 25 et 26e leçons. Paris, 1870. Sur la tuméfaction des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux
tion des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans certains cas de myélite ; par J.-M. Crarcot.
marquable que pré-sentaient, çà et là, les cylindres axiles des tubes nerveux delà substance blanche, non seulement au niveau d
ans un de ces cas au moins, j'ai observé une tuméfaction de cel-lules nerveuses des cornes antérieures, laquelle, si je ne me tro
u ovalaires clans l'aire desquels tous les cylindres axiles des tubes nerveux ont acquis un diamè-tre relativement considérable
ophiés une couche circulaire mince. On trouve çà et là quelques tubes nerveux à cylindre d'axe volumineux, non plus réunis en f
x comme les précédents, mais disséminés et isolés au milieu des tubes nerveux restés sains. Le réticulum de la névroglie n'es
dres d'axe ont augmenté de vo-lume, que dans les régions où les tubes nerveux ont conservé tous les caractères de l'état normal
s cylindres d'axe ne va guère au delà du chiffre normal. Les cellules nerveuses de la substance grise n'ont paru présenter au-cun
u'à l'état normal. On trouve sur quelques préparations des cellules nerveuses fortement pigmentées, mais n'offrant d'ailleurs a
cytes. Beaucoup d'alvéoles sont vides, d'autres contiennent des tubes nerveux sains, la plupart renfer-ment des cylindres d'axe
retrouvent tantôt isolés et disséminés çà et là, au milieu des tubes nerveux normaux, tantôt réunis par groupes arrondis ou ov
ions comparatives, on croit recon-naître qu'un bon nombre de cellules nerveuses motrices, dans les diverses régions de la moelle,
'irrita-tion peut modifier, dans la moelle, la structure des éléments nerveux , même sur des points relativement très éloignés d
éfaction des cylindres d'axe n'appartient pas exclusivement aux tubes nerveux de la moelle épinière. Je l'ai observée, pour mon
prolongement axile ( Hauptaxencylinder Forsatz) des grandes cellules nerveuses de la couche cor-ticale du cervelet, chez un suje
on lit où elle ne tarda pas à mourir. Autopsie le 19 mai. — Système nerveux . Le cerveau et le cer-velet ne sont le siège d'au
culaires, sur les éléments du tissu inter-stitiel et sur les cellules nerveuses . Etat des vaisseaux. — D'une façon générale, il
n par l'abondance insolite du tissu fîbrillaire. Quant aux cellules nerveuses , elles ont en grande partie disparu. On peut parc
caractères du processus qui préside ici à la destruction des cellules nerveuses . A la région lombaire, la substance des cornes
ubstance des cornes antérieures est relativement saine ; les cellules nerveuses y sont abondantes, la plupart semblent saines, un
e niveau, on constate la disparition à peu près complète des cellules nerveuses et de la plupart des tubes à myéline qui, à l'éta
p plus foncée qu'à l'état normal. Malgré la dispa-rition des éléments nerveux , les dimensions de la corne antérieure n'ont pas
myéline apparaissent de nouveau ; on distingue çà et là des cellules nerveuses reconnaissables ; quelques- unes, deux ou trois
peu près complètement les caractères de l'état normal. Les cel-lules nerveuses y sont nombreuses, pourvues de prolongements, réu
f a été transmis à la zone radiculaire par l'intermédiaire des fibres nerveuses qu'elle reçoit de la corne antérieure. Enfin, e
tte dernière raison a une grande importance, on retrouve des cellules nerveuses en voie de destruction à la région lombaire, alor
cervicale, par exemple, de même qu'à la région dorsale, les cellules nerveuses sont en-core profondément altérées, alors que le
lionnaire a été le siège primitif du mal. Cette lésion de l'élément nerveux serait de nature irritative, si on en juge du moi
nchymateuse chronique. Quanta la pigmentation exagérée des cellules nerveuses , bien que ce ne soit pas là un fait nécessaire, p
gidité des membres inférieurs. — Atrophie ou disparition des cellules nerveuses des cornes anté-rieures aux régions cervicale et
ervicale et dorsale. — Au bulbe, atrophie et destruction des cellules nerveuses du noyau de l'hypoglosse, atro-phie des racines s
uscles sont d'ailleurs rouges et leur tissu semble sain. d) Système nerveux périphérique. — A l'œil nu, on est frappé par les
acines antérieures. Elles sont constitués par la réunion de faisceaux nerveux presque réduits à des filaments, de sorte qu'el
riques ne nous montrent aucune modification appréciable. c) Système nerveux central. — L'encéphale n'est le siège d'au-cune a
ous n'avons pas, dans ces cas, remarqué qu'ils continssent des fibres nerveuses dégénérées. — Le tissu conjonctif' interfibrillai
nes spinales antérieures. Examen à l'état, frais. Le nombre des tubes nerveux qui, dans ces racines, ont conservé les caractère
antérieures ; on n'y a rencontré aucune trace d'alté-ration des tubes nerveux . c) Nerfs crâniens. Le facial et l'hypoglosse,
ulement, le nombre des Charcot. Œuvres complètes, t. ii. 29 tubes nerveux restés sains y était relativement beaucoup plus g
it principalement, nous ont paru renfermer un certain nombre de tubes nerveux atrophiés à divers degrés. Des altérations ana-lo
ital examinés à l'avant-bras ; sur ces derniers nerfs, quelques tubes nerveux atrophiés présentaient, d'une manière évidente, l
ertaine étendue, une diftluence remar-quable ; des fragments de tissu nerveux , provenant de ce point ramolli, ont été portés so
portés sous le microscope immédiatement après l'autopsie ; les tubes nerveux offraient les caractères de l'état normal ; on ne
n-trecroisant, on reconnaît aisément les surfaces de section de tubes nerveux , lesquels, au niveau des faisceaux antérieurs et
gangue conjonctive est devenue tout à fait prédominante. Les tubes nerveux , ayant conservé leur dia-mètre normal, sont là de
hie qu'ont subi, dans les cornes antérieures, la plupart des cellules nerveuses , frappe tout d'abord ; il est évident, en outre,
t aux muscles le séjour au lit longtemps prolongé. Etat des centres nerveux . — Le cerveau, le cervelet et Yisthme de rencépha
issement, sur des coupes transversales, a. été trouvé sain. Centres nerveux . Préparations faites après durcissement dans l'ac
r la dégénération pigmentaire et l'atrophie consécutive des cel-lules nerveuses qui entrent dans la composition de ces noyaux, es
sur les mêmes coupes, de constater la parfaite intégrité des racines nerveuses dans leur trajet intra-bulbaire. Elle est surtout
la consistance, les caractères de l'état sain. y. Etat des centres nerveux et des nerfs bulbaires. — Le cerveau proprement d
losso-pharyngien et le spinal, surtout, sont grêles. Quant aux troncs nerveux éma-nés de ces racines, ils paraissent être un pe
oglosse par exemple, on constate, non sans éton-nement, que les tubes nerveux ont conservé leur cylindre de myéline. On ne pa
sont uniformément dissé-minées sur toute l'étendue de quelques tubes nerveux . Nulle part, elles ne sont en amas, sous forme de
pas d'autre altération que ce même état granu-leux de quelques tubes nerveux . Cette altération est très prononcée sur le laryn
l ont offert les caractères de l'état normal. y. Examen des centres nerveux , préparations durcies par l'acide chromique et co
x blancs ne fait reconnaître ni diminution dans le diamètre des tubes nerveux , ni multiplication des noyaux de la névroglie, ni
tions sont concentrées et encore n'occupent-elles là que les cellules nerveuses , car, ici encore, la névroglie est normale ou ne
identes de multiplication des noyaux. Quelques-unes de ces cellules nerveuses ont conservé tous les caractères de l'état normal
s prononcées qui, ici encore, portent exclusivement sur les cel-lules nerveuses , la névroglie est intacte ; peut-être les vaissea
hors. En effet, le réticulum qui entoure de toutes parts les cellules nerveuses malades n'offre pas d'autre altéra-tion qu'une tr
ive de la substance grise pour se propager ensuite jusqu'aux éléments nerveux . Mais on pourrait être tenté de supposer que le p
des cellules ganglionnaires doit être cherché en de-hors des centres nerveux , c'est-à-dire dans les nerfs périphé-riques. Celt
é affectés que secondairement, consécutivement àla lésion des centres nerveux . Si maintenant l'attention se porte sur les lés
arla voie des nerfs bulbaires et rachidiens, de la lésion des centres nerveux ? Les arguments favorables à cette opi-nion ont ét
ent rien concernant la na-ture et l'origine de la lésion des cellules nerveuses . Il est en-core bien d'autres desiderata que nous
choses près, les mêmes effets que l'atro-phie primitive des cellules nerveuses . D'un autre côté, il est évident que les cas dans
orterait non plus sur les noyaux originels, mais bien sur les cordons nerveux après leur issue du bulbe, devraient former une c
des lésions très délicates, — telles que sont l'atrophie des cellules nerveuses motrices et la sclérose des cornes antérieures de
ées ; la névroglie y avait sa transparence accoutumée et les cellules nerveuses motrices, en nombre normal, n'offraient, dans les
anifestement atrophiés ; en ou-tre, un bon nombre de grandes cellules nerveuses motrices présentaient une atrophie plus ou moins
cordons latéraux se combine avec l'atro-phie progressive des cellules nerveuses des cornes antérieures1 Sans doute, les lésions m
quelconque des formes de l'amyotrophie liée à l'atrophie des cellules nerveuses motrices. Rien à mon sens n'est moins justifiable
sie pseudo-hypertrophique ne relèvent pas de l'atro-phie des cellules nerveuses des cornes antérieures, il y a lieu 1 Mantegazz
e rencontré, dans l'épaisseur des muscles affectés, plu-sieurs filets nerveux qui nous ont semblé également exempts d'altératio
aisseau dont la gaine se continue avec le tissu scléreux. — cl, Tubes nerveux altérés. — e, La gaine de Schwann remplie de corp
érés. — e, La gaine de Schwann remplie de corps granuleux. — g, Tubes nerveux ayant subi une dilatation et une déformation cons
mort d'une affection intercurrente. —a, Tissu scléreux; — 6, c, tubes nerveux régénérés; quelques-uns, b, ont le volume normal;
ade Gott... dont l'observation est rapportée à la page 395. Système Nerveux , t, il Pl. VI ujarcot U'.uvkks Complètes, Ô
ée. — C, Corne antérieure remplie de nombreux vaisseaux, les cellules nerveuses y ont complètement disparu. — L, Cordon latéral.
ieure, C, est parfaitement normale et contient de nombreuses cellules nerveuses . Il n'y a plus de sclérose de la zone radiculaire
asculaire qu'à la ré-gion cervicale et con'enant une ou deux crllules nerveuses . Fig. 4.— Diverses phases de la destruction des
nerveuses. Fig. 4.— Diverses phases de la destruction des cellules nerveuses . — a, b, Cellules en voia de destruction. — c, Ce
nsversale du nerf phrénique. — a, a, Coupe de faisceaux, où les tubes nerveux conservés sont encore assez nombreux. — b, Espace
rvés sont encore assez nombreux. — b, Espaces dans lesquels les tubes nerveux ont totaltment disparu (dessin fait à la chambre
es et des crises gastriques. Sommaire. — Relations entre les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules n
re les filets nerveux radiculaires internes et le groupe des cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures. — Des sympt
lir malgré l'existence de lésions profondes. — Régénération des tubes nerveux au niveau du point com-primé. Des symptômes. —
en travers ou ne portent que sur une des moitiés latérales du cordon nerveux . Premier cas : Succession des symptômes. — Préd
celle qui dépend d'une lésion de la moelle. — Altération des cellules nerveuses et tu-meurs de la moelle causes d'une troisième f
lendent à démontrer que la lésion primitive ré-side dans les cellules nerveuses .................................... h63 DIXIÈME
trophies spinales chroniques deutéropathiques. La lésion des cellules nerveuses motrices est ici consécutive: elle se surajoute à
ltération limitée aux cornes antérieures de substance grise (cellules nerveuses , névroglie). — Lésions des racines nerveuses et d
ubstance grise (cellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines nerveuses et des nerfs périphériques. — Lésions mus-culaire
e et le bulbe. — Lésions consécutives de la substance grise (cellules nerveuses motrices, névroglie), dans la moelle et dans le b
»......................... 407 III. Sur la tuméfaction des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux
tion des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans certains cas de myélite.................. 41
gie cervicale, 143,146. — Consécutive aux lésions des nerfs, 292. — nerveuse progressive, 292. — partielle du cerveau, 365,
latente, 112. Cautérisation avec les pointes de feu, 350. Cellules nerveuses motrices (Tu-méfaction des) dans les myélites, 41
37, 238. Cornes antérieures de la moelle; rap-ports avec les filets nerveux radi-culaires, 19. — Lésions des cellules nerveus
rts avec les filets nerveux radi-culaires, 19. — Lésions des cellules nerveuse des — , 179, 204, note. — Après amputations ancie
., 55, 56. — Laryngées tabétiques, 413. Cylindres d'axe des tubes nerveux (Tuméfaction des), 414. Cystite, 326. d Déf
ans les cas de guérison du mal de Pott, 103. — Régénération des tubes nerveux , 104.— Symptômes de la compres- sion de la —, 1
ar compression, 319. (v. Moelle épinière.) — Tuméfaction des cellules nerveuses motrices et des cylindres d'axe dans certains cas
yngée, 167,261, 453. — Lésions des muscles, 445, 456 ; — des cellules nerveuses motrices, 469 et suiv. —Pseudo-hypertrophique,
e, 157.— Dans la sclérose latérale, 426. (V. Hachis). Prolongements nerveux , 21. — Du protoplasma, 21. Pseudo-névralgies (D
— Paralysie, 127. — Théorie de Budge, relative à l'action du sys-tème nerveux sur les fonctions de la —, 127. — Troubles de la
8 (1898) Archives de neurologie [2ème série, tome 06, n° 31-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
) F. RAYMOND Professeur de clinique Jcs m;nl,nJics du svstemc nerveux à LW'aculé de médecine de l'.nrns. coccenuw
santé jusqu'en ces dernières années, si ce n'est qu'elle est un peu nerveuse , et a parfois des crises de larmes. Deux grosse
hondriaques, a été nettement indiquée par Mo- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 39 rel', et plus récemment par Séglas pour les
ion ainsi que le polymorphisme des symptômes. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Sur la démence primitive DE la puberté; par
' More). Études cliniques, t. II, obs. II. 40 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pures, caractérisées par une réduction et une
sur l'appauvrissement psychique, qui forme le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1L t fond de l'affection. Dans les cas spurano
er les mêmes soins qu'à un petit enfant. 42 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . IL Ophtamoplégie nucléaire; par M. le D'' Marf
M. Déjerine, qu'à l'exemple de maintes autres REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 4 ? 1 affections de la moelle, du tabes, en pa
ème fruste, mais de myxoedème incomplet. 44 , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Selon lui, il est, dès à présent, certain que
autopsie et l'examen histolo- 'gique. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 4'5 VU. Un cas DE sclérose latérale A31TOTROPH
on temporale était complètement détruite 46 " REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et il n'y avait pas eu de surdité verbale, et
que, d'un développement physique et intellec- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 47 tuel normal, est atteint depuis deux ans de
e qui peuvent se produire à la suite d'une 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lésion cérébrale : hémiplégie purement motrice
soit pas autre chose qu'une colère devenue per- manente. Le système nerveux a perdu son élasticité, l'effet ne peut plus di
goitre exophtalmique n'est pas forcément dû à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 49 une cause morale. La tuméfaction thyroïdien
écrétion de la glande thyroïde. Mais, soumise à l'action du système nerveux , la glande n'est peut- être que l'intermédiaire
diaire, et la mesure dans laquelle les simples réactions du système nerveux peuvent produire ces manifestations n'est pas é
survient ; Archives, 2° série, t. VI. 4 50 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . le plus souvent il n'y a aucune douleur locale
es alcooliques intéressant rarement lesquatre REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 51 membres. Il ne reste que l'hypothèse d'une
dents pathologiques, robuste jusqu'à l'âge 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de vingt-huit ans; à cette époque, chute et tr
, mais du psychisme inférieur, automatique ». REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 53 A propos du traitement, l'auteur signale l'
ommun, et que l'on a considérés comme dus à une altération du tronc nerveux , pourraient, à raison des rapports de voisinage t
. Ces vues palhogéniques ont besoin d'être 54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . vérifiées; mais la théorie qui reconnaît aux m
. Quant à la catalepsie, elle est aussi mani- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 55 festement d'origine corticale; selon les au
enticulaires, mouchetés, punctiform.es, entre lesquels la substance nerveuse est livide gris-ardoisé; de même, dans les autr
rhagies plus volumineuses et. plus nombreuses, destruction du tissu nerveux , atrophie des fibres 'nerveuses à myéline. L'écor
ie de Basedow, caractérisée par un goitre très gros et des troubles nerveux très accentués (tremblement des mains, vertiges
'hôpital; elle était alors complètement débarrassée de tout trouble nerveux ; le goitre, encore sensible à la pression, ava
indiqués; ils n'auraient fait qu'accentuer la dépression du système nerveux . Le seul traitement qui put être efficace eût é
. Comment a agi l'eau froide ? Probablement en stimulant le système nerveux par excitation réflexe périphérique. Cet heur
e el favorisée par des lésions cardiaques. D'autre part, le système nerveux est absolument indemne. Le thymus, très notable
sychiques, est de nature à faire admettre l'antériorité des lésious nerveuses . - En ce qui concerne les rapports de la syphil
ultanée des toxines diphtéritique et streptococcique sur le système nerveux . Il existe une opinion d'après laquelle l'infec
state des altérations disséminées de lasubstance blanche du système nerveux central, et des lésions systématiques des racin
ui permet de présumer l'action directe du streptocoque sur la fibre nerveuse . Les lésions des cellules des cornes antérieures
. X.-K. BouscH. Méthode de coloration de dégénérations du système nerveux par l'acide osmiqtte. La méthode de Marchi prés
tant est la faible pénétration de l'acide osmique dans la substance nerveuse . L'acide osmique est une com- position très peu
r de paralysie géné- rale. 1 L'influence de l'hérédité mentale et nerveuse , sur laquelle les avis sont diffécents, devait
édité tuberculeuse et qu'enfin la syphilis et l'hérédité mentale et nerveuse ont un rôle absolument nul. ' Abordant la gen
d; 2° la méionexie repré- sente ou bien une tare directe du système nerveux , comme dans l'hérédité cérébrale, ou bien est l
a- 78 VARIA. tion par les toniques et les stimulants du système nerveux . Le trai- tement pathogénique devait différer s
doit se caractériser anatomiquement par des altérations du système nerveux tout entier. Nous ignorons quelle partie de ce
éressée la première. En étudiant la moelle, placée entre le système nerveux central et le système nerveux périphérique, ave
nt la moelle, placée entre le système nerveux central et le système nerveux périphérique, avec mission de réunir, de condui
st plus admissible, si elles ont leur retentissement sur le système nerveux central et le système nerveux périphérique. Nou
nt leur retentissement sur le système nerveux central et le système nerveux périphérique. Nous avons dit que nos observatio
ours. La technique microscopique appliquée à l'étude du sys- tème nerveux , s'est enrichie, dans ces dernières années, d'un
faire un choix. , A chacun des éléments qui constituent le système nerveux , ' Contribution il l'élude des lésions spinales
rester la méthode de choix pour déceler la dégénération des fibres nerveuses à myéline. Tels sont les moyens, arrivons aux r
est peut-être quelquefois la seule lésion ap- préciable du système nerveux . Pour notre part, nous avons la ferme convictio
uite de la modification chimique qu'elle a subie. Au centre du tube nerveux , le cylindre-axe est marqué par un point coloré
érose intense. Nous l'avons vue remplacer presque toutes les fibres nerveuses du cordon postérieur dans deux cas. Les cylindr
s qu'un prolongement ou deux. Son corps a pris la forme d'un tube nerveux dans l'intérieur duquel il n'y a plus place que p
intra- fasciculaire et, conséquemment, une destruction des fibres nerveuses . On ne saisit pas très bien pour quelle raison la
r remplir.les espaces laissés vides par la destruction des éléments nerveux , comme le pense Weigert ? Et pourquoi cette pro
comme le soutient Cajal, que de réaliser l'isolement des cou- rants nerveux ? On le voit, cette question du rôle patholo- g
cale. Dans la subs- tance grise, il a noté des lésions des cellules nerveuses carac- térisées par l'atrophie pigmentaire. Enf
emier, a signalé les lésions veineuses dans la syphilis des centres nerveux ; elles ont été retrouvées, depuis, un grand nom
e générale. Dans quel- ques-uns de ces cas, l'altération du système nerveux périphé- rique était parvenue à un degré extrêm
dier, nous entrons de nouveau dans l'étude des réactions du système nerveux . Le premier nous montre l'action du champ élect
électrique elle-même, mais de cette excitation transformée en onde nerveuse , il conclut que si nous constatons à la suite d
t s'expliquer que par trois hypothèses : altération de la substance nerveuse qui trans- forme anormalement l'excitation élec
forme anormalement l'excitation électrique, altération du cordon nerveux en aval du point excité; altération du muscle. On
éaction de Duchenne) se produit soit dans les altérations du cordon nerveux moteur, le muscle res- tant sain ; soit dans le
exploré, soit en aval de celui-ci. Aucune alté- ration des centres nerveux ou du cordon nerveux en amont de ce point ne pe
l de celui-ci. Aucune alté- ration des centres nerveux ou du cordon nerveux en amont de ce point ne peut la produire. L'h
ses. La réaction d'Erb est symptomatique d'une altération du cordon nerveux au point même de l'explora- tion. Cette altérat
vralgie du Archives, te série, t. VI. 8 114 REVUE DE pathologie nerveuse : trijumeau par les hautes intensités et les lo
t les racines du nerf affecté. L.-R. REGNIER. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXV. Accès convulsifs ÉPILEPTIQUES ET exagérat
t que les produits toxiques agissent directement sur les élé- ments nerveux de l'écorce, produisant un paroxysme épileptique,
ort avec les régions intéressées. R. Ciiaron. REVUE DE pathologie NERVEUSE . 115 XXVI. TIC de l'horloger; par T. COlIN. (Ne
érescence des racines postérieures et des 116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . cordons postérieurs de la moelle : 1° La dégén
es travées conjonctives avec diminution de la quantité des éléments nerveux . - 2° La tumeur des ascendantes droites expliqu
II. Absence de mouvements conjugués conseil- .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 117 suels des deux côtés, sans paralysie des m
ryngien, du nerf vague; lésions relative- ment faibles des cellules nerveuses . , 'l't8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Si,
ment faibles des cellules nerveuses. , 'l't8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Si, dit l'auteur, nous laissons de côte les lé
tus, s'installent des mouvements choréiformes REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 119 des extrémités droites, puis des convulsio
conducteurs moteurs, n'interrom- pant point tout à fait le courant nerveux , oppose quelque résis- tance à l'influx nerveux
t à fait le courant nerveux, oppose quelque résis- tance à l'influx nerveux qui acquiert une tension donnée. Les cel- lules
ce, continuant à fonctionner, dégagent continuellement leur courant nerveux qui, par les pyramides, va aux cellules des cor
des résistances dans la voie conduc- trice, et intensité du courant nerveux . L'exagération de l'athétose se fera surtout se
L'exagération de l'athétose se fera surtout sentir quand le courant nerveux sera renforcé à l'occasion des mouvements volon
nts volontaires; la diminution du courant 120 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . nerveux par le sommeil entraine la disparition
res; la diminution du courant 120 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. nerveux par le sommeil entraine la disparition de l'athét
e fléchit jamais les pouces sous les index. - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 121 1 Les convulsions cloniques consécutives s
la cuisse généralement) et qu'elle ne 122 I-) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . s'étend aux articulations des membres que seco
par la suggestion et l'électricité; 4° la fièvre était simplement nerveuse puisque l'état général et la nutrition n'en furen
n'en furent que légèrement troublés. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 123 XXXVII. Deux cas de gigantisme suivi d'acr
ienne qui agit sur tous les tissus et en particulier sur le système nerveux médullaire. La conclusion pratique au point de
e au point de vue du traitement est qu'on 124 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . doit chercher à provoquer dans la glande un ce
rmale n'est pas connue. Cette maladie doit avoir une origine partie nerveuse , partie humorale. L'exophtalmie est due à une a
mment une altération de la glande peut se répercuter sur le système nerveux . Il est possible que la lésion primitive se tro
isme des tissus, trouble dû à un vice de fonctionnement des centres nerveux . L'hypertrophie du corps thyroïde n'est que secon
e que des troubles vasculaires soumis à une altéra- tion du système nerveux , précèdent l'hypertrophie de la thyroïde. L'aut
par l'ingestion de thymus. . A. Vrcooaoux. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .. '125 XL. DU PRONOSTIC DANS LE GOITRE EXOPHTAL
sumées d'où résulte lëtabteau suivant : 12G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . donnent à la main un aspect et une forme toute
ais aussi par la radio- graphie. R. CHARON. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 127 XLII. L'APOPHYSALGIE POTTIQUE; par A. CIII
. La moindre pres- sion au niveau des cicatrices provoque une crise nerveuse . Attitude vicieuse du tronc déterminée par une
aralysé, privé de mouvement, incapable de 128 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . parler. Puis la parole et le mouvement revienn
epuis l'âge de 20 ans, de toutes les sortes de phobies et accidents nerveux , tels qu'angoisses, sténocardie vasomotrice, poly
s sont devenus plus violents. Il est toujours REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 129 très neurasthénique et très hypochondiraqu
mes. KERAYAL. P. KERAVAL. XL VI. DE l'atteinte précoce du système nerveux par la syphilis : par A.-G. JuscHTSGHENKO (Cei
remière et Archives, 2e série, t. VI. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . deuxième circonvolutions originelles en arrièr
deux lésions par la syphilis. P. IEnA vAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 131 XLVIV. Observation DE diabète sucré grave
d'accidents analogues à ceux de la jambe 132 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . gauche. C'est une sclérose musculaire, une rét
nilatérale tout en sautant irrégulière- ment sur divers territoires nerveux . Le tronc est resté intact. Cette allure indiqu
intact. Cette allure indique la probabilité d'une lésion du système nerveux central. L'auteur fait remarquer que la sclér
ces, indépendantes de la première, il y avait REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 133 maladie d'Addison. On trouva une dégénéres
paralysie par compression. P. KERAVAL. 134 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLVII. Communications NEUROLOGIQUES; par J. FE
èvre peu marquée, sueurs profuses, diminution REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . in'nu de tous les accidents ; reste simplement
oordination motrice la résultante de l'action synergique du système nerveux sensitif et qui admet que toute altération de c
me nerveux sensitif et qui admet que toute altération de ce système nerveux entraîne nécessairement l'in- coordination. A
tion crée l'organe et non l'organe la fonction ; quand le cou- rant nerveux ne peut plus suivre son trajet ordinaire, il se f
'existaient qu'en puissance, ouvriront une nouvelle voie au courant nerveux . Chacun de nous possède depuis sa naissance un
Les maladies constitutionnelles, les névroses graves ou l'hérédité nerveuse assombrissent le pronostic. L'examen élec- triq
e question : Du rôle des aj'tél'ites dans la pathologie dit système nerveux . Rapporteur, M. Coulon. Discussion. - Soir, 2 h
D'' Lannois. Sur le traitement des tics. Sur quelques cas d'oedèmes nerveux ; par le Dr Meige. - Epilepsie et traitement chi
LIQUES. Le nommé Botereau, marié et père de famille, dans une crise nerveuse déterminée par l'ivresse, a tenté de se sui- ci
898. Vol. VI. Septembre 1898. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . SYRIi\GOJIYÉLIE ET SARCOMA TOSE DE LA MOELLE;
IONS INTHAMÉDULLAfRES ' 1 Par S. ORLOWSKI. (Clinique des maladies nerveuses ci la faculté de Moscou.) Il est indiscutable q
novembre 1897. - ' Archives, 2e série, t. VI. 11 f 162 CLINIQUE NERVEUSE . qu'à la maladie actuelle, elle a joui d'une sa
18 de ce mois, la malade est transférée à la clinique des maladies nerveuses . Etat du 18 janvier 189G. Fillette de petite ta
vastes, ulcère profond dans le pli inguinal droit. 164 CLINIQUE NERVEUSE . L'état général de la malade a beaucoup empiré
néoplasme dans les glandes lymphatiques, ni ailleurs. Le système nerveux central (excepté le bulbe qu'on n'a pas pu cons
ts du néoplasme en violet foncé, tissu conjonctif en rouge et tissu nerveux en jaune. Nous commençons l'étude des coupes de
voit des blocs d'une apparence presque amorphe, sans 166 CLINIQUE NERVEUSE . affinité pour les colorants; il paraît que c'e
ibreux formant une ligne ondulée. Mais pas de vestiges de substance nerveuse dans l'espace limité par cette ligne; rien qu'u
aisse contenant des blocs de myéline, des corps gra- 168 CLINIQUE NERVEUSE . nuleux, des globules sanguins et un détritus ;
; par places apparait un réseau délicat constitué par des fibrilles nerveuses très fines res- semblant à celles de la substan
ues blocs arrondis d'une masse granuleuse font l'effet des cellules nerveuses dégéné- rées. Un peu plus haut, au niveau de
ctifs; nul doute que ce ne soit un trans- sudat. Quelques racines nerveuses apparaissant à cette hauteur dans le tissu sarc
eux et présentent des altérations très avancées, le nombre de tubes nerveux y est restreint. L'aspect de la coupe change su
moitié droite de la moelle qui ne contient presque point d'éléments nerveux . Dans la moitié gauche, les cordons latéral et an
s portant une quantité innom- brable de vaisseaux ; plusieurs tubes nerveux atrophiés, par places des débris de cylindres-a
ntrale, séparée cependant de la périphérique par une bande du tissu nerveux la commissure antérieure; dans un endroit de ce
au centre de la moelle, a plutôt disloqué que détruit les éléments nerveux . De deux côtés de la tumeur on voit la subs- ta
de la tumeur on voit la subs- tance grise, bien pauvre en cellules nerveuses ; la substance blanche n'est que comprimée, la m
che en faisceaux conjonctifs et en vaisseaux. A ce 170 - CLINIQUE NERVEUSE . niveau nous voyons donc les deux lésions médul
ement la moitié pos- térieure du pourtour de la moelle; les racines nerveuses englobées dans cette masse sont peu atrophiées.
r la corne postérieure en forme d'un large coin détruisant le tissu nerveux . La partie centrale de la moelle est aussi défor-
s parait être composé de cellules lymphoïdes à grand 172 CLINIQUE NERVEUSE . noyau mal coloré, de corps granuleux, de détri
e dépend d'un oedème de la moelle : les intervalles entre les tubes nerveux sont distendus et remplis d'une matière amorphe
ascendante très marquée, nous y trouvons une destruction des tubes nerveux résultant d'une hyperplasie diffuse de la névro
téraux ne se teintent pas suffisamment, vu la destruction des tubes nerveux résultant d'une prolifération diffuse de la név
parties latérales de la moelle sans pénétrer dans sa 174 CLINIQUE NERVEUSE . substance. Néanmoins les altérations du tissu
out le tissu environ- nant, lâche, raréfié même diaphane; les tubes nerveux y sont rares tandis que la névroglie forme un r
uère d'éléments sarcomateux, ni dans les méninges, ni dans le tissu nerveux . Sur les coupes au Weigert la substance blanche a
la substance blanche a mal pris l'hématoxyline; le nombre des tubes nerveux sains y est restreint, beaucoup de mailles de n
voir une infiltration inflammatoire très marquée dans tout le tissu nerveux . L'autre segment du bulbe, conservé incomplètem
rations embryonnaires énormes. A la surface ventrale 176 CLINIQUE NERVEUSE . on voit la néoformation, riche en vaisseaux et
hes plus ou moins épaisses, n'infiltrant point ou très peu le tissu nerveux sous-jacent. t. Les nerfs périphériques et le
ractère dégénératif de la plus haute intensité; en outre les troncs nerveux des plexus lombaire et sacré sont enveloppés su
892, Bd. II, H. ), 6. ARCHIVES, 3'série, t. VI. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE . voie du diagnostic clinique. Le fait est que d
à discuter, se - trouvait aussi dans le cas de Hippel : l'affection nerveuse étant déjà bien installée, on a vu se développe
et que ce n'est qu'après avoir détruit presque toutes les racines nerveuses , qu'elle avait envahi la substance médullaire.
ir qu'elle prédomine notablement dans l'âge jeune. 180 CLINIQUE NERVEUSE . nous croyons indispensable de résumer les donn
elle une hyperhémie veineuse très accentuée et un oedème du tissu nerveux atteignant son plus haut degré dans la région cer
C'est la dégénération hyaline qui prédomine ; les 18 : 2 CLINIQUE NERVEUSE . parois vasculaires s'épaississent, deviennent
ressives eurent dans notre observation un lien intime avec le tissu nerveux . Ainsi dans la partie inférieure de la tumeur l
es-unes de ces observations la néoplasie n'épargnait guère le tissu nerveux (ainsi elle détruisit une partie du cervelet da
ouvait aussi être atteinte; néanmoins, même dans ces cas le tissu nerveux paraissait très peu altéré en comparaison avec to
té de la sarcoma- tose s'exprime par sa tendance à envahir le tissu nerveux , c'est certainement dans notre cas que cette ma
lignité a atteint son plus haut degré. Parmi les lésions du tissu nerveux nous avons mentionné un ramollissement qui a dé
coupes au niveau de l'excavation toute développée 184 . CLINIQUE NERVEUSE . (la sixième racine dorsale), mais une étude de
myélie. Eille Monographie. Leipzig und Wien, 1895. 186 CLINIQUE NERVEUSE . mière et dernière phase d'un seul processus mo
anguine ou lymphatique, des altérations trophi- ques : les éléments nerveux s'atrophient, la névroglie proli- fère ; il se
olge BllIl- stattug. 1'irchow's Archiv, Bd. LXXXV. 188 CLINIQUE NERVEUSE . chronique produit souvent une dilatation du ca
iveau que plus haut, la stase a atteint son maximum; les éléments nerveux sont tantôt détruits, tantôt dissociés par un tra
'attention sur la question en décrivant ce qu'il appelait le délire nerveux traumatique. Il en faisait une entité morbide d
rbide distincte, une névrose se mani- festant surtout chez des gens nerveux et s'appliquait à la différen- cier du délirium
), dans ses Mémoires de chirurgie, portentle dernier coup au délire nerveux en déclarant qu'il se confond avec le délirium
sacrum et aux fesses, indices certains de l'ébranlement du système nerveux et du trouble profond de la nutrition; mais l'é
n ce qui la concernait, elle n'avait jamais présenté de symp- tômes nerveux ou mentaux, elle n'avait aucune frayeur de l'opé-
atoire sont en très grand nombre. : l'impression morale, une action nerveuse réflexe, un état de shock ; l'opération en elle-m
e les troubles psychiques post-opératoires étaient dus à une action nerveuse réflexe, à un état de shock. Dans cet ordre d'i
ntéressants. Denis suppose qu'étant donnée la richesse des éléments nerveux des organes abdominaux une intervention pratiquée
cooliques. Toutes les maladies d'ordre toxique affectent le système nerveux , créent au cerveau des malades atteints une pré
omplet de tous les éléments qui servent à la conduction de l'influx nerveux des centres à la périphérie. M. PIERRET (de L
ives. Il me paraît plus simple de supposer que dans tout le système nerveux existe une tendance constante à la réalisation
ssurer le phénomène : si les neu-, rones sont malades, si les tubes nerveux centrifuges sont altérés ou si les muscles ne s
almique, etc.; 7° troubles mentaux liés à une affection des centres nerveux (traumatisme, lésion en foyer, etc., ou des nerfs
° troubles mentaux dans les maladies autres que celles du sys- tème nerveux ; 9° troubles mentaux liés à des troubles du somme
ire penser à une intoxication alcoolique, une maladie des centres nerveux ou des nerfs, d'autres maladies, telles que la sy
fin, il m'a fallu employer une méthode spéciale à la thérapeutique nerveuse , la fascination et la suggestion. Lors des fête
lumineux, et dont les glorieux travaux vont enrichir la pathologie nerveuse , actuellement si en progrès. « Je salue M. Joff
ur, Ladame, de Genève, Carrier, de Lyon, tous maîtres en pathologie nerveuse . Enfin, Messieurs, je voudrais vous nommer tous
ième question : Du rôle des artérites dans la pathologie du système nerveux . M. Coulon, rapporteur. Nous allons donner d'ab
e. loppent dans le sein même du tissu conjonctif. Dans le système nerveux la présence du tissu conjonctif uniquement autour
infectieuses qui agissent à distance par leur toxine sur le système nerveux . Dans les maladies propres au système nerveux,
toxine sur le système nerveux. Dans les maladies propres au système nerveux , dans lesquelles les lésions sont plus ou moins
tissu conjonctif et des tuniques des petits vaisseaux, les cellules nerveuses et leurs prolongements cylindraxiles ou dentriliq
primitivement aussi accentuées sur les capillaires que sur le tissu nerveux , mais les artérioles d'un SOCIÉTÉS SAVANTES.
er les unes par rapport aux autres. Dans la tuberculose des centres nerveux , le tubercule, quel que soit le point où il se
temps confiné à ce point. A mesure qu'il se développe, les cellules nerveuses voisines subissent directement l'action de la t
antage l'élément vas- culaire être lésé, à l'exclusion de l'élément nerveux ou réciproque- ment. Les toxines peuvent agir s
on n'est pas autorisé à admettre qu'elle est antérieure à la lésion nerveuse . Il semble probable, si l'on admet les théories
ltérations artérielles qui les accompagnent. Cependant, les lésions nerveuses ne paraissent pas, dans certains cas au moins,
ésions vasculaires, même peu avancées, sans altération des cellules nerveuses . La sclérose en plaques parait bien plutôt liée
dépendance de l'artérite. Quant aux autres affections du système nerveux et aux névroses, nous connaissons très peu de c
parait bien restreint dans la pathogénie des affections du système nerveux , il est, en revanche, considérable dans toute u
isseau arrive jusqu'à l'oblitération, comme les artères des centres nerveux peuvent être considérées, pour la plu- part, co
on observe. La plupart des hémorragies qui se font dans les centres nerveux relèvent de cette cause. Enfin une embolie venu
éloigné du sys- tème artériel peut déterminer au niveau des centres nerveux des phénomènes de thrombose suivie d'oblitérati
ns la patho- logie, et en particulier dans la pathologie du système nerveux . En dehors de ces accidents, des lésions artéri
e que celui qui, dans notre cas, a dissocié, puis lésé des éléments nerveux de plus en plus nombreux, et créé par consé- qu
troubles paralytiques ne peuvent s'expliquer ni par un traumatisme nerveux (section ou compression du médian), ni par le m
communication SOCIÉTÉS SAVANTES. 253 sur quelques cas d'oedëmM nerveux et M. ALLARD sur un Cas de myopathie primitive
ais à l'âge de dix-huit ans, la malade a eu une crise de dépression nerveuse de nature douteuse, et de plus, dans le laps de
t que consécutivement à celles de la corticalité. Etat des cellules nerveuses chez un épileptique mort en étal de anal. MM. A
s manifestations physiques et psychiques de la névrose. Son système nerveux a été étudié par les méthodes de Nissl et de Go
p moindre, il est vrai, chez les déments complets dont le système nerveux était le siège d'altérations profondes. Organis
Vol. VI. Octobre 1898. No 34 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . SYRINGOMYELIE; Par Cire L. UHRIOLA (de Panam
ration à classer comme lèpre des affections peu étudiées du système nerveux et uni- quement révélées par l'atrophie ou la p
art. Leprosy. 1897. Archives, 2e série, t. VI. 18 274 CLINIQUE NERVEUSE . la même lèpre orientale. S'il est vrai que la
affectés, contractions qui aujourd'hui Fi[l, O, 216 6 CLINIQUE NERVEUSE . encore sont visibles dans divers muscles des m
L'analgésie règne dans les deux mem- Fifj. -21. 1. 278 CLINIQUE NERVEUSE . bres supérieurs, sauf dans un espace limité qu
phosphates. Au début de ces troubles le malade , , 280 CLINIQUE NERVEUSE . ne pouvait uriner qu'en prenant la même attitu
reraient dans le cadre de la syringomyélie, Leçons sur les maladies nerveuses . 1 Fi[l, 23. Fig, 2f. 282 CLINIQUE NERVEU
sur les maladies nerveuses. 1 Fi[l, 23. Fig, 2f. 282 CLINIQUE NERVEUSE . bien que la dissociation de la sensibilité ne
lante et indépen- dante, uniquement caractérisée par des affections nerveuses et leurs conséquencès, ou d'une lèpre sans affe
come una stunu- lazione fortisima (iperestesia) ». 284 CLINIQUE NERVEUSE . du complexe symptomatique de la maladie ; lors
ants qui y sont prédis- posés, des affections incurables du système nerveux , dont la véritable origine remonte peut-être à
confusion mentale anxieuse ou hallucina- 288 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . toire, cela pourrait, à la rigueur, se souteni
nces pourraient être fâcheuses à tous égards. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLIX. MYXOEDÈIE spontané DE l'adulte; par M. l
normales, leur épithélium et leur substance . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 289 colloïde; cependant, on voyait dans quelqu
destinés Archives, 2° série, t. VI. 19 290 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .- à vivre d'accord, reçussent leurs ordres de d
facial et le vago-spinal. A. FENAYfioU. LI. Parasitisme des centres nerveux par mycose; par MM. J. Roux et J. l'AVIOT (de L
s environ. A l'autopsie, on a observé un aspect spécial des centres nerveux qui semblaient durcis, congelés; la surface, de
formée par cette membrane eût été trop étroite pour contenir l'axe nerveux médullaire; de fait, sur Il' les coupes, la sub
tuaient peut-être le début de la réaction inflammatoire des centres nerveux vis-à-vis du parasite. Le tableau clinique de c
ités, dont nous mentionnerons les suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 291' lo Apparition de troubles cérébraux très
ui en sont atteints une hérédité névropa- 292 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . thique ou des troubles nerveux personnels; qu'
vropa- 292 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. thique ou des troubles nerveux personnels; qu'avec les recherches expérimental
cidant avec une paralysie vésicale subite, l'extension des troubles nerveux à la région dorsale. Il y a lieu, sans doute, d
tions publiées depuis plusieurs années. Les . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 293 auteurs, pour leur part, ont rencontré six
para- plégie spasmodique). G. D. 294 -il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . -LXI. UN cas DE maladie DE CHAMOT ; par les D"
érale amyotrophique pour lui faire une place - à part en pathologie nerveuse , très voisine mais distincte toutefois de celle
t parfaitement compte qu'on est suggestionné. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1295 On conserve un empire assez grand sur soi
et les injections strychniques. A. Marie. 296 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LIII. Hystérie infantile; par J. MADiSON TAYLO
tardive que l'auteur rapporte à la sclérose artérielle des centres nerveux et à la dégénérescence du muscle cardiaque (car
a tare névropatbique ainsi acquise. A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 297 SUR l'épilepsie d'origine alcoolique ; par
bord par les lésions organiques qu'elle fait naître dans le système nerveux central par athérome, sclérose, etc., mais, aus
ent constituées par le trouble amené dans la nutrition des cellules nerveuses par l'intoxication. De nombreuses observations
une laxité articulaire donnant naissance 298 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . au déplacement secondaire de la tête humorale.
on maxillaire des rapports normaux. A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 29U LXXIX. IIEMIATROPHIE faciale; par E. Yonge
variables de la moelle étaient atteintes. 300 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Il expose que, des causes générales de myélite
particulièrement chez les jeunes gens du sexe masculin à sys- tème nerveux facilement excitable, chez les neurasthéniques, m
ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 1. LÉSIONS DES CELLULES NERVEUSES AU COURS DE DIVERSES INTOXICA- TIONS ET auto-in
de l'ingestion d'iodure de potassium, déterminent dans les cellules nerveuses centrales des lésions protoplasmiques qui porte
e les suppléances puissent s'établir. Alors survient l'insuffisance nerveuse , processus comparable aux insuffisances viscéra
on de l'élément noble. C'est à tort qu'on considérerait les lésions nerveuses des intoxications comme des lésions banales et
tte couche corticale comme formée uniquement de faisceaux de fibres nerveuses à myéline disposés sur des plans parallèles à l
épaisseur, fait qui indique une relation étroite entre les]cellules nerveuses et les éléments de la couche péri- phérique. La
és de cellules, absolument indépendantes fonctionnellement du tissu nerveux . Ce sont : a) de petites cellules de 6 à 9 fi,
du cerveau confirment cette manière de voir; 2° Un plan de fibres nerveuses tangentielles. Tous les auteurs ont décrit ces
être le rôle de ces divers éléments dans le mécanisme de l'activité nerveuse . P. Rellay. 'VU. Gliome DU BULBE; par Joseph CO
centres' REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 305 nerveux , où se trouvent réunis des centres fonctionnels s
ense à la périphérie qu'au centre, est nettement distincte du tissu nerveux qui l'entoure. Sur des coupes de la moelle, on n'
et à mesure de son déve- loppement, ait pris la place des éléments nerveux du bulbe. Et cette notion éclaire l'évolution c
e par le malade. La tumeur s'insinuant lentement entre les cellules nerveuses et leurs prolongements sans les détruire, n'a n
par A. ADAlKIENICZ. (Neiwolog. Centralbl., XVI,,1891.) La substance nerveuse est compressible ; elle peut être compri- mée d
n somme, lésions systématiques avec atrophie primitive des cellules nerveuses dans les foyers gris moteurs de la moelle et du
s n'a encore rien fondé qui permette le diagnostic sûr des maladies nerveuses . P. KEKAVAL. XIV. La théorie DE RONCOIIO1VI SUR
tion neurochimique, la transformation de la constitution du système nerveux dans le temps et le lieu et toute la question d
Analyse des travaux de ces 20 dernières années : 1° sur les fibres nerveuses ; ,2" sur les cellules nerveuses; 3° sur les ménin
ernières années : 1° sur les fibres nerveuses; ,2" sur les cellules nerveuses ; 3° sur les méninges, la névroglie et les vaiss
risations terminales amyéliniques de la substance grise des centres nerveux et nous montre l'épais feutrage, par places, inex
les embryons entou- rent comme d'une toile d'araignée les cellules nerveuses grandes ou petites. Mais il faut observer les p
r sommeil n (Kreepeliu). LwoFF. XXI II. Relation DES divers CENTRES nerveux entre eux ET avec LE reste du corps; par H. JAC
et on fil l'ablation partielle de la tumeur. Il en résulta un choc nerveux suivi de suspension de la respiration sous le chl
en comparaison de celles des signes mentionnés ci- dessus. Un sujet nerveux sans réaction pupillaire ou sans réflexes rotul
III. N. Solowtzow. Sur les déformations congénitales du sys- tème nerveux . - Une des causes les plus fréquentes des défor
causes les plus fréquentes des déformations congénitales du système nerveux central réside dans l'hydrocéphalie congénitale
ellicule de 1 millimètre d'épaisseur où l'on distingue des cellules nerveuses , les faisceaux fondâmes taux des cordons antéri
s la région lombaire et dans celle du cône médullaire; les éléments nerveux sont ici en partie détruits, en partie comprimés,
. Lorsque fut créée la chaire de Clinique des maladies du système nerveux en 1882, Richer était tout désigné pour remplir l
opold Lévy, à qui l'on doit une importante étude sur les troubles nerveux d'origine hépatique, on voit survenir, sous l'i
ique (Revue de psychiatrie, sept. 1897). * Léopold Lévy. - Troubles nerveux d'origine hépatique (Archives gén. de Méd., mai
e. Nous pensons cependant que même dans l'hypothèse où les troubles nerveux et hépatiques relè- vent de la même cause, un r
un retentissement [secondaire du. désordre hépatique sur le système nerveux est très vraisem- blable. Les troubles foncti
ique étaient préparés par l'impré- gnation alcoolique de la cellule nerveuse . Cette dernière n'avait pas succombé à l'intoxi
persistance pendant tout le cours de sa maladie. Un des phénomènes nerveux les plus fréquents parmi ceux qui résultent d'u
tion spécifique ou tout au moins élective de l'alcool sur l'élément nerveux lui- même. En allant du simple au composé et en
ante sont bien l'effet direct et incontestable de l'alcool. L'homme nerveux , en santé normale et habituellement sobre, qui
t pour nier l'action spéciale et directe de l'alcool sur la cellule nerveuse . On reconnaît à la plupart des poisons d'origin
nt l'effet est de stupéfier plus souvent que d'exciter le sys- tème nerveux . La spécificité du délire alcoolique est tellem
nrent de plus en plus fréquents. Peu de temps après, des phénomènes nerveux compli- quèrent son état : elle devint sujette
algies intercostales, iléo-lombaires, etc. Les faits d'inhi- bition nerveuse au cours de la lithiase biliaire ne sont pas no
ntervalles pseudo- lucides ; et enfin elle s'accompagne de troubles nerveux qui ont un cachet hystériforme assez marqué pou
ne veuille y voir un effet direct de l'hépatotoxémie sur le système nerveux , ce qui est encore une hypothèse acceptable. No
e mécanisme de l'auto-intoxication, et la fragilité de la cellule nerveuse provient soit d'un trouble de sa nutrition impu-
e, se compliquait d'une névrose ou d'une autre affection du système nerveux , afin d'obtenir des données appartenant exclusi
concluante. Morts par poison ou par noyade. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 401 J'ai plus de disposition à me ranger à l'a
toutes les sciences réunies ». Dr J. SIBBALD. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LXXXVI. Troubles 'gastriques DE nature hystéri
ble par son siège, sa configuration spéciale et des complica- tions nerveuses non encore signalées. Homme de trente : deux ans,
vingt- Archives, 2e série, t. VI. 26 402 . REVUE DE. PATHOLOGIE NERVEUSE . sept'ans, deux enfants bien portants. Aucun so
de manifestations convulsives indiquent assez clairement l'origine nerveuse et don- nent raison à l'opinion du D1' Raymond
e de cette curieuse dystrophie, attribue la prédominance au système nerveux . L'auteur pense que, dans ce cas spécial, il y
phénomènes de la mala- ; , '>.31 . ? - .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 405 die de Friedreich est sujette à de grandes
et pouvant être dites congénitales.. , i 404 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Cette origine utérine doit dominer l'étiologie
t comme un phénomène accidentel et contingent REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 405 sans relation directe avec le syndrome de
sion fonctionnelle des prolongements protoplas- miques des cellules nerveuses , l'explication de la raideur et de l'exagératio
motrice bilatérale, on constate des trou- 406 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . bles de la sensibilité également bilatéraux, i
plus de cellules motrices, ou de racines antérieures, ou de fibres nerveuses capables de manifester par le spasme la dégénér
ès d'origine otitique et mourut en novembre. REVUE DE PATHOLOGIE, NERVEUSE ; 407 . Les commémoratifs d'une collection purul
éveillé par des contractions spasmodiques 408 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de la moitié gauche du visage. Depuis lors, ce
usculaire progressive de Duchenne, constituée REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' 409 par la réunion d'un certain nombre de ca
es Drs S. G.1RIER et S.1N'rENOISE. Il s'agit d'un débile à hérédité nerveuse chargée, chez qui sur- vinrent, iL la suite d'u
quand les secousses sont peu intenses. Le 410 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . malade ne souffre pas mais éprouve une grande
co-psychologiques, juin 1898.) E. B. CI. SUR la rapidité DU courant nerveux chez LES épileptiques; par Cesare Rossi. (Riv.
s les processus centraux, la trans- mission périphérique du courant nerveux étant quelquefois accélé- rée par comparaison a
idence les points suivants : le tabes spasmo- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 411 dique est rarement limité aux symptômes ré
rencontre avec une fréquence relativement grande dans les maladies nerveuses héréditaires ou familiales et dans la très gran
ité des cas unis à des manifestations morbides autres. Les maladies nerveuses héréditaires ou fami- liales se rapprochent plu
es se rapprochent plus ou moins des tableaux cliniques des maladies nerveuses communes, mais sont beaucoup plus complexes. El
nsité le symptôme capital. Elles semblent 412 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . diminuer sous l'influence du chloral,mais repr
uence de l'usage de l'alcool est connue, sou action sur les centres nerveux produit l'anesthésie des sens, la paralysie du
rolog. Centralbl., XVI, 1897.) On prend un petit morceau du système nerveux de l'homme, ou d'un animal qu'on vient de tuer,
Cette méthode a donné de bons résultats pour l'étude du sys- tème nerveux du cobaye, du lapin, du chien, des nouveau-nés et
but de soulager des douleurs, ou bien chez des sujets à tempérament nerveux ; et dans ce cas elle est une névrose fonctionn
e retour à la santé paiaissait évident, apparaissaient des troubles nerveux nécessitant l'emploi du bromure et de la strychni
e un bon hygiéniste et surtout avoir grande expérience des maladies nerveuses et mentales. Dans beaucoup de prisons le médeci
générale de la médecine, et dans des services spéciaux de maladies nerveuses et d'aliénation mentale. Le médecin de prison,
: 1° une épreuve écrite sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures ; 2
Vol. VI. Décembre 1898. N° 36 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE . DES POUSSÉES D'ENCEPHALITE AIGUË DANS LE COURS
n laboratoire. Archives, '.le série, t. VI. 28 434 pathologie NERVEUSE . Autopsie. Homme de taille moyenne, très maigre
e vue de l'examen histologique complet des altérations du système nerveux central cette dernière méthode est la meilleure e
reprendre l'étude des altérations fines du protoplasma des cellules nerveuses poussées d'encéphalite A1GUE. 435 (t\issl),
de ces formes dont le dessin fidèle est représenté 436 PATHOLOGIE NERVEUSE . par la figure 1 de la PLAKCHE I. Nous la désig
foyer que nous nous sommes proposé de décrire. Quant aux cellules nerveuses elles ont subi des modifications variables mais
fait qui est la règle dans la forme sui- vante. Quelques cellules nerveuses , atteintes des premiers stades de dégé- néresce
fait de simple voisinage comme on pourrait le croire. Les cellules nerveuses qui présentent ce phénomène ont une forme de cr
dent avec la paroi capillaire. Ce changement de forme de la cellule nerveuse , s'adap- tant exactement à la conformation exté
parations. Les traînées visibles au petit grossis- 438 pathologie nerveuse . sèment s'étendent à certains endroits sans lig
ertains endroits sans ligne de démarcation bien nette dans le tissu nerveux environnant, soit de la substance grise, soit d
essin on remarque même desplaces d'une certaine étendue où le tissu nerveux manque complètement. Mais c'est là toute la res
ageons pour l'instant comme des foyers de ramol- 440 ' pathologie NERVEUSE . lissement. Plus tard, nous déterminerons leur
che et grise ? Il nous est impossible de nous prononcer. Les fibres nerveuses correspondant aux foyers décrits ont subi une a
is le fait capital que nous y observons est l'existence de cellules nerveuses a modifications progressives. Ces modifications
pas y être étudié. Dans cette zone donc nous trouvons des cellules nerveuses à noyau riche en chromatine, des cellules dont
trouvons qui renferment deux noyaux. Un grand nombre de cel- lules nerveuses de cette zone périvasculaire présentent d'autres
s troncs vasculahes, diminuent rapidement d'intensité. Les cellules nerveuses y sont normalement disposées, et nous aurions a
remarquer, à pro- pos des modifications progressives de la cellule nerveuse , qu'à me- sure que l'on s'approche des foyers i
s'approche des foyers inflammatoires, ce phénomène 442 pathologie NERVEUSE . d'activité limitée ne s'observe plus. Nous avo
limitée ne s'observe plus. Nous avons même un exemple où la cellule nerveuse possédant deux noyaux se trouve déjà en état de
eau schématique de l'inflammation en général et de celle du système nerveux central en paiticulier. Tout cela apparaîtra cl
udes sur les diverses formes d'encéphalite, 1SG8.. 444 pathologie nerveuse . Une dizaine d'années après, Virchow parla de l
udié les modifications de la substance chroma- tophile des cellules nerveuses dans les maladies infectieuses et les'intoxicat
ondamentale éprouve des modifications profondes aussi. Les cellules nerveuses dans cette zone dégénèrent. La zone inflammatoi
e dernière zone, qui est très étendue quelquefois, oit les éléments nerveux ont subi une dégéné- rescence plus ou moins pro
1890, XXI, et Neuz·olo. Ceazlrczlblall, 1S89). 1'16 PATHOLOGIE NERVEUSE . fianle en comparaison de la prolifération du t
OLOGIE NERVEUSE. fianle en comparaison de la prolifération du tissu nerveux . Nous n'avons pas à nous prononcer sur la valeu
espaces pémvasculaires et péricellulaires et en partie des cellules nerveuses . '- Wernicke, Lehrbuch der Gelciral-Ierualseile
timpell, Archiv sur Idinische Jlecl., 1891, XLVII. 448 PATHOLOGIE NERVEUSE . la substance grise, recouvrant le quatrième ve
ns les tissus. On n'y trouve pas de corps granuleux. Les cellules nerveuses , la neuroglie, la substance fondamentale demeuren
e en foyers, le rôle principal aux éléments constitutifs du tissu nerveux , les travaux de ces dernières années font voir au
Virchow's. Bd. Il. ARCHIVES. 2e série, t. VI. 29 450 PATHOLOGIE NERVEUSE . 1. Les petits foyers de ramollissement que l'o
ans la paroi des vaisseaux, la dégénérescence rapide des cellules nerveuses , la dissolution de la substance fondamentale, m
es sont la réponse - phénomène inflammatoire particulier au système nerveux central des éléments névrogliques à l'agent inf
la possibilité de provenance de ces grosses cellules des cellules nerveuses ! Comme nous l'avons vu dans notre description
mme nous l'avons vu dans notre description précédente, les cellules nerveuses disparaissent au début de l'inflammation même s
'hyperémie, de la dégénérescence précoce et incomplète des cellules nerveuses , coagulation de la subs- tance fondamentale, tu
res avec ceux se faisant indirectement , par l'in- 452 pathologie NERVEUSE . termédiaire des prolongements des cellules név
ne peut pourtant pas suspecter l'origine épithé- liale des cellules nerveuses et admettre qu'elles puissent avoir quoi que ce
s vaisseaux et peut-être l'atrophie d'un certain nombre de cellules nerveuses . C'est dans cette zone et dans le voisinage imm
ns signalé des légères modifications progressives dans les cellules nerveuses . poussées d'encéphalite aiguë. 453 La subst
la couche cor- ticale aux mêmes irritations. La plupart des fibres nerveuses correspondant aux foyers inflammatoires ont dis
s'observe que dans l'inflammation aiguë du système 454 pathologie NERVEUSE . que ces cellules constituent l'essence même de
sont : la présence de leucocytes, de dégé- nérescence des cellules nerveuses et la dissolution de la sub- stance fondamental
avancée, phénomène suivant de près la dégéné- rescence des cellules nerveuses . Toutes ces constatations prouvent surabondamme
. Toutes ces constatations prouvent surabondamment que les éléments nerveux cellules nerveuses et cellules névrogliques - s
tations prouvent surabondamment que les éléments nerveux cellules nerveuses et cellules névrogliques - sont beaucoup plus s
la peine à comprendre l'absence complète d'altérations des cellules nerveuses , delà substance fonda- mentale et des cellules
ations. A mesure que les éléments constitutifs des foyers d'encé- nerveux central ; dans les autres organes atteints d'une
us la mort complète du tissu enflammé : il n'y a que les cellules nerveuses qui dégénèrent et disparaissent. L'inflammation
vie, relèvent histologiquement de l'atrophie complète des cellules nerveuses dans. le domaine des foyers inflammatoires aigu
s névrogliques en voie de modifications progressives; c g, cellules nerveuses dégénérées ou en voie de dégénérescence granule
chromatine. (Zeiss. ocul. 3obj.E.) Fig. i. Accotement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses e
cotement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses en voie de régression, même grossissement. Fif)
urative. l, leucocytes ; c e, cellules épithéloides ; c g, cellules nerveuses com- plètement dégénérées; ! ), petit vaisseau
es découvertes récentes de l'histologie et de l'anatomie du système nerveux ont fait entrer la psychologie dans une nouvell
nts protoplasmiques, mouvements amoeboïdes, plasticité des éléments nerveux , intervention de la névro- glie ( ? ), etc.], o
rations moléculaires de nature spéciale ; ce qu'on appelle l'influx nerveux est né. Il chemine à travers une série de neuro
u passage des vibrations, qui constituent ce qu'on appelle l'influx nerveux . Etudier le mécanisme de ces processus, c'est é
e trop grande intensité lumineuse. Voici ce qui se passe : l'influx nerveux chemine à travers les divers neurones que nous
t faire contracter l'iris. Fig. 25.-Trajet suivi par les vibrations nerveuses , de la rétine à l'écorce, dans la vision simple
ct des cônes et des bâtonnets pour y être transformée en vibrations nerveuses . Le rôle de ces dispositions est très comparabl
niveau des noyaux gris de la couche optique, réflexion de l'influx nerveux vers le noyau de la troisième paire, puis traje
N. 461 Voyons maintenant le mécanisme de ces phénomènes. L'influx nerveux a franchi les noyaux gris centraux, est arrivé
image, augmentée d'intensité, devient claire et précise. L'influx nerveux a cheminé comme précédemment jusqu'à l'écorce (
tiniens. - Outre les neu- rones qui servent à conduire l'impression nerveuse et dont nous avons donné le schéma (g.2p), la r
vons donné le schéma (g.2p), la rétine contient encore des cellules nerveuses dont nous allons étudier le rôle pro- bable.
(l'rovizzce médicale, mai 1898). Brissaud (Leçons sur les maladies nerveuses , 1895) avant nous avait déjà placé dans la cort
e- ment des neurones, qui rend plus facile le passage de l'influx nerveux 1. ' V. Dr Joaiinv Roux. Béflexes réhino-rélini
ous pouvons invoquer un réflexe ana- logue aux précédents. L'inllux nerveux apporté en B ((tg, 29), par les fibres visuelle
rande de l'image. IV. Ajustement des neurones corticaux. L'influx nerveux ne s'arrête pas au centre visuel, il est porté pl
. Psych. und Serv. liruakleilea, t. YYVII, 1895. l'ig. 29. L'influx nerveux venant de la rétine (A) arrive à la cortica- li
e des fibres tangentielles Elles ne peuvent que recevoir l'influx nerveux des fibres centripètes pour le transmettre aux
niveau de Ld couche des fibres tangentielles du cerveau. L'influx nerveux parti du centre visuel arrive en un point quelc
es du cotte. Les flèches permettent de suivre le trajet de l'influx nerveux , et montrent comment en B il revient sur ses pa
auxquels l'influx MÉCANISME ANATOMIQUE DE L'ATTKNTION. 116-1 I nerveux se fraye lui-même sa voie, en aplanissant les o
natomique et physiologique. Reportons-nous à la figure 30. L'inllux nerveux vient d'abord au point B puis au point A, d'une
souvent les centres de projection sont seuls mis en jeu : l'influx nerveux arrivé par les fibres cen- tripètes à la cortic
'un réflexe, qui a pour effet de faci- liter le passage de l'influx nerveux , en diminuant les résis- tances en certains poi
ésis- tances en certains points déterminés. C'est tantôt l'influx nerveux qui se fraye lui-même son passage, étapes par é
passager et peu marqné, chez des individus bien portants ou un peu nerveux , n'acquièrent persistance et intensité que chez
un peu nerveux, n'acquièrent persistance et intensité que chez les nerveux et les psychopathes, en particulier dans la neura
uit un trouble mental. Nous connaissons la marche des excitations nerveuses de la périphérie au centre; nous savons qu'une sé
mo-patho- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 473 logiques des centres nerveux sont de plus en plus intéressantes et se poursu
es à celles qui se trouvent dans les systèmes autres que le système nerveux . En l'absence temporaire, j'aime à le croire, d
ux paroles du clairvoyant Griesinger, que les maladies du système nerveux forment un tout inséparable dont les affections d
nts générateurs, de causes effec- tuant une modification du système nerveux adéquate à la prédis- position pathologique ; 5
goisse précordiale (Mendel) et d'autres troubles du côté du système nerveux ; 12° la marche et le mode d'apparition de la m
émorragie méningée (Gowers), qui entraîna la des- truction du tissu nerveux et l'amincissement de l'os. On constate un épai
essus de la paralysie générale, ou si c'est l'atrophie des éléments nerveux constitutifs. Mais on ne peut guère séparer les
PATHOLOGIE MENTALE. 483 constitution, d'une nutrition modérée. Mère nerveuse . De dix à vingt ans onanisme. C'est depuis cett
s intéressantes recherches sur l'application à l'étude des origines nerveuses , de la réaction qui se produit dans la cellule
s origines nerveuses, de la réaction qui se produit dans la cellule nerveuse , après la section de son cylindraxe, l'auteur tir
lle-même pour produire la chromatolyse qui caractérise les sections nerveuses ; 2° cette réaction ainsi produite peut servir à
imultanée DES TOXINES diphtérique ET STREPTOCOCCIQUE SUR LE SYSTÈME NERVEUX DES COBAYES ; par le Dr iIOURAVIErF. Les prop
e 486 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. système nerveux des cobayes. En effet : 1° c'est avant tout les
lions intervertébraux; 4° la toxine diphtérique agit sur les fibres nerveuses principalement, parait-il, par l'inter- médiair
on combinée des toxines diphtérique et streptoccique sur le système nerveux des cobayes égale les sommes des effets isolés de
ongénitales DU cerveau dans leurs RAPPORTS AVEC L'ÉTAT DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE ; par N. SOL01 TZOPF. (Nouv. lcono
s. L'étude de ces cas pathologiques comparée avec celle de systèmes nerveux humains et normaux faites à divers âges de la v
uteur aux conclusions suivantes : 1° Le développement de la cellule nerveuse de la moelle épinière est très étroitement lié
pathique, auto-intoxication). Deux théories s'en dégagent : théorie nerveuse et théorie de l'intoxication qui, malgré leur v
ontrer que la mort des animaux décapsulés n'est pas due aux lésions nerveuses périphériques, mais bien à la suppression de l'
mer, sur la foi des résultats qui précèdent, la ruine de la théorie nerveuse et triomphe de la théorie de l'auto-intoxication
'établir la distinction entre une théorie capsulaire et une théorie nerveuse ; la première plaçant à la base de l'étiologie de
-sympathique ; par le Dr G. MARINESCO. Le type principal de cellule nerveuse qui domine dans les gan- glions sympathiques de
neurone ; par C. PuGriAT. - z Cajal, dans son livre sur le système nerveux de l'homme et des vertébrés, s'est expliqué trè
mineux parce qu'il remplit une fonction active, parce que les ondes nerveuses le traversent, s'y modifient peut-être, et l'exis
'autres fonctions à remplir : il ne conduit pas seulement les ondes nerveuses mais encore il les transforme ; les modalités d
des réac- tions que présentent les différentes espèces de cellules nerveuses . L'excitation d'un neurone des centres corticau
aire n'est qu'un simple conducteur ? Le neurone, unité cellulaire nerveuse , possède des conducteurs, les prolongements cyl
'en., fasc. III, 1897.) XLII. RECHERCHES SUR LES lésions DES fibres NERVEUSES spinales dans LES PSYCHO-NEVROSES AIGUËS ET CON
éraux. » P. K. LVIII. UNE NOUVELLE méthode DE coloration DU système NERVEUX central; par J. Allerhand. (Neurol. Ceztz·ulLl.
substance grise plus ou moins incolore. Au microscope, les cellules nerveuses apparaissent avec tous leurs prolongements ; le
gré progressivement. P. KEHAVAL. LXL Des altérations DES CELLULES nerveuses PFNDANT l'inanition; par K. Schaffer. (Ncurolog
se M. 0 tuszew : : ki, P. IiEn.wnL, LXX. Lésions fines des CELLULES NERVEUSES dans LES poliomyélites chroniques; par G. Marin
tes. L'état neurasthénique accompagne souvent d'autres affec- tions nerveuses par simple adjonction comme dans le tabès, par
ologie des imposteurs », « la Statistique des affections du système nerveux dans l'armée russe », « Traitement de l'hémiplé
° psychiatrie; 6° psychopathologie so- ciale et légale ; 7° hygiène nerveuse et psychique. Enfin un groupe très original : «
oisonneurs. B. Action de l'alcoolisme SUR H PRODUCTION DES maladies nerveuses . , 1.773 enfants idiots, épileptiques, imbécile
névrogliques en voie de modifications progressives; c ri, cellules nerveuses dégénérées ou en voie de dégénérescence granule
iromatine. (Zeiss. ocul. 3 obj. D.) Fig. 4. Accolement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses e
colement des cellules nerveuses à la paroi capillaire. Les cellules nerveuses en voie de régression, même grossissement. Fig.
rative. l, leucocytes ; c e, cellules épitliéloides ; c g, cellules nerveuses com- plètement dégénérées ; v, petit vaisseau à
1 127. AItTI.Itt'IES. Hôle des - dans la pa thologie du système nerveux , par Coulon, 239. ASE'-UI l'>A'I 10;0; des
ALES. Extirpation des - chez le chien, par Sodou, 487. CELLULES nerveuses . Lésions des - dans les intoxications, par Na-
es," par Sabjjj, 3620. Colorai'ion des dégénérations du système nerveux par l'acide os- mlque, par Bousch, 70. - du sys
ème nerveux par l'acide os- mlque, par Bousch, 70. - du sys- tème nerveux centiat, par Aller- hand.498. Congrès «les al
rveau humain, par Gionm, 493. Dnromwrcov congénitale du système nerveux , par Solowtzow, 311. Dégénérât ions systématisé
riques. Action des toxines - et streptococciques sur le sys- tème nerveux des cobayes, par Mourawieff, 485. DIP'OMAIE,
n état de mal, pa : 'llispal et.\nglaUe, 259. Rapidité du courant nerveux chez les -, par Itossi, 410. Uxoi,icide et pa
s les cas denasque,parvan Gehuchten. 496. Parvsitisme des centres nerveux par mycose, par Roux et Paviot, 2UO TABLE D
t , par Cullerre, - 353. I'C1CI10-I : IlOSE. Lésions des fibres nerveuses spinales dans les - aigu es, par Donaggio, 493.
Weber avec hémiopie, par Jolh'oy, 47. Syphilis précoce du système nerveux par Juschtschenko, 129. SYRINGO.IYI'LIE avec
TOXIXES, Action des- diphtériques streptococciques sur le système nerveux , par 111ouratow. 6 ! 1'aeum.enew essentiel héré
9 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 17, n° 97-102] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
GIE ARCHIVES DE , NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE 1 DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES f Fondée PAR,J.-M. CMARCOT ' FU
. : F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. MM. ABAD
Vol. XVII. Janvier 1904. N° 97. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . Tumeur cérébrale avec abolition des réflexes
D6 Philippe et Lejonne. Archives, 21 série, t. XVII. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . Il s'agit d'une jeune femme de vingt-quatre an
at, on la néglige un peu en général ; vous voyez qu'elle 4 CLINIQUE NERVEUSE . nous révèle cependant un nouveau symptôme très
re sortir, et même si je lui adresse une question très S 6 CLINIQUE NERVEUSE . .simple, j'obtiens une bonne réponse; mais il
pondant et des tubercules quadrijumeaux voisins. ' l . 8 CLINIQUE NERVEUSE . . Une digression est ici nécessaire : des trav
avant, je tiens encore à vous dire que d'autres régions 10 CLINIQUE NERVEUSE . 1 de la moelle peuvent être atteintes : par ex
es régions motrices et antérieures de la moelle. Dans chaque tube nerveux , la gaine de myéline est atleinte la première,
nt, il persiste longtemps après la démyélinisation complète du tube nerveux ; mais, d'après quelques auteurs, il pourrait ê
microscope montra plus nettement la dislocation des fasci- cules nerveux de la racine postérieure principalement; les lé
principalement; les lésions, surtout démyélinisatrices, des fibres nerveuses , l'in- tégrité suffisante des cellules ganglion
arois minces et peu résistantes, si bien qu'en dernière 12 CLINIQUE NERVEUSE . analyse les tubes nerveux eux-mêmes seront sép
s, si bien qu'en dernière 12 CLINIQUE NERVEUSE. analyse les tubes nerveux eux-mêmes seront séparés les uns des autres, pl
la catalepsie peut se manifester dans diverses maladies mentales et nerveuses , elle peut même être provoquée artificiellement
déplacement du noyau, etc. Dans son traité des maladies du système nerveux , Sir William Gowers disait que les ganglions so
énéralement normaux et que les lésions de dégénérescence du système nerveux sont probablement sous la dépendance d'un agent
de vue de leur importance en tant que cause primi- tive des lésions nerveuses de la moelle, de remarquer que Marinesco dit qu
existe une théorie suivant laquelle la dégénères-' cence des libres nerveuses serait consécutive à des altérations des, paroi
énérescence. Etant donné le fait que la dégénéres- cence des fibres nerveuses et les altérations vasculaires sont dues au mêm
essive. Dans la paralysie générale on' trouve les mêmes altérations nerveuses et les mêmes lésions vas- culaires, et dans cet
lies aiguës par exemple, où il est à peu près certain que la lésion nerveuse est primitive : mais qtiel-(Iue soit le siège p
te à la fois de ce que. Sciuti appelle « la défectuosité des fibres nerveuses » et de ce que Fort Hobert- son a désigné sus l
ans noyau (surtout chez l'homme). 2. Une couche de petites cellules nerveuses multipolaires de toutes formes. 3. Une couche de
s multipolaires de toutes formes. 3. Une couche de grandes cellules nerveuses , surtout dans la partie latérale, externe, de l
e chez l'homme, est impossible chez l'animal. La texture des fibres nerveuses comporte, chez le chien, le chat, le lapin, l'h
sent les éléments cellulaires sus-indiqués. 2. Une couche de fibres nerveuses minces qui correspond à la jre couche de petites
rveuses minces qui correspond à la jre couche de petites cel- lules nerveuses : elle est plus mince dans les parties inférieure
Strato bianco cineFPO, correspond à la couche des grandes cellules nerveuses . 5. Cin- quième couche. Strato bianco et cinere
profundo. Elle correspond à la troisième couche de petites cellules nerveuses . Elle forme la limite tranchée entre le tubercu
ns de l'ensemble de ces éléments avec les autres parties du système nerveux , est ainsi mise au point. Les ramifications ter
e à la moelle où, par voie de contact, il est transmis aux cellules nerveuses de la corne antérieure, et de là, au moyen des
térieure, et de là, au moyen des racines antérieures, aux appareils nerveux ter- minaux des muscles. On peut de cette maniè
el sert à la transmission des excita- tions lumineuses aux cellules nerveuses des masses grises de la protubérance, près du f
l'emploi du microscope à lumière polarisée dans l'examen des fibres nerveuses à myéline dégénérées; par K. Ii110D3SANN. (Cent
eilk. XXIV. N. F. XII, 4904.) .) Les manchons de myéline des fibres nerveuses présentent d'une manière très accusée le phénom
du tissu conjonctif leur assure, quand ils sont associés aux fibres nerveuses , une coloration contraire, ils seront bleus qua
s sont jaunes. . Tel est le procédé d'analyse applicable aux fibres nerveuses , fraîches, dissociées, ou sectionnées dans le m
. ALtheil, 1896). Peut-on par la polarisation examiner le système nerveux patho- logique ? Reconnaître les déchéances de
pas à l'affirmer. Il décrit vingt expériences de dégénéres- cences nerveuses chez le lapin, et passe en revue des lésions du
s nerveuses chez le lapin, et passe en revue des lésions du système nerveux chez l'homme dans lesquelles les troubles des i
vrite propagée dans l'ar- thorite nécrosique. En somme les fibres nerveuses à myéline présentent normale- ment une double r
participe àl'affection, ainsi que tous les départements des centres nerveux . 2. Les fibres des nerfs et des muscles présent
re de Marinesco. Le bout central et le bout périphérique des fibres nerveuses subissent la déchéance myélinique. Ces dégénére
nse des fibres d'association de toutes catégories, que Les cellules nerveuses ont le plus diminué, qu'elles ont le plus subi
. de la Salpétrière, n° 6, 1902). Lésions syphilitiques des centres nerveux . Foyers de ramollisse- ment dans le bulbe : hém
is l'âge de trente ans; pris subitement en pleine santé d'accidents nerveux caracté- risés par hémiasynergie du membre infé
XVIII. Sur l'aspect des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures de la moel
ntes, que l'as- pect des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne antérieure était très différent de
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 61 L'examen histologique du système nerveux portant principale- ment sur les lésions des ra
ons histologiques se caractérisent par des modifications des fibres nerveuses compa- rables sous certains rapports à celles q
sous la dépendance d'une affection non encore locali-ée du système nerveux (substance grise de la moelle); pour la variété à
sez grand nombre d'affeclions organiques ou dynamiques du système nerveux (hémiplégie, syringomyélie, tabes, myopathies, sc
les n08 d'avril 1903 et suivants des Archives. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Contribution à l'étude de l'aphasie ; par G
e un peu et Archives, 2' série, t. XVII. 5 66 REVUE DE pathologie NERVEUSE . voici que le patient discerne en quelle langue
apports de son expansion avec le trajet de tels ou tels conducteurs nerveux . A-t-elle une valeur diagnostique quant à l'ata
it d'une syringomyélie au début. ' , . G. D ' REVUE DE pathologie NERVEUSE . 67 IV. Un cas de tabes spasmodique; par le Dr
hez lequel survint pendant la période secon- 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . daire de cette affection une hémiparésie du cô
es, etc. Ces accidents qui s'étaient développés REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 69 en l'espace d'un an et qui sont restés stat
ntérieures de Pelnar et Skalicka. . R. C. .70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XIII. Le syndrome du torticolis spasmodique; p
troubles moteurs; par les Dra CESTAN et HUET. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 71 - La question se pose actuellement de savoi
et intéressante étude, l'auteur examine quels 7 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sont, dans les diverses formes d'aphasie, les
lement provoqué, renforcé par un afflux d'oxygène vers les éléments nerveux locaux sensible ? ainsi que par la suppression
VI. Pronostic et traitement des affections spécifiques du système nerveux ; par W. GOWERS (Britislz médical Journal, 4 avril
ponctionner et les drainer. Quant aux interventions sur la cellule nerveuse elle-même, il faut se laisser guider par ce que l
s. Il n'a fait qu'écarter sans les détruire les portions du système nerveux dans lesquelles il s'est développé. ' M. DÉJER1
ES. 83 tisation et de la guérir de divers troubles, tels que crises nerveuses avec perte de connaissance, paroxysmes d'angois
quinze minutes sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux , après quinze minutes de pré- paration. Il sera
Vol. XVII. Février 1904. N, 98. ARCHIVES DE NEUROLO"1^ CLINIQUE NERVEUSE . Epilepsie : Pathogénie et indications théra]
'épilepsie vraie, de Archives, 2' série, t. XVII. 7 98 ' CLINIQUE NERVEUSE . l'épilepsie stéréotypée en quélquesorte quant
onner en outre la pathogénie d'altéra- tions indélébiles du système nerveux , de celles qui, par exem- ple, déterminent, par
faciles a expliquer, comme on le verra par la suite. 100 CLINIQUE NERVEUSE . tiques ; en Suède el en Norvège, la fréquence
urlurenu. Art. Epilepsie du Dict. Dechamble, page 109. 102 CLINIQUE NERVEUSE . ou bien des idées exaltées ; quelques-unes ont
ques il Rosières-aux-Salines (meurtre). Nancy, 1831. 104 CLINIQUE NERVEUSE . ' dances à l'ivrognerie, tel autre descend d'u
t le caractère épileptique). A cette époque, la puberté, le système nerveux manifeste chez l'épileptique comme chez l'adole
, tel on le retrouvera pour ainsi dire chaque jour; 106 Il CLINIQUE NERVEUSE . l'épileptique, au contraire, est essentielleme
els, par conséquent, on peut compter les goitreux, qui 108 CLINIQUE NERVEUSE . ont le moins d'attaques convulsives et que ce
on mentale beaucoup plus accusée qu'elles ne l'avaient 110 CLINIQUE NERVEUSE . jamais présentée; elles étaient très mobiles d
crétinisme et l'épilepsie ont des pathogénies essen- 1H - CLINIQUE NERVEUSE . tiellement différentes, et partir de cette don
thogénie de l'épilepsie deux facteurs principaux : 1° un territoire nerveux préparé, une tare originelle, et 2° l'in- Jluen
Paris, Alcan, 1890. Archives, 20 série, t. XVII. S 114 ' CLINIQUE NERVEUSE . grins, perte de son mari, troubles intellectue
nt nous chercherons dans un instant le mode d'action sur le système nerveux . n (A suivre.) RECUEIL DE FAITS. Un nouveau c
e qu'au contraire, l'étude attentive des deux observa- 118 CLINIQUE NERVEUSE . tions, bien que très sommaires, conduit presqu
de ce singulier phénomène d'une même maladie organique des centres nerveux se développant tan- tôt simultanément , tantôt
pas même-une explication. S'agit-il d'une vulnérabilité du système nerveux fortuitement iden- tique de part et d'autre, ou
lons voir. On a soutenu que la suggestion agissait sur des éléments nerveux étrangers au moi volontaire. Une pareille thèse
de Babinski depuis dix ans a été de prouver que les manifestations nerveuses organiques pouvaient se différencier par l'étud
nté de supposer que la dégénérescence et l'atrophie finale du tissu nerveux est simplement due à une cessation, ou plutôt à
qui prennent de la belladone : la sensation est peut-être purement nerveuse , mais il se peut qu'elle soit déter- minée par
ron.. P.' KERAVAL. XIX. L'auto-intoxication comme cause de maladies nerveuses et ..mentales; par A.-I. linarmshr. (06orénié p
l'immense majorité d'entre elles constituent des poisons du système nerveux . Dépouillement des mémoires sur ce sujet. « Si
e de la sensibilité consiste, comme on sait, en ce que l'excitation nerveuse effectuée sur un point du corps semble au malad
infanterie noble, âgé de vingt-deux ans, obéré d'une forte hérédité nerveuse paternelle et maternelle, né avant terme, ayant
E DE PATHOLOGIE MENTALE. 1S1 XXI. Une affection spéciale du système nerveux , survenant pen- dant l'enfance et se traduisant
toujours d'héréditaires qui souvent aussi sont atteints d'accidents nerveux , principalement hystériformes ou neurasthé- niq
ires de la région. La dysphagie psy- chique en rapport avec un état nerveux rétrocède, s'aggrave, réci- dive, etc. suivant
rocède, s'aggrave, réci- dive, etc. suivant les allures de cet état nerveux . La dysphagie psychique autonome est plus opini
ions qui peuvent atteindre divers points de l'encéphale, du système nerveux périphérique, ou les organes d'articulation sui
aiguë a été compliqué par une lésion orga- nique de tout l'appareil nerveux et musculaire, qui porte le nom de polynévrite,
foie et un certain degré de néphrite scléreuse. L'examen du système nerveux montra, du côté de l'encéphale, des lésions exc
ci ne parait pas, dans la majorité des cas, responsable des lésions nerveuses constatées à l'autopsie. Dans le fait actuel, l
l'éclosion des trou- bles mentaux, chez une malade, dont le système nerveux était préalablement lésé par le poison exogène.
que soit la forme de toxicité pourvu qu'elle ait touché le système nerveux ; elles n'en restent pas moins intéressantes, car
tir le rôle de la prédispo- sition, dans l'éclosion de ces troubles nerveux et mentaux, la pré- disposition est caractérisé
raumatisme comme une preuve de la déchéance anté- rieure du système nerveux . Aussi je suis d'avis que, quand nous sommes in
matisme m'apparait comme un stigmate de la défectuosité' du système nerveux , alors même qu'il survient comme la première ma
al. M. CoNSTENsoux a employé le véronal comme hypnotique chez les nerveux . Cette substance procure aux insomniques les plus
ons cutanées. Méningite sarcomateuse avec envahissement des racines nerveuses et de la moelle. Cytologie positive et spéciale
à l'origine du trijumeau droit. Elle atteint surtout les radicules nerveuses par lesquelles elle pousse les prolongements sa
s troubles trophiques se résume en trois faits : d'abord une lésion nerveuse amenant sou- vent un trouble circulatoire, ensu
on clinique que la réunion de deux agents, l'un infectieux, l'autre nerveux , produit des troubles trophiques nettement indé
stologique; névrite amyolrophique, limitée à un ou plusieurs troncs nerveux , et s'accompagnant de troubles subjectifs ou ob
ans. B. Troubles de l'axe cérébro-spinal. a. Méninges et centres nerveux : Outre la méningite, si fréquente, on a signalé
s rapports avec ceux qui accompagnent les désordres dans le système nerveux périphérique et qui n'ont pas de phénoménologie
ice, démence primitive. 111. Les altérations anatomiques DU système nerveux produites tzar la tuberculose. Chez l'homme, le
tes tzar la tuberculose. Chez l'homme, les altérations du système nerveux périphérique peuvent manquer ou révéler le proces
oire d'une névrite intertitielle ou parenchymateuse. Sur le système nerveux central des lésions variables ont été signalées
rvation typique, très détaillée, avec examen anatomique des centres nerveux et sui- vie de la bibliographie la plus récente
s insalubres sur la produc- tion des maladies chroniques du système nerveux ? De la statisti- que, M. Bourneville déduit :
fois la malade a gâté. Il s'agit d'une personne qui aurait été très nerveuse et chez laquelle se serait souvent manifesté le
che difficile. Gâtisme. - A l'ophthalmoscope, vieilles 206 CLINIQUE NERVEUSE . lésions de myopie avec astigmatisme accusé ; q
100 de lésions du fond de l'oeil d'origine paralytique. CLINIQUE NERVEUSE . Epilepsie : Pathogénie et indications thérapeu
là suractivité fonctionnelle des glandes géni- tales sur le système nerveux ; modifications du côté de l'intelligence ' Voir
le.t-elle pas accuser nettement que l'accroissement de 208 CLINIQUE NERVEUSE . - l'activité fonctionnelle du corps thyroïde a
E : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 209 «..Des phénomènes nerveux complexes succèdent à la thyroïdectomie. Peu ap
. cit., page 17, - . Archives, 21 série, t. XVII. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE . cas d'épilepsie ; on ne peut donc pas négliger
t ou paraissent exercer une influence exci- tatrice sur les centres nerveux , que la suractivité fonction- nelle de ces glan
forcement d'irrita- tion, de stimulation complémentaire des centres nerveux supérieurs, qu'est due cette concordance habitu
use puisse ainsi avoir de grands effets; un ensemble 212 - CLINIQUE NERVEUSE . de circonstances, impressionnabilité spéciale
dont nous parle- rons plus loin, était modérée, lorsque le terrain nerveux n'était que peu préparé et que les excitences h
iotie ou de l'imbécillité avec épilepsie sont consécu- 214 CLINIQUE NERVEUSE . ' tives à l'épilepsie et non causes de celle-c
hyroïde et son influence spéciale sur le déve- loppement du système nerveux , sur l'organisation de la pré- disposition nerv
ement du système nerveux, sur l'organisation de la pré- disposition nerveuse , car il est acquis que des altérations du corps
em- blable et suffisante, qu'il y a chez l'épileptique un système nerveux préparé par hérédité, ce qui semble assez logique
la facilité avec laquelle l'alcoolique donne l'épileptique, système nerveux doué, en vertu d'une compo- sition intime que n
stitution épileptogène, mais sans lésions anatomiques des centres nerveux , un état chimique encore inconnu de la cellule ne
it-on pas faire une remarque analogue en ce qui concerne le système nerveux de l'épileptique adulte et ne ' Baillarger et K
e 182. ' L'homme et l'intelligence. Alcan, édit. ' . 216 CLINIQUE NERVEUSE . ' serait-elle pas absolument justifiée par des
ant évidemment un des principaux facteurs du maintien de l'activité nerveuse à un certain niveau, on conçoit facilement que
ent que les, variations des exci- tences qu'elle envoie aux centres nerveux auront pour con- séquences des réactions d'auta
réactions d'autant plus accusées qu'elles agi- ront sur un système nerveux plus impressionnable en raison de sa constituti
andes génitales produise des excitences trop fortes pour un système nerveux d'une impressionnabilité supé- rieure à la norm
ve chez la femme aux époques menstruelles, les réactions du terrain nerveux épileptogène sont plus vives et les manifestati
rareté de l'éclosion de.l'épilepsie à un âge avancée ` 218 CLINIQUE NERVEUSE . remarques relativement aux excrétions : diminu
a double influence agissant aux époques menstruelles sur le système nerveux supérieur : 1° Stimulation par sécrétions des g
peut être cause d'une augmentation de sti- mulation sur les centres nerveux épileptogènes, dérivation de sécrétions habitue
p abondantes, étant donnée l'impressionnabilité spéciale du système nerveux , par le foetus, puisque ces sécrétions sont, no
la glande thyroïde et la plus grande impressionnabilité du système nerveux de la femme que l'on peut s'expliquer la plus g
système EPILEPSIE : PATHOGÉNIE ET INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 219 nerveux de la femme, quifait que, en tout temps (maladie
tion dans le sang, cet excès rend le sang toxi- que pour le système nerveux , voilà ce qu'il importe de retenir, et l'empois
, voilà ce qu'il importe de retenir, et l'empoisonnement du système nerveux se traduit suivant son intensité et la rapidité
ntensité et la rapidité avec laquelle il impres- sionne les centres nerveux par tels ou tels signes bruyants ou bien manife
l'ingestion du corps thyroïde aggrave l'épi- lepsie. 220 CLINIQUE NERVEUSE . ' taire, ce poison jouera un rôle adjuvant épi
action intime du sang chargé de la matière toxique sur les cellules nerveuses ? « Est-ce une combi- naison chimique du poison
cilement, étant donnée la constitution origi- nelle de leur système nerveux , amener les troubles sympto- matiques de l'épil
u'on arrive à supprimer ou à éloigner leurs attaques. Les décharges nerveuses ont d'autant plus d'action sur l'intelligence q
es et les épileptiques. Paris, Alcan, 1890 page 231. 222 CLINIQUE NERVEUSE . M. Bourneville a tiré les plus précieux enseig
taient chez un enfant en plus bas âge, c'est-à-dire dont le système nerveux central était plus délicat, plus sensible aux e
t fait croire jusqu'à ce jour que c'était l'idiotie ou 224 CLINIQUE NERVEUSE . l'imbécillité ou leurs causes organiques qui a
s habituelles chez un individu ayant déjà originellement un terrain nerveux épileptogène. . Quelle que soit, en effet, l'in
re l'origine congénitale, que l'on attribue l'excitence des centres nerveux aux toxiques eux-mêmes ou que l'on veuille la r
plus souvent, que I Archives, 2' série, t. XVII. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE . quelques caractères plus ou moins incomplets,
bilité méningo-cérélirale dans l'évolution des phénomènes d'ordre nerveux qui se succèdent pour constituer la grande attaqu
ifférent seulement par l'acuité de l'impressionnabifité des centres nerveux et par l'intensité ou l'irrégularité de l'activ
ut, par exemple, une stimulation forte et prolongée sur tel système nerveux central prédisposé pour déterminer à la fois de
ien qu'une stimulation faible et de courte durée sur un tel système nerveux ou qu'une excitence faible sur un système nerve
ur un tel système nerveux ou qu'une excitence faible sur un système nerveux originellement 228 ^CLINIQUE NERVEUSE. moins
xcitence faible sur un système nerveux originellement 228 ^CLINIQUE NERVEUSE . moins taré ne donneront pas des effets identiq
point de vue de la sensibilité, de l'impressionnabilité des centres nerveux encéphaliques et leurs stimulants habituels éma
t le rôle est évidemment d'entretenir cette stimulation des centres nerveux qui préside à notre développement régulier, au
ccumula- tion anormale, de leurs produits excitateurs des centres nerveux , le résultat sera une manifestation épileptique,
yxoedème, tandis que la parathyroïdectomie produit des phéno- mènes nerveux aigus rapidement mortels, tétanie et polypnée sur
tabolisme de cellules particulières, fibres musculaires ou cellules nerveuses , par exemple, - ou bien est-il directement abso
poisons qui sont évidemment des substances stimulantes des cellules nerveuses . En vue de démontrer l'existence de ces poisons
er le point d'attaque de ce poison hypothétique, muscles ou système nerveux . Chez des chiens parathyroïdectomisés et chez l
l'action du poison ne porte pas sur les muscles mais sur le système nerveux central. Pour préciser sur quelle partie du sys-
stème nerveux central. Pour préciser sur quelle partie du sys- tème nerveux central, chez un autre chien parathyroïdectomisé,
ons sexuelles chez les enfants bien doués, mais entachés d'hérédité nerveuse ; par L. BEDRJITZFTY. (Obozi,é7zié psi- chiatrii
pliquer comment une atteinte portée à une région limitée du système nerveux , pouvait inter- rompre le fonctionnement de ce
d'apoplexie, ni par la compression, ni par l'anémie des conducteurs nerveux . Reste la théorie de la commotion, l'apoplexie
tendus morts (Revue neurologique, mars 1901). E. B. XL VI. Fibres nerveuses à myéline dans la pie-mère de la moelle . épini
la moelle . épinière, par les Drs DERCum et SPILLEIt, Les fibres nerveuses à myéline dans la pie-mère de la moelle sont ch
s, des pre- mière et deuxième racines lombaires, les rares éléments nerveux qui subsistent, sont disséminés parmi des nappe
pes hyalines résul- tant de la dégénérescence simultanée des fibres nerveuses , de la névroglie et des vaisseaux. Un des poi
on osseuse, donner lieu à une dégénérescence hya- line des éléments nerveux , et au développement, au sein de la moelle, de
te transverse. ' - -' - . Dans ces deux cas, les phénomènes d'ordre nerveux prédomi- nants ont été : l'exagération des réfl
second malade. L'au- teur insiste sur ces faits et sur cette forme nerveuse de l'ostéoma- lacie qui n'est pas signalée et n
r cesser de marcher. On doit ajouter à cela la notion de phénomènes nerveux faisant croire à une affectation médullaire. G.
à l'unanimité, que c'est un héréditaire prédisposé aux affections nerveuses et mentales, qui a accompli son crime en état de
ois. A ce propos les auteurs font remar- quer que certains troubles nerveux apparaissent à la suite de l'érysipèle tels que
oculaires paraissent relever d'une imprégnation directe des filets nerveux de la région par les toxines de l'érysipèle.
s encore l'éruption lépreuse affectent la distribution des branches nerveuses hypertrophiées. - La névrite motrice s'accomp
resse, troubles de la mé- moire. Après avoir rapporté les symptômes nerveux , les auteurs insistent sur certaines particular
lgie. Les dernières années quelque fois apparaissent des phénomènes nerveux passa- gers, à savoir : diplopie, parésie du ne
exclut pas encore le caractère spécifique de l'affection du système nerveux . Vs. A. Mouratoff pense que l'association de l'
F. A. GElER. Sur les prolongements protoplasmaliques des cellules nerveuses de la moélle épinière chez les vertébrés supérieu
des préparations). Ayant examiné par la méthode Golgi les cellules nerveuses de la moelle épinière chez le chien, le chat, le
Soukhanoff et F. Cramiecki, a trouvé que les dendrites des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures se diffè-
cultés de médecine de France, sur un sujet de pathologie mentale ou nerveuse . - 7 ? KSeme/'< ? ) ! e. - 500 francs. - Que
ol. XVII. Avril 1904. N° 100. CI' ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . Hospice DE la Salpêtrière. M. le professeur F.
e professeur F. RAYMOND. Les localisations du cancer sur le Syst4 nerveux , périphérique. Messieurs. Je désire, dans ma
ère embryologiquement Archives. z série, t. XVII. 18 274 clinique NERVEUSE . au système nerveux, elle peut atteindre celui-
Archives. z série, t. XVII. 18 274 clinique NERVEUSE. au système nerveux , elle peut atteindre celui-ci. Ce faisant, elle
-ce genre ont été commises ! - n'avoir affaire qu'à une mala- die nerveuse en apparence curable, alors qu'en réalité, ils
te malade, à rechercher brièvement devant vous les divers syndrômes nerveux réa- lisés chez elle, quelle est leur valeur cl
diagnostic et du pronostic. Je vous montrerai les points du système nerveux touchés par l'envahissement carcinomateux. Et l
tion sur les princi- pales localisations cancéreuses sur le système nerveux péri- phérique ; m'attachant surtout à vous fai
et exerçait la profession de localisations DU cancer SUR LE système nerveux . 275 couturière. Ses antécédents héréditaires n
le s'installe; la respiration est gênée, avec sensa- 276 C CLINIQUE NERVEUSE . , tion de constriction thoracique ; en même te
réflexes tendineux sont généralement exagérés, parti-' 278 CLINIQUE NERVEUSE . culièrement les réflexes rotuliens et surtout
périeur correspondant. Malgré une première opération ces troubles nerveux continuent. Un curettage de l'aisselle est pratiq
e reviendrai tout à l'heure. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . i 9 Il n'y a pas lieu, Messieurs, de discuter
n jeu. Ici la cause est nette et vous avez vu débuter les symptômes nerveux en même temps que la tumeur; leur évolution ult
e la récidive du néoplasme, il y a donc entre les deux processus, nerveux et carcinomateux, une relation indubitable, étroi
x, une relation indubitable, étroite. Sur quelle portion du système nerveux central ou périphé- rique siègent donc les alté
lexus symptômatique que vous aviez sous les yeux ? Ici, les centres nerveux encéphaliques ou médullaires ne sont pas en cau
cts ; tout ceci, dis-je, montre surabondamment que c'est le système nerveux périphérique qui est atteint au maximum, et dan
ut d'abord, et en ceci nous suivons la chronologie des 280 CLINIQUE NERVEUSE . faits, c'est l'impotence douloureuse du membre
erfs du bras sont irrégulièrement frappés. Ainsi pour deux branches nerveuses émanées d'un même tronc, le tronc postérieur, v
egré de compres- sion et de gêne dans lequel se trouvent les troncs nerveux à ce niveau. Ce que nous venons de dire pour
entation de volume, la cause localisations du cancer sur LE système nerveux . 281 de la compression du sciatique dans sa gou
s et, pour ce faire, il n'a pas le choix des moyens. 282 CLINIQUE NERVEUSE . . Messieurs, vous avez vu que, dans le cas q
devant vos yeux, j'ai conclu à des lésions siégeant sur le système nerveux périphérique, principalement dans les points où
eux périphérique, principalement dans les points où les gros troncs nerveux sont réunis pour former les plexus. Est-ce bien
avec vous les principales formes cliniques de l'atteinte du système nerveux périphérique par le cancer ; ces divers points
tenir maintenant. Les complications que provoquent,sur le système nerveux périphérique, les affections cancéreuses, sont
à la fois une tumeur et une ce cachexie ; il peut léser les organes nerveux comme « tumeur, c'est-à-dire directement ; il p
es accidents dus à la compression et à 1' 'envahissement des troncs nerveux , véritables accidents mécaniques, des processus
iura, superposables par leur LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 283 pathogénie aux lésions médullaires signalé
ve due j, l'obligeance de la llevue ncurolo- gique). 284 CLINIQUE NERVEUSE . L'envahissement des nerfs est un phénomène bea
s dernières ne soient pas opérées), n'atteignent que les extrémités nerveuses en con- tact immédiat avec eux. Par contre, les
es en vaisseaux lymphatiques prédisposent entre tous aux métastases nerveuses . Enfin il est un organe dont l'atteinte primiti
nt l'infection générale de tout l'organisme et par suite du système nerveux , comme l'a fait remarquer Marfan. Le cancer du
olé, surfin groupe limité de nerfs ou sur une infinité de divisions nerveuses , réalisant ainsi les syndromes les plus variés.
85 dans la pratique, et je vais vous décrire les divers syndromes nerveux ainsi constitués et dont la plupart sont encore p
e sa pureté, con- siste dans des lésions multiples des terminaisons nerveuses les plus fines. L'observation anatomique et c
nt dans ses antécédents héréditaires ou collatéraux au point de vue nerveux ou néoplasique. La malade avait eu des maladies
t les renseignements sur l'aspect de l'expectoration 286 " CLINIQUE NERVEUSE . 1 sont vagues. Le soir on constate presque cha
miques et dou- loureuses. LOCALISATIONS. DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 287 I Les sensations subjectives sont variées
la surface de section des muscles en était littérale- 288 CLINIQUE NERVEUSE . ment criblée. La plupart de ces granulations é
tro- phiés en masse, décolorés, infiltrés de sérosité. Les troncs nerveux , les plexus examinés soigneusement ne montrent
que je vous prie de retenir pour l'ins- tant sont celles du système nerveux . Ni macroscopiquement, ni microscopiquement on
e put constater aucune trace LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 289 d'invasion cancéreuse dans les troncs nerv
R SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 289 d'invasion cancéreuse dans les troncs nerveux accessibles à la dissection, ni au sein des ple
ues cellules rpillléliaies isolées. Les altérations du parenchyme nerveux se rapprochent beaucoup de celles décrites par
ns variées. Archive», 2- série, t. XVII. 19 4 1 Fig. 8. Fascicule nerveux au voisinage d'un nodule cancéreux intra- muscu
n des gaines sarculemuaauques en acini glandulaires. 290 ' CLINIQUE NERVEUSE . Tout autre est la condition des terminaisons n
0 ' CLINIQUE NERVEUSE. Tout autre est la condition des terminaisons nerveuses plus fines, des ramifications intramusculaires
s au voisinage des mélastases cancéreuses; c'est là que les lésions nerveuses - sont profondes, graves; et le très grand nomb
s, au sein desquelles, aucun réactif n'a pu montrer trace de fibres nerveuses . A quelque distance de la section, quand on peu
A quelque distance de la section, quand on peut suivre le fascicule nerveux , on le voit enserré le plus souvent dans un tis
es plus intéressantes se pré- sentent à l'observation. Le système nerveux central et ses enveloppes sont indem- nes de to
les comprimant, en les sectionnant, une infi- nité de terminaisons nerveuses et de la sorte a été créé un syndrome polynévri
eu de rechercher à l'avenir. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 29U i. Anatomiquement il s'agissait d'une véri
armi les types cliniques des localisations du cancer sur le système nerveux périphérique, il en est de plus habi- tuelles q
apport avec de nombreuses masses ganglionnaires. 292 - : - CLINIQUE NERVEUSE . - Une grande partie de celles-ci reçoivent les
ses, ce qui s'explique facilement par la résistance des gros troncs nerveux à l'envahissement cancéreux, par la persis- tan
issement cancéreux, par la persis- tance d'un grand nombre de tubes nerveux sains au milieu même de la masse néoplasique, p
et tout le plexus brachial, LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 293 depuis la sortie des nerfs mixtes hors des
z encore très facilement reconnaître et suivre tous les gros troncs nerveux . Examinés à un grossissement plus fort, ceux-ci
i, quelques hémorrhagies se sont pro- duites de-ci de-là. Les tubes nerveux ont subi quelques alté- rations tant du côté de
. Aspect du plexus brachial engainé par la tumeur. 294 " - CLINIQUE NERVEUSE .' - " - Dans certains points, les lésions vont
loin d'être totale. Vous voyez donc, Messieurs, que ces gros troncs nerveux offrent'une résistance assez longue à l'envahis
poumon; 11, arléreavillaire. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 295 médullaires, mais surtout votre diagnostic
ravées carcinoma- lenses, coloration Pal-carmin. 296 . - CLINIQUE NERVEUSE . de l'utérus, les mélastases du côté du sacrum,
n, il faut bien le dire, de 1 atteinte d'un autre ordre de branches nerveuses . Je veux parler du sympathique abdominal dont l
érique. » Pour les nerfs crâniens il n'en est pas ainsi et le tronc nerveux individualisé, à part quelques branches anaslol
. 1, B, envahissement de la gaine de Heule et du contre du faisceau nerveux ; c, cel- lules ganglionnaires entourées d'élém
ganglionnaires entourées d'éléments épithéhaux. \ , 298 CLINIQUE NERVEUSE . z étroite analogie entre la pathogénie de ces
ême constater qu'il peut y avoir sur les nerfs crâniens des lésions nerveuses consécutives à l'envahissement osseux, phé- nom
re à une tumeur gastrique. ' LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 299 L'autopsie ne tarda pas d'ailleurs à nous
tébrale. Une notion classique en découle : c'est que les troubles nerveux divers qui caractérisent la paraplégie sont sous
t-il donc dans bien des cas de carcinome et .comment les phénomènes nerveux font-ils leur apparition ? Au cours d'un cancer
u cours d'un cancer du sein, par exemple, souvent à la 300 CLINIQUE NERVEUSE . suite d'une intervention chirurgicale, la mala
et sacré avec douleurs également intenses à la pression des troncs nerveux . C'est à ce moment une véri- table névrite, san
constamment, nous voyons les LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 301 lésions qui nous occupent - à condition to
mais encore au sein même de la gaine de Schwann par un 302 CLINIQUE NERVEUSE . mécanisme analogue à celui des gaines sarcolem
Lral; E,apophyse épineuse. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 303 interne cancéreuse intéressant les racines
l'oedème des membres inférieurs et de la dyspnée. Comme phénomènes nerveux ^ on notait des fourmille- ments douloureux dans
njectés. Les muscles avaient une teinte jaunâtre, mais les troncs nerveux avaient l'apparence saine. A l'ouverture du rac
his. Le tissu osseux n'est ni friable, ni spongieux. 304 CLINIQUE NERVEUSE . La dure-mère est épaisse, surtout au niveau de
ente conjonctive respec- tant jusqu'à un certain point les éléments nerveux : fibres à myéline et cellules ganglionnaires.
ine envahie ; B, dure-mère. LOCALISATIONS DU .CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 305 A ce niveau, le périoste avoisinant commen
du cylindrwe; D, dégénérescence hyaline du cylindraxe. 306 CLINIQUE NERVEUSE . Ici même, dans cet amphithéâtre, j'ai eu l'occ
eur à un examen superficiel. LOCALISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX . 307 Je voudrais, Messieurs, discnter avec vous
u pronostic de toutes ces variétés d'atteinte cancéreuse du système nerveux périphérique ? Il est, vous n'en doutez pas, de
r- ter quelques soulagements momentanés. La libération des troncs nerveux comprimés, leur résection, la section ou l'élon
les faits cli- niques qui découlent de cet entretien. Le système nerveux périphérique, peut être, avons-nous dit, attein
surtout l'existence possible de lésions multiples des terminaisons nerveuses intra-musculaires au cours de la carcinose mili
radiculaires classiques par arrachement, avec leurs 308 - CLINIQUE NERVEUSE . oedèmes, leurs troubles vasculaires, trophique
un segment de membre qui est intéressé, tantôt ce sont les troncs nerveux périphériques qui commandent la localisa- tion,
Leçons de clinique médicale, 1897. * Raymond. Cliniques du système nerveux : 1895-90; Leçons sur les polynévrites. PARAL
e progressive qu'on ren- contre dans un certain nombre d'affections nerveuses . Qu'il s'agisse du type total ou partiel, la di
aiion localisée, page G75. Edition de 1872. 0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XIX. Un cas de chorée de Huntington, suivie d'
nt la chorée d'Hunting-, ton comme maladie essentielle des éléments nerveux . Examens histologiques détaillés. 1 planche. Sm
ur dépassant le coude. L'indolence est absolue. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3t7 Î La radiographie indique un trait de frac
tre ans, présentant une atrophie musculaire 318 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . des deux mains (aspect de main de singe) un pe
rmet donc de porter le diagnostic de syringomyélie. Cette affection nerveuse esl très fréquente en Syrie, d'après M. de Brun
la syringomyélie est si fréquente en Syrie. Il y aurait deux lormes nerveuses de la lèpre : la lèpre névritique, la plus comm
relie à une syphilose généralisée des méninges. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 319 La moelle des tabé tiques présente deux or
lésions diffuses qui siègent dans l'appareil conjonctif du système nerveux central portent en elles-mêmes comme un cachet
es et des artères se prolongeant sur les capillaires en plein tissu nerveux permettent de dire ceci : Il existe constam- me
phocytose, est commune à toutes les formes cliniques de la syphilis nerveuse . Elle ne peut donc pas expliquer à elle seule l
diculaire, sa nature interstitielle ou con- 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . jonctive et enfin son analogie avec la myélite
lamptiques sont l'expression d'une imprégnation spéciale du système nerveux par des poisons encore indéterminés : infection
vulsifs à l'occasion de la parturition. Lange a REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 32] constaté chez des chattes thyroïdectomisée
opération a donné un coup de fouet à la compl parce que le système nerveux du patient était préalab affaibli par des excès
30). - ACI1lVES, 2' séi ie, t. XVII. ' 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Il s'agit d'une malade de cinquante-deux ans,
topographique, la lésion était située en pleine REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 323 substance réticulée grise ou champ moteur
'un masque immobile, et depuis six mois le. 324 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . malade n'a qu'une ambition, c'est celle de res
ur les résultats de l'excitation du sympathique REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 325 . cervical, il faut admettre que l'excitat
des hôpitaux de Lyon, 28 février 1902). - 326 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Il s'agit d'un jeune homme de dix-sept ans, cu
influence psychique coordinatrice sont altérés. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' 327 - Le symptôme important est la différenc
volontaire est dû, d'après P. Janet, à une modification des centres nerveux supérieurs qui consiste dans la diminution de l
Il y avait donc rétraction progressive de 328 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . la vessie, diminution de sa capacité et incont
tion spasmodique venue des ganglions sympa- thiques ou des cellules nerveuses contenues dans les plexus ner- veux vésicaux.
as, ces délires ont eu la physionomie du délire REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 329 9 alcoolique, et les malades n'ont présent
ue du liquide céphalo-rachidien. Ce liquide 330 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . présentait des éléments cellulaires assez rare
e d'un pro- cessus anatomique, un état spécial permanent du système nerveux dont l'expression clinique est : le caractère m
aduisent, de même que le caractère, l'actionperma- nente de la tare nerveuse . . Voilà pourquoi l'hystérie qui, chez les mala
achidiens de nombreux tabétiques. Il a toujours trouvé les cellules nerveuses de ces ganglions altérées et, cela d'autant plus,
ce dernier, à savoir que, dans les maladies organiques du système nerveux , on peut parfois, grâce au traitement hypnotique,
les deux mois, renferme les articles suivants, relatifs au système nerveux : - - 10 En 1902 : Ch. Achard et Léopold Lévi.
in à la psychologie, depuis l'anatomie et la physiologie du système nerveux , jusqu'à la patho- logie nerveuse, la psycholog
tomie et la physiologie du système nerveux, jusqu'à la patho- logie nerveuse , la psychologie génétique, individuelle et social
moteurs, respiratoires, qui parais- sent consécutifs aux phénomènes nerveux moteurs, en sont la conséquence et les traduise
mble que l'image motrice sexuelle met en action de nombreux centres nerveux dont chacun apporterait ses éléments à cette im
nombre des cas. La réaction n'est pas due à l'excitation des filets nerveux cutanés ou musculaires. 4° La réaction idiomusc
se centrale avec dépla cement du noyau dans les cellules du système nerveux central de l'homme ; par John TUnNER. (The Jour
L'amélioration ne peut s'expliquer que par la restitution du trajet nerveux . Cette amélioration ne va pas jusqu'au retour de
uniquement dans sa portion intra-parotidienne. G. C. LXI. Lésions nerveuses dans le tétanos expérimental du cheval; par MM.
val. Dans l'observation qu'ils publient, ils trouvèrent, le système nerveux cen- tral envahi par des cellules migratrices,
ellules migratrices aient pénétré dans le protoplasma de la cellule nerveuse ; mais le cas est suraigu. la mort est survenue
nte-six heures après le début des symptômes. G. Carrier. Le système nerveux et ses réserves à longue échéance. Contribution
UE D'ANATOMIÉ ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. refoulent la cellule nerveuse qui souvent ne remplit même plus la moitié de s
parésie droite, le tout ayant disparu en deux jours. Aucun trouble nerveux depuis. On ne s'est jamais aperçu qu'il eut le
ceux du ténia soli2em. R. DE M-C. LXVI. Les altérations du système nerveux dans un cas de poren- céphalie ; par J.-O. WAKE
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. pales altérations du système nerveux central étaient les suivantes : 1° Il y avait u
rent les granulations pigmentaires dans toutes les grandes cellules nerveuses chez l'homme et chez les animaux; il est plus q
ble que cette substance pigmentaire est indispensable aux fonctions nerveuses normales. Quelle est donc l'interprétation de l
bstance pigmentaire est-elle un phénomène accessoire de la fonction nerveuse cérébrale normale, ou bien un stigmate intra- c
uits de décomposition cellulaire, et que des particules de cellules nerveuses chromatolysées trouvent dans ces prolonge- ment
re le neurone. s'il est vrai que la névroglie exerce sur la cellule nerveuse une action trophique. En terminant, l'auteur
eur du coeur aux effets de la com- presssion.. J. S. LXX. Lésions nerveuses et pathogénie des amyotrophies d'origine articu
ies de con- duction intercellulaires et la périphérie de la cellule nerveuse ; par le Dr Donaggio. (Riv. Sp. di frein. fasc.
D'après l'auteur, l'appareil complexe périphérique de la cellule nerveuse n'est pas doué de capacité de conduction. Les neu
profondeur de la respiration et l'intensité 390 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . du travail mental n'est pas toujours constant.
nombre des excursions thoraciques. J. SEGLAS. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXXVII. Le diagnostic des blessures de tête; pa
résumer sans perdre son intérêt. ' R. ni.-C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 391 XXXIX. Un cas d'état de mal compliqué de s
t général de l'organisme qui retentit profon- dement sur un système nerveux prédisposé. Dans le cas de l'au- 392 REVUE DE P
nnels névropathi- ques : chorée, crises dans l'enfance, tempérament nerveux . M. Gallavardin insiste.sur ce fait; qu'il peut
oduire au cours des maladies infectieuses, à côté des complications nerveuses de cause organique, des manifestations hystériq
, deux ans auparavant, rien à noter de spécial. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 393 On a décrit une griffe cubitale chez les v
t du liquide céphalo-rachidien vis-à-vis du 394 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . bacille tuberculeux. 3° Par la présence seulem
a lame dans le lobe paracentral et méningite. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 395 Cette observation est intéressante : 1° pa
déformation, les bras trop courts n'attei- 396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . gnent que la partie supérieure de la cuisse et
Grosse tumeur développée au niveau de la partie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 397 antérieure des noyaux, saillante dans le v
l'autopsie ou bien elle traduisait une toxi-infectiondes cen- tres nerveux , hypothèse soutenue par Klippel qui a substitué l
ent à leur cas. G. Carrier. XXXXVII. Formes sévères de l'aérophagie nerveuse ; par M. Bou- ' veret. (Lyon médical, 1901, na
thogénie. Il rapporte aussi une autre forme sévère de , 'aérophagie nerveuse , où il s'agit de troubles de la respiration . «
aractérisés par des phénomènes d'oppression 398 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et des accès de palpitations allant jusqu'à la
fait remarquer l'utilité de rechercher dans les cas de vomissements nerveux ou d'accès d'angor vaso-motrice si l'aéro- phag
sée par un courant industriel. Contribution à l'étude des accidents nerveux causés par les courants industriels ; par MM. U
et 1'liysLéro-trauinaisme. Il s'agit, dans ce cas : i, d'ac- cident nerveux spéciaux sans substratum anatomique en l'espèce;
; les autres sont des REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 399 accidents nerveux qui consistent en perte de connaissance immé- d
it être fait avec l'hystérie et des lésions organi- ques du système nerveux . Au point de vue anatomo-pathologique, on ne pe
ue nosologique, les auteurs émettent l'hypothèse, que les accidents nerveux , causés par les courants industriels, doi- vent
us bas encore, jusqu'à la périphérie, jetant ainsi tous les trajets nerveux dans un état d'activité anormale. L'auteur entr
a donné des toxines : « des substances qui absorbées par la cellule nerveuse corticale en troublent le métabolisme. » Il cit
« Les différents états toxiques qui tendent à altérer les cellules nerveuses proviennent : 1° d'agents toxiques venus du deh
nues d'ailleurs, qui altèrent l'activité fonctionnelle des cellules nerveuses corticales en troublant leur métabolisme, et so
es corticales par la choline et d'autres produits de dégénérescence nerveuse représente, dans la littérature scien- tifique,
rente. Les toxines peuvent troubler le fonctionnement de la cellule nerveuse , mais non pas donner aux symptômes mentaux le c
ispensable à l'explication de pareilles évolutions. 8° L'épuisemsnt nerveux , la fatigue, l'anémie, dont l'importance étiolo
fait primordial est une faiblesse morbide héréditaire des cellules nerveuses corticales, le second fait une stimulation inusit
éfense contre les forces hostiles à la vie, est-ce que l'épuisement nerveux , l'hérédité pathologique, la dépression men- ta
es. Peut-être cependant quand il s'agit de l'esprit et des éléments nerveux , serait-il nécessaire pour arriver à la vérité
ues à des conditions chimiques et vitales sur lesquelles le système nerveux n'a tout au plus, qu'une influence très seconda
de deux localisations distantes d'un même processus sur les centres nerveux ; leur fré- quente coexistence empêche de les co
pas d'un changement artificiel. , 1 La choline dans les maladies nerveuses . M. S. A. K. WILS01/ (d'Edimbourg) communique l
ater la présence de la choline, comme évi- dence d'une dégénération nerveuse plus ou moins active dans le liquide céphalo-ra
i que dans quelques cas où il n'y avait aucun signe de dégénération nerveuse . M. WIlson a démontré l'utilité de cet examen e
- sence d'albumine dans l'urine. BIBLIOGRAPHIE. XII. La cellule nerveuse normale et pathologique. Altérations histo- log
se normale et pathologique. Altérations histo- logiques des centres nerveux dans les délires taxi-infectieux des alcoolique
n aussi concise et aussi nette que possible, les lésions du système nerveux dans un syndrome mental de nature auto-toxique,
de critique de l'histologie nor- male et pathologique de la cellule nerveuse . Il y discute l'existence réelle des corps de N
matolyse, la physionomie et le moment d'apparition dans les centres nerveux des véritables altérations cadavériques, enfin
s, les modifications appor- tées à la structure intime des cellules nerveuses par les maladies antérieures, l'inanition, enfi
nature et la signification du pseuclo-pigment jaune, du protoplasma nerveux dont l'abondance exceptionnelle et cons- tante
cence jaune globulaire et de dégénérescence graisseuse des éléments nerveux . Pour interpréter sainement les lésions du deli
ant du simple au composé, a recherché d'abord l'état des cel- lules nerveuses dans l'alcoolisme chronique avant l'éclosion de l
du travail. C'est l'étude des altérations histologiques des centres nerveux corticaux dans l'intoxication alcoolique chroni
divers points de l'histologie normale et pathologique de la cellule nerveuse , mais encore une exposition nette et précise de
artifices de préparation. II. L'involution dite sénile des cellules nerveuses n'est pas un phénomène rigoureusement physiolog
s. III. Les petits éléments ronds observés au niveau des cellules nerveuses en désagrégation ne pénètrent jamais à l'intérieu
ion de phagocytose, de neurophugie ou de lgocylose sur les cellules nerveuses . IV. Le pigment jaune des cellules nerveuses n'
ylose sur les cellules nerveuses. IV. Le pigment jaune des cellules nerveuses n'est pas un vrai pigment, ce n'est pas un pigm
pigment normal, mais un produit de dégéné- rescence du protoplasma nerveux . C'est un produit de déchet, qui, arrivé au ter
; d'autre part, des lésions chroniques réalisées dans les cellules nerveuses . 424 il BIBLIOGRAPHIE. L'alcoolisme rend ains
sans indiquer pour cela une atteinte pri- mitive des prolongements nerveux . Elles s'accompagnent d'altéra- tions fibro-hya
respondre à la surac- tivité fonctionnelle désordonnée des éléments nerveux produite par la cause toxique. Plus marquées, o
um tremens et le délire aigu sont des maladies générales du système nerveux , dans lesquelles la suractivité fonc- tionnelle
la suractivité fonc- tionnelle violente et désordonnée des éléments nerveux produite par la cause toxique, aboutit rapideme
coma et la mort surviennent dans ces cas par véritable insuffisance nerveuse . XIII. L'association des idées dans la manie ai
ologie n'ont pu encore nous apprendre quel changement dans l'influx nerveux a pu produire cet affaiblissement des états de
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures aux
460 ' · CLINIQUE MENTALE. bonne santé. D'après eux, pas de maladies nerveuses ou mentales dans les ascendants. Antécédents
NTALE. Antécédents personnels. A eu la rougeole. D'un tempérament nerveux et émotif. A été réglée à seize ans. Mariée à dix
tance du stimulus dans la restauration et la dé- chéance du système nerveux ; par F.-W. IIOTT. (The Journal of Mental Scienc
ration et à la régénération du tissu et de la fonction du système nerveux ; et aussi que l'excès de stimulation résultant d
la vie urbaine joue un rôle important dans l'étiologie des maladies nerveuses et de la folie ; mais on le sait surtout d'une
urtout d'une manière générale et sans données précises. Le stimulus nerveux est une vibration moléculaire se propageant au
les à la périphérie ou dans la substance grise centrale. Le système nerveux tout entier peut être considéré comme composé d
tème nerveux tout entier peut être considéré comme composé d'unités nerveuses en état de corrélation physio- logique, et dont
duit au seuil du neurone. Les courants qui représentent l'énergie nerveuse circulent conti- nuellement dans toutes les dir
ulent conti- nuellement dans toutes les directions, dans le système nerveux , mais plus volontiers dans les systèmes des neu
contrôle effectif une fois supprimé, le courant sortant d'énergie nerveuse suivra les voies de moindre résistance, deviendra
tention signifie concentration du potentiel et libération d'énergie nerveuse ? Ou bien devons-nous penser que, dans les mouv
plus récemment développés et qui forment la grande masse du système nerveux central, c'est-à-dire les neurones d'associatio
citation à mesure que ce passage devient plus habituel. L'énergie nerveuse dérive-t-elle directement de la transforma- 474
ouvons supposer que l'attention représente une libération d'énergie nerveuse dans l'écorce céré- brale due à une production
e. L'auteur entre ici dans quelques considérations sur le mécanisme nerveux des actes habituels, qu'il explique au moyen d'
ions de détail que, si nous supposons que' la totalité du potentiel nerveux (énergie nerveuse accumulée) est il la disposit
e, si nous supposons que' la totalité du potentiel nerveux (énergie nerveuse accumulée) est il la disposition du système ner
rveux (énergie nerveuse accumulée) est il la disposition du système nerveux tout entier, nous devons admettre que chez les
t suivant la qualité et la quantité du sang qui alimente le système nerveux et l'écorce cérébrale. L'auteur recherche ensui
n l'effet néga- tif est-il le résultat d'une opposition de courants nerveux (comme dans l'antagonisme corrélatif des muscle
concluent que tandis que la fatigue est démontrable dans la cellule nerveuse , on n'a jamais pu la constater dans les fibres
la cellule nerveuse, on n'a jamais pu la constater dans les fibres nerveuses de l'une ou l'autre variété. Mais ceci n'implique
de l'une ou l'autre variété. Mais ceci n'implique pas que la fibre nerveuse ne subisse, pendant la transmission d'une impul-
ibre nerveuse ne subisse, pendant la transmission d'une impul- sion nerveuse , aucun changement métabolique. Cela signifie pro-
sa faveur. S'il est vrai que nous pouvons considérer une impulsion nerveuse comme une onde moléculaire d'irritabilité crois
e moléculaire d'irritabilité croissante propagée le long des fibres nerveuses , les variations 476 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYS
tandis que ces relations n'existent pas quand il s'agit des fibres nerveuses péripheriques. Plusieurs raisons conduisent à
mu- lus traverse le neurone. 2° L'activité métabolique des tissus nerveux peut être démon- tré par l'examen du liquide cé
l'examen du liquide cérébro-spinal et des extraits salins du tissu nerveux (recherches de Gumprecht et Gulewitz, recherches
du cylindraxe, car nous voyons que les tractus entrants du système nerveux central sont myélines avant les tractus sortant
expérimention sont d'accord pour nous montrer que dans les maladies nerveuses , l'ex- cès d'effort, l'excès de stimulation a u
ervé dans le cerveau de l'homme, mais seulement autour des cellules nerveuses de quelques animaux inférieurs (cobaye et lapin)
echerches sur les notions courantes que l'on pos- sède sur le tissu nerveux . Quelle que soit l'interprétation que l'on donn
démonlrer que la conception rigide qui faisait de chaque* cellule nerveuse et de ses prolongements une entité individuelle (
rices des stimu- lations afférentes, il en résulte que les courants nerveux ne se dirigent pas toujours dans un sens unique
rent un système compliqué de fibrilles par- courant tout le système nerveux et paraissant traverser sans interruption les c
intimes des cellules entre elles. Mais en matière de psychologie nerveuse , si les recherches faites sur les animaux infér
arges comme allant directement de l'écorce aux différentes cellules nerveuses efférentes ou tout simplement comme déterminant
l'auteur le considère comme l'accompagnement mental d'un frottement nerveux (s'il est permis d'employer cette expression) d
rmis d'employer cette expression) déterminé par un élan de courants nerveux -provenant de plusieurs territoires associés -
à l'âge de trente et un ans chez un homme ne présentant aucune tare nerveuse anté- rieure ; hémiplégie gauche post-critique
ntraste entre les effets du sommeil et de la narcose sur la cellule nerveuse est particu- lièrement frappant, et ici l'auteu
chet, et à la réparation nutritive, et cela surtout dans les tissus nerveux les plus importants du cerveau. Si donc les narco
asthéniques et les névropathes de tous ordres, atteints de troubles nerveux divers relevant de la médication bromurée. Les
et non parasyphilitique. L'alcoolisme, l'arthritisme, l'héré- dité nerveuse ou vésanique, les excès divers, le surmenage, le
re, nous montre que dans ces cas de secondarisme précoce du système nerveux , plus encore qu'au cours du tertiarisme, il faut
et de l'avant-bras, et d'autre part compression des mêmes branches nerveuses par les synovites professionnelles. R. et C. in
-rachidien joue probablement un rôle dans la nutrition des éléments nerveux avec lesquels il est en contact. SOCIÉTÉS SAV
ibutaires de la paralysie musculaire. Pas d'Argyll. Tous les troncs nerveux très douloureux à la pression, de même que les ma
énérescence très accusée, semblable àcelle qui succède aux sections nerveuses et aux lésions médullaires. sociétés savantes.
e l'observation d'un enfant qui présente de l'agitation, des crises nerveuses , des accès de colère et de violence, ainsi qu'u
D'une manière générale, le milieu familial est souvent funeste aux nerveux et aux mentaux ; aussi leur prescrit-on l'isoleme
ôpital. Sur la question du développement des dendrites des cellules nerveuses spinales chez les vertébrés supérieurs (avec dé
du développement des prolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses des cornes antérieures. A. BEnNSTEIN, M. nlOLTC
uvient d'un cas de couches, observées dans la Clinique des maladies nerveuses de Moscou en 1892 chez une femme de 29 ans, ave
S.-S. MOLODENKOFF a montré un malade de la Clinique des maladies nerveuses atteint d'achondroplasie symétrique des os des
fection spécifique explique tous les cas. En se limitant au système nerveux , il croi- rait plutôt qu'une influence .morbide
les qu'elle contient, et qui président au développement des centres nerveux préposés aux fonctions de l'esprit, que ceux-ci
sans acromégalie, par Cestan et Hal- bers tad t, 78. Aérophagie nerveuse . Formes sévè- res-de l ? par Bouveret, 397. A
Voir Epileptiques. Auto-intoxication. L' comme cause des maladies nerveuses et men- tales, par Karpinsky, 149. Babinski.
idien. Voir Tumeur. Cancer. Les localisations du - sur le svstème nerveux périphérique, par Raymond, 273. Caractère. Ch
Tabès. La - et le pronostic du tabès, par Terrien, 496. Cellules nerveuses . Voir Moelle. Sur la signification de la chroma
La normale et pathologique. Altération histologique des cen- tres nerveux dans les délires toxi- infectieux des alcooliqu
tatives de suicide, par Jones, 400. Choline. La dans les maladies nerveuse ^, par Wilson, 419. CHORÉE. Un cas de de Iluntin
ES De - chez les enf.'uts bien doues, mais enta- ches d'hérédité nerveuse , par Be- dr.plcy, 234. 1'011. Un condamné, 27
par un courant industriel. Contribution à l'étude des acci- dents nerveux causes par les cou- rants industriels, par Boii
tistiques des hôpitaux nationaux deNew-1'ollc. par Kraoss. 160. nerveuses , voir Fonctions sexuel- les. HUNTISGTON. Voir
De l'emploi du - à la lumière polarisée dans l'examen des fibres nerveuses à myéline dégénérées, par Brodmann, 51. Miroi
des enfants nouveau-nés, par Souklianoff et Czarnieck, 58. Fibres nerveuses à myéline dans la pie-mère de la - épinière.
talski. 242. Sur les prolongements protoplasme- ques des cellules nerveuses de la épinière chez les vertébrés su- périeur
111ouraviefF, 50 : 1. POKEXCÉPH \LIE. Les altérations du système nerveux dans un cas de - par Barratt, 3S3. Possession
par tumeur cérébrale. Intervention, -414. Stimulus. Voir Système nerveux . .suggestion. La pendant le som- mC11 naturel
80. - Voir Frac- turnes, Lèpre et -, par de Brun, 317. Système nerveux . Pronostic et trai- tement des affections spéci
. Pronostic et trai- tement des affections spécifiques du système nerveux . par Gowers, 75. Une affection spéciale, du -,
d'origine gastrique, par Barjon et Cade, 330. Tétanos. Lésions nerveuses dans le - expérimental du cheval. par Cuurmon
10 (1886) Archives de neurologie [Tome 11, n° 31-33] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E CHARLES lien ARCHIVES DE Ex NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIBF. 30119 LA DIItIW110\ DE J
86 Vol. XI. Janvier 1885. N" 31 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES MANIFESTATIONS \IF11NGITIQUES ET CÉRÉBRALES
S ET CÉRÉBRALES DES OREILLONS [Contribution ci l'étude des troubles nerveux consé- cutifs aux maladies aiguës) ; Par les
ns va se localiser sur les séreuses Archives, t. XI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . articulaires ou cardiaques, chez tel autre sur
s d'accidents cérébraux (Bull. de Thérap., mai, É884). 4 CLINIQUE NERVEUSE . Behr rapporte le fait d'un homme qui, atteint
guéri. Dans le mémoire de Lyncha consacré aux manifes- tations nerveuses de la goutte, on trouve un cas d'o- reillons da
urdon- nements d'oreille. La face était pâle, le malade excité et nerveux ; pendant la nuit, délire violent. Le lende- mai
tée, fit bien connaître en France la possi- bilité de ces accidents nerveux et les rendit classiques. On connaît les deux c
is, 1875, Laveran. Art. Oreillons in dict. Decliambre. 6 CLINIQUE NERVEUSE . trop longue pour le lecteur et qu'on pourrait
; il nous servira de transition. Un jeune homme de quinze ans, très nerveux , ayant beau- coup de goût pour les mathématique
nson-Zuède. Ann. de la Soc. méd.-ch. de Liège, mai 1884. 8 CLINIQUE NERVEUSE . vulsifs, etc.), les accidents s'amendèrent rap
rps est dans la résolution, mais on constate facilement 10 CLINIQUE NERVEUSE . une paralysie absolue du mouvement dans les me
il s'était placé dans nne ferme. Quelle est la nature des troubles nerveux que nous venons de décrire au cours des oreillo
métastase, qui suffisait aux anciens auteurs, n'est en 12 CLINIQUE NERVEUSE . somme qu'une étiquette qui ne peut nous satisf
a circonvolution frontale ascendante droite et n'a 14 le CLINIQUE NERVEUSE . entraîné qu'une hémiplégie faciale gauche pass
sseur Charcot que nous avons eu l'occasion de voir et 16 CLINIQUE NERVEUSE . d'étudier la malade dont nous publions ci-aprè
bonne santé habituelle d'un caractère un peu emporté. Mère un peu nerveuse , sans attaques. Grand'mère mater- nelle morte a
mes, la névralgie et la paralysie AIHI3,.t, XI. 2 t8 : . CLINIQUE NERVEUSE . des'muscles de l'oeil ; ou verra que, dans les
. Nous n'avons pas eu ce recueil à notre disposition. 20 CLINIQUE NERVEUSE . interné et inférieur, immobilité pupillaire et
ulomotorius-Lcthmung. Berl. Klin. Woch., 1885, no 40. 22 CLINIQUE NERVEUSE . ' - L'emploi du courant constant aurait, d'apr
le peu probable étant donné l'âge de la malade. ' . , 24 CLINIQUE NERVEUSE . celles-ci (1 ou fois par an, tous les trois mo
reis ? Wiener Med. lvoclieîischr., 25 avril. 1885. 26 - CLINIQUE NERVEUSE . montrèrent de la mydriase, l'absence de réacti
pavot qui déterminent une légère tuméfaction mamelonnée des racines nerveuses . L'oculo-moteur commun droit, ainsi que tous le
chez lequel une double névrite optique, de la céphalée 28 CLINIQUE NERVEUSE . avec vomissements et d'autres symptômes bien m
ts avec l'affection spéciale dont il est ici question. PATHOLOGIE NERVEUSE OBSERVATIONS POUR SERVIR A LA DÉTERMINATION DES
de Bourges (salle 6, no 15; service de M. Rizet). 30 1 PATHOLOGIE NERVEUSE . Enfant trouvé, élevé dans un hospice, ses anté
ques les altérations cadavériques, aux remarques sui- 32 pathologie NERVEUSE . vantes : a) Nous avons noté dès les premiers j
qui appartient à M. Déjerine. Archives, t. XI. 3 34 pathologie nerveuse . lysies spasmodiques, tout en ayant un intérêt
connaissance. On ne sait rien relativementàl'existence de maladies nerveuses d'un ordre quelconque ou de diallièses'dans la
la flexion et persistent. Le malade pleure souvent. 36 pathologie nerveuse . 1 ? mai. Il existe une eschare à la région sac
et sa consistance, se distingue de la façon la plus nette du tissu nerveux environnant (faisceaux interne et externe) : l'
Bourneville. De la sclérose en plaques. Paris, 1869. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE . sanguinolent dans le ventricule latéral. Le ce
mi- sphères sont le trajet et le rôle physiologique des faisceaux nerveux constitués par l'épanouissement des pédoncules cé
oint de vue des localisations cérébrales. Paris, 1878. M PATHOLOGIE NERVEUSE . blanche sub-jacente aux centres corticaux, don
la substitution plus ou moins étendue de la névroglie aux éléments nerveux (cellules et tubes). Nous pouvons résumer en ce
. Si l'on admet comme possible cette dégénéres- cence des centres nerveux , on admet du même coup son hérédité. Les dégéné
convulsive, mais elle éprouve de temps à autre quelques phénomènes nerveux a,sez typiques, tels que sensation de boule ave
existence de deux troubles intellectuels. REVUE CRITIQUE TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE^CHEZ LES FEMMES '; Par M. LECOR
diètes. Prag.Yiertetjalar.,485. 1 Voy. tome X, page 395. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 51 Kaulich. Pr
diverses modifications signalées pour certains cas dans les centres nerveux . Si l'on veut parler de lésions gros- sières, d
Cen- lralbl. nied. 117zsseh. Lecot'ch6. -.Diabète. 1885. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 53 Est-il néce
i, mais en moindre abondance, dans les reins et les autres TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 55 organes. Vo
r le perchlorure de fer donne. la réaction rouge-bourgogne TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 57 et le malad
ar un produit accidentellement formé dont les effets sur le système nerveux sont voisins de ceux de l'alcool, du chloroform
e. Mais nous ne voyons, dans l'état actuel de nos connais- TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 59 sances, auc
substance volatile, s'élimine surtout par les poumons; peu TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 61 importe don
, que les tissus mal nourris n'ont plus de réaction, que le système nerveux affaibli est sans défense, l'intoxication devie
es auteurs, depuis Prout, et rangés indifféremment sous le TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 63 nom de coma
Dans une autre observation toutefois, le collapsus parait TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 65 avoir été p
tro-intestinaux ; 3° Des troubles respiratoires ; t° Des troubles nerveux . Ces différents symptômes se rencontrent réunis
. Mais ce symptôme peut manquer ou s'atténuer devant les phénomènes nerveux ou gastro-intestinaux, sans qu'on soit en droit
e d'un individu plongé dans le coma ou se plaignant de ma- laises nerveux divers, de vertiges, de troubles dyspeptiques,
cela l'intoxication acétonémique soit moins évidente. 40 Troubles nerveux . Il faut distinguer ici deux ordres de faits :
ésultent du premier contact de la substance toxique avec la matière nerveuse ; les phénomènes terminaux, phénomènes de dépres
ique de l'organisme. La première action de l'acétone sur le système nerveux , comme celle de l'alcool, du chloroforme, de l'
dépasse pas, en général 380 à 38°,2; nous avons observé TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 69 38°,5, 38°,
VUE CRITIQUE. tinale, une acétonémie respiratoire et une acétonémie nerveuse . Mais, si on en juge par les faits connus, la d
is, au bout de quelques jours, ces symptômes se dissipent, TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 73 la réaction
iguë. 1 Voir Bourneville et Teinturier, Progrès médical. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 75 Affections
ialement incriminés, en particulier la diète 76 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . carnée. Joenicke, dans le service deBiermer, a
es de l'acétone, mais il ne les provoque pas. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. SUR UNE HÉ)ÏAT05fYEL ! E CONSÉCUTIVE A L'ÉLO
; dégénérescence grise des cordons postérieurs. REVUE DE pathologie nerveuse . 77 Atteinte indiscutable des vaisseaux qui irr
dans le tissu conjonctif ambiant, d'où la compres- sion des fibres nerveuses longitudinales et leur dégénéres- cence à un mo
n vasculaire. Enfin, dernière particularité, raréfaction des fibres nerveuses dans les colonnes de Clarke. P. K. II. SUR LE
faisceaux radiculaires postérieurs. P. K. 78 revue DE pathologie nerveuse . III. Un cas DE paralysie ascendante aiguë; par
cette dernière est la conséquence d'une lésion spinale, le système nerveux ne prend aucune part dans l'évolution de l'atro
orbitisme), soit pendant les efforts de mimique REVUE DE pathologie nerveuse . 79 (rire en travers, immobilité des traits). D
t dire, d'après ce mémoire qui renferme sept 80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . observations personnelles et une relation d'au
ortance DE L'AtiESTHiSIE SENSORIELLE DANS LES AFFECTIONS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL; parR. THomsrN et H. Oppenheim. (Arch.
thésie sensorielle est ou stationnaire (et l'on REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 81 constate alors des oscillations plus ou moi
10- Presque jamais, dans l'espèce, on ne note l'absence de malaises nerveux (sensa- tion de pression céphalique, paresthési
morbide autonome; II de concert avec d'autres affections du système nerveux cen- tral ; névroses et psychoses; III comme ép
hénomène enté sur des affec- tions palpables, il lésion, du système nerveux central ; elle n'a, d'après nos observations, p
e en intensité comme eu Archives, t. Xi. 6 82 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . étendue, tout à fait capricieuse, et, au besoi
ir chevelu, plus rarement une moitié du corps), REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 83 accompagné également de lacunes fonctionnel
modifications dans les allures psychi- ques; 2° à certains malaises nerveux ; 3° à des troubles de la sensibilité dans le se
des phénomènes se rattachant à des lésions irréparables du système nerveux (fixité, immobilité de la pupille, atrophie des
sion en foyer. Il ne saurait non plus servir 84 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . d'élément diagnostique entre l'hystérie et la
ession du bulbe par l'apophyse basilaire. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 85 X. Noie SUR un cas d'oblitération de l'artè
xagèrent dès leur origine cérébrale par l'intermédiaire des tractus nerveux dont le trajet se fait dans le faisceau pyramidal
-occipital; vous obtiendrez encore l'atrophie du groupe de cellules nerveuses du tubercule antérieur correspondant, du faisce
e-noir; sa surface de section présente des adhérences, la substance nerveuse y est un peu tuméfiée, la portion inférieure de
des deux côtés que peu ou point de sections transverses de fibres nerveuses , mais la substance blanche paraît constellée de f
e. De forts grossissements décèlent que l'on a affaire à des libres nerveuses , généialement de fin calibre, qui, émanées de l
laire, sorte d'éventail constitué par de larges faisceaux de fibres nerveuses transversales qui, en ellet, disposées en évent
tre les autres. En réalité, on a affaire à des trousseaux de fibres nerveuses déplacées par un vais- seau rétracté, ce qui na
eut s'être produit que pendant la période embryonnaire ; les fibres nerveuses déplacées paraissent tendre à la déchéance, com
ut-être la syringo-myélie émane-t-elle de ce déplacement des fibres nerveuses par la rétraction des vaisseaux ; on conçoit en e
ifs de- raclage et de frottement dont se plaignent maints individus nerveux , en particulier à la suite d'efforts, bruits qu
FLL. Les modifications circu- latoires en rapport avec les troubles nerveux n'ont d'ordinaire qu'un rôle secondaire. M. 1
i existent chez l'enfant bien portant augmentent chez les individus nerveux ; à cette phase de transition appartiennent les
ve à préserver de l'inflammation la cornée soustraite à l'influence nerveuse , et si, dans le cas où cette inflammation survi
git pas favorablement, surtout sur les étals d'agitation du système nerveux . Il ne; s'agit ici que de la propor- tion diurn
re d'atrésies de la substance grise et en particulier, des cellules nerveuses de la moelle épinière. Mais on ne saurait disti
de la chambre claire électrique, sur la fine structure du système nerveux central, montre la répartition des masses grises
de la substance grise contrastant avec la par- cimonie des cellules nerveuses et des irradiations blanches qui en partent, ch
est non pas la substance fonda- mentale servant de lit aux cellules nerveuses , mais bien la cel- lule même, qui assure la ric
considérées comme champs de projection de divers groupes de fibres nerveuses possèdent égale- ment une fonction différente;
combattre, qui accompagnent un grand nombre de maladies du système nerveux . M. Benedikt a rapporté, en outre, plusieurs ca
er en l'interpellant brusquement : immédiatement quelques secousses nerveuses se produisent dans les membres supérieurs; puis
le mécanisme du fonctionnement 122 SOCIÉTÉS SAVANTES. des centres nerveux . (Cette communication n'a été que le résumé d'u
nq ans d'une maladie inconnue, mais ne se rattachant pas au système nerveux ; grand'mère morte à soixante-dix ans d'Une mal
; grand'mère morte à soixante-dix ans d'Une maladie inconnue, était nerveuse ; -père, soixante ans, cultivateur, se porte bie
es auxquelles ils ont succombé n'ont rien de commun avec le système nerveux . Collatéraux. Six frères ou soeurs : il,, soeur
3°, mort-né ; 4°, fille ainée, vit, se porte bien ; 5° fille non nerveuse , mariée, a un enfant bien portant ; 6°, garçon, â
le n'est pas arrivée jusqu'à la désorganisation de la subs- tance nerveuse , elle est restée à sa période d'irritation et a
e les lésions de l'oreille et l'aliénation mentale ; 156 PATHOLOGIE NERVEUSE . 3° Elle met en relief l'influence pathogénique
usqu'à présent non indiquée, de la fièvre saisonnière. PATHOLOGIE NERVEUSE DU TABES COMBINÉ (ATAXO-SPASMODIQUE), ou SCLÉRO
tique que l'école contemporaine a inaugurée des maladies du système nerveux , il fal- lait commencer par les cas les plus si
définitive et classique de cette maladie complexe. 158 PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous serons même obligé, après analyse et disc
uct. franc, de Richard et Viry, 603, gan et 687. , 160 PATHOLOGIE NERVEUSE . rieurs et des cordons latéraux, mais les obser
. 1877, XI. 2 lbid : 236. Aiicuives. L. XI. 11 l 163 PATHOLOGIE NERVEUSE . laires et l'exagération des réflexes. Il y a a
des de l'affection. (Revue de mérlec.), 18S ? , 142. 164 PATHOLOGIE NERVEUSE . breux cas d'ataxie que nous avons eus sous les
lrangbahnen (Ai,ch. f. Psych.). 1854, XV, 225. ' ' . 166 PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous devons signaler alors le remarquable trav
sque dire l'étiologie générale des maladies chro- niques du système nerveux . 1 Arch. de physiol., 1885. 2 Voir aussi : Da
travaux scie ? itif., 1884, p, 26; Encéphale, 1884. 168 PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous devons cependant dire un mot plus spécial
forme spéciale de tabès, ni même une forme quelconque de maladie nerveuse . L'hérédité domine la neuropathologie tout enti
fs de l'évo- lution héréditaire, les diverses maladies du système nerveux se remplacer mutuellement. Féré a très bien mis
ion, entre les partisans des deux doctrines. Une maladie du système nerveux (et on pourrait appliquer ce même principe aux
maladie elle-même et les causes de sa localisation sur le système nerveux . Dans le premier groupe se placent les diathèse
e, on trouve l'hérédité névropathique, le surmè- nement des centres nerveux , etc. Si on analyse soigneusement un nerveux, o
- nement des centres nerveux, etc. Si on analyse soigneusement un nerveux , on trou- vera presque toujours ces deux élémen
e tabétique qui aura contracté la syphilis et surmené son système nerveux par des excès vénériens considé- rables, ou bie
athique et celui qui hérite de l'arthritisme et surmène son système nerveux . Enfin, les deux élé- ments peuvent venir, l'un
que nous venons de dire s'applique à toutes les maladies du système nerveux , par suite à tous les tabes, aussi bien au tabe
il est impossible de trouver dans la qualité « héré- 170 PATHOLOGIE NERVEUSE . ditaire » une caractéristique pour la maladie
et ne fait pas arrêter les omnibus pour descendre. 172 PATHOLOGIE NERVEUSE . A ce moment, on diagnostique une paraplégie au
découvre facilement chez lui, des symptômes qui ne 17 le PATHOLOGIE NERVEUSE . sont plus aussi classiques et qui troublent le
s postérieurs et des cordons latéraux. (A suivre). 176 PATHOLOGIE NERVEUSE . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'HG111ATOPSIE D'ORI
ayons lumineux s'entrecroisent AHOUVES, t. XI. ! 2 178 PATHOLOGIE NERVEUSE . dans l'oeil avant d'impressionner la rétine, i
ANOPSIE CORTICALE. 179 i. Le fait d'une demi-décussation des fibres nerveuses dans le chiasma chez l'homme a été prouvé par l
e : c'est le faisceau latéral. Chaque rétine reçoit dans des fibres nerveuses des deux nerfs optiques, ou, en d'autres termes
ne lésion comprimant le chiasma dans ses bords anté- 180 PATHOLOGIE NERVEUSE . rieur ou postérieur produira l'hémianopsie tem
in droite est un peu moindre que celle de la gauche. 183 PATHOLOGIE NERVEUSE . Examen dynamométrique : à gauche 38,34, à droi
Cas d'hémianopsie par lésions situées principalement 198 PATHOLOGIE NERVEUSE . Grâce à l'amabilité de MM. Peabody et Ferguson
a plaque de ramollissement dans l'obs. 8. (Haab.). 200 PATHOLOGIE NERVEUSE . lésion en foyer du cerveau et il persista. Mor
nt l'hémianopsie latérale droite. Obs. 41. (Féré.) 202 PATHOLOGIE NERVEUSE . Observation z. (Séguin). M. J. W. D., âgé de q
, le 5 décembre, on vint me chercher en toute hâte pour une attaque nerveuse . Je trouvai M. D... très ef- frayé, mais posséd
pendance de ia lésion mitrale; et il me vint enfin à 204 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'idée que cette fièvre intermittente rebelle,
nt l'hémianopsie latérale gauche. Obs. 45. (Séguin.) 206 PATHOLOGIE NERVEUSE . pièces. D'après l'histoire du malade, d'après
olui C. Dalton. - Veu-3'o'k Med. lice, 26 oct. 1881. 208 PATHOLOGIE NERVEUSE . « occipito-angular région » produisent des tro
i, Cas VIII. Voy. tableau 1. Archives, t. Xi. 14 210 PATHOLOGIE NERVEUSE . quelque part dans les fibres du corps calleux,
lecteur peut placer la lésion comme il lui plaira. 212 PATHOLOGIE NERVEUSE . crânienne du côté opposé à la portion du champ
Forster and Wernicke. Forster in " Graefe-Saemisch 21 le PATHOLOGIE NERVEUSE . Handbuehdergesammten Auâenheilliunde ", Bd. vo
. Un certain nombre de maladies de la nutrition et les mala- dies nerveuses peuvent se trouver associées d'une façon plus o
t tenaces; elle a eu trois attaques de somnambulisme et deux crises nerveuses avec perte 218 RECUEIL DE FAITS. incomplète d
de fréquemment avec les névropathies. On rencontre souvent chez les nerveux et dans DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE RHUMATISME ARTIC
'. » Notre malade offre des névralgies à la tête, certains troubles nerveux (gastralgie, hypothymie, etc.) analogues à ceux
trouvent également chez les épileptiques et dans d'autres maladies nerveuses . 226 RECUEIL DE FAITS. DE L'ÉPILEPSIE AVEC LE
s un peu assourdis, pas 1 J.-M. Cliarcot. Note sur les divers états nerveux déterminés par l'hypnolisation chez les hystéri
us longue à être hypnotisée, mais les manifestations musculaires et nerveuses s'accentuent (les ma- nifestations nerveuses so
tations musculaires et nerveuses s'accentuent (les ma- nifestations nerveuses sont les griffes des muscles résultantes de la
alyserons en entier. P. K. II. La STRUCTURE DES ÉLÉMENTS DU SYSTÈME NERVEUX ; par S. FRFUD. (J<t/tr6uc/t. f. Psych., V, 3
sych., V, 3.) L'auteur a soumis à l'examen microscopique les filets nerveux de l'écrevisse d'eau douce vivisectionnée, mais
n liquide presque inoffensif à l'égard de la structure des éléments nerveux . Dans ces conditions, la fibre nerveuse se pré-
de la structure des éléments nerveux. Dans ces conditions, la fibre nerveuse se pré- sente sous la forme de tuyaux clairs co
nt des fibrilles droites sépa- rées les unes des autres. La cellule nerveuse se compose de deux substances : l'une, disposée
en réseau, se prolonge manifestement dans les fibrilles des fibres nerveuses ; l'autre, homogène, se prolonge probablement-d
structure générale du protoplasma vivant, identique dans la cellule nerveuse à celle du protoplasma ordinaire; ce protoplasm
euse à celle du protoplasma ordinaire; ce protoplasma dans la fibre nerveuse se segmente en fils, et les fibrilles de la fib
ifférenciés etisolés.ConchMtOHS/M/pot/tdMes.Lesubrilles de la fibre nerveuse sont des fils conducteurs isolés, qui, séparés da
'une certaine force peut rompre l'isolement des fibrilles, la fibre nerveuse con- duisant dans son ensemble l'excitation. Il
rès les mêmes caractères que chez le lapin ; ici aussi les cellules nerveuses gan- glionnaires sont le point de départ du pro
n'étant que des intermé- diaires, dirigés et régis par un mécanisme nerveux central, leurs attitudes doivent refléter l'éta
nerveux central, leurs attitudes doivent refléter l'état du centre nerveux . Dans le court travail qui nous occupe, l'auteu
cuse en ce qui touche les rapports de la conscience avec l'activité nerveuse cen- trale : il rappelle à ce propos les opinio
égralement : « La physiologie « générale nous enseigne que le tissu nerveux , fibres ou cellules, « n'échappe point à la loi
ort. Mon point de départ « est donc parfaitement net : les éléments nerveux se désintè- « grent par l'action, et se réintèg
on, et se réintègrent immédiatement après, en « sorte que tout acte nerveux a une phase de désintégration et «une phase de
vons nous tromper : l'intégration et la réintégra- tion des centres nerveux sont absolument inconscientes. Nul « n'est cons
ence est exclusivement liée à la phase de désintégration des «actes nerveux centraux. « Cela posé, une nouvelle question su
m « constant de calorification, dû simplement à la transmission « nerveuse . Ces faits indiquent clairement que les actes cen
t une transmission relative- « ment très rapide. En fait, tout acte nerveux central demande « un certain temps pour s'accom
clusivement liée à la désintégration fonc- « tionnelle des éléments nerveux centraux; son intensité est di- « rectement pro
res sensori-moteur « et spinal. « IV. Finalement, dans le système nerveux tout entier, consi- « déré comme organe de la f
cette méthode est appelée à rendre. E. lancuur. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIII. UN CAS DE CHORÉE TRAITÉ AVEC SUCCÈS PAR L
ployé dans un grand nombre de maladies et surtout dans les maladies nerveuses . En ce qui concerne la chorée, M. le Dl Pathaul
malade. Lal... (Henri-Ch.), est âgé de six anset demi. 11 est très nerveux et d'un tempérament lymphatique. Il a eu une pr
re de camphre ; thèse de Mont- pellier, 1875. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 251 Dans la marche, il se cogne les jambes et
mue, ses pieds battent le parquet, la plume 252 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lui échappe; enfin, après des efforts réitérés
régulière (/t<7. 9). Fig. 8. ' tig. 9. . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 253 30 avril. L... est guéri. Sa mère, interro
ieure et postérieure; dans la corne antérieure droite, les cellules nerveuses ont presque entièrement disparu, mais les fibre
cellules nerveuses ont presque entièrement disparu, mais les fibres nerveuses émer- gentes sont intactes. C'est aux altératio
ng qui est placé là. P. K. fï^, 1 U . * 254 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XV. Expériences pour servir A l'étude DE la pa
ctions peuvent être pro- voquées chez les individus dont le système nerveux et musculaire est sain, ainsi que chez les alié
ésulte de l'actionnement direct, sans l'inter- médiaire de l'influx nerveux , de la substance contractile qu'un excitant méc
h (Arch. f. Psych., XV, 3). Travail fait à la clinique des maladies nerveuses de la Charité de Berlin. L'auteur s'est proposé
e thermomètres divisés en cinq dixièmes ont 256 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . une amplitude : le premier de - 480 à + 34° C.
auteur rattache cette anomalie au trijumeau et, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 257 en particulier, à la racine ascendante dro
i suit : En 1882, il est mort 108,774 malades atteints d'affections nerveuses ou mentales, soit environ 16,26 p. 100 de la mo
es malades, peu ou point fébri- citants, présentaient des symptômes nerveux intenses : cépha- lalgie, parfois délire, parfo
les psychopathes les plus difléretits, il conclut que des symptômes nerveux intenses pro- duits par une perturbation mental
ns postérieurs. L'autre ré- sulte d'une lésion primitive des fibres nerveuses : elle commence principalement dans les cordons
. Désignant comme excitants les agents qui font réagir la substance nerveuse , nous devons dire que le nystagmus et les autre
réactions indiquées. Chaque exci- tant détermine dans la substance nerveuse un état anormal d'au- tant plus accusé que l'ex
tant plus accusé que l'excitant est plus intense. Mais la substance nerveuse supportera cet état anormal jusqu'à une certaine
te cette limite sera atteinte ; à ce moment, l'état de la substance nerveuse change : d'actif il devient passif : aux phénom
brale. On a supposé, en établissant cette doctrine que la substance nerveuse est incompressible. Or, expérimentalement, cett
es qui résultent de l'excitation ou de la paralysie de la substance nerveuse . Ils n'ont pas d'autonomie propre. Mais il est
gré, la compression est adéquate à la com- pressibilité de la masse nerveuse . Pas de symptômes. Au second degré, la compress
un troisième degré, il y a simultanément destruction de la matière nerveuse ; les phénomènes ne se distinguent pas de ceux d
source la plus féconde en perturbationset en affections du système nerveux , tant dans ses départements centraux que dans s
toire, deviennent la cause d'al- térations des fonctions du système nerveux . Ces éléments patho- gènes sont : les uns toxiq
générale- ment aboutissent à des affections spécifiques du système nerveux . Un groupe de dyscrasies provient de la pénétra
s- tème vasculaire, ces agents troublent les fonctions du système nerveux et déterminent généralement des névroses à forme
rvations détaillées, on doit accepter qu'il s'agit bien d'un asthme nerveux qui joue, par rapport àla psychose, le rôle d'u
ffection métastatique vicaciante, et suppose, par suite, un élément nerveux sous roche. Cette constatation a quel- que impo
épileptique. Le cas de Kelp révèle, après la cessation de l'asthme nerveux , une surexcitation des nerfs sensoriels, l'appa
nt à certaines parties du cerveau, d'où la transformation. L'asthme nerveux n'est-il pas lui-même une névrose du nerf vague
piratoires. L'excitation de ces rameaux, si prononcée dans l'asthme nerveux , peut aussi se transmettre au cerveau et provoq
ente extérieurement aucune anomalie; les mem- branes et les racines nerveuses offrent une constitution normale ainsi que l'en
de cellules granuleuses surtout le long des vaisseaux; les cellules nerveuses sont les unes conservées, les autres déchues et
ut, malgré la netteté des symptômes cliniques, trouver des cellules nerveuses complètement intactes. La méthode d'Exner1 a se
e, mais on peut, dès maintenant, dire que la disparition des fibres nerveuses n'est pas spéciale àlapara- lysie générale, car
examens lui ont démontré comme constante la disparition des fibres nerveuses à myéline dans l'écorce des paralysés généraux.
cher (de SLepliansfeld). Sur la disparition par atrophie des fibres nerveuses à myéline de l'écorce du cerveau dans la para-
es corticales en ce qui concerne leur richesse respective en fibres nerveuses à myéline. M. Tuczek n'a aucune confiance dans
la coloration des fibres fines de la couche des petites cel- lules nerveuses . H n'est d'ailleurs pas possible, en moins de deu
que sénile, Zacher a rencontré la disparition atrophique des fibres nerveuses de l'écorce; il l'a trouvée dans quelques faits
'il y a sous roche un arrêt de développement qui atteint des fibres nerveuses de l'écorce fron- tale dont la génération est r
sous des tubercules quadrijumeaux, une autre collection de cellules nerveuses qu'il n'est pas toujours facile de séparer fran
s psychiques ne participent guère à leur genèse, et que les centres nerveux moteurs entrent seuls en jeu pour les produire.
énèse, despares- thesies ; en un mot tous les centres psychiques et nerveux peuvent donner naissance à deséléments, fugaces
x du bulbe. Au microscope, comme à l'oeil nu, intégrité des centres nerveux : les nerfs périphériques, et en particulier les
8G. Vol. XI. Mai 1886. NU 33. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA NÉVRITE SEG.IENTAI
ange dans le groupe des névrites, celles qui in- téressent la fibre nerveuse d'une manière prédomi- nante ou exclusive sont
les détermine, elles produisent toujours dans la structure du tube nerveux une série de modifications aboutissant à l'atro
apparence, de celui qui ap- Archives, t. XI. ' 22 338 PATHOLOGIE NERVEUSE . partient à la dégénération wallérienne proprem
x. Puis les débris de myéline sont éliminés. Le calibre de la fibre nerveuse diminue et- bientôt celle-ci se trouve réduite
e identique et sans discontinuité sur toute la longueur de la fibre nerveuse . A côté de cette forme, il en est une autre, dé
un nombre parfois considérable de noyaux. La myéline 340 PATHOLOGIE NERVEUSE . ainsi désagrégée tend progressivement à dispar
, et bientôt on n'en trouve aucune trace dans l'intérieur du tube nerveux ; les noyaux persistent au contraire, et parsème
mplètement éliminés, il semble à lui seul constituer toute la fibre nerveuse . Cette intégrité du filament axile, malgré l'ef
2. Analyse in Revue de Hayem t. XX, p. 57, 1882.) 342 PATHOLOGIE NERVEUSE . pour jouir d'un congé de convalescence dans sa
est considérablement amoindrie. Les réflexes- plan- 344 PATHOLOGIE NERVEUSE . taires, rotuliens, testiculaires sont presque
à sa périphérie par un semis très abondant de tuber- 346 PATHOLOGIE NERVEUSE . cules jaunes, caséeux, non ramollis; sa paroi
ts, la lésion n'intéresse' ici qu'une partie restreinte de la fibre nerveuse : paifois elle se cantonne dans une faible éten
res normaux. Il n'est pas rare de rencontrer sur une 348 pathologie NERVEUSE . même fibre deux et même trois foyers successif
est intéressé 'dans toute son épaisseur, et le diamètre de la fibre nerveuse apparaît agrandi au niveau des points atteints.
e . Et cependant, aux deux extrémités de la portion lésée, la fibre nerveuse reprend sa structure normale ou à peu près norm
persistance du cylindre-axe. Aux confins de l'altération, la fibre nerveuse reprend sa structure normale. Enfin, au degré
aine mesure à l'altération qui intéresse à un si haut degré le tube nerveux . Ses fibres sont légèrement Juméfiées et plus a
ar des segments très courts. Sur d'autres où l'alté- 350 PATHOLOGIE NERVEUSE . ration a évolué suivant le type segmentaire, o
tion de l'excitabilité faradique des muscles paralysés. Les centres nerveux , cerveau et moelle, sont dans un état de parfai
rveau et moelle, sont dans un état de parfaite inté- 352 PATHOLOGIE NERVEUSE . grité. Les racines spinales, antérieures et po
fication subie par les cellules des cornes antérieures, cl le. tube nerveux , dit-il, n'étant plus sous l'influence de ses c
et des nucléoles. t Déjerine. Recherches sur les lésions du système nerveux péri- phérique dans la paralysie diphthéritique
.) 2 P. Meyer, loc. citât. Archives, t. XI. 23 35 re PATHOLOGIE NERVEUSE . Mais l'auteur ne conclue pas à un lien de subo
s et les autres. Il estime au contraire que l'altération du système nerveux central et périphérique dépend uniquement « de
du poison diphthéritique porte sur les différents points du système nerveux , tout aussi bien sur les nerfs que le centre sp
une localisation du poison infectieux sur cette partie du système nerveux . Au point de vue purement anatomique, les lésio
f sectionné. La seconde n'intéresse pas toute l'étendue du tube nerveux ; elle est discontinue, se cantonne eu certains
portion atteinte, quelle que soit d'ailleurs son étendue, la fibre nerveuse reprend son aspect normal et sa structure habit
celui que décrit M. Gombault. Elle débute par la périphérie du tube nerveux pour en atteindre ensuite toute l'épaisseur. La
ui remplissent confusément le tube, il ne saurait en 356 PATHOLOGIE NERVEUSE . être de même lorsque la disparition partielle
iqué dans la destruc- tion des autres parties constituantes du tube nerveux et disparaît, dès le début, sans que la vitalit
ques généra- lement admises. On sait, en effet, que toute section nerveuse entraîne à sa suite la dégénération desfibres sé-
ale de la fibre; cependant il n'en est rien, les portions du tube nerveux isolées de leur centre conservent leur inté- gr
thologique du segment interannulaire ; elle démontre 358 PATHOLOGIE NERVEUSE . aussi que, dans certaines circonstances, le cy
la dégénération wallérienne se dé- veloppant d'emblée sur une fibre nerveuse qui a con- servé ses rapports avec une cellule
r une fibre nerveuse qui a con- servé ses rapports avec une cellule nerveuse inaltérée ? Il faut nécessairement admettre une
'est-à-dire sans rela- tion avec une lésion primordiale des centres nerveux , 1 Gombault. Sur les lésions de la névrite alco
es, 22 février 1SS6, p. 436 des comptes-rendus). - . 360 PATHOLOGIE NERVEUSE . peuvent évoluer suivant un mode absolument ide
ail pathologique qui parfois envahit une grande étendue de la fibre nerveuse , parfois l'intéresse d'une manière discontinue,
est facile, et c'est seulement par l'étude individuelle des tubes nerveux que l'on distingue ces altérations seg- mentair
; aucune trace de cylindre-axe; s, segments normaux. 362 PATHOLOGIE NERVEUSE . ' Fig. 6. - Altérations segmentaires successiv
geurdece terme, qui n'explique rien, je n'entrevois 36 PATHOLOGIE NERVEUSE . pas pourquoi on qualifierait de folie une cont
entres d'inhibition, leur action exige un double travail du système nerveux , de même si 366 PATHOLOGIE NERVEUSE. l'inhibi
e un double travail du système nerveux, de même si 366 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'inhibition est causée par une vibration molé
u- vement le plus faible exigera le plus grand travail du système nerveux , puisqu'il faudra que l'inhibition supprime pre
pourquoi, à l'état normal, cela n'au- rait pas lieu dans le système nerveux central, pour- quoi il faudrait avoir une actio
uire aussi à l'instant voulu. Je crois que, s'il est 368 pathologie NERVEUSE . difficile à comprendre comment une irritation
uve très naturel qu'un courant' Archives, t. XI. 4 370 pathologie nerveuse . plus fort évoquera une image d'un mouvement pl
humaine, c'est surtout nécessaire dans la physiologie du système nerveux . Même le chien montre une différence impor- tan
en montre une différence impor- tante si nous comparons son système nerveux à celui de l'homme. Si nous enlevons une partie
membres, il parvient à marcher, peut-être pas avec 372 PATHOLOGIE NERVEUSE . la même adresse qu'auparavant, mais pourtant a
rchives de Neurologie, 1881, no 5, 6, 7.) .) 37<i.' PATHOLOGIE NERVEUSE . noncée,-il faut appliquer un coup rapide, bien
terme réflexe, on peut nommer ainsi toute manifestation du système nerveux provoquée par une 376 PATHOLOGIE NERVEUSE. in
manifestation du système nerveux provoquée par une 376 PATHOLOGIE NERVEUSE . influence extérieure. Un grand nombre des aute
avant en action et, en conséquence, conduisent mieux le cou- rant nerveux . La différence la plus caractéristique se manif
e, l'extension dépend seulement de la conducti- bilité des éléments nerveux , la volonté de l'individu n'a aucune influence
n'a aucune influence sur cette propriété. Dans le 378 PATHOLOGIE NERVEUSE . cerveau, au contraire, c'est la volonté ordina
sion de l'irritation. Pendant la catalepsie, l'extension du courant nerveux centripète est déjà un peu plus grande, et par
la voie par laquelle la substance corti- cale entretient le courant nerveux . On pourrait aussi comprendre le relâchement de
on moyenne, le relâchement réussira; autrement, non. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE . C'est tout à fait le même procédé que j'ai déj
raitée par Ricord; plus tard, traitement de la syphilis des centres nerveux appliqué par Charcot, Fournier, Doyon (à Uriage
onnelles. I 1 1 i TABLEAUX i e i TA.BLEA.UX. z 392 PATHOLOGIE NERVEUSE . Pour relever et étudier les symptômes notés da
de la résistance aux déplacements passifs, du trem- 396 PATHOLOGIE NERVEUSE . blement, le phénomène du pied, la démarche spa
fera suffisamment connaître, et déterminera la nature des troubles nerveux que uous avons constatés. 400 MÉDECINE LÉGALE.
e vingt-six ans, est depuis près de treize ans atteinte de troubles nerveux qui paraissent avoir eu pour cause déterminante
de cette scène; et si, dès cette époque, elle n'eut pas d'accidents nerveux ,- elle eut du moins des troubles du sommeil, do
ce qu'on ob- serve si souvent chez les jeunes filles à tempérament nerveux pré- dominant. Nous devons à sa mère, femme i
ait arrivée cette jeune femme sous la double influence des troubles nerveux dont elle' est atteinte depuis si longtemps et
, tout d'abord, de déterminer rigoureusement la nature des troubles nerveux dont Annette G... pouvait être atteinte, de pré
du cercle du bleu, à gauche surtout. Interrogée sur les accidents nerveux dont elle souffre, Annette G... dit que « son a
ependant toujours dans le type classique. La mobilité des accidents nerveux s'est doublée, comme il arrive presque tou- jou
instabilité d'humeur. Ses souffrances, la longue durée des troubles nerveux l'ont souvent découragée, et c'est dans l'abus de
cataleptoïdes, elle reste une malade chez laquelle les acci- dents nerveux peuvent reparaitre avec leur intensité première.
ent moléculaire particulier, une distribution spéciale des cellules nerveuses du système cérébro-spinal. Jusqu'ici les divers
hallucinations. Au- topsie : ramollissement de la substance blanche nerveuse entourant les deux, cornes occipitales des deux
ne santé. Quatre frères et soeurs morts en bas âge. Pas d'affection nerveuse , ni d'antécédents rhumatismaux dans la famille
morte de chagrin de la perte de sa petite fille. Pas de dia- thèse nerveuse , ni rhumatismale dans la famille. Antécédents p
héréditaires : père mort d'une attaque d'apoplexie. Pas d'affection nerveuse du côté de la mère. Antécédents personnels. Le
s subintrantes. Autopsie : ramollisse- ment de la substance blanche nerveuse entourant le prolonge- ment postérieur du ventr
nt dans cette partie de la substance blanche un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 419 de ces foyers de résistance moindre qu'on
l appartient à l'expérience de démontrer. - ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE t XX. DE la valeur DE L'ÉLECl'ItICIl'li DaN3
nnera des résultats extrêmement favorables; 420 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . il ajoute qu'il n'est pas nécessaire, pour obt
lant dans le même atelier, qui furent successi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 44-1 vement atteintes, en quelques jours, de p
q ans, les symptômes observés étaient mani- 422 REVUE de pathologie NERVEUSE . festement ceux de la compression cérébrale, et
interne ; du côté droit de l'artère basilaire, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 433 après cérébelleuse supérieure droite, part
énomènes tendineux, que la réaction dégéné- 424 REVUE DE pathologie NERVEUSE . rative survienne ultérieurement ou non, et que
s flasques graves amyotio- phiques (à suppression de l'excitabilité nerveuse ), d'origine spinale (poliomyélite) ou périphéri
dégénérative la plus légère, primitivement périphérique, des troncs nerveux mixtes, peut-être même sans paralysie; c, dans
xamen de Wagner lui-même. (Obs. VIII). Evidem- REVUE DE pathologie, nerveuse . 425 ment, après l'électrisation, le champ visu
rchives de Neurologie, t. X, p. 104 et 425. 426 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . théorie déjà exposée en détail (22 observation
on- gueur ; il émane de la substance grise, comprime la substance nerveuse et la transforme ça et là en kystes. Deux planche
re 1883.) o En se basant sur l'analyse élémentaire de la fonction nerveuse et spécialement sur les phénomènes de contiôle
PATHOLOGIE MENTALE. affection inflammatoire primitive des cellules nerveuses , laquelle est surtout accusée dans les cellules
névropathes que chez les personnes exemptes de toute prédisposition nerveuse , et il croit que la ré- ponse a cette question
ogues sont plus aisément provoqués, soit chez les sujets à hérédité nerveuse , soit chez ceux qui sont devenus nerveux par un
z les sujets à hérédité nerveuse, soit chez ceux qui sont devenus nerveux par une cause ou par une autre, que chez les pers
sont à l'abri de ces motifs d'instabilité mentale. Chez les sujets nerveux , le delirium tremens peut ou suivre sa marche o
e méthode excellerait souvent d'une façon surprenante chez tous les nerveux anémi- ques : ou non (anode dans la fosse auric
aire progressive. - On prend souvent pendant longtemps des troubles nerveux pure- ment fonctionnels, hystériques, pour des
tater que c'est dans les affections caractérisées par la dépression nerveuse , que l'on a jusqu'ici obtenu le plus de résulta
L'auteur rapporte l'observation d'une malade, âgée de vingt ans, nerveuse , qui devient hystéro-épileptique par imitation; e
oins momentanée. G. D. VIII.DR l'apomorphine dans certains troubles nerveux ; parle Dl E. Weil, chef de clinique médicale (L
origine spasmodique, tels que le hoquet, et sur quelques affections nerveuses à manifestations convulsives, soit qu'il s'agis
veloppe, comme dans les autres affections destructives du sys- tème nerveux central, des dégénérations secondaires dont l'int
e d'un phénomène mécanique, d'une compression exercée sur les tubes nerveux par le tissu conjonctif de nouvelle forma- tion
s cylindres-axes, ayant conservé leurs connexions avec les cellules nerveuses d'où ils émanent, sont doués d'une vitalité qui
a sclérose en plaques. Or, la nature de la dégénération des tubes nerveux , analogue à celle qui s'observe dans le bout cent
it ses carac- tères distinctifs à un mode de dégénération des tubes nerveux BIBLIOGRAPHIE. %I57 analogue à celui qui s'ob
nt un résumé clair, méthodique, attrayant, de l'anatomie du système nerveux central, ou plutôt de la texture et des rapport
indicatrices, on supprime tout malentendu. P. K. XI. Des troubles nerveux dans l'intoxication par le sulfure de carbone;
5.) L'intoxication par le sulfure de carbone produit des troubles nerveux divers qui peuvent atteindre la sensibilité (hype
n du sourd-muet (I vol. in-8°. Paris, 1868); Physiologie du système nerveux cérébro-spinal (I vol. in-8°. Paris, 1872); Rec
ard, 95. Anestliésie sensorielle dans les af- fections du système nerveux cen- tral, par Tliomsen et Oppenheim, 80. A
ie par Topinard, 124. Apomorphine dans l'hystérie et les troubles nerveux , 445. Apoplexie séreuse, 421. Artère basilair
tremens et folie, 434; - (opium dans le), 458. Diabète (troubles nerveux dans le chez les femmes), par Lécorcli6, 5 ?
afolie), 419, 445. Electrothérapie, par Neftel, 439. Elongation nerveuse , hématomyélie, 76. Encéphalite aiguë des enfa
c, par ICahllwum, 106. Ilématomyélie consécptive 3 l'élon- gation nerveuse , dans l'ataxie, par Rumpf, 76. Ilémiauesthési
s crâniens (trajet des faisceaux centraux des), par Edinner, 313. Nerveux (structure des éléments du système), par Front]
E DES \i \1'Ii;2LS. Syphilis et tabès, par Berger, 108. « Système nerveux central (structure du), par Edinger, 45J. Tab
11 (1889) Archives de neurologie [Tome 17, n° 49-51] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
, Paris, 1886.) Dans le cas de R..., on n'a pas trouvé d'hérédité nerveuse ou mentale. Et on peut toujours objecter qu'il
lle porte une zone très sensible qui amènerait facilement une crise nerveuse par la pression. Cependant elle n'a ni hémianes-
grand'mère maternelle est morte aliénée; un de ses frères a un tic nerveux de la face; une tante est considérée comme biza
e à voir un lien in- time entre les faits reprochés et les troubles nerveux divers de 111 ? X... Car, comme ditLegrand du S
te à observer que par une sorte d'hérédité homochrome, les troubles nerveux de lI ? X.... ont eu leur summum à vingt-neuf a
vue médico-légal), nous ne pouvons que le mentionner. PATHOLOGIE NERVEUSE DI : R1101 : UROSI : S'l'GL3GOGLiAPIIIQUL, l :
e pneumonie : elle étaitbonné, « comme du bon pain » et pas du tout nerveuse . Grands-parents maternels : pas de renseignemen
qu'il peut développer avec l'une ou l'autre main. '11 PATHOLOGIE NERVEUSE . Fo ? ! C< ! o ? tS<yëH ! <ces.Bien qu
axiale et se transforme peu à peu en papule ortiée. 14 PATHOLOGIE NERVEUSE . . Quelle que soit donc l'intensité de l'excita
nt les plateaux inducteur et induit mesurent respec- '16 PATHOLOGIE NERVEUSE . tlvement 3b et dU cenftmèlres, puis la décharg
<- graphie, 7t, 12. 188. Archives, t. XVII. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . formes ou de croûtes de l'intertrigo et de l'e
u; mais il s'agissait là, si nous ne nous trompons, d'urti- caire nerveuse spontanée. Chez deux hystériques bien connues d
nterie et d'affections cen- trales ou même périphériques du système nerveux : la raie rouge que l'ou trace sur le ventre de
les ! He'6 ! ! eo-psyc/M ! y : MS. K" de novembre 1888). ' CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
a démarche spasmodique. Là l'évolution s'arrête et 21 ,. . CLINIQUE NERVEUSE . le syndrome spasmodique fait sa station défini
r du membre. La même sensation se produit par le con- 26 CLINIQUE NERVEUSE . tact. L'application du froid ne produit plus l
ues, soit symptomatiques d'une autre maladie organique du système nerveux central.-Très souvent, elles accom- pagnaient l
om- plexus symptomatique presque invariable pour tous 28 CLINIQUE NERVEUSE . les cas, C'(',St-21-dll'e, paralysie motrice e
e forme ne se rencontre dans aucune autre maladie connue du système nerveux central. C. FORME CENTRALE SPINALE POSTÉRIEURE.
s et même du tronc jusqu'au cou aurait été complètement 30 CLINIQUE NERVEUSE . abolie. Dans les jambes, il avait des douleurs
e, à la fin du mois d'avril, ses Archives, t. XVII. 3 31 CLINIQUE NERVEUSE . membres ont recouvré leurs fonctions. Par cont
monter comme d'habitude. Le malade affirme que, dans le 36 CLINIQUE NERVEUSE . cours de l'année précédente, il avait déjà fai
rs, je les ai détachés avec une grande facilité et sans 38 CLINIQUE NERVEUSE . la moindre douleur. » Maintenant les ongles no
frère M. Pierre Marie, chef préparateur de la clinique du système nerveux à la Salpêtrière. Par son observation, il nous
s que chez les nôtres, quelque temps après, une heure 40 CLINIQUE nerveuse . pour celui de l'OBSBR1'1TION XXI, et trois heu
oïde très violentes, au point qu'il poussait des cris 42 CLINIQUE NERVEUSE . pitoyables. Ces douleurs n'étaient accompagnée
e ? Il nous est naturellement impossible de le déter- 44 CLINIQUE NERVEUSE . miner. Il est temps maintenant de passer à l'é
riode commence immédiatement après la disparition de 116 CLINIQUE NERVEUSE . toute trace de paralysie. On distingue très ne
es mois presque à la même date. Plus tard, les crises 48 CLINIQUE NERVEUSE . gastriques de ce malade étaient devenues plus
chute n'a été précédée d'aucune Archives, t. XVII. Il 50 CLINIQUE NERVEUSE . cause locale, soit traumatique, soit d'autre n
rétrograder peu à peu, et le syndrome tabétoïde avec 82 li CLINIQUE NERVEUSE . son ataxie est considérablement amendé, ce qui
érotique, ni par des rêves lascifs, etc., quelquefois 34 CLINIQUE NERVEUSE . même il lui arrivait d'avoir des crises immédi
14 août 1883). C'est ce qui a amené aussi M. Reynaud 56 CLINIQUE NERVEUSE . dans son intéressant travail à accepter à tort
: « Les lésions peuvent être plus sys- tématisées encore dans l'axe nerveux , et M. le Dr Char- pentier a signalé à la Socié
nstitution 1 Du rôle de la décompression brusque dans les accidents nerveux con- sécutifs aux explosions du grisou. ' DES
conslalé des retards dans la sensibilité; 5-6 secondes 58 CLINIQUE NERVEUSE . s'écoulaient entre l'excitation et la percepti
lombaire de la moelle. Cette lésion doit être certaine- 60 CLINIQUE NERVEUSE . ment très légère, ce qui est parfaitement démo
spinale, qui même alors ne se manifeste que faiblement. 62 CLINIQUE NERVEUSE . Quelques secousses surviennent parfois à son m
HC décompression, douleurs violentes à Aucune, t. MIL 66 CLINIQUE NERVEUSE . l'estomac, s'irradianl aux côtes.- Au bout de
des autres organes paraissent se faire régulièrement. bb CLINIQUE NERVEUSE . PATHOLOGIE DE LA FORME' INTIIAMTÉLITIQUE . O
q minutes la perte de connaissance du malade de l'OB- 70 CLINIQUE NERVEUSE . SERVATION XXIV, et les douleurs aux diverses a
qu'une seule fois, Observation XXVI et encore incom- 72 CLINIQUE NERVEUSE . plètement, le malade étant forcé de pousser po
ariable, suivall t l'exci ta hil i té myél itique. Tous 74 CLINIQUE NERVEUSE . les réflexes crémastériens, plantaires ou rotu
fois arrivé à ce point de développement, il n'a pas 76 CLINIQUES NERVEUSES . rétro-ressé, mais il n'a pas non plus progress
lacé par une uniformité caractérisée par un complexus 78 CLINIQUE NERVEUSE . clinique très simple, qui est le même pour tou
u moignon de l'épaule droite. La Archive, t. XII. , 6 82 CLINIQUE NERVEUSE . pression au niveau de l'apophyse transverse de
u plus tard, la myatrophie du membre supérieur droit. 84 CLINIQUE NERVEUSE . A une étape ultérieure de la maladie, il arriv
es, des paralysies, des troubles divers de l'intelligence. Cet état nerveux , décrit avec soin par un médecin anglais, Braid
me on le sait, très fréquentes. L'excitation mécanique des troncs nerveux agit sur les mus- cles' tributaires du nerf de
ndre l'attitude dite de la griffe cubitale. Cette hyperexcitabilité nerveuse ne peut être simulée surtout lorsqu'il s'agit d
hez les sujets hypno, tisés ne répondent pas à un seul et même état nerveux . En Téalité, l'hypnotisme représente cliniqueme
ente cliniquement un groupe na- turel, comprenant une série d'états nerveux , différents les uns dus autres, chacun d'eux s'
ien définir d'après leurs caractères génériques, ces divers états nerveux , avant d'entrer .dans l'étude plus approfondie de
, un triangle caractérisé par un amincissement anormal des fibres nerveuses . C'est là, d'après l'auteur, l'anomalie congénita
il parait projeté par compression d'arrière en avant surlesracines nerveuses antérieures. Tandis que chez les individus sain
térieures. Tandis que chez les individus sains d'esprit, les fibres nerveuses y présentent un diamètre ordinaire, chez les al
r toute sa hauteur. Infiltration pigmentaire des grandes cel- lules nerveuses des cornes antérieures, avec atrophie de quelques
n'y a plus que quelques cellules éparses. Les trousseaux de fibres nerveuses ont perdu leur myéline et les cylindraxes dégé-
tance amyloïde. P. K. IV. DES altérations PROGRESSIVES DES CELLULES NERVEUSES dans LES inflammations. Appendice relatif aux a
l'hypergénese des noyaux ne serait pas démontrée dans les cellules nerveuses pyramidales. Dans l'in- flammatiou de la substa
des cellules. Pour que le noyau se divise, il faut que les cellules nerveuses se soient transformées en gros éléments ronds s
surtout les granulations normales des couches cérébrales du système nerveux et non les grosses cellules des cornes antérieu
de semblables altérations actives. P. K.. V. Altération DES centres nerveux dans un ,C1S DE paralysie infantile cérébrale;
eaux cérébelleux et pyramidaux ; en même temps atrophie de cellules nerveuses au sein des co- lonnes de Clarke. Mais l'hémipl
masturbation, influence de celle-ci sur l'intel- ligence, troubles nerveux et mentaux de la grossesse, manie tran- sitoire
, folie érotique ou religieuse, se manifestant chez des indi- vidus nerveux , chez les dégénérés. Tous les troubles mentaux de
malformations des membres, enfin des différents signes de troubles nerveux ou de dégénérescence. Ces recherches élimine- r
due à un développement incomplet ou à une destruction des éléments nerveux . Dans la microcéphalie, les nerfs des sens, les
de Leipzig a écrit un Manuel de séméiologie des Maladies du système nerveux sans y comprendre les affections mentales propr
ocalisées en tels ou tels points de tels ou tels organes du système nerveux 'il en lire le diagnostic : 3° Examen de la par
nes inhibitoires, dus à l'irritation énergique et subite du système nerveux . Chez l'homme donc, suspension immédiate du pou
uestion écrite, portant sur l'analomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures au
- lion écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures au ca
vient d'être nommé professeur de clinique des maladies mentales et nerveuses . Médecins aliénistes sénateurs. M. le Dr DoixLT
es racines postérieures. Fleclisi ? d'après ses études du système nerveux central, selon la méthode du développement embr
itième mois de la vie utérine. Ayant étudié la structure du système nerveux cen- tral aussi d'après la méthode du développe
nt dans le bulbe, dans les noyaux de faisceaux grêles. PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ETUDE DE L'ETIOLOGIE DU TABES;
e d'observations consciencieuses et importantes et 184 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . par la voie de la statistique. Selon quelques
ins et un vacillement à yeux clos. De temps à autre, 186 PATHOLOGIE NERVEUSE . les douleurs lancinantes étaient accompagnées
ne se souvient pas d'avoir jamais été atteinte de quelque affection nerveuse ou de quelque autre maladie grave. Il y a dix
bjets chauds appliqués aux endroits atteints d'anes- 190 PATHOLOGIE NERVEUSE . thésie. Sens musculaire aboli. L'urine et les
affection pulmonaire ; sa mère, d'une hy- dropisie. Pas de maladie nerveuse dans la famille. La malade s'est toujours bien
us remarquons chez la malade : myose prononcée et 192 ), PATHOLOGIE NERVEUSE . symptôme d'Argyl-Robertson dans les deux yeux;
oires des maladies, il AticiiivLs, 1. XVII. ' 13 19 lé PATHOLOGIE NERVEUSE . n'y avait d'amyotrophie dans aucun des huit ca
attirons particulièrement l'attention sur ce point), Thé- rédité nerveuse était niée ou impossible à retrouver, dans sept
s; dans un cas, de dix ans; dans deux cas, de douze '196 PATHOLOGIE NERVEUSE . ans et dans un cas de seize ans. Par conséquen
j'ai soignées à l'hôpital pour les ouvriers niaient toute hérédité nerveuse , ne peut être pour moi une preuve suffisante de
que les sujets pris dans ma clientèle privée ont nié toute hérédité nerveuse ; leurs dépositions doivent absolument être pri
ciété. Dans ces deux cas il n'y avait absolument pas d'hé- rédité nerveuse ; il ne pouvait être question d'abus de spiritue
s derniers ont pris en considération les données les 19N PATHOLOGIE NERVEUSE . plus diverses pour arriver à résoudre la quest
pourrait-on trouver une autre nationalité dans laquelle l'hérédité nerveuse soit aussi fréquente qu'elle l'est chez les Jui
de mes deux Juives atteintes de tabes, cas dans lesquels l'hérédité nerveuse n'existait justement pas, mais dans lesquels la
r un nombre égal d'in- dividus russes et juifs atteints de'maladies nerveuses , le nombre des juifs frappés de tabes ou de par
as où la syphilis était indiquée comme très douteuse 200 PATHOLOGIE NERVEUSE . et ceux dans lesquels il n'en était pas parlé,
ai pu prendre dans mon journal que 383 sujets atteints d'affections nerveuses , se divisant en 260 Juifs et 123 Russes. Les
es faits très simples : /). Parmi les malades atteints d'affections nerveuses , le tabes et la paralysie progressive se rencon
cer- tain rôle dans l'apparition chez eux de graves affec- tions nerveuses ). Pour mettre de côté ces propriétés de nationa
cas de syphilis; dans le nombre se trouvèrent 290 cas de maladies nerveuses et parmi ces derniers 40 cas de tabes, soit 14
dans l'anamnèse du tabes, mais aussi dans celle d'autres affections nerveuses comme, par exemple, l'hémiplégie, nous devons a
légie, nous devons admettre que sur cent Juifs atteints de maladies nerveuses et ayant eu auparavant la syphilis, il se trouv
son journal 2,403 malades (1,364 hommes et 1,039 . 204 PATHOLOGIE NERVEUSE . femmes). Dans ce nombre il y a 347 Juifs (159
rès avec une fréquence égale chez les malades atteints d'affections nerveuses (sur le même nombre de malades, soixante cas in
Examinons cependant les données que nous a obli- 200 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . geamment fournies M. le D'' Korsakoff. Pendant
y voyons en effet que : 1). Parmi les malades atteints d'affections nerveuses , le tabes et la paralysie se rencontrent aussi
-à-dire dans 60 à 70 p. 100 des cas. (-1 sccivre.) 208 PATHOLOGIE NERVEUSE . LA SURDITÉ ET LA CÉCITÉ VERBALE; Par le D, F
roduit, voilà Y audition Archives, t. XVII. 14 il 1210 PATHOLOGIE NERVEUSE . proprement dite ; 2° par l'habitude que nous a
e Storungen der S proche, p. 177. ? 7tt/,avn))878, 2 ! 4 PATHOLOGIE NERVEUSE . auditives des mots ; mais à côté de cette affe
isuel, c'est une hémiopie. Par la partie du champ de 210 PATHOLOGIE NERVEUSE . la vision qui reste intacte, le malade continu
rcot. Maladies du syslème uercetta·, 1. 111., p. 15. 218 PATHOLOGIE NERVEUSE . Le diagnostic de cette affection peut, parfois
d'entre eux restèrent en observation pendant plu-. 220 PATHOLOGIE NERVEUSE . sieurs mois, et il n'y eut jamais aucun doute
t Idnds o/'J/tHst Bulish Médical Journal, oct. 1887. 222 PATHOLOGIE NERVEUSE . gistes détruisirent, chez un singe, le pli cou
7. 3 Revue de Médecine, lévrier 1888, p. 132. 22'l Il PATHOLOGIE NERVEUSE . topsie on trouvait des lésions profondes des d
plicables à l'homme. ' Charcot. Levons sur les Maladies dtt systéme nerveux , t. III, 1). 1 il. l. SURDITÉ VERBALE. 212, B
lus considérables et plus soignées. Norwich, avril 1888. CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
° 18. p. 246; u" 49, p. 22. ARCHIVES, t. XVII. 15 226 6. CLINIQUE NERVEUSE . ques minutes, quelques heures, ou quelques jou
etits pas à l'aide de deux appuis. A 10 heures, possi- 228 CLINIQUE NERVEUSE . bilité de marcher à l'aide d'un seul appui. A
sement interrogé l'hérédité, sans avoir pu trouver aucun antécédent nerveux dans sa famille. Les antécédents personnels n'o
, même séjour et même décompression brusque. Il se 230 ' " CLINIQUE NERVEUSE . fait remonter et immédiatement après la décomp
ersion, profondeur de 32 brasses, séjour de quatre mi- 232 CLINIQUE NERVEUSE . nutes, décompression brusque. Immédiatement ap
u trouble du langage, qui consistait dans l'impossibi- 234 CLINIQUE NERVEUSE . lité de parler, tandis qu'il comprenait parfai
te ans. Sa mère est morte d'un cancer à la matrice; pas de maladies nerveuses dans sa famille, pas d'antécédents personnels ,
ille, pas d'antécédents personnels , il aurait eu dans 336 CLINIQUE NERVEUSE . son enfance la coqueluche. Il a commencé son t
ca). Par contre, chez l'homme de t'OBSERVA'noN XXXV, 238 CLINIQUE NERVEUSE . la facultas signatrix de Kant n'a été altérée
ée totale chez le premier a été d'une demi-heure ; I)l 110 CLINIQUE NERVEUSE . et le deuxième de quatre semaines. En voici le
tous nos malades, l'invasion Archives, t. XVII. 16 .242 CLINIQUE NERVEUSE . a été brusque ; 2° les troubles oculaires ont
t continu qu'il compare au murmure d'un vent léger. '244 CLINIQUE NERVEUSE . Au bout de deux heures environ, il' a commence
était excessive. Les malades n'entendaient rien, pas, 246 CLINIQUE NERVEUSE . même les bruits les plus forts. Voici un autre
érédité soigneusement interrogée n'a pas'montré le moindre accident nerveux dans la famille. Les-antécédents personnels n'o
ait pas ce qu'il a. On se met à le déshabiller pour le 248 CLINIQUE NERVEUSE . frictionner. On n'avait pas encore enlevé tous
e douleurs lancinantes, qui siégeaient aux différentes 2S0 CLINIQUE NERVEUSE . régions du côté paralysé. Cette scène morbide
heure, au bout de laquelle elle a disparu tout à fait. 252 CLINIQUE NERVEUSE . ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. b). Paralsie de
que les causes psychiques sont les seuls modificateurs du sys- tème nerveux en cause. La physiologie générale nous démontre
rimer un membre avec une bande élastique, de presser sur un tronc nerveux , pour voir la contracture se développer. Si ce ph
compression d'un membre par une bande élastique ou celle d'un tronc nerveux peut-elle éveiller l'idée d'une contracture ? D
on, nous rappellerions encore le phénomène de l'hyper- excitabilité nerveuse , qui, lorsqu'on se place dans les condi- tions
notre tentative plus d'une heure chaque fois. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 2G(J Ces arguments suffisent, d'après nous, à
t de fait à la'grande famille névropathique'. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE RÉSUMÉ DES PRINCIPAUX TRAVAUX RUSSES, CONCERN
ion publique, le 1" nov. 1888 sur l'EtieÉle des maladies du système nerveux en Russie. 0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Ce
le des maladies du système nerveux en Russie. 0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Cette seconde partie, aussi condensée que poss
dans deux chapitres à part, je classe : 1° les maladies du système nerveux d'origine toxique; 2° les névroses. Enfin je te
t la même structure dans la série animale. Pour REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 271 chacune d'elles cette structure est caract
colorant des préparations par la safranine. 272 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Suivant cet auteur ce corps n'est, pas localis
le croyaient Adamkiewiz et Babès; il est disséminé dans les centres nerveux et n'a aucun rapport avec les fonctions.- A l'é
parois des vaisseaux ont subi la dégénérescence REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 273 graisseuse. Jamais Bcliakoff n'a trouvé de
ce n'est qu'en dernier lieu que le noyau change déforme. Les fibres nerveuses subissent une dégénérescence graisseuse analo-
celles des autres Archives, t. XVII. iS 274 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . régions. Les ganglions intervertébraux ne sont
tion est-elle une conception qui s'impose aujourd'hui en pathologie nerveuse . Les travaux suivants, do M. Bechterew,' montre
urdach du même côté; 30 fibres sortant du novau REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 215 du faisceau latéral du même côté; 10 fibre
atisation du processus patho- logique, dans les maladies du système nerveux , nous citerons les faits suivants, publiés en l
res fibres est à peu près inconnue. Suivant 276 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Popoff, cette commissure sert principalement d
serait donc poliencùphalile subaiguë localisée. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 277 Maladies diffuses. Angio-sarcome diffus de
ortelle. A l'autopsie, on ne trouva pas de malformation des centres nerveux ; la tumeur communi- quait avec la cavité crânie
de la face siège dans les couches optiques. 278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . II. MOELLE E1'INII'iRE. Comme méthode d'étud
ues-unes de ces fibres prennent part à la cons- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 279 titution des cordons de Goll; 3° enfin les
aison de leurs connexions avec le cervelet. 280 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . La plupart de ces recherches ont été répétées
maux nouveau-nés. L'excitabilité des différentes parties du système nerveux n'apparaît qu'à l'époque où les fibres du systè
rait au bout de quelques semaines; la regénéra- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 281 1 tion ne s'effectuant pas, il faut donc a
denberg a publié l'observation suivante : 282 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Un jeune soldat de vingt-deux ans, fort et bie
al, p. 135, n° 3, 1889. (Note de la rédaction.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 283 augmente l'excitation d'un muscle en agiss
ersà, le muscle se repose de l'une ou l'autre fatigue. Terminaisons nerveuses périphériques. M. Mitrofanoff a étudié par la m
étudié par la méthode embryogénique la nature des terminai- sons nerveuses . A une certaine époque, les terminaisons des ne
que du cylindre-axe embryonnaire. Dans les glandes les terminaisons nerveuses ont une grande ressem- blance avec la forme sim
base anatomique de l'hypothèse de Hensen. 284 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Je me bornerai à citer les quelques travaux su
. Cette image est reçue sur une bande de papier REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 283 sensibilisée à travers une fente verticale
s les carotides. Mais si l'on sectionne les 286 REVUE DE pathologie nerveuse . deux sympathiques ou cou, la dilatation réflex
uis elles se rendent au ganglion de Gaxer, et' 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 287 sortent avec le trijumeau. La section du t
ale. Dans la couche granuleuse externe se trouvent des éléments non nerveux . La différenciation se faitde' la papille vers
sixième sens chez les amphibies. Ces orga- nes, appelés tubercules nerveux , découvert par Schultze et décrits par Leydig,
ent à une certaine époque. Il est certain que la plupart des troncs nerveux qui s'y rendent provien- nent d'un noyau bulbai
d interne s'élève (flexion dorsale du pied 1288 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . oblique en dedans); en certains cas, il se pro
e la moelle et du cerveau, l'excitabilité modifiable des expansions nerveuses à la périphérie de la peau, la prolongation mêm
UESTION DE L'ORIGINE DU NERF AUDITIF ET A L'nt- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 289 PORTANCE PHYSIOLOGIQUE DU NERF VESTIBULAIR
condenser le mé- moire de M. Bechterew. Du développement du système nerveux chez des foetus humains, il est arrivé à établi
iens (opérations), les physiologistes (extirpa- Revue de pathologie nerveuse . »'1 1 lions), et les médecins (myxoedème), le
aire, mort. L'auteur insiste sur l'origine 2'J2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . congèniaie (12 ans); au début minime, elle s'a
d'une partie centrifuge (système pyramidal) et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 293 d'une partie centripète (ruban de Reil) ;
ou moins prolongés, mais ayant bientôt 2 ! I4 i REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE , laissé chaque jour au patient un répit de troi
ce qu'on semble accorder à ses recherches sur l'anatomie du système nerveux et fait à cette occasion passer sous les yeux d
ujours été un peu original, avait quelques antécédents héréditaires nerveux . M. MARANDON DE Momtiiyel voit dans cette obser
du corps cal- leux. Idem ». M. Tuczek (de Marbourg). Des troubles nerveux dans la pellagre (avec démonstration). Etudes [
téré par une prolifération endothéliale de l'épendyme; des cellules nerveuses , surtout celles des cornes antérieures, très pi
l'ergotisme, l'alcoolisme et les autres intoxications les troubles nerveux du maïdismeoude tapsyehoné- vrose maïdique ne s
n'y rencontre pas des micro- organismes, notamment dans les centres nerveux ? Est-ce que cette' maladie, qui vient d'appara
stations cérébrales du rhume de cerveau, surtout chez les personnes nerveuses . L'orateur com- munique une observation de psyc
la nutrition attribuables à ces causes qui ont affaibli le système nerveux . Ce sont des troubles gastriques, de l'atonie du
de l'énergie du coeur et stases qui se surajoutent en plein système nerveux central). Sortir le malade de chez lui, lui donne
des formes psychopathiques, la folie étant la maladie d'un système nerveux fatigué, en état de faiblesse irritable, de langu
s individus dégénérés prédisposés par l'héré- dité à une excitation nerveuse considérable. (The Alienist aii-d Neti,ologist,
l'alcoolisme des parents peut encore développer d'autres affections nerveuses , soit des névroses (hystérie, épilepsie), soit
rveuses, soit des névroses (hystérie, épilepsie), soit des maladies nerveuses organiques, et surtout la paralysie générale so
érations ont leur origine et leur siège principal dans les éléments nerveux , et non dans le tissu conjonctif, comme le pens
s par les couvents, assurent les Archives ita- liennes des maladies nerveuses (n° 5 et 6, 1888). Nous apprenons, disent-ils,
tes de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux . Les temps sont revenus où, pour ne parler que
complète sur les deux hémisphères, et qu'il ne reste aucun élément nerveux homonyme susceptible de le suppléer. Mais c'est
énomènes de déficit vont s'atténuant par la suppléance des éléments nerveux homonymes de l'écorce; une troisième, où les ph
atif, beaucoup plus étendu, rayonne au loin, constitué d'éléments nerveux de même nature, mais en propor- tion progressiv
aits; ils possèdent une méthode, et ne se font point 362 PATHOLOGIE NERVEUSE . d'illusion sur la part d'erreur et de vérité d
re et la portée des solutions pos- sibles. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE L'ÉTIOLOGIE DU TABES'
j'exclus un cas très douteux de tabes, il y aura en 364 PATHOLOGIE NERVEUSE . tout 3 cas de tabès, soit 4 p. 400. De même po
u un seul de ces tabes sur plus de 300 Juifs atteints de maladies nerveuses ; quanta la paralysie, nous jugeons d'après les
off, com- bien de malades, Russes ou Juifs, atteints d'affections nerveuses , avaient élé anciennement infectés de la syphil
appés de tabes que je connais, 7 avaient eu pour sûr 366 PATHOLOGIE NERVEUSE . là syphilis, ce qui donne plus de 87 p. 100 et
arfaite santé, est en réalité fils de parents atteints d'affections nerveuses et proche parent d'hystériques, ÉTUDE DE l'ÉTIO
oignés par moi à l'hôpital (Compte rendu de la section des maladies nerveuses , hôpital de la Yansa, pour 1887). Il est indu
e. Tous les médecins ont vu de ces cas dans lesquels des affections nerveuses anatomiques, la myélite, par exemple, ont été s
l voulait à tout prix le cacher, parce qu'il n'était 363 PATHOLOGIE NERVEUSE . marié que depuis quelques semaines et qu'il cr
la statistique du tabes chez la race la plus sujette aux maladies nerveuses , mais par contre, la moins sujette à la syphili
paralysie pi'agressive n'est pas une tendance innée aux affections nerveuses et mentales, mais la syphilis. Quant à l'influe
l'avis qu'il est possible de regarder le tabes comme une affection nerveuse post-sypliili tique, analogue aux paralysies et
emarque qu'il titubait souvent ; puis, il commença à 372 PATHOLOGIE NERVEUSE . tomber dans l'obscurité. En octobre, il tomba
a le 20 octobre 1886, à l'hôpital de la Jansa, section des maladies nerveuses , à Moscou ; il s'y trouve encore actuellement.
t;')i< ? se)'e)/omt ? «;«) ! HO<')'Kei<. Examen du système nerveux . L'état psychique et la parole du malade sont p
jambe gauche est privé de sensibilité, dans les ré- 374 PATHOLOGIE NERVEUSE , gions du nerf cutaneus lateralis a la hanche e
os et tout le ventre sont constamment insensibles. 376 PATHOLOGIE NERVEUSE . Les résultats généraux de ces examens répétés
ctère paludéen cédant rapidement à la quinine. Du côté du système nerveux , nous trouvons dans les mouvements une ataxie v
le est donc l'étiolo-ie de cet inté- ressant assemblage de troubles nerveux que nous retrouvons chez notre malade ? Nous
malade ? Nous ne pouvons admettre comme cause de ces phé- nomènes nerveux ni l'hérédité, ni l'action particulière du froi
oire. C'est pourquoi nous devons bon gré mal gré attribuer son état nerveux aux causes qui ont amené une déchéance si rapid
intermittentes et des paralysies semblables qui sont 380 PATHOLOGIE NERVEUSE . la suite de la fièvre intermittente (voir Herz
baser pour voir dans la fièvre intermittente la cause des troubles nerveux que nous avons relevés dans notre malade. Mais,
, à notre avis, a. une importance capitale c'est que 382 PATHOLOGIE NERVEUSE . chez notre malade le commencement des symptôme
HOLOGIE NERVEUSE. chez notre malade le commencement des symptômes nerveux a été remarqué beaucoup plus tôt que l'appa- ri
le cas donné la fièvre intermittente comme la cause des affections nerveuses que nous avons relevées ; et il ne nous reste q
'un phénomène qui est surtout si connu spécialement par les lésions nerveuses qui l'accompagnent, il est difficile de ne pas
riles ont sans aucun doute contribué à l'aggravation des phénomènes nerveux ; presque après chaque accès, on remarquait ou que
veux; presque après chaque accès, on remarquait ou quelque symptôme nerveux (par exemple : la sensation de ceinture), ou l'ag
,. 383 a saturnine qui a été la cause fondamentale des affections nerveuses apparues plus tard. Mais qu'est au fond cet ens
pparues plus tard. Mais qu'est au fond cet ensemble des symptômes nerveux que nous avons observés chez notre malade ? Il
s lesquels n'existent pas les symptômes oculaires. 384 pathologie nerveuse . Nous reproduirons comme exemple les paroles de
s contraires, etc. » M. Eulenburg, dans son manuel des affections nerveuses dit que dans un tiers de ses sujets il n'a pas
non pas ' Real-Encyclopedic, t. XIII, p. 385. : Maladies du système nerveux , 1879, t. 1, p. 232 cl 233. a 1`" GClilÎpil, 17
es pseudo-labes, 1885; Lille. .lucmna, t. 1\ IL 2j 386 pathologie nerveuse . signes qui distinguent la pseudo-tabes du tabe
ipations, coliques, liséré aux gencives, ont disparu, les symptômes nerveux ont progressé devant nos yeux et il ne se produ
nes parétiques et une douleur lors de la pression des grands troncs nerveux : aucun de ces phénomènes ne se retrouve chez n
, 1886, p. 38. ' .9nch. f. Psch. Bi. \lll, n^ 1. 388 8 pathologie nerveuse . vait des altérations très caractéristiques des
ns ce dernier une prédisposition singulière - de. graves affections nerveuses qui portent en elles des signes caractéristique
imples étaient sentis presque partout par le malade. 390 pathologie nerveuse . Un fait qui est très intéressant, c'est que le
ications de l'organisme se manifestent en géné- ral dans le système nerveux soit par une lésion des nerfs périphériques, so
s de la moelle épinière; elles semblent être une place du système nerveux central tout particulièrement prédis- posée à s
dent avec une telle rapidité, elles sont si mobiles et 394 CLINIQUE NERVEUSE . si incohérentes qu'il est difficile de les sui
s le moindre amendement, mais au bout de ce Leiii : )s 398 CLINIQUE NERVEUSE . la titubation se dissipe complètement. La sens
érieure, au sur et à mesure que l'affection progresse, 400 CLINIQUE NERVEUSE . que nous voyons les paroxysmes établir par leu
re origine, si elle n'est pas Ancuiviis, t. XVII. 26 4(M CLINIQUE NERVEUSE . enrayée dans sa marche par les médications de
symptômes céphaliques ne sont plus fugitifs, mais 404 - - CLINIQUE NERVEUSE . bien permanents, ils ne durent plus des minute
hérédi- taires n'offrent rien d'important, il n'y a pas d'accidents nerveux dans la famille. Comme accidents personnels, ce
vec rage ses membres, il aboyait et se jetait sur ceux 406 CLINIQUE NERVEUSE . ' qui l'entouraient pour les mordre, ce qu'il
- fisant au développement des symptômes spastiques,' 408 CLINIQUE NERVEUSE . sont spasmodiques ». La marche de la paraplégi
sont provoqués par la localisation de l'agent pathogène au système nerveux . Cet agent peut très bien se localiser en dehor
nerveux. Cet agent peut très bien se localiser en dehors du système nerveux , à un autre tissu ou organe et nous avons alors
ité des cas, ne dépasse pas les vingt-quatre heures. 11.10 CLINIQUE NERVEUSE . Cet accident est si bien connu que nous croyon
a sclérotique. Il n'y avait aucune trace de paralysie. 412 CLINIQUE NERVEUSE . Si on le pinçait, on le frottait, on le toucha
descendu tout d'abord à une profondeur de dix brasses, 414 CLINIQUE NERVEUSE . pour arriver graduellement à des profondeurs p
utes après l'enlèvement du casque, il a été atteint 41(5 ' CLINIQUE NERVEUSE . d'une brûlure dans les yeux qu'il frottait for
la manière de procéder pour toutes les maladies surtout du système nerveux . Nous tâ- chons avant tout de connaître quoi ?
es quatre membres. 11 ne pouvait bouger que la tête. 420 0 CLINIQUE NERVEUSE . Pas d'autres symptômes. Au bout de deux heures
ondeur, dix minutes de séjour au fond et décompression 132 CLINIQUE NERVEUSE . brusque. Accident cérébral complexe (pote de c
1883. Rien. Guérison com- plète et définitive. li ^2 't CLINIQUE NERVEUSE . Ce scaphandrier, comme on l'a remarqué, a eu a
ive à Calymnos où le voit le Loc. cit. Loe. cit. 't-26 CLINIQUE NERVEUSE . Dr Pélicanos. A ce moment il est complètement
jusqu'aux cuisses. Je lui ordonnai le traitement ordi- 428 CLINIQUE NERVEUSE . naire, l'application des ventouses scarifiées,
rois plongeurs à scaphandre sont morts subitement en 430 CLINIQUE NERVEUSE . quittant le travail sous-marin. Pas d'observat
ait à ses compagnons si ses yeux étaient ' Loc. cil. 4,3 CLINIQUE NERVEUSE . ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. rouges; pendant
pparaître par le fait d'une alimentation in- «- complète et un état nerveux toujours en émoi, toujours en éréthisme. Enfi
ent de rémission, la dénutrition par refus de manger et l'éréthisme nerveux ontpour couronnement de leur effort incessant u
s musculaires avec les incitations internes est détruite ; l'influx nerveux s'est altéré par dénutrition ; le sens musculai
vitale, et cela au point qu'ils sont incapables d'élaborer l'influx nerveux nécessaire à toute manifestation énergique ; qu
se résout en extériorisation avortée ; 3° la décadence des centres nerveux périphériques en rapports direct avec les centr
sympathique semble plus respecté que les autres parties du système nerveux puisque, sous l'influence de l'électricité, la
TIQUE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME " NERVEUX Professeur : CHARCOT Compte rendu du service
.homme. Dans 9 cas, l'hystérie était associée à une autre affection nerveuse , déterminant des troubles visuels propres. L'ex
STIQUE. SERVICE OPHTHALT101,OGIQUE. 439 1161) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . il. Charcot. Le malade habitué surtout à lire
s la dépendance de fibres trophiques spéciales. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX. RÉSUMÉ DES PRINCIPAUX TRAVAUX RUSSES, CON
de l'hôpital Saint-Antoine. V. DES LÉSIONS PATHOLOGIQUES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL' DANS. LES TROUBLES DE LA NUTRITION.
1 Voy. Archives de Neurologie, n°51, p. 269. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1 occupé des altérations des éléments nerveux
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 1 occupé des altérations des éléments nerveux sous l'influence des intoxications, d'autant pl
ières années, des travaux importants sur les altérations du système nerveux central et périphérique produites par les intox
(plomb, arsenic, mercure, pui- sons végétaux, inanition) le système nerveux présente tou- jours les mêmes lésions : l'atrop
es individus qui n'avaient succombé ni à une maladie du sys- tème nerveux , ni à une intoxication. Mais M. Pekoeur, en Rus
la valeur pathologique de la vacuo- lisation. Lésions du système nerveux central produites par les dé- charges d'électri
ces. Dans une première série, la décharge portait sur les centres nerveux mis à nu; l'animal était tué par la décharge et o
l'écorce étaient opaques; granuleuses. Dans 462 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . la substance blanche, l'exsudat avait l'aspect
mentation de la myéline. Influence de l'layperémie sur le système nerveux central. Des études ont été faites sur ce sujet
mène les lésions décrites. Influence de la nicotine sur les centres nerveux . M. Tchcr- bach a montré qu'une injection de ni
mes, et ils se sont entourés de toutes les pré- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . -463 cautions pour éviter les causes d'erreur.
le sujet continue à fumer. Influence de V antipyrine sur le système nerveux . Le D'' Blumenau. montré, en employant la métho
plus complets sur ce sujet. Le substratum t(il 'REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . alcoolique constant est la névrite parenchymat
affection indique un trouble profond dans la nutrition des éléments nerveux . Altérations du système nerveux central dans le
fond dans la nutrition des éléments nerveux. Altérations du système nerveux central dans les maladies infectieuses. Ces mod
soit de la présence des agents organiques' pathogènes dans le tissu nerveux lui-même. il. Rosenthal a montré que dans la sé
cellule prouve la division possible des éléments nobles du système nerveux central. Dans le bulbe et dans la moelle, les l
tion de Mi Roudoff, un malade, à la suite d'une REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 163 fièvre typhoïde, présenta des douleurs le
ques dans la lèpre. Aucuives, t. XVII. 3U 16b REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . - Le D'' Soudakevitch observé que dans la Icpr
Soudakevitch observé que dans la Icpro les cap- sules des cellules nerveuses des ganglions sont épaissies; leur endothélium
endothélium desquame, prolifère et remplit la capsule. Les cellules nerveuses contiennent des bacilles, leur pro- toplasma de
hypéresthésie cutanée ; dou- leurs à la pression le long des troncs nerveux ; réllexes cutanés et tendineux abolis, ainsi q
itielle -au contraire ne peut pas se localiser. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 467 Un cas de paralysie ascendante aiguë ( ? )
a compres- sion par des ganglions tuméfiés. . Lésions du système, nerveux sympathique dans la paralysie générale. -L'exam
sseaux, une prolifération du tissu con- - 468 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . jonctif périvasculaire interstitiel des gangli
acuolisation, mais jamais la dégénérescence graisseuse des éléments nerveux . Dans les autres formes de l'aliénation mentale
résulte que les troubles trophiques sous la dépendance du système nerveux sympathique, ne diffèrent pas de ceux des autres
s soins que réclame l'état de ces malades. Altérations du système nerveux consécutives à l'ablation de la glande thyroïde
Influence de l'extirpation de la glande thyroïde sur le sys- tème nerveux central. L'excitabilité de l'écorce augmente d'
après les recherches de M. Avtokratoff, ZD Modifications du système nerveux central dans le vernissage REVUE DE PATHOLOGIE
s du système nerveux central dans le vernissage REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 469 de la peau. Les recherches de M. Anfimoff
st due à une action périphérique continue, agissant sur les centres nerveux . Les lésions observées sont strictement limité
la suite de différentes causes débilitantes agissant sur le système nerveux dans les intoxications par Danillo, Popoff, Tch
animaux auxquels il avait enlevé diffé- rentes^ parties du système nerveux central, à l'hypnotisme .d'animaux non mutilés.
répondent pas à l'excitation électrique. 470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . La grenouille hypnotisée, mise dans une atmosp
l'inutilité de leurs mouvements. Action de l'aimant sur le système nerveux . Le D'' Blume- nau n'a obtenu que des résultats
ns fondamentales. Rien d'anormal au microscope, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 471 sauf que les cellules pyramidales paraissa
tion. Le premier, il a fait conaitre l'atrophie simple des cellules nerveuses . Dans le même laboratoire, nous avons examiné l
ations de M. Avtokratoff, concernant les altérations des cel- lules nerveuses chez les animaux privés de leur glande thy- roï
ations de M. Ro- zowitch l'exactitude de sa description des lésions nerveuses chez les animaux privés de la glande thyroïde,
se en plaques, qui occupaient les deux cor- 475 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dons latéraux, au niveau de l'entre-croisement
striation du cylindre-axe des nerfs périphériques et des cordons nerveux centraux. Tous les nerfs présentent cette striati
n outre, ils viennent tous à l'appui de cette idée que les maladies nerveuses sont les mêmes dans tous les pays. Le 'manque d
orsque nous l'avons vu, il y était pour la qua- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 473 3 trième fois et son état était des plus g
pital municipal d'Odessa, nous avons visité la section des maladies nerveuses , placée sous la direction de M. Moc- xoutkowsky
l se trouvait un vieux soldat Israélite 474 ! k REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . atteint de grande hystérie. Il présentait de l
de la face. BIBLIOGRAPHIE. Anfimoff. - Des altérations du système nerveux central des ani- maux dans le vernissage de la
Det'iniluence de l'extirpation de la glande thyroïde sur le syslème nerveux . Le Médecin, n° 47, 1887. Biachkoff. Deux cas d
n. de Alier- iiew6ky, 411 an., fasc. I, 1866. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 47S 5 Bechtérew. De l'excitabilité des diflére
ersbourg, 1886. Blumenau. De l'influence de l'aimant sur le système nerveux central. Jouru. de 3liei : iiewsk-y, 0e an., fa
e an., fasc. 1, 1888. De l'influence de l'antipyrine sur le système nerveux . Journ. de Mierjiewsky, 5° an., fasc. Il, 1888.
ueil physio- logique, etc. Karkoff, 1888. 476 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Daniiewsky. Du rapport entre la fonction du ce
émence ' ' séniie.LeiVedec ! ') ! ,n''2,t88G. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 477 7 1(lousne[zoff. Des altérations du systèm
ATHOLOGIE NERVEUSE. 477 7 1(lousne[zoff. Des altérations du système nerveux central dans l'hypérémie expérimentale. Thèse i
ersité de Varsovie, nos 1, 2, 3, 1888. Delà nature des terminaisons nerveuses périphériques. Nouvelles de l'Université de Var
lysie générale.- Revue de Médecine, 1886. 478 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Popoff. Des lésions de la moelle épinière dans
ale, Saint-Pétersbourg, 1887. Rosenthal. Des altérations du système nerveux central dans les maladies infectieuses. Thèse i
s. Le Médecin, nu 43, 1886. De l'influence du tabac sur les centres nerveux . Le Jléde- ctzz, nO5 5, G, 7, 8 et 9, 1887. T
it souvent de la bouche : la croissance fut 480 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . entravée. A l'âge de deux ans, Elisa X... subi
principales dimensions prises sur le vivant : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 481 même aux lieux de prédilection (aisselles,
sions des différentes parties des membres : 482 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Elisa 1 ? a présenté un écoulement vaginal san
cérébraux, d'autre part sur son pouvoir d'arrêt sur les extrémités nerveuses surexcitées. Les malades de M. Saury faisaient us
8 septembre t888. M. le D'' PHILIIIC. Knapp (de Boston). Affections nerveuses consé- cutives ci un traumatisme. Le trauma peu
t de peu de valeur, attendu que l'hystérie peut simuler les malades nerveuses les plus complexes, soit par suggestion extérie
hington). Rapport entre les maladies des reins et celles du système nerveux . (Urémie.) M. le D'' C.-L. (de New-York). Local
; traduit par P.-J. Kovalevsky, professeur des maladies mentales et nerveuses à l'Université de Kharkoff, 1888, traduit par W
est un état particulier de l'organisme ou de la totalité du système nerveux qui survient quand l'individu ressent dans tout
s dans BIBLIOGRAPHIE. 193 l'évolution de l'ivrognerie, la période nerveuse ou prémonitoire et la deuxième celle de la dyps
s de la neurasthénie (défaut d'équilibre et irritabilité du système nerveux , affaiblissement des centres supérieurs de l'en
M. Ribot admet que le réflexe est le type unique de toute action nerveuse , de toute vie de relation. Chez le nouveau-né le
té psychologique sans mouvement moléculaire corrélatif des éléments nerveux . 11 tire ses arguments d'un judicieux usage, d'
1° Que la face psychique se trouve avec le mouvement moléculaire nerveux dans une corrélation telle qu'elle doit son exist
; c, de l'état dans lequel se trouvent, à ce moment-là les centres nerveux de cet individu. Dans une dernière partie, M. H
Liée exclusivement à la désintégration fonctionnelle des éléments nerveux centraux, la conscience possède une intensité en
ourant des toutes dernières recherches. P. KERAVAL. XVI. Affections nerveuses consécutives à un traumatisme (commotion spinal
dégénératifs typiques. Fréquemment, ils sont les causes de troubles nerveux tels que l'hystérie, la neurasthénie, les psych
des - au Sénat), 134, 314. Antipyrine (influence sur le système nerveux ), 463. Aphasie et cécité psychique, par Freun
labius, 290. Bibliographie (sémeiologie des ma- ladies du système nerveux ), par Moebius, 151 ; mort par la déca- pitati
app, 498 ; psychologie physiologique, par Sergi, 498 ; Affections nerveuses consécutives au traumatisme, par Knapp, 499.
', par Bourneville, 90 : nouveau cas, par Cousot, 479. Cellules nerveuses (altérations pro- gressives des dans les inflam
tale, par Lieb, 314. Electricité statique (Lésions du sys- tème nerveux produites par l'), 461. Empoisonnement par l'
général, par Camuset, 296. Ilypérémie (influence sur le système nerveux central), 462. Hypnotisme (grand et petit), par
les idées), par Will, 112. Infectieuses (altérations du système nerveux dans les maladies), 464 ; altérations du neri v
ez les), par Struempell, 287. Nicotine (influence sur les centres nerveux ), 462. Ophthalmologique (compte rendu statist
par Rosenbach, 291. Paralysie infantile (altérations des centres nerveux dans un cas de), par Wallenberg, 110. Paralys
veux central dans le vernissage de la), 468. Pellagre (troubles nerveux dansla), par Tuielizek, 299. Physionomie (méc
e de), par Ber- nhardt, 292. ' Thyroïde (altérations du système nerveux consécutives à l'ablation de la glande), 468.
12 (1886) Archives de neurologie [Tome 12, n° 34-36] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CHAULES uo,mssrv. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION Uh : K
6 Vol XII. Juillet 1886. N" 34. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'ATROPHIÉ MUSCULAIRE DANS LES PARALYSIES
médical, an- née 1886, no 6. - Archives, t. XII. 1 , , CLINIQUE NERVEUSE . bles trophiques dans l'hystérie semble constit
e ; il revient du Tonkin affaibli, mais sans éprouver aucun trouble nerveux , sinon des maux de tête assez fréquents. Il tom
el. Rien de particu- lier à signaler au point de vue des affections nerveuses . - Côté maternel. De ce côté, tous ses parents
e - cela se passe en 188>. Il reste un an en Afrique. 4 CLINIQUE NERVEUSE . A la fin de 1883, on l'envoie au Tonkin. Au' b
rps ; les doigts, sont dans -, l'extension et ils pré,- si CLINIQUE NERVEUSE . sentent un peu de raideur. - Le membre supérie
rière ; nous le remercions vivement de son obligeance. 8 CLINIQUE NERVEUSE . DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE NERVEU
nce. 8 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. t0 CLINIQUE NERVEUSE . mord son bras; la jambe droite est fléchie sur
temps aux doigts et à la main du côté opposé les mêmes 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . mouvements; au bout de quelques instants, quel
au au bout d'une heure ; mais la motilité persiste. 1 14 CLINIQUE NERVEUSE . 25 avril. -Depuis plus d'un mois la motilitépe
t déjà tout à fait en rapport avec l'idée d'hystérie. 16 CLINIQUE NERVEUSE . Nous venons de supposer que les crises dont no
sumée).- Homme âgé de trente-quatre ans. - Antécédents héréditaires nerveux . - Convulsions dans l'enfance. - A l'âge de dix
ATROPHIE MUSCULAIRE. 19 .gauche qui aurait duré deux ans. Mère très nerveuse , impres- sionnable ; elle est hémiplégique du c
ce ne présente pas de troubles de la motilité. ,Le côté 20 CLINIQUE NERVEUSE . gauche est plus grêle que le droit ; on note e
e flageller le malade. Les flagellations sont faites par 2 CLINIQUE NERVEUSE . DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le CLINIQUE
2 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 23 '»4 le CLINIQUE NERVEUSE . M. Gautiez sur la région pariétale droite; apr
reconnaître pour cause quelque modifica- tion dynamique des centres nerveux , et, eu rapprochant cette donnée de ce que le m
intensité, elle s'est atténuée à son tour. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE DU TABES COMBINÉ (A'l'A\0-51 ? SIOUIQUI ? ), ou
isceaux de Bur- ' Voy. t. XI, p. 156 et 380.. ". .. 28 PATHOLOGIE NERVEUSE . dach). Je ne crois pas qu'il y ait d'objection
une myélite systématisée ou d'une myélite diffuse ? 30 PATHOLOGIE NERVEUSE . · Pour les Allemands, Westphal et surtout Kahl
lésion systématique; chez les autres, par une lésion 32 PATHOLOGIE NERVEUSE . diffuse; chez d'autres encore, par une double
ui résume cette question : dans Archives, t. XLI. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE . les lésions combinées des cordons postérieurs
dorsal spasmodique; mais sur ce point je m'écarte de 36 PATHOLOGIE NERVEUSE . sa manière de voir et me range plutôt à celle
après les travaux de Dejerine, que ce sont des maladies du système nerveux tout entier. La considération des réflexes rotu
ssent raisonnablement simuler toutes les autres lésions des centres nerveux . Je n'hésite pas à dire que bien souvent la dis
i, dans beaucoup de cas, permettront un diagnostic. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE . Les lésions de la sclérose en plaques ne prése
l'acte morbide anatomique (lésion de la moelle) : ré- 40 PATHOLOGIE NERVEUSE . vulsifs de tout genre, vésicatoires, pointes d
extrêmement utile dans beaucoup de maladies chro- niques du système nerveux . On prescrira les deux médicaments, par exemple
ies de la moelle, qui mérite une place à part dans 42 -) PATHOLOGIE NERVEUSE . les cadres de la neuropathologie et que je pro
de spéciales; ce qui prouve que la connais- sance de cette maladie nerveuse particulière est im- portante, non seulement au
r Babinski et Charrin. 1 Voy. le t. XI, p. 362. - 44 4 pathologie NERVEUSE . supposition d'une exagération de la fonction r
ué, ainsi Brown-Séquard, Heidenhain, etc. La physiologie du système nerveux nous enseigne que se sont surtout les irritants
is que pour les irritants continus la suscepti- bilité des éléments nerveux se perd successivement. Cette fatigue, qu'on ép
e, pour une influence de force constante, l'irritabilité du système nerveux diminue successive- ment. Puisque toute fonctio
heures, autant de fois que j'ai fait l'expérience. i si pathologie NERVEUSE . peut arriver que, de cet état, il s'éveillera
beaucoup plus grande impression que les anciennes, is PATHOLOGIE NERVEUSE . ou bien la faculté de comparaison manque-le pr
i à la même cause les symptômes Archives, t. XII. 4 50 Pathologie nerveuse . moteurs et les symptômes soi-disant psychiques
esl, I rat(. 7eüschri/'t. 980, 11, 4. ' r . ? 1 ! , : i2 PATHOLOGIE NERVEUSE . et l'hémi-catalepsie des deux côtés était acco
ar sug- gestion. (Congrès de Grenoble, 1885.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE t. MYÉLITE SUBAIGUE DES CORNES antérieures. - P
appréciable des crises d'épilepsie. G. D. 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . V. Myélite chronique diffuse ; par le Dr Raymo
ait le sujet de cette observation ne rentre pas REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 59 dans le cadre des hémichorées symptomatique
ésigne sous le nom d'herpétisme, et auquel il rattache des troubles nerveux multiples. l'arthrite déformante, les varices d
e mémoire et les planche*.) Intégrité des autres parties du système nerveux , mais le pédoncule céré- bral droit et la moiti
ntrôle « des centres supérieurs (centres d'inhibition), les groupes nerveux « qui servent au langage aient pris une activit
habituelle- ment concomitante de la chorée; de plus si les émotions nerveuses sont capables de déterminer l'apparition des ph
qu'il aurait révélé de profondes altérations des éléments du tissu nerveux . L'observation du malade et l'autopsie sont rel
traitement périphérique dans les allections cen- trales du système nerveux . 1 le traitement périphérique symp- tomatique n
éflexe de l'agent électrique sur les vaisseaux sanguins des centres nerveux (faradisation selon la méthode de Rumpf '); la
it être faite en faveur des divers troubles fonctionnels du système nerveux cen- tral (neurasthénie, hystérie); 5° le triom
nne de la vigueur à ce qui reste encore des éléments musculaires et nerveux , et imprime un coup de fouet à la convalescence
de majorité, tant parmi les sujets normaux que les sujets malades nerveux ne s'oppose pas à l'inhalation ; même des personn
s ces conditions, l'électricité débarrasse les aliénés de symptômes nerveux périphériques ayant une ori- gine centrale, sur
ontinu a amélioré, au moins pour un temps, l'ensemble des symptômes nerveux et psychiques. P. K. 1 Voy. Archives de Neurolo
résie surtout frappante à droite). Aucun signe de lésion du système nerveux central. P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOG
du noyau opposé des faisceaux de Burdach et s'unissent aux cellules nerveuses qui s'y trouvent. P.K. III. Contribution A La
A la NOUVELLE méthode DE coloration DE VE1GERT DESTINÉE aux FIBRES NERVEUSES A MYÉLINE DES organes centraux; par M. FRIEDMAN
es de long). Ce dernier commence dans un groupe de petites cellules nerveuses placées en arrière etau-dessus du noyau de Deit
eures se montrent intactes. Dégénérescence remarquable des cellules nerveuses qui occupent l'angle compris entre les cornes p
xpliquer l'existence de phénomènes spas- modiques sur un territoire nerveux atteint de paralysie péri- phérique ? Ce n'est
est difficile, lorsqu'on constate l'intégrité d'autres départements nerveux , de penser à une lésion de noyaux du facial. M.
xplication des termes : Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux , III, f. I, p. 135. Archives, t. XII. 8 11 le
roportion de 0,6 p. 100. M. Oppenheim. Dans la section des maladies nerveuses l'inertie 118 SOCIÉTÉS SAVANTES. pupillaire s
es troubles fonctionnels du larynx dans les affec- tions du système nerveux central. Examen à ce point de vue plus de 200 m
isse, péroniers). Le processus parait avoir débuté par les branches nerveuses périphériques. M. Bernhardt. Les processus poli
e blessure céphalique grave aboutit à une excitabilité psychique et nerveuse ; affaiblissement mental et nerveux. Aucune conv
à une excitabilité psychique et nerveuse; affaiblissement mental et nerveux . Aucune convulsion, mais accès de céphalalgie.
le pincement et le tiraillement auxquels sont soumises les branches nerveuses dans les contractures exagérées du psoas et des
herches, elle est très rare, et il est probable que plusieurs états nerveux où on l'a signalée doivent être rattachés à l'h
ls sur le squelette, la circulation, la res- piration et le système nerveux . L'instruction pratique consistaiten l'applicat
De l'idiotie et en particulier des lésions anatomiques des centres nerveux dans l'idiotie » Prix Aubanel. Ce prix, de la v
iebd.). F £ né(Cii.) Trailcèlcmentaired'anatomiemédicale du système nerveux . - \'oliiiiiein-1 ? o de 496 pages, avec 2 13 f
e etE. Lecrosnier. Grasset. Traité pratique des maladies du système nerveux , suivi d'un appendice sur l'électrothérapie, pa
th.iyu et Lecrosnter. R\YMO : i'D. Anatomie pathologique du système nerveux . Cours com- plémeutatre, professé à la Faculté
. XII. Septembre 1886. N° 35. ARCHIVES DE NEUROLOGIE r ! CLINIQUE NERVEUSE DE L'IDIOTIE COMPLIQUÉE DE CACHEXIE PACHYDERMIQ
e cette giande et l'existence du Archives, t. XII. 10 13 CLINIQUE NERVEUSE . myxoedème, ou de la cachexie pachydermique. Ce
Voir plus loin les observations de Th... est de Gra .. 140 CLINIQUE NERVEUSE . Observation II. Idiotie. Gonflements anormaux
ses premières dents à deux ans; il n'es- - I·'iJ. à. 142 CLINIQUE nerveuse : ". saya de marcher pour la première fois qu'à
ntal Science, vol. XXII, 18 îG, p. 2f1). l'rg. 6. il ? CLINIQUE NERVEUSE . l'étal normal ; il présentait sur ses bords un
ignements est intelligente; une deuxième morte pmtri- naire. Pas de nerveux ni de difformes, etc., dans la famille.] Mère,
exie pachydermi- que. Le sujet de droife est Gr... - 148 CLINIQUE NERVEUSE . chondres, une saillie marquée en dehors, la ba
t semble un peu moins lourd : on supprime les douches. 150 CLINIQUE NERVEUSE . 28 décembre. - Nous voyons le frère et la soeu
t ailleurs le ventre est médiocrement douloureux; il 152 " CLINIQUE NERVEUSE . existe un tympanisme léger. - Langue légèremen
uite et fin). , Par le Dr BABLNSKI, Chef de clinique des maladies nerveuses à lu Sdtpctriere. Observation III (résumée). R.
par Eastes Wilks. 2 France médicale, )),année 1884. 156 CLINIQUE NERVEUSE . plus essentiel à noter dans cette observation
du malade et qui est fixé au pourtour de son corps par 158 CLINIQUE NERVEUSE . un cerceau d'acier; lorsque le malade marche,
s mensura- tions : . DE l'atrophie musculaire. 15j 160 CLINIQUE NERVEUSE . de l'atrophie musculaire. 161 t ses modes (t
atteint d'une paralysie hystérique avec amyotrophie. 162 CLINIQUE NERVEUSE . Nous commencerons par établir que cet homme es
ct. on diseases of Nel'V01tS System. (Lcct. 1, p. 20.) 161 CLINIQUE NERVEUSE . paralysé après elle, comme s'il s'agissait d'u
e supérieur, reparurent; la sensibilité reparut de son 166 clinique NERVEUSE . côté, tant la sensibilité générale que la sens
trouve : . le membre supérieur gauche n'est plus para- 168 CLINIQUE NERVEUSE . lysé; les mouvements des divers segments sont
re la paralysie sur le compte d'une affection dynamique des centres nerveux . Quant à l'hémianesthésie, il nous paraît tout
lui seul pour établir son exis- ARCHIVES, t. XII. 12 170 CLINIQUE NERVEUSE . tence. Dans le cas actuel cette bémianesthésie
(résumée). - Dem..., garçon boucher, trente ans; pas d'antécédents nerveux , soit héréditaires, soit per- sonnels. A la sui
uante ans, d'une maladie aiguë. Mère, morte à quarante-six ans; pas nerveuse . Un frère de la mère a du sable dans les urines
rémité interne de la clavicule et à l'omoplate. 1711. 1· CLINIQUE NERVEUSE . DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 175 176 CLINIQUE N
1· CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 175 176 CLINIQUE NERVEUSE . Les divers segments du membre sont manifesteme
qui permettent d'affirmer qu'elle est de nature hysté- 178 CLINIQUE NERVEUSE . rique, et qu'elle ne peut relever d'une lésion
s, tantes, oncles) ne présente ni n'a jamais présenté de phénomènes nerveux . Antécédents personnels. -N'a jamais eu de mala
li, et le malade ne s'en servait qu'avec difficulté. 180 CLINIQUE NERVEUSE . Le malade au bout de treize jours peutse lever
ar M. Charcot et dont nous avons déjà parlé. Nous ne 182 CLINIQUE NERVEUSE . DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 183 18 \ CLINIQUE
82 CLINIQUE NERVEUSE. DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 183 18 \ CLINIQUE NERVEUSE . discuterons même pas le diagnostic. Il s'agit
DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 185 Observation II l 186, . CI,INIQUE NERVEUSE . 1, , si on la compare aux atrophies musculaire
ne l'atrophie du membre supérieur gauche, qu'elle ne 188 clinique NERVEUSE . semble pas porter particulièrement sur tel ou
ert en peu de temps le maximum de son développement, 190 CLINIQUE nerveuse . reste alors stationnaire, lors même que la par
en- évidente que cette diminution dans le volume des 192 CLINIQUE NERVEUSE . muscles appartient à la catégorie des phénomèn
plique pas fatalement l'idée d'une altération matérielle du système nerveux , appréciable à nos moyens d'investigation; elle
L'ATROPHIE MUSCULAIRE. 193 altération purement dynamique du système nerveux ; les centres gris de la moelle et les nerfs pé
'amyotrophie articulaire ; il est certain qu'elle dépend du système nerveux central; or, puisque les cornes antérieures de
dal, tandis que, dans le second cas, les modifications du système nerveux sont toutes dynamiques. Du reste nous n'attacho
rver deux autres semblables qui sont encore inédits. 194 CLINIQUE NERVEUSE . blir, au moyen de ces observations, que l'atro
i 13oui'ne\ille. Comptes rendus de Birgtre, 1880-1885. 196 CLINIQUE NERVEUSE . DE L'ATROPHIE MUSCULAIRE. Nos malades étaient
e n'a découvert aucune lésion pathologo- anatomique dans le système nerveux ; bien plus, l'investiga- tion microscopique la
Coupe transversale de la moëlle (région lombaire). Fig. i. Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en
de dégénération pigmentaire. Fig. 4. Les vaisseaux et les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise.
trouve ' Progrès médical, 1883, 11- 23, etc. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 209 presque toujours à un certain degré, lorsq
les lésions où siège l'appareil du langage '. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIV. Contributions A l'étude DES scléroses syst
née. N. Skwortzoff. 1 Voir Charcot, /. c. 210 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XVI. DE la pression cérébrale et DE la compres
a pas de transmissions de pression à travers l'ensemble des centres nerveux par l'intermédiaire du liquide céphalo-rachidie
nflammatoires qui aboutissent à une hyperplasie d'abord des couches nerveuses , immédiatement soumises à l'agent com- presslf,
exemple détaillé par l'auteur concerne un homme REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . -)Il t jeune (vingt-huit ans), qui à la suite
e sérosité sont parsemés de fines hémorrha- 212 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . gies punctiformes. La plus grande partie du co
et à la paralysie; il y a eu dans l'espèce inflammation de fibres nerveuses , trophiques, que le tronc du facial pourrait bien
u1'g. Iletl. 11'ochenschr., 11° 45, 1884); car, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 213 dans l'espèce, le zona occipito-collaire a
siste sur l'absence de douleurs proprement dites le long des troncs nerveux , les phénomènes fulgurants étant plutôt agréabl
Archives de Se urologie, t. XII, p. 21 y. 91 le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . autre cas de névrite rapporté par lui dans le
re- ment sur la nature de la maladie. ' P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 215 XXII. Contribution A la théorie DE l'ataxi
une lésion adéquate dans les deux cordons 21 si REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . postérieurs, la dégénérescence de chacun des d
t les points prin- cipaux de ce travail. P. K. XXIV. Des troubles nerveux observés A la suite DE l'empoisonne- MENT par l
myélo-encéphalite généralisée. Pour M. Hardine, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 2t7 cette différence n'est, du reste, qu'appar
d'après, l'auteur, être rapproché de la dégénérescence des cellules nerveuses observées chez les chiens sacrifiés avant l'app
SKWORTZOFF. XXV. Contribution A l'anatomie pathologique du système nerveux central, par Tu. RUMPF. (A9'CIE. f. Psyeh., XVI
gmente en étendue à Archives, t. XII. la a 18 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .- mesure qu'on descend vers la moelle dorsale e
imique de Weigert. Disposition particulière d'une partie des fibres nerveuses fines contenues dans les racines postérieures.
adiculaire principal en dehors en paraissant se REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 21q diriger vers le cordon latéral, mais bient
ne dégénérescence parenchymateuse atteignant primitivement la fibre nerveuse dont elle tuerait d'abord la myéline dans les f
nettement, mais en leur imprimant une leinle différente, les fibres nerveuses et les éléments conjonctifs. A côté de cela, il
e, L. ? 1, p. 'JS eL l'noynes médical lbs5. 220 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . avait directement suivi l'infection syphilitiq
bre n'est pour lui qu'un jeu ridicule. Il. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 221 XXX. Clinique et anatomie pathologique de
ine et souvent un peu moins nette. Il. IL 222 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXI. Contribution A la pathologie DE la malad
ariages dans sa famille, et cependant l'hérédité de la perturbation nerveuse , qu'il a le premier éprouvée, continue persista
te du grand oblique et, parsuite, l'oeil tourne REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 233 autour de son axe du côté de la tempe; les
oeil, acuité visuelle mo- dérée (astigmatisme) Intégrité du système nerveux . Il s'agit d'un état congénital héréditaire; la
, on trouve .le ? l1'lohnlc'i blancs et 2 : H e REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rouges accumulés; ces. lexsudais, qui existent
e qu'il y a suppression de l'excitabilité élec- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 225 trique presque complète; tout cela est d'o
culaire avec atlié- tuçe. t. xu, p. '207. 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et des pieds (troubles vasomoteurs), la rapidi
irme encore le diagnostic et exclut l'idée d'une lésion des centres nerveux . L'auteur insiste sur l'action favorable du pin
de du cerveau en iiti)l)oi-1 avec ce sysliiiie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . -2-)7 A rapprocher du cas publié par le même a
ures sont aussi atteintes. Intégrité abso- lue des petites cellules nerveuses de la moitié supérieure de l'é- corce des circo
Voy. pour ces symboles, Charcot, Leçons sur les Maladies du système nerveux , 111, 1, p. 135 et 136, Arc/m'es rit' Seurotogia,
rc/m'es rit' Seurotogia, I, 74 ct pa.ssrnr, 228 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rieur du plancher et les noyaux des Vla et VU"
l'existence bien avérée ou de l'absence incon- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 229 testable du phénomène du genou. Asseoir l'
paraîtrait chez tous ces individus indemnes d'affections du système nerveux : on n'enregistrerait pas dans l'espèce de cas
sens musculaire ; douleurs dans les bras et les jambes; gros troncs nerveux sensibles à la pression; affection articulaire
lité, suppression du réflexe patellaire) et 230 revue DE pathologie nerveuse . la névrite multiloculaire (dissémination des p
ion des réflexes cutanés, sensibilité à la pression des gros troncs nerveux ); il analyse comparativement les faits du même
ut. On devra continuer les expériences. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 31 1 XLIII. Un cas DE tumeurs SYPHILITIQUES (
dure-mère participe à l'adhérence générale. Intégri té des cellules nerveuses et des éléments des diverses couches cor- tical
ci, il faut éliminer la tuberculose ou tout 232 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . autre cachexie. L'auteur appelle l'attention s
iste des altérations de structure dans certaines régions du système nerveux ; pour localiser ces altérations, on prend en co
lissement de la mémoire ; depuis neuf mois, dé- revue DE pathologie nerveuse . 233 marche raide attribuée à des douleurs dans
es de la main et des Archives, t. XII. 16 234 REVUE DE pathologie NERVEUSE . doigts du côté gauche accompagnées de sensatio
côté gauche. Individu indemne d'hérédité neuro- REVUE DE pathologie NERVEUSE . 235 psychique. A la suite d'un accident de voi
dans la famille, propension à faire des néoplasmes dans le système nerveux central ; un oncle est mort de gliome de la pro
Voy. Archives de Neurologie, t. XI, p. 160. 236 REVUE DE pathologie NERVEUSE . dante; c'est-à-dire que la parésie des extrémi
, ayant exactement suivi la même marche, sévis- REVUE DE pathologie nerveuse . 237 7 sant sur les mâles et passant à travers
s de Neurologie, t. XI, p. 80 et 83 § I V). 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Les traits fondamentaux de l'ensemble des synd
rbides qui indiquent certainement une lésion orga- nique du système nerveux à évolution insidieuse. Est-ce à dire qu'on doi
cheval. Au microscope, épaississement des vais- REVUE DE pathologie NERVEUSE . 239 seaux méningés; asymétrie congéniale de la
dont les segments lombaires et cervicaux sont pauvres en cel- lules nerveuses , mais aucune trace de poliomyélite; çà et là, d
u radial, du radial lui-même, des cellules centrales ou des tractus nerveux périphériques quelconques. L'envahissement simu
chemin de fer, admis à l'hôpital en octobre 1885. Aucune ten- dance nerveuse héréditaire. Convulsions à la première denti- t
pnotiser lui-même. Ces pratiques répétées déterminent des accidents nerveux ; pendant plus d'un an, on constate des accès de
malades qui, avant l'intoxication, ont été en proie à des troubles nerveux , ou chez lesquels d'autres causes ont pu provoq
uelquefois de la diarrhée, mais il ne produit pas l'affaiblissement nerveux des préparations bromées. Les doses employées o
Vol. XII. Novembre 1886. N" 36, ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES
er lieu, et cela arrive en effet, aRCHmES, t. xo. 18 266 CLINIQUE NERVEUSE . à une fausse interprétation de la maladie, au
tion était devenue facile. Résumant toute la série des dérangements nerveux d'E..., nous devons signaler les caractères sui
des vomissements rebelles, etc.; 2° l'inconstance des dérangemeuts nerveux : les jambes d'E... ont été paralysées deux foi
l est impossible d'expliquer autrement que le sujet, 268 CLINIQUE NERVEUSE . privé de la faculté de remuer les jambes, se l
ut cela et l'impossibilité de rapporter l'ensemble des dérangements nerveux à un trouble organique du système nerveux, m'a
ensemble des dérangements nerveux à un trouble organique du système nerveux , m'a fait recon- naître l'hystérie. Observati
onne des résultats négatifs. On n'observe pas d'autres dérangements nerveux . Plus tard, on remarque une grande instabilité
rs; il se plaint aussi d'avoir mal lorsqu'on presse les gros troncs nerveux des jambes. La sensibilité à la douleur dans le
e la cuisse, qui fléchissent la jambe, et rigidité des 270 CLINIQUE NERVEUSE . pieds. Voici le cours de la maladie : le 8 nov
L'anam- nèse montre que le malade a éprouvé les mêmes affections nerveuses quatre ans auparavant après une chute d'un arbre.
se déjetaient convulsivement de côté, tantôt ils s'ac- 272 CLINIQUE NERVEUSE . crochaient l'un à l'autre. Le 19 mars, notre m
faculté de mouvement; le dynamomètre marque 60; le ma- 274 CLINIQUE NERVEUSE . lade peut remuer les doigts de la main droite
hes. Ce qui fait une différence bien tranchée avec les 276 CLINIQUE NERVEUSE . hémiplégies ordinaires, c'est que le malade pe
pourquoi, le 2 septembre, on l'installa dans la salle des maladies nerveuses . D... raconta de sa vie passée qu'il s'était ma
r spécifique de l'urine est de 1.014; on n'y trouve ni 278 CLINIQUE NERVEUSE . albumine, ni sucre. La polyurie dure jusqu'au
supposai d'abord. Il me fallut faire un examen détaillé du système nerveux . Cet examen eut lieu le 7 novembre 1885, lorsqu
plus faciles; l'extension des jambes n'est que passive 280 CLINIQUE NERVEUSE . jusqu'à un certain degré, et amène alors une f
it voir aucun trouble dans l'excitabilité des muscles et des troncs nerveux , bien que le malade, près de quatre mois depuis
sensibilité qui ne correspond à aucune lésion organique du système nerveux ni central, ni periphérique, les données, de l'
parce qu'il avait des spasmes dans la gorge. L'examen du système nerveux , qu'on répéta, donna les résultats suivants : l
en, il est arrivé un . AI(CIIIVES, t. Xll. 1. 19 282 --) CLINIQUE NERVEUSE . trouble convulsif suivant : le malade, avec un
arynx et à la poitrine. Le 22 décembre, un nouvel examen du système nerveux fait constater : la vision des deux yeux est de
ique, régulièrement rhythmiques, dégénèrent subitement 284 CLINIQUE nerveuse . en opisthotonus ou plcurosthotonus, de môme qu
ité cutanée de tout le corps, bien qu'un examen détaillé du système nerveux soit bien difficile. Le 18, les accès changent
s muscles momentané. Le 24 janvier, on examine en détail le système nerveux . Le champ visuel est rétréci concentriquement ;
our les deux oreilles, ensuite pour la droite seule; 286 CLINIQUE NERVEUSE . 4. Des troubles de la vision sous forme de rét
'accès, le malade se couche, tombe en état de stupeur, 288 CLINIQUE NERVEUSE . les yeux ouverts, fixés sur un point, et ne ré
C'est là une température tout à l'ait anormale (B). 290 0 CLINIQUE NERVEUSE . nière que la constitution physique n'a pas d'i
nt. Je dois ajouter, pour conclure, que les maladies 292 CLINIQUE NERVEUSE . hystériques dans les troupes ne sont pas rares
elhomme relatif à l'idiotie et de préférence aux USIOns des centres nerveux dans .'idiotie. 2 Voir aussi le Compte rendu
d'une bronchite à soixante-douze ans ; intelligente, n'était pas nerveuse ; un frère bien portant, intelligent, a deux enfa
ants et intelligents ; deux soeurs jouissant d'une bonne santé, non nerveuses , ont l'une, trois garçons, l'autre, un garçon,
en développée, dix-sep tans, intelligente, s'exprimant 29' CLINIQUE NERVEUSE . très nettement ; traits réguliers, figure agré
rs, figure agréable, pas de goitre; elle ne présente aucun accident nerveux J. Notre malade. - Durant la grossesse, à trois
indifférent et son Fig. 16. Th... à l'âge de 20 ans. 29S CLINIQUE NERVEUSE . extrême apathie lui ont fait donner par les ma
autopsie la description du crâne. Archives, LXII. 20 298 CLINIQUE NERVEUSE . Aujourd'hui, la face bouffie parait avoir perd
ait confiné au lit une grande partie de la journée, il 300 CLINIQUE NERVEUSE . parvient aujourd'hui, après avoir été exercé p
e ainsi que le gonflement, qui va latéralement jusqu'à 302 CLINIQUE NERVEUSE . l'antitragus et en avant envahit les paupières
e^t limitée à la main et au poignet droits, les 30Î- le . CLINIQUE NERVEUSE . autres parties atteintes sont en voie de desqu
31l,6. 11. Même état. T. R. 37°,4 . - Soir : 31°, . 306 CLINIQUE NERVEUSE . 12. - La tuméfaction des joues a diminué, la r
le décès : 30°. Poids après décès : 21 kilogr. 400. 308 CLINIQUE NERVEUSE . Note complémentaire. - Les cheveux sont noirs,
ier ». Voici quelques mensurations supplémentaires : 310 CLINIQUE NERVEUSE . partie moyenne, elle mesure 5 centimètres de l
res, et un ganglion isole dans une masse graisseuse. 312 CLINIQUE NERVEUSE . Le larynx est étroit et présente un léger oedè
lobule orbitaire de la deuxième Archives, t. XII. 21 314 CLINIQUE NERVEUSE . circonvolution frontale est trèsprofonde, mais
iennent se perdre dans le lobule pariétal inférieur. 316 CLINIQUE NERVEUSE . La première scissure tempol'o-occipitale (Pl.
e temporal est bien développé; sa première circonvolu- 318 CLINIQUE NERVEUSE . tion (T,) se confond avec la partie postérieur
lobule paracentral : elle se trouve isolée par un pont de substance nerveuse de l'incisure préovalaire (e), limitant en avan
nous ont été transmises : 1 Analyse de Af. Yvon : .' 320 CLINIQUE NERVEUSE . Dans les antécédents héréditaires de Th..., no
phérie d'une façon diffuse avec le tissu adipeux sous- 322 CLINIQUE NERVEUSE . cutané environnant. Elles avaient tous les car
s sciences médicales de Lille, 1853, 5 et 20 décembre. 324 CLINIQUE NERVEUSE . renseignements que ceux qui concernent son éta
fficilement au poignet. Ceux du coeur sont également 326 6 CLINIQUE NERVEUSE . très faibles, mais réguliers. Quant aux bruits
s du coeur surtout et dans l'intérieur des carotides à 328 CLINIQUE NERVEUSE . un degré moindre, on trouve une multitude de p
ou cachexie pachydep- mique. Archives, t. XII. 22 330 CLINIQUE NERVEUSE . la face; tuméfaction des paupières; épaississe
moitié droite du corps; à la région lombaire il avait 332 CLINIQUE NERVEUSE . deux centimètres d'épaisseur à droite, un cent
ssa de ' Médical Presse and Circulai', 14 niai 1884. 334 CLINIQUE NERVEUSE . grandir, mais elle devint plus grosse et plus
r suite, encore plus de temps pour formuler la réponse. I Système nerveux .-La malade ne peut ni lire, ni écrire, et tout
eillard dont les facultés intellectuelles déclinent. 336 CLINIQUE NERVEUSE . quantité normale 10,S grammes. Ce résultat est
tion avec la famille de ce malade, nous avons fait une 338 CLINIQUE NERVEUSE . enquête minutieuse auprès d'elle; de cette enq
journalier, sobre; taille au-dessus de la moyenne; pas de maladies nerveuses , ni de goitre. Mère, morte à quatre-vingt-sept
eu de nouvelles depuis la mort de la mère en 1877. -Pas de maladies nerveuses , pas d'a- liénés, pas d'épilepliqucs, pas d'idi
it ans, sobre; était né à Vannes et n'a jamais présenté d'accidents nerveux . - Hère, ménagère, sobre, morte à quatre-vingt-
ucoup plus de celle du père que de celle de la mère. 340 CLINIQUE NERVEUSE . Pas de consanguinité. Cinq enfants : 1° garç
que 19 dents, Fig. 22. - Le crétin des Batignolles. 342 CLINIQUE NERVEUSE . dont 9 la mâchoire supérieure et 10 à l'inféri
qu'il fait claquer sans cesse. Diamètres du crâne : 344 CLINIQUE NERVEUSE . Dimensions du thorax : IDIOTIE AVEC CACHEXIE
CACHEXIE PACHYDERMIQUE. 345 Dimensions des membres : 346 CLINIQUE NERVEUSE . de la Société d'anthropologie de Paris, t. V,
Bicèlre et qui présentait encore plus, peut-être, que 348 CLINIQUE NERVEUSE . celui deM. Bail, les attributs caractéristique
nos deux malades l'existence de hernies inguinales. 350 CLINIQUE NERVEUSE . un développement défectueux du cerveau, mais s
pportant à des enfants (cas de Sliattock, etc.). 352 -1) CLINIQUE NERVEUSE . à l'âge de quatorze ou quinze ans. A l'autopsi
n tout cas pas d'hy- pertrophie du corps thyroïde. 35 '( CLINIQUE NERVEUSE . tions de malade encore vivants chez lesquels l
ralisé moyen. l'ig. 23. - Niahide opéré par M. Sick. 356 CLINIQUE NERVEUSE . Les extrémités supérieures et inférieures sont
ue l'extirpation de la glande thyroïde amène des troubles du sytème nerveux cen- tral surtout en ce qui concerne son rôle d
samment saines pour remplir leur rôle physiologique. 360 CLINIQUE NERVEUSE . 1° Baillarger 1. - Fille de vingt-quatre ans;
ne opérée (cas 9) de 11. Kocher et sa soeur jumelle. 362 CLINIQUE NERVEUSE . en mars 1883 : « Ma femme ne peut écrire elle-
rs 1883 : « Ma femme ne peut écrire elle-même par suite de douleurs nerveuses des pieds et des mains. Le cou est guéri, mais
ur quelques autres cas qu'il aurait observés depuis. 364 CLINIQUE NERVEUSE . d'oedème marqué, mais épaississement de la pea
s sans aucun détail (cas d'Occhini, de Huggi, etc.). 366 CLINIQUE NERVEUSE . Si la plupart des chirurgiens admettent que le
Le tableau suivant donne la proportion selon l'âge : 368 CLINIQUE NERVEUSE . malades de MM. Reverdin, quatre de leurs opéré
rison de la plaie fut complète en trois jours) produit des troubles nerveux généraux : convulsions, paralysie fonctionnelle
? eugllng de* Diabètes. WU ! 'x- bnrri, 18S5, p. 61. 370 CLINIQUE NERVEUSE . pérature, etc., tous les symptômes enfin obser
es symptômes observés par lui à trois états successifs : 1° période nerveuse ; 2° période mucoïde; 3° période atrophique. D
ation de la glande thyroïde a une action évi- dente sur les centres nerveux et expliquent les phé- nomènes nerveux observés
évi- dente sur les centres nerveux et expliquent les phé- nomènes nerveux observés à la suite de ! a thyroïdec- tomie tot
, 15 février issu, p. ruz et n" S, 15 août 1884.) ,) 372 CLINIQUE NERVEUSE . mie totale et simultanée, au contraire des car
en produisant des substances nécessaires à la nutrition du système nerveux . ' Philipeaux. - De l'extirpation des corps thy
du de la Société de Biologie, 8 novembre 188, p, 606.) 374 CLINIQUE NERVEUSE . 8 novembre de la même année. Les résultats obt
de l'acide phénique pendant l'opé- ration, à une lésion des troncs nerveux , situés dans le voisinage de la glande thyroïde
ge de la glande thyroïde, à l'action de la mu- cine sur les centres nerveux , etc., etc. Si la physiologie de la glande thyr
lio. (AI'ch, per le sczezzze mediche, vol. IX, n" 11). 376 CLINIQUE NERVEUSE . elle peut être le siège, en empêchant totaleme
s en temps a des névralgies, quelquefois très tenaces. Mère. Très nerveuse , a eu de nombreuses attaques qui persistent enc
cédents personnels. On ne relève chez M... aucune trace d'affection nerveuse dans l'enfance; mais ses souvenirs ne pa- raiss
tembre, à la suite d'une visite de sa mère, 382 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . qui lui a beaucoup parlé de sortie, B... a per
rve quelquefois à la suite de chocs violents. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LI. CHIRURGIE DU cerveau; par Victor HORSLEY, B
ifficultés et les dangers des opérations sur le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 383 cerveau. Puisqu'en plusieurs points essent
hine produit une contraction très marquée des artérioles du système nerveux central, et par suite si le malade est sous son
mploi du chloroforme. Dans le cas où il y a 384 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . encore lésion cardiaque considérable, on doit
des tissus chez les animaux inférieurs diffère REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 385 beauconp du même processus chez l'homme, e
doit être peu profonde, pour éviter de 38fi C) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . couper les vaisseaux collatéraux; 3° elle doit
on par l'ouverture du trépan. Quoique mon expé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 387 rience sur ce point ne soit fondée chez le
prendre des précautions contre les altéra- 388 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tions septiques dans la blessure. Cependant ce
sie permanente des mouvements du côté opposé. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 389 Une portion normale ou anormale détachée d
e tissu connectif normal doux (c'est-à-dire 390 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . non inflammatoire). Toutes ces conditions sont
ment pulvérisé, de la ouate et du collodion; et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 391 f les points de suture peuvent être enlevé
uérit, quoiqu'elle ait librement suppuré et 392 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . malgré la hernie du cerveau. Le malade a été h
s droits, quoiqu'avec moitié moins de force que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 393 du côté gauche ; il n'y avait aucune altér
evant la dure-mère on vit une tumeur. On enleva REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 395 un peu plus d'os en avant et en dessous, p
le pouce ni l'index ; aucune attaque depuis 396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'opération. Sa tumeur était composée d'un tis
frontal supérieur. Le professeur Ferrier a mon- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 397 tré que le centre des mouvements de la têt
ment perdu la parole. Chez tous ces individus, les grandes cellules nerveuses de la troisième couche de l'écorce, dans les pa
es mélancoliques hypo- chondriaques, ne présentant pas d'excitation nerveuse spéciale, on voit également l'humeur s'amélion
est l'alcool qui met un évidence les plus beaux aperçus de cellules nerveuses , mais il détruit les fibres. La solution de bic
line de Weigert, d'après son nouveau procédé. L'examen des cellules nerveuses , des noyaux du tissu conjonctif, des parois vas
espèces de sensations sont supprimées quand on comprime les troncs nerveux périphériques; 4° la sensibilité à l'égard de l
communauté des trajets et des termi- naisons centrales des tractus nerveux . M. GoLTz présente quelques chiens en vie auxqu
H.-W. FaEUND (de Strasbourg). Des fines altérations des appa- reils nerveux qui occupent le parametrium ', dans le cas d'atro
lles trop courts, à des affections puerpérales graves, les cellules nerveuses ganglionnaires se sont montrées diminuées de no
n'en constatait pas toujours le noyau et le mucléole les ramuscules nerveux étaient amincis et infiltrés de graisse. Dans l
le plus extrême de la rétraction cicatricielle, à côté des cellules nerveuses , soumises aux altérations les plus marquées, on
umises aux altérations les plus marquées, on percevait des branches nerveuses clairsemées , amincies, pauvres en éléments de
BIBLIOGRAPHIE IX. Traité élémentaire d'anatomie médicale du système nerveux ; par Ca. Férié. (Au Progrès médical et chez Le
puis dix ans, et ne se retrouvant dans aucun des traités du système nerveux . Il y avait à tenter ce travail un double 412 B
faite sur cette question. La seconde partie, réservée au système nerveux périphérique, relate toutes les recherches réce
indispensable à tout médecin s'occupant de la pathologie du système nerveux ; plus que tout autre, par ses études spéciales
l a eue de joindre au texte un atlas d'anatomie normale des centres nerveux , permettant au lecteur de se retrouver, sans ef
sur la pro- duction de la folie. SUR LA. statistique des maladies NERVEUSES ET mentales EN RUSSIE. - Dans sa communication
é les résultats de ses recherches sur la statistique des ma- ladies nerveuses et mentales en Russie. L'absence absolue des do
, 15,72'i ont été reconnus comme atteints de maladies mentales ou nerveuses , c'est-à-dire 9,72 p. 100. Prenant ensuite le rap
mprimerie Eug. Vanderhaegnen. · VULPIAIQ (A). - Maladies du système nerveux (moelle épinière). Leçons professées à ls Facul
hystérique, par Ili- lier, 1»-)6. Anatomie médicale du système nerveux (trai té d'), pdrCh, Fét'é, 413. Anesthésique
ymond, 58. Faciale (paralysie), compliquée de zona, 212. Fibres nerveuses à myéline des organes centraux (procédé de co
ft Ebing, 83. Laryngés (troubles - dans les atleclions du système nerveux central), 119. Lectures (troubles de la chez
Optiques (origine des nerfs), 40 1. Oxyde de carbone ( troubles nerveux à la suite de l'em- poisonuement par 1'), 216.
rique de Ber- lin, 249. Société de psychiatrie et de ma- ladies nerveuses de Berlin, 4 10. Société médico-psycliologique,
veaux des), 89. Syphilis et paralysie générale, 80, 86. Système nerveux central (ana- tomie pathologique du), 217. Ta
upe transversale de la moelle (région lombaire). Fig. 3. - Cellules nerveuses îles cornes antérieures de la substance grise p
e dégénération pynen ! ;rire. Fig. 4. Les vaisseaux et les cellules nerveuses îles cornes antérieures de là substance grise.
13 (1885) Archives de neurologie [Tome 10, n° 28-30] : revue des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE E DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIIIKCTION DE J.-
. Vol. X. Juillet 1885. N" 28 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE DEUX NOUVEAUX CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTRO-
tralneraensystems, Leipzig. 1879. Archives, t. X. 4 Il PATHOLOGIE NERVEUSE . même la signala dans ses cas de paralysie bulb
passagères il existait quelques douleurs de reins. 4 . PATHOLOGIE NERVEUSE . Un mois avant d'entrer à l'hôpital Tenon, elle
sur la face dorsale (où ils sont plutôt réticulés). 8 PATHOLOGIE nerveuse . Le voile du palais encombré de mucosités gluan
s mouvements du grand dorsal existent aussi' dans une 10 PATHOLOGIE NERVEUSE . certaine mesure ; pendant qu'on l'examine, on
nce des eschares; cet examen a été assez difficile. 12 PATHOLOGIE NERVEUSE . L'orbiculaire des lèvres répond à 100 millimèt
côtés. CAS DE SCLEROSE LATERALE AMYOTROPHIQUE. 13 1a· PATHOLOGIE NERVEUSE . Les membres supérieurs sont dans un état de ri
d'une altération artificielle plus ou moins étendue de la substance nerveuse . Hémisphère droit. Circonvolution frontale as
comprise entre l'angle interne du noyau lenticulaire 16 PATHOLOGIE NERVEUSE . (coude de la capsule) et son angle postérieur.
ure) l'épaisseur d'environ quatre ou cinq des faisceaux de fibres nerveuses qui se trouvent dans cette région et dont la coup
vent leurs prolongements ont même Archives, t. X. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . en partie disparu, elles se colorent d'une faç
elle les faits suivants : Dans les faisceaux pyramidaux, les fibres nerveuses sont moins abondantes qu'à l'ordinaire, mais le
ser la coloration intense de cette région par le carmin; les fibres nerveuses existent encore en grande quantité, mais ce son
ans la substance grise des cornes antérieures, le nombre des fibres nerveuses est diminué d'une façon très notable; (déjà, da
ine acide) (Weigert). Dans la moelle lombaire, le nombre des fibres nerveuses de la substance grise semble normal. Les fibres
es fibres nerveuses de la substance grise semble normal. Les fibres nerveuses qui constituent les zones radiculaires antérieu
de nerfs ni de muscles des extrémités inférieures. 20 PATHOLOGIE NERVEUSE . Observation II. Début par difficulté de la par
1880, le second en 188 ! ; dans aucun ne se montrèrent 'd'accidents nerveux notables. Quant à l'affec- tion actuelle, voici
jours après l'apparition de ce nouveau symptôme, elle 22 PATHOLOGIE NERVEUSE . entra de nouveau à l'hôpital Tenon. La parole,
airement dans la sclé- rose latérale amyotrophique. 24 PATHOLOGIE NERVEUSE . sourd et étouffé ; quoiqu'elle ne puisse artic
s espaces ellip- tiques formés par la coupe des faisceaux de fibres nerveux et contenus dans la capsule interne. Ces corps
er que les uns, c'est la majorité, sont contenus dans 26 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'épaisseur des faisceaux elliptiques formés p
paisseur des faisceaux elliptiques formés par la section des fibres nerveuses verticalement dirigées, tandis que les autres s
nets. Avec la méthode de Weigert, diminution du nombre des fibres nerveuses dans les cornes antérieures. Dans la substance
(hématoxyline et prussiate de potasse), on constate que les fibres nerveuses y sont moins nombreuses, surtout près du sillon
es processus radiculaires antérieurs mais bien au milieu des fibres nerveuses et paraissant provenir de la destruction de l'une
avons jamais vu un seul corps granuleux dans l'épaisseur des fibres nerveuses ; on en observe quelquefois en très petit nombre
paces périvasculaires; quelques-uns sont contenus dans les cellules nerveuses , indi- quant ainsi leur altération plus on moin
à faire avec la sclérose latérale amyo- trophique. 28 PATHOLOGIE NERVEUSE . Disparition presque complète des grandes cellu
des grandes cellules de la subs- tance grise, ainsi que des fibres nerveuses contenues dans celle-ci. Sclérose des faiscea
nts dans les espaces périvasculaires. Un certain nombre de cellules nerveuses des cornes anté- rieures présentent aussi des g
s longs et bien ramifiés, d'autres n'en ont presque pas. Les fibres nerveuses de la substance grise paraissent aussi moins ab
es régions de la moelle; un très petit nombre seulement de cellules nerveuses des cornes antérieures ont pris la coloration b
ant toute apparence, à la disparition d'un certain nombre de fibres nerveuses . La langue est, comme nous l'avons dit dans la
angue est, comme nous l'avons dit dans la partie cli- 30 PATHOLOGIE NERVEUSE . nique, atrophiée surtout dans sa partie antéri
ns le cas où on aurait eu affaire à des cellules ner- 32 PATHOLOGIE NERVEUSE . veuses, le corps et le noyau de celles-ci appa
, aussi belles qu'à l'état nor- Archives, t. X. 3 3t ' PATHOLOGIE NERVEUSE . mal, leurs prolongements semblaient moins angu
jorité des corps granuleux semble siéger ' sur le trajet des fibres nerveuses , et vraisemblablement dans leur épaisseur même,
érieurs, principalement près des cornes postérieures; peu de fibres nerveuses normales. Des deux côtés de la fissure longitud
u cinquième nerf lombaire, on trouvait du pigment dans les cellules nerveuses des cornes antérieures. Pas de vacuoles. Régi
rammes chez les lapins n'exerçait aucune in- fluence sur les fibres nerveuses , traitées par l'aide osmique. Entre '300 à 600
action, prouvèrent que la conductilité augmente après les tractions nerveuses . M. Geu diffère en ce point de plusieurs autres
ans le but de chercher à modifier par cette opération les accidents nerveux . Après trente-deux expériences, l'auteur n'obti
e l'épilepsie. Les recherches microscopiques démontrèrent des tubes nerveux manifestement altérés et offrant l'apparence de
malade pour une contracture. M. Witkowski entreprit des tractions nerveuses chez des lapins et des cochons d'Inde et consta
ciale à la réaction musculaire qu'on constate après la trac- tion nerveuse chez le chien, le renard et le cochon d'Inde, e
s fonctions motrices et trophiques à un degré égal ; que l'action nerveuse baisse en proportion de la force de la traction
use baisse en proportion de la force de la traction; que l'activité nerveuse se rétablit même après des élongations violente
ette', le pro- fesseur Güssenbauer 2 maintiennent que la traction nerveuse peut même être observée à l'oeil nu sur la moel
expliquer par la résis- tance qu'oppose la bifurcation des branches nerveuses . Marshall* tout en admettant la transmission de
ezou : De quelques phénomènes consécutifs aux contusions des troncs nerveux du bras. Thèse de Paris, 1879. 6 Hayem. Sur les
latie. La corne postérieure était devenue conique, et ses faisceaux nerveux transfor- més en tissu scléreux. Les cellules n
ses faisceaux nerveux transfor- més en tissu scléreux. Les cellules nerveuses étaient atrophiées. Pour expliquer ces changeme
ns les cordons postérieurs (p. 577), et la disparition des cellules nerveuses du groupe latéral de la corne antérieure (voir
nerf sciatique, à l'endroit qui pré- cède la bifurcation du cordon nerveux . A ce moment, le lapin est chloroformé. On fait
t, le lapin est chloroformé. On fait ensuite passer sous le tronc nerveux un crochet métallique, et on opère la traction.
u- rurent spontanément. Groupe second. On glissait sous le cordon nerveux un ruban dont le bout supportait un poids de 50
ne traction s'élevant à 5 kilos, et aussi après la rupture du tronc nerveux . Somme toute, les lapins supportent assez facil
rfs tibial et plantaire). On constata une forte injection du cordon nerveux , toutes les fois que l'animal fut sacrifié peu
erf et occasionne in- 1 Ranvier. Leçons sur l'histologie du système nerveux . Paris, 1878. 2 Erlicky. - Progrès médical, 181
vants, il finit par disparaître également dans la plupart des tubes nerveux . Deux à trois se- maines après l'opération, on
sidu granuleux de myéline en voie de résorp- tion, à côté des tubes nerveux minces et délicats de nouvelle formation. On vo
traces de myéline; mais, en revanche, on trouve beaucoup de tubes nerveux régénérés parmi lesquels on distingue 5 PATHOLO
vant : Après une traction de la puissance de 2 kilos, les branches nerveuses terminales, prises à la plante du pied d'un lap
sque autant de tubes dégénérés que dans les cas de rupture du tronc nerveux . Il nous est arrivé maintes fois de rompre le n
ion- nelle au bout périphérique. Dans ce dernier, parmi les tubes nerveux altérés presqu'en totalité, on ren- contrait qu
nératrices provenant du tissu conjonctif qui entoure les faisceaux nerveux des deux bouts central et péri- phérique, et qu
- phérique, et qui, selon lui, se transforment plus tard en tubes nerveux régénérés, nous n'en avons pas trouvé. Passon
onjonctif, qui plus tard s'étend en réseau et comprime les éléments nerveux . Le processus morbide débute toujours dans le c
n croissant, le tissu conjonctif comprime de plus en plus les tubes nerveux qui dis- paraissent complètement, comme le témo
artie intramédullaire des racines postérieures et dans les cellules nerveuses des cornes antérieures. Après une traction de f
ercher l'explication de ce fait dans la rupture partielle des tubes nerveux , pro- duite par le traumatisme dû à la traction
sme également que nous attribuons les altérations dans les cellules nerveuses des cornes antérieures, altérations d'un ordre
tif comme le prouvent les vacuoles qu'on trouve dans les cellules nerveuses (Voy. fig. 3, PL. I). Comme nous avons constaté
3, PL. I). Comme nous avons constaté la vacuolisation des cellules nerveuses des cornes antérieures chez des lapins sacrifié
ausible d'en chercher la raison dans la rupture partielle des tubes nerveux qui se relient à ces cellules, que de supposer
ahissant de plus en plus le cordon postérieur empiète sur les tubes nerveux de ce dernier, et les fait entiè- rement dispar
disparaître. On constate en même temps du côté sain, que les tubes nerveux formant les faisceaux de Goll et de Burdach son
oins fortes du côté correspondant à la traction ; 8° Les cellules nerveuses de la corne antérieure sont bien moins nombreus
ieures et antérieures, ainsi qu'une atrophie prononcée des cellules nerveuses des cornes antérieures. En nous basant sur ce
stérieures et enfin à la vacuolisation et à l'atrophie des cellules nerveuses des cornes antérieures. Ces deux causes nous pa
ir les graves conséquences de l'élongation des nerfs sur le système nerveux ; on est ainsi natu- rellement amené à les rapp
. 61 quand on le soumet, dans un but thérapeutique, à la traction nerveuse , comme on l'a fait dans ces der- nières années.
s. Indépendamment de l'atrophie et de la disparition des cellules nerveuses dans les cornes antérieures, les altérations, q
n atrophie des cornes et des cordons postérieurs, dont les éléments nerveux sont remplacés par du tissu conjonctif. En d'au
èrement envahis par du tissu conjonctif qui a remplacé les éléments nerveux ; ces derniers font absolument défaut. La régio
'au- topsie de son malade, auquel il avait pratiqué des tractions nerveuses (nerfs crural et sciatique), M. West- phal cons
le. Mais, nous répondra-t-on, on ne saurait comparer une traction nerveuse dans un but thérapeutique, même lorsqu'elle est
DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 63 lève tout le corps du malade sur le tronc nerveux , à l'arrachement d'un nerf avec ses racines ! C
e supposition nous paraît d'autant plus admissible, que la traction nerveuse produit de la sclérose et de l'atrophie des cor
'un envahisse- ment du tissu conjonctif qui comprime les éléments nerveux de la moelle, comment peut-elle être utile dans
leur action vitale, et accélérer en même temps l'action des centres nerveux restés indemnes, même alors les chances de guér
s contribuaient à rendre plus prudent dans l'em- ploi des tractions nerveuses . En nous basant sur tout ce qui précède, nous
ose ou cordon postérieur droit, côté de la traction. - Les éléments nerveux du cordon ALTÉRATIONS DE LA MOELLE EPINIERE. 68
ente. Envahisse- ment du tissu conjonctif qui remplace les éléments nerveux dans le cordon postérieur atrophié de la tracti
roit, tmm, 05; le cordon postérieur gauche, 1 ? 20. Fig. 3. Cellule nerveuse en voie de vacuolisation provenant de la corne
on du nerf sciatique droit avec une force de 5 kilos. Fig. 4. Tubes nerveux indemnes du bout central du nerf sciatique d'un
ite B, atrophiée marquée du cordon postérieur croit A. Les éléments nerveux sont remplacés par du tissu conjonctif dans tout
résorption. Prolifération des noyaux de la gaine de Schwann. Tubes nerveux de formation nouvelle. Archives, t. X. 5 RECU
gé de la Faculté d'Athènes, chargé du cours des maladies du système nerveux . Si on jette un coup d'oeil à la symptomatologi
e fille, âgée de huit ans, n'ayant dans sa famille d'autres parents nerveux que sa tante, qui était hystérique, a eu dans sa
r comme guéri qu'après la disparition complète de tous les troubles nerveux . J'irai même plus loin, et je dirai qu'il faut
s et de la curabilité des quelques mala- dies organiques du système nerveux central est une des plus intéressantes que la p
égénération des nerfs, nous assistons là à une véritable réparation nerveuse . Charcot a démontré, par l'au- topsie d'une per
qu'au milieu du tronçon de la moelle sclérosée il y avait des tubes nerveux qui rétablissaient les communications entre le
au point de compression, Charcot a trouvé que le nombre des tubes nerveux était bien au-dessous du taux normal, et cepen-
n suivante : A. quoi donc sert un nombre si considérable de tubes nerveux qui existent à l'état normal ? Il est certes très
circonstances extraordinaires qui nécessitent un plus grand travail nerveux , un plus grand nombre de fibres nerveuses se me
itent un plus grand travail nerveux, un plus grand nombre de fibres nerveuses se mettent en jeu; 2° à quelques cas pathologiq
t ans. Certes, à cet âge, le corps est en dévelop- pement. Le tissu nerveux a plus de vivacité et les phénomènes de régénér
ylindres axiles dénudés ; 4° La régénération d'un nombre de tubes nerveux bien au- dessous du taux normal suffit pour dét
esserons de le publier. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A l'état PHYSIOLOGIQUE ET pathologique 1 Par
nation de 1 Voy. t. IX, p. 232 et 360. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 77 - ces deux substances est à son minimum pen
noïdes. Cette moindre décomposition provient-elle de la substance nerveuse ; lé travail intellectuel diminue-t-il les échang
le de matière albu- minoïde qui entre dans la constitution du tissu nerveux et la quantité relativement considérable d'azot
es échanges nutritifs qui peuvent se passer au sein de la substance nerveuse . Cette diminution ne peut pas être davan- tage
e der- nier travail ne pouvant être recherchée ni dans le système nerveux ni dans le système musculaire, force est bien de
e repos, nous ne pouvons rattacher cette augmentation qu'au système nerveux lui-même. Ce premier point résolu, se pose la
dû à des échanges plus actifs se passant dans l'intérieur du tissu nerveux et exprime un déchet en acide phosphorique prod
, on ne conserve plus de doute que cette DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 81 augmentation ne soit due à une suractivité
admettre que l'acide phos- phorique est lié à la nutrition du tissu nerveux . Poursuivons notre étude. L'acide phosphorique
duit de la désassimilation des matières phosphorées de la substance nerveuse , il est certain que, dans les conditions or- di
ue l'activité des échan- ges qui se passent au sein de la substance nerveuse est suffi- samment grande, cette diminution ne
le et les échanges nutritifs qui se passent au sein de la substance nerveuse un rapport trop étroit pour qu'elle ne concoure
- fluence du travail intellectuel, sont absorbés par la substance nerveuse pour produire ce travail, et servent à compenser
ux rapports qui existent entre l'acide phos- phorique et le système nerveux ; si nous les synthétisons, nous dirons : 1° L
ux; il porte encore sur quelques ganglions et sur quelques troncs nerveux en arrière. Il en résulte une paralysie complète
tion constante de la sub- stance grise (dégénérescence des cellules nerveuses des cornes antérieures et postérieures) rapproc
e de la dégénérescence atrophique et de la disparition des cellules nerveuses après l'opération sans aucun processus inflamma
si riches, si multipliées, qu'af- fectent entre elles les cellules nerveuses au moven de leurs prolongements dans le réseau
s cellules nerveuses au moven de leurs prolongements dans le réseau nerveux de la substance grise. Quant aux cordons de Gol
anglions spinaux, mais qu'elle émane de la destruction des cellules nerveuses qui, selon toute probabilité, servent de lieu d
s alors les réactions se font plus lentement (autonomie des centres nerveux péri- phériques séparés du centre spinal), et l
s paires de tubercules quadrijumeaux. » P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. SUR LES allures DES nerfs ET DES muscles mal
SUR la signification DE la formation DE vacuoles dans LES cellules nerveuses ; par P. Rosenbach. Remarque SUR LE travail DE
NTRIBUTIONS A L'ÉTUDE DE la formation DE vacuoles dans LES CELLULES NERVEUSES , ganglionnaires DE la moelle, par R. SCHULZ. (N
1 Voy. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 333. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 91 t server, avant d'admettre la conclusion de
ion et formule la pathogénie suivante : le protoplasma des cellules nerveuses possède une certaine cohésion, une certaine ten
ée totale, deux ans et dix mois. Autopsie : compression des racines nerveuses de la queue de cheval par un foyer méningitique
rectement atteintes, dégénérescence descendante de plexus et troncs nerveux co-affectés, atrophie dégénérative des muscles.
Au début, phénomènes d'irritation de cer- 92 L) revue DE pathologie NERVEUSE . tains territoires des racines postérieures; pl
ndant exsudat gélatiniforme (compression des centres et des racines nerveuses qui en partent). P. K. IV. SUR UN cas DE scléro
dans le torrent sanguin, n'agirait pas aussi bien sur les or- ganes nerveux périphériques, que sur les organes centraux. L'
té de leurs éléments à leur origine. Intégrité également des troncs nerveux du bras droit, intégrité des racines antérieure
acuoliques avec altération du protoplasma dans les grandes cellules nerveuses multipolaires des cornes antérieures sacro-lomb
end à admettre l'origine infec- tieuse. P. K. REVUE DE pathologie NERVEUSE . 93 VI. SUR L'EXISTENCE DE cylindraxes tuméfiés
lesquels on ne trouve qu'une altération 9'p le REVUE DE pathologie nerveuse . des nerfs périphériques, la moelle étant resté
t que la maladie se porte de préférence sur des segments du système nerveux moteur. Poliomyélite et névrite sont proches pa
IX. Contribution A l'étude DES ecchymoses sous-cutanées d'origine nerveuse ; par 'ftl. SELLER. (Revue de médecine, 1884, no 8
tériques, autant qu'on peut supposer du moins à REVUE DE pathologie NERVEUSE . 95 cause du défaut d'exploration de la sensibi
sous les ongles des orteils, les ecchymoses sous-cutanées d'origine nerveuse , de dimensions fort variables, ont pour siège o
lobule pariétal inférieur de Richer. P. K. 96 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XII. SUR l'affaiblissement DES DIGESTIONS inte
ogénie comporterait trois mécanismes : l'affaiblissement du système nerveux nuit à l'activité cellulaire de l'intestin, san
persécrétion du suc intestinal analogue aux sueurs et à la polyurie nerveuses ; enfin peut-être a-t-on affaire à une diarrhée
es procédés à un cas de mort apparente. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 97 XIV. CONTRIBUTION A la théorie DU DOIGT A R
indépendance du réflexe Archives, t. X. 7 98 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tégumentairc. Il est donc analogue aux réflexe
tes, on a trouvé des circonstances rendant pro- REVUE DE pathologie NERVEUSE . 99 bable l'infection antérieure. - 2° Le tabes
s malades souffrant d'hémicranie et d'autres de névroses du système nerveux central ont, de même, montré que, dans une appl
ques, cette aggravation provient des effets du courant sur le tissu nerveux sain (névrose électrique). - Il,- L'électrisati
othérapique à suivre.-14^ Ainsi, il se présente des cas de maladies nerveuses qui, sans se différencier d'autres cas semblabl
emble donc qu'en tel cas le courant impressionne surtout les fibres nerveuses cen- tripètes, qu'en tel autre il influence pri
avec ses appareils terminaux périphériques. 16e Les cas de maladies nerveuses périphériques curables par l'électrothérapie que
V. L'EMPLOI simultané DE DIVERS SELS DE BROME dans LES affections NERVEUSES ET TOUT particulièrement dans L'ÉPILEPSIE ; par
e la grand'mère est morte d'un cancer à la bouche; la mère est très nerveuse , irritable, a une soeur somnambule et un frère
diabétiques. ' MARCEL BRIAND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE BERLIN Séance du 14 juillet 18842. Préside
'sans importance. Il lui semble impossible de rattacher l'affection nerveuse à la syphilis. Ce malade, de même que d'autres
Communication annoncée de M. RosENBacH : Des allures du sys- tème nerveux dans l'inanitiation. Expériences sur des chiens e
des particules de sa substance. Il en est de même pour des cellules nerveuses ganglionnaires de l'écorce, les cellules cérébe
s gouttes d'é- ther. Les zones cutanées siègent dans les expansions nerveuses terminales de la peau. Il est curieux de consta
ulsions. Il est probable que le point de départ est dans les troncs nerveux , car ou peut également provoquer l'attaque par
alement provoquer l'attaque par la compression énergique des troncs nerveux qui se rendent il. la zone sous-cutanée, sur to
ogènes par l'électrisation statique, la gal- vanisation des centres nerveux , les inhalations anesthésiques, l'anémie locale
a conscience normale, qu'ils ont tous pour fondement un tempérament nerveux , d'origine héréditaire et qu'ils laisseront éga
rigine héréditaire et qu'ils laisseront également après eux un legs nerveux . Il rejette complètement l'existence des percep
de la folie : les arrêts ou les vices de développement des centres nerveux , les modifications cliniques ou physiques de la c
ale, les maladies qui retentissent par voie réflexe sur les centres nerveux , et enfin les blessures et les affections du ce
mentales ne soient le résultat d'une lésion primitive des éléments nerveux , lésion probablement mo- léculaire qui nous éch
nt que nous ne connaîtrons pas la constitution normale desmolécules nerveuses . Après cette pro- fession de foi, Maudsley décr
l'usage, au moins journalier, des véritables sédatifs du système nerveux : le chloral et l'opium. Il compare leur action à
es- pèce de coercition chimique qui s'exercerait sur les éléments nerveux et qui doit être prescrite au même titre que la c
rofesseur de clinique de Leipzig renferme les mala- dies du système nerveux . Voilà pourquoi son analyse doit prendre place
connu du public médical français. Ses recherches sur la pathologie nerveuse ont été, de . notre part, l'objet de nombreuses
ssues les notions aujourd'hui si bien éta- blies dans la pathologie nerveuse . Les indications diagnostiques très soignées tr
p. 722. Archives, l. X. 10 0 146 PHYSIOLOGIE. mêmes processus nerveux qui ont lieu pendant l'exé- cution du mouvement
es mots. Mme X..., âgée de trente-cinq ans, d'un tempérament très nerveux , mais dontles antécédents héréditaires ne nous so
cin inspecteur de Saint-Honoré-les- Bains, est fils d'une mère très nerveuse , irritable, pleurant facilement et se mettant,
contrariété, à' trembler de tous ses membres. Quant à lui, toujours nerveux , émotif, il' a été pris, peu de temps' après so
it, en général, qu'après la découverte du mot. 1 (il¡ r ? ruor,ocm. nerveuse . Ces observations suffisent, croyons-nous, à me
contraire et force le sujet à le répéter. (il suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE DEUX NOUVEAUX CAS DE SCLEROSE LATÉRALE AMYOTt !
ique. Enfin, comme nous l'avons dit dans l'autopsie, les cellules nerveuses de la couche optique quoique très nombreuses et
située bien en avant du territoire de ce faisceau ; 170 pathologie NERVEUSE . il est vrai que là les corps granuleux étaient
est due à la dégénération de ces fibres pyramidales 172 pathologie nerveuse . disséminées et aberrantes dont nous avons sign
nfin à la région lombaire où la substance grise (grandes cellules nerveuses et fibres nerveuses à myéline observées par la
ombaire où la substance grise (grandes cellules nerveuses et fibres nerveuses à myéline observées par la méthode de Weigert)
est à faire à propos des lésions médullaires sur l'état des fibres nerveuses au niveau des faisceaux pyramidaux sclérosés. C
rence considérable et que dans celles-ci la, disparition des'fibres nerveuses était- beaucoup plus générale que dans le premi
égion cervicale, mais aussi à la région D , , ü 174 Il PATHOLOGIE NERVEUSE . dorsale où elle occupait même une certaine por
oup et dans toute sa longueur la fibre 176 G PATHOLOGIE NERVEUSE. nerveuse ; il commencerait à telle ou telle hauteur' 1 et
ue peu à peu sa partie inférieure; de telle sorte qu'une même fibre nerveuse pourrait pré- senteur dans l'écorce des corps g
rées, on ne peut de leur absence conclure sûrement que les fibres nerveuses sont saines. La chose est évidente et il est bi
a difficulté qu'il y a à reconnaître dans des organes où les fibres nerveuses forment un lacis inextricable s'il y en a quelq
illc., 1S84. Prag.) 3 Ibidem. Archives, t. X. 12 178 PATHOLOGIE NERVEUSE . moyen de l'écrasement, sous le couvre-objet, n
ion une certaine évolution est considérée comme pré- 180 PATHOLOGIE NERVEUSE . sentant au maximum et avec ses caractères les
purement et simple- 1 Charcot. - Leçons sur les maladies dn système nerveux , 3" rase., 2e édit., p. 240. 2 Déjerine. -Etu
al sclérose. Inann. dis- srt ? Durl>at, 188 ? , 182 PATHOLOGIE NERVEUSE . \ baires suffisent à faire considérer son obse
égénération descen- . ' Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux . - Sclérose latérale amotophiq7ze, a édit., p.
Sclérose latérale amotophiq7ze, a édit., p. ? S0. 184 PATHOLOGIE NERVEUSE . dante suivant que la lésion primitive siégeait
l'hérédité est surtout manifeste dans la pro- duction des maladies nerveuses et mentales; elle est le plus souvent alors, co
us diverses, qui de près ou de loin viennent t atteindre le système nerveux des parents, peuvent devenir pour les enfants u
enfants une cause de prédisposition héréditaire à des af- fections nerveuses d'un autre ordre. Ce que le père transmet à l'e
ar l'un de nous '. 4 Bourneville. Archives des maladies mentales et nerveuses , 1861, p. 289. 188 CLINIQUE MENTALE. I. Fam
paternel. Le père est bien 'conformé et intelligent. La mère, assez nerveuse , est sujette à des accès de tristesse, revenant
ment : MALADIE DE THOMSEN. 201 ( les sujets atteints d'affections nerveuses ou dans leurs fa- milles ». L'observation II es
sont morts à un âge avancé sans'avoirs,eu d'affections du système nerveux . 1 il tBqf"l, ' Il " ` ' ,, t cm Son 'lJèl'eles
fait aucun excès. Petit cl trapu, il ne présente,' aucun phénomène nerveux . Marié tardivement, il a eu néanmoins une, nomb
Un tiüalrième' 'enfaÍlt ffi-ort du' CI'Ó'U'p' àl'3ë dè' trois ans, nerveux . Un quatrième enfant mort du croup à l'âge de tro
a survécu pendant plusieurs jours. Des diverses variétés de dypnée nerveuse , on doit éliminer ici, comme ne rendant pas com
à un défaut d'harmonie dans l'activité des deux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 225 hémisphères, car chez notre malade il n'y
tement déchirées et dont il n'a aucun souvenir. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX. Occlusion intestinale, gastrotomie, TROUBLE
guérit habituellement. Archives, t. X. 15 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mais la marche de l'atonie parait en être accé
, gastrique fébrile, plusieurs poussées de pur- REVUE DE pathologie nerveuse . 227 l'ura et des douleuis s rhulllaloïdcs dans
nsistant en : analgésie complète des extré- ? ô REVUE DE pathologie nerveuse . mités inférieures avec conservation du sens du
multiloculaire; il n'y comprend pas le syndrome REVUE DE pathologie NERVEUSE . 229 de la paralysie spinale spasmodique. Parmi
ner a 1 Voy. Archives de Neurologie. 1 i : lO REVUE DE pathologie NERVEUSE . atteindre les moitiés temporales des nerfs opt
ultze que la pseudo-hyper- trophie n'est pas une maladie du système nerveux , l'atrophie musculaire héréditaire est une myop
de la combinaison des symptômes psy- chiques avec d'autres troubles nerveux , souvent tout à fait passagers (convulsions, pa
t extraordinairement t rare. Guérison. P. K. VI. SUR LES CELLULES NERVEUSES ganglionnaires DE l'écorce DU CERVEAU DANS LA P
gs laquelle |a plupart 'des synp- ? 4Z3 SOCIÉTÉS, SAVANTES; tomes nerveux de l'hystérie ont une origine psychique ;sil souh
s. dans l'association des symptômes psychiques à' d'autres troubles nerveux souvent tout'à fait passagers, troubles qui peu
Quant' à, l'esameliüiic'i·ôscopiqite en tous ces cas; les cellules nerveuses , ont plus ou imomsl disparu, dans les'corps gq
ixer les cellules.' Du reste, les éléments' cellulaires des organes nerveux dont il a étéquestion présentaient) chez les hé
e laps de temps, l'atrophie du nerf oplique se propage aux éléments nerveux (cel- 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. Iules) des corps
é que la destruction d'un lobe occipital détermine sur les cellules nerveuses des organes placés en avant de lui les mêmes al
i , . . l' 1, t. l' l ,< i. , v. M. E. MENDEL. Sur les cellules nerveuses ganglionnaires de l écorce , dans la paralysie
r, il.1 ? I qu'après avoir fixe 1 j¡lstologlC normale des cellules nerveuses , 1 \. ,1 ' .. Il \'\\ \ \ 1 \ il ? j- '\' . I\q
est, sur-le-champ, facile de recon- naître l'atrophie des cellules nerveuses de l'écorce des paralytiques généraux, elle se
observations intéressantes, à tous ceux qui. s'occupent de maladies nerveuses et mentales. Cil. F. V. Zur physiologie des Geh
pétriére. M. le Dr BABINSEY est nommé chef de clinique des maladies nerveuses . Société DE médecine et chirurgie de Bordeaux.
· Vol X. Novembre 1885. N" 30 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ETUDE DES FAUSSES SCLEROSES
t .4rch. f. Psychiatrie, 1880. Archives, L. X. 20 306 PATHOLOGIE NERVEUSE . de la moelle épinière d'un tabétique, avoue qu
où, à la fin de 1881, elle fut placée dans la section des maladies nerveuses du professeur agrégé Tschetschoff. L'examen, fa
ffaiblie et les réflexes des tendons sont visiblemet 308 PATHOLOGIE NERVEUSE . exagérés. La réaction des muscles et des nerfs
ce de girolle, et ensuite dans du baume de Canada. 310 PATHOLOGIE NERVEUSE . large atteignant presque la substance grise. E
ale.- Sclérose des cordons latéraux et antérieurs. 312 PATHOLOGIE NERVEUSE . tion dans la moitié antérieure de ces cordons,
parente des racines de la première paire dorsale, quelques cellules nerveuses des cornes antérieures semblent un peu troubles
la moelle, les changements décrits plus haut ont, dans les cellules nerveuses , un plus grand développement et embrassent une
a région dorsale de la moelle en diminuant peu à peu 314 PATHOLOGIE NERVEUSE . dans la direction ascendante aussi bien que de
cilement des tuméfactions variqueuses des cylindres-axes des fibres nerveuses et des cellules- araignées très nombreuses et t
ppées qui, dans leurs prolongements s'étendent entre les éléments nerveux . c) En examinant les vaisseaux, nous voyons sou
es cellules-araignées. En outre, on voit le gonflement des cellules nerveuses et le change- ment de la névroglie. Là les symp
de la moelle épinière, 2e fascicule, 1877, p. 3w. 31 {j PATHOLOGIE NERVEUSE . prudente en disant littéralement ce qui suit :
latérale, me parait très vraisemblable. Quoi qu'il : 11 PATHOLOGIE NERVEUSE . en soit, il est impossible de donner une valeu
. DES FAUSSES SCLÉROSES DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. 3t9 320 PATHOLOGIE NERVEUSE . est suffisant d'après notre opinion, pour expl
nvalescence d'une angine grave. La mère elle-même de l'accusé, très nerveuse , est sujette à de fréquentes migraines. Enfin,
sa famille. Berger me dépeint sa mère comme une femme extrêmement nerveuse , qui, à la moindre contrariété, entrait en état
ans d'une bronchite chronique ; carac- tère doux; n'est pas du tout nerveux : n'a jamais fait d'excès de bois- son, au dire
n'a fait d'excès d'aucune sorte. - Dï'ére, ménagère, n'a jamais été nerveuse , est morte d'un mal de jambe. - -Deux frères, q
qui est une enfant naturelle. - Mère, bien portante, sans accidents nerveux , change souvent de profession. Elle assure n'av
au mariage de sa maîtresse avec Hornick; il n'avait pas d'accidents nerveux , ne buvait pas ; il était intelligent, d'un carac
dition qu'on le surveille. Observation VII. Imbécillité. Crises nerveuses ci quatre ans, suivies de strabisme pendant un an
é appelé a dit que ce n'était pas des convulsions, mais une crise nerveuse . Après, les yeux étaient retournés et il a louché
le, ni aucune autre fièvre : n'a jamais présenté d'autres accidents nerveux que ceux qui sont mentionnés plus haut ; il fai
rnel, même chose. Le père des Horn... ne présentait pas d'accidents nerveux , mais il faisait de fréquents excès de boisson
fection, qui a des rapports si intimes avec les maladies du système nerveux , est une cause d'hérédité qui a certes une gran
et Marie 2 le montrent fréquemment uni par l'hérédité aux maladies nerveuses et surtout aux maladies mentales. Guislain s, d
'a pas reparu. Pas d'alcoo- lisme, ni de migraines, pas d'accidents nerveux ni rhumatismaux; caractère doux. [Père : soixan
son. - Mère : morte de la rupture d'une anévrysme ; pas d'affection nerveuse . - Deux frères : l'un est mort du choléra ; l'a
eux soeurs : dont l'une encore vivante, n'ont jamais eu d'accidents nerveux .] . Mère : quaranté-deux ans; brodeuse, intelli
ux. Mère : soixante-dix-sept ans, bien portante, pas d'affec- tions nerveuses . Une cousine paternelle au troisième degré de l
ntation; il survient un amaigrissement rapide et un état de marasme nerveux qui amènent rapidement la mort. DES FAMILLES
l'autre de dix-neuf, bien portantes, intelligentes ; aucun accident nerveux . 4° un garçon (Louis-Oscar), mort idiot à Marév
fille, huit ans, bien portante, pas de convulsions ni d'affections nerveuses ; -- 100 Un garçon de cinq ans (Henri Gabriel), id
'IDIOTS. 373 Observation XII. IDIOTIE complète; ÉPILEPSIE. Crises nerveuses simulant des peurs; accès épileptiques (dix ans);
à deux ans. Vacciné, pas de varioloïde. Il a eu d'abord des crises nerveuses (deux ans); il semblait avoir peur, et tressaut
éjà un idiot dans sa famille, est elle-même sujette à des accidents nerveux . Ici l'hérédité se manifeste directement et les
uberculose, maladie dont la rela- tion avec les maladies du système nerveux , signalée par Esquirol, bien étudiée par M. Dup
et il n'est guère de médecins s'occupant de l'étude des affections nerveuses qui n'ait vu disparaître, sous l'influence du t
; à vingt ans, elle a eu des céphalalgies, des syncopes, des crises nerveuses sans convulsions, pendant une grossesse. En 188
une grossesse. En 1883. à propos d'une fausse couche, les accidents nerveux redoublent, syncopes, atta- ques de léthargie t
eul point réellement difficile, c'est, encore une fois, la TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 395 façon de f
tion minutieuse pourra faire reconnaître. REVUE CRITIQUE TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES ; Par M. LECORC
X DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES ; Par M. LECORCUÉ. Les troubles nerveux qu'on observe chez les diabétiques, signalés de
ffisante. Ces deux ordres de troubles névropathiques ' Des troubles nerveux chez les diabétiques. Féru et l3ernarl. Archives
ogie, 188,2, t. 1\', p. 336. 2 Dreyfous. - Patltogenie pl accidents nerveux du diabète sucré. Th. agr{'g-" 188a. 396 REVU
es altérations expliquent peut-être un certain nombre de phénomènes nerveux observés chez les dia- bétiques, et pourraient
is- tence et le siège de ces altérations et les divers phénomènes nerveux n'a pas été établie, jusqu'ici, d'une manière sat
ou l'intelligence, constituent pour nous les vraies manifestations nerveuses du diabète. Les autres, relevant le plus souven
diaire des altérations du sys- tème vasculaire. A. Manifestations nerveuses directes. Les troubles de cet ordre que nous av
lus ou moins prononcée est le symptôme le plus souvent ob- TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 397 Î servé (2
u à la sensation des deux pointes. 398 REVUE CRITIQUE. TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 399 matin au l
s de névralgie de l'ovaire (Cas. XXXVIII). Ce qui démontre TROUBLES NERVEUX DANS LE DIABÈTE CHEZ LES FEMMES. 01 bien que la
se demander si c'est en agissant sur le muscle ou sur le système nerveux que le sucre arrive à produire ces effets de paré
ie d'évolution. Il apparaît dans des cas où l'anémie n'est TROUBLES NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES femmes. 403 point asse
utres cas, elle se produit spontanément et paraît liée à un trouble nerveux (OBS. LXXII). Il est parfois difficile de la fa
ellectuels trouve son explication dans les antécédents héréditaires nerveux qu'on relève habituellement chez des diabétique
it un frère aliéné. , , . 404 . revue critique. B. Manifestations nerveuses indirectes. Nous rangeons sous ce titre les phé
ns nerveuses indirectes. Nous rangeons sous ce titre les phénomènes nerveux qui se rattachent à des lésions matérielles évi
ymptômes d'un diabète indiscutable préexistaient aux manifestations nerveuses . Ainsi, dans le premier fait de Leudet, il s'ag
e du sucre dans ses urines antérieurement à l'éclosion des troubles nerveux . Les manifestations symptomatiques de lésions m
rusquement. Dans le premier cas, elles sont souvent précé- TROUBLES NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES FEMMES. 405 dées de la
la rétine, donnant lieu à des épanchements sanguins dans les masses nerveuses ou dans les enveloppes de l'encé- phale. Seegen
es dans le diabète ne relèvent pas tous de lésions rétiniennes et nerveuses , la fréquence de l'amblyobie, comparée à celle de
a suite des manifestations ner- veuses proprement dites. TROUBLES NERVEUX dans LE diabète CHEZ LES femmes. 407 La catarac
du diabète. On les voit quelquefois s'amen- 408 REVUE DE pathologie NERVEUSE . der sous l'influence du régime, comme dans cer
troubles permanents de la vue. - (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXXVIII. NOTE SUR LES lésions TROPHIQUES DES va
façon suivante. Dans le chapitre premier inti- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 409 tulé : De la structure et des fonctions de
chaleur, petites hémorragies sous-cutanées) 410 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . du côté paralysé. Aussi conclut-on à l'excitat
la basilaire et des vertébrales. Le diagnostic REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 411 [ s'appuya sur le jeune âge du sujet, la c
t l'âge de trente ans sans avoir été malade 412 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . est mort subitement. Interrogée, celle femme d
nstante avec la normale). Il s'agit d'une atrophie simple des tubes nerveux , sans proliféra- tion du tissu conjonctif; la n
des nerfs sensitifs. Planche à l'appui. P. K. REVUE DE pathologie NERVEUSE . 413 3 XLIV. UN cas DE formation D'UN LIPOME da
ollissement). Aplatissement, mais faible dégénérescence des racines nerveuses droites, inté- grité des racines de gauche. Dég
action des pupilles chez les aliénés. z 414 REVUE DE pathologie NERVEUSE . Katyschew affirme qu'il se produit dans ce cas
tion de la nutrition qui entraine l'équilibre instable des cellules nerveuses des centres moteurs; dès lors, une exci- tation
les où il y a des cellules ganglionnaires (inaction des conducteurs nerveux ). Le chapitre II traite du p ! iéno- mène vaso-
ux tra- vaux publiés depuis une vingtaine d'années sur les troubles nerveux consécutifs aux maladies aiguës. Thore ', M.
émoire de Westphal. Déjerine. Recherches sur tes lésions du système nerveux dans la paralysie diphthéritique ; (arch. de ph
te épreuve, un agent physique, l'électricité, a restitué au système nerveux l'intégrité de ses fonctions de sensibilité et
outre se former des vaisseaux nouveaux et même de nouveaux éléments nerveux . M. FINKELNBURG. Sw' la valeur diagnostique des
dividus sains, cinq étaient prédisposés à l'hypnose (prédisposition nerveuse individuelle). Sur quinze malades, sept présent
dans cet état, réceptivité qui suppose forcément une prédisposition nerveuse constituée par un équilibre instable dans le fo
tituée par un équilibre instable dans le fonctionnement des centres nerveux . Conclusion : une hypnotisation facile prouve u
ne hypnotisation facile prouve une réceptivité morbide du système nerveux . Autre point : il est exact, comme l'a montré Bra
régions au cerveau; de là, des excitations inégales de la substance nerveuse . Dans les deux premiers cas, des trous décrits
ésion caractéristique de la paralysie générale porte sur les /tores nerveuses à myéline intra- co¡'ticales2 du lobe frontal (
t dans les démences secondaires, tandis que la déchéance des fibres nerveuses 'Voy.'Archivcs de Neurologie, t. VI p. 403; t.
Contribution à l'étude clinique des oedèmes périphériques d'origine nerveuse ; par J. WmL. (Thèse de Paris, 1885.) Des paraly
me et hypnotisme. Exposé des phénomènes obsirvés pendant le sommeil nerveux provoqué au point de vue clinique, psychologiqu
de des albuminuries transitoires dans quelques maladies du. système nerveux . Brochure in-8° de U4 pages. - Prix : 2 fr. 50.
. Caféine et alcool, par Lewis, 423. Cannabinone, 122. Cellules nerveuses (vacuoles dans les), 90. Cérébrale (Dualité),
étenus), par Krcdlt-Ehin ? 419. Diabète chez les femmes (troubles nerveux dans le), par Lecorché, 395. Digestifs (troub
orie), parler- nhardt, 97. Ecchymoses sous-cutanées d'o- rigine nerveuse , par Keller, 9 ? Electriques (action des couran
0. Imbécillité (rapport médico-légal), 420. Inanition (troubles nerveux dans l'), M7. Incendies multiples, au point d
ratdehyde,parDenda,t07,249. Paralysie générale (état des cellules nerveuses dans la), par \Iendel, 232; par Meudet, 23,, 27
Eisenlohr.'192. Paraplégie tabétique, 23o. Pathologie du système nerveux , par Struemprll, 136. Pinel (inauguration de
ogique, lit, 2n3, 41G. Société de psychiatrie et des mala- dies nerveuses de Berlin, 116. Société française de tempérance
99; - (centrale secon- daire), 226 j - (cérébrale), 226. Système nerveux (nutrition du), A l'état physiologique et 'patl
ose ou cordon postérieur droit, côté de la traction. - Les éléments nerveux du cordon postérieur, A, sont remplacés par du
ente. Envahisse- ment du tissu conjonctif qui remplace les éléments nerveux dans le cordon postélieur atrophié de la tracti
, L ? t, 05; le cordon postérieur gauche, 1"n", 20. Fig. 3. Cellule nerveuse en voie de vacuolisation provenant de la . corn
du nerf sciatique droit avec une force de 5 kilos. Fig. 4. - Tubes nerveux indemnes du bout central du uerf sciatique d'un
oite B, atrophie marquée du cordon postérieur droit A. Les éléments nerveux sont remplacés par du tissu conjonctif dans tout
oite, 1mm, 50 ; la corne postérieure gauche, 1 ? 55 Fig. 7. Tubes nerveux lesés provenant du bout périphérique du nerf sc
résorption. Prolifération des noyaux de la gaine de Schwann. Tubes nerveux de formation nouvelle. t7t EXPLICATION DES PLAN
14 (1911) La pratique neurologique
, chef du laboratoire d'électrothérapie de la clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière. D'' LA1V1VOIS; Professeur -ad
en collaboration, un livre de Séméiotique des maladies du système nerveux suivant des données et un programme spéciaux dont
tant français qu'étrangers, et les articles consacrés aux maladies nerveuses dans nos plus récents Traités médicaux sont-par
mble des principales notions concernant chaque affection du système nerveux . Et cependant, quelque .excellentes que soient
amen complet de tous les appareils au point de vue de la pathologie nerveuse et de tirer de cet examen toutes les conséquenc
es conséquences qui en découlent. Pour ce qui est de la Séméiologie nerveuse proprement dite, de celle qui a trait aux sympt
trait aux symptômes dépendant directement des trou- bles du système nerveux central ou périphérique, il va sans dire que so
iles, non seulement pour poser le diagnostic clinique d'une maladie nerveuse , mais encore pour en poser le diagnostic anato-
diculaire, les principaux points de l'Anatomie et de la Physiologie nerveuse et musculaire, etc., etc., ont été exposés par
s autorisés donnés par les auteurs sur l'ensemble de la séméiologie nerveuse . On comprendra aisément que le cadre du volume
Neurologie : le traitement de la Syphilis et de ses manifestations nerveuses ; le traitement des Algies ; le choix et l'emplo
e sorte de compendium d'électricité médicale appliquée aux maladies nerveuses . Enfin, dans un ordre de faits tout différent,
, méthodes et formules usuelles de coloration élective des éléments nerveux , etc. Mais il faut mettre un terme à celte énum
u TABLE DES MATIÈRES. ' ? ? LA PRATIQUE NEUROLOGIQUE . TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE par le Dr POULARD Av
echercher la signification d'un trouble fonctionnel dans l'appareil nerveux oculaire, il faut en constater l'existence et en
il existe, pour la recherche des troubles fonc- tionnels du système nerveux oculaire, tant moteur que sensitif, des moyens
de et quelquefois mathématique. Grâce il eux, de tous les appareils nerveux de l'organisme, le plus facilement exploitable,
n perfectionnée per- mettent de constater avec précision un trouble nerveux oculaire moteur ou sensitif; l'hypothèse ne doi
t nous disposons pour explorer les troubles fonctionnels du système nerveux oculaire (nerf optique, nerfs moteurs du globe,
tations ocu- laires qui peuvent se rencontrer au cours des maladies nerveuses , nous déterminerons la valeur semeiologique de
TPOVLARD.] PREMIÈRE PARTIE TECHNIQUE - - DE L'EXAMEN^DU SYSTÈME NERVEUX DE L'OEIL i EXPLORATION DU NERF OPTIQUE ET DE
re lues par un oeil d'acuilé visuelle nor- male. ! 4 4 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Quand l'acuité visuelle
pour cela, une boite de verres contenant au minimum : n - TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL .OCULAIRE. - w 3° Essayez les ver
aucoup la vision ; s'il s'agit d'une véritable amblyopie par lésion nerveuse , l'utilisation du trou sténopéique diminue la vis
ÉTIr. 7' . - on ne s'expose pas à mettre sur le compte d'une lésion nerveuse ce qui . est dû à un vice de réfraction. , Il
(Scolontes centraux pour les couleurs.) Dans certaines affections nerveuses , l'oeil ne voit pas la couleur de l'objet qu'il
dans le champ visuel en dehors du point de fixation. Les éléments nerveux de la région maculaire, si sensibles à l'état nor
ehors du centre. Puis, on fait appa- a [POCLJ ! D,] . il TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. raître au centre du cur
....................... du vert. (Morax.) [POULARD ] '10 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. z nent faire une impres
c, (1, e : ? g, h. Encoche du CY en E. Scotome en S. 12 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Au début de certaines a
champs visuels pour les couleurs). ' ' [POULARD] ] 1 ik TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. 11 importe donc de pouv
nLenlion qu'clIcs n'onI1]38 été données. [FOULARD.] 1G ' TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. ? - " II " EXPLORATION
b', yeux normaux en fixation normale sur le point 0. 18 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.. suration angulaire, en
s aggravations ou les améliorations. Le . [POULARD] 20 - TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.' ? -... périmètre devie
n est incorrecte, il y a diplopie verticale. ' . 22 " -- TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. .. Mensuration de la di
ents états de réfringence, sont marqués en quadrillé. 21 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. visuelle. Il se fait d'
e jour, sont couverts par les mains de l'observateur. 2G TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE. deux mains les yeux gr
, la bougie éclaire lad et la pupille se contracte. 28 ' ; TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . Dans ces épreuves il
ompre brusquement et à volonté la lumière. [POULARD.] aU TROUBLES NERVEUX . DE L'APPAREIL OCULAIRE Réflexe dans le passage
: 5, petit pignon; 4 grande roue dentée; 5r platine. 52 . TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . V ' .. EXPLORATION
rimétrique. - DEUXIEME PARTIE VALEUR SÉMÉIOLOGIQUE DES TROUBLES NERVEUX DE L'OEIL i DIMINUTION DE LA VISION - AMBLYOP
aire, des milieux transparents ou des enveloppes; lésions des voies nerveuses reliant le globe au cerveau). Plus souvent, on
s l'immense majorité des cas, produite par une lésion de l'appareil nerveux optique (lésion rétinienne invisible il nos yeux,
les de l'amblyopie. PllATIQUB NEUI10L. 5 [POULARD.] 54 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Amblyopie hystérique. L
ultat d'une lésion des voies optiques. Ils proviennent d'un trouble nerveux moteur du muscle ciliaire. Ils peuvent exister av
'hystérie. 71° Troubles visuels par action dynamique sur le système nerveux optique (rétine, nerf optique, chiasma, capsule
ose hystérique que la diminution ou la perte de la vision d'origine nerveuse , la diminution de la 'sensibilité rétinienne sa
arce qu'elles ne sont certainement pas le fait d'une même affection nerveuse . Aussi, est-ce sans conviction et seulement pour
nt le travail. Il y a comme un manque de résistance de l'appa- reil nerveux , quand on lui demande de fonctionner. Ces trouble
alcoolique est une altération dégénérative loca- lisée aux éléments nerveux de la macula. Amblyopies par le plomb, l'opium,
retour au travail de l'oeil amblyope. z . [FOULARD.] 58 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Amblyopie héméralopique
voit, un certain nombre de ces amblyopies accompagnent des maladies nerveuses connues (hystérie, lésions du trijumeau, altéra-
psie) ; d'autres, tout en conservant comme intermédiaire le système nerveux ,^ ont pour cause primitive une intoxication (al
ère spéciale, va- riant avec le siège et même la nature des lésions nerveuses . . La lacune peut être centrale (fig; 34). Elle
rax). ' Fig : 57. - Lacunes- intermédiaires [moraux]. 40 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Nous avons vu (page 11)
istinction est importante, puisque, dans le premier cas, le système nerveux est lésé, tandis que dans le second les éléments
'index va du centre à la périphérie, moins [POULARD.] AI TROUBLES NERVEUX DE l ? 1t'l'11t11L OCULAIRE. étendu quand l'ind
e la périphérie du champ visuet provien- nentdes lésions du système nerveux optique situé en avant du olrirrwan, LACUNES DA
e entre le chiasma et l'écorcc cérébrale.- , La marche des fibres nerveuses qui constituent le nerf optique explique bien c
u chiasma, au point d'entre-croisement - [FOULARD] ] ? r TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - des deux faisceaux ve
psie homonyme peut s'installer sans bruit, sans troubles du système nerveux . D'autres fois, c'est à la suite d'un ictus qu'
le de l'OG et donnant hémianopsie temporale de l'OG. - 4(i TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. et, au grand étoimeinen
avant des noyaux du mésocéphale et vous [FOULARD.] as. TROUBLES. NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE Fig. 41-(-.%). Hémianops
s, symétriques. Pratique "EUROI" - 4 - . [FOULARD.] 50 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. aurez une cécité complè
G. Fig. 42 (C). Ilémianopsie hétérolatérale binasale. 52 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. nopsie. La véritable hé
des symptômes variés suivant son siège. Les tractus ou les centres nerveux qui avoisinent les voies optiques, peuvent, en
oduire des hémianopsies en quadrant, 4 ? [FOULARD.] hA TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. des scotomes symétrique
s, puisse facilement, par extension, loucher la totalité des fibres nerveuses et amener une cécité complète bilatérale. Dans
rales organiques, quelle que soit leur [POULARD.] oli 1; TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. forme nodulaire ou diff
d'un grand nombre de maladies LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. 37 7 nerveuses et particulièrement du tabes, causes fréquentes d
ia- nopsie. La syphilis est si souvent en cause dans les affections nerveuses qu'il faut, en présence d'un cas douteux, pense
possible de déterminer la véritable cause [POULARD.] 5S TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. de l'hémianopsie, suiva
otomes insulaires ne se rencontrent que dans les lésions du système nerveux périphérique (fig. 57 et fib. .I 0 S). Et encor
aux globes et par suite aux objets fixés. [FOULARD] ] 00 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE., '' - ? Vertige oculair
très simples, on peut, connaissant la [POÜGARD.] li3 12 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. fonction physiologique
ut, fausse image en bas, paralysie de l'abaissement. gaz TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trois mètres. Il en voi
ans la para- lysie du muscle droit externe de l'OD. ' Hi TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE.. - - Cette exploration
5* [POULARD.] ] Fig. 49. -7- Schémas de diplopie. 68 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. que, si deux muscles an
ctile de chacun. Si les muscles paralysés dépendent d'un même tronc nerveux , du M. 0. C., par exemple, le diagnostic est fa
gt;-9). PARALYSIES DES MUSCLES MOTEURS DES GDOBES. 69 70 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. par le muscle droit ext
d'origine pédonculo- protubérantielle s'accompagnent de troubles nerveux qui permettent de les reconnaître avec facilité
résultent de l'entrecroisement à différentes hau- teurs des voies nerveuses motrices des yeux, de la face et des membres
érantielle touche le M. 0. E. et le facial croisés, les faisceaux nerveux des membres non croisés. La connaissance de c
Millard-Gubler (oeil gauche en strabisme convergent). 72 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. paralysie de l'oculogyr
cérébral au niveau du noyau du M. 0. C, à l'émergence des fibres nerveuses . D'après les autopsies peu nombreuses qui ont
elles inférieures (les deux yeux regardent à droite). 74 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. ou de lésions périphéri
nt plutôt le fait d'une lésion inter- médiaire portant sur le tronc nerveux . Cependant une paralysie d'origine tronculaire
itions, particulièrement dans la syphilis et dans quelques maladies nerveuses , on voit se prendre successivement les divers m
[POULARD.] Fig. 51. - Paralysie bulbaire asthénique. 76 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. parait résulter de lési
nt des centres CA et CP constituent les oculogyres. L 78 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. 1 divergence. Ces mouve
sculaires, réglant les mouvements associés (fig. 81). Des centres nerveux d'association existent certainement au delà de
d'association existent certainement au delà de l'origine des troncs nerveux , les uns dans le mésocéphale, les autres dans l
et aux noyaux d'origine des nerfs moteurs de l'oeil par des tractus nerveux , dont l'ensemble forme la voie des mouvements a
ssociés. Le siège des centres d'associa- tion, le trajet des fibres nerveuses d'association ne sont pas encore exactement dét
se produisent certainement par un mécanisme analogue, et le système nerveux qui les règle doit être organisé sur un type tout
ns ne produisent plus la paralysie isolée des muscles ou des troncs nerveux . La paralysie qu'on observe est associée ou com
e ovale; c) lésions de la capsule interne, [POULARD.] 80 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. partie antérieure au vo
agnostic entre ces deux variétés écologiques. Maladies du système nerveux . Hémorragies des centres ou des l'nAru,us veotc
particulière- ment ici, l'inlluence exercée sur eux par le système nerveux . L'iris reçoit deux ordres de filets nerveux (f
sur eux par le système nerveux. L'iris reçoit deux ordres de filets nerveux (fig. 58) : 1° Des filets irido-constrictcurs v
trijumeau. ' TROUBLES PUPILLAIRES. 85 La paralysie de l'appareil nerveux irido-constricteur amène l'irido- dilatation (m
o-consiric- tion (myosis spasmodique). La paralysie de l'appareil nerveux irido-dilatatcur, qu'il vienne de la moelle ou
e l'iris existe un plexus, le plexus ciliaire, formé par les filets nerveux des- tinés à l'iris et dans les mailles duquel
irido-clilatatrices. En vert, les voies vaso-motrices. 8 4 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. tenir compte de l'exist
s du ganglion ophtalmique. La cocaïne, excitatrice des terminaisons nerveuses du muscle dilatateur de l'iris, augmente la myd
sens contraire. La cocaïne dilatera la pupille si les terminaisons nerveuses dans le dilatateur sont intactes, c'est-à-dire
es : atropine, ésérine, cocaïne. L'atropine paralyse les extrémités nerveuses dans le sphincter (my- driase paralytique) ; l'
incter (my- driase paralytique) ; l'ésérine excite les terminaisons nerveuses dans le sphincter (myosis spasmodique). Quant Ù
is spasmodique). Quant Ù la cocaïne, elle excite les ter- miuaisons nerveuses dans le muscle dilatateur (mydriase spasmodique).
h. cl'oPlital., février 1905. (i** {.FOULARD.} ] 811'fIlOL'nLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Ces caractères distinct
e, cherche à étahlir avec pré- cision le diagnostic d'une affection nerveuse . Dilatation PUPILLAIIOE, Myimuase. A l'encont
après l'accident primitif, sans autre lésion appréciable du système nerveux . Elle a pour le diagnostic de syphilis une vale
idérable. A côté de la mydriase tardive qui accompagne les maladies nerveuses géné- ralisées (tabès, paralysie générale, etc.
ysie de l'accommodation (Voir Accommodation). Affections du système nerveux . Excitation du sympathique cervical. Dans certa
que cervical (com- pression, etc.), avant la destruction des fibres nerveuses , il existe sou- TROUBLES PUPILLAIRES. vent un
cas de mydriase spastique. C'est encore par action sur le système nerveux que se produisent les mydriases spastiques qui
une mydriase paralytique, recher- chez l'existence d'une affection nerveuse organique. Dans la plupart des cas, vous trouve
phale (1 u meur' ou méningite). Si vous ne trouvez aucune affection nerveuse systématisée, rappelez-vous que la syphilis produ
uvent très près de son début, sans qu'il existe aucun autre trouble nerveux appréciable. Neuf fois sur dix une mydriase para-
ydriase para- lytique est le fait de la syphilis ou d'une affection nerveuse comme le tabès ou la paralysie générale, qui el
eulement pensez aux autres causes. G ? [POULARD.] 88 ' TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - Si vous ne trouvez au
nte, c'est que, certainement, il existe une lésion grave du système nerveux , et que, à côté de cette lésion appréciable, il
ngrois pouvait à volonté dilater ses pupilles. Certaines fatigues nerveuses , entre autres celle qui résulte de l'abus » des
s cas, agit peut-être de la même manière. ' Affections du système nerveux . On rencontre le myosis dans les méningites, le
cep- tionnellement. En dehors de ces affections rares du système, nerveux , il en est d'autres bien plus fréquentes dans l
ns pupillaires. La déformation pupillaire, rare dans les affections nerveuses , se ren- contre au contraire très souvent dans
ation pupillaire sans angles rentrants. Dans ce cas, la no TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. portion non soutenue de
bome (colobome chirurgical). Les déformations pupillaires d'origine nerveuse diffèrent des précé- dentes. La pupille est pol
ore par l'action de l'atropine qui, dans les déformations d'origine nerveuse , agit sur tout le pourtour pupillaire, sans laiss
indemnes de paralysie générale, de tabès et de toute autre maladie nerveuse . Elles semblent dues il des atrophies partielles
lles ducs, dans certains cas, à une altération de v quelques filets nerveux indo-moteurs. Inégalité pupillaire. Toutes le
qu'on nomme hippus, se rencontre, rarement, dans quelques maladies nerveuses (méningite tuberculeuse...). On le voit aussi p
pillaire. H s'agit là d'une lésion isolée, périphérique, du système nerveux oculaire. Dans la mydriase paralytique par l'at
ns le myosis spasmodique (ésérine, pilo- . [PODLARD,] 92 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. carpine) ou paralytique
général, la perte du réflexe lumineux vient d'une lésion du système nerveux . Les mouvements réflexes lumineux de l'iris ont p
n de la rétine ou du nerf optique détruisant la totalité des fibres nerveuses qui le constituent : section du nerf optique, atr
ésion. Il est encore très utile en cas de simulation ou de troubles nerveux non organiques (amaurose hystérique). Dans bien
s, Babinski entre autres, le considèrent comme un signe de syphilis nerveuse . Et, de fait, presque toutes les affections nerve
ne de syphilis nerveuse. Et, de fait, presque toutes les affections nerveuses dans lesquelles on le rencontre ont été précédé
n ne peut cependant affirmer qu'il n'existe pas dans les affections nerveuses non syphilitiques. On l'a rencontré dans la scl
rarement d'ailleurs, que chez des personnes atteintes d'affections nerveuses (tabès, paralysie générale). On n'en connaît pa
st d'ailleurs mal connue. On ne l'a rencontré que dans des maladies nerveuses variées très avancées. Pillz signale encore com
sement, pupillaire dans le regard au loin. [POULARD.] 96 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL. OCULAIRE V TROUBLES DE L'ACCOM
L'APPAREIL. OCULAIRE V TROUBLES DE L'ACCOMMODATION Le mécanisme nerveux de l'accommodation, sans doute aussi complexe q
de Moral et Doyen. Si ces expériences sont vraies, à côté de filets nerveux accommo- dateurs fournis par le M. 0. C. il aur
l'accommodation avec t'age n'est nullement le résultat d'un trouble nerveux ou musculaire, niais provient du durcissement pro
ésulter d'une parésie de l'accommodation par compression des filets nerveux allant au muscle ciliaire. Il est rare que le n
euses, la paralysie de l'accommodation est le résultat d'un trouble nerveux . TROUBLES DE L'ACCOMMODATION. 97 Action de ce
ances la paralysie de l'accommodation s'accompagne d'autres lésions nerveuses intrinsèques ou extrinsèques du globe oculaire
e associé). - On ne sait pas exactement sur quels points du système nerveux agit la syphilis dans ces paralysies. Probablem
d'autres troubles de, inutilité des globes. Affections du système nerveux . Excitation du sympathique cer- vical. Si l'on
quelques dioptries. PnAT ! QUt : 'EUnOL 7 [FOULARD i)8 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. L'iris est en mydriase
p d'enfants, dont plusieurs, mais pas tous, sont d'un tempéra- ment nerveux . Elle' est plus rare chez les jeunes gens et les
ral, exister seul, à l'état isolé, ou s'accompagner d'autres troubles nerveux . Ptosis isolé. Les inconvénients du ptosis diff
pagné ou associé. Le ptosis est souvent associé à d'autres troubles nerveux du globe oculaire ou du reste de l'organisme. L
e [POULARD.1 lig. 59. - Ptosis hilatéral (3lnras. lui) TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. llloc'Ezuen, se serait
ariables suivant le siège. Du mésocéphale à la paupière, les filets nerveux du releveur suivent le trajet du M. 0. C. Du mé
i des autrcs-mouve- ments oculaires (Voir p. 77). Suivons ces voies nerveuses dans-leur trajet précis ou problématique, et vo
traversent. Une lésion périphérique touchant le muscle ou le filet nerveux du' releveur dans l'orbite, peut donner une par
ysie de [POULARDE 1 Fig. 60. - Ptosis myopathique. 102 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. - toutes les branches d
e clignement, n'est plus mouillée par les [POULARD.] 104 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. larmes, elle se dessèch
ion principale d'une maladie qui, sans être de nature exclusivement nerveuse , donne cependant naissance à une multitude de t
ent nerveuse, donne cependant naissance à une multitude de troubles nerveux , le goitre exophtalmique. C'est à ce titre qu'ell
[POULARD.] Fig. 64. Goitre exophtalmique (E. Boix). 108 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Signe de Roserzhach. Ce
oque de la sécrétion..11 n'est pas nécessaire d'invoquer un trouble nerveux . Paralysies musculaires. Se voient quelquefois.
rt des autres nystagmus dont la cause est une altération du système nerveux . b. Quelquefois cependant, on rencontre un nyst
ésion ou d'un vice de développement de certaines parties du système nerveux , dont l'altération, nous le verrons, est suscep
ille dont les causes, encore mal connues, sont, peut-être d'origine nerveuse ; à part le nystagmus (pas un vrai nystagmus) qu
champ visuel, tous les autres nystagmus accompagnent des affections nerveuses . Le nys- tagmus est donc avant tout une manifes
ons nerveuses. Le nys- tagmus est donc avant tout une manifestation nerveuse . Nystagmus des mineurs. 11 survient chez les mi
résulte, sans doute, d'une fatigue ou d'une intoxication du système nerveux oculaire. Nystagmus dans les affections de l'or
rôle important dans l'équilibration. Nystagmus dans les maladies nerveuses . Le nystagmus peut se rencontrer dans un grand
s. Le nystagmus peut se rencontrer dans un grand nombre de maladies nerveuses , mais avec une fréquence inégale. Dans certaine
eau. Cette variété doit être attribuée il une altération du système nerveux . Sclérose en plaques. On le rencontre dans la m
rencontré des lésions de diflérento nature, intéressant les organes nerveux précédents. Tuberculose méningée : Il existe su
us les nystagmus accom- pagnent ou sont la conséquence d'affections nerveuses que nous avons ? énumérées. En outre, des faits
eille, sans causes professionnelles, il faut penser à une affection nerveuse , à l'une de celles que nous avons énumérées, et
chique, émo- tionnel. Il s'exagère beaucoup dans certaines maladies nerveuses . Habituellement, l'hypersécrétion lacrymale est
cry- males, des fosses nasales. C'est un larmoiement réflexe. L'arc nerveux (fi ? ()5) possède une voie centripète, les fil
la paralysie du PHATIQUE XEUROL. 8 · (foulard. 1 l I¡ TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. trijumeau. Dans ce dern
aire fréquemment constatée au cours du tabès et d'autres affections nerveuses . Cependant, par anesthésie de l'oeil, on entend
omplique souvent d'une véritable kératite attribuée il des troubles nerveux et dénommée pour cette raison kératite neuro-para
tions trophiques de la cornée, une kératite trophique exclusivement nerveuse ? (théorie tro- pliique). C'est très contestabl
ne semble pas pouvoir être réalisée exclusivement par des troubles nerveux trophiques. Elle est le résultat, de causes ext
tion) et infectieuses, dont l'action est facilitée par les troubles nerveux sensitifs, trophiques et lacrYIlIO-sl"crt'olel1
ent le Iraill'IIH'll1l'tiologifJl\('. [POULAIW.] ] 118 8 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. . - ' XI . TROUBLES D
lle est toujours liée à des alté- rations importantes de l'appareil nerveux visuel, microphtalmie, colo- bomes, nystagmus,
le acquis de la vision des couleurs dénote une lésion de l'appareil nerveux sensoriel. Les altérations de la vision résultant
n des couleurs, s'il n'y a pas de lésion concomitante de l'appareil nerveux sensoriel. Les affections rétiniennes amènent à
r toutes les couleurs et même le blanc. [YOULARD.] 120 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Le glaucome altère auss
ive de la vue; l'acuité visuelle centrale [POUIARn.] 122 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. baisse, le champ visuel
dans les ampoules et, dans le vestibule part un réseau de fibrilles nerveuses se réunissant rapidement pour former trois rame
les cellules sensorielles de l'organe de Corti : les petits plexus nerveux qui se forment il leur niveau rencontrent le ga
oit. Les questions qui rattachent l'oreille aux maladies du système nerveux sont très complexes et témoignent d'une influen
lu Rapports des maladies de l'oreille avec les maladies du système nerveux ; 2° Etude générale des troubles de l'ouïe; 30 M
adies de l'oreille interne et dit 1/(')'/ acous- tique; 4° Troubles nerveux déterminés par les lésions de l'oreille. I. RAP
I. RAPPORT DES MALADIES DE L'OREILLE AVEC LES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX Il s'agit là d'un chapitre de l'étiologie génér
lus loin le retentissement des maladies de l'oreille sur le système nerveux . 10 Lésions congénitales ou acquises au début d
té est une des séquelles le LES MALADIES DE L'OREILLE ET LE SYSTÈME NERVEUX . 127 plus souvent observées de cette grave mala
Des troubles auditifs à évolution rapide et à caractère de surdité nerveuse ont été signalés dans la sclérose en plaques :
urdité, comme phé- nomène post-paroxystique traduisant l'épuisement nerveux , au même litre que certaines paralysies passagè
ie. Elle est relativement rare. Elle existe chez beau- coup de gens nerveux , neurasthéniques ou hystériques, chez ceux qui
isent de l'agitation. Elle se manifesterait dans certaines maladies nerveuses sous l'influence du courant galvanique. Le nerf
ente une cophose absolue. Ajoutons toutefois que les surdités dites nerveuses présentent souvent un caractère d'intensité et
en de diagnostic entre les lésions du labyrinthe et celles du tronc nerveux lui-même : pour Gradenigo, dans les lésions du ne
its persistants il s'agit plutôt de dégénérescence que d'irritation nerveuse . Nous n'entrerons pas ici dans la description d
en deux catégories distinctes, celles qui atteignent les expansions nerveuses dans le labyrinthe, l'appareil de réception des
e la fièvre typhoïde, du zona. Le type le plus évident des surdités nerveuses infectieuses est fourni i par la iabyrintbitc o
s nerfs mesocephaliques, avec le cervelet, avec la moelle. TROUBLES NERVEUX LIÉS 11 : DES LÉSIONS ORGANIQUES. 159 auditifs
le qui ont d'ailleurs été étudiées avec l'aphasie. - IV. - TROUBLES NERVEUX DÉTERMINÉS PAR LES LÉSIONS DE L'OREILLE Pour
élucidée, la paralysie de l'abduccns, par exemple. , I. TROUBLES NERVEUX LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES D'ORIGINE OTIQUE
icatrice ou de plaque calcaire sur la membrane tympanique. TROUBLES NERVEUX LIÉS A DES LÉSIONS ORGANIQUES. 141 2° Complicat
rvention (trépanation, ponctions lombaires, etc.). II. - TROUBLES NERVEUX D'ORIGINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES Nous e
use pour un son donné, mais ce n'est pas constant : d'ail- TROUBLES NERVEUX D'ORIGINE OTIQUE SANS LESIONS ORGANIQUES. 143 l
ns l' hysté1'ie; celle-ci est facilement déterminée par la TROUBLES NERVEUX D'ORIGINE OTIQUE SANS LÉSIONS ORGANIQUES. )45 p
ordre inflammatoire ou mécanique (obstruction nasale) et le système nerveux n'intervient qu'indirectement et accessoirement,
un point faible qui cède souvent dans les traumatismes. Les filets nerveux aboutissent aux glomérules du bulbe olfactif dont
décrirons d'abord : 1° les troubles de l'odorat et 2° les troubles nerveux consécutifs aux maladies du nez. 1. - TROUBLES
l'asthme. Elle n'agit ainsi que chez des personnes particulièrement nerveuses . - . Elle est parfois provoquée par l'applicati
erme, est en rapport avec l'état de la muqueuse et des terminaisons nerveuses . Elle se produit par épuisement dans-l'usage im
ures du crâne intéressant la lame criblée et détruisant' les filets nerveux , dans les exostoses, les méningites, les tumeur
la même pour des odeurs très variées. Elle dépend souvent d'un état nerveux , neurasthénie, hystérie, mélan- colie ; elle pe
e à la syphilis ou àl'ozène; mais le plus souvent elle est purement nerveuse et traduit une lésion des voies olfactives. On
ausal et utiliser la strychnine, l'électricité, etc. II. TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ Les maladies du
S AUX MALADIES DU NEZ Les maladies du nez occasionnent des troubles nerveux extraordinaire- ment variés. Les uns s'accompag
lexe; enfin on peut observer des troubles psychiques. 1° Troubles nerveux avec lésions organiques. -- L'in- nervation trè
névralgie sus-orbitaire essentielle sans examen des fosses TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ. 151 nasales et
20 abcès, cérébraux et 11 throm- ])oses des sinus. - '2" Troubles nerveux réflexes. Ceux-ci sont - extrêmement nombreux e
s et des vertiges, des troubles de la sphère génitale, des troubles nerveux divers (spasme du facial, névralgies .du trijum
repas, au début ou pendant le travail de la digestion. ' TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS AUX MALADIES DU NEZ. 155 Mais les r
t par- fois chute, que l'on observe souvent dans certaines maladies nerveuses , le tabès, la maladie de Basedow, etc. Quant au
le et cerveau. Dans ces derniers cas, cas d'altérations des centres nerveux autres que le cervelet, il est pos- sible que l
e détermine encore le vertige que par action spéciale sur les voies nerveuses du sens de l'espace ou en modifiant la pression
pour un même sujet, dans des conditions accidentelles défavorables, nerveuses , gastro-intestinales ou menstruelles. 2° Par
la circulation encéphalique et à une irritation directe des centres nerveux ; pour d'autres, il dépendait de l'excitation du l
u morbide dans une maladie générale ou dans une maladie des centres nerveux , il est toute une caté- gorie de vertiges auric
st souvent fugitive : au réveil, il y a émission abondante d'urines nerveuses et le tremblement est fréquent. On n'ac- corde
e. On peut trouver du sang (hémorragies des méninges ou des centres nerveux ), de la lymphocytose (méningite tuberculeuse, s
délire ou accès épileptiformes annoncent l'imminence des accidents nerveux plus graves. L'urémie ressemble à s'y méprendre
des phénomènes analogues (torpeur, sommeil) au cours de la syphilis nerveuse ; mais celte éventualité demeure exception- nell
quelque fatigue ou quelque contrariété n'aient troublé l'équilibre nerveux du sujet. Au milieu de son sommeil, le dormeur
dune affection systématisée, ou provenir d'une maladie strictement nerveuse ou mentale. Les fautes d'hygiène et d'alimentat
nt également le sommeil. Dans un certain nombre de cas, l'éréthisme nerveux est particulière- ment intense, et l'insomnie p
e au cours des névralgies. L'insomnie symptomatique d'une affection nerveuse particulière est rare; il n'est guère à citer d
us loin. La parole est néanmoins, dans un grand nombre d'affections nerveuses organiques, scandée, répétée, spasmodique; l'ar
valeur séméiologique bien définie; on l'observe cependant chez les nerveux à hérédité chargée. 11 existe fré- quemment che
uelquefois des douleurs spontanées ou provoquées le long des troncs nerveux principaux. ' ' '. , TROUBLES DE L'ÉCRITURE.- 2
S congénilales, de tremblements, d'affections organiques du système nerveux , etc. Troubles du langage écrit. Les écrits che
rdon Holmes (Brain 1906). C'est une, maladie primitive des éléments nerveux altérés, surtout dans leur substance interfibri
souvent dans les antécédents héréditaires une affection .du système nerveux , l'aliénation mentale, l'épilepsie, etc. L'alco
férenciées, qui nous sont transmises par l'intermédiaire du système nerveux . La sensibilité est donc une des fonc- tions pr
stence de troubles sensitifs peut renseigner sur l'état du système; nerveux , orienter le clinicien dans une certaine direct
ar l'action extérieure de tout agent mettant en activité le système nerveux : la douleur il la piqûre, à la brûlure, par ex
res venant spontanément actionner les centres ou les termi- naisons nerveuses ; les douleurs névralgiques, les engourdissements
organes terminaux, dits de réception, qui, au moyen des conducteurs nerveux , transmettent les excitations périphériques aux
peut dire que c'est au niveau du tégument cutané que les ori- gines nerveuses sensitives sont le plus différenciées. On trouve
plus différenciées. On trouve dans 1"¡"pidel'lllP des terminaisons nerveuses libres ou en boutons, ou des organes plus diffé
pressions sont conduites aux centres par un nombre infini de fibres nerveuses , qui tantôt se mélangent aux fibres motrices po
: nerf sensitif. IROVSSY.l 37C . SENSIBILITÉ. De là, les fibres nerveuses sensitives, pénétrant dans la moelle (pour les
'qui modifie le fonc- tionnement physiologique normal de l'appareil nerveux . Toute excitation violente d'un nerf sensitif p
c., on doit admettre également l'existence d'appareils et de lilets nerveux différents, spéciale- ment et uniquement adapté
s ou moins éloignés, et qui ne leur sont unies par aucune connexion nerveuse commune. Une irritation d un bouton d'acné, il
echerches cliniques courantes. Dans certaines affections du système nerveux , on peut observer une prolongation de perceptio
trou- verons avec le sens musculaire. C) Sensibilité des troubles nerveux . La pression des troncs nerveux éveille une sen
aire. C) Sensibilité des troubles nerveux. La pression des troncs nerveux éveille une sensation de fourmillement particuliè
ent douloureuse. On recherche en pratique la sensibilité des troncs nerveux , de préférence dans les régions où ils sont sup
ontraire, en clinique on peut rencontrer de t'anesthesic des troncs nerveux à la pres- sion. Ce signe est tout particulière
achent aucune importance aux troubles de la première en séméiologie nerveuse . Des travaux récents, non mentionnés encore dan
révèle pas la sensation de pression; mais ce sont les terminaisons nerveuses des tissus mous sous-cutanés (muscles, tendons,
ne périostée : la sensation est transmise uniquement par les filets nerveux du périoste. Pour Rydel (') 1. Arch. f. Psychia
nsibilité se rencontrent dans les différentes affections du système nerveux , de la moelle, du cerveau et des nerfs périphér
ie, des altérations des sensibilités profondes, dans les affections nerveuses péri- phériques et dans un grand nombre d'affec
porter un diagnostic de localisation, dans les lésions des centres nerveux , con- stitue néanmoins un symptôme important qu
r de grande valeur dans la discussion du diagnostic d'une affection nerveuse . On peut avoir affaire à une localisation périp
ariétés topogmphillucs et nous ver- rons leur valeur en séméiologie nerveuse tout en faisant la description des altérations
ncontrer en clinique au cours des différentes affections du svstème nerveux . . ÉTUDE SÉMÉIOLOGIQUE T DES TROUBLES DE LA
T DES TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES AFFECTIONS . DU SYSTÈME NERVEUX En se reportant aux données d'anatomie exposées
dont la cause ne relève pas d'un processus pathologique du système nerveux , mais qui paraissent dus il des altérations dynam
e peut se rencontrer soit dans les lésions destructives des centres nerveux (hémisphères, pédoncule, protubérance, bulbe et
olution, et qui présentent réellement une importance en séméiologie nerveuse . , VARIÉTÉS DE L'HÉMIANESTHÉSIE SUIVANT LE SI
peau ne revêt pas le même mode de distribution que celle des filets nerveux Fig. 20. Territoires cutanés du membre supérieu
554. SENSIBILITÉ.. - .... plus rarement, dans d'autres affections nerveuses , comme le tabès, les paraplégies par compressio
'appuie sur le développement ontogénique et phylogénique du système nerveux , pour admettre hypothétiquement la persistance
pothétiquement la persistance de la métamérie primitive des centres nerveux . Le métamère ou ne1t1'OmèTe sert à désigner chacu
core, quoique moins appa- rente, chez les reptiles, dont l'appareil nerveux périphérique presque 1. Voir J. LnEMUTTE, Semai
ge que s'exerce ordinai- renient l'action pathogène sur les racines nerveuses ; on a pu l'observer clans le mal de Pott et au
précédentes, sont caractérisées par la dégénérescence des éléments nerveux . - Formes cliniques. De même que pour les névri
raduisent notamment l'irritation et non la destruction des éléments nerveux ; les douleurs sont très vives ; elles sont exas
es où l'exsudat méningé, agissant par com- pression sur les racines nerveuses , peut être reconnu le plus souvent comme étant
opographie des troubles sensitifs, dans les affections des troncs nerveux , répond, d'une façon générale, à la distributio
s les névrites traumatiques (section ou compression d'un seul tronc nerveux ). 2" Topographie monoplégique, paraplégique. Da
ue dans les névroses, au cours des affections organiques du système nerveux , par association hystéro-organique. Ces troub
peuvent simuler ceux qui relèvent dune lésion organique du système nerveux . Ils revê- tent en clinique des caractères part
niques. Ils relèvent d'une lésion évidente, pathologique du système nerveux , par exemple dans les psychoses toxiques, les dé-
ité des viscères peut être altérée au cours des maladies du système nerveux ; quelquefois exaltée (hyperesthésie viscérale), e
fection. On ne les a pas notés jusqu'ici dans les autres affections nerveuses organiques. Dans l'hystérie on peut observer qu
icle consacré aux troubles digestifs dans les mala- dies du système nerveux . [ROUSSY.] 51)0 SENSIBILITÉ. LES HYPERESTHÉ
aboutissent à la fois les filets sympathiques viscéraux et les filets nerveux 1. 1'oy. Guillain, Revue de méd., mai 1901, p.
bjectifs de la sensibilité tiennent une grande place en séméiologie nerveuse ; souvent ce sont eux qui, les premiers, mettent
'habitude d'interroger un malade atteint d'une affection du système nerveux . On saura ainsi tenir compte des différences de
souvenant que tout malade, surtout s'il est atteint d'une affection nerveuse (aussi bien organique que fonction- nelle), est
dier ici que les douleurs notées au cours des affections du système nerveux . En présence d'un malade se plaignant de douleu
a peau, par la pression profonde des masses musculaires, des'troncs nerveux (dans les névrites), ou des os. Le signe de Lasèg
n donnée : telles, par exemple, la douleur à la pression des troncs nerveux dans les névrites, la douleur à la pression des
écieux et qu'il faudra toujours rechercher au cours d'une affection nerveuse . Si elles ne permettent qu'exceptionnellement c
léter le tableau clinique d'un grand nombre d'affections du système nerveux . Il n'entre pas dans le cadre de ce traité, de
ue passer rapidement en revue les principales affections du système nerveux dans lesquelles la douleur prend la valeur d'un
la céphalalgie que dans ses rapports avec les affections du système nerveux , en laissant de côté les céphalées observées au
qui la pro- voque ; mais il faut savoir que les céphalées d'origine nerveuse , orga- niques ou fonctionnelles, sont habituell
ment tenaces. Séméiologie. La présence de la céphalée en pathologie nerveuse est donc de la plus grande importance. En effet
scéralgies). Elles sont fré- quentes dans les affections du système nerveux et s'observent : 1° dans les maladies organique
Le type le plus fréquent est la crise gastrique (Voir art. Troubles nerveux de l'appareil digestif); mais on peut ob- serve
forme de zone douloureuse limitée, ne répondant pas à un territoire nerveux ou radiculaire. Ces douleurs sont continues ou
Séméiologie. L'importance de ces algies centrales en séméiologie nerveuse est considérable et tout praticien doit aujourd'h
' réalisés expérimentalement par la compression violente d'un tronc nerveux (cubital dans la gouttière épitrochléènne), com
s peuvent se rencontrer au cours de certaines affections du système nerveux , liées ou non à des altérations de la sensibili
iques n'est pas marquée dans les affections orga- niques du système nerveux ; elle devient plus considérable dans les névro
s sont très fréquentes; leurs causes sont multiples. L'adultération nerveuse peut siéger soit sur les rameaux périphériques,
des veines variqueuses dilatées pour- raient comprimer des rameaux nerveux et des racines rachidiennes au niveau des trous
ls ont certains sièges de prédilection tels que le lieu où un tronc nerveux émerge d'un canal os- seux, le lieu où un filet
où un tronc nerveux émerge d'un canal os- seux, le lieu où un filet nerveux traverse un muscle ou une aponévrose pour se ra
pas augmentées par la pression, ne correspondent à aucun territoire nerveux précis, ni à aucune lésion locale. Telles sont le
membre plutôt que sur le trajet des nerfs périphériques; les troncs nerveux d'ailleurs sont moins douloureux à la pression
s la peau de la région endolorie, soit le long du trajet des troncs nerveux qui s'y rendent, soit dans la cavité arachnoïdi
laire, c'est-à-dire celles qui résultent de l'irritation des troncs nerveux périphériques soit par des varices des vasa ner
elles se calment si l'in- jection est poussée au voisinage du tronc nerveux au-dessus du point où siègent les excitations a
, à cause de la violence ou de la ténacité des douleurs, la section nerveuse devra être faite à la hauteur où l'injection de c
de cocaïne pratiquées sous la peau ou le long du trajet des troncs nerveux ; mais, quand elles siègent dans la moitié infér
u membre supérieur sont limitées aux nerfs cutanés, les gros troncs nerveux paraissant indemnes. C'est ainsi que l'on peut
cutanés on constate souvent des points douloureux, là où les filets nerveux traversent les aponévroses pour se distribuer à l
ntôt on fait des injections sous-cutanées, para-nerveuses ou intra- nerveuses d'aneslhésiques; tantôt on a recours .il l'électr
es injections gazeuses agissent sans doute en tiraillant les filets nerveux et en amenant des modifications de la circulati
dans les cas de névralgies rebelles les injections dans les troncs nerveux d'alcool. Des résultats favorables avec cette m
malade quand la pointe de l'aiguille prendra contact avec le tronc nerveux , reste le seul critérium de la loca- lisation o
tion périphérique transmise par les voies cen- tripètes à un centre nerveux qui la renvoie par les voies centrifuges à la p
du pied la fausse épilepsie spinale qu'on rencontre chez les sujets nerveux à réflexes un peu forts qui se raidissent en ét
eurs il existât chez aucun des ces malades de signe d'une affection nerveuse . Chez les nouveau-nés, les réflexes tendineux s
n mot par toutes les conditions qui diminuent l'activité du système nerveux . Les réflexes rotuliens sont, augmentés, par les
avec amyotrophie, soit dans la névralgie sciatique où l'altération nerveuse reste très légère (Babinski). Ce que nous venon
observer les troubles des réflexes non seulement dans les toxémies nerveuses du diabète, mais aussi dans les accidents nerveux
ns les toxémies nerveuses du diabète, mais aussi dans les accidents nerveux des affections hépatiques. M. Léopold Lévi [Soc
s'agit dans ces cas de tabès fruste. En dehors des cas de syphilis nerveuse , Lang et Casey, A. Wood ont trouvé que 40 pour
miplégie : l'hémorragie. le ramollissement, les diverses affections nerveuses (scfe- rose en plaques. tabès, epifepsicjackson
ou de monoplégie crurale liée à une afleclion organique du système nerveux central une perturbation du réflexe plantaire d
e et il paraît pathognomonique d'une affection organique du système nerveux . Cette; conception de Babinski a été admise par
, si l'extension persiste, c'est qu'il y a une affection du système nerveux . 2° Hémiplégie. Les premières reclierclics de B
ande valeur pour le diagnostic d'une affection organique du système nerveux . Réflexe du fascia lata. Le réflexe du fascia l
n des orteils. Il a été observé dans diverses affections du système nerveux lrw Renaalt ( Thèse de Paris, 1 cJU). Réflexe a
usqu'à l'exagération sans qu'une maladie proprement dite du système nerveux puisse donner la raison de ces différences (Tozi)
manifester d'une façon variable dans diverses affections du système nerveux . Réflexe pharyngé et réflexe palpébral. On peut
itués par du tissu conjonctif fibrillaire et ils logent un faisceau nerveux qui vient se perdre il l'intérieur en se ramifi
e perdre il l'intérieur en se ramifiant. Si l'on remonte ces libres nerveuses , on peut suivre le trajet du réflexe tendineux ju
ction de la moelle; ils objectent, en effet, il la théorie de l'arc nerveux réflexe, ce fait que l'excitation du tendon se
bjection on peut répondre que la vitesse de propagation de l'influx nerveux n'est pas exactement connue; que, d'autre part, l
as une excitation mécanique directe, mais l'intervention du système nerveux central qui réfléchit l'excitation nerveuse ver
'intervention du système nerveux central qui réfléchit l'excitation nerveuse vers les nerfs et les muscles du côté opposé il l
ons de voir que les réflexes avaient leur origine dans le sys- tème nerveux central, il nous reste à préciser la localisation
us reste à préciser la localisation de ces réflexes dans le système nerveux . Cette localisation des réflexes a l'ait l'obje
exe nécessite : 1° L'intégrité anatomique et fonctionnelle de l'arc nerveux réflexe; 2° Un certain degré de tonus nerveux e
onctionnelle de l'arc nerveux réflexe; 2° Un certain degré de tonus nerveux est indispensable dans les cel- lules motrices,
stance de ces connexions, de ces cellules motrices avec les centres nerveux supérieurs. Comment les cellules motrices reçoi
supérieurs. Comment les cellules motrices reçoivent-elles l'influx nerveux des centres supérieurs ? ' ? Suivant Van Gehu
er la hauteur à laquelle chaque voie réflexe se rattache au système nerveux spinal. Les réflexes tendineux se mettent en ra
pinal. Les réflexes tendineux se mettent en rapport avec le système nerveux central aux différentes bailleurs mentionnées c
s et les grosses hémiplégies. I. Hémiplégies par lésion des centres nerveux chez l'adulte ou le vieillard. C'est de beaucou
membres paralysés ; d'autres fois, elles siègent le long des troncs nerveux ; d'autres fois enflées, indépendantes de tout siè
troncs nerveux; d'autres fois enflées, indépendantes de tout siège nerveux ou articulaire, elles semblent bien être d'orig
la conséquence. Les hémiplégiques par lésion organique des centres nerveux peuvent [CROUZON.] 468 HÉMIPLÉGIE. présente
dans la production de l'hémiplégie. Certaines affections du système nerveux , telles épie le tahcs, la para- lysie générale,
ébilites en dehors même de toute affection systématisée des centres nerveux : cela tient à ce que le' faisceau pyramidal a
s, en dehors des méningites, dans certaines affec- tions du système nerveux , et plus rarement on a pu le constater chez des
ngite ou les réactions méningées, puis dans les maladies du système nerveux . Le signe de Kernig, comme nous l'avons déjà di
hi-cocaïnisat i 011. Signe de Kernig clans les maladies du système nerveux . Le signe de Kernig a été rencontré au cours de
vient de 4 à Ü ans après le chancre, il cette époque où la syphilis nerveuse fait des lésions beaucoup plus chroniques qu'au
ment, bientôt profondes, plus vastes que dans toute autre affection nerveuse . La fièvre, qui existe souvent d'emblée, s'allu
xtension de l'orteil). On peut dépister l'influence de l'épuisement nerveux , de la suggestion, de l'idée fixe [phobie) ou d
nférieurs. Dans les deux cas, il si a intégrité complète du système nerveux péri- plu'l'igue et central, ainsi que des arti
rne du fémur. Innervation. Le premier adducteur reçoit des filets nerveux de MUSCLES DU MEMBRE INFERIEUR. 545 l'obturat
ème et quatrième orteils. Innervation. Le muscle reçoit un rameau nerveux du plantaire externe pour son faisceau externe,
u nerveux du plantaire externe pour son faisceau externe, un rameau nerveux du plantaire interne pour son faisceau interne.
, 5" et 6" nerfs cervicaux. Le scalène postérieur reçoit ses filets nerveux des branches postérieures des nerfs cervicaux (
anches antérieures des trois premiers nerfs cervi- caux. Ces filets nerveux sont inclus dans l'anse de l'hypoglosse. Physio
èrent par un large tendon. Innervation. Plexus brachial. Les filets nerveux du grand pectoral proviennent du nerf du grand
cal profond. Le diaphragme reçoit aussi un certain nombre de filets nerveux issus des six derniers nerfs intercostaux; ils
de la quatrième ou cinquième cervicale. En outre il reçoit un filet nerveux du plexus cervical pour ses faisceaux supé- rie
xième, troisième, quatrième et cinquième côtes. Innervation. Filets nerveux provenant des quatre premiers nerfs intercostau
à la face externe des quatre dernières côtes. Innervation. Filets nerveux provenant des neuvième, dixième, onzième nerfs
Innervation. Grand nerf occipital. Le muscle reçoit aussi des 1¡leh nerveux provenant des branches postérieures des troisième
la face réveille, l'énergie dans l'ex- pression et dans les centres nerveux . » Foitx a indiqué le rôle du peaucier dans l'e
ui contribue avec d'autres racines à la for- mation d'un gros tronc nerveux , ne communique pas sa force motrice au tronc to
de répartition qui concentre en un même tronc définitif des filets nerveux qui naissent des différents noyaux moteurs supe
-claviculaire au niveau du point de Erb, par la pression des troncs nerveux , par la pression des masses musculaires. Ces ph
épi- nière et intéressent un plus ou moins grand nombre de racines nerveuses avec participation des méninges adjacentes. i
voile du palais. D'après Iiocstcr, la coexistence de l'hypoacousie nerveuse avec la paralysie faciale indiquerait que le sièg
l'air dans les poumons. Ces centres sont reliés par des connexions nerveuses allant de l'écorce au bulbe et inversement. Il
piration peut n'être pas sensi- blement gênée. L'étude des filets nerveux qui président aux divers mouvements du larynx,
aux divers mouvements du larynx, de leurs rapports avec les troncs nerveux voisins, de leur origine bulbaire, de leurs con
pneumogastrique, 5 à 6 pour le spinal), se condensent en troncs nerveux et se dirigent vers le trou déchiré postérieur
e, il est beaucoup plus rare qu'on puisse lui attribuer une origine nerveuse . On la renconlrera cependant dans l'hystérie où
qu'ils puissent se rencontrer dans certaines affections du système nerveux , n'ont qu'une importance très relative. Lorsqu'on
ce chapitre : 1" le spasme de la glotte des nourrissons; 2° la toux nerveuse ; 3° le vertige laryngé; 4° les troubles laryngé
surtout les garçons à constitution faible et rachitique, d'hérédité nerveuse . L'accès débute brusquement par un arrêt subit
dans les vingt-quatre heures. La mort peut survenir par épuisement nerveux , par asphyxie ou par syncope brusque. La mortal
ante à E. Weill pour agrandir l'espace critique de Grawilz. 2" Toux nerveuse . La toux nerveuse laryngée est une affection ra
ur agrandir l'espace critique de Grawilz. 2" Toux nerveuse. La toux nerveuse laryngée est une affection rare si on réserve c
de fumée de tabac, fait plutôt songer à une inhibition des centres nerveux à point de départ laryngé. C'est l'opinion qu'a
aslique (Schech). Nous en rapprocherons le bégaiement, la dysphonie nerveuse chronique et la voix eunuchoïde. ' Cette névr
rynx n'est pas un des éléments les moins importants. B) Dysphonie nerveuse chronique. Étudiée par Brissaud elle correspond
me des muscles, soit quand il s'y joint certains signes d'affection nerveuse . Dans le premier cas, l'affaiblisse- ment muscu
, dans certains cas, une altération réelle des centres ou des voies nerveuses échappe à nos moyens actuels d'investigation. Com
symptôme clinique ne permet d'affirmer avec certitude que les voies nerveuses sont indemnes et que les muscles sont primilive-
s que l'on considère, à tort ou à raison, comme signes d'altération nerveuse ont été signalés, isolés ou non, chez des sujet
ractère paraissent être dues il une altération primitive du système nerveux soit central, soit périphérique, il n'y en a pa
elle est seulement l'un des symptômes prédominants d'une affection nerveuse que ses autres signes permettent de classer. L'
ment, ni anatomiquement, on ne peut affirmer qu'il y ait une lésion nerveuse , où, même si l'on découvrait une lésion nerveus
l y ait une lésion nerveuse, où, même si l'on découvrait une lésion nerveuse qui nous échappe encore, la lésion musculaire ser
er parfois non seulement sur les muscles, mais aussi sur le système nerveux central ou périphérique : les amyotrophies progre
lie; pachvméningite cervicale hypertrophique; certains cas de lèpre nerveuse , de méningo-myélite syphilitique, de tabès, de sc
e toute une classe d'amyotrophies progressives, avec ou sans lésion nerveuse centrale ou périphérique, qui sont héréditaires
otrophies progressives non consécutives à une altération du système nerveux . Tous les étals patho- logiques des muscles ne
rable, car on ne les rencontrerait pas dans les atrophies d'origine nerveuse . Le tissu cellulo-graisseux peut non seulement
e dégénérescence une participation, au moins accessoire, du système nerveux ; des expériences récentes de Babinski (6), qui a
c certainement une altération, au moins fonc- tionnelle, du système nerveux . Mais si la présence de cette réaction a vérita
tion a véritablement une grosse valeur pour indiquer une altération nerveuse , son absence n'en a aucune pour éliminer l'idée
nerveuse, son absence n'en a aucune pour éliminer l'idée de lésion nerveuse : la preuve en est que dans les amyotrophies d'
ation des muscles on puisse conclure il l'intervention du sys- tème nerveux ; c'est au contraire, d'après lui, dans des altéra
ions sont plus fréquentes peut- i être dans les atrophies d'origine nerveuse , mais elles sont loin d'y être i constantes. .
laires dans le second) avaient fait penser à l'existence de lésions nerveuses dont l'autopsie a révélé l'absence ou du moins
- bres est très exceptionnel ; le début, des amyotrophies d'origine nerveuse par la racine des membres est aussi exceptionne
est aussi la plus rapide. Les amyotrophies pro- gressives de cause nerveuse évoluent en général plus rapidement; pour- tant
st constant et tous peuvent s'observer clans les atrophies de cause nerveuse . Le diagnostic résultera d'une pari de la réuni
us les tissus, os, articulations, peau, système vasculaire, système nerveux , 1. Oppenheim et Casshikii. D. Zeilsch. f. Ne¡'
éniques auxquelles leur constatation a pu donner lieu. Le système nerveux des myopathiques n'est pas toujours, tant s'en
et dans les antécédents dès myopathiques (°). - Diverses affections nerveuses familiales ou héréditaires ont été signalées en
é qu'elle doit être attribuée à un trouble fonc- tionnel du système nerveux (Erb), voir à une affection organique des centr
u système nerveux (Erb), voir à une affection organique des centres nerveux encore inaccessibles à nos procédés de recherche
, soit primitivement, soit secon- dairement à une lésion du système nerveux ou du système circulatoire. B.-A ? 1PHIES MUSCU
nce, maladies du développement portant primitivement sur le système nerveux central, paraissent s'accompagner beaucoup moins
escence, Elle présente tous les caractères' de l'atrophie d'origine nerveuse : contractions fibril- laires, pas de pseudo-hy
phique, dans certains cas de meningo-myélite syphilitique, de lèpre nerveuse , etc. C\IL\CTlIOES du syndrome Duciienne-Aran.
ntre parfois dans un certain nombre de cas d'hématomyélie, de lèpre nerveuse , de méningo- myélite syphilitique, de tabès, de
troubles trophiques (panaris analgésique, etc.). La' lèpre à forme nerveuse ne s'accompagne pas toujours d'amyotro- phie ;
pres, tels que plan- ques d'anesthésie, épaississement des troncs nerveux , entre autres du 'cubital dans la gouttière olé
sque caractéristique et sou- vent précoce de la syphilis du système nerveux central (Babinski et Char- pentier), dont la co
e, mais dont l'absence ne doit pas faire rejeter l'idée de syphilis nerveuse , car il peut l'aire défaut dans les amyotrophie
ive de ces lésions indépendamment de toute participation du système nerveux . b) Atrophies « réflexes ». A la suite d'une ir
ites chroniques, tuberculeuses surtout, des arthropathies d'origine nerveuse , tabétiques ou syringomyéliques. Elle est tout
onnelle, et, dans le premier cas, suivant que le siège de la lésion nerveuse est médullaire, cérébral ou périphé- rique ; da
hique, la syringomyélie, la méningo- myélite syphilitique, la lèpre nerveuse , etc.; mais dans ces cas il est difficile de di
rofesseur Char- rin, nous avons montré la fréquence dans le système nerveux central tout particulièrement friable et vulnér
appréciables, soit dans tout l'appareil neuro-musculaire, cellules nerveuses , nerfs et muscles, soit seulement dans la parti
période de décroissance. 1. Lésions traumatiques des nerfs (troncs nerveux , plexus, racines). Dans les sections, plaies
e la transmission de la sensibilité par les nerfs voisins; le tronc nerveux et les masses musculaires ne sont pas sensibles
bout d'un temps plus ou moins long. Il faut rapprocher des sections nerveuses certaines injections médi- camenteuses, celles
évrites professionnelles » reconnaissent pour cause une compression nerveuse : compression du cubital par pression pro- long
sie cutanée des mains et une hyperesthésie à la pression des troncs nerveux aug- mentés de volume et des niasses musculaire
provoquer, dans leur cours ou dans leur décours, des inflammations nerveuses périphériques; dans quelques-unes le microbe sp
ains semblent porter avec prédi- lection leur action sur le système nerveux périphérique (alcool, plomb, mercure, arsenic,
itifs subjectifs ou objectifs, de douleurs à la pression des troncs nerveux ou des masses musculaires, très exceptionnellem
méthodes per- mettent de déceler des altérations minimes des voies nerveuses centrales et périphériques. Cette atrophie peut
iminution de la pression artérielle, troubles cardiaques; système nerveux et musculaire : troubles psychiques, dégénérescen
semblables à type Charcot-Marie, en plus : hypertrophie des troncs nerveux ; cypho-scoliose; symptômes médullaires simulant l
édica- teur ou mains en pince; évolution lente (10-40 ans). Lèpre nerveuse : étiologie ; symptômes syringomyéliques (anesthé
ymptômes" propres : plaques d'anesthésie, épaississement des troncs nerveux , nodules lépreux; souvent main différente. Mé
5. Variétés anatomo-cliniques : 1 A) Lésions traumatiques (troncs nerveux , plexus, racines) : sections, plaies, contusion
rophies myotoniques. D'autres sont consécutifs aune altération soit nerveuse soit vasculaire des membres atteints. Un petit
il un tra- vail exagéré. D'une part, en effet, la lésion du système nerveux parai l jouer parfois un certain rôle, car on o
Myopathie hypertrophiante, hypertrophies d'origine vasculaire ou nerveuse , etc. In petit nombre d'observations d'hypertro
autres non; enfin les uns présentent des altérations vasculaires ou nerveuses manifestes et les autres en sont exempts. - .
usculaire ait été réellement primi- tive ou secondaire à une lésion nerveuse périphérique, ou centrale', presque tous les au
ses voies de suppléance ou de cou, pensation que fournit le système nerveux : aiusi par exemple, les trou- bles de la coord
ar altérations diffuses ou totales, généralement aiguës, du système nerveux . Chacune de ces variétés étiologiques ou topogr
des cordons postérieurs; dans le tabes, maladie générale du système nerveux , les altérations les plus diverses peuvent résu
périphérique, serait toujours accompagné d'altéra- tions du système nerveux central. D'autres infections et intoxications,
al, de tous troubles viscéraux, la douleur à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires, la fréquence et souven
nt rapporte deux cas. 6. Ataxie par intoxication aiguë du système nerveux . Un certain nombre de toxiques, l'alcool en pre
les gastro-intestinaux. Cette symptomatologie montre que le système nerveux central est altéré dans son ensemble; pourtant l'
agit, selon toute vraisemblance, d'altérations générales du système nerveux et parce que les caractères de la vraie asynerg
rocessus initial, dégénératif héréditaire, frappant dans le système nerveux des sys- tèmes organiques analogues, mais disti
médullaircs; on observe quelquefois la petitesse de tout le système nerveux central, surtout de la moelle, l'atrophie de la
t du rachis. Mais elle s'en distingue par l'hypertrophie des troncs nerveux , même des troncs superficiels qui sont parfois sa
gie cérébrale infantile exceptionnellement (Rouchaud). e) Système nerveux entier : intoxications aiguës : Troubles associ
) Système nerveux entier : intoxications aiguës : Troubles associés nerveux et gastro-intestinaux; Signes d'incoordination
scles la force qu'ils avaient perdue d'abord par le défaut d'influx nerveux , ensuite par le manque d activité, souvent auss
ment d'une des affections organiques les plus fréquentes du système nerveux , l'ignorance fréquente des principes essentiels q
re osseux étroit en lequel se resserrent le bulbe et ses émergences nerveuses , que les influences pathogènes pourront s'excer
myoirophique, tantôt dans des infections spécifiques à localisation nerveuse comme la tuberculose et surtout la syphilis, tant
lles contraste étrangement avec la déchéance profonde des fonctions nerveuses . Isolé parfois (tabes notamment), ce syndrome n
aine. Ancien syphilitique ou artério-scléreux, il présente un passé nerveux chargé. On relève dans son histoire antérieure
ossesse, etc. Un très grand nombre, sinon la plupart des affections nerveuses , s'accompagnent de phénomènes dé- pressifs, not
ort à lui, située dans son appareil excitateur habituel, le système nerveux , a agi sur lui. L'expérimenta- tion, en réalisa
ue nous ne craignons pas de conclure des uns aux autres. Le système nerveux remplace seulement ici l'appareil électrique.
ici l'appareil électrique. Mais qu'est-ce qui sollicite le système nerveux , les centres moteurs Lulbo-spinaux à trop d'act
itation bulbo-spinale ne fait que refléter l'excitation des centres nerveux de l'écorce cérébrale. Ce dernier mécanisme est
qu'ils éprouvent et de la compression qu'ils exercent sur les filets nerveux qu'ils contiennent et sur les cordons nerveux q
ercent sur les filets nerveux qu'ils contiennent et sur les cordons nerveux qui les avoisinent. Peut-être aussi l'excès de
également dans l'hystérie, l'épilepsie, etc. Enfin divers troubles nerveux ne sont pas des raretés : byperesthésies, névra
sont peut-être pas négligeables, telles que la débilité du système nerveux par naissance avant terme, la sy- 11111t ? héré
taire, les troubles digestifs, le sevrage prématuré, l'excita- tion nerveuse , les trouilles le sevra-c 1)i-éiiiatiiié, Y écl
e pra- ticien arrivera quand tout sera terminé. Dans les familles nerveuses et si les signes d'épilepsie ne sont pas nets,
sans peine aussi les convulsions des alcooliques invé- térés (m des nerveux ivres : la face' du malade est typique; l'odeur d
lsions de la rage, pour en arriver tout de suite aux manifestations nerveuses , fébriles aussi, des infections du système nerv
manifestations nerveuses, fébriles aussi, des infections du système nerveux . On est en présence d'un malade qui a un état i
monie, la grippe, mais on est frappé par l'importance des réactions nerveuses . On recherchera les signes nerveux et on reconn
par l'importance des réactions nerveuses. On recherchera les signes nerveux et on reconnaîtra la méningite aiguë, la méning
es dépendent au même titre d'une per- turbation probable du système nerveux central. DIAGNOSTIC DIFFÉRENTIEL Y a-t-il tre
meau. Les contractions musculaires du spasme occupent un territoire nerveux défini, elles sont parcellaires, paradoxales et
de passer en revue les affections cérébro-spinales. les affections nerveuses sans lésions organiques connues, les intoxica-
ques s'observent au cours d'un grand nombre d'affections du système nerveux . On peut les diviser, comme le faisait Cliarcot
écède et est caractéristique d'une affection orga- nique du système nerveux . Nous l'avons du reste déjà étudié à propos de
nt du tremblement cloniforme qui peut se rencontrer chez les sujets nerveux sous certaines influences et en particulier dan
Quelquefois le début est brusque, mais n'est précédé ni d'un choc nerveux , ni d'une attaque quelconque. Le siège du tremble
s certains cas, l'exagération des mouvements peut entraîner un état nerveux spécial qui se révèle par l'insomnie et qui peut
ation des centres modérateurs ou des centres excitateurs du système nerveux central. Les troubles de la sensibilité sont in
par le délire de la persécution ; il dépend de la dégé- nérescence nerveuse et alors, il n'y a pas de relations entre l'inten
généralisée, ou un pseudo-rhumatisme infectieux. Les complications nerveuses peuvent également s'observer : on peut voir sur
en parti- culier l'embolie cérébrale, ou ce sont des complications nerveuses : délire, manie, apoplexie, coma; ce peuvent êt
causes que nous allons étudier : rhumatismes, infection, héré- dité nerveuse . Le rhumatisme est une cause fréquente de choré
s'expliquerait par la fréquence de l'association et de la diathèse nerveuse et arthritique. , . Cette théorie nerveuse a
tion et de la diathèse nerveuse et arthritique. , . Cette théorie nerveuse a été soutenue par Joffroy qui fait de la chorée
d'une infection, il existe des cas où cette mala- die est d'origine nerveuse et se développe sous l'influence du trauma- tis
ade ou par la notion du rhumatisme, d'une infection, d'une hérédité nerveuse que l'on fait le diagnostic de chorée de Sydenh
mplications. La chorée de Sydenham peut présenter des complications nerveuses , cardiaques, cutanées et articulaires. Les comp
nerveuses, cardiaques, cutanées et articulaires. Les complications nerveuses sont : l'hémorragie cérébrale, l'embolie cérébr
100 des cas. et elle se produit alors par état de mal ou épuisement nerveux , comme dans le cas de Barié pal' arrêt diastoliqu
st souvent précédée par une émotion, un traumatisme, par l'hérédité nerveuse suivant Hocquet (Thèse de Paris, 1888) ; elle -su
as c.lc l3echtorell' (Réunion scientifique des maladies mentales et nerveuses de Saint- Pétersbourg, 1896). Le pronostic de
CHORÉE VARIABLE Brissaud a écrit dans ses « Leçons sur les maladies nerveuses a. (2" Série, 1899), une variété de chorée qu'i
es étiologiques est l'hérédité. Ce n'est pas seulement une hérédité nerveuse , c'est l'hérédité similaire. Le malade atteint
sont épargnés peuvent cependant être sujets à d'au- tres affections nerveuses sans que cependant ce soit une règle absolue. L
mentionner l'im- portance de certaines émotions morales et'du choc nerveux . Quelquefois l'apoplexie a été signalée au cour
s variables, c'est surtout chez des malades entachés d'une hérédité nerveuse que s'observent ces myoclonies, M. Ray- mond (L
eulement la présence de myoclonies, mais encore d'autres affections nerveuses : la maladie des tics connue, dans des cas signal
s les chorées et les myoclonies, les prédispositions héréditaire et nerveuse ; l'évolution se termine par la guéri- son, mais
signalé encore diverses myoclonies au cours de maladies du système nerveux et dans la paralysie générale (Hermann, Méditz. O
ent chez des sujets qui sont en général prédisposés à une affection nerveuse par leur hérédité, mais sans cependant qu'il y
dépendant vrai- semblablement d'une affection organique du système nerveux central dont [A. LJBAT Fig, '13, 14, 15 et 16
tisation fonctionnelle, mais met en jeu les muscles d'un territoire nerveux ({nato1//iquement déterminé; il est immédiateme
d u torticolis commis if contre lequel des sections musculaires et nerveuses diverses ont été maintes fois pra- tiquées. Bri
plus, le terme « spasme » suppose une irritation organique du tronc nerveux moteur ou d'un point d'un arc réflexe, et le term
até de la douleur, spontanée ou à la pres- sion, le long des troncs nerveux , du radial en particulier. Parfois on a noté de
ccupent une place particulièrement impor- tante dans la séméiologie nerveuse . Susceptibles d'intéresser tous les systèmes de
'intéressant que l'épiderme et le derme Dans cer- taines affections nerveuses , la peau présente seulement des changements de
u du pied. On l'observe tout particulièrement à la suite des plaies nerveuses et dans la syringomyélie, mais on la PItATIQUE
. en zones méta- mériques-ou en bandes suivant à peu près un trajet nerveux , ou au con- traire se disséminer en taches plus
core diverses altérations unguéales. Consécutivement aux sections nerveuses , s'observe très fréquemment un état ichtyosique
mme le viti- ligo. ne relevant de façon évidente d'aucune affection nerveuse classée, sont-elles étroitement liées à l'infec
que nous sommes accoutumés de l'observer, se superposer à un trajet nerveux ou affecter une disposition métamérique. On les
onnent étroitement sur une section métamérique ou sur un territoire nerveux donnés, tels sont le zona et les éruptions zost
et d'un autre coté. l'origine d'un grand nombre de gangrènes dites nerveuses se trouve élucidée depuis que l'on a su mettre en
sgracieusement, ils semblent souvent superposés à quel que trajet nerveux , moins qu'ils ne paraissent affecter quelque di
es et les adiposes. On ne saurait rigoureusement, parmi les oedèmes nerveux , distinguer un groupe d'oedèmes aigus et un gro
ennc (d'après Pierre Marie). TROUBLES TROPHIQUES. 919 Les oedèmes nerveux ont quelques caractères communs que nous indiqu
nds, qui affectent une disposition symétrique le long des trajets nerveux (des membres, le plus souvent) ou une distribut
m ou adipose douloureuse est-elle un trouble trophique du système nerveux ou une dys- trophie glandulaire, peut-être thyr
ses. En revanche, les troubles mentaux dépressifs et l'asthénie nerveuse sont de règle. On peut ob- server, coexistant
ibution de ces plaques atrophiques ne correspond à aucun territoire nerveux cutané et se fait d'une façon tout à fait irrégul
lade, la faradisation du tibial postérieur, l'élongation des filets nerveux à distance des foyers infectés. L'amputation sera
de brûlures sou- vent graves puisque ces doigts, de par l'affection nerveuse en cause (névrite lépreuse ou cavité médullaire
poils sont fréquentes dans les ma- ladies organiques du système nerveux ; celles des dents sont plus rares, parce que pe
t de la croissance des ongles a été observé dans nombre de maladies nerveuses , son accélération dans un certain nombre égalem
moitié du corps par exemple. Mais de toutes les atrophies d'origine nerveuse , l'une des plus typiques à coup sûr est l'Iaémi
n dehors de l'atrophie osseuse massive, les affections du système nerveux peuvent déterminer de la raréfaction des os. Ce
i cette question théorique. Articulations. Les seules arthropathies nerveuses vraiment importantes par leur fréquence et par
satellites de la lièvre et à rechercher, d'autre part, les maladies nerveuses au cours desquelles peut se, trouver l'élévation
ciée ; dans la méningite, c'est une action localisée sur le système nerveux cen- tral qui explique cette dissociation; dans
es microbiennes pour nous arrêter exclusivement, au rôle du système nerveux dans la production de la fièvre; nous envisager
ns la production de la fièvre; nous envisagerons ce rôle du système nerveux tout d'abord à un point de vue, et nous verrons
un point de vue, et nous verrons ensuite quelles sont les maladies nerveuses dans lesquelles on peut rencontrer l'hyperthermie
d'abord, la fièvre peut cire produite par l'intervention du système nerveux , même lorsqu'il y a un agent microbien ou une int
pour résultat la production de la lièvre. Fièvre dans les maladies nerveuses . - L'élévation de la température [O. r.aonzoN.7
56 HYPERTHERMIE. a été constatée dans un certain nombre de maladies nerveuses ; elle peut être dans certains cas une complica
re est due probablement à une altération ou à une lésion du système nerveux . Dans ces maladies organiques du système nerveu
lésion du système nerveux. Dans ces maladies organiques du système nerveux , la fièvre peut être due à un état inflammatoir
pelle anhidrose. L'anidtose est due le plus souvent il des troubles nerveux locaux, elle s'observe au cours de sections ner
il des troubles nerveux locaux, elle s'observe au cours de sections nerveuses dans des cas de névrites périphériques ou dans
ose, et hématidrose qui sont quelquefois associées à des affections nerveuses . TROUBLES DE LA PRESSION ARTÉRIELLE La pressi
Hypertension. L'hypertension ne s'observe guère dans les maladies nerveuses ; cependant il peut être un symptôme prémonitoire
1907), mais dans ces cas, elle n'est pas un symptôme de la maladie nerveuse , mais plutôt de la maladie qui en est une des c
es, les troubles respiratoires sont peu fréquents dans les maladies nerveuses . Comme l'étude des troubles du larynx en est fa
piration peuvent s'observer dans les affections diverses du système nerveux , nous allons les passer en revue. Ce sont avant
chez presque tous les sujets une prédisposition, une susceptibilité nerveuse . Tous les sujets ne sont pas entachés de névro-
spécialement un organe voisin de l'appareil urinaire; 5" le système nerveux . 1° Lésions de l'appareil urinaire. Elles peuve
tériques ou les prédis- posés héréditaires. 5° Lésions du système nerveux . Les névralgies vésicales de cet ordre appartie
un symptôme ou une complication de nombreuses affections du système nerveux . Dans l'hémorragie cérébrale, après l'ictus, la
s elle est rarement de longue durée, lorsque l'influence du système nerveux est seul en cause; mais les vieillards frappés
la morphine, qui agit sur la vessie par l'intermédiaire du système nerveux : enfin on l'observe, quelquefois volontaire, c
ion par regorgement est très fréquente dans les maladies du système nerveux et se produit à une époque plus précoce qu'en pré
ir est en effet moins immédiate dans certaines rétentions d'origine nerveuse que dans d'autres, car des trouhtessensitits se
n changer aux indications du traitement. Les rétentions d'origine nerveuse , s'infectent avec la plus grande faci- lité et
on). Ces variétés se retrouvent dans diverses affections du système nerveux . " Étiologie. Pour éviter les redites, je ren
ne notable quantité d'urine. Or, dans certaines maladies du système nerveux , le regorgement s'établit très vite, nous l'avo
e de ce qui vient d'être dit et dépend essentiellement de la lésion nerveuse . Celle-ci a-t-elle détruit ou profon- INCONTINE
(oxyures, polypes du rectum, vulvite). 4° Il existe une affection nerveuse bien caractérisée (épilepsie, spina- bifida, ma
hique. z La plupart des incontinents noc- tures présentent une tare nerveuse personnelle ou héréditaire, hystérie ou névropa
incontinence (Rochet), mais complique la rétention par excitabilité nerveuse .. a) Quand le sphincter est trop faible, soit c
nt dans les affections vésicales dépendant dune lésion du sys- tème nerveux que dans celles d'une autre nature. Celle, dispos
des germes par des conditions multiples : la diminution de l'influx nerveux rend les tissus moins résistants et les troubles
nts et les troubles trophi- ques observés dans plusieurs affections nerveuses en sont l'expression la plus élevée. L'action v
germes; aussi ne, devra-t-on sonder, dans une affection du système nerveux , que, lorsque le diagnostic et le Il'ai- tement
te ne présente pas de carac- tères particuliers dans ces affections nerveuses . L'infection vésicale revêt ici deux formes : t
te com- plication est commune dans les affections graves du système nerveux el constitue pour ces malades une cause fréquen
, les antiseptiques dans les complica- tions urinaires des maladies nerveuses à cause de la réaction toujours vive, des troub
il un moment quelconque de presque toutes les affections du système nerveux , mais c'est tantôt un phénomène banal, un réfle
'autres appareils, tantôt un symptôme même, des lésions du système, nerveux dans lesquelles la polyurie se présente avec un
cause de polyurie. qui dans certains cas n'est nullement de nature nerveuse , et cesse dès qu'on vide, la vessie. - La' po
rs que des sujets qui n'ont aucune tare ont parfois de. la polyurie nerveuse sous l'influence d'une émotion. . Diagnostic. -
rendue impose le diagnostic, mais on ne doit con- clure à l'origine nerveuse que lorsque toute idée de lésion. organique aura
gnalée dans un certain nombre d'observations de maladie du système, nerveux . Dans le tabès, dans le tétanos, dans des cas de
(traumatique) s'améliorait. On pourrait encore rattacher au système nerveux les anuries consécu- tives aux traumatismes gra
es observations d'anurie due exclusivement à l'influence du système nerveux ; car les observations sont nombreuses dans lesque
ont ils souffrent réellement. On retrouve souvent chez eux une tare nerveuse héréditaire ou indivi- duelle. Beaucoup ont eu
une spermatorrée diurne paraît réelle. Tous ces sujets ont une tare nerveuse héréditaire ou per- sonnelle, beaucoup ont eu d
maginaire. Il s'agit en général d'hypocondriaques, issus de parents nerveux ou alcooliques qui, après avoir remarqué un phé
. Traitement. Tout d'abord, on s'adressera il la cause, la lésion nerveuse , s'il est possible. La médication symptomatique p
e n'a une réelle efficacité que dans les cas simples d'irritabilité nerveuse . . On établira une bonne hygiène, : exercice au
aves qui lui ont été annoncées. La suggestion agit souvent sur ces. nerveux . 13YSPEÀZMATISME On désigne sous ce nom les p
alisme fonctionnel, sous l'in- fluence d'une affection psychique ou nerveuse . L'anesthésie des organes génitaux peut retarde
r ici cet acte contre, nature que dans ses rapports avec le système nerveux , nous ne pouvons en aborder l'étiologie, car da
s cas, on se demande si l'onanisme est cause ou effet de la maladie nerveuse . L'influence de lésions du cervelet, considéré
ains médicaments qui paraissent agir par l'intermédiaire du système nerveux , action d'ailleurs souvent problématique et tou
aire, l'érection, une fois disparue, ne, revient plus, les éléments nerveux qui président à l'érection sont seuls atteints ;
ent plus ou moins atteintes et affaiblies. TE. DESNOS. TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF par le Dr MOUTIER Le
S NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF par le Dr MOUTIER Les troubles nerveux de l'appareil digestif sont de deux ordres, les u
vitent à recher- cher directement une altération définie du système nerveux . Des phéno- mènes étudiés, les uns se rattachen
e. Langue. La langue joue un rôle exceptionnel dans la sémiologie nerveuse par l'aspect de sa surface, les troubles de sa se
git là presque de Pratique neurol. 62 EF MOUTIER.] "7S TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. irohltisme (l3rissand).
cette douleur. Tantôt diffuse, tantôt super- posai) le à un trajet nerveux , la douleur relève directement alors de lésions
le, saturnine), mais avant de les attribuer à une lésion du système nerveux , il conviendra de s'assurer que l'instabilité l
e du géao-glosse intact. Le début de . [F MOUTIER] J 982 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. l'atrophie est lent, la
leau d'une paralysie périphérique , [F. MOUTIER.] .] 984 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. d'origine toxique (diph
'observent dans les lésions périphériques dépendant de compressions nerveuses ou de névrites, dans les lésions nucléaires des
ition, cherche à refouler du doigt . ' [F. MOUTIER.] 980 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. les aliments qu'il ne p
ou supérieur est un symptôme de névrose. 11 caractérise ces crises nerveuses dans lesquelles le malade est étranglé par une
urasthéniques, les surmenés. En résumé, ce qui domine la sémiologie nerveuse de l'oesophage, c'est le spasme, dont le syndro
le repos forcé et l'isolement, seront de rigueur dans les troubles nerveux graves. [F MOUTIER] 988 TROUBLES NERVEUX DE L
ueur dans les troubles nerveux graves. [F MOUTIER] 988 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. ' Ptyalisme. - La sialo
a médication psychique (Mathieu), il faut distinguer mie sialorrhée nerveuse , simple, existant chez les gens à estomac peu m
emps on a discuté pour savoir si les dyspepsies étaient d'ori- gine nerveuse ou organique, explicables en ce cas par une gastr
on, les douleurs et le retard de la motricité, sont d'ordre surtout nerveux et assez indé- pendants en somme des lésions et
ez indé- pendants en somme des lésions et du chimisme. La dyspepsie nerveuse survient avec les chimismes les plus opposés; e
e était nécessaire pour comprendre l'étroite union de la pathologie nerveuse et de la pathologie gastrique. Crises paroxysti
vomissement est un symptôme très fréquent au cours des auec- tions nerveuses les plus diverses. Nous voulons parler seulement
éclate souvent après une crise typique de la névrose. Hématémèses nerveuses . Le diagnostic des hématémèses d' O1'i- (fille
que l'urémie soit fréquente chez eux. [F. MOUTIER] 992 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Troubles gastriques du
malades, favorisait la continuité des crises, et provoquait un étal nerveux propice il la réalisation d'accès où la simulat
edématiée PHATIQUE liEunOL. 63 . [F. MOUTI £ R.] ] 994 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Vomissements paroxystiq
eurs crises, entre ses paroxysmes le . [F. MOUTIER.] 996 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. malade sommeille ou dél
intestinales d'ordres divers sont fréquentes au cours des maladies nerveuses , mais elles sont rarement douloureuses. Néanmoi
rhées paroxystiques. Elles sont des plus fréquentes en sémio- logie nerveuse ; toutes ont des caractères communs. Elles survien
e, 1W otavicluc. Chez tout malade pré- sentant une diarrhée du type nerveux , il conviendra de rechercher les signes du tabe
les dans la maladie de ()li«cl : c.. , [F. MOUTIER.] 998 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. Dans la maladie de Frie
ordinaires. ? . Paralysies intestinales. La constipation d'origine nerveuse peut dépendre de trois facteurs principaux; ell
précédemment décrite, et le ventre se [F. MOUTIER.] 1000 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. gonfle simplement, on n
le vertébral et le latéral. SYNDROMES ASSOCIÉS * Les symptômes nerveux et digestifs s'enchaînent étroitement, ainsi qu
naître pour comprendre plus tard le traitement, faire la sémiologie nerveuse des troubles gastriques serait refaire toute la
entèro-colites subissent le contre-coup des ptôses, de l'épuisement nerveux , du surmenage intellec- tuel, des émotions viol
as, l'anorexie est plutit secondaire. [F. MOUTIER.] 1002 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. dire, de l'anorexie. Bi
le et non bulbaire, survenant chez des sujets tarés au point de vue nerveux . Le 1. I.iioi'oi.n Un : Essai sur la faim, Arc/
2. M ITBIEU et Roux : L'inanition clic : - les dyspeptiques et les nerveux , Masson, 1905. [F. MOUTIER.] 1004 . TROUBLES
iques et les nerveux, Masson, 1905. [F. MOUTIER.] 1004 . TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. malade éprouve en même
rs une intervention chirur- gicale. [F. MOUTIER.] 1006 TROUBLES NERVEUX . DE L'APPAREIL DIGESTIF, . " Enfin, certains né
e de manger, etc. En terminant cet exposé diagnostique des troubles nerveux et digestifs qui se mêlent et s'enchaînent, il
, l'état névropathique. Or, ce qu'il faut bien savoir, c'est que le nerveux faiblement touché, le névropathe simple, le neura
par exemple, des malades atteints d'un [F. MOUTIER] 1008 TROUBLES NERVEUX DE L'APPAREIL DIGESTIF. ulcère; le diagnostic e
ose palmaire; camptodact'lie. Goutte. Rachitisme. Arthropathies nerveuses (syringomyélie, tabès). Ostéomalacic. Dactyli
les altérations sont alors congénitales. Certaines arthropathies nerveuses , des tabétiques et surtout des syringomyéliques
éliqucs et des lépreux. Exceptionnellement un traumatisme de troncs nerveux , une névrite périphérique autre que la névrite
oid détermine sans doute la gangrène par l'intermédiaire de lésions nerveuses et vasculaires qu'il produirait directement. No
au-dessous de l'émergence ATTITUDES VICIEUSES. : 1057 7 du rameau nerveux du long supinateur. Dans les traumatismes graves
pied sont souvent plus gonflés qu'à l'état normal. L'arthropathie nerveuse , presque exclusivement tabétique, de l'arti- cu
tion des os du tarse soit primitive ou consécutive à une altération nerveuse ou il une attitude vicieuse intra-utérine (diff
incipales variétés de pieds-bots que l'on observe dans les maladies nerveuses congénitales ou acquises, myopathiques. nevriti
xquisément localisée, dont nous n'avons su préciser la cause (filet nerveux constant ? ). Nous étudierons aux indices la va
avancé. Inversion. Exslrophies. Malformations cardiaques. Agénésies nerveuses (voir plus loin). Notre regretté maître Du Cast
proportionnées avec l'état cérébral de l'immense majorité. Maladies nerveuses congénitales, évolutives, familiales. Ce sont l
r CROUZON L'importance de la syphilis dans l'étiologie des maladies nerveuses nous amène à rechercher ici comment cette syphi
tre dépistée chez un malade que l'on soupçonne atteint d'une lésion nerveuse spéci- fique. Nous envisagerons successivement
s de la peau peuvent, dans certains cas, coexister avec des lésions nerveuses à une période avancée de la maladie, de nombreu
uzon, il est révélateur de syphilis et particulièrement de syphilis nerveuse . La glossite exfoiialrice marginée a été consid
la maladie. z Il nous reste il mentionner les stigmates du système nerveux qui sont caractéristiques de la maladie. Tout
influence étiologique à cette maladie dans une affection du système nerveux . Il est nécessaire d'avoir toujours ces faits p
opathies déformantes ou même le rhumatisme déformant. - Stigmates nerveux . Nous nous attacherons plus particulière- ment
erveux. Nous nous attacherons plus particulière- ment aux stigmates nerveux de t liérédo-syphilis. Fournier signale les con
es résultats des recherches pratiquées dans les maladies du système nerveux . La réaction de Wassermann se rencontre presque
l'a rencontrée aussi dans un certain nombre de maladies du système nerveux où la syphilis ne pouvait être que soupçonnée : l
MENT DE LA SYPHILIS DU NEVRAXE par Georges GUILLAIN Les accidents nerveux d'origine syphilitique doivent être traités d'une
ns anciennes, sur les dégénérations secondaires. * Dans la syphilis nerveuse dont les accidents sont souvent menaçants, le t
ar les potions ne doit pas être conseillée pour traiter la syphilis nerveuse . Il faut avoir recours aux frictions mercuriell
'évolution du cas observé. Le traitement le meilleur de la syphilis nerveuse est le traitement par les injections; on connaî
tabès ou de la paralysie générale. Le traitement des manifestations nerveuses de la syphilis chez les enfants se fera par les
aration 000 d'Erlich). Les résultats acquis dans les cas de lésions nerveuses syphilitiques me paraissent trop incertains pour
éthode. [G. GUILLAIN.] 1 PERCUSSION ET AUSCULTATION DES CENTRES NERVEUX par le Dr F. MOUTIER Ces différentes méthodes
ertains cas, cet état du liquide était dû à la syphilis des centres nerveux . La valeur de cette coloration est telle, que le
. Schmid, peut être augmentée dans certaines affections des centres nerveux suivant Sicard, Quincke, etc. A l'état normal
s de certaines méningites tuberculeuses; dans certains cas d'urémie nerveuse . La perméabilité à l'égard du mercure a été con
n'est pas exactement en rapport avec l'intensité de la dégénération nerveuse : elle est presque constante chez les tabétique
enant étudier. ÉTUDE DU LIQUIDE CÉPHALO-RACHIDIEN DANS LES MALADIES NERVEUSES Le liquide céphalo-rachidien, dans les maladies
MALADIES NERVEUSES Le liquide céphalo-rachidien, dans les maladies nerveuses chroniques qui sont le principal objet de cet o
verdâtre a encore une très grande valeur; en dehors des affections nerveuses , cette teinte n'a a été observé que dans l'urém
1995), ont constaté la leucocytose au cours des quelques trou- bles nerveux passagers qui se rencontrent dans la scarlatine.
arlatine. Au cours de la variole, malgré l'intensité des phénomènes nerveux observés parfois (céphalée-vomissements-rachial
rète mais certaine et qui témoignait de la participation du système nerveux . . Enfin, Hartmann (de Vienne) a pu reconnaître
o-diagnostic dans la syphilis. 1° Cyto-diagnostic dans la- syphilis nerveuse . L'existence d'une lymphocytose dans le tabes et
l'étude du liquide céphalo-rachidien dans les cas de manifestations nerveuses syphilitiques. ' Widal et Le Sourd ont constaté
bservé une lymphocytose énorme et en plus la présence d'une cellule nerveuse dont ils attribuent l'origine à un foyer de morti
cation médullaire. A côté de ces grands accidents de la syphilis nerveuse , les petits acci- dents de la syphilis nerveuse
ents de la syphilis nerveuse, les petits acci- dents de la syphilis nerveuse ont aussi présenté de la lymphocytose : tel est
hérédo-syphili- tiques et l'a toujours trouvée liée à des troubles nerveux . 2° Cyto-diagnostic dans la syphilis, sans acci
oubles nerveux. 2° Cyto-diagnostic dans la syphilis, sans accidents nerveux . L'existence de la lymphocytose au cours d'acci
idents nerveux. L'existence de la lymphocytose au cours d'accidents nerveux de la syphilis ont amené Milian, Crouzon et Par
halée ne pouvait pas être une première manifestation de la syphilis nerveuse . Sur huit syphilitiques examinés; deux ont pré-
ière où on constata la lymphocytose dans la syphilis sans accidents nerveux , elle eut d'autre part un intérêt diagnos- tiqu
e céphalo-ra- chidien puriforme au cours de la syphilis des centres nerveux . Cyto-diagnostic dans les affections oculaires.
fections oculaires. Nous avons vu plus haut à propos de la syphilis nerveuse que le cyto-diagnostic n'avait été positif que
traitement d'un certain nombre d'affections douloureuses du système nerveux , il reste néanmoins une méthode analogue encore u
érapeutique). Schématiquement, il est constitué par : a) des signes nerveux (céré- 1]rau, cérébelleux, pédonculaires, protu
i-infectieux; c) des modifications du liquide venlriculaire. Signes nerveux . Déterminés en grande partie tout au moins par
ic commode, mais peu précis, de polyurie essentielle, de glycosurie nerveuse , etc. Une autre cause d'erreur résulte de ce qu
ter leurs expressions sympto- matiques il la souffrance des centres nerveux voisins et, par conséquent, présenter une physi
ui traversent t'épithéhum épendymaire et vont adultérer les centres nerveux contigus; mécanique, elle résulte de la compres
dans les gaines périvasculaires et arrivent au contact, des noyaux nerveux . (Leur progression descendante explique comment
lle). Mais quelles conclusions en tirer si ce n'est que les centres nerveux périépendymaircs s'accommodent mieux d'une comp
tions du radiodiagnostic il l'élude des lésions directes du système nerveux central se trouveront limitées : soit aux cas o
ces modifications pourront être dues soit il une maladie du système nerveux central ou périphérique, soit à des affections
les auteurs, il tort, ou à raison, parmi les maladies du sys- tème nerveux , affections dont l'origine est en réalité peu con
d'une précision et d'une clarté exceptionnelles ; enfin des malades nerveux , des agités, des alcooliques, des dyspnéiques,
E. B. L'ASPECT RADIOGRAPHIQUE a ' DANS LES DIFFÉRENTES AFFECTIONS NERVEUSES t Nous passerons rapidement en revue les applic
culaires des extrémités, con- sécutives à des affections du système nerveux central ou périphérique; 4° Affections osseuses
à savoir la production de cals osseux exubérants et de compression nerveuse : mais ces cals se pro- duisent dans le rachis
S OSSEUSES ET ARTICULAIRES CONSÉCUTIVES A DES AFFECTIONS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL OU PÉRIPHÉRIQUE Les arthropathies tab
uses dystrophiantes ne sont pas toutes dues à une lésion du système nerveux ; la plupart même semblent être dues il des auto
ophiantes, c'est, à tort ou à raison, parmi les maladies du système nerveux que les auteurs ont pris coutume de les ranger
lle en voie de développement oui montré la résistance de la cellule nerveuse jeune aux rayons de Hôntgen. Un long fraitoncnt
es la multiplication des tentatives théra- peutiqucs sur le système nerveux central. Elles ont été laites avec un certain s
l'ayons. Mais existe-t-il au point de vue de la sensibilité du tissu nerveux des inconvénients aU ribuables à des applicatio
s .appliquées sur une tumeur volumineuse distante ou non du système nerveux central. C'est ainsi que l'on a pu employer dans
lus précoce et avant la destruction par le néo- plasme des éléments nerveux qu'il comprime; ainsi chez deux malades de Labe
du pouls diminue, le tremblement des mains et les autres symptômes nerveux s'améliorent rapidement, par contre le volume d
des névralgies sympto- matiqucs liées à une compression du système nerveux périphérique par une tumeur sensible aux rayons
tabès. [d. LÉRL] 1190 RADIOLOGIE. La radiothérapie des maladies nerveuses , encore mal connue et imprécise dans ses indica
CTRICITÉ . AU DIAGNOSTIC ET AU TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX par E. HUET ' Chef dit Service d'Élcclrothéra
t Service d'Élcclrothérapie de la Clinique des .Maladies du système nerveux a ta la Salpètiiére. L'électricité est souvent
pour le diagnostic, soit pour le traitement des maladies du système nerveux . Les modes d'application de l'électricité sont
s du courant galvanique au traitement et au diagnostic des maladies nerveuses . Comme les électrodes sont habituellement placées
s les applications du courant galvanique au traitement des maladies nerveuses sont insignifiants en raison des faibles intens
mais encore dans des modifications de la conductibilité de J'influx nerveux et dans des modifications de l'état électrique de
. Le courant descendant est celui qui suit la direction de l'influx nerveux moteur; il est réalisé lorsque le pôle positif es
l est réalisé lorsque le pôle positif est placé du côté des centres nerveux et le pôle négatif du côté de la périphérie. Le
: DU COUTANT galvanique Pour appliquer au traitement des maladies nerveuses les actions de l'état variable du courant galva
E DANS LES ÉTATS PATHOLOGIQUES . Dans les affections du système nerveux et dans les affections de l'appa- reil moteur,
s. Il en est de même dans un certain nombre d'affections du système nerveux central, particulièrement dans celles qui attei
n- traux. Il en est parfois de même dans les altérations du système nerveux périphérique, lorsque ces altérations sont légè
galva- Li - nique, peut s'observer dans des affections du système nerveux central, encéphale et moelle, surtout à leur dé
n genre de courants qu'avec l'autre. Dans les affections du système nerveux central qui atteignent plus par- ticulièrement
it que, par suite de la lenteur du processus d'atrophie, les libres nerveuses et les fibres musculaires se trouvent détruites l
tion de dégéné- rescence sont masquées par les réactions des libres nerveuses et muscu- laires encore peu atteintes. Dans l
tion simple de l'excitabilité électrique sur certains ter- ritoires nerveux et de la réaction de dégénérescence sur d'autres
e celle que nous venons de voir, assez bénigne pour les territoires nerveux avec simple diminution de l'excitabilité, plus
porte l'excita- tion, alors que d'autres muscles du même territoire nerveux , mais plus éloignés, restent mexcilables. Exemp
à quelques semaines, c'est généralement le cas sur les territoires nerveux des membres et du tronc ; parfois elle se prolong
plus particulièrement cette évolution de la DR dans les affections nerveuses à marche progressive, comme la sclérose latéral
rescence dans les processus chroniques Dans les maladies du système nerveux qui portent sur les neurones moteurs périphériq
arquées de ces altérations dans une partie au moins des territoires nerveux atteints par la maladie, ou bien si on n'en a p
lle, noyaux du bulbe et de l'isthme de l'encéphale), ou les racines nerveuses motrices qui en partent, ou les fibres nerveuse
e), ou les racines nerveuses motrices qui en partent, ou les fibres nerveuses dans les plexus, ou les nerfs dans leur trajet
celle-ci se trouve exactement limitée à un ou plusieurs territoires nerveux périphériques, il est vraisemblable d'admettre
ulaire, le diagnostic se trouve orienté vers des lésions de racines nerveuses répondant à cette topographie radiculaire. La con
phériques, il est facile de voir dans quelles affections du système nerveux elle doit se rencontrer et dans quelles autres af
apparaissant sur de nouveaux muscles ou sur de nouveaux territoires nerveux , à intervalles plus ou moins éloignés, de sorte
aux cellules des cornes antérieures, soit avec des lésions de racines nerveuses , soit avec des lésions de nerfs périphériques.
ET.] 1258 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. communément dès que les altérations nerveuses sont un peu prononcées. On la rencontre habitue
, tantôt complète, tantôt partielle, suivant la gravité des lésions nerveuses ; dans quelques autres, elle allecte les allures
s, la DR se localise plus particulièrement sur certains territoires nerveux ou sur certains groupes musculaires, faisant défa
R ne se trouve pas régulièrement répartie dans tous les territoires nerveux périphériques atteints, et les autres conditions
remplaçant une DR complète indique une rétrocession des altérations nerveuses . Dans les affections nerveuses d'ordre plus spé
e une rétrocession des altérations nerveuses. Dans les affections nerveuses d'ordre plus spécialement médical on doit faire
hronique, etc., la DR partielle indique seu- lement des altérations nerveuses moins accentuées que la DR complète, mais elle
t eu le temps de se produire; dans les jours qui suivent une lésion nerveuse ou l'invasion d'une maladie atteignant les neuron
ons de nerfs périphériques mais encore dans des lésions des racines nerveuses et dans des lésions des cornes antérieures; ell
orte l'électrode excitatrice sur un autre muscle du même territoire nerveux , on constate la présence de l'excitabilité de ce
ant, le muscle se gonfle et éloigne ainsi l'élec- trode des rameaux nerveux qui le pénètrent généralement par sa face profond
ralement par sa face profonde; comme c'est au niveau de ces rameaux nerveux que se produit surtout l'excitation fara- dique
loureuse. Si l'excitation porte au niveau d'un tronc ou d'un rameau nerveux , la sensation se propage dans la sphère de dist
APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ AU TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX Pour exposer les applications de l'électricité
plications de l'électricité au traitement des mala- dies du système nerveux nous ne passerons pas en revue une par une ces
rêtons sont forcément artificiels, et nombre de maladies du système nerveux s'étendent dans plusieurs groupes; nous en tien
ans la moelle, soit dans leurs prolongements périphériques, racines nerveuses et nerfs. Dans ce second groupe nous ferons ent
ique, activer sa résorption et faciliter la réparation des éléments nerveux comprimés ou partiellement détruits. On ne met
et sur les muscles retentissent par action réflexe sur les centres nerveux ; elles augmentent la contracture qui est une m
fibres radiculaires dans leur trajet intra-médullaire, aux racines nerveuses intra-rachidiennes. Pour le moment nous aurons pa
elle comme les poliomyélites anté- rieures aiguës, soit les racines nerveuses comme les radiculites dans la méningite cérébro
tres. Ces complications sont souvent dues à des lésions des racines nerveuses ; elles peuvent aussi dépendre de lésions concomit
nes des nerfs, et parfois de lésions ou d'altéra- tions des racines nerveuses dans leur partie comprise entre la moelle et le
ns sont assez fréquentes dans un assez grand nombre de paraly- sies nerveuses périphériques; elles se rencontrent parfois aussi
ites localisées ou par lésions des nerfs, des plexus ou des racines nerveuses , il existe de la DR plus ou moins prononcée : Le
r la joue au niveau du buccinateur, des zygomatiques et des rameaux nerveux se rendant à l'orbiculaire des lèvres; il la pa
Poil), de lésions des méninges rachidiennes, de lésions des racines nerveuses , de lésions des organes du bassin. Dans certain
n plus particulière des douleurs en certains points des territoires nerveux atteints; généralement il y a avantagea j'l cho
d'endolorissement ou d'engourdissement continu dans le territoire, nerveux atteint, accompagné souvent d'ilypcrcstliésie ave
irigeant les rayons sur la colonne vertébrale au niveau des racines nerveuses et des centres d'innervation correspondant aux
e dès laquelle on a commencé à appliquer au traitement des maladies nerveuses l'électricité fournie par les machines statique
alement sur les parties latérales, en suivant le trajet des cordons nerveux profonds, grand sym- pathique, pneumo-gastrique
u tronc et les quatre membres, en suivant le trajet des gros troncs nerveux et des muscles de manière à faire contracter légè
t les phénomènes de dépression ou de faiblesse irritable du système nerveux . [E HUET ] 1554 ÉLECTROTHÉRAPIE. La galvani
e exophtalmique a été considéré pendant longtemps comme une maladie nerveuse que l'on rapportait soit il des troubles bulbaire
lésions cardiaques ou rénales, intoxications, infections, maladies nerveuses ou de la nutrition. Parfois ces troubles précèden
e voudrais simplement indiquer quelles sont les maladies du système nerveux qui paraissent bénéficier des différentes modal
soit par une lésion cérébrale soit par une intoxication des centres nerveux , ne me paraît justiciable de l'hydrothérapie qu'a
une pratique normale chez tous les indivi- dus, enfants ou adultes, nerveux ou non. METHODES 1 D'ÉTUDE DES CENTRES NERV
ants ou adultes, nerveux ou non. METHODES 1 D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX TECHNIQUE DES EXAMENS ANATOMO-PATHOLOGIQUES
ANATOMO-PATHOLOGIQUES par Georges GUILLAIN Formolage des centres nerveux avant l'autopsie. Les lésions cadavériques se d
'autopsie. Les lésions cadavériques se développent dans les centres nerveux avec une grande rapidité, surtout pendant les s
ande pour l'étude microsco- pique et même macroscopique des centres nerveux . C'est pour obvier à ces inconvénients primordi
e l31cètre une technique spéciale consistant à formuler les centres nerveux le plus longtemps possible avant l'autopsie. Il s
arcelle, et lorsque les deux os pariétaux, les AUTOPSIE DES CENTRES NERVEUX . 1517 7 « deux frontaux et l'écaillé de l'occip
a entourée d'un [G GUILLAIN.] 1548 8 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . fil et l'on aura ainsi une indication topograp
Brissaud se pratique de dedans en dehors, elle AUTOPSIE DES CENTRES NERVEUX . 15113 passe par le milieu de la tète du noyau
dans le but de . [G. GUILLAIN 1 1550 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . faciliter le durcissement et la pénétration de
C'est immédiatement après l'autopsie qu'il faut mettre les centres nerveux dans les liquides fixateurs et durcissants. Au fo
iquide de Müller. , INCLUSIONS. 155t de petits fragments (système nerveux central, ganglions, nerfs périphé- riques). Ces
ion du cerveau et de la moelle. 1552 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . ou de bulbe, davantage pour les fragments plus
es de cytologie fine. Ces inclusions disloquent facilement le tissu nerveux . Voici le procédé qui, d'après Gombault et Phil
sur des feuilles , [G GUILLAIN] 1554 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . de papier closet très mince : ces feuilles de
de Cox pour la coloration de la substance achromatique des cellules nerveuses , les procédés de Freud, Schmaus. Stroebe pour l
ès intéressantes au point de vue de l'histologie normale du système nerveux de l'homme et de la série ani- male, mais elles
des études d'anatomie pathologique humaine. Coloration des cellules nerveuses , de la névroglie, du tissu con- jonctif et des
iel' est spécialement recommandable pour les colorations du système nerveux . Il est préférable de faire les coupes sur des pi
rouge moins foncé, les gaines de myéline jaune clair, les cellules nerveuses ont leur protoplasma coloré en rouge, leur noya
nent pas de résultais spécialement utiles sur les coupes du système nerveux . Le procédé de coloration en masse de Foret par
- lent pour l'étude de la névroglie. De petits fragments du système nerveux de 1/5 à li2 centimètre d'épaisseur sont fixés
elquefois dans [G. GUILLAIN.] ] 1556 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . « le corps de la cellule des boules de graisse
des dans la solution suivante : ¡;jars MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . différencialeur de substance colorante. Le liq
ne ; ° 1.c liquide de Gothanl : 15GO MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . heure dans l'alcool absolu). Eclaircir par le
rte dans cette solu- tien : - '131\2 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . Méthode de Marchi. Les pièces sont fixées et m
pour l'étude des dégénérations secondaires récentes dans le système nerveux central. Méthode d'Exner. Des fragments de cerv
l préconise le fixateur suivant : 1504 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . conseille de colorer sur lame. A cet effet, ap
il 90° et passées dans l'eau distillée. De minces tranches de tissu nerveux et les nerfs peuvent être, avant l'inclusion, c
37" dans la solution suivante : 1566 MÉTHODES' D'ÉTUDE DES. CENTRES NERVEUX . 90 centimètres cubes de la solution I, à 10 ce
.. 1567 Liquide d'Angladc : ` , 1568 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . A) Solution saturée il froid de sublimé; les c
ntité de la solution suivante : 1570 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . chlorure d'or il 1 pour 100 dans 10 centimètre
aide de la solution suivante : ici72 2 MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX . 3° On peut, après avoir employé la méthode de
osmique puisse pénétrer dans toute l'épaisseur du nerf. Le « tronc nerveux est placé ensuite, pendant vingt-quatre heures, d
endant quelques secondes avec : 1574 ' MÉTHODES D'ÉTUDE DES CENTRES NERVEUX B) Méthode lente la safranine (Durante). 1° M
rminer indirectement les connexions de certaines régions du système nerveux entre elles. [G. GVILLAWl INDEX ALPHABÉTIQUE
on, 219. Anatomie pathologique. Technique des examens des centres nerveux , 1545. Anconé. Innervation, physiologie, 552.
étiologique, 184. Traite- ment, 187. Appareil digestif. Troubles nerveux , 977. Séméiologie des voies digestives sn- pé
tisme, 972. Onanisme, 975. Im- puissance, 974. oculaire, troubles nerveux , '1.. - Troubles sensilifs, I'15. urinaire, t
rophie musculaire, 707. - cérébrale, vertiges, 170. Arthropathies nerveuses , 931, 952. du poignet, 1026. du cou-de-pied,
s lé- sions du. cerveau, 763. par intoxica- lion aiguë du système nerveux , 764. 1(ibyi-itithiqile, 765. héréditaire, in-
)77. Voy. Nerf. Audition colorée, z, ' Auscultation des centres nerveux , 1118. Auto-accusation (Idées d' -), 241. Aut
es d' -), 241. Automatisme ambulatoire, 192. Autopsie des centres nerveux , 1545. Avellis (Syndrome d' -), 472, 649. Azo
72. Bactériologie du liquide céphalorachi- dien dans les maladies nerveuses , 1152. Barbouillage et gâtisme, 1011. Baresth
men, '118. -corticale; 47, Celloïdine, inclusions, 1551. Cellules nerveuses , coloration au carmin, 1555. coloration électiv
, 594. du larynx, 1157. Centres moteurs bulbaires du larynx, 658. nerveux . Percussion et auscultation, IH8. Technique des
Dyspermatisme, 972. Traitement, 973. ' Dysphonie spaslique, 655. nerveuse chronique, 656. Dyspnée, 940. Dyspneumie, 1
2. Électricité. Application au diagnostic des maladies du système nerveux , 1191. Courants galvaniques, 1191. Courants f
radiques, 1238. Application au trai- tement des maladies du système nerveux . Maladies de l'encéphale et de la moelle, 128
mes satellites, 954. Causes, 93 : i. - Fièvre dans les mala- dies nerveuses , 955, ! IaG.-Irslé7'Iq7cc, inexistence, 958. ty
ce, 958. typhoïde, atrophie musculaire, 725. Fixation des centres nerveux . Liquide de Millier, liquide de Fol, 1350. -For
. Voy. Carmin. Formol comme fixateur, 1351. Formolage des centres nerveux avant l'autopsie, 1545. Foville (Syndrome typ
iques, 258. motrices, 259. Valeur séméiologique, 240. Hématémèses nerveuses , 99). z Hématomyélie, troubles de la sensibilit
corps, 445. - phénomène des orteils, 45). par lésion des centres nerveux chez l'adulte ou le vieillard, 462. Diac.- kh
flexe, 652. Névroses. Spasme de la glotte des nour- rissons. Toux nerveuse . Vertige laryngé. 655. Troubles laryngés dans l
s médicamenteuses, infections, intoxications, maladies du système nerveux . Importance relative des diverses causes, 86, 8
rachnoïdiennes ou épidurales, injections d'alcool dans les troncs nerveux , 422. Radiothérapie, . 1189. Névrite ascendan
47. Nez, maladies, 147. - Troubles de l'odo- rat, 148. - Troubles nerveux consé- cutifs aux maladies du nez, 150. Nissl
rveux consé- cutifs aux maladies du nez, 150. Nissl. Voy. Cellule nerveuse . Nodosités d' Hebenlen. - de Boucharrl" 1025.
triques, 995. - hys- térique de la main, 1028. - du pied, 1046. - nerveux , 919. segiiieit- taine des membres inférieurs,
membres inférieurs, 1046. OEil (Technique de l'examen du système nerveux de 1' -), 2. - Troubles des milieux transparent
adies de l'oreille interne et du nerf acoustique, 132. - Troubles nerveux déterminés par les lésions de l'oreille, 19.- P
140. Complications intracraniennes des otites, 14 1. - Trou- bles nerveux d'origine otique sans lé- sions organiques. Tro
e de la lésion. Paralysie d'un mus- cle, 68. - Paralysie d'un filet nerveux , paralysie d'un tronc nerveux, 69. Paralysie
us- cle, 68. - Paralysie d'un filet nerveux, paralysie d'un tronc nerveux , 69. Paralysie d'origine pédonculo-protubé- r
ompres- sion, tumeurs cérébrales, méningites, maladies du système nerveux , 81. - Infections, intoxications, 82. - Traite-
Paralysies oculaires d'origine -), 70, 75. Percussion des centres nerveux , 1118. Péritoine. Séméiologie, 997. Péritonis
1 ü5. - Aspect radioora- i'iiique dans les différentes affections nerveuses . - Traumatismes de la moelle et du cerveau, 111
e et du rachis, i 171.- Déformations osseuses dans les affections nerveuses , ] )7t.Afïcctions osseuses dystrophiantes, 1 l7
ique. Généralités, 118-4. -- Traitement de diverses af1'ec- tions nerveuses . Syringomyélie, paraplé- gies spasmodiques, -11
s de la sensibilité, 504. - Troubles dans les affections du système nerveux , 0 . - Affections de l'encéphale, 305. - de l
uise, 1105. - cu- tanés, - muqueux, 1105. - viscé- raux, 1 100. - nerveux , 1 i 0 i . - de la syphilis héréditaire, 1107.
cutanés, muqueux, tesliculaires, tut08. - os- seux, articulaires, nerveux . dvstrophi- ques, 1109. - oculaires de l'hyst
101 Ii, 1042. Syphilis, ataxie, 711 1. - Cytodiagnostic dans la - nerveuse , I 158. Cyto- diagnostic dans la-sans accidents
l,- 888. - Traitement électrique, 15 ! 40. Toux gastrique, 996. - nerveuse , 655. Transversaire du cou. Innervation. phy-
x. Syndromes ven- l'ItICUL.IIRFS. Syndrome' inflammatoire, signes nerveux , 1147. - Symptômes toxi-infectieux, 1149. - Mod
vaux français et étrangers touchant, de près ou de loin, au système nerveux et à ses maladies (Anatomie, Histologie. Physio
écemment parus sur une ou plusieurs questions concernant le système nerveux et ses maladies. Ces indications sont méthodiquem
artistique. Elle réunit les mémoires originaux relatifs aux maladies nerveuses ou mentales, ainsi que les travaux ayant trait
e la Salpê- trière s'occupent exclusivement des maladies du système nerveux . Elles se complè- tent l'une par l'autre, la pr
15 (1885) Archives de neurologie [Tome 09, n° 25-27] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
MERIE CHAULES ARCHIVES DE rut NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES i> il n 1. 1 É t. sons 1,1 n [ i
Vol. JX. Janvier 1885. N" 25. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE COMMOTION DE LA MOELLE éPINIèRE 'ETUDE CLINIQ
nt étudié cette question, entre Archives, t. IX. i 2 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . autres Erichsen, Page, se sont élevés avec rai
'étude plus complète de l'anatomie et de la physiologie des centres nerveux a montré des différences notables dans les cond
6. 5 Injuries of the spine and spinal cord, 1883. le - PATHOLOGIE NERVEUSE . parties molles extérieures, par les articulati
lutition est normale, la respiration et la circulation 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . sont régulières. Le malade perd ses matières f
essaie de les soulever. Un peu plus de mobilité dans 8 . PATHOLOGIE NERVEUSE . la jambe gauche que dans la jambe droite ; du
s et très bornés d'extension de l'avant-bras droit. 10 PATHOLOGIE NERVEUSE . Il soulève à une assez grande hauteur le membr
sensation douloureuse; elle n'est pas perçue à la 12 1-) PATHOLOGIE NERVEUSE . jambe droite, elle l'est à la cuisse droite et
usquiame ; la dose est portée à six centi- grammes. 14 PATHOLOGIE NERVEUSE . 123° jour. Disparition delà contracture dans l
tionnée à la région cervicale. A la partie supérieure 16 PATHOLOGIE NERVEUSE . de la région dorsale, la coupe présente une dé
ues-uns on constate une tuméfaction du cylindre-axe. Les cellules nerveuses de la substance grise sont nombreuses, présente
t les mêmes caractères que dans la région cervicale. Les cellules nerveuses sont plus altérées; elles sont rares, déformées;
° Région lombaire. Légère sclérose du cordon latéral ; les cellules nerveuses grosses, nombreuses, sont saines. En résumé, le
la région dorsale. (A suivre.) Archives, t. )X. 2 is PATHOLOGIE NERVEUSE . EXPLICATION DE LA PLANCHE I. FIG. 1. Coupe t
00 diamètres environ (ocul. 2, Nachet. Obj. 3, Verick). a, a, Tubes nerveux d'inégales grosseurs, dont le cylindre-axe est ta
le cylindre-axe est tantôt petit, tantôt comme tuméfié. d, Tubes nerveux vides. b, Cellule de la névroglie, sans noyau;
nce vaguement fibrillaire et pointillée, interposée entre les tubes nerveux (sclérose au début) qui se trouvent ainsi plus él
nts de la lésion du faisceau pyramidal croisé. Fi(;. 4.- Celliles nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en
ace de la cellule qu'un amas de granu- lationsjaunâtres. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE P
nu- lationsjaunâtres. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION MOTRICE AC
ù Bouteille publiait son livre jus- tement apprécié, les affections nerveuses dans lesquelles l'incoordination motrice était
3 Bouteille. Traité de la chorée, iSI8. Avant-propos. 20 CLINIQUE NERVEUSE . 1818, de grands progrès ont été accomplis et l
om de pseudo-claorées ou chorées fausses à différentes affections nerveuses , spasmodiques,convulsives, hystériques, etc., q
anor- male. Paris, 1850. * Sandras. Traité pratique des maladies nerveuses , t. II, p. 3t. Paris, 1851. DE l'incoordinati
dicale de l'Hilel-Dieil, t. II, Se édit., p. 267-268. 22 CLINIQUE NERVEUSE . tout le tic. Ce sont, non seulementun éclat de
pas qu'il existe d'autres documents importants sur 2t. le CLINIQUE NERVEUSE . 013SLIRVITION' I. Première partie : Itard :
présentes de la société. L'explication qu'elle donne - 26 CLINIQUE NERVEUSE . de la préférence que sa langue, dans ses écart
nt encore bien portants. Il est impossible de relever d'antécédents nerveux , syphilitiques ou alcooliques chez les parents
jambes, surtout la droite, se fléchissent et se redres- 28 CLINIQUE NERVEUSE . sent alternativement, le pied droit venant fra
s, mais il est encore écholalique; si on l'appelle dans 30 CLINIQUE NERVEUSE . la rue, il ne manque que rarement de répéter s
le séjour à la campagne, où l'enfant a passé huit mois 32 CLINIQUE NERVEUSE . consécutifs, a paru avoir d'abord un heureux e
ique, comme le bromure de potassium et autres sédatifs du système nerveux ... tout a échoué (23 février 1881.).» C'est à c
l'âge de huit à neuf ans, sans cause appréciable, sont 3t CLINIQUE NERVEUSE . survenus des mouvements involontaires dans les
uqueuse dont il a souffert à l'âge de treize ans et qui 36 CLINIQUE NERVEUSE . a duré environ quinze jours autant qu'il s'en
e ; le père, qui est magistrat, est migraineux ; la mère est un peu nerveuse et très impressionnable, elle a fait une fausse
s et qui sont bien portants. J..., nous dit le père, a toujours été nerveux , c'est un enfant doux ordinairement, mais très
nt parfaitement : il est peu avancé au point de vue des 3S CLINIQUE NERVEUSE . études que ses nombreux séjours à la campagne
t vrai que, pendant quelque temps, nous attribuions à son affection nerveuse le défaut de pronon- ciation qui ne provenait q
as de syphilis ni d'alcoolisme. N'a rien remarqué au point de vue nerveux jusqu'en 1870. Pendant le siège de Paris, une b
paru : le malade n'avait plus qu'un tic, qui consistait 40 CLINIQUE NERVEUSE . dans un clignement d'yeux très fréquent, accom
et forte. Elle n'est pas réglée. Sa mère n'a jamais eu d'accidents nerveux . Son père a un tic convulsif non douloureux de
izarre, presque aliénée, qui vit isolée et est sujette à des crises nerveuses , à de la boulimie et quelquefois à des périodes
de la face, des épaules et du tronc. Mais assez souvent 42 CLINIQUE NERVEUSE . DE L'INCOORDINATION MOTRICE. les secousses con
f une légère excitation initiale, reste sans action sur les centres nerveux et sur le système nerveux sensitif, et qui, en
itiale, reste sans action sur les centres nerveux et sur le système nerveux sensitif, et qui, en abolissant les mouvements
g- menté en ramenant les forces et J'embonpoint. A l'irritabilité nerveuse , si grande habituellement chez ces malades, ont
quatre jours avant le début du trai- tement. La réaction du système nerveux moteur par la recherche galvanique et faradique
et 9, 9867). 2Rosentlial. - Traité clinique des maladies du système nerveux , trad. de Lubanski. Paris, 1878, p. 547. 3 Ku
minutes, fait des allusions à sa profession, 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . aux heures de son travail en disant entre autr
petites convulsions des muscles expirateurs ? REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Sur le phénomène'du genou chez les enfants;
rie de 1 Progrès médical, le 10 juillet 1880. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 59 778, un seul enfant ne présentait pas le ph
(Archives de Neurologie, t. VIII, p. 75.) 60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . moelle, os). Il s'agissait d'un vieillard de s
la dénomination de : Note affé- rente à la pathologie des cellules nerveuses ; c'est un appendice de M. W. à ses recherches
son exa- men. Nulle part, il n'a trouvé d'altérations des cellules nerveuses qui indiquassent un processus inflammatoire act
n- tie, mais elle se trouve au moins comprimée quand les éléments nerveux demeurent conservas. De cette compression et des
alté- 1 Archives de Neurologie, t. V, p. 263. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 61 rations consécutives, notamment des cornes
ations différentes de diverses mala- dies que compliquent des actes nerveux réflexes distincts; 2° Pour diagnostiquer et cl
es supérieurs, d'abord des interosseux, puis 62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pouvant se propager aux muscles de l'avant-bra
port aussi avec le réflexe achillien. D. B. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 63 VIII. Un cas d'affection du trijumeau. (Con
d'éliminer leur nature rhumatismale, sans 64 le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'on s'explique leur relation avec l'affectio
bles et secs) d'un courant induit ne lui permet REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 65 point encore de -donner des moyennes. Toute
n'a rien avoir dans l'espèce. Non plus que leur richesse en filets nerveux , car les plus petites électrodes sont capables'
igne d'un trouble de la Archives, t. IX. S 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . nutrition ? ) : elle la frotle avec une pommad
du rein ; altération du sang, sans oublier les différentes maladies nerveuses qui s'accompagnent de paraplégie. Peut-être M.
trop facilement l'hystérie, cause si fréquente des manifestations nerveuses extraordinaires; quoi qu'il en soit, la conclusio
orsque disparait, dit-il, l'in- fluence de quelques-uns des groupes nerveux les plus élevés, les groupes nerveux immédiatem
ce de quelques-uns des groupes nerveux les plus élevés, les groupes nerveux immédiatement inférieurs, désormais privés de c
re physique, ' il y a perte de fonction de quelques-uns des groupes nerveux les plus élevés, et accroissement d'activité de
e qu'on e-t contraint d'admettre une lésion matérielle des cellules nerveuses , que nous ne connaissons pas encore, mais sur l
que comme le résultat des excitations mal réglées d'une affection nerveuse . D'auho part, il est certain, et l'auteur en cite
délivrer des médicaments à prix réduit. P. K. X. Sur les familles nerveuses ; par P.-J. Atoalus. (Allg. Zeitsch. f. Psych. X
es, en plusieurs cas même élevées; quoique l'instabilité du système nerveux et le manque d'énergie entravent plus ou,moins
econd lieu sur le centre spinal, sans excepter cependant les troncs nerveux ; il doit y avoir aussi une action à part sur le
dité verbale. » M. SCIIUI : LG (d'llleuau). Sur un cas de dyspepsie nerveuse (neuras- thétaie dyspeptique). L'observation co
rt avec une autorité médicale allemande, le diagnostic de dyspepsie nerveuse résultant de neurasthénie. Il s'agit, pense-t-i
du cerveau normal qui décèlent d'une façon très complète les fibres nerveuses à myéline de toutes les couches corticales; 2°
par M. Mendel1 est impuissante à révéler la disparition des fibres nerveuses à myéline, tandis que les dernières recherches de
de I'fril dans leur ! '«/)/)0 ! < t;wc les maladies mentales et nerveuses Après une énumération des anomalies anatomiques
observées surles yeux d'individus atteints d'affections mentales et nerveuses et rattachées aux signes somatiques de la pertu
yogénique, ou d'une maladie foetale (exemples : existence de fibles nerveuses à myélme dans la ré- tine; formes anormales de
affectent avec des maladies psychiques ou des mala- dies du système nerveux central, les unes sont symptomatiques d'un trou
tomatiques d'un trouble mental congénital, d'une lésion des organes nerveux centraux (exemple : idiotie, épilepsie congénia
dant la période embryonnaire, porter sur les parties constitutives, nerveuses ou non, de l'atl et du cerveau, d'où : tantôt u
rvient a : ou uide èl Se l'ellSClânel' sur la faculté lleS OI'an 25 nerveux cutanés, à distinguer ce qui est rugueux de ce qu
de grandes quantités de cellules (globules blancs) entre les fibres nerveuses écartées par elles; ces libres ont plutôt l'air
re de l'organe; en un point, un pont de névroglie porteur de fibres nerveuses est jeté sur cette fente. Autre observation. Ce
vant tout les affections pulmonaires. Parmi les maladies du système nerveux , les médecins de la résion citent les perturbat
à ce moment, les médecins ne se sont aperçus d'aucune perturbation nerveuse ou mentale. Il quitte guéri l'hôpital le 20 aoû
n. M. l ? 1'SF : LFIn. De l'ozone et de son action sur les maladies nerveuses chroniques. Ce ne sont encore que des recherche
é, aucun inconvénient n'est à redouter. L'opium fortifie le système nerveux en tonifiant les vaisseaux ; de là suppression
mme anesthésique, contre l'hyperesthésie psychique, t'hyperesthésie nerveuse , l'excitation nerveuse ; comme tonique et stimu
l'hyperesthésie psychique, t'hyperesthésie nerveuse, l'excitation nerveuse ; comme tonique et stimulant à l'égard du système
ison de la relation intime qui existe entre l'ovaire et les centres nerveux ; et pour l'homme, il assigne comme siège nosofo
qu'elle était mariée, comme avant, elle avait res- senti l'orgasme nerveux précurseur du flux menstruel, mais sans que l'é
és d'his- tologie, à passer en revue les éléments divers du système nerveux , M. Kahler a pensé qu'il serait plus utile, san
connexions des fibres et des cellules, dans l'ensemble des centres nerveux . Ce n'est plus, si l'on veut, de l'histologie fin
grâce au type italique adopté, eu évidence les origines des paires nerveuses qui correspondent aux diverses coupes étudiées.
les ana- lyses micrographiques dans les divers endroits du système nerveux central, et aux divers étages de ces endroits,
tes théories qui ont eu cours sur tel ou tel point de la pathologie nerveuse . , Après quelques notions préliminaires sur la
éliminaires sur la physiologie nor- male et pathologique du système nerveux périphérique ainsi que sur l'étiologie générale
ue ainsi que sur l'étiologie générale et la pathogénie des maladies nerveuses vient un exposé général de la thérapeutique dan
'étude des différentes affections des nerfs périphériques, sections nerveuses , névralgies, paralysies, en y comprenant même l
s montrent pas l'état propre aux muscles isolés, puisque le système nerveux entier prendrait part (volonté, effort), ce pro
sidérer comme propre à un état des muscles mais pas comme réflexe nerveux . ' F. Kaun. VIII. De l'ataxie paralytique du co
vénériens et, en géné- ral, toutes les causes épuisantes du système nerveux sont, pour le Dl Semmola, le pomt de départ de
. A. Fabre voit avant tout dans l'hystérie une maladie du système nerveux de la vie végétative. Sur le tube digestif, l'hys
ur Cuvrcot a commencé les cours de clinique des maladies du système nerveux , le vendredi 14 novembre, à neuf heures et demi
he 16 novembre, ses leçons cli- niques sur les maladies mentales et nerveuses , et les continue tous les dimanches et mercredi
Vol. IX. ' Mars 1885 ? N" 26' ARCHIVES DE NEUROLOGIE - PATHOLOGIE NERVEUSE ? «-COMMOTION DE L1 IIOh : LLL.ÉPINIÈftI ? I -- .
Neurologie, 1. IX, p. l. Archives, t. IX. 10 0 t 16 6 pathologie nerveuse . l'observation clinique établit l'analogie avec
la douleur dans le dos et éprouva les symptômes du choc du système nerveux . Pendant les six premières semaines, il ne put
pas compte de la gravité immédiate des acci- dents. H8 pathologie nerveuse . « Nous sommes peut-être, dit W. Savory', trop
n< ? vol. If, 1882, p. 883. .. - il .1 1 1 ..11 150 pathologie NERVEUSE . prononcer que quelques syllabes qui sortaient,
y. mccl. anil Chir. Soc., vol. 1, p. 39, 1868. .11 152 pathologie nerveuse . ..i : 1l ? u f- meule de foin avait amené un
q palsy. 3 Gur ? c hoshit. Rep., t8ô8. , , , . : 7 154 pathologie nerveuse . la suite d'un coup de poing sur la nuque. Un
200. 2 Journal der praklischen lleilkuntfe, IS44. 156 pathologie nerveuse . Charcot admet les amyotrophies d'origine traum
bre et par l'auto- rité des hommes qui les ont observés. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE P
s qui les ont observés. CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE SUR UNE AFFECTION NERVEUSE CARACTÉRISÉE PAR DE L'INCOORDINATION MOTRICE AC
est mort à soixante-sept ans d'une anévrysme ( ? ), il n'était pas nerveux , c'était un buveur accidentel. De deux oncles p
re est morte à soixante-deux ans hydropique ( ? ), elle n'était pas nerveuse . Elle était de deux ans plus jeune que son mari
pt enfants : 1° une fille morte à trente-deux ans, poitrinaire, non nerveuse ; 2° une fille qui se porte bien, nerveuse, mais
eux ans, poitrinaire, non nerveuse; 2° une fille qui se porte bien, nerveuse , mais sans attaques; 3" un fils marin, V. le 25
et tombe; mais il ne perd jamais connaissance, n'urine 160 CLINIQUE NERVEUSE . jamais ; màisinui arrive ilê'se'mcirdré lü.lâr
es. Archives, t. IX. 1 1 RÉSUMÉ ANALYTIQUE DE NEUF 164 CLINIQUE NERVEUSE . I. Les cas que nous avons observés seraient,
cause véritable, déterminante, là, comme dans toutes les maladies nerveuses ', n'est autre que l'hérédité. « Ces tics sont
ont le sujet de nos neuf observa- tions possédaient les antécédents nerveux suivants : Obs. I. N'ont pu être obtenus. Obs
s. V. Mère aliénée. Obs. VI. Grands-parents migraineux, mère très nerveuse . Obs. VII. Chorée des grands-parents, père très
e très nerveuse. Obs. VII. Chorée des grands-parents, père très nerveux , une .soeur atteinte de la même affec- tion.
ue. (Archives de Neurologie, 1884, janvier et mars.) 166 CLINIQUE NERVEUSE . Obs. VIII. Le père a un tic non douloureux de
? )- Nous voyons donc que, dans cinq observations, cette hérédité nerveuse est des plus manifeste. Nous n'avons rien dit d
aisaient sauter à sept ou huit pieds de la place qu'il 168 CLINIQUE nerveuse . occupait lorsqu'il était debout, ou le faisaie
n sommeil de plomb dont il était très difficile de les 170 CLINIQUE NERVEUSE . tirer. Il est fort probable que l'énorme dépen
générales ne pussent être altérées, mais comme elle 172 -) CLINIQUE NERVEUSE . s'établit peu à peu, progressivement, il s'éta
alie : aucun d'eux non plus n'avait jamais présenté d'acci- dents nerveux convulsifs. Nous verrons que les obser- vations
le diagnostic diffé- rentiel s'en trouvera éclairé. 174 CLINIQUE NERVEUSE . § IL I. Les symptômes que nous avons décrits
n presque irrésistible de répéter un mot, un bout de 176 CLINIQUE NERVEUSE . phrase qui venaient de me frapper davantage. I
inaire; un malade s'approche delui, L. L. 1\.. - 1"2 178 CLINIQUE NERVEUSE . et essaye d'imiter une de ses contorsions les
tar du cook, à bercer dans ses bras un billot de bois. 180 CLINIQUE NERVEUSE . Puis ce matelot jeta son billot sur un tendele
ette coprolalie est éga- lement des plus manifestes. 183 CLINIQUE nerveuse . à son service ; aussitôt, tout en faisant des
ompter le lieutenant de vaisseau, cité par M. Laurent, 184 clinique nerveuse . et deux autres observations, ce qui nous donne
complète, radicale : la maladie sommeille, elle n'est 186 CLINIQUE NERVEUSE . pas disparue. Toujours il reste des secousses
1 V. Archives de Neurologie, juillet 1881, p. 68-75. 188 CLINIQUE NERVEUSE . avaient trait à l'affection que nous décrivion
portés des symptômes très analogues à ceux que nous 190 CLINIQUE NERVEUSE . avons décrits est due à M. O'Brien, un bon obs
très large : « elle englobe toutes les personnes d'une organisation nerveuse particulière, depuis ceux qui, par leur constit
t eu soin d'intituler son travail : « Nouvelle ma- ladie du système nerveux ». Bien que cette observation soit très incompl
pilote) y est-il dit, semblait affecté d'une maladie men- tale ou nerveuse qui l'obligeait à imiter tous les gestes qui ve
ui-ci a soutenu l'identité avec le jumping de Beard. 192 CLINIQUE NERVEUSE . autant de fois qu'on les répétait... 'C'était
ion de bûcheron. N'y aurait-il pas là un de ces exemples d'hérédité nerveuse analogue, par suite des mariages consanguins, à
ons fait de la maladie. L'individu : xcmvta, t. 1\. 13 191 CLINIQUE NERVEUSE . qu'elle atteint n'est pas menacé dans son exis
notre malade a une secousse, il jettera son verre au 196 CLINIQUE NERVEUSE . loin, mais il faut que cette secousse apparais
dans celle-ci, les divers muscles phonateurs ou res- 198 CLINIQUE NERVEUSE . pirateurs peuvent être affectés , et produire
atifs ont été infructueusement tentés; tous les sédatifs du système nerveux ont échoué. Une seule méthode a paru amender le
é. Une seule méthode a paru amender les symptômes et 200 CLINIQUE NERVEUSE . amener ces périodes de rémission si favorables
faisait quelques excès de boisson, n'a eu ni migraines, ni maladies nerveuses ; mort à la suite d'un coup de pied dans le ven
une hernie étranglée. Mère, bien portante sobre, ni migraineuse, ni nerveuse . Deux frères, l'un mort jeune, on ne sait de qu
es. ' Jusqu'en décembre 4S9, llul... ne présenta aucune affection nerveuse . A cette époque, on constata les accidents suivan
amp;PILEPSII ? 2)3 mauvais traitements, on ne croit pas qu'elle fut nerveuse , elle était douce, « c'était une excellente cré
l a deux fils chétifs, et une fille qui n'auraient pas d'affections nerveuses ); deux tantes maternelles s'adonnent à des pratiq
est bien portante, n'est sujette ni aux migraines ni aux attaques nerveuses , elle est peu impressionnable, a eu beaucoup d'en
4° une fille, âgée de 9 ans; elle est intelligente, gentille, très nerveuse ; a eu des convulsions dans le cours d'une fièvr
de cette hypo- thèse. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX .1 L'ÉTAT PHYSIOLOGIQUE El" l'ATIOLOGIQUI : .
straire du groupe des névroses, c'est-à-dire du groupe des maladies nerveuses sine un assez grand nombre de maladies, ces rec
l'étude de la nutrition du système ner- DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 233 veux devait s'imposer. Hais pour pouvoir t
on chez l'homme ma- lade, il faut connaître la nutrition du système nerveux à l'état physiologique. Ce n'est qu'en comparan
ications. Or, nos connaissances relatives à la nutrition du tissu nerveux chez l'homme sain ne sont pas plus avancées que
Par suite tout travail ayant pour but de rechercher si les maladies nerveuses modifient les échanges qui se passent au sein d
nerveuses modifient les échanges qui se passent au sein du système nerveux doit être précédé d'un travail ayant pour but d
ans l'état actuel de la science, l'étude de la nutrition du système nerveux ne peut porter que sur certains points de cette
sommes loin encore do connaître la constitution chimique du système nerveux . « Quoique le cerveau, dit Gorup ]3esziiiez 1,
l'économie. » Cependant, si la constitution chimique du sys- tème nerveux nous échappe encore à beaucoup d'égards, il est
parmi elles, la plus importante est l'acide phosphorique : le tissu nerveux est, en effet, de tous les tissus mous de l'éco-
chimiques suffisantes, des recherches sur la nutrition du sys- tème nerveux ne peuvent porter actuellement sur l'ensemble d
e rôle de l'acide phosphorique comme élément constitutif du tissu nerveux , arriver à savoir si cet acide est lié à la nutri
savoir si cette substance joue un rôle dans la nutrition du système nerveux , et si les maladies de ce sys- tème modifient c
cide pliosphorique non 0-,)(lé a pu èlre DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 2 : ! 5 relativement à l'état de repos ou à l'
r à savoir si l'acide phosphorique se lie à la nutrition du système nerveux et si la maladie modifie cette nu- trition, nou
posée, étendre nos recherches à d'autres systèmes que le sys- tème nerveux : au système musculaire et à la nutrition géné-
s la présente revue nous voudrions, ne nous occupant que du système nerveux mettre en relief les résultats auxquels nous so
pltoticlue non oxldù dans ses rapports avec la nutrition du système nerveux n'a pas encore été laite. Dans certains états n
on du système nerveux n'a pas encore été laite. Dans certains états nerveux ou à la suite de l'administration de médicaments
nts faisant sentir plus particulièrement leur action sur le système nerveux , Zuelzer et Lépine ont bien vu augmenter le chi
zote; mais celte augmentation provient-elle dans ces cas du système nerveux , c'est ce qu'il est encore impossible de dire,
e l'excrétion du phosphore incomplètement oxydé dans certains états nerveux ne. suppose pas néces- sairement un grand accro
pas néces- sairement un grand accroissement de la de la substance nerveuse ; il se peut que la désassimilation des substances
minées dans divers tissus de l'organisme soit accrue par une action nerveuse , comme l'est celle de la matière glncoèiie, consé
ui suit on deux parties consacrées, l'une à la nutrition du système nerveux à l'état physiologique; l'autre à la nutrition
n mentale, l'épilepsie et l'hystérie. 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A L'ÉTAT PHYSIOLOGIQUE. Historique. Les rec
E. Historique. Les recherches relatives à la nutrition du système nerveux par l'étude de i'élimination de l'acide phospho
spho- rique rendu par les urines, ils en concluent que le système nerveux emploie ou non de l'acide phosphorique pour pro-
de déchet, comme le résultat de la désassimilation de la substance nerveuse . 1 Mosler. l3eilrtie zur lCezzzzln7s.s Urinabin
e cet acide en excès provient de la désassimilation de la substance nerveuse . L'a- cide phosphorique, en effet, n'est pas pr
'a- cide phosphorique, en effet, n'est pas propre au seul système nerveux ; il entre dans la constitution de tous nos tissu
s déjà dit, n'entre pas seu- lement dans la constitution du système nerveux , il fait partie intégrante de tous les tissus d
or Anttl. lrl ? iul., clc., 1571, tr. 7. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 2H vants d'acide phosphorique : 2 gr. 34, 2 gr
e phosphorique joue réellement un rôle dans la nutrition du système nerveux . Nous ne nous étendrons pas davantage sur ces d
régime : Alairet, loco citntu, p. 60. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 243 Tableau I. Influence du travail intellectu
de l'acide phosphorique et de l'azote. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 245 Poussant enfin nos recherches plus loin no
phorique uni aux terres éliminé par les DE I.A NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 2 le7 urines n'est pas augmenté'. Par conséque
istent entre l'acide phospho- rique et le fonctionnement du système nerveux , on arrive aux résultats suivants : 1° Le tra
de l'acide phosphorique et de l'uzole. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 249 Interprétation des modifications produites
s nous avons à les interpréter et à rechercher quel rôle le système nerveux joue dans leur production. Il est une théorie
les mêmes proportions que l'azote. Seule l'intervention du système nerveux modifierait ce rapport; la mise en activité de
combien il est facile de sa- voir si, dans un cas donné, le système nerveux intervient ou non. On n'a qu'à étudier comparat
l'élimination de l'acide phosphorique et de l'azote, si le système nerveux intervient dans la production de tel ou tel phé
de Virchow. 1876, p. 66. 350 REVUE CRI 1"IQUK. NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . D'abord, quand on étudie de près le travail de
rtion aussi élevée. En second lieu, lamise en activité du système nerveux n'est pas le seul élément qui puisse faire vari
augmentation ne peut pas être attribuée à l'intervention du système nerveux . Le muscle et le nerf traduisent leur action su
modifie pas ou tend à diminuer les phosphates ter- reux, le système nerveux , au contraire, diminue l'élimination des phosph
l.-I,o.ocilnto, passim. 2 lrl.. p. 67 et seq. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 351 La théorie de Zuelzer ne peut donc nous do
us l'influence du travail, tiennent à une autre cause qu'au système nerveux , on ne peut les rattacher qu'au reten- tissemen
s devrons chercher à distinguer cette influence de celle du système nerveux . Avant toutes recherches ayant pour but de déte
erminer s'il existe quelques rapports entre la nutrition du système nerveux et les modifications que nous avons constatées
avail déjà cité (page lt3 à 127). (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIV. Note sur la DISPaRITI0 : 1 du phénomène du
gts ans aboutit au dénombrement que voici : 252 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 253 En faisant
que voici : 252 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 253 En faisant la part de l'état de l'appareil
squelles elle était seule. ment probable. 234 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . S) Les causes occasionnelles de tabes manquaie
res musculaires, une dégénérescence granulo-graisseuse des branches nerveuses intra- musculaires, dégénérescence qui occupe é
VI, p. 403, et Progrès médical, 1879, no 10. REVUE LE PATHOLOGIE NERVEUSE . 257 façon trouvé ce qui suit : Chez le lapin l
bi-jumeau antérieur est encore obscur. La disparition des cellules nerveuses de ces régions infra-corticales entraîne un ané
ives de Neurologie. Archives, t. IX. 17 î 258 REVUE LE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXIV. Un cas d'arrêt de développement dans la
écroscopique démontre qu'il s'agit d'une ré- duction delà substance nerveuse cérébrale, surtout au niveau de la troisième fr
Paris, 1880, i Voy. Ai-chives f" A'euro'ogie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 259 ch. VI, p. 83 1.) L'auteur a aussi inventé
néto-électrique à rotation, s'addi- tionnent et placent les organes nerveux centraux dans un état d'irritation croissante.
réflexes ne sont dégagés que par des heurts répétés sur les cedtres nerveux » rien ne s'oppose à ce qu'on interprète le phén
s ner- veuses, de Berlin), t. IV, p. 247. 260 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tance blanche, surtout dans l'hémisphère céréb
issance. Ces particularités se rencontrent encore dans les maladies nerveuses et cérébrales d'un autre ordre, voire dans le d
générescence, 59 souffraient de troubles dans le domaine du système nerveux , psychoses ou autres accidents, dont M. Knecht
L dans les cicatrices, et les autres modes d'irritation du système nerveux pétipltériquu après lésion cephatique. Les prem
- tinuité temporelle et intime entre la psychose et les altérations nerveuses et psycho-cérébrales survenues depuis le trauma
e l'encéphale et dans la répar- tition du sang au sein de ce centre nerveux . P. K. XXIV. Inversion du sens génital; par Tar
erfs a joui d'une grande vogue dans la thérapeu- tique des maladies nerveuses . Il faut reconnaître qu'elle n'a pas produit le
ssible, des observations sur la névralgie traitée par les tractions nerveuses , et nous le terminerons par un exposé de celles
es atteintes de névralgies de l'extrémité inférieure; les tractions nerveuses amenèrent un amendement. Andrews et Farrer' (Ch
. Pooleye (1880) rapporte quarante quatre observations de tractions nerveuses pratiquées dans diverses névralgies, principale
clinique du professeur Lussenbauer, toute une série de tractions nerveuses , dont trois du sciatique, pour une névrite asce
ment momentané. En somme, résultat nul. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE COMMOTION DE LA MOELLE ÉPliNIÈRE3 ETUDE CLINI
tes. 3 Archives de Neurologie, t. IX, p. 1 et 145. 308 PATHOLOGIE NERVEUSE . trent qu'elle provoque surtout des phénomènes
ilité électrique est abolie. i Loc. cit., p. 90. 310 PATHOLOGIE NERVEUSE . D'après ce que nous avons dit sur les phénomèn
e tableau symptomatique se modifie com- plètement. 312 PATHOLOGIE NERVEUSE . Diagnostic. Le diagnostic est-il toujours poss
intermittente.Il n'existe dans sa famille aucune maladie du système nerveux . 11 présente les attributs du lymphatisme. A
n Journal of the me- diculsciences, octobre 1864. 314' pathologie nerveuse . de dix-sept ans et demi, il accusa des douleur
la sclérose des cordons laté- raux et la dégenération des cellules nerveuses . Celles qu'on pourrait rattacher à la première
uement la fréquence. Il croit, dans des cas de cette 316 PATHOLOGIE NERVEUSE . nature, à l'existence d'épanchements sanguins
ssi bien les éléments moteurs que les sensitifs, et, 318 PATHOLOGIE NERVEUSE . DE LA MOELLE ÉPINIÈRE. parmi ceux-ci également
a une physionomie régulière, agréable, n'a jamais eu aucun accident nerveux ; elle n'a jamais eu de convulsions dans l'enfan
nt. Une soetii- est sujette à des douleurs d'estomac sans accidents nerveux . Elle a deux filles : l'une d'elles a eu des co
quinze ans, bien portante, intelligente; pas de convulsions, assez nerveuse . Notre malade. A la conception, rien de particu
deux tronçons ne communiquant que par un pont étroit de substance nerveuse ; l'atrophie de la capsule interne, de l'avant-
té mentale ; épilcpsic idiopathiquè. Père alcoolique. Mère : crises nerveuses en 4883. - Grand-père maternel alcoolique, mort
devoir le rapporter aux changements qui surviennent dans le système nerveux central. Effectivement, des recherches expérime
tigations et les recherches sus-mentionnées prouvent que le système nerveux central peut exercer une influence notable sur
ouble thermique de cette nature dépend de modifications des centres nerveux tellement graves qu'elles sont incompatibles av
tte dernière assertion. REVUE CRITIQUE DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A l'état physiologique LT pathologique3. Par
Falculté de médecine de Montpellier II. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX A L'ETAT PATHOLOGIQUE Nos recherches sur la n
A L'ETAT PATHOLOGIQUE Nos recherches sur la nutrition du système nerveux à l'état pathologique ont porté sur trois group
, 1871, p. 1.) 3 Voy. t. IX, p. 232. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 361 tionnelles de ce système : aliénation ment
que peut produire l'aliénation mentale sur la nutrition du système nerveux par l'étude de l'élimination de l'acide phospho
du rôle que joue cette substance dans la constitution du système nerveux . Elles se résument, à notre connaissance du moins
pensent que cette augmentation est un indice de la dépense d'influx nerveux ; ceux qui ne constatent pas cette augmentation
mentale est susceptible de faire subir à la nu- trition du système nerveux . Nous n'entrerons pas ici dans la critique des
osphorique, si l'aliénation mentale modifie la nutrition du système nerveux , s'impose par la divergence des résultats qu'on
tal, conclure que cet acide se lie ou non à la nutrition du système nerveux et que telle ou telle maladie modifie ou no mod
e point de vue : 10 constatation des mo- DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 363 difications que la folie imprime à l'élimi
t remplies, voyons ce qu'est chez un in- DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 365 dividu sain l'élimination de l'acide phosp
ivant ci l'asile et à l'état de repos 1. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 367 phosphorique par vingt-quatre heures peut,
ications proviennent des échanges qui se passent au sein du système nerveux ? Nous avons déjà vu, en effet, à propos du tra
de tous les tissus mous de l'économie, ce tissu est, après le tissu nerveux , le plus riche en acide phosphorique. Par suite,
ification et sa- voir si, quand le système musculaire et le système nerveux agissent simultanément, on ne peut pas faire la
s les modifications qu'on cons- tate. DE LA. NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 369 , Travail musculaire et acide phosphorique
cide phosphorique uni aux alcalis, 1,29. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 371 5o Pendant une seconde période d'agitation
ur les phosphates neutres et alcalins. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 373 Telles sont les données qui se dégagent de
mente les échanges nutritifs qui se passent au sein de la substance nerveuse . D'où vient maintenant cette augmentation de l'
e pas aux échanges nutritifs qui se passent au sein de la substance nerveuse . En effet, elle n'existe plus dans l'état de dé
mentation des phosphates terreux. C'est donc en dehors du système nerveux qu'il faut chercher son explication. Or, l'agi-
t l'élimination de l'azote et de l'acide DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 37" phosphorique uni aux alcalis, il est natur
réelle influence sur les échanges qui se passent au sein du système nerveux , influence qui semble se poursuivre encore pend
difie LES échanges NUTRITIFS QUI SE passent au SEIN DE la substance nerveuse ; ELLE LES augmente ; 3° la manie retentit SUR
880 et aux mois de mars et avril 1881. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 379 Tableau IX. 380 REVUE CRITIQUE. avec c
d en moyenne par vingt-quatre heures : DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 381 Azote, 19,33 ; acide phosphorique total, 1
qui existent entre ces su6s- tances. · DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 383 Idiotie et démence. Nous serons bref sur
dans ces maladies, les échanges qui se passent au sein du système nerveux sont ralentis, nous ne pouvons cependant établir
le modifie les échanges nutritifs qui se passent au sein du système nerveux . EPILEPSIE Historique. Les recherches relat
e, .travail con- sacré à des recherches sur les maladies du système nerveux , Lépine et Jacquin étudient non seulement l'éli
hir., juin, septembre et décembre 1879.) DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 385 vingt-quatre heures nous permettant une ét
ès, on voit qu'il ne peut en être ainsi. DE LA NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 389 D'abord l'acide phosphorique uni aux terre
nutrition générale. Et comme, d'une part, l'intervention du système nerveux ne peut être mise en doute dans les attaques d'
partie tout au moins, à une suractivité de la nutrition du système nerveux les phosphates terreux éli- minés en plus qu'à
et de l'état de mal épileptique, c'est ailleurs que dans le système nerveux qu'il faut rechercher son explication. Or, le
mentent celle élimination; 390 REVUE CRITIQUE. NUTRITION DU SYSTÈME NERVEUX . 2° Les attaques d'épilepsie suractivent les éc
ma- niaque, on arrive à faire jouer un rôle important au système nerveux et au système musculaire dans leur production.
que; ils suractivent les échanges qui se passent au sein du système nerveux . Quant à l'hystérie, nous rappellerons seulemen
l'effet de savoir si cette maladie modifie la nutrition du système nerveux . Ces expériences encore trop peu nombreuses et
. Dans cette revue consacrée à l'étude de la nutrition du système nerveux à l'état physiologique et pathologique, nous av
s suivants : 1° Il est possible de pénétrer la nutrition du système nerveux par l'étude de l'élimination de l'acide phospho
acide phosphorique se lie à lanutrition d'autrestissus que le tissu nerveux , il se lie intimement à la nutrition de ce dern
3° L'activité cérébrale et les maladies fonctionnelles du système nerveux modifient la nutrition de ce système ; 4° L'act
ons dans les échanges nu- tritifs qui se passent au sein du système nerveux sous l'in- fluence des maladies fonctionnelles
es, perception et hallucination, emploient le même ordre d'éléments nerveux . En d'autres termes, l'hallucination se passera
f à l'idiotie, et de préférence aux lésions anatomiques des centres nerveux dans l'idiotie. Pria; Moreau de Tours. Ce prix,
f. Psych., XLI, 3.) P. Kéraval. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE BERLIN Séance du 10 décembre t883 '. Prési
ment, permettent d'exclure l'idée d'une lésion organique du système nerveux et de se rallier à l'opinion d'une névrose en r
vingt-six cas ont élé rassemblés par lui à la clinique des maladies nerveuses de la Charité de Berlin (56 h., 30 f.). Dans 51
ns un exemple de traumatisme pathogé- nétique, la lésion du système nerveux se manifesta essentielle- ment sous la forme de
5 allèrent plus tard se faire traiter dans le service des maladies nerveuses de la Charité des Berlin, mais aucune n'avait de
s (avortements répétés, exostose du tibia chez un cocher, surdité nerveuse subite chez une soeur de neuf ans), 9 avaient pro
rose étendue de l'écorce grise, étiolement, atrophie des cellules nerveuses ganglionnaires. Cette étude anatomo-pathologique
ci les procédés gymnastiques applicables au traitement des maladies nerveuses telles que l'idiotie et l'imbécillité, la chorée,
if à l'idiotie et de préférence aux lésions anatomiques des centres nerveux dans l'idiotie. Prix Esquirol. Ce prix de la va
de médecine de France, sur une question de pathologie mentale et nerveuse . Les mémoires imprimés et les thèses devront avoi
hérédité naturelle dans les états de santé et de maladie du système nerveux (2 vol. in-8°, Paris, 1847-1850). Cet ouvrage,
r Allen Sturge, connu par ses intéressants travaux sur les maladies nerveuses . L'an dernier, elle a publié un opuscule sur l'
animal, étude critique et expérimentale sur l'hypnotisme ou sommeil nerveux , provoqué chez les sujets sains , léthargie, ca
le (un cas d'atrophie uni- latérale), par Bernhardt, 65. Familles nerveuses , par Moebius 78. Galvanomètre vertical absolu
'Arc, par Ireland, 72. Hiver (stations d'), pour les ma- ladies nerveuses ), 115. Hydrothérapie chez les aliénés, 114.
oz les aliénés pendant l'abstinence), 106. Nutrition du système nerveux à l'état normal et n l'état pathologi- que, p
dique de z yar laebius,105. (anomalies ciel ),dans les mala- dies nerveuses et mentales. Ophthalmologique (contribution au
-spinale, par AI- tbaus, G4. 64. Syriti,oiilyélie, 428. Système nerveux central, par Kah- ler (An. Kéruval), 13. Tabe
0 diamètres environ (ocul. 2, Nacliet. Obj. 3, Verick). a, a, Tubes nerveux d'inégales grosseurs, dont le cylindre-axe est ta
e cylindre-axe est tantôt petit, tantôt comme tuméfié. , d, Tubes nerveux vides. b, Cellule de la névroglie, sans noyau,
nce vaguement fibrillaire et pointillés, interposée entre les tubes nerveux (sclérose au début) qui se trouvent ainsi plus él
ents de la lésion du faisceau pyramidal croisé. FtG. 4.- Cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise en
16 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 09, n° 49-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ELA1GNE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOH
son mauvais caractère, de son amour de changement et de ses crises nerveuses , Cing... sera tout d'abord un vagabond et un me
ar une pneumonie; il n'y avait aucune trace de maladie mentale ou nerveuse de son côté. Devenu orphelin à dix ans, Cing...
e le tromper plus facilement. Je lui disais que j'avais des spasmes nerveux et il me donnait du bromure que je ne prenais p
i- leptique de Liège) qui donnait certains symptômes des maladies nerveuses , notamment de l'épilepsie et de l'hystérie. Je m'
ain et me raidissant il seule fin de faire croire à une contraction nerveuse , jetant l'estomac en avant, retenant ma respirati
nément chez un sujet dont la mobilité de caractère et les troubles nerveux purement subjectifs en faisaient d'ores et déjà
iniquement on constatera de la paralysie. Cette étude de pathologie nerveuse nous amène en somme à l'étude physiologique des
voient plus dans la substance blanche sous-corticale, les cellules nerveuses ne présentent que de légères altérations. Dans
rne ou externe : alcoo- lisme, infections, auto-infections, le choc nerveux , la préoccupa- tion de l'opération, aient, suiv
orte (abstraction faite des interventions por- tant sur les centres nerveux et sur le corps thyroïde), elles n'ont qu'une a
tadine avec tous ses éléments pernicieux au point de vue du système nerveux ; il y existe plusieurs villes maritimes avec le
lus lente, la durée plus prolongée. P. Keraval. VII. Des troubles nerveux et psychiques chez les travailleurs du caoutcho
produits par le poison, ils se confondent souvent avec les troubles nerveux (voyez l'état neurasthénique et hypochondriaque
de rattacher avec précision, aux lésions sy- philitiques du système nerveux , celles de la paralysie générale ! 7° La progre
et la période de démence. Pendant la période prodromique le système nerveux central du prévenu étant déjà dans des conditio
a lésion thyroïdienne est primi- tive, il en est d'autres d'origine nerveuse , ou cette lésion est se- condaire et relate un
ur ordinaire et n'a rien de pathologique, le second est un accident nerveux , équivalent expérimental des atta- ques spontan
ité du travail pour l'entretien de la vie et de la santé du système nerveux ; mais il ajoute que si un REVUE DE THÉRAPEUTIQU
ns le traitement de diverses affections névropathiques, d'accidents nerveux tels que névralgies, crampes, douleurs indéter-
jà préformées antérieurement dans les centres inférieurs du système nerveux . 11 en résulte qu'il suffit d'intro- duire l'id
l'organisme, d'après la 'suggestion qui lui est adressée, sa force nerveuse préalablement accumulée sur l'idée de dormir. Ain
ve sur les tissus; on comprend de même que, plus il y aura de force nerveuse immobilisée sur l'idée de dormir et plus les ef
rand du Saulle); 2° les phobies occasion- nelles survenant chez des nerveux non dégénérés à l'occasion d'un n événement ins
iculièrement utile : évidemment dans les états moi bides du système nerveux qui intéressent plus spécialement les condition
utile. Dan divers états moraux, accompagnés ou non de symptô- mes nerveux , par exemple lorsque le malade a perdu son indivi
natomie et la physiologie de la neurone, son importance comme unité nerveuse , sa substitution à l'espèce de congloméré cellu
révolutionné la conception et le traitement des maladies du système nerveux , et surtout de l'ataxie locomotrice, type des m
n disant que la vitalité de REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 77 l'appareil nerveux est abaissée, sous une influence héréditaire ou
t précis de rétablir la [onction métabolique normale des cel- lules nerveuses ou neurones. R. de \luscnAVr.-CLar. XXII. La sy
avait déjà montré l'influence du poison adissonien sur les centres nerveux et produit des crises convulsives avec le suc d
ez et de la bouche sans coprolalie, le troisième pour un bégaiement nerveux ou labio- phobie. Ce dernier malade, encore en
acilement hypnotisables; la suggestion les guérit de leurs troubles nerveux , et, en outre, les rend plus dociles, plus trav
servations de délinquants cotés comme lymphatiques, 119 cotés comme nerveux , 20 comme bilieux, 200 comme lymphatiques sangu
lymphatiques sanguins, 171 comme lymphatiques ner- veux, 200 comme nerveux sanguins. Et voici quelques-unes des constatati
loin 90 BIBLIOGRAPHIE. en arrière, les derniers, les lymphatiques nerveux . Cela est-il bien significatif ? N'est-ce pas u
les attentats sans violence contre les propriétés, les lymphatiques nerveux , l'emportent sur les sanguins, mais de peu. Pou
es d'ivresse, ce seraient les lympha- tiques purs. Les lymphatiques nerveux y seraient les moins enclins mais on ne voit gu
les moins délictueux, les plus voleurs, les plus sou- mis, que les nerveux sont les plus violents, les plus portés aux att
l'on administre à un lapin une dose massive de poison, les éléments nerveux sont sidérés et tous les organes s'arrêtent. Dans
Vol. IX. Février 1900. N° 50 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE . Des troubles psychiques dans la chorée dégén
, le 4 octobre 1899. Archives, 21 série, t. IX. 7 98 PATHOLOGIE NERVEUSE . similaires qui appartiennent aux formes de tra
ntières de choréiques, chez lesquels s'ajoutent toujours un élément nerveux . Lorsqu'une génération est épargnée, la chorée
Chorée DÉGÉN8f\ATIVE (DE HUNTINGTON n Famille B... 100 PATHOLOGIE NERVEUSE . Alfred B... est mort à cinquante ans, après av
tés, causées par des affections organiques congénitales des centres nerveux , idiotie, paralysie, épilepsie, hémi- plégie cé
bas âge lors de la mort de son père. il fut toujours chétif et très nerveux . Il marcha assez tard et tombait souvent; il a
les clients ou couper les cheveux. Il dut abandonner 102 PATHOLOGIE NERVEUSE . complètement le rasoir et les ciseaux à l'âge
cette époque il eut pendant six mois des crises singulières de toux nerveuse qui se répétaient périodiquement tous les soirs
sans qu'on puisse bien en préciser la date. Il avait des mouvements nerveux , faisait des grimaces et devenait de plus en pl
s dernières semaines jusqu'à la veille de la mort. 104 PATHOLOGIE NERVEUSE . L'écriture devenait de plus en plus difficile
, très exigeant et capricieux. Il faisait Fin. 3 106 1 PATHOLOGIE NERVEUSE . des scènes de violences pour un rien et sa fem
uelles. En tout cas il forme, à notre avis, le ') 08 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE . trait essentiel et fondamental de l'état psych
evues critiques sur la chorée héréditaire parurent 110 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . cette même année '1888, en Angleterre et en It
u'il fit à la clinique psychiatrique de Bâle et 1 il-) 2 PATHOLOGIE NERVEUSE . dans laquelle il n'est pas question d'idées de
mpoisonnant avec de Archives, 2' série, t. IX, 8 114 r PATHOLOGIE NERVEUSE . l'arsenic en compagnie d'une autre femme toute
. Greppin, tout en constatant la disparition de'nombreuses cellules nerveuses et la réduction des fibres tangentielles, a fai
, a fait remarquer cependant qu'il n'y avait pas 'l'16 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . trace de prolifération des cellules araignées,
iste entre les deux maladies au point de vue étiolo- 118 PATHOLOGIE NERVEUSE . gique. La paralysie générale, en effet, est un
a naissance, mais bien d'une dégénérescence congénitale des centres nerveux . Il ne convient donc pas de la mettre en parall
occipital antérieur (Wernicke) semble continuer la 120 . PATHOLOGIE NERVEUSE . scissure perpendiculaire externe, ou segment e
reconnaître le stigmate anatomique de la dégénérescence des centres nerveux qui fournirait l'explica- tion du caractère ess
oupes transverses de corps d'embryon on voit les paities du système nerveux , dont les cellules sont déjà pourvues de tigioï
des diverses colorabilités, densités, granulifications des cellules nerveuses des ganglions spinaux, purement et simplement.
mptômes. Conclusions : 1° La multiplication considérable des fibres nerveuses les plus fines dans les parties scléreuses des
le produit d'une dégénérescence ou d'une régénérescence des fibres nerveuses . - Dégénérescence, disent les uns, car les gaines
sclérose, il y a toujours tuméfaction d'un certain nombre de fibres nerveuses et par suite une compression qui réduit les ner
s, et l'on n'en trouve point. En un mot, le grand nombre des fibres nerveuses fines plaide en faveur de leur nature ; ce sont
ce sont des éléments ner- veux de néoformation et non des éléments nerveux rapetissés anciens. La dissociation montre que
air halo, qui trahissent, en certains endroits, la coupe des fibres nerveuses à myéline fines. Le contour de la gaine de myél
lifération de névroglie, il appert que les altérations des éléments nerveux sont primitives et que celles du tissu intersti
parées les unes des autres par le tissu conjonctif multiplié (tronc nerveux des bras, et minuscules destinés aux muscles) ;
ressante. P. Keraval. Y1L Contribution à la coloration des cellules nerveuses ; par F. LuIT11LEU et J. SonGo. (Neurolog. Ceizi
Keraval. VIII. Contribution au durcissement « in situ » du système nerveux central; par H. PFISTER. (Neurolog. Centralbl.,
nd groupe dépend, lui, de la place occupée par la lésion du système nerveux central ; il constitue les accidents types de la
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 149 XI. De la structure des cellules nerveuses des ganglions spinaux; par E. Heimann. (Neurolo
d'accord avec Lenhossek sur la structure fibrillaire de la cellule nerveuse . P. RERA V AL. XII. Contribution au dosage du c
évidemment de dégénérescences secondaires par atrophie des cellules nerveuses correspondant aux systèmes atteints. C'est à re
e quelques pas ça et là. Homme vigoureux de quarante- neuf ans, non nerveux . Dans le cas de M. Good, c'est une infir- mière
massage, à l'électricité. P. KERAVAL. XX. Altérations du système nerveux consécutives à l'arrache- ment des nerfs ; quel
hénomènes succèdent à la résection des prolon- gements des cellules nerveuses : 1° une phase de réaction caracté- risée par l
t-être bien due à la rétraction du réseau fibrillaire de la cellule nerveuse . Telle est la phase 3, la phase de dégénérescence
qui, d'après Zulzer, indique l'énergie de décom- position du tissu nerveux (Bechterew). Est aussi augmenté le rap- port de
ue l'aboutissement de cette irritation chronique soit une explosion nerveuse analogue à la décharge de la bou- teille de Ley
thésiées, ce qui est un point capital. La physiologie de la cellule nerveuse exige en effet que, tout au moins dans un proce
le moins la première manifestation ; l'hypéresthésie de la cellule nerveuse peut d'ailleurs être obtenue par bien d'autres mo
R. DE Musgrave-Clay. XXVIII. L'influence du climat sur les maladies nerveuses ; par Sanger 13non. (I'Ite.7Vciv-l"oi,k Medical
travail sont les suivants : Reaucoup de personnes dont l'équilibre nerveux est instable, quelle que soit l'origine de cett
le que soit l'origine de cette instabilité, présentent des troubles nerveux très accusés lorsqu'elles passent d'une altitude
THÉRAPEUTIQUE. '163 Le climat le plus propre à rétablir un système nerveux débilité est un climat sec, froid, ensoleillé,
ficient d'un climat en bénéficient par l'intermédiaire du sys- tème nerveux . L'air de la mer aggrave certaines formes de tr
tème nerveux. L'air de la mer aggrave certaines formes de troubles nerveux fonctionnels, mais beaucoup moins souvent que l
occique exerce une influence nette- ment stimulante sur les centres nerveux dans le coma méningi- tique, mais les mêmes eff
gnostic était à faire entre l'épi- lepsie et la syphilis du système nerveux central; le retour nocturne des paroxysmes mili
ttra peut-être de décrire en pathologie mentale comme en pathologie nerveuse des types morbides intéressants. Jusqu'ici il n
naisons de troubles mentaux (démence en particulier) et de maladies nerveuses familiales. Il y aurait un certain intérêt, mêm
. Elle était aussi fréquente chez les indi- vidus dont cet appareil nerveux n'avait rien perdu de son poids physiologique q
ec parois, comme dans la forme précé- dente, disloque tout le tissu nerveux , et le transforme en une série de petits tronço
e sur le névraxe et qu'elle peut causer la défaillance du système nerveux central : en conséquence, les psychoses dont il s
ette habitude sans grande difficulté. Du même coup, les acci- dents nerveux furent dissipés. Il est curieux de noter que le c
êtée. (Bonhomme Normand, janvier.) BIBLIOGRAPHIE. IL Le système nerveux central. Structure et fonctions. Histoire cri-
sHautes Etudes, à la Sorbonne, vient depublierunvolumesurle système nerveux central qui prendra rang parmi les plus grands
mporaines, M. J. Soury étudie les fonctions conductrices du système nerveux central, les voies sensitives et motrices, les vo
elles sont donc causées par des altérations de nutri- tion du tissu nerveux . Ce ne sont pas, bien entendu, des névroses sin
moment où Golgi institua sa méthode, les actes réflexes du système nerveux étaient expliqués parles anastomoses des prolon-
hèse et Koelliker combattit les opinions de Golgi sur la nature non nerveuse des prolongements protoplas- miques. Forel décl
ance n'était pas nécessaire pour expliquer la propagation de l'onde nerveuse et il inaugura, avec His, la doctrine des neuro
re des prolongements protoplasmiques et cylindraxiles de la cellule nerveuse . La coloration de Nissl mit en évidence les blo
es du cytoplasma. Flemming et ' Cajal découvrirent que les courants nerveux suivent dans la cel- lule et ses prolongements
ileer,croient àl'unité struc- turale et fonctionnelle de la cellule nerveuse dans les différents -territoires, et expliquent
réfute l'hypothèse de Mathias Duval sur l'amiboisme des cellules - nerveuses , mais il admet la contractilité des ceilules de n
c Cajal l'auteur de la loi de polarisa- tion dynamique des éléments nerveux . M. Soury présente enfin les objections de von
r Vol. IX. Mars 1900. ' N° 51. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . Polyurie et Pollakiurie hystériques ; Par Je
ervations plus ou moins probantes. Depuis cette époque, la polyurie nerveuse a été étudiée en 1891, par MM. Debove, Mathieu,
lyurie simple, essentielle, transitoire, trau- matique, alcoolique, nerveuse , héréditaire, des dégénérés, émotive, hystériqu
ront servir, pour leur Archives, 2* série, t. IX. 13 194 CLINIQUE NERVEUSE . petite part, à la solution du problème. L'obse
ital : il est adressé alors à la cli- nique des maladies du système nerveux . Enfin M... n'a jamais con- tracté la syphilis.
ants, quand ils se produisent, ils sont normaux. Les 196 CLINIQUE NERVEUSE . réflexes rotuliens sont eux aussi normaux. Le
tète, n'a jamais d'absences ou de Fig G. Firl. i. 198 CLINIQUE NERVEUSE . vertiges. Jamais il n'a eu d'attaques de nerfs
lyse rigoureuse. Voici le résultat de cette analyse : 200 CLINIQUE NERVEUSE . moindre que celle des deux autres symptômes, l
e. (Archives de Neurologie, 1894, p. 448.) E. Brissaud. ]'otyw'ie nerveuse et polyurie hystérique. (Presse Médi- cale, avr
Médi- cale, avril 1897, p. 165 ; ou bien : Leçons sur les maladies nerveuses . Deuxième série. p. 505.) POLYURIE ET POLLAKI
quence des mictions. Mais la vessie peut être tolé- 202 -) CLINIQUE NERVEUSE . rante au delà de sa capacité physiologique, et
ue, il existe une autre vessie irritable hystérique, 204 CLINIQUE NERVEUSE . dont la pollakiurie impérieuse peut être l'uni
s pilules. POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTERIQUES. 20 206 CLINIQUE NERVEUSE . . cacité de ce médicament M... a vu son acti
otal et soumis à l'ana- lyse. En voici le résultat : 208 CLINIQUE NERVEUSE . POLYURIE ET POLLAKIURIE HYSTÉRIQUES. 209 car
s d'un litre et demi. Voici le détail de l'analyse : 210 CLINIQUE NERVEUSE . pensé, apparaît menaçant le besoin d'uriner. P
aires. Grand-père paternel mort paraplé- gique ; père et mère assez nerveux , s'emportant facilement. Antécédents personnels
ante. Les frères et soeurs du malade ne présen- tent aucun accident nerveux , sauf un frère jumeau du malade qui a uriné au
Or, si l'on admet que tous 254 SOCIÉTÉS SAVANTES. les phénomènes nerveux observés chez ce malade sont de même origine, q
s infections et de l'auto-intoxication cachec- tique sur le système nerveux ; le plus souvent, sous l'influence de ces caus
tuberculeuse : du rôle im- portant de la tuberculose en pathologie nerveuse . - 1\1. Dufour pré- sente une femme de trente a
à la tuberculose comme facteur étiologique des maladies du système nerveux . Un cas de surdité et de cécilé verbales suivi
quement on note : sclérose de la neuroglie, dégénération des fibres nerveuses au-dessous du foyer inflammatoire et dans ses e
modes de la sensibilité à type périphérique, sensibilité des trones nerveux et des muscles et certaine atrophie musculaire.
ou. Les prolongements protoplasmiques ou dendrites des cel- lules nerveuses de l'écorce cérébrale des animaux vertébrés adu
distinctives la plus caractéristique des dendrites du prolongement nerveux au cyliudraxile est, entre autre, que les premi
ans l'écorce cérébrale les dendrites de presque toutes les cellules nerveuses sont recouvertes d'une grande quantité d'append
s animaux adultes bien por- tants on rencontre parfois des cellules nerveuses , sur les pro- longements desquelles on ne parvi
s à voir d'appendices collatéraux ; peut-être, ce sont des éléments nerveux appar- tenant au type des cellules à prolongeme
roduit artificiel, provenant pendant l'imprégnation des- éléments nerveux par le chromate d'argent. Ramon y Cajal parvint
parvint à s'assurer à l'aide de la coloration spéciale des cellules nerveuses corticales par le bleu de méthy- lène, que les
minales qui sont en élat perlé ; 3° chez quelques-unes des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale, que l'on rencontre très
- tent de beaucoup la quantité de la substance protoplasma- tique nerveuse . En passant dans la région des données patholog
ons particulières des prolonge- ments protoplasmatiques de cellules nerveuses corticales dans divers procès pathologiques ; c
t pas douter que les prolongements proto- plasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale peu- vent se modifier, do
l'état variqueux des prolongements protoplas- matiqnes des cellules nerveuses de l'écorce eérébrale, comme phénomène post-mor
eut supposer que les prolon- gements protoplasmatiques des cellules nerveuses avec trouble de nutrition quelques heures après
nditions qui provoquent l'état variqueux des dendrites des cellules nerveuses corticales, il nous reste encore à mentionner l
atho- logique. Comme nous l'avons vu, presque toutes les cellules nerveuses de l'écorce cérébrale ont sur leurs dendrites une
e grandeur varia- ble, qui sontdela même substance protoplasmatique nerveuse que les dendrites elles-mêmes, et qui servent d
erception des excitations cellulipètes qui parviennent à la cellule nerveuse des autres éléments ner- veux. On peut considér
s éléments ner- veux. On peut considérer les dendrites des cellules nerveuses comme des organes ayant une liaison intime avec
doivent aussi avoir un rapport avec cette fonction. Plus la cellule nerveuse est riche de prolongements protoplasmatiques et
sur la contractilité du proto- 280 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. plasma nerveux et présente un substratum d'un état phy- siolog
des dendrites sert de preuve immédiate d'amoe- boïsme des éléments nerveux , avec quoi non plus nous ne pouvons être d'acco
fication très grossière. La mobilité physio- logique du protoplasma nerveux a lieu probablement sous une lorme plus délicat
l'état moniliforme des prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale ne peut pas servir d'expr
dendrites est une indication sur l'état pathologique de la cellule nerveuse développée. Lais- sant de côté l'aspect perlé d
é l'aspect perlé des prolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses embryonnaires, nous nous occuperons d'une maniè
cilement. Comme il est bien probable que les dendrites des cellules nerveuses servent non seulement à la réception par le neu
e neurone des ! impul- sions cellulipètes du côté des autres unités nerveuses , elles apparaissent aussi comme organes prenant
queux DES DENDRITES corticales. 281 dans la nutrition de la cellule nerveuse , c'est-à-dire des or- ganes ayant une liaison i
aussi délicats que les prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses . Quelle est donc la forme du trouble de nutriti
tat moniliforme des prolongements protoplasmatiques de ses cellules nerveuses ? Des modifica- tions plus grossières, comme pa
ces qui ont une affinité plus proche avec les élé- ments du système nerveux central, provoquent plus vite quel- quefois les
phologiques dans les prolonge- ments protoplasmatiques des cellules nerveuses . L'état variqueux des dendrites, même très marq
e, Ceni), même lorsque l'état variqueux est très marqué, la cellule nerveuse conserve sa fonction trophique relativement au
n que l'état perlé des prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce céré- brale chez les animaux adulte
s animaux adultes sert à démontrer l'état pathologique des éléments nerveux , nous devons le considé- rer comme une atrophie
on. L'état perlé des prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale qui a été constaté dans d
es autres auteurs, à la forma- tion des contacts entre les éléments nerveux . Peeters indique à ce propos que le nombre d'ap
état moniliforme des prolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans des maladies mentale
ouvent en état de faiblesse et ne peuvent pas marcher, les cellules nerveuses corticales présentent de grandes particularités
état moniliforme des prolongements protoplas- matiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale doit correspondre, évidem
1890, vol. I, fasc. 10). Anglade. Sur les altérations des cellules nerveuses , de la cel- ule pyramidale en particulier, dans
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ol. XLIV, p. 729.) Rybakoff (J.). Sur la pathologie de la cellule nerveuse et ses prolongements (méthode de Golgi). (,17-c
1'Tr (C.) et O1'TOLLI\GII1 (D.). Sur les altérations des élé- ments nerveux dans la dyscrasie urémique expérimentale. (Archiv
7, fascicule Il ! . Stefanowska (Micheline). Evolution des cellules nerveuses cor- ticales chez la souris après la naissance.
khanoff (S.). Contribution à l'étude des modifications des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans l'anémie expérimen-
fications que subissent les prolongements dendritiques des cellules nerveuses sous l'influence des narcotiques. (La Cellule,
Contribution à l'étude de l'état et du dévelop- pement des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale chez quelques ver- té6rés
niutria e di medi- cina légale, 1893.) 1'ÊLIATNIK, - Des éléments nerveux du bulbe olfactif. (Message¡' neurologique (rus
TittELLI (Vitige). Sur l'anatomie fine pathologique des élé- ments nerveux dans l'empoisonnement aigu par le sublimé. (Arc
1\ZI (Livio). Sur les fines altérations morphologiques des cellules nerveuses dans le tétanos expérimental. (Archives italienne
E. 295 vingt ans il fut pris de fièvre quarte qu'il garda six mois. Nerveux , émotif, il ne se livre pas habituellement à la
enrouée. Pas d'anesthésie ni de stigmates hystériques. Tremblement nerveux continuel. Il a chanté toute la nuit dernière e
mal. Urines : élimination moyenne, ni sucre, ni albumine. Système nerveux . - Réflexes rotuliens normaux. Force muscu- lai
ner0. et ment., fasc. II, 1899.) XXIX. Sur les lésions des éléments nerveux dans le cours de la péritonite par perforation;
iieizt., fase. 111, 1899.) XXXI. Sur les altérations des cellules nerveuses de la moelle épinière consécutives à l'occlusio
. Il faut donc admettre dans ces organes une décussation des fibres nerveuses du nerf vestibulaire. Il existe un lien intime,
2° l'importance capitale que doit avoir la régénération des fibres nerveuses périphériques dans le rétablissement de la sens
e ou d'anémie, à la distribution différente du sang dans le tissu nerveux . C'est seulement quand la lésion de la cellule ne
ans le tissu nerveux. C'est seulement quand la lésion de la cellule nerveuse devient irréparable, que l'affaiblissement déme
alors qu'il existe une altération grave et progressive des éléments nerveux (démence paralytique, alcoo- lique, sénile, hém
issement, d'atrophie, d'oedème, d'anémie persis- tante des éléments nerveux , comme par exemple dans la période ultime de la
et ment., fasc. VII, 1899). XLIII. Sur les altérations des éléments nerveux dans l'empoison- nement subaigu par l'aluminium
la neurine, de l'al- cool éthylique et de l'acétone sur le système nerveux embryon- naire ; par MtRTO. (Ann. di nevr., fas
ble pour la cessation de la contracture. J. Scr.AS. L. La cellule nerveuse représente-t-elle une unité embryologi- que ; p
ants ou chez ceux qui n'ont qu'une maladie fonctionnelle du système nerveux . La convergence n'y est pour rien, car il y a r
rt énergique. P. Keraval. LVI. Une nouvelle coloration du système nerveux ; par P. Kaon- THAL. (Ne2tro(o,g. CentralLl., 1
rée de formiate de plomb. On place des petits morceaux de système nerveux de 8 millimètres de long et assez minces dans un
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. Cellules et fibres nerveuses sont d'un gris sombre tirant sur le noir, ou lé
ns de la couche granuleuse du cervelet, très petits dans les fibres nerveuses . L'auteur montre, à l'appui, de grandes cellule
se, enfin la moelle d'un tabétique ; ici, dégé- nérescence du tissu nerveux sans prolifération, s'accusant par une colorati
tique du travail de A. Bethe. Les éléments anato- miques du système nerveux et leur valeur physiologique » ; par M. DE LC\I
ires, qui entoure un épais feutrage formé des ramuscules des fibres nerveuses et des dendrites, appelé neurophile (His). Les
t : ce sont bien des dendrites (Bethe, de Lenhos- sek). Les racines nerveuses pénètrent dans les ganglions ; elles y REVUE D'
nces terminales libres. C'est la structure fibrillaire des éléments nerveux qui est inté- ressante. Le bleu de toluidine et
quoi cela peut-il contredire à la théorie du neurone ? Les éléments nerveux , chez les invertébrés comme chez les verté- bré
M. Bethe n'a pas constaté le passage des neurofibrilles d'une unité nerveuse à une autre; il n'a pas vu que le neuropile doi
e coloration pour qu'on puisse contrôler la continuité des cellules nerveuses . Au point de vue physiologique, les cellules ne
des cellules nerveuses. Au point de vue physiologique, les cellules nerveuse de l'écrevisse sont, dans les ganglions, séparé
t enlever complètement le complexus des proto- plasmas des cellules nerveuses , en épargnant autant que possible le neuropile
euses, en épargnant autant que possible le neuropile et les racines nerveuses . On verrait si et à quel point les mouvements r
fois, à la partie de l'encéphale de l'écrevisse qui forme le centre nerveux de la seconde antenne : il n'en est rien résulté
toplasma et son noyau ne participent point aux fonc- tions purement nerveuses . Seulement M. Bethe n'a enlevé qu'une partie de
cellule, organe purement trophique, n'a de rapport avec la fonction nerveuse que parce qu'elle représente un poste de passag
s de la cellule, piriforme, ne s'écarte pas du tout, des extrémités nerveuses ; il est copieusement entrelacé par les expan- s
quantité de plasma fondamental, siège très probable d'une activité nerveuse spécifique. La multiplicité des formes, des rami-
prendrait pas non plus leurs altérations dans toutes les affections nerveuses et mentales. M. Bethe exagère le rôle nerveux e
utes les affections nerveuses et mentales. M. Bethe exagère le rôle nerveux et conducteur des neurofibrilles. Sans doute el
he qui est une allure spéciale physique ou chimique de la substance nerveuse , un ordonnancement particulier des molécules du
OMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. d'image complète d'un élément nerveux parce qu'elle incruste la substance dans laquel
générale- ment pas les fibrilles dans tow leur parcours. Le système nerveux central des vertébrés n'est pas non plus propre
. Chez les invertébrés, et surtout dans les organes où les éléments nerveux sont répartis en surface, il y a sûrement des a
de réflexes orientés dans une direction déterminée dans le système nerveux central. Il n'est donc pas probable que l'on trou
faut avoir de la chance pour tomber sur la liaison de deux cellules nerveuses au moyen des fibrilles primitives dans le systè
ellules nerveuses au moyen des fibrilles primitives dans le système nerveux central. Mais chez la sangsue on voit fréquemme
it fréquemment ce qui suit : les fibrilles primitives d'une cellule nerveuse se divisent en branches minces et passent dans
ieu de penser à un lien de continuité entre les cellules du système nerveux cen- tral par les fibrilles. P. KERAVAL. LVII
un peu en avant de son milieu. Elle est constituée par des cellules nerveuses semblables à celles des cornes postérieures, de
La malade, dont provient cette pièce, avait une série de troubles nerveux des plus graves, mais pas de symptômes médullaire
yonnante, entre la capsule interne et les ascendantes, les cellules nerveuses présentent déjà divers degrés de maturité, quan
nt que chez l'adulte. Ceci prouve que les cellules comme les fibres nerveuses , prennent, successivement, dans les diverses zo
e interne chez un chat de quatre jours et demi. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 327 7 D'ordinaire du neuvième au dixième jour
ue le sens de leur conductibilité. P. IZERaVAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Accès tétanoïdes dans l'épilepsie; par le D
tétanoïde de Prichard, n'est pas démontrée. 328 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3° Les accès tétanoïdes ne sont qu'une modific
psychiques se présentent, comme symptôme essentiel, dans le système nerveux moteur, des modifications à caractère général d
même temps, de temps à autre des spasmes du col REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 329 de la vessie, s'opposant à la miction d'un
urologist, avril 1899.) E. B. IV. Tympanite gastrique, vomissements nerveux et autres troubles gastriques nerveux; par EWAL
anite gastrique, vomissements nerveux et autres troubles gastriques nerveux ; par EWALD. Résumé, d'après l'ouvrage du Dr Ewa
Deux cas sont cités de vomissements graves causés par irrita- lion nerveuse , exemples qui montrent combien le diagnostic peut
voulant prendre une aiguille, fixée sur une 330 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pelotte, la cassa et se l'enfonça dans la paum
par la théorie métamérique de Brissaud. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 331 IX. Respiration de Cheyne- Stokes pendant
bservées à Le Grand en Californie. L'auteur 332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . soupçonne un élément toxique infectieux qu'il
le de l'hystérie commune. Celle-ci est bien une REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 333 dégénérescence cérébrale, stigmate organiq
lation consciente d'un fait sen- sitif ou moteur, mais le mécanisme nerveux qui est le substratum physiologique de l'opérat
rmément à cette définition, l'image motrice représente le mécanisme nerveux qui préside à l'exécution d'un mouvement; mais
à l'exécution d'un mouvement; mais cette expression de mécanisme nerveux doit elle-même être précisée; il ne s'agit ici qu
re cortical de projection et le centre bul- 334 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . baire d'exécution sont un lieu de passage pour
). Le sommeil ainsi provoqué n'est nullement un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 33S état exceptionnel du système nerveux, mais
un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 33S état exceptionnel du système nerveux , mais une simple modalité fonctionnelle de son
considérablement diminuée (1 : R = 2 : 1 ; 336 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I : R == 2 : 0), accepteront les suggestions l
ant essentiellement en une disso- ciation fonctionnelle des centres nerveux , provoquant une annihi- lation plus ou moins pr
le considérant comme dû à la dissociation fonctionnelle des centres nerveux aboutissant aune annihilation plus ou moins for
nt l'attention ne peut être fixée. A. FENAYROu. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 337 Yin. Suggestion et mesmérisme; par E. BOIR
phénomènes parait être une sorte de plasticité anormale de la force nerveuse , qui se trouve ainsi capable de subir docilemen
ale, un AncI ! l\'r.s,2- série, t. IX. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . démenti flagrant à ce que la science nous a ap
, ne peuvent s'expliquer que si l'on admet avec lui que les centres nerveux de l'axe céphalo-rachi- dien et ceux du système
t de veille chez certains individus. Bien plus, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 339 M. Bernheim affirme que tous les sujets ha
faite, articulation des mots défectueuse. 340 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . - La voix changea de hauteur, de ton, et de qu
ion faoiale unilatérale quand les muscles fonc- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 341 1 tionnent, la pâleur, l'absence d'express
paralysie des muscles de la face, ni de 31 : .r REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .. la langue ni des lèvres. Voix nasillarde, sif
r, l'idée d'une prédisposition héréditaire à des lésions du système nerveux , et d'un défaut de développement dans les tractus
ofité, pour se développer, de la faiblesse héré- ditaire du système nerveux . P. XXVII. Etat myxoedémateux aigu, avec tachyc
rtains caractères de la maladie de Graves. p. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 343 XXVIII. Un cas de pachyméningite interne h
hagique chez un enfant de 9 ans, avec changements dans les cellules nerveuses ; par William G. SPILLEIi. (titre Journal ofner
s complet des lésions. Les modifications pathologiques des cellules nerveuses consistaient en une tuméfaction marquée et une
istincts. Ces modifications étaient constatées dans tout le système nerveux central (écorce cérébrale et cérébelleuse, noya
tions osseuses, ne débutant jamais très 344 -il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . longtemps après le début de l'affection, et qu
intéressé seul. Le court fléchisseur du pouce qui reçoit des filets nerveux étrangers au cubital ne présente pas de réactio
- tion écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures aux c
ouvant toujours l'excitation corticale, l'hyperesthésie des centres nerveux en .général, mais surtout des organes des sens.
pas limitée au cerveau. Les nerfs périphé- riques, les terminaisons nerveuses sont aussi le champ de l'envahissement alcooliq
sus, son heure est proche et qu'il sera crucifié, mais les MALADIES NERVEUSES A L'HOPITAL MILITAIRE DE KIEF. 399 hallucinatio
nous expliquerons plus tard sur ces points. (.1 suivre.) CLINIQUE NERVEUSE . Notes cliniques de la section des maladies ner
e.) CLINIQUE NERVEUSE. Notes cliniques de la section des maladies nerveuses à l'hôpital militaire de Kief ; Par professeu
plus de dix-sept ans que je suis professeur des mala- 400 CLINIQUE NERVEUSE . dies nerveuses : d'abord je l'étais à l'hôpita
ans que je suis professeur des mala- 400 CLINIQUE NERVEUSE. dies nerveuses : d'abord je l'étais à l'hôpital militaire Nicola
tal militaire de Kief. De toutes les maladies organiques du système nerveux central, qu'il m'est arrivé de rencontrer penda
ficiers, la plupart des cas se rapportaient aux maladies du système nerveux central post- syphilitique. Ces observations
ins ou à l'hypertrophie des éléments du tissu conjonctif du système nerveux central, laquelle ne cède à aucun autre traitem
rivée en observant les traitements spécifiques réitérés des malades nerveux , qu'avaient déjà eu la syphilis antérieurement,
u Nouveau Monde et de l'Ancien, consiste en frictions mer- MALADIES NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 401 l curielles
affection des vaisseaux sanguins plus dangereuse encore du système nerveux central. Voyons à présent, si les effets de l'e
nisme. Pendant cette Archives, 2° série, t. IX. ' 26 402 CLINIQUE NERVEUSE . période de son séjour temporaire dans l'organi
toutes les affections secon- daires du tissu conjonctif du système nerveux central,-et de l'autre côté, différentes affect
Mais il n'y a rien à dire non plus contre l'ancienne pré- MALADIES NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 403 paration de
e manière, je pouvais laisser de cinq six semaines mes 404 CLINIQUE NERVEUSE . malades sous l'influence d'une assez grande qu
conjonctif dans les divers organes devinrent beaucoup plus MALADIES NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 405 fréquentes q
onctif dans les divers organes, étaient devenues plus- 406 CLINIQUE NERVEUSE . fréquentes ce qui n'était jamais arrivé lors d
même à l'engraissement. Je n'oublierai jamais un aide-ehi- MALADIES NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 407 rurgien d'Ai
Après cette digression, retournons à ces affections du sys- tème nerveux qui se rencontrent chez les syphilitiques, comm
de rencontrer des sujets âgés de trente ans, sans aucun antécédent nerveux et déjà atteints de celte horrible maladie. Pen
ertrophie si fréquente et si précoce du tissu conjonctif du syslème nerveux central, chez ces malheu- reux ? 9 La réponse
-mêmes. En effet, trouvez actuellement un syphilologue 408 CLINIQUE NERVEUSE . qui, après plusieurs traitements mercuriels, e
aine lenteur de l'évacuation de l'urine, exigeant certains MALADIES NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 409 efforts, pui
je tache simultané- ment de soutenir de toute manière les éléments nerveux qui périssent et je calme dans la mesure possib
ctrique continu et celle de l'appareil génito-vésical, 410 CLINIQUE NERVEUSE . par le courant faradique ou par l'électricité
ectrisation ? Si nous voulons augmenter l'excitabilité des éléments nerveux et améliorer leur nu- trition ; dans ce but, il
s le cas contraire le passage du courant continu à travers le tissu nerveux , y développe l'action électroto- nique du coura
sical je dirai seulement, que l'une des électrodes avec la MALADIES NERVEUSES A L'HÔPITAL MILITAIRE DE KIEF. 411 'l surface r
voquant une extension considérable des racines de la 412 ) CLINIQUE NERVEUSE . moelle épinière, agit certainement, d'une mani
n'est que la manifestation d'affections portant soit sur le système nerveux , soit sur l'ensemble de l'économie (ménin- gite
es. Ainsi est défendu ce ter- ritoire du plus important des centres nerveux contre les innom- brables ennemis disséminés da
analogue à celle de l'épilepsie. L'état où sont placés les centres nerveux les plus élevés par l'ingestion d'une quantité
ui touche les rapports de la conscience avec l'activité des centres nerveux les plus élevés, les cas rappor- tés et tous le
vants : « 1° les états de conscience diffèrent totalement des états nerveux des centres nerveux les plus élevés ; 2° les deux
ts de conscience diffèrent totalement des états nerveux des centres nerveux les plus élevés ; 2° les deux états sont simult
états sont simultanés, parce que tout état mental implique un état nerveux corrélatif; et 3° malgré le parallélisme des deux
ens que lui donne H. Jackson), correspondant à des manifestations nerveuses variables elles aussi. Par exemple dans certains
ence; mais dans l'étude de ces faits, dans les- quels les activités nerveuses les plus élevées sont engagées indé- pendamment
ce est souvent ac- compagné d'une sensation de soulagement (détente nerveuse ). Enfin, les traumatismes de la tête, l'insolat
ès de travail et qui ne peut être due qu'à l'épuisement des centres nerveux impliqués dans l'excès d'activité mentale. Il
roses fonctionnelles : en effet la nutrition parfaite de la cellule nerveuse en assure l'intégrité. L'auteur n'a pas vu un
les atomes constituants des molécules qui comprennent les cellules nerveuses ; seulement on est obligé de désigner ces modifica
omène d'arrêt soit ici aussi désastreux qu'un phénomène de décharge nerveuse . La première forme dont il a été parlé plus hau
ons périphériques sont la cause d'une grande partie de nos troubles nerveux , et que le surmenage oculaire figure au premier
la méthode de Nissl, ne se comportent pas comme les vraies cellules nerveuses , jeunes, adultes ou séniles; convenablement étu
ue, considérablement hyperplasiées (cellules géantes). Les éléments nerveux (tubes et cellules) subissent une atrophie lent
fier dans l'un ou dans l'autre sens. Dans les affections du système nerveux périphérique, les troubles de la sensibilité cu
M. W. Mouravieff. Les altérations de la structure fine de la fibre nerveuse après section. Les expériences ont été faites sur
ient mutuellement. Conclusions : 1) La gaine de myéline d'une fibre nerveuse nor- male est d'une formation chimique complexe
ou le troisième jour, se désagrègent simplement le long de la fibre nerveuse , ou s'épais- sissent d'abord d'une façon irrégu
bres le cylindraxe apparaît très nettement tout le long de la fibre nerveuse . Discussion : M. Weidenhamer fait remarquer que
s éléments cellulaires. Les granulations chromatophiles de la fibre nerveuse peuvent bien appartenir aux corps albuminoides.
du pied et de la jambe traité avec succès par distension des filets nerveux entourant l'artère fémorale ; - Roncali.Un cas
c Carlyle subissait l'influence d'une prédisposi- VARIA. 457 tion nerveuse héréditaire, qu'elle était atteinte d'une véritab
99. Imprimerie Prodot-Carré. Grasset. Analomie clinique des centres nerveux . Volume in-16, cartonné, de 96 pages. Prix : 1
0. Vol. IX. Juin 1900. N" 54. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE . Observation de chorée chronique héréditaire
1899, il est atteint Archives, 2' série, t. IX. 30 46G PATHOLOGIE NERVEUSE . de démence, et présente les signes classiques
. Toutefois, il est à signaler que lorsqu'on le sou 468' PATHOLOGIE NERVEUSE . tient et qu'on le prie de faire un pas, son pi
eptembre 1899. Le malade ne peut absorber aucun ali- 470 PATHOLOGIE NERVEUSE . ment solide : on le nourrit avec du lait qu'on
ents qui subsistent sont loin d'être absolument sains. Les cellules nerveuses qui semblent le moins altérées, ont leur protop
aroi du capillaire. Enfin, ces cellules affectent avec les cellules nerveuses de l'écorce des rap- portsqui présentent pour n
e corps cellulaire presque en entier ; les espaces 472 PATHOLOGIE NERVEUSE . péricellulaires en contiennent deux, trois et
cellules rondes autour d'une seule cellule pyramidale. Les cellules nerveuses , à peu près normales, sont aussi bien entourées
les, sont aussi bien entourées de petites cellules que les éléments nerveux altérés, ces derniers peuvent même sur certaine
tes cellules, ces dernières entourant le noyau altéré de la cellule nerveuse et sem- blant achever d'en détruire la masse pr
CHORÉE CHRONIQUE HÉRÉDITAIRE lHU ? TINGTO-.1. 473 na les cellules nerveuses et leurs loges. On constate alors que les petits
rtains points des amas en îlots, entourant en d'autres les cellules nerveuses plus ou moins désagrégées, ou constituant enfin
enfin autour des capillaires un véritable manchon. 474 PATHOLOGIE NERVEUSE . ment très grand; nous les voyons également en
ernières, en revanche, existent en grand nombre autour des cellules nerveuses plus petites avec lesquelles elles affectent le
ut à propos de l'écorce cérébrale. Notons en outre que les cellules nerveuses de la colonne de Clarke nous ont semblé plus pa
soient enveloppés de papier de soie. Soeur également bizarre, très nerveuse , s'emporte pour rien. Antécédents personnels. -
ieur. Nous excitons un nerf sensoriel ou sensitif, des terminaisons nerveuses des organes des sens ; l'excitation est répercu
di- taires, nous n'avons pas observé ces phénomènes. Les cellules nerveuses de l'écorce ont résisté chez eux aux premiers eff
tribuer à la connais- sance de l'anatomie pathologique des maladies nerveuses chroniques de l'enfance. Sommaire. Père rien
uite de convulsions. Mère, rachitique dans l'enfance, rhumatisante, nerveuse . - Grand'mère maternelle, céphalalgies. - Arriè
Père, trente ans, ébéniste, grand, vigoureux, sobre, aucun accident nerveux ni syphilitique, caractère doux, laborieux, aus
e, ni convulsions, ni indices de syphilis; rhumatisante, cardiaque, nerveuse , sans migraine, intel- ligence moyenne. Aurait
e, quatre-vingts ans. - Grands- parents maternels, aucune affection nerveuse , morts à soixante- dix-neuf et soixante-dix-sep
il existe, entre le foyer et le ventricule une couche de substance nerveuse ayant encore une certaine épaisseur. La lésion
ent de deux neurones. L'un, le neurone antérieur, part des cellules nerveuses de la rétine, et se rend au corps genouillé, où
tant produite par le contact des nerfs de la rétine et des cellules nerveuses de la région occipitale, le mécanisme de l'inter-
toire. P. IICItAVe\L. LXX VIII. Observations sur les terminaisons nerveuses sensitives dans les muscles volontaires; par A.
atrophiés également dans des cas de section expérimentale de troncs nerveux chez le chat. Ce mémoire de plus de 40 pages es
ne, Garel et Dor, Eisenlohr per- mettent de supposer que les fibres nerveuses laryngées, parties de l'écorce cérébrale un peu
plusieurs membres avaient présenté des troubles paralytiques, très nerveuse , présentant même des idées confuses de persécut
gies par lésions cérébrales. A. rENAYROU. 516 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LXXXIV. Un cas de paraplégie avec autopsie ; p
re tous les symptômes de la paraplégie. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXII. Un cas d'acromégalie; par le Dr W.-M. 1
r blanche. Pour l'oeil gauche, hémianopsie tem- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 517 7 porale complète, et contraction du champ
at cachectique. Souvent, sinon toujours, cepen- dant, les symptômes nerveux se développent avant l'apparition ,des signes d
inaire une anémie secondaire, mais dans' un 518 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . nombre considérable de cas, il s'agit d'anémie
ée soit un empoisonnement d'origine familiale, attaquant le système nerveux central prédisposé de ceux qui sont de la période
à 5 formes communes, les nombreuses variétés ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 519 de méningite qui furent décrites : La pach
moins rigide, extrémités moins raides. Peau 520 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . . toujours très sensible. Troubles vaso-moteur
omme de vingt-neuf ans, ayant eu des abcès gan- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 551 1 glionnaires du cou, qui fut atteint au m
le Dl' Pitres et dont la lésion centrale 52 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . n'est point encore définitivement établie. Cer
nsité, pendant l'attaque, des contractions mus- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 523 culaires, laquelle équivaut à une somme co
très petites quantités, on trouve 2 p. 1000 524 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . d'albumine. Comme le malade présentait les phé
eurs et des zones radiculaires postérieures, du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 525 bulbe, de la protubérance avec quelques al
'un enfant de six ans, qui a présenté, à la 526 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . suite d'une atteinte de fièvre scarlatine, un
lioration. La médecine est, en effet, impuis- , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 537 7 santé contre les manifestations spasmodi
eut admettre que la continuité de l'effort qui porte sur les filets nerveux qui régissent l'accommodation est susceptible,
les jeunes filles, chez les femmes et quel- 528 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . quefois chez les hommes, que la perte de la vi
-, par Stumpf, 451. Empoisonnement. Altérations des élé- ments nerveux dans l' - aigu par l'aluminium, par Zouder, 3
Bérillon, 177. 1 Ganglions spinaux. De la structure des cellules nerveuses des-,par Hermann, I 49. Génie et folie, par R
Lambranzi, 234. .Maladie de Morvan, par Lesage, 533. Maladies nerveuse . L'influence du climat sur les -, par Brown,
optiques. Entrecroisement partiel des -, par de Bechterew, 509. Nerveuse . Altérations de la fibre après section, par Mou
autopsie par van Gehuchten, 516. Péritonite. Lésions des éléments nerveux dans la , par perfora- tion, par Barbucci, 306.
es moteurs à marche ascen- dante, par Van Gehuchten, 525. Système nerveux . Durcissement du central, par Pfisler, 147. Alt
lemmes en cor- rection au llauov're, par Snell, 5G. Terminaisons nerveuses dans les muscles volontaires, par Ilaffiiii,
. Tnoettoenéw chronique héréditaire, par illelge, 512. Troubles nerveux et psychiques chez les travailleurs du caout-
leuses, par Bletti- ger, 511. Tympanite gastrique, vomissements nerveux , etc., par Ewald, 329. Vacher l'Eventreur, par
17 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LOGIE ARCHIVES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
ENNE; . Par BOURNEVILLE, médecin de Bicètre. (Section des enfants nerveux .) Le lendemain de la communication d'un travail
as de convulsions de l'enfance, pas de migraines, tempérament assez nerveux , sans crises ; physionomie régulière, cheveux châ
en une heure. Sa mère est morte « asthmatique » ; elle n'était ni nerveuse , ni migraineuse. Elle a eu cinq frères ou sceurs.
nds parents paternels et maternels sont morts vieux, sans accidents nerveux . Dans le reste de la famille, pas d'autre cas d
e étant morte « de vieillesse (soixante-quinze ans), sans accidents nerveux , l'enfant a été ramenée à Paris par une de ses
diminution de' poids, l'élévation de la température, les accidents nerveux , la tachycardie, etc., et partant la nécessité
st relatif à l'évolution histologique de Ja lésion dont l'élément nerveux est le siège, prise dans les premières phases d'u
it. Dans ce cas peu importe le faisceau et la localisation; le tube nerveux est le même partout. C'est ce second point seul
uvelles recherches. Cette lésion initiale, observée sur les tubes nerveux , peut se résumer très brièvement de la façon su
épinière, se montrent disséminés parmi des fibres saines des tubes nerveux offrant les caractères suivants : tuméfaction,
de la myéline se montrant d' abord exclusivement au centre du tube nerveux , c'est-à-dire autour du cylindraxe, avec dispar
avons donnée dans notre première publication sur ce sujet : Le tube nerveux comprend une gaine de myéline et un cylindraxe.
cylindraxe. Invariablement la lésion débute par le centre du tube nerveux où la myéline perd ses cercles concentriques, t
un faible grossissement, avec ou sans coloration préalable, le tube nerveux est remarquablement augmenté de volume (oedème
-même. Ceci parait conforme à ce qu'on sait de la nutrition du tube nerveux pris dans son ensemble; le cylindraxe, partie e
x pris dans son ensemble; le cylindraxe, partie essentielle du tube nerveux , ne saurait devenir le siège d'un trouble impor
ait singulières. ' On sait que, sur la coupe transversale d'un tube nerveux , cet organe apparaît comme un point occupant ex
es. Toutes les figures de la page ci-après repré- sentent des tubes nerveux coupés transversalement. On y voit : 1° au cent
terme de la lésion avant la résorption complète. Le centre du tube nerveux présente alors, au sein de la myéline liquéfiée,
tuée par un gonflement pseudo- hypertrophique de l'ensemble de tube nerveux , par la désin- tégration de la myéline débutant
t, le début de la lésion se faisant là par le fait dans l'élé- ment nerveux lui-même. Ces processus dégénératifs des tubes
'élé- ment nerveux lui-même. Ces processus dégénératifs des tubes nerveux et qu'on trouve reliés entre eux par des transi
les maladies comme la paralysie générale par exemple où la cellule nerveuse s'altère, on trouve dans les cornes de la moell
s qui peuvent être considérées comme l'analogue de celles des tubes nerveux et qui sont les premières périodes d'une lésion
longue date. Ces lésions nous les avons rencontrées sur les tubes nerveux dans un cas de tabes où la mort est survenue ra
dans la corne postérieure où elle apparaît nettement sur les tubes nerveux qui ont été coupés transversalement. C'est là u
s. Dans l'anémie grave, dès 1893, Minnich a observé sur les tubes nerveux de la moelle dont il a établi les lésions dans
autres rapports. C'est pour nous une manière de se détruire du tube nerveux et de la cellule ' Contribution ci l'ancelonaie
t. XXII. 1893. COMMENT DÉBUTENT LES DÉGÉNÉRESCENCES SPINALES. 41 nerveuse qui est commune aux lésions finalement destructiv
s. Ce n'est pas tout dans des recherches sur l'oedème des centres nerveux Rumpf a observé une lésion analogue. Enfin pour
ocessus pathologique dans sa première phase. Du côté des éléments nerveux on y peut observer deux ordres de lésions : d'a
ordres de lésions : d'abord ce sont des nécroses massives des tubes nerveux et des cellules nerveuses. Cette nécrobiose peut
ord ce sont des nécroses massives des tubes nerveux et des cellules nerveuses . Cette nécrobiose peut être très rapide; elle a
Gombault, etc., ont noté la tuméfaction des cylindraxes des tubes nerveux . Et cela non seulement au niveau du foyer de my
ntales, y a rencontré les mêmes caractères de tuméfaction des tubes nerveux . Au bout de quelques jours lI. \Iuller a vu une
ocessus aigus, en dehors de toute lésion de névroglie; les éléments nerveux apparaissaient les- premiers frappés. Telles
essus aigus. Ce qui nous intéresse c'est le gonflement des éléments nerveux . Cet état pseudo-hypertrophique qui loin de rep
ire que dans la plupart des cas le mode de destruction de l'élément nerveux est le même à son début, si diverses que soient
on la plus commune de se transformer et de disparaitre des éléments nerveux . Elle marque le début, non d'un processus plus
s en plus s'étendre, mais sans que la lésion primitive de l'élément nerveux lui-même soit commandée par celle du tissu ambi
sclérose à forme myxomaleuse ou inflammatoire va remplacer le tissu nerveux insensiblement détruit et constituer un espace
et constituer un espace dans lequel on ne trouve plus que des tubes nerveux absolument sains, mais disséminés et éloignés l
disséminés et éloignés les uns des autres; le reste de la substance nerveuse ayant disparu complètement. Notre conclusion
rès grand nombre de dégénérescences spinales 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . en ce qui concerne les tubes nerveux. Il parai
les 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. en ce qui concerne les tubes nerveux . Il parait en être de même des cellules nerveus
concerne les tubes nerveux. Il parait en être de même des cellules nerveuses puisqu'il nous est permis de rappro- cher les l
empoisonnements réalisés expérimentalement J. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. La surdi-mutité au point DE vue clinique; p
tc. (Al'ch. hon- groises de médecine, t. II.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 45 compliquait, assez développée pour avoir pe
enfants en trois mois de juin en août 1894. 46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . - reprendre la marche sans béquilles. Dans le
ion passive et la flexion, douleur à la pression le long des troncs nerveux en parti- culier sur le trajet du nerf sciatiqu
n, d'où les hydropisies et exsudats ventri- \ REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 47 culaires, les tissus et eu particulier la p
ical journal, 17 novembre 1894.) or Marie. z 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XI. Paralysie laryngée dans LES affections NER
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XI. Paralysie laryngée dans LES affections NERVEUSES CHRONIQUES; par W. PER11ENAN. L'auteur conclu
vingt années précédentes était effacé de sa mé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 49 moire, car il se disait laboureur, qu'il av
ie. A. 111. Archives, 2e série, t. I. - 4 50 -REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ZX. Dystrophies cutanées herpétiformes; par Jo
ns si, chez des arthritiques notoires qui sont atteints de maladies nerveuses ou mentales, on trouve des traits communs devan
ience, on a affaire, soit à des nodules sarcomateux de la substance nerveuse même et des enveloppes des organes centraux, so
arcomes n'aient que peu ou point de tendance à se propager au tissu nerveux : ce sont des tumeurs très vasculaires, ne présen
endue des néoplasmes, bien que des sarcomes très étendus du système nerveux central puissent souvent ne donner lieu qu'à tr
ance ou les premiers temps de la puberté. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 51 XXIII. Contribution A la connaissance DE l'
l d'une infection aiguë, mais de laquelle ? P. K. XXV. LES maladies nerveuses fonctionnelles ET la syphilis ; par P. ICON.1LE
sur le sang, les parois vascu- laires (artério-sclérose), le tissu nerveux et détermine ainsi des accidents nerveux, mais
rtério-sclérose), le tissu nerveux et détermine ainsi des accidents nerveux , mais elle peut aussi exercer une action morale
xercer une action morale (syphilophobie) et provoquer des désordres nerveux , par exemple hystériques; enfin les agents phar
Sorte de cirrhose cérébelleuse, c'est-à-dire atrophie des éléments nerveux par multiplication des éléments du mésoderme et n
, de l'affaiblissement des membres. P. K. 5"6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXVII. Sur une névrose observée dans les Indes
présente. Les troubles de l'écriture n'ont été REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 53 relevés qu'au début après l'attaque; plus t
vue microscopique. La corne d'Ammon n'est 'Jll4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pas ramollie sur les coupes antérieures, mais
ière fois agir sur le centre moteur d'un membre REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 55 (du singe) le courant faradique, et l'on no
tant, dès la première année de la vie, sans. 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . symptômes infectieux, par de l'atrophie avec p
s avancée des racines antérieures; faible dégénérescence des troncs nerveux antérieurs. Les muscles subissent : l'atrophie
ordre dans les cordons postérieurs, qui n'a par REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 57 conséquent point la physionomie de celle du
ion cortico-motrice, il appert que la lésion 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . locale a été la cause immédiate des stimulus i
pie font en quatre semaines disparaître le sucre, mais les troubles nerveux persistent. Puis reparaît la glyco- surie et le
nerveux persistent. Puis reparaît la glyco- surie et les accidents nerveux s'améliorent. Il ne s'agissait donc point d'un
oïde agit sur l'état tro- phique de la peau et influence le système nerveux , on a. expéri- menté cette médication dans dive
ou tumeur), dans la substance cérébrale, donne lieu, dans le tissu nerveux périphérique, à des modifications de structure qu
ases physiologiques de la vie psychique). Développement des centres nerveux . Localisations. Neurones. Voies de conduction.
ons restées dans l'urne étaient : 1° Capsule in- terne; 2° Appareil nerveux du coeur. - Parmi les 40 candidats qui ont dépo
'<'M. SÉGLAS (J.). Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses (Salpêtrière 1887.189), recueillies et publiées
une modification légère, le plus souvent insaisissable des éléments nerveux . Je dis modification légère ou insaisissable, c
voqué des hallucina- tions, lesquelles disparurent lorsque le tissu nerveux eût subi une destruction plus profonde. Nous av
éditaire ou acquise. Héréditaire, nous la trouvons chez ces enfants nerveux qui, atteints de chorée par exemple, ont facile
qui ont souffert dans les premirs mois de la vie et dont le svstème nerveux central a été entravé dans son évolution. Mais'
e chronique avec démence. Elles portent sur les cellules, les tubes nerveux et les vaisseaux. Partout les cellules sont pre
uliers et contiennent aussi des granula- tions. Du côté des tubes nerveux il y a des lésions moins accusées, caractérisée
res dans gaines lymphatiques et pig- mentation ocreuse des cellules nerveuses elles-mêmes. Cette dernière lésion se trouvait
uve de la dissémination des lésions morbides dans le grand appareil nerveux de contrôle. Des signes cliniques indéniables m
it de préciser quel est le fac- teur véritable de cette destruction nerveuse , et dans l'ignorance où nous sommes de la patho
nt naissance à des effets toxémiques secondaires du côté du système nerveux périphérique. Poursuivant la comparaison, l'aut
ires avaient manifestement et de beau- coup précédé les altérations nerveuses , il est impossible d'ad- mettre que ce premier
uramment observés dans la paralysie générale : en effet les lésions nerveuses périphériques contribuent pour une large part a
ctif, très cultivé REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 139 sans hérédité nerveuse : interné pour la première fois en 1880, il cro
ration ; 2° l'apoplexie, la démence sénile, la plupart des maladies nerveuses sont négligeables comme facteurs d'hérédité ; 3
proportionnel normal entre le système circulatoire et le sys- tème nerveux , que ce défaut, au moment du développement de c
lopper sous une influence ou une autre, son rapport avec le système nerveux est REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 145 atteint
iphérique peut, pour le moins, en diminuant le degré d'ir- ritation nerveuse , « écarter une pierre d'échoppement du chemin d
i nous occupent. L'auteur a pu faire examiner par Nissl les centres nerveux d'un sujet atteint de délire au début de la lièvr
nnaires. Griesinger, en 1857, considérait déjà les manifesta- tions nerveuse et cérébrales de la fièvre typhoïde comme dues à
fus. Kirchhoff croit également à une action chimique sur la cellule nerveuse et pense que la fièvre, à elle seule, agit rare
désir de se consacrer à l'étude spéciale des affections du système nerveux , sont pour lui trois années de perdues. 2 A. Ma
Pans, 1880. 3 Girard de Cailleux. Études pratiques sur les maladies nerveuses et mentales. Paris, 1863, p. 191. l'internat
IE PATHO ? u ? CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES CHANGEMENTS -DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE; Par le D' SERGE SO
te maladie peuvent aussi survenir différents changements du système nerveux cen- tral. Ces anomalies apparaissaient le plus
plus nettement et plus définitivement les changements du système nerveux central 'dans certains cas de la polynévrite. D
changements des vaisseaux, dans de petites hémorragies du système nerveux , dans la multiplication du tissu conjonctif (su
uvons chez d'autres au- teurs concernant les changements du système nerveux central dans la polynévrite nous nous assurons,
Sbornik posviaszonny prof. Kojéwnikow, 1890, p. 319-372. DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. 179 fut constaté l
de la moelle épinière la disparition d'une grande partie de fibres nerveuses . Nous devons maintenant mentionner encore un ou
oie pyramidale, on a trouvé la dégénérescence disséminée des fibres nerveuses ». Dans le même cas les fibres nerveuses dégéné
ence disséminée des fibres nerveuses ». Dans le même cas les fibres nerveuses dégénérées ont été dis- séminées dans la moelle
e règle), c'est-à-dire de la dégénérescence disséminée des fibres nerveuses de la moelle avec la lésion spéciale de la zone
nt l'objet qui nous intéresse, nous voyons que la lésion du système nerveux central, surtout de la moelle épi- nière, dans
té paternel était une personne extravagante ; l'oncle et DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNEVRITE. 181 le grand-père
commencèrent à remarquer dans sa tendre enfance encore, qu'il était nerveux et emporté. Ayant un caractère doux, mais faibl
et seulement en voyant le médecin, il commence, comme un DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. 183 enfant caprici
t dans la commissure antérieure. 1 Voyez la figure 15. DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNÉVRITE. '185 La région dor
vicale. Préparation, traitée par la méthode de Marchi. DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNEVRITE. 187 mais dans ceux
ela polynévrite dont nous venons de parler, l'altération du système nerveux central nous présente un in- térêt particulier,
ons postérieurs; les fibres radiculaires, après leur en- DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA POLYNEVRITE. '189 trée dans la
lle et du bulbe et la névrite multiple ? L'altération de l'appareil nerveux péri- phérique, avec le changement très marqué
e, souffrent non seulement les nerfs périphériques, mais le système nerveux entier. Nous connais- sons plus les anomalies d
if plus sensible que la méthode de Weigert, concernant le système nerveux central et surtout la moelle épinière dans la pol
'envisager la névrite multiple comme une maladie de tout le système nerveux et nous voyons que dans un cas existe la lésion
(Travail du laboratoire de thérapeutique de la Clinique des maladies nerveuses .) L'action et l'efficacité thérapeutique du 'co
nde, forte, lympha- tique, grosse, pas de convulsions de l'enfance, nerveuse , facile à conlrarier. Migraines accompagnées de
efuse, il se sauve et va en louer une. En février, première crise nerveuse : l'enfant était en train de déjeuner, il s'est
bilité croissante du caractère, les accès de colère et les crises nerveuses nous paraissent devoir être rattachés à l'alcooli
'arachnoïde, aux vaisseaux sanguins, à la névro- glie, aux cellules nerveuses , aux fibres nerveuses; 2° clinique- ment, à la
eaux sanguins, à la névro- glie, aux cellules nerveuses, aux fibres nerveuses ; 2° clinique- ment, à la paralysie générale, à
Durant ces dernières années, les altérations subies parle système nerveux des vieillards ont été l'objet de travaux assez n
s- tance blanche. Tous les degrés de dégénérescence de la cellule nerveuse peuvent se rencontrer dansles cerveaux des vieux
i, on remarque, dissé- minées dans la substance blanche, des fibres nerveuses en état de dégénérescence, que l'acide osmique
ouve même dans ces racines des îlots absolument dépourvus de fibres nerveuses nor- males. La pigmentation exagérée des cellul
ur, c'est la diminution considérable du nombre des grands cylindres nerveux sains. Cette diminution est, en général, à peu
n fait intéressant que l'auteur a maintes fois constaté - de fibres nerveuses très menues, qui, tout en pos- sédant un cylind
s. Les modifications présentées par les vaisseaux sanguins du tronc nerveux sont intéressantes ; on peut presque dire que leu
re du vaisseau. Les petits vaisseaux qui courent le long des fibres nerveuses , sous le périnèvre, sont souvent le siège d'altér
; ils subissent un épaississement énorme et empiètent sur les tubes nerveux adjacents, jusqu'à provoquer, par compression,
st de même de ses relations fonctionnelles avec le reste du système nerveux central. L'auteur rappelle et résume au début d
Remarques SUR L'EMPLOI DE la formaline dans la fixation DES fibres NERVEUSES : par EDWIN-11. Kl'fCIlELL. (The New-York Médical
l'exception de l'acide osmique, les agents de fixation de la fibre nerveuse usités jusqu'à présent ont pour effet fâcheux de
les agents ci-dessus mentionnés. Les coupes transversales de fibies nerveuses fixées par une solu- tion de formaline comprise
rve dans la myéline fixée par le liquide de lluller. Quand la fibre nerveuse a été durcie à l'aide de la formaline, l'acide
éther, sans modifier son aspect. Lorsque l'on veut colorer la fibre nerveuse , - ou le tissu des centres nerveux - par la mét
sque l'on veut colorer la fibre nerveuse, - ou le tissu des centres nerveux - par la méthode de Weigert après fixalion par
ités inférieures, de phénomènes douloureux sur le trajet des troncs nerveux avec sensibilité à la pression, d'un certain de
l pense donc que l'état vacuolé et la dégénérescence des cellules nerveuses peuvent souvent être le résultat d'une insuffisan
224 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. la cellule nerveuse , mais ils ne sauraient demeurer sans effet sur l'
rd les rapports étroits qui existent entre les fonctions du système nerveux et celles des autres organes ; il insiste ensuite
. P. K. XXV. DE CE QUE L'ON appelle LES granulations DES CELLULES nerveuses ; par F. NtssL. (Neurolog. Centl'albl., XIII, 189r
dans le sillon intercrural forment un cône qui pénètre la substance nerveuse où sur une étendue plus ou moins longue elles des
le siège de lésions et pourquoi beau- coup d'affections du système nerveux central se traduisent à leur début par des symp
. XXVIII. SUR UNE NOUVELLE MÉTHODE DE recherches dans LES CENTRES nerveux , EN particulier pour localiser LES CELLULES nerve
ans LES CENTRES nerveux, EN particulier pour localiser LES CELLULES nerveuses ; par F. NISSL (Cent1'¡¡liJ ! . f. Newenheilk.,
r les relations directes (musculaires ou sensorielles) des cellules nerveuses avec leur organe terminal, chez un animal adult
a une altération régressive de ces éléments; 2° d'enlever un centre nerveux des organes centraux ou de couper les faisceaux
de couper les faisceaux qui sortent de ce centre; dans les cellules nerveuses du centre le plus voisin de celui qui dépend le
tervention opératoire; 4° enfin la loi est que dès que les cellules nerveuses des centres sont directement atteintes par un age
qu'on observe celte compensation entre la régression de la cellule nerveuse et'la progression de la cellule névroglique, il
gent nocif ait uniquement lésé les éléments spécifiques des centres nerveux , c'est-à-dire la cellule et les fibres nerveuse
cifiques des centres nerveux, c'est-à-dire la cellule et les fibres nerveuses . Combinaison de la méthode de Marchi et de Gudd
s. Quelques semaines plus tard, on les tue et on examine le système nerveux central. Dans ces conditions on constate qu'un
peut déterminer des altérations étendues à travers tout le système nerveux central, mais celles-ci échappent à la plupart
a commotion cérébrale provoque donc des lésions étendues des fibres nerveuses à myéline de tout le système nerveux central. I
lésions étendues des fibres nerveuses à myéline de tout le système nerveux central. IL La commotion de la moelle se traduit
en pour substratum réel et non occasionnel ces lésions des fibres nerveuses à myéline qui se propagent si loin, bien qu'on év
nt si loin, bien qu'on évite de parler d'une déchéance des éléments nerveux et qu'on se rallie à l'idée d'une diminution de
, quoi- qu'on ait plusieurs fois attribué à l'affection une origine nerveuse . L'auteur, en examinant une glande thyroïde exo
ue dans une thyroïde saine. Sur certains points, les termi- naisons nerveuses sur la paroi d'une inouïe vésicule thyroïdienne
aleur de la castra- lion dans le traitement des maladies du système nerveux . Rare- ment on a vu des opinions'aussi contradi
nsidé- rant la castration comme indiquée dans nombre d'affections nerveuses et psychiques; les autres déclarant, avec Spencer
l'ovariotomie, pratiquée chez les femmes atteintes d'irrita- bilité nerveuse , de nymphomanie et d'aliénation mentale, était
d'une intervention chirurgicale, puisque l'on sait que des troubles nerveux ou psychiques graves ont été guéris ou se sont am
ielle, qui peut être l'occasion de l'apparition de mani- festations nerveuses . On a reproché encore à l'ovariotomie d'avoir t
rs qui sont souvent chez ces femmes la cause de troubles du système nerveux . Certains auteurs ont attribué les cas de castr
s organes ne paraissant point altérés ont pu provoquer des troubles nerveux accusés, tandis que des lésions considérables (
e la conséquence d'une psychose, d'un état de souffrance du système nerveux central, qui déterminait des modi- fications de
ital et en particulier de l'ovaire, peuvent retentir sur le système nerveux central, et que cette influence péri- phérique
nt trop de temps pour amener un résultat. Par contre les affections nerveuses deviennent avec le temps de plus en plus rebell
rax, de l'acide osmique et de ses sels, des injections de substance nerveuse normale, du curare (dange- reux par son action
e trois heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux , et en une épreuve orale de quinze minutes sur
on seulement sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux , mais en outre sur une question de pathologie men
eux de ces jeunes médecins qui s'intéressent à l'étude des maladies nerveuses et mentales, de prolonger leur séjour dans les
seule- ment sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux , mais encore sur un sujet de pathologie mentale ;
e. C'est déjà trop d'avoir limité l'épreuve d'ana- tomie au système nerveux . Ce que le concours doit nous apprendre, c'est
trie, t. XIV, f. 1, 2'.) P. Sérieux. Congrès DE médecine mentale ET NERVEUSE . Le septième Congrès annuel des médecins aliéni
allucina- tion de l'ouïe; rapporteur, M. J. Séglas. - 2° Pathologie nerveuse . De la séméiologie des tremblements; rapporteur
ans l'état mental de B... avait paru singu- 362 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Hère en son temps sans qu'il fitt possible de
les Eludes cliniques et thermométriques sur les maladies du système nerveux a déjà constaté chez les indi-, vidus porteurs
idées mélancoliques avec dépression physique. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE , XXXVH. LA tétanie, avec observation d'un cas T
ement de l'affection dont il s'agit. R. M. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 263 aTlVlli. Sur r..1 compression cérébrale; p
mma et un abcès se forma, occupant l'espace 264 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . compris entre le sourcil et l'éminence pariéta
els il n'a jamais cessé d'être sous l'influence REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' 265 de l'alcool. A neuf ans il commença à fu
et de la toux ; tous ces symptômes se mani- 266 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . festaient dans un délai d'une dizaine de jours
s faits est ici d'autant plus difficile que les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 267 auteurs sont loin d'être d'accord sur la p
10 La région du noyau de l'hypoglosse donne naissance aux fibres nerveuses qui alimentent la langue, le palais, le pharynx e
ynx et le larynx de chaque côté du corps; 2° La colonne de fibres nerveuses connue sous le nom de fais- ceau respiratoire e
Femme de quarante-six ans, dont le père a 268 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . présenté des symptômes identiques. Trois ans a
qui sont le plus habituellement sous la dépell- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 269 dance de l'esprit, comme ceux de la face e
itation du langage. Lenteur et affaiblisse- 270 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ment intellectuels. Diminution considérable de
e l'expliquer; il existe une légère érosion sur REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 27'J Il le bord externe de la papille, et à ga
l'avait observé en 1885 à Berlin. R. M. C. 272 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XL VIL Symptomatologie DES affections cérébell
t la majorité des observateurs, le cervelet, considéré comme centre nerveux , préside à la coordination des mouvements muscu
e mention dans 23 ; 3° la névrite optique a été REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 273 rencontrée 66 fois, elle a manqué 12 fois,
servations Archives, 2° série, t. l. 18 274 . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . personnelles. Dans le premier cas, il s'agissa
lysie des muscles oculaires; 4° paralysie 276 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . irrégulière bilatérale des nerfs crâniens; 5°
omme leçoit sur la tôle, il la région frontale, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . : 21ï -1 un coup très violent qui lui est port
ues, et peut aussi constituer un pur trouble fonctionnel du système nerveux . L'auteur s'est attaché à discuter les diverses
la pathogénie dn symptôme ataxie. IL M. C. 278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LI. SUR QUELQUES manifestations nerveuses extr
278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. LI. SUR QUELQUES manifestations nerveuses extraordinaires chez un jeune sujet, par lveret
rectum, large d'un doigt et longue de 3 pouces, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . '279 prise sur la paroi postérieure : la tuniq
ncien spasme rectal. R. de Musgrave CLAY. 280 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LII. Hémianopsie transitoire ET rétrécissement
off. LUI. SUR la forme grave DE la sclérose artérielle DU système NERVEUX central; par L. JACOBSODN. (Archiu. sur Psychiatr
les hémorragies, les tbrombus, sont disséminés dans tout le système nerveux central. Dans l'observation personnelle, dont i
'écartent du type classique Charcot- Joffroy. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 281 Il ne s'agit pas dans la pachyméningite ce
et carorc- térlsées par des pollutions. 6. U. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 283 LIX. Diabète insipide avec rétention d'uri
esse, et il survient une cachexie mortelle. 284 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Cette constatation est en rapport avec l'histo
Ilyperexcitabililô de l'appareil moteur, depuis REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . : Q81> les centres corticaux et les noyaux
'.211'GI0lf ? lLllA ? I ? ) Statistique. - Sur 6806 cas de maladies nerveuses en 14 ans (1890-94) il n'y avait que 135 cas de
ffmann, prouver qu'il s'agit d'une affection simultanée des rameaux nerveux sensitifs qui conduisent les nerfs tropbulaes e
gravité;. Alors le processus morbide passe 286 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de l'autre côté, atteint d'abord le facial sup
rthropathie du genou survenue chez un tabétique REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 287 appartenant au type sensitif pur de Brissa
lingual et du tronc de la troisième paire à 288 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . droite. L'intégrité de la substance blanche co
rême tension dans les centres réflexes ; 3° un débordement d'influx nerveux d'abord dans les conduits efférents allant aux
réserve pour les besoins futurs. La constitution de cette provison nerveuse est carac- téristique de la vie humaine. Pour l
subit infiniment moins l'influence des inhibi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 289 lions supérieures, son contrôle lui est su
en différents : la clinique et la médecine légale. « Les troubles nerveux consécutifs aux traumatismes ne pré- sentent, e
fet, pas seulement l'importance médicale pure des autres affections nerveuses ; ils sont encore le sujet de procès très fréque
ir l'utilité pour le médecin de connaître exacte- ment ces troubles nerveux , si complexes, parfois si bizarres, suscep- tib
ar Brodie, décrits ensuite par Duchesne et par Robert, ces troubles nerveux ne furent sérieuse- ment étudiés qu'en 1866 par
de ces névroses, et celle de Charcot, qui ne voit dans les troubles nerveux consécutifs aux traumatismes que des formes hys
re du trauma comme très importante dans la production des accidents nerveux ; pour Charcot et son école, c'est l'émotion mor
pendant de faire une dis- tinction : dans la catégorie des troubles nerveux graves, où Jes symptômes fonctionnels semblent
émo- tion morale seule qui a provoqué l'apparition des phénomènes nerveux . Quant à la prédisposition, son rôle est tout à f
traumatiques est très complexe; elle comporte une foule de troubles nerveux , tantôt simples et locaux, tantôt compliqués et
ce et est quelquefois insignifiant, où le plus souvent les troubles nerveux ont été précédés chez les ma- lades d'une grand
., 1895.) L'auteur démontre qu'il existe des affections des centres nerveux qui peuvent, à des années de distance, se révei
e influence banale, ont un réveil de la première lésion des centres nerveux . La maladie affecte alors le plus souvent le ty
bureau du Progrès Médical. DEBIERRE et DOUMER, L'Album des Centres nerveux se compose de 48 figures schématiques, avec lég
'anatomie et particulièrement de l'Album stéréoscopique des Centres nerveux des mêmes auteurs, chacune de ses figures corre
litografia central. ' R.1Y3(OND. - Clinique des maladies du système nerveux . - Hospice de la Salpêtrière (année 1891-1895),
nt que l'oedème bleu peut se rencontrer dans des lésions du système nerveux qui sont loin d'être purement fonctionnelles; t
ns, est entré le 3 mai 1894 dans la section des maladies du système nerveux de l'hôpital de Moscou qui se trouve sous ma di
les membres de la famille du palient, on n'a observé aucune maladie nerveuse . En novembre 1893, le malade fut reçu au servic
épétée plusieurs fois a montré une différence de 4 à 5°. Les troncs nerveux sont indolores à la pression. Pour se rendre co
, du côté gauche, un nombre beaucoup moins considérable de cellules nerveuses que dans la colonne correspon- dante droite. Le
a quatrième paire dorsale la différence dans le nombre des cellules nerveuses des colonnes citées disparaît et la moelle prés
rvertébraux et sympathiques. Il en est de même pour les gros troncs nerveux du membre malade, sauf pour le nerf cubital ; s
s les petits nerfs cutanés, quoi- qu'on ne trouve pas un seul tronc nerveux où toutes les fibrilles soient dégénérées. Les
ans la peau au-dessus des parlies oedématiées, on trouve des fibres nerveuses dégénérées avec cylindraxes difficilement percep-
s, plus prononcées dans les nerfs de la peau que dans le gros tronc nerveux . Ainsi donc les lésions anatomo-patho- logiques
les fonctions les plus obscures et les plus compliquées du système nerveux . Elle est entravée par son ignorance de ces fon
dégénérescence qu'ils subissent, et ont pour origine une perversion nerveuse ; aussi propose-t-il, malgré ce que cette dénomi
lésions trophiques; 5° concomitance avec les affections du système nerveux central. On sait qu'il n'est pas rare chez les
ileuses, des formes insidieuses de pneumonie probablement d'origine nerveuse , des cystites aiguës d'origine trophique. Une o
M. XLV. Extraits D'UN rapport DU comité DES maladies mentales ET nerveuses ; par VHIT<<'ELL. (Occidental médical Time,
nifestant seulement son sourd travail par les troubles cérébraux et nerveux . (Annales médi';o-psyclwlogi'1ues, déc. 1895.)
ssivement les divers témoignages apportés- iJ60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . par les auteurs l'idée d'une dégénérescence de
- olorist, oct. 1893.) E. B. ,- ? \.y J ? 'ICVI ? DE PATHOLOGIE NERVEUSE . c.. '\... ? LXI. DEUX cas DE TUMEUR DU canal
st coiffé de la dure-mère adhérente et amincie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 363 dorsale, troubles sphinctériens. Mort quat
de la tumeur; lt A, racine antérieure tuméfiée. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 365 sphincters, crises pseudo-angineuses, lége
num mesurait 8 pouces 1/4 (0m,209) ou seu- 366 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lement 1/4 de pouce (os,006 environ) de plus q
il les épaissit dans l'âge adulte. Quel est le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 367 rôle du corps pituitaire ? Bien que mystér
ystériques, surve- nant à la suite d'une forte et soudaine secousse nerveuse , résultent 368 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
te et soudaine secousse nerveuse, résultent 368 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . d'une brusque détente des éléments nerveux du
68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'une brusque détente des éléments nerveux du centre de la parole placé dans l'écorce du c
eau. Tant que dure cet épuisement du cerveau, tant que les éléments nerveux , ou quelques-unsd'entre les éléments nerveux du
tant que les éléments nerveux, ou quelques-unsd'entre les éléments nerveux du cerveau sont privés de leur énergie spéci- f
on 111), le même phéno- mène a lieu quand la restitution du courant nerveux a lieu. C'est une sorte de trouble comparable a
sept ans, travaillant à la soudure de conduites REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 369 d'eau et maniant du minium.Il y a trois an
tiple, otite Archives, 2e série, t. I. 24 370 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tuberculeuse. Convulsions cloniques de la face
il éprouvait dans le tiers inférieur de la face REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 371 externe de la cuisse droite, sur une surfa
Le trépan découvre un épaississement ostéo- 372 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . fibreux de la paroi crânienne et des méninges.
'une même famille nouvelle venue, il estime que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 373 l'étiologie ne saurait être autre dans le
XXIII. DE QUELQUES phénomènes réflexes peu connus dans LES maladies nerveuses , ET DE la PILEUR diagnostique DU phénomène DU P
genou, il n'est un signe certain de lésions organiques du sys- tème nerveux central (Bechterew). L'asymétrie des réflexes ten
de preuve absolument certaine d'une affection organique du système nerveux . Il faut aussi se préoccuper de l'asymétrie des
DE l'importance DES détails de structure révélés dans les CELLULES NERVEUSES PAR LES COULEURS D'ANILINE BASIQUES; par C. BEN
us haut de différenciation fibrillaire d'un prolongement de cellule nerveuse ; 5° les cellules des cornes anté- rieures de la
due, avec des fibres de ce faisceau, un très grand nombre de tuyaux nerveux myélogènes d'un calibre assez notable ou moyen ;
orps calleux et l'écorce céré- brale. P. KÉRAVAL. XL. LES tractus nerveux sensitifs ET sensoriels ET les CENTRES ; par G.
arborescences terminales au sein de la subs- tance grise (cellules nerveuses ), passent directement des racines postérieures
Van Gen- deren, Stort et Engelmaun); la fonction précise des fibres nerveuses et de leurs centres qui y présideraient se conç
arce qu'à leurs fonctions sensitives concourent quelques phénomènes nerveux cen- trifuges, et que, d'une manière générale,
roscopique de ces dernières années nous apprennent que les cellules nerveuses de la rétine et du ganglion spinal cochléaire s
s cordons postérieurs de la moelle jusqu'au noyau grêle. Les noyaux nerveux du nerf optique sont comparables au noyau grêle
entre les nerfs sensitifs et les nerfs sensoriels. Tout le système nerveux sensitif périphérique est l'bomo- logue des pro
e des nerfs optique et acuus- tique. Le noyau grêle et les cellules nerveuses de la base de la corne postérieure, suivant tou
s- pondent aux centres optiques et auditifs primaires. La cellule nerveuse de la corne antérieure, de laquelle partent les c
l'existence d'un centre du nerf optique qui (de même que les fibres nerveuses des racines postérieures se terminent en partie
arcome s'en distingue par l'exten- sion du processus à la substance nerveuse . - Telle myelo-ménin- gite spinale tuberculeuse
sinage des vaisseaux. Sans doute aussi une gomme au sein du système nerveux central, une vraie gomme, et non un infiltrat g
NOTE A PROPOS DES lésions vasculaires dans la syphilis DES centres NERVEUX ; par le D1' Lamy. (Revue neurologique, jan- vi
s secondaires, chez les syphilitiques touchés du côté des centres nerveux . Ces malades peuvent, en effet, présenter des tro
a série détermine cependant des lésions accentuées sur les cellules nerveuses . (American journal of insanity, juillet 1895.)
achidienne : 1° tractus fibreux étranglant et dissociant les filets nerveux ; po enveloppement direct par une séreuse. L'irrit
loi DE la méthode DE coloration DE WEIGERI' ET PAL, pour LE système NERVEUX central durci dans LE formol; par H. l\1ARCUS.
., XIV; 1895.) Le formol durcit fort bien; il conserve : au système nerveux son élasticité; le cerveau et la moelle ne sont
s; tout ce qui est dégénéré est complètement décoloré. Les cellules nerveuses sont très distinctes, leurs noyaux sont très ne
des ordonnées. L'auleur étend cette loi, hors du domaine purement nerveux , à la détermination des rapports de grandeur entr
ation in- terne ou modification matérielle produite dans l'appareil nerveux par le stimulus ; 3° la sensation ou phénomène
XI. Essai théorique sur la NATURE ET LE mode d'action DE la force - nerveuse ; par W. BROADBENT. (If9'Cll)t, été et automne 189
Comme la chaleur, l'électricité, l'action chimique, etc. ; la force nerveuse n'est qu'une forme du mouvement. Les stimuli qui
hacun de ces faits n'est qu'un enchaînement de mouvements. L'action nerveuse n'est aussi que de l'éuergie mise en liberté pa
lleur) opérée dans les éléments hautement diffé- renciés du système nerveux . Le développement de cette force comporte en ef
nc due à des échanges atomiques plu- tôt que moléculaires. L'influx nerveux doit être évalué en intensité et non en quantit
Des doses infinitésimales de toxiques produisent d'énormes effets nerveux ; or, s'il y a corrélation des forces et s'il y a
tomes morphiques dans la narcose) il faut supposer dans les centres nerveux l'existence d'une substance à haute tension chi
ou tendance perpétuelle à une désagrégation quelconque. - Un acte nerveux complet s'accompagne d'oxydation et désinté- -
mouvement, la somme d'énergie dégagée dans un ensemble d'opérations nerveuses diverses, par le total des échanges chimiques,
e tension et dé résistance mutuelles. Tout point de départ d'influx nerveux en- gendre de l'énergie, celle-ci demeure en lu
t aux opérations sensori-mo- trices mais aussi à toutes les actions nerveuses quelle que soit leur nature (calorifique, inhib
us en relation structurale et fonctionnelle avec les termi- naisons nerveuses prennent une part active au maintien de la ten-
nes terminaux des nerfs moteurs.) Enfin la transmission de la force nerveuse se fait dans la fibrille par une modification m
MIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 401 soit la nature de l'action nerveuse . Les sensibilités diverses n'ont pas de conduct
l'heure actuelle la ma- nière de comprendre la structure du système nerveux , pris dans son ensemble, n'est plus celle qui r
lle qui régnait il y a quelques années. A cette époque les éléments nerveux formaient à leurs terminaisons des réseaux cent
leurs terminaisons des réseaux centraux; aujourd'hui les éléments nerveux , au lieu de s'anastomoser, se mettent simplement
les sont analogues; elles constituent les unités du tout. L'unité nerveuse se nomme neurone. Cette doctrine nouvelle compo
rchives, 2° série, t. I. 27 418 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. pathologie nerveuse que nous devons à des travaux relative- ment pl
des travaux relative- ment plus anciens. - S'il existe une unité nerveuse , un neurone, sa morphologie, sa physiologie, sa
n miniature, la structure, la physiologie, la pathologie du système nerveux tout entier. Nous étudierons tout d'abord le ne
s simple, en laissant tout d'abord de côté la complexité du système nerveux pris dans son ensemble. On peut définir le neur
ux pris dans son ensemble. On peut définir le neurone : une cellule nerveuse avec ses divers prolongements, ses prolongement
x muscles, à la peau, aux organes des sens, etc., etc. La cellule nerveuse est connue depuis longtemps et Deiters, en étab
ce qui justifie ce terme nouveau de neurone, c'est- à-dire l'unité nerveuse , c'est que chaque cellule nerveuse, chaque neur
e neurone, c'est- à-dire l'unité nerveuse, c'est que chaque cellule nerveuse , chaque neurone, est un petit organisme séparé,
n il fallait démontrer que les nombreux prolongements de la cellule nerveuse ne s'anas- tomosent pas pour former un réseau;
er le réseau de Gerlach pour établir l'indépendance de la cellule nerveuse . Or, en 1874, Golgi, faisant usage d'une nouvelle
que, démontra que les prolongements pro-, toplasmiques des cellules nerveuses ne s'anastomosaient pas, qu'ils se déterminaien
aire librement. Plus tard, Ramon y Cajal montra que le prolongement nerveux lui aussi se termine sans s'anastomoser avec le
Dès lors le réseau, rompu des deux côtés, fait apparaître l'élément nerveux comme isolé dans ses rapports de continuité. Et
ors créer, fort à propos, le terme de neurone pour désigner l'unité nerveuse . A. Morphologie générale et physiologie du neur
rone. Les neurones peuvent être de petites ou de grandes cellules nerveuses , leurs prolongements peuvent former de très riche
arborisations ou être beaucoup plus réduits, leurs prolonge- ments nerveux peuvent être si courts qu'ils se ramifient sim-
fibres motrices. Sa terminaison, quand elle a lieu dans le système nerveux central, se fait par des extrémités libres se m
t multiple ; c'est le type décrit par Cajal. i Si le prolongement nerveux est très long on a le type Dei- ters du neurone
rone peut se résumer en peu de mots : Chaque fois que l'in- flux nerveux de quelque nature qu'on le suppose, gagne le cent
rtant de l'écorce du cerveau pour se rendre à un muscle; le courant nerveux qui s'éloigne à ce moment du centre d'une cellu
qué à la pathologie. Les mêmes lésions, envisagées dans une unité nerveuse se pourront rencontrer avec le même aspect dans
s lois les plus générales et les plus incontestées de la pathologie nerveuse . Lorsqu'il ajouta : c le bout central reste int
t central du neurone en le montrant moins lié au reste du système nerveux et d'autre part en établissant l'unité de l'éléme
uméros suivants. Des dégénéres- cences rétrogrades dans les centres nerveux et les nerfs périphériques. Voir aussi la thèse
oup de cas, l'emploi des méthodes de Marchi pour l'examen des tubes nerveux et de Nissl pour l'examen de la portion cellula
me unité patholo- gique. Mais les neurones qui composent le système nerveux sont en rapport les uns avec les autres; les ne
gique, la force, quelle que soit sa nature, qui traverse le système nerveux en donnant lieu aux phéno- mènes de la sensibil
tème est relativement très simple. Partie de l'écorce, l'impression nerveuse suit le cylindraxe en s'éloignant du centre de
vre cérébrale a quatorze ans accompagnée de canitie partielle, très nerveuse . - Grand-père et oncle maternels, excès de bois
lus creux que le droit,bien qu'ilaf(irmen'avoirjamaiseu d'accidents nerveux . Durant l'enfance, il n'a eu ni manifestations
ée DE l'aorte abdominale. Contribution A la pathologie des cellules nerveuses ; par A. SARBO, (Neurolog. Cealralbl., XIV, 1895
, on obtient une désagrégation du protoplasma du corps des cellules nerveuses en fines granulations, suivie d'une atrophie ho
IE PATHOLOGIQUES. lioïdes, de cellules de prolifération; les fibres nerveuses sont atro- phiées, surtout dans les cordons ant
r avec le développement successif de chacune des parties du système nerveux , avec la genèse des manchons myéliques des fibr
E la partie chromatique ET achromatique du CITOPLAS21E des cellules nerveuses ; par E. LUGARO. (Riv. di pat. IW'V. et ment.,
ion DE la méthode au bichlorure DE mercure POUR L'ÉTUDE des centres nerveux ; par le Dr G. MIRO. (Riv. di pat. nerf. et ment
roduisent dans l'organismedébilitéparun travail excessif du système nerveux . La forme anatomique comme les symptômes cliniq
es contenues dans le sang. Le pro- cessus s'étend à tout le système nerveux ; il semble cependant que dans des cas particuli
vent négative au point de vue des lésions syphilitiques osseuses, nerveuses , hépatiques, etc., on peut affirmer que la syphil
la fonction gastrique soient secondaires à l'altération du système nerveux , ou enfin que l'on considère la muqueuse gastri
es les manières de voir prévalentes des émotifs, les obsessions des nerveux et des dégénérés, certaines idées fixes et déli
890 à juillet 1895. La plupart de ces leçons ont trait aux maladies nerveuses , nous allons faire une rapide analyse de ces dern
ique qu'il caractérise ainsi : maladie infectieuse aiguë du système nerveux à marche progressivement ascendante suivie de r
ales dans la production de ce qu'on appelle les maladies du système nerveux . A son avis, il n'y a pas de névrose idiopathiq
absolue par anopsie, guérison ; par Schirman, 271. J. CELLULES nerveuses . Ce que l'on appelle les granulations des -,
y-'fuke, 205. - anormales, par Mickle, 393. Ctronsnc des cellules nerveuses , par Lugaro, 479. Coloration. Méthode de de W
rnational de psychologie à Munich, 88. - de médecine men- tale et nerveuse , 254. - des mé- decins aliénistes de France, pa
es par Bab- cock, 358. FOLLE. Une -, 319. Force. Action de la - nerveuse , par Broadbent, 399. Fohmaune pour fixation d
nerveuse, par Broadbent, 399. Fohmaune pour fixation des fibres nerveuses , par Kitchell, 214. Fou tué par ses gardiens, 9
ées, par Fronda, 482. Laryngée. Paralysie - dans les aflec- tions nerveuses chroniques, par Permewan, 48. LATAII. Névrose
r les troubles mentaux, par Goodall et Bullen, 140. - mentales et nerveuses , par Witwell, 353. Maniaque. Excitation due a
des divers -, par Lévy Dom, 233. Suture des -, par Biuns, 486. Nerveuses . Les maladies - fonc- tionnelles et la syphilis
par Bernhardt, 370, 387; par Noecke, 378. Pathologie. Revue de - nerveuse , par Deny, Blm, Kerayal, Lwoff, etc., 360.
psie, par Zucarrelh, 281. POL1\VItITE. Changements du sys- tème nerveux central dans la -, par Soukhaiioll, 177. Pont
du diagnostic, par Leszinsky, 216. peu connus dans les maladies nerveuses , par de Bechterew,374. Rénales. Affections -, l
de - spinale postérieure, par Chubb, 270. artérielle du sys- tème nerveux central, par Jacob- sohn, 180. Syndrome rappela
brale, par Stiéglitz,274. Lésions vasculaires dans la des centres nerveux , par Lamy, 392. Tabès. Méthode de Froenkel dans
18 (1890) Archives de neurologie [Tome 20, n° 58-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARLES HEUISSEY ARCHIVES DE 1r NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE J.-1
Vol. XX. Juillet 1890. N" 58 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE DU BÉGAIEMENT HYSTÉRIQUE : GILBERT BALLET,
itaux, séance du 11 octobre 1889. Archives, t. XX. 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE . peu fixé l'attention. Briquet, dans son traité
pas que la chute ait ramené les troubles de la parole. 4 PATHOLOGIE NERVEUSE ." En juillet 1887, le malade, qui depuis quelqu
articuler, par suite d'un trouble Fig. 1. Fig. 2. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . mécanique dans les organes d'émission. Comme c
est allé pendant ce temps en s'améliorant l Fig. 3. 8 PATHOLOGIE NERVEUSE . d'une façon progressive, mais non pas régulièr
à la partie postérieure de la cuisse, la troisième au 10 PATHOLOGIE NERVEUSE . niveau du creux poplité. La zone anesthésique
s, qui viennent au contraire très bien. Mais Fig.5. 12 PATHOLOGIE NERVEUSE . · la prononciation est très altérée. Le malade
. Père mort en 1870, fusillé par les Prussiens ; mère vivante, très nerveuse , mais n'ayantjamais en de crises convulsives, a
arriver à faire comprendre au commissaire qu'il est 14 -PATHOLOGIE NERVEUSE . Français et demeure rue Sainte-Marguerite, qu'
ibilité le 15 novembre. Anesthésie complète Fig. 6. 16 PATHOLOGIE NERVEUSE . du membre supérieur se terminant en arrière à
anifesta- tion hystérique. Archives, L. XX. ' . 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . Cela ressort nettement de la lecture des obser
nutes environ le malade constata une parésie très ' : 20 PATHOLOGIE NERVEUSE . marquée de son bras et de sa jambe du côté dro
ines syllabes : un : queun ; deux : gueeu (OBs. 1). 22 pathologie nerveuse . Le rythme de la parole chez nos malades est do
involontaire. Nous avons cherché à le faire imiter 24 pathologie nerveuse . par différents élèves du service, aucun n'a pu
et les leçons de : \1.\1. l'îtres, ltemlu, Clutrcot. z6 pathologie nerveuse . - DU bégaiement hystérique. mais il ne se fait
it avec ceux que produisent diverses autres affections du système nerveux , soit avec le bégaiement vulgaire. RÉSUMÉ ET CO
langue (parésie, déviation spasmodique, tremblement). ' CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS
été la première 1 Leçons faites du 3 au lt mars 1890. 28 CLINIQUE nerveuse . en date dans le service, et, en outre, parce q
Parali/sie du Dictionnaire encyclopédique, p. 560. ' 30 clinique NERVEUSE . marche par exemple ; par conséquent il n'appar
lutation, un seul; puis un repos complet, pendant lequel le silence nerveux est absolu. Et c'est seulement après ce repos,
ec astasie-abasie, in Montpellier médical, mars 1889. 32 CLINIQUE NERVEUSE . - - rythmiques, dans des muscles déterminés sy
u paramyoclonus, au point que cer- Archives, t. XX. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE . ;ains auteurs ont voulu l'identifier à ce dern
u°5 25 et 26), la première description sous la rubrique « Affection nerveuse caractérisée par de l'in- coordination motrice,
re, exubérante méridionale, jouit d'une parfaite santé et n'est pas nerveuse . Uans le reste de la famille, chez les ascendants
, comme terme ultime et actuel à cette symptomatologie' 36 CLINIQUE NERVEUSE . variée, sont survenus les mouvements de saluta
sie choréique. L'enfant est arrivé avec une hémiparésie 38 CLINIQUE NERVEUSE . très accentuée dont la nature ne pouvait faire
tend qu'il existe des transitions insensibles entre ces 42 CLINIQUE NERVEUSE . stigmates atténués et les véritables idées fix
e. Tel autre est obligé de répéter 2,3, 10 fois le même 14 CLINIQUE NERVEUSE . mouvement, de tourner dix fois le bo Uou d'une
reuse; d'autres enfin, en très petit nombre, contiennent des fibres nerveuses nor- males entourées d'une couche de myéline.
ns points des accumulations compactes de ces cellules. Les fibres nerveuses qui s'y rencontrent sont presque toutes alté- r
e vitreuse. On ne trouve dans les cornes antérieures aucune cellule nerveuse ayant conservé ses caractères normaux. Les ce
ardé pourtant leur forme normale. Quant aux méninges et aux racines nerveuses , elles n'offrent pas d'altéra- tion évidente.
ues cylindres-axes luméfiés : Certains espaces sont vides de fibres nerveuses et la névroglie semble présenter un certain deg
s les deux cas, le processus a entraîné la des- truction des fibres nerveuses et l'altération des cellules ganglionnaires ; a
ne fièvre typhoïde ou éruptive, une pneumonie..., c'est une maladie nerveuse à forme convulsive qui se déclare chez un épile
re-vingts ans. Ils n'étaient ni l'un ni l'autre atteints de maladie nerveuse . - Il a eu sept enfants dont deux sont morts en
le résultat est l'exagération du pouvoir excito-moteur de ce centre nerveux . - Là, s'arrête tout ce qu'on sait de positif;
é l'épilepsie. Il compare, après Schroeder van der Kolk, la cellule nerveuse à une bouteille de Leyde. Dans l'épilepsie la d
nce. Mais les con- naissances en physiologie élémentaire du système nerveux sont encore bien bornées et il faut surtout évi
En frictions. Pilules de phosphore (Dannecy). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 69 ment solubles dans l'acide chlorhydrique, a
r. On l'administre sous forme de granules. 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mouvements de manège, tendance au recul, chute
eur vertébrale n'est pas caractéristique, pas plus que les troubles nerveux ; la gibbosité et la constatation d'un abcès par
corps ou de la tête {l'étroJlexiol1 de la tôle, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 71 opisthotonos, pleurosthotonos), convulsions
du muscleaccommodateur, mais conservation de 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . la réaction pupillaire réflexe. Cette atteinte
d'après l'auteur, une atrophie dégénéralive des fibres et cellules nerveuses , des noyaux, des oculomoteurs com- muns, des oc
nférieur, rien que cela) et symétrique. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 73 X. NÉVRITE MULT1LOCULAIRE AVEC PARALYSIE FA
lée fronto-occipitalc et oculaire. P. K. ' ' 74 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XIII. CONTRIBUTION A l'étude ET au mécanisme D
ion. Il s'agit d'une ophtalmopiégie nucléaire par lésion des noyaux nerveux du tronc ducerveau et en particulier de ceux qu
mmandent au système musculaire des vaisseaux de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1S l'intestin, de la vessie, du coeur, de la p
accusée des fonctions psychomotrices et neuromo- trices du système nerveux ; suivant l'intensité de l'agent pathogène, il
vertébraux du grand sympathique abdominal. il existe une cardialgie nerveuse avec hyperalgésie de la face antérieure de la c
égie alterne, lorsqu'elle se rapproche de la 16 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . base et englobe les troncs nerveux périphériqu
de la 16 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. base et englobe les troncs nerveux périphériques. Observation avec autopsie, de tu
, pas un enfant sain ne présenta d'absence com- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 77 plète et persistante du phénomène du genou;
hives de Neurologie, t. XII, p., 407 et 221. 78 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dite avec hypertrophie cardiaque. La carotide
al. Centralbl., 1886.) Due à une compression exercée sur les troncs nerveux du bras pendant un profond sommeil de deux heur
nt galvauique méthodique (forts courants sur la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 79 moelle, courants assez forts sur les muscle
. Intégrité des muscles, même au microscope, intégrité des éléments nerveux . Suit une discussion 110'io ! 0p-ique et patho-
e, lefouettement de la pluie et du veut pro- 80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . voquent des accès; non pas du reste le grand f
ppelle d'abord que les aspects très divers sous REVUE DE pathologie NERVEUSE . 81 lesquels peut se présenter l'hystérie condu
a corne postérieure, en se terminant probablement dans les cellules nerveuses situées en cet endroit. - 2° Il n'y a donc pas,
ervicale et lombaire, il existe un assez grand nombre de fins tubes nerveux épars ou en petits groupes. 3° Dans les racines
ci : enfants à affaiblissement intellectuel simple - enfants calmes nerveux - méchants ou vicieux dont l'étude confirme ple
loppés. Dans chacune des zones correspondantes on voit des cellules nerveuses assez bien marquées, et des fibres blanches pou
hacun des districts du cerveau ne se montre qu'après que les fibres nerveuses de ces zones se sont revêtues de substance, de
istence ET DE l'importance DES CELLULES granuleuses dans LE système nerveux DE l'homme ; par Tir. 11OSbNIIEIM. (Arch. ? Psycl
s émanent des corpuscules du tissu conjonctif, même dans le système nerveux ; leur multiplication indique un trouble de la
à fait exempt de dégénérescence. P. K. X. De l'allure DES fibres NERVEUSES A myéline DE L'ÉCORjCE DU CERVEAU, DANS LA PARA
s d'athéromes accompagnés de dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses et des vaisseaux, d'oedème cérébral ou de folie
ie générale avancée, ou ne notera l'absence de lésions des cellules nerveuses , seulement, beau- coup de ces cellules sont dem
moelle du côté opposé. Mais il est aussi probable que des cellules nerveuses interrompent les fibres radiculaires sensitives
ntient (méthode de Weigert à l'lémaloxy- line) de nombreuses fibres nerveuses émanées : 1° de la capsule in- terne ; 2° des s
roduisit aucun effet. Et pour exciter par cet agent les gros troncs nerveux périphériques, ainsi que les muscles, il fallut d
genèse sont : l'irritation interne, dite spontanée, de la substance nerveuse , aux points terminaux des nerfs sensoriels, par
ine (action vasculaire, processus nutritifs au sein de la substance nerveuse du nerf optique), modelés, perçus, construits p
: 1° Dans les différentes formes de folie, l'influence du système nerveux sur le coeur et la circulation est telle que, dan
ormes de folie qui s'accompagnent d'excilation mentale, les centres nerveux sont con- gestionnés, mais comme les parois art
elle est probablement due à la lenteur r d'évolution des impulsions nerveuses dans lesystème vaso-moteur. 7° Dans les cas d'i
la maladie. A l'autopsie : dégénérescence et atrophie des cellules nerveuses de l'ecorce cérébrale et de la moelle. Sclérose
ient une affection généralisée ou au moins très étendue des centres nerveux ; mais en ce qui touche l'atfection médullaire,
brillaires indiquaient une affection tropho-irritative des cellules nerveuses des cornes antérieures, et les nécroses cutanée
sion momentanée, due probablement à l'état d'instabilité du système nerveux du malade, et ne présentant pas d'ailleurs les
la symptomatologie : 1° X..., -quarante-six ans, pas d'antécédents nerveux , vie dissipée, infection syphilitique il y a hu
n lente, mémoire bonne ; manie aiguë succédant à d'autres symptômes nerveux ; embarras de ]a parole, - dys- phagie, parésie
elle de la paralysie. 2° Z..., trente-quatre an-, pas d'antécédents nerveux , vie dis- sipée. infection syphilitique il y a
nte ; mémoire mauvaise ; manie aiguë succédant à d'autres symptômes nerveux ; embarras de la parole, aphasie ; parésie des
e de construction et de développement des deux cervaux; toutes deux nerveuses à la suite de tourments, elles se sont infectée
es cas, il existe une diminution plus ou moins prononcée des libres nerveuses fines qui, parties de la lisière de la substance
tion au carminate d'ammoniaque témoigne de l'intégrité des cellules nerveuses . Les vaisseaux sont intacts, à l'exception d'un
entaient les mêmes destructions comme origines des mêmes phénomènes nerveux et mentaux ; c'étaient des foyers de ramollisse
hemin de fer à la suite d'un accident. Le malade est resté inquiet, nerveux , agité, éprouvant des vertiges fréquents. Les s
e qu'il y a à faire. - P. S. X. Etudes cliniques sur les maladies nerveuses et mentales; par le Dr Jules Falret, médecin de
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures aux
Vol. XX. Septembre 1890. N- 59 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE SUR UNE COMPLICATION PEU CONNUE DE LA SCIATIQUE
s les divers troubles tro- .\ncmvHa, t. 1\. ' 10 , 146 PATHOLOGIE NERVEUSE . phiques consécutifs à la sciatique, la rougeur
el ou tel groupe musculaire sous la dépendance d'une même branche nerveuse . 1 Landouzy. De la sciatique et de l'atrophie m
é externe a'origine pel- vienne. Th. Paris, 1884. 1118 PATHOLOGIE NERVEUSE . Un autre auteur, M. Noune', a publié un cas de
s orteil. Cette disposition peut se résumer ainsi : '150 PATHOLOGIE NERVEUSE . sent plus ses jambes qui sont comme engourdies
seurs, c'est-à-dire sur les muscles innervés par cette même branche nerveuse . Tout cela, est bien caractéristique et se pass
u bout de quinze jours, elle quitta l'hôpital. , - 183 PATHOLOGIE NERVEUSE . Rentrée chez elle, elle reste encore au lit pe
oint de vue ce n'est pas une des moins importantes. '154 PATHOLOGIE NERVEUSE . Observation V (résumée). - Accouchement labori
sciatique consécutive à ' Lefebvre. - Thèse citée. 158 PATHOLOGIE NERVEUSE . un accouchement pratiqué à l'aide du forceps,
plus ici. De même que dans le saturnisme, l'alcoolisme, les lésions nerveuses se localisent de pré- férence aux troncs nerveu
sme, les lésions nerveuses se localisent de pré- férence aux troncs nerveux animant les muscles exten- seurs, de même chez
catégorie de faits 1 fil'il"ois, Thèse citée. '1(7O ' PATHOLOGIE NERVEUSE . que nous nous sommes proposé d'étudier et dans
s vives; bien qu'empêchant AI1.CIII\ l ? t. XX. il 462 PATHOLOGIE NERVEUSE . encore le malade de dormir, mais elles siégeai
long du bord plantaire externe et aboutit à l'ex- 164 . PATHOLOGIE NERVEUSE . trémité du petit orteil. Cette plaque d'analgé
ie au contact chez le malade de l'Observation VII. 166 . PATHOLOGIE NERVEUSE . moteurs, elle en diffère en ce que l'anesthési
le sol. Elle steppe manifestement du. côté gauche. 168 PATHOLOGIE NERVEUSE . Les essais de résistance aux mouvements passif
IX (personnelle). Sciatique droite. - Paralysie avec 170 PATHOLOGIE NERVEUSE . réaction de dégénérescence des muscles de la r
refroidissement, ni traumatisme, ni compression apparente du tronc nerveux ou du plexus sacré. Mais la sciatique s'est dével
tibial antérieur (branche du poplité externe). 'll'2 ) PATHOLOGIE NERVEUSE . côté interne, reçoivent leurs filets cutanés s
ement suffisantes pour conclure à la lésion des di- verses branches nerveuses . Observation X (personnelle). -Sciatique ancien
elle passait un ou deux mois au lit ou à la chambre. 174 PATHOLOGIE NERVEUSE . Il y a quatre ans, au mois de mai, nouvelle ré
olues dans le domaine du sciatique poplité externe). 176 PATHOLOGIE NERVEUSE . chant, s'appuie à peine dessus, le talon ne po
rt les troubles de la sensi- .lacmvES, t. XX. 12 - 118 PATHOLOGIE NERVEUSE . ' bilité. Ils se présentent exactement sous le
fesseur Charcot. Antécédents héréditaires. - Mère violente, colère, nerveuse , n'a jamais eu d'attaques de nerfs. Le frère de
e de son grand-père est folle. Son père est sain, ni alcoolique, ni nerveux ; un de ses frères est athsmatique. SUR UNE COMP
eur jouissent d'une bonne santé et n'ont jamais présenté d'accident nerveux . 180 PATHOLOGIE NERVEUSE. Il passe la meilleu
santé et n'ont jamais présenté d'accident nerveux. 180 PATHOLOGIE NERVEUSE . Il passe la meilleure partie de l'année 1888 à
bsolue dans le domaine du sciatique poplité externe. 182 PATHOLOGIE NERVEUSE . réflexes patellaires sont égaux des deux côtés
be et à la plus grande partie du pied, est atteinte- 184 PATHOLOGIE NERVEUSE . d'anesthésie complète et absolue. Cette derniè
es limites de son anesthésie qui ne répondent à aucune distribution nerveuse . Mais il faut admettre d'abord qu'elles ne sont
l'hystérie et non à la sciatique. Tel était du reste 186 PATHOLOGIE NERVEUSE . COMPLICATION DE LA SCIATIQUE. l'avis de M. le
sur le territoire de distribution musculaire et cutanée de ce tronc nerveux ; 2° Cette complication se présente aussi bien
d'une névrite avec atrophie dé- générative des muscles.. CLINIQUE NERVEUSE LEÇONS SUR UN CAS DE MALADIE DES TICS ET UN CAS
humatismes. La mère qui vit encore, n'a jamais été malade; elle est nerveuse , mais, sur ce sujet encore, sa fille ne fournit
te, mais elle ' Voy. Arch. de Neuool., t. XX, p. 27. 188 CLINIQUE NERVEUSE . n'accuse aucun phénomène nerveux bien précis.
l., t. XX, p. 27. 188 CLINIQUE NERVEUSE. n'accuse aucun phénomène nerveux bien précis. Elevée dans un pensionnat, elle a
48 fois la main droite et 36 fois la main gauche à sa 190 CLINIQUE NERVEUSE . bouche, sans que le tremblement constaté à la
ffection qui survient chez un de leurs membres, s'ajoute un élément nerveux . - Si, dans une pareille famille, une génératio
és intellectuelles et parfois à la démence complète. 192 CLINIQUE NERVEUSE . On a beaucoup discuté sur la nature de cette m
e qui joue un rôle prépondérant dans sa pro- duction est l'hérédité nerveuse , soit l'hérédité de transformation soit surtout
uelle est sa signification ? Archives, t. XX. 13 3 194 - CLINIQUE NERVEUSE . Je n'ai nullement l'intention de vous présente
voit bientôt l'organe se dévier involontairement de la 196 CLINIQUE NERVEUSE . direction indiquée. Cette manoeuvre est aussi
oreiller. 11 est nul également pen- dant le sommeil. 198 CLINIQUE NERVEUSE . Mais, si l'on fait asseoir le malade sur son s
de Médecine.}], conclut que le tremblement dit sénile 200 CLINIQUE NERVEUSE . n'est point lié à la sénilité. S'il est plus f
hie générale de la moelle, une pig- mentation anormale des cellules nerveuses , un dépôt abon- dant de corps amyloïdes, l'enda
blements trépidatoires sont habituellement localisés à 202 CLINIQUE NERVEUSE . un membre inférieur. Ils sont constitués par d
ystériques (1890, n° 1 et suiv.)... , , , .. - 1 ' 304 . - CLINIQUE NERVEUSE . lations par seconde, comme Chambard en a cité
cette grosse question de la nutrition dans les maladies du système nerveux en géné- ral et chez les hystériques en particu
paralysie agitante, les choses paraissent aussi se' 206 ' CLINIQUE NERVEUSE .' r. passer différemment. Au mois de juillet 18
sidère le fond morbide; mais les formes symptomatiques 208 CLINIQUE NERVEUSE . sont variées à l'excès, mobiles, fugaces et se
re, isolée, que l'on a devant les yeux, si l'altération des centres nerveux est simplement fonctionnelle, et s'il n'existe
qui existent entre l'hystérie et les maladies organiques du système nerveux est une des plus délicates et des plus ardues d
ndant le jour, n'est plus avalée Archives, t. XX. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE . pendant le sommeil, alors que la volonté n'int
bornerai à conclure que notre malade présente un trouble du système nerveux localisé dans le mésocéphale, peut-être dans le
t on alternera l'emploi avec celui du chlorure d'or. 212 CLINIQUE NERVEUSE . DES PARALYSIES CONSÉCUTIVES A L'EMPOISONNEMENT
Leç. clin, de la Pitié. (Ballet. 31ëd., 30 déc. 1888.) 214 CLINIQUE NERVEUSE . recueilli une trentaine environ; un petit nomb
. Cécité cl hémiplégie droite (France : )Id., 1SS3). 216 6 CLINIQUE NERVEUSE . premières observations sont dues à Bourdon qui
. interne de Berlin (Sem. déclic., 16 janvier 1889.) 218 CLINIQUE NERVEUSE . la fesse et en ce point une plaque rouge ellip
e. Contractilité galvanique : DELTOÏDE ANTÉRIEUR. '220 CLINIQUE NERVEUSE . devenu hémiplégique à la suite d'une asphyxie
1882.) 3 Lancereaux, in Thèse de Simon, Paris, 1883. 223 CLINIQUE NERVEUSE . mais ce ne sont pas elles qui ont provoqué les
histologique ne fut pas fait). Mais il y avait des alté- rations nerveuses au niveau du membre inférieur par où la paralys
onstata l'existence d'un tissu morbide qui englobait tous les tubes nerveux . - Autre observation. Un ma- lade d'Alberti mou
ètres, sa gaine était épaissie ; à l'examen histologique, les tubes nerveux étaient remplis de boules de graisse. On a en
lidet2). Ces derniers auteurs ont trouvé « un grand nombre de tubes nerveux présentant des altérations 'manifestes : segmen
de celles des nerfs chez un individu qui succomba avec des lésions nerveuses après avoir été paralysé du bras et de la jambe
que les altérations musculaires ne sont que secondaires. Lésions nerveuses centrales. Les désordres que l'oxyde de carbone
de de carbone (Archiv /ür Psychiatrie, Bd. I. S. 260). 224 CLINIQUE NERVEUSE . du cerveau est presque la règle dans les autop
péri-axiles sert de base aujour- Archives, t. XX. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE . d'hui à la théorie périphérique de la paralysi
périphérique ne paraît pas pou- voir être mise en doute. Les tubes nerveux sont tou- chés par l'oxyde de carbone comme ils
oir une diminution du ' Simon. - Thèse, Paris, 1883. 228 CLINIQUE NERVEUSE . - nombre des globules, une anémie vraie; Cl. B
une façon certaine l'ac- tion de l'oxyde de carbone sur les centres nerveux ; plus récemment enfin, de Becker a fait voir qu
'1'esp, blalt cité dans Wirchow /«/M'M6e;-icA ? 1868). 230 CLINIQUE NERVEUSE . - PARALYSIES. présenta à la suite d'une parési
complète respectant la face : guérison en un mois. Ici l'origine nerveuse des accidents nous paraît très probable. Il est
in Bullet. Médical, 10 avril 1880. ' Bourdon. - Loc. cit. - CHOC NERVEUX LOCAL ET HYSTERO-TRAUDIATIS111E. 231 façon cert
utives à l'empoisonnement par le charbon. RECUEIL DE FAITS CHOC NERVEUX LOCAL ET ,HYS'I'ÉRO-TRAU11ATIS\fE; Par le D' PA
. Richet) ; tels sont encore tous les états consé- cutifs aux chocs nerveux (Nervous shock des Anglais), produits par les é
le second élément cité plus haut, à savoir le traumatisme, le choc nerveux local. Ce choc local n'est comme nous allons le
rcot.) Avant d'aborder le résumé de nos connaissances sur le choc nerveux local, il convient de distinguer nettement avec G
ccidents seraient causés par la compression des troncs artériels et nerveux par un épanche- ment profond et disparaissent a
nche- ment profond et disparaissent après un débridement. Le choc nerveux local a été étudié d'abord en Angleterre, puis
esthésie incomplète dans le territoire cutané innervé par le plexus nerveux voisin de la plaie. Parfois il a rencontré une
II, p. 404. 8 0. Berger. - Berlin. Klin. WÕche¡¡sch" 1871. CHOC NERVEUX LOCAL ET HYSTÉRO-TRAUMATISME. 233 de la parésie
res. - Rien de spécial à signaler. Il n'y a jamais eu aucun trouble nerveux ni chez ses ascendants, ni chez ses frères et s
Le 15 mars 1890, S... est blessée à la main droite par une ma- CHOC NERVEUX LOCAL ET HYSTÉRO-TRAUMATISME. 23S lade qui lui
s être rangé à la fois à côté des phénomènes physiologiques du choc nerveux local et à côté des paralysies hystéro-trau- ma
elle les stigmates de l'hystérie. Cette absence de prédis- position nerveuse peut servir à expliquer le peu de durée des acc
ou une intoxication, la parésie et l'anesthésie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 237 transitoire du choc local se fussent trans
uite par la blessure (craintes d'amputation). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXI. D'UNE névrose PEU connue DES extrémités, p
ur discute le diagnostic d'avec : névralgie, compression des troncs nerveux , névroses profession- nelles connues, névrites
périphériques ordinaires, tétanie avortée, 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . infection, lésions organiques de la moelle, tr
specta la branche oculo-frontale. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 239 XXXIII. UN cas d'épilepsie traumatique gué
es concernant l'anatomie, la physiologie, la pathologie des centres nerveux . P. K. XXXV. DES rapports QUI EXISTENT ENTRE LE
'immense majorité des cas, cette altération 240 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . protéiforme de l'innervation' est un symptôme
ourront être affectés d'une très forte insuffi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 241 sance, que l'intensité de celle-ci se modi
convergence souffrira. C'est ce qui arrive dans le cas d'épuisement nerveux généralisé. Eh bien ! dans la maladie de Basedo
n revanche à remarquer que, dans les lésions organiques des centres nerveux , la convergence demeure in- tacte, tandis que,
st 'pas liée non plus à la neurasthénie (surmenage, affaiblissement nerveux ) bien qu'elle puisse en être accompagnée. Et ce
uni, puis bilatérale, Archives, t. XX. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . s'accompagna dans l'espèce d'une parésie légèr
spontanément sans cohésion réelle. Dans le pre- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 243 mier état, de nouvelles idées sont engendr
urant d'air glottique. Immédiatement après, 244 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1 les membres inférieurs reprennent leur flacc
équente, avec des interruptions de trois à cinq minutes, des troncs nerveux et de la colonne vertébrale (cathode en station
mois et les accès disparaissent totalement. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 245 Observation de Rosenbach. - Une hydropisie
ssein, ne les provoquaient pas. Observation IL - Ici prédisposition nerveuse , excès bachiques et vénériens. Depuis quelques
ndant t le repos de l'organe. P. KERAVAL. 246 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . · LUI. Contribution A la théorie DES ZONES épi
électrique est normale; très grande sensibilité REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 247 au niveau du trou styLe 100 jour, hypoexci
il est pris d'une crampe convulsive doulou- 248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . reuse du gros orteil qui se fléchit en entrain
1 Voy. Archives de Neurologie, t. XV, p. 372. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 249 réactions tendineuses diffèrent des vrais
ntionnel. - En même temps, atrophie de la - 250 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . moitié droite de la langue ; parésie spasmodiq
LXII. Appendice au chapitre DE l'affaiblissement DU COEUR D'ORIGINE nerveuse ; par 0. ROSENBACH. (Centralbl. f. Nervenh.; 1886.
ns organiques du coeur est la même que celle-de son affaiblissement nerveux . Ce dernier constitue au point de vue anatomiqu
t exercer une suppléance fonctionnelle. P. K. REVUE DE pathologie NERVEUSE . , 251 LXIV. Maladie DE BASEDOW. ET maladie BRO
qui forment de nouveaux vaisseaux. Atrophie parallèle des cellules nerveuses et des fibres nerveuses qui disparaissent par b
vaisseaux. Atrophie parallèle des cellules nerveuses et des fibres nerveuses qui disparaissent par bouquets. P. KERAVAL. '
. DES conséquences persistantes DE l'ergotisme A l'égard DU système nerveux central, par F. TUCZEK. (Arch. f. Psych, XVIII, 2
88.) Nouveau fait de guérison de troubles fonctionnels du système nerveux , réfractaires à d'autres méthodes de traitement.
ralbl., 1888.) Sorte d'inflammation toxique (tuméfaction des fibres nerveuses , hypérémie, espèce de bourgeonnement vasculaire
ne lacune porencéphalique congé- nitale (intégrité de. la substance nerveuse même) qui comprend, sur la crête médiane de l'h
sque dans l'insula. P. K. XXXIX. La coloration au carmin du tissu nerveux ; par H -S. UpSON. Remarque additionnelle; par W
deux (Krauss). La myéline n'étant pas touchée, on voit les cellules nerveuses , x les cylindraxes, le tissu conjonctif, les no
ent pour saisir les vais- seaux, les noyaux des nerfs et les fibres nerveuses (Krauss). Les colorations s'effectuent plus ou
cet effet avec le bureau de la société de psychiatrie et mala- dies nerveuses de Berlin. M. ROLLER (de Brake) sur la folie hé
za, plus que toute autre maladie infectieuse, agisse sur le système nerveux .' Ainsi, dans les cas légers, la fièvre est mod
de un jour ou deux, et cependant, pendant des semaines, le système nerveux demeure prostré ; le malade est déprimé, hypoch
, convulsions et crampes musculaires, ou autres troubles du système nerveux périphérique des plus pénibles. Quand ces phéno
te dans tout son parcours aucun rapport de contact avec aucun noyau nerveux , avec aucune racine, il se distingue nette- men
i de sa lésion locale, mais elle parait avoir augmenté les troubles nerveux et psychiques. On le guérit à l'asile en quelqu
M. Targowla, sur l'histoire ana- lomique et pathologique des fibres nerveuses à myéline intra-cor- ticales du cerveau. Il e
en aux leçons magistrales de M. Charcot sur les maladies du système nerveux . Mais aussi ils comblent une lacune. Nous serions
as de publication aussi frappante. Il y a peu de régions du système nerveux qui ne soient explorées, fouillées, et cette in
pendant la première période ; troubles viscéraux, urémie, troubles nerveux de la deuxième phase de la maladie. Ces troubles
troubles nerveux de la deuxième phase de la maladie. Ces troubles nerveux peuvent porter sur la moelle (paraplégies passagè
les troubles de l'ar- tério-sclérose à localisation sur le système nerveux . A ce propos, en faisant l'historique du pouls
, cet ouvrage ne peut être considéré comme un traité de séméiologie nerveuse , il pourra en tous cas, grâce aux docu- ments q
pour l'étude de la physiologie pathologique des différents troubles nerveux , et sur- tout pour les procédés à employer dans
tion écrite portant sur l'anatomie et sur la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures aux
OLLY (de Strasbourg) est nommé à la chaire des maladies mentales et nerveuses de l'Uni- versité de Berlin, vacante depuis la
le Dr ANFInIOFF est nommé privat-docent des maladies mentales et nerveuses . Enfants homicides. - Une dépêche de Saint-Péte
fr. 35 ED1VARDS (B.-A.). - De l'hémiplégie dans quelques affections nerveuses (ataxie locomolrice progressive, sclérose en pl
. Vol. XX. Novembre 1890. N" 60 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE LA MIGRAINE OPIITHÂLMIQUE HYSTÉRIQUE; Par
e névrose dans la neuro-patholo- Archives, t. XX. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE . gie. Cette évolution, progressivement accompli
ant peut reconnaître pour cause une lésion organique du sys- tème nerveux . Ce n'est cependant pas dans le but de combattr
bliées par Bourneville, t. III, p. 249 et suivantes. 308 CLINIQUE NERVEUSE . pêtrière, d'agrandir sans cesse et sans raison
indiquées ait été l'ex- pression d'une lésion organique du système nerveux , ou bien encore ait pu être manifestement ratta
ne névrose autre que l'hystérie, on peut, à bon droit, 310 CLINIQUE NERVEUSE . porter, même dans ce cas, le diagnostic de mu-
cette névrose, quelques caractères particuliers qu'une 312 CLINIQUE NERVEUSE . analyse plus rigoureuse permettra un jour de m
peut être hystérique et être atteint en même temps d'une affection nerveuse indé- DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE HYSTÉRIQUE. 3
ques autres particularités urologiques' quand il s'agit de troubles nerveux qui se manifestent sous forme d'accès. 2° L'é
n dit par- fois que la soudaineté dans l'apparition d'un accident nerveux tend à démontrer que l'hystérie est en cause; c
nutrition dans l'hy térie. (Progrès médical, 1890.) 314 CLINIQUE NERVEUSE . loppent avec rapidité, mais non soudainement,
appartiendrait plutôt à quel- ques affections organiques du système nerveux . b) Le mode de terminaison constitue, au contra
'hystérie. On pourrait nous objec- ter, toutefois, que des troubles nerveux peuvent pren- dre la place les uns des autres s
ymp- tômes dûs par exemple à quelque maladie organique du système nerveux , on obtient souvent une repro- 316 CLINIQUE NER
ue du système nerveux, on obtient souvent une repro- 316 CLINIQUE NERVEUSE . duction qui peut paraître parfaite à un observ
ractères sur lesquels on peut s'appuyer pour soutenir qu'un trouble nerveux donné dépend de l'hys- térie sont, comme on le
Babinski (Archives et nelll'ol., 1889, nos 49 et 50. 318 CLINIQUE NERVEUSE . nant sans difficulté, en signalant simplement
ériphérie est formée par une ligne eu zigzags, faisant 320 CLINIQUE NERVEUSE . un tour incomplet, une sorte de roue irréguliè
ns de mentionner s'atténuent et on voit apparaître alors des crises nerveuses semblables à celles qu'elle présente actuelleme
ments plus précis sur les caractères de son scotome. 324 CLINIQUE NERVEUSE . Observation III. - Jeune fille dgée de vingt-d
- Etant petite, de l'âge de trois à cinq ans, elle a en des crises nerveuses nocturnes, d'une durée de une à deux heures, co
seize ans, à l'occasion d'une vive émotion, la malade eut une crise nerveuse constituée de la façon suivante : tout d'un cou
; elles apparaissaient tous les huit jours, aussi bien 326 CLINIQUE NERVEUSE . le jour que la nuit, puis tous les quatre jour
que la moitié droite des objets qu'elle fixait, et en 328 CLINIQUE NERVEUSE . même temps du côté gauche elle apercevait des
un des stigmates les plus communs de cette névrose. 330 CLINIQUE NERVEUSE . sentés par ces malades pour qu'il ne reste auc
démontrer qu'il existe une rela- tion étroite entre ces deux états nerveux , que la mi- graine ophthalmique est ici sous la
upes. 1° Les accès de migraine sont accompagnés de manifestations nerveuses dont la nature nous paraît incontestable ; les
e. Enfin, dans l'OBSERVATION IV, voici les arguments 332 CLINIQUE NERVEUSE . qu'on peut invoquer : 1° Les attaques hystériq
à la Salpêtrière, par M. Parinaud, sur plusieurs cen- 334 CLINIQUE NERVEUSE . DE LA MIGRAINE OPHTHALMIQUE. taines d'hystériq
thalmique commune résulte d'un spasme temporaire - DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 335 des vajsseaux sylvi
n jusqu'à l'apogée de son développement. ANATOMIE DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION; Par M. Il. THO LARD,
à l'écorce ou en provenant. Cette conception générale du système nerveux n'est pas, je le reconnais, d'une rigoureuse ex
, elle peut être acceptée à titre de vue d'en- semble de l'appareil nerveux , en attendant que nos maîtres nous apportent la
n'ai eu à en faire que la synthèse en quelque sorte. DE l'appareil nerveux central DE l'olfaction. M9 Mais pour que cette
.) Certes oui je me suis défié, non pas du désir de DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 341 démontrer la justes
istes. Pour me conformer à la façon dont j'ai envisagé le circuit nerveux , je vais décrira pour le demi-circuit sensitif
erveux, je vais décrira pour le demi-circuit sensitif de l'appareil nerveux de l'olfaction les trois arcs dont j'ai parlé p
Il ne faut pas chercher dans ce schéma les rapports DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAI, DE 1,'OLFACTION. J η3 normaux des dif
es nerfs olfactifs, bien que la partie périphérique de l'appareil nerveux de l'olfaction ne soit pas comprise dans le cad
à sa texture, elle est cérébrale en grande partie. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 345 Personne n'y a song
supérieure ; et les pédoncules des lobes seront de simples racines nerveuses avec leurs origines appa- rentes au niveau de l
son tiers externe, le quadrilatère est plutôt blanc. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 347 Cette partie blanch
e je le dirai plus loin, il n'est pas rare de voir la DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 349 bande adhérer par s
le nom d'arc olfactif, que je propose de conserver. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 3D'l bande, on voit trè
r- dinaire. Cette disposition anatomique n'est donc DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 353 qu'une variété des
tiné à raccorder la zone radiculaire aux différents étages de l'axé nerveux ; 2° l'amas de substance grise, qui constitue l
deux centres (olfac- tifs) une communication directe par des fibres nerveuses étendues de l'une à l'autre ? C'est ce qu'il s'
ion la plus interne de quelques fibres diagonales qui DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 35S vont, sinon chez to
ren- tielle varie ou non dans les différentes maladies du système nerveux . Nos recherches ont porté sur deux cents malade
les symptômes cliniques dans les différentes maladies des centres nerveux , nous reprendrons l'histoire détaillée de chaqu
'appareil visuel dans les différents états pathologiques du système nerveux . Aussi, nous nous bornerons à ne communiquer ic
ditions. Nous avons étudié dans les différentes maladies du système nerveux les modifications que subit la valeur absolue d
l'in- térêt de nos recherches poriant exclusivement sur la partie nerveuse de l'appareil optique. Le fait de la 380 PHYSIO
, et elle criait : «Oh ! mes pieds, mes jambes ! » Un tremblement nerveux s'ensuivait qui la secouait tout entière. Elle cr
ux est guidée par la vision ; par suite, chez le chien de ' Système nerveux , p. 669. " ' Comptes rendus, t. CI ! et CIII, 1
sclegelions. (Pflllger's A l'chiv sur Physiologie, 1887.) . Système nerveux , 1842. 410 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. les pinç
Blaschko 5, sous la direction ' Anatomie et physiologie du système nerveux , 1842. =Vulpian. Op. cit. 3 Observations and
actionné par les nerfs des sens spéciaux et subordonné aux centres nerveux supérieurs par lesquels l'organisme s'adapte au
t électrique aux fibres médullaires, mais, comme les autres centres nerveux , qui emmagasine et transforme les excitations en
n question sont lésés. S'il est vrai qu'une alté- ration des troncs nerveux ne pourrait produire l'ophtalmoplégie externe,
externe, on pourrait néanmoins très bien admettre que les fibres nerveuses qui se dirigent aux muscles de l'oeil sont lésées
iaires) ont échappé à l'altération qui a frappé les autres branches nerveuses en un autre point; les branches ciliaires en ef
nant les systèmes de fibres intramédullaires. L'atrophie des fibres nerveuses à myéline de l'écorce ne semble pas avoir de ra
e de l'écorce ne semble pas avoir de rapport avec celles des fibres nerveuses que nous envisageons ici ; elle relève de l'a-
us envisageons ici ; elle relève de l'a- trophie commune des fibres nerveuses quelconques du cerveau y compris la base. Les a
Le fonctionnement du cerveau détermine la multiplication des fibres nerveuses et des cellules. Aussi les organes de la base aug
on. P. K. XLVIII.DE l'irritabilité de certains trousseaux DE FIBRES NERVEUSES dans la moelle DES animaux NOUVEAU-NÉS; par W.
HTEREW. (Neurol. Centralbl., 1888.) Toutes les parties du système nerveux central excitables chez les animaux adultes son
rallèle, uniforme, qui se perpétue à la période d'atrophie du tissu nerveux . L'intégrité des réflexes REVUE D'ANATOMIE ET D
n de psychose réflexe avec remar- ques sur le délire traumatique ou nerveux , et sur le clonisme podalique transitoire. En r
apparition successive des throm- boses dans les divers départements nerveux . P. B. XXII. Ueber dos Verhseltniss. der OEdeme
1 fr. 35 EDWAHDS (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections nerveuses (atnxie locomotrice progressive, sclérose en pl
puerpérale, par Séglas et Sollier, 273, 386. Amputations, lésions nerveuses après les -, par Homen, 266. Anthropologie cr
ométrie, par Benediht, t, 125 ; études cliniques sur les maladies nerveuses et mentales, et les aliénés et les asiles d'ali
ulaire, par Grasset, 264 ; séméhïologie des maladies du sys- tème nerveux , par Bianchi, 295; aphasie, par Bateman, 444;
lité, 301. Cellules granuleuses, importance des - dans le système nerveux de l'homme, par Rosenheim, 86. Cerveau , trou
mmandant aux mouvements de la vessie, par Mi- tanski, 266, fibres nerveuses à myéline intercorticales du -, par Keraval,
el entoptique dans la vi- sion hallucinatoire, par Hoppe,96. Choc nerveux et hystéro-trauma- tisme, par Sérieux, 231. C
ocaïnisme, par Saurey, 272. Coeur, affaiblissement du d'ori- gine nerveuse . parRosenbach,250. Colonies agricoles, par Bart
in et Si- mon, 69. Ergotisme, conséquences de l' sur le système nerveux central, par Tuczek, 263. Fièvre typhoïde che
e la moelle et du bulbe, par Wagner, 427; irritabilité des fibres nerveuses de la des ani- maux nouveau-nés, par Beclite-
S MATIÈRES /,il Flechsig, 8f;- trajet du goût, par Zeuker, 269. Nerveux , coloration au carmin du tissu, par Upson, 268.
19 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 13, n° 73-78] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E U R DE 11 L 0 G 1 E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE , DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fonder par d.-M. CIItIRC(1T PIIIM
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté (le médecine (le l'nris. COI.I
Vol. XIII. Janvier 1902. N° 73. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . - . Paraplégie spasmodique dans un cas de co
gistes s'intéressent; c'est comme un chapitre nouveau de pathologie nerveuse . Il faut donc examiner de près tous les faits d
uses au point de vue de l'anatomie et de la physiologie des centres nerveux apparaîtront un jour quel- ques indications pra
10 mai 1899, p. 218.) Archives, 2' série, t. XIII. 1 2 " CLINIQUE NERVEUSE . étage de l'axe, nées sur place à la suite d'un
bilité, p. 81. 2 Van Gehuchten. Presse méd., loc. cil. 4 CLINIQUE NERVEUSE . cides par fracture vertébrale, par section spi
beaucoup plus facilement qu'il ne fait pour la droite. 6 CLINIQUE NERVEUSE . La sensibilité au tact est un peu diminuée aux
3, sensations thermiques : perverties surtout à gauche. 8 CLINIQUE NERVEUSE . Le 28 avril, la contracture permanente de la j
ambe droite ; sensibilité thermique légèrement troublée 10 CLINIQUE NERVEUSE . sur la jambe droite, diminuée et complètement
tion se retrouve sur une grande hauteur de la moelle. 12 CLINIQUE NERVEUSE . Les coupes permettent de reconnaitre un grand
uche,) ont été traités par l'acide osmiqup et dissociés. Les fibres nerveuses sont bien colorées en noir, bien cylindriques.
nous venons de décrire, équivaut aussi bien à une section de l'axe nerveux , qu'une sclérose cicatricielle de nerf équivaut
sculaire et ostéoarticulaire. ' Brissaud. Leçons sur les maladies nerveuses , 1895, p. 137. e Brissaud. Leçons sur les malad
ladies nerveuses, 1895, p. 137. e Brissaud. Leçons sur les maladies nerveuses , 1899, p. 181. 3 Revue neurologique, 1899, p. 5
eh. f. I'sclz. Bd. 30, Ueft 2). - Brissaud. Leçons sur les maladies nerveuses , 1899. p. 199. r. Haskovec. A propos de l'histo
4 Í6. 0 Rummo. Riforma medica, 14 fév. 1899, p. 439. 16 CLINIQUE NERVEUSE . C'est encore une paraplégie spasmodique dont M
wers. Mais le contenu du canal rachidien ne se réduit pas à l'axe nerveux ; mais la moelle elle-même n'est pas faite exclus
emaine médicale, 1899, p. 513). 2 Brissaud. Leçons sur les maladies nerveuses , 1893, p. 1 47. Archives, 2° série, t. XIII. 2
'extension et de son application dans le traite- ment des maladies, nerveuses ; Par le D' P. KOULSDJY. L'extension est avec
et tous les procédés qui dérivaient d'elle, TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 19 sont passés au second plan, et si on parle
pour la forme. Ce n'est que dans les quelques services des maladies nerveuses , que la sus- pension se pratique encore de temp
action réelle et non imaginaire de la supension dans les maladies nerveuses et spécialement dans le tabes dorsalis. Néanmoins
ment d'avis ' Professeur Raymond : Clinique des maladies du système nerveux . Deuxième série, 1897. . 2 W. E. C. Die Thera
'lI'agen, etc. ne 15. Leipzig, 1896.) \ TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 21 que la suspension agit par la suggestion 1.
suggestion 1. Ils obtinrent 20 améliorations sur 29 cas de maladies nerveuses , dont 4 améliorations sur 6 cas de tabes. Ils c
a une influence réelle active sur la marche générale des affections nerveuses , et surtout sur l'évolution du tabes dorsalis.
obligatoires dans le traitement de toutes les affections du centre nerveux . Introduite dans la thérapeutique par M. Motcho
t Adam. De la suspension dans le traitement des maladies du système nerveux . (Progrès médical, n<" 44 et 48, 1889.) 22 )
nt de publier une statistique approximative de 2212 cas de maladies nerveuses , dans lesquelles on applique les différents pro
N 1 M. Gilles de la Tourette. Leçons sur les maladies du système nerveux , 1898. 2 M. P. A. Ostankofï. L'extension de l
de la colonne vertébrale, comme méthode de traitement des maladies nerveuses . (Recueil des travaux de la clinique des maladi
aladies nerveuses. (Recueil des travaux de la clinique des maladies nerveuses de Saint-Pétersbour, t. II, 1900.) . TRAITEMENT
veuses de Saint-Pétersbour, t. II, 1900.) . TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 23 soignés par la suspension, avec 38 améliora
e labes dorsalis. (11'ralch, n 28, 1S98 ) TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 25 pathologistes d'abandonner son application.
al de Médecine de Bordeaux, n° 42, 1889.) TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 29 Ces deux derniers procédés ont un véritable
support est formé de deux- por- . 7 ? 6. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . · 31 lions, ayant la forme d'un T. La portion
orrespondre à peu de chose près à Fig. 7. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 33 l'extension du rachis. Nous commençons la t
oposée et étudiée physiologi- . Fig. 9. . TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 35 quement par M. Bogroff. Déjà avant cet aute
la planche inclinée ou l'extension pour le traitement des maladies nerveuses en général et du tabès en particulier, en modif
mble du procédé. Le plan incliné Fig. 10. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 37 formant un point de contact continuel avec
hérapeutique absolument rationnelle dans le traitement des maladies nerveuses . Dans le procédé de Mot- choutkowski lorsque le
la traction se produit par la planche même. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 39 Ceci permet d'exécuter la suspension sans s
tater le moindre signe de défaillance. En · TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 41 général, au début les séances se font tous
tration oedémateuse sous-arachnoïdienne. . 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . En résumé, il s'agit d'un sujet vigoureux fort
roché de l'observa- tion analogue de Hopkins. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Un cas peu commun de méralgie 'paresthésiqu
risée par des troubles sensoriels de la surface REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 45 antéro-externe de la cuisse, ayant leur ori
ez ce malade, comme dernière particularité à 46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . noter, envahissement de la branche postérieure
t au niveau du premier nerf lombaire. G. DENI'. III. Les maladies nerveuses familiales (Maladies d'évolution) ; par le Dr L
ravail peuvent être formulées de la façon ' suivante : Les maladies nerveuses , dites maladies héréditaires, maladies familial
mes cliniques nettement définies. G. DE<'iY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 47 IV. Un cas de polynévrite motrice d'origine
es qui ont permis. d'affirmer chez le malade 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dont l'observation fait l'objet de ce travail
agéré des deux côtés. L'auteur attribue ces accidents à des lésions nerveuses détermi- nées par la toxine tuberculeuse : quan
tion des deux symptômes pathologiques. R. C. .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 49 XII. Un cas rare d'ostéo-arthropathie; par
'à ce jour peu fournie des ostéoarthropathies vertébrales d'origine nerveuse et sur 14 observations dont 4 personnelles, ave
er. R. C. Archives, 2' série, t. XIII. 4 HO 0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XIV. Tabes trophique, arthropathies, radiograp
éressante au point de \ue clinique « non seule- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 51 ment par la localisation alterne des deux sy
ahit d'ordinaire les membres d'uncôté, avant 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de se propager. A la période d'état, la maladi
par l'intermédiaire des nerfs cutanés. M. H. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 53, XXII. Crises gastriques et syringomyélie;
d'émergence de la .corde du tympan. , 54 -il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXVIII. Polynévrite tuberculeuse motrice; par
une étude de Punton sur la pathogénie et prophylaxie des affections nerveuses et dans le numéro précédent du 14 octobre 1899,
nte. L'étiologie, la symptomatologie etl'évolu- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 55 tion sont celles de l'arthritisme. Betchere
tômes relativement peu marqués. F. Boissier. 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXV. Revue sur la chorée chronique progressiv
ernière période. Il termine par la description détaillée du système nerveux d'un cas qu'il a étudié. Les lésions les plus m
paraissent moins employés; le traitement hygié- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 57 nique se généralise; on tend à abandonner t
iennent entre elles une connexion plus étroite. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 59 La migraine ophtalmique pourrait être l'aur
onduit le sujet à une hypocondrie passagère. 60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . .. On retrouve ces caractères dans une observa
ratoires graves ont amené une issue fatale. Les lésions des centres nerveux trouvés à l'autopsie portaient surtout sur les
signature de l'action nocive exercée secondairement sur les centres nerveux par l'infection loca- lisée primitivement dans
t, tremblement des mains, violente céphalalgie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 61 Parole. Il comprend très bien ce qu'on lui
sur l'agitation, l'angoisse, le tremblement 62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . des mains, les illusions observés, accuse les
de quinze ans, subi par ce malade, a dû déter- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 63 miner des hémorragies légères dans la moell
ction indiquée des pupilles. P. KERAVAL. 64 -il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLIV. Contribution à l'étude clinique des into
du toluol sont toxiques. Leur action s'étend aussi bien au système nerveux central qu'à l'appareil cir- culatoire. En cert
ereuses; 6° mais il faut installer une ventila- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 65 tion efficace, et des appareils susceptible
e gauche. ' Archives, 2° série, t. XIII. 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . La paralysie du grand dentelé, du radial et du
gris dépour- vus d'hémorrhagie, le traumatisme a dans les cellules nerveuses pu déterminer un trouble moléculaire, capable d
coque mince et solide. Un degré de plus, et la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 67 masse ramollie, gélatiniforme, de ce qui a
certaine et fort probable chez 267 malades, 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ce qui donne la proportion de 82,9. On peut mê
toujours lésées. Les ganglions inter- vertébraux et leurs cellules nerveuses sont parfois affectées, il en est de même des m
même des méninges spinales plus rarement prises. Le reste du tissu nerveux , fibres et cellules des colonnes de Clarke, cellu
nts l'altération procède par une atrophie dégénérative des éléments nerveux , qui, une fois détruits, sont engloutis par les
du tissu interstitiel, aboutissant à la sclérose suppléant le tissu nerveux qui disparait. En tout cas le tabes doit être reg
tat d'une affection parasyphilitique ou métasy- philitique du tissu nerveux ; soit une maladie à causes multiples parmi lesq
vertu d'une prédisposition, d'une faiblesse congénitale du système nerveux , et provoquer le processus d'irri- tation vascu
20 observations qu'il analyse où le traitement REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 69 antisyphilitique a donné des résultats dive
ble sur bien ÎO REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. d'autres affections nerveuses , mais l'amnésie rétroactive a été déjà décrite
itations, auxquelles s'ajoutèrent ultérieu- rement des tremblements nerveux , elle se compliqua, un beau jour de la sensatio
ière fois est apparu un accès d'angoisse immotivé, avec tremblement nerveux , qui dura une demi-heure et REVUE DE PATHOLOGIE
tremblement nerveux, qui dura une demi-heure et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 71 disparut à la suite d'une selle ; ce nouvea
e pendant près d'un an révèle simplement une 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . cicatrice de 3 centimètres de long à la limite
à la limite du frontal et du pa- riétal gauches : aucun antécédent nerveux , alcoolique, criminel. Les conditions déraisonn
t d'une jeune fille de dix-sept ans, qui, après REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .' 73 quelques mois de maladie caractérisée par
te. il. C. LIV. De la crampe des écrivains et des autres affections nerveuses professionnelles; par Thomas D. SAVILL. (Nouv.
inales sur la patho- génie et l'étiologie de ce groupe d'affections nerveuses . A côté de l'influence de la répétition du mouv
uvement. L'évolution patho- gémque pourrait se résumer : irritation nerveuse d'où spasme ou crampe, destruction nerveuse par
se résumer : irritation nerveuse d'où spasme ou crampe, destruction nerveuse partielle d'où tremblement, destruc- tion compl
desdites cellules mo- trices ? R. CH,\RON. 74 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LV. Dermographisme chez des épileptiques attei
ronc et des membres avec dermographisme et nombre de manifestations nerveuses de nature hystérique. Dis- cussion clinique por
pareil état ne puisse relever d'une affection définie des cen- tres nerveux . Il ne s'agit pas davantage de rhumatisme chroni-
usculaires, relevant vraisemblablemank d'une altération des centres nerveux qui président au développe- ment et à la nutrit
ffection débuta par les quatre membres. Glycosurie et albuminurie nerveuses . M. J. Roux (de Saint-Etienne) rapporte un cas
ues, il pense'que ces symptômes sont en telle concurrence d'origine nerveuse . A propos des tics et des troubles moteurs chez
es cas, malgré la gravité et l'ancienneté des lésions, l'élongation nerveuse a été suivie de guérison. Celle-ci a été suivie
vastine communiquent des coupes de lésions cadavériques des centres nerveux . ' Séance du 5 décembre 1901. PRÉSIDENCE DE M.
pas une conséquence rare de la grippe. Les premières manifestations nerveuses apparaissent pen- dant la convalescence. L'aute
ens, revenus de l'Afrique du Sud, sont en proie à une surexcitation nerveuse qui se manifeste par l'insomnie et par des rega
Vol. XIII. Février 1902. N° 74. ARCHIVES DE NEUROLOGIE- CLINIQUE NERVEUSE .. Travail DE la clinique DE M. LE professeur A.
tations névropathiques Archives, 2e série, t. XIII. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE . et n'ayant pas subi de traumatismes violents.
ditaires. -- Père et mère vivants et bien portants; pas de maladies nerveuses chez les collatéraux. Antécédents personnels. B
res. - Rien à retenir dans ses antécédents Fiff. 12. 100 CLINIQUE NERVEUSE . héréditaires. Père et mère vivants en bonne sa
E NERVEUSE. héréditaires. Père et mère vivants en bonne santé : non nerveux . Lestr... est marié et a trois enfants bien por
umatisant mais vigoureux et vivant encore. Mère en bonne santé, pas nerveuse . Gu... est marié, père de deux enfants bien por
u nerf cubital percuté au-dessus de la gouttière. Rien 104 CLINIQUE NERVEUSE . - à signaler dans les grands organes splanchni
La mère d'une pneumonie. Deux frères en bonne santé. Une soeur pas nerveuse . L... est marié, père de trois enfants vivants qu
membre paralysé. La percussion des muscles Fig. 15. 106 CLINIQUE NERVEUSE . donne lieu à des réactions normales. La percus
es observations qui précèdent montre com- . Fig. 16. 108 CLINIQUE NERVEUSE . bien est uniforme et monotone le tableau des m
D' Il. KOUINUJY. Quelle est l'action de la suspension sur le centre nerveux en général, et sur la moelle épinière en partic
e1ll'olo,r¡ie, no 73, t. XIII, p. 18, 1902. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 11 L mie du centre cérébro-spinal. Leur Slunin
avis. Dlprton admet aussi une élongation de la moelle et des troncs nerveux . Pour llthaus, la'suspension produirait une déc
une déchirure des adhérences méningitiques chroniques; les filets nerveux deviennent plus libres, d'où il résulte une amé
corps sur les jambes étendues produit une élongation des organes nerveux intraduraux un peu moindre que celle indiquée par
trière, 1888-1889. 3 Gilles de la Tourette. Leçons svr les maladies nerveuses , 1898. 112 THÉRAPEUTIQUE. ' moelle épinière n
u cerveau. . ' A. Bogroff. Contributions au traitement des maladies nerveuses , par le procédé du DT 0. llotcUoutltowslci (lVi
a ? e e< te neurologie, 1891, n* 1). ' TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 1113 De' ses nombreuses expériences sur les la
o conclut que la suspension agit favorablement sur les mala- dies nerveuses , grâce à l'hyperhémiedu centre nerveux occa- si
blement sur les mala- dies nerveuses, grâce à l'hyperhémiedu centre nerveux occa- sionnée par elle. Les autopsies des anima
drothérapie; comme cette dernière, elle agit en excitant le système nerveux péri- phérique et par son intermédiaire sur la
éclairer la ques- tion de l'action de la suspension sur le système nerveux . Cet auteur se servit de la méthode de Hürlhle.
tre confrère explique ces modi- fications'parl'hyperhémie du centre nerveux , provoquée par l'extension ; cette hyperhémie e
ve. Outre l'hyperhémie et les modifications artérielles du centre nerveux , le rachis subit également des modifications intr
ue le traitement aurait pour effet de retarder la mort des éléments nerveux atteints, dont il accroît la nutri- tion, et de
il accroît la nutri- tion, et de faciliter la fonction des éléments nerveux inal- térés. - De tout ce qui précède il résu
ède il résulte que la suspension a une action réelle sur le système nerveux en général et'sur la " M. Rauzier. Traitement d
rapeutique appliquée, t. XIV, 1898.. 7/7- TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 118 moelle épinière en particulier. Elle influ
a- tions faites à la clinique Charcot : , TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 1 117 7 118 . THÉRAPEUTIQUE. TRAITEMENT DES
S NERVEUSES. 1 117 7 118 . THÉRAPEUTIQUE. TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 119 gurantes. Dans ses leçons du vendredi, le
signe de Westphal en plein développement. ' TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 121 1 11 y a sept mois il est venu à la Salpêt
cuta les premiers exercices facilement avec TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . H3 une canne et même sans canne. Le malade ne
oduit par celle-ci chez les ataxiquesenamé- TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 12o liorantle signe de Romberg et l'incoordina
. Sur 207 cas d'amé- ' F. Raymond. Clinique des maladies du système nerveux , 1897. 8 P. Marie. Leçons sur les maladies de l
t de l'ataxie locomotrice et de quelques autres maladies du système nerveux par la suspension. (Progrès médical. 1889.) TRA
par la suspension. (Progrès médical. 1889.) TRAITEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 129 « minutes à 40° et 50°. La malade quitta
ications seront par conséquent les mêmes pour toutes les affections nerveuses , M. le professeur Ray- mond les formules comme
s plaindre du procédé. L'extension convient à une foule de maladies nerveuses et tous les malades qui ont eu l'occasion d'y p
moyen thérapeutique indispensable dans le traitement des maladies nerveuses . Elle doit être appliquée avec la même sagacité
de de résistance assez longue, brusquement la résistance du système nerveux disparaît et les neurones meurent. simon. III
'elle est acceptée par Sides, par exemple, c'est que toute réaction nerveuse est con- ditionnée par la formation et l'interr
et l'interruption du contact entre diffé- rents groupes de cellules nerveuses par protrusion ou rétraction des filaments term
ie doit expliquer les phénomènes mentaux, complexité des cellules nerveuses . d'où instabilité considérable, et de l'autre poi
s est donné de les observer. , z C'est attribuer aussi aux cellules nerveuses un pouvoir de sélec- tion à peine croyable. Nou
que c'est dans ce circuit électroneuro-musculaire que, les circuits nerveux dérivés puisent en grande partie l'énergie 'pri
évèle, dans les points complètement nécrosés, l'absence de cellules nerveuses ; on y voit un réseau vas- culaire très développ
eure de la moelle dorsale au niveau des cinquième et sixième paires nerveuses dorsales. Les pièces, traitées par la méthode d
rches ultérieures. P. 11P : 1SAVAL. XIII. La salivation d'origine nerveuse ,- considérée comme désordre morbide idiopathiqu
chiatrii, v. 1900). L'auteur décrit trois observations de ptyalisme nerveux périphé- rique, autonome, par excitation de la
ée. La salive est liquide. Pas de cause appréciable; aucune maladie nerveuse . Observation IV. -Jeuné homme de vingt-cinq ans
gt-cinq ans, de famille né- vropathique, indemne de toute affection nerveuse ou physique. Est, dès la première jeunesse, suj
La sécrétion cortico-glandulaire du suc gastrique est exclusivement nerveuse . D. - Les couches optiques et les tubercules qu
des colorations distinctives accentuées entre cylindraxes, cellules nerveuses , corps des cellules de la névroglie, tissu conj
par eux, l'ori- gine exogène. · XXII. Les difformités du système nerveux central dans le spina bifida (Hydropisie du qua
ouveaux de spina bifida soumis à l'examen histologi- que du système nerveux cérébro-spinal, et dont l'étude complétant un t
des produits toxiques sécrétés parla néoformation sur les éléments nerveux . Militent en faveur de cette hypothèse certains
es. il. C. XXIV. Des rapports entre le contenu mental et l'activité nerveuse ; parE.-B. DELABARnE. (The American Journal of
que pour les autres. Ils correspondent tou- jours à des phénomènes nerveux concomitants. Il y a parallé- lisme psycho-phys
il paraît évident qu'elles ne peuvent être autres que des cellules nerveuses . - Les auteurs comptent, en continuant leurs re
trophie que secondairement, soit par lésions des parties du système nerveux central en rapport avec les cellules de Pur- ki
Capobianco et Fra- gnito ont montré que le cylindraxe des cellules nerveuses a une origine pluricellulaire, surgissent plusi
rti d'une série de cellules, entre t-il en rapport avec une cellule nerveuse ? Se fond-il, à quelque distance de la cel- lul
trangers à la cellule, qui, en qualité de bouts centraux des fibres nerveuses , n'arrivent à la cellule que plus tard pour con
Quels sont les éléments constitutifs du protoplasma des cellules nerveuses ? Quelle est l'origine, quelles sont les étapes d
ue, et d'un léger réseau, est alors devenu le noyau d'une cel- lule nerveuse ; les noyaux secondaires ont fourni des parties d
et d'un pro- chain travail avec planches. En tout cas, la cellule nerveuse a, comme la fibre, une origine pluricellulaire,
llules qui concourent à la formation du pro- toplasma de la cellule nerveuse . P. IIEIIAVAL. XXVII. Aperçu général sur les fo
iversaire de l'inauguration de la clinique des maladies mentales et nerveuses de Saint-Pétersbourg. La péroraison en forme en
s cellules cartilagineuses du cartilage d'encroûtement. Les centres nerveux sont intacts. . M. Marie. - Il ne s'agit évidem
trait aisément trois doigts, un drain est placé en pleine substance nerveuse . Au dixième jour, toute parai) sie,l toute anes-
ième, i neo ns cience, fébrile, fut marquée par un état de cachexie nerveuse . Une seule ponction rachidienne fut faite et do
untigton et les autres affections diffuses dégénératives du système nerveux (paralysie générale et démence sénile). - . D
ns sont artificielles. Dans d'autres affections diffuses du système nerveux , on ne trouve pas non plus de lésions spécifiqu
00. i° Discours de L.-S. Minor. - Les progrès de la thérapeutique nerveuse à la fin du XIXe siècle et ses problèmes essentie
ICHOFF.rpCt)'<t< ! 0' ! de coupes microscopiques du sys- tème nerveux d'après le procédé du Dr Stépanoff. Le nouveau
océdé du Dr STEPANOFF. M. SOLOVTZOV. Sur les altérations du système nerveux central dans le spizà bifide ! (hydrocéphalie d
aux injections de sérum dans le traitement des maladies mentales et nerveuses que j'ai fait appliquer dans mon service et qui
ion du Dr Toulouse.) Archives, 21 série, t. XIII. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE . phal dans son mémoire sur les obsessions, en '
ougit-on ? (Revue des Deux Mondes, 1" octobre 1893.) 480 CLINIQUE NERVEUSE . été communiqué au Congrès français des aliénis
. Bechterew. Rougeur de la face comme forme particulière de trouble nerveux . (Obozrenie psichiatrii il nevrologii, ils96, n°
er. Le tableau clinique de la prétendue Erythrophobie. 182 CLINIQUE NERVEUSE . Au surplus, après nous avoir contesté notre pr
t article critique ', reproduit dans son bel ouvrage sur le système nerveux cen- tral2, où il fait le procès de la théorie
co-psychologiques, septembre-octobre 1897.) 2 3 Soury. Le système nerveux central, structure eG fondions, p. 1329. (Paris
Aliénistes et Neurologistes, Limoges, août 1901.) - 184 CLINIQUE NERVEUSE . Nous avions, dans notre mémoire, émis le regre
* Hartenberg. Les timides et la timidité. Chap. Il. 186 CLINIQUE NERVEUSE . Mais cela ne prouve pas que l'Ereuthophobie so
élire émotif », c'est-à-dire des obsessions, une névrose du système nerveux ganglionnaire, et que cette opinion paraissait
ue nous n'hésitons pas à les reproduire intégralement. 188 CLINIQUE NERVEUSE . ' alors que la facilité de rougir, sans préocc
né à être toujours malheureux par cette maladie, s'em- 190 CLINIQUE NERVEUSE . parent de vous, et la crise se résout en larme
lé comme par l'abord d'un homme supérieur. Et pour- '192 ' CLINIQUE NERVEUSE . tant, si je veux accoster une femme, il me fau
arthritique (mon père); une asthmatique (la soeur de mon père); une nerveuse (ma mère) [troubles gastriques, migraines]. Ma gr
tre le plus souvent sont précisément ceux des grandes perturbations nerveuses . Remarquons aussi que sauf de trente à quarante
t ou conduire à un psychose secondaire ordinaire. Prédispo- sitions nerveuses fréquentes. A. M. VIII. Confusion mentale; par
ue est ainsi : faire dans les premières années de la vie un système nerveux fort; soigner la maladie dès le début, puisqu'i
philis cérébrale, assez en détail ; puis, plus brièvement : fatigue nerveuse profonde des travailleurs de la pensée, manie a
crâne, dure-mère, etc. ; 2° la patho- logie spéciale de la cellule nerveuse , avec l'étude de tous les modes de dégénérescen
es années et jusqu'à son adolescence; 3° lui interdir tout excitant nerveux : thé, café, vin, bière, tabac; 4° le protéger de
chaises un peu partout pour donner de la vie. Soignons le système nerveux en général par les organes végéta- tifs et la n
tonnant qu'une grossesse apporte aux femmes des troubles du système nerveux : gêne physique, gêne mondaine, souvenir de ses
iennent folles par gros- sesse le font par l'effort de leur système nerveux dans l'acte de la parturition et non par des in
rieure. Contagion n'est pas juste seulement de maladies mentales ou nerveuses d'ori- gine microbienne. Ce terme peut s'appliq
ci encore, prédisposition, constitution dégénéra- tive des éléments nerveux , est à invoquer. La névralgie trouvera encore u
Observation : femme de trente-deux ans, après insomnies et fatigues nerveuses , entend le sermon sur la Montagne : elle a peu
rois observations de ce genre. ' Observation 1. Un paysan maigre et nerveux , de trente ans environ, se plaint que, pendant
il ne tarda pas à montrer une combativité sans frein. Les troubles nerveux (migraines, etc.) dont il eut à souffrir, ne fu
e par Brandt, Edinger, Guérin, Deplanque pour lesquels le système nerveux central de l'embryon est responsable de l'arrêt d
olées aux psammomes. Dans cette lamelle persistaient quelques tubes nerveux , altérés d'ailleurs, n'appartenant plus à aucun t
nant plus à aucun type et ne permettant plus le passage de l'influx nerveux . Le début avait été assez rapide, mais la march
Cette affection se présente indépendamment de tous autres symptômes nerveux et ne relève ni du tabes, ni des lésions osseus
e. M. LE MENANT des CHESNUS rapporte deux cas de fausse grossesse nerveuse dans lesquels l'illusion a duré jusqu'à la fin du
il y a huit ans à cette même société avec le diagnostic de troubles nerveux relevant du pes planus. La maladie a débuté à l
ques et les laboratoires psychiatriques par les études des maladies nerveuses ou men- tales occupent une place importante dan
; par BrADLEs. Trois cas différents de lésions multiples du système nerveux cen- tral; par TREDYOLI. Ces trois cas, qui n'o
ijon, m-8° de 88 pages. Dijon 1901. JA13OULY. Chirurgie des centres nerveux , des viscères et des membres, t. I, in-8° de 40
. La mélancolie. Paris,' casson, 1897, et surtout J. Soury. Système nerveux central. Paris. Carré et Naud, 18J9,-t. If, p.
d, quant au -ton affectif, avec la cause qui a déchaîné l'avalanche nerveuse i. » ' J. Soury. Le système nerveux central. Pa
e qui a déchaîné l'avalanche nerveuse i. » ' J. Soury. Le système nerveux central. Paris, Carré et Naud, 1899, 11, p. 133
grand' mère et grand' - tante paternels suicidés. Tante paternelle nerveuse , morte phtisique. Mère, convulsions de l'enfa
suicidée à la suite de chagrins intimes. -'l'ante pater- nelle très nerveuse , morte phtisique à trente-neuf ans, ses enfants '
rte phtisique à trente-neuf ans, ses enfants ' sont malingres, très nerveux , surtout l'aîné, qui a eu des con- vulsions.
actuels, mais encore. après la disparition de ceux-ci, la diathèse nerveuse , et mettre le malade ' dans de meilleures condi
ique dans la neurasthénie et l'auto -intoxication dans les maladies nerveuses ; par Savan- pearce. (The amel'lCan journal of 1
conserve et trop concentrées. Ni alcool, ni tabac, ni aucun poison nerveux . On surveille la suralimentation éventuelle. On
VUE DE THÉRAPEUTIQUE. ' 301 VII. Traitement moral dans les maladies nerveuses et mentales; par Richard DEWEY. (The American J
comme en haut, son image microscopique est identique : les libres nerveuses fines, peu ou pas colorées par la méthode de colo
ophiques auxquelles sont soumises les portions éloignées des fibres nerveuses , par suite plus aisément accessibles aux altéra
H. SALOMONSOuN. (Ibid.) , M. Adamkiewicz décrit comme un trouble nerveux indépendant, entoptique, le complexus suivant,
cipite incorrectement sa diction. Pour peu qu'il soit un prédisposé nerveux , un héréditaire, qu'il ait subi une infection, un
ion d'acide carbonique. La mort peut aussi être due à un épuisement nerveux , à un arrêt de fonctionnement d'origine central
le est la primitive. l'our M. Solfier c'est l'inhibition du système nerveux qui doit être incriminée tout d'abord. C'est el
gies fut autopsié sans qu'on put observer aucune lésion des centres nerveux . Corps granuleux dans le Tubes. MM. Marie et
service de \l. Eb il Heidelberg, 400 malades atteints d'affections nerveuses diverses, a confirmé pleinement mon opinion ; l
re bilatéial, des troubles trophiques du pied et quelques symptômes nerveux vagues. Aucun de ces malades n'avoue la syphili
à la société du tome l de son ouvrage intitulé Chirurgie du système nerveux . - Ispilepsie jacksonienne opérée. M. 1 aDLr
r SOCIÉTÉS SAVANTES. 337 7 du côté gauche Hypertrophie des troncs nerveux des extrémités, plus prononcée du côté gauche.
cinquante-huit ans, aux antécédents héréditaires tuberculeux, très nerveuse et sujette depuis l'àge de vint-cinq ans à des
tions syphilitiques très accusées : gommes isolées dans'les racines nerveuses , infiltration généralisée des méninges, péri- et
ullaire également. Altérations parenchymateuses diffuses des fibres nerveuses , oedème de la névroglie. Dans la région dorsale
du système ner- veux centra), des lésions anatomiques des éléments nerveux et épendymaires, de même que des lésions des mé
onratoff, peuvent se rencontrer dans d'autres affections du système nerveux et, par conséquent, ne peuvent nullement servir
décrites par M. Mou- raton', dans différentes affections du système nerveux . .AI. Butzke fait remarquer que la paralysie gé
tous ceux qui se sont occupés des maladies chroniques du système nerveux des enfants, aboutissant aux idioties. Nous le si
902. Vol. XIII. Mai 1902. N° 77 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . Note sur un cas d'hystéro-épilepsie à crises d
utes les semaines Archives, 2- série, t. XIII. 23 3 3tVt CLINIQUE NERVEUSE . quelques gouttes de sang ; 'elle n'y fit d'abo
; elle se trouve très bien de ce changement de régime. 356 CLINIQUE NERVEUSE . Son poids, qui était encore de 65 kg. il y a d
a malade a eu des selles abondantes après son lavement 358 CLINIQUE NERVEUSE . et se sent beaucoup mieux aujourd'hui. Le mati
ant pendant quelques secondes d'un air hagard derrière 360 CLINIQUE NERVEUSE . ... 5 elle (comme lors de l'attaque du 5 jan
à crises distinctes : Cliarcot. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. 1, t3, leçon, et Leçons du Mardi à la Salpê
la Salpêtrière, t. I, 22' leçon, et t. II, IS' leçon. 362 CLINIQUE NERVEUSE . constater alors une ovarie bien caractérisée,
donc de chercher l'explication de ces derniers dans les affections nerveuses dont souffrait la malade. Dans l'épilepsie, l
xceptionnellement, l'accès hystérique soit aussi suivi 364 CLINIQUE NERVEUSE . continu, soit le type intermittent, ou bien, c
par « un ensemble de troubles fontionnels ou dynamiques du système nerveux 3 », dont nous ne connaissons pas encore les li
ulsions toniques. (Cf. Cliarcot. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, 136 leçon.) - 1 La principale objectio
trouble apporté par la né- vrose dans le fonctionnement du système nerveux . RECUEIL DE FAITS. Une observation d'hémiméli
ne que pour faire un bon pronostic dans les 374 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . paralysies faciales périphériques, il faut fai
it, légère, et l'autre du côté gauche, grave. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LVII. Étiologie de certaines paralysies radial
nt de vue auriculaire chez la mère et la fille. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 373 On est donc en droit de se demander si le
qu'on peut aussi observer. A côté de l'at- 376 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . teinte grave du labyrinthe, M. Lannois raye de
spirée par Destol, sur les altérations osseuses dans les affections nerveuses , l'auteur concluait que l'hypertrophie osseuse
uait que l'hypertrophie osseuse ne se trouvait que dans les lésions nerveuses périphériques. Dans trois cas, MM. Lannois et F
nos élèves, M. Leblais. Paris, )89 : ! (IL). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 37 7 totalement'de côté en le mettant en état
vidente du premier radial externe. Il n'est 378 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pas du tout nécessaire que la main vienne en f
tion et en pronation, exécute généralement tous REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3Í9 les mouvements possibles, sans autre incon
on est en général plutôt diffuse que limitée à certains territoires nerveux , souvent symétrique (voir les figures). L'anest
sens du calorique et du froid sont séparés. 380 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Dans les cas d'empoisonnement intense, on a no
ritiques, parce qu'ils sont souvent cantonnés à certaines provinces nerveuses . Peut-être la sensibilité à la pression pourrai
la sclérose s'est d'abord attaquée au cervelet, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 381 I et qu'elle ne s'est étendue que plus tar
scendants. Or, depuis il a observé trois 38 : 2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' cas dans lesquels, sans aucun doute la syphi
dividus atteints de douleurs et d'hyperesthésie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 383 montre qu'il existe des symptômes d'excita
action vaso-mo- trice). Oppenheim, dans son Lehnbuch des maladies nerveuses , Berlin, 1898, s'exprime ainsi : « Il m'est arr
ce, dans la démence profonde. La répétition 384 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . stupide indique la perte du jugement, la perte
n n'a trouvé que 3 chez lesquels le réflexe ait REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 385 été plus fort obstinément d'un côté, sans a
sent qu'au AHCmvrs, 2' série, t. XIII. 23 386 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . début d'une proposition ou d'un mot important,
an ; bégaiement du piano (Gutzmann), bégaiement REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 387 de la marche (Piper, Bruns) ; bégaiement g
i la transmission héréditaire d'affections accidentelles du système nerveux est possible, les troubles nerveux des descenda
ections accidentelles du système nerveux est possible, les troubles nerveux des descendants peuvent être autres que ceux de
u excise le nerf, voire qu'on le maltraite. 388 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Pourquoi cet insuccès progressif ? On l'ignore
ent se transmettre à la descendance, ou. dans le domaine du système nerveux , établir une prédisposition hérédi- taire. P. K
s transformations morphologiques des éléments visibles du sys- tème nerveux . Nous attendons ses preuves. Mais nous sommes m
prétention d'être le substratum matériel d'un trouble psychique et nerveux fonc- i tionnel. P. KERAVAL. LXXVIII. Automat
eux d'aisan- ces, etc. : c'était automatique. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3St) L'évolution est curieuse. Jusqu'au il mar
I. - Encéphalite postinfluenzique, chez une 390 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1 femme de cinquante-quatre ans. Elle a débuté
une autre, plus petite, plate, au delà du bord REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . z : );1 interne de l'omoplate, immédiatement a
que tous ces malades sont entachés de dégénérescence, d'ano- malies nerveuses et mentales datant de leur jeunesse, de prédis-
l'aplomb. Mais il faut auparavant se fami- 392 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . liariser avec les phénomènes hypnotiques, avec
u tartre stibié préconisé par Bergeron. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 393 LXXXVII. Syphilis du système nerveux; par
C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 393 LXXXVII. Syphilis du système nerveux ; par B. ONU ! ' (Onuf¡'owicz) (The New-York Méd
ombien il est fréquent de voir la sypliilis retentir sur le système nerveux , et aussi combien il est difficile de recueillir
des. données qui permettent de diagnostiquer la syphilis du système nerveux indé- pendamment des commémoratifs. Signes di
uteur recherche ensuite quelle est la marche générale des symptômes nerveux de la syphilis. La dénomination de symp- tômes
et tertiaires est parfaitement applicable à la syphilis du système nerveux . On.appelle en outre métasyphilitiques certaine
ec des périodes comparati- vement silencieuses : les manifestations nerveuses de la maladie n'échappent pas à cette marche al
pas ainsi de tous les symptômes ni de tous 394 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . les cas, mais il ne faut pas oublier que les l
sclérose multiple : 4° Hémiplégie : forme fréquente de la syphilis nerveuse , souvent très accessible au traitement ; Î5° Lé
ts qu'il lui a été donné d'observer. R. M.-C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 395 LXXXIX. Paramyoclonus multiple; par L.-J.
tives au traitement. R. de Musgrave-Clay. 396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XC. L'influence du climat sur les maladies ner
DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XC. L'influence du climat sur les maladies nerveuses considérée au point de vue physiologique; par F
ne influence qui paraît s'exercer par action réflexe sur le système nerveux périphérique en augmentant l'excitabilité des f
n trop grande des processus métaboliques et par REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 397 I conséquent un surmenage du système nerve
UE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 397 I conséquent un surmenage du système nerveux central : cette manière de voir est confirmée p
de grandes alti- tudes, de palpitations cardiaques chez des sujets nerveux ou nor- maux, palpitations qui sont évidemment
ndre au niveau de la mer. Dans les affections organiques du système nerveux , il est évident que les conditions climatologiq
oit être preféré. En résumé, l'influence du climat sur les maladies nerveuses est une question ouverte. Ce sont les troubles
dications climatologiques essentielles dans les maladies du système nerveux , à la condition de mesurer ces influences et de
pareil effort. , Il. DE jIICSGRAVE-CLAY. 398 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XCI. Ataxie spinale aiguë (non tabétique), ses
, mais sans perte bien nette de la sensation de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 399 douleur ou de température. Les réflexes du
e névritique, est le résultat d'une névrite 400 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . multiple des nerfs de la sensibilité : on la r
e et sénile. Il subdivise les causes toxiques - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 401 exogènes en poisons métalliques et non mét
opathiques sont en réalité indépendantes ou non de toute altération nerveuse , organique ou fonctionnelle. Un malade présenté
e muscu-' Archives, 21 série, t. XIII. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lairene parait avoir une valeur absolument dém
e les résultats discordants des autopsies, la fréquence des lésions nerveuses et l'identité des . lésions musculaires avec ce
sculaires avec celles de certaines affections organiques du système nerveux , le nombre croissant enfin des cas mixtes et de
ire aigu il vingt-deux ans. Pas d'hérédité fâcheuse. Grande émotion nerveuse il y a deux ou trois ans (mort subite de son père
l y a deux ou trois ans (mort subite de son père); avait été rendue nerveuse préalablement par la rupture d'un ma- riage trè
gnes de démarcation entre les zones de sensibi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 403 lité et d'insensibilité sont nettes et tra
OGIE. Séance du n" avril 1902. Présidence DE M. Gomiuult. Centres nerveux d' épileptiques. , M. Angude a observé avec les
observé avec les plus récents procédés de colora- tion les centres nerveux de nombreux épileptiques dans des cas de mal co
des états liés à des tumeur;, cérébrales. Il a trouvé les cellules nerveuses et particu- lièrementles cellules pyramidales i
eints de lésions bulbaires, dont l'un a succombé et dont le système nerveux a pu être examiné d'une manière très complète,
IarlVESao.-I;n étudiant les modifications structurales des cellules nerveuses radiculaires après la rupture des nerfs périphé-
XIV. De la mort subite dans les affections organiques des centres nerveux . Le traumatisme léger cause déterminante de la mo
ir passé en revue les différentes affections organiques des centres nerveux où la mort subite se rencontre (paralysie BIBLI
mortels de la chorée vulgaire des lésions inflammatoires du système nerveux : exsudations inters- titielles et périvasculai
ges. Paris 1901, C. Naud, éditeur. JABOUL IY. Chirurgie des centres nerveux des viscères et des membres, t. 11., ni-8° de 5
2. Vol. XIII. Juin 1902. N° 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES. - PROFESSEUR
ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES . - PROFESSEUR RAYMOND. Sur trois cas d'hémianop
e est dite homonyme, Archives, 2' série, t. XIII. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE . quand elle porte sur les deux moitiés droites
simple, unilatérale, limitée à Fig. 20. Fi[J. 21. 436 CLINIQUE NERVEUSE . un seul côté, à l'hémianopsie bilatérale, qu'o
e de trois, en l'espace d'une l'année. Dans ces condi- 438 CLINIQUE NERVEUSE . tions, nous avons soumis la malade à la médica
ible d'éveiller le soupçon d'une paralysie 1'ig. 23. 440 CLINIQUE NERVEUSE . générale commençante. Elle n'a pas, notamment,
t on observe, en tant que manifestations de la syphilis des centres nerveux , des attaques de grand mal, caractérisées par d
ations réparables des éléments paren- chymateux, cellules et fibres nerveuses , dans le territoire privé transitoirement de so
accidents épileptiformes, diminution de l'intel- 442 '1) . CLINIQUE NERVEUSE . ligence et de la mémoire - ne nous fournissent
is encore, elle n'a eu ni convulsions, ni paralysie. 444 CLINIQUE NERVEUSE . Le lendemain, C... était rétablie et en état d
à cela près que, dans les mouvements de laté- Fig. 24. f CLINIQUE NERVEUSE . ralité, les globes oculaires étaient agités pa
nt en faveur de ce siège unilatéral du processus mor-, 448 CLINIQUE NERVEUSE . ' bide, à savoir : l'hémiparésie droite et l'a
lbaires que les spinaux, prennent naissance en dehors des centres nerveux . Ainsi, le nerf optique prend naissance dans la c
he la plus interne de la rétine, dans la couche dite des cel- lules nerveuses . Les prolongements longs, qui partent de ces ce
nal inferieur. Cal, scissure calcarine. - Cu, cuneus. 450 CLINIQUE NERVEUSE . les fibres nerveuses qui tirent leur origine d
issure calcarine. - Cu, cuneus. 450 CLINIQUE NERVEUSE. les fibres nerveuses qui tirent leur origine du segment tem- poral d
rme d'arborisations terminales. Celles-ci enlaceraient les cellules nerveuses de ces mêmes amas gris, desquelles par- tent d'
périphériques, leur origine est dans la rétine (couche des cellules nerveuses ), et leur aboutissement dans les amas gris cent
ire de la rétine. Le neurone central ne serait autre que la cellule nerveuse de la couche ganglionnaire, rétinienne et son p
nne et son prolongement long, qui forme le cylin- draxe de la fibre nerveuse constituante du nerf optique. Au delà des bande
delà des bandelettes optiques, les prolongements longs des cellules nerveuses de la rétine formeraient deux faisceaux distinc
s fibres de cette seconde catégorie concourraient donc 452 CLINIQUE nerveuse . à la perception des impressions visuelles venu
ements de diamètre des pupilles. Eu d'au- tres termes, les cellules nerveuses contenues dans les amas gris centraux n'émettra
e vue, on ne peut t plus tranchées. Il est entendu que les fibres nerveuses ,' dont se composent SUR TROIS cas d'hémianopsie
sceau longitudinal inférieur. Cal, scissure calcarine. 454 CLINIQUE NERVEUSE . .postérieur de la couche optique, de faisceau
e serait parce que le territoire de l'écorce, qui reçoit les fibres nerveuses issues de la région de la tache jaune, est 456
s nerveuses issues de la région de la tache jaune, est 456 clinique nerveuse . alimenté à la fois par deux artères distinctes
endant d'une lésion de même siège, vous trouverez men- 458 CLINIQUE NERVEUSE . tionnés dans les ouvrages qui traitent du diag
nous ont été fournis par sa soeur. Il n'y a jamais eu de maladie nerveuse ou mentale dans la famille. L... est marié, pèr
on de la vision centrale (ftg. 27). Elle existe pour 460 . CLINIQUE NERVEUSE . ` toutes les couleurs. La réaction pupillaire
d l'aphasie est liée à la cécité verbale. Fig. 27. 462 CLINIQUE NERVEUSE . Indépendamment de l'aphémie, on peut mettre en
n, l'hémiplégie droite, survenue à la suite d'un 464 -11 . CLINIQUE NERVEUSE . . ictus apoplectique, est l'indice d'une bru
présentés en premier Archives, 2' série, t. XIII. 30 466 CLINIQUE NERVEUSE . lieu. Or, comme l'a fait justement remarquer v
zone de distribution de l'artère cérébrale moyenne. 468 CLINIQUE NERVEUSE . l'hémianopsie, lorsque la lésion, dont elle dé
lle produira une hémianopsie unilatérale, à savoir : 470 CLINIQUE NERVEUSE . Une hémianopsie temporale' du côté opposé, si
nal inférieur. - Cal, scissure calcarine. Cu, cuneus. 472 CLINIQUE NERVEUSE . port avec des lésions de l'hémisphère gauche,
pille du nerf optique, le tissu connectif inter- calé aux fibrilles nerveuses se détache sous la forme de petites raies et ta
multiplication du tissu conjonctif ainsi que l'atrophie des fibres nerveuses périphériques. C'est pourquoi, au début, les pa
tro-oculaire du nerf (canal optique) : la dégénérescence des fibres nerveuses , qui se manifeste à l'état de pâleur de la papi
d'auteurs la considèrent comme une sénescence présénile du système nerveux central. Hedlich, Koller, Kettscher, Saas et Da
épaississement de la névroglie et diminution du nombre des fibres nerveuses : autour des vaisseaux, dont les parois étaient f
Les éléments de la tare héréditaire sont : les maladies mentales et nerveuses , une anomalie du caractère, des accidents paralyt
ons insalubres sur la production des maladies chroniques du système nerveux ; et plus que tout autre M. Bourneville s'est ef
ofessions insalubres sur la morbidité et la production des maladies nerveuses des enfants. A noter une étude fort intéressant
forme un véritable compendium des ma/¡¡- dies chroniques du système nerveux chez les enfants. Les médecins praticiens y tro
classes spéciales. G. Carrier. XXV. La névrose d'angoisse. Troubles nerveux d'origine sexuelle ; par le Dr Albert 1)1.\NUD.
s qui feront l'objet de rapports sont les suivantes : 1° Pathologie nerveuse : Les tics en général. Rapporteur : M. NoGuLs (
E dans la neurasthénie et l'auto-intoxication dans les ma- ladies nerveuses , par Savan- I'earce, 296. .lrnovÉC,m.xe, giga
C,m.xe, gigantisme et diabète, par Achard et Loeper, 48. Activité nerveuse Rapports entre le contenu mental et l' -, par
et l' -, par Delabaire, 116. Affections organiques des CENTIMES nerveux . De la mort subite dans les -, par Vieille, .21
aluha, 516. Crampe. La - des écrivains et des autres affections nerveuses pro- fesslonnelles, par D SavllI, 73. Crime.
athogénie et traitement de il -, par 11 : ralnsky, 346. Cen- tres nerveux d'épileptiques, par Anglade, 418. Recherches cl
eure de la moelle, par A. Schmidt, 247. Glycosurie et albuminurie nerveuses , par J. Roux, 86. Goitre. Voir Hystérie. GO
ramyoclonus multiples, par Mar- ton, 395. PAHALÉSIE. Voir Système nerveux . Parole. Trouble et développement de la -. pa
et les idées délirantes, par Katzowski, 232. Salivation d'origine nerveuse , par Bechterew, 138. Sang. Numération des glo
érum. Injections de-dans le trai- tement des maladies mentales et nerveuses , par A. Marie, 16ï. Société DE rEU170LCGIE, 51
Splénium. Lésion du -, par Marie, 334. Spina mrln.t.Voir Système nerveux . SPO\D1LOSE I\IZmIÉLIQùE, par Dana, 5'r. ..
enfants atteints de héréditaire, par Gumpertz, 390. - du système nerveux , par Onuf, 393. Syringomyélie. Voir Crises ga
l'extension et de son application dans le traitement des maladies nerveuses , par P. Koumdjy. 18. Thomsen. De l'élongation
20 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 11, n° 61-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
OGIE ARCHIVES DE Il NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondiïiï par J.-M. CHARCOT PUH
). F. RAYMOND Pi ofesseur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
devait servir à d'autres expériences, il ' Jules Soury. Le Système nerveux central, structure et fonctions, etc. Paris, G.
a longtemps existé, dans la physiologie et la pathologie du système nerveux central, une opinion tout à fait erronée si, pa
er, du moins au sens étroit du mot, une maladie générale du système nerveux ; mais ce n'est pas non plus une affection uniqu
. 2° édit., 1892, p. 29, 81, 11r, 155, 166, etc. et 400. Le Système nerveux central, t. II, 962-3. ' Obersteiner. Die Patho
la moelle épinière des tabétiques concernent simplement les fibres nerveuses qui se distribuent à la substance grise (cornes
e départ de l'affection, voici les différentes par- ties du système nerveux qu'énumère Obersteiner, et dont la lésion pourr
éreraient du fait d'un processus de prolifération parti de la gaine nerveuses ; p) en traversant la pie-mère et la couche extern
ue le réflexe patellaire existe, il est de nécessité que le courant nerveux , apporté par les racines postérieures, arrive à
s que l'exacte coordination des mouvements dépend aussi de courants nerveux centripètes, inconscients, de nature surtout ré
eveux. Il en résulte que si une partie consi- dérable des processus nerveux réflexes qui sont élaborés dans la moelle épini
ions statiques. Le cervelet reçoit de différents côtés les courants nerveux qui l'incitent à l'accom- plissement de cette f
de Clarke s'accorde avec le mode de connexion qu'affecte ce centre nerveux dans la moelle épinière, en particulier avec les
tilité des extrémités inférieures. La lésion destructive des fibres nerveuses dont il s'agit peut bien, jusqu'à un certain de
nsibilité cutanée est moins affectée dans les affections du système nerveux que la motilité. Ainsi la section des nerfs mix
ions), tandis que les lésions du segment périphérique de cette voie nerveuse , et surtout des racines postérieures, provoquent
adiculaires, malades au début, si bien qu'il ne reste plus de voies nerveuses pour les sensations de douleur. Il n'existe poi
tions intenses, répétées, ou très fréquentes, chargent les cellules nerveuses autour desquelles s'arborisent les fibres radic
ou peu frayées, cette sommation des excitations dans les cellules nerveuses de la substance grise que nous percevons comme se
leur destruction ne saurait être compensée au moyen d'autres voies nerveuses accessoires : voilà sans doute pourquoi l'ataxi
rologique, 1698, p. 751. Archives, 2° série, t. XI. 2 CLINIQUE NERVEUSE . Épilepsie et fièvre typhoïde. (Deux épilepti
il représente l'aura vaso- 1 Séglas. Th. Paris, 1881. 20 CLINIQUE NERVEUSE . motrice et l'éclosion d'une crise convulsive d
depuis quelques jours de petites épistaxis, de la diar- 24 CLINIQUE NERVEUSE . rhée, une langue grillée, la température à 40°
P. C. C., potion cordiale avec 0,50 de caféiiie ? e % . 26 CLINIQUE NERVEUSE . 1 premier, il s'est même esquissé une détente
années dans la connaissance anatomique et physiologique du système nerveux , progrès dus, en grande partie, aux recherches
rer chaque malade comme atteint d'une maladie déterminée du système nerveux central, et à se familiariser avec les méthodes
rarement observés), qu'il soi- gne des sujets atteints de maladies nerveuses , car la psychiatrie n'est qu'un chapitre delà p
car la psychiatrie n'est qu'un chapitre delà pathologie du système nerveux . Le professeur Kraepelin se base sur les exigen
à l'enseignement de la psychiatrie, mais aussi à celui des maladies nerveuses . Un cer- tain nombre de lits (20 ou 25) et la p
gories bien dictinctes de malades : les aliénés, internés, et les « nerveux », malades libres. Nous ne voyons que des avant
que toutes les cliniques admettent, en outre des aliénés,- et des « nerveux » du régime commun, des pensionnaires de lro et
urasthéniques, celui de la paralysie agitante, et d'autres maladies nerveuses . Son appareil lui permet aussi de faire une étu
ces. Il possède aussi la plupart des types des maladies mentales et nerveuses et sa collection s'en- richit tous les jours, d
ence, juillet 1897.) ' L'auteur définit l'habitude : « Une action nerveuse volontaire qui, par une répétition constante, e
te, est devenue automatique. » 11 n'est pas nécessaire que l'action nerveuse soit originaire de l'indi- vidu chez lequel l'h
tre héritée sous sa forme automatique ou habituelle. Toute action nerveuse , dit M. Kesteven, est constituée par une pertur
even, est constituée par une perturbation moléculaire dans le tissu nerveux : qu'on appelle cette perturbation du nom de vi
s est-il qu'elle a pour résultat de rendre les molé- cules du tissu nerveux plus aptes à répéter leur mouvement dans la mêm
manière qu'ont pris naissance les actions automatiques des centres nerveux sympathiques et cérébro-spinaux. A un moment de
'ivrognerie, qui ne peut naître chez un individu que par une action nerveuse physiologique héritée ou excitée chez le sujet
sisté à la tendance héréditaire, ne présente aucun signe de maladie nerveuse . Dans chaque région mentale, on peut observer d
abandonne ; d'autres voient leur existence favorisée par des états nerveux , qui sont physiplogi- quement normaux, ou par d
ats nerveux, qui sont physiplogi- quement normaux, ou par des états nerveux hérités qui ne sau- raient à aucun point de vue
l'habitude mauvaise, et à ramener par cette cessation les molécules nerveuses à leurs rapports normaux ; l'application des lo
a doctrine de la localisation des fonctions dans un organe central ( nerveux ) est la base qui rend possible l'étude de la psy-
à des éléments spéciale- ment développés qui constituent le système nerveux (méduse, etc.); 5° Chez les vertébrés, on const
straux (acra- niens) une segmentation de l'organisme, et le système nerveux présente une structure en forme de chaîne ou de
titatif de la complexité de structure et de connexions des cellules nerveuses corticales. Il se forme ainsi des mécanismes su
d'éducation dans une certaine mesure ; 9° L'éducation du système nerveux commence après la nais- sance, alors que les in
a neuroglie avec atrophie correspondante- et destruction des fibres nerveuses , généralement autour des vaisseaux plus ou moins
souvent l'anémie pernicieuse évolue sans s'accompagner de symptômes nerveux bien marqués; les foyers de dégénérescence médu
s enveloppes. Sur la systématisation dans les affections du système nerveux et en particulier dans le tabès; par J. N.\f :
ta- tion de coupes histologiques.) La systématisation des lésions nerveuses peut se faire de plu- sieurs manières : tantôt
herchée dans des détails anatomiques sans rapport avec les éléments nerveux ; tantôt enfin la forme delà systématisation est
e de Marchi permet de constater la superposition exacte des lésions nerveuses et interstitielle au niveau des nerfs radiculai
olifération névroglique intense altéra- tions polymorphes des tubes nerveux ). Elle n'est nullement en rapport d'intensité a
toute la hauteur de la moelle, des lésions atrophiques des cellules nerveuses et en particulier des cellules radiculaires. La
tes, et qui se résument dans une atrophie primi- tive de la cellule nerveuse , aboutissant à sa disparition totale. Ce n'est
ent les seuls signes objectifs d'une affection organique du système nerveux . Si ces signes n'avaient pas été recherchés, le
ctions du côté des vaisseaux, du tissu interstitiel et des cellules nerveuses . Les deux premières constituent des processus a
x et à des nodules. Les phénomènes de réaction du côté des cellules nerveuses abou- tissent rapidement à leur dégénérescence.
irrigue directement, en suivant le procédé de Lamy ; 3° par la voie nerveuse (inoculation des microbes dans le nerf sciatiqu
3 plus ou moins grandes, suivant que la nécrose a frappe-le tissu nerveux seul ou.en même temps le tissu conjonctif. io L
de la moelle est caractérisée par une altération primitive du tissu nerveux , sans congestion ni hyper- diapédèse, mais avec
les autres organes. Je crois que ce fait dépend de ce que. le tissu nerveux n'est pas, ainsi que l'ont prétendu quelques-uns,
trophiques médul- laires. La Cryoscopie des Urines de la Polyurie nerveuse ; par Souques 'et BALT11AZARD (de Paris). Le p
Le point de congélation de l'urine des malades atteints de polyurie nerveuse peut être, contrairement à la règle, inférieur à
ur dépend de l'augmentation ou de la diminution de l'excitabilité nerveuse . P. KoUlNDJY. VARIA. LES aliénés EN liberté.
ises psychopathiques aiguës dans le fonctionnement de leurs centres nerveux . Nous voyons en effet Constant faire du délire
eurone les cellules des colonnes de Clarke et leurs prolonge- ments nerveux constituant le faisceau cérébelleux direct - a
affection cellulaire préexistante, car une lésion d'un prolongement nerveux doit résulter d'une altération de son centre d'
postérieures présentent la plus complète dégénération, les cellules nerveuses des ganglions spi- naux se montrent avec leur f
u'on doit porter sur l'état normal ou pathologique de la .cellule nerveuse , encore que des travaux récents de Goldscheider e
que la chromatolyse indique un trouble de la vitalité de l'élément nerveux . On doit donc, si ce phénomène fait défaut dans
voir être toujours mieux établi que, dans les troubles des cellules nerveuses résultant d'une dimi- nution de l'énergie vital
sensibles, écrit Schalfer, aux altérations primitives des cellules nerveuses : leur changement est plus accentué que le degr
centre trophique, ici tropllo-moleur, puisqu'il s'agit des cellules nerveuses des cornes antérieures de la moelle '. Le prolo
es nerveuses des cornes antérieures de la moelle '. Le prolongement nerveux de ces cellules, la fibre radicu- laire du prot
cornes antérieures, celle d'une névrite dégénérative des fibrilles nerveuses intramus- culaires. Karl Schaffer ayant examiné
vec arthropathie typique du genou droit, trouva que si les cellules nerveuses de la moelle cervicale étaient complètement sai
les cellules des cornes antérieures d'une somme immense de stimuli nerveux . La vitalité des neurones radiculaires se trouve
ermettent d'affirmer l'existence d'altérations dans les gros troncs nerveux périphériques et dans les arborisations ultimes
peut être attribuée soit à des altérations anatomiques des cellules nerveuses des cornes antérieures, soit à une névrite des
dies ont surtout en commun, c'est l'atrophie primitive des éléments nerveux . Hoche ne saurait donc se ranger ni du côté de
ction de l'affection dans les régions les plus éloignées du système nerveux , qui ne contiennent aucun rapport de conti- Nag
e la production d'un poison dont l'action aurait agi sur le système nerveux d'une manière semblable à celle des toxines hyp
énérale, qu'elle n'épargne aucune province aucun élément du système nerveux , quoiqu'elle manifeste une sorte d'affinité éle
émonstration négative de Redlich. L'état des cellules et des fibres nerveuses du côté de la moelle épinière correspondant aux
lésions de dégénération comme dans le tabes. Le nombre des éléments nerveux atrophiés n'est pas ou n'est que peu diminué, e
DU TABES. 13L déterminent les dégénérations, de certains faisceaux nerveux , comme le fait le plomb, etc, On en est venu à
ent une affection de la moelle épinière,. mais peut-être du système nerveux tout entier (l3orglierini, Dark- scbewitz). .
me une toxine, doctrine que Marie reçu,3 de Strümpell, les cellules nerveuses des différents ganglions des nerfs rachidiens e
'acuité auditive, surdité, etc.). C'est seulement les longues voies nerveuses qui sont atteintes. Il résumait ainsi sa concep
sauraient différer de celles des autres nerfs et des autres centres nerveux , de celles en particulier des cel- .Iules nerve
es autres centres nerveux, de celles en particulier des cel- .Iules nerveuses des ganglions des nerfs crâniens, analogues aux
rachidiens. Klippel a décrit et reproduit les lésions des cellules nerveuses du ganglion d'Andersch qui se trouve sur le tra
ales, mais accusées, d'atrophie et de dégé- nérescence des éléments nerveux , surtout des tubes nerveux et des . capillaires
phie et de dégé- nérescence des éléments nerveux, surtout des tubes nerveux et des . capillaires ». Les branches afférentes
apparaît, quant à nous, comme une dégénération 'générale du système nerveux : on a dû abandonner l'opinion an- cienne-d'apr
is (sans durcissement) : contribution à la pathologie de la cellule nerveuse ; par Joux . Turner. (1'leeJouraul 1 of Mental
vantage de montrer une richesse inusitée de détails dans la cellule nerveuse et dans ses prolonge- ments, et de nous faire v
s résultent proba- blement de l'actiou des toxines sur les cellules nerveuses . 11 est .digne de remarque que dans les 5 cas o
téressantes sur l'action phagocytique des leucocytes sur la cellule nerveuse , et .rappelle les travaux de Sir John Batty Tuk
es REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. t4d cellules nerveuses , il croit pouvoir soutenir que la régularité avec
m- pagné d'une planche. Il. DE MlJSGI1.AYE CLAY. IX. Hyperthermie nerveuse chez la femme ; par LEVEN. (Revue de médecine,
les menstruels. L'hyperthermie semble due à l'irritation du système nerveux utérin. M. II. X. Des névrites palustres; par S
massage et les couï. rants électriques. '. G. D. XIII. La cellule nerveuse du coeur du lapin, ses modifications sous' l'in
de rechercher : 1° si l'absence, de toute altération de la cellule nerveuse du coeur, au cours de fin : toxication par la d
euronophagie n'est pas indispensable à la disparition de la cellule nerveuse . Ils estiment que le rôle des leucocytes dans ce
s appartiennent plutôt au processus de réparation de la substance nerveuse détruite. Celle-ci, trop hautement différenciée,
ts morphologiques, permet de conclure à la dégénérescence du, tissu nerveux nécrosé par coagulation, à un nécrose diffuse d
oloration isolée de la névroglie et on empê- che celle des éléments nerveux , surtout des corps cellulaires. 11 faudra donc
e dans l'appréciation des résultats obtenus par l'examen du système nerveux , au moyen de la méthode de Golgi Ramon y Cajal,
es que dans les couches superficielles de l'écorce; 9° Les cellules nerveuses de l'écorce datent d'une époque où les éléments
reuses recher- ches expérimentales sur les altérations des cellules nerveuses consécutives soit à un traumatisme, soit il l'a
ier à nouveau le mode de formation de ces altérations de la cellule nerveuse et de ses prolongements en soumettant des souri
irifornies disparaissent en masse; les prolonge- ments des cellules nerveuses couverls de granulations sont suscep- tibles de
tions produites par des effets de causes physiques et par l'énergie nerveuse , particulièrement sous sa forme mentale. L'aute
ngite tuberculeuse généralisée, les lésions cellulaires des centres nerveux sous-jacents peuvent servir à expliquer les sym
te et incomplète. Comparées il des névrites traumatiques des troncs nerveux , les paralysies radiculaires du plexus brachial
plus rapide et plus intense que les lésions traumatiques des troncs nerveux eux-mêmes, ou bien la cau-e qui produit la dist
eux-mêmes, ou bien la cau-e qui produit la distension des libres nerveuses radiculaires étend son action jusqu'aux cellules
a même température, celle du creux de l'aisselle. Un autre symptôme nerveux présenté par les malades atteints de goitre exo
stérique se montre ordinairement à la suite de quelque perturbation nerveuse , telle qu'un choc émotionnel ou une attaque épi
la production de la contracture dans ces deux affections du système nerveux . Il est probable que dans l'hystérie toute la m
bserve dans l'hystérie et dans les affections organiques du système nerveux . Il y a plus de dix ans, que nous avons, Mul- l
série tout entière de troubles visuels dans les maladies du système nerveux en deux grandes catégories : 1) ceux dans lesqu
La tonicité de tout le système musculaire et de différents centres nerveux est sans doute tribu- taire de cette finalité f
on de la névrose (8 fois seule- ment sur il cas). < L'hérédité nerveuse remplit toujours le rôle étiologique prépon- dé
CIIRINE (de Moscou). Du Traitement de la Mobilisation en pathologie nerveuse , et plus par- ticulièrement de son action sur l
peine signalent-ils une certaine sensation d'oppression, de la toux nerveuse et l'asthme des foins. M. André a acquis, par d
à la trépidation épileptoïde a donc besoin de rencontrer un système nerveux prédisposé soit congéni- talement, soit du fait
te sur la structure du noyau et la division amilosique des cellules nerveuses du cobaye adulte. 1111. PrnRI.N, de la Touche e
es descriptions classiques les plus récentes, et que les cel- lules nerveuses complètement développées, même du type le plus
te cause pathologique se diviser par amitose. 1° Noyau des cellules nerveuses . Ce noyau présente dans un nucléoplasma incolor
s des éléments du nucléole. ' , 2° Division amitosique des cellules nerveuses . Le nucléole se divise suivant divers procédés
que phobies, obsessions, impulsions, etc. Dans ces cas, la cellule nerveuse , plus ou moins tarée, est ce qu'elle est et auc
1901. Vol. XI.- Mars 1901. Nu 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . Etude sur trois cas de maladie nerveuse famili
S DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE. Etude sur trois cas de maladie nerveuse familiale, mal définie, à allures de paraplégie
e 1 Hôpital ci% de Brest Le groupe familial des maladies du système nerveux tend à se développer tous les jours et la multi
frappés à la même époque et dans les mêmes conditions de symptômes nerveux transitoires à allures assez mal définies, nous
ar il nous sera pro- , Archives, 2° série, t. XI, 13 194 CLINIQUE NERVEUSE . bablement impossible d'avoir jamais sous les y
USE. bablement impossible d'avoir jamais sous les yeux le système nerveux de ces malades. En outre, il n'est pas invraisem-
s'est aperçu lui-môme, que son pied gauche'frappe le sol à MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. - 195 chaque pas et que le bout de s
fait un an de service militaire au 103° de. ligne, à '19G CLINIQUE NERVEUSE . Alençon ; mais à son arrivée au corps, il a du
st conservée aux membres supérieurs, le malade oppose une , MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 1 Di vigoureuse résistance à tous le
sensoriels. Pas de nystagmus. Pupilles égales, réa- 193 , CLINIQUE NERVEUSE . gissant bien à la lumière et à l'accommodation
mois, bien portante. Il n'y a pas eu de fausses couches.- MALADIE NERVEUSE s FAMILULE. 199. La première attaque de paralys
avait une amélioration. générale dans les : symptômes. 200 CLINIQUE NERVEUSE . Les réflexes étaient toujours exagérés, on ne
4S oct. 99. Fig. 7. Écriture du malade, le 20 oct. 99. MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 20 l mouvement, il éprouverait une d
, mais à l'examen il ne parait pas exister d'atrophie. 0 CLINIQUE NERVEUSE . Il existe quelques craquements dans les articu
y- tiques douloureux des membres- inférieurs. A ce début, MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 203 absolument identique, a succédé
près complètement indemne de toute tare' consécutive aux accidents nerveux de son adolescence ; tout' au plus constate-t-o
signe présenté en commun par les trois sujets est une 204 CLINIQUE NERVEUSE . légère exquisse de Romberg. Mais du reste aucu
açon satisfaisante ? - Il s'agit donc là, en somme, d'une maladie nerveuse essen- tiellement transitoire et à évolution tr
aboutir presque fatalement à la mort, soit du fait de leur lésion nerveuse , soit par une maladie intercurrente peut- être
Paris, 1898, p. 18 et sq.. ' ' Revue de Médecine, 183fui. MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. zou ment successif des divers segmen
, 1880, p. ill). In thèse Lorrain, p. 62 et f05-lOG. 206 CLINIQUE NERVEUSE . et même. une altération légère des cellules de
variété toute particulière, remarquable par ce fait que les centres nerveux auraient été lésés au mini- mum,,que ces altéra
'agit là d'une pseudo-névralgie d'origine centrale sans. altération nerveuse périphérique. Dans tous nos examens, en effet,
us nous .trouvons en présence 1 Cités par Lorrain, p. 67. MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 207 d'une variété spéciale de parapl
c%., 1885, p. 489 et 509. 8 Revue de Médecine, 1887. 2C8 CLINIQUE NERVEUSE . enfants, étaient frappées de crises paralytiqu
La- malade de Cavaré, relatée dans le travail de Causot. était très nerveuse : quarante-huit heures après un accouche- ment,
quels il Deiilsche Zeitsch. sur Yei-veilheillc, 1892. , 1 MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 209 s'agit d'une paralysie spastique
ment d'un poison qui s'exerce sur les muscles et les terminaisons nerveuses . Cette conjecture trouve un certain appui dans la
hez' ces ' J. Donath. Wiener ut. «'ochensch., 1900, n- 2. MALADIE NERVEUSE FAMILIALE. 211 malades, il y a un arrêt de déve
praticiens auront des notions précises sur les maladies mentales et nerveuses , mais encore on verra, par ces mesures, dispara
gés d'un autre âge, des notions exactes sur les maladies du système nerveux et leur traitement, il convient en effet de faire
ent partisan de l'enseignement obligatoire des maladies mentales et nerveuses et réclame un examen portant spé- eialement sur
avec ses applications à la médecine légale) ; six cours de maladies nerveuses et éleclrolltét'apie par les professeurs ou pri
Le délire du collapsus. 1 1 ! . La confusion aiguë. C. L'épuisement nerveux chronique. i. 111. Lrs j ? ro-,icii ions : 1° L
plus en plus les cliniques psychiatriques en cliniques des maladies nerveuses ... Sans un choix de malades qui embrasse le dom
éal de Griesinger, et possède une clinique des maladies mentales et nerveuses offrant pour l'ensei- gnement un choix de cas r
est de même pour les maladies de la moelle épinière et du sys- tème nerveux en général. La clinique psychiatrique doit nécess
atteint son complet développement, un service spécial des maladies nerveuses est toujours annexé à la division psychiatrique
magne, onze revues spécialement consacrées aux maladies mentales et nerveuses . Il L'Allgei)ieiiie Zeitschrift sur Psychiatrie
un véritable hôpital destiné au traitement des maladies du système nerveux central. Les mesures disciplinaires ont été rem
que la suggestion avec ou sans hypnose 2 : ]8 ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . était utile non seulement dans les maladies me
dans les maladies mentales, mais encore dans toutes les affections nerveuses et particulièrement dans celles que l'on qualif
la goutte, le rhumatisme, l'asthme, les palpitations, la dyspepsie nerveuse , l'alcoolisme chronique et diverses formes de m
s. Les doses varient de 0 gr. ;i0 à 2 gr. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Impaludisme et épilepsie ; par MARANDON DE
mment, les crises d'épilepsie n'existaient qu'à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 239 9 l'état de vertiges avant l'infection pal
à proprement parler spécifiques de la rage. 240 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Les premières ne sont que les manifestations d
ations d'une inflamma- tion et d'une infection suraiguë des centres nerveux ; la seconde semble résulter des conditions spéc
ulaires, péricellulaires et chimiques, s'étendant à tout le système nerveux central périphérique. L'aspect du ganglion nerv
tout le système nerveux central périphérique. L'aspect du ganglion nerveux du vague des animaux morts delà rage des rues e
(sans qu'on Archives, 21 série, t. XI. 16 242 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . s'en soit formellement assuré par l'exploratio
mure de sodium et l'arsenic n'ayant donné aucun REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 243 résultat, l'aconitine fut essayée et amena
pigmentées. z- R. DE Aiuscnavc Ci,4Y. .. 244 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XI. Relation clinique d'un cas d'hémorrhagie d
être atteints ; mais le plus souvent le malade REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 245 5 succombe à une affection intercurrente.
ans les éléments ultimes qui entrent dans la struc- ture du système nerveux , modifications qui ne peuvent être ni localisée
ne physique et morale. Aussi, une hygiène '1246 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . défectueuse, une éducation maladroite, une amb
lacer l'oisiveté. Quant aux modifications secondaires de la cellule nerveuse dans la neurasthénie, elles peuvent échapper à
ésie; il en est de même dans le tabes, et, dans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 247. plusieurs des cas observés par l'auteur,
rique de dégénérescence, le tout accompagné 248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . d'élévation de la température, de troubles gas
la fièvre typhoïde. Les manifestations cliniques de l'inflammation nerveuse périphérique varient d'inten- sité, de siège et
faiblesse, une perversion ou une abolition de la fonction du tronc nerveux malade. Dans tous les cas observés par l'auteur l
endante aiguë de Landry. Chez un petit nombre de malades le système nerveux périphérique tout entier paraissait simultanéme
ômes moteurs qui apparaissent en même temps que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' 249 les troubles de la sensibilité ou très p
'hémorragie, ni de lésions macroscopiques inflammatoires des troncs nerveux , la lésion vraie consistant, autant du moins qu
du moins qu'on a pu s'en assurer, en une dégénérescence des filets nerveux eux-mêmes ; et quant aux muscles, y compris le
n mus- culaire. R. DE MUSGRAVE CL : 1Y. 2SO REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Contribution à l'étude de la syphilis spinale;
es enlever avec les doigts. Sa voix disparut au REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 251 moment de l'accident pour ne revenir qu'ap
graphie du sujet. R. DE MUSGRAVE CLAY. 252 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XI1. Néoplasmes cérébraux : analyse clinique d
écité absolue. Dans neuf cas la névrite a été - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 253 1 précoce, et dans un cas tardive. Elle a
ravail intel- lectuel, les troubles de la digestion, l'irritabilité nerveuse et le malaise générale. Mais le signe décisif s
ombre d'observations de tumeurs cérébrales. 254 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . des écrivains, l'auteur a été conduit à nommer
rla faiblesse d'un ou de deux couples musculaires, par le surmenage nerveux , par l'épuisement du tissu cortical, telles sont
s vertèbres. Il n'y avait aucun signe de dépla- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 25S cernent des corps vertébraux. La dure-mère
paraît avoir droit à une place distincte dans le cadre des maladies nerveuses . Beau- coup de gens souffrent d'un mal de tête
hémicranie, céphalalgie nauséeuse, mal de tête bilieux, mal de tête nerveux , névralgie de la tête : pour ne pas s'embarrasser
elle est multiple ; il y a quelquefois chez un malade de l'hérédité nerveuse ; une nutrition défectueuse, une altération géné
é sur la pathogénie de cette affection sans 256 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'éclairer : on l'a considérée comme- un troub
tômes elle devait descendre assez bas pour com- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 9S7 7 prendre les noyaux situés dans le renfle
New-York Médical Journal. 2G février 1898.) On sait que le système nerveux est très impressionné par l'in- fluenza, et les
veux est très impressionné par l'in- fluenza, et les cas de lésions nerveuses consécutives à cette maladie sont peut-être plu
les névro- pathogènes de l'influenza peuvent porter sur le système nerveux central, périphérique ou sympathique et qu'ils
luenza. Il faut probablement admettre, pour expliquer les accidents nerveux , un empoisonnement rapide ou pro- longé de l'or
qui est Archives, 2 série,- t. 11. f7 i 258 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . assez souvent précoce, c'est l'analgésie, sans
nt cette fillette a sept ans ; sa taille est de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 259 'q 33 pouces, et elle pèse 33 livres (la l
ept mois, mal traitée et insuffisamment nourrie : pas d'antécédents nerveux personnels. Chorée depuis un mois; actuellement
correspondant aux classiques divisions de nos traités de pathologie nerveuse ; faciliter les recherches biblio-l,a- pliiques
lme. - Sa mère, quarante-huit ans, n'au- rait jamais eu d'accidents nerveux et jouirait d'une bonne santé. Ses grands-paren
frères et quatre soeurs; aucun d'eux n'aurait eu de manifestations nerveuses , et, en parti- culier, de convulsions de l'enfa
uelques globules san- guins et des débris de cellules et des fibres nerveuses . Mais si l'on observe les points (portion inter
les points (portion interne des lobes occi- pitaux) où la substance nerveuse est encore relativement conservée, on voit le t
ore relativement conservée, on voit le tableau suivant : Le tissu nerveux atteint une épaisseur d'un centimètre environ d
volutions, au milieu desquelles on aperçoit encore quelques fibres nerveuses grêles contournées en divers sens. Le centre oval
a substance grise, et, autour de ces amas de vaisseaux la substance nerveuse se nécrose. Il s'agit là d'un cas rapidement de
t mentionner, en outre, dans ce cas l'atrophie extrême des cellules nerveuses . Elles sont arrondies, sans prolongements prolo-
he en chroinutine, ce sont plutôt des neuroblastes que des cellules nerveuses différenciées; abon- dantes en certains points,
femmes » de Denis Papin, nous n'avons à relever, au point de vue nerveux , que la migraine chez le grand-père et l'un des
Il y aurait un intérêt d'humanité à agir partout de même. CLINIQUE NERVEUSE . Abcès du lobe temporal droit du cerveau d'or
técédents héréditaires dignes d'être notés, le malade a une soeztî, nerveuse , il a été atteint de diverses maladies infec- t
uelques nuits à peine. Archives, 2' série, t. NI. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE . La maladie actuelle aurait débuté pour le mala
ns (lumière et accommodation) très rapidement et 'sans 292 CLINIQUE NERVEUSE . 1 paresse. Pas de nystagmus, nous avons dit pr
re toujours les yeux fermés dans une apathie Fig. 8. 294 CLINIQUE NERVEUSE . complète; il répond toujours correctement mais
espèce, compression intéressant le pédoncule cérébral 96 - CLINIQUE NERVEUSE . - '0 ! < (parésie et troubles de la sensibi
du côté du lobe tem- li. l0. - t : oupe frontale. - .298 CLINIQUE NERVEUSE . poral droit où l'on voit un point de ramolliss
ées, dans la plupart des cas, qu'au bout d'un mois et, 300 CLINIQUE NERVEUSE . d'ailleurs, les premiers symptômes accusés par
le du père, ni dans celle de la mère, on n'a remarqué de ma- ladies nerveuses , telles qu'hystérie, épilepsie, danse de Saint-
stic clinique M. Sano déclare que l'examen histologique des centres nerveux et des ganglions cérébro-spimaux (ganglions du
isse établir avec une certitude absolue, par l'examen des ganglions nerveux du nerf vague l'existence ou la non-existence d
corps amyloïdes, colloïdes, hyaloïdes et granuleux dans le système nerveux central; par William-J. Simlleb. (The Yetv-Yo ?
'étudier dans un grand nombre de cas les corps amyloïdes du système nerveux central, et il a constaté qu'ils présentaient t
crons de diamètre, que l'on rencontre fréquemmen- dans le sys- tème nerveux central des aliénés, et que cet auteur croit déri
ence. On peut les rencontrer dans différentes mala- dies du système nerveux central. Dans des processus pathologiques de lo
s de gouttelettes graisseuses. Lorsqu'ils s'égarent dans les tissus nerveux , il semble qu'ils n'en puisseut plus sortir. Ce
rès nombreuses dans toutes les formes de dégénérescence où la fibre nerveuse est atteinte, et la méthode de Marcha montre qu
qu'elles pro- viennent de la dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses , des cellules du tissu contiectif (itévi-oglie
put découvrir aucun signe formel d'affection organique du système nerveux central ou phériphérique. Si l'on analyse les s
froid et les agents to.\iques qui abou- tissent à la dégénérescence nerveuse . Quant au siège de la lésion (sauf en ce qui co
la truite ne se compose que de cellules épithéliales sans éléments nerveux . Mais la truite a un avantage marqué : comme se
onné les idées en matière d'anatomie et de psychologie du système nerveux comme l'a fait l'oeuvre de Golgi et de son école.
aide de la méthode de Golgi paraissent démontrer que chaque cellule nerveuse avec ses rameaux protoplasmiques et son prolong
ce physiologiste peuvent se résumer ainsi : il y a dans le système nerveux deux variétés principales de cellules : l'une qu'
x variétés principales de cellules : l'une qu'il appelle la cellule nerveuse , produit la substance transmetteuse ; l'autre,
on. Tous les éléments qui entrent dans la constitution - du système nerveux sont en état de continuité structurale ininter-
paraissent le prouver les travaux récents, le siège de l'impulsion nerveuse n'est pas dans les cellules nerveuses, où est-il
cents, le siège de l'impulsion nerveuse n'est pas dans les cellules nerveuses , où est-il ? L'auleur n'est certainement pas en
Les auteurs décrivent d'abord la structure normale de la cellule nerveuse , décrivent ensuite les phénomènes que Marinesco d
au moins, il y avait aussi une diminution du nombre des cellules nerveuses . C'est dans cette disparition complète d'une fo
dans cette disparition complète d'une forte proportion des cellules nerveuses corticales, et non pas dans la simple privation
chopathologie; 2U Histologie (A) normale et (B) comparée du système nerveux ; 3° Biologie cellulaire; 4e Anatomie pathologi
ies cutanées, on ne peut s'empêcher de se sou- venir que le système nerveux central, aussi bien que la peau et ses annexes,
même qui se transmet, c'est la tare héréditaire de l'orga- nisation nerveuse , laquelle peut demeurer latente pendant une ou
variétés très différentes de maladies mentales ou d'autres troubles nerveux . Une forme de folie déterminé chez un malade pa
non par l'aliénation mentale, mais par d'autres formes de maladies nerveuses . 11° La propension aux maladies mentales peut s
bservation complète (de tous les appareils-les désordres du système nerveux n'étant pas isolés, mais.liés par exemple à des
upes fines permettent de constater l'existence de très fines fibres nerveuses de régénération; ainsi SOCIÉTÉS SAVANTES. 343
elative de la sensibilité dans des régions recevant des conducteurs nerveux qui pénètrent dans la. moelle, au-dessous des l
e diagnostic. Trois cas de généralisation cancéreuse sur le système nerveux périphérique. ' M. Obertiiùr rapporte trois c
cutive à une généralisation d*'un cancer de l'uté- rus ; les troncs nerveux sont comprimés et en partie dégénérés, le tissu
les troncs nerveux sont comprimés et en partie dégénérés, le tissu nerveux lui-même n'est pas envahi par les productions épi
que phobies, obsessions, impulsions, etc. Dans ces cas, la cellule nerveuse , plus ou moins tarée, est ce qu'elle est et auc
s le tissu périaortique, pas de lésion macroscospique des centres nerveux sauf l'hyperhémie et l'épaississement de la pie-m
t des lilaires à l'état larvaire vivantes. A la coupe des centres nerveux , dans les deux cas, hémorra- gies punctiformes,
semencements ne révèlent de microorganismes. A la coupe des centres nerveux , la lésion caractéristique est l'énorme invasio
affectant le système gan- glionnaire et lymphatique et les centres nerveux . Ce qui frappe quand on regarde les nombreuses
BIBLIOGRAPHIE., voir dans cette affection inflammatoire des centres nerveux un ac- cident tardif de nature syphilitique et
e générale, au lieu que l'atrophie et la raréfac- tion des cellules nerveuses est au contraire beaucoup moins accu- sée, si b
mptomatique et diagnostique. Après l'étude des maladies des centres nerveux , cerveau etmoelle étudiées en première ligue, l
diverses affections pour terminer par 12s affections des enveloppes nerveuses des nerfs périphériques et des névroses et dyst
ie Masson et C-1. Iloux (J.). Diagnostic el traitement des maladies nerveuses . Piéface du professeur J. Teissicr. In-16 carto
'JO1. Vol. XI. Mai 1901. NO 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE .. «, L'Épilepsie partielle. Pathogénie et trait
pe isolé de 1 Leçon extraite de la Clinique des maladies du système nerveux , t. V (sous presse), du professeur F. llaymond.
ur F. llaymond. ' ? ' ARCHIVES, 2- Série, t. XI. 24 .370 CLINIQUE NERVEUSE . muscles, préposé à tel ou tel mouvement intent
t' Chirurgie, 1898, 1. XLVIII, fasc. 2 et 3, p. 223. 372 CLINIQUE NERVEUSE . - L'extirpation DES centres corticaux ÉPILEPTO
dales, et une condensation du tissu névro- glique. ' 374 CLINIQUE NERVEUSE . 8° Doyen-Raymond (Il s'agit du cas du malade d
t l'excitation produisait des contractions du pouce et 376 CLINIQUE NERVEUSE . des mouvements dans l'articulation du poignet.
ête se tournait vers la gauche ; les doigts de la main 378 CLINIQUE NERVEUSE . gauche se relâchaient; le malade ouvrait la bo
des secousses involontaires, auxquelles fit suite une 380 CLINIQUE NERVEUSE . - attaque d'épilepsie. Ce même jour, il a eu d
'extirpation du centre cortical des mouvements de la 382 ) CLINIQUE NERVEUSE . main gauche. Deux jours après, on constata une
ton médical and su)-gical journal, 7 jan- vier 1892. 384 CLINIQUE NERVEUSE . STARR, loc. cit ? obs. 3. DANA et CURTIS. Tw
utres ont incriminé la Ancltmes, 28 série, t. Xf. 25 386 CLINIQUE NERVEUSE . compression de la zone rolandique, par le frag
e la troisième paire. - 4° Elle indique toujours une dégénérescence nerveuse centrale, intéressant soit le noyau du moteur o
causes ne jouant qu'un rôle secondaire, prédisposant. Les éléments nerveux ne prennent pas une part active à l'inflammatio
uteurs, il faut atta- cher un grand prix, à la déchéance des fibres nerveuses , et à la leucocytose des cellules. P. 11ERAVaL.
ut-être aussi celle du phosphore et du chlore. Les troubles graves, nerveux ou digestifs, indiquent plutôt un trouble fonct
ow parait être toujours sous la dépendance de lésions primitivement nerveuses ; la glande ne présente aucune lésion, ou bien d
t évidemment sépa- rément accessibles par l'intermédiaire de fibres nerveuses spécia- les, dont le gouvernement du corps fait
moins de 136 numéros. R. DE Musgrave-Clay. 398 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LX. Relation de l'autopsie d'un cas d'acroméga
des causes similaires. Il. de Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXX. Hémiatrophie de la langue; par Harold N.
e par arme à feu. H. M. C. XXXI. La maladie de Henoch, ou purpura nerveux ; par rrancis-A. Thompson. (The iyew- Yoi-k 31ed
ne de cette maladie peu commune une description REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 399 sommaire et relate une observation intéres
rès la suggestion hypnotique. P. KERAVAL. 400 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXIV. Epilepsie convulsive causée par la trép
e V epilepsie consécutive a ! la trépanation. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 401 vue clinique, début tardif des symptômes ;
ofibromatose serait en réalité une fibromatose sans systématisation nerveuse absolue, mais présentant comme caractère de se
e tissu conjonctif entourant les éléments nobles, avec prédilection nerveuse . R. C XXXVII. L'adéno-lipomatose symétrique à p
ou acquise Archives, 2° série, t. XI. 26 402 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . connue ; à la suite de surmenage physique, att
llaire voisin de l'appa- reil sensitif. R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 403 XLII. La polynévrite syphilitique ; par CE
auteur croit pouvoir établir les catégories suivantes : 1° troubles nerveux ne rentrant pas dans le cadre de la polynévrite
cer l'histoire clinique de cette affection : apparition de troubles nerveux à la période secon- daire variant de un à quinz
nte-quatre ans ; large brèche de communica- 401 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tion bucco-sinusienne, simulant le mal perfora
ition en nageoire du phoque) (Flossenstellung). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 405 Le pronostic de l'affection fut plutôt fav
à une famille de dix enfants dont plusieurs pré- sentèrent des toux nerveuses et dont deux ont présenté à partir de l'adolesc
t ramollissement de la zone qu'il alimente. La syphilis dès centres nerveux est caractérisée surtout par la multiplicité de
esque pathognomonique, est tiré de la façon 406 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dont se comportent les pupilles, alors même qu
ne hystérique. . Observation IL- Jeune fille de seize ans. Hérédité nerveuse , sans gravité, du côté maternel. Hoquet quotidi
orables. , - Observation III. Veuve de cinquante-cinq ans, troubles nerveux depuis quatre ou cinq ans, a fait un usage exce
inq ans, a fait un usage excessif de stimulants REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 407 alcooliques pour combattre de prétendues c
amendent rapide- ment. Si l'on voulait interpréter les phénomènes nerveux observés dans ces trois cas, il faudrait faire
vé rempli par du sang fluide, avec quelques 408 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . petits caillots qui occupaient la région lomba
aux symptômes oculaires et rappelle que Môbius REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 409 enseigne que tout sujet du sexe masculin q
suffit de mentionner les névroses de la 410 - " REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1 grossesse, et les psychoses de l'état puerpé
ce jusqu'aux gang-lions voisins et le réflexe se propage au système nerveux central. Quelquefois aussi les névroses réflexes
es ont pour point de départ la mise à nu de quelques terminaisons nerveuses dans une érosion ou une ulcération. Les déplaceme
sen- sation douloureuse dans le bassin et l'abdomen. Les troubles nerveux , consistant dans de la dépression mentale, de l
ser; mais les conclusions par lesquelles l'au-. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 411, teur termine son mémoire en donnent par e
rée soit comme primitive, soit comme consé- 412 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . cutive à celle dont il s'agit; et l'on pourrai
sible de distinguer ces deux types de tumeur. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 413 Le fait que des tumeurs ayant la structure
rmation de la tumeur. Il est plus difficile 414 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de préciser le foyer primitif de i'infection t
dry peut être considérée comme une mala- die infectieuse du système nerveux , elle intéresse surtout les cornes grises antér
symptômes sont épars, comme les foyers; dans la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 445 méningo-myélite, il y a de bonne heure des
es et leurs toxines, a provoqué chez eux des altérations du système nerveux très analogues à celles que l'on observe dans l
n 1/16 de pouce d'épaisseur, que l'on reconnut être formée de tubes nerveux atrophiés et de névrog- lie hypertrophiée, et q
vaudrait se souvenir que le malade est surtout atteint d'un trouble nerveux qui se manifeste par un besoin constant ou pério-
peu aider à comprendre la physiologie et la pathologie du système nerveux . Lorsque cette anesthésie atteint son maximum d'e
nt guéri : cette ma- ladie est un état de dégénérescence du système nerveux qui enva- hit primitivement les cellules nerveu
escence du système nerveux qui enva- hit primitivement les cellules nerveuses , et qui, par ses manifesta- tions cliniques rap
cence et indiquent l'existence d'une lésion irritative des cellules nerveuses (mentales et motrices). L'auteur estime que l'a
maladie, et d'une façon plus concluante encore par les lésions non nerveuses et précoces (lesquelles sont infec- tantes pai
su à spécialisation supérieure comme celui qui constitue le système nerveux . Deux autres points sont à considérer, l'arrêt
nce progressive. Dans la dé- générescence syphilitique des cellules nerveuses , l'arrêt du proces- sus est l'exception plutôt
u n'est pas le seul agent nuisible, enfin l'état général du système nerveux ; mais dans tous les cas on se trouve en présen
e de l'état général du sys- 422 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tème nerveux , et par là l'auteur entend la présence ou l'absen
t la maladie se prête à la définition : c'est un trouble du système nerveux caractérisé par des symptômes mentaux avec phén
mental, il faut d'abord chercher dans quelles limites les fonctions nerveuses supérieures sont intactes et voir dans quelle m
à la fois, ou isolément, les membranes et les vaisseaux du système nerveux central. L'auteur passe en revue les diverses l
vantes par lesquelles il conclut son travail : surmenage du système nerveux par la lutte pour l'exis- tence, augmentation d
dans tous ses rapports avec l'étiologie des désordres mentaux et nerveux du génie, souvent, dans ses inconvénients exagéré
tion d'une névrose caractérisée par l'exaltation morbide du système nerveux . M. Grasset ne peut admettre que la supériorité
ologique et dans sa vie morbide. C'est précisément ce tem- pérament nerveux qui se retrouve à la fois chez les supérieurs et
névrosé et supérieur il il est névrosé par une zone de son système nerveux et supérieur par une autre i-. « La supériorité
: irritabilité fonctionnelle, irritabilité nutritive, irritabilité nerveuse . En terminant l'auteur parle de la nature de l'
Blin, médecin en chef de l'asile de Vaucluse. Histologie du système nerveux : 111. le De Marchand, médecin adjoint des asil
et Cololian (P.). Traité de thérapeutique des maladie s mentales et nerveuses (Hygiène et prophylaxie), In-8° dexvi-i86 pages.
as d'adhérences de la pie-mère. Diminution du nombre des cellules nerveuses , et lésions vasculaires dans la substance grise
s pro- noncée). Au niveau du faisceau pyramidal croisé, les tubes nerveux étaient moins abondants; le tissu conjonctif étai
, surtout à l'égard des buveurs modérés ; les troubles digestifs ou nerveux qui sont fréquents chez les alcoolises ne sont
doit être faite au point où l'on risque le moins de léser le tissu nerveux contenu dans le canal rachidien; 3° que le liqu
périence' qu'une grande partie des troubles fonctionnels du système nerveux de la grosse armée des neurasthéniques, hypocho
et peu abondantes. L'erreur, dans ce cas, concernant une femme très nerveuse , est d'autant plus surprenant qu'elle avait eu
fuleuse, affectée de syphilis héréditaire, dans laquelle le système nerveux serait le locus zrzinoris 7-esisteizlix : paraplé
es autres sont désorganisés depuis une maladie qui a nui au système nerveux , depuis môme une affection mentale incomplèteme
ts de la folie et du génie. Nous ignorons les conditions du système nerveux qui président à la création du terrain propre a
as derrière le dos pour résister à ce qu'il appelait ses mouvements nerveux . Or un jour il sentit son bras s'allonger telle
hystéro-organiquessonttrès communes et pour prouver qu'un trou- ble nerveux est hystérique, il faut s'appuyer sur ses caractè
de ce phénomène, d'après MM. Marie et Guillain, tous les troubles nerveux observés chez ce malade sont de nature hystérique
ions vasculaires, altérations et disparition pattielie des cellules nerveuses , et ne leur recon- naissent qu'une valeurrelati
bleus de l'écorce cérébrale et de la gaine lymphatique des cellules nerveuses ; qu'il s'agisse là de leucocytes comme on l'a s
Celle-ci a eu des crises de douleurs à l'es- tomac et des troubles nerveux qui l'ont d'abord fait prendre pour une hystéri
oyer et les coits régu- liers agissent favorablement sur le système nerveux de l'orga- nisme. En ce qui concerne 1 âge. le
p. 100 de la tuberculose), 35,5 p. 100 des affec- tions du système nerveux , 11,8 p. 100 de la septicémie et 1,9 p. 100 du
° psychoses par arrêt de développement. La statistique des maladies nerveuses se rapporte à 286 malades, dont 537 hommes et 4
ires 44 p. 100; les lettres 160 et les illettrés 82. Les ma- ladies nerveuses sont divisées par le professeur t3eclilaerell'en
ose en plaques disséminées. 5° Névroses communes el autres maladies nerveuses communes : u) épilepsie, b) hystérie, c) neuras
géantes de l'écorce mo- tiice chez les aliénés, par Turnor, 138. nerveuse du coeur du lapin, par Farmalcowslca, 112. t
nrtose. Gnérison d'unes émollve, par Jaquarche, 183. Hyperthermie nerveuse chez la femme, par Leven, 141. IhPNO-Mi'.iRON
gairement appe- lée-, par Eliot, 255. Mobilis vtion en pathologie nerveuse , par 110. Moelle Lésions non tabé- tiques d
peti, 61. Paraplégie ataxique subaiguë, par Dana, 68. - .Maladie nerveuse mal définie à allures de - sl)as- modique, pa
Raymond et Cestan, 342. syphi- litique, par Cestan, 403. Polyurie nerveuse , par Souques et Balthazard, 8t. avec une lésion
la con- duite, par Mercier, 482. Pmu'UHA. Maladie de Denoch ou nerveux , par Thompson, 398. Pupillaires. 'froubles-dans
es, 135, 306, 390, 416. (le thérapeutique 234, 479. de pathologie nerveuse . 238, 398. Revue philosophique, 367. Rigidité
ertébrale dans la -, par Nal- baudow, 434. (]ans les affections nerveuses , par Kageotte. 70. Système nerveux. Corps amyio
434. (]ans les affections nerveuses, par Kageotte. 70. Système nerveux . Corps amyiontes. hyaloïdes, etc., dans le cent
21 (1886) L'encéphale : structure et description iconographique du cerveau, du cervelet et du bulbe : avec atlas de 59 planches en glyptographie
'encéphale. La première partie de ce nouveau travail sur le système nerveux central est con-sacrée à l'étude de la substance
ce grise; à la constitution et au mode de répartition de ces éléments nerveux ; aux rapports et aux connexions qu'ils ont entre
descriptive sont donnés dans la description iconographique. système nerveux central. La méthode qui m'a paru la meilleure pou
de L'ENCÉPHALE PREMIÈRE PARTIE DESCRIPTION GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX — APPAREIL DE L'INNERVATION L'appareil de l'inn
pareil de l'innervation est formé par une partie centrale, le système nerveux cérébro-spinal, nommé aussi centre nerveux, et pa
artie centrale, le système nerveux cérébro-spinal, nommé aussi centre nerveux , et par une partie périphé-rique ramifiée, rayonn
hé-rique ramifiée, rayonnée du centre vers les extrémités, le système nerveux péri-phérique. Le système nerveux cérébro-spina
e vers les extrémités, le système nerveux péri-phérique. Le système nerveux cérébro-spinal est contenu, comme l'indique son n
ènes de la calorification et de la nutrition. La portion du système nerveux cérébro-spinal renfermée dans la cavité du rachis
le d'intermédiaires, de moyen d'union entre l'encéphale et le système nerveux périphérique qui sert de contact avec le monde ex
les trous de conjugaison de chaque vertèbre, les branches du système nerveux périphérique. L'encéphale est contenu dans une
encéphale et forme le névrilème des racines et des troncs des cordons nerveux . La structure très délicate et les fonctions si
La structure très délicate et les fonctions si importantes du système nerveux cen-tral, la richesse de son appareil circulatoir
ues différents. La substance grise est une ag-glomération de cellules nerveuses ; la substance blanche est constituée par des fib
llules nerveuses ; la substance blanche est constituée par des fibres nerveuses , ou tubes nerveux, recouvertes de myéline, qui me
a substance blanche est constituée par des fibres nerveuses, ou tubes nerveux , recouvertes de myéline, qui mettent en communica
rtes de myéline, qui mettent en communication les groupes de cellules nerveuses . La cellule nerveuse est le foyer de l'innervat
tent en communication les groupes de cellules nerveuses. La cellule nerveuse est le foyer de l'innervation, le centre de l'act
'activité psychique, intellectuelle, motrice ou sensitive; les fibres nerveuses sont les conducteurs de cette activité. Il impo
ale; ensuite de reconnaître les connexions qu'ils ont avec les fibres nerveuses et quelle est l'origine, la direction et la termi
l'origine, la direction et la terminaison de ces faisceaux de fibres nerveuses qui constituent la substance blanche. (1) E. Ga
le de la substance corticale est constituée par une série de cellules nerveuses pyramidalest de volume variable, régulièrement st
t de nombreux vaisseaux capillaires et des myélocytes. Les cellules nerveuses se présentent sous l'aspect de petites masses tri
artis des cellules voisines, et constituent ainsi une sorte de réseau nerveux ; leur base donne naissance à un prolongement non
sphérique ou ovoïde de 9 [/.à 11 ¡x, destinés à produire des cellules nerveuses (Microphotographie, Pl. A, fig. I). Suivant que
formée de névroglie renfermant une agglomération de petites cellules nerveuses pyramidales, très nombreuses et très serrées les
ance corticale de la corne d'Ammon ne renferme que ces mêmes éléments nerveux . (1) Baillarger, Recherches sur la structure de
t. VIII, p. 149). (2) G. Huguenin (de Zurich), Anatomie des centres nerveux , traduit par Keller, annoté par Math. Duval. Pari
exactement délimitée d'après les dimensions diverses de ces éléments nerveux , si variables comme nombre et développement suiva
la substance grise périphérique n'est pas composée des mêmes éléments nerveux dans toutes les circonvolutions de la sur-face du
randes cellules, des prolongements ramifiés se résolvant en un réseau nerveux . Le corps de la cellule géante envoie un prolon
tions où il se revêt de myéline et forme le cylinder-axis d'une fibre nerveuse . Ces cellules géantes sont des cellules motrice
II, 4), est un amas ovoïde gris rougeâtre, constitué par des cellules nerveuses ovalaires, de 20 [¦ à 30 (x de longueur et de 5 à
striée de filaments blancs, formée par une agglomération de cellules nerveuses multipolaires, variant de 15 p.à 30 [a, de couleu
n deux portions inégales par le passage d'un large faisceau de fibres nerveuses (Pl. X, 4 et XVIII, 6) aplati d'avant en arrière,
ur. La substance grise de cette lamelle est formée des mêmes éléments nerveux que la substance grise du corps strié, dont elle
CERVEAU. La substance blanche du cerveau est formée par des fibres nerveuses ou tubes nerveux de 2 fx à 5 p de diamètre, juxta
tance blanche du cerveau est formée par des fibres nerveuses ou tubes nerveux de 2 fx à 5 p de diamètre, juxtaposées et unies p
uche de myéline. Le cylinder-axis est l'élément essentiel de la fibre nerveuse , le seul conduc-teur de l'influx nerveux ; la myé
ément essentiel de la fibre nerveuse, le seul conduc-teur de l'influx nerveux ; la myéline est une enveloppe destinée à protége
enveloppe destinée à protéger, à isoler le filament axile. Ces fibres nerveuses ne possèdent donc pas, comme celles du système ne
. Ces fibres nerveuses ne possèdent donc pas, comme celles du système nerveux périphérique, une troisième enveloppe, la gaine d
enveloppe, la gaine de Schwann ; ce sont les conductrices de l'influx nerveux des cellules de la substance grise avec lesquelle
les elles sont en connexion par leurs deux extrémités. Chaque cellule nerveuse reçoit par un de ses pôles une fibre nerveuse, ta
rémités. Chaque cellule nerveuse reçoit par un de ses pôles une fibre nerveuse , tandis qu'elle donne naissance par le pôle oppos
entes, celles qui en partent sont les fibres efférentes. Les fibres nerveuses ne se subdivisent pas dans l'intérieur de la mass
e, pénètrent suivant un même mode dans la substance grise. Les fibres nerveuses se réunissent en un faisceau blanc au centre de l
ttant en connexion avec un prolongement cellulaire. Quelques fibres nerveuses paraissent s'amortir dans la couche la plus super
Ces trois ordres de connexions impliquent trois systèmes de fibres nerveuses : Io des fibres arciformes conjuguant les uns aux
ce corticale ; 2° des fibres commissurantes qui unissent les cellules nerveuses d'un hémisphère à leur homologue de l'hémisphère
es commissurantes appartiennent au système d'association des cellules nerveuses corticales. Elles unissent les parties diverses d
est en connexion avec les prolongements issus du réseau des cellules nerveuses de la subs-tance grise ; leur portion médiane déc
vergentes comprend donc (Pl. XI-XII) : Io un groupe spécial de fibres nerveuses qui relient tous les points de la pulpe corticale
fibres cortico-thalamiques ; 2° Un second groupe spécial de fibres nerveuses , qui met également en connexion les divers points
ance grise du tubercule correspondant et s'épanouit dans les cellules nerveuses qu'elle renferme (Pl. III). - Vicq-d'Azyr a déc
couverts d'une écorce blanchâtre, formée par l'en-roulement de fibres nerveuses afférentes. Ils ont la forme et le volume d'un gr
st constitué par une écorce de substance grise, reliée par des fibres nerveuses médullaires à un noyau central de substance grise
laires. Elle est séparée de la zone profonde par une couche de fibres nerveuses dirigées parallèlement à la surface externe, renf
x du quatrième ven-tricule. Cette membrane est composée de cellules nerveuses multipolaires de 30 [/. de long et d'environ 10 ^
Quelques-uns de ces prolongements sont en continuité avec les fibres nerveuses de la substance blanche (Pl. VI, 17; XXVI, 25; XX
ère (Pl. II, 15). Cette substance médullaire est composée de fibres nerveuses de même texture et de même dimension que celles d
on que celles du cerveau, qui se comportent, par rapport aux cellules nerveuses de la substance grise, de la même manière que les
c les prolongements des grosses et des petites cellules. Les fibres nerveuses de la substance médullaire du cervelet peuvent êt
s la substance grise, où elles entrent en connexion avec les cellules nerveuses qu'elle renferme. article 111. — fibres efféren
e tous les points de la surface interne de ses sinuosités, des fibres nerveuses effèrentes, qui se portent, sous forme de trois g
r est propre et vont se terminer dans un amas particulier de cellules nerveuses , appartenant au névraxe, situé sur le côté opposé
aussi sous le nom de névraxe, est formé par l'en-semble des éléments nerveux groupés depuis la base du ventricule moyen, jusqu
de la substance grise et par de la substance blanche. Ces éléments nerveux présentent dans les diverses régions du névraxe u
a substance grise est entourée d'une écorce blanche for-mée de fibres nerveuses , groupées en faisceaux longitudinaux prismatiques
iles. La substance grise de la moelle est composée par des cellules nerveuses de petite dimension et de myélocites disséminés d
ent, se recouvrirait de myéline pour se convertir finalement en fibre nerveuse . Cette description est difficile à constater par
rami-fiant, jusqu'aux divers organes de l'économie. C'est te système nerveux périphérique. Ce plan morphologique de la subst
symétriquement de chaque côté du canal central, au milieu des fibres nerveuses à direction ascendante, transver-sale ou arciform
s sensi-tives des nerfs crâniens, qui émergent de groupes de cellules nerveuses faisant partie d'une colonne grise, ou bien forma
téral du bulbe ou noyau moteur des nerfs mixtes contient des cellules nerveuses multipolaires de 70 p de longueur et de 30 y. de
u noyau propre du facial, dont il est séparé par le passage de fibres nerveuses . La base de la corne postérieure s'étale en col
es. La substance gélatineuse qui l'entoure émet une série de fibres nerveuses se dirigeant en dehors et en arrière. Ces fibres
paires de nerfs crâniens, 1853. Leçons sur la physiologie du système nerveux , 1866. nerf auditif. Vers ce niveau, la racine
entricule. A ce niveau, elle présente de petites traînées de cellules nerveuses qui sont en connexion avec le muscle ciliaire, le
ineux que l'interne. Ces deux ganglions reçoivent chacun des fibres nerveuses périphériques d'un ordre particulier, qui partent
du ganglion interne s'épanouit (1) Luys, Recherches sur le système nerveux cérébro-spinal. Paris, 1873, et Iconographie phot
rébro-spinal. Paris, 1873, et Iconographie photographique des centres nerveux . Paris, 1865. dans la substance grise du tuberc
s antérieures du cerveau, une série en parfaite continuité d'éléments nerveux en connexion d'une part avec les racines motrices
ines motrices et d'autre part avec les racines sensitives des cordons nerveux . Le plan morphologique des portions rachidienne
ier ordre de fibres provenant du cervelet s'amortit dans les cellules nerveuses qu'il renferme. Il est donc probable que les conn
é opposé des fibres efférentes prenant leur origine dans les cellules nerveuses qu'ils renferment (Pl. IV, 14; XXVI, 13; XL, 18).
ce blanche du névraxe. En traversant le collet du bulbe, les fibres nerveuses groupées en faisceaux pris-matiques autour de la
ur marche ascendante sous le nom de pyramides antérieures. Les fibres nerveuses longitudinales qui les composent forment la porti
tituent la portion profonde ou sensitive de ces pyramides. Les fibres nerveuses , plus fines dans ce faisceau, se juxtaposent long
les compris dans la protubérance entre ces divers faisceaux de fibres nerveuses longitudinales sont remplis par des agglomérats o
elle qui entoure l'aqueduc de Sylvius. § 3. Distribution des fibres nerveuses spinales. — Arrivé à l'extrémité supérieure des p
au caudé et vers la tête du corps strié, qu'elle aborde. Les fibres nerveuses s'épanouissent ensuite en petits filaments serpen
s'effilent progressivement pour entrer en connexion avec les cellules nerveuses que renferme la substance grise de ces noyaux.
le (Pl. VII; XLIV). (1) Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux . Les cordons postérieurs de la moelle, portion
la substance grise de cette région et vont se distribuer aux cellules nerveuses des différents noyaux qu'elle renferme (PL XL1I,
yen sous-jacente à la couche optique, et s'épanouit dans les cellules nerveuses de cette région. Dans ce trajet ascendant, le f
au cérébelleux. Ils s'effilent, se perdent dans le réseau de cellules nerveuses que renferme sa masse grise et émergent sous la f
ostéro-interne du corpus Luysii, entre en connexion avec les cellules nerveuses contenues dans sa substance grise et en ressort p
un fascicule, dans un plan plus inférieur (Pl. XXVIII), aux cellules nerveuses qui constituent la substance grise de Sœmmering;
immédiat entre la substance grise de la protubérance et les cellules nerveuses du corps rhomboïdal (Pl. Vf, 19; XXXI). Les péd
ne grosse portion externe, le corps restiforme, qui unit les cellules nerveuses de l'olive bulbaire aux cellules du corps rhomboï
ns de Goll (funiculus cuneatus et gracilis), qui relient les cellules nerveuses des régions postérieures de la moelle avec le cer
otubérance, les fibres spinales antérieures se sont accolé des fibres nerveuses de nouvelle formation, qui ont augmenté considéra
r faisceau. Ces fibres nouvelles ont pris naissance dans les cellules nerveuses que renferme la substance grise de la protubéranc
de la moelle allongée, qui établissent un rapport entre les éléments nerveux du corps strié et la substance grise de la protub
e de la protubérance,déjà d'autre part en connexion avec les éléments nerveux du cervelet et avec les éléments nerveux de la mo
connexion avec les éléments nerveux du cervelet et avec les éléments nerveux de la moelle épinière. Ce gros amas de substanc
al d'innervation, de diffusion ou de transmission réflexe de l'influx nerveux , possédant une activité propre, comme les centres
de l'influx nerveux, possédant une activité propre, comme les centres nerveux du cerveau. Les colonnes de substance grise qui c
ulaires accessoires répandues sur le parcours des faisceaux de fibres nerveuses , indiquent que la portion encéphalique du névraxe
le. (1; Vulpian, Leçons de physiologie générale comparée du système nerveux . MICROPHOTOGRAPHIE Ces figures sont la reprod
eant de la corne an- térieure. d. Section transversale des fibres nerveuses longitudinales de la substance médullaire, groupé
ions ; l'une donne naissance aux fibres radiculaires. d. Faisceau nerveux . e. Substance grise appartenant à l'acoustique.
; elle est sillonnée d'un très riche réseau de vaisseaux et de filets nerveux . Le squelette de cette cloison est formé en arriè
espondant, autour duquel il s'enroule et s'épanouit dans les cellules nerveuses qui forment la substance grise de ce petit noyau,
r du trigone s'enroule à leur surface et se termine dans les cellules nerveuses que renferme leur iuibsiiîuce grise. Les bords
ères. Les fibres médullaires qui prennent naissance dans les cellules nerveuses qu'elle renferme, se dirigent toutes vers la régi
é, les fibres convergentes pour entrer en connexion avec les cellules nerveuses des noyaux opto-striés. Le trajet des fibres cort
e ces segments provient de l'abondance plus ou moins grande de fibres nerveuses qui se distribuent à chacune de ces régions du no
médiane du cervelet représente la disposition transversale des fibres nerveuses qui relient l'un à l'autre les deux lobes du cerv
s filaments ondulés, très fins, qui vont s'atténuer dans les cellules nerveuses de la substance grise et jaune du corps strié.
e à sa partie médiane. Il émet par son bord antéro-externe des fibres nerveuses qui se mêlent au faisceau des fibres spinales ant
ent dans sa substance grise, où elles s'amortissent dans les cellules nerveuses qu'elle renferme. 17. — Substance grise central
perficie de la substance grise, c'est-à-dire la quantité des éléments nerveux . Les fibres de la substance médullaire converge
lenticulaire sont détachés. A leur place, on voit une trame de fibres nerveuses présentant un grand nombre de petits trous que tr
s antérieurs du trigone, qui vont ensuite s'amortir dans les cellules nerveuses que renferme la substance grise ; ces fibres émer
présente une couche corticale de substance grise entourant les fibres nerveuses qui constituent le centre médullaire des deux lob
ulbe. A ce niveau a lieu l'entre-croi-sement des faisceaux des fibres nerveuses qui constituent les cordons de la moelle. XXXV.
vexes, la branche postérieure de la scissure de Sylvius. Les fibres nerveuses de la substance médullaire se détachent de la bas
ntient les corps rhomboïdaux (voir la planche précédente). Les fibres nerveuses convergent de la base de la substance grise corti
ée aussi noyau des cordons grêles ou noyau post-pyramidal, les fibres nerveuses des cordons médians postérieurs ou cordons de Gol
ibres convergentes pénètrent en longs filaments, jusqu'à la substance nerveuse de ce centre, où elles s'épuisent. La commissure
1 ; Pl. XL) est plus étendu; il reçoit par sa facu interne des fibres nerveuses du faisceau cérébelleux supérieur. En dehors de
substance blanche, et donne naissance par sa face interne aux fibres nerveuses du centre médullaire. Les fibres commissurantes
de Vicq-d'Azyr (voir Pl. III). Ils mettent en connexion les cellules nerveuses de la substance grise du centre antérieur avec le
nerveuses de la substance grise du centre antérieur avec les cellules nerveuses de la substance grise des tubercules mamillaires.
ce grise du ganglion olfactif (7, Pl. XLVI et PL XLVII). Ces troncs nerveux sont en rapport avec la série d'artérioles fourni
. ........... 1 PREMIÈRE PARTIE. — DESCRIPTION GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX . APPAREIL DE L'INNERVATION.....................
X. APPAREIL DE L'INNERVATION........................... 3 Système nerveux cérébro-spinal...................... 3 Système
3 Système nerveux cérébro-spinal...................... 3 Système nerveux périphérique ...................... 3 Encéphale
22 (1901) Archives de neurologie [2ème série, tome 12, n° 67-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
rant cellulifuge actionnant les myo- neurones se produit dans l'arc nerveux à la suite d'incitations venues des protoneuron
ns son complément préalable ordinaire; la deuxième portion de l'arc nerveux entre seule en mouve- ment, le malade assiste à
inquante ans d'une pneumonie ; mère morte à quarante-huit ans, très nerveuse , commettait des actes excentriques. Deux soeurs
use, commettait des actes excentriques. Deux soeurs bien portantes, nerveuses . Marié, a perdu sa femme en 1899, n'a jamais eu
histoire des progrès de la connaissance de la structure du système nerveux centrai. Des esprits étrangers à ces études pou
u'il s'agisse de ses Leçons sur la Structure des organes du système nerveux central de l'Homme et des Animaux', de ses nomb
aujourd'hui touchant la structure et le développe- ment du système nerveux dans la série des vertébrés. Sur- prendre, comm
dire la partie antérieure du cerveau, est toutefois seule de nature nerveuse ; suivant l'espèce, telles régions plus ou moin
Uerlil1. Ilirseliwald, 1900. 30 REVUE CRITIQUE. à est de nature nerveuse . Quant au cerveau des vertébrés supérieurs, il
lement purement épithélial, il est constitué de nombreuses cellules nerveuses d'où partent des faisceaux de -projection et au
s de cylindraxes ascendants. C'est bien le substratum d'un appareil nerveux . Encore rudi- mentaire chez les amphibiens, il
véritable. Le pallium tout entier s'est tra5sformé 'en subs- tance nerveuse cérébrale; seule, la région la plus posté- rieu
nce, sur cette planète : La connaissance des fonctions du système nerveux n'a donc pu avancer et n'avancera dans l'avenir
'anatomie dans l'étude et l'interprétation des fonctions du système nerveux central. Ces fonctions, ils les considèrent com
sidérations sur l'histoire des théories et des doctrines du système nerveux où apparaissent en pleine lumière les noms de D
de suivre, en une série continue, les structures de l'appareil , nerveux parallèlement aux manifestations psychiques, de
ne voit plus comment une partie du travail accompli par le système nerveux peut devenir ou deviendrait conscient. Qu'est-c
t le monde, les choses ne nous appa- ' Voy. Jules Soury. Le Système nerveux central. Structure et fonctions. Paris, G. Carr
ance. Rien d'uto- pique, selon 'Edinger, dans l'idée que le système nerveux sera un jour aussi bien connu qu'un ingénieur c
ait pourtant suivre Loeb jusqu'au bout. Pour ce dernier, le système nerveux n'est qu'un appareil de régulation et un multip
velles d'Apathy, de Bethe, de Nissl, sur la structure de la cellule nerveuse qui, grâce à ses connexions inter et intrafibri
pour les novateurs vers lesquels incline Edinger, si les cellules nerveuses , avec leurs prolongements, sont des unités phy-
plu- part des biologistes. Comme il est démontré que les cellules nerveuses , avec leurs prolongements, sont bien des unités
fiblril- laire du névraxe. Quelle solution l'anatomie du système nerveux peut-elle donner à ce problème capital de la ps
blème capital de la psychologie, la mémoire ? Comment les processus nerveux peuvent-ils être modifiés, consécutivement àcer
ung der tvirbellosen l'hiere. Leipzig, 1899. 36 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' que la question de la conscience soit épuisé
s vers la solution du pro- blème. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Fausse grossesse chez une névropathe dégéné
s complets, ne sont pas très rares. , (B.) .) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 37 son adorateur, et qu'elle aimait encore mie
jure que vous ne l'êtes pas, lui dis-je, et 38 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . vos règles viendront absolument comme vos urin
lation thoraco-claviculaire ? Parce qu'elles ne REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 39 sautent pas aux yeux, et qu'elles dérangent
altération purement trophiqué, qui dépend de l'affection du système nerveux . P. KERAVAL. III. Des formes frustes de la sclé
es cas typiques sont caractérisés par la com- pression des éléments nerveux sans dégénérescence, que les cas frustes provie
des attaques hystériques non convulsives, z / , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et chez certains sujets, sans que la conscienc
s dans la même famille, contribuant à démontrer REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 41 l'importance de l'hérédité dans les causes
es résultats indiqués par Pitres sur la fré- 42 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . quence de l'analgésie épigastrique profonde da
la dénutrition qui provoquerait une réaction exagérée des éléments nerveux il l'excitation. En somme, l'auteur n'aboutit a
elle est sous la dépendance d'un arrêt de développement des centres nerveux qui aurait été lui-même la cause des réactions
ci aussi la technique comprend deux temps : un temps d'élon- gation nerveuse , que l'on fera porter sur les nerfs musculo-cutan
s périarticu- laires, notamment du deltoïde. Syphilis des centres nerveux chez les indigènes de l'Algérie. , M. ScuEaB (d
de l'Algérie. Par contre, les accidents syphi- litiques des centres nerveux y sont très rares. La paralysie générale et le
s ce sens. Qnant aux lésions gommeuses et aux artérites des centres nerveux , les quatre cas observés se divisent ainsi : le
yphilis graves qui entraînent SOCIÉTÉS SAVANTES. 59 des accidents nerveux . Si les gommes des centres sont rares, par cont
les à l'irritation produite par l'agent morbide sur le parenchyme nerveux lui-même. (Les lésions névrogliques étaient nulle
déglutition, occasionné par un trouble de la fonction des appareils nerveux correspondants du cerveau. C'est un ensemble de
bien distincts le symptôme général connu sous le nom de dysphagie nerveuse ; en effet, on trouve la dysphagie chez les hysté
tranger dans le but de se perfection- ner dans l'étude des maladies nerveuses et mentales; 5° d'appeler désormais la séance o
tion successive et progressive de l'agent infectieux sur le système nerveux ? C'est ce qui se passe pour les folies toxiques
Les enfants subissant l'impré- gnation bacillaire ont leur système nerveux central impressionné par la toxine tuberculeuse
, réflexes quelquefois, viendront rompre l'harmonie de ce sys- tème nerveux éminemment vulnérable. Après la tuberculose, co
facilitent la pra- tique pour le grand bien des malades. CLINIQUE NERVEUSE . Sur un cas d'amnésie continue, consécutif à un
dehors de quelques symptômes d'artériosclérose énumérés 88 CLINIQUE NERVEUSE . plus haut, on ne trouve aucune tare physique c
nsations perçues que l'on cherche à faire revivre,on se 90 CLINIQUE NERVEUSE . heurte au même défaut de précision, ou l'on to
t cherchais à tuer le temps en jouant aux cartes et aux 92 clinique nerveuse . dominos,etc... » et plus loin : « Je demande m
., juillet 1895.) 1 Avramoff. Contribution ù l'élude des affections nerveuses chroniques consécutives aux inloxicalions aiguë
ions oxydai,- bouées. (Ann. 7)zécl. psch., 1900.) 94 -il CLINIQUE NERVEUSE . réveillés; mais on peut aussi se demander si c
par pendaison. (arc. cli- niques de Bordeaux, 1895.) 96 CLINIQUE NERVEUSE . Féré signalent également des cas d'amnésie rét
e et équitable de rappeler que Huxley, en comparant chaque ganglion nerveux d'une écrevisse à une boîte à musique, établit
omatisme des animaux. Il est constant pour Edinger que le système nerveux des animaux inférieurs représente essentielleme
du même genre, quoique plus ou moins étroitement reliés à l'organe nerveux central.. Edinger réserve beaucoup de questio
, et il faudrait alors pou- voir dire dans quelle mesure le système nerveux de cet être a été capable de recevoir et de fix
Les relations anatomiques que soutiennent entre eux les mécanismes nerveux à complexité croissante dans la série expliquen
expliquent ces faits. Le mode de cet accroissement de l'appa- reil nerveux consiste essentiellement, enseigne Edinger, dans
malgré le fait que, en vertu de l'apparition de nouveaux appareils nerveux sura- joutés, la fonction des appareils plus an
ciens peut et doit rétrocéder. A considérer la structure du système nerveux d'un animal, il est toujours possible de conclu
és entre eux et avec les appareils inférieurement situés du système nerveux cen- tral. » Quels sont ceux de ces derniers ce
port avec le puissant appareil cortical, aux cellules et aux fibres nerveuses extrêmement nombreuses, dans lequel s'irradient
, les conditions ou les possibilités d'association des ébranlements nerveux pro- pagés jusqu'à ces centres par un nombre re
'écorce télencéphalique ou toute autre partie quelconque du système nerveux , de soi et par soi, c'est-à-dire sans impressio
eur excitabilité assoupie. Les tritons salamandres, dont le système nerveux , anatomiquement, n'est pas supérieur à celui d'
'animal, mais remonter des animaux à l'homme. L'anatomie du système nerveux central et la psychologie ne sont que deux méth
trines et des théories sur la structure et les fonctions du système nerveux des invertébrés et des verté- brés, l'histoire
ment avec le plus de facilité et de sûreté, tels que les systèmes nerveux des hyménoptères. Voilà mon interprétation des
ilà mon interprétation des faits les plus élémentaires du mécanisme nerveux de ces poissons, de ces amphibiens, de ces rept
grés, en tant que simple phénomène d'accompa- gnement des processus nerveux , ne saurait d'ailleurs modi- fier en quoique ce
rhée nasale, sans lésion du nez, et paraissant d'origine pure- ment nerveuse . ' Le cas que l'auteur décrit dans le présent t
nua, et la sensibilité générale redevint obtuse : elle était agitée nerveuse , et cependant indifférente à tout. Elle redevint
qu'ils exercent sur la coenesthésie, les rôles respectifs du tissu nerveux et des stimulants chimiques dans la déterminati
nesthésie et il propose les conclusions suivantes : 1° l'instrument nerveux sensoriel, en d'autres termes la partie du syst
strument nerveux sensoriel, en d'autres termes la partie du système nerveux qui concerne la sensation, peut être comparée à
aux, il y a des courants ou des ondulations très subtiles d'énergie nerveuse de nature encore inconnue, mais qui, comme tous
er à des particularités physiologiques quelconques de notre système nerveux ; 3° l'anatomie ne nous fournit à son égard auc
evue détaillée tout ce qui intéresse la mor- phologie de la cellule nerveuse : 1° méthodes de recherches. méthode de Nissl,
rent que les phé- nomènes de réaction et de réparation des cellules nerveuses après la section de leur cylindre-axe présenten
e en valeurla par- ticipation du noyau et du nucléole de la cellule nerveuse aux pro- cessus de réaction et de réparation, a
protoneurone centripète où commencent et où prédominent les lésions nerveuses du tabes. Mais avant d'adopter cette conclusion
. Deny. XIX. Contribution à la casuistique des tumeurs du système nerveux central; par Micuelzzi. (Il IIÉtî,g(tg711, 1900,
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 128 5 XXI. Les altérations du système nerveux central dans l'intoxica- tion par le bromure de
doses plus élevées et s'accompagnent alors de lésions des centres nerveux . Contrairement à l'opinion de Cybulsk, des dose
servés pendant la vie : respiratoires, circulatoires, thermiques et nerveux , et aux lésions des centres nerveux, l'auteur rec
s, circulatoires, thermiques et nerveux, et aux lésions des centres nerveux , l'auteur reconnaît qu'il est difficile en l'ét
comme un organe rudimen- taire. L. D. XXIV. De quelques fonctions nerveuses dans l'inanition complète (tee communication).
elle de la thyroïde. L. Delmas. XXVII. De l'anastomose des cellules nerveuses et quelques particu- larités de structure du bu
'auteur décrit et figure quelques cas d'anastomose entre cel- lules nerveuses qu'il a rencontrés chez quelques mammifères, da
tence de fibres distinctes, diversement distribuées dans les troncs nerveux . Remarque qui a son importance, la malade était
ablement une instabilité - chimique très accentuée dans les centres nerveux . 3° Chez une - telle malade l'apparition de la
les, dépendant d'une activité moléculaire pathologique. des centres nerveux , et nullement de grandes modifications de nutri-
vroses doit être cherchée dans une instabilité chimique des centres nerveux et une tendance consécutive de la part de ces c
la vie, et surtout pendant la période de maturation des fonctions ' nerveuses plaide fortement en faveur de l'opinion suivant l
ide fortement en faveur de l'opinion suivant laquelle ces désordres nerveux auraient leur /bras et origo dans l'écorce céré-
origo dans l'écorce céré- - braie, C'est le métabolisme des centres nerveux , et non pas le 'métabolisme du sang, qui est au
rqué sur- tout chez les déments : insuffisance générale des tractus nerveux de la vision. Cécité verbale et mentale dans le
° que lorsque l'état mental habituel a reparu et lorsque la tension nerveuse a disparu, le malade subit une réaction qui agi
égulière des divers organes, arrivent par là à surmener les centres nerveux régulateurs de l'activité organique, et peuvent a
réussit à éviter une nouvelle attaque, il resta sujet à des crises nerveuses intenses et demeura, pour le reste de sa vie un
e un « névropathe. » . R. DE Ï11USGRAYE CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XVI. Relation entre la névralgie du trijumeau
veux, ou tout au moins la prise en commun des centres et des troncs nerveux . La névralgie sus-orbitaire récidivante, corrobor
e trois observations cliniques W. Leszynsky 142 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . passe en revue quelques-unes des statistiques
ans l'une au moins des attaques; l'inconscience REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .' 143 * absolue, la courte durée des périodes a
s deux. réflexes patellaires, et une sensibilité marquée des troncs nerveux et des muscles deces deux membres. En même temp
une tumeur, du volume d'une petite cerise.. 144 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . adhérente à la dure-mère et à l'os ; au point
a migraine dans l'histoire des ascendants. P. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 145 XXII. Paralysie de Landry; par Philip COOM
t de quinze jours. L'autopsie montra la dégénération des cellules nerveuses des cornes antérieures, la dégénération des rac
lules nerveuses des cornes antérieures, la dégénération des racines nerveuses anté- rieures et postérieures et la dégénératio
nts et les Arcuives, 26 série, t. XII. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sphincters demeurent intacts. Les troubles sen
s ne sont pas très rares et la présence de dégénération des racines nerveuses posté- rieures, dans un de nos cas, en donne un
i les notions modernes touchant la symplo- matologie des affections nerveuses sont justes, qu'il doit résulter de ces lésions
symptômes soient devenus appréciables. Les mé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 147 thodes ordinaires ne nous permettent pas d
ts électriques dans la plupart des muscles. 148 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . atteints, tandis qu'on constatait une hyperexc
(Van Gehuchten, Brissaud, Déjerine, Edinger.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 149 Van Gehuchten a résumé nos connaissances,
ceaux sont formés en grande partie de fibres provenant des cellules nerveuses de la substance grise du côte opposé, cette con
voie des sensations tactiles. ' Poulard. 150 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXIV. Un cas d'amaurose hystérique monoculaire
des états autotoxiques et diathésiques puissent REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 151 -agir comme causes prédisposantes. Cette a
novembre 1900.) Ces études ont porté sur 114 cas variés de maladies nerveuses dont le plus grand nombre étaient des hémiplégi
uel il y avait, cependant, perte de la loca- g2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lisation, perte de la notion de position des d
on des doigts ou l'ataxie du mouvement sans aucun signe d'affection nerveuse périphérique ou médullaire, il sera assez juste
e dans quelle mesure la perte du sens de l'espace dépend de lésions nerveuses , médullaires ou céré- brales. Bien que la fonct
corticale, on constate sa disparition, aussi bien dans les lésions nerveuses périphériques, que médullaires ou corticales. P
e de trouver de grosses lésions au niveau des cellules et des tubes nerveux (cellules d'abord petites avec chromatolyse et
lésions des racines qui permettent d'étudier l'invasion des tubes nerveux par les tumeurs épithéliales. ' . Etude d'un ca
e cela arrive ordinairement dans le steppage. ' L'examen du système nerveux central et périphérique ainsi que celui des mus
a méthode de 1\issl ne décèle pas de lé- sions du côté des cellules nerveuses . Par contre, il existe sur toute' la région lom
ique poplité externe, où sur les coupes transversales des faisceaux nerveux on ne voit pas beaucoup de fibres saines. - 1
ion stimulante sur touteslescellules et en particulier les cellules nerveuses . Elles sont indiquées dans les états de dépress
emberg. La lécithine dans le traitement des affections du sys- tème nerveux . - Granjuz. Les épileptiques militaires méconnus
ol. XII. Septembre 1901. ' N° 69. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . CLINIQUE DE M, LE professeur André Moussons.
oi, sur les conseils Archives, 2' série, t. XII. 12 el78 CLINIQUE NERVEUSE . de notre maître M. le Prof. André Moussous, no
paraît-il, asthmatique et devint phtisique. C'était une femme très nerveuse , très irascible, qui aurait eu un tic convulsif
iques hépatiques depuis environ trente ans. Elle est d'un caractère nerveux et susceptible. Son grand-père maternel, bouche
tait sujet il de fré- quentes crises d'asthme, avait un tempérament nerveux ; il aurait lui aussi, conservé toute sa vie un
al. Du coté des grands parents paternels, il n'y a aucun antécédent nerveux à relever. La malade a un frère âgé de dix-se
des deux côtés. Pas de lésion ophtalmoscopique, pas de 180 CLINIQUE NERVEUSE . trouble de la vision des couleurs. L'acuité vi
baret, qui la revoit à ce moment, essaie de 'nouveau les z CLINIQUE NERVEUSE . mêmes manoeuvres que précédemment, en particul
accès de toux, de temps à autre, d'ordre laryngé et certaine- ment nerveux . Le coeur présente quelques irrégularités : les b
est souple, se laisse facilement déprimer sous lamain. 184 CLINIQUE NERVEUSE . Le foie ne dépasse pas les fausses côtes ; la
peut s'en convaincre surtout avec un diapason (Hgger) -, est aussi nerveuse (réaction douloureuse nulle par pression du cubi-
se (réaction douloureuse nulle par pression du cubi- 'LÔ(j CLINIQUE NERVEUSE . tal), ainsi que ligamenteuse et articulaire, c
indiqué l'abolition de la sensibilité gauche profonde : musculaire, nerveuse , osseuse, ligamenteuse et articu- laire ; nous
' Leçons cliniques sur l'hystérie, t. I, p. 111-12. 190 CLINIQUE NERVEUSE . duit la même excitation sur le côté anesthésiq
les crises avaient complètement cessé pendant trois. 1 92 CLINIQUE NERVEUSE . mois, a été prise brusquement, au moment de l'
883, p. 4G3- Gi.) , Archives, 2° série, t. XII. 13 194 CLINIQUE NERVEUSE . est incomplète ». C'est l'opinion de Collet',
Rosenthal, Collet et l'un 1 Les troubles auditifs dans les maladies nerveuses . Gneycl. Léauté, p. 140-41. . « Il est très p
10 7'milé de palhol. générale, 1901, t. V, p. 1125. · 196 CLINIQUE NERVEUSE . temps, huit mois (Mendel), quatre mois (Saint-
uel d'ophtalmologie, 2c édit. française. 1897, p. 630. 198 CLINIQUE NERVEUSE . vision binoculaire est encore plus rare, sans
, 8 juillet 1900, p. 486.) ° Loc. cil., p. 225-26. ' 200 CLINIQUE NERVEUSE . - vont se passer, ne suffit pas toujours pour
e va nous répondre. Un carton avec deux pains à cache- 202 CLINIQUE NERVEUSE . ter rouges, distants de 6 centimètres l'un de
Journal of ne1'VOllS and mental diseases, 2 fév. 1886. 204 CLINIQUE NERVEUSE . la vision binoculaire, qui semble constante da
ud. (Art. cité des Annales d'oculistiq., p. 36-37. ' 206 CLINIQUE NERVEUSE . * Et cependant la persistance de la sensibilit
diverses sensibilités, et distribuées différemment dans les troncs nerveux . J. SÉGLAS. XXXIV. De l'élimination rénale du b
ction considérable sur l'organisme, particulièrement sur le système nerveux , action qui se reflète sur l'élimination du ble
OLOGIQUES. 223 phénomènes peut être utile dans certaines affections nerveuses et spécialement dans la paralysie Dénérale..1.
Dénérale..1. SGLA=. XXXVI. Modifications de structure de la cellule nerveuse de l'écorce dans la fatigue ; par GUIDO GUEIIRI
tions, que le processus de putréfaction peut imprimer aux cellules, nerveuses déjà altérées pathologi- quement ; par Luigi Co
tiples et chacune dans la détermination des altérations du 'système nerveux , suit ses propriétés particulières, de la même
uivant la présence ou l'absence constantes des germes dans le tissu nerveux , on doit distinguer deux classes de paralysies
taire, produite par la présence directe des germes dans le' système nerveux : 2° l'autre, toxi-infectieuse, déterminée par l'
es produites par les germes qui ont leur siège au dehors du système nerveux . L'anatomie pathologique a des carac- tères dif
ayant leur origine dans les parties les plus délicates de l'élément nerveux . Dans tout cas de paralysie de Landry, pour l'a
emarquer l'existence de paralysies développées dans des territoires nerveux où les altérations ana- tomiquessont très légèr
, les recherches anatomiques doivent être étendues atout le système nerveux et ne pas se limiter à une on quelques parties.
ne altération fonctionnelle des extrémités des dentrites des fibres nerveuses provenant des cellules corticales, au point où
blable à celle de Dana : il y a obs- \ tacle au passage de l'influx nerveux allant du cerveau à la moelle, mais Sander ne p
la moelle, mais Sander ne place pas cet obstacle dans les cellules nerveuses . FOULARD. XLVtIL autopsie dans un cas d'adipo
nterstitielle. Il y avait diminution marquée et atrophie des fibres nerveuses , eu même temps qu'une grande prolifération du t
ceux qui cheminent dans le tissu cellulaire sous-cutané; les troncs nerveux plus volumineux n'of- frant aucune lésion. La m
es hydrocarbonés et agisse comme ceux de névrite et de dégénération nerveuse . Quelle que soit l'explication, ,il est intéres
tions nous conduisent- à douter de son- existence dans les maladies nerveuses fonctionnelles ou organiques ou autres n'intére
ite de dégénérations comme dans les affections combinées du système nerveux . Ce réflexe est alors d'un grand "=eeours pour
l'activité fonc- tionnelle habituelle à ces organes. Les deux ondes nerveuses , bien que de sens contraire, sont de nature ide
remière apparition, mais c'est probablement au moment où le système nerveux se spécialise et se complète pour coordonner le
es autres organes. Elle est l'un des moyens par lesquels le système nerveux peut régler l'activité de chaque organe pour l'
ntre d'inhibi- tion du coeur, et si ce centre, réfléchissant l'onde nerveuse dans le sens opposé il l'onde accélératrice du
r avec lui à l'hommage rendu à l'auleur des psychoses et affections nerveuses , de l'hygiène des neurasthéni- ques, du langage
éclaire de ses lueurs distinctes l'antique chaos de la patho- logie nerveuse . Quand les notions étaient vagues et imprécises,
les notions étaient vagues et imprécises, le chapitre des maladies nerveuses était court et leur thérapeutique sommaire. S
de divisions et de subdivisions, depuis les affections des cordons nerveux et de l'axe médullaire, jusqu'à celles des cen
e, au plus ardent, d'embrasser la vaste complexité de la pathologie nerveuse . A ne considérer que le département de jour en
progrès réa- lisés au siècle dernier, par la pathologie du système nerveux . Le bilan de ces progrès a été dressé trop magi
e placer dans une solu- tion d'acide chromique un fragment de tissu nerveux afin de le durcir et d'y pouvoir pratiquer des
n modeste qui nous a montré que les cellules d'un fragment de tissu nerveux , durci dans l'alcool à 96 degrés, se colorent d
riles en applications. Certes, je ne veux point dire que le système nerveux nous ait déjà, livré tout ses secrets. N'y a-t-
aire, par conséquent le 'plus général, de la physiologie du système nerveux ? Si nous connaissons, grâce aux efforts réunis
t si nous sommes fixés sur le rôle capital que jouent en pathologie nerveuse l'hérédité et la prédisposition, avons-nous dég
Si l'on pouvait espérer qu'elle aboutit, la pathologie du système nerveux , s'en trouverait du coup décapitée. Une autre l
où il n'est pas. N'oublions pas qu'il y a des affections du système nerveux accidentelles et que rien ne prouve qu'elles en
d'envisager, comme le conseille Maudsley, la pathologie du système nerveux , en particulier la pathologie mentale, au point
ante. Il ne se développe jamais que chez des sujets dont le système nerveux a été affaibli soit héréditairement, soit par s
ompagne par l'action directe d'un agent infectieux sur les éléments nerveux qui réagissent en exagé- rant leur fonction jus
lire"aigu"3'origine alcoolique. -- ANATOMIE-PATHOLOGIQUE. - Système nerveux . - L'hyperémie des » méninges que l'on constate
durcissement dans le Muller, enfin le carmin aluné. Les cel- lules nerveuses présentent des altérations constantes et diffuses
tissu jaune avec ou sans éléments cellulaires. Les prolongements nerveux sont moins altérés, ils sont pourtant le siège d'
les et spinales sont normales, ainsi que la névroglie. Les fibres nerveuses des écorces cérébrale et cérébelleuse, du corps
gu, dit Cristiani, apparait comme une maladie géné- rale du système nerveux . Les méthodes de Nissl et de Golgi met- tent en
nce un processus de dégénérescence cellulaire primitive. Les fibres nerveuses sont le siège d'une dégénérescence primitive, s
l'évolution clinique. Au premier temps, envahissement des éléments nerveux qui réagissent en donnant la phase d'excitation
itation; au deuxième temps, la destruction progressive de l'élément nerveux donne la phase de collapsus. Coeu1' et vaisse
bacillare), dans laquelle on retrouve dans le sari,, et les centres nerveux le bacille particulier qu'ils ont décrit. Rasor
iques essentielles : la prédisposition névropathique, l'épuisement. nerveux , occasionnel et la toxi-infec- Lion., Le mécani
° il a son point de départ daus'1 âltécâtïbn primitivé dés éléments nerveux par l'agent pathogène et, par suite, intéresse
ièS1 ? n-s-"de méningo-encéphalite, de dégénérescence des cellules nerveuses communes à la plupart des intoxications, bac- t
permettrait de provoquer une décompression favo- rable des centres nerveux , en même temps qu'elle rendrait pas-' sible l'e
considère maintenant les lésions que l'on rencontre dans le système nerveux des malades morts de délire aigu, on est encore
ns. A ce sujet, l'auteur présente des coupes provenant du système nerveux d'une malade morte de broncho-pneumonie avec déli
des coupes de caractères différentiels entre les lésions du système nerveux d'un malade mort à la suite d'un délire apparu
s le cours d'une maladie aiguë toxi-infectieuse et celle du système nerveux d'un sujet mort de délire aigu proprement dit.
ement des délires sans pouvoir constater aucune lésion des cellules nerveuses . M. BRIAND. - M. Roubinowitch a insisté avec ra
ne peut croire qu'avec des lésions très marquées des cellules très nerveuses , on ne puisse constater cliniquement aucun trou
s très nerveuses, on ne puisse constater cliniquement aucun trouble nerveux . M. FAURE. Comme l'a fort bien mis en relief M.
l'a fort bien mis en relief M. Carrier dans son rapport, la cellule nerveuse est lésée primitivement dans le délire aigu, pa
dans ses antécédents héré- ditaires ou personnels aucune affection nerveuse ou mentale, ni syphilis, ni alcoolisme. Porteur
ion. La lécithine dans la thérapeutique des affections du système nerveux . M. P. HARTENBERG (de Paris). - Depuis quatre a
périmenté la lécithine dans le traitement des affections du système nerveux . Le produit est retiré du jaune d'oeuf, conserve
es, telles que 1 gramme par jour; 3" Dans les affections du système nerveux , son action thérapeu- tique paraît porter beauc
aît porter beaucoup plus sur la nutrition générale que sur le tissu nerveux en particulier : c'est seulement en relevant l'
relevant l'état général du malade que la lécithine améliore l'état nerveux . Elle ne saurait donc être considérée comme un
it donc être considérée comme un médicament spéci- fique du système nerveux . Voeu concernant les employés des asiles. M.
DE la Faculté DE MÉDECINE DE Bordeaux SUR les maladies mentales ET nerveuses (1899-1900) ; par le Dr L. de PERRY. 1. L'Équit
utile pour combattre certains états morbides : quelques affections nerveuses trouve- raient en elle un adjuvant puissant de
arait de préférence chez des indi- vidus prédisposés par l'hérédité nerveuse ou congestive. La syphi- lis, en effet, se retr
ui l'engendre, mais de la réaction qu'il il provoque sur un système nerveux à impressionnabilité différente, selon les indi
es phénomènes dus à l'action directe de la cocaïne sur les éléments nerveux . C'est le résumé de nos observations que nous n
lement spontané, de contracture des membres, de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 297 7 mouvements fibrillaires ; 6° Nous avons
ibuée par eux à l'intoxication parla cocaïne. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXVII. Hémitonie apoplectique, par V.-111. Bec
rtoniques, et, à côté, de l'atrophie des os 298 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et des muscles non hypertoniques due à une atr
nyme gauche ; 2° Parésie de la moitié gauche du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 299 corps avec rigidité des extrémités gauches
s lésions périvasculaires; les veines réti- 300 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . niennes sont plus ou moins tortueuses ; on per
orbiculaires lorsqu'ils entrent en action. t REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 301 La « forme spinale » se voit moins souvent
ues ophtalmologiques, plus souvent dans les cliniques de maladies nerveuses . Pendant une longue période, en dépit de lésions
vec les sixième, troisième, quatrième, cinquième et septième paires nerveuses , tout à fait irrégulières en caractère (asthéno
ée (à la dose de un gramme) à des lapins et 302 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . des cobayes, amena chez ces animaux une paraly
clure les affections de l'oreille moyenne. P. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 303 XXXIV. Un cas d'aphonie hysthérique dans u
ar le traitement sont peu nombreuses : plus 304 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . fréquentes sont les altérations de dégénéresce
maladie sans définition, que l'on classe ordi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 305 nairement parmi les névroses, alors qu'ell
ons qu'ils Archives, 2' série, t. XII. 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . en ont données, l'équilibre de ces rapports es
sychiques, .les traumatismes physiques, la sug- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 307 gestion (ou l'auto-suggestion) et accessoi
primitive, alors qu'elle est le plus souvent le signe d'un trouble nerveux profond), les crises de larmes ou de colère san
hypocondriaques, il convient tout d'abord 308 . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de leur expliquer que leurs propres défauts ré
ctée environ une once de liquide cérébro-spinal REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 309 limpide. Au point de vue de sa nature, c'é
ômes qui ne se rencontrent dans aucune lésion localisée des centres nerveux , et c'est cette dis- cordance symptomatique qui
n'est jamais fondé à la nier sur l'absence 310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . \ de tel ou tel phénomène : le diagnostic ne
estion, nécessité de les traiter en malades atteints d'hypovttalité nerveuse et non comme des vésaniques; indications fourni
eur croit que dans la neurasthénie il y aurait d'abord épui- sement nerveux par fatigue amenant secondairement un défaut de
fatigue amenant secondairement un défaut de nutrition de la cellule nerveuse par pénétration de substances toxiques entravan
toxiques entravant l'action centripète. il. II. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . c ? ll'1 XLIII. Troubles nerveux intermittents
e. il. II. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. c ? ll'1 XLIII. Troubles nerveux intermittents d'origine palustre ; par Broquit.
hogénie doit en être recherchée dans une dérivation sur les centres nerveux de l'excitation sexuelle non satisfaite. L'aute
musculaire. M. Pitres. - Les expérimentations faites sur le système nerveux des animaux et en particulier celles que M. Cro
peuvent servir à poser des conclusions définitives de physiolo- gie nerveuse chez l'homme. Conclure de la série animale à ce d
ier ensuite. Cette tendance n'est pas particulière à la physiologie nerveuse , mais s'étend à toute la physiologie humaine. I
nature de leur contenu. Pour en revenir à la physiologie du système nerveux de l'homme, il nous semble que, seule,' la méth
réflexe doit être considéré comme une propriété générale du système nerveux central et particulièrement de la partie médul-
tive à l'état normal. J'ai étudié les réflexes cutanés des maladies nerveuses diverses : d'une manière générale, ils sont sur
Le réflexe cutané plantaire qui passe sûrement par les centres » - nerveux (25 centièmes de seconde) a donc un tout autre mé
scle, qui elle-même, serait sous la dépendance de l'état du système nerveux . Tumeurs gazeuses de l'abdomen. M. Justin Lem
arait devoir être surtout recherché dans les altérations du système nerveux . - Cette intéressante communication a été l'occ
ons insalubres sur la production des maladies chroniques du système nerveux chez les enfants (idioties, épilepsies, aliénat
enons toujours grand soin de relever toutes les causes des maladies nerveuses et chroniques de l'enfance qui produisent les d
observations de garçons atteints de maladies chroniques du système nerveux , nous n'avons relevé la syphilis des parents qu
gagé à faire un relevé aussi exact que possible des cas de maladies nerveuses de l'enfance que nous venons d'énumérer, dans l
n, quels qu'en soient la nature et le siège, agira sur les cellules nerveuses pour en modi- fier la structure et la fonction.
monie, d'infection puerpérale, etc.). DU IIIsSIE auteur. La cellule nerveuse et le neurone ; structure et fonction à l'état
qu'une con- naissance imparfaite des maladies chroniques du système nerveux chez les enfants. D'où leur hésitation, de bonn
ndé. Cet âge arrive aussi, mais l'état s'est aggravé : à la maladie nerveuse et mentale se sont ajoutées des habitudes vicie
et au point de vue physique, afin de modifier profon- dément l'état nerveux fondamental, la diathèse nerveuse si l'on veut.
de modifier profon- dément l'état nerveux fondamental, la diathèse nerveuse si l'on veut. Voici rapidement comment il fau
Troubles unilatéraux de la mimique faciale (hEmi.mintie) chez les nerveux et sur l'importance qu'il convient de leu r accor
dies mentales, M. le Dr Lalanne, rapporteur. Question de pathologie nerveuse : Les tics en général, M. le Dr Noguès, rapport
ndre synchrone à mon rythme vocal. Fausses grossesses et grossesses nerveuses . D'' Henry Lr31ESr.r (de Paris). Les récents év
Serbie a été le théâtre ont appelé l'attention sur les gros- sesses nerveuses . Il faut considérer : de les pseudo-grossesses ci
t de l'impossibilité d'exercer une action inhibitoire sur un centre nerveux . Au chapitre des suggestions hypnotiques est trai
omme une névrose, une altération moléculaire et chimique du système nerveux central, donnant à celui-ci la capacité d'accum
rveux central, donnant à celui-ci la capacité d'accumuler l'énergie nerveuse et de la dépen- ser ensuite sans mo'il' périodi
ériodiquement par accès, dans telle ou telle portions de l'appareil nerveux . A cette opinion peu aventurée ne s'ajoute aucu
gens revenus de l'Afrique du Sud sont en proie à une surexcitation nerveuse qui se manifeste par l'insomnie et par des rega
s, avec 250 ligures. Leipzig, 1901. Roux. Diagnostic des maladies nerveuses . In-16 de xvt 560 pages. J.-B. Baillière, 1901.
Musgrave-Clay. XVII. L'influence des psychoses sur les glycosuries nerveuses ; par David BL.vrR. (The Journal of Mental Scien
les asiles (de 2 à 5 p. 100 suivant les asiles). Les gly- cosuries nerveuses peuvent se diviser en deux groupes, celles qui
o- spinal et lymphatique, et celles qui accompagnent des troubles nerveux fonctionnels. Ces dernières sont celles dont l'au
suivant les races, nous montre qu'elle est la maladie des gens très nerveux et très émotifs, et la prédisposition nerveuse,
maladie des gens très nerveux et très émotifs, et la prédisposition nerveuse , d'ailleurs, est la plus commune des influence»
étiologie : c'est probablement surtout par cette voie de l'hérédité nerveuse qu'elle est transmissible, et elle est souvent ai
uise des substances toxiques qui affectent primitivement les fibres nerveuses dans toute l'é- tendue du système nerveux. C'es
rimitivement les fibres nerveuses dans toute l'é- tendue du système nerveux . C'est de cette manière seulement que l'on peut
augmentent d'intensité lorsque de grandes destructions de cellules nerveuses corticales succèdent à des états convulsifs. Il
osition telle que celle-ci : il y a des individus dont les cellules nerveuses sont susceptibles de dé- chéance prématurée, et
dépression, et, physiquement, à quelles modifications du sys- tème nerveux ces états correspondent, si leurs localisations s
étant toutes les deux associées à un état de dissolution du système nerveux , la réduction, dans-le premier cas (mélancolie) s
r cas (mélancolie) se fait le long des lignes sensorielles de l'arc nerveux réflexe, et dans le second cas (manie) le long
inze minutes sur un sujet d'ana- tomie et de physiologie du système nerveux , après quinze minutes de préparation. 11 sera a
ain est insuffisant. Une policlinique pour les maladies mentales et nerveuses doit être annexée à l'hôpital. L'auteur insiste
oitié des cas l'existence chez les ascendants de tares héréditaires nerveuses : alcoolisme (29 p. 100), épilepsie, hystérie e
ie J.-B. l3aillière. Baymond (F.). Clinique des maladies du système nerveux , hospice de la Salpêtrière, années 1898-1899, c
il révèle peut provenir de sources diverses : épuisement du système nerveux , inanition prolongée, auto- intoxication par ré
NFLUENCE DE L'ALCOOL ET DU TABAC SUR LE TRAVAIL. 475 476 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'activité intellectuelle nous montrent qu'ell
elles agissent autrement sur les activités viscérales. PATHOLOGIE NERVEUSE Hospice de 131CÜRE, - Service du D1' J. Séglas
italienne). Milan, sept. 1887. Fasc. V. Anno XXIV. 418 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . ' Riccie. Enfin, blondio=, tout récemment a fa
i résultent d'excitations d'origine interne portant sur les centres nerveux . Se basant sur la nature de · l'excitation qui
les auteurs ont édifié la classification suivante : 480 PATHOLOGIE NERVEUSE . typies dyspraxiq2tes. Pour exposer ses observa
différentes stéréotypies dans l'ordre suivant : 482 - PATHOLOGIE NERVEUSE . hanche, la jambe droite croisée devant la gauc
mouvement partiel et un mouvement total du corps. 484 PATHOLOGIE NERVEUSE . Une femme internée à la Salpêtrière termine to
de pour se débarrasser de ses persécuteurs. Dans les 486 PATHOLOGIE NERVEUSE . i écrits d'une' aliénée « il y a répété sept
ue. Semaine médicale, n° 2, p. 9, 11 janvier 1899. 488 PATHOLOGIE NERVEUSE . Les idées délirantes mystiques occasionnent au
e. ' A. Marie, loc. cit. Obs. VI, due à M. Séglas. 490 PATHOLOGIE NERVEUSE . Ainsi, voilà réuni chez une même malade un ens
roses et Idées fixes, I, p. 398. Alcan, Paris, 1898. 492 PATHOLOGIE NERVEUSE . Actuellement devenu dément, il continue à fixe
le n'explique pas la production de la stéréotypie. 494 PATHOLOGIE NERVEUSE . A ce moment, il s'agitait beaucoup, battait sa
3). ' Morel. Traité des Maladies mentales, p. 360. 496 PATHOLOGIE NERVEUSE André L..., âgé de cinquante-six ans, mécanicie
' Knecht, cité par Binder. 1 E. Brissaud. Leçons sur les maladies nerveuses , faites à la Salpê- trière, 1893-94. 21' leçon.
oin, Paris, 1895. Archives, 2' série, t. XII. ' 32 498 PATHOLOGIE NERVEUSE . Le début de l'affection est assez mal 'détermi
ctionnaire JaCCOUd;, t. XXV. 13a118re, Paris, 1883. 500. PATHOLOGIE NERVEUSE . énergique que normalement, qu'ils étaient une
normalement, qu'ils étaient une sorte de dé- charge, de la tension nerveuse accumulée dans certaines zones encéphaliques et
ment aux opérations intellectuelles, en dispersant ainsi la tension nerveuse . Mais aucune preuve n'est venue confirmer ces d
a raison pourlaquelle ils les exécutaient;' d'emblée 502 PATHOLOGIE NERVEUSE . ils ont été automatiques. Par là le grincement
Séance du 28 mai 1894, t. XX. 7° série, p. 123. 504 - PATHOLOGIE NERVEUSE . '\ tique de l'acte épileptique. Des mouvements
rdive de la maladie, pour pouvoir préciser leur origine. CLINIQUE NERVEUSE . Le mutisme hystérique dans l'histoire ' ; .
linique et thérapeutique de l'hystérie, tome II. 508 ' . CLINIQUE NERVEUSE . Perte de l'ouïe pendant deux ans et de la paro
anque, docteur en médecine, liv. II, obs. V, 1698. 510 - CLINIQUE NERVEUSE . On trouve dans Bartholin une histoire à peu pr
Leçons cliniques sur l'hystérie et l'hypnotisme, t. I. 512 CLINIQUE NERVEUSE . - On a cru que la vertu des vulnéraires pouvai
des Sciences, 1738. ' , . ° lllacario. Des paralysies dynamiques ou nerveuses , 1859. - " Archives, 2e série, t. XII. 33 514
nerveuses, 1859. - " Archives, 2e série, t. XII. 33 514 CLINIQUE NERVEUSE . teurs du XVIIE siècle ; la plupart sont reprod
: il a pu, à côté de types pathologiquement uni- formes de cellules nerveuses , discerner des altérations parallèles de la név
jusqu'ici, à tort, accordé peu de valeur aux altérations des fibres nerveuses : tout récemment, Siemerling, Starlinger, Benho
par créer, c'est une pathologie intelli- gible à tous de la cellule nerveuse et de la névroglie. C'est chez l'homme et non c
nstration par projections lumineuses des modifications des cellules nerveuses corticales dans la paralysie générale ; par Geo
lques altérations pathologiques observées dans les grandes cellules nerveuses des aliénés, avec étude spéciale de l'état conn
) L'auteur a imaginé une méthode nouvelle pour étudier les tissus nerveux qui consiste à y déposer du platine. A l'aide de
aucune connexion ni avec le tissu vasculaire, ni avec les cellules nerveuses ni avec les fibres nerveuses. Les cellules de la
tissu vasculaire, ni avec les cellules nerveuses ni avec les fibres nerveuses . Les cellules de la mésoglie ont un aspect abso
n'est pas modifié. . R. DE iIIUSGItAVE-CL : 1Y. LXIX. Altérations nerveuses dans la cirrhose; par le D1' de BUCK. (Journ. d
le de leurs antago- nistes ne soit éveillée. G. D. LXXI. Cellules nerveuses à deux noyaux; par Sano. (Journ. de Nets- rolog
urologie, 1900, nu 22.) En présence de malades atteints de troubles nerveux , contre les- quels la suggestion dans le sommei
ivers autres agents qui exercent une action novice sur les cellules nerveuses motrices. R. de IUSGIlAV4;-OL1Y. II. Étiologi
décembre 1900.) VII. De l'emploi de la lécithine dans les maladies nerveuses ; par \V.Danr.n ? wsY (06ooéiié psichiati-ii, I
lus précoces. La lécithine stimule donc le développement du système nerveux . Si l'on donne à la lécithine la possibilité de p
favorise le réta blissement de l'équilibre chimique rompu du tissu nerveux . Peut- être la lécithine exerce-t-elle aussi un
mille et se mêlent aux autres enfants du village. Quant aux fous et nerveux , ici les esprits sont manifestement présents, e
HIE. XVII. La suspension comme méthode de traitement des maladies nerveuses ; par le Dr OSTANKOFF. (Recueil des travaux de la
le Dr OSTANKOFF. (Recueil des travaux de la cli- nique des maladies nerveuses et mentale du professeur 13FCIiTCnEV, Saint-Pét
e 37 cas 544 BIBLIOGRAPHIE. des différentes affections du système nerveux . Les résultats obtenus par l'auteur sont présen
dans la circulation générale et dans celle qui alimente le système nerveux . La suspension brutale et forcée occasionne des
la pression. interne du crâne. Il résulte une hyperémie du système nerveux , qui est surtout prononcée dans la portion lomb
insalubres sur la produc- tion des maladies chroniques du système nerveux chez les enfants, 1 par Bourneville, 331. Ali
section de leur cylindraxe, par Mannesco, 123. Anastomoses des - nerveuses , par · Crevatin, 127. Modifications des - par l
. Angiome de la- de Broca, par Shoyer, 5'l. Cirrhose. Altérations nerveuses dans la -, par de Buck, 1,25. Clonisme. Etude
nérale, par Watson, 520. - des altérations des grandes cellules nerveuses chez les aliénés, par 'J'uruer, 50. - de l'hist
r Vigouroux, 542. Glycosurie. Influence des psychoses sur les - nerveuses . par Blair, 407. Grossesse. Fausse - chez une
vropathe dégénérée, par Maran- don de Montyel, 36. Fausses - et nerveuses , par Lemesle, 358. Gynécologiques. Considératio
lTIO N. L'étude de I ? par Gonzalès, 231. Intoxication du système nerveux central par le bromure, la ca- féine, etc., p
on, par Westcott. 406. Lécithine dans la thérapeutique du système nerveux , par Hartenberg; 268, - dans les maladies ner-
t des vertigineux de l' -, par Libotte, 534. Palustre. Troubles nerveux d'ori- 'gille -, par Brocquet, 311. Poly- név
insalubres sur la pro- dnction des maladies chroniques du système nerveux chez les en- fants, par Bournemlle, 331. Prop
. - d'enfants, 367. Suspension. La -comme traitement des maladies nerveuses , parOstan- koff, 543. Swcnrworsc. Histoire d'
Histoire d'un vision- naire, par Ballet, 162. Syphilis du système nerveux en Algérie, par Scherh. 58. - Du cerveau, par
olisme et de quelques pro- fessions insalubres sur les mala- dies nerveuses des enfants, par Bourueville, 331. Syringomye
72. Isolement des malades atteints de -, 168. Tumeurs du SI stème nerveux cen- tral, par Michelzzi, aga- zeuses de l'ab
23 (1892) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 1. Leçons sur les maladies du système nerveux
MPLÈTES DE J.M. GH ARGOT LEÇONS sur les MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX RECUEILLIES ET PUBLIÉES par BOURNEVILLE |
ette année : elles seront consacrées à celles des maladies du système nerveux et, en particulier, de la moelle épinière, que l'
fluence de l'irritation et de l'inflammation des nerfs ou des centres nerveux sur la production des troubles trophiques. — Les
ètes, mais des sections incomplètes, des contusions, etc., des troncs nerveux . — Érup-tions cutanées diverses : Érythcme, zona
particulièrement favorables aux recherches, les maladies des systèmes nerveux et locomoteur, si communes et par conséquent si i
us entretenir surtout, cette année, de celles des maladies du système nerveux et, en particulier de la moelle épiniôre, qui s'o
hiques, développées dans les départe-ments les plus divers du système nerveux , ont entre elles, malgré quelques différences spé
ns, la question de savoir quelle a été la circon-scription du système nerveux primitivement affectée et d'où dérive la lésion t
es de la nutrition qui naissent sous l'action des lésions des centres nerveux ou des nerfs, la, plupart d'entre vous se sont, s
tence de ces troubles trophiques con-sécutifs aux lésions des centres nerveux ou des nerfs. Et cependant la physiologie la plus
ies du corps ne dépend pas essentiellement d'une influence du système nerveux . La contradiction paraît formelle ; elle n'est
tuent la nutrition ne sont pas sous la dépendance immédiate du sytème nerveux , on invoque, vous vous en sou-venez, des argument
-complissent, dans certains organismes sans l'intervention du système nerveux . C'est ainsi que les végétaux, quelques ani-maux
aux, quelques ani-maux inférieurs (protozoaires), dépourvus de sytème nerveux , n'en vivent pas moins d'une manière très active.
la vie orga-nique, à une époque où il ne possède encore aucun élément nerveux ? 2° On s'appuie encore sur ce fait que certain
ou d'un acte mental, peut s'effectuer sans l'intervention du système nerveux , et se produire sans modifications matérielles co
s inférieures d'animaux, chez lesquels on ne découvre pas de systèmes nerveux , et dans le règne végétal où il n'y a pas de rais
de supposer que les nerfs existent, on pour-rait dire que le système nerveux vit et se développe chez un animal, à la ma-nière
ées aujourd'hui dominantes, concernant le rôle très effacé du système nerveux , dans la nutrition : « Les actes chimiques qui co
par suite de la suppression de toute in-fluence de la part du système nerveux . En effet, elles se manifestent avec les mêmes ca
mes caractères dans Vimmobilisation des membres, alors que le système nerveux n'est pas direc-tement intéressé. Ces lésions pas
-vasculaires, sur les épithéliums par exemple, à la manière des tubes nerveux qui viennent s'appliquer sur les fibres musculair
atomiques eux-mêmes ; chez les végétaux, en l'absence de tout système nerveux , on voit les tissus s'enfler subitement, les cell
, s'accrois-sent et se multiplient avant l'apparition de tout élément nerveux périphérique. La nutrition est donc une propriété
l est évident que la nutrition des tissus est indépendante du système nerveux . » « Les trou-bles secrétaires, ceux d'absorption
ophiques qui surviennent à la suite de cer-taines lésions des centres nerveux est frappante : les premières sont lentes à se pr
il cas, dans le membre correspondant, à l'absence d'action du système nerveux con-sécutive à la section du nerf. M. Brown-Séqua
de M. Hauser Nouvelles recherches relatives à l'influence du système nerveux sur la nutrition. Pauls*, \sm. organes génitaux
sversale complète, ne résultent pas directement de l'absence d'influx nerveux ; elles sont la conséquence de la pression prolong
tale, il résulte, comme on le voit, que l'absence d'action du système nerveux déterminée par la section complète des nerfs péri
qui ont pour résultat d'anéantir ou de sus-pendre l'action du système nerveux , n'ont pas le pouvoir de l'aire naître dans les
es lésions qui déterminent,soit dans les nerfs, soit dans les centres nerveux , une exaltation de leurs propriétés, une irritati
aucun doute, dans cette circonstance que, chez ces derniers le tissu nerveux parait résister, bien mieux que chez l'homme, aux
expériences propres à montrer que les lésions irritatives des tissus nerveux sont capables de déterminer des troubles trophiqu
ques cas d'affection de la peau, dépendant d'une influence du système nerveux , par J.-XI. Gharcot, suivies de Remarque* sur le
XI. Gharcot, suivies de Remarque* sur le mode (d'influence du système nerveux sur la nutrition. Brown-Séquard. Journ. de physio
able que V excitât ion morbide, l'irritation des nerfs ou des centres nerveux sont, au contraire, de nature, sous de certaines
s. Par quelle voie, par quel mécanisme cette irritation du sys-tème nerveux vient-elle retentir sur les parties périphériques
premier abord semblables et portant sur les mômes points des systèmes nerveux central ou périphérique, produisent, dans les cas
sont tout simplement, du moinsen général, ceux de l'absence d'ac-tion nerveuse ; 2° tantôt, résultant de plaies, de contusions,
emblable qu'elle dépend alors de l'irritation que subit quelque filet nerveux tiraillé ou comprimé dans le tissu cica-triciel.
ues cas d'affection de la peau, dépen-dant d'une influence du système nerveux . In Journal de physiologie, L. II, no 5, janvier
ain et des doigts, et probablement consécutive à la lésion des filets nerveux qui se distribuent à ces parties, (OEuv. compl,,
îerfs qui soustrait absolument les parties à l'influence du sys-tème nerveux . Quoi qu'il en soit, l'influence de l'irritatio
termi-nant, par compression, sans interrompre la continuité des tubes nerveux , une irritation plus ou moins vive. —Le cancer de
t, dans les trous de conjugaison qui leur donnent passage, les troncs nerveux d'où émane ce plexus. La moelle cervicale et les
jugaison du côté droit, on trouva les ganglions spinaux et les troncs nerveux eux-mêmes., tuméfiés et vivement colorés en rouge
lifération cellu-laire spéciale, siégeant dans l'intervalle des tubes nerveux dont elle détermine la destruction lente. Les ner
trale, hématomyélie, etc. 6) Lésions irritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise avec
ilaments axiles persistent; il a trouvé les filaments dans les fibres nerveuses des nerfs coupés depuis cinq mois chez les mammif
ement reconnu, d'il M. Vulpian (Leçons su?- la physiologie du système nerveux , 1866, p. 239), l'exis-tence de ce filament axile
du nerf sciatique. 2. Longet. — Anatomie et physiologie du système nerveux , t. I, p. 63, 1842. 3. Brown-Séquard. — Bulleti
férence qui peut exister, au point de vue de leur action sur la fibre nerveuse ou sur le fais-ceau musculaire, entre l'excitatio
oreille; il esta nu dans une certaine Hendue. De tous côtés, le tronc nerveux est enveloppé par une masse de tissu eonjonclif i
e frontal gauche est pâle, flasque, aminci. Dans le point où le tronc nerveux est enveloppé par la masse du tissu eonjonclif, o
la masse du tissu eonjonclif, on aperçoit, interposé entre les fibres nerveuses , beaucoup de tissu conjoncttf fibrillaire avec de
aire avec de nombreux noyaux ovalaires, faiblement grenus. Les fibres nerveuses elles-mêmes présentent, en certain nombre, les di
ont conservé les caractères de l'état normal. Quelques-uns des filets nerveux qui se rendent au muscle frontal ne renfermen! gu
x qui se rendent au muscle frontal ne renfermen! guère que des fibres nerveuses dégénérées ; d'autres, appartenant vraisembla-ble
ilisation peut, à elle seule, en dehors de toute influence du système nerveux , provoquer dans cer-tains organes, dans certains
isais il y a un instant, a été 1. Vnlpian. — Physiologie du système nerveux , 1866, p. 345. 2. Expérience clc M. Gliauveau,
er. — Deulsch. Klini/i, 1865, n" 30. mal, par la section des troncs nerveux , puisque, dans ces der-nières, le caractère en qu
défaut. Nous devons examiner actuellement si les lésions des troncs nerveux qui provoquent une prompte modification de lacon-
ent en aucune façon dans les cas de section pure et simple des troncs nerveux (2) .Les affections développées spontanémentprê-t
ent développée, qui a dû, pendantun certain temps, irriter les fibres nerveuses avant d'en déterminer l'apla-tissement complet. I
ations positives, — à l'inflammation de la gaîne conjonctive du tronc nerveux (4). Je n'ignore pas que les sections complètes
actuellement, com-ment, étant donnée la lésion irritative des troncs nerveux dont nous venons de reconnaître l'existence, on p
ci de très bonne heure (versle5°jour), comme dans le cas des sections nerveuses , et se rattacherait elle-même à la dégénération d
ssez profondes pour interrompre complètement la continuité des fibres nerveuses et amener la destruction du cylindre de myé-line.
moins affectée que la sensibilité musculaire, dans ces mômes lésions nerveuses . Duchcnne de Boulogne, loc. cit., p. 216). 2. Mit
graisseuse de lagaincmédullaire et àlaperted'ex-citabilité des fibres nerveuses qui seraient la conséquence de cette altération.
vaisseau musculaire primitif, par la voie des dernières ramifications nerveuses . La rapidité avec laquelle se produirait ce troub
lité, ne l'ont recouvrée que par la nutrition, puisque ni les centres nerveux , ni le nerf sciatique ne pouvaient la leur donner
ances suffisantes déjà pourfaire présumer que l'irritation des filets nerveux a pu intervenir ici, comme elle intervient, suiva
s ou moins épaisse de tissu fibreux se trouve interposée aux fibres nerveuses qui ont subi tes diverses phases de fa dégénérati
de fa dégénération granulo-graisseuse, et, en conséquence, le cordon nerveux a acquis une consistance qui lui permet de résist
définitivement éteinte dans les nerfs complètement séparés du centre nerveux , puis-qu'ils peuvent se régénérer sans qu'il y ai
étail des observations, il n'est pas difficile 1. Vulpian. —Système nerveux , loc. cit.. p. 209, de reconnaître que cette co
les animaux, à la suite de l'écrasement ou de la ligature des troncs nerveux , sont com-parables aux accidents qui se produisen
s effets de ïabsence d'ac-tion et ceux de l'action morbide du système nerveux , que nous avons fait valoir déjà, à propos des af
lésions de la moelle ÉP1NIÈRE Les lésions irritatives des centres nerveux , comme celles des nerfs, ont le pouvoir de produi
s cornes antérieures, ou épargnent tout au moins les grandes cellules nerveuses multipolaires qui siègent dans cette région. Tell
qui vient d'être signalée, à savoir l'intégrité des grandes cellules nerveuses se trouve remplie, les lésions dont il s'agit peu
scopi-quement, de la manière la plus nette, l'altération des cellules nerveuses à laquelle doit être rattachée, suivant moi, la l
auteur, et plus particulièrement les cornes antérieures. Les cellules nerveuses présentaient à ce niveau, pour la plu-part, des l
n des muscles tant qu'elles n'intéressent pas le système des cellules nerveuses motrices. On ne conçoit guère d'exception que pou
perait la partie de ces cordons que traversent les faisceaux de tubes nerveux d'oùémanent les racines antérieures. Pour peu que
ffectés en premier lieu ? Tout porte àcroire que ce sont les cellules nerveuses . On comprendrait difficilement, en effet, que l'a
d'un certain nombre, voire même d'un groupe tout entier, de cellules nerveuses , est la seule altération que l'examen histologi
oup plus accusées vers les parties centrales d'un agrégat de cellules nerveuses , que dans les parties périphériques, beaucoup plu
nnent d'être émises relativement au rôle de l'altération des cellules nerveuses , dites motrices, dans la pathogénie de l'atrophie
rritation suraiguë s'empare tout à coup d'un grand nombre de cellules nerveuses et leur fait perdre subite-ment leurs fonctions m
Nerve Cells, p. 683. New-York, 1861. 1. Sur l'atrophie des cellules nerveuses motrices dans la paralysie infantile, consultez :
lus ici d'un processus d'irritation suraiguë envahissant les cellules nerveuses tout à coup et en grand nombre : celles-ci sont a
us appelions votre attention, il n'y a qu'un seul instant, la cellule nerveuse n'est, au contraire, affectée que secondairement,
e ces affections se rattachent, elles aussi, aune lésion des cellules nerveuses motrices. La paralysie spinale de l'adulte rappel
le plancher du quatrième ventricule, soit sur les fais-ceaux de tubes nerveux émanant de ces agrégats, peuvent, ainsi que je l'
que, suivantles recherches les plus récentes, les lésions de cellules nerveuses antérieures jouent dans la production des trouble
if y a lieu de rechercher, Messieurs, pourquoi la lésion des cellules nerveuses motrices entraîne avec elle celle des fibresmuscu
pas assez délicats pour permettre d'atteindre isolément les cellules nerveuses . Il faut donc se borner, pour le moment à enregis
er que, — comparables en cela aux nerfs périphériques, — les cellules nerveuses motrices ont le pouvoir, lorsqu'elles sont devenu
s ceux-là, et inversement. L'anatomie montre d'ailleurs que les tubes nerveux qui constituent les nerfs ne sont que pour une pa
trophiques qui se mon-trent consécutivement aux affections du système nerveux , j'es-pérais que ma tâche pourrait être menée à b
te s'est couverte d'une éruption de zona limitée au trajet des filets nerveux occupés par les fulgurations douloureuses. Une tr
ritation que subissent, dans leur trajet intra-spinal, ceux des tubes nerveux émanant des racines postérieures, qui, sous le no
ès fulgurants d'une intensité anormale ?I1 est certain que les fibres nerveuses qui constituent les faisceaux radiculaires intern
ai souvent pensé que cette connexité entre l'interruption de l'action nerveuse et la formation des bulles pouvait quelque jour é
enons, Messieurs, au décubitus provoqué par les ma-ladies des centres nerveux . Vous connaissez trop bien les ac-cidents que les
, observées chez les alié-nés et dans diverses affections des centres nerveux , sont cau-sées parle « transport dans le poumon,
tes, le trochanter dépouillé de son périoste, les muscles, les troncs nerveux , les branches artérielles d'un certain calibre mi
ion des cellules ner-veuses motrices et des cylindres d'axe des tubes nerveux dans certains cas de myélite. (Archiv. de physiol
tion, ducôté opposé à la lésion spinale tend à établir que les fibres nerveuses dont l'altération provoque, en pareil cas, la mor
, accompagné de douleurs vives suivant le trajet des principauxtroncs nerveux . On s'aperçut un matin, peu de temps après l'appa
le. Les trou-bles de la nutrition consécutifs aux lésions des centres nerveux ont assez fréquemment pour.siège les jointures. L
présenté aucune altération ; au contraire, un certain nombre de tubes nerveux ,dans les filets nerveux qui constituent la queue
on ; au contraire, un certain nombre de tubes nerveux,dans les filets nerveux qui constituent la queue de cheval,offraient les
cérébrale, résultent généralement d'une irritation directe des fibres nerveuses encéphaliques, il ajouta : « Ce sont là des sensa
auses trau-matiques capables de déterminer un ébranlement des centres nerveux . D'un autre côté, beaucoup d'affections de la moe
lement reconnaissables lesârthropathies liées aux lésions des centres nerveux et permet-traient de les distinguer les arthrites
on de troubles trophiques relevant directement de la lésion du centre nerveux spinal. Voici, d'ailleurs, en quelques mots, les
nt atrophiées et dé-formées et un certain nombre des grandes cellules nerveuses , celles du groupe externe surtout, avaient diminu
onge qu'une lésion irrita-tive, primitive ou secondaire, des cellules nerveuses descornes antérieures de la substance grise spina
-naires qui. elles-mêmes, relèvent d'une influence directe du système nerveux . Théorie de la production des troubles trophiqu
production des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux . — Insuffisance de nos connaissances à cet égard.
Conclusions. Messieurs, Le retentissement des lésions du système nerveux ne se fait pas sentir seulement sur les parties p
mérer rend au moins fort vraisemblable une ac-tion directe du système nerveux dans la production de l'affec-tion des voies urin
t des troubles trophiques survenant à la suite des lésions du système nerveux n'est pas, au moins en général, — contrairementàu
certaines conditions, soit les nerfs périphériques, soit les centres nerveux eux-mêmes. Nous sommes ainsi en possession d'une
de la con-traction des petits vaisseaux déterminées par une influence nerveuse . Mais en ce qui concerne spécialement les trouble
près identiques, à la suite d'un grand nom-bre de lésions des centres nerveux ou des nerfs périphériques. Les conséquences de c
5. Sinitzin. — Centralblatt, 1871, p. 161. 6 Cl. Bernard, — Système nerveux , t. Il, p. 65, 1865. plusieurs fois l'hypérémie
que les troubles trophiques liés aux lésions irritatives des centres nerveux se trouvent au moins dans un bon nombre de cas, d
pplication très limitée, car le décubitus aigu par lésion des centres nerveux peut se produire dans maintes circonstances, à la
ière, par exemple (3), sur 1. CT. Bernard. — Physiologie du système nerveux , 1. II, p. 535. Paris, 1858. — Med. Times and Gaz
ubles trophiques qui surviennent en conséquence de lésions du système nerveux . L'expérimentation physiologique, dans ces dern
ue, dans ces dernières années, a fait connaître l'existence de filets nerveux centrifuges dont l'irritation a pour effet de pro
ganglionnaires qui sont distribués en grand nombre sur les extrémités nerveuses intra-glandulaires. Ceux-ci réagiraient à leur to
dulaires. Ceux-ci réagiraient à leur tour parune sorte d'interférence nerveuse (2) sur les filets nerveux du grand sym-pathique,
t à leur tour parune sorte d'interférence nerveuse (2) sur les filets nerveux du grand sym-pathique, nerf constricteur des vais
nsemble de ces résultats, il paraît évidentquel'in-fluence du système nerveux sur la sécrétion sous-maxillaire ne peut-être exp
rrivé cepen-dant à démontrer que, dans la corde du tympan, des fibres nerveuses différentes sont affectées à la sécrétion et à la
hénomène peut être étudié en dehors de toute in-tervention du système nerveux . Je les emprunte à une leçon professée au Muséum
le. En ce moment, il ne saurait être question de la moindre influence nerveuse . Si l'on place une gouttelette de nicotine sur un
h and foreign Review, t. XVI, 1855, p. 19. 2. 0. Weber, loc. cit. nerveux . Pour appliquer maintenant cette donnée au cas de
ait parvenue à suvire, au moins chez la grenouille, des terminai-sons nerveuses jusque dans les nucléoles des corpuscules de la c
ion des lésions de nutrition développées par une influence du système nerveux . Or, dans cette théorie, telle du moins que l'a f
ru, et qui mettent hors de doute l'influence des lésions des cellules nerveuses antérieures sur le dévelop-pement des diverses es
te que les excitations, produites sur un point quelconque d'une fibre nerveuse sensitive ou mo-trice, se propagent aussitôt et s
série, n° de mai 1872, p. 480. 2. Vulpian. — Physiologie du système nerveux , p. 290. supposer que les irritations pathologi
dans la direction centrifuge jusqu'à l'extrémité terminale des filets nerveux , c'est-à-dire dans les papilles du derme, ou enco
'admettre que les irritations pathologiques, portant sur les cellules nerveuses des cornes antérieures, seront transmises quelque
s quelquefois jusqu'aux faisceaux musculaires, par la voie des filets nerveux qui transmettent à l'état physiologique les excit
e au moins des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux trouveront peut-être dans cette hypothèse leur ex
s une étude qui intéresse à un si haut degré la pathologie du système nerveux tout entière. 1. Voir Langerhans. — Virchow's A
s haute importance dans l'histoire des maladies chroniques du système nerveux qui s'accompa-gnent de tremblement. De nos jours,
qui s'exerce d'une manière intermittente, rythmique, sur les centres nerveux . Ce serait donc là un phénomène convulsif, — trem
drait d'un défaut de stimulus, résultant de l'insuffi-sance du fluide nerveux , dont la fonction est de faire con-tracter les mu
temps relativement considérable. On croirait que, chez lui, l'influx nerveux ne puisse être mis enjeu qu'après des efforts ino
euls progrès de leur affection, par une sorte d'épuisement du système nerveux , et il est parfaitement exact, ainsi que l'ont an
érale, la paralysie agitante est une des affections graves du système nerveux dont la durée est la plus longue. Elle peut durer
ullement question, dans le texte allemand, de l'atrophie des éléments nerveux , non plus que des caractères de la dégénération g
ion des noyaux qui entourent l'épcndyme ; — pigmentation des cellules nerveuses , très prononcée, principalement dans les cellules
st, en premier lieu, l'influence des violents ébranlements du système nerveux : l'effroi, la ter-reur, une fâcheuse nouvelle ap
— Notions d'histologie normale concernant la moelle épinière. — Tubes nerveux . — Névroglie : sa distribution. — Couche cor-tica
pes de plaques scléreuses à l'état frais. — Modification des cellules nerveuses . — Mode de succession des lésions. Messieurs,
, dans les cas les plus accentués, sur ces divers segments du système nerveux : d'abord extérieurement, puis sur des coupes.
trajet des plaques scléreuse en tout semblables à celles des centres nerveux , du moins sur les portions de ces nerfs voi-sines
n effet, les plaques siéger sur des régions très diverses des centres nerveux , suivant les cas, et il est clair, qu'à ces varié
ntimes. Toutefois, vous le savez, l'anatomie histologique des centres nerveux est, sous quelques rapports, toute nouvelle; bon
amp de nos études, nous ne nous arrêterons pas à décrire les éléments nerveux proprement dits, tubes ou cellules ; nous n'insis
aut attribuer le rôle capital dans certaines altéra-tions des centres nerveux et en particulier dans les cas qui nous ocupent (
d'une manière bien moins prononcée; et, pour ce qui a trait aux tubes nerveux , seul le cylindre d'axe prend la couleur du carmi
tronçons cylindriques, très minces, résultant de la section des tubes nerveux , lesquels tubes sont là, dans cette partie de la
anneau, ou mieux, une zone, d'une certaine épaisseur et où les tubes nerveux font absolument défaut. Cette zone est recouverte
les plus larges réunissent, sous forme de faisceaux, huit, dix tubes nerveux , ou même un plus grand nombre, tandis que les plu
points de la préparation, où, par suite de la distribution des tubes nerveux , le squelette con-jonctif persiste seul. Plus e
la commissure antérieure, au contraire, en raison des nom-breux tubes nerveux à direction transversale qu'elle contient, est be
ont les plus étroites sont assez larges encore pour conte-nir un tube nerveux . S'agit-il découpes longitudinales? On voit les t
posé sous forme de cloisons qui séparent les uns des autres les tubes nerveux et les entourent à la manière d'une çaîne. Les vi
e çaîne. Les vides qui existent çàet là, entre les gaines elles tubes nerveux , sem-blent comblés par une petite quantité d'une
s mailles du réseau fibroïde, surtouL dans les points où les éléments nerveux manquent, y sont plus serrées que dans la substan
eloppées, qu'il devient fort difficile de les distinguer des cellules nerveuses ; mais nous aurons l'oc-casion d'insister sur ce
ussi dans les parties des faisceaux blancs où n'existent pas de tubes nerveux , dans la couche cor-ticale (Rindenschicht),parexe
ant l'intervention des réactifs, les espaces intermédiaires aux tubes nerveux seraient remplis, non par des trabécules solides
e. On reconnaît qu'il existe à l'état normal, interposée aux éléments nerveux , — à la vérité en faible pro-portion, — de la mat
u devoir vous présenter relativement à l'histologie normale du centre nerveux spinal, je n'ai plus qu'un mot à ajouter touchant
s disLincte, par suite de l'épaississement des trabécules ; les tubes nerveux paraissent plus distants les uns des autres ; en
culum, paraît plus abondante que dans l'état sain (2). b) Les tubes nerveux , deuxième zone, que l'on pour-rait appeler zone d
x). Ces fibrilles sont disposées parallèlement au grand axe des tubes nerveux : c'est pourquoi on n'en aper-çoit guère, sur les
is, en outre, elles envahissent les mailles qui contiennent les tubes nerveux , à mesure que ceux-ci s'amoin-drissent en se dépo
nte du processus morbide ; je veux parler de la destruction des tubes nerveux . Toutefois, avant d'entrer dans les développement
alors que, par une section complète, ils ont été séparés des centres nerveux . Au préalable, je vous rappellerai que, dans le
ble, je vous rappellerai que, dans les nerfspériphé-riques, les tubes nerveux sont essentiellement constitués, comme dans la mo
ntes (1), paraît ne pas exister sur les tubes plus grêles des centres nerveux , ou ne s'y montrer tout au moins qu'à l'état rudi
produit une sorte de coagu-lation de la substance médullaire du tube nerveux , en petites masses plus ou moins irrégulièrement
ation faisant de nouveaux progrès, la gaine de Schwann de chaque tube nerveux renferme bientôt, non plus des masses irrégulière
se plisse si bien que, lorsqu'on examine un certain nombre de fibres nerveuses juxtaposées, ainsi altérées, on croirait \roir, s
, plusieurs semaines ou même plusieurs mois après la section du tronc nerveux (1). En résumé, dans les conditions de nouvelle
les conditions de nouvelle nutrition où se trouvent placés les tubes nerveux par suite de la section du nerf, la matière médul
ne feraient que se dissocier dans le cas de la degeneration des tubes nerveux . Sur ce sujet, voyez encore Rindfleisch, loc. cil
la désagrégation de la myéline dans le cas de la section d'un cordon nerveux . Poursuivons les analogies: sur les coupes long
sous forme de longues traînées parallèles à la dir ec tion des tubes nerveux ( 1 ) ; sur les coupes transversales, elles const
s cela n'a rien qui puisse surprendre lorsque l'on sait que les tubes nerveux de la moelle ^sont dépourxms de cette gaîne cellu
où la métamorphose fibrillaire et fe travail de destruction des tubes nerveux sont terminés. Au contraire, elles occupent toujo
ndre médullaire s'amoin-drit progressivement, puis disparaît, le tube nerveux n'étant plus représenté finalement que par le cyl
que les débris, les détritus provenant de la désagrégation des tubes nerveux (1). Que deviennent, par la suite, ces granulat
parties où se rencontrent les produits de la désagrégation des tubes nerveux , les gaînes lympha-tiques des petits vaisseaux re
mitive et secondaire, et, en un mot, dans des affec-tions des centres nerveux très diverses, mais qui ont toutefois ceci de com
de commun, qu'elles déterminent la dégénération grais-seuse des tubes nerveux . Le véritable caractère de ce phéno-mène paraît a
avril 1866 ; thèse de Paris, 1867, p. 44. qu'éprouvent les cellules nerveuses , lorsque, par suite de l'en-vahissement de la sub
ques qui la distin-guent des autres formes de la sclérose des centres nerveux , et aussi de plusieurs espèces de myélite ou d'en
el appareil de symptômes se révèle la sclérose en plaques des centres nerveux (1). 1. Dans une note publiée dans les Archives
205), lorsque M. Ranvier démontra que le tissu conjonctif des centres nerveux ne diffère pas essentiellement de celui des autre
dente, les lésionsanafomiques delà sclérosemultiloculaire des centres nerveux . Laissant donc de côté cette partie de son histoi
es autres formes, mieux connues, de la sclérose primitive des centres nerveux , il convient de signaler en premier lieu la diver
ns pas plus loin ; votre malade réunit peut-être en lui la pathologie nerveuse tout entière. » Or, Messieurs, je le répète, il
n progrès sérieux dans la clinique des maladies chroniques du système nerveux . Dans ces derniers temps, M. Baerwinkel, médeci
déjà de séparer cliniquement la sclérose multilo-cnlaire des contres nerveux de quelques affections qui s'en rapprochent assez
la mort, des plaques de sclérose occupant toute l'épaisseur du cordon nerveux ont été trouvées sur les nerfs optiques, dans le
isse invo-quer pour montrer que la continuité fonctionnelle des tubes nerveux n'est pas absolument interrompue, bien que ceux-c
mènes qui marquent le début de la sclérose multiloculaire des centres nerveux . Autant que j'en puis juger, d'après les renseign
ous ai présenté comme un type de sclérose multilocu-laire des centres nerveux , il me reste à diriger votre attention sur l'état
, s'était communiqué, en certaines régions de la moelle, aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise et c
clusivement, tant s'en faut, à la sclérose multiloculaire des centres nerveux . Us seront donc étudiés à part, d'une façon génér
Etiologie. — Influence du sexe et de l'âge.— Hérédité. — Affections nerveuses antérieures. — Causes occasionnelles : action pro
pléter le tableau. Parmi les autres maladies organiques des centres nerveux dans lesquelles on observe fréquemment les attaqu
e, il m'a toujours été impossible de découvrir, soif dans les centres nerveux , soit dans les viscères, une région récente conge
ut découvrir aucune trace d'une lésion récente, soit dans les cen-tre nerveux , soit dans les viscères. Le second cas est celu
lle : Études cliniques et thermométriques sur les maladies du système nerveux . Paris, 1870-73. Charcot. Œuvres complètes, t.
. Des crises gastriques, p. 56. — Leçons sur les maladies du sys-tème nerveux , t, II, 1873, Leçon II, p. 36,) plus longuement
:, et spinale correspondant à un envahissement incom-plet des centres nerveux parla sclérose, c'est, si Ton veut, la maladie ar
869.) enfin du traitement de la sclérose multiloculaire des centres nerveux . Malheureusement, les documents que je pourrait i
qu'affectent les îlots scléreux dans les diverses parties du système nerveux central, nous est, quant à présent, complètement
le siège des îlots sclérosés dans les divers départements des centres nerveux , peut-on en déduirelaproductiondesphénomènes dont
plus prononcée que dans les autres formes de la sclérose des centres nerveux . Elle peut être invoquée encore, je crois, pour r
ainsi dire, à l'origine de toutes les maladies chroniques du système nerveux central. C. Le pronostic jusqu'ici est des plus
s concernant les troubles trophi-ques liés à une influence du système nerveux , j'essayais, vous vous en souvenez sans doute, dé
n complètement effacés. 1. Voy : Leçons sur les maladies du système nerveux , t. II, l''e et 2° parties. 2. Charcot, loc. ci
s, M. Laycock y est revenu dans son livre bien connu sur les Maladies nerveuses des femmes (1840). Partout ailleurs, si l'ischuri
hèse. Ilestplutôt admissible qu'il faut invoquerune action du système nerveux . L'influence du système nerveux sur l'excrétion u
il faut invoquerune action du système nerveux. L'influence du système nerveux sur l'excrétion uri-naire n'est pas douteuse: qu'
de son côté, survenir, sous l'influence d'une irritation des centres nerveux , une contraction très prononcée de ces mêmes cana
rique. Où réside-t-il ? Faut-il invoquer ici une influence du système nerveux , ana-logue à celle que Ludwig a découvert à propo
t. III, p. 376.) 2. Luys. — Iconographie photographique des centres nerveux , p. 16. localisation ne saurailêtre poussée plu
très brève qui en a été donnée dans le Traité des maladies du système nerveux de M. Rosenthal. Depuis lors, nous avons pu nous
nde. Il existe dans la clinique des maladies organiques des centres nerveux un appareil symptomatique peu connu, peu remarqué
a été insérée dans le tome II des Leçons sur les maladies du sys-tème nerveux , p. 358. (Note de la 3e éd.). hystérique. Du cô
imum l'excitabilité réflexe de la moelle, si cette partie des centres nerveux est irritée dans sa partie inférieure, il sera im
cessé d'être réglée^jLy, a .quatre ans, et malgré cela, les accidents nerveux persistent. Nous vous faisions reconnaître, tout
|!) ^Voy. Fig. 19, 20 et 21.) L'origine vraisemblable des accidents nerveux chez Ler..., mérite d'être signalée. Elle a eu, c
e 1867. p. 632 et suiv. — Charcot. Leçons sur les Maladies du Système nerveux , 1« édition, 1872-1873, pp. 218, 307, 319.) Tou
aractère se trouve déjà mis en relief dans les Leçons sur le sys-tème nerveux de R.-13. Todd. Voir la Leçon X, sur VHémianest
d'anesthésie ; la malade, tout en avouant avoir éprouvé des troubles nerveux bizarres, niait l'existence passée des véritables
dexùngt-deuxans,trèsnerveuseetappartenantàunelàmill où les affections nerveuses prédominent,fut prise,il yatroisans, tout à coup,
raîtrait comme elle apparaît dans tant d'autres affections du système nerveux , à titre d'élément accessoire, sans rien changer
i. Dunanl. — De Vhysléro-épilepsie, p. 11. 3. Ranciras. — Maladies nerveuses , i. I. p. 205. M. Beau, qui a étudié dans cet h
rer de ce mode d'exploration dans la clinique des maladies du système nerveux . Ce n'est pas, Messieurs, que, sous le rapport
e. — Études cliniques et thermo-métriques sur les maladies du système nerveux , p. 247: — Bévue phot. des hôp., 1869. Mais si,
72, dans nos Études cliniques et thermom. sur les maladies du système nerveux . (Obs. XXXIII, p. 285.) Depuis cette époque, Chev
ents choréiformes rythmiques. 1. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, p. 330. Il est au moins fort vraisemblab
é ces jours-ci, par des expé- i. Leçons sur les maladies du système nerveux , l. I, p. 320. riences répétées, et ainsi que v
rsqu'elle n'avait que 12 ans. Sa mère, qui a succombé à 74 ans, était nerveuse , s'emportait tacitement, mais n'avait pas de trem
bres de sa famille qu'elle a connus n'aurait été atteint d'affections nerveuses et en particulier de tremblement. Gavr... est v
hez plusieurs sujets atteints 1. Leçons sur les maladies du système nerveux . lie édition, p. 145. de maladie de Parkinson q
te sa vigueur, lorsque l'hystérique est à l'époque d'une grande marée nerveuse , en étatdemal, ou sort d'une crise. M. Charcot
trajetdu nerf médian. Si l'on insiste, il s'ensuit une sorte de crise nerveuse qui, plusieurs fois, a amené une perte de connais
l'accident qui l'a amenée à l'hôpital de Saint-Denis. Elle était très nerveuse , très irritable : mais jamais il ne s'était produ
ise, des dou-leurs plus profondes localisées sur le trajet des troncs nerveux , ou paraissant quelquefois siéger plus spécialeme
subsistent à l'état d'isolement, sans adjonction d'autres phénomènes nerveux . À ce double point de vue, on doit les considérer
oir chez les petites filles de 10 à 12 ans, parexemple, soit une toux nerveuse , soit un torticolis spasmodique, ou encore la con
e consolida comme dans les conditions ordinaires ; mais les symptômes nerveux persistèrent pendant plusieurs semaines et cédère
uer que, deux ans auparavant, cette femme avait éprouvé des symptômes nerveux analogues, à l'occasion d'une lésion légère du co
étendit enfin aux autres membres. (Leçons sur les maladies du système nerveux , 1.1. p. 185.) Les principales particularités d
ette année : elles seront consacrées à celles des maladies du système nerveux et, en particulier, de la moelle épinière, que l'
fluence de l'irritation et de l'inflammation des nerfs ou des centres nerveux sur la production des troubles trophiques. — Les
ètes, mais des sections incomplètes, des contusions, etc., des troncs nerveux . — Érup-tions cutanées diverses : Érythème, zona
ale, hématomyélle, etc. — b) Lésions irritatives des grandes cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise avec
-naires qui, elles-mêmes, relèvent d'une influence directe du système nerveux . Théorie de la production des troubles trophiqu
production des troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux . — Insuffisance de nos connaissances à cet égard.
Notions d'histologie normale concernant la moelle épinière. — Tubes nerveux . — Névroglie : sa distribution. — Couche cor-tica
pes de plaques scléreuses à l'état frais. — Modifications de cellules nerveuses . — Mode de succession des lésions................
. Etiologie. — Influence du sexe et de l'âge.— Hérédité. — Affections nerveuses antérieures. — Causes occasionnelles : action p
hies dans 1' —, progressive, 122. — Lésions inci-tatives des cellules nerveuses dans T — 69 ; — sa tendance à la gé-néralisation,
agie des) dans les lésions spinales, 128. Catalepsie, 447. Cellules nerveuses motrices des cor-nes antérieures de la substance
uction des troubles trophiques, 72. — Dégénération jaune des cellules nerveuses , 218, 219. — Lésions des — dans la sclérose en pl
Griffe dans un cas de sclérose en plaques avec lésions des cellules nerveuses , note, 63 ; — dans la pa-ralysie agitante, 170.
24 (1882) Archives de neurologie [Tome 03, n° 07-09] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
H TRLES HÉRISSE). ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES )'LR'fËnSOUSLDH : j;CrtO't)E J ?
d libre ; il se continue en effet en une mince lamelle de substance nerveuse qui s'in- curve en dehors, forme la paroi inter
ne couche de substance blanche (0, /%'. ,8,) formée de fines fibres nerveuses : ce revêtement blanc, auquel les anatomistes a
plus profondes LA CORNE D'AMMON. 5 succède une couche de cellules nerveuses étoilées ou fusiformes. 5° Enfin vient la couch
ructure de l'écorce, c'est-à-dire de la distri- bution des éléments nerveux . 3" La couche des cellules pyramidales est form
ment (c. feg. 2). 4° Rien de particulier pour la couche de cellules nerveuses étoilées (d, fig. 2), non plus que pour la couc
m de stratum granulosum; Arndt et Meynert ayant reconnu la nature nerveuse (cellules) de ses éléments, Meynert LA CORNE D'
de la formation ammonique. 4° Au- dessous est la couche de cellules nerveuses étoilées, et enfin, 5° la couche médullaire de
e cellules pyramidales (stratum racliaitim), une couche de cellules nerveuses étoilées, et enfin la subs- tance blanche; seul
ance conjonctive ou de matière unissante interposée entre la couche nerveuse profonde et ce qui représente dans la corne d'A
consi- dère les éléments du stratum granulosum comme des cellules nerveuses . Depuis cette époque, la formation ammonique a
, stratum granulosum ; c, stratum tadiatum; d, couches des cellules nerveuses étoilées ; couette de substance blanche médulla
calise dans la protubérance, à l'endroit où en émergent les racines nerveuses . C'est précisément de ce noyau que tire son ori
stiforme et le méat auditif interne, à un certain nombre de tubes nerveux très déliés, qui contribuent à la formation du
. 170.) DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF AUDITIF. 39 de filaments nerveux , émergeant en totalité du tronc du nerf auditif
Ces deux faisceaux se. distinguent par le caractère de leurs tubes nerveux . 2° Dans le tronc du nerf auditif, principaleme
e, se trouvent des îlots de substance grise, contenant des cellules nerveuses . Pour le tissu réticulaire, aussi bien que pour
es. Pour le tissu réticulaire, aussi bien que pour les cel- lules nerveuses revêtues de membranes, ces îlots sont identique
ki ` (v. Rente, loc. cit., p. 461) distingue deux espèces de fibres nerveuses , dans le nerf auditif de la brebis et du cheval
. Axel Key et Gustave Retzius ont obtenu deux espè- ces de fibres nerveuses , par voie de dissociation du nerf auditif, ce d
édullaires avec de larges cylindres d'axe bien distincts. Ces tubes nerveux , d'égale dimension, alignés l'un près de l'autr
par endroits la coupe transversale du nerf et contenant des fibres nerveuses transverses, ainsi que des vaisseaux sanguins.
nt un petitnombre de cel- lules étoilées et de noyaux. Des fibres nerveuses fraîches, prises en cet endroit, furent soumise
des fibres des racines antérieures de la moelle épinière. Ces tubes nerveux sont assez unifor- mes (PL. V, fig. 2), possède
on occupe une plus grande étendue de la coupe transversale du tronc nerveux pratiquée à son émergence du corps restiforme,
partie inférieure et antérieure du nerf. Elle se compose de fibres nerveuses plus grêles et plus fines, et en contient même
du tissu conjonctif abondent également. Pour ce qui est des fibres nerveuses de cette portion du nerf, à l'état dissocié et
les, rend leur dissociation extrêmement difficile. Parmi ces fibres nerveuses , ce n'est qu'exceptionnellement que je trouvai
auditif interne, en procédant successive- ment aux coupes du tronc nerveux , on trouve une cloison de tissu cunjonctif de p
de plus en plus accentuée, qui sépare les deux faisceaux de fibres nerveuses . Immédiatement avant l'entrée du nerf dans le m
presque, égal. Le faisceau supéro-postérieur se compose de tubes nerveux assez forts, quoiqu'un peu moins gros qu'à l'or
rveux assez forts, quoiqu'un peu moins gros qu'à l'origine du tronc nerveux . Ces tubes médullaires ont un cylindre-axe nett
armin (Pl. V, fig. 5, A) ; à cet endroit, il n'y a plus de fibres nerveuses transversales. 9- Pour ce qui est du faisceau a
se exactement, comme à son émergence du corps restiforme, de fibres nerveuses plus ou moins grêles, dont les cylindres d'axe
rée du nerf dans le méat au- ditif interne. Dans la partie du tronc nerveux qui avoisine le corps restiforme, ces îlots occ
ombre d'un seul ou de deux, les îlots avoisinent toujours les tubes nerveux de plus fortes dimensions (PL. V, f. 6 et 7), a
re); mais dans ce cas également, l'îlot se trouve entouré de fibres nerveuses plus grosses. , En observant de plus près la
terstices de ce réseau sont traversés par des fibres 46 ANATOMIE. nerveuses longitudinales éparses, en formant de minces fa
es éparses, en formant de minces faisceaux. Le second réseau, dit nerveux , est constitué par des fibres nerveuses très gr
eaux. Le second réseau, dit nerveux, est constitué par des fibres nerveuses très grêles. Toute l'étendue du tissu est couve
rer que ces cellules servent de ganglions ou noyaux, à des branches nerveuses très fines, qui se détachent du nerf auditif po
, qui se détachent du nerf auditif pour se relier ensuite aux tubes nerveux plus gros (au nombre d'un ou de deux), qui form
rieure supérieure du tronc du nerf au- ditif, à l'égal des branches nerveuses très déliées que nous venons de mentionner. C
éjà notés (PL. V, fiq. 6 et 7). Ces derniers contiennent des fibres nerveuses transversales excessi- vement déliées, qui atte
F. 47 face antérieure du nerf et servent d'origine aux bran- ches nerveuses dont nous avons parlé. Le nombre des branches n
ran- ches nerveuses dont nous avons parlé. Le nombre des branches nerveuses issues du nerf auditif, et concourant à la form
onc du nerf auditif, on ne voit pas s'en détacher une seule fibre nerveuse ; dans ces cas-là, les coupes transver- sales, e
individus au contraire, on observe une grande quantité de fibres nerveuses très fines, se détachant du nerf auditif, tout
uve en re- lation directe avec le nombre et la capacité de fibres nerveuses qui se détachent de ce nerf, pour se con- fondr
c le nerf intermédiaire de Wrisberg. Toutes les fois que la branche nerveuse la plus forte du nerf de Wrisberg provenait du
ssant tout autour que très peu de place, pour le passage des fibres nerveuses . J'ai déjà fait observer que les grosses fibres
u an- térieur et inférieur. Notons que l'amincissement des fibres nerveuses en question commence exactement à partir de l'e
enter des îlots de subs- tance grise, servant de ganglions aux fils nerveux . Comme' je J'ai dit ailleurs; cette 'particular
anglions ou noyaux respectifs qu'on trouve sur le parcours des fils nerveux . Sans nous arrêter aux ganglions microscopiques
thique. Henle2 affirme qu'on trouve un certain nombre de cellules nerveuses disséminées entre les fibres du nerf oculo-mote
f auditif de l'homme et des mammifères, un grand nombre de cellules nerveuses bipolaires. Pierret' signale des amas de cellul
de voir d'Arnold. Tout en observant : 1° que beaucoup de branches nerveuses , concourant à la formation du nerf inter- média
le picro-carminate. Faisceau postérieur supérieur montrantdes tubes nerveux à myéline volumineuse et presque égale avec des c
d'axes larges et colorés vivement. Fig. 2.-3/7 Hart. : Trois tubes nerveux à myéline du faisceau postérieur supérieur du n
ar le picro-carminate. Faisceau antéro-inférieur montrant des tubes nerveux de diverse dimension avec des cylindres d'axes so
se colorent pas par le picro-carmin. Fig. 4. 317 Hart. : Deux tubes nerveux à myéline dufaisceau antéro- inférieur du nerf
o-carmin montrant au milieu une large cloison conjonctive. A, Tubes nerveux avec des cylindres d'axes larges et colorés. B, T
Tubes nerveux avec des cylindres d'axes larges et colorés. B, Tubes nerveux avec des cylindres d'axes fins qui ne se colorent
79, s. 738. ' Loc cit. s. 853, PATHOLOGIE MENTALE. 53 des tubes nerveux volumineux un îlot de la substance grise avec bea
t le père lui-même atteignent un âge avancé, sans qu'aucun accident nerveux ait attiré l'at- tention ; quant aux ascendants
ture, à partir de ce moment il a cessé de voler. Les dispositions nerveuses de notre malade ne se sont pas seulement tradui
encement de septembre, ayant remarqué moins de résis- 60 PATHOLOGIE NERVEUSE . tance de son esprit, à s'arrêter à l'idée de l
es crises, mais non la fréquence. (A suivre.) i 9· t PATHOLOGIE NERVEUSE DE LA CACHEXIE PACHYDER)IIQUE. (11j·xmdbme des
ecture on myxoedema. (Brit. nied. Jour., may 1878.) 62 PATHOLOGIE NERVEUSE . s'écoulant après la section, mais à une matièr
s les actes qu'ils accomplissent tiennent à ce que les terminaisons nerveuses périphé- riques, englobées et comprimées par le
bles de stimuler d'une façon suffisante les fonctions des centres nerveux . L'infiltration porte d'ailleurs sur le tégumen
de la normale, l'auteur signale des troubles très variés du système nerveux : caractère triste et sombre; intelligence nota
ms. (Journal of mental science. Jan. 1880, p. 417.) 6t PATHOLOGIE NERVEUSE . incohérence et violence du langage pendant la
c'est l'encéphale qui est le point de départ de tous ces accidents nerveux . Le 1e mai 1880, Goodhart' publie un cas de myx
Myxoedème. (Progrès Médical, nos 30.et 31,18SO.) 5 66 PATHOLOGIE NERVEUSE . sèment physique sont dûs aux conditions circul
auvri, toutes les fonctions sont languissantes; c'est 68 PATHOLOGIE NERVEUSE . une véritable cachexie. » La cachexie pachyder
, il n'existe pas de troubles digestifs et le sommeil 70 PATHOLOGIE NERVEUSE . ' est tranquille. Un fait remarquable est l'am
, ne tient pas, dit l'auteur, à une dégénérescence des élé- ments nerveux périphériques, mais résulte de l'obs- tacle méc
d'apoplexie. Le début de la maladie s'est fait il y a 72 PATHOLOGIE NERVEUSE . cinq ans par une attaque de mélancolie avec pe
Inglis, que dans le myxoedème, il existe une altération du système nerveux central. En effet, dit-il, dans tous les cas on
bles intellectuels. Inglis considère le myxoedème comme une maladie nerveuse , les modifi- cations profondes du système cutan
raitement ne lui a pas donné de résultat satisfaisant. Les toniques nerveux , l'électricité galva- nique, les bains ont prod
es of myxoedema. (Lc ! nce<, t. II, p. 813 S80.) 74 PATHOLOGIE NERVEUSE . dessous de 60. Mais tous les organes internes
ant sur le myxoedème, qu'il envisage particulièrement 76 PATHOLOGIE NERVEUSE . au point de vue des troubles nerveux et cérébr
iculièrement 76 PATHOLOGIE NERVEUSE. au point de vue des troubles nerveux et cérébraux'. Les phénomènes de cet ordre, not
lle tout particulièrement intéressante au point de vue des troubles nerveux . Il s'agit d'une femme de 41 ans. Au premier ab
fforçaient de la faire souffrir en mettant du vitriol 78 PATHOLOGIE NERVEUSE . dans son fit et dans ses aliments; d'autres fo
° Fahr. (35°,5 c.) En ce qui concerne l'interprétation des troubles nerveux , Ham- mond rejette l'hypothèse de Ord. « Rien n
ale, caractérisée par le dépôt de tissu muqueux autour des cellules nerveuses . Dans le cas qu'il publie, les troubles psychiq
précédé l'apparition de l'oedème spécial. En résumé, les troubles nerveux résulteraient de deux ordres de lésions : lésio
témoin. 'Voir t. I, p. 27, 413 3 et : j6t. 88 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Le professeur Gamgeo (de Manchester) assista a
es observations et de quelques autres. il. V. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Contribution A l'étude DE la sclérose centra
s que dure cotte phase, on constate : une série REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 89 d'accès d'agitation à forme impulsive, de l
elle en partie ramollie, une coloration gri- 90 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sàtre des cordons postérieurs dans la région c
utrage épais de fines fibrilles conjonctives, atrophie des cellules nerveuses un travail identique dans la couche sous-épithé
laires indiquées et de la dégénérescence inflammatoire des éléments nerveux à des stades divers qui suivent, elles aussi, l
si que parait l'indiquer l'exagération des lésions le long de l'axe nerveux dans les régions où l'ectasie est la plus prono
l'inflammation toujours progressante de l'épcn- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 91 dyme. Môme mécanisme pour la moelle ; de so
branche ophthalmique de la 5° paire. R. V. 92 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . IV. La question du galvanomètre; hal 1C D Er11
rir différents degrés de sensibilité. , R. V. REVUE DE pathologie NERVEUSE . 93 V. Remarques sur l'article précédent ; par
t depuis seize ans d'une névralgie sciatique 9t REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . occupant la cuisse, le genou et le pied ; la n
fs, moteurs ou sensitifs. Il diminue le pouvoir réflexe des centres nerveux , ralentit le pouls, et augmente la tension arté
roduit le tétanos, dilate la pupille, et excite REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 95 les sécrétions de la salive et de la sueur.
s aujourd'hui; l'auteur résume les prin- - 96 .REVUE DE PATHOLOGIE, NERVEUSE . cipaux caractères^ de" ces" diverses manifesta
le cadavre humain;; l'homme; 3° les animaux : z REVUE DE pathologie NERVEUSE . 97 L'allongement brusque et vigoureux de tout
un coup de fouet ranimant, accélérant, multipliant dans le système nerveux les processus de déchéance et de néoplasie phys
la profondeur, dans sa gaine intacte, aucun 98 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . phénomène inflammatoire, la réparation du tiss
ATHOLOGIE NERVEUSE. phénomène inflammatoire, la réparation du tissu nerveux n'a jamaiseulieu par première intention : elle
ue la plaie guérit ou non par première intention (mêmes altérations nerveuses dans les deux cas). D'autre part, pour que la d
nt de piqûres, de distension cicatricielle ou REVUE ! DE PATHOLOGIE NERVEUSE . '99 de toute autre cause, pourrait à l'heure a
;, ? .0Jt,ipiu jb JIrb.IIIJc Il owHiio-bu* 100 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3° La ligature de la carotide primitive peut ê
ussi restreint) que l'hémorrhagie intra-ventri- REVUE DE pathologie NERVEUSE . 101 culaire primitive serait sensiblement plus
du diagnostic, il est surtout important de 102 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .' distinguer l'hémorrhagio'intra-vcntriculaire
se prolonge pendant plusieurs jours."5 ? ' r REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 103 Le pronostic est presque toujours fatal :
ées et élargies, surtout dans leurs parties 104 REVUE DE pathologie NERVEUSE . latérales. Les altérations microscopiques les
isée, son tissu conjonctif était gonflé, sans, altération des tubes nerveux . Ces lésions étaient beaucoup moins marquées. C
ue le délire fébrile pouvait tenir a un état congestif des'centres- nerveux , 'comme r'b'iit'eà'lobse'rvè 'dés`' exemples da
ions de la sensibilité du membre supérieur consécutives aux lésions nerveuses ; par G. Mialabct (thèse de Paris, 1881). Cont
. L B13É, (thèse de Paris, 1881). Recherches sur les terminaisons nerveuses motrices dans les muscles striés des insectes ;
e trois heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux . Cette épreuve pourra être éliminatoire si le n
talie, pour y étudier l'organisation de l'enseignement des maladies nerveuses et mentales. M. le ministre ne pouvait faire ch
nomènes que nous venons de décrire comme se rattachant à cet état nerveux spécial désigné sous le nom d'hyperexcita- bili
nier lieu l'excitation des 132 ^ PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. troncs nerveux . Enfin ce n'est que dans les cas les plus dével
mouvement réflexe, indice que l'impression est perçue par le centre nerveux . Alors on retire l'objet qui sert à maintenir l
qui constituent comme autant de variétés. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE DE LA CACHEXIE PACHYDERMIQUE. (Mvxoedème des au
les documents sont encore z Voir le n 7, p. 60. \'l-2 PATHOLOGIE NERVEUSE . insufnsants et ne permettent pas de donner une
usqu'à huit jours. Ses règles ne s'accompagnaient pas de trou- bles nerveux , et, pendant leur évolution, elle se livrait sans
1878. Elle trouvait mauvais goût et mauvaise odeur 1 I 1 PATHOLOGIE NERVEUSE . aux aliments les mieux préparés. Elle entendai
mpare la physionomie générale de notre malade à 10 116 PATHOLOGIE NERVEUSE . celle qu'elle a présentée avant le début de la
plusieurs particularités remarquables : l'intensité des phénomènes nerveux ; la marche de l'affection, procédant, pour ain
rd. Elle indique en effet une subordi- nation complète des troubles nerveux aux lésions cuta- nées. Les troubles nerveux vo
complète des troubles nerveux aux lésions cuta- nées. Les troubles nerveux vont croissant à mesure que se développent les
délire des persécutions. Puis, on voit ces troubles psychiques et nerveux s'amender progressivement et arriver à une guér
t eux aussi être atteints. D'autres faits ont établi 150 PATHOLOGIE NERVEUSE . que l'affection pouvait débuter chez l'enfant.
Du côté de l'hérédité, certaines observations parlent d'antécédents nerveux , tels qu'apoplexie ou folie. Comme antécédents
le gonflement des téguments. Du côté des membres, 152 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'infiltration cutanée et sous-cutanée détermi
ion peut être faible, difficile; les mains sont 1 ') 19. PATHOLOGIE NERVEUSE . inhabiles, particulièrement pour ce qui concer
es, languissants. Les trou- bles variés des téguments et du système nerveux s'ac- compagnent d'une anémie profonde, d'une c
ique constante : anémie profonde, lésions tégumentaires et troubles nerveux , on peut dire aussi que, sur ce fond morbide co
. Ceci s'ap- plique tout particulièrement aux troubles du système nerveux . Véritable prothée, la maladie peut réaliser la
ble prothée, la maladie peut réaliser la symptomatologie du système nerveux tout entier. Trou- bles de la motilité, trouble
s plus légers jusqu'aux plus graves, tout a été observé. Le système nerveux tout entier peut 156 PATHOLOGIE NERVEUSE. don
t a été observé. Le système nerveux tout entier peut 156 PATHOLOGIE NERVEUSE . donc être en cause dans la cachexie pachydermi
nt pas indispensables pour expliquer la majeure partie des troubles nerveux et particulière- ment les troubles psychiques.
et intime qu'exercent l'un sur l'autre le tégu- ment et les centres nerveux , et qui reste comme le souvenir de leur communa
pulUieruua p`uclt,`tnu- `uenl. (1'ote cle la eclactaou.) CLINIQUE NERVEUSE \Ol'RS I'O(;lt aCR\'Ili .1 L'lll : i'l'olNl; DG
i a disparu depuis plusieurs années, n'aurait jamais eu d'accidents nerveux . Il en serait de même des trois frères qui sont
une grande peur et c'est alors qu'elle commença à avoir des crises nerveuses . Pendant quatre ans, elle eut tous les jours do
nerveuses. Pendant quatre ans, elle eut tous les jours dos attaques nerveuses qui ne se produisaient pas à des heures fixes ,
s reconnaître même les lettres, il est difficile d'ap- 164 CLINIQUE NERVEUSE . précier au juste son acuité visuelle et l'éten
, regarde fixement, demande « à boire, à boire », tou- 166 CLINIQUE NERVEUSE . jours sans avoir repris ses sens, comme le mon
t, t, 187f,, p G. 11f1. I I ; I. lll. ISn, p. l'.i. 168 CLINIQUE NERVEUSE . applique un vésicatoire volant large comme la
N'yMec ? N/- f/)' ! <'rf,lS7C-)8 ! iO,t.),Uet)n. 170 CLINIQUE NERVEUSE . il est impossible d'après ces deux faits de dé
épuisement général du sujet qui amène la dis- parition des troubles nerveux , si la fièvre suffit pour amener ce résultat, o
a mère, morte poitrinaire à vingt-neuf ans, ne parait pas avoir été nerveuse , mais elle semble avoir eu plusieurs attaques d
ve sans provoquer aucun réflexe, ni mouvement des pau- 172 CLINIQUE NERVEUSE . pières ou de l'oeil, ni sécrétion de larmes; m
s sont exposées entre elles à une sorte de contagion ou d'imitation nerveuse , on les voit organisant de mesquines conspirati
d'avance, car l'hystérique est sou- Mlaminond. Maladies du système nerveux . Trad. française, 1879. ÉTAT MENTAL DES HYSTÉRI
ante : Une malade entre dans son service, présentant des phénomènes nerveux dont la bizarrerie et l'étrangeté l'inté- resse
térique. Thèse de Paris, 1874. « Leçons sur les maladies du système nerveux . T. 1, p. 128. 196 REVUE CRITIQUE. r en sorti
compliquée de contracture due à une lésion, quelconque, des centres nerveux , l'autre avec une contracture hémiplégique de n
ui permettent de reconnaître une cer-' taine tendance à l'affection nerveuse . 1 9 « Ce sont ordinairement des fillettes de h
r les dispositions du caractère, sur les troubles divers du système nerveux , qui permettent dès l'enfance de re- connaître,
Voici encore d'autres exemples qui, en relatant divers accidents nerveux du jeune âge, dévoilent bien le caractère hystéri
nostic très grave, puisqu'ils admettaient une affection des centres nerveux . Une autre petite fille de six ans, jalouse de
ue, puis elle est prise de dyspha- gie avec symptômes d'hydrophobie nerveuse et de convulsions générales, accidents dont un
les ; mais d'autres fois t aussi on peut voir éclater des accidents nerveux connus sous' le nom d'hystérie de retour on de
tamment du cerveau, de grossiers arrêts de développement du système nerveux en corrélation avec une minutie extrême du sque
des microcéphales aient eu à leur disposition trop peu de matière nerveuse pour pouvoir, au moment de l'évolution formatrice
es, un défaut complet de prolonge- ments durc-mériens dans la masse nerveuse (ni faux cérébrale, ni tente du cervelet). Dépo
le limite en avant représente la scissure de Sylvius, la substance nerveuse en deçà ou au delà de celle-ci devant être cons
nt d'organe rejoint par une de ses extrémités le trousseau défibres nerveuses (cité supra), surlebordpostérieurdes hémis- phè
es pyra- mides. Rapprochant le détail des altérations osseuses et nerveuses de la conservation intégrale de l'appareil ocul
ce thème bien connu que le développe- ment des maladies du système nerveux est en rapport direct avec le progrès de la civ
surtout chez les jeunes filles par l'épuisement général du système nerveux et en particulier du cerveau par les mélan- col
t rapide. La transmission hérédi- taire aux enfants de la faiblesse nerveuse acquise par les parents est une cause générale
es tendineux ( ne reparaissant que bien aprèsleretour des fonctions nerveuses des accès d'épilepsie complets ( myosis et iner
igne REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 219 d'une profonde perturbation nerveuse . L'analyse psychique met en évidence au début :
. Le poids du corps décroit au moment de l'accès des manifestations nerveuses . A part deux cas de mort soudaine, guérison. Le
des vésanies aux symptômes ergotiques, la disparition des troubles nerveux périphériques avant l'explosion des psychoses,
'inculpé des faits antécédents d'aliénation mentale et d'affections nerveuses , remontant à plusieurs géné- rations. Lui-même,
desquelles il est interné dans un asile : là, il se plaint d'être nerveux , de ne pouvoir résister à des impulsions subites
étudier cette proposition. M. B. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE BERLIN Séance du 10 janvier 1881. 1. - PII
e la région en question avec la moelle allongée (trajets des fibres nerveuses ). Séance du 14 mars 4 88 Présidence DE M. Westp
touillement de la peau ni de légers coups frappés à côté des troncs nerveux et en dehors des zones électro-motrices n'entra
ique, qui ne doit être considérée comme le fait ni d'une excitation nerveuse directe, ni d'une réflexe, mais bien d'une exci
à l'intérieur du nerf. Remarques sur l'anatomie comparée du système nerveux central, relatives principalement aux trois cla
pérature 38°,6 6 à 39°. L'autopsie démontre l'intégrité des centres nerveux ; les fibres, les cellules, les noyaux même de l
nt intermédiaire, si l'on a soin de le séparer de toute connexion nerveuse par la scission des racines antérieures et postér
emps assez long. Cette action conservatrice exclusive des faisceaux nerveux moteurs, émanerait des plaques terminales de ce
semblée, sous ce titre : Action de l'ergot de seigle sur le système nerveux central, le résultat de l'examen pratiqué par l
rstitiel (grandes cellules araignées en nombre), atrophie desfibres nerveuses , développement de cellules granuleuses en amas,
onc pas une preuve qu'il existe une affection quelconque du système nerveux . Il existe un certain nombre de cas d'ataxie loco
y, Aubouin, J. Simon ont publié des cas semblables. Ces accidents nerveux réflexes se montrent toujours après l'interventio
ERS Faculté DE médecine DE Paris. Chaire de clinique des maladies nerveuses . Par arrêté, en date du 2 janvier 1882, rendu sur
e médecine de Paris, une chaire de clinique des maladies du système nerveux . Par un autre décret de la même date, M. Charco
sur sa demande, dans la chaire de clinique des maladies du système nerveux . Faculté de médecine de LYON. Par arrêté minist
hysiologie : Relations de la calorification animale avec le système nerveux . Electrothérapie. Faradisation et galvanisation
portant sur l'anatomie, la physiologie et la pathologie du système nerveux , la médecine mentale et les questions médico-lé
ques et anatomo-palhologiques sur les affections cutanées d'origine nerveuse . Un vol. in-8° de 220 pages, avec 4 planches et
. -382. Vol. III. Mai 1882. ? 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE UN CAS D'IIG111LÈSION DE LA MOELLE ÉPINIÈRE;
thésie plus ou moins étendue au-dessus de la zone 18 27t CLINIQUE NERVEUSE . anesthésique ; 5° élévation absolue ou relativ
on sont hyperosthésiés : la piqûre superficielle d'une 276 CLINIQUE NERVEUSE . épingle est douloureusement ressentie, un simp
normale (1,500 gr.). Le pouls est toujours irrégulier. 278 CLINIQUE NERVEUSE . Le 20 mars, le retour des fonctions motrices s
spéciaux pour chaque mode spécial de sensibilité. 280 ' CLINIQUE NERVEUSE . La paralysie vaso-motrice avait les mêmes limi
nouvelle attaque de rhumatisme compliqué de pleurésie 2812 CLINIQUE NERVEUSE . s'étend non seulement à la peau et aux muqueus
s que son anestlasie ! tit6tem0()if[ee jusqu'à la mort. Les centres nerveux n'ont présenté à l'ceil nu aucune lésion, parti
sujets, et n'ayant aucun rapport d'ailleurs avec les distributions nerveuses '. Chez une de nos malades, 1 Les différentes p
celui suivant lequel elles l'ont recouvrée; mais le 28 il CLINIQUE NERVEUSE . l'insensibilité revient d'abord sur une zone l
e la vision par les lésions cérébrales. Paris, 18S9. 286 CLINIQUE NERVEUSE . est diminuée. Cette dysesthésie peut, comme l'
des cliniques sur ? ty<M;'0-3 ! p ? e, 1881, p. 38. 288 clinique nerveuse . récent, manque de clarté et de précision quand
à fait caractéristiques dans l'hystéro-épilepsie, 19 290 CLINIQUE NERVEUSE . quand j'aurai dit qu'ils sont nettement inllue
ion. 1 Ch. Féré. Société de biologie, décembre 1SS1. 292 CLINIQUE NERVEUSE . Nous sommes parti de cette idée pour recherche
'ieuer med. 1l'oclemsck., 1J60, u 3 : .> ct 33. 2M se CLINIQUE NERVEUSE . une irritation du centre oculo-pupillaire vaso
1liéoiie physiologique de l'hallucination, 1881, p. 8. 296 CLINIQUE NERVEUSE . du globe oculaire, ce même dédoublement de l'o
s en usage chez ces 1 Charcot. - Leçons sur les maladies du système nerveux , 4e édition 1880, p. 320 et suiv. * Duncan. l
1878. (Bi-ilish. med Journ. August 28, 1878, p 329. 298 CLINIQUE NERVEUSE . sujets, dont le caractère particulier rend ces
travail a commencé dans la nuit du t9 au 20 novembre, 300 CLINIQUE NERVEUSE . vers neuf heures et demie du soir. Quand nous
t à 2 centimètres en dessous de la ligne bi-iliaque. 302 CLINIQUE NERVEUSE . Le 20 décembre, les points douloureux sont dev
ensations dont nous venons de parler, est suivie d'une 30t clinique nerveuse . attaque de contracture analogue aux précédente
rmettait d'ar- 1 Progrès médical, 1878, p. 993. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE . rèter l'attaque aussi longtemps que la malade
, en place. (D'après une photographie de M. Loreau.) 308 clinique nerveuse . considérable pour se rendre maître d'une attaq
elle se présente chez nos malades pendant une des phases du sommeil nerveux désigné sous le nom d'hypnotisme. L'état cata
'indiquer les principaux traits constitue un des modes du sommeil nerveux , bien distinct de cet autre mode que nous avons
ig. 28. recueil DE faits. 32) corps granuleux. Enfin les cellules nerveuses y font absolument défaut. La corne antérieure
e au contraire toutes les apparences de l'état normal, les cellules nerveuses y sont en grand nombre, munies de beaux prolong
ent à droite et à gauche et renferment la même quantité de cellules nerveuses saines. Réflexions. Autant qu'on peut en juge
. Voyez également à ce sujet les Leçons sur les maladies du système nerveux de 5 ! . Charcot (7e leçon) et le remarquable art
mari et a disparu. Ni frère ni smtr; pas d'antécédents héréditaires nerveux dans la famille.] Mère, 34 ans, couturière, a e
e, a eu des convulsions jusqu'à l'âge de sept ou huit ans; elle est nerveuse et sujette, depuis la puberté, à des palpitatio
e a toujours fait de nombreux excès de boisson (vin); il est très nerveux et a tous les cinq ou six mois, depuis une dizain
lesquelles il se mord la langue. Sa mère est bien portante, un peu nerveuse . Un frère est mort d'une fièvre cérébrale à tro
dante des autres couches de la rétine, y compris celle des cellules nerveuses . P. K. IV. Anatomie des tubercules antérieurs d
nologie allemande, se reporter au livre de Huguenin sur les centres nerveux . (Traduction française, 1879.) 3t6 revue d'anat
la voie tracée par les travaux deBetz. P. M. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIX. NOTE SUR la relation ENTRE la SYPHILIS ET
e général des troubles laryngés tabétiques, 3b0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . consiste essentiellement dans une toux spasmod
sie de la muqueuse du larynx et d'une byperexcitabilité des centres nerveux , par suite de laquelle l'irritation du larynx p
i- nante dans le tableau symptomatique. C. F. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 351 XXI. DE la paralysie DU nerf MOTEUROCULAIR
onsultation de M. Charcot à la Salpêtrière. 352 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Maladie de l'âge adulte et de l'âge mûr, plus
de l'âge mûr, plus fréquente chez les goutteux, les anémiques, les nerveux , la migraine ophthal- mique, atteint souvent de
le plus fréquemment aux phénomènes décrits plus REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 353 haut, celui qui impressionne le plus fâche
ermanents. D. BERNARD. XXIII. CONTRIBUTION A l'étude DES phénomènes NERVEUX , nommés réflexes tendineux ; par J.-L. Prévost.
et Westphal rapprochent de ces faits, 23 354 REVUE DE pathologie NERVEUSE . la contraction du triceps crural qui suit la p
tendon. Erb en fait un réflexe déterminé par l'excitation de fibres nerveuses tendineuses (Tschiriew a démontré l'existence d
, probablement la 3° et la 41 chez l'homme. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 355 Deuxième partie. -Ici M. Prévost rapporte
peu ou point apparents, à prolongements rares et grêles. Les fibres nerveuses ont aussi diminué en nombre et en épaisseur ;
gnostiques physiques, et facilement appréciables des divers états nerveux , ont été recherchées à la Salpêtrière. A l'appare
méthode éprouvés, surtout lorsqu'il s'agit de maladies du système nerveux . Ces conditions, M. Hublé les a réalisées grâce l
s rl(, la sensibilité dit membre supérieur consécutives aux lésions nerveuses ; par G. 111mcnnt.r; thèse de Paris, 1881 . De
1tale, 1881, fasc. 9.) Contribution an traitement de la gastralgie ( nerveuse ) par les courants constants- par ]taffae ! eVt/
par des expériences la et la thérapeutique des malidies des centres nerveux et principale- ment de l'épilepsie. Prix : 8 00
un progrès capi- tal dans la thérapeutique des maladies des centres nerveux , tel que serait, par exemple, la découverte d'u
gine cérébrale, par Ch, Féré, 338. Anatomie comparée du système nerveux central, 237. Anomalie de formation particulièr
et (atrophie du), 360. Chaire de clinique des maladies du système nerveux , 268. Cloree dite électrique, 213. Choroidien
es sur l'), 376. Ergot de seigle (action (10 l') sur le système nerveux central, 242. Er«onsme (psclioses claus l'), 1&
entales (leçons de Guis- laiu sur les), 110. Maladies mentales et nerveuses (in- fluence de notre civilisation pré- sente
a I)LOVIII(;(3 du Lilnn, IOS. - de 1 ? cliiiitiie et des maladies nerveuses de Berlin, 529. d'anthropolo- iC ? 7J. Syph
stratum yanulosum ; - c, stratum radiatum; - z couches des cellules nerveuses étoilées; ? couche de substance blanche médulla
e picro-carnmaate. Faisceau postétteur supérieur montrant des tubes nerveux à myéline volumineuse et presque égale avec des c
d'axes larges et colorés vivement. Fig. ? 3/711art. : Trois tubes nerveux à myéline du faisceaupostétieur supérieur du ne
trai- tée par le hicro-carmmate. Faisceau iiloiitrliit des tubes nerveux de diverse dimension avec des cylindres d'axes so
se colorent pas par le picro-carmin. Fit. fi. 3/7Hart. : Deux tubes nerveux à mvéline du faisceau antéro- inférieur du nerf
-carniiu montrant au milieu une large cloison conjonctive. A, Tubes nerveux avec (les cylindres d'axes larges et colorés. Il,
bes nerveux avec (les cylindres d'axes larges et colorés. Il, Tubes nerveux avec des cylindres d'axes fins qui ne se colorent
icro-cainmiate. Faisceau postéro-supéiieur montrant parmi des tubes nerveux volumineux un îlot de la substance grise avec bea
25 (1906) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 19] : iconographie médicale et artistique
DE il. LE PROFESSEUR RAYMOND. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX DANS LE MAL DE POTT SANS GIBBOSITÉ ' (SÉMÉIOL
L. ALQUIER Chef des travaux anatomiques à la Clinique des Maladies Nerveuses . Au cours du mal de Pott ci les troubles dépend
uses. Au cours du mal de Pott ci les troubles dépendant des racines nerveuses prennent souvent place dès la phase de début. L
aque, et des disques intervertébraux qui les séparent; les troubles nerveux sont, le plus souvent, consécutifs à la gibbosi
ur le Mal de Poli. Paris, 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 3 pour le diagnostic. Chez l'adulte, au contrai
ux, et se pro- pager à l'espace épidural, occasionnant des troubles nerveux avant l'ap- parition de la déformation rachidie
malades auxquels il faisait allusion avaient éprouvé des phénomènes nerveux bizarres : de l'engourdissement et même de la pa-
exposer succinctement les principales formes cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, afin.de mie
hyméningite externe caséeuse o est la cause habituelle des troubles nerveux , en déterminant la compression de moelle, puis,
ssion de moelle, puis, il ajoute : « Il va sans dire que les troncs nerveux , dans leur trajet à travers des parties ainsi alt
cas que nous résu- (1) Brissaud, Leçons sur les maladies du système nerveux . Paris, 1893=i$94. (2) Touche, Travaux de neuro
voies sensitives, et par le fait qu'un petit nombre de conducteurs nerveux peut suffire pour assurer les fonctions sensiti
s assez vagues sur l'origine radiculaire ou médullaire des troubles nerveux du mal de Pott ; nous (1) Touche, Soc. méd. hôp
unde, t. xvi (1899), 110 pages. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX S savons seulement que la spasmodicité avec exa
in. Faute de mieux, nous nous contenterons de diviser les accidents nerveux du mal de Pott, d'après leur seul aspect clinique
(1) CHARCOT, loc. cü., p. 122. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 7 une paraplégie spasmodique, bilatérale, compl
ure d'un abcès froid dans les bronches ; on trouve, comme accidents nerveux , des douleurs qui avaient été rapportées il une n
eurs Pootot)1ue Bert6aud, Pa^us LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 9 9 mois après le début on constate une paraplé
la région dorsale moyenne. En somme, dans les cas où les symptômes nerveux sont ceux d'une NOUVELLE Iconographie DE la SAL
SANS GIBBOSITE (L. Alqitier.) LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 11 compression de la moelle et des racines dors
cas de Wert montre jusqu'où peut aller la variabilité des troubles nerveux : dans celui de M. Achard, comment aurait-on pu é
fort heureusement, qu'un petit nom- bre de faits, car les troubles nerveux dus à un mal de Pott lombo-sacré sans signes ra
SANS GIBBOSITE (L..Alr¡uier.) LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 13 des douleurs dans le genou gauche, avec irra
sensitifs chez leur malade. ' LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 15 rotuliens forts, achilléens forts à droite,
aucune observation nouvelle de ce genre. Au contraire, les troubles nerveux engendrés par la tuberculose des vertèbres cerv
ical de Bruxelles, 2 mars 1900. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 17 aucun trouble du côté des membres inférieurs
S GIBBOSITE (T. ? lt ! ! Cl ? LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 19 fléchit sous le poids du corps ; la droite e
le diagnostic ne saurait être trop mise en évidence. Les troubles nerveux ultérieurs se présentent sous deux aspects princi
Diagnostic. Tel sont les principaux aspects cliniques des troubles nerveux dans le mal de Pott; ils peuvent, on le voit, r
res, c'est-à-dire ne sont pas exactement localisées sur des trajets nerveux , mais plus diffuses, sont de carac- tère fulgur
l'épreuve des injections aiiestliésiantes, sui- le trajet du tronc nerveux : la douleur sera momentanément calmée si elle es
rfs, comme dans le mal de Pott. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 23 c'est-à-dire dans le mal de Pott lombo-sacré
t cervical, située au-dessus de LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 25 l'origine des racines du plexus brachial, do
rincipales causes d'erreur que rencontre le diagnostic des troubles nerveux survenant au cours du mal de Pott, sans gibbosité
celui-ci, il peut, encore être, parfois simulé par r les accidents nerveux consécutifs aux fractures ou luxations de la colo
ons on voit un traumatisme vertébral marquer le début des accidents nerveux du mal de Pott;-or, nous avons autopsié, il y a
entent seulement les aspects les plus caractéristiques des troubles nerveux du mal de Pott, qui peuvent varier à l'infini,
ignes positifs, permettant de rapporter au mal de Pott les troubles nerveux constatés, sont de deux ordres : les uns permette
se ; si, peu de temps après, apparaissent des signes de compression nerveuse sans cause bien évidente, on doit penser au mal d
si l'examen des viscères est négatif, tandis qu'il y a des troubles nerveux pouvant dépendre d'une tuberculose ver- tébrale
lo med. Journ., septembre 1901. LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 27 Effectivement, dans les 5 cas personnels rel
agnostiquer le mal de Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 29 troubles nerveux sans gibbosité, il arrive p
Pott avec LES PRINCIPALES FORMES DES TROUBLES NERVEUX 29 troubles nerveux sans gibbosité, il arrive parfois que le diagnost
tre écarté de l'infantilisme. (1) BRISSAUD, Leçons sur les maladies nerveuses (Hôpital Saint-Antoine). Paris, 1899, p. 454.
s morphologiques de l'enfance (1) Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses (Hôpital Saint-Antoine). Paris, 1899, p. 444.
t s'associer avec la dégénérescence psychique héréditaire de nature nerveuse , c'est-à-dire, ayant pour origine les maladies
e de nature nerveuse, c'est-à-dire, ayant pour origine les maladies nerveuses des parents. C'est sur cette association que je v
ervation. Antécédents héréditaires. Nombreuses maladies mentales et nerveuses chez les ascendants, ainsi que la tuberculose,
germains. . 1° Côté maternel. - Grand'mère : Femme intelligente et nerveuse , a eu une grossesse gémellaire. Un grand-oncl
et « il avait beau- coup de manies ». Une grand'tante était très nerveuse . Grand-oncle : Débile, mettant, excessivement t
ts et les mains. Mère : La mère du malade, encore vivante, est très nerveuse et hystérique. Elle souffre de l'utérus. Reve
de force. ' . Il y avait des époques auxquelles il se sentait moins nerveux , et alors il était un peu plus docile et obéiss
ssaud, Loc. cil., p. 29. (2) Cité par Brissaud, Leçons sur les mal. nerveuses (Hôpital Saint-Antoine). Paris 1899, p.457. (
e écarta en grand nombre du type normal, en leur donnant un système nerveux imparfait, et parfois une organisation INFANTIL
une origine commune, une seule cause initiale : l'hérédité morbide nerveuse . C'est fort vraisemblablement, à mon avis, l'hé
e cause initiale. Ce sont, je le répète, les maladies mentales et nerveuses successivement accumulées entre les ascendants,
t transitoire. Il n'est pas douteux que la secousse morale, le choc nerveux provoqué par cet accident, survenu au cours du
e lésion du corps thyroïde. La dégénérescence héréditaire d'origine nerveuse est, si je ne me trompe fort, une de ces causes
édité de l'alcoolisme et d'autres intoxications, l'hérédité morbide nerveuse , elle aussi, peut produire l'infantilisme indirec
ble logique d'admettre rien ne s'y oppose à priori que l'hé- rédité nerveuse puisse encore produire l'infantilisme en troublan
ne trouve dans cette famille ni des cas de syphilis ni des maladies nerveuses ou mentales, ni la consanguinité. Jamais il ne s'
de volume supposée de la glande thyroïde et une série de symptômes nerveux forment ensemble un complexe symptomatique, que
ntrée en étudiant l'hystérie, la syringomyélie et d'autres maladies nerveuses . C'est le clinicien anglais sir William Gull, q
nerfs spéciaux pour conduire les sensa- tions thermiques au système nerveux central. Comme on rencontre aussi dans la syrin
moi tiré depuis longtemps la conclusion, qu'en tout cas le système nerveux parti- cipe pour beaucoup il cette maladie très
dérable de la musculature, ainsi qu'aux troubles du côté du système nerveux , je ne pourrais que ranger la maladie de notre
ales, on trouve la croissance excessive : 1° Dans quelques maladies nerveuses (névrite, syringomyélie, tabès, sclé- rose en p
ction glandulaire in- suffisante ou pervertie. Et dans les maladies nerveuses il n'en est pas autre- ment (tabès, neuritis, s
tion héréditaire, la glycosurie avec ou sans polyurie, les troubles nerveux , la myasthénie générale. Lorand (1) a fixé notre
ou, ce qui me semble plus vraisemblable par l'influence du système nerveux (moelle dorsale, vaso-moteurs, système nerveux
influence du système nerveux (moelle dorsale, vaso-moteurs, système nerveux périphérique) ont troublé entre autre la croiss
. Certains observateurs ont cru-même que la nutri- tion des centres nerveux dépendrait de la glande pituitaire. La suppositio
este encore à envisager l'influence des vaso-moteurs et' du système nerveux central. L'appareil vaso-moteur est certainement
les études remarquables de Flechsig sur la myélinisation des fibres nerveuses et sur l'existence de « centres d'association »
arqué le début d'une phase nou- velle dans l'histoire de l'anatomie nerveuse . Depuis les importants travaux de Dejerine et d
mie des Menschen, 1851. (3) GRATIOLBT, Anatomie comparée du système nerveux . Paris, 1839, 1857. (4 Mayxenr, Psychiatrie, 18
suelle et le cunéus. Paris, 1894. (4) DHJERINB Anatomie des centres nerveux , 1895. 106 LA SALLE AHCHAMBAULT . Au voisinag
orale. A la suite de ses recherches sur la myélinisation des fibres nerveuses chez les nouveau-nés, Flechsig (1) prétend que
), élève de Flechsig,après avoir étudié la myélinisation des fibres nerveuses 'et' pratiqué des coupes dans tous les sens de pi
Slosel (1), la la suite de recherches sur la myélinisation des fibres nerveuses des grands faisceaux de l'hémisphère, insiste s
e des éléments qui constiluent un muscle, un nerf, un os, un centre nerveux , etc., mais que cette diminu- tion de nombre es
tion sont atteints de la même façon et cela jusque dans les centres nerveux , par exemple dans la corne antérieure de la moe
héréditaires. Mère morte à 43 ans d'hyperthophie du foie ; fut très nerveuse pendant sa vie, eut des crises de durée diverse o
ans, a eu au. moment de ses premières règles, à 13 ans, des crises nerveuses qui ont duré pendant 7 ans. A chaque contrariété,
irrégulières. Rougeole à 15 ans. Elle eut, dès 19 ans des crises nerveuses la prenant tous les deux jours environ avec sen
s 2 ans 1/2 elle n'a plus eu de crises convulsives ; cependant très nerveuse et excitable elle a parfois des crises de larmes
t héréditaires de la malade, celle-ci semble au plus haut point une nerveuse . Outre les crises hystériques que nous avons dé
à décrites, la malade présente encore actuelle- ment des phénomènes nerveux accentués. Actuellement les troubles de sensibi
nous paraît intéres- sant à cause des phénomènes du côté du système nerveux qui accompa- gnent l'hypotrophie présentée par
ombre de fibres, presque la moitié des fibres de chaque fasci- cule nerveux , dans l'intérieur des fibres nerveuses, une multi
s fibres de chaque fasci- cule nerveux, dans l'intérieur des fibres nerveuses , une multitude de granula- tions de volume inég
séries et sont disséminées sur presque toute l'étendue de la fibre nerveuse . Plusieurs de ces granulations, sont libres, c'es
ue l'opinion de M. le professeur Marinesco. qui croit qu'un élément nerveux s'est ajouté au cours d'une myopathie primitive
s à de faux névromes ; 2° des lésions dé- génératives des faisceaux nerveux ; 3 une stase de la lymphe dans le conjonc- tif
lAlliBAULT · - faut avoir recours pour l'étude du trajet des fibres nerveuses ; c'est à l'aide des dégénérescences secondaires
INSKI, A L'HÔPITAL DE LA PITIÉ). RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES T>JRM1NÉL,S ? ? ARM`ÛES MASSUES DE CROISSANC
rière T. XIX. Pl. XXXIV Fig. 2 Fig. 3 RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES /Y ATrf1.)'/f.L. . m««M<tjL jt ! NOUVELLE
g. 1 Fig. 2 Fig. 3 Fig. 4 · Fig. 5 .REGENERATION DES FIBRES NERVEUSES (I N.7,o-eotte.) RÉGÉNÉRATION COLLATERALE DE
se qui est habituel dans le tabes, ne présente pas d'autres lésions nerveuses , visibles par la méthode de Pal, au niveau de l
ontrent de mul- tiplication des noyaux à l'intérieur des fascicules nerveux que dans des points très limités, donc il n'exi
ne infiltration abon- dante de polynucléaires autour des fascicules nerveux ; néanmoins les éléments nobles sont intacts, à
; nous savons en effet de longue RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 221 date que les gonflements et l'état monilifo
usque dans les cordons postérieurs. Il semble donc que les éléments nerveux atteints dans les racines postérieures du tabes
Fig. 8 1 Fig. 9 Fig. 10 Fis. 1 il ? RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 22
ÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 223 L'observation que je viens de relater compl
lacer : c'est là une disposition commune à toutes les régénérations nerveuses , qui a pour effet de mieux assurer l'obtention
u glo- mérule, soit enfin de la portion extra-capsulaire des fibres nerveuses . Parmi ces trois modes d'origine, celui qui se
phie de la Salpêtrière ' T. XIX. PI. XXXVHI RÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 22
ÉGÉNÉRATION DES FIBRES NERVEUSES RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 225 5 ainsi que les boules qui les terminent. U
e réflexion de la fibre qui leur RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 227 donne naissance est situé très près de la m
ent un peu autrement; les fibres RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 229 ne sont plus arrêtées par le foyer de névri
éter l'étude des ganglions tabétiques j'indiquerai que les cellules nerveuses pourvues de dendrites, avec multiplication des ce
i pu acquérir aucune certitude à cet égard. ' Massues des centres nerveux (cervelet et substance grise de la moelle). - D
t substance grise de la moelle). - Des massues terminant des fibres nerveuses ont été vues par Ramon y Cajal dans l'écorce du
capsule, et qui terminent des fibres fines ou moyennes du réticulum nerveux des cornes antérieures et postérieures. Leur volu
s massues, non connues jusqu'à présent, sont situées en plein tissu nerveux , et non dans les espaces vasculo-conjonctifs d'or
me volume, la même forme et la même capsule que dans les cicatrices nerveuses ; un seul point diffère : tandis que dans la ré
uxquelles elles se rapportent. RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 231 line faite sur le type classique, dispositi
ration collatérale à ce mode par- ticulier de réparation du système nerveux , qui n'est certainement pas pro- pre exclusivem
tue, sans aucun doute, un phénomène très répandu dans la pathologie nerveuse et aussi très proba- blement, ainsi que nous le
tion normale destinée à remédier à l'usure physiologique des fibres nerveuses . Tandis que dans la régénération terminale la r
tion des axones de remplacement. RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 233 3 schématiquement,à côté de l'état sain pri
e nous venons d'observer au cours de maladies définies du sys- tème nerveux ne sont que l'exagération d'un processus qui exis
sance, sous l'influence de certaines excita- tions, à des bourgeons nerveux destinés soit à rester au repos, comme les oeil
it-il d'un fait entièrement phy- RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 235 siologique, d'une sorte de mue normale des
t croire qu'il s'agit en réalité d'une altération légère du système nerveux . D'ailleurs la limite précise entre la santé et
êtres vivants, à la quantité énorme et à la fragilité des éléments nerveux , on ne s'étonnera pas de trouver constamment un
se est exacte. Conclusions. I. A côté de la forme de régénération nerveuse qui est seule connue actuellement et que l'on p
NAGEOTTE · soit du corps cellulaire lui-même, soit du prolongement nerveux , sous la forme de collatérales. Comme celles de
logique des « cet; nies pourvues RÉGÉNÉRATION COLLATÉRALE DE FIBRES NERVEUSES 237 d'appendices terminés par des boules encaps
ne, une moyenne, une interne. La zone externe renferme des cellules nerveuses dont les altérations ne dif- fèrent guère de ce
générescence. ' D. - A droite, altérations nécrotiques des cellules nerveuses de l'écorce, petites et moyennes pyra- ... ? r
ci- lement reconnaissable. Des altérations profondes des cellules nerveuses se retrouvent sur toute la surface de l'écorce.
ensive ou réparatrice ait pu se produire. Les contours des cellules nerveuses sont ratatinés, anguleux ; les prolonge- ments
ssl a décrite à l'état normal ; enfin, sur certains petits éléments nerveux , se colorent les corpuscules po- laires. ' .
, frappé tous les éléments de l'écorce, principalement les cellules nerveuses et névrogliques. Du côté des cellules nerveuses
lement les cellules nerveuses et névrogliques. Du côté des cellules nerveuses , les modifications profondes des contours du no
cédé le 16 mai 1904. Une soeur morte poitrinaire ; pas d'hérédité nerveuse . B... est garçon de café depuis l'âge de 20 ans
noyaux lenticu- laires paraissent normaux. Le nombre des cellules nerveuses de l'écorce est diminué ; on en voit dont les p
rmale prédominent de beau- coup. Il y a diminution aussi des fibres nerveuses , mais les réseaux suprara- diaire et tangentiel
ande qu'il couvre. Cela supposerait pas mal d'élasticité des fibres nerveuses et n'expliquerait pas les varicosités et les dé
ée) se colorant mal au Weigert-Pal. Elle est occupée par des fibres nerveuses plus ou moins dégénérées, variqueuses, et d'inn
blanche. Enfin, où le néoplasme est contigu à l'écorce les cellules nerveuses ne sont souvent plus perpendiculaires à la surfac
tra-1)entriculaire. 3. L'épendyme épaissi est contigu il des fibres nerveuses eu dégénérescence. Pour l'observation VII, il n
s symptômes géné- raux éloignent l'idée d'une affection des centres nerveux et tendent à faire admettre au contraire que ce
s, Vulpian dont l'attention fut attirée spécialement par le système nerveux , ne put constater aussi bien dans la moelle que d
e, ressortir non pas au rhumatisme ou à une affection des cen- tres nerveux , mais essentiellement aux altérations musculaires
eux dont l'impotence motrice a pour cause une altération du système nerveux . C'est après 70 ans que se développe surtout l'
ession un peu. forte détermine des douleurs assez vives, les troncs nerveux ne sont pas hyperesthésiés. Il est en général f
usser des cris au malade, on peut ma- laxer au contraire les troncs nerveux périphériques sans que la malade ressente de do
facilement grâce à l'existence de douleurs vives le long des troncs nerveux , douleurs réveillées par la pression et affectant
sivement limitées à l'appareil musculaire strié sans que le système nerveux présente d'autres modifications que celles qu'i
lles ou orga- niques. FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY ARTHROPATHIE NERVEUSE CHEZ UN PARALYTIQUE GÉNÉRAL NON TABÉTIQUE PAR
ligainents ; mobilité anormale dans tous les sens : l'arthropathie nerveuse était complètement établie. A ce moment, son ar
Masson et Cie, Editeurs Phototypie Berthaud. Pans 3RTROPATIIIE NERVEUSE CHEZ UN PARALYTIQUE GÉNÉRAL NON TABÉTIQUE 279 2
'une prochaine com- munication. Deux observations d'arthropathies nerveuses , répondant bien au type de Charcot, sont surtou
s tabétiques et troubles de la sensibilité. Leçons sur les maladies nerveuses , 1895, p. 313. (3) Joffroy, Journal de médecine
s douloureuse fut un prodrome. Dans ces deux cas, les arthropathies nerveuses paraissent bien avoir évolué, non parce que les
uer ce fait ? Il faut admettre en partie ici l'influence du système nerveux central. Les deux hémisphères cérébraux sont lo
officier de marine et paraissait jouir d'une santé robuste. Mère nerveuse , impressionnable, sans maladies antérieures, nett
bre 1902 et 3 janvier 1903. (2) DEJBRIlVB, Séméiologie du système nerveux , 1900. xix . 20 9-98 ROUX ET UE1TZ Si donc,
comme une affection portant une atteinte complexe à tout le système nerveux : telle était autrefois l'opinion de Babinski (1)
l'autre de ces deux solutions, les phénomènes de la vie du système nerveux étant infiniment trop complexes pour rentrer fa
constatations faites au niveau des différentes portions du système nerveux . Technique expérimentale. Nous avons choisi p
té- rieure. A toutes les autopsies nous avons disséqué les filets nerveux cutanés dans le domaine des racines sectionnées
nées, et prélevé aussi, chaque fois que nous l'avons pu, les troncs nerveux commandant ces filets cutanés. Presque tou- jou
s cutanés. Presque tou- jours, nous avons aussi disséqué les filets nerveux symétriques du côté opposé, pour contrôle, et q
périphériques. Avant d'aborder pour chacune des régions du système nerveux , l'exposé de nos propres constatations, nous cr
mal enfin, il n'existait aucune dégénéres- cence ni dans les troncs nerveux (ide et 1 tue nerfs intercostaux) ni dans les ner
1900. (3) Trouchkowsky, Rapports du grand sympathique et du système nerveux central. Moniteur neurol. russe, 1899, p. 55.
sa base la plus large environ un sixième de la périphérie du tronc nerveux , zone où les fibres fines myéline apparaissent tr
(4) Joseph, loc. cit. (5) LUGARO, Sur les altérations des cellules nerveuses des ganglions spinaux à la suite de la section
ganglion paraissait légèrement réduit de vo- lume. Quant aux fibres nerveuses , un certain nombre d'entre elles, au pôle mé- d
Nissl. Contrai- (1) Van GEIIUCIITEN, L'anatomie fine de la cellule nerveuse . La Cellule, 1897. (2) MARINESCO, Presse médica
ifférents ganglions du même animal. Au sujet des lésions des fibres nerveuses , Kuster est à peu près d'accord avec Kleist. Dè
ons surtout nous rendre compte de l'état des cellules et des fibres nerveuses au bout de plusieurs mois. Nous avons utilisé l
yéline (obj. 8, ocul. 1). . Fio. 3 et 4. Dissociation de 2 branches nerveuses cutanées issues d'un nerf inter- costal (observ
t Brissaud et de Massary (1), mais même sur l'ensemble du sys- tème nerveux (Jean Lépine) (2). Nous admettrions volontiers qu
toxique exercée par le virus syphilitique sur l'ensemble du système nerveux . Cette action toxique se ma- nifesterait en pre
e nouvelles dissociations, nous eu avons vu, dans chacun des troncs nerveux , un nombre assez considérable pour qu'on ne pui
côtés, et dissé- quons, symétriquement des deux côtés, des rameaux nerveux périphériques, à' ! a croupe, au périnée, à la
s des deux côtés. Enfin, sont disséqués un certain nombre de filets nerveux cutanés symétri- ques, dans les régions de la q
au-dessus des racines sectionnées. Sur les dissociations des troncs nerveux et des filets cutanés, correspon- dant aux raci
ues ont été examinés par dissociation. Les prépara- tions de troncs nerveux , ou de filets cutanés, du côté droit, ne nous ont
ous n'avons trouvé dans ce tissu conjonctif aucune trace des fibres nerveuses normales ni altérées. Par contre, les dissociat
5e nerfs sacrés. Nous disséquons enfin un certain nombre de filets nerveux cutanés de la croupe et de la queue de l'animal
peut-être 2e et 5e sacrées. Nous dissé- quons enfin quelques filets nerveux cutanés de la croupe et de la queue. Examens rr
hilitique. Oppen- heim, dans son Traité sur les maladies du système nerveux , dit que la sclérose en plaques n'a rien à voir
se montre souvent beaucoup plus rapide et se complique d'accidents nerveux graves qui peuvent en quelques mois en- traîner
la syphilis. » Nonne dans sa monographie sur la Syphilis du système nerveux dit que quoiqu'on puisse avoir des foyers multi
uisse avoir des foyers multiples d'origine spécifique dans le tissu nerveux , néanmoins le tableau symptomatique n'est pas le
possible de foyers d'ori- gine spécifique disséminés dans le tissu nerveux , foyers qui d'ailleurs ont été déjà démontrés p
t, Bechterew, etc.. Gowers aussi décrit dans la syphilis du système nerveux des formations sclérotico-inflammatoires sembla
la myélite syphilitique en plaques, les cylindraxes et les cellules nerveuses ne se- raient pas conservés au milieu du tissu
ins complète des éléments cellulaires et des cylindraxes des libres nerveuses , lésions vas- culaires légères ou absentes, abs
gliose ne serait pas en rapport avec la dis- parition des éléments nerveux ; elle semblerait plutôt constituer. un pro- ce
NIO CATOLA mique dans la sclérose en plaques commence dans le tissu nerveux . Ils arrivent à cette conclusion surtout parce
ssolimo lui aussi dans le Traité d'anatomie pathologique du système nerveux publié par Jacobson, Minor et Flatau, au chapitre
es de névroglie, par la destruction des cylindraxes et des cellules nerveuses . L'auteur conclut en admettant la coexistence de
ement autour des vaisseaux sanguins, mais aussi autour des cellules nerveuses de la substance grise. Cramer, Greiff et quelqu
origine syphilitique, on a fréquemment la des- truction de la fibre nerveuse entière ; mais parfois cependant les cylin- dra
rose multiple, cela cons- titue bien une forme spéciale de syphilis nerveuse , mais il n'y a pas de raisons pour refuser à ce
moitié gauche de la moelle ne contient qu'un petit groupe de fibres nerveuses normales situées à peu près au niveau de la parti
-olivaire, jusqu'à la 8° racine dorsale, presque toute la substance nerveuse , sauf quel- ques petits îlots disséminés, est r
tout à fait normale. Ce fait et celui de l'in- tégrité des cellules nerveuses au milieu de zones complètement sclérosées cons-
Au niveau des plaques de sclérose il n'existe presque plus une fibre nerveuse avec sa gaine myélinique. Un certain nombre seu
préalablement, ne nous permettait pas de les utiliser. Les cellules nerveuses sont presque complètement conservées partout. Dan
nt plus étroite que la paroi qui les limite du côté de la substance nerveuse est en général repré- sentée par un anneau de n
larges zones de sclérose entrecoupées par des petits îlots de tissu nerveux sain ou à peu près. Les racines antérieures et po
ervation plus ou moins bien directement démontrable des cylindraxes nerveux . L'étude des plaques de sclérose y met en évide
tose non douteuse. Aucune lésion grossière microscopique du système nerveux central. Léger épais- sissement méningé surtout
l obtint la guérison de tous les symptômes, y compris les symptômes nerveux . La critique que Rumpf fait à cette observation
utiques. Nous admettons bien que la syphilis chronique du sys- tème nerveux , disséminée ou non, puisse être assez souvent fac
oit dans la moelle épinière son dans le cervelet, dans la substance nerveuse non encore transformée en plaques scléreuses.
des hôpitaux, 1868. , 18. IBID. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, 1892. 19. CHARCOT et Gombault. Note sur
ARCOT et Gombault. Note sur un cas de lésions disséminées des centres nerveux chez une syphilitique. Archives de physiologie,
wEns. - Syphilis and nervous sys/ent, 1893. 38. Traité des maladies nerveuses , 1892. , 39. Greiff. Ueber diffuse und disseml1
pas le chant. Mais le cas n'est (1) BLocQ, Eludes sur les maladies nerveuses , ch. xvi, Paris, 1894. INGEGNIEROS. - LES APHAS
ar Blocq et Onanoff (4) dans leur excellente séméiologie du système nerveux ,bien qu'ils aient groupé les types d'amusie par
iüsik- wissenschaft, fas. I, 1891. (4) BLOCQ et ONANOFF, Maladies nerveuses , séméiologie et diagnostic. Paris, 1892. 368 1N
de telles températures obser- vées au cours de lésions des centres nerveux . Malheureusement,les recher- ches entreprises à
i, nommé Char- les H..., fils d'un père buveur et d'une mère un peu nerveuse ; il était le deuxième enfant de ses parents. So
Professeur du Laboratoire de- de Bucarest. la Clinique des maladies nerveuses . La question de la régénérescence de la moelle
-Séquard a constaté la régénérescence presque complète des éléments nerveux après la section de la moelle chez des pi- geon
daires d'origine mésodermique. Malgré cette néoformation des fibres nerveuses , la régénérescence de la moelle n'est t cependa
ère ne constitue pas une voie conductrice favorable à la croissance nerveuse , comme cela ar- · RECHERCHES sur la ftEGËNÈHESC
eurotisation du bout dégénéré se fait par l'intermédiaire des tubes nerveux partis du bout central qui traversent la cicatr
l'opération. Dans tous ces cas, on voit une régénération des fibres nerveuses ni In ti l d'une part, du point de section des
montré la possibilité d'une régénérescence très étendue des fibres nerveuses détruites chez l'homme par le processus pa- tho
ts un riche tissu embryonnaire où pullulent les faisceaux de fibres nerveuses se terminant par des boutons. Le fait le plus int
ait le plus intéressant t consiste dans l'existence d'arborisations nerveuses de néoformation dont les rameaux se disséminent
ctionnés. Ce névrome est constitué par un grand nombre de faisceaux nerveux sans myéline, disposés en plexus et disséminés
éterminées, font échouer le processus de réparation. Les pous- sées nerveuses s'atrophient et il persiste seulement des portion
G. Marinesco, Etudes sur le mécanisme de la régénérescence des fibres nerveuse " des nerfs périphériques. Journ. f. Psychologie
ils de structure relatifs au processus de régénérescence des fibres nerveuses à la suite de la section de la moelle pratiquée d
ant sur eux-mêmes. Dans le bout supérieur on voit pas mal de fibres nerveuses , iso- lées ou réunies en faisceaux, affectant d
dans lesquelles se trouvent des débris de dégénérescence des fibres nerveuses et des cellules granuleuses. La cicatrice est e
u tissu conjonctif. Cette cicatrice ne contient que de rares fibres nerveuses de nouvelle formation et rarement réunies en fa
is des divisions latérales sur leur trajet. Un bon nombre de fibres nerveuses ne pénètrent pas dans la cicatrice à cause de la
cicatrice sans pouvoir pénétrer dans son épaisseur. Les cellules nerveuses situées tout près de la région traumatisée présen
n pénètre l'extrémité du bout inférieur de la moelle, mais le tissu nerveux , à ce niveau, est altéré,assez souvent aréolair
RECHERCHES SUR LA RÉGÉNÉRESCENCE DE LA MOELLE 429 logent les fibres nerveuses , isolées ou réunies en faisceaux, fibres assez ép
des coupes longitudinales on voit très bien l'enlacement des fibres nerveuses épaisses au- Fin. 7. - Détails de structure rel
anche fortement altérée ne présentent pas de fibres ni de faisceaux nerveux de nouvelle formation. Il y a d'autres régions
e plus récente qui ne possèdent pas d'aussi riches plexus de fibres nerveuses nouvellement for- mées, ou bien ces dernières s
éseau dans les mailles duquel il existe un certain nombre de fibres nerveuses , épaisses, à rendements fusiformes sur leur traje
stices de laquelle on constate des cellules FM. 8. Plexus de fibres nerveuses de nouvelle formation qui s'infiltrent entre les
de la présence de corps granuleux (les vrais macrophages du système nerveux central et des nerfs périphériques), disposés en
accumulés en groupes ou disséminés, parfois même dans les faisceaux nerveux les corps granuleux sont en grande abondance. L
on de la cicatrice, comme dans la précédente, les cordons de fibres nerveuses sont séparés par des tractus de tissu conjonctif
où les vaisseaux de uuu- velle formation sont entourés de faisceaux nerveux disposés parfois en plexus. A l'extrémité infér
nâtres, absolument uniformes, sans connexion aucune avec les fibres nerveuses , elles ressemblent aux corpuscules amylacés. On v
i représentent assurément un produit de dégéné- rescence des fibres nerveuses .Beaucoup de fibres ramifiées,dont les branches
occasionné par la compression ou la section,et les nombreux plexus nerveux fibrillaires que nous avons décrits autour des
'autre part, nous avons également signalé d'autres plexus de fibres nerveuses presque inextricables autour des ma- crophages
res fines qui s'entremêlent de toutes fio. aU. - faisceau de libres nerveuses de nouvelle formation dont quelques-unes se ter
on constate qu'elle est constituée principalement par des faisceaux nerveux , volumineux,visibles la loupe; se divisant souv
pauvre en cellules. Là où ce tissu est trop abondant les faisceaux nerveux diminuent de nombre et ils apparaissent comme étr
re lombaire. Elle est constituée presque exclusivement de faisceaux nerveux de dimensions à peu près égales, à direc- tion
de fibres de nouvelle formation. On rencontre encore des faisceaux nerveux autour des vaisseaux qui se trouvent dans cette
n nombre plus ou moins considérable d'hématophages. Les faisceaux nerveux de nouvelle formation que nous avons décrits au n
là des zones de nécrobiose dans lesquelles il n'y a que des tissus nerveux ou des vaisseauxnouvellement for- més, des corp
que. A la périphérie de ces foyers, les neurofibrilles des cellules nerveuses présentent iadégérescence granuleuse, Il y a ég
la région comprimée nous avons trouvé des signes de régénérescence nerveuse consistant dans la présence e de quelques rares
dans la présence e de quelques rares massues terminales, des fibres nerveuses , tantôt minces tan- tôt épaisses et qui se divi
bservés. Dans les deux cas il se produit une néoformalion de libres nerveuses suivant les deux types décrits par Cajal et nou
s de nouvelle formation fng, fnp, lisp'. En (l117 on voit un faisceau nerveux , assez considérable, compact, constitué de fibr
urir d'un bout ;i l'autre de la moelle, les faisceaux et les fibres nerveuses s'égarent et malgré leur tentative de franchir le
apotrophiques. c'est-à-dire qui attirent et nourrissent les fibres nerveuses . Elles jouent un rôle essentiel, non seulement
s nerfs périphériques, mais aussi dans celle des fibres des centres nerveux ; aussi nous avons vu qu'il se forme de pareill
la base du poumon gauche. Les autres viscères normaux. Les troncs nerveux ne sont pas hypertrophiés. Les muscles sont très
- Elle a porté sur les muscles, les nerfs périphériques, les troncs nerveux , les ganglions, les racines nerveuses et la moell
nerfs périphériques, les troncs nerveux, les ganglions, les racines nerveuses et la moelle. 1° Muscles. Un certain nombre de
uivie d'examen histologique des muscles, des nerfs et des cen- tres nerveux . Les lésions étaient absolument semblables à cell
sa consultation. C'était le 6e enfant de parents sains et sans tare nerveuse , dont seul le leur né avait présenté des troubles
cas rap- portés ci-dessus, les auteurs n'ont constaté aucune lésion nerveuse à l'au- topsie et concluent à une affection mus
l'exception du diaphragme) et depuis quelques semaines, des crises nerveuses paraissant avoir leur point de départ dans la rég
observation permet de rapporter à une névrite tépreusetesaccidents nerveux constatés en clinique. Nous avons eu l'occasion
premier examen, l'état de maladie. Etudions en détail les accidents nerveux et les, accidents cutanés que présente ce malad
rès de Limoges, 1901. (2) RAYMOND, Clinique des maladies du système nerveux , 1897-1898, ; 3' série. Doin,éd. MARCHAND ET PE
ussitôt après la mort et nous avons fixé immédia- tement le système nerveux dans du formol à 10 0/0. Ainsi, les lésions que
n est si bien conservée qu'on ne peut mettre en doute leur na- ture nerveuse (fig. 2). La tumeur est peu vascularisée à son ce
petites cellules rondes néoplasiques envahissent peu à peu le tissu nerveux sans le détruire immédiatement. Il existe une zon
du sillon et n'attaquent l'iG. 2. - Tissu néoplasique. 1. Cellules nerveuses ; 2, Fibrilles névrogliques 3. cellules sarcoma
o. 3. - 1. Tumeur; 2. Cortex sain; 3. Sillon et pie-mère; 4. Cellules nerveuses . 462 MARCHAND ET PETIT. GLIO-SARCOME DU LOBULE
e l'a amenée consul- ter le 5 juin 1906, à la clinique des maladies nerveuses , à la Salpêtrière, pour des manifestations ment
membre n'est petit ou mal- formé ; personne ne présente de maladies nerveuses . Le père, bien por- tant, n'est pas buveur; la
pérature oscille entre 37° et 37°7. Poids : 32 kil. 500. Le système nerveux n'offre rien à signaler au point de vue somatique
ations faciales, thoraciques, (1) Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses , 9895 ; Meige, Gazette des hôpitaux, 1902 ;.Ico
lpêtrière, 1901. (2) LA11DOUZY. (3) Brissaud, Leçons sur les mal. nerveuses , 1895-1898, Iconographie delà Salpê- trière, 18
pertrophie très marquée avec dureté très accusée de tous les troncs nerveux des membres accessibles à la palpa- tion ; ces
e, ayant successivement atteint les nerfs périphériques, les troncs nerveux , les racines antérieures et postérieures, avec lé
- lade après avoir pratiqué l'autopsie de sa soeur, tous les troncs nerveux des membres accessibles la palpation, à savoir
nous nous bornerons à exposer les résultats de l'examen des centres nerveux ,des muscles et des nerfs. , Examen macroscopi
nous avons pu suivre, sur les coupes de muscles, des petits filets nerveux intrafasciculaires, c'est pourquoi nous commencer
l'examen des muscles, nous la continuerons par l'examen des rameaux nerveux intra-musculaires, Examen des muscles. Cet ex
ématoxyline ou par le picro-carmin. Sur tous, la plupart des fibres nerveuses ont presque complètement disparu, et chaque filet
fibres nerveuses ont presque complètement disparu, et chaque filet nerveux n'est plus représenté que par des petits fascic
Le périnèvre est relati- vement peu épaissi. , Examen des troncs nerveux . Nous n'avons pas eu à notre disposition des ne
cependant la comparaison des nerfs intra-musculaires et' des troncs nerveux permet d'affirmer qu'il y a moins / de fibres d
i (PI. LXXVB). Dans chaque fascicule il y a à considérer les fibres nerveuses et le périnèvre. Les fibres à myéline sont très
t. B'. - La même coupe vue à un plus fort grossissement. Les fibres nerveuses sont entourées d'une gaine de tissu conjonctif.
ement rares dans les gaînes conjonctives qui entourent chaque fibre nerveuse ; il s'agit en effet d'un tissu complètement or-
re un peu plus de noyaux dans la gaîne conjonctive de, chaque fibre nerveuse , mais ce sont des différences à peine appréciable
re la part de ce qui revient, dans cet en- chevêtrement, aux fibres nerveuses ,aux gaines vides et au tissu conjonctif; ce- pe
- jonctif ; plusieurs faisceaux paraissent constitués par une fibre nerveuse entou- rée de tissu conjonctif. ' En résumé,l
riables.Le centre de ces cylindres est souvent occupé par une fibre nerveuse dont la myéline se colore en gris violet et don
aisée. , Tout d'abord les petits cylindres constitués par une fibre nerveuse centrale et une gaine dans la constitution de l
le et une gaine dans la constitution de laquelle entrent des fibres nerveuses de plus petit calibre, des vacuoles, du tissu c
tissu conjonctif et les gaines vides. Si on remarque que les fibres nerveuses sont plus nombreuses dans les raci- nes antérie
plus nombreuses dans les raci- nes antérieures que dans les troncs nerveux et dans les nerfs mtra-musculaires; si d'autre
ire la comparaison ; mais ce que nous avons observé dans les troncs nerveux du membre supérieur, ou inférieur, nous permet
ataxique atrophique avec cypho-scoliose et hypertrophie des troncs nerveux . Les troubles de la sensibilité, souvent 496 DE
ons devoir à nouveau attirer l'attention. L'hypertrophie des troncs nerveux enfin est d'une constatai ion facile, non seule
externe au niveau de la tête du péroné mais encore sur les rameaux nerveux cutanés d'un certain volume. L'augmentation de
alablement injectées à la gélatine. La pression enfin de ces troncs nerveux , même intense, ne ré- veille pas de douleur. Il
interstitielle hyper- trophique, une véritable analgésie des troncs nerveux à la pression et à l'excitation électrique. L
soeur (obs. II) en 1893. Elles sont de trois ordres : musculaires, nerveuses et médullaires. Les lésions musculaires consist
n du mésoderme ne s'est pas faite indifféremment entre les éléments nerveux comme dans certains processus d'endonévrite : la
504 DEJERINE ET ANDRÉ-THOMAS .. orientée suivant l'axe des fibres nerveuses , formant à chaque fibre et quel- quefois à plus
- phique, suivant qu'on examine les nerfs périphériques, les troncs nerveux ou les racines, on est tout disposé à admettre
u'elle a débuté à la péri- phérie pour s'étendre ensuite aux troncs nerveux et aux racines : les lésions sont plus marquées
t a-t-elle occasionné la dégénérescence en étouf- fant les éléments nerveux ? Ces deux hypothèses ne nous semblent pas conf
ne, novembre 1896. (3) F. Raymond, Clinique des maladies du système nerveux , t. 6, p. 184. M. Piehhe Marie a présenté l'an
rophie musculaire et enfin l'hyper- trophie considérable des troncs nerveux dont nous avons pu nous rendre compte par nous-
que l'autopsie a été faite à une époque où la technique du système nerveux était encore peu avancée ; parce que les observ
dentes, parce que l'examen anatomique révéla l'existence de lésions nerveuses périphériques diminuant de bas en haut, et l'in
l'âge de cinquante ans, après trente années de maladie, les troncs nerveux étaient d'un volume au- dessous de la normale.
nt une opinion contraire : pour Marinesco l'hypertrophie des troncs nerveux et des racines médullaires serait une conséquen
e place à part dans la nosologie des maladies familiales du système nerveux . 1 Avant de terminer, nous attirerons l'attenti
QUINZE AUTOPSIES DE MAL DE POTT CHEZ L'ADULTE ' ÉTUDE DES LÉSIONS NERVEUSES ' PAR ) L. ALQUIER, , Chef des travaux anat
ALQUIER, , Chef des travaux anatomiques à la Clinique des Maladies nerveuses . Pour expliquer les accidents nerveux du mal de
à la Clinique des Maladies nerveuses. Pour expliquer les accidents nerveux du mal de Pott,on invoque actuel- lement plusie
substance grise les lésions sont moins considérable : les cellules nerveuses sont en chromatolyse, et peuvent être déformées,
ger l'hypothèse d'une action analogue à celle qui, dans la syphilis nerveuse , engendre les lésions spinales. L'ischémie, not
i pratiqué l'autopsie de 15 pottiques ayant pré- senté des troubles nerveux , dans le service de M. le professeur Ray- mond.
pleurale. Pas de tuberculose viscérale nette. Foie gras. Centres nerveux supérieurs Cerveau, cervelet, bulbe, protubérance
elle. Méninges molles et vaisseaux sanguins sans lésions ; cellules nerveuses : les unes aplaties, déformées, d'autres normales
E 515 5 très sclérosées, avec atrophie intense de nombreuses fibres nerveuses , et dispa- rition de nombreux cylindres-axes. P
vec pâleur diffuse des cordons antéro-latéraux. Quelques cel- lules nerveuses sont en chromatolyse légère, avec pigmentation.
térieurs ; léger épaississement de la névroglie ; dans les cellules nerveuses à peine de chromatolyse ; les vais- seaux, larg
Pas de lésions dans les autres régions de la moelle. Les cellules nerveuses présentent, dans toutes les régions du névràxe, d
elle, disparaissent dans la région dorsale moyenne. Les cellules nerveuses présentent des lésions de chromatolyse avec amas
ffuse sans pigmentation, et avec légère désorientation des cellules nerveuses . Multi- plication diffuse des noyaux névrogliqu
total de la moelle est plutôt supérieur à la normale. Les cellules nerveuses sont déformées, aplaties, mais c'est à peine si
le Marchi de la région centrale des cordons postérieurs ; cellules nerveuses intactes : oblitération du canal épendymaire. A
ire. Au-dessous, chromatolyse et pigmentation de certaines cellules nerveuses : canal épendymaire dilaté, plein de débris épi
direct, py- ramidal). A distance (région lombaire), les cellules nerveuses présentent à peine une ébauche de chromatolyse
ue de la sclé- rose névrogliqueet de l'atrophie de certaines fibres nerveuses , sans dila- tation des gaines de myéline, ni tu
altération qu'un peu de pigmentation avec chromatolyse des cellules nerveuses . De la partie supérieure du 1er segment lombair
épaississement des méninges mol- les ; lésions banales des cellules nerveuses , dégénérescence des cordons pos- térieurs corr
ssissement con- sidérable de la névroglie, avec atrophie des fibres nerveuses , dont les cylindres- axes sont irrégulièrement
issement des méninges avec infiltration de polynucléaires. Cellules nerveuses en état de légère chromatolyse avec pigmentatio
intégration de la névroglie : les racines gau- ches et les cellules nerveuses offrent les mêmes lésions que dans le 6e segment,
au-dessus ou au-dessous du siège de la compres- sion. Les centres nerveux supérieurs (cerveau, cervelet, bulbe, protubéranc
ges molles. La moelle n'est ni comprimée ni déformée. Les centres nerveux supérieurs sont sains, macroscopiquement et histo
ignes de myélite diffuse légère ; désintégration diffuse des fibres nerveuses , dont les gaines de myéline ne se colorent presqu
- lière des gatnes myéliniques et de leurs cylindres-axes. Cellules nerveuses à peine touchées ; très légère chromatolyse, pe
rempli de cellules polymorphes. Chroma- tolyse légère des cellules nerveuses , les vaisseaux sont dilatés, pleins de sang. Ce
-dessus et au-dessous. Dans toute la hauteur de la moelle, cellules nerveuses globuleuses ; ébauche de chromatolyse avec pigm
estion pulmonaire, petits tubercules anciens. Intégrité des centres nerveux supérieurs (même au microscope) ; pas d'amyotroph
rficielle des cordons postérieurs. Canal central oblitéré, cellules nerveuses globuleuses avec chromatolyse et pigmentation dan
t particulière- ment complexe, pour le dernier cas, où les troubles nerveux semblent indiquer l'évolution simultanée d'un t
ci- pales : 1° quelle est la genèse et la signification des lésions nerveuses ob- servées ; 2° quelles indications pratiques
eurs et de préciser la part qui revient, dans la genèse des lésions nerveuses à la compression osseuse, Il convient cependant
ntégration de la myéline, ou bien sclérose avec atrophie des fibres nerveuses , et, au Pal et au Marchi, lésions dégénératives.
dème et l'âge ou l'activité des lésions tuberculeuses. Les cellules nerveuses peuvent être aplaties, déformées mécaniquement
cule protubérantiel (V. Reo. neurol., 1906, p. 325) où les cellules nerveuses étaient saines, immédiatement en dehors du proc
culière lorsqu'au mal de Pott s'ajoutent ceux d'une autre affection nerveuse ; dans l'observation XII, la myélite syphilitique
rapport constant avec le siège, l'intensité, la nature des lésions nerveuses . Une fois nous avons noté la dissociation syrin
me de Brown-Sé- quard. On sait combien le pronostic des accidents nerveux du mal de Pott pré- sente de difficultés ; on n
ASTIIVE, lac. cit., p, ' 134. (2) V. DRJHRINE, Anatomie des centres nerveux , t. il, f. 1, p. 588. IIÉMIASYNERGIE DROITE 543
scléreux, pas de dimi- nution de nombre des fibres et des cellules nerveuses . Quelques cellules seule- ment ont des vacuoles
live bulbaire du côté opposé, la réaction à distance des cellu- les nerveuses , et on ne voit pas dans l'écorce cérébelleuse de
opérant une distinction entre les cas symptomatiques d'altérations nerveuses et les cas dans lesquels on n'a pu constater au
bide, ne sont pas très nombreux ; la clinique explique leur origine nerveuse par certains arguments comme l'influence hérédi-
i- taire, le caractère familial, la coexistence d'autres phénomènes nerveux : l'anatomie pathologique a confirmé les notion
la maladie de Dupuytren, en nous permettant d'appliquer la théorie nerveuse à une plus grande quantité de cas, nous fait co
nèvre et du tissu con- nectif, disparition d'une quantité de fibres nerveuses , et lésions dégénératives en activité irréguliè
es cas déjà décrits, sous le nom de maladies de Dupuytren d'origine nerveuse ; en effet, la lésion nerveuse, sinon par sa natu
m de maladies de Dupuytren d'origine nerveuse ; en effet, la lésion nerveuse , sinon par sa nature du moins par son extension
ue la simple manifestation d'une altération dy- namique des centres nerveux ? Le mécanisme de production, de la maladie de
ses variées, dont la plus commune est l'artério-sclérose. La théorie nerveuse trouve là une confirmation nouvelle et une appl
ne longue série de résultats démonstratifs. La théorie de l'origine nerveuse périphérique de la maladie de Dupuy- tren est s
TIt.1 : Wiener klin. Vochen., 1901. Oppenheim : Traité des maladies nerveuses . Perrero : Ace. Med. Turin, juillet 190.t. CA
nuance quelque peu radicale de nos idées sur l'anatomie des centres nerveux . Nous avions présumé que notre thèse susciterai
dmiration que nous avons pour les auteurs de l'Analomie des centres nerveux nous porterait à garder en face d'eux le silence.
caractère à chaque faisceau. Les auteurs de l'Anatomie des centres nerveux ont évidemment fait subir quelques modification
nion nouvelle, on nous renvoie au tome I de l' Anatomie des centres nerveux (1895), p. 773. Mais ainsi qu'on voit par le pa
Encore faut-il s'en rapporter à la p. 12 de ['Anatomie des centres nerveux (t. II), pour apprendre que les fibres du segme
enouillé externe ... et l'on nous fait remarquer (Anat. des centres nerveux , t. II, p. 176) « la dégénérescence très nette
eau longitudinal) et le tapétum. On observe (Anatomie des centres nerveux , t. II, p, 109) : « Une dégéné- rescence très i
'élément le plus indispensable à l'harmonieux progrès de l'anatomie nerveuse . C'est donc conformément à ce principe que nous
pas conformes » à la doctrine qu'enseigne l'Analo- mie des centres nerveux . Il est un autre élément que nos contradicteurs
ion du neurone ; nous savons', en effet, que la section d'une fibre nerveuse retentit sur sa cellule d'origine (on y constat
'idée que dans le voisinage d'une lésion destructive les élé- ments nerveux doivent forcément plier sous l'onde de répercussi
e et du bulbe représente le chapitre le plus solide de l'ana- tomie nerveuse ; il faut admettre aussi que c'est à la base du c
mide bulbaire mar- que donc le début d'une ère nouvelle en anatomie nerveuse ; on peut prédire que cette acquisition importan
efois s'est effrangé depuis l'avènement de la précision eu anatomie nerveuse . Nous nous demandons si l'on ne s'est pas laiss
ui. Il s'agit d'un principe et l'on sait que ['Anatomie des centres nerveux demeure fidèle à ses principes. C'est pourquoi,
assez analogue. Or, la rétine qu'on ne peut assimiler aux éléments nerveux périphériques, se rapproche certainement de l'é
pour la plupart, les éléments superposés ressemblent aux formations nerveuses des ganglions crâniens ou aux arborisations pér
d'un système qui possède deux corticalités, ou plutôt d'un appareil nerveux comprenant deux lobes ; les deux réunis par l'in-
TABLE DES AUTEURS ALQUIER. Les principales formes des trou- bles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité \4 pl.), 2.
séniles des doigts (2 pl.), 381. ETIENNE et Perron. Arthropathie nerveuse chez un paralytique général non tabéti- que(l
lle (1 pl.), 383. NAGEOTTE. Régénération collatérale des fibres nerveuses terminées par des mas- sues de croissance, à l'
avec infanti- lisme (2 pl.), 16. PERRIN et Etienne. Arthropathie nerveuse chez un'paralytique général non tabéti- que (
paralytiques géné- raux, par A. Marie, (2 pi.), 592. Arlhropalhie nerveuse chez un paralytique général non tabétique (1 pi
sceau optique rentrai, par L \5 \LLf;-AHCII,UIU,\ULT, 103. Fibres nerveuses terminées par des massues de croissance, à l'ét
. Mal de Pott sans gibbosité (les principales formes des troubles nerveux dans le) (4 pl.), par ALQUIER, 1. Malde Poil
nomalies multiples congénitales (M. KLIP- reL), XXV. Arthropathie nerveuse chez un paralytique générd non tabétique (G. Et
J.-C. Roux et J. HEiTz), XLVIII, XLIX, L. Régénération des fibres nerveuses (J. NA- GCOTTE), XXXIV, XXXV, XXXVI,XXXVII, X
26 (1888) Archives de neurologie [Tome 15, n° 43-45] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ier 1888. Nu 43 ARCHIVES DE NEUROLOGIE /. ' · te z PATHOLOGIE NERVEUSE SUR UNE DÉFORMATION PARTICULIÈRE DU TRONC CAUSÉ
pas une simple coïncidence, mais Archives, l. XV. 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE . une véritable relation de cause à effet, et de
et rappelant les douleurs fulgurantes. Ces douleurs 4 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . se manifestent surtout quand le malade marche
ré d'amyotrophie. Voici le résultat des mensurations : 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . commises. Dans le cas présent, pourrait-il en
fléchi sur le bassin. L'épaule droite est plus élevée 8 PATHOLOGIE NERVEUSE . que la gauche. Le rebord costal droit est rapp
térite, dit la malade.- Mère vitet se porte bien. Un frère est très nerveux , a souvent des cauchemars la nuit, se lève parfoi
t une petite fille de treize ans qui est bien por- tante, mais très nerveuse . La malade tousse un peu tous les hivers. La
vant le début de l'affection. Elle garde la chambre 10 PATHOLOGIE NERVEUSE . huit ou dix jours, éprouve au bout de ce temps
ronc du côté opposé. Diminution des réflexes tendi- 12 PATHOLOGIE NERVEUSE . neux du côté gauche. Léger amaigrissement du m
symptômes consignés, le dia- Fig. 3.. . Fig. t. il, PATHOLOGIE NERVEUSE . gnostic de sciatique. Mais est-il besoin de fa
r une assez grande importance. Archives, 1. xv. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous venons de voir les signes qui caractérise
la déformation était moins accentuée qu'au début. - 20 PATHOLOGIE NERVEUSE . Cette déformation peut-elle disparaître complè
ercer une pression du côté affecté, laisse son pied 22 ) PATHOLOGIE NERVEUSE . complètement appliqué sur le sol, car le soulè
tronc en sens inverse, en vertu de laquelle le rebord '4 PATHOLOGIE NERVEUSE . costal du côté sain se rapproche de la crête i
portant exclusivement sur la station et sur la mar- 26 PATHOLOGIE NERVEUSE . che » ce trouble caractéristique. D'après l'av
plégies et ataxie du mouvement . Paris, 18G}, p. 653. 2b PATHOLOGIE NERVEUSE . cependant, le sujet couché a conservé l'intégr
cli- niques très intéressantes dans ses Leçons sur les ma- ladies nerveuses des femmes (1885). Il distingue tout d'abord de
e hystériques. (Etudes du Pr Lasègue, t. II, p. 25. 30 PATHOLOGIE NERVEUSE . être y a-t-il un retard dans l'incitation céré
- lazione. (Gazetta degli ospitali, n° 76, p. G03,) 32 PATHOLOGIE NERVEUSE . tération que peut subir la fonction de la stat
utteux confirmés; elle est rhumatisante elle-même et de tempérament nerveux ; elle a eu des attaques d'hystérie. Il y a auss
fréquemment de douleurs névralgiques. Elle n'a eu aucune affection nerveuse avant le début de la maladie actuelle. 1 Débu
reconnues à la vision centrale. Archivas, t. XV. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE . On ne peut déterminer le champ des couleurs à
s en 1882, cinq ans après, le malade n'avait plus eu aucun accident nerveux depuis. Observation III. (Personnelle.) Hen
encore, assis sur sa chaise, il la l'ait avancer 36 , . PATHOLOGIE NERVEUSE . par petits petits sauts. Toutefois, peut peut
u'il ne pouvait pas marcher, ni même se tenir sur ses 00 PATHOLOGIE NERVEUSE . pieds. Pendant les jours suivants il renouvela
a marche. Il ne s'agissait pas d'une lésion anato- mique du système nerveux , mais d'une altération dynamique fonctionnelle.
n observe aujourd'hui, dans les membres inférieurs, 40 PATHOLOGIE NERVEUSE . Etat actuel. Le malade se tient couché sur un
Résumée.) A... T..., vingt-huit ans, référendaire, sans antécédents nerveux héréditaires, ni personnels. Pas d'excès alcool
excès de travail pendant huit à dix mois, à la suite 42 PATHOLOGIE NERVEUSE . desquels survinrent des secousses dans tous le
s, . des envies de pleurer, la solilude l'effraye ? 44 PATHOLOGIE NERVEUSE . Début et marche. Dans les derniers jours de l'
de l'apparition de la maladie actuelle, elle n'a pas eu d'affection nerveuse . Depuis l'époque de son mariage, elle a eu des
ques jours après l'accouchement, elle a commencé à avoir des crises nerveuses ainsi constituées : battements dans les tempes,
e corps ; cela dure dix à quinze minutes, puis la ma- 46 pathologie NERVEUSE . lade revient à elle un peu l'alignée, mais san
arents sont morts à un âge avancé : elle ne connaît pas de maladies nerveuses dans sa fa- mille. Elle-même n'a jamais fait
amais été sujette à des crises de nerfs, ou à d'autres phé- nomènes nerveux . Début. Le 12 février 1886 elle fit une chute s
par la pression. , Fi ? S.. Archives, t. XV. 4 o PATHOLOGIE NERVEUSE . Les membres inférieurs atteints dans leur leur
ioration sensible dans l'état de la' malade. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE DES ÉPHIDROSES DE LA FACE; Par M. PADL RAYMON
qui ait été dans ces dernières années étudiée et mer- 52 CLINIQUE NERVEUSE . veilleusement élucidée, c'est assurément la pa
veilleusement élucidée, c'est assurément la pathologie du système nerveux . La gloire en revient tout entière et sans cont
tu- dier ici un trouble assez rare et encore peu connu du système nerveux : les sueurs localisées de la face, les épidros
e ces observations, on peut remar- quer que dans toutes, le système nerveux est affecté, fait qui, pour le dire en passant
importance si la subordination de la fonction sudorale au système nerveux était encore à démontrer. On voit en outre que
damentales. Nous terminerons enfin en discutant le 51 1 CLINIQUE NERVEUSE . diagnostic de la lésion qui chez notre premier
cité plus loin), ou encore celles qui ressortis- sent à une lésion nerveuse centrale d'ordre réflexe. Les éphidroses partie
pendant il aurait eu une typhlite. Il y a un an, il est 56 CLINIQUE NERVEUSE . tombé d'une échelle sur le coude : il en est r
les grands-parents. Deux soeurs sont en bonne santé et ne sont pas nerveuses . Lui-même étant jeune, ne présentait pas de sig
ciable du cou ni du thorax. Les urines sont normales. 58 CLINIQUE NERVEUSE . L'état général est bon. D... mange bien, dort
sont dues à une névralgie intercostale du côté droit.) 60 CLINIQUE NERVEUSE . lit. Passons maintenant en revue les princip
ns une première classe, il y a une altération matérielle du système nerveux cérébro-spinal. A cette catégorie appartiennent
nstate la pigmentation et la dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses ; la proliféra- tion des éléments conjonctifs.
des parois avec dégénérescence graisseuse de leur con- 62 CLINIQUE NERVEUSE . tenu. En somme sclérose ot dégénérescence grai
e on trouva une infiltration de cellules rondes entre les faisceaux nerveux et les cellules gan- glionnaires. Les vaisseaux
étaient inégalement dilatées par places. La plupart des 64 CLINIQUE NERVEUSE . cellules ganglionnaires ne présentaient pas d'
ions successives de diamètre pu- Ancurves, t. XV. a 66 . CLINIQUE NERVEUSE . pillaire viendraient corroborer cette opinion.
u'il ait fait avant de mourir le moindre mouve- ment. 68 CLINIQUE NERVEUSE . Autopsie. A l'ouverture du thorax on constate
ble d'éléments embryonnaires qui entou- rent à la fois les cellules nerveuses et les vaisseaux, sans tou- tefois prédominer a
s cellules saines fixent davantage l'acide pi- crique. Les fibres nerveuses qui traversent le ganglion sont parfai- tement
sudorales qui accompagnent le facial ou le trijumeau. 70 CLINIQUE NERVEUSE . On connaît plusieurs exemples d'hypéridrose fa
On la rencontre ordinairement chez des sujets hystériques, chez des nerveux . L'hyperexcita- bilité sudorale est mise enjeu
ait du sel sur le côté correspondant de sa langue qui 72 CLINIQUE NERVEUSE . était excoriée. Hartmann rappelle l'observatio
e faits, c'est une émotion, une excitation psychique 74 1, CLINIQUE NERVEUSE . qui déterminent l'éphidrose. Parfois même, il
ouen) a rapporté au congrès de Bor- deaux l'observation d'une femme nerveuse atteinte d'éphidrose latérale droite de la face
est possible de noter un trouble dans le fonctionnement du système nerveux . Ces éphidroses peuvent rentrer, pensons-nous,
s quatre groupes suivants : . 1° Altération matérielle du système nerveux cen- tral ; ; 2° Lésion du cordon cervical du
l"' 10 et il, p 55 et 23à, juillet et septembre 1887. 76 . CLINIQUE NERVEUSE . tion symptomatique entre les différents actes
directe- ment, d'abord à droite, puis enfin à gauche. 78 CLINIQUE NERVEUSE . Période de stertor. Décomposition de la face q
M Il M M '1 : 1 a o e2 m en M rm 80 CLINIQUE NERVEUSE . DE l'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. Poids. 1879. Novemb
n des points de vue. Nous appuierons, dès l'abord, sur l'hérédité nerveuse hétéromorphe, comme il a été si souvent noté da
liés à la ' Déjérine. - De l'hérédité dans les maladies du système nerveux . RAPPORT SUR MISTRAL. 81 notable accélération
Nous, soussignés, J. Charcot, professeur de clinique des ma- ladies nerveuses à la faculté de médecine de Paris, officier de
GILLES DE LA TOUHËTTE Chefde clinique des maladies du S&tèIllL nerveux . I. « Un grand anatomiste, je dy grand et cél
dans sa troisième classe, de toutes la plus grave. « A l'agitation nerveuse la plus intense, dit-il, aux convulsions les pl
stoire de la léthargie. Paris, 1833, sil 309. Traité des maladies nerveuses ou vapeurs et particulièrement de l'hys- térie
n'avait jamais fait de grave maladie. Tou- tefois elle fut toujours nerveuse et, à la suite d'une peur, - nous dit la mère e
autres variétés de l'attaque hystéro-épileptique ou aux phénomènes nerveux de même ordre ? La première question est import
st t 11 p- ' Voy. Déjerine. L'hérédité dans les maladies du système nerveux . Th. agrég., Paris, 1886. DES ATTAQUES DE SOM
énomènes de la série hystérique chez un même sujet. Ces accidents nerveux antérieurs sont très variés, et il fau- drait p
pathologique DE la démence POST- FÉBRILE. Remarques sur les fibres nerveuses de l'éeorce cérébrale; par H. E31MINGHAUS. (Arc
Série d'exacerbations et de rémissions des accidents psychiques et nerveux ; guérison graduelle presque complète. Mort subite
s. Altérations vasculaires et conjonctives de l'ensemble du système nerveux central et périphé- rique. L'évolution générale
ne constate pas de lésions. Les altérations vasculaires du système nerveux central et périphérique n'auraient, d'après Zac
mmatoires dans les cordons latéraux, la substance grise, les fibres nerveuses . P. K. VII. D'UNE forme TOUTE particulière D'IL
Discutant son observation, M. Ballet montre que son malade était un nerveux , bien avant d'être un halluciné, que si chez lui
'agit là. en somme, d'un sujet chez lequel la plupart des réactions nerveuses se traduisent par l'hallucination de l'ouïe com
tervient au plus comme cause occasionnelle. C'est la prédisposition nerveuse qui crée l'hallucination. Dans les cas analogue
mammifères, la muqueuse olfactive se compose encore de renflements nerveux semblables à ceux que l'on rencontre il la peau
goût ce dernier appareil présente également les mêmes renflements nerveux ), et probablement aussi l'organe de l'ouïe doiven
me sur la substance grise. Observa- tion II. Enfant issu d'une mère nerveuse . Il est, en pleine santé, pris de convulsions q
à plusieurs noyaux, cellules contenant graisse et substance blanche nerveuse dans lesquelles, par un traitement approprié, o
but en blanc, et dans le tissu conjonc- tif, et dans le parenchyme nerveux , des altérations intenses égale- ment, tandis q
s le réseau conjonctif, remplies de graisse et de substance blanche nerveuse , émanent, au moins pour un certain nombre, des
matoire participe vivementà toutes les proliférations. Les cellules nerveuses subissent en même temps la régression : re- coq
et de coupes de moelles de chiens, afin de montrer que les cellules nerveuses normales présentent dans les ganglions et la mo
ent TuczET (de Marbourg). Nouvelles communications sur les troubles nerveux permanents consécutifs à l'ergotisme. - Il s'ag
ons à l'appui), une atrophie presque complète des réseaux de fibres nerveuses dans les colonnes de Clarke. M. le professeur B
d'admission dans les maisons de santé dites ouvertes pour maladies nerveuses . Le nombre des maisons de santé ouvertes, corre
teur du Traité complet de l'anatomie et de la pathologie du système nerveux , né à liouen en 1830, vient de mourir à Paris.
. Vol. XV. Mars 1888. N" 44 ARCHIVES DE NEUROLOGIE , PATHOLOGIE NERVEUSE s ! 1 u ` ' V CONTRIBUTION A L'ÉTUDE SY11P'fO
de : " " lisez : (11) -(11) Archives, t. XV. 1 1 162 ^ pathologie NERVEUSE . ses camarades; mais il était chétif avant d'êt
hitisme. Le malade rattache l'incurvation de la co- '164 pathologie NERVEUSE . lonne vertébrale à son travail d'enduiseur. Le
ires s'observent dans les muscles du bras et du thorax. Les cordons nerveux et les muscles ne sont pas douloureux à la pres
hélice est repoussée. Recherche du 9 lévrier 1886. jÔ PATHOLOGIE NERVEUSE . DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE. 167 l'omoplat
ts, où l'épiderme est fort épaissi. Au Fig. li. '168 PATHOLOGIE NERVEUSE . bout des doigts les pointes du compas de Weber
mitée en haut par le niveau de l'ombilic, en bas par les expansions nerveuses supé- rieures du plexus lombaire (fig. 3)'. La
IV, 87, le ll1alade prrcevalt la djllérene de 10 ? 170 PATHOLOGIE NERVEUSE . des soubresauts musculaires, de la scoliose, d
la moitié gauche du corps. Sur le membre Fig. 16. 1 I PATHOLOGIE NERVEUSE . inférieur droit le malade perçoit de petites d
Le nerf trijumeau est en bon état; les autres symptômes du système nerveux n'ont pas subi d'altérations. Mars. Au mois de
érence. L'état général est bien meilleur. Fig. 17. 174 PATHOLOGIE NERVEUSE . 4887. Janvier. Point d'altérations motrices no
stants et induits, on n'observe pas de diminution de l'excitabilité nerveuse et musculaire, comparativement au côté - 176 6
erveuse et musculaire, comparativement au côté - 176 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . opposé;- on ne remarque non plus aucune réacti
(atrophie musculaire, anes- Archives, t. XV. , 12 178 pathologie NERVEUSE . thésie partielle, douleurs) se localisèrent ic
ne coïn- cident pas avec la région de la distribution des cordons nerveux séparés ; 3) on ne saurait admettre l'action de
de même que leur hyperé- mie associée peut-être à celle des cordons nerveux , ce qui explique leur sensibilité douloureuse à
ux yeux et ce n'est que depuis le moment où le pouce 180 PATHOLOGIE NERVEUSE . commença à être gêné dans ses mouvements, il y
tion d'un seul attouchement. L'attouchement du tendon 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . extenseur de chaque doigt se définit aussi d'u
ue visite. - Point d'altérations dans les autres sphères du système nerveux . Les organes des sens sont normaux, les pupille
es mouvements sont peu limites Fig. 19. Fig. 20. 184 pathologie NERVEUSE . par l'oedème; il augmente parle travail ; au r
ais même aux limites de la distribution de deux ou trois branches nerveuses ; elle donne peut-être quelque indication de la
faute d'avoir mon thermesthésiomètre sous la main. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE . Tous ces symptômes permettent à peine de doute
qu'on lui ordonne. Ainsi ' Tome XV, n° 13, p. 2 1. 188 pathologie NERVEUSE . peut-on lui faire lancer un coup de pied, croi
t la station et la marche, des oscillations du corps 190 pathologie NERVEUSE . en avant et en arrière ou de droite à gauche,
ssent ré- gulièrement et l'état général reste bon. 192 pathologie NERVEUSE . D'après nos observations et la description que
iquet puis Lasègue ont nommé Archives, t. XV. 13 3 194 pathologie nerveuse . ataxie hystérique, c'est-à-dire l'incoordinati
Il n'y aurait pas lieu de distinguer l'affection qui 196 pathologie nerveuse . nous occupe de celle qu'a décrite Erlenmeyer s
abituelle de stigmates hys- tériques en fait foi. '198 PATHOLOGIE NERVEUSE . Traitement. - Le traitement qui a été institué
bot, Les Maladies de la mémoire.. Paris, 1881, p. 9. 200 pathologie NERVEUSE . mais, à force de répéter le même travail, les
veuse correspondent une modification et une usure de la substance nerveuse ; et, quoique la nutrition régé- nère peu à peu
aisemblablement à cause du développe- ment incomplet de ses centres nerveux . « Si l'en- fant, dit-il, présentait un degré d
t l'intelligence. 3 Maudstey. Loco citato, p. 143. 202 pathologie NERVEUSE . d'énergie et correspond à un développement pro
nsi, nos 1 Messes Loco citato, p. 26 et suivantes. 204 pathologie NERVEUSE . actes habituels, et en particulier la marche,
ion immédiate était dans l'écorce, un très grand nombre de fibres nerveuses seraient nécessaires pour trans- mettre les ord
De là, pouvait-on conclure, qu'en raison du petit nombre de fibres nerveuses qui subsis- taient, un centre cérébral organisé
sychique : dès que, par suite de la régénération de quelques fibres nerveuses , la transmission de cette im- pulsion fut rendu
ne initial, puis l'ascension s'opère à l'aide du mé- 206 pathologie NERVEUSE . canisme acquis, que ce fait psychique suffit p
de l'acte, il pourra y avoir cessation momentanée de 208 pathologie NERVEUSE . l'action des extenseurs, bientôt suivie d'une
r; au contraire la phrase «Tu Archives, t. XV. I i 210 pathologie nerveuse . ne sais plus marcher » suggère l'idée seulemen
où l'influence émotive paraît 1 Leçons sur les maladies du système nerveux , t. 111, p. 453, sur les Pa- ralysies émotives.
qu'elle soit, l'affection n'en occupe pas moins \ dans les centres nerveux certaines régions, certains organes, qui, secon
sans doute bientôt à l'aide d'observations appropriées. CLINIQUE NERVEUSE DES ÉPHIDROS1 : S DE LA FACE ' ; Par M. Paul
statèrent que le cordon cervical ne contenait que 214 lë pathologie NERVEUSE . peu de fibres excito-sudorales, si même il en
fibres irido-dilatatrices (suivant on le sait, le 216 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . cordon sympathique) et les fibres excito-sudor
ne excitation portant sur les fibres sudorales et iriennes du tronc nerveux ne porte pas également sur les fibres vaso-motr
-sud. de la face. C. R. Acad. des sciences, 1879. z'18 8 CLINIQUE NERVEUSE . fibres homologues des deux derniers groupes, r
rvation de Raymond et (Iieviie de 22zé(leciiie, 18S4.) -20 CLINIQUE NERVEUSE . rappeler les recherches de M. Pierret et de ci
ordons la- téraux, région éminemment mixte qui renferme des tubes nerveux sensitifs, moteurs et vaso-moteurs. Ces dernier
montré qu'après avoir excité le ganglion cervical su- LI CLINIQUE NERVEUSE . périeur et premier thoracique, l'électrisation
pigmentaire, tantôt en une dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses et en altérations vasculaires, congestion et th
es faits dans lesquels on ne trouve qu'intégrité absolue du système nerveux . M. dans les observations qu'il rapporte d'é-
caux une dilatation marquée de vais- seaux, l'atrophie des cellules nerveuses avec accu- mulation de granulations pigmentaire
développement exagéré d'éléments fibreux étranglant les éléments nerveux . 2 CLINIQUE NERVEUSE. Mais il est probable qu
ré d'éléments fibreux étranglant les éléments nerveux. 2 CLINIQUE NERVEUSE . Mais il est probable que, dans ces deux cas, l
conséquence de l'excitation des cellules du ganglion ou des filets nerveux qui la traversent. il est donc avéré, pour co
sur le côté opposé qu'autant que le permet l'intrication des filets nerveux qui dépassent la ligne médiane. Puis tantôt l
tent stationnaires et qu'on en a Archives, t. XV. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE . signalé qui, après plusieurs années, avaient d
du grand sympathique. A. Enveloppe fibreuse du ganglion. B. Tubes nerveux intéressant le ganglion. C. Tissu cellule-adipe
5j et 235, juillet et septembre 1887; vol. XV, p. 75. 228 CLINIQUE NERVEUSE . automatiques que l'on observe si fréquemment c
-père et Grand'mère paternels pas de détails. - Grand- 230 CLINIQUE NERVEUSE . père maternel, mort d'une tumeur abdominale à
ite est peut-être un peu plus saillante que la gauche. 232 CLINIQUE NERVEUSE . gées ; manquent : deux petites molaires et pre
sibilité cutanée avait disparu, le réflexe tendineux 234 CLINIQUE NERVEUSE . rotulien était conservé sauf de suite après le
cri ne s'est pas renouvelé jusqu'à présent. T. R. 39°. 236 CLINIQUE NERVEUSE . 16" accès. En tout semblable au précédent. Pas
près : 4'1° ; une heure après : 39°, ? . ! % ig. 22) 238 ' CLINIQUE NERVEUSE Poids. - 1886. Janvier. 57 kil. I. - Mars. Ap
ique bien développée est par suite très irrégulière et 240 CLINIQUE NERVEUSE . mal délimitée du lobe temporal. -Toutes les pa
ale, à la scissure parallèle. Archives, t. XV. G G . 242 CLINIQUE NERVEUSE . La presque totalité du lobule pariétal inférie
e fell in a lit. » ((;owers, On Epilepsg, p. 121.) : 2M" CLINIQUE NERVEUSE . montre la marche de la température dans un éta
a période mél71ll- gilique terminale. ' Observation XXXVII. Mère, nerveuse . - Grand'mère maternelle, attaques de nerfs, so
le lit de camp, comme si c'élait un véri- table lit. 246 CLINIQUE NERVEUSE . Observation XLIII. -Père, mort plzllhisique. U
bout de quelques minutes, il revint à lui. Observation XLV. Mère, nerveuse , inconduite, migraineuse, morte phthisique.- Co
tement de l'épilepsie; Paris, 1882, obs. X, p. 97. ' 248 CLINIQUE NERVEUSE . Nous avons ici affaire à un cas d'automatisme
de 31. Bourneville) et y est décédé le 15 avril 188. 250 CLINIQUE NERVEUSE . L'observation de ce malade a déjà été publié p
ral. Dissertation. Ber- lin, 1867. Observ. 1, p. 24. 2S2 CLINIQUE NERVEUSE . été atteint d'aucune maladie en dehors de l'ép
s où la Catatonie se déve- loppe au milieu d'un état d'excitabilité nerveuse ou d'un état de dépression physique générale. M
côté apparaissent, comme phénomène capital, les troubles du système nerveux moteur présentant le caractère général de la cr
geant d'une façon cyclique et s'accompagnant de troubles du système nerveux moteur qui, dans ce cas, auraient au contraire
également typique, mais qui ne présente rien du côté- du système nerveux moteur. Cette dernière forme que l'on ren- cont
rneville. - Etudes Ihel'/llOmell'iqltes sur les maladies du système nerveux , p. 117. ' Leçons sur les maladies du système n
du système nerveux, p. 117. ' Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, 3e et)., p. 376. Paris, 1877. 270 0 RE
Il est présumable que ce sommeil était le résultat d'une affection nerveuse , d'une volonté puissante qui commandait à toute
mi : telles, par exemple, que les épistaxis, véritables hémorhagies nerveuses qui existaient aussi dans notre observation'.
us et impossibilité de la déglu- tition ; après le tétanos, un rire nerveux et des hoquets, puis des palpitations qui ont t
es bains aromatiques et des toniques, et la malade, dont le système nerveux était débarrassé entièrement de son état morbid
ppris qu'elle avait dû succomber à une rupture du coeur; le système nerveux n'a pas été observe, à mon grand déplaisir. Peu
lésions de tuberculose avancée, ne ré- véla rien du côté du système nerveux . Cette dénutrition et les complications qui sui
us avons dit que l'autopsie n'avait révélé aucune lésion du système nerveux chez le malade de Legrand du Saulle ; de même c
ont été guéris d'accidents divers (névralgies, vomissements, toux nerveuses , anesthésies, contractures, spasmes de 1'urèthre,
on déchire complètement les lobes frontal et temporal; la substance nerveuse apparaît écrasée, - jaune, et, par places, blan
de l'hémisphère gauche des cellules granulo-graisseuses, des fibres nerveuses fracassées; aucun élément cellulaire ne dénote
- 388. Vol. XV. Mai 1888. N" 45 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES (symptômes DE l'at
une espèce morbide parfaitement Archives, L. XV. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE . distincte'. » Pour lui, la spécificité nosolog
esse de faire ainsi pour certains cas d'apoplexie cérébrale, dite nerveuse , dont l'obscurité n'a porté aucune atteinte à c
lopédique des Sciences médicales. 1877, t. VII, p. 69. 340 CLINIQUE NERVEUSE . écrivait ces lignes on est parvenu à classer e
s, sans qu'à l'autopsie on découvre aucune altération des centres nerveux , des racines rachidiennes ni des nerfs périphé-
-alblait sur Nerucnkeillacnde, von Erlenmeyer, 1881. 342 CLINIQUE NERVEUSE . des émotions résultant de la vie en commun ave
suivi d'une autopsie régulière avec examen histologique des centres nerveux et des nerfs périphériques. Observation. Ho
aliassec (Floride). Ni l'un ni l'autre n'était atteint d'affections nerveuses . Pas de renseignements sur les grands parents.
deux blennorrhagies sans gravite. Il affirme qu'il n'a 344 CLINIQUE NERVEUSE . jamais eu de chancres. Pendant la guerre franc
ers le mois d'août les érections devinrent incomplètes 346 CLINIQUE NERVEUSE . et inefficaces, mais il y avait de fréquentes
coup de peine à se diriger dans l'usine, au milieu des 348 CLINIQUE NERVEUSE . machines, des foyers et de la fonte en fusion.
ui paraissent tout à fait saines. Pas d'épaississement 350 CLINIQUE NERVEUSE . de la pie-mère. Pas de néo-membranes de l'arac
postérieures renferment, aussi bien que les antérieures, des fibres nerveuses intactes, pour- SUR UN CAS DE PSEUDO-TABES. 351
e grosses altérations. Il ne renferme pour ainsi dire plus de tubes nerveux à myéline. Il est composé presque exclusivement
une bonne santé antérieure est pris, sans cause connue, d'accidents nerveux variés analogues à ceux qui caractérisent l'ata
organique de la moelle, ni des racines rachidiennes,- 352 CLINIQUE NERVEUSE . ni des nerfs périphériques. A peine trouve-t-o
n n'est plus difficile, du reste, que de reconnaître si un symptôme nerveux quelconque est déterminé par une lésion organiq
e de cas, indépendants de toute altération matérielle des centres nerveux . L'apoplexie elle-même est quelquefois le résul
ws Archiv., Il·1 108, 1887), etc. Ancmves, t. XV. 23 354 CLINIQUE NERVEUSE . plaques ou de tabes, quoiqu'on ne trouve à l'a
inexplicables. NOUVELLES ÉTUDES SUR LE ROLE DE LA PRÉDISPOSITION NERVEUSE DANS L'ÉTIOLOGIE DE LA PARALYSIE FACIALE DITE A
aciale, sont purement secondaires et qu'elles se trou- 356 CLINIQUE NERVEUSE . vent entièrement subordonnées à ce facteur pui
èrement subordonnées à ce facteur puissant qui s'appelle l'hérédité nerveuse . Si, au lieu d'établir l'étiologie de la paraly
ent à leur hémiplégie de la face, avaient eu d'autres acci- dents nerveux , tels que des tics, des convulsions, des névral
s malades qui s'efforcent de dissimuler au médecin les affections nerveuses et surtout les affections vésani- ques qui ont
une émotion ou à tout autre facteur banal, n'est plus qu'un épisode nerveux en parfaite connexion avec le passé du sujet et
mière enfance. Réglée à quinze ans, Louise G... a toujours été très nerveuse depuis l'époque de la menstruation ; tendance f
'attaques de nerfs, ni de perte de connaissance; ? ni- 358 CLINIQUE NERVEUSE . graines fréquentes. Mariée depuis dix ans, ell
e faciale n'a pas été chez elle un accident isolé, c'est un trouble nerveux de plus à ajouter à ceux qui l'avaient précédée
ce d'une tare familiale. Dans la deuxième observation, le terrain nerveux apparaît plus manifestement encore; les antécéd
ce qui concerne les ascendants et les col- latéraux, les accidents nerveux dont ont été frappés les deux enfants de la mal
pés les deux enfants de la malade (le mari de celle-ci n'étant ni nerveux , ni issu de souche névropathique) sont là pour
uche névropathique) sont là pour attester l'existence delà diathèse nerveuse chez la mère. DE LA PARALYSIE FACIALE. 359
concluantes et les preuves abondent en faveur de la prédisposition nerveuse héréditaire. Observation III. F... (Pauline), s
ans environ. Antécédents de famille : Père bien portant, mère très nerveuse . Un oncle maternel est épileptique, une sceccr
. Antécédents personnels : Rougeole dans l'enfance. F... est très nerveuse , elle a souvent des étouffements {boule hystériqu
cinquante-neuf ans à la suite d'une attaque d'apoplexie; mère très nerveuse , âgée aujour- d'hui de soixante-dix ans, a été
jamais eu d'attaques couvulsives, mais elle avoue qu'elle est très nerveuse ; elle se plaint surtout d' étouffements et d'une
tre, à vrai dire, douloureuses; pas d'a- nestliésie. 360 CLINIQUE NERVEUSE . L'hémiplégie faciale date du mois d'octobre de
ents de famille : Père mort depuis dix ans à la suite d'une maladie nerveuse ( ? ). Su mère, qui souffrait habituellement de m
elées depuis deux ans environ ; niais S... est toujours restée très nerveuse et très impressionnable . La paralysie date de
Antécédents personnels : Le malade n'a jamais eu aucun acci- dent nerveux ; interrogé sur les causes de sa paralysie, C... n
re est épileptique. B... a une soeur qui est atteinte d'une maladie nerveuse ( ? ), d'une maladie noire, nous dit-elle. Anté
malade nous raconte que depuis son enfance elle a toujours été très nerveuse , qu'elle a des migraines qui reviennent environ
une maison de santé, où elle resta pendant trois mois. 362 CLINIQUE NERVEUSE . Antécédents personnels : Irrégulièrement menst
très souvent de violentes dou- leurs de tête. Pas d'autre accident nerveux à signaler. La paralysie faciale est survenue s
siégeant du côté droit. ' Antécédents héréditaires : Son père, très nerveux , s'est noyé il y a treize ans (les renseignemen
nte. Antécédents personnels : Le malade n'a jamais eu d'accidents nerveux ; mais il nous dit qu'il est très impressionnable
t. Sa mère, nous dit-il, a eu, durant de longues années, des crises nerveuses qui se le ? -- minaient par un sommeil se prolo
i est également névropathe. Antécédents personnels : II... est très nerveux , d'une impression- nabilitê excessive; il pleur
sique, père ataxique. La malade a trois soeurs qui toutes sont très nerveuses ; l'une d'elles (t fréquemment des attaques conv
ivement le matin au réveil. La malade n'a pas eu d'autres accidents nerveux et parait, du reste, jouir d'une bonne santé.
iénés. Père mort ataxique à l'âge de cinquante-huit ans, mère, très nerveuse , est morte à l'âge de soixante ans à la suite d
malade, bien réglée depuis l'âge de quinze ans, a toujours été très nerveuse ; elle souffre habituelle- ment de migraines. I
paralysés, les réactions électriques sont normales. 364 CLINIQUE NERVEUSE . En dehors de la valeur que les antécédents hér
II, nous avons relevé l'ataxie locomotrice parmi les affec- tions nerveuses des ascendants; dans l'observation suivante, no
ts héréditaires : Grand-père et grand'mère paternels sans affection nerveuse ; père rhumatisant mort d'une affection 366 CLI
ction nerveuse ; père rhumatisant mort d'une affection 366 CLINIQUE NERVEUSE . cardiaque. Grand-père maternel aurait eu une a
UE NERVEUSE. cardiaque. Grand-père maternel aurait eu une affection nerveuse qu'on cachait dans la famille; grand' mère mate
nerveuse qu'on cachait dans la famille; grand' mère maternelle très nerveuse ; mère morte diabétique ; une tante maternelle
e est instructive sous tous les rapports. La question de l'hérédité nerveuse s'y trouve parfaitement élucidée; le sujet est
ue sceptique que l'on soit à l'endroit du rôle de la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la paralysie faciale, il fa
nsanguins {cousins germains); le père est bien portant, la mère est nerveuse , a eu souvent des crises hystériques ; une sceun
e et le diabète coïncident fréquemment avec les maladies du système nerveux et 368 CLINIQUE NERVEUSE. leur combinaison av
fréquemment avec les maladies du système nerveux et 368 CLINIQUE NERVEUSE . leur combinaison avec les névropathies n'est p
face; une tante paternelle est atteinte de rhumatisme noueux. Mère nerveuse , souffre fréquemment de maux de tête et de douleu
s mala- DE LA PARALYSIE FACIALE. 369 dies héréditaires du système nerveux ) pouvait se ren- contrer à l'état d'affection f
la suite d'une tumeur abdominale; mère, âgée de soixante ans, très nerveuse , a des atta- ques convulsives qui reviennent to
t, comme dans les autres cas relatés jusqu'à pré- sent, la diathèse nerveuse qui se manifeste sous une forme plus ou moins é
eine lumière, c'est la paralysie Archives, t. XV. 24 370 CLINIQUE NERVEUSE . faciale se montrant sans interruption dans tro
ie de la septième paire sont tous ce qu'on pourrait appe- ler des nerveux de race, chez lesquels on retrouve, sous des as
bons, toutes les causes seront efficaces pour réveiller la diathèse nerveuse ; il suffira d'une perturbation physique, intell
que minime dans la genèse de la maladie. Seule la prédisposition nerveuse se retrouve dans tous les cas, parce que seule,
n, sans autre levier, elle peut faire éclore le mal. 372 CLINIQUE NERVEUSE . Dans cette étude sur l'éliologie de la paralys
e et, d'autre part, elle vien- drait plaider en faveur de l'essence nerveuse de la maladie. Il est incontestable, en effet
373 entachée de nervosisme que l'homme et que certaines maladies nerveuses , les névroses en particulier, trou- vent chez e
ubsister aucun doute sur le rôle capital que joue la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la paralysie faciale dite a
vantage les liens qui l'unissent aux diverses affections du système nerveux . Confinant'à l'arthritisme, se rattachant par d
e rattachant par de nom- breux traits d'union à toutes les maladies nerveuses , la paralysie faciale est parente à un degré be
aralysie de la septième paire, on retrouve toujours, ' 374 CLINIQUE NERVEUSE . soit les grandes névroses, comme l'épilepsie,
et faradique. Le même auteur relate un autre cas qui 376 CLINIQUE NERVEUSE . avait les apparences d'une forme grave avec to
permit de reconnaître l'in- tégrité de la grande majorité des tubes nerveux ren- dait compte du peu d'altération de la cont
tant plus d'un mois (jusqu'à la mort), sans que tous les faisceaux nerveux participent à la dégénération. En d'autres term
ques, un certain nombre d'hémiplégies de la septième 378 CLINIQUE NERVEUSE . paire dont le point de départ semble être plut
paire dont le point de départ semble être plutôt dans les centres nerveux que dans la périphérie. En réalité la physiolog
11edicin. Dec. 1887), d'admettre l'in- fluence de la prédisposition nerveuse dans une mala- die s'accompagnant de lésions an
vons, consistent en une altération totale ou par- tielle des fibres nerveuses comme nous l'enseigne d'ailleurs l'étude des ré
'encéphale, la cause dominante n'en est pas moins la prédisposition nerveuse héréditaire. L'histoire de la paralysie faciale
re, vient ainsi se modeler sur celle des autres maladies du système nerveux et l'étude des conditions étiologiques qui prés
son développe- ment nous montre une fois de plus qu'en pathologie nerveuse , il n'y a qu'une seule cause constante et néces
V, n°' 43 et 44, p. 75 et 227, janvier et mars 1888. 380 CLINIQUE NERVEUSE . de porter un diagnostic rétrospectif. Nous avo
garni avant la guerre ; toujours bien portante, ni migraineuse, ni nerveuse ; elle a eu, il y a deux ans, un abcès à la jam
e la moyenne. De plus la mère parle mal le français. 382 CLINIQUE NERVEUSE . Rougeole vers trois ans, puis beaucoup de dart
1 m M a 5 DE l'épilepsie PROCURSIVE. 383 ' * 386 CLINIQUE NERVEUSE . - On ne peut le faire parler, ni lui faire tir
re dans la cavité péricardique. La pointe du coeur est 388 CLINIQUE NERVEUSE . formée par le ventricule gauche surtout. Le ve
t presque entièrement, l'un même, médian, atteint' son 390 CLINIQUE NERVEUSE . bord postérieur ; il semble en ce cas que la d
agrinées. Les scissures sont profondes et sinueuses. 392 CLINIQUE NERVEUSE . - DE l'épilepsie PROCURSIVE. La circonvolution
près toutes les perturbations possibles dans le domaine du système nerveux moteur et des fonctions musculaires (sauf pourt
Il, p. 85 et suiv. 5 Charcot. - Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III, p. 357. 6 A. Binet et Cl. Féré. - Rech
ion, et en particulier dans le délire aigu, les troubles du système nerveux moteur peuvent être des plus accentués. Krafft-
l'écorce, hydrocé- 1 Charcot. - Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, p. 220, et t. III, p. 216. 2 Consulter
es; total : 26 résiliais sur 88. P. Keraval. XXIV. DE L'INFLUENCE NERVEUSE dans la PRODUCTION DU vitiligo ; par le Dr ÛHMA
Les phénomènes de nutrition sont sous la dépendance des cen- tres nerveux , par l'intermédiaire des nerfs, quand les uns ou
eur pourtour foncé, sont bien faites pour faire penser à une action nerveuse , comme cause de ce trouble de la pigmentation c
t Chabrier. En 1881, Déjérine trouva dans un cas, des altérations nerveuses , à l'examen histologique. Le Dr Ohmann-Dumesnil c
n-Dumesnil cite deux observations, recueillies par lui, d'individus nerveux , chez lesquels apparurent des plaques de vitili
ts de troubles de la pig- mentation cutanée, dans lesquels l'action nerveuse est indéniable. Tels sont : les points de décol
héorie. Les individus qui en sont atteints sont le plus souvent des nerveux , des gens ayant des affections nerveuses bien car
nts sont le plus souvent des nerveux, des gens ayant des affections nerveuses bien carac- térisées, ou présentant des antécéd
tions nerveuses bien carac- térisées, ou présentant des antécédents nerveux héréditaires. L'u- sage des médicaments agissan
eux héréditaires. L'u- sage des médicaments agissant sur le système nerveux ont donné des résultats sérieux, et c'est surto
auteur demande une étude comparée de toutes ces maladies du système nerveux . il. S. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-PS
ue chez les individus ne pré- sentant aucune altération des centres nerveux . J'ai cependant SOCIÉTÉS savantes. 449 consta
dont les anté- cédents fournissent habituellement d'autres troubles nerveux . Le pronostic devient dans ce cas beaucoup moin
qu'il existe. MARCEL L3RIAND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE BERLIN Séance du 11 janvier 18861. - Prési
cale et de la moelle lombaire regorgent de grosses et larges fibres nerveuses . Elles mesurent en épaisseur 0'°m,018 à 0,02, i
rieures des deux mêmes régions contiennent un grand nombre de tubes nerveux fins en faisceaux isolés ou en petits groupes;
parence du tissu fondamental; aux alentours du noyau, peu de fibres nerveuses à myéline; les racines sont amincies. Cette alt
distribuées un peu irrégulièrement; un plus grand nombre de libres nerveuses en parlent, elles sont plus touffues, plus pres
87. PRÉSIDENCE DE M. WESTPHAL. M. WESTPHAL. Des groupes de cellules nerveuses ganglionnaires au niveau du noyau de l'oculomot
nglion spinal confient un centre trophique autonome pour les fibres nerveuses sensitives, mais il n'y a pas d'argument sérieu
contient un centre pour les organes périphériques. 4° Toute cellule nerveuse ganglionnaire est en connexiou aussi bien avec
omsen. Des foyers formés dans les nerfs crâniens par des cel- iules nerveuses altérées. Préparations microscopiques empruntées
ut au point où le nerf sort du cerveau; ils sont formés de cellules nerveuses modifiées. C'est au jeune âge que doit remonter
processus, car chez le nouveau-né on ne rencontre que des cellules nerveuses normales, et c'est chez l'adulte et l'en- fant
en- fant de quatre ans qu'on trouve ces foyers à côté de celiules nerveuses isolées. Séance du 14 novembre 1887. Présidence
ux, beaucoup furent convertis en asile pour les maladies du système nerveux , surtout à cause du manque d'expé- rience dans
ont caché leur spécialité sous le nom d'asiles pour les maladies nerveuses . Il n'y a pas moins de deux mille intempérants
re fondé eu Portugal, de même que le cours de pathologie mentale et nerveuse , créé il y a deux ans à l'asile d'aliénés de Li
se scientifique de l'électricité dans les maladies rhu- matismales, nerveuses , mentales, etc. Volume iu-8° de 99 pages. Paris
érapie et de metalloseopie, appli- quées au traitement des maladies nerveuses , au diabète et aux maladies épidémiques. Burqui
133, 326. Vertige-marin, par Pampoukis, 393. Vitiligo (influence nerveuse dans la production du), par Dumesml, 4t6. V
du grand sympathique. A. Enveloppe fibreuse du ganglion. B. Tubes nerveux intéressant le ganglion. C. Tissu celliilo-adip
27 (1891) Archives de neurologie [Tome 21, n° 61-63] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
RLES IIÉR1SSEY ARCHIVES Dh n. NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE .1.-
Vol. XXI. Janvier 1891. N" 61. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE DE L'OBSESSION DENTAIRE; Par le D' V. GALIPPE
ré- parables conséquences. , Archives, t. XXI. 1 2 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . Les faits qui vont suivre apportent aux idées
lumière par M. le Pr Charcot dont l'opinion fait loi en pathologie nerveuse , aussi bien dans notre pays qu'à l'étranger.
tre principalement rapportée à des troubles préexistants du système nerveux . Ces faits avaient certainement été observés pl
ayant déterminé l'affection imaginaire de la langue. 4 PATHOLOGIE NERVEUSE . Comme M. Verneuil, M. Fournier fait jouer un
chez des névropathes. M. Luys a observé les mêmes faits chez les nerveux et chez les hypocondriaques. Pour cet aliéniste
alement considérée comme se produisant sous l'influence de troubles nerveux . Ce serait donc à juste titre qu'on l'aurait re
représentée comme le prodrome d'un état pathologique des centres nerveux , devant se révéler plus tard. Enfin M. Pitres,
trop absolue l'opinion qui fait de ces malades exclu- sivement des nerveux . En lisant attentivement les observations publi
et si ses malades étaient des arthritiques,' c'étaient aussi des nerveux , pour ne pas dire des hypocondriaques. Que ces
e 1 Mendel neurologiache Centralblatt, p. 389, 1890. 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . ces sensations se localisaient parfois à la po
mastica- tion de la viande. La majorité de ses malades était des nerveuses . Chez une de celles-ci, les sensations douloure
tention bien arrêtée de se faire opérer d'un cancer 8 PATHOLOGIE NERVEUSE . de la langue dont elle se croyait atteinte. ,T
de la muqueuse buccale, était absolument convaincue 40 PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'elle allait avoir un cancer. Depuis, son in
à la fois à leur raison (thérapeutique morale) et à leur système nerveux (bromure, hydrothérapie, etc.). Chapitre Il. De
tuer à ses fausses dents. Elle guérit complètement. 12 PATHOLOGIE NERVEUSE . Au mois de juillet 1880, M. le Pr Charcot m'ad
lle appelle des attaques de pros- tration morale. Elle comptait des nerveux , voire même des aliénés dans ses ascendants.
nséquences vraies ou fausses des interventions ma- 1 ! t PATHOLOGIE NERVEUSE . lencontreuses qu'elle avait subies. D'après el
ts qui m'ont servi à compléter cette observation. 16 - PATHOLOGIE NERVEUSE . Le malade dont il s'agit est un Américain plus
e cet état mental particulier que ces malades appellent prostration nerveuse ; il avait subi différents traitements et com- m
e malade convenait parfois que sa maladie résidait dans les centres nerveux , il n'en analysait qu'avec une anxiété plus grand
n; jamais cette douleur ne m'a empêché de dormir, bien que l'état nerveux dans lequel je me trouve ait rendu mon sommeil tr
rien du tout, mais cette même ARCHIVES, t. WI. 1. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . douleur revient lorsque j'y songe, ou que je c
rt de l'unique désir de plaire à la malade. La diffa. 20 PATHOLOGIE NERVEUSE . culte de prendre les empreintes des arcades de
et dans cette solitude volontaire, exhalait encore son excitabilité nerveuse . Tel était l'état de Mmo de X... lorsque, sur l
avait raison. Mmo de X... appartenait tout entière à la pathologie nerveuse et mentale, c'est pour avoir méconnu la véritab
ui ren- daient douloureuses les arcades alvéolaires. M PATHOLOGIE NERVEUSE . La situation était cruelle ; Mme de X... n'ava
pourra intervenir uti- lement qu'après la disparition des troubles nerveux et mentaux qu'elle présente. Il est certain, en
rétexte, qu'une cause occasionnelle de l'ex- plosion des phénomènes nerveux . Lorsque ces malades sont au point, s'il est pe
aient des candidats sérieux aux accidents cérébraux. Les troubles nerveux et mentaux ayant succédé pendant un temps plus
eut modifier dans un sens ou dans un autre la statique d'un système nerveux patho- logique, et, de même que l'extraction d'
ions, je veux dire l'état de tex- ture et de structure des éléments nerveux , variant continuellement, comme tous les autres
t arrivé son maître sur les rap- ports de réchauffement des centres nerveux avec l'activité psychique, et qui peuvent être
ainsi 1. « Chez un animal jouissant de l'intégrité des cen- tres nerveux , toutes les impressions sensibles sont con- dui
ttent en jeu, est liée à une production de chaleur dans les centres nerveux , chaleur quantitativement supérieure à celle qu
Schiff. - Recherches sur Réchauffement des nerfs et des cen- lre.s nerveux à la suite des 2rritalioas sensorielles et sensit
t par de simples réflexes. Point d'action spontanée des cen- tres nerveux , mais irradiation d'impressions, toujours périp
exus de conditions organi- ques favorables à l'activité des centres nerveux . Chez les êtres vivants, il n'y a pas plus de s
logiques la conception purement mécanique des fonctions du système nerveux , Herzen démontre que les différentes formes de
, - qui n'est rien de plus, natu- rellement, qu'un état des centres nerveux , un phéno- mène d'accompagnement de certains pr
lusivement à la période de désintégration fonctionnelle des centres nerveux . 2° L'intensité de la conscience est en raison
de la rapidité de la transmission des impressions dans les centres nerveux . Le système ner- veux tout entier, et non pas s
à l'intensité de la désintégration fonctionnelle de ses éléments nerveux '. 4° Les activités psychiques accompagnées de
portée au maximum, réchauffe- ment le plus considérable des centres nerveux . Les fonctions psychiques accompagnées de la co
somme de cons- cience manifestée en un moment donné par un centre nerveux , quel qu'il soit, ou par un groupe d'éléments n
r un centre nerveux, quel qu'il soit, ou par un groupe d'éléments nerveux , est toujours le produit, ou plutôt la somme al
tégration et de réintégration impliqués dans tout acte du système nerveux central. » Ces lois, comme l'a fait remarquer B
des organismes déjà assez hautement différenciés pour qu'un système nerveux central, condition de la conscience, ait apparn.
pendant le mouvement de désintégra- tion fonctionnelle des cellules nerveuses de l'écorce; le sentiment de la cénesthésie, do
ns l'espèce de catalepsie où tomberaient les élé- ments des centres nerveux . Dans la démence et dans les formes d'affaiblis
teur ou de la cessation des processus d'oxydation dans les éléments nerveux de l'écorce. « Dans les cerveaux atrophiés de c
ur ainsi dire à zéro. » Dans la manie et le délire, où les courants nerveux sont trop rapides et trop diffus, où les images
ment aussitôt en réactions motrices, la désintégration des centres nerveux a lieu, mais avec une durée et une intensité in
nt une durée et une intensité suffisantes pour désintégrer le tissu nerveux . L'attention subsiste; le malade a conscience d
de la mémoire organique qui présidait à l'automa- tisme des centres nerveux cérébro-spinaux. Les élé- ments moteurs de ces
que déploient encore ces malades est inconsciente; les décharges nerveuses de ces centres ont lieu avec une fatalité d'aut
sion, in- cohérence, arhythmie, épuisement rapide des pro- cessus nerveux , voilà ce qui les caractérise. Bianchi compare
t fort éloignés, le défaut de fusion et de direc- tion des courants nerveux psycho-moteurs, correspon- dent, selon lui, au
faiblesse dynamométrique du groupe musculaire sur lequel un courant nerveux est primitive- ment dirigé, l'affaiblissement d
part doivent prendre à la pathogénie de ce phé- nomène les centres nerveux de l'écorce cérébrale dont la désorganisation s
ice, c'est la conscience de l'excitation fonctionnelle des éléments nerveux sensitifs d'un cen- tre de l'écorce cérébrale,
, que l'expression d'une seule et unique propriété des cel- lules nerveuses de l'écorse cérébrale, j'entends de la propriét
fique, acquise au cours de l'évolution phylogénique, des cellules nerveuses de telle ou telle aire corticale, elle est touj
ojection des représentations verbales motrices; 2° d'un cou- rant nerveux centrifuge qui, suivant le degré d'irrita- tion
lie directement la psychologie, la science des fonctions du système nerveux , aux sciences physico-chimiques. On se rappelle
es expériences de Schiff sur réchauffement des nerfs et des centres nerveux à la suite des irritations sensitives, sensorie
ique et de la chimie » '. Comment, seules, les fonctions du système nerveux se manifesteraient- elles sans résulter d'une é
e, ce qui provient du muscle et ce qui provient de la subs- tance nerveuse , le moyen de ne tenir compte que des produits d
de ne tenir compte que des produits de désassimilation de l'élément nerveux vrai- ment actif ? Cette « partie de la substan
l'élément nerveux vrai- ment actif ? Cette « partie de la substance nerveuse où l'activité s'exerce sous la forme propre de
ments anatomiques dési- gnés habituellement sous le nom de cellules nerveuses . Celles-ci, toujours d'un volume notable, toujo
s- soire comme collecteurs, accumulateurs, diffuseurs d'é- nergie nerveuse . Tout porte à penser qu'elles ne sont jamais le
ble siège des facultés conscientes est dans les petits élé- ments nerveux déterminés, pour la première fois, comme tels,
toujours immanentes à un poids très faible de substance cellulaire nerveuse . Les Principes de Newton, V Enfer de Dante n'on
de volume de l'élément anatomique que G. Pou- chet considère comme nerveux , qui me ferait reculer ; car on ne saurait imag
de rapport nécessaire d'au- cune sorte entre la forme d'un élément nerveux et sa fonction. En ce domaine, si obscur encore
déchéance fonctionnelle dont sont encore frappées ici les cellules nerveuses : nous avons assisté déjà à d'autres verdicts d
e qu'il manquait du critérium indispensable pour juger de la nature nerveuse des diverses catégories d'éléments constituant
mbe l'une ou l'autre des fonctions spécifiques relatives au système nerveux . « Mais il y à plus. A mesure que progressent n
e que progressent nos connaissances sur l'anatomie fine des organes nerveux centraux, il apparaît tou- jours pius clairemen
onnellement un lien étroit entre les diverses catégories d'éléments nerveux , et qu'une délimitation rigoureuse de groupes c
t qu'une délimitation rigoureuse de groupes cellulaires ou de zones nerveuses est impossible. Aussi, vouloir localiser avec p
représentent^ somme des activités coordonnees de tous les éléments nerveux - aucune catégorie exclue, - je pourrais bien f
e de la fantaisie. C. GOLGI'. » (La fin prochainement .) CLINIQUE NERVEUSE SUR L'ASTASIE-ABASIEI; Par le D' TIlYSSE : ï
ent sous le poids du corps; on dirait qu'à un moment donné l'influx nerveux , dont la malade a fait provision, est épuisé. »
- bulatisne. (Gazetta degli ospitali, n° 76, p. 605.) 60 CLINIQUE NERVEUSE Mais jusque-là toutes ces observations étaient
er 1888. 3 Souza Leite. - Réflexions à propos de certaines maladies nerveuses observées dans la ville de Salvador : faits d'a
inik zu Jhia. '' Moebius. Ueber Astasie-abasie, 1889. 62 clinique NERVEUSE continue à marcher très bien à cloche-pied, mai
on notable, et en mai, la station et la marche sont re- 64 CLINIQUE NERVEUSE devenues possibles, quoique toujours sautillant
o. - ? Loco citato. Loco citato. ARCHERS, t. XaI. 5 66 CLINIQUE nerveuse . maître de musique et compositeur de 35 ans, s'
nalysant les observations, on trouve le plus souvent des affections nerveuses chez les parents; on n'a pas à s'étonner de voi
ou vieux, comptent parmi les prédisposés à contracter des maladies nerveuses . M. Char- cot le faisait remarquer, du reste, l
ns de Blocq. La petite fille dont parle Souza-Leite sort de famille nerveuse du côté de la mère. Chez la malade deB. Salemi
OGIE PATHOLOGIQUE. cend d'une famille avec antécédents héréditaires nerveux légè- rement accusés ; plusieurs membres de cet
ous pouvons donc conclure, que dans la majorité des cas, l'hérédité nerveuse a été constatée chez des sujets atteints d'abas
'oculo-moteur ; indiquantainsi que dans le premier cas, l'impulsion nerveuse doit être transmise à travers au moins un centr
impulsion nerveuse doit être transmise à travers au moins un centre nerveux de plus que dans le dernier cas. Ceci concorde
un exemple des lois de l'évolution et de la dissolution des centres nerveux qui ont été si habilement exposées par Hughling
de l'acétanilide (à la dose de 0 gr. 40 par kilog.) sur le système nerveux est très nette. Le chien présente du trem- blem
n tranchées : une action antithermique et une action sur le système nerveux ; toutes deux utilisables en thérapeutique. D'
et amène le sommeil. Elle exerce une action marquée sur le système nerveux et principalement sur la moelle. Le D'' Lépine
ue le point de départ de la maladie doit se trouver dans les tissus nerveux dont les modifi- - 10 REVUE DE PATHOLOGIE MENTA
llucinations simples, non compliquées; c'est-à-dire dans le système nerveux périphérique et dans les centres cérébraux infé
ontestable nous montrent avec évidence qu'une altération du système nerveux périphérique est parfaitement capable de déterm
aque retour de l'époque menstruelle s'accom- pagne de modifications nerveuses et mentales, variables dans leur nature et leur
pliquer le développement au moment de la puberté, - d'une affection nerveuse ou men- tale ; l'auteur rappelle les principale
romure de potassium s'accumule donc de préfé- rence dans le système nerveux central, mais c'est tout ce qui ressort de cett
ent, de sorte qu'elle présente bientôt des accidents d'épui- sement nerveux . Par l'eau froide, la tranquillité, la réclusion,
U TRAITEMENT PAR LA SUSPENSION DU TABES DORSAL ET D'AUTRES MALADIES NERVEUSES CHRONIQUES ; par EULEVDUISG et Mendel. (Neural.
use. Intégrité macroscopique, clinique, et microscopique du système nerveux , artérite des artères de la peau. Ce sont les v
us du nerf optique, gagnent la rétine en haut ou en bas. Les fibres nerveuses , après avoir traversé la lame criblée, se place
se placent presque toutes dans la partie supérieure de la membrane nerveuse , de sorte que le bord inférieur du coloboma, fo
érotique, est séparé du nerf optique, sans intermédiaire d'éléments nerveux , par un collet tranchant. Il existe par suite e
pos- térieure. L'orateur traite aussi de la persistance de fibres nerveuses à myé- line dans la rétine chez des névropathes
tions, parlent, suivant l'élément morbide prédominant, d'affection nerveuse organique traumatique, de commotion cérébro-spina
l- sive peut être symptomatique de lésions anatomiques du système nerveux central. (Archio fùr Psychiat, Xllf, 2.) P. Kerav
te. L'auteur décrit trois types de diabète : le diabète par lésions nerveuses (diabète de Claude Bernard), le diabète maigre
ns de la Salpêtrière, ont commencé des conférences sur les maladies nerveuses et mentales, le jeudi, 4 décembre à 9 heures 3/t,
it 1 Vol. XXI. Mars 1891. Nu 62 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE L'INFLUENCE DES CENTRES TROPHIQUES DE LA MOE
res. ' Leçon du 8 août 1890. Archives, t. XXI. 11 '162 CLINIQUE NERVEUSE . Vous avez constaté chez un de nos malades, par
ner- veux bien nettement circonscrit, à un nerf ou à une branche nerveuse . C'est un de ces cas que nous allons étudier en
du tégument, très voisines les unes des autres, super- 164 CLINIQUE NERVEUSE . N 1 posées, à la face interne du tibia gauche,
des cas, sinon toujours, une manifestation dystrophique d'origine nerveuse . Il suc- cède quelquefois à des névralgies in-
exemples d'ecchymose ou de purpura survenus au cours des affections nerveuses , particulièrement des névrites péri- Fig. 12.
apparente ; du moins elle ne répond qu'à une variation 166 CLINIQUE NERVEUSE . d'intensité des phénomènes rparétiques. Lorsqu
- quable ouvrage, va nous renseigner sur ce point. - 168 CLINIQUE NERVEUSE . , Le relief en question s'appelle le repli sus
était un zona, représenté par deux groupes Fig. 1 i. 170 CLINIQUE nerveuse : r importants de vésicules, dont l'un siégeait
produit chez des sujets plus âgés. Restait à déterminer le tronc nerveux sur le trajet ou les ramifications duquel l'éru
nomène fortuit et sans aucune corrélation avec les manifesta- tions nerveuses ? La chose est possible à la rigueur. Mais con-
mpris le zona, ont eu pour localisation anatomique, dans le système nerveux périphérique, une certaine portion des branches
r et scia- tique poplité externe, c'est-à-dire dans des territoires nerveux dont les origines radiculaires peuvent être enc
rigines radiculaires peuvent être encore plus étroite- 172 CLINIQUE NERVEUSE . ment circonscrites entre la deuxième paire lom
, ainsi que l'a fait remarquer M. Charcot, au cours de 174 CLINIQUE NERVEUSE . la paralysie alcoolique. C'est d'abord une tri
éralité de la paralysie, ni même de sa limita- tion à un territoire nerveux nettement circonscrit. Si, en effet, le type pa
lleurs que toute autre substance toxique, agissait sur les éléments nerveux - il n'y a pas à pré- ciser davantage - pour en
r que les sels de plomb exerçaient leur action nocive sur les tubes nerveux directement, c'est-à-dire sans l'intervention o
'paralysie radiale, comment, en effet, expliquer l'in- 176 CLINIQUE NERVEUSE . tégrité presque constante du muscle long supin
la même immunité ? Si l'on admet que cer- taines parties du système nerveux sont plus ou moins sensibles que d'autres à l'i
'on accorde habituellement à ce mot, c'est-à-dire de petits organes nerveux différenciés, tant par leur siège que par leurs
s et physiologiques qui, jusqu'à cejour, ont repré- senté les tubes nerveux , sensitifs ou moteurs, comme des con- ducteurs
S CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE. 177 circonscrite à un territoire nerveux . Vulpian, qui poursuivit longtemps des recherch
(il s'agissait d'une paralysie des quatre mem- bres), les cellules nerveuses étaient en voie de destruction. » Dans une obse
la moelle une étendue correspondant assez exacte- ment aux origines nerveuses des territoires musculaires para- lysés. A cô
que de prétendre que l'alcool agit localement sur les ramifications nerveuses , du moins dans tous les cas. Lorsqu'on se trouv
on se trouve en présence d'un Archives, t. XXI. 12 2 178 CLINIQUE NERVEUSE . de ces faits singuliers de polynévrite, où l'o
essivement des phénomènes sensitifs et moteurs dans des territoires nerveux absolument indépen- dants les uns des autres, p
econnaître l'influence des altérations dites dynamiques des centres nerveux sur l'ap- parition de troubles trophiques diver
des grandes cellules motrices des cornes antérieures sur les fibres nerveuses , auxquelles elles donnnet naissance, et corolla
corollairement, sur les muscles auxquels se distribuent ces fibres nerveuses . Le symptôme capital de la téphromyélite antéri
ours elle détermine l'atrophie dés muscles tributaires des cellules nerveuses altérées. La forme primitive n'a rien à voir av
l'autopsie démontre, dans un certain nombre de cas, 180 1 CLINIQUE NERVEUSE . que les cellules des cornes antérieures ont su
e faisceau pyramidal ne renferme pas la vingtième partie des fibres nerveuses repré- sentées à la périphériepar les branches
sans altéra- tion reconnaissable, est suffisant pour que les fibres nerveuses du petit sciatique, qui naissent dans la même r
encore profondément altérés 1. » ' Vulpian. - Maladies du système nerveux , t. II, p. 536. 'F. Raymond. - Atrophies muscul
éroche. - Tu. Paris, 1870 (Des amyotrophies réflexes). 182 CLINIQUE NERVEUSE . CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE. Quoi qu'il en
te ou ne présente une certaine inten- sité que dans les territoires nerveux paralysés. Pour ma part j'incline à croire que,
queletrouble trophique se manifeste d'abord à l'extrémité du trajet nerveux , c'est-à-dire à la partie laplus éloignée du ce
ions nous font voir l'influence des troubles dynamiques des centres nerveux sur la nutrition des tissus, et particulièremen
raumatisme des connexions relativement assez directes par le chemin nerveux de l'arc réflexe. Aucune névrite n'est capable
s à l'influence directe de la substance toxique sur les conducteurs nerveux , il en est d'autres où la distribu- tion des ph
n circonscrite du névraxe. De là à admettre l'influence des centres nerveux sur la production des lésions périphériques, il
résenter, en soi, un intérêt indiscutable. ANATOMIE DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION 2 Par M. P. TROLARD, P
commence par un crochet, dont la partie effilée sé- DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 185 pare en partie la p
l'épaisseur de la corne d'Ammon, à base dirigée en DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 187 bas, à sommet allan
maintenant la substance grise de la circonvolution. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE r.'01,FAÔ'PION. 189 Extrémité antéri
ré- milé postérieure de la lame réticulée, que nous DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 191 avons vue diminuer
ance grise tranchant par sa couleur différente sur la subs- tance nerveuse de la circonvolution. Elle se distingue non seu
ette dernière le genou calleux et semble se confondre DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 193 après un trajet plu
erne était bien moins développée que d'ordt- naire. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 195 il faut ajouter de
ps godronné et de ses annexes, notamment le trigone DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 191 chez le foetus à un
ntribué à enrayer les recherches du côté de l'existence d'un centre nerveux cortical. Le bulbe olfactif ayant été considéré
une véritable autonomie, lui permettant de jouer le rôle de centre nerveux . Tout en accordant au bulbe ce rôle prédominant
au bulbe ce rôle prédominant, Broca a néamoins admis trois centres nerveux secon- daires, un supérieur, un postérieur, et
e centre olfactif supérieur est situé sur la face in- DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAI. DE L'OLFACTION. 199 terne de l'hémisph
omme parmi les anosmatiques, lui accorde cepen- dant quatre centres nerveux olfactifs, un principal et trois secondaire. C'
'attention sur les rapports de la formation ammonique DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 201 avec le trigone che
de membranes que nous avons présentés comme formant DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 203 l'origine de ce mêm
pourrait la suivre au-dessous de celui-ci jusque dans DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE 1,'OLFACTION. 207 les petites lames
avoir vu au niveau du raphé (du corps calleux) une traînée grise nerveuse qui serait en continuité avec l'origine du corp
rentes qui en sont données, je ne saurais l'affirmer. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 20H de l'ourlet. Elles
guenin, il semble que Archives, t. XXI. 14 210 ANATOMIE. APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. Lancisi n'ait pas limit
d'être , examinée plus attentivement. » (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE SUR L'ASTASIE-ABASIE1 1 Par le D' THYSSEN V
eurologie, n° 61, p. 58. ' Charcot. - Loco citato. 212 PATHOLOGIE NERVEUSE . assis. Il en est même, ainsi que nous en avons
atégorie. Aussi proposons-nous le cadre sui vant : 214 PATHOLOGIE NERVEUSE . hystériques, mais ne déterminent pas en réalit
res dans le lit) spinale per neuropthia reumatica. 216 PATHOLOGIE NERVEUSE . tion qui vient troubler l'accomplissement du f
ection n'en occuperait pas moins certaines régions dans les centres nerveux , qui détermineraient clini- - quement le même e
dieser psachopatholo- gischen Vorgilnge hinneigt. 218 pathologie NERVEUSE . cation entre la « paralysie émotive », dont pa
pure dont souffrent des gens d'une autre catégorie de ma- ladies nerveuses que l'hystérie. Le seul rapport qu'on puisse ét
triques des physiologistes italiens sur la température des centres nerveux durant le travail psychique. Dans sa réponse à
il avait établi que la fibre musculaire, séparée de ses connexions nerveuses et circulatoires, possède un pou- voir propre d
détermine pas seulement une élévation de la température des centres nerveux dans la phase sta- tique de leur activité, comm
oidissements sont dus à des processus de désintégration des centres nerveux , les échauffements à des processus d'intégratio
ogie postule pour expli- quer le mécanisme des fonctions du système nerveux . A un point de vue plus général encore, le fait
eil successif ou simultané de leurs représentations. Or, le travail nerveux de ces régions de l'écorce s'accompagne certain
aires jusqu'aux plus hautes 236 PHYSIOLOGIE. activités du système nerveux de l'homme, n'est donc, en dernière analyse, co
rait impossible s'il existait des rapports isolés entre les déments nerveux périphériques d'un organe des sens et les éléme
éments nerveux périphériques d'un organe des sens et les éléments nerveux du centre cortical correspondant. V. Les rappor
e sensitivo-motrice. VI. Les variétés morphologiques des éléments nerveux de l'écorce cérébrale n'apprennent rien sur leu
rien sur leurs fonctions : c'est dans la nature des prolongements nerveux et dans celle de leurs connexions anatomiques,
corce cérébrale dépend, non d'une diversité spécifique des éléments nerveux de ces centres, mais de la nature des sensation
res sont reliées par les nerfs. IX. Il n'existe pas de transmission nerveuse di- recte, isolée, soit centripète, soit centri
e, soit centrifuge, entre deux cellules ou deux groupes de cellules nerveuses centrales et périphériques. La communication de
nerveuses centrales et périphériques. La communication des fibres nerveuses entre elles a lieu, dans le système nerveux cen
munication des fibres nerveuses entre elles a lieu, dans le système nerveux central, non par l'anastomose des prolongements
tral, non par l'anastomose des prolongements di- rects des cellules nerveuses , mais au moyen d'un vaste réseau diffus, consti
s de fibres dé la sen- sibilité et du mouvement. , X. Les organes nerveux masculo-tendineux de Golgi sont les organes pér
s de désintégration et de réintégration fonc- tionnelle des centres nerveux . Le travail cérébral est une forme de l'énergie
aient une augmentation du tissu conjonctif, une atrophie des fibres nerveuses et avec des espaces remplis de matière comme co
p. 208. ' Leçons de Clin, méd ? 1867, p. 45. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 263 jambe droite est parétique et raide. Le ré
ts de la moelle. (La fin au prochain numéro.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Paralysie DISSOCIÉE du NERF SCI1TIQUE poplit
e épidémie d'influenza a occasionné de nombreux troubles du système nerveux central et périphérique. L'auteur a 264 REVUE D
nerveux central et périphérique. L'auteur a 264 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . observé à la suite de la grippe, chez un emplo
te, en outre, l'atrophie ou la destruction de nom- breuses cellules nerveuses et une diminution du nombre des fibres nerveuse
breuses cellules nerveuses et une diminution du nombre des fibres nerveuses . L'auteur pense que ces lésions répondent à l'enc
ns répondent à l'encéphalite parenchymateuse. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . '205 Il est intéressant de rapprocher ce fait'
tte malade, la névrose hystérie affectait successivement le système nerveux de la vie de relation et le grand sympathique e
période de temps, de douze heures environ, 266 REVUE DE pathologie nerveuse . antérieure à l'accident et n'a repris réelleme
etits capillaires de l'encéphale, que le plomb intoxique le système nerveux central. La diminution de l'élasticité et de la
facteurs peuvent se combiner. P. KCRAV.1L. · revue DE pathologie NERVEUSE . 267 X. Du DÉBUT DE la SCLÉROSE EN plaques ET D
rités symptoma- tiques sont sous la dépendance de l'état du système nerveux cen- tral lui-même émané de la prédisposition (
épileptiformes - une surdité complète. , 268 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Elle devient hydrocéphale, et meurt dans un ét
eur; OBs. VIII, tirée de la bibliographie). - REVUE DE pathologie nerveuse . 269 Au point de vue de l'interprétation, l'aph
essions optiques (cécité psychique), ou d'une altération des fibres nerveuses d'association qui unissent le centre visuel au
ons. IV. Accidents pathologiques dans les 270 REVUE DE PAl'HOf.OGIE NERVEUSE . muscles des yeux. V. Allures des pupilles sur
aux exposé avec beaucoup de clarté. P. B. XX. Pathologie du SYSTÈME nerveux sympathique (The pathology of the human syrnpct
xamine enfin le rôle qu'il joue dans la patllo- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 71 génie de différents états morbides : la mig
noyau, retrouvé intactes les cellules qui correspondent aux fibres nerveuses en question, non touchées par la section. - 4° Le
e. Ces procédés ont montré nettement à M. Greppin : 1° Les cellules nerveuses de l'écorce (1" et 2° catégorie de Golgi); 2° L
Golgi); 2° Les cellules cérébelleuses de PurMnje; 3" Les cellules nerveuses de la 2' catégorie et lesfibies nerveuses des c
PurMnje; 3" Les cellules nerveuses de la 2' catégorie et lesfibies nerveuses des couches granuleuses et moléculaires du cerv
s zonulaire et mierocelltilaire de l'é- corce ; . 5° Les cellules nerveuses de la 2- catégorie dans le corps strié; G° Les
ciatique soit resté indemne. P. K. XIX. DE l'allure DES corpuscules nerveux dans LES NERFS malades ; par A. ADAM61EWICZ. (A
tion proliférative des méninges spinales provoque, dans les tractus nerveux des racines spinales, un processus analomo-path
e déterminer l'ordre de succession : la dé- chéance de la substance nerveuse - 1 hyperplasie du tissu con- jonctif. Quoi qu'
du tissu con- jonctif. Quoi qu'il en soit, le sort des corpuscules nerveux est tou- jours lié à celui des fibres nerveuses
sort des corpuscules nerveux est tou- jours lié à celui des fibres nerveuses ; les premiers sont les éléments trophiques des
r suite, des organites dont la vitalité dépend de celle de la fibre nerveuse , ou, plus exactement, de la gaine myétinitique
tudinaux postérieurs. n M. Pick a retrouvé c un trousseau de fibres nerveuses qui commencent dans le segment supérieur de l'e
taire et l'atrophie des cellules pyramidales et des autres cellules nerveuses de la substance grise des frontales y compris l
aire correspondante) due à la dégénérescence primitive des cellules nerveuses des cornes antérieures. La dégéné- rescence des
. Névrite interstitielle intra- musculaire, névrite des gros troncs nerveux et des racines spinales antérieures. Dans les c
baire supérieur, foyers hémorrhagi- ques ayant détruit la substance nerveuse jusques et y compris le tiers antérieur des cor
ation des parois des vaisseaux; recoquillement des grosses cellules nerveuses . Epaississement des cylindres-axes dans les tro
tralbl, 1890.) Les conclusions sont intéressantes : 1° les cellules nerveuses du bulbe et du pont de Varole prennent, dans la
très active, très énergique, au processus pathologique du sys- tème nerveux central ; - 2° leurs altérations paraissent être
s altérations atteignent presque sans exception toutes les cellules nerveuses de la région; elles acquièrent leur plus haute
XXXVII. DE la genèse DE la CARYOKINÈSE dans LES CELLULES DU SYSTÈME nerveux central DES CHIENS ET DES lapins jeunes ou NOUVEA
ié- REVUE d'anatomie ET DE physiologie pathologiques. 38' ! ments nerveux ou au tissu de soutènement du système nerveux c
logiques. 38' ! ments nerveux ou au tissu de soutènement du système nerveux central. La caryocinèse se produit surtout dans
t le conduit. Moins luxuriante est la caryocinèse dans les cellules nerveuses de l'écorce et des gros ganglions. Encore moins
ut cas, jamais il ne se fait de scission du noyau dans les cellules nerveuses arrivées à leur par- fait développement. La car
es cellules cérébrales. Il est même pro- bable que, dans le système nerveux central, chaque groupe de cel- lules en état d'
out de quatre jours d'influenza fébrile. P. K. XLII. LES CELLULES NERVEUSES SONT-ELLES amiboïdes ? hypothèse A l'appui du m
RUCKHARD. (Neurol. Centralbl., 1890.) Un grand nombre de cellules nerveuses (cellules multipolaires de la substance grise d
u fin d'éléments ner- reux ou neurosponge de Waldeyer. Ces cellules nerveuses multi- polaires sont le siège de mouvements mol
te le nombre des pulsations et dé- termine la congestion du système nerveux et du cerveau. Elections pour 1891. Sont élus :
est caractérisée par la sensation de besoin, la présence d'un état nerveux héréditaire ou acquis, l'existence des stigmate
parties du tome second, qui sont consacrées aux maladies du système nerveux . L'analyse d'un cas de paralysie radiculaire du
pôt. »- Il s'agit là vraisemblablement d'un cas d'amnésie par shock nerveux . UN CRIME COMMIS SUR UN épileptique EN état d'a
uivantes : « D... souffre depuis assez longtemps déjà d'une maladie nerveuse 314 FAITS DIVERS. des plus singulières qui a
! H. Vol. XXI. Mai 1891. N" 63 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hospice DE la SALPÈ1RIÈRE. - M. LE PRorr : SÓEU
imulatrice tou- jours féconde des maladies organiques des centres nerveux , il faut s'attendre chaque jour aux surprises e
' Leçon du 24 février 1891. Archives, t. XXI. 2l 322 ) CLINIQUE NERVEUSE . plaignait d'avoir, depuis quelques années, la
., mars 1877. 3 Gubler. Gazette hebdom., n° 6, 1859. 324 CLINIQUE NERVEUSE . l'observation de Gubler est la première en dat
' Gintrac. Traité théorique et pratique des maladies de l'appareil nerveux . Paris, 1869, t. IV, p. 860. ' Duchenne. Electr
lectrisation localisée. Paris, 1SG1, 2° édit., p. 376. 326 CLINIQUE NERVEUSE . par une paralysie alterne de l'oculo moteur co
nimer un des muscles de l'oeil, et, d'autre part, le 328 8 CLINIQUE NERVEUSE . trajet intrapédonculaire des fibres qui émanen
e et sous l'aqueduc de Sylvius, donnent chacun naissance à un filet nerveux indépendant. Cette indépendance originelle, le
ilet nerveux indépendant. Cette indépendance originelle, le filet nerveux la garde dans tout son trajet protubérantiel et
et pédonculaire, de telle sorte que la totalité de ces filets 1. nerveux représente schématiquement autant de petits ner
droit. Gazelte >néd. de Pars, n° 7, p. 555, 1870. 330 CLINIQUE NERVEUSE . mination qui aura encore ici, comme dans le sy
tres variétés cliniques, mais ce ne sont en général 332 CLINIQUE NERVEUSE . que des variétés de ces deux types fondamentau
uait de ce côté. Cette hémiplégie droite, vous dis-je, 3H4 CLINIQUE NERVEUSE . a guéri complètement sans laisser aucune trace
lorsque le malade fait effort pour ouvrir son oeil et 336 CLINIQUE NERVEUSE . que, quand on cherche à la relever de force, o
trière, 1889, p. 1 tO et 118. Archives, t. XXI. ' il 338 CLINIQUE NERVEUSE . , nombre de photographies anciennes de bléphar
les hystériques. [Nouvelle Ico- nogr., 1889, p. 107. 340 CLINIQUE NERVEUSE . sommes donc en possession de plus de signes qu
mps de « crises gastralgirlues e qui s'accompagnent de 342 CLINIQUE NERVEUSE . sensation de strangulation et d'étouffement, d
ions dans son enfance, et reste aujourd'hui très émotionnable, très nerveuse . Du côté des grands-parents, dans la branche pa
coupés du côté paternel ; du côté ma- ternel, il n'y aurait rien de nerveux ou de mental. Antécédents personnels. Lu' .....
che des hémiplégiques hystériques (démarche de Todd). 344 CLINIQUE NERVEUSE . Pendant cette longue période hémiplégique (deu
r M. Vigouroux n'a révélé aucune anomalie de réaction. PATHOLOGIE NERVEUSE DE L'INFLUENCE DES EXCITATIONS DES ORGANES DES
QUE HYSTÉRIQUE; . Par Georges GUINON, chef de clinique des maladies nerveuses , et SOPHIE WOLTKE (d'Odessa), docteur en médeci
ologique. (Union médicale, 21 et 23 juillet 1874.) 348 PATHOLOGIE NERVEUSE . sujet dans le délire de la phase passionnelle
. Après son attaque il ne conserve aucun souvenir de 380 PATHOLOGIE nerveuse . ses hallucinations, mais quand on le presse fo
salut militaire, lorsqu'ils rencontrent un officier. 382 PATHOLOGIE NERVEUSE . Sulfate de quinine.-Il cherche, fait un geste
ont ses exercices avec N Archives, t. XXI. 23 334 -lit PATHOLOGIE NERVEUSE . le fusil et le sabre qu'il a mimés lorsqu'on l
ire par les excitations sensorielles était évidente, 3j6 PATHOLOGIE NERVEUSE . ainsi que l'impossibilité dûment constatée de
L.. où est-il, papa ? ... Qu'est-ce que tu veux ? j'ai toujours été nerveuse . Tu me gâtais, mon père, tu avais un penchant p
rbone. Oh ! c'est infect. (Mouvement de dégoût.) Où 358, PATHOLOGIE NERVEUSE . sommes-nous, dis ? Il ne sent pas, lui. (Elle
sse large, chaude, sur l'épaule. Où sommes-nous ? en 360 PATHOLOGIE NERVEUSE . Afrique... c'est comique. Ce que j'ai chaud !
uvelle Iconographie de la Salpêtrière,^ 1890. n° 6.) 362 PATHOLOGIE NERVEUSE . Arrivons maintenant à la description de nos ex
ituel, c'est-à-dire en essayant de lui rappeler soit 364 PATHOLOGIE NERVEUSE . DE L'ATTAQUE HYSTÉRIQUE. par la parole, soit p
e. In JI1'chi- chives de Neurologie. Juillet 1890. 366 PATHOLOGIE NERVEUSE . - de Neurologie un mémoire complet sur la même
ent vulgaire d'une part (ce qui nous a laissé penser 368 PATHOLOGIE NERVEUSE . que pour M. Ballet ces deux formes ne se diffé
a marge. 1 P. 22, loc. cit. Archives, t. XXI. 24 370 PATHOLOGIE NERVEUSE . Chez le ho 4, il n'y a pas trace d'aucun des c
ien aux cas de M. Ballet. Aussi bien s'il ne s'agis- 372 PATHOLOGIE NERVEUSE . sait que de l'observation même de M. Pitres, m
ase du traitement de M. Chervin : gym- 1 Loc. cit. 374 PATHOLOGIE NERVEUSE . nastique respiratoire d'abord, puis gymnastiqu
nd nombre de faits, on pourra mieux qu'à l'heure ac- 376 PATHOLOGIE NERVEUSE . , tuelle en apprécier la nature et l'importanc
soit que l'ébranlement périodique que font subir à leurs centres nerveux les attaques convulsives contribue à provoquer un
r H. OPPENHEIM. (Ibid.) CONTRIBUTION A la simulation DES affections NERVEUSES CONSÉCU- TIVES au traumatisme; par A. SEELIGMUE
RUSSES Réunis .1 Moscou le 15 janvier 1891. SECTION DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES. Cette section a eu trois séances d
eux, celles du 17 et du 20 janvier, étaient consacrées aux maladies nerveuses et une, celle du 19 janvier, aux maladies menta
19 janvier, aux maladies mentales. Séance du 17 janvier (Maladies nerveuses ). Présidence de M. le professeur KOJEVNIKOFF.
emandé si dans les cas où on a trouvé des lésions dans le sys- tème nerveux central et dans les nerfs périphériques, les modi
lte d'une autointoxication de l'organisme et les pallies du syslème nerveux central qui ont le plus des rapports avec l'ati-
ou s'il peut s'observer également dans une foule d'autres maladies nerveuses et mentales comme une des manifestations de la
IBLIOGRAPHIE XII. Traité élémentaire d'analomie médicale du système nerveux ; par CI ! , Féré. Paris, 1891. (Publication du
polio- encéphalomyéliles. La deuxième partie consacrée au système nerveux périphérique est, par contre, extrêmement compl
es par'Ré- gnier, 303; Traité élémentaire d'a- natomie du système nerveux , par Féré, 5G9; - Psychologie physio- logique
: , 159, 319, 4.7r,. CAnYOMfLSE dans les cellules du s's- tème nerveux , par Buchholz, 286. Cécité psychique et confusi
sonnes par Hoppe, l l6;- par Lissauer, Siemerling, 271. Cl7LLÜLES nerveuses , amibonles par Huckhardt, 290. Centres nerveu
271. Cl7LLÜLES nerveuses, amibonles par Huckhardt, 290. Centres nerveux (méthode de colo- ration des), par Golgi,278.
( altération des noyaux des -1 dans un cas de rage canine, 28G. Nerveux (corpuscules), allure des - dans les nerfs mala
ury, 159. Obsession dentaire, par Galippé, 1. Olfaction (appareil nerveux central de l'), par Trolard, 183. Optiques (c
28 (1883) Archives de neurologie [Tome 05, n° 13-15] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ES IIÉRI93EY. ARCHIVES DE " NEUROLOGIE REVUE ' DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-1
s. 1883 Vol. V. Janvier 1883. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SPASME MUSCULAIRE AU DÉBUT DES MOUVEMENTS VOLON
ez uu étranger qui eu est atteint, A)H.HI\'HS, l. V. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . probablement depuis son enfance, et qui tout r
d saisie de raideur en flexion, puis quand cette raideur 4 CLINIQUE NERVEUSE . a cessé, c'est la jambe droite qui à son tour
ncore lorsqu'on agit faradiquement ou galvaniquement sur un tronc nerveux . Ainsi en faradisant le nerf cubital au coude;
obtenue comparativement chez un individu sain avec les 8 CLINIQUE NERVEUSE . mêmes appareils. Nous avons alors augmenté l
minutes et cette fois le spasme ne s'est plus montré. 10 CLINIQUE NERVEUSE . Dans le tracé que nous venons d'analyser le sp
ans ses Recherches sur la physio- logie et la pathologie du système nerveux , décrit des phénomènes analogues. Benedikt en 1
on amenait des contractions musculaires toniques ; de 12 CLINIQUE NERVEUSE . môme avec les excitations mécaniques ou électr
nullement embarrassée. Etat psychique normal. Les 1 Il. CLINIQUE NERVEUSE . Muscles- des extrémités inférieures sont extra
l'âge de sept ans, le père est très affirmatif sur ce i (i CLINIQUE NERVEUSE . point; elle serait survenue après une grande f
rouver dans trois générations de sa propre famille où les accidents nerveux sont d'une remarquable fréquence. Sa bisaïeul
istence propre et indépendante AIICHI'I,S, L. V. 2 t8 s .CLINIQUE NERVEUSE . de cette affection, et l'identité des symptôme
c'est une soeur; signalons sa coïnci- dence avec d'autres maladies nerveuses dans la fa- mille, cas de Thomsen, affaiblissem
pas prévenu sur ce sujet, puisque son observation est 20 CLINIQUE NERVEUSE . une des premières sinon la première complète,
obser- vation de Thomsen, nous voyons que deux de ses 22 CLINIQUE NERVEUSE . ' oncles, qui présentaient les raideurs muscul
lification de paralysie spinale spasmodique hypertro- 2 1. CLINIQUE NERVEUSE . Me que propose Seeligmùller, car elle nous par
r cette tension exagérée de tout l'appareil amène une 26 CLINIQUE NERVEUSE .. diminution brusque d'intensité du son perçu p
ve- ment d'avaler, tantôt après un éternuement, ou un 28 CLINIQUE NERVEUSE . accès de toux; tantôt après un bâillement; ou
n des trompes ; scélérose auriculaire ; montre entendue 30 CLINIQUE NERVEUSE . à gauche collée au méat, et non perçue par les
uve des pressions à gauche, au premier coup, extinction 32 CLINIQUE NERVEUSE . nette du son du diapason posé sur le front à g
cessive au bruit et le vertige sont Archives, t. V. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE . facilement associés et dus à une lésion auricu
neux chez une jeune fille de seize ans ; cet état fut jugé purement nerveux tout d'abord, l'oreille ou les oreilles n'ayant
douleur frontale vive. Voilà cinq jours que cela dure. 36 CLINIQUE NERVEUSE . L'audition de la montre est excellente à 1 mèt
son qu'elles produisent, ont suivi les phases diverses 38 CLINIQUE NERVEUSE . de l'affection, et des états organiques qui ac
des membres inférieurs. » - (Lecoi2s sur les maladies du sys- tènzc nerveux , tome II, 3° édition, p. 293.) Dans notre cas,
trent fréquemment dans le passé des malades atteints d'affec- tions nerveuses . Son père, alcoolique, est mort par suicide à l'â
ût survenu une modification quelconque dans la scène des phénomènes nerveux . L'autopsie, faite vingt-quatre heures après la
r le champ du micros- cope, nous laissent voir, à côté des éléments nerveux altérés et à peine reconnaissables, un stroma f
s par une néoformation conjonctive en masse qui éteint les éléments nerveux . En définitive, sauf cette dernière particulari
110 '32, hôpital Iieaujon. Le malade ne connaît pas d'antécédents nerveux dans sa famille. Sa mère est bien portante, son p
i à la suite de l'amputation d'un membre la dégénération des fibres nerveuses pouvait remonter jusque dans le cerveau ; les o
La nommée L. Il.... âgée de cinquante-cinq ans, est née d'une mère nerveuse . Les premiers symptômes de l'ataxie, à laquelle e
our son âge, elle est de constitution délicate. Elle a toujours été nerveuse , et avait souvent de petites crises hystériques
qui approche, et se produit alors le troisième groupe de symptômes nerveux : l'évanouissement hystérique. La face pâlit, l
magna spinalis). On la rencontre vers les 8°, 9t, 10e, 110 paires nerveuses dorsales. Elle parcourt sur le sillon médian post
l'adulte, grâce au développement de la face 88 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . qui à 7 ans seulement aura établi l'équilibre
oils qui la remplace, à la postérieure. D. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Foyers scléreux multiloculaires congénitaux
que sa tête est molle et oedématiée, à ce point REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 89 qu'on prétend que la calotte osseuse n'exis
mbe; enfin des accès périodiques de congés- 9*) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tion apoplectiforme(hypérémie cérébrale) compr
illamment une rougeole violente sans aggravation du côté du système nerveux . La seconde dentition s'effectue chez elle norm
lyse chimique, y com- pris la signature P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 91 tachant parfaitement comme les réflexes exa
contre le rôle des branches du trijumeau et 92 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . du ganglion sphéno-palatin dans l'olfaction; t
et y provoquent les vibrations moléculaires des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 93 libres nerveuses irradiant jusqu'au centre
brations moléculaires des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 93 libres nerveuses irradiant jusqu'au centre olfactif du cerveau.
apeutique ne possède que deux médicaments 9Ï re REVUE DU PATHOLOGIE NERVEUSE . agissant immédiatement sur l'odorat, la strych
otecteurs de l'031l et de la région visuelle de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 95 -) Munk (atrophie secondaire du corps genou
den et Forel qu'il est étranger à la rétine. 9G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . M. Monakow insiste en manière de conclusion su
la moelle allongée, du faisceau pyra- midal. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 97 Observation III. - Foyer de ramollissement
l'existence des cavernes Archives, l. V. 7 98 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . coïncidait avec d'autres modifications du syst
HOLOGIE NERVEUSE. coïncidait avec d'autres modifications du système nerveux cen- tral, notamment de l'excavation cérébelleu
ilatation du canal central en son siège normal. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 99 On a attribué une grande importance dans la
, l'organe réagissant à peine à la lumière. 100 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Une mort accidentelle survenue sur ces entrefa
de cellules granuleuses (avant-coureurs de l'atrophie des éléments nerveux ) témoigneraient que, dès la régression clinique
a double question : Quel est, du tissu conjonctif ou de l'élément nerveux , le premier atteint dans l'espèce ? De combien de
e la règle dans le tabès ne permet qu'une série REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lût d'hypothèses pendantes'qui sont : ou avant
tis à droite. Formication et sensation vel- 103 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . vétique sur les avant-bras et les mains. Deux
dant trois mois. Durant quelques semaines para- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 103 lysie de la sensibilité des quatre membres
e (intégrité de l'hypoglosse). Tenant compte de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 105 l'acuité continue du processus, de l'excel
356.) P. K. X. ÉTUDE générale DE la localisation dans LES CENTRES NERVEUX , SUIVIE D'UNE ÉTUDE CRITIQUE SUR LES RECHERCHES
onde sur les réactions diverses des différentes parties des centres nerveux , envisageant toutes l'échelle animale. M. Duret
. Les faits ainsi puisés dans le vaste domaine de la patholo- gie nerveuse tout entière, acquièrent une nouvelle force par
nt l'affection produite par le contact direct du métal sur la fibre nerveuse . 11 est bien connu aujourd'hui, ajoute-t-il, que.
on publiée antérieurement dans le Traité des mala- rlies du système nerveux . Le 27 mai 1882, assisté par le Dr Osborne, M.
t à tous les pays cultivés de l'Europe; la constatation de troubles nerveux à l'époque des examens est générale en Suède, e
83. Vol. V. Mars 1883. N" 14. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE PARALYSIE DES MOUVEMENTS ASSOCIÉS DES YEUX; P
sion est toujours périphé- rique, qu'elle n'intéresse que le cordon nerveux ou tout au moins un noyau qui lui est exclusive
le peut intéresser encore le cor- Archives, t. V. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE . don nerveux dans son trajet intra-cérébral, fr
er encore le cor- Archives, t. V. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE. don nerveux dans son trajet intra-cérébral, fréquem- ment e
hes de MM. Duval, Laborde et Graux ont établi qu'il existe un filet nerveux qui, du noyau de la sixième paire, va se joindr
uval (Société de Biologie, 28 juin 1879) a signalé un nouveau filet nerveux , qui 148 CLINIQUE NERVEUSE. du noyau de la si
28 juin 1879) a signalé un nouveau filet nerveux, qui 148 CLINIQUE NERVEUSE . du noyau de la sixième paire va se rendre au p
onnus, on distinguera plus facilement les formes atté- 150 CLINIQUE NERVEUSE . nuées ou plus complexes. Le diagnostic des aff
ments de convergence ; . c Mouvements de divergence. 152 CLINIQUE NERVEUSE . A. Mouvements parallèles horizontaux. Observ
prononcés à droite, et que la contraction des muscles 15le CLINIQUE NERVEUSE . s'accompagne de tressaillements qui n'existent
-quatre ans. Service de M. Raymond (hospice d'Ivry). 156 CLINIQUE NERVEUSE . Symptômes oculaires. Impossibilité de porter l
é, par exemple, lorsque l'on fait regarder à gauche, 158 CLINIQUE NERVEUSE . l'oeil droit sain se dévie brusquement en deda
quante-deux ou cinquante-quatre à la minute. Il existe 160 CLINIQUE NERVEUSE . un peu d'albumine dans les urines; pas de sucr
et, qui a examiné avec soin la malade au point de vue des symptômes nerveux généraux, suppose l'existence d'une lésion en f
ui s'est reproduit plusieurs fois Archives, t. V. 11 162 CLINIQUE NERVEUSE . depuis huit jours et a laissé un certain degré
tellectuel et à l'impotence fonctionnelle des muscles. 164 CLINIQUE NERVEUSE . L'ophthalmoscope révèle l'existence d'une névr
ervice de M. CHARCOT., salle Duchenne, de Boulogne). 166 CLINIQUE NERVEUSE . Symptômes oculaires. Diplopie pendant trois mo
ccompagnent de quelques saccades ; mais leur amplitude 168 CLINIQUE NERVEUSE . est normale dans toutes les directions du rega
l'erreur soit probablement fréquente. Je l'ai moi-même 170 CLINIQUE NERVEUSE . commise, ainsi que j'ai pu m'en convaincre en
xistence d'un nerf spécial dit aer'de l'espace, annexé 172 CLINIQUE NERVEUSE . au nerf auditif, dont la lésion produit le ver
rchives de Neurologie, no 12, p. 273, et 13, 1). 24. 17'l- CLINIQUE NERVEUSE . sans que le reste de la chaîne des osselets la
esquelles le vertige ne la quitte pas. Chose curieuse, 176 CLINIQUE NERVEUSE . elle a remarqué qu'au plus fort de sa crise le
oit l'extinction brusque du son ARCHIVES, t. V. 12 ) 178 CLINIQUE NERVEUSE . crânien tandis que l'observateur constate l'ex
auditif causait immédiatement l'extinction de l'audi- 180 Clinique nerveuse . tion du son du diapason frontal, et aussitôt l
able de faire un pas; assourdi par le bourdonnement en 182 CLINIQUE NERVEUSE . jet de vapeur. S'il bouge, il se sent tourner;
iciellement vingt-deux fois sur ces cinquante-trois 184 le CLINIQUE NERVEUSE . malades. Sur les trente et un cas, où le verti
n des pressions centripètes ont pu être enregistrés. 186 CLINIQUE NERVEUSE . On doit conclure, malgré l'énorme différence d
'affection indique déjà que l'idiosyncrasie, le tempérament, l'étal nerveux constitutionnel ou acquis du sujet, toutes ces
serva- tions avec ou sans vertige, annoncent déjà que l'élé- ment nerveux entre pour quelque chose dans cette évolution m
sanguin à l'état sain, se trouve dans l'impossibilité 188 CLINIQUE NERVEUSE . de se prêter à en recevoir un surcroît si les
ertains vertiges. Aux congestifs, j'ai donné avec suc- 190 CLINIQUE NERVEUSE . ces la médication émétique; à la plupart des v
s leur bourdonnement au milieu du bruit de la ville. ' PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DES NÉVRITES PËR ! PHÉRI
affection commune. Elle peut naître sous l'influence 192 PATHOLOGIE NERVEUSE . du froid, de l'intoxication saturnine, des mal
complication dans le cours de plusieurs états morbides des centres nerveux . Elle provoque, selon la fonction du nerf qu'el
S. 193 pique du nerf malade. Pour constater les lésions des tubes nerveux et à plus forte raison pour en apprécier le deg
es malades et les lésions rencontrées après la mort dans les troncs nerveux altérés. C'est donc une simple série de faits r
ls de nos observations, les différents types d'altération des tubes nerveux que nous avons rencontrés. Archives, t. V 13
x que nous avons rencontrés. Archives, t. V 13 19t . PATHOLOGIE NERVEUSE . I Dans tous les cas de névrite spontanée non
s deux cas, on observe au début le gon- flement du noyau des fibres nerveuses et la segmen- tation de la myéline, à la fin la
s rachidiens et la moelle elle-même. , Les altérations des fibres nerveuses , dans les névrites spontanées . que nous avons
ut y distinguer cinq phases ou types d'altération. 196 PATHOLOGIE NERVEUSE . ilr Type. Fragmentation de la myéline en blocs
g. 5, 6 et 7.) A ce degré un peu plus avancé de la lésion le tube nerveux garde encore un diamètre sensiblement égal, mai
eux comble tous les points de la gaîne qui ne sont 198 . PATHOLOGIE NERVEUSE .' pas occupés par les boules myéliniques. Les n
myéline en fines granulations avec atrophie discontinue de la fibre nerveuse . Etat variqueux, monilifornie. Renflements fusi
s l'intérieur des gaines. (PI. III, Fig. 11, 12 et 13.) Les tubes nerveux présentant cette altération se caractérisent fa
issée longitudinalement et paraît absolument vide. 200 PATHOLOGIE NERVEUSE . 5e Type. Atrophie complète des tubes nerveux ;
de. 200 PATHOLOGIE NERVEUSE. 5e Type. Atrophie complète des tubes nerveux ; vacuité des g aînés. (PI. 111, 7. 14, 15, 16,
isparition complète des produits transformés de la myéline. Le tube nerveux se trouve alors réduit à l'enveloppe de Schwann
s souvent elles sont inégalement alté- rées. Alors, à côté de tubes nerveux dont la myéline est fragmentée en blocs volumin
fondément dégénérées, réduites à l'état de gaînes vides, des fibres nerveuses grêles, à con- ton ! 'sgi' ! sAh\'s, llf)Iltle.
, llf)Iltle.i t;tl'i11171C.I11Cl7tS étaient plusrap- 303 PATHOLOGIE NERVEUSE . proches les uns des autres qu'ils ne le sont d
USE. proches les uns des autres qu'ils ne le sont dans les fibres nerveuses adultes. Selon toute vraisemblance, il s'agit l
gauche 34°, 2. Etat des forces au dynamomètre : 201 le PATHOLOGIE NERVEUSE . une phlyctène de la grosseur d'une noisette qu
ifférence importante à signaler entre cette forme de 206 PATHOLOGIE NERVEUSE . névrite spontanée et les dégénératious walléri
e eu un aussi petit nombre de jours une atrophie complète des tubes nerveux .. Notons incidemment que, contrairement aux idé
du côté paralysé. État des forces au dynamomètre : 208 PATHOLOGIE NERVEUSE . de la première circonvolution sphénoïdale et d
elle n'a pu être conservée pour l'examen histologique. Des filets nerveux cutanés ont été disséqués vingt-quatre heures a
de de cette région. Il y a très vraisemblablement entre les lésions nerveuses et la nécrobiose de la peau une relation direct
oche, interne du service. .iiciiivns, t. V. 11 i 2t0 PATHOLOGIE NERVEUSE . un peu du coma et comprend les questions qu'on
dont quelques-unes semblent en voie de cicatrisation. Des filets nerveux cutanés ont été recueillis quelques heures aprè
ar des segments très courts, très rapprochés, conte- 212 PATHOLOGIE NERVEUSE . nant parfois deux noyaux ovoïdes colorés en ro
tructure normale. 2° Nerfs de la plaque /eM ? 'e gauche. Les filets nerveux recueillis à ce niveau ne semblent pas avoir ét
un travail de restau- ration. Aussi existait-il sur chaque branche nerveuse un certain nombre de fibres susceptibles d'un f
Physiologie normale et pathologique; 1868, p. 308). 214 pathologie NERVEUSE . monie droite, deux éruptions de zona de siège
t les mailles de grandeur variable entourent les débris des tubes nerveux . Ces derniers ne possèdent plus de cylindre-axe.
erpendiculaires à son grand axe, faites après action 216 PATHOLOGIE NERVEUSE . de l'acide osmique à 1 p. 150 et durcissement
iatement frappé par la diminution très évidente du nombre des tubes nerveux ; les points noirs qui résultent de la colorati
t semblent en voie d'atrophie. La trame conjonctive et les cellules nerveuses ne présentent aucune modification appréciable.
croscope. Tandis en effet que, dans la racine antérieure, les tubes nerveux ont gardé leur structure normale, dans la racin
rcelles de tissu conjonctif dissociées en même temps que les fibres nerveuses , les cellules plates ont paru plus nombreuses,
, sur le cadavre d'un sujet dont l'histoire clinique 218 pathologie nerveuse . J0 nous est malheureusement très incomplètem
s dans toute l'étendue du sixième nerf intercostal, dans les fibres nerveuses qui traversent le sixième ganglion rachidien et
ns de zona dans lesquelles on a trouvé à l'autopsie des altérations nerveuses périphé- riques. Mais ces observations sont loi
PLANCHE II. Figures 1, 2, 3, 4. Fragmentation en blocs des tubes nerveux . Fig. 1 et 4, nerfs cutanés an voisinage, de l'
rcostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux . Fig. 14 et 15, atrophie avec coloration jaune
e nerf intercostal (Obs. IV). Névrite mixte : destruction des tubes nerveux et épaississement conjonctif intra- fasciculair
es soeurs, plus âgée qu'elle, est mariée et sujette à des accidents nerveux , se manifestant surtout sous forme de gastralgie.
apparues, sans aucune particularité. Jusqu'au début de l'affection nerveuse actuelle, cette jeune fille s'est toujours asse
était un peu capricieux. La première manifestation de l'affection nerveuse s'est produite il y a trois ans (1878), sans au
découvrir son ori- gine, M. Ayres s'est d'abord adressé au système nerveux . La section du nerf optique et du trijumeau; l'
étine. Il pense en outre qu'il doit exister dans l'oeil des centres nerveux particuliers, analogues aux ganglions intra-car-
tine et dont la production n'est pas influencée par les gros troncs nerveux de l'oeil. Nous ne connaissons pas de substance
centres d'inhibition. D'après lui, quand on retranche les centres nerveux supérieurs, ou quand on sectionne un nerf, l'augm
on d'un centre modérateur, mais à une con- centration de l'activité nerveuse . Au lieu d'employer la méthode de Setsehenow, q
i, cette augmentation est due en partie l'in- terruption du courant nerveux , en partie à l'influence de la section sur les
ier cas, l'écorce cérébrale n'étant plus apte à percevoir, la force nerveuse se concentre dans les parties situées au-dessou
raction d'un seul. Il faudrait aussi tenir compte des interférences nerveuses . En dernière analyse, l'augmentation de l'excit
xcitabilité réflexe, ou, si l'on veut, la concentration de la force nerveuse qui lui donne naissance est due à l'interruptio
rveuse qui lui donne naissance est due à l'interruption des cordons nerveux . R. BL. etJ. P. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
erruption des cordons nerveux. R. BL. etJ. P. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XI. DES rapports DE l'hystérie ET DE CERTAINS S
NERVEUSE XI. DES rapports DE l'hystérie ET DE CERTAINS SYMPTOMES nerveux avec la GYNÉCOLOGIE; par HOLST. (A ? ,ch. f. Psyc
t, de l'autre des relations évidentes qui existent entre le système nerveux et les fonctions génitales (grossesse, lactatio
résulte d'un état d'irritation particulier de certains départements nerveux de la sphère génitale, indépendant de toute aff
des troubles de nutrition persistants dans l'ensemble du sys- tème nerveux , c'est-à-dire l'hystérie. Que l'irritation génita
ines (hystérie autonome) ou concurremment avec elles, la dystrophie nerveuse qu'elle détermine, désignée par nous sous le no
pera pas moins pour le traitement et de l'excitabilité du sys- tème nerveux utéro-ovarien et de l'état local des organes sexu
rale de notre savant maître. Ses recherches lui REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 237 7 ont permis de trouver très fréquemment c
l'exagération de la pression coupe un accès. La nature pure- ment nerveuse de l'hyperesthésie ovarienne aurait au reste en
les régions. La main et les doigts sont ré- 238 REVUE DE pathologie nerveuse . tractés à un degré tel que l'on aurait pu croi
; la jambe gauche, très faible, ne présente pas REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3') non plus d'atrophie. L'anesthésie, totale
e pour trancher la question si ditréreiii- 2tf) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ment comprise en Allemagne et en France, de l'
sme distingue trois lormes principales. Ils ont REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 2H pu sur leurs sujets reproduire expérimental
ambulique. Les carac- tères vraiment distinctifs de ces trois états nerveux différents consistent dans des modifications de
es divers stades de Archives, t. V. ·) (i 2V2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'hypnotisme, ne doivent être considérés que c
prompte à le montrer. Il vit alors que déjà, au REVUE de pathologie nerveuse . 2 li 3 bout de 'i.8 heures, la hauteur des sec
thode dans différentes maladies (paralysie faciale de Bell, section nerveuse ancienne, atrophie musculaire progressive). Dan
tracés sont à peu près analogues à ceux obtenus par les sections nerveuses chez les animaux, paralysie pseudo-hypertrophique
les c et a, ce qui ne peut que favoriser 34t "9 REVUE de pathologie nerveuse . des fautes d'impression toujours fâcheuses en
e et chancelante du vieillard dépend seulement de l'affaiblissement nerveux et musculaire. Quant à la nature de l'affection
e tremblement rhgthmiquc uàcilltituii-c. D. li. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 245 XVIII. De. LA DISLOCATION DES OS DU f.R1\T
uce et de celui des autres doigts. ' Il. IL 246 REVUE DE pathologie NERVEUSE . XXI. Tremblement observé au cours d'une fièvre
prolongées, ce qui est le cas de ses deux Ci[ REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 247 XXIII. PÉRIMÉNINGITE SPINALE AIGUË par G.
é. L'hyperthermie, l'anesthésie, la douleur 218 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . raciiidienne, les troubles rectaux et vésicaux
) L'auteur fait une rapide énumération des principaux symp- tômes nerveux observés dans cette affection, notamment les ph
ibue ces hallucinations à ce que. dans le myxoedème, les extrémités nerveuses sont tellement isolées et comme capitonnées qu'
oedémateux, solide, de la peau et du tissu con- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 2 i 9 jonctif est dû à une forme d'obstruction
sourd-muet-aveugle. M. WALDEYKR (de Strasbourg) : Des terminaisons nerveuses dans les muscles. Il s'agit de recherches faite
eur a reconnu l'exactitude des données de Brenner, quant aux troncs nerveux moteurs. D'une manière générale, la formule se
exe ; ainsi l'exci- tation d'une étendue de muscle pauvre en filets nerveux par l'anode provoquera une forte contraction à
le l'était peut-être au début. Les lésions systématiques du système nerveux de par le seigle ergoté et le plomb ne constitu
lique el spécialement du Kt pour les lésions spécifiques du système nerveux central 1. M. BAuiLFn (deFiil)otir- , montre
syphilis dans le développement de certaines affections du sys- tème nerveux et en particulier du l'ataxie locomotrice. Pour l
veloppe pâles, mais distincts). Les grosses cellules ganglionnaires nerveuses , de quelque centre qu'elles proviennent chez l'
nt l'époque où s'accentue la différence d'action entre les éléments nerveux et conjonctifs, on trouve exclusivement ou pres
erne la pathologie, Strickeret Ungcronl découvert dans les cellules nerveuses enflammées des altérations particulières qui pe
r Brun et. Thèse de Paris, 1883. Des symptômes laryngés d'origine nerveuse dans le cancer de 1'oeso- phage; par Genty. Thè
3s3. Vol. V. Mai 1883. N" 15. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A' L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS MOTRI
us Revue mensuelle, 1877. Archives, L. V. 18 274 zon PATHOLOGIE NERVEUSE . ne pensons pas que l'on puisse dire, par exemp
Voir i Bulletins de lit Société, IS82, p. 192. )7(i ' PATHOLOGIE NERVEUSE . ' Au membre inférieur, la paralysie est absolu
»i» g-i'i- » - il /un ' ? ( -i1 >di il -v 1 Outre les -symptômes nerveux qui précèdent, on constate que la malade est pâ
sions très pro-, ' ' '" ' I . , n.r I - ! 1 me I 278 8 pathologie nerveuse . .·IwU; ,t r' m, )'lf ? 7 li « i , * m ? f ? ^i
e de médecine et de chirurgie; il ? 1 et 2, 1880,) 280 PATHOLOGIE NERVEUSE . I 1 . i 't1 , , l,il u - / ' i ' " " ' ' i d
re inférieur gauche, avec crampes dou- û4 . W '' %'1 'I'.W'lIOLOGIE NERVEUSE .' a ' a t i ' IW ' ' 'f' ' - t'fi J·iw loureu
ons de mentionner lès faits dont il s'agitez 386 m 1 ? ' PATHOLOGIE NERVEUSE ., . "I)s sont de deux-ordres, dans] ceux .d'une
les localisations corticales. Thèse de Paris, 1879. 288 PATHOLOGIE NERVEUSE . taux, 1878), Haddon (Biaiii, p. 11, 1878), Fer
*'e- ? .SIWiV1/Sn icr arrst ? rrsii'I s-WWlts 'TU .292 , PATHOLOGIE NERVEUSE . tLuy,.ll1 k' ? M\ igilillt 9-t 4' yiiaa. 1 2r
enton ? t ? n.))f) ? )uh1.i<'j...,...,n ? [ ? 29t ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE . ' ' et de la lèvre inférieure. Ces derniers sy
crachoirs.' T.37j°,2; pouls, ti.J·,1 r ! ·,- 1' ! r. 296 PATHOLOGIE NERVEUSE . -. - '-Dans 1 après-midi la température s'élèv
les branches terminales qui rampent sous la 298 | ' ' PATHOLOGIE-. NERVEUSE . · muqueuse de la lèvre inférieure, ont l'aspec
'iky ait.inij,peu1,de4pn^imc^nà"nlâ1cônstip^tion^Lcs 302 PATHOLOGIE NERVEUSE . urines sont normales ; mais la malade urine le
le même .volume et la même coloration que du côté opposé.- Système nerveux . = L'encéphale est sain; l'examen des mé- ninge
e présentent'rien.d'anormal.' Sur plusieurs, préparations les tubes nerveux paraissent avoir 30 ' ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE.
préparations les tubes nerveux paraissent avoir 30 ' ' ' PATHOLOGIE NERVEUSE . leurs' caractères normaux ; on'ne'trouvo aucun
ique gauche. On aperçoit distinctement, au milieu des . faisceaux nerveux , un certain nombre de libres altérées et présenta
11 t w -' '1 ",f il On ne trouve pas dans ces préparations de tubes nerveux de nouvelle formation.twlr (1·1 ? m ? l' i. i/i
de]);'ataxie.' D'autres ! 1 Aucun i : s, t. V. 20 306 PATHOLOGIE NERVEUSE . raisons rendent les doutes plus légitimes. Si
t;J;)- u ? n ')< : c.tt0)f;t)n) ? ft m ;IY Jtl)J). ,·1 v rations nerveuses périphériques dans le;membre affecté soe, n A ?
''d'étre dans une''m6dificati6nspécia)è'de l'activité1 dû 'centre nerveux * I .11 . vlle)itt il` t crlll u1't1 1J : , rl7tln
l ^"V ]fW./tt)' "îVi- V ' 1 résultat, ! 1 action spéciale du centre nerveux a du luter- - ti t Mm a- ? » ' r rl' 11`1 '-(,i
d'action d'arrêt qui détruit la modi- iication spéciale du centre, nerveux , .premièrement ÉTUDE DE L'HYPNOTISEE CHEZ LES H
l'intérieur de la moelle entre les différents groupes de cellules nerveuses qui correspondent'aux'groupes mus- culaires ant
tre dans' une ' modification 'spéciale- de"l 'activité' du" centre' nerveux . - m ,n ....' / 1. 'j -If l\) 1)( ? Un phénom
rivée ou nerfs sensitifs ;h2° le,, lieu, de réception,' ou centre' nerveux ; '3° le1 chemin 'de -retotir -oui iierfs mo- 't
jqui ont pour, propriété le,, .disparaître l'excitabilitéidu centre nerveux doivent.né- t cessairem.ent.Je faire.disparaîtr
, - ,i T-- i'Ii , , , , ? 1 . i-li> 9 1 4, , j,j 1 e tt 1 > 1 nerveuses organiques, n'est pas sans .donner .quelque t ?
.-T-'Alfi' Ii-ttI t ,, ? 1.1-071 ? it ? ilililll ynu marnfestations nerveuses , multiples, que nous avons, vues se , ? 1'" ? r
. VHI-, |... ? J. t. 1jh| ,nhi, ,. "h petit abcès dans la substance nerveuse , une zone de congestion, ' ? .r .I1 11 ? H ? ))li
, " , publions ici' : lque les`11é- ? t.(.t't ? jftf ? [ t 4.1 ) z nerveux , les lésions 'de ses enveloppes ou des organes
i stir,ce, fait que des lésions même peu importantes, des, centres, nerveux ? des organes protecteurs, ou qui avoisinent l'
y hm : l1 -.\,-\ .Vi .;\i> '.«T ? m\ ? i'i-7/ L étude des plexus nerveux lormés parles paires spinales, et^qui, donnent
rédominant au niveau, des noyaux ,d origine de cer- ..gaines fibres nerveuses ou au niveau de, leur; émergence Une t paire ne
aines fibres nerveuses ou au niveau de, leur; émergence Une t paire nerveuse peut, donc être affectée soit dans' le'canal rrié
au du trou de conjugaison, et en imposer pour une lésion d'un tronc nerveux périphérique; ce, sont des faits qui,ont, été m
de muscles, toujours .les mêmes, sans que le. domaine, d'un. tronc nerveux soit, tout -, entier ou exclusivement pris-^En
liysiologiquemeiitles plexus. rrLc r'o,le,rl,es nérfs et des paires nerveuses étant connu, il (levicii- ,i drait plus facile
.. , ).)..., tes racines ont pour but de transmettre par les troncs nerveux ,il " ? t , ? . nécessalres am muscles - It " "
érentes' combinaisons fonctionnelles. La section do , chaque racine nerveuse détermine la paralvsie d'un'môuve- 1·tfiti 't`t
e 1 lien, c 1 la t)'on'cotipe ou'on excite électriquement une paire nerveuse ;on paralyse ou on excite un groupe de muscles c
que chez l'homme, l'excitation, ou-.la. destruction d'une ci paire nerveuse ,, détermine, la-, contraction ;,ou» la .paralysie
peut)pas il( admettre un seul instant que chez l'homme, les paires nerveuses on aient toujours,une même constitution identiq
donnent toujours une même proportion de fibres aux mêmes 1 troncs nerveux . Quand on, examine la moelle, , il est facile d
es soit antérieures, soit postérieures qui' constituent' une paire' nerveuse ,' sont' souvent en'nombre différent et de volum
! qùe,' lâ'plup'àrt'du"" temps,ril manque une ou'plusieurs paires1 nerveuses ,' principe' lement dans larégion'dorsale. En ou
ër'giquës né'sônt pôilitl'ëôils ? tamment'groupés'dans les ! paires nerveuses , et qu'au contraire'1^ leur mode de combinaison
xiste une'SYstématisation fonction- ' -f nellei dans chaque 'paire, nerveuse .- <niin ? ? - ' Le seul ! point 'qui soif'ét
oint 'qui soif'établi par "esl'dissetions ? c'ëst' que chaque paire nerveuse fournit' plusieurs nerfs;'dâns'jdesprô= ' porti
p. 110.) . r " ? "<- Archives, t. V 22 DISTRIBUTION DES PAIRES NERVEUSES QUI CONSTITUENT LE PLEXUS BRACHIAL SUR LES PLEX
dances ne sontjpasfondamen- ' llîg. 2. - des pnuc[pates)jranc ! )es nerveuses fourmespar les ! huit paires cervicales et')a.*pr
n nnu1 rl mi · In v ;» · 4, I'iy : 3. ocnema'despnnetpntes branches nerveuses tourel ! estpar,les paires lombaires et sacrées
avous faites relativement aux varié- tés de distribution des paires nerveuses du plexus brachial aux» nerfs qui en émanent, n
roupement sys- tématique dans les trous de conjugaison-; des fibres nerveuses se rendent aux muscles,, à la peau qui les reco
es variétés anatomiques démontrent ne pas exister dans les paires nerveuses , n'existe pas, au contraire, dans la moelle; mais
il ne s'agit plus de chercher à quel nerf se distribue telle paire nerveuse ou de quelles paires nerveuses tel nerf tire son
à quel nerf se distribue telle paire nerveuse ou de quelles paires nerveuses tel nerf tire son origine, il faudrait étant do
la périphérie vers le centre, dans tout son trajet le long du tronc nerveux . dont il émane, et le suivre à travers le plexu
x. dont il émane, et le suivre à travers le plexus jusqu'à la paire nerveuse . Enrépé- tant cette opération pour chaque nerf
, on arriverait a. s'assurer si les origines de ces diverses filets nerveux sont toujours, à leur origine, superposés régul
avons essayé de mettre en pratique, t ± ~ . >t , Certains troncs nerveux sont bien nettement constitués part des cordons
recherches de Krause, d'où il résulte qu'il existe, dans les troncs nerveux eux-mêmes de véritables .plexus, à-<peu près,
omplexe, de sorte qu'ilest en général impossible de suivre un filet nerveux de son extré-, mité périphérique à la paire ner
suivre un filet nerveux de son extré-, mité périphérique à la paire nerveuse qui lui donne naissance.- - Nous avons cherché
solument inextricables;, et quand, on considère à'la loupe'un tronc nerveux bien dépouillé, de, sa, gaine ! conjonctive,"on
x dans un plexus veineux : il faut renon ? ;, cer à suivre un filet nerveux dans cette intrication., Cependant, il faut dir
systématique des.'ra-.q cines'des différents,nerfs, que les filets nerveux naissent de-laiq moelle dans' un ordre constant
ns' un ordre constant : a partir de son origine spi- nale, un filet nerveux peut sortir soit par un trou de comparai- son,
er, à, la.même destination. EnlI' somme, dans'.le trajet des fibres nerveuses , il ne parait y avoir"' · que deux points const
? ,, t'If , tfï litijlàu ) , J. '41 ? - 1, combines'dans lesTtaires nerveuses ,1 ces, résultats quiequivau-jb draient àuiieldi
océdés de dissection actuels, il, est bien, démontré que les paires nerveuses n ont pasf otujoüszmnéônstitution,,I Mentioue'-
'911z,z'ltllztzyl,t 1LZ ? t ? b ? y ? iriy,t ? REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXVII. RECHERCHES ET observations SUR l'hystéri
quand une puissante excitation galvanique des plexus et des troncs nerveux engendre des mouvements convulsifs inconscients
elles du cerveau, l'inexcitabilité du trijumeau revue DE pathologie nerveuse . 317 étant demeurée entière. A raison de la non
culaire des 'petits vaisseaux du'centre'optiquc REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ;t i J cortical (région occipito-postérieure)j
. Telle est, en effet,' la rubrique, sous ' 350 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . laquelle M. Rosenthal expose l'historique de l
- Neurologie] t. 11, p. 1'2'2.) -1 ' .. 1 . - . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . -3jl sympathique après lésion cérébrale cliniq
, par la dépression des ganglions centraux 352' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . vaso-dilatateurs (prédominance des vaso-constr
ne étendue suffisantes, mais non exagérées, dé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 353 . .- J . terminent une Iivpertbermie de
5's- ? 'i ? y-tir/ "il , -'11' ! '' 4"1, 41 . 1 . 1, , z. 1 . terne nerveux vaso-moteur et des plexus spinaux, communi- cat
en- , . tl ? ( il · t lit -. ,1 > ? T- , ,lj , ? ? I , ,ll , I nerveux du derme et la cavité sous-arachhoidienne branche
"un h ' 'l y m '' ISCIll1'CS, t. V. 23 35 si REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . larmes, après deux nouvelles attaques, cessent
ement chaque matin pour les deux yeux. D. li. revue de pathologie nerveuse . 355 contraction idio-musculairc. Trépidation r
us rare de crises gastriques, caractérisées 356 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . essentiellement par des vomissements non doulo
ie locomotrice, Paris, 1882). D. B. XXXII. Altérations des cellules nerveuses D1NS'L'IN1L : lvi- ' TIrl1'ION de la moelle épi
nt en revue la plupart des alté- rations que subissent les cellules nerveuses dans'les différentes variétés de myélite, à'sav
près qu'on lui a soustrait une quantité plus ou REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 357 moins considérable de liquide. Tout au con
té dans le protaplasma de la cellule, de l'autre côté dans le tissu nerveux voisin. 31 Ces mêmes corpuscules se retrouvent
s mêmes corpuscules se retrouvent loin des cellules, en plein tissu nerveux , et cela aussi bien dans la substance blanche q
ture et l'origine de ces cor- puscules ? A l'intérieur des cellules nerveuses fortement colo- 35S REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUS
ieur des cellules nerveuses fortement colo- 35S REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rées par le carmin, ils restent blancs ; donc
atoire. Ces boules de myéline seraient incorporées par les cellules nerveuses , lorsque celles-ci ont été modifiées par l'infl
ération vacuolaire » ! celui d'infiltration médullaire des cellules nerveuses ? 1, ' ' " ' ' ' 1 4° Altération pigmentaire et
et atrophie pigmentaire. L auteur pense que le pigment des cellules nerveuses est de provenance hématique. On le'verrait augm
phases de l'al- tération et de'l'atrophie pigmentaires des cellules nerveuses .' En résume, le mémoire de M. Barraquer soulevé
- des psychoses, appartenant à la même période et au même appareil ( nerveux ), doivent être reliés à l'état des reins. Ces p
es au-dessus de la moyenne. Ainsi dans les familles dont le système nerveux est atteint, l'hérédité non croisée (mêlée ou u
sympathique, et termine en citant des cas d'otllématome sans lésion nerveuse centrale (G uéniot et l,odentu, Heyfolder, l3as
· ? 1.'aifectum peuaHeindrO) certains déparLoment-s.) du s3'tiattn nerveux central dprmit : ro.impot.ancc;;t,cmoinsqIes,symp
e doit ne se manifester que lorsqu'une somme considérable de tubes' nerveux ou de racines a subi la destruction. » Quoi qu'
ence réflexe; parWESTPiiAL : Société de psychiatrie et des maladies nerveuses de 7 ? (A'cle. f. Psych. u. lYei,veiiki,a71k.,
s lors douloureux, devenant le point de départ graduel de symptômes nerveux , d'abord irritatifs, puis psychopa- thiques (ag
le cas com- muniqué par lui à la Société de psychiatrie et maladies nerveuses de Berlin', dans lequel l'autopsie décelait les
curable. Mais, cet état, se rapportent L maintes/ormes d'épuisement nerveux , nombre d'affections intercur- rentes de divers
dt admet-il simplement comme pathogénie une excitation des éléments nerveux de lamuqueuse stomacale du fait de la prolongat
rigine mécanique. Le traitement a pour effet de rendre aux éléments nerveux leur vigueur et leur résistance; de là, la disp
ression hémisphérique ; il semble qu'on ait enfoncé dans la matière nerveuse une bille de billard de petit calibre. Cette dé
rme de trem- blement sénile, soit sous forme de toute autre maladie nerveuse , l'hystérie par exemple. La fréquence serait la
re, et Lamarre pour son ouvrage intitulé : Sur le rôle du sys- tème nerveux dans les affections du CCE2l>'. Protection D
se spécialisa dans la pratique de l'électrothérapie et des maladies nerveuses . Son premier travail (1866) a pour titre : Elec
sévère. Citons encore ses études sur la Neurasthénie, l'épuisement nerveux (lmca·icaz nervousness) : si Beard n'a pas été
de SI. Boucbut, il a plus que personne contribué à dégager cet étal nerveux de ses complications, et à montrer qu'à lui seu
poque il avait publié un certain nombre de travaux sur les maladies nerveuses , parmi lesquels nous citerons des articles sur
t plusieurs mémoires sur les troubles laryngés dus à des affections nerveuses . Le rédacteur-gérant, 130UIvNEV'ILI E. TABLE
thal, 310. Hystérie (des rapports de 1' et de certains symptômes nerveux et de la gynécologie), par 1 lolst, 230. Hyst
ques de la), 962. .Moelle épinièrc (altérations des cel- lllles nerveuses dans l'inflamma- tion de la), par Barraqucr, 35
articulière et curable), par Déjelinc, 3311. Myxoedème (symptômes nerveux du), par Ilatlllcu, 953. Nécrologie : Fox, 27
ration des chez les animaux et chez l'homme), par Amidon, 2'i2. Nerveuses (terminaisons dans les muscles), 258. Né\ rit
uches, par Giraudeau, 289. Surmenage intellectuel, 123. Système nerveux (sclérose multi- loculaire du), 88. Tabès (su
. PLANCHE II Figures 1, 2, 3, 4. Fragmentation en blocs des tubes nerveux . Fig. 1 et 4, nerfs cutanés au voisinage de l'e
rcostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atrophie complète des tubes nerveux . - Fig. 14 et 15, atrophie avec coloration jaun
» nerf intercostal (Obs. IV). Névrite mixte : destruction des tubes nerveux et épaississement conjonctif intra- fasciculair
29 (1893) Archives de neurologie [Tome 25, n° 73-76] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
DE r' NEUROLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
Vol. XXV. Janvier 1893. Nu 73. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . HÔPITAL SAINT-ÉLOI DE MONTPELLIER. CLINIQUE MÉ
ilités, même la sensibilité muscu- Archives, t. XXV. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . laire sont fort bien conservées. Il y a donc c
ique, que Blocq et Onanoff ont consacré à la séméiologie du système nerveux . «Nous ne saurions, disent-ils 1, à l'exemple d
'il s'agissait d'un hystérique, ou d'un individu à tempérament très nerveux , je vous dirais, en attirant votre attention su
ion ait 1 Blocq et Oiianofï. Séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses . 1892, p. 62. 4 CLINIQUE NERVEUSE. joué ici
gie et diagnostic des maladies nerveuses. 1892, p. 62. 4 CLINIQUE NERVEUSE . joué ici un rôle quelconque. Le père est migra
oué ici un rôle quelconque. Le père est migraineux, et sa mère très nerveuse . A l'Age de dix ans, il aurait eu une anasarque
syphilitique. Tabes spécifique, 1882, p. 6. ' Maladies du système nerveux , 1. 1, 1878, p. 329, et t. II, 1879, p. 689. 3
ées sérieusement et sont suivies bien moins fréquemment d'accidents nerveux . En soutenant cette doctrine, j'ai toujours ess
r et celle de Charcot sur le rôle étiologique capital de l'hérédité nerveuse dans l'ataxie locomotrice. Les deux ordres de c
us comprenez, en effet, sans peine que chez les personnes à système nerveux faible, impressionnable, par des prédisposition
1 Chauvet. - Influence de la syphilis sur les maladies du système nerveux central, th. d'agrégation, 1880. 3 Pierre Marie
rre Marie. Leçons sur les maladies de la moelle, 1892. ' 6 CLINIQUE NERVEUSE . syphilis l'origine unique et constante du tabè
urs étiologiques trou- vons-nous ? D'abord, il possède une hérédité nerveuse mani- feste démontrée par les migraines du père
pour comprendre l'influence néfaste du chemin de fer sur le système nerveux , il faut tenir compte non pas seulement des sec
veau Montpellier médical, décembre 1892 et janvier 1893. 8 CLINIQUE NERVEUSE . ' façon plus accentuée, et perd l'équilibre lo
quelquefois se montrer isolément. Aussi, Charcot a 10 0 PATHOLOGIE NERVEUSE . décrit un tabès sensitif réduit aux douleurs f
pê- trière, sur ce point comme sur bien d'autres de la pathologie nerveuse , d'avoir remis toute chose à sa place, et d'avoir
âge assez avancé ; pas de déments, pas d'originaux. z2 PATHOLOGIE NERVEUSE . Antécédents personnels et histoire de la malad
ternels s'ajoutent ceux du côté paternel quevoici : 14 PATHOLOGIE NERVEUSE . Père, quarante-huit ans, sanguin, coléreux; pa
. Enfin, la mère présente des troubles coprolaliques' 16 PATHOLOGIE NERVEUSE . dont le trait saillant est de ne pas échapper
sur l'abdomen et ensuite ramené Archives, t. XXV. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . vers la tête ; du côté de la face on note simp
s de remercier ici notre distingué confrère M. le 20 0 , PATHOLOGIE NERVEUSE . l'acte de porter la main' sur la partie latéra
jour. » ' " - De la sorte, ça va bien. » ,... . 1 . 22 PATHOLOGIE NERVEUSE . le dos, elle le répand à terre. Interrogée sur
rette. Archives de Neurologie, vol. IX, n° 2v, p. il. II PATHOLOGIE NERVEUSE . mais, dans le cas actuel, n'est pas exaète. En
des trois soeurs, l'une, est âgée de vingt-cinq ans, anémique, très nerveuse , mais sans attaques convulsives; une autre a tr
eu J... au bout d'un au de. mariage; trois ans après, 26 PATHOLOGIE NERVEUSE . seconde grossesse, elle donne naissance à une
une autre fille, âgée aujourd'hui de neuf ans et demi, lymphatique, nerveuse . Dans les antécédents, on ne note aucune maladi
poitrine à l'âge de deux ans et demi qui a laissé une toux sèche, nerveuse ; à quatre ans, rougeole; pas de convulsions, pas
éralisées par minute ; par contre, si l'attention est 28 PATHOLOGIE NERVEUSE . tenue en éveil, il s'écoulera vingt, trente se
tisme ; mais, de même que Aucune, t. XXV, 3 34 R.&TFIOLOGIE . NERVEUSE . z l'émotion leur adonné naissance, de, même el
- Inscription des mouvements du bras droit de J... V. 36 PATHOLOGIE NERVEUSE . sur les stigmates hystériques ; la force muscu
par des mouvements involontaires avec troubles divers du système nerveux . Les mouvements, d'abord limités, se généralise
ns le moindre rythme, avec l'a rapidité de l'éclair. Les troubles nerveux consistent dans l'émission involontaire de paro
actères, à l'exception de la plupart de ceux afférents aux troubles nerveux qui manquent en partie, se retrouvent chez la m
d'autre part elle est consécutive à la dégénérescence des cellules nerveuses ; mais est-ce que dans l'une et l'autre affectio
nt, sont considérés comme deux des principaux facteurs des maladies nerveuses ; et si l'on admet l'efficacité de la diathèse,
escendants les mêmes conséquences étiologiques... * 38 PATHOLOGIE NERVEUSE . par M. Charcot des mouvements des tiqueux et s
s, graduelles, progressives 2 ». Arrivons aux troubles du système nerveux . Dans notre cas, l'écholalie seule est manifest
ouvent le mouvement convulsif, certainement ce trouble du système nerveux fait défaut chez la malade. Mais si on étend sa'
uinon. Revue de médecine, 7' année, Il'' G, f. 511;. 40 .PATHOLOGIE NERVEUSE . DE LA MALADIE DES TICS. des lésions relevant d
tion, de son évolution, des qualités du mouve- ment et des troubles nerveux . Elle se manifeste dans le jeune âge : quatre a
us avons 1 Voir Archives de Neurologie, p. 387. , . 42 PATHOLOGIE NERVEUSE . exposées donnent lieu à quelques considération
le quatrième cas, le caractère hystérique du bégaie-- 44 PATHOLOGIE NERVEUSE ., ment, du bredouillement et de la monoplégie c
asionnelle de Fig. 13. - Examen du 1" juillet 1892. 46 PATHOLOGIE NERVEUSE . la crise ? L'on serait tenté de le croire, si
. Antécédents DE famille. La famille de AU... est exempte de tare nerveuse . Ses parents sont morts à un âge très avancé. Il
Du reste, pas de trouble du langage parlé ou écrit. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE . Motilité. AU..., en se mettant en train de mar
me sujet, thèse de Paris, 1SS7. Archives, L. XXV. 4 50 PATHOLOGIE NERVEUSE . posent à l'hémorragie cérébrale. La preuve que
us d'une bonne santé. Personne de sa famille ne souffre de maladies nerveuses . Antécédents personnels Bo... n'a jamais eu de
à convexité droite. Bo... ne peut pas se tenir debout 54 PATHOLOGIE NERVEUSE . avec les talons rapprochés que pour peu de sec
, dans une zone de forme triangulaire ayant pour base 56 PATHOLOGIE NERVEUSE . la clavicule, les impressions tactiles et dolo
il y avait donc probablement une- paralysie du.facial 58 PATHOLOGIE NERVEUSE . - droit, évidemment d'origine périphérique, à
Tolken. Beabachtungen über hysterischen contracluren. 60 PATHOLOGIE NERVEUSE . ment elle peut être observée dans l'hystérie d
ous fait connaître avec une précision pour ainsi dire 62 PATHOLOGIE NERVEUSE . mathématique l'état mental de B...; en outre d
morbide. Il s'agissait d'un homme très vigoureux, sans antécédents nerveux , avec des stigmates hystériques très imparfaits
s ' Y. Charcot. Leçons du Mardi, 1887-1888, p. 111. 64 PATHOLOGIE NERVEUSE . - L'HYSTÉRIE ET LE CERVEAU. notre cas, cette d
ntre que de prudence est nécessaire dans le diagnostic des maladies nerveuses , même lorsque, par l'apparence et par l'attitud
uéri et indemne d'un retour offensif assez rapproché. Sa décharge nerveuse , ou plutôt son élimination toxique ayant eu lieu,
le sang. Ces toxines retenues dans l'économie excitent le sys- tème nerveux de différentes manières suivant les individus,
, Mairet et Lemoine sur les troubles de nutrition dans les maladies nerveuses . M. Lemoine, dans la Gazette des hôpitaux, 1889
ion de la fonction sécrétoire qui est sous la dépendance du système nerveux . Cette lésion de fonction agit à un moment donn
des symptômes qui nécessitent l'intervention de tous les appareils nerveux connus (circonvolutions, bulbe, protubérance, e
stique ; mais, cette auto-intoxication est favorisée par un système nerveux défectueux congénital ou acquis, agissant sur l
ur toute la nutrition en général. Cette prédis- position du système nerveux à contracter ces troubles nutri- tifs est due à
bstance blanche et grise de la moelle, même au microscope; cellules nerveuses normales. Rien qui puisse expliquer la paralysi
ntique. Jeunes et âgés appartiennent à des familles où le sys- tème nerveux central est électivement frappé de déchéance, et
central est électivement frappé de déchéance, et où les affections nerveuses sont prédominantes, sinon exclusives. L'origine
ffections nerveuses sont prédominantes, sinon exclusives. L'origine nerveuse , cérébrale, de ci s morts subites, étant admise
résultat de congestion cérébrale apoplecti- forme, ou d'aploplexie nerveuse , cette dernière étant un accident de nature épi
n, hypothermie pouvant atteindre 3 et 4' degrés; du côté du système nerveux , phénomènes consistant suivant les doses, en un
ale pour ce qui concerne toutes les fonctions autres que le système nerveux . Pour ce qui concerne le système nerveux, on re
ns autres que le système nerveux. Pour ce qui concerne le système nerveux , on retrouve dans tous les cas des symptômes se
ielles sont d'origine centrale, mais il peut se faire que les voies nerveuses périphériques entrent simultanément en vibratio
chiasma; elle montre que, dans tout nerf optique, il y a des fibres nerveuses qui appartiennent à la bandelette du même côté
tés étaient atrophiés. P. Kéraval. VI. Des altérations DES cellules nerveuses DE la moelle; par K. SCHAFFER. (Neurolog. Centr
st affecté. 3 Il s'agit d'une dégénérescence partielle des cellules nerveuses entraînant la diminution de fonction. P. K. V
élite transverse élevée ; quand il y a lésion anatomique du système nerveux accompagnée d'excès des fonctions de sensibilit
us gros, qui va directement dans la couche optique et les ganglions nerveux adjacents ; dans la cap- sule interne même, exi
racines ascendantes, au moyen du plus fort calibre de leurs fibres nerveuses , ce qui permet de reconnaître que la racine des
n de volnme de la substance de soutènement; compression des tubes nerveux ; tuméfaction, puis segmentation en grumeaux des
a dégénérescence secondaire demeure des mois limitée à la substance nerveuse , 'ce n'est qu'à une période avancée que le tiss
elle est graduel- lement remplacée par la karyomitose. Les cellules nerveuses n'y prennent aucune part. P. K. XV. Contribut
SIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XVIII. LES CORPUSCULES amyloïdes DU SYSTÈME NERVEUX ; par E. REDLICH. (Jahrberch. f. Psychiat., X, 1
décharge, des stries ou des plis sur le revêtement corné des fibres nerveuses (cônes et bâtonnets). Etudes de Kuehn, A. Fick,
lieu par exemple que sur un cône et, par suite, sur un seul élément nerveux ; une impres- sion composée, une image résulte d
ession qui affecte simultanément les extrémités de plusieurs fibres nerveuses . La force de chaque impression dépend de l'expl
reste de la charge empêche l'affaissement de l'enveloppe des fibres nerveuses ; la strie ne se produit pas. Une image peut man
est pas assez épaisse, parce qu'il n'y a pas assez de prolongements nerveux pris dans une explosion commune. L'action de
courants électriques; ils suivent ces éléments jus- qu'à la cellule nerveuse du cerveau où, les mêmes conditions phy- sico-c
us ou moins grand nombre de raies sur une seule et même terminaison nerveuse de l'appareil sensoriel. Cette théorie chimique
intense qui témoigne de l'hyperex- citabilité impulsive du système nerveux , soit un affaiblissement progressif avec exagér
u dans les idées est une psychopathie due à l'épuisement du système nerveux par le surmenage physique, l'anémie, les maladi
des altérations musculaires, une atrophie très prononcée des fibres nerveuses , dissociation de la myéline, tuméfaction des cyli
ésé contient, sur tout le trajet depuis l'en- trée dans les centres nerveux , jusqu'au noyau beaucoup de masses noires carac
t par les lésions consécutives des éléments cellulaires des centres nerveux . On pourrait invoquer ces mêmes lésions pour ex
git ici d'un seul et même poison, qui se produirait dans le système nerveux sous l'influence des causes différentes par- mi
huit mois, eut six rechutes'du même complexe de troubles du système nerveux . Les rechutes se suivirent à intervalles à peu pr
cessus anatomique s'est propagé sur le segment supérieur du système nerveux , il s'appuie sur un cas de gliomatose spinale a
que des nerfs et des muscles. L'auteur croit expliquer ces troubles nerveux par l'excitation de la moelle épi- nière, déter
santé de la malade n'est pas satisfaisant, elle est encore faible, nerveuse . Vu les résultats obtenus, l'auteur en- visage
re un Traité complet de l'histo- logie fine des maladies du système nerveux . Cette histologie est bien décrite dans les tra
ption de l'anatomie pathologique d'une partie déterminée du système nerveux , illustrée d'un grand nombre de planches lithog
eursdécrivent en premier lieu l'histologie normale des terminaisons nerveuses : nous trouvons ici à signaler particulièrement
ations des plaques motrices dans les diverses affections du système nerveux central et périphé- rique : maladie de Charcot,
e motrice. et de la sensibilité,- un ralentissement des pro- cessus nerveux et un affaiblissement^ intellectuel.' Cette influ
intellectuel modéré entraînant une exci- tation générale du système nerveux s'accompagne d'une sensation de bien-être, de p
xcessif comme l'inac- tion amène une dépression générale du système nerveux , accom- pagnée de malaise et d'une tendance aux
sur le développement et la marche des maladies BIBLIOGRAPHIE. z7 nerveuses et mentales,- de même que, dans des cas inverses,
ord s'il n'existe pas une cause de dépression étrangère au' système nerveux ou un état dépressif curable de ce système, Con
é ni analysés, ni résumés dans aucune autre publication. CLINIQUE NERVEUSE . CLINIQUE DES maladies DU système NERVEUX. M. C
publication. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES maladies DU système NERVEUX . M. CHARCOT SCLÉROSE LATÉRALE .1\II'OTROPIIIQUE
ncore se rencontrer dans le cours du tabès. Mais alors 164 CLINIQUE NERVEUSE . le diagnostic est trop facile, je n'ai pas à y
qui était de vous retraccr les grandes lignes du dai- 168 CLINIQUE NERVEUSE . gnosticdiuerentiel des formes spinales del'amy
commencement d'atrophie, qu'ils sont le siège de con- 172 CLINIQUE NERVEUSE . tractions fibrillaires manifestes et qu'enfin
cas où la névrose s'associe à telle ou telle affection du système nerveux sont loin d'être rares. En est-il ainsi chez no
s'attacher à une pareille proposition pour des audi- 174 CLINIQUE NERVEUSE . teurs peu familiarisés avec les difficultés de
réservées. Telle est, messieurs, l'attitude si je ne 176 6 CLINIQUE NERVEUSE . me trompe, véritablement médicale, véritableme
, se croit très intelligent, grand lettré. Une tante a des attaques nerveuses « on la tient pendant ses crises et elle pousse
reprit son entrain habituel. Archives, t. XXV. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE . De retour à Paris le 11 janvier, il alla le le
n° 73, p. 1. ' 8 Rosenthal. Traité clinique des maladies du système nerveux , trad. franc, de Lubansky, 1878. Eicthorst. T
ie. . Vanlair. - Manuel de pathologie interne, 1890. 180 CLINIQUE NERVEUSE . yeux, ou mieux du passage brusque de la lumièr
se produisent. Enfin vous 1 Hammond. Traité des maladies du système nerveux ; trad. franc, de Labailie-Lagrave, 1879, p. 681
s de la moelle épinière ; trad. franç., 1885, p. 224. '182 CLINIQUE NERVEUSE . cela les prive peu de ne plus les voir, ainsi
berg, dit Vanlair ? n'a rien à faire 1 Vulpian. Maladies du système nerveux ; maladies de la moelle, t. 1, 1879, p. 502. 1
athol. interne, t. I de la 7° édition, 18S3, p. 651. 184 CLINIQUE NERVEUSE . même toute l'ataxie aux troubles de la sensibi
ubles de la coor- ' Duchenne, loc. cit., p. 781. , . 186 CLINIQUE NERVEUSE . dination étaient encore augmentés, car alors i
, 1SG'r, et Etudes znéd., 1884, t. II, p. 25, 35, 37.) 188 CLINIQUE NERVEUSE . Ce dernier élément que je n'hésitais pas à qua
c du tabès d'origine syphilitique, 1885, p. 76 et 357. PATHOLOGIE NERVEUSE SUR UN CAS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE
nfirmé le dia- 1 Voir : Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux , Paris, 1887, t. III, p. 202. 190 PATHOLOGIE
s du système nerveux, Paris, 1887, t. III, p. 202. 190 PATHOLOGIE NERVEUSE . gnostic porté pendant la vie, mais ce n'est là
six enfants et une fausse couche; deux sont morts d'affections non nerveuses . Parmi les quatre qui restent, Léonie seule est
er isolément quelques mouvements de latéralité aux - 192 PATHOLOGIE NERVEUSE . commissures, mais extrêmement faibles. La lang
c renversé en arrière, Archives, t. XXV. 13 1\) ! ¡. " PATHOLOGIE NERVEUSE . on ne peut le lui redresser que par un effort
" J. Lav... » du tableau produit par ces auteurs. 196 " PATHOLOGIE NERVEUSE . coururent leurs phases ordinaires, et c'est à
ment que parfois elles apparaissent isolées et d'au- 198 PATHOLOGIE NERVEUSE . tres fois réunies en nombre variable. Dans ce
ires qui tranchent par leur couleur claire sur le reste du faisceau nerveux .. Leur forme est irrégulièrement ovoïde; elles
les sont situées sur une même partie de la périphérie des faisceaux nerveux , et regardent toutes du même côté, tant par rap
mpte deux ou trois, soit réunies, soit séparées par quelques filets nerveux . Nous décrirons d'abord une de ces aires, chois
istique. Elles sont limitées, du côté de la périphérie du fascicule nerveux par une formation lamelleuse qui résulte de l'h
et, du côté central, par le tissu intra- fasciculaire du fascicule nerveux . L'espace ainsi circonscrit, qui forme l'ensemb
n qu'ils paraissent avoir. On y voit, en effet, parfois, des fibres nerveuses ou des fragments de fibres reconnaissables à le
. (Revue de médecine, avril 1892. n° 4, p. 335.) . 202 PATHOLOGIE NERVEUSE . merlin ? et que ces auteurs les considéraient
uivie nous porte à croire que ces formations représentent des tubes nerveux pro- fondément modifiés. Leur paroi lamelleuse
cela, que nous avons pu distinguer nettement un fragment de tube nerveux dans certaines figures ; l'absence de protoplasma
), elles sont le fait du plissement de la gaine conjonctive du tube nerveux . Si l'on tient compte de ce que les auteurs ont
e l'homme, et qui dérive d'une trans- formation de certaines fibres nerveuses , en vue d'un but qui reste à déterminer. 204
nerveuses, en vue d'un but qui reste à déterminer. 204 PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous devons ajouter que presque en môme temps
thie primitive, c'est-à-dire sans altération appréciable du système nerveux . ' Schuitxe. Ueber circonscriple Bindegewebs hg
l probable, pour cet auteur qu'il existe des altérations du système nerveux que la technique actuelle serait impuissante à
terminés (groupe d'Erb), sa fréquente coïncidence avec des troubles nerveux comme l'idiotie, l'épilcpsie. - Cette manière
précisément pour' cela, permet de comprendre qu'à l'égal du système nerveux il puisse transmettre ses vices, par voie héréd
elle être considérée comme une preuve en faveur de leur ori- gine nerveuse . Nous en dirons autant du mode de distribution
le développement des mus- cles, bien plus qu'avec des localisations nerveuses spinales. Quant à la coïncidence de l'atrophie
uant à la coïncidence de l'atrophie musculaire avec divers troubles nerveux , elle s'explique aisément pour peu qu'on se sou
rimitive progressive. (Société de Biologie, 18SG.) zou PATHOLOGIE NERVEUSE . commun d'observer la coexistence de diverses t
f. {Revue Scientifique, 10 sept. IS9` ? ; p. 324.) 208 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . pement. La substance contractile -- myoplasma
u tissu interstitiel est réglé par l'action frénatrice du sys- tème nerveux . Quand cette action d'arrêt est suspendue, le s
es myopathies primitives, d'où vient l'impuis- sance de l'influence nerveuse trophique ? Ce serait précisé- ment un désordre
t d'ajouter que M. Metch- AncmvES, t. XXV. - 14 210 -- PATHOLOGIE NERVEUSE . nikoff a modifié, comme déjà nous l'avons dit,
organe de transmission des sons, et est relié de l'autre au système nerveux central ? C'est par ces derniers liens que la p
ue la pathologie auriculaire se rattache à la pathologie du système nerveux . Ainsi le labyrinthe peut être primitivement fr
e; enfin, en troisième lieu, dans les maladies générales du système nerveux et de l'appareil cérébro-spinal. Dans ces trois
igine : c'est ce que j'appelle le labyrinthisme. ,)Il) pathologie nerveuse . L'état de souffrance de l'oreille interne, que
s les névropathies, la simultanéité et la bilatéralité des troubles nerveux otiques sont fréquentes, et s'expliquent faci-
ien nous sommes loin de la simplicité du dia- gnostic de la surdité nerveuse par exclusion. Aussi les troubles otiques qui r
exclusion. Aussi les troubles otiques qui reconnaissent une origine nerveuse sont-ils aussi fréquents qu'on les trouvait rar
face; à 10 centimètres du côté gauche; un peu mieux, 214 pathologie NERVEUSE . un peu plus clairement après le Politzer assoc
les douches et le sirop d'iodure de fer. Les maladies du système nerveux , avec ou sans lésions systématiques ou en foyer
lements qui concordent avec la marche des accidents d'as- thénie nerveuse générale, avec leur progression ou leur dimi- n
ux et mobiles sur les yeux, mem- brane et marteau. 216 pathologie nerveuse . De cet examen il résulte que la surdité n'a pa
is ce n'est pas seulement par suite de ses rapports avec le système nerveux central que l'appareil percepteur des sons réag
instructif et très suggestif à ce point de' vue. 218 8 pathologie NERVEUSE . Observation CCLXXVI. 14 mars 1891. (Résumé.) -
rnoiement qui se répè- tent plusieurs fois dans la journée. Femme nerveuse , impressionnable, émotive, craintive, mais non
urds ont une sensibilité exagérée au bruit. Quant à l'hypéresthésie nerveuse , elle est aussi connue. Tout récemment nous con
ue d'emblée, s'il y a surdité; mais il y a plus de 220 0 pathologie nerveuse . difficulté à ne pas les confondre avec les tro
logie nerveuse. difficulté à ne pas les confondre avec les troubles nerveux généraux, quand l'oreille est restée en apparen
es au point de vue de la localisation de la lésion dans les centres nerveux . Observation CCCLIII. (Résumé.) F. Mo... trente
CLINIQUE OTOLOGIQUE ANNEXE STATISTIQUE 1891-1892. 222 pathologie NERVEUSE . SERVICE OTOLOGIQUE 223 RECUEIL DE FAITS GA
rsonnes qu'il rencontrait. » Depuis il ne fut pris d'aucun accident nerveux . Il n'a jamais été atteint de dermatoses et ne
e la pierre qu'on exécutait sur lui pour la seconde fois. Mère, non nerveuse , morte à vingt-quatre ans, d'une affection pul-
s le reste de la famille du père, aucune autre affection psychique, nerveuse , arthritique, etc.] Mère, cinquante ans, ména
Elle est très sobre, ne porte pas de traces de syphilis, est vive, nerveuse sans avoir jamais eu de crises, ni d'accidents
, est vive, nerveuse sans avoir jamais eu de crises, ni d'accidents nerveux d'aucune sorte. [Père robuste, sobre, d'ha- tud
lle : 1° une fille (vingt- sept ans), n'ayant jamais eu d'accidents nerveux , ni de convulsions, toujours bien portante. D'u
convulsives ; - 5° un garçon de dix-neuf ans, sobre, sans accidents nerveux ; Go 6° une fille de dix-septans, sans accident
accidents nerveux ; Go 6° une fille de dix-septans, sans accidents nerveux , bien que nourrie pendant le siège; z notre mal
sont pas toujours l'expression de troubles fonctionnels du système nerveux . Il existe une variété de myoclonie à secousses
esure qu'on s'élève dans l'échelle animale. Là où existe un système nerveux , l'énergie qu'engendre l'attention est inhérent
, est apte à accomplir un travail compliqué, à choisir les éléments nerveux exigés pour for- mer des combinaisons originale
e d'une façon satisfaisante, la réexcitation des séries des centres nerveux qui y concourent devient aisée et la répé- titi
rationnelle est pratiquement reconnue par la division de l'appareil nerveux en système volontaire et involontaire. Tandis
état de veille, avant l'hypnotisme. 5° Invariablement, quand l'état nerveux des sujets s'aggrave (accès d'hystérie antérieurs
s habitants sont cependant plus éclairés. 260 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 261 III. Du RA
s éclairés. 260 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 261 III. Du RAPPORT DU POIDS DU CORPS AVEC UN
ge, des périodes d'agitation (Obs. XXV111). 262 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Conclusion. Le poids du corps n'a aucune valeu
in un noyau impair sagittal ou central avec ses REVUE DE pathologie NERVEUSE . 263 groupes acolytes pairs. Il n'y a pas du re
mnes cliniquement de toute complication du côté du reste du système nerveux , mais l'autopsie démontre, dans l'im- mense maj
dans l'im- mense majorité des cas, la complication d'une affection nerveuse et les troubles intellectuels n'y sont point ra
VI. Contribution A l'étude des affections syphilitiques DU système nerveux central; par R. SCHULZ. (Neurolog. Centralbl., 18
nts paralytiques. P. K. VII. UNE observation DE syphilis DU système nerveux central BEVL- tant l'aspect d'une paralysie gén
séminées occupant tous les systèmes et tous les éléments du système nerveux central; de là la multiplicité des symptômes. P
des douleurs spinales avec irradiation. , 264 REVUE DE pathologie NERVEUSE . Ces accidents ne s'observent que d'une façon i
le D'' KRAFFT. Histoire d'une jeune fille de treize ans, qui a des nerveux dans sa famille, qui est timide et craintive, e
itable, surtout des organes sexuels. Obsessions REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 265 5 érotiques ou obscènes relatives à des pe
tourée d'une bordure rouge érythémateuse ; 266 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . A la sixième ou à la septième minute, le bourr
t conclut en disant « qu'on ne peut alléger le cadre des affections nerveuses du syn- drome de Friedreich et de Morvan qui n'
Lyon). (Gaz. hebd. de méd. et de chir., 1890.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 267 XIX. QUELQUES cas DE TREMBLEMENT chez LES
; par le Dr Wiglesworth. Dans toutes les hémorrhagies du système nerveux , se pose la ques- tion des rapports de l'hémorr
er dans l'espace sous-jacent à la dure-mère 268 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sans répandre leur contenu dans l'espace sous-
limètres de long sur 15 millimètres de large. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 269 En somme, le clou entré au niveau du centr
ue. Conclusion. - La tétanie est une affection de tout le système nerveux dont quelques symptômes peuvent être expliqués pa
omène de Trousseau se rattachent à l'hyperexcita- bililé du système nerveux central (cerveau -bulbe - moelle). Les troubles
es affections spinales syphilitiques, cette 270 REVUE DU PATHOLOGIE NERVEUSE . paralysie spasmodique peut-elle être considéré
ansverses des vertèbres cervi- ' cales. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 271 XXVIII. UN CAS DE PARALYSIE ISOLÉE DU NERF
oedème de la pie-mère. Anémie cérébrale. Vacuolisation des cellules nerveuses du noyau du facial et des deux trijumeaux. Inté-
halmoscopique; la cons- tatation chez les malades d'autres troubles nerveux et des Stig- mates de l'hystérie, tels étaient
ement, laisse après elle un trouble de la conductibilité des fibres nerveuses cédant elle-même à la strychnine ou à une influ
rocédant du reste, se rattachent à des lésions occupant les centres nerveux . L'amblyopie chronique de l'hystérie ou anesthé
çons présentait une végétation osseuse qui avait détruit les filets nerveux ; le bourgeon osseux hyperplasié se prolongeait
la phtisie pulmonaire, mais ni syphilis, ni alcoolisme, ni maladies nerveuses dans sa famille. Aucun accident pendant l'accou
M. KnOEPEUK. De l'action de quelques médicaments sur les centres nerveux . Etudiant les effets de ces médicaments sur l'act
re-croisaient. Entre ces éléments, il n'y avait que de rares fibres nerveuses . 2° A la périphérie, un tissu très riche en cel
t 27 à 47 centimètres. L'auteur a trouvé que les pre- mières fibres nerveuses à myéline apparaissent dans les cordons postéri
du cordon postérieur se développe, c'est-à-dire qu'entre les fibres nerveuses myéliniques déjà développées, de nouvelles fibr
qui est surtout lésée ; or, cette partie est occupée par des fibres nerveuses relevant du troisième stade du développement. L
bide déterminant la microcéphalie dépend essentiellement du système nerveux central, et la déformation (ou malformation) cr
dépende, à l'origine, des os.' Glle se rattache toujours au système nerveux . Cette condition n'est pas seulement limitée au c
ement limitée au cerveau. 11 y a aussi la micromyélie. Le système nerveux dans la microcéphalie ne présente aucune altéra
sultats i dans d'autres circonstances, la dégénération des cellules nerveuses dans des portions particulières du cerveau, les
malformations congénitales ou accidentelles, de maladies du système nerveux central ou périphérique, ou de laloneuroses spa
s, ou encore à des maladies organiques ou fonctionnelles du système nerveux , ou enfin .consti- tuent une névrose spéciale,
ions. P. SOLFIER. VIII. Les troubles de la marche dans les maladies nerveuses , par le Dr P. BLOCQ. (Bibliothèque CHARCOT-DEBO
éméiologique les troubles de la marche dans les maladies du système nerveux . En faisant une étude d'ensemble de ces trouble
e fonction. Il expose rapidement dans quelles affections du système nerveux on rencontre des troubles de la marche, puis ab
bles de la marche sous le nom de dysbasie. Les fonctions du système nerveux se réduisent en der- nière analyse : motilité,
rrive à leur description dans les différentes affections du système nerveux , en n'entrant, bien en- tendu, dans les détails
ncore fait, à notre con- naissance. P. S. IX. Syphilis du système nerveux (Syphilis and the nel'VQUS sslems) ; par W.-R.
s, et l'action de la vérole. La seconde leçon a trait aux symptômes nerveux attribuables à la syphilis; leur diagnostic est
s et le diagnostic de nombreux processus syphilitiques du sys- tème nerveux , gommes, méningites chroniques cérébrales locali-
n M. Gowers a surtout en vue d'en poser le pronostic des affections nerveuses d'origine syphilitique. Nombre de symptômes dép
ou à guérir les accidents. P. BLOCQ. VARIA ASSISTANCE DES ENFANTS NERVEUX ET ARRIÉRÉS. La Commission inter-départementale
eux qui ont été accordés à des travaux sur la pathologie mentale et nerveuse . Pria; Alvarenga de Piarchy (Brésil) (800 fr.),
500 fr.). MM. Deuierre et Doumer : Album stéréoscopique des centres nerveux . Prix Adrien Buisson (10,500 fr.). 4,500 fr. à
tumine et alcoolique. Prix Falret (1,000 fr.). Question : Accidents nerveux (le l'urémie, M. BERNARD (de Ducard-les-Bains);
RAND (de Gros) : publications diverses sur les fonctions du système nerveux chez les animaux et l'homme. Pria; Pourat (1,
érimentales et cliniques sur les phénomènes inhibiloires du système nerveux . LES CONCOURS POUR LES places DE médecins alién
natomique et anatomo- pathologique d'organes appartenant au système nerveux . Les candidats peuvent choisir entre les deux m
le maison de santé pour LE traitement DES affections MEII- tales ET nerveuses . 11. le D'' PACHOUD, ancien médecin directeur d
8p3 Vol. XXV. Mai 1893. N, 75. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHIALE HYSTÉRIQU
40. 1885.) GEuvrescon : plètes : Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III,' p. 299-3G9. - Cette observation a é
ultés de diagnostic. , An : anws, t. XXV. 21 1 322 1), CLINIQUE NERVEUSE . Antécédents héréditaires. -Père, aubergiste, b
a flexion, la main se met en supination. Ce n'est donc 324 CLINIQUE NERVEUSE . pas le biceps qui produit ce mouvement. D'aill
s spéciaux. C»il. Pas de différence dans les pupilles. 326 CLINIQUE NERVEUSE . Réactions normales. Pas de différence dans la
brachiale et localiser cette monoplégie dans le côté 328 - CLINIQUE NERVEUSE . droit. Il a dû dans sa personnalité consciente
. ' Charcot. OEuvres complètes : Leçons sur la maladie du système nerveux , t. III, p. 353. TROIS CAS DE MONOPLÉGIE BRACHI
l, 1890, 2' s., t. XII, 1103 41, 42, p. 259, 275.) 1 330 CLINIQUE NERVEUSE . tôt à des altérations de la sensibilité, anest
s émoussé. Dyschromatopsie monoculaire gauche etachro- 332 CLINIQUE NERVEUSE . matopsie même pour le rouge. Le champ visuel n
re supérieur droit sont tout à fait libres. Fig. 42. 334 CLINIQUE NERVEUSE . L'hypoesthésie au niveau du poignet a disparu.
mique avec l'hystérie. Thèse de Paris, juillet 1891. 336 CLINIQUE NERVEUSE . Début. A quelque temps de là (1886), il tomba
ourdes, profondes, vagues, ne correspondant pas à tel ou tel trajet nerveux . Il en souffre encore quand on presse fortement
a Ira,in. Voici la mesure des circonférences du bras : 338 CLINIQUE NERVEUSE . La sensibilité pharyngée est abolie. L'ouïe,
hystérie et la sclérose en plaque sont les deux maladies du système nerveux qu'on voit coexister le plus souvent chez un mê
ot. - Leçons du mardi, policlinique, Il décembre 1888. 340 CLINIQUE NERVEUSE . En ce qui concerne l'existence chez notre mala
suivi immédiatement le choc et l'atrophie mus- culaire dégénérative nerveuse par la suite. A l'hystérie seule doit être attr
elles se rattachait la paralysie de ses muscles. 1 342 CLINIQUE NERVEUSE . 3S2 CLINIQUE NERVEUSE. REFLEXIONS SUR LES CA
ralysie de ses muscles. 1 342 CLINIQUE NERVEUSE. 3S2 CLINIQUE NERVEUSE . REFLEXIONS SUR LES CAS DE MONOPLÉGIE HYSTÉRIQU
les autres cas, les choses, ont été comme il suit : 384 CLINIQUE NERVEUSE . de la paralysie brachiale un autre membre du m
1885.) - OEuu7-es complètes. Leçons sur les maladies du sys- tème nerveux , t. III, p. 299-3G9. ' r-G. Marie et SOUZ : 1-L
Archives de Ne¡¡- rl),lce, l. Xl V, 1337, p. 1;' 7.) 356 CLINIQUE NERVEUSE . 19. Journée. Monoplégie /t< ? M)'o-<t'a.
Mém. de la Soc. méd. de Paris, 1890, p. 407.) 27. SÉRIEUX. - Choc nerveux local et hystél'o-tl'Humatique. (Archives de Ne
t. XX, 1890, p. 231.) 28. Charcot. Clinique des maladies du système nerveux , t. 1, Pa- ris, 1892, p. 29. UN CAS DE SCOLIO
s soeurs, sans enfants, présente tantôt des névralgies 358 CLINIQUE NERVEUSE . et tantôt des manifestations herpétiques. Une
gauche paraît légèrement plus amaigrie. De chaque côté 360 CLINIQUE NERVEUSE . des creux poplités, on sent une saillie formée
é. Le sternum est porté de droite à gauche. Fig. 45. 362 CLINIQUE NERVEUSE . , L'extrémité du sacrum et le coccyx soulèvent
d'abord, et puis à cause du cachet spécia Fig. 16. 364 ' CLINIQUE NERVEUSE de l'atrophie qui n'a été précédée que d'une hy
nc beaucoup à celle que l'on rencontre dans la plupart des maladies nerveuses , et peut-être joue-t-elle à l'égard des myopath
ée des autres dé- ' Déjerine. Hérédité dans les maladies du système nerveux . Thèse agrég., 1886. lérv. Famille névropathiqu
uvrons aucun des autres signes habituels (déformations 366 CLINIQUE NERVEUSE . du thorax, nouures épiphysaires, incurvation).
ntes du tremblement, qui ont été jamais observé dans les maladies nerveuses , et ne possède aucune particularité qui, d'elle-m
lité le manque de pondération, le défaut du stabilité des fonctions nerveuses , en un mot le trouble profond du dynamisme ment
sement cérébral qui amène un état de faiblesse irritable du système nerveux central ; toutes les causes dépressives pourron
auses prédis- posantes sont l'hérédité et l'existence d'une maladie nerveuse . Quelle est la nature de la catalepsie ? Marcé
e également pour une part im- portante dans la composition du tissu nerveux normal : il serait intéressant de rechercher si
rt, les maladies mentales et, en même temps, non pas les ma- ladies nerveuses mais les maladies de l'encéphale. Il chercha al
ent, dit-il, sous le nom d'hystérie un ensemble de manifes- tations nerveuses se produisant de préférence chez les jeunes fem
es sont la conséquence de troubles purement fonctionnels du système nerveux ; 2° ils peu- vent être brusquement provoqués, m
sivante. « L'hystérie, disait Brachet, est une né- vrose du système nerveux cérébral, qui se manifeste plus ou moins brusqu
tre expliqués par aucune lésion grossière et déterminée des centres nerveux . Dans ses leçons de 18811-1885, il a expliqué c
me une méthode scientifique de diagnostic et d'analyse des maladies nerveuses . Il a montré que cette paralysie pouvait se rep
sensation dépendant of idea, 1869. , Charcot. - Maladies du système nerveux , t. III, p. 288 et sq. 3 Charcot. Maladies du s
stème nerveux, t. III, p. 288 et sq. 3 Charcot. Maladies du système nerveux , t. III, p, 351. Id., ibid., t. III, p. 335.
oment d'une émotion, l'attention du sujet 1 Charcot. Maul, du syst. nerveux , t. I, p. 417. Paul Richer, La grande hystérie,
eux, comme chez les collatéraux, on ne trouve pas trace d'affection nerveuse ou diathésique quelconque. Mention- nons, toute
ion de cette nature ne sortirait pas des idées reçues en pathologie nerveuse . Toutefois, on ne peut s'empêcher de reconnaitr
lades traités est considérable, et l'effet du remède sur le syslème nerveux consiste en une dimi- nution de la vision, la p
qui peut, dans certains cas d'aliénation mentale ou d'affec- tions nerveuses , rendre des services signalés. Il faut surtout re
redou- bler de prudence chez les cardiaques. Mais dans l'agitation nerveuse , dans l'excitation surtout motrice, dans l'inso
inspirations irrésistibles, mais qu'elle est atteinte d'une maladie nerveuse , l'hysthérie, qui a pu contribuer à développer se
uble de la santé générale déterminé par cette atteinte. Le symptôme nerveux que l'auteur a constaté le plus souvent pendant
s quelques névroses anciennes, sans trouble mental, dans la surdité nerveuse par exemple, il a pu ob- server des amélioratio
i qu'il a vu des cas plus nombreux dans lesquels cette même surdité nerveuse avait été au contraire la conséquence de l'infl
ystériques très accusés, l'hypno- tisme détermine des modifications nerveuses qui rendent subite- ment manifestes les phénomè
e chez des types différents de personnes, par suite de dispositions nerveuses encore inexacte- ment connues, l'hypnose devien
douleur, et que l'on pourra probablement l'étendre à des affections nerveuses très diverses. Dans l'aliénation mentale, l'hyp
arkchévitch et Fikhonof. - Des affections consécutives du sys- tème nerveux central. Après avoir présenté deux malades attein
ous la déno- mination générale d'affections consécutives du système nerveux cen- tral survenant après des lésions périphéri
, expériences qui l'ont amené à conclure que les lésions des troncs nerveux périphériques entraînent non seulement des modi
adies men- tales, par Régis, 141 ; atlas de pathologie du système nerveux , par Babès ei Blocq, 142 ; pa- thologie des é
ques, par Richer, 304; - troubles de la marche dans les maladies nerveuses , par Blocq, 306; syphilis du système nerveux, p
dans les maladies nerveuses, par Blocq, 306; syphilis du système nerveux , par Gowers, 308; leçons cliniques sur les ma
e la -, cn Orient, par Rastonil. 88 ; - alté- ration des cellules nerveuses de la -, par Schaffer, 107 ; atro- phie des f
âniennes, sensibilité des , par Kreuser, 127. Syphilis du système nerveux , par Schultz, Brasch, 263. Syringomyélie avec
gomyélie avec atrophie de la langue, par Fambourère, 104. Système nerveux , corpuscules amy- loïdes du -, par Redlich, 114
30 (1884) Archives de neurologie [Tome 07, n° 19-21] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CHARLES HÉRISSEY. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE SOUS LA DIRECTION DE J.-b
AMILLE NÉVKOPATH 1Q LIE : Par Cn. FEUE. * Les maladies du système nerveux , qu'elles se ma- nifestent par des troubles psy
s l'hérédité qui nous a engagé à considérer les maladies du système nerveux dans leur ensemble, et à rassembler les membres
a- thologiques de l'esprit et n'ont considéré les autres maladies nerveuses qu'accessoirement et d'une manière générale. De
ropa-- thique proprement dite, comprenant les maladies du système nerveux qui affectent plus particulièrement la sensibil
nt la sensibilité et le mouvement. I. Les affections du système nerveux qui ont les pre- mières paru unies entre elles
Des maladies mentales, 183, t. II, p. 74. 4 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. nerveuse ' : on ne devient fou d'amour que quand on avai
états anor- maux non héréditaires, mais congénitaux. Les troubles nerveux et mentaux, si fréquents chez les sujets dont l
s le verrons encore plus loin, ce n'est pas d'emblée que l'hérédité nerveuse produit l'aliénation mentale, il arrive souvent
ux (Maudsley), ou encore des sujets atteints de maladies du système nerveux , et surtout de névroses. 1 Hammond. A Treotise
de folies, nous verrons qu'elle est un lien à différentes maladies nerveuses . MM. Bail et Régis ', se basant sur certains ca
qu'elles comprennent le plus grand nombre des affections du système nerveux ; mais les affections mentales occupent incontes
très irascible et a quelques idées de persécutions. - Trois soeurs nerveuses ; une seule a eu des attaques. LA FAMILLE NÉVROP
Grand-père maternel mélancolique. Mère névralgique. Père, crises nerveuses ( ? ) jusqu'à treize ans. Observation XVIL- M.
ve en connexions fré- quentes avec les autres affections du système nerveux , qu'il s'agit maintenant de rallier pour consti
s ces névroses et toutes les affections dites spontanées du système nerveux sont unies par un lien de parenté intime. D'ail
s qui existent entre les maladies men- tales et les autres maladies nerveuses . (Ann. méd. psych., 4e série, t. IX, 1867, p. 1
Pour ce qui est de la chorée, sa parenté avec les autres affections nerveuses a été fréquemment signa- lée5; elle affecte les
par une émotion morale vive. Or, la biologie générale des maladies nerveuses nous montre que ces sortes de causes n'agissent
ent la maladie de Parkinson est en rapport avec d'autres affections nerveuses existant soit chez le sujet lui-même, soit chez
paralysie agitante se transforme elle- même en d'autres affections nerveuses ; en voici trois exemples : 1 Vassitch. Etude
e trouve associé dans la même généalogie avec d'autres affections nerveuses . Quant à la maladie de Basedow, les recherches
mais que fré- quemment elle est liée par l'hérédité aux maladies nerveuses et en particulier aux maladies mentales qui peu
èse, 1S82.) '- G. Ballet. De quelques troubles dépendant du système nerveux central ob'e¡'vé, chez les malades atteints de
les mêmes liens. Elles sont fréquem- ment associées aux affections nerveuses , à l'hystérie, en particulier. Elles sont aussi
nsfor- mations de la névropathie : un peintre de talent a un fils nerveux et daltonien qui a sept enfants, dont six euren
tétanie, qui se rencontre surtout chez les enfants nés de parents nerveux irritables atteints eux-mêmes de névroses ou en
émotions ? La sclérodermie peut aussi être rattachée à la famille nerveuse : Observation XXXIV. Une des sclérodermiques de
érodermie et d'épilcpsie. M. Pautry accepte l'origine et la parenté nerveuse de la morphea albo qui, pour les auteurs modern
c l'idiotie, l'épilepsie, l'alié- nation, le suicide, les accidents nerveux bizarres, etc. M. Charcot professe depuis longt
aris, 4c édit., 1873, l. 13G, GIO. IA FAMILLE NLVROPATHIQLE. 35 nerveuse est la cause primordiale de l'ataxie locomo- tr
aussi des liens de parenté avec les autres affections du système nerveux . Duchenne (de Boulogne) cite un sujet dont le p
nt quelquefois, dans leur histoire morbide, d'autres phé- nomènes nerveux : un malade cité- par Mahot" avait eu plusieurs
eudo-hypertrophique. Plus Grasset. - Truite des maladies du système nerveux , 2- édit., p. 431. 1. 'Gowers. Pseudo-hyperlrop
des trois malades de Dunlop est mort aliéné. D'ailleurs l'hérédité nerveuse est peut-être moins exceptionnelle qu'elle ne l
parenté de la sclérose multilocu- laire avec les autres affections nerveuses ne saurait être mise en doute. Observation LX
t assez fréquemment dans l'hérédité des sujets atteints de maladies nerveuses . Mais nous pensons que ces affections ne peuven
cident. Si les liens de parenté qui existent entre les affections nerveuses sont souvent difficiles à mettre en lumière, c'
a gestation, le développement de telle ou telle partie du système nerveux subisse un trouble quelconque, il y LA FAMILLE
physique ne vient mettre en jeu leur prédisposition. L'épuisement nerveux ' produit par le surmenage physique et intellec
, le satur- alisme" etc., le générateur primordial des affections nerveuses . L'influence de ces causes incessamment renouve
s par l'in- toxication saturnine lente. (Thèse, 1873.) PATHOLOGIE NERVEUSE ÉTUDE D'UN CAS DE FAUSSE SCLÉROSE SYSTÉMATIQUE
. les D" G. BALLET, ancien chef de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de Paris, et L. MINOR, de Moscou.
tablie, il reste à déterminer si, dans les faits où t 46 PATHOLOGIE NERVEUSE . on l'observe, la sclérose postéro-latérale aff
rvé par nous dans le service de la clinique des maladies du système nerveux , et que nous avons pu étudier avec soin, grâce
clérose des cordons pos- térieurs et latéraux. - Atrophie des tubes nerveux dans les nerfs de la deuxième paire. Syphilis p
Les membres supérieurs sont un peu moins atteints. 48 8 PATHOLOGIE NERVEUSE . Cependant il n'est pas possible à la malade de
sang, n'ont pas été pratiqués. Archives, t. VII. 4 50 PATHOLOGIE NERVEUSE . Au demeurant, c'est exclusivement sur les lési
USE. Au demeurant, c'est exclusivement sur les lésions du système nerveux et spécialement sur celles de la moelle que nous
relever que sur les points où les lésions scléreuses 52 PATHOLOGIE NERVEUSE . étaient le plus prononcées et le plus diffuses
ont beaucoup de prolongements, qu'elles envoient entre les éléments nerveux non encore détruits. Ces cellules sont en plus
les points où la sclérose n'a pas étouffé complètement t les tubes nerveux , on remarque que certains de ces tubes ont subi
correspondantes, avec multiplication des éléments du 5t PATHOLOGIE NERVEUSE . tissu interstitiel. On ne relève aucune lésion
faisceau pyramidal, situé en dedans du premier. Ces 56 PATHOLOGIE NERVEUSE . deux systèmes, pour être très voisins l'un de
, 1878. 3 Morgan. British med. journal, janv. 1881. 58 PATHOLOGIE NERVEUSE . à la suite d'un refroidissement, l'existence d
cordons latéraux et postérieurs) et quelques autres. 60 PATHOLOGIE NERVEUSE . Tous ces cas nous ont paru ne pas être absolum
in Arch. de phys. nornz. et patlaol., 1877, p. 764. 62 PATHOLOGIE NERVEUSE . dans la région dorsale et s'accompagnant à ce
rkslrdnge, in Arch, sur Psychiatrie, Bd. VIII, u. IX. 6t PATHOLOGIE NERVEUSE . « Les lésions, dit l'auteur, offrent leur maxi
isa- ger comme systématiques. Ancutvta, t. Vil. 5 66 PATHOLOGIE NERVEUSE . elle est assez bien localisée aux cordons de G
savoir l'intégrité habituelle des cylindres-axes, ce 68 PATHOLOGIE NERVEUSE . qui explique, dans une certaine mesure, l'abse
ons comme atteintes de myélite diffuse, un grand nombre des tubes nerveux , sinon tous, étaient détruits. 5e type. - Il no
t dans quelques autres plus ou moins analogues, ont 70 PATHOLOGIE NERVEUSE . suffisamment établi, croyons-nous, qu'on ne sa
c'est la différence assez nette qui existe dans l'aspect des tubes nerveux sur une coupe transversale de la moelle de notr
avancé. En A, on ne distingue plus qu'un très petit nombre de tubes nerveux , mais ceux qui persistent au sein de la gangue
core plus exact en examinant sur une coupe longitu- dinale un tube nerveux heureusement isolé (PL. III, fig. 15). On voit
cence systématique (secondaire ou autre). Elle paraît 72 PATHOLOGIE NERVEUSE . être commune, au contraire, au dire de M. Char
à la nôtre, on l'a vu, 1 Charcot. Si»' la tuméfaction des cellules nerveuses motrices, et du cylindre-axe des tubes nerveux,
ction des cellules nerveuses motrices, et du cylindre-axe des tubes nerveux , dans certains cas de myélite; in AI'ch. de phy
. norm. et pathol., 1871-72, p. 93, et Leç. sur les mal. du système nerveux , t. II, p. 385. , Jastrowitz. Studien ueber die
nov. et déc. 1871. 4 Fr. Boll Histologie et lzislogénie du système nerveux central; in Arch. sur Psychiatrie, 1873. 5 De
tout ce qui précède qu'il faut chercher ailleurs que dans les tubes nerveux eux- mêmes le point de départ de la sclérose in
usqu'à ce jour, accoutumé à considérer surtout les il- 4 PATHOLOGIE NERVEUSE . scléroses dites systématiques, c'est-à-dire ce
atiques, c'est-à-dire celles qui se développent au pourtour du tube nerveux groupés en systèmes. Quant aux autres, on les a
les scléroses qui se développent au pourtour d'un système de tubes nerveux (systématiques de M. Vulpian); d'autre part, ce
tel' Akadcmic de/' 11'issettscltateti, lSb3, p. 'iG9. 76 PATHOLOGIE NERVEUSE . gorie. Mais il s'en faut que l'examen des cas
ns ont une remarquable tendance, par- ticulièrement dans le système nerveux , à se répartir sans ordre et sans méthode appar
jonctifs avec compression, puis disparition consécu- tive des tubes nerveux ; formation de cellules à prolon- gements ou ce
sur les myélites syphilitiques. Thèse de Paris, 1882. 78 PATHOLOGIE NERVEUSE . un exemple de myélite syphilitique avérée, qui
é pat' l'Académie de médecine (pn\ Curieux, ils63.) 80 PATHOLOGIE NERVEUSE . tomatologie qui résulte de l'association d'une
qui étaient un peu exagérés. Abchivks, t. VII. 6 82 PATHOLOGIE NERVEUSE . Enfin, dans l'observation de M. Raymond, à laq
sortir, c'est que dans le cas de Pick et Kahler, bien 84 PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'il existàt une dégénérescence scléreuse du
Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieurr. Fig. 13. -Tube nerveux surune coupe IoniVulinale. Tulie variqueux. Frr
secondaire. Il, Coupe du cordon latéral dans notre cas. a, Tube nerveux avec cylindre-axe; hypertrophie. 6,Tubenerveuxd
x soeurs dont l'une a cinq enfants et l'autre deux, sans affections nerveuses . Pas de névro- pathes, de difformes, de suicide
yenne et d'une intelligence ordinaire. Elle ne présente ni troubles nerveux , ni affections cons- titutionnelles ; elle est
nts; une soeur en a deux; tous sont bien portants. Pas d'affections nerveuses dans la famille]. -Pas de consanguinité. Six
re typhoïde : elle était intelligente et n'avait pas eu d'accidents nerveux ; - 2° une fille, mort-née par strangulation (ci
Cette jeune fille est hystérique; elle a éprouvé une première crise nerveuse , à de quatorze ans, et, pendant l'année qui vie
otre malade, dépendant de la durée et de la violence des phénomènes nerveux , ou de la prédominance de certains symptômes, n
rante-trois ans, petit, mais bien portant ; pas d'excès de boisson, nerveux , impressionnable; pas de migraines, quelques né
ralgies dentaires. [Père : pas d'excès alcooliques, ni d'affections nerveuses . Mère : asthmatique, morte à soixante ans d'une
d'épilep- tiques, de difformes]. Mère, quarante ans, petite, très nerveuse ; pas d'attaques de nerfs, de migraines, de név
; enfin une soeur a succombé à une fièvre typhoïde. Pas d'accidents nerveux dans la famille. Pas de mérycoles du côté du pè
constitué, très sobre. Aucune maladie; pas de migraine, d'accidents nerveux , de syphilis. [Aucun antécédent névropathique d
s de maladies antérieures, de migraines, de céphalalgies ; elle est nerveuse et impressionnable, pleurant souvent sans motif
de nerfs ni de syncopes. [Père et mère : n'ont présenté d'accidents nerveux d'aucune sorte. Deux tantes du côté paternel n'on
con- firment dans cette opinion : que c'est bien dans le système nerveux qu'il faut chercher la cause première du mérycism
e l'accroisse- ment progressif du tissu connectif dans la substance nerveuse , à mesure qu'on descend l'échelle zoologique.
ques épileptiformes 1 Charcot. - Leçons sur les maladies du système nerveux , 4° édit., t. I, p. 376. ' Bourneville et P.
servation dans le service de la clinique des maladies du système nerveux , à la Salpêtrière. Il s'agit d'une jeune femmequi
e nous ne nous étions pas trompé) comme des hémop- tysies d'origine nerveuse . Nous avions donc bien affaire à une hystérique
devaient être expliqués par un ébranlement des dif- férents centres nerveux .Duret, quelques années plus tard. s'efforça de
de résistance de la moelle allon- gée« l'ultimum moriens du système nerveux » ; mais aussi par,l'iu- fluence indirecte du t
t dire qu'un homme qui connaît à la fois les,itialadies mentales et nerveuses est un être exceptionnel. 11 n'est donc pas adm
eurs peuvent, en effet, être observés : ,. %IL. 10 146 PATHOLOGIE NERVEUSE . 1° A la suite de lésions corticales; 2° - de
corps strié voisines du ventricule. La moelle allon- 150 PATHOLOGIE NERVEUSE . gée et la moelle épinière étaient saines. Pas
épinière étaient saines. Pas d'altéra- tion appréciable des racines nerveuses . A l'examen microscopique , on trouve de la dég
ce graisseuse dans les fibres musculaires de la langue. Les tubes nerveux dans le nerf hypoglosse étaient sains. 6° Fer
centre est bilatéral, différant en cela de celui de 152 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'aphasie qui, comme on le sait, est unilatéra
a Salpêtrière (service de M. le professeur CHARCOT). 1Ô4 PATHOLOGIE NERVEUSE . En 1871, parésie momentanée du côté droit du c
aire et s'étendant en avant jizsqu'à un centimètre 1.j(; PATHOLOGIE NERVEUSE . environ au delà de la coupe /)e ? c<Jo-/ ?
marquables par leur disposition symétrique. Celui du 158 PATHOLOGIE NERVEUSE . côté gauche présente à peu près la grosseur d'
érysipèle de la face. Une soeur, morte folle. Pas d'autres maladies nerveuses dans la famille. Archives, t. VII. I I 162
nerveuses dans la famille. Archives, t. VII. I I 162 PATHOLOGIE NERVEUSE . Antécédents personnels. - Pas d'affections sér
existe toujours, à un degré plus ou moins prononcé, 166 PATHOLOGIE NERVEUSE . des signes de paralysie glosso-labiée. Qu'on s
A gauche, premier foyer symétrique, de deux cen- 168 . PATHOLOGIE NERVEUSE . timètres de hauteur, à la limite externe du no
seules utilisées et l'un des hémisphères (comme cela 170 PATHOLOGIE NERVEUSE . a ·lieu pour le langage), se trouverait seul c
sement des membres inférieurs qui va jusqu'à la para- 17 pathologie NERVEUSE . plégie. Le 25 décembre, nouvelle attaque avec
ille, soit ''chez1' les' sujets' eux-mêmes, avec les « affections nerveuses 'que nous' 1 avons.lpasséesl en'revue, il' faut
dent fréquemment avec certaines formes de dégénérescence du système nerveux , notamment avec l'idiotie, soit chez l'individu
tème pileux, par excès ou par défaut, coïncider avec des troubles nerveux ou psychiques. Ireland rapporte deux généalogie
vent à des degrés va- riables chez les sujets atteints d'affections nerveuses ou dans leurs familles... , 1 1 , VIII. a '
de fréquemment avec les névropathies. On rencontre souvent chez les nerveux et dans leur famille le rhumatisme, la dartre e
rédis- position héréditaire. Le rhumatisme réveille la dia- thèse nerveuse qui se traduit par des manifestations convulsiv
. , i ""1 u Mais c'est surtout dans la goutte que les troubles' nerveux sont fréquents;'et'its méritent de fixer plus p
en être la conséquence. Ces troubles peuvent affecter le système nerveux central et périphérique dans toutes ses fonctio
a' fait jouer au vertige un rôle prépondérant parmi les symptômes nerveux dus à la lithémie. A côté du vertige, il faut p
Vigla, Bazin, etc.). Avec l'asthme, il faut citer les palpitations nerveuses , survenant surtout la nuit, avec douleur rétros
ondon, 1854, 1). 126. 180 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. aucun antécédent nerveux dans la famille, mais il y a un oncle et un gra
t d'eczéma. Observation LXXIV. - Mn'e A..., cinquante ans. - Mère nerveuse sans crises. Elle a eu une chorée très forte vers
ie générale. il n'est pas rare pendant le sommeil chez les sujets nerveux , principalement les enfants. Nous avons pu voir
bert\ etc., nous paraissent devoir être séparées des manifestations nerveuses de la goutte, parce qu'elles sont attribuables
nérale. un accès de goutte articulaire. Il fait remarquer que les nerveux héréditaires sont plus sujets à ces sortes d'ac
ales' il faut surtout citer la gastralgie. On a décrit des coliques nerveuses , coliques arthritiques, que l'on a comparées à
rie par le colchique; et, comme plusieurs autres manifes- tations nerveuses , on les a vues souvent cesser à l'ap- parition
e irido-choroïdien) n'ont aucun rapport avec les lésions du système nerveux . Pourtant, M. Gauté 1 rattache à la goutte une
tte par une parenté aujourd'hui bien établie, et que les troubles nerveux sont loin d'être rares chez les diabétiques et
l Ga ? IS78, t. I, p. 401.) , D. Bernard etCh. Féré. Des troubles nerveux observés chez les dia- bétiques. (Arch. de Neur
logie, 1S82. t. IV, p. 336. F. Dreyfous. Pa- tkuycrzze et accidents nerveux du diabète. Thèse d'agrégation. Paris, ISSJ.
on. Paris, ISSJ. 190 PATHOLOGIE GÉNÉRALE. que tous ces troubles nerveux qui se combinent avec la goutte ou le diabète,
le veut M. Duckworth, que la goutte est une affection du système nerveux et aussi le diabète', montrent au moins qu'il y
es n'agissent pas autrement lorsqu'elles détermi- nent des troubles nerveux psychiques, sensoriels ou mo- teurs ; elles ne
des maladies sont susceptibles de s'accompagner de quelque trouble nerveux chez les névropathes. L'arthritisme n'a-t-il qu
tations se transforme : ! t ou s'excitent réciproquement. CLINIQUE NERVEUSE DE L'11G111.1'l'ltOl'Illh : DE LA LANGUE DANS L
ibliographiques, voir : Charcot. Leçons sur lre maladies du système nerveux , t Il, p. 233. 192 CLINIQUE NERVEUSE. non plu
s sur lre maladies du système nerveux, t Il, p. 233. 192 CLINIQUE NERVEUSE . non plus que la marche pour ainsi dire fatalem
muscles de l'é- ' Grasset ? 5·aite ywatigue des maladies du système nerveux . Paris, 1881. , Ross. - The diseases of the ne,
epsie, etc., compte rendu il service on 4881, p. 67. 200 CLINIQUE NERVEUSE . être une manifestation courante de l'ataxie, n
double arthropathie du genou 1 Blum. - Des arthropathies d'origine nerveuse . Thèse d'agrégation ; Paris, 1875. F ? 3. - I
rs d'observation. Observation III. Ataxie locomotrice,- Antécédents nerveux , héréditaires. Atrophies musculaires multiples
s à M. Blum par M. Charcot avaient été recueillis. 202 2 . CLINIQUE NERVEUSE . artistiques très développées; lui-même a beauc
représente Fig. z. Amyotrophie de la main gauche. 20t CLINIQUE NERVEUSE . une sorte de petit croissant, circonscrit par
oin de rétrocéder, continua à progresser. En l'absence 206 CLINIQUE NERVEUSE . de toute trace de syphilis ancienne, de tout a
lis. Thèse de Pans, 1876. .lucutvr.s, L. Vil. I i : 10 CLINIQUE NERVEUSE . tabes, c'est de les rapprocher des phénomènes
, dans la Iteueatre clmslca e <et'ap<M<tca. 212 CLINIQUE NERVEUSE . les limites du système sensitif, pour empiéter
le emprunté aux leçons de M. Vulpian, sur les maladies du système nerveux . De la note relative à la ma- lade (Cas. VI, p.
cles de la langue (Trousseau), sans parler de celles 21 lé CLINIQUE NERVEUSE . des muscles oculaires qui sont de notion vulga
t pas, par exemple, unesimple localisation sur un pointdu système nerveux d'une tendance de l'économie à faire de la sclé
COMOTRICE; Par Cn. FÉRÉ. Dans l'évolution des maladies du système nerveux , les or- ganes urinaires sont assez fréquemment
e; aussi, après les avoir considérés dans les maladies du système nerveux en général, étudierons-nous les troubles urinaire
s les principes ' AI. Charcot. - Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, 'i° éd., p. 279. ' Rabow. llettrtt,ge
re de beaucoup la plus fréquente. a) La rétention d'urine d'origine nerveuse peut être détermi- née soit par le spasme ou la
le lieu de faire remar- quer que si, dans les affections du système nerveux , les lésions locales des voies urinaires, donna
s rénales que succombent les sujets atteints de maladies du système nerveux qui souffrent de rétention d'urine. b) Il est
nence nocturne est parfaitement indépendante de tout autre trouble nerveux caractérisé contemporain ; mais fréquemmeut les
lorsque les centres médullaires sont détruits ou lorsque les filets nerveux sont altérés dans leur trajet périphé- rique.
ves- sie et de l'urèthre sous la dépendance de lésions du système nerveux , il faut surtout citer les crises vésicales et ur
ez de jeunes sujets 1 Charcot. - Leçons sur les maladies du système nerveux , t. II, 3e éd., p. 295. DES TROUBLES URINAIRE
TROUBLES URINAIRES. 237 (Stephanini, Dieu, etc.) ou chez des sujets nerveux ; il est per- mis de comparer quelques-unes de c
- Elude sur les troubles de la miction dans les maladies du système nerveux . Thèse, 1884. DES TROUBLES URINAIRES. 239 rar
l' ataxie lo'coin otriée est certainement l'affec- tion du système nerveux qui 'offre' les troubles les plus variés de la
-eh. de Neurologie, t. VI, 1883, p. : 106). 244 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . signes pathognomoniques. Rien n'est moins exac
aires, ces signes doivent faire soupçonner une affection du système nerveux et en particulier l'ataxie, qui paraît une des
s sont affectés reconnaissent pour cause une affection du système nerveux ; mais il reste à chercher, en s'aidant de la conn
ataxiques, peut leur être très préjudiciable. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Grande hystérie chez l'homme; par PASTRRNATX
é du corps. Il s'agit d'un jeune officier de vingt-quatre ans. Mère nerveuse . Étiologie bien vague ; à l'âge de dix-neuf ans
es des voies urinaires, 1881, p. 2f, 73, 205. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 245 il était attaqué de temps en temps sous l'
tavec l'âge des individus atteints. P. K. 2tH REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ,111. Fièvre zoster ET exanthèmes zostériforme
une maladie générale à détermination cir- conscrite sur le système nerveux (c'est une neuropathie infectieuse), et à expre
ostic de fièvre typhoïde. Plus lard, la lenteur REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 247 du pouls, les cris poussés par la malade q
dix-huit ans, qui, entre autres manifestations hystériques (crises nerveuses , apho- nie, hémianesthésie droite, etc.) était
un signe d'intoxication géné- rale. G. D. 248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . VIII. Paralysie DIPHTHERITIQUR; par M. DAMASCH
82.) Sous ce nom, l'auteur décrit un trouble permanent du système nerveux , caractérisé par des désordres fonctionnels varia
, peuvent, à l'âge de la seconde enfance, deve- REVUE DE pathologie NERVEUSE . 2t9 nir idiots ou épileptiques. Les soins hygi
le centre des vaso-moteurs rénaux. P. K. 250 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XV. Sclérose latérale AY01[tOP)HQUH; par MM. l
n l'étude du coma diabétique offre encore d'in- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 251 1 connues : il importe donc de signaler de
resse : enfin le sujet ressent un impérieux 252 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . besoin de dormir; la somnolence s'établit, pui
ne difficulté de considérer l'acétonémie comme la cause de troubles nerveux . On raisonnait par analogie en assimilant ces s
les diabétiques qui succombent à la phthisie sans aucun accident nerveux . Frerichs conclut que la cause de la mort en pa
éristique, l'auteur pense qu'il s'opère dans le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . po3 sang du diabétique une série de décomposit
es de liquides et sur l'état de sécheresse particulière des centres nerveux qui parait jouer un rôle si important dans la p
fficiles qu'on saisira la chambre du conseil. Du rôle de l'hérédité nerveuse dans la genèse de l'ataxie locomo- trice progre
in aux causes accidentelles et accessoires, c'est la prédisposition nerveuse héréditaire. Nos recherches en effet nous ont c
Duchenne appartient à la grande famille des affections du sys- tème nerveux , mais aussi par ses accointances, par sa parenté,
mple, le cas de telle malade, exempte absolu- ment de toute parenté nerveuse , au dire de son mari et de son frère, gens inte
ssez significatives pour démontrer l'influence de la prédisposition nerveuse en matière d'ataxie locomotrice. Nous vous rapp
'ataxie locomotrice progressive. Mais il est bon nombre de troubles nerveux autres que ceux de la paralysie générale qui vi
rsécu- tions. Que prouvent ces coïncidences, sinon que le système nerveux des ataxiques est frappé d'une tare qui le préd
ents de démonstration s'accu- mulent pour établir la prédisposition nerveuse , chez les tabétiques. Cette prédisposition ress
et peut-être nécessaire de la maladie de Duchenne, c'est l'hérédité nerveuse . M. Falret. Morel avait déjà remarqué cette coï
natomie, histologie et homologie des différentes parties du système nerveux des poissons. » Le prix est de deux mille franc
tations subjectives ? Je me borne à poser la question. PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES LOCALISATIONS CÉRÉBR
on- cule cérébral (Soc. Biologie. 1882, p. S ? 9.) 298 PATHOLOGIE NERVEUSE . motrices destinées à l'innervation des muscles
l'aphasie traverse la capsule interne dans son seg- 300 PATHOLOGIE NERVEUSE . ment antérieur, en avant du faisceau géniculé,
. Frère goutteux. Soeur actuellement bien portante. Pas de maladies nerveuses dans la famille. Antécédents personnels. -Bon
é électrique. Pas d'atrophie des muscles atteints. 302 PATHOLOGIE NERVEUSE . Paralysie légère du bras gauche, qui peut enco
s et d'hémiplégie portant sur Archives, t. Vil. 20 306 PATHOLOGIE NERVEUSE . LOCALISATIONS CÉRÉBRALES. les membres et le fa
faits qu'à un moment où lui-même ruminait déjà aussi. - Mère un peu nerveuse , soeur autrefois anémique; elle passe actuellem
(imbéciles et idiots, 100; autres aliénés, 471) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIX. SUR quelques réflexes pendant l'enfance; p
du phénomène du genou préalablement absent, 328 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . il faut s'occuper des réflexes cutanés qui, ai
nt, depuis le bord inférieur de la protubérance REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 329 jusqu'à la naissance de l'entrecroisement
e Neurologie, t. 1 ? p. 597, et II, p. 244. 330 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . symptômes, les variétés nosographiques résulta
s du côté du nerf optique et de l'oculomotetfr, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 331 1 et de la sélection de la maladie pour te
ns mises en relief par M. Men- del. P. K. 332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXIV. DE L'OEDÈME circonscrit COMME cause DE S
. Pneumonie, entérite catarrhale chro- nique. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 333 L'analyse critique de M. H... le mène à ce
ctrisation par les courants de la pile, et, 331 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ce à notre avis, il est de la plus haute impor
eur du bisaïeul de l'enfant de l'observation I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 335 Deux descendants de frères de ce bisaïeul
eures atteintes. P. K. 1 Voyez : Société de Psychiatrie et maladies nerveuses de Berlin. (Ar- chives de Neurologie, t. III, p
r- chives de Neurologie, t. III, p. 230). 336 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXX. Cas INSOLITE DE MYÉLITE par compression ;
llules ; inté- grité des cellules multipolaires grises et des tubes nerveux en dehors des foyers. Suprà : faible dégénéresc
rgane. P. K. XXXII. SUR l'inflammation parenchymateuse DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL ET SES RAPPORTS AVEC LE GLIOME ; par Pa
nomènes évidemment en rapport avec la plus grande partie du système nerveux central, survenant sous furme d'accès à évoluti
re des manifestations Archives, t. VU. 22 338 REVUE DE pathologie NERVEUSE . générales telles que céphalalgie, vertiges, ab
évroglie épaissie et hyperplasiée. Pour les auteurs, c'est la fibre nerveuse et non le tissu conjonctif qui aurait été le po
se préciser davantage. En un mot, participation active des éléments nerveux au processus ; néoplasie cellulaire se renfer-
te parenchymateuse vraie et les gliomes ou neuro-gliomes du système nerveux central. L'échelonnement des accès et le cachet
d fait a trait à un homme da soixante et un ans REVUE DE pathologie NERVEUSE . 339 en état de déchéance organique, ramassé su
lant aux cellules ner- veuses, issues, pour les auteurs, des fibres nerveuses . Ils con- cluent à la dégénérescence sarcomateu
1 V. Archives de Neurologie, t. II, p. 242. 3t0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . alors un peu la force, on promène lentement, m
-bras : flexion a angle droit de la main sur le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3 il bras avec déviation vers le bord radial.
ornes antérieures sont atteintes, on voit une diminution des fibres nerveuses partant de ces cornes et se dirigeant vers les
tomiques (augmentation du tissu conjonctif aux dépens des fibres nerveuses ) que dans le cinquième et le sixième nerfs moteur
Saulle décrit de main de maître les effets du froid sur le système nerveux périphérique et central, sur la congestion céré
sible de supposer qu'il existe une certaine disposition du système nerveux central à s'affecter en plusieurs segments à la f
nts à la fois, sousla forme de disparition progressive des éléments nerveux (cellules ganglionnaires et fibres nerveuses).
progressive des éléments nerveux (cellules ganglionnaires et fibres nerveuses ). [Depuis cette communication , l'examen micros
tions précé- dentes. Il existait bien encore de nombreuses cellules nerveuses , mais la plupart d'entre elles étaient plus pet
e première série de préparations concerne la disparition des fibres nerveuses à myéline dans l'écorce du cerveau des déments
dans lesquels, que la maladie fût récente ou an- cienne, les fibres nerveuses myéliniques avaient disparu plus ou moins compl
placer encore sous les yeux de l'assemblée les attaches des fibres nerveuses en question avec les cellules envisagées. Ce n'
mot le cerveau est atteint d'encéphalite interstitielle : cellules nerveuses partout normales. Le malade visé dans l'espèce,
es in- terstitielles, M. Tuczek insiste sur ce point que des fibres nerveuses avaient été détruites en grand nombre et que, p
elles prouvent, selon lui, uniquement que la disparition des fibres nerveuses à myéline s'observe dans l'encépha- lile cortic
de celte manière de voir, puisqu'il a toujours trouvé le- cellules nerveuses normales. M. Mendel espère d'ailleurs montrer p
prochainement à M. Tuczek, les lésions indubitables des cellules nerveuses de cerveaux de paralytiques. Il l'engage, en atte
nion anatomique des fibres tangentes à la surface avec les cellules nerveuses ganglionnaires était encore à montrer, que la d
ment, qu'on ne constate aucune altération pathologique des cellules nerveuses . C'est évidemment aux préparations histologi- q
r les auteurs touchant la structure du tissu conjonctif des centres nerveux , et les théories sur l'inflammation de ce systè
s, exclusives (dégénérescence atrophique des cellules et des fibres nerveuses ). Il a notamment observé ces altérations chez des
calcifiés sur une étendue plus ou moins considérable. Le parenchyme nerveux au voisinage des canaux avait subi la transform
'un genre particulier, qui ont déterminé l'atrophie de la substance nerveuse . 11 ne manque pas non plus de pièces où la subs
tance nerveuse. 11 ne manque pas non plus de pièces où la substance nerveuse a été atrophiée primitivement, d'emblée. Si à l
. Meynert (de Vienne). On a peu constaté d'altérations des cellules nerveuses dans la substance grise. Tout ce qui regarde la
partie de ces états pathologiques compris sous les noms de maladies nerveuses fonctionnelles, névrosisme, neurasthénie. La dé
moteur commun. Un noyau gris spécial comprenant de grosses cellules nerveuses occupe le foyer de ces irradiations. Les deux f
se extrême des cellules qui ne permet pas de suivre les conducteurs nerveux . M. MENDEL voit dans le foyer du ruban de Reil
bé- tique. Les coupes ont été exécutées sur l'ensemble du système nerveux central d'un homme ayant succombé à la forme tabé
d'abord dans le bichromate de potasse, puis dans l'alcool, le tissu nerveux se présenta sous l'aspect d'une éponge, tant il
nterstices du tissu; il les avait dilatés en refoulant la substance nerveuse (fibres et cellules) atrophiée contre les vaissea
ques, à peu près comme pour les corpuscules amyloides. Les cellules nerveuses ganglionnaires présentent les mêmes variétés de
nt aux couches qui renferment des SOCIÉTÉS SAVANTES. 381 cellules nerveuses ganglionnaires. La pointe du lobe temporal, l'm-
liés et dont la plus grande partie ont trait à l'étude des maladies nerveuses ou mentales. Cette publication sera très appréc
érations sur la sciatique, de la migraine, de l'onanisme, accidents nerveux du diabète, ergotisme convulsif épidémique, des
un ouvrage nouveau. C'est un traité complet des maladies du système nerveux comprenant les affections du cerveau, de la moe
u premier chef l'attention de tous ceux qui s'occupent des maladies nerveuses . CB. F. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE Des hémiplégies
Martinet. Thèse de Paris, 1884. Contribution a l'élude des troubles nerveux périphériques dans les entorses et en particuli
e de la pathologie et de la théra- peutique des maladies du système nerveux . La majorité n'a pas été de cet avis et elle a
ts qui leur sont con- sacrés. Organisation des maladies mentales et nerveuses . Un volume in-8- de 355 pages. Paris, 1884. Lib
ans l'), 191; - (troubles uri- naires dans l'), z24 ; - (hérédité nerveuse dans la genèse de l'), 259. Atrophie, muscula
Bloch, 334. Gliôme (inflammation parenchyma- ' teuse du système nerveux central 420 TABLE DES MATIÈRES. et ses rapp
niques dans la paralysie générale), par Sau- ton, 395. Hérédité nerveuse (du rôle de l' - dans la genèse de l'ataxie loc
ction, 363. Syphilis cérébrale, par Chante- messe, 249. Système nerveux (des troubles uri- naires dans les maladies du)
eubner, 329. Urinaires (des troubles dans les maladies du système nerveux et en particulier dans l'ataxie loco- motrice
, Sclérose du cordon latéral. c, Corne postérieure. Fig. 15. Tube nerveux sur une coupe longitudinale. Tube variqueux. Fi
secondaire. B, Coupe du cordon latéral dans notre cas. a, Tube nerveux avec cylindre-axe; hypertrophie. L, Tube nerveu
tre cas. a, Tube nerveux avec cylindre-axe; hypertrophie. L, Tube nerveux dilaté et vide. E\I'UI UI Ihill."3K' Imp - 584.
31 (1904) Archives de neurologie [2ème série, tome 18, n° 103-108] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES . D It NEUROLOGIE , REVUE MENSUELLE . DES MALADES NERVEUSES ET MENTALES FOND Itl PAR J.-lI. CIIARCOT 1`UI
c). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COI.LABO
grise et peu caressée auprès d'un père aimant le faste et le luxe, nerveux , qu'elle a à peine connu; de soeurs plus âgées
dans la suite. 0 6 CLINIQUE MENTALE. '- Au printemps 1901, l'état nerveux du ménage était précaire, celui de M. Schtein s
sa défense était l'esprit de sa belle-mère. Dans l'état d'éréthisme nerveux où elle était,elle la sentait toujours présente,
ssée au second plan disparaisse jamais tout à fait. Vision.- L'état nerveux de Cam... s'aggrava encore, elle devint plus ag
malade en pleine dépression neurasthénique avec angoisse et malaise nerveux , sans que rien puisse faire supposer autre chos
par- lant de son séjour en Suisse, elle mentionnait souvent l'état nerveux grave pendant lequel elle disait avoir eu du dé
Toute cette exaltation n'allait pas sans augmentation des malaises nerveux , l'éréthisme génital redevenait particulière- m
tion exacte de son mari en pensée seulement augmentent ce malaise nerveux . Elle éprouve alors une céphalée frontale pénible
otecteur sans apporter aucune entrave à la crois- sance des centres nerveux . Que devient cette loi dans les cas pathologiqu
ue soit la causé première de l'arrêt de développe- ment des centres nerveux , le forme cranienne n'est-elle même que l'expre
s de la Société d'Anthropologie de l'année 1883 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1. Spasme essentiel ou idiopathique ; par Will
s une certaine constance dans'l'ordre des causes de cette affection nerveuse . C'est ainsi que dans un cas très signi- ficati
probablement placer le siège des troubles 52 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . donnant lieu aux paresthésies dans la moelle é
ortit au réflexe pupillaire sensitif; l'excitation des terminaisons nerveuses sensitives du conduit par le corps étranger ave
insèque totale et complète à gauche avec abais- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 53 sèment considérable de la vision du même cô
ransformation maligne primitive des éléments 51 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . du système nerveux d'origine mésodermique, une
rimitive des éléments 51 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. du système nerveux d'origine mésodermique, une sarcomatose primiti
ne sarcomatose primitive et généralisée d'emblée.Mais, les éléments nerveux pro- prement dits, cellules nerveuses et cylind
sée d'emblée.Mais, les éléments nerveux pro- prement dits, cellules nerveuses et cylindraxes résistent longtemps au processus
pébral dans le cours de la paralysie faciale. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 55 Deux nouveaux cas leur permettent de reveni
(facial, sympathique, trijumeau) et d'ad- mettre que la lésion est nerveuse et qu'elle siège dans les centres sans qu'il so
hronique d'emblée, restant à peu près immo- 56 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . bile, type essentiellement héréditaire ou fami
eures, foyers lacunaires des deux côtés). R. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 57 Un cas de syphilis héréditaire tardive à fo
qui permet de le ranger dans la série des cas mixtes où le système nerveux doit sûrement intervenir. R. C. XXV. Monstrueus
des hôpitaux de Lyon, 20 janvier 1903.) .. 5b REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . L'observation que rapporte l'auteur l'a condui
accompagner cette hémiatrophie, est celle d'une atrophie de rameaux nerveux moteurs de certains nerfs craniens sous la dépe
à l'âge de dix-sept ans, présenta des accidents REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 59 cérébraux graves qui en imposèrent pour une
ivants : 1° la généralisation souvent très 60 - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tardive du tremblement dans la plupart des cas
ent, pour ainsi dire, charger les appareils ré- flexes de l'énergie nerveuse et de même les décharger artificielle- ment par
façon efficace que lorsqu'elles exercent leur action sur un système nerveux pré- disposé. Dans l'observation relatée par le
production d'autres foyers de ramollissement au niveau du sys- tème nerveux central. Le malade ayant succombé, l'étude métho-
tral. Le malade ayant succombé, l'étude métho- dique de son système nerveux central fut faite par la méthode de Marchi. o-
a gaine des vaisseaux, puis infiltrent d'une façon diffuse le tissu nerveux et enfin tombent dans la cavité centrale.. Pour
n trouve dans les dif- férents processus inflammatoires du système- nerveux . Peut-être cette transformation des cellules in
elleux, est l'existence primitive d'une surdité complete, de nature nerveuse , avec paralysie faciale, suivie à bref délai de s
emeure convaincu qu'elle occupe une place à part parmi les maladies nerveuses , et que ses facteurs principaux ne lui sont com
iste pas d'épilepsie incomplète. L'idée d'une « décharge » de force nerveuse n'est pas davantage admissible. L'auteur, en
nsidérer certains faits fondamen- taux de la physiologie du système nerveux , car, après tout, la pathologie n'est pas autre
e physiologie nous apprend c'est que, à l'origine de toute activité nerveuse , on trouve une action afférente, et qu'une acti-
rouve une action afférente, et qu'une acti- vité spontanée du tissu nerveux est un phénomène inconnu en physiologie. Mais
veux est un phénomène inconnu en physiologie. Mais cette activité nerveuse d'origine afférente est soumise à ]'inhibition
nhibition la résistance engen- drée par l'habitude dans les centres nerveux , à l'égard de toute réponse efférente Ï1'l'égul
rt, l'inhibition implique l'existence et l'accumulalion d'une force nerveuse sur laquelle elle puisse s'exercer. La physio-
de l'inhibition régulatrice normale qui s'exerce entre les centres nerveux corticaux, trouble qui est originairement provo
iques douloureux, avec certains oedèmes et pseudo-lipomes d'origine nerveuse . Toutefois ils pensent que cette association mo
toxication saturnine : colique de plomb, néphropathie, accidents nerveux . La paralysie saturnine a pris une extension gran
écifique aux os de la main. Un cas de kyste derrnoïde dus centres nerveux . MM. RAYMOND et COURTELLEtONT. Un peintre en bâ
ces cas nous n'ayons trouvé dans le nerf correspondant aucune libre nerveuse et que dans la plupart des autres le nombre des
xister une autre lésion qu'une simple atrophie sur place des fibres nerveuses . Cette disproportion nous a été expliquée par l
conjonctives que l'on trouve à l'état normal entre les faisceaux nerveux . Les nerfs de volume très réduit ne présentaient
ré- existants et néoformés essentiellement chronique ; les fibres nerveuses disparaissent alors faute d'irrigation sanguine ;
nerf dans des cas d'altéra- tions syphilitiques diverses du système nerveux , paralysie générale, paraplégie spasmodique, et
l'absence de ce réseau ne saurait infirmer la conception du lobule nerveux polycellulaire. La limitation des dégénérescences
simplement une unité fonctionnelle que personne ne refuse au lobule nerveux . La dégénérescence Wallérienne ne prouve pas pl
gène le bout périphérique doit se mettre en rapport avec l'influx nerveux . Par exclusion, ce rapport ne parait pouvoir s'ef
ie par les anastomoses vraies d'Apathey. La question de suppléances nerveuses ne saurait être invoquée et ne cadre pas avec l
objections ne contredisent en rien la conception du lobule primitif nerveux ou neurule qui fait rentrer le système nerveux
du lobule primitif nerveux ou neurule qui fait rentrer le système nerveux dans le plan des autres organes et permet d'expli
e une pathologie de l'épendyme peut-être comparable pour le système nerveux , abstrac- tion faite de la nature et de la caus
que je leur en ai faite, dès qu'elles souffrent de quelque malaise nerveux , il leur suffit, pour s'en débarrasser, de fixe
un manque d'aptitude lié à une disposition défectueuse du système nerveux ; elle se constate chez les idiots, les imbéciles
'ont pas été. Le 12 novembre de 1902 on constata du côté du système nerveux SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 des phénomènes de lésio
d'un trouble psychique avec des modifications organiques du système nerveux , Comme endroit de la plus grande concentra- tio
maladie donnée, non seulement surles modifications dans le système nerveux périphérique, mais aussi dans le système centra
ellules de la névroglie, son oedème, la dégénérescence des cellules nerveuses , etc.). Le processus morbide s'était exprimé. p
ours des formes complexes (altération des vaisseaux et des éléments nerveux ). Mais dans une seule et même infection on peut
par des symptô- mes digestif (vomissements, diarrhée) des troubles nerveux : con- tractures, convulsions épileptiformes, t
Vol. XVIII. Août 1904. N° 104. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . CLINIQUE DES MALADIES NEUVE USES. - LA SALP1 :
UE DES MALADIES NEUVE USES. - LA SALP1 : TIIIGItE Deux cas de lèpre nerveuse 1. Par le professeur RAYMOND Messieurs, Je
confondre, au premier abord, avec des maladies communes du système nerveux telles que nous en voyons dans cet hospice : on
de clinique adjoint. Archives, 21 série, t. XVIII. 7 98 clinique nerveuse . été, au moyen âge, dans notre pays, un objet d
lle et déjà fruc- tueuse. C'est donc; Messieurs, un des syndromes nerveux d'une affection bacillaire pouvant être beaucou
p plus généralisée. pouvant intéresser d'autres tissus que le tissu nerveux , que vous allez voir chez le malade que je vais
eu de syphilis, de paludisme ni de dysenterie. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 99 Les premiers symptômes qu'il ait constatés
e. Procédons maintenant à l'examen des symptômes que 100 CLINIQUE NERVEUSE . nous observons au membre supérieur gauche d'un
bras, cette atrophie n'est pas moins évidente, la DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 101 t mensuration montre, entre le côté gauc
altérations objectives dont sont le siège les troncs et les filets nerveux ; l'exploration montre, en effet, qu'ils sont no
iliforme. Ces altérations sont particulièrement accen- 102 CLINIQUE NERVEUSE . tuées au niveau du cubital et du médian, que l
plications s'appliquent à toutes les figures. " DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 103 Enfin, Messieurs, les réactions électrique
ns encore, de ce côté, nombre de symptômes Fig 15. 104 , CLINIQUE NERVEUSE . importants, intéressant à la fois la peau et l
le siège d'un érythème spécial : il Fir¡. 1 il. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 105 est surtout marqué autour de l'oeil et sur
ette affection ne faisait ici défaut. 1 1 Fig. 17. tUb CLINIQUE NERVEUSE . La région sus-orbitaire droite, au niveau de l
itaire gauche, elle est séparée de la Fi-7. 18. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 107. précédente par une bande de peau saine..
ère supérieure : cette infiltration est Fig 1 ! 1. 108 . CLINIQUE NERVEUSE . assez accentuée pour empêcher l'occlusion comp
olume ne se rencontre qu'à droite. Elle intéresse DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 109 notamment les deux branches supérieures du
qu'au premier abord on pour- rait hésiter à reconnaître des filets nerveux ; avec un peu d'attention, on peut encore sentir
utre symptôme digne d'être mentionné; les autres parties du système nerveux aussi bien que tous les viscères ne présentent
souffrir du bas-ventre, en même temps que de nouvelles 110 CLINIQUE NERVEUSE . plaques apparaissent au niveau des bras puis s
ononcé au niveau des deux mains. Celles-ci, en un DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . l'il 1 mot, présentaient tous les caractères c
rne du bras droit, une large macule brunâtre que nous ll . CLINIQUE NERVEUSE . , avons vue depuis desquamer et pâlir jusqu'à
t datant de cinq à six ans ; à la face Fis. 20. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 113 dorsale du pied gauche un oedème dur et él
alléoles. Archives, 2- série, t. XVIII. 8 . li. '1 114 CLINIQUE NERVEUSE . i L'étude de la sensibilité n'était pas moins
est l'impor- tance de ces troubles. Fig, 22, DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 115' J'ajoute enfin, 'Messieurs, que la santé
x; celle-ci a persisté pendant une F ig. 21. i. DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 11-7 quinzaine de jours, puis a disparu progre
sa suite une ulcération cratériforme, 1'ér. 25. lui[8 m CLINIQUE NERVEUSE ., 1 laquelle a persisté. Ces symptômes ont été
ans les deux cas, et qui mérite de retenir notre DEUX CAS. DE LÈPRE NERVEUSE . 119 attention. Chez notre femme, elle occupait
s en présence de la maladie type de Duchenne, que vous 120 CLINIQUE NERVEUSE . vous trouvez. Ici nous n'avons pas à songer à
ous considérons à bon droit comme constant en cas DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 121 de syringomyélie; la déformation des mains
x, la lèpre affectant dans cette région une forme lar- 122 CLINIQUE NERVEUSE . vée spéciale, mais demeurant par sa nature et
névrite qui réalise une semblable augmentation du volume des troncs nerveux : devons-nous donc conclure dans le cas présent
s musculaires, des troubles sensitifs, l'hy- pertrophie des cordons nerveux et par ces caractères elle se rapproche des mal
ynévrite saturnine seule présenterait des locali- DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . li3 sations rappelant celles que je vous ai in
phi- ques du côté de la peau, enfin par l'hypertrophie des troncs nerveux périphériques, le tout survenant chez un sujet ay
atives au mariage des lépreux. Mais c'est sans contre- 124 CLINIQUE NERVEUSE . dit au moyen âge, à l'époque des croisades, qu
ngue deux formes, la forme tégumentaire ou tuberculeuse et la forme nerveuse , mais il convient encore de compter avec une fo
ure et la répartition des troubles trophiques que DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . t25 l'on rencontre chez les'lépreux nous sont
étreraient dans l'épaisseur de la peau à la laveur des 126 CLINIQUE NERVEUSE . ,\ moindres érosions : je vous signale aussi l
elles réactions histologiques 'sa ' présence pro- DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 127 voque dans les tissus en général et en par
veux vous montrer maintenant comment se fait l'infection du système nerveux . 1 - Les travaux de tous les auteurs qui ont ét
elle voie se fait l'arrivée du bacille dans l'épaisseur des cordons nerveux ? On peut bien admettre, pour certains cas, l'a
sant comme point de départ une macule cutanée et suivant les filets nerveux eux- mêmes : ainsi se crée une névrite bactérie
l'endonèvre ou tissu intrafasciculaire pénétrant entre les fibres nerveuses . Eh bien ! la lésion lépreuse se rencontre en d
qu'en ce dernier point elle arrive au voisinage immédiat des tubes nerveux . On comprend bien alors les conséquences qu'ent
blables lésions au point de vue de la structure et. du 128 CLINIQUE NERVEUSE . fonctionnement des tubes nerveux. Agissant à l
structure et. du 128 CLINIQUE NERVEUSE. fonctionnement des tubes nerveux . Agissant à la fois par compression et aussi pa
tensité et la rapidité du processus, soit une atrophie de la fibre nerveuse qui devient plus grêle dans ses éléments, soit
de savoir jusqu'où peut remonter l'infection spécifique du système nerveux : peut-elle dépasser les nerfs périphériques et
insi que mon collègue Déjerine l'a fait remar- quer. Enfin le tissu nerveux ne se refuse pas à faire des lésions histologiq
t Cestan, ont repris les expériences d'infections DEUX CAS DE LÈPRE NERVEUSE . 129 expérimentales de. poudres inertes, soit d
le tétanos, la toxine remonte de la plaie cutanée vers les centres nerveux en suivant le nerf et très vaisembla- blement e
et mutilations diverses ; enfin, après de longues années- la forme nerveuse peut durer vingt, trente et même quarante ans l
ement selon les états d'esprit ou les états de calme et d'éréthisme nerveux par lesquels passe la malade. Elles peuvent se
tion. Lutte contre l'automatisme. Amélioration. En somme, la malade nerveuse , distraite et rèveuse, aigiie de ne pouvoir aut
at de ses centres automatiques au moment où renaît dans son système nerveux le calme dont elles soulignent l'apparition. Su
portante, a une hérédité chargée. Son père fort, intelligent mais nerveux , est mort depuis longtemps. La famille de sa mère
a famille de sa mère compte plusieurs aliénés. Ses soeurs sont très nerveuses , l'une d'elles est une giande obsédée phobique.
nce, mais nulle part, elle n'avait envahi ou détruit la sub- stance nerveuse . L'auteur pense qu'on peut expliquer les vomiss
e ces recherches, M. ALTER déduit que certaines maladies du système nerveux central, au premier rang la paralysie générale et
psie, tiennent à ce que sur les substances prél'ormées du sys- tème nerveux s'accrochent des toxines spécifiques dont l'origi
st l'expression directe de l'an- crage de la toxine dans la cellule nerveuse des divers territoires, d'où la physionomie mul
les attaques d'épi- lepsie sllbintmntes; l'épuisement des cellules nerveuses , les dégé- nérescences de ces cellules. Général
de celles des solutions chlorosodiques, notam- ment sur le système nerveux central du paralytique général. M. ALTEU attend
ehaval. XXIX. L'état actuel de l'anatomie pathologique du système nerveux central, par 1VISSL. (Centmlblatt sur Ne2ueizheil
es plus récents, efforcé de déterminer les altérations des cellules nerveuses et des fibres en insistant surtout sur la loca-
'enceinte duquel on constatait l'exis- tence des cellules et fibres nerveuses altérées. Par contre, on ne s'est préocccupé qu
consécutifs au traumatisme, les phénomènes de réparation des tissus nerveux détruits. Il nous reste à pénétrer le mécanisme
le ; on ne connaît pas de dégénérescence graisseuse de la cel- lule nerveuse . Les états dits de tuméfaction trouble ne se voie
ats dits de tuméfaction trouble ne se voient ni dans les composants nerveux , ni dans les composants d'autre nature des orga
dp-l'inflam1Jlation. Si nous désignons ainsi une lésion du tissu nerveux s'accompagnant de prolification des ingrédients h
s'accompagnant de prolification des ingrédients histolo- giques non nerveux et de réaction de l'appareil vasculaire sanguin
ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 185 en ce qui concerne les centres nerveux , aucune raison de conserver l'étiquette d'infla
faire de prodigieux progrès à l'histologie pathologique des centres nerveux . Mais, le problème le plus important, celui des r
siste, non pas à délimiter rigoureusement, à localiser les éléments nerveux affectés, non pas à rattacher les signes cliniq
semblent être en réalité les excitants spécifiques des terminaisons nerveuses profondes qui sont mises en action pendant les
oncé. P. Keraval. XXXIV. De l'origine et de la nature de la narcose nerveuse ; N. E. WEDEN5KY. 0&o. : )'eHt'e psichiatrü.
Y. 0&o. : )'eHt'e psichiatrü. VII, 1902, 2, 3, Il. Chaque fibre nerveuse possède deux propriétés fondamentales; l'excita
de même ordre, tenir à une seule et même modification des éléments nerveux , aune transformation de l'éréthisme devenu cont
jusqu'ici été vue que dans les maladies fonc- tionnelles du système nerveux central ; la réaction paradoxale apparente à la
exceptionnellement dans les affections organiques graves du système nerveux . P. IiEnAVAL. z Archives, 2- série, t. XVIII. 1
comparaison montre des lésions des neurofibrilles dans les cellules nerveuses du paralytique, au maximum dans les petites et mo
profes- seur Bard qui n'explique pas tout le phénomène. Accidents nerveux tardifs du rhumatisme articulaire franc. M. LHE
ite d'une polyar- thrite rhumatismale aiguë, offre divers accidents nerveux : amyo- trophie des mains, de l'avant-bras, du
Y, - Le malade, de quinze ans, s'adressa à la Clinique des maladies nerveuses le 11 janvier 1903, se plaignant sur la faibles
hénomènes dé myokymie peuvent dépendre de l'irritation des cellules nerveuses des cornes anté- rieures. H2 Z . SOCIÉTÉS SAV
ues se trouvaient dans la tumeur et aussi au milieu de la substance nerveuse . On apercevait encore beaucoup de petites cellu
isme vivant, se trans- met à distance et paraît dépendre du système nerveux . Cette force varie suivant que l'organisme est
ions seraient en rapport avec des troubles d'évolu- tion du système nerveux . Les naevi acquis ne sont pas moins fréquents c
aucun cas nous n'avons vu les lésions se localiser à un tra- jet nerveux . Un fait, déjà signalé par Hébra, est la rareté d
ans que cela dure ! » Observation II. NI-0 F..., trente-deux ans, nerveuse et impres- sionnable, grande timidité. La mal
estation, c'est l'existence d'une profonde altération de la cellule nerveuse et de ses prolongements dans tous les cas de dé
de psychoses. A cette objection, nous répondrons que si la cellule nerveuse est 220 SOCIÉTÉS SAVANTES. lésée isolément, c
i semblent jouer le rôle de neuronophages vis-a-vis de la cellule nerveuse . Cette prolifération de la névroglie n'est, du
produit chez 3 sur 4 des malades dont ils ont examiné les centres nerveux . Après les réserves cliniques que nous venons d
les de la névroglie, la même localisation du processus à la cellule nerveuse dont les angles sont arrondis, les prolongement
rapporteur, rappelle que les localisations motrices dans le système nerveux ont été étudiées en France par Vulpian et Hayem
: enlever un muscle et trouver dans la moelle un groupe de cellules nerveuses en réaction à distance, c'est prouver la rela-
une pre- mière période, les auteurs se sont contentés des sections nerveuses . Marinesco a aussi démontré que chaque nerf rac
hages ; il semble que ces cellules sont remplacées par des cellules nerveuses sim- ples, voisines du groupe moteur, qui s'ada
. Foveau de Courmelles dit les mérites du radium en thérapeuti- que nerveuse . Sur l'exploration clinique du sens musculaire.
xploration du sens musculaire. Examen de la suggestibilité chez les nerveux . Le Dr SCHNYDER (de Berne). - L'auteur a examin
NYDER (de Berne). - L'auteur a examiné la suggestibi- lité chez les nerveux soignés à la clinique du Professeur Dubois, de
leurs auto-suggestions préexistantes. Le radium en thérapeutique nerveuse . M. le Dr Foveau de CouauttES, de Paris. Le rad
constaté l'action sédative sur la douleur, organique ou cancéreuse, nerveuse ou névralgique. La suggestion a été diminuée ou
siologique le sont plus encore à l'état pathologique. Si le système nerveux normal se laisse pétrir par des circonstances e
rmal se laisse pétrir par des circonstances extérieures, le système nerveux anormal, plus suggestible, plus automatique, mo
ont très fréquentes ; elles constituent le reliquat, sur un système nerveux spécial, des iusomnies quel- conques, que celle
nerveux spécial, des iusomnies quel- conques, que celles-ci soient nerveuses , circulatoires ou toxi-infec- tieuses. Elles cè
e à l'administration des hypnotiques qui régularisent les fonctions nerveuses en rendant l'habitude de dormir. Les attaques
es d'habitude, le reliquat, sur un système 248 SOCIÉTÉS SAVANTES. nerveux prédisposé, du même phénomène (qui est ici l'atta
qua- lités, la sensibilité de la cornée. Le climat de Pau et les nerveux . M. le Dr CROUZET traite de l'action sédative d
stives de la tuberculose pulmonaire, mais encore dans les accidents nerveux qui peuvent survenir au début de cette maladie.
st un puissant calmant dans un certain nombre d'autres affec- tions nerveuses . Séance du vendredi 5 août. La question d'ass
uvement en puissance ; 3° le feuillet externe constitue les centres nerveux : cerveau et moelle épinière ; les organes sens
rveau : le feuillet externe; 5° Chaque sujet nait avec un potentiel nerveux ; il peut l'élever par l'éducation ; ce potenti
x ; il peut l'élever par l'éducation ; ce potentiel va à la cellule nerveuse , pour la cërébration ; à la cellule musculaire,
, le tronc et les mem- bres. Stigmates physiologiques. 1° Système nerveux , troubles de la 266 SOCIÉTÉS SAVANTES. motili
oubles de la mi- mique ; 2° Aux actes impulsifs ; 3° A une hérédité nerveuse capi- talisée ; 4° Aux troubles de la volonté e
, et encore plus dans le sommeil provoqué l'équilibre des fonctions nerveuses tend à se rétablir. C'est proba- blement par ce
e qui domine ici ce sont les phénomènes de compression des fibres nerveuses qui prennent le pas sur les troubles inflammatoir
ales permettant à l'acide gastrique d'irriter violemment les filets nerveux , nous le trouvons ici à l'état de phénomène sai
ces nouvelles sensations soient la conséquence même des mouvements nerveux , les sujets ont tou- jours tendance à croire l'
explique par l'infériorité organique des centres et des conducteurs nerveux chez les vieillards. Les habitués des Asiles.
cuisse. On pourrait de même soutenir qu'il s'agit d'une topographie nerveuse incomplète ou d'une topographie radiculaire ave
n diagnostic facile d'avec ceux dont l'origine est dans les centres nerveux ; d'autant moins qu'ils peuvent exister en dehor
on de cette maladie particulière à d'autres affections du système nerveux (ictus cérébral, etc.) dont la symptomatologie mo
marquée de la névroglie. Lésions profondes et diffuses des cellules nerveuses frontales : disparition du protaplasme avec dég
lement la psycholo- gie, mais l'anatomie, la psychologie du système nerveux , la patho- logie nerveuse et mentale. La comp
mais l'anatomie, la psychologie du système nerveux, la patho- logie nerveuse et mentale. La composition de ces tables biblio
L'histologie a été confiée à F. Henneguy, l'ana- tomie des centres nerveux à Van Gehuchten, la physiologie du système nerv
omie des centres nerveux à Van Gehuchten, la physiologie du système nerveux à Fredericq, la pathologie nerveuse et mentale
chten, la physiologie du système nerveux à Fredericq, la pathologie nerveuse et mentale à Grasset, Pitres, Simon, l'anthropo
ris, n° 161]. On con- nait de lui un Traité pratique des affections nerveuses et anémiques considérées dans les rapports qu'e
'assez nombreux excès sans jamais varier le procédé. Vite, son état nerveux habituel s'accrut dans de grandes pro- portions
partir du second mois, il constata une aggravation de ses troubles nerveux . Il fut plus enclin à se croire sous le coup de
ement disparut, mais elle fut remplacée par l'obsession d'un spasme nerveux qui angoissa davantage le malade. Un rétré- cis
e le malade. Un rétré- cissement s'opère, se dit-il, mais un spasme nerveux résiste sou- vent à toute médication, aboutit p
ue bien que peu versé dans la connaissance des maladies mentales et nerveuses , qu'il ne pratiquait pas, sa clientèle étant ex
me sont des manifestations identiques d'un même trouble des centres nerveux : tous les somnambules ne sont pas des hystériq
e communication sur une nouvelle méthode de colora- tion du système nerveux central; par H.-v. SCHROETTER. (ACli-0- log. Ce
anche, brun jaune. L'alizarine colore proto- plasma, noyaux, fibres nerveuses , névroglie.La structure du noyau et les grains
ion névro- glique. Fibres des nerfs optiques indemnes. Les cellules nerveuses offrent tous les stades de la déchéance, en mar
organismes supérieurs; mais ici intervient la complexité du système nerveux et du développement mental. REVUE D'ANATOMIE ET
semblent pour le cheval suffisantes pour provoquer dans le système nerveux un état de tension et d'excitomotricité qui fai
musculaire constituent des con- ditions propres à donner au système nerveux la tonicité indispen- sable à la procréation du
celle exagération de l'auto- activité mentale est l'état du système nerveux qui constitue la con- dition de la conception d
que le coeur de ces animaux contient dès la naissance des éléments nerveux spéciaux dont l'excitation par le courant d'ind
ent dans les parties du cerveau appelées à remplacer la substance nerveuse détruite de nouvelles images commémoratives des m
l'or ou au platine. (Voir le mémoire). Par ce procédé, les cellules nerveuses témoignent fréquemment d'une structure nettemen
in ? On ne sait. Le procédé rend visible les cylindraxes des fibres nerveuses myéliniques ou amyéliniques. Outre ces élémen
s compliqué. Ils se rapprocheraient plutôt du feutrage des cellules nerveuses de la rétine décrit par Uogiel. Les raies parais-
fibres et qui semblent être les intégrantes absolues de la cellule nerveuse . P. Ki.raval. LXV. Les formes pathologiques de
flexe périostiqne et non cutané. P. 1ERA\'dL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXI. Discussion de quelques nouveaux travaux
nt-bras gauche est fort maigre ; la sensibilité REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 345 thermique est diminuée, de même qu'à la ma
oplectique se justifie par l'abcès dentaire 346 REVUE DE pathologie NERVEUSE . compliqué de suppuration de l'antre d'Highmore
la myélite aiguë. , P. KERAVAL. XXXIII. Des affections mentales et nerveuses à la période secon- daire de la syphilis; par M
us importants du diagnostic des troubles syphilitiques de la sphère nerveuse et mentale. P. Keraval. XXXIV. De l'ataxie céré
endrer le syndrome en question. P. KERAYAL. , REVUE DE pathologie NERVEUSE . 347 XXXV. Observation remarquable d'hémicranie
e quatre observations, l'auteur établit que 348 REVUE DE pathologie NERVEUSE . la paralogie constitue un symptôme qui n'est p
nostique des irrégularités des bords des pupilles dans les maladies nerveuses dites organiques ; par J. Pilez (Neurolog. Cenl
Elles se montrent aussi dans le cours d'autres maladies mentales et nerveuses ; on ne les observe qu'exceptionnellement chez l
ement chez l'individu sain. IV. On peut occa- - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 349 sionnellement voir survenir dans la catato
upillaires correspondants ou de leurs noyaux (atrophie des cellules nerveuses correspondantes). X. Chez un enfant nouveau-né,
chez qui la crainte d'une affection pulmonaire détermina des crises nerveuses alternant avec des crises de toux. L'absence de
thoraciques et abdominales avec expirations 330 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . longues et convulsives et toux explosive ; la
- Friedreich et Unverriclit imputent le paramyoclonus aux cellules nerveuses des cornes antérieures de la- moelle. Unverritc
eur du processus patholo- gique, de l'atteinte des grandes cellules nerveuses . Chez ce malade la myoclonie fut très probablem
ctions constitutionnelles, de troubles de la nutrition, de maladies nerveuses . 4. La photothérapie est à l'étranger appliquée
hanges (Axenfeld et Huchard), théorie de l'épuisement de la cellule nerveuse (Beard), théorie anatomique et vaso-motrice de
rs (G. Dumas), par un trouble intime dans la nutrition des éléments nerveux (Erb), etc. En ce qui le concerne, l'auteur pen
issances, c'est dans un trouble primordial des éléments cellulaires nerveux qu'il faut chercher l'origine de la maladie. Il
de la maladie la plus répandue de toutes les affections du système nerveux . Pierre Roy. VARIA. Les aliénés en liberté.
XVIII. Novembre 1904. N° 107. ARCHIVES DE NEURO* " " '" CLINIQUE NERVEUSE Epilepsie, pathogénie et indications thérapeuti
y'. Généralités. Le prédisposé à l'épilepsie naît avec un système nerveux spécialement impressionnable; c'est donc à dimi
; n° 99, p. 206. Archives, 2" série, t. XVIII. 24 370 ' CLINIQUE NERVEUSE . interprétation. Ils prouvent que le bromure de
x principaux facteurs étiologiques, qu'il ne modifie que le terrain nerveux préparé ou par orga- nisation congénitale ou pa
atif en quelque sorte dans l'épilepsie légère, alors que le terrain nerveux épileptogène ne reçoit pas de fortes excitences
en de posséder un casier judiciaire vide, il n'est pas 372 CLINIQUE NERVEUSE . moins utile de posséder pour bien agir dans la
t la nourrice peut être exposée ou sujette elle-même à des troubles nerveux . Si la mère est épileptique, il est donc évidem
T INDICATIONS THÉRAPEUTIQUES. 373 d'excitances anormales du système nerveux de l'enfant. Il importe de donner à cet enfant
ce et tous les accidents qui en résultent, mais on place le système nerveux de l'enfant dans de meil- leures conditions pou
es oeufs auront la plus grande place, car les excitances du système nerveux se multiplient à mesure que le dévelop- pement
dévelop- pement physique et intellectuel progresse. 374 CLINIQUE NERVEUSE . C'est aussi pour prévenir le plus possible les
ra tous les exercices qui conges- tionnent spécialement les centres nerveux ou qui exposent à des chutes sur la tête ou à d
à des trépidations pouvant avoir une action facheuse sur le système nerveux , trapèze, sauts, équitation par exemple. En r
tation par exemple. En raison de l'irritabilité spéciale du système nerveux de l'enfant prédisposé à l'épilepsie, de l'impr
culièrement dangereuse n'est pas nettement franchie, que le système nerveux ne semble pas arrivé à une activite ferme et ré
d'irritation méningo-cérébrale directe que pour éviter 376 CLINIQUE NERVEUSE . - les conséquences de la vie sédentaire. Le ca
siblerie, accusant ou une impressionnabilité plus grande du système nerveux ou des excitences plus intenses exercées sur le
e nerveux ou des excitences plus intenses exercées sur le système nerveux , viennent indiquer que la prédisposition s'aggrav
s, car cette 1 Dont nous verrons plus loin l'action. 378 CLINIQUE NERVEUSE . périodicité régulière permettra d'instituer av
, l'exercice physique, la marche surtout, exerceront sur le système nerveux et sur les organes génitaux une action dépressi
lepsie que l'on prend cure de' l'enfant pour lequel on 380 CLINIQUE NERVEUSE . redoute des accidents de nature syphilitique e
ient volontiers leurs services. Ce moyen thérapeutique 382 CLINIQUE NERVEUSE . complémentaire utilisé par elles chaque fois q
eptique . dont bénéficie un peu le tube digestif ? ` 384 CLINIQUE NERVEUSE . Les améliorations obtenues grâce au régime pré
. KERAVAL. LXXIII. Existe-t-il une régénération autogène des fibres nerveuses 1 Contribution à la théorie du neurone ; par E.
- worn a soutenu que le corps de la cellule avec son prolongement nerveux et ses dendrites constitue une unité. Nissl a dit
la substance fibrillaire serait autonome, indépendante des cellules nerveuses . M. Muenzer pense que toutes les fibres qui pro-
Muenzer pense que toutes les fibres qui pro- viennent d'une cellule nerveuse appartiennent à un neurone; le neurone comprend
e appartiennent à un neurone; le neurone comprend toutes les fibres nerveuses sous la dépendance trophique d'un protoplaste.
Sud-Ouest, de juin 1901 (Bade), Betlie combat la genèse des fibres nerveuses du neuroblaste, soutient la v genèse multicellu
é sa fonction. D'après les mêmes expériences de Muenzer, les fibres nerveuses néoformées constatées dans le bout périphérique
, entre le bout périphérique et les parties centrales, les cellules nerveuses . Il n'existe pas de régénération autogène des f
ules nerveuses. Il n'existe pas de régénération autogène des fibres nerveuses . Du tout, répond Bethe, ces anastomoses extérie
e rétablissemeni par la cicatrice de la continuité avec les centres nerveux expliquant les fibres néofor- mées, et sauvegar
es données de l'histologie, de la physio- logie et de la pathologie nerveuse , l'auteur tire de ces nouvelles données quelque
t de la restau- ration fonctionnelle des cellules ou des extrémités nerveuses alté- rées par une infection ou une intoxicatio
sque totalité des organes moteurs terminaux, après section du tronc nerveux , se font avec le concours et la participation d
l'ensemble de toutes les lésions des enveloppes et de la substance nerveuse de tout le névraxe; 5° que le mode d'introduction
istologique a montré en outre dans le bout périphé- rique des tubes nerveux indiscutables dont le nombre augmentait à mesur
ies. L'angoisse s'observe : dans les diverses affections du système nerveux ; dans les affections des voies respiratoires;
s intoxications et auto-intoxications. Dans les maladies du système nerveux , l'angoisse a été observée : dans les paralysie
que l'angoisse peut apparaître dans deux cas : 1° Quand les centres nerveux qui com- mandent ce syndrome sont directement a
'hydrothérapie, les agents médicamenteux qui calment l'excitabilité nerveuse , la suggestion hypnotique, l'autosuggestion. Ma
ts, imbéciles, arriérés, épileptiques, amoraux. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLIII. Contribution à la psychologie de l'apra
1'olog. Centralbl. 1902, p. 615. Société de psychiatrie et maladies nerveuses de Berlin. 9 juin 1902). A rapprocher de l'obse
muscles du côté gauche de la face. Incessantes, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 423 elles ne produisent pas de mouvements; ce
tement de cette névrose. En ce qui concerne 424 REVUE DE pathologie NERVEUSE . l'étiologie, il pense que l'hérédité ne joue q
t à « Whoa ». Ces bruits involontaires et qu'il revue DE pathologie NERVEUSE . 425 ne peut retenir en font la risée de tout l
le segment antérieur de la capsule interne, 426 REVUE DE pathologie NERVEUSE . et non celle de Bechterew, pour qui le symptôm
suicidée à soixante-deux ans. Mère : atteinte de coxalgie ; très nerveuse , très émotive, sans vo- lonté, se laissant faci
es règles eurent lieu le 28 février et s'accompagnèrent de troubles nerveux (énervement, céphalée, insomnie). Les secondes
r les alié- nés dits criminels et sur la rélégation. 13. CLINIQUE NERVEUSE . Imbécillité; hémiplégie gauche; épilepsie; éta
rticolis congénital avec autopsie et examen histologique du système nerveux ; par MM. Gallavardin et Savy. (Lyon médical. 22
nces inflammatoires périmusculaires. Examen histologique du système nerveux : Aucune lésion dans le système nerveux périphé
men histologique du système nerveux : Aucune lésion dans le système nerveux périphérique (filets du spinal, tronc du sympa-
e cette affection; 2- que l'absence de lésions au niveau du système nerveux périphé- rique (filets du spinal, tronc et gang
e le fait est dû à la sensibilité plus ou moins grande des cellules nerveuses suivant qu'elles sont préparées à des fonctions p
t probable que le sucre joue un rôle dans la nutrition des éléments nerveux avec lesquels il est en contact. 4° Le taux d
isant comme une véritable section graduelle et progressive de l'axe nerveux . Cette observation, dans laquelle l'évolution n
ne l'amélioration de l'état mental. ' Simon, ', REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LIV. Sur les Hémispasmes de la face. Hémispasm
une idée ou un sentiment, mais est en rap- port avec un territoire nerveux périphérique, celui de la VIle paire. Ces diffé
e reflexe, le centre de réflexion est au niveau REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 491 du bulbe, la voie centrifuge motrice est r
me facial vrai, non douloureux, ales caractères d'une manifestation nerveuse organique systématisée. Il est essentielle- men
icale des Hôpitaux, 10 fé- vrier 1903.) . 492 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . MM. Pic et Bonnamour mettent en évidence un ty
fférents faits, ils croient que chez des vieil- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 493 lards athéromateux, on peut observer des p
eures avec des accidents imprévus ne rappe- 494 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lant pas le coma diabétique; (céphalée plus vi
grand rôle aux compressions exercées par la tumeur sur les centres nerveux , en particulier sur le tuber cinereum qui conti
ntractures; l'état intellectuel était normal. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 495- Les auteurs rangent ce cas dans le groupe
s'en rattachent pas moins à la famille névropathique. Cette tare nerveuse , dit l'auteur, expliquerait la fragilité anor-
itale probablement, des centres trophiques- 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . conjonctifs, cause première du trophoedéme. Il
la corne antérieure. G. Carriep. .LXIII. Ostéomalacie sénile. Forme nerveuse ; par MM. V. Chap- . PET et G. MOURIQUAND (Soc.
mars 1904). r Une observation dont l'intérêt réside dans la forme nerveuse de l'ostéomalacie présentée par le malade. Les
e nerveuse de l'ostéomalacie présentée par le malade. Les symptômes nerveux consistaient en une paraplégie (contracture dou
d'individus ayant présenté les signes cli- niques de l'ostéomalacie nerveuse , ils ont trouvé dans trois cas des lésions médu
organes génitaux le développement d'un adulte. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 491 -1 LXVI. Hypertrophie congénitale d'une ma
la ma- ARCIIlVES, 21 série, t. XVIII. 32 498 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .- ladie de Recklinghausen n'est-elle qu'un mode
adie de Recklinghausen n'est-elle qu'un mode de dystrophie du tissu nerveux et cutané qui, dans certains cas, vient se surajo
igine indéterminée, mais plus ou moins généralisé à tout le système nerveux . ' Ces neuromyéhtes optiques aiguës ne seraient
le, nerfs optiques), d'altérations généralisées à tout le sys- tème nerveux , tout comme d'autres syndromes, la psychose pol
d'autres points (nerfs, encéphale). G. Carrier. XV. Arthropathie nerveuse traitée par la résection; par PATEL et CAVAILLO
iques conduit d'autre part à formuler le dia- gnostic d'arthropatie nerveuse sur un fond de tabes frustes, elles résultats d
périphérique persistant avec névrome terminal et présence de fibres nerveuses présentant tous les stades entre les tubes prot
stades entre les tubes protoplasmiques embryonnaires et les fibres nerveuses adultes. Fibres jeunes de néoformation. Cylin-
de la 804 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. chimie des dégénérescences nerveuses , à la fois d'après l'étude du métabolisme (sang
métabolisme (sang et urine), du liquide cérébro-spinal, et du tissu nerveux lui-même ;.2°les recherches personnelles de l'aut
18 p.'100 des cas ; 4° les mala- dies sans relation avec le système nerveux paraissent n'exercer qu'une influence héréditai
venue une excel- lente institutrice et n'a souffert d'aucun trouble nerveux pendant dix-huit ans. Ces jours-ci, à la suite
très très vrai que la musique, par elle-même, porte au déséquilibre nerveux . La musique, en effet, est excitatrice d'émotio
à la pathologie des -- toxiques par Alter, 151. Des - mentales et nerveuses à la période secon- daire de la syphilis, par S
phalie . Anatomie pathologique. L'état ac- tuel de l ? du système nerveux central, par Nissl. 154. A : 'EI\CEPII ,"LIE.
raphie : par Thomas, 74. Voir' Surdité. Voir Paralysie. Centres nerveux . Voir Kyste. Des corticaux de l'accommodation,
goût, par Kron, 332. Existe-t-il une régénération autogène des - nerveuses ? Con- tribution il la théorie du neurone, pa
par Guil- liarovsky, 172. Kyste. Un cas de dermoide des centres nerveux , par Raymond et Courtellemont, 76, Langue. Un
e -, par Iliéry, 480. Léchage. Voir Tics : Lèpre. Deux cas de - nerveuse , par Raymond, 97. Lésions corticales et sous-
Courte communication sur une nouvelle de coloration du système nerveux central, par Schroetter, 320. Meurtrier. Un -
Voir Infantilisme. Narcose. De l'origine et de la na- ture de la nerveuse , par We- densky, 158. NÉCROLOGIE Mordret, 287
es terminaisons motrices des - coupés, par Odier et Ilerzen, 402. Nerveux . Voir Suggestibilité. Le climat de Pau et les -
par Bien- fait. 427 Contribution à la chimie de la dégénérescence nerveuse dans la - génél ale et autres ma- ladies ment
rmes anormales 'de la maladie de , par Collet, t, 59. PAU. Voir Nerveux Phénomène plantaire combiné. Etude de la réfl
eune incendiaire par Leroy, f 19. Radium. Le - en thérapeutique nerveuse , par Foveau de Cour- melles, 247. De l'action d
Du- bonrdieu, 279. RLvEs Voir Anesthésie Rhumatisme. Accidents nerveux tar- 1 difs du - articulaire franc, par Il Lh
La des alcooli- ques. par Berillon, 176. Examen de la - chez les nerveux , par Schnyder, 246. Suggestion hypnotique. At
par Raymond et Guillain, 163. Système lymphatique. Voir Moelle nerveux ; voir Anatomie pa- thologique. nerveux ; voir
lymphatique. Voir Moelle nerveux ; voir Anatomie pa- thologique. nerveux ; voir Mé- tlzocle. Tabès. A propos du cytodi
de - con- génital avec autopsie et examen instologique du système nerveux , par Gallavardin et Savy, 482. Toux hystériqu
32 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 20, n° 115-120] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
NEUROLOGIE ARCHIVES NEUROLOGIE , REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par .T.-eL. CI l ltl PU]31
.-¡ Vol. XX Juillet 1905 Ne 115 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Morphinisme familial par contagion , 1'.\Jl L
nteur et dispensateur des faveurs de la déesse ; en bon 4. CLINIQUE NERVEUSE . égoïste calculateur, s'il s'en réservait lu me
ieux et peut s'appeler « le coup de la bonteittc » : il Ci CLINIQUE NERVEUSE . - consiste il substituer au flacon que vient d
lorsque la société se sent débordée par le flot montant 8 CLINIQUE NERVEUSE . a du crime, qu'elle proclame le plus haut le
ic ? Peut-être yscrail-il admis s'il prouvait contre le 10 CLINIQUE NERVEUSE . médecin la faute professionnelle qui, seule, p
arrêté sur ces états el j'ai décrit dans trois cas nouveaux l'élut nerveux pathologi- que spécial qui se distingue «d'une
t-1't ? tersbourg, le C janvier 190, dans la section des maladies nerveuses et. de ly-clviWnic ('). En général, après avoir
el demi. A celle époque il se manifesta chez lui un étal hautement nerveux ; sc l'L'oal1l ingul'ri ? nlJlc il voulut se Ui-
hrite dure jusqu'à présent. « Un autre état pathologique du système nerveux , c'e1 la fai- blesse de la vue el la faiblesse
tré aucuns changements spéciaux de la part des fonctions du système nerveux et des organes internes. La sensibilité et les
d'autres indications sur l'hérédité défa- vorables. La malade était nerveuse depuis l'enfance. Elle a ac- tellement 2fi ans.
s beaucoup d'occupa- [ions précises. Tout cela dérangea mon système nerveux ; j'avais mal au dos, à la tête ; des Heurs bla
uite de ces tourments se montra un dérangement très fort du système nerveux , plus fort, qu'aupa- ravant et la destruction d
ne grande nervosité et il buvait. Ses SICI11'S étaient anémiques et nerveuses . Le malade lui-même se distinguait depuis longt
te possibilité de don- ner une réponse quelconque. Tout mon système nerveux vibre el m'expose il ce moment iL une souffranc
huisseries yeux, et provoque chez eux toute une série de symptômes nerveux : la respiration gênée, le battement .le coeur,
moyens du traitement général qui contribuent il calmer le système nerveux , les bains, les douches, les bromures avec des
cont- binaison est, un très bon moyen' contre les différents états nerveux , surtout, neUl'1lslhéni'lucs, . 32 asiles d'a
irectes et superposées, reliées entre elles par au- tant de centres nerveux intermédiaires et qu'il appelle le système eOl.
lus que l'organisme, et en particulier, les muscles, nerfs, centres nerveux , soient aptes à renforcer l'éclatdes surfaces p
ficiels se peut rattacher soit à des conditions inhérentes au tissu nerveux , soit il. des vices dans la technique C'est le
tissu nerveux, soit il. des vices dans la technique C'est le tissu nerveux qui est en jeu quand, quelques précau- tions qu
a myéline. Ou bien dans les pro- cessus atrophiques de la substance nerveuse ,ils représentent les éléments, transportés à di
léments cons- tituants déterminés préformés de la substance blanche nerveuse ; c'est ce qui parait avoir lieu dans la tubercu
res,doiven têtl'e imputés à des conditions physiologiques de fibres nerveuses très jeunes ou enétat de formation, conditions
plus tût possible après la mort les organes et morceaux du système nerveux . On les fixera dans le liquide de Muller qui se
miquo déjà et souvent utilisé. P. Keraval. X. La forme des éléments nerveux de l'écorce du cerve- let de divers vertébrés,
s la théorie de Golgi, les dendrites ne remplissent pas de fonction nerveuse , elles sont destinées à la nutrition delà cel-
s et cylindraxes sont des conducteurs centripètes de l'excita- tion nerveuse ; ils ne participent pas à l'activité qui prend sa
drite secondaire. Bethe a sur le carcinus mêlas montré que l'influx nerveux se peut transmettre des or- ganes de réception
reconnaître que les den- drites peuvent prendre part ci l'activité nerveuse parallèlement au corps au la cellule. Nous tend
ellule ; elles ne servent pas seulement il. conduire les impulsions nerveuses , elles peuvent être le siège de processus nerve
les impulsions nerveuses, elles peuvent être le siège de processus nerveux complexes auxquels parait particulièrement apte
ointes latérales amplifient le périmètre et la surface de l'élément nerveux , ce qui crée des con- ditions prop res ci une a
activité fonctionnelle. Ce parallélisme entre la forme des éléments nerveux et leur fonction est confirmé par la forme exté
ent dans le cervelet un rôle prépondérant au mo- ment où l'activité nerveuse se centralise en les éléments fonda- mentaux du
té nerveuse se centralise en les éléments fonda- mentaux du système nerveux propres à l'organisme développé. C'est ainsi qu
us élevés, ceux-ci attirant à eux le pouvoir suprême sur le système nerveux central en augmentant la masse et la surface de
a leurs pointes laté- rales un rôle plus important dans l'activité nerveuse fait com- prendre pourquoi ces parties de l'élé
iège unique d'après la théoriedela polarité dynamique de l'activité nerveuse change extrêmement peu de forme et même de volu
Ceci est prouvé non pas seulement par l'existence de fines libres nerveuses (qui pourraient être d'origine' endogène), mais p
pération, surtout quand on n'indique pas la constitution des libres nerveuses dans la portion centrale (le la racine postérie
is que de mon côté j'ai imputé l'absence éven- tuelle de la réunion nerveuse à la suite d'une section à des cau- ses accesso
s ; on double ce temps pour le cerveau. On voit en outre des fibres nerveuses à myéline (bleu-noir), les noyaux des cellules
s optiques, alors même qu'il n'y a plus dans les nerfs aucune fibre nerveuse . Ce faisceau résiduaire ne représente ni la com
s insalubres sur la production des ma- ladies chroniques du système nerveux ; {'inégalité de poids des hémisphères cérébrau
ant de troubles digestifs qui viennent impres- sionner les éléments nerveux , mais les poisons dus à la fatigue et aux émoti
(hypertension) ou si l'on a à soigner un vrai déprimé du système nerveux (hypotension). Dans le 1 CI' cas : régime lacté o
raire, nécessaire de favoriser la nutrition, de stimuler le système nerveux , d'activerles fonctions musculaires et les sécrét
n sait sur la localisation des fonctions dans le cerveau. Le centre nerveux qui contrôle la parole est étroitement associé
n avantage, peut-être considérable, pour le côté gauche, en énergie nerveuse , lequel implique naturellement un avantage corr
main que la nature a le mieux douée sous le rapport de l'énergie nerveuse . (Traduit du Pratical Teachu, par. Gaston Mouchet
frères. Vol. XX Août 1905 ? 116 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE c 1 sur un cas ae lésion ae ia queue ae cnn
1903, XI Bd.) , . Archives, 2° série, 1905, l, XX, 6 82 CLINIQUE NERVEUSE . ,rurgiens nous, démontrent cependant que la tu
l'attention des observateurs était peu atti- rée sur les phénomènes nerveux intervenant dans cette localisation de la tuber
le man- que d'observations détaillées au point, de vue du système nerveux . . Cependant dans les traités de chirurgie publ
les observations et les traités de chirurgie, de cette complication nerveuse et desasymptomatologic est naturellement incomp
ahresbericli6 sur Neur. und Psyschiatrie, 1901, 497.) 84 CLINIQUE NERVEUSE . travaux cités plus haut, sur la possibilité de
ite et oedème de membres inférieurs), il était très éthylique, très nerveux el rhumatisant. Mère morte à 58 ans, cardiaque. D
ulements, l'un à 19 ans, l'autre au sei- ice militaire. Tempérament nerveux , emporté, mais sans crises, 3 ans de sen ice mi
triceps) forts des deux côtés. flaccidité et,peut-être, 86 CLINIQUE NERVEUSE . très léger amaigrissement des muscles des main
s et remplis de caillots tibrineux : pas de tubercules. 88 CLINIQUE NERVEUSE . Le tissu épidural, au niveau de la face antéri
bryonnaire. Dans les racines même, il caistedes lésionsdes libres nerveuses qui semblent parallèles, par leur intensité, au d
ensité, au degré de la pachyméningite environnante (perle en fibres nerveuses , nom- breuses fibres grêles, libres qui se colo
rtaine abondance de libres grêles, dans d'autres la perle en fibres nerveuses est très forte, sans être toutefois complète. E
n point on constate de l'infil- tralion embryonnaire. 90 CLINIQUE NERVEUSE . Moelle. Les coupes faites au niveau de tous le
uteurs, sont en grande majorité normales- ; on retrouve 92 CLINIQUE NERVEUSE . seulement quelques rares cellules avec chromat
e fasse, dans le sac durai même, par les masses caséeu- 94 CLINIQUE NERVEUSE .. ses du tissu épidural ou par un abcès ; d'aut
au symptomatique constitué presque essentiellement par des troubles nerveux : dans le domaine des deux sciatiques concorden
dans la production des accidents. L'intégrité absolue des troncs nerveux parle déjà contre celte hypothèse ; seulement d
, de fibres grêles, sans aucune forme de dégénérescence de la fibre nerveuse . Même en ne tenant pas compte de la prédominanc
e la symphyse sacro-iliaque; cyphose des dernières ver- 96 CLINIQUE NERVEUSE . tèbres lombaires, pression douloureuse au nive
e. Si notre malade avait survécu plus longtemps, les phé- nomènes nerveux sinon les signes de localisation osseuse de la
hologie mentale on se cantonne trop au centre psychique, au système nerveux ; l'on ne tient pas compte des relations qui ex
. (7) LÉOPOLD Lévi. (Bull. de la Soc. anatomique, 1895. Trou- Mes nerveux d'origine hépatique. Hépalo-loxémie nerveuse. (A
omique, 1895. Trou- Mes nerveux d'origine hépatique. Hépalo-loxémie nerveuse . (A i-cil. gérr, de Médecine, 1896.) 100 CLIN
ut-il rapporter cette es- pèce de stupeur, de sidération du système nerveux ? Pour ce cas, je ne vois que deux explications
cès de la douleur locale avait, par action réflexe sur les centres nerveux , amené cette prostration, cet aspect quasi-coma
énocque, in Gai. hebdo- madaire, n° 48, 1880.) (2) CYn. Accidents nerveux graves, déterminés par des coliques hépatiques.
tare, plus profonde pour l'individualité psychique, c'est la tare nerveuse , la tare mentale. Morel a observé, il y a plus
hilis secondaire, in- demne d'une affection syphilitique du système nerveux central, REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 111 trahit u
QUES XIV. Une variante dans la méthode de coloration des cellules nerveuses de Nissl par A. A. PIEWNITZKI. (Oboz- ¡'cniJ ps
noyaux de la névroglie sont d'un violet-bleuâtre; ceux des cellules nerveuses clairs, vésiculeux, montrent un réseau délicat ;
OLOGIQUES. XV. Contribution à la méthode de coloration des fibres nerveuses du système nerveux central ; par A. D. KAT- ZOW
ribution à la méthode de coloration des fibres nerveuses du système nerveux central ; par A. D. KAT- ZOWSKY. (Obozn ! nie p
illé correspondrait à la charpente neuro-fibril- laire des cellules nerveuses centrales où l'on distingue également des fibri
millim. de long a révélé des traces de fibrilles dans les cellules nerveuses de la moelle ainsi que des grilles fibrillaires
nge dans ce mélange pendant 5 à 7 heu- res les fragments du système nerveux central ; on les porte en- suite dans une solut
forme par les processus de métamorphose régressive de la cellule nerveuse . Evidemment la substance chromatophile sécrétée p
euse. Evidemment la substance chromatophile sécrétée par la cellule nerveuse , en se morcelant en granules excessivement menu
matophile dépendent de la présence dans le protoplasma des cellules nerveuses de subs- tance achromatique. Conclusions. Le
ns, je me crois en droit de supposer qu'il existe dans les cellules nerveuses trois formes de canalicules : 1° un réseau de b
es fixes du protoplasma. P. KERAVAL. XVII. Les relations du système nerveux avec les facul- tés mentales ; par P. 11RONTHAL
49'olOr. Cen/mlblatt" 1111L 1904.) Après avoir examiné le système nerveux et le fonctionnement mental dans l'échelle asce
ctuellement prédomine presque universellement l'idée que le système nerveux est l'organe, le siège des facultés psychiques.
siège, de ces facultés; l'organisme entier les produit. Le système nerveux n'y collabore qu'en ce qu'il conduit les excita
uit les excitations; il ne fait que les conduire. Jamais la cellule nerveuse n'engendre de stimulus. P. KERAVAL. De l'iner
ite gommeuse de la base du cerveau affectant en l'espèce les troncs nerveux en question. L'état ophtalmoscopique et l'anoma
pliquer par un oedème stasique dû il la compression de la substance nerveuse ainsi qu'au barrage des voies sanguines et lymp
président à la conductibilité thermique et douloureuse ; la cellule nerveuse du premier neu- rone (nommé aussi protoneurone)
ulement, pour qu'il se produise, il n'est pas besoin que le système nerveux entre directement en action. Il existe une* ond
perdue temporairement ou pour toujours. 5. La clinique men- tale ou nerveuse enregistre ce qui suit : A. L'onde musculaire a
°% ) ; b) l'affaiblis- sementde l'influence exercée sur les centres nerveux inférieurs parles centres psychiques supérieurs
complète d'onde musculaire trahit un état patholo- gique du système nerveux en rapport : a) avec une suractivité musculaire
musculaire parexcitation ou irritation du centre ou du conducteur nerveux , ex. : convulsions, contractures, états de tensio
nactivité du muscle par rupture de la communication avec le système nerveux central, ex. : destruction et atrophie des centre
rites; c) la dégénérescen- ce du muscle dépendant ou non du système nerveux , ex : myosi- tes, atrophie musculaire par inact
y a accentuation de l'onde musculaire au moment où la vie du tissu nerveux est presque complètement éteinte : cela prou- v
iques de dédoublement et de la cessation de l'influence des centres nerveux . 7° Dans les psychoses aiguës l'onde musculaire
ressortissant à une affection profonde jusque là latente du système nerveux central. P. KERAVAL. SOCIETES SAVANTES SOCIÉT
) et dans nos Etudes cliniques et thermométriques dans les maladies nerveuses , lb72-1873, clc. - 13. SOCIÉTÉS SAVANTES. 137
e même sur beaucoup d'animaux. Des modifications que subit la force nerveuse relativement à l'état de santé des sujets. M.
t on constate au moyen du thermomètre l'extériorisation d'une force nerveuse . Le caractère de cette force chez les sujets sa
déviations constantes et spécia- les pour chaque maladie du système nerveux . Ainsi, les neuras- théniques présentent le ren
u- coup plus considérable entre les deux chiffres. Chaque maladie nerveuse présente ainsi sa formule spéciale et, ce qui d
loppement de la maladie a été plus précoce, présentait une hérédité nerveuse assez chargée. » . . Les congés d'essai, comme
pas parler, de l'éducation du système musculaire à celle du système nerveux et des sens, de celle des sens aux notions, des
t indépendante de tout état pathologique. Prévention des maladies nerveuses ou mentales dans l'armée. D' GR : 1NJUX.- Le
NJUX.- Le nombre des réformes prononcées chaque année pour maladies nerveuses ou mentales montre l'insuffi- sance des mesures
e revision est insuf- fisant pour permettre un diagnostic exact des nerveux ou des aliénés. Il est indispensable que les co
de l'établissement des tableaux de recensement, d'affections soit nerveuses ,soit mentales, soient, avant les opérations du
soient, avant les opérations du PRÉVENTION DES MALADIES MENTALES OU NERVEUSES . 189 conseil de revision,l'objet d'un examen de
lés au médecin du corps.et s'ils sont reconnus atteints de maladies nerveuses ou mentales, réformés dans les mêmes conditions
devoir être remplacée par ces mots : « ne présente pas de troubles nerveux carac- térisés ». Cette modification a été fait
qui, parties de la périphérie,se propa- geaient le long des troncs nerveux ,pour gagner la moelle. Uneréaction contreces th
t encore des réactions cellulaires à distance au cours des sections nerveuses et des amputations. J'estime qu'il est nécessai
n), jus- LE SYNDROME DE LA NEVRITE ASCENDANTE. 191 qu'aux centres nerveux . Il n'est pas douteux cependant que les réactio
. Au cours du té- tanos,durant la période d'incubation, l'ascension nerveuse periphérique de la tétanine se fait sournoiseme
,localisé primitivement au siège de la morsure, gagnait les centres nerveux en cheminant le long des nerfs péri- phériques
s. Peut-être même, dans les rares observations où quelques troubles nerveux localisés et rayonnants au loin de la plaie con
névrite ascendante.il s'agit là d'affinités spéciales pour le tissu nerveux lui-même,de vraies ascensions nerveuses, ou mie
nités spéciales pour le tissu nerveux lui-même,de vraies ascensions nerveuses , ou mieux, de conductibilités nerveuses spécifi
i-même,de vraies ascensions nerveuses, ou mieux, de conductibilités nerveuses spécifiques : a) 11'euo-cotductibilité toxiquc(
ismes ouverts sont à l'origine des névrites ascendantes. Les plaies nerveuses par section in- complète, par attrition, lacéra
des 192 CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. plaies nerveuses ne nous a donné qu'un total de 4,5 % de névrite
distinguer les processus ascendants initiaux rapprochés des centres nerveux (névrites ascendan- tes proximo-ccntrnles,névri
lus haut placé, plus rapproché des ganglions rachidiens,des centres nerveux . Evolution. PRONOSTIC.-Le processus ascensionne
- ble par la radiographie, et surtout par la palpation des troncs nerveux souvent hypertrophiés. Le diagnostic de traumat
endo-névritique avec destruction plus ou moins ac- cusée des tubes nerveux ; la phase chronique s'accuse par la proliférati
on du tissu conjonctif, l'hypertrophie des bran- ches et des troncs nerveux , et la destruction secondaire des tubes nerveux
ches et des troncs nerveux, et la destruction secondaire des tubes nerveux . L'anatomie pathologique des réactions centrale
icrobe ne remonte ni bien haut, ni bien loin à l'intérieur du tronc nerveux . Il est appelé du reste à disparaître, après ex
es éléments inlra-ner- veux (tissu conjonctif, vaisseaux, faisceaux nerveux ) et celle delà réaction inflammatoire également
ulaire para-nerveux (tissu cellulaire ambiant, en- tourant le tissu nerveux ). - Archives, 2° série, t. XX. , 13 194 CONGR
rgicale témoigne de ces interventions les plus variées : élongation nerveuse , névrotomie (section simple), névrectomie (rése
gouttière; parfois la compression brusque et forcée des extrémités nerveuses toutes périphériques, et surtout l'électrothéra
par BOURNçVILI.1 ? (Sera publié.) Carcinome secondaire des centres nerveux avec pré-' sentation.de pièces. (D1' Sabrazès.)
de confusion mentale hallucina- toire, les altérations des centres nerveux sont d'ordinaire ou trop faibles, ou trop diffu
la mélancolie avec conscience, la tension doulou- reuse du système nerveux sera combattue par les bains pro- longés d'une
à l'influence plus ou moins dépressive qu'exercent sur les centres nerveux des préoccupations tristes et angoissantes, lor
emmaillotements froids, Thomsen fait obser- ver que certains sujets nerveux les supportent mal dès qu'ils dépassent la duré
it, comme sim- ple prédisposition, dans ce qu'il appelait les états nerveux des héréditaires : «Je tiens à signaler, disait
pas de vue que la dépression organique fonctionnelle des centres nerveux n'est point adéquate à leur dépression organique
l'emploi d'une telle médication agissant par sidération des centres nerveux , n'est pas exempte de dangers et rend nécessair
., trouveront aussi leur utile emploi pour combattre l'irritabilité nerveuse et psychique sous ses divers aspects initiaux d
ongrès de Rennes la ques- tion de Y Hydrothérapie dans les maladies nerveuses et mentales. BALNÉATION ET HYDROTHÉRAPIE. 221
. Cette der- nière résulte à son tour de la suppression de l'influx nerveux venu des centres supérieurs et agissant sur les
partie végétative. Cette étiologie de la fièvre con- somptive, dite nerveuse , n'est pas vulgaire. Les désordres de l'innerva
passions.par la douceur et la persuasion, les maladies des centres nerveux par l'har- monie et la musique. Sans les passio
de l'épuisement du liquide nourricier par la sécheresse des centres nerveux , des nerfs qui en émanent et des expressions ne
se des centres nerveux, des nerfs qui en émanent et des expressions nerveuses de la périphérie. Les principes de tous les act
d'impressions. Elle parle de l'ac- tion des poisons sur le système nerveux . Cette action est im- médiate et directe. Rés
t la nature humaine en particulier, à l'unité souveraine du système nerveux , fut complet. Une futtenu aucun compte de cette
out à fait désarmés. Deux cas de carcinome secondaire des centres nerveux . MM. Sabrazès et Bonnes (Bordeaux) présentent d
ions microscopiques de deux cas de carcinome secondaire des centres nerveux , se révélant plus de deux ans après l'abla- tio
erre. Bonne santé dans l'enfance. Intelligente et affectueuse, mais nerveuse et impressionnable. Vers 17 ou 18 ans, aurait eu
, p. 388. ' (2) SÉGLAS. Leçons clin. sur les maladies mentales et nerveuses , 6S]. juin (3) 1903. L'aschématie, par P. Bon
1° soit de l'action directe des microbes localisés dans les centres nerveux ; 2° soit de l'action des produits sécrétés par
r des bacilles très petits dans le voisinage de quelques cellules nerveuses . 4° Pronostic. Les psychoses grippales, aussi b
s, car notre conception toute schématique de la division du travail nerveux en énergie de sensation et énergie de motilité
ssociation, mais non sur la connaissance de la na- ture de l'influx nerveux . Et,d'autre part, en faisant appel- aux expérie
istologiquc qui paraît indispensable à la propagation de l'influx nerveux . C'est donc au plus tôt dans la seconde semaine
le l'acti- vité fonctionnelle de l'écorce rolandique et des voies nerveuses qui s'y rattachent. Le phénomène du jam- hicr a
ble aussi qu'ils aient considéré comme une même source d'activité nerveuse toutes les régions du cerveau. Cet anencéphale
aisance il reprendre devant moi l'étude des préparations du système nerveux de son anencéphale. 294 PSYCHOLOGIE. ment d'e
294 PSYCHOLOGIE. ment d'expansion..., » (1). Le reste du système nerveux « se compose simplement de la moelle avec ses g
ves et motrices et l'excitation peut bien parvenir aux ra- cines nerveuses qui sont en état d'intégrité physiologi- que. C
res moteurs de la moelle, ont démontré que l'excitation des racines nerveuses produisait des mouvements syner- giques. « Chez
ves y sont bien constituées, en rapport avec des racines des troncs nerveux du moteur oculaire externe des septième et huit
me. Le foetus est donc un être spinal puisque l'activité du système nerveux médullaire et l'activité des (1) SANO. Les loca
i lui sont nécessaires. Les fonctions végétatives ont des centres nerveux distincts placés dans le bulbe. Or le bulbe n'e
énitales du cerveau dans leurs rapports avec les états des cellules nerveuses de la moelle. (Nouvelle Iconographie de la Sal,
phénomènes qui se passent .dans les parties inférieures du système nerveux ne lui sont pas con- nues. Ce sont des réflexes
le fonctionnement intense des acquisitions antérieures. Le système nerveux s'est déve- loppé de bas en haut par étapes néc
e élément. taisre chez l'enfant. Hospice de BIC1 : TR. - Maladies nerveuses , chroniques des enfants : Dr Bourneville, le sa
ou en congé. (2) Pourquoi exclure le chef de clinique des Maladies nerveuses '' Celle-ci et les Maladies mentales n'ont-elle
f de la Seine par un concours où l'on v er- 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rait des collègues se jugeant les uns les autr
dans le n° 3 du Progrès Médical, p. 594). h. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Myotonie avec atrophie musculaire ; par Lann
sent un rapport évident entre la myotonie et la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 313 myopathie et sont un bon argument clinique
ulier nos conceptions actuelles dans la classification des maladies nerveuses , conceptions qu'autorisent d'ailleurs de plusen
tagmus),qui réunit dans un groupe des types 314 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de localisation différente, toutes affections
de prévoir que l'oeuvre de synthèse en- treprise pour les maladies nerveuses familiales augmentera à mesure que la neuropath
alysie des ye, Vl°,5rll°, VHP', IX1" et Xe pai- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 315 res crâniennes, par la multiplicité des dé
cas de spasmes fonc- tionnels bilatéraux. 310 revue de pathologie nerveuse . IX. Note sur les concrétions calcaires dans le
es dans les glo- bus pallidus : les unes disséminées en plein tissu nerveux et in- dépendantes des vaisseaux, les autres di
ce de ceux-ci. ll n'y avait aucune réaction patholo- gique du tissu nerveux environnant. Discussion sur l'origine de ces gr
s prononcée, permis chez un homme de 30 ans, de revue DE pathologie nerveuse . 317 diagnostiquer un processus occupant les mé
bassin. Il existait des douleurs aiguës indépendantes ; les troncs nerveux étaient sensibles ; les doigts médians de la ma
lairesont presque complètement disparu ; la 318 REVUE de pathologie NERVEUSE . plupart des autres ont subi une atrophie plus
nté de rattacher ces accidents à une lésion orga- nique des centres nerveux . G. D. Xi. - Pachyméningite hémorrhagique compl
zone rolandique avec épaississement de la dure- REVUE DE pathologie nerveuse . 319 mère. Le foie a l'aspect classique de la c
e : il n'y avait aucune altération des pla- 320 REVUE DE pathologie nerveuse . quesdePeyer ni des follicules solitaires. La m
énale, une pigmentation anormale des divers viscères et des centres nerveux même du sympathique, de l'hypertrophie de la ra
ire, l'examen du sang, etc., chez les épilepti- REVUE DE pathologie nerveuse . 321 ques. De l'ensemble de ces travaux se déga
llement trauma- tisés les blessures ont été légères et les troubles nerveux ou psychiques nullement en rapport avec la grav
autour de la lésion primitive la névroglie prolifère et les fibres nerveuses perdent leur myéline. Fait intéressant et qui m
llaires : l'hypertrophie conjonctive refoule, disloque la substance nerveuse , dont elle compromet ainsi la nutrition et qui
l'Asile de Mois. '' De nombreux examens histologiques des centres nerveux d'a- liénés ont permis à l'auteur d'attribuer à
veux. Le même résultat pourra être atteint, pour les idiotes et les nerveuses , lorsque les constructions volées tout dernièreme
progressivement Archives, 2- série, 1905, t. XX. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE . (vin, absinthe). Il a eu dans l'enfance une af
QUE NERVEUSE. (vin, absinthe). Il a eu dans l'enfance une affection nerveuse qui a nécessité des applications de glace ; il
1\ILn, 39 ans (en 1595), fièvre lypboïdc à 12 ans : aucun accident nerveux . Sa famille. Son père est mort de la rupture d'
harite ciliaire à 9 ans. Température à l'entrée. ' 340 ' CLINIQUE NERVEUSE . contre l'oreiller. Les yeux se tournent à gauc
perd ses crayons, plu- . Fig. Il.- nar... Juin 9SW. 342 CLINIQUE NERVEUSE . mes et porte-plumes et accuse les autres enfan
te à peu près constamment. . rr ? 13. - Mars 1897. 344 CLINIQUE NERVEUSE . Fig. 14. Août 1897. Fig. 15.- Octobre 1397.
Par moments. H syllabe à peine. La parole s'embarrasse 346 CLINIQUE NERVEUSE . de plus en plus. Il hésite toujours un instant
tout. L'attitude 1'ir. 19. - l3ar... cu .eoul 1J01.- 348 CLINIQUE NERVEUSE . , devient de plus en plus mauvaise. Le corps e
1. - Ilar... en janvier 1fK)\. - Mesures de la tête. 352 CLINIQUE NERVEUSE . accès ont continué malgré un traitement énergi
épilepsie. Archives, 2° série, 1905, t. XX. - 23 35-1 -1 clinique nerveuse . Aùdoll ! Cl1. -Foie cl rate l'OIl8'l'StiOHIlé
nt ces soins ne suffisent pas toujours pour combattre les symptômes nerveux de la mélancolie. En instituant un traitement c
physiologistes, aux excita- lions de ces trois catégories do filets nerveux , à la condition que ces excitations soient suff
de la peau ctdes muqueuses une quatrième catégorie de terminaisons nerveuses all'ectécs spécialement aux excitations doulour
al, résultant uniquement de la difficulté qu'éprouvent les éléments nerveux à réagi i aux excitations lorsque, sous unnintl
ndu que les conditions qui président au développement des atrophies nerveuses sont encore trop mal déterminées pourcluel'al)s
issement, qui comprend plusieurs pavillons séparés pour les malades nerveux et pour les aliénés n'a pas empêché les congres
ées peuvent être utilisées comme moyeu de décompression des centres nerveux et de drainage des matériaux septiques et toxiq
enir sérieux dans le traitement de certaines affections des centres nerveux . La modération de ces conclusions qu'on sentait
eur puisse heureusement agir sur leur état mental et sur leur tenus nerveux , c'est-à-dire les excités dans une cham- bre bl
ellectuel assez précoce ainsi qu'à la faiblesse irritatde dus lénie nerveux . Parmi les accidents moteurs, on observe presque
ais aucun membre de celte famille n'avait eu d'all'edions mentales, nerveuses ou la syphilis. Durant la grossesse, la mèreava
esse, la mèreavail eu beaucoup d'ennuis. Elle lotaiL une femme très nerveuse , mais en aucune façon hys- térique ou irritable
es probablement à quelque déraul dan 1p dl"\('l°l'Iw- ment du tissu nerveux , .le pense que ces quelques brèves noies seront
e son ! d'un 1)1'(]le Lout spéciaJ pl sont homologues aux accidents nerveux p('riplu>l'Ïques, : ;i fl'Í'quem Illent ohsP
dinairement labétiques. Que, dans la plupart des ca ? le phénomènes nerveux , surtout au il( ? but, masquent les troubles pu
de la ('(donne venlubralc rln rôle où porte le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 397 poids du rnrp·. et au déplacement de la ve
ntes et des dégénérescences rétrogrades. Chez une femme il hérédité nerveuse manifeste el quatorze mois. après une fracture
du bégaiement à mesure que le besoin de \fI)a- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 39U ertlipuruil. I : uliu lu mutimne 'in·lallt
tions d'assurance ? M. (j'piue adl11eL IJn't'll REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 4U1 l'espèce le rapport de causalité doit être
tou- lnclnvES, 2° série, 100,ï, t. Y. 20 402 REVUE DU PATHOLOGIE NERVEUSE . IL,,fois de celle-ci. L'attitude surtout est t
1° Une r preccre écritc siirT'anatomie et laphxsiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé lrois lu : nres;
. Vol XX Décembre 1905 N" 120 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE Sur la pathogénie des altérations médullaires
par la cy- AncmvES, 2' série, 1005, ) t XX, 27 418 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE . phose ou par simple dislocation, fracture ou l
premiers à soutenir cette théorie mécanique osseuse des phénomènes nerveux survenant dans lé mal de Pott, insiste sur l'or
la pachyméningite. A travers la dure-mère et les gaines des racines nerveuses qui la ' traversent, l'inflammation se propage
sFcr. Pathologie uni Thérapie 'X ! ,[). : 3 ? 1S7G 420 pathologie nerveuse . matoire : lui aussi admet que la compression e
L'irritation que la compression exerce sur les éléments du tissu nerveux . Enfin, il paraît aussi indéniable que, dans ce
dans l'espace épispinal ; la lymphe qui stagne détruitles fibres nerveuses de la moelle d'autant plus facilement qu'il s'a
is qu'il peut y avoir aussi une lésion mécanique directe des fibres nerveuses parla com- pression ; celles-ci alors offrent u
empêcher le retour de la lymphe et produire une lésion des éléments nerveux ; ainsi s'expliquerait l'aug- mentation de volu
lytiques, en admettant quc dans ces cas la destruc- tion des libres nerveuses se fait en foyers dans les par- tics centrales
s les par- tics centrales de la substance blanche. 422 PATHOLOGIE NERVEUSE . La nouvelle théorie de Kahler. qui, même en ad
bei Karies der \Vir belsaule. 1'iesbaUcn. 1890. 424' t PATHOLOGIE NERVEUSE . produite par une dislocation lente ou subite d
RES. 427 tion capables de déterminer la dégénération des éléments nerveux , moins peut être par un processus mécanique dir
que le rôle le plus important, le plus fréquent t - 128 PATHOLOGIE NERVEUSE . et le premier en date dans la production des l
cas, du facteur mécanique de la compression directe des éléments nerveux . Mais il ne faut pas oublier, ainsi que l'ont fai
erviennent conjointement pour amener la dégé- nération des éléments nerveux , dans des proportions toutefois d'importance va
me, présentait les caractères histologiques d'oe- dème des éléments nerveux déjà décrit par Kalher et Schmaus. Pour la plup
(2) WEs'n'HAL. )'c/ ! tf./)i)- Psychiatrie. 1898. 430 0 pathologie nerveuse . qu'il ne devrait pas arriver à la moelle plus
les plus petits espaces lymphati- ques siégeant dans le parenchyme nerveux proprement dit. Or 1 ? csLa (Le.) ne croit pas
ns veineuses qui sortent de la moelle et de la pie avec les racines nerveuses , mais soit à cause de la petitesse de ces rami
ré. suffit à rendre invraisemblable cette hypothèse. 432 PATHOLOGIE NERVEUSE . Dans l'élude de ses 20 cas, il a trouvé seulem
cas, il a trouvé seulement dans les cas de forte perte en substance nerveuse une dilatation dans le domaine du système lymph
ons du système lymphatique spinal, et c'est par elle que les libres nerveuses , les cellules et la névroglie subissent la dégé
) n'exerce pas. selonFicklcl', une action délétère sur la substance nerveuse ; cette dilatation et cette stase initiales s'ex
processus de destruc- tion de la masse tumorale ou de la substance nerveuse même n'a pas été accueillie avec faveur. Mais
assez important et assez fréquent dans la dégénération des éléments nerveux ; " (1) Endeiuien. Deutsehe Zcitsehri¡t sur Chi
I. pu»-. 539 Archives, 2" série, t005, l. XX. , 28 434 pathologie nerveuse . , Contrairement à l'opinion de Schmaus, une ca
est presque exclusivement caractérisée par l'infiltration du tissu nerveux par des traînées d'é- léments inflammatoires pr
s. Société de Neurologie, séance du 18 avril 1901. 436 - pathologie nerveuse . il s'agissait dans ce 'cas de mal de Pott dors
'ott, pour la production des faits dégéné- ratifs de ' la substance nerveuse ne laisse pas que d'être hypothétique et loin d
uleux peuvent produire des phénomènes d'in- toxication de l'élément nerveux , ils ne produisent pas d'altérations de l'éléme
l'élément nerveux, ils ne produisent pas d'altérations de l'élément nerveux appréciables par les techniques histologiques q
h dans la méningite tuberculeuse et dans la tuberculose des centres nerveux , 1903. 438 PATHOLOGIE NERVEUSE. bles circul
et dans la tuberculose des centres nerveux, 1903. 438 PATHOLOGIE NERVEUSE . bles circulatoires d'ordre mécanique, l'action
e l'oedème collatéral inflammatoire, soit directement sur l'élément nerveux même. Si on admet cette hypothèse pour ces cas,
à donner au mot de myélite, la difficulté de décider si une lésion nerveuse , comme le ramollisse- ment, est produite par de
faire effort ; apparition d'une eschare fessiere. 440 PATHOLOGIE NERVEUSE . Septembre. La rétention disparaît et t'ait, pl
l'aiÍIm dl's lihres n ? 1 pas eOlllpll'lt', c'esl-à- 442 PATHOLOGIE NERVEUSE . dire à la périphérie de la moelle, il existe u
is, entre ses mailles, de nombreux vides correspondant à des libres nerveuses détruites Les vaisseaux,autant dans le sillon a
ontrées dans la coupe précé- dente : la plus grande perte en fibres nerveuses se trouve ici dans les cordons antero-tateraux
ées parmi ces ,ides, on observe un nombre encore abondant de libres nerveuses normales, bien -conservées, el des nombreuses m
pale. > <- . Dans les cordons postérieurs, la perte en libres nerveuses esl moins forte, les mailles vides de la'névrog
dilatation et renflement des mailles de la névroglie et des libres nerveuses décrit dans les cordons antéro-tatéraux. Des co
ut abondants dans le cordon antéro-latéral, et de nombreuses fibres nerveuses tuméfiées en pleine dégénération, disséminées s
liféree el les septa épaissis dans les points où la perte en fibres nerveuses est très inlense ; dans d'autres points où cell
e diminue toujours de plus en plus dans les segments 444 PATHOLOGIE NERVEUSE . lombaires supérieurs et disparaît dans les inf
la substance blanche avec phénomènes de tuméfaction des éléments nerveux ) peuvent relever de plusieurs -causes. SUR L4 P
rès probablement relève plus de la perte centrale complète en tissu nerveux que de l'action directe de la compression ; en
tteint un degré encore très considérable et où la perle en fibres nerveuses est moins forte, la moelle, bien que présentant
ée au-dessous du point oil la lésion est au maximum, 446 PATHOLOGIE NERVEUSE . montre que, à côté d'une perte diffuse en fibr
supérieure, à la périphérie de laquelle il existe encore des fibres nerveuses en abondance, et dans les segments immédiatemen
oelle, sont d'aspect normal. Tuberculose pulmonaire. 448 PATHOLOGIE NERVEUSE . lÙ'Il/ncn histologique : Le gros noyau central
l dans la partie interne des cordons latéraux où la perte en libres nerveuses est au maximum, il existe une légère pro- lifér
ans les cordons A nCntvr.s, 2° scric. t. l\. 2a 4.GU ' PATHOLOGIE NERVEUSE . postérieurs, desdegenerations qui, sans être f
ées de la moelle lU1l1 ho-a- cree montrent une diminution en libres nerveuses , beaucoup de libres grêles ; auGieaoti une légè
inflammatoire. Dans la moelle, à côté d'une raréfaction des fibres nerveuses , il existe très nettement, encore plus accentué
i marks V('1/7 ul, Cellt7'.1blntt, 12° : 3, S. 331. 4tS2 PATHOLOGIE NERVEUSE . cas précédent, des phénomènes d'oedème des élé
GIE NERVEUSE. cas précédent, des phénomènes d'oedème des éléments nerveux (dilatation diffuse des mailles né vrogliqucs, re
issement, mais sous la formc d'une perte discrète diffuse en libres nerveuses . soit par- ce que les artères méningées,radicul
plus saillante n'est pas ici représentée parla diminution en fibres nerveuses , mais parles phénomènes d'oedème due la moelle.
l/>'Ologisclles Centrnhlatt, 1902, n° 10, p. 438. 454 PATHOLOGIE NERVEUSE . rieures amenant l'ischémie et la diminution te
constate dans les zones dégénérées une simple diminution des libres nerveuses , beaucoup de libres qui se colo- rent mal, et,
substance blanche constituées par une sim- ple diminution en fibres nerveuses ; les lésions diffuses, qui se retrouvent avec
oubles circulatoires, que par action mécanique directe sur le tissu nerveux . Les lésions diffuses de la substance blanche d
vec la bande opposée un mince triangle ou les fibres 402 PATHOLOGIE NERVEUSE . sont pour la plupart conservées : une prolifér
rent sous deux formes : d'une part sous la forme de perte en fibres nerveuses qui, dilfuse à toute la moelle, est toutefois p
érieur s;d'autr e part sous la forme d'oedème des éléments du tissu nerveux qui frappe surtout les parties centrales des co
te, et qui peut bien présenter des phénomènes d'oedème des éléments nerveux . La limitation de tout phénomène inflammatoire
e l'action de la pachyméningite et que la perte dif- fuse de fibres nerveuses n'est, peut-être, que la suite de l'oedème de l
en la moelle, écartent, enell'et, l'hypothèse que la perte en libre nerveuse relève de faits ischémiques ou de la compressio
téral inflam- matoire que par une action directe sur les éléments nerveux . Ce sont ces cas qui donnent à penser que, même
men histologique du cerveau fit constater des lésions des 'cellules nerveuses et l'absence de toute lésion vasculo-conjonc- t
R. BIBLIOGRAPHIE 11 ? Les écrits et les dessins dans les maladies nerveuses et F mentales ; par le D''RûGUES nE 1 URAC. O
s. Dès le début, il se consacra à l'étude des affections du système nerveux . Interne des asiles d'aliénés de la Seine, où i
GIE et de la psychiatrie. Cours de CLINIQUE des maladies DU système nerveux . M. le ! )''UAYMONn a commencé le cour» de clin
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Contribu- tion it la méthode de colora- tion des - - du système nerveux central, par Kat- sowslw, 11 : 1. Folie de la
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Nissl. Une variante dans la méthode de coloration des cellules nerveuses de -, par Piewnitzki, p. 113. Noircissures ar
quec ! pa ! hng(''nt('d(')n parTtiomasctHauser,}]. 322. Système nerveux . Voir Fi- bi es. Les relations du a\ ce les f
33 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 22, n° 127-132] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
NEUROLOGIE ARCHIVES NEUROLOGI REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES FONDÉE par J.-M. CHARCOT & BOUR
groupe, en se basant sur de (1) MAGNAN.- Recherches sur les centres nerveux , 2° série, 1893, 499. DE LA FOLIE MANIAQUE-
ircularité n'était pas une loi du fonctionne- ment de notre système nerveux , si nous n'étions pas tous, quelque degré, des
sible. A ces phénomènes spasmodiques, se joint un léger tremblement nerveux , qui s'amplifie également sous l'influence des
l est satisfaisant, le sujet est grand, fort, bien portant, quoique nerveux et impressionnable. Tous les traitements essa
Prof. Pierret entre autres, à régulariser l'écoulement do la force nerveuse , de la canaliser. Pour obtenir ce résultat, il s'
ctuellement, à mettre en évi- i- dence les altérations des cellules nerveuses (substances chroma- toltlmle et ncurolibrilles)
stine ont recherché les altérations cada- vériques dans lescellules nerveuses de l'homme et des animaux, d'une à 200 heures a
omo-clinique, qui a déjà donné tant de résultais dans la pathologie nerveuse . Pour obéir à ce desideratum, 3131. Gilbert Bal
dieuse. De même, le mode do réaction symptomatique de la rcl- lule nerveuse est fonction de l'hérédité, de la prédisposition
008.) Cas de tumeur cérébrale chez une femme de 40 ans à hérédité nerveuse . Cliniqucment, la malade présenta des phénomène
use. Ces nappes ne sont interrompues que par des traînées de fibres nerveuses en fascicules. Cette observation concourt à l'é
èrement liée par sa sé- crétion interne à la nutrition des éléments nerveux , par son siège spécial près des centres psychiq
s, par ses étroites rela- tions physio-pathologiques avecle système nerveux central, est sans doute la glande plus propre à
ue l'hypophyse ait aussi des propriétés hypnotiques sur les centres nerveux , hypothèse d'ailleurs confirmée dans certains c
mblablement doit *-on origine à l'intoxication initiale des centres nerveux par un pervertissement fonctionnel de l'hy po-
ond parfaitement à son action trophique antitoxique sur les centres nerveux . 38 REVUE d'anATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOL
ême au microscope on ne puisse trouver aucune altération du système nerveux de l'écorce, dos pédoncule ou des faisceaux pyr
scence graissseuse du foieet du rein, la clroniatolyse des cellules nerveuses , lésions habi- REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 4
ation des conclusions sui- vantes. Le diabète produit des accidents nerveux et mentaux. Tous les symptômes qui constituent
tique siégeant simul- tanément sur les diverses régions des centres nerveux , qui peu- vent produire les svmptômes 'de la pa
ême organisme où a commencé le processus destructif dans le système nerveux central, des conditions par- ticulières inconnu
nopause et comprimant le chiasma. Alcoolisation locale des troncs nerveux . )1.)I. Brissaud, Picard et'fAHON ont pratiqué
ont pratiqué des injections d'alcool stovainé au contactdes troncs nerveux pour névralgie du trijumeau et pour spasme faci
ble essentielle, et non s5-mp- tomatique d'une affection du système nerveux . Cependant un début d'atrophie de la langue lai
de la tumeur. SOCIÉTÉS SAVANTES. 49 Les transformations du tube nerveux . 11. ])URANTE. -Tandis que la théorie du neuron
11. ])URANTE. -Tandis que la théorie du neuroneassimilela fi- bre nerveuse à une cellule mésodermique perforée par le cylind
, conjonctive, myxomateuse, graisseuse, etc. Fréquence des maladies nerveuses chez les Arabes. M. Dumollard rapporte des stat
. Dumollard rapporte des statistiques pour prouver que les maladies nerveuses , sauf peut-être la P. G., sont aussi fréquentes
stant ayant trait aux questions d'hérédité des maladies mentales ou nerveuses : ce matériel sera ensuite complété par sa libr
ie pas de notation spéciale (voir Dé,jerine, Anatomie des centres nerveux , I, fig. 180, p. 294 et 181, p. 299), et qui se
le sillon prérolandique, lequel, d'après Déjerine (.4. des Centres nerveux , 1 p. 252), « n'at- teint qu'exceptionnellement
ean GAL ! : XOSKt. Le fond de l'oeil dans les affections du système nerveux . Thèse de Paris, juin 1904. 100 , CLINIQUE ME
croLoistes,c'est-à-dire tous ceux qui aiment et étudient le système nerveux de l'homme. Trop longtemps les médecins, raison
dir le plus possible le fonctionnement normal et morbide du systeme nerveux , garantir leplus possible la société contre l'e
sible la société contre l'envahissement progressif par les systèmes nerveux anor- maux, guérir ou tout au moins soulager le
r ou tout au moins soulager le plus possible les malades du système nerveux . Ce n'est pas trop de l'effort combiné de tous
vailleurs du système ner- veux basée sur l'unité même de ce système nerveux . Il m'a paru utile d'affirmer et de développer
plus spécialement aux questions, si éminemment sociales, du système nerveux . Et, comme votre Président est condamné par l'i
rer une fois de plus devant vous 1 unité de la science du système nerveux de l'homme, étudié à l'état normal et pathologiqu
érie comprend les recherches faites sur le cadavre dans les centres nerveux eux-mêmes, dans environ 100cas oùlamortavaitété
sang d'un certain nombre de sujets atteints d'affections du système nerveux (méningite chronique, con- fusion mentale, déme
nce des modifications du sang par rapport à l'énormité de la tare nerveuse et à l'intensité des lésions et des troubles fonc
à l'intensité des lésions et des troubles fonction- nels du système nerveux . Sans doute, les causes morbigènes qui peuvent
ectieuses ou to- xiques, exercent leur influence et sur les centres nerveux et sur la crase sanguine ; aussi n'est-il pas s
modifications du sang, imputables il ces causes plutôt qu'à la tare nerveuse contemporaine, et variables avec elles (paludis
ur propre compte sur sa composition, plus puissam- ment que la tare nerveuse (cardiopathies, brightisme, tuber- culose, etc.
et à l'équation personnelle. En somme, je crois que bien des tares nerveuses une fois acquises ne troublent pas d'une façon
, contrairement à l'opi- nion soutenue par M. Dide, que les centres nerveux se suffi- sent à eux-mêmes dans la défense cont
soit les cellules névrogliques qui interviennent quand la substance nerveuse est impliquée dans des inflam- mations lentes o
es du tréponème, faites par M. Queyrat et par moi, dans les centres nerveux et dans les méninges de plusieurs paralytiques
dre succès, le tréponème pâle dans le sang et au niveau des centres nerveux d'un sujet qui a succombé à une méningo- myélit
, et dans ses trois sortes de lésions diffuses : lésions du tissu nerveux , lésions du tissu névroglique, lésions des vais-
rophie n'atteint pas le même degré. B) Etude histologique. 1° Tissu nerveux , a) Les cellules nerveuses s'atrophient et disp
e degré. B) Etude histologique. 1° Tissu nerveux, a) Les cellules nerveuses s'atrophient et disparaissent : le nom- bredes
pro- longées (alcoolisme chronique, urémie, etc.). b) Les fibres nerveuses peuvent être toutes très dimi- nuées de nombre.
elle est surtout relative et résulte de la diminution des éléments nerveux . Les noyaux qui entourent certaines cellules ne
n des éléments nerveux. Les noyaux qui entourent certaines cellules nerveuses en voie de destruction ne jouent nullement le r
du tissu dans les espaces laissés vides par l'atrophie des cellules nerveuses . b) La prolifération des fibriles névrogliques
s,dont un personnel). Les mêmes lésions des cellules et des fibres, nerveuses et névrogliques, peuvent être observées dans l'
ltérations des vais- seaux. Les scléroses diffuses et les atrophies nerveuses de la sénilité sont dues sans doute à l'action
t l'altération des vaisseaux. L'atrophie des cellules,et des fibres nerveuses en par- ticulier, semble être l'aboutissant dir
xistence ; la sénilité et la dégénérescence atrophique des cellules nerveuses seraient ainsi la conséquence de multiples état
toxique, de désintégration et d'atrophie des cellules et des fibres nerveuses . ' 2° Les petites lésions en FOYER DU cerveau s
une « encéphalite destructive avec corrosion excentrique du tissu nerveux », mais aussi la résorption d'une hémor- rhagie
r cause la prédominance d'une désintégra- tion progressive du tissu nerveux avec prolifération né- 110 CONGRÈS DES MEDECI
rio-sclérose, mais non oblitérées. L'intensité de la désintégration nerveuse sur- tout des fibres tangentielles et de la pro
rophie et la dégénérescence des cellu- les cérébrales et des fibres nerveuses ils peuvent appa- raître précocement, commme la
La lésion des cellu- les cérébrales est indiscutable. Les éléments nerveux sont altérés qualitativement et quanti ta Li ve
rébrales très différentes, que l'on pouvait considérer la cel- lule nerveuse et la cellule névrogliqùo comme des soeurs en-
re occasion morbide. La maladie diminue la résistance de la cellule nerveuse , exalte, au con- traire, l'activité de la cellu
isme, des paralysies ou des contractures, a certainement un système nerveux plus touché que la jeune fille chez laquelle on
'irresponsabilité de l'hystérique avec trou- bles graves du système nerveux est déjà pratiquement recon- nue. Lorsqu'un dét
le fond de l'hystérie, c'est un trou- ble de l'équilibre du système nerveux . On trouve toujours,en effet, chez elle des dim
c, Le pronostic et le traitement de cer<a'ne maladies du système nerveux . 11, P. Joire, professeur à l'Institut Psycho -
ument qui permet de constater et de mesurer les troubles du système nerveux dans un certain nombre de maladies, Quand on
ui varie chez l'homme sain et dans les diverses maladies du système nerveux . M. Joire a démontré que ni la chaleur, ni la l
st variable suivant que l'on a affaire à des sujets dont le système nerveux est déprimé, ou à des neurasthéniques, à des hy
s histologiques sur l'origine et le mode de formation de la cellule nerveuse dans la moelle épi- nière et dans la protubéran
remières phases du développement une distinction entre les éléments nerveux elles éléments de soutien : tousles éléments de
e nombreux neuroblastes, entre la 60° et la 65° heure. Les fibres nerveuses périphériques sont dues à la transforma- tion d
parallèlement à cette migration, a lieu l'apparition des fibrilles nerveuses dans la moelle et dans la protubérance. Les rap
la moelle et dans la protubérance. Les rapports entre les éléments nerveux s'établis- sent à la suite de la formation des
nts nerveux s'établis- sent à la suite de la formation des cellules nerveuses . La cellule nerveuse se développe aux dépens d'
sent à la suite de la formation des cellules nerveuses. La cellule nerveuse se développe aux dépens d'un neuroblaste unique
ion cérébrale..1. Séglas. XII. - Le mode de formation de.la cellule nerveuse dans les ganglions spinaux du poulet ; par CARI
ment de travaux anté- rieurs sur le mode de formation de la cellule nerveuse dans la REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PA
érance des embryons de poulet. L'étude de laformation de la cellule nerveuse dans les ganglions spinaux a été faite sur les
e 1.) La méthode de Donaggio est basée sur ce fait que les fibres nerveuses , dans la première phase de la dégénération primai
r les erreurs de mé- moire..1. S. XV. Le développement des fibres nerveuses périphé- riques et centrales dans les ganglions
ganglions spinaux et céphaliques se différencient dans les chaînes nerveuses et sensitives seulement vers la fin du troi- si
rencie, en se recouvrant d'un manteau fibrillaire ; 9° Les libres nerveuses centrales dérivent des prolongements ncuroblasL
organes sont. dès l'origine, réunis matériellement avec le système nerveux central. Ce travail, extrêmement intéressant, e
du texte. J. Séglas. Y'I. - Recherches sur la coloration des fibres nerveuses fit la phase initiale de dégénération primaire
ration primaire et secon- daire, systématique où diffuse du système nerveux cen- tral ; par ARTURO Donaggio. (In Rivista sp
mené les au- teurs à considérer la dégénération primaire des fibres nerveuses comme d'origine toxique. Les lésions systématiq
sa méthode au bichromate de potasse, émet l'opinion que les fibres nerveuses , dans la première phase de la dégénération prim
être d'un grand secours dans l'anato- mie pathologique des maladies nerveuses et mentales. J. Séglas. - Atrophie cérébrale
al et de Donaggio, a u qu'il y a un rapport identique dans le tissu nerveux des animaux adultes, entre le nombre des fibrille
tra, 1904. Vol. XXX, fascicule Il, 111.) Les altérations du système nerveux dans l'acromégalie ont attiré l'attention des a
otopie. Ce développe- ment doit se faire au moment où les ganglions nerveux entrent en connexion avec les parois du canal m
um fibrillaire endo-cel, lulaire et sur le cylindraxe de la cellule nerveuse des vertébrés ; les différentes méthodes de col
um péri- phérique basées sur l'action de la piridine sur le tissu nerveux ; par ARTltRO Donaggio. (In Rivista sperimentale
me de nature névrogliqùe. Plus tard, Cajal, loinde considérer comme nerveux les filets du réticulum péricellulaire, les con
eures, et traitement variable des corps suivant le point du système nerveux dont on s'occupe. B. Coloration DU réticulum fi
iculum péricellu- laire. E. Coloration DES cylindraxes DES fibres NERVEUSES CEN- TRALES et PÉRIPHÉRIQUES. - Mêmes procédés
ement cylindraxile. - Le prolongement z nylinclravile de la cellule nerveuse des vertébrés vient du reticu- lum fibrillaire
XXVIII. Sur la- manière de faire un examen objectif des troubles nerveux dans les traumatismes; par LoRsrNwo Rossi. (in
tion des lésions des fibres descendantes dégéné- rées de la cellule nerveuse , à travers la substance grise spinale, les nerf
re dont s'établissent les rapports réciproques entre les éléments nerveux embryonnaires et sur la formation du réti- culu
bryonnaires et sur la formation du réti- culum interne delà cellule nerveuse ; par Carlo 11EST.\. (In Rivista di- Freniatria,
bien déterminée, marquant l'apparition des fibrilles dans le tissu nerveux , etla formation du réseau dans son intérieur.
té aveclesneuroblastes, el il en résulte la for- mation d'un réseau nerveux continu dans le tube médullaire. Chaque neurobl
réuni à un autre neuroblaste plus ou moins éloigné. 4" La cellule nerveuse n'est pas une unité embryologique. Kilo se form
unité embryologique. Kilo se forme à partir du moment où le réseau nerveux est constitué par une différenciation des nouve
présente sans aucune régularité ; lÕ4 REVUE liE Y : 1'CHOLO.iII, NERVEUSE . 2° La qualité du travail va en diminuant (nec
début de l'année d'enseignement. .1. Séglas. lieue DE PATHOLOGIE NERVEUSE 1. -- Le Tic hystérique ; par 3131. Pitres et C
esse lui-même brusquement huit jours avant le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 155 retour des règles absentes depuis si mois.
atomique elle réalisait un type mixte à lésions à la fois spinales, nerveuses et musculaires. De ces rapports entre les forme
prédomine tantôt sur le centre trophique. tanlôt sur le conducteur nerveux , tantôt sur le muscle, et qui dans d'autres cas
oint reste douteux : c'est celui de savoir les lésions des éléments nerveux sont primitives, ou si elles sont secondaires il
es altérations vasculaires. Pour l'auteur, les lésions des éléments nerveux succèdent à un processus d'altération des vaissea
. Contribution à l'étude du réseau endocellulaire dans les éléments nerveux des ganglions spinaux par le procédé de Korsch)
n Gehuchten. Considéra- tions sur la structure interne des cellules nerveuses et sur les annexions anatomiques des neurones.
e l'aspect externe des prolongements protoplasmatiques des cellules nerveuses colorés par le bleu de méthylène. 6° A Van Gehu
à l'étude des voies olfactives ; - '.)° Albert 3licliotte. La libre nerveuse et sa bifurcation dans les ganglions spinaux (m
liotte. Contribution à l'élude de l'his- tologie fine de la cellule nerveuse ; 12° A Van Gehuchten. La poliomyélite antérieu
ain. Prix : 15 fr. LlLU' ! (Paul). Des anesthésies psychiques dites nerveuses ou hystériques. Etude historique, clinique, exp
ES SUR LE T11.11T1 : >ILN T DU L'ÉPILEPSIE, 169 170 CLINIQUE NERVEUSE . de régime sans sel et sans bromure, donne dans
u, qui devient plus nuisible qu'utile en supprimant la réac- tion nerveuse nécessaire. Nous ne préconisons donc pas l'inst
également le plus souvent aux adolescents de Hi à 18 ans. CLINIQUE NERVEUSE Un cas de compression de la moelle avec des p
de 111. le Professeur 1), Mal'ineseo, Chef du service des maladies nerveuses de Bucarest. L'étude des compressions médullair
nel, ou encore si tels autres traduisent une lé- sion des faisceaux nerveux . Nous nous sommes heurtés il cette difficulté q
mités do flexion et d'extension dans les genoux. \ 172 CLINIQUE NERVEUSE . Les mouvements passifs dans toutes les jointur
du rachis. Paraplégis spasmodique ; laminectomie. 174 CLINIQUE NERVEUSE . la spasmodicité, avec clonus et extension des
ors de l'entrée à l'hôpital. ATHETOSE DOUBLE. 193 L'affection nerveuse de l'enfant étant de suite reconnue, en dépit d
ons que c'est la première fois que la malade prend de telles crises nerveuses , que sa mère est hyste- rique et qu'elle avait
ans. Conclusion ? De tout cela résulte qu'il s'agissait de crises nerveuses de forme liystéro-épileptique. Seulement on peu
MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 107 crises, ou bien si l'état nerveux (par hérédité) de son or- ganisme fit arrêter e
e lui paraîtra diffi- ficileou dangereuse, peut, si elle est un peu nerveuse , perdre une partie de ses moyens. L'examen cl
ettre, n'a-t-il pas simplement actionné et orienté vers les centres nerveux une syphilis en évolution qui sans lui les aura
résence de la choline dans le sang au cours des maladies du système nerveux . M. Clause. - Des recherches récentes ont attri
uide céphalo-rachidien des mala- des atteints de lésions du système nerveux , d'un corps qui a été regardé comme de la choli
e. L'examen histologique montra, outre les lésions des cellu- les nerveuses , une extraordinaire activité de la prolifération
t pas de virus rabique, mais d'un microbe pathogène pour le système nerveux . On comprend donc la nécessité des inoculations
l'oxygénation des cellules dans l'inti- mité des tissus. Le système nerveux est l'élément noble de l'organisme, car c'est l
ces sont les éléments les plus sensibles, c'est-à-dire les cellules nerveuses . Que le système nerveux vienne à souffrir, la m
us sensibles, c'est-à-dire les cellules nerveuses. Que le système nerveux vienne à souffrir, la machine hu- maine sera «
feront qu'augmenter de plus en plus. L'action du fer sur le système nerveux est rendue plus ma- nifeste par l'etude de l'hi
amènent une aggra- vation des symptômes d'excitation chez certains nerveux déjà surexcités, par exemple, les hysteriques,
n de la médication martiale dans les différents genres d'épuisement nerveux : « Il n'y a, dit- il, de règle absolue que pou
riquesou alimentaires ; 2» Tous les genres d'épuisement musculaire, nerveux , secrétaire ». Axenfeld et Huchard recommandent
s, les ferrugineux et les toniques. » Dans le Traité des maladies nerveuses de Kraft-Ebing, je lis : « Vu que nous ne conna
ments chimiques les plus subtils qui se passent dans notre système nerveux et qui sont peut-être la cause de la neuras- th
ontraire facilitent la régularité des selles. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 217 Nouvelle méthode de 1'ééducation de la mar
la paralysie géné- rale, par A. Marie. Appréciation des troubles nerveux au moyen d'un appareil nouveau, le sténomètre,
n appareil nouveau, le sténomètre, par Joire. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE Vit Les micromélies congénitales. Achondroplasi
mvxoedémateux, le rachitisme. L'infection 21S REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et l'intoxication sont des causes également pl
tres négalives. Laconstante positive est due à l'action des centres nerveux ; les deux constantes négatives sont le résulta
e qui traduit l'action excitante de cette substance sur les centres nerveux . L'ingestion de sucre, qui est un aliment de pr
et partant une augmentation de la force mus- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 219 culaire. Sous l'influence de la caféine, t
e cette substance n'est pas un aliment, mais un excitant du système nerveux qui permet une meilleure utilisation des réserv
de ces paramètres pourra donc être utilisée à l'avenir en clinique nerveuse pour reconnaître l'origine et le siège des ma-
A un examen plus attentif, on trouve des signes d'hystérie : crises nerveuses anciennes ; actuellement, large pla- que d'anes
'une époque récente ; leur intérêt clini- 220 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . que et pathogénique est bien établi par les re
, telle que le véritable tic douloureux de la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 221 face, il est indiqué aujourd'hui de procéd
n faire un très grand nombre afin de détruire la plupart des filets nerveux du triju- meau et surtout agir par choc en reto
x du triju- meau et surtout agir par choc en retour sur les centres nerveux toujours malades dans ces cas ; au ne recourir
de la Salpêtrière, 1905, ne /1.) 11 n'existe pas entre les maladies nerveuses familiales des li- mites bien tranchées, on ren
nier syndrome qu'ils le désignent sous le 222 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . nom, plus général cependant, d'affection spast
es seraient dues à la prédominance fonctionnelle de certains filets nerveux voisins, dans les efforts spontanés de sup- plé
as un vain mot), l'allure spéciale de l'acci- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 223 dent qui l'amène. D'après L3abinsl : i, le
uses convulsives épileptiformes. L. Wahl. 224 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . - Le syndrome myoclinique ; Iiucx,aD et N.Fies
lonique comprend les affections suivantes : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 225 considérer ni comme étant simplement des l
é Archives, 2, série, 100G, t. XXII. 15 220 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . psychique. Absence de syphilis dans l'ascendan
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures aux
ire concernant l'or- ganisation pathologique congénitale du système nerveux , les cas de folie gémellaire soulignent et font
llaire. Mais encore une fois, là où il n'y a même pas tare purement nerveuse , les jumeaux issus des parents les plus proches
de demi-rémission d'une durée peu longue, amenéespar l'épuisement nerveux dû à l'énorme dépense d'influx. Eh bien ! chez no
t pour sujets les ambulatoires et les sanatoriums populaires pour nerveux . Citons un rapport 'de M. Ellero sur les asiles u
us avons fait nous-même un long rapport sur l'hospitali- sation des nerveux , où nous avons montré l'intérêt qu'il y au- rai
êt qu'il y au- rait à organiser des sanatoriums populaires pour les nerveux , que l'on devrait édifier dans des endroits pro
grès émet le voeu de voir organiser des sanatoriums populaires pour nerveux , édifiés dans des endroits propices, ouverts à
nombre de connaissances assu- rées à propos des causes des maladies nerveuses et mentales et en général de la dégénération hu
nt coordonnées ; Considérant que la vie moderne, usant le système nerveux , a augmenté énormément et menace d'agrandir enc
croyons devoir reproduire. '1. - Des anesthésies psychiques dites nerveuses ou hystériques; Par le Dr Paul GLU ? (U. Doin,
apporte longuement plusieurs observations clini- ques d'anesthésies nerveuses et iladmel que cette anesthésie ner- veuse est
us étions, ont t toujours pensé que l'étude des maladies du système nerveux élait du ressort des uns et des autres. M. Solf
sont morts à un âge avancé, ils n'étaient pas atteints de maladies nerveuses . Son père est mort à 77 ans ; alcoolique, il ét
ladies nerveuses. Son père est mort à 77 ans ; alcoolique, il était nerveux , irritable, sujet à de fréquentes colères, vite
es, vite passées du reste. Mère morte à 74 ans, non alcoolique, pas nerveuse . Pas d'antécé- dents nerveux signalés dans la f
morte à 74 ans, non alcoolique, pas nerveuse. Pas d'antécé- dents nerveux signalés dans la famille, tant du côté paternel
3 soeurs. Une soeur est morte à 27 ans, elle toussait, n'était pas nerveuse . Les survivants sont bien et pas plus que leurs
e Donaggio des lésions du réticulum neuro-fibrillaire de la cellule nerveuse dans l'inanition expérimentale ; par Riva. (Riv
ans la majorité des cas limité en principe aux vaisseaux du système nerveux cen- tral. Par sa diffusion sur la pie-mère, il
de la leplo- méningile el consécutivement l'altération des éléments nerveux . Les lésions anatomo-pathologiques rencontrées
XL1. - Sur la présence des corpuscules à l'intérieur des cellules nerveuses spinales dans l'inanition expérimen- tale ; par
corce en profondeur. G. Deny. XLIV. Sur la nucléole de la cellule nerveuse ; par .Ion. G. Lâche (de CucaresL). (Journal de
tails sur la mor- phologie et la structure du nucléole des cellules nerveuses . D'après l'auteur, deux substances, au moins, e
9, 10 und 11 Gehirnnerven. (Un cas de fracture, avec para- lysies nerveuses rares. Contribution à la physiologie des 9e pai
v rier 1906.) Vues très ingénieuses sur l'histophysiologie du tissu nerveux , de l'écorce cérébrale en particulier, appuyées
qui accompagnent le fonctionnement de tout élément. La conduction nerveuse serait accompagnée d'une sorte de désintégratio
; p. 260 à 263.) 1. - Quoique la théorie de Bethe sur la conduction nerveuse et l'indépendance relative des fibrilles et des
ogène cumme une preuve de l'in- dépendance embryogéniquo des libres nerveuses périphériques par rapport aux cellules nerveuse
géniquo des libres nerveuses périphériques par rapport aux cellules nerveuses . Il existe cependant de nombreux résultats cont
ité. Chez trois chiens tués les 39°, 10 î^, 17 Ie jours, des fibres nerveuses nées du névrome du bout central traversaient la
e 1' « anneau ner- veux') (libération presque complète d'un segment nerveux etmise en contact définitif des deux extrémités
ue les résultats rapportés par Bethe sur la régénération des libres nerveuses des centres sont insuffi- samment explicites et
pas vous fournir de moyen de diagnostic. Mais, dans votre pratique nerveuse , il vous arrive, à chaque instant, d'instituer
-8. de 310 pages. Rio de Janeiro. FOllEt, (A). L'aine et le système nerveux . 1 vol. in-8" de 340 pages. Steinheil, éditeur,
courbes de fatigue comme procédé de diagnostic dans les maladies nerveuses ; Par Mlle le D' I. IOTEYKO Chef des travaux
us parler de l'ergographie appliquée au diagnostic des ma- ladies nerveuses ; autrement dit, j'ai à vous entretenir des rév
certitude que le paramètre positif b est dû à l'action des centres nerveux , dont l'effort grandit au cours du travail ergo
ribuée à ce para- mètre, qui traduit l'action excitante des centres nerveux à l'égard du muscle. La diminution de a montr
l'alcool. A côté des effets excitants qu'il produit sur le système nerveux et qui le font ranger parmi les poisons redouta
est augmenté, ce qui s'explique par la nécessité, pour les centres nerveux , d'envoyer des excitations plus fortes quand l'
duit à admettre une action excitante de la caféine sur les centres nerveux , et c'est par l'intermédiaire des centres nerve
sur les centres nerveux, et c'est par l'intermédiaire des centres nerveux que se produit l'action excitante sur le muscle.
'intoaica 11Õn-parIëS déchets de la nutrition. Quant aux centres " nerveux ""non seulement ils ne présentent aucune fatigue,
ra définitivement si leur affection a son ori- gine dans le système nerveux ou dans les muscles. Dans les différentes paral
427 pas eu de convulsions dans l'enfance mais est cependant très nerveuse ; la troisième morte à 7 ans de méningite, n'av
anomalie congénitale physique, intel- lectuelle et pas de maladies nerveuses ]. J. Pas de consanguinité. Inégalité d'âge : 6
: 100 grs. Sur toute la surface, la pie-mère adhère à la substance nerveuse à des degrés variables. Moelle épinière : 35 gr
ienne, l3fa ? (llenriclle), âgée de 38 ans (1). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Ueber Narkoselaehmung des N. cruralis und o
tions nou" avons ci le les travaux étrangers. REVUE nE PATHOLOGIE NERVEUSE . 4*)7 les symptômes suivants : lebasin s'inclin
ble de paralysie et éli- mine successivement : la lésion des troncs nerveux pendant l'opé- ration (rapidité de l'améliorati
ration (rapidité de l'amélioration) ; - l'inflammation des troncs nerveux par une paramétrite (examen négatif pendant l'opé
trophiques cutanés et unguéaux des mains. 458 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE , L'action locale du poison est d'autant plus év
on de ces symp- tômes est lente et suit parallèlement les accidents nerveux . Il est possible qu'ils soient une conséquence
as encore définitivement prou- vée. 11. II. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 453 XXXIV. Aphasie hystérique avec agraphie, c
cl'dan< II) cadre plus vaste de »l'ar no REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . phasie hystérique » ; 6) th distinguer de as,
Essai de classification de ces divers étals : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 401 "2" Le phénomène du pied, apparaît de quat
e louche et l'enfant mourut de méningite. 462 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Au point de vue du phénomène d'hippus les fait
ément. A l'autopsie, on trouva de la tubercu- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 463 lose viscérale et sur le cerveau un exsudâ
ation, il s'agit d'une jeune fille de 25 40 i REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ans présentant des crises nerveuses depuis ans
25 40 i REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ans présentant des crises nerveuses depuis ans. Une de ses soeurs est une névropath
temporale superficielle. Le territoire de la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 465 jugulaire interne est intéressée : la voie
tte seconde observation est intéressantes par les deux affec- lions nerveuse et veineuse réunies chez le même malade. Elle l
se réunies chez le même malade. Elle l'est aussi par les phénomènes nerveux présentés par le petitmala'le comme ceux de l'a
nche Archives, 2' série 1906, t. XXI 30 4GG REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE interne gauche, il traverse la ligne médiane, l
intra-bulbaire sur une éten- duede 7 millimètres environ, le tissu nerveux est légèrement ra- molli et de même coloration
u ralentissement du pouls. Reprise des phéno- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 4C7 mènes cérébraux douze jours après l'interv
le même sujet de deux lésions extrêmement 4C8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rares dans le premier âge ; l'existence d'une
liouide céphalo-rachidien. Cette hypertension REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 4G9 suffit il expliquer certains symptômes dou
dix-neufle nombre des ras connus. G. C. 470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . \lut. - Quelques manifestations cérébrales du
aire, que les causes morales ou psychiques. , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 471 Parmi les syndromes encéphaliques d'ordre
ite déformante de Pajet peuvent figurer sur la liste des' accidents nerveux du rhumatisme chronique. G. C. L. Considération
hronique. G. C. L. Considérations pathogéniques sur les accidents nerveux du rhumatisme chronique; par \I..1. Lépine. (Lyon
arge de poisons, qui viennent soit de l'organisme, soit des centres nerveux . Les mé- ninges peu perméables de dedans en deh
si longtemps certaines substances nocives qui baignent le système nerveux . Les réactions de défense qui en découlent, com
chidien contribuent à exagérer l'exci- tabilité anormale du système nerveux . Plus les causes toxi-infec- tieuses s'ajoutent
uses toxi-infec- tieuses s'ajoutent, plus l'irritabilité du système nerveux s'accroît. Le système nerveux des rhumatisants
utent, plus l'irritabilité du système nerveux s'accroît. Le système nerveux des rhumatisants chroniques est donc le siège d
té- rielles des méninges spinales. Cette participation du système nerveux explique que, suivant les prédispositions indiv
rhumatisme chronique loca- lise à telle ou telle partie du système nerveux les manifestations, qu'elles soient articulaire
les manifestations, qu'elles soient articulaires, abarticulaires ou nerveuses ; para- plégiques ou atrophiques chez les manou
ersistance indéfinie du rhumatisme chronique,dès que les phénomènes nerveux durables sont apparus. 472 REVUE DE PATHOLOGI
phénomènes nerveux durables sont apparus. 472 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Une double thérapeutique est nécessaire pour é
n évitant les circonstances susceptibles d'augmen- ter l'excitation nerveuse centrale ou périphérique. G. C. LI. Rapports du
vait apporté des ob- servations de rhumatisants affectés d'épisodes nerveux d'impor- tance secondaire. Les nouveaux faits q
publie correspondent à un degré de plus dans l'atteinte du système nerveux . Quatre observations ont trait à des sujets att
ningo-myélilo. Dans la première série d'observations, les accidents nerveux sont à localisation radiculaire, ce sont des si
action déséquilibrante que les chocs peuvent exercer sur le système nerveux central et on s'explique que des troubles névro
ble d'apporter d'importantes contributions à l'étu- de des maladies nerveuses . La timidité en Orient. M. ])AMOGLOU (du Cair
rganisée comme les Landerziehungsheime (V. Foret, L'âme et le syst. nerveux ). Enfin, l'art ne doit pas être pornogra- phiqu
r l'étude etiologique, et pour l'action prophylactique des maladies nerveuses et menlales. avait été adoptée par le Congrès s
que. Alcooliques. Voir Suicide. Alcoolisation locale des troncs nerveux , par Brissaud, Picard et Talion, p. 48. Alcoo
rale, par Caracciolo, p. 1 o. Anesthésies. Des psychiques dites nerveuses ou hystériques par Blum, p. 322. ANESTHÉSIQUE
légal; par Pierre Marie et Crouzon, p. 230. Arabes. Voir Maladies nerveuses . ARaN-DUCHESNE. Voir A myotro- phie. -- Voir
es. Voir Patio- logic mentale. Cécité. Voir Hystérique. Cellule nerveuse . Recherches Iiistologiques sur l'origine et l
ou- let, par Besta, p. 140. spi- nales, voir Neuro-Fibrilles. - nerveuse , voir Réticulum fibril- laire. nerveuse, voir I
, voir Neuro-Fibrilles. - nerveuse, voir Réticulum fibril- laire. nerveuse , voir Inani- tion expérimentale. Sur la nu- c
rveuse, voir Inani- tion expérimentale. Sur la nu- cléole de la - nerveuse , par Lâche, p. 3R9. Sur des modtti- cations p
e, par Lâche, p. 3R9. Sur des modtti- cations particulières des nerveuses et de leurs prolon- gements dans le S. IvT. C.,
Cervelet. Fonctions du -, par Babinski, p. 48. - Voir Cel- lules nerveuses . Choline. Sur la présence de la dans le sang
la présence de la dans le sang au cours des ma- ladies du système nerveux , par Claude, p. 213. Chorée. Voir Huntingtou.
ue des - de fatigue comme procédé de diagnostic dans les maladies nerveuses , par Mlle Ioteyko, p. 417. Crampe des écrivai
l- lei, p. 153. -. Voir Courbes. FER. Voir Neurasthénie. Fibres nerveuses . Le développe- ment des nerveuses péri- phéri
FER. Voir Neurasthénie. Fibres nerveuses. Le développe- ment des nerveuses péri- phériques et centrales dans les ganglio
u poulet, par Pighini, p. 142. Recherches sur la colo- ration des nerveuses à la phase initiale de dégénération [ primair
[ primaire et secondaire, systé- matique ou diffuse du système nerveux central, par Donaggio, . p. r43. 1' a-t-il une
culum. Sur la présence des corpuscules à l'intérieur des cellules nerveuses spinales dans 1' - -, par Riva, p. 387. Insti
à pla- cer dans les colonies, par Pee- ters, P. 31 5. Maladies nerveuses . Fréquence des nerveuses chez les Arabes, par
nies, par Pee- ters, P. 31 5. Maladies nerveuses. Fréquence des nerveuses chez les Arabes, par Dumollard, p. 49. L'anal
des courbes de fatigue comme pu- reté de diagnostic dans les - nerveuses , par Mlle Yoteyko, p. zIE,¢I7. 1\IRCHS. Nouve
a démence précoce, par Klippel et Thermite. p. 34. - Voir Cellule nerveuse . Les alté- rations de la épinière dans un cas
t Perre- tière, p. 219. -- générale, voir VeM)'o ? &)' : 7/M. nerveuses , voir Fracture. Un cas de générale juvénile,
s sur le - - endo-cel- lulaire et sur le cylindraxe de la cellule nerveuse des verté- hré,; les différentes méthodes de
du périphé- rique basées sur l'action de la piridine sur le tissu nerveux , par Donaggio, p. 148. Recher- ches histologi
re dont s établissent les rapports réciproques entre les éléments nerveux embryonnaires et sur la formation du - in- te
ux embryonnaires et sur la formation du - in- terne de la cellule nerveuse , par Besta. Etude par la mé- thode de Donaggi
hode de Donaggio des lésions du - neuro-fibrillaire de la cellule nerveuse dans l'inani- tion expérimentale, par Riva, p
le pronostic et le traitement de certaines mala- dies du système nerveux , par Joire, p. 134, 217. Suicide. Tentative d
et Pétroff, p. 39. Sur la manière de faire un examen objectif des nerveux dans les traumatismes, par Rossi, p. t5o. App
ux dans les traumatismes, par Rossi, p. t5o. Appréciation des - nerveux au moyen d'un appa- reil nouveau, le sténomètre
'un appa- reil nouveau, le sténomètre, par J oire, p. 217. Tube nerveux . Les transforma- tions du - , par Durante, P.
34 (1895) Archives de neurologie [Tome 30, n° 101-106] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CIIARCOT PUBLIÉE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
Vol. XXX. Juillet 1895. N° 101 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE . CLINIQUE médicale DE l'Hôpital SAINT-ÉLOI DE V
s circonvolutions sur laquelle Archives, t. XXX. , 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE . nous insisterons dans le cours de l'observatio
lors l'état du malade alla toujours en s'aggravant. La 4 PATHOLOGIE NERVEUSE . céphalalgie, excessivement intense se générali
ur là que tout le côté droit était paralysé et dans la 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . , résolution complète; de plus, il paraissait
La pie- mère est congestionnée, mais ce qui domine, c'est la stase nerveuse qui est bilatérale. Elle présente des adhérence
g. 1. Configuration extérieure de l'hémisphère gauche. 0 PATHOLOGIE NERVEUSE . Elle est devenue plus molle et plus rosée. Ell
entimètres environ de . la corne frontale gauche. 10 . PATHOLOGIE NERVEUSE . mais le processus néoplasique n'avait envahie
sarcomes du cerveau sont relativement rares, surtout 12 PATHOLOGIE NERVEUSE . si l'on tient compte de ce fait que la plupart
n'ont été constatés que 34 fois sur 300 cas de tumeurs des centres nerveux , si nous en croyons la statistique fort remarqu
artérite oblité- rante. ' Traité pratique des maladies du système nerveux , t. I, p. 424, il édition, 1891. ' PHYSIOLOGI
até M. Féré, et pour lui elle est sous la dépendance de la décharge nerveuse . On signale aussi une diminution du nombre des
par lui dans l'organisme entier, il viendrait irriter les cellules nerveuses de l'encéphale et de la moelle et détermi- nera
i- cation sont réduits à invoquer ce qu'ils appellent la décharge nerveuse . Il est évident que ce n'est là qu'un mot, il n'e
lors la prédispo- sition n'existe pas et n'a pas préparé le système nerveux à réagir dans un sens donné. On nous opposera
souvent et qui domine toute la scène. L'individu dont le système nerveux normal a tendance à réagir par des convulsions
ne lésion cérébrale ou d'une irritation quelconque des terminaisons nerveuses (vers intestinaux par exemple). Chez les autres
l y a donc là une irritation prolongée par inhibition des cen- tres nerveux ou altération cellulaire, d'où la déchéance plus
onc de cet essai pathogénique : 1° Que la prédisposition du système nerveux , prédisposition presque toujours héréditaire es
ament et tout en lui reconnissant des pro- priétés hyposthénisantes nerveuses et vasculaires, on est loin de lui accorder ple
téro-intoxication de l'économie et contre l'irritabilité du système nerveux . Nous laisserons de coté la thérapeutique des é
e méde- cin, en effet, est en présence d'un tempérament à système nerveux défectueux, à impressionnabilité plus ou moins gr
e l'épilepsie résulte de modifications de nutrition de la substance nerveuse , et comme d'autre part il sait que les épilepti
hore. Pour lui, le phos- phore est un principe tempérant du système nerveux , et dans l'épilepsie, il serait remplacé par de
r obtenir la sédation et en même temps la tonifi- cation du système nerveux . De plus, il favorise les fonctions de la peau
e en hypnotisant certains individus. Or, ils ont une prédisposition nerveuse ; l'hyp' otisme développe, par suite, chez eux l
e association nosoiogique comme on en observe souvent en pathologie nerveuse (Ballet et Joffroy). Le tabès se rencontre comb
s sont capables de faire, chez eux l'influence trophique du système nerveux est activée par l'idée de grossir. Il arrive un
la sensation. Etude des conditions de la sollicitation des éléments nerveux et de l'irritation des centres engendrant des m
e l'oeil où ce corps se meut. Elude des différences de l'irritation nerveuse produite par l'excitation. Qualités physiques.
uand il est entré en équilibre de forces avec un autre. Une cellule nerveuse n'a de sensation que quand elle a l'occasion d'
rités par des excitations identiques.- Et par suite, notre appareil nerveux doit être construit comme la machine élec- triq
ne peut être admis que dans des cas excep- tionnels. Les troubles nerveux et psychiques consécutifs aux traumatismes crân
psychique provoqué par la blessure ou par l'émo- tion. Les troubles nerveux sont très variés et ne réalisent que rare- ment
t faire supposer l'origine traumatique de l'affection. Les troubles nerveux tantôt se développent immédiatement après 56 RE
quants, instruits de ce fait que beaucoup de ma- ladies mentales ou nerveuses peuvent ne pas se traduire au dehors par des ra
folie, soit par rapport à son inaptitude à dis- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 59 tinpuer le bien et le mal dans l'acte accom
en dehors de tout accident. L'hystérie ou les troubles fonctionnels nerveux s'ajoutent fréquemment à des affections graves
apoplexie, tabes, sclérose en plaques). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Cas d'atrophie infantile unilatérale DES mus
et en dehors, produit un léger nystagmus. Il 60 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . peut siffler et former le groin. L'électrisati
mbres. Elle calcule très mal. Au début, l'écri- REVUE DE pathologie NERVEUSE . 61 ture spontanée et l'écriture sous la dictée
êmes allures à l'égard des objets concrets : 62 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Voici tout au moins une observation à marche'
maine médicale, 1893, n° 37, 15 juin.) , P. K. VI. DES phénomènes nerveux consécutifs UNE COMMOTION de La colonne vertébr
ons dans le domaine des rameaux cutanés du nerf REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . G3 cubital et du médian ; l'atrophie évidente,
que de Charcot et de Joffi oy. Homme de trente-neuf ans, hérédité nerveuse assez lourde, entre à la Salpêtrière en 1892. S
le aussi prononcée qu'avant le traitement. 64 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . En somme donc, l'affection répond au diagnosti
primitives, c'est-à-dire des myopa- thies sans lésion médullaire ni nerveuse , le muscle lui-même étant primitivement atteint
aciès quelque chose de spécial, les traits sont REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 65 épaissis, flasques, pas ou peu de rides, l'
ourdissement dans le Archives, t. XXX. a .66 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . - membre pelvien gauche qui s'affaiblit progre
et marcher. Bassin fléchi sur les cuisses et ne REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 67 pouvant se relever. Cuisses maigres, jambes
sent à l'électricité d'une façon anormale. ' 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Observation. Femme, vingt-sept ans à l'époque
eresthésie cutanée et des douleurs sur le trajet de certains troncs nerveux , ces symptômes ne furent que transitoires. Enfi
toutes deux, au début, sous la dépendance de lésions médullaires ou nerveuses , et il propose l'hypothèse suivante : dans les
hèse suivante : dans les myopathies dites pri- mitives, les lésions nerveuses profondes survenues dans les premiers temps de
de M. Brissaud faite à la Salpêtrière. Les arthropathies d'origine nerveuse ont une allure caractéristique. Ainsi les arthrit
une allure caractéristique. Ainsi les arthrites REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 69 du tabes qui sont typiques de ces athropath
ne sont donc pas primitifs, ils sont secon- 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . daires, les troubles sensitifs sont toujours l
cette affection. Du reste le tabes est loin d'être la seule maladie nerveuse qui justifie la loi de corrélation entre les trou
de corrélation entre les troubles trio- phiques et les conducteurs nerveux centripètes : se rappeler l'hé- miatrophie faci
e soit la forme du tabès, il ne s'ensuit pas que les mêmes éléments nerveux soient lésés dans toutes les formes, on sait que
sent rien de l'écorce cérébrale. - - Camuset. REVUE.DE pathologie NERVEUSE . 71 L XIII. TROIS CAS D'ARTHROPATHIE TABÉTIQUE
re observation. Femme, cinquante-quatre ans, sans tare héréditaire, nerveuse dans son enfance, syphilisée par son mari. Débu
ticulations peuvent devenir le siège d'une 72 2 REVUE DE pathologie NERVEUSE . arthrite syringomyélique. Voici par ordre de f
es déformantes, des arthrites de la lèpre. C. - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 73 XV. Un cas DE syringomyélie atypique; par M
n trophique c'est ainsi qu'il désigne les arthropathies d'origine nerveuse acquiert une occasion chirurgicale par l'adjoncti
ée, troubles trophiques graves, nature. chirurgicale de l'affection nerveuse causale.. Viennent d'abord quelques observation
'abord quelques observations de traumatisme au début de l'affection nerveuse , ou pendant le cours de celle-ci. Suit l'étude
fectieuse peut se propager aux nerfs péri- 7,1, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . articulaires. Les articulations tropho-infecti
l'hémiopie et le scotome scintillant. Il arrive REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 75 5 que les accès de cette migraine soient fr
nait endormant, on- constate que les circon- 76 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . flexes sont tiraillés quand ils ne sont pas fl
t atteint de la maladie de Little. Le second, , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 77 une fille, née à terme, bien conformée, int
nt avec l'auteur que nous venons de citer que cet état d'excitation nerveuse quasi délirante qui s'empare de cer- taines fem
st du devoir de l'expert de remonter à la cause de cette excitation nerveuse et cette recherche pourra l'amener à d'in- tére
n'avait pas tué son enfant. Cette exaltation maladive du système nerveux avait déjà été remarquée dès le début de l'inst
ans avoir causé de lésions internes a déterminé de graves accidents nerveux . Lanature deces 104 MÉDECINE LÉGALE. accident
e de potassium est générale et qu'elle atteint partout les systèmes nerveux et musculaire. « C'est un anesthésique aussi bi
re. « C'est un anesthésique aussi bien des centres et des cordons nerveux que des surfaces muqueuses et tégumentaires. C'es
l'olighémie et non pas une action spéciale élective sur les tissus nerveux ; en outre il excite les centres modérateurs. Po
ations sous la dépendance d'une disposition particulière du système nerveux ; 2° L'épilepsie générale, suivant les causes dé
psie; 9° Les bromures agissent sur la prédisposition du sys- tème nerveux , mais ces médicaments doivent être employés à d
LOGIQUES. I. Les conditions DE l'excitabilité électrique du système nerveux PÉRIPHÉRIQUE DE L'HOMME DANS LE JEUNE AGE ET SE
; ils par- raissent plus nombreux que chez l'adulte; 5° Les fibres nerveuses périphé- riques du nouveau-né sont considérable
esse de noyaux; 7° A partir de la naissance la structure des fibres nerveuses périphériques se développe; les manchons de myé
ivement et alors se développent tous les autres éléments des fibres nerveuses ; 8° Dans la deuxième et la troisième année de l
développement des manchons de myéline et celui de toutes les fibres nerveuses périphériques est irrégulier. Il y a souvent de
e même individu dans ses divers nerfs ou dans chacun des trousseaux nerveux à la même époque du même enfant; il Il est impo
he en noyaux. En conséquence : La bien moindre largeur des fibres nerveuses et musculaires, l'absence d'étranglements des f
bres nerveuses et musculaires, l'absence d'étranglements des fibres nerveuses , la richesse en gros noyaux du parenchyme et du
ue pour le prolongement cylindraxile protoplasmique de la cellule nerveuse ganglionnaire centrale et que la formation ou la
'au début du quatrième ventri- cule. Atrophie complète des éléments nerveux , fibres et cellules. Extrême altération des vai
la paralysie AGIT.1NTE ET DE SES rapports avec certaines MALA- DIES nerveuses DE la vieillesse; par E. REDLICH. (Jahrbùch. f.
r confluence, se forment de gros foyers avec altérations des fibres nerveuses ; dans les petits foyers scléreux, les fibres nerv
s des fibres nerveuses; dans les petits foyers scléreux, les fibres nerveuses conservent leur aspect normal. Les parties inte
VII. SUR la NOUVELLE méthode DE coloration DE l'ensemble DU système NERVEUX DE ROSIN ET SES REMARQUES SUR LES CELLULES NERVEU
ncert avec le membre du côté non paralysé. P. K. XIII. DES FIBRES NERVEUSES A myéline DE L'ÉCORCE DU cerveau de l'homme; pa
e d'une série d'articles sur les myopathies et sur les athropathies nerveuses . CAMUSET. XVII. DE la station ET delà marche ch
son étude, l'homologation du nerf labyrin- thique et des faisceaux nerveux divers qui le composent. C'est ainsi qu'il fait
ndibul'aire, la névroglie des parois ventri- culaires, les éléments nerveux du tuber cinereum et enfin des corps mamillaire
vue histologique, on a surtout noté la dégénérescence des cellules nerveuses , l'augmentation des éléments lymphatiques et la p
plupart de celles qui sont atteintes on retrouve des antécé- dents nerveux personnels ou héréditaires. L'auteur termine son
dans l'atrophie ordinaire. Sur la rétine on voit, entre les fibres nerveuses , des stries ou petites plaques de tissu conjonc
par exemple, à la suite d'un traumatisme; c'est en somme le délire nerveux des chirurgiens. L'étlquelle' étio- logique de
Vol. XXX. Septembre 1895. N° 103 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA TUBERCULOSE DE
ses mala- dies, Paris, 1827. Archives, t. XXX. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE . fuleuse du rachis. » Olivier dit que Lapeyre a
'origine des tubercules médullaires. Virchow affirme que le système nerveux est réfractaire à l'invasion tuberculeuse et pa
r Rüclcezzmarlcslcranlcheitezz, 1874,1, Dd., p. 473. 180 . CLINIQUE NERVEUSE . nique, elle se manifeste soit sous les symptôm
es du cerveau. Charcot, dans ses Leçons sur les maladies du système nerveux , tome II, 1880, dit qu'on peut considérer la tu
ns la tuberculose aiguë et les rat- tache à des lésions anatomiques nerveuses . Cette même année encore, Voisenet, également é
leptomyélites tuberculeuses. (Revue de méd., 1886.) 182 CLINIQUE NERVEUSE . Hellich' a décrit chez un homme de quarante-de
ète des membres inférieurs. La malade est incapable de 184 CLINIQUE NERVEUSE . soulever ses jambes au-dessus du plan du lit.
ne portion prise sur la limite qui sépare la F1g,6. 1 86 CLINIQUE NERVEUSE . moelle cervicale de la moelle dorsale. 5.-Une
asculaires émanent des méninges et se propagent dans la subs- tance nerveuse , on trouve l'infiltration de la pie-mère très abo
missure postérieure devient plus large. La dégénérescence des tubes nerveux commence à apparaître même dans les racines pos
ce entière du cordon latéral droit parsemée de petites 188 CLINIQUE NERVEUSE . agglomérations de leucocytes qui sont plus ou
plus atteint que le faisceau droit. La dégénérescence des fibres nerveuses dans les cordons laté- raux marche parallèlemen
re coupe, on trouve, sur le côté externe des Fig. 8. 190 CLINIQUE NERVEUSE . racines antérieures droites, un tubercule cont
mar- quable. Dans une coupe on voit se propager dans la substance nerveuse une infiltration allongée, en connexion avec un
moins diffuses, qui ont entraîné la dégénérescence de la substance nerveuse . Dans le canal central et dans la pie-mère nous
ie lombaire. On trouve seulement dans cette partie une 192 CLINIQUE NERVEUSE . légère augmentation des noyaux et des leucocyt
ré. Dans les cordons latéraux la dégénérescence corticale des tubes nerveux est insignifiante. Nous avons par conséquent
ns autour du canal central. Archives, t. XXX. 13 194 . CLINIQUE NERVEUSE . nodulaire de la moelle, toujours coexistante a
es ver- tèbres, combinée avec la myélite transverse. 196 CLINIQUE NERVEUSE . La tuberculose peut envahir toutes les parties
a aussi de petites hémorragies. La dégénérescence de la substance nerveuse reste localisée, en général, mais, dans le cas
leux en quantité considérable. Voir Hellich, loc. eti. 198 CLINIQUE NERVEUSE . l'aspect clinique est si différent et, d'autre
s inférieures et sont très exagérés; ils se montrent 1 200 CLINIQUE NERVEUSE . apparents même spontanément. - 17. Il. Le mala
âle. A l'endroit où la pie-mère adhère à la dure-mère, la substance nerveuse de la moelle se ramollit; par places se trouven
ceaux de Goll, dont il reste encoie à la périphérie quelques fibres nerveuses intactes. La substance blanche, du reste est co
idérables de nutrition. Il s'ensuit une dégénéres- cence des fibres nerveuses , sous forme d'îlots; ou bien qui atteint seulem
, sous forme d'îlots; ou bien qui atteint seulement quelques fibres nerveuses . La dégénérescence en îlots est causée visiblem
el leur ' Magnan. -- Leçons cliniques et recherches sur les centres nerveux , . 113 ? lIall et Dahove. - Les Dégénérés (tiib
e Paris, une clinique spécialement consacrée à l'étude des maladies nerveuses , elles comptent du moins dans leur corps enseig
ent toujours joui d'un esprit bien pondéré, aucune tare héréditaire nerveuse ni chez les ascendants, ni chez les descendants
nce toxique, et c'est cette subs-- tance qui exerce sur les centres nerveux les actions pathogènes diverses qui se traduise
ntité morbide, est plutôt envisagé actuellement comme un syn- drome nerveux . De même l'épilepsie dont les anciens faisaient u
eut être mis en jeu par des causes multiples. En matière de système nerveux , la lésion n'est rien, la localisation est tout
e, parfois similaire (Mignon). Les causes spéciales sont les causes nerveuses accidentelles, les chocs émotionnels, les maladie
ut à droite. Cette dimidiation serait en faveur plutôt d'une action nerveuse . Les partisans de la théorie nerveuse placent d
faveur plutôt d'une action nerveuse. Les partisans de la théorie nerveuse placent dans le bulbe l'inci- tation initiale q
e, peuvent produire ce même résultat. Ainsi, en faveur des théories nerveuses s'inscrit l'étiologie. Pour la théorie thyroïdi
tion cause la maladie de Basedow, comment agit-elle sur les centres nerveux ? Il faudrait ici céder la place aux physiolo-
utre part, que nous ne connaissons pas le mécanisme que les centres nerveux mettent en oeuvre pour créer les conditions ana
investigation. J'ai d'abord cherché une lésion en dehors du système nerveux central, où rien de typique n'était relevable.
quez. La sécrétion thyroïdienne est sous la dépendance du système nerveux central et, dans l'espèce, d'un centre butbo-prot
la glande thyroïde en hyperactivité par l'intermédiaire du système nerveux . L'bypel'lhyroïdisation commence lentement, sou
tement dans la circulation sanguine et va impressionner les centres nerveux . Alors apparaissent les symptômes majeurs based
« par la mise en jeu de deux facteurs combinés, une per- turbation nerveuse et un agent infectieux, celui-ci devant peut-être
ses morales, infectieuses ou toxi- ques qui agissent sur le système nerveux , mettent en branle l'hy- persécrétion. Cette
aveur auprès du monde savant, la théorie thyroïdienne et la théorie nerveuse . La lecture de ce rapport, très impartial, ne c
gênée, elle répond négativement. Cette dyspnée serait donc purement nerveuse , bien que l'état du coeur puisse contribuer à s
éthylène dont M. Renaut et lui se servent pour colorer les éléments nerveux . Question III : Des impulsions il'résistibles d
u'on n'envoie pas au régi- ment des malades dont les manifestations nerveuses sont très pré- judiciables à l'armée. «Ce n'est
ur la distinction de la nature hysté- rique des troubles mentaux et nerveux . Il estime, en effet, que les seuls hystériques
par une disproportion, d'une part, entre cette puissance d'activité nerveuse transmise par l'ascendant et d'où dérivait pour
autre part, entre l'insuffisante utilisation de cette même activité nerveuse imposée par l'hérédité à l'organisme et bien au
mal préparé à s'assimiler avec avantage cette surabondance d'influx nerveux , la nécessité, au contraire, de s'en dégager, p
n équilibre normal rompu, par intervalles, au profit d'une activité nerveuse pathologiquement prépondérante. 252 SOCIÉTÉS SA
par une forte contraction des muscles de la face et le tremblement nerveux des bras. Sa voix était rauque, involontaire et
une attitude plus normale. La physionomie échappe à la contraction nerveuse qui en dominait toutes les expressions ; le cor
Vol. XXX. Octobre 1895. N° 104 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . ÉTUDE SUR LA \fÉNI\GO-11YL,LITE DIFFUSE DANS L
Chef des travaux d'anatomie pathologique de la Clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière '. Les faits sur lesquels le
érale et même aux affections syphilitiques loca- lisées des centres nerveux . Nous n'avons pas la prétention de décrire des
ptions histologiques est' que, dans un certain : groupe de maladies nerveuses chroniques, dont la clinique. nous montre Trava
oratoire de M. le P' RAYMOND. Archives, t. XXX. " 18 274 CLINIQUE NERVEUSE . les rapports particulièrement étroits avec la
le tissu con- jonctif et étendues à une très grande partie de l'axe nerveux ; ces lésions diffuses, considérées indépendamme
Antécédentshérélilcciresetpersotnels. - On ne découvre aucune tare nerveuse dans ses antécédents. Lui-môme n'aurait fait aucu
1 F. Raymond. - Contribution à l'étude de la syphilis du système nerveux . (Arcla. de Neurologie, 1894.) ÉTUDE SUR LA lIf
rt de granulations fines. Le cerveau est peu atrophié. 276 CLINIQUE NERVEUSE . Les méninges molles, oedémateuses et blanchâtr
ine de tous les tubes ne sont pas absolument saines. Les cellules nerveuses et les cylindres-axes n'ont pas souffert; les t
dont les ondulations, loin d'être parallèles, circons- 278 CLINIQUE NERVEUSE . crivent par leur juxtaposition, une série de p
en colorées ; c'est ainsi qu'on peut voir Fig. 10. , 280 CLINIQUE NERVEUSE . 3, 4, 5 noyaux colorés sur une coupe de veine,
tielles de même nature, mais relativement assez minimes, les tubes nerveux sont intacts, ainsi que les noyaux d'origine. Q
ion intersti- tielle et diffuse qui porte sur l'ensemble du système nerveux central. Il est bien évident que les lésions dé
t localisées à ce niveau presque exclusivement sur les 282 CLINIQUE NERVEUSE . méninges, ne représentent qu'une évolution ult
écédents personnels. Blennorrhagie à dix-sept ans, pas 284 CLINIQUE NERVEUSE . d'histoire de syphilis Marié en 1882, G... a e
. Dans la région cervicale elles sont moins malades. 286 CLINIQUE NERVEUSE . Les cornes postérieures, bien que privées en g
s postérieures, bien que privées en grande partie de leur réliculum nerveux , n'ont pas subi une grande réduction de volume.
our les cellules des colonnes de Clurke, dont pourtant le réticulum nerveux a presque entièrement disparu. En résumé, il
7EL'ÎLLLI('I'1 ! 0. - lG'9Yt(C0.2,' ? lillB el éosine. 288 CLINIQUE NERVEUSE . éléments nobles, sont le siège, surtout dans l
nt pas épargnés par l'altération intersti- tielle, mais leurs tubes nerveux ne paraissent pas lésés. Sur leur trajet les mé
de méningite spinale et traces Archives, t. XXX. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE . manifestes de méningo-encéphalite . La méningi
dégénérescence est absolue dans la moitié postérieure 292 CLINIQUE NERVEUSE du cordon de Goll; la moitié antérieure contien
lativement peu atrophiées, malgré .la disparition de leur réticulum nerveux normal. Leurs cellules sont absolument intactes
de Clccrke présentent la dis- parition classique de leur réticulum nerveux . Les racines posté- 1'ieu1'es, fortement lésées
dance t ! Odulait'e.7f<;n)n<o.t ? i;;cc<(W)f. 294 CLINIQUE NERVEUSE . ont leurs parois infiltrées; cette lésion est
contient une veinule à parois fortement infiltrées; mais les tubes nerveux ne paraissent nullement atteints par cette lési
elle est séparée de la méninge, dans presque toute son 296 CLINIQUE NERVEUSE . étendue, par une mince couche de fibres saines
ésions des capillaires. - J/émaloxyline et éosine. ' 298 CLINIQUE NERVEUSE . intégrante du processus de méningo-myélite vas
nique (F. Raymond, Contribution à l'étude de la syphilis du système nerveux , Arch. de Neurol., lS9u, Obs. III), l'autre d'u
e la moelle, constituée comme chez nos tabétiques. 300 . CLINIQUE NERVEUSE . Si l'on rapproche dé ces faits la petite plaqu
iste des lésions d'inflammation, diffuse étendues à tout le système nerveux central, ou au moins à une grande partie de ce
tions qui sont consécutives à la simple disparition des éléments nerveux : on ne peut établir aucune parenté entre l'infil
demment sa tendance. On pourrait s'étonner de voir une 302 CLINIQUE NERVEUSE . inflammation garder si longtemps des caractère
e, il ne nous est pas possible de distinguer les symp- 304 CLINIQUE NERVEUSE . tomes qui lui appartiennent au milieu des mani
cutives des éléments Archives, t. XXX. 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . nobles. Elle parait constante si l'on emploie,
té des cas c'est de la syphilis qu'il relève. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . C0lfèfOTlON cérébrale, blessure DU cerveau ou
a jambe sont agités de secousses et exécutent t REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 307 parfois des mouvements coordonnés; les glo
s d'acromégalie conforme au type de la des- 308 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . cription de Marie, en ce qui concerne les extr
avail sont les suivantes : 10 le substratum anatomique 'des lésions nerveuses des arthropa- thies neuro-spinales est l'altéra
postérieurs); 2° ce sont les fibres centripètes REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 309 affectées à la transmission des sensations
directes. Elles sont déterminées par l'influence médiate du système nerveux central (troubles vaso- moteurs, etc.) combinée
appât pas à son influence nocive. E. B. , 310 REVUE DE pathologie NERVEUSE . XVI. POLYNÉVRITE récidivante, envahissement DE
uché dans la maladie de Friedreich ? Ce qui est REVUE DE pathologie NERVEUSE . 311 certain, c'est qu'il n'est pas .toujours i
of insanity, 189.) Les rapports de l'influenza avec les affections nerveuses ont été l'objet, au cours de ces dernières anné
e de la neu- ratrophie générale, de la débilité générale du système nerveux central. A cet égard, le mot de Cullen n'est pa
très loin de la vérité que c toute maladie est une sorte de maladie nerveuse ». Et de fait, le système nerveux est plus ou m
maladie est une sorte de maladie nerveuse ». Et de fait, le système nerveux est plus ou moins atteint dans toutes les malad
int dans toutes les maladies et en soignant les maladies du système nerveux , nous recherchons et portons remède aux symptôm
uisse être le champ de leurs travaux. E. B. 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ('XX. Contribution A L'ÉTUDE DE l'aphasie; par
che et la capsule interne du même côté. Dans la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 313 moelle, complète sclérose du cordon latéro
roposées pour expliquer la pro- duction des arthropathies d'origine nerveuse centrale, et particu- lièrement des arthropathi
récents l'a conduit simplement à reproduire 314 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et à maintenir les conclusions suivantes, form
vée de façon à rétrécir symétriquement la fente REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3Hi JP palpébrale. La pupille droite est contr
r; on rompt les adhé- rences et on met à nu le ganglion et le tronc nerveux sur une étendue de deux pouces : ni l'un ni l'a
rique de l'autre côté. Une seconde variété, 316 REVUE DE pathologie NERVEUSE . désignée sous le nom de syndrome de Weber, est
ns gommeuses, il suffirait qu'une pareille lésion entourât le tronc nerveux de la sixième paire en comprimant ou altérant l
déduit de leurs associations symptomatiques. REVUE DE pathologie NERVEUSE . 317 Les faits sur lesquels l'auteur appelle l'
ctes, à l'exception d'une légère- infiltra- 318 REVUE DE pathologie NERVEUSE . tion de la pie-mère et de l'arachnoïde aux end
x décrits : c'est l'ancien tabes dorsal spasmo- REVUE DE pathologie nerveuse . 319 dique de Charcot, un instant condamné et a
nsable de faire intervenir la fragilité héréditaire d'un territoire nerveux et la maladie infectieuse ne fait qu'accélérer
de douleur réflexe; 6° l'auteur se propose 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de montrer que les affections des viscères tho
n à localiser les connexions centrales de ces zones avec le système nerveux . Nous ne pouvons entrer ici dans le détail des
part et de celles produites par des lésions des troncs ou branches nerveux . D'accord avec Mme Déjerine Klumpke, il re- mar
XXXVIII. Traumatisme SUIVI DE phénomènes rares du côté . DU SYSTÈME NERVEUX ; par le D'' HARVEY. - , Cas d'hystéro-traumatis
, spéciale, distincte de l'anorexie hystérique et de la dys- pepsie nerveuse de Leube. Le pronostic en diffère ainsi que le tr
variable quotidiennement. L'application de la gymnastique chez les nerveux est très délicate, aussi faut-il qu'elle soit app
le traitement le plus rationnel et le plus efficace de l'épuisement nerveux . M. DEVAY (de Lyon). De la mélancolie chez les
vention médicale en hydrothérapie dans son application aux maladies nerveuses . Dans ce travail l'au- teur, dont la compétence
urait avoir rien d'absolu sauf dans la thérapeutique des affections nerveuses , dans lesquelles le traitement moral vient ajou
femme de trente-deux ans dont le père était épileptique et la mère nerveuse . Elle a eu deux frères morts d'affections céréb
Régis. On peut réveil- ler des attaques d'hystérie chez les malades nerveux par les opéra- tions chirurgicales. Les aliénés
RTIN. Essai sur le rôle de l'infection dans les maladies du système nerveux central.- BAU7.AN. Du traitement de l'alcoolism
à la dose de 0 gr. 2 à 0 gr.4 agit dans les maladies mentales et nerveuses comme sédatif; à dose plus forte, 0 gaz à 1 gramm
solement peut être nécessaire : peu ou point de sédatifs du système nerveux ; 5° Le meilleur remède dans l'état de mal épile
iègent la conscience et l'idéation et respectant les autres centres nerveux , spécialement la moelle et le bulbe. Le chloral
ies qui ont pu être pratiquées n'ont douné aucune lésion du système nerveux central ou périphérique. Pineles donne quatre o
ET DE LEUR PERCUSSION; NOUVELLE MÉTHOEE D'EXAMEN DANS LES maladies nerveuses ; par.\V. de Bechterew. (Nell1'olog. Cen- trnl6l
u tout de la prolifération du tissu conjonctif étouffant les fibres nerveuses . Ce que les auteurs ont pris pour des travées d
eurs ont pris pour des travées du tissu conjonctif entre les fibres nerveuses , ce sont des produits d'ulcération des fibres n
les fibres nerveuses, ce sont des produits d'ulcération des fibres nerveuses mêmes. Cette erreur est due à l'insuffisance de
ls dégé- nèrent. Il est probable que leur présence entre les fibres nerveuses exerce une influence nuisible sur les fonctions
la substance ner- veuse ; il y a aussi une régénération des fi6·cs nerveuses . En quel- ques endroits de la préparation, on v
nguins, tandis qu'autour du vaisseau lésé là destruction des tissus nerveux suit son cours graduel. Mais on n'a pas vu la r
anvier 1895.) E. B. XXXIX. ETUDE SUR la dégénérescence DES CELLULES NERVEUSES dans UN cas d'atrophie cérébrale localisée; par
ermis d'étudier les divers stades de la dégénérescence des cellules nerveuses . Tout d'abord, les granulations de chromatine s
procédés classiques de conservation et de pré- paration des centres nerveux et des nouvelles méthodes de colo- ration des c
re anatomo-pathologique de la démence paralytique : 1° les éléments nerveux reçoivent du sang un apport insuffisant de maté
est difficile de démontrer qu'ils débutent par une perle du tonus nerveux des artères. (Amer. joum. of insanity, janv. 1895
oct. 1894.) E. B. XLIV. DE la nomenclature anatomique DES CELLULES NERVEUSES ET DE son but immédiat; par F. NISSL. (Neu1'olo
at; par F. NISSL. (Neu1'olog. Cezlt·al6l., \IV, 1895.) Les cellules nerveuses centrales se décomposent en : a. Cellules nerve
Les cellules nerveuses centrales se décomposent en : a. Cellules nerveuses cytochromes. Grains. Le corps cellulaire 396 RE
e. y. Noyaux du bulbe olfactif (renflement olfactif). b. Cellules nerveuses kàryochromes. - Cellules noyaux. Le corps cellu
'indiqué. Le noyau'coloré atteint le volume des noyaux des cellules nerveuses , volume toujours supérieur à celui des noyaux d
ouche de Rolando. Cellules du ganglion de l'habenula. c. Cellules nerveuses somaiochromes. Cellules à corps cellulaire. Le
a la forme de raies ayant 'la même direction. 1. Type des cellules nerveuses motrices ; . 2. Type des grandes cellules de la
d'Ammon ; 3. Type des cellules de l'écorce ; i. Type des cellules nerveuses spinales. (. Arl¡yostichoch1'omes. Un seul type
faction de ce besoin, l'usage crois- sant des stimulants du système nerveux , l'abus surtout en fait d'alcool, la nervosité
ion. Dans les classes élevées les causes d'excitation et de dépense nerveuse sont encore plus actives. Enfin, alors que jadi
alcool n'est donc ni un aliment d'épargne, ni un tonique du système nerveux . Il détermine au contraire un cortège de troubl
u système nerveux. Il détermine au contraire un cortège de troubles nerveux par son action sur les nerfs périphériques. Il ag
it de deux façons : 1°- par son action toxique sur le protoplasma nerveux ; 2 par l'inflammation qu'il produit dans les tiss
r l'inflammation qu'il produit dans les tissus voisins de l'élément nerveux . Pour ce qui est de l'influence de l'alcool sur
fein). L'état actuel de l'anatomie et de la pathologie des cellules nerveuses . - Les cellules nerveuses ne sont pas toutes co
anatomie et de la pathologie des cellules nerveuses. - Les cellules nerveuses ne sont pas toutes construites sur le même plan
construites sur le même plan : il y a de nombreux types de cellules nerveuses , bien caractérisés au point de vue morpho- logi
és au point de vue morpho- logique et en rapport avec des fonctions nerveuses spéciales. Grâce à la méthode spéciale qu'il em
exactitude du schéma de Max Schullze sur la structure de la cellule nerveuse et de l'existence de types variés d'éléments nerv
de la cellule nerveuse et de l'existence de types variés d'éléments nerveux . L'ab- sence de connaissances positives sur le
ves sur le rôle fonctionnel des diffé- rents territoires du système nerveux est cause de notre ignorance touchant les fonct
tre ignorance touchant les fonctions de tel ou tel type de cellules nerveuses . Dans toute la série des vertébrés chaque terri
ses. Dans toute la série des vertébrés chaque territoire du système nerveux renferme des cellules du même type. Si donc on
de cellules. Le rapport qui existe entre la structure des éléments nerveux et ' leur fonction est bien établi pour les cel
trées. Ces éléments sont nettement différenciés des autres cellules nerveuses , et il est aisé d'en donner les carac- tères an
ême fonction que les éléments des ganglions spinaux. Les cellules nerveuses d'un même type, par exemple les cellules motric
seulement au rapport qui existe entre les quantités des substances nerveuses colorée et non colorée de la cellule. La dimens
olumineuses et vice versa. La différence de coloration des cellules nerveuses n'est pas artificiellement produite : elle corr
veux. Les différences constatées dans la coloration des cellules nerveuses tiennent probablement à des états fonctionnels di
es (repos, activité); c'est ce que confirmerait l'examen d'éléments nerveux excités faradiquement. En outre des signes cara
er d'une façon précise les types nor- maux- des différents éléments nerveux (Aequivalent formen), en tenant compte des alté
fications mé- caniques et de la chromophilie. L'examen des éléments nerveux des animaux pourra fournir d'utiles indications
ce de la race sur la fréquence cl la forme des maladies mentales et nerveuses . 4 Dans le groupe de la race européenne, ce son
on d'ailleurs, la conception du neurone comme base de la pathologie nerveuse , , La symptomatologie générale (quatrième chapi
représente une véritable monographie sur la séméiologie du système nerveux . A signaler particulièrement la contracture, le
sur les processus anatomiques de la moelle épinière. . Le courant nerveux n'influence d'une façon favorable que les troub
allèle les lésions nécroscopiques et l'étude histologique du centre nerveux , de= paralytiques ayant présentés de tels sympt
u'ils ont présentée doit être rapportée à une excitation du système nerveux par suite d'un vice de la nutrition, absolument
établir entre cette affection et les lésions de sénilité du système nerveux . Il déclare d'une façon très catégorique que ce
ont en rapport avec des altérations minimes et fugaces des cellules nerveuses . 428 BIBLIOGRAPHIE. 5° Maladie des tics convu
nents et les plus écoutés en matière d'hypnotisme et d'affections nerveuses . ' La municipalité d'Orléans n'en a pas moins c
fluxion de poitrine à cin- quante-sept ans, sobre, pas d'accidents nerveux . Mère. Migrai- neuse, morte à cinquante-cinq an
d'enfant.] Mère, quarante-huit ans, bien portante, pas d'accidents nerveux , physionomie intelligente. A son mariage, nous
e. Mort écrasé par un mur, sobre, très intelligent; pas d'accidents nerveux . Mère, soixante-douze ans, bien portante pas d'
une morte d'un cancer du sein, très intelligente, pas d'acci- dents nerveux , pas d'enfants quoique mariée; l'autre soeur céli
autre soeur céliba taire. Dans la famille de la mère, ils sont tous nerveux , mais ni paralytiques, ni aliénés.] Pas de co
l'objet des moqueries de ses compagnes. Elle devint de plus en plus nerveuse , « méchante », désobéissante, paresseuse. C'est
S (d'Albi). Tr..., vingt-quatre ans, militaire. Constitution sèche, nerveuse . Père bien portant; mère impressionnable, sujet
es substances toxiques exercent une action directe sur les éléments nerveux , et que les agents infectieux, dans le plus grand
s par influence directe, locale, du micro- organisme sur le système nerveux , mais par une action chimique, générale de prod
ité, les substances toxiques qui empoisonnent le sang et le système nerveux , agissent de préférence sur les diverses partie
ois pour que ces agents pathogènes s'attaquent ainsi aux éléments nerveux , il est nécessaire que.d'autres facteurs (hérédit
pend principale- ment de troubles fonctionnels du système de fibres nerveuses destinées à relier entre elles les cellules de
, il est probable que les différents degrés d'altération des fibres nerveuses constituant le système d'associa- tion de l'éco
le; bactériologiquement par la présence dans le sang et les centres nerveux d'un bacille particulier que les auteurs ont to
ves, t. XXX. 30 466 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. tions du système nerveux , dont le trouble maximum est le délire hallucin
re spécial relativement aux tares dégénéra- tives ou à des troubles nerveux spéciaux. L'accès rotatoire est parfois précédé
vue de la démence. J. SÉGLAS. LUI. SUR LES connexions DES éléments nerveux DE l'écorce cérébelleuse; par E. LuGARO. (Riv.
s enfants à l'école, un certificat constatant l'absence de troubles nerveux ou moraux, tout aussi bien qu'un certificat de
aisemblablement à une lésion unique affectant l'ensemble du système nerveux . (Revue neurologique, août 1895.) E. B. LXVII
e foyers multiples, comme la syphilis et la tuberculose des centres nerveux , que de véritables néoplasmes. Leur allure cliniq
les SUR la fatigue des muscles de l'homme sous l'action des poisons nerveux , par Rossi. (Riv. sp. di '7'e72., t. XX, fasc.
. M. Pieu (de Prague). Communication sur la pathologie du système nerveux central. L'auteur communique d'abord un cas de
atiquait sur lui ». Ce malade a des antécédents héréditaires : mère nerveuse , père morphinomane. Rachitisme dans l'enfance.
nstaté l'existence, d'un seul côté, du signe de Biernacki. Le tronc nerveux était intact ce qui prouve que l'analgésie du c
es traumatiques sont mieux connues et outre les lésions des centres nerveux eux-mêmes, le shock émotif produit fréquem- men
dernier article sur les causes patholo- giques a trait aux maladies nerveuses donnant lieu dans leur cours à des troubles men
ne saurait, en aucun cas, laisser de côté l'in- fluence du système nerveux , car le système nerveux est partout : son étude
s, laisser de côté l'in- fluence du système nerveux, car le système nerveux est partout : son étude permet à l'oculiste de
320. Anomalies. Rapports des mor- phologiques avec les maladies nerveuses et mentales endogènes par Sommer, 40. Anorexi
502 TABLE DES MATIÈRES. muscles de laface, par Bernhardt 59. - nerveuses et troubles de la sensibilité, par Brissaud, 68
reuse du cerveau par Alzheimer , 260. Dégénérescence des cellules nerveuses dans l ? -.cérébrale localisée par Prout, 39t.
hologique par Hahn, 477. corticale par Bonhoffer, 480. Cellules nerveuses . De la nomen- clature anatomique des -, par N
, 392. Coloration. Nouvelle méthode de de l'ensemble du système nerveux par Nissl et Rosin, Hl. Commotion cérébrale, bl
. Dualité. Deux cas de cérébrale par Bruce, 319. Ecorce. Fibres nerveuses à myé- linedel'-du cerveau de l'homme, par Ka
l'homme, par Kaes, 144. Electrique. Excitabilité - du sys- tème nerveux périphérique par Westphall, 135. Encéphale. A
echterew, 144. FA 1 IGur; des muscles sous l'action des poisons nerveux parRossi,466. Folie. De la induite par Roller,
G3. Paralysie AGITA : 1TE et ses rapports avec certaines maladies nerveuses de vieillesse par liedlich, 139. Paralysie gé
ar Klippel et Dumas, 328. Modifications macroscopiques du système nerveux dans la -, par Kaes, 389. Sur l'augmentation de
mann, 417. Race. Influence de la . sur les 1 maladies mentales et nerveuses , par Buschan, il5. Raretés d'un asile d'alién
35 (1895) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 10
er les habitudes vicieuses, les défauts graves du caractère, les tics nerveux , les incontinences nocturnes et diurnes de l'urin
systématiquement la suggestion hypnotique au traitement des maladies nerveuses de l'en-fant. Mais ayant eu dans un certain nom
mêmes affections; 2° Les troubles fonctionnels liés aux affections nerveuses : chorées, tics, attaques convulsives, anesthésie
ont la légitimité ne sera contestée par personne : calmer l'éréthisme nerveux du sujet et faire l'éducation de ses centres d'ar
sans vouloir jurer d'être absolument dans le vrai, comme une pléthore nerveuse du cerveau. Cet état d'impressionnabilité à la
s ensuite en volume sous le titre de Cours de Braidisme ou Hypnotisme nerveux , j'ai adopté une nouvelle appellation, celle d'ét
iences entièrement nouvelles, et par l'histoire rai-sonnée du système nerveux . Paris 1855, 1 v. in-8*, pp. 306-307. SOCIÉTÉS
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
guste Voisin a commencé son cours annuel sur les maladies mentales et nerveuses le jeudi 13 juin, à 10 heures du matin (section R
ccuse-pas de maladies antérieures, pas d'antécédents héréditaires, ni nerveux , ni tuberculeux. Le père et la mère sont bien por
es fonctions disparues ; 3° En ravivant la dynamogénie des cellules nerveuses et des fibres musculaires ; 4° En augmentant
s biographes (1), qu'Ignace de Loyola fut souvent atteint de troubles nerveux ou mentaux. (1) Voy. en particulier : P. Ribade
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique) est ann
ait m'avait amené à. admettre chez cet homme l'existence d'une lésion nerveuse (élongation ou contusion) et des troubles associé
sée. Tout depuis a confirmé ces vues : les troubles dus à la lésion nerveuse traumatique ont continué à se résoudre et il y a
inertes, nombre de sujets affectés de douleurs, d'insomnie, d'aphonie nerveuse , etc., qui ne voulaient pas se prêter à l'hypnose
peutique. Le premier est un typographe, âgé de 17 ans, lymphatique, nerveux , pâle. Il est venu hier à la consultation, accusa
les fonctionnels ; il n'a jamais été malade, dit-il ; mais il est nerveux et impressionnable. Hier, je l'ai endormi par sim
impressions morbides en les vissant de plus en plus dans son système nerveux . Nous ne pouvons pas prendre le (aureau par les c
u as une bonne nature ; tes organes ne sont pas malades. Les douleurs nerveuses que tu as guériront toutes seules. Il faudra, san
urs. Je me contente d'affirmer que ce sont des douleurs rhumatismales nerveuses qui ne sont pas inquiétantes et se dissiperont sp
à la cause qui les avait engendrés, retenus par l'impressionnabilité nerveuse de certains malades, à la faveur aussi d'une thér
le bromure, qui ressentent, à la suite de tout médicament, des effets nerveux que leur imagination crée ou grossit à leur insu,
ne constate aucune lésion, il est certain que la douleur est purement nerveuse ; que s'il veut bien m'écouter et avoir confiance
e avec l'anorexie hystérique primitive (Sollier) ou avec la dyspepsie nerveuse de Leube. Or, le pronostic en est absolu- men
res-sionnabilité individuelle de chacun, je n'ai jamais aucun trouble nerveux . Les grandes hystériques seules peuvent avoir, dè
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogique), est an
son initiateur M. Liébeault. On concède encore que certains troubles nerveux sont justiciables de la suggestion. Ce sont là, d
t douloureuses, a sans doute une conformation vicieuse de son système nerveux qui réagit anormalement aux diverses influences.
onne, et un nerf inerte ? Savons-nous ce qui se passe dans la cellule nerveuse quand elle fait des idées, du délire, du mouvemen
; et la suggestion elle-mêm peut éclairer le diagnostic. L'élément nerveux n'existe pas seulement dans les névroses pures; i
e dans toutes les affections organiques; toutei ont un retentissement nerveux qui peut compliquer, aggraver entretenir la malad
veux qui peut compliquer, aggraver entretenir la maladie. Cet élément nerveux , qui n'est qu'ur réflexe, une irradiation, un dyn
t certain, c'est qu'il existe chez notre homme une impressionnabilité nerveuse spéciale qui a pu, à la faveur de la tuberculose
douleurs, quelle que soit leur origine, sont retenues dans le système nerveux par G auto-suggestion et qu'il est possible de le
est possible de les déraciner. Le malade avoue avoir toujours été nerveux et impressionnable : sa mère aussi était nerveuse
e avoir toujours été nerveux et impressionnable : sa mère aussi était nerveuse et colère. Pour tâter la suggestibilité thérape
ue j'ai enlevé, c'est le retentissement de l'emphysème sur le système nerveux du poumon, c'est un trouble dynamique greffé sur
lle, l'expulsion de sécrétions bron-, chiques. C'est une toux surtout nerveuse qui se produit par quintes prolongées, elle est d
scles expirateurs. Or l'emphysème pulmonaire augmentel'excitabilité nerveuse des terminaisons du nerf vague pulmonaire; elle c
minaisons du nerf vague pulmonaire; elle crée une im-pressionnabilité nerveuse spéciale du poumon. Cette impressionnabilité d'
ressionnabilité locale et alimente les quintes de toux que le système nerveux , une fois qu'il les a produites plusieurs fois, r
ique encore inconnu de l'asthme, il s'agit en tout cas d'un processus nerveux . Que les périphéries du nerf vague agissent par r
obstacle dans les petites bronches, il s'agit toujours d'un processus nerveux qui peut être dû à un retentissemet de l'emphysèm
de ces accès? Peu nous importe le mécanisme précis. C'est le système nerveux du poumon, vague ou sympathique, qui est en jeu.
ctivité la propriété inhibitoire du cerveau et refrène l'excitabilité nerveuse exagérée qui crée les quintes de toux et qui crée
, lorsque la dyspnée emphysémateuse n'est pas subordonnée à l'élément nerveux , lorsqu'elle est due à l'usure trop grande de la
lus d'air ou plus de sang. Elle n'agit que sur l'élément dynamique et nerveux . C'est au clinicien à faire le diagnostic et à
épinière sur celles du cerveau, c'est-à-dire de la sphère des centres nerveux d'automatisme sur la sphère des centres nerveux d
la sphère des centres nerveux d'automatisme sur la sphère des centres nerveux de volonté et de conscience. D'autres fois, qua
l'excitation est remplacée par un épuisement considérable du système nerveux , le visage prend une expression de souffrance et
contre l'insomnie due à la perception de bruits. Beaucoup de sujets nerveux sont éveillés ou ne peuvent s'endormir par suite
évelopper une insomnie persistante, susceptible d'amener des troubles nerveux plus ou moins graves. L'occlusion des oreilles av
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses {dispensaire neurologique et pédagogique), est an
isme psychique est plus effet que cause et qu'il annonce une décharge nerveuse se préparant, décharge qui se créerait une voie à
moindre résislance étant établie par un état d'adynamie des cellules nerveuses présidant à la formation de la volonté. Le jugeme
Quand la résistance des centres volitifs est plus élevée que la force nerveuse qui va se décharger, la volonté arrête la crise p
r, selon toute probabilité, de l'intégrité fonctionnelle des cellules nerveuses volitives, celle-ci actionnent les centres représ
.. est un masturbateur. L'onaniste provoque la fatigue de ses centres nerveux non seulement par l'ébranlement dû à l'excitation
leptiques. 11 est permis de se demander si l'irritation des centres nerveux qui provoque ces crises n'est pas due à la fatigu
ment polybromuré à haute dose, qui a agi chimiquement sur les centres nerveux , et la gymnastique médicale, qui a diffusé la ten
centres nerveux, et la gymnastique médicale, qui a diffusé la tension nerveuse vers les muscles, ont donné d'excellents résultat
e surmenage intellectuel compromettent l'évolution normale du système nerveux . » Et il faut bien conclure, avec le D' Bérillo
e rongeait ses ongles en cachette, on ne la voyait jamais; elle était nerveuse et probablement hystérique, elle est morte à 27 a
ur et peu intelligent. Il a un caractère bizarre. Son père est un nerveux , un peu buveur et fumeur endurci de la cigarette,
olique, un brightique et un syphilitique. Sa mère une anémique un peu nerveuse et un peu usée ou fatiguée par les grossesses.
é d'arrêt qui est une des propriétés les plus remarquables du système nerveux . La volonté du sujet étant impuissante à réagir
'origine externe ou d'origine interne qui peuvent éveiller un trouble nerveux gênant ou douloureux, laissant à sa suite l'appré
nction entre un trouble et la conscience de ce trouble, entre un état nerveux et la perception de cet état nerveux ; et cependa
nce de ce trouble, entre un état nerveux et la perception de cet état nerveux ; et cependant cette distinction est rendue néces
roubles fonctionnels, pour la faim, la soif, etc., qui sont des états nerveux non localisés, tandis que d'autres sensations int
e sous la forme douloureuse. Il en est ainsi également des opérations nerveuses elles-mêmes, qui nous sont inconnues dans leurs é
dre psychique. Si le siège de la perception consciente de ces états nerveux localisables ou non, est, selon toute évidence, c
ntime de nos fonctions organiques. Enfin certains d'entre ces états nerveux subjectifs peuvent non seulement s'imposer d'une
sucre, etc. ? Et la peur ? Il est évident que c'est un de ces états nerveux non localisables que nous connaissons surtout com
ieux qu'il suffise d'un peu de réflexion pour trouver dans le système nerveux central un grand nombre de fonctions de première
ons néanmoins que par suite du développement ultérieur de son système nerveux et grâce aussi au traitement général que je lui f
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies nerveuses et à la pédagogie. Il se continuera les jeudis
du cerveau. Faculté de Médecine : Clinique des maladies du système nerveux ,— M. le professeur Raymond a commencé le cours de
sseur Raymond a commencé le cours de clinique des maladies du système nerveux le vendredi 15 novembre 1895, à 10 h. du matin (H
été amené à rechercher les effets de la fatigue chez les héréditaires nerveux , instables, dégénérés, épileptiques, hystériques,
bies entrent pour une large part. Tout agent qui actionne les centres nerveux , soit par une excitation violente mais subite, pr
une excitation violente mais subite, provoque la fatigue par décharge nerveuse , selon toute apparence. Cette décharge découronne
découronne les centres psychiques, en leur enlevant la somme d'influx nerveux nécessaire à la formation du jugement, de la volo
t aux excès ceux-là mêmes qui auraient besoin de se ménager, tels les nerveux qui réparent (1) Travail communiqué au Congrès
l ne faut pas oublier qu'on a affaire à des sujets dont la résistance nerveuse est peu élevée, qui dépensent rapidement et répar
uses est celle de Marguerite N... A l'âge de 21 ans, sans antécédents nerveux notables, la malade est brusquement prise d'attaq
e que ces hypnotisations antérieures ont développée dans leur système nerveux . Mais ce n'est pas là une condition indispensable
ases physiologiques de la vie psychique). Développement des centres nerveux . Localisations. Neurones. Voies de conduction. St
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies nerveuses et a la pédagogie. Il se continuera les jeudis
ique. Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système nerveux . — M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heure
vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les maladies nerveuses tous les jeudis à S b. (salle de la consultation
l Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon clinique sur les maladies nerveuses , le dimanche à 10 heures. M. Albert Robin ava
ofesseur à l'Université de Moscou, est âgé de 30 ans, bien constitué, nerveux et impressionnable. La sœur du malade est une hys
cutanée sous l'influence d'une prédisposition particulière du système nerveux . Tout le monde connait maintenant le rôle que jou
nerveux. Tout le monde connait maintenant le rôle que joue le système nerveux dans les affections cutanées. Les observations dé
nctionnement des follicules pileux. Si sous l'in-llucnce d'un trouble nerveux ces follicules s'enflamment, ils présentent un te
cas la sycose staphylogène se développe sous l'influence d'un trouble nerveux et que l'influence des microbes est alors seconda
ection, la disparition de la maladie causale, c'est-à-dire du trouble nerveux , estindispensable. Dans le cas présent on n'a pu
ysique ou chimique. Mais il est impossible de méconnaître l'influence nerveuse comme cause prédisposante. En faveur de cette inf
des lésions. Les médecins qui ont au début négligé l'état du système nerveux ont à la dernière consultation prescrit des calma
patienter pour le trouver ; on ne peut donc supposer que les troubles nerveux étaient secondaires à la sycose. Le malade s'est
phylogène, qui n'était pas considérée jusqu'à présent comme d'origine nerveuse , dépend directement des troubles du système nerve
comme d'origine nerveuse, dépend directement des troubles du système nerveux et incite à un traitement qui ne consiste pas seu
ction des micro-organismes, mais qui doit s'adresser aussi au système nerveux . Pour les neuropathologistes, ce cas ne présente
ement dans l'hystérie, mais aussi dans les autres troubles du système nerveux . Cette communication a fait un grand bruit; la
tion des médecins sur la nécessité de prendre en considération l'état nerveux des malades atteints de sycosis. La communication
ent de la Russie. On lui doit la création de la clinique des maladies nerveuses et mentales, d'un musée neurologique, auquel la F
ikoff lui ont dédié un recueil de travaux sur les maladies du système nerveux et les maladies mentales. En 1894, au 15me annive
J. Luys. On rencontre quelquefois, dans le domaine de la pathologie nerveuse , des cas de sommeil impératif dans lesquels on vo
ère mariée, mère de amille, sans aucune tare héréditaire ni accidents nerveux , qui, pendant plusieurs mois, était sujette à des
les artères de la base (\) Voir Luys : « Recherches sur le système nerveux », 1865. — « De l'état de sommeil de l'axe spinal
dire que j'ordonnais un lien pas trop tendu, pour éviter des troubles nerveux . — D'autres expériences s'appliquaient aux doigts
erew, professeur et directeur de la Clinique des maladies mentales et nerveuses à Saint-Pétersbourg. Elle contiendra : I. Des t
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies nerveuses et à la pédagogie. Il le continuera les jeudis su
ue. _ Hospice de la SalpÈtrière. — Clinique des maladies du système nerveux . — M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heure
vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les maladies nerveuses tous les jeudis à 5 h. (salle de la consultation
l Saint-Antoine. — M. Gilbert Ballet. Leçon clinique sur les maladies nerveuses , le dimanche, à 10 heures. M. Richer, ancien ch
icher, ancien chef du laboratoire de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris, est nommé chef
états ne sont pas des phénomènes extraordinaires liés à une diathèse nerveuse hystérogène; ce ne sont au fond que des phénomène
ne des manifestations les plus remarquables de l'éducation du système nerveux . C'est ce qui explique le peu de succès des moyen
ne. Un nouveau schéma de l'aphasie basé sur l'histologie du système nerveux Par M. le Docteur Félix Regnault. Les schémas
u forme de nombreuses ondes de plus en plus développées. Les filets nerveux sont en rapport de contiguïté. Que cette contiguï
duiront, différents de ceux qui sont causés par la lésion de cellules nerveuses . [Voir la figure ci-dessous). Schéma des aphasi
uivi.d'une crise. C'est sans doute ce qui a fait attribuer ma maladie nerveuse à de la dyspepsie. D'autres médecins n'ont voulu
sait que l'onanisme est une cause fréquente d'épilepsie. Les centres nerveux ressentent vivement, en effet, le contre-coup de
sa crise et à la modérer! Il n'est pas de médecin ayant soigné des nerveux qui n'ait observé la puissance inhibitoire de la
s l'immense majorité des cas, une frayeur immense envahit les centres nerveux et les sidère aussi rapidement que la foudre, san
clut avec raison de ce fait que l'hypnotisme, dans certaines maladies nerveuses , a une action curativc bienfaisante que n'a pas l
ille. La médication nervine modifiait fréquemment les retentissements nerveux des troubles fonctionnels de l'estomac. Lorsque l
ns long ; que ce vice de fonction, primitif ou commandé par des actes nerveux morbides, peut être mécanique, morphologique ou c
itrine longtemps rebelle à toute médication, reconnue enfin de nature nerveuse et guérie par la suggestion. Après un historique
aractères cliniques des pseudo-angines qu'il divise en pseudo-angines nerveuses et en pseudoangines d'origine gastrique. Les prem
, si minime soit-il, de l'innervation cardiaque, et en pseudo-angines nerveuses proprement dites où le point de départ des phénom
dyspnée, respiration bruyante, saccadée, sifflante, et de phénomènes nerveux : cris, agitation, etc., qui ne s'observent pas d
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
que sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies nerveuses et à la pédagogie. Il le continuera les jeudis su
ique. Hospice de la Salpètriére. — Clinique des maladies du système nerveux . M. Raymond. Les mardis et vendredis à 10 heures.
vendredis à 10 heures. M. Dejerine. Leçon clinique sur les maladies nerveuses tous les jeudis à 5 h. (salle de la consultation
matin. Hôpital de la Pitié. — M. Babinski. Leçons sur les maladies nerveuses , les samedis à 10 heures. Congrès de médecine m
nerveuses, les samedis à 10 heures. Congrès de médecine mentale et nerveuse . — Le septième Congrès annuel des médecins aliéni
l'hallucination de l'ouïe. Rapporteur : M. Ph. Chaslin; Pathologie nerveuse . — De la séméiologie des tremblements. Rap-, port
s capable de permettre le sommeil en amenant la résolution du système nerveux , plutôt que de l'imposer en le frappant directeme
é de tous ; le camphre diminue les phénomènes d'excitation du système nerveux ; il secondera par conséquent l'action du bromure;
mphre est un médicament précieux dans certaines affections du système nerveux . L'association des divers agents produisant l'h
de médicaments ; leur action commence sur un point spécial du système nerveux , mais l'extension de celle-ci aux diverses partie
la narcose à proprement parler ; ce sont des modificateurs du système nerveux central portant leur action d'abord sur le bulbe,
ésultant de la forme : si l'absence de sommeil est due à des troubles nerveux sans lésion anatomique, les hypnotiques, qui sont
ion anatomique, les hypnotiques, qui sont des modérateurs de l'action nerveuse , trouveront leur emploi. Certaines excitations va
est encore de mise; elle a en effet pour but d'apprendre à la cellule nerveuse à dormir. Les hypnotiques devront être plus lég
celles qui résultent de cause pathogène ayant produit les altérations nerveuses : maladies générales, maladies infectieuses, into
ation physiologique. LA SUGGESTION LE FONCTIONNEMENT DU SYSTÈME NERVEUX Par M. le D' Vax de Laxoitte, de Verviers. Le
' Vax de Laxoitte, de Verviers. Le fonctionnement intime du système nerveux est encore un mystère, malgré les découvertes de
e, et ces énergies accumulées animent les corps organisés. Le système nerveux en particulier, chez les animaux, n'est qu'une dé
brés, c'est que la machine fonctionne bien ; c'est en effet le fluide nerveux , sur lequel on a bâti tant d'hypothèses, qui,
c'est-à-dire l'augmentation de vivacité et de complexité des courants nerveux cérébraux ou extra-cérébraux, dont parle M. L. Ma
nfluence de la variabilité de la pression ou' de la tension du fluide nerveux . En 1889, le Dr Ochorowitz disait : « Y a-t-il de
r les études nouvelles sur l'histologie et la physiologie des centres nerveux , faites par MM. Golgi et Ramon y Cajal; ce dernie
ur). Elles renversent la théorie ancienne de la continuité des fibres nerveuses avec les prolongements des cellules du cerveau et
cerveau et de la moelle ; on reconnaît actuellement que les courants nerveux se propagent aux nerfs en passant d'une expansion
es courants nerveux se propagent aux nerfs en passant d'une expansion nerveuse à une autre qui lui est contiguë, absolument comm
admis aujourd'hui, dit le professeur Mathias Duval, que les cellules nerveuses sont en rapport les unes avec les autres, non par
ciation d'idées, serait due aux nombreuses ramifications des cellules nerveuses , ramifications venant s'accoler à celles des cell
ophie l'organe qui en est le siège, et le passage répété des courants nerveux doit provoquer l'hypertrophie dans les cellules n
des courants nerveux doit provoquer l'hypertrophie dans les cellules nerveuses en fonction ; quand le passage de l'influx nerveu
ans les cellules nerveuses en fonction ; quand le passage de l'influx nerveux devient très facile par plus de proximité, il dev
oup de cas ; ainsi, à la suite d'une frayeur, par exemple, le système nerveux , vivement frappé chez une personne plus ou moins
ment ou la disparition des arborisations protoplasmiques des cellules nerveuses ? La connexion entre le centre d'arrêt et le cent
aumatisme ou d'une maladie reste plus ou moins ancrée dans le système nerveux après la guérison du trouble anatomique qui lui a
Détruire ces expansions maladives, ou au contraire ramener l'influx nerveux et l'allongement des pseudopodes, voilà le but à
des douleurs, peut agir localement sur les fibrilles et les cellules nerveuses périphériques, ou d'une façon générale sur les ce
e en agissant sur les lieux de contact des prolongements des cellules nerveuses ; l'idée qu'un poison peut porter son action non s
veuses; l'idée qu'un poison peut porter son action non sur la cellule nerveuse , mais spécialement et exclusivement sur les ramif
sans doute pour action directe d'exciter l'amceboïsme des extrémités nerveuses en contiguïté, de faciliter les passages. » Les
canisme de ces modifications cérébrales. La contiguïté et l'induction nerveuses expliquent ces processus physiologiques et pathol
dence la réalité de ce phénomène étrange, d'après lequel nos cellules nerveuses seraient en tous points comparables à des amibes
ngements étalés, il y aurait facilité de transmission de l'influx nerveux , suractivité du fonctionnement nerveux. Inverseme
té de transmission de l'influx nerveux, suractivité du fonctionnement nerveux . Inversement, la rétraction de ces ramifications
s communications moins intimes et moins nombreuses, un fonctionnement nerveux ralenti pouvant même arriver à être suspendu. Si
Grâce à la nouvelle méthode de Golgi pour la coloration des cellules nerveuses , M. Azoulay a pu révéler à la Société de Biologie
t dans le corps : « Après plusieurs jours, le nerf séparé des centres nerveux dégénère dans toute l'étendue du bout périphériqu
t donc pas, aussi longtemps qu'elles sont en rapport avec une cellule nerveuse . Les bouts centraux des nerfs moteurs ne dégénère
des cornes antérieures de la moelle. On suppose donc que les cellules nerveuses exercent une influence trophique sur les fibres n
es cellules nerveuses exercent une influence trophique sur les fibres nerveuses ; dès qu'une fibre n'a plus de rapport avec une ce
bres nerveuses; dès qu'une fibre n'a plus de rapport avec une cellule nerveuse , elle dégénère. On ignore absolument de quelle na
pas le fluide vital ou électro-chimique, qui se dégage de la cellule nerveuse , comme le courant électrique sortant d'une pile s
ir prévu qu'il y avait autre chose que la continuité et la conduction nerveuses ; voici ses réflexions sur ce fait que l'excitati
à une contraction musculaire, et non pas à un effet dans les centres nerveux , à une sensation par exemple, puisque le nerf mot
us le verrons, affecte un rapport de continuité avec tous les centres nerveux . Il faut donc qu'à l'origine centrale des nerfs c
vant jaillir, de même que l'influence"tephique, que hors des cellules nerveuses —(voir tome II, op. cit. p. 98). — Nous citerons
tir de cette constatation physiologique : « Le temps que met l'influx nerveux pour traverser les centres nerveux, et surtout le
ique : « Le temps que met l'influx nerveux pour traverser les centres nerveux , et surtout le cerveau, varie entre des limites t
i en résulte. Rappelons ici que la vitesse de propagation de l'influx nerveux dans les nerfs moteurs et sensibles de l'homme, v
hénomènes vitaux, c'est cette mobilité des prolongements des cellules nerveuses , qui parait hors de doute aujourd'hui. On a don
détruites; mais on a démontré en outre que le mouvement des cellules nerveuses n'est pas une simple hypothèse. En 1890, Wiedersh
douce appelé leptodera hyalind, a vu que chez cet animal les cellules nerveuses présentèrent des mouvements amiboïdes absolument
s cellules olfactives sont considérées aujourd'hui comme des cellules nerveuses , et on sait que leurs prolongements périphériques
encore une preuve de la possibilité de cette poussée de ramifications nerveuses ? Après ces arguments tirés de la psycho-physio
o-dynamique, en voici encore d'autres, que nous fournit la pathologie nerveuse . Nous avons déjà émis plus haut des hypothèses su
chant les mouvements automatiques de certaines maladies, les troubles nerveux qu'entraîne la vieillesse, les idées fixes, les m
omoteur et les muscles de la jambe, par l'intermédiaire des filaments nerveux , on ne voit pas pourquoi la paralysie de cette ja
té a été amoindrie par une maladie anémiante, ou par une intoxication nerveuse , telle que celle qui résulte de l'influenza, de l
lte de l'influenza, de la diphtérie, de la fièvre typhoïde, le fluide nerveux ne passe plus, la conduction et l'induction ne se
e s'est retirée, l'incontinence s'est reproduite; ou bien, la tension nerveuse pendant ces 3 mois avait-elle été trop forte, et
ême des excitations spéciales produiront larétraction des pseudopodes nerveux , l'arrêt de la fonction nerveuse correspondante (
oduiront larétraction des pseudopodes nerveux, l'arrêt de la fonction nerveuse correspondante (actes d'inhibition, chorée de l'i
nerveuse correspondante (actes d'inhibition, chorée de l'interférence nerveuse ), et des excitations violentes, anormales, par le
exions maladives, rétablir les communications interrompues ; l'influx nerveux par induction est rétabli, ou supprimé là où il é
e circonstances: le trouble fonctionnel dans les maladies des centres nerveux dépasse souvent le^champ de la lésion anatomique
rganique. » Pourvu que quelques fibres aient échappé à la destruction nerveuse , la fonction peut se restaurer plus ou moins. « C
entretenu par la lésion, mais retenu, si je puis dire, par le système nerveux , et on sait que celui-ci a une grande tendance à
fait, grâce aux théories nouvelles de la contiguïté et de l'induction nerveuses . Séance du 20 Octobre 1895.— Présidence de M.
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
précieuses à déterminer ; mais comme en dernière analyse les centres nerveux se composent de cellules, ici encore la recherche
se que les modifications de forme, d'aspect, de rapports des cellules nerveuses . Pour la contraction musculaire, l'observation
encore la constatation d'une modification incontestable de la cellule nerveuse . C'est donc uniquement par des hypothèses que nou
ques bien établies. l°Le sommeil consiste en un repos des centres nerveux supérieurs par le fait de la non réception ou de
moins nous sommes aujourd'hui très autorisés à croire que les centres nerveux fonctionnels sont représentés, non par les corps
ar Cajal, par Vax Gehuchten, etc., que ces éléments sont des cellules nerveuses bipolaires et représentent le neurone sensitif de
nt deux prolongements: l'un profond, cylindre-axe, va former la fibre nerveuse du nerf olfactif ; l'autre, dirigé vers la superf
le passage de l'influx quelconque qui est l'essence de la conduction nerveuse est comparable à l'étincelle électrique qui, entr
il est rendu nécessaire par l'épuisement, par la fatigue des éléments nerveux . Une cellule nerveuse est comme une cellule gland
re par l'épuisement, par la fatigue des éléments nerveux. Une cellule nerveuse est comme une cellule glandulaire; quand elle a l
ent le sommeil s'établit d'une manière inéluctable. Si les cellules nerveuses ne sont pas fatiguées, si le sommeil n'est pas im
pas imposé par le besoin, il faut, pour ramener, mettre les cellules nerveuses dans les conditions mêmes du repos. Une position
e protopiasma; peut-être l'état de veille ou d'activité de la cellule nerveuse con-siste-t-il dans l'oscillation de ces tentacul
pas comparer ce sommeil de l'être uni-cellulaire à celui des cellules nerveuses des êtres composés? Ce n'est pas d'aujourd'hui qu
nstance de réveil. Le fonctionnement total et synergique des cellules nerveuses se rétablit ainsi peu à peu, par un progrès inter
réveil; il y a autant de sommeils et de réveils qu'il y a d'éléments nerveux capables d'activité, et auxquels par suite le rep
théorie n'est guère neuve, car elle ne fait qu'appliquer aux cellules nerveuses ce qui est admis aujourd'hui pour tous les élémen
n qu'ait celte théorie, c'est de chercher quelle est, dans la cellule nerveuse , la partie modifiée. Nous pensons avoir rendu bie
uisse s'acclimater et se fortifier, qu'elle rencontre dans le système nerveux un état de réceptivité, caractérisé par une crédi
la forme purement psychique avec les formes compliquées d'épuisement nerveux réel, acquis ou héréditaire; et enfin VépUepsie,
ins cas, devenir le point de départ de lésions matérielles du système nerveux et des organes. « C'est pourquoi jamais l'on ne d
survenue fin janvier de cette année. II en est résulté des phénomènes nerveux tels que soubresauts, étouffements et une grande
nique, 5 de troubles sexuels, 6 de neurasthénie et de légers troubles nerveux , 7 d'insomnie et do troubles du sommeil. Il a t
acs et F. Jacobs d'Anvers 0) Une fillette de 8 ans, dont l'hérédité nerveuse est très chargée, fut atteinte d'influenza en fév
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
. — L'hystérie mentale. Mardi Î2 Mai. — Les névroses par épuisement nerveux . — Le traitement psychothérapique de la neurasthé
table du champ visuel, dè rhémi-hypoesthésie, une extrême sensibilité nerveuse avec pleurs, ont paru confirmer cette hypothèse.
ncore dans les maladies, en particulier dans les maladies mentales et nerveuses . Pour ce qui est de l'hystérie, leur rôle y est d
omique sur les tempes et le front, et pour combattre la surexcitation nerveuse à l'intérieur, deux grammes de bromure de potassi
ire du malade, persiste au même degré, même cécité absolue, même état nerveux , pleurs spontanés dès qu'on l'interroge, contract
la simulation, et je le soignai comme s'il était atteint d'amblyopie nerveuse , hystérique (courants continus, injections de str
t à fait improbable. Le laps de temps écoulé, une amblyopie d'origine nerveuse (et elles sont bien rares) s'accompagne toujours
discussion : Cours théorique et pratique de Braidîsme ou Hypnotisme nerveux . considéré dans ses rapports avec la Psychologie
es règles disparaissent, mais en même temps il survint des phénomènes nerveux ; impossibilité de parler pendant quelques heures;
t second. Cet état ne s'établissait cependant qu'à la suite d'un choc nerveux : fatigue corporelle, onanisme, émotion, contrari
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ntellectuellement et plus inculte que telle ou telle petite maîtresse nerveuse , qui avait, elle, des songes toutes la nuit et se
aboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
, à 10 heures (section Rambuleau), leçons sur les malades mentales et nerveuses . — Plusieurs des leçons sont consacrées à l'appli
puissante exercée par la suggestion sur le fonctionnement des centres nerveux . Enfin le conférencier, par de nombreuses proje
ils (D'j.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système nerveux dans les paralysies diphtériques. I vol. in-4° de
médicale, 313. Schéma de l'aphasie basé sur l'histologie du système nerveux (un nouveau) par Félix Regnault, 239. Sarcome d
r Bernheim, 33. 70, 97. Suggestion et le fonctionnement du sys-tème nerveux (la), par van de Lanoitte, 263. Suggestion en 1
36 (1892) Archives de neurologie [Tome 23, n° 67-69] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ES HÉRISSE Y ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE ruz, DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE .J.-
plus aisée, .ou ne savait rien de l'irrigation sanguine du système nerveux périphérique, et jamais on n'avait recherché à
III. 1 ? 2 \ ' ANATOMIE, queuses dans l'épaisseur des gros troncs nerveux , ainsi que Bichat l'a vu le premier sur le nerf
cal superficiel, qui peut servir d'exemple. A côté des bran- ches nerveuses on voit émerger de la région sous- musculaire e
ui- vre les minces filets rouges, qui soulignent chaque ramuscule nerveux . Aux membres, la répartition est la même : un n
, à ce point de vue, on peut poser une double loi : 1° chaque tronc nerveux tire ses artères d'une origine constante; 2° el
nterne, et le sang que charrie la sous-clavière n'aborde les troncs nerveux qu'après un double détour. Poursuivant leur tra
ments un réseau à mailles serrées immédiatement appliqué au tissu nerveux et que recouvre, en dehors, le plexus veineux p
s arcades artérielles qui règnent sur tout le tra- z jet du tronc nerveux et se continuent sur ses deux branches de bif
l'iliaque externe, dessinent une série d'anses entre les cordons nerveux , s'insinuent dans leurs interstices et jusque d
e. 10 O ANATOMIE. ils assurent l'irrigation artérielle des troncs nerveux par la multiplicité des sources et des voies d'
e rechercher les traces de cette circulation collatérale par voie nerveuse ou les signes cliniques qui pourraient la révél
eviendront très étroites avec la circulation artérielle des centres nerveux . On sait que les artères cérébrales se coudent
t de même : les précautions sont aussi bien prises. Lorsqu'un tronc nerveux reçoit ses arté- rioles d'une grosse artère don
, elles se recourbent, elles aussi, avant de plonger dans le cordon nerveux . Au cou, la direction des vasa nervorum artérie
est pas tout. Une artériole ne plonge jamais d'emblée dans un tronc nerveux ; elle se divise et se bifurque, avant d'y péné
n par grandes arcades anastomotiques. Au contact ou près du tronc nerveux , chaque rameau qui l'aborde se sépare en deux r
Ainsi divisés, les vasa nervorum rampent à la sur- face du tronc nerveux , presque toujours parallèles à son grand axe, r
se en longues arcades, avant de s'insinuer entre les fasci- cules nerveux , de dedans en dehors, et de s'y ter- miner (g.
ait, que les derniers ramuscules artériels n'abordent les troncules nerveux qu'à un état de finesse très grande, ce qui con
qui constitue une analogie de plus avec la circulation des centres nerveux . Voici, en somme, résumés en quelques formules,
s direc- trices du système artériel sous-cutané ; 2° Chaque tronc nerveux reçoit ses artères d'ori- gines constantes, et
mpor- tance (pneumogastrique et sympathique au cou) ; 3° Un tronc nerveux ne reçoit jamais toutes ses artères d'un seul t
du sang artériel, se retrouvent pour les nerfs. a. Quand un tronc nerveux reçoit ses artères du tronc artériel satellite,
. Une artère ne plonge jamais d'emblée dans l'épaisseur d'un cordon nerveux ; elle se divise avant ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX S
r volume, et ne plongent définitivement dans l'épaisseur du tronc nerveux , qu'après une nouvelle division et une nou- vel
rfs superficiels; 2° les veines des nerfs profonds : plexus, tissus nerveux satellites des gros vaisseaux, nerfs musculaire
ans un instant les terminaisons; plus bas, le long des deux cordons nerveux , ce sont de longues arcades, souvent doubles, q
ineux du pneumogastrique et du sympathique; plus haut, les veinules nerveuses se rendent aux veines thyroïdiennes supérieures
musculaire. Et le fait se reproduit sur toute la longueur du tronc nerveux : c'est toujours par la voie d'un affluent musc
urs par la voie d'un affluent musculaire que les veines d'origine nerveuse se rendent à la veine principale. Si, de loin.
'une veine névro-nausculaia·e. A, affluent musculaire. A', affluent nerveux . R, veine néno-musculaire nais- sant de la conv
m de l'artère numérale (au bras) rece- vant les veines d'un tronc nerveux satellite (nerf médian). ÉTUDE SUR LES VAISSE
cela surtout au niveau des articulations, aux points où les cordons nerveux sont soumis à des alternatives fréquentes d'ext
entre la circulation des nerfs péri- phériques et celle des centres nerveux : en réalité, si l'on tient compte des différen
cence et de terminaison, destinés tous à préserver les élé- ments nerveux du choc de l'ondée artérielle ou de la stase du
qui s'échelonnent à courte distance sur chaque segment d'un cordon nerveux , leur volume relatif, leurs origines multiples
ent associées , et, dans l'athérome , un grand nombre d'accidents nerveux , reconnaissent, sans doute, une telle pathogéni
ves faites sur la quatrième période, dite de démence. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE . le rôle principal ne revient-il pas aux troubl
la clinique nous fait découvrir chez les persécutés. - PATHOLOGIE NERVEUSE ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ';
es et chaque attaque durait de Ancmves, t. XXIII. 4 80 PATHOLOGIE NERVEUSE . deux à quatre- mois. Il a été soigné soit à Ne
ni laryngées, ni stomacales, ni rectales, etc.. - tJ2 PATHOLOGIE NERVEUSE . Du côté des sens spéciaux, le goût et l'odorat
que. ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 53 54 PATHOLOGIE NERVEUSE . que nous voulons établir l'existence du tabes
té sous la dépendance de celui-ci. En résumé, si quelques accidents nerveux : perte du réflexe rotalien, troubles de la sen
moelle épiniére (Th. de Paris, 1890.) - . . ? .... 56 PATHOLOGIE NERVEUSE . Antécédents héréditaires. Le malade ne peut do
rmale de liquide; il n'a de polydipsie que la nuit. 00 PATHOLOGIE NERVEUSE . Dans ces derniers mois son caractère s'est mod
Ici encore nous avons à relever la double héré- dité arthritique et nerveuse . Nous soulignerons en outre ce fait qu'il s'agi
n ' Bullet. de l'Académie de Aféd., septembre 1891. 60 PATHOLOGIE NERVEUSE . du tabes avec le diabète sucré. Et d'abord le
agit d'un cas de pseudo-tabes diabétique dans lequel les phénomènes nerveux ont précédé la gly- cosurie pendant vingt ans.
ère objection n'est pas soutenable, car, si parmi les acci- dents nerveux quelques-uns sont communs au tabes et au diabèt
abétiques, les douleurs fulgurantes en particulier et 62 pathologie NERVEUSE . la démarche. Mais celle-ci reste encore assez
le. Tous les mem- bres qu'il connaît n'ont ou n'ont eu ni affection nerveuse , ni goutle, ni diabète, ni rhumatisme, ni obési
nt et d'engourdissement dans la moitié inférieure 64 -il PATHOLOGIE NERVEUSE . du visage. Toutes ces sensations sont purement
Que peut-on conclure de cette succession morbide ? Les accidents nerveux actuels ressortissent-ils au tabes vrai ? Ne po
étique, durant depuis deux ans, avec aggravation des phéno- mènes nerveux , en l'absence de la glycosurie et des autres si
ale, 5° édit., t. II, p. 812. Archives, t. XXIII. 5 66 PATHOLOGIE NERVEUSE . Sauvage', ne déclare-t-il pas que lorsqu'un di
araît parfois de l'urine ? Du reste, dans les affections du système nerveux , l'atté- nuation, l'arrêt ou la disparition de
nfirmités physiques, que des affections dites organiques du système nerveux , voire même certaines monstruosités soient le r
s bots, affligés de telles ou telles maladies organiques du système nerveux (ramollissement cérébral, ataxie locomotrice), vi
imentaire, pour ainsi dire, d'une perturbation dans leurs fonctions nerveuses . « L'étude des phénomènes de l'hérédité morbide
me spécimen le résumé d'un de ces trois cas : z L 68 PATHOLOGIE NERVEUSE . Observation VII. (FiscHER Centralb. fùr Nerven
un d'eux, éliminer le diagnostic de tabes. » (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE HOSPICE DE la Salpêtrière. SERVICE DE M. CHARCO
HORÉIQUES, LES TIQUEUX ET DANS QUELQUES AUTRES MALADIES DES CENTRES NERVEUX ' ; MESSIEURS, . Les hasards de la clinique o
été omise par erreur dans le III' volume des Mala- dies du système nerveux . Il en a paru un extrait dans la Semaine médi-
it dans la Semaine médi- cale du 15 septembre 1886. - 70 CLINIQUE NERVEUSE . du palais, pharynx, etc. Au point de vue du mé
larynx (Gazette hebdomadaire, n 42, p. 692, 1883). - 12 CLINIQUE NERVEUSE . donnée en 1854, de la toux hystérique, peu
tion la plus étroite du mot des phénomènes d'hystérie 74 CLINIQUE NERVEUSE . locale. Ils ont, en d'autres termes, une tenda
se manifester en dehors d'elle, dans d'autres affections du système nerveux , sans lésions organiques appréciales, en partic
au pis. Alors survinrent de l'insomnie, de l'inappé- 76 CLINIQUE NERVEUSE , tence, des crises convulsives et délirantes da
s héréditaires, ni antécé- dents personnels relatifs à la catégorie nerveuse . Il vit depuis quelques années dans un collège
té caractérisés, paraît-il, par le médecin, sous le nom 78 CLINIQUE NERVEUSE . d'embarras gastrique et c'est huit jours après
t c'est huit jours après qu'il a commencé à ressentir les accidents nerveux qui ont persisté jusqu'aujourd'hui. Vous l'ente
gnaler, à proprement parler, chez cette jeune 'fille, d'antécédents nerveux héréditaires; mais elle appartient cependant à
non expiratoire. Le bruit se répète à toute heure du 80 CLINIQUE NERVEUSE . jour, sans cesse et sans trêve ; il ne dispara
61(c/i,XXI,Bd. 2, p. 408. , . Archives, t. XXIII. 6 82 CLINIQUE NERVEUSE . ne pas confondre les exclamations, cris, aboie
vons pas pu trouver la marque évidente d'anté- cédents héréditaires nerveux ou arthritiques; seulement elle a été élevée pa
sonnes, éduquées, bien élevées. Le nommé Bont...che, 84 CLINIQUE NERVEUSE . : que je vous présente, à ce propos, comme un co
se transmettre d'un. sujet à un autre par une sorte de contagion nerveuse . On pourrait citer plusieurs épi- TOUX ET BRUIT
rimentalement l'une au moins des circonstances ou cette contagion nerveuse peut s'opérer dans conditions particulièrement
ellement endormie, t Traité de l'hystérie, 1). 317. - 86 CLINIQUE NERVEUSE . présente les phénomènes du grand hypnotisme av
pendant trois ans, sans s'accompagner d'aucune autre manifestation nerveuse . Cela résulte des notes que m'a obligeamment re
encore sur eux par une électrisation intense 92 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . des muscles qui s'y relient, on ne constate to
astasiques, la question ne peut qu'être posée. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. HÉIIIATROPHIE faciale PROGRESSIVE, par M. le
miques. Les parties profondes ne sont pas épar- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 93 gnées : la moitié droite de la langue est a
dans Berl. Klin. Wochensch., 1888, n° 19. 94 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ques-unes de ses branches présentaient quelque
t parler spontanément, répéter les mols, lire à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 98 haute- voix, il ne peut écrire spontanément
à laquelle on pouvait attacher des rubans. 1 96 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Le pansement employé était une solution de bi-
rvelet et le pen- chant à l'amour physique. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 97 Contrairement encore au système de Gall, la
on . du moi. P. K. Archives, t. XXIII. 7 vs REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . i. ' * XIII. Contribution LA pathologie DES
trique du champ visuel des deux côtés. Diplopie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 99 monoculaire de l'oeil droit. Amblyopie, sur
branche, dans le nerf sus-scapulaire. P. K. 100 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XVII. D'UNE NÉVROSE PEU commune DE la langue E
chez des femmes de trente à quarante ans, aisées, de consti- tution nerveuse au moment de la ménopause. Douleurs, pares- thé
se probable mais non une périostite; d'origine presque certainement nerveuse (prolification du périoste et des ligaments par
léger traumatisme lui a donné le coup de fouet REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 101 (parésie subite des extrémités droites), i
e préciser la terminaison. Elles se détour- 102 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . nent pour la plupart des colonnes de Clarke av
entre les racines antérieures qui rayonnent et les grandes cellules nerveuses . Les fibres de la zone radiculaire postéro-médian
iane s'unissent surtout aux cornes antérieures; REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . '103 celles de la zonepostéro-latéralese perde
onclusion : Tabes classique avec arthropa-- 104 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . thie tabétique, méningite cérébro-spinale, d'o
ée de goitre exophthal- mique. P.$ER.1V.1L. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 105 XXVII. Contribution A L'ÉTIOLOGIE du tabès
e névrite, caractérisé par l'apparition sur 106 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'ongle de points blancs laiteux qui se réunis
ir. P. KERAVAL. XXX. D'UNE modalité morbide singulière DU SYSTÈME NERVEUX CEN- TRAL PROPRE A une même famille; par M. Non
même endroit, comme avant (Obs. Il; VII), soit REVUE DE pathologie NERVEUSE . 107 à un autre (Obs. X). Ce sont des sensation
éminiscences émanent de sou- venirs de choses réelles. Les éléments nerveux fournissent les lueurs d'impressions antérieure
. La grippe doit donc être rangée au nombre des REVUE DE pathologie NERVEUSE . 109 maladies infectieuses (variole, fièvre typ
qu'on devait assigner dans les cadres neurologiques, aux accidents nerveux d'origine traumatique. Tandis que l'école alle-
les lésions de la capsule interne. G. D. 110 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXVIII. Sur un cas d'aphasie motrice ET senso
dominaux indiquent qu'il s'agit là d'une lésion REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . H'1 centrale. Si l'on épluche avec soin les an
e l'accouchement. P. K. XL. CONTRIBUTION A la syphilis DU système NERVEUX central, par E. SIEUERLING. (Archiv f. Psychiat
t anatomo-pathologique de trois observations de syphilis du système nerveux central, qui se résument brièvement ainsi. La p
ation des lésions syphilitiques, tant en ce qui concerne le système nerveux qu'en ce qui a trait aux autres organes. Les al
nt la neurasthénie par un mécanisme purement chimique, les éléments nerveux sont empoisonnés^ par les produits de la métamo
amorphose régressive qui, fatiguant le pro- 112 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . .toplasma, provoquent une inanition générale d
asthénie acquise chez des gens jusqu'alors bien portants, à système nerveux indemne. La genèse de la neu- rasthénie hérédit
préside aux ano- malies anatomiques ou fonctionnelles des éléments nerveux ? Il est des cas où ces anomalies se révèlent p
ptiques et les criminels. B. Les anomalies mor- REVUE DE pathologie nerveuse . US phologiques du cerveau, du crâne, du squele
présenté auparavant, pour la plupart, aucune anomalie ni du système nerveux en géné- ral, ni de la sphère psychique en part
deux cas. Conclusion. L'influenza est au premier chef une affection nerveuse épidémique. Pronostic d'ailleurs favorable à la
s causales tendent à se confondre, la part qui revient au système nerveux ou au trouble de la nutrition, comme cause premiè
ont une grande tendance à croire à l'action primordiale du système nerveux dans la production des troubles de la nutrition
eur fournit : a Rien, dit ce journal, ne détraque autant le système nerveux d'une per- sonne qui élimine de la force nerveu
autant le système nerveux d'une per- sonne qui élimine de la force nerveuse , comme de coucher toute une nuit avec une autre
ent les personnes qui éliminent et celles qui absorbent de la force nerveuse ? Il y a bien quelque chose d'analogue dans l'h
tage l'opinion du jour- nal : Un grand nombre, dit-il, des malaises nerveux dont on se plaint souvent le matin au lever son
1892. -. N" 68. 1 s 1 .. , 1 ARCHIVES DE NEUROLOGIE '. CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE GENERALE PROGRESSIVE
e n" G du Mercredi Médical. Archives, t. XXIII. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE . pie, que de pouvoir constater la paralysie gén
rès, que l'intelligence s'affaiblit de plus en plus. 148 clinique NERVEUSE . Il y a deux mois environ, on s'est aperçu pour
le des réilexes rotuliens, sans trépidation spinale. 150 CLINIQUE NERVEUSE . - On ne constate pas de troubles de la sensibi
aire soit acquise, ni une autre maladie infectieuse ne 152 CLINIQUE NERVEUSE . sauraient être invoqués dans le cas particulie
aissent les premiers indices de la maladie. Jusque-là aucun trouble nerveux , aucun incident particulier. L'on peut dire que
comme dans la paralysie générale des femmes. Il en a 154 CLINIQUE NERVEUSE . été ainsi dans des observations précitées. C'e
- Traité pratique des maladies mentales, 1862, p. 469. 156 CLINIQUE NERVEUSE . conforme à la réalité des choses, qu'on peut e
etc. Il résulte, de ces secousses répétées imprimées au sys- tème nerveux , ainsi que des lésions anatomiques de ce même s
tème nerveux, ainsi que des lésions anatomiques de ce même système nerveux dues aussi à l'alcool, il résulte, dis-je, outr
obser- vation a déjà été faite par Billod. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ 1
e seule espèce 1 Voir no 66, p. 305; n° 67, p. 48. 182 PATHOLOGIE NERVEUSE . morbide : pseudo-tabes diabétique ou glycosuri
tôt, au cours d'un diabète authentique, surviennent des accidents nerveux tabétiformes; tantôt, chez un tabé- tique avéré
ion serait résolue en faveur du pseudo-tabes. ' ,. 184 PATHOLOGIE NERVEUSE . A côté de cette première catégorie de signes c
5. Galezowsky. Traité des maladies des yeux, 1875. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE . déclare que l'amblyopie diabétique grave est d
: Etant donné un diabétique chez lequel surviennent des accidents nerveux tabétiformes, déterminer si ces accidents relèv
le cas d'Oppenheim, la malade ' Dreyfous. PathQ[jénilJ et accidents nerveux du diabète sacré. Th. agréa., 1883, p. 89. · '
eux du diabète sacré. Th. agréa., 1883, p. 89. · ' 188 PATHOLOGIE NERVEUSE . rendait de 7 à 13 grammes de sucre par litre,
l faut pourtant ajouter que ces phénomènes dépendent 190 PATHOLOGIE NERVEUSE . soit de la polyurie, soit de la déperdition én
nt donné un diabète sucré au cours duquel surviennent des accidents nerveux tabétiformes, dire si on se trouve en présence
e trouve en présence d'un vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents nerveux se bornent à des signes tels que : pertes des r
ucré. Le résultat du trai- tement anti-diabétique sur ces symptômes nerveux donnera certaines présomptions pour ou contre l
signes spinaux. Si, par contre, l'amendement de ces 192 PATHOLOGIE NERVEUSE . accidents est notable et général, il plaidera
manière suivante : a. Il s'agit d'un diabétique avéré avec signes nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique a
eux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique amende ces signes nerveux en même temps que les symptômes habituels du di
ié au dia-, bète sucré. Archives, t. XXIII. 1 13 194 PATHOLOGIE NERVEUSE . b. Il s'agit d'un tabétique avéré dont les uri
au point de vue héréditaire, du diabète et des maladies du système nerveux ; d'autre part ceux qui ont trait principalemen
trait principalement à celle du tabes et du diabète. 198 PATHOLOGIE NERVEUSE . ASSOCIATION DU TABÈS -AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 1
. ASSOCIATION DU TABÈS -AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 199 200 PATHOLOGIE NERVEUSE . TABÈS ET DIABÈTE. Si tout ce que nous avons dé
ère, le 22 décembre 1887. 1 Père buvait à l'occasion; mère un peu nerveuse . Développement tardif, niveau mental faible. 11
r son travail. C'est sans doute ce que sa famille appelle une crise nerveuse , car elle n'a jamais eu d'attaques de nerfs. C'
st mort à trente-cinq ans d'un refroidissement. Sa mère n'était pas nerveuse . Elle est morte à quatre-vingt-trois ans à la S
mois, l'autre à deux mois. Il lui reste deux frères dont l'aîné est nerveux et ressemble à sa mère, avec laquelle il avait
maladie d'épuisement, après avoir soigné un ami. Elle était très nerveuse sans jamais avoir eu d'attaques. Elle se mettai
conduit à penser que la maladie reconnaissait pour cause une lésion nerveuse centrale. L'état général du malade s'est amélio
lysie générale, reconnaissent pour cause la dissolution des centres nerveux supé- rieurs, dissolution qui atteint un mécani
Dans certains cas, l'anesthésie est évidemment liée à des lésions nerveuses périphériques ou centrales, mais dans la plupart
ut la considérer comme une perversion de la sensibilité sans lésion nerveuse . Le diagnostic de l'anesthésie n'est pas ordina
coup de troubles mentaux est dû à des épui- sements locaux de force nerveuse qui produisent tout d'abord une irritation de l
onnaire. La douleur est un puissant agent d'épui- sement des forces nerveuses de la vie animale, surtout lorsqu'elle est en c
rectement dans des désordres organiques ou fonctionnels des centres nerveux moteurs. L'épilepsie provoquée par lacuichonidi
n d'un bouleverse- ment fonctionnel, partiel ou général, du système nerveux central, sous le conp d'une excitation auormale
degré actuel des mêmes centres. C'est, en un mot, pour les centres nerveux psychiques et moteurs l'analogue de l'accès de
défaut de pouvoir réceptif aux impressions du dehors, et un système nerveux non développé, chargé de ses défec- tuosités pr
sidence DE M. JOLLY. M. SCIIULTZE. Encore un mot sur les affections nerveuses consécu- tives au traumatisme. - Depuis le cong
ur la plu- part d'altérations organiques) fonctionnelles du système nerveux . Un seul d'entre eux présentait un rétrécisseme
urement fonctionnel. Le traumatisme peut donc produire des troubles nerveux très variés. La névrose traumatique n'est pas u
eune dame de vingt et un ans se plaignant d'an- goisse et de pleurs nerveux ; céphalalgies ; tremblements convulsifs de la
et un - ans et ayant depuis cette époque éprouvé quelques troubles nerveux , de la rétention d'urine, de la dysurie. Mariée
avail publié in extenso 1. M. Hoche (de Strasbourg). Des cellules nerveuses des racines ~ antérieures de la moelle de l'hom
nt ni paralysie motrice, ni phénomène d'excitation. Or le système nerveux central du pigeon ne possède pas de système qui,
tituent un groupe nosologique distinct. Discussion sur les troubles nerveux consécutifs au traumatisme. M. Ef8E1VL011n. *La
de l'élever à la dignité de symptôme de valeur. Parmi les troubles nerveux qui survivent aux traumatismes, il en est beauc
xiliaire de l'influenza. - M. HOFFMANN. Le pronostic des troubles nerveux post-trauma- tiques n'est pas aussi fâcheux qu'
Le traumatisme est simplement la cause occasion- nelle des troubles nerveux . Leur persistance tient à certaines in- fluence
s. M. LEBËR. Dans les fractures du crâne, on observe des troubles nerveux avec diminution de l'acuité visuelle et rétréciss
hé- nomènes inflammatoires suivis de la dégénérescence des fibres nerveuses . M. Kalilden n'a, dans l'ensemble de ses observat
la forme de cellules granulo- graisseuses accumulées; les cellules nerveuses des cornes antérieures contenaient des granulat
opage aux racines de la moelle. M. SCHULTZE. Les lésions du système nerveux central, chez les phlhisiques ne sont pas encor
ltération des vaisseaux, symptômes propres à la syphilis du système nerveux . Le rapporteur considère la sclérose combinée d
OFF. Il est impossible d'attribuer il une certaine partie du centre nerveux une influence trophique simultanée sur le tissu
ure était assez prononcé. Pas d'autres symptômes du côté du système nerveux . L'exagération des réflexes tendineux serait, d
n des noyaux. ' L'auteur suppose que les altérations musculaires et nerveuses sont indépendantes les unes des autres. Toute
s prouvée, l'état des dernières ramifi- cations et des terminaisons nerveuses n'étant pas indiqué. M. Roth ne voit non plus a
bles de la sensibilité « sont sous la dépendance d'une complication nerveuse , telle que l'hystérie surtout, et ne prennent a
ans la thérapeutique des maladies des cen- 286 FAITS DIVERS. tres nerveux , telle que serait, par exemple; la découverte d'u
aison de ce dormeur qui inquiète son entourage, car il a des crises nerveuses qui semblent le faire beaucoup souffrir. Voilà
uses et intéressantes études de psycho-physiologie et de pathologie nerveuse (la psychologie naturelle; étude scientifique sur
. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE BLOCQ (P.) et ONANOFF (J.). - Maladies nerveuses (séméiologie et dia- ,qnostic). Volume in-12 ca
e l'Hôtel-Dieu. En 1872, il y a vingt ans, alors que les troubles nerveux du somnambulisme, loin d'être acceptés comme un
int-Antoine quelques malades, qui par la singularité des phénomènes nerveux qu'elles présentaient, ne furent tout d'abord,
s et demi elle a pré- senté pour la première fois quelques troubles nerveux , assuré- ment de nature hystérique, bien qu'ell
pousse des cris de douleur; Elle a depuis longtemps une légère toux nerveuse , sans troubles appréciables à l'auscultation. S
e d'essayer l'action hypnotique comme agent perturbateur du système nerveux , et de substituer aux crises périodiquement éta
a religieuse de la salle, femme intelligente, habituée aux maladies nerveuses que j'avais toujours en assez grand nombre dans
e trentaine d'années sur les HÉRÉDITAIRES DÉGÉNÉRÉS. 307 troubles nerveux consécutifs aux maladies aiguës. Fritz, Roger e
la peau font naître cette obsession ; cela lui porte sur le système nerveux , suivant son expression. Quand il résiste à cet
les mêmes, quelle que soit l'étrangeté de ce syn- drome. CLINIQUE NERVEUSE . Clinique DES Maladies DU système NERVEUX. M. C
syn- drome. CLINIQUE NERVEUSE. Clinique DES Maladies DU système NERVEUX . M. CHARCOT. L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQUE; CONFÉRE
mais.voulu séparer l'étude de l'esprit humain de l'étude du système nerveux et que par son influence et ses propres recherc
àla pathologie. Ily ades doctrines proprement psycho- 324 CLINIQUE NERVEUSE . logiques qui sont passées dans l'enseignement
e pour rester toujours dans la spéculation abs- l' 326 ' CLINIQUE NERVEUSE . traite. Je vous décrirai des faits et je vous
dans une leçon. 'Mesnet. - Automatisme, 1871, p. 19. 32 CLINIQUE NERVEUSE . ' que la lampe apportée par elle avait besoin
hysté- l'ie, 18 ! H, p. 183. 3 Leçons sur les maladies du système nerveux , 1887, t. III, p. 3411, . L'ANESTHÉSIE HYSTÉRIQ
I, p. î 4, et Gilles de la Tourelle, op. cit.. p. 161. 330 CLINIQUE NERVEUSE . fait souvent autrefois, qu'elles portent sans
trécissement double de 1° ? Est-ce que Messieurs les 332 ' CLINIQUE NERVEUSE . .médecins oculistes ont suffisamment médité su
no- mène tout particulier qui ne ressemble pas aux autres lésions nerveuses . Un certain nombre d'observations que nous avons
corps et ne présentait plus nulle part aucune trace du 334 CLINIQUE NERVEUSE . sens musculaire. Comme une malade que l'on vou
se d'agrégation de M. Grenier : Des localisations dans les maladies nerveuses , 1886; M. Parinaud : Anesthésie de la rétine, etc
1889, p. 777. 1 Revue de l'hypnotisme, 1887, p. 68. 336 CLINIQUE NERVEUSE . suivi des recherches dans le même sens et les
s les observations cliniques. Archives, t. XXIII. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE . un tampon à tenir et avecl'autre tampon, je lu
rtir de ces explications grossières et puisque l'in- 340 ' CLINIQUE NERVEUSE . sensibilité comme la sensibilité sont des fait
ion vaste et antérieure de la personnalité : Fig. 1. 342 CLINIQUE NERVEUSE . C'est seulement après cette opération que nous
éoccuper des impressions tactiles qui con- Fig. 3. ' 344 CLINIQUE NERVEUSE . tinueront à l'assaillir; au deuxième moment, i
ontré l'année 'Cf. Pitres, op. cit., t. I, p. 71. 1. 346 CLINIQUE NERVEUSE . dernière au moyen d'un appareil fort ingénieux
gauche un petit bou- 1 ri 1/1011/. l ? ych,, p, 295. 348 CLINIQUE NERVEUSE . quet de fleurs, et vous m'avez fait sentir un
tait tout à l'heure sensible, et elle ne s'en aperçoit 350 clinique nerveuse . aucunement. Son champ de conscience si petit a
il. P. Blocq et J. OnanolT, 5'èmeiologie et diagnostic des maladies nerveuses , 1892, p. 199. l'anesthésie hystérique. 351 p
vité, le groupement plus ou moins grand des phénomènes 3n2 CLINIQUE NERVEUSE . subconscients qui peuvent faire varier les exp
n s'aggravant. Il est certain qu'il s'agit d'une maladie du système nerveux qui intéresse spécialement les parties antérieu
e révèle alors une substance jaune rouge dans laquelle les éléments nerveux sont REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLO
y a dégénérescence des capillaires, il y a dispa- rition des fibres nerveuses . Les capillaires lymphatiques restent intacts.
i-ci, il faut et il suffit que dans la région tourmentée les fibres nerveuses soient revêtues de leur myéline. Conclusion : -
t revêtues de leur myéline. Conclusion : - Le revêtement des fibres nerveuses par des manchons de myéline correspond à peu pr
sclérose des vaisseaux de la base. La seule altération des éléments nerveux est la suivante : Tandis que le carmin ammoniac
et cellules de la paroi, - une altération consécutive des cellules nerveuses , finalement, l'atro- phie cérébrale. Or, c'est
pas encore d'altération de la substance céré- brale ni des cellules nerveuses . P. K. VII. DES différentes situations ET dimen
vons certainement affaire ici aux cellules desoutènement du système nerveux central. Comme il existe en outre une proliféra
tion vasculaire, il s'agit d'un gliome télangiectoïde. Les éléments nerveux n'ont en rien pris part au pro- cessus. Au po
E A FORME DE DYSTROPHIE, MAIS OCCASIONNÉE PAR UNE LÉSION DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL; par G. WERDNIG. (Archiv. f. Psych., XX
ulement pour effet d'aug- menter l'excitabilité de certains centres nerveux qui sont comme un locus minoris résistentiae, e
inoris résistentiae, et de scinder, de désagréger quelques éléments nerveux du complexus qui forme la base organique d'un e
circulation encéphalique, les lésions et les commotions des centres nerveux que par cette inhibition. Des troubles fonction
emploi du terme de métaphysique. (68). Des propriétés des centres nerveux et de leurs modes d'action. Des caractères que
ductions relatives aux propriétés et aux modes d'action des centres nerveux . (69). Impressionnabilité. Elle est un des cara
sionnabilité. Elle est un des caractères fondamen- taux des centres nerveux ; elle est en opposition avec la .-ponta- 4'10 R
être suivie chez le sujet qui observe d'une action sur les centres nerveux qui correspondent à ceux dont l'action chez le
ouvements visibles qui sont imités. - - (71). Liberté des centres nerveux . Les centres nerveux, lors- qu'ils ne sont que
qui sont imités. - - (71). Liberté des centres nerveux. Les centres nerveux , lors- qu'ils ne sont que légèrement stimulés,
se par un mouvement visible. (74). Double action dans les centres nerveux . Il semble que les centres nerveux affectés par
. Double action dans les centres nerveux. Il semble que les centres nerveux affectés par une impression puissent à la fois
a déterminé l'excitation primitive. (76). Renforcement. - Un centre nerveux , stimulé par une impul- sion afférente peut tra
ion efférente à plus d'un centre, de telle manière que les courants nerveux soient ren- forcés à mesure qu'ils aboutissent
actique. Nous entendons par là la mise en préparation des cellules- nerveuses en vue d'une action com- binée. (78). Psychos
« durant « la période d'inhibition, il se forme entre les cellules nerveuses « des groupements fonctionnels » ; la preuve, c
uvements du corps sont des signes produits par l'action des centres nerveux et l'auteur a tenté depuis plusieurs années d'e
action mentale. La sensibilité graduellement croissante des centres nerveux à l'égard de l'action immédiate ou retardée, so
Enfin certaines propriétés et certains modes d'action des centres nerveux paraissent être démontrés par l'observation et
géné- rale, et que les altérations de la névroglie et des cellules nerveuses ne sont que consécutives. 1 414 REVUE D'ANA
ubstances présenlent une propriété caractéristique du proto- plasme nerveux , et quoiqu'elles n'aient rien de commun avec les
lobuline, stromine et nucléïne comme base matérielle du protoplasma nerveux . En même temps, on a remarqué que les substance
bstances albuminoïdes se trouvent non-seulement dans les cel- lules nerveuses , mais aussi dans la névrogie, d'où les auteurs
l'hypothèse que la névrogie est par essence une substance purement nerveuse , un élément nerveux d'un ordre tout particu- li
évrogie est par essence une substance purement nerveuse, un élément nerveux d'un ordre tout particu- lier pour lequel il es
re. La globuline de la substance grise, qu'il s'agisse des cellules nerveuses ou de la névrogie, tout en présen- tant les mêm
parations à l'alcool, d'une atrophie plus prononcée des cellules nerveuses en des couches déterminées, notamment dans les se
s, tandis que les nerfs périphériques aussi bien que les cellules nerveuses de la, moelle sont complètement intactes. L'atrop
er le suc. P. Keraval. VIII. Séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses ; par le D'' Paul BLOCQ et J. ONANOFF,. 1 vol. a
ouvrage comble une lacune que l'extension qu'ont prise les maladies nerveuses depuis un certain nombre d'années rendait indis
ymptômes d'ordres divers que présen- tent les affections du système nerveux , les auteurs s'en sont tirés à leur honneur, et
ogique qui prend de plus en plus de place dans certaines affections nerveuses n'a pas été laissé de côté par les auteurs et q
et aux chefs de services auxiliaires de la clinique des maladies nerveuses (électrothérapie, ophtalmologie, otologie, etc.).
couches pressées les maladies chroniques incurables, les affections nerveuses et mentales, avant de révéler leurs secrets. A
à la Salpêtrière une école incomparable de cli- nique des maladies nerveuses , comme il n'en existe nulle part ail- leurs.
ous avez réussi à faire pour un grand nombre de maladies du système nerveux inconnues jusqu'a vous ou peu étu- diées. Pou
est-elle l'Ecole clinique par VARIA. 447 excellence des maladies nerveuses , aussi connue, aussi estimée dans tout le Monde
Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). Clinique des maladies du système nerveux de la Salpétrière. Leçons du professeur, mémoir
92 ? J.-B. Baillière et fils. GAJKIEWICZ (W.) : Syphilis du système nerveux . Volume m-8° de 210 pages. Prix : 5 fr. Pans, 1
(A.). De l'élimination des phosphates dans les maladies du système nerveux et de l'inversion de leur formule dans l'hystérie
Imprimeme Pitrat. DEBIERRE (CI).) et Doumer (E.). Album des centres nerveux . Brochure in-12 oblong de 21 pages, avec zig fi
ie, par Bourneville, 441 ; séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses , par P. Blocq et Onanoff, 443. BULLETIN bibli
q et Onanoff, 443. BULLETIN bibliographique, 288, 457. CELLULES nerveuses des cornes an- térieures de la moelle, par Hoch
. Syringomyélie , par Rosenbach et Schttscherbach, 100. Système nerveux , modalité Inor- bide familiale du -, par Nonne,
37 (1881) Archives de neurologie [Tome 01] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
1 . ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE TRIMESTRIELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
e des progrès accomplis par l'anatomie et la physiologie du système nerveux pen- dant le cours des trente dernières années,
x pen- dant le cours des trente dernières années, la patholo- gie nerveuse s'est, à son tour, renouvelée et agran- die. Da
ncessants. C'est que, dans l'orga- nisme vivant, le rôle du système nerveux est presque universel : ici, dominateur, là sub
ant spécialement à établir des rapports intimes entre la pathologie nerveuse livrée à son autonomie légitime et les autres p
uyetliiere. St¡'ickel"s Ilandbuch. 3 Huguenin. Anatomie des centres nerveux . Traduction Th. Kellel et .\1. Duval. Paris 187
t pour caractère commun de déterminer dans la structure de la fibre nerveuse elle-même des modilica- tions profondes qui abo
ue des affections dans lesquelles l'atrophie dégénérative des tubes nerveux périphériques a été constatée. Toutefois, les c
ant d'autre part la destruction totale d'un certain nombre de tubes nerveux , les auteurs ont assimilé, 12 -) ANATOMIE PATHO
xplicitement, toute la série. des phénomènes qui conduisent le tube nerveux de l'état normal à l'atrophie complète, à celle
t de celui qu'on a admis jusqu'ici, et que l'état morbide des tubes nerveux se traduit alors par des modifications qui ne s
ne nous occuper que de celles qui se montrent dans les gros troncs nerveux des membres. Celles-ci du reste ne surviennent
tres, toutefois, nous avons pu rencontrer un petit nombre de fibres nerveuses altérées. Avant d'aborder la description de ces
e mode de distribution de cette lésion dans l'en- semble du système nerveux périphérique; il nous faut pour le moment l'exa
in même des masses de 1 Ranvier. Leçons sur l'histologie du système nerveux . T. I, p. 268. - T. Il, p. 33. NEVRITE SEGMEN
itue, croyons-nous, la phase de restauration. Ici (fig. 7) la fibre nerveuse est, comme précédemment, modifiée dans une éten
ble de distribution de la lésion dans la conti- tinuité de la fibre nerveuse , depuis l'origine médullaire de celle-ci jusqu'
lindre d'axe, destruction fatalè et nécessaire de tous les éléments nerveux du tube, et, plus tard, régénération possible d
et, plus tard, régénération possible du nerf par formation de tubes nerveux nou- veaux, développés par une sorte de bourgeo
s les nerfs que nous avons examinés. Dans ce cas, la lésion du tube nerveux ne paraît pas différer de celle qui s'observe d
, bien que rarement, on observe une véritable régénération de tubes nerveux . Ainsi, on rencontre parfois un tube large, s'a
lindre d'axe. Le travail pathologique qui se passe dans les tubes nerveux , et qui est de beaucoup le plus important, ne v
entiques, dans un certain nombre d'affections chroniques du système nerveux . Pour ce qui est des amyotrophies chroniques de
opathique. Dans la figure 3, planche XXVIII, qui représente un tube nerveux atteint de dégénération, on voit combien la lés
érale amyol1'opltique. (drch. de Physiolog., 1879, p. 735. (Racines nerveuses ). 3 3t ANATOMIE PATHOLOGIQUE. malade observ
ment en tissu conjonctif un certain nombre de' fais- ceaux de tubes nerveux . Ces coupes permettent égale- ment de constater
onc fait ici sur cer- tains points une régénération active de tubes nerveux , mais indépendamment des lésions que nous venon
dans l'intoxication saturnine chez le cochon d'Inde. , : Les troncs nerveux (sciatique, nerfs du plexus brachial, etc.) ont é
édiatement à l'action de l'acide osmique. Fig. 1. Faisceau de tubes nerveux examiné à un faible grossis- sement et montrant
ltérés sur toute la longueur d'un segment interannulaire. - A, Tube nerveux normal. B, NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE. 37
s annulaires bien marqués. (Période de restauration.) fit. 2. Fibre nerveuse vue à un faible grossissement et présentant une
ent reconnaissable du seg- ment B. " Fig. 14. Portion d'une fibre nerveuse présentant un dédoublement de la gaine de myéli
u segment B, atteinte de dégénération au début. 4 Fig. 16. -Fibre nerveuse prise au niveau d'une racine antérieure cervi-
, cylindre d'axe. B, gaine de myéline. c, noyau. Fig 18. - La fibre nerveuse constituée par des segments interannulaires cou
DES ATAXIQUES. 47 produire des lésions limitées' à quelques filets nerveux , ainsi' que le -fait la nature, et atteindre is
à la diminution du 1 Vulpian. - Leçons sur les maladies du système nerveux . Paris, 1879, p. 499. 8 8 *- PATHOLOGIE. to
ralysie, ni même avec sa parésie. Sous l'influence d'une excitation nerveuse faible, le muscle dont le tonus est diminué, se
dente, et supposons un mouvement pour lequel il faut une excitation nerveuse produisant une force muscu- laire 10; les muscl
chez le même individu de la présence simultanée de deux maladies nerveuses . La coexistence de l'épilepsie, dont les caract
lus complexes dans lesquels l'alcoolisme s'ajoute à deux maladies nerveuses préexistantes chez le même sujet. Ces deux mala
DELASIAUVE le 16 octobre 1877. Antécédents (1877). Aucune affection nerveuse chez les ascendants directs ou collatéraux. Pèr
nfluence des 76 CLINIQUE MENTALE. bains sulfureux.-Aucun accident nerveux ni chez lui, ni dans sa famille. Mère, trente
eux-mêmes sains et intelligents d'ailleurs, n'a offert d'accidents nerveux et qu'on ne saurait invoquer l'alcoolisme. Au
un accident névropathique dans sa famille. Mère, 40 ans, fleuriste, nerveuse : elle a eu des attaques de nerfs pendant qu'el
morts de la poitrine. Aucun de ses parents n'aurait eu de maladies nerveuses . Pas de consanguinité. Cinq enfants : 1° la m
aison entre la Planche in et les planches des Leçons sur le système nerveux de 1\1. chariot mettront en évidence la différe
ndres, 1879. Recherches sur l'échauffement des nerfs et des centres nerveux à la suite des irri- tations sensorielles et se
51). - Thermométrie cérébrale, dans : Revue des maladies du système nerveux pour 4879, par Henry C. de BOYER. (Année médica
es. M. Schiff s'est, du'reste, occupé de l'échauffement des centres nerveux eux-mêmes dans l'important travail des Archives
xée par ses muscles ; nous en avons des exemples dans la pathologie nerveuse . Ne voit-on pas la paralysie des muscles de l'o
tions de température que l'on peut observer au cours des affections nerveuses et mentales, après avoir vu cette thermométrie
'un chat, avaient été frappés par la présence de quelques faisceaux nerveux qui paraissaient établir une connexion croisée
ément d'accord- avec la loi générale-; de développement des régions nerveuses qu'il a exposée dans le Journal of nervous and
chez les premiers. CH. F. IV. ÉTUDES microscopiques sur LE SYSTÈME nerveux central DES REP- TILES ET DES BATRACIENS; par F
p. 100, et celui de la liqueur de Mûl- ler, pour durcir le système nerveux des petits animaux. La colora- tion se fait au
, plus souvent que ceux des cellules plus petites ; 3° les cellules nerveuses du renflement crural, sont au moins aussi abond
nt les détails de l'expérience et montre que la durée de la section nerveuse doit être moindre que 1/10 de seconde pour évit
t de « faire disparaître les propriétés d'autres parties du système nerveux » (influence inhibitoire ou d'arrêt) , tantôt,
s précédents portent fort à croire que ce n'est REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 139 pas dans l'écorce qu'il faut chercher le p
l'écorce, ou dans des portions plus profondément situées du centre nerveux , et aussi que dans un certain sens, une simple
essentielle des relations anatomiques et physiologiques du système nerveux central de l'homme et du chien, nous avertit de
ralblatt f. Nerw., etc., etc.). R. VicouRoux. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Cas DE MÉNINGITE aiguë SUPPURÉE CONSÉCUTIVE
nte-cinq ans admis à l'hôpital de Montréal, 140 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . le 17 janvier 1880, dans un état de délire et
tion d'une tumeur pulsatile à l'extrémité ster- REVUE DE pathologie nerveuse . 141 nale de la clavicule droite. Le pouls caro
ante. Un homme de trente-trois ans, atteint 142 REVUE DE pathologie nerveuse . de rétrécissement de l'urèthre, est opéré le 5
ciaux qu'ils affectent dans la syphilis céré- brale. Aucun symptôme nerveux n'est caractéristique de lasyphilis ; mais cert
sur ce qui constitue ce que Jackson appelle le style des symptômes nerveux syphili- tiques. ' C. TALAmoN.. V. Sarcome DU
ude qui duraient depuis trois mois. Pendant les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 143 premiers mois de son séjour à l'hôpital, e
euvent être provoqués par le chatouillement 144 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de la plante des pieds. Pupilles égales; yeux
stème régulier d'éducation, qui leur apprenne à diriger l'influence nerveuse jusqu'au groupe musculaire qu'ils veulent mouvo
ribuent aux muscles paralysés, soit de quelque partie des centres nerveux . En quoi il ne parait pas avoir tort; le point dé
re ou désordon- née, quelles parts respectives assigner aux centres nerveux , 1 Voir Progrès médical, t. III, p. 462, 472; t
ois épidémiqucment, des troubles psychiques 158 BIBLIOGRAPHIE. et nerveux où, sous les formes les plus variées, incubes, su
E. IL Des lésions trophiques consécutives aux maladies du système nerveux ; par le Dr X. ÀRNOZAN. Vol. in-8° de 266 pages. P
éditeurs. III. Influence de la Syphilis sur les maladies du système nerveux central, par le Dr Cu. Chauvet. Vol. in-8° de 9
udier les lésions trophiques con- sécutives aux maladies du système nerveux : le sujet était difficile, et, dans l'état act
un premier chapitre consacré aux lésions trophiques dans le système nerveux lui- même, M. Arnozan insiste sur les dégénérat
ation de ces nerfs, M. Arnozan s'applique à étudier les atrophies nerveuses périphériques et centrales, telles par exemple qu
ologique de la syphilis sur quelques-unes des affections du système nerveux central et non pas de décrire des lésions syphi
central et non pas de décrire des lésions syphilitiques du système nerveux . C'était en somme une donnée étiologique à mett
s cas pour la plupart des grands.' processus morbides des centres nerveux . Nous reprocherons^ M. Chauvet de n'avoir pas sui
l'auteur du meilleur travail sur un sujet de pathologie mentale et nerveuse . Les mé- moires manuscrits doivent être parvenu
à celui-ci et survenant lorsque, par le fait de la névrite, le tube nerveux se trouve séparé de ses centres trophiques. N
section cutanée. A ce niveau, les extrémités cen- trales des tubes nerveux étaient englobées dans un magma assez dense', c
l'a établi M. Charcot, la lésion dominante' est celle des cellules nerveuses de la corne antérieure spinale. La question est
tdesavoirparquelmécanisme cette lésion réagit sur l'état des fibres nerveuses qui en émanent : or, à ce propos, la théorie la
royons-nous, consiste à admettre que la destruc- tion de la cellule nerveuse entraîne à sa suite la dégé- nération du nerf,
n du nerf, et équivaut, en quelque sorte, à'une section de la fibre nerveuse portant sur le prolonge- ment du cylindre axe d
uisqu'elle ne nous renseigne en aucune façon sur l'état de la fibre nerveuse pendant que sa cellule d'origine subit les modi
ion est transmise par le cylindre axe à toute l'étendue de la fibre nerveuse . z La première hypothèse s'appuie sur cette cir
certain nombre de cas d'atrophie musculaire, les lésions des tubes nerveux ont paru plus prononcées du côté des troncs et
térieure de la moelle épinière A, de laquelle partent quatre fibres nerveuses dont la partie B est saine ou atteinte de lésio
ainsi toute l'apparence d'une dé- génération ascendante des troncs nerveux , alors qu'en réalité rien de semblable ne s'est
'est produit, ou que tout au moins l'action trophique de la cellule nerveuse n'est pas directement en cause, mais bien ce qu
ésions évidentes ; elles sont exclusivement localisées aux cellules nerveuses des cornes antérieures qui sont en grand nombre
ons beaucoup plus pro- fondes. (Voir Vulpian. - Maladies du système nerveux , 1879.) 190 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. line et le
tremblement est un des symptômes les plus fré- quents des maladies nerveuses , soit qu'il se manifeste spontanément, soit qu'
venons de rapporter;9ellesînôiltéérit bien l'influence du système nerveux sur la production des secousses secondaires. On
l'un de 25 ans; .le deuxième de 18 ans, n'ont jamais eu d'accidents nerveux . Une fausse couche. ' Notre malade est née à te
ée actuellement de .01,1 ans, bien portante pas d'hé- moptysie, pas nerveuse , pas de malàdies de peau ; quelquefois douleurs
difficile de distinguer la pie-mère et de la différencier du tissu nerveux sous-jacent : on pourrait croire que la surface
e des alté- rations bien manifestes de la névroglie, des éléments nerveux et des vaisseaux. D'abord cette coloration plus
ion DE LA DÉMENCE ÉPILEPTIQUE. 243 t nuisible sur 1 es. cellules, nerveuses , sous-jacen tes. Dans -les parties où cette, ba
ions de la substance grise, il est ^certain que cellesides cellules nerveuses jouent le rôle f« le, plus, important. Or, à pa
blanche sont si profondément altérées. L'état trouble des cellules nerveuses , décrit par M. Mier- zejewsky dans la paralysie
"11'1"" ? 111ql . ",qp"r¡""(T d encéphalite chronique, des cellules nerveuses munies , '0*UjJjJR')' ,-l ? sa ? f· . 1 ' mv I.
s sont bien des cellules 1 Ir .J. t . 1.1"" "Il -1 ? ^ i t Il' ,1 nerveuses et n'appartiennent pas plutôt à cette caté- .J
Gi0(U ! G'JI<OUhil .'JlJ;f11'" li r't'iw/`rll ll bl vi'ltm)II)fu nerveuses : leurs dimensions, la nature de leur proto- Gu
? tJl'1 Il 11 t r rr '111 1f)'J te 1 1 1 ! 'I ? ! ftlil ? ¡CI tubes nerveux , se colorant .vivement par le carmin , , 1 , ,
f' 1 ... 1 '(11 ra rflfn formement de petit calibre comme des tubes nerveux 0/" 'I 'oH ? II. \ Jllo.f1' .n j' '1 ,.Jldf Jtr
' '))f ? )t0 1 ; rir.rl 1 I ? " spéciale. Quanta dire si ces.tubes nerveux sont envahis ' . .) , 1, J 1 1 . l, t 1 j 1'1 \
allèle a Il 1 '1"' t l' l',j il il - 1 1 ;I ,, , celui des fibres nerveuses . Enfin, parmi ces cellules, . i' m ... " ' ' 1.
ir,nn^ .. 3'm'r ? t[fqrro"d'dl1Cf';¡ b 14tilAt, IO'l> ? ,.lil 4P nerveuses . Leur trajet est donc a peu près rectiusne. >
proéminent tantôt en dedans, tantôt en dehors. Fig. 8. - Cellules nerveuses dont le noyau s'est divisé. L'explication des P
il y voit une distribution vicieuse de la force ou de la dépense nerveuse ; dans certains points des centres nerveux cette d
a force ou de la dépense nerveuse; dans certains points des centres nerveux cette dé- pense est exagérée; de làrésultent, d
mant jouit d'une efficacité certaine, 'surtout contré les désordres nerveux . Des gravures annexées à leur travail montrent
r le prof. Maksiorani sur l'emploi de l'aimant .dans les maladies nerveuses . Il faut dire que ces travaux, malgré .leur valeu
e expérimentation, à te- nir une grande place dans la thérapeutique nerveuse . Ce point sera traité plus loin avec les dévelo
tes, l'action du chloroforme et des anes- thésiques sur les centres nerveux . Si on empêcbe le sang chlo- roformé de pénétre
physiologiste a indiqué que l'ânes- thésie produit dans les centres nerveux un état analogue à celui qui naît par le sommei
anes- 27< ! REVUE CRITIQUE. thésiques agissent sur la cellule nerveuse centrale, sur la cel- lule sensitive principale
t une partie d'un nerf aux mêmes vapeurs, on constate que les tubes nerveux ont perdu leur excitabilité et leur transparenc
sous leur influence, la sensitive, qui n'a pourtant pas de système nerveux , perd les mouvements de ses feuilles; que la ge
atmosphère chloroformique. On s'explique ainsi comment les cellules nerveuses des hémisphères cérébraux et de la moelle épini
squ'au bulbe ; soit, à la lin, lorsqu'il y a saturation des centres nerveux par les mêmes vapeurs. Nous avons été ainsi con
n minimum presque nul, les différents chocs exercés sur les centres nerveux . On ne peut citer comme demandant préférablemen
sur les anesthésiques, principalement en ce qui concerne le système nerveux . Toute l'attention doit maintenant se concentre
nation, ait le minimum pos- sible d'action chimique sur les centres nerveux . II. DUIOET. REVUE DE PHYSIOLOGIE i' VII. D
du point d'application de l'excitant dans le direction des centres nerveux , d'une façon centripète. Dans ce cas, il s'agit
es éléments interstitiels avec altéra- tion atrophique des éléments nerveux . Ces expériences ne tendent à rien moins qu'à r
e. R. Y. XVI. Note sur un appareil servant a soumettre les troncs nerveux A DES COMPRESSIONS GRADUELLES D'UNE VALEUR CONN
ération du cylindre-axe dans les lésions non traumatiques des tubes nerveux . L'auteur pense . que les résultats obtenus jus
'erreur à cause de l'irritation produite par la section des cordons nerveux . La nouvelle série do recherches a été entrepri
laisser entre elles une distance égale à plusieurs segments du tube nerveux . Cette rétraction se ferait graduellement et se
érieure par les processus réticulaires restés sains. Là, les fibres nerveuses manquent encore presque complètement. A la haut
che de la moelle subit des altérations qui portent sur les fibres nerveuses . M. C. Eisenlohr, termine son article par quelq
et en médecine légale, mais encore en physiologie et en pathologie nerveuse ; ils sont, du reste, parfaitement con- formes a
ès important travail sur les effets de la strychnine sur le système nerveux paru en avril 1879 (Journal of Nervous and Ment
eût été effrayé par un chien. A 1 école, vers 9 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 293 et 10 ans, il était fréquemment puni parce
t1u Tq ')'{ £ 'll1s imo J n,'t115 1 ·, . 29t REVUE DE'PATHOLOGIE ! NERVEUSE : pondre aux questions. (L'amélioration marcha
2b30q ab 9' ! JJlTlo'ld aI ! \.JlJY,'lsdgÍ1 REVUE' DE' PATHOLOGIE ! NERVEUSE ; 295 XI.. CAS GRAVE'' de PROSOPOSPASMB A' march
de potassium et lè9chloral'à haute 'dosé, ' 296 REVUE DE pathologie nerveuse .1' des injections sous-cutanées de morphine (ma
pagnes¡ dcjnensurationsjpiillj 'DEÆ ! td.6t 298 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . - . : IJd"'}l : d(f 0 ! 1 't;)1 I.lVll , t 1 J
s que nous pouvons ainsi constater nousu permet REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tent'de'Iocatiser la cause de la paralysie, ma
aralysie dissociée ? '' répondant à des lésions isolées- des filets nerveux , qui;- émanées d"poÍ)1tsJ divers, j.vont ! eu d
oo Izms 8núvIJoq zuuu onp ajJ1Sffi91511.1HÍO 3, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Il ; ? 'T J{ ? jtT ! tf/1lQ'1 ' ! "il ... Le
- r';1 fT"iT./j "Tf" Il 1 r ( ].(1" 'H ,.r-¡ H REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ? 301 rh',dr TP ... ? 1 ' ,'1 "'f ¡. ? ... fI
ine. Le docteùr JTàylÓi'prescriviHe ft'rai- 304 REVUE DE pathologie NERVEUSE . tement mercuriel; dès le sixième jour, le mala
L ! f 'fLl ? 1-' .. ? .....i d . des racines plutôt que, des troncs nerveux . En effet, la pupille ? 1 ' 1 r4 , - -le 1 1 tU)t
être bien fixée que par l'accumulation 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . grand nombre de faits cliniques et pathologiqu
e droite;. à, la base, du cerveau, , un exsudat REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 307 épais couvrait les origines des nerfs'. En
lè ïl L'in ite à l'oplittiâlmoscopé ; quel- 308 revue.de pathologie NERVEUSE . ques symptômes paralytiques ; il ressemblait u
tt ? tt 11 cul" du réflexe rotunen dans le diagnostic des aneotions nerveuses du réflexe, rotulien dans le diagnostic des aff
ns nerveuses du réflexe, rotulien dans le diagnostic des affections nerveuses . y u1)1LL1 1 .flü s')71 clJ1 Li rJil `fttllr11
lJ1 Li rJil `fttllr11111teyl na .t)jjt)f ? j un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 309 Erb, Wéstphal admettent que'l'absence 'du"
ervation'V (p. 3'), qui est un bien intéressant exemple dé diathèsé nerveuse , tous les parents du malade ayant des affection
rveuse, tous les parents du malade ayant des affections des centres nerveux . Des dix observations qu'il donne, M. Hughes, c
urent dû1côtéJ'désî,ufine's"ètl''des'jambes.0 r REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 311 Dans tous ces cas, l'engourdissement ou qu
éralement, dans, les cas de, traumatisme de 31O REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ? 4 , III t -' la moelle une élévation thermi
dans l'épithélium vésical, par suite de la suppression des actions nerveuses physiologiques ; il s'agirait là d'un véri- tab
à d'un véri- table trouble trophique. H. D'0. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 313 XXXI. Diminution' du POIDS A la' suite DES
't «4 " . i " ' t'. i" ' t ' "Kl1 XXXII.. Observations de, troubles nerveux (insolites (hyperesthésie avec, troubles vaso-m
q i. sa ? ' `ill' . "'l'1TIIOlI"r -j XXXIX : Syphilis; DU[ système1 nerveux ; par f.-Ti.IÇFUT.I(Çlçieago med. ,.», Tinies; a
en remontant dans, le passé des inculpées, ,on trouve des troubles nerveux .variables,, le plus, souvent des accidents ver
ophobes; r la' conséquence- du refus des aliments, quejl'épuisement nerveux par vacuité et la distension) brusque de l'esto
logique DE la para- LYSIE AGITANTE : DE L'HYPERTROPHIE DES CELLULES NERVEUSES DE la RÉGION protubérantielle ; par M. Luys. (S
tations. L. LANDOUZY. IV. Soulagement apporté dans DES affections NERVEUSES graves , par l'énucléation du GLOBE DE L'OEIL ;
'emploi de l'électricité en thérapeutique des mala- dies du système nerveux : on lira avec intérêt les développements que M
ol sans faire assez la part de la misère elle-même et d'antécédents nerveux souvent si difficiles à retrouver. Quant aux st
produirait d'abord une excita- tion, puis une paralysie des centres nerveux en commençant par les plus élevés pour finir pa
loriformateurs. Cette exagération résulte de cer- taines influences nerveuses spéciales encore inconnues dans leur essence. E
2 Etudes cliniques et thermométriques sur les maladies du système nerveux . Paris, 1872-1873. ' FAITS DIVERS. 345 complé
: 1° une épreuve écrite sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures ; 2
à ce propos, à nos lecteurs, l'importance qu'a prise la pathologie nerveuse en Italie sous l'influence de cette société et
en France, et sa mort prive la faculté de Paris et la pathologie nerveuse d'un des maîtres les plus sympathiques et les plu
i Rechiedel, editori Milano. Bnoute (B.). Leçons sur les affections nerveuses locales, traduites de l'anglais, par le Dr D. A
l. S T, troisième sillon suprà-orbitaire longitudinal. PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR UN CAS DE MÉNINGITE CÉRÉBRO-SPINALE AI
dit atteinte de fièvre typhoïde ; sa température est 374 PATHOLOGIE NERVEUSE . élevée, son abattement est extrême ; pas de re
loppement précoce, par son embonpoint : la tempéra- 376 PATHOLOGIE NERVEUSE . ture était du reste beaucoup trop élevée pour
endons. Le ventre est unpeu ballonné; les troubles 378 PATHOLOGIE NERVEUSE . vaso-moteurs paraissent : la face est vultueus
froide. Chaque ligne verticale répond à 5 minutes. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE . Ni contractures, ni convulsions, ni hémiplégie
es râles sous-crépitants à la base du poumon gauche, 382 PATHOLOGIE NERVEUSE . sans souffle ni matité. Il y a de ce côté une
. - +, mort de la malade. - j., jours de maladie. 38le PATHOLOGIE NERVEUSE . cordes vocales sont vascularisés, mais n'offre
lement dorsal et la recouvrir jusqu'au filum terminale. Les racines nerveuses ne sont cependant pas comprimées par cet exsuda
l'examen après durcissement a confirmé. Les 25 38G .' PATHOLOGIE NERVEUSE ? exsudats fibrineux et purulents des méninges
résentaient pas non plus de granulations tuberculeuses. Les racines nerveuses paraissaient irritées, mais cependant la dissoc
ncohérents; d'ailleurs, la coercition n'a pas besoin 388 PATHOLOGIE NERVEUSE . d'être très .énergique. Pas d'hallucinations d
en déterminée; les reins et la rate sont indemnes. 390 PATHOLOGIE NERVEUSE . On voit comme ces deux observations sont compa
lgie. [Nul dé- tail sur son père, qui est mort ; sa mère est un peu nerveuse , mais sa santé est bonne ; quatre frères et soe
ique. Elle aurait eu des convulsions dans l'enfance. Elle est assez nerveuse , mais n'a pas d'attaques. [ Ses père et mère so
; elle ne sait de quelle maladie; ils n'auraient pas eu d'accidents nerveux ; quatre frères et soeurs bien portants. Rien ch
a mère, le 21 no- vembre).- Père, 30 ans, jardinier; aucun accident nerveux , pas d'alcoolisme, etc. Rien dans sa famille. M
uvé au- cun exemple dans les ouvrages consacrés à la patho- logie nerveuse . Les observations publiées sous le titre de scl
s de constater, peut se résumer en très peu de mots. Les éléments nerveux font absolument défaut dans toute l'étendue des
successivement, au point de les anéantir complètement, les éléments nerveux qu'il englobe. ÉTUDE SUR L'IDIOTIE. 411 i Dan
alement l'état de la sensibilité dans les parties profondes, troncs nerveux et muscles. Il serait intéressant de voir com
à l'hystérie. (A suivre.) REVUE D'ANATOMIE V. QUELQUES anomalies nerveuses ; par WENZEL GRUHER, pro- fesseur d'anatomie à
te étude par la dissection seule; ainsi, il mentionne des ganglions nerveux à l'entrée du trou nourricier ; M. Rémy et Vari
araît avoir suivi exactement sur le cheval la direction des rameaux nerveux ; mais il ne dit rien de leur structure intime.
acide osmique, réactifs qui leur ont permis d'apercevoir les filets nerveux les plus ténus et les détails de leur structure
e 20 fi- à 40 fi- où ils sont réduits à deux ou même à un seul tube nerveux . Les éléments constituant ces filets nerveux sont
ou même à un seul tube nerveux. Les éléments constituant ces filets nerveux sont des tubes à myéline et quelques fibres de
part, sur les vaisseaux ou ailleurs, on n'a aperçu de terminaison nerveuse . La moelle des os du chien a semblé particulièr
t des éléments de la moelle, on peut suivre facilement les filets nerveux sur les ramifications vasculaires. Ces nerfs prés
és de fibres à myéline et de fibres de Remak ; autour des faisceaux nerveux , on distingue nettement une gaîne de péri- nèvr
fs en font foi. CH. FÉRÉ. VIII. NOTE SUR la morphologie DES CENTRES nerveux CHEZ LES CAL- MARIENS ; par Joannes CHATtN. (So
es SUR la GLYCOSURIE CON- sidérée DANS SES RAPPORTS AVEC LE SYSTÈME NERVEUX par M. LAFFONT. (JOU1'n. de l'anat. etdela phys
et de là dans les nerfs sphanchniques. L'arrachement de ces paires nerveuses empêche ou supprime l'action de la piqûre du pl
mène particulier qu'il a observé dans certaines maladies du système nerveux central : lorsqu'on vient à rac- courcir passiv
dominaux, au POINT DE VUE DE la PRODUCTION DU diabète par INFLUENCE NERVEUSE ; par M. LAFFONT. (Gazette médicale, n° 37, p. 4
s pour l'étude des actes intimes de la nutri- tion. Sur les centres nerveux , la perte des fonctions est instan- tanée, et c
l'ordre suivant : en premier lieu les gros troncs, puis les filets nerveux qui se rendent aux muscles extenseurs, enfin le
le maximum d'excitabilité du muscle a lieu quand les gros troncs nerveux deviennent inexcitables. La perte de la contracti
yngien donne naissance. On peut dire encore que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 441 le nerf intermédiaire de Wrisberg est un d
pha- ryngien et le facial ne constituent qu'un seul et même tronc nerveux . R. BL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XL. Tabl
uent qu'un seul et même tronc nerveux. R. BL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XL. Tableau CLINIQUE DES dégénérations secondai
ue le côté clinique de l'affection, et tout 442 REVUE DE pathologie NERVEUSE . d'abord établit une distinction un peu subtile
égiques, février 1880,in-8"de 208 pages, Paris. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 443 s'exerçant sur des cellules plus susceptib
tivement restreint, et il est très vraisem- 444 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . blable que les différences qu'ils présentent a
membre supé- Clinique de la Charité, p. 562. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 445 rieur, on assiste presque toujours à la ré
lieu que dans une éten- due fort restreinte. L'ensemble des fibres nerveuses qui subis- sent cette décussation en faveur du
ogie de l'âge adulte ou de la vieillesse. 446 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Lorsque on examine un bon nombre d'hémiplégiqu
t aune affection particulière des membres infé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 447 rieurs. Lorsqu'il est forcé de rester long
a pas d'autres sensation qu'une inquiétude. 448 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Dans les dernière années, cet état avait empir
ouze ans, elle fut atteinte d'une pneumonie accompagnée d'accidents nerveux et d'une raideur du membre inférieur gauche. Il
e, projection de la langue, ouverture et ferme- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 449 ture alternative des mâchoires. Oscillatio
èvres remueront intempestivement et la 29 450 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . langue viendra sans nécessité, s'engager entre
e comme vermoulue. Les alvéoles de ce tissu po- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . z5" reux sont remplies d'une matière gélatineu
erminé le type clinique de la chorée izei4- 452 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rable, des processus à réparation facile en ce
hungen ubel' die Cntwicklung des Schâdelgrunds. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 453 3 XLIII. Trois observations DE paraplégie
stait de lésions que dans l'encéphale (Bir- 454 REVUE DE pathologie NERVEUSE . mingham médical 7 ? e ? ( ? ! f, oct. 1879). C
ans qui fut, en cinq jours, complètement para- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 455 lysé. Cet état dura trois mois, au bout de
raissent douloureuses à une forte pression. 456 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . La surdité est complète, mais l'indocilité de
en a pas dans les deux observations ci-dessus. REVUE DE pathologie nerveuse . 457 L'auteur termine par une discussion des op
le, et conclut en faveur de cette dernière. 458 REVUE DE pathologie NERVEUSE . Quant à la nature de la tumeur, il la considèr
nce au point de vue de la syphilis cérébrale, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 459 L'auteur rapporte ensuite deux observation
alternatives d'affaissement et de réveil 460 ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . intellectuel, affaiblissement progressif, anes
et déjà réunis pour un bon nombre dans les tra- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 461 vaux antérieurs de MM. Landouzy et 'Grasse
t à coup un rapide développement. H. D'O. 462 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . L. Du VERTIGE DE ÏfIÈNIÈRE; par GUYE. (Revue m
iste sur l'intérêt que présente au point de vue REVUE DE pathologie NERVEUSE . 463 du diagnostic, ce début de la pneumonie pa
epti- formes chez les animaux, en produisant l'anémie des centres nerveux , et particulièrement du bulbe, par l'électrisatio
. En résumé, appauvrissement du sang, anémie relative des centres nerveux , telle serait, d'après l'auteur anglais, la doubl
es ressortent clairement de cette théorie. II. D'O. LUI. Affections NERVEUSES SYPHILITIQUES PRÉCOCES; par CH. MAURIAC. M. M
développent pendant les deux ou trois pre- 464 REVUE DE pathologie NERVEUSE . mières années. D'après une statistique de 168
aux, M. Féréol a décrit en détail les accidents REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 465 laryngobronchiques du tabes ataxique. M. C
elevées dans les diverses observations 30 466 REVUE de pathologie nerveuse . ont été tantôt un épanchement péricardique abo
in 1879) ; une seconde qui lui est personnelle; REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 467 Î enfin une troisième publiée en 1836 par
l, n'ayant plus que de l'aphonie. C. T. ' 468 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LX. L'ÉLÉMENT HYSTÉRIQUE DANS LA CHIRURGIE ORT
ou persistait même à un degré prononcé. » C. T. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 469 LXI. Toux hystérique ; par J.-C. MULIIALL
ncinati. (Cincinati Lancet and Clinic, 8 mai 1880.) Une affection nerveuse épidémique, présentant les caractères des forme
rée dans cette école. Une semaine plus tard 470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . environ, huit élèves tombèrent malades dans la
« une véritable porte ouverte à la plupart des maladies du système nerveux », qui met en quelque sorte les sujets dans un
2° les névralgies erratiques; 3° l'ivrognerie : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 471 d'après M. Beard, certains ouvriers épuisé
ptique ordinaire recueilli dans le principe 472 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . à l'hôpital en raison de ses accès, deux ans p
. Décroissance générale et graduelle des facul- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 473 tés intellectuelles, mais absence de troub
s) ou à l'état abstrait (délire des idées). 474 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Or, étant donné la lésion du cervelet constaté
r les suppurations de la caisse. MM. M'Bride et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 475 James rapportent l'observation d'un malade
membraneuses, et cette paralysie se trouve exagérée quand l'influx nerveux lui-même se rapproche de ses conditions de mini
ons plus haut, et ce qui se trouve aussi d'accord avec la théorie nerveuse de M. Angelucci. H. DE B. XXXIV. Du DÉLIRE HYPO
gtemps ont mis obstacle à la con- naissance des maladies du système nerveux central, et parti- culièrement des maladies men
la psychiatrie avec la physiologie cérébrale et avec la pathologie nerveuse en ajou- tant pour son auditoire spécial quelqu
f, j'eus l'idée de tenter d'enchaîner par la picrotoxine le système nerveux moteur et les muscles, et de substituer au téta
nné de bons résultats dans la mélancolie, les sédatifs du système nerveux et en particulier l'hyosciamine dans les formes a
ns à la plupart des questions les plus importantes de la pathologie nerveuse , et on peut, à bon droit, le considérer comme u
bibliographie. 501 VIII. Traité pratique des maladies du système nerveux ; par M. J. Grasset (2° édition). Un vol. in-8°
e publier une seconde édition de son traité des maladies du système nerveux . L'édition précédente (1878- 79) formait deux v
e, des méninges, des nerfs et des névroses, et les manifestations nerveuses des maladies générales. M. Grasset présente dans
ésente dans un discours préliminaire les généralités sur le système nerveux qui constituaient ses premières leçons dans l'é
sont largement représentées dans ce traité des maladies du système nerveux , aussi ne pouvons-nous que lui souhaiter un suc
KA99ETJ.).j ? XrjijtéjipC £ [tiquend8s'(3maydi'ers>rduasyètèirièJ'| nerveux Deuxième édition revue et considérablement augm
iuao 3')Iii'ij ), ij) D : ) 1 ? L 8bm 1-iiiil vraie de la substance nerveuse ,, mais. bien de néofor- 891 9f101 911 .9Ull HII
tantiel pararaphe ,de'ses''Leôizs, sur5 lès maladies du système, nerveux iaux 'éruptions cutanées que 1 on ob- serve.-pa
s'est couverte d'une éruption de zona limitée au trajet des filets nerveux occupé par les fulgurations douloureuses^ Une t
Jv jjb )ibv^ Il 9pirqi;ropin ! T(Ilj * Vutpian. Maladies du système nerveux , leçons professées- à la Fa- cutte'de mé'decine
cchymoses spontanées, liées, a-1 existence dépenses. 5fo PATHOLOGIE NERVEUSE ? fulgurantes,; chez luiid'une intensité .et^d'
ne se produisant que par instants ^'d'autres' fois ' 542 PATHOLOGIE NERVEUSE . - r( .. ,*j«'r1,1 » ;., ? or orrn ? » 'n t. ?
. l'L ' \\ Jui " GR; n`101T;TrIfT »as=oi.'THioa - 54t PATHOLOGIE NERVEUSE . 3'[f ! fr'9m 111 Jnnm'9a. at gncb jtt9912 a98o
aune-verdâtre ultérieurement ? Ces taches sont inti- 548 PATHOLOGIE NERVEUSE . 8,·lTiIfI T 2.1 U11 rI m , mement liées aux
, disparition, absolue, des douleurs fulgurantes. 550. PATHOLOGIE NERVEUSE .^ i,Cestachesi,sorit.,multiples'etUrréguliefeif
î9loiv 4b 9ti : z sI s'jjp iBupiBffiai-9[ " .T ? - 552 pathologie NERVEUSE .'S -inÎBb s i-w-,M M sto 3 ,'ioiaajî ê dooqhG o
jeluii ? ? j ? ? 'V/ r ) ' r·r ? ·r 2cr ntrvr.·, . 556 PATHOLOGIE NERVEUSE . - 3rrn *,Tosp/«'iRnafîVr r-i'f*T .7(*n ifr3[t'
'hquga ? e ? c ? etïglles3z ? unq z Snamor'9rlq sI 560 PATHOLOGIE NERVEUSE . Les douleurs si caractéristiques de l'ataxie l
racines postérieures et de l'irritation directe 36 562 PATHOLOGIE NERVEUSE . Récemment, M. S. Stricker, se basant sur des e
e que les excitations produites sur un point quelconque d'une fibre nerveuse sen- sitive ou motrice, se propagent aussitôt e
ns la direction centrifuge jusqu'à l'extrémité terminale des filets nerveux , c'est-à-dire dans les papilles du derme, ou en
au moins de troubles trophiques consécutifs aux lésions du système nerveux trouveront peut-être dans cette hypothèse leur
t sur la peau, de leur position relative par un rapport au centre nerveux . Ainsi, lorsque la plaque neutre se trouve entre
ules"" motrices des'cornes antérieu- res, avec atrophie des racines nerveuses qui partaient du point malade. Les cellules ner
e des racines nerveuses qui partaient du point malade. Les cellules nerveuses étaient remplacées par des globules de graisse;
lobules de graisse, semblables à ceux qui remplaçaient les cellules nerveuses , adhéraient à la membrane externe de quelques v
énérescence névro-musculaire consécutive à l'interruption du cordon nerveux depuis le début jusqu'à la' fin de la paralysie
r la contusion, la section, la résection, ou la ligature du tronc nerveux correspondant (expériences sur des chiens et des)
occuper du tissu cicatriciel qui, à la suite de la section du tronc nerveux , inter- vient dans la réparation. L'auteur se p
ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 577 E. Régénération. La néoplasie des fibres nerveuses s'observe toujours à la 4° ou 5° semaine; ses p
'excitabilité du 1 ? stade, autant'qu'à la dégénérescence du tissu, nerveux ; la proliféra- tion cellulaire- et nucléaire d
DE l'appareil POLARISATEUR DANS L'ANATOMIE PATHOLOGIQUE DES CENTRES NERVEUX ET DE L'ATÉLECTASIE médullaire spinale; par le
traîne l'auteur à établir l'atteinte simultanée de certaines fibres nerveuses concourant au même but physio- logique, bien qu
r passe en revue : d'unepart, les différences entre les altérations nerveuses ressor- tissant aux affections spinales et cell
nternes. Bien qu'on sache que les altérations ordinaires du système nerveux central d'origine syphilitique coïncident avec
ait. Jusqu'à présent, les lésions de cette diathèse dans le système nerveux ont constamment présenté le caractère diffus qu
seuls malades : Dans les régions dorsale et lombaire, les cellules nerveuses , aussi bien dans les cornes postérieures, que d
I. Dans QUELLES MESURES LES anomalies DE DÉVELOPPE- ment DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL PEUVENT-ELLES SERVIR DE base anatomique
baire). Au même ordre d'idées appartiennent la petitesse du système nerveux central coïncidant avec des altérations anatomi
ts de tétanie, le défaut de myéline observé dans certaines fibres nerveuses , les rapports étiologiques des anomalies médullai
ismes que celui-ci impose au patient. P. K. - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LXXVI. SUR L'ÉPILEPSIE LIÉE aux lésions des.cou
he optique. Pour lui, la couche optique est 588 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . un centre de perception, sensorielle. Si la co
égères pertes de connaissance isolées ou accom- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 589 pagnées d'accès épileptiformes, atrophie m
l;- 8° Phosphaturie, symptôme commun à beaucoup d'autres affections nerveuses ; 9° Appétit vorace. D'après Lawson et Bevan Le
, comme le recommande H. Jackson. (Lecture on · REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 591 optie neuritis from ïntra-craniai diseases
de la pie-mère, un ramollissement rouge des 592 REVUE DE pathologie nerveuse . zones corticales, correspondant à ces vaisseau
èvres. Ces deux troubles sont souvent réunis. REVUE DE pathologie NERVEUSE . 593 C'est dans l'enfance que débute l'infirmit
avant d'être tout à fait passée à l'état d'habitude pour le système nerveux . L'imitation joue un grand rôle, à ce point que
l'état déplorable du système ner- veux chez les scrofuleux. L'état nerveux n'est pas, comme on l'a dit, la cause, mais bie
plus facilement obtenus. i CH. FÉR. 38 594 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LXXXI. DE la SURDI-MUTITÉ ET DE l'éducation DE
, méningite cérébro-spinale, fièvres typhoïdes, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 595 scarlatine, rougeole, affections idiopathi
ive et limitée que dans l'entité classique; 596 REVUE DE pathologie NERVEUSE . les troubles de coordination des extrémités in
avait pas pour chef paternel un buveur. P. K. REVUE DE pathologie NERVEUSE . 597 LXXXIII. CONTRIBUTIONS A la pathologie DE
isation au pinceau qui ne détermine plus de 598 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rougeur, le gonflement testiculaire indolore,
gyll Robinson en 1869 (Edanb. Med. Joum.), puis REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 599 par Knapp, Leber, Wernicke, a été indiqué
la paralysie générale et dans plusieurs autres maladies du système nerveux . Erb, dans son mémoire sur la pathologie du tab
xe des pupilles à la lumière est conservée. 600 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . On'sait que dans les conditions de sommeil nor
ment du biceps, est normal. A l'avant-bras gau- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 601 che atrophie et paralysie complètes des mu
arche ininterrompue de la maladie, et, dans 602 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . deux cas elle fut constatée jusqu'à la mort. D
ès génésiques et d'éléments d'hérédité. P. K. REVUE DE pathologie NERVEUSE . 603 LXXXIX. SÉRIE DE cas DE paresthésie, princ
localisé dans les vaisseaux des petits rameaux ou des extrémités nerveuses qui se distribuent aux parties affectées. 601 1
es mêmes que chez les femmes saines ; elles agissent sur le système nerveux central soit par action réflexe, soit par l'épu
, C. T. LI. DES rapports DE la sclérose multiloculaire DU SYSTÈME nerveux central avec la paralysie générale progressive
cales consécutives aux lésions des différentes parties du système nerveux (couche optique, pédoncule, bulbe, etc.) Pour M. S
ets magnétiques signalés par divers observateurs chez les personnes nerveuses . Il cite, entre autres, quelques observations p
ions curieuses, nous citerons la suivante : « Mm° S..., dame très nerveuse , souffrait d'une névralgie violente des nerfs q
anisation centrale SUIVIE D'UNE faradisation générale, DES TONIQUES NERVEUX , d'une NOURRITURE abondante ET du repos; par ED
aintenant sept à huit attaques la nuit. C. T. XXIX. Cas DE TROUBLES nerveux améliorés par l'emploi DE VERRES ; par M. H.-N.
Les spécialistes ont observé des névralgies tenaces et des troubles nerveux généraux dus à des troubles de réfraction et à
et que la race noire est spécialement prédisposée aux affections nerveuses à forme convulsive. Celui qui est mort était un
ussi chez les alcooliques. (Observa- tions du Dr Anstie.) Système nerveux . - Tous les degrés des troubles ont été observé
née dernière. CH. P. XXXIII. Emploi DE la QUININE avec les sédatifs NERVEUX ; par Lardon, Carter Gray. (New-York Arch. of Me
r une vive impulsion aux échanges nutritifs, de tonifier le système nerveux , de faire fonctionner la peau et le système mus
'attention t;de'tous ceux qui .s'intéressent à-1'étudc des maladies nerveuses 9Jet'mentales. q 1 -it) j11>'> ' ! - ,. '
mémoires' sur 'des'' sujets touchant à l'intelligence et au système nerveux a état de santé et dans les cas pathologiques ;
'i ? .'f ï ' '11\., £ 1', f.' ' - . t -t* ' t spéciale des maladies nerveuses a 1 université de Aew-iork. Deux'fascICules de
thermiques localisées du cuir chevelu. H. DE B. XII. Des troubles nerveux locaux consécutifs aux arthrites; par M. P. Des
inau- gurale un certain nombre de documents relatifs aux troubles nerveux consécutifs aux arthrites, il y a joint six obser
ires la thèse de 111. Ch. Avezou : Etude sur la contusion de troncs nerveux du bras. (Paris, 1879, publication du Progrès m
e Neurologie, journal trimestriel, consacré aux maladies du système nerveux et dirigé par le professeur Charcot. M. Bournev
sseur Charcot, résumeront toutes les études faites sur les maladies nerveuses et mentales. 1 '" « De même qu'il est d'un loua
uis le droit d'affirmer dans le camp médical que le rôle du système nerveux domine toute l'économie animale, aussi bien .ap
sor prisdans ces dernières années par la pathologie du systè- ., me nerveux rendait nécessaire la'création d'une revue spécia
alytiques embrassant tous les tra- f récemment parus sur le système nerveux , une revue bibliographi- que, une chronique, et
jets proposés. Anatomie : 1° Les méthodes de préparation des tissus nerveux ; 2° Les apparences morbides occasionnées par l
gnan a recommencé ses leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses le dimanche 22 janvier, à 9 heures 1/2 du matin
nces 648' ` FAITS 'DIVERS. cliniques sur les maladies mentales et nerveuses , et les continue 4 depuis tous les dimanches il
e. DuneT (H.). Et7tde,yé7zérale de la localisation dans les centres nerveux , suivie d'une Étude critique sur les recherches
luence d'une nouvelle lésion, par Brown Séquanl, 132. Anomalies nerveuses (rapport des) ut Mes uév ropatlies, par Schultz
mphie, par Dean, 145. liai- ! ossdorf, 292, Arthrites (troubles nerveux après, les), par Descosse, 631. Arthropathiet
153. Enucléation de l'oeil (1'), soulageant certaines affections nerveuses graves, par Stevens, 328. Encéphale (anatomie
sur les psychoses, par Fiedler, 476. Fièvre tellurique (troubles nerveux liés il la), «[ ? igérie), par Sorel, 313.
aralysie du), par Baumler, 600. Glycosurie (rapports du système nerveux et de la), par Latiotit, 335. Giiis sigmoïde
327. Surdimutité (éducation dans la), par Hartmann, 594. Suture nerveuse du médian, par Hulke, 333. Strychnine (recher
atique (altération pathologi- que du), par Blanchi, 284. Syphilis nerveuse . Affections pré- coces, par Mauriac, 463 - Sy
, par Westphal, 580. Syphilis (influence de la), sur les maladies nerveuses , par Chauvet. 164. Syphilis cérébrale, parSte
(rapports de la) et de l'a- liénation, par Mickle, 152. Syphilis nerveuse , par Fut, 313. - Système nerveux central (étude
tion, par Mickle, 152. Syphilis nerveuse, par Fut, 313. - Système nerveux central (études microscopiques sur le), des rep
n, 461. Troubles trophiques consécutifs aux maladies du système nerveux , par Arnozan, 163. Tumeur cérébrale avec géné
rfs dans l'intoxication saturnine chez le cochon d'Inde. Les troncs nerveux (sciatique, nerfs du plexus brachial, etc.) ont é
édiatement à l'action de l'acide osmique. Fig. 1. Faisceau de tubes nerveux examiné à un faible grossis- sement et montrant
altérés sur toute la longueur d'un segment interannulaire. A, Tube nerveux normal. B, segment interannulaire en voie de dé
s annulaires bien marqués. (Période de restauration.) Fig. 2. Fibre nerveuse vue à un faible grossissement et présentant une
ement rcconnaissable du seg- ment B. Fig. 14. Portion d'une fibre nerveuse présentant un dédoublement de la gaine de myéli
du segment B, atteinte de dégénération au début. Fig. 16. -Fibre nerveuse prise au niveau\d'une racine antérieure celui-
, cylindre d'axe. B, gaine de" myéline. c, noyau. Fig. 18. La fibre nerveuse constituée par des segments interannulaire cour
i proéminent tantôt en dedans, tantôt en dehors. Fig. 8. Cellules nerveuses dont le noyau s'est divisé. EXPLICATION DES PLA
38 (1887) Archives de neurologie [Tome 14, n° 40-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E*^ ARCHIVES NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE 1 ? , DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA A D t RE C T ! 0 DE
Vol. XIV. Juillet 1887. N" 40 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE DU ROLE DE LA PRÉDISPOSITION NERVEUSE DANS L'ÉT
nerf. Depuis lors, ce fait Archives, t. Xt V. 1 2 . " PATHOLOGIE NERVEUSE . , . a été accepté par tout le monde, quoiqu'il
dans les hémiplégies faciales qui surviennent à la suite d'un choc nerveux , d'une émotion, d'une impression morale vive et
ont absolument défaut : on ne peut mettre en cause ni i la secousse nerveuse , ni le froid; l'origine du mal reste inconnue e
tion indispensable à sa produc- tion : c'est l'existence d'une tare nerveuse héréditaire chez l'individu frappé. On sait a
chez l'individu frappé. On sait aujourd'hui qu'une prédisposition nerveuse constitue la cause dominante daus la genèse de
dominante daus la genèse de la plu- part des affections du système nerveux . . Depuis longtemps déjà, dans ses leçons de la
iale dite a frigore ne fait pas exception à cette loi de pathologie nerveuse ; ni le refroidisse- ment, ni l'ébranlement nerv
i de pathologie nerveuse; ni le refroidisse- ment, ni l'ébranlement nerveux ne peuvent suffire à eux seuls pour déterminer
par- ticulier qu'on appelle avec plus ou moins de raison diathèse nerveuse , nervosisme, neurasthénie, mais sur l'existence
ut le monde s'entend, c'est un état spécial de faiblesse du système nerveux , presque toujours héréditaire, et qui se manife
plégie fa- ciale, toujours en corrélation avec d'autres accidents nerveux existant soit chez le sujet lui-même, soit chez
ses ascendants, doit être intimement rattachée, de par 4 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'étiologie au faisceau des maladies du systèm
atre DE LA PARALYSIE FACIALE. 5 ans, nous dit-il, d'une affection nerveuse après être restée pa- ralysée des deux jambes p
ns, il a été bien portant ; depuis cette époque, il est devenu très nerveux et très irritable ; il souffre fréquemment de m
on d'aliénés.- Antécédents personnels : M. N... a toujours été très nerveux ; comme maladies d'enfance, il a eu des con- vul
ème paire du côté droit de la figure ; douleurs assez 6' PATHOLOGIE NERVEUSE . vives au niveau de l'apophyse mastoïde. Réacti
t 1882. - Antécédents héréditaires : Mère bien portante ; père très nerveux ; un oncle paternel est paralytique général; un
epuis ce moment jusqu'à la menstruation, aucune autre manifestation nerveuse . A partir de cette époque jusqu'à ce jour, M"°F
Elle jouit d'ailleurs d'une bonne santé, cependant elle est très nerveuse et très impressionnable. La paralysie faciale dro
nfance d'autre maladie que la rougeole ; il nous dit qu'il est très nerveux , sujet aux migraines ; nous avons affaire à un
juillet 1881.. - Antécédents de famille : Père bien portant ; mère nerveuse , a souvent des crises convulsives s'accompagnan
resté une légère claudication de la jambe droite. , 8 PATHOLOGIE NERVEUSE . La paralysie faciale pour laquelle Mme F... vi
un oncle paternel a un tic convulsif de la face. Pas d'antécédents nerveux du côté de la mère. Une soeur du malade est hys
ans, rougeole à huit ans. M. P... nous dit que, tout en étant très nerveux , il jouit néanmoins d'une bonne santé. Il y a h
paternel morte à la suite d'une paraplégie. Mère rhumatisante, très nerveuse , sujette à des migraines périodiques. Observa
ignes de la réaction de dégénérescence partielle. 0 10 pathologie NERVEUSE . Observation XI. - Albert H..., trente-trois an
suffire à elles seules pour établir le rôle prépondérant de la tare nerveuse héréditaire dans l'étiologie de la paralysie fa
s observations qui précèdent ont trait à des sujets issus de souche nerveuse ; la tare héréditaire est manifeste et indéniabl
défaut, les antécédents personnels des malades, les manifestations nerveuses qui, chez la plupart, ont pré- cédé ou suivi la
bète, obs. XIV), dont les connexions avec les affections du système nerveux sont aujourd'hui bien établies, nous permettent
tibilité particulière, à une vulnérabilité spéciale de leur système nerveux . Observation XIII. - \h'° A..., âgée de soixant
écis quant aux antécédents de famille. Mme G... a toujours été très nerveuse ; depuis quelques mois, - 12 PATHOLOGIE NERVEUSE
a toujours été très nerveuse; depuis quelques mois, - 12 PATHOLOGIE NERVEUSE . à la suite de chagrins profonds, son nervosism
ements au point de vue des antécédents de famille. M. D... est très nerveux ; depuis un an il a eu des préoccupations morale
conditions essentiellement défectueuses au point de vue du système nerveux et sans autre cause apparente qu'est survenue l
uche), diminution notable de l'excitabilité faradi- que des rameaux nerveux , tant pour le facial inférieur que pour le faci
lumière la part prépondérante qui doit revenir à la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de l'hémiplé- 14 PATHOLOGIE NE
rédisposition nerveuse dans l'étiologie de l'hémiplé- 14 PATHOLOGIE NERVEUSE . DE LA PARALYSIE FACIALE. gie faciale friore et
étroits qui unissent cette paralysie aux autres maladies du système nerveux et, en particulier aux névroses. Que le froid,
n, une enquête minutieuse et bien conduite fera découvrir la tare nerveuse héréditaire sans laquelle toutes les causes occ
pour provoquer une hémiplégie de la face. Affection essentiellement nerveuse , la paralysie fa- ciale rhumatismale doit donc
u'il apportait en toutes ses observations, il faisait 16 PATHOLOGIE NERVEUSE . remarquer que l'insensibilité de certains indi
le en avait eu à plusieurs reprises. Son frère avait le tempérament nerveux , développé d'une façon très remarquable. A la s
t pas une perte de connaissance Archives, t. XIV. 2 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . complète. Cependant il conservait seulement un
ible des douleurs abdominales chez les hystériques. 20 PATHOLOGIE NERVEUSE . Chez la femme qui a subi la castration, la dou
'opération et du chloroforme qui devait, disait-il, 22 . pathologie NERVEUSE . le faire mourir. Aussitôt que je lui mis la co
les troubles de la sensibilité sont très fréquents, dont le système nerveux est facile à l'excitation, à l'épuisement ? En
d'idées, j'ai vu quelques phénomènes qui m'ont paru 24 pathologie NERVEUSE . avoir échappé à d'autres observateurs. J'ai de
raît tout simplement que ces races sont plus faciles aux phénomènes nerveux favorisés du reste par le climat et le genre de
bien curieuse. Il a longtemps exercé à l'Oued Atme- 26 pathologie NERVEUSE . nia, province de Constantine. Il avait très vi
ls subissent des entraînements qui nous sont inconnus. Ce système nerveux si excitable est encore à la merci d'une ali- D
nissent à des cérémonies entraînantes et conduisent 28 pathologie NERVEUSE . à des manifestations où le fait de braver la d
impressionne d'abord fort désagréablement, vous donne 30 pathologie NERVEUSE . au bout de quelque temps une sensation singuli
moins acérées. Tout cela est dégoûtant, désagréable, 32 pathologie NERVEUSE . douloureux, mais point dangereux. Les seuls ex
large, étalée, et fait dire aux Archives, t. XIV. 3 34 pathologie nerveuse . spectateurs qu'ils lèchent des pelles rougies
s sont bien et méthodiquement t groupés pour obtenir une excitation nerveuse détermi- née, favorable à une anesthésie relati
ment fort négligé aussi. La plupart ne quittent leurs 36 pathologie NERVEUSE . occupations ordinaires que peu avant la séance
pratique comme destinée plutôt à modérer l'individu 38 pathologie nerveuse . trop entraîné par l'ardeur de la danse. Il n'y
dente. Un homme vaillant peut à la rigueur, supporter sans réaction nerveuse apparente une douleur de courte durée. Mais, qu
C'est un fait sur lequel les Aissaouas attirent cons- 40 pathologie NERVEUSE . tamment votre attention; ils vous montrent san
poings fermés il comprima vigoureusement le ventre; le 2 pathologie NERVEUSE . cela lui était d'autant plus facile, que le pa
t. Il a vu à plusieurs reprises des gens présentant des antécédents nerveux . Il m'en citait un qui avait un père épileptiqu
Peut-être cela s'est-il produit autrefois; peut-être 44 pathologie NERVEUSE . observait-on là une détermination de l'ordre d
vulsions, de véritables attaques d'hystérie. Ces pra- 46 PATHOLOGIE NERVEUSE . - DE L'HYSTÉRIÈ. tiques religieuses offrent, c
clure qu'ils indiquent, pour la plupart des Orien- taux, un système nerveux beaucoup plus émotif que le nôtre. Il est pro
des données qui lui ont été fournies par la physiologie du système nerveux , il n'en est pas de même pour ce qui concerne l
l'homme sain et malade, en particulier dans les maladies du système nerveux . (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE DE L'ÉPILEPS
culier dans les maladies du système nerveux. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE1; Par BOURNEVILLE e
ives de Neurologie, vol. XIII, no 39, mai 1887, p. 321. 56 clinique nerveuse . coordonnés ! de Romberg, etc., etc., sont tous
gitante. 1 Tulpius. 06 ! e''M. naéd. Amsterdam, 1672. 58 CLINIQUE NERVEUSE . Dans sa Pratiqzieden2édecine spéciale, Etmùl 1
p. 2. 3 Welsch. Deet7c ? <i. Iena, 1719, p. 26-27. 60 CLINIQUE NERVEUSE . Les cas de Sauvages et de Gaubius, de Thileniu
' Journal de Hureland, juin 1811, vol. XXXII, p. 88. 62 CLINIQUE NERVEUSE . refroidi à l'âge de dix ans, avait été attaqué
cou d'assez grandes cicatrices. A dix ans, il fut pris d'une fièvre nerveuse ; à quatorze ans, à l'exception des vers, sa san
Hufeland's Journal, vol. L, vu, décembre, p. 61, 1823. 64 CLINIQUE NERVEUSE . le tenait pendant quelque temps, il le laissai
ï, ao année, t. VIlI, p. 385-t01.) Ancmves, t. XIV. 5 66 CLINIQUE NERVEUSE . publiques; il resta, malgré l'usage des sangsu
oth, puis Berger ont publié l'observation com. plète. 68 CLINIQUE NERVEUSE . ne se détournant ni à droite ni à gauche, et n
ie de sang en partie coagulé et mêlé à quelques débris de substance nerveuse ramollie et colorée par ce liquide. De cette
nous aurons lieu plus tard, au chapitre de l'Anatomie 70 CLINIQUE NERVEUSE . pathologique, de revenir sur ce cas et de l'in
s de Notre-Dame. On nous raconte que déjà elle avait des mouvements nerveux dans les lèvres ; dès sa plus tendre enfance, e
epuis l'apparition de la chorée, l'épilepsie ne s'est 72 . CLINIQUE NERVEUSE . en rien modifiée ; la menstruation a été suppr
as suivant a été publié par Romberg' dans son Traité des maladies nerveuses . Observation XV. Homme de soixante-onze ans. -
ues. Revue nzédico-chirurgicale de Paris, 1827, p. 168. 74 CLINIQUE NERVEUSE . mois, suspension, d'ailleurs, dont la cause es
73, t. Il, épilepsie, p. 112. ' Hammond. -- « Traité des maladies nerveuses ; traduction française, 1876, p. 785. 76 CLINI
ladies nerveuses; traduction française, 1876, p. 785. 76 CLINIQUE NERVEUSE . Observation XVIII. - Accès ordinaires d'épilep
ms, 4, 2.) Unregelmdssige Formai der anfcïlle, p. 2 il. 78 CLINIQUE NERVEUSE . - DE L'ÉPILEPSIE. ment un cas d'épilepsie proc
ue ordinaire. (Sandras et Bourguignon. Traité pratique des maladies nerveuses , 2° édit., t. 1, p. 278, 18G0.-Ghe- neau. Reche
p. 278, 18G0.-Ghe- neau. Recherche* sur le traitement des maladies nerveuses , ,1811, p. 32.) RECUEIL DE FAITS PARALYSIE GÉ
logie : « Nous avons une notion fort exacte de la quantité de force nerveuse partant du cerveau, qui est néces- saire pour p
e sensation dans le muscle, mais une notion de la quantité de force nerveuse que le cerveau est excité à mettre en jeu. » Wi
t ne paraît pas être dans les muscles mais bien dans les cellules nerveuses motrices... Nous n'avons pas seulement la sensati
ns accompagnant la contraction des muscles naissent dans les fibres nerveuses qui transmettent l'impulsion mo- trice du cerve
s mouvements musculaires sont excités par le cerveau et les centres nerveux , ce que nous en pouvons déduire avec le plus de
ements musculaires coïncide avec le courant centrifuge de l'énergie nerveuse et ne résulte pas, comme dans le cas de sensati
faits contemporains, s'accomplissant simultanément dans les centres nerveux . On pourrait alors invoquer la puissance de l'h
des expériences électriques montrant que si on électrise les troncs nerveux dans un moignon ou au- dessus on provoque l'ill
t informé que d'une manière médiate, et peut les négliger. L'action nerveuse qui excite le mouvement ne peut donc fournir à
ens musculaire ne dépend pas de nos notions de la quantité de force nerveuse mise en liberté durant un effort volitionnel, o
urnit l'idée de résis- tance sert à déterminer la quantité de force nerveuse néces- saire pour produire un mouvement, un rés
e sensation remplit le rôle de dynamomètre à l'égard de l'influence nerveuse . » Nous avons vu d'après la façon dont Wundt in
s de la marche et de la préhension. E. Fournie (Physiol. du syst. nerveux ) est aussi d'accord sur l'importance de ces sen
librement associées avec celles de la vue, et avec les conducteurs nerveux et les mécanismes ner- veux d'organisation nouv
nt leur substratum organique, et plus précisément dans les cellules nerveuses motrices de ces centres. Elles seraient princip
alement constituées par le sentiment d'innervation », de « décharge nerveuse », et auraient une origine centrale. Les notion
des impressions concomi- tantes des courants efférents de l'énergie nerveuse . » - « Je vais plus loin, ajoute-t-il, et je ma
conographie phologr. de la Satpèt1'ière, t. II. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1ù1 permettra d'arriver à des données plus pos
existent entre la sensation et le mouvement. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 1. 10,NOI'LEGIA ANÆ5TlllnICA; par le professeur
ticulier à la palpation. Douleur nulle à la pression sur les troncs nerveux , sur le plexus brachial, au-dessus et au-dessou
x articulations ni aux muscles. La peau de- 102 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . vient livide à la pression, froide, humide, lé
s de l'écorce); - ` ? ° ou bien il y a interruption des conducteurs nerveux qui vont de l'un à l'autre de ces organes. Dans
La diffusion de l'anesthésie qui n'est pas limitée à un département nerveux spécial, mais s'étend à une large surface cutan
rtains caractères de l'anesthésie fonctionnelle REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 103 font défaut. L'application de <inapi<
hystérie. Il s'agit par conséquent ici d'une lésion des conducteurs nerveux , c'est-à-dire soit des nerfs périphé- riques, s
postérieures contiennent des nerfs vao- IO4 se REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . moteurs et trophiques bien que la grande niass
ieures et sur le sympathique cervical ; pôle positif sur les troncs nerveux du plexus brachial. De temps à autre, quelques
mental propre aux hystériques ; -2° présence de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 105 troubles trophiques. Qu'il nous soit permi
'anesthésie, Les caractères sont à tous les 106 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . points de vue semblables à ceux que M. Charcot
e la sensibilité dans 1 Charcot. Leçon* sur les maladies du système nerveux , t. III. Pig. I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE
maladies du système nerveux, t. III. Pig. I. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 107 ses divers modes (tact, douleur, températu
les limites sus-indiquées, et poursuivons. S'il s'agit d'une légion nerveuse organique, en supposant qu'elle soit superficie
passage de courants électriques. Fin- 2. 108 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . D'après nous cette anesthésie ne peut être due
sthésie ne peut être due qu'à une modification dynamique du système nerveux , à une névrose, à l'hystérie. - Mais l'opinion
qu'il s'agit la d'une anesthésie hystél iyue. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 109 Celte observation, que l'autour rapproche
on du liquide intra- 1 ah} rinthique et à la compression des filets nerveux , qu'il faut attribuer dans ce cas les crises ép
ne se distendit pas. Il y avait suffisant- 110 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . nient de place sur les côlfs, mais il était év
uf une douleur à la pression au point de Erb. REVUE DE pathologie NERVEUSE . III 1 Se fondant sur l'ensemble des caractères
constituer une forme nouvelle de diabète qu'a réédifier une théorie nerveuse de cette affection (de Ferry de la Bellonne), n
de celle des tumeurs cérébrales en général. 112 REVUE DE pathologie nerveuse . L'auteur con,idèrc successivement les tumeurs
t beaucoup le malade. Cet écoulement était plus REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 113 prononcé le matin; le patient était somnol
ne présentait aucun signe de myélite. Les muscles et lesgros troncs nerveux portaient des signes de processus inflammatoire.
rescence des nerfs périphériques seulement, sans que les centres nerveux soient touchés. Les formes de paralysies par suit
le» ; beaucoup plus souvent, dans cette contrée REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 115 et en Europe, elle est due aux excès alcoo
cérité de l'artiste, que ce diagnostic rétrospectif d'une affection nerveuse alors méconnue et attribuée à une cause surnatu
Vol. XIV. Septembre 1887. Nu 41 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'HISTOIRE DES MONOPLÉGIES PARTI
l'hystérie; et cela, non seu- Archives, t. XIV. 42 178 pathologie nerveuse . lement à l'instant où s'exerce le traumatisme,
Chauffard. Ga. hebd. de méd., 11° 21, p. 31l, 1886. 130 PATHOLOGIE NERVEUSE . lieu à une vive douleur dans le membre supérie
rrillon il la Société de chi- rurgie, 29 mai 1883. f83 PATHOLOGIE NERVEUSE . est d'autres où la paralysie a succédé à un tr
ische (Lo Speriuteialale, uov. et décembre 1886). 1811 - PATHOLOGIE NERVEUSE . ni morsure de la langue, ni coma consécutif. I
a main et du poignet est la consé- quence évidente de l'ébranlement nerveux dont la crise convulsive était la manifestation
t pour les détails 1 la lecture du texte original. 18G PATHOLOGIE NERVEUSE . à la piqûre et au froid, se terminant brusquem
demment, il faut faire la part de l'attaque qui a mis le système nerveux dans un état de vibration spéciale ; mais on ne
'est développé, au niveau de l'articulation radio- 188 PATHOLOGIE NERVEUSE . carpienne gauche, une petite tumeur de la gros
ant un fait encore plus curieux, dans lequel la mo- 1 ut PATHOLOGIE NERVEUSE . noplégie partielle constitue l'unique manifest
deux ans, qui n'a jamais pré- senté la moindre tendance aux crises nerveuses et chez laquelle, même maintenant, l'observatio
les troubles de la sensibilité. La diminution des 192 PATHOLOGIE NERVEUSE . forces est telle, qu'il est impossible u 1VI"°
es de l'éminence thénar, par- ARCHIVES, t. XIV. 13 194 PATHOLOGIE NERVEUSE . ticulièrement du court adducteur du pouce droi
ulaire ; cette dernière a été la première à revenir, 196 PATHOLOGIE NERVEUSE . huit jours à peine après le début du traitemen
qu'on ne l'observe d'habitude. Malgré l'absence complète de crises nerveuses et de stigmates hystériques, malgré l'intégrité
e typique qui à lui seul suffisait pour faire affirmer la paralysie nerveuse , à savoir la terminaison brusque en manchette c
n segment de membre sans tenir compte de la distribution des fibres nerveuses . Enfin, il n'est pas jusqu'aux résultats du tra
ltats du traitement qui ne militent en faveur de l'origine purement nerveuse de cette paralysie. L'anesthésie qui pendant pr
méthodiquement des pressions sur le dyna- momètre. 198 PATHOLOGIE NERVEUSE . Ces quatre observations nous montrent donc la
douleur. A ce moment, la malade s'aperçoit que la 200 PATHOLOGIE NERVEUSE . sensibilité est très émoussée et presque aboli
le membre supérieur droit. Etat actuel. Fille robuste, nullement nerveuse , n'ayant jamais fait de maladies sérieuses, ne
serait facile, au nom de la clinique et de l'anato- 202 PATHOLOGIE NERVEUSE . mie pathologique, de prouver l'inanité d'une p
es et des réactions électriques, tout milite en faveur de désordres nerveux purement fonctionnels, vraisemblable- ment d'or
e son diagnostic. « Quelle peut être, dit-il, la lésion des centres nerveux capable de donner lieu à une analgésie limitée
à gauche, puis atrophie musculaire et troubles vési- 204 PATHOLOGIE NERVEUSE . DES MONOPLÉGIES PARTIELLES. eaux. Il rejette c
l'anesthésie est bien en rapport avec l'origine réelle des racines nerveuses sensitives sus-dé- nommées ; il trouve fort nat
ont pas de taille à supporter « le combat pour la vie ». CLINIQUE NERVEUSE DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE' ; Par BOURNEVILLE
ion. Observation XX. - Epilepsie. - Père, hémiplégie droite. Mère nerveuse ; grand-père maternel, mort à quatre- 1 Voy. Ar
, n 39, mai 1887, p. 321, et vol. XIV, n" 40, p. 55. 236 CLINIQUE NERVEUSE . " vingt et un ans d'une pneumonie ; - grand'mè
t ; elle était vive, impressionnable, mais n'a jamais eu d'attaques nerveuses . On n'a aucuns rensei- gements sur les grands-p
ans la rue, t'accès n'était pas précédé de course. 238 CLINIQUE NERVEUSE . DE L'ÉPILEPSIE PROCURSIVE. 239 leur diminuti
Mère morte d'accidents pulmonaires sans avoir jamais eu d'affection nerveuse . Un frère bien portant, un autre mort de la poi
es scènes de colère à éprouver de son mari, ce qui lui 240 CLINIQUE NERVEUSE . était d'autant plus sensible qu'elle avait été
on de la circonvolution qui est indurée, blanche, for- 244 CLINIQUE NERVEUSE . mant un léger relief; même hypertrophie sur la
sur le rapport moral vis-à-vis des enfants de son âge 246 CLINIQUE NERVEUSE . que sous le rapport des dégâts matériels dont
u'elle a pu apprendre le catéchisme. Elle a appris à 248 CLINIQUE NERVEUSE . coudre et à tricoter, mais est incapable de co
mariée à trente ans, morte à soixante-cinq ans, phthisique, un peu nerveuse , vive, pas de migraines ; elle avait des crises
n germain du côté paternel est atteint d'épilepsie.] 250 CLINIQUE NERVEUSE . Consanguinité : le père et le mère du malade é
; quelquefois cependant, Car... avait plusieurs petits mou- vements nerveux . Peu à peu les accès sont devenus de plus en pl
est tout à fait valide et possède encore ses facultés. 252 CLINIQUE NERVEUSE . 4 septembre. Purgatif. G. 3 capsules de bromur
ne ecchymose; elle est mince, mais s'enlève facilement 256 CLINIQUE NERVEUSE . sans entraîner de substance grise, si ce n'est
passage maigre, à niveau, à la Archives, t. XIV. 17 238 CLINIQUE NERVEUSE . circonvolution du corps calleux. Le lobule par
première scissure temporo-occipitale avec la seconde. 260 CLINIQUE NERVEUSE . Lobe frontal. - La scissure calloso-maigiiiale
boisson. Mère, soixante ans, n'a jamais été malade, pas d'accidents nerveux . Trois frères ; un poitrinaire, faisait des exc
, très colérique, elle l'est devenue de plus en plus 262 . CLINIQUE NERVEUSE . par les ennuis que lui a causé son mari. Intel
arié, a quatre enfants en bonne santé et n'ayant pas eu d'accidents nerveux . Les deux derniers frères ne sont pas mariés. U
trois ans et demi il a eu des vertiges qu'on appelait un grand tic nerveux . « « Le regard se portait en haut.puis au bout
ne croit pas qu'il ait eu la rougeole; il semblerait 264 CLINIQUE NERVEUSE . avoir eu la rubéole ? Coqueluche pendant six s
ale ascendante, 12 centimètres. Longueur de ce dernier 266 CLINIQUE NERVEUSE . point à l'extrémité postérieure du lobe occipi
ion de ses auditeurs dans une leçon clinique, sur certains troubles nerveux qu'il a observés chez des pianistes. Cette affe
a position qu'elle avait pour exécuter ces derniers. La sensibilité nerveuse qui accompagne ses troubles se traduit : 1° par
la cause de la lésion ; mais le plus souvent ce sont des individus nerveux ou présentant certaines affections (anémie, rhu
ux questions qu'on lui adresse ; on constate aussi des tremblements nerveux sans raideur. Dans l'intervalle des accès, fort
prostitution professionnelle dans ses rapports avec les ma- ladies nerveuses et mentales ». La doctoresse a fait des recherche
le contingent le plus grand des personnes prédisposées aux maladies nerveuses et men- tales, et cependant, dans aucun pays il
la prostitution et de son .importance dans l'étiologie des maladies nerveuses et mentales. La proposition est approuvée par a
sultent du mouvement 302 BIBLIOGRAPHIE, du protoplasma des tissus nerveux et musculaire. Pour l'auteur.- les phénomènes p
r.- les phénomènes psychiques ne peuvent avoir lieu dans le tissu nerveux sans que le tissu musculaire y prenne part en mêm
a mémoire». La mémoire, dit l'auteur est une fonction de la cellule nerveuse centrale sur la voie de l'arc réflexe. De cette
inition découle l'application de toutes les propriétés des éléments nerveux à l'étude des lois de la mémoire. Les fonctions
suite son étude « sur la personnalité considérée comme un organisme nerveux et psychique». XXXII. La dernière lecture a été
iste surtout sur la mise en jeu chez des prédisposés des phénomènes nerveux par le déve- loppement de la gastropathie. Outr
? Vol. XIV. Octobre 1887. N" 42 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE HISTOIRE DUNE HYSTÉRIQUE HYPNOTISABLE (contri
l'état spontané, naturel, normal, des grandes fonctions du système nerveux , en dehors de toute influence suggestive et de
ue continue depuis trois ans. Archives, t. XIV. 21 322 ) CLINIQUE nerveuse . C'est incontestablement M. Charcot qui a inaug
les symptômes observés dans tous les ordres de fonctions du système nerveux étaient de nature et d'origine purement suggest
ersonnels, quelques renseignements intéressants. Sa mère était très nerveuse , elle est restée quatorze ans malade et est mor
abondantes, ayant une durée de quatre à cinq jours et 321 CLINIQUE nerveuse . s'accompagnant de violentes coliques qui l'obl
as d'accidents chloroti- ques, mais elle est sujette à des troubles nerveux (crampes d'esto- mac, névralgies, etc.). - Ma
bien, et ne présente rien à signaler, sinon une grande excitabilité nerveuse . Mais, au mois de juillet 1883, ayant eu une al
mois on cellule : là, elle endure des pri- vations, et son système nerveux , déjà fort impressionnable, subit un ébranlemen
. hebd. des Se. naéd. de Montpellier, 1886, p. 122.) 326 CLINIQUE NERVEUSE . effet est produit par l'influence de certaines
ivement en pronation et en supination ; de nouveau les 328 CLINIQUE NERVEUSE . bras s'élèvent au-dessus de la tête, les doigt
caractère capricieux ne lui permettant que difficile- 330 CLINIQUE NERVEUSE . ment de se plier à la discipline de l'hôpital,
nir ; ne sachant pas l'adresse de M. Grasset, elle l'a 332 CLINIQUE NERVEUSE . demandée, on lui a dit, rue Basse, 6, mais dan
i l'ont vu ont constaté les mêmes phénomènes que nous. 334 CLINIQUE NERVEUSE . Ce n'est que le 30 mai 1885 que nous la revoyo
édigé d'après les notes du Dr Sarda, chef de clinique. 336 CLINIQUE NERVEUSE . exécute aucun. Cela se comprend facilement si
jours après, nous appliquons un Archives, t. XIV. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE . hypnoscope semblable, mais non aimanté, et obt
dans la face et les membres et des signes de congés- 340 CLINIQUE NERVEUSE . tion cérébrale avec gêne de la respiration et
chez F... il y a des attaques de sommeil avec contrac- 342 CLINIQUE NERVEUSE . tures fixes généralisées, conservation de l'ou
és. En dehors de ces deux types d'attaques, qui sont 344 CLINIQUE NERVEUSE . de beaucoup les plus fréquentes, nous avons vu
rentre pas du tout dans le cadre du grand hypnotisme, 346 CLINIQUE NERVEUSE . magistralement étudié et décrit à la Salpêtriè
e qu'elle la présente, ne peut être assimilée ni à la z8 CLINIQUE NERVEUSE . catalepsie, ni à la léthargie, ni au somnambul
our la motililé, il y a des contractures fixes qui im- 350 CLINIQUE NERVEUSE . mobilisent le corps et qui ne rappellent ni la
le nervosisme simple). Chez les premiers, le sommeil 352 CLINIQUE NERVEUSE . provoqué peut s'accompagner de phénomènes soma
atteint. Ce résultat fut obtenu très simplement, en 368 PATHOLOGIE NERVEUSE . se plaçant à des distances variables des fenêt
uarante centimètres de l'oeil des malades. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE SYAIP'fOAIATOLOGIQUE D
omo-pathologique; mais de même Archives, t. am, 21 370 PATHOLOGIE NERVEUSE . nous avons dû renoncer à essayer de peindre le
quelle les cornes postérieures avaient été atteintes 372 PATHOLOGIE NERVEUSE . plus que les antérieures. La racine ascendante
limités en haut au thorax jusqu'à la sixième côte et 374 PATHOLOGIE NERVEUSE . les membres supérieurs, et s'étant manifesté d
embres supérieurs, avec anesthésie ou analgésie par- 376 PATHOLOGIE NERVEUSE . tielle et des lésions de la peau et du tissu c
. En citant quelques-uns de ces cas, nous avons eu 378 PATHOLOGIE NERVEUSE . principalement en vue, de réunir un plus grand
l'état de la sensibilité dans les différentes affections du système nerveux , j'ai réussi pendant ces dernières années, à di
ù le développement de la maladie est moins avancé. 380 PATHOLOGIE NERVEUSE . Observation I Troubles trophiques et atrophi
tain amaigrissement général. La mesure de l'épaule : 382 PATHOLOGIE NERVEUSE . tonner; il peut cependant prendre une épingle
nt constant : DE LA GLIOMATOSE MEDULLAIRE 383 38t le PATHOLOGIE NERVEUSE . l'épine de l'omoplate à la surface postérieure
lesquelles nous allons appeler l'attention ont trait à une maladie nerveuse encore peu con- nue et dont le diagnostic préci
s; asthma- tique, pas de maladies de peau, ni d'attaques; n'est pas nerveuse , aucun excès. [Père, mort on ne sait de quoi. M
marcher avec ses souliers que pieds nus. Observation II. Père très nerveux , sujet à des accidents probable- ment épileptiq
onsécutive à sa fracture. Il n'avait pas d'attaque, mais était très nerveux . Il disait que son enfant (notre malade), lui ava
(notre malade), lui avait emporté "sa maladie et qu'il était moins nerveux . [Père, garde champêtre, est mort très âgé; on
à des douleurs de tête; pas de migraines; pas d'attaques; n'est pas nerveuse . [Père, culti- tivateur; excès de boissons, mor
l'ataxie locomotrice et l'ataxie héréditaire. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XI. Cas d'atrophie musculaire PROGRESSIVE DU A
-issi légèrement atrophiés. On constata, en 406 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . outre, un empyème du côté droit datant du mois
s courants faradiques, du massage, etc. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 407 XILI. PARALYSIE INFANTILE ; TUBERCULOSE PU
n trajet des circonvolutions à la moelle. 408 . REVUE DE pathologie NERVEUSE . Il n'y a pas de centre distinct pour chaque va
is que les individus atteints d'une affection organique des centres nerveux ferment au commandement sur-le-champ, com- plèt
e, soit de la part de l'entourage, soit de la part de son système nerveux ; un vertige, par exemple; en outre ses muscles in
à obtenir d'un appareil muscu- laire fatigué. P. K. XVI. Troubles nerveux chez les arthritiques; par le Dr DELICNx (DE TO
de malades qui ont été soignés à Saint-Gervais pour des troubles nerveux divers (insomnie, tristesse extrême, dégoût de la
frayeurs nocturnes, etc...). Tout en reconnaissant que ces troubles nerveux ont eu pour cause immédiate des influences dépres
pour cause immédiate des influences dépressives REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ' /¡OU (chagrins violents, déceptions, ménopaus
tat du trouble apporté par cette diathèse à la nutrition du système nerveux . Au point de vue du traitement, l'auteur proscr
ose en plaques, et, en général de toutes les affections des centres nerveux , carac- térisées par des lésions scléreuses pro
exe dont la voie centripète et centrifuge se passait dans le plexus nerveux et, réagissant sur les muscles correspondants,
des nerfs de deux sources bien distinctes. En avant, les filaments nerveux proviennent du plexus lombaire par la branche m
veau antérieur sur le développement des autres parties du système nerveux central; par Alexandra STEINLECHNEit- GRETSCHIS
céphalée témoigne de la diminution d'un certain nombre de cellules nerveuses . Il semble qu'il y ait dans l'espèce plutôt agé
se sont arrêtées en route. Conclusions. 1° La formation des libres nerveuses de la moelle qui correspondent aux pyramides da
ne les faisceaux pyramidaux et les cordons de Goll; 50 les cellules nerveuses des cornes antérieures sont en moins grand nombre
ion s'arrêter. P. K. VII. Remarques sur la structure DES cellules nerveuses ganglion- NAiRn-z par M. FLESCJI et II, KO;'iEF
EFF, (neural. Centralbl., 1886.) Kreyssig a trouvé que les cellules nerveuses de la moelle (1711-choiv,s. Archiv., t. CII, p.
e la part que fait M. Lallemand il l'influence de la prédisposition nerveuse dans le développement de la névrose professionn
n particulière de la loi de l'hérédité dans les maladies du système nerveux formulée par M. Charcot. L'auteurénumère les di
observations de neurasthénie recueillies à la clinique des maladies nerveuses pendant l'année 1886. Ces observations ont été
i, dans ces troubles trophiques, est sous la dépendance des lésions nerveuses centrales, et ce qui revient aux altérations pé
ecin adjoint de l'asile de Buffalo'; l'autre : L'urt de soigner les nerveux et les insensés 2, par le professeur Charles mi
s soins à donner aux aliénés et aux personnes atteintes de maladies nerveuses . Les infirmiers et les infirmières des asiles ont
miracles, chez beaucoup de personnes, chez celles surtout qui sont nerveuses , hystériques, qui sont exaltées et hypochondria
e lI1elhnrt. CHARCOT (J.-51.). - Leçons sur les maladies du système nerveux , pro- fessées à la Salpêtrière et recueillies p
320. Amnésie traumatique, par Ritti, 277. Arthritiques (troubles nerveux chez les), par Deligny, 408. Articulation cox
(état cé- phalométrique dans la), par Bene- dikt, 416. Cellules nerveuses ganglionnaires (structure des), par Flesch et K
c, 304. Paralysie faciale a frigore (du rôle de la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la), par Neu- mann, 1.
professionnelle dans ses rapports avec les maladies men- tales et nerveuses , par n1 ? Tar noskaia, 300. Psychique (états
39 (1884) Archives de neurologie [Tome 08, n° 22-24] : revue des maladies nerveuses et mentales
S IIF : 111SSE1'. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
passager, parce que la destruction n'a pas atteint les conducteurs nerveux que ces muscles reçoivent ; ces conducteurs n'o
d elle apparaît dans une famille, indemne jus- qu'alors de troubles nerveux , elle a été, à coup sûr, préparée de longue mai
exception à la loi; le poison travaille pour ainsi dire le système nerveux , et le dispose aux mani- festations délirantes
la démence; une fois le réseau intellec- tuel entamé, les éléments nerveux , associés à ceux mortifiés, se mortifieraient à
toute sa raison et succombant au marasme tuberculeux. PATHOLOGIE NERVEUSE ÉCLAMPSIE ET ÉPILEPSIE; Par Ca. FÉRÉ. Les a
du sang altéré (urémie, ammoniémie, urinémie, etc.) sur le système nerveux central. Pourtant les formes ci iniques si dive
onvulsions des jeunes enfants, on n'hésite guère à en 38 PATHOLOGIE NERVEUSE . rattacher l'origine à un état nerveux natif :
guère à en 38 PATHOLOGIE NERVEUSE. rattacher l'origine à un état nerveux natif : les con- vulsions sont fréquentes chez
re que les sujets qui en ont été atteints offrent d'autres troubles nerveux ou qu'ils produisent dans leur descendance des
de les trouver soit dans les auteurs qui ont traité des maladies nerveuses , soit dans nos observations personnelles. III.
ltation de la Salpê- trière, le 22 octobre 1881 ; pas d'antécédents nerveux hérédi- taires avoués. N'a jamais été malade, e
sur le pariétal gauche; réflexes rotuliens égaux des 40 pathologie NERVEUSE . deux côtés. Rien dans les urines. (Elixir d'Yv
'est présenté.) . Dans ce fait, nous ne trouvons point d'hérédité nerveuse . Il montre toutefois nettement l'origine de l'é
ibuer an poison de la scarlatine une action spéciale sur le système nerveux . Pour nous, l'albuminurie et la scarlatine n'on
ampsie. Marie R..., onze ans. Grand'mère paternelle excitée. Mère nerveuse , fugues érotiques ayant motivé le divorce. Père f
eut une grande frayeur, à la suite de laquelle il eut des attaques nerveuses , et il mourut quelque temps après d'une affecti
ffection cérébrale. Un cousin germain de la ligne 42 -') PATHOLOGIE NERVEUSE . maternelle estné chétif, presque idiot et est
fer dans un accident de voiture, eut pendant trois ans des crises nerveuses , dont il guérit, et aucun de ses enfants n'éprouv
uses, dont il guérit, et aucun de ses enfants n'éprouve de troubles nerveux . -- La malade a eu la scarlatine vers l'àgede n
laquelle, la menstrua- tion s'établit, elle n'offrit aucun accident nerveux . A partir de ce moment jusqu'à vingt et un ans,
ée suivante, elle en eut une autre avec quelqueslégers mouvements nerveux ( ? ). Vers l'époque de son mariage, à vingt-quat
vingt-quatre ans, elle éprouvait presque tous les mois des troubles nerveux légers, caractérisés par du clignotement, des m
2 Delasiauve. Traité de l'épilepsie. 1864, p. 235. 44 PATHOLOGIE NERVEUSE . action n'est pas constante'. En tout cas, ees
eau le passage suivant : « ... Il est certain que la susceptibilité nerveuse qui, chez certaines femmes, a pu se traduire da
res de l'innervation, il est certain, dis-je, que cette sensibilité nerveuse est une cause prédisposante dont la connaissanc
ois facteurs : 1° exaltation de la tension physiologique du système nerveux central, conséquence immédiate de la grossesse;
ichéa. Traité de l'hypocoibd7,ie. 1845, p. 106 et 299. M PATHOLOGIE NERVEUSE . Handfield Jones cite une primipare éclamptique
u à peu pour dis- paraître au bout de six mois. Aucun autre trouble nerveux jusqu'à sa grosessse. -Au huitième mois, albumi
a souffert de rhumatisme subaigu. On n'avoue pas d'autre antécédent nerveux dans la famille. La malade, qui a eu quelques d
le. Éludes cliniques et thermométriques sur les maladies du système nerveux . 1873, 2e fasc., 171-239. - Hypolitte. De l'éclam
température qui l'accompagnent. Thèse de Nancy, J879. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE . n'ajamais eu de troubles nerveux ni d'autre ma
de Nancy, J879. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE. n'ajamais eu de troubles nerveux ni d'autre maladie, jusqu'à l'âge de vingt-six
premiers symptômes du mal actuel. Ce furent d'abord des faiblesses nerveuses qui s'accentuèrent peu à peu, revinrent plus fr
nopause. Thèse. IS7 i, p. 12î. Archives, t. VIII. 4 50 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'oedème a disparu. Depuis les suspensions du
cun parent ascendant ou collatéral qui soit atteint d'une affection nerveuse quelconque. Avant son mariage, elle n'avait pas
mmencé les accidents actuels, elle n'avait souffert d'aucun trouble nerveux , pas de migraine ; elle était d'un caractère ca
bien pour le reste, a trois enfants qui n'ont jamais eu d'accidents nerveux ; 2Q sa mère a actuellement quaraute-six ans. A
lligence moyenne, fort calme, n'avait jamais eu le moindre accident nerveux . Elle a été réglée à seize ans, correctement, d
seize ans, correctement, d'embléeet sansdouleur. Elle 52 PATHOLOGIE NERVEUSE . s'est laissé marier à dix-huit ans à un homme
des sujets 1 Iloseiitlitl. Traité clinique des maladies du système nerveux . Édit. Ir0.nÇ., 1878. p. 551. 5t le PATHOLOGI
du système nerveux. Édit. Ir0.nÇ., 1878. p. 551. 5t le PATHOLOGIE nerveuse . qui ont des antécédents hystériques', et surto
ANXIEUSE. 57 des troubles sérieux du côté de l'intelligence. Mère : nerveuse sans attaques, caractère emporté. Antécédents
fût nouée lorsqu'elle était petite. Cette dame, qui a toujours été nerveuse , d'un caractère violent, emporté, changeant, se
s. C'est pendant cette période qu'elle se maria. Puis elle redevint nerveuse , diffi- cile à vivre; elle se disputait continu
vie journalière. « C'est, dit M. O'Brien, cette intense sensibilité nerveuse , qui, selon moi, est la base des phénomènes que
ette classe, je placerai les individus chez lesquels les phénomènes nerveux se produisent en dehors de toute excitation app
de quoi il retournait. Il semblait affecté d'une maladie mentale ou nerveuse qui l'obligeait à imiter tous les gestes qui ve
L. Witkowski. (lrrl. f. Psyr/r., XIV. 1.) Si l'on traite le système nerveux central de l'embryon par une solution de pepsin
qui n'a pas lieu quand on fait subir le même traitement aux centres nerveux parfaitement développés. Quand donc la névrogli
e prouve encore, selon lui, que la névroglie est bien de la matière nerveuse . Il s'agit d'une dégénérescence consécutive à u
tion de la névroglie à cette destruction parenchymateuse du système nerveux central indiquerait que la névroglie est de nat
système nerveux central indiquerait que la névroglie est de nature nerveuse et qu'elle est en particulier semblable à la my
du bout central du pneumogastrique après avoir enlevé les centres nerveux sensibles, c'est-à-dire les hémisphères centraux
t dans les mailles de ce dernier, existe une collection de cellules nerveuses multipolaires, de gros calibre, que Clarke a dé
montent obliquement dans le corps restiforme 80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dont ils occupent d'abord le champ latéral pui
lleux touche peu au noyau envisagé ici. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Coliques de plomb. I : NCI3PII9LOP.1TIIIE sa
omb. (1;1,11 ? lce Mé(l., 1882, t. 11.) G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . si 11. CO\THIüU7lo\ .\ L.\ l'.\THULOGIE LT .a
ni d'une sclérose ARCIIIVLS, t. VIII. 6 8 : ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . en plaques, ni de la sypliilis. Leur évolution
ne de rhumatisme ? soixante ans. énorme dilata- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 8* bon du coeur avec insuffisance valvulaire e
rmet seule d'en apprécier l'étendue. p. K. 81 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . VIII. Ull LI; SUDSTR : 1TU\I 1 ? AlUNIOUE UU T
rosco- pique. les assertions d'Aufrecht sur l'atrophie des cellules nerveuses de la moelle cervicale et dorsale (granulations
elle lombaire présente une disparition presque absolue des cellules nerveuses ; en même temps on constate des altérations vasc
e myéliteaiguë parenchymateuse, une atrophie primitive des cellules nerveuses . Peut-être, vu la présence de la ma- tière colo
e du grand dentelé qui persiste depuis un temps REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 85 assez long, le corps étant vertical, et le
Neurologie, t. II, p. 242 ; t. VII, p. 339. 86 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tion sont impossible^ pendant l'accès, qui n'e
t joui de la plénitude de son odorat. AI. Duval a trouvé des filets nerveux olfactifs dans la lame cri- blée, dans la muque
e et probablement une manifestation héréditaire REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 87 ardive. M. Lépine suppose que les terminais
HOLOGIE NERVEUSE. 87 ardive. M. Lépine suppose que les terminaisons nerveuses du nerf auditif se trouvaient dans une conditio
es centres moteurs corticaux, situés sur les 88 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . deux circonvolutions ascendantes et les partie
de la vérole sur l'origine de cette maladie; REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 89 2° L'ataxie locomotrice progressive d'origi
ahn. REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE 1. Sur la disposition des fibres nerveuses r\ myéline dans l'écorce DU CERVE11J ET LEUR f.
e strychnine dans le traitement DE quelques affections du SYS- TÈME nerveux ; par M. DE Cérenville (de Lausanne). (Soc. méci.
injections de strychnine dans le traitement de quelques affections nerveuses : atrophies musculaires, myélites chroniques, a
a cause qui leur a donné naissance. Uans les affections des centres nerveux les effets ont été trop variables et les observ
it du fait d'un élément pathogénétique constitutionnel (dyspepsie nerveuse , neurasthénie, anémie, chlorose, hypochondrie , h
e.) BIBLIOGRAPHIE 1. Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux ; par Thomas l3zzann. Londres, Cturcliill, 1882,
à proprement par- ler un traité didactique des maladies du système nerveux , c'est plutôt une série d'études sur quelques p
, quelques symptômes suffisent, et. en dehors de tout autre trouble nerveux , la coïncidence del'abolition du réflexe rotu-
e livre où il soit ques- tion du rôle de la syphilis sur le système nerveux ; dans la leçon XVI l'auteur rapporte plusieurs
es manifestations avec diffé- rentes maladies organiques du système nerveux (teruous mimicry de James Paget); dans aucun ca
en Italie l'organisation de l'enseignement des maladies mentales et nerveuses , M. Billod reproduit, sous forme d'instruction,
u. Thèse de Paris, 1884. Du positivisme en médecine par la fonction nerveuse , nervisme ; par 1. Rivière. Thèse de Paris, 188
o- gramme des concours. 1882-1885. Étudier l'influence du système nerveux sur la sécrétion urinaire, en se basant spécialem
Vol. VIII. Septembre 1884. N" 23. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE A FORME D'ÉPILEPSIE PAR
mettre en relief leur valeur. Archives, t. VU). l. 9 130 CLINIQUE NERVEUSE . Quaud l'hystérie revêt la physionomie de l'épi
its et comparés à ceux de l'épilepsie (Bourneville). 132 CLINIQUE NERVEUSE . corticale. Mais l'examen attentif et minutieux
uefois sortir la langue. L Fig. 1 ? Phase tonique. 13V CLINIQUE nerveuse . A droite, le membre supérieur rigide est étend
mais elle ne prononce aucune parole. Ces hallucina- 13f; CLINIQUE NERVEUSE . tions durent de cinq à dix minutes. A son réve
e pas, on le voit, de celui relevé dans le casde Rosa. 138 CLINIQUE NERVEUSE . pour le blanc et les couleurs. Les autres sens
quelques jours plus tard). Une seule particularité, iio 0 CLINIQUE NERVEUSE . capitale à la vérité, différenciait cette épil
.., que cite M. Charcot dans ses leçons sur les maladies du système nerveux '. Charcot. Leçons sur les maladies du système
s du système nerveux '. Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, p. 375 et suiv. Paris, 1s7f. - Bonrnecil
cessives et souvent répétées, si la colonne tlaernzo- le2 CI INIQUE NERVEUSE . métrique s'élève notablement au-dessus de 37°,
. Antécédents héréditaires. La malade appartient à une famille de nerveux . Une de ses cousines germaines (du côté pa- ter
nvulsions ». Foisn... a encore un frère et une soeur, qui sont très nerveux . Antécédents personnels et Histoire DE la malad
vêtent le plus souvent, Archives, t. VIII. 10 " -· 146 CLINIQUE nerveuse . chez Foisn..., les caractères que nous venons
ôubrefds accès constituant chaque série.,( ? r - 1 1 14S CLINIQUE NERVEUSE . Il est une autre particularité à relever. Les
si Bulletins de la Société anatomique, novembre 1882. .150 CLINIQUE NERVEUSE . DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. cas'.dijuesrde, fixer
e. la chose n est pas ad- missible. Nous savons bien que les fibres nerveuses périptiériques ; séparéésideoleur3lcentré9troph
auteur, dans le deuxième volume de l'anatomie com- parée du système nerveux , commencée par Leuret, désigne sous ce nom les
convexe latérale, mais très souvent, ' dans la partie de substance nerveuse intermédiaire; existe un - sillon transversal a
ronlal gyrus (IIuxley) ; Gyrus frontales me- 1 Anatomie des centres nerveux . Eilit. française de Relier et- Jlatliias- Dnva
nnectif est l'élément primi- tif de la maladie, et que les cellules nerveuses ne sont atteintes que consécutivement. » M. W
de ne traduire que très imparfaitement par l'expression « obtusion nerveuse », est un état t plus aisé à décrire qu'à resume
ésultant d'un mode vicieux ou incomplet de dévelop- pement du tissu nerveux . Anatomiquement, rien ne différencie le le tiss
t du tissu nerveux. Anatomiquement, rien ne différencie le le tissu nerveux de ces « obtus » du tissu nerveux des sujets nor-
, rien ne différencie le le tissu nerveux de ces « obtus » du tissu nerveux des sujets nor- maux ; et l'auteur est amené à
e que ce n'est point la quan- tité, mais la qualité de la substance nerveuse qui est imparfaite. De pareilles modifications
et cette théorie, aujour- d'hui acceptée par beaucoup, que la force nerveuse n'est qu'une modification spéciale du mouvement
ne sorte de viscosité des molé- cules constituantes de la substance nerveuse . Lorsqu'il est congénital, cet état peut être h
à mal faire». Si cette obtusion atteint surtout la portion du tissu nerveux qui est affectée aux opérations mentales, le da
ou et irresponsable. Au point de vue médico-légal, de pareils états nerveux ont une importance de premier ordre : sans rech
? ^ ,,f"» zn Observation. Homme de trente-six ans ; pas d'hérédité nerveuse .ni tuberculeuse. [Renseignements très incerta.
ns 80 à 85 pu100 des cas, et dérive d'un affaiblissement du système nerveux central, localisé sur lestractûs`p's3chiqüès; s
aturnine., de rattacher, aune altération fonctionnelle des cellules nerveuses ganglionnaires, la dégénérescence périphérique
des cellules pyramidales à une dégénérescence ascendante des fibres nerveuses sensitives section- nées qui, sans nul doute, d
u'à ce jour, point observé d'atrophie centripète gagnant les noyaux nerveux . Donc, il regarderait comme fort probable la re
ek -, croire que, dans la paralysie générale, l'atrophie des fibres nerveuses à myéline est primitive et que tout autre altér
ues généraux, fait par la méthode de Weigert, montre que les fibres nerveuses n'ont'pas disparu, qu'il n'existe pas, sous ce
x anatomistesJqui considèrent la' névrôglie comme étant ? de nature nerveuse ; et qu'il a essayé de démontrer qu'elle est pro
e l'hypothèse trop libérale des noyaux libres, parce que le système nerveux central possède beaucoup plus de cellules qu'on
à un contenu cellulaire. Il oublie que le développement du système nerveux central comporte une période fondamentale dans la
ute la substance finement granuleuse de la destruction des -fibres, nerveuses à myéline. On sait, depuis Koelliker et W. Krau
ier attribue aux cellules araignées la même origine qu'aux cellules nerveuses ; il les rattache au neuroépithé- blilini.' Mais
été veuille bien se joindre à'ia Société de psychiatrie et maladies nerveuses de Berlin pour,faire les démarches nécessaires
ussion est écartée, b.n '. n t 111. K\HL))\UM.SM)' les affections nerveuses et mentales de la jeunesse et, leur traitement
-stéroide accompagnée o non de conceptions irrésistibles (faiblesse nerveuse , neurasthénie). ! Souvent ces types ne se diffé
doivent souffrir d'anémies locales. Signa- tons'enfin des malaises nerveux semblables en tous points à ceux des hystérique
ment 1lI. IialiILaum comprend la Pédagogie médicale des maladies nerveuses et mentales des jeunes gens. Une première proposi
? . uyrrtyrr,1 t - ', ')i OCl);Tl ? D1 ? PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES - a,nrmnrtt rrr".rr,7 , ,'DE BERLIN' - o2nl·
uatrième paires cervicales, dès i-e^tions transverses, de faisceaux nerveux dont la forme' ressemble énormément à celles du
dans la subs- tance blanche; dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses dans leur voisinage. Les cordons postérieurs de
ralysie au sciatique poplité externe, par le fait que cette branche nerveuse serait la continuation du nerf lombo-sacré qui,
uY. (Thèse de Paris, 1884.) Contribution à l'étude des phénomènes nerveux de la fièvre ty- I)hoîde, leurs rapports avec l
I ° une épreuve écrite sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux pour laquelle il sera accordé trois heures; 2°
evue de nid- decine 1881,. Archives, t. VIII. 18 8 37t CLINIQUE NERVEUSE . dont l'apparence est plutôt un peu grêle. Tout
que lentement et difficilement, tandis que les bras et 376 CLINIQUE NERVEUSE . l'avant-bras sont contracturés. Le spasme dure
i est arthritique, sa DES ATTAQUES D HYSTÉRIE. 277 mère qui a été nerveuse , son frère aine qui jouit d'une bonne santé ; a
onte que c'est à l'âge de dix-neuf ans que les pre- miers accidents nerveux se sont manifestés. A la suite d'une frayeur oc
ès accusé du champ visuel (Fig. 8, 8, a et b). ' . , 280 CLINIQUE NERVEUSE . III. Points douloureux. Les seuls points doulo
vulsion clo Fig. 9. - Attaque de Rosa G...(Oss.I.) 282 CLINIQUE NERVEUSE . nique, pas de contractions imprimant aux diver
u bilatérale, pratiquée avec la main ou à l'aide de 281 le CLINIQUE NERVEUSE . la ceinture compressive, a toujours été impuis
e seule matinée, on a vu le manège du membre supérieur 288 CLINIQUE NERVEUSE . gauche se reproduire six fois de suite. Puis l
lles reviennent environ toutes ARCHIVES, t. V111. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE . les cinq à huit minutes; elles sont plus rares
malade fond en larmes, gémit quelques instants et est 292 CLINIQUE NERVEUSE . ' prise aussitôt après d'un fou rire. » N'est-
empiètent les unes sur les autres, de façon que les 29t CLINIQUE NERVEUSE . DES ATTAQUES D'HYSTÉRIE. diverses périodes con
es phthisiques. Grands-pères paternel et maternel alcooliques. Mère nerveuse . Grand'mère maternelle morte d'une affection pu
xante-six ans, en 1852, d'un catarrhe pulmonaire ; elle n'était pas nerveuse . Un frère qui, pense-t-on, est en Amérique; Cin
, ménagère, assez intelligente, sujette à des troubles digestifs et nerveux (gastralgie) : depuis quinze ans, elle éprouve
3° notre malade; 4° fille, dix-neuf ans, très iutelli- gente, très nerveuse , pleure et rit sans motif, n'a eu ni attaques n
SONNIEKNE. H07 forme d'une lamelle qui entraine un peu de substance nerveuse . Le foyer a une coloration jaunâtre générale av
plusieurs de ses grands parents, nous ne trouvons aucune affection nerveuse ou héréditaire dans la famille de notre malade;
ent séparé de la scissure callosomarginale par un pont de substance nerveuse , de sorte que l'on ne sau- rait dire qu'il dépe
rait au lobule paracentral que par un pont très étroit de substance nerveuse situé à la lisière du manteau des circonvolutio
o-occipitale. P. Kérwal. IX. La substance DE soutènement du système nerveux central ; par Gierke. (Neurol. Cenlrulbl., 1883
nature, l'auteur adopte les expressions de glie, névroglie, ciment nerveux de Virchow, et refuse de la consi- dérer comme
névroglie forme la substance de soutien et d'enveloppe des éléments nerveux ; elle sert de tuteur à chaque fibre, à chaque c
.VtII. 21 322 REVUE d'anatomie et de physiologie. tout le système nerveux central, depuis les méninges jusqu'au re- vêtem
- elle peu importante, que dans la moelle allongée, où les fibres nerveuses du stratum zonale d'Arnold arrivent tumultueuseme
n constate le mieux les rapports, parce que la plupart des fibres nerveuses ont un très gros calibre, et que la disposition e
re. Les cellules de la névroglie s'appliquent contre les élé- ments nerveux , soit par elles-mêmes, soit à l'aide de leurs pro
le; c'est elle qui cimente le nombre prodigieux des fines fibrilles nerveuses et les fibres amyéiiniques, tandis que les cell
s, tandis que les cellulesnévrogliquesassu- jettissent les cellules nerveuses . Il y existe aussi des endroits tout entiers co
de l'oculo-moteur commun correspondant. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXIII. Un cas d'affection chronique DE la moell
es accidents, mais après six ans de traitement. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 327 Dans la seconde observation, toutes les br
topsie. P. K. XXV. SUR la sclérose diffuse ET disséminée du système nerveux cen- TRAL, ET SUR la dégénérescence vitreuse en
euses, d'un tissu périvasculaire finement granuleux, et de cellules nerveuses ayant subi, elles aussi, la dégénérescence vi-
e disséminés dans les divers cordons. P. K. 328 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXVI. Contribution A l'anatomie pathologique d
pente conjonctive n'est pas continue, les gaines cornées des fibres nerveuses sont en connexion avec elle. L'auteur doute qu'
sur le tissu conjonctif, mais encore sur les fibres et les cellules nerveuses , sans qu'il soit permis de préciser davantage.
nte, traînante, engendrant la destruction graduelle de la substance nerveuse ; l'autre, à évolution rapide, dans laquelle le
nerveuse ; l'autre, à évolution rapide, dans laquelle les éléments nerveux seraient primitivement et promptement désagrégé
. La sensibilité est conservée presque par- 330 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tout, mais les réflexes cutanés sont soit anéa
, a la région cervicale, se composeraient essentiellement de fibres nerveuses en connexion avec les racines sensitives postér
rent à M. Schultze quelques aperçus sur l'ana- primitive des fibres nerveuses , et pense que l'expansion de la dé- générescenc
rectum, l'absence de phénomènes bulbaires. 332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Mort par une affection respiratoire intercurre
ules araignées, disparition absolue d'un certain nombre de cellules nerveuses ). Dégénérescence fort prononcée (nombreuses cel
l'observation est une femme de cinquante-neuf ans, sans antécédents nerveux personnels. L'affection a débuté il y a trois a
s. Il constate alors que la formation de vacuoles dans les cellules nerveuses ganglionnaires pourrait se produire par le seul f
ent une altéra- tion artificielle; que la pigmentation des cellules nerveuses constitue un état normal régulier; que l'hypert
des autour et jztsytt'ri l'i7ztérieur du 131 i- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . canal central est normale. - M. Sebulz ajoute
stances, nécessaire d'admettre que le sphincter REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 335 du pylore ne ferme pas suffisamment ou ne
. P. K. 1 Nous l'analyserons à ce moment. 336 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . \IaVII. Ilrl'EU'raoeulE GLIOUA'rEUSE DE LA PRO
MYLUNE dans L'LCOUCL du CLIiIE.IU; par Tlxzek. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 337 C. Remarques concernant cette note ; par M
fectés et toujours, dans ces trois zones, la raréfaction des fibres nerveuses à myéline était des plus nettes. Intégrité consta
Weigert 2. La méthode de Weigert ne fait res- sortir que les fibres nerveuses du plus fort calibre, elle est inégale et ne fo
d., t. VII, p. 365. Archives, t. VIII. 22 338 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et que les autres altérations lui succèdent, i
ord à la lisière de la substance blanche qu'apparaissent les fibres nerveuses à myéline, puis elles se montrent dans l'écorce
res zones du manteau dont la subs- tance grise contienne des fibres nerveuses à myéline. Et encore les circonvolutions précéd
circonvolutions précédemment nommées ne renferment-elles de fibres nerveuses à myéline que dans le tiers inférieur de l'écorce
nt; on C'est à une période plus tardive que se forment les fibres nerveuses à myéline dans le lobe frontal, qu'il s'agisse de
tiennent encore, dans la lisière de substance blanche, aucune fibre nerveuse à myé- line. P. K. XL.ASPHYxIE parles vapeurs
t connaissance. L'autre, personne vigoureuse, à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 339 laquelle un des assistants avait assez lon
, et les muscles masticateurs se paralysent 340 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . passagèrement; enfin, un mois plus loin, l'on
cathode, qui permettent de graduer la force du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3H courant : une diminution de la fréquence du
oque des altérations perinôvritiques. P. K. 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XHV. Sur la sommation DES excitations dans LES
ntrvlLl., 1883.) On dit qu'ily a sommation d'excitations d'un tronc nerveux quand ces excitations, trop faib)espare))es-m6m
tes) avec leur fréquence. La sommation des excitations sur le tronc nerveux s'opère plus facilement, quand le segment du ne
u Voy. Archives de Nemologie, t. VIII, p. S2. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 343 radial gauche; la troisième porte sur une
étaillée du malade présenté à la Société de psychiatrie et maladies nerveuses de Berlin (décembre 1882) Nous rappelons que l'
ion des signes allemands la leçon de M. Charcot Maladies du système nerveux , t. 111, fascia. i, p. 135, et comparative- men
oy. Archives de Neurologie, t. VIII, p. 99. 3t4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . phie bilatérale du nerf optique. Puis survenai
férieure valide perd une quantité de force pro- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3 15 portionnelle à la perte en force du bras
ses ueBer[iii, avril 1883, t. Viii, p. 251. 3t6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . llexes cutanés, un réflexe crémastérien très a
es tendineux. P. K. l11. Sur les altérations DE texture DES centres nerveux produites par l'inanition; par Rosenbvch. (JVe
cellules ner- veuses, de la névroglie et des vaisseaux, les fibres nerveuses et les parties constitutives du tissu conjoncti
tération arrive rarement aux phases ultimes. C'est sur les cellules nerveuses des ganglions spi- naux du grand sympathique qu
nt une bonne santé physique et étant exempt de toute prédisposition nerveuse ». R. M. C. XXXVII. Du prix relatif DES grands
s salles sépa- rées. M. Savage avuun cas dans lequel des troubles nerveux ont fait leur apparition au même moment chez de
développement, l'autre qui résulte de la disparition deséléments nerveux qui existaient auparavant. Le cas dont il s'agit
éléments eux-mêmes,- qui sont en majeure partie de petites cellules nerveuses étoilees, ne paraissent que peu altérés. Les
les nerveuses étoilees, ne paraissent que peu altérés. Les fibres nerveuses qui succèdent ordinairement à la couche granule
urologie, t. VII, p. 366. 2 Voy. Société de psychiatrie et maladies nerveuses , de Berlin (juillet 1883); Archives de Neurolog
r une dégéné- rescence primitive prenantson origine dans les fibres nerveuses . La moelle allongée ne révèle pas de localisati
. Les unes ont trait à la poursuite des libres au coeur des centres nerveux ; les autres ont été obtenues par la méthode des
l'influence de quelques médicn- ments sur l'excitabilité des fibres nerveuses . Dans l'ensemble des complexussymptomatiques qu
aments dits nervins, les modifications de l'excitabilité des fibres nerveuses périphériques ne jouentà peu près jamais aucun
tion locale, produisent des chan gements dans l'activité des fibres nerveuses . Ces transformations peuvent apporterleur conti
gent à l'intelligence de l'action toxique exercée sur les appareils nerveux complexes. C'est ainsi que les nerfs traités pa
tement de la sciatique au moyen du massage. Les manuels de maladies nerveuses les plus usités ne parlent pas plus que bien de
reuse et très flo- rissante, ne présentait aucun trouble du système nerveux , et ce- pendant, sans qu'on eût constaté de per
lieu. 3S. ! sociétés savantes. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE BERLli\'' Séance du S juillet 1883. Présid
raux agités. Les au très formes de perturbation mentale, l'insomnie nerveuse , etc., ne permettent pas de consigner de différ
ls se plaignent presque sans exception de toute sorte de sensations nerveuses (battements de ceeur, tremblements, chaleurs pa
himiques produit par l'ac- tivité de la matière vivante. Le système nerveux tout entier col- labore à la production des fon
même que les divers organes du corps viennent alimenter le système nerveux etqu'inversement celui-ci, de par ses propriété
iation; elle témoigne simplement qu'en dernier ressort le sys- tème nerveux est le locus dolens et que l'écorce, ainsi que le
sent des phases dans l'anomalie de fonctionnement des conducteurs nerveux malades; pour un même individu considéré, la foli
'histologie, d'anatomie, d'embryologie et de physiologie du système nerveux ; la psychophysique y tient notamment une large
du malade, c'est-à- dire à tel ou tel âge de la maladie des tractus nerveux , sous la forme aujourd'hui de mélancolie, plus
A. Après avoir exposé les processus de formation de chaque or- gane nerveux , après avoirmis en lumière la lutte qui, à un mom
résulte de l'excitation de l'organe psy- chique par une incitation nerveuse ; le mouvement ondulatoire gagne la cellule de
effets de l'hyperexcitabilité et de l'hy- poexcitabilité du système nerveux , ici aussi on a affaire au déve- loppement des
Brenner, Erb) à la physiologie pathologique du cerveau. Les tractus nerveux intracérébraux malades, mourants sont, en cela,
ment dit, toute psychose exprime le mode de réac- tion d'un système nerveux , et spécialement du cerveau, gêné dans sa nutri
marche sont identiques à celles de l'évolution de la dégénérescence nerveuse périphérique. Quand les trois stades présentent
a évidemment sous roche un trouble de nutrition avancé du système nerveux ; les manifestations observées trahissent la convu
: Considérations physiologiques et pathologiques sur les affections nerveuses dites hystériques. Paris, 1841 ; Plan et mémoir
e résultant de coups dans la région de la nu- que, 339. Centres nerveux (influence de la faim sur les), par Rosenbach,
oucher, 173. Démence paralytique (sur la dis- position des fibres nerveuses à myéline dans l'écorce du cerveau et leur ma
es muscles delà), 346. Faim (influence de la -. sur les centres nerveux ), 78. Faradisation générale, par Fischer, 100
un), par Shaw, 901. Inanition (altérations de texture des centres nerveux produits par], 346. Index bibliographique, 15
, Moreau de Tours, 127; Girard de Cailleux, 397; Dumesnil, 398. Nerveuses (excitabilité des fibres nerveuses sous l'influ
Cailleux, 397; Dumesnil, 398. Nerveuses (excitabilité des fibres nerveuses sous l'influence de cer- tains médicaments), 37
res nerveuses sous l'influence de cer- tains médicaments), 379. Nerveuses (fibres à myéline dans l'écorce du cerveau, a l
, 75, 235, par Gierke, 321. Nominations : N. Riu, 497. Oblusion nerveuse , par Kesteven, 206. Occupation (de l'), dans
ogique, 104, 219, 363. Société de psychiatrie et des ma- ladies nerveuses de Berlin, 246, 382. Strychnine (Injections s
e (Injections sous-cuta- nées dans quelques affections du système nerveux ), par de Céren- ville, 99. Surdité centrale u
t ataxie, 88. Syphilis et démence paralytique, 361. I . Système nerveux (traité des mala- dies du), par Blizzard (An. P
40 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 15, n° 85-90] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
z F. RAYMOND Professeur «le clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine «le Paris. COt.l.A
c des nerfs optiques éveilla l'attention sur une maladie du système nerveux , fit suspecter la paralysie géné- rale qui s'af
lésions suivantes : OEil droit. - 10 Rétine : La couche des fibres nerveuses est en certains points très altérée, les fibres
ésions sont surtout apparentes aux points où la couche des cellules nerveuses présente des altérations plus intenses. De nomb
à divers degrés, les altérations ordinaires des éléments du système nerveux : le gonflement du noyau et du protoplasme cell
sont réduites a leur noyau n, nombreux neuronophages d. les libres nerveuses , également altérées, nioliiii- formes en o ont
lules de névroglie. On les rencontre dans le voisinage des cellules nerveuses plus ou moins altérées, accolées à elles et sem
les pénétrer. Les lésions semblent surtout cantonnées aux cellules nerveuses de la rétine, et les autres couches ne présente
, le plus souvent, dirigées transversalement par rapport aux fibres nerveuses , et paraissent provenir surtout des parois des
de l'artère mais surtout de la veine pour pénétrer entre les fibres nerveuses . Nous venons de voir que c'est surtout, ainsi q
ait dans son voisinage aucun élément leucocy- taire. 0 Les fibres nerveuses qui constituent la papille apparaissent bien gr
papillaire apparaît dans toute son évidence au point,où les fibres nerveuses se recourbent pour gagner la rétine, et, où par
nt pas présenter d'altérations notables, et les faisceaux de fibres nerveuses qui la traversent ne nous sem- blent en aucun p
uvent rangées en séries le long de la surface externe des faisceaux nerveux , sont beaucoup plus impor- tantes que normaleme
ne semblent pas, à ce niveau, différer de la normale. Les fibres nerveuses paraissent pour la plupart normales et les lési
s, on ne trouve, dans la coupe transversale d'un faisceau de fibres nerveuses du nerf optique, que quelques cellules névrogli
ns ici jusqu'à quarante; ces cellules, disséminées entre les fibres nerveuses , accolées aux capillaires autour desquels elles
a réunion d'un certain nombre de cellules névrogliques. Les tubes nerveux ne présentent pas d'altération évidente. OEil g
, cantonnées à la couche des fibres et surtout à celle des cellules nerveuses , au niveau de laquelle elles sont en certains p
écrites pour l'oeil droit. Raréfiées en certains points, les fibres nerveuses sont réfractaires à la coloration par la fuchsi
eur minceur extrême en certains points. Dans la couche des cellules nerveuses , de nombreux éléments sont profondément altérés
ALYTIQUES GÉNÉRAUX. 17 différent de celle du côté droit. Les fibres nerveuses dans leur ensemble paraissent normales et leurs
roit. 1° Rétine : Pas de lésions apparentes de la couche des fibres nerveuses . La couche des cellules nerveuses présente quel
pparentes de la couche des fibres nerveuses. La couche des cellules nerveuses présente quelques éléments en voie d'altération
e la rétine dont l'épaisseur est normale. 2° Papille : Les fibres nerveuses sont d'apparence normale et leur nombre ne semb
s en o représenté un spécimen. On voit, en outre, que les faisceaux nerveux sont très riches en cellules de névroglie, ces
thode de Marchi ne nous révèle aucune altération notable des fibres nerveuses . OEil gauche. 1° Rétine : Celte membrane parait
de cellules conjonctives et névrogliques, situées entre les fibres nerveuses , n'est que bien peu supérieure à la normale, et
de formol à 40 p. 1000, ce qui nous a permis d'étudier les cellules nerveuses , la névroglie, la myéline à l'aide des méthodes
ntre très altérée dans toute son étendue. a) La couche des fibres nerveuses présente de notables altérations la plupart des
elques points ils ont totalement disparu, b) La couche des cellules nerveuses est celle qui présente le ma- ximum d'altératio
ions il n'est plus possible de retrouver même la trace des cellules nerveuses qui ne sont plus représentées, en quelques endr
. La figure 6 montre bien l'envahissement de la couche des cellules nerveuses par ces éléments tous pourvus de proto- plasma
evêt la même intensité; c'est en vain qu'on recherche les faisceaux nerveux constitutifs, tout élément noble a disparu : On
itutifs, tout élément noble a disparu : On ne trouve plus de fibres nerveuses , et la papille n'est plus constituée que par de
la. Seules sont représentées ici la couche des fibres et des cellules nerveuses et une paitie (le la couche granuleuse interne.
veuses et une paitie (le la couche granuleuse interne. Les cellules nerveuses ont disparu, à leur place nombreuses cellules d
i- sine de la rétine où en M, par exemple, la couche des cellules nerveuses qui ne contient plus un seul élément nerveux prés
couche des cellules nerveuses qui ne contient plus un seul élément nerveux présente une quintuple rangée de cellules conjo
et ne laissent plus constater au milieu d'eux l'existence de fibres nerveuses (voir fig. 7). 3° Le nerf optique est altéré
s; 7, rétine avec ses diffé- rentes couches; 7), couche de cellules nerveuses de la rétine au niveau de laquelle on ne rencontr
intense à mesure qu'on remonte vers le cerveau. L'état des fibres nerveuses du nerf optique nous intéressait au plus haut p
erf optique apparaissent presque uniformément jaunâtres, les fibres nerveuses encore entourées de myéline, étant très raréfié
gert pour la mjélme. travées conjonctives épaissies ; n, faisceaux, nerveux complètement remplis de cellules de névroglie d
oglie dont les uojau\ sont représentés par des points; m, faisceaux nerveux où. nous avons figuré les fibres à myélmc, elles
la lésion). Le nerl optique de V.... bien que moins riche en fibres nerveuses que normalement, étant donné la sclérose conjon
10 La rétine présentait des altérations de la couche des cellules nerveuses caractérisées par une série de modifica- tions
rations tout à fait semblables à celles qui frappent les cellules nerveuses de l'écorce dans la paralysie générale. 2° La p
l'écorce dans la paralysie générale. 2° La papille dont les fibres nerveuses disparues dans un cas étaient atrophiées dans u
s conjonctives de sa gaine piale, altérations diverses des fibres nerveuses . LE FOND DE L'OEIL CHEZ LES PARALYTIQUES GÉNÉRA
ns pas quant à présent de différencier les altérations des cellules nerveuses de la rétine de celles que l'on rencontre dans
f, altérations diffuses des cellules ganglion- naires et des fibres nerveuses de la rétine susceptibles de déterminer dans le
er dans les cas les plus avancés la destruction totale des cellules nerveuses de la rétine et la production de la sclérose pa
ion médicale, 1866. BOUCIIUT. Du diagnostic des maladies du système nerveux par l'ophthalmoscope, 1866. Voisin. Union méd
RAPEUTIQUE. La Rééducation motrice dans les maladies du sys- tème nerveux . Ses applications à l'ataxie des tabétiques ;
'est plus aujourd'hui de médecin habitué à la pratique des maladies nerveuses qui ne connaisse la rééducation motrice et ne s
ons faites alors de ces procédés thérapeutiques aux cas de maladies nerveuses ; pour ce dernier groupe d'affections, le besoi
nnels par exemple. C'est en tenant compte de l'influence du système nerveux qu'on comprend les effets d'une semblable éduca
qui leur sont donnés et transmis par les centres et les conducteurs nerveux ; les organes nerveux au contraire constituent
t transmis par les centres et les conducteurs nerveux ; les organes nerveux au contraire constituent le mécanisme délicat q
ans le second, il n'est pas douteux que c'est avant tout le système nerveux qui, par l'exercice méthodique, par l'éducation
organe altéré ; quant aux troubles de la motilité dans les maladies nerveuses , ils étaient aussi peu connus que celles-ci ell
de nouveaux chapitres s'ouvraient tous les jours en patho- logie nerveuse , et bientôt il fallut compter avec tout un grou
nt ou l'adulte que par un travail d'éducation spéciale des éléments nerveux qui com- mandent aux contractions musculaires e
evoir que, dans les cas où une perturba- tion quelconque du système nerveux est venue dérégler ce mécanisme délicat, sans t
n déficiente ; d'autre part, si les fonctions dépendant des centres nerveux moteurs présentent normale- ment des localisati
'elles soient les seules susceptibles de l'acquérir : que ce centre nerveux vienne à être détruit, ou que ses con- nexions
UCATION MOTRICE. 00 lement : c'est pourquoi, même en cas de lésions nerveuses profondes, de destruction complète de certains
obéir passivement aux ordres qui leur sont donnés par les centres nerveux et transmis par les nerfs. Enfin, la sensibilité
sibilité sous ses divers modes influence à tout instant les centres nerveux et les muscles, et assure d'autre part le contr
pas la seule. Bien que nous ne connaissions pas tout le mécanisme nerveux de la coordination motrice, quoique certains poin
d'autre part, elle se fait toujours par l'intermédiaire du système nerveux , or il s'agit en cas de troubles moteurs d'affe
d'affections essentiel- lement chroniques et elles-mêmes J'origine nerveuse , aussi ne saurait-on compter alors sur les réac
aux muscles, puisque leurs contractions sont réglées par le système nerveux et que c'est l'action de ce dernier qu'il faut
, mais c'est toujours aux modifications fonctionnelles du système nerveux qu'il faut revenir et notamment à ces deux pro-
mêmes de la rééducation motrice : la faculté qu'ont les éléments nerveux de régénérer leurs fonctions compromises : la pos
n par des auxiliaires, par un médecin ayant l'habitude des maladies nerveuses et connaissant les difficultés de la clinique,
ucation en géné- ral. Elle intéresse particulièrement la pathologie nerveuse . 3° La rééducation motrice résume l'ensemble de
nous n'avons plus à nous demander quelle part revient au système nerveux et quelle part aux muscles dans la genèse de tr
volontaire et de la coordination. Celle-ci est fonction du système nerveux et ne peut se reconstituer que par la réparatio
rveux et ne peut se reconstituer que par la réparation des éléments nerveux ou, à défaut, par leur rééducation. L'état de
s, sachant que le tonus musculaire n'est que la traduction du tonus nerveux et que ce dernier est influencé, entre autres c
rs semble préétablie chez l'enfant et dépend sans doute des centres nerveux inférieurs ; au contraire, la coor- dination, c
rationnelle et simple : l'hérédo-ataxique naîtrait avec un système nerveux et un système vasculaire débile, la débilité ne
vec un système nerveux et un système vasculaire débile, la débilité nerveuse portant sur le cervelet et ses voies ; les trou
à altérer du centre à la périphérie toutes les parties du système nerveux . R. C. IV. Recherches sur la structure anatomiq
erveux. R. C. IV. Recherches sur la structure anatomique du système nerveux chez un anencéphale en rapport avec le mécanism
éactions sensitivo-motrices malgré la dégéné- rescence des cellules nerveuses sur toute la hauteur du névraxe. En résumé, ce
gique rudimentaire, indépendamment dn fonctionnement des centres nerveux supérieurs et d'autre part, l'incompatibilité not
naire que l'on donne du fonction- nement et du mécanisme du système nerveux et les constatations que nos recherches histolo
elques endroits, et sensibilité à la pres- sion de plusieurs troncs nerveux (sciatique, péronier, médian, tri- jumeau, inte
erf crânien, pour atteindre avec le temps également d'autres troncs nerveux . Parmi les nerfs crâniens, le facial, plus rare
s spinaux, entraine la dégénérescence ascendante de quelques fibres nerveuses dans les cordons posté- rieurs. Il peut aussi s
bleu de méthyle, excelle pour la substance chromophile des cellules nerveuses . L'auteur emploie le violet de crésyle RRI de l
contact prolongé du sel mercuriel. Dans le second cas, un hématome nerveux en même temps que l'appari- tion des premiers t
filets qui s'y annexent en différents points. G. C. XII. Accidents nerveux consécutifs à la suppression d'une otite ; trép
at méningitique spécifique spécial, point de départ des altérations nerveuses . M. DUFOUR a aussi toujours trouvé des lymphocy
ire. La secousse musculaire dans les diverses maladies du système nerveux . M. MENDELSON (de Saint-Péter§bourg) résume ses
n lue par M. Marie au sujet de plusieurs cas de lésions des centres nerveux manifestement indemnes de syphilis et pourtant
rs de la lente incubation, que le tubercubeux présente des troubles nerveux et mentaux. Ce qui m'a le plus frappé à cette é
cette différence du milieu influe sur lés modifications mentales ou nerveuses . M. Jules Voisin. Dans mon service de la Salpêt
; les autres ne considèrent que l'activité particulière du système nerveux . Mais peu à peu le tempérament change de sens,
de sens, il ne désigne plus que l'excitabilité variable du système nerveux : Kant, Seeland, Wundt paraissent considérer ce
essentielles ; leur BIBLIOGRAPHIE. 111 1 rapport avec le système nerveux , les subdivisions ultérieures et dérivées. La f
le. Première ÉPREUVE écrite : (Anatomie et physiologie du système nerveux ). Les nerfs de la langue. Questions restées dans
preuve orale. (Sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux , 15 minutes de préparation, 15 minutes d'exposi-
e épreuve orale portant sur l'auatdmie et la physiologie du système nerveux soif transfor- mée en épreuve écrite ; 3° qu'il
e, 4 eurent dans les dernières années de leur jeunesse des maladies nerveuses curables, 2 seule- ment manifestèrent des défec
s nerveuses curables, 2 seule- ment manifestèrent des défectuosités nerveuses congénitales. Les 50 autres, soit 81 p. 100 éta
u professeur KRAFTELI,NG ; le célèbre spécialiste pour les maladies nerveuses est mort hier à Gratz. Asiles d'aliénés. Mouv
vendredis et lundis suivants, à la même heure. Maladies du système nerveux : M. Pierre Marie, agrégé; mer- credi à 4 heure
credi à 4 heures (Grand Amphithéâtre). Hospice DE BICÊTRE. Maladies nerveuses et mentales des Enfants : M. BOURNEVILLE, le sa
L'Université de Buda- Pest vient de fonder une clinique de maladies nerveuses et a dési- gné comme professeur le célèbre neur
rnat, aned. rundschau. Chipault (A.). - Etat actuel de la chirurgie nerveuse . Z In-8° de 800 pages avec 230 figures. Paris 1
e, ch. i, 1859. Dagron. Archives cliniques des maladies mentales el nerveuses , 1863. 8 Maret. Du délire des persécutions, th.
'imitation, dit M. Marandon, « est le besoin éprouvé par la cellule nerveuse de reproduire ce qui l'impressionne. Il nécessi
nctionnement des facultés mentales, en un mot, de l'état du système nerveux central. Si le système nerveux est taré, soit h
les, en un mot, de l'état du système nerveux central. Si le système nerveux est taré, soit héréditairement, soit d'une faço
ns à la suite d'une fluxion de poitrine ; elle était de tempérament nerveux . La malade, enfin, a eu cinq frères et une soeu
frères dont deux jumeaux morts en bas-âge. Un frère professeur, est nerveux . Une soeur bien portante s'intéresse particuliè
d'instabilité; d'un caractère mobile, elle paraissait en même temps nerveuse , sensible et émotive. En pension et au couvent
yperesthésie dans la région des ovaires, boule hysté- rique, crises nerveuses , évanouissements et tremblements muscu- laires
a situation, et sa santé était excellente, à part quelques troubles nerveux de nature hystérique, quand, tout à coup, l'obs
la suite d'une fluxion de poitrine. Sa mère vit, est bien portante, nerveuse . Une soeur est morte à la suite d'une paralysie
'esprit, mort^à la suite d'une attaque d'apoplexie. Ses deux soeurs nerveuses excentriques. Son frère faisant une bouffée de
deuse dans les magasins, ne travaillant plus la soie qui la rendait nerveuse et lui provoquait des crises répétées. Malgré
es. M.Louise F... a deux enfants dont une fille de ^quatorze ans, nerveuse , souffre de douleurs dans le ventre et par moment
eurs dans le ventre et par moments s'éva- nouit ; a la même maladie nerveuse que sa mère ; un fils, faible d'esprit, est por
éraux indiqués au commencement de ce travail. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 177 Bref, comme conclusion, nous estimons pouv
par- tenant à la grande classe des dégénérés. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Une observation de sein hystérique; par le D
ulier des os Archives, 2- série, t. XV. 12 n8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lésés (fémurs et os de la jambe). Les particul
ge de dix ans, à la suite d'un traumatisme cra- REVUE DU PATHOLOGIE NERVEUSE . 179 uien compliqué de troubles choréiques et d
es exemples de myasthénie caractérisée par l'inté- grité du système nerveux , et par l'existence de néoplasmes en dehors de
tres altérations. Par suite il conviendrait 180 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de penser que les relations qu'on a voulu étab
scle en est la note fondamentale. 11 suffit que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 181 celui-ci fonctionne un peu pour que se pro
à n'importe quel moment du jour, et dure 182 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . une demi-heure à une heure. On constate 30°, 3
rien aux papilles optiques; il n'existe pas de' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 183 douleurs de tête; la syphilis est catégori
nts pathologiques nets dans la famille. 184 -li REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . C'est le même type de nystagmus avec oscillati
s de faire un diagnostic et un pronostic exacts REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 18S d'une façon très précoce en l'absence de t
sont pas discutables. Le traitement a amené 186 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'amélioration immédiate des symptômes; et son
usquement, a présenté les phénomènes suivants : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 187 Picotement dans les fosses nasales suivi o
unehystérie symptomatique, toxique. G. C. 188 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXII. Paralysie asthénique bulbo-spinale; par
, la malade présentant de l'affaiblissement des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 189 facultés intellectuelles avec crises d'épi
vent atteinte, l'homme peut l'être aussi. 190 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . La conséquence de cette déglutition incessante
sommeil est mauvais. Il y a des troubles fonctionnels du système nerveux , céphalée, vertiges, asthénie neuro-musculaire
te. Ce tableau symptomatique se rapproche de celui delà dyspepsie nerveuse , mais les troubles gastriques, comme le fait rema
gestion morale, où un fort dominé un faible ; dans ceux de maladies nerveuses , où l'individu ne se possède pas assez ; dans l
nt le sujet présentait exactement les signes, mais dont les centres nerveux ne portent aucune lésion. Il s'agit d'une atrop
ophique sans alté- rations interstitielles ni vasculaires ; le tube nerveux est atteint primitivement. Inutile d'insister s
t-Pal ; Marchi ; coupes et dissociations) sur les pièces du système nerveux central et périphérique, démontre avant tout l'
bert Ballet reprendra ses leçons cliniques {Traitement des maladies nerveuses ), le Dimanche le, février, à 10 heures (Amphith
-I3 Baillière, éditeur. Giiipallt (A.). Etat actuel de la chirurgie nerveuse . T. Ier. In-8» de 800 pages avec 230 figures. P
écrit depuis sur ce sujet ont cru devoir y ranger tous les troubles nerveux qu'on peut obser- ver à la suite des opérations
e; son père, sa mère et son frère se portent bien, mais sont plutôt nerveux . Sauf une fièvre typhoïde légère dont je l'ai s
portait bien, tantôt mal. Pourtant, elle était très faible et très nerveuse et les gardes- malades la regardaient comme éta
félicitations à notre collaborateur et ami, le Dr Régis. CLINIQUE NERVEUSE . Travail du Service D'ELEC'CROTIiÉR 1PIE de la
assez intéressantes pour valoir une courte analyse. 238 clinique, nerveuse . z I. sur quelques particularités cliniques de
nt on ne retrouve pas les lionto- logues sur les autres territoires nerveux . D'ailleurs, rien n'est semblable entre les deu
ur, quelle que soit sa forme, suit toujours le trajet d'une branche nerveuse , débutant soit par le sus-orbitaire, soit par l
ontant « leur cours » avec plus ou moins de rapidité 240 0 CLINIQUE NERVEUSE . jusqu'au tronc principal et aux centres. Dans
roid ou de l'humidité, Archives, 2° série, t. XV. 16 242 CLINIQUE NERVEUSE . mais le passage brusque d'une température douc
a paru donner quelques bons résultats (pulvérisa- 12 Il. r CLINIQUE NERVEUSE . tion de chlorure de méthyle, stypage), mais il
e névralgie faciale. Nous avons eu recours à cet effet 246 CLINIQUE NERVEUSE . au même manuel opératoire, mais nous nous somm
e feuille d'étain souple découpée d'après le modèle de 248 CLINIQUE NERVEUSE . Bergonié et recouverte de plusieurs épaisseurs
un cas entre autres, la névralgie trifaciale datait de 250 CLINIQUE NERVEUSE . dix-huit ans. Un mois de traitement actif a fa
isante lorsqu'on applique des intensités élevées, mais 252 CLINIQUE NERVEUSE . lorsqu'on se contente d'une intensité ne dépas
s, si l'on juge l'amélioration suffisante, on pourra - 254 CLINIQUE NERVEUSE . interrompre le traitement, mais non pas le sus
un moment donné un ou plusieurs épisodes douloureux, 256 CLINIQUE NERVEUSE . épisodes il est vrai très supportables, et com
ue le courant continu. archives, 20 série, t. XV. 17 258 CLINIQUE NERVEUSE . G. Mode d'action. Ces résultats sont-ils effec
e les mouvements intenses, le massage, la pression sur les branches nerveuses au niveau de leur émergence, les mouvements de
De l'état actuel de la théorie de l'inflammation dans le sys- tème nerveux central; par E. STORCH. (Ceitti,albl. f.Nerueilae
et de la disposition du vaisseau ainsi que de l'endroit du système nerveux central atteint. La toxine peut aussi, en péné-
nité chimique, qui fait que l'agent toxique s'adresse à des groupes nerveux phy- siologiques, à des systèmes, et s'exprime
la marche de la lésion de bas eu haut, progressivement. Les fibres nerveuses disparaissent pour être remplacées par des fibr
s sont destinées à combler le vide produit par la mort des éléments nerveux ; les fibres névro- gliques se multiplient, mai
nce et de réaction locale et individuelle du tissu. Le parenchyme nerveux possède une très faible puissance' de régénérat
niques où l'irritation caresse les couches périphériques des fibres nerveuses , fouette la nutrition du cylindraxe et provoque
c activité modérée de la névroglie ; 2° la déca- dence des éléments nerveux avec conservation de la charpente de soutien ;
ie, modérément riche en noyaux, rappelant la disposition des libres nerveuses , fréquemment tra- versé par des fibres nerveuse
osition des libres nerveuses, fréquemment tra- versé par des fibres nerveuses amyéliniques; dans la zone margi- nale, cellule
disparu, montre bien qu'il s'agit de la com- pression d'une branche nerveuse indépendaute du facial, c'est-à- dire du nerf i
tion. [Revue neurologique, août 1901.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXVI. Les porencéphalies traumatiques ; par M.
la suite, l'existence d'une dépression ou 272 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . d'une perte de substance osseuse au point atte
ement et il est exceptionnel de voir une ménin- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 273 3 gite cérébro-spinale entraîner la mort d
n ; cypho-scoliose ; hypertrophie et dureté très marquée des troncs nerveux des extrémités ; hérédité simi- laire. L'obse
es. E. B. Archives, 2» série, t. XV. 18 274 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . f - XXX. Maladie de Friedreich et hérédo-syp
euls à gauche, le réflexe crémastérien est plus REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 275 faible à droite qu'à gauche, enfin le réfl
s causés par des modifications moléculaires généralisées du système nerveux pro- duits par la commotion. G. D. X\,TII1. C
soit du membre inférieur. XXXVI. Sur un cas de colique hépatique nerveuse ; par le , Dr HOBINSON. Observation de névral
u'une lithiase larvée. L'auteur donne quel- 376 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ques indications sur l'étiologie et le diagnos
de la névralgie et une raréfaction assez considérable des cellules nerveuses . Il existe de l'atrophie des fibres pyramidales
ue de la paralysie bulbaire asthénique, qui est REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 277 7 XXXVIII. Trois observations de paralysie
evue neurologique, janvier 1901 .) b E. Il. 278 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . matiques, toxiques, infactieux, némotrophiques
é de ces lésions et aussi de leur cause productrice. Ainsi la forme nerveuse de l'arthropathie est grave surtout parce que l
outre exister en dehors de toute altération organique du sys- tème nerveux , on ne saurait lui accorder la même valeur patho-
tic. La première manifestation motrice d'un tic REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 27f> est donc, au moins dans la majorité de
intercostales dues à une pleurésie grippale 280 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . et s'étant étendues peu à peu au plexus cardia
nes vraies ou coronaires, toujours graves, et en angines fausses ou nerveuses , toujours bénignes. Beaucoup d'angines fausses
ark sur le sujet. XLIX. Du pronostic dans les affections du système nerveux ; par IUDSON l3oaY. (Brit. naed. Jourra., novemb
e de l'agent provocateur, de l'altération morbide intime du système nerveux , au point de vue des symptômes géné- raux et du
e provoquée par la mobi- lisation de la peau. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 281 Les deux autres observations se rapportent
t à une famille de cinq personnes ayant présenté une même affection nerveuse et dont les troubles ont été déjà décrits par M
bles gastriques, l'auteur donne quelques observations d'accidents nerveux consécutifs à des indigestions. Ces observations
nt la plupart sur des sujets névropathes. 282 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . L'indigestion produisit chez les uns des synco
tions des nerfs périphériques (dégénération des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 283 libres nerveuses des nerfs intra-musculair
riques (dégénération des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 283 libres nerveuses des nerfs intra-musculaires, lésions des troncs n
s observations que le poison tuberculeux peut attaquer le système nerveux périphérique, il lui semble logique de rattacher
observe, par contre, un phénomène peu com- 284 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mun qui suit cette excitation; en touchant ave
ce de la rétraction de l'aponévrose palmaire et REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 285 de la pellagre, fait qui n'a pas été noté
tant une maladie qui porte son action spécialement sur le système nerveux , on peut soutenir, à cause de l'apparition de la
rétraction est un trouble trophique dû à une altération du système nerveux {Revue neurologique, juin 1902). E. B. LXVI.
érie des actes qualifiés de fonctionnels, 286 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . exception faite pour les fonctions de la vie v
lis héréditaire probable, ayant débuté cinq ans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 287 auparavant avec le tableau clinique d'une
lement la question de savoir si, par hasard, la lésion du système nerveux ne contribue pas à déterminer ou, au moins, à agg
des malades, en combattant les altérations nutritives des cellules nerveuses , par une meilleure irrigation du cerveau. Des é
dans ces cas, la cause delà dépression est l'action sur les centres nerveux de la toxine ou d'une des toxines du bacille tu
e les toxines tuberculeuses sont des poisons déprimant les cellules nerveuses . Les cas qu'il publie seraient donc comparables
r.»gion postérieure de la moelle forme nn bloc composé de l'élément nerveux , vasculaire et méningé. Les lymphatiques font p
breux cas où celle-ci est loin de suffire. Certains de nos malades, nerveux ou mentaux, sont en imminence de guérison, mais
CIÉTÉS SAVANTES. -303 en vue, que les lésions organiques du système nerveux sont sou- vent compliquées de symptômes de cara
des accerbations, tantôt des rémis- sions. 4. Présence des troubles nerveux spéciaux pour les lésions syphilitiques (céphal
n'a pas de rapport avec les voies dites conductrices de la cellule nerveuse ; il présente seulement un système particulier,
tion des auteurs. ' Hospice de la Salpêtrière. Maladies mentales et nerveuses , M. J. Voisin : jeudi à 10 heures. , , , ' On
G. Ballet a repris ses leçons cliniques (Trai- tement des maladies nerveuses ), le Dimanche 1er février, à 10 heures (Amphith
. 1/2 (Salon de la Salle Sainte-Anne). Hospice DE Bicêtre. Maladies nerveuses et mentales des enfants ; M. Bourneville, le sa
B Baillière, éditeur. CHIP.1ULT (A.). - Etat actuel de la chirurgie nerveuse . T. I". In-8° de 800 pages avec 230 figures. Pa
question est donc de savoir actuellement, si, en pré- 336 CLINIQUE NERVEUSE . sence des risques de lagasserectomie, l'interv
lle s'était aperçue Aucmvn.s, 2" série, t. XV. 22 1- 338 CLINIQUE NERVEUSE . d'une certaine gêne avec fourmillements et pic
ons insignifiantes'; les règles viennent sans douleur. 340 CLINIQUE NERVEUSE . A partir de septembre, la malade ne vient plus
déclare avoir eu quelquefois des crises qui paraissent 342 CLINIQUE NERVEUSE . avoir été des crises d'hystérie fruste, mais q
inue à venir de temps en temps. Les douleurs sont très 344 CLINIQUE NERVEUSE . supportables; elles sont rares et n'augmentent
ement d'une douleur semblable aune décharge électrique 346 CLINIQUE NERVEUSE . excessivement violente. Il a été soigné à ce m
endant vingt-cinq jours, mais à partir du 21 juillet 3118. CLINIQUE NERVEUSE . 1901, et après une crise douloureuse assez for
die, et un peu de tremblement mais sans exophtalmie. 350 CLINIQUE NERVEUSE . A l'examen physique on constate de la dilatati
les points d'émergence pendant une ou deux minutes. 35° ? 6HIQtJE nerveuse . de névralgie faciale à forme grave que présent
cause précise. Il Archives, 2e série, t. XV. 23 3 ? j 4 CLINIQUE NERVEUSE . faut noter que la malade a eu des dents cariée
, tabes, etc). Pas de troubles oculaires, pas de signe 356 CLINIQUE NERVEUSE . d'it,-yll. Syphilis improbable. La seule éliol
pagnée de troubles vaso-moteurs, injection de la face, 358 CLINIQUE NERVEUSE . chaleur gênante, rougeur des paupières. L'épip
te maladie, il existe une certaine faiblesse congénitale du système nerveux qui fait d'eux une catégorie à part de dégénéré
libromatose est l'indice d'une faiblesse coiigéîîi- tale du système nerveux , suivant l'expression même des auteurs, ce cas
s, mariée à vingt-deux, ayant eu huit grossesses normales. Hérédité nerveuse . Enfance normale sauf depuis l'âge de treize an
on définitive : ne recon- naît-on pas une place dans la séméiologie nerveuse à l'amblyopie unilatérale fonctionnelle, fût-el
Dr ROUDNEW. La question des rapports du vitiligo avec les maladies nerveuses est d'un certain intérêt; l'achromie cutanée pe
dominales et vésicales, mais un relâchement sphinctérien par action nerveuse centrale du centre correspondant. Un phénomène
que l'image motrice sexuelle mette en action de nom- breux centres nerveux , dont chacun apporterait ses éléments à cette i
des doigts suivis d'atrophies et de douleurs le long des tra- jets nerveux . L'infection est bien la cause de ces complicatio
'embarras peut être grand quand on trouve en dehors d'une affection nerveuse caractérisée le symp- tôme trépidation épilepto
aractères typiques et constants, surtout s'il existe chez un malade nerveux , dégénéré. On sait, en effet, que ce symptôme p
moteurs. L'étiologie des tics est celle de la plupart des maladies nerveuses et mentales. L'hérédité, l'imitation, le surmen
ts sédatifs, hyp- notiques stimulants qu'on donne ordinairement aux nerveux . Il ne faut pas cependant éliminer d'emblée ce
té est niée (12.50 p. 1 00), dans 22 cas sont notées des maladies nerveuses et mentales et l'alcoolisme du père et de la mère
uette uniforme et générale de neurasthénie la plupart des désordres nerveux mal définis et non classés qui n'appartenaient
ssification des désordres si déli- cats et si complexes du systèmes nerveux il doit subsister encore bien des ignorances et
st essentiellement une névrose dépressive par épuisement du système nerveux cérébro-spinal. Ce qui caractérise l'état neura
t cet état mental. Céphalée intense, en forme de casque. Dépression nerveuse pro- fonde. Fatigue, pesanteur des membres, dég
Conformément à sa théorie générale selon laquelle tous les troubles nerveux , ceux de l'hystérie comme ceux de la neurasthén
urelles, au moyen de « l'acte spécifique u, reflue vers les centres nerveux supérieurs et se crée des voies de dérivation e
- 111 ? M..., quarante-deux ans, habituellement bien portante, peu nerveuse et nullement dégénérée, a perdu son mari il y a
de atteint franchement d'une hyperexcita- bilité de tout le système nerveux viscéral et émotionnel, c'est-à-dire du système
le système nerveux viscéral et émotionnel, c'est-à-dire du système nerveux sympathique. Par contre, les grandes fonctions
e nerveux sympathique. Par contre, les grandes fonctions du système nerveux cérébro-spinal parais- sent intactes : sensibil
unique. Les causes qui agissent sur l'une des parties du sys- tème nerveux , fatigue, intoxication, infection, etc., ontbien
. Loc. cil,, 367. PHYSIO-PSYCHOLOGIE DES RELIGIEUSES. 435 système nerveux . En effet, elle tomba « pçu à peu dans une espèce
dégénérescence joue un très grand rôle, non seulement en pathologie nerveuse et mentale, mais encore en pathologie générale;
chent ensuite en présentations anormales. Guéries de leur affection nerveuse , elles accouchent de nouveau normalement, etc., e
mentaux ou physiques, lesquels sont unanimement admis en pathologie nerveuse et mentale, mais 'dont la valeur pathogénique,
1902). E. B. XXXI. Réseau endocellulaire de Golgi dans les cellules nerveuses de la moelle épinière ; par le Dr SouKHAKOFF.
faisait présumer qu'il y avait une destruction complète des fibres nerveuses du membre atteint, aussi les auteurs ont-ils ét
M. DE Bourgade expose les troubles du caractère et les phéno- mènes nerveux qui résultent des diverses affections de l'estoma
ques fixes, au commencement de marset la fin dejuillet, destroubles nerveux etmentaux lelsque anorexie, vomissements, const
lement ou plutôt expérimentalement par un indi- vidu sur le système nerveux d'un autre individu : cet état psycho- logique
ué essentiellement par une série de modifica- tions dans le système nerveux du sujet. Ces modifications varient selon le de
) l'atrophie primaire de certains sys- tèmes accessoires des fibres nerveuses ayant rapport aux mouve- ments. Le traitement d
ns la plupart des cas on. a trouvé des indications sur les maladies nerveuses et psychiques au moins chez 3 membres de la fam
-IDOJ. Vol XV. Juin 1903. N"90. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . Note sur un cas de bestialité chez la femme ;
énilal,1898, p. 268. Arscmves, 2· série, t. XV. 32 498 CLINIQUE NERVEUSE . On est très porté à la considérer comme une pe
a quand on lui eut donné des explications. A partir de 500 CLINIQUE NERVEUSE . cette époque elle éprouva surtout quelques jou
mâle bien conformé et vigoureux, sans avoir présenté aucun trouble nerveux . Elle ne pouvait pas manquer d'accepter l'allai
péciaux, qui n'ont cessé que environ cinq ans après la g02 CLINIQUE NERVEUSE . menstruation, à cinquante-six ans. Il n'existe
e. 4" II est des cas dans lesquels on peut rapporter les troubles nerveux de l'enfant aux orages sensoriels provoqués par l
; Association de l'hystérie avec les maladies organiques du système nerveux , les névroses et diverses autres affections 2 ;
ractères ressortissant en propre aux maladies organiques du système nerveux et les carac- tères positifs ou négatifs qui ap
neurasthénie, à la mélancolie, à la confusion mentale, à l'anxiété nerveuse . M. Bernheim paraît avoir à coeur de faire un d
page 938). Et, l'auteur, après avoir parlé, à propos de l'anorexie nerveuse , « d'une psychose d'évolution qu'il croit infec
vre, l'association de l'hystérie aux maladies organiques du système nerveux (Epilepsie et hystérie ; angine de poitrine vra
ratoire d'anatomie. La « policlinique pour les maladies mentales et nerveuses » com- prend une salle d'attente, une chambre n
he collection de types cliniques des diverses affections du système nerveux c de sorte qu'à l'occasion d'un cas spécial il pe
à fait isolée de ce pavillon favorise les admissions de malades « nerveux » qui entrent facilement de leur propre volonté à
-Scherbitz. Archives, 2* série, t. XV. 3t 830 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . A l'exception des pavillons cellulaires qui po
endie, avec le matériel nécessaire. (A suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LXVII. Un cas d'akathisie, d'après MM. Raymond
anxieuse, le coeur palpite, la face exprime la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 531 douleur, la terreur et l'angoisse : enfin,
ente pas des signes d'hystérie, mais il a dans sa famille des tares nerveuses importantes, et son père et sa mère étaient tou
locomoteur, sur l'appareil circulatoire, le rein, etc... Le système nerveux n'est point à l'abri de l'action, soit du gonocoq
deux observations publiées par les auteurs montrent que le système nerveux périphérique n'est pas épargné. Il s'agit, en e
e neurologique, février 1901). 1. Blin. , 532 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LXXIV. Paraplégie flasque avec exagération des
as les voies courtes médullaires. G. Carrier. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 533 LXXV. Formes cliniques du tremblement dans
34 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. présentait pas d'autres phénomènes nerveux , ni de paralysie des nerfs crâniens. , Se bas
aitement spécifique intensif et prolongé. G. C. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 835 LXX1X. Sclérodermie et atrophie musculaire
état de la conductibilité électrique. R. C. 530 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LXXXII. Une variété peu commune de myopathie a
rtionnel à la .gravité du phénomène myotonique, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 337 avec troubles qualitatifs et quantitatifs
amp de,Vicq d'Azyr. Presque en même temps que la case 8, les fibres nerveuses se myélinisent dans une région de l'écorce qui
us aigus et chroniques lésant le territoire nucléaire ou les fibres nerveuses du sphincter. En attendant les recherches micro
'être des pupilles dans le cours des maladies organiques du système nerveux central, M. Piltz en vient au phénomène pupilla
le. I. En effet, la vie végétative.régit la nutrition des centres nerveux supérieurs tout aussi bien que celle des muscles
L'écorce du cerveau étant le lieu où aboutissent les termi- naisons nerveuses de l'organisme périphérique et des viscères, les
troubles vaso-moteurs et trophiques dus l'alté- ration des centres nerveux . Cet oedème précoce montre une défaillance inte
Cet oedème précoce montre une défaillance intermittente du système nerveux et traduit l'action de l'infection sur les centre
RGE SouKHANOFF et Feliks GZ : IIiNIEC61. Les dendrites des cellules nerveuses de la moelle épinière chez les vertébrés adultes
tient, dans certains cas, une assez bonne imprégnation des éléments nerveux et une parfaite imprégnation suffisante de leur
evoir sur le corps 58Ë SOCIÉTÉS SAVANTES. cellulaire des éléments nerveux de la corne postérieure des appen- dices, rappe
instrument on réveille partout la sensibilité où la dégénérescence nerveuse a créé de l'anesthésie. Les anesthésies société
chial a montré que l'existence d'une quantité considérable de tubes nerveux laissa subsister une anesthésie absolue. Ici le c
e sur 190 sujets, dont 130 atteints de maladie organique du système nerveux , 45 normaux adultes et la enfants nouveau-nés.
IOGRAPHIE. portant sur les méthodes suivies dans l'étude du système nerveux sur son anatomie, sa physiologie, sa pathologie
l. Dans l'intoxicatiou alcoolique il existe, avant que le système nerveux suit définitivement lésé et que des faits cliniqu
les deux étais sont engendrés par un état corrélatif de la cellule nerveuse . De déduc- tiou en déduction l'auteur a) rive à
ement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales et nerveuses . ltap- porteur : M. le D'' Trenel (de Saint-Yon
l faut enten- dre par ces mots, par )lac Dnncan, 371. Accidents nerveux , consécutifs à la suppression d'une otite ; tré
type Charcot-\Iarie, par Soca. 536. AnEacÉl : l,a.r.. Voir slènze nerveux . Angoisse et anxiété, parSouques.101. J'ECTOU
s sensorielles, Voir Mémoire. Apophyse mastoïde. Voir Accidents nerveux . Apoplexie. Voir Orteils. ARG1LL-130BERTSO\.
ai-, 283. Asthme vésical, par Hawinski, 379. Ataxie. Voir Système nerveux . Un cas cl' - cérébelleuse aiguë d'ori- gine
asie par lésion droite du cer- v·eau, par .lolTroy, 203. Cellules nerveuses . Contribution à la technique de la coloration d
hose de - , par Ileiberg. 26n. Colique hépatique. Sur un cas de nerveuse , par Robinson, 275. Colonne vertébrale. V. Anky
clii, 284. GOLGI. Réseau endocellulalre de - dans les éléments nerveux de la moelle épinière. par Soul : llauolF, 30
Soul : llauolF, 307. Réseau emlocellllalre de - dans les cellules nerveuses ils la moelle épinière, par Soukliariolï, 154
ie, par Urissaud, 101. Ostéite. Voir Pagel. Otite. Voir Accidents nerveux . Pncnvméswcme. Sur un cas de liéinorrhagique,
es, par Marie Vaschitle, 292. Rééducation motrice. Voir Système nerveux . Réflexes. Des- musculo-tendinew complexes de
Secousses musculaires. Les clans les diverses maladies du système nerveux , par\Iendelson, 10î. Sein liystéi ique. Une obs
l0ïr. - médullaire et bulbalreprécoce, par Collet,185. Système nerveux . La rééducation motrice dans les maladies du -
ns les affections du , par .ludson Bury, 280. Tabès. Voir Système nerveux . fruste. Voir Argyll-Hobertson. . Voir Amyolr
ir abcès cérébral double. -(le t'apophysemastoide. Voir Accidents nerveux . Trépidation épileptoïde, par Lévi et liauer,
41 (1893) Archives de neurologie [Tome 26, n° 77-82] : revue des maladies nerveuses et mentales
S DE NEUROLOGIE PARAISSANT TOUS LES MOIS REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIIIECTION DE J.-
rer évidemment comme la preuve d'un amoindrisse- ment des fonctions nerveuses , d'un épuisement des organes. Ce n'est pas là u
se rattachent précisément à un arrêt du fonctionnement des centres nerveux qui servent à cette sensation tactile ou visuel
opinions de cet auteur sur les épuisements localisés des centres nerveux qui nous semblent encore bien hypothétiques, nous
avons toujours adopté ses idées sur l'épuisement général du système nerveux chez l'hystérique. « Le fait fondamental de l'h
reprenant la conception de M. Oppenheim parle aussi d'une faiblesse nerveuse incontestable, qui permet l'exagération des phé
uet ' et qui, aujour- d'hui, attire justement l'attention, les toux nerveuses , les sanglots, les hoquets, toutes sortes de mo
¡mo- tisme, suggestion, 1891, p. 191. 3 Charcot. - )lal. du syst. nerveux , t. I, p. 278, 296. 14 REVUE GÉNÉRALE. table
ncontre généralement chez les personnes atteintes de ces affections nerveuses graves et que j'ai rencontrés chez toutes mes c
quet, op. (;il., p. 481. ' Despine (d'Aix). Traitement des maladies nerveuses par le ma- gnétisme, 1840, p. 222; même remarqu
notre avis, écrivait M. Sollier, il n'y a qu'une sorte d'a- norexie nerveuse , c'est l'anorexie mentale 3. » Nous aurions peu
on 1 Despine (d'Aix), op. cit., p. 222. ' Charcot.. Mal. du sysl. nerveux , t. III, p. 238. 0 3 solfier. L'anorexie hystér
sain. Les actions et les réactions des diverses parties du système nerveux et même de tous les or- ganes, les uns sur les
chez les hystériques, le somnambulisme dispa- raît quand la maladie nerveuse se guérit 2. « Ce sont les maladies de nerfs et
umains sont hypnotisables en proportion directe de leur instabilité nerveuse ? «Nous devons ajouter, si notre petite expérie
s cas les auto-intoxi- cations', les maladies organiques du système nerveux 4, les diverses intoxications 3, les shocks phy
ls affaiblissent l'organisme et augmentent la dépression du système nerveux . 11 est un âge surtout qui est à ce point de vu
ins et les psychologues sur l'état mental des hystériques. CLINIQUE NERVEUSE , QUELQUES CONSIDERATIONS POUR UNE ÉTUDE COMPARA
il cette époque, me confier le soin de faire une étude 30 CLINIQUE NERVEUSE . comparative des paralysies motrices organiques
s motrices organiques, d'ailleurs généralement admises. La clinique nerveuse reconnaît deux sortes de para- lysies motrices,
st parfaitement en accord avec les données de l'anatomie du système nerveux qui nous montrent qu'il n'y a que deux segments
de là jusqu'à l'écorce cérébrale. La nouvelle histologie du système nerveux , fondée sur les travaux de Golgi, Ramon v Cajal
fibres de conduction motrices est constitué par deux neuron (unités nerveuses cellulo-fibrillaires), qui se rencontrent pour
isolément. Cela ne dépend que du siège et de l'étendue de la lésion nerveuse , et il n'y a pas de règle fixe pour que l'un de
paralysie cérébrale doit être cherchée dans la structure du système nerveux . Chaque élément de la périphérie correspond à u
dans l'axe gris, qui est, comme le dit M. Charcot, son aboutissant nerveux ; la péri- phérie est pour ainsi dire projetée s
par sa plus grande aptitude à la.dissociation, présente 32 CLINIQUE NERVEUSE . cependant toujours le caractère d'une paralysi
souvent attribué à l'hystérie la faculté de simuler les affections nerveuses organiques les plus diverses. Il s'agit de savo
diale, etc., sont parmi les affections les plus communes du système nerveux . Il est bon de faire observer ici, de manière à
ambe doit ètre traînée en masse. AucatvES, t. XXVI. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE . organique, elle reproduit l'aphasie motrice à
ontre avec quelle ténacité la sensibilité persiste en cas de lésion nerveuse . 36 CLINIQUE NERVEUSE. Si. l'on sectionne un
cité la sensibilité persiste en cas de lésion nerveuse. 36 CLINIQUE NERVEUSE . Si. l'on sectionne un nerf périphérique, l'ane
ent affaiblie, car il persiste toujours quelque part des éléments nerveux qui ne sont pas complètement détruits. En cas de
de critique sur l'aphasie, parce qu'il ne s'agit pas de 38 CLINIQUE NERVEUSE . centres séparés, mais d'un territoire continu
la lésion, qui dans les conditions données de structure du système nerveux produisent les caractères de la paralysie organ
localisation, de l'étendue de la lésion et de l'anatomie du système nerveux ? M. Charcot nous a enseigné assez souvent que
, doit être moins durable que la paralysie par destruction du tissu nerveux . Toutes les autres conditions leur sont com- mu
les autres conditions leur sont com- munes et l'anatomie du système nerveux déterminera les pro- priétés de la paralysie au
ériques doit être tout à fait indépendante de l'anatomie du système nerveux , puisque l'hys- térie se comporte dans ses para
uméros des Archives de Neurologie ; les paralysies hys- 40 CLINIQUE NERVEUSE . tériques en donnent la preuve aussi bien que l
qu'un autre côté de l'altération organique. Supposons que le tissu nerveux soit dans un état d'anémie passagère, son excit
n n'est pas fondée sur une connaissance appro- fondie de l'anatomie nerveuse mais sur nos perceptions tac- tiles et surtout
rante et indépendante de toute notion de l'anatomie du sys- tème nerveux . La lésion de la paralysie hystérique sera donc
est effacée. Alors la conception du bras existe dans le 42 CLINIQUE NERVEUSE . substratum matériel, mais elle n'est pas acces
nd le nerf en dedans, on aperçoit un infundibulum dont la branche nerveuse représente l'axe. Dans cette cavité il faut disti
au nombre de deux : l'une placée au-dessus ou en avant de la racine nerveuse , l'autre au-dessous ou en arrière. Aux lombes e
ée principalement DANS SES RAPPORTS AVEC LES ALTÉRATIONS DU système nerveux ; par L. STIEGLITZ. (AI'ch. f. Psychiat., XXIV, 1
bservation III. Paralysie spinale aiguë, vacuolisation des cellules nerveuses . Dégénérescence segmentaire des racines; dégéné
lw2tioz Il ? Paralysie d'un seul membre, vacuolisation des cellules nerveuses , dégénérescence très marquée des racines qui ce
sie générale, peut-il y avoir lésion concurrente de tout le système nerveux périphérique ? Existe-t-il entre la lésion de c
e la lésion de ce dernier et les processus pathologiques du système nerveux Archives, t. XXVI. 4 50 REVUE D'ANATOMIE ET D
ssus primitif est cons- titué par la dégénérescence de la substance nerveuse . Le nombre des observations existantes jusqu'ic
t absentes sur les coupes fraîches; sur ces dernières, les cellules nerveuses sont considérablement plus larges, leurs pro- l
Dr I\hNGAZzm. (Riv. sp. di fren., fasc. III-IV, 1892.) Le réseau nerveux de la corne antérieure (excepté dans sa por- ti
ATIJOLOGIQUE D'UN cas DE POLlOM1ÉL ! TE antérieure avec altérations NERVEUSES PéRIPHéRIE- QUES ; par F.-S.-John BULLEN. (The
nterpréta- TION difficile) observées SUR certains points DU système NERVEUX dans un cas d'hémiplégie spasmodique; par Edwin
L. minot. Sur les modifications de la physionomie dans les maladies nerveuses et mentales. Le rapporteur accompagne sa commun
celles qui dépendent de lésions de régions déterminées du système nerveux ; 2" la forme réflexe; 3° la forme essentielle.
bien portant et ne présente pas de traces de syphilis; sa mère est nerveuse , son grand-père maternel, alcoolique et un de s
); Délire de persécution (23 juillet 1880); Note sur les phénomènes nerveux du goitre exophthalmique (p. 292, 1874), etc.
Verneuil et Dareste. Dans le milieu et sur le terrain scientifique nerveux , qui ou- vraient les larges horizons à l'histoi
t sur ses genoux une fillette de quatre ans, affligée d'une maladie nerveuse pour laquelle on a, sans succès, consulté le do
Vol. XXVI. Août 1893. N" 78. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TUMEURS NÉVROGLIQ
oisière, salle Bouley, 'no 10. Archives, t. XXVI. 7 98 PATHOLOGIE NERVEUSE . Renseignements héréditaires. - La mère de M...
résent, je ne relevais aucun phénomène hystérique. 100 PATHOLOGIE NERVEUSE . Je discutai ensuite les dystrophies nusculaire
ées de la ligne médiane (davantage à droite). 0 10 : 2 PATHOLOGIE NERVEUSE . modes; il n'existe pas d'anesthésies, ni d'hyp
t cependant facilement à vaincre la con- tracture. 104 PATHOLOGIE NERVEUSE . La force musculaire est conservée. On constate
'était séparé de la surface que par une très faible couche de tissu nerveux , mesurant de 1 à 2 millimètres. Il s'est écoulé
te sérosité a été examinée au point de vue bactério- 106 PATHOLOGIE NERVEUSE . logique par M. le Dl' Netter,qui n'y a trouvé
t l'hyperthermie présentée par le malade était de nature pure- ment nerveuse . Il n'y a pas d'épanchement notable dans le can
nt par une infiltration diffuse, contenant encore de nombreux tubes nerveux écartés, dissociés et. tordus par les éléments
le, au ni\eau du col de la corne postérieure gauche. 108 PATHOLOGIE NERVEUSE . beaucoup plus nombreuses, en dedans. Ces derni
térieurs. Dégénérescence des faisceaux pyramidaux. 110 PATHOLOGIE NERVEUSE . La figure 4 représente une coupe de la moelle
cipale ait diminué de volume, la portion infiltrée a 112 PATHOLOGIE NERVEUSE . fait de tels progrès qu'elle a détruit complèt
tingue parfaitement du reste; son tissu ne contient plus d'éléments nerveux . Mais en dehors de cette formation, à laquelle
mêmes éléments néo- plastiques, qui tendent à étouffer les éléments nerveux ; tandis que dans la partie circonscrite de la t
même direction générale , il Archives, t. XXVI. 8 1J4 PATHOLOGIE NERVEUSE . en résulte la formation de bandes fibreuses qu
mes éléments, mais on trouve encore dans son épaisseur des éléments nerveux qui n'ont pas été étouffés complètement. Les ce
les. (Obj. ° Véric6, oc. 1. Hëmtoxime et éosine.) 'lez 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . s'épaissit, au contact de l'élément épithélial
us à son centre qu'un vaisseau en voie de dégénères- 118 PATHOLOGIE NERVEUSE . cence; à la périphérie, on aperçoit bien la me
Obj. 2, Vérick, oc. 1. Coloration de Pal et éosine.) 120 PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous venons de passer en revue les principales
, à différentes hauteurs de la moelle. Ce sont de petits fascicules nerveux , de forme arrondie, qui ressemblent parfaitemen
oprement dit, ils ne peuvent pas être considérés comme les éléments nerveux d'un neurogliome. En pratiquant un grand nombre
le pour les bacilles de la tuberculose. III. Lésions des éléments nerveux . Les éléments nerveux sont détruits soit par at
de la tuberculose. III. Lésions des éléments nerveux. Les éléments nerveux sont détruits soit par atteinte directe du néop
mpression, elles conservent encore leurs cellules et leur réticulum nerveux intacts en apparence, sauf vers le milieu de la
açon, particulièrement à droite (fig. 6). Mais cette 122 PATHOLOGIE NERVEUSE . lésion ne parait pas donner lieu à une dégénér
re travail. IV. Lésions des nerfs et des muscles. - Les gros troncs nerveux des membres supérieurs et inférieurs, examinés
res inférieurs, puis du côté de ses membres supérieurs des troubles nerveux dont l'intensité rapidement croissante le rédui
rapidement croissante le réduit bientôt à l'impotence. Ces troubles nerveux comportent dès le début un élément dou- loureux
e atrophie évidente, mais qui ne devient jamais très 124 PATHOLOGIE NERVEUSE . considérable. Il existe également quelques tro
de la moelle, l'écartement, le refoulement, l'étirement des fibres nerveuses ne permettent pas toujours d'apprécier exacteme
lancs environnants subissent une lésion à peu près 126 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . analogue à celle que l'on observe à la région
t Van Lair, sur des grenouilles, ont vu, au mi- croscope, des tubes nerveux régénérés. Sur les mammifères, Eichhorst (1874)
lus haut suffiront pour prouver qu'il s'agit là réellement de tubes nerveux régé- nérés, qui affectent beaucoup plutôt la d
haut. D'ailleurs, on comprendrait difficilement comment ces fibres nerveuses , perdues dans le stroma conjonctif de la tumeur
"» 7'T 1 (,J T'11ft a : : r'Ja'fffTT" a`f'3 '158 " ? - - PATHOLOGIE NERVEUSE . '. , i ,. 10-. 'Tf1 n\Jt. tJ 5.1 . (\ ? t\ \ t
lui donner lenom de gliome. Archives, t. XXVI. 0 130 . PATHOLOGIE NERVEUSE . Il existe donc différents genres de tumeurs dé
s, (dans le, cas acluel ? IésiIlI t,rop41qe 132 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . f.f'1 3f 'M7aa : fInO,ItlHT4r' 3Q ? UV3n de
,1() it ? ('t t.' /tt ? t0' ' .... En tout seize cent quarante-deux nerveux . '" " " l ' "i Chez les Jûisslôlîtroûve'5 \yphi
a'I 3 ? uavH3K h ? O`IGHTL9 sa ,·1 ? 3° Si ` .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 133 ..1) R3ft4h90'ItlA '9 aiirh 9jt;rt^ ? sa I
., pour .'résultat immédiat; une destruction localisée de substance nerveuse , suivie de> méningite" chronique : ' les' tr
1 ? n : I< : OQ . ! Ht. ,fi...'1 ! l ? 0 1 REVUE ),DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 135 IX;rcNŸRîBûTÎÓÑ A l'a1' SYMPT03f.1TOLOG1E'
e la première sphénoïdale^et du lobul i e 136 REVUE.DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pariétal inférieur ? mais, en cet endroit, 'la
nent à une lésion non pas du lacis du plexus, mais bien des racines nerveuses ? Exemple la paralysie totale et iiifé, rieure
! côté externe du bras ? dans le territoire t REVUE/ DE PATHOLOGIE NERVEUSE . '137 ; de 1 l'axillaire et du..inusculo-cutané
ouvent leur raison dans la diffusion des, lésions à tout le système nerveux . Les troubles sensitifs, la céphalée, les vertige
qués par Cl. Bernard. < 1 . , ]L'examen microscopique du système nerveux d'un malade faisant le sujet d'unei de ses obse
probabilité, débute en même temps en, plusieurs points du- système nerveux central et périphérique, mais plus particulière
r' secondairement par l'hyperplasie de né- 138 REVUETDE,PATHOLOGIE', NERVEUSE ;¡' « vroglic ? l'atl'Ophie l,et la ldégéuératio
;. atrophie des grandes cellules de Betz. Dégénérescence des fibres nerveuses à myéline. Les paquets 1 delcellliles accumulées;
due à des troubles dans la fonction des centres thermiques (fièvre nerveuse fonctionnelle). C'est probablement une fièvre d
'P,)T1"q 113'1''1 'f)n TOT-t" Aq -ts a Ia'( 140 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ^r rt ? r;' J. ·'1 ot , n.l ·, ' i, ,I91 'rfJ(
genou. Lorsque le patient est assis, le genou .revue DE pathologie NERVEUSE . 141 1 ! 1t"'\ J t /jj.i/ 0l') iw ? ·1 ? 1 1 1
on. C'est surtout le cas de ceux qui s'ac- .compactent de symptômes nerveux légers. Comme M. Charcot l'a dit, l'arthropathi
dans les deux cas; une- de' ces -observations ,REVUE¡DE PATHOLOGIE NERVEUSE . il 43 contientle résultat de d'autopsie,, ou i
? ? h." .J o1...I.J I rf;1"`I,je 1 P. K'I.T 144 REVUE DE PATHOLOGIE nerveuse . , Il ? , . I ' .1. t , XXVI. Du symptôme de
du cerveau. .. . l `r > > ` s lxf 1 REVUE 'DE -PATHOLOGIE - NERVEUSE .- 145 ' XXVIII.(1Un,cas d'anurie hystérique;, p
pathe ou déséquilibrée, à la suite de surexcitations ; la faiblesse nerveuse ouvre la scène, puis les mouvements déterminent
e absolue, ressemblent à des paralytiques. 148 REVUE, DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Cet état peut subsiste^ très longtemps. En) mê
cerveau;- l'autre, qu'il y a déve- loppement' imparfait (du système nerveux central et que les os crânienss partagent celte
t,un petit verre fI'de whiskey pour donner plus de force au système nerveux . 'Port ne'-Je fais une incision d'environ, troi
est que son état mental s'est amélioré, il est moins agité et moins nerveux qu'avant l'opération, s'assoit parfois pendant qu
s de ces der-, niers dans certaines couches, et le manque de fibres nerveuses . L'embryologie nous apprend que le cerveau se d
841. ' BOURNEVILLE. XIV. DES causes ET DE l'hérédité DES affections nerveuses ET LIEN- tales ; par RIÉGER. (Cenlrnlbl. f. Ner
es médicaments * dérivatif externes dans les maladies cérébrales et nerveuses . Le séton à la nuque est indiqué quand il y a c
, 5.) P. KERA VAL. BIBLIOGRAPHIE. II. La neurasthénie (Epuisement nerveux ) ; par A. AhTnIGU. Un vo- lume de la Bibliothèq
el ou tel appareil, il distingue les formes atteignant le sys- tème nerveux (cérébro-spinale, cérébrale, spinale, périphériqu
l'emploi des bromures qui amènent une sédation complète du système nerveux sans agir sur la maladie même. Aussi dans l'emp
L'ouvrage se termine par un chapitre sur le régime et l'hygiène des nerveux et l'abus de quelques médicaments (alcool, morphi
ue l'excès d'aliments hydrocarbonés est cause de tous les accidents nerveux . Il recommande une nourriture forte, composée d
de suivre dans ces études ardues de physiologie et de pathologie nerveuses : Au lieu, disait-il, de se laisser aller à la
iologiques facilement ap- préciables des divers états et phénomènes nerveux produits ; de se renfermer d'abord dans l'exame
eurs sur les sujets de cette catégorie surtout, que les diversétats nerveux , produits artificiellement, semblent atteindre
uivi par le Maître est réalisé. Une chaire de clinique des maladies nerveuses est créée pour lui, à la Salpêtrière. Ce n'étai
ostic ', et les deux volumes. de Clinique des mala- dies du système nerveux qui réunissent ses travaux pendant les années 1
umul de facteurs étiologiques ; trau- matisme, alcoolisme, hérédité nerveuse , 1801 ; Sur un cas de para- lysie radiculaire d
oréiques, les tiqzecux et dans quelques autres maladies des centres nerveux , 1802 ; - Sur un cas de paralysie générale prog
rapides et continues au traitement de quelques maladies du système nerveux . - 1893 : Amyo- trophies spinales réflexes d'or
e locomotrice progressive et de quelques autres maladies du système nerveux ; Les malades dans l'art. - 1890 : Deux bas-reli
rapides et continues au traitement de quelques maladies du système nerveux (1892). Bulletin médical : Rétractions fibi o-l
contractée 35 ans auparavant ; De la syringomyélie ; Des accidents nerveux provoqués par la foudre (1889) ; - Traitement d
r au lit ; non, c'est en calmant directement, paraît-il, la cellule nerveuse cérébrale en éréthisme qu'elle amena l'apaiseme
os trente-cinq sujets sié- gèrent aux organes visuels, digestifs et nerveux et aussi, chose plus importante, intéressèrent
importante, intéressèrent la nutrition générale. Du côté du système nerveux , outre la sédation, une certaine lassitude avec
ir eu une efficacité. Hirt, dans son Traité des maladies du système nerveux mentionne les accès de fièvre précédant la sclé
travail inédit, comme ouvrage spécial, sur la structure du système nerveux ou l'étude des manifestations de la force connu
l'étude des manifestations de la force connue sous le nom d'influx nerveux . Ces travaux devront con- courir au but que s'é
et cérébrale, les injections d'extraits organiques, la transfusion nerveuse . Physiologie, indications cliniques et thérapeu
ris, 1892. Librairie Ollier Henry. Pechère et Funck. - Le système nerveux dans la fièvre typhoïde. Brochure in-8° de 76 p
Vol. XXVI. Octobre 1893. N" 80 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . CONTRIBUTION A L'ETUDE DES TUMEURS DU CERVEAU
roduire un élément d'une aussi haute différenciation que la cellule nerveuse ; au point de vue plus spécial du système nerveu
on que la cellule nerveuse; au point de vue plus spécial du système nerveux , ces néoplasmes sont encore intéressants parce
aires et de leur parenté avec les éléments de soutien des cen- tres nerveux , les cellules de la névroglie. Je viens d'obser
licité presque schématiques : Ancull'Es, t. XXVI. 18 274 CLINIQUE NERVEUSE . 0 S ERVATION. Céphalalgie violente avec crises
compte, on porte le diagnostic de tumeur cérébrale. Les 76 CLINIQUE NERVEUSE . troubles de l'équilibre et les symptômes ocula
en arrière dans la circonvolution crètée, sa cavité. 278 CLINIQUE NERVEUSE . substance blanche : c'est un prolongement post
iquée suivant la ligne ce' des (lgtll'es 13 et 1 L 580 - CLINIQUE NERVEUSE . coupes après durcissement prolongé dans la liq
ue et un protaplasma trouble; 3 neuroblaste plus développé; 4 cellule nerveuse adulte du type multipolaire, avec vn gros noyau
vrogliques; tantôt au contraire le tissu parait composé de cellules nerveuses , à prolonge- ments multiples, et de filaments é
d'aspect légèrement fibrillaire, qui ne sont autres que des fibres nerveuses amyéliniques, Nous étudierons successivement ce
ctement le type de la névroglie, en un mot d'un gliome. B. Le tissu nerveux proprement dit a un aspect un peu blan- châtre
châtre et est, un peu plus ferme; il est constitué par des cellules nerveuses à différents stades de leur évolution et des fibr
reconnaissables à leur volume énorme, à leurs pro- 282 . ,CLINIQUE NERVEUSE . longements nombreux, à leur protoplasma troubl
eu intense par les différents colorants nucléaires; - 4° des filets nerveux amyéliniques qui forment des feutrages ou des f
Coupe prise dans une portion glanglionnaire de la tumeur; cellules nerveuses éparses dans un bain formé exclusivement par' des
rveuses éparses dans un bain formé exclusivement par' des filaments nerveux isolés ou groupés en faisceaux. Neuroblastes dess
t finement, grenu et ne diffère en rien du protoplasma des cellules nerveuses normales; il ne contient pourtant jamais de pig
fectuer. ' 11'1 .Il.... ,,1. 'i : o dll ,1(l Á}\ Y"" 2o4 CLINIQUE NERVEUSE . 4 . 19.11 ` . ` 1/ · t > - " fi. '1 ? >
nt par des cellules ganglionnaires du type pyramidal, des filaments nerveux et des neuroblastes; les vais- seaux sont rares
aitement vivantes et elles sont tapissées par un feutrage de fibres nerveuses , ainsi qu'on le verra plus loin. J'ai déjà dé
plasique(Tg.47). Dans les endroits où le tissu est fait sur le type nerveux pur, on n'aperçoit que des cellules ganglionnaire
e interstitielle ni fibres névrogliques (rtg. 18 et 19). Des fibres nerveuses amyéliniques plus ou moins groupées en fais- Fi
min et hématoxyline. (Immers. 1/10, Vérick, oc.) 1 286 " CLINIQUE NERVEUSE . ; ' ceaux parcourent le tissu dans tous les se
ppartenant à un neuroblaste destiné à remplacer la grande cel- lule nerveuse au cas où elle viendrait à manquer; 01 ? on trouv
éri- vent évidemment du petit noyau de remplacement de la cellule nerveuse . En descendant vers le néoplasme, on voit cette d
ion; hématoxyline et éosine. (Obj. 7, Vérick, oc. 3.) '288 CLINIQUE NERVEUSE . l'aplatissement subi par le centre blanc des d
collodion; coloration de Pal. (Grandeur naturelle.) 290 CLINIQUE NERVEUSE . . de coupes colorées par la méthode élective d
oigner de l'intégrité relative des tissus ; d'ailleurs les cellules nerveuses ne paraissent pas avoir souffert. Les circonvol
tangentielles des couches superficielle et moyenne. 292 CLINIQUE NERVEUSE . assez mal fournies. Dans la par- tie postéri
dehors du cerveau il n'y a aucune dégénérescence du reste de l'axe nerveux . Le bulbe et la moelle sont complètement sains.
ibres à myéline tangentielle. D'autre part, la subs- t 294 CLINIQUE NERVEUSE . tance blanche du lobe frontal droit est 'compl
upe horizontale. (Soc. méd. des 116 ? 24 juin 1892.) 296 CLINIQUE NERVEUSE . dois ajouter qu'à l'état, normal, ainsi que je
elles de l'écorce de l'hémisphère droit. (Loc. cit.) 298 1 CLINIQUE NERVEUSE . petites tumeurs renferment quelquefois une tra
voit .par ces quelques faits que les parcelles aberrantes de tissu nerveux , qu'elles 'restent dans les centres ou qu'elles
aucune anomalie psychique, me portent à croire' qu'il 300 CLINIQUE NERVEUSE . s'agit d'une tumeur primitivement développée a
celle de Rénaut (Note sur le gliome neuro-formatif et l'équivalence nerveuse de la névroglie, Gaz. méd., 1884), qui est la s
s tumeurs développées aux dépens des cellules formatives des tissus nerveux peuvent donc reproduire les deux espèces d'élém
quérir la diffé- renciation supérieure qui caractérise les cellules nerveuses . Dans un mémoire précédent je me suis efforcé d
ine. On voit quelle variété d'aspects les tumeurs issues du tissu nerveux peuvent revêtir; elles ont pourtant toutes une pa
nt les formes intermédiaires entre les neuroblastes et les cellules nerveuses , formes qui sont si abondantes dans la tu- meur
plus sûrement à dépasser la mesure de résistance de leur système nerveux et à s'intoxiquer d'une façon complète. Comme e
issent se rattacher à l'action lente et spontanée de divers centres nerveux séparés. A l'àge de trois mois, ces mouvements
on pendant laquelle la microkinèse est suspendue, les groupements nerveux s'organisent en vue de l'action qui va suivre : m
Si la microkinèse révèle une action spontanée de plusieurs centres nerveux disticnts, sa sus- pension révèle un arrêt temp
elle, il s'est produit, pendant l'arrêt du mouvement, un groupement nerveux aboutissant à l'activité. . En poursuivant l'
nformité de cette loi que s'accom- plit la coordination des centres nerveux . Chez l'adulte, les groupe- ments nerveux qui c
coordination des centres nerveux. Chez l'adulte, les groupe- ments nerveux qui correspondent aux idées sont déterminés par l
une action intellectuelle défectueuse, parce que la somme d'énergie nerveuse d'un groupe de cellules n'est pas plus considér
ce du milieu soit réelle, car si les lésions organiques des centres nerveux étaient la cause unique et primordiale de l'alién
e affection, décrit des lésions des cornes antérieures ? Le système nerveux périphérique sensitif ou moteur y a été trouvé
n systéma- tique, car comment englober dans le système des cellules nerveuses atteintes. Enfin je n'ai vu qu'un tabes typique
s. Il formule le mécanisme suivant : A l'état normal les extrémités nerveuses sen- sitives sont le siège d'un état de tension
uilibre de la nutrition et la fonction des nerfs. Aussi, les fibres nerveuses du bout périphérique du nerf dégénèrent- elles.
absolu ; ornais la grande fréquence' des tares 344 BIBLIOGRAPHIE. nerveuses dans la race juive, sa prédisposition remarquable
r- tophilus, Ahasvérus, Isaac Laquedem, relèvent de la pathologie nerveuse , au même titre que les névropathes voyageurs de l
n'arrive à perpétuer lés symptômes. Les. malades sont toujours très nerveux , et il, semble qu'il existe là une idiosyncrasi
apporter de son autopsie que ce qui a trait aux lésions des centres nerveux . Le cerveau paraît absolument indemne : on ne t
niveau de la partie supérieure de la protubérance. . 1 faisceaux nerveux des voies pyramidales; 2, 2', faisceaux transvers
M. Pierret a longuement insisté, sur la disparition de ces cellules nerveuses comprises à l'état normal entre les fibres des
rches expérimentales sur les propriétés et les fonctions du système nerveux . 2" édit. Paris, 1842. ' Luciani. Linee general
lcer's 7/aMHtMMcA. Bd XII, p. 768. 2 Huguenin. Anatomie des centres nerveux . Trad. Keller. 1879. 3 Bechterew. Rapports fonc
symétriques pendant toute l'évolu- 1 Edinger. Anatomie des centres nerveux . Traduction Siraud, 1889, r p. 207. SUR UNE L
dernière affection; dans l'une et l'autre il s'agit de conducteurs nerveux cheminant au milieu d'un tissu de sclérose, que
ombre de deux ou trois, 1 Charcot. Leçons sur les maladies du syst. nerveux , t. I, p. 267. 374 RECUEIL DE FAITS. comme c'
C'est M. Magnan qui en a donné ' Magnan. Recherches sur les centres nerveux . Paris, 1893. 376 RECUEIL DE FAITS. l'explica
elure dense. La face présente un léger degré d'asymétrie. Les tares nerveuses abondent dans les antécédents héréditaires de B
rchives de Neurologie, 1892), et Magnan, Recherches sur les centres nerveux , 2e série. Paris, 1893. PERVERSIONS SEXUELLES
vement cité le cas de cet homme dans ses Recherches sur les centres nerveux (p. 31). Nous avons relevé et reproduisons in e
J. T...n'a jamais eu ni maladie grave, ni convulsions, ni troubles nerveux reconnus pendant sou enfance. Son développement s
ce qu'a essayé de préciser Hughlings Jackson. Pour lui, le système nerveux central se compose de trois plans superposés repr
bouteille de Leyde, il pose comme principe que tous les phénomènes nerveux sont dus à une décharge nerveuse, c'est-à-dire
me principe que tous les phénomènes nerveux sont dus à une décharge nerveuse , c'est-à-dire à la mise en liberté de l'énergie
rveuse, c'est-à-dire à la mise en liberté de l'énergie des éléments nerveux : cette décharge accompagne la fonction nerveus
nergie des éléments nerveux : cette décharge accompagne la fonction nerveuse normale; c'est seulement dans les cas anormaux
ings Jackson. Mais M. Christian fait observer que si par « décharge nerveuse » on entend, comme Spencer, la « simple mise en
me Spencer, la « simple mise en liberté de l'éner- gie des éléments nerveux , » on fournit une explication qui n'ex- plique
e la lymphe cérébrale. De là des troubles de nutrition des cellules nerveuses , des modifications de l'innervation des fibres d'
bachiques et vénériens; hystérie avec accès périodiques de troubles nerveux et psychiques complexes associés. Perversion du
est la lésion anatomique primitive du tabes ? Sont-ce les éléments nerveux , est-ce le tissu conjonctif ou conjonctivo- vas
essentiel. Il nous faut donc en revenir au parenchyme et aux libres nerveuses dont la déchéance entraîne consécu- tivement le
lente pour déceler de très bonne heure la dégénérescence des fibres nerveuses et, par suite, pour l'élude expérimentale des f
brunâtre, dans lequel on distingue parfaitement fibres et cellules nerveuses . P. K. Archives, t. XXVI. 26 402 revue d'anat
nfondent. Donc, chez l'homme comme chez les animaux, les cellules nerveuses qui occupent l'extrémité caudale de la couche opt
ans l'espèce des mêmes lésions que celles qui frappent les cellules nerveuses en d'autres parties du cerveau et que leur der-
c carotte et la théorie « navet » appliquées à l'étude des centres nerveux . Il faut forcément une fusion et dire que le pr
tres nerveux. Il faut forcément une fusion et dire que le processus nerveux fonctionnel de l'écorce est sensitivo-moteur. E
diamètre. Au-dessous de cette couche externe est une bande de tissu nerveux de 150 d'épaisseur, bien délimitée vers la périph
. On y distingue 1° des noyaux du tissu conjonctif; 2° des cellules nerveuses à forme pyramidale constituées par un noyau ent
larges noyaux irrégulièrement ovales, formés probablement de tissu nerveux propre. A la partie la plus profonde de l'écorc
corce con- siste dans la prédominance des noyaux, soit des cellules nerveuses , soit des cellules du tissu conjonctif et dans
ées émises par M. Bevan Lewis au sujet des altérations des cellules nerveuses et de leurs noyaux dans l'épilepsie. R. M.-C.
très fré- quents chez certains animaux. R. M.-C. XLIV. La CELLULE NERVEUSE CONSIDÉRÉE COMME BASE DE LA £ neurologie; par S
posé des plus récentes recherches sur la constitution de la cellule nerveuse , et en particu- lier des importants travaux de
uillet 1893. -PRÉSIDENCE de M. CHRISTIAN. Traitement de la céphalie nerveuse par la douche statique avec les disques ci poin
nvisagée comme mo- ment étiologiqzie dans les affections du système nerveux . Se basant sur les données que nous fournit la
on peut expliquer tous les cas de lésion biennorrhagique du système nerveux soit par la myopathie arthro- pathique, soit pa
ffisantes, il est prématuré d'expliquer ces ailec- tions du système nerveux par l'urëthrite blennorrhagique antérieure et q
pinière quoiqu'on l'ait cherché. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE et MALADIES NERVEUSES DE BERLIN Séance du 13 juin 1892. Présidence
f optique; l'aplatissement était dû à la compression des trousseaux nerveux qui finissaient par s'atro- phier ; ces altérat
io-sclérose et tiennent à une altération mé- canique des trousseaux nerveux ; car ce sont les trousseaux ner- veux centraux
orts avec le rétrécissement concentrique, des affections du système nerveux ceza- li-al. Qu'est-ce que la fatigue du champ
St'ffan); asthénopie neurasthé- nique (Beard-Wilbrand) ; asthénopie nerveuse (Wilbrand). L'asthé- nopie nerveuse en question
e (Beard-Wilbrand) ; asthénopie nerveuse (Wilbrand). L'asthé- nopie nerveuse en question est l'expression locale d'un état gén
en question est l'expression locale d'un état géné- ral"du système nerveux ; elle va de pair avec une exagération de la sen
nombreux qui s'observent du côté des fonctions physiques du système nerveux central ou péri- phérique et qui consistent en
nt liée à la neurologie. Du côté des systèmes autres que le systèmo nerveux , on observe souvent des troubles chez les alién
GRAPHIQUE. Dacionet (J.). Les nouvelles recherches sur les éléments nerveux Brochure m-8°de 47 pages. Prix, 1 11·, 25. Pari
quarts des malades venant me consulter viennent, pour des troubles nerveux . Si cette fréquence des névroses chez le Vendée
périences sur le rôle que peut jouer l'hypnotisme dans les maladies nerveuses , en particulier dans l'hystérie. J'es- saierai
tre mois. Guérison. (Une séance.) B..., dix-neuf ans, mère et tante nerveuses , plusieurs soeurs hys- tériques. Dès son bas âg
r et de marcher. A son réveil, elle demande à haute voix et système nerveux , les névroses et diverses autres affections, par
ois. Guérison (une séance). G..., treize ans, père hystérique, mère nerveuse , présentant de- puis cinq mois de vives douleur
é qu'autrefois. Depuis cette époque, il n'a présenté aucun accident nerveux . - A propos de ce dernier cas, il me semble uti
s ovariennes. Guérison. Demoiselle Br..., vingt-deux ans. Mère très nerveuse , père très vif, frère hystérique avec crises co
ulsives. Jusqu'à l'âge de seize ans, n'avait présenté aucun trouble nerveux , quand, à la suite d'une vive contrariété au su
de six années dans des hôpitaux spécialement affectés aux maladies nerveuses , posséderait à un suprême degré ce que l'on app
. Demoiselle Maq..., vingt-cinq ans. Mère alcoolique, soeurs très nerveuses , vint un jour à mon cabinet; elle était aphone et
nou chez un garçon de onze ans. Guérison. X..., onze ans. Mère très nerveuse , père congestif, n'avait jamais rien présenté d
sorte de bégaiement, ce bégaiement qui termine souvent ce phénomène nerveux . Outre ce bégaiement, je constatai que la mémoi
édité chargée. Père, mère très ner- veux, tantes et oncle également nerveux . Tous les enfants de cette femme présentent des
le avait un rétrécissement du champ visuel considérable, la boule nerveuse lui montant à la gorge et l'étouffant, une diminu
ul vomisse- ment. , Observation II. G..., trente ans, mère très nerveuse , soeur nerveuse, père con- gestif, souffrant de
nt. , Observation II. G..., trente ans, mère très nerveuse, soeur nerveuse , père con- gestif, souffrant depuis trois mois
n'ai pu avoir de renseignements bien précis au sujet de l'hérédité nerveuse de cette malade. La femme S... n'a que des souv
ues de son père et de sa mère. Une soeur et ses frères auraient été nerveux . Comme elle, ses enfants sont tous très nerveux
frères auraient été nerveux. Comme elle, ses enfants sont tous très nerveux . Jusqu'à l'âge de soixante-quatorze ans, notre
En présence des antécédents de cette malade, des quelques troubles nerveux présentés jadis (cons- triction à la gorge, éto
suggestion sans sommeil. G..., quinze ans, mère hystérique, tantes nerveuses , vint me DE L'HYSTÉRIE EN VENDEE. 463 consult
ssement concentrique très marqué du champ visuel sensation de boule nerveuse lui serrant la gorge et la suf- foquant. Le gen
chappe- ront donc dans cette relation. G..., vingt-cinq ans, mère nerveuse , père alcoolique, n'a rien présenté d'anormal j
ient à une famille de névropathes, père, mère, tantes, oncles, tous nerveux . Pas de tuberculeux dans les ascendants et les
stérique. J'avais bien toujours jusque-là considéré ma malade comme nerveuse . Mais je n'y avais attaché aucune impor- tance,
aison le père et les deux filles, tous trois hystériques avec boule nerveuse , rétrécissement du champ visuel, plaques hystér
nts pris au hasard dans le canton de Saint-Fulgent, je trouverai 90 nerveux , hystériques ou neurasthéniques. Saint-Fulgent
vie est si calme, les habitudes si austères, trouve-t-on tant de nerveux ? Est-ce l'alcoolisme des parents ? On boit en ef
plus ou moins rapproché. Supposons à l'origine deux ou trois troncs nerveux à côté de deux ou trois troncs non nerveux. Le
ine deux ou trois troncs nerveux à côté de deux ou trois troncs non nerveux . Le mariage des branches de ces différents tron
xcep- tion issus de ces branches devaient porter avec eux la tare nerveuse . Il y a enfin cette autre considération qu'un p
ations terrifiantes ne sont-elles pas propres à ébranler le système nerveux , à le surexciter, au point de produire bientôt
é névropathique surtout que sont dus ces nom- breux cas de maladies nerveuses , hérédité, il est vrai, qui se trouve doublée p
e opération chez des femmes saines d'esprit. C'est dans les centres nerveux qu'est le siège du mal et non dans des organes
dégénérescence Wallérienne - ceci est très remarquable, car le bout nerveux tient encore à son centre trophique. Cependant
ent une influence trophique sur les fibres qui'partent des cellules nerveuses ; 4°'quand on'coupe untmembrH'ou un nerf,nles exci
H'ou un nerf,nles excitations normales' qui 'partent des extrémités nerveuses sont remplacées par. des excitations différente
dégénérescence lente'et continuellement pro- gressive des fibres . nerveuses qui', en' partent : ' 5° les extrémités ner- ve
s); 7° les mêmes causes qui président a la dégénérescence des bouts nerveux centraux président aussi à l'altération des fib
centraux président aussi à l'altération des fibres que les cellules nerveuses des ganglions spinaux envoient à la moelle. Ain
maux, ce. qui prouve leur indépen- * danco embryogenique du système nerveux , central.du. tuyau me- " dullail'e.,w.,m.,nrn M
fois'do plus, L que le nerf opliquc,et la rétineémanent du, systôme nerveux contrai, t L'on sait en effet que ]a vésicule o
rs supérieur du noyau de l'hypoglosse, existe un groupe de cellules nerveuses situé en dehors etf uiîc peu u au-dessus du noy
uivent,la privation ,de' cet exci; 1 tant ressemblent aux accidents nerveux qui accompagnent la bas-3 ' p...T;- >;r ? ..
Contribution à l'élude des affections postsyphilitiques du système nerveux central et périphérique. Le malade en ques- tio
C'est donc un complexus autonome indépendant de toute autre maladie nerveuse organique ou fonctionnelle qui appartient réell
ique du nerf séparé. Ces cellules pénètrent dans la lumière du tube nerveux ; leur protoplasma boit les gouttes de myéline du
tout à fait aux cellules granuleuses des dégénérescences du système nerveux cenlral. On les rencontre d'ailleurs dès la qua-
CIÉTÉS SAVANTES. 499 dant rien à faire avec la régénération du bout nerveux . Pour former déjeunes fibres nerveuses, il faut
e avec la régénération du bout nerveux. Pour former déjeunes fibres nerveuses , il faut du tissu conjonctif. La régénéra- tion
. Le sixième ou septième jour, commence cette néoplasie de fibres nerveuses jeunes extrêmement minces; à peine nées, celles-c
ne nouvelle des jeunes fibres. En tout cas, il n'y a ni hyperplasie nerveuse discontinue par cellules isolées ou systèmes de
lules indépendantes, ni réunion par première inten- tion des fibres nerveuses sans dégénérescence du bout périphé- rique. (Vo
ès un sommeil de quelques heures; chez d'autres, notamment chez les nerveux , la réparation est si lente que les signes de l
ses simulatrices et des névrites de l'autre. SOLLIER. IX. Système nerveux dans la fièvre typhoïde; par V. Pechère et M. 1
XIV. L'hydrothérapie dans les maladies chroniques et les maladies nerveuses ; parlesDSBENI-BARDE etMATERNE. 1 vol. in-8°. Mass
t de passer en revue toutes les affections chroniques et du système nerveux . Ils ne se sont pas contentés d'indiquer la mét
erveau amenant une surexcita- bilité excessive de certains éléments nerveux . Tous les chapitres consacrés aux affections me
t dans leur livre d'une façon spéciale du trai- tement des maladies nerveuses par l'hydrothérapie, auraient dû rappeler les t
endant la journée du lendemain, le cours du professeur des maladies nerveuses a été exclusivement consacré à un exposé des tr
893. Au Siège social. Charcot. - : Clinique-des maladies du système nerveux (leçons du professeur, mémoires, notes et obser
r. " ' J' VIALET. Les centres cérébraux de la vision et l'appareil nerveux visuel intra-céréúml, avec une préface du D' De
' sagée comme moment étiologique dans les affections du système nerveux , par Dourdorfi; 419. , Blépharoptose, lésions a
? ' =r" ¡ud Causes, des 'et'de l'hérédité dans les 1 affections 1 nerveuses etf men- , 0, taies, par Rieger,' 1G ? .1" 11/9
rale' avec psychique, 'par Vorster, 1fI5 ? - I P'1'JIII.) Cellule nerveuse , la considérée "comme base''de' la neurologie,
des mél31ca- ments - externes dans les mala- 'dies cérébrales et nerveuses , par Erlenmeyer, 165. ; , Diplégies, - cérébr
s aliénés, par Pelle- blini, 322. Ea.a.umr, - dans les maladies nerveuses et mentales, par Ven- tura, 236. ' ' 1 Exerci
372. , Hérédité, des causes* et de 1' i. ' dans les affections nerveuses et ' mentales, par Rieer, 162; normale etlrat
Craème M. Ham- q'Ínond 56 cas'' de ? antérieure avec altérations) nerveuses péri- phériques, par J., Bullen; 58. '; Polit
M1'I;LIE, cas de pellagre avec - , par l'ellizzi; 131. ? Système ^ nerveux . «Contribution au développement' pathologique d
, 410. 'Typhoïde, psychose et , fièvre ? Par Klinke, 389. Système nerveux dans la fièvre , par' Pechère et ,·runcl : ,
42 (1894) Archives de neurologie [Tome 27, n° 83-88] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
E ARCHIVES DE 7 1 · NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CIIAIICOT PUBLIÉ
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. Rédacteu
Vol. XXVII. Janvier 1894. ? 83 ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈM
HOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX , Paralysie générale, M.NIN(-0-MYÉLITE vasculair
ôle considérable que la syphilis joue dans la pathologie du système nerveux n'est bien connu que depuis peu ; après avoir d
es et les infiltrations gommeuses des méninges et de la substance nerveuse , on en est arrivé à soupçonner, puis à démontrer
emples bien probants, que le Archives, t. XXVII. 1 2 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . substratum anatomique de la paralysie générale
ment étendue à tous les faisceaux de la moelle, et, si les cellules nerveuses souffrent de la circu- lation défectueuse des l
s nourriciers, on peut la voir évo- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 3 luer sous les allures cliniques d'une atroph
pf, dans son beau livre sur les affections syphilitiques du système nerveux , compare bien les lésions de l'écorce cérébrale
de la paralysie générale est une lésion histologique- 4 PATHOLOGIE NERVEUSE . ment syphilitique ; qu'elle est à la gomme mén
concerne un homme atteint autrefois ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 5 d'une myélite transverse syphilitique de la
asculaire diffuse, peu avancée, avec intégrité absolue de l'élément nerveux , or le malade n'avait présenté, en fait de symp
me m'est adressée et je la reçois dans mon service. (3 PATHOLOGIE NERVEUSE . En interrogeant la malade, on s'aperçoit bient
ssurée, sans qu'il y ait d'ataxie à ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 1 proprement parler; la station debout, les ye
oelle, dans la moitié inférieure de la région dorsale, 8 PATHOLOGIE NERVEUSE . et dans la région lombaire supérieure, on aper
membranes épaisses et anciennes. Examen histologique. Les centres nerveux et les nerfs périphé- riques ont été étudiés à
° Cette lésion vasculaire s'étend en outre à tout le reste de l'axe nerveux , en constituant dans la moelle une méningo-myélit
atteints, surtout dans la région des cellules pyrami- 10 PATHOLOGIE NERVEUSE . dales, aussi dans les préparations colorées à
alysie générale légitime. Fi3. 1. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . Il La lésion n'est pas très avancée, quoique p
e ; il n'y a encore que peu de cellules arai- gnées. Les éléments nerveux cellulaires n'ont pas non plus souffert d'une f
volumineux et plus pâles. (Obj. 7, oc. 1 Vérick.) ' 12 PATHOLOGIE NERVEUSE . matif, car le cadavre était un peu putréfié au
la retrouve dans toutes les autre- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 13 parties du cerveau et, plus accusée encore,
syphilis à l'aspect des lésions méningées. Les éléments cellulaires nerveux et névrogliques ne participent guère au processus
n, ce qui fait qu'elle est plus large du ce niveau. ]4 PATHOLOGIE NERVEUSE . ' matoire. C'est la lésion que jusqu'ici j'ai
. Carmin. (Obj. 3, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 15 tement limitées à l'écorce, elles mesurent
eaucoup plus intenses. Pourtant il n'y a aucune lésion des éléments nerveux : les cellules des noyaux gris et les fibres de
ions des gros vaisseaux, je les décrirai plus loin. 16 PATHOLOGIE NERVEUSE . L'infiltratiou méningée se continue dans le ne
, éosine. (Obj. 0, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 17 l toutes leurs branches orbitaires, des ner
ue tous les détails sur les coupes colorées au carmin. Les éléments nerveux de la moelle ont en vérité peu souffert; les ce
liae de Delafield, éosine. (Obj. 0*, oc. 1 Vérick.) 18 PATHOLOGIE NERVEUSE . colorées par le procédé de Pal on ne constate
dosiize. (Obj. 1, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 19 La membrane élastique interne et la tunique
s altérations les plus considérables portent sur la 20 . PATHOLOGIE NERVEUSE . tunique celluleuse qui est épaissie et infiltr
, éosine. (Obj. 3, oc. 1 Vérick.) ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 21 de la base du cerveau et de la région dorso
line de Delafield, éosine. (Obj. 1, oc. ,t Vérich.) 22 PATHOLOGIE NERVEUSE . tunique interne est envahie, détruite, et alor
s. Son père est mort asthmatique, à ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 23 l'âge de cinquante-quatre ans; il était cha
lade parle, tous les muscles de la face sont animés 24 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . d'un tremblement intense, particulièrement ceu
d'ailleurs normal. L'examen histologique a montré que 26 PATHOLOGIE NERVEUSE . cette légère dureté du foie est en rapport ave
nent aussi quelques corps amyloïdes. Dans le cerveau les cellules nerveuses sont toutes fortement pig- mentées et leur prot
du renflement lombaire, on observe ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 27 1 une sclérose fort intense, à en juger par
es zones marginales de Westphal. Coloration de Pal. 28 PATHOLOGIE NERVEUSE . Dans la région cervicale les cordons de Goll s
de Westphal. Colo- ration de Pal. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 29 par disparaître progressivement à mesure qu
ant dans le faisceau cunéiforme. Coloration de Pal. 30 PATHOLOGIE NERVEUSE .. que les autres appartiennent à la paroi vascu
lémccloxgline de Delafield, éosine. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 31 du processus de myélite vasculaire; cette m
s des petits, vaisseaux. (Obj/0, oc. 1 Vérick.) ' 32 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . sauf un peu de congestion; la lésion s'arrête
be frontal et dans le'pied des circonvolutions motrices'/ la lésion nerveuse restant très considérable;' que, -dans les circon
olutions motrices à leur partie moyenne, les lésions vasculaires et nerveuses sont nulles dans les sillons, assez avancées à
s nerfs cutanés du dos du. pied sont très altérés; sur un fascicule nerveux on aperçoit cinq à six fibres intactes, plusieu
Ulbaum. Vaesovie, 1893. , . Archives, t. XXVII. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE . 'lJ<f'. ' - 1 '1 v'i . 1 ` 1 La confusion
'f i-»*. * Psychologie de l'idiot et de l'imbécile. 36 PATHOLOGIE NERVEUSE . . rt.. , t i . point de vue pathologique, et
elle de. ces faits dans l'exa- men anatomo-pathologique des centres nerveux de ces deux L'IDIOTIE ET l'imbécillité. 37 ty
est toujours symptomatique d'une affection 'organique des' centres nerveux . Quanta' l'imbécillité elle est complètement pa
mbécillité proprement dite. . l '41 ' . 1 1 1 k ' . 38 pathologie NERVEUSE . L'imbécillité nous apparaît donc comme une aff
un trouble fonctionnel mais non à une lésion organique des centres nerveux . Elle constitue [le degré le plus inférieur de
pond un état de spasme vaso-moteur avec suspension d'irra- diations nerveuses , ainsi s'explique d'après M. Stéfanowski cer- t
dent, le D1' Hughes a rapporté plusieurs cas de troubles mentaux et nerveux consécutifs à l'atrophie ou à l'ex- a, 1` ? « *
stinées à éclaircir le domaine'encore''obscur de 'la" pathologie t' nerveuse ; dans lequel, jusqu'à présent, la réthorique semb
uestion. Cj Cette. question, relative, à la 8 pathologie mentale ou nerveuse est laissée au choix de l'auteur ? 0 ? . , cll,lu
sseil,r agrégé (de la-Faculté' de médecine' dé Paris; 2° Pathologie nerveuse ? des névrites péri-' phériques. Rapporteur ( I
même but. ' FAITS DIVERS. Asile clinique (Sainte-Anne). Maladies nerveuses ci mentales. M. AlAGNAN : Amphithéâtre de l'Adm
à l'Asile clinique. Hôpital S.11NT-A : TOiNE. Pathologie mentale et nerveuse . M. Gilbert Ballet a repris ses leçons clinique
t Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse , à l'hôpital Saint-Antoine, le dimanche 3 dé- '
pages. Prix : 5 fr. LEFERT (P). La pratique des maladies du système nerveux dans les hôpitaux de Paris. Volume in-12 carton
que tout particulier situé entre la gaine lamelleuse et le faisceau nerveux propre- ment dit, enveloppant ce dernier comme
développement chez le cheval et l'âne, où il occupe les gros troncs nerveux des extrémités.. 1 ? ' Il se compose essentie
é- diaire entre le périnëvre et la masse endoneuriale du faisceau nerveux ? J'ajouterai qu'un vocable univoque tel que celu
t, se localisant exac- tement aussi, entre le périnèvre et la masse nerveuse , mais distribuée cette fois en une série de foy
n individu'atteint de myopathie primitive,.mais,dont Je 1 système ( nerveux ^ central-, et périphérique n'offrait* aucune an
ve, tandis que le 1 fuseau se renfle' librement aux dépens du tissu nerveux qu'il déprime en proportion de son volume. En d
s faisceaux : celui qui regarde la sur- face extérieure du funicule nerveux (PI,. I, fig. 1). Considéré isolément, chacun d
re, tau moins, du côté où'le nodule vient,en,contact avec la masse, nerveuse du faisceau. (PL. I,-fg.,3,·g.LPL. II, 9' 12; n
onglomératanoduleuxr d'une'. part,, le. périnèvre j et le'faisceau' nerveux L de l'autre.Cettissu=. revêt le, même . aspect
mier type sont toujours reliés au périnèvre d'une part, au faisceau nerveux de l'autre, tantôt par un,pur réticulum, tantôt
re. La couche profonde du' foyer confine immédiatement à la masse nerveuse , mais il n'en existe pas 'moins une démarca- ti
nuité de tissu entre la gaine et le'foyer, que du côté du faisceau nerveux on ne constaté au contraire l'interposition' d'
ticulo-alvéo- laire et qui.se trouvent en, outre reliés-au faisceau nerveux par une couche du même tissu. " ' . Quant aux
plus l'espace méso- neurial, niais" l'intérieur même, du ^faisceau - nerveux . Nulle .- ri- tint, , ,-y -u ' t.. 4J-. '. -*-
us résiderait d'après lui dans une atrophie dégénérative des fibres nerveuses . La disparition, ou tout au moins la dimi- nuti
lume de ces éléments, amènerait entre le péri- nèvre et le faisceau nerveux la formation d'un vide que tendrait à combler l
e Blocq et Marinesco. Eux aussi font jouer un rôle actif aux fibres nerveuses dans la production des foyers ; mais t Ralchman
tudinales on peut apercevoir dans certaines préparations des fibres nerveuses altérées, mais encore reconnaissables aux fragm
s, l'élément essentiel du foyer ne serait autre chose que des tubes nerveux profondément atteints, et leur paroi devrait êt
teraient simplement du plissement de la gaine con- jonctive du tube nerveux . Outre qu'il ne siérait guère de révoquer en do
rs dit en effet avoir rencontré mais une fois seulement une fibre nerveuse coupée en travers au centre même d'un de ses fo
permis de' se demander si, dans certains cas au moins, les éléments nerveux dont on a noté la présence n'ont pas été accide
neuriales et qui bien certainement n'ont rien à faire avec le tissu nerveux ? Même sans tenir compte de ces restrictions, o
les. Plusieurs d'entre elles sont si largement enveloppées de tissu nerveux qu'elles prennent une apparence insulaire ou pé
nt de mésos rares et délicats allant de la face externe du faisceau nerveux à la face pro- fonde dti*périèvre. Dans l'appar
fin, dans certaines circonstances, une atrophie relative des fibres nerveuses corticales par suite de la compres- sion exercé
'appareil nbro-hyalin forme un véritable manchon autour du faisceau nerveux . Les fuseaux surtout contribueraient à atté- nu
bueraient à atté- nuer la brusquerie des'chocs'auxquels les cordons nerveux des membres sont continuellement exposés. Rien,
tractiles dont le jeu déplace et comprime sans cesse, les faisceaux nerveux ^ Si chez l'homme et le chien, comparés aux soli
ciale des fuseaux dans. les portions, minces, ,rubanées des' troncs nerveux , lesquelles subiraient trop directement sans ce
x, on sait qu'entre la , face profonde de la gaine et la substance. nerveuse il existé un, espcé t'rèsëxiâü, mais par- faite
antilogie de la'gaine'lamelleuse sur la face extérieure du faisceau nerveux relativement immobile. Que"" ce déplacement s'o
is jusqu'à déterminer un 'Certain degré d'atrophie dans les tubes nerveux en rapport avec le foyer, mésoneurial. Encore moi
ation fonctionnelle. Kopp déclare catégoriquement que ces désordres nerveux de la cachexie strumiprive n'ont rien à faire a
s- sionnable, ne compromît en rien la conductibilité des éléments nerveux . Seulement, .pour savoir positivement à quoi s'en
ttant beaucoup de méthode et de soin jusqu'aux plus légers troubles nerveux qui viendraient à se manifester d'une façon que
odronnées de Renaut rencontrées par Kopp et Langhans, et. les tubes nerveux segmentés de Blocq et Marinesco, lesquels à vra
évricule de gauche : elle formelàunanneau complet autour delà masse nerveuse . On remarque en outre que partout la gaine péri
montre enveloppé de toutes parts, mais surtout du côté du faisceau nerveux , par une zone alvéolaire. Lestroma interfascicu
réseau lâche (e) fortement nucléé surtout au voisinage du faisceau nerveux (g), représentant une des formes diffuses du tiss
rique, surtout à gauche (n.), est assez nettement nucléée. La masse nerveuse est partout séparée du foyer par une ligne de d
gulée ou détritus cellulaire ? ). Fig. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (f) pris entre deux couches mésoneuriale
sez nombreux noyaux. En c, de petits groupes superficiels de fibres nerveuses à demi atrophiées. v, une artériole dont l'adve
pour mieux dire les prismes circonscrits latéralement par la masse nerveuse , le périnèvre et le foyer, sont seuls occupés p
uée contre la face profonde du périnèvre et sa masse 112 PATHOLOGIE NERVEUSE . tout entière se compose de lamelles compactes
ineux (a). -' Comme dans- les figures 21,' 25,' 26, 27, le faisceau nerveux n'est représenté que par le contour de ses fibres
, 7 · : Ii'. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA' SYPHILIS DU'* SYSTÈME" NERVEUX , ''3- ' z , - .* ' fca Paralysie générale, 3r
t. XXVII, page 1. , ' ' ,, i' . - ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . Il 1 i» réflexes, épilepsie spinale, abolition
ncépha- lite vasculaire diffuse avec intégrité absolue des éléments nerveux . Dur..., Léonce, âge de trente-deux ans, tourne
lus du tout marcher; on exa- Archives, t. XXVII. 8 114 PATHOLOGIE NERVEUSE . t, 1 r l', 'ilul il. i,P, f, l(- -.iaeil i , .
ulose ? pulmonaire, sans avoir présenté de nouveau symptôme d'ordre nerveux ? ,, . ,, ,.AoTOPSIE.1-iCadavretrès émacié;`jam
, r» ,a a(I mDla 31, iTi,. 0 Il, f t 1 a(l 4(lui a 116 PATHOLOGIE NERVEUSE . 'l '» / il,, * 'TH Il. 3 Il /( -item,- '^f( n*
ndante des faisceaux pyramidaux« 1 ? 1. »- , - J ' 118 PATHOLOGIE NERVEUSE ., , , . . z .racine ascendanle du trijumeau pou
q sf 'le- ans.. , ? ! .... ? m J. ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 119 9 supposition ces fibres ascendantes hypot
ninges, des vais- seaux, de la névroglie, des cellules et des,tubes nerveux .. La pie-mère'est épaissie partout, mais -surto
ure que l'on se rapproche davantage du t"120 F,J31 ? ? l"pATHULOHIE NERVEUSE .Ra 31UT3 Jrpoint malade; ces-corps prennent une
. ? . 1, ? ., O"fa m' h .5 imdnr.e ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 121 - M malien eiidügèiie. 1 Alors -le corps d
pré- sentent des dilatations fusiformes vacubtiseës. Les cellules nerveuses des cornes antérieures, grandes et petites, t's
stérieures, jnei présentent/on aucune altération, de leurs éléments nerveux , ! même autniveaufdum M foyerttransverse ; elic
la huitième racine cervicale.' · ÉTUDE DE LA SYPHILIS^DU ^SYSTÈME NERVEUX . '123 f quée, surtout la sylvienne gauche ; leu
ale la moins atteinte.. 31%/[t;ij,<i ul n[ ,lmraplq Les éléments nerveux , cellules et fibres, sont absolument sains; les
es nerfs périphériques sont peu malades ;' de tous 'les gros troncs nerveux , étudiés sur des coupes,' le nerf crural est'le s
lles peut intenses.n Les'nerfs ÉTUDE DE LA' SYPHILIS : DU : SYSTÈME NERVEUX . 125 cutanés'du pied 'préseiitent uneir dimin
. (Obi. 0, oc. 1 ? '. ? nuT ? , , r-Tr, r·p ! 33Qjr '* PATHOLOGIE NERVEUSE . - ·"ITnÎlstt la' femme, 'Revue générale de c
üsë qui est la cause des accidents ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU. SYSTÈME NERVEUX . '1 L Î. , 1 '-%'tL'lVJ1f ? U .n ..v v -n ' t
> tu ir.j 'U)...si ! ."-... ' «>.iUt>.... ' 128 PATHOLOGIE NERVEUSE . Systems, Neurolog. Centralbl. 1891). Dans le c
s figures - e·t T · ' ,a. ! * ' ' ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . d29 l '.>'.»- - \ .>. I ? \ > -;\ v-.
éline; cette dernière lésion, véri- ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . '131 ~ table myélite-traumatique, ne remonte p
s'agit ici d'une destruction ascendante, progres- F sive, des tubes nerveux irrités au niveau du foyer de myélite' ' qui le
épinière. (Soc. de Biol., 25 nov. 1892.) . , 132 ' '-J' PATHOLOGIE NERVEUSE . ' 0 ·str - - ment fructueuse;- voilà un 'syphi
-" /» ^ >» Dans le cas actuel, l'absence'de lésions des éléments nerveux explique l'absence1 de troubles cérébraux; ce m
itique, les lésions vasculaires précèdent toute lésion,des éléments nerveux ; ce sont les vaisseaux qui com- mencent, les fi
généraux; le troisième ne l'était pas encore.parce.que'Ses éléments nerveux avaient résisté; peut-être .même ne le serait-i
général. La paralysie générale ne survient que lorsque - l'élément nerveux commence à souffrir du mauvais- étude son appar
itoire, la mi- graine ophtalmique, etc. A un moment donné, le tissu nerveux - cède et l'encéphalite, de purement' vasculair
léments'de la névroglie s'hypertrophient ? se sclérosent, les tubes nerveux se détruisent en commençant par la super- a fic
commençant par la super- a ficie des circonvolutions, les cellules nerveuses s'altèrent et la z -- lésion de l'écorce devien
général ; il pourra même peut-être âuérir·parce que ses élé- ments nerveux , sont' solides, 'tandis quel tel 'aùtre i tombera
uses manies : Il prend la, syphilis ÉTUDE DE LA SYPHILIS DU SYSTÈME NERVEUX . 135 en 1870. En 1884, surviennent des douleurs
la manie et la mélancolie périodiques. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1. Trouble DE la sensibilité générale SE tradu
énéraux. Nous croyons que l'hysté- rie reste une névrose du système nerveux tout entier, avec prédo- minance, si l'on veut,
la réalité de son Archives, t. XXVII. 10 146 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . délire, car « sa personnalité consciente n'est
la troisième la maladie - de Basedow. J. S. , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 147 V. LE tempérament épileptique; par 1)EL GR
tendues, il était encore n F r, ' ' ' V U 148 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . t ' capable de les chanter. En somme l'absen
u sang chez une femme grosse, MM pllerv (' ? ). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 141) OBSEdV.1'l'101\ II. - Frisson initial, ac
dégénéré, tantôt exagérément, tantôt tour- 150 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mente sans motif (hypérémie corticale ou anémi
o-corticale). ' P. K. XIII. LES découvertes récentes sur LE système nerveux : lu par F. BAFER, professeur d'anatomie à l'un
substance gélatineuse). ' ' · Abordant ensuite l'étude des cellules nerveuses , il fait l'historique des recherches relatives
r contact plutôt que par continuité de structure que les élé- ments nerveux communiquent entre eux. " ' . Kolliker, Ramon y
22). L'étude se termine par des rappro- chements entre la structure nerveuse centrale et celle des expan- sions nerveuses ol
ents entre la structure nerveuse centrale et celle des expan- sions nerveuses olfactives, acoustiques et rétiniennes. (Tlte Ali
hs les lignes caractéristiques seraient l'enva- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 151 hissement d'emblée par l'affection d'une p
t, 656, XIV, z 1 - ' 1 ' ' Dr A. Marie. 152 - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XVII. HLMATOMYÉUE centrale; par L. 111NOB. (Ar
turellement le , tissu du cerveau est imbibé, dissocé; les cellules nerveuses et les fibres myéliniques sont dégénérées, détr
ui ouvrent la scène. Puis se montrent des symp- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 153 tomes de lésions en foyer : monoplé;ié, hé
publiée par WEST- PHAL sous LE TITRE DE Un cas de lésion du système nerveux à dia- gnostiedouletix in Clea71teAn7zalien, XI
s tard de phlegmon périnéal avec asystolie. 154 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Autopsie. Dégénérescence partielle et atrophie
ie du a langage de l'enfant. Les revues sur l'éducation, le système nerveux , les bibliographies, etc. · BULLETIN .BIBLIOG
Il y a donc essentiellement chez notre jeune sujet déséquilibration nerveuse , prédominance tantôt d'un centre tantôt d'un au
s de la dégénérescence,' ni l'hérédité névropa- thique, ni une tare nerveuse acquise pendant l'enfance. Le malade ne présent
les] affections portant directement Qu'indirectement sur de système nerveux , pendant' la" vie1 utérine etJpendant'Ténfance^
dure-mériennes/pùis il s'est étendu'aux'méninges et à la substance nerveuse vôisine : a9 AT`ifïl .r , ·-9,· Ihl.g;D prr^ ? y
sodiiatation dans le. système ,3 musculaire irite(les, terminaisons nerveuses et produit la sensation ndè,mâlaisé etle,liesô7
T^ UUl41llJll^c,^l.0Ji 1,1L4 0 - ? & - - 1 .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' 183 mènes sensitifs sont, eux aussi, assez f
fnsr / - *m.-y XXIV.)PATHOL3GIE MODERNE ET pathologie des^ maladies nerveuses ; ,1'AVEC QUELQUES[DÉDUCTIONS thérapeutiques,;
être applique avec certaines restrictions aux affections du système nerveux ; - 2° Dans les névroses organiques du type dég
8 » ? -, ) 5° L'origine toxique; a été' démontrée dans les maladies nerveuse pour- le myxoedème, elle est fort probable dans
r de' romoplate"s'écarte"'du thorax. P. K. REVUE, DE , PATHOLOGIE - NERVEUSE . ii.,187 XXIX. Du NYSTAGMUS .HORIZONTAL | ARTIF
4ou ! .ne,connait-jusqu'alors pàsde.lésion"anatonïiqué ? du4 système^ nerveux 9 en; rapport] avec) cestiphén'oinènes-la;T2° le
és ? 1- Lalma ? -che est surtout chronique REVUET DE 1 PATHOLOGIE t NERVEUSE : · 189 mais parfois aiguë. ;La convalescence !
T-rM '/ >» ^l/\ri'nt»«r nul arîV'ïj, , 190, REVUE DE 'PATHOLOGIE NERVEUSE . o .. et 0....r rr... r ünv lld 1 1 ? provoqu
croit au bout d'un' certain' temps voir A sans REVUE DE. PATHOLOGIE NERVEUSE ? 191 \< \J * JAV /J lH J<J '11-11 ? <
ions de la moelle,) telle que l'hyper- 192 t REVUE, DE IPATHOLOGIE. NERVEUSE . trophie de la névroglie dans le canal central,
sie) avec conservation de la sensibilité ! a, , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ^ 193 tactile, elle se rencontre ailleurs que da
nt un carac- tnCIIIN'ES, t. XXVII. 13 .194 jREVUE DE PATHOLOGIE ? NERVEUSE . tère spasmodique; 5° les réflexes thermiques d
eure et non directement sur les muscles 1 t REVUE DE ' PATHOLOGIE NERVEUSE . '*19 ? ' Il y a d'autres cas d'atrophie muscul
'Anomalie, du champ.visuel, non encore;signalée dans les mala- dies nerveuses , suites d'accidents (hystérie traumatique;. Champ
a' w .· . ,- II. LE sens quantitatif DES COULEURS dans LES MALADIES NERVEUSES produites par LES accidents; par,`VOLrfBEHG. (l
fruit la patho- génie de quelques troublés fonctionnels du système nerveux . P. KÉrsAVnL. t 9t) ilrk ? I -"M'loe8 ? mo')8oJ
ns leur J trajet, elles ne sont pas interrompues par'des cellules t nerveuses ! "} Il ne nous a pas été possible de décider s
lt;5l ' ? .·. 1., . ,. Quatorze observations., Lésions ^des fibres, nerveuses , du tissu conjonctif interstitiel 'et des cellu
nérescence peut être suivie (obs : ·4 et 2), on voit que les fibres nerveuses participent à l'altération et dans une mesure qui
évrite qui, graduellement, détermine,, la destruction. des éléments nerveux , fibres d'abord, cellules ensuite, REVUE D'ANAT
. Ceci explique cliniquement les'phénomènes d'irritation du système nerveux sensitif dans le, tabès. ? 91 t. ! P."KERAVAL. h
même' temps que des troubles diges- tifs,' éprouvent dès accidents nerveux . Les uns'constituent de vraies gastropathies,'·
des atteintes répétées. Quoi, qu'il en soit, quand' les extrémités nerveuses de l'estomac ont été làn,,te 1. «t' *' t qu'ell
s fibres qui vont de l'écorce à à la couche optique et les cellules nerveuses des divers noyaux de la couche optique et' de l
trième paires sacrées : en' cet endroit, il n'y a plus de substance nerveuse , les fibres radiculaires seules sont partiellemen
partout il y a encore intégrité.,d'un nombre, respectable de,tubes nerveux (conservation de la conductibilité). L'intégrité
entales sur l'inoculation DE L : 1TUBER- GU ? E'I)AIN7S les centres nerveux ; par 'FEDESCHI (Riv. sep. di fren. ; fas. 11-1
tuberculose inoculés;, avec^ du virus tuberculeux dans les centres nerveux ^meurent en moins de temps que lorsqu'ils sont i
l'intervention d'autres infections. L'inoculation dans les centres nerveux détermine une augmentation de lence de la matiè
virus tuberculeux i succombent à- l'inoculation j dans les centres, nerveux . Leur mort-l n'est.pas en rapport avec la,lésio
u. Chez* les. animaux résistants, le virus inoculé dans les centres nerveux subit un certain degré d'exaltation. Pour évalu
er les effets de l'ino- culation de la tuberculose dans'les centres nerveux , on ne doit pas tenir compte seulement, du déve
rinévrite qui, graduellement, détermine la destruction des éléments nerveux (fibres, puis cellules), des ganglions spinaux.
: rrmrrhrl3lr : m. ( ? t.'r-t dans le tabes. Les lésions des fibres nerveuses croissent du centre à la périphérie, ce qui-' '
FOUR ÉCLAIRER NOS CONNAISS : 1NCES SUR LA ;DESTRUCTIONt DU SYSTÈME nerveux ; par OBERSTEINER.,(Jahrhicch ? Psyhiat.,XI"1,2.)
gen,Go)gi..h ? ,of> ? ... ? ...., ,r . t ^ Le, neurone ou unité nerveuse histologique^de Watdeyer'se compose ,de 1° ]es/
'nerveuse tenant à' là cellulepârsôn éylili= draxe ; 30 les rameaux nerveux terminus de'là' fibre.1 'Lés cellules s'unissen
ts, mais pas directement, ou par le bas à l'aide de leurs, rameaux^ nerveux qui vol,it il au x1'pi-oloii -e- ments protopla
ments protoplasmiques de deux cellules simultanément. 'Les rameaux nerveux s'enchevêtrent dans' les' rameaux nerveux d'au-
multanément. 'Les rameaux nerveux s'enchevêtrent dans' les' rameaux nerveux d'au- tres cellules, où. tes rameaux nerveux ab
ent dans' les' rameaux nerveux d'au- tres cellules, où. tes rameaux nerveux aboutissent au''nerf même. tres 'Cellules,'oà l
minale d'üiii fibre ? iüùscûlairé' pàr, éâémple),`vônt à la cellule nerveuse d'un-autre,neurone ou aux' cellules3 de^ plusieur
année classique'' 1890-91, ai la section des hommes de la 'clinique nerveuse de Moscou'Snt'ràita cinquanteneuf malades, ,. j
UR LES stigmates permanents laissés par l'ergotisme SUR' LE système nerveux central ; par R. WAL- KERI. (Archiv f. T/C/M'a
Hyperplasie de la' substance ! intermédiaire aux dépens des fibres nerveuses . La lésion, qui'a terminé'son évolution, remonte
phosphorique qu'il renferme, a une actimi, excitante surt l'élément nerveux , surtout sur. celui des e e n Cr e's ? t-r'o 'p
out dans la forme psychopathique reposant sur un fonds d'épuisement nerveux . J. S., c96ob : 9l 79offj1b 'Io `t9fl ? y ? ? 1
logiq*ue'Elle'était cependant venue au monde avec de la «^fragilité nerveuse ^.A ;.si; asa.9SA La seconde observation, est ce
'on «ti*. v Fn.,lr ? IILabfanuelod'examena métlrdique,,des'maladies nerveuses , par ' M.^A'.f'A ? KoHNiLov^jmédecinen chef de
yens pratiqués d'ex- plôrâtiôn'désimâlade"s'attelnts''de : maladies nerveuses ., Aussi ce livré s'âdres`sé-t-lsûrtoûtàréua qut
est. de ·guider,les débutants dans l'étude clinique des affections nerveuses .i,^.vz,lt 10 ? 'd Lpjtt : ' f r'ui ? Le livre a
vec plus de fruit la. lecture de llamlels'dè'diâ%nôslicdés maladies nerveuses : ' . ' ? ? ' '.i«»"'WO*»"Oi- J {,b.BJMB 8'Ttû J
médecine de paris. La chaire de clinique des mala- dies'du système nerveux de la Faculté de médecine de Paris, vient enfin
j..9 ? c'f''t : t< ! Yjl ' ,yp 191Ai' h ·ytg b ') PATHOLOGIE, NERVEUSE ? . ,f t .i .1 F ? : , . n)n hIW , . n r - .n
ionnelles du cerveau humain. Archives, t. XXVI. 16 ibâ pathologie nerveuse . testables. Elle permet de vérifier à tout inst
ont la'légitimité est presque toujours contestable, car les centres nerveux des vertébrés, même des vertébrés supérieurs, n
oblige à attendre, souvent fort longtemps, les '44 il - pathologie nerveuse . cas simples, typiques, qui'seuls ont une valeu
ogique s'étendait jusqu'au sillon de Rolando. · 24() 6 pathologie NERVEUSE . centraux. S'il existe des taches ocreuses sous
tance, s'associant aux effets de la destruction limitée des centres nerveux , ont provoqué des réactions complexes- dont le
volontaires dans le membre inférieur du côté opposé 248 ,PATHOLOGIE NERVEUSE . Et cette conclusion sera d'autantmieux établie
isuccomber. Si son autopsie ne révèle aucune altération des centres nerveux l'absence» absolue de lésions sera; par elle-mê
conversation, avec un de.ces sourds-muets' qui 250 .' f PATHOLOGIE NERVEUSE , y répondent,sans hésitation aux, questions qu'
vue sont symptomatiques d'un grand nombre de maladies mentales et nerveuses . Mais on' peut les observer également dans d'au
. r : " ê Sa mère, très impressionnable, aurait eu quelques crises nerveuses . , . ' 1 .V 1J,7.A/J a ? tt. 1" In.n 11 ? i ?
,- exceptionnelle aux alcools, lé 'miasme^paludéen placé la cellule nerveuse cérébrale vis^à-vis ' Jdes ^liqueurs' fortes ^d
vidus dont les parents étaient atteints de maladies ' mentales ou nerveuses . Tous les cas.de neurasthénie pourraient être rép
a neurasthénie peut guérir ou dégénérer en-une maladie men- tale ou nerveuse . Parmi les maladies mentales/c'est le plus souven
et Institut, consacré au traitement dés enfants idiots, arriérés ou nerveux , appartenant, aux'.classes aisées^est [une oeuvre
, 1893.) II. Sur l'action du chlorure de calcium sur l'excitabilité nerveuse ; par le D'' Stéfani (Riv. sp. di fren., t. XIX,
iimel ne 19br.lq Jtl9rrn9f`· V. Sur.les effets de, la\ transfusion nerveuse : (méthode de Paol) Iclae lec ,,5 malades d'esp
ucocytes mononucléaires;' il s'agit là d'une invasion'de la7ééil-ul nerveuse * pàr'des-phagocytes. Cette lésion intéresse la
s4.môûvéménts, ,les,, sensations motrices .verbales; « 2°un courant nerveux centrifuge qui sui- motriçes s; « .entri ni v
elle de médecine ? idées 1877);iu. Recherches ! ,surS%les-\\centres nerveux , · 2° série,'Masson, 1893. \ct'Is «o\)tt<5 ?
éôlié et, des' conséquences qu'il'-Iài 'atti-il»6è'e*n@ pàlh*olozie nerveuse .. Voici comment 1 auteur expose sa théorie : ,
enser rapidement. r5-F ? a ? z 2 2° ! Dans les parties des centres, nerveux ^désignées sous le nomade substance grise,; ou
ces centres au degré^convenable ide,J, tension. ^ Dans les cordons nerveux le même processus s'accomplit, en soi'té que sous
uence ^de" la combustion qui se passe dans les centres, les cordons nerveux , cérébraux et spinaux sont amenés à l'état de t
soit''de'la périphérie vers'les'centres. Dans les nerfs, le liquide nerveux est à l'état statique ; il se condensé -facilem
des l'excrétion'. 3° Cette théorie, explique les grands -phénomènes nerveux , de la vie dans l'activité et dans le repos. La
s d'activité, toutes les parties qui correspondent avec les centrés nerveux sont t l'état de veille et d'action. Si la tens
ations de - pression et de .température extérieures sur l'organisme nerveux ,,central. La pression atmosphérique agit sur 1
rique agit sur 1, oi,,aiiisiiie, stermédiairei denses prolongements nerveux , "absolument comme -elle agit sur, le mercure d
on,'sufnsantpour produire une véritable solidification des surfaces nerveuses cën- - traies ou périphériques, provoquera une
lée par -le liquide spinal, se trouve' maintenu le degré de tension nerveuse nécessaire à la vi- bration dans toutes les par
ivent eux-mêmes un apport excessif. Les plexus .sont des carrefours nerveux , dont la complexité assure le transfert des1' v
ent anéantie par une ' maladie ou une lésion'directe.La décussation nerveuse est l'artifice par lequel les centres sont'mis
animal . deux combustions d'ordre différent : l'une,'1 centrale ou nerveuse , .» oui -llrtl .. I H - ... I .1 1 ? 4 ., 1 a
ations spéciales aux ''phénomènes' dé*physiologie'et de' pathologie nerveuses : ici encore nous traduisons' peu près textuell
n d'une fièvre, elle yi voit un excès d'activité des grands centres nerveux ? ayant-) leur «originen dans .ces, centres 1 mêm
- tions p en , u point péripbériquë3des, prolongements dû système nerveux ,- comme dans la pneumonie ou Ja pleurésie aiguës.
ement à l'application des'- altérations f de1 structure des masses' nerveuses elles-mêmes. L'excès dés' matières1 grasses- ab
fdestruction des fibres ner- veuses étales allérations^des cellules nerveuses . Enfin, depuis que ^ Tuczek1 eut' constaté' dan
rimitive," le 'point' de départ, est iadegéué- rescéiice dés'fibres nerveuses ; tandis'que les lésions des vaisseaux, des cell
, tous, l'opinion de uTuczek sur l'altération, primitive des : fibres nerveuses : il. s'agit, enf effet, d'après Schiitz, dans la
. 31ri( ).u ? jt,i. j z En' résumé, si la compression' des éléments nerveux par. le;tissu interstitiel agissant comme dans
ale : ils'favorisent, la dégénérescence et l'atrophie démêle- ments nerveux dont les'* échanges nutritifs se font d'une maniè
parois, vasculaires et, pourZacher, la vulnérabilité des, éléments nerveux , ^ des fibres "d'association". (Annales médico-
,Homme de, cinquante-deux ans, de nature impressionnable,'sans tare nerveuse héréditaire, atteint d'influenza. Cinq jours-aprè
ions : 1. 777- La folie est une maladie.du cerveau y et du système. nerveux , l'aliéné est un malade irresponsable de sest)
lgi qui a fait faire de si grands progrès à'la structure du système nerveux ne colore que peu de cellules et peu 'de fibres
olongements et les ramifications de ces derniers. Mais les fibres.* nerveuses à myéline ' sont très, heureusement .colorées par
t électif pour la névro-lie. L'étude de ila structure; des cellules nerveuses exige un durcissement préalable qui les fixe !
parce que les substances d'inclusion ne donnent pas à la matière nerveuse une résistance et en* même temps une sotiple,ss-é
est un termeigénérique qui comprend bien des, formes 'de cellules^ nerveuses , <ayant chacune sa morphologie ^caractéristiqu
atis79tiuJn·Iq si é i* £ ub `IN1F nLài substahcecgrise'du'système1 nerveux 7central'Test habitée par- des formes cellulair
. Le courant faradique augmente le pouvoir colorable; des cellules- nerveuses .1- Ilc semble, qu'après l'action dé ce; courant !
les cinq théories qui on eu cours sur cette maladie : : la théorie ^ nerveuse , faisant siéger, la^ rage, dans' les méninges,
lté de médecine a présenté, pour la chaire de clinique des maladies nerveuses laissée ivacante par la mort de M.' Charcot, en
94 Vol. XXVII. Juin 1894. N° 88 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE , SUR UN CAS DE PARALYSIE GÉNÉRALE A FORME DE
in médical du 11 juin 1893.) Archives, t. XXVII. 26 2. CLINIQUE NERVEUSE . -, , Ir Y. -1. M. V..., quarante-trois ans. ?
ude- " ? » ? '" .. ''>}> lî>"' t 1JJW 404 ;5 "· CLINIQUE NERVEUSE . ' ! " a" ' ' ,,l- 'Al, -*', <iu . o'n- , -B
ix fois par seconde; puis, à OS I'f·=·1 -> ;~ ' 3 ? AT CLINIQUE) NERVEUSE . : 33 OE18'.IAqAq -'quelques jours de' distance
ultats suivants : r=nwb..r ,of;m)uf)T i ? 408 .'r'r ? ;-3. CLINIQUE NERVEUSE . viîâilàa ^ICYOA^W q -Le trouble mental ne s'es
autres termes, et pour adopter le langage , 1 A,,1.3;, o ? CLINIQUE, NERVEUSE . "· ,Y ? ? du jour, .il. s'agirait. d'un cas de ,
ui ? ...iaSr ; iitt,i~.o ; , o 3C ' ' Vulpian ? Maladies du système nerveux , p. 322. · -· Pitres. - Journal de médecine de
ot. - Le,rons du mardi, 1888-1889, p : 3é0. 412 'il;,), 3, CLINIQUE NERVEUSE ? q leurs vives, brûlantes, se produisant au mo
ons sur les maladies de la moelle, 1892, p. 211. 414 7 ? q b 1 u E ; NERVEUSE .gM&6 SYJ/A ? capital, dans, le,tabes, le mu
de Chirurgie pratique, 10 avril 1894. ' ' ` " > 1G G , CLINIQUE NERVEUSE . * : y ? . se passeraient pas toujours.de la so
ns' pas que -Ton dénie"' la syphilis toute ' action sur les centres nerveux / alors que l'on accorde 'ce pouvoir aux autres
et l'un, et, l'autre parais- sent avoir été indemnes.de toute tare nerveuse ou mentale. .bUU.m uC...nr ii r.n ,JU ? n m.. ,
aux d'électrophysiologie - et d'électrothérapie relatifs au système nerveux et à ses maladies 'en les, groupant non par ord
RO-DIAGNOSTIC ? '^ / h ' I. RÉACTIONS ÉLECTRIQUES DANS LES MALADIES NERVEUSES . Dans la séance du 6 février delà Société deNeu
de vue du pronostic. · ' y- 1 e- D'après ses recherches les fibres nerveuses périphériques pos- sèdent une faculté de régéné
e illimitée de quelques semaines à sept ans. Donc, dans les lésions nerveuses graves la cause, l'étendue et le caractère de l
considère la valeur de l'exploration électrique dans les affections nerveuses comme très limitée, attendu que dans un certain
ant le degré du mal et son' extension... ' IV. L'obésité, D'ORIGINE nerveuse ET SON traitement' par l'électri- 4 ? ' cité; p
non seulement comme il le dit' pour rétablir l'équilibre du système nerveux dont le trouble est 'la cause première de cet e
ossède une action incontestable dans la cure de l'obésité d'origine nerveuse ,' si fréquente dans la neurasthénie; 2° Le bain
x qui fait .disparaître l'embonpoint exagéré, atténue les accidents nerveux et ramène les forces et l'appétit à l'état norm
nant de troubles de nutrition. En : ce*qui : concerne les maladies' nerveuses rien d'extraordinaire n'a*1 été obtenu jusqu'ic
un signe extérieur d'une constitution, d'un état anormal du système nerveux , par conséquent les individus n'ont ou peu de r
notre pratique, personnelle.. Sur2,200 malades atteints de maladies nerveuses ou mentales, nous avons trente-deux fois établi
1) 9"·3,a; 'r VIII. Étude sur l'emploi du massage dans les maladies nerveuses ; 4 " ' S-F" ''par le Dr Massy.' G. Masson, édit
me l'action thérapeutique du mas- sage dans les maladies du système nerveux . z .jjyvV"- ; Première partie. Le massage varie
réflexe, il provoque des changements mo- léculaires dans le système nerveux central. M ...,. ? La deuxième partie traite de
ose, myxoe- dème, oedèmes localisés, pseudo-lipomes, arthropathies, nerveuses ). A propos de chacune de ces maladies, l'auteur
orte la "plupart des maladies congénitales et chroniques du système nerveux chez les enfants. ' 1 1 Très rares encore aujou
à la commotion et enfin les troubles fonctionnels des < centres nerveux . Toutes les variétés de blessures peuvent se pr
aller occuper la chaire de phy- siologie et des maladies du système nerveux à, Harvard Uni- versity. Nous le retrouvons à P
de ? ancien professeur de physiolo- gie et de pathologie du système nerveux à l'Université d'Harvard (Etats-Unis) : chargé
ûe ? 4852; Le- çons sur la physiologie et la pathologie des centres nerveux (encan- glais), 9860;-Leçons sur les paralysies
les maladies mentales ont poui\siège,'n6nI]cerveau'Rt le système nerveux , mais l'élément spirituel de )a;vie étroitement u
évricule de gauche : elle formelàunanneau complet autour delà masse nerveuse . - On remarque en outre que partout la gaine pé
montre enveloppé de toutes parts; mais surtout du côté du faisceau nerveux ,'par une zone alvéolaire. Lestroma interfascicu
réseau lâche (e) fortement nucléé surtout au voisinage du faisceau nerveux (9), représentant une des formes diffuses du tiss
érique, surtout à gauche (n), est assez nettement nucléée. La masse nerveuse est partout séparée du foyer par une ligne de d
gulée ou détritus cellulaire ? ). Fig. 15. 1/500. Un petit faisceau nerveux aplati (y) pris entre deux couches xnésoneurial
sez nombreux noyaux. En c, de petits groupes superficiels de fibres nerveuses à demi atrophiées. v, une artériole dont l'adve
pour mieux dire les prismes circonscrits latéralement par- la masse nerveuse , le périnèvre et le foyer, sont seuls occupés p
x (a) ? Comme dans'les figures1 21 ? >' 25;, 26, 27,'le faisceau nerveux n'est représenté que par le contour de ses fibres
les affections des lobes occipitaux, par Soeppili, 195., Cellule nerveuse , anatomie de la - , par \issl, 391. Centhe th
ppe, 136. 1 , Couleurs, le sens quantitatif des dans les maladies nerveuses , par Wolfberô, 197... ? ,. , . Crampe, traite
nervo-musculaire, par Mares, r39 ; réactions - dans les maladies nerveuses ,' par Dana, 449. TABLE DES matières. 485' E
,' 188 ; stigmates perma- nents laissés ' par I' ? sur le système nerveux central, par ' \Vall : er; 224. t ? ? ' ? <
f -' . 1 Massage, étude, sur. l'emploi', du ? 0 ? dans les maladies nerveuses , par 1 - Massy,.462 ? r",....A ? rTO Médecine
pour l'étude des dégénérescences des -, par Beer; 222 : ' ? '' Nerveuses , pathologie des maladies , parDana,"184 : ' 0 ?
izontal artificiel, par " Bach, 187., , ., Obésité, l'- d'origine nerveuse et son traitement.. par l'électricité, par Im
40." ' ? 1, ,) Syphilis, contribution à l'étude de la du, système nerveux , par .. Raymond, 1, 112... , , . SYxmcovvELiE
hie, musculairei et hystérie , parErb,192..ac ,y· ? · ? ? Système nerveux , . les découvertes ' '' récentes * sur ' le ?
par Mabon, 284. Tuberculose, inoculation de la .dans les centres nerveux , par Te- deschi, 217; dans les asiles (..d'id
43 (1891) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 6
mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteur en Chef : Docteur Edgar BÉRILLON PR
que; car personne n'oserait soutenir aujourd'hui qu'il y a un système nerveux moral fonctionnant indépendamment du système nerv
l y a un système nerveux moral fonctionnant indépendamment du système nerveux anatomique. L'hypnose ou mieux l'ensemble des phé
ence d'urine qu'on observe si fréquemment chez les prédisposés et les nerveux précoces. Plusieurs de nos confrères étrangers
et créées par un affaiblissement de l'organe psychique ou du système nerveux en général. Aussi observe-t-on souvent les émotio
e. Dans les autres cas. on réussit à enlever les maux de tôte, l'état nerveux , les palpitations ; surtout on arrive à amoindrir
nski, invité par M. le professeur Charcot, à la clinique des maladies nerveuses , à exposer les doctrines professées à la Salpétri
iève et assez délicat de santé, israélite de race et peut-être un peu nerveux : « Donne-moi ta composition, je vais la signer,
individu, laite par des médecins de Londres, n'a montré aucune lésion nerveuse consia-table à l'œil nu. Cela semble indiquer a p
s phsychiques ou, d'une façon plus générale, des fonctions du système nerveux . M. Tokarski en rapporte deux observations : 1
par Charcot et Guinon. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Hygiène des gens nerveux , par le docteur Levillain. Paris, Alcan, 1891.
ialement aux personnes prédisposées et à celles atteintes de maladies nerveuses . M. Levillain expose d'abord l'hygiène spéciale d
M. Levillain expose d'abord l'hygiène spéciale des grandes fonctions nerveuses : les sens, l'intelligence et le mouvement; puis
essentiellement pratiques, sont précédés d'une description du système nerveux et de son mécanisme, des diverses affections nerv
ption du système nerveux et de son mécanisme, des diverses affections nerveuses qui sont à redouter et par suite à éviter, et d'u
mmeil et ses analogues, et. d'après la loi de fluctuation de la force nerveuse établie par Cabanis et Bichat, que naissent : non
ue suggestivement s'améliorent ou guérissent, a l'aide d'un mouvement nerveux en sens contraire de ces phénomènes, un très gran
Paris, 1891, I fr. — Une nouvelle clinique de maladies mentales et nerveuses vient d'être inaugurée à Balle. — Un mémoire de
pages. — Ollier-Uenry, 1891. Levillain (Dr F.). — Hygiène des gens nerveux , précédée de notions générales et observations su
servations sur la structure, les fonctions et les malndica du système nerveux , gravures dans le texte, in-12, 310 pages. — Pari
rAts de rémotion morale dans la pathogénie des maladies du système nerveux . (Union méd., Paris. Î4 janvier 1*01, p. 121).
e notre système musculaire, mais aussi des exercices de notre système nerveux central, du cerveau et de la moelle épinière. Les
qu'on aurait affaire a des hystéries plus prononcées et a des malades nerveux . Eb bien, c'est le contraire qui se produit. L'hy
ire qui se produit. L'hypnotisme réussit mieux chez les personnes noa nerveuses que chez certaines personnes nerveuses. Les neu
t mieux chez les personnes noa nerveuses que chez certaines personnes nerveuses . Les neurasthéniques, par exemple, se laissent
n malade d'hôpital. II semblerait que les premiers, généralement plus nerveux , fussent plus facilement hypnotisables que les se
51 sur 69 sont hallucinantes. La population d'hôpital, quoique moins nerveuse que la population de la ville, se laisse plus fac
ans une observation de thérapeutique suggestive beaucoup de symptômes nerveux , parce que c'est à ces symptômes que la thérapeut
ique s'adresse. Beaucoup de maladies organiques ont un retentissement nerveux ; le champ des troubles fonctionnels dépasse celu
les maladies peuvent donner lieu à des troubles dynamiques du système nerveux . Si on veut donner a tous ces troubles le nom d'h
es troubles le nom d'hystérie, si on veut admettre que toute modalité nerveuse anormale sans lésion constitue l'hystérie, alors
ont autant du domaine de la pédagogie que de la pédiatrie : insomnies nerveuses , terreurs nocturnes, somnambulisme, kleptomanie,
de se ronger les ongles, perversité morale, etc. 10° Les affections nerveuses dans lesquelles le traitement psychothérapique a
une dame des environs de Narbonne vient me trouver pour une affection nerveuse remontant à dix ans. Elle ne peut rien Lire sans
s démentie un seul instant, malgré les diverses émotions et secousses nerveuses qu'elle doit avoir éprouvées depuis. Considérat
est surtout indiquée est celui des maladies fonctionnelles du système nerveux , c'est-à-dire celles où le rétablissement de la f
observe d'autres, liées à la perturbation de la fonction des éléments nerveux , il est possible de les faire disparaître, et il
qui, en réalité, tenaient à un trouble fonctionnel réflexe du système nerveux . 14. — En dehors des cas de guérison totale, l'
é par la dilatation de l'estomac dans la production de certains états nerveux morbides, beaucoup d'auteurs ont pu confirmer la
iennent à se tenir au courant des récentes conquêtes de la pathologio nerveuse Déjerine. (Médecine moderne.) NOUVELLES -
r M. le Dr DE JONG, médecin spéciali*t» pour les maladies mentales et nerveuses , à la Haye (Hollande). Monsieur le Président,
Eu ma qualité de médecin spécialiste pour les maladies mentales et nerveuses , il n'est pas besoin de dire que la plupart des m
dus, jouissant d'une parfaite santé et en les comparant à mes malades nerveux je n'ai pas remarqué de différence sensible. J'ai
ffirmé être issu d'une famille robuste, et il ne connaît aucun malade nerveux parmi ses parents. C'est un homme de grande énerg
: La nommée P.... âgée de onze ans, fille d'une mère excessivement nerveuse , souffrant d'une mélancolie périodique, est sujet
Les deux dames ci-dessus sont toutes les deux ce qu'on appelle un peu nerveuses , mais elles n'accusent aucun symptôme d'hystérie.
ucune douleur. * La malade descendait d'une famille où les maladies nerveuses ou mentales étaient absolument inconnues, n'accus
'accusait pas le moindre svmptômc d'hystérie cl toutes les affections nerveuses lui sont tout à fail étrangères. Dans les névra
de notre moi, pour peu que ces actes soient de ceux que notre système nerveux a appris à réaliser. Si je suggère à A... une vio
ous les phénomènes réflexes d'origine cérébrale. L'action des centres nerveux sur la circulation, sur la respiration, sur la di
nconnu mis en œuvre par la suggestion, n'envoie plus au bras l'influx nerveux destiné à le mouvoir. Or, la tentative même que l
droit de les passer sous silence. Au fond de l'activité des centres nerveux , au fond des sensations, des représentations qui
protoplasma de ces centres ; ce mouvement se propage sur les cordons nerveux qui sont liés avec eux, arrive jusqu'à tel ou tel
ion de sucs spéciaux, etc. Ce mouvement moléculaire, nommé excitation nerveuse , se manifeste sur le galvanomètre par de faibles
erve en fait de forces physiques accompagnant l'activité des éléments nerveux , et il en va de môme dans le cas où cette activit
e, d'admettre que ce mouvement moléculaire peut se passer des centres nerveux de l'inducteur dans l'air et de l'air dans les ce
entres nerveux de l'inducteur dans l'air et de l'air dans les centres nerveux du « lecteur » des pensées; et dans le cas où l'i
r et le lecteur se touchent, ce mouvement moléculaire de l'excitation nerveuse devrait se transmettre des nerfs d'un homme, par
adiction directe avec les faits physiologiques connus. L'excitation nerveuse est incapable non seulement de traverser les couc
mains se touchent, mais elle est même incapable de passer d'un cordon nerveux mis à nu dans un autre nerf mis à nu, fussent-ils
e temps à l'état de repos. Ce fait prouve clairement que l'excitation nerveuse , si forte qu'elle soit, n'est pas capable de se p
r d'une façon moins scientifique, mais plus mystérieuse, l'excitation nerveuse qui se propage le long d'un nerf n'est pas capabl
ue une contraction nette des muscles. Il est évident que l'excitation nerveuse n'est pas capable de passer par les endroits liés
ulte avec évidence cet axiome général physiologique, que l'excitation nerveuse n'est pas capable de passer ou de sauter d'un ner
, en d'autres termes, la loi de la propagation isolée de l'excitation nerveuse par des filets nerveux isolés et continus est obl
loi de la propagation isolée de l'excitation nerveuse par des filets nerveux isolés et continus est obligatoire poulies phénom
x isolés et continus est obligatoire poulies phénomènes de l'activité nerveuse . Ce qui a été dit à propos des nerfs est complè
i a été dit à propos des nerfs est complètement applicable au système nerveux central. Des expériences analogues faites avec
Ici régnent aussi les lois de la transmission isolée de l'excitation nerveuse suivant les centres et les filets nerveux à l'éta
ion isolée de l'excitation nerveuse suivant les centres et les filets nerveux à l'état intact, et le caractère, la propagation
tat intact, et le caractère, la propagation et la direction des actes nerveux se déterminent par la liaison des filets nerveux
direction des actes nerveux se déterminent par la liaison des filets nerveux avec des centres déterminés, et par les connexion
une minute, que les choses se passent autrement, et que l'excitation nerveuse ne se limite pas aux sphères directement excitées
limite pas aux sphères directement excitées des centres et des filets nerveux , mais se propage d'un filet nerveux à tous les au
xcitées des centres et des filets nerveux, mais se propage d'un filet nerveux à tous les autres filets voisins, et d'un centre
du cerveau, ou, en d'autres termes, s'induise dans tous les éléments nerveux voisins. On pourrait bien se demander si, dans ce
rait bien se demander si, dans ces conditions, une activité régulière nerveuse serait possible? Sans aucun doute. — non. puisque
e mouvements généraux, qui écarteraient la possibilité d'une activité nerveuse normale. En admettant cette hypothèse, nous dev
de nos organes des sens arrivant jusqu'à tel ou tel groupe de centres nerveux , ou chaque excitation apparaissant en eux indépen
centre à l'autre, mettre en jeu simultané toute la sphère des centres nerveux sensoriels, psychiques et moteur-*, et provoquer
tous les appareils du corps. En admettant l'induction de l'excitation nerveuse dans les éléments nerveux de notre corps, l'affai
. En admettant l'induction de l'excitation nerveuse dans les éléments nerveux de notre corps, l'affaire se réduit, comme on voi
avec tous les faits physiologiques, n'est pas applicable aux éléments nerveux du même organisme, il doit l'être encore moins da
même organisme, il doit l'être encore moins dans le cas où le système nerveux d'un homme devrait agir sur celui d'un autre. L
nerveux d'un homme devrait agir sur celui d'un autre. L'excitation nerveuse , se trouvant au fond de notre activité nerveuse,
autre. L'excitation nerveuse, se trouvant au fond de notre activité nerveuse , se manifeste, subjectivement, par l'apparition e
, des glandes, des vaisseaux, etc., qui sont gouvernés par le système nerveux . La nature de l'excitation nerveuse reste dans to
qui sont gouvernés par le système nerveux. La nature de l'excitation nerveuse reste dans tous les cas la môme, et les différenc
u'aux centres des sensations, des représentations, etc., l'excitation nerveuse provoque en eux une série de phénomènes qui mènen
les nerfs périphériques jusqu'aux organes du corps, cette excitation nerveuse provoque, dans un cas, l'activité des muscles, da
s, par exemple le vert luisant (Lampyris), chez lesquels l'excitation nerveuse provoque même le développement de la lumière, grâ
particulières luminantes qui se trouvent sous l'influence du système nerveux . Dans ce cas, le développement de la lumière est
e l'appareil luminant, et ce dernier entre en jeu sous les impulsions nerveuses que lui envoient les centres nerveux. Détruisez,
tre en jeu sous les impulsions nerveuses que lui envoient les centres nerveux . Détruisez, éliminez ces impulsions en chloroform
ecommence A briller. Ainsi, la sphère de l'activité de l'excitation nerveuse est limitée par les frontières du corps, et les d
corps, et les différentes formes de la manifestation de l'excitation nerveuse dépendent des fonctions particulières physiologiq
Examinée à ce point de vue-là, qui est le seul correct, l'excitation nerveuse ne fait que donner l'impulsion à l'activité de te
rganes du corps; et telle qu'elle est. sans ces organes, l'excitation nerveuse ne se transforme en aucune des formes connues de
les courants électriques se développant dans les limites des éléments nerveux excités. Je crois qu'après tout ce qui a été di
s (comme il l'avance lui-même), et surtout le rayonnement de la force nerveuse , sa transformation en lumière, en force dynamique
erveau, s'accompagnent d'une transmission excentrique de l'excitation nerveuse sur les nerfs sécréteurs des glandes lacrymales e
es vaisseaux sanguins par la transmission excentrique de l'excitation nerveuse des centres de sensations et de représentations s
, et l'attente d'un certain résultat provoque l'irritation de centres nerveux déterminés, qui président précisément aux mouveme
re tout ceux qui appliquent l'hypnotisme au traitement dés affections nerveuses . Cependant, sur vingt epileptiques traités par la
que de La Haye, je soigne beaucoup d'Israélites atteints d'affections nerveuses , un jour, une jeune fille de cette race arrive pa
par leur répétition fréquente, peuvent altérer la santé des personnes nerveuses et surtout des enfants, doués d'un système nerveu
té des personnes nerveuses et surtout des enfants, doués d'un système nerveux qui n'est pas encore stable. Nous voyons ainsi
carré du menton, le risorius d£ Cantorini, etc., ou bien les branches nerveuses du cubital, du médian, etc. La rapidité avec laqu
ne constitueraient pas seulement des divers phénomènes d'un même état nerveux , mais représenteraient, pour me servir des mêmes
3) C ha «cor. • Essai d'une distinction nosographique des divers «als nerveux compris sous le nom d'hypnotisme >. {Comptes r
e d'un eut unique, c'est-à-dire de VexcilabUité augmentée des centres nerveux , et que la variété des dites manifestations est d
ient retombe dans l'état léthargique. Or, peut-on dire que cet étal nerveux est véritablement nouveau et distinct? N'est-ce p
proportionnée? Dans ce cas, en effet, on a fait agir sur les centres nerveux , par une voie ou i«ar une autre, une excitation f
culaire intense et prolongée. Ici encore il ne s'agit pas d'un état nerveux nouveau et distinct, mais plutôt de simples manif
ion employée. Par conséquent, nous ne voyons pas ici non plus un état nerveux spécial, mais seulement une nouvelle manifestatio
relève pas des caractères tels qu'on puisse constituer autant d'éiais nerveux spéciaux et distinctifs, mais nous voyons seuleme
aient pas la valeur des caractères nosograpbiques dislinclifs d'étals nerveux complètement différents, nous en avons la preuve
veille, avec des moyens simples, tels que la pression sur les troncs nerveux , le massage des muscles, l'application du diapaso
après la guerre de 1870, s'est voué depuis au traitement des maladies nerveuses . Il a, depuis quelques années, élu résidence à Ba
périence personnelle dans le traitement d'un grand nombre de maladies nerveuses . C'est à lui que le professeur Dr Albert Eulcnbur
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses est annexée â l'Institut psycho-physiologique. Le
institut l'enseignement de l'hypnotisme. Le lit à deux et la force nerveuse . Un argument pour les ménages qui aiment a (air
e leur fournit. « Rien, dit ce Journal, ne détraque autant le système nerveux d'une personne qui élimine de la lorce nerveuse,
aque autant le système nerveux d'une personne qui élimine de la lorce nerveuse , comme de coucher toute une noit avec une antre p
toute une noit avec une antre personne, qui absorbe cette même force nerveuse . Celle-ci dormira profondément tonte la nuit et s
ssent les personnes qui éliminent et celles qui absorbent de la force nerveuse ? Il y a bien quelque chose d'analogue dans l'hist
artage l'opinion du journal : • Un grand nombre, dit-il, des malaises nerveux dont on se plaint souvent le matin an lever sont
is), professeur libre d'anatomie. — La loi de la position des centres nerveux . (Brochure de 8 pages. — Chez l'auteur, 35, rue M
à la Société, la preuve évidente que, même dans certaines affections nerveuses cum materia, où l'apparition de symptômes fonctio
Ses antécédents héréditaires sont favorables : il ne connaît pas de nerveux dans sa famille. Son père est mort à soixante-dou
il a eu une fièvre typhoïde pour laquelle (I) Clinique des maladies nerveuses , 49, rue Saint-André-des-Arts. il est resté tre
de l'action complémentaire exercée dans le traitement des affections nerveuses par la suggestion hypnotique. Si, d'un côté, la m
ette secousse, ce coup de fouet, qui semble raviver dans les cellules nerveuses encore engourdies, celle dyna-mogènie qui en cons
fession, n'ayant d'autres antécédents héréditaires qu'une mère un peu nerveuse et affligée de fréquents maux de tète ; son père
s'assurer que ce n'est pas une hystérique. Elle est sans doute un peu nerveuse , mais après dix années de souffrances il n'y a pa
L'enfant est intelligent, laborieux, docile, n'a pas d'antécédents nerveux héréditaires. Depuis deux mois on a constaté seul
ut-elle définitivement guéri? Il s'agissait d'un enfant indiscipliné, nerveux ; je pouvais bien rendormir en sommeil profond av
; l'habitude de la masturbation n'était pas greffée sur une diathèse nerveuse héréditaire; elle était la conséquence d'une sugg
r ce moyen thérapeutique très piopre à calmer l'irritation du système nerveux . L'hypnose a été produite de la mémo manière ch
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiologique. Le
l-Kwai Medical Journal, de Tolcio, deux cas rrmarqudbles d'atTectioas nerveuses , traitée» avec succès par la suggestion hypnotiqu
euro-Hypnologie, études sur l'Hypnotisme et les différents phénomènes nerveux , physiologiques et pathologiques qui s'v rattache
saires qui s'efforçaient de prouver qu'il n'existait aucune connexion nerveuse entre la mère et le fœtus; tous ces cas, collecti
gt-quatre ans, d'une condition très aisée, n'ayant pas un tempérament nerveux , me demanda mes soins au commencement de l'année
nt découvertes et connues. II est vrai qu'il n'y a pas de connexion nerveuse entre la mère et le fœtus, mais cette absence exc
ou, en autres termes, cela est impossible sans le travail des tissus nerveux . II. Il existe beaucoup de phénomènes qui ne pe
it. (4) Perez, loc. cit. tement. Selon le Dr Luys (1), les cellules nerveuses sont pendant un certain temps dans un élat de vib
des fables. A côté de cela, il est connu qu'une déviation des fibres nerveuses pendant le développement, ne fût-elle que d'un di
Buffon. La nature n'a pas donné à tous les hommes la même sensibilité nerveuse , etc'est pourquoi les impressions ne sont pas les
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiologique. Le
ogie. Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système nerveux . — M. le professeur Charcot a repris ses leçons d
conférence sur les applications de l'ophtalmoscopie à. la pathologie nerveuse , arec te concours de M. Parinaud. — Une affiche u
Bicêtre. — Maladies des vieillards et maladies chroniques du système nerveux .- M. Déjerine, mercredi, à 10 heares. — Maladies
adies mentales : M. Charponiier. mercredi, à 8 heures 1/2. — Maladies nerveuses des enfants -M. Bourneville, samedi, à 9 heures.
lle donnée par Beard, en 1868, à un ensemble de troubles fonctionnels nerveux greffés sur l'organisme, sans lésion apparente. L
vralgie générale de Valleix, la névrose protéiforme de Cerise, l'état nerveux de Sandras, le nervosisme de Bouchut, la névropat
s neurasthéniques ont de l'épuisement (nervous exhaustion) du système nerveux , comme le dit Beard, ou de l'irritation nerveuse
xhaustion) du système nerveux, comme le dit Beard, ou de l'irritation nerveuse comme ledit Mouneret? Les Anglais ont tourné la d
irritable. Parmi les neurasthéniques, il en est qui ont une activité nerveuse excessive, psychique et physique : volonté énergi
oncer plutôt une exagération qu'une diminution dans le fonctionnement nerveux . D'autres, au contraire, sont inertes, sans volon
musculaires déprimées, la sensibilité émoussée, toutes les fonctions nerveuses languissantes, traduisant plutôt une asthénie ner
les fonctions nerveuses languissantes, traduisant plutôt une asthénie nerveuse générale. La plupart ont un mélange d'excitation
des phénomènes d'irritation aussi bien que l'hypérémie, la faiblesse nerveuse peut réaliser les mômes troubles fonctionnels que
euse peut réaliser les mômes troubles fonctionnels que la suractivité nerveuse ; je veux conclure simplement que rien ne démontr
te neurasthénie, il y a anomalie, modalité anormale du fonctionnement nerveux ; et l'ancien terme de névropathie, que je propose
pothétique; il dit simplement: fonctionnement pathologique du système nerveux . Nervosisme, état nerveux, sont des mots qui dé
t: fonctionnement pathologique du système nerveux. Nervosisme, état nerveux , sont des mots qui désignent plutôt un tempéramen
mots qui désignent plutôt un tempérament qu'une maladie. On peut être nerveux sans être névropathe, comme on peut être lymphati
, comme on peut être lymphatique sans être scrofuleux. Le tempérament nerveux prédispose aux névropathies, comme le lyraphatism
impressionnable, ressent vivement les émotions diverses ; son système nerveux réagit avec intensité sous l'influence des irrrit
ubles digestifs, etc. Alors une névropathie s'est greffée sur un état nerveux , sur une diathèse nerveuse générale préexistante.
s une névropathie s'est greffée sur un état nerveux, sur une diathèse nerveuse générale préexistante. Mais tous les nerveux ne d
rveux, sur une diathèse nerveuse générale préexistante. Mais tous les nerveux ne deviennent pas névropathes. Il y a plus. Tou
pas névropathes. Il y a plus. Tous les névropathes ne sont pas des nerveux , j'entends nerveux dans le sens qu'on attache d'h
Il y a plus. Tous les névropathes ne sont pas des nerveux, j'entends nerveux dans le sens qu'on attache d'habitude à ce mot. T
me physiquement et moralement, est sujet, par exemple, à des douleurs nerveuses abdominales revenant par accès, sans lésion organ
revenant par accès, sans lésion organique; tel autre a des battements nerveux du cœur, un autre a des troubles digestifs gastro
et la disparition subites sans cause indiquent le caractère purement nerveux ; ce sont là des névropathies locales qui implique
là des névropathies locales qui impliquent bien l'idée d'une diathèse nerveuse purement locale, d'une vulnérabilité spéciale dan
erveuse purement locale, d'une vulnérabilité spéciale dans le système nerveux du cœur, des organes digestifs, alors que tous le
organes digestifs, alors que tous les autres départements du système nerveux n'ont aucune réaction insolite. Ce ne sont pas, j
eux n'ont aucune réaction insolite. Ce ne sont pas, je le répète, des nerveux d'une façon générale; ils ne sont que partielleme
pète, des nerveux d'une façon générale; ils ne sont que partiellement nerveux , dans un seul domaine. La névropatbie peut donc
cas elle se développe presque toujours sur un terrain héréditairement nerveux ; ou bien elle est partielle ou locale, et dans ce
st partielle ou locale, et dans ce cas elle se développe sur un sujet nerveux ou bien sur un sujet qui, sans paraître nerveux,
éveloppe sur un sujet nerveux ou bien sur un sujet qui, sans paraître nerveux , ne présente qu'une diathèse nerveuse localisée.
sur un sujet qui, sans paraître nerveux, ne présente qu'une diathèse nerveuse localisée. Mais cette névropathie primitivement l
nt de la région primitivement atteinte et envahissent tout le système nerveux . Une douleur d'abord localisée au bras peut se pr
a névropathie locale s'est généralisée, et dans ce cas, c'est un état nerveux général héréditaire qui, presque toujours, a serv
r la vie incite à une suractivité fonctionnelle qui épuise le système nerveux ! La lame use le fourreau, la tension nerveuse ex
e qui épuise le système nerveux ! La lame use le fourreau, la tension nerveuse exagérée use l'organe ! Sans doute cela est vrai
ions vives semblait faite pour épargner toute secousse à leur système nerveux , si la loi fatale de l'hérédité n'avait imprimé à
adie guérit, et depuis la digestion était parfaite. Il a toujours été nerveux , sans être névropathe ; depuis son enfance, il tr
la, il se portait à merveille, sans douleur, sans autre manifestation nerveuse . Son nervosisme parait héréditaire. Son père, sur
ns être malade. Il a perdu, il y a cinq ans, sa sœur, d'une affection nerveuse qu'il ne peut définir ; elle avait habitnelleraen
peut définir ; elle avait habitnelleraentdes maux de tête, des crises nerveuses : pendant la nuit, elle sautait dans son lit en rê
heure le jour. Il ne présente d'ailleurs aucune antre manifestation nerveuse : pas de céphalalgie, pas de rachialgie, pas de t
le répète, une névrite du mollet. La douleur incarnée dans un système nerveux impressionnable a pu être le point de départ d'un
. Vous voyez tous les jours avec quelle facilité on provoque chez les nerveux ou les névropathes, des douleurs variables, par s
e grossie par le sensorium exalté, conservée et répétée par le centre nerveux , devenant ainsi le point de départ d'une nouvelle
pas obtenir un sommeil profond, souvent difficile à réaliser chez les nerveux tenaces et auto-suggestionnistes. Contrairement à
pathie devient chronique, elle s'incarne profondément dans le système nerveux , et il arrive un moment où elle s'identifie pour
ar la suggestion. Elle peut se généraliser, envahir d'autres domaines nerveux ; elle peut envahir le domaine psychique et dégéné
Mariée à vingt ans. elle eut un enfant sans éprouver aucun phénomène nerveux . Son mari attribue celte attaque de nerfs à une é
que cette émotion ait provoqué la crise, mais la cause de l'affection nerveuse réside surtout dans les nouvelles conditions de v
particulière dans laquelle se trouvait alors la malade, les troubles nerveux résistaient à mes suggestions; il m'aurait fallu
re de jours sans la voir, lorsqu'on vint me prendre pour des troubles nerveux nouveaux. Il lui arrivait fréquemment de voir che
eu la satisfaction de voir disparaître, non pas seulement les crises nerveuses , mais encore les idées de persécution et de suici
et morbides par auto-suggestion. D'après la loi dynamique du système nerveux donnée par M. Bernheim, le savant professeur de N
donnée par M. Bernheim, le savant professeur de Naney, toute eetlule nerveuse actionnée par un phénomène extérieur actionne les
ule nerveuse actionnée par un phénomène extérieur actionne les fibres nerveuses correspondantes. Lorsque la conscience est absent
it d'ailleurs commencé par appeler f nervous exhaustion », épuisement nerveux , l'état moibide dont il est question; c'est qu'il
signification bien vague, puisqu'il veut simplement dire a souffrance nerveuse » ou « maladie nerveuse ». Gardons-le donc pour l
, puisqu'il veut simplement dire a souffrance nerveuse » ou « maladie nerveuse ». Gardons-le donc pour les maladies du système n
ou « maladie nerveuse ». Gardons-le donc pour les maladies du système nerveux qu'on ne peut encore classifier. Mats vraiment
r SI. le D' A. GOIX. L'anorexie hystérique, encore appelée anorexie nerveuse , se caractérise cliniquemeni par le refus systéma
tion hypnotique a-1-elle contribué à faire disparaître cette anorexie nerveuse ? Il est difficile de le dire. Toutefois, l'observ
ophobie et qni avait refusé (1) Charcot, *ur Ut Maladie» du tytlème nerveux . Paris, 1837, t. III. p. 243. tout aliment liqu
sin font, à la Salpétrière, des leçons sur les maladies mentales et nerveuses , le jeudi à neuf heures et demie. Hôpital Larib
locq (Paul) et Onanoff (J.). — Seméiologie et diagnostic des maladies nerveuses . (Un ia-18 de 530 pages, avec 83 figures dans l
arte, Paria, 1893.) Julien (Alexis). — Loi de la position des centres nerveux . (Brochure de 8 pages. — Chez l'auteur, 35, rue
mats, dit-elle, très sensible. Un rien peut l'agiter. Pas d'accidents nerveux dans sa famille, ni chez les ascendants, ni chez
connu des cliniques spéciales soit de dermatologie, soit de maladies nerveuses , et dont l'étude avait été mise à l'ordre du jour
urticaire factice, urticaire fictive, urticaire provoquée, urticaire nerveuse , urticaire graphique, etc. M. Dnjardin-Beaumetz
ant un migraineux; sa mère, sujette elle aussi aux migraines, est une nerveuse . Notre client, comme antécédents pathologiques
re vers la même époque. Son interrogatoire révèle qu'il s'agit d'un nerveux (sensibilité exagérée, colères fréquentes, etc.).
Michelson, Baumgarten;. on l'a noté d'une façon particulière chez les nerveux et les hystériques (Dujardin-Beaumetz, Gourbeyre,
chez les alcooliques (Paul Raymond). Or, notre sujet est à la fois nerveux , urticarien, ex-alcoolique; ce trio de circonstan
hypno-tisation profonde. Marguerite D..., Igée de quinze ans; très nerveuse . Elle s'est assez bien portée jusqu'en mai 1890.
, et les spectateurs impressionnables ressentent parfois des troubles nerveux devant les expériences terrifiantes des Barnums d
térieuses des manifestations extraordinaires des maladies mentales et nerveuses qui se propageaient surtout dans les époques de t
orte ». La pauvre femme, au debut d'une grossesse, avait des syncopes nerveuses qu'elle attribuait au démon. Mais en attendant, l
t le plus souventd'une impression morale. Les symptômes de la maladie nerveuse en étaient modifiés en conséquence. On lit dans
plus que nous avons dans l'écorce cérébrale îles amas de substance nerveuse , centres moteurs qui président précisément aux mo
elle et toute sa famille. Aussi, la guérison complète d'une surdité nerveuse chez une autre malade par la suggestion hypnotiqu
i ont pour base des pertur- bâtions plus ou moins aiguës du système nerveux , comme paralysie, tic douloureux, névralgies, bég
en est faite dans les procès-verbaux, qu'il s'agissait ici de crises nerveuses de grande hv»lérie, causées par un violent dépit.
gé, fait, tous les samedis, à neuf heures, ane leçon sur les maladies nerveuses . M. Charles Henry, maître de conférences à l'Éc
Blocq (P.) et Onanoff (J.). — Séméiologie et diagnostic des maladies nerveuses . (Un volume in-12 de 530 pages, avec 88 figures d
rla, 1891.) Debierre (Dr Ch ) et Douser Dr E.). — Album des centres nerveux . (48 figures schématiques. — Félix Alcan. éditeur
-ratifs m'en donnaient l'assurance. Donc, chimères dans cette tète de nerveux . Plus de craintes à avoir. Vivre de celte salutai
ez, la vie militaire présente de grands avantages pour un tempérament nerveux comme le mien. Ce qui me nuisait surtout, c'était
ans, présentant de» troubles du caractère liés à diverses affections nerveuses (épilepsie. Chorée, imbécilité). Ces troubles du
rler et qu'elle savait réussir quelquefois à endormir certains-sujets nerveux . Cette jeune malade est ce qu'on appelle, eu ps
incisives; mais, dès que j'approchais mon instrument, une contraction nerveuse lui fermait la bouche de telle façon que mes plus
ré toute sa bonne volonté elle ne pouvait combattre cette contraction nerveuse spasmodique. Après plusieurs tentatives infructue
ale, voulait se faire plomber deux molaires, et en raison de son état nerveux , désirait être endormie. Elle m'assura à son réve
ion de diminuer ou même défaire disparaître l'anxiété et l'irritation nerveuse qui, souvent, occasionnent plus de mal que le plo
laquelle, le 23 août, une violente émotion a déterminé des accidents nerveux , suivis d'une amnésie de caractère très particuli
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses esi annexée a l'Institut psycho physiologique. Le
ceront à la Salpetrière un cours clinique sur tes maladies du système nerveux , a partir du 2 mai. Le cours aura lieu quatre f
is la voie que des médecins n'ont pas osé suivre avant eux. Le choc nerveux consécutif aux explosions de dynamite. Les expl
ant sur les animaux compris dans cet espace une sidération du système nerveux , un véritable shoeb, dû à la transmission des vib
C'est évidemment cette vibration explosive qui se transmet au système nerveux des animaux éloignes du foyer de l'explosion, mai
gât matériel. On doit donc admettre qu'ils ont subi seulement lo choc nerveux , et qu'ils sont sous le coup d'une sorte d'inhibi
méditer d'un bout ò, l'autre. Dr 11" : LaCRBNT. Album des centres nerveux , par MM. Cit. Dbbibrre et E. Douubr. Paris, F.
Dbbibrre et E. Douubr. Paris, F. Alcan, 1892. L'Album des centres nerveux se compose de quarante-huit figures schématiques,
anato-mie, et particulièrement de l'Album stéréosco pique des centres nerveux , de* mêmes auteurs; chacune de ces figures corres
Archives de Neurologie, mars 1892.j Charlton-Bastian. — - Processus nerveux dans l'attention et la volition ». (Revue philoso
D- BOURDON, de Méru (Oise). M»* S..., âgée de trente ans, anémique, nerveuse , fille d'un alcoolique, a eu deux enfants et une
ossesse, étant enceinte de deux mots, fut prise brusquement de crises nerveuses avec pleurs, agitations, sueurs, convulsions, gra
interroge la mère sur les antécédents et j'apprends que la malade est nerveuse , rit et pleure sans motif, d'un caractère très ca
lle rêve tout haut la nuit, qu'elle n'a cependant jamais eu d'attaque nerveuse bien caractérisée [crises hystériques ou autres).
de l'appétit, assurer le sommeil parfait de la nuit, modifier l'état nerveux . La malade a bien voulu M pré 1er à ces hypnotisa
on* de la possession, il faudrait passer en revue toute la pathologie nerveuse et mentale, car on trouve sous le nom de démoniaq
e renferment mie véritable clinique fossile des affections du système nerveux . Lorsqu'on parcourt les pièces de ces procès, les
suivant est du même genre. On reconnaît facilement dans les symptômes nerveux manifestés chez la malade l'effet do la suggestio
eue (les maladies inconnues de l'époque, c'était surtout les maladies nerveuses , qui ne lardaient pas à s'annoncer comme manifest
l'atmosphère. Elle avait souffert l'année précédente d'une affection nerveuse assez tenace, et se trouvait sous l'influence de
éjà cité un cas, est bien connu dans l'histoire clinique des maladies nerveuses ; on l'appelle coprotafie). Le même jour, interr
e sens, cela ne prouve qu'une chose, c'est qu'un tempérament maladif, nerveux , est généralement mieux préparé à recevoir l'acti
diants un enseignement pratique permanent. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psycho physiologique. Le
u, à la Salpétrière, une série de leçons sur les maladies mentales et nerveuses . Plusieurs leçons seront consacrées aux applica
ofesseur Charcot, 286. Britisch medical association, 393. Centres nerveux (album des), 351. Chloroforme (aide donnée par
eux (album des), 351. Chloroforme (aide donnée par le), 114. Choc nerveux consécutif aux explosions de dynamite, 315. Civ
(la), par A. Voisin, 267. Folklorisme (un congrès de). 94. Force nerveuse ( le lit à deux et la), 159. Guérisseur en Alle
ff, 65, 101, 135. Lettre de M. Masoin, 79. Lit à deux et la force nerveuse (le), 159. Loge maçonnique médicale (une), 224.
44 (1902) Archives de neurologie [2ème série, tome 14, n° 79-84] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
c). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Farulté de médecine de Pans. coi 9.ADO
l'épilepsie, mais dans un grand nombre d'affections du sys- tème nerveux . 1 . Observation I. ÉPILEPSIE SYIIPTOM.TIQUr.
et elle affirme qu'elle n'a eu, depuis son départ,aucun accident t nerveux . ,1901. - Le 23 janvier, nous recevons une lett
nté, bien qu'elle ait un peu maigri et n'au- rait eu aucun accident nerveux . La surveillante, Allie Langlet, qui est allée
Bromure DE camphre. Guérison. ' ' Sommaire . Père, aucun accident nerveux , mort de tuberculose en décembre 1890. Renseign
r sa famille, mais on pense qu'il n'y a jamais eu de cas de maladie nerveuse . Mère, trente-huit ans, migraines fréquentes dè
Elle n'a jamais pleuré. Parfois accès de petits rires, courts et « nerveux ». . Elle ne souffre de la tête qu'après ses ve
Céphalalgies après la naissance du malade. Grand'mère pater- nelle nerveuse , sujette à de violentes colères et à des crises é
haschisch sur le <)'< : - vail. IGicl., p. 696). -Les poisons nerveux [L'année psychologique, 1902). ' Ch. Féré. Note
s'exerce exclusivement sur la fonction la plus élevée de l'activité nerveuse ; elle agit aussi, sans doute, sur les autres.
e ; elle agit aussi, sans doute, sur les autres. Lorsque l'activité nerveuse éprouve une décharge généralisée sous l'influen
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 55 des cellules nerveuses varie avec le degré d'amenée ou de démence exis
de la sensibilité ni de la motilité. Tout ici indiquait une. lésion nerveuse centrale, grave, et probablement cérébelleuse.
les à celles que l'on observe dans les régions soumises aux centres nerveux organiques. S'il y a un petit ulcère sous-cutan
oyenne grosseur, et, dans l'écorce visuelle, au niveau des cellules nerveuses ' étoilées (Stzadien u6. d. Hirnrinde d. Afensc
bale pure. Le père était, alcoolique, l'enfant est intelligent mais nerveux , l'acuité visuelle est diminuée, il y a une éba
énomène, le rôle important est dévolu à la multiplication des tubes nerveux comme dans un véritable névrome. Dans les nerfs
au con- traire, l'hyperplasie conjonctive est énorme et les tubes, nerveux sont très raréfiés. L'affection était familiale
stions les plus impor- tantes de l'anatomie pathologique du système nerveux . O. CROUZON. II. Les enfants retardataires ;
ormal, est souvent devenu ainsi parce que une lésion de ses centres nerveux a existé un moment donné. Il a eu la chance que
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle il sera accordé trois heures aux c
écrologie. M. le Dr Meredith Clymer, ancien professeur des maladies nerveuses à l'Albany Médical Collège. Nous avons le vif r
l'extension et de son application dans le trai- tement des maladies nerveuses . In-S° de r4 4 pages. Prix : 1 fr. 50 aux burea
off (N.). Essai sur la classification Talltoréizi7ue des mala- dies nerveuses . In-8° de 6 pages. Extrait de la Revue Neurologiq
02. Vol. XIV. Août 1902. N° 80. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ? Sur un cas de papillome épithélioïde 'du noya
aymond CESTAN, Ancien Chef de Clinique à la SalpéLrire. [Clinique nerveuse de la Salpêtrière) Des théories imaginées pour
des plus importants, Archives, 2' série, t. XIV. t 6 82 CLINIQUE NERVEUSE . r sinon même tout à fait exceptionnel, puisqu'
t (Photographie instantanée pendant la marche). 84 -il - CLINIQUE NERVEUSE . 1 , 4 , bisme externe n'étaient absolus que da
s la Fig. 6. Paralysie du droit supérieur gauche. 86 ' ' CLINIQUE NERVEUSE . marche; le malade talonne de cette jambe comme
le est extraite facilement ; le canal osseux, les méninges et l'axe nerveux ne présentent rien d'anormal ; Il en est de même
à 4 millimètres environ. Son extrémité supé- Fin. 7. 88 CLINIQUE NERVEUSE . rieure n'atteint pas la couche optique, son ex
ellules cylindriques ame- nant la destruction progressive du tissu' nerveux voisin. Sur des coupes perpendiculaires à leur
sous la forme de petits bourgeons qui vont pé- nétrer dans le tissu nerveux avoisinant; ce caractère est surtout évident da
ue d'envahissement. L'espace intertubulaire est rempli par le tissu nerveux conznlc- tement dégénéré sans fibres à myéline,
rveux conznlc- tement dégénéré sans fibres à myéline, sans éléments nerveux , sans réaction névroglique proprement dite, mai
quée ci-dessus, qu'il a complètement respecté au contraire le tissu nerveux qui l'entoure. Il a produit un véritable ramoll
c les moyens de recherche ordi- naires. Ii J. 9. 92 1) CLINIQUE NERVEUSE . ' , Au surplus, ce noyau cancéreux secondaire
ie de papilles envahissantes à pointes dirigées vers la subs- tance nerveuse . Enfin, l'étude attentive des éléments néoplasiqu
es tumeurs épilhé- liales développées primitivement dans le système nerveux ; la plu- part les passe même sous silence. Cepe
. La tumeur a eu une action destructive pour les parties du système nerveux envahi. Son centre 94 CLINIQUE NERVEUSE. · es
pour les parties du système nerveux envahi. Son centre 94 CLINIQUE NERVEUSE . · est en effet occupé par des masses en pleine
eux typiques. Ces masses sont le résultat de la nécrose et du tissu nerveux et des parties centrales néoplasiques. Nous avo
vé des granulations caractéristiques de dégéné- rescence des fibres nerveuses , en petit nombre dans le pédoncule cérébelleux
la description donnée par M. Babinski. Ces troubles mo- 96 CLINIQUE NERVEUSE . 1 teurs ont été signalés depuis longtemps dans
est vrai, occupait.les Archives, 2- série, t. XIV. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE . membres du côté de la lésion ; ces faits consi
ératrice. La première aurait son centre d'origine dans 100 CLINIQUE NERVEUSE . le mésocéphale, en particulier dans le noyau r
r- rompue dans le cas actuel au niveau du noyau rouge. PATHOLOGIE NERVEUSE Tremblements infantiles et nystagmus congénitau
nt du tremblement des yeux sympto- matique d'une maladie du système nerveux ou d'une alté- ration de l'appareil de la visio
retrouver d'autres signes indiquant la participation du sys- tème nerveux à la production du phénomène. Il y avait là aut
donc cherché à leur assigner un rang dans les affections du système nerveux , et nous avons tenté, d'après leur tableau clin
établi une progression allant du Tremblement ou 103 'l) PATHOLOGIE NERVEUSE . du Nystagmus simples aux formes rendues plus c
présentent rien de spécial. L'examen du fond d'oeil '104 PATHOLOGIE NERVEUSE . pratiqué par le Dr Aubineau a été trouvé norma
r Tollemer. TREMBLEMENTS INFANTILES ET NYSTAGMUS CONGÉNITAUX '108 nerveuse semble influencer sa production. La dentition p
ts fournis par notre observation, nous trouvons une importante tare nerveuse chez les ascendants maternels : le grand-père e
scendant. Chez l'un d'eux le développement irrégu- lier des centres nerveux se traduit d'autre part par l'exagé- ration des
occasion qui peut d'ailleurs ne pas se présenter. 106 PATHOLOGIE NERVEUSE . Il. Nystagmus congénitaux . Les cas de nysta
éliminé de cette étude les nystagmus symptomatiques d'une affection nerveuse caractérisée et ceux qui pouvaient être la " co
de la tête caractérisés par de petites oscillations. 108 PATHOLOGIE NERVEUSE .' Ce nystagmus remonte à la naissance; mais la
infections et en particulier de la fièvre typhoïde pour les centres nerveux , et l'on peut se demander si l'infection ébertb
cas impres- sionner d'une façon nuisible le développementdu système nerveux du produit de la conception. Remarquons encore
, 3 présentent déjà des signes indéniables d'altérations du système nerveux central. B. -11'ystugmus avec exagération des r
quatorze ans, rien de particulier. 2° G..., douze ans. Extrêmement nerveux , est venu consulter pour des douleurs d'oreille
oid qu'il est très difficile de faire disparaître. 110 PATHOLOGIE NERVEUSE . Examen des yeux. Nystagmus mixte, horizontal e
donc qu'ici encore une anomalie dans le développe- ment du système nerveux central a entraîné l'apparition des signes morb
s réflexes patellaires sont normaux. Il ne présente pas de troubles nerveux ni de signes d'une affection des centres ner- v
en arrière de ce côté. Le nez est incliné à gauche. 112 PATHOLOGIE NERVEUSE .. La dentition est assez bonne, mais la langue
modifications du thorax, aucun signe de troubles du côté du système nerveux . Observation IV. App... Jean, soixante-quatre a
le sujet des observa- ARCHIVES, 2 série, t. XIV. 8 114 PATHOLOGIE NERVEUSE tions V et VI. Il n'a jamais eu que des maladie
tremblent pas. Les parents sont bien portants et n'ont pas dé tare nerveuse . L'enfant vit à la campagne, à Pedan-Trahon (Ke
l'étude des ascendants et des collatéraux au point de vue des tares nerveuses qui ont frappé certains d'entre eux.' Cette réf
ins- crire en tête de toutes les affections familiales du système nerveux se retrouve ici fidèlement observée 3 : il semble
ardel et Gilbert, t. VIII, 1901, p. 598, en noie.. 116 PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'il existe parfois à titre de symptôme isolé
lus souvent se surajoutent à ce signe primordial des manifestations nerveuses de même nature, d'origine nettement centrale (i
, manifestation isolée. 2e type. Nystagmus essentiel avec symptômes nerveux variables surajoutés : asymétrie faciale, inéga
, inégalité pupillaire. 3e type. Nystagmus essentiel avec symptômes nerveux spéciaux : exagération des réflexes, trépidatio
me (tremblement) isolé ou associé à plus ou moins d'autres signes nerveux surajoutés. 1 Une pareille classification n'a é
rend l'excitation venue de la périphérie et d'où part l'excitation nerveuse qui se rend au muscle. » (Abadie L. C. p. 223-2
i- quer le tremblement, dont on a placé la cause dans les centres nerveux , les conducteurs, les muscles. a. « Les centres
s centres nerveux, les conducteurs, les muscles. a. « Les centres nerveux pourraient provoquer le tremble- ment soit par
lérose en plaques, p. 613. 1 2 Loc. cil., p. 600 : 118 PATHOLOGIE NERVEUSE ...* ' . tantôt à un état d'excitation des centr
THOLOGIE NERVEUSE...* ' . tantôt à un état d'excitation des centres nerveux . La pre- mière interprétation conviendrait au t
e saurait être admise dans la plu- part des cas. Le rôle du système nerveux central a été démontré expérimentalement. Vulpi
es lésions de l'encéphale tend aussi à démontrerle rôle des centres nerveux . » En possession de ces connaissances, pouvons-
x elles tremblements infantiles à une altération définie du système nerveux central Sans vouloir empiéter sur le domaine de
, s'il y a une déviation dans l'achè- vement définitif' de la fibre nerveuse , cette modification associée à une malformation
it tous les jours. A un premier stade, l'atteinte légère du système nerveux s'accompagnerait de lésion diffuses et rudiment
des réflexes pouvant déjà traduire une tendance à la 120 PATHOLOGIE NERVEUSE . systématisation des lésions. Enfin nous trouvo
que l'on pourra quelque jour se rendre compte de l'état des centres nerveux au cours d'une affection somme toute aussi légè
ment donné de leur existence des symptômes nouveaux d'une affection nerveuse nettement caractérisée comme la maladie de Frie
stagmus et aux Tremble- ments essentiels dans le cadre des maladies nerveuses sera sans doute l'objet de remaniements success
, la plus clinique pour parler en médecin, celle dont les accidents nerveux se succèdent dans l'ordre le plus régulier. On
romanesque ; avec cet ascen- dant bizarre qu'ont les petites filles nerveuses sur les petits garçons, à l'âge de huit ans, el
, si l'on veut, car de sourdes hallucinations et quelques symptômes nerveux persistent encore ; mais enfin c'est le repos ;
r vaquer à ses occupations variées. Ne croirait-on pas entendre ces nerveuses qui semblent accablées et prêtes à mourir, et q
ques survenues soit dans le trajet sensoriel, soit dans les centres nerveux peuvent être à leur tour la cause prochaine des
hloroforme, etc. En somme l'action des anesthésiques sur les troncs nerveux se- rait comparable à celle des mêmes agents su
nerveux se- rait comparable à celle des mêmes agents sur le système nerveux central (anesthésie chirurgicale). Il est certa
chloroforme est un poison plus violent que l'éther pour le système nerveux aussi bien central que périphérique, et cela pr
ue les divers modes d'intoxication qui peuvent agir sur les centres nerveux (toxines des maladies infec- tieuses, de la gou
de la névroglie envahie par les cellules gliomateuses. Les éléments nerveux présentent un aspect qui varie suivant la date
état maladif du sujet; ils naissent dans les affections des centres nerveux , surtout des cornes postérieures de la substanc
pparaître l'autointoxication et une altération de tout le sys- tème nerveux périphérique et central; tantôt c'est le système
eagles, qu'il se préoccupe depuis longtemps de l'étude des maladies nerveuses chez les juifs. C'est un fait incontestable que
un fait incontestable que les différentes formes de dégénérescence nerveuse (paralysie générale, ataxie, etc.), ainsi que l
és caractéristiques du peuple juif, et il commence par les qualités nerveuses et men- tales. Dans l'ancien temps, quinze sièc
malgré tout, pour y entrer, pour y rester, pour REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 157 i s'y distinguer, la lutte est plus âpre p
que pour les autres, et d'autant plus dangereuse pour leur système nerveux qu'ils y apportent la ténacité héréditaire des
mes semblables d'aliénation mentale. R. M.-G. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Deux cas de myélite conjugale ; par le Ruz'
le fait d'une simple coïncidence, i G. D. · 158 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . II. Les paralysies post-anesthésiques; par le
rs au niveau de l'épaule et du membre supérieur REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 159 droits, douleurs qui furent bientôt suivie
des nerfs médian et cubitaux. Quant à l'envahissement des filets nerveux de l'oculo-moteur commun, l'auteur l'attribue à
au niveau des membres inférieurs. " G. D. 160 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . VIII. Paralysie labio-glosso-laryngée (Atrophi
ortes de zones sensorielles, celles du toucher, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 161 celles de la douleur, et celles de la chal
ues, on ne Archives, 2* série, t. XIV. il 162 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . doit jamais oublier qu'ils peuvent coexister a
mais on l'a observée dans certaines maladies organiques des centres nerveux . et Déjérine et Thuitant notamment ont observé
tion, ont aussi presque disparu. P. KERAV.1L. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 163 XII. Contribution à la connaissance de l'h
arçon, car sa blessure guérit rapidement et parfaitement. L'origine nerveuse est évidente dans la seconde observation. Noton
fibres sécrétoires de la salive. An niveau 164 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . du ganglion géniculé, elles se détachent en av
e laryngolo- giste à connaître exactement la physiologie du système nerveux . R. M. C. SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ MÉDICO
europathologie, celle de l'anatomie et de la physiologie du système nerveux et de l'anatomie pathologique. Parmi les objets
problème de l'influence de l'hérédité sur les maladies mentales et nerveuses fut abordé des 1867. mais il s'agit là d'une enqu
erreurs pos- sibles dues à la coexistence d'une maladie du système nerveux . Il cite un fait où un myosis d'origine syphili
périphériques du cobaye donnait lieu à des altérations de la fibre nerveuse . Restait à se demander comment se comportait le
s, sous le titre de : Etudes cliniques sur les maladies mentales et nerveuses , et les Aliénés et les asiles d'aliénés (Paris,
mposition du personnel. A. Marie. VI. Analomie clinique des centres nerveux ; par le professeur Gras- SET. (Vol. in-16 carr
mé de nos connaissances anatomo-cliniques actuelles sur les centres nerveux , pour déterminer ce prélude et cette base indis
déterminer ce prélude et cette base indispensable de la pathologie nerveuse . Après avoir fait le tableau de l'anatomie clin
s avoir fait le tableau de l'anatomie clinique générale des centres nerveux telle qu'elle se présente à l'heure actuelle avec
etc., l'auteur arrive à l'anatomie cli- nique spéciale des centres nerveux et décrit successivement l'ap- pareil nerveux c
spéciale des centres nerveux et décrit successivement l'ap- pareil nerveux central : Ie De la motilité et de la sensibilité
s sensoriomoteurs, les voies efférentes et afférentes de l'appareil nerveux central du langage, etc. M. B. VII. Des maladie
ur, 108, boulevard Samt-Germatn, Paris (6°). Vires (J.). - Maladies nerveuses . Dt ? o<<c. Traitement. In-8° de 614 page
pilles. 1 Concernant la mobilité des pupilles, on nota : CLINIQUE NERVEUSE . Dépression kératique et états encéphalopathiqu
s de large, fusiforme, légèrement plissée dans le sens 308 CLINIQUE NERVEUSE . de la longueur et située à l'union des deux ti
- Archives, 2' série, t. XIV. 14 1% ig. 13 à 16. 210 0 CLINIQUE NERVEUSE . tion générale avec loquacité, déclamations, ri
aine malfaisance impulsive et féline à 1% 17. 17 20. 212 CLINIQUE NERVEUSE . l'égard de ses gardiennes, par une expression
, l'une en dehors, l'autre en dedans. 1 ir. 25 à 28. 214 CLINIQUE NERVEUSE . 2° Une troisième, de forme ovalaire, occupe la
farouché par la présence des gens qui F ? 29&32. 216 CLINIQUE NERVEUSE . - -- " passent, préoccupé de les éviter, s'en
st avancée, la dilatation diminue et l'oeil reprend sa 218 CLINIQUE NERVEUSE /* dimension habituelle ; la contraction peut se
tre la genèse de la pression kératique ? ` ? Evidemment les centres nerveux encéphaliques sont seuls en cause : la promptit
u'en soient le mode et l'intensité, cer- taines lésions des centres nerveux encéphaliques exercent sur la cornée une influe
ngt-trois, vingt-six et vingt-huit ans, bien portants et sans tares nerveuses ; deux soeurs également vivantes (dix et trente-d
perte sanguine ordi- naire, sans grosses coliques; pas de troubles nerveux concomitants. Depuis quatre ou cinq mois enviro
te sensation de boule hystéri- que, aucun autre phénomène insolite, nerveux et mental. Les dernières règles remontent au 12
commun quelques-uns des maux qui frappent l'homme dans son système nerveux , et chercher les meilleurs moyens de l'en préser-
e immédiats rêvaient encore esprit, démon, perturbation de la force nerveuse , vous prononcez les mots de sclérose, de thromb
ureux, à réflectivité parfois modifiée, siégeant dans un territoire nerveux anatomiquement défini; les mouvements du tic so
Traitement médicamenteux, basé sur l'emploi des calmants du système nerveux ; b), hygiène, régime, hydrothé- rapie, électrot
pas être confondues. Morel avait observé le tic indolent chez des nerveux , candidats à l'aliénation mentale, sans y arriv
tion des faits, est celle de savoir si ce sont les mêmes élé- ments nerveux ou des éléments différents qui président aux acte
cerveau. Bien qu'il n'y ait pas identité absolue entre les centres nerveux du chien et ceux de l'homme, ces résul- tats ex
t de nouvelles mauvaises habitudes, et quelquefois même de troubles nerveux . Cette donnée explique comment agis- sent les d
trente ans à anté- cédents héréditaires peu chargés et dont l'état nerveux est resté 270 SOCIÉTÉS SAVANTES. parfaitement
rès pratique pour faire disparaître des anesthésies et les troubles nerveux qu'elles conditionnent. Ilypcracuilé sensorie
ire sur eux- mêmes. D'une manière générale et surtout en pathologie nerveuse , il est souvent indispensable de soigner d'abor
athologiques qui nous révèlent des troubles dynamiques du sys- tème nerveux . L'hystérie se traduit par une modification de l'
équi- libre. normal telle que l'activité ou le potentiel du système nerveux se trouve diminué sur certains points et augmen
lité augmentation ni diminution absolue dans le total de l'activité nerveuse disponible. Le traitement de l'hystérie a pour
s cas suivants dont l'observation est rapportée par l'auteur : toux nerveuse , aphonie hystérique, astasie, abasie, ptosis, spa
, abasie, ptosis, spasmes musculaires, parésie, paralysie, diarrhée nerveuse , pollakiurie. Les troubles somatiques et psychi
l'hystérie et de considérer cette dernière tantôt comme une maladie nerveuse , tantôt comme une maladie mentale. C'est une ma
s pour lesquels se manifeste cette dernière. Le médecin de maladies nerveuses ne peut plus se dispenser d'être psychologue.
ix : 1 francs. Doin, édit. - Dé.ierine (J.). dzzcclomie des centres nerveux , t. II. Grand in-S de 730 pages. Prix : 32 fran
n de la névroglie, surtout au niveau de la périphérie. Les cellules nerveuses paraissent dimi- nuées en nombre. Le protoplasm
son de la soeur, on prépare le jar- din où pousseront les symptômes nerveux . Laissons décote ces deux premières oraisons, e
orps est moins maître de lui. » Pendant la longue durée de cet état nerveux , les périodes d'extase et d'union viennent remp
s cette voie. Les trau- matismes antérieurs aux troubles mentaux et nerveux peuvent appeler l'intervention chirurgicale. Ce
Celle-ci peut être faite avant l'apparition des troubles mentaux et nerveux pour remédier aux conséquences ordinaires du tr
re intervention opé- ratoire peul, sans compliquer l'état mental ou nerveux , rester sans action curative : il ne s'ensuit p
est caractérisée par les symptômes sui- vants : a) Surexcitation nerveuse générale ; b) Etat d'angoisse rhro- nique ou «
dit maintes fois Beaucoup de médecins, peu au courant des maladies nerveuses chroniques des enfants, sont fort embarrassés e
ou des aliénés atteints de lésions ou de troubles graves du système nerveux central ; or, l'influence du système nerveux su
bles graves du système nerveux central ; or, l'influence du système nerveux sur l'état général de l'organisme ne saurait êt
1° La rétine présentait des altérations de la couche des cellules nerveuses , caractérisées par une série de modifications : g
térations tout à fait semblables à celles qui frappent les cellules nerveuses de l'écorce : -. 2° La papille, dont les fibr
ellules nerveuses de l'écorce : -. 2° La papille, dont les fibres nerveuses étaient atrophiées dans un cas, était en outre
ribution à l'élude des localisations cancéreuses sur le système . ' nerveux périphérique. MM. J. Obertiiur et A. Mousseaux.
tumeurs épithéliales, et en particulier des carcinomes, le système nerveux périphérique est fréquemment atteint ; il présen-
omme dans l'intérieur dis fascicules, repousse et enserre les tubes nerveux ; la myéline se fragmente et devient granuleuse
re le cylindraxe lui-même. Cepen- dant, un certain nombre de filets nerveux sont généralement res- pectés. Finalement les p
ralement res- pectés. Finalement les petites branches de ces troncs nerveux peu- vent être réduites à des tractus fibreux m
s fois, y sont apportés' par les capillaires san- guins ; les tubes nerveux sont refoulés ou comprimés, la myéline fragment
créer plus loin un nouveau foyer métastatique. c) Les petits filets nerveux , n'opposant en général aucune résis- tance, son
à leur point de pénétration dans la tumeur. d) Dans les ganglions nerveux , les amas épithéliaux envahissent le stroma con
envahissement considérable du ganglion, ur. certain nombre de tubes nerveux y conservent leur myéline. III. Le cancer rachi
de phlébites cancéreuses. Les racines rachidiennes et les ganglions nerveux intervertébraux sont alors les premiers atteint
és que les troubles sensitifs par suite de la résistance des troncs nerveux et de la persistance d'un certain nombre de cyl
encore peu connues. " Contribution à l'étude du gliome des centres nerveux . M. J. Obertiiur. Nous avons pu examiner au lab
u laboratoire de la Clinique Charcot sept cas de gliome des centres nerveux . Trois d'entre eux avaient envahi la substance
cerveau et nullement d'aspect néoplasique. D'ailleurs, la substance nerveuse avoisinante est plu- tôt lentement refoulée que
le tissu spongieux. Dans les cas habituels, il n'y a pas d'éléments nerveux au sein de la masse et les corps granuleux peu
peu connue de sarcome, le sarcome solitaire envahissant des centres nerveux qui semble réunir la plus grande partie des cas
à de telles tumeurs des éléments nobles par excellence du z système nerveux , c'est-à-dire les cellules nerveuses. Maintes foi
bles par excellence du z système nerveux, c'est-à-dire les cellules nerveuses . Maintes fois, nous avons rencontré de ces gran
xistait aucune parenté d'origine entre ces cellules et les cellules nerveuses , mais encore qu'elles n'étaient nullement carac-
ais non comme des néoplasmes. Sarcomes et sarcomatoses du système nerveux . Classification. Etude clinique ET AN : 1TOIO-P
formes analomo-cli- niques parmi les sarcomes primitifs du système nerveux . Suivant l'exemple donné par Westphal, Schlesin
arcomes solitaires des mé- ninges ; sarcomes solitaires des centres nerveux );. 2° les sarcomes multiples, pour lesquels nou
ande au point d'envahir, dans- certains cas, la totalité du système nerveux central et périphérique à la façon d'une vérita
ion exercée par les sarcomes solitaires des mé- ninges sur le tissu nerveux , la lésion la plus fréquente, bien con- nue, re
cérébrales immédiatement adjacentes à la tumeur, on voit les tubes nerveux tassés, étirés, se démyélini- ser par petits îl
lindraxes, qui contraste avec la démyélini- sation rapide des tubes nerveux , est intéressante à souligner, puis- qu'elle pe
oncevoir avec quelle rapidité se ferait la restau- ration des tubes nerveux , si l'agent compressif pouvait être enlevé par
t l'inaptitude du sarcome solitaire des méninges à envahir le tissu nerveux voisin, quelle que soit sa durée. Ainsi, il pourr
érison complète et définitive. B. Sarcomes solitaires des centres nerveux . Cette forme est rare. Nous avons pu en observe
quement, dans nos observations, ces sarcomes solitaires des centres nerveux avaient débuté, au moins apparemment, d'une faç
niquement, des sarcomes envahissants, sar- comes malins des centres nerveux . - Certains auteurs, s'appuyant sur les figures
solitaire des méninges à celles du sarcome soli- taire des centres nerveux . Pour le premier : structure essentielle- ment
ue ; évolution lente ; destruction modérée et toute locale du tissu nerveux ; tumeur non envahissante, avec tendance marqué
, qui montrent des tumeurs 7nul- tiples envahissant tout le système nerveux central sous la forme de noyaux isolés, plus ou
us avons eu à examiner deux cas de ces tumeurs multiples du système nerveux central, et toujours, dans tous les noyaux, nou
outre, comme dans nos deux cas, nous avons retrouvé sur le système nerveux périphérique (plexus brachial, nerfs cubital, m
ous avons affaire, en réalité, à une sarcomatose de tout le système nerveux central ou périphérique. Enfin, comme nous le v
lumière et l'existence des noyaux sarcomateux dans tout le système nerveux , central ou périphérique, et leur évolution fib
les méninges, plutôt embryonnaires dans la moelle dont les éléments nerveux paraissent plus refoulés que détruits, ces tume
ec la neuro-fibro-sarcomatose. Dans ces deux affections, le système nerveux périphérique est envahi par des noyaux néopla-
par des noyaux néopla- siques. Dansies deux affections, le système nerveux central peut être atteint, alors que le fait es
de Reclclingliausen, elle aussi, est capable d'envahir les centres nerveux . Histologiquement, la structure et l'histogenèse
nnées. Elle a eu 13 enfants, tous, sauf un peut-être, plus ou moins nerveux et Archives, 2* série, t. XIV. * 21 370 SOCIÉ
en certains points la confusion des parois vasculaires et du. tissu nerveux . Méninges épaissies et infiltrées ; augmentatio
e-mère de la surface du cerveau, on ne trouve ni cellules ni plexus nerveux dans les parois des artérioles ou des veinules
est une loi plus importante encore qui domine toute la physiologie nerveuse com- posée : c'est qu'à mesure que l'on s'élève
qu'à mesure que l'on s'élève dans l'échelle animale, les fonctions nerveuses remontent graduellement vers l'encéphale et se
inspirant des données concernant la physiologie comparée du système nerveux dans l'échelle animale, données qui, de l'avis
éréditaires, on releva un père syphilitique et alcoolique. une mère nerveuse arthritique, un grand-père maternel cérébral. S
grande distance des vaisseaux. B. Lésions cellulaires. Les cellules nerveuses , devenues globu- leuses, ont leurs grains chrom
, soit à l'état isolé, soit en association avec d'autres mala- dies nerveuses syphilitiques. Le mariage entre géants. M. He
fections physiques de toutes sortes, et fréquem- ment des désordres nerveux et mentaux, on conviendra que les . tentatives
des lésions organiques du cerveau. Les leucomdines de la substance nerveuse . M. LAB1TLTT. Vous entendiez, ces jours dernier
ais vous affirmer que les lécithines, qui entrent dans la substance nerveuse , contiennent, à l'état physiologique normal, un
« Je ne doute pas que ce composé ait été extrait de la subs- tance nerveuse , mais si nos procédés chimiques avaient conservé
l'organisme, votre composé ne serait pas un toxique de la substance nerveuse , il en serait plu- tôt un aliment. » Messieur
nt plus rien, pour]ainsi dire, sur lesleu- comaïnes de la substance nerveuse , comment procéder pour éta- blir quelques conna
ts de comparaison étant établis, nous rechercherons si la substance nerveuse contient de tels composés. Pourquoi cet effor
S SAVANTES. des composés qui, au lieu d'être des poisons du système nerveux en seront un aliment, et nous permettront de lu
urs, avec quelle facilité les alcaloïdes se fixent sur la substance nerveuse en donnant des effets physiologiques remarquabl
t es- compter qu'ils se fixeront avec la même facilité sur le tissu nerveux . La création des points de comparaison, des com
oils de la moustache, qui repoussèrent plus tard ; ; pas de maladie nerveuse , ne boit pas, ne fume pas ; migraines, il y a u
e-même alcoolique et vivait de la prostitution. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 425 avait manifesté le désir de devenir infirm
ù elle s'est parfaitement conduite jusqu'ici. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XV. De la paralysie bilatérale du nerf facial (
les émotions et toutes les circonstances qui excitent les systèmes nerveux , ce tic diminue quand on distrait l'attention d
de patronage sollicité par le médecin. 42G 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . apparaît juste au moment où il a le plus besoi
s sérieux, dans le monde, et est fort remarqué. Causes : hérédité nerveuse , coryza chronique. La seconde observation a trait
ces trou- bles sensitifs érotiques et ceux qui dépendent de lésions nerveuses l¡i8 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. périphér
ceux qui dépendent de lésions nerveuses l¡i8 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . périphériques ou centrales. Les auteurs ont ch
risés anatomo- pathologiquement par la même lésion du même appareil nerveux pris en des étages différents pouvant se succéd
différents pouvant se succéder par extension ou REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 42'J 9 pouvant exister isolément ; ce sont tro
és par d'autres auteurs, desquelles il ressort que : les mala- dies nerveuses et mentales sont fréquentes dans les familles d'a
t à qui il a été appelé à donner ses soins à l'occasion de troubles nerveux parti- culièrement pénibles (douleurs, troubles
part, l'examen du fond de l'oeil permettait 430 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de mettre en doute l'atrophie du nerf optique,
est pas produite par suggestion. A. Fenayrou. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 431 1 XX VI. Le diagnostic différentiel de la
il et les résume dans le tableau suivant : 1t3' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . muns, dont le diagnostic est facile il est des
hystérie dans un grand nombre de cas. A. Fenayrou. XXVIII. Troubles nerveux secondaires portant sur les fonctions de la nut
Il n'est pas rare d'observer des malades présentant des troubles nerveux secondaires à des âastropatbies ; ces troubles oc
et que le diagnostic porté est celui de neurasthénie. Ces désordres nerveux ont leur origine, soit dans les centres supé- r
if (dilatation gastrique par atonie ; constipa- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 433 tion). En somme, cet état est caractérisé
e, d'inaptitude au travail, ou- encore il se combine à des troubles nerveux prove- nant des centres supérieurs (douleurs né
e siège. ' Archives, 2e série, t. XIV. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Cette fracture a amené une compression du cône
2° Des paraplégies nettement trau- matiques, dues à la compression nerveuse seule, et dont l'obser- vation citée est une dé
en raison de son origine, il désigne cette 43C REVUE DE pathologie NERVEUSE . perturbation sous la' dénomination d'asynergie
'abolition de tous les modes de la sensibilité, revue DE pathologie nerveuse . 437 Î au lieu de la dissociation syringomyéliq
ut des accidents, fait qui vient con- A 4 438 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1 tredire les résultats des expériences antéri
Contribution à l'étude de l'état et du développement des cel- lules nerveuses de l'écorce cérébrale chez quelques vertébrés n
ge SOCKUANOFF. (Revue neurologique, septembre 1899.) Les cellules nerveuses de l'écorce cérébrale de différents verté- brés
peu de la structure d'une poule adulte. E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 439 XLI. Syndrome de Brown-Séquard avec début
fait s'il s'agit d'un neurasthénique, s'il faut remonter un système nerveux épuisé; mais il y a. une différence entre l'épu
tème nerveux épuisé; mais il y a. une différence entre l'épuisement nerveux et la perver- sion mentale. Tous ceux qui ont e
céphalo-l'achidien; par J.-A. Sicann, chef de clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière; I vol. del'Ency- clopédie Léa
Pr Brissaud établit l'unité d'ori- gine et de fonctions des cavités nerveuses ; ses conclusions confir- ment l'expérimentatio
; tous points qui ont trait à la pratique journalière des maladies nerveuses . Une deuxième partie précise les indications th
u dont s'est enrichie la clinique dans le diagnostic des mala- dies nerveuses . L.-E. MOREI,. IX. Rapport médical et compte mo
alise le point de départ, non dans le cerveau, mais dans le système nerveux ganglion- naire viscéral, source supposée des é
ve violente allant jusqu'aux explosions de désespoirs et aux crises nerveuses . » En France. Magnan dit : Il ne faut pas oubli
nation fonctionnelle de l'écorce à l'activité du restant du système nerveux . Signalons encore dans le même sens l'opinion d
fance ou à la puberté, phobie constitutionnelle ou plus tard à tare nerveuse moins chargée à l'occasion d'un choc émotion- n
s réflexes tendineux et de sa valeur diagnostique dans les maladies nerveuses ; par W.-M. Becutehew (06ozrcsnié psichiatrü, V,
plus haut intérêt résume la suite de ses recherches sur la cellule nerveuse . Les deux premiers élé- ments qui apparaissent
e. Les deux premiers élé- ments qui apparaissent dans toute cellule nerveuse depuis ses premières origines sont : 1° la char
qui remplit les mailles de cette charpente, à mesure que la cellule nerveuse s'accroît, il apparaît un troisième élément : l
ce cellulaire vers la profondeur en' envahissant toute la cel- lule nerveuse , il n'en est pas de même pour les cellules des co
loppés dans la région périnucléaire. Malgré la fixité de la cellule nerveuse , la persistance remarqua- ble de sa structure a
les pyramidales. Une caractéristique de la sénescence de la cellule nerveuse , c'est la présence, dans son cyoplasma, de gran
'est que toute altération prolongée dans la nutrition de la cellule nerveuse s'accompagne de formations de pigment. E. B.
se. Quand la lumière frappe l'aeil, elle met en jeu une impul- sion nerveuse qui se transmet au cerveau : dans l'impulsion ell
verses méthodes aux recherches d'anatomie pathologique du système nerveux . U. M.-C. XL1V. Un cas d'anévrisme sacciforme d
ent à l'opi- nion de Solovizoff, que le développement de la cellule nerveuse radiculaire est indépendant de sa connexion cer
tière de réserve des- tinée à subvenir à la nutrition de la cellule nerveuse . Enfin, la constatation par M. von Biervliet pe
De l'asymétrie de la mimique faciale d'origine otique en pathologie nerveuse ; par Lannois et Pautet. (Revue de méde- cine, 1
Signalant la fréquence des troubles de la mimique faciale chez les nerveux , les auteurs appellent en même temps l'attention
bable qu'il faut invoquer l'in- fluence d'une toxine sur le système nerveux , chez un sujet déjà très déprimé par les'au trè
es d'exister isolément ou bien ils peuvent alterner avec des crises nerveuses spasmodiques, être remplacés par elles ou les r
rapproche de celui des psychores par auto-intoxication du sys- tème nerveux , mais en l'absence de données permettant de démon
'influence du sang ainsi modi- fié sur certaines parties du système nerveux . La lésion anato- mique la plus fréquemment ren
s'écarter des sen- tiers battus... Les rapports de ses -souffrances nerveuses avec son trouble mental ne sont pas clairs, mai
n., octobre 1901.) 12 figures, montrant des altérations de cellules nerveuses à di- vers degrés ; l'auteur développe la théor
ance l'un de l'autre, ce sont deux effets d'un même état du système nerveux central. ' Un cas de paralysie radiculaire supé
cérébro-spinale con- sécutive à un abcès de l'oreille, de syndromes nerveux intéressants : tétraplégie spasmodique coïncida
itue l'un des meil- leurs agents thérapeutiques contre les maladies nerveuses et men- tales. (Voir nos Comptes rendus de Bicê
tribution à 1'(tiide des localisations cancéreuses sur le système nerveux périphérique, par Oberthur et Mousseuux. 358.
-, par llasoin, 150. Sur un cas de -, par Cuylitz, 50. Cellule nerveuse . Etudes sur l'évo- lution et l'involution de la
lution et l'involution de la-, par Il 119arlnesco, 500. Centres nerveux . Anatomie clinique des -, par Grasset, 185. Con
ntribution à l'étude de l'état et du développe- ment des cellules nerveuses de l' -' chez quelques vertébrés - nouveaux-n
ICALES. Voir Troubles mentaux. LEUCOMAINES. Les de la substance nerveuse , par Labatut, 392. LOBE frontal. Ramollissement
les -, par Lalanne, 249. men- tales. Voir Capsules surrénales. nerveuses . Voir Réflexe. Quel- TABLE DES MATIÈRES. 581
e faciale. De l'asymétrie de la d'origine optique en patho- logie nerveuse , par Lannois et Pautet, 506. Miracles. Etudes
t (les - tendineux et de sa valeur diagnostic dans les mala- dies nerveuses , par Bechterew, li97. - I)Iaiitiire contra-laté
ec paraplégie, par Léonard We- ber, 55 et sarcomatoses du système nerveux , pa,4 Illiilipl)e, Cestan et Oboi tlitir, 361.
oculaire, asnesthésit's-eg- mentaire. par Bouclland, 436. Système nerveux . Voir Cancer. - Voir Sai-coi2e. Tares. Voir M
45 (1900) Archives de neurologie [2ème série, tome 10, n° 55-60] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ROLOGIE A.RCH1 VS DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE ma MALADIES NERVEUSES ET MENTALES F 0 N D 1 : ; PAR H J. -]\1. CIIARC
c). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Facilité (le médecine de Paris. COI.LA
00 Vol. X. Juillet 1900. Nu 55. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . Sur un cas d'hémorrhagie méningée sous- arac
nom d'apoplexie méningée. Archives, 2' série, t. X. 1 "2 CLINIQUE NERVEUSE . rencier des autres hémorrhagies péri-encéphali
que gauche (facial inférieur et membres) persiste aussi. 4 CLINIQUE NERVEUSE . Il y a toujours un état de contracture de la f
s foncée allant du rouge franc au rose pâle et parsemées 6 CLINIQUE NERVEUSE . de quelques rares noyaux. Ces flaques s'observ
artérielle et rhémorrhagie eérébrale se poursuit encore 8 CLINIQUE NERVEUSE . lorsqu'on examine de plus près le mode de cett
sances )2 éclico- chii,ii ? q ic(t 1(,s, 1839, p. 55.) 10 CLINIQUE NERVEUSE . , moitié droite du corps. Ces contractures du
ne change donc avec l'acteur. Mais ce n'est pas tout. 12 CLINIQUE NERVEUSE . Chez un même sujet on la voit subir du soir au
est difficile de porter ce diagnostic et de l'af- 14 -fit CLINIQUE NERVEUSE . firmer. Tous les auteurs sont unanimes sur ce
re-vingts ans. Sa mère, soixante-dix-neuf ans, sobre sans accidents nerveux , est eczémateuse. Grands-parents 1)(/te1'- neh
sa famille. Mère, soixante-quinze ans se porte bien; aucune maladie nerveuse . Grand-père maternel mort vieux, on ne sait de
t resté une apathie un peu hébé- tée due à l'épuisement des centres nerveux ; G° La rapidité de la guérison est remarquable
mus, novembre 1899 et mars 1900.) Neuf malades atteints de troubles nerveux et psychiques ont été traités par l'hypnotisme
mes d'idiotie et quelques cas curieux de difformités et de troubles nerveux . Les malades sont bien nourris, convena- blemen
vient corroborer la présence d'autres signes de lésion des centres nerveux tels que affaiblissement intellectuel et embarr
des : la pénétration, la fixation de l'impression dans la substance nerveuse , et sa conservation. Dans la reproduction il y
99. F. Deuticke. POLL1CK IB.). Préparation el coloration du système nerveux . Traduit de l'allemantl, parNicolaïdi, par Laun
ibrairie Carré et Naud. - Raymond. Clinique des maladies du système nerveux (hospice de la Salpêtrière, 1897-1898). Volume
e quiaurail perdu la possibilité démarcher, par suite d'une maladie nerveuse , rhumatismale ou autre ; clans ces derniers tem
des épilepsies n'est pas toute dans la détermination 104 PATHOLOGIE NERVEUSE . du point de départ des décharges convulsives ;
e réservée dans l'efficacité finale de l'intervention. PATHOLOGIE NERVEUSE . Méningo-myélite syphilitique avec signe d'Ar
accuse des fourmillements dans la sphère du cubital. 106 PATHOLOGIE NERVEUSE . L'examen des yeux montre l'absence de nystagmu
te-trois ans, couturière. Père mort d'hémorragie cérébrale. Famille nerveuse . Pas d'antécé- dents personnels, Deux fausses c
it ce signe. Ne faudrait-il pas, d'ailleurs, en pre- 108 PATHOLOGIE NERVEUSE . mier lieu, connaître la physiologie exacte, le
server le signe d'Argyll en dehors de tout autre trouble du système nerveux . Faut-il, dès lors, faire de la syphilis la cau
la lésion du faisceau pyramidal. D'autre part, nos 110 0 PATHOLOGIE NERVEUSE . malades ne sauraient être considérés comme des
comme tailleur. Une soeur, mariée, n'a jamais présenté d'accidents nerveux ; elle a deux-filles, l'ainée, âgée de six ans,
eu de crises depuis sa sortie de Villejuif mais elle est tou- jours nerveuse . Sa mémoire s'affaiblit. Albertine dit que de tem
é que de ces tubercules, portaient un nombre considérable de fibres nerveuses descendantes reliant cette masse grise aux mass
raux et bilatéraux, quine reposent que sur la diffusion de l'influx nerveux à des centres plus ou moins éloignés de ceux ap
neurones et les théories nouvelles sur les connexions des éléments nerveux ; par VAN Gehuchten. (Journal de Neurologie, 1S
- Dans ces derniers temps, le fait de l'indépendance des éléments nerveux , mis en lumière par Hamon y Cajal et adopté par l
e d'un côté et l'atrophie de l'autre devraient envahir les éléments nerveux voisins. G. D.- -- 126 REVUE D'ANATOMIE ET DE P
26 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. VI. Le système nerveux chez les aliénés ; par J. F. Belstvs. (British
tomie topographique et la physio- logie de cette partie des centres nerveux . It. C. IX. Nouveau myographe; par le Dr BUFALI
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 127 X. Sur les altérations du système nerveux central dans l'em- poisonnement lent par le chl
l'auteur sur des chiens, il résulte que les altérations du système nerveux produites par l'empoisonnement lent de la cocaïne
, état mental sain. Autopsie : l'examen microsco- pique des centres nerveux à l'état frais fait défaut, le cerveau et le ce
exes. ( ? 1). : ` XX. Rapports entre les prolongements des cellules nerveuses des invertébrés et des vertébrés; pdr le D1' Hv
mentale de Belgique, décembre 1900.) L'étude comparée delà cellule nerveuse des animaux des divers, embranchements conduit
es divers, embranchements conduit à cette conclusion que la cellule nerveuse est construite d'après un même plan. Le type, c
pendant que chez les divers animaux, les prolongements des cellules nerveuses se terminent librement et se mettent en rapport
oumet à l'action d'un courant induit un nerf sensitil, les cellules nerveuses motrices changent de formes. Les auteurs ont né
nes. Dans un premier type, les fibrilles continuant le prolongement nerveux s'en vont, comme un méridien, au pôle de la sph
pôle de la sphère de la cellule, et s'en reviennent au prolongement nerveux . Dans un second type, les neurolibrilles formen
res délicates, viennent les fibrilles périphériques du prolongement nerveux ; de la grille périnucléaire, à grosses fibres,
ibrille primitive, épaisse, axile, qui s'en va dans le prolongement nerveux . Le limaçon traité par la méthode rapide de Gol
se traduit par les détails suivants. Il y a imprégnation des fibres nerveuses périphériques et de celles du neuropile, mais i
montre les types d'Apâthy f figures). On voit dans le prolongement nerveux de tout petits grains nombreux, ordonnés en sér
t donc très épais au niveau du col de la cellule et du prolongement nerveux . Plus minces sont les granulations, plus diffic
cipaux du schéma d'Apàlhy. Leur manière d'être dans le prolongement nerveux les rattache aux fibrilles primitives. Ces grou
'est-ce que le neurosome qui réagit au pôle négatif ? Si les fibres nerveuses composées d'un cordon de fibrilles primitives,
on de fibrilles primitives, se comportent, de même que les cellules nerveuses des vertébrés, autrement que les fibrilles nues
également im- prégnables, bien que pas au même degré que les fibres nerveuses . Les nerfs périphériques enclavés dans les tiss
ssant d'une manière tout à fait analogue sur les autres territoires nerveux périphériques ou cen- traux des vertébrés ou de
ux des dendrites et des den- draxones, sont partout dans le système nerveux central révélées par le sel d'argent sous la fo
olés. L'impéné- trable embrouillement de ces fibres dans le système nerveux central des vertébrés nous empêche et nous empê
'expliquer, ni par un trouble de l'activité trophique de la cellule nerveuse médullaire, ni par des perturbations vaso-motrice
uber- culose avancée ou généralisée. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Le diagnostic différentiel de l'apoplexie h
-neurasthémque d'ori- gine traumatique. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 149 IV. Un cas de poliomyélite aiguë en voie d
ques desbras etdesjambes. En revenante lui, 1DO REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . il ne peut pas parler, mais se fait comprendre
eurs, le tout ayant pour substratum un état morbide de la substance nerveuse . La question de savoir si cet état morbide a po
n de savoir si cet état morbide a pour siège le neurone, la cellule nerveuse , la fibre nerveuse, ou bien tous ces divers élé-
état morbide a pour siège le neurone, la cellule nerveuse, la fibre nerveuse , ou bien tous ces divers élé- ments, demeure en
rare chez les enfants au-dessous de huit ans. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . loi 4° La symptomatologie de l'hystérie devien
let de l'hémianopsie sous toutes ses formes 152 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' (homonyme, bitemporale, binasale, centrale i
uelques stigmates sensitifs d'hystérie ont per- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 153 mis d'établir le diagnostic. Tous les trai
es coupes : épaississement et sclé- rose de la pie-mère et du tissu nerveux sous-jacent de toute la région du 4° ventricule
ant également importants.. - F. B ... 154 -11 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XIV. De l'inflammation ankylotique de la colon
abilité électrique du dos (Beer). L'ensemble du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1 SS complexus symptomatique serait, d'après B
ait donc ici plutôt tabétique. P. KERHAL, 156 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XVII. De la microgyrie et de la microphthalmie
ent de la névralgie, stratification anormale des cellules et fibres nerveuses ). L'auteur croit à la simultanéité des lésions
me de quarante-six ans. Nécropsie. Figures. - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 157 droite, ramollissement cortical des deux p
énomènes de déficit sensitifs et moteurs. 158 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . L'inconscience avec délire de plusieurs jours
été atteints non pas seulement de chorée semblable mais de maladies nerveuses éaractérisées. L'hérédité chronique remonte à R
s éaractérisées. L'hérédité chronique remonte à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 159 ses arrière-grands-parents maternels : un
illr., 1111;1V. l·'. X, 1899.) Critique de la division des maladies nerveuses de P. J. Moebius. L'étiologie sert surtout à di
émonstration. BIBLIOGRAPHIE. VI. Clinique des maladies du système nerveux (quatrième série) ; par le professeur RAYMOND.
des principales du tabes : paralysie générale, syphilis des centres nerveux , ophtalmie pro- gressive, hémiatrophie de la la
(Le Bonhomme Normand du 12 juillet.) Hospice DE Bicètre. - Maladies nerveuses des enfants : Ji. BOUR- NEVILLE, le samedi à 9
is à hospitaliser un certain nombre de sujets atteints de, maladies nerveuses . " Chaque division d'hommes et de femmes compre
fondée en 1890) pour une quinzaine de malades convalescents ou de « nerveux ». Il sert de bureau d'admission pour l'autre é
rient de 1,20 à 0 marks 50. Le nombre des admissions de malades « nerveux » va sans cesse en augmentant. Le professeur de
e sépare de ces auteurs en ce que : 1° Je n'assimile pas la cellule nerveuse à un condensa- teur comme la bouteille de Leyde
'il existe certaines THÉORIE DES NEURO-DIÉRECTRIQUES. 209 lésions nerveuses que j'appelle les ae2cro-diélecf·iqtces paflao-
r aux cellules du bulbe et de l'écorce l'assimilation de la cellule nerveuse à un élément électrique, je l'étends à toutes l
nerveuse à un élément électrique, je l'étends à toutes les cellules nerveuses ; 4° Au lieu de limiter la conception de la déc
ules nerveuses ; 4° Au lieu de limiter la conception de la décharge nerveuse à l'épilepsie, je l'étends à toutes les secouss
la vitesse de propagation et la longueur d'onde des oscil- lations nerveuses , nous permettent de croire, après du Bois- Raym
n seulement un organe de transmission, mais un organe de dégagement nerveux . Autant dire que l'axone, et, d'une façon plus
quences d'un excès de travail ou d'un trop long repos. Le système nerveux est une machine qui, comme toute machine, et pa
la source princi- pale de notre force. On peut dire que la machine nerveuse reçoit ces mouvements. Mais d'autre part, les
ivalence des forces étant applicables aux êtres vivants, la machine nerveuse rend des contractions muscu- laires, et des mou
r animale, électricité organique, trophisme). En un mot, le système nerveux n'est qu'un lieu de passage et l'origine de not
été dans les sens. Il n'y a pas un instant de la vie ou le système nerveux ne reçoive du mouvement, et il n'y a pas un ins
st la une preuve certaine qu'il existe des barrages dans le système nerveux . Ces barrages, je les appelle les 1WW'I) ,diéle
Or il se forme normalement des diélectriques, dans les conducteurs nerveux . Le défaut fréquent d'équivalence entre la prov
erlé de Jean Renaut). Or c'est il la formation dans les conducteurs nerveux de lIellro-diélectriqlles pathologiques que son
u neuro-diélectrique est due : 1° Soit à l'action sur le conducteur nerveux d'un poison non microbien ou microbien (tremble
upture (paralysies trau- matiques diverses). Dès qu'un conducteur nerveux est altéré physiquement, chimiquement ou histol
s encore que les neuro-diélectriques grossiers. Ce sont ces lésions nerveuses qui ont été constatées en correspondance avec l
tué dans un conducteur, le potentiel, ou, si l'on veut, la pression nerveuse augmente peu à peu en amont, par suite de l'arr
e. - Que se passe-t-il entre les décharges ? 1° Ou bien les ondes nerveuses continuent de traverser le neuro-diélectrique s
fréquence. De même : - Cinquième LOI. Pour une quantité d'influx nerveux donnée, la force des décharges nerveuses est en
. Pour une quantité d'influx nerveux donnée, la force des décharges nerveuses est en raison in- verse de leur fréquence. C'
Sixième LOI. Si en amonl d'un 1wllI'o-diélecll'irjlW la pression nerveuse augmente, les décharges nerveuses aug- mentent
1wllI'o-diélecll'irjlW la pression nerveuse augmente, les décharges nerveuses aug- mentent de fréquence. La pression nerveu
e, les décharges nerveuses aug- mentent de fréquence. La pression nerveuse augmente en amont d'un neuro- diélectrique :
plosif qui correspond à l'émotion). L'augmentation de la pression nerveuse eu amont du neuro-diélectrique peut même rendre
SLPTlÈ.lOE loi. Si en amont d'un ueecro-diélectoictaee, la pression nerveuse diminue, les décharges nerveuses dimi- nuent de
ueecro-diélectoictaee, la pression nerveuse diminue, les décharges nerveuses dimi- nuent de fréquence. La pression nerveus
ue, les décharges nerveuses dimi- nuent de fréquence. La pression nerveuse diminue en amont d'un neuro-diélec- trique :
e est beaucoup moins volumineux que le droit. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXIV. Polynévrite avec incontinence d'urine et
cervico-inférieure dans le bras, et il était 18 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . survenu une atrophie très marquée des muscles
emblent sincères et se trompent eux-mêmes comme REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 2 I l) ils trompent les autres. Il est possibl
qui se forment sur une rétine saine, ayant toutes ses connexions nerveuses normales. La perception est en suspens. Quelque c
s faits qui tiennent à la marche si souvent 220 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rapide de la maladie. Dans des cas plus lents
la moelle, mais ce peut être également dans le corte et les racines nerveuses (Bailey et Ewing). Pour Meyer, la paralysie de La
pliquer le nom de « maladie », et, dans ce cas, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 11221 il vaut mieux abandonner un nom qui est
nelles qui a été la cause de la chute. . D. 224 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XL. Parésie des quatre membres, contractures,
résie linguale; démarche ébrieuse et hémiplégie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 3M droite. L'examen attentif de tous les organ
and nombre dans toute l'étendue de la tumeur. Les éléments du tissu nerveux n'étaient pas refoulés par la tumeur, mais on l
drait être Archives, 2° séiie, t. X, 15 2G C) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . insensé pour en contester l'existence ; mais j
tique et critique sur cette discussion. (B.) .) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 227 I vauché l'une sur l'autre de manière à co
e REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. 231 sens de la loi. Mais les troubles nerveux que présentait M-9 S..., son faible niveau inte
les buveurs d'habitude, les alcoolisés délirants et les aliénés ou nerveux avec appoint alcoolique. Quelques promoteurs im
mois et plus, est consacrée à une thérapeutique générale du système nerveux . Traitement de l'affection générale (artério-sc
ette période, au bout de laquelle on assure au malade, que son état nerveux général, qui constitue l'élément important, éta
i embrasse l'anatomie, la physiologie et la pathologie du système nerveux . A ne considérer que l'étude des maladies nerveus
ologie du système nerveux. A ne considérer que l'étude des maladies nerveuses , nous la voyons occuper, au milieu des autres b
ent à une époque où la structure et l'agencement intime des centres nerveux étaient à l'état de lettres mortes pour 1(.s an
rgane, était méconnue ou niée. On ignorait l'existence des cellules nerveuses . Les représentants officiels de l'enseignement
rt des anatomistes niaient la pré- sence de fibres dans les centres nerveux , Gall et Spurzheim affir- maient catégoriquemen
nctionnement de la moelle se reflète dans les traités de pathologie nerveuse de l'époque. L'anatomie pathologique n'avait gu
onnels qui figurent dans la symptomatologie des maladies du système nerveux . Indépendamment des maladies ner- veuses propre
matisation n'allait pas plus loin, dans le domaine de la pathologie nerveuse ; n'empêche qu'elle s'affirmait, d'une façon très
s'éclaira d'une lueur nouvelle, grâce à la découverte des cellules nerveuses , dont l'honneur revient à Ehrenberg, à Valentin
riquement, que toutes les fibres du cer- veau naissent des cellules nerveuses . Entre temps, Virchow nous avait révélé l'exist
vait révélé l'existence d'une trame interstitielle dans les centres nerveux , l'existence de la névroglie, déjà entrevue par C
déchiffrer l'agencement intime des cellules ner- veuses, des fibres nerveuses et de la névroglie; de démêler l'enche- vêtreme
en apparence inextricable, des appareils qui composent les centres nerveux et qui président, pour ainsi dire, à toutes les
rniers temps, notre conception de l'organisation intime des centres nerveux ; elle subsiste encore en grande partie. Wa- gn
s éléments cel- SECTION DE NEUROLOGIE. 257 Î lulaires des centres nerveux . Gerlach objectivisait'cettè couceptiou des rap
ettè couceptiou des rapports anatomiques des cellules et des fibres nerveuses . Il édifiait sa doctrine de l'agencement réticu
ulé des fibrilles qui étaient censées unir entre elles les cellules nerveuses . La doctrine du réseau de Gerlach a régné, sans
e ; elle aboutit à une rénovation de cette branche de la pathologie nerveuse . Une fois en possession de cette donnée fondame
Une fois en possession de cette donnée fondamentale que les centres nerveux se composent d'éléments parenchymateux, cellule
soutenus par une trame interstitielle, on appliqua, à la pathologie nerveuse , les mêmes principes qui ont cours dans les aut
nous révélaient l'existence d'une sclérose qui envahit les centres nerveux sous la forme d'îlots disséminés; les recherches
it pas moins les hémisphères cérébraux comme une masse de substance nerveuse , homogène au point de vue fonctionnel. On se re
ches de Flechsig, sur la chronologie de la myélinisation des fibres nerveuses dans le cerveau du foetus et du nouveau-né, pou
le de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie des centres nerveux et des nerfs pérphiériques. Aussi me bornerai-je
NATIONAL DE MÉDECINE. fond en comble, notre connaissance du système nerveux . Elles ont abouti à nous doter d'une conception
t, sans témérité aucune, qualifier d'iné- branlables : Le système nerveux . nous apparaît maintenant comme un ensemble d'a
qui a été fait, dans ces trente dernières années, pourra pathologie nerveuse , de fonder, sur des bases objectives, le diagno
ppement des maladies mentales et dans le développement des maladies nerveuses , nous incriminons les mêmes causes pro- vocatri
d'une prophylaxie rationnelle des maladies mentales et des maladies nerveuses . Une connaissance 64 CONGRÈS INTERNATIONAL DE M
exacte de l'organisation structurale et fonctionnelle du sys- tème nerveux concourra à faire édifier, sur des données positi
vec une ri- gueur croissante, le siège et le mécanisme des maladies nerveuses ou mentales, de distinguer celles qui résultent
compromettre le bon fonctionne- ment et l'intégrité de leur système nerveux . Et c'est la ce qu'il y a de plus salutaire et
er les intoxications qui menacent le plus directement nos appareils nerveux , en commençant par la plus néfaste et la plus r
et des fonctions de la plus noble partie de notre être, du système nerveux . M. le D1' Pierre Marie, secrétaire général du
vancement de nos connaissances pour tout ce qui concerne le système nerveux normal et pathologique. » M. le Dl' Magnan, Pré
e au développement de nos connaissances sur les maladies du système nerveux . » Sont nommés Présidents d'honneur de la Secti
cette question fut mise à l'ordre du joùr à la section des maladies nerveuses et mentales au Con- grès des Médecins russes, e
e haute température et chez les personnes très épuisées. CLINIQUE NERVEUSE . Syndrome de Basedow post-typhoïdique ; Par F
entre 110 et 120. Ai-.r.nnE : , e sél ie, t. X. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE . Cette complication attira l'attention vers le
13 du même mois pour une recrudescence de ses pal- 292 1-) CLINIQUE NERVEUSE . pitations, amenée par quelques tentatives pour
oger et Garnier. Société de biologie, 30 juillet 185S. 294 CLINIQUE NERVEUSE . de vue, nous ne relevons aucune propathie pers
ladies infectieuses, Thèse de Paris, 5 février 1809. 296 CLINIQUE NERVEUSE . tation de volume de la glande thyroïde, et l'h
omme n'en demeure fort gênée. PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. L'énergie nerveuse et l'énergie électrique, à propos de la théorie
héorie et qui ne tend à rien moins qu'à l'assimilation de l'énergie nerveuse à l'énergie électrique ; l'autre particulier, q
de prétendre que la force produite par le fonctionnement du système nerveux était de nature électrique. Je voulais simpleme
peut établir l'équivalence. Ce que je soutiens, c'est que la force nerveuse n'est également qu'une forme de l'énergie : se
e, mais non de nature. La similitude est telle entre les phénomènes nerveux et psychiques et les phénomènes électriques que
r aux derniers, d'au- tant plus qu'il n'est aucun de ces phénomènes nerveux et psy- chiques qu'on ne puisse reproduire au m
ion reçue. Je n'ai pas voulu conclure à l'identité des phénomènes nerveux et électriques, et on s'est servi de cette réserv
oyé, alors que mon but était de démontrer l'identité des phénomènes nerveux et psychiques, non pas avec les phénomènes élec
ue, et de faire rentrer ainsi ces phénomènes dans l'ordre l'énergie NERVEUSE ET l'énergie électrique. 299 physique, dont on
dans ses premières phases. De même pour l'analogie entre l'élément nerveux et l'accu- mulateur (p. 1 G, 196, 202). Tout le
ésonance électrique. Mais je crois que le principal rôle du système nerveux est dans la transformation de l'excitation reçu
culier comme de véritables transformateurs et producteurs d'énergie nerveuse . Une excitation périphérique atteint l'extrémit
ration ainsi produite se propage le long du nerf : c'est le courant nerveux , mesurable et comparable à toutes les vibra- ti
t comparable à toutes les vibra- tions d'ordre physique. Ce courant nerveux aboutit, en sui- vant les fibres nerveuses, à d
ordre physique. Ce courant nerveux aboutit, en sui- vant les fibres nerveuses , à des agglomérations de cellules de l'écorce c
de cette excitation soit tout à fait différente de celle du courant nerveux . - De sorte qu'en fin de compte l'état molécula
ec l'excitation provocatrice. En se propageant à travers le système nerveux , la force qui a agi sur lui se trans- forme don
différentes formes d'énergie prennent une nouvelle forme : énergie nerveuse et psychique. M. Binet-Sanglé, se basant sur
arités qu'on observe dans le rendement si je puis dire du système nerveux , pense qu'elles sont dues à des barrages, et ce s
ment aussi sur les résistances qui s'opposent au passage du courant nerveux et à l'accumulation de l'énergie psy- chique, e
du cerveau, les fuites qui se produisent dans le trajet du courant nerveux au niveau des groupes de neurones éche- lonnés
rragesplus ou moins résistants interposés sur le passage du courant nerveux , mais j'ai encore étudié ces variations de rési
variations de résistance et les causes de déperdition de l'énergie nerveuse . J'ai même cherché à montrer (p. 197), à l'aide
des arguments à l'appui de sa thèse de l'assimilation de l'énergie nerveuse à l'énergie électrique. J'avais conclu à la sim
ns la période de croissance, aussi bien les cellules que les fibres nerveuses . Parfois, comme dans un cas rapporté par Bournevi
les cas névropathiques congénitaux (genetous), surtout des enfants nerveux ordinairement issus de parents névrotiques, nou
ION DE PSYCHIATRIE. 309 rations de dégénérescence dans les cellules nerveuses du cortex, dans la motor area, et une augmentat
ellules local ou diffus, avec une atrophie progressive des cellules nerveuses . « Les cellules du cerveau des imbéciles épilep
étendue considérable, un développement des neurones ou des cellules nerveuses , pas plus grand que celui qu'on observe chez l'
atrophique, diminution de la sub- stance corticale et des éléments nerveux , avec production excessive de tissu connectif,
membres paralysés. Dans la forme acquise, il y a perte de substance nerveuse , par inflammation du cerveau ou de ses méninges,
évroglie, une dégénérescence graisseuse et pigmentaire des cellules nerveuses et une atrophie de leurs processus, avec dimi-
ugmentation de la névroglie et la disparition d'une partie du tissu nerveux . Jusqu'à maintenant, il y a quelques phénomènes
ouvons d'ailleurs résumer les anomalies, en disant que les cellules nerveuses sont ordinairement arrondies ou poirciformes, e
: anomalies de croissance et de nutrition im- primées à la cellule nerveuse croissante aussi bien qu'à la cellule de névrog
duisent successivement les dispositions des cellules et des' fibres nerveuses dans les diffé- rentes régions en jetant un cou
giques grossiers, évidents, la plupart morphologiques, du système nerveux central, correspond aux besoins pratiques de la s
mo-palhologique basée sur l'étude de la structure délicate du tissu nerveux et de ses éléments, et sur des notions embryolo
es des cerveaux d'idiots est la déviation du développement du tissu nerveux ; il faut cher- cher son origine dans la vie em
e, parce que dans ce dernier, avec amoindrissement général du tissu nerveux des hémisphères, les proportions correspondante
e grise des hémisphères cérébraux et le centre semi-ovale, le tissu nerveux parfois se trouve dans un état d'arrêt de dével
n que la richesse de la substance grise et l'abondance des cellules nerveuses peuvent être accompagnées d'idiolie. Mais dans
e défaut d'harmonie dans le développement des différents élé- ments nerveux , rend imparfait un organe si prodigieusement doté
certains rapports et si pauvres sous d'autres. Mais dans le système nerveux central, tout dépend non pas de la quantité, ma
blanche n'est que la continua- tion des prolongements des cellules nerveuses : ainsi la richesse des ramifications dendrique
cerveaux où la substance blanche est peu déve- loppée, les cellules nerveuses doivent être pauvres en prolonge- ments et leur
leur connexion (Déjerine). Par conséquent la richesse des cellules nerveuses peut coexister avec l'idiotie, si les cellules
lesquelles se propagent, s'accu- mulent et se combinent les forces nerveuses . L'abondance de la couche de neuroblastes dans
rébral, provoque sans doute l'insuffisance des fonctions du système nerveux jointe à la manifestation de l'intellect. Mais
transformer en éléments d'ordre supérieur, c'est-à-dire en cellules nerveuses . Dans la couche des neuroblastes se rencontrent
sous l'influence d'une impulsion propice se transformer en cellules nerveuses et contribuer à rehausser l'acti- vité des fonc
des circon- volutions sans malformations, avec lésions des cellules nerveuses (Idiotie congénitale idiopathique); 4° Idioti
tenant en nombre toujours plus grand, dans le domaine des fonctions nerveuses inférieures; et, par là, les essais tentés jusq
e son entrée dans le service de la Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière, cet homme réalisait l'associ
cette méthode. Il est un principe général d'après lequel des fibres nerveuses équivalentes (c'est-à-dire appartenant au même
te de tout ce que l'on sait sur l'ordre de développement des fibres nerveuses , que les territoires primordiaux, présentant su
XIV, p. 209, 1S98. = Cilles de la Tourette. Leçons sur les maladies nerveuses , 1898. \'on Leyden et P. Jacob. Beriel itbcr di
it M. Courtade 3, nous massons l'hémiplé- 1 Leçons sur les maladies nerveuses , 1898. 5 Professeur A. IIof1'a. Technik der mas
arésie. On croit aussi, que c'est par l'action directe sur la fibre nerveuse , que le massage ' GoliakhoWSky. La technique cl
70 femmes); 25 lits sont réservés aux sujets atteints d'affections nerveuses . Le prix de revient du lit a dépassé 10 000 fra
s en fer. Dans les locaux destinés aux aliénés tranquilles et aux « nerveux », les barreaux sont supprimés. Les fenêtres des
e 2 hectares. Les jardins réservés aux malades tran- quilles, aux « nerveux », sont vastes, avec pelouses, allées ombra- gé
olique, et 40 sujets (26 hommes et 14 femmes) non aliénés (maladies nerveuses ). Les sorties pour cause de guérison ont été da
ont eu pour base l'étude de l'anatomie du développement du système nerveux . Tout le monde connaît ses recherches, vul- gar
sa méthode basée sur l'apparition de la myéline dans les centres nerveux ; ses travaux sur les lésions systématiques de la
clinique modèle 376 G ENSEIGNEMENT. pour les maladies mentales et nerveuses , fit. pour la somme de 150 000 francs, l'acquis
lasse, 73 de troisième classe, plus 20 sujets atteints d'affections nerveuses , soit un total de 110 malades répartis en six p
ance permanente ; l'autre est destinée aux malades paisibles et aux nerveux . Elles communiquent par un corridor de 10 mètre
qu'il ne s'agisse d'un agité, ou d'un malade inoffensif, ou d'un « nerveux ». Si un accès d'agitation se déclare chez un d
tes. Quant à la deuxième salle du pavillon, elle est réservée aux « nerveux ». On dispose donc, en dehors des « nerveux »,
elle est réservée aux « nerveux ». On dispose donc, en dehors des « nerveux », de vingt à trente lits pour les catégories s
874, Hitzig pouvait écrire « qu'une portion considérable des masses nerveuses constituant les hémis- phères cérébraux - on pe
alades el du personnel de la Clinique de psychiatrie el de médecine nerveuse de l'Université de llctlle-1T'illenLea·ll. Ce q
ntacte un an après la destruction de l'influence directe du système nerveux . Enfin le muscle conserve ses caractères his- t
dépression varie suivant l'animal. Les nerfs sensitifs, les centres nerveux , le coeur possè- dent chacun leur seuil de dépr
ur l3ernslein à Halle les expériences de Mendelssohn sur le courant nerveux axial c'est-à-dire sur la différence de potenti
Suivant lui, grâce à l'influence trophique des centres sur la fibre nerveuse , la désorganisation se fait plus rapidement dan
Le goût styptique particulier provoqué par l'excitation des filets nerveux gustatifs ne dépend donc que de cette excitatio
ctrode indiffé- rente sur le sternum, électrode active sur le tronc nerveux ou le muscle. Les résultats sont d'ailleurs ide
: les travaux : de Gaetano Corrado sur les altérations des cellules nerveuses dans la mort par l'électricité et ceux de Prévo
nt faire revenir les animaux à la vie. Les altérations du système nerveux , consistent- en. congestion ou. hémorragies- de
s ou spinales de nombreuses, bulles de gaz. Le corps* des- cellules nerveuses : subit. des- déformations variées, éro- suions
n lacunaire totale ou partielle dans un certain nombre de, maladies nerveuses , soit cérébrales, soit périphériques et l'a tro
rothérapie est toujours en bonne place dans les maladies du système nerveux et des acquisitions nouvelles viennent chaque a
a cilé les boni effets qu'il obtient de la galvanisation du système nerveux central dans certaines névroses. Il nie que les
astriques, la neurasthénie, l'hypochondrie, la fatigue cérébrale ou nerveuse . La migraine, le goitre exolihthalmique, la mal
ndrait bien, d'après l'auteur, à toutes les incontinences d'origine nerveuse ou musculaire ou d'origine centrale. S. Leduc
dont le minimum est nécessaire pour produire chez l'adulte un acte nerveux (une impression lumineuse, par exemple). Une voie
sseur Gras- SET (de Montpellier). M. Grasset considère l'appareil nerveux kinesthésique et les modes d'observation et d'e
inématographe à l'élude des troubles de la marche dans les maladies nerveuses ; par Marinesco (de l3ucharest). M... rappelle l
se que l'on peut admettre que la constitution de la substance grise nerveuse se prêle plus qu'aucune autre à cette réaction
n, quels qu'en soient la nature et le siège, agira sur les cellules nerveuses pour en modifier la structure et la fonction. D
. Vol. X. Décembre 1900. N° 60. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . Clinique psychiatrique DE Montpellier. (Serv
n'est pas d'investigation clinique, dans le domaine des affections nerveuses , qui n'ait, comme complément nécessaire, sinon
. Ceci est surtout à re- marquer pour certaines maladies du système nerveux central et en particulier pour la paralysie gén
nurie des travaux sur Archives, 2° série, t. X. 29 - 150 CLINIQUE NERVEUSE . cette dernière question, mais aussi par les re
ide au diagnostic dans les maladies mentales, 189G. 452 li CLINIQUE NERVEUSE . neurologie de Bruxelles (1897), dans une deuxi
Par sa constance dans certaines affections, avec lésions du système nerveux central, ce phénomène acquiert une significatio
t le réflexe plantaire dans les différentes affections du système nerveux central. Nous citerons principalement celles de
nous permettre d'apprécier avec plus d'exactitude l'état du système nerveux dans cette maladie. Pour mieux mettre en relief
1 d 1 m 1 1 1 1 5 m 1 1 1 z 458 CLINIQUE NERVEUSE . vant la technique que nous venons d'indiquer,
xagération du réflexe se rencontre : ait beaucoup plus 460 CLINIQUE NERVEUSE . fréquemment i : t cette période que les autres
893 l'Institut médico-pédagogique, consacré aux enfants arriérés et nerveux pour les familles aisées. Par de nombreuses pub
t les expé- riences tendaient à faire admettre l'identité des ondes nerveuses et des ondes électriques, ou tout au moins leur
-docenteu ; 1,3-13 étudiants). La clinique des maladies mentales et nerveuses de l'Université de Berlin est installée dans le
e 11 à 12 h. 112) avec poli- clinique. La policlinique des maladies nerveuses de la Charité est publique; elle a lieu trois f
e). En dehors des leçons magistrales, l'enseignement des maladies nerveuses et mentales est encore assuré à Berlin (18\H-) pa
Mendel ; le cours (payant) du professeur Bernhardt sur les maladies nerveuses , l'électrodiagnostic et l'électrothérapie (prés
tions) ; -le cours (payant) de dia- gnostic des maladies du système nerveux et d'électrothérapie du D' Hemah ; - le cours (
lenburg ; le cours (payant) de dia- gnostic des maladies du système nerveux avec exercices pratiques du D1' Goldscheider :
s (payantes) de diagnostic et de traitement des maladies du système nerveux , avec considérations sur l'électrodiagnostic et
'' Moëli; -le cours public sur les rapports des maladies du système nerveux avec les autres affections, du professeur Bernh
' Koppen ; - les conférences de thérapeutique générale des maladies nerveuses , du D' Goldscheider. Le non-restreint, introdui
ivat-docenten; 233 étudiants.) La clinique des maladies mentales et nerveuses de l'Université de Stiasbourga été fondée en 18
e normal de la population est de 90 aliénés et 30 épilep- tiques ou nerveux . Au point de vue économique, la clinique dépend
ue était, au commencement de 1889 : aliénés, 73 ; épileptiques et « nerveux », 58. Nombre des admissions en 1889 : aliénés
Nombre des admissions en 1889 : aliénés : 274 ; épileptiques et « nerveux » : 123. Consultations, en 1889 : 564 cas. Po
Population (1° janvier 1898) : aliénés : Ci (23 hommes, 38 femmes); nerveux et épileptiques : 28 (16 hommes, 12 femmes). No
hommes, 12 femmes). Nombre des admissions en 1897 : aliénés : 304; nerveux et épilep- tiques : 173. - Malades traités à
nts et leurs collatéraux, toutes les formes pos- sibles de maladies nerveuses et mentales : en effet, il n'est pas rare d'y r
des hystériques, des épileptiques, des sujets atteints d'affections nerveuses de toute nature et aussi des suicidés, des désé
n, quels qu'en soient la nature et le siège, agira sur les cellules nerveuses pour en modifier la structure et la fonction.
'elles exercent sur la natalité, sur la léthalité et sur le système nerveux , ces derniers s'exprimant sous la forme de ces st
ut degré, sans toutefois constituer une véritable folie; l'hérédité nerveuse ; l'hérédité diathésique; l'hérédité cérébrale et
s saines aux familles d'aliénés, de psychiques, de diathésiques, de nerveux , de cérébraux et d'alcooliques ; 3° La di- minu
des aliénés, des dialhé- siques, des psychiques, des cérébraux, des nerveux et des alcooli- ques ; il' La léthalité des sur
eu près la même dans les familles saines, vésaniques, psychiques et nerveuses ; elle serait t augmentée dans les familles diat
Ces causes héréditaires peuvent marquer leur action sur le système nerveux des descendants par des stig- mates. A ce point
vésanique et cérébrale; puis viennent les hérédités diatéhsique et nerveuse , dont l'action est déjà plus générale : et, enf
lexes pathologiques résultant d'une sorte de débordement du courant nerveux empêché de trouver son chemin au cerveau, ou d'
er son chemin au cerveau, ou d'une excitabilité accrue des éléments nerveux de la moelle séparée des centres supérieurs.
aladie du cerveau, est exceptionnelle et peut être causée par shock nerveux ou par une lésion secondaire de la moelle. .
ullement une preuve d'une division transversale totale des éléments nerveux de la moelle. 9° L'abolition des réflexes pat
ssibles mais rares où la perte de ces réflexes est causée par shock nerveux . 10° L'examen des réflexes rotuliens n'est pas
clure la possibilité d'une réaction par l'intermédiaire d'un centre nerveux . La « secousse » est une réponse directe du mus
réflexe dont dépend le tonus spinal du muscle est composé de fibres nerveuses afférentes venant du muscle lui-même (le tricep
rouge comme un centre réflexe important. Il montre que les centres nerveux supérieurs réagissent sur les cellules motrices
clérose à l'action immédiate d'une substance toxique sur les fibres nerveuses . Elle est attribuée par Marie à une affection de
tre elles. P. KERAVAL. XXVIII. De quelques altérations des cellules nerveuses de l'écorce du cerveau révélées par la méthode
eures, de l'excitation que le choc du tendon produit sur les fibres nerveuses sensibles intratendineuses. Un facteur physique
dégénérescence tabétique des cordons postérieurs dont les éléments nerveux sont atteints, non tous et simultanément, mais
iliaire et au nasal interne. Les parties les plus basses du système nerveux central amène- raient les segments les plus pos
nt probablement les éléments sensitifs de la même partie du système nerveux central que les parties de la peau du front voi
nt quitté l'hôpital, le présentant encore. Deux fois les phénomènes nerveux ont réalisé le tableau d'une myélite aiguë béni
érales, par Maurice Faure, 4 : 7. Cellules. Prolongements des - nerveuses chez les invertébrés et les vertébrés, par Ilav
r P. ni- cher et [.onde, 334. Clinique des maladies du système, nerveux , par le Pr Ltaymond, 172. Les-psychiatriques de
sités allemandes, par P. Sérieux, 193, 371, 473. Cocaïne. Lésions nerveuses dans l'empoisonnement leut par la-, par Daddi
a moelle dans les Illyoelopathies -, par Chipault, 421. Energie nerveuse et - électrique, par P. Sollier, 296. Epilept
s. Méthode d' - et mou- vements, proposée comme cure des maladies nerveuses , par Thalo, 87. Faiblesse d'esprit. Remarque
urone. Doctrine des -, et nou- velles théories sur les connexions nerveuses , par van Gehuchten. 125. Névrose . Rôle des m
taire dans la -, par AnI III - Dell ell et Rouvièr, 450. Cellules nerveuses rie 1'01- corce dansia, par Agapoff, 514. - L
46 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 08, n° 43-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LOGIE ARCHIVES DE E NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fond 13 FAR J.-M. CHAKCOT f'UIILI
de l'idée fixe et de Y obsession ? « Il y a, dit Laurent, nombre de nerveux et de mélancoliques qui se plaignent de ne pouv
e chez les héréditaires. L'idée obsédante émotive procède d'un état nerveux anté- rieur dépressif. Exemples : les mélancoli
ies générales. C'est encore le mécanisme de l'épuisement du système nerveux . Voici une observation de délire de persécutés
tration). Pans, librairie du Progrès médical. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. La rétraction de l'aponévrose palmaire chez
des trophonévroses, attribuables soit à une altération des rameaux nerveux périphériques, ou plutôt, en raison de sa bilatér
, ou plutôt, en raison de sa bilatéralité, à une lésion des centres nerveux . G. DERNY. IL Un cas d'acromégalie en gant; par
rait, tantôt une insuffisance mitrale. Ces deux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 49 lésions peuvent être relatives et absolues;
cas. > Archives, 2" série, t. VIII. 4 sol REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . L'opération fut la suivante : incision horizon
ones ganglionnaires sensitifs et les voies cen- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 51 trifuges sont les prolongements cellulifuge
t il y a « quelque part » un centre régulateur d'où part une action nerveuse double et antagoniste : une action inhibitrice
t servir à éclairer cette difficile question de pathologie générale nerveuse . La complication constituant les paralysies gén
tuant les paralysies généralisées, observées 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dans le cours ou dans la convalescence de la f
e l'étiologie de cette affection, il se demande REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 53 s'il faut incriminer, comme on le fait géné
ées par la marche. A la suite du traitement .54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mis en oeuvre (pulvérisations de chlorure d'ét
, cinq mois après avoir été atteinte d'un érysipèle. Les mouvements nerveux consistaient au début, en un simple cligne- men
té et la variabilité des mouvements choréiques. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 55 A raison de ces particularités, le terme ch
damental de cette névrose, caractère commun à tous les phé- nomènes nerveux de la dégénérescence, le polymorphisme. Mais co
la branche postérieure de la capsule interne 56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . par la tumeur explique l'hémianesthésie, sympt
n intérêt pratique au point de vue de la prophylaxie des affections nerveuses et men- tales en particulier, en montrant l'inf
res de la syphilis acquise : la syphilis maligne précoce du système nerveux , les myélites aiguës, les myélites chroniques,
uérison; elle se tient au courant de tout ce qui parait en médecine nerveuse ; elle lit les ouvrages de médecine et de scienc
re physique. Son hérédité n'est pas très chargée : son père était nerveux de la même manière qu'elle, et parait avoir été
res et une soeur : ses frères ne présentent aucune trace d'hérédité nerveuse , mais ils ont eu les uns et les autres des mani
n grand-père paternel est mort jeune par accident. Sa mère est très nerveuse , elle a eu des attaques de nerfs, elle a une so
Il s'agit en résumé d'un homme qui, des suites d'une affec- tion nerveuse aiguë de l'enfance, a gardé une amyotrophie hém
'existence de l'enfanta C'est certainement une affection du système nerveux qu'il fallait rechercher à l'origine de cette i
uête sur l'action thérapeutique de la trépanation dans les maladies nerveuses , nous demandons à nos collègues des asiles de b
iER, croient à l'unité structu- rale et fonctionnelle de la cellule nerveuse et expliquent par les connexions périphériques
dans ce complexus de fibres myéliniques, où tant de prolonge- ments nerveux sont mêlés, Cual a distingué : 1° des cellules ne
llules dont les dendrites se ramifient exclusivement dans ce plexus nerveux . L'observation toujours plus approfondie de cet
es entrent certainement en contact avec des cen- taines de cellules nerveuses de la zone des cellules étoilées et avec un nom
RITIQUE. 127 7 A quelle espèce de cellules appartiennent ces fibres nerveuses ? Sont ce des fibres optiques venues des centre
one des cellules étoilées, dès qu'on admet que les puissants plexus nerveux que ces fibres contribuent à former, constituen
s polymorphes, ou septième zone, renferme quatre espèces d'éléments nerveux : 1° les plus nombreux sont des cellules fusifo
sulter de cette première étude de morphologie comparée des éléments nerveux constituant les diverses couches stratifiées d'
verticales ; il estime donc vraisemblable que ces nouveaux éléments nerveux , d'une morphologie si curieuse, appartiennent à
rte l'observation d'un homme de quarante-deux ans, sans aucune tare nerveuse héréditaire et sans antécédents spéciaux, qui,
de d'aggravation continue douze heures. Pour calmer l'exa- gération nerveuse on donne trois fois par jour la solution de chlor
açon inconsciente, ou plus exactement subcon- sciente, un dynamisme nerveux quelconque, central ou irradiant la périphérie.
tent de poser les conclusions suivantes : 1° des lésions du système nerveux central ont été observées chez des lépreux; 2°
l'urobilinurie et l'hématoporphyrinurie toxiques dans les maladies nerveuses ; par le D1' IlAsco\ EC. L'urobilinurie et l'hém
e et l'hématoporphyrinurie ont été observées dans quelques maladies nerveuses et souvent après l'empoisonnement par le sulfon
paralysie générale ne serait qu'une des nom- breuses manifestations nerveuses de l'état diatMsÏlfue c'est-à-dire d'un état mo
de éminemment héréditaire caractérisé par une altération du système nerveux amenant à sa suite des troubles nutritifs ou in
ériques des membres; certaine sensibilité à la palpation des troncs nerveux , notablement gonflés et durs, et qui, aux membr
ine, trouve que chez la malade, présentée par Rossolimo. les troncs nerveux se comportent quelque peu autre- ment à la palp
oky et Worobieff. T. IlTr3 : lhONr·. Sur les altérations du système nerveux central dans les paralysies saturnines. En in
r le formol. M. KOR : \1 LOI'F croit que les altérations du système nerveux peuvent également relever de la cachexie générale
ives, secondaires. M. Mocravieff dit que les altérations du système nerveux peuvent varier d'une espèce animale à l'autre.
Voici l'histoire du malade : T... est un dégénéré, fils d'une mère nerveuse dont la soeur est hystérique il présente une no
t de tous ceux qui s'intéressent il l'étude des maladies du système nerveux . Surdité vc bale pure, de nature hystérique.
tion. Il existe donc une action spéciale de l'aimant sur le système nerveux . M. Joire rapporte plusieurs observations de cr
son traitement .comme s'il avait reçu la suggestion d'autrui. Tic nerveux traité avec succès par la suggestion hypnotique.
perficielle et beaucoup trop rapide, les principales manifestations nerveuses , la neurasthénie, l'hystérie, l'aliénation ment
mique surtout des recherches embryologiques de Flechsig. Le système nerveux est un chemin de la force, répète volontiers le
ntiers le professeur Pierret. L'écorce cérébrale reçoit de l'influx nerveux et en projette : pour cela des fibres ner- veus
re est sensitif. Puis l'im- pression s'est réfléchie par les fibres nerveuses centrifuges, mêlées aux radiations optiques cen
des centres oculo-moteurs postérieurs restés intacts. PATHOLOGIE NERVEUSE . DE L'APOPLEXIE PROGRESSIVE DE SA VALEUR EN T
l apoplexy (Med. chier. TraRSaU.. 1876, LIX, 335). 200 PATHOLOGIE NERVEUSE . Broadbent ' a repris cette étude en 1876 en se
889). Nous sommes heureux de l'en remercier... 20' : 1 2 PATHOLOGIE NERVEUSE . Le 4, la tête et les yeux tournent brusquement
psule externe qui est peu atteinte. 11 existe éga- 204 . PATHOLOGIE NERVEUSE . lement à la partie moyenne du segment externe
yau lenticulaire, au niveau de la pédiculo-frontalé. 206 PATHOLOGIE NERVEUSE . Un peu plus loin, le foyer s'accentue et on a
'hémiplégie totale s'est établie, elle ne présente 208 . PATHOLOGIE NERVEUSE . pas de rétrocession ; elle est flasque bien qu
te de la céphalée, Archives, 2° série, t. VIII. 14 210 PATHOLOGIE NERVEUSE . des vomissements, un engourdissement d'un bras
e et qui venait affleurer en bouchon à la surface. 212 PATHOLOGIE NERVEUSE . On peut encore trouver du sang dans la scissur
e point par la substance cérébrale à l'hémorragie. 214 PATHOLOGIE NERVEUSE . Quant à l'absence de coma primitif et il la ma
malade, en .effet, qui présentait la symptomatologie 216 PATHOLOGIE NERVEUSE . typique de l'apoplexie progressive, l'hémorrag
cyclopie.. Il. Ctunox. II. Recherches sur les lésions des centres nerveux consécutives à l'hyperthermie expérimentale et
e ou toxique et en cas de constatation des lésions dans les centres nerveux , il faut savoir distinguer ce qui revient à l'hyp
il 1899 '.) E. B. IV. Les phénomènes de réparation dans les centres nerveux après la section des nerfs périphériques; par A
vé, ainsi que l'affirme M. Marinesco que la réparation des cellules nerveuses , altérées par suite de la section du nerf corre
ion, « un organe homogène, de renforcement, exerçant sur le système nerveux une influence neuro-musculaire sténique, toniqu
plus en plus complète rétablit rapidement la fonction des cellules nerveuses endommagées par l'anémie. Mieux s'établit cette
les pendant l'opération, n'imposent aucune fatigue à leurs cellules nerveuses anémiées par la forcipressure. Anatomie patholo
médicaments s'explique par les troubles de la nutrition du système nerveux et d'autres organes concomitants. Bains, fricti
1'carnwcucrr. Sur les altérations pathologo-analomiqlles du système nerveux central, dues à l'cmpoisonnement par le poisson.
rendre maître de ces phobies. La lumière tolorée en thérapeutique nerveuse . M. Guignan revient sur la communication faite
région. L'existence de ces lésions donne l'explication des troubles nerveux réflexes pour lesquels il est poursuivi. A cert
e génie, si diversement inter- prêtée, est plutôt faite d'éréthisme nerveux que de folie et que les grands créateurs sont s
doses. Devignevielle (Amédée). Contribution à l'étude des accidents nerveux consécutifs aux frac- turcs. Deyber (René). Eta
turcs. Deyber (René). Etal actuel de la question de l'awoeboi : ,me nerveux . Doré. La mort dans la paralysie générale. Dorlia
. De la tarsalgie dans ses relations avec les trou- bles du système nerveux . Ganault (Ernest). Contribution à l'élude de qu
. Des fausses grossesses et fausses tumeurs hystériques (grossesses nerveuses , tumeurs fantômes). Kirkoff (Nicolas). Contribu
ie spasmodique familiale. Luts- garen (Isidore). Les manifestations nerveuses de la blennol'1'hagie. Macé (Georges). Quelques
énique). Margouliss (Abraham). Contribution ci l'étude des troubles nerveux dans la tuberculose pulmonaire . - Martin (George
es périodiques, les médecins qui s'occupent des maladies du système nerveux . Elle se compose de membres titulaires et de me
anisme par cette substance, a certainement produit dans son système nerveux des altérations de nature à diminuer encore sa
nt guéri, sans affaiblissement intellectuel appréciable. CLINIQUE NERVEUSE . DEUX OBSERVATIONS D'HÉMIPLÉGIE AVEC Ht : \IIAN
n intérêt, était en traitement pour troubles dyspep- 17S 8 CLINIQUE NERVEUSE . tiques consécutifs à une distension de l'estom
ralysé. Les mouvements imprimés aux articulations du 280 0 CLINIQUE NERVEUSE . membre supérieur déterminent de vives douleurs
. 5. a. substance grise; b, ,eulriculc5j c, lésions. 282 CLINIQUE NERVEUSE . le segment rétro-lenticulaire et le tiers post
té de la con- jonctive palpébrale du côté parahsé. 284 CLINIQUE NERVEUSE . Il n'a pas été possible de prendre le champ vi
lance grise; G, ventricules; c, lésions. SUR L'AMÉNORRHÉE D'ORIGINE NERVEUSE . 285 mêmes précautions que dans l'observation I
blent constituer un point assez obscur et délaissé de la pathologie nerveuse . Il serait cependant utile de se rendre un comp
ture et de la palhogénie de ces phénomènes ; peut-être 28G CLINIQUE NERVEUSE . trouverait-on dans certains cas la raison des
'ex- pliqueraient par l'anémie ou va.so-constriction' des centres nerveux les états mélancoliques et par l'hyperhémie ou
par compression des veines ; ainsi s'ex- SUR L'AMÉNORRHÉE D'ORIGINE NERVEUSE . 287 Î pliqueraient la chute de l'oeuf, son arr
distension de ce dernier. Cette action réagi- rait sur les centres nerveux et amènerait par voie réflexe la congestion des
utre endroit. Elle aurait pour cause des phénomènes essentiellement nerveux de vase-dilatation. Ces phénomènes ne se produi
latation. Ces phénomènes ne se produiraient pas dans certains états nerveux où les fonctions des centres sont troublées (an
ans, qui avait toujours été bien réglée ; 5° une manie 288 CLINIQUE NERVEUSE . intermittente, chez une malade de vingt-quatre
z des religieuses, instruc- tion assez bonne. A toujours été pn peu nerveuse , réagissait vive- ment à toutes les impressions
jour d'entrée disparaissent rapidement. SUR L'AMÉNORRHÉE D'ORIGINE NERVEUSE . 289 Au bout de quinze jours, la malade est trè
s quinze premiers jours. Ainsi, voilà une malade qui, ordinairement nerveuse , emportée et anémique, présente, à chaque émoti
urait anémie partielle des organes géni- taux au profit des centres nerveux ; la congestion utéro- ovarienne n'aurait pas l
qu'il est difficile Archives, 20 série, t. VIII. 19 290 CLINIQUE NERVEUSE . d'imaginer qu'un état congestif du cerveau soi
perception ne se faisant pas, nous devons admettre que le mouvement nerveux ne se transmet pas jusqu'à l'écorce cérébrale.
s constants entre des faits d'ordre très différent; et l'histologie nerveuse , encore si incomplète, nous réserve sans doute
ises au sujet des fibres incon- nues qui relient les divers centres nerveux entre eux et avec le système sympathique. REC
hermaphrodisme des moins avancés : il n'y avait REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 305 chez lui aucune dépression simulant plus o
mapl ! 1'odisme (J.-B. Baillière, 1891, Paris). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XVI. Une observation de pseudo-tabes; par le D
existence Archives, `3e séné, t. YIU. ;0 306 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . très ancienne d'un point douloureux au creux é
ileptique de cinquante-deux ans, éprouvant la - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 307 sensation d'un courant d'air glacé sur la
icieuse datant de l'enfance ; mais l'occlu- 308 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sion de la bouche seule produisant l'apnée com
fait que cette maladie existait longtemps avant REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 309 la découverte de l'alcool paraît à l'auteu
onjonctif interfasciculaire et de la gaine lamelleuse des faisceaux nerveux par des streptocopes et des leucocytes; 2" des
ons parenchymateuses (tous les degrés de dégénérescence de la fibre nerveuse , depuis la tuméfaction légère du cylindre-axe jus
l'infiltration leucocytaire persistait dans la gaine des faisceaux nerveux , dans lestravées conjonctives intra et iuterfas
dans la moelle, il n'y avait des microbes. Les lésions des cellules nerveuses , loca- lisées principalement dans la corne laté
es lésions du nerf dans la zone d'infection 310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sont dues en grande partie aux masses considér
hymateuses du nerf ont elles-mêmes réagi à distance sur les centres nerveux , déterminant ainsi des lésions cellulaires seco
édullaire. Toulefois la des- truction d'un certain nombre de fibres nerveuses par le microbe et ses toxines, détermine, dans
la forme ou la phase du tabes dans laquelle se REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 311 1 manifestent particulièrement les trouble
nt observés qui se décomposent comme suit : 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXIX. Manifestations larvées de l'épilepsie; p
ait pas une névrose forcément généralisée à l'en- semble du système nerveux , mais une névrose cérébrale pouvant même n'inté
ce côté la localisation de la cause de la cho- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 313 rée ; mais dans les deux cas de La Biva l'
à quelques remarques sur un certain nombre 314 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de symptômes (réflexes du genou, anesthésies,
; raison de plus pour qu'il croie aux sorciers. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 315 Il s'agit en réalité non d'une narcolepsie
15° Une qua- trième est constituée par les paralysies faciales des nerveux ou héréditaires prédisposés (13,3 p. 100); - 16
constater les causes précédentes; - 17° Les 316 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . hypothèses de Despaigne, Philip, et autres, re
lle a résisté parce que la malade a changé bien REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 317 souvent de médecins. « Nous lui suggérons,
e d'excitabilité maxima. L'excursion de la pau- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 319 pière supérieure est, au début, très faibl
taxie et la simultanéité de la même maladie 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . chez les deux frères attirent l'attention en p
g extenseur des doigts. La fonction des muscles REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 321 1 innervés par le radial (long supinateur,
la tête, Archives, 2° série, t. VIII. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mais il repousse l'idée d'une lésion cérébrale
anglion spinal étaient surtout arrondies, quel- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .' 323 quefois allongées ou un peu anguleuses, l
sont pas précédées par des causes profondes d'altération du système nerveux ou un grand shock psychique. L'auteur cite qu
glandes à sécrétion interne comme l'hypophyse réagit sur le système nerveux et détermine l'éclosion d'affections nerveuses
réagit sur le système nerveux et détermine l'éclosion d'affections nerveuses ou mentales variées. , Un cas de paralysie géné
e l'affection fondamentale per- siste (même hypertrophie des troncs nerveux ) les phénomènes mor- bides sont en grande parti
parallèles faites sur des malades atteints de diverses affec- tions nerveuses ont permis de constater la présence de ce phéno-
dans nombre d'affec- tions organiques et fonctionnelles du système nerveux , et dans les états d'épuisement général. Le rap
ntribution à l'élude des affections blf11nOI'- rhagiques du système nerveux (avec présentation de planches et de préparatio
estion de la pathogénie des affections blennorra- giques du système nerveux , M... expose les résultats des expériences qu'i
e de l'action du gonocoque de Neisseret de sa toxine sur le système nerveux des animaux : souris blanches, cobayes et lapin
re des extrémités postérieures. L'examen microscopique du système nerveux de 25 cobayes et de 20 lapins ayant subi l'into
sions suivantes : 1° La toxine gonococcique produit dans le système nerveux des altérations bien nettes et bien déterminées
de, dans sa thèse inaugurale, deux questions connexes de pathologie nerveuse , mises à l'ordre du jour en ce moment, un peu p
rolandiques, avec toutes les méthodes usitées en histo- pathologie nerveuse (Weigert, Pal, Nissl, Marchi, etc ). La con- cl
sous le coup de toutes es maladies avec ou sans lésions du système nerveux . P. 1301SSlER. VARIA. L'Union médicale DU C
De l'idiotie et en particulier des lésions anatomiques des centres nerveux dans l'idiotie : M. Hricon (1.200 francs). 1889
Vol. VIII. Novembre 1899. N° 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . SYNDROME DE LANDRY PAU LÉSIONS EXCLUSIVES DE
apporté à l'hôpital Archives, `3° série, t. VIII. 23 354 CLINIQUE NERVEUSE . complètement paralysé. Il vivait seul et n'éta
chidien 1 Fait au laboratoire d'histologie générale. 356 CLINIQUE NERVEUSE . (noyaux de l'hypoglosse et du vague) et les ci
fs périphériques - qu'une étude restreinte bornée à quelques troncs nerveux : médian et sciatique poplité externe de chaque
motrices ne nous montrèrent non plus aucune altération des cellules nerveuses , des méninges, ni des vaisseaux. Moelle. La moe
observateurs (Ballet et Marinesco) qui ont étudié les 358 CLINIQUE NERVEUSE . lésions secondaires des cellules d'origine de
es légèrement déformées et mal colorées. Contrairement aux éléments nerveux , les éléments conjonctifs (méninges, vaisseaux)
H n'existe en aucun point de trace de diapédèse autour des cellules nerveuses altérées. Les vaisseaux ne présentent nulle par
et intramédullaire des racines antérieures. Le pigment des cellules nerveuses est, dans 'ces préparations, fortement coloré e
uels, en particulier pour aucun des fixateurs employés en technique nerveuse on ne possède un détermi- nisme absolument étab
pelé à propos des ganglions rachi- clients2@ l'aspect d'une cellule nerveuse prise dans un ganglion spinal et examinée à l'é
s des racines posté- rieures, (Thèse de Lyon. 189î.) 360 CLINIQUE NERVEUSE . de leur protoplasma. Après fixation par l'alco
ntes méthodes. Dans de récents articles sur les soi- disant lésions nerveuses du tétanos, Paviot2 montra quelles interprétati
drilc. Or nous n'avons pu trouver de relation constante 36 CLINIQUE NERVEUSE . entre cette disparition, cet aspect chromatoph
ales, ou même des simples modifications fonctionnelles des cellules nerveuses (Lugaro). Quelquefois ces déplacements paraisse
s à tort comme l'indice d'une dégé- nérescence lente du protoplasma nerveux . Dans les processus myélitiques ordinaires, ses
s fois tout le corps cellulaire et allant même jusqu'à 364 CLINIQUE NERVEUSE . masquer le noyau. Suivant les différentes modi
s notre cas ont porté- sur le sang pendant la vie et sur le système nerveux après la mort. a) Examen du sang pendant la v
lement cautérisée. Les tubes ensemencés avec des fragments de tissu nerveux ont donné des cultures mélan- gées de cocci, de
es pures de diplocoques analogues à ceux des cultures des centres nerveux . Étant donné les causes inévitables de contamin
ables de contamination acciden- telle dans l'ensemencement du tissu nerveux , réduites au mini- mum au contraire dans la pri
d'ailleurs, mais mélangé à d'autres, dans les cultures des centres nerveux . Les caractères de ce microbe furent les suivan
fère absolument par la longue végétabihté des cultures 366 CLINIQUE NERVEUSE . - en bouillon que nous avons pu réensemencer a
sible de déceler aucun agent microbien par colora- tion des centres nerveux médullaires après durcissement et inclusion dan
démie de paralysie ascendante d'origine infectieuse. 368 CLINIQUE NERVEUSE . pression exercée sur la moelle par la tension
s bulbaires, sans adjonction d'aucune autre altération du système nerveux , ce qui explique la pureté du type clinique : m
On sait en effet que rien n'est plus variable que l'état du système nerveux central ou périphérique dans les maladies donna
fection qu'il décrivait, puisqu'il croyait à l'intégrité du système nerveux dans ces cas, les découvertes ultérieures et le
professeur Raymond dans une de ses cliniques', l'examen du système nerveux dans les cas de paralysies ascendantes a fourni
es lésions des éléments 1 Raymond. Clinique des maladies du système nerveux , 1896. , Giraudeau et Levi. Revue nelll'ol., 15
esse médicale, 1898. Archivas, 2» série, t. VIII. 't 370 CLINIQUE NERVEUSE . nobles ne soient accompagnées d'altérations va
- jectifs, par la douleur à la pression des muscles et des troncs nerveux , par une évolution plus lente et une guérison plu
odin. Les paralysies ascendantes. (Thèse Paris, 189G.) 373 CLINIQUE NERVEUSE . cliniques. Sans doute une telle division, outr
ond. Presse médicale, 1896, p. 29. Clinique des maladies du système nerveux , 1896. HALLUCINATIONS PSYCHO-MOTRICES VERBALES.
s ses éléments psycho-moteurs. ' E. Fournie. Physiologie du système nerveux , 1Si`3, p. 818. 2 Max Simon. Lyon médical, 1880
e détermine : 1° La représentation des mouvements : 1° Un courant nerveux centrifuge qui, suivant le degré d'irritation p
ent, progressivement produit son action morbide sur tout le système nerveux . Dans le délire alcoolique, l'encéphale, sursat
olisme.- Fas de renseignements sur la famille ¡Jutemelle. -1llèl'e, nerveuse , morte ci trente-deux ans d'une affection cardi
ts sur la famille maternelle. - Frère arriéré. - il utre frère très nerveux . Pas de consanguinité. - Inégalité d'âge de six
Grand'mère paternelle, soixante ans, bien por- tante, intelligente, nerveuse . Pas d'autres renseignements sur la famille pat
ès souvent des cauchemars, « c'est aussi un candidat aux troubles nerveux ». Notre malade. Au moment de la conception, et
s l'effraie au point de déterminer chez l'enfant une violente crise nerveuse qui dura de huit heures du matm à dix heures. O
zones hystériques ainsi que de la rachialgie. Juin. Aucun accident nerveux . Les progrès en classe et en gymnastique contin
mpressionnabilité s'est fortement atténuée. Juillet. Aucun accident nerveux . - Persistance de l'amélio- ration intellectuel
le médecin qui nous l'avait amené. L'enfant n'a plus eu d'accident nerveux . Il est retourné au collège, où il se conduit b
par une lettre de sa grand'mère du 7 octobre. TABLEAU DES ACCIDENTS NERVEUX REVUE D'ANATOLE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES
l très complexe ; ses connexions avec les autres régions du système nerveux central sont multiples et, d'autre part, ses di
dans la substance grise et dans les faisceaux blancs des cen- tres nerveux , de voie indispensable à la transmission de la se
clinique, des éléments chromatophiles. Cette réaction de la cellule nerveuse pyramidale, allant jusqu'à son atrophie à la su
à un moment donné et du nombre, et surtout de la nature des fibres nerveuses médullaires momentanément ou définitivement mis
ité. A. FENAYROU. XV. Les phénomènes de réparation dans les centres nerveux après la section des nerfs périphériques; par M
Dans les ganglions spinaux tabétiques, il n'y a guère de cel- lules nerveuses à considérer comme pathologiques. La substance
nce (abstraction faite d'un très petit coin postérieur de substance nerveuse saine) est immédia- tement accolée à la cloison
log. Centralbl.. XVII, 1898.) Il s'agit des relations de la cellule nerveuse avec les dernières ramifications cylindraxiles.
nières ramifications cylindraxiles. Dans tous les points du système nerveux central les cellules nerveuses et aussi leurs d
xiles. Dans tous les points du système nerveux central les cellules nerveuses et aussi leurs dendrites sont enlacées d'un rés
illes fort épais qui les enveloppe ; il est formé de petites fibres nerveuses qui portent de petits nodules. Ce réseau, par p
s, ni réseau il mailles. Enfin, çà Ft là, au voisinage des cellules nerveuses , un vrai réseau fermé est formé de fibrilles bi
t concourir à l'égale répartition du courant excitateur de l'influx nerveux , est généralement répandue. Dans les cornes pos
nombreux, de formes irrégulières (Golgi. Fine structure du système nerveux central et périphérique, p. 249 et 250). La c
extérieure, plus pâle, se pro- longe dans un plexus formé de fibres nerveuses mille fois anasto- mosées, tandis que le centre
rétiforme. Ces tractus membraneux qui portent les réseaux de fibres nerveuses se déploient à travers la couche granuleuse forma
de fines fibrilles ayant tous les caractères de vraies terminaisons nerveuses puis- qu'elles s'ajustent au corps des cellules
n n'observe de passage ininterrompu du protoplasme des terminaisons nerveuses et des cellules nerveuses. Les coupes les plus
nterrompu du protoplasme des terminaisons nerveuses et des cellules nerveuses . Les coupes les plus minces à la paraffine mont
la paraffine montrent une limite linéaire tranchée entre les fibres nerveuses amyéliniques et la cellule nerveuse. D'autre pa
aire tranchée entre les fibres nerveuses amyéliniques et la cellule nerveuse . D'autre part il est certain que les terminaiso
cellule nerveuse. D'autre part il est certain que les terminaisons nerveuses ont une structure plus ou moins grenue, les gra
ssinet de leurs boutons terminaux, sur le protoplasme de la cellule nerveuse d'une manière que nous ignorons; les boutons te
forme et en rayons analogues à ceux d'une ruche. Mais la cellule nerveuse des animaux supérieurs n'est pas un simple endroi
t récepteurs de l'excitation. Assuré- ment les fonctions du système nerveux prennent, chez les animaux supérieurs au moins,
sé- parable des arborescences terminales d'une part, des cellules nerveuses et des dendrites d'autre part. P. KERAV.4L. XX.
e des libres myéliniques, l'atrophie et la destruction des cellules nerveuses ; abondance de cellules à gra- nulations graisse
gnes qui passent entre les cellules à petits grains sont des fibres nerveuses ou un simple stroma con- jonctif ; mais la situ
ditif. A l'intérieur de ce tissu, gros et pe- tits amas de cellules nerveuses évidentes dont chacune est séparée du tissu con
noyau central entouré d'une zone plus claire. Ce sont des cellules nerveuses , bien qu'elles n'aient ni prolongements protopl
car elles ont un aspect tout à fait semblable à celui des cellules nerveuses de la moelle anencéphale et des ganglions spina
t va jusqu'au voisinage de la macula, où cesse la couche des fibres nerveuses . En dedans de la papille, on ne constate que qu
membre supérieur en entier, vitiligo, irritabilité et surexcitation nerveuse , etc. A aucun moment, il n'y eut d'ophtal- mie.
des racines médullaires lombaires et son échappée vers les centres nerveux supérieurs, restent subordonné à sa nature, à s
e plus ou moins persistante d'un agent médicamenteux sur les centre nerveux sous- 420 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. jacents; el
onditions, la dissémination de cet agent actif à travers tout l'axe nerveux cérébro-spinal. Mais la valeur de cette méthode
ou post-syphili- tiques, qui sont à la syphilis ce que les[maladies nerveuses épiphé- noménales sont aux maladies infectieuse
aussi bien produits par une myé- lite que par une lésion du système nerveux périphérique. 2° Les accidents paralytiques con
s les condi- tions, mentales ou physiques, qui relèveront son tonus nerveux , amélioreront sa stabilité nerveuse surtout dan
siques, qui relèveront son tonus nerveux, amélioreront sa stabilité nerveuse surtout dans les couches psy- chomotrices du ce
Vol. VIII. Décembre 1899. N° 48 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . FOYERS DE RAMOLLISSEMENT CÉRÉBRAL ET TROUBLES
dans le mémoire des Archives, 2. série, t. VIII. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE . auteurs, car elle montre que la question n'a p
r, remarquables autant par la localisation des lésions 436 CLINIQUE NERVEUSE . que par leur étendue. Cinq des malades sont dé
culièrement de la vue et du goût. Contractures du côté 438 CLINIQUE NERVEUSE . gauche, suivies d'une inertie absolue du même
avec hallucinations terrifiantes et fièvre qui a dis- 440 CLINIQUE NERVEUSE . paru au moment de l'admission. Il ne persiste
es de la nutrition de l'écorce cérébrale et parfois même du système nerveux en son en- tier (psychoses oL2éueülicesl. Que l
EMENT DES MALADIES MENTALES. 433 Dans ces divers états d'épuisement nerveux , le neurologue américain se proposait pour but
mettre l'existence d'une sensation spéciale accompa- gnant l'influx nerveux volontaire lancé par le cerveau. Cette théo- ri
ve facilement, la surface de l'organe est rouge REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 419 et parsemée d'étoiles de Vereheyen. A la c
de dégénérescence graisseuse très accentuée. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE L\'I11. Névrites hémiplégiques par intoxication
'électro-diagnostic ; par P. LEREBOULLET et F. ALURD. Les accidents nerveux qui surviennent à la suite de l'empoison- nemen
(Revue neurologique, juillet 1899.) E. Uux. 480 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLIX. Quatre observations de tremblement; par
é gauche et 24 seulement pour la main droite. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' 481 l L'hypertrophie du bras droit parait po
mouve- AncmvES, 2° série, t. VIII. 31 482 '2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ments de flexion et d'adduction, on pourra aff
profonde, par les signes nettement accusés de la perte de l'influx nerveux encéphalique. La théorie cérébrale de la respir
nsemble de symptômes qui relèvent de diverses sphères de l'activité nerveuse (psychisme, motricité, sensibilité, vaso- motri
la peau : c'est le pli des adducteurs. Chez les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 483 enfants plus âgés et même chez l'adulte il
ction des produits d'un trouble d'oxydation primitif sur le système nerveux . Elles REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 4b5 tien
xydation primitif sur le système nerveux. Elles REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 4b5 tiennent, comme le diabète sucré, la goutt
ation anormale, qui, en même temps qu'elles agissent sur le système nerveux central, exercent une influence locale. L'évolu
lever que neuf mois plus Lard. Un an après 486 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . on trouvait encore de la faiblesse des mains e
conjonctives, cornées, et iris normaux. Milieux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 487 de l'oeil transparents. Pupilles égales, m
ne, vasomotrice par émotion morale intense. 488 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Suit, à titre de comparaison, la nomenclature
cours de l'attaque produite par l'influence du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . * 489 courant faradique; dépendent non de l'ex
: uévrose hystérique par terreur : perte de 490 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . connaissance, contracture tonique généralisée,
st que, probablement, pour qu'elle ait lieu, il faut que le système nerveux ait perdu sa résis- tance, comme chez le buveur
auteur la rattache, de même que l'insensibilité REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 491 farado-cutanée et farado-musculaire, à la
ulaires. Myosis punctiforme de la pupille 492 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . gauche; mydriase au maximum de la pupille droi
nces, ont provoqué une inflammation aseptique, méca- nique du tissu nerveux , çà et lux côté de ces altérations et de thromb
érien au niveau du lobe temporal gauche et l'on REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 493 songe à une opération, quand, pendant la n
teinte de l'hémisphère gauche. L'absence de 494 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . troubles sensitivo-sensoriels dénonce la moiti
es et de l'exagération des réflexes tendineux à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 495 droite; il cause de l'existence d'une blép
est moins vif. Il n'existe aucune perturbation objective du système nerveux , mais on constate une tare névropathique chez les
ce de la masturbation est probable. M. Uay- 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE mond a signalé des observations dans lesquelles
l'alcoolisme chronique a provoqué les lésions REVUE DE ^PATHOLOGIE NERVEUSE . 497 méningées et les granulations épendymaires
e l'emploi de la notion trauma- tique dans l'étiologie des maladies nerveuses ; par R. Gauppe. (Cenlralbl. f. t1'envenlcillc
qualificatif traumatique dans la question de la genèse des maladies nerveuses . Les inconvénients en sont évidents, notamment
re, dans l'espèce, que l'accident a affaibli les parties du système nerveux ultérieurement lésées puisque l'hystérie est un
R : 1Y1L. Archives, 2" série, t. VIII 3 : 498 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LXVIII. Contribution à la pathologie des paral
ie que la voie habituelle ? Oui, d'après les expériences de sutures nerveuses croisées de Stefani et Cavazzani, et l'opératio
erveuses croisées de Stefani et Cavazzani, et l'opération de greffe nerveuse de Sick et Soenger. Ou bien certaines parties m
aque anté- rieure et supérieure provoque des élancements; le cordon nerveux y est perçu. Il se rappelle, trois mois avant l
ppelle, trois mois avant la pérityphlite, avoir REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 499 perçu une sensation de velu au milieu de l
atteints par les progrès de l'irritation inllammatoire des cordons nerveux , mais l'affection n'a point passé à droite. P.
lette de six ans. Anatomie et histologie d''7OO REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pathologiques. On constate : 1° une lésion tox
au huitième mois de la vie embryonnaire (Horsley) et les centres nerveux supérieurs étant, à cette époque, en voie de déve
ngt-deux ans, d'accès douloureux le long des sciatiques. Les troncs nerveux sont en effet très sensibles au tiraillement et
microscope, les vasa nervorum sont dégénérés et oblitérés; le tissu nerveux est hypérémiée ou infiltré de noyaux ou de cellul
ns le traitement du myxoedème de l'enfant. (B.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 501 d'auraprae-épileptique ou à l'état d'accès
a éprouvé que de l'affaiblissement, qu'elle 502 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . a pu continuer à exécuter tous les mouvements,
Contribution à la symptomatologie et à l'étiologie des para- lysies nerveuses périphériques de la région du cou; par A. 1101-F-
u provoque des deux côtés des mouvements de dé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 503 glutition sous l'influence d'un courant de
ue cyanose de la face avec macules blanches. On REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 503 note bientôt-0°,G-'r0°,8. Il se-produit de
e ; généralement à la périphérie il existe une lisière de substance nerveuse saine. Des foyers qui avoisinent le centre part
se borne à des mailles vectrices de vaisseaux sans traces de tissu nerveux . Ni dans la paroi des vaisseaux, ni dans leur v
elle dorsale, le canal central est dilaté ; 506 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ailleurs il semble divisé en deux ; tout près,
asse dure; un prolongement s'en va dans les ca- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 507 vités oculaires ; lisse brillant. sans adh
taire, s'étant accusée par des troubles nu- 508 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tritifs (pachyacrie molle), de l'hypoplasie de
e qui, longue de 1 cent. 1/2 à 2 centimètres, avait aplati le tronc nerveux . Au microscope, on ne put déceler aucune lésion
l'excitation électrique, portée au-dessus, de passer par les filets nerveux com- primés. Il rappelle qu'il n'a jamais pu cr
pice de la SALPÊTRIÈRE. - Cours de clinique des maladies du système nerveux (Professeur M. BAYUOND). M. Gilles de la Tou- r
de cours, a commencé le cours de clinique des ma- ladies du système nerveux le vendredi 24 novembre 1899, à dix heures du m
enseignement supplémentaire : Séméiologie des maladies du sys- tème nerveux . M. le Dr Cestan. Ilistologie normale et patholo-
. M. le Dr Cestan. Ilistologie normale et patholo- gique du système nerveux . M. le Dl' Philippe. Psychologie cli- nique, M.
confé- rences supplémentaires. Hôtel-Dieu. Pathologie mentale et nerveuse . - M. le Dr E. Dupré, professeur agrégé, a comm
20 francs. Berlin, 1899. Librairie Fischer's. SOUli1' (J.). Système nerveux central. Structure et fonctions. Histoire criti
blennoriiiiagiques. Con- tribtitioii à l'étude des - du sys- tème nerveux , par Moltschanôff', 340. Agoraphobie. L'hypno
générale, par ! \1arandoll de Montyel, 142. Aménorrhée. Sur l' - nerveuse , par Conlon,jou, ? 85. Anasthésies. paralysie
ôpitaux et ré- formes urgentes, par Bourneville, 522. - Centres nerveux . Les phénomènes de la léparatiun dans les - apr
tiolls Empoisonnement. Sur les altérations anatomiques du système nerveux central dues il l' - par le poison, par Tehe
IIIE. Noies sur l'urobilinurie et l' - toxiques dans les maladies nerveuses , par Ifascovec, 113. IIÉ111CIioIiEES. Sur les
Febvré, 00. Hyperthermie. Recherches sur les lésions des centres nerveux con- sécutives à l' - expérimentale et à la f
n, par Iiovalewsky, 142. Lumière colorée. La en théra- peutique nerveuse , par Grignan, 238, par Regnault et Bérillon,
périphériques. Les phéno- mènes de réparation dans les cen- tres nerveux après la section des , par van Gehuchten, 220 L
sie, par Babinski, 156. Paralysie. Sur les altérations du système nerveux central dans la - saturnine, par Rybakolf, l'r9
URS. 539 Traumatique. Notion - dans l'etio- logie ries maladies nerveuses , par Gauppe. 497. Tumeurs cérébrales avec dia
otes sur l' - et l'hématoporphyrinurie toxiques dans les maladies nerveuses , par Ilascovec, l 13. Visuel. Structure du ce
47 (1903) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 16]
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALAD
. Souques et GASNE (3). Homme, 23 ans, maçon. Père alcoolique, mère nerveuse . A 21 ans, vient à Paris après avoir toussé tout
est âgé de 52 ans ; il est en bonne santé, mais d'un tem- pérament nerveux , se met facilement en colère. Probablement alcool
ellement, est âgée de 54 ans ; elle serait su- jette aux migraines, nerveuse aussi, mais moins que le mari. Ni l'un ni l'autre
, mais moins que le mari. Ni l'un ni l'autre n'a présenté de crises nerveuses . Le malade a eu 2 frères et 2 soeurs. L'aîné de
croup à 13 mois. Une soeur, âgée de 20 ans est sujette à des crises nerveuses , depuis plusieurs années : elle a été traitée à
u dans son travail pour ses « rhumes ». Il dit avoir été toujours nerveux , d'un caractère emporté : il se met facile- men
orté : il se met facile- ment en colère. Il n'a jamais eu de crises nerveuses , mais depuis 2 ans en- viron, il a quelquefois
s, emporté, se met facilement en colère. Il n'a jamais eu de crises nerveuses , mais des secousses nocturnes, comme il est dit
uf le certain degré de min- ceur précédemment mentionné. Les troncs nerveux ne sont pas sensibles à la palpation. Pas de
dans la vascularisation du fond de l'oeil. Du côté droit, fibres nerveuses à myéline du côté inféro-nasal (disposition ano
t du volume de ce dernier, de la douleur à la pres- sion des troncs nerveux ; le symptôme caractéristique était la forme des
de vue névropathique : les malades sont issus de parents émotifs ou nerveux , d'un caractère emporté, prenant des crises ou af
exposée dans la thèse inaugurale de Lande, de l'autre, une théorie nerveuse qui plaçait la lésion tantôt dans le nerf facia
ent hémilalérale que nous nous trouvons en présence d'une affection nerveuse . Pour les deux théories nerveuses invoquant une
ouvons en présence d'une affection nerveuse. Pour les deux théories nerveuses invoquant une lésion du facial ou du trijumeau,
ection exactement hémilatérale, envahissant plu- sieurs territoires nerveux (trijumeau, facial, hypoglosse, glosso-pharyn-
en soit, nous conclurons que pour des cas comme le nôtre la lésion nerveuse doit être transportée de la périphérie dans les c
de la périphérie dans les centres. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE (Professeur RAYMOND
cours des cachexies, et de certaines maladies chroniques du système nerveux . B. OEdème chronique éléphantiasique (dû à la f
t Le Lorier. Antécédents familiaux.- Sa mère, morte à 55 ans, était nerveuse . Un des frères de la malade est hystérique. Les
lle ou tactile de l'espace par la disposition spatiale des éléments nerveux dans l'écorce cérébrale. En un mot, les faits sub
dification de la conscience correspond une modification des centres nerveux ; mais on ne préjuge pas la question de savoir
connaître encore les processus intimes, et à l'anatomie des centres nerveux qui, quels que soient les progrès qu'elle a pu
s que la sim- ple « distribution » des impressions dans les centres nerveux (2), puisque, pour distinguer les deux pointes
yant déterminé la dégénération secondaire de différents fais- ceaux nerveux . Etant donné la rareté relative des lésions limit
lié deux photographies de ce malade dans sa Sémio- logie du système nerveux (Traité de Pathologie générale de Bouchard, tom
avait en réalité une diminution du nombre et du volume des cellules nerveuses . Les coupes de la région inférieure du bulbe et
qu'ils recouvrent presque complètement, pénétrant dans la substance nerveuse à,quelques millimètres. Ils existent aussi, moins
ante à la pression qui la fragmente facilement. Comme les centres nerveux avaient été conservés par la méthode de Kai- st
liqués à la surface de la circonvolution. A côté d'eux la substance nerveuse apparaît avec ses caractères normaux. Tout le p
nicellulaires. Elle se distingue encore nettement de la subs- tance nerveuse , dont les capillaires apparaissent dilatés, puis
'éléments'isolés, par nodules bien distincts au milieu des éléments nerveux , ou, plus en avant encore, dans les gaines vas-
s : partout la lésion méningée prédominante, pénétrant la substance nerveuse par les sillons et secondairement par un envahi
isant face à la perforation crânienne, le tassement de la substance nerveuse est extrême ; le tissu con- jonctif en larges b
ux se différencient peu à première vue de ceux des petites cellules nerveuses voisines ; ces derniers cependant sont vivement t
continuité directe avec la méninge refoule devant lui la substance nerveuse et arrive presque au contact de la substance gris
cordon antérieur sans le refouler, mais en se substituant au tissu nerveux , comme dans les lésions de l'encéphale précédemme
ment de la base se révéla par les symptô- mes visuels, la déchéance nerveuse totale apparut graduellement. Il n'y eut à aucu
don fibreux, laissant subsister à peine quelques ilots de substance nerveuse , nous avons noté l'énorme déformation du cylind
e de pelites hémorrhagies, des dégénérescences va- riées des fibres nerveuses , des altérations constantes du canal central el d
dystrophie lente de la moelle, qui amène la déchéance des éléments nerveux et cet état de dystrophie coïncide avec des modif
ant très rarement décelé dans les lésions tuberculeuses des centres nerveux . A défaut de signes cliniques, le diagnostic pe
ne limitation secondaire, il esl vrai, mais bien exacte aux centres nerveux , une faible réaction scléreuse, et une tendance
levée à 49. L'autopsie est faite 26 heures après la mort. Système nerveux . - Pas d'adhérences entre la dure-mère et la calo
ico-transversale, on ren- contre encore un certain nombre de fibres nerveuses saines ; du côté gauche, il est impossible de d
s visuelles et aboutissant à la destruc- tion complète des cellules nerveuses de ces centres. 1 Wilbrand avait émis l'hypqthè
iculier avec les circonvolutions rolandiques. (1) J. Soury, Système nerveux central, t. II, p. 1387. (2) V. Nodet, Les agno
e les atrophies musculaires myopathiques et les atrophies d'origine nerveuse semblent de plus en plus s'effacer, et,sur les
La clinique donne de plus en plus raison aux partisans de la nature nerveuse des myopathies et il semble bien aujourd'hui que
soit sous la dépendance d'une altération fonc- tionnelle du système nerveux (Brissaud) le résultat d'une trophonévrose musc
mposent l'idée d'une intervention au moins fonctionnelle du système nerveux . On trouvera ces faits rassemblés dans quelques
0/0) (Lion et Gasne) (4). Par contre les stigmates de l'hérédité nerveuse y sont fréquents. Sans parler du cas classique
ssique de Cénas et Douillet (5) où atrophie myopathique et atrophie nerveuse sont signalées dans la même famille, dans beaucou
ême famille, dans beaucoup d'observations on trouve des antécédents nerveux , des stigmates psychi- ques ou même des déforma
u type pé- riphérique que l'autopsie montra indemne de toute lésion nerveuse . Inver- sement, la variété d'atrophie décrite p
ique du muscle et force est d'admettre une participation du système nerveux . Le cas que nous rapportons ici rentre dans la
l n'avait pas le ca- ractère familial, mais présentait une hérédité nerveuse bien accusée, on comprendra que nous le rangion
a que nous le rangions dans la série des cas mixtes où le sys- tème nerveux doit sûrement intervenir. Observation. R... P
ant. Pas de maladies antérieures. Pas d'alcoolisme. Pas d'accidents nerveux . Mère morte à 62 ans d'une affection cardiaque
n inconnue ; 4 oncles ou tantes n'ayant jamais présenté d'accidents nerveux . Une cousine du malade serait restée pen- (1) S
e la face. En résumé : Absence de caractère familial, mais hérédité nerveuse non douteuse. Traumatisme et 7 ans. Début à 10
oelle. Notre malade n'est pas un myopathique simple. C'est aussi un nerveux : nerveux par la présence de ces troubles de la
re malade n'est pas un myopathique simple. C'est aussi un nerveux : nerveux par la présence de ces troubles de la sensibili
erveux : nerveux par la présence de ces troubles de la sensibilité, nerveux aussi par ses antécédents ; sa mère avait de fo
t s'est suicidée; lui- même avait commencé à marcher tard, à 4 ans; nerveux encore par un stigmate qu'il présente, l'aplati
bre inférieur gauche. A )'age de 8 mois il a présenté des accidents nerveux graves, convulsions, fièvre, qui auraient été dia
té de ces portions rachidiennes'on constate des saillies de racines nerveuses dans leur trou de conjugaison. Tous ces troncs
dissection de toute cette cavité n'a montré aucune trace de système nerveux central ; l'examen histologique de toutes les fib
e. En dedans du sac durai on ne trouve que quelques courts tronçons nerveux et des tractus conjonctifs, fibreux et vasculai
plusieurs gros infarctus de globules rouges. Vestiges de centres nerveux névraxiles. Malgré cette absence totale du névr
celles de l'écorce cérébrale, enfin au centre une couche de fibres nerveuses . Un nerf optique se constitue ; passant par le
usionnés les uns aux autres. Leur masse donne naissance (les troncs nerveux qui constituent un plexus brachial à disposition
chacun des ganglions (Schéma 2) du côté central part un petit tronc nerveux qui vient faire une des saillies que nous avons v
sont pas fusionnés, mais réunis entre eux par de fortes anastomoses nerveuses (Schéma 3). A la région dorsale on ne trouve pa
ue fibreuse de ces ganglions des foyers hémorrhagiques ; les troncs nerveux au-dessus et au-dessous ont des cylin- draxes,
ation. Sur les côtés de ces ganglions on trouve toujours des fibres nerveuses , qui représentent peut- être des racines antéri
mar- quée que celle des autres nerfs. En résumé, tout le système nerveux périphérique a une distribution normale, malgré
ue a une distribution normale, malgré l'absence complète du système nerveux central (Sché- ma 5). Dans ces conditions une q
moteurs qui à l'état ordinaire, exige, en quelque sorte, un système nerveux central. Tout d'abord nous devons dire que, mal
ées aux masses musculaires il est à peu près certain que les fibres nerveuses motrices existent. t. L'absence des cellules
les fibres nerveuses motrices existent. t. L'absence des cellules nerveuses motrices centrales étant bien constatée, on peu
entes. V. Leonowa (1) admet l'absence complète de tous les éléments nerveux (1) V. Leonowa, Ein fall von Anencephalie combi
morrhagies du névraxe, causes de l'absence ultérieure de ce système nerveux . Le thymus avait des proportion normales. Le co
ent presque exclusivement sur l'appareil respiratoire et le système nerveux . Appareil respiratoire. Les deux poumons sortis
s. Le foie, les reins sont le siège de congestion légère. SYSTÈME nerveux (1). La moelle épinière prélevée hâtivement a été
ntes,sauf à la région cervicale au niveau d'une zone où le cylindre nerveux est très augmenté de volume. La PI. XXXII montr
one où la dure- mère était adhérente. La. consistance du cylindre nerveux , ferme dans la moelle cervicale, comme à l'état
, aux réseaux fibrillaires les plus purs. On rencontre les cellules nerveuses principalement en avant de chaque côté du sillon
es réseaux névrogliques préexistants, et à leurs dépens, les fibres nerveuses se trouvent étouffées, dissociées, englobées ;
nglobées ; elles disparaissent en très grande partie ; les cellules nerveuses sont-elles aussi isolées, elles sont globuleuses
vroglique accompagne une diminu- tion, une dégénérescence des tubes nerveux . Le canal épendymaire est ici très apparent, il
es vaisseaux n'offrent aucune modification sensible. Ni les racines nerveuses , ni les méninges ne présentent de lésions appré
issu médullaire tend à remplacer complètement celui-ci ; les éléments nerveux , cellules et fibres nerveuses, disparaissent gr
er complètement celui-ci ; les éléments nerveux, cellules et fibres nerveuses , disparaissent graduellement ; il ne reste plus q
le formation. La substance blanche est également envahie, les tubes nerveux sont étouffés d'abord par un tissu névroglique
llaire et de ses capillaires que se fait son extension. Les racines nerveuses que l'on rencontre sur la coupe ont conservé leur
leur disposition générale, mais l'on constate que beaucoup de tubes nerveux ne contiennent plus de myéline, et ne sont plus
de même de la substance blanche. Il n'existe presque plus de tubes nerveux ayant l'apparence normale, il y a une dégéné- r
ement de la moelle est moindre ; il existe encore quelques cellules nerveuses dans les cornes antérieures, qui ne sont pas to
s, qui ne sont pas touchées par le processus atrophique. Les fibres nerveuses de la substance blanche sont pour la plupart comp
m et une gaine de fibrilles névrogliques très épaisse. Les fibres nerveuses des cordons antérieurs et latéraux sont presque t
ortée comme une véritable section graduelle et progressive de l'axe nerveux . 154 SP1LLMANN ET HOCHE La nature, le dévelop
brilles névrogliques préexistantes,et étouffant graduellement tubes nerveux et cellules ganglionnaires. C'était là le fait
considéré cette tumeur intramé- dullaire comme une tumeur de nature nerveuse , développée aux dépens de la névroglie, ce tiss
aux dépens de la névroglie, ce tissu de soutien spécial des centres nerveux . Cette opinion est basée sur divers arguments :
oglie : les gliomes, véritables tumeurs spécifiques pour le système nerveux ; toute- fois les sarcomes pouvaient aussi s'y
formes étoilées qui caractérisent le tissu interstitiel du système nerveux . « Leurs éléments sont aussi différents que ceux
: < Le gliome contient le plus souvent passablement de faisceaux nerveux et de cellules ganglionnaires encore en fonctio
avons vu qu'en pleine masse de la tumeur persistaient des cellules nerveuses , quelques-unes ayant encore leurs prolongements.
her il les rapporter à leur cause productrice. Deux phases, l'une nerveuse , l'autre respiratoire ont partagé le cours de l
musculaire, quand dans une (1) E. Brissaud. Leçons sur les maladies nerveuses . Paris, 189.'i. 160 SPILLMANN ET RIOCTIE deux
èrent rapidement la malade, si rapidement que l'étude des symptômes nerveux ne put être aussi complète qu'on eut pu le désire
int avant qu'aucun diagnostic satisfaisant eût été porté. Symptômes nerveux . Les symptômes nerveux, bien évidemment en rela
nostic satisfaisant eût été porté. Symptômes nerveux. Les symptômes nerveux , bien évidemment en relation avec le développem
e fut pas constatée. Quoi qu'il en soit, le tableau des symptômes nerveux constaté au mo- ment de l'entrée à l'hôpital co
icuspidée. En rapport avec cette lésion le tableau sympto- matique ( nerveux ) était le suivant : Membre supérieur droit. Atr
ment par son développement excentrique la destruction des faisceaux nerveux environnants et une interruption plus ou moins co
e presque complète, due à l'interruption a peu près totale de l'axe nerveux intraver- tébral, on se trouva en face d'un éta
l'hôpital seulement quatre jours, pendant lesquels, les désor- dres nerveux préalablement établis, furent masqués par l'expre
poumons, la suppuration due à une fistule anale, enfin des troubles nerveux divers furent les derniers incidents pathologiq
nce du pigment dans les vésicules et le tissu interstitiel. Système nerveux (2). Bien qu'il n'y ait pas d'épaississement des
ippel et Lefas qui ont bien voulu se charger de l'examen du système nerveux . NOUV, ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE, T. XVI,
ssion : il avait subi un élargissement transversal, mais les fibres nerveuses qui entrent dans sa constitution avaient conservé
de celui de sa mère il n'y eut de maladies mentales ni de maladies nerveuses ; aucun parent ne pré- senta une taille excepti
bretons, il res- sort que chez eux on se trouve en présence de gens nerveux , malgré leurs airs calmes, leurs yeux tristes e
que. 17° Année N° 4 Juillet-Août CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE) SPASMES ET TREMBL
montrait aucun symptôme bien net d'une lésion organique du système nerveux . Sans doute, au premier abord, les réflexes sem
si avons-nous écarté la pensée d'une affection organique du système nerveux et avons-nous. été tout naturelle- ment conduit
e ni d'incontinence d'urine dans son jeune âge. Enfant unique, très nerveux ; il a eu une poussée de croissance très forte
anicien ; éthylisme probable, pas de syphilis. Grand- père paternel nerveux , très irritable ; un oncle et une tante paternels
à caractère violent, très emportés. Mère bien portante, ne serait pas nerveuse , n'a pas eu de maladies pendant la grossesse ;
nerveuse, n'a pas eu de maladies pendant la grossesse ; aucune tare nerveuse dans la fa- mille du côté maternel. Histoire
l'hystérie dont le malade ne présente aucun sti- gmate ; une lésion nerveuse centrale qui s'accompagnerait d'exagération des
t qui relève d'une irritation matérielle des centres ou conducteurs nerveux , ou d'un tic, trouble psycho-moteur ? (Brissaud
s deux facteurs étiologiques principaux. Mais tandis que cette tare nerveuse , à la fois héréditaire et personnelle, n'est da
réunit ces deux conditions : il est fils d'aliéné, il a des oncles nerveux , irritables jusqu'à la violence et dont l'irrit
pathie physique invincible et (1) BRiSSAUD, Leçons sur les maladies nerveuses , t. I, 30° leçon et t. II, 22°-25e le- çons.
ie de Recklinghausen n'est-elle qu'un mode de dystro- phie du tissu nerveux et cutané,qui, dans certains cas, vient se surajo
Reste la dernière hypothèse, celle qui met sur le compte du système nerveux les variations et déformations diverses des membr
eules atteintes et d'autres où, avec une affection grave du système nerveux foetal, il n'y avait aucune maladie, ni aucune
de cet ensemble, ce n'est point une subordination du membre à l'axe nerveux , mais bien plutôt la possi- bilité d'une atroph
tion initiale ait pour siège le tissu des membres ou celui de l'axe nerveux , quelle que soit l'étendue de l'influence de l'un
DE MEDECINE DEjLYON CLINIQUE DU PROFESSEUR JABOULAY ARTHROPATHIE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA RÉSECTION PAR Maurice PATEL,
dernièrement M. le professeur Jaboulay, dans un cas d'arthropathie nerveuse du pied, utilisa avec succès la résection. En rai
UVELLE Iconographie DE la Salpêtrière. T. XVI. PI LU ARTHROPATHIE NERVEUSE Traitée par la résection. (Patel et Cavaillon
SE Traitée par la résection. (Patel et Cavaillon). ARTHROPATHIE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA RÉSECTION 259 continue la jambe
olonne vertébrale ; aucune asymétrie crânienne. Examen du système nerveux . - Il n'y a pas de troubles moteurs ; les mus-
erminée ; la consolidation est encore plus parfaite. ARTHROPATHIE NERVEUSE TRAITÉE PAR LA RÉSECTION 261 Le malade quitte l
modifier cette question du traitement chirurgical des arthropathies nerveuses et voir si l'on doit maintenir les conclusions en
entait une arthropathie de l'épaule gauche avec différents troubles nerveux qui ont fait admettre la nature syringomyélique
pas trouvé d'autres dans les travaux récents sur les arlhropathies nerveuses et dans les communications aux Sociétés neurolo
été trouvées al- térées indépendamment de n'importe quelle maladie nerveuse (Klippel). Existe-t-il une pseudo-paralysie gén
continuer encore les re- cherches sur cette question de pathologie nerveuse tant discutée, et si une observation isolée ne
peu muscade. Sclérose rénale et néphrite suppurée double. Système nerveux . Encéphale : les méninges sont épaissies et injec
cielles de l'écorce (l'l. LIV, B). En plusieurs points les cellules nerveuses sont augmentées de volume et le protoplasma se pr
aux irritations chroniques diffuses portant à la fois sur les centres nerveux et sur les autres appareils. L'identité de ces
gies avec le myxoedème), ou que l'on invoque une lésion des centres nerveux du trophisme cellulo-cutané (ainsi que la réparti
de la tuberculose. Parmi les consanguins, il n'y a pas de maladies nerveuses et mentales. r Le malade jouissait toujours d'u
tention sur la richesse du matériel en ce qui concerne les maladies nerveuses dans la Salpêtrière, mentionnent t mes cas comm
quoiqu'elle ne montre pas de lésions dans la position assise. Femme nerveuse , émotive, inquiète dans sa jeunesse. Sa maladie n
cle Gheel était déjà un lieu de rendez-vous pour les aliénés et les nerveux : les principaux fervents de sainte Dymphne se
boli : oedèmes, ulcérations cutanées, troubles trophiques d'origine nerveuse , ou simplement des noevi, des taches de vitilig
représenté debout, soutenu par un assistant et en proie à une crise nerveuse . Selon la tradition il est enchaîné ; - dans le c
avec sclérose fasciculée du nerf. Au centre des faisceaux, les tubes nerveux , pressés les uns contre les autres, se colorent
al semblant indiquer, dans ce point, une prolifération des éléments nerveux séparés de leurs centres médullaires. 2° La p
yaux, les seuls colorants myéliniques. De tous les éléments du tube nerveux , cette subs- tance grasse parait être le moins
ition, la reproduction, la régénération de la cellule. Dans le tube nerveux ce protoplasma est situé, non seulement sous la
NTE, le Neurone et ses impossibilités. Conception caténaire du tube nerveux , agent actif de la trans- mission nerveuse. Soc
ception caténaire du tube nerveux, agent actif de la trans- mission nerveuse . Soc. Neurol., 5 novembre 1903 et Revue Neurologi
aire nous parait 1 eprésenter, dans son ensemble, une seule cellule nerveuse périphérique, dont le protoplasma a différencié d
riksen, etc. etc., à la conception caléiiai,e,qui voit dans le tube nerveux , non pas le produit d'un bourgeonnement central,
dans la transmission de ce que l'on est convenu d'appeler l'influx nerveux . 326 DURANTE Sous ce rapport, parmi les diver
Il est constitué par le feutrage d'une infinité de petits faisceaux nerveux entourés chacun d'une gaine fibreuse propre. Ce
ait un oedème intrafasciculaire général ayant dissocié les éléments nerveux . L'infiltration adipeuse est surtout périfascic
élève, moins le tissu lâche cellulo- adipeux séparant les faisceaux nerveux devient abondant. Ces faisceaux présentent, du
Pal. Ce proto- plasma est beaucoup plus abondant que dans les tubes nerveux normaux. Certains points où il se teinte en gri
es éléments disposés à l'in- térieur de larges faisceaux. Les tubes nerveux y paraissent plus nombreux que sur les coupes l
es faisceaux d'aspect fibreux se montrent comme de larges faisceaux nerveux , d'un diamètre à peu près normal, et infiniment
ignée, ces points représentant bien la coupe transversale des tubes nerveux dont ils occupent la place. Mais il s'agit ici
nciés. Les coupes longitudinales à la safranine montrent des fibres nerveuses en plus grand nombre que celles au Pal, ce qui
s coupes longitudinales (Voy. pl. LXIII, fig. F, G, II), les fibres nerveuses myélinisées sont, suivant les faisceaux, tantôt a
s, On peut donc suivre ici tous les états successifs,depuis le tube nerveux purement protoplasmique formé de segments disco
urement protoplasmique formé de segments discontinus, jusqu'au tube nerveux définitif, en passant par le tube myélinisé à axe
e plus haut, d'un périnèvre épaissi. Leur champ est rempli de tubes nerveux serrés les uns contre les autres; les uns, rela
en rendre compte sur la fig. I delapl. LXIV, le nombre des éléments nerveux est assez grand. Les faisceaux paraissent formé
ux étouffé par son périnèvre exubérant. Ce qui distingue les fibres nerveuses du bout périphérique de celle du bout central e
des éléments plus jeunes en voie d'achèvement. A côté de ces tubes nerveux myéliniques existaient des fibres dépour- vues
x nombreux se colorant fortement. Ces fibres, du diamètre d'un tube nerveux mince, et assez régulièrement cylindriques, se
e pratiquée quatre ans après, permet de vérifier l'absence du tronc nerveux sur une étendue de 17 centimètres. Le bout supéri
ion élective. Près du col de ce moignon périphérique, les faisceaux nerveux sont, sur les coupes longitudinales, formés, le
ns des autres. Il y a donc conservation ou 7'égéllération des tubes nerveux du bout pé- riphérique en dehors de toute réuni
es deux bouts. L'ensemble des caractères histologiques de ces tubes nerveux semble indiquer qu'ils se développent bien aux
s pas d'autre fait analogue de lipome diffus cylindrique des troncs nerveux . Nous verrons, du reste, qu'il y a lieu de discut
du neurone; on ne concevait pas, en effet, la possibilité de tubes nerveux proliférant en l'absence des cellules ganglionn
uleux noirs et ramifiés, rappelant parleur forme certaines cellules nerveuses . Il ne nous est pas possible de nous prononcer su
out l'é- difice de nos connaissances actuelles relatives au système nerveux , sont-elles exactes ? Nous ne le croyons pas.
travaux récents permettent de concevoir la constitution du système nerveux (1). Nous ne pouvons reproduire ici cette discuss
quer les lignes principales. D'après la doctrine classique, l'unité nerveuse , ou neurone, est consti- tuée par la cellule ne
ique, l'unité nerveuse, ou neurone, est consti- tuée par la cellule nerveuse centrale (cellule ganglionnaire), ses prolon- g
NTE. Le neurone et ses impossibilités. Conception caténaire du tube nerveux . Rôle actif des neuroblastes périphériques dans l
rveux. Rôle actif des neuroblastes périphériques dans la transmission nerveuse (Rev. neurologique). 336 DURANTE n'a que de
ig, Apathy, Bethe, Raf- faele, etc., etc., ont montré que les tubes nerveux se développaient aux dépens de neuroblastes d'o
résence des nerfs périphériques chez les monstres privés de système nerveux central (IIertwig, G. Durante, Brissaud etBruan
e, Semper,Vijhe,Hoffmann,Beard, lcroriep,Iiatschensl;o). La cellule nerveuse centrale, dont la structure est si complexe, sera
, montrent que chaque segment inlerannulaire représente une cellule nerveuse ayant différencié, selon son axe, un faisceau d
is que le reste de son protoplasma s'est imbibé de myéline. Le tube nerveux n'est donc pas le prolongement d'une cellule ce
eurs NÉVROME ADIPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 337 une chitine de cellules nerveuses périphériques (neuroblastes neuroforma- tifs) p
s parties du système ner- veux (Apathy, Bethe, Nissl). Les cellules nerveuses s'anastomosent souvent aussi entre elles par de
érinhéruiue ne dégénère pas, mais se transforme. Privés de l'influx nerveux , ses neuroblastes constitutifs perdent leur diffé
re respectés suffiraient à entretenir dans le nerf un faible influx nerveux capable de maintenir son état différencié. (1
ur une part, à la formation du tissu adipeux qui infiiti e le tronc nerveux . Les fibres renflées de distance en distance par
1'0- pager aux neurones voisins, aussi bien dans le sens du courant nerveux que dans le sens contraire(G. Durante, Klippel,
ur inerte comme un fil de cuivre. Les éléments constitutifs du tube nerveux interviennent clans celle fonction. Il semble,
etits postes intercalés se transmettant individuelle- ment l'influx nerveux . Ainsi qu'on le voit, la loi de Waller et la co
régénération discontinue du bout périphérique, considèrent le tube nerveux comme une chaîne de cellules nerveuses périphériq
iphérique, considèrent le tube nerveux comme une chaîne de cellules nerveuses périphériques dilié- renciées, véritable sociét
lulaire (Bethe), ou entité sociale (Kaplan, assimilable à un lobule nerveux primitif (Durante). Westphal, Kronthal, Nissl,
mode, la faiblesse de nos connaissances sur la structure du système nerveux . On reproche aux détracteurs du Neurone de récu
rminaisons. Nous y voyons, au contraire, une preuve des anastomoses nerveuses 34U DURANTE. périphériques vraies telles que
bout central, le bout périphérique peut subir l'action de l'influx nerveux . Peut-être est-ce à ces anastomoses vraies entr
s que normalement et permettant ainsi le pas- sage partiel d'influx nerveux dans le bout périphérique, que l'on doit attri-
tué un névrome terminal. Ilislologiquement, il contenait des fibres nerveuses . La plupart étaient à l'état de bandes protopla
IPEUX DIFFUS DU MÉDIAN 341 toplasmiques embryonnaires et les fibres nerveuses adultes complètement différenciées. Ces dernièr
différenciées. Ces dernières, cependant, se distinguaient des tubes nerveux normaux par la largeur insolite de leurs étrang
upérieur, près de son col. Forte infiltration adipeuse. Les faisceaux nerveux sont beaucoup plus gros que ceux de la coupe B,
du protoplasma myélogène noir en protoplasma rose (gris). Les tubes nerveux sont ici parfaitement continus. On ne voit pas d'
rrespondant environ à l'un des faisceaux de la fig. I. Les fibres nerveuses sont abondammcnt myélinisées, mais plusieurs d'en
colore. Planche LXIV. Fis. I. Coupe transversale d'un des faisceaux nerveux de la figure D à un très fort grossissement. Le
constitue une enveloppe fibreuse concentrique à chacune des fibres nerveuses qui sont représentées par de petites taches ron
. Dissociation d'une des branches digitales. A droite, grosses fibres nerveuses complètes avec myéline et cylindraxe. A gauch
tance chromatophile pendant le cours du développement de la cellule nerveuse (Journ. de Neurol., 1900). Bqll. Ueb. Zerzetzun
escence rétrograde dans les nerfs périphériques et dans les centres nerveux (Soc. anat. et Soc. de Biol., 1894 ; Bull. méd ?
894 ; Bull. méd ? 1895). Des dégénérescences secondaires du système nerveux . Dégénérescence Wallérienne et dégén. rétrograd
, 1895). Gedoelst. Etude sur la constitution cellulaire de la fibre nerveuse (La cellule, 1887 et 1889). V. Gehuchten. - P
Lateralscl. (Neurolog. Centralbl., 1891). L. Le Fort, Sur la suture nerveuse (Ac. de méd., 1893). Létiévant. Traité des sect
suture nerveuse (Ac. de méd., 1893). Létiévant. Traité des sections nerveuses . Paris, 1813. Marenghi. Nevrotomia e nevrectomi
evrectomia (Lo policlinico, 1898, supplément). La régén. des fibres nerveuses à la suite de la section des nerfs (Arch. ital. d
lpian. - Rech. expér. sur la régén. des nerfs séparés des cen- tres nerveux (Soc. de Biol., 1859 et Journ. de l'Anat., 1863).
ques et les oedèmes névropathiques liés à des affections du système nerveux central que leur étiologie précise suffit à car
urement dystrophiques et liées à des lésions matérielles du système nerveux est importante à connaître. Il est incontestabl
ujets pré- disposés à ce défaut par un état spécial de déséquilibre nerveux . Exis- te-t-il des animaux, en particulier des
t ces désordres on pouvait retrouver des indices de ce déséquilibre nerveux , plus ou moins analogues à ceux qu'on observe c
es que chez les chevaux atteints du tic de l'ours. Le lécheur est nerveux , émotif, impressionnable. Ciseau etNotus s'iso-
op, fond, obsta- cle). C'est un nervosisme spécial, un déséquilibre nerveux , s'atténuant avec l'âge et distinct de la rétiv
cs s'observent de préférence chez les chevaux de sang beaucoup plus nerveux que les che- vaux d'armes communs. Mais il impo
cisément, d'établir une dis- tinction profonde entre le tempérament nerveux que les cavaliers reconnais- sent aux chevaux d
en effet, dans une énergie exceptionnelle, une grande excitabilité nerveuse qui font que l'organisme qui en est doté résist
vi- légiés se montrent insuffisants, accusent une grande dépression nerveuse ». Il n'y a là rien de comparable au déséquilib
pression nerveuse ». Il n'y a là rien de comparable au déséquilibre nerveux des clievaux ti- queurs atteints de stéréotypie
os lécheurs est probant à cet égard. Tous les tiqueurs humains sont nerveux , émotifs, impressionnables, L'impatience pendan
eur ou non, lé- chage non convulsif, fréquent, quotidien, rapide. Nerveux , émotif, impressionnable, irritable, difficile à
. (2) Bassi, in Cadéac, Path. int. des animaux domestiques. Système nerveux , Paris, 1899, p. 452. (3) G. JoLY, L'affaisse
ngeoire ; l'habitude de lécher les poils date de cette époque. Très nerveux , très émotif, très impressionnable, s'affole faci
otidien, nullement gêné par la pré- sence du mors dans la bouche. Nerveux , très émotif, très impressionnable, craint le fou
arence convulsive de la contraction. Impressionnabilité extrême ; nerveux , impatient, très chaud à l'obstacle. L'examen e
ide, interrompu à intervalles inégaux par un mâchonnement. Cheval nerveux , très impressionnable, toujours inquiet, s'affola
fféremment son voisin, la mangeoire ou le bàt-f'laac. Tempérament nerveux , émotif, impressionnable ; impatiente quand elle
de temps à autre par du mâchonnement. Pas de caractère convulsif. Nerveux , émotif à l'excès au point de tomber sous le coup
ueur, ne s'observe que sur des chevaux présen- tant un déséquilibre nerveux bien caractérisé et des stigmates physiques dys
contraire, l'animal atteint de stéréotypie du léchage est un sujet nerveux , émotif, impatient, impressionnable ; il présen
des pho- 384 RUDLER ET CHOMEL bies ; et cet état de déséquilibre nerveux explique, pour cette catégorie d'accidents psyc
alcoolisme des parents, principalement du père, dans 3 des maladies nerveuses et men- tales chez des proches parents; dans 5
(tableau de P.Longhi) (1 phot.), par 1lARInNt, 201. Arthropathie nerveuse traitée par la ré- section (l pl.) par PATEL et
rogressive (2 pl. photocoll.), 26. Cavaillon et Patel. Arthropathie nerveuse traitée par la résection (t pl. 257. Calla. M
(2 pl. photocoll.), 26. PATEL (M.) et P. Cavaillon. Arthropathie nerveuse traitée par la résection (1 pl.), 251. PéHu (
Apothicaire, tableau de P. Longhi (Mariani), XLVI. Arthropathie nerveuse (PATEL et CAVAI- LO-1), LII. Gigantisme et Ac
48 (1906) Archives de neurologie [2ème série, tome 21, n° 121-126] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES FONDÉE par J.-M. CHARCOT & BOUR
X : F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. MM. ADAD
Vol. XXI Janvier 1906 NI- 121 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Deux cas de méningo-encéphalite chronique avec
de la naissance. Archives, 2° série, 1906, L. XXI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . A partir de décembre 1897, marche progressivem
ampes dans les jambes. Pas de traumatismes céphaliques. Caractère nerveux ; se met en colère facilement, mais sa colère ne d
ans, soldat, pas de convulsions; 5° garçon, 19 ans, pas de maladie nerveuse , intelligent; 6° fille, 15 ans, bien portante;
ans, jusqu'en décembre 1897; elle apprend assez bien. 4 CLINIQUE NERVEUSE . La malade n'a jamais fait de maladie grave; cl
20 mai. La malade est passée en chirurgie dans le ser- 6 CLINIQUE NERVEUSE . vice de M. le Dr MONOD, où on décide de l'opér
se d'une arthropathie tuberculeuse, on élimine celle d'arthropathie nerveuse . 16 novembre. - L'enfant, dans le même état, es
e talon d'abord sur le sol. Etant assise, elle exécute 8 CLINIQUE NERVEUSE . assez bien avec ses jambes les mouvements comm
existe autour de la brèche est bien plus saillant, 10 CLINIQUE NERVEUSE . ne se continue pas avec la frontale ascendante
et cérébelleux n'ont fait découvrir aucune tumeur. 12 CLINIQUE NERVEUSE . Cou et Titoi@ax. - Persistance du thymus qui f
il peut être retardé par l'insouciance des parents. 14 CLINIQUE NERVEUSE . sort de l'hôpital pour entrer quelques mois pl
ccordait pas avec sa femme; l'a quittée il y a 12 aus 16 CLINIQUE NERVEUSE . et, depuis, on ne sait ce qu'il est devenu, s'
la Pologne; on ne sait si leurs enfants sont atteints d'affections nerveuses . 4 soetti,,q : 1 45 ans, 7 enfants vivants et e
ment aveugle en Archives, 2" série, 1906, I. XXI. 2 18 CLINIQUE NERVEUSE . l'espace de deux ans, pendant son séjour à Ber
te. Pas de signe de Babinski : l'enfant cric quand on 20 CLINIQUE NERVEUSE . excite la plante du pied, mais ne fait aucun m
nué de la prendre chaque jour. Voici sa marche : .' 22 pathologie nerveuse . un peu plus petite que la droite. La séparatio
culose pulmonaire; congestion pulmonaire terminale. 24 clinique nerveuse . V.La sein ])le avoir débuté vers 11-12 ans :
de l'hémisphère gauche et sur la protubérance un cube de substance nerveuse non décortiquée : la pie-mère était adhérente.
ofonde de la méninge molle, cellules qui envahissent la substance nerveuse dans sa superficie ; mais en aucun point, il n'a
temporale du côté gauche. Elles n'étaient adhérentes à la substance nerveuse que par quelques points. L'examen pratiqué par
Observation. Mme z ? 51 ans, est fille de père buveur et de mère nerveuse . Une tante maternelle étaitaliénée et (ut interné
quièrent une cer- taine mobilité qui leur permet d'envahir le tissu nerveux ambiant. M. de Buck attribue aux cellules pla
présence d'un réseau spécial dans la région pigmentée des cellules nerveuses ; par G. Marinesco. {Journal de Neurologie, 1905
e trans- formation chimique du réseau préexistant dans la cellule nerveuse : sa présence est intimement liée à celle du pig-
lement le même résultat. On comprend, de cette façon, que l'énergio nerveuse soit réduite d'une façon con- 42 REVUE D'ANAT
ement progressif. L'évolution de la maladie a REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 45 été interrompue par une rémission de dix jo
permis d'intervenir par une opération. G. DENY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 1. - Nature du Tabès ; par S. \ ? GOWERS (Briti
ès de la maladie sont ordinairement (comme 4G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dans le cas cité), extrêmement longs. Ils peuv
paralysie générale fut, assez rare- ment il est 'vrai, le surmenage nerveux , l'alcoolisme, les excès vénériens et l'hérédit
surmenage nerveux, l'alcoolisme, les excès vénériens et l'hérédité nerveuse , seulement, 18 fois chez 112 malades de la vill
particulièrement celles relatives au bon fonctionnement du système nerveux . Le professeur Four- nier insiste d'ailleurs su
récédèrent la mort. Cette hypothermie était exclusivement d'origine nerveuse , car il n'existait ni sucre, ni albumine dans i
l'intervention des globules blancs dans les altérations des centres nerveux et que, en matière de psychoses, le tableau ana
aturelle REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 53 ou acquise des centres nerveux : de telle sorte que, finale- ment, il n'y aura
t de moindre résistance du sys- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 55 tème nerveux , mais une forme particulière de maladie ner. ve
érescence par conséquent, dans les maladies chroniques du système nerveux sera interdit. Exceptionnellement ; il peut être
it comme soporifique, et, dans les troubles fonctionnels du système nerveux il donnf parfois de bons résultats. Dans les ca
souvent guérie par des moyens empiriques. Dcsguérisonsde ce trouble nerveux ont été également obtenues à la grotte de Lourd
n d'états psychologiques constitués par de l'inhibition des centres nerveux ; 2° Les phénomènes d'inhibition observés dans l
té est âgée de 24 ans, elle est depuis 7 ans atteinte d'une aphonie nerveuse complète ayant résisté à tous les traitements m
actes : impulsions). Vient ensuite l'étude des troubles du système nerveux , suivie de celle des troubles des fonctions org
question écrite portant sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , pour laquelle sera accordé trois heures aux ca
Vol. XXI Février 1909 No 122 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Pachyméningite interne post-traumatique. 1',\
ique adjoint à la Faculté. [Travail de la cliniq lie des112alad ¡es nerveuses Salpêtrière.) L'histoire clinique des fractures
aris, 1905. ' Archives, 2. série, 100(3, t, XXI. li 82 CLINIQUE NERVEUSE . La malade, dont les antécédents tant héréditai
ron 1 mois 1 ? . L'état de la malade au point du vue des troubles nerveux ne s'est pas modifié. La malade, minée par une
oût 1905, c'est-à- dire un mois après >on entrée. 4 CLINIQUE NERVEUSE . Autopsie. - Raclas : La partie postérieure des
nstituées par du tissu muqueux un peu particulier. Dans les centres nerveux supérieurs ainsi que dans les viscè- res, rien
trace d'inflammation. La moelle ne confient presque plus de fibres nerveuses normales, on en rencontre encore quelques paque
rties anté- rieures de la coupe. Il existe encore quelques cellules nerveuses arrondies, ayant gardé leur noyau et un ou deux
sens, formant des espèces du nids. On ne rencontre pas de libre' nerveuses fines pouvant faire supposer un processus de régé
ar le processus méningitique, ne contiennent presque plus de fibres nerveuses ; et celles qui subsistent se colorent mal. La
qui, ans avant son entrée, subit un traumatisme, in- Su CLINIQUE NERVEUSE . tense en apparence, de la colonne lombaire. Pa
ours d'une section de compression in- complète indiquait un système nerveux incapable de réagir. Car c'est à une réaction d
lui de la pachyméningite consécutive. Le shock, que 88 ' CLINIQUE NERVEUSE . l'on voit, dans certains cas, durer jusqu'à 4
s endocraniennes en général sont assez rares. C'est 90 CLINIQUE NERVEUSE . à ce titre, et en raison de particularités spé
ors des moments où elle se trouve sous l'influence de 92 CLINIQUE NERVEUSE . troubles épileptiques, elle reste calme, mais
ux avec quelques séries de 4 à 5 crises quotidiennes. 91 CLINIQUE NERVEUSE . de la malade s'aggrave tous les jours, elle es
faux du cerveau jusqu'à son insertion postérieure. 96 CLINIQUE NERVEUSE . Cette tumeur affecte la forme d'un secteur de
alement peu altérées. 2 ? (*i-ii. 1906. t. XXI. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE . La face plane déprimée comprend F2Ft et toute
llules osseuses typiques et système de llavurs. 102 PATHOLOGIE ^ NERVEUSE . Les masses Galeuses contiennent un très grand
e de 1900. ( : 1) Ami. Méd. pysclrol., 1902, n" 2. 104 CLINIQUE NERVEUSE . semble 128 cas, et, dans six mois de pratique
ait hyperesthésie des ovaires et du creux de l'esto- mac. Système nerveux . Les réflexes lendineux augmentés : trem- bleme
bottines aussi aisément qu'une personne normale. Examen du système nerveux . - Sensibilité normale tant pour la finesse que
côté de l'alcoolisme invétéré chez le père, il y a une hé- rédité nerveuse et surtout mentale du côté de la mère. 2° L'abs
taire, ne présentant pas d'antécédents héréditaires au point de vue nerveux . Le père serait mQrt à 24 ans d'une affection c
T ET PARALYSIE GÉNÉRALE. 115 actuelle du mal perforant : la théorie nerveuse , d'après laquelle lemal perforantestun trouble
trouble trophique lié assez souvent à de graves lésions du système nerveux central. Bali et Thibierge ont signalé le mal p
, d'après la thèse de Gasoul, la proportion des diverses affections nerveuses compliquées de mal per- forant : Nombre des cas
ter, en ce qui concerne l'étiologie des maux perforants, la théorie nerveuse d'une façon trop exclusive et la compression au
clil faut y joindre les troubles résultant de lé- sions du système nerveux , soit périphérique, soit cen- tral ; néanmoins
d'une certaine importance. C'estdouc la théorie mixte, mécanique et nerveuse qui semble devoir fournir au mal perforant l'ex
l des pyramides particulièrement affectée contient moins de tissu nerveux et une très notable exagération de la névroglie.
dé à l'excitation directe (musculaire) ou indirecte (par les troncs nerveux ou leurs branches) des régions affectées, alors q
cancer); c) des lésions secon- daires à d'autres lésions du système nerveux (moelle) ; d) des lésions banales d'infection.
énile. Celles du 2° groupe offrent à considérer dans les cel- lules nerveuses des phénomènes de chromatolyse,de haryokinèse e
f anatomique périphérique cl con- sidérer successivement l'appareil nerveux du psychisme supérieur et inférieur,celui des n
ystiques. Au microscope, autour d'un vaisseau, on voit que le tissu nerveux est raréfié et peu coloré : la névroglie plus a
'del qui paraît dû surtout à une rétraction -en masse du parenchyme nerveux . L. ? AHL. XXVL- Pathogénie et ontogénie du sys
'appareil 134 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. nerveux central de l'olfaction. Chez tous les vertébrés m
ité réflexe générale est plus grande : elle relève p des affections nerveuses fonctionnelles. Dans certaines affections organ
P. KERAVAL. XXXIII. Nouvelles méthodes de coloration des cellules nerveuses ; appoint a la question des canalicules sé- reu
ur la ligne médiane lu sacrum, le sujet élanl REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 141 couché sur le ventre, on fait contracter l
lue dans les cas pathologiques. P. 1W aw ? L. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Hygiène du baiser ; par Féré. ll ? Cb. de mc
a capsulaire '1 Après une discussion très 112 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . bien faite de eus div crses hypothèses, les au
es. Peu à peu les douleurs se calmèrent, mais REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 113 la laiblesse augmenta. Cet état n'a ni la
rophie du tissu con- jonctif. Pas de lésions importantes du système nerveux . Cet état probablement infectieux (Cnwerricht)
dus il des foyers de ramollisseinenljus- 144 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'alors méconnus qui donnent lieu à des sympt
e d'un mauvais état général. Conclusions : une lésion des centres nerveux , compensée ou latente, s'étant ou non manifesté
fectés d'une In perexcitabililé spéciale, des neu- rones du système nerveux central, de produire des convulsions l1lyocloni
is dans lajeunesse, chez des sujets du souche REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 140 neura-arthritidue, une raideur plus ou moi
AncuivE ! ? , 2' série, 1906, t. XXI. 10 14G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . serve, paraît-il,un cas où à la sialorrbée éta
l penser que, comme dans les expériences d'E- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 147 ,linner sur lus rats, il se produit des tr
du cerveau et de la moelle. P. KERAVAL \\ ? D'une forme d'affection nerveuse présentant les si- gnes extérieurs de la myoton
lles aH'C les doigts l'une après l'autre. 148 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Du même pour la bouche ; d'ordinaire il la fer
l'Université de Giesseii,dans la clinique des maladies mentales et nerveuses , sous la direction du D'' H. Sommer, professeur d
plus exact et conviendrait bien mieux à ce genre d'état. CLINIQUE NERVEUSE Grossesse et puerpéralité chez une épileptiqu
s convaincre que, si l'attention s'est portée depuis 172 CLINIQUE NERVEUSE . quelques années sur l'existence de troubles ch
neumonie il 45 ans ; trois soeurs en bonne santé. Pas d'all'ections nerveuses , ni de maladies mentales déclarées dans la fami
érée, n'amène pas la moindre, exaspérai ion motrice. 174 CLINIQUE NERVEUSE . La sensibilité est conservée ; pas d'analgésie
en exagérantleur flexion. Si les bras étaient allon- 176 CLINIQUE NERVEUSE . gés le long du corps, ils sont soulevés de dix
es autres ré- .RCmvr.s. ? ".éri. 1906, i. \t. 12 178 8 CLINIQUE NERVEUSE . flexes tendineux sont normaux. Les réflexes du
atiquée au Laboraloirc des cliniques, le t8 mars : 180 CLINIQUE NERVEUSE . chôment annonce la fin de la crise qui est sui
PUERPKRAL;TE CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE. 181 d'épilepsie. Aucun l rouble nerveux ne vient entraver ni modifie) la marche du trav
e détail de l'évolution du travail, pour montrer que les trou- bles nerveux n'ont exercé aucune influence sur lui, et pour ét
les quatre premiers jours après l'accouchement, le calme du système nerveux est presqueahsolu. De loin en loin, quelques ra
ne avec perte de connaissance, écume aux commissures 182 CLINIQUE NERVEUSE . labiales, mais sans cyanose du visage, et d'un
clinique le lendemain, dans un état de calme relatif : l'affection nerveuse a repris les caractères et la marche qu'elle pr
la double névrose. C'est sur cetcrrain que nousavons 184 CLINIQUE NERVEUSE . vu évoluer une grossesse : il était intéressan
ge les conditions de leur fonctionnement; le cerveau, et le système nerveux tout entier, est atteint par ces modifications.
entier, est atteint par ces modifications. Qu'une pré- disposition nerveuse individuelle favorise la prédomi- nance des tro
lle favorise la prédomi- nance des troubles fonctionnels du système nerveux sur ceux des autres organes, ce système réagit
s dans le placenta ; c'estenfin l'albuminurie légère 186 CLINIQUE NERVEUSE , apparue dans le dernier mois de la grossesse.
part, l'on suppose que des agents toxiques ont imprégné les centres nerveux pour provoquer un mouvement con- vulsif spécial
toxi-infection passagère par la convulsion choréi- que, les centres nerveux , affaiblis déjà auparavant parla prédisposition
ué qu'un rôle étiologique. Mais alors, nous reve- nons à la théorie nerveuse à laquelle nous donnons la pré- férence ; que l
équilibre préexistant était essentielle- ment instable et l'élément nerveux très vulnérable. Loin- fluence extérieure a dév
te, puisque c'est elle qui crée la faiblesse anatomique des centres nerveux on le suppose du moins, en l'absence des preuve
ROSSESSE ET PUERPÉRALITÉ CHEZ UNE ÉPILEPTIQUE. 187 table du système nerveux tout entier rendent il peu près inévitable le d
un état convulsif à la plus minime cause provocatrice. La théorie nerveuse explique facilement pourquoi le travail a attén
- canisme (réflexe d'inhibition ou autre), l'attention du système nerveux , si l'on peut s'exprimer ainsi, s'est por- tée
sem- ble résolu aussi complètement que possible par la théo- rie nerveuse , malgré les signes certains o'auto-intoxica- ti
tion gravidique que présentait notre malade. Enfin, les troubles nerveux n'ont exercé chez notre malade aucune influence
ce, M ? était ner- veux, cependant il n'a jamais présenté de crises nerveuses d'au- cune sorte. Son intelligence ne s'élevait
-rachidien, incom- pressible, se fait place en réduisant les fibres nerveuses à l'a- trophie : c'est le second stade. Les lés
mme révélateur de pcl'lul'1m ! i ons dans la circulation du système nerveux central. F. T. XL. Les oedèmes circonscrits aig
èmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système nerveux (rôle de la sécrétion lymphatique dans leur pat
des vaisseaux ; ils sont nettement sous la dépen- dance du système nerveux qui agit en provoquant des troubles de la sécré
hes sur l'origine des prolongements pro- toplasmiques de la cellule nerveuse ; par 1 RAGNITO. (In .ln,nali di Nevrologia. Nap
sujet de l'origine, des prolongements protoplasmiques de la cellule nerveuse , l'auteur conclut que le seul fait démontrable
e corps neuro- blastique, destiné à devenir le centre de la cellule nerveuse , et à augmenter son proloplasma. En terminant,
il'emenl les rapports qui existent entre la névroglie et la cellule nerveuse , rapports qui montrent les dispositions avec ré
avoisinants, on devrait arriver à cette conclusion que l'excitation nerveuse , arrivant par une grosse fibre afférente, venai
ndant du tonus et des conditions toniques et trophiques des centres nerveux . Le mouvement est prompt, ample, de brève durée
mo- difié : exagéré, diminué ou aboli. Dans certaines affections nerveuses , le réflexe peut être un signe différentiel, co
LRecherches histologiques sur la structure fibrillaire de lacellule nerveuse il. l'état normal et il. la suite des lé- sions
rrier. Archives, 2' série, t906, t. XXI. 14 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .\\'111. -- De la méningite tuberculeuse à form
minisme de ces formes délirantes. (. Carrier. revue DE pathologie nerveuse . 211 \)X. Hémiatrophie faciale droite; sclérode
t être considérée dans ce cas comme un trou- Mtitrophique d'origine nerveuse . Il fait remarquer que l'atrophie des tissus pr
e de cas, qui peuvent enrichir la litL·m- 212 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ture de cette maladie, dont l'origine thyroïdi
re comme caractéristique du l'achondroplasie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 213 Les caractères du crétinisme sporadique pe
ette affection, et donnent l'examen anthropologique, physiologique, nerveux , avec l'état des réflexes, delà sensibilité, de
diagnostic, différentiel d'avec un grand nombre d'autres affections nerveuses est pour ainsi dire impossible et qu'il faudra
e : Abondance extraordinaire du pigment jaune- brun dans la cellule nerveuse . 214 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 2c cas ;
t jaune- brun dans la cellule nerveuse. 214 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 2c cas ; Surtout marqué par des troubles psych
; Surtout marqué par des troubles psychiques. Fixa- tion du système nerveux par des méthodes variées, (solution de sublimé
et demi pour cent). Un trouve une diminution numérique des éléments nerveux de la couche corti- cale cérébrale, siégeant su
varus équin, les muscles jumeaux et le tendon REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 215 d'Achille sont fortement tendus. Le signe
c- lant la face, les mains, les jambes et les pieds. Les troubles nerveux étaient caractérisés par de l'exophtalmie et qu
ncontinence d'urine, seulement des sueurs 2Hi REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . abondantes. La crise dure environ une iluini-h
de la lièvre qui l'accompagne, il y a chez ces névrosés, à système nerveux en équilibre instable, des modi- fications dyna
fonctionnelles qui se produisent. C'est sous REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 217 celle influence qu'il y a tantôt sédation,
uence qu'il y a tantôt sédation, tantôt excitation du sys- Li-IIII' nerveux et que les crises convulsives cessent on apparais
s faits cités, il y en a où la lésion cardiaque agit sur un système nerveux héréditairement troublé dans son fonctionne- me
d'autres, au contraire, où elle paraît, par l'absence de toute lare nerveuse héréditaire ou personnelle, créer entière- ment
récissement mitral datant de la première enfance. Pas d'antécédents nerveux héréditaires ni personnels. Réglée à lu ans, le
s et congestifs s'accentuèrent et au bout 218 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de 48 heures la première crise d'hystérie écla
s étrangers pour l'étude bis- ? 38 varia. (.«logique du système nerveux pathologique est caractérisée : d'une part, par
ologique, il existe un service spécial chargé de Vexamen des pièces nerveuses . En ou- tre, les manipulations étant toujours l
hnique histologiquc employée il l 'étranger dans l'J/ude du système nerveux pathologique, le mode du fixation et de durciss
Pour le diagnostic rapide et pratique des ail éral ions du système nerveux , on se s'ert de préférence de la méthode Ù l'OI1(
nt), ner- FAITS DIVERS. 239 veux pris en particulier : cellules nerveuses . ueurolibrilles, cylin- draxes, gaines du, 11l)
e que demande l'examen com- plet delà plupart des cas de pathologie nerveuse . Mais grâce a la spécialisation des travailleur
ermet, lorsqu'on est habitué à lire et il in- terpréter les lésions nerveuses . une étude d'ensemble rapide de tous les élémen
erveuses. une étude d'ensemble rapide de tous les éléments du tissu nerveux . On peut ainsi, presque de suite, avec ces proc
numéro l de 1900. Ai.orir.n. Lus principales formes «les I roubles nerveux dans le mal de l'oit sans gibbusilê (4 pland,l ?
mentale, chorée, strabisme, affaiblissement du bras gauche. L'état nerveux de cet enfant s'est modifié favorablement : la
l'enfant était très arriérée. Elle avait des moments d'excita- tion nerveuse , pendant lesquels elle se livrait à des jeux déso
vais instincts se sont dissipés. Plus d'onanisme. Plus d'excitation nerveuse , comme au début. Elle ne cherche plus à faire d
ou partie de l'organisme a subi un schock physique dont les centres nerveux ont pu subir le contrecoup en masse. Les lésion
Père mort de rupture d'anévrisme. Plu- sieurs frères sans troubles nerveux ou mentaux. Observation V. - Cerf ? quarante-ne
. Renseignements personnels : jeune, jamais malade,- sobre. Etait nerveux , soubresauts dans les tendons, quand il s'endor-
ection médullaire ; mère démente ayant été internée ; quatre soeurs nerveuses . Syphilis il y a dix-huit ans (soigné au Midi).
Recherches sur l'origine et les rapports récipro- ques des éléments nerveux dans la moelle épinière du poulet ; par IUGENIO
llule ganglionnaire no prend aucune part à la formation do la libre nerveuse ; 2" la libre nerveuse au début de son dévelop-
prend aucune part à la formation do la libre nerveuse ; 2" la libre nerveuse au début de son dévelop- pement ne présente auc
nte aucune connexion avec la cellule ganglion- naire; - 30 la fibre nerveuse périphérique et centrale se déve- 328 REVUE D
erveuse périphérique et centrale se déve- 328 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . loppe aux dépens des chaînes cellulaires ; - 4
e cette fibre. - 5° Les prolongements protoplasmiques de la cellule nerveuse se développent aux dépens des chaînes cellu- la
s des chaînes cellu- laires ; - G" les neurofibrilles de la cellule nerveuse sont un pro- duit tardif de différenciation el,
le dixième jour d'inoculation. ,1. S. &#x152;VUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 111111. -Retour du phénomène du genou dans le t
miplégie. Mais quand, comme ici, on se trouve REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 329 en présence de retour graduel ou du renfor
la peau du voisinage. Sauf cela la jeune 330 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . - personne est normale et intelligente. C'est
sur les noyaux puisque les muscles sont contractiles, et les filets nerveux exci- tables ? z P. ILERAVAL, XXXV. Trouilles
ssent à cet égard indemnes. Dans la névrite- mulLi- ple, les troncs nerveux et les muscles présentent une sensibilité exagé
ourrelet ou onde musculaire) qui se traduit L REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 331 par le gonflement local limité iL l'endroi
ontiennent deux tissus excitables, le tissu muscu- aire et le tissu nerveux . Il faut donc que l'état du système ner- veux s
la réaction de dégénérescence électrique. 332 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Les lésions du neurone central se traduisent d
sse jouer un rôle dans la pathogénie de l'o ? REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 333 Léite déformante, comme on admet l'hypothè
es que les ont retrouvées, à l'exclusion de toute lésion du système nerveux , -MM. Déjerine et Sottas. Soit d'exaltation de
s'agit alors de myotonie acquise avec lésions variables du système nerveux . Le sarcoplasma représente la partie tout à fai
ut passé infectieux. Au point de vue de 334 . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'âge, la maladie est survenue de 45 60 ans av
as où les mouvements associés d'ordre ration- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 335 ,,et et les paraliin6sies statiques et cin
lite ou de mé- ningo-myélite, soit ir, des altérations des cellules nerveuses de la moelle; - scléroses postérieures tabétiqu
ez un même malade, ne soient que deux mo- 336 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . monts différents, simultanés ou successifs, d'
sthénique et les causes de sa gravité restent REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 337 inconnues. L'observation de Dupré et Pagni
es de haltes venant interrompre la dé- pense exagérée de l'activité nerveuse . Malgré leur durée limitée, elles permettent à
asthénies, 11syc ! ¿onè')J'oses et maladies orpa- niques du système nerveux , particulièrement celles dues à un choc physiqu
à élucider l'étiologie et la pathogé- nie des affections du système nerveux consécutives à un trauma- tisme, ou à un choc m
proprement dite. Il a été frappé par certains points spéciaux, état nerveux particulier, longue durée de ces affections, ma
c signes indéniahles d'une lésion maté- rielle organique du système nerveux . Ce sont là des faits qu'un simple ébranlement
e nerveux. Ce sont là des faits qu'un simple ébranlement du système nerveux ne peut expliquer et que l'auteur compare à l'e
éréditaire ou acquise offerte par le BIBLIOGRAPHIE. 341 système nerveux , et de l'extrême sensibilité de celui-ci à l'acti
levons les suivants relatifs à des travaux de pathologie mentale et nerveuse . .. Prit : Alvanettqa de Piauhy « Brésil » 800
erné à l'auteur du meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies nerveuses . , Prix Gelièure. -1.S00 francs. - Question : D
de l'angle du maxillaire infé- rieur. ' Céphalalgie, irritabilité nerveuse , insomnie, se croit épié pour surprendre une si
nt il est difficile d'établir le rapport effectif avec les troubles nerveux et mentaux actuels;une partie semble toutefois
ience du malade pourrait lui permettre d'exagérer certains troubles nerveux ou cérébraux réels, et par difficulté de simula
ratuites pour les enfants indigents atteints de maladies du système nerveux , le jeudi à 9 h. 1/2. REVUE CRITIQUE L'ép
une maladie toxique, à action réflexe et excitante sur les centres nerveux . Il s'est con- vaincu que pendant l'accès de mi
si morts en bas âge ; ceux qui sont restés en vie sont tous malades nerveux ou bien ont des attaques. A l'épo- que de la de
de même naturellement du lien génésique - La malade a une hérédité nerveuse très accusée. Elle avait souvent des convulsion
s qui laissent à désirer au point de vue du caractère, car elle est nerveuse et irritable, mais ces moments-là sont de court
co ? continue à s'améliorer à tous les points de vue; les accidents nerveux {chorée) ont disparu, fille se porte admirablem
906). Fig. r. - Kram ? à 14 ans 1/2 (19C6.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE Xl.VII. Nouveau cas de de pellagre accompagnée
raît être lié à la pellagre et être un trouble trophique du système nerveux comme les syndromes du même ordre qu'on rencont
ales, rhumatisme chronique, diabète ou même des maladies du système nerveux comme la syringo- myélie. M. Il. XLYIII. Les
use Archives, 2- série 1906, t. XXI. 23 418 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . locale qui aurait rétrocédé mais n'aurait pas
le de fonctionnement de l'hypophyse. )1. IL REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 410 LUI. Paralysie des deux hémioculomoteurs,
lévation, l'abaissement et la convergence 420 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . des deux globes oculaires avec conservation pa
ait,être patllognomoniyue et n'est qu'une manifestation de syphilis nerveuse ; de môme le signe de Romberg ne peut être exig
e par une tumeur du voisinage sont assez fré- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 421 queutes. Il est plus rare de constater l'e
Cochin, où le docteur Richelot diagnosti- qua aisément une maladie nerveuse . 11 fit mine de croire,lui aussi, à l'existence
Hôpital de la Pitié. Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux . - M, le Dr Babinski reprendra ses conférences
e Dr Babinski reprendra ses conférences sur les maladies du système nerveux le samedi 5 mai 1906. Hospice de la SALPÊTRIÈRE
ratuites pour les enfants indigents atteints de maladies du système nerveux , le jeudi à 9 h. 1/2. . Cours DE PHYCHIATRIE
ence mélancolique consécutive à une affection organique des centres nerveux : perte de la mémoire, sensiblerie, automatisme,
t ainsi conçu : « Est atteint d'une affection organique des centres nerveux (sclérose latérale amyotrophique) compliquée de
conséquence. Et l'origine de cette infériorité vi- tale du système nerveux de ce malade peut être soupçon- née, si la lési
ysie générale n'est elle-même qu'un mode de réac- tion d'un système nerveux anormalement développé, frappé en un mot de dég
pensons avec d'éminents neurolo- gistes, les affections du système nerveux ne sont pas des maladies ; si ce ne sont que de
érébro-psychiques. (1) F. Raymond. Clinique des maladies du système nerveux , pre. mière série, Paris, 1896. ANATOMIE PA
ntre qui forme la li- mite entre la membrane de l'abcès et le tissu nerveux .- Ziegler parle simplement d'un (issu de granul
de leucocytes. Enfin, une der- nière zone nous montre des éléments nerveux plus ou moins altérés, au milieu desquels on tr
formes en voie de formation. Celles-ci, disséminées entre les tubes nerveux , sont assez régulièrement dis- posées et parall
ès cérébral expérimental, par inoculation directe dans la substance nerveuse d'une culture récente de sta- phylocoque doré.
t étudier les altérations progressives des divers éléments du tissu nerveux . Il a pu noter progres- sivement les altération
veux. Il a pu noter progres- sivement les altérations de la cellule nerveuse , la dégé- nérescence de son protoplasma, la des
fusiformes analogues à ceux de la couche précédente.Des éléments nerveux préexistants, il reste des traces plus manifest
ne zone d'irritation, où le processus irritatif frappé les éléments nerveux , la myéline, et surtout les vaisseaux et la név
rnes où s'organise progressivement la réaction défen- sive du tissu nerveux . - Nous devons à l'obligeance de notre excellen
ette zone interne occupe une ré- gion normalement riche en cellules nerveuses , on voit sur les pièces colorées par les méthod
a pas de noyau, parfois un noyau mal coloré. Ce sont des cellules nerveuses en nécrose de coagulation. Par places on trouve
veuses en nécrose de coagulation. Par places on trouve des cellules nerveuses parfaitement reconnaissables, mais prenant moin
ulation nous ont semblé les deux modes de disparition de la cellule nerveuse . II. A cette première zone, granuleuse, en succ
zone, sur les coupes favo- rables, on peut reconnaître des cellules nerveuses plus ou moins modifiées. Les cellules normales
que par ses caractères irritatifs et qui ne se distingue du tissu nerveux voisin normal que par cette extrême abon- dance
in- filtration embryonnaire des zones précédentes. Les cellu- les nerveuses sont normales. Leur noyau reste central, fortem
ait de ne pas être vue. Parfois elle avait des moments d'excitation nerveuse et se livrait à des jeux désordonnés et excentr
sse, ateliers, soins du ménage, tout marche de pair. Aucun accident nerveux à signaler, très grande amé- lioration : on pou
vices de prononciation, des impulsions violentes, de l'irritabilité nerveuse (1), des perversions des ins- tintes, de l'onan
btention du certificat il) Les cnfanls chez lesquels l'irritabilité nerveuse constitue le 3'llll)tô : lle le plus important,
'imbécillité intellectuelle, d'imbécil- lité morale, d'irritabilité nerveuse avec impulsions violentes et d'épilepsie. , 2
aliens ; les particularités anatomiques et histologiques du système nerveux et du tissu pseudencéphalo- médullaire ; la rép
OGIQUES. 497 et concuremment avec des hémorrhagies détruit le tissu nerveux en se substituant à lui. C'est la méningite q
s ; par G. Marinesco. D'après Walter, lorsqu'on sectionne un cordon nerveux , de manière à empêcher la réparation, le bout p
expérimentales peuvent trouver leur application dans la pathologie nerveuse . « J'ai eu l'occasion, écrit M. Marinesco, d'ob
une influence certaine sur les phénomènes de réaction de la cellule nerveuse à la suite dp la section de son cylindraxe et q
te dp la section de son cylindraxe et que la suspension de l'influx nerveux venu des centres supérieurs favorise l'intensité
stence de relations importantes entre le vitiligo et les mala- dies nerveuses . L'auteur a eu l'occasion de faire l'autopsie d'u
e présentait à l'examen clinique aucun signe d'affection du système nerveux . Mais l'examen histo- logique de la moelle perm
tre ce nouveau cas de coïncidence en- tre un vitiligo et une lésion nerveuse . (Revue neurologique, 1905.) ZD E. D. LXXI1,
faites dans diverses formes mentales et dans certaines mala- dies nerveuses à complications psychopatiques. Ils concluent en-
. Affections cérébrales. Voir Mou- vements de compensation. - - nerveuse . Voir Myotonie. - familiale congénitale, par
ses. par Marinesco, 41. - Nou- velles méthodes de coloration des nerveuses , appoint à la question des canalicules sé- re
cherches sur l'origine des pro- longements protoplasmiques de la nerveuse , par Fragnilo, 201. - Structure fibrillaire de
la nerveuse, par Fragnilo, 201. - Structure fibrillaire de la - nerveuse à l'état normal et il la suite des lésions des
tes et centrifuges dans le fonction- nement et la nutrition des nerveuses , par Marinesco, 4 ! jus, Influence exercée par
muscles ou aux soi-disant réflexes musculaires dans les maladies nerveuses , par Bcchte- rew, 3.10. Excitations centripèt
par Bcchte- rew, 3.10. Excitations centripètes. Voir Cel- lules nerveuses . ' Exophtalmie par épaississement des muscles
ique histologique em- ployée à l'étranger pour l'étude du système nerveux pathologi- que, par Carrier, 237. Laminectoni
rasthénies; psy- cho-nëvroses et maladies orga- niques du système nerveux , par- ticulièrement celles dues ù un choc phy
echerche sur l'ori- gine nt les rapports réciproques des éléments nerveux dans la épinière du poulet, par La Pegna, 327
Myotonie congénitale, par \feens, 108. p'tne forme d'affection nerveuse présentant les signes extérieurs de la , par Re
irconscrits ai- gus et chroniques sous la dé- pendance du système nerveux (rôle de la sécrétion ]ymp))nti- que dans leu
t et Mail- lard, 503. Système connnissural. Voir Cer- veau. - - nerveux . Voir Oedè- mes, Laboratoires. Tabès. Nature
49 (1888) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 3
is PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE - MÉDECINE LÉGAL MALADIES MENTALES & NERVEUSES Rédacteur en Chef Docteur Edgar BÉRILLON PRIN
ier par la suggestion, de provoquer chez les sujets une série d'états nerveux spéciaux, essentiellement différents de l'état de
zzolo et Silva ont signalé l'aggravation de toutes sortes de maladies nerveuses , chez des sujets qui avaient été soumis aux manœu
d'expé- » riences; puis... on cessa. Cette fille, jeune, était très nerveuse , un peu » hystérique, souvent souffrante. Elle
uve quelque tare, qui diminue l'équilibre ou la résistance du système nerveux . Ces sujets prédisposés sont malheureusement le
peu pour troubler, pour déséquilibrer, pour désorienter leur système nerveux . Pour eux surtour, tout ce qui diminue la respons
de vingt ans, fut prise, après avoir passé ses examens, d'une maladie nerveuse . En mai 1886, elle eut un premier accès, qui se r
st enchaînée, il en est d'autres dont la constitution héréditairement nerveuse ne se trahit par rien d'anormal dans les actes, s
hystériques, dit James Pajet (1), vous trouverez de la simulation nerveuse , » Entre les deux groupes extrêmes, c'est le grou
oint de vue mental. On constate le plus souvent chez eux une hérédité nerveuse plus ou moins manifeste. Dans la troisième catégo
ospice de la Salpêtrière. — Court de clinique des maladies du système nerveux : M. le professeur Charcot. Leçons le mardi et le
on définies. Je n'ai étudié que ces sujets-là, chez lesquels l'influx nerveux présente une mobilité tout à fait spéciale. e
s émotions qui en sont la conséquence et qui déterminent des troubles nerveux de diverses sortes. » Mois comment, poursuit-il
ntal décidément morbide que force est bien d'admettre. Si les enfants nerveux du second groupe peuvent être, en une foule de ca
rales, état qui aurait la plus grande analogie avec les modifications nerveuses déterminées par Thypnotismc. Antérieurement déj
nt à la suite du traumatisme, ou consécutivement à l'émotion, au choc nerveux qui suit les accidents de chemin de fer, ou bien
'appellerai* volontiers l'imitation émotive qui préside aux épidémies nerveuses et névropathiques, et enfin par l'appréhensio
ceux que nous avons mentionnés se développent chez des jeunes filles nerveuses , chez des femmes, je le comprends ; mais qu'on ai
de fiacre, qui n'ont présenté antérieurement aucun signe it, diathèse nerveuse , et ceto pour expliquer des troubles moteurs et s
résentent aussi chez des sujets indemnes absolument de toute dîatnèse nerveuse jusqu'au moment o*: ils apparaissent, grâce toujo
et de la fatigue du sujet et des traces persistantes d'un ébranlement nerveux antérieur. Il laisse le sujet se reposer et oubli
sme? Je suis de l'avis de l'Ecole de Nancy; je pense que tout système nerveux quelconque étant susceptible d'actions instinctiv
impVessionnabilité varie dans une très grande mesure; plus le système nerveux périphérique est prédominant, plus la sensibilité
voue à Motet |i) qu'à diverses reprises, il a vu sa mère qui est très nerveuse « dans ses attaques de nerfs » et que l'idée lui
n, elle se prit à reproduire, tour a tour, les diverses perturbations nerveuses dont, en toute sincérité, hélas ! son entourage l
illox. DE L'ACTION CONTRAIRE OU PARADOXALE DES MÉDICAMENTS CHEZ LES NERVEUX Par le Dr P. BU ROT MOFESSEU* A i."ÉCOLE DE X
ention, c'est que les médicaments agissent souvent, sur les personnes nerveuses , en opposition avec les connaissances de la physi
s connaissances de la physiologie. Quand on voit un grand nombre de nerveux , on ne tarde pas à s'apercevoir que chez eux les
ndent à démontrer les observations suivantes : I. — Mlle M..., très nerveuse , a éprouvé des douleurs névralgiques en différent
é à l'intérieur put arriver à la réveiller. II. — Mme C... est très nerveuse . Elle fut un jour empoisonnée par des compresses
même, par intervalles, pendant huit à dix heures, de fortes secousses nerveuses . IV. — Gir... est un grand hystérique ayant pré
es sujets, au moins pour la première fois. Ce sont principalement les nerveux qui les présentent. Us sont variables chez les mê
nt variables chez les mêmes malades, suivant l'orientation du système nerveux . L'expérimentation sur les animaux et même sur
rieusement l'attention des praticiens. L'HYPNOTISME ET LE SYSTÈME NERVEUX Par M. le D' CROCQ V»i1i Dï L'ACADÉMIE DE NSD
xposer d'abord quelques idées générales sur la physiologie du système nerveux . Dans le système nerveux, nous pouvons reconnaî
es générales sur la physiologie du système nerveux. Dans le système nerveux , nous pouvons reconnaître deux espèces d'actions
deux genres de forces, qui ont toutes deux leur siège dans le système nerveux , qui y prennent leur point de départ, présentent
au — centre commun de toutes les actions qui se rapportent au système nerveux . — La, par conséquent, nous- rencontrons tout à l
ssionnabilité, c'est-à-dire la faculté que possède le / système nerveux de recevoir les impressions du monde extérieur. P
chouer devant l'impressionnabilité, I devant la domination du système nerveux périphérique, nous rencontrons ce qu'on appelle l
ler. Cette base nous étant donnée relancement à l'action du système nerveux central, voyons en quoi consistent les phénomènes
e et de la réaction Habilité, si je puis ainsi m'exprimer, du système nerveux vis-à-vis de ces actions venues de l'extérieur. O
t d'autant plus marquée qu'on a affaire à des animaux dont le système nerveux est plus développé et qui, par conséquent, se rap
ce n'est pas chez des animaux tout a fait inférieurs, dont le système nerveux est en quelque sorte rudimentaire, qu'on rencontr
r l'intelligence de l'homme. Au point de vue de l'activité du système nerveux et des centres nerveux en particulier, il y a bie
omme. Au point de vue de l'activité du système nerveux et des centres nerveux en particulier, il y a bien des animaux considéré
sus de ceux-là. J'admets parfaitement, par conséquent, que le système nerveux instinctif de ces animaux soit susceptible d'exal
, je me range a l'avis de l'éjole de Nancy. Je crois que tout système nerveux quelconque est plus ou moins accessible aux manœu
de l'étendue plus ou moins grande de l'impressionnabilité du système nerveux . Plus le système nerveux périphérique est impress
ns grande de l'impressionnabilité du système nerveux. Plus le système nerveux périphérique est impressionnable, plus l'individu
e, plus l'individu est susceptible d'être hypnotisé. Moins le système nerveux périphérique est accessible aux impressions senso
, en effet, un degré d'impressionna-bilité excapiionnelle des centres nerveux . Ici, messieurs, se place l'intervention de la
rement à sa volonté, lorsque, bien entendu, cet individu a un système nerveux suffisamment impressionnable. Il n'est pas nécess
pas toujours les individus a intelligence bien développée, à système nerveux bien actif, qui étaient les plus sensibles aux ph
isme ? Nous savons qu'en dehors de l'état d'hypnotisation, le système nerveux est susceptible de présenter des phénomènes très
certains individus en état de sommeil, de façon à meure leur système nerveux dans des dispositions particulières. Ces sensatio
s dispositions particulières. Ces sensations, agissant sur le système nerveux et mettant en jeu son activité, donnent naissance
sommeil normal. Je ne vois aucun inconvénient à considérer le système nerveux comme présentant les mêmes modifications de vascu
par le soleil. Cet homme éprouve un strabisme convergent, une fatigue nerveuse , et il s'endort. Je produirai facilement le même
certains, une étude attentive, éclairée, approfondie des phénomènes nerveux et des troubles intellectuels qui les accompagnen
de cas, le médecin hypnotiseur fait disparaître certaines affections nerveuses , sans suggestion, en laissant dans leur intég
l doit l'exercer, a son réveil. Dans l'immense varicet des affections nerveuses , le rôle de l'hypnotiseur consiste ainsi simpleme
Très utile, écrit le docteur Barth, dans certaines formes de maladies nerveuses où l'on peut, grâce a ce puissant moyen, soulager
soit un passe-temps à l'usage des oisifs, soit un moyen pour les gens nerveux de satisfaire leur besoin d'émotions on. leur rec
rel, les rêves, le somnaanfl lisme naturel? Savons-nous si le sommeil nerveux provoqué par l'éther, le colorai, l'opium, le chl
andant à être guéri, par la suggestion hypnotique, de divers troubles nerveux dont le point de départ serait dans l'urèthre.
La cystite disparut. C'est à cette époque que survinrent les troubles nerveux pour lesquels il vient nous consulter. Très fré
st alors que le malade vit le Df Tillaux qui, en piésence de son état nerveux , l'adressa au Dr Mesnet. L'n examen minutieux r
urement médical, il était important de ne point méconnaitre la nature nerveuse des troubles présentés parle malade. Nous avons v
ans la voie de la sincérité. Ou bien, c'est à un sujet a constitution nerveuse ; et alors, une question se pose : Est-ce un hysté
chemin de l'hvsiérie, c'est-à-dire un individu encore en santé, mais nerveux à l'excès et mal équilibré? Dans la manière de se
i) Galézowski, Traité des maladies des yeux, p. 927. — Simplement nerveux , il y n un but caché, mais pratique à ses manœuvr
ont des malades; c'est en malades qu'il les faut traiter. Quant aux nerveux proprement dits, leur état purement et simplement
nfants abandonnés? Toujours est-il que, sur la direction mentale du nerveux , les procédés Mssortissant à la pédagogie ont une
co citato, p. 133. (a) Ci ... .. Leçons sur les maladies du système nerveux . T. III. p. ajô, 1S87. Parti. l'a-t-il emport
état dnypermric'sie qui sel manifeste dans un certain nombre d'états nerveux et, en particulier, dans le somnambulisme spontan
F... n'a jamais eu de maladie grave dans son enfance. Pas de maladies nerveuses ou mentales dans sa famille. Un jour de l'année ¦
ta- I lepsîc et la léthargie sont des états particuliers du système nerveux qui peuvent se développer soit spontanément, soit
rois états, l'idée n'a été pour rien: c'est la rupture de l'équilibre nerveux dans un certain sens qui les a placés dans l'un o
thes, d'oxyures notamment, dans les voies intestinale». Les désordres nerveux qui reconnaissent pareille cause sont en effet co
termine la crise. Là. l'incontinence est la suite de la surexcitation nerveuse . Aux yeux du professeur Atkînson ,3 ,qui vient de
ignement d'un but d'activité mystique sur la surexcitation du système nerveux . Cerise (t) lui-même — un croyant — s'exprime, su
e, quels désordres profonds dans le mode de fonctionnement du système nerveux n'a-t-on pus lieu de redouter? Si, dans les manif
rnatioiuIei. 1870, Paris.) 3) Ceris». Des Fonctions et des Maladies nerveuses , pp. îy4 et sy»; 1S4;, Paris. a fait imimc Je
el dans l'enseignement. Jusqu'ici, que s'cst-îl passé? un phénomène nerveux de tout point regrettable : un spasme. Le cours d
s les écarts en seront compressibles, moins l'équilibre des fonctions nerveuses sera facile à récupérer. Heureux si ces coups d
ritabilité maladive qu'entraîne, comme conséquence, un semblable état nerveux , que Ton veuille bien ne pas perdre de vue une ch
.* Oui, il tend à s'établir dans le mode de fonctionnement du système nerveux une irrégularité fâcheuse. Oui, il *3Ut s cvcriuc
comme chez l'autre, il s'est produit un trouble de la fonctionnalité nerveuse . Ici, le phénomène se traduit par une douleur.
la constatation même du fait dénonce l'émotivité excessive du système nerveux ; et c'est un peu comme des malades que ces enfan
édagogie. Brochure in^S», 1SS8. dans le local où repose un entant nerveux et impressionnable, nous n'admettons le demi-jour
ec tant de satisfaction par M. Nussbaum, tombe d'elle-même. Ni l'état nerveux spécial, ni la différence du sexe ne sont la caus
tre produit plus facilement. L'auteur n'a jamais remarqué de troubles nerveux consécutifs à l'hypnose. Dans certains cas, les m
ants, anomalie des menstrues, psychoses, hystérie, amblyopie. surdité nerveuse , alcoolisme, et. finalement, il s'est servi de l'
ns complètement échoue. L'auteur n'a fas essayé de traiter l'asthme nerveux : j'ai été assez heureux dan» ces cas-là. Ni le m
ai été assez heureux dan» ces cas-là. Ni le morphinisme. ni l'aphonie nerveuse , ni la paralysie hystérique et les contractures n
Elle s'appliquera principalement aux troubles fonctionnels du système nerveux . Suivent une relation de l'application de l'hyp
, les troubles secrétaires, l'exaltation vu l'affaissement du système nerveux , s'observent dans toutes les maladies, et cha-pm
l'alcoolisme et son expansion pandémique, sur l'alcool et le système nerveux , la responsabilité des alcooliques, l'action des
Il lut conduit h admettre que, dans certaines conditions d'excitation nerveuse , l'homme peut voir. même de loin, sans le secours
ants et de médecins, ses leçons cliniques sur les maladies du système nerveux . Conformément à sa méthode d'enseignement ai cl
par quel aKCanisme s'effectue la contagion de certaines affections nerveuses . Eue hystérique a é;_: amenée en eu: ce somnamb
ve.) luys : Procédé et instruments nouveaux pour obtenir le sommeil nerveux . Compt, rend Soc. de biol., sér. VIII. t. V, n° 2
la Salpétrière, le 3i août 1S88. Antécédents héréditaires. — Mère: nerveuse sans attaques, sourirait souvent de ses nerfs, a
mais santé toujours faible; apprenait bien à l'école; pas de maladies nerveuses de l"enf3nce ; aurait eu deux fièvres typhoïdes (
ade depuis loge de 20 ans. 11 n'existe dans sa famille aucune maladie nerveuse . Habituée aux travaux de la campagne, elle n'a
oulagée, en produisant des selles momentanément; mais : irritabilité] nerveuse persistait. J Je fais de la suggestion et,dès l
es du uibe digetif à sécréter; jjecoridciiun;. je calmai l'irritation nerveuse . Après un mois de traitement. Mme V... est guér
de complexion jsvétive. présente tous les attribut.* d'un tempérament nerveux a l'excès. Je ne connais en aucune façon ses anté
employé comme moyen thérapeutique dans le traitement des maladies nerveuses . C En anesthésie, il est encore un puissant moy
e pria donc de l'accompagner et d'essayer l'anesthésie par le sommeil nerveux provoqué. J'endormis la malade par le regard, apr
eresthésie testiculaire, pas de zones hystérogénes. Jamais d'attaque» nerveuses , ni de maux de tête, ni d'irrégularités 'e caract
ades ne parle pas davantage ; il s'agit le plus souvent de phénomènes nerveux plus ou moins graves, qui passent pour une espèce
présente la nature humrine, surtout quand l s'agit de phénomènes nerveux , qui voudrait affirmer à priori que, dans tous le
sommeil ordinaire. Si, par le fait de cet état anormal, de ce trouble nerveux passager, des accidents sérieux doivent se produi
ève, hypnotisé par ses camarades, fut atteint d'une série de troubles nerveux qui l'amenèrent à la Salpètriére. M. Pitres, ce B
pilepsie. Du reste, il n'est pas seulement question ici de troubles nerveux proprement dits ; on est en droit de dire que les
'être physicien pour uppliquer l'électricité a la cure des affections nerveuses . Dans les cas de ce genre, la théorie pure ne sau
hygiène et non aux médicaments. Reste la grande classe des maladies nerveuses , dont les limites sont encore indéterminées. Cell
rôle de l'inhibition dans les fonctions et les maladies des centres nerveux . L'abondance des matières nous oblige à reporte
itoire ne me pardonnerait pas si, étant entre dans l'étude du système nerveux , je laissais complètement dans l'ombre tout ce qu
ulté merveilleuse de notre être. C'est un état particulier du système nerveux , susceptible, comme tous les états psychiques, d'
ouvé aux prises avec ces longues et interminables maladies du système nerveux , où l'on épuise trop souvent sans résultat toutes
.... née F.... 3o an«, originaire Je l'Oise, cuisinier.1. Tempérament nerveux Constitution robuste. Dans la soirée du mardi 5
Sur sept entants de la même famille, tous ont présenté des symptômes nerveux ; deux de ses soeurs sont mortes. La malade n'a
ue les collatéraux maternels auraient aussi été atteints d'affections nerveuses . Antécédents personnels. — La malade a toujours
tions nerveuses. Antécédents personnels. — La malade a toujours été nerveuse . Mariée à quinze mis, n'étant pas encore réglée.
euil. Début de /lï maladie. — La malade, avons-nous dit, était très nerveuse dans son enfance ; toutefois, avant son mariage,
y a vingt-six ans, à l'âge de vingt-sept ans; e!le a des antécédents nerveux fort remarquables : ¦ Mère épileptique dans l'e
épileptique dans l'enfance; Père ivrogne (psut-être dipsomane); Sœur nerveuse . A dix-huit ans. elle a commencé a avoir des at
sans qu'on puisse affirmer qu'il s'est fait quelque lésion du système nerveux , présente une paraplégie dont elle ne guérira évi
pays étrangers — ces représentations, véritables foyers de contagion nerveuse . Déjà dans plusieurs villes, à Bordeaux, a Poitie
oracique et malgré la section des nerfs splanchniquei. Les influences nerveuses et la circulation artérielle ne louent donc aucun
et, agrégé, est nommé professeur de clinique des maladie» mentale* ci nerveuses à la Faculté de médecine de Montpellier. Facclt
nous, il faut que cette impression arrive d'abord jusqu'aux cellules nerveuses de l'écorce cérébrale, auxquelles se termine le n
nsciente. A la suite, se place un phénomène de conscience. La cellule nerveuse sensorielle impressionnée, par un mécanisme d'éla
qui paraissent plus spécialement dévolus à ces phénomènes, la cellule nerveuse sensorielle, Ss-je, donne lieu ainsi secondaireme
elle me verrait rentrer. A son réveil, elle craint d'avoir une crise nerveuse en mon absence; elle me cherche et, ne me voyant
nce. Et plus tard, quand je produis par suggestion la concentration nerveuse spéciale pour évoquer le souvenir, l'acte enregis
s paralytiques, et des inconnues non encore dégagées de la pathologie nerveuse , quelques sceptiques pouvaient émettre des doutes
sistant en taches 'gris saumoné disséminées en divers points de l'axe nerveux . Examen microscopique. — La moelle et le cervea
été impossible de relever, en quelque point que ce fût de l'appareil nerveux optique, ni plaques de sclérose, ni même un état
centraux, un certain épaississement de leur paroi. Mais les éléments nerveux sont intacts, la névroglie normale, et la myéline
En définitive, aucune lésion confirmée, surtout du côté de l'élément nerveux ; simple trouble nutritif, peu accusé, du reste.
ent pas en relation directe avec les points les plus malades de l'axe nerveux . On peut tirer de ces considérations deux conclus
remières semaines. Mais la suggestion avait-elle agi sur les éléments nerveux atrophiés, qu'elle aurait contribué a régénérer?
ature qu'en se conformant à ses lois. ÉTUDE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX EN RUSSIE Par M. le D' RAYMOND (i) proxesseck
'envisagerai surtout dans cette éiudc ce qui est spécial aux maladies nerveuses , but officiel de ma mission, tout en tenant compt
culièrement h Paris, où il existe une chaire de clinique des maladies nerveuses et une chaire de clinique des maladies mentales,
clinique des maladies mentales, en Russie l'enseignement des maladies nerveuses et des maladies mentales est concentré entre les
Mais, pendant le professorat de Balinski, l'enseignement des maladies nerveuses fut négligé, ou, du moins, il fut purement théori
mé titulaire de cette chaire en 1877, enseigne à la fois les maladies nerveuses elles maladies mentales; l'enseignement pratique
de la neurologie date de cette époque. L'enseignement des maladies nerveuses est une chose si nouvelle en Russie, que dans une
rochaine (1888-1889). A Karkoff, la clinique des maladies mentales et nerveuses se trouve dans une maison de santé appartenant au
linique à l'Université. La nouvelle clinique des maladies mentales et nerveuses à Moscou vient d'être Installée. C'est Mme Moroso
e inhibàoire. CORRESPONDANCE ET CHRONIQUE Clinique de» maladies nerveuses . M. le docteur Bérillon, directeur de la Bévue
e jeudi 21 février, à dix heures du matin, à la Clinique des maladies nerveuses , 55, rue Saint-Andrc-des-Arts, une série de leçon
st, les mercredi et vendredi de chaque semaine. Maladies du sritême nerveux et maladie»-mentales. M. Gilber. Billet ; — phas&
. Lubet-Barbon La première conférence sur le» affections du système nerveux aura lieu le mercred 16 janvier, i 10 heure». S
échanges possibles avec toute autre personne qu'avec moi; son système nerveux se réveillait plus ébranlé, plus névrosé qu'avant
uence dominatrice que l'hypnotiseur exerce sur les diverses modalités nerveuses de l'hypnotisé. Je me crois donc autorisé â ins
es transmissions auditives, appartenant comme elles aux perturbations nerveuses du grand hypnotisme. L'exercice partiel des sen
en réalité, les deux termes extrêmes de ces singulières perturbations nerveuses que Brnwn-Séquard a très judicieusement comprises
étais plus convaincu de sa puissance. ÉTUDE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX EN RUSSIE Par M. le Dr RAYMOND PBOPtsfEur. voat
on de M. Kojewnîkoff, professeur de clinique des maladies mentales et nerveuses a Moscou. Ces constructions ne laissent rien à dé
cinquante lits, ce qui est suttsant pour l'enseignement des maladies nerveuses . Une autre clinique, encore en construction, se
truire à Varsovie un hôpital-clinique pour renseignement des maladies nerveuses . On vient de terminer à Kazan la construction de
erminer à Kazan la construction de l'hôpital des maladies mentales et nerveuses ; cet hôpital contient trois cents lits. L'or
t l'été. Pour les cliniques autres que celles des maladies du système nerveux , cette fermeture annuelle peut ne pas offrir les
pas offrir les mêmes inconvénients: mais quand il s'agit de maladies nerveuses , c'est-à-dire de maladies le plus souvent a évolu
égard a été réalisé à Moscou, où la clinique des maladies mentales et nerveuses est restée ouverte pendant les vacances, et cela
rtante, en Russie, en matière d'enseignement des maladies mentales et nerveuses , et en même temps la plus ancienne, est celle de
rjiewsky fait, par semaine, trois leçons sur les maladies mentales et nerveuses , avec présentation de malades et de préparations
ne, seize heures consacrées a l'enseignement des maladies mentales et nerveuses . A cetic liste des membres du corps enseignant, i
considérables. Les professeurs de clinique des maladies mentales et nerveuses dans les Facultés de médecine de Russie sont : MM
eur agrégé Je la Faculté de Saint-Pétersbourg, un service de maladies nerveuses très bien compris, auquel est annexé un laboratoi
elle de Tomsk, en Sibérie, n'a pas encore de chaire pour les maladies nerveuses . Ce qui est surtout remarquable dans l'organisa
urtout remarquable dans l'organisation de l'enseignement des maladies nerveuses , en Russie, ce sont les laboratoires annexés aux
aux services des cliniques. Chaque clinique des maladies mentales et nerveuses possède un vaste laboratoire, largement pourvu d'
importants sur l'anatomie. la phvsiologie et la pathologie du système nerveux . Les plus connus de ces travaux appartiennent au
onnent ose large pbce aux travaux concernant les maladies mentales et nerveuses . Les principaux sont : i" Le Médecin, journal h
r ta Pathologie de la lèpre (Lésions des cellules et des terminaisons nerveuses ), par Soudafcewitch, 1887. , La Physiologie de
isme, par Mocioutkowsky 'Odessa, 18^7^ Traite d"anatomie du système nerveux de Thomme, par Zernoff. i8S5. Rapport sur l'éta
ivants, qui sont des plus remarquables pour ce qui a trait au système nerveux : Des organes du sixième sens cheq les amphibie
s cheq les amphibies, par Mitrofanoff, 1887. Des Lésions du système nerveux central après Tablation du corps thyrt>ïde, pa
>ïde, par Rogowitch, 1888. Le» Travaux sur l'anatomie du système nerveux central, publiés par Bech* terew dans les différe
que de ce rapport. Sur la Striation du cylindre-axe et des cellules nerveuses , par Jakimowitcb. 1887. Des Altérations an atom
ses, par Jakimowitcb. 1887. Des Altérations an atomiques du système nerveux central dans la démence senile, par Belakoff: tra
r de Mier-jiewsky. Des Changements anatomo-pathologiques du système nerveux central des animaux sous l'influence de l'électri
ix heures, le docteur Be'rillon a inauguré à la clinique des maladies nerveuses , rue Saint-André-des-Arts, 5?. la série de ses le
de la suggestion hypnotique dans le traitement de certaines maladies nerveuses , que le l>" Bérillon a cru devoir fonder cette
ardis, a 9 heures 1/2, une leçon clinique sur les maladies du système nerveux . Les vendredis, à g heures 1/3, examen des malade
ur l'iivpnctisme expérimental. Cours libre. — Clinique des maladies nerveuses . 55, rue Saint-Andrc-des-Arts.— M. le D' Bérillon
s plus bizarres : Une jeune fille (Louisa C... âgée de 19 ans, très nerveuse ) «gnalc une carte en déclarant qu'elle vient d'ép
tion et qui n'ont pas su détruire les auto-suggestions de tremblement nerveux , de crises hystériques, de terreurs, etc., à leur
uggestion se renforce rapidement, se fixe, et peut devenir un trouble nerveux . Si l'on ne se rend qu'à moitié maître de son suj
cérébrale, qui n'est elle-même qu'une partie de l'activité du système nerveux . — la partie la plus importante et la plus consid
émisphères cérébraux. Elle ne miroite l'activité d'aucun autre centre nerveux , tant que cette activité n'est pas transmise aux
aux hémisphères. Rien ne nous empêche d'admettre que d'autres centres nerveux n'aient des miroirs conscients analogues ou, si l
en plus à notre guise, grâce à la tendance qu'ont tous les phénomènes nerveux de s'accentuer et de se reproduire d'autant plus
ts dynamiques ^'inhibition ou de dynamogénie produits dans le système nerveux par la suggestion, c'est-à-dire par le dynamisme
tière à cette étrange influence sur les yeux d'abord, sur les centres nerveux ensuite, des vibrations lumineuses agissant d'une
auditoire, une série de leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses . Dans la première leçon, le professeur a fait l
edis, à 9. heures 1/2, une leçon clinique sur les maladies du système nerveux . Asile Sainte-Anne. — Clinique des maladies men
sûr l'hypnotisme expérimental. Cours libre — Clinique des maladies nerveuses , 55. rue Saint-André-des-Arts.— M. le Dr Berillon
1/2 du matin, des coaférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses . Congrès international de thérapeutique et de m
intitulée : a Essai d'une distinction noso-graphique des divers états nerveux compris sous le nom d'hypnotisme », M. Charcot dé
nt chez les sujets hypnotisés ne répondent pas à un seul et même état nerveux . En réalité, l'hypnotisme représente cliniquement
présente cliniquement un groupe naturel, comprenant une série d'états nerveux différents les uns des autres, chacun d'eux s'acc
à bien définir, d'après leurs caractères génériques, ces divers états nerveux avant d'entrer dans l'étude approfondie des phéno
moins. Une analyse littérale semblerait indiquer que les divers états nerveux dont il s'agit ne font pas partie d'une même unit
. On doit donc interprêter les termes de Charcot dans le sens d'états nerveux svmptomatologiquement différents. Le grand hypn
i prouve bien, comme je le disais plus haut, que ces divers états nerveux ne sont pas des maladies distinctes et peuvent co
rce avec une pointe-mousse une certaine pression au niveau d'un tronc nerveux , on détermine les mômes réactions fonctionnelles
olu des théories de la Salpêtrière: on n'est plus en présence d'états nerveux distincts, mais bien d'un même état nerveux offra
plus en présence d'états nerveux distincts, mais bien d'un même état nerveux offrant des degrés variables. La léthargie, la ca
l'hypnotisme de Nancy, ce n est plus la production de certains états nerveux symptomatologique-ment différents; c'est, d'un mo
elle fut très affectée et présenta, pour la première fois, des crises nerveuses . En 1884, une de ses tantes tomba malade: elle
ient en sursaut; elle croyait tomber dans un précipice. Lts secousses nerveuses augmentèrent de fréquence et d'intensité. Elle so
nir la Société clinique ne présente pas dans sa famille d'antécédents nerveux bien neis, sauf une paralysie agitante qui aurait
anée. — Signé : Dr Rouitlard. Antécédents héréditaires. — Père très nerveux , mère facilement irritable; un frère exalté et pr
Ecole pratique delà Faculté de médecine, un cours libre de Pathologie nerveuse sur les Applications de l'hypnotisme à la thérape
es contre-indications de l'hypnotisme dans le traitement des maladies nerveuses et dans ses applications à la pédiatrie. (i) Cu
en j^uan: avec l'hypnotisme, » sans parler des troubles psychiques et nerveux qui en sont malheureusement les conséquences trop
du premier étage. Ce cours aura pour objet les maladies du système nerveux et les applications thérapeutiques de l'hypnotism
l'hypno-tisation puisse coexister avec l'exquise intégrité du système nerveux . Les sujets hypnotisables sont toujours des nerve
égrité du système nerveux. Les sujets hypnotisables sont toujours des nerveux , des névrosés en état ou en puissance, ils font p
otisme peuvent être ou ne pas être des hystériques ; ce sont tous des nerveux ou des prédisposés. Si l'on considère la totali
lement le trait d'union qui relie la veille aux phénomènes du sommeil nerveux complet en grand hypnotisme. * Babinski qualifi
tats foncièrement distincts dans l'hypnotisme; il faut y voir un état nerveux unique, particulier, caractérisé par un groupe de
grand n'est la réduction du petit. Donc, l'hypnotisme étant un état nerveux un. ce que l'on appelle le grand et le petit hypn
le petit hypnotisme ne sont que des formes symplomàtiques de cet état nerveux , formes symptomatiques distinctes, qu'il est impo
bsence de suggestion, peut être un moyen de soulagement pour certains nerveux ; mais il ne constitue qu'un élément secondaire.
ences dans les propositions suivantes : 1» L'hypnotisme est un état nerveux un à manifestations variées; le'grand hypnotisme
ouvement était exécuté simultanément par l'intermédiaire des éléments nerveux erférents, à partir d'un point quelconque de l'ax
paternels et maternels. Elle-même a eu dans son enfance des troubles nerveux : terreurs nocturnes, migraines, une attaque de c
insi que dans l'insomnie, les vomissements et les diarrhées d'origine nerveuse . Par contre, j'ai guéri radicalement un cas de pr
rigine nerveuse. Par contre, j'ai guéri radicalement un cas de prurit nerveux . Ce fait n'a rien de surprenant, attendu que l'on
combien est prompte et facile la suggestibilité de certains individus nerveux , particulièrement disposés à présenter des phénom
s au-dessous de 20 ans. non encore réglées, de constitution faible et nerveuse , et un jeune garçon de 11 ans. Obligées a un trav
urot, 169. Action contraire ou paradoxale des me-dicaments chez les nerveux , par Burot, 99. Action des médicaments à distan
eurs, 63. Charité et dégradation sociale. 93. Clinique des maladies nerveuses . 454. Colère (pression artérielle dans la), par F
hypnose (les), par de Rochas, 41, 76. Etude des maladies du système nerveux en Russie, par Raymond. 240, 278. Exercice illé
66. Hypnotisme (discussion sur l'), 87, 88. Hypnotisme et le système nerveux (l') . par Crocq. 104. Hypnotisme (la réglement
Médicaments à distance (l'action des) , 63. Médicaments chez les nerveux (action paradoxale des), par Burot, 99. Mésaven
e huit jours. guérie par la suggestion, par Burot, 250. Système nerveux ;l'hypnotisme et le), par Crocq. 104 Table hygi
hystériques traités par l'hypnotisme, par par Besse, 213. Troubles nerveux , guerison par l'hypno-tisme. par Mesnet et Roux,
50 (1901) Anatomie des centres nerveux. Tome 2, Fascicule 1 : Anatomie du cerveau (suite), anatomie du rhombencéphale
ANATOMIE DES S CENTRES NERVEUX Bibliothèque des Internes en Médecine de la S
rnes en Médecine de la Salpêtrière ANATOMIE ? 231 DES CENTRES NERVEUX PAR R J. DEJERINE l'ROPE581 : 1'H AGRÉGÉ -1
1) 10(') z) 0 1 Tous droits réservé *. ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX DEUXIÈME PARTIE (suite) CHAPITRE VI FIBRE
rtébrés pourvus d'un manteau cérd- bral. 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les fibres do pro- jection du manteau céré
xterne du centro ovale de Vieussens. 1 4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Concentration des fibres do projection en
Son aspect sur les coupes horizontales. ' 6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fig. 3. - Segment antérieur de la couronne ray
Sa division en deux couches sagittales. 8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son aspect sur les coupesvertico-trans- ve
la voie du faisceau occipito-frontal. 10 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fig. 7. - Les segments supérieur et inférieur
on ver- tico-transversale. Son origine. 12 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa continuation avec le segment pos- térie
Tap, tapetum. - V, ruban de Vicq d'Azyr. 14 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FIG. 9. - Le segment postérieur de la couronne
postérieur. Son origine. Sa direction. 16 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fc. 10. - Le segment postérieur de la couronne
Internes en Médecine de la Salpêtrière» 18 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ds, diverticule du subiculum. - Epa, espace pe
r les coupes vertico-trans- versales. 20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . 45° au niveau du genou de la capsule interne [
e du thalamus. izcl, pli cunéo-limbiqtic. 22 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fig. 1 ? - Coupe horizon- tale passant par l
innommée sous- lenticulaire de Reichert. 24 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Division do la cap - suie interne en ré- g
région thalamique; Cip(slle), région sous- 2G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Dans la région sous-thalaml(jue, la capsul
, insula. - lme, lame médullaire externe du 28 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le segment anté- rieur est formé de fibres
que de la capsule interne. Cette coupe sec- 30 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Aspect du genou aux différentes hau- teurs
ernicke. - Zr, zone réticulée ou grillagée. 32 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Lo faisceau géni- culé n'apparaît qui dans
ieur de la couronne rayonnante, ion Il. 3 34 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses origines. Le segment pas- (prieur de l
culo-caudées. -- Fli, faisceau longitudinal 36 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Leurs rapports dans la région ttta- lamiqu
ée du contin- gent sous-lenticu- laire. 38 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son aspect sur les coupes horizontales. Le
aire; Cisl, segment sous-lenticulaire de la 40 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les fibres de CI ! ' se rendent les unes d
la capsule interne. Ses deux couches. 42 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Faisceau de Turck. Faisceau temporo- thala
e du subiculum, - ma, sillon marginal anté- il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . rieur de l'insula, - mp, sillon marginal posté
r les coupes vertico-trans- versales. 46 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fic. 31 et 32. - Dégénérescence partielle du s
xions ditfé- entes do ses deux ;ouches. 48 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa constitution. Son aspect sur les coupes
Plch, plexus choroïdes. - Qa, TOME II. 4 50 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . tubercule quadrijumeau antérieur. - 71M ! , ru
pé- donculaire. Pos lemniscus pro- fond. ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Pes lemniscus su- perficiel. de la pyramid
e. Fibres aberrante postéro-esternes. 54 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Importance do ces faisceaux dans la to- po
ieure. - 1 lp, faisceau longitudinal posté- 56 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le taenia pontis ne doit être confondu ni
région déterminée de la couche optique. 60 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres cortico-tha- lamiques antérieu- res
q, substance grise de l'aqueduc de Sylvius. 62 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres cortico-tha- lamiques supérieu- res
ulvinar. - 111'la, radiations optiques de 6t ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Gratiolet. - Sexv, surface extra-ventriculaire
-tlia- lamiqncs inférIPI : - rc&. 66 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les unes relient le lobe temporal au pul-
taSia2unscorUCO- irenouilléos externes. 68 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Zone de Wernicke. gros fascicules onduleux,
, lame médullaire externe du noyau lenticu- 70 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Radiations cortico- quadrigéminales. s. Br
e doublant le chiasma des nerfs optiques. 72 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Bras du tubercule quadrijumeau posté- rieu
au interne. Son trajet. Sa terminaison. 74 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses rapports. Ses diverse*, dingo- minatio
ais- ceau interne du pied du pédoncule. 76 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Origine cortical du faisceau moyen Son tra
al au corps opto-strié, à une époque, par conséquent, où les cellules nerveuses corticales sont encore à l'état de neuroblastes
e la capsule interne; le pulvinar (Pu/), le 78 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa constitution. Ses différentes ca- tégor
l trajet. bes diverses déno- minations. 80 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . fra constitution. Lésions qui en- traînent
hémisphère. Leur origine oper- culaire. 82 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Leur origine ro- landique. Morgagni. Cru
s systèmes de fibres de projection. 84 zur ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fig. i. - La constitution du tronc encéphaliqu
bres du pied du pédon- cule cérébral. 86 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Conttngont corti- cal direct occipito. tem
erne du pied du pédoncule par Brissaud. 88 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les travaux de Flechsig basés sur la métho
raient dépourvus do fibres de projection. 90 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Recherches de De- jerine, Sachs, v. Mo- na
a moitié croisée de la moelle épinière. 92 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . intense que la lésion frappe un sujet à un âge
rtici- pation des notant gris centraux. 94 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Hypertrophie com- pensatrice de la voie pé
é ont été dessinés à un même grossissement. 96 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . petit à petit, au sur et à mesure de l'épuisem
tcs en aval et on amont do ces lésions. 98 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Importance de la méthode de Marchi pour ce
ale. Connexions corti- cales directes. 100 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Connexions corti- cales indirectes. jumeau
otale du pied du pédoncule cérébral. 102 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans pa
otale du pied du pédoncule cérébral. loi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Pradel. Vaste lésion corticale sans pa
ale du du pied pédoncule cérébral. 1 106 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Pradel. \'aste lésion corticale sans p
totale du pied du pédoncule cérébral. 108 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . peu de connexions de la corticalité cérébrale
anche est très dégénérée (fibres longues 110 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . d'association) (Fig. 83), l'autre partie (fibr
rck et du pieddu pédoncule cérébral. 112 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Courrière. Cé- cité verbale pure. Plaq
irck et du pied du pédoncule cérébral. 114 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fie. 86. - Cas Courrière. Cécité verbale pure.
es centres corticaux de la vi- sion. 116 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Bras. Cécité corticale par double lési
ébral et do la bandelette optique. , 118 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Bras. Cécité corticale par double lési
e Tùrck et de la bandelette optique. 120 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Bras. Cécité corticale par double lési
Dessin fait d'après une photographie. 122 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe
rne du pied du pédoncule cérébral. L 124 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Jouan. Lésion de déficit du pli courbe
ral, intégrité du faisceau de Turck. 126 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Leudot. Apha- sie sensorielle. Lé- sio
ral. Intégrité du faisceau do 'l'urck. g2g ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . En résumé : le lobe pariétal contient des fibr
y. dégénéres- cences, Fig. 102 à 117.) 130 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Scheulc Hé- miplégie gauche. Ha- molli
de la pyramide anté- rieure du bulbe. 132 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Naudin Mo- noplégie brachiale droite.
couronne rayonnante (pCR), le segment lenticulo- 134 DES CENTRES NERVEUX . Cas Schweigotfer. Monoplégie f acio-lin- g
n de volume de la pyra- mide bulbaire. 138 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . partie postérieure et inférieure de ce lobe et
uillé externe et du faisceau de Turck. 140 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Heudebert. Aphasie totale. Pa- ralysie
a voie pédonculaire. Méthode de Weigert. z ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . interne (R Cgi) (Fig. 126). Sur les coupes plu
iées de la partie postérieure du noyau 144 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Le Seguillon. Plaque jaune du pli cour
ticulairc (Cirl) ; les unes TOME u. 10 146 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Neumann. Dé- générescencedufas- ceau e
grité du pied du pédoncule cérébral. 148 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Moriceau. Ra- mollissement de l'ex- tr
Méthode de Weigert, 2/1 grandeu nature. 150 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La pointe frontale et les deux tiers antérieur
raux, en particulier le noyau caudé (Fig. 144) ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Hicaud. lIé- miplégie cérébrale infant
ho, faisceau py- ra midal homolatéral. 154 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infanti
les Fig. 14G et 149, 3/2grandeurnature. 156 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Rivaud. Ilê- miplégie cérébrale infant
ho ; faisceau py- ramidal homolatéral. 158 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infanti
uche; faisceau p- ramidal homolatéral. 162 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Rivaud. Hé- miplégie cérébrale infanti
auche, faisceau p3- ramidal homolatéral. 164 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . dans le cas Pradel (Fig. 78), les radiations s
le chiasma, le tuber cinereum, les tuher- 166 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . cules mamillaires, la bandelette optique, la r
grité partielle du faisceau gé 1 calé. 168 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Racle. Ilénit- plégie droite avec apha
égrité partielle du faisceau géniculé. 170 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Racle. Hémi- plégie droite avec aphasi
égrité partielle du faisceau géniculé. 172 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ceau interne du pied du pédoncule avec les fib
ostérieur do la couronne rayon- nante. 174 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . de la capsule interne sectionnant le faisceau
ostériour de la cou- ronne rayonnante. 170 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Cogery. Hémi- plégio gauche, sur- tout
inquième externe du pied du pédoncule. 180 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Carre. 1° Lé- sion de la partie an. te
érébral. Intégrité du faisceau do Turck. 182 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . gion du ruban de Reil médian et le bras du tub
s conduc- teurs centraux de la vision. 184 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX Cas Dautriche. Hémiplégie gaucho avec contr
ogiques (cas Longery et Richard) diffèrent 186 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . des cas Pradel et Rivaud en ce que l'anomalie
irconvolutions développées sont limitées 188 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . par un bord toujours nettement accusé, parfois
ala- miques etstrio-sous- thalamiques. 190 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Longery. Mal- formation cérébrale. Agé
alanu- ques et strio-sous- thalamiques. 19 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ventriculaire des circonvolutions sphéno-occip
1halamiques et strio- sous-thalamiques. 196 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . myélinisés, et grâce à l'absence du système de
lamiqucs et strio- sous-ilialaniiiiiies. 198 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le ruban de Reil médian (Rm) est bien développ
halamiques et strio- sous-thalamiquos. 200 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . développées de cet hydrocéphale correspondant
a- nuques et strio-sous thalamiques. 202 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . par de nombreux plis de passage, mais à direct
- Juqucs et strio-sous- thalamiques. f i ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Richard Por- encéphalie double avec ma
la face interne. Méthode de Weigert-Pal. 206 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . logue des segments postérieur et inférieur de
' mique et strio-sous- thalamiques. 208 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . bourrelet et le tronc du corps calleux font dé
la- nuques et strio-sous- thalamiques. 210 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . logue du forceps postérieur normal, mais d'un
la- miques et strio-sous- thalamiques. 212 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Richard. Po- rencéphalie double avec m
e Weigert-Pal. 2/1 grandeur nature. 214 lui ANATOMIE [DES CENTRES NERVEUX . ronne rayonnante ? Dans le premier cas, elles
la- miques et strio-sous- thalamiques. 21G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . aux deuxième et troisième segments du noyau le
. Th. Paris, 1880. - Ciiahcot. Leçons sur les mala- dies du système nerveux , 1874. - Charcot et Turnkr. Atrophie cérébrale av
de Biologie, 1862. - Ciiarpy. Traité d'Anatomie humaine du système nerveux , 1894. - CORNIL. Noie sur les lésions des nerfs
d. franç., 1879. - F. A. Longet. Anatomie et physiologie du système nerveux . Paris, 1S'r, - J. Luys. Recherches sur le systèm
erveau, 1877. LGUURET et Gn 1T10LET. Anatomie compa- rée du système nerveux . Paiis, 1839-1857. - TU. Meynert. Vom GeMme der S
ologie und Thérapie der Geistesknankheiten. 18 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Braunschwcig. Scuohowshc. Ueber anatomische Vc
du membre supérieur. Centro du pouco. 220 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . convolutions pariétale et frontale ascendantes
férieur. Centre facial su- périeur. 222 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Mouvements con- jugués do la tête et des y
ricule latéral et siège à droite à l'union 224 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Représentation corticale bilatérale du fac
ptiformes (Bicêlre, 1894). Voy. J. Déjerine. Séméiologie du système nerveux . In Bouchard, Traité de pathol. étz., T. V, p.
on cottju- guée dota tète et des yeux. 22C ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Centres laryngés bilatéraux distincts pour
lorsley et Schafer (Philos. Trans., 1887). 228 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Zone motrice de l'urang. i Zone des memb
mouvements d'uno IDPIne articulation. 230 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Zone de la face. Sa division chez le macaq
unilatérale do ses centres secondaires. 232 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Centro cortical hi- latéral pour la langue
onnées dans l'ordre général suivant : -. 234 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 2ho Localisations motrices capsulaires ch
S DE PROJECTION DE L'ÉCORCE CÉRÉBRALE. 235 236 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les lésions do la zone rolandique s'ac- co
sens spéciaux vue, ouïe, goût, odorat. 238 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son interprétation. Localisation et étendu
tie posté- La sphère visuelle de Munk. 240 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Projection réti- nienne corticale. Centre
r le domaine do la scissure calcarine. 242 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa destruction pro- duit l'hémianopsie. Ca
es a été écartée afin de montrer le segment antérieur de l'appareil nerveux visuel : bandelettes optiques chiasma, et nerfs
G première circonvolution limbique, - ni, 24'r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Elle peut s'accom- pagner d'hémtachro- mat
gage. Ses trois contre^ secondaires. 248 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Toute altération do la zone du langage ret
t que la zone du langage est lésée ou non, introduite en pathologie nerveuse par l'un de nous, repose sur l'examen clinique
sé pour les mouvement') de l'écriture. 250 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 249. - Les connexions de la zone du langa
ndante et par conséquent ne peuvent repro- 252 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Troubles moteurs. Leurs caractères. Ils ne
ésion est bilatérale et symé- trique 2'i 1 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les monoplégies s'observent rarement à la
là une question d'irritation bien plus que de destruction de tissu nerveux ; Gowel', avait déjà fait remarquer du reste que
géné- ral par une henu- plégie banale. 256 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le carrefour sen- sitif do Charcot. L'hémi
tion de l'hémianesthésie cap- sulaire. 258 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Kilo relève d'une lésion du thalamus dans
Investigation into the Arrangement of the 260 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . excitable fibres ofthe internai capsule of tle
Souso. Les fonctions du cerveau. Paris, 1892. - Du même. Le système nerveux central. Structure et fonctions. Paris, II vol.,
étés de l'Aphasie. Cécité verbale. Progrès 262 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . médical, 1883, p. 23, 27, 44<, 521, P39. -
c- tives superficielles. Leur origine. 264 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Leur trajet. Strie olfactive ex- terne.
. Leur trajet. Leurs terminai- sons. 266 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . olfactives profondes poursuit son trajet antér
aisceau septo- thalamique. Son trajet. 268 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Scbeidewand) ; par Ad. Meyer, sous celui de fa
aa scnllcircula- ris. Sa constitution. 270 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son trajet. t. Ses rapports. Ses connexion
ance grise centrale. - Zr, zone réticulée. 272 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses connexions tlialamiques. Système du tr
nerf moteur oculaire commun. TOME Il. 1S 274 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fimbria ; i corps bor- dant ou bordé. Fibr
r postérieur du trigone. Son trajet. 376 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Los fibres trans- versales ou commis- sura
me nôvrogli- que intertrigonale. i 2T8 S ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son contingent am- monique : Alveus in- tr
tingent ex- til.1,1 lll ! llon iq tie. 280 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les libres perfo- rantes du corps cal- leu
- VI, ventricule latéral. Leur origine. 282 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . cules. En réalité, il s'agit ici soit de radia
n origine. Son trajet. rihcrantéftour. 284 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son trajet. trigone diminue de volume et s'a
nculaire. Son aspoct sur les coupes. 286 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses fascicules aberrants. leur direction (
re et du faisceau occipito- frontal. 288 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La dégénérescence do l'alveus et de la fimbria
re et du faisceau occipito- frontal. 290 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . thalami du même côté (Fig. 269), qui ne peut ê
eure et du faisceau occipito- frontal. 292 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Chab. Plaque jaune du pli retro- Innbi
ment postérieur de la couronne rayonnante. 294 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les segmonts in- térieur et supérieur de l
Alveus ealraven- culaire. Psalterium. 296 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . l.o psalterium ven- tral de Ganser. Lo psa
sement sous-thala miquo postérieur. 298 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . . Le ganglion interno du tubercule mamil-
mamil- ]aire principal. Son trajet. 300 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses deux brandies de bifurcation. Le faisc
e commun. Le faisceau de'%'icq d'Azyr. 302 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa terminaison dans le noyau anté- rieur d
jet et ses terminaisons chez le lapin. 304 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . del corpo calloso e del psalterium. Rivista di
isine de celle de l'écorce cérébrale. On y trouve : 1° des cellules nerveuses et des cellules névrogliques plongées au sein d
nt leur origine dans le corps strié ou s'y terminent. 1° Cellules nerveuses . - Les cellules nerveuses sont pourvues de nom-
rps strié ou s'y terminent. 1° Cellules nerveuses. - Les cellules nerveuses sont pourvues de nom- breux prolongements proto
et sont couvertes d'épines et d'aspérités ; TOME Il. 20 Cellules nerveuses . Cellules à cylindre a\o court ot à den- tr
e a\o court ot à den- trites velues. 306 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules à cylindre- axe long et a trajet
rsent souvent le segment antérieur de la capsule inlerne. 2° Fibres nerveuses . - Le corps strié possède de nombreuses fibres
cellules de Golgi et des cellules à cylindre-axe long. Les fibres nerveuses qui prennent leur origine dans le corps strié son
diations striées .i trajet descendant. 308 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres terminales. Le noyau caudé et le pu
on complexe et sou- vent fort élendue. Les cellules et les fibres nerveuses du corps strié sont plongées au sein d'un feutr
e Golgi. Dans ce feutrage entrent encore les dendrites des cellules nerveuses du corps strié et les prolongements des cel-
corne sphénoïdale du ventricule latéral. 310 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fig. 282. - Coupe sagittale passant par les tr
V. Monakow a noté la diminution de volume et de nombre des cellules nerveuses du corps strié; Marinesco, à l'aide de la métho
déterminent qu'une atrophie en masse. 312 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le faisceau occi- pito-frontal n'est pas u
corps do Luys; intégrité du putamen. 314 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . la partie du ruban de Reil situées au-dessus d
obus pal- lidus et du corps do Luys. 316 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Hilaire. Plaque jaune du pli courbe du
antérieur des vertébrés infé- rieurs. 318 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Difficulté d'étude de ce système de fibres
nt yov- térieur de la capsule interne. 324 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Radiations strio- thalamiques. émergence u
hode de Weigert-Pal. 10/1 grandeur nature. 326 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les radiations strio - sous -thalami - '[t
par une couche de substance grise riche en volu- mineuses cellules nerveuses , qui appartient à la substance innominée sous-l
thalamus ot la capsule du noyau rouge. 330 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Dégénérescence des radiations striées cons
diaire en amont des lésions primitives. 332 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Dégénérescence en aval. Trajet des radia-
rougo et de sa cap- sule de fibres. * 334 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Ronse. 1° Lé- sion sous-corticalo sous
au rouge et de sa cap- sule de fibres. 33G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . remplis de corps granuleux (H, Fig. 296 et 297
e pas de fibres dans la voie TOME II. 22 338 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La dégénérescence des radiations striée",
rne du pied du pédon- cule cérébral. 31O ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Gardette. Dou- ])le lésion de l'hémi-
terne du pied du pédon- cule cérébral. 342 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cas Gardette. Dou- ble lésion de l'hénu- s
, Bd. VII, 1877. - VAN GEnucnrEX. Contribution à l'élude du système nerveux des Téleostéens. La Cellule, t. X, 1893, fasc.
le locus niger ne sont pas démontrées. 344 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les noyaux du thalamus. Les noyaux intrin-
ow (1su) enfin, se basant à la fois sur les dimensions des cellules nerveuses , leur groupe- ment et les connexions des différ
lés externe et interne et le ganglion de l'habenula. Les cellules nerveuses des différents noyaux du thalamus appartien- ne
es-axes courts ne serait pas démontrée chez l'homme. Les cellules nerveuses du thalamus présentent des formes variables. Le
cellu- laires des noyaux thalamiques. z46 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le feutrage inter- cellulairc. Noyau antér
face supérieure du thalamus (Fig. 310 et 7, p. 10). Les cellules nerveuses du noyau antérieur (Na) sont petites, étoilées et
dédouble- ment du stratum zonale, est caractérisé par ses cellules nerveuses volumineuses, ainsi que par la richesse de sa s
\T03'au interne. soit Sa structure. 348 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 310.- Coupe sagittale-des ganglions de la
do Luys, dépendance du noyau interne. 330 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa structure Ses connexions avec la cortic
noyau, on trouve un petit groupe très bien différencié de cellules nerveuses , le noyau Il grandes cellules, nucleus magno-cell
remarquable, comme son nom l'indique, par le volume de ses cellules nerveuses multipolaires. Il se retrouve également chez l'
supérieur et la for- mation réticulée. 352 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Lame médullaire interno. Sa lamo supplé-
e constamment, dans la lame médullaire interne, de petites cellules nerveuses , et quelques rares cellules multipolaires plus
pas encore élucidée. La plupart proviennent évidemment des cellules nerveuses situées dans la lame médullaire interne, ou adj
yau externe. Son aspect. Son étendue. 3Cî4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses rapports. Fig. 304 et 305). Ce n'est que
e : 11) avec la corticahté cérébrale ; 356 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . 2° a^ ce le corps strié ; : ! avec la région
llulipète et peut aller jusqu'à la disparition complète de la fibre nerveuse lorsque la lésion est ancienne ou remonte à la
Son aspect dans la région du pnh lI1ar. 358 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ts o va semi-lu- naire de Flechsig, dépend
mentaire divisant en deux segments le seg- 360 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les cellules ner- veuses du noyau ex- tern
ostérieure du pied du pédoncule cérébral (v. Monakow). Les cellules nerveuses du noyau externe sont en général volumineuses,
t un peu spécial. Dans la zone réticulée ou grillagée, les cellules nerveuses sont petites, entourées d'une substance fondame
u voisinage du centre médian de Luys, la disposition des cel- lules nerveuses est autre. Elles sont, ainsi que v. Monakow l'a i
Pulvinar. Sa situation. Ses rapports. 362 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le champ triangu- laire de Wernicke. Strat
é externe. - Ci, corps genouillé interne. 36'r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules nerveuses du pulvinar. 16 Cing,
ps genouillé interne. 36'r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Cellules nerveuses du pulvinar. 16 Cing, cingulum; Ciccg(p), s
vinar contient, comme les noyaux externe et inlerne, des cel- lules nerveuses multipolaires et étoilées, de dimensions variable
Corps genouillé externe. Son aspect. 366 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa structure la- 1H('I1.lII'C. Ses rapport
qui se mettent en relation avec un nombre considérable de cellules nerveuses (Fig. 314 c, D). Les fibres profondes travers
u- laire du corps po- nouillé externe. 368 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses connexion avec la zone visliell cortic
le quadrijumeau antérieur (Voy. Nerf optique, p. 419). Les cellules nerveuses du corps genouillé interne sont analogues à celle
exions multiples do la couche optique. 370 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Connexions avec la corticalité céré- brale
cas Les fibres thala- mo-corticalcs. 372 2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . » Counexionsavcclc corps strié. Connexio
Cas Longery, p. 186, Fig. 197 a 212.) 374 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Elles s'ellectuent t par le faisceau tim-
eure. Ses parties dorsale et ventrale. 37C ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La commissure postérieure no reçoit pas de
an,Lou dc 1·Ia- I)CI111l'i. Situation. 378 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa valeur phylogé- nétique. Ses connexions
u rétroflexe de Meynert. \ oyau interne. 380 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Noyau externe. Tréma thalami. Son aspect s
tlia- la1111 avec le trigone cérébral. 382 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Lotheisen, Kolliker., avait déjà été signalée
sure inter- habenulaire. Sa situation. 384 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Elle no doit pas être confondue, avec la c
oculaire commun : Nm, son noyau d'origine. 386 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses deux espèces de libres. -- Leurs lieux
sons des fibres du faisceau rétroflexe. 388 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Cellules du gan- glion intcrpddoncu- lairc
ucture lyni- phoidodolagtando pinéale. 390 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses libres ner- vcu,esappartiennent au sys
ert et à llage- mann qui considéraient cet organe comme un ganglion nerveux . D'après Bizzozero, un certain nombre de ses ce
contiendrait de nombreuses cellules névrogliques. Quant aux fibres nerveuses de la glande pinéale, admises par Meynert, par
mmissure inlerhabénulaire ne lui abandonne aucune fibre. Les fibres nerveuses sympathiques forment, d'après Cajal, dans l'épa
inal (Cajal). Entre ces rameaux on trouve quelques petites cellules nerveuses , analo- gues aux grains du cervelet, pourvues d
t de la commissure inteihabénulaire, mais vehrésenterait un tractus nerveux distinct provenant non du trijumeau, ainsi que de
wllI ? s. forphol. Jahrb. Bd. VU, 1881. - V. GEHUCtfTËN. Le système nerveux de l'homme. Lierre, 893. - Honegger. Vetgleiche
logique suisse, t. V, 1890. Genève. - Luys. Recherches sur le système nerveux cérébro- spinal, avec Atlas. Paris, 1865.- Marc
., n° 5, 1886. - VAN Gehuchten. Contri- bution à l'étude du système nerveux des téléostéens. La Cellule, t. X, 1893. - GULDEN
ebelo, etc., XVIII. Glandula pinéal. Madrid, 189. CHARpY. Sys- tème nerveux , p. 3 ? 1-3 ? G, in Traité d'Anatomie humaine de
er Neurologie. Erlangen, 1881, p. 471-474. 392 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . III. - RÉGION SOUS-OPTIQUE La région sous-
ure. Sa face interne. Sa face externo. 394 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son sommet et sa base. La couche dorsale
one réticulée. - Il, bandelette optique. 396 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La zona Il1certa, dépendance de la zono ré
'il doit à sa richesse en capillaires et au pigment de ses cellules nerveuses ; sur les coupes traitées par le carmin, il pré
Surlescoupesver- tico-transversales. 398 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . puis diminue graduellement et. disparaît sur l
De sa face ven- trale. De ses bords. 400 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . De ses extrémités, Connexions du corps de
édiaire do la commissuro de Mey- nert. 402 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Avec la bande- lette optique et le chiasma
dense feutrago de fibres à myéline. ·'e04 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Scsccilulcsmuht- polaires et étoilées. La
e contient de nombreuses cellules névrogliques et quelques cellules nerveuses disséminées, plus nombreuses et plus volu- mine
s cellules ppcn- dymaires. Les libres. 406 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Commissures du plancher du troi- sième ven
ouche optique. - II, bandelette optique. 408 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les fibres du fais- ceau longitudinal post
de Luys et le ruban de Reil mé- dian. 410 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Elle représente vraisemblabl e m e n t une
té générale. Tlièse. Paris, 1899. - Luys. Recherches sur le système nerveux cérébro-spinal, avec Atlas. Paris, 1865. - liax
s cornets et de la cloison des fosses nasales. Ce sont des cellules nerveuses périphériques et disséminées, non groupées en c
e olfactif Voies olfactives centrales. 414 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Leurs relais gan- glionnaires. Le bulbe ol
outre quelques fibres ric. 326. - Schéma de la marche des courants nerveux dans l'appareil olfactif des mammifères (d'aprè
lamique. Txnia semicurcu- laris. t 416 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . commissurales qui, passant par la commissure a
et 1893. -Du .même. Les nouvelles idées sur la structure du système nerveux chez l'homme et chez les vertébrés. Trad. par S
chez les mammifères. La Cellule, 1891. - Du même. Anatomie du système nerveux de l'homme, z édition. Louvain, 1897. - et CAST
schen und den 1Yil'belthiere. Halle, 18G2. - TaoL,nn. De l'appareil nerveux central de l'olfaction. Arch. de Neurol. 1890-189
anches de division de la bandelette. 420 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 328. - Les voies conductrices de la visio
es a été écartée afin de montrer le segment antérieur de l'appareil nerveux visuel : bande- lettes optiques, chiasma, et ne
ur les doux segments dos voies optiques. 422 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les connexions de la rétine avec l'encé- p
e une atrophie du segment antérieur, extra-cérébral de l'ap- pareil nerveux visuel. Les dégénérescences secondaires consécuti
r- tiairement au segment postérieur. Chaque segment de l'appareil nerveux visuel comprend donc un neu- rone indépendant,
rétines, de telle sorte que toute lésion destructive de l'appareil nerveux visuel située en arrière du chiasma, qu'elle si
a centralis), les cellules gan- glionnaires et, partant, les fibres nerveuses font complètement défaut, la rétine très mince
es, s'entassent en 7 à 9 couches et donnent naissance à un faisceau nerveux volumineux, le fais- ceau des fibres maculaires
. / La constitution du nerf optique. 424 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa trame névro- qliqnc. Trajet des fais-
l'homme, démontrent que, dans le segment antérieur de l'ap- pareil nerveux visuel, les faisceaux qui proviennent des différe
olatérale, et une partie nasale ou croisée 426 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le faisceau nasal. Indépendance de ces fai
faisceau na- sal. Les fibres en anse. 428 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Trajet du faisceau temporal ou direct. ira
ection corticale en ilni de la macula. 430 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les fibres pupil- laires du nerf opti- que
e l'oeil. Fibres optiques centrifugea. 432 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Connexions dou- teuses des voies optiques
on xistelice (1011- teuse chez lïl0trmc. 434 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Gehirns. Upsala, 1890-1892. - v. KÔLLIKER. Han
u. Ner- venheilk, 1898, 31. - Nicvn. De la distribution des fibres nerveuses dans le chiasma des nerfs optiques. Arch. de ph
93. 1884. VIOLET. Les centres cérébraux de la vision et l'appareil nerveux visuel intracérébral. Th. Paris, 1893. - Vnzou.
supérieure. ; échancrure mar- supialc. 438 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ]il ci semi-In- nau P. Vermis supérieur.
. w Face inférieure. Vallée de Reil. 440 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . \'rrmi infriear. ? Parties consti- tuantes
. , Grande circonfé- rence. Bords. 442 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les [bords très épais, obliques en arrière et
du 41- ventricule. Hile du cervelet. 444 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . giilièrenient arrondie du volumineux pédoncule
hémisphères. Sillons supcrli- ciels. 446 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ils délimitent les lames et lamelles des l
mordiaux. Lf ? 10\'( ? ? ccon daires. 1118 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Homologie em- bryogénique. Mode d'agence
le développement du vermis (V) est rudi- 1050 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Mode propre au lobe postérieur. Mode propr
urs caractère communs. Sillons limitant 4M ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fig. 336. Les lobes primordiaux et les seconda
lanta- tion. Ses lames et la- mellco. 4o ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . lamelles sont nettement transversales, parcour
indi- valusetsurun même hémisphère 4 : ;8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . supérieur gauche, puis s'élargit brusquement e
e, dimension, aspect caractcrb- tique. 460 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les faces. Les lobules secon- daires de sa
Lobe postérieur. Dimensions. Limites. 462 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . ne, cloppement ru- dimentairc de la l'('8ï
férentiel. Sa prolondeur, son étendue. 464 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses variétés mdi- viduelles. on constate q
erminal. : : Son aspect, ses dimensions. 466 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses faces. Lames et lobules secondaires.
be semi-lunaire inférieur. Son aspect. 468 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sa subdivision par le sillon semi-lunaire.
inférieur. Itomologf em- bryologiqno. i/70 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . sillon post-pyra- nudal. Sillon pré-pyraml
digastrique. Lobe inréro -111- terne. 4ï2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Luette. Aspect, dimen- sion. tière ouver
amygdale. Nid d'hirondelle. Amygdalos. 474 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Base tl'lml'lulItu- Base d'implanta- tion
transversales. Lobe inféro-anté- rieur 476 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Module. Situation profonde. Faces. ou ve
on dcs valvules. Flocculus. Situation. 478 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Flocculus acces- soire. Il concourt iL for
let de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux cérébro-spinal. - Henle. Handbuch de;' Nervenle
culus. Forme. Limites. Direction. 480 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Configuration exté- rieure. Face antérieur
éré- ]¡f'UCUX mo,) ('Il. 1 1 l 1 482 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Aspect de la région pontine. StDaLiontrans
bulbaire. Sillon médian an- térieur. 484 .ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Pyramides anté- rieures. Leur déenssation
Oh\c bulbaire. Fossette sus-oh- vaire 486 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Vol uni o. Sillon olivaire in- trn. Sill
Constitution. Pcdoncnicscurc- elleux 488 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres arciformes me. Vah ule de Viens-
iguration. Sillon médian pos- térieur. 490 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Pyianudes posté- rieures. Noyau du l'ordol
tnc('\ln leycntricnh'. Forme. Etendue. 492 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Epaisseur variable suivant les régions et
fait l'office d'une véritable membrane de soutènement. La membrane nerveuse proprement dile est épaisse chez le foetus et pen
A sa périphérie elle est formée par de minces et blanches lamelles nerveuses , atrophiées, variables dans leur forme et leur
guettes do la mem- brane obturatrice. 491 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Segment vertical ventriculaire. Segment an
paisse et pourrait à un examen superficiel être prise pour un tronc nerveux . Le plus souvent elle se comporte comme la ligu
sant suite à la valvule de Tarin, une mince languette ou bandelette nerveuse , que l'on peut désigner sous le nom de tænia ou
e repli pie-mérien sous-tend plus ou moins la partie membraneuse et nerveuse du diverticule. Lorsque celle-ci est ferme et p
e prépara z tion. 'Trous le Lu...c'hka. 4M ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Plexus choroïdes du te ventricule. Quatriè
ricule d'Alau- tius. Funiculi teretes. 498 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fossettes su pé- ricm'cctinfcricnrc. Aire
d jus- qu'à l'aqueduc de Sylvius et renferme de nombreuses cellules nerveuses fortement pigmentées. Les fossettes supérieur
'as- pect du plancher du le ventricule 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les trois régions du jnlanchcr. Région sup
Direction. Diverticule angu- lairo. 502 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Diverticules laté- raux. 1,0 plancher. L
t sur le corps resli- forme, on trouve constamment deux bandelettes nerveuses , rudimen- taires, plus ou moins développées, le
t de l'anatomie, de la physiologie et de la patho- logie du système nerveux cérébro-spinal. Paris. Henle. llandbzech d. Ne7·U
s axes des lobes dé- pourvus d'écorce. 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Substance blanche centrale. Ses prolongeme
s supérieur. Centre ovalo du cervelet. 508 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Aspect do la sub- stance blanche cen- tral
'Azyr. - sla, sillon transverse antérieur. 510 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Arbre do vie du lobe médian. Modifications
tales. Noyaux dentelés accessoires. .;i2 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Noyaudubouchon. Noyau du bouchon (Nem). Embolu
ive cérébelleuse. Olivo cérébelleuse. 514 ik ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Situation. Forme. Direction. Votume dans
ubérance un peu au-dessus du sillon bulbo- 516 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Hile de l'olive cé- roheticuso. Substance
voie pédonculaire et les pou- tiques. 518 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . voisinage du plan oblique passant par l'émerge
x tiers iupéneurs de la pro- ubéranco. 520 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Mntrc-crooment des libres protubé- l'antlc
postérieur de la capsule interne. - Cirl, 522 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Disposition géné- rale. Ses trois segments
opposôctsacapsu)' de fibres. oyaurouo. °6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Situation. Rapports. Aspect général. Cap
ial. - 1-ll,, quatrième segment du facial. 528 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Trajet. Connexions. Aspect général et ra
res arciformes dorsales TOME II. 3k > 530 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres arciformes céréhello - olivaires pr
le de 1 olive Feutrage intra olivaire. 532 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Capsulede l'olive. les dentelures delà face
ndue. Son c\tmmte lu- férieure coudee. 534 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les deux régions longitudinales du tronc e
ntéro-m- terne do la 1'O'l1ho- raneo. a3fi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Elle s'effectue de haut en bas, et cle dedans
ant dans le bulbe : faisceau pyramidal. 38 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Happol't> du fais- ccau y3 ramidal avec
intcr-olivairc et l'o- livo bulbaire. 540 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX Avec le noyau juxta-olivaire in- terne et l
u sein d'une substance grise riche en névroglie, pauvre en cellules nerveuses . Les fibres transversales de laprotu- bérance e
l. Fibres aberrantes postéro-externes 4 Il ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 374, 375, 37G, 377. -- Les fibres aberran
du raphé bulbaire. (Méthode de Marchi.) 546 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres aberrantes protubérantielles. céréb
é générale. Thèse de Paris, 1899, p. 224). 548 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Inc. 385 à 391. - Mode de décussation du faisc
un petit Fibres aberrantes bulbaires. 550 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibies pyramida- Us loniolatérale% superfi
ibres radiée 2° Voios cérdlhe (e1150s. 552 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . 3n Substance grise centrale et ses no) aux
on rétl- culée du segment pédonculaire 554 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son étendue. Son aspect et ses rapports.
s pé- doncules cérébelleux supérieurs. 556 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le noyau central supérieur lièrement riche
édonculawe. - Il', nerf pathétique. M : j;j8 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . coupe Hl, Fig. 394); sur quelques coupes, corr
région lorotubbran- tielle inférieure. 500 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . réticulée cesse d'occuper toute la largeur de
, branche vestibulaire du nerf acoustique. 562 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le noyau central inlérieur. La formation r
sceau central de la calotte et.le faisceau 364 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . 1 ? rniation rétieu- 1('(' blanche. l'o ma
gastrique. XII, nerf grand hypoglosse. ! ;66 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son aspect dans la région bulhalro moyenne
i lemniscus. Synonymies du lacpieus. 5ï0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . S) nonynncs de la pni-tio supérieure du ru
aux d'ori- giiio du ruban de Reil. S-72 -) ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . aux noyaux du corps restiforme (coupe H13, Fig
gment ov- terne ou noyau de Monakow. : ii4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son segment m. terne ou masso I)rjn- clpal
e segment ou segment horizontal du facial. 518 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ruban do Reil latéral. Les libres aber-
an de Heil dans la région tous- optiquc 80 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres croisant le ruban de Reil dans les
i- veau du 110) au du nerf pathétique. 582 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son aspect dans la région protubéran- ticl
é se rendant dans les noyaux du trijumeau. z84 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son aspect dans la région bulbaire. sa fus
uc und Leben des Gehirns. 3 Bd. Leipzig, 1819-1820. - Charpy. Système nerveux in Traité d'Anal, humaine de P. Poirier, T. III
eife. in Reil und Autenrieth, Arch. f. die 586 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Physiologie Halle, T. IX, 1809 p. 485 et 505.
f. Psych., XXI, 1890, p. 897. - Sappey et DUVAL. Trajet des cordons nerveux qui relient le cerveau à la moelle épinière. Ac
s faire double emploi avec les coupes SI 588 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . et S2 (Fig. 408 et 410), le vermis, sectionné
grêles et courts des lames et lobules plus 590 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 408. - L'arbre de vie du vermis, la forma
correspond en effet à la section du sillon 592 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . longitudinal médian et du raphé. En bas, au vo
u bulbe, et l'olive bulbaire tome Il. 38 594 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . (Oi), qui se présente sous l'aspect de quatre
glosso-pharyngien ou faisceau solitaire. 59fi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . quelques fibres du pédoncule cérébelleux supér
'acoustique le long du noyau de Deiters. 598 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . l'olive bulbaire, représente les noyaux latéra
cérébelleuse qui tapisse ce profond sillon 602 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . du globe grêle (slg, coupes S 5 et S 6, Fig. 4
VII, fibres radiculaires du nerf facial. 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . centrale, des noyaux accessoires de l'olive cé
Rolando (SgR). Les fibres longitudinales G06 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . qui la bordent en arrière et en bas appartienn
le, a disparu et la partie hémisphérique 608 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fic. 414. - L'arbre de vie de la région de tra
de la branche cochléaire du nerf auditif. 610 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . lunaire inférieur s'étalent de même à leur bas
'aspect de trois, quatre ou cinq lobules 612 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . d'autant plus volumineux qu'ils sont plus anté
1', nerf trijumeau. - 1-11, nerf facial. 614 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . tiennent à la couche des fibres semi-circulair
apport à l'axe longitu- dinal du bulbe). 616 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . COUPES HORIZONTALES OBLIQUES INTÉRESSANT LA
ment en arrière de l'aqueduc de Sylvius. 618 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . parallèles sur toute l'étendue antéro-postérie
-croisent sous des angles plus ou moins z620 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . obtus, sillonnent la substance grise de la pro
de Vieussens. \VK, quatrième ventricule. 622 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Sur les coupes P3 (Fig.421)P4(Fig. 422), la dé
oie pédonculaire. - IV, nerf pathétique. 624 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . transversales, les fascicules les plus petits
al de la calotte (Fcc). TOM ! : Il..\0 626 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Un noyau angulaire, le noyau circonflexe (Nef)
iveau du raphé. Les fibres sagittales du G28 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . FiG. 423. - La calotte et l'étage antérieur do
rtenant au ruban de Reil laléml j elle est 630 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fir. 426. - Coupe verticu-transversale de la c
et ainsi s'explique la surface de section semi-lunaire de ce tronc nerveux . La comparaison de cette coupe avec la coupe ve
ine motrice descendante (Vd) du trijumeau fi32 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX qui apparaît encore avec sa surface de section
on- culaire. - li, quatrième ventricule. 634 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . le noyau de Deiters situés au niveau de l'angl
du facial. - T's, quatrième ventricule. 636 6 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . (Oc), passe au-dessous des noyaux du trijumeau
eau, qui correspond au hile du cervelet, 638 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . les fibres du pédoncule cérébelleux inférieur
nsitive descendante du trijumeau (Vsd), en 6t0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . arrière des fibres transversales profondes du
oyau du facial (Nvn) et de la TOME II. 41 6H ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . grosse racine sensitive descendante du trijume
tal du facial. - V,, quatrième ventricule. 646 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . filent en arrière au voisinage de la région de
bouchon et l'olive cérébelleuse. - Coupe 648 - ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . horizontale C 3, du rhombencéphale, sectionnan
et avec la calotte. Coupe horizontale C 4 'G50 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . du rhombencéphale sectionnant le tiers inférie
upe horizontale C 5 du rhombencéphale pas- 652 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . sant par l'extrémité antérieure du vermis infé
du ilocculus. Le quatrième \entricule, ses 654 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . diverticules angulaire et latéraux. Coupe hori
e du flocculus (PFloc), petit faisceau - 6'i(i ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . compact dont les fibres fortement colorées par
entricule. Le corps resti- TOMEM. 11. 42 638 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . forme et les fibres arciformes cérébello-oliva
tion rectangulaire et sont plus nombreuses 660 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . sur cette coupe que sur celles de la région pr
quatrième ventricule a la face postérieure 062 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . de la pyramide, elle est essentiellement const
de la pyramide, elle est essentiellement constituée par des fibres nerveuses et connue sous le nom de formation réticulée bl
baire et la pyramide antérieure du bulbe. 6fi4 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . - Coupe transversale H9 passant par la ligne H
) qui fait saillie sur le plancher du qua- 666 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . trième ventricule au-dessus du noyau de l'hypo
ntricule. - IX, nerf glosso- pharyngien. 668 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . inter-olivaire de la formation réticulée blanc
eumogastrique. XII, nerf grand hypoglosse. 670 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . s'épuiser pour la plupart dans les travées gri
t se termine dans le vermis supérieur. 672 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le corps juxta-resliforme (Cj) est à peine rec
n qu'il n'existe encore il TOME II. 43 674 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . cette hauteur aucune indication permettant d'é
ette coupe intéresse la partie inférieure, 616 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . fermée, du bulbe au niveau de l'obex et du ven
umeau. - xpin, cntre-croisemenl piniforme. 678 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . prend le faisceau de Gowers et le faisceau cér
Y7. nerf spinal. - XII, nerf hypoglosse. 680 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le sillon longitudinal postérieur se réduit un
. On trouve néanmoins, toujours dans cette 082 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . région, des amas irréguliers de substance gris
e, mais qui déjà appartiennent au cordon 681 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . antéro-latéral de la moelle (CI). La substance
ndante du trijumeau. - 1'l, nerf spinal. 686 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Le noyau de Goll (NG) affecte une forme en mas
trijumeau. ? décussation des pyramides. G88 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . voit, à droite comme à gauche, des travées gri
ando. ,1'1' ! J. décussation pyramidale. 690 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . les deux cornes postérieures diminuera; en se
use. Son épaisseur. Ses trois couches. 692 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . lulaires, soit] des ramifications dendritiques
e ou astrocyte de la substance blanche. fi9r ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Son noyau. Ses prolongements dendritiques.
par les réactifs colorants. A l'encontre de la plupart des cellules nerveuses , la cellule de Purkinje ne contient que de très
nt perpendiculaire au etsont orientés dans 696 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ses collatérales. Couche mtcmo Les grains
rains disséminés ou égarés. Golgi a démontré le premier la nature nerveuse des grains. Cajal, dont les recherches furent c
du névraxe. Les grains (Fig. 457) représentent de petites cellules nerveuses , arrondies ou anguleuses, de G à 10 p., formées
type Il de Golgi de la coucho interne. 698 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . La couche externe couche intermédiaire, aux
e-axe de la cellule du type 11 de Golgi. 700 ' ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les grandes cellu- les etoilées etlesiiids
-pie-mérienne et occupe de ce chef une place à part dans le système nerveux central. Elle constitue en effet ainsi que Golg
empanachée et les libres de Berg- mann. 02 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les cellules arai- gnées de la substance b
nt fort étendus et en général parallèles à la direction de la fibre nerveuse . Ce sont là, du reste, des caractères communs -IL
v. Kôlliker, aux fibres parallèles de Cajal, c'est-à-dire aux fibres nerveuses des grains du cervelet. Si le quart ou le cin
sont toutes d'origine pur- kinjicnnc. 704 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Les fibres termi nalesou centripètes. Fibr
e Cajal. III/" libres 11lUllllC de Cajal. '706 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Ces deux variétés de libres représen- tent
428 à ! a0) et, Coupes C3 à C6 (Fig. 31. à li-a-7).] Les cellules nerveuses occupent les mailles d'un feutrage de fibrilles
ncules cérébelleux supérieur,moyen ou inférieur. Entre les cellules nerveuses , on rencontre des fascicules plus ou moins lâch
lules multipolai- res du noyau du toit. i 08 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres de la sub- stance blanche du cervel
ur va- riable suivant les ré- gions. 710 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fig. 463. - L'écorce cérébelleuse du lobe supé
stance blanche centrale du cervelet. 7m t) ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Système des feu- tl'ago5U1tl'a r.t c'\.11'a-
LA SUBSTANCE BLANCHE DU CERVELET ", .¡. 71G ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Fibres semi-circu- laires externes. Leurs
de la branche cochléaire du nerf auditif. 718 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . Aspect des fibre semi-circulaires ex terne
axes du lobe central et de la lingula. 720 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX . (fsme) qui se présentent sur les coupes sagitt
51 (1891) Archives de neurologie [Tome 22, n° 64-66] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Vol. XXII. Juillet 1891. N" 64 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hospice de la S1L.I ? fItIItC. M. le professeur
CUMUL DE FACTEURS ETIOLOGIQUES : TRAUMATISME, ALCOOLISME, HÉRÉDITÉ NERVEUSE , · Leçon recueillie par Georges GUINON, ' Che
ces deux agents dans le développement et l'évolution des accidents nerveux : cumul des agents provocateurs. Messieurs,
que jour un motif d'étonnement, a Archives, t. XXII. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . pris- une place importante dans la clinique de
s si t hôpital ,Sainl-Imlré clc Bordeaux, '1'11. 1890. 4 CLINIQUE NERVEUSE . chester ont beaucoup contribué faire avancer l
rau- matismes jouent ici un grand rôle, sans compter l'héré- dité nerveuse . Dans les petits centres, sans aucun doute, cel
est le reflet d'une attitude préalable, d'une résolution " CLINIQUE NERVEUSE . prise a priori qui pourra rendre difficile peu
e causes provocatrices diverses à démontrer que, ainsi 8 CLINIQUE NERVEUSE . que je le soutiens depuis longtemps, l'hystéri
i la révèlent, mais bien dans la prédisposition que crée l'hérédité nerveuse . Mais avant de traiter les différents points qu
. 1. Anesthésie dans le domaine du facial inférieur. ' -10 CLINIQUE NERVEUSE . les deux yeux, sans scotome central. Le goût,
plus vraisemblable- ment dans celui de l'alcoolisme. '12 CLINIQUE NERVEUSE . Maintenant c'est sur les caractères de la para
s on panalysis, etc. 1° édition. Loiulon, 186, p. 20. li CLINIQUE NERVEUSE . souvent tordue, enroulée sur elle-même et le m
décidée, appelé des recherches précises sur ce point de pathologie nerveuse . Les résultats de ces recherches, sans être enc
0. J Chantemesse. sou. ucérl. cles h(ili., 1890. 16 () ' CLINIQUE NERVEUSE . chez l'homme. Il faisait remarquer que, dans t
duisent jamais bien nettement. .\1\CI11HS, L. XXII. 2 18 CLINIQUE NERVEUSE . Passons maintenant à l'autre point qu'il convi
encore une profonde cicatrice, sans qu'il s'en suivit aucun trouble nerveux durable. 1 L'absinthe c'est « la Musc aux yeux
eux verts » comme l'appelle une chanson de carrefour. 20 CLINIQUE NERVEUSE . Il fut soigné comme blessé à l'hôpital de la P
ontre un mur qui lui coupe la retraite. Alors il tombe dans un état nerveux indicible et dont il ne peut parler aujourd'hui
mporte de relever qu'à la suite de cet accident les effets du shock nerveux n'ont pas cessé de se faire sentir pendant une
ervous shock) produit par l'accident du tonneau détermine un état nerveux permanent qui aboutit au bout de quelques mois
de grandes attaques, mais seulement de petits vertiges 22 CLINIQUE NERVEUSE . qui le prennent quelquefois sur les rangs. Aus
se n'est point là, elle est dans la prédisposition, dans l'hérédité nerveuse qui, du reste, chez notre malade est fortement
. En effet, son père ancien militaire, employé d'octroi, était très nerveux , très coléreux et s'adonnait à la boisson. Sa m
rveux, très coléreux et s'adonnait à la boisson. Sa mère irascible, nerveuse à l'excès, était sujette à des attaques de nerf
ifs à la thérapeu- tique et au pronostic. L'influence de l'hérédité nerveuse est là, sans doute toujours présente, mais on p
t plus jeune que sa femme de cinq à six ans ; celle-ci était un peu nerveuse , sujette à des migraines; a éprouvé une peur vi
cause puis- sante du dédoublement de la personnalité. PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE 11YS1');BO-TRrIUII
c solidement établi. Bien plus, la pathogénie de ces 3 ? PATHOLOGIE NERVEUSE . accidents a été formulée, et leur reproduction
isme. Thèse de Paris, 1887. . AncmvEs, t. XXII. 3 34 PATHOLOGIE NERVEUSE . terre et disparaît. D... s'imagine l'animai to
ite supérieure du territoire insensible ( : l sept.). 36 PATHOLOGIE NERVEUSE . Membres inférieurs. Motilité. L'impuissance es
Quadrillé : perte de tous les modes de sensibilité. 38 PATHOLOGIE NERVEUSE . aux deltoïdes ne sont pas touchés par l'anesth
taux : persistance de surdité à la température seule. 40 PATHOLOGIE NERVEUSE . Vision. OD. Champ visuel très rétréci, irrégul
énergiques, mais non perçues. Fig. 5. Fig. (5. 42 ? PATHOLOGIE NERVEUSE . 26. Traitement psychique. Mouvements très limi
jour. D... remue les pieds. Fig. 8. Fig. 9. Vit liez PATHOLOGIE NERVEUSE . Le 27. Le traitement psychique ayant été suspe
noté dans mainte observation), et enfin l'émotion morale, le choc nerveux produit par l'effroi qui- a été particulièrement
pour l'élaboration de la paralysie a été plus consi- 46 PATHOLOGIE NERVEUSE . dérable pour les membres supérieurs que pour l
s, froids comme dans certaines paralysies organiques. 48 PATHOLOGIE NERVEUSE . Perte de l'excitabilité électrique. Ce n'est p
onsistant d'après M. Berlaud, en mou - Charcot. Maladies du système nerveux , t. III, p. 460. CAS DE PARALYSIE DES QUATRE ME
la chorée électrique. Archives, t. XXII. 4 , , - 50 , PATHOLOGIE NERVEUSE " " Comment interpréter cette paraplégie suivie
me hypnotique, dans l'état men- tal particulier produit par un choc nerveux intense, et dans tous les états analogues où le
près le processus que nous ve- nons d'indiquer. L'intensité du choc nerveux primitif aété très énergique ; il a suffi pour
a suffi pour provoquer les attaques convulsives ; en outre, ce choc nerveux s'est reproduit plusieurs fois, ra- mené par la
laie une cicatrice lisse et ferme. Un examen soigné des fonc- tions nerveuses succédait ordinairement à l'opération. Comme je
érents grossissements, on n'a pu dé- couvrir nulle trace d'éléments nerveux ; il n'y avait ni cellules, ni fibres, mais seul
e haut et d'en bas - offrent une ramification difffuse des éléments nerveux ; des fibres nerveuses de la substance blan- che
offrent une ramification difffuse des éléments nerveux; des fibres nerveuses de la substance blan- che et grise, ainsi que l
ité paralysée, - l'absence complète de la régénération des éléments nerveux doit avoir un sens particulier : vu qu'il n'y a
s particulier : vu qu'il n'y a, dans la cicatrice,* point de fibres nerveuses , qui puissent conduire les fonctions motrices,
scope une certaine quantité de cellules ganglionnaires et de fihres nerveuses . Une année plus tard, Brown-Séquard publia un a
térale chez les cobayes; il résultait une ré- génération d'éléments nerveux dans la cicatrice. ' Hl'OWI1-SÚqnard. Régénérat
oupes de la moelle épinière démontra dans la cicatrice des fibres nerveuses dégénérées. ' Bientôt après, Naunyn avec Eichor
état de trouver des traces quelconques de régénération des éléments nerveux . En outre, dans les opérations des nos XXI et X
chiellerdecker ne trouva aucun signe de régénéra- tion des éléments nerveux . Les opérations de N. Weiss 1 d'hémisectioii de
seulement n'a pu dé- montrer une seule fois la présence d'éléments nerveux dans la cicatrice, mais au contraire, après des
n ne put découvrir dans la cicatrice de régénération des élé- ments nerveux ; chez le troisième, trente-cinq jours après l'o
ère chez les chiens il ne put découvrir de régé- nération de fibres nerveuses ; il faut donc admettre que les éléments de la
e, la question sur la possibilité de la régénération des éléments nerveux de la moelle épinière n'est pas encore définitive
l n'y avait ni restitution des fonctions, ni régénération du. tissu nerveux de la moelle épinière, et dans l'autre se produ
où sur les .. coupes prises dans la cicatrice, on trouve des fibres nerveuses ; ces dernières s'étendent sans interruption à t
titution des mouvements volontaires ni la régénération d'é- léments nerveux dans la moelle épinière (Schiefferdecker, Freus
conductrice de la moelle épinière puisse être rétablie et son tissu nerveux régénéré. De là, il est facile de passer à d'au
tre que dans ce cas aussi il n'est point de régénération d'éléments nerveux , d'autant plus que les observations de Piccolo
ls ne trouvaient dans la moelle de leurs ani- maux point d'éléments nerveux régénérés (de même que dans nos opérations pers
es). Ce n'est que Brown-Séquard qui parle de régénération de fibres nerveuses trouvées dans les cas d'hémisection chez les co
ci, ne doit avoir aucune influence sur les mouvements DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 69 rétablis de l'extrém
imentations seront analysés plus lard. (11 SMture.) DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION1 Par M. P. TROLARD, Pr
milieu d'autres. Je laisse à d'autres plus habiles et DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 71 mieux outillés que m
du tube¡' cinerium quand il n'est pas à découvert. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 73 En résumé, les conne
l existe, entre la base d'adhérence du crochet hippo- DE l'appareil nerveux central DE l'olfaction. 7." 1") campique et le
pénètrent profondément dans la couche optique et vont DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 77 Je me demande s'il n
nd volume, notamment dans sa moitié antérieure, renferme des fibres nerveuses facilement distinyuables à l'u'il nu. DE L'APPA
ibres nerveuses facilement distinyuables à l'u'il nu. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 79 où ce pilier contour
postérieur du pavillon pédonculaire. » l'lus loin, il DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 81 dit : « Nous avons d
se continuer, ' d'une autre part, au corps bordant. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 83 A la description cla
et de la branche interne de bifurcation de Fig. 13. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 85 la circonvolution go
arentes, d'autres fois plus difficiles à constater. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 87 Î Je reprends le tra
omme faisant partie de l'appareil de l'olfac- tion. DE l'appareil nerveux central DE l'olfaction. 89 bien fondé à compren
tion la station intermédiaire de la cou- che optique avec le centre nerveux . Quant aux bandelettes olfactives, bien qu'ayan
veloppement t entre le trigone et la corne d'Ammon. du l'appareil nerveux central de l'olfaction. 1.) 1 til' et un seul p
orment les cordes transversales de la lyre. 92 ANATOMIE. APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION Luys. - Le système commi
une taille et d'une force bien au-dessus de la normale. La mère est nerveuse , sujette à des névralgies et des migraines. Un
nous paraît proche parent de l'hystérie, malgré l'absence de crises nerveuses proprement dites. Nous constatons en effet chez
e a une santé délicate; une soeur de la malade a eu quelques crises nerveuses ; un de ses frères est arriéré. Nous avons soign
aladie et la mort de son père, apparaissent les premiers phénomènes nerveux : modifications du caractère, crises convulsive
struelle est toujours l'occasion d'une recrudescence des phénomènes nerveux . Les attaques d'hystérie que présente cette mal
action réflexe, et que cette action s'exerce sur d'autres centres nerveux véritablement moteurs '. Dario Maragliano nia d
es véritablement mo- teurs, situés dans d'autres régions du système nerveux central. » Non seulement l'épilepsie a toujours
lle paraît bien impliquer une altération de la nutrition des tissus nerveux (Gowers). N'importe quelle région de l'écorce p
e encore de remarquables obser- vations d'hypertrophie des cellules nerveuses de l'écorce, sur- tout des grandes cellules pyr
ppareils et des organes de la machine animale. Parlant des fibres nerveuses d'association, Edinger s'ex- prime ainsi à son
es Vorderlzirzts I. H. 1884. 1. = Edinger. - Analomie des centres nerveux . Trad. par M. Siraud (Paris, 1889), 57-58. 3
nier, dit-il, que tantôt l'épilepsie dépende de lésions des centres nerveux proprement dits, tantôt d'une irritation pé- ri
ui détermine l'accès peut partir de n'importe quel point du système nerveux . Que l'on songe aux cas d'éclampsie ou d'épilep
altération (appréciable tout au moins, ajou- terai-je) des centres nerveux . Mais, si l'origine diffère, dans l'un comme da
s labile et plus instable de l'équilibre mo- léculaire des cellules nerveuses . Voilà pour la nature et les analogies de l'épi
ultant de l'excitation de régions également distinctes du sys- tème nerveux central, n'y voit qu'un symptôme complexe. Unve
l'examen microscopique, il n'existait dans celte zone aucun élément nerveux , mais une quantité considérable de cor- puscule
XIX. Contribution A L.t ' T11ÉORIE 'de l'entrecroisement DES fibres nerveuses dans le CHIASMA des nerfs optiques; par A. DELJ3R
nce des fentes foetales et, par suite, à une métastase do substance nerveuse . La moelle a pour ainsi dire tourné autour de s
els résultats avons-nous atteints dans le trai- tement des maladies nerveuses " ! Le rapporteur, examinant la ques- tion sur t
oyé, s'il n'y a pas de contre- indications : 1) quand les symptômes nerveux , principalement les symptômes hystériques, ne c
post-typhoïde. Un prêtre, âgé de 41 ans, sans hérédité psychique ou nerveuse ni syphilis dans l'anamnèse, mais ayant abusé d
marquer l'intérêt de la question en ce que la clinique des maladies nerveuses est éclairée à l'électricité et aura en outre une
alement une grande impor- tance dans la thérapeutique 'des maladies nerveuses , notamment dans les légers états d'angoisse ave
RUSSES RÉUNIS A 1110scou LE t5 JANVIER 48911 SECTION DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES. Séance du 20 Janvier. (Maladies
S MALADIES NERVEUSES ET MENTALES. Séance du 20 Janvier. (Maladies nerveuses .) Présidence de M. le Professeur KOJEVNIKOFF.
lables étant surtout fréquentes dans les cas de syphilis du système nerveux (et peut-être aussi dans l'alcoolisme) et les s
s seulement symétrique, périvasculaire. Dans la syphilis du système nerveux , on peut observer des névri- 1 Voy. Arr/tines d
tabes, l'alcoolisme et les autres affections toxiques du sys- tème nerveux . La méningite syphilitique (et toute autre, peut-
, d'après M. Epoff, de 3/5 à 4/5 de l'épaisseur entière de la fibre nerveuse ; on sait, cependant, que dans les manuels cour
ntiel entre les affections anatomiques et fonctionnelles du système nerveux . - - " M. Tokarski a lu les principales conclus
l de l'application de l'hypnotisme est constitué par des affections nerveuses fonctionnelles dans lesquel- les il peut être c
n dans la nutri- tion ou dans la circulation par influence purement nerveuse . Mais dans les cas où la maladie est entièremen
trouvent d'autres déterminés par une in- fluence réflexe du système nerveux , on peut, à l'aide de l'hypno- tisme, ramener l
se trouvent sous la dépendance d'un trouble réflexe d'une fonction nerveuse . A côté de la possibilité d'écarter au moyen de
(1890, J.-B. Ddillière.) Sous ce nom, l'auteur décrit l'épuisement nerveux ; autrement dit l'irrilalion spinale de Franck,
t l'irrilalion spinale de Franck, le névrospasme de Brachet, l'état nerveux deSandroos, la névralgie raréiforme de Caisan, la
151 cérébro-cardiaque de Krishaber. Des phénomènes de dépression, nerveuse depuis l'amoindrissement léger de la force nerveu
de dépression, nerveuse depuis l'amoindrissement léger de la force nerveuse jus- qu'à la prostration et des symptômes d'exc
ux du Progrès Médical. Bodveret (A.). - La Neurasthénie (Epuisement nerveux ). - Volume in-8' de 480 pages. Prix : 6 fr. F
n. Hirt (L.). Pathologie et thérapeutique des maladies du Système nerveux . Manuel pratique à l'usage des étudiants et des m
Vol. XXII. Septembre 1891. N" 65. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE SUR UN CAS DE PARALYSIE RADICULAIRE DE LA PREMI
eurs, . La syringomyélie, cette nouvelle venue dans la pathologie nerveuse , a pris rang, vous le savez, parmi les maladies
s allusion, 1 5, mai 1891. ' Archives, t. XXII. 11 162 CLINIQUE NERVEUSE . ne sont pas rares, ils réclament une étude fin
s'accentue trois semaines plus tard, quand survient de 164 CLINIQUE NERVEUSE . la raideur du membre. Bientôt la main droite s
que le choc ait favorisé le déve- loppement d'un gliôme des centres nerveux . Vaut-il mieux admettre que la maladie, latente
égénération de l'éminence thénar et de quelques autres 166 CLINIQUE NERVEUSE . petits muscles de la main; les contractions fi
ans lacompression spinale'. ' Charcot. Leçons sur les Mal. du syst. nerveux , t. II, p. 116 et 292. CAS DE PARALYSIE DE LA P
upille en est plus petite, la face est aplatie du même 168 CLINIQUE NERVEUSE . côté. Ces symptômes ne sont pas exceptionnels
sensibilité àladou- leur étant absolue. (A. Sass. Deux cas de lèpre nerveuse , Dnitsch. arch. f. Kli2z. Ile(l. Vol. 17" fasc.
tsch. arch. f. Kli2z. Ile(l. Vol. 17" fasc. 3 et i.) 170 CLINIQUE NERVEUSE . cédez -moi qu'ici la zone d'anesthésie partiel
e cutanée interne. - Cire, ciroâf flexe. C, cubital. 172 CLINIQUE NERVEUSE . innervation purement motrice ; 3° au médian qu
est au niveau du trou de conjugaison. En effet, parmi les rameaux nerveux qui émanent de la première paire dorsale, il en
lysie détermine l'enfoncement du globe de l'oeil. Or, ces filets nerveux n'accompagnent la première dorsale, en dehors d
on latente, d'inflammation lente, d'où résulte la fra- 174 CLINIQUE NERVEUSE . gilité de ce côté du corps vertébral. Survienn
e se produire parfois très tardivement, et engendrer des phénomènes nerveux beaucoup plus graves que n'avait fait l'acciden
. Nouvelle iconographie de la Salpêtrière. 1888-89. 176 CLINIQUE NERVEUSE . J'espère vous avoir montré, par cette sorte de
t le lobule paracentral droit, Archives, t. XXII. 12 178 CLINIQUE NERVEUSE . puis pénétra dans les troisième et quatrième v
t suffisamment par la plaie; l'introduction d'un drain 180 CLINIQUE NERVEUSE . placé avec les plus grandes précautions, perme
tit. Depuis deux jours, le malade est atteint d'hémi i 182 CLINIQUE NERVEUSE . plégie gauche, et parle avec beaucoup plus de
e perpendiculaire interne. - 7, scissure calcanne. ' 184 CLINIQUE NERVEUSE . et très intimes à la faulx du cerveau, dans la
e travail pathologique doit correspondre à la crise du 186 CLINIQUE NERVEUSE . '22 novembre, date de la paralysie de la paupi
e produit la crise d'épilepsie essentielle, c'est-à-dire pure- ment nerveuse , sans cause matérielle apparente. La frayeur, c
ariétale, devient motrice, et correspond, d'arrière en 188 CLINIQUE NERVEUSE . avant, au centre des mouvements des membres in
petit nombre de vaisseaux et ne contiennent aucune trace d'éléments nerveux ; 2). du côté droit unediminution prononcée de f
ye ne se produit grâce à une régénération quel- conque des conduits nerveux détruits, mais résulte de la resti- tution des
ts nerveux détruits, mais résulte de la resti- tution des fonctions nerveuses abolies par d'autres voies dispo- sées dans la
état primitif, cela se produit toujours par la suppléance des voies nerveuses atteintes par l'opération par d'autres voies, d
te- ment du côté de la lésion. Moscou, juin 1889. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION' Par M. P. TROLARD, Pr
OLFACTIF AVEC L'ÉCORCE cérébrale. [Arc direct.) Toutes les fibres nerveuses qui viennent de la moelle épinière se rendant a
ui revêt la face juxta-pédonculaire du crochet, subs- DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 205 tance blanche dont
couche médullaire de la cloison transparente était en DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 207 grande partie compo
paraît prouver la solidarité des différents éléments de l'appareil nerveux de l'olfaction. La tubé- rosité de l'hippocampe
les nerfs de Lancisi, comme l'admettait Foville ,. DE l'appareil nerveux central DE l'olfaction. 209. FOVILLE ET A'lEYNE
ûte se terminent, par les piliers réfléchis, dans, le DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 11 tubercule antérieur
Le carrefour est ensuite mis en communication avec DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 213 le tubercule antéri
piliers anté- rieurs. C'est l'arc direct. Réflexions. L'appareil nerveux central de l'ol- faction, tel que je viens de l
n appareil complet, en tout "semblable à celui des autres appareils nerveux . DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION.
ut "semblable à celui des autres appareils nerveux. DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 21 J> En dehors de l
tre embarrassé celui qui a étendu aussi loin le champ de l'appareil nerveux de l'olfaction ? J'essaierai cependant de répon
ercées sur le sens de l'olfaction » d'où la nécessité d'un appareil nerveux central en rapport avec ce sens. Aussi, est-il
ait subi le contrecoup de la suractivité imprimée aux DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 217 autres sens; que so
. Léopold Bernard, que le chef de l'Ecole naturaliste DE L'APPAREIL NERVEUX CENTRAL DE L'OLFACTION. 2190 doit probablement
III. DE quelques PIIÉr\OÈrOES observés dans LE domaine du système nerveux central après LE rappel A la \'lE DES tendus; par
cun effet, ni M8 revue DE thérapeutique. comme sédatif du système nerveux , ni comme hypnotique; dans la mélancolie et la
e les injections de liquide testiculaire exer- cent sur les centres nerveux , surtout spinaux, une stimulation plutôt qu'une
s de molilité. Contrairement à ce qui a lieu d'habitude, le système nerveux semble se dédoubler, tout ce qui appartient à l
fants idiots, et une division pour les femmes atteintes de maladies nerveuses . Depuis avril 1885, tous les épileptiques adult
au grand trochanter, fièvre typhoïde à l'âge de : 3 ans avec troubles nerveux , avec délire de convalescence (man- geait de to
, l'auteur croit que dans ce cas l'in- fluence de l'état du système nerveux doit être admise au moins dans une certaine mes
développement d'une affection infectieuse qui a frappé leur système nerveux . M. ContnEMALE communique un mémoire sur les ra
Briand. 268 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES .DE MERLIN Séance du 12 novembre 1888 1. - PR
phal des deux côtés. La pression sur les ori- gines des gros troncs nerveux (radial, cubital, sciatique poplité externe) et
On constate au microscope l'inté- grité de la moelle et des racines nerveuses . Les nerfs périphériques (radial, sciatique, po
étaient isolés ou pelotonnés en petits amas libres au sein du tissu nerveux . Leur structure révélait la stratifi- cation eu
uivantes : l'influenza est capable de nuire à l'ensemble du système nerveux et de produire les névroses les plus différente
ins d'esprit des états de dépression passagers; c'est de l'asthénie nerveuse . Les psychopa- thies de l'influenza apparaissen
présenté des anomalies marquées de la menstruation, avec accidents nerveux . Chez quatre d'entre elles, l'onde mens- truell
uvements volontaires, les découvertes histologiques sur les centres nerveux , les résultats des expériences de thermogé- nie
sensoriels. Les recherches de Golgi sur l'histologie des cellules nerveuses ont fixé spécialement l'attention de M. Soury;
ncident et ont un siège anatomique commun. A lire aussi les organes nerveux musculo-tendineux, ces dynamo- mètres organes d
sur le re- froidissement et réchauffement oscillatoire des centres nerveux pendant la période d'activité, d'où il résulte
et que ces substances toxiques atta- quent de préférence le système nerveux périphérique. Mais lors- qu'il s'agit de ces ca
eils élus, serait une faute. (B.) Concours du clinicat DES maladies NERVEUSES . - Le concours vient de se terminer par la nomi
Dr Oppenheim : Considérations sur les maladies toxiques du système nerveux ; pro- fesseur Binswanger : anatomie pathologiqu
ralysie géné- rale ; Drs llloeli et Marinesco : syphilis du système nerveux ; Dr Sioli : sur un cas de cécité corticale avec
o-hypnologie. (Eludes sur l'hypnotisme et les différents phénomènes nerveux physiologiques et pathologiques qui s'y rattach
Vol. XXII. Octobre 1891. N, 66. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ';
ée d'une part sur l'existence dans le diabète de quelques symptômes nerveux analogues à ceux que l'on rencontre dans l'atax
mes s diabète et glycosurie. Archives, t. XXII. 20 306 CLINIQUE NERVEUSE . l'urine de certains tabétiques. Dans le premie
l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, les troubles nerveux ont été mis sur le compte du dia- bète sous le
Î ! 'chow's .9rclt., XXIX DI ? 1885, p. 2( ! ) . 308 ' ' CLINIQUE NERVEUSE . On avait donc, avant Oppenheim, signalé la gly
symptomatique du tabes et que d'autre part l'apparition de troubles nerveux , au cours d'un diabète avéré, veuille toujours
surie d'ordre tabétique ; l'existence de certaines mani- festations nerveuses , au cours d'un diabète, ne veut point toujours
iv. de Neurol., t. XIX, p. 305, 1890.) . - .. 4 310 ,' . CLINIQUE NERVEUSE . placer ud second. Dans celui-ci il s'agit enco
étique présenter un tremble- ment des mains, entre autres accidents nerveux . Il a vu chez les descendants des diabétiques d
s frayeurs maniaques, etc... Niepce signale de même un état morbide nerveux chez le fils d'un diabétique. Zimmer rapporte l
atoires et gangreneux des diabétiques . Paris, 1861. 312 CLINIQUE NERVEUSE . tiques un assez grand nombre étaient morts d'a
servation de Lèjroux. La voici résumée : TABLEAU III 314 CLINIQUE NERVEUSE . TABLEAU VI : . X... 70 ans. Epilepsie, diabè
ATION DU TABES AVEC LE DIABÈTE SUCRÉ. 315 TABLEAU X' 316 CLINIQUE NERVEUSE . TABLEAU XIV ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIA
ébraux trouve son explication dans les antécédents héréditaires , nerveux qu'on relève habituellement chez les diabétiques.
Diabète et hystérie. (Archiv. génér. de méd., 1888.) 318 . CLINIQUE NERVEUSE . reste fournir ici un exemple de celle associat
encore à M. le professeur Charcot 2 : - TABLEAU XV 320 CLINIQUE NERVEUSE . TABLEAU XVII ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DI
alade de la façon suivante : ARCHIVES, t. XXII. 21 323 CLINIQUE NERVEUSE . TABLEAU XXI ASSOCIATION DU TABES AVEC LE DIA
énérales, à tant de troubles permanents de la nutrition. Le système nerveux est, en effet, le grand modérateur des actes nu
métamorphoses de la ma- tière peuvent être ralenties par un trouble nerveux , elles le sont également par une disposition co
terprété par une simple coïncidence, si on considère que l'hérédité nerveuse est représentée par le chiffre dix-sept et la s
Civrieux, 1883, et Annales méd. psych., 1881, p. 29.) 324 CLINIQUE NERVEUSE . ASSOCIATION DU TABES, ETC. haut que M. Charcot
3 regarde la goutte et le diabète comme deux affections du système nerveux . Si l'étude que nous venons de faire ne permet
r une pseudo-démence, qui, offrant tous les caractères 346 CLINIQUE NERVEUSE . extérieurs de la démence, en diffère cependant
erveau, etc.) : j'en ai rencontré des cas. ' (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE IIEMIATROPHIE FACIALE PROGRESSIVE; Par le pro
vait souffert long- temps de rhumatisme musculaire. Mère vivante, « nerveuse ? avait eu douze enfants dont six vivent encore
emiatrophia facialis. (St-Barthol. Hosp. Rep., XVIII.) 348 CLINIQUE NERVEUSE . enfance, s'est toujours bien portée, bien que
de dans les derniers mois sont dignes d'être signalés. 350 CLINIQUE NERVEUSE . n'avons qu'à indiquer les matériaux, pour la p
ue de ce qu'on observe également dans les autres parties du système nerveux périphérique. C'est, par conséquent, de pair av
nio-pathologiqtie insuffisant, sont sans importance. 382 CLINIQUE NERVEUSE . épileptique; de pareilles attaques renouvelaie
n de ce nerf soit moins évi- Archives, t. XXII. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE . dente, le tableau clinique est, en beaucoup de
s et, par conséquent, sont plus sou- mises à l'influence du système nerveux vaso-moteur. Romberg nous décrit deux cas analo
lle n'a aucune raison d'être dans la science exacte. 386 CLINIQUE NERVEUSE . INDEX BIBLIOGRAPHIQUE. DES1ME. - Hemiatrophi
d'une famille de meuniers solides. Rien d'héréditaire, 358 clinique NERVEUSE . d'autre part aucune maladie antérieure. L'affe
res que celles qui sont atteintes chez notre malade. 360 CLINIQUE NERVEUSE . L'analyse attentive des symptômes nous permet
ar BOURNEVILLE et P. SOLLIER; I Sommaire. Père, excès de boisson, nerveux . - Grand-père paternel , excès de boisson. z Co
de-vie sur- tout. Il rentre une vingtaine de fois ivre par an. Très nerveux d'habitude, son irritabilité augmente encore pe
lle est encore parfai- tement réglée. Pas d'attaques de nerfs ; peu nerveuse ; pas d'alcoo- lisme. Faisait le commerce avec
lère, morte à soixante-huit ans on ne sait de quoi ; pas de maladie nerveuse . [Grand-père paternel, mort à quatre-vingt-cinq
bien portantes; leurs enfants sont bien portants, sans accidents nerveux . Pas d'aliénés, d'épileptiques, d'hystériques, et
t-on ; - 6° fille, dix-huit ans, pas de convulsions, bien portante, nerveuse , intelligente, bonne conduite; - 7° notre malade;
x ; - 9 fille, treize .ans, pas de convulsions, bien portante, très nerveuse , intelligente, est presque toujours la première
le grand-père du malade; des migraines chez la mère; des accidents nerveux , divers chez les frères et soeurs (hystérie, a
perversion des instincts, instabilité mentale, en un mot un - état nerveux probablement d'origine congénitale et qu'il est
dividus isolés mais sur la collectivité et créant chez elle un état nerveux ethnique qui prédispose ses membres d'une façon
dès l'enfance. 1 II. Sommaire. - Père, convulsions de l'enfance; nerveux et irritable. Grand-père paternel toedillm vitæ
le cou; le troisième est bien portant et n'a jamais eu d'accidents nerveux . Il en est de même de ses trois enfants. Deux d
usqu'à l'ivresse, « c'est comme un tonneau J. Calme, sans accidents nerveux . [Mère morte il y a longtemps, d'une affec- .li
morte il y a longtemps, d'une affec- .lion abdominale; n'était pas nerveuse . - [Grand-père paternel, 'mort jeune, paralysé
onvulsions dans l'enfance; non mariée; pas d'attaques de nerfs; pas nerveuse . 2° Noire malade. - Au moment de la conception,
on dut le supprimer parce que cela le ren- dait très méchant, très nerveux '. Mis à l'école vers quatre ans, il apprenait
cament agit promptement chez ceux qui sont atteints d'insom- nie nerveuse , le sommeil se produit d'après Kast d'une demi-
obtenu le sommeil 7 fois sur 10 et toujours dans les cas d'insomnie nerveuse . Le résul- tat était incertain ou peu marqué da
le sulfonal est un bon hypnotique. utile surtout dans les insomnies nerveuses , et dans celles qui accompagnent REVUE D'ANATOM
ies diverses, et l'on a trouvé quelques altérations de ces éléments nerveux ainsi que de petites hémorrhagies; dans un cas d'
ude CONVULSIVE DES pupilles (hippus) dans LES affections du système nerveux central; par 0. Damsch. (Neurol. Centralbl., 18
des individus sains conservent une largeur constante; celles des nerveux subissent une série de rétrécissements et de de d
n monte dans le baume. Par ce procédé, on voit que : 1 les cellules nerveuses des cornes anlérieures n'ont pas de granulation
à celui-ci, et occupe une situation plus profonde dans la substance nerveuse . Plus haut, ces deux faisceaux se rapprochent et
e sain; ils produisent une aliénation quelconque chez l'héréditaire nerveux ; ils pro- duisent la paralysie générale quand c
s consécutives A l'influenza; par SOLLHRIG. - Battements DE COEUR NERVEUX consécutifs A l'influenza; par R3fIRING. Angine D
ance physiologique (hyponutrition) retentissant sur les conducteurs nerveux . P. K. XV. CONTRIBUTION A la pathogénie DE la F
ltérations de la névroglie, des vaisseaux, des cellules, des fibres nerveuses , des lésions de la moelle, comparées aux altéra-
ouges, l'inflammation de la névroglie; secondairement, les éléments nerveux sont détruits. C'est une encéphalite interstiti
S névroses fonctionnelles AVEC DES AFFECTIONS ORGANIQUES DU SYSTÈME NERVEUX ; par H. OPPP : NHEI3f. (Neurol. Cenltwlbl., 18
dans la série des vertébrés on constate, dans la sphère du système nerveux central, une ten- dance au déplacement des fonc
hiat¡ ? XLVII, 3-4.) P. KERAVAL. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES . DE BERLIN Séance du 9 juin 1890 '. Présiden
tion de névroses fonctionnelles à des lésions organiques du système nerveux . Voy. Neurol. Centralbl., 18906. ' Voy. Archive
es lecteurs. Au point de vue scientifique, qu'est-ce que l'hystérie nerveuse périphérique, surtout à propos d'une observatio
errefeu. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE Audry (J.). Elude de pathologie nerveuse : L'athétosc double et les chorées chroniques d
ticulaire dans les maladies mentales, par Fronda, 228. Maladies nerveuses , traitement des - , par Aliiioi, 136. Mamie t
mentale, par Richter, 227; - et affections organiques du système nerveux , par Oppenheim, 411. Neurasthénie tardive avec
ssive des mus- cles de l ? par Westphal, 269. Olfaction, appareil nerveux central de l ? par Trolard : -63, 203. OPTIQU
52 (1903) Archives de neurologie [2ème série, tome 16, n° 91-96] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ROLOGIE ARCHIVES DB NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUNLIfiE
e). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecin* de Paris. COLLABOU
Vol. XVI. Juillet 1903. N° 91. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . i Délire et petit brightisme ; FIR A. VIGO
i-ovoqziée, Masson 1900. Archives, 2- série, t. XVI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . nous avons injecté un centimètre cube de, solu
y. Leçons delà &t<p<'7;'t'e, 11 décembre 1890. 4 CLINIQUE NERVEUSE . sujets du troisième groupe rentrent dans le ca
symptômes d'une maladie générale ; 3° Les psychoses et les maladies nerveuses provoquant de l'albuminurie. Sans insister sur
dies mentales (Rapport-Congrès de la Roclielle, 1893). 6 CLINIQUE NERVEUSE . décrit par M. Waler chez un individu indemne d
Manuel de pathologie interne, 7° édition. T. III. p. 75. 8 CLINIQUE NERVEUSE . ainsi qu'au début. Comme le fait remarquer Mor
ulafoy, Société médicale des hôpitaux, 10 juillet 188à. 10 CLINIQUE NERVEUSE . porté le diagnostic : Alcoolisme, hallucinatio
lièrement à la selle et mange avec assez d'appétit. '1 il, CLINIQUE NERVEUSE . Ses urines recueillies le 2 juin ont donné à l
et il est allé chez le commissaire s'accuser de ce vol. 14 CLINIQUE NERVEUSE . Des camarades le traitent de prussien, on lui
n ouverture, la policlinique a traité 10 malades, parmi lesquels 48 nerveux , 37 sujets atteints d'affections organi- ques d
48 nerveux, 37 sujets atteints d'affections organi- ques du système nerveux et 20 aliénés. Statistique. La clinique de Gies
rasthéniques, celui de la para- lysie agitante et d'autres maladies nerveuses . Son appareil lui permet, aussi de faire une ét
la clinique psychiatrique est annexée une clinique externe pour les nerveux atteints de troubles psychiques. II. Admission
les parents aucun degré de consanguinité : ni syphilis ni hérédité nerveuse ou mentale. D'ailleurs, les ascendants, par- fa
- meH<s nuls sur sa famille. Mère eczémateuse, pas d'accidents nerveux . Grand-père maternel mort de paralysie du cerveau
e Golgi dans les éléments ner- veux en général et dans les cellules nerveuses des ganglions sympathiques en particulier; par
usqu'à présent susceptible de trancher le différend, quelques tubes nerveux pouvant persis- ter au milieu des foyers de myé
. L'étude comparative des altérations consécutives aux résections nerveuses et aux désarticulations semble démontrer que le n
diminution résulte de phénomènes dégénératifs du côté des cellules nerveuses : c'est une véritable agénésie. Malgré cela, le
ion des couches corticales, des ganglions de la base, et du système nerveux tout entier. La mentalisation consciente est pro-
a plus tardive et la plus élevée dans les fonctions de la substance nerveuse , bien que, considérée en elle-même, elle ne soi
ne soit qu'une fonction plus ou moins latente de toute la substance nerveuse , dont le degré d'acti- vité varie simplement su
ction, à un degré inférieur, par des régions plus basses du système nerveux sur des régions situées encore plus bas qu'elle
et l'action réflexe étant la propriété spéciale de toute substance nerveuse se rencontrent à des degrés divers du haut en b
euse se rencontrent à des degrés divers du haut en bas de l'échelle nerveuse , depuis la substance à organisation élevée de l
e de cette tumeur n'a pas été pratiqué. G. 1) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE 1. Abcès traumatique du lobe occipital droit av
n'ont pas permis de la constater. G. DENT. 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . IL A propos du goitre exophtalmique. Le centre
plaider en faveur de cette étiologie. G. D. IV. Deux cas de maladie nerveuse familiale intermédiaire entre l'hérédo-ataxie c
Friedreich; par les Drs LENOBLE et AUBINFAU. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 69 Il s'agit de deux cas d'hérédo-ataxie céréb
; 2° Par l'apparition relativement tardive des autres phénomènes nerveux ; 3e Par la tendance à revêtir un certain nombr
aissant entraîner, il le répète encore, plus 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'il ne serait raisonnable, sans se lasser. A
, très différent de ces « yeux grands ouverts » REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . -il dont il est question dans la description d
e description topographique et anatomique. 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Or dans les deux cas il s'agissait de syringom
interposées entre le rachis et la dure-mère qui REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 73 constituent la cause première de la compres
s ; l'enfant ne peut pas élever le bras. 7t i REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Saillie accusée de l'omoplate droite par paral
ces médullaires sont pour les uns musculaires (Nano), pour d'autres nerveuses (Marinesco), radiculaires (Déjerine), fonctionn
e toxine, simplement par suite d'un trouble fonctionnel des centres nerveux . La répétition de ces accidents peut être égale
Prix : 6 francs. Raymond (F.) Leçons sur les maladies du système nerveux (1900- 1901). 1 vol. in-8" de 650 pages. Librai
e, jusqu'à une certaine profondeur. Cellules NnVGUSRS. Les cellules nerveuses ne sont pas intactes. Dans les légions où le pr
irconvolu- tions du lobe lrontal et du lobule paracentral. Fibres nerveuses . Etant donné les lésions cellulaires précé- den
uses. Etant donné les lésions cellulaires précé- dentes, les fibres nerveuses ne sauraient être intactes. Partout, on note nu
être intactes. Partout, on note nue diminution de nombie des tubes nerveux , qu'il s'agisse des couches tangentielles ou de
Ext)er Itisqu'a.1 centre ovale proprement dit. En outre, les fibres nerveuses , exami- nées isolement, sont plus grêles qu'à l
es fascicules radiaires. En un mot, on relrouve au niveau des tubes nerveux la dysgénésie ou l'arrêt de développe- ment si
sgénésie ou l'arrêt de développe- ment si évident pour les cellules nerveuses . Sclérose 1\ÉVItOGLQUR. - Malgré les altération
on e,t surtout marquée au niveau de la lame criblée où tout élément nerveux a disparu. A mesure que nous approchons de la p
IQUES GÉNÉRAUX. 129 décrites à ce niveau, et les fibres et cellules nerveuses des couches correspondantes ont disparu pour fa
lement vers les couches externes delà rétine,' La couche des fibres nerveuses , ne semble plus contenir de fibres opliques int
ées. Non seulement il est impossible de découvrir une seule cellule nerveuse saine, mais en maint endroit, toute trace d'élé-
noyau volumi- neux demeurées là après la destruction de la cellule nerveuse , ou quelques débris de la cellule disparue : un
semblant être le vestige d'un essai de multiplication d'une cellule nerveuse irri- tée. Les éléments fibrillaires de la co
70 p.. a, par suite de la « métamorphose régressive » des éléments nerveux de la rétine, métamorphose fréquente dans les c
ns les cas de décollement, perdu tout le fin réticulum de fibrilles nerveuses , qui la constitue normalement; de sorte qu'il n
es. 1, Limitante interne; 2, fibres de lluller, 3, noyauide cellule nerveuse proliMree; i, lacuacresula l'a désintégration des
donné la mort. (Le Progrès de Lyon, 10 juil- let 1903.) CLINIQUE NERVEUSE . Délire et petit brightisme; PU ! A. VIGOUR
s six mois il suivait un régime approprié au cet état. 138 CLINIQUE NERVEUSE . Il arrive dans le service le 3j janvier 1902.
omplet des urines a donné les résultats suivants : . 140 CLINIQUE NERVEUSE . que s'aggraver jusqu'à sa mort survenue au mil
res sont conservés, mais faibles, surtout le réflexe 1.4'2 CLINIQUE NERVEUSE . lumineux. La langue est animée d'un tremblemen
ne les résultats suivants pour vingt-quatre heures : 144 CLINIQUE NERVEUSE . Le coeur est volumineux (450 gr.). Le ventricu
quelles se voient également des corpuscules hyalins. Les cellules nerveuses à l'exception des cellules géantes parais- sent
al. V. Le dosage toxique dans le traitement de quelques désordres nerveux ; par William C. Krauss. (Tlle lYezo-I'orh..9lecic
des médecins obtiennent dans le traitement de beaucoup d'affections nerveuses sont probablement dus à l'emploi de doses insuf
teur désigne par l'épithète de neurotiques, sont ceux dont la force nerveuse est au-dessous de la normale, 152 REVUE DE THÉR
sous de la normale, 152 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. dont les éléments nerveux , soit par tare héréditaire, soit par acci- dent
nt très peu. C'est le plus souvent vers la puberté que des troubles nerveux plus précis font leur apparition Si l'on veut r
estl'un des plus sûrs moyens d'aboutir à une aggravation de l'état nerveux . Au point de vue de l'instruction, il 3 a des p
'hypotension artérielle et chez eux la disparition de la dépression nerveuse et de l'état men- tal particulier qu'ils présen
été décrits ci-dessus. Il. DE Musgrave-Clay. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIV. Le tabès chez la femme; par E. i)llNDEL (N
et un ans qui, de la fin de décembre 1899 au 1 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . '16). il janvier 1901, présente les accidents
omyélite : il y- AncHivM,2'SKne,t.XVI. H '162 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . manque l'atrophie musculaire progressive, les
sé sur 8 observations, duquel il résulte qu'il existe une dysphagie nerveuse propre aux héréditaires dégénérés. Ce trouble d
e fois survenue prend généralement racine; elle REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 163 dure des années. Les accès sont plus court
n'est pas pius en cause, ici qu'une' lésion organique du système nerveux . Mais celte dysphagie peut être symptomatique d'u
celte dysphagie peut être symptomatique d'une altération anatomique nerveuse ou non. Voici l'exemple d'une dame de quarante-
ce qu'il est venu avant terme, à huit mois. 164 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Sa soeur est scrofuleuse, mais ni le père ni l
, mais ni le père ni la mère, ni celle-ci ne présentent de troubles nerveux . Le jeune garçon est pris en outre, de temps à
insuffisance de l'appareil musculaire de l'intestin, héréditaire ou nerveuse . Il n'est pas nécessaire que cette insuffisance
a plus de résistance au toxique que l'adulte. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 165 II s'agit d'un homme de vingt-huit ans jus
dans le sérum du sang, la lutéïne. R. LEMY. 166 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1\ll. Un cas d'asthénie bulbo-spinale. Syndrom
ne vingtaine d'années une maladie purement fonctionnelle du système nerveux , dont la symptomatologie se résume dans une ast
ldtlam en élargit le cadre. L'asthénie bulbaire REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 167 î devient l'«sthénie bulbo-spinale et cett
eutiques d'un confrère morphinomane. Le ma- 168 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lade ne dépasse pas la dose de 2 à 3 centigram
bservé un cas portant sur une période de vingt- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 169 quatre heures. Elle est tantôt permanente
es qui entrai- nent une détermination cérébrale, certaines cellules nerveuses apparaissent partiellement détruites et semblen
très perceptibles, formant un réseau localisé autour de la cellule nerveuse . Ils sont d'autant plus ner- veux que celle-ci
ssent par l'envahir tout entier. C'est la phagocytose d'une cellule nerveuse devenue inutile, désagrégée et digérée par des
e ces deux notions ne soient pas en contra- 170 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . diction et que les deux processus puissent évo
gne ? S'agit-il d'une sclérose en masse du cer- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 171 L velet, non, le début des symptômes a été
s la réaction à la lumière est paresseuse, 172 -REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' surtout à droite. Mais le malade prend de la
nent les commotions musculaires. Il n'est aucune maladie du système nerveux qui réclame une connaissance aussi exacte des l
la mentalité et que les physiologistes parais- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 173 sent d'accord pour localiser dans les lobe
euxième cas de sarcomatose nodu- laire primitive de tout le système nerveux central el périphérique. Cette variété de néopl
, la maladie de Recklinghausen peut s'accompagner de locali- sation nerveuse centrale (1 cas personnel de Tailleur), d'autre p
es deux sont une neoplasie primitive du tissu conjonctif du système nerveux . Maladie de Little. M. BmssuD présente une en
en dehors des deux cas suivants : A) dans les affections du système nerveux : il n'a cependant pas dans ce cas la même vale
ule cérébrale actionnée par une idée actionne à sou tour les fibres nerveuses qui doivent réaliser cette idée, on arrive à ce
A suivre.) BIBLIOGRAPHIE. XII. Leçons sur les maladies du système nerveux ; par F. LWYMOonD, membre de l'Académie do médec
mbre de l'Académie do médecine, professeur de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris. Sixième séri
suivi son accession à la chaire de Clinique des maladies du système nerveux , à la Salpétrière, le professeur Raymond faisai
tir d'un fait clinique pour envisager les problèmes de pa- thotogie nerveuse , tels qu'ils se présentent dans la réalité, en mo
volumes touchent aux questions les plus diverses de la pathologie nerveuse ; dans chaque volume, il s'en trouve qui s'enchaîn
rtée de tous les praticiens la connaissance des maladies du système nerveux , c'est-à-diie d'une branche delà pathologie, do
ion de tous ceux qui suivent pas à pas l'évolution de la pathologie nerveuse , mais qu'ils ont aussi leur place marquée dans
mille dégénérative. La malade était considérée comme une personne nerveuse et impressionnable ; d'après ses paroles, elle se
noncée. En parlant de divers symptômes, se rencontrant 202 CLINIQUE NERVEUSE . dans de semblables cas, il faut pourtant, pour
considérer comme une forme psychopathologique autonome. CLINIQUE NERVEUSE . Délire et petit brightisme ' ; S A. VIGOUROU
ans une période d'euphorie les résultats suivants : 20 i CLINIQUE NERVEUSE . attitude suspecte. Il passa par la suite au Co
de galop a dédoublement du premier temps. Le pouls est 206 CLINIQUE NERVEUSE . tendu et vibrant. Le foie est gros, sensible à
s tics ; guérison ; P.n COITIi\E'ILI,1 : eT POULITtD' L'affection nerveuse désignée par Chariot sous le nom de maladie des
e à deux ans. Marche à onze mois. Propreté vers un tin. Acci- dents nerveux mal déterminés et rachitisme des membres inférieu
ès sobre, rhumatisant, n'aurait pas eu la syphilis. Pa, d'accidents nerveux . Il aurait été « débauché » à dix- sept ans par
tantes, ses quatre soeurs et leurs enfants n'ont pas eu de maladies nerveuses ou mentales. [Rien à noter dans le reste de fam
e reste de famille.] Mère, quarante-huit ans, ménagère, tempérament nerveux , caractère vif, sujette à des céphalalgies, ne
syndrome morbide commun à toute une série d'affections mentales et nerveuses . Enfin un troi- sième groupe d'auteurs y voient
i nombreuses et si variées d'un trouble de l'évolution du système nerveux , la question changerait de face et nous ne serion
ces lymphatiques et viennent se mettre eu contact avec les cellules nerveuses elles-mêmes. Les hémorrhagies miliaires formées
l'ensemble de son organisme, c'est-à-dire en dehors de son système nerveux et cela, pendant tout le cours de sa maladie, c
et dégé- nérescence granulo-graisseuse et pigmentaire des éléments nerveux et des artérioles à tunique lymphatique de l'éc
ondaire sur les lésions atrophi- ques et dégénératives des éléments nerveux et des capillaires de l'encéphale, qui sont fré
dans l'exsudat, ou bien seulement des dégénérescences des éléments nerveux sont ici les lésions préalables. Telle est la p
'on rencontrait souvent dans le tabes des dégénérescences des tubes nerveux de l'écorce cérébrale. Ces lésions sont tabétiq
es ner- veuses, les figures de karyokinèse, le contact des éléments nerveux avec des exsudations ou des cellules embryonnai
urs est de savoir par quel tissu névro- glie, vaisseaux ou éléments nerveux débute le processus mor- bide. On voit de suite
et que son développement croissant en vient à étouffer les éléments nerveux et à envahir les vaisseaux. S'il en était ainsi
ossible, que 236 SOCIÉTÉS SAVANTES. les vaisseaux et les éléments nerveux sont souvent altérés, alors que la névroglie, à
tout, d'après l'opinion actuelle, sur les vaisseaux et les éléments nerveux eux-mêmes que se fixe le processus dès le début
es tascitla7,ites et les formes dégénératives des dégé- nérescenees nerveuses primitives. Mais, dans ces dernières formes, j'
é des dégénérescences des vaisseaux analogues à celles des éléments nerveux et, par conséquent, il est aussi difficile de c
st aussi difficile de conclure ici que là. On sait que la cellule nerveuse est un organe complexe, com- prenant des fibril
pas mon avis. La lésion des méninges précède celle de la substance nerveuse . La pacliyméningite,1'arach- noïdo-pie-mérite s
i- vité nucléaire. Les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses reçoivent des excitations anormales qui expliquen
que le premier rôle revient aux lésions des fibres et des cellules nerveuses , engendrées par des substances toxiques dont la
V.1ST11E (de Paris). J'ai examiné, avec M. Vigou- roux, les centres nerveux de 42 paralytiques généraux. Les résul- tats de
bres tangentielles et les altérations de degré divers des .cellules nerveuses . Ici on ne trouve jamais de dégénérescence des
ation du tissu conjonctivo-vasculaire, et que l'atrophie des fibres nerveuses à myéline est due, quand on l'observe, à un pro-
cédents héréditaires de ces enfants n'étaient. pas chargés de tares nerveuses . Ces idiots ne semblaient pas être les aboutiss
it encore 30 centimètres en moins. De la lumière en thérapeutique nerveuse . M. Foviîau DE Courmelles (Paris). Des recherch
mante, sous laforme de lampes à incandescence éclairant les centres nerveux et combinée à la dou- che statique par le trait
ines névralgies. Il existe donc actuellement, dans la thérapeutique nerveuse , un grand nombre de faits d'utilisation de la l
eux agissent sur la circulation, sur la nutrition et sur le système nerveux . Les AHCmn.s, 2° série, t. aVI. 17 258 SOCIÉT
ntissent au con- traire la nutrition. En ce qui concerne le système nerveux , les rayons blancs et rouges favorisent la guér
eux exercent des actions très diverses dans les maladies du système nerveux ; on peut employer utilement, tantôt leur actio
urces d'une utilité in- contestable pour le traitement des maladies nerveuses . Les rayons lumineux s'emmagasinent dans l'orga
elles peuvent aussi intervenir (hyperesthésie affective, dépression nerveuse , sur- menage physique et intellectuel, chagrins
suit exactement la même distribution géographique que les maladies nerveuses en général. Sur le traitement sérothérapique du
iation de ce tonus-fait maintenant partie de l'exa- men des malades nerveux et pourtant nous n'avons pas de moyens de mesur
à la Faculté de Lyon. De très nombreuses observations de troubles nerveux , en relation avec'les maladies du nez, ont été pu
persistant du tissu adénoïdien resté dans la caverne. Les symptômes nerveux réapparurent et guérirent par une seconde adéno
cées chez une faible d'esprit congénitale ou par lésion des centres nerveux dans la première enfance. Agitation incessante :
ns réflexes : directement, par action vaso- motrice sur les centres nerveux , action réflexe démontrée expén- mentalement ;
7 1) SOCIÉTÉS SAVANTES. rasthéniques, a son origine dans le système nerveux central, non dans le muscle. Il y dans ce fait
avoir passé en revue les diverses théories de l'6rythro- mélalgie ( nerveuse , médullaire, cérébrale, névropathique) et tout
VURPAS. Nous avons eu l'occasion d'exa- miner en détail le système nerveux de quatre anencéphales. Deux étaient nés morts
ons nous permettent de penser que le bulbe est la partie du système nerveux nécessaire et suffisante pour satisfaire aux ac
autrement, puisque la vie végétative régit la nutrition des centres nerveux supérieurs comme celle de tous les autres systè
roubles vaso-moteurs et trophi- ques dus à l'altération des centres nerveux . Cet oedème précoce montre une défaillance inte
et oedème précoce montre une défaillance intermittente du sys- tème nerveux et traduit l'action de l'infection sur les centre
ance dynamogénique ne doit pas être seulement réservée aux maladies nerveuses et mentales; elle a sa place dans le traitement
Prix : 3 lr. 50. Raymond. (F.). Leçons sur les maladies du système nerveux (1900- 1901). 1 vol. in-8- de ti0 pages. Librai
xamen médico-légal. L'expert lui recon- naît une impressionnabilité nerveuse tout à fait particulière, aug- mentée encore pa
édecin au aWestEnd Hospital, Loudon o, », hôpital pour les maladies nerveuses , l'épilepsie et la paralysie. Médecin à la Colo
ement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales et nerveuses . (Rapport présenté par M. le 1), TRI,.iEL, médeci
ques, quels centres entrent en jeu dans ces phénomènes d'excitation nerveuse , ni à plus forte raison quels troubles phy- sic
on anormale du besoin de sommeil, d'où résulte un état d'exhaustion nerveuse qui peut être grave; 2° les malades dorment un
ement de l'agitation et de l'insomnie dans les maladies mentales et nerveuses , c'est demander presque, de résoudre celle du t
quels nos moyens thérapeutiques puissent agir. Pour les maladies nerveuses , au contraire, ce n'est qu'un chapitre important
ire), en partant de la dose de 2 grammes. Il n'est pas de maladie nerveuse ou mentale où les sulfones n'aient été employés
chement s'en abstenir, du moins en injection sous-cutanée, chez les nerveux quels qu'ils soient et les aliénés curables. Peut
s succédanés utilisables, mais leur emploi en médecine mentale et nerveuse , hors les faits de substitution à la morphine, es
ticiables et il faudrait énumérer toutes les affections mentales et nerveuses pour exposer les cas SOCIÉTÉS SAVANTES. 327 o
, surtout chez les neurasthéniques, les hystériques, dans les états nerveux des adolescents, nous devons citer le bromure de
u encore mieux à la favoriser. Il importe donc de rejeter, chez les nerveux simples, les neurasthéniques et les hysté- riqu
chaleur agit directement comme énergie excita- trice sur le système nerveux et produit rapidement une vaso-dila- tation con
enveloppante. Dans les parties détruites, il n'y a plus ni cellules nerveuses , ni fibres nerveuses. On y rencontre en abondan
s parties détruites, il n'y a plus ni cellules nerveuses, ni fibres nerveuses . On y rencontre en abondance des vaisseaux san-
l depuis leur noyau d'ori- gine réelle jusqu'à leur sortie de l'axe nerveux . On pourra ainsi : 1° établir les masses grises
l est formé exclusivement de fibres directes. Le faisceau de fibres nerveuses que la plupart des auteurs considèrent comme re
lles). Il est généralement admis que, dans la conduction du courant nerveux , les prolongements dendritiques du neurone joue
uent l'appareil de dis- tribution du courant. Le passage du courant nerveux s'opère par le contact entre les dendrites d'un
axiles d'un neurone voisin. Or, l'étude de l'anatomie de la cellule nerveuse nous permet d'affirmer que, dans la majorité des
firmer que, dans la majorité des cas, le contact entre les cellules nerveuses est assuré à l'aide d'ap- pareils terminaux app
. ainsi que c'est là un mode général de terminaison des dendriles nerveuses . D'un autre côté, l'éminent histologique espagnol
al a décrit depuis longtemps que les fines arborisations des fibres nerveuses dans la moelle épinière. l'écorce cérébrale et cé
t avec les dendrites. , · En résumé, les deux pôles de la cellule nerveuse portent des ter- minaisons épaissies, dont le c
minaisons épaissies, dont le contact assure le passage du courant nerveux , exactement comme cela se passe dans les machines
gie superficielle ne préjuge en rien sur la vraie nature du courant nerveux , mais en revanche elle permet de nous placer su
our comprendre aussi bien la distribution indépendante du courant nerveux suivant les voies préétablies, que la variation d
appareils terminaux puissent ouvrir ou fermer le passage au courant nerveux dans une direction déterminée. Cette communic
diverses indispensables au maintien de l'action normale du système nerveux ou qu'il détruit, par un mécanisme encore incon
lation circulant dans le sang et empoisonnant ainsi nos cellules nerveuses . En tout cas, l'absence ou la mauvaise qualité de
eure lixe. Je citerai le fait d'une jeune fille atteinte d'une toux nerveuse , véritable rugisse- ment continu, commençant à
e un cheval qui se cabre toujours au même endroit. Les vomissements nerveux qui viennent régulièrement après cha- que repas
pour laquelle on avait réclamé la gastro-entérostomie. C'était une nerveuse , souvent dyspeptique, maltraitée par un mari iv
ements de la grossesse sont d'origine réflexes. Mais chez certaines nerveuses , ces vomissements, après une cer- taine durée,
ce qu'une bonne suggestion, bien faite, ait déraciné cette habitude nerveuse . Le fait est que j'ai souvent guéri des vomisse
ujet qui est habitué à avoir une douleur ou une autre manifestation nerveuse à une certaine heure de la nuit peut, pendant s
ns qu'il soit nécessaire de faire intervenir l'influence du système nerveux . Les recherches physiologiques de ces dernières
l'auteur a constaté, dans le bout périphérique non réuni, des tubes nerveux complets ne différant des tubes nor- maux que p
e a montré les lésions suivantes : Un très grand nombre de cellules nerveuses sont altérées, parti- culièrement dans les circ
matisme, surmenage, infection. Des lésions marquées des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale ont été constatées. Fréqu
par les auteurs présentaient des ano- malies psychiques : caractère nerveux , émotif au point que l'un des chevaux tombe sou
celle-ci, d'une intelligence peu développée, présenta des troubles nerveux dès l'époque de la puberté ; aboulique, inquièt
une syphilis héréditaire ; les auteurs recherchent si les troubles nerveux et mentaux ne peuvent être rattachés à la même
contestables, ils admettent des fésions syphi- litiques des centres nerveux et indiquent comment les troubles psy- chasténi
emaines, les malades reprenent leurs forces, l'équilibre du système nerveux se rétablit, les malades peu- vent alors quitte
bon résultat qu'au moyen de l'hypnose profonde. Moins le malade est nerveux , plus il s'endort facilement. Le D1' Wetterstra
seë;/t<- ? 7 : <Ai ? Me. M. Paul Faiez (Paris). En pathologie nerveuse ou mentale, de nombreux cas paraissent justicia
SAVANTES. térie, en aggravant l'état d'engourdissement des centres nerveux , caractéristique de la névrose. L'hystérie peut
lus grande circonspection quand il s'agit chez elle d'accidents non nerveux et douloureux qui en réclament habituellement l
vue d'un objet et de ses marques particulières excite un cou- rant nerveux sur quelques fibrilles optiques, et ces courants
et ces courants arri- vent dans un nombre correspondant de cellules nerveuses du lobe ' Nous avons signalé bien des fois, apr
ui aura lieu dans l'écorce ? En tàtant, un grand nombre de cellules nerveuses dans la circonvolution centrale est mis en acti
çais et étrangers parus sur l'anatomie et la physiologie du système nerveux , sur la psychologie proprement' dite, tant anim
matin une impossibilité complète «l'uriner). A section des maladies nerveuses à l'hôpital militaire de Kief. (2li-cit. de Neu
gt ans, entre fin novembre 1902 à l'asile de Maréville. Fille d'une nerveuse (pro- bablement aliénée), nièce d'une aliénée,
ée par une couche de noyaux couchés ovoïdes. On ne voit nulle fibre nerveuse . Cet arrêt de développe- ment cérébral est anté
es omanes sensoriels de la peau est indépendant de celui du système nerveux correspondant. 1'. KlR ? VAL. XX. L'examen, à l
diffus : ils ne doivent pas présenter de granulations. Les cellules nerveuses sont invisibles ou très faiblement colorées en
endritiques. Les expansions terminales péri- cellulaires des fibres nerveuses restent d'ordinaire incolores, bien que, dans l
De la brachybiotie congénitale de, certaines parties du sys- tème nerveux , parADLEK. (NeU ? '010,q. Cecatralbl. XX, 1901).
a démence juvénile. Mais ces formes précoces de la dégénérescence nerveuse si caractérisées par l'hénédoatoxte cérébelleuse,
x et de la valeur diagnos- tique de ce symptôme dans les affections nerveuses , par V. de l3ECnrEnEw. (Neurolog. Centralbl. XX
ui avait comprimé le tiers supérieur de l'olive et détruit le tissu nerveux en arrière de celle-ci (ligures). L'analyse mon
· rieur était conservé. P. Keraval. a1\II. Coloration du système nerveux à l'aide du rouge Magenta, par l'. ZosIN. (Neur
-brun, le tissu scléreux et la névroglie rouge-violet; les cellules nerveuses sont rouges. La coloration est plus nette que d
myélinique irrégulièrement distri- buée de la substance blanche du nerveux central. Les cellules de la moelle et du cervea
ils éclairciront certainement le diagnostic de plusieurs affections nerveuses dans lesquelles s'observent des phénomènes ocul
angeant. On ne constatait chez lui aucun autre symptôme de troubles nerveux sauf la névrite optique. R. de Musguave-Clay.
e-Clay. XLI. Sur les rapports des lésions locales avec les troubles nerveux et en particulier avec la neurasthénie, par Fré
pas plus satisfaisant si l'on se préoccupe exclusivement de l'état nerveux sans soigner simultanément les causes accessibles
par les échanges nutritifs agissant non seule- ment sur le système nerveux , mais sur les muscles striés. La réaction muscu
donné la conviction que la surdité avait son origine dans le tissu nerveux . Nous résumons ici les remarques que ce fait su
i-cellulaire intimement associé au reticulum semblable des cellules nerveuses voisines. Cette disposition figure très bien un
n de ce mouvement, de même l'impression pro- duite sur la substance nerveuse vivante au cours de la production de l'image, f
cipes de l'hygiène, les soms à donner aux malades, aux blessés, aux nerveux et aux aliénés. Les élèves sont en outre astrei
médical l'ataxie, jusqu'alors confondue dans Ig chaos des maladies nerveuses , reconnut, à leur démarche, une série d'ataxiqu
ts, il ne faut pas l'oublier, à une époque où le champ des maladies nerveuses s'est trouvé comme fertilisé par les excès d'un
l de certaines affections, particulièrement fréquentes du système nerveux , vous me permettrez, pour répondre à votre invita
e la Salpêtrière, fut entraîné vers l'étude d'une série de maladies nerveuses , caractérisées par des lésions d'apparence irré
un nouveau cycle de conférences libres sur les maladies du système nerveux , il faisait remarquer que son enseignement étai
ploi des eaux de Lamalou dans le traitement de certaines affections nerveuses et surtout de l'ataxie locomotrice, maladie à l
i-même de l'in- iluence de ces eaux dans le traitement des maladies nerveuses et plus particulièrement de l'ataxie locomotric
traitement de l'ataxie locomotrice et d'autres maladies du système nerveux , tributaires de vos eaux. Messieurs, j'avais pr
decins du siècle dernier, du savant dont les travaux sur le système nerveux , ont une si haute portée philosophique de l'hom
de Charcot dans le domaine jusque là mysté- rieux de ces désordres nerveux , dont la pathologie avait à peine tenté d'abord
Vol. XVI. Décembre 1903. N" 96. ARCHIVES DR NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE Hémisection traumatique de la moelle ; (Syndr
ervées à la. AItClll\'H5, ` ? ^ série, t. a\'l. HO 466 pathologie nerveuse . perception de la douleur se croiseraient. Bris
aitées par les techniques habituellement employées par le système nerveux central. A. Coupes uzt niveau du foyer principa
quel aucune technique ne permet de déceler la présence d'un élément nerveux quelconque, cellule oil fibre. Ce tissu est con
nctifs adultes. La plupart de ces faisceaux'-sbn't 470 . PATHOLOGIE NERVEUSE . placés parallèlement les uns aux autres et pre
le tissu de sc'érose Fig 39. - Foyer de myélite. 472 - PATHOLOGIE NERVEUSE . une sclérose qui. au lieu d'être conjonctive c
aux tuniques, externe et moyenne. Dans cette région, la substance nerveuse n'a pas complètement disparu. Ainsi, sur toute
érie de la préparation, en avant et en arrière, se voient des tubes nerveux formant de petits îlots qui s'enfoncent plus ou
ou moins profondément à travers la sclérose iiévro-lique. Ces tubes nerveux sont intacts, ils ont des gaines de myéline suf
ore quelques fascicules radiculaires plus ou moins riches en fibres nerveuses . Tous ces caractères histologiques (sclérose su
à droite que par quelques fascicules petits et peu riches en tubes nerveux ; à gauche, au cent ! aire, elles forment à la
ar un tissu névroglique contenant encore un certain nombre de tubes nerveux . Les faisceaux conjoncttfs de cette sclé- rose
ulaires rencontrés dans les coupes précédentes. Les îlots des tubes nerveux conservés sont plus nom- breux. sur toute la pé
à travers le tissu de la corne antérieure : à ce niveau, les tubes nerveux sont très clairsemés, après coloration par la mét
dons postérieurs et les racines adjacentes se remplissent de libres nerveuses , eu même temps que les méninges redeviennent à
contiennent encore quelques nodules inflammatoires 474 r PATHOLOGIE NERVEUSE disséminés çà et là ; par contre les cornes de
roglique appréciable, elles sont simplement entourées par les tubes nerveux plus ou moins enroulés et refoulés; les petites
s points de vue. Les cordons postérieurs sont bien garnis de libres nerveuses . Les cordons antéro-iatéraux continuent à être
térieures présentent encore beau- coup de fascicules vides de tubes nerveux . E. Coupes au niveau de la 3 dorsale. La moelle
ière ne déterminent pas de myélite suppurée. La résistance du tissu nerveux à la suppuration est une sorte de privilège que
z long. Des expériences de B. Sequard nous rendent 176 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . compte' de ces phénomènes. Elles ont montré qu
lus curieux à signaler, est incontestablement la tolérance du tissu nerveux pour le corps étranger implanté dans sa substan
atologie complexe de la phase terminale qui est venu 478 PATHOLOGIE NERVEUSE . altérer la pureté du syndrome de Brown-Séquard
on l'est malade, mais on ne le croit pas. La force physique, l'état nerveux ; l'être n'a pas d'autre chose que l'acte chimiqu
ajorité des cas d'hallucinations unilatérales). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXIX. Hématome de la dure-mère cérébrale (Pach
intestinale. Cette conception de la narcolepsie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . bit comme syndrome d'origine auto-toxique est
des muscles cervico-thoraciques supérieurs. 5t2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Voix bacce, étouffée, inintelligible; respirat
ette association a son uti- lité. La section ouverte s'applique aux nerveux , aux modalités moyennes intermédiaires aux psyc
x modalités moyennes intermédiaires aux psychoses et aux affections nerveuses , aux aliénés guéris et aux aliénés au début de
e place- ment dans l'établissement ouvert. La clinique mentale et nerveuse de St-Pétersbourg réunit sous le même toit, sou
quelques nevropathies et les formes mixtes de maladies mentales et nerveuses telles que : démence organique, et aussi quelqu
te d'une chute grave le 28 juillet 1903. Il fut atteint de troubles nerveux multiples qui semblaient d'abord se rapporter à
tion épileptoïde bilatérale mit sur la voie des lésions des centres nerveux . On constate alors le syn- drome cérébelleux de
notions en cours sur la structure et le fonctionnement des organes nerveux . M. DURANTP présente les pièces d'un cas de sec
tées à divers auteurs et tendant à infirmer la notion de la cellule nerveuse considérée comme centre trophique de la fibre n
la cellule nerveuse considérée comme centre trophique de la fibre nerveuse correspondante et l'unité cellulaire du neurone.
e à fonctionner et à se nourrir si elle est atteinte par le courant nerveux général. Le cylindraxe ne serait pas un produit
rveux général. Le cylindraxe ne serait pas un produit de la cellule nerveuse , et le nerf périphérique ne serait pas issu par
uestions de t'hé- rédité pathologique dans les maladies mentales et nerveuses sont étudiées le mieux par les savants français
des causes des maladies mentales. Selon M. Déjérine, les affections nerveuses sont toujours hérédi- taires. Le célèbre More)
ôté du père et du côté de la mère. On sait que, selon Clrarcot, les nerveux se recherchent. Notre cher conlrère, M. Legrain
l a prononcées mardi à l'amphi- théâtre de la Clinique des maladies nerveuses , à la Salpêtrière : Messieurs. Un événement d
d'autres points de l'histologie normale et pathologique du système nerveux . Tous, vous avez présentes à la mémoire ses pub
tes aiguës, les Myélites tuberculeuses, la Sarcomatose du sys- teme nerveux , les Lésions cérébrales dans la sclérose en plaqu
été chargé, avec M. Gombault, de l'anatomie pathologique du système nerveux . Tel est l'énorme la- beur scientifique qu'il a
0y5 mentales. Voir Lobes pré- frortlaux. Friedreich. Voir Maladie nerveuse . Ganglions sympathiques. Voir < ? 0t. GIES
, 535. Golgi. Sur le réseau endocellulaire de - dans les éléments nerveux en général et dans les cellules nerveuses des
de - dans les éléments nerveux en général et dans les cellules nerveuses des ganglions sympa- thiques en particulier, pa
on de la Maison nationale de Charenton, 383. Leçons. Voir Maladie nerveuse . LETHARGIE. D'une sorte de des processus de c
eich. par Leno- hle el Aulrineau, 08. Leçons sur les - du système nerveux , par Ra\mond, 185. - des Tics. Voir Tics. M
tremeutdela pression sanguine e par Strauss, 27. - voit, Troubles nerveux . F ROI 11111011%rOSF. La - par Cestan, 17 i.
'évolution et la constitution de la vie mentale, par Pion, 277. - nerveux , voir Il'alle ? Organisme. Voir Hystérie. Ort
eux et de la valeur diagnostic de ce symptôme dans les affections nerveuses , par de Bechtrrew, 430. Le - Iri- gémino-faci
élie, par Kienbneck, 125. Bouge DE Magenta. Coloration du système nerveux par le -, par zozl ! ll, 135. Saturnisme. Voi
SLtOi091e La- suggestive en ophihalinologie, par Leprince, 1S3. - nerveuse . Voir Lumière. Thymus. Voir Goitre. f'1111t
ion en coins s sur la structme et le fonctionne- ment des organes nerveux , par Durante, 530, WESTpmL. Voir Réflexes.
53 (1893) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 06] : clinique des maladies du système nerveux
E DE LA /O \ SALPÊTRIÈRE \ CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX FONDÉE PAR LE PROFESSEUR CHARCOT (DE L'instit
re au point de vue des manifestations de la syphilis sur le système nerveux et nous permettront d'exposer l'enseignement de
omme son état phy- sique est tout à fait déprimé. Etat du système nerveux . Femme pâle, amaigrie, très affaiblie, elle repos
f de clinique des maladies Chef de clinique des maladies du système nerveux . cutanées et syphilitiques. DEUX CAS DE MYOPATH
on, Progr. méd., 1 mars 1885) et Leçons sur les maladies du système nerveux , tome III. (2) Pierre Marie et Georges Guinon.
'on (1) Voir à ce sujet : Charcot, Clinique des maladies du système nerveux ; leçons du pro- fesseur, mémoires, notes et ob
osition sociale élevée. Père de tempérament pblegmatique, sans tare nerveuse personnelle ni du côté des siens. Le premier
que un peu grêle et pâle ; mais il avait conservé son tempéramment nerveux et irascible, ses bizarreries d'allure et d'esp
elle, dont la résolution spontanée devait amener celle des troubles nerveux produits par elle L'hypothèse de l'hysléro-trauma
est tout naturel qu'une affection organique ou dynamique du système nerveux , qu'un état patho- logique préexistant, quel qu
10 ans. Examinée le 28 octobre 1891. Antécédents héréditaires. Mère nerveuse sans maladie déterminée. Père alcoolique. Dans
dépendre soit de l'hystérie, soit de lésions organiques des centres nerveux ou de lésions des nerfs périphériques. En ce qu
nerfs périphériques. En ce qui concerne les contractures d'origine nerveuse organique, si l'on met à part les contractures
es affections chirurgica- les ou les maladies organiques du système nerveux . Il faut donc les analy- ser à fond pour les ap
à motilité et de la sen- sibilité ; pas de pleurs faciles, de rires nerveux ni d'attaques convulsives... (1) P. RICHER, op.
étudiés. Les contractures sont en effet le type de ces « affections nerveuses locales » si bien décrites par l'auteur anglais
quand elles existent seules, à des lésions orga- niques des centres nerveux . Encore faut-il en être prévenu pour ne pas se
scle soit flaccide ou raide suivant la réaction spéciale du système nerveux . Mais la pathologie a des exigences plus sévère
es hystériques, pendant laquelle se développe l'in- fluence du choc nerveux initial. - C'est surtout la considération des car
t 9. 42 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. gnée des centres nerveux , tel que la section du tendon d'Achille. On peut
1892. Antécédents héréditaires . - A peu près nuls au point de vue nerveux . Antécédents personnels. Aucune maladie antérie
. Antécédents héréditaires. Rien de spécial à noter au point de vue nerveux du côté des grands parents, des parents ou des
nels. Pas de convulsions dans la première enfance, mais tempérament nerveux . Rougeole il ans 1/2. Coqueluche il 4 ans. Opér
idal, tandis qu'au même niveau le trajet est direct pour les libres nerveuses du facial ou du nerf oculo-moteur commun. Il es
s qui permettent aujourd'hui d'affirmer un diagnostic en pathologie nerveuse . Mais ce qui n'est pas moins surprenant, c'est
limite peut être poussée la simulation par l'hystérie des maladies nerveuses à foyer circonscrit et quels soins il faut appo
l'électrolyse, il faut songer que l'électrolyse doit exciter le tissu nerveux comme agent chimique. Que de fois j'ai vu des c
orte que je dois traiter mainte- nant. La faradisation de ce plexus nerveux est indiquée dans l'hyperémie des viscères, not
spect terne et mat, ayant perdu l'apparence translucide d'un cordon nerveux normal, enfin impossible à isoler de sa gaine c
à la suite de 70 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. lésions nerveuses traumatiques sont aujourd'hui bien connus ; ils s
e l'on observe dans les troubles trophiques consécutifs aux lésions nerveuses ; quelquefois c'est un zona, avec de belles vésic
qui présen- tait une éruption pemphigoïde consécutive à une lésion nerveuse . Les trou- bles trophiques ont apparu tardiveme
y a plaie ou cicatrice de plaie, et dans le voisinage des troubles nerveux trophiques, le diagnostic s'impose. Mais il est
érieur, mais non localisés, et dus à des lésions centrales du système nerveux , lésions qui ressortiraient à trois maladies bi
les lésions ul- cératives se produisent dans la sphère d'une plaie nerveuse bien et dûment constatée. Mais il n'est pas rar
bles de la sensibilité sont généralement distribués par territoires nerveux , tandis que, dans les maladies centrales comme
oir ce que l'on fait, et ne pas être gêné parle sang dans la suture nerveuse . Après l'incision verticale des téguments suiva
enflements sont réséqués, ainsi qu'une tranche suffisante de cordon nerveux , de manière à suturer des tissus sains ; une dern
forme un véritable cadre qui rapproche les deux extrémités du tronc nerveux et les main- tient déjà sensiblement en contact
seulement d'une cicatrice fibreuse ayant amené l'atrophie des tubes nerveux , mais qu'il y avait eu production d'un véritable
vait eu production d'un véritable névrome par néoformation de tubes nerveux . Ceux-ci présentaient une disposition enchevêtr
'est suicidé. Soeur alcoolique, morte de néphrite. Pas d'autres cas nerveux dans la famille. , Antécédents personnels. Céli
petite, cheveux châtains, yeux gris, a toujours eu un tempéra- ment nerveux et une intelligence peu développée. Les bras, s
Antécédents héréditaires. Il n'y a pas eu dans sa famille d'autres nerveux qu'un frère mort à 60 ans d'hémiplégie droite.
QUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux (t) En présence de statistiques imposantes, il
façon de certains poisons, il agisse avec élection dans les centres nerveux sur tel système dif- érencié, en n'intéressant
se, et non un fil conducteur dans l'étude de la syphilis du système nerveux . En attendant que les résultats des recherches
sible, les relations qui existent entre la syphilis et les maladies nerveuses . En conformité avec ce que l'on observe dans le
ui revient en propre aux lésions anatomiques dans les complications nerveuses de la syphilis. Plus récemment en France, les pub
comme dans les autres organes, des altérations secondaires du tissu nerveux et des réactions irritatives interstitielles qu
moelle à ce niveau ; mais il n'existe pas de lé- sions des éléments nerveux . La coloration d'un certain nombre de coupes par
n forme de triangles très allongés à base périphérique. Les tubes nerveux ne sont pas lésés toutefois ; pas de corps granul
se colore vivement par le carmin et l'hématoxyline. Les cellules nerveuses des cornes antérieures sont toutes dans un état d
ns la gly- cérine. Ils sont en nombre modéré, situés en plein tissu nerveux : on n'en voit pas de semblable dans les gaînes
radiculaires qui en partent. Dans la substance blanche les lésions nerveuses sont réparties d'une façon très singulière. Ell
. 1, B, B' B"). Chacun de ce groupe est composé de 20, 30, 40 tubes nerveux en voie de destruction. Les moins avancés ont s
sale (Pl. citée, lig. 6). On reconnaît la les altérations des tubes nerveux décrites dans un grand nombre de myélites aiguë
s cordons postérieurs, au niveau de la 2e racine dorsale, les tubes nerveux sont détruits suivant un mode tout diffé- rent
es con- jonctives qu'elles suivent le plus ordinairement. Les tubes nerveux sont com- plètement détruits dans les points où
Petit foyer gommeux intra-médullaire émané de la pie-mère ; le tissu nerveux est déruit à ce niveau. Infiltration gommeuse d
tersti- tielles et qui n'ont pas fait irruption au milieu des tubes nerveux . Les colorants nucléaires les teintent beaucoup
dans le voisinage de la substance grise, les interstices des tubes nerveux sont occupés par une substance colloïde teintée e
s capillaires, mais aussi les intervalles qui séparent les éléments nerveux eux-mêmes. Mais nulle part, dans les cordons bl
ans les cor- nes antérieures et dans la commissure grise. Les tubes nerveux dans les régions où cette matière colloide s'es
altéra- tions, peu étendues d'ailleurs, que présentent les racines nerveuses . Le proces- sus offre ici une analogie complète
celles-ci, parfois irrup- tion de la néoplasie au milieu des tubes nerveux , et finalement destruction plus ou moins complè
Pal et la double coloration, à l'aide du carmin d'alun, ces filets nerveux se montrent sous la forme d'amas de cellules em
lymphatique d'un vaisseau. B, B', B" - petits territoires de tubes nerveux dégénérés. Leur orientation dans le sens des tr
a partie moyenne du renflement cervical, on retrouve quelques tubes nerveux à gros cylindre-axe, en voie de dégénération, sem
iquées aux différentes hauteurs ont dé- montré l'intégrité du tissu nerveux . Mais les méninges et les vaisseaux offrent la
A suivre.) H. Lanlr, Interne de la Clinique des maladies du système nerveux . DE L'HYSTÉRIE SIMULATRICE DES MALADIES ORGANIQ
sculaire d'origine périphérique (branches terminales du nerf, tronc nerveux basilaire et racines pédonculaires) s'accompagne
avec hémispasme facial; récidive. A nes thés ie en plaques, crises nerveuses . Augustine 11L.... âgée de 10 ans, se présente
cédents personnels, pas de maladies antérieures, mais tempé- rament nerveux et petites crises ( ? ) assez fréquentes. MALAD
énumération indique déjà que ce sont surtout des phénomènes d'ordre nerveux , parfaitement imputables à l'hystérie. Nous avons
VELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. époque, sujette il des crises nerveuses ( ? ) Bonne santé habituelle. Réglée pour la pr
ngée, de l'ovaralgie ci droite. Ces deux signes rapprochés des crises nerveuses d'autrefois fortifient singulièrement le diagno
. Antécédents héréditaires. Rien relever de spécial au point de vue nerveux du côté des grands parents ou des parents. An
entes et durables qui simulent les maladies organiques du sys- tème nerveux . IL En ce qui louche seulement les maladies org
IR.. NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQIJE Dans une récente com
sommaires sur le diagnostic différentiel de la lè- pre systématisée nerveuse et de la syringomyélie. I OBSERVATION. Homm
ze mois. La rate reste très volumineuse. Pendant LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 123 cinq à six ans il e
a repoussé normal ; les phalanges se sont un peu LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 123 infléchies. Deux mo
J3ATTAJLLE 12T ^C raz ÉDITEURS r. éDITEURS LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME S YR I NG OM YÉL1 Q UE 127 cuisses, les
ent. Cet ulcère est absolu- ment anestbésique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYR1NGOVLYÉLIQUE 129 Pied gauche (fig.
te la jambe et tout le pied sont Fig. J et 10. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 131 absolument insensib
solument négative. (1) Séance du 23 août 1802. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRINGOMYÉLIQUE 133 Le procédé de Kalin
uccès. Nous résolûmes alors de faire l'examen bacillaire d'un filet nerveux ; si les troubles trophiques n'étaient que le r
eux ; si les troubles trophiques n'étaient que le reflet de lésions nerveuses c'était, en dernière analyse, celles-ci qu'il f
de l'innocuité que présentait pour lui l'excision d'un petit filet nerveux dans une zone in- sensible, nous avons réséqué
éléments cellulaires ; ils sont libres, situés entre les fibrilles nerveuses , isolés ou le plus souvent groupés en amas irré
n chapelet. Nous n'avons trouvé ces bacilles que dans les faisceaux nerveux ; l'épi- 134 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊT
ique de Renaut. A l'examen microscopique comparé à celui d'un filet nerveux super- ficiel de l'avant-bras tout à fait norma
es sont manifestement hypertrophiées. Dans l'intimité des faisceaux nerveux , le tissu conjonctif s'est en grande partie sub
ltrées de cellules jeunes et dissocie, en quelque sorte, les fibres nerveuses qui ont survécu. La plupart de ces libres ne so
lles que nous avons rencontrés en grand nombre au milieu des fibres nerveuses ayant bien les apparences morphologiques et les
lleurs confirmé ce diagnostic bactériologique. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRIYG0111YÉLIQUE 135 III ' Le malade
y a de l'analgésie. Les sensa- Fig. 13 et Il. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SIRINGU1111ELIQUE 137 tions thermiques
de la face, de la dis- (1) Thibierge. Un cas de lèpre systématisée nerveuse avec troubles sensitifs se rappro- chant de ceu
Soc. méd. des hôp., 13 mars 1891. (2) Chauffard. Lèpre systématisée nerveuse simulant la syringomyélie. Soc. méd. des hop.,
d Glenilo. Urinary diseases, janvier 1890, p. 1. LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYXINGOMYÉLIQUE '139 2 ans et au Sénéga
isaient défaut notamment dans les trois cas do lèpre systémati- sée nerveuse que nous étudions, mais elles manquent aussi dans
stance des nerfs cu- bitaux d'un syringomyélique vrai dont un filet nerveux superficiel examiné au point de vue bacillaire
illes. Ainsi donc les nerfs cubitaux peuvent, dans des cas de lèpre nerveuse bien avérés, être indemnes de toute nodosité.
de Bordeaux, 1891. (2) Raichline, loc. cil, LÈPRE SYSTÉMATISÉE NERVEUSE A FORME SYRING01111'ÉLIQUE 'Ht notre cas elles
atique peut se montrer en dehors des maladies organiques du système nerveux auxquelles elle est ordinairement liée. Il semb
nt donc pour attribuer au côté paternel l'hérédité ar- thritique et nerveuse qu'a subie le malade. Antécédents personnels. -
ont disparu en 1889 depuis sa première saison de la Bourboule. Toux nerveuse surtout le soir qui vint et disparut avec les tro
nt (2). - P. Londe Interne de la Clinique des maladies du système nerveux . (1) Bacakakis, Thèse de Paris, 1883. (2) « B
QUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux (Suite) (I). En résumé, un homme de 50 ans, syp
tion satisfaisante à l'autopsie ni dans l'envahissement des centres nerveux supérieurs, ni dans une thrombose ou embolie d'or
Par endroits celles-ci font irrup- tion au sein même des faisceaux nerveux , et les fibres, comprimées, refou- lées, sont d
n lepl us attentif ne fait découvrir rien autre chose que des tubes nerveux dans leur premier stade de destruc- tion : d'én
de simples trous à l'emporte-pièce représentant la place d'un tube nerveux disparu. A peine le tissu névroglique ambiant a
es territoires dégénérés, il n'y a pas trace. Ajoutons que le tissu nerveux clans leur intervalle, est par- failemenl. norm
otablement. On est autorisé il en conclure que d'une part les tubes nerveux ne sont altérés que sur une faible étendue de leu
s méningées et vasculaires, de l'autre des altérations des éléments nerveux dans les deux substances de la moelle. Pour une
grise, en apparence indépendantes des lésions méningées. Les tubes nerveux qui ont subi une dégénération primitive sont gr
ui envahissent par places le tissu adjacent en détruisant les tubes nerveux plus ou moinspro- fondément. N'est-il pas tout
envahir la substance médullaire, détruire ou comprimer les racines nerveuses qui en partent. Ilomolle en 1876 a publié une o
s altérations des veines dans les lésions syphilitiques des centres nerveux . Il admet qu'il y a une relation intime entre la
n date occupent les méninges et les vaisseaux et que les élé- ments nerveux sont intéressés secondairement, soit par propagat
ce de gaines lymphatiques autour des vaisseaux sanguins des centres nerveux pourrait expliquer la fréquence des lésions syp
ue pourrai I s'appliquer au sac lymphatique qui entoure les centres nerveux et qui n'est autre que la cavité, arachnoïdienne.
treptocoques : il a observé des altérations primitives des éléments nerveux , sans participa- tion aucune des méninges ni de
èle de la région sacro-coccygienne. Autopsie. - Du côté des centres nerveux , pas d'altérations macroscopiques importantes.
quent le trajet. La névroglie a proliféré abondamment; les cellules nerveuses sont atrophiées. Les lésions des cordons blancs
nappes de sclérose conjonctive vraie. La destruction des éléments nerveux est complète, surtout dans la partie cen- trale
cen- trale des cordons postérieurs. Il ne persiste pas un seul tube nerveux recon- naissante. Des corps granuleux cellulair
commissure grise. Dans cette partie, on voit encore quelques tubes nerveux en voie de destruction. La sclérose n'a plus l'
ancienne, et sans doute la conservation d'un grand nombre de. tubes nerveux empêche les fibrilles névrogliques de se groupe
est développé autour d'un vaisseau. Il n'existe plus un seul tube nerveux dans cette partie. Dans toutes les racines d'ai
traitées par la double coloration, on ne distingue plus d'éléments nerveux . La pie-mère adjacente est très infiltrée par les
le périnèvre, des champs de scléro- se au niveau desquels les tubes nerveux ont disparu. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SYPHILITIQ
int. Quant t au reste de la racine, il n'a pas souffert ; les tubes nerveux sont au contact les uns des autres, présentent
t intimement soudées à la moelle à ce niveau, englobant les racines nerveuses atrophiées. Le cordon latéral correspondant était
e siège d'une sclérose très avancée, au point que tous les éléments nerveux avaient dis- paru. Les auteurs font remarquer à
qu'il est rare de voir une destruction aussi complète des éléments nerveux dans les autres variétés de sclérose médullaire
) CHANCIT et GOMIIAULT. Sur un cas de lésions disséminées des centres nerveux chez une femme syphilitique, Archives de physio
e à la nature syphilitique des lésions rencontrées dans les centres nerveux de leur malade. (A suivre.) II. Lancr, Inte
uivre.) II. Lancr, Interne de la clinique des maladies du système nerveux . Le gérant : Louis BATTAII.1,E. Imp. Vve LOUR
ose. C'est chose remarquable qne la grande fré- quence des maladies nerveuses dans la race juive. Chez elle, qu'il s'agisse d
QUE Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux (Suite) (1). Les lésions méningées de la syphil
a syphilis peuvent se limiter aux enveloppes immédiates des centres nerveux , aussi bien dans la moelle que dans le cerveau,
ien de particulier dans les antécédents héréditaires. Pas d'accidents nerveux dans l'enfance. Mariée do bonne heure, elle a e
un épaississement fibreux manifeste, avec adhérence intime au tissu nerveux sous-jacent, notamment dans l'espace inter- péd
à la face antérieure de la pyramide droite : la consistance du tissu nerveux est manifestement diminuée en ce point. La lési
be. On ne saurait en détacher les ménin- ges, sans enlever le tissu nerveux sous-jacent. Les origines des nerfs crâniens, à
si dire, couverte de corps granuleux, disséminés entre les éléments nerveux qui persistent ou situés dans la gaîne lymphati
semble devoir sa grande fragilité dans cette région. Les fibres^ nerveuses sont gravement-lésées, presque toutes en voie de
des vaisseaux à parois hypertrophiées, sans aucune trace de filets nerveux . D'autres montrent des tubes rares et altérés.
breuses, très épaissies sont étroitement adhérentes il la substance nerveuse . La pyramide correspondante est dégénérée, et l'o
Cepen- dant, dans la moitié gauche do toute la région, les cellules nerveuses qui com- posent ces noyaux paraissent peu nombr
gion périphérique du nerf est dégénérée ; un grand nombre de fibres nerveuses ont disparu. Cette zone marginale présente en out
sseur et les parois des capillaires infiltrées légèrement, le tissu nerveux lui-même est nor- mal. Les coupes du nerf oculo
ue l'infiltration cellulaire est un peu plus diffuse ici. Les tubes nerveux sont aussi plus raréfiés que dans le chiasma. C
sisse- ment et infiltration du périnèvre; dégénérescence des fibres nerveuses de la zone péri- phérique (Méthode de PAL). D
r conséquence la destruction des fibres a la périphérie des cordons nerveux en question (voir fig. 26). Une autre particula
nnées. Ajoutons que l'ordre d'enchaînement des différents accidents nerveux dans cette longue période, débutant par des cép
1) a l'ait remarquer il ce propos que la syphilis, dans les centres nerveux , paraissait suivre fréquemment une marche desce
syphilitique du rectum. Les lésions rencontrées du côté des centres nerveux justifient le diagnostic de méningite cérébro-
troubles circulatoires et une nutrition insuffi- sante des éléments nerveux . Si l'importance des lésions méningées est géné
vait émis l'opinion que les lésions syphilitiques, dans les centres nerveux , suivaient une marche descendante. Il semble que
22 ans. Bonne santé habituelle avant son mariage. Pas d'antécédents nerveux personnels ou héréditaires. Se marie en janvier 1
, et que l'apparition d'accidents syphilitiques du côté des centres nerveux paraît avoir été déterminée par un traumatisme
Seize ans plus lard, à l'occasion d'un revers de fortune, accidents nerveux graves : céphalées nocturnes d'une grande inten
a vie. Mère morte en couches a 34 ans, bien constituée; n'était pas nerveuse . Pas d'antécédents nerveux dans la fa- mille, à
a 34 ans, bien constituée; n'était pas nerveuse. Pas d'antécédents nerveux dans la fa- mille, à la connaissance du malade.
uë (fièvre typhoïde ? ), sa soeur vit encore ; elle est mariée, pas nerveuse , mais mal portante depuis un accouchement diffi
de maladie il proprement par- ler ; mais il eut quelques accidents nerveux . A la mort de l'un de ses frères, qu'il apprit
riage de son père) qu'il aimait beaucoup. Il eut une sorte de crise nerveuse pendant la cérémonie fti- nèbre ; il voulait se
s du côté de la moelle épinière indiquent la participation du tissu nerveux . Toutefois ici, les symptômes cérébraux du débu
Chancre induré en 1886. Cinq ans plus tard (1892) début des accidents nerveux par des vertiges accompagnés de vomissements, d
tion de la Salpêtrière au mois de février 1893. Pas d'antécédents nerveux héréditaires. Le malade lui-même a fait, à de H
ques maux de tête peu intenses à la même époque, mais pas d'accidents nerveux . Il a pris alors des pilules et des médicaments
la première, et elle a été manifestement indépendante des troubles nerveux dont il vient d'être question. - ' On conçoit a
ur oculaire commun à gauche, quinte de toux, vomissements d'origine nerveuse . Traitement spécifique. Guérison complète en l'
- veuse. Quatre enfants, tous vivants. Il n'y a pas de maladies nerveuses dans les collatéraux ou les ascendants ; le gra
observation suivante en fait foi. La encore, la série des accidents nerveux est inaugurée par des céphalées d'une grande vi
grave antérieure, et n'a jamais présenté en particulier d'accidents nerveux . Il est d'une constitution assez chétive ; et il
re.) H. Lamy, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux . SUR UNE ESQUISSE RETROUVÉE DE RUBENS REPRÉSE
Difformes dans l'art qui sont toute une évocation de la pathologie nerveuse du passé. Aussi son commerce n'était-il véritab
n ' spécialiste, génial il la vérité dans le domaine des affections nerveuses , alors que parmi ses collègues il était déjà cé
du liquide sanguin. J'arrive du reste à ses études sur les maladies nerveuses dans lesquelles il a brillé d'un éclat incompar
t, créait à la Salpêtrière l'ensei- gnement des maladies du système nerveux . Tout était à faire dans le vieil hospice : une
ire, 3 décembre 1892. JEAN-MARTIN CHARCOT 247 terribles accidents nerveux . Établissant les lois physiques du somnambu- li
thologique pour prendre possession de celle des maladies du système nerveux qu'on créait pour lui. Rien ne changea du reste d
E Travail du Laboratoire de la Clinique des Maladies , du Système nerveux (Suite et fin) (1). I. Paraplégies SYPHILITIQUE
rtériel le ? et n'est- il pas bien établi aujourd'hui en pathologie nerveuse que la localisation d'une lésion en régit les m
nêtre dans un accès de fièvre chaude. Il n'y a dans la fa- mille ni nerveux ( ? ) ni aliénés à la connaissance du malade. L
u antérieurement d'affection grave. Il n'a pas présenté d'accidents nerveux dans son enfance ; mais il était sujet à de grand
e de méningite cérébro-spinale, qui a marqué le début des accidents nerveux . ' Mentionnons par exemple les paralysies ocula
-jacents. Observation X. Chancre induré 8 ans avant les accidents nerveux . Poussée aiguë de ménin- gite cérébro-spinale s
aît assez mal sa famille, et ne saurait dire s'il a des antécédents nerveux . Personnellement, il a toujours eu une bonne sa
portée plus haut, dans laquelle les étapes successives des accidents nerveux peuvent se résumer ainsi : céphalées spécifique
int de vue. Dans un important travail sur la syphi- lis des centres nerveux , Oppenheim (l)a émis cette opinion, très fondée,
l'examen des yeux. Il est inutile de rappeler, parmi les accidents nerveux delà syphilis, la fréquence des paralysies oculai
- Dans un récent travail deGajkiewicz(l)sur la syphilis des centres nerveux accompagné d'observations personnelles, il est
es, et des engourdissements légers dans les ! 1) Syphilis des centres nerveux . Paris; Ballière 1892. DE LA MÉNINGO-MYÉLITE SY
ice de M. le professeur Charcot, salle Prus, n° 2. Pas de maladie nerveuse clans la famille à la connaissance du malade. Lui
s syphilitique paraît s'exercer de très bonne heure sur les centres nerveux . Sans vouloir émettre autre chose qu'une hypoth
qui précèdent dans certains cas les lésions organiques des centres nerveux . Jarisch et Finge n'ont-ils pas signalé une exa
Admettre par exemple que toute altération syphilitique des centres nerveux est falalement limitée, circonscrite parce qu'ell
rquer seulement en terminant que la localisation du côté du système nerveux des lésions sy- philitiques que nous avons envi
out particulièrement de ceux qui sont prédisposés aux complications nerveuses par leur hérédité ou leurs anté- cédents person
e et dans leur répartition les désordres anatomi- ques des éléments nerveux . IL Dans une première variété, la lepto-méningo
e point. II. LAMY, Interne de la clinique des maladies du système nerveux . LE JUIF-ERRANT A LA SALPÊTRIÈRE ÉTUDE SUR CE
E 279 Aucune lésion viscérale quelconque.. Les lésions du système nerveux constituent tous les symptômes : Contracture sp
Observation IV (1). Sigmund S... hystéro-neurastliénique, accidents nerveux provoqués par un coup de foudre. Israélite, l
. Tous leurs enfants sont bien portants et aucun n'a eu d'affection nerveuse . Sigmund S. est le quatrième enfant : Marié 2 f
tympan normale, et un appareil d'accommodation normal donc surdité nerveuse . Le 7 mai 90, l'examen de la sensibilité permet
la sensibilité de réflexe des yeux est liée évidemment à des filets nerveux différents des filets qui servent à la division
t à la moitié temporale de la rétine de l'oeil droit par des filets nerveux éveillant des sentiments de lumière et en même
tend ci la moitié nasale de la rétine de l'ail droit par des filets nerveux conduisant des sensations de lumière et des réfle
de lumière et des réflexes, il la moitié temporale avec des filets nerveux donnant seulement des mouvements réflexes. Mê
st insignifiante. L'excitabilité mécani- que des muscles des troncs nerveux (phénomène facial) n'est pas aug- mentée. Les r
ces troubles et leur développement dans les affections des centres nerveux et des nerfs (Charcot) où se trouvent les lésio
nt morts. Au dire de la malade, il n'y aurait jamais eu do maladies nerveuses dans sa famille ni du côté paternel, ni du côté
nt elles-mêmes une conséquence presque inévitable de cette hérédité nerveuse , et, si, parmi les Juifs, les désordres nerveux
de cette hérédité nerveuse, et, si, parmi les Juifs, les désordres nerveux abondent, il faut reconnaître qu'on rencontre sou
mblable que comme lui, musi- cien, beaucoup d'entre eux étaient des nerveux à des degrés divers. Il n'est pas besoin d'aill
, de retrou- ver dans les ancêtres ou les collatéraux des accidents nerveux similaires. L'hérédité en neuropathologie revêt
ont dû contribuer pour une large part à l'é- closion des accidents nerveux . En somme c'est le chapitre (,Llolociqtie de la
nie, dit Beard, peut ouvrir la porte à toute une série de désordres nerveux . « Beaucoup de mélancoliques qui entrent dans les
es voyageurs, par IIenry Meige, 19t, 277, 333. Lèpre systématisée nerveuse à forme syrin- gomyélique par Pitres et Sabrage
du nerf médian, VIII. TABLE DES FIGURES Champ visuel dans : lèpre nerveuse , 6. contractures réflexes, 47. Juif-Errant à
e la moelle, 4, 5, 15, 16, 17, 18, 19, 26, 27. Pied dans la lèpre nerveuse , 7, 8. Pseudo-lzypertropTzie dans la myopathie,
54 (1905) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 18] : recueil consacré à l'iconographie médicale et artistique
enu à perpétuer la tradition de la Clinique des maladies du système nerveux en continuant à offrir la primeur de ses travau
rologistes et des Psychiatres, aux travaux consa- crés aux maladies nerveuses sont venus s'ajouter les études de pathologie m
de processus dystrophiques liés à des pertur- bations de l'appareil nerveux ? Il est d'ailleurs d'usage constant t de décri
lleurs d'usage constant t de décrire dans les « Traités de maladies nerveuses » des affec- tions telles que l'acromégalie, le
leurs. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . MALADIE DE FRIEDREICH et HÉRÉDO-ATAXIE CÉR
PAR F. RAYMOND, Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux . Messieurs, Personne de vous n'est étonné en
irmée la notion d'une prédisposition générale à toutes les maladies nerveuses transmises héréditairement; je vous rappelle le
- phithéâtre, il y a déjà dix années (2). Vous le savez, l'hérédité nerveuse peut être définie : l'aptitude à faire éclore d
nerveuse peut être définie : l'aptitude à faire éclore des maladies nerveuses , conférée à un organisme] vicié dans ses-caract
Hôpitaux. (2) Professeur RAYMOND, Clinique des maladies du système nerveux , ! r série, p. Õ20. 6 RAYMOND maladies famili
3 ans d'une affection car- diaque sans avoir présenté de phénomènes nerveux . Elle a six frères et soeurs, tous vivants, et
un d'eux n'a jamais été atteint d'une maladie quelconque du système nerveux . Les deux soeurs sont mariées et de ses quatre
males. Pas de troubles trophiques; rien à noter au sujet des troncs nerveux . Le thorax ne présente rien de particulier à si
ni l'atrophie musculaire, ni l'hypertrophie douloureuse des troncs nerveux , ni le signe d'Argyll-Robertson, communément obse
tre les traits es- sentiels de cette nouvelle affection des centres nerveux . En 1863, il affir- ma son existence, dans un m
tout simplement, dit P. Ma- rie, l'indice des scléroses des centres nerveux réunissant les deux condi- tions suivantes : 9
nues dans l'enfance pendant la période de développement des centres nerveux . » C'est ainsi qu'elle a pu être constatée dans
une dégénérescence dans les parties les moins résistantes de l'axe nerveux . Le dernier mot de la question, du moins avec l
gie cérébrale, inondation ventri- culaire. Il y a quelques troubles nerveux chez les collatéraux. Douée elle-même d'un temp
ncement et une fin, une période de (1) VuLpiAN, Maladies du système nerveux , 1819-1886, t. I. p. 658 (2) Bulletin médical,
de traitement con- nus actuellement » (Vulpian, Maladies du système nerveux , t. I, p. 672), nous demandons une heureuse exc
du corps. Je pense qu'à la faveur de la pneumonie, dans un système nerveux vas- culairement adultéré par l'alcool et les e
inement aucun rapport avec les déformations thoraciques. Le système nerveux ne semble pas altéré : les réflexes sont normaux.
lité et déformations du squelette, fractures multiples,excitabilité nerveuse particulière, contractures musculaires douloure
vril IIOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX MALADIE DE FRIEDREICH ET HËRËDO-ATAXIE CÉRÉ
), PAR F.RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux . Messieurs, Dans la précédente leçon, je vous
un homme vigoureux, bien por- tant, indemne de toute manifestation nerveuse , et chez qui on ne pouvait soupçonner quelque t
iculaire ne sont pas modifiés. Les masses mus- culaires, les troncs nerveux sont indolores ; ces derniers ne présentent pas
mba à 41 ans, au cours d'une polynévrite éthylique. Sa mère, grande nerveuse , mourut à l'époque de la ménopause d'un ictus a
et 18 ans. Bref, les premiers symptômes apparents de son affection nerveuse ne se signalent guère avant la 18e année et se tr
aite 24 heures après la mort, après formolage préalable des centres nerveux (Voy. Planches XIX, XX, XXI, XXII). Les centres
arnisation avec quelques infarctus. Reins décolorés. Le système nerveux a été débité complètement et placé dans divers ré
Mais ici, il n'y a pas de surcharge pigmentaire. 90 Autres cellules nerveuses . - a) Couche moléculaire, très diminuée de haut
ur- kinje qui se perdent dans cette couche. De plus, les cellules nerveuses de cette même couche sont petites, souvent étoi
ne s'accompagne pas de sclérose névroglique appréciable. B. Fibres nerveuses myéliniques. La coloration de Weigert-Pal montre
ration de Weigert-Pal montre une diminution considérable des fibres nerveuses partout (sauf au niveau des noyaux dentelés ; c
dénomination. De plus en plus, dans l'étude des maladies du système nerveux , on tend à réunir dans des groupements synthéti
ients à multiplier à l'infini les espèces morbides de la pathologie nerveuse hé- réditaire et familiale. Il y a mieux à fair
KI de la coupe du vaisseau et la direction prépondérante des fibres nerveuses ambiantes. Très nombreux dans la moelle des cir
on rouge uniforme, dans laquelle on voit difficilement les cellules nerveuses . Celles-ci paraissent par endroits entourées d'
SSU CEREBRAL DUES A LA PRÉSENCE DE TUMEURS 145 de nombreuses fibres nerveuses . Cependant il y a'des fibres conservées jusqu'au
n ne retrouve que très rarement l'image caractéristique de la fibre nerveuse . Mais déjà la région des corps genouillés exter
vacuoles sans membrane propre, délimitées simplement par des fibres nerveuses serrées (fig. 5). Mais ici ces vacuoles sont lo
air qu'à ces va- cuoles doit correspondre une déperdition en fibres nerveuses , mais elle est Fie. 3. - P, pigment. V, vaissea
ous trouvons en avant de la tumeur une forte raréfaction des fibres nerveuses radiaires et surtout supraradiaires, en même temp
uables des domaines corticaux correspondants. Destruction de fibres nerveuses limi- tée à une zone étroite située directement
if, il y a cependant des îlots de cellules infiltrées dans le tissu nerveux (fig. 6). Point de réaction inflammatoire. La
dem- ment. Dans la substance grise des vacuoles autour des cellules nerveuses ; dans la blanche, partout des vacuoles de forme
en concluons que le cerveau avait subi une perte notable en fibres nerveuses . Ceci peut fournir l'explication de l'état dément
les, dans la masse même du cervelet. Donc ici aussi perte de fibres nerveuses (Fig. 9). XV) H i i FiG. 9. Pcm, pédoncule cé
l n'est pas possible de distinguer les images en soleil de la fibre nerveuse . Nous croyons remarquer que les faisceaux d'assoc
lo-rachidien, incompressible, se fait place en réduisant les fibres nerveuses il l'atrophie. C'est le second stade 158 WEBER
dus ou de la nutrition cérébrale ou de la dégénérescence des fibres nerveuses . Nous avons démontré l'existence de cette dégénér
BERTOLOTTI. Un des chapitres les plus intéressants de la pathologie nerveuse est bien celui de l'hémiplégie alterne. Etudié
ues-uns des problèmes les plus intéressants de la physio-pathologie nerveuse . OBS. [. R.... Domenico, laboureur, âgé de 28 a
oyaux du pathéti- que sont pris, on ne voit pas de trace des fibres nerveuses entrecroisées à ce niveau, la section de la bra
29, p. 227. (4) It.wwo;vo, Leçons cliniques des maladies du système nerveux , VIe série, 1903. SYNDROME DE LA CALOTTE PÉDONC
ieu ce qui est écrit dans les plus récents traités de la pathologie nerveuse : (1) Loc. cilato. (3) BaucE, Rev. of. Neurol
troubles profonds de la sensibi- (1) Oppenheim, Traité des maladies nerveuses ; 2 vol. de la traduction italienne, p. 381.
on italienne, p. 381. (2) T. CLIFFORD ALBCTT, Traité des maladies nerveuses . (3) Voir ce propos : M.FBRRON, De l'ophtalmopl
al et Laborde. Toutefois dans l'état actuel de la physio-pathologie nerveuse , force nous est d'admettre des fibres ascen- da
sseaux de la base de l'encéphale rend compte des lésions du système nerveux central. Alors que les coupes de Fleschsig et d
corpuscules hyalins dans les espa- ces sous-méningés. Les cellules nerveuses sont peu pigmentées. La méthode de Nissl les mo
ombre. Sympathique. Dans les ganglions senti-lmcaires, les cellules nerveuses sont normales ; mais il y a prolifération des c
de vue. Après avoir comparé les lésions squelettiques, musculaires, nerveuses et viscérales que nous avons rencontrées,aux de
le de rapprocher cette atrophie des lésions paralytiques du système nerveux que d'en faire une dépendance directe de l'acromé
'atrophie musculaire des hémi- plégiques (1). L'examen du système nerveux cérébro-spinal et sympathique, central et périp
ce qu'on pourrait citer encore d'autres observations où des lésions nerveuses existent chez des acromégaliques, on n'en tirerai
nécessité avec l'acromégalie. Nous pensons en effet que les lésions nerveuses de notre malade ne dépendent pas de l'acromégal
e, car il tra- duit une perturbation dans la circulation du système nerveux central. Rappelons en effet l'observation de Ca
ÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME NERVEUX (RÔLE DE LA SÉCRÉTION LYMPHATIQUE DANS LEUR PAT
ge de phénomènes secondaires qui fontsongerà l'influence du système nerveux . Selon Meige ces deux formes seraient la manife
lon le même auteur l'altération fondamentale serait dans le système nerveux dont le trophisme qui normalement s'exerce sur le
issement, ne présente au- cun phénomène objectif du côté du système nerveux . En résumé « Chez un jeune garçon dans la pério
e très intelligent, très sain, d'un tempérament un peu excitable et nerveux . OBS. IV. P. Giuseppina, 26 ans, sage-femme. Au
aite. Après la puberté elle a été toujours un peu excitable, un peu nerveuse , mais elle n'a jamais souffert d'aucune ma- lad
cherché d'assimiler cette affection aux autres affections d'origine nerveuse . Brück, par exemple, la comparait au bégaiement ;
o- fessionnelle serait une conséquence d'une altération des centres nerveux .Nords- trôm attribue la crampe professionnelle
gistes modernes attribuent la crampe profession- nelle à l'hérédité nerveuse , à la diathèse rhumatismale, à la goutte, au trau
ger courant continu peut rendre service, comme stimulant du système nerveux , l'électrisation sera plutôt nuisible, comme exci
nuls et il n'en pouvait pas être autre- ment. L'élongation du tronc nerveux n'a aucune raison d'être, car dans l'airec- tio
ns ici il ne s'agit nullement d'une maladie des nerfs ou des troncs nerveux . Zuber et plusieurs auteurs modernes ont procla
old de Stockholm pro- posa de provoquer une irritabilité des troncs nerveux en massant les muscles avec les extrémités d'un
à la fois sur le fonctionnement du tube digestif et sur le système nerveux , aident beaucoup la marche progressive de la rééd
pas nécessairement les mêmes que les limites de convention du tronc nerveux . En d'autres termes, la sciatique n'est pas la
- ét 1903, p. 35. ' ' ' ' (4) Voy. Dejerine, Sémiologie du système nerveux , p. 841. Z40 HENRY MEIGE ? 1. . 1 , En somm
faisceaux blancs delà moelle épinière. Hislologiquement 1 les tubes nerveux subissent une démyélinisation subaiguë, avec corp
s la région lombo-sacrée jusqu'au bulbe. Histologique- ment le tube nerveux s'atrophie graduellement, avec peu de corps granu
ce. Les vaisseaux méninges sont en dégénérescence hyaline. Le tissu nerveux n'est pas infiltré, mais la vascularite est inten
faisceaux de Goll et de Burdach (pl. XXXIII, fig. ). Les cellules nerveuses paraissent normales. A la région dorsale, on ne
tion extrêmement intense de petites cellules rondes. Les cellules nerveuses sont très pigmentées. , Foie. Dégénérescence gr
alcooli- ques. Syphilis probable. - Il a un enfant de 3 ans, très nerveux . Les troubles du caractère remontent à cinq ann
zone cornu-commissurale présente encore un certain nombre de tubes nerveux normaux. La zone d'entrée des racines postérieu
lles ont, en grande partie, disparu. Le nombre des petites cellules nerveuses superficielles (cellules de Cajal) est très dim
n bandes de beaucoup de leurs fibres à myéline. Nissl. Les cellules nerveuses sont relativement bien conservées. Moelle dorsa
faisceau de Burdach est complètement dégénéré. Nissl. Les cellules nerveuses sont fortement colorées. Beaucoup sont défor- m
QUES GÉNÉRAUX 217 Bulbe, - Il existe de la méningite ; les cellules nerveuses paraissent nor- males. Ecorce cérébrale. Les
ite et dépôt pigmentaires sont aussi plus alté- rés. Les cellules nerveuses ont pour la plupart conservé leur forme et leur n
ellules rondes, déformation globuleuse et chromatolyse des cellules nerveuses , fragmentation, destruction, disparition d'un g
iltration intense de petites cellules rondes. Au Nissl les cellules nerveuses n'ont pas de grains nets ; elles ont des taches d
e et les aires des faisceaux pyramidaux se trouve une zone de tissu nerveux sain. Au Nissl, les cellules des cornes antérie
vicale colorée au Weigert, on constate : une raréfaction des fibres nerveuses au niveau des aires des faisceaux pyramidaux qu
rs que d'autres de la même racine sont intacts. Au Nissl ; cellules nerveuses normales. Moelle dorsale. - A l'hématoxyline-éo
elativement normal de la moelle. Au Nissl, la majorité des cellules nerveuses sont normales ; la quantité de pigment est asse
flam- matoire à maximum au niveau de la pie-mère et de la substance nerveuse de la moelle dorsale. Enfin, il y a dans les
sont également infiltrées de cellules rondes. Beaucoup de cellules nerveuses , altérées, sont en neurono- phagie. Les racines
e médiane antérieure est atteinte d'endartérite marquée. Le tissu nerveux , - cellules et fibres - se. colore très mal. Les
asculaire de l'artère spinale postérieure. 11'issl.- Les cellules nerveuses en état picnomorphe sont souvent déformées, pri
périphlébite marquée et de l'endartérite très prononcée. Le tissu nerveux se colore mal, seulement au niveau de la substanc
la moitié postérieure de la moelle. Nissl. La plupart des cellules nerveuses sont normales. Quelques-unes ont leur noyau exc
la périartérite assez accentuées. L'infiltration de la substance nerveuse prédomine dans la substance grise et surtout au
onstatations précédentes. Dans les cornes antérieures, les cellules nerveuses sont rares ; celles qui subsistent sont altérée
ment ocre. Les artères sont en dégénérescence hyaline. Les cellules nerveuses ont conservé leur forme ou sont en chromatolyse e
moelle cervicale, moins la radiculite parenchymateuse. Les cellules nerveuses sont normales au Nissl. Moelle lombaire. Hén,
ons cervicale et surtout dorsale. Nissl. Les lésions des cellules nerveuses sont énormes : chromatolyse, caryolyse, déforma
ieures, peut entraîner une dégé- nérescence de voisinage des fibres nerveuses périphériques des cordons latéraux. ' Dans l'
rre Marie, Guillain et Crouzon, soit à des altérations des cellules nerveuses de la moelle, lé- sions sur lesquelles insiste
jourd'hui moins difficile que naguère. A la conception des maladies nerveuses , caractérisées par la systémati- sation de leur
ns, tend à se substituer une idée plus large faisant des affections nerveuses , que la clinique distingue, de simples syndromes
r dans les autopsies tardives, surtout lorsqu'il s'agit des centres nerveux . Nous venons d'observer un chien qui présentait
'est relevée du côté des organes thoraciques et abdominaux. Centres nerveux . Les os du crâne et de la colonne vertébrale ne p
générescence hyaloïde. Pas de néoformation vasculaire. Les cellules nerveuses sont atrophiées ; les noyaux sont très gros relat
Il convient de faire remarquer que l'examen histologique du système nerveux de notre sujet montre que les lésions observées s
que la maladie des chiens se lo- calise fréquemment sur le système nerveux ,et qu'elle provoque d'ordinaire la chorée. En
hologie générale de M. Bouchard, à l'article Séméiologie du système nerveux (tome V), M. Dejerine signale la possibilité de
it eu, à l'époque de l'apparition des règles, quelques légères crises nerveuses qui se sont reproduites depuis, à intervalles t
us existait et pesait 8 grammes. L'examen macroscopique des centres nerveux : cerveau, bulbe, moelle, ne révéla aucune part
a myasthénie,puisque nous n'avons constaté aucune lésion du système nerveux central ou périphérique. Nous ne connaissons ju
ins auteurs d'établir l'existence, de deux ordres de lésions extra- nerveuses . D'une part, des tumeurs à siège variable et de n
psiques,'le pendant du cas de Laquer-Weigert : intégrité du système nerveux central et périphérique ; lympho-sarcome du thymu
ÈMES CIRCONSCRITS AIGUS ET CHRONIQUES SOUS LA DÉPENDANCE DU SYSTÈME NERVEUX (ROLE DE LA. SÉCRÉTION LYMPHATIQUE DANS LEUR PA
sont l'apanage des névropathies, ou mieux des individus à sys- tème nerveux faible, prédisposés aux maladies et chez lesquels
lièrement une intoxication qui a une action élective sur le système nerveux : éthylisme, CO, tabagisme, th y- 2S6 ' VALOBRA
sence des oedèmes de Quinke dans les maladies organiques du système nerveux (1). (1) Je laisse à part les formes hystérique
ces oedèmes présentent dans leur étiologie une faiblesse du système nerveux et très souvent une intoxication de nature vari
peau, l'oedème circonscrit se trouve dans le chapitre des maladies nerveuses , et cela dans les meilleurs traités classiques.
rsuivons l'étude sont sous la dépendance des altérations du système nerveux . Pour ce qui concerne {'urticaire, cette affirm
vés dans l'estomac, on ne peut pas douter de l'influence du système nerveux central dans la production de l'urticaire. La thé
els ont essayé de soustraire l'ur- ticaire à l'influence du système nerveux pour en faire une lésion due à l'inflammation e
, aux mains, et parfois à la glotte. Dans ces cas, l'action réflexe nerveuse est certaine, et on ne peut pas songer que, sui
que toujours héréditaires. Au moins « la débilité ou l'insuffisance nerveuse ... se retrouve dans leurs antécédents héréditaire
nels » (Merlleo). Mais la démonstration de l'influence du système nerveux est complète dans les expériences que les labor
s'agit des maladies avec lésions profondes etanatomiques du système nerveux , il est bien plus fréquent d'observer l'oedème pe
des observations de trophoedème sans lésion démontrable du système nerveux ,' nous avons une série d'observations dans lesq
sagère de la même région dont la lésion définitive produit l'oedème nerveux persistant. La main succulente pourrait, selon
dions étaient symptomatiques d'une affection bien connue du système nerveux , nous rappelons l'observation de Bonnier (89) :
ces manifestations sont en rapport avec des altérations du système nerveux en général. Mais nous n'avons encore aucune notio
rétion et de la circulation lymphatique sous l'influence du système nerveux : les trois formes ont de ce côté de la pathogé
lus il prouva que cette sécrétion était sous l'influence des fibres nerveuses secrétrices spéciales. Cette dernière affirmation
tous les auteurs ont basé leurs idées sur l'in- fluence du système nerveux dans la production de l'urticaire. Cela nous ex-
s vasomoteurs peuvent être provoqués pour une action sur le système nerveux de certaines substances, ou bien par voie réflexe
production serait parfaitement indépendante de l'action du système nerveux . Mais les expériences de Heidenhain sont une ép
oeeme circonscrit, sont sous la dépendance de l'action du sys- tème nerveux . « Il suffit d'exciter par un courant électrique
osmotique des divers tissus, se forment sous l'influence du système nerveux ; et il s'agit d'une influence sécrétoire. Il n
s ont admis pour expliquer le trophoedème une altération du système nerveux et plus précisément une anomalie des centres tr
s d'éléphantiasis ont songé à des altérations trophiques du système nerveux . Nous avons vu que la seule différence consiste
dème se fait pour une stase de la lymphe qui a lieu pour une lésion nerveuse , et les travaux de l'école de Brissaud nous ont
nctionnelle ou bien anatomique, passagère ou permanente des centres nerveux dont l'intégrité est nécessaire pour que la séc
nt l'indépendance des phénomènes vasomoteurs de l'action du système nerveux central, et d'autres qui localisent ces centres
krankh., VIII, p. 612. 40. COUTY. - Etude sur une espèce de purpura nerveux . Gaz. hebd. de Paris, 1876, p. 563. 41. 11loN
lus pénible encore, en novembre 1899, que se montrent des accidents nerveux d'un autre ordre : un torticolis mental. Nous
se après elle et qui aurait produit une impression violente sur une nerveuse surmenée, le premier jour où, après trois semai
en question, est fils d'un alcooli- que mort à la suite d'accidents nerveux mal définis. Lui-même a fait quel- ques excès a
ques dans son adolescence ; il a eu à plusieurs reprises des crises nerveuses d'une nature indéterminée, paraissant épileptifor
enfants est conservée et même assez vive. L'examen de leur système nerveux a montré son intégrité absolue ; les réflexes p
rtébrale. III. Anomalies conco- mitantes. Chapitre II. Le système nerveux et le tissu cérébro-spinal. I. Moelle épinière et
inal des foetus à rachis déhiscent : absence de tout vestige de tissu nerveux ; per- sistance de fibres nerveuses ; tumeur cé
absence de tout vestige de tissu nerveux ; per- sistance de fibres nerveuses ; tumeur cérébrale sacciforme. Chapitre III. -
le ou partielle de la voûte ; déhiscence du rachis. -IV. Le système nerveux et la nutrition générale. CnAPiTRElV. Les cause
ant des vaisseaux, au sein duquel s'élabore secondairement le tissu nerveux . Et alors, « qu'est-ce qu'un anencéphale ? Un ê
façon plus générale l'idée d'une destruction secondaire du système nerveux ne fut pas accueillie avec faveur, malgré l'app
ncéphalie était une affection destructive et convulsive des centres nerveux (7). Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire, toutefois,
un véritable kyste. Dans d'autres circonstances, toute la substance nerveuse est détruite, des faus- ses membranes, des brid
résultent toutes d'une maladie, d'ailleurs indéterminée, du système nerveux , Jules Guérin devait presque fatalement tomber
transparente recouvre ces filets, qui ne sont autres que des troncs nerveux . Tout en haut, dans la région cer- , vicale, ce
ncs nerveux. Tout en haut, dans la région cer- , vicale, ces troncs nerveux se perdent dans une masse en tout semblable, à l'
n bas, vers la région lombaire, le spina bifida cesse et les troncs nerveux s'engagent dans un canal rachidien normal. Le s
encéphalie com- pliqué de célosomie (1). CHAPITRE Il Le système nerveux et le tissu pseudencéphalo-médullaire. En étudi
de colonnettes cylindriques n'ayant plus aucune apparence de tissu nerveux . L'examen histologique nous renseignera plus am
Au surplus, ces considérations morphologiques relatives au système nerveux n'ont qu'une importance secondaire ; elles ne n
filum terminal, on distingue sur les coupes transversales un tissu nerveux ayant au centre un canal épendymaire nette- men
en conservés. Dans l'intimité de ce tissu, se trouvent des éléments nerveux caractéristiques. Ces éléments ne présentent au
g. 8). En dehors de la pie-mère se trouvent les sections des troncs nerveux , dans les interstices desquels s'insinuent une as
galement un léger épaississement de la gaine conjonctive des troncs nerveux . Fio. 8. Coupe transversale de l'extrémité infé
njonctivo-vasculaire, qui tend à se substituer peu à peu au système nerveux et qui s'y substitue ell'ectivement à la partie-
titue ell'ectivement à la partie- tout à fait supérieure du système nerveux . b) Hémorragies et exsudation. - Dans cette rég
fération vasculaire et la coalescence de leurs parois. R. Racines nerveuses . M. Moelle. - Vpc.Couche des vaisseaux postérieur
aux. Malgré tout, l'envahissement conjonctivo-vasculaire du système nerveux ne semble pas être rapide ; s'il est notablemen
vance que les amas sanguins se trouvent non seulement dans le tissu nerveux , mais encore dans les os, les muscles et d'autr
leuco- cytes abondants tant dans les vaisseaux que dans les tissus nerveux , et enfin avec une prolifération vasculo-conjon
remier abord, et tout porte à croire que l'envahissement du système nerveux est une tendance constante de la méningite, ten
Dès la région la plus inférieure de la moelle, on observe un tissu nerveux fragmenté en faisceaux, dans lequel ne se trouv
loppé de la gaîne vasculaire ; tout autour sont disposés des troncs nerveux atteints par l'inflammation à un faible degré.
ble réside ici dans la moelle. Elle ne renferme plus aucune cellule nerveuse , mais elle ne renferme pas davantage de vaisseaux
chien pseudencéphale, chez lequel existait des vestiges du système nerveux intercalés entre des parties conjonctivo-vasculai
egmentaire, c'est-à-dire à des destructions partielles d'un système nerveux préalablement constitué au com- plet. Suivant t
nnels ; un tissu disposé sur une aussi grande longueur que le tissu nerveux présente presque nécessairement des variations pl
- phale. Le tissu lui-même n'a aucun caractère commun avec le tissu nerveux . Les dispositions que l'on constate d'une façon
eules les hémorra- gies internes marquent la participation du tissu nerveux . Chez le foetus, au contraire, la vie parasitai
T DE L'ANENCÉPHALIE 383 la vie de se prolonger, bien que le système nerveux subisse une destruction lente. Dans ces conditi
; elle envahit également en dedans et tend à se substituer au tissu nerveux , ou plus exactement à un magma fait de débris n
tuer au tissu nerveux, ou plus exactement à un magma fait de débris nerveux et de globules sanguins d'origine hémorragique.
onjonctive. Si les capillaires pénètrent dans l'inti- mité du tissu nerveux , leur multiplication est surtout intense en dehor
, leur multiplication est surtout intense en dehors ; dans le tissu nerveux lui-même nous observons plus particulièrement une
e encéphalique peut renfermer encore une certaine qnantité de tissu nerveux . Il ne saurait y avoir aucun doute sur la réalité
ente la peau, mais aussi par l'envahissement tar- dif des ganglions nerveux . Nous avons noté ce fait, pour ce qui est des gan
à grands traits la marche des phénomènes sur l'ensemble du système nerveux . Cette indication nous sera nécessaire pour com
Sans doute, il s'agit bien encore ici de méningite ; mais le tissu nerveux se trouve dans un état de dégénérescence extrêmem
BAUD progresse en dehors, vers la dure-mère, intéressant les troncs nerveux péri- médullaires. L'intensité du processus s'a
able. Même, dans les segments inférieurs de la moelle, les cellules nerveuses devraient être à peine modifiées. Or il en va ici
ue dépend cet état de désinté- gration totale où se trouve le tissu nerveux . D'ailleurs, la discordance entre les lésions d
n cervicale, une vague apparence du canal épendymaire. Les cellules nerveuses sont un peu moins dégénérées, elles sont groupé
as d'une destruction secondaire, portant à la fois sur les éléments nerveux et sur les éléments conjonctivo-vasculaires. Il e
l'on ne peut, sous aucun prétexte, pla- cer la destruction du tissu nerveux sous la dépendance de la méningite racbi- vienn
us inflammatoire n'est pas l'agent immédiat de destruction du tissu nerveux . Ces deux cas nous montrent, en somme, une dégé
nne ne suffit pas à ex- pliquer la désintégration complète du tissu nerveux . Nous avons insisté sur ce point, en faisant re
s encépha- liques, les détruit et détruit, en particulier, le tissu nerveux . L'évolution mor- bide ne marque qu'une faible
sus tout à fait accessoire. Il peut aider à la disparition du tissu nerveux ; cette dispa- rition s'effectuera sans lui, co
ent ; il n'y a plus substi- tution d'un tissu néoformé aux éléments nerveux : ceux-ci se présentent sous 390 RABAUD l'asp
purement et simplement un tissu dépourvu de tout vestige d'éléments nerveux ; celle où, au-dessus des tissus de remplace- m
, au-dessus des tissus de remplace- ment, sont disposées des fibres nerveuses en nombre variable (Fig. 11). 1° Absence de tou
s en nombre variable (Fig. 11). 1° Absence de tout vestige de tissu nerveux . Le premier fait à mettre en évidence, pour ce
état et reconnais- sables par leur continuité avec le seul élément nerveux encore distinct : le FiG. 11. Coupe transversal
ent que le ganglion rachidien est, de toutes les parties du système nerveux , celle qui résiste le plus longtemps, qui est,
a néo- formation conjonctivo-vasculaire. 2° Persistance de fibres nerveuses . Les foetus qui présentent cette disposition si
dépourvus de moelle épinière, mais de posséder cependant des troncs nerveux courant dans une gouttière rachidienne largement
renferme un tissu mince, résistant, sur leque e reposent des troncs nerveux recouverts eux-mêmes par un voile extrêmemen mi
II Il 26 394 RABAUD uniquement constituées par de nombreux troncs nerveux , dans les interstices desquels quelques vaissea
étalement sur le plancher du canal rachidien ouvert. Ces faisceaux nerveux appartiennent aux racines postérieures, ainsi que
rent plus aucune trace de moelle, mais, au contraire, des faisceaux nerveux abondants. Ceux-ci d'ailleurs, ne sont guère pl
dentité duquel il ne saurait y avoir aucun doute. · Les faisceaux nerveux reposent directement sur la dure-mère, fort épais
foetus ca- ractérisés, morphologiquement,par la présence de filets nerveux dans une gout- tière rachidienne. Ce second cas
ion inférieure de la moelle; il con- vient d'ajouter que les troncs nerveux sont comme toujours moins atteints que les tiss
isparaît complètement, et l'on ne retrouve plus que quelques filets nerveux reposant sur la dure-mère, infiltrés de vaisseaux
vant que la prolifération vasculo-conjonctive n'ait envahi le tissu nerveux . Le processus a été ici le même, et nous pouvon
DU LABORATOIRE DE Mr LE DOCTEUR KLIPPEL MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX PAR MAURICE RENAUD, Interne des hôpitaux.
lement l'étude histologique précise de tous les éléments du système nerveux . Telle qui donne des résultats remarquables dan
et applicable à tous les éléments de toutes les parties du système nerveux . La méthode que nous avons proposée à la Sociét
La moelle a une coloration semblable. MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX 401 débarrasse des cristaux de sublimé dont ell
yélinejaune, fibrilles de névroglie). De minces tranches de tissu nerveux et les nerfs peuvent être avant inclu- sion col
ngitudinalement, ils montrent à un faible grossissement leurs tubes nerveux parallèles,presque uni- formément teintés avec
rossissement on reconnaît les grosses travées de soutien, les tubes nerveux serrés les uns contre les autres, les noyaux et l
rt loin. Nous n'avons jamais pu y découvrir de fibrilles. Tubes nerveux . Coupés transversalement ils montrent leur cylind
laisse décomposer en un réseau de fines fibrilles mêlées aux fibres nerveuses . A la périphérie de la moelle, au bord du sillo
illes quittent les travées et pénètrent en ondulant entre les tubes nerveux . Celles qui sont dans le plan de la coupe peuvent
ux. . D'ailleurs ces fibrilles n'affectent jamais avec les cellules nerveuses que des rapports de contiguïté. La substance
r prolongements plus ou moins ramifié ! MÉTHODE D'EXAMEN DU SYSTÈME NERVEUX 403 Cerveau. Dans substance blanche on distingu
rra étudier les dégénérescences par la méthode de Pal, les cellules nerveuses par la co- loration de Nissl, on décèlera facil
t MM. Raymond et Jendrassik, qu'il n'existe pas, entre les maladies nerveuses familiales, des limites bien tranchées et qu'on
ge de 5 ans, a été pris alors d'étourdisse- ments et de tremblement nerveux dans les jambes, qui lui rendaient la station d
embres de la même famille ne prouve pas qu'une affection du système nerveux ne soit pas héréditaire. Obs. de VESTPIIAL (Arc
lifération de la névroglie qui tend à prendre la place des éléments nerveux affaiblis. Bing a récemment tenté d'expliquer p
ogie de la maladie de Friedreich ; il suppose que dans des systèmes nerveux congénitalement insuffisants (et les autopsies
topsies montrant un certain nanisme du système 416 BALLET ET ROSE nerveux appuyent cette façon de voir, Marie et Londe, Bon
ties de l'orga- nisme demande une réparation plus rapide du système nerveux qui préside à à ce fonctionnement, cette répara
erveux qui préside à à ce fonctionnement, cette réparation du tissu nerveux ne se fait pas et l'atrophie et la sclérose app
ale pourrait atteindre toutes les parties congéni- tales du système nerveux . - Touchant le cervelet, elle produirait l'héré
lésions (Westphal), ou l'exis- tence d'un simple nanisme du système nerveux , semble être en faveur de la théorie d'Edinger
que les mouvements convulsifs (1) Bmssnun, Leçons sur les maladies nerveuses , 189;i, p. 206. HÉMISPASME FACIAL PÉRIPHÉRIQUE
imitée à ce nerf. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du système nerveux siégeant au-dessus du noyau du facial, telle qu
gle de trouver dans les antécédents des jeunes hystériques une tare nerveuse manifeste. Celle-ci n'est pas toujours directem
la cause provocatrice, mais assez souvent il semble que le système nerveux attende pour réagir, qu'il y ait, comme disait
on père est mort de congestion célébrale, il était, parait-il, très nerveux , sans attaques toutefois ; la mère est bien por
s dans un groupement musculaire insolite, paradoxal ; aucune lésion nerveuse centrale ou péri- phérique ne permettait d'expl
r la suspension cervicale. Au premier abord, l'enfant ne paraît pas nerveuse . Elle rit et pleure facile- ment, est très dist
rculose pul- monaire,la mère est en bonne santé, elle ne paraît pas nerveuse , dit-on,elle n'a jamais eu d'attaques de nerfs,
kilomè- tres de Morzine, une fillette de 9 ans fut prise de crises nerveuses singu- lières qu'aucun médicament ne semblait c
en droit d'admettre l'existence d'une lésion surajoutée du système nerveux venant compliquer la dystrophie osseuse. 13.
leur squelette, mais aussi dans leurs viscères et dans leur système nerveux . 2° Les peuples nains, races humaines qui, à pa
ici par lésion directe, là, indirectement par altération des centres nerveux . La même distinction doit être établie entre l'
he). - On pouvait également songer à un trouble trophique d'origine nerveuse , car les centres nerveux des achondroplasiques
t songer à un trouble trophique d'origine nerveuse, car les centres nerveux des achondroplasiques n'avaient jamais été,jusqu'
dystrophie osseuse. L'achondroplasie paraît indépendante du système nerveux et semble relever d'une cause générale, la- que
i parfois se développent secon- dairement à des lésions des centres nerveux et qui rentrent dans la catégorie des troubles
e déterminante. S'agit-il de modi- fications invisibles des centres nerveux ? s'agit-il de troubles glandulaires con- génit
ement transmissible au même titre que la prédisposition musculaire, nerveuse , cardiaque ou hépatique dans d'autres familles.
nous l'ignorons au même titre que la cause de telle systématisation nerveuse ou myopathique. Il nous paraît inutile de repro
). Deux cas d'achondroplasie avec examen histol. des os et du syst. nerveux (Soc. anat., 1900 ; Congr. internai, de méd. de
es auteurs ont observé, outre les altérations osseuses, des lésions nerveuses qui tendraient, d'après eux, à démontrer l'orig
en constituée ; jamais on n'y a observé de monstres, ni de maladies nerveuses ou mentales. La grossesse de la mère et l'accou
des troubles trophiques consécutifs à des altérations du sys- tème nerveux . Je crois que les deux premières théories conti
es membres on observe souvent un arrêt de développement des centres nerveux correspondants. T'iedemann (8), Gurlt (3), Serres
Gudden (9), de lJ1aysel' (92), de ll9ozzaltow (93), sur le système nerveux des animaux amputés à la naissance, et des re-
le défaut des excitations qui arrivent de la périphérie aux centres nerveux , produit leur atrophie progressive. Cette donné
véritable amputation foetale. Déplus : lorsqu'on étudia le système nerveux des monstres ectromélie 568 VALOBRA pendant l
odes du développement foetal, lorsqu'il n'y a pas encore de système nerveux . Babès (14) est récemment revenu sur cette théo
d'une forte dose d'imagination pour songer qu'une lésion du système nerveux eut produite toutes les altérations par excès e
rs après le choléra. Autopsie. L'examen macroscopique des centres nerveux nous montre NOUVELLE Iconographie DE la SALPETR
upe S S 1 bis du schéma de Dejerine (fig. 407, anatomie des centres nerveux ), on voit que les couches superficielle et prof
ersalement, sont raréfiées et plus minces qu'ailleurs. Les cellules nerveuses semblent à ce même niveau moins nom- breuses qu
diatement à côté du vermis (PI. LXI) la dégéné- rescence des fibres nerveuses occupe une grande partie du corps dentelé et du
ébelleux supérieur reste décolorédans sa moitié moyenne; les fibres nerveuses y sont extrêmement réduites de nombre.Le grand
la couche moléculaire contient encore un nombre dis- cret de fibres nerveuses . Le feutrage de la couche granuleuse et le feutra
eau pyramidal est très claire et contient à peu près 1/5 des fibres nerveuses colorées, c'est-à- dire le même degré de lésion
rsale, les faisceaux pyramidaux contiennent à peine quelques fibres nerveuses normales : les faisceaux pyramidaux directs son
sous- pie-mérienne beaucoup plus épais que d'ordinaire : les fibres nerveuses , bien colorées par la laque hématoxylinique y f
égénérées, mais elles existent aussi dans les parties où les fibres nerveuses semblent encore complètement intactes. Tous les
multiple ; ensuite parce que dans cette observa- tion les symptômes nerveux s'étant manifestas 5-6 jours seulement après le
un lien incontestable et in- time entre l'infection et l'affection nerveuse (2). (1) Elle a été décrite par P. hlmue et Jor
e Médecine, avril 1853. (3) Hammond, Traité des maladies du système nerveux , p. 604 et suiv. (4) Raymond, Soc. méd. des hôp
rpérale 17 jours après sa naissance. Son père, alcoolique invétéré, nerveux , irritable, atteint d'un trem- blement continue
eu de faire remarquer qu'ici, comme dans tant d'autres affec- tions nerveuses , une série de causes prédisposantes se sont réuni
prédisposantes se sont réunies pour favoriser l'atteinte du système nerveux . Ce sera d'abord la prédisposition héréditaire,
Ce sera d'abord la prédisposition héréditaire, le père alcoolique, nerveux , agité de tremblements continuels, ayant fini s
ers les enve- loppes conjonctives et osseuses, en dedans vers l'axe nerveux sous forme d'un tissu conjonctivo-vasculaire sa
tout à fait extraordinaire. Chez l'adulte, l'excitation des centres nerveux détermine des troubles intenses, et la mort sur
ve d'accès à aucun moment. C'est que, très probablement, le système nerveux profondément atteint n'est plus capable de réag
n processus terminal, consécutif à la destruction totale de système nerveux ; quand ce processus survient, la contraction a
ion initiale du tissu médullaire. Il faudrait admettre que le système nerveux a persisté sous forme de gouttière ouverte plus
embraneux est nettement t corrélatif de l'évolution normale du tube nerveux . La non-fermeture de la 612 RABAUD gouttière
é de la peau suivant la ligne dorsale : nous trou- verions le tissu nerveux à ciel ouvert. En aucune façon, il ne peut en êtr
n'est point provoqué par un développe- ment insuffisant de système nerveux ; ce spina-bifida est strictement limité aux pa
pinale de la méningite a été précédée d'une dégénérescence du tissu nerveux : pour déterminer les contractions et, par elles,
e jouent également dans tous les cas où une inflammation du système nerveux intervient chez le foetus, quelle que soit d'ai
aire Encyclopédique des Sciences médicales on trouve que le système nerveux central peut être le siège de tumeurs de cette
être le siège de tumeurs de cette nature, développées dans la masse nerveuse même, au centre du cerveau ou du cervelet. Corn
hogénie des tumeurs, il en vient à parler de l'influence du système nerveux , le- quel agirait comme régulateur de la foncti
bien- tôt à attribuer une importance exagérée à l'action du système nerveux sur les fonctions végétatives et spécifiques de
'organisation des tissus, au dehors : de toute influence du système nerveux , et même avant son apparition. - D'autre part,
l ne fut jamais précisé quelle devrait être l'altération du système nerveux , génératrice du procédé néoplasique ». E. Launo
être dépendante d'une affection non pas encore localisée du système nerveux (substance grise de moelle) (1). Tordeus aussi,
ue les exostoses multiples sont dépendantes d'une lésion du système nerveux . (2) Ménétrier, après avoir critiqué la théorie
'un de péritonite et l'autre poitrinaire. L.... a toujours été très nerveux : il a eu une pleurésie dans son enfance. Marié
eule ne conduit pas à un état moniliforme aussi prononcé des fibres nerveuses ; nous pensons donc que l'inflamma- tion a larg
s musculaires et osseux normaux. Rien de spécial du côté du système nerveux . Cette enfant marche étant sou- tenue ; elle co
pouvaient relever de lé- sions portant exclusivement sur les troncs nerveux . Le fait donc pour une ophtalmoplégie d'être se
et mère, cinq frères et une soeur en bonne santé ; aucune affection nerveuse dans la famille ; pas d'alcoolisme ni de syphil
RABAUD Docteur en médecine et docteur ès sciences. IV. LE SYSTÈME NERVEUX ET LA NUTRITION GÉNÉRALE, Les déformations prod
perturbations d'un autre ordre relevant de l'altération des centres nerveux . Il ne serait pas surprenant, à priori, que la
l'ordre du jour à l'heure actuelle,celle de l'influence du système nerveux sur le développement. Nous l'abordons sous un a
iers de la vie foetale. Pour ce qui est de l'influence du système nerveux sur les premiers temps du développement, nous s
ntes, de Wintrebert (1) que (1) Wixthebert, 1° Influence du système nerveux sur l'ontogenèse des membres Acad. des sc., 13
ens, des membres postérieurs et de la queue en l'absence du système nerveux (Acad. des sciences, 9 nov. 1903). 2° Sur la ré
d'une irritabilité excilo-molrice primitive indépendante des voies nerveuses chez les embryons ciliés des batraciens (Soc. de
ifférents, sur lesquels nous n'avons pas à insister ici. Le système nerveux peut faire défaut, l'équi- libre n'est pas détr
oire la deuxième partie du principe de Roux, l'influence du système nerveux serait prépondérante : cet appareil réglerait l
ent des parties soit proportionnel, on peut admettre que le système nerveux joue le rôle de régulateur. Nous savons, par les
pement (1). L'ectoderme irritable tient lieu à ce moment de système nerveux ; celui-ci entre en jeu bientôt après. Dans que
peuvent résulter des différences dans le mode d'action du sys- tème nerveux . Cependant, les faits observés chez les pseudencé
nt à croire qu'il ne faut pas confondre l'action motrice du système nerveux avec son action trophique ; que ce ne sont poin
tandis que les muscles striés, ainsi étroitement soumis au système nerveux , déforment les ébauches squelettiques et impri-
de plus en plus conduits à reconnaître la non-influence de système nerveux . Nous ne constatons aucune dysharmonie dans le
- tion reconnaît pour cause, non pas l'action trophique des centres nerveux , mais l'action immédiate de la méningite qui év
ombre ; l'examen histologique des organes, aussi bien des ganglions nerveux et de l'oeil que des organes somatiques révèle
roire qu'un tel processus est indépendant de l'influence du système nerveux . Rien des phénomènes entrent en jeu, dans un or
nécessaire d'invoquer un trouble dans l'action trophique du système nerveux . Et cela est ici d'autant moins nécessaire que
contre-coup de celle-ci par l'intermédiaire des lésions du système nerveux . Destruction du tissu céré- bro-spinal, arrêt d
pas davantage. Toutefois, il serait assez surprenant que le système nerveux central, sans action sur l'ensemble de l'organi
ur volume propor- tionnel. S'il en était ainsi, l'action du système nerveux serait une action in- directe, purement motrice
ntrent l'indépendance de la nutrition générale vis-à-vis du système nerveux ; elle explique logiquement une apparente excep
, 1903, p. H3T. 680 - RABAUD en disant que les lésions du système nerveux ont une répercussion motrice très vive et des c
e ne porte donc pas nécessai- rement sur les méninges ou le système nerveux . Son origine peut remonter assez haut dans la s
nge ; c'est de là qu'il envahit à la fois en dedans vers les tissus nerveux et en de- hors vers le revêtement cutané. Dans
volution a pu se poursuivre jusqu'à destruction complète du système nerveux et son remplacement par un tissu de sclérose, g
nel, d'autre part à l'influence extrêmement légère que le sys- tème nerveux exerce sur les processus évolutifs. En dehors d
retrouvons dans un certain nombre de cas. Et tandis que le système nerveux disparaissait ainsi, envahi par la prolifératio
oires qui apportent un trouble très grave à la nutrition du système nerveux et ne tardent pas à supprimer le cerveau, origi
int, alors que les ménin- ges sont bien constituées, que le système nerveux , fermé depuis longtemps, à déjà pris son aspect
un rachis ouvert, il ne reste plus qu'un nombre variable de troncs nerveux et une tumeur réduite à la méninge. La précocit
-utérine ; tous les individus perdraient intégralement leur système nerveux en entier si la grossesse était suffisamment prol
phales et anen- céphales), intervient une dégénérescence du système nerveux antérieure àl'en- vahissement de la néoformatio
sont fondés sur l'absence du crâne et surtout sur l'état du système nerveux . Sans doute, on trouve parfois, chez l'acéphale
ssez mauvais état ; mais la différence est essentielle entre le tissu nerveux de l'anencéphale et celui de l'acéphale : chez
de l'anencéphale et celui de l'acéphale : chez le premier, le tissu nerveux disparaît sous l'effort d'un processus de néo-f
ous l'effort d'un processus de néo-formation, chez le second le tissu nerveux entre en dégénérence granulo-graisseuse, sans i
rer la nutrition générale du couple, l'acéphale meurt ; son système nerveux tombe le premier en dégénérescence. 4. Spina-
on des centres et persistance des ganglions. - L'absence de système nerveux chez les pseudencéphaliens a fait éclore un certa
précède ne laisse aucun doute sur l'existence préalable du système nerveux central ; il s'est formé, il s'est développé, tan
ppé, tandis que nais- saient les ganglions et que les prolongements nerveux apparaissaient en rela- tion de continuité avec
ifficile à franchir, se propageant d'ailleurs avec peine aux troncs nerveux qui parcou- rent le canal rachidien. C'est très
s avancée que ne le comporterait l-'âge^auquel a disparu le système nerveux . Quant aux nerfs moteurs, ils dégénèrent beaucoup
l est fort douteux que la vie extra-utérine soit le fait du système nerveux lui-même. Quel que soit le degré des lésions, ces
d'une manière indéfinie chez les foetus dont l'ensemble du système nerveux est parfaitement sain. Des raisons analogues va
lte, pour conclure immé- diatement que ces mêmes lésions du système nerveux , loin de contribuer à conserver la vie, la supp
fonctionner dans la mesure où le permet leur autonomie : le système nerveux non enflammé entretient la vie ; le système ner
ie : le système nerveux non enflammé entretient la vie ; le système nerveux enflammé la supprime. Ainsi que nous l'avons pr
er contre les causes de mort qui viendraient précisément du système nerveux si le système nerveux jouait chez le foetus le rô
e mort qui viendraient précisément du système nerveux si le système nerveux jouait chez le foetus le rôle im- portant qu'il
ant qu'il joue chez l'adulte. Au moment de la naissance, le système nerveux central, quand il en persiste un fragment, repr
ns se développent tout d'abord sur les méninges, en dehors du tissu nerveux : les vaisseaux se multiplient, leur paroi s'épai
98 RABAUD V. Pendant ce temps, se produisent à l'intérieur du tissu nerveux des hé- morragies de plus en plus abondantes qu
lus abondantes qui envahissent peu à peu la majeure partie du tissu nerveux et le détruisent. Concurremment, la prolifération
sudation séro-sanguine inflammatoire peuvent détruire tout le tissu nerveux avant la constitution de la tumeur vasculaire. Co
ition générale de l'individu. Ce fait permet de dire que le système nerveux n'a pas une action nécessaire dans le développeme
'M ! 0<et'AetMMde, IV, 1902. P. Wintrebert. Influence du système nerveux sur l'ontogenèse des membres. C. R. de l'Académ
iens des membres postérieurs et de la queue en l'absence du système nerveux . C. B. de l'Académie des Sciences, 9 nov. 1903.
d'une irritabilité excito-motrice primitive, indépendante des voies nerveuses chez les embryons ciliés de Batraciens. Société d
onsidérations sur les Anencéphaliens. Etude histologique du système nerveux d'un foetus anencéphale. Annales de Gynéco- log
ar Marchand, G. Petit et CoQUOT, 234. Méthode d'examen du système nerveux (1 pl.), par RENAUD, 399. Micromélies congéni
èmes circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système nerveux (2 pl.), par VALODRA, 201, 255. Ophlalntoplég
leuse (3 pi.), 5, 121. RENAUD (M.). Méthode d'examen du sys- tème nerveux (1 pl.), 399, Ri : VILLIOl) (L.). Sclérose médu
es circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du système nerveux (rôle de la sécrétion lymphatique dans leur pat
AGASSE - L.ar.ovT), XXXVII, XXXVIII. Méthode d'examen du système nerveux (REnAuD), XLVI. Micromélie congénitale (PoRAI
55 (1889) Leçons du Mardi à la Salpêtrière. Policlinique 1888-1889
de eût à son service. Il fut un temps également où la toux, la toux nerveuse , alternait avec le bâillement et l'on peut suivre
ité par un certain degré d'anoxémie, un besoin d'hématose des centres nerveux . Tantôt le bâillement est simple, tantôt il est s
ep-tique. Je dois ajouter que le bâillement pathologique, phénomène nerveux par excellence, n'appartient pas exclusivement à
xcellence, n'appartient pas exclusivement à la catégorie des maladies nerveuses proprement dites. L'ancienne séméiologie s'attach
ai eu bien souvent l'occasion de le répéter, en matière de pathologie nerveuse l'observation du malade qu'on a sous les yeux ne
étude. — Rien à noter, paraît-il, chez la mère, en fait de phénomènes nerveux . Il n'en est pas de même pour ce qui concerne la
i, en effet, on remonte dans le passé, on peut dire que les accidents nerveux d'aujourd'hui ne sont, en quelque sorte, que la
mois. De l'âge de neuf ans jusqu'à l'époque présente, les troubles nerveux s'effacent complètement. Ils ont reparu en mai de
qu'on a de bonnes raisons de considérer comme indemnes de toute tare nerveuse . Eh bien, je tiens à vous rendre, à présent, té
reil milieu, d'un sujet atteint de toux, d'aboiement ou de bâillement nerveux , puisse devenir le point de départ d'une véritabl
te, et je relevais, à ce propos, combien, dans la race, les accidents nerveux de tout genre, entremêlés le plus souvent avec de
naître maintes fois les nombreux méfaits des diathèses arthritique et nerveuse entrant en combinaison. Mais c'est là un sujet
Vous avez pu remarquer qu'au moment où le malade est pris de son tic nerveux , on l'entend souvent produire un bruit laryngé :
guérison, que se manifestèrent les premiers symptômes de l'affection nerveuse dont notre homme souffre actuellement à un haut d
mment pas de cette cause qu'ils'agit. C'est le traumatisme, le choc nerveux qu'il faut invoquer ici, évidemment, les circonst
urasthéniques en conséquence d'un traumatisme ou simplement d'un choc nerveux tend à devenir aujourd'hui de plus en plus un fai
shockin their surgicalandmedico légal aspects. London 1885). Le choc nerveux , la commotion nerveuse, L'émotion nécessairement
landmedico légal aspects. London 1885). Le choc nerveux, la commotion nerveuse , L'émotion nécessairement à peu près inséparable
nt contribuer à lui imprimer une forme grave. Mais au fond la maladie nerveuse se montre toujours la même quelle que soit la cau
ccasionnelles dont nous parlions tout à l'heure : traumatisme ou choc nerveux . On pourrait dire, au contraire, qu'il n'est pas
re, qu'il n'est pas une seule des espèces composant la grande famille nerveuse qui ne se soit pas montrée dans les conditions ét
rent le plus vulgairement à l'observation comme conséquence des chocs nerveux avec ou sans accompagnement d'une lésion traumati
opie monoculaire des hystériques : Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III p. 322. Io période épileptoïde ; 28 pér
es de nature à faire comprendre la genèse, sous l'influence du choc nerveux des deux névroses : hystérie et neurasthénie. S'a
tout à l'heure, les névroses que font apparaître vulgairement le choc nerveux ou le traumatisme. Quelques auteurs cependant don
ou le traumatisme. Quelques auteurs cependant donnent, des affections nerveuses qui se manifestent dans ces conditions-là, une in
mbinées. Qu'il s'agisse d'une collision de chemin de fer, d'un choc nerveux quelconque avec ou sans traumatisme, tremblement
nt arthritique dans la famille ; recherchons maintenant si l'hérédité nerveuse n'est pas en cause. S'adressant à la fois à la
e : Avez-vous connu des membres de votre famille atteints de maladies nerveuses ou ayant eu la tête dérangée? Le père. — Ma gra
ces industries en raison de certains accidents principalement d'ordre nerveux auxquels se montrent sujets les ouvriers qui trav
orcent à l'envi de bien établir les caractères spéciaux des accidents nerveux produits par l'action du sulfure de carbone, afin
us avons justement sous les yeux un pauvre homme chez qui l'affection nerveuse dont il souffre actuellement a été évidemment dév
pas à trouver exactement ce que nous cherchons ; c'est une affection nerveuse vulgaire, très vulgaire qu'elle va mettre en évid
ne attaque apoplectiforme a été la première révélation de l'affection nerveuse dont il s'agit de déterminer maintenant les carac
non seulement lorsque la maladie relève d'un traumatisme ou d'un choc nerveux , mais lorsqu'elle s'est développée en conséquence
les formes de l'hystérie. Après avoir montré que tous les accidents nerveux relevés chez notre homme appartiennent sans excep
En résumé donc, il existe vraisemblablement des affections du système nerveux relevant directement de l'action des vapeurs du s
sulfure de carbone et qui mériteraient de porter le nom d'affections nerveuses sulfo-carbonées. Il faudra s'appliquer, à l'ave
emêlés avec elles. C'est ainsi que, dans la pathologie des phénomènes nerveux saturnins et alcooliques, il faut savoir distingu
i appartient à l'hystérie provoquée par l'intoxication, des accidents nerveux relevant directement de l'intoxication, et qui, l
ui appartenant en propre, méritent seuls de porter le nom d'accidents nerveux toxiques. • Maintenant que notre malade s'est r
I, flg. 1 et 2. ?. Voir Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, p. 103 et t. II,p. 132. — Là se trouvent r
e cette altération n'a pas amené la destruction complète des cellules nerveuses de la région, et que la restitution ad integrum e
e mécanisme de la suggestion, dans le temps où en conséquence du choc nerveux produit par l'accident, son état mental pouvait ê
ire ; 3° Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité nerveuse . Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, e
que, ni la faradisation intense de la peau ou des muscles, des troncs nerveux eux-mêmes, ne sont cap.ables de produirele réveil
la léthargie hypnotique. La pression sur les muscles, sur les trajets nerveux , ne détermine pas la contracture des muscles corr
bien entendu à la pression exercée sur les muscles ou sur les troncs nerveux , est un caractère inhérent à la léthargie hypnoti
st rapportée dans le 3e volume des Leçons sur les maladies du système nerveux . — Voir l'Appendice 11 2e Malade. Je vais m
athlète. Il est âgé de trente et un an. Il ne procède pas de gens nerveux et jamais il n'avait été malade avant un accident
onstances, en particulier dans les Leçons sur les maladies du système nerveux (t. III, 1887, p. 27 et suivantes), et plus récem
la substance grise spinale, et plus précisément aux grandes cellules nerveuses •des cornes antérieures : d'où l'amyotrophie cons
ompte de la situation, — de rechercher s'il n'existe pas quelque tare nerveuse dans la famille. Or, voici quels sont chez cett
très irrégulière, est mort paralysé d'un côté du corps. —Sa mère est nerveuse , très impressionnable ;la grand'mère maternelle a
e sujet, dans un nouveau travail de M. Neumann : De la prédisposition nerveuse dans l'étiologie de la paralysie faciale dite « «
t. (Au malade) : Y a-t-il dans votre famille quelque cas de maladie nerveuse autre que le bégaiement? le bégaiement en somme e
érique pris au hasard ; ne sont-ils pas au point de vue de l'hérédité nerveuse suffisamment significatifs ? 5e Malade. On in
probablement d'enlever le bouchon pour mettre un terme aux accidents nerveux . Si, au contraire, le point de départ des acciden
peu plus tard de sa famille considérée au point de vue de l'hérédité nerveuse : pour le moment je me borne à relever que son pè
a famille neuropathologique, ou autrement dit une maladie de diathèse nerveuse . Voici autant, qu'il a pu être reconstitué d'ap
'avons déjà présenté comme tel. Il est fils naturel — pas de maladies nerveuses bien déterminées; mais il est emporté, colère, et
généalogique, nous] ne [relevons chez les antécédents aucune maladie nerveuse typique, de parfait développement : seuls, peut-ê
rte, en outre des accidents à proprement parler toxiques, la diathèse nerveuse qui pourra ou non se traduire déjà chez lui par u
phiquement bien déterminée ; que, une fois con-tituée, cette diathèse nerveuse artificiellement produite pourra se transmettre a
u, créer chez un individu resté jusque-là non taré une prédisposition nerveuse qui pourra, suivant les lois de l'hérédité se tra
formel des parents de la jeune fille que sont survenus les accidents nerveux variés qu'il nous reste maintenant à décrire. E
éciale antérieure, ou qui encore, dans certains cas, crée la diathèse nerveuse d'où pourra naître, par le concours de circonstan
il se trouve. Personne ne veut plus l'employer à cause de ses crises nerveuses fréquentes et d'ailleurs terribles, et aussi à ca
ulier et oublieux. C'est ici le lieu de rappeler que les affections nerveuses d'ordre dynamique, sans lésions appréciables, ne
personnels et héréditaires du malade les preuves d'une prédisposition nerveuse accentuée. Lui-même est névropathe ; dans l'enfan
aître dans le nerf facial l'intégrité de la grande majorité des tubes nerveux . « Nous avons eu l'occasion, dit M. Neumann, d'
ns les antécédents héréditaires du malade la moindre trace d'une tare nerveuse . Le second malade, âgé de 18 ans. est également
as avoir été soumis à l'action du froid. La recherche des antécédents nerveux dans la famille ou chez le sujet lui-même est res
1° Chorée aiguë grave chez un jeune homme de 18 ans. — Antécédents nerveux héréditaires très accentués. — Rhumatisme articul
ite date du 16 novembre, trois jours après la première. Les accidents nerveux s'étaient rapidement aggravés : le malade est ce
duirait, vraisemblablement presque toujours, à la révélation de tares nerveuses des plus significatives. Nous verrons dans un ins
ne modification générale de l'organisme, et en particulier du système nerveux , résultant du surmenage, de l'épuisement causés p
uisse jamais être considérée comme un « équivalent » dans les centres nerveux , de l'affection articulaire, ou des affections vi
des représentants les plus communs, les plus vulgaires et la diathèse nerveuse s'associent volontiers l'une avec l'autre pour cr
sa femme. Le père du malade La mère du malade Suicide Hémoptysies nerveuses (?) supplémentaire S'est noyé volontairement da
s âge. Gabriel, notre malade, né le 13 avril 1871 (après le siège), nerveux exalté, chorée grave. Entrons dans quelques dét
ès significatif. Le côté maternel n'est pas non plus indemne de tares nerveuses . La grand'mère du malade a en effet souffert d'at
le hérédité, on comprend aisément qu'A...el ait toujours été un sujet nerveux ,singulier, bizarre, irritable et qu'à la suite de
e, affirme que tous les membres de la famille « étaient excessivement nerveux , aussi nerveux que possible » ; on n'a jamais pu
tous les membres de la famille « étaient excessivement nerveux, aussi nerveux que possible » ; on n'a jamais pu en savoir plus
empes, etc. Tels ont été les premiers symptômes relatifs à la maladie nerveuse que nous avons à considérer actuellement. Celle-c
as de chorée vulgaire chez une jeune fille âgée de 12 ans. Hérédité nerveuse et antécédents personnels névropathiques très c
de 19 ans. Je faisais ressortir l'autre jour qu'à mon avis l'hérédité nerveuse jouait dans l'étiologie de la chorée un rôle beau
mme il figure dans leurs antécédents héréditaires ; mais les maladies nerveuses n'y font pas défaut non plus, et bien des fois mê
e et vous allez reconnaître jusqu'à quel point il est chargé de tares nerveuses . COTÉ PATERNEL COTÉ MATERNEL Un frère du père
mort Père, 45 ans. Mère, 38 ans. tliéné à 1 âge de 30 ans. Rien de nerveux , pas de Plusieurs atteintes de manie Une cousin
s. Il n'est point, vous ai-je dit et répété, une seule des affections nerveuses dontl'ensemble forme ce que j'appelle la famille
ropathologique qui ne puisse apparaître comme conséquence du schock nerveux ressenti dans; un accident de chemin de fer. À sa
éciales dés collisions de trains, s'il y a production d'une affection nerveuse purement dynamique, c'est-à-dire ne relevant pas
sans doute, dans l'espèce, un fait de première gravité; les accidents nerveux dont souffre notre homme se montrent cependant ch
du larynx à l'âge de 56 ans ; la mère n'a jamais souffert de maladies nerveuses : réponses également négatives en ce qui concerne
négatives en ce qui concerne les autres parents. Ainsi,ni la diathèse nerveuse , ni la diathèse arthritique, autant qu'il le sach
qu'antérieurement à l'accident il n'a jamais souffert d'une affection nerveuse quelconque, il faut relever que, par contre, il a
es de l'accident. Elle est à peu près la règle dans les grands shocks nerveux et même dans certains cas de ce genre on peut obs
re dans le troisième volume de mes Leçons sur les maladies du système nerveux . (Appendice, p. 4il et suiv.) Il avait été renver
ssentit, —- à part les douleurs liées aux contusions, — aucun malaise nerveux , et lorsque guéri de son angioleucite, il quitta
qui ont été en j eu ; le mal s'est produit en conséquence d'un shock nerveux , d'un ébranlement soudain et il est intéressant d
ient introduits dans sa maison. Vous n'ignorez pas que les troubles nerveux qui constituent la neurasthénie cérébro-spinale o
rriez-vous penser, messieurs, que les désordres produits par le shock nerveux chez un homme robuste, exerçant les fonctions de
ut se développer en dehors de toute action traumatique, de tout shock nerveux , chez un employé de chemin de fer, agent à la vér
es de Paris à la frontière jour etnuit), et prédisposé aux affections nerveuses par son hérédité. Mais, même chez les agents qui
Rien n'est plus tenace quelquefois, vous le voyez, que ces affections nerveuses purement dynamiques cependant, et mieux eut valu
fait remarquer, il y a longtemps (Leçons sur les maladies du système nerveux , t. II, p. 163,— oette leçon date de juillet 1870
voudrait initier à la connaissance des maladies organiques du centre nerveux et de la moelle épinière en particulier, comme un
enté par un petit foyer de sclérose. (Extrait des Maladies du système nerveux , t. II. Œuvres complètes de J. M. Charcot). int
pareil fébrile plus ou moins accentué, envahit la région des cellules nerveuses motrices des cornes antérieures et en détruit un
ntôt survient une période de réparation pendant laquelle les éléments nerveux et musculaires qui n'ont été que molestés, sans ê
le à l'âge de 3 ans 1/2. 1. L'hérédité dans les maladies du système nerveux . 1886, p. 204. Je relèverai à ce propos que plu
re 5 empruntée au 2e volume de nos Leçons sur les maladies du système nerveux (t. II, fig. 5, 8, p. 181), offre précisément un
faire reconnaître la paralysie infantile comme une maladie d'hérédité nerveuse . Mais je ne puis vous laisser ignorer que, par
es.) 3e Malade. — Chorée molle chez un enfant de 12 ans. — Hérédité nerveuse . M. CnARcoT : Je voudrais, à propos du cas qui
grand fait nosologique, que même, et peut-être surtout en pathologie nerveuse , les espèces ou types morbides, offrent, dans la
cidation d'un très grand nombre de problèmes attenant à la pathologie nerveuse , surtout en ce qui concerne le diagnostic et le p
s à cet égard remontent en effet à l'année 1872. (Maladies du système nerveux , t. II, 1° 2° 3e et 4e leçons.) Mais nous allons
s fulgurantes tabéti-tiques, a éprouver ce qu'elle appelle ses crises nerveuses » Ces crises ont persisté jusqu'à ce jour. Voici
Il y a bien eu,vers cette époque-là, explosion de quelques accidents nerveux , tels que, étourdissements, nausées, bouffées de
inconnus » équivaut presque nécessairement au privilège de l'hérédité nerveuse . 2e Malade. La seconde malade qui va nous occ
car sa mère, morte de phtisie pulmonaire, était sujette à des crises nerveuses , sans perte de connaissance. Les antécédents pers
véritables crises hystériques. Elle avait aussi autrefois des tics nerveux consistant en mouvements brusques des muscles de
d'Eulenbourg et de Gnauk) où la sclérose multilocu-laire des centres nerveux s'accompagne de névrite optique. 1. Au membre s
térie se cachait, chez P...et, la sclérose multiloculaire des centres nerveux . L'examen de revision du complexus que nous avons
lérose en plaques est de toutes les affections organiques des centres nerveux celle qui se combine le plus souvent à l'hystérie
it il y a quelques semaines, a donné ce qui suit : Affection purement nerveuse . Aucune lésion organique,conservation du réflexe
z-vous quelqu'un de vos parents qui ait souffert de quelque affection nerveuse , de la goutte, du rhumatisme ? La mère. — Ma mè
résente, comment dans l'arbre généalogique de cet enfant, la diathèse nerveuse occupe une large place à côté de l'arthritisme.
'avait, dans son pays, jamais eu de Radies graves, elle n'était point nerveuse , elle n'avait jamais eu d'attaques de nerhV » e^e
sion qui nécessairement, autant qu'on sache, a produit dans le cordon nerveux , au niveau du point comprimé, les lésions de la m
que présente le 1. Voir Charcot. Leçons sur les malades du système nerveux . T. II p. 93. Delà compression lente de la moelle
tuber-culcux. ( Il y a lieu de remarquer en passant que les racines nerveuses , dans leur trajet à travers des parties aussi alt
nce ferme, le microscope faisait découvrir un certain nombre de tubes nerveux munis de leur cylindre axile et de leur enveloppe
éline, en somme très normalement constitués. Le nombre de ces tubes nerveux sains était, onle comprend, bien au-dessous du ta
gmentent par la flexion de la t. Leçons sur les maladies du système nerveux . T. II, p. 104 et suiv. ¿0 tête et du tronc e
te intercostale déterminée par la compression exercée sur les racines nerveuses à leur passage dans les trous de conjugaison ou a
motions morales, causes vraisemblables du développement des accidents nerveux . Il y a deux ans, en septembre 1886, lors d'un dé
ement à la présence du mal de Pott. Cependant, dans ce cas, le schock nerveux déterminé par l'émotion de la chute est bien le s
C'est, suivant lui, en produisant une légère, élongation des racines nerveuses qu'il compare de loin à l'élongation du scia-tiqu
laire est trop courte, il peut se produire une compression des troncs nerveux susceptible de déterminer des fourmillements, des
Il remplit les fonctions d'inspecteur dans un commissariat. Hérédité nerveuse très prononcée ; père exalté, instituteur, s'occu
Il s'agit dans ce cas,d'un nommé G...rges, âgé de 32 ans. Hérédité nerveuse très chargée,syphilis.Chez ce malade, l'évolution
ns le traitement de quelques autres affections organiques des centres nerveux , autres que l'ataxie locomotrice, et aussi de que
quelle la paralysie de ce genre est souvent une maladie d'hérédité' nerveuse , Mais je n'ai jamais été jusqu'à prétendre, bien
ue n'est jamais une affection toute locale, ne relevant d'aucune tare nerveuse , produite de toutes pièces en un mot par l'applic
fois, vous constaterez qu'il 1. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. II, p. 348. s'est produit dans sa situation
e d'après laquelle dansl'histoire de la maladie de Basedow,l'hérédité nerveuse tient une large place.La grand'mère maternelle de
us fâcheuses, puisqu'elles ont provoqué la réapparition des accidents nerveux qui cette fois se sont produits sous une forme gr
que en effet, c'est-à-dire durant une période de six mois, les crises nerveuses , avec les troubles psychiques que vous savez, n'o
s pratiquèrent l'hypnotisme sur leurs camarades et quelques accidents nerveux s'en suivirent. Le principal du Lycée mit bon o
doute ; mais voici le côté fâcheux. Le jeune Blan... sans antécédents nerveux remarqués, n'avait jamais eu d'attaques jusqu'au
ise en jeu exagérée des forces physiques, etc. ; sans parler du shock nerveux produit dans les grands accidents auxquels ils so
lement apprécié. Il ne faut pas oublier, d'autre part, que l'hérédité nerveuse n'est pas l'exclusif privilège des grands de la t
e de lui payer l'indemnité qui lui est due ; aussi tous les symptômes nerveux qui, jusque-là, n'étaient encore qu'esquissés, em
sont de nature à provoquer ce que l'on est convenu d'appeler le shock nerveux , pourront, à courte échéance, produire les mêmes
é, avant l'accident, était parfaite à tous égards ; pas d'antécédents nerveux personnels. On n'a pu recueillir de renseignement
e que chez les sujets rustiques des classes ouvrières, les affections nerveuses sans «substratum» organique, la neurasthénie, l'h
ontrairement à ce qui avait lieu chez le malade précédent, l'hérédité nerveuse ne fait pas défaut chez celui-ci : COTÉ PATERNE
. Aucune maladie Aucune maladie Aliénée mélan- mane; s'est suicidée nerveuse . nerveuse. colique en se jetant par la fenêtre.
aladie Aucune maladie Aliénée mélan- mane; s'est suicidée nerveuse. nerveuse . colique en se jetant par la fenêtre. Le frèr
é • sujet à de violentes colères. On voit que le tableau d'hérédité nerveuse est ici passablement chargé. Lui n'avait jamais é
du membre inférieur correspondant. Tels furent les premiers accidents nerveux qui ouvrirent la scène. Quelques jours plus tard,
me vigoureux, mais à la vérité prédisposé par hérédité aux affections nerveuses , et, en outre, affaibli par une maladie antérieur
as défaut dans la famille. Chez notre malade les premiers accidents nerveux de quelque importance se sont montrés il y a envi
72 n° 3 et 4 et the Lancet 1872. — Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I p. 320 — La douleur iliaque dite ovarienne
n élève de cethospice, s'occupe beaucoup et avec succès de pathologie nerveuse et qu'il a pu par conséquent, dans un but d'étude
tant, mais ivrogne. en tombant du haut d'une voiture. Mère, 76 ans, nerveuse irritable, violentes colères, épilep-tique ou hys
uelle sans l'intervention d'une cause nouvelle, on voit les accidents nerveux se multiplier en même temps qu'ils s'accroissent
ne du chemin de fer de Paris-Lyon-Méditerranée (1). Quelques troubles nerveux plus ou moins vagues, surtout des insomnies, sont
uteurs qui se sont occupés particulièrement des affections du système nerveux déterminées par les accidents de chemins de fer;
ependant pour ne pas continuer son travail. Tels sont les accidents nerveux d'ordre neurasthénique qui seuls ont régné chez n
jeune. Notre malade — Hystéro-neurasthénique. On voit que les tares nerveuses ne font pas défaut dans la famille Je crois utile
onduit à rattacher l'apparition plus ou moins immédiate des accidents nerveux jusque-là nuls, inconnus ou pour le moins restés
omme hystérique. noms et professions age antécédents héréditaires nerveux ou arthritiques antécédents personnels caus
ou équivalentes d'attaques rêves époque du début des accidents nerveux T Laf...cque, plombier, 48 ans. V. 12e leçon
ômes hystériques un an après. 1. Leçons sur les maladies du système nerveux . 4e édition, page 424. ýì.ËâÒóð. • ?òî;«»ò'. .,
'ai présenté ici même, il y a un an environ, à l'occasion d'accidents nerveux analogues à celui qui nous le ramène aujourd'hui.
deux ans, commencèrent à paraître, sans cause appréciable, les crises nerveuses dont la description va nous occuper, et qu'enfin,
crois devoir le répéter, n'a jamais souffert autrefois d'une maladie nerveuse quelconque et ne compte pas, autant qu'on puiss
e passent sans qu'on ait pu remarquer chez notre homme aucun accident nerveux . Il avait repris toutes ses habitudes, son travai
et où elle a acquis une grande réputation d'habileté. Pas de maladies nerveuses antérieures à l'affection dont il va être questio
. et 8 janv. 1873). Voir aussi les Leçons sur les maladies du système nerveux faites à la Salpêtrière, t. II,'1" partie. 2. A
t normal il n'y a, en quelque 1. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. ]I, 2e éclit., p. 35. 2. Voir sur ce sujet,
ont séparées par des intervalles parfaitement libres de tout accident nerveux ; pas de douleurs fulgurantes. Les réflexes rotul
ons du type, s'allonge extraordinairement de 1. Maladies du système nerveux , loc. cit., p. 322. 2. 27 janvier 1884. façon
rlez-nous de vos crises gastriques. 1» Loe. cit. Maladie du système nerveux , 1879, p. 211. 2. J. Straus. Des ecciiymoses ta
occupent non seulement les membres inférieurs mais encore les trajets nerveux du domaine 1. Voir sur les accidents laryngés t
ncontrer presque toujours dans les antécédents héréditaires des tares nerveuses plus ou moins accentuées. Il n'en est rien chez n
tion plus haut, tous les svmptômes à relever sont relatifs au système nerveux . Il existe dans toutes les articulations du membr
niques qui lui ont été prodigués, nous avons vu les accidents d'ordre nerveux se modifier rapidement d'eux-mêmes de la façon la
i-quement et physiologiquement qu'il devra organiser dans les centres nerveux pourchacunde ces groupes de mouvements spécifiés,
rofesseur Weir-Mitchell, de Philadelphie, sur les maladies du système nerveux chez la femme, publié en 1885 (1), le passage sui
comptent parmi les prédisposés par hérédité à contracter des maladies nerveuses . Les troubles moteurs abasiques se manifestent d'
ce genre d'intoxication. Peut-on en dire autant des autres accidents nerveux , et en particulier de l'abasie qui se sont, par l
us faut passer rapidement en revue les diverses affections du système nerveux qui peuvent être considérées comme relevant direc
nt, nos connaissances précises relativement aux affections du système nerveux qui peuvent survenir en conséquence de l'intoxica
e l'intoxication par l'oxyde de carbone. Il est toutefois une maladie nerveuse dont on pouvait s'attendre qu'elle viendrait un j
sur leur compte il ne peut rien dire de précis. Sa mère n'était pas nerveuse ; elle est morte à 60 ans, hydropique. Une sœur
les membres qui ont survécu portent avec eux pour la plupart une tare nerveuse plus ou moins accentuée : Père Alcoolisme — S
ler le sommeil. On les voit figurer souvent chez les enfants issus de nerveux et qui ont été eux-mêmes, plus tard, victimes de
de nerveux et qui ont été eux-mêmes, plus tard, victimes de maladies nerveuses diverses. À partir de l'âge de 14 ans, il est d
res héréditaires névro pathiques fort accentuées ; les dispositions nerveuses du sujet se révèlent en conséquence dès l'enfance
i fortement ébranlé une perturbation plus profonde encore des centres nerveux , est venue fournir en quelque sorte le dernier ap
mettre. Il affirme qu'il n'y a pas eu dans sa famille d'antécédents nerveux . A cet égard, je me permettrai de ne pas l'en cro
ce. C'est vers la même époque qu'ont commencé à paraître des crises nerveuses convulsives, qui n'ont pas cessé de se manifester
'a pas cessé de fréquenter, tantôt les hôpitaux lorsque les accidents nerveux dont il souffrait le laissaient à peu près calme,
e l'a pas ménagé. Lui aussi est un dégénéré, et cette fois l'hérédité nerveuse nous sera facile à établir. Son intelligence est
sa femme et ses enfants. La pauvre malheureuse était, paraît-il, très nerveuse . Elle est morte pendant le siège. Après la mort
développement de cette maladie d'enfance, je relèverai que les tares nerveuses ne font pas défaut dans la famille du malade. Sa
ienne surtout comme on l'a voulu prétendre, qu'une maladie d'hérédité nerveuse . Ils pourront contribuer peut-être du même coup à
nt dans les membres paralysés, une atrophie dégénérative des troncs nerveux émanant des parties altérées des cornes antérieur
aire, primitive elle-même et indépendante de toute lésion des centres nerveux ? Après quoi, la myopathie étant classée, catégori
itée aux cornes grises antérieures; l'altération des grandes cellules nerveuses étant d'ailleurs une condition nécessaire, sine q
peut évoluer, on le sait bien t. Leçons sur les maladies du système nerveux etc. t. II. Voir onzième leçon, p. 213 et quatorz
Policlinique du Mardi 28 Mai 1889 DIX-NEUVIÈME LEÇON Accidents nerveux provoqués par la foudre. Messieurs, Je saisis
er un sujet chez lequel nous pouvons étudier ensemble divers troubles nerveux qui relèvent plus ou moins directement de la fulg
s, 1855. 59 peut produire chez l'homme, on a signalé des troubles nerveux divers et plus particulièrement des paralysies. D
ort survient après quelques jours, en sont quittes pour des accidents nerveux , en général bénins et de courte durée, parmi lesq
e voyez, messieurs, je tiens à vous le faire bien remarquer, la santé nerveuse de D... cy était incontestablement déjà fort ébra
sprits forts » élevés à l'école du nihilisme en matière de pathologie nerveuse , dont le nombre tend à décroître chaque jour à me
sthénique, tels que douleur en casque, la plaque sacrée, la dyspepsie nerveuse , etc, et vous aurez rassemblé une collection de f
it retrouver en effet, chez notre foudroyé, la plupart des phénomènes nerveux que nous avons vus se produire tant de fois, dans
t à l'accident. Et puis, il faut se demander si les premiers troubles nerveux apparus immédiatement après la fulguration, au mo
stériques, tout comme elles détermineraient l'apparition d'affections nerveuses d'un autre ordre, la chorée, l'épilepsie par exem
les concernant l'hystérie, l'hystérie masculine surtout, les troubles nerveux divers qui s'observent chez les foudroyés. La p
pital du Midi. Il est issu d'un père émotif qui a eu plusieurs crises nerveuses (?) et d'une mère également nerveuse mais sans cr
motif qui a eu plusieurs crises nerveuses (?) et d'une mère également nerveuse mais sans crises. Lui, a été autrefois atteint de
en valeur : 1° Dans les cas de fulguration, en outre des accidents nerveux qui relèvent directement de la commotion électriq
Symptomatologie de l'hystérie, sont souvent cités parmi les troubles nerveux qui se développent en conséquence de la fulgurati
muniqués par M. Dutil, interne de la Clinique des maladies du système nerveux .) vements involontaires de la tête chez les deu
le. Mais il n'y a à cet égard rien de bien accentué. Sa mère est très nerveuse , sujette à des colères sans frein : elle a plusie
ans lorsque cet événement eut lieu. Du côté maternel : grand'mère « nerveuse », c'est tout ce qu'on en sait ; elle serait mort
t jamais été malade; sa santé était parfaite, seulement il était très nerveux , très émotif ; d'ailleurs élevé par sa mère, dans
lever au-dessus des rangs les plus modestes. Les premiers accidents nerveux bien caractérisés qu'il ait éprouvés remontent à
nnaissance. La crise se calmait de temps à autre ; puis les accidents nerveux reparaissaient comme de plus belle. Pendant près
pendant ce temps le malade ne put pas quitter le lit. Les accidents nerveux , au bout de cette période, s'étant amendés, il vo
tub et des bains de rivière. Il n'est pas du tout ce qu'on appelle un nerveux et n'a jamais donné de signes d'émotivité maladiv
nt de ces cas typiques. Nous ne trouvons pas ici, en effet, les tares nerveuses héréditaires, les antécédents névropathiques, l'a
» dont il se plaint parfois, on ne lui trouve aucun symptôme d'ordre nerveux surajouté à l'abasie. Entre autres, pas de troubl
n faut, une règle absolue, les lésions dites dynamiques des centres nerveux cèdent volontiers la place aux lésions anatomique
2. Dans la première édition des leçons sur les maladies du système nerveux de M. Gharcot (1874) la syringoymélie est signalé
que nous avons établis à propos de la sclérose en plaques des centres nerveux . Quoi qu'il en soit, en lui rendant, pour la pr
rice, comme je l'ai dit ailleurs, des maladies organiques des centres nerveux . Jamais le clinicien avisé ne devra un instant la
ultiples ; celles-ci, tantôt sont comme infiltrées parmi les éléments nerveux qui peu à peu tendent à disparaître ; tantôt elle
gliomatose médullaire. La compression ou la destruction des éléments nerveux est seule la condition indispensable. Parmi les l
ue suivant le mode chronique. Les cornes grises antérieures (cellules nerveuses motrices,) et les zones radiculaires antérieures
servations qui paraissent parfaitement authentiques, que les éléments nerveux qui dans les cornes postérieures servent à la tra
ou moins directement d'une affection de certaines parties des centres nerveux ou des nerfs périphériques. Ces troubles trophiqu
la lèpre anesthésique, les diverses affections organiques du système nerveux que, dans la pratique, on a cru, le plus souvent
seulement la lésion plus ou moins profonde que subissent les éléments nerveux des cornes antérieures et postérieures en présenc
le, les mêmes conditions anatomo-pathologiques relatives aux éléments nerveux se trouveront reproduits. Gela est évidemment dan
s travaux récents relatifs à 1. Gharcot. Leç. sur les mal. du syst. nerveux , t. Il, p. 275, 276, 1886. 69 la Symptomatolo
un homme vigoureux, solide. Jamais il n'avait été atteint d'affection nerveuse jusqu'à il y a trois années; et on n'a pas relevé
é maternel : Sa mère est morte subitement à 69 ans : elle n'était pas nerveuse et n'avait jamais été malade. Un oncle vit encore
sa santé resta parfaite. 11 n'éprouvait aucun malaise, aucun trouble nerveux notamment, lorsqu'il fut victime d'un accident de
ou moins vive, une émotion soudaine. On dit alors qu'il y a eu shock nerveux . Cette expression fait image ; mais elle ne saura
trop à la lettre et ne pas s'imaginer, sous prétexte que dans « shock nerveux » il y a « shock », qu'un sujet qui devient hysté
spine ou de la névrose traumatique, nous demanderons en quoi le shock nerveux éprouvé par un individu qui voit avec terreur une
i,mais qui peut se sauver à temps sans être atteint, diffère du shock nerveux de tel autre individu qui apprend tout à coup qu'
senti au moment où la foudre tombait sur un lieu éloigné. Le « schock nerveux » produit par l'éclair, le bruit de la foudre son
un de ses parents dans la ligne collatérale fût atteint d'une maladie nerveuse quelconque. 11 a quatre enfants qui jouissent d'u
i syncopes, H... n'en est pas moins, comme il le dit lui-même, « très nerveux , » très impressionnable;parfois il s'émeut d'un i
ctère que la précédente, avec cette différenee toutefois que le shock nerveux a déterminé immédiatement une attaque d'hystérie
... 72 3°. Deux cas de paralysie faciale périphérique avec hérédité nerveuse . Cas n° 1 : père aliéné, grand-père irrégulier, e
N 1°. Chorée aiguë grave chez un jeune homme de 18 ans. Antécédents nerveux héréditaires très accentués. Rhumatisme articulai
. Cas de chorée vulgaire chez une jeune fille âgéede 12 ans. Hérédité nerveuse et antécédents personnels névropa-thiques très ch
. . 162 3° malade. — Chorée molle chez un enfant de 12 ans. Hérédité nerveuse ...................... 171 NEUVIÈME LEÇON l01'
manie combinées . . .............. 419 DIX-NEUVIÈME LEÇON Accidents nerveux provoqués par la foudre........ . . 435 VINGTIÈ
on, 93. — et epilepsie, 95. — et hystérie, 35, 99, 288. — et maladies nerveuses , 93. — Hallucinations, 390. — Rêves, 288, 389.
ar l'oxyde de carbone, 369. — dans la paralysie alcoolique. — et choc nerveux , 133. Amnésie traumatique, 317. — et automatism
harcot, 35, 54, 179, 277, 362, 418, 487, 501, 527, 533, 534. Choc nerveux . (Voy. Sfiock.) Chorée (Ch. vulgaire, Ch. de Sy
thme et cadence dans la, 5. Classe ouvrière (Pronostic des maladies nerveuses dans la), 261. Clinique (de la Méthode), 25.
a paralysie infantile, 144,146, 408.--dans la syringomyélie, 502. — nerveuse , 6, 92, 420. — nerveuse des juifs, 11. Herpin,
44,146, 408.--dans la syringomyélie, 502. — nerveuse, 6, 92, 420. — nerveuse des juifs, 11. Herpin, 118, 289. Hirtz, 536.
es, 389. Hystérie.— épilepsie et morphino-manie, 420, sq. — et Choc nerveux , 132. — et Dégénérescence, 392, 393, 395, 399, 40
ans le grand hypnotisme, 10. Intellectuel (Surmenage).— et maladies nerveuses , 93. Ischias arthritica, 25, 27. Ischias nerv
. ^;'« Joffroy, 54, 243, 490. 51 1. Jouet, 432. Juifs.— (Hérédité nerveuse chez les), 11, Névropathie des, 348. K Kaempf
la sclérose en plaques, 164. N Nacrée (Papille du tabès), 164. Nerveuses (Maladies). — et rhumatisme, 114. — et Traumatism
nie). —Cérébro-spinale, 438. — Dans la classe ouvrière, 256.— et choc nerveux , 132, 139,200.—ethystérie, 31. — et hystérie (Hér
, 487. Onanoff, 200, 204. Onimus, 460. Ophthalmologie en pathologie nerveuse , 152. Oppenheim, 119, 288, 336, 423, 488, 527,
achyméningite cervicale hypertrophique, 536, 537. Rêves. — chez les nerveux , 372.— dans l'alcoolisme, 288, 389. — dans la par
humatisme articulaire. — et chorée, 104? 113, 114, 130. — et maladies nerveuses , 114. Rhythme. — dans le bâillement, 2. — dans
attler, 417. Saturnisme, 84. — et hystérie, 121 sq. — et maladies nerveuses , 93. Sayre (Corset de), 200, 204, 209. Schiff,
202, 204, 212, 213, 214, 216. Shakespeare, 5, 53, 93, 197. Shock nerveux , 131 sq. 136,138,534, 543. — et amnésie, 133. —
épileptique, 323. — et épilepsie, 322 — et hystérie, 30 — et maladies nerveuses , 30. — et neurasthénie, 30. Traumatismes de la
56 (1901) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 14]
MALADIES DES MALADIES MENTALES DES MALADIES CUTANÉES ET DU SYSTÈME NERVEUX . SYPHILITIQUES PAR ' PAUL RICHER GILLES DE l
ue le siège de la sclérose.) 4 JOUKOWSKY couche de la substance nerveuse de la paroi interne de la corne postérieure. Un
LCifcutc uc fctuucnc Il se sépare par une mince couche de substance nerveuse . L'écorce du coin, u se sépare par une mince co
se. L'écorce du coin, u se sépare par une mince couche de substance nerveuse . L'écorce du coin, qui borne la lèvre supérieur
a destruction ne se sépare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure. L'écorce de la partie
- lissement ne se sépare que par une mince couche de la substance nerveuse de la corne postérieure. Une partie de l'écor
tion dans une partie des éléments moteurs, et sensoriels du système nerveux . Ce n'est qu'en admettant un processus anatomiq
ésitons pas à re- jeter l'idée d'une origine corticale des troubles nerveux , cette supposition serait en effet très invrais
nsi que nous le verrons plus loin, mais leur étude dans les centres nerveux n'a pas été spécialisée ; leur aspect et leur évo
ec l'observation anatomique du parasite lui-même et de la substance nerveuse où il s'est développé, quelques considérations
ge du kyste ne nous a pas montré d'altération appréciable des tubes nerveux colorés par la méthode de Weigert-Pal. Au poi
ègle, en ce qui concerne le siège des cysticerques dans les centres nerveux . C'est là qu'on les rencon- tre le plus souvent
suppression brusque ou rapide de l'ap- port sanguin ; les éléments nerveux subissent des modifications moins profondes et
e qui amène la déchéance fonction- nelle et anatomique des éléments nerveux . C'est de cette façon du moins qu'il nous sembl
à une plus grande friabilité des conduits sanguins. 4. Substance nerveuse (axe gris et faisceaux blancs). - Le relevé topog
re la nomencla- ture complète des lésions en foyers de la substance nerveuse . Il montre bien que les dégénérescences seconda
'apparition de ces foyers de lésions destructives dans la substance nerveuse - faisceaux blancs et substance grise - coïncide
histo- logique, soit par une dystrophie généralisée de la substance nerveuse (tissu parenchymateux et tissus interstitiels).
que une atrophie partielle de la moelle. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA. HYDROPISIE DU
lication de mes premières recherches sur les difformités du système nerveux central dans le spina bifida, j'ai eu l'occasion
loff.) \I1 ? c : ("\n x ri.. F,htf'l1r LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 119 séparées des h
. l'h ! Jt')I\I'IC BI'IIILa,nl, r'nrls LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA 1SIFIDA 121 latéral). Les
ouvrant la partie dorsale de la (null) LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 123 moelle épinièr
de la sub- stance gélatineuse de Rolando on voit partir des fibres nerveuses arciformes, correspondant au nerf accessoire de
9NIN11d7VS V7 3Q 3111dVNOOOJ1 3'I'I3hOON LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA B1FIDA 125 entre le faisc
artie postérieure de la moelle allongée. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 127 L'intérêt de c
e.) TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . (Hospice de la SALI'ÊTnItBE). DESCRIPTION D'
djoint du laboratoire de la Clinique de radiographie des maladies nerveuses de la Salpêtrière Les malformations qui peuvent
à celles qui nous occupent on a voulu voir une influence du système nerveux central sur le développement des parties malfor
ur la plupart à la période embryonnaire, à une époque où le système nerveux central est en pleine période de développement, o
rteurs de difformités congénitales on trouve des lésions du système nerveux dans les parties correspondant aux régions de l
s probable. DE LA CRAMPE DES ÉCRIVAINS ET DES AUTRES AFFECTIONS NERVEUSES PROFESSIONNELLES OBSERVATIONS DE PARALYSIE CHEZ
onsulter, et plus particulièrement ceux qui présentent les troubles nerveux que nous allons étudier. Il est, certes, assez
e guérir ou tout au moins d'arrêter dans leur marche les affections nerveuses professionnelles par la suppression complète des
t de notre sujet et toute la difficulté du traitement. Ces troubles nerveux sont très fréquents dans la pratique journalièr
en étudiant ici quelques-uns d'entre eux. Sous ce nom affections nerveuses professionnelles, nous comprenons tous les trou
s professionnelles, nous comprenons tous les troubles fonctionnels, nerveux ou musculaires, survenant à la suite de l'usage
, . il est mieux d'étudier ici quelques autres types des affections nerveuses professionnelles. OBSERVATION ! . Le premie
male. L'anesthésie n'accompagne pas habituellement les affections nerveuses pro- fessionnelles. Dans le cas présent, on peu
iment parfaitement tonique et parti- culièrement électif du système nerveux . Grâce à cette médication, le malade est sûreme
e morue et du malt. Chez elle, nous devons noter une prédisposition nerveuse : céphalalgie, boule et autres symptômes hystér
boule et autres symptômes hystériques. Le pronostic des affections nerveuses professionnelles est en général bon, et l'on pe
igoureuse, employée au « Post office ». Elle se plaint de faiblesse nerveuse , dit-elle, presque subitement, il y a 2 ans. A vr
sse position des muscles de l'épaule, qui est la cause des troubles nerveux . Devenant incapable d'assurer, dès lors, la tra
battre. Ces quatre cas sont des exemples typiques de ces affections nerveuses professionnelles que nous rencontrons journelle
affection. Le diagnostic est en général facile pour les affections nerveuses profes- sionnelles, qui sont toujours occasionn
as ne rentrent pas dans notre cadre. La pathogénie des affections nerveuses professionnelles est encore très obscure ; les
; soit dans le muscle lui : même, soit dans cette partie du système nerveux qui comprend la cellule multipolaire des cornes
s cornes antérieures de la moelle, le nerf moteur et sa terminaison nerveuse intra-musculaire. On peut rejeter, je crois, la p
dans lequel nous observons les différents symptômes des affections nerveuses professionnel les. Enpremierlieu, nous rencontr
nous en- seigne que le fonctionnement répété et forcé d'un élément nerveux amène avec le temps son atrophie, puis sa destr
individu prédisposé, par exemple, à la dégénérescence des éléments nerveux arrivera probablement à la pa- ralysie, tandis
nécessité par les diverses profes- sions, pour produire l'affection nerveuse professionnelle. Notre premier malade s'est ser
ée du travail. Dans cer- tains cas, on rencontre une prédisposition nerveuse héréditaire ou acquise; qui peut jouer un grand
des parents. Quelquefois on trouve une histoire familiale de crises nerveuses , de troubles mentaux, de paralysie, etc. Le ner
nous semblent avoir une action élective sur la nutrition du système nerveux . On doit aussi rechercher et traiter toules les
e l'artiste a copié plus ou moins fidèlement était atteint de lèpre nerveuse . Cette forme de lèpre, sans doute fréquente alors
xagéré. Ni sucre, ni albumine : pas de polyurie. Du côté du système nerveux , on note EXPLICATION DE LA PLANCHE XXIV Fw. 1
de leur développe- ment. (Obj. DD; oc. 4 Zeiss.) Fic. 4. Cellule nerveuse de l'écorce en chromatolyse périphérique. Gonfl
otoplasmiqne. (Obj. immers 1/12; oc. 4 Zeiss.) Fic.. 5. - Cellule nerveuse de l'écorce en chromatolyse périphérique avec g
protoplasmique. (Obj. immers i/12; oc. i, Zeiss.) Fig. 6. Cellule nerveuse dont le noyau, refoulé à une extrémité, est enc
ès légèrement. (Obj. immers 1/12; oc. 4, Zeiss'.) FIG. 7. Cellule nerveuse de l'écorce, en- vahie par le heuronophage. Le
de nucléose. (Obj. immers 1/12; oc. 4, Zeiss.) Fic.. S. Cellule nerveuse de l'écorce, presque complètement disparue sous
euronophages. (Obj. immers 1/12; oc. 4, Zeiss.) Fin. 9. - Cellule nerveuse de l'écorce dont le protoplasma, en partie détr
leuco- cyte. (Obj. immers 1/12; oc. 4 Zeiss.) FIG. 10. - Cellule nerveuse de l'écorce en achromatose. (Obj. immers 1/12;
achromatose. (Obj. immers 1/12; oc. 4 Zeiss.) Fis. 11. Cellule nerveuse de l'écorce dont le noyau est à peine indiqué p
de processus angiolithique, ni de calcification. Pas trace d'élément nerveux dans le néoplasme. L'examen histologique de l
ne sclérose névroglique intense, proliférante, étouffant les fibres nerveuses tout le long du tractus op- tique. ' L'examen
actérisée par une sclérose névroglique intense étouffant les fibres nerveuses , ainsi que le démontre la figure de la planche
odifications que chaque jour apporte dans la technique du sys- tème nerveux , les divergences de vues émises par les auteurs q
canal rachidien, elles ne s'insinuent jamais au milieu des éléments nerveux , elles les refoulent, les tassent ; quelquefois m
les tassent ; quelquefois même leur évolution les éloigne du tissu nerveux , puisqu'elles peuvent se développera la sur- fa
une première, ce sable serait dû à l'ossifi- cation de la substance nerveuse ; el dans une autre, il accuse la myéline épanc
e sur différents points et nous avons recherché l'état des cellules nerveuses . Technique employée. Durcissement au formol, co
es-ci sont telles qu'on ne reconnaît que difficilement les éléments nerveux . En effet les cellules sont ratatinées, aplatie
- cée, plus la cellule est gonflée. On trouve,à côté des cellules nerveuses ,un nombre considérable d'éléments plus petits q
urologie, 1899. (2) NAGEOTTE et L ? fTLI\G6lt, Lésions des cellules nerveuses dans les intoxications et les infections. Press
EbCO, Des lésions primitives et des lésions secondaires de la cellule nerveuse , Société de biologie, 1896. Dps polynévrites en
avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellules nerveuses , Revue de Neurologie, 1896. Pathologie gé- néml
ses, Revue de Neurologie, 1896. Pathologie gé- némle' de la cellule nerveuse , Presse médicale, 1897. Hiblopal1wlogie de la cel
sco, loc. cil. et Elude sur l'évolution et l'involulion de la cellule nerveuse , Revue de neurologie, 1899. Les phénomènes de r
ue de neurologie, 1899. Les phénomènes de réparation dans les centres nerveux après les sections des nerfs périphériques. Pre
(5) Ossipopp, Influence de l'intoxication bolulinique sur le système nerveux central, Annales de l'Institut Pasteur, 1900.
teur, 1900. (6) MOLIIIITOFP, De l'action des toxines sur le système nerveux , Société de Neurologie et de Psychiatrie de Mos
seaux et les cellules. Ils semblent appelés à détruire les cellules nerveuses qui ont perdu toute valeur fonc- tionnelle et t
éraliser à tous les éléments mésodermi- ques. - Dans la substance nerveuse , le même phénomène phagocytaire se cons- tate d
taire se cons- tate dans toute une série d'affections où la cellule nerveuse est atteinte de façons différentes; cependant l
ait vu la pénétration des leucocytes dans l'intérieur de la cellule nerveuse . Dans le lobe électrique de la torpille, après
ui grâce à leurs mouvements amiboïdes pénétraient dans les cellules nerveuses pour les détruire. Ce sont donc bien les globules
llules névrogliques. Van Gehuchten et Nelis, étudiant les ganglions nerveux dans l'infec- tion rabique, ont signalé la prés
présence de leucocytes en très grande abondance autour des cellules nerveuses ;et, d'autre part, la prolifération des cellules
hagie est appliqué par Marinesco (4) à l'englobe- ment des cellules nerveuses par la névroglie. Cet auteur, qui fait la part la
apporte à la névroglie la présence de noyaux entourant les cellules nerveuses dans des cas de méningites et d'encéphalites. D
t intervenir les leucocytes seuls, dans la destruction des cellules nerveuses . Franca et Athias (6) reprennent la question ch
r du cône d'origine de l'axone, restent assez éloignés des cellules nerveuses ou, si elles s'en rapprochent, ne pénétrent jam
ément la névroglie prolifère pour combler la place que les éléments nerveux laissent après leur dis- parition. Cette manièr
eurologistes, Angers, 1898. (5) Pugnat, La destruction des cellules nerveuses par les leucocytes. Compt. rend. Soc. Biologie,
le râle joué par les leuco- cytes dans la destruction des cellules nerveuses . Compt. rend. Soc. Biologie, 1890. (1) Ossipof
ssu cicatriciel. Les deux savants belges rapprochent la phagocytose nerveuse de la phagocytose musculaire. Le tissu interstiti
cytose nerveuse de la phagocytose musculaire. Le tissu interstitiel nerveux est comparable au myoblaste qui renouvelle le m
mps que l'élément névroglique. Mais très probablement, les cellules nerveuses sont d'autant moins résistantes qu'elles sont p
leucocytaire. Les leucocytes se précipitent donc vers les cellules nerveuses , peut-être, suivant une hypothèse de Ranvier, p
enir dans leur lutte. Accumulés en grand nombre autour des cellules nerveuses malades ou mortes, ils jouent peut-être un rôle d
dans ses antécé- dents héréditaires. Il n'y a ni crises ni maladies nerveuses dans sa famille. En dehors d'un point sur leque
ables au développe- ment du dermographisme : d'une part, un système nerveux spécialement susceptible, d'autre part, un toxi
sa fille, les crises n'auraient pas reparu. - Pas d'autres maladies nerveuses dans la famille. Il n'y a rien à noter dans ses
artère. Très légères varices aux membres inférieurs. - V. Système NERVEUX . - L'intelligence semble ordinaire. Le malade sai
formation de neuro- diélectriques dans l'intérieur des conducteurs nerveux , et aux décharges consécutives à la tension ner
des conducteurs nerveux, et aux décharges consécutives à la tension nerveuse en amont de ces neuro-diélectri- ques (1). Le
s bretons. Les neuro-diélectriques qui interceptent les ondulations nerveuses se manifestent chez lui : 1° par une paralysie
; et il suffit, comme on va le voir, à expliquer tous les symptômes nerveux de notre malade. Pour la facilité de l'interp
'ailleurs que la douleur sera d'autant plus intense que la pression nerveuse sera plus élevée dans ces neurones. Je suis a
charger sur les neurones voisins. Il en résulte que les ondulations nerveuses , après avoir déterminé l'élévation de la pression
e médicale, 1899, p. 113). (2) E. IBussnon, Leçons sur les maladies nerveuses (Salpêtrière, 1893-1894),XXI" leçon. NOEVUS VEI
l existait pour chaque couleur un système parti- culier de cellules nerveuses et que ces diverses cellules se trouvaient in-
générale de la contracture me paraît assez simple. Des ondulations nerveuses qui résultent de la transformation des mouvements
immédiate, et plus considérable qu'à l'état normal, des ondulations nerveuses vers les ré- gions mêmes qui sont excitées. C'e
it naître, par une excitation, un nombre considérable d'ondulations nerveuses . Un autre réflexe fut exagéré chez notre malade
u'enfin ils parviennent à conserver leurs relations avec le système nerveux vésical. Alors, la ré- plétion de la vessie ent
de laztlso-coaastrictioat. J'arrive à la plus apparente des lésions nerveuses que présente notre malade, à la paralysie des v
x de la peau. Il n'est pas possible en effet de douter de l'origine nerveuse de ce naevus dont les taches s'arrê- tent sur l
n X n'), d'où une vaso-paralysie plus étendue. Où siège la lésion nerveuse qui donne lieu à ce naevus ? Ce qu'on peut dire
ion d'un ou plusieurs nerfs ni à celui d'une ou plusieurs ra- cines nerveuses . Cette lésion, qui est une lésion diffuse, sièg
l'i Il 21 1 13 22 23 -2li 27 / DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LA SPINA BIFIDA (N. Solnvtzo). M
). M : 1 ? on & 0< : . fditenl" LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DA\5 LR SPINA BIFIDA. HYDROPISIE DU
s'amoindrir, surtout dans sa partie au- LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 233 térieure et da
iteurs l'hutot) /,11 Heilliauil, Paris LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CEITRAL DANS LE SPINA BIFIDA 255 placent dans s
moelle allongée, elle n'est presque pas LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA B1FIDA 257 indiquée, mais
disposée des deux côtés de la moelle et LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 2a9 contenant les
p; Cie, Editeurs I limtullpr IlcnhauJ, LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 261 deux côtés, pa
ons dit jusqu'à présent, nous voyons que les difformités du système nerveux central dans le spina bifida concernent surtout
de la colonne vertébrale, provoquée par LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 263 l'accumulation
quatrième ven- tricule, étendu en bas. LES DIFFORMITÉS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL DANS LE SPINA BIFIDA 265 Ainsi, comme l
, 4 Homme de 26 ans, spina bifida latent révélé par divers troubles nerveux et trophi- ques. Pas d'hypertrichose dorsale
peler 1 ! 'ussi « maladie de Marie ». Nous avons trouvé à la clinique nerveuse de la Salpêtrière un nouvel exemple d'achondrop
xcellente. Son coeur, ses pou- mons, son tube digestif, son système nerveux sont de constitution nor- male. Son intelligenc
s, lésions spécifiques des autres organes, testicule, foie, système nerveux , sont des signes différentiels suffisants. D'ai
stétrique). Ces auteurs ont constaté aussi des lé- sions du système nerveux , mais ne mettent point les lésions osseuses sous
t, disent-ils, de rechercher et de mettre en évi- dence ces lésions nerveuses qui, par leur nature, tendent à démontrer l'ori
de ce doigt. On ne peut trouver cette artère, pas plus que le filet nerveux qui l'accompagne. On ne voit que du tissu adipeux
e tendance à la cyanose. ' Antécédents héréditaires . Sa mère, très nerveuse , est morte, à 68 ans, d'une maladie du coeur qu
ments affectueux pour ses parents. L'examen méthodique du système nerveux n'ajoute rien il ce qui vient d'être décrit. W.
qui est devenu classique ; les mêmes causes portant sur un système nerveux à texture plus ou moins atypique créeront un hy
'il devient habituel, provoquer un état de torpeur ou un épuisement nerveux durable qui constitue un état neurasthénique. L
enne ? Les théories modernes considèrent les phénomènes de l'urémie nerveuse comme étant sous la dépendance pres- que unique
in- toxication, il faut aussi viser dans la pathogénie de l'urémie nerveuse le facteur hypertension. L'hydropisie ventricul
nt de multiples analogies avec le syndrome bien connu en pathologie nerveuse de l'hyper- tension du liquide céphalo-rachidie
s par exemple. Il y aurait donc lieu de différencier, dans l'urémie nerveuse , les symptômes fonction d'intoxication et les sym
orachidien. - Or, la constance de cette hypertension, dans l'urémie nerveuse , n'est pas encore démontrée : et, d'ailleurs, l
ien prouvé dans la doctrine de l'urémie, en général, et de l'urémie nerveuse en particulier, c'est l'origine toxique des acc
, l'électivité particulière des poisons cancéreux pour le sys- tème nerveux est également démontrée (2). Klippel distingue
cancer étudié au point de vue de son action générale sur le système nerveux . « Comme cachexie, la maladie s'accompagne d'une
s profonds de la nutrition, atteignant tous les organes, le système nerveux y compris. » Appliquant cette notion générale à
emperer, llommclaire, Jaccoud, Albarran. (2) Klippel, Les accidents nerveux du cancer. Archives générales de médecine, 1899.
, penser que « peut-être, à côté des systématisations des faisceaux nerveux , il y a une systématisation de la circulation l
'origine première et l'évolution de certaines affections du système nerveux ». En appliquant ces idées théoriques et ces do
roglique ou leucocytaire qui semblent jouer, vis-à-vis des cellules nerveuses , un rôle neuronophagique sur lequel nous avons in
ération ni dans les viscères, ni dans les autres parties du système nerveux . Examen histologique. - Tumeur. Après décalcifi
nt, les fibres tangentielles sont peut-être raréfiées. Les cellules nerveuses des diverses couches sont normales comme nombre,
s produits toxiques sécrétés par la néororll¿ati01 sur les éléments nerveux . Militent en faveur de cette hypothèse certains
rébelleuse el dans un de ces cas de pratiquer l'exa- men du système nerveux . L'observation clinique du malade dont j'ai exa-
ux. L'observation clinique du malade dont j'ai exa- miné le système nerveux a été déjà le sujet de plusieurs publications.
ute la substance grise une diminution énorme du nombre des cellules nerveuses . Les cellules qui existent encore sont tantôt n
rmal. F. Coupe du nerf optique droit. Les fas- cicules des fibres nerveuses sont plus minces que ceux du nerf gauche; ils
a remarquable thèse de M. Londe. Le résultat de l'examen du système nerveux de ces deux cas, excepté des petites différences,
ans ce dernier cas, mais le résultat obtenu par l'examen du système nerveux est différent. C'est pourquoi P. Londe considère
ner- veux et un système vasculaire débiles. La débilité du système nerveux ne l'intéresse pas tout entier mais porte seule
squ'à un certain âge il n'existe pas de troubles du côté du système nerveux , du moins pas de troubles appréciables, caries va
e quelcon- que, ils ne peuvent plus suffisamment nourrir le système nerveux . Les parties résistantes ne réagissent pas sous
., premiers indices des troubles cérébelleux. Plus Lard, le système nerveux commence à se ressentir de la diminution de la nu
à maladie. Si à ce moment survient la mort nous trouvons le système nerveux atrophié comme il l'est dans les cas de Fraser,
ème vasculaire sont plus profondes, ou la prédisposition du système nerveux plus grande, le processus d'atrophie va plus lo
va plus loin et se manifestera par une dégénéres- cence des fibres nerveuses . La dégénérescence se produira en premier lieu
débile, mais elle peut atteindre aussi d'autres parties du système nerveux par suite des lésions des vaisseaux,comme les v
pouvait pas produire une atrophie d'une certaine partie du système nerveux . La partie atteinte doit avoir une certaine pré
te une dégénérescence dans les parties moins résistantes du système nerveux . Ce processus pathologique peut aussi se produi
nt par présenter des lésions. De cette façon les lésions du système nerveux dans l'hérédo-ataxie céré- belleuse auront touj
ires et d'un, plus ou moins grand arrêt de développement du système nerveux (1). (1) Je ne puis mieux terminer qu'en exprim
le, 1893. KLIPPEL ET DubANiE, Contribution à l'élude des affections nerveuses familiales et héré- ditaires, Revue de Médecine
HAUTES ÉTUDES. RECHERCHES SUR LA STRUCTURE ANATOMIQUE DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE EN RAPPORT AVEC LE MÉCANISM
ui ont facilité l'étude scientifique et l'examen minutieux du tissu nerveux . Pour toute la partie historique nous renvoyons
rveau. Comptes rendus, 29 juillet 1901. (2) Jules SOURY, Le système nerveux central. Structure et fonction. Histoire criti-
1139 et passim.- Voir aussi A. Van GEIIUCIITEN, Anatomie du système nerveux de l'homme, 3° édit., 2 vol. 527; 579 ; t. II, pa
mp; Ctr, Editeurs l'h"tnllplI' 111,¡h.tU. ! "<Ir... DU SYSTÈME NERVEUX CUEZ UN ANE11CÉPIlALE 383 tent à notre sujet ne
i, la double coloration de Weigert avec le picro-carmin. Cellules nerveuses . - Les cellules nerveuses ont été colorées par la
Weigert avec le picro-carmin. Cellules nerveuses. - Les cellules nerveuses ont été colorées par la méthode de Nissl et le
point légèrement renflé, tel est l'aspect présenté par les cellules nerveuses . Dans quelques-unes on remarque les vestiges d'
icro-carmin a surtout montré une absence de coloration des éléments nerveux qui se détachaient très mal sur le reste de la pr
et longitudinales ne montrent pas de lésions appréciables des fibres nerveuses . Le processus inflammatoire qui touche la moell
-médullaire du neurone sensitif et des neurones centraux DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE H91 moteurs et sensitif. Ce
du névraxe. Nous le suivrons depuis la partie supérieure du système nerveux , qui correspond aux tubercules quadrijumeaux, j
ubérantielle. A. Faisceau sensitif. B. Entrecroisement des fibres nerveuses . Fig. 2. - Région moyenne du bulbe. A. Faisce
t sain et permettant la transmission des impressions ou incitations nerveuses . Puis on voit les fibres se diriger d'abord en
urdach. G. Faisceau de Goll. O. Canal de l'épendyme. DU SYSTÈME NERVEUX CIIEZ UN ANENCÉPHALE 393 donner raison à cette
P. Fibres courtes d'association sensitives et motrices. DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE 395 La sixième coupe porte
V Les préparations qui intéressent la partie supérieure du système nerveux montrent qu'à ce niveau les formations ventricu
dans un précédent travail) ? (1). Dans ces conditions la substance nerveuse aurait été détruite par une néoformation vascul
agrandies et que (1) VASCIIIOE et C. VUAPAS, op. cil. DU SYSTÈME NERVEUX CUEZ UN ANENCÉPHALE 397 l'épendyme semble inter
- mation qui aurait succédé à une inflammation trop vive des masses nerveuses encéphaliques. VI Nous n'en aurions pas fin
lie. - La névroglie a été étudiée dans toute la hauteur des centres nerveux par l'ancienne méthode du picro-carmin. Les éléme
e ou médullaire. Cette abondance n'est pas moindre au sein du tissu nerveux . Outre la néoformation, on constate une dilatat
tteint la plupart des vais- seaux, tant ceux qui entourent le tissu nerveux que ceux qui le pénètrent. Il en est résulté de
ur du né- vraxe, aussi bien dans les méninges que dans la substance nerveuse . Il semble cependant d'une façon générale que l
s de sang vont en dimi- nuant d'abondance de haut en bas du système nerveux . Le bulbe et la moelle sont parsemés d'ilots sa
nombreuses et abondantes hémor- rhagies produites au sein du tissu nerveux . Le nombre de ces dernières semble aller en déc
jet iutra-médullaire ou intra bul- baire. Dans l'intérieur du tissu nerveux ils forment de larges couronnes péri- vasculair
aisseaux sanguins tantôt indiquent seuls leur direction. Le tissu nerveux présente également par place des amas d'éléments
globules blancs, qui infiltrent d'une façon générale tout le tissu nerveux . Les phénomènes de diapédèse semblent très actifs
porté à la fois sur les vaisseaux, les méninges et tout DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE 399 le névraxe, inflammatio
n d'autant plus vive que l'on s'élève davantage du côté des centres nerveux supérieurs. VIII Dans l'examen psycho-physiol
anifestement inhibiteur et nullement dynamogène. II. - La cellule nerveuse est profondément dégénérée sur toute la hau- te
? Malgré les lésions avancées de l'élément cellulaire, les racines nerveuses ne présentent pas de dégénérescence, ni de lésion
fonctionnement normal ? ? IV. - Notons que malgré l'état du système nerveux et de la cellule en particulier les muscles éta
actuelles rapprochées de cette cons- (1) Mort, Ganglions et centres nerveux . Archives de physiologie, 1895, n 1, p. 200- 20
, 1895, n 1, p. 200- 205. Morat, Qu'est-ce que c'est qu'un centre nerveux . Revue scientifique, 24 novembre 1894, p. 642.
ux. Revue scientifique, 24 novembre 1894, p. 642. BlOnnT, Centres nerveux fonctionnels et centres nerveux trophiques. Revue
bre 1894, p. 642. BlOnnT, Centres nerveux fonctionnels et centres nerveux trophiques. Revue scienti- fique, 1er déc. 1894
Arch. de médecine expérim., 1er janvier 1889, p. 5î. 1. DU SYSTÈME NERVEUX CHEZ UN ANENCÉPHALE 401 tatation semblent place
n intense en tissu fibro-vasculaire ayant détruit tous les éléments nerveux et jusqu'à l'apparence du tissu nerveux. IX. -
t détruit tous les éléments nerveux et jusqu'à l'apparence du tissu nerveux . IX. - Signalons sur toute la hauteur du névrax
processus inflammatoire très actif et très intense touchant le tissu nerveux , les méninges et les vaisseaux. Les considéra
logique rudimentaire indépendamment du fonctionnement des centres nerveux supérieurs et d'autre part l'incompatibilité noto
naire que l'on donne du fonctionnement et du mécanis- me du système nerveux et les constatations que nos recherches histologi
, âgée de 47 ans, garde-malade, suit la con- sultation des maladies nerveuses depuis trois mois. Son père est mort à 69 ans d
ois mois. Son père est mort à 69 ans de l'influenza : il était très nerveux . Sa mère est morte à 53 ans d'une entérite et é
Sa mère est morte à 53 ans d'une entérite et était également très' nerveuse . D'ailleurs la malade, sans donner de détails p
du côté paternel comme du côté maternel étaient exceptionnellement nerveux . Elle était fille unique et ne parait avoir rie
c crispation des mains, contractures, etc. Elle se plaint d'un état nerveux tout à fait particulier : elle est très excitable
proie facile pour les guérisseurs et les charlatans. La contagion nerveuse est ici particulièrement à redouter. Brodie a bie
e bilatérale des deux derniers doigts de la main chez une pianiste, nerveuse et fille de mère nerveuse, avec douleurs dans l
iers doigts de la main chez une pianiste, nerveuse et fille de mère nerveuse , avec douleurs dans la région du cubital depuis
ectrisation localisée, p. 672. (2) Dejeiune, Séméiologie du système nerveux , p. 756. (3) BEHNHARDT, A Notunagel, Lahmung de
Main- tenant, dans le cas que je décris, pour peu que la puissance nerveuse anormale, produite par la contracture des deux
stigmate hystérique. t) CUARCOT, Leçons sur les maladies du système nerveux , t. 8. 414 DE LÉON En recherchant la cause de
une dame opérée de cancer du sein. Charcot. - Leçons de maladies nerveuses , t. 3. Raymond. - Paralysies radiculaires par c
e double du cubital et du médian. DEJEnIiVB. Séméiologie du système nerveux . Decroly. Brûlure électrique du nerf cubital. J
e qu'un examen nécroscopique du squelette, des viscères, du système nerveux central. Nous n'avons guère eu que vingt-quatre
e de la maladie de Pagel. Comme on le verra, les lésions du système nerveux central ne nous ont pas paru assez spéciales et
vu quelque chose de semblable du côté du corps thyroïde. Système nerveux . - Les circonvolutions cérébrales, après durcisse
onctif d'enve- loppe, et ceux contenus dans l'intérieur du faisceau nerveux sont tous notable- ment épaissis, certains impe
. Sur un petit filet détaché, ou note, très nettement que les tubes nerveux sont très clairsemés, que la gaine de Schwann,
veux sont très clairsemés, que la gaine de Schwann, sur chaque tube nerveux , est double ou triple d'épaisseur, et la gaine de
la région lombaire, ils ont noté une raréfaction notable des fibres nerveuses , dans la partie moyenne des cordons postérieurs
njonctif intra-fasciculaire, état légère- ment clairsemé des fibres nerveuses . L. Lévi (2) a également trouvé dans le tronc d
faits suivants relatifs aux excitations sensorielles et aux poisons nerveux , la décroissance est rapide, et les séries termin
phoedème des deux membres inférieurs, coexistant avec une affection nerveuse organique, hémiplégie gauche. L'affection s'est d
idenls, mais c'est encore un nouvel argument en faveur de l'origine nerveuse du trophoedème et une preuve de sa parenté anat
les oedèmes qui accom- pagnent les affections organiques du système nerveux (oedèmes des hémi- plégiques, main succulente d
in- suffisance de nos connaissances en physiologie et en pathologie nerveuse . La question du trophisme, entre autres, est de
le intimement liée aux propriétés motrices et sensitives du système nerveux ? Questions qui divisent encore physiologistes et
reux, n'ayant jamais été atteints de convulsions ou autres troubles nerveux . Accouchement facile à terme. Père et mère jeun
sur les atrophies mus- culaires, soit sur la physiologie du système nerveux , ni dans les études sur la nutrition et les tro
liaison entre t'épaississement du tissu cellulaire et les troubles nerveux , une subordination du premier aux se- conds ),.
ues consécutifs à des lésions encore mal déterminées du département nerveux chargé de diriger la nutrition et de la tenir en
alité de leur expres- sion, invitent déjà à penser que les éléments nerveux , atteints par l'agent infectieux, réagissent à
omment, en effet, pourrait-on nier l'étrange sélection des éléments nerveux médullaires réalisée par tous ces processus destr
it Brissaud, l'action des substances toxiques sur certains éléments nerveux , à l'exclusion de certains autres, encore faut-il
e infantile ne comportait pas ce caractère électif sur les éléments nerveux que nous supposons exister, nous comprendrions di
obésités locales dont nous citons des exemples. Cette perturbation nerveuse qu'il faut démontrer en ce qui con- cerne le ti
n, étroitement liées aux modifications mêmes subies par les lésions nerveuses . Landouzy fait ressortir les liens qui unissent
iens qui unissent les modifications du tissu cellulaire aux lésions nerveuses , non seulement dans ses propres obser- vations,
ence de centres trophiques spéciaux dont serait pourvu le sys- tème nerveux central ne tire pas sa vraisemblance de la seule
des rôles dans le domaine de la sen- sibilité. L'étude des fondions nerveuses à la périphérie nous apprend, en effet, que tou
itutifs en vue de telles excitations venues du dehors. Les éléments nerveux pél iphériques ne percevraient donc pas tous égal
ressions subjectives si pénibles de chaleur dans certaines affections nerveuses SUR UNE FORME D'HYPERTROPHIE DES MEMBRES 487
si la même cause, selon la profondeur de son action sur les centres nerveux , n'était pas sus- ceptible d'effets consécutifs
part, l'on considère le rash comme une hyperémie liée à des troubles nerveux , selon l'opinion de quelques auteurs, l'on ne s
ent comme épiphénomènes au cours d'une maladie dé- finie du système nerveux (hémiplégie, paralysie infantile, etc.) ». En r
uses que l'on observe, soit expérimentalement à la suite de lésions nerveuses , soit d'iniquement au cours d'affections névrop
pothétique, qu'il n'est pas impossible.qu'une altération du système nerveux soit la cause de la maladie. » M. Meige place m
diagnostic de troubles trophiques consécutifs à une ancienne lésion nerveuse pourrait être soutenue avec vraisemblance. De
sé- parant de plusieurs états oedémateux mal caractérisés : oedèmes nerveux , segmentaires, hystériques, l'oedème neuro-arth
ue des mouvements dans la station debout. t. - De plus, symptômes nerveux , tels que boule hystérique et phobies hal- luci
ers supérieur), on ne peut plus admettre uniquement la distribution nerveuse ou radiculaire ; il faut admettre de plus la dist
les dystrophies musculaires, relevant d'une altération des centres nerveux , qui président au développement et à la nutriti
consulter. Les parents sont bien portants, il n'existe aucune tare nerveuse dans la famille, soit dans les ascendants, soit
u plus d'un an, au mois de février 1897, elle fut prise d'une crise nerveuse , elle se jeta dans les bras de son père, puis ell
e malade. Je ne vois pas non plus qu'une lésion acquise des centres nerveux , méningée, céré- brale, ou spinale, puisse se t
llogr.), 517. Crampe des écrivains (De la) et autres af- fections nerveuses professionnelles, par TH. SAVILL, 149. Délire
Lannois (1 pl. en photocollographie), 201. Difformités du système nerveux central dans la spina bifida, par N. SOLOVTzoFF
nois (1 pl. en photocollogr.), 402. Structure anatomique du système nerveux chez un anencéphale, par V ASCII IDE et Vuarw
5. SAVILL TH. De la crampe des écrivains et des autres affections nerveuses profes- sionnelles, 149. Sérieux (PAUL) et RO
38. Vaschide N. et CLAUDE VURPAS. Structure anatomique du système nerveux chez un anencéphale (6 fig., 2 pl. en photocol-
entale, 238. VURPAS et V ASCHIDE, Structure anatomique du système nerveux chez un anencé- phale (6 fig., 2 pl. en photoco
at- teints d'helminthiase (LANNOis), XXVI. Difformités du système nerveux central dans la spina bifida (N. Solovtzoff),XI
II à LX, LXX111 et LXXIV. Sein hystérique lLANNOIS), LII. Système nerveux d'un anencéphale (vars- cHmE et VuRpAs), L et L
57 (1839) Anatomie comparée du système nerveux considéré dans ses rapports avec l'intelligence. Tome second
ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME NERVEUX CONSIDERE DANS SES RAPPORTS AVEC L'INTELLIGEN
itées dans cet ouvrage. Enfin, M. Lelut, auquel la science du système nerveux doit tant de belles découvertes, a bien voulu enc
démonstration, lises : la réalité. ANATOMIE COMPARÉE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'HOMME ET DES PRIMATES CONSIDÉRÉ onus s
ue d'employer son expression qui résumera ma pensée. Vaxe d'une fibre nerveuse est un filament de sarcode primordial (1). (1)
de sarcode primordial (1). (1) On a cru voir souvent dans ces tubes nerveux une organisation bien n. 1 Un caractère bien re
une organisation bien n. 1 Un caractère bien remarquable des fibres nerveuses périphériques, c'est de ne jamais s'anastomoser d
euses périphériques, c'est de ne jamais s'anastomoser dans les troncs nerveux avec les fibres voisines. Chaque fibre nerveuse e
omoser dans les troncs nerveux avec les fibres voisines. Chaque fibre nerveuse est donc un fil simple, et chaque nerf est un fai
toute récente, et date seulement des travaux de Fontana. Les fibres nerveuses animales se rangent, eu égard à leurs fonctions,
relation. Suivant mon illustre maître, M. de Blainville, toute fibre nerveuse complète forme un arc, une des plus compliquée
mple dans laquelle cet esprit puissant résumait l'histoire du système nerveux (1). Cette ingénieuse conception est malheureus
Cette ingénieuse conception est malheureusement incomplète. Si l'arc nerveux n'était qu'un simple conducteur, l'énergie de la
ffire, et il faut aller au delà. II. En réalité, il y a deux fibres nerveuses : Y impressionnable et Y excitante. Ces fibres so
. Cet organe intermédiaire est Une cellule centrale. Les cellules nerveuses sont connues depuis longtemps des anatomistes. Du
agner. Société des sciences de Gottingue, 16 janvier 1854. les arcs nerveux ; mais elles ne sont plus de simples conducteurs d
idée qu'il faut se faire des propriétés et des réactions des cellules nerveuses centrales. III. Nous avons considéré un arc sim
ns considéré un arc simple, mais jamais dans les corps vivants un arc nerveux n'existe seul. Les corps vivants sont des composé
ul. Les corps vivants sont des composés, et en conséquence le système nerveux qui les anime est lui-même composé en un très-hau
ui-même composé en un très-haut degré. De même que plusieurs fibres nerveuses fasciculées forment un nerf, de même un grand nom
uses fasciculées forment un nerf, de même un grand nombre de cellules nerveuses agrégées forment un ganglion. Les ganglions, eu é
ent des cellules, sont de quatre ordres. 1° Dans certains ganglions nerveux , les cellules sont accumulées comme des grains da
ns une masse de sable, sans paraître communiquer soit avec les fibres nerveuses qui traversent le ganglion, soit les unes avec le
re comprend des cellules auxquelles ne se rattache qu'une seule fibre nerveuse , du moins en apparence. 3° Souvent dans un gang
nce. 3° Souvent dans un ganglion une cellule reçoit une seule fibre nerveuse , et en émet une seule qui continue son trajet ver
arquis de Corti les a retrouvées chez les mammifères dans le feuillet nerveux de la lame spirale du limaçon. 4° Dans d'autres
a lame spirale du limaçon. 4° Dans d'autres ganglions, les cellules nerveuses émettent des prolongements multiples. De ces rayo
même ganglion ; d'autres se continuent avec l'axe de certaines fibres nerveuses périphériques. On désigne ces cellules à rayons m
multipolaires. Cette structure se retrouve surtout dans les centres nerveux proprement dits, et elle est évidemment très-prop
ents de cet ensemble d'appareils connu sous le nom de centre ou d'axe nerveux , et des organes qui dans le crâne lui sont surajo
sont inséparables et unies sur un plan médian. De même, les centres nerveux qui animent les deux moitiés du corps s'unissent
symétrique, et le plan médian qui sépare ces deux moitiés du système nerveux central coïncide avec le plan médian du corps.
vec le plan médian du corps. Dans les animaux vertébrés les centres nerveux principaux sont logés au côté dorsal, dans le can
supérieurs des vertèbres. La relation qui existe entre ces centres nerveux et l'axe osseux vertébral est remarquable. Les ve
observation démontre qu'il y a également des segments dans le système nerveux central. Cette proposition est certaine dans le
chaque anneau du segment vertébral une certaine partie de cette tige nerveuse ; mais cette partie, ce segment idéal, est-il un
est-il un segment réel ? y a-t-il pour chaque vertèbre un ganglion nerveux central? C'est là une question importante au poin
donc être regardés comme autant de ganglions propres « à des systèmes nerveux particuliers, qui ont des branches « de communica
d'abord et immédiatement de (1) Anatomie et physiologie du système nerveux . Paris, 1810. (2) Expériences sur le principe d
ification se prolonge dans toute l'étendue de la chaîne ou de la tige nerveuse , en avant et en arrière du point qui a reçu l'exc
e du point qui a reçu l'excitation. Il y a donc à la fois, dans l'axe nerveux , multiplicité et unité. Toutefois, nous devons
itomotrices, d'avec celles qui ont l'in- (1) Physiologie du système nerveux , traduite par Jourdan. Paris, 1840, 1.1, p. 211.
us croyons, avec Gall, qu'en regard de chaque vertèbre est un segment nerveux particulier. Mais tous les segments s'enchaînent,
en effet, les filets de communication entre deux ganglions ou centres nerveux sont d'autant plus nombreux, d'autant plus gros,
plus élevés; dans la plupart des insectes, les ganglions de la chaîne nerveuse , séparés dans l'origine, se confondent graduellem
igne de supériorité, et ce signe ne saurait être méconnu dans la tige nerveuse rachidienne des animaux vertébrés. Un autre fai
où elles se confondent, (1) Considérations générales sur le système nerveux dans : Journal de physique; reproduites en entier
a-lomie et de physiologie. Paris, 1839, t. 111, p. 349. 1 es masses nerveuses moindres sont attirées en quelque sorte, et absor
roissement, comme cela a lieu dans les mammifères, quand les segments nerveux antérieurs dominent, l'axe nerveux tout entier se
les mammifères, quand les segments nerveux antérieurs dominent, l'axe nerveux tout entier se trouve en quelque sorte attiré et
et condensé vers la tête ; et la tige se raccourcissant, les segments nerveux postérieurs sont souvent placés très en avant des
On sait que dans tous les animaux inférieurs ce qui représente l'axe nerveux est une chaîne, logée au côté ventral du corps, e
ans les animaux vertébrés, au contraire, la chaîne, ou plutôt la tige nerveuse , occupe, dans le plan médian de l'animal, le côté
l'animal, le côté dorsal du corps. Ainsi, dans les invertébrés, l'axe nerveux est inférieur au tube digestif; il est supérieur
ls du a cœur ou vaisseau dorsal, du canal alimentaire et du système « nerveux autorisent cette comparaison... La seule difficul
ablie. Ainsi, cette opinion de Treviranus et de Weber que la chaîne nerveuse des insectes représente par ses relations et par
e très-exacte et très-simple de la disposition élémentaire du système nerveux central dans un animal vertébré (1). Nous prendro
cette région n'est pas moins intéressante, quand il s'agit du système nerveux , et les résultats que j'ai obtenus concordent si
la modification que j'apporte ici à son idée première sur le système nerveux . missures, l'une à droite, l'autre à gauche, un
A chaque segment complet d'un animal vertébré, il y a donc un anneau nerveux , et le système nerveux de cet animal, considéré d
et d'un animal vertébré, il y a donc un anneau nerveux, et le système nerveux de cet animal, considéré dans son ensemble, est c
. Fig. 1. La figure première représente la composition du segment nerveux et ses rapports avec la vertèbre. La seconde Fi
d'une condensation poussée à l'extrême. Il est évident que les paires nerveuses qui s'y relient par les espaces intervertébraux d
ercule, et supprimons par la pensée toutes les vertèbres. Les racines nerveuses n'ayant plus rien qui règle leur distribution, po
mportance de l'anneau œsophagien, et la forme particulière au système nerveux des insectes. Telle était il y a quelques années
lus précis encore. Nous venons d'indiquer la composition du système nerveux propre à un segment complet d'animal vertébré ; d
n général d'autant plus que ses deux moitiés sont en regard de masses nerveuses supérieures plus puissantes. Fig. 4. Dans ce
emment concevoir un cas inverse, attribuer la prédominance au système nerveux inférieur, et supposer que dans ce cas, au lieu d
on inférieur, ce sera le ganglion supérieur qui se divisera, l'anneau nerveux s'ouvrant alors du côté de son chaton supérieur.
chaîne du sympathique, doit affecter chez les invertébrés le système nerveux supérieur. Nous sommes conduits, en conséquence
Nous sommes conduits, en conséquence, à considérer le type du système nerveux {les animaux articulés comme modelé sur le type d
en névrologie, que lorsque des nerfs émanés de l'un des deux systèmes nerveux passent à l'autre système, ils en suivent l'arran
ibution. Par suite de cette loi, fondée sur l'observation, le système nerveux supérieur descendu dans la sphère du système nerv
tion, le système nerveux supérieur descendu dans la sphère du système nerveux inférieur en suivra la distribution, et sera abso
s de mon savant et à jamais regretté ami M. Sou-leyet, sur le système nerveux , et plus particulièrement sur le collier œsophagi
nglions supérieurs que les anatomistes ont désignée sous le nom d'axe nerveux céphalo-rachidien. Grâce au ciel, l'anatomie est
sujet que nous traitons ici. PREMIÈRE PARTIE anatomie des centres nerveux cérébro-rachidiens de l'homme et des primates C
o-rachidiens de l'homme et des primates CHAPITRE PREMIER de l'axe nerveux céphalo-rachidien § 1. De la moelle épinière en
le épinière en général. La chaîne des ganglions qui composent l'axe nerveux céphalo-rachidien forme une longue tige renflée d
dinal et parfaitement tracé qui divise chacune des moitiés de la tige nerveuse en deux cordons. L'un, l'antérieur, est le plus c
ent successif. Mais à mesure qu'ils s'épuisent, de nouvelles fibres nerveuses se groupent sur leurs côtés, et constituent au ni
stérieurs par l'adjonction de fibres nouvelles, en regard des racines nerveuses des membres antérieurs. Ainsi dans cette successi
un des plus ingénieux physiologistes qui se soient occupés du système nerveux , a faites sur les ganglions des racines postérieu
ion cervicale et sousbulbaire. Les deux moelles qui composent l'axe nerveux sont semblables, ou du moins parfaitement symétri
ents réflexes. (2) Foville, Traité complet de l'anatomie du système nerveux . Paris, 1844, t. I, p. 286. antérieure de la co
blanche, les autres à ses axes gris. Les premières sont des fibres nerveuses blanches. Elles ont le caractère de toutes les fi
ibres nerveuses blanches. Elles ont le caractère de toutes les fibres nerveuses centrales. Dépourvues du névrilemme qui les revêt
s variqueuses. La transformation des fibres périphériques en fibres nerveuses centrales se voit aisément dans la moelle de la g
ent dans la moelle de la grenouille. La première enveloppe des fibres nerveuses qui composent les racines postérieures des nerfs,
en aux vaisseaux capillaires multipliés, qui nourrissent la substance nerveuse . Les axes gris ne présentent point, dans toute
est très-clair et très-brillant. De toutes les parties de la cellule nerveuse , c'est celle que l'œil découvre le plus facilemen
mulait, il y a quelques années, cette proposition que tous les tissus nerveux sont composés de granules dont le diamètre égale,
s prolongements ramifiés qui leur ont fait donner le nom de vésicules nerveuses à queues, caudate nerve-vesicle, sous lequel elle
thèse d'un simple dépôt de cellules ganglionnaires « entre les filets nerveux , par rapport auxquels ils joueraient le rôle de m
ond qui devient un nerf sensitif, un troisième qui se change en fibre nerveuse motrice, un quatrième, enfin, qui unit les cellul
me elles un contenu granuleux, mais avant de se transformer en fibres nerveuses , ils perdent graduellement ces granules et se cha
e qu'on les voit en certains lieux se continuer avec l'axe des fibres nerveuses . Tood et Bowman ont déjà remarqué leur grande éla
les moins curieux de leur histoire. Quoi qu'il en soit, ces plexus nerveux cellulaires de la tige médullaire rappellent asse
s dans les animaux inférieurs, et ressemblent encore mieux aux plexus nerveux de l'organe électrique de la torpille que MM. Wag
Cet entrecroisement est si évident, qu'il n'y a point dans le système nerveux de disposition plus facile à démontrer ; c'est da
de la substance gélatineuse, outre ces (1) On a eontesté la nature nerveuse des fibres transverses de la commissure. Ce serai
et de grandes différences dans les propriétés. L'histoire du système nerveux est là pour le démontrer. fibres transversales,
ns réelles de ses segments avec ceux du rachis ; à chacune des paires nerveuses qui passent par les trous de conjugaison, répond,
e la vertèbre qui leur correspond, et pour s'y rattacher, les racines nerveuses parcourent un trajet plus ou moins long dans le c
trajet plus ou moins long dans le canal rachidien. De là ce pinceau nerveux qu'on a désigné sous le nom de queue de cheval, d
'adulte est d'autant plus significative, qu'un grand nombre de paires nerveuses s'attachent à cette région de la moelle, et devra
les faisceaux postérieurs à la région cervicale en regard des racines nerveuses de membres cependant plus grêles que ceux qui dép
roposition que j'ai plus haut soutenue, savoir, que toutes les fibres nerveuses des régions postérieures du corps ne remontent pa
ire présumer par avance. A priori, on doit supposer que les actions nerveuses reflexes sont plus apparentes dans les membres po
uverne plusieurs chevaux. Combien, en effet, ne faut-il pas de fibres nerveuses élémentaires pour mouvoir un seul doigt ? Combien
yau de l'encéphale. § 1. Prolégomènes et esquisse première. L'axe nerveux , en pénétrant dans le crâne, se renfle encore une
ntricule intermédiaire est le fait fondamental de l'anatomie du noyau nerveux encéphalique. Nous verrons plus loin qu'un mouvem
e service que ce célèbre anatomiste ait rendu à la science du système nerveux . elle. Sa figure se rapproche de celle d'une py
Icônes cerebri, in-fol. (3) Traité complet de l'anatomie du système nerveux . un plan superficiel de fibres, que ce dernier
re. Ce noyau forme le bouton terminal de chacune des moitiés de l'axe nerveux . 4° Région du bouton terminal. Le noyau gris
eau du système du grand sympathique, et il est certain que des filets nerveux , en grand nombre, le rattachent à la sphère de la
lets nerveux, en grand nombre, le rattachent à la sphère de la chaîne nerveuse inférieure, mais c'est là tout ce qu'on peut affi
gie humaine, page 337), la glande pituitaire n'offre point d'éléments nerveux dans son lobe antérieur de couleur rouge. Il acce
le corps pituitaire était profondément altéré. Il y eut des troubles nerveux dus à la compression qu'il exerçait sur le cervea
llules pâles, arrondies, sans prolongements, et quelques rares fibres nerveuses de 0m,002 à 0m,005 de diamètre (Histologie humain
soire, le deuxième lobule est caractérisé par la relation qu'une lame nerveuse transversale établit entre lui et la luette du ve
oisement, sauf (1) Exposition anatomique de Vorganisation du centre nerveux . Paris, 1844. une grande exagération, rappelle
acun de ces petits ganglions est à son tour formé de petites cellules nerveuses , accumulées suivant un certain ordre autour de ce
manifeste pour les noyaux accessoires, au travers desquels les fibres nerveuses peuvent être plus facilement suivies. Mais la pet
e. Ainsi, la plupart des fibres de cette catégorie sont des racines nerveuses partant de l'axe gris et gagnant la superficie du
ent leur substance : il sort de leur partie interne une fibre blanche nerveuse , qui en est comme le vaisseau propre, qu'on peut
couche est grise, et contient une grande quantité de petites cellules nerveuses . Cette couche est parcourue par des fibres nerveu
petites cellules nerveuses. Cette couche est parcourue par des fibres nerveuses très-grêles, qui forment des arcades irrégulières
deuxième couche, mais beaucoup plus rares. Un grand nombre de fibres nerveuses , très-serrées, pénètrent dans son épaisseur et
elles semblent formées par des stratifications très-minces de fibres nerveuses . La mieux distincte de ces couches est la superfi
omicœ, fasc. 1, t. X, fig. 5. (2) Anatomic etphysiolouiç du système nerveux , pl. 18, iig. 1. particulièrement dans son bord
physiologique? Contiennent-ils-, dans tous les cas, les mêmes fibres nerveuses ? Nous essayerons de résoudre plus tard ces différ
ulbe olfactif, en tant qu'elle reçoit immédiatement toutes les fibres nerveuses olfactives, qui pénètrent dans le crâne par les p
re médiane à la manière des nerfs optiques. Anal, et Phys. du système nerveux . Paris, 1S42, t. II, page 21. type élevé. Ce ce
s fibres sont de deux ordres ; les unes se continuent avec les fibres nerveuses qui composent les faisceaux postérieurs, les autr
sens tout différent. Les anatomistes anciens comptaient sept paires nerveuses crâniennes. Willis et Vieussens en ont compté dix
ux d'origine des nerfs. M. de Blainville concevait ainsi les paires nerveuses crâniennes; on sait que, par cette expression,pai
cette expression,paire rachidienne, on désigne l'ensemble des filets nerveux qui passent par les deux trous de conjugaison com
âniens et les nerfs rachidiens. « On conçoit que le nombre des paires nerveuses a dû être « subordonné au nombre des vertèbres cr
dans le crâne trois vertèbres; il admet, en conséquence, deux paires nerveuses crâniennes, l'une postérieure, l'autre antérieure
rveuses crâniennes, l'une postérieure, l'autre antérieure. La paire nerveuse postérieure comprend le pneumogastrique, le gloss
eprésentent les racines postérieures des nerfs rachidiens. La paire nerveuse antérieure se compose, a, du nerf de la cinquième
r le moyen, l'olfactif pour l'antérieur. Ce sont là les vraies paires nerveuses du crâne. Toutefois, outre les sensations spéci
ce ressemble au tronc. Il pourra donc y avoir dans chacune des paires nerveuses crâniennes, des nerfs pour la sensibilité général
re supérieure (1), et l'ophthal-mique du trijumeau. Enfin, la paire nerveuse antérieure se distribuant à un bulbe immobile, es
composée des nerfs olfactifs auxquels s'unit seulement un petit filet nerveux du trijumeau, savoir : le filet ethmoidal du rame
ruminants. (2) Celle manière de concevoir la composition des paires nerveuses crâniennes rend raison du trajet singulier que su
orie, en montrant l'unité du plan de composition de toutes les paires nerveuses crâniennes, tal, savoir: que le trijumeau est u
es multipolaires, qui prolonge (1) Longet, Ànat. etphys. du système nerveux , torn. II, page 408. (2) Essai sur ['origine de
pour indiquer comment le nerf trijumeau se partage entre trois paires nerveuses . Racines du trijumeau. Le tronc commun de ces
mouvements, est un fait bien digne de fixer l'attention. Les fibres nerveuses qui vont de la moelle et des nerfs aux hémisphère
qui existe entre le nombre des fibres cérébrales et celui des fibres nerveuses médullaires ou périphériques. Il serait donc pl
posait en principe que la substance grise engendre partout des fibres nerveuses , elle était donc pour lui la matrice des nerfs, e
urrait servir à la réduction autant qu'à la multiplication des fibres nerveuses . Il nous semble donc que l'assertion de Gall est
fondement solide. On pourrait, à priori, concevoir dans le système nerveux central trois moyens de multiplication des fibres
le système nerveux central trois moyens de multiplication des fibres nerveuses centripètes, et réciproquement trois moyens de ré
s centripètes, et réciproquement trois moyens de réduction des fibres nerveuses centrifuges. Dans le premier cas les fibres peu
nouvelles ; 2° par une division en plusieurs fibres d'une seule fibre nerveuse ; 3° par l'union d'une fibre unique avec une cell
ltiplication est à coup sûr possible dans quelques régions du système nerveux . Dans le second cas, le nombre des fibres pourr
ibres pourrait se réduire par trois moyens semblables : 10 des fibres nerveuses en s'éloi-gnant des couches corticales pourraient
uer dans les pédoncules, se terminer brusquement; 2° plusieurs fibres nerveuses pourraient se réunir en une seule; 3" d'une cellu
loppement de l'Encéphale. CHAPITRE VII. DÉVELOPPEMENT DES CENTRES NERVEUX . § *. Prolégomènes. La ligne que l'on observe d
erminativa, est le point de départ des premiers linéaments du système nerveux . Suivant Baër, cette ligne est l'indice d'un lége
ui limitera immédiatement le canal central du tube. Ce tube est l'axe nerveux primitif; de toutes les parties du système nerveu
Ce tube est l'axe nerveux primitif; de toutes les parties du système nerveux central, celle-ci apparaît la première et persist
ouveau, celui de ventricule céphaloracbidien. Les diamètres du tube nerveux central ne sont point uniformes. Avant même que l
bryon subit dans sa partie cépha-lique une forte courbure, et le tube nerveux central se plie à ce mouvement général. Cette i
ux central se plie à ce mouvement général. Cette inflexion de l'axe nerveux n'est point simple : elle se compose d'une suite
s des hémisphères futurs. A partir du point D, l'ensemble du centre nerveux encéphalique se recourbe assez régulièrement d'ar
la vie embryonnaire, l'ensemble des dilatations cé-phaliques de l'axe nerveux est réduit, du moins quant aux apparences, aux pa
d, leurs parois s'épaississant, la configuration générale des centres nerveux subira des modifications plus ou moins grandes; m
nerveux subira des modifications plus ou moins grandes; mais ce tube nerveux , axe et point de départ des formations futures, c
(1) C'est seulement ver3 le milieu du troisième mois que le système nerveux commence à perdre sa physionomie première, par su
us nécessaire que Meckel, qui a donné une assez bonne figure de l'axe nerveux d'un Embryon âgé de 7 à 8 semaines, a mal à propo
histoire semblable à celle des végétaux qui s'accroissent. Le système nerveux pousse non-seulement dans son ensemble, mais enco
définitif; elle consiste dans ces incurvations particulières à l'axe nerveux du capuchon céphalique de l'embryon, alors que so
, de plus hautes aptitudes dans l'ordre des manifestations du système nerveux . Non-seulement les animaux qui ont beaucoup de ci
qui nous occupent ici. CHAPITRE VIII. DES ENVELOPPES DES CENTRES NERVEUX CÉPHALO-RACHIDIENS. Après avoir décrit le cerve
ent, et sur la forme du crâne. § fl. BJe la pie-mère. Les centres nerveux sont compris sous une enveloppe immédiate. Une me
x parois du canal rachidicn par les gaines qu'elle fournit aux paires nerveuses et qui les accompagnent jusqu'aux trous de conjug
élémentaire de physiologie, tome I, page 223. tiôres sur le système nerveux , en les mettant en rapport immédiat avec les surf
rébrales (1). § 4. Structure des enveloppes membraneuse* du système nerveux céphalo-rachidien. V Éléments anatomiques propr
llules pigmentaires. 2° Nerfs et vaisseaux des membranes du système nerveux céphalo-rachidien. (a) Valsalva l'un des premie
iomie descriptive, tome IV, page 548. (2) Anat. et phys. du système nerveux cerebrospinal, page 5G1 - (3) Ant. M. Valsalvae
opinion avait été négligée jusqu'à Arnold (2), qui a décrit un filet nerveux qui se porte de la branche ophthalmique du trijum
econnus, » dit-il, c de chaque côté de la ligne médiane deux filamens nerveux étendus de la cinquième paire jusqu'au voisinage
u'au voisinage du sinus longitudinal supérieur. Un troisième filament nerveux occupait l'épaisseur de la tente du cervelet. Je
ngées et sont composés de fibres grises. M. Luschka décrit des filets nerveux dans l'arachnoïde. M. Kôlliker ne partage point s
erveau, et les accompagnent profondément dans l'épaisseur de sa masse nerveuse (4). (b) Nous ne dirons rien ici des vaisseaux
n ici des vaisseaux de la lame pério- (1) Anal, et phys. du système nerveux . (2) Icônes nervorum capitis. (3) Anat. descr
rappeler sommairement la disposition des vaisseaux propres au système nerveux encéphalique. Les artères de l'encéphale provie
es est très-marquée, la vie nutritive l'emporte sur la vie animale ou nerveuse . D'ailleurs, le vomer et Y intermaxillaire représ
. Pl. I et II. DEUXIÈME PARTIE. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. Nous laisserons ici de côté les mouvem
ation et l'expérience ont appris de plus certain touchant les centres nerveux céphalo-rachidiens, sous le triple point de vue d
'est par eux que la volonté agit sur les muscles. Or le même filament nerveux est-il à la fois moteur ou sensitif, ou bien ces
nimait. Cela est vrai; mais le sujet est complexe. En effet, un tronc nerveux n'est pas une seule chose et comprend un grand no
ux n'est pas une seule chose et comprend un grand nombre de filaments nerveux élémentaires. Or ce qui est vrai du tronc en géné
rai du tronc en général peut ne l'être pas de chacun de ces filaments nerveux pris à part. Il peut donc y avoir deux ordres dis
es sensations pareilles ; elles contiennent en effet autant de filets nerveux distincts que le toucher perçoit de propriétés di
CHAPITRE II. DE LA MOELLE. §1. De la moelle en tant que centre nerveux . Mais quelles sont les fonctions de la moelle à
tées successivement. La moelle est certainement un centre d'actions nerveuses . Un jeu cruel a depuis longtemps résolu cette que
décapitation n'amène point l'anéantissement immédiat de la puissance nerveuse dans les segments du tronc; c'est là un fait parf
ent, n'était pas encorde laite. » (Propriétés et fonctions du système nerveux . Première édition, note de la page 182. Paris, 18
moelle une influence beaucoup plus grande que l'irritation des troncs nerveux eux-mêmes. Cette observation prouve deux faits, s
dans la peau cessent graduellement d'être excitables dans les troncs nerveux qui se rapprochent de la moelle, et 2° qu'il y a
. phys., t. IV, sect, vu, § 26, p. 327. (2) Millier, Phys. du syst. nerveux ., trad, par Jourdan. Paris, 1839. (3) Volkmann.
oints, on pouvait créer dans ces animaux plusieurs centres d'activité nerveuse indépendants les uns des autres (1). Des observat
usqu'à un certain point être expliqués par l'organisation des centres nerveux . Les cellules multipolaires dont nous avons parlé
l. 1 Band, 1849.— Faivre, Études sur l'histologie comparée du système nerveux chez quelques Anne-Hdes. Dans Ann. des se. nat, 4
curieux travail de M. Yersin. Recherches sur les fonctions du système nerveux dans les animaux articulés (Bulletin de la Sociét
la région cer- (1) Fodera. Recherches expérimentales sur le système nerveux . (Journ. de Physiologie expérimentale. T. Ili, p.
e. Il en conclut que cette dernière section épuise bien plus la force nerveuse que celle des cordons postérieurs. Rolando coup
exes. 11 y a une sorte d'antagonisme entre ces deux sphères de la vie nerveuse . Lorsque, en effet, l'animal a été décapité à une
rs de leur fonction sensitive. Il admet, il est vrai, qu'aucune fibre nerveuse ne se rend immédiatement dans les cordons postéri
utes les impressions ne sont point semblables ; la variété des fibres nerveuses qui composent les nerfs est presque infinie ; il
s à dire que ces cordons sont beaucoup moins sensibles que les troncs nerveux , et rien ne prouve que les fibres qui s'entrecroi
expériences, il est arrivé à démontrer 1° que cette portion de l'axe nerveux , qui est essentielle à la respiration, s'étend en
se qui occupe le centre du bulbe. M. Van Deen, qui a fait sur l'axe nerveux des grenouilles tant d'expériences diverses, va p
(1). » M. Flourens (1) Flourens. Propriétés et fonctions du système nerveux , lre éuit., p. 115. Je fais remarquer que cette c
cette curieuse expérience indique clairement que la marché des fibres nerveuses , suivie d'arrière en avant dans la moelle, se fai
ns qui lui sont faites par l'opération qui a été pratiquée au système nerveux . Nous nous bornerons en conséquence à dire dans q
tions qu'il accomplit ont plusieurs agents dans l'économie du système nerveux central. Nous pen- sons que, dans ces cas où le
s possibles (2). Il admet donc trois ordres de fibres dans le système nerveux moteur : les unes excitent, d'autres modèrent, d'
onclusion n'est peut-être pas à l'abri de toute objection. Le système nerveux est un tout harmonique. La destruction d'un seul
u parce qu'elle y exerce les actes de la mémoire (1). » Ces centres nerveux ont un effet croisé sur les yeux. En effet, après
(1) Anat. comp. du cerveau. T. H, p. 643. (2) Études sur le syst. nerveux , Paris, 1838, p. 446. M. Flourens, a été attrib
, dans cette partie de mon livre, l'histoire physiologique du système nerveux central. Parmi les faits que j'ai rappelés, j'ins
ésiennes. Ainsi répandue, infuse dans toutes les parties du système nerveux , l'âme sensitive a pour forme celle de ce système
tre corps, et des sentiments généralisés qui se rapportent au système nerveux tout entier. Cette distinction, comme on le verra
Gerdy ayant éveillé l'attention, ces singulières maladies du système nerveux dont on avait trop négligé l'observation sont dev
-il, uniquement parce qu'il y a une plus « grande quantité de houppes nerveuses à l'extrémité des « doigts que dans les autres pa
p. 214. quand ils sont exercés sur le trajet des principaux troncs nerveux . On ne peut s'empêcher de rappeler que les chatou
ntré que cet ordre d'impressions est complètement étranger aux fibres nerveuses qui la composent? C'est précisément parce que nou
umière. Ils semblent démontrer, en effet, que le retour à l'équilibre nerveux suppose une succession ordonnée d'états intermédi
t la cause première n'est point aperçue, remuent cependant le système nerveux tout entier, et donnent à toutes les pensées le c
es influences du monde extérieur et de celui des idées sur le système nerveux , et plus particulièrement sur celui des viscère
ltats merveilleux, il faut concevoir la région automatique du système nerveux comme étant jusqu'à un certain point indépendante
disent-ils, (1) Flourens. Recherches expérimentales sur le système nerveux . Deuxième édition, Paris, 1842. qu'un courant p
ans l'extase, dans l'hystérie, la catalepsie et les autres affections nerveuses , la mémoire peut illuminer tout à coup les région
a mémoire. Si la mémoire a pour cause le corps ou plutôt le système nerveux qui l'anime, et si ce système est lui-même formé
e cette seconde hypothèse. Il est certain qu'il reste dans la cellule nerveuse quelque chose de l'impression première; et delà m
sera cet ordre? Par quelles séries d'états intermédiaires les centres nerveux élémentaires reviendront-ils à cet équilibre un i
re contesté, dépend probablement de la constitution de chaque cellule nerveuse prise à part, car au point de vue de l'automatism
t, car au point de vue de l'automatisme, chaque cellule est un centre nerveux complet. Cette manière de voir paraît trouver u
ressionnée, et chaque fois qu'une cause suffisante a agi, l'organisme nerveux entier vibre, pour ainsi dire, sous la dépendance
de l'intelligence. Il en résulte que la partie automatique du système nerveux y est moins intéressée ; et tandis que des mouvem
ncluaient dans le même sens, « Que le somnambulisme est une affection nerveuse qui nous saisit et. qui nous quitte pendant le so
ple : Un jeune homme âgé de quatorze à quinze ans, d'un tempérament nerveux , d'une imagination vive et très-sujet aux rêves,
l'ëpilepsie, p. 295. (2) Delaroche. Analysa des fondions du système nerveux . Genève, 1778. T. I, p. 196, cilé par M. Michéa.
Visions (1). Il ne faut pas confondre l'extase avec les affections nerveuses dont elle est souvent compliquée. L'extase n'est
n Boré. Paris, 1846, p. 2T. dition exceptionnelle, faite au système nerveux , peut résulter d'une préparation volontaire qui a
le démontrer qu'une idée vive peut ébranler tout un système de fibres nerveuses , jusqu'à leur point d'origine dans un organe sens
des idées fixes, en entretenant une excitation sympathique du système nerveux central. Le principe d'association que nous avo
J'ai eu plusieurs fois occasion de m'interroger sur ces modifications nerveuses dont les accès étaient nocturnes, et me jetaient
chose de l'automatisme de l'instinct. Ces faits ont dans le système nerveux une cause naturelle; ils se produisent, il est vr
là le magnétisme est éminemment naturel, et ses effets sur le système nerveux sont incontestables. Mais voici des assertions d'
est impossible de décider ici jusqu'à quel point des correspondances nerveuses eussent expliqué ces phénomènes remarquables. On
. Mais il n'en était pas de même des organismes humains. Des troubles nerveux , des convulsions singulières les agitent. D'aille
éterminent des convulsions, des accidents hystériques, des mouvements nerveux très-divers, plus souvent encore de la somnolence
'à peine. Qui pourrait nous dire comment de l'organisation du système nerveux de l'abeille résulte sa singulière industrie ? Le
le suppose, ne peut rien sans le corps, je veux dire, sans le système nerveux qui l'anime. Des expériences concluantes, que nou
avons plus haut rapportées, ont fait voir que celte partie du système nerveux qui préside immédiatement aux mouvements de l'aut
volume du noyau de l'encéphale, du bulbe, de la moelle et du système nerveux périphérique. En effet, et toutes les expériences
r les instincts, il faut tenir compte de l'organisation et du système nerveux tout entier. 6. Les modifications d'où la mémoi
d'où la mémoire résulte ne sont pas propres au cerveau, et le système nerveux tout entier y joue son rôle. Elle n'implique d'ai
-RACHIDIENS DE L'HOMME ET DES PRIMATES. CHAPITRE PREMIER. —»e l'axe nerveux céphalo-rachidien. 19 § 1. De la moelle épinièr
xposés............... 217 CHAPITRE VII. — Développement des centres nerveux . . . 224 § 1. Prolégomènes....................
t réel............... 258 CHAPITRE VIII.—Mes enveloppes des centres nerveux céphalo-rachidiens.......................... 266
......... 276 § 4. Structure des enveloppes membraneuses du système nerveux céphalo-rachidien................... 278 CHAPIT
.... 315 Pages DEUXIÈME PARTIE. HISTOIRE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL CHAPITRE PREMIER. — Des nerfs..........
moelle.................... 332 § 1. De la moelle en tant que centre nerveux .......... ib. § 2. De la moelle comme conducteu
58 (1893) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 4. Leçons sur les maladies du système nerveux
exe, je me limiterai au cerveau, c'est-à-dire à la masse de substance nerveuse , composée de deux hémisphères et située à l'extré
i avec fruit la traduction du livre de Huguenin (Analomie des centres nerveux ), par Keller et M. Duval. diverses régions dési
ructure de l'écorce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions Sur les cellu
res ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions Sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de l
noyau, nucléole, protoplasma, fibrilles et granulations ; --- réseau nerveux ; — prolongements du protoplasma: prolongement ner
ns ; --- réseau nerveux; — prolongements du protoplasma: prolongement nerveux . Comparaison des cellules nerveuses motrices de
ents du protoplasma: prolongement nerveux. Comparaison des cellules nerveuses motrices de la moelle avec les cellules pyramidal
nt le rôle fondamental, je veux parler des cellules ganglionnaires ou nerveuses , qui forment en définitive l'élément caractéristi
es principaux traits de la constitution d'un des éléments cellulaires nerveux dont Fétude est la mieux connue à l'heure qu'il e
ices. La descrip-tion abrégée que je vais vous tracer de ces cellules nerveuses nous servira pour ainsi dire d'étalon. J'aurai à
en une sorte de réseau anastomosé qu'il désigne sous le nom de réseau nerveux . Ces prolongements sont compo-sés d'ailleurs, com
r tous les anatomistes. Il consiste en ce que la plupart des cellules nerveuses motrices, toutes, peut-être, possèdent, en outre
caractères particuliers. Ce prolongement porte le nom de prolongement nerveux , et vous allez saisir dans un instant la'raison d
e certaine distance, comme un nerf complet. La connexité des cellules nerveuses , par la voie de ce prolongement, avec les tubes d
teuse. Tels sont, Messieurs, les principaux caractères des cellules nerveuses motrices spinales; il est temps de mettre en rega
. Ces prolongements se résolvent-ils dans l'écorce grise en un réseau nerveux , ainsi que cela a lieu, d'après M. Gerlach, pour
e couche assez dense. Divers auteurs les regardent comme des éléments nerveux incomplètement développés ; d'autres leur dénient
ranuleuse de la rétine. M. Meynert range encore, parmi les éléments nerveux des zones corticales, des cellules allongées, en
fibres du système d'asso- (1) J. Luys. — Recherches sur le système nerveux , etc.,p. 162 et suiv. Pa-ris, 1865. (2) Meynert
exclusivement constituée par la substance con-jonctive. Les éléments nerveux y sont très rares ; cependant, Kolliker et Arndt
(1) décrivent vers la surface, sous la pie-mère, une couche de tubes nerveux parallèles, très délicats. Là aussi les cellules
che de tubes nerveux parallèles, très délicats. Là aussi les cellules nerveuses sont très disséminées^'//. 5,1). A l'œil nu, cett
raît être en rapport et avec la pau-vreté de cette couche en éléments nerveux et avec le petit nombre des vaisseaux capillaires
ième couche {Fig. 5, 2) est marquée par une agglomération de cellules nerveuses pyramidales de la petite espèce, très nombreuses,
ns-nous d'a-bord de celui de la région postérieure. 1° Les éléments nerveux , bien développés, sont, ici, des cellules assez v
essieurs,, que, chez le singe, cette répartition des grandes cellules nerveuses est à peu près l'apanage des circonvolutions où l
et. — Type de stratification en cinq coaches des éléments cellulaires nerveux . — Régions où existe ce type de stratification. —
de type de stratification en cinq couches des éléments cellu-laires nerveux ou réputés tels. Je vais vous rappeler, très so
ulaires et qui reçoit les pro-longements protoplasmiques des cellules nerveuses situées dans une couche sous-jacente ; — 2° plus
out en conservant la forme pyramidale propre aux éléments cellulaires nerveux de la région, ces cellules, vous le savez, se dif
ment par leurs dimensions, mais encore par la netteté du prolongement nerveux et par le développement des pro-longements de pro
plasma. Ces derniers traits permettent de les rapprocher des cellules nerveuses motrices des cornes antérieures de la moelle épin
ongé à rechercher dans les centres psycho-moteurs l'état des cellules nerveuses . • Un cas, observé par M. Luys, se rapproche
e général de l'écorce grise, dans ces régions, c'est que les cellules nerveuses pyramidales y sont, en règle, peu nombreuses et p
manière notable. Ce n'est point qu'il n'existe là de grosses cellules nerveuses , mais elles sont comparativement très rares, soli
sion de M. Meynert. M. Betz ajoute qu'elles n'ont pas de prolongement nerveux distinct et que les pro-longements de protoplasma
d'un bon nombre de lésions anatomiques dont cette partie des centres nerveux peut être le siège. . Vous-vous souvenez commen
va peut-être trop loin quand il écrit dans sa des-cription du système nerveux que la capsule interne est com-posée surtout de f
pourrait avoir pour effet de déterminer la com-pression des faisceaux nerveux qui composent la capsule in-terne et consécutivem
nt de ces faisceaux. Mais comme, en pareille circonstance, les fibres nerveuses de la capsule sont seulement comprimées et non pa
iption, un faisceau séparé. Quelle est la destination de ces fibres nerveuses ? Chez l'homme, il est à peu près impossible de s'
es (1) L. Tûrck, voir Charcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux . T- I. 2e édit., p. 315. (2) Rosenthal. — Klini
postérieure de la capsule interne, l'existence de faisceaux de fibres nerveuses centripètes, ayant pour rôle de conduire vers le
qui a été dit sur (1) Charcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux , lre éd., 1872. (2) Magnan. — De l'hémianesthés
ecroisement. Ces derniers (voyez Fig. 29, a\b) c'est-à-dire les tubes nerveux non entrecroisés occuperaient le côté externe dan
G) de chaque rétine, et l'inverse aurait lieu (DD) pour les faisceaux nerveux provenant de la bandelette optique du côté droit.
des arguments du même ordre, ont essayé de dé-montrer que les fibres nerveuses des nerfs optiques subissent dans le chiasma, mêm
la consé-quence nécessaire d'une lésion qui rencontrerait les fibres nerveuses optiques, au-delà des corps genouillés (G, G), da
ussation une modification légère. On admet communément que les fibres nerveuses provenant de l'œil droit et de l'œil gauche qui c
et cette vue s'accorde avec l'idée régnante qu'une lésion des fibres nerveuses optiques, dans leurs parcours intra-cérébral, équ
c le corps genouillé interne. Ce dernier ne contient que des cellules nerveuses rudimentaires (Henle) et ne peut être, par conséq
raversé le corps genonillé, soit par un trajet direct, les fais-ceaux nerveux de la racine interne vont en définitive aboutir a
faits cliniques conduisent à supposer qu'il s'y mêle aussi des fibres nerveuses entrecroisées, en rapport avec les nerfs auditifs
tion produisent la destruction ou la brusque compression des éléments nerveux de la circonscription affectée et non pas seuleme
estructive de la capsule interne, une lente régénération des éléments nerveux pourrait seule, au contraire, permettre le rétabl
1851. Idem xi. Bd. 1853. (2) A. Vulpian. — Phi/siologie du système- nerveux . Paris, 1866. (3) Ch. Bouchard. — Des de'généra
tent parfaitement indemnes. On constate en même temps que les racines nerveuses , tant antérieures que posté-rieures, que les méni
t, en dedans, elle s'avance jusqu'au contact de ce faisceau de fibres nerveuses , peut-être sensitives, qui constituent la partie
cède, que la sclérose consé-cutive n'affecte qu'une partie des fibres nerveuses qui forment les faisceaux latéraux, à savoir les
érieure du même côté, ayant amené la destruction des grandes cellules nerveuses de la région. L'en-vahissement des cornes grises
aire. — Introduction. — Progrès de l'anatomie pathologique du système nerveux . — Beaucoup de maladies nerveuses sont cependant
de l'anatomie pathologique du système nerveux. — Beaucoup de maladies nerveuses sont cependant inaccessibles à l'anatomie patholo
dans le cours de cette année, de l'anatomie patholo-gique du système nerveux . Déjà, à plusieurs reprises, dans cet enseignem
u connu, que jouent les. altérations de certaines parties des centres nerveux sur le développement de divers troubles trophique
dre, que des épisodes dans l'histoire anatomo-pathologique du système nerveux . Il m'a semblé qu'il serait utile d'envisager act
traités dogmatiques concernant spéciale-ment la pathologie du système nerveux . Dans ces ouvrages, les documents nouveaux tienne
idérable d'états pathologiques ayant évidemment pour siège le système nerveux , qui ne laissent sur le cadavre aucune trace maté
ais cela est vrai, surtout en ce qui concerne les maladies du système nerveux . Quelques exemples suffiraient pour montrer que l
a maladie connue sous le nom d!'induration multiloculaire des centres nerveux , àe sclérose en plaques, prêterait à des con-sidé
les résultats nouvellement introduits dans la pathologie des cen-tres nerveux : cerveau, bulbe rachidien, moelle épinière ; je
ur ce qui est du man-teau médullaire, formé par l'assemblage de tubes nerveux à direction presque partout longitudinale, on y d
, où elles intéressent nécessairement l'appareil des grandes cellules nerveuses motrices. Ainsi, voilà, de par l'anatomie patho
moelle, les cornes antérieures pour y dé-truire les amas de cellules nerveuses microscopiques qui y sont contenues : la maladie
es, ou, en d'autres termes, anatomiquement distribuées dans le cordon nerveux d'une façon diffuse et inégale. L'analyse dirig
véritable jour les tra-vaux relatifs à l'anatomie morbide des centres nerveux , vous n'auriez pas manqué de reconnaître la tenda
ur ainsi dire, dans de certaines régions bien circonscrites du cordon nerveux ; que ces maladies constituent, en quelque sorte,
n-fondues. Lorsqu'on prend entre les mains un fragment de cette pulpe nerveuse et qu'on lui imprime quelques oscillations, on cr
quantité de graisse sous forme de granulations. Par contre, les tubes nerveux sont absents à peu près partout, ou tout au moins
rchow, reproduisant une vue déjà émise par Billard, la vie du système nerveux est en quelque sorte Fig. 48. — Région cervical
nt pas. L'acide osmi-que, vous ai-je dit, est fixé, dans les éléments nerveux déve-loppés, par la myéline. Or, vous voyez sur c
en dehors, elle est séparée de la pie-mère par une zone de substance nerveuse lui formant une sorte de manteau et cons- titué
n parallèle, et, lorsqu'ils sont développés, ils renferment des tubes nerveux de toutes dimensions. Comment se comportent-ils à
t plus bas dans la moelle, on est en droit de conclure que les fibres nerveuses qui les composent s'arrêtent successivement en ch
racines antérieures? Non, caries racines antérieures et les cellules nerveuses sont déjà très développées alors que les faisceau
is-sent prendre leur origine. 1° Dans la protubérance, les éléments nerveux qui, tout à Fifí. 52. — Schéma de la coupe des
ise qui n'est au- tre que le locus niger de Sœmmering. Les cellules nerveuses de cette région ne sont pas encore pénétrées de m
g-ments interne, externe et moyen). Dans les deux premiers, les tubes nerveux ne sont pas encore recouverts de leur enve-loppe
space de forme rhom-boïde et opaque, parce qu'en ce point, les fibres nerveuses ont acquis leur développement complet. Or, c'est
aire, c'est le contraire qui a lieu dans les pédoncules. Les fibres nerveuses qui composent les faisceaux pyrami-daux de l'étag
t, dans les cellules ganglion-naires qui s'y trouvent, que les fibres nerveuses des futures pyramides prennent leur origine; là,
ation blanche, en un mot, correspond à la structure achevée des tubes nerveux (cylin-dre-axe recouvert de sa gaîne de myéline).
e ou sous-rolandiqne du cerveau est marquée par la présence de fibres nerveuses revêtues de myéline. En ce point, les faisceaux d
après les documents fournis par l'examen du développement des centres nerveux . Cet exposé préliminaire, un peu long peut-être,
t à tous égards une place importante dans la pathologie des centres nerveux (1). II. Les dégénérations secondaires de la
e s'établit, une véritable perte de substance aux dépens des éléments nerveux . Aussi les anciens foyers d'hémorrhagie ou de ram
part des tumeurs, celles-ci pouvant déprimer ou refouler les éléments nerveux sans les détruire. 3° En dehors d'un cas partic
a surface du pied, qui représente le côté le plus large. Les fibres nerveuses étant pour une bonne partie détruites dans l'aire
ersales de la moelle, pratiquées dans les diverses ré-gions du cordon nerveux , nous reconnaissons aussitôt le cor-don antéro-la
ourrait l'appeler région pyramidale de la capsule, puisque les fibres nerveuses qui la traversent semblent être une émanation dir
s l'écorce de l'hémisphère l'existence des cellules ganglionnaires ou nerveuses qui, en raison de la forme sous laquelle elles se
orrespondant au tiers postérieur du segment postérieur. «des fibres nerveuses se dirigeant vers la portion de la capsule intern
La propagation se fait-elle parle tissu conjonetîf ou par les fibres nerveuses elles-mêmes ? Messieurs, J'en aurais fini ave
y produisent, a permis d'établir, vous l'avez reconnu, que les fibres nerveuses qui les composent prennent leur origine dans l'éc
e ce fait ne soit pas démontré, — que dans l'écorce grise, ces fibres nerveuses sont en rela tions plus ou moins directes avec le
vers le fîlum terminal. Ce fait démontre suffisamment que les fibres nerveuses qui les constituent s'épuisent peu à peu dans le
ticulum de la substance grise où s'épuisent successivement les fibres nerveuses du cordon latéral. - F, F, F, Racines antérieures
bien entendu, aucune trace d'altération ; aussi les grandes cellules nerveuses sont parfaitement intactes et la corne elle-même
squ'ici inconnue. Quoi qu'il en soit, s'il en est ainsi, la cellule nerveuse mo-trice dans le cas de dégénération descendante
rise le travail de dégénération et l'empêche de se propager aux tubes nerveux des racines antérieures qui ont très certainement
de M. Vulpian, a observé (1) Voy. Leçons sur les maladies du syst. nerveux , 1.1, p. 62et t. II, p. 269, quelques faits du
e le crois du moins, relevé le rapportentre l'altération des cellules nerveuses et l'atrophie des muscles. Tout récemment, M. P
t à l'heure, est en relation d'une façon quelconque avec les cellules nerveuses des cornes antérieures. Dans la règle, lorsqu'il
nière, il ne peut guère s'établir une lésion destructive de ce cordon nerveux , sans que la dégénération secondaire, à un degré
s intra-spinales, gliô- (1) Voy. Leçons sur les maladies du système nerveux faites à la Salpéfrière, Œuvres complètes, t. II,
que soit remplie la condition expresse de la destruction des éléments nerveux . Ainsi, dès l'instant que la lésion totale et t
s du foyer d'origine à une dis-tance dépassant deux ou trois origines nerveuses . D'ailleurs, Messieurs, j'entrerai plus tard da
uche. (1) Voy. Œuvres complètes. Leçons sur les maladies du système nerveux , T. II, p, 121. J'ai observé des faits du même
rdon antérieur (ou cordon latéral). — E, Portion amincie de substance nerveuse fermant en arriè-re le canal central (d'après Kol
, d'après ce qu'enseigne l'étude directe de l'ar-rangement des fibres nerveuses , la constitution particulière des deux faisceaux
oche, dans toutes les directions, partie suivant le trajet des fibres nerveuses , partie suivant les tractus conjonctifs, et gagne
eur sarcomateuse ou myxomateuse qui englobe et comprime les faisceaux nerveux . Il n'est pas douteux, Messieurs, que la lé-sion
trouverez dans les leçons de Cl. Bernard sur la Phyiologie du système nerveux tout ce qui concerne cette question, sur laquelle
l. Bernard. -- Leçons sur la pl ysiologie et la pathologie du système nerveux , t. I, p. 237, La cause de l'entretien de la vi
estant indemne : donc le centre trophique de ces racines et des tubes nerveux qui en émanent est dans la moelle épinière, « pro
, semblerait plus légitime encore si ces dégénérations des fais-ceaux nerveux pouvaient être reproduites expérimentalement, à c
t, car déjèf elle se traduit par la perte des propriétés des éléments nerveux . Par conséquent, Messieurs, vous le reconnaisse
tifs à la structure de la moelle épinière, à l'arrangement des fibres nerveuses et des éléments cellulaires qui la compo-sent, à
n dernier ressort, sur la physiologie des diverses parties du système nerveux , en ce qui concerne l'homme; il est également-v
re eux de mille façons, par l'intermédiaire— pense-t-on — d'un réseau nerveux . Quoiqu'il en soit, l'axe gris donne naissance, e
les^raçin^s.antérieures..ne santpas un simple prolongement des tubes nerveux de ces faisceaux ; _(eiles en sont séparées par l
e le sont les nerfs? En d'autres termes, l'irritation de leurs fibres nerveuses par des agents mécaniques, chimiques ou électriqu
se détachent perpendiculairement ; elles pénètrent dans la substance nerveuse au niveau de l'es-pace perforé antérieur. On vo
omène dans ses relations avec les différentes affec-tions des centres nerveux et d'en chercher la signification. Ainsi, j'ai mo
gique. Mais, aujourd'hui que l'action delà strychnine sur les centres nerveux a été étudiée (1) Ce deuxième travail est insér
e développe très souvent, en apparence d'emblée, chez certains sujets nerveux , en conséquence d'une action traumatique banale.
dépend-d'une stimu-lation également permanente exercée par le centre nerveux spinal. « La moelle épinière, dit M Vulpian, agit
s'est-il passé quelque chose d'ana-logue à la réparation des éléments nerveux au sein du fais-ceau pyramidal induré ? C'est là
grise des hémisphères, sont transportés à la moelle par des fibres . nerveuses qui se mettent en rapport avec des groupes de cel
e la dénomination de sclérose. a) Dans la première phase, les tubes nerveux étant sépa-rés de leurs centres trophiques qui so
les connexions anatorniques établies entre les extrémités des fibres nerveuses du faisceau pyramidal et les cellules motrices de
es connexions sont telles que, dans certains cas, la lésion des tubes nerveux se propage aux cellules ganglionnaires qui s'a-tr
e concession, — que, sous l'in-fluence de l'irritation dont les tubes nerveux en voie de des-truction sont le siège, les élémen
agerait en rayonnant à une certaine distance par la voie du réticulum nerveux , jusqu'aux autres éléments ganglionaires de la mê
de la substance grise centrale, au contact des extrémités des fibres nerveuses du faisceau pyramidal, on peut se rendre compte d
ture. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des tubes nerveux mélan gés à ceux du faisceau pyramidal. La caus
es, qui paraissent exister entre les extrémités terminales des fibres nerveuses du faisceau pyra-midal et les cellules motrices d
; et j'ai proposé d'admettre que la lésion irritative, dont ces tubes nerveux en voie de destruction sont le siège, retentit su
aire de ce qu'on appelle, depuis les travaux de Gerlach, le réticulum nerveux . C'est ainsi que les cellules aesthésodiques qu'o
aesthésodiques qu'on sup-pose être l'aboutissant principal des tubes nerveux centripètes seraient touchées à leur tour d'une f
est la suivante : on suppose qu'elle résulte de l'irritation de tubes nerveux n'appartenant pas au faisceau pyramidal, mais se
ant pas au faisceau pyramidal, mais se mêlant à ses fibres. Ces tubes nerveux n'étant pas séparés de leurs centres trophiques,
e fibrillaire traitée par l'acide osmique, ne renfermait pas de tubes nerveux . 3° La myélite transverse primitive reproduit,
udié ce sujet avec beaucoup de soin, prétend avoir reconnu des fibres nerveuses qui, parties du faisceau latéral droit, se porter
xes, non systématisées, ou, autrement dit, distribuées dans le cordon nerveux , d'une façon diffuse et inégale, c'est-à-dire qu'
ment et physiologiquement, elles représentent un sys-tème. La cellule nerveuse motrice, avec ses prolongements multiples, peut ê
ontinuité directe avec les nerfs moteurs , de telle sorte que le tube nerveux moteur, dans sa partie essentielle qui est le cyl
mé par un amas de substance granuleuse dans lequel se termine le tube nerveux , réduit au cylindre axile. Les travaux de Krause,
i variées des affections qu'on rencontre dans la clinique des centres nerveux . L'ar-rangement, l'enchaînement des symptômes, fo
ructure de l'écorce grise du cerveau. 1° Cellules ganglionnaires ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions sur les cellu
res ou nerveuses ; — cellules pyramidales. Notions sur les cellules nerveuses des cornes antérieures de la substance grise de l
s, noyau, nucléole, protoplasma, fibrilles et granulations ; — réseau nerveux ; — prolongements du protoplasma: prolongement ner
ions ; — réseau nerveux; — prolongements du protoplasma: prolongement nerveux . Comparaison des eellules nerveuses motrices de
ents du protoplasma: prolongement nerveux. Comparaison des eellules nerveuses motrices de la moelle avec les cellules pyramidal
et. — Type de stratification en cinq couches des éléments cellulaires nerveux . — Régions où existe ce type de stratification. —
aire. — Introduction. — Progrès de l'anatomie pathologique du système nerveux . — Beaucoup de maladies nerveuses sont cependant
de l'anatomie pathologique du système nerveux. — Beaucoup de maladies nerveuses sont cependant inaccessibles à l'anatomie patholo
La propagation se fait-elle par le tissu conjonctif ou par les fibres nerveuses elles-mêmes ?.............'......................
ture. Théorie de l'encéphalite. — Théorie de l'irritation des tubes nerveux mélan-gés à ceux du faisceau pyramidal. La caus
— diffuse, 384. Processus cerebelli ad testes, 205. Prolongement nerveux des cellules, 21 ; — pyramidal, 23; — basai, 24.
es, 184 ; —, Atrophie des —, 336. (V. Entre-croisement. r Racines nerveuses , 272. Radiations optiques, 143. Ramollissemen
— dans la paraplégie spasmodique, 365 ; — abdominaux, 351. 11ÉSEAU nerveux de GeRLACH ou ré- ticulum nerveux, 20, 350. rlb
65 ; — abdominaux, 351. 11ÉSEAU nerveux de GeRLACH ou ré- ticulum nerveux , 20, 350. rlbsenzellen, 21. (v. cellules géante
59 (1888) Archives de neurologie [Tome 16, n° 46-48] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARLES HÉRISSËY. ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE . DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE 9 0 U 8 I. A D I Illï C T 1
tait déjà agitée avant notre embarquement. (1 suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE SY11P1'OIfA'l'OLOGIQUE
rchives de Neurologie, t. XIV, p. 368; t. li. 161. 24 ik PATHOLOGIE NERVEUSE . été atteinte de la syphilis, ni des fièvres in
resta stationnaire et la malade nepré- senta pas d'autres troubles nerveux . Il y a quatre ans qu'une atro- phie accompagné
tre fois dans le courant de dix-huit mois. Fig. tf. 26 PATHOLOGIE NERVEUSE . Dans le courant de la première moitié de 1884,
e tiers inférieur de l'avant-bras gauche est un peu 28 PATHOLOGIE NERVEUSE . amaigri (il a 1 cent, de circonférence moins q
s mouvements de la langue et des mâchoires sont 30 ' - PATHOLOGIE NERVEUSE . faibles. Il n'y a pas eu de troubles trophique
s et les membres inférieurs, la sensibilité douloureuse des cordons nerveux , qui avaient accompagné le développement d'une
nerfs mêmes des membres inférieurs, avec périneurite 32 PATHOLOGIE NERVEUSE . ou neurite interstitielle plus ou moins grande
e ou en haut d'un escalier élevé. Un épuisement rapide du système nerveux , impossibilité de travailler. Courbature généra
athies accusées dans la Archives, t. XVI. 3 . 18. 34 PATHOLOGIE NERVEUSE . famille du malade. Le père était alcoolique, l
la seule indi- cation directe d'une lésion anatomique du système nerveux ; mais on ne saurait nier de l'existence d'un pr
nt eu une marche aiguë pendant l'enfance du malade. 36 PATHOLOGIE NERVEUSE . Sept mois avant l'entrée du malade à l'hôpital
et AFC ne sont pas obtenus à 6 M. A; interosseux IV, 38 PATHOLOGIE NERVEUSE . DE LA GLIOMATOSE MÉDULLAIRE. C F C - 4, A F C
RL.I3R0-SPINAL. Par JULES GLOVER. L'étude des maladies du système nerveux nécessite pour pouvoir aisément se tenir au cou
neuropathologie une notion constante de la topographie des centres nerveux . Une carte schématique fournissant un ensemble
nsemble, les rapides progrès incessamment ac- complis en pathologie nerveuse permettant du reste à l'heure actuelle de tente
systémisation répondant à la notion anatomique moderne des centres nerveux , savoir : 1° L'étude parallèle des lésions anat
s sur les différents points de l'anatomie topographique des centres nerveux . Nous indiquerons en détail l'opinion des auteu
. 1, 285 et suiv. 1882. Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. Il, lec. XII, 23gaz. Grasset. Traité pratiq
l, Mozer, Ranadier) tendent à assigner au mal perforant une origine nerveuse , car les observations qu'ils ont recueillies ap
impulsifs revenant à la même heure pendant plusieurs années chez un nerveux (Obs. I de Hecker) avant le début de la cataton
dents héréditaires. Père, faible d'esprit, et de carac- tère. Mère, nerveuse sans attaques, intelligence faible, tremble- me
ze ans seulement, Mlle Ch ? aurait com- mencé à être malade, un peu nerveuse : elle fut soignée alors comme anémique. A l'âg
rand-père paternel de la malade. Le père est lui-même un homme très nerveux , bizarre, violent; accidents arthritiques. An
renseignements sur l'enfance de la malade; elle a toujours été très nerveuse , bizarre, fantasque. Depuis quelques années, el
s pourrions répéter en substance à propos de la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 68 catatonie ce que disait autrefois M. J. Fal
e phénomène prédo- minant c'est la présence des troubles du système nerveux moteur, au point de vue psychique, l'état de mé
endu et si vague de la dégénérescence mentale'. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. SUR LES anomalies DE L1 sensibilité ET LEURS
ly. New- York, 1883. Archives, t. XVI. 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . vases pleins d'eau à diverses températures. Le
l'origine de la troisième paire et celle de la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 67 douzième paire. L'observation qu'il décrit
ns ' Voy. Archives de Neurologie, XI, 257. 68 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . au point de vue de la pathogénie anatomique de
être réflexe et provenir en particulier d'une irritation du plexus nerveux gastro-hépatique. Il résulte en outre de l'étud
(d'origine traumatique), hémiplégie brusque du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 69 côté droit. Mort, autopsie : pâleur de l'hé
ère gauche, aug- mentation relative de Ja proportion d'eau du tissu nerveux de cet hémisphère. » Voici le sommaire de la
Gilles de la Tourette a décrit une maladie qu'il nomme « affection nerveuse caractérisée par de l'incoordination mo- trice
elle ne se manifeste que par l'un quelconque 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de ses signes, la maladie des tics convulsifs
roubles intellectuels. Guérison à peu près complète des symptômes nerveux . Phtisie diabétique. Autopsie : destruction des c
; les OBS. II, 111, IV : mouvements associés, à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 71 l'appui de la théorie de Broadbent et Ross;
rale des troubles molcurs-posthémiplégiques. 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . matières. Telle est la situation jusqu'en 1885
à l'autopsie un grand nombre de foyers, exces- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 73 sivement pressés les uns contre les autres,
l'émigration de leucocytes hors des parois vascu- laires ; le tissu nerveux , infiltré de grosses et petites cellules, souff
ivasculaires, débarrassant ainsi le foyer, mais enlevant la matière nerveuse (mailles névrogliques vides, surtout dans la mo
is par du tissu modulaire ou de la graisse ; une partie des tubes nerveux ont paru en voie de désintégration. D'autre part,
elle et l'élongation des sciatiques. G. D. 74 REVUE DE pathologie NERVEUSE . XV. Anévrysmes MILIAIRES DE la MOELLE épinière
n que la circulation placen- taire se modifie par suite de l'action nerveuse agissant sur elle, et que par là la circulation
etus, que ce que ressent l'un, est transmis à l'autre. Les troubles nerveux chez l'enfant dont la mère a reçu quelque impre
nion de l'auteur. Ce dernier conclut en montrant que les cel- lules nerveuses de la mère ont une action sur le foetus. Mais t
ent entre la méningite aiguc et certains troubles de l'ouie d'ordre nerveux qui, après s'être installés rapidement se termi
labyrinthe et la destruction consécutive complète des terminaisons nerveuses en cet organe. Mais on n'est pas encore autoris
que par la syphilis, avec pièces anatomiques de syphilis du système nerveux . On sait que Struempell croit' que paralysie gé
u système vasculaire et non la dégénérescence primitive des tractus nerveux qui fait les frais du processus anatomopatholog
ée, qu'il existe un nombre exces- sivement marqué de petites fibres nerveuses , que la myéline a subi la décomposition molécul
xemple chiasmatique, et de conclure à une affec- tion de l'appareil nerveux optique qui au début a été seulement fonctionne
aliénés para- - lytiques généraux et mélancoliques, dans l'insommie nerveuse , et dans quelques cas de maladies infectieuses.
ihardt) qui ne possèdent encore pas de circonvolu- tions cérébrales nerveuses , et chez les amphibies ou les reptiles dont le
daire peu étendue. Troisième cas : dégénérescence diffuse de fibres nerveuses à myé- line dans la substance blanche corticale
ieurs places du cerveau de ces dégé- nérescences diffuses de fibres nerveuses de la substance blanche, tandis que l'écorce of
ment détruite à un endroit isolé par un 1 Voy. Anatomie des centres nerveux , de Huguenin. Archives, t. XVI. 98 SOCIÉTÉS S
s le même des deux côtés. À côté de cela, dans l'espèce, les fibres nerveuses des colonnes de Clarke, pour la plupart situées
ientôt compliquées de paralysie de la motilité dans les territoires nerveux périphériques les plus divers (du radial, du cu
tenso '. - M. (de Mannheim). Des altérations actives des cellules nerveuses ganglionnaires dans les inflammations. Il s'agit
mmations. Il s'agit de la question de la prolifération des cellules nerveuses ganglionnaires avec présentation de dessins. Le
oduit fréquemment dés karyo- kinases. Du reste, toutes les cellules nerveuses ne semblent pas être capables de subir cette al
f. Psych., XIX, 1.) P. KERAVAL. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE MERLIN Séance du 12 décetitbi-c 1887. Prés
es grosses granula- tions qu'on rencontre dans les grandes cellules nerveuses de la moelle épinière du lapin. On injecte l'an
s préparations, ne croit pas que ces granulations dans les cellules nerveuses aient rien à faire avec les granulatious d'Altm
rtance au point de vue de l'histoire du développement de la cellule nerveuse . Vignal a vu que, dans les cellules em- bryonna
ation du corps de la cellule que nous connaissons chez les cellules nerveuses développées. M. Benda réclame l'honneur d'avoir
attribué aux lésions cen- trales seules la pathogénie des accidents nerveux , on considère maintenant les lésions périphériq
nfluence de l'esprit sur le corps dans le traitement des affections nerveuses et même des affections orga- niques. La quatriè
us grande; enfin, un grand nombre d'individus, originaux, bizarres, nerveux , peuvent dans des cir- constances données, deve
t du cuir chevelu un chiffre de 1,32 p. 400. Parmi les affections nerveuses antérieures, nous trouvons l'épi- lepsie avec u
up sûr celle des rapports que peuvent avoir les maladies du système nerveux avec le traumatisme. Les récents travaux de M.
her à déterminer le rôle du traumatisme dans la genèse des maladies nerveuses ; toutefois, l'auteur étudie aussi l'influence d
d'observations, et dans quelques- unes le rôle de la prédisposition nerveuse est évident; aussi, là encore, l'influence du t
lesquelles est manifestement démontré le rôle de la prédisposition nerveuse des sujets, tant pour la production des contrac
térieur qu'on devrait cher- cher la raison d'être de ces phénomènes nerveux consécutifs à des traumatismes portant sur le t
nce, c'est quand il donne au tétanos, pour cause, la prédisposition nerveuse , alors qu'actuellement, la nature infectieuse d
vropathie. La doctrine, suivant la- quelle l'étiologie des maladies nerveuses est dominée par les lois de l'hérédité ou, plus
e 0. Doin. CIIARCOT (J ? 11.). Leçons sur les maladies du système nerveux , pro- fessées à la Salpêtrière et recueillies p
Vol. XVI. Septembre 1888. N" 47 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
gie nouvelle, pathologie qui pré- ? ncmvFS, t. XVI. 10 146 CLINIQUE NERVEUSE . sente plusieurs formes morbides dont chacune s
tion et les sécrétions sous l'influence du séjour dans 148 CLINIQUE NERVEUSE . l'air comprimé. Le reste de son travail est co
oidi ; mais c'est, comme on le verra , à un moment - 150 - CLINIQUE NERVEUSE . tout à fait différent et opposé, à savoir non
cision scientifique qui est réclamée aujourd'hui dans 15 CLINIQUE NERVEUSE . ce genre de recherches. L'étude, surtout des d
accidents, dont la pre- mière contient ceux qui frappent le système nerveux central et qui constituent la plus grande parti
breux, qui ont pour siège d'autres organes ou tissus. I. Accidents nerveux . Suivant que la localisation de l'agent pathogè
ne à telle ou telle partie de l'axe cérébro-spinal, les accidents nerveux se présentent cliniquement sous des formes mult
arcos, pas d'antécédents, âgé de trente ans, travaille 154 CLINIQUE NERVEUSE . depuis douze ans dans l'air comprimé. Deux ann
ant trois minutes seulement. Revenu à lui, le malade a 156 CLINIQUE NERVEUSE . les membres de nouveau complètement paralysés
yant nécessité l'emploi de la sonde et des purgatifs.' 158 CLINIQUE NERVEUSE . La monoplégie du membre supérieur droit n'a ét
ession avec constriction à la nuque, comme si, dit-il, 1G0 CLINIQUE NERVEUSE . une main le pressait et le serrait fortement :
la décompression a été assez Archives, t. XVI. 11 1 162 CLINIQUE NERVEUSE . brusque, moins d'une demi-minute. Notons bien
n Colovolis, âgé de trente-huit ans, pas d'antécédents 164 CLINIQUE NERVEUSE . héréditaires ou personnels, a commencé le trav
compression brusque, une minute. Symptômes d'invasion; 166 CLINIQUE NERVEUSE . ' perte de connaissance et serrement spastique
imique. Il ne savait ni lire ni écrire. Pas d'aphonie. 168 CLINIQUE NERVEUSE . Au bout de dix minutes, ses douleurs ainsi que
ale. Rien du côté des organes génitaux. Enfin, le seul 170 CLINIQUE NERVEUSE . signe qui existait comme souvenir pour ainsi d
marche, ce qui la rendait bien plus difficile encore. '172 CLINIQUE NERVEUSE . Etat actuel le 15 juillet 1886. Le malade marc
faire avancer sans pencher le tronc à droite, etc. - 174 CLINIQUE NERVEUSE . Si l'on fait mouvoir les membres du malade, on
considérable. La constipation a nécessité l'emploi de 176 CLINIQUE NERVEUSE . purgatifs drastiques (huile de croton). La par
t n'avait pas mangé avant cette Archives, t. XVI. 12 478 CLINIQUE NERVEUSE . immersion. Ajoutons aussi qu'il n'avait pas ét
marchait sans bâton, ses membres lui paraissaient plus 180 CLINIQUE NERVEUSE . légers, les érections, sans être tout à fait n
es ont commencé à recouvrer leur motilité. Les membres 182 CLINIQUE NERVEUSE . inférieurs restent dans le même état. Le malad
membre droit, constituait tout le tableau clinique. 186 CLINIQUE NERVEUSE . Les treize observations qui viennent d'être ra
e connaissance a été variable, toutefois assez courte, 188 CLINIQUE NERVEUSE . elle a varié entre une heure (OBS. IX), et deu
naient parfaitement bien ce qu'on disait autour d'eux 190 CLINIQUE NERVEUSE . sans pouvoir y répondre. Le seul moyen à l'aid
symptôme le plus fréquent, car elle a figuré six fois 192 CLINIQUE NERVEUSE . parmi nos observations ; tantôt ce sont les do
s trois heures il n'y avait pas Archives, t. XVI. 13 194 CLINIQUE NERVEUSE . - ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. trace de para
ômes gastriques. Elle a duré trois heures. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE contribution A L'ÉTUDE symptomatologique DE l
gie, t. XIV, p. 368; t. XV, p. 161; t. XVI, p. 23. 196 PATHOLOGIE NERVEUSE . gauche, elle descend plus bas par devant presq
hent dans la substance grise de la moelle épinière, '198 PATHOLOGIE NERVEUSE . et que la plupart des symptômes cliniques énum
riode de la maladie, la surface totale du corps peut 200 PATHOLOGIE NERVEUSE . être atteinte. Dans la sixième observation, no
la thermanesthésie occupe une région où cette coïn- 202 PATHOLOGIE NERVEUSE . cidence n'existe pas, par exemple celle qui es
anesthésie ne se localise pas selon les ré- gions des ramifications nerveuses , mais suivant les seg- ments de la peau, limité
r pourtant la différence de température à 20°-30°. 204 PATHOLOGIE NERVEUSE . Les degrés d'anesthésie à un certain moment so
ue. Parfois, dès le début, les deux espèces d'anes- zou) PATHOLOGIE NERVEUSE . thésie partielle se distribuent dans les mêmes
te avec le sens du tact et s'abaisse parallèlement à 208 PATHOLOGIE NERVEUSE . ce dernier. Il avait été excessivement abaissé
oindre qu'on pourrait le sup- ARcHivEs, t. XVI. 14 210 PATHOLOGIE NERVEUSE . poser d'après les plaintes des malades ; à l'e
La formation de tumeurs pâteuses limitées dans le 2112 PATHOLOGIE NERVEUSE . tissu cellulaire sous-cutané, dans le genre de
prévoir et d'éloigner, des traumatismes arrivant à 9.14 PATHOLOGIE NERVEUSE . chaque pas, etc., secondement, parce qu'elle d
sont atteints assez souvent, à la suite se déve- '316 6 PATHOLOGIE NERVEUSE . loppe la scoliose musculaire dans les première
enchaînant constamment l'attention du malade, épuisant son système nerveux , surtout au moment des douleurs, et agissant d'
impres- 220 PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUE. sionne tellement le système nerveux , que l'action du vertige marin cède la place à
in. En général, le tout dépend du degré d'excitabilité du système nerveux et de l'état de l'estomac. Ainsi , les personne
res. La crainte d'avoir le vertige prédispose et prépare le système nerveux central. Ceux qui voya- gent pour la première f
que la barque pourrait chavirer et par conséquent leur sys- tème nerveux est attaché à cette idée du danger im- minent.
g avec une grande diminution d'albu- mine. Les vaisseaux du système nerveux se répandent à la surface de la pie-mère ; là,
remier flot du liquide sort en jet. Dans l'état normal, les centres nerveux subissent une certaine pression de la part de c
on sur les mouvements du liquide céphalo-rachidien. Pour le système nerveux central, comme aussi pour les autres organes no
hidien à l'état normal exerce une certaine pression sur les centres nerveux , A la suite de la suppression de ce liquide, l'
x. Ces déplacements auraient pu agir par ini- mition sur le système nerveux et provoquer ainsi le vertige, etc. - En résu
elle, comme on le fait actuellement de Calais à Londres. CLINIQUE NERVEUSE DE 1,'ÉI)ILI ? PSII PROCURSIVE'; Par BOURNEVI
lli- gente, taille ordinaire; pas de migraines, pas d'antécédents nerveux , etc. [Père, homme de peine au chemin de fer, mor
upérieures. Voûte palatine et gencives normales. 238 8 CLINIQUE NERVEUSE . 28 décembre. Amélioration très notable qui per
hérent. , Fig. 20. DE l'épilepsie PROCURSR'1;. 239 240 CLINIQUE NERVEUSE . DE l'épilepsie PROCURSIVE. 241 sillons. Par
re de la troisième frontale. La Archives, t. XVI. 16 242 CLINIQUE NERVEUSE . deuxième scissure frontale, très irrégulière,
rontale, profonde, sinueuse postérieurement est inter- 244 CLINIQUE NERVEUSE . · rompue en avant par un des plis de passage d
is contiennent un certain nombre d'amas névrogliques et de cellules nerveuses arrondies, granu- leuses et pigmentées ; elles
plus prononcé d'ailleurs dans d'autres cas d'idiotie. 246 CLINIQUE NERVEUSE . Au-dessous de ces points très lésés, il n'exis
sous de ces points très lésés, il n'existe plus de grandes cellules nerveuses , mais on en rencontre tout à côté par amas abon
filtration des gaines. Pourtant la sériation verticale des éléments nerveux à laquelle nous attachons une grande importance
très développée avec diminution de nombre et de volume des cellules nerveuses qui ont perdu leur sériation dans les points ex
opposé. Dans cet îlot à contours diffus un certain nombre de tubes nerveux persistent. En résumé, les lésions du bulbe et
: 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses ; 3° formation des cavités. Ces lésions forment
que le gauche; aussi le cerveau ne recouvrait-il le 248 CLINIQUE NERVEUSE . - DE l'épilepsie PROCURSIVE. cervelet qu'en pa
plètement exposés en fran- çais dans Huguenin. Anatomie des centres nerveux , trad. Keller; Paris, 1879. * NothnageL Malad
d'anatomie, peuvent être considérés comme de simples gan- glions nerveux placés sur le trajet intra-bulbaire des nerfs G
I, 1883. Leçon IX. Grasset. Traité pratique des maladies du système nerveux . Paris, 1886, p. 429. A. d'Espine et Picot. Man
es signes qu'on trouve si souvent chez les dégénérés, et le système nerveux était absolument indemne de toute affection aus
alles entre les élé- ments du tissu sous-jacent. Quant aux cellules nerveuses de la ' moelle épinière, une grande partie n'a
- rieures. Un phénomène plus rare est représenté par des cellules nerveuses qui se distinguent par un protoplasma fine- men
nant en propre à la myélite aiguë. Quant aux altérations du système nerveux périphérique sur- venues à la suite d'une intox
ule, on peut parfaitement bien expliquer la plupart des symp- tômes nerveux si fréquents et si variables qu'on observe dans
ept jours. L'autopsie révèle une intlammation aiguë des gros troncs nerveux avec hémorrhagies interstitielles; faible lésio
de la symétrie de l'éruption, de l'existence de quelques accidents nerveux , de l'absence de causes connues de cette derma-
écrite portant sur i'ftM(f<om<e et la physiologie du système nerveux pour laquelle il sera accordé trois heures aux
exemplaires. CIIARCOT (J.-M.). Leçoiis sur les maladies du système nerveux , pro- fessées à la Salpêtrière et recueillies p
dirigé, produit géné- ralement les meilleurs résultats. CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
spinale, on est certainement frappé aussi bien de leur 348 CLINIQUE NERVEUSE . extrême variabilité et de leur multiplicité, q
iés. A. Mode d'invasion. L'invasion de la paraplégie 350 CLINIQUE NERVEUSE . est presque toujours brusque. Dans l'immense m
nsistaient en troubles : 1° de la sensibilité, 2° de 382 ' CLINIQUE NERVEUSE . la vessie, 3° du rectum, 4° des organes génita
ntre une impuissance complète. Archives, t. XV. 23 354 ' CLINIQUE NERVEUSE . 5). Douleurs aux lombes. C'est un symptôme qui
droite, la jambe se projette d'une façon brusque et 356 CLINIQUE NERVEUSE . spasmodique, mais une seule fois; tantôt l'exa
ertainement en rien de celles qui s'observent dans les 358 CLINIQUE NERVEUSE . paraplégies spasmodiques ayant une toute autre
avorté commence à rétrograder et devient de plus en 360 CLINIQUE NERVEUSE . plus faible, de plus en plus fruste, il va mêm
survenant à chaque pas et très intense; contractures 362 CLINIQUE NERVEUSE . passagères fortes, etc. Ici encore, le syndrom
jamais au terme de son développement complet et une 364 CLINIQUE NERVEUSE . fois arrivée aux points que nous avons longuem
vessie ayant recouvré complètement l'intégrité par- 366 CLINIQUE NERVEUSE . faite de ses fonctions. En outre, le malade de
omplètes suivies plusieurs fois de pertes séminales. 368 CLINIQUE NERVEUSE . B). Symptômes négatifs. A côté du grand nom-
oubles de la sensibilité sous AIICIIIVES, t. XVI. 21 370 CLINIQUE NERVEUSE . forme d'anesthésie et troubles de la vessie et
spécial qui ne se rencontre dans aucune maladie con- nue du système nerveux central. 13. Forme centrale spinale l'0511'sn0-
e 4 novembre, c'est-à-dire 3j jours après l'accident 372 q CLINIQUE NERVEUSE . durant lesquels il était resté au lit, il a pu
e 1 illusion visuelle au fond de la mer. Perte de con- 374 CLINIQUE NERVEUSE . naissance, au moment (4 heures et demie) o'<
qui, étant plus dégagée, peut se détacher du sol et 376 6 CLINIQUE NERVEUSE . s'avancer sans inclination du corps. Il y a un
régions des membres paralysés. Le sens musculaire est 380 CLINIQUE NERVEUSE . fortement troublé. Il perd très souvent la not
e qu'il soulève et avance sans aucune difficulté appa- 382 CLINIQUE NERVEUSE . rente. Après une longue course, le membre droi
ontinence d'urines et de selles, secousses, clonus des 384 CLINIQUE NERVEUSE . pieds, contractures passagères, crises de doul
tifs. , - A. Syndrome des symptômes céphaliques. Ces 388 CLINIQUE NERVEUSE . symptômes ont une place prépondérante parmi le
r surnaturelle. L'illusion a continué durant la com- 390 CLINIQUE NERVEUSE . pression de la cinquième immersion; pour cette
céphalalgie se combinent aux douleurs à l'épaule 393 »1 CLINIQUE NERVEUSE . droite. La même chose se passe à I'Observation
m- plète dès le moment de son invasion, accompagnée 39'1 CLINIQUE NERVEUSE . ACCIDENTS PAR LES SCAPHANDRES. de la monoplégi
rmal et tantôt à l'incontinence de selles. (A Suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE contribution A l'étude ST\IP'fOIIA'fOL001QU1,
XIV, p. 368; t. XV, p. ICI; t. XVI, p. 23 et 195. 39G PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous avons montré que l'on confondait sous le
yperplasie d'une manière plus diffuse et pénètre entre les éléments nerveux . Dans cette forme se produit le plus souvent la
se combine avec des hyperplasies néoplastiques de 398 PATHOLOGIE NERVEUSE l'épendyme plus limitées de forme et de structu
ntre l'hyper- ptasie pathologique de la neuroglie et les éléments nerveux et l'altération produite dans ces derniers. Il es
axes avaient été conservés par places. Les altérations des éléments nerveux de caractère régressif, diverses altérations de
erses altérations de la myéline, des cylindres axes et des cellules nerveuses avaient déjà été constatés par Zacher et Fùrstn
connaissons seulement que certains groupes de fibres et cellules nerveuses peuvent périr, se détruire et se déplacer en ma
r un peu le champ des inves- Archives, t. XVI. 20 1102 PATHOLOGIE NERVEUSE . tigations. Sous ce rapport, les intérêts de la
ymptôme et, en général, nous savons avec quelle facilité les fibres nerveuses s'écartent et s'accommodent à une pression se f
anesthésie partielle, on voit une destruction en ap- 404 PATHOLOGIE NERVEUSE . parence complète avec substitution de la corne
e, soit par le néoplasme. Mais il faut se rappeler que les éléments nerveux peuvent être conservés au milieu des parties le
et leurs ana- logues que par des troubles nutritifs des éléments nerveux dans les cornes postérieures, consécutifs à l'h
ucteurs aux impressions thermiques. (Nous savons que les - fibres nerveuses de diverses catégories ne réagissent '/7 pas ég
spéciaux aux différentes espèces de sensibilité). 406 PATHOLOGIE NERVEUSE . Le degré d'influence de ces deux facteurs serv
tion des cylindres axes. Une lésion aussi considérable des éléments nerveux , mais limitée par un très petit espace de la co
être même la disparition des symptômes mor- bides. 408 PATHOLOGIE NERVEUSE . Le pronostic découle de ce qui vient d'être di
agissent d'une manière débilitante sur la nutrition des éléments nerveux , en diminuant leur résistance aux éléments de l
ervés dans quelques cas de lèpre. (Rosenbach. 30.) 410 PATHOLOGIE NERVEUSE . symptômes de luxe, ne servent qu'à confirmer l
iagnostiquer la gliomatose de la moelle épinière. 4 1 z2 PATHOLOGIE NERVEUSE . que nous doutions, si nous n'avons affaire à u
ons tomber sur des cas, où la sensibilité douloureuse des cordons nerveux et des muscles nous induira en erreur. Il faut
- rizontales, ne correspondant pas aux sphères de dis- tributions nerveuses , mais à la lésion de parties de certains segmen
matose. Il convient d'exclure le tabès dorsalis dans 414 PATHOLOGIE NERVEUSE . les cas de la dernière catégorie et dans la lo
ention des malades et souvent échappent à l'observa- 410 PATHOLOGIE NERVEUSE . tion du médecin dans le cas où le malade le co
augmentant la résistance, en amélio- rant la nutrition des éléments nerveux , ou en tâchant d'éloigner les productioiis path
de l'altération, apaisera-t-elle ncmvES, t. 1n 27 418 PATHOLOGIE NERVEUSE les douleurs etc. D'un autre côté, nous trouvon
écrébro-spinale et à contribuer aux moyens théra- - 420 PATHOLOGIE NERVEUSE . peutiques plus conformes au but, ou bien à l'u
à une attaque de ce genre que succomba le malade, 423 PATHOLOGIE NERVEUSE . M. llescllede s'étend ensuite sur l'élat intcl
rchives générales de médecine, décembre 18G9.) 424 -if PATHOLOGIE NERVEUSE . dans les cas d'épilepsie procursive, on procèd
siologie humaine, Ir, édi- tion, 1876, p. 1005, 43G 6 pathologie- NERVEUSE . irrésistibles qu'ils rattachent à des troubles
ussi affecter une fréquence insolite dans les affections du système nerveux central les plus diverses dénuées d'action sur l'
s dénuées d'action sur l'aire des 1 Luys. Recherches sur le système nerveux cérébro-spinal. Paris, 1865, p. 616. Nothnage
pt ans, eut, à la suite d'une commotion morale violente, des crises nerveuses avec besoin de tourner. De nouvelles émotions r
hives de Neurologie, n° 25, vol. IX, 1885, p. 99.) 428 PATHOLOGIE NERVEUSE . gauche à droite, qui s'opérait delà manière su
éré- 1 Archives de Neurologie, 1885, t. IX, p. 99. 430 pathologie nerveuse . DE l'épilepsie PROCURSIVE. belleuses et la phy
'autopsie d'un nouveau malade, nommé Bourg... REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 435 centres inférieurs, car les convulsions cl
fs et s'y montre surtout accentuée là où il y a abondance de filels nerveux ; de plus, il y a des régions du corps plus sensi
ensibles à la chaleur ou au froid, enfin chaque REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 437 endroit possède son maximum de sensibilité
omplémentaires dans le texte précisent les lieux et les territoires nerveux . Sept observations cliniques sont données comme
apparition de la chorée, de l'athétose, de 438. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'ataxie, de la paralysie agitante, du tremble
uscle, le signe de Romberg. Enfin, tout à fait à la fin, les troncs nerveux sont atteints à leur tour : douleurs spontanées
alement, démence progressive rapide. Autopsie : REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 439 octobre 1887. OEdème pie-mérien, coagulum
érieurement, à une parésie légère du membre 4'0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' inférieur droit, à quelques tiraillements su
que légèrement affecté. R. )I. C. XXVI. Des affections du système nerveux A LA suite de maladies infectieuses aiguës; par
anisation de la moelle, l'auteur étudie principalement les troubles nerveux consécutifs à la fièvre typhoïde. Nous relevons
ive des paralysies posltypliiques (anémie et épuisement des centres nerveux ) dont une relative à une aphasie sans paralysie
après la fièvre typhoïde. Puis M. Lunz examine ensuite les troubles nerveux par inllam- malion infectieuse (quatre observat
e (quatre observations) et par altérations vascu- laires du système nerveux contial (hémorrhagies, thromboses em- bolies).
rités : intégrité des cylindraxes au milieu des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ï ! i l foyers scléreux (aussi pas de dégénére
là de myoclonie essentielles. (V. 2 obser- 442 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . vation.) Quant aux myoclonies symptomatiques,
Ii. XXX. Contribution A l'étude DE la tuberculose dans LE système nerveux central ; par A. Hoche. (rh·c7t. f. Psyciv., XIX,
ures de la moelle lombaire et ayant détruit une quinzaine de fibres nerveuses ; elles sont finement grenues et possèdent chac
ct est celui de la paralysie générale, si ce n'est les phé- nomènes nerveux et psychiques accoutumés ; en février 188H, en
ce insignifiante des racines antérieures. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 4li3 XXXII. Contribution A L'I : rUDE DESI',ln
vation de névrite avec atrophie musculaire 4'l4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . inexpliquée, si ce n'est par la syphilis (infe
sons comme l'une des nombreuses manifestations anormales du système nerveux chez les dégénérés. M. CIIRISTIAN pense que l'a
du Congo en micrographie et de son application à l'étude du système nerveux central : préparations à l'appui. Séance du 1
D'abord la démence paralytique est une affection de tout le système nerveux central. Sans doute, en bien des cas, elle se loc
tème est peu'ou prou atteint. Examinant, par conséquent, le système nerveux central d'un malade mort au cours d'une premièr
sente dans la 111 temporale gauche 1,3 cellule ronde pour 1 cellule nerveuse . Sur le cerveau de cette malade, elle présente
résente dans la 2, frontale gauche 1,4 cellule ronde pour 1 cellule nerveuse . Sur le cerveau de celte malade, elle présente
la folie affecte chez les enfants, mais aussi de tous les troubles nerveux qu'ils peuvent présenter tels que convulsions,
peuvent présenter tels que convulsions, tics, bâillements et rires nerveux , hoquet, etc., etc. La première partie de l'ouv
complet et très consciencieux en tout ce qui touche aux affections nerveuses et mentales des enfants, cet ouvrage pourra tou
asses. Mais il n'est pas douteux que dans certains cas d'affections nerveuses , les métaux appliqués d'une façon rationnelle n
d'un très réel talent littéraire. VARIA Thèses sur les maladies nerveuses 1888. (Paris.) ravreau : Du secret professionne
: 10 francs. Ciiarcot (J.-11.). Leçons sur les maladies du système nerveux , pro- fessées à la Salpêtrière et recueillies p
ue par la), par Rumpf, 88; (cérébrale), par Hertz, 449. Système nerveux (affections du après les m.ladies infectieuses)
60 (1915) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 27] : iconographie médicale et artistique
tait le plus jeune de six.garçons dont aucun ne suufrit de troubles nerveux et qui moururent tous très vieux. La mère est
st sobre et se porte bien. Deux frères et deux so-urs sont de grand nerveux , mais autrement se por- tent bien. Enfin, not
intelli- gent. Comme tous les membres de sa famille, il est un peu nerveux . Nous n'avons pu déceler aucun signe de syphili
neux, cutanés et oculaires sont normaux ; il n'existe aucun trouble nerveux . Les organes génitaux sont bien développés et les
antôt la dystrophie est la conséquence d'ajlérations vasculaires ou nerveuses lointaines, tantôt elle résulte de la mise en cir
tre malade, nous n'avons trouvé ni foyer infectieux (3), ni trouble nerveux (4), ni trouble vasculaire. Le champ des hypothès
ne lésion de la base du crâne sans admettre l'existence d'un centre nerveux spécial de la trophicité. Une altération de sph
l POLYDACTYLIE ET TÉRATOME HYPOPHYSAIRE 17 18 BERTOLOTTI troncs nerveux indolores à la pression, aucune parésie aux membr
Ces fibres, au contraire, sont détruites en cas de lésion du tronc nerveux où les fibres homo-latérales et contro-latérales
itzung, 13, , XII, 1908.. Van GI311UCIiTEN. - Anatomie du système nerveux . Louvain, 1906. VALOBRA. - Rea : .ione elettric
iesbaden. LA CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DANS LES CENTRES NERVEUX ÉVOLUANT CHEZ DES SUJETS D'AGE MOYEN, PAR W
de Rotterdam). Nous pouvons distinguer, parmi les cas où la maladie nerveuse se ma- nifeste chez des malades, atteints d'une
ue ordinaire. Ensuite il y a une grande série de cas, où la maladie nerveuse évolue, le plus souvent sous une forme chroniqu
deux cas l'existence d'une cirrhose hépatique. L'examen des centres nerveux ne révélait pas d'altérations macroscopiques, o
gigantesques aux grands noyaux riches en chroma- tine. Les cellules nerveuses montraient parfois des altérations, quelques- u
sychiatrie, 1913, , CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES CENTRES NERVEUX 43 il y a quelques traits, qui nous permettront
ordi- naires. Parfois ils sont parallèles à la surface. Cellules nerveuses . Un certain nombre d'entre elles ont les contours
lasma ayant une struc- ture spongieuse (PI. XII). Quelques cellules nerveuses sont sur le point de dis- paraître : on reconna
petits. Ils sont trouvés aussi bien dans la proximité des cellules nerveuses , qui sont en forte dégénération qu'au- tour des
trouvée autour des grands noyaux névrogli- ques, dans les cellules nerveuses et le tong des vaisseaux. , . Nouvelle Iconogra
§f<S4t réfkukke. CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES CENTRES NERVEUX 47 Fibres à myéline (Spielmeyer). Etat normal,
marquées plus haut. On y trouve une simple disparition des cellules nerveuses ,dont quelques-unes sont encore vague- ment reco
étudier de plus près. C'est comme si à. certains endroits le tissu nerveux était en train de fondre. Nous remarquons à ces
perforés, les chercher attentivement. Couches optiques. Cellules nerveuses en forte dégénération ; noyaux à la périphérie
nts clairs, fortement déformés, à dimensions énormes.. Les cellules nerveuses sont en forte dégénération, les noyaux sont petit
les il y a quelques spécimens qui ressemblent beaucoup aux cellules nerveuses dégénérées, mais qui montrent leur identité par l
au type ordinaire. CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES CENTRES NERVEUX 49 lières. Ils peuvent atteindre des dimensions
ons caractérisant les centres corticaux et sous-corticaux. Cellules nerveuses sans grosses lésions. Coupes coloriées suivant
ire et où le délire était le seul symptôme d'une lésion des centres nerveux , l'intérêt est surtout d'ordre anatomique. Le p
délire de persécu- CIRRHOSE HÉPATIQUE AVEC ALTÉRATIONS DES CENTRES NERVEUX 51 tion), dont la valeur est encore diminuée pa
lopper, donnant naissance à des altérations graves dans les centres nerveux . Cliniquement ces cas peuvent se manifester par
ermet de les attribuer à des pertur- bations fonctionnelles d'ordre nerveux ; ces perturbations, au moment des épisodes asp
s (3). (t) ACIIARD et Lévi, Traité GILUERT et TII01\OT, SéméIOlogie nerveuse , t. XXI. (2) VtMVENEL et Fo.T<]NE,A pyopos (
s avons recherché, comme je le fais ordinairement dans les maladies nerveuses , d'origine traumatique, le symptôme de Mannkopf
apparence, mais il est entouré d'une zone dans laquelle les fibres nerveuses sont démyélinisées, les cellules ner- veuses et
e lésion ne permet pas de délimiter avec certitude ce qui, du tissu nerveux , a été réellement détruit ou simplement déplacé
intes que l'on doit avoir en pareil cas. En effet, lorsque le tissu nerveux subit une compression exercée par. une masse in
xation élective sur les fragments de myéline dégénérée ; les fibres nerveuses normales, et les tissus interstitiels, en absorbe
u-dessus de la lésion, aucune imprégnation anormale de la substance nerveuse ; la vacuolisation et la diffusion des grains noi
ch. u. Neur., vol. 26, 1909, p. 534. Dejerine. Anatomie des centres nerveux , t. II, 1901. Dejerine et A)i[1RÉ-THOIAS. - Mal
ées au Weigert Pal ils forment des taches claires, car aucune fibre nerveuse n'y laisse voir sa couronne noire ca- ractérist
es uns aux autres. On ne retrouve qu'un très petit nombre de fibres nerveuses rejetées à la périphérie, elles ont une apparen
de deux ordres. Les unes ont trait à l'histoire des déterminations nerveuses de la maladie de Recklinghausen, les autres se
de 50 ans. Malade uu mois et demi ; forme cutanée, intesti- nale et nerveuse d'une pellagre. Le sang contient des leucocytes v
gée de 27 ans. Malade pendant 4 mois ; forme cutanée-intestinale et nerveuse d'une pellagre. Le sang contient : un petit nombr
sés. 1` ? ° 13. S., âgé de 42 ans ; malade 1 an ; pellagre cutanée- nerveuse . Les myéloblastes, les leucocytes vacuolisés, d
rincipaux agents auxquels on attribuait autrefois les insuffisances nerveuses qui résultent d'occupations régulières. Si la
a réflexion n'avaient pas fait défaut dans l'étude de ces désordres nerveux fonctionnels, on ne se serait pas contenté des ex
t pas à expliquer pour- quoi les mêmes muscles et les mêmes centres nerveux qui exécutent d'une façon normale des opération
nnel. Nous n'expliquons rien en classant les désordres fonctionnels nerveux professionnels d'après la topographie des muscl
y prédisposer en affaiblissant l'activité physiologique du système nerveux et conséquem- ment la tension psychologique.
quelquefois. Plus tard, elle se plaignit d'une.sensation de tension nerveuse lorsqu'elle était pres- sée, phénomène qui fut
u'il ne pou- vait dormir, et restait dans un grand état d'agitation nerveuse , au point de fou- dre en larmes quelquefois. So
itation périphérique empêchant l'intégration harmonieuse du système nerveux nécessaire pour l'adaptation psychologique. Les
ier (Haute-Marae). - CONTRIBUTION A LA SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX PÉRIPHÉRIQUE par L.BARRAQUER Médecin neurol
ographi- que de quelques symptômes objectifs appartenant au système nerveux périphérique. C'est à ce point de vue que j'ai
symptômes par lesquels s'extériorisent les affections du sys- tème nerveux , afin de joindre nos constatations à celles qui o
publieront plus tard. Je m'attacherai plus spécialement à la lèpre nerveuse parce que cette maladie est une de celles qui c
adie est une de celles qui contribuent le plus à la symptomatologie nerveuse périphérique et où se trouvent les caractères les
ndant une description détaillée de la sympto- matologie de la lèpre nerveuse , celle élude sérail trop longue; elle com- pren
examen de toutes les altérations d'origine névri- tique. La lèpre nerveuse frappe tout le système nerveux, mais de préférenc
d'origine névri- tique. La lèpre nerveuse frappe tout le système nerveux , mais de préférence et plus t6t le périphérique
médul- xxvii 9 126 RIRItAQUER. SY11P'l'O\fA'rOLOGII : OU SYSTÈME NERVEUX laire, etc. On trouve cependant des cas, mais e
alement sur les bran- ches périphériques avant d'envahir les troncs nerveux . Bien plus, les ter- minaisons nerveuses les pl
s avant d'envahir les troncs nerveux. Bien plus, les ter- minaisons nerveuses les plus superficielles des organes les plus supe
ie de quelque muscle interosseux. Le symptôme culminant de la lèpre nerveuse est t'anesthésie. Aussi décrit- on une forme de
anlpulleuses ou maculeuses qui contribuent à caractériser la forme nerveuse de la lèpre. Diverses variétés de. paresthésie
êtir tou- tes les formes qu'on rencontre dans les autres affections nerveuses . Si dans la région douloureuse il n'y a pas d'h
ors par conséquent inverse. Cela dépend de l'évolution de la lésion nerveuse . Si elle régresse, le nerf peut se rétablir, ma
uvent reparaître long- temps après, parce que, quoique les branches nerveuses correspondant au territoire périphérique soient
phine. Fig. 2' Fig. 2 130 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX Mais cette réapparition de la douleur dans le t
ru dans le même endroit. Lorsque la formation de la tumeur du tronc nerveux se trouve dans la période ascendante, alors la
le type segmentaire, quoique la maladie intéresse aussi le système nerveux central. La cause en est que, avant qu'on puisse
ériser ces deux systèmes. Quoi qu'il en soit, le type de projection nerveuse par effet de la lésion de quelque tronc s'obser
les plus su- perficiels et par conséquent de la portion de système nerveux sensitif de ces parties; 2° que, il mesure que
loc irrégulier qui n'a aucune relation avec les zones de projection nerveuse qu'il intéresse. Il comprend une zone d'anesthé
e doit par conséquent intéresser la fonction sensitive des branches nerveuses suivant la direction du pointillé. Le type anes
. 17 Fig 16 Fig. 18 140 BARRAQUER. - SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX moins excitée parce que l'exercice sensoriel es
Fig. 22 XXVII 10 142 BARHAQUER. - SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX thésie articulaire chez des malades atteints d'
imprimé à chaque article. Sans nul doute il existe une sélection nerveuse dont la 1 ègle deconduite se trouve dans la pré
in point de leur évolution, et avant qu'ils aient détruit les tubes nerveux , ils peuvent se résorber, faisant cesser alors pa
lépromes dans la peau des avant-bras et des mains. ' Les symptômes nerveux consistent en aneslhésie incomplète de la peau
g. 30 Fig. 29 Fig. 32 14G BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX La réaction de Wassermann est négative. Ce ca
où se trouve l'instabilité simple ou sans aucune autre complication nerveuse . ` Laissant à part les formes aiguës ou actives
irecte du quatrième ventricule, soil enfin par effet des connexions nerveuses connues de tous, qui relient ces orga- nes avec
ire ne se trouve pas intétessée. Il s'agit, dans ce cas de la lèpre nerveuse dont l'iu- fiction envahit le plus fréquemment
s musculaires des nerfs faciaux. Les troubles moteurs dans la lèpre nerveuse dépendent de la lésion spécifique dans les nerf
en travail. Quand il y a altération visible et palpable d'un tronc nerveux , la com- pression exercée sur elle et sur un po
. Fig. 51 51 ' Fie. 52 156 BARRAQUER. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX Il y a des auteurs qui prétendent que dans la l
SYSTÈME NERVEUX Il y a des auteurs qui prétendent que dans la lèpre nerveuse , il n'y a point de paralysie, et que ce qui exi
Fig. 54 Fig 56 Il 11 158 BARRAQUEU. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX Le manque d'association des mouvements des yeux
, l'atrophie musculaire non paralytique est fréquente dans la lèpre nerveuse . Cette persistance de la motilité relative, joint
pectoral du côlé droit. On ne trouve pas non plus, dans la lèpre nerveuse , l'atrophie des muscles de la région antérieure
articles et ils n'ont pas de signes de dégénération. Dans la lèpre nerveuse les contractures sont fréquentes parce qu'elles
ières contractures ont pour cause la lésion spéci- fique des filets nerveux des mêmes muscles qui entrent en contracture, et
cture ultérieure des derniers, et vice versa. C'est dans la lèpre nerveuse que l'on trouve les attitudes des extrémités le
ar Babinski en substitution des anciens. SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX 163 Le réflexe du tendon d'Achille se trouve bi
r évolution). En troisième lieu, le fait qu'on trouve dans la lèpre nerveuse les phénomènes dépendant des nerfs sensitifs en
culaires pro- duit la contraction réflexe exagérée. Dans la lèpre nerveuse on trouve le phénomène de la contracture sans e
mme on le voit souvent dans le tabès, se trouve aussi dans la lèpre nerveuse . Mais si, dans le tabès, la présence ou la majeur
elle augmente et disproportionnellement aussi à cause de la lésion nerveuse . Il est évident que nous trouvons souvent l'irr
st évident que nous trouvons souvent l'irréflectivité dans la lèpre nerveuse par l'effet de l'atrophie musculaire dégénérative
ion de dégénération partielle. Mais c'est précisément dans la lèpre nerveuse qu'on l'observe le plus fréquemment, car cette
, car cette maladie est le plus riche alsenal de la symptomatologie nerveuse Dans cette maladie on trouve les plus graves si
débute chez lui et, déplus, que la forme de la maladie sera plutôt nerveuse que tubéreuse. Un état gastrique accompagné de
e, la lépride maculeuse et l'atrophie cutanée accompagnent la forme nerveuse . On voit l'atrophie cutanée dans les figures 38
t après les macules, soit- primitivement SYMPTOMATOLOGIE DU SYSTÈME NERVEUX 167 dans certaines régions, mais spécialement a
due à la maladie de Morvan. La figure 182 du Traité des maladies nerveuses d'Oppenheim est un cas de la même maladie, d'or
exogène. Il est, en outre, forcément nécessaire que l'insuffisance nerveuse nutri- tive des tissus, due à la lésion spécifi
sister jusqu'au retour de l'innervation du pied par la régénération nerveuse (Voir à ce sujet la fig. 42). Mais si les condi
ujet mon travail sur la dégénéra lion et la régénération du système nerveux périphérique paru dans la Revue neurologique du 3
nge du pouce de la main qui corres- SFML'T061AT(ILOGIG : LU SYSTÈME NERVEUX 171 pond à la figure 44, se trouvent décalcifié
xemptdes ? mp- tômes rénaux et cardiaques, d'altération des centres nerveux et du sang, puisqu'il s'agit d'un homme jeune e
die de Morvan, mais elles sont encore très fréquentes dans la lèpre nerveuse et aussi dans d'autres névrites à cause de la r
même analogie entre les manifestations pro- duites par des lésions nerveuses névritiques et d'autres dépendant des centres.
nt des centres, la même systématisation doit exister dans un cordon nerveux susceptible d'être envahi sélectivement Et le f
vahi sélectivement Et le fait connu de l'hérédité de dériénérations nerveuses de topographie et de fonctions distinctes, rend
rigine périphérique, nous voyons d'un autre côté que l'insuffisance nerveuse ou sa disposition embryonnaire se présente à tr
t dans les nerfs correspondants. Ainsi, hors les cas de faiblesse nerveuse acquise par quelque cause toxique ou autre, la
veuse acquise par quelque cause toxique ou autre, la prédisposition nerveuse estd'origineembryonnaireet les déclarations de
a dégénération, soit commune, soit élective, des fibres des cordons nerveux . DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCUL,\IRE CH.\nCOT-IARIE
ades. Je ferai particulièrement remarquer que, chez eux, les troncs nerveux périphériques ont un volume normal et une excit
rement votre attention sur l'hypertrophie considé- rable des troncs nerveux : certains filets du plexus cervical superficiel
contraction musculaire, consécutivement à l'électrisation détrônes nerveux qui pourtant transmettent encore assez convenab
t pas primitive ; elle est sous la dépendance de lésions du système nerveux . Les lésions de la moelle frappent et les corne
t, d'uue fragilité héréditaire de plusieurs départements du système nerveux . Le dernier mot n'est pas dit et il le sera san
ées du système , DEUX CAS D'ATROPHIE MUSCULAIRE CHARCOT-MARIE 187 nerveux , c'est-à-dire la genèse des maladies hérédo-famil
a tient sans doute à ce que ce chapitre particu- lier de l'anatomie nerveuse a élé singulièrement négligé. Il suffit en effet
misphère gauche, la moitié anté- (1) Dejerine, Anatomie des Centres nerveux , 1. II, p. 12, Paris, 1901. xxvii 13 190 LA ,
'a pas constaté de phénomènes dégénératifs au niveau des cellu- les nerveuses , et ne décrit aucune altération portant sur la ch
ès nettement, en effet, que le noyau rouge e est dépourvu de fibres nerveuses au niveau de son tiers supérieur, en d'au- tres
sont pour la plupart purement réflexes ou automatiques, les fibres nerveuses provenant de l'écorce cérébrale ne sont encore qu
puis ensuite comme traduisant également la compression des centres nerveux et susceptible, dans cecas, de comporter l'indi
ociation albumito-cytologiqte au cours des compressions des centres nerveux . Variations de l'albumine après ponction lombaire
ême d'accomplir le même mouvement par un (1) Brissaud, Les troubles nerveux post-tmmnatiques, Bulletin Médical, 1906. (2) P
énesthésiques fixes 1res affectives qui, attirant tout le dynamisme nerveux , créent un désé- quilibre de la cénesthésie ell
e comporte comme un noyau de cristallisation à l'égard de l'énergie nerveuse et exerce une action inhibitrice sur l'activité d
r sa réalisation trop rapide provoque un dé; bordement de l'énergie nerveuse , d'où son irradiation à toute l'écorce cérébral
ntéressantes de cette affection, à savoir la plasticité des centres nerveux , par laquelle les idées affectives se traduisent
énomènes doit être cherchée dans des faits vaso-moteurs des centres nerveux d'origine émotive. Ce qui est certain c'est que
fective et motrice, qui, attirant sur elles-mêmes tout le dynamisme nerveux , en- traînent un déséquilibre de la cénesthésie
aissons pas non plus le rôle précis dans la physiologie des centres nerveux . La différence est que nous connaissons bien le
ne. Au milieu des noyaux névroglique, on remarque quelques cellules nerveuses .de petite taille. Les cellules, rares, de gran
ique et la commissure de Meynert ont un aspect normal. Les cellules nerveuses du globus pallidus sonton dégénérescence pigmen
sont, pour un individu de cet àâe, en très bon état. Les cel- lules nerveuses du noyau rouge contiennent beaucoup de pigment, o
corps quadrijumeaux une augmentation de la névroglie, les cellules nerveuses ne sont pas diminuées d'une manière bien appréc
rise de l'étage ventral : augmentation du pigment dans les cellules nerveuses avec quelques proliférations diffuses de la névro
res n'ont rien de particulier. Ce n'est que le pigment des cellules nerveuses et l'augmentation légère de la névroglie qui pe
ffuse de la névroglie et la dégénérescence pigmentaire des cellules nerveuses des cornes antérieures et surtout des colonnes
nulle part très avan- cés. Il est vrai qu'un bon nombre de cellules nerveuses ont disparu et qu'on en remarque qui sont en at
oglie fibrillaire est constatée en plusieurs endroits. Les cellules nerveuses sont souvent entou- rées par quelques noyaux né
ps que la crise doulou- reuse. Ces tuméfactions, d'origine purement nerveuse , peuvent cependant parfois se prolonger au delà
courant. » Puis, passant en revue les diverses fonctions du système nerveux périphérique, le Dr Schnyder ajoute : a La force
pédon- cule et se demandent en même temps si l'insuffisance du lobe nerveux , producteur de pituitrine, n'y intervient pas.
temps et surviennent à date irrégulière. ' L'examen des fonctions nerveuses ne révèle aucun trouble moteur, aucun trouble d
s : les pupilles sont régulières et réagissent. L'examen du système nerveux montre l'intégrité de la motricité, de la sen-
le l'évolution a été celle d'une dystrophie bénigne et les troubles nerveux d'ordre fonctionnel qu'elle pré- sente sont lég
ns aucun de ces cas on ne constatait la coexistence d'une affection nerveuse telle que la neurofibromatose. On a signalé la
cas d'une dystrophie frappant les tissus ectodermiques, cutanés et nerveux , avec localisations variables suivant les sujets,
ures. Il est d'usage démettre en ligne de compte le rôle du système nerveux . Nous ne voulons pas examiner ici la question e
hie adiposo-génilale, les différentes formes de syphilis du système nerveux central (syphilis héréditaire, paralysie cérébr
ur du nerf sympathique ou peut-être de certaines parties du système nerveux central ? ), fonctionne insuffisamment, il surv
s glandes thyroïde et paralhyroïdes (ou peut-être de leurs éléments nerveux , c'est-à-dire du nerf sympathique), de même que
portantes : ils pu- rent démontrer que certaines parties du système nerveux central (par exemple le noyau du valgus, le noy
s, comme les alcaloïdes (morphine, cocaïne, strychnine), le système nerveux parut avoir également une grande affinée qui, t
Guii.lin (G.) et Laroche (G.). La fixation des poisons sur le système nerveux . La Sem. médic., 1911, p. 337. IJEILHIIOXXJ'I
iffen. Archiv f. experim. Path., 1909, t. 16, p. 297. c- DÉBILITÉ NERVEUSE par A. AUSTREGESILO, Professeur de Neurolog
r un terrain approprié, qui est l'élat névlopathique ou la diathèse nerveuse proprement dite. Ce mot diathèse est employé ic
t employé ici pour désigner la prédisposition morbide aux syndromes nerveux fonctionnels. , Débilité nerveuse. Cette diathè
isposition morbide aux syndromes nerveux fonctionnels. , Débilité nerveuse . Cette diathèse, cet état constitutionnel, cette
el, cette prédisposition congénitale, je préfère l'appeler débilité nerveuse , parce qu'ainsi on désigne bien la condition d'
plus fréquents. La l'aligne précoce est la caractéristique chez le nerveux de toutes les modalités de travail, mental, cor
e musculaire comme aussi aux viscères, souvent les malades débiles, nerveux , se plaignent que mouler un escalier leur donne
généralisée, par l'exacerbation du coefficient de l'insuffi- sance nerveuse , pour employel une expression qui traduit bien la
si qu'une insuffisance cardiaque ou rénale, il y a une insuffisance nerveuse , dont nous estimerons ultérieurement le dosage.
dosage. Instabilité. Irritabilité. - S'il y a fatigue de la cellule nerveuse , cérébrale, médullaire, ou même des ganglions s
dullaire, ou même des ganglions sympathiques, parce que la débilité nerveuse est générale, avec la fatigue surviennent deux ré
trice ou viscérale, est l'une des caracté- ristiques de la débilité nerveuse L'instabilité motrice et l'instabilité psy- chi
fatigue. L'irritabilité est un élément des plus communs aux débiles nerveux . Promptes explosions d'humeur, d'idées, d'émoti
thique, c'est-à-dire des neurones centraux, périphériques, DÉBILITÉ NERVEUSE 407 l ' , ou de leurs rapports. L'expression
rmoiement ou larmes faciles, la tendance il )'irritation des plexus nerveux abdominaux = so- laire, ovariens, etc., sont la
x = so- laire, ovariens, etc., sont la preuve de celle irritabilité nerveuse , centrale et périphérique. Souvent la sphère gé
ésique, etc. En fait l'émotivité exagérée apparaît chez les débiles nerveux comme un élément constant tant et si bien que p
s faits de la sphère morale, etc. Emotifs et instables, les débiles nerveux sont en outre suggestionnâmes. L'auto-suggestion
s des idées, et ainsi de suite. La suggestibilité conduit le débile nerveux à se croire souffrant de maux dont on parle devan
iants, après la lecture d'un chapitre sur les affections cardiaque, nerveuse , pulmonaire, consulter leurs maîtres, parce qu'il
, digestive, elc., sont rythmiques et périodiques. Chez les débiles nerveux celle condition s'exagère. La fatigue matinale de
our l'explosion de névi9 ses et de psychoses. Il y a des maladies nerveuses et mentales qui sont essentiellement rythmiques
e, dont l'im« portance est quelquefois dominatrice chez les débiles nerveux . Selon Freud, l'hystérie, la névrose de la peur
erversion, etc.), apporte son appoint à la personnalité du dé- bile nerveux . * Réactions vaso-motl'ices. Vagotonie et sympa
linique, lessyniliatlio5Qs, qui font partie du cadre de la débilité nerveuse . Or l'excilabililé du système auto. nome et du
approprié à ces réactions, terrain qui n'est autre que la débilité nerveuse . - Sensibilité de l'appareil digestif. - L'appa
est probable- ment celui qui a le plus de contact avec la débilité nerveuse . Troubles de type dyspeptique, hyperesthésies d
is ces troubles peuvent s'observer dans le do- maine de la débilité nerveuse , Quand, par exemple, le débile nerveux se force
le do- maine de la débilité nerveuse, Quand, par exemple, le débile nerveux se force en un travail mental, ou émotif, ou mô
rmes et poisons de n'importe quelle origine recherchent les parties nerveuses où s'opèrent le plus facilement les échan- ges
e se rencontre d'autant plus accentuée que l'individu est un débile nerveux . L'accou- tumance aux intoxications est telle,
un des toxiques qui présentent le plus d'éleclivilé pour le système nerveux , et si l'humanité, pour se développer, a besoin
r, a besoin d'une religion el d'une boisson alcoolique, les débiles nerveux , en grande partie, en sont la cause. En relatio
onséquent, une tendance énorme, une électivité évidente des débiles nerveux pour les intoxications, et nous pouvons répéter i
vulsions. Cette' hypersensibilité s'étend aux autres toxi- DÉBILITÉ NERVEUSE - 411 ques, môme en dehors de l'alcool. Le fils
is héréditaire, présente une tendance accentuée pour les mala- dies nerveuses , de type familial, si, par hasard, il vient à con
a syphilis. . Les intoxications accentuent cette hypersensibilité nerveuse chez les 'descendants. Messieurs, ce résumé est
nces générales en neuriatrie. , - Nous ne pouvons appeler le débile nerveux un dégénéré. C'est un mot un peu exagéré et, ju
classe de sujets. N'importe lequel de nous peut se juger un débile nerveux , et non un dégénéré. La vie "intense, intelle
a grippe, les troubles gastro-intestinaux, etc., mettent le système nerveux en état myopragique, pour nous servir du néolog
ique, pour nous servir du néologisme dePotain ; mais la myopra- gie nerveuse n'est pas une dégénération, dans l'acception de M
idées que je développe. Le névropathe est déjà un malade du système nerveux , il est déjà un psycho-névrotique, il rentre da
entre dans le vaste cadre des dégénérés élémen- taires. Nervosisme, nerveux , sont des mots incomplets et d'acception très i
, nerveux, sont des mots incomplets et d'acception très inégale. Un nerveux , c'est pour le public un individu impression- n
sisme désigne, en langage médical, l'excitation générale du système nerveux , caractérisée par l'irritation, l'insomnie, les t
blements, etc. La neurasthénie est une phase morbide de la débilité nerveuse , et bien caractérisée par les auteurs depuis la
apidité de son expression. Nous pourrions employer le mot myopragie nerveuse . Mais puisqu'il existe déjà en psychiatrie l'ex
n débilité mentale, 'il nous est facile d'adopter celle de débilité nerveuse . - Avant de terminer, je veux répéter ici, et u
autre travail sur les réactions cliniques élé- mentaires du système nerveux général, et qui constituent des syndromes fonct
s syndromes fonctionnels qu'on observe fréquemment dans la débilité nerveuse . Ces réactions s'appellent : Réactions neuras
elle intoxication, si atténuée soit-elle, si elle frappe le système nerveux total, par ordre la première réaction sera la neu
nce, bien entendu, de la prédisposition congénitale, de la débilité nerveuse , qui esl la diathèse en question. Selon ma manièr
sthénie est la réaction pathologique la plus élémentaire du système nerveux . Si la cellule est intoxiquée il est facile d'int
la cause de ces étals. Le second syndrome fonctionnel du système nerveux , à un degré plus élevé que le précédent, est ['
rie correspond il un stade plus avancé d'aggravation de la débilite nerveuse . Le neurasthé- nique répond à l'intoxication pa
toxication par l'asthénie, c'est-à-dire par la faiblesse du travail nerveux ; l'hystérie par la facile désagrégation de la pe
éléro-suggestion. L'hystérie correspond à un état de prédisposition nerveuse telle qu'une intoxication quelcon-. que, endogè
nsi de suite. L'hystérique étant un conscient, le degré de débilité nerveuse est au-dessous de la neurasthénie, mais supérie
urte parce qu'elle atteint la sphère psycho-motrice avec - DÉBILITÉ NERVEUSE 413 perte de conscience. L'irritabilité facile
de guérison de cette névrose à cette époque. Beau- coup de malades nerveux racontent, en leur anamnèse, qu'ils ont eu des
c semblait sombre. En conclusion : . Il y a en clinique des étals nerveux qui ne peuvent être classés dans le groupe des
A SOURDIÈRE, 327. Cirrhose hépatique avec altérations des centres nerveux chez des sujets d'âge moyen, par W. van Woerkom
cas de lésion bilatérale du -), par W. vAN Woerkom, 213. Débilité nerveuse , par Austregesilo, 405. Dégént'mtion. sccondaÎ1
o-physiologique de l' -), par SALMON, 257. Lèpre, symptomatologie nerveuse périphé- rique, par BARRAQUER, 125. Livres (U
as de lésion bilatérale du corps strié), par W. VAN Woerkom, 273. Nerveux (La cirrhose hépatique avec alté- rations des c
à bascule, 34. AUS1REGESILO (A.) (de Rio-de-Janeiro). Dé- bilité nerveuse , 405. Barraquer (L.) (de Barcelone). Sympto-
405. Barraquer (L.) (de Barcelone). Sympto- matologie du système nerveux périphé- rique, 125. Barré (A.) et COYON (Am.
oerkom (W. van). La cirrhose hépatique avec altérations des centres nerveux évoluant chez des sujets d'âge moyen, 43. (
ièns), LIV et LV. Cirrhose hépatique avec altérations des centres nerveux (W. VAN Woerkom), XII. Corps strié (Lésion bi
61 (1895) Archives de neurologie [Tome 29, n° 95-100] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ARCHIVES NEUROLOGIE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES l'0\DI : L PAR J.-M. CIIAIICOT l'
. F. RAYMOND Professeur de clinique ' des maladies du système nerveux à la Facullé de médecine de P.trts. COLLtBO
Vol. XXIX. Janvier 1895. ? 95. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAU
s vaso-motrices des extrémités. Archives, t. XXIX. - 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . A. IL EST CERTAINE FORME DE MALADIE DE RAYNAUD
, est atteinte d'une affection cardiaque. Elle est d'un tempérament nerveux , mais n'a jamais eu de crises de nerfs. Antéc
nes. Environ un an après en décembre 1892, apparurent des accidents nerveux . Pendant l'enfance, la malade n'a présenté aucu
fluence des disputes qui se répétaient entre elle et son 4 CLINIQUE NERVEUSE . mari, son caractère impressionnable s'assombri
luence de ces troubles que pour la première fois elle eut une crise nerveuse en février 1893. A la suite d'un accès de contr
bien. Il existe quelques craquements dans les genoux. 6 CLINIQUE NERVEUSE . Réflectivité. Les réflexes patellaires sont co
mière séance eut lieu le 1er avril ; les séances d'abord 8 CLINIQUE NERVEUSE . rapprochées, tous les jours ou tous les deux j
plus souvent de syncope locale, rarement d'asphyxie. , 10 CLINIQUE NERVEUSE . En outre, à l'état de veille, la malade ne se
régulières des menstrues revenant 2 fois par mois.... 12 CLINIQUE NERVEUSE . FORME HYSTÉRIQUE ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 13 vent
es vaso-moteurs : sueurs abondantes, oedème de la face. 14 CLINIQUE NERVEUSE . rie légère persistante. Les crises des extrémi
e, t. V, p. 510. 3 De Saint-Germain, th. Paris, 1893. 16 CLINIQUE NERVEUSE . débute l'asphyxie locale des extrémités. C'est
ille, âgée de vingt-sept ans, intelli- gente et rangée, mais un peu nerveuse . Les deux autres enfants sont morts en bas âge.
as, comme la folie systématique acquise, le produit d'une affection nerveuse tardive, mais qui se cons- titue sur le terrain
ent être im- médiatement attribuées à une dégénération des cellules nerveuses . Cette dégénération peut être primitive ou seco
condaire. Dans la paralysie générale la dégénérescence des cellules nerveuses sur- vient fréquemment sans les apparences morb
t cependant plus que probable que la lésion primitive de la cellule nerveuse est la condition essentielle de la maladie. P.
part. III, 1893, p. 452.) Dans ce cas où un pouce et demi du tronc nerveux fut enlevé, la réparation musculaire se fit cep
rfs dans les membres et de la diffusion de l'irritation aux centres nerveux dans les maladies viscérales. P. S. XI. UN ca
ogrès réalisés dans les sciences chimiques, les sédatifs du système nerveux et les hypnotiques se sont multipliés. Le trait
dilatation stomacale. C. Mater. Méthode de 31ai-chi sur le système nerveux central des nouveau-nés. KoaFELD. De la folie s
AYER. Présentation de deux frères atteints d'une maladie du système nerveux central de famille. Redlich. Présentation d'un
ppée sur le terrain prédisposé d'une faiblesse irritable du système nerveux central. On ne saurait contester qu'une vive ém
La lésion ne peut en effet porter que sur des fibres etdes cellules nerveuses , le genre de la lésion ne peut alors ressembler
alors ressembler qu'à celui de la névrite multiloculaire du système nerveux périphérique. Dans la névrite aussi, il y a des
ntier pour ses remar- quables travaux sur les affections du système nerveux . Nous sommes heureux d'avoir encore parmi nous
e, t. XX, p. 138 à 168. A. 1839; Anatomie et physiologie du système nerveux , t. XX, p. 465 à 606. A. 1839; Paralysie généra
ara-infectieuses reconnaissent comme facteur prin- cipal l'hérédité nerveuse ou arthritique; elles ont un début souvent insi
sies sont ou purement névrosiques ou liées à une lésion du système nerveux central ou périphérique; ces troubles nerveux rés
une lésion du système nerveux central ou périphérique; ces troubles nerveux résultent ou de l'action directe des microbes o
l'action directe des microbes ou de leurs racines sur les éléments nerveux ou indirectement de l'artérite. Les eaux de La
toxines peuvent 68 BIBLIOGRAPHIE. par leur action sur le système nerveux engendrer la névrose chez un sujet prédisposé.
IN BIBLIOGRAPHIQUE. CIIIPAULT (A.). Chirurgie opératoire du système nerveux . - Préface du professeur Terrier. Tome I : Chir
. XXIX.. Février 1895., > ? 96 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE QUELQUES OBSERVATIONS DU TROUBLE DE L ? 1LII ?
poser, se rattache à la dysbasie par affection organique du système nerveux . I. Dysbasie psychique. Nous avons pris l'obs
ôpitaux, 17 novembre 1893. , . Archives, t. XXIX. 6 82 ) CLINIQUE NERVEUSE . Observation I. Del..., soixante-sept ans, scul
le plus douloureux retentissement. Pendant quinze jours 84 CLINIQUE NERVEUSE . après cette révolution, j'eus de violentes dou
. X..., ce sont les signes de la Neurasthénie classique, épuisement nerveux , inquiétude vague, mais constantes, douleurs pe
inutes de suite, et encore ne peut-il répéter cet exer- 86 CLINIQUE NERVEUSE . cice plusieurs fois en un jour sans éprouver,
montrèrent associés à des troubles dyspeptiques, divers phénomènes nerveux : lassitude géné- rale, lourdeur de tête, verti
ent moins marqués que chez le sujet précédent : M. M... 88 CLINIQUE NERVEUSE . était simplement contraint de se reposer de te
nt le cas suivant'. III. Dysbasie par LÉSION organique DU système nerveux . A la consultation externe de M. Brissaud, se p
exie; frère légèrement rhumatisant. Dans la famille, aucune maladie nerveuse ni mentale, pas de déformations congénitales ;
semblable l'hypothèse d'une lésion organique. dysbasies d'origine nerveuse . 89 Etat actuel. Sujet très solidement musclé ;
ascularisation cutanée prédominent beaucoup à gauche. 90 CLINIQUE nerveuse . Atrophie de la cuisse et de la jambe gauches.
tion de sen- sibilité existant dans cette zone. Examen du système nerveux . Partout ailleurs, sensibilité cutanée et muscu
. 11 s'agit évidemment ici d'une affection organique du sys- tème nerveux ; malgré l'existence d'un léger signe d'athérome
dans la paranoïa, d'observer des phénomènes dus à l'épuise- ment nerveux et qui sont de l'amentia. Quant à la Paranoïa o
on parlée et agie de la confusion mentale. (A suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE . D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAU
cie du service et ont donné les résultats suivants : 104 PATHOLOGIE NERVEUSE . FORME HYSTÉRIQUE ET EItY1'H11,0111ELALGIE. 105
SE. FORME HYSTÉRIQUE ET EItY1'H11,0111ELALGIE. 105 106 PATHOLOGIE NERVEUSE . consacré sa dissertation inaugurale (d872) à l
l'observation XIV de sa thèse, Raynaud dit : jamais aucun accident nerveux . Plus loin, il parle de véritables phénomènes h
nent ni sucre, ni albumine. Ce sont, dit-il, de véritables urines nerveuses . En outre dans nombre d'observations rapportées
nts. Accès régulièrement intermittents, bi-quotidiens, de sommeil nerveux , d'asphyxie des extrémités, de congestion locale
normal. Les vaisseaux avaient repris leur calibre. 108 PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous avons trouvé d'autre part un cas de malad
s semble provoquée par une violente émotion morale.» 110 PATHOLOGIE NERVEUSE . dehors et apprit seulement à une heure du mati
donc une observation qui nous montre chez, une ma- lade à hérédité nerveuse chargée (névropathie, aliénation mentale), ayan
pour faire l'expérience. Le père de la malade, éthylique, goutteux, nerveux , atteint de crises de pseudo-angine de poitrine
hérédité de maladie de Raynaud, ou plutôt d'hérédité de tempérament nerveux ? L'influence exclusive des émotions apparaît e
quante-un ans, cuisinière, ne paraît pas éthy- lique. Elle est très nerveuse . Son état névropathique s'est considérablement
uit jours. Chaque fois qu'elle entrait dans mon cabinet, la malade, nerveuse , éprouvait, disait-elle, comme une commotion vi
alyse psychologique est en général insuffi- sante. 112 PATHOLOGIE NERVEUSE . Dans l'observation V, il s'agit d'une jeune fi
bservation fondamentale. D'ailleurs, Raynaud, frappé des phénomènes nerveux , avait fait une classe spéciale intitulée : Asp
xie locale et gangrène superficielle avec prédominance de l'élément nerveux . Nous détachons l'observation VIII, concernant
tion VIII, concernant une femme de vingt-deux ans, d'un tempérament nerveux , ayant eu des convulsions dans l'enfance. Depui
: A mesure que la maladie se développe et s'enracine les accidents nerveux se généralisent, s'aggravent, aidés par les émo
-mêmes, sur un terrain aussi délicat. A. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Chirurgie DE la moelle épinière ET DE SES a
s causes principales à passer en revue. 120 0 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . topsies, l'influenza était la seule cause visi
, en juin 1893, à Buffalo, devant l'Association REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 121 américaine de Chirurgie, en août, dans les
bres ont recouvré leur force et leur volume 122 REVUE DE pathologie NERVEUSE . et à présent, sept mois après le début de la m
tumeur kystique ayant débuté dans la partie de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 123 la pie-nière qui tapisse le mésocéphale et
tation directe de l'infection qui peut se manifester sur le système nerveux , soit par une maladie organique, soit par des n
a démonstration est acquise pour les maladies organiques du système nerveux , quant à l'hystérie elle ne saurait faire excepti
la conséquence directe d'une infection, de l'action sur les centres nerveux du mi- crobe ou de ses toxines, et cela sans qu
itation dont l'existence ne peu}, être éta- 124 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . blie, au moins dans beaucoup de cas, pourquoi
le poison ou l'infection se localisent dans ces cas sur le système nerveux , avec leurs habitudes spéciales et y déterminent
arrive à l'inflam- mation. L'hystérie est une névrose du système nerveux tout entier, sui- vant les cas, la localisation
e infectieuse de l'hystérie existe comme pour les autres mala- dies nerveuses et qu'elle existe sans nécessiter une idée d'auto
es dans la production de ce qu'on appelle les maladies du système nerveux . » DUCA3tP. XII. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE du tabè
e, des cicatrices spécifiques sur pénis, etc. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 125 5 Le traitement spécifique ne doit pas êtr
troubles sensitifs subjectifs, des picote- 126 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ments, puis survint une faiblesse musculaire p
suggestion hypnotique. Amé- lioration. P. S. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 137 1 XX. CENT cas .d'épilepsie; état DE la ré
n anormale de la maladie sur la plus grande 128 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . partie de la moelle, comprenant à la fois, com
fection spécifique sur les mêmes points ou dans d'autres du système nerveux central. Tels sont les caractères principaux qui
sitifs, vaso-moteurs et trophiques et l'as- sociation des symptômes nerveux avec des altérations très mar- quées des artère
'ose pas se prononcer sur le rapport de causalité entre les lésions nerveuses et artérielles. Deux planches histologiques acc
tions dans le bras et la jambe gauches. P. S. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 129 XXVII. Paralysie diphtérique ; ALLOCHIRIE;
quatorze ans; sa famille est remarquablement indemne de toute tare nerveuse ; ses cinq frères ou soeurs de même. Sur les 23
hystérique, d'après Archives, t. XXIX. 9 130 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'abondance de l'urine et l'intensité des acci
ervations rapportées par l'auteur viennent à l'appui de l'influence nerveuse . Dans la première, une hydarthrose intermit- te
chez une hystérique à la suite d'une émotion. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 131 La dernière observation a traita à une hyd
tés par le torrent de la circulation et ont pu altérer les éléments nerveux corticaux dans leur consti- tution, leur nutrit
des circonvolutions, des noyaux gris ou des 132 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . colonnes antérieures de la moelle, altération
de Morvan et la lèpre. L'anatomie pathologique REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 133 ne fournit pas plus les éléments de certit
reconnaissent pour unique cause une congestion intense des centres nerveux qu'on constate à l'autopsie. M. BRIAND. On ne p
xtrêmes de la vie; soit par la dépression mentale et l'irritabilité nerveuse acquises par tous les genres de traumatismes mo
uté par M. Keraval.' FAITS DIVERS. Congrès DE médecine mentale ET nerveuse . Le sixième Congrès annuel des aliénistes et ne
s. Le programme comprendra : 1° Questions à discuter : pathologie nerveuse glande thyroïde et goitre exophtalmique ; rapport
L'inculpation d'homicide volontaire avait été trans- 166 PATHOLOGIE NERVEUSE . formée en accusation de meurtre par la mise en
rants d'un air attentif, mais sans manifester d'émotion. PATHOLOGIE NERVEUSE . D'UNE FORME HYSTÉRIQUE DE LA MALADIE DE RAYNAU
worth, Samuel, Kornfeld). Soc. Biol., juin 1891. 168 PATHOLOGIE NERVEUSE . Enfin, ne peut-on croire dans certains cas à l
e du défaut d'innervation vas- culaire et la diminution de l'influx nerveux trophique ? Le fait est vrai dans certains cas
and-père paternel est mort du choléra. Il avait un tempérament très nerveux . La graud'mère paternelle est morte à vingt-sep
C'est à huit ans que les premiers phénomènes de son tempéra- ment nerveux se manifestent. Au cours d'une dispute avec une d
ralisé et éprouvait des sensations comparables à des 170 PATHOLOGIE NERVEUSE . décharges électriques. En même temps sa face s
ut à la suite une éruption d'acné médicamenteux. - 172 PATHOLOGIE NERVEUSE . Elle quitta le service au mois de juillet, non
une très bonne semaine. Les règles sont venues au 17 li. PATHOLOGIE NERVEUSE . jour prescrit, mais n'ont duré que quelques he
'habitude aux environs des quantités habituelles : 176 PATHOLOGIE NERVEUSE . MALADIE DE RAYNAUD ET ÉRYTHROMÉLALGIE. 177 '1
ale seulement deux cas de guérison, ceux de Grenier, où les détails nerveux manquent, et de Sigerson. Dans son article réce
rent comme des rémissions. Archives, t. XXIX. 12 178 PATHOLOGIE NERVEUSE . Il nous faut insister sur d'autres détails.
e de quinze ans. Le deuxième concerne une femme de trente-deux ans, nerveuse , su- jette à des pertes de connaissance, qui, à
ella Lekai,ska, 1891. Féré, etc. ' Clinique des maladies du système nerveux , t. I, 1892. ' Voir pour l'oedème bleu la thèse
rée par M. le Pr Raymond. Communication orale. 180 . PATHOLOGIE NERVEUSE . même avons transformé une ischurie en polyurie
essionner primitivement ou consécu- tivement les parties du système nerveux qui tiennent sous leur dépendance les actions v
nsation de doigt mort au niveau du pouce. droit. 182 ) PATHOLOGIE NERVEUSE . consciente a disparu. A ce point de vue il y a
int de départ de la stimulation qui, par la média- tion des centres nerveux déterminerait l'excitation des nerfs vaso-moteu
uant à la période menstruelle, Vulpian pense qu'elle met le système nerveux dans un état d'excitabilité tout à fait exagéré
o-mo- 1 Berliner Kiiiiische Wochenschrift, 1893. 184 . PATHOLOGIE NERVEUSE . teurs dépendant de l'influence d'une cause com
comme cause un réflexe dont le point de départ est dans les centres nerveux eux-mêmes (réflexe interne). Suivant que l'émot
on directe ou réflexe des ganglions situés sur le trajet des fibres nerveuses . Suivant les cas observés, ils acceptent l'une
t périphérique. Elle est en rapport avec le froid. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE . consciente; fait important au point de vue thé
à l'épuisement rapide et brusque du 192 CLINIQUE MENTALE. système nerveux central (très souvent consécutif, pour les aute
ésente nettement la progression. (ft suivre.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXXVII. Note SUR l'amnésie rétrograde après DES
xieuse avec délire de culpabilité imagi- 202 12 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . naire et d'indignité, peur de l'excommunicatio
qu'elle s'étendait en avant à toute la période REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 203 de ranimement, à ce point que M. X... ne s
les raisons de celte différence. J. Noir. 204 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXXVIII. Observation d'un cas DE NÉVROSE traum
es racines sacrées, soit par en haut, jusqu'aux REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 205 premières racines dorsales. A partir du ma
que ou dans les autres polynévrites de natures diverses, le système nerveux sympathique est fort influencé dès le début de
d'une lésion cérébrale de peu d'étendue. ' e6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Mais d'autre part l'intensité de la paralysie
ovoqués, selon toute vraisemblance, par l'évolution des altérations nerveuses périphériques qui ont fini par déterminer la mo
ération primitive de la névroglie dans certains cas et des éléments nerveux dans les autres serait une intoxication d'origi
se à lui seul exercer une action aussi destructive sur les éléments nerveux , il faut que le terrain soit préparé par d'autr
ts que sous l'influence de certaines causes agissant sur le système nerveux ; comme d'autres poisons de la même classe, ell
s poisons de la même classe, elle ne s'attaque que sur un système nerveux affaibli et ces causes de dépression du système n
un système nerveux affaibli et ces causes de dépression du système nerveux sont fournies par le traumatisme, le surmenage
cation. Ce qui est vrai, c'est qu'un groupe important de phénomènes nerveux provient de l'alcool; les buveurs invétérés eng
en proie aux incommodités si fréquentes de la ménopause, trouble nerveux , céphalalgie, etc... Le terrain étant ainsi prépa
on peut enregistrer des symptômes positifs du côté de l'ap- pareil nerveux . En revanche, rhébétitde, qui facilite le diagn
La pathogénie a tour à tour invoqué le mécanisme de l'irradia- tion nerveuse , de l'urémie, de la méningite cérébro-spinale, de
fort gros- sissement révèle les altérations suivantes des cellules nerveuses . Les unes n'ont présenté que peu d'altération,
nque. Nulle part il n'y a de dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses , ni de désagrégation grenue des proto- plasmas.
it eu multiplication des noyaux non cellulaires autour des cellules nerveuses . M. FunEn. De la genèse des hallucinations de l
L. Communications relatives à la lia ? ,yokiitèse dans le sys- tème nerveux central. La constatation a une grande importance
bitable des noyaux non cellulaires à la destruction de la substance nerveuse non spécifique, il en résulte un rappro- chemen
ssl, Sur une nouvelle méthode de recherche expérimentale du système nerveux central notamment pour fixer la localisation des
nerveux central notamment pour fixer la localisation des cel- lules nerveuses . M. Sommer. La question des infirmiers et la su
t., LI, 1.) P. KERAVAL. BIBLIOGRAPHIE. XII. Azzalomie des centres nerveux ; par J. DEJERINF, avec la colla- boration de Mm
moelle épinière. Les progrès faits dans la connaissance du système nerveux ont été dus surtout aux méthodes d'étude de plu
al et le plus complet qui ait jamais paru sur l'anatomie du système nerveux . Le développement du système nerveux est étudié
ru sur l'anatomie du système nerveux. Le développement du système nerveux est étudié dans le second chapitre. L'auteur s'
sacré à l'histogenèse et le chapitre iv à l'his- tologie du système nerveux adulte. On sait quelles modifications 238 BIBLI
on en est arrivé à la notion du neurone constitué par la cel- lule nerveuse , pourvue de prolongements protoplasmiques et cyli
ssée sous silence dans la plupart des traités d'anatomie du système nerveux , c'est la région sous-optique. C'est une région
'agit pas là seulement d'un traité quelconque d'anatomie du système nerveux , se contentant d'exposer l'état actuel de nos con
il constitue un grand progrès dans nos connaissances sur le système nerveux , grâce aux nombreuses recher- ches personnelles
fit à la lire. P. S. XIV. Les nouvelles recherches sur les éléments nerveux ; par J. DAGONET. Brochure in-8°. Doin, Paris, 1
, van Gehuchten, etc., sur l'embryologie et l'histologie du système nerveux central. P. S. XV. Monopole de l'alcool et dixi
ont été traités inutilement par toute la kyrielle des médi- caments nerveux ou calmants, s'améliorer et guérir. Si les maladi
isposés. En effet l'épileptique nait épilep- tique, il a un système nerveux défectueux, prédisposé à réagir aux excitations
y attacher une certaine importance, et devant ces manifesta- tions nerveuses du bas âge le pronostic restera d'autant plus r
s antécédents héréditaires du sujet seront plus chargés. L'hérédité nerveuse joue ici un grand rôle, surtout lorsqu'elle est
pas lieu, suivant lui, d'admettre la lésion primitive des cellules nerveuses au sens de la théorie de Charcot. P. Keraval.
6 paraître un mémoire en danois sur le trajet central des tractus nerveux vaso-moteurs (en partie traduit dans les Archiv f
aire de la moelle cervicale. En outre, un grand nombre de fibrilles nerveuses parlent de la masse enveloppante de l'olive pou
tables à la localisation du plan incliné. Ils dépendent des organes nerveux atteints par les lésions de ce dernier. Troubles
naissance DE la richesse DE l'écorce cérébrale DE l'homme en fibres nerveuses : 1 myéline ; par Th. Kaes. (Archiv f. FsyeAt6[
de la deuxième racine dorsale, on trouve simplement quelques fibres nerveuses affectées de myélite, notamment sur le bord des
cela jusqu'à la moelle lombaire; en revanche, l'aspect des cellules nerveuses des colonnes de Clarke laisse à désirer. Pour le
ules ou fibres), des fibres antérieures et postérieures, des fibres nerveuses extra-pie-mé- riennes, y compris celles delà qu
dons latéraux droits. Dans les couches corticales, petites cellules nerveuses bien plus nombreuses que normalement; par la mé
escence sera toujours suspect pour ce qui concerne son état mental, nerveux ou moral; il pourra devenir plus facile- ment,
re presque exclusivement carnée, s'il a une tendance aux mala- dies nerveuses et à l'instabilité mentale ; il en est de même de
qu'entité morbide : un désordre psychique aigu produit par un choc nerveux ou une maladie générale, sans trouble émotionnel,
uis viennent les impres- sions brusques et profondes sur le système nerveux , les maladies , fébriles, L'était puerpéral, le
e que l'écorce cérébrale, la portion la plus com-" plexe du système nerveux au point de vue anatomique, ne soit' l'origine
naitre qu'à chaque phénomène psychique» correspond un phéno- mène nerveux : la folie n'est donc rien autre qu'un symptôme^
ablement arachnoïdien ; il n'y restait pas un seul élément de tissu nerveux . Ce fait vient à l'appui . de la théorie ancien
al, n° 36, 1893) et collecter des faits d'altérations psychiques ou nerveuses chez des arthritiques. z M. SCHULTZE communique
lis) ont un point commun, c'est l'atrophie primitive' des' éléments nerveux , mais cette communauté anatomique et la fréquen
processus anatqmo-pathologique dans cer- tains serments du système nerveux central et peut-être dans les organes périphéri
parents n'ont présenté aucune anomalie de formation, aucune maladie nerveuse . - 20 Syringomyélie (gliose centrale). Femme de
al notamment dans le but de déterminer la localisation des cellules nerveuses . Voici en quoi consiste cette méthode. Sur un a
entres ou on sectionneles tractus dont on veut trouver les cellules nerveuses aux- quelles ils commandent. On sacrifie l'anim
entre. · i 1° Si l'on supprime les liens qui unissent' les cellules nerveuses avec leur organe terminal, qu'il s'agisse d'une
ensorielle, il se produit une altération rétrograde de ces cellules nerveuses ; 2° quand, dans l'organe central, on enlève un
2° quand, dans l'organe central, on enlève un centre, les cellules nerveuses du centre voisin et qui en dépend directement s
rétrogression suit une marche variable suivant le type des cellules nerveuses . Mais on peut dire, en géné- ral, que l'altérat
e masse grenue particulière. Si l'on sait bien colorer les cellules nerveuses , toutes les altérations peuvent être facitement
'organe central obéit à la loi suivante : au moment où les cellules nerveuses sont directement atteintes par l'agent nocif, e
soit l'in- fluence nuisible dont l'action soit limitée aux cellules nerveuses et aux fibres nerveuses, toujours les cellules
ble dont l'action soit limitée aux cellules nerveuses et aux fibres nerveuses , toujours les cellules voisines de la névroglie
rcheur éprouve aussi de très grandes difficultés quand les cellules nerveuses qui dépendent du foyer de la destruction sont d
e. Quant à d'autres points encore obscurs dans l'étude des cellules nerveuses , telle la chromophilie, il faut se montrer prud
autre série qui présente les altérations régres- sives des cellules nerveuses motrices du noyau du facial à leurs dif- férent
lules des ganglions spinaux, ainsi que d'une catégorie de cellules nerveuses rétiformes ou de tout autre structure dont l'inte
les relations régio- nales de ces organes. De même que les cellules nerveuses de la substance gélatineuse de Rolando se ratta
pposé. Pareilles particularités se voient pour les grandes cellules nerveuses à structure rétiforme, tandis que les cellules
s cellules nerveuses à structure rétiforme, tandis que les cellules nerveuses motrices subissent toujours une altération du m
planches fixant la structure différente de chaque type de cellules nerveuses . M. Sommer. Quelques résultats de la méthode d'
i, effrayés, peuvent devenir épileptiques, surtout les héréditaires nerveux ; 2° pour les femmes enceintes qui peuvent être
ne hémia- nopsie hystérique. Archives, t. XXIX. 22 338 clinique NERVEUSE . I. Ce symptôme aurait été signalé il y a que
es cas qu'ils décrivent aucune altération fonctionnelle des centres nerveux ou des conducteurs optiques, mais considèrent c
rine et Vialet. -Société de Biologie, 28 juillet 1894. 340 CLINIQUE NERVEUSE . donc en opposition avec la plupart des opinion
morragies utérines considérables au moment de '342 1 ? ( 1 CLINIQUE NERVEUSE . ·E é,5 ? épôques. Inquiet de ces hémorragies,
t un affaiblisse- ment considérable à la suite duquel les troubles ^ nerveux et mentaux-qui; avaient disparu depuis longtemp
ut le constater tel - . -1' 1 1 xi Fig. 1 ? . ",Il 344 CLINIQUE NERVEUSE . qu'il est. Nous avons donc affaire à une perso
hésie. 3 r 9p3 ? r'· ? ^^a1ucs d'hjpcrcslhesic. n % 346 -CLINIQUE NERVEUSE . facilement que les sons très violents et le ti
(Revue philosophique, février 1894, p. 147.) 348 3ti, ., CLINIQUE NERVEUSE . ,, . de phénomènes oculairestrèsivariés;,ellea
87, I, 467.) 3 Archives de Neurologie, mai 1892. 350 ' ' CLINIQUE NERVEUSE . ' -- pour déterminer définitivement la nature
suc) subconscient. .. (T < fn ? . -1 v 1.1 1 -1 352 ' CLINIQUE NERVEUSE . ' gulier qui préside à sa-1 formation me paraî
uel pour la couleur rouge. YÎ111 a ? t t ' i . * 354 fl CLINIQUE, NERVEUSE . » , raître, telle., personne,, tel , objet,,m-
roituhémyopie"qui"existait'ie'crois anférieu- rement aux phénomènes nerveux . Vous ne serez pas surpris de ces infériorités
suggestion et de l'idée fixe. Depuis que l'on examine 358 CLINIQUE NERVEUSE . l'hémiopie de Justine, il me semble qu'elle es
mporté. Mère morte tuberculeuse. Soeur de la malade a des secousses nerveuses . Un frère est mort de convulsions à sept ans.
que l'on constate dans les lésions des diversas artiesdu s stème nerveux .-Nous ayons encore présent a la mémoire le souven
t..., vingt-six ans. Epilepsie. Antécédents héréditaires. Mère très nerveuse , pas d'autres renseignements, accouchement norm
ondérant par son action essentiel- lement modificatrice des centres nerveux . 380 RECUEIL DE FAITS. CAS DE CHORÉE DE SYDEN
e 6 novembre, sa mère me dit qu'elle est prise la nuit de secousses nerveuses qui la projettent horsdebon lit. En examinant l
urs résultats, leur action se diffusant davantage dans le système nerveux central ; 2° Voici maintenant en quoi l'observa
: Mlle Jeanne A... est la fille d'un père arthritique et d'une mère nerveuse , qui a elle-même eu une attaque de chorée penda
é 382 RECUEIL DE FAITS. six mois. Une tante de l'enfant également nerveuse a eu aussi de la chorée et présente des poussée
u'à la condition de rencontrer un terrain 'propice : le tempérament nerveux . C'est du moins ce que me semble démontrer cett
me semble démontrer cette courte observation. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLV. Plaie pénétrante DE la. base DU CRANE; am
ni sa-femme, ni ses plus vieux amis, et se 384 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . méprenait pur la nature des objets les plus vu
ison avant que la Compagnie ne vienne l'ennuyer REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 385 pour cela. Cet état mental s'accuse de plu
dans un très petit ARCHIVES, t. XXIX. 25 386 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . nombre de cas de tabès, ont été désignés sous
régions sensitives que celles des régions motrices du sys- " terne nerveux et, le plus souvent, les névrites multiples. (Rev
êmes qui les constituent ne suffisent pas à les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 38 ? séparer d'une manière bien tranchée. Ains
vaisseaux ; la névroglie hyperthrophiée avait étouffé les fibrilles nerveuses et les cellules ganglionnaires particulièrement l
u pharynx à l'égard des excitants mécaniques même chez les gens non nerveux , il faut l'attribuer à l'habitude de fumer, à d
térieure; la confu- sion mentale détermine en outre dans le système nerveux des troubles consécutifs plus ou moins graves.
devant le magistrat. z La femme Cleary souffrait de surexcitation nerveuse compliquée de bronchite. Son mari s'imagina qu'
erné à M. Bayer, ancien instituteur à l'école des enfants idiots et nerveux de Bicêtre, professeur à l'Institut médico- péd
tout ce qui frappe l'un, retentit forcément sur l'autre. Le système nerveux est très souvent le siège de cette localisation
Tours)3, Féré et d'autres. On sait que pour les maladies du système nerveux , l'héré- dité de transformation est bien plus f
s, le mode de succession et de trans- formation morbide en hérédité nerveuse . La neurasthénie engendrerait l'hystérie, celle
lui donnera la consanguinité chez les descendants. La moindre tare nerveuse sera immédiatement portée au carré, pour employ
tré M. Martin 3. On conçoit du reste facilement que les excitations nerveuses exagérées, répétées et parfois même con- tinuel
chez les alcooliques chroniques soient une cause de dégénérescence nerveuse , et nous verrons que les accidents alcooliques
inem- ment propre à déterminer un véritable épuisement du système nerveux qui favorise les réactions convulsives ». On sa
tion, et peuvent donner des prédispositions spéciales à son système nerveux qui est le plus fragile d'entre eux. C'est d'ai
pouvoir s'accorder facilement avec une lésion permanente du système nerveux . Cette lésion aurait d'ailleurs échappé jusqu'i
n admettant que ce soit une question d'his- tologie fixe du système nerveux , que nos méthodes d'investi- gation et nos inst
ffisante, et que l'irritation progressive par le poison des centres nerveux pré- disposés, est arrivée au degré voulu pour
l'irritation des DE L'INTOXICATION DANS L'ÉPILEPSIE. 449 centres nerveux disparaissent, ne laissant après eux qu'une fat
ellectuelle plus ou moins marquée, résultat naturel de l'épuisement nerveux . Les symp- tômes constants que l'on observe du
it. En même temps, le caractère est modifié et l'impressionnabilité nerveuse s'accroît considérablement. Ces deux considérat
epsie générale ? D'une part, l'augmentation de l'impressionnabilité nerveuse , chez une malade dont le sys- tème nerveux est
de l'impressionnabilité nerveuse, chez une malade dont le sys- tème nerveux est déjà prédisposé aux réactions convulsives,
'influence de doses immodérées d'al- cool, il faut avoir un système nerveux prédisposé. Certains individus en boivent des q
tion fâcheuse sur le coeur, l'estomac, la respiration ou le système nerveux cen- tral. M. Ram croit pouvoir établir que la
aluation du travail physiologique corres- pondant au fonctionnement nerveux . Mais il faut tenir compte aussi de l'habitude
'habitude qui fait que la répétition des mêmes actes par le système nerveux absorbe de moins en moins de travail. Suivant l
evient ? e désignant la force contre électro-motrice due au travail nerveux . C'est cette force qu'il s'agit de mesurer. On
tte mesure du travail des nerfs fournira évidemment en patho- logie nerveuse des éléments nouveaux et intéressants pour l'élec
éactions électriques de l'oeil est utile au diagnostic des maladies nerveuses quoiqu'elles soient loin jusqu'ici de donner de
on du pinceau galvanique dans le traitement de certaines affections nerveuses . (Sein. mcd. 93 oct.; 1894.) Le pinceau galva
roduire des effets profonds sur la nutrition générale et le système nerveux . La douche hydrogalvanique locale convient dans l
ir par voie, réflexe sur le système REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. - 463 nerveux . Les indications sont les mêmes que pour les mode
que ce mode d'électrisation permet d'agir localement sur un trajet nerveux ou sur un muscle beaucoup plus rapidement qu'av
ent supérieure lorsqu'on veut agir sur la nutrition, sur le système nerveux , la sensibilité cutanée, les réflexes sécrétoir
LE massage considérés comme agents thérapeutiques dans LES maladies NERVEUSES , avec observations ; par GUST SANDBLOM. (The A'
ue peuvent rendre ces deux moyens dans le traitement des affections nerveuses ; il énumère les maladies dans lesquelles il con
qui peuvent conduire a la déter- mination de l'origine des troubles nerveux réflexes; C . .' ' - ' REVUE DE THÉRAPEUTIQUE
ques, de rechercher s'il n'existe pas d'autres sources d'irritation nerveuse périphérique (par exemple : carie dentaire, phi
ia dépendance d'une 1 bibliographie. 481 intoxication des centres nerveux surajoutée aux lésions chroniques de la méningo
l's ou comateux déterminés par l'action des toxines sur des centres nerveux déjà profondément altérés peut être comprise à
peut être bon de faire abs- traction des seules lésions du système nerveux central et de voir dans certaines de ces manife
nérale n'est pas une malade exclusivement cantonnée dans le système nerveux central. On sait en effe t combien sont nom- br
ce groupe et les normaux, il y a encore ces enfants à tempérament nerveux marqué, dont la mentalité alfecle une excessive m
une excessive mobilité ou vivacité, et ceux au contraire à activité nerveuse retardée et insuffisante. Il y a lieu de fair
dont les crises influent défavorablement sur les classes d'enfants nerveux autres. Cette sélection est déjà commencée dans
? srE, pathogénie de l' par Rossoiimo, 385. Anatomie des centres nerveux , par Déjerine, 237. Anémie, maladies de la mo
a-asso- cié au scorbut, par Sutherland, 127. DYSBASiE d'origine nerveuse , par Hallion et J.-B. Charcot, 81. Dyspepsie
lisations sensitives de l'écorce, par Déjeune, 299 ; des cellules nerveuses , par nlssl, 329. Magistrature, les aliénés et l
naux, par Thornburn, 3î ; blessure du médian, par Sa- vill, 36. Nerveux , recherches sur les éléments , par Dagonet, 21l
62 (1897) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 10]
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALAD
) par F. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux à la Salpêtrière (1). . MESSIEURS, Je vais
eur honoraire du Laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux , à la Salpêtrière. La station hanchée est une a
e vivant, en particulier de l'appareil cir- culatoire et du système nerveux central. Ainsi comprise, l'étude d'un cas térat
xamen minutieux de leurs appareils géné- raux, vaisseaux et système nerveux , apporte quelque notion nouvelle, si faible soi
un membre est la conséquence d'un arrêt de développement du système nerveux central, du centre trophique du membre. Cette t
de volume tenait à la réduction du nombre des cellules et des tubes nerveux ; enfin Variot a remarqué dans la moelle de deux
QUE par G. GASNE Interne de la Clinique des Maladies du Système Nerveux , . il la Salpêtrière. On désigne sous le nom
syphilis grave touchant avec une insistance remarquable le système nerveux . Observation : Le jeune Thér... Ernest, âgé de
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX X UN CAS D'HÉMIMÉLIE CHEZ UN FILS DE SYPHILIT
ïncidence entre certain cas d'ectromélie, une altération des filets nerveux et une atrophie des renflements de la moelle ép
e, pourquoi nous faisons remarquer que sa syphilis est une syphilis nerveuse et qu'elle était en pleine période d'acuité lors
elle est la pathogénie de ces vices de développement ? Leur origine nerveuse a été soutenue par bien des auteurs, ce que nous
ns de la tendance qu'a la syphilis congénitale à frapper le système nerveux ne fait que confirmer leur opinion. M. le pro
ur du service photographique de la Clinique des Maladies du Système Nerveux , à la Salpêtrière ET HENRY MEIGE. « Un an s
eu il une confusion. Et tout d'abord, comme pour tout autre trouble nerveux , il faut se délier de l'hystérie, la grande simul
signe d'insuffisance rénale ; il s'agit donc d'un oedème d'origine nerveuse . Mais quelle est la partie du système nerveux q
'un oedème d'origine nerveuse. Mais quelle est la partie du système nerveux qui, dans l'espèce, détermine cet oedème ? Qu
troubles moteurs de la syringomyélie. L'histologie fine du système nerveux , entre les mains de Cajal, Len- hosék et Van Ge
J'ai pu constater à l'aide de la méthode de Nissi, que les cellules nerveuses sont atrophiées non seulement au voisinage de l
du 'milieu ambiant. (A suivre.) CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS DE CONTRACTURE HISTRO-TRAU1VIATIQUL. D
assez exquise pour que la pression légère amène une véritable crise nerveuse . A n'en pas douter, il s'agit ici d'hystérie mâ
NC. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX UN CAS D'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET. INTERPR
u membre supérieur ne sont pas le siège d'altérations. Le système nerveux ne présente aucune lésion macroscopique important
ique, a pensé que l'ostéite de Paget était une dystrophie d'origine nerveuse , et fait valoir, en faveur de cette hypothèse, qu
ée altérée macroscopiquement qu'une ra- réfaction légère des fibres nerveuses avec un peu d'épaississement du tissu de soutèn
e Paget. Reste à remarquer l'absence de symptômes cliniques d'ordre nerveux (hormis les douleurs localisées au niveau des o
mensurations, non plus sur le fourreau durai, mais sur les organes nerveux intra-duraux eux-mêmes; ce que nous fîmes, alor
du rachis produit un allongement constant de l'ensemble des organes nerveux intra-duraux : il a été, sur nos 5 cadavres, resp
plète- tement par cet objectif : agir mécaniquement sur les organes nerveux ma- lades. Dans une première période, qui dur
du tabes, cetle technique reste, appliquée non plus aux gros troncs nerveux , mais aux petites branches périphériques, le seul
t de l'alaxie locomotrice et de quelques autres maladies du système nerveux . Leç. recueillie par Gilles de la Tuu- nETTE. P
e locomotrice progressive et de quelques autres maladies du système nerveux . Progrès médical, 23 février 1889. (4) Gilles
de l'ataxie locomotrice el de quelques autres maladies dît système nerveux . Nouv. Iconographie de la Salpêtrière, ne 3, 1890
uve qu'il se produit une élongation de la moelle et des gros troncs nerveux qui se rendent aux membres inférieurs : nous in
E LA FACULTÉ DE BORDEAUX. NOTE - SUR LES LÉSIONS DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE PAR J. SA
Golgi (1). Il décrit trois phases dans le processus des altérations nerveuses . Au début, on observe, dans la moelle et le bul
i se mul- tiplient par karyokinèse. A un second stade, les cellules nerveuses se creu- sent de vacuoles, les cellules névrogl
ennent des granulations graisseuses. A une 3e période, les cellules nerveuses deviennent vésicu- leuses et elles perdent leur
o- cytairedesespaces lymphatiques autour etjusque dans les cellules nerveuses qui s'atrophient, deviennent vacuolaires, le no
ont intéressés. La névroglie interposée aux fibres et aux cellules- nerveuses est hyperplasiée, les cellules en araignée se mul
n très vive. Nous avons borné nos recherches à l'étude des cellules nerveuses de la moelle cervicale d'un rabique qui a succo
95. (2) MAIIINESCO. Presse médicale, no 8, 1897. , , DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 157 Sur des c
nous tenons à rappeler succinctement quel est l'aspect des cellules nerveuses de la moelle après l'action de la thionine et d
ier sur ce sujet un travail des pJus remarqua- bles. Les cellules nerveuses de la moelle appartiennent toutes au type multi-
matique qui constitue en quelque sorte la char- pente de la cellule nerveuse se termine à la périphérie en s'insérant il une
e est traversé par un réseau irrégulier de linine dans DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 159 les noeud
tent d'autres types cellulaires ; c'est ainsi que dans les cellules nerveuses de la substance gélatineuse de Rolando, les granu
tion, on compte 7 à 8 cellules répondant à ce type, B. La cellule nerveuse encore polygonale a perdu en grande partie (1)
prépara- teur du laboratoire. ' Fio. 2. Fin. 3. A. - Cellule nerveuse dépourvue de prolongements et dont le noyau est r
hérie (partie posté- rieure de la corne antérieure). B - Cellules nerveuses transformées en globes réfringents (corne postéri
que et centrale (corne antérieure). Disparition du noyau. D Cellule nerveuse au début de l'altération. COUPES DE MOELLE RABI
hode de \ ? 1. = f un 1)) MASSON & cte, éditeurs DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE RIUMAINE 161 ses prol
alogues. Les 1<'w. 13, 14, 15, 1G. Fio. 17, 18. DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 163 cellules
orphologiques rendent impossible toute confusion entre ces cellules nerveuses et les corpuscules névrogliques ainsi que les é
yau bien digne de fixer l'altention, on ne relève dans les cellules nerveuses aucune phase karyokinétique régulière, ni centr
ne nucléaire. Une double tendance s'accuse au début dans la cellule nerveuse dont le protoplasma'perd ses granulations chrom
données les plus récentes sur la physiologie générale des cellules nerveuses , on est conduit il tenter une interprétation du
aux centres, mais les désordres qu'il a entraînés dans les cellules nerveuses ne ressem- blent en rien aux phénomènes de réac
citation de la rage correspond un hyperfonctionnemen t des cellules nerveuses qui consomment, sans les réparer, les matières de
éparer, les matières de réserve, substances génératrices de tension nerveuse (1), accumulées dans leur protoplasma : ce stad
tir vers la karyokinèse. On se demande actuellement si les cellules nerveuses sont susceptibles de manifester des propriétés
ines exci- tations ; M. Giuscppe Lévi (2) a montré que les cellules nerveuses de l'é- corce cérébrale,au voisinage de lésions
nt (les (igu- (1) llnnmcsco. Recherches sur l'histol. de la cellule nerveuse avec quelques considé- rations physiologiques.
ppE Liivi. Recherches sur les propriétés prolifératives de la cellule nerveuse (Rivista di Pathologia nerv. e mentale, oct. 18
(Rivista di Pathologia nerv. e mentale, oct. 1896). DES CELLULES NERVEUSES DE LA MOELLE DANS LA RAGE HUMAINE 165 res karyo
e, comme l'a prétendu M. Babés (1), une multiplication des cellules nerveuses , maison est obligé'd'admettre,avec cet auteur,q
t des recherches de D. S. Ramon Y Ca- jal (2) que dans les cellules nerveuses , et dans celles des cornes antérieu- res en par
(2) D. S. Ramon y Cajal. Loc. cit. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE). SUR UN CAS D'MÉ
PAR F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies' du système nerveux . II Messieurs, Les questions que soulève le
géniques. ' Parmi celles-ci la théorie musculaire et par conséquent nerveuse con- vient heureusement à bon nombre de cas qui
rale) sans intervention d'un trouble au moins dynamique des centres nerveux . Je ne veux pas rééditer ici les arguments de c
a- lysie, si paralysie il y a eu, ne se rattache à aucuu territoire nerveux péri- phérique déterminé. L'aspect des mains de
vrite du cubital ait pu, par la paralysie des muscles du territoire nerveux malade, déterminer pareille attitude. « Cette a
us ont montré les cenlres correspondant non point à un terri- toire nerveux anatomique, mais à telle' ou telle fonction dans
nction dans laquelle entrent en jeu des muscles dépendant de troncs nerveux très différents. C'est ainsi que pour le membre
nous apparaît comme une déchéance fonctionnelle générale du système nerveux moteur. Et nous voyons, sauf de très exceptionnel
. TRAVAIL DU LABORATOIRE DE LA CLINIQUE DES MALADIES 1 DU SYSTÈME NERVEUX . HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. APPLICATION DES H
du service photographique de la Clinique des Maladies du Système Nerveux . A propos d'un cas de maladie de Paget publié p
3 et 5, p. 88 et 139, 1893. (3) BIIISSAUO. Leçons sur les maladies nerveuses , Paris, 1895, p. 201. : 206 G. MARINESCO s'ét
ones moteurs et sensitifs qui (1) Brissaud. Leçons sur les maladies nerveuses . Paris, 1895, p. 22;i. (2) Gilbert Ballet. Leço
sous le nom de main de prédicateur. A. quoi tient-elle ? les tubes nerveux qui consti- tuent le radial naissent-ils plus h
. M. CIIAIiCOT. OEuvres complètes. Leçons sur les maladies du système nerveux , 1889, p. 147. 212- : - - -' G. MARINESCO -
nguer cette atrophie de celle due à d'autres altérations du système nerveux . En effet, il s'agit d'une atrophie musculaire
, commun il bien des maladies, et à une maladie spéciale du système nerveux . Ainsi il y a les chorées- symptômes et la chor
ire de Gilles de la Tourelle est intitulé : Étude sur une affection nerveuse caractérisée par de l'incoordination motrice acco
ou comme l'expression d'une lésion portant sur un point des centres nerveux ? En (1) Brissaud. Loc. cit., p. 512. 226 GRA
es fonctionnels d'un élal morbide quelconque d'un point des centres nerveux . Et Gauliez conclut simple- ment : « celte inte
nctionnel ». Nous retrouvons bien à notre cas les caractères du tic nerveux « c'est-à- dire un ensemble d'actes musculaires
isant et une histoire complète. Des causes de dépression du système nerveux (alcoolisme, excès, préoccu- pations morales) e
ne musculaire par atro- phie de certains muscles, adopte la théorie nerveuse , mais rejette la théo- rie nerveuse périphériqu
ains muscles, adopte la théorie nerveuse, mais rejette la théo- rie nerveuse périphérique de Jaccoud. Dans la théorie centra
'a- bolition de la fonction parathyroïdienne provoque les accidents nerveux et en particulier les troubles intellectuels as
ie évolutive. DES NÆVI . DANS LEURS RAPPORTS AVEC LES TERRITOIRES NERVEUX ESSAI DE PATHOGÉNIE ET d'ÉTIOLOGIE . PAR G.
distribution de certains Naevi suivant les territoires de branches nerveuses . Les cas anté- rieurs à 1877 ont été relevés pa
arotidienne suit rigoureusement la zone d'innervation de la branche nerveuse auriculaire ; que le placard qui occupe la régi
ivers de nævi peuvent se développer en rapport avec des territoires nerveux : nacvi verruqueux ou ichtyosiformes (observ. I
; cic, Éditeurs DES NI'.VI DANS LEURS RAPPORTS AVEC LES TERRITOIRES NERVEUX 273 dont la forme se serait retrouvée plus ou m
er aucune connexion apparente avec un appareil autre que le système nerveux . Quant à la distribution territoriale des naevi
naevi dans ses rapports avec la disposition anatomique des rameaux nerveux , nous nous trouvons en face de deux théories pr
ers, 1S89. ' 274 G. ÉTIENNE théorie de Bmrensprung, caries filets nerveux ne s'arrêtent pas rigou- reusement à la ligne m
rale ; cependant Recklinghausen accepte que l'abolition de l'influx nerveux sur la nutrition de la peau peut déter- miner d
es cutanés sont innervés par toutes les ramifications d'une branche nerveuse ; une altération de l'action nerveuse devrait ab
es ramifications d'une branche nerveuse; une altération de l'action nerveuse devrait aboutir à une lésion diffuse occupant t
ont aussi celles où se heurtent les diverses expensions des rameaux nerveux des territoires voisins, et ne sont que les lig
quels le noevus occupe la zone intermédiaire entre deux territoires nerveux voisins. Mais dans l'un comme dans l'autre cas,
ncevoir encore, avec Recklinghausen, que la suppression de l'influx nerveux sur la nutrition cutanée puisse déterminer des tr
° Les nævi croisant plus ou moins obliquement plusieurs territoires nerveux . En effet, dans les premiers cas, il est diffic
où découle la possibilité de la manifestation,suivant le territoire nerveux périphérique, de lésions médul- laires intéress
oelle. Restent les nfovi croisant obliquement plusieurs territoires nerveux . Il y a défaut de superposition entre les troub
éfaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions nerveuses . Ici, il semble que l'on puisse faire intervenir
le des propriétés de l'être achevé ; il a, notam- ment, un appareil nerveux central, le neurotome, pourvu d'une paire rachi
t du développement de l'individu les troubles du côté de l'appareil nerveux se répercutent donc tout naturellement du côté de
utanés. EN résumé, les naevi, reconnaissant pour origine une lésion nerveuse intra-utérine, peuvent être attribués à une lés
poursuivre plus loin encore cette recherche as- cendante des étages nerveux pouvant être intéressés et pouvant déterminer l
opeau. Nævus lichénoïde ké1'atopilaÍ1'e distribué suivant les trajets nerveux . France médicale, 1890, p. 158. ^Hallopeau et
Année N° 5 SEPTEMBRE-OCTOBRE 1897 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . (HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE) SUR UN CAS D'HÉM
i) PAR F.RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux ? - -- III Messieurs, , III ' Vous voilà, j
néralement de l'irréparabilité d'une lésion traumatique des centres nerveux ? Messieurs, voilà une question embarrassante,
t encore fort con- troversée, celle de la régénération des éléments nerveux , à la suite d'une désorganisation partielle de
lles à l'élucidation de ce problème de la régénération des éléments nerveux . Les résultats qu'il annonce peu- vent se résum
aumatique de la moelle est imputable à une tuméfaction des éléments nerveux dans les par- ties avoisinantes. 3° La restau
IQUE DE LA MOELLE 313 le long prolongement cylindraxile d'une fibre nerveuse motrice ; ce pro- longement aboutit à une fibre
le caractère irréparable de la lésion qui intéresse les conducteurs nerveux au siège de l'hémisection. C. Hyperesthésie dir
e d'une solution de continuité traumatique de la moelle, les fibres nerveuses divi- sées subissent, jusqu'à une certaine dist
i se résout à la longue. On conçoit donc que les segments de fibres nerveuses , compris en deçà d'une hémisection, et ces segmen
ant donné que la dégénération irritative, la tuméfaction des fibres nerveuses , s'étend à une certaine distance au-dessus lie
st morte dans une attaque d'apoplexie à l'âge de 43 ans. Elle était nerveuse , irascible : Ses parents ont eu quatre enfants. L
nts. L'aîné est mort de delirium tremens. On ne relève ni affection nerveuse , ni affec- tion mentale parmi les autres membre
lir. Peut-on incriminer un produit toxique agissant sur les centres nerveux (3) C'est un point sur lequel je n'engagerai pa
M. Charcot, Arch. de physiol., 1868, et Leç. sur les mal. du syst. nerveux , t. I). Ces arthropathies sont souvent aiguës,
DE LA POLYNÉVRITE DANS SES RAPPORTS AVEC LES LÉSIONS DE LA CELLULE NERVEUSE PAR SERGE SOUKHANOFF, Médecin de la cliniqu
t de nos con- naissances concernant la structure fine de la cellule nerveuse l'état nor- mal ou pathologique. Le succès du d
re une connais- sance plus détaillée de la structure du protoplasma nerveux , et, en outre, nous avons à présent la possibil
e, nous avons à présent la possibilité de définir dans les cellules nerveuses altérées des modifications qu'on ne pouvait par
encore de nombreuses modifica- tions. Le protoplasma des cellules nerveuses coloré ainsi n'apparaît pas uniforme. L'une de
la dis- position desquelles il résulte que les différentes cellules nerveuses n'ont pas un aspect identique. Dans l'état path
'ont pas un aspect identique. Dans l'état pathologique des cellules nerveuses on observe toute une série de modifications dan
e série de travaux rela- tifs aux différentes affections du système nerveux . Au nombre des mala- dies, pour lesquelles cett
découvrir de nouvelles modifica- tions survenues dans les cellules nerveuses , se trouve la polynévrite. Ce ne sontpasseuleme
polynévrite, mais encore les substances blanche et grise du système nerveux central. Pour la recherche des modifications réce
igment noir ayant l'aspect d'une poussière menue. Certains éléments nerveux en contiennent plus, d'autres moins, et sa disp
anglions intervertébraux, on peut constater dans certaines cellules nerveuses , ainsi que dans les cellules motrices de la corne
ection des nerfs périphé- riques et l'examen consécutif des centres nerveux correspondants par la méthode de Nissl démontre
qu'après la lésion du prolongement cylindre-axile dans les éléments nerveux cor- respondants survient une réaction particul
En comparant les données des recherches microscopiques des centres nerveux après la section de leurs cylindres-axes avec l
histologique qui résume les modifications principales des cellules nerveuses dans notre cas de polyné- vrite- ont été observ
baire de la moelle (1) Mabinesco, Pathologie générale de la cellule nerveuse . Lésions secondaires el pri- ntilives. Presse m
avec les lésions secondaires et les lésions primitives des cellules nerveuses . Revue neurologique, 1896, no 5. SUR L'HISTOLOG
i), il résulte que les modifications sus- nommées dans les cellules nerveuses restent stationnaires très longtemps, plusieurs
le droit de dire que les modifications observées dans les cellules nerveuses , où le noyau se trouve sur la périphérie du cor
ie du corps cellulaire et où l'on voit dans le centre de la cellule nerveuse une coloration bien plus claire, dépendent de la
une coloration bien plus claire, dépendent de la lésion des troncs nerveux . Nous pouvons désigner ces anomalies dé la stru
. Nous pouvons désigner ces anomalies dé la structure de la cellule nerveuse , d'après la terminologie de M. Marinesco et les
apparaissent après l'action immédiate d'un poison sur les cellules nerveuses ou à la suite d'un trouble de leur nutri- tion.
ns provoquent des anomalies définies dans la structure des cellules nerveuses . Mais on ne peut considérer comme chose indiscu
ogie et d'hypnologie, 1897. (2) Marinesco, Pathologie de la cellule nerveuse . Paris, 1897, p. 37. (3) Sabrazès et CABANNES,
is, 1897, p. 37. (3) Sabrazès et CABANNES, Les lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine. Nouvelle Ico
) Marinesco, Nouvelles recherches sur la structure fine de la cellule nerveuse et sur les lésions produites par certaines into
la fonction et les modifications de la structure fine des cellules nerveuses . Dans notre casde polynévrite, outre les modifi
polynévrite, outre les modifications secondaires dans les cellules nerveuses , il y en avait encore des modifications primitive
s primitives,de même que les modifications secondaires des cellules nerveuses dans notre cas, consistaient principalement en la
e forme des corpuscules chromati- ques qui, dans certaines cellules nerveuses , semblaient subir une dissolu- tion dans la sub
logie de M. Ma- rinesco). Mais dans un très petit nombre d'éléments nerveux on pouvait noter l'altération de la substance a
ire définitivement à quel degré de lésion du protoplasma la cellule nerveuse peut se reconstituer, et quel est le degré qui
Année N° 6 NOVEMBRE-DÉCEMBRE 1897 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE MALFORMATIONS DES M
E (f) F. RAYMOND Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux . PAR ET PIERRE JANET. Directeur du labora
les parties. Elle doit correspondre à des malformations des organes nerveux . Nous n'osons pas dire à une hémiatrophie céréb
4. Main d'un homme de taille moyenne (lm70). DE L'ARTHROPATHIE NERVEUSE VRAIE ET DES TROUBLES TROPHIQUES ARTICULAIRES
Il PAR R PAUL LONDE Ancien Interne de la Clinique des Maladies Nerveuses . Quand Charcot démontra que des lésions articul
res survenaient dans le tabes sous la seule influence de la maladie nerveuse et avec un cortège de symptômes tout nouveaux,
vec un cortège de symptômes tout nouveaux, l'idée de l'arthropathie nerveuse déjà an- cienne, mais incertaine s'affirma. J.-
Char- cot avait vu autre chose que ses devanciers : l'arlhropathie nerveuse pure, essentiellement différente des arthropath
arence paradoxale : l'arthropathie, qui est exclusivement de nature nerveuse par ses caractères cliniques (Charcot la décriv
s que les névrites ne don- nent pas à elles seules une arthropathie nerveuse type. On range, aussi parfois le syndrome de Ch
s : c'est l'auto-intoxication ou l'infection d'une part, le trouble nerveux d'autre part. Une revue complète des observatio
onséquences, traduit par D.\STaE, 1874. (8) Leçons sur les maladies nerveuses recueillies et publiées par H. MEME, 1893 ; XIV
nnent les indications bibliographiques nécessaires. I. Arthropathie NERVEUSE PURE. La description de l'arthropathie tabétiqu
ulement quelques mots des caractères essentiels de l'arthro- pathie nerveuse , type commun à ces deux maladies. Il y a fréque
n'est capable de la simuler quand elle est typique. L'arthropathie nerveuse pure offre donc des caractères précisément oppo-
a- dies qui ont passé pour être capables de produire l'arthropathie nerveuse pure. La paralysie générale a été incriminée
hal du cas en question a trait à n'en pas douter à une arthropathie nerveuse et ce fait suffit à faire soupçonner une erreur d
ttiré l'attention des auteurs, n'a rien (1) Leçons sur les maladies nerveuses , tS9o, p. 313. (2) Traité clinique des maladies
erveuses, tS9o, p. 313. (2) Traité clinique des maladies du système nerveux (trad. de LuBAisKI), 1878, 20 édi- tion. Il est
s. x 27 386 PAUL LONDE de commun avec les grandes arthropathies nerveuses . L'observation, rap- portée plus loin en note,
te, de MM. Prautois et Etienne, nous a paru l'uni- que arthropathie nerveuse dans l'atrophie musculaire myélopathique. Ce n'
e W. S. Taylor (1) est à n'en pas douter une véritable arthropathie nerveuse , mais son cas est fort suspect de tabès : tel e
ronique : M. Auscher a observé un cas inédit de grande arthropathie nerveuse dans cette affection (communication orale). (3)
sthésie du même côté : nous avons vu qu'au contraire l'arthropathie nerveuse pure était anesthésique (2). 2° Forme subaiguë
on soil en droit d'assimiler la double hydarthrose à l'arthropathie nerveuse vraie. L'hydarthrose n'a peut-être été que la c
ult lui-même. En tout cas il ne peut être question d'arthro- pathie nerveuse vraie (1). 3° Forme chronique (se terminant par
ar atrophie musculaire et rétraction consécutive. DE L'ARTHROPATHIE NERVEUSE VRAIE 391 Parallèle avec l'arthropathie nerveus
DE L'ARTHROPATHIE NERVEUSE VRAIE 391 Parallèle avec l'arthropathie nerveuse pure. Etablissons maintenant un parallèle entre
ariétés d'arthrites qui viennent d'être énumérées et l'arthropalhie nerveuse vraie. Nous voyons que presque toutes ont été d
s autres, nettement en rapport par leur localisation avec la lésion nerveuse . Enfin le niveau de la lésion médul- laire pas
ut y ajou- ter une observation de Reuillet dans laquelle une lésion nerveuse datant de l'enfance avait amené une atrophie co
: on n'y note les arthropathies qu'à l'autopsie (2). Les lésions nerveuses capables de donner lieu à une arthropathie peu-
constant entre le siège de l'arthropathie et le siège de la lésion nerveuse : ainsi dans un cas où le nerf médian était ble
s des arthropathies spinales ? On voit aussi à la suite des lésions nerveuses périphériques, l'oedème dur pseudo-éléphantiasi
est sans doute en rapport avec l'évolution pro- longée de la lésion nerveuse périphérique ; la lésion médullaire qui cause l
es périphériques et spécialement de la névrite. DE L'ARTHROPATHIE NERVEUSE VRAIE 393 cieuse. Ce fait et la localisation fr
1° que jamais une névrite n'a donné lieu à une grande arthropathie nerveuse ; 2° que les arthropathies névritiques comme les
hiques cutanés très accentués n'a rien à voir avec l'arthropa- thie nerveuse vraie. La distinction est tout à fait palpable qu
mpagne d'in- fection plus volontiers que l'hémorrhagie. Le cachet nerveux leur est donné par la localisation hémiplégique,
idérations pré- cédentes, c'est qu'il ne s'agit pas d'arthropathies nerveuses au sens propre du mot. Sans doute un trouble tr
es lésions (d'origine infectieuse ou auto-toxique). Mais ce qui est nerveux dans cette affection ce n'est pas tant l'arthropa
nt l'arthropathie que la détermination périarticulaire ; ce qui est nerveux c'est la contracture, l'exagération des réflexe
'origine infectieuse ou autre) s'adjoignent des phénomènes purement nerveux , contracture, atro- (i) Dans un rapport récent
ivantes : 1° arthropathies infectieuses; 2° a. dyscrasiques ; 3° a. nerveuses ; 4° a. mixtes (tropho-infectieuses et' toxi-ne
la nous permet de penser que les formes infectieuse, dyscrasique et nerveuse représentent chacune un élément étiologique prédo
bles trophiques que nous avons étudiés et la véritable arthropathie nerveuse ? Telle est la question que nous nous posons.
r considèrent les arthropathies du psoriasis comme une arthropathie nerveuse . A nos yeux pourtant elles ne diffèrent pas du
arence rhumatoïde : elles n'ont aucune analogie avec l'arthropathie nerveuse vraie. (2) Cité par Arnozan. Nous n'avons malhe
rès douloureuses. Arch. de physiologie, 1868. / , DE l'arthropathie nerveuse vraie 397 phale. Elle n'existe pas dans les név
e conclusion à en tirer au sujet de la pathogénie de l'arthropathie nerveuse vraie. CONCLUSION. Les arthropathies du tabes
ies du tabes et de la syringomyélie méritent le nom d'arthropathies nerveuses vraies parce qu'elles sont produites exclusi- v
ans certains cas au moins, à des lésions correspondantes du système nerveux . Il y a un autre facteur étiologique à mettre i
ot arthropathies tropho-infectieuses pour désigner l'arthro- pathie nerveuse pure infectée accidentellement, mais l'infection
rthrites et si elles méritent de conserver le nom d'arthro- pathies nerveuses c'est à cause de leur localisation exclusive dans
'arthropathie ? Nullement. On peut très bien admettre que la lésion nerveuse périphéri- que par exemple puisse créer un trou
ques ne sont jamais comparables cliniquement à la grande arthrophie nerveuse , celle du tabes et de la syringomyélie, qui est,
ir dès le début par des consi- dérations historiques,l'arthropathie nerveuse vraie ne ressemble ni aux arthropathies névriti
musculaire est le fait essentiel. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE HYPERTROPHIE CONGÉN
E PAR R. CESTAN. Interne de la Clinique des Maladies du Système Nerveux . Le développement des extrémités peut dévier en
été impossible de déterminer la nature et il aurait une soeur très nerveuse . Le malade affirme que dans sa famille il n'a j
lques stigmates de dégénérescence, qu'il des- cend d'une famille de nerveux , qu'il a un état mental tout particulier, on re
ne puisse survenir chez un sujet hystérique, ou neurasthénique, ou nerveux . Au contraire, des causes de dépression sont né
lir, mais les autres signes qui seraient capables de révéler l'état nerveux du malade sont nuls ou très effacés. 1 La cau
ENT MÉDICAL DU TORTICOLIS MENTAL 405 pas l'intervention d'un centre nerveux anatomique, mais d'un centre fonc- tionnel dont
a donnée M. Grasset lui-même : « Des causes de dépression du système nerveux (alcoolisme, excès, préoccupations morales) ent
'mère avait eu des attaques de nerfs. Sa mère et sa soeur sont très nerveuses . Lui-même, à 18 ans, a eu du rhumatisme articulai
pratiques, 25 janvier 1894. E. Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses recueillies et publiées par H. Meige (Salpêtriè
bien à la description de Ji Éléphantiasis des Grecs. 2° la Lèpre nerveuse anesthésique ou trophoneurotique, dont les lésion
une égale vérité des exemples de la Lèpre tuberculeuse, de la Lèpre nerveuse , et de la forme mixte de cette ma- ladie. Nou
sur le dos des mains, sur les coudes et les genoux. Dans la Lèpre nerveuse (Lèpre de Danielssen), à ces phénomènes tro- (1
bras gauche pend, inerte, sans main, terminé par un moignon : Lèpre nerveuse et mutilante. A gauche, un autre s'avance, mont
age d'analogies avec les pieds déformés par les lésions de la Lèpre nerveuse et mutilante. La main gauche sur laquelle s'appui
gne presque exclusif d'une autre affection, d'origine exclusivement nerveuse celle-là, et décrite par un éminent clinicien d
radiographies), par ALBERT LONDE et Henry MEIGE, 36. Arthropathie nerveuse vraie et troubles trophiques articulaires d'app
ol, par P. E. I,AUNOts (2 phototypies), 355. Lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine (note sur l
ototypies), 332. Noevi dans leurs rapports avec les terri- toires nerveux , par G. ETIENNE (3 des- sins, 4 phototypies et
3. , Polynévrite dans ses rapports avec les lésions de la cellule nerveuse (histolo- giepathologique),par SOUKIIANOFF (4 f
, CABANNES (C.) et J. Sabrazès. Note sur les lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine (25 figures
. ETILNNE (G.).Des nsevi dans leurs rapports avec les territoires nerveux (3 dessins, 4 4 phototypies et 1 photogravure),
mante de Paget) (2 planches), 198. LONDE (Peur.). De l'Arthropathie nerveuse vraie et des troubles trophiques articu- lair
. Sabrazès (T.) et C. CABANNES. Note sur les lésions des cellules nerveuses de la moelle dans la rage humaine (25 figures
de la polynévrite dans ses rapports avec les lésions de la cellule nerveuse (6 figu- res), 347. Souques (A.) et PAUL ;RIC
63 (1912) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 25] : iconographie médicale et artistique
plus : le type oxycéphalique, en dehors de son cortège de symptômes nerveux bien connus (atrophie des nerfs optiques, strabis
son « His- toire critique des théories et des doctrines du système nerveux » des têtes mal conformées chez lesquelles il f
enir que, ni les lésions des nerfs optiques, ni les autres troubles nerveux concomitants, ni tous les autres symptômes ocul
nital de la petite fille. Aucune symptomatologie du côté du système nerveux , tous les réflexes sont normaux. L'intelligen
dans sa famille d'affection pareille à la sienne, ni d'affec- tion nerveuse d'aucune sorte. Pour ce qui est des antécédents
d'après la méthode de Cajal n'a pas démontré l'existence de fibres nerveuses . Mais l'examen complet des nerfs SUR LA COEXIST
l'épidémie de grippe de 1910. L'examen macros- copique des centres nerveux fut négatif. On trouva de l'infiltration tubercu-
s pièces d'une tuberculose banale. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX DE L'HOP1TAL PANTELIMON (BUCAREST) DEUX CAS D
malade accepte d'entrer dans le service de la clinique des maladies nerveuses de l'hôpital Pantélimon, seulement pour quitter
père l'amène à Bucarest dans le ser- vice de clinique des maladies nerveuses , le 2 octobre 1910. Etat présent. - A l'entrée
. D'ailleurs Oppenheim, dans son traité bien connu sur les maladies nerveuses , men- tionne que les formes aiguës de méningite
sme. Il y a des faits qui plaident pour la participation du système nerveux dans beaucoup d'états toxi-infectieux, d'aulres o
éninges sont atteintes même dans les cas où il manque de phénomènes nerveux . En effet, Liebermeister (1), parmi onze cas de
ze cas de pneumonie sans symptômes méningiliques et dont le système nerveux était macroscopiquement normal, a trouvé trois fo
(1), dans un article du Manuel d'Anatomie pathologique du sys- tème nerveux , dit que dans l'hydrocéphalie les plexus choroïde
e non seulement une hydrocéphalie, mais d'autres lésions du système nerveux central donnant lieu à des syndromes divers. C'
nt décrites. Il en est résulté, dans ce territoire de la Pathologie nerveuse , une oeuvre de syn- thèse qui tend à faire de c
s de l'enfance ni de traumatisme crânien. Le début de son affection nerveuse n'a pu être déterminé, un fait du moins paraît
ce trop contingent pour servir de carac- téristique à une affection nerveuse . Il n'en est pas de même du caractère héréditai
oelle est généralement diminuée de volume; sur aucun point de l'axe nerveux on ne trouve de plaques de sclérose. Le sys- tè
s souvent en effet on rencontre des formes hybrides de ces maladies nerveuses dites héréditaires et fami- liales. Soderberg e
romes étant d'ailleurs atypiques. Suivant Ettore Levi, l'hypoplasie nerveuse congénitale el l'usure fonc- lionnclle des élém
lologiques sont les deux fadeurs des maladies familiales du système nerveux . L'organisation anatomique défectueuse est la c
is, en effet, chez des sujets en apparence indemnes de toute lésion nerveuse , n'a-t-il pas orienté le diagnostic vers une sy
omme sain elque leur absence dénoie un état pathologique du système nerveux . Cette opinion, basée sur un nombre d'examens p
s de Minor (4) où l'abolition des réflexes rotuliens, seul symptôme nerveux , était en rapport (1) In thèse de TIIIÈME, Pari
entent pas d'altérations notables. IL Examen particulier du système nerveux GaST1t111UE. - Nous n'avons malheureusement pu
t111UE. - Nous n'avons malheureusement pu examiner que les éléments nerveux enfermés dans les parois de l'estomac; il nous
dans les parois de l'estomac; il nous a manqué l'examen des filets nerveux macrosco- piquempnt visibles hors de l'estomac
n'avons pu appliquer la méthode de Weigert-Pal à l'étude des fibres nerveuses de la paroi gastrique, si tant est que ce procé
nt la même région ; elle est traduite par une raréfaction des tubes nerveux et par l'abondance du tissu hyalin, fibreux, où
t des régions similaires du cordon posté- rieur gauche où les tubes nerveux sont serrés et compacts. 5° Régions lombaire su
ans un fonction- nement défectueux du pouvoir conducteur des fibres nerveuses . La perte de la gaine de myéline, la nutrition
tent sans effet, qu'il sur- vienne une modification dans le système nerveux capable d'exagérer les réflexes rotuliens, comm
hérapeutiques don- naient plus de vivacité aux fonctions dynamiques nerveuses . En outre, le traitement spécifique, surtout da
ent le flot des excitations nouvelles qui circulent dans le système nerveux . Maintes observations faciles à faire sur soi-mêm
s, il n'est pas vain de soupçonner derrière ce syn- drome la lésion nerveuse qui fait le fond de la maladie ; et nous prenons
qui fait le fond de la maladie ; et nous prenons le terme de'lésion nerveuse dans son sens le plus large, tenant compte de c
qui prendrait plus près de leur début anatomique les déterminations nerveuses de la vérole, car une des raisons qui fait qu'on
omparativement, la part qu'on peut faire à l'estomac et aux lésions nerveuses dans la pathogénie des crises gastriques du tabes
tante, dans la pathogénie des crises gastriques, à des altérations nerveuses périphériques du sympathique et du pneumogastri
l'hypothèse que nous avons émise, parce que l'étendue des lé- sions nerveuses sympathiques permet de considérer ces lésions ner
s lé- sions nerveuses sympathiques permet de considérer ces lésions nerveuses sympathiques comme leur étant secondaires, conf
gastropathies simplement concomitantes et indépendantes des lésions nerveuses ou de la syphilis (gastrites médicamenteuse, étly
variées soient sous la dépen- dance directe des lésions du système nerveux . . Quelles que soient leurs causes, ces lésions
nir les crises gastriques chez les malades atteints d'une affection nerveuse qui, elle, est nécessaire^ Quelle est celle ci
amens histologiques complets portant non seulement sur le sys- tème nerveux central, et sur les parois de l'estomac, mais enc
central, et sur les parois de l'estomac, mais encore sur le système nerveux périphérique. Cette impression que nous nous so
penser qu'il s'est produit une amélio- ration anatomique des fibres nerveuses malades et une amélioration des DE LA CONSERVAT
DE LA CONSERVATION ET DU RETOUR DES RÉFLEXES ROTULIENS 99 fonctions nerveuses en général. L'influx autrefois incapable de passe
réalisent, sans doute par une sorte de mise en tension des éléments nerveux , des condi- tions plus favorables au passage à
i- tions plus favorables au passage à travers la moelle de courants nerveux renforcés et plus nombreux, ainsi qu'à leur uti
es s'améliorent ou si les excitations qui circulent dans le système nerveux augmentent, les réflexes peuvent réapparaître.
ntenses. 100 CHALIER ET NOVf-JOSSERAND Quant à la pari du système nerveux , elle demande à èlre précisée par de nouvelles
de l'uro- tropine dans toutes les opérations intéressant le système nerveux central. Actuellement, ce médicament est très e
calme et très doux. La mère a 52 ans ; elle est, dit-elle, « aussi nerveuse , aussi impressionnable que son garçon ». Il f
très mince et mange à peine. A quinze ans, il a plusieurs crises nerveuses a caractère névropaihique. Elles se produisent
ents que plds tard, il 132 . GALLA1S ' devient sombre, les crises nerveuses se rapprochent, il en a plus de dix par jour.
rticaire et dermographisme paraissant en rapport avec l'éré- thisme nerveux . La sensibilité d'ailleurs et les réflexes cuta
n'est ni une forme mixte, ni une forme systématisée tégumentaire ou nerveuse . Il n'y a-ni tubercules, ni léprômes, ni ulcères.
ace cutanée. » Et c'est particulièrement dans la lèpre systématisée nerveuse , que cet auteur a pu la relever. Ici en faveur
cet auteur a pu la relever. Ici en faveur de l'atteinte du système nerveux ,d'une part la symélrie des joues colorées ou dé
es arguments appréciables. Sans doute la lésion possible des troncs nerveux ne se manifeste pas par une hypertrophie évidente
une hypertrophie évidente des nerfs,mais il est net que l'appareil nerveux est en cause; dans le livre de Leloir l'ob- ser
ES RÉFLEXES ROTULIENS . , SANS AUTRE SIGNE D'AFFECTION DU SYSTÈME NERVEUX PAR le D' Louis DUPUY, Médecin major de 2-
utres cas, le réflexe est nul en l'absence de tout autre symptô- me nerveux . Celte absence du réflexe achilléen ou du réflexe
du réflexe rotulien chez des sujets indemnes de tout autre trouble nerveux est mal connue. Les sta- tistiques publiées à c
Ileens et rotuliens peuvent être trouvés nuls sans autres troubles nerveux à un âge avancé, vieillesse (Mubius),au delà de
réflexes acllilléens oudes réflexes rotuliens sans autre trou- ble nerveux est estimée pathologique par Bahinsl : i,Oppenbei
ou plusieurs réflexes chez un sujet indemne de tout autre symptôme nerveux peut être qualifiée absence monosymploma- tique
xe achilléen a élé trouvé nul des deux côtés et l'examen du système nerveux a décelé un tabès jusqu'alors ignoré. Un sujet
nul, soit d'un côté, soit des deux côtés, en l'absence de symptômes nerveux d'ordre différent; chez 7 d'entre eux celle irr
orsqu'un homme présentant cet état vient à contracter une affection nerveuse ou susceptible d'intéresser le système nerveux
acter une affection nerveuse ou susceptible d'intéresser le système nerveux et se présente à un médecin, celui-ci peut plac
ou des réflexes roluliens constatée en dehors de tout autre trouble nerveux ? ' ? Quelle est la nature et quelle est l'orig
e ceux-ci ne peut qu'être infime. L'abolition sans autre symptôme nerveux des réflexes achilléens ou des réflexes rolulie
L'une des diverses affections, des nerfs, des racines ou des centres nerveux , susceptibles d'abolir les réflexes est en caus
d'entre eux les réflexes rotuliens nuls sans autre signe de maladie nerveuse . Les auteurs trouvent ces ré- flexes absents da
u examen clinique complet décèle une affection organique du système nerveux , soit jusqu'alors insoupçonnée, soit anté- rieu
t guérie. Dans d'autres cas, le réflexe est nul sans autre symptôme nerveux . Dans les conditious où j'ai observé, cette irr
up plus fréquente que l'irréflectivité associée à d'autres troubles nerveux . Elle existe dès la 25e année. Le nombre des cas
ont le sujet ne songe pas à se plaindre, peut révéler une affection nerveuse . Sa recherche doit faire partie de la prophylaxie
dent au cerveau. Quant au mécanisme de leur action dans les centres nerveux et en particulier de celle qu'ils y exercent su
i i faire jouer un rôle prépondérant dans la physiologie du système nerveux (i) Lettre CLXXXVI il 111ersenne [t avril 164 O
re du cerveau parl'ou- verture variable de chacun des petits tuyaux nerveux dont la réunion cons- titue le nerf optique. D'
tre une résistance variable suivant l'ouver- ture des petits tuyaux nerveux . En sorte que la glande se trouve influencée en
eçeu l'impres- sion de quelque idée » ils pénètrent dans les luyaux nerveux qui consti- tuent la substance cérébrale et plu
'actuellement nous tenions d'expliquer le fonctionnement du système nerveux : par des comparaisons que nous empruntons à de
hisme de la plupart des glandes à sécrétion interne et les troubles nerveux dont s'accompagnent leur hy- perfonctionnement
ructure du cytoplasma ou du noyau. Ce genre d'études sur la cellule nerveuse qu'on a élevé, pour ainsi dire, en cul te de so
ion. Mais il est permis de se de- mander si les images des cellules nerveuses que nous avons obtenues au moyen des agents fix
agents fixateurs qui tous allèrent la vraie structure de la cellule nerveuse , correspondent à la réalité et si les conclusions
tique de nos connaissances actuelles sur la structure de la cellule nerveuse et de l'examen à la lumière des données nouvelles
t, d'autre part, les réactions chromatiques qu'offrent les cellules nerveuses , encore vivantes, xxv 13 194 MARINESCO trai
orantes. C'est de l'application de la première méthode à la cellule nerveuse que je m'occuperai dans ce travail, car l'avène
étés générales des colloïdes, car ainsi que je l'ai dit, la cellule nerveuse comme toute autre cellule peut être définie comme
eau et pauvre en colloïde. Le cytoplasma des cellules des ganglions nerveux et sympathiques de tous les mammifères et d'ani
ence de-granulations plus ou moins fines qui impriment aux cellules nerveuses une luminosité variable avec t'age et l'espèce
és optiques font partie intégrante de la constitution du cytoplasma nerveux . Elles existent probablement à tous les âges et d
la vie embryonnaire. Comme tous les autres composants de la cellule nerveuse , elles subissent des modifications parallèles à
constatations nous autorisent à affirmer que les diverses cellules nerveuses offrent une structure ultramicroscopique différen
stance et la viscosité du cytoplasma et du karioplasma des cellules nerveuses , car celles-ci varient avec les différents centre
llules nerveuses, car celles-ci varient avec les différents centres nerveux chez les différents animaux. En effet, même dan
gtemps. Les modifications que détermine la compression des cellules nerveuses peuvent nous fournir quelques données sur la co
ication très intéres- sante qui dénote la plasticité de la cellules nerveuse , c'est la tendance à la 204 ' MARINESCO lobul
t de conclure que le complexus colloïdal qui constitue les cellules nerveuses ne peut pas être considéré comme un sol, mais c
bservations, c'est que le cyloplasma et le karioplasma des cellules nerveuses ne peuvent pas être comparés à un sol et que la
, les cellules des ganglions spinaux et sympathiques et des centres nerveux contiennent chez toutes les espèces animales ob
ulations colloïdales. C'est ainsi par exemple qu'après les sections nerveuses , lorsqu'on traite des cellules de ganglions greff
lerfibrillaires, lesquels ressemblent par la structure au réticulum nerveux Mais quelques auteurs italiens ont à leur lour
elle méthode d'investigation consistant dans la fixation du système nerveux il l'aide d'un mélange réfri- gérant, n'a pas p
retrouver la structure fibrillaire dans le protoplasma des cellules nerveuses , ni dans leurs prolongements : aussi, bien qu'il
les neurobiones s'usent ou subissent des pertes pendant l'activité nerveuse . Parmi les émigrations et les métamorphoses des n
ne constate pas de pareils phénomènes lorsqu'on traite les cellules nerveuses par des agents coagulants et particulièrement par
oyé le chlorure de nickel , de manganèse et de cobalt. Les cellules nerveuses ont été dissociées dans la solution corresponda
age latéral avec ceux donnés par l'éclairage direct. Les cellules nerveuses des ganglions spinaux dissociées dans l'acide a
analogues. Dans l'acide chlolydri- que, le cytoplasma des cellules nerveuses est parsemé de fines granulations lumineuses, t
emier ordre, a été fréquemment employé pour la fixation des centres nerveux . Il produit des modifications profondes de l'ét
oduit des modifications profondes de l'état colloïdal de la cellule nerveuse .. Les cellules sont évi- demment rétractées, le
endant quelque temps la structure ultrami- croscopique des cellules nerveuses . Mais si nous faisons usage d'une solution hype
ytes telles que l'urée, l'antipyrine et la glycérine sur la cellule nerveuse . Dès le commencement, il faut établir que l'ac-
ents corps est sous la dépendance de l'état où se trouve la cellule nerveuse en expérience, de l'âge et de l'espèce de l'ani-
ESSAI DE BIOCYTONEUROLOGIE AU MOYEN DE L'ULTftAhiICROSCOPE 217 les nerveuses et qui consistent en une cytolyse rapide, par sui
it pas visible, on ne saurait pas si l'on a devant soi des cellules nerveuses . Si l'on fait usage d'une solution salée d'ammoni
nocive se borne plus particulièrement à la périphérie de la cellule nerveuse , il n'y a pas de vide périnucléaire. La membrane
es gra- nulations. La glycérine, de par son action sur la cellule nerveuse , occupe une place tout à fait à part dans le ca
oit, les modifications que la gly- cérine pure imprime à la cellule nerveuse ne sont pas définitives, mais en grande partie
es nous ontpermis-de mieux comprendre l'état physique de la cellule nerveuse et nous avons vu que le complexus col- loïdal q
fluide extrêmement visqueux. Toutes les modifications des cellules nerveuses réalisées par tous leurs- éléments constitutifs e
a- neuse serait dirigée parcelle de la moelle spinale. Le système nerveux naissant avant le système osseux, il est admissib
marches pathologiques garde toujours un gros intérêt en séméiologie nerveuse , grâce au secours qu'elle apporle au diagnostic
valeur de celte méthode dans l'étude et l'enseignement des maladies nerveuses . En ayant eu occasion d'employer la méthode cin
'utilité de la cinématographie dans l'élude des maladies du système nerveux (Encéphale, 1909, p. 410). Nouvelle Iconographi
, des racines rachidiennes avec leurs ganglions spinaux, des troncs nerveux périphériques et des muscles choisis dans les r
us un fort grossissement, conservent une structure normale : fibres nerveuses tassées les unes contre les autres, sans grande
ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE TYPE ARAN-DUCHENNE 287 Les fibres nerveuses sont plus ou moins atrophiées ; on trouve tantôt
ects très variés et sans relations évidentes avec l'état des fibres nerveuses ; il existe des gaines de Schwann linéaires, no
su conjonctif intrafasciculaire est moins aisée. Lorsque les fibres nerveuses sont tassées les unes contre les autres, entourée
aissent, au microscope (PI.XXXVIII), occu- pées par de rares fibres nerveuses très espacées, et composées essentiellement d'u
présentent les étapes principales de la dé- sintégration des troncs nerveux . Sur la fig. e les fascicules contiennent encor
/ témoigne d'un degré plus avancé dans la destruction des éléments nerveux : ceux qui restent paraissent dissociés, les uns
le tissu conjonctif réticulé. Ces coupes longitudinales des troncs nerveux périphériques permettent d'étudier les variatio
nn n'est pas propor- tionnelle au degré d'altération de la la fibre nerveuse : il est fréquent qu'une gaine hypertrophiée co
emble qu'il y ait là un processus de régénération. Fio. 3. - Fibres nerveuses . Coupes longitudinales des troncs nerveux. Obs.
ation. Fio. 3. - Fibres nerveuses. Coupes longitudinales des troncs nerveux . Obs. IV. oc. 6. NOUVELLE Iconographie DE la
trouve quelques-uns dans des espaces en apparence privés de libres nerveuses : ils sont dénudés, sans gaine de myéline, ni mem
état pathologique de faible inten- sité. Sur l'ensemble des troncs nerveux examinés, il ne semble pas qu'il y ait une augm
ment sensitive. L'étude histologique a porté surtout sur les troncs nerveux de la racine des membres : les modifications si
uscles exten- seurs du pied très atrophiés et parésiés), les fibres nerveuses sont moins non]-, breuses qu'il l'état normal,
s des gaines de Schwann. Plus loin encore, notamment sur les filets nerveux intramusculaires des 290 LONG muscles extense
vant-bras, on constate que la disparition d'une partie des éléments nerveux est remplacée par une sclérose de faible intensit
e faible intensité. Les lésions si caractéristiques des gros troncs nerveux ne se retrouvent donc plus à la périphérie. P
ns (PI. XL). Il s'agit, tantôt d'une raréfaction diffuse des fibres nerveuses qui fait paraître le tractus moins coloré par l
retrouve aussi la même disposition histologique que dans les troncs nerveux périphériques : atrophie des fibres nerveuses et
que que dans les troncs nerveux périphériques : atrophie des fibres nerveuses et épaississement concentrique de leurs gaines
figure i montre la ire racine dorsale, la dégénérescence des fibres nerveuses n'apparait qu'au niveau du trou de conjugaison et
ent cervical. Pans les nerfs : atrophie d'un grand nombre de fibres nerveuses ; hypertrophie fréquente des gaines de Schwann so
en tissu conjonctif dense, sans augmen- tation de volume des troncs nerveux . Quelques vasa nervorum en état d'hypertrophie.
s, bleuâtres ; sur les coupes, on voyait une raréfaction des fibres nerveuses qui parfois atteignaient une épaisseur anor- ma
tacte ; dans les nerfs des régions malades, une atrophie des fibres nerveuses et une infil- tration interstitielle par du tis
aissies. Ces altérations, qui n'atteignent pas la totalité du tronc nerveux , mais laissent des fibres et des fascicules sai
uleurs. Les cordons postérieurs de la moelle sont sclérosés (fibres nerveuses incluses dans une substance granuleuse à noyaux
t épaissies dans la partie infé- rieure de la moelle ; leurs libres nerveuses sont entourées d'un tissu conjonc- tif abondant
altérées, les racines du plexus cervical sont indemnes. Les troncs nerveux périphériques, jusque dans les muscles, ont un
et un tissu conjonctif abondant, riche en noyaux, autour de fibres nerveuses plus ou moins altérées. Ces lésions font défaut d
aires. Dans les formes plus extensives, elle atteindrait les troncs nerveux , les racines rachidiennes et même la moelle. (2
e de Médecine, 1890, p. 441. 290 LONG la disparition des éléments nerveux . « Certaines de ces enveloppes, qui sur les cou
coupes se présentent comme des anneaux, ne contiennent pas de fibre nerveuse noire (imprégnation par l'acide osmique el le car
érieures à peine altérées. Dans les nerfs périphériques, les fibres nerveuses avaient disparu en partie, séparées par de larges
degrés. Dans les nerfs périphériques, tantôt diminution des fibres nerveuses , épaississement de la gaine lamelleuse et dévelop
ite interstitielle ni de dégénération apprécia- ble dans les troncs nerveux des membres ; les nerfs cutanés sont intacts ; le
graisseuse; fuseaux neuro-musculaires lésés avec atrophie des tubes nerveux (Dans la discussion de cette observation, les aut
iphériques, diminution numérique et diminution de volume des fibres nerveuses incluses dans une sclérose inters- titielle de
on des réactions électri- ques, parfois RD. Hypertrophie des troncs nerveux , sans nodosités, sans douleurs à la pression. D
bots, scoliose, perte des réflexes tendineux, hypertrophie des troncs nerveux , troubles de la sensibilité cutanée : pas de ph
eri, on trouve un phénomène anato- mique, l'hypertrophie des troncs nerveux , appréciable à la palpation, et qui constitue u
clinique ; or les .coupes histologiques montraient dans des troncs nerveux de volume normal des gaines de Schwann d'une ép
n IIISTOLOGIQUE. - Intégrité de la moelle épinière. Dans les troncs nerveux périphériques, diminution du nombre des fibres à
éticulé, tantôt épaissi et condensé dans les intervalles des fibres nerveuses . Présence de gaines conjonctives annulaires et
303 rieures seules sont lésées et à un moindre degré que les troncs nerveux du plexus brachial. Pas d'augmentation du tissu
les maladies relevant de processus dégénéra tifs lents des centres nerveux , des nerfs ou des muscles. Dans ces maladies di
berg ont fait t défaut. Quant à l'absence d'hypertrophie des troncs nerveux , elle est due au fait que la sclérose interstit
de la fibre musculaire. Les rapports entre l'atrophie des fibres nerveuses et t'hypertrophie des éléments interstitiels so
RESSIVE TYPE-ABAN' DUCHENNE oua en indiquent l'absence ; les fibres nerveuses disparaîtraient donc dans certains cas d'amyotr
une hyperplasie interstitielle ac- compagne l'atrophie des éléments nerveux , sans avoir de relations pro- portionnelles ave
ctif dense ou de tissu réticule, dans laquelle passent t des fibres nerveuses , normales ou atrophiées (cas Westphal, Gierlich,
, l'hypertrophie des gaines de Schwa.nn constitue autour des fibres nerveuses d'épais man- chons, cylindriques, composés d'él
apport avec l'état de l'élément conducteur ; on peut voir une fibre nerveuse bien conservée, entourée d'une gaîne de Schwann
t d'un état dégénératif disséminé, altérant avant tout les éléments nerveux pé- riphériques et avec moins de gravité l'axe
rocessus dé- génératif a porté son action exclusive sur les centres nerveux . Pour les muscles, la même question se pose : l
l, âgé de 51 ans, entre dans le service de la Clinique des maladies nerveuses le 21 juillet 1911 pour une paralysie marquée d
stent à droite avec leurs mêmes caractères ; la pression des troncs nerveux , la manoeuvre de Lasègue ne les réveillent pas. L
u ; toujours pas de douleur à la pression des muscles et des troncs nerveux ; il existe une hypoesthésie à tous les modes, su
ment dégénérées. La tumeur est parsemée de petits amas de fibrilles nerveuses enroulées (n), véritables névromes de régénératio
e, PAR le P' G. MINGAZZINI, Professeur de clinique des maladies nerveuses à l'Université de Rome. Malgré tout le soin que
forme que ce soit de la sensibilité, que la compression des troncs nerveux et même de la colonne vertébrale n'est pas doul
ophie musculaire, on puisse faire appel à l'intervention du système nerveux central ou périphérique comme dans la myopathie
arinesco, loc. cit. (2) Raymond, Leçons sur les maladies du système nerveux , Paris, Doin 1900, IV° s., p. 253. (3) Halls
ien d'étonnant à ce qu'un traumatisme puisse déterminer des lésions nerveuses ou vasculaires qui, à leur tour, provoquent au
ou de plusieurs os des lésions identiques à celles que des lésions nerveuses ou vasculaires diffuses pourraient déter- miner
l'ostéopathie pagétique, sans doute par l'intermédiaire de lésions nerveuses ou vasculaires qu'il détermine. Notre cas nous
partie antérieure ex- pliquerait particulièrement bien ces lésions nerveuses ou vasculaires, le paquet vasculo-nerveux étant
différents organes à la suite de lésions trophiques d'origine soit nerveuse soit surtout vasculaire. Ce syndrome pourrait ê
une affec- tion généralisée (infection ou intoxication avec lésions nerveuses ou vas- culaires diffuses) quand elle est génér
u'il peut à lui seul déterminer de gros- ses lésions vasculaires ou nerveuses dont d'importants troubles trophi- ques peuvent
22 juillet 1911. A sou arrivée à l'H. G. de N., dans le service des nerveux , le petit malade a les yeux fixes, ouverts d'un
persé- cution. - La mère, après avoir été toute sa vie une grande « nerveuse », est prise subitement, quelques mois après la
, Mosny et Ba- rat, etc. Dans son livre sur la syphilis des centres nerveux , Nonne cite trois cas analogues. Enfin dans un
ste ou qu'il n'existe pas de signes évidents de syphilis du système nerveux . I Sur nos quatre cas avec examen anatomique, d
examen anatomique, deux se rattachent cer- tainement il la syphilis nerveuse dont' on pouvait poser le diagnoslic pendant la
cas. Cette variabilité pathogénique, cette fréquence de la syphilis nerveuse , et en particulier l'association possible du ta
e dans un certain nombre d'observations. 1 Dans les cas de syphilis nerveuse et plus particulièrement de tabès, elle / est r
côté droit, et déterminant une des- truction considérable des tubes nerveux facile à mettre en évidence par le Weigerl-Pal
e. La lésion consiste essentiellement en la dispari- tion des tubes nerveux , disparition qui est telle que le cubital à parti
nés, il existe quelques gaines myéliniques vides, et quelques tubes nerveux déformés, monili formes. L'on peut dire pourtant,
se rapportent. (A (A suivre.)- ). CIVIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . HOSPICE DE LA SALPÈ1HIÈRE. Tiavail du labora
éoplasmes de môme nature qui se développent dans les autres centres nerveux . Admet-on, au contraire, l'origine inflammatoire,
naît pas parmi les maladies fran- chement inflammatoires du système nerveux une seule affection, dans la- quelle les lésion
Dyi la commissure antérieure fait défaut et aucun pont de substance nerveuse ou gliomateuse, n'est jeté entre les deux côtés
s sont nettement striées ; à leur voisinage on voit quelques fibres nerveuses , dont quel- ques-unes viennent s'appliquer à le
use, ainsi que la couche névro- glique sous-pie-mérieqne. Les tubes nerveux les plus périphériques sont dissociés par place
es cavités, des fentes et des diver- ticutes, en morcelant le tissu nerveux et le gliome, en poussant des bour- geonnements
re au même niveau ; des hétérolopies, telles que des amas de fibres nerveuses dans la cavité. La présence de fibres musculair
tante, n'ayant pas présenté de convulsions dans son enfance, mais « nerveuse » et assez facilement irascible. La femme de Th
le sait actuellement, conditionnent souvent des lésions du système nerveux , demeurées silen- cieuses pendant de longues an
es : les lésions sem- blent guérir en apparence, mais les séquelles nerveuses , qui subsistent d'abord silencieuses, se tradui
oid latent ou visible causé par la dépression, ou bien des troubles nerveux provenant de la compres- sion médullaire. La gi
très difficile de dia- gnostiquer la maladie de Pott avec symptômes nerveux à un âge avancé et : sans qu'il y ait signe extér
ertèbres. Alquier, dans son travail Principales formes des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité, lâche de di
ubstance blanche, occa- sionne une solution de continuité des voies nerveuses et comme résultat final, on a des symptômes de
rs dans les faisceaux postérieurs, on constate l'absence des fibres nerveuses isolées. Le faisceau de Goll dans sa partie posté
s vaisseaux et les espaces périvasculaires sont dilatés. Les cellules nerveuses des cornes antérieure et postérieure sont norma
plutôt d'une influence prépon- dérante de l'oedème de la substance nerveuse et des troubles circulatoires. Il y a lieu de s
provoqué l'interruption totale ou partielle dans la conductibilité nerveuse des voies sensitives et motrices amenant, par s
on., 1906, t. XIX. 3. Alquier. Les principales formes de troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité. Nouv. Icon.
oyé de commerce. Il est venu à la consultation externe des maladies nerveuses de Santa Mar- tha le 28 février 1912. Il a co
, couturière. Elle est venue à la consultation externe des maladies nerveuses de l'Hôpital Santa Martha le 29 mai 1912. Il
raides, mais tous les mouvements sont faciles. Examen du système nerveux . - Rendu difficile par les ankyloses et l'état
onne et des genoux sans signe d'affectation caractérisée du système nerveux on note une atrophie de date ancienne isolée et
e est limitée au côté droit. A l'autopsie, la moelle et les centres nerveux paraissent macroscopiquement indemnes, sauf que
sse. Lésion massive du cubital. Il ne reste plus que quelques tubes nerveux conservés groupés en un fais- ceau minuscule et
dans la figure précédente. Lésion dimidiée du médian, à droite tubes nerveux relativement conservés (un grand nombre d'entre
grossissement présen- tent des lésions manifestes), à gauche, tubes nerveux vides, étouffés par le tissu scléreux. Augmenta
ssermann positif, sans autre signe clinique de syphilis des centres nerveux . Observation VI Ga..., 70 ans, ménagère. Mari
i que les membres supérieurs et infé- rieurs. L'examen du système nerveux ne révèle rien de spécial. Les réflexes rotu- l
rant gal- vanique. En résumé, c'est un malade atteint de syphilis nerveuse , à type de tahes supérieur. Atrophie isolée d
gts. Pas d'autres troubles sensitifs. L'examen somatique du système nerveux ne révèle rien autre chose. Les réflexes rotu
ants pour éviter de confondre une amyotrophie thénarienne d'origine nerveuse avec une atrophie parlésion simple de voisinage
rouvé une névrite périphérique intense avec intégrité des cen- tres nerveux . Or plusieurs de ces malades avaienl des mains
e. . Parmi nos 6 cas cliniques, 3 présentent des signes de syphilis nerveuse . La syphilis sera donc d'emblée soupçonnée, et
ette singulière fragilité. EsL-ce une question d'irrigation ? L'axe nerveux est-il à ce niveau plus débile ou moins bien no
natiunal des sciences médicales, Moscou, 1807. Section des maladies nerveuses et mentales, p. 159. `VALLEC7WEaf·It. - Sur le
nous émettons l'hypothèse très logique de l'influence de la lésion nerveuse . La tumeur pituitaire a pu jouer un rôle favori
eux dans le mécanisme de l'intoxica- tion. Ces rapports entre l'axe nerveux et le rein sont d'ailleurs bien connus. Ascoli
riences avaient démontré l'action de la néphrolysine sur le système nerveux , action presque élective, et on a presque unive
ve, et on a presque universellement admis le rôle de l'imprégnation nerveuse dans la pathogénie des accidents urémiques. Si
istence d'une tumeur l' hypophysaire constitue déjà pour le système nerveux une lésion qui le rend plus vulnérable, il est
présenter presque fatalement comme une intoxication rapide à forme nerveuse . II. - Ceci pourrait déjà constituer quelques r
e contre-indication particulière des signes d'excitation du système nerveux . C'est une thérapeutique de dernière analyse, ell
Hospice Marcoutza. C. PARHON, Professeur de Clinique des Maladies Nerveuses et Mentales à la Faculté de Médecine de Jassy,
abondante, excepté toutefois la région d'union du lobe épithélial et nerveux . Notons encore une riche vascularisation de l'o
i, in Traité de méd. de Gilbert et THOINOT, t. XXXI, Sémiolo- logie nerveuse , p. 559. (2) Laionel-Lavastwe et VL\RI1, Adipos
station debout prolongées, mais pas de douleurs vives. Ni troubles nerveux , ni troubles psychiques. L'exploration des visc
cas l'infection tuberculeuse a pu déterminer au niveau des éléments nerveux des lésions se traduisant à la périphérie par d
vie de l'homme consiste dans le feu naturel qui est la hase du suc nerveux et du balsame électrique lequel est-introduit par
l s'affaiblit par la constipation ou par d'autres obstacles, le suc nerveux ne peut être, ni tontine par le hal- same du fe
on d'autres re- mèdes] qui dissipe la constipation, fortifie le suc nerveux , lequel conduit dans les vaisseaux. Je crois al
ents n'ont aucune effica- cité, comme par exemple dans les maladies nerveuses , dans la goutte, dans les maladies des yeux où
ectri- cité. L'hémiplégie est causée par l'imperméabilité du fluide nerveux dans les nerfs du côté paralysé ce qui a lieu a
s d'un processus morbide du côté opposé. L'imperméabilité du fluide nerveux provient ou bien d'une faiblesse de la force mo
s renseignements intéressants sur la physiologie surtout du système nerveux central qui valent la peine d'être lus dans l'ori
ssaie d'en donner une explication. Il s'étend ensuite sur le fluide nerveux qui est un fluide électrique et dont on peut pr
'électrothérapie au moyen de laquelle on donne des forces au fluide nerveux et on dissout les obstacles dans les nerfs. - O
et des réflexes rotuliens sans autre signe d'affection du système nerveux ), par Dupuy, 153. - rotuliens (Conservation et
lexes achilléens et des z sans autre signe d affection du système nerveux ), par Dupuy, 153. Spondylose rhizomélidue (1 pl
64 (1890) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 5
ude. On sait qu'une des propriétés les plus remarquables du système nerveux est la tendance à l'activité automatique. L'accom
la présence des stigmates de dégénérescence phvsiquc et des-troubles nerveux chez les individus de race îsraélite. La constata
e surmenage intellectuel ont compromis l'évolution normale du système nerveux . D'une façon générale les «mychophages sont dan
s ont disparu rapidement sous l'influence du traitement. Son père est nerveux Cl doué d'un caractère emporté. Sa mère n'accuse
erveux Cl doué d'un caractère emporté. Sa mère n'accuse aucun trouble nerveux . Un oncle maternel a eu quelques crises de somnam
Un frère de l'enfant est bien portant, mais il a deux so-urs qui sont nerveuses . Siss ilenls sont défectueuses ; ses oreilles son
eudormi profondément. Sous l'influence îles suggestions, les troubles nerveux , onychophagie. vertiges, somnambulisme, oui dispa
rchand de vins, c est-à-dire buveur professionnellement : su mère esl nerveuse . La malade a élé en retard dans son dé\cloppciucn
«I arrêt qui est une des propriétés les plus remarquables du système nerveux : c'est ce qui explique In dilliculté de la gttéri
e— d'une légèreté île moeurs avérée, Grand d'mère maternelle — crises nerveuses — porlée un lihrrti-nage. Oncle maternel : menteu
isme el de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiologique. De
l'estimait hvstérique. l'on attribuait ses douleurs à son a lier-lion nerveuse . M. Von Winiwarter me priaitde venir l'Inpnoliser
le l'appel au cerveau de l'at-tentioii, ou autrement dit. de la force nerveuse qui. dans cet organe, vient se concentrer avec ac
par exemple, qui est en grande partie l'objet de ce travail, la force nerveuse s'accumule et se lixe sur l'idée de dormir: de là
où. comme auparavant, il reste encore au dormeur quelque peu de force nerveuse libre et en mouvement. Par l'effet de relie dis
pos de» mouvement- du cerveau pendant, el ronoéculivemcnl dr la force nerveuse . Sans îmago.il me wrail difficile de bien rendre
ues.ou range la maladie dusomuieil. la peur, la colere, les accidents nerveux qui succèdent aux grandes exci-" talions morales,
En outre, en ce livre il a été établi que. dans le sommeil, la force nerveuse d'attention, force abstraite que j'y ai considéré
onné aux autres parties de l'organisme, où les mouvements de l'action nerveuse diminués continuent toujours à se produire, mais
uite île celle dissociation inverse dans la distribution «le la forée nerveuse d'attention, il arrive que. dans le sommeil, les
nerveuse d'attention, il arrive que. dans le sommeil, les mouvements nerveux habituels étant devenus beaucoup moins actifs, ce
ons'esl endormi est comme vivifiée par une grande provision d'énergie nerveuse mise en réserve sur ces idées. Alors cette pensée
soutirants l'énergie qui est à sa disposition pour ramener les forces nerveuses â l'harmonie là où l'harmonie était troublée. D
scients sont construits, pendant le sommeil profond, avec de la force nerveuse en excès et arrêtée d'abord siu L'idée de dormir,
épète : au pôle d'inertie, pendant le sommeil profond, là on la force nerveuse s'est en grande partie immobilisée sur l'idée con
e, ces mouvements pensants, devenus allaihlis par diminution de force nerveuse , continuent encore à se faire d'eux-mêmes avec li
té, deviennent partout ailleurs et par contre-coup délaissés de force nerveuse , au point de perdre de leur acuité et de cesser p
l'expérimentation précédente, les sens restent délaissé» par la forée nerveuse au ; 'tut de n'être plus parfois susceptibles d'ê
ssement qu'il avait déterminé un sommeil spécial qu'il appela sommeil nerveux ou hypnose. Ainsi, il dit dans sa Neurypnologie I
tisme n'est qu'un certain mode simple et rapide de plonger le système nerveux dans un étal nouveau ». C'était une grande erreur
, le (tôle d'inertie, la plus grande somme d'attention ou de la force nerveuse libre s'est accumulée et lixée sur l'idée de repo
nt formé, «m distingue doux pôles, dnpl~es la distribution des forces nerveuses et pensantes durant cel état, il s'ensuit qu'il y
ers, inconscients on apparence, et construits avec un excès de forci" nerveuse portée et mise en ri-serve sur l'idée fixe de dor
souvent conscients et construits prescpie toujours avec «le la force nerveuse encore resiée libre «lans les sens «¦! la mémoire
ns des limites élroites aux dépens, d'autre part, des mêmes fonctions nerveuses deve-nues à l'opposé moins actives par contre-cou
s délirantes se sont manifestées au milieu d'une période d'excitation nerveuse pendant laquelle la malade pleurait et riait tour
tisme et de la psveliologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psvcho-physiologique. De
epoque que datent ses iniportantes études sur les maladies du système nerveux . Membre de l'Aeadémie de mède, cine en 1873. il f
ne en 1873. il fut nommé ru 1886 professeur de clinique des mala-dies nerveuses , chaire créée spécialement pour lui : il fonda al
publication la plus importante en France sur les maladies du système nerveux . Eu 1883. il était élu membre de l'Institut, en r
iurd bagage seieutifique. Outre ses Cliniques des maladies du système nerveux , ses travaux publiés dans la revue de médecine, d
es à toutes les branches de la pathologie cérébrale et des affections nerveuses : l'ataxie locomotrice, les perturbations médul
les conséquences naturelles d'affections du ressort de la pathologie nerveuse ou mentale. Quoi qu'il en soit, le nom du docte
n sens ou L'antre,y a lieu eu proportion île la quantité de la force, nerveuse quia quitté auparavant les sens et les autres par
ni en plus ni en jnoius. Pour nu tel résullat physiologique, la force nerveuse n'a donc pu être prise qu'aux dépens de celle qui
r déjà que de la dissociation inversement proportionnelle de l'action nerveuse pendant le sommeil, résulte l'automatisme ou l'ac
ant de l'idée, leurs opérations d'esprit augmentées de toute l'action nerveuse qui est accumulée au pôle d'inertie, deviennent r
ille. Il rêve : dans le sommeil profond, c'est aux dépens de la forée nerveuse portée au pôle d'inertie; el dans le sommeil lége
ôle d'inertie; el dans le sommeil léger, c'est aux dépens de la force nerveuse restée au pôle d'activité. De là. deux sortes de
au foyer mémoriel. une lorie diminution de ratleulion ou de la force nerveuse qui s'était accumulée au cerveau : celle force re
s partisans de l'occultisme attribuent à un fluide ou à une influence nerveuse quelconque involontaire, et même à des êtres hype
inseîeiument sur une ou plusieurs idées lixes aux dépons de la force nerveuse répartie partout ailleurs dans l'organisme. J'a
aussi implicitement de l'action spéciale de chaque centre ou ganglion nerveux qui agissent sous l'influence de cette pensée, c'
ffet de suggestion, ils prennent naissance dans les points du svslème nerveux et du corps, sens et mémoire, où par contre-coup,
ste au pôle actif de l'action pensante, au moins quelque peu de force nerveuse d'attention dans le domaine îles sens et dans cel
bles, par la cause qu'ils sont eu forte partie abandonnés de la force nerveuse qui s'est portée, de ces organes sur l'idée fixe
que chez moi avec les images remémorées. Je ne doute pas que les gens nerveux , que les personnes dont les sens sont très excita
93. — Présidence de M. DUMONTPALLIER. Quelques exemples de troubles nerveux observés chez des Musiciens. Par M. IE Docteu
uit dans plusieurs circonstances importantes et elle était devenue si nerveuse qu'elle n'avait plus osé chanter pendant près d'u
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psycho-phvsiologique. De
ettre, car il s'agissait dans l'un dune vieille femme dont le système nerveux laissait fort à désirer, et dans l'autre d'un név
t être attentivement surveillée, surtout lorsqu'il s'agit de malatles nerveux ou alcooliques. Association de la Presse médica
ique qu'à mesure que l'on dort plus longtempsdans la nuit, les forces nerveuses se détachent peu à peu du pôle d'inertie où elles
squ'ils ont chez tous, leur cause dans ce qu'il reste encore de force nerveuse libre dans les sens et la mémoire. Et c'est par s
ur saisir ce qui se passe en lui ou hors de lui qu'il a plus de force nerveuse portée au pôle d'inertie. Ce qui lui manque, c'es
velés ensuite, certains souvenirs reparaissant, de même que les accès nerveux des épileptiqucs ou d'autres malades, lesquels re
qui a la propriété de rappeler vers les sens et le cerveau, la force nerveuse qui, depuis la formation du sommeil, y était deve
ns et celles de retour, s'ajoutant ensemble pour servir à l'entretien nerveux des fonctions organiques, il s'ensuit que ces fon
estion hypnotique comme moyen de diagnostic des affections du système nerveux . Par M. le docteur Ernould, de Liège. Il arri
ques avec ceux qui peuvent dépendre de lésions matérielles du système nerveux . Le diagnostic qui. dans nombre de cas. est d'une
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psycho-phvsiologique. De
vec I action de cette substance. S'agissait-il dès lors de troubles nerveux toxiques cum materîa ou de phénomènes hystériques
onnu, descend d'une famille dont aucun membre n'a soufiert de maladie nerveuse ni mentale. Il jouît dune santé parfaite. Un jour
a main et qu'il réalise cette suggestion, je crois que dans les voies nerveuses qui conduisent du centre où se forme l'idée du mo
ion s'accompagne de diminution ou d'enlèvement total de la conduction nerveuse : les expériences démontrent que chez le même indi
l'influence de la suggestion n'est pas la même pour toutes les voies nerveuses . Quelle est la cause de celte différence dans l
peut-être de variations accidentelles dans l'organisation du système nerveux , l.a même influence suggestive sur la conduction
e influence suggestive sur la conduction se fait valoir sur les voies nerveuses dans le cerveau et, par conséquent, sur les voies
'ai dit déjà des variations individuelles dans l'organisme du système nerveux ; souvent chez le même individu, les suggestions
st une loi physiologique que la puissance conductrice dans les fibres nerveuses devient plus grande à mesure que la conduction se
e idée tout à fait nouvelle, les voies d'associations entre le centre nerveux où se forme cette nouvelle idée et les centres où
tres sains et deux enfants, le jeune A... et sa sœur ni maladifs, ni nerveux . A 7 ou 8 ans. A... vît sa grand'mère saigner un
our eux. Il n'y avait eu, en effet, dans la famille, aucun antécédent nerveux et surtout point de ces convulsions si fréquentes
mettre au collège où il se fortifia beaucoup. A 15 ans. les accidents nerveux idiopathiquea avaient disparu complètement, grâce
apable de fournir un tel résultat. Mme X, 24 ans, anémique, vive et nerveuse , sans être hystérique, grande et belle femme il y
que dans son genre. Deux oncles paternels de la malade étaient très nerveux . Elle présente des hallucinations de la vue et de
la Salpetricre montrent clairement Cette prédominance des affections nerveuses dans la race juive. Qu'il s'agisse d'hystérie, d'
ée 1802-93. de la suppléance et de la chaire de clinique des maladies nerveuses . M. le Dr Wogislaw Soubotisch. membre de la Soc
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psycho-physiologiquc. De
recommencera ses conférences cliniques sur le traitement des maladies nerveuses et du diabète par la métallo-thérapie, le dimanch
l'homme arrivé, qui ne se donne plus la peine de travailler. Œdème nerveux a la suite de traumatisme. Beaucoup plus souven
croit l'œdème qu on voit survenir après un traumatisme est d'origine nerveuse , trois faits recueillis par M. Horwîtz viennent c
leur disparition lui font croire qu'il s'agit de troubles simplement nerveux . Nouvelles. M. le Dr Poussié, de Paris, est c
lui -même. Le docteur de S... s'est proposé. Chez les personnes tres nerveuses . les émotions. les impressions et même les pensée
e sensibilité â dislance de la part du sujet récepteur et d'influence nerveuse a distance de lu part de l'agent transmetteur.
due de la surface sensible, varíe essentiellement avec la sensibilité nerveuse de la personne en expérience; et c'est même là un
eut être involontaire et inconsciente, elle consiste en une influence nerveuse qui s'exerce à distance, mais dont nous ne connai
la désigner sous un autre nom qfle l'énoncé même du fait : influence nerveuse à distance. Névralgie faciale avec clignoteme
. le Dr Bourdon. de Meru. Mlle G... institutrice. 20 ans, anémique, nerveuse et sensïtive était atteinte d'influenza, à forme
t de suggestibilité domine les choses de l'hypnotisme. Bégaiement nerveux traité par la suggestion hypnotique. Guériaon com
e dégénérescence le plus manifeste que présente le sujet. Tremblement nerveux des mains «le temps en temps. Aucun trouble de la
e Dr Saint-llilaire. Sa maladie consiste en un bégaiement d'origine nerveuse . Depuis l'âge de trois ans. il bégaie tellement q
, je reçois un nombre considérable de malades présentant les troubles nerveux les plus divers. J'ai eu à traiter beaucoup de su
énérescence. Récemment j ai observé une malade qui préente un trouble nerveux qui peut être rapproché du bégaiement hystérique.
rler de cent autres petites misères. Croiriez-vous que je suis devenu nerveux comme une le m me ? Un rien m'agace, nie tourment
s purement fonctionnels et non à des affections organiques du système nerveux . Cependant la guérison de ces malades est souvent
à cette sorte de fatal regard intérieur sî fréquent dans les maladies nerveuses . — Après le « Kindergarten », après l'âge de l'éc
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée s l'Institut psveho-pfiysiologique. D
rt Ballet reprendra ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse , â l'hôpital Saint-Antoine, le dimanche 3 décembr
s de l'Index bibliographique. Thomas G. Ashtox. — Trois cas d œdème nerveux (Médical News, 8 avril 1893, p. 391). Léon Cimu
faits de conscience, précédant la plupart des actes. Nerfs ou centres nerveux sensitifs et moteurs hiérarchisés, tension nerveu
. Nerfs ou centres nerveux sensitifs et moteurs hiérarchisés, tension nerveuse et courants nerveux, actions réflexes simples et
rveux sensitifs et moteurs hiérarchisés, tension nerveuse et courants nerveux , actions réflexes simples et com|tosées. impressi
mcnt, qu'une tendance motrice résultante ou prédominante, une tension nerveuse intra-cérébrale â direction centrifuge déterminée
ification. Considérons que le dégagement d'énergie dans les centres nerveux est le résultat d'une désintégration moléculaire,
la phase désintégrative, c'est-à-dire à la phase de dépense des actes nerveux centraux, llerzen ajoute à cela que l'intensité d
n proportion inverse de la facilité avec laquelle chacun des éléments nerveux centraux transmet à d'autres la désintégration qu
comme si la conscience et la désintégration moléculaire des éléments nerveux centraux n'étaient que deux faces du même phénomè
ise par cet éminent psychologiste entre la conscience et le processus nerveux qui l'accompagne cl s qui lui seul est l'événemen
llement si l'on ne sépare pas la conscience (ici volonté du processus nerveux qu'elle accompagne. Cette séparation semble être
cience el si un mouvement moléculaire peut se traduire par un courant nerveux , alors il n'y a aucune difficulté a admettre qu'u
te que ces derniers symptômes ne fussent des manifestations d'un étal nerveux hystérique. Ce fut alors qu'un professeur d'hum
tomba dans la mer d'oii elle fut retirée, mais en proie à une attaque nerveuse qui, s'étant ensuite renouvelée, fut reconnue plu
son affection mentale, mais pour redevenir ensuite la proie de crises nerveuses aussi fréquentes qu'autrefois. Ce fut comme je
es accidents dont j'ai parlé jusqu'ici, moins l'apparition des crises nerveuses . Cet examen fait, je lis immédiatement à la malad
obéit. Toujours est il, au cas présent, que non seulement les accès nerveux disparurent dès le premier jour: que l'inflammati
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée â l'Institut psveho-physiologique. De
ues d'électro-physiologie. Asile clinique (Sainte-Aune). — Maladies nerveuses et mentales. — M. Magnan : Amphithéâtre de l'Admi
t, chef de clinique. Hôpital Saist-Astoise. — Pathologie mentale et nerveuse . — M. Gilbert Ballet a repris ses leçons clinique
ert Ballet a repris ses leçons cliniques sur la pathologie mentale et nerveuse , à l'hôpital Saint-Antoine, le dimanche, à 10 heu
n moléculaire des éléments cérébraux est une cause directe de courant nerveux , de sorte que toute désintégration commençante es
s, mais non cohérentes, restées trop faibles pour produire un courant nerveux suffisant, a été cependant accompagnée d'un certa
it de la réalisation partielle de ces tendances opposées des courants nerveux actuels dont les inhibiteurs étaient les plus for
intégrations naissantes restées trop faibles pour produire un courant nerveux , a constitué une volonté faible ou naissante. Ce
actes résultent de contractions musculaires causées par des courants nerveux centrifuges à l'origine desquels se trouve une dé
st donc cause des mouvements, en ce sens qu'elle est cause du courant nerveux incitateur des muscles; elle est, à la rigueur, u
V Envisagée comme force, la volonté n'est pas distincte de la force nerveuse en général. Aussi la force de la volonté est-el
, rapidement et énergiquement suivie d'exécution parce que le courant nerveux énergiquement commencé par celte désintégration c
olonté, mais insullisantc pour donner Heu â la formation d'un courant nerveux centrifuge capable de mettre enjeu les muscles. E
Les nerfs, du reste, doivent partager l'état de faiblesse des centres nerveux . Ainsi peuvent être inleprétécs ces maladies de l
faiblesse des modifications moléculaires d'où résultent les courants nerveux cérébraux ou extra -cérébraux suffit pour expliqu
influencc de la variabilité de la pression ou de la tension du fluide nerveux (I). Chacun peut la contrôler par l'observation d
soient les causes certainement très diverses. Cet étal de faiblesse nerveuse peut résulter palhologíquemcnl de décharges intem
palhologíquemcnl de décharges intempestives et exagérées des courants nerveux , par exemple à la suite des attaques d'épilepsie
choree, etc. C'est la neurasthénie par excès pathologique de dépense nerveuse . Le cerveau est comparable, en ce cas. à une ar
e pathologique de la nutrition générale et de la nutrition du système nerveux en particulier. Telle est sans doute la forme qui
ant et qui présentent néanmoins une dépression persistante du système nerveux ; les émotions tristes, les excès vénériens, les
icale? Je n'envisage d'ailleurs, je le répèle, que Pétai de faiblesse nerveuse en lui-même jet plus spécialement dans le cerveau
re à la fois consciente et motrice parce que l'étal général du centre nerveux est neuroslhéniquc, parce qu'en même temps il y a
es sont de vrais géants ». Il est. en effet, certain que l'épuisement nerveux le plus accentué peut coïncider avec des apparenc
étudiant en droit. vient me trouver le 1er mai 1892 pour dei troubles nerveux qui ont débuté pendant son volontariat. Les premi
es exercices capables d'exaspérer à un trop haut point sa sensibilité nerveuse . Obs. II. — M. C... âgé de 21 ans. étant en 188
t dans sa famille qu'un cousin maternel qui ait présenté des troubles nerveux . Ce parent éprouvait uu sentiment de crainte, lor
était un aveu. Le liseur de pensées n'opère bien, en effet qu'avec le nerveux qui ne s'observe pas. » REVUE BIBLIOGRAPHIQUE
r, Membre de l'Académie de médecine. Maladies et hygiène des gens nerveux . Par le Dr GELINEAU, un volume relié chez O. Do
rateur, le Dr Gélineau. où il passe en revue les principales maladies nerveuses qui sont, pour ainsi dire, la caractéristique de
e résultante d'images motrices composantes, qu'une image ou mouvement nerveux conscient prépondérant parmi d'autres images, que
nscience résultant de faits île conscience antécédents, c'est un état nerveux conscient résultant de processus antécédents. La
ule et même chose. Si l'état de conscience volonté n'est pas l'étal nerveux même qui résulte de la délibération et qui précèd
sant. Si. au contraire. la volonté n'est nuire chose que cet étal nerveux lui-même, alors elle apparaît comme une idée île
me-laere avait traité sans succès une malade atteinte d'une paralvsie nerveuse . La malade avait dans l'esprit que le médecin ser
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psycho- physiologiqu
cole pratique de la Faculté de médecine, un cours libre de pathologie nerveuse et de psychiatrie sur les applications cliniques
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies nerveuses et mentales. INDEX BIBLIOGRAPHIQUE INTERNATIONA
e les autres ». Dans les observations 9, 12. 14 et 15, des aphonies nerveuses sont guéries par suggestion, à l'état hypnotique
. Et cette hallucinabililé extrême une lois produite, celte maladie nerveuse une fois créée n'est pas toujours facile à guérir
it cependant que l'hypnotisme par lui-même donne lieu à des accidents nerveux . Des sujets au réveil se plaignent de céphalalgie
r certains sujets. Mais ces accidents sont dus à l'impressionnabilité nerveuse , à l'émotivité spéciale du malade. L'idée seule q
nabilité individuelle de chacun, je ne détermine jamais aucun trouble nerveux . Quelques hystériques seuls peuvent avoir, dans l
alement les crises d'hystérie. j'affirme donc que tous les troubles nerveux persistants, faussement attribués à l'hypnose, ne
uérir définitivement. Et que de douleurs ou autres symptômes purement nerveux , se greffent sur les maladies organiques les plus
exemple une jeune fille nervo-artbrilique, qui a souvent des douleurs nerveuses , une vraie hyperesthésie doulou-rense. 11 m'est a
otisme el de In psychologie physìologiquc. une clinique de maladies nerveuses est annexée à I Institut psvchos physiologique. D
elli s'est chargé de la direction de lu consultation des maladies nerveuses . L'installation de sa clinique est très confortab
cole pratique de la Faculté de médecine, un cours libre de pathologie nerveuse es de psychiatrie sur les applications cliniques
de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement tics maladies nerveuses et mentales. Facclte de .medecine de Paris — M.
tre nommé professeur à. la chaire de Clinique des maladies du système nerveux en remplacement de M. professeur Chareol. — Par
oi de l'ossification des os longs. — Loi de la position des centres nerveux brochure in-4°. 8 pages, chez-Iauteur. 35. rue Mo
estion hypnotique est appelée à rendre dans le traitement de maladies nerveuses et mentales. M. Bcncdickt, do Vienne, dont on con
sscx égale, esprit calme et confiant, intelligence ordinaire, système nerveux paraissant bien équilibre, santé très bonne. Au
simple. « Nous allons profiter, lui dis-je, de ce que votre système nerveux m est sous la dépendance du mien, pour vous guéri
ur bonne santé ordinaire dénote que chez toutes les quatre le système nerveux de la vie végétative fonctionne régulièrement.
s et il s'est toujours attaché â démontrer la part majeure du système nerveux dans tous les phénomènes delà vie. Ses patien
misection de la moelle ; sur les excitations périphériques du système nerveux dans l'étiologic de l'épilepsie expérimentale hér
expériences que le savant professeur avait entreprises sur le système nerveux et se rattachait aux leçons déjà anciennes qu'il
t et l'endorment après quelques instants d'attention. Tout son influx nerveux disparaît, épuisé, en un instant ! S'il a de bell
ssel, le phosphore étant, par excellence l'agent nutritif dos centres nerveux . — M. X... fumait beaucoup, je lui conseille d'êt
t riiomme sain. Tout autre est le dégénéré. L'anomalie de son système nerveux l'ompcclie d'apprécier le monde extérieur, il ne
surchauffée, dit-elle avec grand sens, des artistes mal disposées ou nerveuses aient accusé des symptômes laryngés, c'est possib
à l'anglaise, i fr. — Félix Alcan éditeur). L'hérédité des maladies nerveuses et leur parenté avec les maladies diathésiques es
otisme et do la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée â l'Institut psychologique. Des consu
eprendra ses conférences cliniques sur les maladies et les affections nerveuses , le jeudi 31 niai 1801, a 10 heures du matin, et
pages. Alcaii, Paris, 1891. df aubel. — Les maladies par réactions nerveuses et tes eaux de Neris, in-8°. Hi pages. Henri Jouv
aux, on se confirme dans la pensée que tous, ou presque tous sont des nerveux destinés à devenir la proie du minotaure neurasth
ût d'une maladie ou d'un événement susceptible d'ébranler -on système nerveux . Or, il y a quelques mois, entrant au Printemps,
un peu de lumière sur un des points les plus obscurs de la pathologie nerveuse . Chaque nerveux, en effet, a sa manière d'être pa
sur un des points les plus obscurs de la pathologie nerveuse. Chaque nerveux , en effet, a sa manière d'être particulière, son
es les deux variétés suivantes que IL Mathieu (1) signale, Un médecin nerveux , arthritique, atteint de colite pseudo-membraneus
Grand'mèrc paternelle, morte de paralysie, mère bien portante ; très nerveuse . Depuis son enfance, la malade a toujours uriné a
ur la matière organique, sur les organismes vivants, sur i le système nerveux , sur le corps social, les innombrables actions de
à part quelques originalités il n'a jamais éprouvé aucun trouble nerveux . Lorsqu'un jour vers trois heures de faprès midi,
lfred A.... 43 ans, célibataire. Son père était d'un tempérament très nerveux , et sa grand'mère paternelle est morte d'une apop
tement subissant de temps en temps une aphasie d'origine probablement nerveuse car on a examiné son larynx et on n'a rien trouvé
rs médecins dont les certificats disent qu'il est atteint de troubles nerveux . Cette obsession augmentait petit à petit et un b
mois environ, a aggravé un peu sa nosophobie on épuisant son système nerveux déjà fatigué, et j'ai été obligé de recommencer d
otisme et do la psychologie psysiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
repris ses conférences cliniques sur les maladies et les affections nerveuses , le jeudi 31 mai 1894, à 10 h du matin, e. le- j
chologie criminelle), par J. Liégeois, 234. Affections du système nerveux (de la suggestion hypnotique comme moyen de diagn
anquet de la Société d'hypnologie et de psychologie, 60. Bégaiement nerveux traité par la suggestion hypnotique, guérîson com
lon, 90. Hématophobie (de l'), par Gélineau. 136 Hygiène des gens nerveux . 256. Hyperesthésie de la sensibilité chez un s
me devant l'académie de Belgique, 120. Maladies et hygiène des gens nerveux , par Gélineau, 256. Mémoire des hypnotisés (la)
ente (traitement de la), par O. Jen-nings, 346. Musiciens (troubles nerveux observés chez des), 85. Mutisme hystérique avec
e chanter, 185. Narcolepsi (Observation de), par Gélineau. 332. Nerveux à la suite de traumatisme (œdème) , 158. Neuras
hypnotique comme moyen de diagnostic des affections du sys- tème nerveux , par Ernould. de Liège, 118. Suggestion hypnoti
e trois ans, guérie par la), 175. Suggestion hypnotique (bégaiement nerveux traité par la), 176. Suggestion indirecte (la),
taux traités avec succès par la suggestion, par A. Voisin, Troubles nerveux observés chez des musiciens, par Lloyd-Tuckey, de
65 (1905) Archives de neurologie [2ème série, tome 19, n° 109-114] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par .< M CHARCOT PUBLIÉ
' F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies 'du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
5 Vol. XIX . Janvier 1905 N"109 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;, Clinique des ma
UE NERVEUSE Hospice de H S.1LL1;7RI1 : RI;, Clinique des maladies nerveuses . Paralysie faciale périphérique due à un fibro-
\Li(llbilill' gallanique .li;come, 2^ cri·, l. \I\. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . des m use les est rurll'l1JellL dill11llu('e c
IwU Lu hl' l'an 1 ie 1. on extrémité inférieure ric.2. 4 CLINIQUE NERVEUSE . légèrement effilée, affleure le bas de l'olive
tissu fibreux am- biant et cesse d'être perceptible ; les faisceaux nerveux sont dis- sociés par le tissu fibreux ; les fib
on les distingue nettement, aussi loin qu'on peut suivre les libres nerveuses . En plein centre de la tumeur, un seul des fais
su in- lersliliel sont Il't\'' épaissis, sclérosés..Mais les libres nerveuses ne sont pas détruites, leur cv lindre-axe est n
e du facial présente une atropine nota- ble des faisceaux de fibres nerveuses , avec sclérose bien moins considérable que le t
n un fibro-sarcome conjonctif, nettement déli- mité d'avec le tissu nerveux du cervelet qui est simple- ment atrophié et dé
se confondre avec le tissu constituant la tumeur,les fais- ceaux nerveux sont dissociés et comme étouffés par le tis- su
nt dissociés et comme étouffés par le tis- su fibreux ; un faisceau nerveux , demeuré visible au cen- 8 CLINIQUE NERVEUSE.
u fibreux ; un faisceau nerveux, demeuré visible au cen- 8 CLINIQUE NERVEUSE . tre de la tumeur, présente l'aspect typique d'
l'endonèvre, infiltration diffuse, dissociant, entourant les fibres nerveuses sans les détruire. La différence con- siste dan
facial, à sa sortie du bulbe, disso- ciant et comprimant les fibres nerveuses ,qui, après avoir traversé la tumeur, sont frapp
matose, on trouve d'habitude des tumeurs multiples dans les centres nerveux , les racines ou les nerfs périphériques, nous n
- cune autre localisation sarcomateuse en aucun point des centres nerveux , ni dans les racines, bien que la paraly- sie f
Philippe CESTAN et OnEUTIIurt. Sarcomes et sarcomatose dit système nerveux (Congrès des nenrolog. et aliénisles français, Gr
urs enfants sont très bien portants, n'ont jamais eu aucun accident nerveux . Dans le reste de la famille, rien à noter.] .
état vari- v queux des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses motrices corticales et de sa signification ; pa
être assimilées il des manifestations fonction- neiles des cellules nerveuses . u. Elles peuvent d'ailleurs pro- venir de la m
tribuent, les altérations précitées h l'Ullloe- boisme des cellules nerveuses doivent êlre considérés comme totalement erroné
forment des reullements constitués par l'entortille- meut de libres nerveuses dont chacune est entourée d'une gaine de Schwan
es d'émettre des rejets qui bien souvent ont la structure de fibres nerveuses périphériques. Les libres nerveuses en question
vent ont la structure de fibres nerveuses périphériques. Les libres nerveuses en question étaient donc bien néofoL'l11l'L'S e
, 103). Remarques sur ce tra- vail, par A. STttaEaLt3ea. Les fibres nerveuses amyé- liniques dans les foyers de sclérose en p
Ii0\'SKY.-Contribution à la question de larégé- nération des fibres nerveuses dans les foyers de la sclé- rose en plaques, pa
indraxes ont suc- combé. De concert avec les altérations des fibres nerveuses , constamment, il existe une prolifération de la
use, il la fois interstitielle ; dès le début né- vrogtio et fibres nerveuses participent au processus d'origine toxique ou p
ocessus d'origine toxique ou post infectieuse. Seulement les libres nerveuses sont bien plus uniformément atteintes que la né
ont bien plus uniformément atteintes que la névroglie. Les fibres nerveuses dénudées, privées de leur myéline sont- elles d
uteur, qu'il s'agit, non de la substance périlihrillaire des fibres nerveuses il myéline, mais bien d'une substance spéciale, e
ntrecroisé. l'. 1lER.tV1L. IX. -, Biologie et travail de la cellule nerveuse centrale; par P. Kronthal. (Neurolog. Centralbl
en notre pou- voir d'agir sur la naissance et la mort des cellules nerveuses . Tant que les leucocytes arriveront au système
s cellules nerveuses. Tant que les leucocytes arriveront au système nerveux central, les cellules nerveuses naîtront et mou
les leucocytes arriveront au système nerveux central, les cellules nerveuses naîtront et mourront. Les processus ly- chiques
al, mais non celles des cellules en particulier. Dès que le système nerveux central est lésé, l'aclil ité mentale présente
moelle lombaire. P. Keraval. XI. -- Examen histologique du système nerveux central d'un malade affecté d'idiotie amaurotiq
nératif exclusivement extra-utérin, qui a porté sur tout le système nerveux central, et avant tout sur l'écorce des hémisph
e du ganglion supérieur du sympathique cervical gauche. Les centres nerveux ne présentaient aucune lésion macroscopi- que n
s consta- tés pendant la vie du malade. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. De la chorée de Huntington ; par G. Renuart.
oedème dur, cya- nose de la peau, etc. Sans nier que des lésions nerveuses , incontestables dans le cas présent (raideur de
ur des yeux, indemne égale- ment d'affections organiques du système nerveux , de tout nys- tagmus apparent, et ouvrez-lui av
nt, et ouvrez-lui avec précaution au maximum il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 59 l'aide des doigts la fente palpébrale ; pui
l'émolivité consistant dans une insuffisance congénitale du capital nerveux émotif des obsé- des. C'est celte psychasthénie
puyant sur les graves lésionsjjbservéesà la fois du côté du système nerveux central, des nerfs et des vaisseaux chez un idiot
ledécubilus latéral gauche un moyen héroïque 64 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . d'arrêter les accès d'épilepsie et peut-être a
es nerfs optiques, un lé- ger (J'dl'IIIl' de la couche des cellules nerveuses , un épaissis-c- 11ll'111 dl' la couche molécula
on sans modification de composés agissant tels quels sur le système nerveux . D'ailleurs la flill'('OSe qu'ils pl'IHluil'111
a créosote, ou de l'acide phosphorique séparément, quant au système nerveux . Et cependant les deux observations précéden- t
nistré par l'auteur dans des cas d'insom- nie dépendant de maladies nerveuses ou mentales très diverses : arll'rio ? c1l'rose
. D. y, Principes [fondamentaux de l'électrothérapie des maladies nerveuses ; par M, 1)oumrR. (Joul'n. de Neu1'ologie, 1904,
signes font défaut. En ce qui concerne les affections des cen- tres nerveux en particulier, ce n'est donc pas comme nnl'admel
t survenus, elle est tombée peu ai peu dans un état de dé- pression nerveuse qui ayant élé inteinpeslivement traité par les
nt des héréditaires, e est-a-dire des individus dont le sys- tème nerveux est frappé d'une déséquilibration originelle et
ns mobilisées et l'anxiété déclanchéc. Selon que la tare du système nerveux sera légère ou grave, l'affection pourra avoir
ignalés dans les états névrohathiqucs, ne (1) .1. Soury. Le système nerveux central, Paris 1899. (2) 'l'Il. Robot. - La psy
idence fortuite, et la vulnérabilité particu- lière de leur système nerveux nous parait d'autant plus admissible que la pré
lle, entrepreneur ayant brassé des affaires, a dû avoir son système nerveux bien plus surmené que sa sieur qui a toujours e
rêt de ces l'aits, et toute une leçon de sa 2'' série des « Centres nerveux » est consacrée aux multiples variétés que la p
s été de caractère emporté, mais il n'a jamais présenté d'accidents nerveux , ni de troubles mentaux proprement dits. Nous
'àge de].') ans apparaissaient cependant déjà chez lui des (roubles nerveux qui, d'après les renseignements que nous avons
acrant à certains malades : « Quoi des malades ! Mais, monsieur, je nerveux pas vous en donner des malades ! Ne savez-vous
ire détaillé est en préparation. P. KElU\'AL. XX. L'état des fibres nerveuses à myéline dans l'é- corce du cerveau des épilep
sR.\V.1L. XXI. Critique du mémoire'de Kronthal intitulé : Cellule nerveuse et psychose; par 1\ ISSL. (Centralúlatt (il}' Ne1
, XX\'lI, N. F. XV, mai 1904.) 1" Il n'est pas vrai que les centres nerveux normaux de l'hom- me, du chien, du chat et du l
issent que sur le noal1 et non sur le protoplasina des cellules non nerveuses ou que les REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE P
cl1l'oll1hLine nUcll'ail'e, -- 4° 1)[éten4li.e(lue dans le système nerveux central normal, les Ieucoclles quittent les cap
ittent les capillaires pour émigrer dans le tissu, que les cellules nerveuses soient le produit de leucocytes en liquéfaction
ucocytes ? ;>° Il n'est pasexael d'aflirmerque dans le ? li'lIlc nerveux centrât le transport des granules de matières c
. (1Yeur%g, .yt'72t7'Ulbl, XXHL 1. 1904.) Chromatolyse des cellules nerveuses occupant la partie du noyau dorsal qui borne le
qu'il y ait que coïncidence entre l'anomalie osseuse et l'affection nerveuse . Il se peut aussi que la sclérose en plaques so
es de fIlond lo ! et Charpentier, surtesravons qui sortent du tissu nerveux en activité, transforment la sugges- tion menta
libres de projection que d'autres. S'il est vrai tlue les libres nerveuses du niant eau ne se myél ini- sent pas dans le m
PEGNA, (Ann. di nérrol. Anno \\Il, fasc. 1-11 j REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .' 139 1 \ \L\'. Sur le temps de réaction aux st
de libres directes et de libres croisées. L. W. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ri, La paralysie enfantile ; par Glorieux. (Pol
, tandis que celles d'autres zones est, simple- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 141 ment conservée ; 3° ou enfin qu'il y a une
vation avec autopsie d'un homme de 31 aus. 112 REVU : DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 11 s'agissait d'une aphasie motrice (ranscorfi
ux notamment d'objets concrets ; le patient,par REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1,3 exemple, ne pouf trouver le terme d'un obj
-cortical occupant la'parlie anLi'ro-infé- 144 REVUE. DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rieuredupti courbe ; observation de Ilenaclten
utres complexus conceptuels des objets. Mais ce REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 145 n'est point un centre spécial, une fonctio
e \ncJIl\'E, 2. él'il') t005, 1. XIX. ](} 146 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'oblique inférieur. Par contre les images se
ent : il y a lieu de supposer une altération du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 147 métabolisme, de la structure chimique ou m
métabolisme, de la structure chimique ou moléculaire dos élé- ments nerveux . Un peut concevoir les deux espèces de genèses
sies faciales corticales et sous-cortica'3s 148 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . par \\. 13E CH TF RE ? (Ubozrèniè psichiatrii,
AL. REVUE DE THERAPEUTIQUE VU. Action de la pyridine sur le tissu nerveux et mé- thode pour la coloration élective du rét
aire endo-cellulaire et du réticulum périphérique de la cel- lule nerveuse des vertèbres : par Donaggio. (Ann. di ne- 1)1'
CIIl'UII11) diagnostic) ;Ij> lI1alalLies chro- niques du système nerveux : paralysie générale, tabès, épilopsic, scléros
e d'itlenau, on érigerait un sanatorium popu- laire pour affections nerveuses telles que névropathies et psycho- pallies à la
auteur. Ibid. 1903, n-s eL 3.)-3° Histoire des maladies mentales et nerveuses au Cau- case, par E. W. Erikson (Ibid, 19 )3, n
dans les grandes villes, les sanatoria populaires pour les maladies nerveuses , les hospices pour aliénés chroniques, les asil
l'Oise, 110 lIu 20 janvier 190a.) Hôtel-Dieu {Clinique des maladies nerveuses ). - Jl. Gilbert ¡; \LLET il repris ses leçons s
uses). - Jl. Gilbert ¡; \LLET il repris ses leçons sur les maladies nerveuses le iliman- 176 bulletin bibliographique. CI l
uivants..Consultation externe l'l polirlilli- que pour les maladies nerveuses et mentales, le samedi it ! ) Il. 1 ? alle Sain
- : 'Iédl'l'inl'. 1'I'ix : 3 fi', 50, (;1\ ISSI.'l' ( ? Les centres nerveux . 1 vol. In-S* de 730 pages, I,ilo·airit· .1.-Ii
(fig. 12). Il est facile de constater l'appau- vrissement en fibres nerveuses de la partie supérieure de c. g. c. (fig. 12 et
peu réussies, il nous esldiflicile de juger de l'élal des cellules nerveuses duc. n. e. Il nous paru ce- pondanl qu'elles ét
n au carmin a donné de meilleurs résultats, l'atrophie des cellules nerveuses de c. g. e. (non comprises celles'de la base) n
i. 18S ANATOMIE PATHOLOGIQUE. Pour Déjerine (Anatomic des centres nerveux I, page 780), « les dégénérescences secondaires
rientation ». L. W. XLV. - Les altérations histologiques du système nerveux dans la méningite ; par Stefanelli. (Rivista cr
nomènes morbides des méningites. Il y a des lésions de la substance nerveuse elle-même déjà signalées parle Pr de Grocco et
trouble de la sensibilité, de sensibilité à la pression des troncs nerveux , de réaction dégénérative, l'allure des réflexe
ce descendante, le droit abdominal, le pectiné, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 235 l'obturateur interne et l'obturateur exter
eu une communication à cet égard. P. IaERSV,tL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIX. Recherches sur la rage ; par J)ODDI. (Riv.
corpuscules de Negri seraient véritablement 236 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . les agents pathogènes de la rage humaine et ex
ntale. Dans ce dernier cas, ils se localiseraient le long du trajet nerveux suivi i parle virus injecté. On ne peut les con
nomonique de l'infection ludique acquise ou héréditaire des centres nerveux ; 3° le signe d'Argyii est un épiphénomène de l
cet accident que débutent les processus sy philitiques des centres nerveux ; 4° lana- tureépiplastique de la membrane qui
é l'historique de la question, les auteurs rap- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 237 portent : l''quel'urine a une réaction aci
qu'une variété de la syringomyélie. L. W. 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XX'.=Symptômes nerveux dans l'urémie; par Capp
ngomyélie. L. W. 238 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. XX'.=Symptômes nerveux dans l'urémie; par Cappezolli. (Riv. crit. di c
praticiens de toutes les variétés même les plus rares de symptômes nerveux plus ou moins graves que l'on peut rencontrer d
e d'autres phénomènes hystériques concomitants. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 239 XXV11L Diagnostic différentiel entrel'atax
ganique méconnue, prise pour de l'hystérie 240 REVUE DE 'PATHOLOGIE NERVEUSE . fébrile. La dissociation des phénomènes fébril
l'exagération de divers réflexes : ce qui indi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 24l ([lierait chez eux un état de l'écepth ilé
([lierait chez eux un état de l'écepth ilé lout spécial du sterne nerveux et tout porte à croire que sous l'influence d'une
mv.\L. .lncnwr, 2° ·urin 190 ? I. \1\ -10 242 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . \\\\'1.-Répliqne aux critiques de M. Kienboeck
lade devaient, de par l'affection de la moelle. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE .' 243 être prédisposés à cela, à raison de l'al
braux d'ordre général se manifestent par le 244 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . coma, l'apathie, la démence ; il n'existe pas
agit d'une hystérie traumatique ou du foudroiement direct dusystème nerveux . Elle concerne une téléphoniste de 24 ans, qui,
) en 10 cas. L'amaurose à plusieurs accès s'est REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . s 245 monlrée : - a. intermittente régulière e
myasthénie peut être le résultai de di- verses maladies du système nerveux , ou apparaître à titre d'as-» sociation morbide
et à présenter de l'ataxie. Au mois de juillet 1904, les accidents nerveux , subirent une poussée ; quand if vint au mois d'a
du cer\"cau, t l'llps que les t UlTII'UI'S, par exemple. Sections nerveuses . il. llt.tA (Ue Milan) a étudié par la méthode
pendant la grossesse un rôle important dans l'étiologie de troubles nerveux chez des enfants indemnes de toute hérédité mor
d'urine jusqu'à 5 ans.Depuis,des cette époque, les autres accidents nerveux ont aussi diminué de fréquence ; tellement que,
ns leurs familles, il -n'existait aucune difformité, aucun accident nerveux on mental et qu'eux-mêmes étaient tout, à fait
guérison en 24 heures après un lavage (2). L'origine des troubles nerveux de cet enfant et de ses particularités somatiqu
érédité de /'o6M)'.(/r.;<' de ntédecinc,19U2,p. 338.) CLINIQUE NERVEUSE Asile Clinique SamTr3 .4vNr. - Bureau d'admissi
de prétend ne se rappeler nullement l'inculpation dont 2Gi clinique nerveuse . elle a élé l'objet, ni sonpassageàlaPrefectUt'
mps la voix de son ami lui faire des propositions. - 266 CLINIQUE NERVEUSE . Pendant qu'évoluaient ainsi les troubles menta
irconstances elle a commis le délit de grivèlerie pour 26S CLINIQUE NERVEUSE . lequel elle a été arrêtée) : enfin en créant u
o-temporal (trijumeau) le produise : cela tient à des distributions nerveuses empiétant les unes sur les autres. - P. KERAVAI
issus dissociés par la secousse ou des coupes, notamment du système nerveux central ; par F. Reich. (1'\"e(1-010g. Centralb
és. Le liquide laiteux qui a traverse l'élamine contient des fibres nerveuses ou des fragments de fibres, des cellules nerveu
tient des fibres nerveuses ou des fragments de fibres, des cellules nerveuses , des cellules névrogliques. des hématies, etc.
entale delà paralysie générale inflammatoire réside dans la cellule nerveuse . G. D, LX1V. La dualité fonctionnelle du muscle
aux de la sensibilité on ses modalités diverses, tous les processus nerveux qui se rattachaient à telle ou telle de ces mod
pression du froid et du chaud. Dans la né- vrite, toutes les fibres nerveuses ne sont pas également atteintes. Lorsqu'un nerf
. Il. C. LXXIX. Sur l'aspect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux antérieurs et post
NATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 303 dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux postérieurs et des
pendices collatéraux en grande quantité. Les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux antérieurs présent
ntent la plus grande ressemblance avec les den- drites des cellules nerveuses de la moelle épinière. Il, C. LXXX. Un cas de t
- La conclusion qui se dégage de ces données est, que le système nerveux périphérique joue un rôle très important dans la
té musculaire qui accumllaânegéné- ralement les maladies du système nerveux peut se mesurer au moyen des empreintes plantai
Bull, ttzéd., 1904, nu 39.) - L'auteur insiste sur les phénomènes nerveux qui constituent 1 un véritable danger de contag
on dans le milieu scolaire ; l'hys- Lirie la neurasthénie, les tics nerveux du maître ou des élè- ves ; il montre les incon
ntale est en somme une démence curable, une 310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . psendo-demcnre qui pourrait mettre jusqu'à 12
l, semble être constamment primitif. L. Wahl. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XLI. Un symptôme rarement décrit dans la paraly
à la formation de la contracture. P. Keraval. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 311 XLII. - Un cas de maladie de Friedreich ;
émiplégiques a été attribué à une localisation spéciale des lésions nerveuses (noyau caude. capsule interne, 312 REVUE DE PAT
ns nerveuses (noyau caude. capsule interne, 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . noyau lenticulaire. Parhon). Les ailleurs pens
olue d'uriner ; la constipation. Diagnostic : all'ection du système nerveux léripltér iyuc peut-être - compliquée d'une lég
yuc peut-être - compliquée d'une légère participation du s sLt'll1e nerveux cen- tl'a1. La paralysie arsenicale a, comme to
éphalalgies périodiques, vomissements inex- 314 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . plicahles, fiè\ l'e, eczéma, impétigo, urticai
resse de la cogitation, amnésie, vertiges, synco- pes. La système nerveux manifeste ,a sou11'rance par l'oppression, les
rapports avec la goutte : le trouble de la nutrition des élé- ments nerveux par lésion des parois artérielles y esl représent
lis, l'alcoolisme, etc., etc. l'. I\eR.\VAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 315 LII1.-Névrits multiple associée à. la ma.l
s ont déjà élé cités par Parmenlier. L. W. 3l0 REVUE DE PATHOLOGIE - NERVEUSE . LV1.La, syphilis héréditaire; leçon deM. le Pr
des cas où dans les 24 heures qui suivent immé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 317 diatement l'opération du phimosis, il Y a
renseignent nullement sur l'étal préalable du sujet au point de vue nerveux ni sur ses antécédents héréditaires. Elles ne nou
mais aussi les plus constants symptômes du 318 REVUE LE PATHOLOGIE NERVEUSE . tabes, Jlalltcurcu·ement,clles son Lasaez souv
énie, l'angoisse seule torture le patient; chez REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 310 l'historique il s'y joint le sentiment del
Bruns. Neurolog. CerttralLl. XXI, 1902.) Sur 8.500 cas d'affections nerveuses , 95 présentaient de la pa- ralysie des nerfs pé
l>iliLé. Ce clui faiL que les paralysies traumatiques des troncs nerveux périphériques ont deux fois et demie plus de ch
eux fois et demie plus de chances de guérir que celles des ple- xus nerveux . Pourquoi ' ? Après avoir examiné avec soin les d
s des plexus tiennent, quant aux chances de 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . leur guérison, le milieu entre celles, très fa
et finalement sans cause apparente. Complexion délicate, système nerveux finement développé, pas de tares héréditaires o
y a guérison. Sans effel thérapeutique sur les maladies du système nerveux à évolution chronique (tabès, paralysie général
où sont reçus, il titre définitif ou plus ou moins dé- finitif, les nerveux chroniques considérés comme incurables (épi- le
e : 1 médecin chef avec les infirmeries de vieillards, les maladies nerveuses chroniques et les maladies mentales ; 1 médecin
on mère esl à l3esan(;on), Les soeurs des deux services de maladies nerveuses et mentales (hommes et femmes) ont passé par l'
ur a rendus. Hospice de la S.wl·>·'.Taat2E, Maladies mentales et nerveuses . : M. le D1' .1. Voisin, le jeudi à 10 heures.
n, le jeudi à 10 heures. Hospice de 131ClhRE : Maladies mentales ou nerveuses des enfants. - Consultations pour les enfants i
frères. Vol. XIX Mai 1905 N 113 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Sur l'amblyopie hystérique monoculaire et sa
gie, 1901 n° G9. Archives, 2' série, 1905, t XIX. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE . gère, devient constante, correspondant ainsi à
grave qu'une fièvre typhoïde ( ? ) à l'âge de 3 ans. Elle est très nerveuse , mais prétend qu'elle l'est surtout devenue à la
qui la voit le lendemain lui dit de ne pas se baigner 340 CLINIQUE NERVEUSE . et ordonne des lofions de l'oeil matin et soir
drap mouillé et des frictions avec un gant de crin. 342 CLINIQUE NERVEUSE . Au bout de 8 jours, on constate un mieux sensi
ntrée une fois positive sur six recherches. C'est surtoutle système nerveux qui offre des modifications importan- - AMBLYOP
es sensibilités profondes, les sensibilités osseuse, tendineuse, el nerveuse sont abolies ; mais le sens musculaire et ses v
la Soc. de Biol., Paris, 11 février 190.'), p. 28d. 344 CLINIQUE NERVEUSE . maie à gauche. La pression du globe oculaire e
, du droit par exemple, ce n'est pas un prisme qui me '346 CLINIQUE NERVEUSE . rendra la vue de cet oeil : et je ne percevrai
étachent en rose et avec leur grandeur réelle ; enfin, 348 CLINIQUE NERVEUSE . si les deux yeux sont ou verts, elle lit la ph
eil droit, elle ne voit que la lettre F; si elle ferme 350 CLINIQUE NERVEUSE . l'oeil gauche, elle ne voit rien avec l'oeil d
stion de vision binoculaire, que si les deux yeux per- 352 CLINIQUE NERVEUSE , , çoivent ensemble un même objet ou les mêmes
e ce genre (lac. cit.1 .lncnIVr, 2^ çric, I. I\. 23 351' CLINIQUE NERVEUSE . Celle expérience se montrait par suite en cont
ue les éléments musculai- res, élastiques, osseux, cartilagineux ou nerveux se déve- loppent, il est nécessaire que l'anima
nisme, il n'en n'est pas, de plus sensible iL l'alcool quelle tissu nerveux . L'alcool altère profondément les neurones et,
s l'ovule, la substance qui les représente. Aussi est-ce le système nerveux qui est surtout atteint chez les dégénérés alco
La découverte soudaine me paraît être le résultat d'une décharge nerveuse éclatant, par suite de la difformité du condens
deux règnes et à divers tissus. Elle a été observée chez la cellule nerveuse , par J. Havct, Jean Demoor, Micheline Stcfanows
éflexion, qui n'est qu'une rêverie intense et li- mitée. Le courant nerveux fait s'illuminer, sur les neurones qu'il traver
nde que les neurodiélectriques qui s'opposent au passage du courant nerveux sont moins résistants. Dès lors on conçoit que
odiélectriques s'y forment aisément, et si, par suite, les courants nerveux y sont aisément inter- rompus, la réflexion ser
ble il l'élude de la physiologie normale et pathologique du système nerveux et au diagnostic des affections nerveuses. Elle
et pathologique du système nerveux et au diagnostic des affections nerveuses . Elle permet en chargeant certains segments du
u, des jambes. La cuisse atrophiée aug- menta de volume. Le système nerveux , en se rechargeant, a ré- cupéré son influence
asme de l'estomac et a permis de relier celui-ci aux manifestations nerveuses ob- servées dans les derniersjoursde la vie. pa
n exagérée, d'une destruction des arcs stéréo- psychiques, l'influx nerveux trouve obstacle à son passage et soit forcé de
rchives, 2' série l(JO : 5, t. XIX. 1~> 38(i REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1902 de pneumonie. Autopsie (ligures). L'étude
avant consécutivement déterminé l'arrêt de développement du système nerveux central. Le développement excessivement faible
1 pense qu'au début de l'accès épileptique il y REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 387 a anémie cérébrale ; toute condition qui d
nl pas donné de sérieux résultats (B.). 3KK -REVUE DU. PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous donnerons, il l'occasion de ce travail, l
ement dans une maison (1( galité. P. KERAVAL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 389 L\ \ l1'. Tétanos à. début sous forme de p
l'âge de 12 ans. * - Le malade n'a pas d'antécédents héréditaires nerveux ou patho- logiques. Il est lui-même un peu nerv
nts héréditaires nerveux ou patho- logiques. Il est lui-même un peu nerveux , mais n'a jamais eu ni crises convulsives, ni r
l'enfance anormale. Création d'un institut pédagogique pour enfants nerveux , débi- les ou maladifs. - La question de l'enfa
ts confrères spécialistes : le docteur Glo- rieux pour les maladies nerveuses elle docteur Vanlangendonck pour l'orthopédie.
l'orthopédie. Seront reçus à l'Institut : 1° Les enfants simplement nerveux ; 2° les enfants atteints d'af- fections nerveu
enfants simplement nerveux ; 2° les enfants atteints d'af- fections nerveuses accompagnées de paralysies, d'agitations ou de
levons les suivants décernés à des travaux de pathologie mentale et nerveuse . Prix Bailla1'ge1' : ' ! ,000 francs. Ce prix,
.' I\.IHR \ de Curepipe. ile Maurice : Les deséquilibrés du système nerveux . Prix Theodore lfapin (de ( : ent·ve) : 3.000 f
e Fleurs, de Paris : Manuel pour l'étude des malta- dies du système nerveux ; les grands symptômes neurasthéniques ; 2" à M
ement de 300 francsà \I. le))'' Henri Carrier, de Lyon : La cellule nerveuse normale et patholofli- que ; une mention honora
ncs (annuel), au meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les mala- dies nerveuses : Prix llc·n,oi Lorquet : 300 francs (annuel) au
ait honneur à notre payc. Hospice de BICHTRE : Maladies mentales et nerveuses des en- fants. Consultations pour les enfants i
: OUIrELI,EION"I' (\'Iclol'). Contribution à l'étude des accidents nerveux , consécutifs au méllill"ites aiguës simples, 1 \'
de l'état des mou- vements de l'iris en rapport avec les processus nerveux et psychi- que des aliénés, du réflexe cortico-
on de l'orifice pupillaire obéit à l'organe psychique et au système nerveux . Chez les gens bien portants, sauf peut- être q
ne se prêtant pas à l'anal) se. L. WAHL, 446 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XGVlll. Essai sur la physiologie pathologique
n, sous-aractmofdien et intra-ventriculaire en excès ; la substance nerveuse est mulle, il exisle des lésions inflammatoires
siques de la syringomyélie médullaire. L. WAHL. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE LXXVll. Accidents syphilitiques pendant le tabè
e tabès débute de 4 à 19 ans, après l'infection REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 417 syphilitique et que les syphilides présent
teint, lui aussi, de lésions de même nature 448 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . que celles de la moelle, en particulier les vo
e de cocaïne à deux pour cent supprime fonctionnellement les libres nerveuses sensitives situées dans sa zone d'action ; et q
tion ; et qu'une telle injection pratiquée dans la gaine d'un tronc nerveux équivaut à une section trans- versale temporair
où par conséquent la lésion causale est au niveau des terminaisons nerveuses ; 2" celui dans lequel l'injection n'agit pas,
Benvud expose une nouvelle méthode d'examen bistologique du système nerveux . 1(. IAf.LION présente un appareil pour enregis
agit d'un terme mal défini, comme celui de cachexie sénile, marasme nerveux , etc., communément employé, terme vague, qui mo
sont les principaux agents du traitement des maladies mentales et nerveuses . M. Paris aborde ensuite une autre question très
ation (1898) ; - Traité de thérapeutique des maladies mentales et nerveuses (1901). Parmi ses publications dans les périodi
sad¿fétichisme (1900) ; - L'alitement dans les maladies mentales et nerveuses (1900) ; -- Séméiologie et traitement des idées
s maladies mentales font partie des maladies générales du système nerveux , et, par conséquent, ne peinent pas être traitées
ASSISTANCE ET PÉDAGOGIE. La division pédagogique reçoit les enfants nerveux , neurasttté- niques, hystériques et en général
épileptiques, 10 hystériques, 2 kleptomanes, 11 neurasthéniques, 4 nerveux . Le prix est de 1.800 francs pour une année com
vos débiteurs. Vos travaux personnels sur les maladies moniales et nerveuses et (laits d'autres départements de la médecine,
ient. (Bonhomme normand du 10 fév.) Hôpital de la Pitié. Maladies nerveuses : M. BABINSKI, samedi il 10 h. 1/4. Hospice d
0 heures (section Rambuleau). ,1 Clinique des maladies DU système nerveux . M. le professeur HA YMOND. Cours complémentair
au laboratoire d'anatomie pathologique de la clinique des maladies nerveuses , à la Salpétriere. Ce cours aura pour objet l'é
de quelques symptômes dans l'é- tat , par Aller, 146. Cellules nerveuses . Des condi- tions dans lesquelles apparait l'
a si- gnitlcation, par Iwanoff, 41. Biologie et travail de la - nerveuse centrale, par Kron- (lIai, : il. - - Voir Kroni
le, par Fragnito, 138. De l'aspect extérieur des dendri- les des- nerveuses des tuber- cules quadrijumeaux anté- rieurs e
Electrothérapie. Principes fon- damentaux de l'- des mala- dies nerveuses , par Doumer, G9. Empoisonnement. Voir Véronal
Enfance anormale. Création d'un institut pédagogique pour enfants nerveux , débiles ou maladifs, par Matagne, 411. Enfan
fécales dans 1 ? par Goelze, 66. Etat variqueux. Voir Cellules nerveuses . De l'- mental des épileptiques réveillés de fo
étichisme. D'une forme origi- nale de , par Bechterew,390. Fibres nerveuses . Voir Sclérose. Des d'association de la couch
323. 1010'1'. Voir Raynaud. Idiotie amaurotique. Voir Sys- tème nerveux . Nouvelle con- tribution à l'étude clinique de
9. Main. Action hypnogénique de la , par Demonchv, 7b. Maladies nerveuses . Voir Elec- trotlrérapie. Des mentales conséc
an, Aviragnet et Délot, 320. Contribution à l'étude des accidents nerveux , consécutifs aux aiguës simples, par Courlell
r Faisceau anti- rolatéral. Pyridine. Action de la sur le tissu nerveux et méthode pour i- la coloration élective du re
endo-cellu- laire et du reticulum périphé- rique de la -.cellule nerveuse des vertèbres, par Donaggio, 149. ' Radium.
ie cérébrale, par Le- clerc et Beutter, 382. SAC;is..Voir Système nerveux . Sciatique. "Le signe du salut dans la , par
v, 40. Remarques sur ce travail, par Stroehuber, 45. Les fibres nerveuses amyéliniques dans les foyers de en plaques, p
- nération du ruban de Reil, par Kinner et Wilson, 446. Système nerveux . Examen his- tologique du- - central d'un mal
par Babinski, 159. Les alté- rations histologiques du sys- tème nerveux dans la ménin- gite, par Stefanelli, 229. , n
u sys- tème nerveux dans la ménin- gite, par Stefanelli, 229. , nerveux . Voir Préparations histologiques. -, pyramidal.
66 (1907) Archives de neurologie [3ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
GIE ARCHIVES DE NEUROLOGFE £ REVUE MENSUELLE . DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par .1.-111. CHARCOT & B
; l'il (l 1 ? à -% Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Bordeaux. COLLABO
braham. l'homme EST-IL symétrique ou double ? 19 §. 2. CONNEXIONS NERVEUSES ET ENTRECROISEMENTS. Le Duplicisme suppose l'in
es motrices et sensitivo-sensorielles de chaque moitié du sys- tème nerveux . Elle serait incapable d'expliquer les entrecrois
mes arguments. Eh oui ! eh oui ! Entre les deux moitiés du système nerveux , les deux moi- tiés' latérales, il faut des con
un bloc un, un tout unique, il n'y aurait pas besoin de connexions nerveuses , Ces connexions sont, sous la direction des cer
M.Bonne, non- votre unicisme, qu'expliquent au contraire connexions nerveuses et entrecroisements. Dans la critique aussi t
èse de la dua- lité organique,tandis que l'existence des connexions nerveuses et des entrecroisements témoignerait de la conj
Eh bien ! je commence par le plus important d'entr'eux, par le tube nerveux . Tube nerveux, névraxe. M. Bonne a consacré plu
mence par le plus important d'entr'eux, par le tube nerveux. Tube nerveux , névraxe. M. Bonne a consacré plusieurs pages à
ent toute sa thèse. Je me borne à la reproduire. « Bien que le tube nerveux , passe habituellement pour une for- mation impa
anatomie em- bryonnaire vient de nous l'apprendre, la forme du tube nerveux définitivement constituée est manifestement bil
s (paroi dorsale et ventrale). Ensuite l'étude de la genèse du tube nerveux nous mon- tre que l'épaississement ectodermique
èse du tube nerveux nous mon- tre que l'épaississement ectodermique nerveux , la plaque médul- laire qui doit s'incurver en
me EST-IL SYMÉTRIQUE OU DOUBLE ? a 23 raie primitive qu'offre l'axe nerveux des vertébrés de celle qui ca- ractérise le sys
e l'axe nerveux des vertébrés de celle qui ca- ractérise le système nerveux central ou chaine ganglionnaire des Annélides».
ont il ne contestera d'ailleurs pas l'autorité, je tiens le système nerveux central, le névraxe, pour primitivement dou- bl
e l'anatomie, c'est-à- dire la différence de poids entre le système nerveux dépendant d'un hémisphère et celui dépendant de
tront successivement tous les organes, en commençant par le système nerveux . Ce bour- relet formant anneau autour du blasto
s le sens méridien, sur la ligne médiane. Tous les organes, système nerveux compris seront donc doubles et médians cependan
Les trois feuillets du blastoderme étaient distincts, et le système nerveux représenté par une tache pigmentaire..... Cette
milieu extérieur, la Nature a-t-elle entrecroisé les deux systèmes nerveux . Voilà bien toute la thèse du Duplicisme dans l
eu de dire qu'elle est formée, et voit dans la formation du système nerveux la col- laboration des co-êtres. Comment justif
çon si baroque, la « théorie de la concrescence » ? Si le « système nerveux est double «chez les Mam- mifères parce que, ch
ales motrices et sensitivo-sensorielles de chaque moitié du système nerveux etc. » (p. 219 et p. 19). On me répond que « le
Le père et la mère sont. bien portants ; la famille nie toute tare nerveuse tout alcoolisme chez les ascen- dants. A... a
lisme chez les ascen- dants. A... a toujours été d'un tempérament nerveux et impres- sionnable mais il n'a jamais eu de m
e. Il est à peine besoin d'ajouter que la nature de cette influence nerveuse nous échappe aussi bien que les transformations
s il ne nous semble pas nécessaire d'invoquer une lésion du système nerveux périphérique pour expliquer des troubles vaso-m
te son évolution est à la fois une cachexie, une maladie du système nerveux , et une infection qui ouvre la porte à toutes l
p. 293 à 297.) Chez les individus sains ou atteints d'une maladie nerveuse fonctionnelle, la percussion du dos du pied pro
. Chez plusieurs sujets atteints d'affections organiques du système nerveux , M. (Neural. Ctrbl., 1904, nez 13) obtint au co
lumière d'une facon inattendue. (1) Sur la question de la fonction nerveuse trophique. 58 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGI
érales, profond affai- blissement intellectuel. Les seuls symptômes nerveux consistaient en tremblement de la parole sans t
e réduite à peu près à ses signes physiques, sans aucun phéno- mène nerveux nouveau. L'intérêt du cas réside dans la gravit
ie mode de généralisation de l'infection. L'A. rattache les signes nerveux mentionnés plus haut à l'an- cienne hémorrhagie
ules spéciales qui apparaissent en colonies au niveau. des sections nerveuses et par leurs propriétés chimiotaxiques alti- re
eurs propriétés chimiotaxiques alti- rent à elles les jeunes fibres nerveuses et les nourrissent ; ces cellu. REVUE D'ANATOMI
ont le rôle apparaît important dans les processus de régéné- ration nerveuse , ont reçu le nom de « cellules apo trophiques».IV
ont divisés sur la question de savoir si ce sont les mêmes éléments nerveux ou des éléments différents qui servent à la con
e, conformément à l'opinion de Fnrannini. G. D. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Anatomie pathologique et pathologie de l'épi
ans ce travail les résultats de l'exa- men microscopique du système nerveux dans quarante et un cas d'épilepsie idopathique
qui survient chez les sujets atteints d'une défectuosité du système nerveux ,soit con- génitale,soit involutionnelle, et che
compri- Arcuives, 3- série, 19C7, t. IL 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mant sa propre carotide, a provoqué des spasme
teur pense que cet autre facteur est un état approprié des cellules nerveuses , et pro- bablement un état d'extrême instabilit
s capillaires expliquerait la dégénérescence en plaque des cellules nerveuses ; leur enchâsse- ment dans les petits vaisseaux
désaccord avec la théorie; suivant le mécanisme REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 61 du thrombus intra-vasculaire, il ne faut pa
s tissus céré- braux, degré suivant lequel l'équilibre des cellules nerveuses va- riera de telle facon que les unes seront in
certains moments et dans certains cas particuliers, les cel- lules nerveuses soient particulièrement irritables, si bien que d
s de l'épilepsie, quelquefois c'est l'état indispensable du système nerveux qui man- que ; d'autres fois, ce sont les quali
i ont observé des malades présentant des dé- 68 REVUE bE PATHOLOGIE NERVEUSE . fectuosités mentales,- lui a montré que les ma
ces deux facteurs sont, d'abord, l'état d'instabilité des cellules nerveuses , la dissolution sénile du système nerveux, et e
nstabilité des cellules nerveuses, la dissolution sénile du système nerveux , et ensuite un état de stase ou d'anémie cérébr
mplète de la céphalalgie et de la paralysie des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 6J divers muscles de l'oeil. Seule, la cécité
ue très peu et dont voici les principaux : 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Domaine du trijumeau gauche : perte complète d
cédent et également sans autopsie. Ch. Bonne. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 71 L VI I. - Die Prognose der Tetanie der Erwa
térie, l'épilepsie, etc. Le signe d'Hoffmann (percussion d'un tronc nerveux : sensations ir- radiées dr.3 le domaine de ce
arfait état de santé ; 7 étaient atteints de 72 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tétanie chronique ; 19 présentaient des états
de la langue à droite. A l'autopsie pas d'autre lésion des centres nerveux que sclérose de la corne d'Ammon gauche, beauco
uscles de l'avant bras et de la main normaux. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 73 L'A. a trouvé dans la littérature une dizai
e, dont les autopsies publiées sont peu nom- 74 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . breuses. L'observation actuelle concerne un en
la sécrétion interne des organes génitaux accé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 75 1ère le processus d'ossification. L'auteur
des organes sécréteurs, du système musculaire ou moteur,du système nerveux ou de la sensi- bilité. Ces troubles fonctionne
'un peu de lait et d'eau. BIBLIOGRAPHIE I. Séméiologie du système nerveux ; par le Dr Henri Duroun, et médecin des hôpita
it celui du Dr Grasset sur la thérapeutique des maladies du système nerveux . On sait déjà que dans l'esprit de ces auteurs
s varia. 95 dans les vues d'ensemble sur la pathologie du système nerveux . Il n'y a pas entre les psychoses et les névros
e plan de son ouvrage : réunir dans une même étude les af. fections nerveuses et les affections mentales, en montrant les sym
fonctionnement des organes dans leur retentissement sur le système nerveux , pour ne citer que les prin- cipaux. Citons à
8 ans, est admise le 18 mars 1891. Elle appartient à une famille de nerveux et a toujours manifesté elle-même un tempéramen
tercalaires où domine la neuras- thénie pure et simple : phénomènes nerveux polymor- phes et incessants, troubles utérins,
qu'explique son état de souffrance habituel et sa déséquilibration nerveuse originelle, mais ses sentiments affectifs ne so
t par le courant électrique n'est pas due à l'inhibition du système nerveux , mais à une para- lysie du coeur. Ces courants
t peut se présenter sous les for- mes suivantes : 1° Hyperthyroïdie nerveuse . L'expérimen- tation animale, le thyroïdisme al
onique, disséminée ou 10eilisée.r-i,isedow fruste. 2° Hypothyroïdie nerveuse . Le ner- vosisme accompagne tous les degrés de
ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. rasthénie thyroïdienne. 3° Instabilité nerveuse thyroïdienne. 4° Dysthyroïdie avec hyperthyroïd
ison pathogénique, car si toute l'hystérie réside dans le paroxysme nerveux créé par l'émotion pourquoi déclarer que celui-
nt, en général, son origine dans un état constitutionnel du système nerveux , le nervosisme caractérisé par un défaut de rég
(constitutionnelle ou acquise, ce point est à trancher) du système nerveux caractérisée par une tendance à l'exagé- ration
peut être constitutionnel ou acquis. Acquis, c'est l'ébranle- ment nerveux , choc physique ou moral, c'est l'émotion ou enc
i les déterminent. C'est donc une question de résistance du système nerveux d'abord, qui permet à certaines réactions de se
pas une entité morbide. C'est un mode spécial de réagir du système nerveux et particulière- ment de l'écorce cérébrale, qu
Nancy) : Les cellules des cornes antérieures dans les arthropathies nerveuses .- Ataxie oculo- motrice d'origine labyrinthique
NS ALIÉNISTES ET NEUROLOGIS 1 ES, Trois cas d'hypothermie d'origine nerveuse . MM. L. Marchand et M. Olivier. A côté des hype
. Olivier. A côté des hyper- thermies dues à des lésions du système nerveux , il y a lieu de décrire des hypothermies. Contr
nnets. Hyperplasie névroglique dissé- minée. Atrophie des fibrilles nerveuses . Dégénérescence, neu- ronophagie et destruction
irradiations locales. Or nous n'avons jamais observé d'accidents nerveux im- putables à des lésions médullaires ou céréb
athologique peut nous expli- quer par les seules lésions du système nerveux la symptoma- tologie si variable de l'affection
nt songer à la possibilité d'une régé- nération possible des fibres nerveuses . M. CRocQ (Bruxelles) remercie M. le prof. Bern
ues-unes offrent une marche rétrograde. Avant d'arriver au faisceau nerveux , les fibres de nouvelle formai ion affectent le
o-pathologiques. Dans la paralysie générale, les lésions du système nerveux s'y schématisent et s'y éclairent. On peut, d'o
re partie : développement, mor- phologie et connexions des cellules nerveuses (tome II, fascicule 6, de la Revue générale d'H
sivement consacré au développement et à la morphologie des cellules nerveuses du pallium ; un prochain fascicule traitera de
escendants des cellules se différencient et deviennent des cellules nerveuses ou névrogliques); 3° la filiation ontogénique et
es, elles ne sont pas complètement formées. On n'a jamais vu les C. nerveuses se diviser ; mais on peut faire l'hypothèse d'u
der- niers stades de développement. On ne rencontre jamais de C. nerveuses jeunes dans les organes centraux chez l'adulte.
la réparation des plaies du cortex (Lévi,1896) concluent que les C. nerveuses pleinement différenciées ne peuvent se diviser
plusieurs éléments d'ori- gines diverses à la constitution de la C. nerveuse . Elles ne différent de l'ancienne théorie que d
ir en tous cas à l'opinion classique, qui considère le prolongement nerveux comme le premier formé. L'auteur a eu soin de m
éciproques. Il ne faut pas oublier, en effet, que toutes les fibres nerveuses , toutes les cellules nerveuses de l'écorce, ne co
ier, en effet, que toutes les fibres nerveuses, toutes les cellules nerveuses de l'écorce, ne con- tiennent pas des neurofibr
res ayant trait au nombre, au volume et au poids total des cellules nerveuses du cor- tex terminent l'article ; mais leur peu
I. 3e Série. Septembre 1907. N° 9 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Les auras visuelles des épileptiques ; i Par
de Paris, 1885. Archives, 3' série, 1907, L. II. 12 178 clinique nerveuse . entre une demi-heure avant l'accès et le momen
lquefois aussi le bleu. Pour Hammond (1) Hammond. Traité du système nerveux , Trad Labadie. La- grave, 1879. (2) Axenfeld
Axenfeld et 1 IUCIL112U. - Traité des névroses, 1883. 180 CLINIQUE nerveuse . ce serait même le rouge,la seule couleur pour
inique mentale. (6) M.\nxAx. Leçons sur l'cpilcpsic. 182 CLINIQUE NERVEUSE . au début de ses' attaques les'objets- scintill
si le temps se. faisait sombre ». La malade.se trouve 184 CLINIQUE NERVEUSE . alors dans une sorte de- crépuscule, et la cri
e, puisque l'auteur remarque qu'il n'a pas trouvé les altérations nerveuses notées dans cette maladie... » Dans le cas publ
(1) Govibauli- et PHILIPPE, -1 1 lislologie pathologique du système nerveux central. (In Manuel d'Histologie pathologique de
sant de côté les restrictions précédentes,on envi- sage les lésions nerveuses rapportées dans les différents travaux que nous
erait toujours des modifications d'importance variable des éléments nerveux de l'écorce; en certains points restreints il y
aliénés. précoces, la perplexité où conduit en matière de système nerveux ,la constatation de l'absence de caractères anato-
portant sur les tissus conjonctivo- vasculaires ou sur les éléments nerveux et névrogliques. En dehors de la pathologie men
r outre mesure de notre igno- rance puisqu'on connaît en pathologie nerveuse notam- ment des maladies dégénératives avec lés
du système CONGRÈS DES MÉDECINS ALIÉNISTES ET NEUROLOGISTES. 209 nerveux , indépendante de toute lésion saisissable et souv
tation mentale, mais exprime un trouble fonc- tionnel de la cellule nerveuse . Quant aux troubles psychiques qui l'accompagne
ent hygiénique, physique ou médica- menteux a redressé l'épuisement nerveux . J'estime donc que la psychothérapie n'a que pe
y).-Pour. lui, il n'y a pas de neuras- thénie ; il y a des troubles nerveux qui sont émotifs, auto- suggestifs. Ceux-là, il
ce sur l'influence de la vie moderne sur, les maladies des systèmes nerveux . La plupart des dé- légués des gouvernements, D
ière fois toutes les différentes branches de la biologie du système nerveux d'une part, avec la doctrine de l'assistance de
la manière dont se déroule le procès psychologique dans le système nerveux central malade. I Et enfin lorsque nous nous pl
us pourrons regarder la doctrine de l'assistance des aliénés et des nerveux comme le résultat final de toutes ces recherche
re qu'aussi bien pour l'assistance des aliénés et le traitement les nerveux entre autres des épileptiques et des alcoolique
suggestion mais qu'il faut une modification générale de tout l'état nerveux CONGRÈS INTERNATIONAL DE PSYCHIATRIE. 223 pou
us considérons ici l'hystérie comme un trouble dynamique du système nerveux . Et d'abord, il n'est pas du tout anliscientIfiql
isant que c'est une modifica- tion de l'équilibre normal du système nerveux , modification telle que l'activité ou le potent
rveux, modification telle que l'activité ou le potentiel du système nerveux se trouve dimi- CONGRÈS ]-4TLI,NAliON ? L DE PS
lité,augmentation ni diminution absolue dans le total de l'activité nerveuse disponible. C'est cette proposition que nous' a
que nous' allons démontrer.A l'état normal, le potentiel du système nerveux est réparti régulièrement en vue du fonctionne-
ormal. L'hystérie est un simple trouble de l'équilibre du sys- tème nerveux , cela ressort clairement des symptômes principaux
ce ne sont que des mo- dalités différentes de l'activité du système nerveux ; elles peuvent, par conséquent, se compenser l'
té,on trouve toujours que le déplacement de l'équilibre de la fon.e nerveuse , diminuée d'une pii,t,atigmeitée de l'autre, trou
ne façon pour ainsi dire mathématique, ces déplacements de la force nerveuse , c'est l'exploration au moyen du sthénomètre.
déterminés par une disposi- tion héréditaire défectueuse du système nerveux central. Ils sont comparables à des processus m
un et l'autre à une cause mécanique, à une interruption de l'influx nerveux au niveau des extrémités de deux neurones conli-
éry, de Nantes, pour avoir trépané les animaux. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 31 Expérimental and histological examination o
et au rapatriement ». (Dr. A. Marie et LADAME). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX. Sur le syndrome vestibulaire ; par M. Raymo
minutes sous l'eau, durée normale à cette profondeur. Les accidents nerveux présentés par ce malade réalisent le type clini
inférieurs en extension, avec une rigidité qui REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 233 résiste à toute épreuve. La station debout
'immersion, fatigue. G. Carrier. ? 4 Zi REVUE t J, P : 1T.IOLU Il : NERVEUSE . XXII. Sur un cas de rhumatisme cérébral ; rech
Layon, 30 juin 1905.) Rhumatisme cérébral chez un sujet de 33 ans, nerveux et sur- mené au décours d'un rhumatisme articul
propos du diagnostic avec les myopathies primi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 235 tives, insiste sur l'avenir de la myopathi
cines de la 1re et de la 2e paire cervicale. 3G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Au point de vue histologique, c'est un sarcome
emière ; était d'aspect plus spongieux et englobait quelques filets nerveux appartenant à la 11 paire dorsale. Dégénérescen
et d'analgésie. Pas d'autres troubles objectifs du côté du système nerveux . La ma- lade n'a jamais été affectée de maladie
grandes attaques convulsives. Depuis son enfance la malade est très nerveuse et'très impres- sionnable ; elle a passé les pr
e- ment et manifesta un vif désir de se débarrasser de la maladie nerveuse dont elle-même rejette la cause sur ses abus véné
générescence; les organes intérieurs sont sains. Du côté du système nerveux on ne trouve aucun signe de lésion organique, q
quetterie pathologique dans mes « Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales Il. Var- sovie 1901, p. 482 (en rus
pas de troubles du côté des organes internes ni du côté du système nerveux . Les organes génitaux sont bien développés. L
par un aliéniste. Leur clientèle sera donc fatalement réduite à des nerveux et des aliénés ; pour la plu- part d'entre eux
signalé les eschares de la région sa- crée. L'influence du système nerveux sur les échanges nutritifs ne s'exerce plus que
e les eschares deviennent une source d'infection directe du système nerveux .Diffé- HSCHAHES DE LA REGION SACREE. 297 re
rs de la moelle, toutes portent des amas purulents, mais les fibres nerveuses ne sont pas détruites ou même seulement altérée
postérieurs ne sont pas sclérosés. A la cauda equina, les faisceaux nerveux sont soudés par des masses de pus, mais à mesur
matoire se limite à l'espace sis entre la dure-mère et la substance nerveuse avec prédomi- nance postérieure. La dure-mère e
ques étaient lé- sés. 11 est regrettable que ces parties du système nerveux n'aient pas été conservées. Ces lésions facilit
ds du corps refoula les matières infectieuses le long des faisceaux nerveux et jusque dans le canal vertébral. Deux point
ineuse directe ou indirecte, à toutes les excitations psychiques ou nerveuses ) peut se transformer en immo- bilité absolue (p
oce serait fonction d'un processus lent de destruction des cellules nerveuses , prédominant surtout au niveau des couches prof
et GiNOUx donnent une complète des- cription anatomique du système nerveux d'une malade atteinte de paraplégie spastique p
énitales ; syringomyélie congénitale ou lésions diffuses du système nerveux . Il. DUFOUR présente le malade qui a fait l'obj
rcogène (Magnan et Laborde 1887. Magnan. Recherches sur les centres nerveux 2e sé- rie, p. 65. Eaux-de-vie de maïs et de be
apparues à l'âge de treize ans et demie, elle ne présente de crises nerveuses . Elle avait quatorze ans, quand son père vient
les uns, elle est due à une lésion d'ailleurs inconnue du systè- me nerveux , tandis que les auteurs qui l'ont les premiers dé
tion de Jolly on ne peut pas admettre l'épuisement des terminaisons nerveuses motri- ces intra-musculaires (placche motrici)
cette conception,s'oppose la parfaite excitabilité des terminaisons nerveuses intramusculaires, qui, on sait, s'épuisent toujou
sion fonctionnelle des centres corticaux qui président à l'appareil nerveux de la peau. L'origine corticale de la réaction
t cellules névrogliques, les vaisseaux, mais surtout les cellu- les nerveuses toutes gonflées par une masse granuleuse contenan
V.-Ueber den Abbaudes Nervengewebes.(Surladésintégra- lion du tissu nerveux ) ; par lLZn>;tntEn,de Munich. (Ctrbl. f. Ner-
dans d'autres éléments ; on la ren- contre aussi dans les cellules nerveuses et névrogliques. Dans l'idiotie amaurotique,ell
outefois que sous forme d'une très fine poussière dans les cellules nerveuses ; il existe en même temps un autre pro- duit de
t de désintégration, protagonoide,très abondant dans les cellu- les nerveuses , dont la coloration exige des méthodes spéciales.
ncore de distinguer des lésions purement dégénératives des éléments nerveux de leur dégé- nération consécutive à un process
L'influence physiologique des vibrations mécaniques sur le système nerveux ; par STCIEUR13AK. (L'Eiicéphale, 1907, n° 3.
pason, vibra- teur électrique) est capable de « charger » d'énergie nerveuse cer- tains appareils du système nerveux que l'o
e de « charger » d'énergie nerveuse cer- tains appareils du système nerveux que l'on peut alors » déchar- ger » à l'aide de
ction nécessite l'intégrité des con- nexions entre les terminaisbns nerveuses périphériques et la moelle, ainsi que de celles
let, celui-ci se montrant comme un accumulateur important d'énergie nerveuse . La nature de ces phénomènes vibratoires semble
enu de l'extérieur,mais dans une nouvelle distribution de l'énergie nerveuse propre : sous l'influence des vibrations, des voi
velles,du moins plus faciles.seraient créées au passage de l'influx nerveux . Au point de vue thérapeutique l'auteur a obtenu
e ramollissement isché- mique. F. TISSOT. XLI. Examen des centres nerveux dans deux cas d'hystérie ; par CLAUDE. (L'Encép
cas d'hystérie ; par CLAUDE. (L'Encéphale,1907, n° 7.) Le système nerveux de certains sujets hystériques est loin d'être
arité et un certificat de bonnes vie et moeurs. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXVIII. - Les maladies nerveuses dans la pratiq
ie et moeurs. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XXVIII. - Les maladies nerveuses dans la pratique journa- lière ; par Albert Cha
onseils que l'auteur donne aux praticiens sur lafaçon d'examiner un nerveux : il n'attache pas à l'interrogatoire l'im- por
ge de l'ophthalmoscope et du laryngoscope dans l'étude des maladies nerveuses ; il insiste sur les troubles sensitivo-sensorie
que les hyperesthésies.les troubles systémati- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 373 sés du mouvement, les tremblements et les
La psychonévrose hys- térie résulte d'une modification du dynamisme nerveux caractéri- sée par un trouble du régime des réf
nctionnement isolé et sans contrôle. Ainsi sont créés des syndromes nerveux plus ou moins durables dans les divers domaines
anger lorsqu'elle est judicieusement emplo- 374 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . yée ; les courants électriques faibles, l'exer
à la paralysie complète du muscle. F. Tisser. XXXIII Les accidents nerveux du mal de Pott chez les adultes ; (Revue généra
eurs à caractères radiculaires marquent lo début des manifestations nerveuses ; leur siège n'est pas toujours en rapport avec
cervicale hypertrophique. Le pronostic du mal de Pott avec troubles nerveux n'est pas toujours mauvais, la guérison s'ob- s
chirurgical est peu roeommamiahle. F. TisSOT. , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 375 XXXIV-La compression radiculo-ganglionnair
u liquide céphalo-rachi- dien qui agit en disloquant les fascicules nerveux . F. Tissot. XX<TV. - Contribution à l'étude
t, guéri l'une sous la menace d'un divorce, 376 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'autre à la suite de la frayeur qu'il a éprou
in, c'est-à-dire la forme constitutionnelle originelle de faiblesse nerveuse , en fai- sant des réserves sur la préexistence
t ; on doit détourner l'attention du sujet et · REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 377 comparer attentivement les deux côtés. Les
tifs indiquant également une excitabilité pathologique des ce-ities nerveux exa- gérée exagération des réflexes achilléens;
ta négatif ; seuls les vaisseaux du bulbe 378 8 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . furent trouvés athéromateux. Est-ce à cela que
lésions cutanées, herpès urticaire, impétigo, · REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 37p érythème noueux, pelade, pemphigus, eczéma
u'on peut formuler ainsi : « une irritation quelconque du systè- me nerveux exalte la sensibilité du même côté, l'abaisse de
omplètement l'équilibre dynamique de la presque totalité du système nerveux . Il y a lieu de tenir compte de ces phénomènes
t à la dose de vingt-cinq gouttes par jour. 380 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . deux membres inférieurs paraît être due à un a
veau d'origine otique, fait d'abord pratiquer · REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 381 une attico-antrotomie ; puis examiner au s
airement à l'opinion, maintenant d'ailleurs 382 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . abandonnée, de Charcot, il y a bien parésie hy
de la vue à droite, puis l'amaurose probable- . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 383 ment sans névrite optique, qui dura six se
ression de la conduction par le nerf facial 3H4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . le centre réflexe de ce nerf, c'est-à-dire le
s soudés. La malade qui fait l'objet de l'ob- . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 385 servation, toute jeune et acromégale qu'el
vèle Archives, 3' série, 1907," I. Il. 25 386 REVUE de Pathologie nerveuse de nombreux signes d'hystérie entre autres la p
mR. (L'Encéphale, 1907, n° 5.) Hystérique chez laquelle le syndrome nerveux constaté ne pa- raît pas être sous la dépendanc
vec une sclérose peu avancée, altérations destructives des éléments nerveux , périvascularite évidente. Pour expliquer r la
ants des écoles pour tout ce qui concerne les affections du système nerveux et en particulier, de l'inspection médicale des
IVERS Hospice de la Salpêtrière. Clinique des maladies du système nerveux . M. le Professeur RAYMOND reprendra ses leçons le
commencera ses conférences cliniques sur les mala- dies mentales et nerveuses , spécialement chez les enfants, le jeudi 9 janv
tude sur les variations de la pression artérielle dans les maladies nerveuses et particulièrement les psychoses. l3roclt. de
I. 3- Série. Décembre 1907. N° 12 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Empoisonnement par les homards conservés en b
ait pas cinq nuits de suite ; depuis cette date, il est devenu très nerveux , très irrita- ble ; de temps en temps,il éprouv
'abord de ,\Clll\ï : S, 3' 3" série, 100T, 1. Il. 2G 402 CLINIQUE NERVEUSE . nature alimentaire puis bilieux et enfin mélan
anormal, sauf que les bruits du coeur sont un peu étouffés. Système nerveux . La marche a le caractère ataxique très prononc
sibilité de la langue et du palais est nor- male. Les grands troncs nerveux et les plexus ne sont pas dou- loureux à la pre
cé que sa lettre était très difficile il lire) ; les 401 i clinique Nerveuse . paresthésies des mains et des pieds, dit-il, s
pas néanmoins dépourvue d'intérêt. Quant à la ma- ladie du système nerveux , son début, son évolution pro- gressive et sa d
leurs et les paresthésies locales, les troubles objec- 40S CLINIQUE NERVEUSE . tifs locaux de la sensibilité, de la motilité
nflamma- tion qu'on peut nommer l'acronévrite ; les grands troncs nerveux dans ces cas ne sont pas du tout douloureux à la
commun entre eux, tous indiquent notamment l'af- fection des fibres nerveuses provenant non de la peau mais des parties profo
utres régions des symptômes or- dinaires de la névrite : les troncs nerveux et les plexus ne sont pas douloureux à la press
e parésie. Mais soit que la polyné- vrite affecte les grands troncs nerveux ou qu'elle n'affecte que les petites branches t
moment où l'amélioration a commencé, le même carac- 410 CLINIQUE NERVEUSE . tère partiel persistait toujours ; 8 jours apr
rite dans notre cas, si on n'admettait pas l'af- fection des filets nerveux les plus minces innervant les territoires déter
et ne perce- vait pas les autres. Quant à l'affection des filets nerveux terminaux, il de- vient indispensable de la rec
les anastomoses extrêmement riches entre les différentes branches nerveuses ; dans ces circonstances anatomiques, l'affectio
MPOISONNEMENT PAR LES HO ? 1RDS CONSERVÉS EN 1301TC. 411 des filets nerveux les plus minces qui sont atteints au- delà de l
des doigts portaient leur attention particulièrement sur les filets nerveux sensitifs de la peau (Arloing et Tripier, Brook
ux, le Dr Saposchkof décrit et représente par des images les filets nerveux les plus minces qui provien- nent des nerfs dor
notre cas. Dans ce cas, simultanément, sont affectées des branches nerveuses plus fortes (les troubles diffus de la sensibil
utre ce processus, il faut reconnaître encore une lésion des filets nerveux les plus minces dans le voi- sinage des articul
et périphérique ; d'après l ? n : mm : (Srl1¡Nn/pllir, 'III système nerveux , p. 88 : 3) on trouve fré- qneuuenL des n|ié|ip
la sensation de direction de ce mouvement pissociees). 412 CLINIQUE NERVEUSE . cipalement certaines petites branches périphér
er enfin la disparition de cette hypoesthésie. Ainsi les branches nerveuses destinées à la face palmaire de la main et à la
l'ataxie aiguë dans notre cas par une lésion quelconque du système nerveux cen- tral. « L'ataxie aiguë » en soi n'est pas,
éd. ci de fJll(/r11l. militaires, 1886, v. 9, p. 11. , 416 CLINIQUE NERVEUSE . consommés frais, soit par les conserves, on a
- tômes plus délicats, les symptômes objectifs du côté du système nerveux (du côté de la pupille, des réflexes, de quelqu
s, 1961, p. 360. . Archives, 3" série, 1907, t. Il. 7 ho CLINIQUE NERVEUSE . poisonnement non par les homards frais mais co
lsions ; pas de rhumatismes, pas de chorée ; pas de 4' ? 0 clinique nerveuse . fièvre typhoïde ; aucun indice de syphilis ; p
s de fièvre typhoïde. Elle est sobre, de caractère calme, nullement nerveuse . De- puis un an, est atteinte fréquemment au mo
é 36 heures. C'est à la suite de ces convulsions que li 22 CLINIQUE NERVEUSE . l'enfant aurait eu de la paraplégie; et le méd
meil. Epilepsie ; tableau des accès et dos vertiges. 424 CLINIQUE NERVEUSE . normale ; les selles sont régulières, sans con
t; r R. 1 P M - 4 t5 C. M .r, et c 12c CLINIQUE NERVEUSE . Face allongée, pas de cicatrices. Arcades sour
n cri plaintif et ses membres supérieurs et inférieurs 4 ? CLINIQUE NERVEUSE . sont animés de violentes secousses cloniques,
nt la tempé- rature ambiante 9 heures après la mort. 430 CLINIQUE nerveuse . en forme de grosse amande allongée, pèse envir
8 vertiges. La coexistence des accès et des vertiges - t32 clinique nerveuse . semble lui faire perdre le peu d'intelligence
nombre de cas. Archives. 3- série, 1PC7, t. II. 28 434 CLINIQUE NERVEUSE . Dans d'autres cas, après cette période convuls
n) du complexus psycho-somatique ». On peut ad- mettre que, chez le nerveux , la force musculaire est conservée et qu'il y a
que, chez le neurasthénique, au contraire, il y a déficit d'énergie nerveuse , capable d'entraîner des paralysies passagères
I Quelques points du traitement précoce des maladies men- tales et nerveuses (principalement en ce qui concerne les pau- vre
du territoire, des établissements pour le traite- ment des maladies nerveuses et des cas de folie à la période du dé- but où
a été ouvert cette année à Brighton et où l'on soigne tous les cas nerveux ,sauf ceux qui nécessitent l'inter- nement dans
uberculose parentale prépare un développement imparfait des centres nerveux et est capable à elle seule, comme l'alcoolisme o
hologiquedesnévrosesenglobe tout un ensemble disparate d'affections nerveuses , sous le pré- texte que leurs lésions nous sont
et l'alternance sont tributaires de l'automatisme. Dans le domaine nerveux , les fonctions les plus automatiques se montren
1<ESTl ! OPATIlIES. Les -, par Dupré et Camus, p. 208. Centres nerveux . Voir Hystérie. Cervelet. Voir Encéphalite. C
dans la - maniacluc dépressi- vc, par Ducostc, p. 83. Fonction nerveuse . Sur la -- trophique, par Trendelenburg, p. 5
Hypophyse. Voir Tumeurs. Hypothermie. Trois cas d' - d'origine nerveuse , par Mar- chand et Olivier, p. 156. Hystérie.
nition et nature de l' -, par Crocq, p. 365. Exa- men des centres nerveux dans deux cas d' -, par Claude, p. 371. Consi
er- veux du -- chez les adultes, par Alcluicr, p. 374. Maladies nerveuses . Les - - dans la pratique journalière, par Ch
l- ques points du traitement pré- coce des maladies mentales et nerveuses (principalement en ce qui concerne les pauvres)
évolution rapide, par Verger, p. 384. Voir Radiothérapie. Système nerveux ; Séméiologie du-, par Dufour, p. 94. ? Voir V
midité morbide guérie par la suggestion, par Damoglu,p. 89. Tissu nerveux . Sur la désinté- gration du - -, par Atxhei-
Vibrations mécaniques. L'in- fluence physiologique sur le système nerveux , par Stcher- back, p. 370. Vieillesse. Introd
67 (1890) Oeuvres complètes de J. M. Charcot. Tome 3. Leçons sur les maladies du système nerveux
MPLÈTES DE J. M. CHARCOT LEÇONS sur les MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX RECUEILLIES ET PUBLIÉES par MM. BABINSKI, B
Sommaire. — Création de la chaire de clinique des maladies du système nerveux . — Moyens d'étude : hospice-hôpital, consultation
— Légitimité de la spécialisation de l'enseignement de la pathologie nerveuse . — Intervention des sciences anatomiques et physi
ont illustrés, deviendrait quelque jour, pour les maladies du système nerveux , un centre régulièrement organisé d'enseignement
mettre en pleine valeur ! Charcot. Œuvres complètes,, t. m, Système nerveux , 1 Cette opinion, depuis l'époque, je n'ai jama
le émotion, je l'avoue, la chaire de clinique des maladies du système nerveux , mes premières paroles seront l'expression de ma
de tout genre, de celles en particulier qui ont pour siège le système nerveux . Tel est le matériel considérable, mais nécessa
e photographie; un 1. Limité à la réception des maladies du système nerveux . laboratoire danaiomie et de physiologie pathol
sances générales. Il était donc légitime que la pathologie du système nerveux qui, à l'avenir, devra absorber tous les efforts
nt ces trente dernières années, a reculé les limites de la pathologie nerveuse et en a rendu la spécialisation légitime, la Fran
it se faire qu'en créant, pour l'enseignement des maladies du système nerveux , une chaire magistrale. Car, seule, une chaire oc
n vain mot. S'il fallait, dans la catégorie des maladies du système nerveux , montrer toute la puissance de cette méthode, il
s'est montré vrai, surtout en ce qui concerne les maladies du système nerveux . Un^exemple suffira pour montrer que lavdécouyerl
grand nombre d'états morbides, ayant évidemment pour siège le système nerveux , et qui ne laissent sur le cadavre aucune trace m
mple concret, choisi entre Chargot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 2 bien d'autres, et propre, si je ne me trompe
la jointure est aussi parfaitement libre; c'est donc dans le système nerveux ou dans les muscles qu'il faut chercher la cause
nique se contracte au con- Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 3 Dans ce cas, l'affection spinale d'origine a
les mêmes effets que dans les cas où il existe une lésion des centres nerveux ; la paralysie spasmo-dique des membres sans rigi
s faire connaître, en 1837, dans son livre sur certaines affections nerveuses locales, cite des contractures du membre supérieu
hez un jeune sujet qui, jusqu'à ce jour, n'a présenté aucun phénomène nerveux ; regardez-y de près, et, vraisemblablement, vous
connue, sans douleur. Peu de temps après, il se produisit des crises nerveuses avec rires, pleurs, cris. En août dernier, à la s
hoses d'un peu près. L'existence d'un blé-pharospasme chez des sujets nerveux , hystériques, n'est pas une chose rare, qui doive
jeune fille à Saint-Pétersbourg' : en effet, une opération de section nerveuse a été préparée, la malade a été chloroformisée ;
une attaque de nerfs plus Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 4 ou moins légitime est imminente. Nous n'avon
ui permettent de rapprocher ces amyotrophies des myopathies d'origine nerveuse : à savoir, l'irrégularité de l'atrophie, qui att
e spasmodique des muscles. Chàrcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 5 Veuillez remarquer que la contracture spasmo
spinal déterminent tantôt une exaltation des propriétés des cellules nerveuses , d'où dérive la contracture musculaire ; tantôt,
l est des cas dans lesquels la dépression fonctionnelle de la cellule nerveuse paraît se développer primitivement d'emblée : ain
eures ; il paraît se remettre complètement, en apparence; mais il est nerveux , irrilé ; il peut se remettre au travail, cependa
ique, depuis quelques semaines, et qui présente une série d'accidents nerveux assez intéressants. Tous ces accidents, comme vou
a tendance Voir p. 38. Chakcot. LEuvres complètes, t. ni, Système nerveux . 6 hystérique qui s'est manifestée dans ces der
tre relevé ; c'est que, en agissant sur les muscles et sur les troncs nerveux , la faradisation détermine des contractions muscu
ulement la peau, mais encore les parties profondes, muscles et troncs nerveux , puisqu'on peut, en excitant les nerfs et les mus
péricardite consécutive à la scarlatine; mais sans que les accidents nerveux se fussent reproduits. Parmi toutes les observa
ses parents sont en bonne santé, le père est très impressionnable et nerveux , mais sans rien de bien caractérisé. Vous voyez l
ude paternelle, laquelle ne fait que provoquer l'exaltation de l'état nerveux , ou, du moins, de la part du père, un maintien pl
ne excitation extérieure. Charcot. Œuvres complètes, t. ui, Système nerveux . 7 J'ajouterai que si l'un de ces faits est rel
ormation, les parents étant affectés d'une autre affection du système nerveux , de folie, d'épilepsie, etc. Parmi les antécéde
défaut chez notre malade, elle présente cependant nombre de troubles nerveux qui constituent autant de stigmates caractéristiq
uels la volonté du malade Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux . 8 n'entre pour rien, absolument pour rien. Je
tendant à établir que certaines lésions des extrémités, ou des troncs nerveux peuvent retentir sur le centre spinal et y déterm
scialique, un peu après leur sortie de l'échan-crure. Les deux troncs nerveux ont donc pu, et ils ont dû être simultanément sou
hute sur la fesse, alors que celle-ci porte sur un plan uni, le tronc nerveux reste protégé. Vous voyez que les conditions d'un
eux éléments: a) douleur permanente, localisée sur le trajet du tronc nerveux , particulièrement en certains points où la pressi
l'ignorez pas, la suivante : on admet que l'irritation dont les tubes nerveux centripètes affectés sont le siège, remonte en qu
trophique. En conséquence, les muscles auxquels se rendent les tubes nerveux centrifuges qui naissent de ces éléments ganglion
t où il s'agit d'une scia- Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 9 tique survenue à la suite d'un accouchement
muscles innervés par le grand et le petit sciatiques, les deux troncs nerveux simultanément contus, sont, pour la plupart, prof
pourrait à la rigueur s'expliquer, en admettant une lésion des tubes nerveux moteurs, développée au-dessous du point contus, e
ésion éteinte, ou ayant même peut-être sur les points où les éléments nerveux ne sont pas complètement détruits une certaine te
senter ; diabète, certaines méningo-myélites ; compression des paires nerveuses au niveau des trous de conjugaison. — Pseudo-névr
a) Dans le diabète, il n'est pas très rare d'observer des troubles nerveux très divers1, parmi lesquels il convient de signa
alysie ou uneparésie des membres 1. Bernard et Féré. — Des troubles nerveux observés chez les diabétiques* In Arch. de neurol
soit sur les nerfs inler- Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveuse . 10 costaux, soit sur les nerfs lombaires ou sa
ississement de 6 à 7 millimètres ; 2° en une altération des racines nerveuses qui traversent la méninge enflammée, et qui sont
sous le nom de main de prédicateur. A quoi cela tient-il ? Les tubes nerveux qui constituent le radial naissent-ils plus haut
eront reprises et publiées ultérieurement. élevées de notre système nerveux central ; car si, à proprement parler, elles ne f
. Si nous interrogeons Yhérédité, nous ne trouvons aucun antécédent nerveux dans sa famille ; son père est encore vivant et b
ubliés, il n'ose pas s'a- Charcot. Œuvres complètes, t. tu, Système nerveux . il venturer seul. Il reconnaît parfaitement le
, dans le domaine de l'artère pariétale, et, en conséquence, le tissu nerveux a subi dans cette région des altérations plus ou
d'infirmité indélébile. Charcot. Œuvres complètes, t. iii, Système nerveux . 12 TREIZIÈME LEÇON o Sur un cas de suppr
s lui semblaient nouvelles et étranges autour de lui. Il était devenu nerveux et irritable. En tous cas, la mémoire visuelle de
édecine, octobre, 1835.) Cuarcot. Œuvres complètes, t. iii, Système nerveux . 13 amyotrophies progressives demande à être re
lus ou moins généralisée est indépendante de toute lésion des centres nerveux ou des nerfs périphériques. 11 s'agit donc ici d'
apporter toutes ces myopathies progressives à des lésions des centres nerveux . Il y a, disais-je alors, des myopathies primitiv
fonctionnelle, impotence non paralytique, c'est-à-dire non d'origine nerveuse , mais plus ou moins exactement correspondante, se
te ni atrophie ni hyper- Charcot. Œuvres complètes, t. iii, Système nerveux . li Irophie, il existe des troubles des mouveme
ge de l'attaque d'hystérn Ciiarcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . lo convulsive. Enfin se produisent des mouveme
tant un pénitencier militaire et adonnée au spiritisme. Antécédents nerveux et rhumatismaux. — Description des attaques; hall
p. 550. Madame X...., âgée de 36 ans et mariée depuis 1879, est une nerveuse ; elle est impatiente, vive, très émotive : jamais
es environs du pénitencier. Dès son bas âge, elle a toujours été fort nerveuse : au couvent, comme chez elle, elle était désobéi
sister à la genèse et à l'évolution de la maladie dans une famille de nerveux et à'arthritiques, tributaires partant de deux di
it déclarée ; Vabsence du père et de la mère devenus eux-mêmes très nerveux , et dont la présence devait, d'après mon expérien
sible, l'élément psychique Chaucot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 16 joue dans la plupart des cas un rôle consid
e, en France, et par \V. Cuil., en Angleterre, sous le nom d'anorexie nerveuse ou ^anorexie hystérique. Les malades ne mangent p
ticulier. Ce que je viens de dire, en effet, à propos de l'anorexie nerveuse , je pourrais le répéter à propos de la plupart de
our ce qui est de nos enfants, je crois que, malgré la prédisposition nerveuse qui, chez eux, semble si accentuée, les voilà dés
cupé de cette question en Angleterre 2, que beaucoup de ces accidents nerveux désignés sous le nom de Railway-spine et qui, d'a
hock, London, 188ii. vent c'est l'hystérie qui est enjeu. Ces états nerveux , graves et tenaces, qui se présentent à la suite
en pareille occurrence, d'autant plus utile, que souvent les (roubles nerveux se produisent en dehors de toute lésion traumatiq
de toute lésion traumatique et simplement à la suite de l'ébranlement nerveux psychique qui résulte de l'accident et que, fréqu
vail de trois ou quatre mois, une autre sera sous le coup d'accidents nerveux qui vont peut-être l'empêcher de travailler penda
croiront, je suppose, s'il existe des troubles sensoriels avec crises nerveuses simulant plus ou moins la crise comi-tiale, aune
tpkal. Bd. XV. Heft 2 et 3. Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux . 17 contient,d'ailleurs,un grand nombre de fait
Rig..., a eu sept frères et sœurs qui ne présentaient pas de maladies nerveuses . Quatre sont morts; parmi les trois restants, une
nnaître. En premier lieu, je signalerai particulièrement l'hérédité nerveuse si fortement accentuée dans sa famille : hystérie
ût-il suffi à lui seul, pour provoquer le développement des accidents nerveux ? Cela est possible, mais je ne saurais l'affirmer
paralysie survenue sans attaques. Sa mère, morte tuberculeuse, était nerveuse , mais n'avait jamais eu d'attaques. Les antécéd
ecret. L'autopsie absolument négative, en ce qui concerne les centres nerveux , est venue confirmer pleinement le diagnostic.
lui assigne dans sa remarquable monographie est l'une des affections nerveuses qui se développent le plus fréquemment, en conséq
mère encore vivante, qui paraît n'avoir jamais souffert d'affections nerveuses . Il a eu sept frères et sœurs ; un seul de ses fr
frères est vivant : il n'a jamais été malade, paraît-il, et n'est pas nerveux . Vers l'âge de 12 ou 13 ans, G. est devenu très
al paraît satisfaisant. L'é-Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux . 18 tat mental n'a présenté actuellement aucune
ve, pour que, pendant quelques jours, il souffrit de légers accidents nerveux tels que coliques, douleurs et secousses dans les
parfois plusieurs accidents spasmodiques ou autres, tels que la toux nerveuse , les contractures permanentes, certaines arthralg
, bien musclé, mais le fonc-Chaucot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux , 19 tionnement du système nerveux a toujours la
Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux, 19 tionnement du système nerveux a toujours laissé chez lui beaucoup à désirer. De
ndes ; on peut, en effet, faradiser fortement les muscles, les troncs nerveux eux-mêmes, tirailler énergiquement les ligaments
Sa mère est morte à 59 ans d'une maladie du foie ; elle était fort nerveuse ; P... se souvient de l'avoir vue plusieurs fois,
e. Son père, grand buveur d'absinthe, n'a jamais présenté d'accidents nerveux . Sa sœur est souvent prise d'attaques de nerfs, p
e qui suit : Dans l'enfance, bien qu'il ne fut pas particulièrement nerveux , lorsqu'il se trouvait seul, il avait peur, dit-i
ue la faradisation, même énergique, soit des muscles, soit des troncs nerveux , alors qu'elle provoque cependant de fortes contr
éaction de dégénérescence Gharcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux . 20 D'un autre côté, pas de teinte livide ou vi
dans l'hypothèse d'une contusion agissant directement sur les trajets nerveux , elle eût dû intéresser, non seulement le plexus
e genre. Le siège du mal doit être cherché ailleurs, dans les centres nerveux par conséquent ; s'agit-il donc d'une lésion orga
quoi s'agit-il donc alors? A n'en pas douter, une lésion des centres nerveux est présenle dans ce cas ; mais où siége-t-elle,
. Séance du 27 mars 1885. CiuncoT. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux . 21 Je relèverai tout d'abord ce fait que, chez
*, par Weir Mitchell enfin, dans son excellent livre sur les maladies nerveuses des femmes 4 ; pour mon compte, je n'ai pas encor
e. — Erlangen, 1869. 3. Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, lre édit.., 4e édit., p. 351. — 12e leçon.
cret), l'autopsie absolument négative, en ce qui concerne les centres nerveux , est venue confirmer pleinement le diagnostic.
J.-M. Charcot, Essai d'une distinction nosographique des divers états nerveux compris sous le nom d'hypnotisme. Note comm. à l'
L'homme plus que machine. Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 22 ainsi que nous l'avons fait voir, M. Richer
s haut degré, les parties profondes, à savoir les muscles, les troncs nerveux , les ligaments, etc. Ainsi l'on peut, vous le voy
ts de torsion ou d'élongation les plus violents, faradiser les troncs nerveux et les muscles au point de produire dans ceux-ci
s haut, la notel, p. 316. Charcot. Œuvres complètes, t. ra, Système nerveux . 23 abolition des notions du sens musculaire. L
de se demander si l'étal mental occasionné par l'émotion, par le choc nerveux (Nervous Shock) éprouvé au moment de l'accident e
l'hypnotisme ; dans l'autre cas, ainsi qu'on l'a imaginé, par le choc nerveux , cette idée une fois installée, 1. C'est très p
n mécanisme de ce genre que se développe la plupart de ces affections nerveuses variées, souvent si durables et si tenaces, bien
ression exercée sur les masses musculaires, les tendons ou les troncs nerveux (contracture des léthargiques), et l'immobilité c
st, dans le for intérieur, le mouvement lui-même. Elle est le courant nerveux actif qui, dirigé sur les nerfs appropriés, donne
e d'un mouvement particulier, avait dit Slùller, détermine un courant nerveux vers les muscles impliqués et produit leur contra
, j'ai été témoin plus d'une fois [Leçons sur les maladies du système nerveux , t. I, 3e édit., p. 33G et s. — P. Janet. Revue p
I'Appe.ndice I, p. 441. Ciiarcot. Œuvivs complètes, t. iii, Système nerveux . 24 VINGT-TROISIÈME LEÇON Sur tin cas de coxa
al Affections, p. 35 et seq. Les leçons de Brodie, sur les affections nerveuses locales, ont été traduites en français, par le D1
il n'a notamment jamais éprouvé, à aucune époque de sa vie, de crises nerveuses ni de manifestations rhumatismales. Il exerce l
coxalgie. — Caractères de la coxalgie hystérique artificielle. —Shock nerveux . — Suggestion traumatique. — Méthode de traitemen
'âge de 7 ans, contracture douloureuse du pied droit. A 9 ans, crises nerveuses . A l'âge de 10 ans, reprise des crises nerveuses.
oit. A 9 ans, crises nerveuses. A l'âge de 10 ans, reprise des crises nerveuses . A 11 ans, survient une douleur de la hanche droi
ssion complète qui fait croire à l'existence d'une affection purement nerveuse et on laisse, en conséquence, l'enfant marcher. U
de 18 ans. Antécédents héréditaires nuls. A 6 ans et à 14 ans, crises nerveuses nombreuses qui paraissent avoir été des accès d'h
, à l'état, qu'en Angleterre on est convenu d'appeler du nom de shock nerveux {Nervous shock), par opposition au shock traumati
e souvent, d'ailleurs, mais dont il peut rester indépendant. Ce shock nerveux se produit quand survient une émotion vive, une f
ochement que je vous indique entre l'état mental produit par le shock nerveux et celui qui caractérise la période som-nambuliqu
de ce genre; le traumatisme qu'il a subi a produit chez lui un shock nerveux et l'état mental correspondant à celui-ci. Sans d
gie permanente, qu'en raison de l'état psychique produit par le shock nerveux . Telle est, Messieurs, la théorie que je propos
égies dites hystéro-traumatiques, — fracture de l'avant-bras, — shock nerveux ; ce que c'est que le shock local : son rôle dans
on a dû le porter chez un pharmacien. Il est probable que le shock nerveux qu'il a éprouvé là a été assez profond, car, actu
oids de quarante livres. » Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 26 Le membre, d'ailleurs, paraîl avoir été abs
nt, sont le résultat d'une participation par voie réflexe des centres nerveux . On peut, croyons-nous, sans forcer les analogies
neuil, seraient le résultat de la compression des troncs artériels et nerveux par un épanche-ment profond ; il suffit, en effet
du tissu cellulaire sous-cutané. La compression portant sur un tronc nerveux aurait pu, à la rigueur, produire la paralysie d'
se développent à la suite de certaines lésions organiques des centres nerveux : lésions, vous le savez, diverses quant à leur n
tôme pouvant se rapporter à une lésion organique en foyer des centres nerveux , par les résultats que nous donne la recherche de
s phénomènes d'hystérie locale, in Leçons sur les Maladies du système nerveux , t. I, p. 449. Appendice, et, dans ce volume les
al, n° 41,9 octobre 1886.) Chakcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 27 l'expérience a été plus souvent répétée et
d'une excitation périphérique entraînant la participation des centres nerveux , suivant le mécanisme des actes réflexes. Par ce
. 1. Charcot, Œuvres complètes : Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III, 1er fascicule, p. 123. 2. Le 18 octobr
édecin malgré lui, scène VI. Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 28 à un prêtre, dont elle croyait avoir eu à s
ers, il est aujourd'hui au service de la Compagnie du Gaz. L'hérédité nerveuse ne semble pas exister chez lui. Pas de maladies a
, la modification mentale appropriée est déterminée par l'ébranlement nerveux général [iier-vous shock) qu'a nécessairement pro
ble parésie paraplégique accompagnée parfois de tremblement1. Le choc nerveux cérébral (nervous-shock), inséparable de l'émotio
tations hystériques, se montrent fréquemment en conséquence d'un choc nerveux (Nervous Shock), plus particulièrement quand le c
manœuvre. Jamais il n'a été malade jusqu'ici; il ne parait nullement nerveux et ne sait pas ce que c'est qu'une attaque de ner
pas jouer chez lui un grand rôle. 11 ne paraît pas qu'aucune maladie nerveuse ait existé dans la famille. Mouil... était en é
t développé par le fait de l'ébranlement cérébral produit par le choc nerveux . On remarquera que la paralysie motrice n'a pas é
nt leur sub-stratum organique, et plus précisément, dans les cellules nerveuses motrices de ces centres. Elles seraient principal
palement constituées parle « sentiment d'innervation », de « décharge nerveuse » comme on l'appelle encore et auraient, je le ré
faire défaut, en conséquence d'une lésion survenue dans les cellules nerveuses du centre moteur cortical d'un membre, ou dans le
blable, de plus, que dans Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux . 30 ces faits de paralysie par suggestion hypno
, les noyaux gris sous-corticaux et bulbaires, ainsi que les cellules nerveuses spinales qui, dans l'état normal, sont en relatio
mouvement musculaire coïncide avec le courant centrifuge de la force nerveuse et ne résulte pas, comme dans la sensation propre
ent ne paraît pas être clans les muscles, mais bien dans les cellules nerveuses motrices... Nous n'avons pas seulement la sensati
s étourdissements. Sa mère et sa sœur ne présentent pas de phénomènes nerveux anormaux. Quand à notre malade elle-même, elle
de M. Ciiarcot, recueillie par M. le Dr Marie. ques. Ces accidents nerveux n'ont duré qu'une année, de 16 ans à 17 ans; ajou
implique pas fatalement l'idée d'une altération matérielle du système nerveux , appréciable à nos moyens d'investigation ; elle
ités. Or, il s'agit là d'une altération purement dynamique du système nerveux ; les centres gris de la moelle et les nerfs périp
séance du 20 février 1886. Charcot. Œuvres complètes, t. ni, Système nerveux . 31 phie développée du côté paralysé, dans une
topsie n'a pas encore parlé; il est certain qu'elle dépend du système nerveux central ; or, puisque les cornes antérieures de l
dans le second cas, les modifications des diverses parties du système nerveux sont toutes dynamiques. Quelles que soient, du
hypocondriaque et a fini par se suicider. Grand'mère maternelle, très nerveuse , morte à 72 ans, d'un catarrhe (?). Il y avait eu
e tuberculeuse à l'âge de 57 ans; avait des crises épileptiques. Mère nerveuse , très emportée, morte de phtisie; a eu huit enfan
cette époque (fin 1871) que survient la première grande manifestation nerveuse . Pendant un souper avec quelques amis, il est pri
es ne parviennent pas à le réveiller. Yers le matin, éclate une crise nerveuse avec délire terrible. Le médecin crut à une ménin
ui. Rechute, quelques jours plus tard; application de sangsues, crise nerveuse encore plus terrible que la première, mais la f
étoulfe-menls, il entra dans une pharmacie où il fut pris d'une crise nerveuse analogue aux précédentes, mais qui ne dura que de
1885. Ce qu'on peut apprendre, c'est qu'il a eu, en 1884, cinq crises nerveuses ressemblant aux premières (en 18G9) en un mois
e, service de M. Charcot. Homme, âgé de 30 ans. La première attaque nerveuse eut lieu en septembre 1882. Depuis le mois de jan
lques mots l'observation sui-Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système nerveux . 32 vante d'aphasie hystérique, chez une enfant
médecins ont qualifié de chorée hystérique. Le père lui-même est très nerveux . Jusqu'à ces dernières années, l'hystérie ne s'
de 28 ans, entrée à l'hôpital de la Pitié le 27 mars 1885. Mère très nerveuse ; père hypochondria-que. Il y a deux ans, la malad
harynx. Signes de phlhisie pulmonaire commençante. La malade est très nerveuse , pleure sans motifs et entre dans des accès de co
ir. Leur caractère est typique; survenues subitement, chez des sujets nerveux , elles sont le plus souvent bilatérales et porten
ce qui confirme la nature psychique, centrale de cette manifestation nerveuse , c'est que les muscles du larynx ne sont pas touj
'un maître rompu à toutes les difficultés du diagnostic désaffections nerveuses , préciser aussi nettement et du premier coup d'œi
Progrès médical, 1S8^, n° S. Charcot. Œuvres complètes, il m, Système nerveux . 33 donner aux lettres. On a pu s'assurer, d'ai
a substance. — Voir aussi Charcot: Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III, p. 154. 2. Une autre observation d'agr
Sommaire. — Création de la chaire de clinique des maladies du système nerveux . — Moyens d'étude : hospice-hôpital, consultation
— Légitimité de la spécialisation de l'enseignement de la pathologie nerveuse . — Intervention des sciences anatomiques et physi
ésenter; diabète^ certaines méningo-myélites ; compression des paires nerveuses , au niveau des trous de conjugaison. — Pseudo-név
nt un pénitencier militaire et adonnée au spiri. tisme. Antécédents nerveux et rhumatismaux. — Description des attaques; hall
cette affection : Bailway- Charcot. Œuvres complètes, r. m, Système nerveux . 34 spine. — Ténacité des stigmates hystériques
oxalgie. — Caractères de la coxalgie hystérique artificielle. — Shock nerveux . — Suggestion trauma-tique. — Méthode de traiteme
légies dites hystéro-traumatiques ; fracture de l'avant-bras; — shock nerveux . Ce que c'est que le shock local : son rôle dans
dans la paralysie-hystérique, 446; — dans les névrites, 308. Shock nerveux , 355, 392, 403; — local, 402. Simulation, 1620;
ralysie faciale, 414. Spécialisation de l'enseignement des maladies nerveuses (Légitimité de la —), 7. Spinale (Exemple d'une
es, 344, 351, 402 ; — traumatique, 354, 357, 392, 393, 402. Système nerveux (Organisation de la chaire de clinique des maladi
-thésiques,37, 97 ; — leur influence sur le développement de troubles nerveux en dehors de l'hystérie, 399; — et hystérie, 250,
68 (1900) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 13]
MALADIES DES MALADIES MENTALES DES MALADIES CUTANÉES ET DU SYSTÈME NERVEUX SYPHILITIQUES PAR' PAUL RICHER GILLES DE la T
nés d'accès répétés d'an- gine de poitrine. Il n'y a aucune maladie nerveuse ni mentale dans sa famille. Ses parents sont mo
yélique et qui a été observé dans bien d'autres affections du système nerveux . Dès lors on a pu constater chaque jour l'exist
vision de Nachet, tel qu'il est décrit dans l'Anatomie des centres nerveux de Déjerine (Paris, 1895, p. Si). La pyramide
e aussi une légère prolifération de la né- vroglie, mais les fibres nerveuses y sont normales. Les lésions de l'olive gauche
érébral, on constate une dégénéres- cence considérable des cellules nerveuses et leur disparition en masse, dans la région où
t atrophiée à gauche qu'on zip aperçoit que quelques rares cellules nerveuses normales; la plupart des cellules sont réduites i
tie dorsale de cette substance, est aussi très appauvrie en libres nerveuses . Cervelet. Les modifications les plus prononcée
avasations sanguines, en partie organisées, et des restes de fibres nerveuses atrophiées et désagrégées. Il n'y a pas trace d
pédoncule cérébelleux moyen que par une étroite languette de tissu nerveux . Pédoncule cérébral. Les modifications produite
a calotte du pédoncule céré- bral droit sont plus pauvres en fibres nerveuses que les mêmes régions à ga'uche. Les libres qui
ravasations sanguines et dans le voisinage des vaisseaux les fibres nerveuses sont atrophiées; on y remarque des lacunes, mai
lo-optique de la capsule interne à droite. On y remarque des fibres nerveuses brisées et dispersées, mais non dégénérées, ce
grave pour entraîner un trouble des fonctions des divers faisceaux nerveux touchés, des voies pyramidales, par exemple. Pe
qu'il existe dans cette région une diminu- tion sensible des fibres nerveuses . Nous avons constaté dans notre cas un aminciss
préciables, mais on y constatait une diminution certaine des fibres nerveuses . Il en était de même dans la ré- gion sous-thal
de l'atrophie du noyau rouge, et non pas à une atrophie des fibres nerveuses elles-mêmes. Le noyau rouge était tout à fait a
s ni avec les vaisseaux. La muqueuse stomacale est saine. Système nerveux . Le cadavre a été presque entièrement disséqué au
ction a permis de constater les faits suivants : Les- gros troncs nerveux (cubital, radial, médian, sciatique, crural), les
ntent rien de particulier. Si l'on prend isolément un petit tronc nerveux , par exemple à la cuisse un rameau sous-cutané
nté- ressantes (Planche VI, B).Ainsi sur le trajet de cette branche nerveuse on voit se succéder sans interruption quatre no
e faisceau 1 s'est développé un fibrome qui a dissocié les fibres nerveuses ; le néoplasme est encapsulé par la gaine lame
isceaux 1, 2, 3, sont intéressés par la coupe. On suit les fibres nerveuses de la partie saine du faisceau 1 dans la partie
e noyaux; 4, tissu conjonctif interfasciculaire avec ramuscules nerveux 5. Coupe F Coupe de la peau de la région sous
son & Ci, Editeurs neurofibromatose généralisée 33 Les troncs nerveux en apparence normaux ou les portions des troncs n
Les troncs nerveux en apparence normaux ou les portions des troncs nerveux intermédiaires à deux neurofibromes ne sont pas
permet de reconnaître. Sur une même cou- pe transversale d'un tronc nerveux non déformé comme le sciatique par exem- ple (P
donnance des nodules fusiformes développés sur le trajet des troncs nerveux . Le nodule est constitué par la réunion de tous
s. Autrement dit un nodule tron- culaire est constitué de faisceaux nerveux normaux et de nodules fibromateux fasciculaires
e ce tissu dans la presque totalité des coupes on trouve des fibres nerveuses à myéline. Leur disposition doit être étudiée sur
et longitudinales. Sur une coupe transversale on trouve des fibres nerveuses avec leur gaine de myéline. Ces fibres ont leur
dinalement coupé. La diversité de ces figures prouve que les fibres nerveuses ont dans leur traversée du fibrome un trajet asse
ent- noble, le cul-de-sac sébacé, le tube sudoripare comme la fibre nerveuse gardent au milieu de la néoplasie qui les englo
ement que la surface de coupe du nodule est plus grande. Les fibres nerveuses sont rarement au centre même des nodules. Les g
t d'assez nombreux noyaux, des fins vaisseaux et quelques faisceaux nerveux . Les nerfs extra-musculàires sont les uns norma
décrit et figuré des fibromes nettement développés sur les rameaux nerveux de l'intestin, en revancheRecklinghausen est beau
inductions. Il n'a pas constaté d'une façon indiscutable l'origine nerveuse de ces tu- meurs intestinales, mais il fonde sa
ulaire, au milieu de laquelle court le faisceau dissocié des fibres nerveuses intactes. Quelques coupes de ces nodules ne ren
tactes. Quelques coupes de ces nodules ne renferment pas des libres nerveuses ; , n'importe, c'est toujours la môme figure his
st là, comme la signature du neurofibrome. S'il n'y a pas de fibres nerveuses sur ces coupes, ce n'est pas en effet qu'elles on
nous répétons que la néoplasie respecte l'élément noble du faisceau nerveux ), c'est que la coupe a porté sur un segmenl du
orté sur un segmenl du neurofibrome que ne traverse pas le faisceau nerveux dissocié. Les autres * tumeurs au contraire son
se intra-fasciculaire encerclée par la gaine lamelleuse du faisceau nerveux ? Ne doit-on pas considérer qu'à côté de la neu
matose cutanée qui semble s'être déve- loppée en dehors des rameaux nerveux ,dans le tissu con,jonctif périlandu- laire. A c
qui respecte l'élément noble dans lequel il se développe, ici fibre nerveuse , là tube sudoripare ,ou cul-de-sac sébacé, et c
c'est bien plutôt l'identité de ce processus que la systématisation nerveuse de la fibromatose -qui réalise l'uni té patlio('é
rmes (Ver- neuil), lipomes multiples, lipomes symétriques d'origine nerveuse , lipo- mes diffus du cou et de la nuque, IYIÏ1p
ée de 16 ans, sans profession. Antécédents héréditaires : Mère très nerveuse , n'a pas de grande crise, mais éprouve pour un
t depuis trois ans. Parmi ses parents, sa mère seulement était très nerveuse , elle souffrait également de névralgie crânienn
homme avait fini par comprendre qu'il s'a- gissai 1. d'une anorexie nerveuse . Il m'apprit, chose cruelle, qu'il avait perdu
n de santé il m'arrêta, un de nos meilleurs maîtres en pa- thologie nerveuse lui avait affirmé cette nécessité de l'isolement
riées, ayant chacune deux enfants ; l'un de ceux-ci est malingre et nerveux à l'excès. Antécédents personnels. Pas de malad
, III, p. 344. 14. ANDHÉ. Précis clinique des maladies du système nerveux , 1895, p. 65. 15. CIIEIiCnEWSKl. Contribution à
ne des coupes imprégnées à l'acide osmique ne donne trace de libres nerveuses à myéline. Les vaisseaux se réduisent le plus s
cette interprétation ; cependant, l'absence absolue de tout trouble nerveux du côté des membres inférieurs, de la vessie et
a fait réformer ce diagnos- tic, en démontrant l'absence de fibres nerveuses dans ces boyaux, comme dans toutes les parties
grec des temps héroïques, avait guéri Hercule d'une grave affection nerveuse , folie ou épilepsie, on ne sait trop, en tous c
n de P. Richer qui figure dans le musée de la clinique des maladies nerveuses , représentant une tabétique, vue de dos, attein
onat, en 1895 (3), reprennent l'étude des arthropa- thies d'origine nerveuse , et s'occupent surtout dans leur travail, de la
1893, p. 136. (3) Mouchet et Coroxat, Des arthropathies d'origine nerveuse . Archives générales de médecine, décembre 1S95
é conslalée pendant (t) Vllpiax, Leçons sur les maladies du s;/lème nerveux . t.I, Paris, 1879, X\la leçon, obs. Il, p. 399.
nt la cécité marque du même coup le dé- but et la fin des accidents nerveux . Observation I. Racariés, berger, 48 ans, ent
-même et tombe. ' ' En 1897, un an après le début de ces troubles nerveux , il commence à boiter du côté droit. Etonné de
sont peu intéressants : son père est mort subi- tement, sa mère est nerveuse . Il a une fille en bonne santé. xut 10 150 GI
ire voisin de l'appareil sensitif. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE. LA POLYNÉVRITE SY
ITIQUE, PAR R. CESTAN, Chef de Clinique des maladies du Système Nerveux . A l'heure actuelle, nous avons une connaissanc
omplète de l'histoire anatomo-clinique de la tuberculose du système nerveux dans ses localisations aussi bien cérébro-médul
s, motrice et sensi- tive, centrale et périphérique, que le système nerveux est lésé par la tu- berculose. En est-il de mêm
venons d'indiquer pour la tuberculose étudier les mani- festations nerveuses de la syphilis ? ' ! L'histoire anatomo-cliniqu
philis ? ' ! L'histoire anatomo-clinique de la syphilis des centres nerveux a été ap- profondie dans ces dernières années e
iel. Boet... Eugène, 34 ans, paveur. Pas d'antécédents héréditaires nerveux . Père et mère morts à 58 et 56 ans de maladie a
56 ans de maladie aiguë. 5 frères et soeurs vivants et sans maladie nerveuse . Pas d'antécédents personnels. Pas d'alcoolisme
malade paraît être très sérieusement syphilisé. Du côté du système nerveux , nous constatons une intégrité de la muscula- t
poignet sont abolis. On ne constate ni douleurs le long des trajets nerveux ou dans les masses musculaires, ni troubles de la
mel1 admise. De la topographie de la DR dans ces divers territoires nerveux et de l'évolu- tion suivie par les réactions él
nstate alors l'intégrité des organes abdominaux. Du côté du système nerveux , l'attention est attirée par l'atrophie musculair
marche ataxique. Un traitement iodo- mercuriel aggrave les troubles nerveux ; le malade s'est rétabli peu à peu. Ces. VIII.
phinc- ters. Albuminurie abondante. Aggravation rapide des troubles nerveux mal- gré des injections de calomel. Bientôt par
4 membres avec atrophie musculaire, douleurs la pression des troncs nerveux mais sans trou- bles objectifs de la sensibilit
es du tronc et du facial gau- che. Hyperesthésie intense des troncs nerveux et des masses musculaires. Pas de troubles obje
Myélites syphilitiques. Baillière, 1899. Bl..... 20 ans. Parents nerveux . Pas de maladie antérieure. Très nerveuse. Mari
9. Bl..... 20 ans. Parents nerveux. Pas de maladie antérieure. Très nerveuse . Mariée le 16 septembre 1893. Syphilis en octob
es ; infil- tration embryonnaire de l'épinèvre, atrophie des fihres nerveuses , production de petites nodosités fusiformes ou
90, six mois après vient consulter pour manifes-, tation cutanée et nerveuse . Traitement par injection hypodermique de sublimé
n a pu se poser dans ces dernières années à l'occasion des troubles nerveux d'origine périphérique qui apparaissent au cours
es précédemment. Nous avons mis dans un premier groupe les troubles nerveux qui ne rentrent pas dans le cadre de la polynévri
l'histoire clinique de la polynévrite^ syphilitique. Les troubles nerveux font leur apparition pendant la période secondair
observés dans ce même groupe. Notre malade n'a présenté ni hérédité nerveuse ni intoxication telle que saturnisme ou alcoolism
ire au minimum l'influence de ces causes favorisantes. Les troubles nerveux s'installent rapidement et nous pouvons assister
l faut pourtant se rappeler que la syphilis affectionne les centres nerveux et parfois d'une manière très précoce. Le début s
des réactions électriques sur les muscles de plusieurs territoires nerveux sans aucun ordre, topographie très différente de
us prouverait que la toxine syphi- litique peut atteindre l'élément nerveux lui-môme, que l'altération paren- chymateuse pe
rie généralement admise pour expliquer les altérations des éléments nerveux , observées dans le coeur de la syphilis cérébro
ioV/ntH M : ¡S50n A CI Fditll\l" CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÈTRIÈRE ANGIOME SEGMENTAIRE
les autres on estpeut- être en droit de faire intervenir le système nerveux . Nous attirerons seulement l'altention sur l'ex
dents héréditaires bien accusés. Mariée à 15 ans,elle eut une crise nerveuse à 15 ans et demi à la suite d'une émotion. Cett
imité de la surface ; les autres, générales, agissant sur le centre nerveux même de cette sécré- lion. Les premières (irrit
p- primant les tumeurs, on n'a pas pour cela modifié les influences nerveuses agissant sur le territoire cutané correspondant
admet que l'adé- no-lipomatose évolue sous l'influence de troubles nerveux d'origine alcoo- lique. Virchow concède une gra
lus généralement admise, tout au moins à l'étranger, est la théorie nerveuse ; elle a été en particulier discutée au 59e Congr
uels, en môme temps que les tumeurs, on trouve des ma- nifestations nerveuses , rhumatismales ou rhumatoïdes; la deuxième a Ir
artiennent incontestablement cette deuxième catégorie. La théorie nerveuse s'appuie surtout sur l'état cérébral des malades,
ns quelques cas avec des affections plus ou moins graves du système nerveux , telles que le tabes (obs. de VIadelun, deBouju
entre la distribution des masses lipomateuses et celle des rameaux nerveux . Hennigsen a noté, dans le fait qu'il a publié, q
faut attribuer une influence aussi impor- tante au rôle du système nerveux dans la production des tumeurs. Si les muscles
réac- tion de dégénérence (Curschmann). Cette absence de phénomènes nerveux avait déjà frappé, en 1892, M. A. Siredey. « Le
eux avait déjà frappé, en 1892, M. A. Siredey. « Le rôle du système nerveux , écrit-il, semble donc se bornera une influence
eulement dans la distribution des troubles trophiques. » La théorie nerveuse , sans satisfaire Madelung, lui semble encore la
cutif à un traumatisme. En somme, aucun des partisans de la théorie nerveuse n'a réussi à établir de relation tant soit peu
réussi à établir de relation tant soit peu précise entre le système nerveux et l'hy- pertrophie adipeuse ; on ne peut donc
e en considération que si l'on veut mettre sur le compte du système nerveux tous les phénomènes morbides dont on ne connaît
la théorie ganglionnaire s'applique beaucoup mieux que .la théorie nerveuse à tons les faits que nous avons réunis ; elle per
il présente plaident en fa- veur d'une lésion organique des centres nerveux . Il y a en cela plusieurs raisons : in Chez l
ne fracture étendue du crâne, nous admettons une lésion des centres nerveux causée par un ou plusieurs plombs ayant pénétré
ait antérieurement jamais été malade. Mère, fille unique, sans tare nerveuse , issue d'un père dans la famille duquel il y av
le malade ne sait de quoi, la mère, d'hydro- pisie. Pas de maladie nerveuse dans la famille. Le malade dit n'avoir jamais é
1 : \ ? . ? 1, 1't ," . LA MARCHE DANS LES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (A propos d'un article de ll. Marinesco). PAR
e d'articles de l'auteur sur la marche dans les maladies du système nerveux , dont j'aurai bientôt à parler. M. Marinesco
eux ans à des recherches sur la marche dans les maladies du système nerveux en m'aidant de la méthode des emprein- tes. J'a
atif de cette question : « La marche dans les mala- dies du système nerveux », je lui répondrais qu'à part quelques rares no-
ce dernier point de vue. . marche dans les maladies du système nerveux étudiée par la méthode des empreintes, in-8\ Th
dicale, p. 225, n° 29, 1899. LA MARCHE DANS LES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 295 Dans une seconde, tenant compte de ce que j
ue physiologique, j'étudiais la marche dans les maladies du système nerveux où ces recherches me semblaient avoir quelque uti
l connaît mes recherches sur la marche dans les maladies du système nerveux longtemps prolongées, faites ai une époque où l
S LADAME Nissl, touchant la fine structure analomique de la cellule nerveuse et ses lésions. 1. Quelques modifications heu
connaissances que nous possédons sur l'anato- mie fine des éléments nerveux fera l'objet de la seconde partie. La troisième
hnique histo- logique, nos notions sur l'anatomie fine des cellules nerveuses étaient très élémentaires ; on possédait un sch
i découvrirent de nombreux détails delà fine structure des éléments nerveux et analysèrent une foule de points importants ign
e de nous dévoiler les plus fins détails histologiques des éléments nerveux , elle a une portée beaucoup plus générale, puis
e met en évidence les modifications qui s'opèrent dans les cellules nerveuses pendant leur activité fonction- nelle et les lé
a méthode au bleu de méthylène permet de localiser dans les centres nerveux les noyaux d'origine des nerfs d'une façon abso-
un vaste horizon à la pathologie gé- nérale et spéciale du système nerveux . Elle nous révèle en effet des modifications da
révèle en effet des modifications dans la structure des cellu- les nerveuses qui ont été décrites sous le nom de « dégénéresce
ance de plus en plus grande dans la pathologie générale des centres nerveux . Cette méthode nous montre dans les cellules ne
le des centres nerveux. Cette méthode nous montre dans les cellules nerveuses des lésions qui, hier encore, étaient absolumen
des maladies sine materia qui envahissaient naguère la patholo- gie nerveuse et mentale. Cependant les faits observés jusqu'
ent des pièces dans l'alcool. Il met de petits fragments du système nerveux central dans de l'alcool à 96°. Sans les enrobe
s résultats que le liquide de Gilson, pour la fixation des éléments nerveux . Les cellules se sont rétractées d'une façon tr
sur les cellules névrogliques et conjonctives que sur les éléments nerveux , elle agit cependant d'une façon si discrète sur
façon si discrète sur les premières que l'observation des cellules nerveuses n'en est nullement gênée. Le bleu de méthylèn
ments figurés des coupes et d'une façon si intense que les cellules nerveuses ne sont pas suffisamment différenciées des autr
otoplasma cellulaire. DEUXIEME PARTIE ANATOMIE FINE DE LA CELLULE NERVEUSE . On divise actuellement les éléments nerveux en
IE FINE DE LA CELLULE NERVEUSE. On divise actuellement les éléments nerveux en deux grands grou- pes (1), les cellules cary
: llax Schulze(` ? ), (1) Van GEIIl'CIITF,lI, L'analomie du système nerveux de l'homme, 2e édition, 1897, p. 169 et suiv. e
p. 169 et suiv. et p. 3` ? -2S : i. L'anatomie fine de la cellule nerveuse . Rapport de ilfoscuu. La Cellule, t. XIII, 2° r
a di pathologia nerv., 1896. (9) VAN Gehuchten, Analomie du système nerveux de l'homme, 21 édition, Louvain, 1897 ; L'anato
l'homme, 21 édition, Louvain, 1897 ; L'anatomie fine de la cellule nerveuse . Tirage à part du Rapport de Moscou, « la Cellu
) Marinesco, Nouvelles recherches sur la structure fine de la cellule nerveuse . Presse médicale, juin 1897. (11) RAMON Y Caj
chten et Nélis, Lugaro et d'autres auteurs, ont groupé les cellules nerveuses en divers types caractérisés précisément par la
matique n'étant que secondaire, nullement indispensable à l'élément nerveux , c'est une « espèce de substance de réserve qui
te substance chromatique n'existe d'ailleurs pas dans toute cellule nerveuse ; elle n'est donc pas indispensable à la vie du
obser- vés dans nos propres expériences. La réaction des cellules nerveuses , qui se manifeste à la suite d'une lé- (1) V. G
réalité de ce fait. La chromatolyse se manifeste dans les cellules nerveuses quand elles sont directement atteintes par un a
es (l) VAN Gehuchten, Les phénomènes de réparation dans les centres nerveux après la section des nerfs périphériques, La Pr
vivement coloré, est central. La très grande majorité des éléments nerveux présente les bordures périnu- cléaire et péri-c
e destinées à disparaître complètement. Un bon nombre de cellules nerveuses qui ont subi la chromatolyse revien- nent à l'é
upes des ganglions (Pl. XLVI, G. p. d. III), des noyaux de cellules nerveuses , isolés de tout protoplasma, ayant encore leur
même davantage, qui marquent la place jadis occupée par un élément nerveux totale- ment disparu. Ces cellules paraissent ê
cas actuel, cette couche, dé- pouillée de la plupart de ses fibres nerveuses est réduite à son réticulum né- 336 J. dejerine
ur de la coupe, on peut néanmoins constater l'existence de cellules nerveuses . C. Substance blanche du cervelet (PI. XLVII et
existe une atrophie totale des noyaux du pont, toutes les cellules nerveuses ont disparu et sont remplacées par des cellules a
ie a eu un début tardif, chez des individus ne comptant aucune tare nerveuse dans leurs antécédents. Les observations de Pie
s autres observations le début a eu lieu après 30 ans. L'hérédité nerveuse est relevée dans l'observation de Menzel et dans
ième soeur, de constitution faible, n'est atteinte d'aucune maladie nerveuse . La mère, bien portante dans sa jeunesse, fut p
1892. (7) Klippel et Duhinte, Contribution à l'élude désaffections nerveuses familiales et héréditaires. Revue de médecine,
ion n'ayant été relevé dans les ascendants directs; mais l'hérédité nerveuse du malade de Nonne était néanmoins très chargée
ent le cervelet et la moelle comparés aux autres parties du système nerveux frappent par leur petitesse. Dans le pont ce so
ais sain arrêté dans son développement, comme d'ailleurs le système nerveux en général ; celui de nos malades un cervelet mal
un point commun avec le cas de Nonne, c'est la petitesse du système nerveux en général, bien moins nette il est vrai dans not
qu'un syndrome commun il plusieurs affections familiales du système nerveux et due à une lésion intéressant soit le cervele
sités de. la pathologie cérébelleuse que la fréquence de l'hérédité nerveuse , similaire ou non similaire et du caractère fam
a coexistence des malformations acquises ou congénitales du système nerveux . Si on se rallie à celle dernière opinion, on p
généralisée; c'est sans doute pour la même raison que les symptômes nerveux consignés dans certains cas d'anémie pernicieus
, la moindre intensité de la titubation, la coexistence de troubles nerveux de nature différente faciliteront le diagnostic.
(t) Dejerine et Thomas, Elude clinique et anatomique des accidents nerveux déve- loppés au cours de l'anémie pernicieuse.
uelle le cer- velet exerce, à l'état normal sur le reste du système nerveux , une influence qui se traduit par une action ne
'atrophie des olives, et la protubérance et la petitesse du système nerveux central coexistent avec l'atrophie cérébelleuse
spongieuse. 3° Une zone de matière cérébrale tiraillée, où le tissu nerveux est dé- chiré par des hémorrhagies capillaires.
ntrer avec évidence, à cause de la consistance même de la substance nerveuse . Les choses sont d'autant plus obscures qu'en c
cke présenta à la polyclinique royale de Breslau, pour les maladies nerveuses , l'observation suivante : Observation XIII (rés
llèlement pendant un certain temps séparés par un pont de substance nerveuse de 2 centimètres. Le premier de ces canaux se ter
ntraîné dans toute l'étendue de l'abcès une couche épaisse de tissu nerveux . Le pus évacué est verdâtre et contenu dans une v
e, elle est très certainement causée par des altéra- tions du tronc nerveux au niveau du rocher dans le canal de Fallope. C
hrift, 2nov. 1899, n 441, p. 1086. CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIERE UN CAS RARE D'OSTÉO
de la rattacher aux mala- dies classées soit des os soit du système nerveux , mais les symptômes sont restés immuables penda
l'ai recueillie à son entrée au service de la clinique des maladies nerveuses , l'histoire de ce singulier ma- lade. B..., â
vigoureux et intelligent. Sa mère est bien portante, elle n'est pas nerveuse . Son père est mort à l'âge de trente ans, sans
dée d'une affection acquise,' bien que l'absence de tout antécédent nerveux chez ses ascendants ou collaté- raux, l'absence
sont enfin les compres- sions des racines rachidiennes, des troncs nerveux , de la moelle. Les symptômes habituels du tabes
Charles HUDOVERNIG, Assistant à la clinique des maladies du système nerveux de Budapest. J'ai eu l'occasion d'observer da
ont toujours été réguliers. En- fin dans la famille aucune maladie nerveuse , ni tuberculose. A l'âge de onze ans, la malade
les résultats de nos recherches personnelles concernant le système nerveux central de deux malades qui ont souffert de par
é de Busch dont nous nous sommes ser- vis : les morceaux du système nerveux central étaient durcis dans la solu- tion de fo
Busch nous avons employé pour la coloration des cellules du système nerveux central le bleu de toluidide, le bleu de poly-
ns il n'y en a presque point. A l'examen microscopique des cellules nerveuses saute aux yeux la finesse'd'un grand nombre de
lules névro- gliques entourent un vaisseau. Concernant les cellules nerveuses il faut remar- quer qu'on reçoit,en général, pe
veuses il faut remar- quer qu'on reçoit,en général, peu de cellules nerveuses imprégnées ; les dendrites sont souvent privées
r la méthode de Golgi dans le cas donné a démontré que les cellules nerveuses avec leurs dendrites ont été soumises à une déf
L'état variqueux des prolongements protoplasma tiques des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale est bien plus prononcé en
stance grise il saute aux yeux que la plus grande^ tie des cellules nerveuses est rembourrée par des globules noirs; dans cou
lus superficielles on peut s'assurer dans le périssement.des cellli nerveuses , dans l'excroissance de vaisseaux menus, dans l'e
n- dothélium capillaire est rempli de globules noirs ; les cellules nerveuses con- tiennent moius de pigment que celles du lo
boses de vaisseaux menus, accompagnées d'une désagrégation du tissu nerveux dans la circonférence des vaisseaux. Les cellul
re eux on observe une dégénéres- cence très accusée dans les fibres nerveuses de myéline ; la dégénérescence prédomine surtou
ntre des ané- vrysmes et des hémorrhagies très menus ; les cellules nerveuses contiennent une quantité assez marquée de pigme
ent. D) Lobe temporal. Ce qui saute aux yeux c'est que les cellules nerveuses contiennent une masse de globules noirs. Ici le
es menues, tromboses menues, dégénérescence graisseuse des cellules nerveuses , épaississements des parois vasculaires, périssem
s, épaississements des parois vasculaires, périssement des cellules nerveuses , surtout dans la partie périphérique de l'écorce
énérescence disséminée par places, plus accentuées .dans les fibres nerveuses . Les cellules nerveuses sont remplies de pigment.
ar places, plus accentuées .dans les fibres nerveuses. Les cellules nerveuses sont remplies de pigment. VI. Au niveau de l'ol
tout le long de la coupe transversale, Presque toutes les cellules nerveuses sont remplies de globules noirs, surtout les cell
es examinées, prises de la partie du tronc cérébral, les cel- lules nerveuses sont remplies de globules noirs. Les fibres radic
roit devient visiblement disséminée. La dé- générescence des fibres nerveuses sur la périphérie de la moelle épinière de- vie
us nous sommes assurés dans celà que la dégéné- rescence des fibres nerveuses est accentuée le plus dans les cordons postérieur
re,- Nous nous assurons ici aussi dans la dégénérescence des fibres nerveuses et dans l'existence des cellules, contenant une
ire. Les cellules de la corne antérieure et en général les cellules nerveuses de la substance grise de la moelle épinière par
dans le corps cellulaire des blocs chromophiles. Bien des cellules nerveuses apparaissent comme gonflées et arrondies; les p
e envisagé seulement comme une modification secondaire des cellules nerveuses ; en faveur de notre doute parle aussi ce fait, q
DE BUSCH. I. Hémisphère rauclte.-a) Région frontale.- Les cellules nerveuses con- tiennent une grande quantité de pigment ;
grand développement de vais- (1) VAN Gehuchten, Analomie du système nerveux , 3° édition, volume I, p. 322. (2) Chaules NhLI
sez considérable de points noirs par places groupés. Les cellu- les nerveuses contiennent une quantité assez marquée de pigment
fondes, là la dégénérescence pigmentaire et graisseuse des cellules nerveuses était plus accentuée qu'ici. Là il y avait dans
un développement exagéré des vaisseaux, le périssement des cellules nerveuses des lobes frontaux bien plus grand ; là, on renco
t là par toute la coupe transversale des pédoncules. Les cel- lules nerveuses contiennent une quantité assez marquée de globule
liaison avec un petit foyer de désagrégation locale de la substance nerveuse . Les cellules des cordons de Clarke contiennent
assez visible de globules pigmentaires graisseux dans les cellules nerveuses , mais la quantité de ces globules est moins gra
ence pigmentaire et graisseuse des cellules corticales des cellules nerveuses du tronc cérébral de la moelle épinière, la dég
spinales. La modification de la pression dans la cavité du système nerveux central, le trouble de la circulation régulière
her la transmission régulière des influences trophiques des centres nerveux , c'est-à-dire, des cellules des ganglions spina
est plus accessible à l'influence trophique de la part des cellules nerveuses des ganglions spinaux. La paralysie générale do
xication générale, qui se reflète, entre autres, sur tout le système nerveux central, où les cellules nerveuses sont sujette
entre autres, sur tout le système nerveux central, où les cellules nerveuses sont sujettes à une dégénérescence pig- mentair
1, s.s. 1-14. (2) N. A. Vyrouboff, Des dégénérescences des cellules nerveuses et des fibres dans la moelle épinière dans la p
à la Salpê- trière, d'accidents cérébraux, avait toujours été très nerveuse , impressionnable, pleurant facilement, et qu'el
n ne relève pas de maladies graves dans son enfance, ni d'accidents nerveux . Elle a été réglée à 16 ans, et toujours ré- gu
ntît rien. Elle a eu depuis un garçon qui a 10 ans, intelligent, mais nerveux et une fille qui a 7 ans (1889), et est très ne
elligent, mais nerveux et une fille qui a 7 ans (1889), et est très nerveuse : elle a des céphalés avec sen- - sibilité du c
se, et à évolution lente. - (1) E. Bwssnou. Leçons sur les maladies nerveuses (Salpêtrière), recueillies par Il. Meige, 1·l'
u osseux, altéré dans sa nutrition par la névrite probable du filet nerveux nourricier, se raréfie. Le tissu compact d'envelo
endre, car c'est le cas ordinaire pour toutes les coupes du système nerveux central ; et du reste ces cellules s'observent
dans la troisième expérience et qui tenaient la place d'une cellule nerveuse atrophiée et disparue. Nos nombreuses mensurati
urs pertes. Le noyau est revenu au centre de la cellule. Ces éléments nerveux sont riches en blocs volumineux et foncés qui l
t pas à la constatation d'une tur- gescence quelconque des cellules nerveuses en chromatolyse, Nos mensurations ne peuvent av
e dire de quel côté le nerf a été réséqué. Le nombre des éléments nerveux est le même pour les deux noyaux dor- saux, aut
ntôt l'un, tantôt l'autre sur les coupes était plus riche en cellules nerveuses que celui du côté opposé. Mais, le nombre total
ssent et s'atrophient aussi, mais moins rapidement que les cellules nerveuses elles-mêmes, ils sont beaucoup plus résistants.
particulier de régression a atteint un très grand nombre d'éléments nerveux en voie d'atrophie. Nous nous bornons donc à si
la résection du vague au cou, une diminution du nombre des éléments nerveux dans le ganglion plexiforme 526 CHARLES LADAME
tense qui occupe le centre du noyau. Un petit nombre de cellules nerveuses (Pl. LXXVII, i) sont tout à fait pâles ; leur c
es conjonctives ou névrogliques aux points occupés par les éléments nerveux en voie d'atro- phie, phénomène que nous avons
de 122 jours. ' Cette vacuolisation a l'air de frapper les cellules nerveuses non pas, comme on pourrait le supposer, aux con
ui, du reste, est très rapidement résorbé. Les restes de la cellule nerveuse ainsi éclatée se désagrègent en de très fines p
lion droit présente une diminution manifeste du nombre des éléments nerveux , sans qu'on puisse dire toutefois qu'elle soit co
coïncidence de la suppression purulente avec l'explosion de l'état nerveux doit-elle faire admet- tre que la première circ
lade. En particulier il n'a jamais eu la syphilis ni aucune maladie nerveuse , il ne boit pas. Le 26 mai 1896, il était occup
un rétrécissement de Foesopbage, qui paraît être d'origine purement nerveuse car il cessa brusquement quelque temps après.
dies aiguës et lui attribuaient pour cause l'action sur les centres nerveux d'un agent infectieux. En France, Pierre Marie
sur la paroi des vaisseaux ou bien par l'inter- médiaire du système nerveux . Peu de temps après la pénétration de l'agent m
e à une autre infiltration qui peut apparaître autour de la cellule nerveuse (nodules péricellulaires de la rage, Babès). La s
aire, plus tardive des mêmes cellules qui apparaît lorsque la fibre nerveuse est altérée. En dehors de ces réactions vascu
se dans la myélite aiguë des phénomènes importants du côté du tissu nerveux , phénomènes qui ont un caractère régressif, par
vent à là désorganisation du parenchyme. Les altérations du tissu nerveux sont très variables et dépendent de la nature d
itogène, du siège que ce dernier occupe relative- ment aux éléments nerveux ; enfin les altérations des cellules et des fibre
éléments nerveux ; enfin les altérations des cellules et des fibres nerveuses dépendent aussi des troubles circulatoires qui ex
oires qui existent dans la myélite. Les altérations de la cellule nerveuse varient depuis la tuméfaction de la substance c
le phago- cytaire des cellules névrogliques à l'égard des cellules, nerveuses . A l'état normal, comme il est connu, la cellul
ellules, nerveuses. A l'état normal, comme il est connu, la cellule nerveuse est entourée quelquefois d'une espèce de couron
e rappeler que le professeur Schultze, de Bonn, a FiG. 7-8. Cellule nerveuse radiculaire dans un cas de myélite expérimentale
llement l'influenza qui se com- plique si souvent de manifestations nerveuses doit surtout s'accompagner dans quelques cas de
so dans la Presse médicale. J'ai eu l'occasion d'étudier le système nerveux dans trois cas de rage observée chez l'homme, d
mort trois jours après. Ensuite, j'ai pratiqué l'examen des centres nerveux de six chiens enragés, et celui du système nerveu
amen des centres nerveux de six chiens enragés, et celui du système nerveux de sept lapins inoculés avec du virus fixe sous
des proportions considérables (fig. 9), de sorte que les cellules nerveuses se perdent dans cette masse de leucocytes. L'ia
ois sous forme de nodules qui existent tantôt autour des cellules nerveuses (fig. 10), tantôt dans le tissu intersti- tie
lifération considérable de l'endothélium de la capsule des cellules nerveuses ; prolifération qui parfois est circulaire et ent
es ; prolifération qui parfois est circulaire et entoure la cellule nerveuse d'un anneau régulier. D'autres fois, cette prolif
du tissu in- terstitiel et péri-cellulaire. 574 MARINESCO Iule nerveuse disparait et les cellules endothéliales multiplié
le rôle du tissu in- terstitiel ou de la névralgie dans les centres nerveux dégénérés. Aussi j'ai rencontré fréquemment ces
t avec des phénomènes de paralysie ascendante de Landry. La cellule nerveuse est en- tourée d'une masse de leucocytes mononu
glionnaire, c'est l'altération plus ou moins profonde de la cellule nerveuse . C'est pour cette raison, je pense, que les réa
ance grise. Dans deux de ces cas, j'ai retrouvé autour des cellules nerveuses , mais sur quelques coupes seulement, la lésion dé
e par Babès sous le nom de nodule rabique. Les lésions des cellules nerveuses sont très variables quant à leur intensité et à l
e comme étant dus à la nécrose de coagulation partielle. Le système nerveux des chiens enragés est le siège de lésions encore
ou un vaisseau sanguin, ou bien encore, le pour- tour de la cellule nerveuse . Chez les lapins inoculés avec le virus fixe so
ne, je n'ai pas trouvé de lésions vasculaires' Fic. 13. Une cellule nerveuse radiculaire provenant de la région lombaire, à l'
avité capsu- laire par un tissu de nouvelle formation. La cellule nerveuse a disparu. Lapin injecté ave( virus fixe. '
oumis à l'expé- rience, c'est que chez le premier la prédisposition nerveuse joue un rôle beaucoup plus considérable que che
re, c'est-à-dire qu'elle ne dépend pas de la destruction des fibres nerveuses . La méningite aiguë, au cours de la myélite aig
tes formes de myélite. L'application de ces données à la pathologie nerveuse a été faite pour la première fois par M. Pierre-M
aire de ces toxines. En effet, l'action des toxines, sur le système nerveux , est moins violente; elle réalise surtout des l
lifération primitive des cellules névrogliques, tandis que le tissu nerveux présente des lésions de nature régressive. Parfoi
e des lésions de nature régressive. Parfois, la cellule et la fibre nerveuse avant d'arriver à la désorganisation et l'atrophi
conjonctifs, de la part de la névroglie et enfin de la part du tissu nerveux . Cependant, je tiens à souligner ce fait qu'auc
aires. Dans ce cas les microbes compromettent la nutrition du tissu nerveux par leur accumulation dans la paroi des vais- s
n dans la substance grise, et même pouvant pénétrer dans la cellule nerveuse . Je dois dire que la présence des microbes dans
ence des microbes dans la substance grise au voisinage des cellules nerveuses dé- termine des lésions très graves pour celle-
ère jusqu'à la dégénérescence profonde et irréparable de la cellule nerveuse . Il n'y a pas de lésions spécifiques en rapport a
ue je n'ai pu retrouver dans d'autres. Les altérations des cellules nerveuses sont d'autant plus intenses qu'elles se trouven
u'on rencontre du reste dans la plupart des réactions de la cellule nerveuse , c'est la tuméfaction des éléments chromatophil
ments. Cette lésion,marquant le début de la réaction de la cellule nerveuse n'a pas été vue fréquemment par les observateur
je désire attirer l'attention, c'est l'acliro- Fi(;. 22. - Cellule nerveuse radiculaire provenant de la moelle d'un lapin.
atolyse donnant naissance à une destruction partielle de la cellule nerveuse , atrophie avec homogénéisation du noyau. NATU
s ; 3° des phénomènes de réac- tion régressive du côté des cellules nerveuses variant depuis la simple chromatolyse jusqu'à l
isées du côté de l'opération. J'ajoute que les lésions des cellules nerveuses sont plus accusées du côté du sciatique opéré. En
être utilisée avec succès contre le microbe, sans détruire le tissu nerveux . J'ai essayé cependant l'emploi de l'injection
son cas la même pathogénie ; il incrimine une altération du système nerveux central sans laquelle est impossible d'explique
u père de notre malade. Il n'est ni alcoolique, ni syphilitique, ni nerveux . La seule maladie sérieuse qu'il ait eue date d
urs été bien portant et que sa vue est très bonne ; que sa mère est nerveuse et se plaint d'une maladie de coeur. Mais il af
d'hémiatrophie ou d'hémihypertrophie de la face. L'enfant est très nerveuse ; elle se met facilement en colère. Elle crie a
tenant les courts renseignements qui concernent l'état du sys- tème nerveux : dans la seule observation qui fut suivie d'auto
ous ne trouvons de renseignements plus précis sur l'état du système nerveux que dans un cas de Bernhardt relatif à une paraly
thner, Gast, Lucanus, Hirschberg), partisans fervents de la théorie nerveuse , incriminent dans leur cas la paralysie ou le déf
iscuté les arguments mis en avant par les parti- sans de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire, Kunn émet une conc
ganes, par suite d'un arrêt dans l'évolu- tion de l'un des chaînons nerveux , il en résultera un trouble de la moti- lité, m
dégénèrent au contraire, si une lésion est survenue dans le système nerveux lorsque l'as- sociation fonctionnelle précitée
ous semble-t-il, les opinions des partisans exclusifs de la théorie nerveuse et de la théorie musculaire. Elle nous paraît aus
ie), femme B..., âgée de 38 ans, entre dans le service des maladies nerveuses le 6 août 1897. Son père fréquente depuis longt
rement réglée, mais peu abondamment. - Elle n'a jamais eu de crises nerveuses d'aucune espèce' ; de 18 à 24 ans, elle était u
e n'a eu aucune affection grave dans l'enfance. Elle a toujours été nerveuse , mais n'a jamais eu de crises. Dès l'âge de 13 an
re ma- Iade.Son père est maigre, sans aucune trace d'oedème, un peu nerveux ; pas de crises. » Le père donne les renseign
ais eu de grave maladie, s'est toujours bien porté ; il n'était pas nerveux , et était, à l'école, considéré comme intelligent
par M. Guilloz ne montre aucune altération des vertèbres. . Système nerveux . Pas de troubles, intellectuels. Motricité.- Pa
la lésion médullaire fut méconnue. Ici cependant les localisations nerveuses ne sont pas simplement spi- 644 17AUSIiALTER
moteur oculaire externe gauche. L'existence de troubles du système nerveux central au cours de la der- mo-neuro-fibromatos
des divers processus de dégénérescence et d'atrophie des cel- lules nerveuses , en nous arrêtant spécialement sur le phénomène d
e, soit qu'elle retentisse directe- ment sur le corps de la cellule nerveuse (1). » D'après les auteurs, la chromatolyse est
d. de Belgique, lS97, p. 1. (2) La pathologie générale delà cellule nerveuse . Presse Médicale, 27 janvier 1898. (3) JACOTT
janvier 1898. (3) JACOTTET, Etude sur les altérations des cellules nerveuses de la moelle et des gan- glions spinaux dans qu
ier 4899,,p. 3. (5) MARlIOESCO, Pathologie générale de la cellule nerveuse . Presse médicale, 27 janvier 189S. . LE PHÉNO
uvoir affirmer que (1) VAN GEHUCHTEN, L'anatomie fixe de la cellule nerveuse . Rapport de Moscou, 1897, p. 316. (2) VAN GEH
ration cellulaire. Une forme curieuse de dégénération de la cellule nerveuse est celle qui .a lieu par le processus de vacuo
eurs dans la moelle lombo-sacde el de la vacuolisation des cellules nerveuses , Revue neurologi que, 1898, p. 517. 656 CHARL
e nous venons de citer ont fait leurs observations sur des éléments nerveux fixés par des réactifs variés, et colorés par les
ès l'opération, présentent une sensible réduction de leurs éléments nerveux dont la moitié environ a disparu. 12. La substa
oue un rôle accessoire dans le fonction- nement normal des éléments nerveux . 13. La soudure des deux bouts du nerf réséqué
is- pensable à la réparation de la réserve chromatique des cellules nerveuses . 14. La vacuolisation est une des formes du pro
69 (1896) Archives de neurologie [2ème série, tome 02, n° 07-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT PUBLIÉE
. F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies 1 du système nerveux à la Faculté de médecine de Paris. COLLABOR
tique ni de l'épi- lepsie, ni d'une affection organique des centres nerveux , est la manifestation d'un état névropathique l
n très heureuse de M. L. Gui- non', un stigmate bénin de l'hérédité nerveuse et psychique. Bien que Trousseau en ait, à une
d'incontinence a permis à M. L. Guinon de constater que l'hérédité nerveuse sous toutes ses formes se rencontre d'une facon
clusivement conditionnée par un fonctionnement imparfait du système nerveux . Et chez ceux dont l'inconti- nence se manifest
aux époques d'opportunité morbide créées par l'évolution du système nerveux , est bien le résultat d'une tare névropathique
peut être cherchée que dans un fonc- tionnement vicieux du système nerveux central. De là les théories psychologiques. L
leurs pas une hypothèse gratuite. L'état mental de certains enfants nerveux ressemble en effet beaucoup à celui des hysté-
d'un enfant chétif et très émotif quoique peu taré au point de vue nerveux , dont l'incontinence est due vraisem- blablemen
es, qui a pu favoriser l'action de la suggestion grâce à la détente nerveuse qui l'a accompagnée. Des auto-suggestions contr
me psychologique subconscient chez les enfants, et chez les enfants nerveux en particulier. Par là se trouve confirmée la j
. jeune homme de dix-neuf ans. Il nous dit ne connaître aucune tare nerveuse dans sa famille, ses frères et soeurs sont bien
R. S.. , fille de quinze ans. Sa famille n'est pas exempte de tares nerveuses . Forte fille rousse, très fraîche, d'aspect flo
suggestible que la première séance d'hypnose est suivie d'accidents nerveux inquiétants. Guérison rapide et qui semble devo
s. Observation XXI. Bée..., fille de douze ans. Père normal; mère nerveuse ; ils ont plusieurs autres enfants dont la santé n
en général bénin, mais qui parfois est l'avant-coureur d'affections nerveuses plus ou moins graves, neurasthénie, hystérie, h
s de cette catégorie sont les plus tarés au point de vue du système nerveux ; on constate parfois chez eux les stigmates de
ions, du doute pathologique. La mère de X... était, paraît-il, très nerveuse , très sensible ; il y a, du côté maternel, beau
rès nerveuse, très sensible ; il y a, du côté maternel, beaucoup de nerveux . De quel genre de ner- vosisme s'agit-il ? II n
dent. X... est aujourd'hui guéri. L'avenir nous REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 37 apprendra, si, comme il y a lieu de le crai
ous ne pouvons malheureusement pas l'assurer. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Athétose double. Leçon clinique de M. le pr
, elle leur préfère des bâtons. C'est seule- 38 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ment vers cette époque que la malade commença
ous le nom de démarche de gallinacés. Fig. 1. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 09 40 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. L'athéto
Fig. 1. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 09 40 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . L'athétose est tantôt consécutive à une affect
par M. F. RAYMOND, profes- seur de clinique des maladies du système nerveux . Leçon faite il la Salpêtrière, le 24 mai 1895,
ue, ni syphilitique, ni athéromateux, Fig. 5. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 41 ayant cependant dans ses antécédents person
a queue de cheval. Il est impossible d'ad- 43 ) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mettre une semblable sélection : donc le foyer
Richer, chef du laboratoire de la clinique des maladies du système nerveux , à la Salpêtrière. (Nouv. iconographie de la Sa
, le thorax présente une voussure du côté de la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 43 3 convexité de la courbure rachidienne. On
e principe que la peau est un organe intimement lié avec le système nerveux , l'auteur suppose que les centres tro- phiques
ion des autres symptômes de l'hystérie. C. 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . VI. Zona généralisé A la PRESQUE totalité DE l
absolue; 2° la distribution anatomique parallèle à certains troncs nerveux ; 3° le caractère névralgique des douleurs. C.
opsie justifia le diagnostic, on trouva au lieu REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 45 indiqué un foyer de ramollissement, suite d
ne double, en même temps que la marche est titubante. Le syndrome nerveux s'était établi progressivement sans ictus, et apr
n de compte, tous les symptômes relevés chez 46 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'enfant, sujet de l'observation. La conclusio
observation suivante : Une femme de trente et un ans, à antécédents nerveux hérédi- taires et personnels prononcés, convuls
érie qui s'accuse quelque temps après la syphi- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 47 lis et le traumatisme, et qui se manifeste
l'amyotrophie forme Charcot-Marie; due manifestement à des lésions nerveuses avec réaction de dgé- nérescence et contraction
sensiblement vers une myopathie généralisée. 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Remarque importante, chez ce malade, les muscl
nsmise par le maître. On sait que d'après cetle théorie, l'hérédité nerveuse est, pour les affections névrosiques la seule c
génèse des grandes névroses, l'hérédité remplit REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 49 le rôle d'une condition puissante dans tous
fique très sérieuse avec une disposition médiocre ou d'une hérédité nerveuse chargée avec une influence spécifique légère. A
ue très ana- ' Archives, 2e série, t. IL 4 80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . logue à celle de l'hystérie. On y trouve aussi
cervelet n'avait déterminé aucun trouble fonc- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1)1 tionnel jusqu'à l'accident mortel qui le f
els de la dégénérescence des alcoo- liques. A lami-1893, les troncs nerveux sont tuméfiés, douloureux 52 REVUE DE PATHOLOGI
les troncs nerveux sont tuméfiés, douloureux 52 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . spontanément et à la pression, la démarche est
la sensibilité aux extrémités les plus reculées des membres, troncs nerveux un peu sensibles à la pression; muscles très se
gers de la vessie et du rectum. Accidents du 54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . décubitus aigu au niveau de l'olécrâne droit.
ence très accusée des vasa nervorum; il existe dans tous les tronqs nerveux une prolifération du tissu conjonctif endoueura
ssu conjonctif endoueural, un recoquillement partiel des trousseaux nerveux dégénérés. Dans les artères, il y a épaississem
ause centrale (obs. Il).'Ici, ce sont des anes- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 55 thésies digitales tenant à une légère névri
ie. Deux autop- sies témoignant d'une certaine déchéance des fibres nerveuses dans les racines postérieures lombaires et sacr
y avait, par suite, tabes sous-jacent. P. K. 00 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXIV. Observation DE mutité hystérique; par B.
du pouvoir contractile, amiosthénie par amoindrissement de l'influx nerveux . Moins constantes sont les mouches volantes qui s
ans un grand nombre de maladies, principalement celles du système nerveux , est mieux reconnue ailleurs que chez nous. Sol
. Quelques auteurs lui attri- buent une action excitante du système nerveux (Oinhart) : cette opinion est démentie par les
t indiquée en raison de la susceptibilité parti- culière du système nerveux qui a subi le traitement opiacé à haute dose. I
nt accompagnées de changements dans l'excitabilité élec- trique, ou nerveuse , ou musculaire; dans ces cas l'électricité peut t
u cours de ces dernières années, dans la thérapeutique des maladies nerveuses : le chloralose, le sul- t'onal, la paraldehyde
s constatations. La diversité de l'action qu'exerce sur les centres nerveux les différents poisons doit, au cas où la maniè
groupes cellulaires. L'ac- tion pharmacologique de certains poisons nerveux étant bien connue, on pouvait ainsi obtenir des
ements' sur différents points intéressant la physiologie du système nerveux central. Dans ces expériences on ne peut utilis
irmités portant soit sur les organes des sens, soit sur les centres nerveux et produisant des modifications va- riables dan
e des hôpitaux. , TRAVAIL DE L\ \ CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈ\lE NERVEUX . Laboratoire de )1. le professeur Raymond, il l
latamische" .rI1lei[jel', V, 1891. l. 3 Gehuchten (van). Le système nerveux de l'homme. * Tooth. Lectures of seciindary cle
ailleurs ; nous ne ferons que rapporter ici l'examen des élé- ments nerveux . III. Examen histologique. Les racines postér
s les racines lombaires, on trouve encore un grand nombre de filets nerveux conservés. Les coupes de la moelle ont été colo
hnen in Gehime und Reiickenm, 181G. 19. Gehuchlen (van). Le système nerveux de l'homme. 20. Gombaull et Philippe. Archives
. 55. Weslphal. Archiv. sur Psychiatrie, 1878 et 1880. PATHOLOGIE NERVEUSE . NOTE SUR UN CAS DE PACHYMÉNINGITE HÉMORRAGIQUE
, Ancien interne des Agiles d'aliénés de la Seine. Peu de lésions nerveuses sont d'un diagnostic plus générale- ment obscur
'«c/;yh ! e) : t<iy'<e cérébrale. Paris, 1873. 102 PATHOLOGIE NERVEUSE . puisse évoquer l'idée d'une ancienne syphilis;
ent plus fréquents et plus pénibles pour lui; il sent qu'il devient nerveux . A la fin de cette même année son caractère est
nts d'un général dont il était alors l'ordonnance. loi PATHOLOGIE NERVEUSE . sance, pouls à 102 et température 38° le matin
es gouttes de sang encore rouge exlravasé et infiltré dans le tissu nerveux dans le voisinage du noyau réticulé. Pas trace
que nos anciens auraient appelé la diathèse congés- 106 PATHOLOGIE NERVEUSE . tive, qu'avec cela il était en voie d'artério-
and 11t·m ologlst, 1803. 2 13aillarâer. Recherclies sur le système nerveux . Paris, 1817. 1 Vil'Chow. - Das hoema/om dei' d
niquement atteints de la pie- mère. Les artères malades des centres nerveux étaient en effet ' Wiglesworth en des travaux t
Chef du laboratoire de tlidi-apetilicltie de la Clinique des maladies nerveuses à la S,dpêlrièl'c. Parmi Pes questions que le
. Tous les organes sont sains et fonctionnent bien, sauf le système nerveux ; on ne constate pas dans les urines l'inversion
E DE PATHOLOGIE MENTALE. type sauvage primitif possédant un syslème nerveux imparfai- tement développé'. » F. Borssrca. I
tement développé'. » F. Borssrca. II. Sur la syphilis du système nerveux ; par J. Mickle. (Brain, printemps, été et autom
érébro-spinales par infiltration gommeuse diffuse ; les acci- dents nerveux rapides des véroles séniles; les altérations ment
consécutif aux étals d'agitation, et les lésions graves du système nerveux , éveiller le soupçon de paralysie générale. C'e
nou. Ce procédé n'agit pas en augmentant l'excitabilité des centres nerveux ; il agit, au contraire, directement sur le qua-
CEL 13RIAND. BIBLIOGRAPHIE. III. Clinique des Maladies du Système nerveux ; par le professeur Raymond. (Paris, 1896, 0. D
époque actuelle où domine l'étude de la structure fine des éléments nerveux . A cette oeuvre de reconstitution, fait suite l
de dépend l'inter- vention chirurgicale. L'hérédité en palhologie nerveuse constitue un chapitre toujours ouvert, et des p
praticien. Ch. Mirallié. VARIA. Congrès DE médecine mentale ET NERVEUSE . (7e Session. Nancy, 1896.) Le septième Congr
ngrès une réduction 1 Les membres du Congrès de Médecine mentale et nerveuse , qui voudraient prolonger leur séjour à Nancy,
nschr., 1892, n° 17. Archives, 2° série, t. Il. 11 i 162 CLINIQUE NERVEUSE . remarque, c'est encore au même maître que nous
'1890, le Dr Frenkel nous fit part dans son sanatorium des maladies nerveuses , à cette époque à Horn (Suisse), -de ses idées
férents, etc. 1) j 1 Leytlell. - I,nc. cil. ' 164 ' " CLINIQUE NERVEUSE . Mouvements coordonnés compliqués : marcher, s'
x fléchis exécuter avec les bras des mouvements de 166 . ' CLINIQUE NERVEUSE . gymnastique; z,161, se tenir sur une jambe ; 1
notre publication (,N'eiii-ol. Centrb., n° 13, 1893). 168 clinique NERVEUSE . et repris confiance dans leurs jambes, à des p
trouver un autre mot pour caractériser les troubles de 170 CLINIQUE NERVEUSE . l'équilibre, dont ces malades souffrent. Puis
té tactile et de la sensibilité musculo-articulaire. 172 CLINIQUE NERVEUSE . ' On sait que les organes qui, par les circons
sensibilité. Chez nos malades nous avons toujours vu, 174 CLINIQUE NERVEUSE . que la sensibilité ne s'améliorait que très ta
pprécier les impressions affaiblies que lui transmettent les fibres nerveuses sensitives altérées. Les exercices les yeux fer
antaire chez le tabétique Revue de Neurologie, 1895. 176 clinique NERVEUSE . thésie tactile plantaire, et elle a lieu tantô
à l'aide d'une canne Archives, 2° série, t. II. 12 - 178 clinique NERVEUSE . circuler seul dans l'appartement, et faire des
de sa valeur réelle, il faut choisir des cas capables 180 CLINIQUE NERVEUSE . de bénéficier des bienfaits de ce traitement,
oussées. En examinant les malades pendant ces poussées 182 CLINIQUE NERVEUSE . on constate toujours une aggravation de la sen
t à noter une sensation très pénible de constrictibn 184 , CLINIQUE NERVEUSE . dans la région thoracique gauche. Aucun troubl
l'âge de quatre ans aux Enfants-Assistés, prétend avoir des crises nerveuses depuis l'âge de dix ans. Elle entre en 1890 dan
sévérante nous ménage des victoires et que les maladies mentales et nerveuses bénéficieront à leur tour des grandes et récentes
Chaque jour s'éclairent et se précisent l'étude intime du sys- tème nerveux , la notion des résistances dont une nutrition exp
nous informer des réactions qu'elles déter- minent sur le mécanisme nerveux et des moyens de les prévenir ou de les réprime
liens qui doivent unir l'enseignement et la pratique des maladies nerveuses et mentales. Si ce voeu se réalise, vous aurez,
pas étrangère au culte passionné que provoque l'étude des maladies nerveuses ; elle a vu éclore ici, sous la poussée d'un espr
l'une ou l'autre des deux grandes sections des maladies du système nerveux . Nous nous 202 SOCIÉTÉS SAVANTES.. en félicit
oupes séparés de l'armée des travailleurs s'occupant des mala- dies nerveuses et mentales est tout à fait artificielle. Elle ne
ue entre les études de pathologie mentale et celles de patho- logie nerveuse , si bien que les grandes découvertes qui ont été
ous nos yeux lorsque se sont établies dans la pathologie du système nerveux les doctrines de la dégéné- rescence et, un peu
s, gagna bien vite du terrain. Elle s'étendit à toutes les maladies nerveuses et les neuro- logistcs en firent l'application
érescence s'étendait ainsi de la pathologie mentale à la pathologie nerveuse , la microbiologie préparait dans le silence des
mie, portait d'une façon élective sur certains éléments des centres nerveux . Un peu plus tard, des expé- riences rigoureuse
des myélites infectieuses aiguës. On comprit alors que le système nerveux n'échappait pas aux lois générales de l'infecti
microbiennes, et que même certaines lésions organiques des centres nerveux , telles que celles de la paralysie infantile, d
es formes par lesquelles peut se manifester l'infection des centres nerveux . · En même temps ils étudièrent de près l'étiol
es qui jetaient un jour si im- prévu sur la pathogénie des maladies nerveuses et à en appliquer les principes à l'étude, de l
onnellement provoquées par des infections accidentelles des centres nerveux . Ainsi, dans cette question limitée, mais extrê
is extrêmement impor- tante de l'étiologie des maladies mentales et nerveuses , les alié- nistes et les neurologistes se sont
la dégénérescence qui s'est bientôt étendue à toute la pathologie nerveuse , les seconds ont préparé l'accès dans la médecine
reconnaissent toutes trois pour cause des perturbations des centres nerveux , mais cette dernière affection nous semble être
on l'intensité : 228 SOCIÉTÉS SAVANTES. dits normaux que chez les nerveux constatés. L'auteur aborde enfin l'étude des tr
stérie met le plus souvent en jeu tour à tour l'ensemble du système nerveux céphalo-rachidien et, sympathique, d'où l'indic
denham. Parfois la chorée s'é- ternise par mise en branle de l'état nerveux : la suggestion arrête alors le branle. Le pa
l'état de maladie, s'il n'est pas ancien, incrusté dans les centres nerveux , il guérit par suggestion. Dans la sclérose en
les 'mélancoliques simples se trouvent mieux au milieu de simples nerveux non obsédés eux-mêmes que parmi leurs pareils, ca
ntal, cette appréhension. La relation qui existe entre le système nerveux central et l'ap- pareil digestif est mise en év
iques, physiologiques et pathologiques sur le cerveau et le système nerveux . Ce voeu a été approuvé par tous les directeurs.
A suivre.) Archives, ` ? ° série, t. II. 19 9 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXVI. SUR LES affections DE la' QUEUE DE cheva
ns; par nI. RAYfoND, professeur de clinique des maladies du système nerveux . (Nouvelle iconographie de la Salpêtrière, 4899
crée, s'irradie plus ou moins aux membres infé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 291 rieurs. Elle est irrégulièrement intermitt
ate, puis revenu à lui le malade s'aperçoit 292 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'il est paralysé des membres inférieurs. Cet
t sans doute d'une plaque de méningite. A notre REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 293 3 époque, ajoute le professeur, les cas bi
voir ulcération de la peau, le mamelon peut 294 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . même tomber, on a alors des plaies fistuleuses
bras jusqu'au coude. Il existait aussi une zone REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 295 d'anesthésie tactile occupant la peau de l
iques morbides. En l'un des cas il faut, en 296 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . effet, reconnaître une affection syphilitique,
nt rares, alors qu'ils sont excessivement nombreux dans la syphilis nerveuse . On' voit les cylindres-axes à peine déformés,
dans le dernier cas la myéline est boursouflée, lésée. Les cellules nerveuses sont aussi atteintes, mais non profondément. En
, syphilitique avérée depuis dix ans et ayant éprouvé des accidents nerveux syphilitiques, enlre autres une hémiplégie faci
es dans les deux jambes, douleurs survenant par REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 297 crises, cette femme devint, en cinq ou six
es présentent de l'hyperplasie du tissu conjonctif, mais les fibres nerveuses sont saines. Cette lésion est de nature syphili-
sont saines. Cette lésion est de nature syphili- tique. Les centres nerveux , sauf la moelle et les méninges, sont indemnes.
es-axes dépouillés de leur myéline, mais non détruits. Les cellules nerveuses sont altérées, mais non détruites non plus. La
t l'autre syphilitique. A noter que, malgré 298 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'il soit de nature syphilitique, l'immense f
rie. L'auteur pense qu'il s'agit d'une myopathie sans aucune lésion nerveuse centrale ou périphérique. Il se base sur le carac
'on fait ordinairement le diagnostic à première REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 299 vue et qu'on néglige d'examiner les sujets
'autres manifestations diathésiques que des 300 REVUE DE pathologie NERVEUSE . gommes de la peau il y a un an. Début par un i
tique des lésions médul- laires est certaine. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 301 Cette observation renferme bien des points
combé ou sont venus au monde mort-nés. Il y 302 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . a sept ans, douleurs sourdes dans l'épaule gau
rt-né, la lésion consiste alors en uneruéningo- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 303 myélite diffuse embryonnaire. Ordinairemen
RÉFLEXES; par M. E. LENOBLE, interne de la clinique des maladies nerveuses . (Nouv. iconogr. de la Salpêtrière, 1896, n° 1.)
e. Actuellement : ni paralysie, ni atrophie 304 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . , musculaire, la marche n'est pas ataxique, ma
est mise en communication avec le pôle positif REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 305 d'un appareil galvanique, on fait passer l
à gauche ; Archives, 2e série, t. II. 20 306 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dyschromatopsie. L'olfaction, l'ouïe, le goût
enzi, de Naples. Premier cas. Femme, vingt-neuf ans, mariée, tare nerveuse héréditaire, mais jamais d'accidents nerveux av
euf ans, mariée, tare nerveuse héréditaire, mais jamais d'accidents nerveux avant le phénomène morbide actuel. Opération de
as dû avoir une action curative bien puissante. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 307 A noter que dans deux de ces trois observa
a, preuve nouvelle de l'influence de cette affection sur le système nerveux , influence admise, du reste, par tous les clini
renthèse, que l'ophtalmoplégie est externe. 308 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Paralysie et ail ophie considérable des muscle
ions doubles en foyer. Exposé analogue à propos REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 309 de l'ophtalmoplégie externe qui peut dépen
ista clinica e lerapeulica, 1895, n° 2.) C. 310 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLI. Saturnisme chronique avec paralysie des n
t conservée. La malade est triste et irritable. Aucun autre trouble nerveux . Bord libre des gencives saignant, ramolli et b
ments intentionnels sont lents et un peu incer- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 311 I tains et les muscles de la face du côté
u un foyer circonscrit de myélite à la por- 312 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tion dorsale de la moelle, l'hystérie n'est pa
a, Naples, 1896, n° 3.) G11USIïI'. XHV. Hystérie. Souffle cardiaque NERVEUX . OEDÈME des extrémités inférieures; parle profe
olongé, plus accentué à la pointe. Foie et rate REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 313 normaux. Urines normales. Réflexes patella
été trouvé normal. Le professeur Renzi diagnostiqua donc un souffle nerveux , pour lui le coeur est sain. Il a précisément d
eux, pour lui le coeur est sain. Il a précisément décrit le souffle nerveux dès 1878. L'oedème également est d'origine nerv
écrit le souffle nerveux dès 1878. L'oedème également est d'origine nerveuse , s'il tenait à une lésion du coeur, comme il es
c était exact, il s'agissait bien, en effet, d'un souffle cardiaque nerveux et d'un oeJème bleu hyté- rique. (Rivista clini
it dans les cordons postérieurs, avec raréfaction légère des fibres nerveuses avec un peu d'épaississement du tissu de soutène-
et postérieure. Quant aux nerfs hypertrophiés, ils ont leurs fibres nerveuses normales, mais ils sont oedématiés et leur tissu
.) Les troubles trophiques du système pileux, à la suite de chocs nerveux , ont été observés principalement sous forme de ca
ment. On peut supposer que ces troubles trophiques sont d'ori- gine nerveuse , mais il est difficile de le démontrer. Pourtant,
r 1896.) E. 13LIN. X. L'action DU LIQUIDE thyroïdien SUR LE SYSTÈME nerveux central; par le Dr HASKOVEC. Au moyen de nomb
lente du centre trophique ne produit pas l'altération des fibres - nerveuses périphériques dans toute leur longueur, de la cel
phique résultant de la diminution de l'énergie vitale de la cellule nerveuse se montre au point le plus périphérique ; mais
itre exophtalmique et les tremblements de quelques autresmala- dies nerveuses (polynévrites, tumeurs et commotions cérébrales,
ean) : Contribution ci l'élude d'une forme spéciale de vomissements nerveux . 1\1. Serrigny (René) : Psychoses génitales. Co
Vol. II. Novembre 1896. N° 11. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE , TRAITEMENT DE L'ATAXIE DANS LE TABES DORSALIS
s de Neurologie, n° 9. Archives, 2e serie, t. II. 22 338 CLINIQUE NERVEUSE . étant à son travail fut subitement prise de fo
malade qu'elle arrive peu à peu par des efforts de vo- 340 CLINIQUE NERVEUSE . lonté à amener des contractions dans les muscl
partie externe des genoux et grande comme une pièce de 342 CLINIQUE NERVEUSE . 5 francs a conservé la sensibilité tactile. L'
à force d'exercices et d'une patience, dont nous avons 344 CLINIQUE NERVEUSE . droit d'être fiers, nous sommes tout de même p
de tabes (Westphal, Romberg), impossibilité de marcher 348 CLINIQUE NERVEUSE . sans appui et sans se tenir aux meubles, léger
t alcoolique, mort à l'âge de quarante ans. La mère du malade était nerveuse , elle est morte à l'âge de quarante- neuf ans d
e maladie de coeur. Une soeur du malade était atteinte 350 CLINIQUE NERVEUSE . de tabes dorsalis dès l'âge de vingt-sept ans.
apidité avec laquelle les symptômes tabétiques se sont 332 CLINIQUE NERVEUSE . développés, l'intensité des phénomènes ataxiqu
ns. Magistrat. Son père est gout- teux. Sa mère était toujours très nerveuse . Il y a quatre ans elle a eu une attaque d'apop
il a fini d'uriner. Il Archives, 2e série, t. IL 23 3S4 CLINIQUE NERVEUSE . faut qu'il voie, ou qu'il entende pour savoir
ttaque apoplectique. La mère du malade est bien portante, mais très nerveuse . Le grand-père paternel est mort aliéné. Dans l
dents personnels. - Le malade était toujours maigre et 350 CLINIQUE NERVEUSE . d'une santé délicate, mais il n'a jamais fait
e. Les deux pieds sont continuellement agités de mou-' 358 CLINIQUE NERVEUSE . vements. De temps en temps la pointe du pied s
as de blépharoptose, ni de strabisme. Pas de diplopie. 360 CLINIQUE NERVEUSE . y Les pupilles sont moyennement dilatées et ég
signale le danger des maisons consacrées au traitement des maladies nerveuses qui échappent à la surveillance de la commis- s
vrite, ils avaient attribué leur origine à l'altération des centres nerveux . Ensuite Korsakoff avait décrit trois formes, d
, on est conduit à lui donner une origine certaine dans les centres nerveux . j) En effet, le trouble de la mémoire qui cons
ur la volonté, on voit à l'altéra- tion de quelle partie du système nerveux l'on doit attribuer la pro- duction du nouveau
.., vingt-trois ans, une soeur grabataire par le fait d'une maladie nerveuse ancienne. Lorsqu'il habitait avec sa famille, il
les soirées qui précédaient les nuits dans lesquelles les accidents nerveux se manifestaient, les malades étaient d'une act
réputée miraculeuse, de plusieurs personnes atteintes d'affections nerveuses et en particulier d'hystérie. Nous croyons util
lière de la comptabilité du nouvel hos- pice. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLVI. Un cas DE mal DE POTT suivi DE guérison
n diaphragmatique s'explique par ce fait que le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 455 nerf phrénique fonctionne, alors que les n
fait voir que, malgré une paraplégie absolue, bien peu de fibres nerveuses pourtant sont désorganisées. (Rivista clinica e t
se fait sentir sur tout l'organisme, principalement sur le système nerveux central, exemple : le vertige à slomaco lceso, le
r être très rapide, puis il se ralentit, ou t56 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . inversement. Quand il est lent, on peut compte
s douanes, il est obligé d'embarquer. Dès qu'il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 451 est à bord, il lui est impossible d'uriner
ies sont toutes deux, on le sait, passibles 458 REVUE DE pathologie nerveuse . de bien des objections, l'auteur les rejette l
ur lesquelles il se base : le sommeil n'est pas le repos du système nerveux confiai exclusive-^ ment, mais bien une fonctio
aussi que cette infirmité ne se rencontre guère que chez les sujets nerveux et souvent héréditaires. La théorie psychique a
nnambulique. C. LI. Dissertation sur un cas peu commun DE maladie nerveuse ; par le Dr L. AB13 MONDI, médecin chef de la ma
, ni héréditaire, est incorporé dans l'armée en REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 459 mars 1893. Il est alors vigoureux et bien
tres raisons encore, ou doit les considérer comme des arthropathies nerveuses . L'auteur recherche alors l'entité noso- logiqu
us la dépendance, non plus d'une lésion médullaire, mais de lésions nerveuses multiples périphé- riques disséminées dans les
que l'on discute depuis longtemps sur l'in- lluence que le système nerveux peut avoir sur la localisation et la REVUE DE P
me nerveux peut avoir sur la localisation et la REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . -16l marche des processus infectieux, sans que
alysie vaso-mo- trice, soit dans un membre en sectionnant son tronc nerveux , soit dans l'oreille du lapin en extirpant le g
rifie qu'un seul, le dixième jour; les li 6 4-) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . onze autres meurent spontanément dans un temps
u, par rap- port à une infection, est liée à l'intégrité du système nerveux de ce tissu. En résumé donc, la paralysie vas
dical. Octave Auguste, parait-il, était atteint REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 463 d'une sorte de rigidité et de contracture
er, homme robuste et d'une excel- lente santé, exempt de toute tare nerveuse héréditaire ou acquise, ni alcoolique, ni syphi
s le malade affirmait d'abord qu'il n'avait 164 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . jamais eu la vérole, ensuite que sa céphalée é
plusieurs d'entre eux aiment la ville qui leur REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 465 est malsaine et qu'ils ne la quittent qu'à
si elle peut atteindre les enfants. Les prédisposés aux affections nerveuses ne semblent pas y être plus sujets que les per-
démonstratives et de considérations sur l'histologie de la cellule nerveuse , montre que les polynévrites déterminent dans l
e réalise la Archives, 2" série, t. II. 30 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . section nerveuse, c'est-à-dire qu'il y a disso
ves, 2" série, t. II. 30 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. section nerveuse , c'est-à-dire qu'il y a dissolution partielle ou
tandis que la lésion périphérique porte surtout sur les ramuscules nerveux ou sur les troncs d'émer- gence. La lésion cell
es. Enfin, dans les polynévrites comme dans les lésions des centres nerveux consécutives à la section nerveuse, il y a à di
omme dans les lésions des centres nerveux consécutives à la section nerveuse , il y a à distinguer également deux périodes :
symptômes sont rangés selon leur fréquence : -. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 467 468 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. Toute
ce : -. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 467 468 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Toute l'observation clinique du malade pourrai
D. Tous les médecins qui s'occupent plus spécialement de maladies nerveuses ont vu quelques types de ces chorées inconstantes
eurs vulgairement et vague- ment désignés sous le nom de mouvements nerveux . La similitude des cas a engagé l'auteur à les
de cette affection, il n'est pas question seulement de tempérament nerveux familial comme dans la chorée de Sydenham, ni d
ente à la chorée chronique : on se trouve, dans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 469 cette affection, en présence de dégénérés,
ons dans l'hystérie est d'autant plus inté- 470 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ressante à connaître qu'en raison des réaction
xamen du malade suffit pour clore le débat sur le siège des lésions nerveuses poltiques et autorise à dire qu'elles portent t
se montrent fréquemment sur la ligne médiane. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 471 L'auteur ayant remarqué que souvent la lue
ide dans 2 cas, double dans 1. Chez 57 malades atteints de maladies nerveuses , la luette était 3 fois bifide, 13 fois déviée,
extenseur du pouce gauche avec parésie des 472 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . muscles de l'éminence thénar, et surtout de l'
este qu'une parésie très légère du facial infé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 473 à rieur droit. Guérison. De là le litre de
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. résultats dans le durcissement du tissu nerveux , en employant le mélange suivant : REVUE D'AN
ées et la hauteur de la vOl1Le palatine indiquerait une disposition nerveuse hérédi- taire. L'auteur a repris l'étude de la
ère lui d'une cavité. Plus haut apparition d'une masse de substance nerveuse qui adhère aux cordons postérieurs et qui est,
abondant a dilacéré les parois du canal central et pénétré le tissu nerveux , dans le point rendu le moins résistant par le
la même racine, alors que le mode de dislribution des divers filets nerveux donnés par celle-ci estanaiogue chez ces animau
les, les malformations du crâne seraient très rares chez les sujets nerveux . Il va sans dire qu'il distingue la nervosité de
és il y avait une atrophie des fibres tangentielles et des éléments nerveux avec une prolifération de la névroglie. Dans la
pinière. L'ordre adopté par l'auteur est très rationnel. Les fibres nerveuses étant destinées établir des rapports bien déter
1/2. Hospice DE la Salpêtrière. Clinique des maladies du Système nerveux . M. le professeur R.YMoND; le mardi et le vendred
4 h. 1/2 ; - Lundi à 10 h. 1/2, séméiologie des maladies du système nerveux . D''J. B. Charcot et Souques;- mardi 10 h., pol
mercredi, 10 h. 1/2, histologie normale et. pathologique du système nerveux , D1' Philippe ; jeudi, 10 h. 1/2 éleetrodiagnos
', hypnotisme, No ? & ? e ? 81 Clinique des maladies du système nerveux (2 volumes). 9° Les leçons du mardi à la Salpêt
. - chez un hystérique, par Gasne, 298. Mystique. Jeûne -, 414. Nerveuse , Cas peu commun de -, par Abbamondl, ibs. Neu
Surveillance. Quartiers de -, par Dehio, 489. Syphilis du système nerveux , par Itchle, 126. - cétéhrale, par de ISenzi,
lRt\(.0)IYI.LIt : , par Raymond, 301 -. par f3remnn, 171. Système nerveux . Cliniques des ma- ladies du -. par llamoncl, 1
e, etc.. par Bourneville, 255. Action du liquide - sur le système nerveux central, par llaskovec, 310. Extrait - et cré
70 (1904) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 19
lobine (Chlorose, Anémie). Sérum névrosthénique Fralsse (Dyserasles nerveuses ). Neurosino Prunier. (Reconstituant général).
ôlestlns (Goutt*, Grovello. Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses , Epilepsie, Hystérie), Lecithine Rogler (Neuras
ésinet (S.-ei*0.). D' Pottior. 10, rue Ptcput (Maladies mentales et nerveuses ). D" Signes (Pavillon Cbarcot). 133. boulevard
nt hypnotisabtes les hystériques et tous les déséquilibrés du système nerveux , chez lesquels, par le fait de la maladie ou de l
très marqués, ohez des individus paraissant jouir d'un fonctionnement nerveux parfaitement équilibré, et même chez certains suj
effet une des nombreuses manifestations de cette propriété du système nerveux , qui nous est commune à tous, et que l'on appelle
suggestibilité. Comme les autres manifestations de cette propriété nerveuse , elle parait dépendre surtout des circonslances e
jet, de trouver les moyens d'exciter la suggestibilité de son système nerveux , de savoir le placer dans les conditions les plus
suite de l'influence de ses tantes, la suggestibilité de son système nerveux , au moment de ma visite, dominait tout son être p
I) Présentation de malade faite a la clinique des maladies du système nerveux de la Salpetriêre. et elle a eu de très grand
à l'âge de 14 ans : il n'est pas rare, eu effet, de voir des troubles nerveux survenir au moment de la menstruation. 8es dive
tent certaines toxines qui vont influencer plus ou moins lus systèmes nerveux prédisposés. Pendant la durée do ses règles, cett
annuelles, très détaillées et critiques, sur V histologie du système nerveux , ía physiologie du système nórceux, la pathologie
oi* PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE HALA.DIES MENTALES ET NERVEUSES RtfifiMm M: Docteur Edoar BÉRLLLON collaborat
IL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES , MÉDECINE LÉO A LE, PÉDAGOGIE CRIMrNOLOOIE. PSYCH
globine {Chlorose, Anémie). Sérum nôvrosthénlque Frautie Dyscrasies nerveuses ). Neurosln© Prunier. (Reconstituant général).
leatlna (Goutte. Gravelle, Diabète). Tri bromure de Qigon (Maladies nerveuses . Epilepsie, Hystérie), Leoithine Roglor (Neuras
u Véstnet (S.-ei-O.J. D* Polder. 10. rue Picpus {Maladies mentales et nerveuses ). D' Signez [Pavillon Charcot), 138, boulevard Di
l U YXtUhll ill SeWIKl, 13 S*ft JMI. lit. Neurat&énle, Maladies nerveuses , tic-Dragées de 4 a 8 par jour . . Le flacon 4 50
do Paris. Une nouvelle conception de la thérapeutique des maladies nerveuses et psychiques, semble devoir s'imposer définitive
tion à l'auto intoxication dont l'organisme de la plupart des malades nerveux , excités ou déprimés, est déjà victime. Il s'agit
tion du dynanisme cérébral et médullaire, au repos procuré au terrain nerveux , et à la suspension d'une habitude morbide de
n d'accumulation. L'hypnose calme l'hyperactivité morbide des centres nerveux en isolant le cerveau des causes d'excitation inu
par un effort volontaire, les idées qu'ils ont dans l'esprit. Sédatif nerveux par excellence, le sommeil provoqué rend aussi pl
a signalé les bons résultats obtenus pour le traitement des maladies nerveuses par l'hypnose sans suggestion. Rappelons que c'
lus ou moins prolongé, » dans le traitement d'un grand nombre d'états nerveux . Ce « sommeil est éminemment réparateur, rien ne
fond et prolongé répond à « des indications précises. Dans les formes nerveuses carac-» térisées surtout par des troubles psychiq
. » Tout en questionnant, j'appris que l'enfant soufTrait de crises nerveuses depuis quelques semaines, qu'il avait été transpo
s tôt? » Des accidents très graves, et en particulier des accidents nerveux accompagnent l'évolution dentaire. Qu'il me suffi
au prix de grandes fatigues. Ce jeune garçon souffrait d'accidents nerveux causés par une évolution dentaire et compliqués d
1J Présentation de malade faite à la clinique des maladies du système nerveux de la Salpétriére. met a manger voracement
olonté. On s'appliquera à la relever, ainsi qu'à tonifier son système nerveux . Ce dont il a besoin c'est d'une éducation et d'u
lme et les pratiques d'Hytrotbéraple et d'Electrolbéraple. Maladies nerveuses et rhumatismales. Anémie, Diabète, Obésité, Dyspe
moli PSTCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Riiittcur ti (M: Docteur Edoar BKRILLON COLLA
IL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES et NERVEUSES . MÉDECINE légale, PÉDAGOGIE CWMINQLOOIE. PSÏCHOLO
l'Hémoglobine (Chlorose, Anémie). Sérum névro*thônlque Fraisae . • * nerveuses ). Neurosine Prunier. (HeconsliUiani général). V
célesii as (Uoutl-, Gravclle. Diabète). Trlbromure de Glgoa (Maladies nerveuses . Epilepsie, Hystérie). Léclthine Rogler (Neurasth
u Véslnei (S.-ei-O.J-LV Pottier, 10. tue PIcpus (Maladies mentales et nerveuses ). D' Sigoez ^Pavillon Charcol). 138, boulevard Di
tissus ont inspiré Blchat. Ses vues sur le fonctionnement du système nerveux ont eu une influence certaine sur les idées de Pi
édents héréditaires et morbides qui démontrent l'existence de la tare nerveuse , expose les circonstances dramatiques qui ont pro
t pédagogique; 4* fe musée de psycholoijie. La clinique de maladios nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogique/, annexé
à l'examen des organes, aucun indice de lésion matérielle des centres nerveux , pas plus que du système nerveux périphérique.
ice de lésion matérielle des centres nerveux, pas plus que du système nerveux périphérique. L'alimentation de la malade penda
ette petite opération avait pour résultat, soit d'atténuer les crises nerveuses , soit même de les faire disparaître. En tous ca
ur eu cas. La malade appartient à une famille névropathique; la mère, nerveuse , irritable, a eu, dès sa plus tendre enfance, des
nt sombre, violente, et présente des douleurs ainsi que des secousses nerveuses dans tous les membres. A la puberté on remarque d
II. — -'.. âgée de 26 ans, mère de quatre enfants, d'un tempérament nerveux et colère, garde le lit depuis vingt-cinq jours,
mois PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rfliftar m (M: docteur Edgar bérillon COLLABO
IL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES , MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOLOGIE, PSYCHOL
oglobine (Coloróse, Anémie). Sérum névzosthénique Fralaso (Dyscrasies nerveuses ). Nflurosine Prunier, (fteconslituant général). V
Celestina (Goutte. Cravclle, Diabète). Trlbromure- de Otgon (Maladies nerveuses , Epilepsie, Hystérie). Lecltbinc Rogler (Neurasth
Vésinet (S.-et-O-;. D' Portier, 10, rue Picput (Maladies mentales et nerveuses ). D" Signez (Pavillon Charcot), l3*,boulcvard Did
i-ftidu (* l'itilfalr in yi-- 1.13 SfiL lui. Saura ¦¦¦ r . Maladies nerveuses , etc-Drsgées de * â S par jour . . Le flacon 4 BO
ime accident pour faire éclorc le déséquilibre fonctionnel du système nerveux . On se rappelle que, chez notre dormeuse, l'aud
et pédagogique; h' le musée de psychologie. La clinique de maladies nerveuses {dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
procure une analgésie absolue. D'autre part, cette personne est très nerveuse , très impressionnable; étant somnambule, elle est
n). Le mal de mer consiste en un dérangement fonctionnel du système nerveux en particulière! de l'organisme en général, carac
u même incoercibles ; il peut en résulter une dépense énorme de force nerveuse qui se traduit par des sueurs profuses, un abaiss
trepris; sans se rendre bien compte on a peur de l'inconnu ; la force nerveuse se dépense en une auto-suggestion involontaire, c
hypnotisa ble. La suggestion pourra maintenir ou rétablir l'énergie nerveuse , conserver la résistance morale et physique, donn
me et les pratiques d'IljMrothéraple et d'Rleetrnthéraple. Haladlea nerveuse » et rhumatismales. Anemie, Diabete, Obésité, Dysp
TRÉE PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES resultarli (iti: Docteur Edgar BÉRILLON COLLA
il provoque, somnambulisme, suqgest10n névroses, maladies mentales et nerveuses , médecine legale, pédagogie criminolooie. psrchol
ne (Chlorose. Anémie). Sérum névrotthénique Fraisso (Dy&crasies nerveuses ). Nourosino Prunier. (Reconstituant général).
éleslins (Goutte, Gravelle, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses , Epllepsie, Hystérie). Leclthine Rogler (Neuras
u Vésfnet (S.-et-O.). D* Pottler, 10, me Plcpus (Maladies mentales et nerveuses ], Dr Signez (Pavillon Charcot). 1M, 1k. . • . . D
bs. IL — C..., âgée de 28 ans, caissière, ne présente pas de troubles nerveux appréciables. Elle se plaint seulement de no pouv
Obs. III. — M" C..., âgée de 39 ans, couturière. Dès l'enfance a été nerveuse impressionnable ; elle avait des peurs, des anxié
et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
évoir le délire, il est un prodrome, un signe du trouble de l'élément nerveux , mais il ne peut à lui seul déterminer le délire.
e à sa rêverie qui n'a jamais d'objets bien précis. Sa mère est une nerveuse , et sa sœur autrefois a eu des crises hysté-rifor
-riformes, mais se porte bien aujourd'hui. Quant à elle, les troubles nerveux dont elle se plaint sont les seuls qu'elle ait ja
iées à son état, je lui prescrivis, en oulre, des toniques du système nerveux , et quelques gouttes de laudanum le soir pour don
est-ce beaucoup prétendre, puisqu'en réalité l'ensemble des symptômes nerveux éprouvés par la malade, n'est qu'une de ces forme
es formes si nombreuses que revêt la rupture fonctionnelle du système nerveux , et ne saurait constituer une maladie véritable c
u'à présent de cette forme spéciale de trouble fonctionnel du système nerveux , bien que mon attention ait depuis trois ans, été
ormule mentale. Tout chez lui procède de la dégénérescence du système nerveux , de l'arrêt du développement des neurones cérébra
tes, revêtent une intensité qu'explique le passage de toute l'énergie nerveuse dans un nombre restreint de conducteurs. De là le
) Présentation de malades faite a la clinique des maladies du système nerveux de la Salpétrière. répète, il fait songer au
ru* Gorbert. 10- H CHLOROSE — ANÉMIE — HYSTÉRIE S 6 Epuisement nerveux - Dysménorrhée f ROB I • HÉMOSTHÉNIQUE \ S
PROVOQUE. S CM A MBDLISME, SUGGESTION NÉVROSES. MALADIES MENTALES ET NERVEUSES . MÉDECINE LB6ALE, PÉDAOOOIB CRIMINOLOOIE, PSYCHOL
lobine (Chlorose, Anémie). Sérum névrosthénlque Fraiase (Dyscrasies nerveuses ). Kourcttino Prunier. (Reconstituant général].
les tins (Goutte. Cravcllc, Diabète). Tribromure de Gigon (Maladies nerveuses , Epllepsie. Hystérie). Lécithine Rogier (Neuras
Vésinet (S.-ct-O.). D' l'oiti. r 10. rue Plcput (Maladies mentales et nerveuses ). D' Signe* (Pavillon Charcol), 13$, boulevard Di
et pédagogique; 4* le musée de psychologie. La clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
programme et la date de leur ouverture. Traitement des Dyscrasies nerveuses SÉRUM NÉVROSTHÉNIQUE FRAISSE au Cacodylate de
qu'elle danse et chante pour Dieu. Antécédents héréditaires : mère nerveuse , tante maternelle également nerveuse, mais sans a
Antécédents héréditaires : mère nerveuse, tante maternelle également nerveuse , mais sans aucune crise. Antécédents personnels
Intelligence moyennne, bonne musicienne, très exaltée au point de vue nerveux . A l'hôpital, on lui met la camisole do force,
ur de vous entretenir d'une certaine catégorie de jeunes soldats, les nerveux , nostalgiques, neurasthéniques ou hystériques, qu
nie, en tant que représentée par les états spéciaux observés chez les nerveux , terme générique employé pour désigner tous ceux
s désirons forcer votre attention. Nous établirons que la suractivité nerveuse et cérébrale imposée aux jeunes gens par un progr
ns la vie, deviennent les facteurs quotidiens d'un état de dépression nerveuse qui se traduit, chez les prédisposés surtout, par
ut autre est la caractéristique de la neurasthéiiie, dont la détresse nerveuse habituelle est la véritable note. La neurasthénie
nent d'une hérédité nettement pathologique. Une succession d'ancêtres nerveux , surmenés, intoxiqués, aliénés ou géniaux — mal d
on — a diminué la vigueur physique, affaibli et désorienté le système nerveux . Il en est advenu que les régions de l'écorce cér
ent plus fréquente dans les familles sujettes aux maladies du système nerveux ; mais la déviation qui en résulte, que l'on y co
de pareilles situations. • • La neurasthénie exprime la faiblesse nerveuse , la fatigue chronique, le déficit d'énergie qui s
de prédisposition originelle, de dégénérescence préalable du système nerveux , tous ou à peu près tous, enfants issus d'arthrit
me nerveux, tous ou à peu près tous, enfants issus d'arthritiques, de nerveux , d'alcooliques, en un mot, des dégénérés fils de
st, pour nous médecins, que l'état de moindre résistance d'un système nerveux resté longtemps à la limite de la fonction suffis
itutionnels, ce que nous disons des formes exceptionnelles, graves ou nerveuses , d'une même maladie : ils sont latents chez certa
ste et quand Ton se trouve en état d'infériorité préalable du système nerveux . Mais, de ce que l'hérédité puisse le plus souven
lité, nous retrouverons la môme scénologie, le même tableau, chez les nerveux . N'e sait-on pas combien est grand le nombre des
caractéristique de cette insuffisance, de ce déséquilibre du système nerveux , sans impliquer un désaccord sérieusement incompa
ar suite, moins graves chez les hystériques réels que chez les autres nerveux , les psychasiénigues. Ces derniers nous présent
pons, la fatigue génitale, de toutes la plus terrible pour le système nerveux , au moins chez l'homme, le tableau est complet et
ur l'enseignement professionnel des gardes- définitif de la cellule nerveuse . C'est alors que l'on' voit en peu de temps, en q
lme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'EleclrothérapIe. Maladies nerveuses et rhumatismales, Anémlo, Diabète, Obésité. Dyspe
il provoque. somnambulisme. suggestion NÉVROSES. maladies mentales et nerveuses . médecine légale. PÉDAG001S criminologie. psvchol
lobine 'Chlorose. Anémie). Sérum névrosthénlque Fralaso (Dyscrasies nerveuses ). Neurosino Prunier. (Kcconstituant général].
lestlna (Goutte, Gravelle, Diabete). Tri bromure de Glgon (Maladies nerveuses , Epilepsie, Hystérie). Léoithino Rogier (Neuras
Vésine; (S.-et-O.). D* Pottier. 10. rue Plcpus (Maladies mentales et nerveuses ). D[ Signex(PavIIlon Charcot), 138, boulevard Did
nte et atteinte de tuberculose. Elle éprouvait également des troubles nerveux , au sujet desquels elle me demanda une consultati
e la plus grande excitation, par contre elles vident vite les centres nerveux ; qu'à l'impétuosité, succède l'abattement le plu
pouvoir en faire un nouvel usage, il faut d'abord réparer les pertes nerveuses . Il me reste à parler de la mystérieuse Ecole d
de tous les névropathes chez lesquels l'insuffisance et l'épuisement nerveux peuvent coïncider avec des apparences physiques t
. En résumé, en dehors de l'hérédité, nous signalons, pour 1'* état nerveux », deux causes étiologiques d'ordre contraire : l
causes étiologiques d'ordre contraire : la dépense excessive d'influx nerveux et l'épuisement; l'inertie cérébrale et la dépres
'atrophient par défaut d'activité physique, le cerveau et les centres nerveux s'aveulissent par l'inertie habituelle et cessent
et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique et pé-dagogique), annex
e Oberkampt. — Prii du placon ; 3 franca. Traitement des Dyscrasies nerveuses SÉRUM NÉVROSTHÉNIQUE FRAISSE au Cacodylaie de
ers, nous emploierons l'exercice automatique sans travail des centres nerveux , les mouvements faciles, la marche-promenade, tou
faire sortir da la cellule cérébrale une certaine quantité d'énergie nerveuse qui y resterait engourdie faute d'excitant. Le né
d effort. Autant pour le - surmené « nous devrons éviter la fatigue nerveuse , autant nous devrons la provoquer pour le « désœu
e, la h&te fébrile, se trouve être le principal facteur do l'état nerveux .... Or, ne rien précipiter, ne pas se hâter, devi
organique. Or, c'est tout le contraire qui a lieu : presque tous les nerveux , épileptlques, neurasthéniques, hystériques, se p
ne nutri- tion défectueuse, à un entretien insuffisant des tissus nerveux . On peut dire que si les nerveux dorment mal, c'e
un entretien insuffisant des tissus nerveux. On peut dire que si les nerveux dorment mal, c'est parce que leurs nerfs et leur
de production est identiquement le même —, le sommeil est le sédatif nerveux par excellence. Il faut l'obtenir à tout prix et
premier chef : elle devra soigneusement être évitée. L'organisme du nerveux étant donc, et sans conteste possible, reconnu d'
pertes, et même en pertes énormes); l'harmonie des grandes fonctions nerveuses est compromise et le cerveau, anémié, déminéralis
avec tristesse les déplorables résultats. Ce désordre des fonctions nerveuses incompatible avec l'exercice de la volonté abouti
ous l'influence de préoccupations intenses, dans un état d'épuisement nerveux , de neurasthénie viscérale aussi, tel, que la vie
pétrière, reprendra ses leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses , le jeudi 12 janvier 1905 à dix heures, et les co
l de la Pitié. — M. le d' Babinski, leçons cliniques sur les maladies nerveuses , les mercredis à dix heures. Ouvrages déposés à
lme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'Eleetrothérapfe. Maladies nerveuses et rhumatismales, Anémie, Diabète, Obésité, Dyspe
EU, nie Gerbert, ? -ï CHLOROSE — ANEMIE — HYSTERIE 5 P Epuisement nerveux - Dysménorrhée g ! ROB 1 | HÉMOSTHÉNIQUE g
française, p. 245. II. — TRAVAUX ORIGLNAUX. — 1. Etude de la force nerveuse extériorisée et enregistrée par le sthénomètre,
Vésiaet (S.-et-O.). D* Pottier, 10, rue Plcpus (Maladies mentales et nerveuses ). D* Signai (Pavillon Charcol), 1M, boulevard Did
ii it l'Auiiaie tu Sfiaeti, II UfL ISM. ifa. Ncaraaüteale, Maladies nerveuses , elc Dragées de * à S par jour . . Le flacon 4 50
observation inverse et, dans cette observation Inverse, la pathologie nerveuse joue un rôle considérable. » Charcot amenait ai
ssé le cri d'alarme, et le professeur Lan-douzy signalait la débilité nerveuse de notre génération» qui compte tant de jeunes ho
la suspension d'activité de groupes plusou moins étendus de cellules nerveuses . L'homme, dépourvu de tout pouvoir de contrôle, s
et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
programme et la date de leur ouverture. Traitoment des Dyscrasies nerveuses SÉRUM NÉVROSTHÉNÏQUE FRAISSE au Cacodylate de
ontrer l'influence de l'hypnotisme et de la suggestion sur le système nerveux . Ces faits sont entrés dans le domaine scientifiq
e résulte des besoins sociaux, s'organise en instinct dans le système nerveux . Personne n'a exprimé cette opinion avec plus de
eur caractère propre ne peut être réduit à aucune mesure de vibration nerveuse , ou de réaction chimique. De là l'antagonisme irr
du mardi ?I juin 1904. — Présidence de M. Bcàwns. Etude de la force nerveuse extériorisée et enregistrée par le sthénomôtre
t, il est juste d'admettre que, si l'on peut démontrer que le système nerveux possède une force capable de s'extérioriser, c'es
ument capable de démontrer l'existence d'une force émanant du système nerveux et s'exer-çantà distance. Il était évident qu'i
llait arriver à mettre l'objet, destiné à être influencé par la force nerveuse , complètement à l'abri des mouvements de l'air, s
ats constates furent les suivants : Chez les sujets dont le système nerveux est déprimé par une maladie générale ou infectieu
omètre, subit une diminution générale proportionnelle à la dépression nerveuse du sujet. Chez les hystériques, le sthénomètre
slavl, Kiev, Saratoff, Ekaterinoslav, Astra- trouble de l'équilibre nerveux dans cette maladie, et du bien fondé de la théori
nifestations de l'hystérie, le déplacement de l'équilibre de la force nerveuse est proportionnel au trouble existant. De sorte q
au fur et à mesure de la guérison, on constate le retour du la force nerveuse qui reprend peu ù peu son équilibre normal. Dan
re colorée. Les applications pratiques de l'observation de la forco nerveuse extériorisée sont donc multiples dans le traiteme
orisée sont donc multiples dans le traitement des maladies du système nerveux . Les conclusions de ces expériences et observat
isme vivant, et paraissant spécialement sous la dépendance du système nerveux . Cette force se trouve modifiée et troublée dan
se trouve modifiée et troublée dans les diverses maladies du système nerveux ; et la constatation de ces troubles au moyen du
portant Le moindre excès alcoolique provoque une sorte d'irritabilité nerveuse qui CHRONIQUE ET CORRESPONDANCE Société d'h
TRÉE PSYCHOLOGIE - PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES MMar m i(!: DocTEOR Edgar bér1llon COLLABORAT
I. PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NÉVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES , MÉDECINE LESALE, PÉDAGOGIE CRIMINOLOGIE, PSYCHOL
lobine (Chlorose. Anémie). Sérum névrosthénique Fraisse (Dyscrasies nerveuses }. Kouroslna Prunier. : 'instituant général).
éleatins (Goutte, Gravelie, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses , Epilepsie. Hystérie). LOcithino Rogier (Neuras
Vésiaet (S.-et-O.). D* Potiler, 10. rue Picpus (Maladies mentales et nerveuses ;. Dr Signez (Pavillon Gharcot), 1M, boulevard Did
oi «t l'»-.in Au kïata, U >r,:. IS01. tb. N'euruUieale, Maladies nerveuses , etc. Dragées de 4 à H par jour . . Le flacon 4 6
s convulsives et un réparateur des troubles dynamiques de la fonction nerveuse . PRIX : 3 francs foudre 3jÊpilatcire gory L
est un spécifique puissant contre I anémie, la chlorose, les troubles nerveux de l'estomac, la lièvre paludéenne, la dysménorrh
et tous les états dans lesquels l'anémie est associée à l'épuisement nerveux . Le ROB HÉMOSTHÉNIQUE, doué de propriétés laxat
chasthénies. l'anémie cérébrale, et toutes les formes de l'épuisement nerveux . La RADIOPHORINE diminue le sucre dans le diabè
ences contenues dans les boissons alcooliques exercent sur le système nerveux une action beaucoup plus nocive que l'alcool lui-
et pédagogique; 4* le musée de psychologie. La clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
1) Présentation de malade faite a la Clinique des maladies du système nerveux de la Salpètrière. Notre malade, pendant son
st prise de rage, de désespoir, pousse des cris et présente une crise nerveuse . Ne vous y trompez pas, il ne s'agit point du tou
le fanatisme. Ce cas, vous le voyez, dépasse la clinique des maladies nerveuses . L'histoire des puritains et des sectaires pullul
1) Présentation de malade faite a la Clioiquo des maladies du système nerveux de la Salpetrière. mois, à 4 heures et demie.
lme et les pratiques d'Hydrothérapie et d Electrothérapie. Maladies nerveuse * ot rhumatismales. Anémie, Disbèto, Obésité, Dysp
oblno 'Ci .-, Anémie). Sérum Dévrosthénique Fraiase (Dyscr&sies nerveuses ). Neurosuie Prunier. (Reconstituant général).
élcstins (Goutte, Gravelle, Diabète). Tribromure de Glgon (Maladies nerveuses , Epilepsie, Hystérie). Léoithlne Rogler (Neuras
Vésînet (S.-et-O.). LV Portier, 10, rue Picput (Maladies mentales et nerveuses ). D' Signez (Pavillon Cbarcot), 138, boulevard Di
-.Uii'. iu &âaa, 13 &tfl 1901. lit. NenrasiheQie, .Usladici nerveuses , oie Dragoea de A à 8 par jour . . Le flacon 4 50
tiser le patient. II est vrai qu'on pouvait supposer que les éléments nerveux du sphincter de la vessie avaient été détruits po
t devenue une excellente Institutrice et n'a souffert d'aucun trouble nerveux pendant dix-huit ans. Ces jours-ci, à la suite de
ii est très vrai que la musique, par elle-même, porte au déséquilibre nerveux . La musique, en effet, est excitatrice d'émotions
inski, intitulée Introduction a fa sémiologie des maladies du système nerveux : des symptômes objectifs que la volonté est inca
et pédagogique; 4° le musée de psychologie. La clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogique), annexé
un an et demi ne peut dormir pendant la journée et le soir il devient nerveux . La mère se diisolc et abandonne bientôt l'idée d
t chez les adultes l'excitation a son point de départ dans le système nerveux central. Les confidences que nous avons reçues de
consulter, elle présentait toutes les manifestations de l'épuisement nerveux le plus profond. Bile reconnaissait elle-même qu'
oici l'observation : Mme M... S.., âgée de 28 ans, d'un tempérament nerveux , très impressionnable, mère de quatre enfants, so
ères avec (1) Présentation de malade faite a la Clinique du système nerveux de la Salpétriére. Dernièrement, comme ces accè
é ; le spasme n'est donc pas de nature hystérique. Cet homme est un nerveux , Dis de nerveux ; hésitant, Indécis, craintif, il
est donc pas de nature hystérique. Cet homme est un nerveux, Dis de nerveux ; hésitant, Indécis, craintif, il doute toujours
che ; (1) Présentation de malade laite a la dos maladies du système nerveux de la Salpelrière. mais, la veille, l'hémip
p des survivants ont été très éprouvés par les effets de la commotion nerveuse subie. Mais ces malades spéciaux, que les service
énibles, vers Moscou. Le D'Jacoby estime que a transférer des soldats nerveux , aliénés, à dfx mille kilomètres, en temps de gue
TRÉE PSYCHOLOGIE — PEDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES fWutliLt ti tit\: Docteur Edgar BÉRILLON COLL
IL PROVOQUE, SOMNAMBULISME, SU00B6TI0S NEVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES , MÉDECINE LÉGALE, PÉDAOOÔIB CRIMINOLOGIE, PSYCHOL
lobine (Chlorose, Anémie). Sérum nOvrosthénique Praiase (Dyscrasies nerveuses ). Neurosino Prunier. (ReconsUtuant général),
clesiins {Ooutte. Gravelle, Diabète). Tribromure de Gigon (Maladies nerveuses , Epilepsie, Hystérie). Lecithine Roglor (Neuras
u Véainei (S.-el-O.). D* Ponter, 10. rue Picpus (Maladies mentales et nerveuses ). D* Signez (Pavillon Cborcol), 13s, bouletard Di
moment donné, subit des événements fâcheux qui ébranlent son système nerveux . Cette question est très compliquée; dans chaque
et pédagogique; 4" le musée de psychologie. La clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique ef pé-dagogique), annex
même durant des dizaines d'années. Dans ces conditions, leur système nerveux se fait tellement à l'alcool que celui-ci devient
de changer, de refaire, de rééduquer dans un certain sens le système nerveux de l'alcoolique, de l'adapter en quoique sort
ultai efficace du traitement, tant que l'état psychique et le système nerveux du malade ne sont pas appropriés aux nouvelles co
mportance et dont le but est d'adapter l'état psychique et le système nerveux des alcooliques aux nouvelles conditions créées p
érence pour l'alcool et la sérénité d'àme ; 2* elle adapte le système nerveux et l'état psychique des alcooliques aux nouvelles
faut une période de temps suffisamment prolongée, afin que le système nerveux de l'alcoolique puisse se faire aux nouvelles con
2 0/0} ; éthéromane ; a même employé le haschich ; agitation ; rires nerveux ; sommeil hypnotique impossible. Elle accepte ave
les Illusions de son ancien toxique. IV. Mme L. R..., 35 ans; état nerveux indéterminé; idée fixe de jalousie ; croit que so
L., âgée de 17 ans, est de constitution assez forte et de tempérament nerveux . Dès sa plus tendre enfance, elle fut sujette à
lme et les pratiques d'Hydrothérapie et d'ElectrolhérapIe. Maladies nerveuses et rhumatismal M, Anémie, Diabète, Obésité, Dyspe
TRÉE psychologie — pédagogie — médecine légale maladies mentales et nerveuses RUirbir ei ùtl: Docteur Edoar BÉRILLON COLL ?
il provoque, somnambulisme, suggestion KEVROS8S, maladies mentales et nerveuses , médecine légale, pedagogie criminologie, psychol
lobine (Chlorose, Anémie). Sérum névrosthénlque Fraisse (Dyscrasies nerveuses ). Nourosine Prunier. (Reconstituant général).
élestins (Goutta, Gravelle. Diabète). Tribromure do Gigon (Maladies nerveuses , Epilepsie, Hystérie). Léclthine Rogier (Neuras
u Véslnet (S.-ct-O.). D* PotUer. 10, rue Piepus (Maladies mentales et nerveuses ). D' Signez (Pavillon Chàrcot), 138, boulevard Di
façon indirecte, par une sorte de stimulation des cellules du système nerveux central, ayant une répercussion sur les vaso-mote
et pour la femme de 1.230grammes. (Obersteiner : Anatomie des centres nerveux , 1693). Fig. 55. - Fanny Kubaba, femme a barb
en que peu suivies, ont cependant laissé chez mon malade ces troubles nerveux qu'on pourrait aisément faire remonter à tout un
lle, jusque là bien portante cl n'ayant jamais manifeste' de troubles nerveux , contracte une fièvre typhoïde particulièrement g
I) Présentation de malade laite à la Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière. vait le liesoin de marcher
Ainsi, cette jeune fille a une double hérédité ; sa mère était très nerveuse et son père alcoolique. Dès sa naissance, elle es
nte : elle a bien compris de quoi il s'agit. On tonifiera son système nerveux ; et on l'aidera à guérir par la psychothérapie.
nstruation. Dr Paul Joibe (de Lille): Les modifications de la force nerveuse enregistrées par le stnénomètre. L" Pamart : La
de notoriété publique. Ce malade n'a pas d'antécédents héréditaires nerveux ou pathologiques. Il est lui-même un peu nerveux,
cédents héréditaires nerveux ou pathologiques. Il est lui-même un peu nerveux , mais n'a jamais eu ni crises con-vulsives, ni ri
p. 367. Souscription Liébeault. p. 63. Sthénomètre (Eludo de la force nerveuse extériorisée et enregistrée par le), par Paul
71 (1889) Archives de neurologie [Tome 18, n° 52-54] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CHARLES HËRISSEY ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIEE sous LA DllIgCT¡ON 01 : c
411.) 4 PATHOLOGIE MENTALE. Ailleurs (Anat. et Physiol. du syst. nerveux en gé- néral et du cerveau en particulier, Pari
s symptômes immédiats que l'on peut considérer comme les phénomènes nerveux primaires ou primitifs des traumatismes du crân
inflammatoire excitée par les lésions produites au sein des centres nerveux par la violence extérieure; ils n'apparaissent
ture, après un temps plus ou moins long, surviennent des troubles nerveux . Le malade finit, alors son existence dans un h
trine à cet égard dans les beaux travaux d'anatomie fine du système nerveux et de physiologie expérimentale de Ferruccio Ta
s y contracteraient sans distinction des rapports avec les cellules nerveuses des différentes parties des sphères visuelles.
hémiop.,ie Fig. I. 44 PHYSIOLOGIE, bilatérale, car les éléments nerveux de l'aire corticale détruite se trouvaient à la
te bilatéralité fonctionnelle, pro- pre à chaque moitié des centres nerveux , pour être plus évidente dans les centres senso
le, mais réels, déterminés par une lésion unila- térale des centres nerveux . L'esprit critique de Seppilli excelle à dissip
n doute sur ce point chez les auteurs italiens. L'étude des centres nerveux dans les cas d'ano- phthalmie congénitale serai
nies à celles des embryogénistes, que le parcours des fais- ceaux nerveux a pu être suivi dans tant de régions du système
is- ceaux nerveux a pu être suivi dans tant de régions du système nerveux central et que le trajet intra-cépha- lique des
êt ou l'abolition fonctionnelle d'une partie seulement des éléments nerveux de la sphère 1 71 ! ferc/'e sulla anatomie pato
Golgi, le célèbre professeur de Pavie, sur l'histologie des centres nerveux . La thèse principale de ce savant anatomiste, q
s attirés vers ces idées, bien avant que l'histologie des centres nerveux leur eût prêté quelque fondement. Le chapitre d
énétration que l'on rencontre dans tous ses travaux de pathologie nerveuse . » Il est juste de reconnaître que, dès 1883, S
sensibilité spécifique; 2° les fibres optiques issues des éléments nerveux du grand hippocampe subiraient, comme celles qu
on, comme dans ceux des autres sens spécifiques : ainsi, les fibres nerveuses à myéline de la lamina medullaris involuta, per
à myéline de la lamina medullaris involuta, perdues dans le réseau nerveux diffus, appartiendraient, sui- vant Golgi, à la
ts, qu'aux singes anthropoïdes et à l'homme. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE RECHERCHES CLINIQUES ET 1 ? XPÉit LES SUR LES A
I, p. 2Íl-27 ! J 1851. 1. Archives, t. XVIII. 6 8 : l CLINIQUE NERVEUSE . cette théorie : on a certes été frappé en lisa
pour qu'elle devînt inoffensive de la pratiquer avec 84 CLINIQUE NERVEUSE . une grande lenteur, beaucoup plus lentement qu
ainsi : « L'accroissement de pression du milieu nm- 86 . CLINIQUE NERVEUSE . biant produit son maximum d'effet sur les tiss
pénible, et l'excès de pression se porte sur les délicates parties nerveuses , ' Expériences comparatives sur la décompressio
ur l'iiijec- lion d'air dans le artères. Nancy, 1879. 88 CLINIQUE NERVEUSE . brisant les petits vaisseaux, et produisant la
tre pas la seule ni la véritable cause de ces hémorrha- 90 CLINIQUE NERVEUSE . gie8, ou du moins d'un certain nombre d'entre
ail dans l'air com- primé des plongeurs à scaphandre. 92 CLINIQUE NERVEUSE . Il est vraiment curieux de trouver cette théor
» ' Cette hypothèse de l'influence funeste des gaz du Ut CLINIQUE NERVEUSE . sang puissamment combattue par le travail de M
hez les sept autres. » Tout naturellement, et pour être 96 CLINIQUE NERVEUSE . conséquent avec lui-même, notre savant confrèr
il se demande pourquoi « elles se produisent plutôt dans le centre nerveux spécial que dans la masse céré- brale » et voic
, anémier et amener au ramollissement certaines régions des centres nerveux et particu- lièrement le renflement lombaire de
aux de la conjonctive injectés; Archives, t. XVIII. 7 98 CLINIQUE NERVEUSE . même à l'oeil nu, on voit des bullettes d'air
n distingue des perles de gaz qui distendent et dilatent les fibres nerveuses . DES ACCIDENTS PAR L'EMPLOI DES SCAPHANDRES. to
st bien le dégagement de gaz dans le système artériel ')02 CLINIQUE NERVEUSE . qui est la cause prochaine, immédiate, directe
dans l'immense majorité des cas, ces accidents frappent le système nerveux central que, suivant la partie affectée de ce s
vante : ' Sociél. de biol., 187a, iio 1. page 58. , '104 CLINIQUE NERVEUSE . « A dose très forte, l'injection d'air dans le
az hebd. de méd. et de chir., t. XII, 21 série, 1875. '106 CLINIQUE NERVEUSE . distension, chose dont la possibilité est niée
il se combine avec l'hémoglobine et, à des pressions 108 CLINIQUE NERVEUSE . plus élevées, la proportion de l'oxygène disso
el alcoolique. - Cousine pater- nelle idiote et épileptique. - Mère nerveuse , névralgies, céphal- algies. - Grand'mère mater
enfants. Mise en correction. Tremblement léger des mains. - Crises nerveuses , épileptiques (1). Accès de colère. - Impulsion
blicain, grand, fort, bien portant d'ordinaire, sans aucun accident nerveux ; rhumatisant. [Père, nombreux excès de bois- so
mps en temps à des céphal- algies. Pas de migraines, pas d'attaques nerveuses . [Père, soixante- six ans, cultivateur, n'a jam
s. [Père, soixante- six ans, cultivateur, n'a jamais eu d'accidents nerveux et jouit d'une bonne santé. - Mère, a eu il y a
s son retour de Mont-sous-Vaudrey; mais il était sujet à des crises nerveuses pendant lesquelles il étend les bras, crie, à l
t S.-C. L.1OU1).IhIS, externe de la Clinique des malades du système nerveux . Dans sa Policlinique du 1 mai 1889, M. le prof
DE L'ATAXIE LOCOMOTRICE, ET DE QUELQUES AUTRES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PAR LA SUS- PENSION ; , Par A. RAOULT, intern
ulement dans les cas de tabes, mais encore dans d'autres affections nerveuses . Dans la plupart des services hospitaliers de P
t des services hospitaliers de Paris, où l'on s'occupe d'affections nerveuses , on a employé ce mode de traitement, et dans no
e est trop courte, il peut se pro- duire une compression des troncs nerveux susceptible de détermi- ner des fourmillements,
. 629. 140 REVUE CRITIQUE. II. De la suspension dans les maladies nerveuses autres que le tabes. Dans ses expériences sur l
tiques qui entourent les cordons postérieurs, ce qui rend aux tubes nerveux une con- ductibilité meilleure, surtout aux plu
elâchant et la rompant, d'où diminution de la compression des tubes nerveux subsistants. M. Althaus pense, en outre, que la
l'état général ; 2° affections des sys- tèmes cardio-vasculaire et nerveux ; 3° certaines lésions locales. 1 The Lancet, j
influencer la dyspnée, la tendance syncopale. Du côté des troubles nerveux , on n'est pas encore bien fixé quant aux contre
nt les ataxiques et certains autres individus atteints d'affections nerveuses diverses; mais guérit-elle les tabétiques ? Ou
l\IAND. 152 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE BERLIN. Séance du 11 juin 1888'. Présidenc
gest. (Du reste, rritscli dit que ces fibres ne sont pas des fibres nerveuses .) Mais il révèle les cellules chromophiles et les
adial guérie par une suture secondaire {suture à distance) du tronc nerveux . Voyez Berlin. Klin. Wochenschrift, 1888, no 45.
les agents provocateurs de l'hystérie : émotions morales scliock nerveux , maladies générales et infectueuses, états pathol
de la nutrition générale se confinant de préférence sur le système nerveux . Ce travail est, on le voit, le remède le plus
du rapport qui existe entre le développement des différents centres nerveux et les phénomènes de la vie psychique. Ace prop
opos, il expose brièvement la structure et les fonctions du système nerveux en donnant un coup d'oeil d'ensemble sur l'arra
te fonction. Ces voies de passage, des commu- nications des trajets nerveux jouent un rôle important dans la formation du c
telle est l'idée que l'auteur développe dans ce chapitre. L'énergie nerveuse , dit-il, n'est qu'une forme de mouvement; elle
dire, praticable» aux sensations morales et utiles certains trajets nerveux restés jusqu'alors fermés et de faire disparaît
end d'abord les excitations simples pratiquées sur les terminaisons nerveuses et il étudie les mouvements réflexes (inconscie
de ces excitations venues du dehors qui impres- sionne nos centres nerveux et obligent ceux-ci à réagir d'une certaine faç
upérieurs. Ces conditions sont : la nutrition régulière des centres nerveux et le fonctionnement normal de tous les autres
ion cérébro-spinale en particulier avec les fonctions de la cellule nerveuse . Là finit cette première partie du travail entr
té do médecine, le premier dans la chaire des maladies du Système nerveux , le second dans celle des maladies mentales. La
t fils. FDl4.WlD3 (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections nerveuses {ataxie locomotrice progressive, sclérose en pl
u hématoxyline de Weigert, on ne peut donc faire l'étude des filets nerveux ; on est réduit à celle de la substance grise en
oglique, avec ses éléments cellulaires, parsemé de petites cellules nerveuses peu abon- dantes, présente par le procédé à ! E
, on cons- tate que la vascularisation paraît normale; les cellules nerveuses sont nombreuses, disposées en séries; beaucoup
ce grise s'y ramifient, la morcellent; l'aspect normal des cellules nerveuses placées bout à bout n'existe plus dans les couc
s bout à bout n'existe plus dans les couches moyennes; les cellules nerveuses , surtout dans la couche' de petites cellules py
tes de substance. Ces foyers interrompant la disposition des fibres nerveuses qui gagnent la substance blanche, comprennent e
let, examiné du côté gauche, on trouve une raréfaction des éléments nerveux de la couche des myélocytes, et un certain degré
la modification moléculaire que le choc a déterminée dans la trame nerveuse , dans la cellule cérébrale. De cette modificati
aut se rattacher pour avoir chance de trouver la vérité. CLINIQUE NERVEUSE . RECHERCHES CLINIQUES ET EXPÉRIMENTALES SUR LES
p. 22 j n° 50, p. 225; n° 51, p. 392; n° 52, p. 80. 208 CLINIQUE NERVEUSE . tenant, nous entrons en plein dans l'étiologie
décompression tant de gaz au point de faire éclater : 21'2 CLINIQUE NERVEUSE . l'accident. Le nombre des immersions ne peut n
dence aussi que la seule et unique cause de, cet ac cl Il CLINIQUE NERVEUSE . cident est la durée prolongée du séjour au fon
mploi des scaphandres sont dus à la durée du séjour. 216 CLINIQUE NERVEUSE . Pour surcroît de preuves de ce fait nous avons
ue les accidents sont survenus. Les accidents de nos 218 CLINIQUE NERVEUSE . chiens doivent donc être directement attribués
tre question du nombre des immersions comme cause de 220 CLINIQUE NERVEUSE . l'accident, car c'est à la suite de la premièr
est, en outre, d'une très grande fréquence. Ce nouvel 222 CLINIQUE NERVEUSE . élément étiologique c'est le nombre des immers
s. y). Accident de /'Observation XI. - La seule et 14 t. CLINIQUE NERVEUSE . unique cause de cet accident est le nombre des
ofondeur de 22 à 24 brasses, Archives, t. XVI 11. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE . la durée du séjour n'ayant pas dépassé les 4 à
ail sans accident. Etant donné en outre que ce plon- 238 8 CLINIQUE NERVEUSE . geur était parfaitement bien portant, qu'il n'
d'étudier, agissent, nous l'avons déjà démontré, en 280 CLINIQUE NERVEUSE . favorisant le développement de l'agent pathogè
avec une rapidité de décompression tout à fait égale 232 CLINIQUE NERVEUSE . en durée à celle de l'immersion qui a causé l'
ce sont les accidents des Observations XXIX et LXI. 234 CLINIQUE NERVEUSE . a). Accident de /'Observation XXIX. Cet acci-
Pour finir avec les causes qui agissent en s'opposant 236 CLINIQUE NERVEUSE . à l'élimination de l'excès des gaz devenus lib
Encore bien moins peut-on considérer dans l'étiolo- 1238 CLINIQUE NERVEUSE . gie de ces accidents les causes qui agissent e
hogène, le gaz, à se localiser à telle ou telle partie du système nerveux , par exemple. La localisation se fait donc au h
décompression brusque et il est attaqué; notons bien 240 CLINIQUE NERVEUSE . qu'il est déjà antérieurement descendu exactem
squelles son esto- AIICIIIVC<, t. XVI11. 16 .) If il, CLINIQUE NERVEUSE . mac se gonfla faisant saillie; en même temps s
ers tubistes et des plongeurs. L'organisme et surtout son système nerveux perd de sa vitalité et résiste moins à l'in- fl
E (CHARCOT); Par P. KOVALEVSKI Professeur de maladies mentales et nerveuses a l'inisersité de KharcofT'. L'histoire de cett
pose le point de départ de cette maladie dans une lésion du système nerveux central. Goodhart publia l'observation d'un cas
rologiral 188 t. I, n° 3. 250 REVUE CRITIQUE. autour des cellules nerveuses ayant pour suite l'altération de leurs fonction
es éléments se formant dans le myxoedème. Il rapporte les symptômes nerveux à la compression des éléments nerveux par l'inf
me. Il rapporte les symptômes nerveux à la compression des éléments nerveux par l'infiltration. C'est dans l'inclination pa
ie qu'on pourrait diviser en trois états successifs : .¡ 0 pérl'ode nerveuse ; 2° période mucinoïde; 3° période atro- hlaique
erveuse; 2° période mucinoïde; 3° période atro- hlaique. La période nerveuse présentait des symptômes ner- veux, comme du tr
'accumulation de la mucine dans les tissus, sans ménager les tissus nerveux , et se traduit par l'hébétude mentale et le ral
l'organisme ce qui provoque une altération des fonctions du système nerveux central aussi bien que de celui des autres orga
influence de ces changements, la myxoedémie et l'anémie, le système nerveux central subit de même des changements : ri., le
roïde produit une substance indispensable à la nutrition du système nerveux central. Les animaux survivent à l'extirpation
roïde produit une substance indispensable à la nutrition du système nerveux central, donc après l'extirpation le cerveau es
s négatifs. De scrupuleuses recher- ches et explorations du système nerveux central des animaux opérés démontrèrent que le
nce cérébrale, ce qui expliquerait tous les phénomènes du système nerveux central. L'auteur suppose que l'extirpation de la
émit l'avis que la raison de l'altération des fonctions du système nerveux central peut être expliquée avec le plus de pro
ction spéciale, dont l'absence a pour suite une série d'altérations nerveuses . Une des malades d'Ord consentit à se faire cou
atise. Le mécanisme est exactement le même que celui des affections nerveuses et men- tales dues aux excès et surtout à l'ona
de diminuer les excitations senso- rielles, de calmer les cellules nerveuses excitées, d'arrêter la dé- chéance organique. D
oxication saturnine avec TROUBLES DE L'INTELLI- GENCE ET DU système nerveux ; par Alex. ROBERTSON. (The Journal of mental Sc
paralysie générale. Le rapport intime qui existe entre les maladies nerveuses et l'arthritisme, déjà depuis longtemps signalé
tats qu'ils ont obtenu dans le traitement DE certaines AFFEC- TIONS nerveuses par l'hypnotisme. M. Bernheim (de Nancy) traite
S- TION HYPNOTIQUE DANS LES AFFECTIONS « CUM MATERIA » DU SYSTÈME nerveux . Il a pu guérir des hémiplégies cérébrales ainsi
'incontinence nocturne d'urine, des matières fécales, dans les tics nerveux , les terreurs nocturnes, la chorée rythmique, l
e, les attaques hystériques et les troubles sine materia du système nerveux ; 3° aucun résultat n'a encore été observé duns
de l'INFLUENCE DES TRAUMATISMES SUR LE DÉVELOPPEMENT DES MALADIES NERVEUSES . 1\l. VIrrERT, dans un travail sur ce sujet, co
un travail sur ce sujet, constate en bloc l'exis- tence de troubles nerveux cérébraux ou médullaires, sans les classifier.
ation. Que deviendrait le diagnostic des psychoses, des acci- dents nerveux consécutifs aux accidents de chemins de fer, et t
sychiat., XX, 2.) P. Iien ? ·aL. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE BERLIN. Séance du 14 mai 1888. - Présidenc
1.el'ei. EDWARIIS (B.-A.). De l'hémiplégie dans quelques affections nerveuses (ataxie locomotrice progressive, sclérose en pl
l. XVIII. Novembre 1889. N" 54. ARCHIVES DE NEUROLOGIE PATHOLOGIE NERVEUSE MIGRAINE OPHTALMIQUE ET PARALYSIE GÉNÉRALE Pa
mot, à côté de la migraine Archives, t. XVIII. 21 322 PATHOLOGIE NERVEUSE . ophtalmique maladie, il y avait place pour la
es dépendraient de la lésion de cette région déterminée des centres nerveux quelle que soit du reste cette lésion : ischémi
du mardi à la Salpêtrière, 1887-1888. - Vf° Leçon. : 324 PATHOLOGIE NERVEUSE . L'observation qu'a tout d'abord rapportée M.
res; il parait se remettre complè- tement en apparence; mais il est nerveux , irrité, il peut se 'remettre au travail, cepen
, n° 32, hôpital l3eaujon. Le malade ne connaît pas d'antécé- dents nerveux dans sa famille. Sa mère est bien portante. Son.
est probable qu'il 1 M. Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. 1ï1, p. 78.. 326 PATHOLOGIE NERVEUSE. occ
sur les maladies du système nerveux, t. 1ï1, p. 78.. 326 PATHOLOGIE NERVEUSE . occupait les deux moitiés droites du champ vis
dents d'hémi- paresthésie, et de migraine ophtalmique. (Antécédents nerveux . Grossesses malheureuses successives./ Henrie
mort à cin- quante-six ans, d'une congestion; grand'mère, vit, pas nerveuse . Parents : père rhumatisant; un oncle paternel,
rtante, goitreuse; un oncle maternel en bonne santé; pas de cousins nerveux . Frères : un frère est bègue depuis l'enfance,
i paraissait à la malade lourd et gonflé, puis à ' 328 . pathologie NERVEUSE . la jambe droite. La parole devint en même temp
lade fut prise d'un accès de migraine que malgré sa 330 pathologie NERVEUSE . débilité intellectuelle, elle a pu nous décrir
accompagnée. (Progrès médical, 1886, t. V, p. 477.) 332 pathologie nerveuse . -- MIGRAINE ophtalmique. - de la migraine est
qui par eux-mêmes ne nous renseignent que sur la région des centres nerveux qui est touchée, ' et nullement sur la façon do
ces dans les deux cornes antérieures. Il existe encore des cellules nerveuses en assez grand nombre dans les cornes postérieu
e processus parait plus avancé encore, et l'atrophie des élé- ments nerveux portée très loin. Ces lésions sont générales et d
de la condensation de la névroglie et de l'atrophie des éléments nerveux eux-mêmes et est masquée en partie à l'oeil nu pa
ication des cellules de la névroglie et la disparition des cellules nerveuses , disparition qui nous est expliquée par les diffé
vo..., 1877-1885. Idiotie complète, excès de boisson du père , mère nerveuse , quatre frères et soeurs mortes de convulsions.
ans la substance blanche que des espaces étoilés dépourvus de tubes nerveux , assez nom- breux dans les cordons postérieurs.
es nerfs. Il nous a même semblé en voir côte à côte 'avec des tubes nerveux dans la même gaine; mais nous ne pouvons l'affi
s, ici, les lésions de la moelle existent, portant sur les cellules nerveuses elles-mêmes, avec très peu de lésions de la con
ugno... (Charles), 1880-1883; grand'père maternel alcoolique ; mère nerveuse ; frères morts de convulsions; .7342 ANATOMIE PA
l'accompagne. Le nommé Maisonh., 1868-1885, hérédité alcoolique et nerveuse , a eu ses premières convulsions à deux ans. Ell
bre 348 anatomie pathologique. d'amas névrogliques et de cellules nerveuses arrondies, granuleuses et pigmentées; elles emp
sous de ces points très lésés, il n'existe plus de grandes cellules nerveuses , mais on en rencontre tout à côté par amas abon
filtration des gaines. Pourtant la sériation verticale des éléments nerveux à laquelle nous atta- chons une grande importan
très développée avec diminution de nombre et de volume des cellules nerveuses qui ont perdu leur sériation dans les points ex
opposé. Dans cet ilôt à contours diffus, un certain nombre de tubes nerveux persistent. En résumé, les lésions du bulbe et
: 1° prolifération vasculaire; 2° sclérose et atrophie des cellules nerveuses ; 3° formation des cavités. Ces lésions forment
ate que les capillaires sont très nombreux et dilatés, les cellules nerveuses ne sont pas disposées en séries, mais dispersées
re qui a disparu des coupes. On n'y rencontre pas une seule cellule nerveuse et cela dans plusieurs champs du microscope. A
éléments interstitiels. Même vascularisation ramifiée. Les cellules nerveuses sont globu- leuses, leur noyau volumineux, clai
grandes cellules, les altérations sont les mêmes pour les cellules nerveuses , dont le corps cyto- plasmique est pâle et effa
ceaux fibrillaires volumineux et entrecroisés autour des cel- lules nerveuses . Celles-ci, nettement diminuées de nombre, se c
onal des sciences médi- cales, 1878. Hammond. Maladies du système nerveux , p. 822, 1879. Leyden. - Maladies de la moelle,
édition 2, t. I. p. 700, 1881. Renaut. Recherches sur les centres nerveux amyeiiniques. Archives physiologie, p. ;i93, 18
-psychologiques, mai 1883. Déjerine. - lIé¡'édité dans les maladies nerveuses , Thèse agrég., 1886. Adamkiewicz. - Histogenè
ins allemands, septembre 1886. Féré. - Anatomie médicale du système nerveux , p. 238, 1886. Raymond. - Anatomie pathologique
nerveux, p. 238, 1886. Raymond. - Anatomie pathologique du système nerveux , p. 168, 1886. Fuerstner et Stuehlinger. Hype
veux, p. 54, 1889. W. Vignal. Développement des éléments du système nerveux P. 169, 1889. Lancereaux. Traité d'anatomie p
tronc, suivant l'intensité et la durée de l'excitation des cellules nerveuses de ces centres ? Rien de plus net que les paral
les véritables appareils moteurs ou d'exécution sont les cellules nerveuses du bulbe et de la moelle. « Psychologique- ment
» ou d' « isolement » (2), instituées par François Franck Système nerveux . - Physiologie. Dictionnaire des sciences médical
Pflüer sur l'extension des fonctions psychiques à tout le système nerveux central '. Ils s'acheminaient ainsi vers l'hypo
itée à l'origine dans des livres et dans 1 François Franck. Système nerveux . Physiologie. Dictionn. des sciences médicales
rus sigmoïde chez le 'chien) contient le centre (ou les conducteurs nerveux conduisant au -centre) des sensations du tact e
table de l'écorce cérébrale devait renfermer à la fois des éléments nerveux en rapport avec les mouvements volontaires des
premier cas, le courant électrique serait l'é- quivalent du courant nerveux ; dans l'autre, l'ablation des centres abolirait
posé à la lésion cérébrale, non du côté correspondant. Les fibres nerveuses centripètes et centrifuges seraient donc toutes
la face. Deux grands oncles paternels, excès de boisson. - Mère, nerveuse , irritable. Grand-père paternel, excès de boisson
père paternel, excès de boisson. Grand'mè1'e maternelle phthisique, nerveuse , migraineuses Soeurs, attaques de nerfs. Frère,
fois tous les mois, aujourd'hui tous les deux ou trois mois. Assez nerveux ; bon caractère... Enfant naturel. Pas de maladie
nvulsions dans l'enfance, pas de migraines ni de névral- gies. Très nerveuse , très impressionnable, ainsi qu'elle en a donné
a fille. - Mère, morte de phthisie galopante à ciuquante-sept ans ; nerveuse , mais sans attaques de nerfs, sujette 412 recue
uer. Après la fièvre typhoïde, il a grandi beaucoup et était un peu nerveux . l'lacé comme apprenti imprimeur vers douze ans
(Charcot); Par P. KOVALEVSKI, Professeur de maladies mentales et nerveuses à l'Université de Kharcoff. Le professeur Virch
le produit l'anémie et la cachexie, des changements dans le système nerveux central, pareils aux changements produits par d
éra- tions nutritives ont pour suite l'affaiblissement du système nerveux central ; la prolongation de ces altérations peut
cal, du 17 août 1889, p. 149). ' Bournlvillk. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. NOTES cliniques SUR LES HÉIIORRHAGIES dans L
du médecin de Cha- Archives, t. XVIII. 28 434 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . renton sur la fragilité des os dans la paralys
sée dans ce cas avec une netteté peu commune. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 43S Ce fait est un de ceux qui forment, au poi
fut observé pendant la vie; mais la gaine, 436 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . cédant à la pression, ne tarda pas à se rompt
iblement plus courte que la période ascendante. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 437 L'auteur, quoi qu'il eût constaté des alté
ade en raison de ses antécédents. G. D. 1 438 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . X. Hysiérie chez un homme; par M. Cil. Audry.
rthropathies du pied, oedèmes locaux, chule des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 439 dents, etc.) ont marqué le début d'une ato
c supposer que la sclérose a envahi d'emblée dans ce cas les fibres nerveuses profondes, mais la constatation nécrosco- pique
'une part sur ce que son malade n'avait jamais présenté d'accidents nerveux avant son intoxication et d'autre part sur la l
ont apai- sées, le sommeil reparait. Ici la modification du système nerveux central a favorisé la cessation des hallucinati
Strasbourg). Le pronostic des affections syphili- tiques du système nerveux . Il y a une grande importance à le jauger d'apr
onclusions générales ? Les autres maladies syphilitiques du système nerveux , sans admettre un pronostic aussi sombre, sont
as moins vrai que la majorité des affections spécifiques du système nerveux central présentent une évolution défavorable; p
la première année qui suit l'infection syphilitique que le système nerveux est le plus souvent atteint (44 p. 100) puis, l
le plus souvent atteint (44 p. 100) puis, la fréquence des maladies nerveuses syphilitiques diminue d'année en année. A partir
tionnel au laps de temps écoulé entre l'apparition de la maladie nerveuse et l'infection syphilitique. Le pronostic ne dépe
entre le dernier accident syphili- tique et le début de l'affection nerveuse . Mais il y a une impor- tance à attacher au tem
le début du trai- tement syphilitique et l'apparition de la maladie nerveuse . Le pronostic est plus favorable quand on s'est
atre semaines sans agir, on peut attendre pour traiter la mala- die nerveuse au besoin une année sans que celle-ci subisse de
arie. Il croit à l'exis- tence, dans l'espèce, d'une dégénérescence nerveuse multiloculaire et propose le nom d'atrophie mus
le malade a 60 ans), c'estbien une gangrène symétrique et d'origine nerveuse Bien des motifs militent en faveur de la genèse
raval. BIBLIOGRAPHIE IX. De l'hémiplégie dans quelques affections nerveuses ; par Mlle Blanche Edwards. Thèse de doctorat 18
Dr J. PRESroN est nommé protesseur d'anatomie appliquée au sytème nerveux , en remplacement de M. le D'' CaAMBEps, qui est a
der Psychiatrie, par I Krafft-Ebing, 958; - études sur le système nerveux central, par Obersteiner, (159; les enfants cri
hérapie, par Moricourt, 165 ; hémiplégie dans quelques affections nerveuses , par Bl. Edwards, 466. 472 TABLE DES MATIÈRES
statl>tique internationale des -, par llurel, 274. Maladies nerveuses (influence du traumatisme sur les), par Gilles
igence et 474 TABLE DES AUTEURS ET DES COLLABORATEURS. du système nerveux ), paa Robert- son, 270. Scaphandres (accident
par Welsh, 435. Suggestion (influence de la - sur les affections nerveuses organi- ques), par Fontan 289 ; (in- fluence
an, 281; Ballet, 281. Syringomyélie, par Kronthal, 297. Système nerveux central (nouveau procédé de durcissement du) pa
72 (1892) Archives de neurologie [Tome 24, n° 70-72] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
Il III S S E Y ARCHIVES D Ii NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES - PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE '
s à l'un ou à plu- z Gilles de la Tourette. Etude sur une affection nerveuse caracté- risée par de l'incoordination motrice
l'asile clinique (Sainte-Anne), le 30 octobre 1891. La mère était nerveuse et paraît avoir eu la crainte du toucher, elle
ubaiguë. > - Vu)pian, dans son Traité des, maladies du système nerveux , admet l'existence de la première de ces deux f
henne peut répondre à des altérations portant tantôt sur le système nerveux périphérique, tantôt sur le centre médullaire.
obtuse et non pénible. ' 1 ' z ' La pression le long des trajets nerveux est pénible et assez dou- loureuse sur le crura
un type de paralysie générale spinale diffuse subaiguë. CLINIQUE NERVEUSE . CLINIQUE DES Maladies DU système nerveux. M. C
use subaiguë. CLINIQUE NERVEUSE. CLINIQUE DES Maladies DU système nerveux . M. CHARC01'. L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE; 2e confér
ant est ' Voy. Archives de Neurologie, n° 69, p. 323. 30 CLINIQUE NERVEUSE . que l'on en puisse faire de décisives, sont be
les de la Tourette. Traité de l'hystérie, 1891, p. 552. 32 CLINIQUE NERVEUSE . j'ai contre elle; elle avait absolument oublié
(Archives de Neurologie, 1888.) Archives, t. XXIV. 3 34 CLINIQUE NERVEUSE . servir de ses jambes, il ne sait plus marcher.
De l'emploi du magnétisme animal dans le trai- tement des maladies nerveuses , 1810, p. 12. 36 . CLINIQUE NERVEUSE. moins c
e trai- tement des maladies nerveuses, 1810, p. 12. 36 . CLINIQUE NERVEUSE . moins complets chez quelques malades, en parti
ous faut considérer dans la mémoire des opérations plus 38 CLINIQUE NERVEUSE . élémentaires : la première de toutes est appel
rtain état où il retrouve les souvenirs cherchés. Cette 40 CLINIQUE NERVEUSE . . Mais, quand il s'agit de l'amnésie continue
nd pas ses souvenirs, mais qui montre leur existence. 42 CLINIQUE NERVEUSE Sion l'interroge directement, si je lui demande
, etc., dont elles semblent n'avoii aucune mémoire. . 44 clinique nerveuse . qu'une sorte de synthèse réunisse les sensatio
l ou tel cas particulier. Pourquoi donc, par exemple, 46 . CLINIQUE NERVEUSE . chez les malades qui n'ont pas des amnésies co
tain nombre d'observa- tions tout à fait analogues. 48 . CLINIQUE NERVEUSE . et blancs Elle n'avait pas plus à la dispositi
conforme à cette description. Archives, t. XXIV. 4 50 CLINIQUE NERVEUSE . images, quand elle a lieu, amène des amnésies
de de sommeil qui suit la crise, que telle personne est 52 CLINIQUE NERVEUSE . venue près d'elle, que son père l'a embrassée,
personnalité. (Revue scientifique, 1888, t. I, p. 616.) 54 CLINIQUE NERVEUSE . - L'AMNÉSIE HYSTÉRIQUE. mémoire est rétablie c
ute tare neuro- pathique. -On n'a jamais, en somme, noté de maladie nerveuse ou mentale chez aucun membre de la famill-e. Il
e en général chez tous les sujets atteints d'affections des centres nerveux , même quand ces affections sont détermi- nées p
q ans, d'un cancer de l'estomac était un homme sobre et nulle- ment nerveux . Sa mère vit encore; c'est une femme d'humeur c
ne soeur âgée de vingt et un ans qui est bien portante et n'est pas nerveuse . Antécédents personnels. - Eugène L..... est né
se un état d'irritabilité et tout à la fois de faiblesse du système nerveux : irritabilité en ce qui concerne les fonctions
du système nerveux : irritabilité en ce qui concerne les fonctions nerveuses inférieures, rentrant dans la catégorie de 68 R
ne sont qu'une des manifestations du désordre géné- ral du système nerveux . De même que sous la plus petite excitation, ém
ations. 70 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. Comment dans les maladies nerveuses évoluent les obsessions qui les hantent ? Que d
n des réflexes patellaires, douleurs dans les muscles et les troncs nerveux , vomissements, diminution de l'urine, albuminur
enza, qui tend à nuire plus ou moins à l'ensemble de notre appareil nerveux , peut, atteignant les centres psychiques, deven
génie. Une toxine des plus dangereuses vient empoisonner les fibres nerveuses soit sous l'influence concussente de la fièvre
st, en tout cas, bien moins dangereux. P. K. REVUE DE; PATHOLOGIE NERVEUSE I. CONTRIBUTION A l'étude DES TROUBLES DE la LE
urdité ver- Fig. 2. - Schéma de \Veissenberg. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 77 baie, paraphasie, paragraphie. Attaques apo
ture est traînante. C'est qu'alors A6B (cen- 78 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . très ou voies d'association correspondant à ce
yde de carbone. Le malade est un paysan, âgé de REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 79 vingt-cinq ans, provenant d'une famille pré
vingt-cinq ans, provenant d'une famille prédisposée aux affections nerveuses et mentales. En sortant du bain, le malade était
ixième forme clinique de Lichtheim ' : interrup- tion des faisceaux nerveux qui unissent le centre des images pho- nétiques
ns; la marche n'est atteinte que chez trois. Pas d'autres anomalies nerveuses dans la famille si ce n'est un peu d'émotivité
démonstra- Voy. Archives de Neurologie. . 80 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tions. En les astreignant à une occupation du
ent avec correction, il peut copier, mais alors REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 81 l'écriture devient bientôt indistincte, com
l'influence.d'onc- . Archives, t. XXIV. 6 82 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tions mercurielles, une légère amélioration se
après la syphilis), tantôt greffé sur d'autres maladies du système nerveux central, sur la poliomyélite antérieure (observat
i une attaque d'aphasie transcorticale caracté- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 83 risée par : la perte de l'intelligence, de
lieux (hémorrhagies, décollements) ou par inter- ruption des fibres nerveuses centrales de la rétine; finalement perte du sen
s sans qu'il y ait eu des phénomènes de déficit du côté dit système nerveux . P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-PSYCH
e M. Christian était frappé, indiquait une modification des centres nerveux qui permet cette interprétation. M. Voisin. M.
topsie révélait l'hypé- rémie généralisée déjà signalée des oentres nerveux et notamment de l'encéphale. Au microscope, je
érie grave, la neurasthénie, la dysthymie par épuisement du système nerveux . Et cependant, ils présentent des troubles inte
insensibles qui nous ramènent aux troubles fonctionnels du système nerveux . Ces maladies men- tales sont de jour en jour p
un bâtiment propre à l'observation et au traitement des affections nerveuses , qui servirait simultanément d'asile de convale
e. Il faut aussi qu'elle soit ratta- chée à une section de maladies nerveuses qui la complète en lui procurant des troubles i
mpléter toute clinique psychiatrique par une clinique de mala- dies nerveuses . M. de KRAFFT-EBING. Toute à l'heure je me suis
vique. Sans doute, un individu, qui est affecté de tares du système nerveux central, succombera plus aisément à l'impul- si
décru; bien plus, à l'ex- ception de delirium tremens, les maladies nerveuses d'origine alcoo- lique ont plutôt augmenté que
nifestations psychiques ? Combien de maladies organiques du système nerveux ? Faut-il mentionner maintenant la tâche psychi
le qu'il faille raccorder tels ou tels postes par tels ou tels fils nerveux . M. GRASHEY. M. Wernicke a trouvé la solution.
nt de vue de modifi- cateur et d'analyseur des fonctions du système nerveux . Je ne doute pas, pour ma part, que les vieux m
gissent sur sa vie matérielle ; c'est l'autosuggestivité du système nerveux par l'idéation ; la thérapeutique suggestive a ic
tion préexistante ou de par le fait du choc traumatique, le système nerveux central a subi une modification psyclio-pliysiq
tandis que l'excitabilité, l'excès d'impressionnabilité du système nerveux rétrocèdent. Cette action favorable sera aidée
est passé un an après l'opération, les symptômes du côté du système nerveux se présentent tels : les accès sont devenus moins
tudiés superficiellement. P. S. V. Clinique des maladies du système nerveux ; par M. le professeur CHARCOT. Publiée par G. G
aphie. 141 congénitales ou accidentelles, à des maladies du système nerveux central ou périphérique, enfin à ce qu'il appel
par vice d'éducation, par malformation des membres, par mala- dies nerveuses , et par grapllonévroses (crampe des écrivains).
chante la lecture de ce livre. Paul BLOCQ. VII. Syphilis du système nerveux ; par le Dr W. GijKOEWicH, Paris, 1892. J.-B. Ba
mps accumulées sur les déterminations de la syphilis sur'le système nerveux . Il expose dans des chapitres dis- tincts d'une
sin a repris ses conférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses , le dimanche 19 juin à dix heures du matin, et
rchives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). - Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du professeur, mémoir
trente-cinq ans, dont le frère est mort d'une affection des centres nerveux et la soeur a été prise d'éclampsie pendant ses
iers temps au point de vue de la pathogénie des maladies du système nerveux par la recherche de l'uro-toxicité. Nous avons
de jour. 3 Deux attaques complètes de jour. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE. CONTRIBUTION A L'ÉTU
RE. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUBLES VISUELS DANS LES MALADIES NERVEUSES ; par le D' ALBCRT ANTONLLI. Au point de vue
par le D' ALBCRT ANTONLLI. Au point de vue des maladies du système nerveux , les am- blyopies et amauroses (troubles de la
t, sous forme de crises, souvent accompagnées par d'autres troubles nerveux . Ces troubles passagers de la vision ont reçu l
mes cliniques aux connaissances de la- physiopathologie des centres nerveux devait s'imposer..Voilà, justement, le plan- de
n évidence comme troubles visuels accompagnant différentes maladies nerveuses , et d'en esquisser la physiopathologie, d'après
quisser la physiopathologie, d'après nos connaissances 204 CLINIQUE NERVEUSE . actuelles sur les centres de la vision et les
ire qui se présente sous des formesdiverses, tandis que le syndrôme nerveux (migraine, trou- bles de la parole, etc.) peut
tions recueillies par nous-même, pour indiquer ensuite les troubles nerveux concomitants, étudier enfin la physiopatho- log
logie de l'affection et ses rapports avec les différentes maladies nerveuses . 1er. FORMES CLINIQUES DE l'amblyopie transitoi
d'ophtalm, de Paris, séance du 1" juil- let 1890. - 206 clinique nerveuse . côté de la vision, peut voir, par suite de l'â
n ouvrage de 1877 (16), nous semble très importante. 208 CLINIQUE nerveuse .' Plusieurs cas d'amblyopie transitoire, même -
s d'amblyopie temporaire, et plus rarement encore d'autres troubles nerveux , tels que l'embarras de la parole ou l'engourdi
éritable hémiopie transitoire. Archives, t. XXIV. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE . nue de même après des excès, se prolongea un p
mblyopie transitoire accompa- gnée de migraine et d'autres troubles nerveux , sous forme de rétrécissement concentrique soud
l. ! \lme Françoise Hus... (39 ans). Antécédents héréditaires. Père nerveux , d'un caractère très vio- lent, mère morte tube
e la journée souffrante. Pesanteur dans la tête et les 212 CLINIQUE nerveuse . yeux, surtout lorsqu'une crise l'a prise dans
II. Rapports DE l'amblyopie transitoire avec DIFFÉ- RENTES maladies NERVEUSES . - Les principales névropa- 214 . clinique NERV
ENTES maladies NERVEUSES. - Les principales névropa- 214 . clinique NERVEUSE . thies auxquelles peut se rattacher l'amblyopie
e parler de ces rapports, de dire quelques mots des autres troubles nerveux qui peuvent en général accompagner les accès d'
de M. Bouveret, et surtout à celui de) ! . Levillain. ' y6 CLINIQUE NERVEUSE . sique sur la neurasthénie, indique comme étant
urasthénie, ne nous étonnera pas si nous songeons que même les gens nerveux ou simple- ment névropathes (selon la classific
une sensation de tremblement de l'aile du nez ou d'autres troubles nerveux , puis survient l'amblyopie et non rarement les
zone hystérogène dûment constatée, et dont la pression 218 clinique NERVEUSE . suffit pour déterminer l'accès, la difficulté
ccès migraineux, la névrose rudimentaire qui affirme le tempérament nerveux du sujet. , 4. Rapports entre l'amblyopie tra
trécissement concentrique permanent du champ visuel. 220 . CLINIQUE NERVEUSE . devient prédominante, même sans que la sensati
migraine res- - tent pendant un temps assez long les seuls troubles nerveux du malade, et c'est plus tard seulement que les
e une simple migraine périodique avait ouvert la série des troubles nerveux , est re- marquable. Plus tard, il survint l'épi
e rétablissent tout à fait. Pas d'antécédents ou d'autres stigmates nerveux , si ce n'est le caractère assez emporté du suje
ngues attaques de migraine ophtalmique et d'épilepsie 222. CLINIQUE NERVEUSE . partielle ou complète. En outre, Raullet rappo
u mixte) M. le professeur Charcot a indiqué le pre- mier un trouble nerveux que nous devons rappeler ici en quelques lignes
resse de lui en adresser ici tous mes remerciements. 224 CLINIQUE NERVEUSE . il se lève pour mieux y résister et en a toujo
blyopie transitoire non accoru ARCHIVES, t. XXIV. 15 226 CLINIQUE NERVEUSE . pagnées de migraines, mais suivies de phosphèn
férieure et droite du champ visuel des deux yeux (même 228 clinique NERVEUSE en les fermant l'un ou l'autre) lui semblait en
l'Observation V ci-dessus, la. malade, qui héritait du tempérament nerveux de sa mère, et dont presque toute la famille ét
que l'épilepsie sensitive puisse ouvrir le syndrome 230 . CLINIQUE NERVEUSE . de la paralysie générale, et, non comme une si
, et vivement intéressé par la physiologie du cerveau et du système nerveux , je pus constater combien peu satisfaisant était
s cir- convolutions s'accroît rapidement, il s'y forme des cellules nerveuses , tandis que le système des faisceaux conducteur
ncerne les nerfs spinaux, faut-il penser à l'influence des cellules nerveuses incluses dans le nerf lui-même ? P. K. VIII.
acobson). P. KÉRAVAL. IX. NOUVELLE méthode DE coloration du système NERVEUX central ; par Th. Ziehen. (Neural. Centralbl.,
t une colo- ration gris bleuté des fibres myéliniques, des cellules nerveuses , des cellules de la névroglie, avec leurs prolo
ET DE physiologie pathologiques. X. DE la DISTRIBUTION DES CELLULES NERVEUSES dans LE SEGMENT LE PLUS INFÉRIEUR DU CANAL VERT
ur une coupe transverse de moelle épinière, l'existence de cellules nerveuses est limitée à la substance grise et que, les qu
uses est limitée à la substance grise et que, les quelques cellules nerveuses isolées, qui occupent la substance blanche, avo
tes les racines postérieures de la moelle, il y a quelques cellules nerveuses , exceptionnellement même de petits groupes cell
ire le ganglion du nerf coccygien (Schlemm), ainsi que les cellules nerveuses des fins trousseaux nerveux du filum terminal (
ien (Schlemm), ainsi que les cellules nerveuses des fins trousseaux nerveux du filum terminal (Rauber) qui sont considérées
sont considérées comme les ganglions spinaux d'une 32" et 33° paire nerveuse rudi- mentaire. M. Hoche a aussi observé (5 cas
ntaire. M. Hoche a aussi observé (5 cas sur 6 examens) des cellules nerveuses au-dessous du renflement lombaire qui vont jusq
ntes, d'autant plus qu'en ces régions, on ne trouve pas de cellules nerveuses dans la substance blanche (il ne s'agit donc po
Dans la queue de cheval, il n'est pas rare de trouver des cellules nerveuses (embryon humain de huit mois). P. KERAVAL. XK
le plancher du qua- trième ventricule, dégénérescence des cellules nerveuses dans les noyaux des cordons postérieurs, du pne
cous- tique, dans le corps optostrie; lésions diffuses des cellules nerveuses de l'écorce. - P. IL XXI. LE topotiiermoesthé
usage, et souvent abus, les substances excitantes pour son système nerveux . Chaque peuple a son poison cérébral. Cet empoi
étrie cranioccphalique. Paris, in-8°, 1889. 270 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . droite ; exagération des réflexes tendineux du
ollis- sement dans l'hémisphère gauche. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XIII. Température élevée CHEZ UNE HYSTÉRIQUE.
it le sommet de la colonne qui marquait 112° F. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 271 (44°4). J'avais un bon thermomètre Hicks,
caractérisé par l'atteinte isolée des fonctions motrices du système nerveux ; paralysie bilatérale de l'oculo-moteur commun,
polioencéphalite supérieure (ophthalmoplé- 272 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . gie nucléaire) ; b, polioencéphalite inférieur
s rare, c'est la symétrie et la bilatéralité des lésions des noyaux nerveux homologues, avec une telle précision. ~La syphi
auraient pu justifier un essai d'extirpation. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 273 Les cas dans lesquels les opérations peuve
. Opérations pour des tumeurs du cerveau. ' 274 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XVII. DE l'asymétrie du crâne dans LE torticol
t au rectum. D'ailleurs, la maladie remontant à REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 21S douze années, il n'est pas étonnant que qu
e de l'articulation de l'épaule gauche. Pas d'altération du système nerveux . Atrophie musculaire simple (étude micros- copi
re petites observations. Nec plura. P. K. 276 REVUE DE pathologie NERVEUSE . - XXIV. DE l'hémianopsie bilatérale D'ORIGINE
gmus. Depuis le travail d'Unger, il y en a sept REVUE DE pathologie NERVEUSE . 277 Î observations dont six par infection. Che
e sont en cause. P. K. XXVII. Contribution A la syphilis DU système nerveux central ET des psychopathes ; par OEBEKE. (Allg
i les proportions que nous trouvons : . 278 ' REVUE DE pathologie NERVEUSE . L'évolution, examinée dans les deux groupes, d
lution, examinée dans les deux groupes, donne : REVUE DE pathologie NERVEUSE . zig XXIX. Hémianopsie bilatérale INFÉRIEURE ET
ômes de nature névritique, ou dérivant de la compression des troncs nerveux . P. K. SOCIÉTÉS SAVANTES CONGRÈS DES MÉDECINS
l'encéphalite parenchymateuse, de la lésion primitive des cellules nerveuses . Il est à remarquer que, dans ce cas, on rencontr
te que dans la moelle ainsi que dans le cerveau toutes les cellules nerveuses , grandes et petites, psychiques, mo- trices, se
tiellement caractérisée par une altération primi- tive des cellules nerveuses . Cette conclusion s'impose d'autant plus que da
tend à en faire une variété des atro- phies chroniques des cellules nerveuses comme la sclérose latérale amyotrophique. Dis
i doit être attri- buée à l'épuisement rapide et brusque du système nerveux central (très souvent consécutif pour les auteu
t justiciable d'un état d'épuise- ment rapide et brusque du système nerveux . Je répondrai à M. Ballet que M. Chaslin ne me
re jusqu'au troisième mois; il eut'alors la coqueluche, devint très nerveux , poussant des cris comme s'il souffrait et ne d
ir-Mitchell à l'hôpital orthopédique et à l'infirmerie des maladies nerveuse . Très petite, ne fait aucun effort pour marcher
LADELPHIE. M. le Dr F. X. DERCUM est nommé professeur de pathologie nerveuse . NEw-Yon6 POLICLINIC. M. le Dr HERTER est nommé
Dr HERTER est nommé lecteur d'anatomie et de pathologie du système nerveux . LES aliénés de la Seine. Le Conseil général de
M. le Dr Wiederhold, directeur d'une maison de santé pour maladies nerveuses à Wilhelmshôhe, à trois mois de prison, pour av
Archives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du professeur, mémoir
rante-un ans, entre à Sainte-Anne le 16 décembre 1891. La mère très nerveuse avait sans motifs sé- rieux des accès de désesp
olie du doute. Arithmoman'e Onomatomanie. M. M..., dont la mère est nerveuse et très impressionnable et le père méticuleux e
chez la fille. Mme L..., âgée de quarante-cinq ans, a une hérédité nerveuse et vésanique très chargée. Son grand-père mater
ux pres- criptions générales que nous avons indiquées. PATHOLOGIE NERVEUSE . HOSPICE DE la SALPÊTRIÈRE. - M. CHARCOT CONT
Travail de la clinique de M. le professeur CHARCOT. 388 pathologie nerveuse . Mais parfois il manque au syndrome hystérique
ervice de M. le professeur Ciurcot). Antécédents de famille. Père nerveux , il avait des tics, il mourut d'une maladie de
ans à une phtisie galopante; sa soeur plus jeune souffre de crises nerveuses . Antécédents personnels. - J'lotre malade, qui
est âgée de quarante-trois ans, a toujours été dès son enfance très nerveuse et impressionnable; elle a toujours souffert de
main gauche, qui après avoir envahi tout le membre, 390 pathologie NERVEUSE . s'irradia à la moitié correspondante du cou, d
le sens du diamètre longitudinal, comme on l'observe 392 pathologie nerveuse . chez les paralytiques généraux. Du reste il n'
ependant, en étudiant avec soin ses antécédents mor- 394 pathologie NERVEUSE . bides, nous pûmes démontrer que les accès épil
nt, s'associer tout d'un coup pour prendre une forme 396 pathologie NERVEUSE . d'accès. Dansl'observation suivante, nous trou
rchives de Neurologie, 1892. 1 Souza-Leithe. - Eludes de pathologie nerveuse , Steinheil, Paris, 1889. V : Strassmann. Ein
ussyr 1887.) ' 3 Voir dans les Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III, p. 213, la relation d'un cas extrêmeme
tion d'un cas extrêmement intéressant a ce propos. 1 398 pathologie NERVEUSE . corticale; dans le cas négatif, nous aurions a
a lipo isteroepilettrco. (Lo Sperimentale, 1891.) 400 PATHOLOGIE NERVEUSE . valent du mal comitial ? Tous les autres phéno
quante-trois ans est obèse, mais elle ne présente pas de troubles nerveux . La mère au contraire, est très emportée et, para
uelle il dut garder le repos Archives, t. XXIV. 26 402 PATHOLOGIE NERVEUSE . le plus absolu pendant un mois ; à cette pério
avec les verres Fig. 3 et 4. Char... 15 juin 1892. 404 PATHOLOGIE NERVEUSE . de couleurs. Il y a anesthésie complète des co
.. 2° Avant tout, Cha... est prédisposé par hérédité aux maladies nerveuses . Cette prédisposition héréditaire se manifeste dè
e chez l'homme. (Arch. géu. de méd., nov. 1890.) , 406 PATHOLOGIE NERVEUSE . ' Nous avons'donc là des causes très puissante
comme celui-ci par une bronchorragie très grave ? 408 PATHOLOGIE NERVEUSE . , de remarquer comment chacun de ces phénomène
on saline très forte n'ont produit aucune sensation. 410 PATHOLOGIE NERVEUSE . L'anesthésie était profonde et le sens muscula
est très bien portante. De ses parents aucun ne soutire de maladies nerveuses . Antécédents personnels. - Dès sa première enfa
à un traitement hydro- thérapique, il s'en trouva bien; les crises nerveuses s'arrêtèrent et B... parut guéri. Au commenceme
t C... fut en mesure de pouvoir sortir de son lit. 412 PATHOLOGIE NERVEUSE . Le jour suivant, il eut deux attaques, une le
téressant relaté par M. Charcot (Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III, p. 80), qui démontre combien le milieu
à l'entretien des accidents hystériques. ' ' * J 414 4 PATHOLOGIE NERVEUSE . l'est des deux côtés; cette faiblesse est en h
435. ' Virchow's.- Archiv., 1880, t. LXXX, p. 345. 416 PATHOLOGIE NERVEUSE . à son travail, le marteau lui parut lourd et l
aires. Sa femme est sujette au moins une fois par mois à des crises nerveuses ayant le caractère hystérique.. ' * F... a to
rsistent même à présent. Le 24 septembre, il eut une deuxième crise nerveuse . Cette fois, après avoir perdu connaissance, il
première fois, et lorsqu'il Archives, t. XXIV. 27 418. PATHOLOGIE NERVEUSE . revint à lui, aucun phénomène digne de remarqu
pécifique. Et cependant, même dans ce cas, le dia- 420 ' PATHOLOGIE NERVEUSE . gnostic d'hystérie nous parait le plus rationn
, n° 177. * Charcot. - Leçons cliniques sur les maladies du système nerveux , recueillies par le D' G. Guinon. Paris, 1892.
n à la névrose existait dans notre malade par le fait de l'hérédité nerveuse . De plus, le terrain était préparé par des phén
er que l'influenza a une élection toute particulière sur le système nerveux ; les cas d'hystérie, d'aliénation mentale. de m
es agents provocateurs de l'hystérie, Paris, 1889. 422 PATHOLOGIE NERVEUSE . En plus de cette manière d'action pour ainsi d
scientes, que par des altérations localisées dans tel ou tel centre nerveux . (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE. L'AMBLYOPIE T
s localisées dans tel ou tel centre nerveux. (A suivre.) CLINIQUE NERVEUSE . L'AMBLYOPIE TRANSITOIRE ? 1 contribution A l
1 contribution A l'étude DES TROUBLES VISUELS dans LES maladies ' nerveuses ; . par le D' ALBERT ANTONELLI. § III. - PHYSI
les formes de l'amblyopie transitoire et sur les autres syndromes nerveux qui peuvent s'y rattacher, nous pouvons maintenan
goy. Arch. de Nei41,ol., n° 72, sept. 1892, p. 203. 424 4 CLINIQUE NERVEUSE . réfléchie sous forme d'incitation vaso-motrice
ciable entre le fond de l'oeil des deux côtés. " . 426 . CLINIQUE NERVEUSE . moteur dans le cerveau, par excitation du symp
, il nous semble, dans l'ordre des hallucinations. 428 . CLINIQUE NERVEUSE . En effet, rien ne s'oppose à cette manière de
liée à la perte de la mémoire (graphique) des mots. 430 . CLINIQUE NERVEUSE . mots (pied de la circonvolution de Broca), mai
très bien représentée par le schéma de Charcot. , 432 - CLINIQUE NERVEUSE . mique donné à la presque unanimité, pour indiq
mique donné à la presque unanimité, pour indiquer les trou- bles nerveux de cette espèce. Mais, d'autre part, le nombre
l'amblyopie transitoire comme des formes rudimentaires de troubles nerveux , le plus souvent stigmates élémentaires de névr
- térie ' et l'épilepsie, soit des maladies organiques du système nerveux . En admettant la distinction que M. Levillain e
ésenter dans chacune des trois classes d'individus. Chez les gens nerveux , c'est-à-dire surexcitables, sensitifs, 1 Insis
qu'une véritable hémiopie ! Archives, t. XXIV. ' 28 434 CLINIQUE NERVEUSE . simplement prédisposés au trouble du système n
434 CLINIQUE NERVEUSE. simplement prédisposés au trouble du système nerveux , il n'est pas très rare de voir que la migraine
es, c'est-à-dire chez les individus qui sont ' atteints de troubles nerveux plus ou moins graves et fugaces, très variés et
graves et fugaces, très variés et ne constituant pas une affection nerveuse à type défini et persistant, l'amblyopie transi
avec les troubles passagers de la sensibilité, de la palpitation nerveuses , de l'insomnie, etc., les petites souffrances de
; 5° Les rapports de l'amblyopie transitoire avec des mala- dies nerveuses (neurasthénie, hystérie) où les troubles vaso-
lant) confirme qu'il s'agit de spasme vaso-moteur. 436 . CLINIQUE NERVEUSE . Nous savons, en effet, que le spasme des vaiss
siège d'un trouble de nutrition Leçons sur les maladies du système nerveux , tome III. l'amblyopie transitoire. 437 de le
oins grave et prolongé. En conséquence, la vitalité de ces éléments nerveux que ces artérioles nourrissent pourra se montre
es maladies de l'encéphale. Paris, 1880, p. 357-358. 438 CLINIQUE NERVEUSE . Et tout cela, même sans migraine et autres tro
' 'Observations de Hosch, Wernicke, Forster, etc.. 440 . CLINIQUE NERVEUSE . puisque les cas de migraine vulgaire sont sûre
miopie, etc.) et s'il est accom- pagné ou non par d'autres troubles nerveux (migraine, aphasie, épilepsie partielle, etc.).
ou se confond avec les attaques migraineuses ou autres trou- bles nerveux . - L'amblyopie transitoire serait compliquée (p
gée, dans la plupart des cas, comme la migraine, parmi les troubles nerveux pure- ment dynamiques. Même dans les cas où l
as où les accès d'amblyopie accompa- gnent ou précèdent une maladie nerveuse organique, telle que le tabès ou la démence par
omme des névroses rudimentaires, pouvant rester les seuls stigmates nerveux du sujet, ou pouvant encore précéder ou accompa
ou moins intenses et étendues dans la moitié du crâne. 442 CLINIQUE NERVEUSE . L'accès de migraine est souvent suivi de nausé
journée) ou accompagnés de violentes migraines ou d'autres troubles nerveux , le malade se présente à la consultation. Il pe
équente (ainsi que la migraine) chez le sexe féminin, et l'hérédité nerveuse (goutte ou diabète) y joue un grand rôle. V.
s organiques) plusieurs particularités qui établissent 444 CLINIQUE NERVEUSE . entre elle et les faits expérimentaux (Munk, F
devenir organiques. VI. Au point de vue du diagnostic des maladies nerveuses , l'amblyopie transitoire est rangée parmi les t
repos en décubitus horizontal avec occlusion des yeux. 446 CLINIQUE NERVEUSE . Souvent le bromure de potassium ou de camphre,
de Paris, 1882.) 27. Charcot. - Leçons sur les maladies du système nerveux . (Paris, 1882 ) - 28. H. Parinaud. - Des rapp
erveau. (Rec. d'opht., novembre 1889 et janvier 1890.) 448 CLINIQUE NERVEUSE . 43. Babinski. De la migraine ophtalmique hysté
médicale, 27 janvier 1892.) 54. P. Blocq et J. Onanoff. - Maladies nerveuses (sémiologie et nosdiagtic). Paris, 1892, p. 131
nosdiagtic). Paris, 1892, p. 131. CLINIQUE DES maladies DU système NERVEUX . - M. CHARCOT. LA SUGGESTION CHEZ LES HYSTÉRIQU
; suggestion toute la thérapeutique, suggestion toute la pathologie nerveuse , suggestion surtout toute la psychologie. Rassu
dont je vous parlais dernière- Archives, t. XXIV. 29 450 CLINIQUE NERVEUSE . ment, a vu, une fois dans sa vie, un homme cac
ue, 1888, I, 224.) , ! Automatisme psychologique, 203. 452 CLINIQUE NERVEUSE . vous montrer quelques exemples sont faites à l
es dans l'Automatisme psychologique, 1889, p. 200. 454 . CLINIQUE NERVEUSE . rement, chez une personne normale, ce système
disons-nous, et je pense que cette action est en rap- 456 CLINIQUE NERVEUSE . port avec mon caractère, mes sentiments, mes i
on. Je répète cela, car c'est capital, nous avons tous mis CLINIQUE NERVEUSE . des habitudes, des souvenirs, des associations
la faiblesse de l'attention chez les hystériques. ' 460 CLINIQUE NERVEUSE . lisent, elles n'ont jamais l'esprit à ce qu'el
s. (Revue philosophique, 1891, t. I, p. 258 et 384.) 462 CLINIQUE NERVEUSE . prétation des symptômes, mais sur le diagnosti
ces dernières l'ont faite. Ces deux catégories d'actes 464 CLINIQUE NERVEUSE . existent toujours en nous, et notre santé mora
e suggestion. Une expérience Archives, t. XXIV. 30 466 ' CLINIQUE NERVEUSE . curieuse, faite autrefois sur la malade de M.
science. Voir Automatisme psychologique, 1880, p. 185. 468 CLINIQUE NERVEUSE . haut point, Un peu grâce àmoije le dis toutbas
core, mais il est paralysé. Un frère, mort de la pierre, était très nerveux et « très rageur ». Une soeur bien por- tante m
rès nerveux et « très rageur ». Une soeur bien por- tante mais très nerveuse . Antécédents personnels. - John a toujours été
s sont pour leur famille et la société un véritable fléau. L'état nerveux crée nécessairement chez les dégénérés les dis-
leur guérison rapide caractérisent, en général, chez les dégénérés nerveux , les formes d'aliénation men- tale qu'ils prése
l'état normal par le simp 1 e fait de la volonté chez des individus nerveux et sous l'influence de circonstances particuliè
cellules se voient d'une merveilleuse façon ; leurs prolonge- ments nerveux sont des plus nets. Le mémoire sera publié in e
re temporale gauche, on était frappé de la disparition des cellules nerveuses au sein des première et deuxième couches de Mey
qui l'accepte, de fêter avec la Société de psychiatrie et maladies nerveuses de Berlin, l'anniver- saire de la vingt-cinquiè
ue appartiennent aussi à la société de psychiatrie et de mala- dies nerveuses . (Allg. Zeitsclt. f. Psychint., XLVIII, fui.) P
V. " 32 498 SOCIÉTÉS SAVANTES. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES - DE BERLIN. Séance du 12 janvier 18911. Pr
lui (thèse de Gallinck, 1889), dix malades pré- sentaient une tare nerveuse des plus accentuées = 10,8 p. 100; 7,6 p. 100 c
S SAVANTES. maladie depuis l'âge de vingt-sept ans. La malade, très nerveuse , pâle, présentait des mouvements désordonnés, i
sion génitale; en outre on constate chez ces sujets-là des troubles nerveux , de la neurasthénie, du moins chez la plupart d
as une maladie mentale quand il n'existe pas de troubles du système nerveux d'un autre ordre ou d'accidents psychiques. Il
essus anatomique du tabes se propage suivant la fonction des fibres nerveuses , il n'a rien à voir avec un processus d'inflamm
x grandes causes au point de vue pathogénique : les dégénérations nerveuses et la compression mécanique. Ce sont là, à son av
OGRAPHIQUE. BLOCQ (P.). Les troubles de la marche dans les maladies nerveuses . Volume m-12, cartonné de 176 pages, avec 21 fi
s médical. CnAPMAN (J.). Résumé d'une communication sur l'origine nerveuse des maladies et de leur traitement efficace par
t de leur traitement efficace par l'action directe sur le sys- tème nerveux , faite à l'Académie de médecme de Paris, le 14 ju
. - Chez l'auteur, 31, avenue de l'Opéra. CHAPMAN (J.). L'origine nerveuse des maladies et leur traitement effi- cace par
s et leur traitement effi- cace par l'action directe sur le système nerveux . Brochure in-8° de 16 pages. - Paris, 1892. Ass
rchives, 16 fr. CHARCOT (J.-M.). - Clinique des maladies du système nerveux de la Salpêtrière. Leçons du professeur, mémoir
li, 1890. Tipografico A. Tocco. CULLEIiRE (A.). De la transfusion nerveuse chez les aliénés. Brochure n-8° de 15 pages. -
ons du mardi, par Charcot, 138; -Clinique des maladies du système nerveux , par Charcot, 139; - Troubles du langage chez
langage chez les aliénés, par Séglas, 140; Syphilis du sys- tème nerveux , par Gajkiewicz, 141 ; Oblitération des sutures
e, par P. Ma- rie, 359. Bulletin bibliographique, 159. CELLULES nerveuses , dans le seg- ment le plus inférieur du canal
et aliénistes de Moscou, 127; - de psychia- trie et des maladies nerveuses de Berlin, 498,-d'hypmologie, 364. SOCIÉTÉ DE
274; lésions artérielles dans la , par Brasch, 503; - du système nerveux central, par (Ebeke, 277. Système NERVEUX cen
ch, 503; - du système nerveux central, par (Ebeke, 277. Système NERVEUX central, coloration du, - par Ziehen, 261. Ta
73 (1882) Archives de neurologie [Tome 04, n° 10-12] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
CIlARLES HeRissry ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
vation, si on l'analyse. En soi, l'extase est une sorte d'éréthisme nerveux , qui se modifie suivant les causes, les degrés
ne prendrait pas pour indice de malfaisance l'effet d'une maladie nerveuse . D'autre part, ayant ouï que la folie se caract
gnée et elle se croit guérie. Sa conversation me prouve 26 CLINIQUE NERVEUSE . importante a été vaguement constatée. On n'en
t, .trait distinctif, des données de notre nomenclature. CLINIQUE NERVEUSE NOTE SUR L'ÉTAT DES FORCES CHEZ LES HÉMIPLÉGIQU
l'affaiblissement musculaire et la véritable paralysie. 28 CLINIQUE NERVEUSE . J'ai fait depuis quelques années de nombreuses
fres sont notablement moins élevés ; la moyenne est : 30 CLINIQUE NERVEUSE . Hémiplégies, droites. ÉTAT DES 1·'OKCGS CHEZ
KCGS CHEZ LES HÉMIPLÉGIQUES. 3t Hémiplégies gauches . 32 CLINIQUE NERVEUSE . Des observations résumées dans les tableaux pr
açon suivante. Pendant la période apoplectique, toute 34 CLINIQUE NERVEUSE . exploration dynamométrique est impossible. Que
légié est tellement variable qu'il n'y a aucun avantage 36 CLINIQUE NERVEUSE . à établir des moyennes pour les comparer à cel
d'un côté du corps obéissent imparfaitement aux incita- 38 CLINIQUE NERVEUSE . tions volontaires. Ils peuvent, il est vrai, e
droite paralysée fournit 20 ou 30 kilogr. de pres- 40 . PATHOLOGIE NERVEUSE . sion au dynamomètre, mange cependant sa soupe
des forces le 17 février; B, le 2 mars; C. le 3 avril.) PATHOLOGIE NERVEUSE NOTE SUR L'ÉTAT DE LA PUPILLE CHEZ. LES ÉPILEPT
erchions aussi leur état à la lumière du jour. La 4Î ! , PATHOLOGIE NERVEUSE . malade était dans une pièce éclairée par deux
classique. DE LA PUPILLE CHEZ LES ÉPILEPTIQUES. 45 46 PATHOLOGIE NERVEUSE . quer toutefois que, parmi nos malades, un cert
rmi les ascendants ou descendants ayant été sujet à quelque maladie nerveuse . 5) RECUEIL DE FAITS. Noire malade. Bonne san
pas non plus peureux et n'avait eu aucune espèce de manifestation nerveuse . Caractère vif, etsuhant lui, courageux l'ouvrage
u'on ne l'aurait pas gardé aussi longtemps s'il avait eu des crises nerveuses . Un autre fait viendrait à l'appui de cette opi
ne vigoureuse consti- tution, pas de rhumatismes. Pas d'antécédents nerveux . Vers l'âge de vingt-cinq ans, il aurait eu un
a colonne vertébrale. 1 Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux . T. 1er, 4e édi- tion, 1880. Appendice, p. 4'i6
sceau sensitif. Gratiolet et Leuret, Ana- tomie comparée du système nerveux , I 839-187. - lleyner t, Stricker's /t0) : d&am
s /t0) : d& : <c't, 1872. Huguenin,A ? ta<OMM des centres nerveux , trad. de Keller. Paris, 4879. - Charcot, Leçon
ns les maladies du cerveau, 4876. Luys, Recherches sur le système nerveux céré6ro-spinal, sa structure, ses fonctions et se
haften zu Vte ? 4839. - Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux , 1872. z Magnan, De l'hémianesthésie de la sens
rches expérimentales sur les fonctions et les propriétés du système nerveux . Paris, 4862. Ferrier, Les fonctions du cerveau,
Il importe de remarquer toutefois qu'un certain nombre de fibres nerveuses venues de la périphérie, fibres des nerfs opti-
aractères de la coloration communiquée par le bichromate aux fibres nerveuses , on conçoit que sur les sec- tions ainsi faites
assage au niveau du carrefour; 20 quand, sous certaines influences ( nerveuses et peut-être aussi toxiques), les couches corti
actile, un autre pour la vue, pour l'ouïe, etc.) Ou bien les fibres nerveuses centripètes, après leur sortie de la capsule (f
quée qu'elle soit, n'interrompt jamais la conductibilité des fibres nerveuses d'une façon aussi complète et aussi dura- ble q
ésions des circonvolutions occipito-sphénoï- 86 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dales, l'anesthésie est possible mais. excepti
omique et clinique que nous avons poursuivie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. GOITRE exophthalmique ou maladie de BASEDOSV
causes, établit la pathogénie de la maladie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 87 Î Les troubles cardiaques précédant l'engor
peu modifiées, la contracture et les crampes 88 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . s'exagérèrent à la suite d'une attaque d'épile
les muscles du tronc et des extrémités. M. M. REVUE DE pathologie NERVEUSE . 89 V. La fonction bilatérale ET la SINAPISCOPI
contenaient un grand noyau et un protoplasma 90 revue de pathologie nerveuse . très délicat. Il a constaté les mêmes altérati
rès délicat. Il a constaté les mêmes altérations dans les cellullcs nerveuses de la moelle allongée et surtout dans le noyau du
depuis deux ans, d'une maladie deBright; il n'a pas eu d'affection nerveuse . Il avait deux frères, dont l'un est mort aussi
eu deux attaques de chorée dans son enfance. revue DE pathologie nerveuse . 9t 1 La famille se compose de neuf enfants. L'
mpose de plusieurs accès partiels dépendant chacun du département nerveux qui lui donne naissance; adoptant l'opinion que l
sme étant caractérisé surtout par un état d'épuisement du système nerveux central, il n'est pas étonnant qu'un moyen qui pr
nnant qu'un moyen qui prive complètement et brusquement les centres nerveux de leur ir- ritant accoutumé puisse entraîner l
tion de la morphine une action tonique et trophique sur les centres nerveux , et il calme les troubles gastriques. Le patient
: .- moins de trente ans, G8 p. 100; prédisposition, constitution nerveuse , anémie, puerpéralué, 31,5 p. 100; influences cn2
e proloii-en jusqu'à la convalescence; l'hérédité et l'excitabilité nerveuse interviennent déjà dans l'étio- logie. Ce sont,
ntanément par la faiblesse du coeur (hypérémie stasique des centres nerveux ); ou bien du délire avec agitation, soit mélanc
absolue des actions antiphlogistiques exagérées. II. L'épuisement nerveux qui résulte de l'hyperthermie pneu- monique ent
sés par l'hérédité (60 p. 100), l'anémie, l'irritabilité du système nerveux . Aussi les voit-on sévir au delà de trente ans,
bumine dans les pustules (Emmin- ghaus), à la genèse des phénomènes nerveux , c'est encore à la distinction clinique qu'il c
t, et d'admettre plutôt dans l'espèce un épuisement aigu du système nerveux succédant à l'oscillation thermique considérabl
tive serait la cause essentielle et non pas l'occasion des troubles nerveux , puisque \\ p. 100 des patients avaient une sca
anies de la convalescence groupées par Thomas sous le nom de délire nerveux , résultat de l'épuisement, concer- nent égaleme
s s'y mon- trent pendant lej eune àge (faible résistancedii système nerveux ). REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 113 Ceux qui a
asie hématique), ainsi qu'à l'action directe du poison sur le tissu nerveux . Ils affectent d'ime manière générale la 8 11
rculatoires, dégénérescences parenchymateuses, consomption du tissu nerveux , complica- tions agissant immédiatement ou médi
n prédisposé ; la fièvre typhoïde a simplement préparé le système nerveux , elle n'est plus en cause. Les maladies voisines
quelle on compte plusieurs cas d'aliénation mentale et d'affections nerveuses . Son père a suc- combé à une maladie pendant la
ité et leurs excentricités et présentaient des désordres du système nerveux . , Dès sa première enfance, on remarqua chez X.
leva que grâce à des soins exceptionnels. Il était si délicat et si nerveux qu'on le garda longtemps dans la maison paterne
'urine chez les aliénés. Après avoir rappelé l'influence du système nerveux sur la nutrition et les sécrétions, après avoir
s observées ne consti- tuaient pas de simples périodes d'épuisement nerveux , car on re- marquait pendant leur évolution l'a
rigine. « Certainement, ajoute-t-il, les observations d'albuminurie nerveuse se multiplieront à mesure qu'on les recueillera s
premières, toujours les excès de tout genre et surtout le surmenage nerveux ; parmi les secondes, l'exis- tence chez les as
lésions et à les disséminer sur les divers départements du système nerveux . Arrivant au traitement, AI. Fournier pose en p
ogie de beaucoup de maladies et spécialement de celles du système nerveux . , EXPLICATION DES PLANCHES PLANCHE Ht. Rés
énitales sur la production et la marche de la folie et des maladies nerveuses chez les femmes a déjà été traitée plusieurs fo
ents. Les uns croyaient que la plupart des affec- tions mentales et nerveuses de la femme étaient dues exclusivement ou, du m
rus et de ses (lll ? lexes,1858. 1 Boussi. Etude sur les troubles nerveux réflexes observés dans les maladies utérines. T
tion anatomique et physiologique qui est si intime entre l'appareil nerveux des organes génitaux chez la femme et le systèm
l'appareil nerveux des organes génitaux chez la femme et le système nerveux central, on reconnaîtra que toute irritation pé
ère fois que le 1 J.-M. Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. II, 3p édit., 1880, p. 305. , Alpii. Robc
2 Heydenreich. Bull. Soc. anat., 1874, p. 255. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE IX. NOTE SUR l'un DES « symptômes » de l'ataxie
r l'activité du « sens musculaire » par la rééducation des cellules nerveuses qui constituent les sources de cette forme part
fforts pour se tenir ferme et droit sur ses 220 REVUE de pathologie NERVEUSE . jambes pendant un quart d'heure d'abord, puis
on subjective de chute, tantôt chute véritable, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 221 Une force supérieure le pousse, le terrass
ces que le sulfate de quinine. ' (Cu. I.) 222 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Le cerveau était mis à nu et l'on constatait s
stéro-épilepsie; ces observations sont accompa- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 223 gnées de dessins représentant les diverses
vent aussi elle est due à l'excitation d'autres régions des centres nerveux , telles que la moelle al- longée. P. M. le RE
ux, telles que la moelle al- longée. P. M. le REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XIV. L'ALBUMINURIE comme symptôme DE l'accès é
e ce fait de celui qui a été publié par Grasset REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 325 dans le Progrès Médical de 1880, n° 40. Il
formes de maladies mentales. Aussi le la 229 REVUE DE pathologie nerveuse . Dr Adriani, tout en reconnaissant qu'il n'est
des symptômes résultant d'un commencement d'a- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 227 trophie du nerf optique, inégalité pupilla
1 Voy. Arch. de Neurologie; n" 7, p. 100. 328 REVUE DE pathologie nerveuse . 2° Troubles moteurs. Contractures, convulsions
es, etc.). Le tableau clinique doit être complété par les symptômes nerveux ou somatiques de l'anémie (stéatose ou émaciati
t que les fatigues de la guerre ont causé un ébranlement du système nerveux tel que progressive- ment s'est développée cett
s voies d'aller et de retour sans intéresser l'ensemble de la masse nerveuse ; tel l'automatisme de l'habitude. De sorte que
ervices voisins. MARCEL 13nLIND. SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE BERLIN. Séance du 9 ? ? ! «< 18R1.-PuGa
lace dans'de l'alcool plus ou moins concentré selon l'état du tissu nerveux , changeant 250 SOCIÉTÉS SAVANTES. ce liquide
iqué de rechercher avec soin le mode d'en- trecroisement des fibres nerveuses ; malheureusement la substance blanche du cervea
t particulièrement de la branche qui traite des maladies du système nerveux ont été considérables depuis cette époque, et l
thisme sont plus ou moins directe- ment sous l'influence du système nerveux . Le caractère des absin- thiques offre une rema
es zones hystérogenes des membres ont pour siège les irradia- tions nerveuses périphériques. La compression des troncs nerveux
s irradia- tions nerveuses périphériques. La compression des troncs nerveux qui innervent ces zones provoque l'attaque, tou
paraître toutes les zones hystérogenes et l'excitabilité des troncs nerveux qui s'y rendent. Les zones h3stero- gènes effac
trice; par HREL. Thèse de Paris, 1882. , La maladie et le système nerveux ; par Cartier. Thèse de Paris, 1882. Des névralg
. 1882. Des hémorrhagies cutanées liées à des affections du système nerveux , et en particulier du purpura i-ityélopathique
Vol. IV. Novembre 1882. N" 12. ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE ÉTUDE CLINIQUE DU VERTIGE DE àlÉNIÈRE DANS SES
perd pas connaissance; à peine Archives, L IV. 18 - 27' CLINIQUE NERVEUSE . t-il quelques secondes de surprise et d'émoi.
de la multiplicité et de Fa différence des lésions 276 ô . CLINIQUE NERVEUSE . étiologiques dans ces cas qui n'entraînent pas
e médecin est actuellement conduit à placer, sinon dans les centres nerveux , que la conser- vation de la connaissance perme
nce permet jusqu'à un certain point d'éliminer, mais dans la partie nerveuse de l'or- gane de l'ouïe que la surdité et les b
eurs, et ils ont conclu qu'il fallait chercher ailleurs 27 CLINIQUE NERVEUSE , la solution de la* question, à moins de faire
u moyen d'une poire à air, en poussant le tympan et, 280 CLINIQUE NERVEUSE . tout l'appareil conducteur du son vers la paro
n intensité, quand on, change l'état;, de tension, par 282 CLINIQUE NERVEUSE . influence, de l'appareil de transmission. Sava
t d'une mère qui avaient tous deux un tempérament excessive- ment nerveux ; sa mère principalement, qui vit encore, et qui
ALE. aujourd'hui, dans un état presque permanent de surexcitation nerveuse et mentale. * Dans sa première enfance, M. X...
qu'il est sur le point de s'évanouir, ou bien il est pris d'un rire nerveux et incoercible, qui dure plusieurs minutes. M
aternel est mort aliéné à l'asile de Pontorson. La mère et la soeur nerveuses , irritables, sont toutes deux portées à la méla
'et à ses sels dont on se sert habituellem'ent'pour'dûrCir le tissu nerveux , et je divisai la ! tumbur et le tissu ambiant le
nt deve- nues étroites et minces. Sur la coupe colorée les cellules nerveuses et les tubes nerveux avec leur cylindre-axe-ava
et minces. Sur la coupe colorée les cellules nerveuses et les tubes nerveux avec leur cylindre-axe-avaient considérable^ me
dessins nous montrent en même temps la transformation des ganglions nerveux . Sur la figure 8 nous voyous les ganglions du c
r cela que toute modification matérielle survenue dans le système nerveux central chez l'homme, dont la marche a été suivie
é dans les limites du possible pour expliquer différentes fonctions nerveuses . Une proposition fondamentale de. mécanique nou
u des vaisseaux', tandis que les neurogliomes surgissent du système nerveux lui-même. Les sarcomes forment des masses de ti
ses de tissus hétérogènes qui ne se confondent jamais avec le tissu nerveux et s'étendent à ses dépens en le comprimant; le
; les neurogliomes, au contraire, sont des excroissances du tissu nerveux qui se développent à côté d'éléments de même natu
nts de même nature et qui s'épanouissent sans limites dans le tissu nerveux normal. Là où surgissent les sarcomes, le tissu
ns le tissu nerveux normal. Là où surgissent les sarcomes, le tissu nerveux périt; où les neurogliomes se développent, là l
ologiquement entre eux, qu'ils sortent de la névroglie ou''du tissu nerveux lui-même. Il considère, par conséquent, la névr
nt, la névroglie elle-même comme un tissu d'origine et de caractère nerveux , et propose dé donner de préférence le nom de'n
ités par Klebs, c'est-à-dire de se dévelop- peraux dépens du tissu, nerveux et de ne pas; se confondre avec celui-ci,- il !
, si riche en névroglie, cette/ névroglie. ne peut être, d'origine, nerveuse , mais bien, comme la tumeur elle-même, procéder
se contient , surtout des névro- glies. Il résulte que le système nerveux central se distingue des autres organes par la
grise antérieure du côté gauche. , REVUE CRITIQUE DES TROUBLES NERVEUX OBSERVÉS CHEZ LES DIABÉTIQUES; Par D. BERNARD e
étiques, on les a regardées comme primitives sans même DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. : ;37 se demander si, au
même époque, On-le rapportait aussi au diabète cer- tains troubles nerveux observés pendant le cours de cette maladie. La
ent un grand intérêt; mais l'étude épisodique des divers troubles nerveux que l'on rencontre, on peut dire si fréquemment,
térations vasculaires capables de modifier l'irrigation des centres nerveux . Dans l'état actuel de nos connaissances, on se
médecine et de chirurgie pratiques, lévrier 1882. ' ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LLS DIABETIQUES. 33J complet, qui laissa a
Saint Georges Ao.spatal Hcpurls, L. 1, 18G, [. 1G0.) DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 'il 1 Les troubles de l
hG et Tfttamon. Etudes médicales, etc., 1881, p. 27, ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 343 3 Ces troubles moteur
parties similaires. Dickinson' a d'ailleurs décrit dans le système nerveux des diabétiques des lésions qu'il croit à tort,
t; ? ? p. 3 : ,3. ' Loiidel. Clin, mi'/l. ]i. 279. , DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3)5 5 rebelle ; mais les
corclié), tantôt complète (Dreysig), est-elle un phénomène purement nerveux (Prout3) ou bien relève-t-elle d'une lésion de
Annales des maladies de l'oreille et du larynx, 1882. DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 li 7 Troubles oculaires
ète et même aux troubles ou aux lésions concomitantes du syst( me nerveux ? Les observations ne permettent pas de conclure.
vision, 18 cas ainsi répartis relèvent du diabète : DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 3 le ! ) place à la secon
cil., p. 2oS. Wickerslieiiner. Thèse de l',ma; 187 ' DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 351 optique. Le champ vis
a benzourie, les pertes sémi- 1 Bellouard. Loc. cit. DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 353 nales (Desmarres.) et
l'affaiblissement général. (Durand-Fardel.) A la suite de troubles nerveux divers, on peut voir survenir chez des diabétiq
ènes localisées, dont la relation avec leur altération du sys- tème nerveux , n'-est rien moins que démontrée. ' Cependant,
ines lésions cutanées notées dans plusieurs affec- tions du système nerveux Il est possible que ces troubles trophiques loc
ces chez des névropathes. (7roy)M ! t : edica/, 1881.) DES TROUBLES NERVEUX CHEZ LES DIABÉTIQUES. 355 OBSERVATION IX. M. J.
psies ; le dessèchement des tissus'et en particulier delà substance nerveuse (Ranke 3) peut le mieux expliquer les phé- nomè
ignaler un travail méritant de Duret sur la circulation des centres nerveux , et en extraire ce qu'il dit sur la vascularisa
'est-à-dire des vaisseaux artériels qui pénètrent dans la substance nerveuse : nous signalions pour la première fois, croyon
es coupes frontales et sagittales, apparaissent entre les faisceaux nerveux sous les formes suivantes ; tantôt ils sont ren
out riche et dense aux endroits où existent des groupes de cellules nerveuses (yaaylia), au niveau, des cornes antérieures/c'
ssure est pauvre en vaisseaux ; ils sont parallèles à ses faisceaux nerveux ; la substance gélatineuse centrale en est tout
s les plus épaisses de la pie-mère entre les principaux faisceaux nerveux . Les plus externes atteignent la partie externe d
s granulations de pigment à l'inté- rieur ou en dehors des cellules nerveuses , quelle qu'ait été la cause de la mort. P. K.
1 Voir Archives de Neurologie, t. il, p. 297. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 369 et leur participation à la partie du revêt
sins (Luschka, Mendel, Kcy et Retzius). P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX. Lésion unilatérale DE la moelle ; par le Du
oins que la gauche. Archives, t. IV. 21 370 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . Pas de différence de température ou de colorat
à gauche. Il y a eu seulement analgésie, avec REVUE DE PATHOLOGIE. NERVEUSE .' 371 1 conservation de la sensation tactile, p
t pathologique déjà établi, tel par exemple 372 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . qu'une carie dentaire, le procédé procure au m
lammations où la douleur est le premier symptôme. R. V. , ? XXII. « Nerveux H ; par le Dl SIG11UND Franck (d'Iéna.) , (Ce7z
répondérant de l'appareil génital dans la pathogénie des affections nerveuses de la femme. Il est d'avis, non seulement que l
het et l3rissaud : contraction de plus ou moins REVUE DE pathologie NERVEUSE . 373 longue durée d'un muscle, dont la volonté
res. (Prog·ès uéclical, 1880.) , 1 , CI 37t 1· .REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ture chirurgicale par allongement passif des a
, enfin pour exprimer la relation, avec les affec- tions du système nerveux central, et spécialement l'exagéra- tion des ré
ait pas. Lorsqu'on le priait d'articuler un mot REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 375 donné, il prêtait attention, mais semblait
d'une angine; l'inflammation s'étend de la 376 -revue DE pathologie nerveuse . muqueuse pharyngienne à la muqueuse de l'oreil
.parfois, elle se prolonge pendant trois à six REVUE DE pathologie NERVEUSE . 377 semaines. L'abcès chronique est caractéris
des exemples d'incoordination motrice avec anesthésie et trou- bles nerveux divers par simple irritation spinale. Voici une d
rale, le malade guérit en six semaines. 378 s REVUE DE pathologie nerveuse . L'auteur attribue une grande importance dans l
des attaques d'épilepsie crée une condition particulière du système nerveux (epilectic centre), une habi- tude épileptique
aits empruntés à la littérature médicale, admet REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 379 que les troubles de la digestion, et en pa
résultent de la surcharge stomacale, peuvent produire des symptômes nerveux divers dus à la paralysie ou à l'excitation du
près avoir quitté Tent laospital, il se fit 380 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . soigner comme malade externe à University Coll
rteils : les limites supérieures et inférieures REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 381 du territoire anesthésié étant parfaitemen
a circonvolution de l'ourlet sur la gauche, 382 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'autre, dans cette membrane, à la région moye
cen ces régions. Intégrité absolue de la moelle et des. gros troncs nerveux . Généralisation sarcomateuse dans les poumons,
te de l'humérus droit : à l'égard de cet os, l'intégrité des troncs nerveux du bras et de la cavité articulaire permettrait
. Monakow, de rendre la tumeur numérale irresponsable des accidents nerveux constatés. - Latrès faible atteinte de l'écorce
(prolifération interstitielle et atrophie consécutive des fibres nerveuses ) ? Faut-il, de préférence, croire que les élément
ie des extrémités inférieures. Disparition 3J 4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . des réflexes tendineux. Troubles de sensibilit
la raideur et des douleurs vertébrales (dixième REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 385 année de la maladie) devrait dépendre de l
na- logue à celui qui gouverne les régions inférieures du système nerveux ) et que Ferrier localise dans les lobes antérieur
fois même par première intention. Cu. F. Des maladies mentales et nerveuses ; par Ai. 13u,lod, médecin en chef, directeur ho
Thèse de Paris, 1882. De la chute des ongles dans les affections nerveuses et en particulier dans l'ataxie locomotrice; pa
152, 282. Dessiccation du cerveau, 249. Diabétiques (Des troubles nerveux observés chez les), par Bernard et Féré, 336.
ar Bur- mann, 95. TABLE DES MATIÈRES.. 407 Maladies mentales et nerveuses par Billod (bibliographie), 399. Maladies men
Nécrologie : Lagardelle, 143. Négations (délire des), 152, 282. Nerveux . 372. Nerveux (troubles - observés chez les d
agardelle, 143. Négations (délire des), 152, 282. Nerveux. 372. Nerveux (troubles - observés chez les diabétiques), par
hiatrique de Berlin, 12 ? Sociétédé psychia- trie et des maladies nerveuses de Berlin, 246. Statue de Ph. Pinel, 142. S
74 (1900) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 15
s autres névropathes. Thanatophobie, agoraphobie et divers troubles nerveux traités avec succès par la suggestion. Par M. l
epuis plus de dix-huit mois, m’écrivait-il, atteint par une affection nerveuse qui empoisonne mon existence, je vis dans une ang
bitudes d’ony-chophagie; cet état général défectueux et ces désordres nerveux se sont manifestés insidieusement en pleine santé
iemment ou non, ont laissé leur empreinte dans l’intimité des centres nerveux . Que ces centres à leur tour — par suite d'un tro
) Présentation de malade faite :i la Clinique des maladies du système nerveux , h la Salpûtrièr*'. serait commettre une gros
on des organes, mais simplement une mauvaise répartition de l’énergie nerveuse , une série d’actes physiologiques ou d’innervatio
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
te provoque l’excitation de plusieurs groupes de neurones; le courant nerveux centripète se divise en nombreuses ramifications
ertains sujets en dehors de l'hypnotisme. Si, dans certaines maladies nerveuses on lève le bras du sujet, il conserve cette altit
ophylactique; il réclame l'cntrainemcnt physique et moral des enfants nerveux . Quand la chorée est confirmée, on doit s’adresse
eptiques, ni celle des hystériques, ni celle dès dégénérés. Surdité nerveuse hystérique, guérison spontanée, par M. le Dr Du
n ni de l’oreille moyenne, ni de l’oreille interne mais d’une surdité nerveuse , probablement par auto-suggestion. On prescrit to
calcul difficile (1). Combien notre cerveau compte-t-il de cellules nerveuses ? La réponse à ce rébus nous est donnée, non par u
dénombrer les cellules contenues dans un millimètre cube de substance nerveuse , tout cela ne fut qu’un jeu pour elle. Bref, des
que notre cerveau dispose de neuf milliards cent millions de cellules nerveuses . (1) Gabelle du médecin, 1« mars 1900. Les
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
Roumknteau.— Des ecchymoses spontanées dans les maladies du système nerveux , Th. do Paris, l'JOü. Bekmann. — De l’ictère ém
chaque année, dans son service, un cours sur les maladies mentales et nerveuses . De ses leçons fort appréciées, il est déjà sorti
emarquables sur la pathologie interne et, sur les maladies du système nerveux . Son ouvrage sur les atrophies musculaires et les
outre, un rapport qu’il écrivit, en 1888, sur les maladies du système nerveux en Russie, au retour d'une mission donl l'avait c
it jouer comme spécifique héroïque dans la thérapeutique des maladies nerveuses , comme succédané ou comme adjuvant de la médicati
affaires avait amené, après une semaine ou deux, les mêmes accidents nerveux . J'ai réussi à guérir plusieurs cas de grande d
énie, et j‘ai trouvé l'hypnotisme très utile pour calmer l’excitation nerveuse et redonner la santé à des esprits très malades,
1) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du «ystômo nerveux * la Salpétricrc. puis revient à l’etal normal
e Wurlzbourg. M. leDrTESDORFF (Paul), spécialiste pour les maladies nerveuses , Munich. Me le Dr Vogt (Cécile), de Berlin. M.
itaux, Paris. M. le Dr Raymond, professeur de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de Paris. M. le Dr Saint-IIilairk,
Hollande. M. le Dr de Jong (Arie), spécialiste pour les maladies nerveuses , La Haye. M. le Dr Van Renterghem, directeur de l
é de Jassy. M. le Dr Marinesco, professeur de clinique des maladies nerveuses à la faculté de Bukarest. M. le DrThomas Tonesc
elui qui est chargé de renseignement officiel des maladies du système nerveux . A quelles appréciations désobligeantes il se fût
déjà donné de si beaux résultats dans l’étude des maladies du système nerveux . Il a fait rentrer le somnambulisme artificiel, l
de l’Ecole de la Salpétrière et do l’Ecole de Nancy, que les maladies nerveuses , par conséquent aussi les manifestations do l’hyp
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique) , est a
1887), nous avions fondé une clinique pour le traitement des maladies nerveuses par la suggestion hypnotique. A peu près à cette
tion hypnotique comme arme principale dans le traitement des maladies nerveuses et psychiques. M. S. Reeling Brouwer, directeur
d’autres genres de médication dans ses applications sur les maladies nerveuses et psychiques. Ces brillants résultats engageront
aradique et galvanique. Il vient d’ouvrir un sanatorium pour maladies nerveuses . Dans cet établissement, comme dans sa maison, il
ticiables de cette méthode dans leur service d’aliénés et de maladies nerveuses . Ils ajoutent qu'ils appliquent surtout la sugges
it un soldat, un gardien de la paix, elle est saisie d’un tremblement nerveux et s’écarte au plus vite. Les marchands des quatr
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
irent de combler l’abîme qui existait entre les actes réflexes, actes nerveux les plus humbles, et les actes volontaires actes
sentiments, entre idées différentes. Les voies suivies par le courant nerveux sont larges et faciles, la cérébration est machin
e réflexe est caractérisé par : 1° La sensation provoque un courant nerveux centripète P ; 2* Ce courant nerveux vient exci
sensation provoque un courant nerveux centripète P ; 2* Ce courant nerveux vient exciter un neurone sensitif : sensations S
Fig. I. Acte réflexe simple. P, sensation déterminant un courant nerveux centripète ; S, neurone sensitif; M, neurone mote
rveux centripète ; S, neurone sensitif; M, neurone moteur; F, courant nerveux centrifuge. 3° Ccllc-ci transmet l’excitation à
mment s’opère le contact entre neurones, ni la nature de l’excitation nerveuse . Tout cela en effet n’a rien à faire avec la repr
états profonds de l’hypnose présentaient une telle hyperexcita-bilité nerveuse que le professeur Jamin, après avoir assiste aux
ur un écran, le cinématographe nous montre divers exemples de marches nerveuses , de spasmes, de crises hystériques. Les arriéré
eur de 2.500 francs, à .M. Jules Soury, pour son livre sur le Système nerveux central. Le 18 décembre, à la séance annuelle de
omie macroscopique et microscopique, et sur la physiologie du système nerveux central, depuis les philosophes grecs jusqu’à auj
tes régions du cerveau, le siège des principales fonctions du système nerveux central dont les propriétés servent à définir la
eux tiers de son ouvrage, M. J. Soury étudie les fonctions du système nerveux central, les voies sensitives et motrices, les vo
plète de tout ce qui a été dit et fait, en anatomie et en physiologie nerveuses , par les philosophes, les observateurs et les exp
restera dans l’histoire de l’anatomie et de la physiologie du système nerveux central, comme un monument devant lequel s’inclin
liés au sommeil, avaient plusieurs fois conditionné certains troubles nerveux . Je dirige donc mon enquête dans ce sens. J'hyp
ant pour but de provoquer le souvenir de la cause initiale du trouble nerveux , il est rare qu’on n’obtienne pas de renseignemen
use et de supprimer ainsi toute cause capable d’entretenir la cellule nerveuse dans un état anormal d’irritabilité. Il est surpr
e: a Vous me demandez comment je me suis guéri des bailucinations nerveuses que je subissais autrefois? Par deux moyens: 1° e
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
du cours : Les doctrines esthétiques de Wagner. Cours des maladies nerveuses et mentales M. le Dr Jules Voisin commencera so
et mentales M. le Dr Jules Voisin commencera son cours des maladies nerveuses et mentales à la Salpêtrière, section Esquirol, l
ttres de Montpellier ; Jules Soury, professeur d’anatomie du sj-stème nerveux ; le mathématicien Laisant, examinateur à l’Ecole
ulier, avait accepté la mission d'enseigner ici l'anatomie du système nerveux . En mourant il nous a légué les ingénieuses rep
e méthode d'investigation psychologique ; 2* la clinique des maladies nerveuses et mentales : 3° la pédagogie clinique; 4* tous l
questions qui relèvent de l'anatomie et de la physiologie du système nerveux . Cet enseignement devant être rigoureusement sc
ls et tous les instruments imaginés pour faciliter l’étude du système nerveux central et des phénomènes psychologiques. Il grou
artir eu huit branches : 1° L’anatomie et la physiologie du système nerveux . 2® La psychologie expérimentale (hypnotisme ex
bien portants. — On ne peut faire avouer à la malade une seule tare nerveuse dans sa famille. Antécédents personnels. — Dans
é chez cette malade les stigmates de l’hystérie, mais c’est une femme nerveuse évidemment, très excitable, et d’une loquacité ex
c fruit. Mais il convient de montrer qu’une catégorie de phénomènes nerveux , les troubles vaso-moteurs, rappellent les maladi
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
mplace l’expression « esprits animaux » par l’expression ondulatiojis nerveuses , on voit que le grand médecin anglais n’était pas
. » Pomme attribuait en effet l'hystérie au racornissement des fibres nerveuses . En 1859, Briquet attirait l’attention sur les
ctions infectieuses ou toxiques ayant plus ou moins frappé le système nerveux , telles que l'influenza ou la dothienenthérie, l'
II De l’amiboïsme et de l’hyperamiboïsme des neurones Le système nerveux est une machine, qui, comme toute machine, par le
s) sont transformés, dans la première partie de l’arc, en ondulations nerveuses . Ces ondulations nerveuses sont elles-mêmes tranf
a première partie de l’arc, en ondulations nerveuses. Ces ondulations nerveuses sont elles-mêmes tranformées, dans la seconde par
quivalence des forces est applicable aux êtres vivants, et la machine nerveuse n'est qu'un lieu de passage. Elle rend précisémen
ar les réactions chimiques qu’ils provoquent, les innombrables filets nerveux centripètes plonges dans nos tissus. Tantôt il es
n et de la dépense dans le même temps, tient à ce que les conducteurs nerveux sont interrompus par des barrages, que j’ai appel
ppelés les neuro-diélectriques normaux ('). Lorsque les ondulations nerveuses se trouvent ainsi arrêtées par les neuro-diélectr
et le plomb de l’anode du peroxyde de plomb, de même les ondulations nerveuses transforment une substance très instable que cont
ne autre substance que j’ai appelée substance x’ (2). Les ondulations nerveuses dessinent ainsi dans les neurones des figures qui
t de substance x, en restituant de l’énergie sous forme d’ondulations nerveuses . A cette décomposition de la substance at’ corres
s (réveil des images et des idées, souvenir}, d’autre part un courant nerveux quelconque (association dos images, idéation, ass
713.) (5) Mathias Duval : Hypothèses sur la physiologie des centres nerveux . Théorie histologique du sommeil. (Société de bio
rt Qdier : Recherches expérimentales sur les mouvements de la cellule nerveuse de la moelle épinière. (Genève 1898.) (8) Jean.
uxelles, 1897.) (2) Soukhanoff : Sur les modifications des cellules nerveuses et de Vécorce cérébrale dans l'anémie expérimenta
difications que subissent les prolongements dendritiques des cellules nerveuses sous l'influence des narcotiques. (La cellule, t.
896.) Voir aussi : Azoulay : La psychologie histologique du système nerveux . (Année psy-chol., 1895.) Dupin : Le neurone et
, Paris, 18%. R. Deyder : Etat actuel de la question de l'amiboisme nerveux , Paris, 1893. Mathias Duval. : L'amiboisme des
sme nerveux, Paris, 1893. Mathias Duval. : L'amiboisme des cellules nerveuses . (Rev. scient , 12 mars 1898). Les neurones. L’am
es nerveuses. (Rev. scient , 12 mars 1898). Les neurones. L’amiboisme nerveux . Théorie histologique du sommeil. (Rev. de l'écol
so-moteur. Mme D..., demeurant à Montrouge, souffrait d une maladie nerveuse aggravée à la suite des crises de son petit garço
l’énergie. Nous n’arriverons à expliquer les causes des maladies nerveuses , qu’en spécifiant la marche et les symptômes part
En rétablissant chez notre malade l’équilibre rompu par des troubles nerveux , nous avons obtenu sa guérison, ce qui prouve que
REGNAÜLT. Les hommes de génie sont fréquemment atteints de maladies nerveuses . Neurasthénie, hypocondrie, hystérie, états névro
les internes des hôpitaux; chez tous, cette maladie prenait une forme nerveuse grave. Un homme de génie, atteint de syphilis, a
sous prétexte qu’il est mort de cette maladie. Ou bien ces troubles nerveux sont-ils une condition du génie ? C’est la théori
ées, semblent plutôt dues à la distraction. Devenu adulte, il reste nerveux , a des névralgies, des gastralgies, des douleurs
s, éditeurs, 1900. Dans d’autres parties de son Traité du sommeil nerveux , il indique Je pouvoir de la sympathie et de l’im
hydrothérapie et les toniques ; en effet, en améliorant le substratum nerveux , on a des chances d’améliorer la mentalité ; en m
) Présentation de malade faite à la clinique des maiaüies du systùoie nerveux à la Salpétrière. Pseudo-sclérose en plaques
un léger degré de nystagmus. Un médecin qui connaît bien les maladies nerveuses a porté le diagnostic de sclérose en plaques : or
1) Présentation de malade faite» la clinique dea maladies du tyslèioo nerveux à la Salpêtrière. d’Angers qui avait acquitté
amon y Cajal. dont les remarquables travaux sur l’anatomie du système nerveux central sont universellement estimés, était resté
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire :neurologique et pédagogique), est a
que ou rabique) ; 3° A l'action des traumatismes, et des explosions nerveuses qui correspondent à l’émotion (chocs, chutes, ful
urones se rétractent aussi quand il ne leur arrive plus d’ondulations nerveuses . C'est ainsi que se produisent l'anorexie par déf
ique. s, neurone de sensation. La fléche indique le sens du courant nerveux . (I) Ou dans l'intérieur des prolongements de s
hissable d s’est formé entre le neurone cp et le neurone s, les ondes nerveuses résultant de la transformation des mouvements ext
s résultant de la transformation des mouvements extérieurs au système nerveux , n’en continuent pas moins de s'engager incessamm
résistance de ce neuro-diélectrique diminue rapidement, des décharges nerveuses éclateront entre les neurones cp' et s. C’est pré
’on restaure rapidement la sensibilité d'un hystérique. Les décharges nerveuses centripètes qui éclatent alors, donnent lieu à de
ou kinétique (anesthésie cutanée, musculaire, articulaire), des ondes nerveuses n’en continuent pas moins à parcourir le grand ar
la polyopie monoculaire dans l'hysterie et les réfections du système nerveux . (Ann. d’oculist., mal-juin 1878). Les troubles o
Tassourdissemcnt et de la somnolence. La privation des ondulations nerveuses centripètes (immobilisation, silence, obscurité)
s est en retard d’un ou de deux courriers, M“° C... devient inquiète, nerveuse , agitée ; elle s’affole, craint que son fils ne s
Dans les cas analogues à celui qui vient d’ètre rapporté, la cellule nerveuse , plus ou moins tarée, esc ce qu’elle est, et aucu
t) Présentation de malode fniie à la Clinique des maladies du système nerveux , h la Salpôtrière. convulsive, cette jeune fi
, particulièrement eu cc qui concerne les sensations et les réactions nerveuses que nous croyons spéciales à telle maladie et qui
e cas où l’hypnose est indiquée, dépend presque uniquement de la tare nerveuse du malade, qu'eilo soit acquise ou héréditair
adie non justifiable de l’hypnotisme ou parce qu’il présente une tare nerveuse trop chargée, et accepter d'autres patients en le
dessous une diminution préalable de la résistance normale et une tare nerveuse . M. Barthélémy, de son côté, rapporte l’observa
une grande frayeur à la suite de laquelle elle manifeste des troubles nerveux divers. Le 26 janvier dernier, subitement elle ne
noculaire. REVUE DES LIVRES Diagnostic et traitement des maladies nerveuses , par le Dr Joanny Roux (do Saint-Etienne), avec
l de sémiologie qui n’a point la prétention d’apprendre la pathologie nerveuse , mais d’ « exposer la méthode à suivre dans l'exa
rès succincte l'ensemble de nos connaissances actuelles en pathologie nerveuse et le bilan de ce que la neurologie moderne renfe
ves, les émotions tristes, les frayeurs créent souvent une dépression nerveuse qui s'accompagne de troubles de la nutrition: d’a
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
me que j’appelle isthme d’hyperesthésie (schème 2, I). CP Les ondes nerveuses arrivant incessamment par les voies centripètes d
resthésique et ne pouvant s’en échapper que par l’isthme, la pression nerveuse est plus élevée dans cet agrégat que partout Sc
Si par exemple je combine mentalement les diverses images de-cellules nerveuses que j’ai recueillies sous le microscope, je const
sous le microscope, je constitue une idée, qui est l’idée de cellule nerveuse , et qui pourra se fixer sur un neurone au même ti
pliquer de la manière suivante. Les systèmes identiques d'ondulations nerveuses centripètes suivent la môme voie. De telle sorte
quc. sic. neurone de mémoire. I.a flèche indique le sens du courant nerveux y ont été maintes fois sollicités au cours
émoire rétracté ne soit pas absolument infranchissable, des décharges nerveuses pourront éclater au travers. C’est à ces décharge
que j’appelle isthme d'hypermné-sie. (schème 4.1.). Les ondulations nerveuses arrivant incessamment par les voies centripètesda
permnésique et ne pouvant s‘en échapper que par l'isthme, la pression nerveuse est plus élevée dans cet Schcmc 4. -.p, voies
hallucination n'est en effet qu’une sensation provoquée par des ondes nerveuses réfléchies. C'est une sensation en retour. ' Et
lument isolé, c’est-à-dire amnésique. Supposons qu’une forte décharge nerveuse vienne à le traverser. Les empreintes qu’il conti
ériques. Dans le réflexe complet à sommet cérébral, les ondulations nerveuses , après avoir traversé les neurones des voies cent
’une partie de ce trajet. Soit par exemple un système d'ondulations nerveuses résultant de la transformation des mouvements chi
des neurones situés en amont ne sont pas infranchissables, le courant nerveux continue de passer, mais il passe par décharges,
décharges, et il se produit des secousses musculaires. Les décharges nerveuses , et par suite les secousses musculaires obéissent
s portées sur ces points auraient pour effet d’ajouter ii la pression nerveuse en amont du neuro-diélectrique l’appoint nécessai
der le vase. III. — Les contractures hystériques. Les ondulations nerveuses résultant de la transformation des mouvements ext
s résultant de la transformation des mouvements extérieurs au système nerveux ne parviennent pas toutes aux neurones de Técorce
pour expliquer la contracture, une prétendue irritation de la cellule nerveuse . Sans doute toutnouvel apport d’ondulations nerve
on de la cellule nerveuse. Sans doute toutnouvel apport d’ondulations nerveuses aux arcs diastaltiques séparés du réservoir céréb
remarquer que ces petites lésions, qui, chez d'aulres femmes plus nerveuses , auraient simplement suffi à déterminer un vagini
ite est la lésion, plus elle laisse de champ à l'intégrité des fibres nerveuses périphériques) ; cette érosion est le point de dé
ion initiale, petite le plus souvent, mais indispensable ; 2° Un état nerveux spécial. C'est cet état nerveux qui me parait l
nt, mais indispensable ; 2° Un état nerveux spécial. C'est cet état nerveux qui me parait le plus important facteur dans l’ct
peut voir actuellement dans l’affection qui nous occupe, qu’un spasme nerveux lié à un état psychique spécial. Nous en avons
usé de ce terrain nouveau, peut-être aussi les femmes sont-elles plus nerveuses , et peut-être enfin, le besoin de vivre vile en r
de des préliminaires ne devait jamais être négligée. En effet, si les nerveux sont en général « brusques », ce sont les brusque
rveux sont en général « brusques », ce sont les brusques qui font les nerveuses . De tout ce qui précède, il résulte : Io Que
certainement attaché à l’histoire d’un très grand nombre de maladies nerveuses et mentales, de la méningite hypertrophique, de l
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique;, est an
eures, à l’Hôpital de. la Pitié, un cours sur les maladies du système nerveux . Il le continuera les samedis suivants, à dix heu
ns la vie, sauf peut-être dans le sommeil profond, où des ondulations nerveuses ne parcourent les conducteurs qui réunissent entr
e dépend : 1° Du nombre de ces empreintes; 2° Du nombre des ondes nerveuses qui les traversent. Dès lors on conçoit qu'aux
gat hypermnésique. Le malade fait (1) Charcot : Maladies du système nerveux , III, 337. (2) Co mot est d’ailleurs mauvais. I
ine réfléchi, ou sans réflexion aucune. (1) Jules Soury: Le système nerveux , 1899, I, 225. (2) J’emploie ici le langage psy
-là entraîne la rétraction de ceux-ci, en les privant des ondulations nerveuses qui les sollicitent à l’extension. En effet, ch
à l’ataxie ; 3° L’occlusion des yeux, en supprimant les ondulations nerveuses résultant de la transformation des ondulations lu
? Si elle pouvait se produire, cette érection générale du système nerveux serait suivie d’un épuisement total et de la mort
t souvent de priver les hystériques d’un certain nombre d’ondulations nerveuses centripètes (par exemple de leur fermer les yeux)
ment les neurones inactifs ou fatigués, mais un nombre tel d’éléments nerveux que le sujet s’endort d’un sommeil particulier qu
parole et de l’écriture résultent de la transformation d'ondulations nerveuses , qui proviennent elles-mêmes de la transformation
elles-mêmes de la transformation des mouvements extérieurs au système nerveux . D’automatisme point, là pas plus qu'ailleurs dan
a trop rare application. I Neurasthénie ancienne, avec dépression nerveuse intense, troubles dyspeptiques et cardiaques gr
it qu’accentuer les symptômes etsurtoi;t la faiblesse et l’épuisement nerveux , avec étourdissements. etc. Avant l’influenza e
ées (d’une 1/2 heure à3/4 d’heure, surtout depuis un an. Epuisement nerveux complet, neurasthénie de plus en plus caractérisé
spacées, l’équilibre fonctionnel est complètement rétabli, les forces nerveuses chaque jour de plus en plus restaurées et la guér
rès une couche, perte qui avait causé une grande anémie et des crises nerveuses . Tristesse invincible depuis cette époque. Au p
propre aveu, trouvé dans l’hypnose prolongée le meilleur des sédatifs nerveux . Les faits obligent à constater que, loin de pr
la neurasthénie est due à une conformation vicieuse native du système nerveux , le plus souvent incurable, dit avec raison B
volonté, leur désir de se laisser endormir et de guérir, leur système nerveux peut offrir une resislance invincible à toutes le
lus ou moins considérable de leur état; que nés avec une constitution nerveuse , cette disposition morbide les expose fatalement
des enfants âgés de un à sept ans, jusque-là bien portants mais très nerveux , qui, au milieu de circonstances particulièrement
dans le pronostic des brûlures, même superficielles, chez les enfants nerveux . En pareil cas, le médecin doit prendre en sérieu
qui en découlent. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies nerveuses et mentales, par M. Haskovec, Klin. th. Woch, 13
e des autointo-xications et des toxines dans l’étiologie des maladies nerveuses . Les troubles de la nutrition, les maladies alime
s affections gastrointestinales entraînent non seulement des maladies nerveuses fonctionnelles, mais encore organiques ; il en es
tionnels des organes glandulaires. Les maladies toxémiques du système nerveux offrent une relation étroite avec les anomalies d
font dans le myxcedème, et c’est surtout aux injections de substance nerveuse et de spermine qu'il faut s’adresser, puis à la p
onction volontaire et de la fonction automatique dans tout le système nerveux . On voit donc que la thérapeutique psychologique
remarquable thèse intitulée : « Recherches sur les lésions du système nerveux dans la paralysie ascendante aiguë ». L’auteur, y
breux mémoires d’anatomie pathologique ayant trait surtout au système nerveux et avait, en 1877, obtenu le prix Godard de la So
, avec une thèse qui fit époque sur YHérédité des maladies du système nerveux . Dans ses travaux, il eut le rare avantage d’êt
a publié récemment deux volumes importants sur l’anatomle du système nerveux . A tous ces titres, nous devons ajouter qu’il n
Léthargie chez les animaux, par Félix Regnault, p. 208. Maladies nerveuses (Diagnostic et traitement des), par Roux, p. 316.
st l’homme, p. 63. Nouvelles voies de la thérapeutique des maladies nerveuses et mentales, par Haskovec, p. 377. Obsession du
e et la vasomotricité (La fonction) par Paul Farez, p. 268. Surdité nerveuse hystérique, par Dundas Grand, p. 60. Système ne
68. Surdité nerveuse hystérique, par Dundas Grand, p. 60. Système nerveux central (Le), par Bérillon, p. 200. Suggestion
, par Chiari, p. 314. Thanatophobie, agoraphobie et divers troubles nerveux traités avec succès par la suggestion, par Pau de
75 (1899) Archives de neurologie [2ème série, tome 07, n° 37-42] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LOGIE AHCH1VËS DE NEUROLOGIE KEVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondéiî PAR J.-îll. CHAttCOT l'UI
c). F. RAYMOND Professeur de clinique des maladies du système nerveux a l.i Faculté de médecine de P.iris. COLLAB
Vol. VII. Janvier lbV9. ? IN au ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE . DE L'ÉTAT DU FACIAL SUPERIEUR ET UU MOTEUR O
même litre et au même ,lttcumrs, 2 série, t. VII. I 2 CLINIQUE NERVEUSE . degré que le facial inférieur (Gibotteau). On
l reçoive l'expression de notre vive reconnaissance. 4 CLINIQUE NERVEUSE . fermeture synergique volontaire et réflexe des
l'assurance de notre bien cordiale reconnaissance ! i 6 CLINIQUE NERVEUSE . En examinant avec soin le malade, en se plaçan
plus petite que celle du côté opposé. L'élévation des 8 CLINIQUE NERVEUSE . sourcils ce fait aussi facilement d'un côté qu
e Le sourcil droit est abaissé par rapport au gauche, 10 CLINIQUE NERVEUSE . environ d'un demi-centimètre, Pas de signe de
t. Aucun des deux yeux ne peut se fermer isolément. 12 CLINIQUE NERVEUSE . Observation XIX. IL M..., quarante-cinq ans. H
e, avec hëmianesthésie incomplète datant de deux an-. 14 CLINIQUE NERVEUSE . Paralysie du facial inférieur droit. Le facial
ent parésiés, le facial supérieur est pour ainsi dire 16 CLINIQUE NERVEUSE . , indemne, et c'est à peine si l'on note dans
n, le retard du mus- jRciiivEs, 2° série, t. VII. 2 18 CLINIQUE NERVEUSE . cle paralysé sur son congénère et la différenc
1874, p. 59. - In Pugliese et Alilla, loco. cit. 30 0 CLINIQUE NERVEUSE . de trois des malades qui ont servi de base à c
e le cerveau de cet homme, décédé dans son service. 22 CLINIQUE NERVEUSE . le noyau lenticulaire montre dans son segment
e, 1886. " Houeix de la Brousse. Thèse Paris, 1888. 24 CLINIQUE NERVEUSE . convaincu que si l'on a l'esprit attiré de ce
palpébrale dans la paralysie faciale périphérique, il 26 CLINIQUE NERVEUSE . est impossible d'expliquer cette contradiction
oses, sa lésion anatomique n'étant pas encore connue. Les centres nerveux paraissent absolument indemnes. On note parfois
d sympathique prend part aux irritations et altérations des centres nerveux , les malades sont pris d'anxiété, angoisse préc
t par réaction sensitive. Il ne présente aucun signe pathologique nerveux (signe de Romberg, signe de Biernacki, etc., ab
et J. BOYER. SoMMA)nE. Père, soixante et un ans, asthmatique, très nerveux . Mère, quarante-cinq ans, rien ci signaler. Tan
s fournis par la mère). Père, soixante et un ans, asthmatique, très nerveux , pas de convulsions de l'enfance, démangeaisons
er- nelle morte des convulsions de l'enfance. Pas d'aliénés ni de nerveux , ni de bègues, ni de ticqueux dans la famille pat
Six enfants : 1° une fille de vingt-deux ans, bien portante, un peu nerveuse , mariée, a un enfant de treize mois bien venant ;
s été très dur pour apprendre. » N'aurait pas eu d'autres accidents nerveux jusqu'à il y a huit mois. A la suite des convul
er 1896, à la suite de reproches faits au collège, vio- lente crise nerveuse : le corps s'est raidi, puis l'enfant s'est écrié
s gai quand il n'est pas, toutefois, sous l'influence d'un accident nerveux ; aime beaucoup 54 RECUEIL DE FAITS. rire, j
inutes environ. A partir du 26, l'enfant ne présente aucun accident nerveux et suit régulièrement le traitement suivant : u
de colère. A la fin de janvier 1896, il a eu ,une première crise nerveuse , hystériforme. De là, jusqu'à juillet 1896, il a
e; elle nous a assuré qu'il était redevenu 58 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tout à fait naturel, laborieux, et s'est montr
avec suite le traitement médico-pédagogique. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . I. Paralysie du voile du palais et du facial i
dissémination irrégulière des altéra- tions dans les ramifications nerveuses est uu des caractères les plus constants des po
lésions très notables ont été constatées dans REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 59 la moelle épinière : altérations d'intensit
postérieures, tiennent les cellules motrices REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 61 dans uu certain degré d'excitation. Mais di
tive des éruptions cutanées sur le côté intéressé par une affection nerveuse unilatérale d'origine cen- trale ; par M. G. Et
ur rapporte plusieurs observations de malades atteints d'affections nerveuses unilatérales d'origine centrale (hémiplégie ave
cularité, qu'elles se sont localisées du même côté que les troubles nerveux préexistants. M. Etienne rapproche ses observat
smo-paralytiques, ont respecté, complète- 612 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ment ou presque complètement, les téguments de
ique de plus en plus riche de la maladie. · REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 63 11 s'agit d'un syphilitique héréditaire de
yroïdien, mais encore il y eut, chose 64 lui» REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . , intéressante à noter, amélioration de l'état
x et pupilles indemnes. Sensibilités diverses REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 65 et réflexes normaux. Pas de troubles trophi
les doigts, Archives, 2e série, t. VIL 5 66 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . surtout au mollet, apparaît parfois aussi dès
clinique de Charcot-Raymond à la Salpêtrière. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 67 Après avoir longuement analysé leurs partic
renversent la théorie centrale d'un centre coordinateur du système nerveux . L'ataxie s'exagère ou apparaît quand elle élai
s sensibles. Pas plus que l'apprentissage gaz REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . d'un travail de coordination manuelle n'affine
ymond et Kaiser. Aux hyperhidroses dues à des affections du système nerveux , l'auteur ajoute une observation d'épileptique
par maladie infectieuse sans autres symp- tômes du côté du système nerveux ; b) il joint encore l'hémidrose d'apparence id
trop étendus et trop fréquents avec le monde. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 69 L'effet d'une telle vie est stimulant par l
te où l'individu perd de plus en plus la domination sur son système nerveux . Conformément à l'effet des autres matières sti-
l'organisme. Surtout chez les enfants on peut observer les troubles nerveux d'une vie en commun. Sans que l'enfant ait trop
en commun. Sans que l'enfant ait trop veillé, il est le lendemain nerveux et irrité. On voit que malgré le repos normal de
pproche et s'éloigne de a commissure exté- 70 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . rieure à 1 à 2 mm ; vers le haut et le bas la
dicale, dépendant d'une affection antérieure du malade (les centres nerveux exceptés) : 2° le délire toxique, dont le type
a malade était la suivante : femme de soixante-quatre ans, toujours nerveuse ; crise de manie après la naissance de son prem
e Dr Gombault. BIBLIOGRAPHIE. I. Clinique des maladies du système nerveux ; par le professeur Raymond (3° série). Doin, é
ccentuant la fragilité native qui faisait des muscles et du système nerveux de cet homme un locus minoris resiatenlix.
st leur début brusque. 1 La sclérodermie appartient à la pathologie nerveuse . Elle rentre dans le cadre des affections névro
II. Leçons de clinique thérapeutique sur les maladies du système nerveux ; par Gilles DE la Tourette. Pion et Nourrit, édit
80 BIBLIOGRAPHIE. montrent que, si, dans les affections du système nerveux le traite- ment est souvent ingrat, il y a des
en : 1° état apo- plectique lié à une lésion organique des centres nerveux ; 2° état apoplectique sous la dépendance d'un s
n ou autre dont la localisa- tion principale se fait sur le système nerveux central. Parmi les premiers, les néoplasmes int
tique devront relever la dépression physique. Contre les phénomènes nerveux le bromure de potassium à faible dose qu'on emp
que c'est un trouble trophique qui prend sa source dans le système nerveux . Les pieds bots doivent être divisés en congéni
raître. Le pied bot non congénital est également toujours d'origine nerveuse et l'auteur passe en revue les formes principal
tachés à la syphilis. Dans la syphilis maligne pré- coce du système nerveux , et que Charcot appelait anatomique- ment la sy
membres chez les neuroarthritiques. M. PELLE- Qui.4 : L'amoeboïsme nerveux . FAITS DIVERS. Concours pour une place DE méd
rette^ Leçons de clinique thérapeutique sur les maladies du système nerveux . Volume in-a", de 482 pages. Paris, 1898. Libra
n. Raymond (le professeur F.). Leçons sur les maladies du système nerveux faites à la Salpêtrière pendant l'année scolaire
18 francs. Paris, On. Doin, éditeur. Revue clinique des maladies nerveuses , à l'usage des praticiens, paraissant le 10 de
7'a)Y ? t'e infan- tile et chorée. Lésions microbiennes du système nerveux central. Biochure m-8" de12 pages. Lyon, 1S9S.
oliques. Enfin il est nul, dans la mala- die où domine l'héréthisme nerveux : l'épilepsie. Conclusions. Quelle est la concl
itabilité des nerfs cubi- taux est exagérée, la pression des troncs nerveux est doulou- reuse. Le réflexe pharyngien est
ue trouve, comme altération patho- logique : une anémie des centres nerveux encéphaliques et peut-être médullaire, plus rar
PHYSIOLOGIE ' PATHOLOGIQUES. 1. Sur les altérations des cellules nerveuses , de la cellule pyramidale en particulier, dans
obe frontal du cer- veau gauche ont montré que pas une des cellules nerveuses n'avait conservé ses caractères normaux. La s
ychologiqties, août 1898.) " E. B. Il. Modifications des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale dans un cas de délire aig
s peuvent produire des modifications dans la structure des cellules nerveuses ; aussi une autopsie complète est-elle nécessair
sychose. Dans le cas de délire aigu se rencontre, dans les cellules nerveuses de l'écorce, une REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSI
ATHOLOGIQUES. 147 Î V. Méthodes actuelles de préparation du système nerveux ; par le Dr J. BERHLEY. Les méthodes de color
le Dr J. BERHLEY. Les méthodes de coloration pour l'examen du tissu nerveux dans sa structure la plus délicate, ont fait, a
ui pourrait servir d'introduction à un traité d'anatomie du système nerveux . Après avoir indiqué les divers procédés de con
procédés de conservation et de durcissement du cerveau ou du tissu nerveux , d'examen des tissus frais, d'inclusion pour les
rlich ; les méthodes do coloration des gaines de myéline des fibres nerveuses , méthodes de Weigert, de Pal, de Vassale, de Ma
olgi, d'Upson ; enfin les méthodes de colora- tion des terminaisons nerveuses et des vaisseaux sanguins. (American 'OM'Ha<
REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 155 de ses fibres nerveuses ; chacune aussi a ses particularités propres qu
s elle peut être due parfois à des toxines ayant agi sur le système nerveux (intoxi- cation nerveuse), issues de maladies i
fois à des toxines ayant agi sur le système nerveux (intoxi- cation nerveuse ), issues de maladies infectieuses ; elle est alor
glande, son hypersécrétion qui agit défavorablement sur le système nerveux central. C'est un cercle vicieux qu'on peut int
a face. Cette dernière est due à ce que par l'opération, les fibres nerveuses motrices ayant été séparées, les cellules pyram
-t-elle une prédisposition en diminuant la résistance de la cellule nerveuse à la fatigue ? M. Ballet. Je ne veux retenir de
D1' Anglade, médecin-adjoint de l'asile de Braqueville. Pathologie nerveuse : Psychoses y)Oly72wl'itiq2ces. Rapporteur VA
ie H. Lamertin. DiiÉnÉ (c.) Recherches sur la variation des centres nerveux en fonction de la taille. Volume iu-8° de 68 pa
sinthe (C. R. A. des Se., 1864). Magnan. Recherches sur les centres nerveux , 1876, p. 73. Guillemin. Elude sur l'épilepsie
-dire des dommages de toute sorte qui peuvent porter sur le système nerveux central depuis la nais- sance ; 3° une cause oc
Tiiidierge. (Presse médicale, 9 juillet 1898.) Parmi les troubles nerveux dont le point de départ réside dans l'appareil
oppent que chez des sujets tarés au point de vue cérébral, chez des nerveux , des neurasthéniques, des hystériques et surtou
ropriées, an ti neurasthéniques, nervins, hydrothérapie, le système nerveux ébranlé des malades. A. FENAYRori. V. Note sur
; cette possibilité s'accentue lorsqu'il existe une lourde hérédité nerveuse . Un début rapide, une intensité modérée des sym
ble à la pro- phylaxie et, dans ce but, de s'opposer au mariage des nerveux , des hystériques, des épileptiques, surtout lor
e médicale constituera dans un trai- tement préventif des désordres nerveux et mentaux. Lorsque surviendra la première cris
uestions. Il pousse l'analyse des lésions histologiques des centres nerveux et des viscères jusqu'à y distinguer des groupe
clinique, leur diagnostic. Les altérations périphériques du système nerveux ne sont point omises et les lésions viscérales
pseudo-paralysies générales. Les altérations constatées du système nerveux sympathique et les troubles vaso-moteurs second
t que la mort est causée par l'action d'un microbe sur les cellules nerveuses ou au moins par l'action des ptomaïnes sécrétée
e, dépende non seulement de l'action associée des différentes voies nerveuses , mais encore de l'intégrité d'action de toute l
s de fièvre spécifique et particulièrement chez les gens à hérédité nerveuse très chargée, comme était le premier malade. Da
lésions et ses symptômes primordiaux sont localisés dans le système nerveux et indépendants du microbe. Si le Dr Ilansen n'
veloppement de la démence du fait de lésions irritatives du système nerveux produites soit par le bacille de Hansen, soit p
ébut de leur accès d'aliénation ou dont 224 4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'état de folie ne serait pas encore confirmé,
ofonds pour les familles et les malades. Marie. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XX. Sur une épidémie de béribéri à l'asile de
article un intérêt particulier. D, Marie. Rt ? U1 : DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 225 X\1. Du myxoedème et des troubles qui s'y
u sterno- AncmvES, 2" série, t. VII. la 226 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . mastoïdien, du splenius et du trapèze la plaça
ur important dans la production de celte ano- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 227 ilialie. A l'appui de son dire, il cite le
e début lent et insidieux. M. II l31EL. 228 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXVI. Trois nouveaux cas d'amyotrophie primiti
neurone et à une entrave consécutive à la transmission de l'influx nerveux . A cette explication physiologique M. Gerest da
mouvements cellulaires du. neurone. 1. Il. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 229 9 XXIX. Entraînement suggestif actif ou dy
on prémigraineuse qui provoquent l'illu- ? 30 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . sion : un étranger qui se présente, un objet q
eut-être, quelques résultats. A. 1"ENAYROU. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 231 XXXHL Deux cas de paralysie radiculaire ob
rescence faisait défaut, ce qui indiquait que la lésion des racines nerveuses avait été relativement légère. Le traitement a
ités, (aspect lunaire de la face, joues 232 - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pendantes, lèvres légèrement retroussées et pr
contrées, l'habitude d'user largement et même REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 233 d'abuser des boissons alcooliques. Suivant
uerpéral, de la fièvre typhoïde, de la 231 Il REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . gangrène, etc. correspondent exactement avec l
ux, douleur de la région frontale, anesthésie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 235 5 cutanée et crânienne, hypoacousie*tout à
almie sympathique se déclara à l'occasion 236 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de l'application d'un oeil artificiel du côté
de l'application d'un oeil artificiel du côté opposé sur un mognon nerveux résultant d'énucléation totale. Dans le même nu
à l'opinion que l'hystérie chez les enfants, ainsi que les maladies nerveuses en général, est une résultante de l'excessive c
: soit qu'un trouble organique grave, particulière- ment du système nerveux , soit considéré par erreur comme hystérique, so
ar erreur comme hystérique, soit qu'un trouble organique du système nerveux , de l'estomac, du larynx, du poumon, etc., ait
fet, les paralytiques donnent le jour à des enfants dont le système nerveux est lésé d'une façon quelconque. M. JOFFROY. J'
ppement s'étend en dehors du cervelet à d'autres régions du système nerveux (là moelle épinière dans le cas de Nonne), et n
ie et hydromyélie comme source de diverses monstruosités du système nerveux central. La syphilis congénitale, qui dans les
e d'une vésicule quelconque entraine fatale- ment celle des système nerveux qui y prennent leur origne ou qui s'y terminent
ondaires, consécutives au manque de développe- ment de la substance nerveuse . IL T. RYBAKOFF. Contribution à la pathologie d
eff. Un cas de désagrégation aiguë de la ntyé- line dans le système nerveux central et périphérique ; sarcomes mul- tiples.
limites de la Psychiatrie et empiéter sur celle de la Patho- logie nerveuse proprement dite. Mais, si le rôle considérable
, quels qu'ils soient, ont une prédilection marquée pour le système nerveux et on s'étonnerait à bon droit que seuls, les p
tentatives heureuses, de résultats [définitifs. L'étude du système nerveux central et notamment des lésions des cellules d
es perfectionnées, quelques-unes des fines altérations des éléments nerveux réalisés dans les cérébropathics toxhémiques'.
nces nuisibles fabriquées qui produisent une irritation des centres nerveux , d'où, comme conséquence, le délire'. Le Dr S
iciel, l'eau oxygénée, l'opothérapie, les reconstituants du système nerveux , peu- vent rendre les plus grands services. Q
THOLOGIQUES. XVI. Sur les phénomènes de réparation dans les centres nerveux , après la section des nerfs périphériques ; par
spongio-plasmasout les agents du changement de volume de la cellule nerveuse . La réparation se fait, d'une façon générale, d
s de Mal de Pott ; par William G. SPILLER, professeur de Pathologie nerveuse à la polyclinique de P7tiladelphie. {Bulletin d
microbienne, et des toxines dérivées dans la genèse des affections nerveuses centrales et périphériques; par Th. Blizzard. (
ance, les affinités électives de certaines toxines pour les centres nerveux (diphtérie par exemple). 11 passe ensuite en revu
e début des premiers accidents. ' L'étude histologique du système nerveux a fait constater l'inté- grité des nerfs périph
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XXXI. L'élément conducteur du système nerveux et ses relations topographiques avec les cellul
e, dans la continuité de la fibre primitive conductrice. Le système nerveux est anatomiquement ininterrompu, au même titre
titre que le système circulatoire. Les cellules ganglionnaires et nerveuses sont essentiellement différentes. Les cellules
nnaires et nerveuses sont essentiellement différentes. Les cellules nerveuses sont analogues à la cellule musculaire et produ
aires produisent l'impulsion qui doit être conduite et les cellules nerveuses produisent la substance conduc- trice. Une ce
ules nerveuses produisent la substance conduc- trice. Une cellule nerveuse est généralement en connexion avec plu- sieurs
nglionnaire peut, de même, être en relation avec plusieurs cellules nerveuses ; mais une cellule sensorielle n'est en relation
ne voit aucun réseau dans le protoplasma périnucléaire des cellules nerveuses . Dans le corps de la cellule ganglionnaire la f
? 21ly, j juillet 1898.) E. B. XXXII. Modifications des cellules nerveuses dans les maladies somatiques ; par le D1' Iloci
iques ; par le D1' Ilocii. En étudiant les altérations des cellules nerveuses dans le labo- ratoire du Dr 1\issl, à Heidelber
'auteur a été frappé de la fréquence des modifications des cellules nerveuses de l'écorce dans les maladies les plus variées
confirma- tion de la doctrine du neurone. Pour Apathy, le système nerveux est composé de deux variétés d'éléments cellula
ts cellulaires entièrement différents l'un de l'autre, les cellules nerveuses et les cellules ganglionnaires. Une fibre nerveus
e, les cellules nerveuses et les cellules ganglionnaires. Une fibre nerveuse sort du prolongement d'une cellule nerveuse et
nglionnaires. Une fibre nerveuse sort du prolongement d'une cellule nerveuse et traverse un certain -nombre de cellules gang
novembre 1898.) E. B. XXXV. Des difformités congénitales du système nerveux central par Nicolas SOLOVTZOFF. (Noua. Iconogr.
L'hydrocéphalie interne provoque différentes difformités du système nerveux central : absence de l'écorce, du pulvinar et des
t dysphagie pour l'autre. A l'autopsie, dégénérescence des cellules nerveuses médullaires dans les groupes correspondant-aux
toxine agissant directement et sur l'élé- 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ment nerveux et sur l'élément vasculaire. Enfi
irectement et sur l'élé- 320 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. ment nerveux et sur l'élément vasculaire. Enfin les progrès de
ef la dégénérescence artérielle. F. Boissier. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XLIV. Goitre exophtalmique avec symptôme ocula
'aphasie ; il ne présentait que celle variété REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 321 1 d'anarthrie indûment appelée par eertain
? 1. B. Archives, 2' série, t. VII. 21 322 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1L1\. Un cas de tétanos suivi d'autopsie; par
s auteurs, le tétanos est une infection qui peut toucher le système nerveux de façons diffé- rentes et dans les points les
e mais encore injustement dégradante pour les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 323 victimes de cette affection. Il était néce
té de l'organisme. Si la quantité de car- 324 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . bamate d'ammonium est trop grande pour que ce
é. (Revue neurologique, décembre 1898.) E. B. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 35 LUI. Paralysie pseudo-bulbaire; par le D1'
lle se caractérise par le dépôt de masses 326 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . osseuses dans le tissu conjonctif des muscles,
ite ossifiante progressive semble provenir d'une lésion des centres nerveux ; le processus ossifiant constitue un trouble t
et lymphatique, ou bien dans une déviation du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 327 processus d'ossification. Pour les auteurs
es craquements arti- culaires. R. C. 328 8 [REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LVIII. Sur un cas de tachypnée hystérique seco
ent dans un certain nombre de cas de maladies organiques du système nerveux , notamment dans la paralysie générale, dans la
ncoordonné depuis deux ans, tombe et se casse REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 329 9 la jambe droite. Après une immobilisatio
Observation I. Paysanne, âgée de cinquante-cinq ans, dont le père, nerveux , était affecté d'une scoliose. Parésie du bras dr
ris. Prix Portai : 600 francs. Question : Des lésions des centres nerveux et des reins, causées par la toxine du tétanos et
mari nous apprennent que le père de 111°1° H... a toujours été très nerveux et excentrique ; en outre, il faisait fréquemment
r complètement. La mère de notre malade, qui était également très nerveuse , est morte de tuberculose pulmonaire. Une tante m
un ans, elle eut dans les premiers temps de son mariage des crises nerveuses caractérisées par une sensa- tion d'ctounément
conversations avec ses voix. Or, la mère de cette malade était très nerveuse , elle avait fré- quemment des crises d'étouffem
rmes aiguës et subaiguës de la folie, calmer l'éréthisme du système nerveux par des moyens appropriés : balnéation prolongé
upille sont dilatés, les artères peut-être un REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 359 peu rétrécies. La papille du nerf optique
. Le sens des couleurs a été trouvé normal. ° REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . LXI. Myopathie primitive et progressive avec a
onévrotiques; les muscles super- ficiels sont amaigris. Les racines nerveuses et les prolongements périphériques jusque dans
tissées, les débris de fibres musculaires 360 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ont l'apparence de feuilles de membranes hydat
nce polychromatophw- lique des globules sanguins ; les terminaisons nerveuses dans ces débris musculaires sont dépourvues de
comme causes des diffé- rentes difformités congénitales du système nerveux central; par Nicolas SOLO-fZOI11. (1OLLU. Icoao
rsuivant ses recherches sur les difformités congénitales du système nerveux central, l'auteur présente quatre nouvelles obser
s néo-formations vascu- laires, résulte la déformation des éléments nerveux , l'exsudation du liquide lymphatique dans le ce
lis et con- clut que toutes les difformités congénitales du système nerveux central ont pour cause la syphilis héréditaire.
ur laquelle l'auteur appelle particulièrement REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 361 l'attention (distribution particulière de
s-normal, de façon à endiguer, pour ainsi dire, l'énergie, la force nerveuse qu'ils représentent et qui, sans cela, resterai
urs les médecins neurologistes vous étudiez et soignez les maladies nerveuses qui n'altèrent pas, du moins en apparence, l'ét
re maison de santé consacrée au traitement des maladies mentales et nerveuses ; son initiative et ses efforts furent couronnés
des altéra- 378 SOCIÉTÉS SAVANTES. tions anatomiques du système nerveux périphérique et central. Le délire interprète d
élire interprète des sensations réelles. Ces altérations du système nerveux sont peut-être la conséquence d'auto-intoxication
sycho- névrose serait à la fois la cause et\le résultat des lésions nerveuses . Jl faudrait alors faire intervenir, dans la pr
es intoxications, l'alcoolisme, par exemple, influencent le système nerveux périphérique, éveillent des sensa- tions pénibl
stinaux, de l'anesthésie viscérale, ou. même des lésions du système nerveux . Ici, il est incontestable que le délire des né
de réaliser tant de progrès dans le domaine des maladies du système nerveux . M. le D'' Lalanne (de Bordeaux) apporte une ob
rique, j'avais la douleur provo- quée par la pression surles troncs nerveux et la masse musculaire, la réaction de dégénére
ntéressant d'apporter notre contribu- tion il l'étude des accidents nerveux de l'influenza : c'est pourquoi nous avons eu l
istoire de la distribution mélamérique ou segmentaire des symptômes nerveux ne parait pas achevée. Cette étude a principale
e du pied en équin, douleurs spontanées et à la pression des troncs nerveux , exagération des réflexes tendineux ainsi que d
la lésion, en distinguant le tremblement SOCIÉTÉS SAVANTES. 397 nerveux périphérique, le tremblement radiculaire et le tr
de sa descendance. Le neurasthénique a perdu l'équilibre du système nerveux . Un surme- nage quelconque (fonctionnel, émotif
etc.) a fatigué le point trop excité d'abord, puis tout l'appareil nerveux . Mais pour cela il a fallu une prédisposition a
intervention médicamenteuse. Les lésions Itisiologiqiies du système nerveux central dans la chorée chronique héréditaire.
ouse) a eu l'occasion de praliqner l'examen histologique du système nerveux central d'un sujet atteint de cho- rée chroniqu
s rotuliens; parésie atrophique des membres inférieurs ; les troncs nerveux sont dou- loureux. Affaiblissement de la mémoir
olition des réflexes cutanés, crémastérien et abdominal. Les troncs nerveux sont souvent douloureux à la palpation. Légère
nets (Séglas et Chaslin), souvent on ne relève que de l'épuisement nerveux avec ou sans altération céré- brale organique p
utes les fois en un mot qu'il y a diminution de vitalité du système nerveux , la volonté et l'attention peuvent faiblir, et pe
tion du service militaire VARIA. ' 429 9 pour cause d'affection nerveuse à ceux d'exemption pour bégaye- ment, l'on voit
e plus clairement, chaque jour, que le bégayement est une affection nerveuse . Dès lors il n'y a rien d'extraordinaire à lui
a rien d'extraordinaire à lui voire suivre la marche des affections nerveuses . La statistique a montré à M. Chervin que 1.000
: Un jeune homme de l'arrondissement de Bayeux, atteint d'un mal nerveux , a été interné à l'asile du Bon-Sauveur de Caen e
l3ouclarcl. Séglas. Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses , et communications au Congrès d'Angers, 1898. Ron
générale reste bonne. M. B..., âgé de quarante ans, fils d'un père nerveux , exalté, très original, et d'une mère hypochond
riginal, et d'une mère hypochondriaque,a toujours été lui-même très nerveux , très impressionnable, fort intelligent d'ailleur
gayement comprend d'une part les moyens qui agissent sur le système nerveux en général, de l'autre, elle cherche à faire di
s dans la moelle lombo-sacrée et de la vacuolisation des cellules nerveuses ; par les L)I, Van Cishuciu'en et de l3uci.. Les
au niveau de la moelle lombo-sacrée, deux groupements de cel- lules nerveuses ou noyaux qui sont en rapport avec l'innervation
action de ce bacille nouveau se porte spécialement sur les cellules nerveuses , dont les auteurs décrivent les lésions dans le
s que le signe de Westphal. f XLVL Des altérations des cellules nerveuses provoquées par l'ar- senic ; par le Dr SouMi.4K
LOGIE PATHOLOGIQUES. 475 'J rapidement des altérations des cellules nerveuses de la moelle qui peuvent se résumer ainsi : 1°
de qui s'échapperait de l'organisme vivant au niveau des extrémités nerveuses , nerfs périphériques et organes des sens. Nous
re concerne une femme de cinquante-sept ans ayant eu deux attaque-; nerveuses présentant le tableau clinique com- plet de la
le quinzième jour de l'intoxication, il survient une susceptibilité nerveuse , une impressionnabilité remarquables. L'animal
aiguë. Autopsie. - Congestion des poumons, des reins, des centres nerveux . L'examen histologique de la moelle montre un asp
elques nerfs rachidiens, on voit une assez grande quantité de tubes nerveux dégénérés. Sur un certain nombre de points du s
ances, symptomatique d'un trouble organique ou dynamique du système nerveux , d'une ma- nière accessible ou non à nos moyens
utilité incontes- table dans un grand nombre de maladies du syslème nerveux , à la condition qu'on le prescrive à doses conv
le l'incapacité totale de ill.- créer, par bturgis, 152. CELLULES nerveuses . Modifications z les maladies soma- tiques, p
tions des causées par l'arsenic, pir Souklranoff, 474. Centres nerveux . Sur les p Il 61101llè- nes de réparation dans
rucu- lalres, par Féré, 327. Les lésions histologiques du système nerveux central dans la - chronique téré- ditaire, Il
on, 399. Délire aigu, par Coston, 213. Modi- liuatiun Hescrllules nerveuses dans un cas de et dans un cas de delirmn trem
PH\HE et Ilydromyélle comme source de diverses mons- z du système nerveux cen- iral, par Solovizow, 250. L' et l'hulrom
comme causes des différentes difformités conéni- tales du système nerveux central, par Solovtzolf. 336. Sur un cas d' h
omme cause des différentes dif- loruiités congénitales du système nerveux , 360. Hydrocéphalie et- comme source de diverse
océphalie et- comme source de diverses mons- truosllés du système nerveux central, par Sulowzow, 250. li I'Fnw uaosE uu
icrobienne et des toxi- nesdélivees dans la genèse des affections nerveuses centrales et périphériques, par Blizzard, 309.
iai-atidoii de bloiityel, 189. - Sur les altérations des cellules nerveuses de la cellule pyrami- dale, en particulier dans
e la et de l'é- criture, par Itosa, 306. Pathologie de la cellule nerveuse . Contribution à la et de ses prolongements, p
sions éten- dues des uelfs crâniens, par Pres- ton, 61. Système nerveux . Clinique des ma- ladies du -, par Raymond, 16
76 (1904) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 17]
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALA
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA. SALPÊTRIÈRE LA MALADIE DE PARK
evant vous, aujourd'hui, plusieurs malades atteints d'une affection nerveuse encore énigmatique à bien des points de vue. En
certitude, si elle reconnaît pour cause une altération des centres nerveux ou des nerfs périphériques, s'il s'agit d'une myo
bre de sa famille n'ont jamais eu ni rhumatismes, ni manifestations nerveuses : cependant, le malade dit que, depuis l'âge de
rations des dendriles. J'en aurai fini avec les lésions des centres nerveux , quand je vous aurai (1) ROLLIER, Arch. f. path
rondes, et sans lésions des fibres musculaires, des ter- minaisons nerveuses ou des vaisseaux sanguins. Schwenn n'hésita pas à
postérieurs dans son magnifique ouvrage sur l'anatomie des centres nerveux (1). « Nous avons déjà dit, en traitant des cel
ésenter aussi des corps granuleux indiquant une altération des plus nerveuses . Tout permet de conclure que tel est le mode de
ysiologie pathologique, principalement dans les maladies du système nerveux (2). Les empreintes prises à des intervalles dé
CZARNIECKI (de Moscou) La morphologie des dendrites des cellules nerveuses des tubercules qua- drijumeaux antérieurs et po
ntage aux modifications que subissent les dendrites et les cellules nerveuses des tubercules quadri- jumeaux sous l'influence
t pas préoccupée de l'aspect extérieur des dendri- tes des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux dans les conditions
très marquée entre l'as- pect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadri- jumeaux antérieurs et de
ules quadrijumeaux postérieurs ; de plus les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux anté- rieurs étaie
ntérieurs , partie périphérique. - Ici se rencontrent -des cellules nerveuses (V. fig. 1) avec des dendri- tes ; celles-ci pa
- bercule quadriju- meau antérieur du lapin. Fig. 3 ? Cellule nerveuse de la partie périphérique du tubercule quadriju
ue du tubercule quadrijumeau antérieur du lapin. ring. 4. - remue nerveuse ae ia partie ventrale au tubercule quadrijumeau
ercules quadrijumeaux antérieurs. -Ici les den- drites des cellules nerveuses (V. fig. 4) attenant au corps cellulaire par le
Tubercules quadrijumeaux postérieurs. - Les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux postérieurs, bientôt
x en grande quan- tité. Souvent il arrive qu'on voit des éléments nerveux des tubercules qua- drijumeaux postérieurs (V.
es. En nous rappelant l'aspect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des régions plus souvent étudiées par la méthod
aci- lement en venir à la conclusion que les dendrites des cellules nerveuses des tubercules quadrijumeaux antérieurs ont la
semblance par leur aspect extérieur avec les dendrites des cellules nerveuses de la moelle épinière. Il existe une grande res
ne antérieure de la moelle épinière et les den- drites des cellules nerveuses de la partie ventrale des tubercules quadri- ju
jumeaux antérieurs d'un côté ; et entre les dendrites des cellules nerveuses de la corne postérieure de la moelle épinière e
rne postérieure de la moelle épinière et les dendrites des cellules nerveuses de la partie périphérique des tubercules quadriju
s tubercules quadrijumeaux antérieurs nous rencontrons des cellules nerveuses , dont les dendrites s'étendent à une grande dis
Devic ; elle vient à l'hôpital, parce qu'elle présente des troubles nerveux qui la rendent incapable de gagner sa vie. Anté
paces d'Obersteiner apparaissent sous forme de lacunes où l'élément nerveux ne se devine qu'à la présence d'une petite masse
rière la tumeur : le (1) In Rosenthal, Traité des maladies du syst. nerveux , p. 185. (2) Progrès médical, 1880. (3) Trait
, p. 185. (2) Progrès médical, 1880. (3) Traité clinique du syst. nerveux . (4) l\1ediz-Jarhbücher, 1865. (5) In Nothnag
relève de phénomènes de compression et de destruction de faisceaux nerveux . Mais, dit Klippel (2), toute tu- meur comprime
econdaire sur des lésions atrophiques et dégénératives des éléments nerveux qui ont été pour elle comme un point d'appel.
nse des noyaux de la Xe paire, avec disparition complète des fibres nerveuses . Dans les corps rectiformes, la partie intense
plète des faisceaux de Goll : il n'y reste plus que de rares fibres nerveuses . Les faisceaux de Burdach sont moins alté- rés,
blement lésées ; si dans leur intérieur on peut voir quelques fibres nerveuses qui semblent encore intactes, la plupart sont e
ARCOT, Leçons du mardi, 1887-1888. (5) Raymond, Maladies du système nerveux , 1894. (6) LADAME, Rev. méd. de la Suisse roman
ondants avec émission de sang pur rutilant, et une dyspnée purement nerveuse , à type spécial : dyspnée expiratoire, avec eff
ndamental de la nutrition, ou le trouble des organes ou des centres nerveux qui les commandent, on observe que la lésion pl
mais sont considérées comme telles) où l'on retient que la cellule nerveuse a subi dans la vie intra-foetale une évolu- tio
e cas de l'idiotie. Il y en a d'autres, au contraire, où la cellule nerveuse , qui a évolué d'une façon normale et complète,
es couturières. Les idiots sont réfractaires au travail. La cellule nerveuse qui a subi une lésion peut-être depuis la vie i
lus souvent de petite taille, (1) BRISSAUD, Leçons sur les maladies nerveuses , t. I, p. 605, 1893-1894, t. II, p. 417 et sq.,
a partie interne : Ces oedè- mes seraient donc réglés par la lésion nerveuse . Mais à côté d'eux, il reste un groupe d'oedème
de la précocité de cet oedème, qu'il était bien un oedème de cause nerveuse . M. Gombaut le rattache du reste à une lésion d
avril 1904). Ce cas nous semble devoir être rangé dans les oedèmes nerveux à cause de sa précocité (il est apparu une heur
t : leur pathogénie peut donc être différente : il s'agit d'oedèmes nerveux , alors que nos cas sont des oedèmes cardiaques
elle- mont, de Gombaut, le cas de Gilbert et Garnier, que la lésion nerveuse pro- voque seule l'oedème ou le pseudo-oedème.
rvation cli- nique. On peut réaliser l'oedème en excitant un plexus nerveux , telle l'ex- citation de l'anse de Vieussens da
icité des cellules des capillaires. C'est que, en effet, le système nerveux règle, non seulement le calibre des capillaires e
anes une action véritable- ment trophique. Les troubles de l'influx nerveux retentissent donc à la fois sur la perméabilité
iltrantes et sur l'équilibre molécu- laire des tissus ; et l'oedème nerveux n'est pas seulement un oedème vaso- moteur, c'e
tisme, un refroi- dissement,ajouter son action à celle de la lésion nerveuse elle-même et faire apparaître cet oedème, jusqu
ôt, avec la brusquerie qui caractérise les manifestations d'origine nerveuse . En résumé, pour nous, l'oedème du membre hémip
de D..., pas d'alcoolisme certain des frères et soeur, pas de tares nerveuses . Rien à signaler dans les antécédents collatéra
hilis. Ethylisme (pituite, tremblement des mains). Aucun antécédent nerveux , pas de convulsions dans l'enfance, pas d'incon
s nerfs. Il n'existe pas de tumeurs en série le long des bran- ches nerveuses sous-cutanées ni au niveau des gros troncs nerveu
des bran- ches nerveuses sous-cutanées ni au niveau des gros troncs nerveux : pas de névromes plexiformes. L'examen du fond
fréquentes. Zéglie- ^ ment léger, sans embarras de la parole. Très nerveux , émotif, impressionna- ble, D... éprouve des ma
et à leur sortie des ganglions, et d'apprécier l'état des cellules nerveuses , suivant qu'elles occupent les régions circonfére
tés jusqu'ici inconnus ou obscurs dans l'architecture de la cellule nerveuse , la solution de certains, problèmes anatomo-pat
es terri- toires ganglionnaires qui ne contiennent plus de cellules nerveuses , alors que les territoires adjacents sont très
bserver pour les cellules en voie d'atrophie. Le noyau des cellules nerveuses est plus ou moins bien coloré, de volume propor
ement très intéressant, on y trouve de grosses lésions des éléments nerveux et du tissu interstitiel. Un grand nombre de NO
il y a des territoires qui sont complètement dépourvus de cellules nerveuses et à leur place on voit des placards de tissu f
aux. La capsule gan- glionnaire est peu épaissie. Quelques cellules nerveuses contiennent des boules de graisse colorées en n
s cellules capsulaires font corps avec le protoplasma de la cellule nerveuse en voie d'atrophie : lorsque les cellules nerve
ma de la cellule nerveuse en voie d'atrophie : lorsque les cellules nerveuses sont très atrophiées, les cellules capsulaires
ar... Tabes datant de dix ans. 1er ganglion sacré droit. - Cellules nerveuses contenues dans une capsule épaissie, fibreuse e
né- trer dans la profondeur de celui-ci, d'autre part, des cellules nerveuses d'as- pect normal ou atrophiées comprises dans
malgré cette disposition si spéciale des cap- suies, . les cellules nerveuses peuvent conserver leur vitalité, c'est que sur
oliférations des cellules capsulaires, mais la plupart des cellules nerveuses sont normales ; les vaisseaux sont assez nombre
cellules sont transformés en tissu hyalin. Les capsules des cellules nerveuses ne sont pas très augmentées, elles sont plutôt
es atrophiées sont très étroites, allongées dans le sens des fibres nerveuses au milieu desquelles on les distingue difficileme
us gros qu'un gros leucocyte. La surcharge pigmentaire des cellules nerveuses n'est pas exagérée. La place des cellules nerve
re des cellules nerveuses n'est pas exagérée. La place des cellules nerveuses disparues est occupée par quelques cellules capsu
- fération capsulaire (fig. 5). La réduction simple de la cellule nerveuse , sans prolifération des noyaux constituant les
est une constatation importante; en effet, en présence de cellules nerveuses atrophiées entourées d'une capsule proliférée,
ement cette manière de voir et d'envisager l'atrophie de la cellule nerveuse et la prolifération capsulaire, comme deux phén
dans ces coques fibreuses on voit quelquefois s'aboucher une fibre nerveuse myélinisée dont la nutrition ne semble nullement
ns normaux, surtout chez les sujets* âgés. Le noyau de la cellule nerveuse subit ordinairement des modifications semblable
concerne le point qui nous occupe, c'est-à-dire l'état des cellules nerveuses ; il n'y a aucun rap- port à établir entre le d
é faites chez des adultes qui n'avaientpas succombéà une 'affection nerveuse ; et certains auteurs ont pensé que normalement un
un ganglion rachidien dans lequel il n'y ait pas quelques cellules nerveuses en voie de désintégra- tion. Le fait paraît mêm
ues. On est revenu plus récemmentsur cette destruction des cellules nerveuses chez les animaux âgés, et on a prétendu trouver d
ion de l'hypothèse formu- lée par IIodge, à savoir que les cellules nerveuses s'usant peu à peu meurent dans le cours de la v
le important dans les pro- cessus de la mort-physiologique du tissu nerveux . Ceci nous amène à parler des proliférations ca
apsulaires se disposent en plusieurs as- sises autour de la cellule nerveuse , et sont toujours entremêlées de fibres conjonc
ion de la capsule ait pour conséquence la destruction de la cellule nerveuse : il est plus probable que celle-ci pré- cède c
que les cellules capsulaires n'interviennent que lorsque la cellule nerveuse est déjà en voie de désagrégation. Les proliférat
signalées, par Kolesni- (1) Pugnat, De la destruction des cellules nerveuses par les leucocytes chez les animaux âgés, Soc.
nous ont précédés, de toutes les modifications que subit la cellule nerveuse au cours du tabes, il n'en est qu'une qui doive
ouver en présence d'une raréfaction aussi considérable des cellules nerveuses , alors que les fibres qui émergent au pôle péri
nés Ù supposer et à déduire que l'influence trophique de la cellule nerveuse est beaucoup moins effective pour la racine pos
sont pas suffisantes pour dé- celer les lésions fines des cellules nerveuses , mais elles le sont pour bien fixer leur morpho
nous ferons remarquer cependant que dans les affections du système nerveux dont le substratum anatomique est une altératio
te et de désintégration, qui aboutit à la disparition de la cellule nerveuse . 2° Malgré leur importance et leur fréquence, i
ia- mètres. Atrophie et disparition d'un grand nombre de cellules nerveuses , remplacées en partie par des amas capsulaires.
ées d'un amas de protoplasma assez volumineux. - Plusieurs cellules nerveuses en voie d'atro- phie. Epaississement du tissu i
nombreuses; enlin, dans les cornes antérieures, les rares cellules nerveuses qui subsistent sont ou granu- leuses et jaunâtr
iltration hémorrhagique légère qui parait avoir dissocié les fibres nerveuses de la zone antéro-interne de Westphall et de la
ires, des lésions du canal épendymaire, et des lésions des cellules nerveuses . Les lésions congestives légères, consistant en
dymairesdans les Ille et IVe segments. ' Les lésions des cellules nerveuses , étudiées par la méthode de Nissl, sont intéres
rne antérieure droite sans hémorrhagie du IVe segment, les cellules nerveuses , très nombreuses, sont en chromato- lyse et car
montre des altérations cellulaires très nettes. Toutes les cellules nerveuses sont altérées, toutes sont en chromatolyse tota
- Xvii 16 246 LA1GNEL-LAVASTINE nution de vitalité des cellules nerveuses probablement sous. la dépendance de l'index ner
des cellules nerveuses probablement sous. la dépendance de l'index nerveux tonique fourni par la moelle. Après l'analyse q
raumatique, des lésions de chromatolyse très accentuée des cellules nerveuses des cornes antérieures de la région trau- (1) V
. Déjà 21 heures après le traumatisme, non seu- lement les cellules nerveuses , au voisinage immédiat des hémorrhagies, mais c
la moelle dorsale. Nous serions donc ici en présence de ces lésions nerveuses à distance qui démontrent, mieux que toutes les e
itesse de la solidarité qui unit les différents éléments du système nerveux . ' (1) V. HALLION et Laignel-Lavastine, Soc. de
rents à la nature humaine, unifiés par la pathologie, la pathologie nerveuse . La procession dansante d'Echternach était une
e celles des voisins et des voisines. Et quant aux grandes attaques nerveuses , je n'en ai point vu.. . , Elles étaient, dit-o
de l'alaxie locomotrice et de quelques autres maladies du sys- teme nerveux . Un cas de syringomyélie, en collaboration avec
de l'alaxie locomotrice el de quelques autres ma- ladies du système nerveux . En 18892, Considérations sur la médecine vibra
. Enfin, il s'est efforcé d'isoler une forme morbide, « affection nerveuse caractérisée par de l'incoordination motrice acco
été l'objet de diagnostics variés : hystérie, syphilis des centres nerveux , neurasthénie et particulièrement migraine opht
s récupérassent leur mobilité ». Leçons sur les maladies du système nerveux , 1901. 5. s., p. 340. (2) Oppenheim : Die myast
e. HOSPICE DE LA SLPI;'T1t11;tiE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . PARALYSIE DES NERFS CRANIENS D'UN COTÉ ' ET
er, vient consulter, en novem- bre 1903, à la clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière pour une para- lysie faciale e
ngiennes des deux doigts auriculaires. Pour en arriver aux troubles nerveux qui ont amené le malade à consulter, disons qu'
atteints, chez ce malade, par le processus morbide. Ces troubles nerveux , vu leur étendue, ne peuvent être rattachés qu'à
e, ne peuvent être rattachés qu'à une compression des divers troncs nerveux ; une lésion centrale d'abord ne serait pas auss
i is 282 rose strictement unilatérale et l'extension des lésions nerveuses intra-crànien- nes, ensuite par les déformation
fance, nous pensons que ce malade est atteint d'accidents osseux et nerveux d'origine hérédo-spécifique. NOUVELLE ICO¡';O
e aîné et de la soeur du malade dont nous pûmes examiner le système nerveux . François Hand..., père éthylique. Dysenterie e
jusqu'à la hauteur du Nucl. XII. Une diminution énorme des cellules nerveuses dans les cornes anté- rieures ; celles qui rest
nnes de Clarke très altérées, très pauvres en cellules et en fibres nerveuses . Dédoublement du canal central dans les parties i
d'une couleur normale. Examen microscopique. - Les parties du tissu nerveux central furent. conservées et durcies dans un m
re. Ce fait est encore aug- menté par la circonstance, que le tissu nerveux se colore dans le cas de Louis Hand..., très di
ns toute la moelle. Mirto (7) signale un amincissement du réticulum nerveux avec atrophie des cellules : la région dorsale
, le processus serait une dégé- nérescence primaire de la substance nerveuse , sans prolifération conjonc- tive, ayant son po
ns vasculaires syphilitiques pourraient être la cause de l'atrophie nerveuse « primitive ». La théorie rétinienne de l'amaur
hie des cellules gan- glionnaires est secondaire à celle des fibres nerveuses ; les cellules gan- glionnaires peuvent d'ailleu
omparaison les rétines de 4 sujets normaux ou atteints d'affections nerveuses diverses et de 2 sujets atteints de cécité, mai
s plus internes, cellules multipolaires ou ganglionnaires, cellules nerveuses d'où partent directe- ment les fibres optiques.
à faire d'après une image un diagnostic plus précis des mouvements nerveux qu'elle cherche à ridiculiser; signalons seulem
blance avec certains phénomènes qu'on observe au cours d'affections nerveuses et mentales. Les uns, comme Calmeil, les ont décr
di- vidus qui la composent, pris isolément, soit atteint de maladie nerveuse ou mentale. De même qu'il existe des lois biolo
çon, par une sorte d'effet de sommation d'une infinité de décharges nerveuses . Ce sont, si l'on veut, des réflexes collectifs
au séminaire. Ce surmenage cérébral s'ajoutait à une prédisposition nerveuse particulière, dont nous relevons des traces dan
s muscles de la face en particulier. Il n'a ja- n mais eu de crises nerveuses , il n'y a pas de signes d'une syphilis antérieure
U ET DE LA FACE 341 tare, une faiblesse particulière de son système nerveux . Sans doute les' tracasseries, les sarcasmes au
ouvent du tronc et des (1) GIiASSET et RAUZIER, Maladies du système nerveux , t. II, p. 554. 342 GAUSSEL membres à l'agita
de nous (1) ; nous ne nous y arrête- rons pas. Le reste du système nerveux , moelle épinière et méninges rachi- diennes, ga
essés que les muscles du bras et de la cuisse. 2° Examen du système nerveux . - Notre examen a porté sur le système nerveux
2° Examen du système nerveux. - Notre examen a porté sur le système nerveux central, encéphale et moelle, et sur les nerfs pé
uis longtemps décrit des processus de calcification dans le système nerveux central ; c'est surtout dans le travail cle lIubr
e. ' B. - Dépôts calcaires autour des capillaires et en plein tissu nerveux sans relation avec les vaisseaux. Calola. )
s sont disposées soit autour des vaisseaux, soit au milieu du tissu nerveux sans relation, au moins apparente, avec l'éléme
culaires. En effet, nous pouvons rencontrer au beau milieu du tissu nerveux des formations calcaires de volume variable iso
très démons- trative la disposition interstitielle, en plein tissu nerveux , sans la moindre re- lation avec l'élément vasc
pas plus que l'examen macroscopique des lésions grossières du tissu nerveux environnant les formations calcaires : tout au
eaux sanguins et disséminés dans les espaces interstitiels du tissu nerveux . Les cellules ganglionnaires du noyau lenticula
n'avons pas suffisamment insisté est représenté de l'état du tis.su nerveux qui se trouve immédiate- ment autour des vaisse
ement, que dans le mécanisme des lésions désin- tégratives du tissu nerveux juxta-vasculaire, les lésions de perméabi- lité
cause de l'atrophie du nerf optique. Les partisans de la théorie « nerveuse » l'em- portent cependant sur les partisans de
uf en haut et en bas ; les bandelettes étaient dépourvues de fibres nerveuses , sauf sur leurs bords postérieurs. D'après cet ex
phies seraient dues à une compression, à un étranglement des troncs nerveux . On peut dire en somme que toutes les opinions
ne du- rale, à demi-vidée, est lâche et se plisse. Quand l'atrophie nerveuse est limitée à une portion périphérique du nerf,
ERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIOUC 363 presque totale des fibres nerveuses ; certains nerfs presque privés de fibres (nerf
nerf un autre processus qu'une simple atrophie sur place des fibres nerveuses : l'examen histologique nous a en effet expliqu
Weigert, on arrive à y trouver la coupe d'au moins quelques fibres nerveuses isolées. Sur une Fig. 1. Chiasma de tabes-céc
ellules névrogliques, qu'il y a dans le nerf, à la place des fibres nerveuses disparues, une abondante prolifé- ration névrot
oyaux nombreux, probablement névro- gliques. Presque plus de fibres nerveuses . Lymphocytes extrêmement nombreux entre l'arach
tement perpendiculaire à la direction du Fig. 2. 366 LÉRI tronc nerveux , mais un peu obliquement. L'aspect du nerf se rap
emblent à demi- indépendants de ce qui représente le reste du tissu nerveux , et une ligne blanche marque souvent la limite
us étroites peut-être par le seul fait de la disparition des fibres nerveuses qu'elles contiennent, mais ce qui nous paraît ind
les nerfs optiques de notre malade, Bout... par exemple, des fibres nerveuses existent encore dans tous les faisceaux, mais ass
pas seule- ment sur lui-même par suite de la disparition des fibres nerveuses . Ces lésions sont-elles spéciales à l'atrophie
sclérose « nodulaire ». Ce nerf, qui ne contient plus aucune fibre nerveuse , a à peine le tiers du volume d'.un nerf normal.
ose « trabéculaire ». Ce nerf, qui ne contient presque plus de fibres nerveuses , a cependant conservé à peu près le volume d'un
des conjonctives, les parties claires sont les restes des faisceaux nerveux contenant quelques rares fibres éparses. e) N
asculaires, l'obturation des vaisseaux et la disparition des libres nerveuses . La méninge est très épaissie et infiltrée de lym
eaux sont perméables au cen- tre des nodules. Quelques rares fibres nerveuses éparses. Lymphocytes, épaississe- ment de la ga
n- core un globule rouge à leur centre. Très petit nombre de fibres nerveuses . Grosse lymphocytose et épaississement des gain
de quantité de travées vasculo-conjonctives, presque plus de libres nerveuses , très gros épaississement de la gaine piale avec
njonctives, l'obturation des vaisseaux et la disparition des fibres nerveuses . L'évolution de ce processus est représentée par
ié à la suite d'une lésion d'origine externe : obj. 8. - Les fibres nerveuses semblent avoir vidé leur gaine, ce qui donne à la
es conjonctives sont épaissies relativement au volume des faisceaux nerveux vidés, mais la fasciculation est restée la même q
nombreux et plus ou moins obturés ; les faisceaux, vides de fibres nerveuses , ont un aspect finement va- cuolaire. Il semble
e énorme des travées vas- culo-conjonctives. Disparition des libres nerveuses . Méningite intense. PLANCHE LU p, q, r, s) Dé
rale avec amblyopie. - La totalité du pourtour est privée de fibres nerveuses , les vaisseaux très nombreux y sont com- plètem
omi- nante ; dans le nerf optique comme dans l'ensemble des centres nerveux (dans le tabes ou la paralysie générale par exe
termédiaire de l'appareil circulatoire, sur la vitalité des éléments nerveux ? ' ! Nous ne poussons pas si loin l'absolutism
mettre que celte action directe est limitée à certains des éléments nerveux , car, comme nous l'avons dit, dans presque tous.n
othèse d'une action élective du virus syphilitique sur les éléments nerveux , elle ne permet cependant pas d'en éliminer la
fait que se rétracter au- tour des faisceaux vidés de leurs fibres nerveuses (nerf de Faur..., de Ga- ra... p. ex.). En ré
rf se trouve privé de vaisseaux perméables et l'atrophie des fibres nerveuses s'explique par leur défaut d'irrigation sanguin
ne par une, en commençant par le pourtour des vaisseaux, des fibres nerveuses privées de leurs moyens de nutrition : ce process
ns, mais ayant conservé la notion du jour et de la nuit, des fibres nerveuses épar- ses encore assez nombreuses. HOSPICE DE
et leurs réactions lristochimidues tranchent vivement sur le tissu nerveux au sein duquel ils paraissent comme inclus. Tel
traversant la moelle sur une grande étendue, sans que les éléments nerveux voisins en paraissent en rien altérés; leur tis
n primitive de la moelle. Autour d'elle que deviennent les éléments nerveux ? La méthode de Pal montre qu'elle est générale
e en noyaux et surtout en fibrilles ; et dans cette zone les fibres nerveuses ont perdu leur gaine myélinique. Quant aux cyli
et aucune barrière ne sépare plus la perte de substance, des fibres nerveuses . L'hypertrophie de la névroglie est donc manifest
a nulle réaction névroglique, et elle paraît creusée à même le tissu nerveux (PI. LIV, fig. A). Il serait difficile d'identi
juge par la réduction énorme de la surface occupée par les éléments nerveux . Avant de rechercher à reconstituer l'évolution
autour de la région atteinte, la névroglie prolifère et les libres nerveuses perdent leur myéline. Tel semble être le début,
nt et s'entourant de faisceaux conjonctifs, écar- tent la substance nerveuse et délimitent un espace qui pourra ultérieurement
nctive va désagréger les tissus et isoler des portions de substance nerveuse appelées dès lors à disparaître : de minimes fent
nctive partent des tractus qui à leur tour morcellent le parenchyme nerveux voisin et en englobent de petites portions : de
replis sont formés de fibrilles tassées. Elles écartent le parenchyme nerveux créant des pertes de substances parallèles à le
ues petits vaisseaux réunis, s'enrobant ailleurs de quelques fibres nerveuses ; ou d'une véritable nappe de tissu nerveux. Il e
rs de quelques fibres nerveuses ; ou d'une véritable nappe de tissu nerveux . Il est évident qu'ils ne peuvent avoir perdu q
que partiellement leurs connexions avec les vaisseaux et les fibres nerveuses des régions saines, car leur nutrition en souffri
pathogénie analogue. Comment s'opère la destruc- tion de ces îlots nerveux et quels en sont les résidus ? L'étude des coupes
ts, entourée de tractus conjonctifs, qui occupe la place des fibres nerveuses . Remarquer aussi l'hyperplasie de la tunique ex
n irritative et destructive que ces lésions exercent sur les tissus nerveux voisins forment un complexus histologique qui par
ules détachés de la paroi, composés de petits vaisseaux et de tissu nerveux . , Les fentes sont limitées de côté et d'autre
mitants. 390 THOMAS ET UAUSEK Dans ces régions malades les fibres nerveuses ont disparu (méth. de Pals mais la réaction név
des vais- seaux, et des placards de dégénérescence hyaline du tissu nerveux . Il n'y a pas de végétations conjonctives ni de
constater des effets directs d'ischémie ; on ne trouve pas de tissu nerveux en voie de ramollissement aigu au sens propre du
lus particulièrement l'écartement, la dis- location de la substance nerveuse par des tractus végétants, le morcellement des
risé par l'hyperplasie de la névroglie et l'altération des éléments nerveux , peut dépendre direc- tement de lésions vascula
su coujonctif. Or, on se rappelle ces îlots, ces pelotons de fibres nerveuses mêlés de vais- seaux et que nous avons eu fréqu
rois vasculaires et sur les tissus de la paroi, névroglie ou fibres nerveuses , et contribue puissamment à l'extension des perte
njonctivo-graisseuse très notable dans l'in- tervalle des faisceaux nerveux . L. Muscles nrrléro-externes de la jambe droite.
celles que l'on est accoutumé à trouver à la suite soit de sections nerveuses , soit de lésions médullaires, dans la paralysie
a mère est morte à 68 ans. Il ne parait y avoir eu aucune affection nerveuse parmi les ascendants ou les collatéraux. Il a p
frère et une soeur plus âgés que lui qui ne présentent aucune tare nerveuse . Sauf de l'énurèse ayant persisté jusque vers l
s troubles trophiques se résume en trois faits : d'abord une lésion nerveuse 470 TREPSAT produisant souvent un trouble cir
dégénérescence chez l'homme sont, les unes pathologiques (maladies nerveuses et mentales ; intoxications diverses, alcoolism
e médecine vétérinaire de M. Cadéac sur la séméiologie du sys- tème nerveux des animaux (4). I Signes morphologiques OU s
énés et les idiots »i Leçons cliniques sur les maladies mentales et nerveuses . Salpètr. 4S8 i-94, recueillies et pu- bliées p
ré et Séglas, Rev. Antliropol. ,4586.- J. Sscnc.s, Leçons mentales et nerveuses , XXII" leçon, p. 110, et in G. Ballet, p. 87.
e immobilité, et la bouche égarée, symptôme observé chez des sujets nerveux , au caractère violent (tel Apremont, (ils d'Alert
signale des « troubles delà coloration dits tro- phiques d'origine nerveuse », l'albinisme des mammifères, etc. 11 Symptô
ymptômes et d'en rechercher la valeur sé- méiologique. A. Système nerveux (6). 1. Motilité. Les troubles de la motilité n
rétivité chez les chevaux irritables et doués d'un tempérament très nerveux . Or la rétivité est un vice, un état morbide co
, était sujet à « de véritables accès de férocité.» » 3. Hérédité nerveuse . L'hérédité nerveuse accumulée, capitalisée che
véritables accès de férocité.» » 3. Hérédité nerveuse. L'hérédité nerveuse accumulée, capitalisée chez le cheval, peul abo
age des équidés, nous avons suf- fisamment distingué le tempérament nerveux ou ce qu'on appelle métapho- riquement le sang
veux ou ce qu'on appelle métapho- riquement le sang du déséquilibre nerveux observé chez les psychopathes. « L'expression d
ychomotricité. » On trouve de nombreux exemples de cette hérédi- té nerveuse dans la carrière des chevaux de course, plus ou m
ue. Tous les fils de Monarque (sauf Auguste) étaient si exagérément nerveux que leur seul pédigrée était une mauvaise recom
ement accusés qu'elle « ne pouvait pas courir souvent ». L'hérédité nerveuse est encore évidente pour Madzja (par Fitz Gladiat
vice caracté- risé par le refus d'obéir, fréquent chez les chevaux nerveux , de race dis- tinguée (1). » . La méchanceté
ent : aux troubles de la mimique, aux actes impulsifs, à l'hérédité nerveuse accumulée (nervosisme), aux troubles de la volont
n fondé de la distinction que nous établissons entre le tempérament nerveux des chevaux de sang et le déséquilibre nerveux
entre le tempérament nerveux des chevaux de sang et le déséquilibre nerveux des équidés psychopathes ob- servé aussi bien s
s stigmates peuvent manquer chez des che- vaux atteints de troubles nerveux ou psychomoteurs ou se rencontrer sou- vent che
n- fériorité individuelle » (Séglas), en rapport avec une affection nerveuse ou mentale coexistante, tics ouépilepsie. San
ois la clinique à qui elle apporte des faits nouveaux de pathologie nerveuse et mentale de l'animal et la zoo- technie à laq
fla- mande, du XVI0 siècle (1 pl.), par A. Marie, 493. Cellules nerveuses des tubercules quadri- jumeaux antérieurs et po
81. CzAnNiEcKi. Sur l'aspect extérieur des dendrites des cellules nerveuses des tu- bercules quadrijumeaux antérieurs et
77 (1883) Archives de neurologie [Tome 06, n° 16-18] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
LES HÉRISSE". ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE 1 DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Dr J.-M
3 Vol. VI. Juillet 1883. N° 16, ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS; Par le Dr Thé
ntrées sur la plupart des points. Archives, t. VI. 1 2 CLINIQUE NERVEUSE . jusqu'alors l'attention des auteurs. Il nous e
ista. Je lui prescrivis alors une dose de 1 gramme 50 de 4 CLINIQUE NERVEUSE . chloral, le soir, au moment de se coucher. La
, mais M. Perrin, consulté à cet égard, ne rattache pas l'affection nerveuse à ce défaut de la vue. Les verres, appropriés à
reprimes les douches froides aussitôt que la guérison du 8 CLINIQUE NERVEUSE . genou nous parut suffisamment consolidée. Le r
l'enfant n'en persista pas moins dans ses études, et il 12 clinique nerveuse . eut neuf nominations à la distribution des pri
s n'ont pas cessé pendant cette interruption, et que 14 le CLINIQUE NERVEUSE . l'enfant est plein d'ardeur pour ses études, i
- 1" Lettres à M. le Dr LOI/flet; 2° Des fonctions et des maladies nerveuses dans leurs rapports avec l'éducation sociale et p
diot à ' quelque fonction -utile, 1 si, malheureusement, lescrisesi nerveuses , auxquelles il'est sujet,- ne revenaient à de c
conventionnel d'affection caractérisée par un trouble des fonctions nerveuses d'une nature spéciale,' et ne s'accompagnant pa
de notre'ami'G. Ballet, sur quelques troubles dépendant du système nerveux central dans lé cours de la maladie de Ba- sedo
, 1883. . Gillert Dallet. De quelques troubles dépendant du système nerveux central observés chez les malades atteints de l
s accidents placés'sôus lr1`dépeiîdâncé ün m édiatc^ du ? systèm e7 nerveux ^central '1\1 : Ballet ''en' "signal e d'autres
nt. rapporté son apparition à la présence d'altérations des centres nerveux indépendantes de la maladie DE LA MALADIE DE '/
hthalmie,'etc ? =elle est constituée aussi et s'ûrtout'par cet état nerveux particulier. que nous avons décrit 'plus' haut
nt ou ? non âvecia' célèbre triade le tremblement et les phénomènes nerveux multiples' dont nous avons parlé plus haut. l'i
z : aNNEXIONS CEREBRALES ET CEREBELLEUSES DES nIa à 1fJ xÍÍé paires nerveuses DU Racines spinales des JJINERFS SENSORIELS DU
a.mi j J 3n 8T'7.3Jr.'H[JOM ' tu .1117 's ? rREVUEcDEPATE'I0 : 0GiC NERVEUSE il" ! )1' l Jh71'I'7t0 > clt : 7 : 11'otl
4Rit, Il 1 1 , 1 . P.yl 1 , ? travaux,, sur la pathologie du, système nerveux ..S'il, faut rapprocher . ()c ! \ ? ciq ! 11"q15
muscles. ,1 ? pe,, `"i ? 91[0.11(1'\ ? 1 QI 100 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . t(t ;7.tI : I'lFIliT : IIO,IOliTi.`I atI U'J·T
et 1 : ënfin ¿ ¡; ré'actioh deenërativë ? L'cxcitabi)itédës'tr6ncs nerveux * a baisser réaction llegenel'a Ive, . ,eXCl a )
eux* a baisser réaction llegenel'a Ive, . ,eXCl a )1 l e, es troncs nerveux a JalSe, 1 f'ApJ'èsr'êtl ! e dinÍ1cuÍÍéc 1 d ti
'1" JaVmT}'f 31+'0.1(\111 "q ail UU'JM31 00. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 101 'JJlJlIH. fil 1 : w ? uof, 'Jf1U : IIIJ. "
fJI : il'1 : 1f ! 111).H'liTAQ ao ajvaa 102 ? . REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . o-olit 2sb HOIJ')J¡ltJ1ti'l ami t) JIJJOCl'lq4
e le processus ulcératif et celui des troubles trophiques d'origine nerveuse ressort bien],d'allléurs es, divers phénomènes
nnoavec')ui ? L'e'faisceaux' primitifs sont' pénétrés' et leûi'tubs nerveux dissociés,"atrophics' yUW `fi n]ILHn '7`v I >
'corl : ésp'Óndânc'à' lâ"Í : âciÍ1etldeJnërl;s REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 103 Ur 13 t irai/' 151 ,l' 1(\' ! T' 21(l n'y
è' pécivâscu9l' laire; qui commençaient à' comprimer les' 'éléments nerveux . InflmÎ1)JJ mation . dCJJla'( piè ! mèl'e "de '
olq sa IX. : uQ9lj''r ? B,T ! Tl,N j +u AFFECTIONS,. DUly SYSTÈME 1 NERVEUX .CBN- M TRL ? par Cl,nus(de Saûhel1byrg),(A,clt
l'autèùr'eoITr 'deux ^particularités9 ! 0 106). REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ., 1En outre, des foyers scléreux, disséminés, o
.ticllliè1e de,lf ! , "r' i;, Il ? 1, 1 H q f REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 07' n'ibeÚe'èlé'Z'lÍb;'Íl111'é; l'auteur appel
-.t ? ,T'.t-/ft ? )r ? {TA1 ? tfff ! T ? m 108 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . - ? l.,\.ttl ? n vfilTt-;T5'"i ."J ;' ! : ; Kn
progressé en étendue comme en profondeur. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 103 : iaui-xrtni £ ai.joa.oHWT au (W/.u ,1 XII
ommoj 91JJlft()Ju na 'laa91¡jo1q gmom rrm 110 0 REVUE^DE PATHOLOGIE NERVEUSE ^. o1 Voici. ce que, l'on jençontre à l'autopsie
Onie, -5,, On trouve l'autopsie, une.sorte de lïÈŸüÉf'DÉ PATHOLOGIE NERVEUSE . (1'1'. 1 feston'dans la/moitié antérieure 'dÍ'
(WnI,hYl'iG L analyse histologique, décelait 1 alroplne des fibres , nerveuses par la prolifération du' tissu 1 conj onctif fa
p : 93 : ' " '1< : 1 ''* l 't' ' . l ' REVUE; DE l ? rJ>,Q9), NERVEUSE . : 1J3 m&ne^cpté^uela déviation,des)yeux-pa
f,fL¡tI11 Il In 1 l. mn 1. servation. On trop oublie, les ganglions nerveux , do la pase, du ? r,yp,.1 ? I3" ? ux, J c ! 1 ehe
fièvre, ni convul- Archives, t. VI. 8 114 REVUE, DE, PATHOLOGIE, NERVEUSE . sions, ni paralysie, de déviation conjuguée de
.. . rf.Jt, i".1 f ' · i .1"1 ? 1 ,.1, , '" revue' de' pÂYiÎoÏogie1 NERVEUSE ? 115 5 4tiF9h '; YIt9 J ·`l ".Ifr'r ? rrlW IIO
ives. L'odorat, le goût diminuent et dispa- 116 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . en t ' ! 2<T : ! I'{H : ;¡¡¡r ;'¡,)o,rr.r'r
" J ? H JV' {.\).,<'1" id . ! 1. a'v9R ,If f REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 117 7 j{tr -9'. t "1 ? -. )'11 y 1 Ifi, T ' rf
sie du facial gauche, des tremblements ri 1,8 .REV,UE;DE PATHOLOGIE NERVEUSE . .convulsifs,.dans les muscles innervés par ce,
aux propositions suivantes toutes provisoires : REVUE^DE PATHOLOGIE NERVEUSE . hl9 j lie. Uneatr6phie'hémi)atéra ! e du cerve
catarrhale emporte lé ma- lade en huit jours. Durée dé'l'affection nerveuse ? deux mois;3 nul accident de décubitus : = Le'
iati6ns'trans'vergès l le morcellement de la myéline dans les tubes nerveux ! le ramol-"1 li .t -.i 1 1 ..)t« .alflY ir·fll
légale ? '" " On comprend sous le nom d'hypnotisme plusieurs états nerveux ? m ? t ? ? f ? t" < ? - 1,.... " J nr '< ?
ient s'expliquer par 'l'interruption de» la conductilité des fibres nerveuses à' la base, celles qu'il faut ratta- cher à la
chique s'était invariablement manifesté par toute sorte de malaises nerveux et des hallucinations isolées. Il dé- bute la p
s récentes études d'anatomie et de physio- 1 ? -ic sur les centres, nerveux et pour point de ralliement. Texis- tènce du`se
vascuiaire' avec' pro- lifération du tissu conjonctif, les éléments nerveux subissant une métamorphose rétrograde' Le ramol
1f Thèse de e Paris, 4 883. ,'1.. 1 /, ? df ! . ' De l'élongation nerveuse dans l'ataxie et les affections médullaires; pa
méro de la première revue russe consacrée spécialement aux maladies nerveuses et mentales. Cette revue, publiée sous la direc-
ur J. Mierzejewski, porte le nom de Messager de clinique mentale et nerveuse (Wiestuick psyckiatrii, nervoi pathologie). Le
és à évolution incomplète ? Citons, par exemple, certaines maladies nerveuses , l'hystéro-épilepsie, la maladie de Parkinson o
comme on a voulu faire en aliénation mentale ? Le 180 PATHOLOGIE NERVEUSE . type supérieur est donc là, comme un index : i
objet d'étudier : l'évolution du délire dans la vésanie. PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQU
mener bientôt la mort. 1 Il présente en outre une série de troubles nerveux qui font diagnostiquer chez lui une ataxie loco
e ne ressent plus, depuis quelques mois, de douleurs 182 PATHOLOGIE NERVEUSE . fulgurantes à type lancinant; mais il éprouve
quelques racines rachidiennes ont été recueillis au 181 PATHOLOGIE NERVEUSE . moment de l'autopsie et préparés pour l'examen
'acide osmique ne présentent aucune altération notable : les fibres nerveuses , le tissu conjonctif interstitiel, les vaisseau
cide osmique à 1 pour 150, on distingue un grand nombre de libres nerveuses atrophiées etprésentant les apparences décrites d
ié et traversées par des incisures sembla- bles à celles des fibres nerveuses les plus saines. Entreles fibres complètement a
ser beaucoup de peine pour séparer les uns des autres les faisceaux nerveux et pour les détacher du tissu conjonctif qui le
que nous considérons comme des fibres régénérées. 186 PATHOLOGIE NERVEUSE . Dans le tibial postérieur (fragment pris au mi
volume à l'oeil nu, sont presque exclusivement composées de fibres nerveuses totalement atrophiées ne présentant plus traces
uent pas néces- sairement des troubles trophiques. 188 PATHOLOGIE NERVEUSE . Notons incidemment que, dans l'observation que
et que les altérations inflammatoires ou dégénératives des fibres nerveuses , ne se propageaient pas uniformément de la péri
terminales de certains nerfs périphériques, tandis que les troncs nerveux intermédiaires et les racines anté- rieures éta
ant régulier, il n'y a pas de gêne respi- ratoire. 190 PATHOLOGIE NERVEUSE . Le malade se plaint d'une douleur contusive, p
ole externe on trouve deux petites ecchymoses viola- 192 PATHOLOGIE NERVEUSE . cées de quatre à cinq centimètres de diamètre,
es et sacrées, des fragments des nerfs fessiers et de divers troncs nerveux des membres inférieurs, enfin plusieurs ganglio
'/ennes et sacrées. Toutes les préparations provenant des faisceaux nerveux recueillis dans la peau, au voisinage des escha
eschares précitées, révèlent des alté- rations profondes des libres nerveuses . Toutes les fibres qui composent ces faisceaux
ue gauche. -Dans les nombreuses prépa- rations examinées, les tubes nerveux étaient sains et les coupes transversales du ne
lté- ration appréciable. - Archives, t. VI. 13 19 le PATHOLOGIE NERVEUSE . 6° Ganglions lombaires et sacrés, correspondan
de osmique n'a pas permis une étude rigoureuse de l'état des fibres nerveuses dans ces ganglions. Les coupes, pratiquées sur
a fesse sont atrophiés et presque complètement détruits. Les filets nerveux recueillis au voisinage des phlyctènes malléola
c'est que l'altération remonte, en s'atténuant, le long des troncs nerveux . Dans les nerfs des membres qui sont plus favor
du moins qu'il n'y a pas de continuité apparente des altérations nerveuses depuis les centres jusqu'aux extrémités péri- p
ainsi dire perdues au milieu des fibres saines dans les gros troncs nerveux des membres. Mais nous avons dû renoncer à cett
Mais nous avons dû renoncer à cette interprétation. 196 PATHOLOGIE NERVEUSE . Nous nous sommes astreints, en effet, à examin
ltéra- tion appréciable des faisceaux ni des fibres de ces troncs nerveux . L'étude des racines rachidiennes a fourni, dan
inique communiquée par M. le pro- fesseur Vergely. 198 pathologie nerveuse . adipeux sous-dermique jusqu'au calcanéum. Il n
s ne présentent rien de particulier. z Un grand nombre de fragments nerveux des divers segments des nerfs du membre inférie
ures, étaient demeurés parfaitement indemnes. : 2,)0 0 pathologie nerveuse . Il est assez malaisé de comprendre comment une
r les terminaisons périphériques des nerfs, en épargnant les troncs nerveux intermédiaires. Il serait assurément plus simpl
l'in- flammation de la moelle aux racines, des racines aux troncs nerveux et des troncs nerveux aux terminaisons périphér
la moelle aux racines, des racines aux troncs nerveux et des troncs nerveux aux terminaisons périphériques. Mais l'étude de
hériques qui se montrent dans le cours des affec- tions des centres nerveux . Dans cette hypothèse, la lésion centrale modif
oduisent pas de désor- ganisation apparente à l'oeil nu, des filets nerveux sur lesquels elles siègent, de telle sorte que,
apprécier exactement l'état d'inté- grité ou d'altération des tubes nerveux , il faut de toute nécessité recourir à un exame
Elles portent exclusivement, au moins à leur début, sur les tubes nerveux eux-mêmes. Le tissu conjonctif reste normal pen
lorsque la névrite a déjà détruit ou profondément altéré les tubes nerveux eux-mêmes. Il y a de grandes analogies apparent
mes. Il y a de grandes analogies apparentes entre les altérations nerveuses que nous avons observées et les 202 pathologie
ltérations nerveuses que nous avons observées et les 202 pathologie nerveuse . dégénérations wallériennes. Toutefois, il n'y
rs, en quelques heures, amener une destruction complète des tubes nerveux ou durer, pour ainsi dire, indéfi- niment dans
riphériques des nerfs, s'étendre, en s'atténuant, dans les branches nerveuses voisines de ses extrémités et disparaître total
sines de ses extrémités et disparaître totalement dans les troncs nerveux ; elles paraissent ainsi avoir une marche ascend
vrites paraissent liées à des altérations primitives des centres nerveux , nous n'avons pas trouvé d'altérations continue
tion centrale et l'altération des nerfs périphé- riques, les troncs nerveux étaient sains et présentaient toutes les appare
tre travail le caractère d'un simple recueil de faits. . CLINIQUE NERVEUSE DE LA CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS'; Par le D, Ti
, nous le constaterons de même 'v. o· " ic, 1,. 1. 20 1. CLINIQUE nerveuse . pour le siège et la nature de la douleur. Nos
205 sentait la douleur à la pression sur le trajet des ra- meaux nerveux de la région; nous n'avons donc point eu affair
iques ne nous permettent que des conjectures sur l'état des centres nerveux . Chaque fois qu'il s'agit de troubles purement
fois qu'il s'agit de troubles purement fonctionnels. - 306 CLINIQUE NERVEUSE . S'il était bien démontré que les modifications
e une prédisposition toute particulière à la congestion des centres nerveux chez les enfants et chez les adolescents. Nos m
s antécédents. Nous ne rencon- trons pas non plus de prédisposition nerveuse congé- nitale. Les parents de nos enfants n'ont
parents de nos enfants n'ont eu ni affection organique des centres nerveux , ni état névropathique qui mérite d'être signal
érite d'être signalé. Que d'enfants sont d'ailleurs rhumatisants ou nerveux , et combien peu en pro- portion sont atteints d
s maladies par ralentissenzent de la nutrition, p. 37. 208 CLINIQUE NERVEUSE . nifester à cet âge entre l'apport nutritif et
-on pas tous les jours des malades souffrir d'affections du système nerveux , sans qu'ils aient rien perdu des apparences de
encore s'appliquer à l'étude. Archives, t. VI. 14 210 CLINIQUE NERVEUSE . nuer leurs études, et ils le peuvent, en effet
; ils n'accusaient point de douleur au front. Ils- ,)Il) 2 CLINIQUE NERVEUSE . ne pouvaient ni écrire, ni lire, ni s'occuper
Dr Blache. M. Bucquoy nous audit avoir constaté les 31t le CLINIQUE NERVEUSE . bons effets des eaux de Saint-Nectaire. Son je
i- tives de l'organisme; par son action spécifique sur le système nerveux , elle modifiera directement l'innerva- tion; en
mps en temps au traitement pour assurer sa guérison. 216 CLINIQUE NERVEUSE . CÉPHALÉE DES ADOLESCENTS. Les observations que
S.-F. D.\nlLLO. (Laboratoire delà Clinique des maladies du système nerveux de M. CHARCOT.) Nous nous proposons de décrir
l'état frais, présentait les éléments suivants : cellules et fibres nerveuses ; fibres, noyaux et cellules de la névroglie ;
méfaction, soit de la vacuolisation analogues à celles des cellules nerveuses . Le diamètre du corps de ces cellules n'excédai
on est attirée tout d'abord sur la tuméfaction notable des cellules nerveuses , qui les atteint indifféremment dans toutes les
ment dans la ré- gion voisine, sans altération notable des éléments nerveux . Sur des coupes à double coloration, hématoxili
un grossissement de 3/7 et 3/8 Vérick, les altérations des cellules nerveuses se présentaient avec les caractères que nous av
rapport mutuel entre les vaisseaux de cette ^région et les cellules nerveuses , on peut constater qu'il n'existe pas de parall
noyaux des parois, sans prolifération' ou division.' Les cel- lules nerveuses , au contraire, dans ces endroits conservent les
d'autres parties de la région corticale, d'altérations des cellules nerveuses , nous devons cependant remarquer que l'hy- peré
s distincts. Les premiers se rapportant à l'altération des éléments nerveux (cellules), les seconds à celle de la névroglie
encéphalite interstitielle avec altération consécutive des cellules nerveuses , ou bien est-ce le contraire qui a lieu et doit
ions parenchymateuses. Remarquons que la vacuolisation des cellules nerveuses se trouvait exclusivement dans les parties qui
e nous nous croyons pleine- ment autorisé à considérer les cellules nerveuses comme le véritable point d'issue du processus p
ions suivantes ; , 230 RECUEIL DE FAITS. On sait que les cellules nerveuses , après la tuméfaction du début, subissent ensui
éments de la névroglie deviennent alors plus nombreux, les cellules nerveuses , en se vacuolisant, finissent par disparaître e
s, dans un processus pathologique qui a dû débuter par les cellules nerveuses et qui, dans certains endroits, où il était plu
ltérations inters- titielles consécutives à l'atrophie des éléments nerveux affectés tout d'abord. Le processus d'altératio
ntrales indique également, à ce qu'il nous semble, que les éléments nerveux (cellules) doi- vent être considérés comme le p
ules, remarque que, dans certaines formes de myélites, les cellules nerveuses peuvent subir spontané- ment une altération qui
ogiques de 1872, de 1 Chnrcot. - Leçons sur tes maladies du système nerveux , 1880. °- UeGer palltologiscltc gerinnungs Yorg
s résultats de l'étude histologique sur une autre partie du système nerveux central. Malgré nos recherches bibliographiques
es et très fortes, mais on n'y constate pas la présence de cellules nerveuses , tandis que les noyaux de la névroglie s'y mont
e à 40 p. 100, fait par M. Brissaud, indiqua l'absence des éléments nerveux , épaisseur de la trame névroglique, présence de
arcot. M. Klebs a étudié la question des néoplasmes dans le système nerveux central. (Beitruge sur Geschwulst Lelare, 1S77.
on trouve certaines formes de gliomes avec éléments, dont la nature nerveuse n'est pas discutable. Comme dans le cas qui fai
'examen de neuf cas de ces tumeurs dans diverses parties du système nerveux central, M. Klebs dis- tingue trois périodes bi
tranchées dans leur évolution : hy- pertrophie diffuse des éléments nerveux (fibres et cellules) ; ensuite compression des
êmes caractères mor- phologiques et chimiques que ceux des cellules nerveuses , mais qui ne les sont pas pourtant, présentent
rtant, présentent des dérivés soit de ces éléments, soit des fibres nerveuses . En donnant la description de ces éléments, l'a
e fait s'expliquerait, d'après lui, par la segmentation de cellules nerveuses et par la formation d'étranglements sur les cyl
a principale altération consiste dans la tuméfaction des cel- lules nerveuses il n'en existe pas moins une différence fonda-
en outre, la présence de deux ou plusieurs noyaux dans une cellule nerveuse des centres, dans cer- tains cas au moins, est
s n'ont jamais pu constater ni la segmentation directe des cellules nerveuses ni leur néoformation, avec les caractères disti
er ce fait encore plus nettement. Nous dirons donc que les cellules nerveuses elles-mêmes, pour cette fois au moins, peuvent
ne ; pas d'excès d'aucun genre ; assez intelligent; pas d'accidents nerveux . [Père, cultivateur, mort à soixante-quatre ans
ente d'une fièvre typhoïde ; elle n'a pas d'attaques, mais est très nerveuse et se trouve quel- quefois mal, à la suite de c
e, issue d'une famille phlhisique, niais in- demne quant au système nerveux , est en effet une idiote, non apha- sique, en p
ement par ce coup de fouet régénéra- teur donné à ceux des éléments nerveux dont la destruction n'est pas encore complète.
aso-constrictive, engendrant par l'anémie, l'anoxhémie des éléments nerveux de cet organe, \S . 1,1 i 1 Voyez les Archi
de douleur (asphyxie vasculaire temporaire des centres). Les tissus nerveux de l'individu conservent du processus entier, y
SOCiI : I'1 : S SAVANTES. ',275 SOCIÉTÉ DE PSYCHIATRIE ET MALADIES NERVEUSES DE 131;RLlu 1 Séance du 9 janvier 1882. - PRÉ
i1'es (refroidissement, petitesse du pouls), et enfin des accidents nerveux (tétanie, hystérie, myxoedème ? ) sur lesquels no
dont le mécanisme duit s'expliquer par une modification du système nerveux sympathique, nous devons maintenant en signaler
ns la pathogénie de ces accidents, un rôle prépondérant aux lésions nerveuses sympathiques résultant de l'o- pération. Le c
s troubles trophiques des ongles dans quelques maladies des centres nerveux ; par MiLircHEViTcn. Thèse de Paris, 1883. De
ur quelques variétés d'orbophites de la grossesse ; des acci- dents nerveux qui peuvent-Ie1O' être attribués; par Aubidan. Th
ude de l'influence du moral sur le physique ou influence du système nerveux sur la nutrition; par LAG.RRIGUF.. Thèse de Par
concours pour la place de chef de clinique des maladies du système nerveux vient de se ter- miner par la nomination de M.
térielle, des consultations gratuites pour les maladies mentales et nerveuses auront lieu, à l'asile des aliénés, le mardi et
préparations relatives à l'anatomic et à l'his- tologie du système nerveux ; 2° Projets, plans, modèles relatifs à la cons
. Vol. VI. Novembre 1883. N" 18 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE AFFECTIONS OSSEUSES ET ARTICULAIRES DU PIED C
. des Hôpitaux, lob70-[872. "A. Blum. - Des arthropathies d'origine nerveuse . Thèse d'agrégation en chirurgie, 1875. ô Mic
étaient pas Fq. 3. Artliropa- thie du niecl droit. 308 CLINIQUE NERVEUSE . seules en jeu, et que les os aussi devaient êt
pieds. 1V1 ? X..., de Bordeaux, vingt-deux ans. Pas d'antécédents nerveux dans la famille, dit-elle. Elle-même n'a jamais o
e oscillait. Jamais de diplopie. Quelquefois petits accès de toux nerveuse pendant la nuit. 9 janvier 1883. Incoordina-
s héréditaires l'existence d'une tante et d'un oncle 312 ' CLINIQUE NERVEUSE . maternels aliénés. Elle-même n'a jamais, dit-e
les circonstances étiologiques, l'influence combinée de l'hérédité nerveuse (tante et oncle maternels aliénés), et de la sy
ion de constriction thoracique en cuirasse, s'exa- 31 Id CLINIQUE NERVEUSE . gérant par moments. Rarement elle se plaint de
ngtemps la solution de la question. Un cas analogue : 1 ¡¡ CLINIQUE NERVEUSE . à ceux que nous venons de relater s'étant prés
dem, p. 56. 3 Leçons sur la physiologie et la pathologie du système nerveux . Paris, z8, t. II, onzième leçon, p. 330-331.
ns procédés, l'activité psychique, sensitive et motrice des centres nerveux et cela isolément d'un seul côté, ou simultaném
Le malade ne paraît présenter aucune prédis- position aux maladies nerveuses ; mais, dès son enfance, il s'est trouvé dans de
e 22 septembre 1881, d'entrer derechef à la clinique des maladies nerveuses . Etal actuel (22 septembre 1881). - Cette fois-
oduisit aucun changement essentiel dans le dérange- ment du système nerveux ; seul, l'amaigrissement des muscles, comme celu
n, je ne décrirai en détail que celles qui se rapportent au système nerveux et aux mus- cles, ne faisant que mentionner bri
au bulbe. En même temps on s'assura que la myéline, dans les fibres nerveuses des fais- ceaux latéraux, avait diminué. Ces co
is ne l'atteignait pas, en étant séparée par une couche de fibres nerveuses normales (directe kleinhirn-seitenstrang-hahnen d
tité des corps granuleux, indices de la dégénérescence des éléments nerveux , tandis que, dans tous 366 RECUEIL DE faits.
é, 'ne présentant, semblait-il, qu'une simple atro- phie des filets nerveux . De toutes les racines des nerfs spinaux, il n'
nes antérieures de la partie cervicale, quelques- unes des cellules nerveuses avaient subi lés modifications pa- thologiques
ais- sentprouverque le processus morbide commence dans les fibres nerveuses qui constituent les faisceaux pyramidaux et ne pa
nt distribué et très prononcé dans la substance blanche des centres nerveux et de fort légères altérations dans la partie g
. Flechsig dans ses investigations sur le développement des centres nerveux ; encore Flechsig ne parle-t-il qu'avec une cer
réduit à n'admettre comme principe du mérycisme qu'une disposition nerveuse , particulière, susceptibilité exagérée de la mu
Père, mort par accident, buvait beaucoup, n'a jamais eu de troubles nerveux . - Mère : cinquante-six ans, con- cierge, bien
d'un anévrisme : « C'était une femme bien sage. » Aucun antécédent nerveux . Deux frères bien portants, ma- riés, ont quatr
, mort d'une inflammation d'intestin : aucun excès, pas de maladies nerveuses . Mère, bien portante, intelli- gente, pas de ma
ies nerveuses. Mère, bien portante, intelli- gente, pas de maladies nerveuses . Trois soeurs bien portantes ont des enfants tr
ytiques généraux. P. K. XIX. LES troubles dans L\ sphère DU système nerveux périphérique chez LES aliénés; par TIGGES. (,Il
l'espèce a souffrir; comme on rencontre des lésions dans le système nerveux central, c'est à ses altérations qu'on doit s'e
e fibres englobant des cellules-araignées disséminées, les éléments nerveux étant à peine perceptibles; cellules araignées ou
s dans les parois et les espaces adventices; intégrité des cellules nerveuses . L'auteur fait ressortir que la prolifération nu-
tière, mariée, séparée de son mari; pas d'aliénation ni do maladies nerveuses dans sa famille ; un écoulement vaginal après s
, entre les mains du pre- mier orateur, jamais engendré d'accidents nerveux ; l'état psychique des aliénés n'a jamais été in
servé une évolution semblable. Enfin, en ce qui concerne la surdité nerveuse ou la déchéance soudaine de l'acuité auditive,
effet, il existait une transition toute indi- quée ; de la théorie nerveuse du diabète, on était amené à l'étude des accide
théorie nerveuse du diabète, on était amené à l'étude des accidents nerveux qui en dépendent. L'auteur n'a pas pensé qu'il
M. Laffont qui précisent le rôle des divers départements du système nerveux dans le mécanisme de la glyco- surie. Cette étu
que le diabète est, avant tout, un trouble de nutrition. La théorie nerveuse nous a fait passer en revue les lé- sions des c
orie nerveuse nous a fait passer en revue les lé- sions des centres nerveux et des nerfs rencontrées chez les diabé- tiques
'appréciation de leur valeur exacte... le diabète n'a pas de lésion nerveuse qui lui soit propre ». Bien moins con- testable
ines névroses. Là les faits abon- dent et concordent. « L'influence nerveuse et donc l'une des causes du diabète, mais elle
de la science, aucune des lésions du foie, du pancréas, du système nerveux , etc., rencontrées à l'autopsie des diabétiques
De même, le diabète touche plus spécialement le foie, le système nerveux , voire même le pancréas qui seraient le « locus m
ou bien suivant le terrain où il prend naissance, il sera goutteux, nerveux , etc., si le sujet est goutteux ou nerveux. Les
sance, il sera goutteux, nerveux, etc., si le sujet est goutteux ou nerveux . Les variétés tiendraient donc au terrain et non
ire '. M. Dreyfous a bien indiqué les caractères de ces accidents nerveux : « au point de vue des phénomènes nerveux, le di
actères de ces accidents nerveux : « au point de vue des phénomènes nerveux , le diabète est une affection protéiforme ». Un
ire prévoir s'il se produira, à un moment donné, des manifestations nerveuses . Elles se différencient donc de celles de l'alc
sa cause, ne peut-on la trouver dans l'effacement de l'in- fluence nerveuse centrale, chez les diabétiques ? Rappelons-nous
xprime ainsi : « Elle est l'indice d'un état particulier du système nerveux qui débute par l'affaiblissement musculaire et
le atteinte tout d'abord, il n'y faut 1 Bernard et F6ré.DM troubles nerveux observés chez les diabétiques. (,17,ch. de Neur
r la motilité, tandis que la sensibilité persiste tant qu'un cordon nerveux , si petit qu'il soit, peut en assurer la transm
etit qu'il soit, peut en assurer la transmission vers les centres nerveux . » Les paralysies doivent être divisées en para
ne morbide, explique peut-être pourquoi la souffrance des centres nerveux dont l'amoindrissement est alors porté jusqu'à un
unité au milieu de la multiplicité et de la diversité des accidents nerveux : c'est là un point que l'auteur a eu le mérite
e trois heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux . Cette épreuve pourra être éliminatoire si le n
(hors de l'asile), 140 ; ; (troubles dans la sphère du sys- tème nerveux périphérique chez les) ? 05; - (pouls chez les)
. Cérébrales (connexions et céré- belleuses des 3' à 12' paires nerveuses ), 94. Cérébrales (variétés des circonvolu- ti
bulbo-protubérantielles, 112. Diabète ,'pathogénie et accidents nerveux du), par Dreyfous, 436. Divorce et folie, 261.
ique, 120 .. 272, 413. Société de psychiatrie et des mala- dies nerveuses de Berlin, 275. Sorcières (de quelques médicame
erstition et responsabilité, 268. Syphilis et tabès, 107. Système nerveux central (affections du), 1 05 ;-(dans l'ergotis
périeure du filum terminal, ayant comprimé isolément les filets nerveux ), 109. Archives, t. VI. 29 TABLE DES AUTEU
78 (1892) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 05] : clinique des maladies du système nerveux
ONOGRAPHIE DE E LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX Imp. Vvc LouRnoT, 33, rue des l3atignolles, 33,
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIEE SOUS LA DIRECTION Du PROFESSEUR CHARC
nel ont été atteints d'apoplexie. Sa mère, âgée de 56 ans, est très nerveuse , très irritable ; elle n'a jamais eu de crises
Huet. CONSIDÉRATIONS SUR LE TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PAR LA MÉTHODE DU DOCTEUR MOTSCHOUTKOVSKY (Su
e il était naturel de se demander si la dure-mère et la subs- tance nerveuse de la moelle subissent un allongement pendant la
C B qui 1. Voir le no 6, 1891. TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 19 pourra s'allonger ; la partie A C, étant sit
ar le même procédé nous avons pu nous convaincre que la subs- tance nerveuse de la moelle s'allonge pendant la suspension. A
gitudinal et transversal ; il en TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 21 est de même pour le canal central. La press
sions anatomo-pathologiques des maladies sys- tématisées du système nerveux comme résultat d'un processus inflamma- toire o
évroglie amène consécutivement la compression et la mort des fibres nerveuses . Les manifestations extérieures du processus morb
f, seront toujours l'expression d'un état d'irri- tation des fibres nerveuses et de leur atrophie ou compression par la né- v
22 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈRE. anémie de la substance nerveuse qui doit avoir une action favorable et dans les
port des éléments toxiques qui produisent la destruction des fibres nerveuses . Dans les périodes avancées de la maladie, il d
apeutiques, nous n'osons même pas rêver de faire revivre les fibres nerveuses détruites et remplacées par du tissu conjonctif
dant, contentons-nous de chercher à relever la nutrition des fibres nerveuses et les préserver autant que possible de l'influ
d du sang, un allongement de la moelle avec écartement des éléments nerveux , nous rappelons à la vie les tubes nerveux, nou
écartement des éléments nerveux, nous rappelons à la vie les tubes nerveux , nous éveillons leur fonction à demi-éteinte et n
on répétée amenant chaque fois un afflux du sang nouveau aux fibres nerveuses comprimées et anémiées améliorera leur nutritio
revenir à l'état qu'elle présentait avant la suspension, les libres nerveuses deviendront de moins en moins enserrées par le ti
ar consé- quent pour résultat : 1" de retarder la mort des éléments nerveux et 2° de ren- dre possibles les fonctions des t
léments nerveux et 2° de ren- dre possibles les fonctions des tubes nerveux encore vivants. Cliniquement, ces résultats se
act, il faut s'attendre à ce que TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 23 la suspension ne donne des résultats favora
festations morbides sont provoquées par la compression des éléments nerveux par le tissu conjonctif proliféré et 2° quand l
onjonctif proliféré et 2° quand le trouble des fonctions des fibres nerveuses est lié à un état anémique et à une nutrition l
s où les symptômes morbides sont provoqués par la mort des éléments nerveux ou par un trouble de nutrition irrépa- rable.
ptômesmorbides sont la manifestation de la compression des éléments nerveux par le tissu conjonctif; quant aux névroses, la s
nctif joue un rôle notable. La dégénérescence secondaire des libres nerveuses se produit par suite de leur séparation d'avec le
dé- placement a une influence nuisible sur les fonctions des tubes nerveux intacts et la suspension peut devenir utile mêm
ouleurs ne sont qu'en partie provoquées par l'irritation des fibres nerveuses , elles tiennent principalement à la compres- si
es paresthésies tiennent surtout à l'état d'ir- ritation des fibres nerveuses malades et en partie seulement à la compres- si
nesthésie, elles sont dues à la conductibilité défectueuse de tubes nerveux comprimés et atrophiés. La suspension amène t
provoqués par la com- pression que celle-ci exerce sur les éléments nerveux . Il est beaucoup plus difficile de faire dispar
eaucoup plus difficile de faire disparaître l'irritation des fibres nerveuses qui tientau processus dégénératif, etparconséquen
par des troubles de la motilité TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 25 et des phénomènes spasmodiques. Les trouble
motilité (paralysie) sont déterminés par la compression des fibres nerveuses et leur atrophie, les phénomènes spasmodiques,
uve pas des symp- tômes uniquement dus à la compression de la fibre nerveuse par le tissu conjonctif, on constate que l'acti
sion une distension de la névroglie, une décompres- sion des fibres nerveuses encore aptes à fonctionner et une activité plus
tres dépendent de la mort ou des troubles de la nutrition des tubes nerveux contre lesquels le traitement est impuis- sant.
suspension ne se faisant plus, la névroglie se resserre, les fibres nerveuses sont de nouveau comprimées et leur nutrition de
u interstitiel des nerfs grâce à laquelle la compression des fibres nerveuses devient moindre et leur conductibilité augmente.
ents doit être mise sur le compte de la compression des gros Ironcs nerveux et vasculaires, l'autre doit être imputée à la mé
distension de la névroglie et il faut dire que cel état des centres nerveux n'est pas sans of- i'rir quelque danger ; certa
s. Enfin, il ne faut pas oublier TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 27 qu'une distension trop grande et trop brusq
aux et occasionner des hémor- rhagies dans la substance des centres nerveux . Pour se rendre compte des dangers de ces hémor
plan, en se déplaçant pendant le TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 29 mouvement de la planche, indique l'angle d'
u D' Bogroff pour la suspension. TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 31 n'ont que 37 centimètres ; quand au contrai
es qui passent sous les aisselles et qui compriment les gros troncs nerveux et vasculaires et nous avons renoncé complètement
sera en proportion directe av ec TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 33 la durée et l'énergie de l'acte de suspensi
par là améliorer la nutrition et rétablir les fondions de la fibre nerveuse et pour cela nous demanderons à la suspension u
née dernière, était traitée à la TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 35 clinique duDl' Motschoutko-\sky. Elle nous
des processus morbides inflam- matoires ou dégénératifs du système nerveux central. BIBLIOGRAPHIE MOTSCHOUTKOVSKY. Wrats
t de l'ataxie locomotrice et de quelques autres maladies du système nerveux par la suspension. Progrès me'd., XVIII, 25, 18
OULT. De la suspension dans le trai- tement des maladies du système nerveux . Progrès méd., 25, VI, il, 331, 1890. Du- jARBi
. ADAM. De la suspension dans le traitement des maladies du système nerveux . Progrès méd., 25, X, 44, 47, 48, 1889. - Mouis
2, 661, 1889. - Short. The brit. TRAITEMENT DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . 37 med. Journ., 14 sept., p. 602, 1889. Neurol
38. P. V. STEIN. La sus- pezzs. appliquée au traitement de maladies nerveuses . Piatigorsk, 1889. ALEXANDRE BOGROFF, Médecin
LATÉRALE HYSTÉRIQUE. Mademoiselle X., âgée de 17 ans, d'une famille nerveuse , vint me con- sulter en février 1891 pour une d
de récidive. C. C. DELPRAT, Chef de la Policlinique des maladies nerveuses , à l'hôpital de l'Université d'Amsterdam. FIÈ
il ne s'agit alors que d'excitations plus ou moins vives du système nerveux , transitoires ou prolongées, qui dans ces cas é
ment comme caractères des névroses le trouble spécial des fonctions nerveuses et la dépendance non nécessaire de lésions anat
lgies, nous dit qu'il était en proie à de fréquents accès de fièvre nerveuse . Cependanl, il ne nous est pas possible de savo
vroses. (2) Loc. cit. (3) Traité clinique des maladies du système nerveux , (4) Bail, Maladies' mentales, p. 84. 46 NOUV
itôt qu'ils ferment les (1) Traité clinique des maladies du système nerveux , page 495. - · v 4 50 NOUVELLE ICONOGRAPHIE D
tif, et comme il n'yeutni traumatisme ni inflam- mations dû système nerveux mais bien des symptômes hystériques, on en conc
anurie hys- (4) d. 1\1. Charcot-, Leçons sur les maladiesdu système nerveux , p. 275, 398, 1886. (2) A. Fabre. Les relations
, 398, 1886. (2) A. Fabre. Les relations pathogéniques des troubles nerveux , p. 120, 1880. FIÈVRE HYSTÉRIQUE. ' " . '. 53
lative de la nutrition et finalement on doit ajouter que la théorie nerveuse de la fièvre ne doit pas être mise complètement d
ble. - J. A. ESTÈYES, professeur agrégé , Des maladies du système nerveux à la Faculté Buenos-Ayres. (1) Progrès médical,
ons cérébrales. Mère. 76 ans, vit encore. n'a jamais eu de maladies nerveuses . Deux frères bien portants, une soeur également
oncles bien portants et cinq tantes qui n'ont jamais eu de maladies nerveuses . Une do ces tantes est tuorte'a la Salpètrièrc,
réditaires. Père de 39 ans, ouvrier sobre et bien portant mais très nerveux , s'emporte très facilement. Il a quatre frères et
Il a quatre frères et une soeur tous bien portants. Pas de maladies nerveuses . Grand-père paternel, mort à 66 ans d'une pneum
neumonie; grand'mère morte à 65 ans on ne sait plus de quoi. Pas de nerveux dans la famille. Mère âgée de 33 ans, nerveuse,
plus de quoi. Pas de nerveux dans la famille. Mère âgée de 33 ans, nerveuse , coléreuse; pas d'attaques de nerfs. Elle a trois
orts. M. P. Richer, chef de laboratoire de la clinique des maladies nerveuses , a exa- miné notre malade au point de vue des f
es maladies diverses el en particulier dans les maladies du système nerveux (1), Il nous sera permis de citer parmi ces aff
urs l'écriture, lorsqu'il s'agit d'un sujet atteint d'une affection nerveuse avec des troubles de la parole ou du mouvement.
la mère a eu beaucoup d'ennuis pendant sa grossesse, elle est très nerveuse et très coléreuse. C'est un petit garçon que l'on
e) E. Huet, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux . Nouvelle iconographie de. la Salpètrière £ T.
colioses, sont fréquemment associées à diverses maladies du système nerveux . C'est la en neuropatho- logie un chapitre rela
ire, ail- leurs presque constante, la déviation vertébrale de cause nerveuse possède parfois une valeur séméiologique consid
inique. Cas particulier des rapports qui unissent l'étal du système nerveux et des muscles au dévelop- pement et à la nutri
nous nous contenterons de passer en revue les différentes maladies nerveuses où se sont rencontrées, il notre connaissance,
u'on a constatés entre les scolioses vulgaires et diverses maladies nerveuses . La scoliose vulgaire accompagnant une névropathi
exces- sives, est allé jusqu'à déterminer une compression de l'axe nerveux . llampfield (2) en a cité un exemple : une gibb
tres fois, son apparition est contemporaine du débul des trou- bles nerveux . Exceptionnellement, la scoliose peut précéder ce
s. Le malade ne connaît parmi ses proches, aucun exemple de maladie nerveuse ni de déviation verté- brale. A. P. Santé ant
atre autres ont suc- combé à des affections aiguës. Pas de maladies nerveuses connues dans la fa- mille. Le malade est père
ptable, même dans les cas où la scoliose précède les manifestations nerveuses caractéristiques. D'ailleurs Broca lui-même s'e
M. P. ficher, qui ligure dans le musée de la clinique des maladies nerveuses , et qui représente une femme tabétique assise, vu
I IALLIUN, Ancien Interne de la Clinique îles maladies du système nerveux . CONTRIBUTION A L'ETUDE LE L'EXCITABILITÉ É
e) E. HUET, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux . ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAI
CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES , SERVICE DE M. LE PROrr CHARCOT) 3. Symptômes a
thétose double, au repos et au calme absolu, les rendre ainsi moins nerveux et leur ordonner un régime tonique et hygiénique.
ières années nous avons appris à mieux connaître certaines maladies nerveuses . Nous nous proposons donc, dans ce chapitre, d'
ents héréditaires. Nous savons seulement que sa mère a toujours été nerveuse et émotive. Elle-même n'a jamais eu, dit- elle,
CHAPITRE IV DÉVIATIONS VERTÉBRALES DANS DIVERSES AUTRES MALADIES NERVEUSES . Aliénation mentale. Paralysie générale. Il r
auteurs rapprochent les cas de ce genre de l'osléomalacie de cause nerveuse admise par Virchow, par Litzmann (8). Peut-être
que son siège dans la région lombaire, ré- (1) Maladies du système nerveux . Amyotrophies. 214 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
ion peut éclairer la pathogénie des scolioses vulgaires. Maladies nerveuses diverses. Il nous reste à citer quelques maladi
aladies nerveuses diverses. Il nous reste à citer quelques maladies nerveuses où les déviations ver- tébrales sont trop rares
si toutefois cette maladie doit prendre place parmi les affections nerveuses . M. Broca (2) a étudié le rachis d'une femme ac
ie, où l'on a voulu localiser des centres vaso-moteurs, des lésions nerveuses capables de causer une altération des os, et en
a scoliose vulgaire frappait volontiers les sujets chargés de tares nerveuses héréditaires. Landois (1) a récemment produit à
rement créé dans cet hospice et rattaché à la Clinique des maladies nerveuses , un exemple intéressant de cette as- sociation.
e manifester, dans une même fa- mille, à la fois par des affections nerveuses , et par des malformations diverses, 222 NOUVELL
troubles du système osseux, aussi bien que des troubles du système nerveux ; ces deux systèmes seraient frappés cha- cun po
ent frappés cha- cun pour leur compte. Rien ne prouve que la lésion nerveuse soit néces- sairement la première en date et la
e. HALLION, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux . NOTE SUR QUELQUES ATTITUDES RARES OBSERVÉES
par deux de nos jeunes maî- tres les plus compétents en pathologie nerveuse ; le diagnostic ne fut for- mulé d'une façon pré
fa- cial, des nerfs du plexus brachial, et des divers autres troncs nerveux , ne déterminait pas de contraction musculaire.
aison de nombreux malades atteints d'affections diverses du système nerveux ou du système musculaire (myopalhies primitives
E. HUET, Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux . ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAI
CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES . SERVICE DE M. LE PROF'' CIL111C01' (Suite ').
la période intercalaire, en comprimant les gros troncs artériels et nerveux des bras (nerfs médians et les artères brachial
e et qui surviennent à titre de complication au cours d'une maladie nerveuse . Leur début est toujours accidentel, jamais con
s atteints ÉTUDE CLINIQUE sur l'athétose DOUBLE. 261 d'affections nerveuses . L'hystérie de la mère a été observée par Richard
ent, comme on le sait, agir d'une façon très fâcheuse sur le centre nerveux de l'enfant ; l'athétose double n'échappe pas à
ir au- jourd'hui : le traitement de certaines affections du système nerveux parles vibrations mécaniques. M. Vigouroux ét
apides et con- tinues au traitement de quelques maladies du système nerveux . Leçon recueillie par Gilles de la Tourette.
u'il a employée dans le traitement de certaines maladies du système nerveux . L'ouvrage de M. M. Granville peut être divisé
alisé, on percute et fait vibrer localement les nerfs et les plexus nerveux de voisinage, s'il est plus étendu, comme dans la
vibra- tion ainsi pratiquée ne soit un sédatif puissant du système nerveux . On sait que depuis longtemps les médecins alié
action sédative peut exer- cer une action excitante sur le système nerveux ; en fait elle est contre-in- diquée dans toute
LES DE la TOURETTE, Ancien chef de clinique des maladies du système nerveux . DEUX CAS D'ANOREXIE HYSTÉRIQUE L'anorexie hy
dérer comme sa condition pa- thogénique une certaine dégénérescence nerveuse . Sa durée est indéfinie, on pourrait dire qu'el
es, de volume normal. La soeur est faible de constitution, mais,pas nerveuse . Antécédents personnels. D... aurait eu une fiè
ncien interne, médaille d'or de la clinique des maladies du système nerveux . ÉTUDE CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAI
CLINIQUE SUR L'ATHÉTOSE DOUBLE (TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES NERVEUSES . SERVICE DE M. LE PROF'' CHARCOT') (Suite et fi
ns retrouver ces termes épars dans d'autres affec- tions du système nerveux . De même par exemple que l'hémiplégie appar- ti
un frère plus jeunes que notre malade, sont bien portants mais très nerveux . Antécédents personnels. Bien portante et intel
oncle du côté paternel. Le père de la mère de l'enfant. Pas de tare nerveuse . Un frère est mort tout petit on ne sait pas de
etit on ne sait pas de quoi ? Une soeur bien portante, sans accidents nerveux , a 2 filles bien portantes (18 et 13 ans). Pa
utôt agréable, pas de convulsions de l'enfance (ni son mari), assez nerveuse , pas de céphalalgie, ni de migraine, ni de né-
, ni de né- vralgie, ni de rhumatismes, ni dartreux, aucun accident nerveux . Mariée à 20 ans. Père mort d'une chute d'un ar
de la variole. Troisième on ne sait de quoi, mais pas d'ac- cidents nerveux . Leurs enfants seraient bien portants. Un frère m
ux ans pendant le siège. soeurs bien portantes, sans aucun accident nerveux , 3 ont des enfants bien portants, sans convulsi
rise des complications qui peuvent survenir dans certaines maladies nerveuses , sous forme de mouvements involontaires. Dans
, 1853). Progrès médical, 1878. Leçons sur les maladies du, système nerveux , t. II. - Leçons sur les maladies du système ne
es du, système nerveux, t. II. - Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III. Semaine médicale, 1886. Le- çons du ma
ICHER, Chef du laboratoire de la Clinique des maladies du système nerveux . Le gérant : Louis BATTAILLE, Imp. Vve Lounno
xiliaires indispen- sables, l'anatomie et la physiologie du système nerveux , la pathologie mentale, la psycho- logie des ra
eulement les rapports de l'hystérie simulatrice avec les mala- dies nerveuses organiques, un nouveau choix s'imposait parmi ces
uer et à cataloguer les affections les plus dispara- tes du système nerveux . Voici d'ailleurs les conclusions de l'auteur : «
n parcouru depuis 1850 dans la connaissance des maladies du système nerveux et de l'hystérie en particulier. C'était là not
e l'hys- térie infantile par la connaissance des lois de l'hérédité nerveuse . « Il est (1) Charcot, loco citato. 334 NOUVE
ystérie des enfants. L'impressionnahilité naturelle de leur système nerveux et les lois de l'hé- rédité, admises par tout l
priori; au con- traire, les lois de l'hérédité et la susceptibilité nerveuse du premier âge l'expliquent suffisamment, « En
er la question plus spéciale de l'hystérie simulatrice des maladies nerveuses organiques chez les enfants. Mais avant d'en fa
u respiratoires. Pour ce qui est des maladies organiques du système nerveux , leur étude était naguère encore si peu avancée
combinaisons de l'hystérie avec les maladies organiques du système nerveux ; il en a fourni deux exem- ples où les lésions
t que si l'hystérie peut simuler les maladies organiques du système nerveux , elle peut aussi bien se combiner de diverses f
soutient au contraire la simulation de l'hystérie par les maladies nerveuses organiques ? Nombre de cas rapportés par cet aute
et non moins bien observés. Tant pis si l'hystérie et les maladies nerveuses organiques s'identifient au point d'être souven
Charcot, Gazelle hebdoniad. (1865) et Leçons sur les malad. du syst. nerveux , t. I, p. 361. (2) Grasset, Leçons sur les ma
ystem, London (1891). (6) Charcot, Leçons sur les malad. du syst. nerveux , t. III, p. in. 312 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
l'étude complexe des syndromes hystériques simulateurs des maladies nerveuses organiques. Pour être jus- tes, nous ne devons
l'hys- térie d'une part, clans cette maladie organique des centres nerveux d'autre part, des ressemblances assez grandes d
878), distinguait une forme primitive, indépendante de toute lésion nerveuse organique. La thèse récente de Michaïlowski (4)
argée cle la simulation hystérique des diverses maladies du système nerveux . Poursuivant notre comparaison de l'hémiplégie
ésiterait pas à se prononcer pour la lésion organi- que des centres nerveux . Mais les difficultés de diagnostic ne sauraien
ore fréquemment. Mère âgée de 49 ans, bien portante, nie toute tare nerveuse dans sa propre fa- mille. Aeu 2 enfants d'un pr
cas intéressant à cause de la netteté avec laquelle les phénomènes nerveux se sont produits, à cause de la nature particuliè
rts, tous dans le premier âge, et de maladies étrangères au système nerveux . Pour ce qui regarde ses antécédents personnels
même ne produisit qu'une légère hémor- rhagie. Mais l'ébranlement nerveux fut très intense, et vous voyez que notre malad
plet, s'est développé lentement. Trois ou quatre mois après le choc nerveux , notre malade commença à éprouver un poids et u
'est-à-dire, que les deux phénomènes, (1) Voyez Maladies du système nerveux , t. III, p. 323 et suivantes. HYSTÉRIE TRAUMATI
les phénomènes observés chez l'hystérique et provoqués par un choc nerveux , ont été des phénomènes capricieux : paralysies,
demander, si l'état mental oc- casionné par l'émotion, par le choc nerveux éprouvé au moment de l'ac- cident et qui lui su
notisme et dans l'autre cas, comme on se l'est imaginé, par le choc nerveux , celte idée s'installe, se fixe dans l'esprit, do
e manifestent pas immédiatement après que l'individu a reçu le choc nerveux ; qu'ils apparaissent après deux ou trois mois et
airement la manière dont est liée la cause qui provoque le désordre nerveux , avec les phénomènes par lesquels celui-ci se t
pression ne l'aban- donne plus depuis le moment où il subit le choc nerveux . Il la ressent constamment depuis ce jour, elle
vent avoir pour base une rupture de la gaîne de myéline, des fibres nerveuses et la formation de substances colloïdes, lésion
tion traumatique. Au moins dans quelques-uns de ces cas, le trouble nerveux est le résultat d'une lésion réelle des tissus pr
Ecole de médecine et professeur de Clinique des maladies du système nerveux : l Santiago (Chili). LA FARADISATION THÉRAPEUT
ou trop irritables (comme cela se rencontre surtout chez les sujets nerveux ). Un rhéophore peut être placé au point correspon
y a que rarement un exsudat considérable ou une altération du tissu nerveux grave. Les douleurs de la sciatique disparaisse
qu'il est établi depuis longtemps dans la physiologie qu'une fibre nerveuse conduit l'irritation vers le centre comme vers la
ou un autre viscère qui est inflammé ou hy-' perémié ? Les centres nerveux et les viscères sont-ils inaccessibles au trai-
Quelle doit être la méthode s'il s'agit d'une affection d'un centre nerveux ou d'un viscère ? Le grand sympathique contenan
puis sa crosse et traverse avec elle le diaphragme. Tous les plexus nerveux abdo- minaux sont reliés à lui par des anastomo
hagie cérébrale produit la paralysie en comprimant certaines fibres nerveuses et en déchirant d'autres ; c'est par un choc qu'e
e choc est un état passager, mais la continuité de certaines fibres nerveuses reste lésée pour toujours. La guérison complète
les cas légers (où l'on ne peut pas supposer Une rupture des fibres nerveuses ) le retour des mouve- ments volontaires sans qu
er la contracture et la restitution de la conductibilité des fibres nerveuses . Cela est d'autant plus admissible que toute irri
tions sur des chiens, sur l'influence de la galvanisation des centres nerveux sur le ca- libre de leur vaisseaux. Ziemssen, ,
autres cas, non seulement le malade ne meurt pas, mais les éléments nerveux de la moelle résistent jusqu'à un certain point
rois que l'excitation est portée jusqu'à ces ganglions par les fibres nerveuses qui les relient entre eux. Le succès de notre m
anatomiquement cette affection, ne tend pas à détruire les éléments nerveux rapidement. Notre procédé est très efficace dan
icher, Chef du Laboratoire de la Clinique des maladies du système nerveux . (1) Parmentier, De la forme narcoléptique de l
79 (1901) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 16
is PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES fiêlieltirei chef : Docteur Edgar BÉRILLON CO
gr, James Braid définit l'hypnotisme « un état particulier du système nerveux délep-' miné par des manœuvres artificielles* f*)
eprésente cliniquement un groupe naturel comprenant une série d'états nerveux différents les uns des autres» chacun d'eux s'acc
stérie joue ici le plus grand rôle (2). Pour les autres, le sommeil nerveux n'a rien de pathologique. Pour Liébeault et ses é
s Siuo.s, 1883. p. 19. (t) J. M. Charcot: Note sur les divers états nerveux déterminés par Vhypnotisation sur les hystéro-éoi
en le considérant comme dû à la dissociation fonctionnelle desceñiros nerveux aboutissant à une annihilation plus ou moins fort
h, que les manifestations d'un seul et même état morbide, la diathèse nerveuse (3). Si nous ignorons la nature de cette débili
Si nous ignorons la nature de cette débilité fonctionnelle du système nerveux qui constitue l'état névropathique, nous ne la vo
oses. Or, cette même prédisposition commune à la plupart des maladies nerveuses se retrouve plus ou moins nettement dessinée dans
soi-disant tel, ou même atteint d'une autre affection du système nerveux et hypnotisable, le médecin ne pourra pousser plu
à-vis d'eux une indépendance relative ('). Ils prouvent que lesystème nerveux cérébro-spinal esttout comme la chaire ganglionna
imentale (4)¦ (1) E. BmsSAtii) : Leçvis sur les maladies du système nerveux , 1835, p. 225 et suiv. (2) Durand de Gaoâ citrt
n et les avantages d'une école qu'il vient de fonder pour les enfants nerveux à Wurtz-bourg. Les communications portées à Tor
eu. Ses parents étaient bien portants et je ne trouve aucune maladie nerveuse ou mentale à relever dans la famille. Je consei
ypnotique à entreprendre chez un malade ou plus généralement quand un nerveux se présente à notre examen, il est de la plus gra
itudes vicieuses. D' Henry Lemesle : Fausses grossesses et grossesses nerveuses . 0- Félix Regnault : Le dédoublement de la person
les-ci distendainnt les gaines adventices. Les cellules et les fibres nerveuses , ainsi que lanévroglio, étalent dans un état d'in
ibuent ce sommeil léthargique à l'effet du chloroforme sur le système nerveux de la jeune fille. Suggestion olfactive M. de
chroniques. Les résultats de ce traitement sont évidents: le système nerveux affaibli par le vin, réagit par le j retour de l'
e de changements d'humeur, une irritabilité prononcée de leur système nerveux et l'impossibilité presque complète de se retenir
t de ia suggestion^ réside dans son influence calmante sur le système nerveux , surexcité par l'alcool, ce qui amène immédiateme
t pas se i rendre compte en moins d'un an des oscillations du système nerveux propres à chaque organisation individuelle. Dan
osophie, âgé de 30 ans, souffrait depuis près de trois ans de spasmes nerveux du canal de l'urèthre. L'urine s'écoulait en un m
consulter de médecin, de peur do sondages ou d'opérations, se sachant nerveux et attribuant ces phénomènes en grande partie à s
u'elle est définitive, malgré la brièveté du traitement. Si ce spasme nerveux revenait, quelques suggestions de plus le déracin
suggestions les réduiraient si facilement. Chez bon nombre de sujets nerveux , il ne faudrait recourir à une autre médecine que
e se produirait pas. Le dégoût qu'il éprouve lui procure une secousse nerveuse salutaire. M. Bérillon en rapproche avec raison l
1) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du système nerveux , a la Salpetriùro. carotide, on constate qu'e
1} Présentation de malade faite a la clinique des maladies du système nerveux à la Salpêl . . . Cette jeune fille dérobe de
1) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du système nerveux , à la Sa!p£iriôrc. à ma connaissance, une err
u une évolution normale et a été réglée à 14 ans 1/2. Toujours un peu nerveuse , elle a même présente du somnambulisme nocturne.
us un verre grossissant. Or, le malade, homme d'un tempérament très nerveux , avait l'habitude' de mâchonner et de mordiller s
ait que par moments l'envie de ronger du fil la prend comme une crise nerveuse , avec une sensation d'angoisse qui ne se calme qu
m et un aliment à ses sensations voluptueuses, elle se créa un centre nerveux de dérivation, j'allais dire d'inversion sexuelle
ussés à leurs dernières conclusions, à mettre enjeu les mômes centres nerveux , provocateurs de mêmes sensations voluptueuses.
fillette devint femme, cette transformation s'accompagna de symptômes nerveux et de tendances rien moins que religieuses. La pu
er rang, en intensité et en durée, se montrèrent les tJOTiiis-sements nerveux qui persistèrent pendant vingt ans, et les maux d
ue nous montre une fois de plus l'esprit romanesque et le tempérament nerveux de Thérèse. « Il y avait là un ecclésiastique q
moi. » Cependant aucune amélioration ne se produisit et les crises nerveuses s'installèrent avec leur mise en scène habituelle
wurcu que « l'on ne me touchât pas. » C'est au milieu de ces crises nerveuses , si complètes qu'à elles seules elles fourniraien
n est intéressante et constitue une page ; très précise de pathologie nerveuse . « Lorsque, dans cette quatrième manière d'orai
cha, voyant Jésus toujours à sa droite. Tout cet ensemble do crises nerveuses , d'hallucinations, d'extases, fut sévèrement jugé
ours. II y a de cela plus d'un an. II Julia H..., 11 ans, vive et nerveuse , urinaitaulit toutes les nuits depuis sa naissanc
n. Cette notion d'œdème dur et localisé pouvant apparaître chez les nerveux , est importante. Elle explique les faux cancers d
s avec les procédés usités actuellement dans les services de maladies nerveuses . Aussi (1) Voir observation, Société d'hypnolop
c'est-à-dire quatre enfants profondément atteints ^dans leur système nerveux . Ma nouvelle série d'observations confirme les
t émises sur la valeur de l'incontinence comme stigmate de l'hérédité nerveuse . Dans les familles auxquelles appartiennent ces m
ns une œuvre nouvelle. Elle se trouvait dans un état de surexcitation nerveuse développée par le travail, la mémoire affaiblie,
pouvait en quelques instants briser son avenir. D'un tempérament très nerveux , très impressionnable, elle était devenue absolum
u d'exemples dans nos revues, mais nous savons tous que les accidents nerveux , même dus à une intoxication, sont susceptibles d
hement assez rapide la veille au soir, elle avait été prise de crises nerveuses , avec perte de connaissance. Depuis elle paraissa
fait qu'elle dormirait ainsi, dans un calme profond sans aucune crise nerveuse , jusqu'au lendemain matin et qu'elle se réveiller
défaut, mais les circonstances dans lesquelles apparurent les crises nerveuses signalées par la sage-femme et l'entourage de la
sionnable, riant et pleurant pour les choses les plus futiles. Crises nerveuses qui ont débuté à 19 ans et qui surviennent à la s
3) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du système nerveux à la Salpetrière. Bordeaux qui, de temps à au
1) Présentation de malade faite à la Clinique des maladies du système nerveux a la Salpétriere. l'éducation des mouvements,
la suggestion hypnotique. Victor B., 26 ans, de tempérament un peu nerveux et sans tare héréditaire appréciable, est malade,
ndre à l'hystérie ce qui lui appartient. Dans les nombreuses maladies nerveuses que nous sommes appelés à constater, le plus souv
e d'épilepsie et surtout de rage. En effet, tout ce qui est trouble nerveux , particulièrement chez le chien et le chat, est m
ela, elles peuvent être ressenties suffisamment pour produire un choc nerveux et provoquer des phénomènes hystériques. La peu
ence du traumatisme. — Le choc traumatique est tout différent du choc nerveux , celui-ci est la conséquence d'une émotion vive,
ion hystérique. La maladie des jeunes chiens est suivie d'accidents nerveux épilepti-formes, choréiques, dans lesquels l'hyst
tration. — Il ne faudrait pas oublier d'étudier de près les accidents nerveux des juments soumises constamment à ia reproductio
ayant présenté sous l'impression de causes d'ordre moral des troubles nerveux très accentués. Un de ces animaux, qui avait dé
été sacrifié, on ne constata, à l'autopsie, aucune lésion des centres nerveux . Dans le second cas, il s'agit d'un chien de on
bles sur leur marche et sur l'absence de lésions visibles des centres nerveux , capables de les expliquer, propose de les assimi
. Sa mère était une triste et avait de grandes crises; son père était nerveux , colère, irritable. Elle a été réglée à 12 ans. A
» « Les attaques de nerfs sont certainement une des manifestations nerveuses les plus connues. De tous temps on lésa regardées
urs écrivains montrèrent qu'il s'agissait tout simplement de maladies nerveuses . Voir A. Maury, la Magie et l'Astrologie, Paris,
X, 31, etc.). Il guérit aussi un hydropique, l'hydropisie peut être nerveuse , mais là-dessus nous n'avons point de ^détails (L
e {Actes, XXVIII, 7). Nous dirons simplement qu il existe des fièvres nerveuses d'une extrême violence, et que la suggestion peut
ics et des habitudes automatiques. Fausses grossesses et grossesses nerveuses Par M, le docteur Henry Leuesle. La Cour de S
erbie ayant donné un regain d'actualité à cette page de la pathologie nerveuse , il m'a semblé que notre Société était mieux qual
ous suggérer. Les fausses grossesses sont le plus souvent d'origine nerveuse directe ou indirecte, mais il convient de ne pas
. Il convient toutefois de distinguer nettement : 1° Les grossesses nerveuses à substratum organique; . 2° Les grossesses ner
es grossesses nerveuses à substratum organique; . 2° Les grossesses nerveuses essentielles. 1° Grossesses nerveuses a substra
anique; . 2° Les grossesses nerveuses essentielles. 1° Grossesses nerveuses a substratum organique Une lésion organique de
ique intervient seul et où l'on se trouve en présence d'une grossesse nerveuse d'origine purement suggestive. 2° Grossesses ne
une grossesse nerveuse d'origine purement suggestive. 2° Grossesses nerveuses essentielles Il faut envisager : a) La grossess
ossesses nerveuses essentielles Il faut envisager : a) La grossesse nerveuse résultant de la crainte de la maternité; b) La
e nerveuse résultant de la crainte de la maternité; b) La grossesse nerveuse résultant du désir de la maternité, a) Grossesse
a grossesse nerveuse résultant du désir de la maternité, a) Grossesse nerveuse par crainte de la maternité. Les deux observati
de veille l'obsession qui jouait le « rôle d'arrêt. » b/ Grossesse nerveuse par désir de la maternité. v Nous devons nous d
grossesse de la ménopause peut encore être accentuée par les troubles nerveux ou autres qui marquent cette crise de la vie fémi
eule aurait pu suffire à provoquer l'illu- Un cas de vomissements nerveux incoercibles guéris par suggestion. Par M. le Dr
la légation de Serbie à Paris, nous avons pu savoir que la grossesse nerveuse avait été occasionnée par une affirmation de gros
de la remonter; elle lui explique que ses vomissements sont purement nerveux , qu'ils sont le résultat d'une mauvaise habitude
à moi, je suis bien persuadé aussi que ces vomissements sont purement nerveux et qu'ils ne font que perpétuer une mauvaise habi
ements, il y arrivera aussi bien. C'est naturellement la pathologie nerveuse qui est la plus intéressée à connaître l'état du
. Salpétrière. — Le cours de M. le Dr Jules Voisin sur les maladies nerveuses et mentales aura lieu de décembre à mai, les jeud
ue l'hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres affections nerveuses et qu'il y a lieu de rayer cette prétendue névros
peler hystériques, les analyser et les rapprocher des divers troubles nerveux que l'on est unanime à séparer de l'hystérie. C
e. Considérons les grandes manifestations de l'hystérie, les crises nerveuses , les paralysies, les contractures, les anesthé-si
même capables de faire apparaître chez les diabétiques des accidents nerveux et de déterminer des troubles circulatoires grave
st inutile d'insister sur ce point. Enfin, il y a d'autres affections nerveuses qui ne retentissent pas gravement sur la nutritio
ais elle est incapable de le guérir. Il n'y a pas une seule affection nerveuse bien définie et située hors des limites de l'hyst
tés, rétabli les circuits interrompus, rendu l'équilibre à la machine nerveuse , et, comme par l'effet d'une commutation électriq
t jamais sortie de son village, détail à souligner. Père cultivateur, nerveux ; mère journalière, obtuse. « Il y a quelques mo
nt est restée dix jours à l'hôpital, ne présentant plus aucun trouble nerveux , aucun symptôme du côté de l'abdomen » ('). La
attaques aux puissants. Il existait donc un milieu propice de gens nerveux , excitables, prêts à se grouper autour d'un chef.
ations Inscrites : 1» D' LeMesnant des Chesnais : un cas de grossesse nerveuse ; 2» Dr Bérillon : Traitement des habitudes alcool
long ; que ce vice de fonction, « primitif ou commandé par des actes, nerveux morbides, peut être n enrayé ou modifié par une t
et lorsque nous nous efforçons de calmer l'irritabilité des cellules nerveuses , d'équilibrer les fonctions mentales, d'utiliser
rable qui ait jamais été tentée pour l'étude du cerveau et du système nerveux central. Comme nous ne pourrons jamais vous parle
étudiant, comme vous le faites, les déviations des grandes fonctions nerveuses , en fixant les variations des échanges organiques
directement par l'intermédiaire des agents qui modifient la nutrition nerveuse , en diminuant, par vos méthodes d'enseignement pé
icher L'hypnotisme est l'ensemble des états particuliers du système nerveux déterminé par des manœuvres artificielles. Tout
jets hypnotisés ne répondent pas, dit Charcot, à un seul et même état nerveux . L'hypnotisme représente cliniquement un groupe
eprésente cliniquement un groupe naturel comprenant une série d'états nerveux , différents les uns des autres, chacun d'eux
ment pour le suicide Le D* Charles Jacobs, spécialiste des maladies nerveuses à Chicago, a demandé l'autorisation d'établir dan
e certaines portions du corps ou d'un groupe particulier d'extrémités nerveuses (comme en produit par exemple la cocaïne) mais c'
nt de la souffrance est obtenu sans engourdir ou disloquer le système nerveux général. L'état de trance n'est même plus nécessa
stions inconscientes. Il est possible qu'à la Clinique des maladies nerveuses , on rencontre actuellement moins de grandes hysté
ifester chez les personnes d'un âge très avancé. Fausses grossesses nerveuses Par M. le D' Le Menant des Chesnais L'expressio
M. le D' Le Menant des Chesnais L'expression courante de grossesse nerveuse est incomplète au point de vue scientifique puisq
icutaire connue sous le nom de môle. Appelons donc fausse grossesse nerveuse l'ensemble de ces phénomènes dont j'apporte deux
onctionnelle de notre organisme, et dans la pathologie des affections nerveuses . Voici tout d'abord mes deux observations : U
on confrère, et a produit chez vous ce que l'on appelle une grossesse nerveuse . Vous n'êtes pas enceinte. » Malgré la peine pr
éressante communication. Il s'agissait également de deux grossesses nerveuses , mais à l'envers des cas ordinaires, elles avaien
reparaître les règles chez ces deux femmes. Les fausses grossesses nerveuses ne sont pas très rares, et peuvent quelquefois se
nctions de notre organisme. Discussion M. Lépinay. — La grossesse nerveuse existe dans les espèces animales, moins cependant
perd fl) Présentations faites a la clinique des maladies du système nerveux à la Sal-pêtrière. pas connaissance et on la
e a eu des hémoptysies, peut-être traumatiques, mais, peut-être aussi nerveuses . En tous cas, actuellement, l'examen minutieux du
se : s'agit-il d'une affection organique, ou d'une affection purement nerveuse , ou de l'association des deux? Pour faire le diag
se livre, en compagnie du regretté Dr Gibert, à l'étude des maladies nerveuses , en particulier de l'hystérie et de l'hypnotisme.
Directeur du Laboratoire de psychologie de la Clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière, il publie, en 1898, en collabor
; maladies organiques consécutives à une dépression morale; maladies nerveuses centrales ou périphériques, etc.) 2. Le trait
ilité; paralysies des membres, paralysies oculaires, mutisme, aphonie nerveuse , bégaiement, parésies, atrophies musculaires fonc
nsomnie persistante, affaiblissement de la volonté, hyperexcitabilité nerveuse , nervosisme, impuissance génitale d'origine psych
rigidité, cette théorie d'un raccourci que prendrait le mouvement nerveux expliquerait comment une action est exécutée en r
s d'anesthésie, d'autres d'hyperesthésie, des lopoal-gies, de l'œdème nerveux et quelques idées fixes. Je recours, celte fois e
sons n'ont jamais rien présenté d'anormal au point de vue cérébral ou nerveux . ' Enfin ce qui distingue essentiellement l'ant
uellement » l'antévu. Il est indispensable qu'à un moment ses centres nerveux aient reçu l'impression de cette image qu'ils ten
gaz, et il va imprégner directement les muscles, mais aussi le tissu nerveux pour lequel il a une affinité spéciale. A l'autop
ande persévérance ; ou essayera l'hypnotisme, on tonifiera le système nerveux , on exaltera la fonction respiratoire par des
ent entre les mains des ignorants. Alors on ne verra plus d'accidents nerveux touchant l'aliénation mentale, après des pratique
chologie en se refusant à étudier dans la chair palpitante le système nerveux de l'animal et de l'homme, ceux qui ont la préten
encé par l'étude anatomique et physiologique du cerveau et du système nerveux et ils ont trouvé par milliers les faits qui démo
t on concevait et dont on conçoit maintenant les maladies mentales et nerveuses . Dans les ténèbres du moyen âge, éclairées seulem
a sœur jumelle de la superstition religieuse, expliquait les maladies nerveuses et mentales par l'influence diabolique, et soigna
merveilleuse qui étudie toutes les gammes de la folie et des maladies nerveuses ), l'école classique, dis-je, a continué à se déve
auto-suggestion appelle l'activité de l'individu sur certains centres nerveux . Elle développe certaines facultés et ce développ
nes facultés et ce développement, à cause de la facilité des cellules nerveuses à se reproduire en raison du travail qui leur est
t l'occasion d'une création ou d'une augmentation de certains centres nerveux . Considérons le centre nerveux dans l'exemple d
une augmentation de certains centres nerveux. Considérons le centre nerveux dans l'exemple d'auto-suggestion, auoir de bonnes
ux dans l'exemple d'auto-suggestion, auoir de bonnes idées. Le centre nerveux qui préside à ce travail peut donner dans une jou
l'auto-suggestion auotr de bonnes idées aura été pratiquée, le centre nerveux qui préside à ce travail aura été sollicité, son
s grand, soit cent bonnes idées dans une journée. Si ce même centre nerveux est sollicité tous les jours, si son activité est
ggestion bien pratiquée, en vertu de la loi d'entraînement, le centre nerveux grandira, grossira, s'augmentera; les cellules ne
ent, le centre nerveux grandira, grossira, s'augmentera; les cellules nerveuses se multiplieront. Et là où il n'y avait qu'une ce
ules nerveuses se multiplieront. Et là où il n'y avait qu'une cellule nerveuse , il y aura dix ou cent cellules nerveuses, effect
il n'y avait qu'une cellule nerveuse, il y aura dix ou cent cellules nerveuses , effectuant un travail dix ou cent fois plus gran
travail dix ou cent fois plus grand. Il existera un véritable centre nerveux , nous assistons à la création d'un centre nerveux
un véritable centre nerveux, nous assistons à la création d'un centre nerveux . Ce sont en effet les cellules nerveuses qui pr
ns à la création d'un centre nerveux. Ce sont en effet les cellules nerveuses qui produisent tout travail, musculaire ou intell
oduit sont des résultantes qui ont pour origine l'activité de centres nerveux . Le muscle qui se contracte se contracte parce qu
e qui se contracte se contracte parce que l'impulsion vient du centre nerveux qui lui est spécial. L'idée émise est émise parce
spécial. L'idée émise est émise parce que l'impulsion vient du centre nerveux qui lui est spécial. VII. — Exercice d'auto-sug
auxquelles il faut obéir. Les détraquements sont tous ces symptômes nerveux décrits par les traités, en nombre si considérabl
Vattention, qu'il envisageait dans ses manifestations comme un influx nerveux . Nous serions plus disposés à les considérer co
son état s'est constitué sont intéressantes. Son père était un homme nerveux qui avait de la tendance à parler seul, comme ces
qu'elle n'avait rien aux yeux. Un seul a prononcé le mot d'asthénopie nerveuse , et c'est déjà trop dire : elle n'a que des sensa
é endormie par un hypnotiseur célèbre. Avant cette époque, elle était nerveuse , impressionnable, mais pas d'un nervosisme morbid
la cause des accidents actuels. C'est ud cas d'aboulie sur un terrain nerveux , c'est de la psychaslhénie, un pur trouble mental
des troubles maladifs imputables à certaines modifications du système nerveux , guérissent parfaitement par l'hypnotisme et la s
ue à l'étude d'un état particulier des êtres vivants, dont le système nerveux présente un manque d'équilibre résultant de troub
— Mme X..., cabaretière, 40ans. —Constitution excellente. Est devenue nerveuse , irritable depuis quelques années à la suite de l
c droit. A la suite de cet accident, souffrances très vives et crises nerveuses fréquentes. Je suis amené à provoquer le sommeil
le, car la fillette a eu des convulsions dans son enfance et est très nerveuse . Depuis une dizaine de mois, le caractère a chang
Deux ans avant, c'est-à-dire il y a 10 ans, elle éprouve une secousse nerveuse violente. Au moment de ses règles, seule avec sa
r la pression ovarienne et oculaire. Je suggestionne longuement cette nerveuse , et j'insiste sur les rapport conjugaux. Comme tr
formée contre les spasmes de l'estomac et phosphate de soude, tonique nerveux . Je lui impose de revenir à ma consultation, huit
t presque instantanément le sommeil. Suggestion. Je maintiens cette nerveuse pendant plusieurs mois sous l'influence de me
ns la mesure du possible. Remarque. — Sous l'influence des troubles nerveux , alors que les ovaires sont troublés dans leurs f
aler dans ses antécédents. Sur cet ensemble se greffent des accidents nerveux (boule). Tous ces troubles ont été causés par cha
de gens revenus de l'Afrique du Sud sont en proie à une surexcitation nerveuse manifeste. D'autre part, il y a un accroissement
qui concerne les maladies de la nutrition, tes affections du système nerveux , la dermatologie, la gynécologie médicale. Le
s cas, en même temps que les leçons théoriques. Maladies du système nerveux M. Babinski commencera ses conférences clinique
nski commencera ses conférences cliniques sur les maladies du système nerveux le samedi 3 mai à 10 h. 1/2 et continuera tous le
le degré d'instruction du criminel, la misère économique, l'influence nerveuse d'une journée orageuse et chargée d'électricité,
el le criminel se développe, son tempérament qui peut être sanguin ou nerveux , lymphatique ou bilieux, — sa race, qui peut être
ve, ayant entraîné des blessures ou n'ayant provoqué qu'une commotion nerveuse tel qu'on l'observe dans le ralway Drain ou le râ
en apparence normalement ; mais les fonctions supérieures du système nerveux , l'attention et la volonté surtout, font défaut.
, si on lui applique une bonne pédagogie, si l'on tonifie son système nerveux , si l'on remonte sa volonté, on fera qu'il soit l
e à la fois épilcptiquc et alcoolique. Toute jeune-elle s'est montrée nerveuse et a eu des peurs morbides. Réglée à 13 ans, mais
u de temps. Elle va rentrer dans le service. On calmera son système nerveux ; on lui fera de l'hypnotisme, mais du bon, de l'h
ant de), par Raymond, p. 124. Géant Hugo (Le), p. 128. Grossesses nerveuses et fausses grossesses, par Henry Lemesle, p. 178.
veuses et fausses grossesses, par Henry Lemesle, p. 178. Grossesses nerveuses (fausses), par Le Menant de Chesnais, p. 277. G
l'auto-suggestion (La), par Coste de Lagrave, p. 185. Vomissements nerveux incoercibles guéris par suggestion (Un cas de), p
80 (1899) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 12]
T . F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE A. JOFFROY PRO
PAR F. RAYMOND, Professeur de Clinique des Maladies du Système Nerveux . Messieurs, Le cas du malade qui va faire l'o
salle Bouvier ; il exerce la profession de maçon. Sa mère, une « nerveuse », est morte phtisique. Son père vit encore et
douleurs très vives. Le moindre ti- raillement, imprimé à un tronc nerveux , arrachait des cris au malade ; le NOU,ICONOCHA
es du malade, le moindre tiraillement auquel on exposait ses troncs nerveux et en particulier le sciatique (signe de Lasègu
utes les ressources capables de tonifier les systèmes musculaire et nerveux : massage, hydrothérapie, exercice en plein air,
n directeur Médecin adjoint de la Maison de Santé pour les Maladies Nerveuses de Toulouse. L'observation suivante relative
en portants et assez solides, n'ayant jamais présenté de phénomènes nerveux tels que : titubation, tremblements, strabisme.
t normale. supérieurs). Pas de troubles ob- jectifs. Les troncs nerveux ne sont pas sensibles à la près-, sion. Tro
nt pour nous permettre de rejeter l'hypotle ede toute autre maladie nerveuse , telle que : 1° Alaxie spinale médullaire ou ma
augmentée tant pour le courant de la moelle aux nerfs que pour 1 e nerveux musculaire ou musculaire direct, en tenant comp
COMME CAUSES DES DIFFÉRENTES DIFFORMITÉS CONGÉNITALES DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL (1) PAR R NICOLAS SOLOVTZOFF Prosec
ontinuation les corps vertébraux sont couverts d'une mince membrane nerveuse . Cette membrane représente la continuation dire
es cas de très forte hydrocéphalie. L'écorce se compose de cellules nerveuses dans la première époque de leur formation embry
côtés de la ligne du milieu se trouve une accumulation de cellules nerveuses à la première époque de leur formation, de là se
ours après, sa soeur est morte de diarrhée.A l'autopsie, le système nerveux central chez la seconde était normal, tandis qu
uissent être bien imbibés. Passons maintenant à l'examen du système nerveux central de la fillette sans cervelet. A l'exa
u de Meynert. La partie basale est très déformée. Toutes les fibres nerveuses qui forment le pied du pédoncule manquent; manque
dropisie du 3° ventricule. Passons maintenant à l'examen du système nerveux central des cas III et IV. Au-dessous de l'ou
elle épinière se transforme en membrane, nous trouvons les cellules nerveuses disposées symétriquement de part el d'au- tre l
recouverte de myéline et des deux côtés vont vers elle les racines nerveuses qui se terminent dans les cellules nerveuses. A
vers elle les racines nerveuses qui se terminent dans les cellules nerveuses . Au-dessus de l'ouverture, la moelle épinière a l
forte hydromyélie). Par conséquent, pendant la formation du système nerveux central, la partie dorsale située au-dessus de
e canal rachidien et ne s'unissait avec rien, parce que les racines nerveuses s'enfoncent seulement dans la partie antéro-laté-
. Ainsi, la cause de toutes les difformités congénitales du système nerveux central que nous avons décrites est l'hydrocéph
la quantité des vais- seaux, et il est de règle que plus le système nerveux est déformé, plus la quantité des vaisseaux nou
ie de vésicules qui provoque les différentes difformités du système nerveux central. Cette artérite généralisée dépend, pen
sons que la cause de toutes les difformités congénitales du système nerveux central est la syphilis héréditaire (1). , (1)
culation péronéo-tibiale supérieure qui est subluxée. Les racines nerveuses , le nerf facial, les nerfs du membre supérieur,
ers de sclérose ni cavités syringomyéliques. Le nombre des cellules nerveuses dans les cornes antérieures est sensiblement le
rativement, a donné les résultais suivants : le nombre des cellules nerveuses , les lésions de chromatolyse sont les mêmes que
par la méthode de Golgi on ne rencontre aucune trace de terminaison nerveuse en bouton à l'intérieur des reliquats de fibre mu
ne trouve pas de tubercules dans l'épaisseur des muscles.. Racines nerveuses et nerfs. Parmi les nombreux filets nerveux qui
des muscles.. Racines nerveuses et nerfs. Parmi les nombreux filets nerveux qui ont été examinés par dissociation après fix
que, il en est qui sont remarquablement sains ; ce sont les racines nerveuses cervi- cales et lombaires, antérieures et posté
s nerfs ou des ra- cines. Il est certain que l'influence du système nerveux peut nous échap- per lorsqu'une éruption consis
ur contester leur subordination à l'autorité régulatrice du système nerveux . Telles sont les lésions du zona dont nous avons
volume qui vient de paraitre. - E. Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses (2° série, hôpital Saint-Antoine), recueillies
et déterminée par une affection préalable des différents appareils nerveux , centres ou conducteurs. Vous serez ainsi ame
un lichen, un psoriasis semblent bien souvent n'obéir à aucun ordre nerveux , telles circonstances particulières font apparaît
le trou- ble initial d'où procède la trophonévrose occupe tel tronc nerveux ou telle racine. Enfin j'espère vous démontre
e de la cuisse, il n'y avait pas à douter que plusieurs territoires nerveux fussent intéressés : obturateur, crural, fémoro
pas de toutes - peuvent se dé- clarer sous l'influence d'un trouble nerveux , ce qui diminue d'autant leur prétendue spontan
ature, des trophonévroses, se manifestent à titre de dermopa- thies nerveuses lorsque la moindre résistance de l'appareil nerve
ermopa- thies nerveuses lorsque la moindre résistance de l'appareil nerveux laisse à la diathèse ou à la prédisposition inn
rédisposition innée toute latitude pour s'affirmer ; car l'appareil nerveux est le régulateur par excellence des phénomènes t
ymétrie et la régularité de développement d'une maladie des centres nerveux . 2° La sclérodermie en bandes ou en zones, dont
rophonévroses liées aux névrites des racines spinales ou des troncs nerveux ; - 3° La sclérodermie en plaques qui, il l'inv
qu'il est absolument impossible de ne pas lui attribuer une origine nerveuse . Je vous signale- rai dans une leçon ultérieure
s de toute connexion avec les départements périphériques du système nerveux ou de l'appareil vasculaire (Fig. 2). Et cependan
s les yeux la figure, permet de préciser le lieu exact de la lésion nerveuse : c'est bien une lésion des racines, et non pas
cine implique une symétrie d'action qui n'apparlient qu'à un centre nerveux : moelle épinière ou cordon sympathique. Nous e
gitudinales sont parfois mathémati- quement superposées à un trajet nerveux , et ce ne peut être la l'effet du hasard (Fig.
ntestation possible, soumis à la sphère d'influence d'un conducteur nerveux péri- phérique, il y a tout lieu de croire qu'u
il l'opinion que je soutiens et qui fait intervenir ici une action nerveuse lointaine, n'est-on pas admis à opposer une aut
f, ne laisse subsister aucun doute sur le rôle dominant des centres nerveux trophiques. Vous ne vous méprendrez pas sur la
- qui excluent toute ingérence pri- mitive et directe des appareils nerveux centraux ou périphériques. VIII. Je reviens aux
le vitiligo. Et cependant le vitiligo est essentiellement d'origine nerveuse : « Se déve- (1) Contribution à l'élude de derm
). » Comment donc se fait-il que le vitiligo, en dépit de sa nature nerveuse , Fig. 10. - Hydrua gestatioizis (cas de Bar et
emander si leur formation n'est pas indépendante de toute influence nerveuse cen- trale. Car les centres nerveux, pendant le
ndépendante de toute influence nerveuse cen- trale. Car les centres nerveux , pendant le temps que dure le développe- ment,
ponctuelle et si sûre d'elle-même. L'action régulatrice du système nerveux ne s'exerce en effet que sur les organes en fonct
- bles de développement (2) ». La meilleure preuve que le système nerveux central n'est pas indispen- sable au développem
onstitué dans son ensemble, ou peu s'en faut, sans avoir de système nerveux central. Si, comme il arrive souvent, une monst
vé de moelle et de cerveau, il est bien évident que toute influence nerveuse est étrangère au développement de la monstruosité
s étaient sous la dépendance d'un état morbide antérieur du système nerveux central. Mais vous voyez bien que cette théorie
ent s'est accompli normalement malgré l'absence complète du système nerveux central. 88 B. BRISSAUD plus on moins grave d
s cylindri- ques du tronc, de la tête et des membres. Si le système nerveux prend une part quelconque à cette maladie, c'es
qu'un pareil désordre peut exister, faut-il conclure que le système nerveux doive être mis en cause ? Du moins le système n
ue le système nerveux doive être mis en cause ? Du moins le système nerveux est-il responsable parce qu'il cesse de disciplin
(1) Voy. Etienne, Des nxvi dans leurs rapports avec les territoires nerveux , in Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, 18
aux eschares fessières. L'étude que nous avons faite de son système nerveux nous a montré les lésions suivantes concordant
à l'exclusion du cerveau, ce qui est rare dans les détermi- nations nerveuses de la syphilis héréditaire. Examen histologique
a observées, en effet, non seulement dans les maladies du sys- tème nerveux central et dans les affections des nerfs périphér
z les cancéreux ne faisant que de l'auto-intoxication. La mort * de nerveux est le plus souvent précédée d'une période plus o
cornes postérieures qui est recouvert par une mince couche de tubes nerveux conservés. Tous les autres cordons blancs, et p
également très nette. Dans l'aire de ces faisceaux, tous les tubes nerveux ne sont pas, toutefois, détruits ; quelques-uns
isseaux, une zone assez étendue de la commissure grise où les tubes nerveux à myéline n'exis- tent pas. D. Région dorsale
contre, dans la portion antérieure de la virgule altérée, les tubes nerveux sont plus nombreux qu'on ne le supposerait à un e
n fournis des deux côtés. Par les colorants nucléaires des cellules nerveuses se colorent bien, ne paraissent pas altérées et
mité inférieure de la circonvolution pariétale ascendante. Cellules nerveuses normales comme nombre, volume et prolongements.
profondes saines. 2) Circonvolution du lobe paracentral. Cellules nerveuses diminuées de nombre et un peu atrophiées, sans ce
qui présente moins de lésions vasculaires- que de lésions des tubes nerveux . Ces lésions des tubes nerveux sont limitées au
culaires- que de lésions des tubes nerveux. Ces lésions des tubes nerveux sont limitées aux fibres superficielles et moye
cervicale seulement : dégénérescence (ou plutôt atrophie des tubes nerveux ) intéressant la zone qui sépare le faisceau de Go
peu de péri artérite syphilitique, nous n'avons pas trouvé de tubes nerveux dégénérés dans les racines postérieures. D'autr
veau, enfin, ne montre que des minimes altérations vascu- laires et nerveuses . Ces altérations qui intéressent surtout les fibr
erprété de cette façon. Du reste les altérations limitées aux tubes nerveux avec intégrité des cellules qui siégeaient uniq
t le plus (t) G. Dunwrr, Les dégénérescences secondaires du système nerveux . Bull. de la Soc. de Biologie, 1894. - Les dégé
'origine ancienne puisque la réparation des cellu- les et des tubes nerveux y est complète. On ne saurait la rattacher à la
ore eu le temps de provoquer des altérations secondaires du système nerveux ainsi que le prouve la parfaite intégrité des tis
ont hiérarchisés en vue d'un fonctionnement harmoni- que du système nerveux . . Des recherches physiologiques et anatomo-cli
e M. le professeur Grasset. Il a eu dernièrement quelques symptômes nerveux tels que phobies sur les routes, il la vue d'un
té ; ils n'ont eu ni troubles paralytiques, ni chorée, ni accidents nerveux d'aucune sorte, ni rhumatisme, ni obésité. Une so
le cubitus ; nulle sur les os de la main. 1 Le pincement des troncs nerveux se traduit par une hyperalgésie encore plus viv
dant, après une immobilisation de 40 jours. On connaît les troubles nerveux consécutifs à ces luxations. Au niveau de la
rtement. Quelle peut être l'action de cette luxation sur les troncs nerveux du voisinage ? Certains auteurs ont déclaré que
traumatismes qui en ré- sultaient pouvaient déterminer des lésions nerveuses (en dehors de la compression directe qu'on adme
de l'articulation a dû s'exercer particulière- ment sur les troncs nerveux les plus rapprochés de la tète articulaire. Le
n ou la propagation de l'inflammation articulaire aux autres troncs nerveux n'est guère possible. Les nerfs médian, cubital
ntacte sous tous ses modes. Mais la pression exercée sur les troncs nerveux en dehors des scalènes pour les branches radicu
évation exagérée, au 3e temps, entraîner un tiraillement des troncs nerveux , tirer en bas et en dehors les o°, G", 7e cervica
trous de conjugaison respectifs. Lors de la réduction, les troubles nerveux étaient limités aux nerfs cubital et médian, le
crasements par une roue de charrette par exemple, les autres troncs nerveux (médian et cubital) ne peuvent être atteints pa
s faisceaux musculaires sous-jacents. on n'ob- serve pas de lésions nerveuses . Or, ici on ne trouve aucune trace de cal, ce q
nons d'examiner, ceux du bras et de l'épaule en blessant les troncs nerveux expliqueraient les lé- sions des nerfs circonfl
anente ou passagère associée à la paralysie à la suite d'une lésion nerveuse tron- culaire s'observe quand les lésions des f
res sont suffisantes pour inter- rompre à la fois les transmissions nerveuses centrifuge et centripète. Quelquefois la lésion
Elle est très 128 J SABRAZÈS ET L. MARTY vive le long des troncs nerveux accessibles au doigt (circonflexe, radial, cubi
mpression et d'élongation ont joué un rôle essentiel. Les lésions nerveuses qui en ont été la conséquence ont-elles été la la
ullaires par élongation, les tiraillements que subissent les troncs nerveux dans la région de l'épaule, siège de la luxation,
n- draxiles est un fait actuellement établi. Bien plus, les centres nerveux sont susceptibles d'être modifiés à distance, s
Leyden (2), Achard et L. Lévi (3) d'atrophie localisée des centres nerveux en rapport avec l'atrophie musculaire et osseuse
flué par elles-mêmes sur la genèse de l'atrophie ; mais les lésions nerveuses fronculaires et radiculaires sur (1) Iir.mrrt,,
'atrophie sont la compression et l'élonga- tion exagérée des troncs nerveux et des racines jusque dans leur trajet rachidie
scendante, le long des racines, des lésionsirri- tatives des fibres nerveuses sensitives, lésions qui se traduisent par une hy-
traduisent par une hy- peresthésie cutanée, musculaire, osseuse et nerveuse du membre malade. Déplus l'élongation et l'ébra
e du membre malade. Déplus l'élongation et l'ébranlement des troncs nerveux et radiculaires sont susceptibles de retentir,
le à son tour par sa répercussion sur d'autres points de l'appareil nerveux , porte sur l'appareil nerveux.périphé- rique, s
ion sur d'autres points de l'appareil nerveux, porte sur l'appareil nerveux .périphé- rique, sur les fibres afférentes des é
ion de l'appareil labyrinthique à la symptomatologie des affections nerveuses en général, et plus particulièrement du tabes. Ce
IQUE 135 ditifs tiennent relativement peu de place dans la clinique nerveuse . Les troubles labyrinthiques tiendront, j'en su
ns la surdité d'origine périphérique sans lésion primitive du tronc nerveux , l'atrophie est loin d'avoir cette allure ; et il
ers le bulbe, ou sa localisation initiale dans ce point des centres nerveux ; il n'y a rien d'étonnant à ce que le tabes frapp
n motrice. J'ai souvent cherché à analyser celle sensation d'effort nerveux et à voir si elle varie de forme selon ses appl
comme il en part de tout autre point de la périphérie de l'appareil nerveux . Seulement, ceux-ci sont, par adaptation LE TAB
ce fait qu'une irritation périphérique ou centrale, dans un domaine nerveux donné, pourra cheminer comme une aura, de noyau
ns ses antécédents nous trouvons la grand'mère paternelle qui était nerveuse et le père qui, sujet à des crises d'épilepsie,
éside,surtout dans l'absence complète d'antécédents et de symptômes nerveux . Issue d'une robuste famille de cultivateurs, l
dant trouver des rapports entre la lésion de la peau et des filets nerveux (br. oplitalm. du trijumeau). Mais l'existence
) : « La localisation d'une altération de la peau sur un territoire nerveux déterminé, indique bien que l'élé- ment nerveux
u sur un territoire nerveux déterminé, indique bien que l'élé- ment nerveux joue un rôle important, mais ne prouve pas que la
e, lequel peut être très variable, a élu domicile sur un territoire nerveux ». On pourrait appliquer ces mêmes considératio
octobre 1898. - Enfant petite, intelligence vive, éveillée, un peu nerveuse . Sur le dos du pied droit une tache blanche d'asp
e le 4e avril 1898. Père bien portant, légèrement dyspeptique. Mère nerveuse . 2 autres enfants bien por- tants. L'enfanta to
stituée. Rien de particulier dans les différents appareils. Système nerveux normal. Mains assez petites. Doigts effilés. L'
7 ans en Afrique, alcoolique et absinthique invétéré. Mère 45 ans, nerveuse , migraineuse, goitreuse. 2 fausses cou- ches. 6
éthode de Nissl pour l'examen de la substance grise et des cellules nerveuses . 2° Méthode de Marchi.. : 3° Méthodes de Weiger
ur à la normale. - Dans la substance grise, te réseau des fibrilles nerveuses , qui jusqu'alors était très bien conservé dans
sente quelques altérations comme le montre la figure 1 ; les fibres nerveuses altérées sont en petit nombre, mais il existe u
ombreuses. Le nerf tibial postérieur est moins atteint : les fibres nerveuses sont normales ; il existe un peu d'augmentation
veloppement peu anormal du tissu interstitiel. Le nombre des fibres nerveuses est à peu près normal : quelques-unes ne sont p
altérations des nerfs périphériques : .' a) Dégénération des libres nerveuses des nerfs intra-mnsculaires, peu considérable.
erfs intra-mnsculaires, peu considérable. - b) Lésions des troncs nerveux de l'avant-bras et de la jambe consistant en sc
gère, bien nette seulement sur le nerf péronier. c) Les gros troncs nerveux , tels que le sciatique, sont normaux. : 3° Des lé
un traitement rationnel. On sait combien les affections du système nerveux , et particulièrement la méningite et les convul
urs auteurs, d'ailleurs, ont signalé la fréquence de ces affections nerveuses survenant chez les enfants issus d'ascendants syp
écidivant sans cesse.C'est une femme grande, vigoureuse,, maigre et nerveuse . Je lui demande si elle a des enfants; elle me
une malformation, aucun symptôme d'hydrocéphalie ou d'autre maladie nerveuse , avait été. prise subitement de convulsions vio
t rester hésitant pour le médecin qui n'a pas observé les symptômes nerveux qui ont entraîné la mort de tous ces enfants.
ories hippocratiques sur la ge- nèse et le traitement des accidents nerveux imputés de nos jours à l'hysté- rie. C'est qu'e
mbré du teint, plaqué de rouge aux joues. Il signale comme symptôme nerveux certaines hallucinations de l'ouïe et de la vue
encore d'éliminer les poisons qui produisent le malaise des centres nerveux (céphalalgie, rachialgie, névralgies), de rele-
z les vieil- lards. On le voit se développ.er surtout chez les gens nerveux sous l'in- fluence du froidou de chocs moraux (
La disparition rapide ne concorde guère avec une lésion des filets nerveux , lésion qui, au cours de la paralysie générale, n
connaissait. Il affirmait que lui-même n'avait jamais eu de trouble nerveux ou mental jusqu'au début de l'affection pour la
é au grattage et à l'épilation par un prurit lié soit à des lésions nerveuses , soit à une auto-intoxication dont on ne trouve
ou moins accen- tuées avec conservation presque complète des tubes nerveux . Dans les muscles on constatait une diminution
rcot-Marie était inconnue et où la technique de l'examen du système nerveux était peu avancée : au point de vue clinique, les
sont diminuées de nombre et atro- phiées. Le réseau de fibrilles nerveuses qui se trouvent dans les cornes posté- rieures
ig. 1.) Sur des dissociations on trouve (Marinesco) : 10 des fibres nerveuses dont la myéline est fragmentée ou réduite en bo
l avec hypertro- phie de la gaine lamelleuse ; diminution des tubes nerveux assez marquée dans le cas de Marinesco ; modéré
plupart des cas d'atrophie musculaire qui relèvent d'une affection nerveuse . I,6wentlial qui a fait une étude très complète
CE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ÉTUDE SUR LES TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBIL
, viscérales, musculaires, articulaires, osseuseset même des troncs nerveux . Nous trouvons enfin altérées dans les cas de t
description et l'usage dans le Traité de Séméiologie des mala- dies nerveuses de Blocq et Onanoff, IS92. 330 ANDRÉ RICHE ET D
is soeurs, vivants et bien portants. On ne signale pas d'affections nerveuses chez les collatéraux. La malade est la dernière
deux frères et une soeur bien portants, Il n'y a pas de maladies nerveuses dans la famille. La malade est l'aînée ; réglée
bien portant, un autre est mort à 28 mois. Il n'y a pas de maladie nerveuse dans la famille. ' Réglée à 14 ans, elle l'a to
venot, Saint-Dizier (Haute-Marne). CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊT1UÈRE NOTE SUR DEUX TICS
R F. RAYMOND. Professeur de la Clinique des Maladies du Système Nerveux . ET PIERRE JANET. Directeur du Laboratoire
, d'une fa- mille assez normale, était assez bien portante, quoique nerveuse et colère. NOUV. ! CO'<OGRAPH ! E DE LA SALP
s cornes antérieures avec disparition presque complète des cellules nerveuses de ces cornes, atrophie et sclérose des racines
ssèdent une gangue conjonctive très épaisse, qui enserre des filets nerveux et des fibres à myéline moins abondants que nor
euvre (Pl. LXI, fig. D). Personne dans sa famille n'a eu de maladie nerveuse ni d'atrophie muscu- laire. . Père mort il 80
ans, de pneumonie; dans les ascendants collatéraux, pas de maladies nerveuses connues. A l'âge de 14 ans, demeurant dans le v
es de l'épaule, eschares multiples. Mort dans le marasme. - Lésions nerveuses classiques. G... Emile, formier de chapellerie,
° Nodule comme un gros pois à l'insertion du sous-épineux. Appareil nerveux . - Moelle. - La moelle ne présente aucune altérat
aires de l'éminence thénar. - Dis- parition très marquée des fibres nerveuses ; très nombreux tubes sans cylindre- axe. Augme
titiel, dont des ilots et des tractus découpent la largeur du filet nerveux . Médian, eM&t<6tt)Y<t. Epaississement
Epaississement du tissu conjonctif, diminution du nombre des filets nerveux ; nombreuses gaines vides. Mais lésions très nota
nt, d'après ce que nous connaissons actuellement de la pa- thologie nerveuse ; mais rien ne permet de penser que cette névrite
ne sont que des nodosités osseuses aux mains et aux doigts chez des nerveux ; quant au troisième, celui de Rosenthal, il pa
ntes pour différencier réelle- (1) P. LoNDE, De 1'(i ? ,thi,opathie nerveuse vraie et des troubles trophiques articulaires d
érisés analouio-palhologiquemenlpar la même lésion du même appareil nerveux pris en des étages différents, pouvant se succé
ent t une seule maladie. ni 26 CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE AMYOTROPHIE DOUBLE
nels. On ne trouve chez lui ni stigmates arthritiques, ni stigmates nerveux . Ce n'est pas un syphilitique, ce n'est pas un
ilement. Il s'agit d'un homme en très bonne santé, sans antécédents nerveux héréditaires ni personnels qui, en 1898 au mois
uée dans le membre inférieur malade. Un jeune homme (1) héréditaire nerveux et nerveux lui-même dans le cours d'une promena
membre inférieur malade. Un jeune homme (1) héréditaire nerveux et nerveux lui-même dans le cours d'une promenade en bicyc
ie musculaire rhumatismale. Th. Paris, 1873. (3) Descosse, Troubles nerveux locaux consécutifs aux arthrites. Th. Paris, 1880
le consécutive un traumatisme banal chez un individu ni héréditaire nerveux , ni nerveux lui-même, que cette atrophie pouvait
ve un traumatisme banal chez un individu ni héréditaire nerveux, ni nerveux lui-même, que cette atrophie pouvait guérir par
à 50 ans, de congestion cérébrale. Le malade n'a qu'une soeur, fort nerveuse et émotive, mariée et mère d'une fillette en bo
nier lieu, les cas d'acromégalie associée il une maladie mentale ou nerveuse bien caractérisée. I. Hérédité des acromégaliqu
12), Lancer 'eaux (16), Pick (24)]. Au point de vue de l'hérédité nerveuse ou vésanique, voici quelques documents : Vers
n enfant de 14 mois microcéphale : la grand-mère mater- nelle était nerveuse et asthmatique ; la mère, faible et nerveuse, ava
ère mater- nelle était nerveuse et asthmatique ; la mère, faible et nerveuse , avait supporté beaucoup d'émotions pendant la
médiatement à l'examen des troubles les plus prononcés du sys- tème nerveux chez les acromégaliques. III. - Psychoses et né
e nous venons d'exposer succinctement, nous voyons que les maladies nerveuses et men- tales sont fréquentes dans les familles
andes et sécrétion interne comme l'hypophyse, réagit sur le système nerveux déséquilibré de l'héréditaire, dé- terminant ai
uivant les prédispositions individuelles, l'éclosion d'affec- tions nerveuses ou mentales variées, mais toujours en rapport ave
9) Gordinier, Medical News, 1895. (10) Grasset, Traité des maladies nerveuses , t. II, p. 231 (11) GUI : 010N, Nouvelle Iconog
CE DE LA SALPÊTRIÈRE TRAVAIL DE LA CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ETUDE SUR LES TROUBLES OBJECTIFS DES SENSIBIL
trois qui vivent ont une bonne santé. On ne relève pas de maladies nerveuses dans la famille. Rien à signaler dans l'enfance
es et deux soeurs, tous bien portants. On ne relève pas de maladies nerveuses dans la famille. Rien à signaler dans ses antéc
té enlevée à la suite d'une fausse couche. Il n'y a pas de maladies nerveuses dans la famille. La malade est née à terme dans
'observe qu'à titre exceptionel dans d'autres affections du système nerveux . Le caractère dissocié des anesthésies et des h
autres, la plupart des régions cutanées reçoivent ainsi des filets nerveux provenant de deux ou trois racines contiguës.
du petit bassin, jamais de douleurs sur les trajets vasculaires ou nerveux . Tout le mal se réduit- à cette vaste enflure b
). . * .... x Ceci nous amène à parler des oedèmes qualifiés de nerveux , et c'estdans cette catégorie que nous allons t
ssent comme épiphénomènes au cours d'une maladie définie du système nerveux (hémiplégie, paralysie infantile, labes,'syringom
oir dans ces accidents des manifestations dys- trophiques d'origine nerveuse , favorisées par une prédisposition névropa- thi
v. des mal. de l'enfance, 1895. - Histoire d'une fillette de 3 ans, nerveuse , issue de pa- rents nerveux. Tous les 15 jours,
5. - Histoire d'une fillette de 3 ans, nerveuse, issue de pa- rents nerveux . Tous les 15 jours, un oedème dur, indolore de la
ait ressortir les analogies avec l'urticaire chroni- que. L'origine nerveuse de ces accidents semble indiscutable, et l'hystér
eilli un certain nom- bre de cas d'oedème éléphanliasique d'origine nerveuse . (1) Dans une seconde observation de Follet, il
ée par Lourier a trait à une malade de 30 ans, sujette à des crises nerveuses , atteinte d'un oedème du membre supérieur droit
s'est-il mon- tré disposé à rattacher ces cas aux oedèmes d'origine nerveuse . Tel fut aussi l'avis de M. Joffroy qui ce prop
s'agissait d'un trouble trophique consécutif à une ancienne lésion nerveuse . Chez une seconde malade âgée de 60 ans, obèse,
. la localisation de l'oedème, l'absence de lé- sions cardiaques et nerveuses , la conservation de la santé générale, l'in- do
pas non plus l'oedème observé au cours des affections du sys- tème nerveux , lésions organiques ou nécroses : c'est encore mo
ophiques de cause encore inconnue, mais vraisemblablement d'origine nerveuse . Il n'aurait d'autre mérite que sa brièveté. 47
idents dystrophiques. Et tous s'accordent à supposer qu'un désordre nerveux est la cause ini- tiale de ces accidents. Mai
es que l'on observe, soit expérimenta- lement à la suite de lésions nerveuses , soit cliniquement au cours d'affec- tions névr
thétique, qu'il n'est pas impossi- ble qu'une altération du système nerveux soit la cause de la maladie. On peut ajouter ce
ou plusieurs étages ' (1) Voy. E. BnissAuD, Leçons sur les maladies nerveuses , t. I, p. 203 et seq., t. Il, leçons 111 à VIII
eu semble avoir bien défini son rôle dans la production des oedèmes nerveux , en rappelant qu'on peut le consi- dérer « comm
on- nelle ». En somme, c'est toujours à une altération du système nerveux qu'abou- lissent, en dernière analyse, les hypo
de la myopathie primitive ne tient aucun compte de la distribution nerveuse périphérique : souvent même elle semble obéir,
n directeur Médecin adjoint de la maison de santé pour les maladies nerveuses de Toulouse. Depuis que le professeur Brissaud
vations de tortico- lis mental se sont multipliées. Cette affection nerveuse , sans être donc une rareté, n'est cependant pas
utien moral » que (1) Brissaud, Leçottç sur les maladies du système nerveux , 18J3-t894. (2) Biiissvui), loc. cil. UN CAS
st un jeune homme de 20 ans, chétif, mais ne présentant aucune tare nerveuse . Dans les commémoratifs on ne relève ni alcooli
yélie (causes des différentes difformités congénitales du système nerveux central), par N. So- LOVTzorF, 37. Hypothyroï
Hydrocéphalie et hydromyélie. Difformités congénitales du système nerveux cen- tral (N. SOLOVTZORF), VI, VII, VIII. IX,
81 (1894) Archives de neurologie [Tome 28, n° 89-94] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
F. RAYMOND Pioïeascur de clinique lies m.il.uiicb du système nerveux de Paris. COLLABORATEURS PRINCIPAUX \I1. A7
gra- vité,chirurgicalement;taupu produire'un'certain ébranlement nerveux ; des causesidéprimantes'dordre)physiquewiennent3
tion ^ merci - braneuse del 1'urèthre,zi phénomènes essentiellement nerveux dans la genèse : desquels» l'intoxication alcoo
v4do'h J9tU3 qmrnoo 3bslctrr , ,1 flntomieét physiologie du sqsteme nerveux , (cerveau,, moelle 'etorpanes des sens). (Exerc
E EN AMÉRIQUE, do ? 3°Psyçhologie morbide et anormale- : le mondeides nerveux ,' les pro- d-es; les génies, le monde des, dégé
irë,en`seignér ses élevés l'anatomie,et la physiologie, du système, nerveux ? (. 1lescoizdu t, toiîs les dimaazches âl'la8pit
élicates, les transforma- tions subies par les cellules des centres nerveux sous l'influence de causes diverses, et je n'ai
ng dit que les -sieurs Boisleau et Semel esche- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ,35 vins, donnèrent ordre de faire sortir la d
l Grain.er,propose de/donner leinotn-d'alla- 36 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . choestésie, l'impression est localisée du même
1 ? ' ,r k ? ! : a·. ? 3c 7 l'-iaqfiis-» ïh< REVUE.DE,PATHOLOGIE NERVEUSE .Et ? ! i ,' ? 37 1 .- »- -f"r t-" »> -...>
,n° t, p. 60.) ' - A. Marie." ' >- i I : ` LÈl'RE'SYSTÉU.1TI5ÉEF NERVEUSE ' A'* forme SYR1NG031YÉL1QUE par ' Mli.`le Drs
procédés ordinaires, on le trouve infiltré 38. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de'bacilles'de Hanseu. 11 existe aussi une név
nce, devient ataxique, il y a sept ou huit ans. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 39 Entre autres symptômes tabéliques, il prése
non fonctionnels.' '' ? ' ' ' ' 4 Quant aux désordres des centres nerveux , moelle ou cerveau, il admet qu'ils peuvent êtr
gist, XIV, 93, n b.) ? .en ï ,' ? A.Marie. 40 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 1· HÉ\fIANOPSIE ET NEURASTHÉNIE, ACCIDENTS DE
S ? (Jùurn.demécl : de Bordcctttx; n° 28.) 1 42 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE ? XXI. Sur un cas d'ostéite déformante DE PAGET
s (des deux pieds participent à' l'hypertrophie REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 43 ii -1 osseuse généralisée. Une autre partic
ques cas de para- . ,fT ftdf 3 €' . ·' ï : 44 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . - ! ? ; r*»" - ". =>-4V ' . ? ®yF.4-aC' .âY
l : v ? r d L ? y ? ll&$d ? · J.lllEr r . z REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 15 XXIV. Deux observations POUR SERVIR au diag
asmodiques à marche lente'et insidieuse. - 46 - REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXV. Deux cas de myopathie progressive du TYPE
perdu foute'leur force. '' " ? a ? 0't) ? )t.t REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . , 47 A noter deux symptômes exceptionnels dans
oissements. Dans la station debout, le genou 48 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . est en récurvation, c'est-à-dire convexe en ar
avoir que les néoformations syphilitiques ont REVUE 'DE- PATHOLOGIE NERVEUSE . " 49 leur origine dans le tissu conjonctif ou
un hérédi- taire vésanique,, non t névrosé, mais d'un , tempérament nerveux , faible -d'intelligence, émotif, orgueilleux ?
Le mécanicien en question est atteint d'une affec- : tion du système. nerveux entièrement imputable, à l'accident de décembre
ellëa ? laissé après elle des troubles fonctionnels. Les symptômes nerveux , généraux ont été produits, directement ou indi
lorsqu'on a affaire à un état d'affaiblissement imminent du système nerveux central; ils relèvent'la'force de résistance' d
froids de rivières et de mer sont indiqués pourrenforcer le système nerveux central. La réaction des'individus' est" d'aill
utopsie montre une méningite suppurée diffuse.de tout le, sys- tème nerveux central; l'organisme ne contient cependant aucun
professeur agrégé de la Faculté de médecine de Paris; 2° Pathologie nerveuse : Des névrites péri- plaériques.Rapporteur : M.
questions avaient été mises dans l'urne : Pneumogastrique, cellules nerveuses . » " Epreuve orale. La question traitée a été :
plus importants en ce qui concerne la structure normale du système nerveux . Les travaux de Ramon y Cajal, pour l'encé- pha
permis de comprendre la morphologie et les connections des éléments nerveux , à tel point que l'on peut, aujourd'hui, consid
ourd'hui, considérer nos connaissances sur la structure des centres nerveux comme aussi parfaites que celles qui concernent
quels rapports existent entre eux et les prolongements des cellules nerveuses , quelle est la structure et les particularités
PATHOLOGIQUE. longements cellulaires et les terminaisons des tubes nerveux . S'il nous était permis d'insister ici sur les
aine formée, c'est-à-dire après développe- ment complet des centres nerveux , les imprégnations par le sel d'argent ne se fo
té de biologie 2. Ces recherches ont porté d'abord sur le système nerveux des paralytiques généraux. Nous décrirons en qu
-méningée, de nombreuses granulations isolées ou en amas. Les tubes nerveux sont très diminuées dans l'écorce; au niveau de
es polymorphes, on constate des atrophies dégé- nératives des tubes nerveux , de l'atrophie simple et çà et là des boules hy
es protoplasmas cellulaires, les changements de forme de la cellule nerveuse qui, de triangu- laire qu'elle est à l'état nor
s autres méthodes permettaient de croire à l'intégrité de l'élément nerveux ; en nous montrant, frappé dans les moindres dé
rant, frappé dans les moindres détails de sa structure, l'élément nerveux , elle donne un appui nouveau à la théorie parench
nt cellulaire lui-même qui est troublé dans sa nutrition, les tubes nerveux , les vaisseaux et la névroglie ne devenant mala
la n'ôte rien à ce fait que dans la paralysie générale la cellule nerveuse s'amoindrit, s'étiole et s'atrophie. Il nous a
précisément d'établir des rapports fonctionnels entre les cellules nerveuses et les prolongements terminaux des cy- lindres
produire des modifica- tions dans les transmissions des impressions nerveuses d'élé- ment à élément, c'est-à-dire un retard,
un retard, un trouble ou une perversion dans la marche de l'influx nerveux , quel que soit sa nature. Ce n'est là qu'une
constituent la symptomatologie de la paralysie générale. PATHOLOGIE NERVEUSE NEURASTHENIE PALUSTRE Par le D' TRIANTAPHYLLI
ncontre habituellement dans la neurasthénie palustre. 94 PATHOLOGIE NERVEUSE . Les malades ont habituellement le visage pâle,
ades qui, dans l'espace de trois ans, n'ont eu que de 96 PATHOLOGIE NERVEUSE . une à trois périodes neurasthéniques, sans auc
la chaleur et l'humidité ont une certaine influence sur le système nerveux . Mais leurs effets sont loin de ressembler, à n
malades n'en présentaient t Archives, t. XXVIII. 7 98 PATHOLOGIE NERVEUSE . aucune. La plupart avaient le foie engorgé. Ma
ement les pigmentées ont complètement disparu et les 100 PATHOLOGIE NERVEUSE . non pigmentées ont pris leur place. Cette dame
e. ' Depuis neuf mois, me dit-il, il se sentait de temps en temps nerveux et sujet à des mauvaises humeurs; mais cet état p
son complète et pas de récidive depuis deux ans. - 102 PATHOLOGIE NERVEUSE . III. Mme Eu..., trente-quatre ans, paysanne, h
e, habite Batoum depuis deux ans. Aucun antécédent ni malarique, ni nerveux , d'une constitution forte. Depuis un an et demi
deux heures du matin. La malade saute subitement et 104 PATHOLOGIE NERVEUSE . presque inconsciemment de son lit, dans une an
rès bien. NEURASTHÉNIE PALUSTRE. 105 Rarement elle se sent un peu nerveuse ; elle prend alors un peu de quinine et ça pass
elle -se sent très bien, l'appétit manque encore. 106 PATHOLOGIE NERVEUSE . Après six jours, les accès ont reparu à la mêm
. En même temps la malade a une névralgie générale. Tous les troncs nerveux sans- exception présentent les points douloureu
stait sen- sible seulement à la pression, ainsi que tous les troncs nerveux sur leurs points de Valleix. L'état psychique s
mment, 13enschen 2 a publié un cas où ' Hirt. Pathologie du système nerveux . (Edit. franc., 1891.) - 2 Henschen. On arsenic
ralb., 15 fé- vrier 1894.) ÉTUDE EXPÉRIMENTALE DES MANIFESTATIONS NERVEUSES . 109 il a constaté des lésions médullaires prim
x et du catarrhe intestinal hémorragique. , La moelle, les troncs nerveux principaux et, dans la. plupart des cas, de fin
eux principaux et, dans la. plupart des cas, de fines ramifications nerveuses musculaires et cuta- nées, ont été enlevés. La
musculaires et cuta- nées, ont été enlevés. La moelle et les troncs nerveux ont été durcis par le bichromate de potasse. Ap
stante, mais parfois excessi- vement violente, causée par la lésion nerveuse elle-même. C'est en réalité le tableau clinique
droit fournit à la moitié temporale de la rétine droite des filets nerveux éveillant des sentiments de lumière et en même te
tend à la moitié nasale de la rétine de l'oeil droit par des filets nerveux conduisant des sensations de lumière et des réf
s de lumière et des réflexes, à la moitié temporale avec des filets nerveux donnant seulement des mouvements réflexes. En
il semble donc que la tumeur, sans avoir d'action sur les éléments nerveux dont elle occupait le siège, ait surtout agi pé
de l'automatisme psychique et l'indépendance relative des centres nerveux dont l'agrégat complet forme le substratum du moi
par des causes de nature dépressive chez des sujets dont le système nerveux est profondément débilité. Vient ensuite une ét
nt un nouvel élément à l'étude des affections familiales du système nerveux . Dans l'un et l'autre cas, la maladie se déclar
e d'activité intellectuelle, il faut comprendre la faculté à action nerveuse centripète, qu'a notre esprit de former des con-
infatigable travailleur, l'anatomie et la phy- siologie des centres nerveux , la physiologie, la pathologie et la clinique m
e trois heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux . Il sera accordé 30 points pour cette épreuve ;
publicain Orléanais du 7 juin.) Mercier (A.). Les Coupes du système nerveux centra ! . Volume in-18 de xn 2y8 pages. - Pari
tremblement des membres et du corps dans les diffé- rentes maladies nerveuses était jusqu'à ce jour enregistré cli- niquement
te du cylindre enregistreur, à régulateur de Foucault. ' CLINIQUE NERVEUSE AMNÉSIE RÉTRO-ANTÉROGRADE A TYPE CONTINU ET P
miculaire de la langue dans la - paralysie générale. 168 CLINIQUE NERVEUSE . M. Arnozan ? Charcot et M. Féré en ont cité qu
d'éner- gie ; cependant elle ne paraissait atteinte d'aucun trouble nerveux ni mental apparent... . L'incendie de la mais
e place de concierge, et ce fut le seul travail auquel 170 CLINIQUE NERVEUSE . elle se livra avant d'entrer à l'asile. Mais e
e la Soc. méd. ment, de Belgique, 1893, p. 161.) , 172 G), CLINIQUE NERVEUSE . deux pointes de l'aesthésiométre, car la malad
qui sont venues la prévenir, ni ce qu'elle a fait dans 174 CLINIQUE NERVEUSE . - les heures qui ont suivi, ni enfin aucune pa
st circonscrire exactement l'éten- due de l'amnésie. 176 CLINIQUE NERVEUSE La malade peut me citer sans erreur toutes les
, bien qu'étroite, a encore Archives, t. XXVIII. 12 178 CLINIQUE, NERVEUSE . un certain horizon. Et c'est en cela qu'elle e
lement à mes examens et qu'elle se les rappelle, non 180 ' CLINIQUE NERVEUSE . pas dans les détails, mais dans l'état émotif
tains moments, avaient une physionomie nettement fonc- 182 CLINIQUE NERVEUSE . '' "' tionnelle. Faut-il pour cela admettre qu
sations f s'emrriâgâsinent à l'état de résidus dansées- cellules nerveuses ^' quelles modifications elles'y4 déterminent et d
longue durée. 9' fp ? Qu'y a-t-il sous cette faiblesse des cellules nerveuses à rete- nir les sensations qui les ont irritées
revenir à la charge. {La fin prochainement.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . XXVIII. AMBLYOPIE TOXIQUE DUE A L'ABSORPTION D
llcd. Jou· : z., 28 avril 1894.) A.MARIE. 208 REVUE DE pathologie nerveuse . À ,' . ' XXXII. Myélite diffuse aiguë'; par
eux ans et demi après l'accident une partie des REVUE DE pathologie NERVEUSE . 209 mouvements est revenue, mais il persiste c
résentait une para Archives, t. XX V1H. 14 10 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lysie atrophique du membre inférieur droit, re
tion sur les talons, en effet, à l'état normal, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 211 ? les muscles gastrocnémiens sont distendus
la pathogénese des plaques de sclérose disséminées dans le système nerveux central. (Revue neurologique. 1893.) E. B. XDL
ent entre le centre visuel et le centre era- 12 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . phique sont soumis aux mêmes lois que les rela
eures; quand on veut, en les saisissant par les REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 213 pieds, leur écarter les jambes, on se heur
oisses à forme somatique qui remplacent des 214 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . accès d'angoisse complets. Il est rare qu'ils
bles de la sensibilité, mais tristesse et irritabilité; antécédents nerveux indiquant une ten- dance à la dégénérescence; t
t les processus séniles. Les recherches sur les maladies du système nerveux étaient d'abord z plutôt concentrées dans les m
ins que la consta- tation définitive de la disparition des cellules nerveuses motrices dans le bulbe et la moelle d'une malad
médicale est en quête de la formule chimique propre aux différents nerveux . L'un montre combien les délires actifs modifie
n viciée se manifeste par les formes les plus diverses d'affections nerveuses ou mentales. On r conçoit dès lors aisément que
ration directe produite par l'agent morbide sur les fins ramuscules nerveux , l'expression c névrite périphérique exprime- r
es d'entre elles qui se voient au cours d'une affection des centres nerveux (tabes, sclérose latérale amyotrophique) ne ser
urajoutée, secondaire, due indirectement à l'altération des centres nerveux par suite du trouble diffus delà nutrition qui es
ent sous la dépendance des lésions qu'a provoquées dans les centres nerveux l'agent morbide. Tout d'abord, au seul point de
a localisation de ces différents troubles avec le trajet des troncs nerveux ? Anesthésie par segments; conservation de cert
nis par l'électrisation sur les muscles appartenant à un territoire nerveux unique. Enfin le fait que la paralysie atrophique
it* pas qu'elle permette d'affirmer l'indemnité absolue des centres nerveux . En effet, nous savons que dans la polynévrite
sible d'expliquer l'intégrité des racines antérieures et des troncs nerveux dans la polynévrite, tout en admettant l'origin
névrites périphériques, de polynévrite, on désigne des altérations nerveuses indépendantes d'une lésion des. centres nerveux
des altérations nerveuses indépendantes d'une lésion des. centres nerveux ! On en distingue deux grandes catégories, suivan
elle est absolument indé- pendante de toute modification du système nerveux central. Il existe, en revanche, un très grand
légère ou même d'une modification purement dynamique des cen- tres nerveux . Le fait a été démontré par Erb et Remak pour la
ntielle du nerf, n'est autre chose qu'un prolongement d'une cellule nerveuse dont il dépend étroitement. Le corps de la cell
OCIÉTÉS SAVANTES. exclusivement périphériques, mais que les centres nerveux ont eux-mêmes subi une perturbation. Si on les
dans la moelle des sujetsayantprésenté pendant la vie des troubles nerveux qu'on a l'habitude de rattacher à des névrites
contestable, il se développe parfois, dans les cellules des centres nerveux dont proviennent ces nerfs, des altérations plus
à l'autopsie d'un sujet qui a présenté pendant la vie des troubles nerveux , de grosses lésions de la périphérie des nerfs
de tous les troubles symptomatiques qu'on observe et que le système nerveux central ne présente aucune modification. Il sig
. Il signifie simplement que les altérations anatomiques du système nerveux , perceptibles par nos moyens d'investigation, s
ées dans les nerfs ou y sont bien plus accusées que dans le système nerveux cen- tral. Il y a tout lieu d'admettre, et ce n
inent des névrites provoquent à la fois une perturbation du système nerveux central et du système nerveux périphérique ; qu
à la fois une perturbation du système nerveux central et du système nerveux périphérique ; que parfois même ils exercent en
ception (largement corroborée par la structure complexe du filament nerveux , si on le compare au filament de Deiters initial)
nt de Deiters initial), on peut, on doit même admettre qu'un cordon nerveux est tout à fait disposé pour effectuer des proc
tion subie par le filament de Deiters alors qu'il devient un cordon nerveux chez les animaux, supérieurs, on choisit les gr
donc pas de ceux qui, pour expliquer la réaction locale des cordons nerveux à l'encontre des actions pathogènes, se croient
e sensitive est en quelque chose motrice. Elle l'est du mouve- ment nerveux qui va exciter la cellule motrice, laquelle est l
nerf dans tout son par- cours, j'estime qu'au point lésé le cordon nerveux peut et doit réa- gir. Il possède un dispositif
en définie et que cette place soit exactement marquée en pathologie nerveuse . Or, il faut avouer qu'il n'en' pas été tout à
celles de la gaine lamelleuse et de la cavité vaginale des cordons nerveux . Déjà, M. Vanlair', dans un travail très intéress
lement deux variétés suivant que la lésion préexistante des centres nerveux siège au niveau de la moelle (polymyélite, tabes,
on produite directement par l'agent morbide sur les fins ramuscules nerveux : ce sont de véritables névrites périphé- rique
, puisqu'elles sont sous la dépendance d'une affection du sys- tème nerveux central. La discussion n'étant pas épuisée et l
èse, comme celui des lésions du système sensitif, dans les cellules nerveuses . Les altérations périphériques des fibres motri
cours du tabes, de névrites cutanées. Toutes les parties du système nerveux sont donc altérées, à des degrés divers, dans l
tout aussi inexact de le considérer comme une affection du système nerveux central que d'en faire une maladie exclusivemen
ique d'une affection qui porte son action sur l'ensemble du système nerveux ? Elle se traduira surtout par des phénomènes d
bles les retentisse- ments des maladies infectieuses sur le système nerveux . Or, ce malade, dont l'état mental est manifest
ou des extravagances, que son enfance a été traversée d'accidents nerveux ou psychiques, que ses ascendants étaient des dés
alcoolisme, névroses, lésions circonscrites et diffuses des centres nerveux . Un accès aigu ou subaigu d'alcoolisme éclate c
rejoindre le nerf lacrymal, et, à leur réunion, émanent les fibres nerveuses qui entrent dans la glande lacrymale. Selon c
Enriquez et Hallion. Dans ses recherches sur les lésions du système nerveux par le poison diphtérique, Stcherback n'a trouv
paralytiques et du tremblement qui semblent indiquer des lésions nerveuses centrales. (Revue neurologique , mai 1894.) E. B.
natomie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. XI. DES lésions DU système NERVEUX par LE poison diphtérique ? ' par le Dr STCHERB
t les altérations des vaisseaux, tandis que l'atrophie des cellules nerveuses apparaît tardivement et constitue un phénomène se
omènes paré- tiques. Ces lésions frappent surtout les ramifications nerveuses arri- vaut aux muscles et débutent dans les cyl
représenta, tives) tenait à ce que les sollicitations des éléments nerveux partie- du centre optique ne parvenaient que ta
dans trois cas de syrin- gomyélie, pratiqués uue fois sur un filet nerveux et les deux autres fois sur la moelle, ont démo
des propriétés physiques et des fonctions physiologiques du système nerveux et du cerveau en particulier, suffit à montrer
ondent aux cellules du tissu conjonctif réticulaire. Les cellules nerveuses possèdent dans leur protoplasma une subs- tance
n'agit pas en tant qu'opération, mais simplement par l'ébranlement nerveux qui en est la conséquence. M. Régis observe q
médical, en ce qu'elle suffit à faire disparaître tous les troubles nerveux simulant l'aspect clinique du rein flottant dou
de la mort et celui de l'autopsie. Quand il s'agit de ramifications nerveuses engagées dans la peau, dans une muqueuse ou dan
r qu'on peut tourner la difficulté et mettre en évidence les fibres nerveuses avec tout leur dispositif conservé, y compris l
e. Dans les limites de l'injection interstitielle, tous les cordons nerveux sont fixés et imprégnés par l'osmium et par l'arg
cellules sinueuses. En second lieu, on voit que là où les troncules nerveux traversent des plans fibreux sériés et même ten
qui a été fixée comme soufflée à l'entour et à distance des fibres nerveuses , on peut conclure hardiment qu'il n'y a pas de
Dans l'état normal, la cavité vaginale des troncs et des troncules nerveux renferme donc non de la lymphe, mais bien un liqu
de la lymphe, mais bien un liquide aquiforme, protégeant les fibres nerveuses contre les actions exté- rieures. A l'intérie
qu'il en serait de même de toute lésion de la gaine ou de la fibre nerveuse consécutive à la névrite, à l'oedème, à la péri
n France, où la plupart des médecins connaissant peu les maladies nerveuses chroniques des enfants, ne croient pas encore qu'
téristiques du crétin. , , DES LOIS PSYCIIOPIIYSIQUES EN pathologie nerveuse . M. MENDELSSOIIN. De nombreuses recherches fait
nt de vue du diagnostic différentiel dans les affections du système nerveux central (hémiplégie hystérique et d'origine cér
vise, au point de vue des troubles visuels, les maladies du système nerveux en deux grandes catégories : 1° Celles dans les
. DES réflexes vasomoteurs A LONG trajet dans quelques affections NERVEUSES . MM. Hallion et Comte (de Paris). Nous avons fa
on sur une région où la peau est anesthésiée par suite d'une lésion nerveuse périphérique ; au contraire, ils se produisent d'
les histologistes qui s'occupent de l'anatomie générale du système nerveux ont fini par se ranger, presque tous et y compr
pithéliale. J'ajouterai pour ma part que c'est là aussi une cellule nerveuse , dont la différenciation est demeurée rudimentair
and-père, Louis de Bourbon. Traitement hydrothérapique DES maladies NERVEUSES . Dans le compte rendu de la première séance nou
1893. BIBLIOGRAPHIE. VII. Traité pratique des maladies du système nerveux ; par MM. .1 GnnssET et G. Rauzier. Montpellier,
été créées de toutes pièces. On peut dire que l'ancienne pathologie nerveuse a subi d'une manière générale des modifications
vive lumière sur la détermination d'un certain nombre de mala- dies nerveuses . Aussi les anciens traités de neuropathologie ont
de comparer la troisième édition du Traité des maladies du système nerveux , publiée en 1885, par M. le professeur Grasset
féconde; elle a donné naissance au plus complet traité des maladies nerveuses que nous possédons. Tout en conservant le cadre
éninges, les maladies des nerfs et les névroses, les manifestations nerveuses des maladies générales. Enfin, comme appendices
s de modestie. En somme, le Traité pratique des maladies du système nerveux , de MM. Grasset et Rauzier, trouvera, nous en s
de plusieurs années. Toutes les questions concernant la pathologie nerveuse y sont traitées avec détails, d'une manière mét
Vol. XXVIII. Novembre 1894. ? 93 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE HYSTÉRIE. - CONFUSION MENTALE ET AMNÉSIE CONTIN
mont-Ferrand. (Août 1894.) Archives, t. XXVIII. - 23 384 clinique NERVEUSE . musculaire et articulaire, des notions de poid
tations de clinique psychologique d'une grande 3513 ? V' 5 CLINIQUE NERVEUSE . - --importance au point de vue de la nature et
e dans le même état. Mais si on les maintient ouvertes 358 CLINIQUE NERVEUSE . alors la malade tourne la tête, fait de profon
on plus précise les mouvements qu'on lui commande. - 360 CLINIQUE NERVEUSE . Tels sont les symptômes observés à la suite de
es spéciales : par exemple, dans le somnambulisme pro- 362 CLINIQUE NERVEUSE . voqué par les moyens ordinaires ou par l'expér
s,, modifications respiratoires, frémissement des pau- 364 CLINIQUE NERVEUSE . pières... Mais, en revanche, nous constatons q
mmunication. 366 CHIMIE PATHOLOGIQUE. quand il s'agit de maladies nerveuses ou mentales, car les modifications des échanges
nséquences des altérations anatomiques et physiologiques du système nerveux sur la vie végétative. On peut même espérer dan
1° Cours du College Department (1892-93). a) Physiologie du système nerveux . Des sensations (cours professé au Biolo- gical
logique ; il a traité de l'anatomie et de la physiologie du système nerveux dans leurs rapports avec les problèmes psycholo
à ce mode d'assistance. Nous accueillerons 392 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . avec une vive reconnaissance toutes les indica
e sont jamais des quantités négligeables '. , REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . L. OS'rL0-POROSE DE la voûte crânienne ; par G
' La cause la plus fréquente relevée est l'irritation des rameaux nerveux terminaux du vestibule par lesquels l'excitation
r les restituer à ces malades après guérison. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 393 avec purgatifs (calomel). Dans l'intervall
migraine ophtalmique, rentrent probablement 394 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . dans la catégorie des phénomènes de la sensibi
de l'origine bulbaire de la maladie de Basedow REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 395 est celle qui paraît actuellement s'appuye
crampes dans les pieds et les mains', pré- 396 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . cédés de sensations de chatouillement dans le
diminution de cette sensibilité douloureuse du REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 397 muscle qui se montre normalement à la suit
R LA PERMANENCE D'UN CORPS ÉTRANGER DANS LE 398 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . nerf occipital D'ARNOLD; par G. GALLERANI ET G
les autres filets cervicaux (tissu fibreux ayant altéré les fibres nerveuses ) ; contrac- ture des muscles de la nuque à gauc
ouvement de flexion coordonnés de la jambe. ' REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 399 La régularité avec laquelle les zones exci
tique st du plexus sus- claviculaire qui est le restant de douleurs nerveuses antérieures. Action favorable de la galvanisati
lit que les troubles de la vision d'origine 400 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . hystérique sont, pour la plupart, unilatéraux
l'auteur établit l'existence de la syphilis héréditaire du système nerveux et de la syphilis nerveusejnalimie précoce. P.
en nous, ce sont des processus intimes qui oscillent, des courants nerveux qui vont et viennent pour provoquer ce complexu
la modalité, le but. La mémoire est la propriété de la substance nerveuse d'être mo- difiée par l'excitant de telle sorte
décor qui résulte de la synergie de toutes les fonctions du système nerveux et les propriétés du moi c'est l'habitude de ce
qui produisent des dégénérés sontceux qui ont détruit leur système nerveux par le surmenage, les excès alcooliques, lesmalad
ls transmettent à leur postérité cette faiblesse acquise du système nerveux . Le dégénéré ainsi produit devient un criminel
me âgée. Il lui fallut partir parce qu'il éprou- vait une agitation nerveuse croissante. En route, il fut assailli d'une ard
te de 3 heures sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux . Cette épreuve pourra être éliminatoire si le n
obscures qui, des profondeurs de l'organisme, arrivent aux centres nerveux » (Ribot). L'apparition dans la conscience d'un
OLYURIE HYSTÉRIQUE; Par A. SOUQUES, Chef de clinique des maladies nerveuses , à la Salpètrière. Il y a trois ans, MM. Debove
ité excessive, alors qu'ont pris fin les 1 Déjerine. De la Polyurie nerveuse . (Médecine mod., 1893, p. 650. ÉTUDE DE LA POLY
mêmes arguments, pour montrer qu'un certain nombre d'hyperdiurèses nerveuses , attri- buées aux émotions, aux refroidissement
t de la grande névrose. Il y a, au moins, deux variétés de polyurie nerveuse qui restent irréductibles. Ce sont la polyurie
rine tombe à 3 litres. Donc, les observations anciennes de polyurie nerveuse simple, où la recherche des stigmates n'a pas é
yurie organique par lésions, siégeant en d'autres points du système nerveux central et périphérique, s'expliquent dans cett
systématiques. La dégénération systématisée primitive des éléments nerveux , si elle a lieu chez les syphili- tiques (ceux
s formes aiguës sont des plus redoutables parmi les com- plications nerveuses de la vérole. Elles peuvent amener la mort en u
tits foyers était au voisinage du canal de l'épendyme. Les fibres nerveuses de la substance blanche présentent au bout de p
glande pitui- taire qui pour lui est un organe triple, glandulaire, nerveux et circulatoire. Chez les organismes inférieurs
re dorsal des acraniens. Il sert donc ainsi à la nutrition du tissu nerveux par oxygénation et à l'élimination des produits
t nécessaire au complet développement et fonctionnement des centres nerveux comme le montrent les trou- bles résultant de l
mence, nous trouvons assez souvent des symptômes somatiques d'ordre nerveux tels que de l'inégalité pupillaire, de l'affais
des idées sont en rapport avec la structure anatomique du système nerveux central et subsistent, mais l'opération terminale
effacer le délire en changeant les sollicitations des impressions nerveuses de ces fous systématiques. Ces malades peuvent do
lorsque la perception est demeurée cor- recte, parce que le système nerveux central est des plus affaiblis. De là les nombr
romes variés pro- duits par la présence de toxiques dans le système nerveux central et périphérique. M. Haury étudie une
es; beaucoup se rattachent aux intoxications avec ou sans lésions nerveuses connues. Quelques-unes sont à rejeter parce qu'on
FF. Ce livre ne constitue ni un traité, ni un manuel des maladies nerveuses .il a simplement la prétention de contenir quelque
Universal Médical Sciences ne s'occupe pas exclusivement de système nerveux , nous croyons pourtant devoir faire une mention
r. Le deuxième volume est presque entièrement consacré au système nerveux ; les maladies de l'encéphale sont signées G2-ay,P
TITUER au MOT asile LE nom d'hôpitaux POUR LES maladies mentales ET NERVEUSES ; par William REID. C'est une campagne analogue
Au Siège social : 41, rue des Ecoles. Déjemne. Anatomie des centres nerveux , avec la collaboration de M ? Déjerine-lilumpl
ie de Gallon, par Colin, 269. Coloration de l'ensemble du système nerveux , par Rosin, 318. Congrès de Clermont-1'errand,
rimentale , par Enriquez et Hallion, 315 ; des lésions du système nerveux par le poison -, par Stcherbach, 316 ; un cas
tner et Fedbausch, 57. Hydrothérapique, traitement - des maladies nerveuses , par Verrier, 343. HYPFRTRICHOSE, note sur un
u langage et localisations, par Struthers, 55. Lèpre systématisée nerveuse à forme syringomyétique, par Pitres et Sabraz
de la -, par Duprat, 40. PsYCHOPHYSiQUES, lois en patholo- gie nerveuse , par Mendelssohn, 336. Psychoses, traitement
,e, par Cul- lerre, 2. Vacuolisation des nucleus dos cel- lules nerveuses , par Larbert, 314. Varicelle, paralysie consécu
82 (1896) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 09] : clinique des maladies du système nerveux
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX IX ¡"'p. G. Saint-Aubin et Thevenol. J. Tliev
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALAD
PAR E. LENOBLE , Interne de la Clinique des Maladies du Système Nerveux . Observation. La nommée V... Alice, âgée de 28
nnus par V... et sont morts en bas âge. Il n'existe pas de maladies nerveuses dans la famille. Antécédents personnels . - Ell
troubles ne se sont pas reproduits.V... étant d'une susceptibilité nerveuse exagérée il faut mettre sur le compte de troubl
be digestif fonc- tionne très bien. Reins sains. Quant au système nerveux il présente des particularités que nous étudieron
hincters. Les réflexes tendineux sont exagérés. Examen du système nerveux . En examinant les yeux du malade on est frappé
leur existence, alors qu'elles n'ont aucune lésion de leur système nerveux , sans cause peut-on dire, le rétrécissement de
gion antérieure, laissant en arrière les gros troncs vasculaires et nerveux . Aussi l'hémorrhagie ne sera pas mortelle; mais
te raison comme une des modalités les plus rares des manifestations nerveuses de la vérole. L'observation que nous publions i
compléterons plus loin les signes fournis pas l'examen du sys- tème nerveux . Depuis son accident, le malade a perdu l'appét
duit aucun effet. La température est de 37°4. 1 Examen du système nerveux : ' , I. Motricité. Les troubles moteurssont ca
es éléments nobles de la racine, si ce n'est quelques amas de tubes nerveux pâlis, atrophiés, dans la partie la plus extern
on dominante est la sclérose embryonnaire qui dissocie les éléments nerveux et prend déjà en certains points l'apparence trab
scendante, on n'ob- serve que quelques ilots circonscrits des tubes nerveux gonflés, fortement colorés par le chlorure d'or
rstice des mailles de ces faisceaux, on reconnaît à peine les tubes nerveux disso- ciés, amincis, pauvres en couleur, fragm
t de véritables petites gommes miliaires. A ce niveau, les cellules nerveuses paraissent saines, leur noyau est normalement c
tumeurs; on reconnaît dans leur portion péri- phérique les cellules nerveuses et dans le reste de leur trajet quelques tubes
s cellules nerveuses et dans le reste de leur trajet quelques tubes nerveux plus ou moins altérés : il est des points cependa
s racines motrices droites ont gardé leur champ uni- forme de tubes nerveux , avec leur gaine de myéline et leur cylindraxe
es, caractérisées par la décoloration puis la disparition des tubes nerveux ; une racine tout entière se montre môme privée d
colorations de Weigert montrent la disparition successive des tubes nerveux : plus des trois quarts des tubes sont dégénérés
retrouve dans les racines antérieures un plus grand nombre de tubes nerveux . Il est à présumer que le processus de dégénére
es espaces con- jonctifs interfasciculaires et même entre les tubes nerveux ; les colorations faites à l'hématoxyline, ou m
ertaines racines sont à ce point envahies, que toute trace de tubes nerveux dispa- raît et qu'on n'aperçoit qu'une agglomér
certains amas cellulaires s'observent entre les faisceaux de tubes nerveux et peuvent expliquer un début de dégénérescence
des tubercules soli- taires et des gommes tuberculeuses des centres nerveux , nous croyons devoir nous arrêter au moins un i
ES. . Notre diagnostic clinique, basé sur l'analyse des symptômes nerveux présentés par notre malade, nous avait permis d
les particularités qui font de notre cas un exemple rare de trouble nerveux : c'est-à-dire la bilatéralité et la disso- cia
tions que nous possédions alors sur la syphilis acquise des centres nerveux commençaient à être satisfaisantes, on continua
édullaire, et combien peu-souvent songe-t-on à examiner les centres nerveux ? Toutefois, si l'on se rangea l'opinion très d
es sillons et les cor- nes grises. Le microscope y montra des tubes nerveux très nets. « La moelle de l'autre foetus, au co
is rougeâtre. Au microscope, M. l'otain ne put découvrir ni cellule nerveuse ni presque aucun tube nerveux distinct. Toute l
l'otain ne put découvrir ni cellule nerveuse ni presque aucun tube nerveux distinct. Toute la moelle semblait formée par d
Charcot et Gombault (1) dans un cas de syphilis acquise des centres nerveux . Dans leur cas, le processus était nettement d'
très raréfiée avec atrophie des cellules ganglionnaires, des fibres nerveuses et de la névroglie. L'auteur résume cette obs
te, hydromyélie, atrophie des cellules ganglionnaires et des fibres nerveuses ». La deuxième observation de syphilis congénit
névroglie épaissie pri- vée de cellules ganglionnaires et de fibres nerveuses . Il existe de l'endartérite. Autour de quelques
OGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE tain degré de résorption de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance des corn
cléreuse. Dans la substance blanche, on trouve de très rares fibres nerveuses , et de nombreuses cellules de la névroglie. O
e nombreuses cellules de la névroglie. On ne trouve pas de fibres nerveuses dans les cordons de Goll. Celles-ci com- LA SYP
lité, disposée irrégu- lièrement et très raréfiée. 0 Les cellules nerveuses sont ratatinées et atrophiées, mais laissent enco
e la coupe est constituée par de la névroglie avec très peu de fibres nerveuses . Les cordons postérieurs sont sclérosés. La sub
egments est dégénérée, les cellules rares et atrophiées, les fibres nerveuses disséminées. Dans la partie inférieure de la ré
nt, le canal central est toujours revêtu d'épithélium, la substance nerveuse est réduite à une mince bande circulaire oit il
mince bande circulaire oit il est impossible de découvrir des fibres nerveuses et des cellules ganglionnaires. Entre cette ban
al central est déjà divisé en 2 parties par un tractus de substance nerveuse . Dans la région lombaire, sur une longueur d'un
s de la sy- philis héréditaire associées si fréquemment aux lésions nerveuses . Et si nous parlons de localisation cérébro-méd
; 5° fausse couche de 6 mois ; 6° fille vivante âgée de 9 ans, très nerveuse , santé débile. S... affirme n'avoir jamais co
erait, le plus souvent, reconnaître une cause indépendante du système nerveux central. Les faitsrapportés sont d'ailleurs aus
es de la pie-mère qui, de 1,'i, pénétraient la moelle. - 'es fibres nerveuses étaienf altérées, en partie par l'infiltration di
peu altérées, il exislait cependant une atrophie de quelques fibres nerveuses ,surtout dans la région de la queue de cheval.
scussion sur les affections systématiques primiti- - ves du système nerveux dans la 65e- assemblée des naturalistes et médeci
A. GOII1AUL'l'. Note sur un cas de lésions disséminées' des centres nerveux observées chez une femme syphilitique. Archives d
ffections spécifiques (syphilides, gom- (1) Zambaco. Des affections nerveuses syphilitiques. Paris, 1862, p. 210. (2) BARTELS
tie et élargie. On ne trouva aucune autre anomalie dans les organes nerveux centraux ». « Evidemment ajoute Bartels, les ph
ue n'ayant été institué que longtemps après le début de l'affection nerveuse n'a pu donner encore de résultats satisfaisants
mme de 20 ans, n'ayant jamais souffert antérieure- ment'de maladies nerveuses , qui fut atteinte d'une paralysie flasque subai
note, en dehors des altérations dont la moelle ou mieux le système nerveux est le siège, des manifestations viscérales os-
à la consul- tation externe de la Clinique des Maladies du Système Nerveux . Notre maître, M. le Professeur Raymond, nous a
sa et eut d'elle un enfant. (1) E. l3na.ou, Leçons sur les maladies nerveuses , XXX6 leçon, p. 606. (2) Ili-, ,ç i ,\11 : w);,
pour une assez large part chez des indivi- dus atteints de maladies nerveuses . llallion en a fait une revision complète dans
et MAURICE FAURE Interne de la Clinique des Maladies du Système Nerveux . Nous nous proposons de montrer la possibilité
hez un grand nombre de malades atteints de toute sorte d'affections nerveuses organiques ou fonctionnelles. En éliminant tous
t 6 grammes par jour, sans aucun résultat heureux pour les troubles nerveux . Il commença alors à se produire de l'intoléran
gauche se présente comme un morceau indépendant, parce que le tissu nerveux est détruit plus ou moins sur ses bords latérau
dilatée où'l'on trouve encore les plexus choroïdiens. Tout le tissu nerveux a été détruit complètement ; par la rétraction du
riétale supérieure)on constate une diminution des fibres etcellules nerveuses ; ces derniers éléments se colorent mal, leur stru
gement sont courts. Dans les endroits les plus détériorés l'élément nerveux a tout il fait disparu ; on n'y trouve plus qu'
subi peu d'altérations ; c'est surtout la dégénération de l'élément nerveux qui nous frappe. B. Une atrophie du pied du p
nous n'avons pu constater d'autres anomalies. La masse de filets nerveux située au-dessous de la substance de Soem- meri
edpédonculaire passent directement, sans interposition des cellules nerveuses des noyaux centraux, dans l'écorce cérébrale, ou
rmé la nature de ces accidents, en un temps où l'étude des maladies nerveuses était encore pleine de contradictions et de mystè
incipalement la région (1) LOUYEII- VILLE1UIAY, Traité des maladies nerveuses ou vapeurs, Paris, 181G, t. I, p. III, cité par
DE la salpêtrière risés, mais qui en même temps a laissé le système nerveux intact : ce ma- lade ou plutôt cet infirme, âgé
néré partiel, localisé et pour ainsi dire systématique : le système nerveux est intact, l'épiderme peut être tenu pour tel,
il est remarquable de noter l'intégrité absolue de tout le système nerveux . Le cerveau n'est aucunement louché ; l'intellige
émangeaisons, pas de migrai- nes... De cette intégrité du système nerveux nous devons rapprocher le bon état de l'épidémi
diagnostiquer la syphilis chez les dégénérés physiques des centres nerveux . ¡ Du reste, à ce point de vue même, la règle n
on exclusif. ' " . '1 i Ici, la dégénérescence a épargné le système nerveux : ici comme ailleurs, *- la dégénérescence est
ysies oculaires au cours du tabès. (2) Raymond, Maladies du système nerveux , scléroses systématiques de la moelle, 1894.
élèves de M. Brissaud, M. de Massary (3). « L'activité de l'élémenL nerveux qui commande aux muscles estdétermi- née par l'
iques. Thèse Paris, 1885. (3) Michel, Etude sur les arthropathies nerveuses dans le cours de l'ataxie locomo- trice progres
les lésions osseuses et articulaires liées aux maladies du système nerveux remarque incidemment que dans deux observations
5) Muller, Archiv. sur klinische Chirurgie, 1888. (6) Arlhropathies nerveuses et troubles de la sensibilité. Nouvelle Iconograp
alpêtrière, 4894. (7) MouciOE'r et Coronat, Arthropalhies d'origine nerveuse . Archives générales de médecine, 1893. (8) Ch
rchives générales de médecine, 1893. (8) Chipault, Arthropatlzies nerveuses . Traité de Chirurgie clinique et opératoire, t.
sentées à maintes reprises ou simplement des lésions vasculaires ou nerveuses , toutes locales ? Ce qui n'est pas douteux, c'e
RE PAR G. GASNE. Interne de la clinique des maladies du système nerveux . M. Gilles de la Tourette'a groupé dans le rema
où l'hémorrhagie due à l'hérédo- syphilis siégeait dans les centres nerveux , malheureusement on n'a pas sou- vent songé à e
es sillons et les cornes grises. Le mi- croscope y montra des tubes nerveux très nets. (1) Cité par LANCEHEAUX, Traité de l
Au microscope M. Potain, M. Cornil ne purent découvrir une cellule nerveuse ni presque aucun tube nerveux distinct. Toute l
rnil ne purent découvrir une cellule nerveuse ni presque aucun tube nerveux distinct. Toute la moelle semblait formée par d
par Charcot et Gombault dans un cas de syphilis acquise des centres nerveux . Dans leur cas le processus était nettement d'o
tie et élargie. On ne trouva aucune autre anomalie dans les organes nerveux centraux. » . « Evidemment, ajoute Bartels, l
er'; si on tente de le faire on enlève de petits fragments do tissu nerveux . Partant de la pie-mère épaissie on trouve alla
de cellules rondes. Quant aux altérations spéciales de la substance nerveuse elle-même, elles sont de deux sortes. Tantôt le
rose par le picrocarmin forme la partie périphé- rique de la fibre nerveuse etengaine le cylindre-axe. A un stade plus avancé
racines antérieures et Postérieures. Çà et là seulement les fibres nerveuses des racines sont affectées par le processus vég
ouve les mêmes altérations que celles déjà décrites pour les fibres nerveuses de la moelle dorsale, le reste quoi- que engain
très raréfiée'aVec atrophie des cellules ganglionnaires, des fibres nerveuses et de la névroglie. » La deuxième observation
a névroglie épaissie privée de cellules ganglionnaires et de fibres nerveuses . Il existe de l'endarté- rite. Autour de quelqu
tour d'elles on note un certain degré de résorption de la substance nerveuse et aussi de la névroglie. La substance des corn
e scléreuse '. Dans la substance blanche, on trouve de rares fibres nerveuses et de nom- breuses cellules de la névroglie. ,
SPINALES DE LA SYPHILIS HÉRÉDITAIRE 289 On ne trouve pas de fibres nerveuses dans les cordons de Goll, elles com- mencent à
alité, disposée irrégu- lièrement et très raréfiée. Les cellules- nerveuses sont ratatinées et atrophiées, mais laissent enco
de la coupe est constituée par de la névroglie ou très peu de fibres nerveuses . Les cordons postérieurs sont sclérosés. La sub
egments est dégénérée, les cellules rares et atrophiées, les fibres nerveuses disséminées. Dans la partie inférieure de la ré
nt le canal central est toujours revêtu (l'épithélium, la substance nerveuse est réduite il une mince bande circulaire où il
central est déjà divisé en deux parties par un tractus de substance nerveuse . Dans la région lombaire, sur une longeur d'un
éninges, cndartérite oblitérante, liydromyélie, atrophie des fibres nerveuses et des cellules ganglionnaires. ix 19 ' 290 N
tractus entre de plus petits et de plus gros fais- ceaux de fibres nerveuses dissociant ainsi les faisceaux qui forment la rac
sque 292 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE entre les fibres nerveuses . Ces dernières ne présentent que peu de manifesta
petites places répondant à une section transversale de 4 à 8 fibres nerveuses qui sont comme découpées et se colorent en jaun
le tissu voisin de la né- vralgie. Les interstices entre les tubes nerveux de la substance blanche sont considérablement a
bres névroglillues, mais il la limite entre les cônes et la substance nerveuse ces fibres prolifèrent abondamment et forment u
e. Au milieu des végétations nucléaires compactes toutes les fibres nerveuses sont détruites à part quelques-unes isolées. Mais
e seulement éparses dans toute la substance blanche quelques fibres nerveuses plus ou moins malades. Les parties les plus altér
dor- sale qui est surtout atteinte. Outre l'écartement des tubes nerveux , démontré par une coloration plus claire à la m
s qui me renseignaient sur la diffusion des lésions hors du système nerveux . Je me suis servi comme fixateur du liquide de
au picrocarmin nous ont permis d'étudier de plus près les cellules nerveuses de l'axe gris. L'âge,des foetus a varié, le plu
ect que nous leur connaissons chez l'adulte; le réticulum des tubes nerveux abondant et bien mis en évi- dence par le Pal.
ans le sillon antérieur un prolongement plus épais, séparé du tissu nerveux et dans lequel courent des vaisseaux plus ou mo
r loger les racines, l'arachnoïde, la pie-mère et quelques détritus nerveux , restes de la moelle étranglée, pour ainsi dire,
se montre, de coloration et d'aspect, à peu près semblable au tissu nerveux auquel elle est accolée mais séparable, non fus
fascicule' est peu ou pas infiltré. Mais si dans ces cas les libres nerveuses restent indemnes il est certain que la lésion p
bryonnaires dans les travées cellu- laires, le long des conducteurs nerveux qui semblent respectés par l'infil- tration.
deux cas des désorganisations manifestes, indis- cutables du tissu nerveux . A part ces cas sur lesquels nous reviendrons a
rétraction due aux divers réactifs peut faire déchirer la substance nerveuse dont des lambeaux restent adhérents à la méning
orrespond au manteau blanc de ce côté on ne distingue plus de tubes nerveux , ni les nombreux noyaux névro- gliques qui pars
ns destructives empêchent-elles de nouveau toute étude des éléments nerveux . Il est assez facile d'interpréter de tels aspe
PHILIS HÉRÉDITAIRE 305 veines tiennent plus de place que les filets nerveux , dans la pie-mère où la veine spinale postérieu
sous-pie-mérien, l'adhérence du septum médian antérieur aux cordons nerveux voisins, tous phénomènes qui indiquent un process
tie d'un processus général qui ne frappe pas seu- lement le système nerveux mais bien tous les organes et elle est absolu-
7 cellules rondes embryonnaires qui se groupent autour des cellules nerveuses dans les travées laissées libres par les filets
e épaisse, d'énormes capillaires pleins de sang refoulent les tubes nerveux , et dans les minces travées qui séparent les fais
es, tiennent sur la coupe certainement plus de place que les filets nerveux eux-mêmes. De plus ces racines sont encore réun
le, et entre l'arachnoïde et la pie-mère d'autre part. La substance nerveuse n'est pas refoulée du reste et paraît n'avoir sub
oelle, sa consistance paraît également être à peu près celle du tissu nerveux . Examinée au microscope, la moelle comprimée, l
e qui forme leur base, vont eu s'atténuant vers le 'centre de l'axe nerveux . La dure-mère elle-même est peu encombrée de cell
rés par des cellules rondes qui emplissent-lès travées des cellules nerveuses , ces noyaux se réunissent parfois en véritables
st refoulée par le sang, elle s'avance en festons entre les racines nerveuses , sans que le sang s'échappe cependant. Région l
iers prolongent la lésion sur les travées occupées par les cellules nerveuses . La pie-mère est extrêmement épaissie, elle est
pect très spécial. Chaque disque qui représente un groupe de filets nerveux est entouré d'un tissu conjonctif abondant qui
dans le fascicule radiculaire et le dissocie; mais entre les filets nerveux et la gaine conjonctive qui les entoure se sont i
- tus fibreux que nous venons de signaler dissociant les fascicules nerveux . Région lombaire. -- La moelle est très altérée
qui vont se perdre dans les régions voisines en refoulant le tissu nerveux . A la place des vaisseaux spinaux antérieurs, on
les cellules embryonnaires s'infiltrent au mi- lieu des fascicules nerveux . La pie-nière est moyennement épaissie, elle es
ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . HOSPICE DE LA SALPLTIi7LIiD. PARALYSIES ARSE
LA SALPÊTRIÈRE sèment de l'empoisonnement arsenical sur le système nerveux , et qu'on a imputés tantôt à la polynévrite, ta
n particulier ceux des membres infé- rieurs. La pression des troncs nerveux , en des points où leur trajet est superficiel,
et no 26, p. 93. (3) F. Raymond, Clinique des maladies du système nerveux , ire série, Paris, 1896, p. 269. PARALYSIES A
énible ne manque presque jamais ; les muscles et surtout les troncs nerveux sont douloureux à la pression, mais cela n'est
oid développait une sensation de chaleur. Les muscles et les troncs nerveux PARALYSIES ARSENICALES ET TROUBLES SE\SITIVO-11
uscles paralysés. Les réflexes tendineux étaient abolis. Les troncs nerveux étaient douloureux il la pression ; on constata
a sensibilité persistent. Les muscles, quelquefois aussi les troncs nerveux sont devenus douloureux à la pression. La paral
sonnement arsenical, lorsque l'intoxication retentit l surlesystéme nerveux ? Une succession d'accidents qui, presque toujour
x l'alcool et l'arsenic, dans leurs manières d'atteindre le système nerveux . Dans l'un et l'autre cas, disai-je, c'est une
RE PAR G. GASNE, Interne de la Clinique des Maladies du Système nerveux . (Suite et fin.) Observation IX, 21 février 1
e une boullie rougeâtre contenant des grumeaux de nature évidemment nerveuse , les os sont écartés, il y a communication avec
canal de J'épendyme. Du côté gauche de la coupe, quelques fragments nerveux dans lesquels on distingue encore les cellules
cies d'éléments embryonnaires qui refoulent et cachent les cellules nerveuses . La pie-mère est très épaisse, infiltrée de noy
u côté gauche de la coupe, où on voit encore des fragments de tissu nerveux dissocié par les cellules embryonnaires attenan
ivre en partant du ganglion extérieur au canal rachidien une racine nerveuse qui pé- nètre dans la dure-mère et va se heurte
beaucoup moins bouleversés, on reconnaît nettement leurs fascicules nerveux et leurs travées cellulaires, niais ils sont ense
liers. Région dorsale inférieure. Ou reconnaît la présence de tissu nerveux , mais ce ne sont que des débris, la pie-mère fa
la substance blanche, mais on ne saurait y reconnaître les cellules nerveuses . Du côté gau- che la corne antérieure persiste,
ace compris entre les deux cornes n'a plus aucun caractère du tissu nerveux , on y voit seulement un magma grenu coloré en g
le elle-même mais ses dimensions sont bien deux fois celles de Taxe nerveux , il est en contact direct avec la dure-mère épa
des grands leucocytes connus en anatomie pa- thologique dn système nerveux sous le nom de corps granuleux. Sur certains es
ement visibles. Les ganglions sont évidemment altérés, les cellules nerveuses persistent au milieu d'une infiltration embryon
nnaire abondante mais les tractus formés par les faisceaux de tubes nerveux ne se voient plus avec la netteté habituelle. R
isolée dans ses contours et la pie-mère au lieu d'adhérer au tissu nerveux en est séparée par un exsudat abondant légèreme
impossible de distinguer dans la substance grise une seule cellule nerveuse . Il existe des espaces où la coupe n'a pris auc
upent presque tout l'espace laissé [libre sur la coupe par le tissu nerveux . Si la plupart des éléments sont absolument nor
és d'une gaine conjonctive très épaisse et très serrée, leurs tubes nerveux semblent être rassemblés, comme refoulés au centr
sont très souvent altérés. Il ne semble pas cependant que les tubes nerveux soient le plus souvent détruits, il est diffici
englobe. Les ganglions sont toujours infiltrés, mais leurs cellules nerveuses con- servent la plupart de leurs caractères nor
rties voisines. Espace sous-arachnoïdien libre Vaisseaux et racines nerveuses bien isolé ? 2. (OBS. II. Spécifique.) Moelle :
R GABRIEL DELAMARE Externe de la Clinique des Maladies du Système nerveux . Il a paru intéressant de réunir et de publier
s trophiques des ongles au cours d'affec- tions diverses du système nerveux (hystérie, maladie de Raynaud), parce qu'elles
. * Marie B..., 18 ans, vient à la clinique des maladies du système nerveux pour des lésions unguéales localisées au pouce,
UQUES. 1 Chef de laboratoire de la Clinique des Maladies du Système nerveux , à la Salpêtrière. « Nous avons entendu soute
83 (1934) Oeuvre scientifique
i I INTRODUCTION A LA SÉMIOLOGIE DES MALADIES DU SIS- TÈ1JIIj,' NERVEUX . DES SYMPTOMES OBJECTIFS QUE LA VOLONTÉ EST INC
mple signe de lésion, c'est la lésion même d'une portion du système nerveux , du nerf optique, perceptible pendant la vie grâc
e de déceler l'existence d'une affec- tion plus étendue des centres nerveux . Or si l'on considère que les troubles ophtalmo
stations fort communes des affections les plus courantes du système nerveux , de la syphilis, du tabes qui d'ailleurs n'est
syphilis, du tabes qui d'ailleurs n'est qu'une forme de la syphilis nerveuse , de diverses autres infections, de certaines in
sans doute à ce que le noyau de la sixième paire fournit des fibres nerveuses au droit interne du côté opposé et que, par con
re ce signe comme le plus remarquable de la sémiotique des maladies nerveuses ; il est dans bien des cas la seule manifestati
bès, à la paralysie générale ou la syphilis conglomérée des centres nerveux ; il en constitue une manifestation caractéristiqu
des signes de lésion, c'est la lésion même d'une partie du système nerveux , la lésion des méninges, dans l'espèce, visible
ptible d'être créé par la volonté ? ' ? Enfin, il est une affection nerveuse , l'intoxication diphtérique du système nerveux,
l est une affection nerveuse, l'intoxication diphtérique du système nerveux , qui donne souvent lieu à un trouble oculaire qui
u'ils subissent des perturbations dans un grand nombre d'affections nerveuses et donnent des indications fondamentales au poi
des réflexes tendineux est caractéristique d'une lésion du système nerveux , et ce trouble est étranger à la symptomatologie
s signes, ce sont des lésions qui sont symptoma- tiques de maladies nerveuses et qui ne peuvent être simulées. On peut en dir
ceptibles de dépendre indifféremment, soit d'une maladie du système nerveux , soit de quelque cause banale facile à mettre enj
certifier sans examen plus approfondi qu'il s'agit d'une affection nerveuse de nature organique, car il est possible que vo
avail s'il existe ou non chez le sujet en observation des désordres nerveux organiques ; elle est encore fondamentale toute
festations hysté- riques celles qui dépendent de lésions du système nerveux . Mais n'oubliez pas que la constatation d'un ou
édecine, les Revues et les Leçons consacrées à l'étude des maladies nerveuses , les journaux périodiques pour voir que dans la
ates étaient le résultat d'une perturbation inconsciente du système nerveux . On le conçoit au contraire fort bien, si l'on ad
Ne constatant aucun signe objectif d'affection organique du système nerveux , je porte le diagnostic de 22 LA MÉTHODE EN SÉM
re. consulté à son tour, émet l'opinion qu'il s'agit là de troubles nerveux et me fait l'honneur de me deman- der mon avis
rale, les sujets se croyant à tort atteints d'une lésion du système nerveux ou de quelque organe ne sont pas nécessairement
XE CUTANÉ PLANTAIRE DANS CERTAINES AFFECTIONS ORGANIQUES DU SYSTÈME NERVEUX CEN- TRAL, i.r. Babinski.] Publié dans les
is vous indiquer maintenant quelques-unes des affections du système nerveux dans lesquelles le signe des orteils paraît faire
l'avez vu, dans des cas de tabes associé à une affection du système nerveux , telle qu'une hémiplégie organique ou la méning
ue dans les hémiplégies toutes récentes, dans les cas où les fibres nerveuses du faisceau pyramidal étaient détruites et dans
e de tout signe objectif classique d'affection organique du système nerveux avait conduit les médecins chargés de l'examen
logie. La main, munie du marteau percuteur, interroge le système nerveux qui, par l'intermédiaire de ces réflexes, répon
et des réflexes rotuliens sans autre signe d'affection du sys- tème nerveux (Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière, n° 2, J
de l'irréflectivité tendineuse dans la symptomatologie des maladies nerveuses , il faut, après le tabès, étudier les névrites.
'est pas un indice cer- tain d'un désordre irrémédiable des centres nerveux . Les réflexes tendi- neux peuvent reparaître, a
sont les maladies musculaires placées sur les confins des maladies nerveuses ^ Examinons, en premier lieu, la myopathie primi
oir chercher la raison du phénomène dans la concomitance de lésions nerveuses . Jarkowski et moi(2) avons étudié des faits de
e appartient plutôt à la pathologie du muscle qu'à celle du système nerveux ; l'absence des caractères de la réaction de dé
ble peut-il être engendré directement par une altération du système nerveux central siégeant au-dessus des centres des réfl
erve chez des sujets dont il y a tout lieu de considérer le système nerveux comme absolument sain. Pour s'en convaincre il
de choisir quelques individus ne présentant aucun signe d'affection nerveuse , ayant simplement des réflexes tendineux forts
présentant, du reste, aucun signe d'affection organique du système nerveux . Si je suis entré dans des développements circo
Nous allons passer en revue les principales affections du système nerveux central dont la surréflectivité est une des manif
occupée par les faisceaux pyrami- daux dans cette partie du système nerveux . Il n'est peut-être pas sans intérêt de faire r
ème groupe il en va autrement. Dans certaines affections du système nerveux central, les mouvements réflexes de flexion du pi
que dans (') Voir : Dégénération lenticulaire progressive. Maladie nerveuse familiale associée à la cirrhose du foie (Revue
um anatomique, comme nous venons de le voir, des lésions du système nerveux central ; ces lésions intéressent la voie pyram
e du clonus dans les maladies organiques et fonctionnelles du système nerveux £ (Revue neurol., 1906, p. 82g). 86 SÉMIOLOGI
sur les réflexes tendineux une action pareille à celle des lésions nerveuses qui engendrent des paralysies ou des contractures
establement d'une monoplégie brachiale liée à une lésion du système nerveux central. Le signe de la pronation, l'hypothermie
: « Association de l'hystérie avec les maladies organiques du système nerveux , les névroses et diverses autres affections »,
plégie constitue un indice important de lésion organique du système nerveux et doit éloigner de l'esprit l'idée de para- ly
herchés d'une manière sys- tématique dans les affections du système nerveux , l'étude des réflexes a été négligée. On admet
e permet pas d'écarter l'hypothèse d'affection organique du système nerveux central, sa présence donne le droit d'affirmer
aralysie faciale dite périphérique avec DR. La paralysie des troncs nerveux et la DR étant étrangères à la symptomatologie de
'hystérie, ou si elle est liée à une affection organique du système nerveux central. VII CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES TROUB
araplégie en extension, dépend comme celle-ci de lésions du système nerveux central intéres- (') Voir : Exposé des travaux
médecine désireux d'apprendre la sémiologie des maladies du système nerveux . Parcourant la table des matières d'un livre qu
anato- mique, comme nous venons de le voir, des lésions du système nerveux central ; ces lésions intéressent la voie pyram
est vrai, de la précédente par sa forme déterminée par des lésions nerveuses centrales atteignant les faisceaux pyramidaux, et
du pied. Sauf ces derniers phénomènes, le fonctionnement du système nerveux semble absolument normal. Est-il permis de sout
admettait qu'il est sous la dépendance de l'irritation des centres nerveux produite par le reliquat de la lésion ? Consi
du foetus humain de 2 à 3 mois et leurs relations avec le système nerveux foetal ('). » J'extrais de cet article (p. 1 n3
lexes constituent un chapitre important de la Pathologie du système nerveux . W Revue Neurologique, 1921, nos il et 12. X
mettant d'admettre ou d'écarter l'hypothèse d'une lésion du système nerveux . Cependant, en procédant ainsi, on s'expose à com
volitionnelle, quoique transitoire, prouve que la lésion du système nerveux n'est pas profondément destruc- tive ; du reste
qui peuvent se manifester dans les affections organiques du système nerveux , je fus frappé par ce fait que les pupilles exp
aucun signe d'affection oculaire ni de maladie organique du système nerveux m'ont donné un résultat nettement positif dans la
sie de la troisième paire, est l'indice d'une altération du système nerveux cen- tral, presque sûrement d'origine syphiliti
chez la malade qui nous occupe, c'est bien à une lésion du système nerveux central qu'il faut attribuer le trouble pupillair
algré l'absence de tout autre signe de maladie organique du système nerveux , on est en droit de porter le diagnostic de tab
porter, il en est tout autrement ; la lésion orga- nique du système nerveux eût fort bien pu être méconnue, ce qui me condu
notion classique qui fait dépendre ces trou- bles d'une compression nerveuse ; n'a-t-on pas été amené à cette idée par des c
cifiées plus haut, cette abolition dénote une altération du système nerveux central, d'origine syphilitique selon toute pro
rb ("), qui déclare que ce signe lui paraît indiquer que le système nerveux central est touché par la syphilis, par Harris
ionnelle, aucun caractère objectif d'affection organique du système nerveux ; les réflexes tendineux des membres supérieurs e
aucune manifesta- tion subjective d'affection organique du système nerveux . Voici un homme âgé de quarante-six ans, qui a
lui aucun autre caractère objectif de maladie organique du système nerveux . Mais, contrairement aux deux autres malades, il
e de Robertson comme manifestation d'affection organique du système nerveux . Elle ne se rappelle pas avoir eu d'accidents spé
ditions précédemment précisées, nous parait indiquer que le système nerveux central est atteint par la syphillis et que le
pupillaires est le seul signe d'une affection organique du système nerveux . Comme l'abolition du réflexe à la lumière n'appo
que peut exercer une influence favorable sur les lésions du système nerveux d'origine syphilitique, elle sera naturelle- me
plus efficace que ces lésions sont à leur début et que les éléments nerveux ne sont pas encore profondément altérés. SÉMIOL
u se développer jusqu'à un certain point en dissociant les éléments nerveux sans interrompre leur continuité. Dans une se
l'observation sur l'homme que le pouvoir de compensation du système nerveux est plus grand à mesure qu'un individu se trouv
pant le cervelet, les autres atteignant d'autres régions du système nerveux et en particulier les organes compen- SÉMIOLOGI
tres pensaient qu'il dépendait d'une irritation directe des centres nerveux . Par mes recherches sur l'homme, par des expéri
le muscle est alors complètement soustrait à l'influence du système nerveux et que l'excitation électrique ne porte (') Tra
lité électrique propre à une période où l'excitabi- lité des fibres nerveux intra-musculaires est abolie ('). HYPEREXC1TABl
ne constate aucun signe objectif d'af- fection organique du système nerveux . Les organes thoraciques et les organes abdomin
rinsèques, que la paralysie était due à une compression des centres nerveux ; d'autre part, contrairement à ce qui avait ét
rac- tères appartiennent aux paralysies par compression des centres nerveux ('). Le 3 mai un nouvel examen du fond de l'oei
il y a lieu de penser qu'elle est due à une compression des centres nerveux , à condition qu'elle ne soit pas associée à une
orteil du côté gauche. Or, si l'on admet que tous les phénomènes nerveux observés chez 1). sont de même origine, qu'en p
femme confirme ce qu'il dit, qu'il a toujours été, au point de vue nerveux , un homme normal, pondéré, qu'il n'a fait d'excès
e cette affection est liée à une perturbation organique des centres nerveux , je pense que les lésions dont elle dépend doiv
Il serait permis de supposer qu'elle occupe une région des centres nerveux avoisinant ces faisceaux, par exem- ple le corp
3, p. 1-18.' III TORTICOLIS SPASMODIQUE AVEC LÉSIONS DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL. EXOSTOSES OSTÉOGÉNIQUES MULTIPLES JJ
t en outre, chez lui, divers troubles liés à des lésions du système nerveux central et des exostoses ostéogé- niques. Voi
idale ; on peut affirmer qu'il est atteint d'une lésion des centres nerveux . Les mouvements spas- modiques que l'on observe
l peut être sous la dépendance d'une affection organique du système nerveux central : on tend à admettre, comme on le sait,
nt dans certaines condi- tions, d'obtenir, après section des fibres nerveuses motrices, des dégéné- rations musculaires suivi
ablement de phénomènes liés à une perturbation organique du système nerveux , quelque soit l'idée qu'on puisse se faire de l
être tout simplement l'oeuvre du temps ; en effet, des phé- nomènes nerveux liés à l'encéphalite, tels que certaines clonies,
plication simple dans ce fait qu'à égalité de valeur de l'influence nerveuse vaso-constrictive, on comprend que la quantité
ce genre ne sont pas exceptionnels dans les affections du sys- tème nerveux central et il n'est pas rare de les constater dan
ribuer à établir le diagnostic d'une affection organique du système nerveux central et comptent parmi les manifestations obje
veloppe, comme dans les autres affections destruc- tives du système nerveux central, des dégénérations secondaires dont l'i
d'un phénomène mécanique, d'une compres- sion exercée sur les tubes nerveux par le tissu conjonctif de nouvelle formation,
ellules lym- phatiques. 3° La nature de la dégénération des tubes nerveux , analogue à celle qui s'observe dans le bout ce
s de la sclérose en plaques. La nature de la dégénération des tubes nerveux , analogue à celle qui s'observe dans le bout pé
plaques que de la sclérose secondaire. 6° La régénération des tubes nerveux de la moelle chez l'homme avec retour des fonct
r grosse comme une petite noix, qui a refoulé et déformé les tissus nerveux à son voisinage, sans toutefois produire de destr
eur structure d'altérations notables. Il en est de môme des organes nerveux , bulbe, protu- bérance, cervelet ; l'examen his
ès restreint de boules noires. On peut en conclure que les éléments nerveux ont résisté à la compression d'une manière rema
lésion, il n'existait aucune altéra- tion histologique des éléments nerveux , et qu'ils étaient encore plus marqués dans ce
ce cas que dans les autres. (') Leçons sur les maladies du système nerveux , 1886, t. II, p. 126. (Z) Zur Lehre von den Ges
dans les points de contact ; or, l'autopsie a montré que le système nerveux ne présentait pas d'altérations organiques. E
e cette forme de paraplégie était causée par des lésions du système nerveux central (sclérose spinale, néoplasme comprimant l
le j'ai appelé l'attention, qui dépend aussi des lésions du système nerveux central inté- ressant la voie pyramidale et dan
térêt à rechercher systématique- ment dans la clinique des maladies nerveuses le réflexe du tendon d'Achille. UN CAS DE CRI
quand on a éliminé par un examen méthodique et com- plet du système nerveux l'hypothèse d'un tabes, d'intervenir chirurgicale
es de l'ataxie, soit un trouble trophique dépendant des altérations nerveuses du tabes. N'est-elle pas le résultat d'une action
osseuses ? L'arthropathie de mon malade est-elle due à des lésions nerveuses du tabes, d'ailleurs hypothétique en l'espèce,
le tabès est lié à la syphilis et que, quand la syphilis du système nerveux frappe les racines postérieures et donne lieu à
le l'agent morbide frappe dans ce cas de part et d'autre le système nerveux . S'agirait-il d'une simple coïncidence fortuite ?
us syphilitiques auraient plus d'action que d'autres sur le système nerveux , ou bien parce que l'enfant hérite de son père
ère et de sa mère d'une prédisposition au développement de troubles nerveux ? Ce ne sont là, que des hypothèses, sur lesquell
cins qui l'avaient soigné, qu'il pût avoir une affection du système nerveux ; si, après avoir (') J. Babinski, Revue Neurol
tait pas que sa fille fut atteinte d'une affection grave du système nerveux , et ce n'est que sur mon conseil qu'il me l'a c
e, avec contracture, d'une très longue durée, sans que les éléments nerveux aient subi des désordres profonds, puisque les
uccombé, la nécropsie a été faite et l'examen anatomique du système nerveux a été pratiqué par notre regretté collègue et a
ant la tumeur ; . 3° Néanmoins on y trouvait de nombreuses cellules nerveuses aplaties, mais non détruites ; dans les racines
que les altérations n'étaient pas très profondes, que les éléments nerveux essentiels étaient plutôt irrités que détruits.
gine de tous les troubles symptomatiques observés et que le système nerveux central ne présente aucune modification. Il sig
. Il signifie simplement que les altérations anatomiques du système nerveux , perceptibles par nos moyens d'investi- gation,
ées dans les nerfs ou y sont bien plus accusées que dans le système nerveux central. Il y a tout lieu d'admettre, et ce n'e
ent des névrites provoquent à la fois une perturbation du sys- tème nerveux central et du système nerveux périphérique : que
la fois une perturbation du sys- tème nerveux central et du système nerveux périphérique : que parfois même ils exercent en
imitée à ce nerf. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du système nerveux siégeant au- (') Brissaud, Leçons sur les malad
système nerveux siégeant au- (') Brissaud, Leçons sur les maladies nerveuses , r8g5, p. 200. 442 AFFECTIONS DES NERFS dessu
l'atrophie musculaire est indépendante de toute lésion des centres nerveux ou des nerfs périphériques, et qui est connue sou
s cer- tains cas, pour le système musculaire, comme pour le système nerveux central, un lien entre l'anatomie pathologique
ie de développement ('). (') C'est, en particulier pour les centres nerveux , le cas de la sclérose latérale amyotrophique.
ste aucun signe pouvant faire supposer la concomitance d'une lésion nerveuse . 4° Enfin, il est à remarquer que l'abolition d
l'hystérie ne se distingue par aucun caractère d'autres affections nerveuses et qu'il y a lieu de rayer cette pré- tendue né
ler hystériques, les analyser et les rapprocher des divers troubles nerveux que l'on est unanime à séparer de l'hystérie.
e capables de faire apparaître chez les diabétiques des acci- dents nerveux et de déterminer des troubles circulatoires grave
est inutile d'insister sur ce point. Enfin il y a d'autres affections nerveuses qui ne retentissent pas gravement sur la nutrit
elle est incapable de le gué- rir. Il n'y a pas une seule affection nerveuse bien définie et située hors des limites de l'hy
médecins qui ne se sont pas spécialisés dans l'étude des mala- dies nerveuses . C'est pour m'aider à les propager que notre prés
ns avaient cru remarquer qu'il existait un groupe de manifestations nerveuses intimement liées à une perturbation dans le fon
efois, il n'en restait d'ailleurs pas moins établi que les troubles nerveux appelés hystériques avaient un cachet particuli
e, mais capable d'atteindre chacune des diverses parties du système nerveux et de produire ainsi des désordres variant avec
able, mais ces mêmes causes sont capables d'engendrer des accidents nerveux chez les diabé- tiques et de déterminer même de
nent en propre. Pour y arriver, il faut analyser les manifestations nerveuses telles que les grandes attaques, certaines para
idérer comme hystériques, il faut ensuite les comparer aux troubles nerveux qui, de l'avis de tout le monde, sont étrangers
réellement partie. L'hystérie peut donner naissance à des crises nerveuses sous des for- mes variées, à des paralysies qui
estion. Mais faut-il en conclure que toutes les for- mes d'attaques nerveuses , de paralysies, d'anesthésies, d'hyperesthésies,
ques ('). Il est impossible de reproduire par suggestion des crises nerveuses accompagnées de lividité des lèvres et suivies
(') Voir : « Introduction à la séméiologie des maladies du système nerveux . Des symptômes objectifs que la volonté est inc
s, que ce soient des névroses, des maladies organi- ques du système nerveux , ou des maladies viscérales. J'ai insisté sur la
r : Association de l'hystérie avec les maladies organiques du système nerveux , les névroses et diverses autres affections, pa
s, l'injonction verbale de dormir, on a développé certains troubles nerveux , des paralysies, des contractures, des anesthés
mènes qui relevaient de la simulation ; 3" on a confondu des états nerveux qui doivent être distingués les uns des autres.
d'affirmer que l'on a affaire à une affection organique du système nerveux central. Je n'ai pas besoin d'insister sur les si
ue à établir une ligne de démarcation tranchée entre les deux états nerveux que nous comparons, c'est que, contrairement à ce
s diverses, qu'ils peuvent s'associer, non seulement aux affections nerveuses , mais à toutes les affections viscérales, thora
une perturbation physique du sys- 5o8 Il YS Tl'RIE-1)1'F Il tème nerveux , dont une des conséquences est l'exaltation de la
'appui de cette opinion. Il est vrai que des phénomènes subjectifs, nerveux , psychiques peuvent être pathologiques, nulleme
ontagiosité des phénomènes hystériques, en particulier des attaques nerveuses ; elles se propageaient autrefois dans les salles
ions qui sont ou semblent être propres au développement d'accidents nerveux , on se met en quête de troubles hystériques ; o
plus de (ioo « rescapés » dont quelques-uns souffraient de troubles nerveux divers constituant un véritable état morbide, u
ent d'une perturbation physique, voire même d'une lésion du système nerveux , ce qui, par parenthèse, aurait des consé- quen
perturbations physiologiques réelles, des altérations du dynamisme nerveux , des réac- tions vaso-motrices anormales et dan
et J. Froment.] Extrait du livre Ilystérie-Pithiatisme et Troubles nerveux d'ordre réflexe. Masson et C", Paris, 1917. D
qui veut apprécier le rôle de l'émotion dans la genèse des troubles nerveux . L'émotion-choc devait atteindre là son maximum
enir compte, dans les complications pithiatiques dont les accidents nerveux de nos malades peuvent être l'objet, d'un moyen t
elles les auteurs n'attachaient d'importance qu'à l'émotion, au shock nerveux et aux accidents hystériques qui suivaient. Il
ain, sans aucun signe dénotant l'existence d'une lésion des centres nerveux ou des nerfs périphériques, et que l'auteur rat
hiques que ceux qui sont liés aux lésions des centres ou des troncs nerveux . Aucun des caractères signalés dans l'observation
ulier par Bouveret et par Blum. Jus- qu'à cette époque les troubles nerveux de cet ordre (railway-spine, rail- way-brain) é
i que l'on a souvent rattaché à l'hystéro-traumatisme des accidents nerveux de toute autre nature. C'est ainsi qu'au début
tion vient apporter la preuve de la nature pithiatique des troubles nerveux constatés. Le fait est nettement mis en évidenc
par éclatement d'obus ait déter- miné ou non des lésions du système nerveux , il y a tout lieu d'admettre qu'elle peut, auss
que après avoir lu les chapitres que nous consacrons aux phénomènes nerveux d'ordre réflexe, de ne pas attribuer à l'hystér
aumatisme et indépendants de toute lésion des centres ou des troncs nerveux . Si exacte que soit la notion de l'hystéro-trau
crire sous ce nom, outre des phénomènes pithiatiques, des accidents nerveux qui n'ont pas la suggestion pour origine et que
ancienne des stigmates permanents de l'hystérie ? ' Les troubles nerveux qui ont été décrits sous le nom de stigmates ap
t en aucun cas nous autoriser à rattacher à l'hystérie les troubles nerveux qui les accompa- gnent, CRISES HYSTÉRIQUES.
re approximative celle des anesthésies liées aux lésions des troncs nerveux . , ". , ' .. 1 ? ? L'HYSTÉRIE PENDANT LA GUERRE
aussi bien celles qui rappellent une griffe par lésion périphérique nerveuse que d'autres tout à fait illo- giques. Un de le
r éclatement d'obus. Il est fort possible dès lors que les troubles nerveux incriminés ne soient pas de nature hystérique,
es ou, au contraire, d'une lésion organique de nature vasculaire ou nerveuse . Le malade de M. Raynaud, présentant une blessu
queles traumatismes de guerre ontfait surgir une série d'accidents nerveux qui ont été d'abord mal interprétés et rattachés,
dérer comme hystériques des accidents liés à des lésions du système nerveux central, lorsque les signes caractéristiques de c
gré de l'incapacité. 3° Pour les troubles physiopathiques (troubles nerveux dits réflexes) consé- cutifs aux traumatismes d
icacité. » DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES 1 TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE Syndrome physiopathique ('). '
i ET J. Froment.] Extrait du livre Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre réflexe, Masson, igi8. Parmi les acci
oubles nerveux d'ordre réflexe, Masson, igi8. Parmi les accidents nerveux constatés en neurologie de guerre, il convient
n propre aux affections organiques classées, aux lésions du système nerveux central ou périphérique et aux lésions des gros
ions des réflexes cutanés pou- (') Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre réflexe (en collaboration avec J. Froment
tout en traduisant une perturbation physique, matérielle du système nerveux , ils ne semblent pas correspondre à une lésion
e du système nerveux, ils ne semblent pas correspondre à une lésion nerveuse susceptible d'être décelée par les moyens d'inv
lètes, traduction de Bichclot. Paris, 83y, t. I, 1). 5111. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 55 confirmées et complétées par
Paris, 1872. (1) J.-M. Charcot, Leçons sur les maladies du système nerveux , faites à la Salpêtrière, t. III, 1885. (ô) Vul
ian, Des atrophies musculaires dites réllexes, in Maladies du système nerveux (moelle épinière), 1886, t. II, pp. 541-592.
sibilité (anesthésie, névralgies, douleurs à la pression des troncs nerveux ), les troubles vaso-moteurs et thermiques, les
les cas d'inflammation dite réflexe (Brown-Séquard), etc. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 553 Le discrédit dans lequel ét
à attribuer à l'hystérie, presque sans exception, tous les troubles nerveux consécutifs aux traumatismes et ne relevant pas
aux traumatismes et ne relevant pas d'une lésion avérée du système nerveux . Voici ce que A. Pitres écrivait en 1891, dans
rie, il faut bien le reconnaître, la distinction entre les troubles nerveux d'ordre réflexe et les accidents hystériques ét
ions ne semblent pas avoir causé de dégâts notables, que les troncs nerveux et les artères n'ont pas été atteints. » Toutef
gine psychique. Société de Neurologie, Ier juillet 1915. TROUBLES NERVEUX . D'ORDRE RÉFLEXE 555 indirects avec l'opération
ue, nous ont conduits ainsi à rappeler l'attention sur ces troubles nerveux d'ordre réflexe consécutifs aux traumatismes des
é qu'il fallait y regarder de près avant de rattacher des accidents nerveux à l'hystéro-traumatisme et que l'absence, à l'éta
(2) J. Babinski et J. Froment, Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'anesthésie
Revue Neurologique, novembre-décembre igi5, pp. j25-933. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 55; Au moment où nous poursuivi
qu'à l'origine la contracture est réflexe, provoquée par une lésion nerveuse ou par une sorte d'attitude de défense et que cet
ne pouvoir être attribuées ni à une affection organique du système nerveux , ni à l'hystérie, nous conduisait à établir entre
ique cl faradique. Académie de médecine, i i janvier igi6. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 55g Nous remarquions enfin que,
cidents hystériques, pithiatiques proprement dits; 2" Les accidents nerveux , nettement distincts des précédents, qui sont lié
la suite des lésions articulaires. SYMPTOMATOLOGIE Les troubles nerveux d'ordre réflexe se développent à la suite de bles
, de la jambe, du pied et, particularité intéressante, les troubles nerveux s'étendent habituellement au-dessus de la région
garde contre certains malentendus qui ont pu se produire. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 561 presque complète d'un segme
téraux et acquis. Ces troubles ne correspondent pas à un territoire nerveux bien défini. Ils peuvent occuper la totalité du
ations sphygmométriques et oscillometriques concernant des troubles nerveux purs ou associés à des lésions des troncs nerveux
nant des troubles nerveux purs ou associés à des lésions des troncs nerveux ou à des lésions artérielles ainsi que la notat
à 2 centimètres de mercure à la pression diastolique.) ; TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 563 Voici quelques chiffres con
r 12°,5" pour 5", 8" pour 6°. Chez les blessés atteints de troubles nerveux d'ordre réflexe, la vaso- asymétrie est souvent
tat paréticlue des plus manifestes, qui est transitoire. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 565 Chez les blessés atteints d
S NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 565 Chez les blessés atteints de troubles nerveux d'ordre réflexe, après immersion du membre mala
ousse provoquée par la percussion révélait l'existence d'une lésion nerveuse et qu'elle équivalait à la réaction de dégénéres-
au livre suivant : J. Babinski et J. Froment, Hystérie et troubles nerveux d'ordre réflexe. Collection Horizon, Paris, Masso
uefois très prononcée, aussi accusée que dans les cas d'altérations nerveuses les plus profondes, mais son domaine est généra
t à remarquer que dans certaines affections organiques du sys- tème nerveux central comme l'hémiplégie infantile on peut obse
'ordre réflexe. Presse Médicale, 24 février ici6, p. 83. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 56 ? Amyotrophie. L'amyotrophie
spontanées soit provoquées par la pression sur le trajet des troncs nerveux . Vulpian les avait déjà signalées, elles ont été
5o. ('') J. Tinel, Les blessures des nerfs. Sémiologie îles lésions nerveuses périphériques par blessures de guerre, Masson,
ues par blessures de guerre, Masson, J 9 ¡fi, pp. 84-y5. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 56g Dans plusieurs cas de parés
es physiopathiques se trou- vaient associés à une lésion d'un tronc nerveux et ceux où pouvait être soupçonné quelque reten
toires bilatéraux. Société de Neurologie, novembre 19 16. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 5Í[ 1 contractures et parésies
llement quelques altérations ; chez les sujets atteints de troubles nerveux d'ordre réflexe, leur croissance est moins rapi
e de Médecine, 19 octobre igi5. Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'anesthésie ch
sure de le faire, comment apparaissent et s'installent les troubles nerveux d'ordre réflexe auxquels nous venons de consacr
agnostic serait relativement simple, mais il est loin d'en TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 573 être ainsi. Les association
asse. La main dans toute son étendue, quel que soit le terri- toire nerveux considéré, est cyanosée et froide. Il s'agit là d
e par l'as- sociation de manifestations pithiatiques à des troubles nerveux d'ordre réflexe. Et, en effet, la contre-sugges
projectile qui n'a, d'ailleurs, déterminé aucune lésion des troncs nerveux et vasculaires, est atteint d'une monoplégie brac
'aucun des signes objectifs pathognomoniques des lésions du système nerveux , doivent être mis, pour la plus grande part, sur
hystérie pouvant être tantôt légère, tantôt prépondérante. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE REFLEXE 55 Il faut toujours avoir cette
plus complexes que dans les cas que nous avons cités. Les troubles nerveux constatés chez un malade peuvent dériver de ces t
ssible, dans quelle proportion chacun d'eux y participe. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 577 PATHOGÉNIE C'est à l'hypo
UX D'ORDRE RÉFLEXE 577 PATHOGÉNIE C'est à l'hypothèse de troubles nerveux d'origine réflexe que se ratta- chent Charcot e
) : 1° d'un nerf centripète qui transporte l'excitation à un centre nerveux ; 20 d'un centre nerveux qui reçoit cette excit
te qui transporte l'excitation à un centre nerveux ; 20 d'un centre nerveux qui reçoit cette excitation et la transforme en
t-il, déterminent tantôt une exaltation des propriétés des cellules nerveuses d'où dérive la contracture musculaire, tantôt au
on de Leriche) chez des sujets atteints de causalgie et de troubles nerveux d'ordre réflexe, a été suivie de vaso-dilatatio
maladies du coeur, des vaisseaux el du sang, février 1917. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 5 (à de nos observations oscill
éllexo- organique, rien n'autorise à admettre une lésion des troncs nerveux . Quant aux artères, les examens sphygmométrique
phéno- (') Cette répercussion sur le membre symétrique de troubles nerveux qui avaient d'abord été localisés au membre ble
rtance dans l'évolution de tels symptômes hypertoniques, » TROUBLES NERVEUX D'ORDRE REFLEXE 5tif 1 doivent avoir une tendan
anie qui, de l'avis unanime, dépendent d'une excitation des centres nerveux par un poison qui les imprègne, constituent un no
raumatisme, mais qu'elles impliquent une pertur- bation des centres nerveux , et c'est là l'idée principale que renferme la
ent l'emploi de la psychothérapie même dans les cas où les troubles nerveux d'origine réflexe sont très marqués. Il y a, (1
uivant : .1. Babinski et J. Froment, Hystérie-pithiatisme et troubles nerveux d'ordre- réflexe, Collection Horizon, Paris (Ma
, p. 151 et Notes complémentaires, p. 9,3r. '\. D. L. R. TROUBLES NERVEUX D'ORDRE RÉFLEXE 583 3 d'ailleurs, tout avantage
l y a lieu de prendre à l'égard des blessés présentant des troubles nerveux de cet ordre, nous nous contenterons de rappele
idents hystériques pithiatiques proprement dits ; « " Les accidents nerveux , nettement distincts des précédents, qui sont l
966 (conclusions). SRf TROUBLES PHYSIOPATHIQUES S « Les accidents nerveux répondant à cette deuxième catégorie se pré- se
objectifs sui- vants qui permettent de les distinguer des accidents nerveux de la pre- mière catégorie : troubles vaso-mote
aux. Sans qu'il y ait lieu de contester la curabilité des accidents nerveux de cette catégorie, il faut reconnaitre que, même
s avons cherché à prémunir les médecins chargés du soin des blessés nerveux contre la tendance au pessimisme dans les cas de
ion lombaire, comme procédé de diagnostic des affections du système nerveux , n'est plus à démontrer, l'impor- tance de cett
rvenir, après les traumatismes crâniens, des néoplasmes des centres nerveux . Et chez notre malade, souffrant longtemps enco
M. Dupuy-Dutemps dans sa thèse inaugurale. L'étiologie des troubles nerveux constatés chez nos malades des obser- vations I
qu'avec l'aide de deux cannes. Cinq ou six siphonages sur le trajet nerveux , des cachets de pyramidon, n'amènent aucun résu
Dejerine. Revue de Médecine, r 8S4). I I. Sur les lésions des tubes nerveux de la moelle épinière dans la sclérose en plaqu
1892). 36. Association de l'hystérie avec les maladies du système nerveux , les névroses et diverses autres affections (Id
xe cutané plantaire dans certaines affections organiques du système nerveux (Société de Biologie, 22 février 1896). 44. Rel
du cytodiagnostic du liquide céphalo-rachidien dans les affections nerveuses (en collaboration avec Nageotte. Id., 24 mai 1901
s Hôpitaux, 7 novembre 1902). 87. Lésions syphilitiques des centres nerveux . Foyers de ramollissement dans le bulbe. Hémias
il igo4). 108. Introduction à la sémiologie des maladies du système nerveux . Des symptômes , objectifs que la volonté est i
ation avec Froment. Presse médicale, 9 juillet igi5). 225. Troubles nerveux consécutifs aux lésions des nerfs. Troubles nerve
. 225. Troubles nerveux consécutifs aux lésions des nerfs. Troubles nerveux consé- cutifs aux lésions des centres nerveux.
s des nerfs. Troubles nerveux consé- cutifs aux lésions des centres nerveux . Accidents hystériques. Troubles ner- veux d'or
rologie, 4 novembre 1915). 228. Contribution à l'étude des troubles nerveux d'origine réflexe. Examen pendant l'anesthésie
Heitz. Société médicale des Hôpitaux, 14 avril 1916). 233. Troubles nerveux d'ordre réflexe ou syndrome d'immobilisation (en
ulaire dans les affections organiques et physiopathiques du système nerveux (en collaboration avec Froment. Société de Neurol
Neurologie, page 3l¡7, 1917). 251. Hystérie-Pithiatisme et troubles nerveux d'ordre réflexe (en collaboration avec Froment.
SÉMIOLOGIE I. Introduction à la sémiologie des maladies du système nerveux . Des symptômes objectifs que la volonté est inc
xe cutané plantaire dans certaines affections organiques du système nerveux central 27 II. - Du phénomène des orteils et de
asme du cor 258 III. Torticolis spasmodique avec lésions du système nerveux central 262 IV. De la dégénération et de la rég
guerre 5a8 DIXIÈME PARTIE TROUBLES PHYSIOPATHIQUES I. Troubles nerveux d'ordre réflexe r 54g ONZIÈME PARTIE THÉRAPEU
84 (1896) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 11
mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rèditleur en tief : Docteur Edgar BÉRILLON PR
IL PROVOQUÉ, SOMNAMBULISME, SUGGESTION NEVROSES, MALADIES MENTALES ET NERVEUSES , MÉDECINE LÉGALE, PÉDAGOGIE CRIMINOLOGIE, PSYCHOL
t d'hypnotisme, l'activité psychique sensitive et motrice des centres nerveux , et cela d'un seul côté ou simultanément des deux
lables et par le moyen d'organes semblables, et notamment d'un organe nerveux qui est l'analogue de mon cerveau, mais auxquels,
vité, plusieurs moi distinctifs et en nombre égal à celui des centres nerveux . Il y a quarante et un ans, un homme affirmait,
e tout à fait inouïe jusque-là dans son enseignement, que les centres nerveux de l'axe rachidien sont autant de cerveaux second
de M. le Dr Crocq fils, ayant pour titre: Les altérations du système nerveux dans les paralysies diphtêritiques ; Les névroses
découvertes de Cajal qui ont amené la théorie du neurone. La cellule nerveuse ne se continue pas avec les nerfs, mais est en co
môme il n'y a que simple contact entre les prolongements des cellules nerveuses . Cette nouvelle conception permet de comprendre
l (voir son livre sur les nouvelles idées sur la structure du système nerveux , p. 25), le filet nerveux d se divise en deux ram
nouvelles idées sur la structure du système nerveux, p. 25), le filet nerveux d se divise en deux rameaux : un d', en contact a
ifié a', deviendra un centre de vibration pour de nombreuses cellules nerveuses A' A" A"'. L'une d'elles, A"',_devient point
"', et l'acte s'accomplit fatal. Tantôt il est répété, habituel (tics nerveux , écolalie, manie). Si le sujet s'efforce de l
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
er avec elle-même — sont aussi des facteurs à rapprocher du caractère nerveux et impressionnable du malade. » Cette « prière
e cas suivant : Antoinette B..., 13 ans, a toujours été anémique et nerveuse ; dès l'âge de 2 ans, elle ne dormait pas et était
ès, elle a des étourdîsse-ments. des syncopes, puis de grandes crises nerveuses , convulsives, des battements de cœur à la moindre
itution plus fine que celle du cerveau ordinaire ? Un étalon est plus nerveux qu'un cheval de charretier, 'et il n'est pas néce
ont pas conformes au type primitif du sauvage, qui possède un système nerveux imparfaitement développé. RECUEIL DE FAITS Qu
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ls (Dr J.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système nerveux dans les paralysies diphlériques. 1 vol. in-4° de
proportionnelle à leur surface tégumentaire, et que c'est le système nerveux qui adapte les combustions respiratoires à l'éten
trent aussi dans les diverses intoxications ou perversions du système nerveux central. Elles consistent principalement en deux
premier problème de la psychologie était la physiologie de la cellule nerveuse ; mais il entrevoyait aussi pour la psychologie d
suggestion dans les maladies mentales et en médecine légale. Maladies nerveuses : 1° Pathologie de la cellule nerveuse ; 2° Patho
en médecine légale. Maladies nerveuses : 1° Pathologie de la cellule nerveuse ; 2° Pathogénie de la syringomyélie ; 3° Chirurgi
erveuse ; 2° Pathogénie de la syringomyélie ; 3° Chirurgie du système nerveux central ; 4°Paralysies spasmodiques de l'enfance;
us intéressantes (3 pour les maladies mentales et 3 pour les maladies nerveuses ) ; on pourra également en proposer d'autres si l'
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ès autorisés, ont été considérés comme étant la conséquence d'un état nerveux . Ces troubles oculaires ont duré plusieurs mois e
été sujette à des crises d'asthme qui ont duré plusieurs mois, asthme nerveux , sans qu'il fût possible de constater aucune lési
diminution notable de son embonpoint normal. Plus tard les troubles nerveux se portèrent principalement sur l'estomac et bien
ise et cela par l'auto-suggestion. En effet, pour guérir ces troubles nerveux d'ordre psychique, il suffit de suggérer aux mala
ou autre, il se produit immédiatement où à courte échéance un trouble nerveux dont le siège primitif est dans l'axe cérébro-spi
aient accessibles à l'in- : .(1) Hauzier. — Leçons sur les maiadirs nerveuses . Montpellier. 1892. fluence suggestive vulgai
Dyspepsie ato-nique grave, névralgies, céphalée, phobies, dépression nerveuse intense. Mme B..., couturière, 43 ans, mariée,
et 1895, il n'y a plus trace de douleurs, d'insomnie et de dépression nerveuse ; l'appétit, sans être régulier, est satisfaisant,
te-neuf ans, sans antécédents héréditaires fâcheux, déclare avoir été nerveuse dès son jeune âge. Les troubles neurasthéniques a
tablir par des passes magnétiques le fonctionnement normal du système nerveux . Le succès dépasse mes espérances : le surlendema
ux puissantes modifications que j'imprime à son sang et à son système nerveux ; je lui démontre, les viscères en main, qu'il n'
propre aveu, trouvé dans l'hypnose prolongée le meilleur des sédatifs nerveux . Enfin, les faits m'obligent à constater que, l
ument rebelles. Observation 1. — Madame de D..., 36 ans, légèrement nerveuse , d'une bonne santé habituelle, habite l'été avec
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies nerveuses et à la pédagogie. Ii se continuera les jeudis
s expérimentales, a été atteinte de névrose traumatique. Les troubles nerveux qu'elle présentait étaient surtout caractérisés p
es réflexes Par M. le Dr Ed. Laoelouze. La fréquence des troubles nerveux tenus sous la dépendance de lésions acquises ou d
solue de faire l'examen méthodique des organes génitaux chez tous les nerveux . Ces notions ne sont pas moins indispensables
uréthrotornie interne. * * * Les liens qui unissent aux centres nerveux les organes de la fonction urinaire sont bien con
chappent qu'à un examen insuffisant. Il faut donc explorer tous les nerveux en ayant toujours présente à l'esprit la possibil
bonne heure en se rappelant que les causes d'irritations des centres nerveux peuvent amener des lésions dégénératives irrémédi
iver que le malade ne soit pas entièrement débarrassé de ces troubles nerveux , par celte habitude qu'il est si fréquent de cons
té opéré à l'hôpital Saint-Louis en janvier 1896- Les seuls accidents nerveux qu'il ait présentés sont deux crises de nerfs sur
s au minimum ; et, à mesure que cette tension se prolonge, la fatigue nerveuse s'accroît rapidement et devient bientôt presque i
d'autre résultat apparent que de produire en moi une extrême fatigue nerveuse . Lorsque le moment fut venu de présenter Gustave
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies nerveuses et à la pédagogie. Il se continuera les jeudis
, se rapportant presque tous à des femmes hystériques vraies ou à des nerveuses atteintes de troubles menstruels. Chez notre mala
causes d'un acte peuvent être très diverses. On conçoit notre système nerveux comme composé d'un double appareil récepteur et é
tié du corps. S'il n'est pas épuisé, il s'irradie aux autres cellules nerveuses . Les réflexes simples : dilatation de l'iris, c
pposé, d'où acte semblable dans l'autre moitié du corps. Le courant nerveux semble tendre toujours à prendre le trajet le plu
même soit atteinte par la maladie qui détruit conducteurs et cellules nerveuses . De même Lasègue a montré que l'hystérique est
faits de mimétisme chez les animaux des actes d'imitation. Par action nerveuse , l'animal adapte sa couleur à celle du milieu (ca
rès 56 bains. » La parole en miroir. Chacun sait qu'en pathologie nerveuse on appelle l'écriture en miroir, écriture que les
t ; il avait obtenu de redoubler cette année perdue. Il était né très nerveux et sujet à des accès de somnambulisme, dont s'amu
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies nerveuses et à la pédagogie. Il se continuera les jeudis su
ons de l'hypnotisme n'étaient pas limitées au traitement des maladies nerveuses , mais que beaucoup de processus communs pouvaient
fluence suggestive, en calmant l'hyperactivité morbide des centres nerveux , en isolant le cerveau des causes d'excitation in
son aptitude naturelle à accepter une idée ou à la réaliser. Sédatif nerveux par excellence, le sommeil provoqué rend plus fac
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies nerveuses et à la pédagogie. Il se continuera les jeudis
ls (Dr J.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système nerveux dans les paralysies diphtériques, i vol. în-4° de
notre moral. Nous ne parlons point seulement d'affections morbides nerveuses . Un collaborateur du Relèvement Social, esprit ce
s accès de dêlirium tremens et mort fou de bonne heure. La mère, très nerveuse , ne pouvait qu'avoir, dans un tel milieu familial
ion cérébrale, et, à mesure que cette tension se prolonge, la fatigue nerveuse s'accroît rapidement et devient bientôt presque I
e saburrale. Perte complète de l'appétit. Cette femme est extrêmement nerveuse ; dès le début de sa maladie, elle a senti, dit-e
ctivité psychique dans le traitement de, tous les troubles du système nerveux . L'auteur d'au-delà des forces a eu l'intuili
ganisme. C'est donc une véritable mort partielle que subit le système nerveux central de la femme et dont les autres centres qu
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pé-dagogique), est a
tique sur les applications de l'hypnotisme au traitement des maladies nerveuses et à la pédagogie. Il se continue les jeudis su
Pitié, a repris ses conférences cliniques sur les maladies du système nerveux , samedi 20 février 1897. à 10 heures du matin, et
s. — Recherches sur l'unité du Vilaliame avec l'ensemble des courants nerveux . Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan Enrique
Dr Gerard-Excausse. — Du traitement externe et psychique des maladies nerveuses . Un vol. in-8, 205 p. Paris, 1897. Dr Paul Fa
ls (Dr J.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système nerveux dans les paralysies diphtériques. 1 vol. in-4° de
aires, ils crurent à un épisode inflammatoire survenu dans l'histoire nerveuse de cette malade. On mit alors en œuvre lotions, c
uveau, qu'il emploie méthodiquement dans un grand nombre d'affections nerveuses : la suggestion indirecte à l'état de veille. Il
le marche très difficilement; elle est, de plus, sujette à des crises nerveuses . Cette dame est allée à Amélie, à La Malon, a abs
on a été fort modérée, parce que je craignais de déterminer une crise nerveuse . Il résulte de mon examen que la cause de la ma
lle marche comme avant d'être malade, mais elle n'a plus eu de crises nerveuses . Je soumets cette observation à la méditation d
ses ouvrages intitulé : "Neurologie, ou anafyse raisonnée du sommeil nerveux , etc. et semblent ignorer que ce traité n'était q
par laquelle il essayait d'expliquer certains changements du système nerveux central, et en particulier la décroissance de l'a
tionnelle, comme étant le résultat de l'épuisement des autres centres nerveux . « Mais, dit-il, en supposant même que mes théo
exempts », NEUROLOGIE Neurologie ou Analyse raisonnée du sommeil nerveux fut publié en 1843, et huit cents exemplaires de
sibilité d'ouvrir les yeux venait de la paralysie de certains centres nerveux et à l'épuisement des muscles releveurs. « J'ex
gie suivante : Neurologie, analyse raisonnée ou doctrine du sommeil nerveux . Neuro-hypnotisme, ou sommeil nerveux, condition
aisonnée ou doctrine du sommeil nerveux. Neuro-hypnotisme, ou sommeil nerveux , condition particulière du système nerveux produi
uro-hypnotisme, ou sommeil nerveux, condition particulière du système nerveux produite par des manœuvres artificielles. Alors
es termes suivants : Hypnotique : l'état ou la condition du sommeil nerveux . Hypnotiser : action de produire le sommeil nerve
dition du sommeil nerveux. Hypnotiser : action de produire le sommeil nerveux . Hypnotisé : être placé dans la condition du somm
sommeil nerveux. Hypnotisé : être placé dans la condition du sommeil nerveux . Hypnotisme : sommeil nerveux. Déshypnotiser :
être placé dans la condition du sommeil nerveux. Hypnotisme : sommeil nerveux . Déshypnotiser : action de tirer quelqu'un du s
mmeil nerveux. Déshypnotiser : action de tirer quelqu'un du sommeil nerveux . Hypnotiste : celui qui pratique le neuro-hypnoti
roduite dans toutes les conditions requises, est de placer le système nerveux dans un état de somnolence qui permet à l'opérate
un très haut degré, le pouvoir de diriger ou de contraindre l'énergie nerveuse , de l'augmenter ou de la diminuer à volonté, loca
vu beaucoup de ces expériences ne peut douter que, durant le sommeil nerveux , il existe un remarquable pouvoir d'exciter les s
(Dickens ; op. cit., p. 354.) Tics convulsifs ? — ou autres lares nerveuses de quelque nature que ce soit ? 36. — Décrivez
aboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
Berne) dans lequel se trouvent figurés les entrecroisements de fibres nerveuses . Celte pièce mesure encore 1 m. 50 de hauteur sur
ils (D'J.) — Recherches expérimentales sur les altérations du système nerveux dans les paralysies diphtériques. 1 vol. in-4° de
ongs, de couleur blond-châtain. Sans avoir jamais eu aucune maladie nerveuse , Emma X... avait été toute sa vie souffreteuse et
é, tend à soumettre à son influence toutes les modalités du dynamisme nerveux . La séance est levée à 6 heures. De la nécess
lle, peuvent être appelées à agir de la même manière, dans le sommeil nerveux , et à produire des effets correspondants d'autant
t absorbée par une idée associée au mouvement, un courant de la force nerveuse est envoyé dans les muscles, et une motion corres
itation, de dépression ou de distribution particulière de l'influence nerveuse ou vitale dans le propre corps du patient peuvent
ultats, aucun échange positif, ni aucune transmission réelle de force nerveuse ou vitale de l'opérateur au patient. Je ne crois
rincipale différence que j'ai observée entre le sommeil hypnotique ou nerveux et le sommeil ordinaire est compatible à l'état o
; mais d'autre part, les procédés employés pour provoquer le sommeil nerveux , engendrent un état actif et concentré de l'espri
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
Berne) dans lequel se trouvent figurés les entrecroisements de fibres nerveuses . Celte pièce mesure encore 1 m. 50 de hauteur sur
s. — Recherches sur l'unité du Vitalisme avec l'ensemble des courants nerveux . Broch, in-8, 29 p. Cusset, 1895. Juan Enrique
r Gérard-En-causse. — Du traitement externe et psychique des maladies nerveuses . Un vol. in-8, 205 p. Paris, 1897. Dr Paul Farè
ions furent pratiquées, quelques-uns étaient des sujets excessivement nerveux , et, par cela même, très sensibles à la douleur d
ue générale que les individus les plus difficiles à endormir sont les nerveux et les hystériques ; l'équilibre des forces p
entèle se compose presque entièrement de sujets atteints d'affections nerveuses chroniques, j'obtiens plus difficilement le somme
nourriture ni aucune préparation n'est requise. 5°. L'appréhension nerveuse peut être écartée par la suggestion. 6°. L'hypn
, d'où il résulte que la question de l'influence à distance du fluide nerveux sur l'organisme mérite d'être réservée. M. Béri
e. Quant aux autres parents, ascendants ou collatéraux, ils sont tous nerveux , rhumatisants ou scro-fuleux. Pas d'alcoolisme ni
des inégalités d'humeur inexplicables trahissaient une prédisposition nerveuse qu'un surmenage hâtif et des émotions multipliées
emment favorable à l'invasion bacillaire et à l'éclosion des troubles nerveux . Tout à coup, en octobre 1893, éclatent des sym
. Sur ces entrefaites, nous avons pu étudier à loisir les réactions nerveuses de la malade et nous convaincre que ces prétendue
aryngé. De là, pour peu que tarde le retour à l'équilibre des centres nerveux , l'indication formelle du traitement par la sugge
itale s'étaient rencontrées chez une jeune fille pourvue d'un système nerveux normal, la castration totale aurait vraisemblable
une impression profonde et durable. Ainsi, c'est la prédisposition nerveuse de Jeanne F... qui a rendu possible chez elle, ap
tisme psychologique : en portant son action sur tous les départements nerveux en souffrance, elle a encore contribué dans une l
e. Son aspect physique n'est nullement en rapport avec les troubles nerveux qu'il présente. Il est robuste et vigoureux. A
entendu faire, agissant sur elle, dans l'état particulier du sommeil nerveux , comme des impulsions irrésistibles devant être e
té fonctionnelle, et, au cas particulier, une modalité de la fonction nerveuse . Il est une propriété inhérente à la cellule nerv
de la fonction nerveuse. Il est une propriété inhérente à la cellule nerveuse , aux neurones qui ont des pouvoirs de dynamogénie
giquement. L'élément dynamique psychique, morbide, est » toute action nerveuse anormale qui, ne correspondant à aucune altératio
rmet de classer de cette façon le psycho-dynamisme; ou bien l'élément nerveux dynamique psychique constitue seul la maladie, ou
circonscrit un champ dynamique où une polynévrite infectieuse chez un nerveux diathésique se développera. Le diagnostic du dy
suggestion sous toutes ses formes. Elle rétablit l'harmonie dynamique nerveuse ; elle guérit de l'idée et de ses manifestations d
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
. Cette science expérimentale est en grande partie celle du dynanisme nerveux , du dynanisme cérébral. (1) Discours de M. Bous
s, successivement. Après Brown-Sequard1 Exner2 concède aux éléments nerveux deux importants pouvoirs de dynamogénie et d'inhi
ion. Ils consistent dans la propriété de certaines parties du système nerveux d'augmenter ou de diminuer l'excitation d'autres
ntielle d'expressions dynamogènes ou inhibitives de certains éléments nerveux . Les idées sont donc des faits nerveux dynamiqu
bitives de certains éléments nerveux. Les idées sont donc des faits nerveux dynamiques. M. le Professeur Bernheim établit u
i l'automatisme cérébral. La loi des réflexes domine la physiologie nerveuse . Elle se confond avec la loi de l'habitude. Cel
nt, soit acte, soit sensation; par elle, la conductibilité d'une voie nerveuse est plus grande dès la première excitation qui se
succède. En réalité, une émotion n'est qu'une phase de l'excitation nerveuse partie d'une cause quelconque. Elle fait suite à
elles-mêmes explicables et par les rapports du voisinage des éléments nerveux de l'encéphale et par la loi de l'habitude réglan
d'individus (famille, nation, etc.,) qui s'est légué un même terrain nerveux , la possibilité de rencontrer les mêmes condition
dépendance du terrain cérébral. Celui-ci, portion capitale du système nerveux , a une valeur proportionnée à l'importance totale
ait dans les perturbations vasculaires et musculaires. ce système nerveux dans l'organisme. Le corps d'un être est un ensem
e corps d'un être est un ensemble qui doit sa signification aux liens nerveux réunissant les parties constituantes, et aux élém
x liens nerveux réunissant les parties constituantes, et aux éléments nerveux intermédiaires avec l'extérieur. Si, par une exag
au fonctionnement normal des organes qui lui est attribué, le système nerveux crée une disposition constante aux accidents nerv
ibué, le système nerveux crée une disposition constante aux accidents nerveux fonctionnels, il y a ce qu'on appelle « diathèse
ux accidents nerveux fonctionnels, il y a ce qu'on appelle « diathèse nerveuse ». Cette diathèse est transmissi-ble héréditairem
inir notre élément dynamique-psychique-morbide ; c'est « toute action nerveuse anormale qui, « ne correspondant à aucune altérat
oses par intoxications variées où l'imprégnation probable des centres nerveux par les toxines et les toxiques laisse supposer u
iner sur l'heure quels seront les troubles dynamiques dus à l'élément nerveux psychique. Réunis sous le nom de psycho-dynamisme
er de se faire représenter au Congres de Moscou {section des maladies nerveuses et mentales). 2° Un travail original de M. le D
; ils ne devront aboutir ni à la fatigue cérébrale, ni à l'épuisement nerveux ; ils ne devront pas non plus étouffer Péclosion
ègle à peu près générale que les enfants prodiges présentent une tare nerveuse quelconque, leur développement intellectuel anorm
i risque fort d'entretenir, de stimuler, d'ac-croitre cette affection nerveuse et le déséquilibre mental qui lui est concomitant
mme énorme de travail qui ne fait autre chose que consumer le système nerveux et qui nous prépare une génération de névrosés. L
dans l'état de veille que dans l'état de double conscience du sommeil nerveux . Durant celui* ci, en effet, les gens vertueux on
émoignage de tout ce qui se serait passé durant son précédent sommeil nerveux . Or, je maintiens que les victimes de l'éther ne
ulagées par l'hypnotisme : ceux-ci étaient dus en majorité au système nerveux , mais il disait avoir également obtenu des résult
e devenir inconscient pour obtenir les effets bienfaisants du sommeil nerveux ; beaucoup croient à tort que la perte complète d
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ational de Médecine, à Moscou, du 19 au 26 Août. Section des maladies nerveuses et mentales. Comité d'organisation. — Les géran
oisin a repris ses conférences cliniques sur les maladies mentales et nerveuses , le jeudi 10 juin 1897, à 10 heures du matin, et
85 (1891) Anatomie pathologique de la moëlle épinière : 45 planches en héliogravure avec texte explicatif
us mes yeux, dans le service de la Clinique des maladies du système nerveux à la Salpêtrière. C'est dire que le plus grand no
exclusivement bornées, par exemple, à certains groupes de cellules nerveuses , à cer- tains faisceaux de fibres. Il est permi
met de constater quel groupe de cellules, quels faisceaux de fibres nerveux ont été irrités, atrophiés ou détruits. Mettez
avaux récents à l'époque, relatifs à l'anatomie morbide des centres nerveux : « Tous semblent en quelque sorte dominés par
études cliniques sur le développement de la pathologie des centres nerveux . (1) Leçons sur les localisations dans les mala
t photographique dépendants de l'incomparable clinique des maladies nerveuses de la Salpêtrière, il nous a élé donné depuis cin
né depuis cinq ans de recueillir sur diverses affeclions du système nerveux , et de la moelle épinière en particulier, des doc
F. Réseau fibrillaire de la région. G. Coupe transversale d'un tube nerveux . H. Coupe longitudinale d'un tube nerveux. L
pe transversale d'un tube nerveux. H. Coupe longitudinale d'un tube nerveux . L Espace vacuolaire péri-cellulaire. PLANCHE
canal. B. Cellule cylindrique revêtant la paroi du canal. E. Tubes nerveux de la commissure antérieure. C. Plateau des cel
cédente, vue à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). A-A. Tubes nerveux coupés transversalement. B. Gaine de myéline co
éseau fibrillaire. C. Substance gélatineuse de Rolando. D. Fibres nerveuses se rendant dans la colonne de Clarke. E. Entr
se rendant dans la colonne de Clarke. E. Entrée directe de fibres nerveuses dans la corne. F. Racine postérieure. G. Coup
la corne. F. Racine postérieure. G. Coupe transversale des tubes nerveux de la substance blanche coiiiiguë. PLANCHE V
llule de la corne antérieure. Figure 10. MOELLE NORMALE. Cellules nerveuses de la colonne de Clarke. Coupe pratiquée dans l
rmales. -R-B. Cellules atrophiées. C. Coupe transversale de tubes nerveux . D. Coupe longitudinale de tubes nerveux. E.
oupe transversale de tubes nerveux. D. Coupe longitudinale de tubes nerveux . E. Réseau fibrillaire. Ces préparations prov
-D. Coupes de vaisseau altérés. 7 : . Tissu de sclérose. F. Tubes nerveux conservés. G-G. Partie de la préparation très p
ique. D. Substance fibrillaire du tissu altéré. E. Coupe de tubes nerveux sains. Les pièces qui nous ont fourni ces prépa
par la méthode de Pall. On y voit la persistance de nombreux tubes nerveux indemnes dans le tissu de sclérose. A-A-A. Tiss
es dans le tissu de sclérose. A-A-A. Tissu scléreux. B-B-B. Tubes nerveux indemnes. C. Tube nerveux altéré, privé de sa m
. A-A-A. Tissu scléreux. B-B-B. Tubes nerveux indemnes. C. Tube nerveux altéré, privé de sa myéline et ré- duit au cyli
altéré, privé de sa myéline et ré- duit au cylinder-axis. D. Tube nerveux moins altéré ]. Vaisseau. Ces pièces provienn
ll. 11 n'existe guère que du tissu de nouvelle formation, les tubes nerveux ont presque complètement disparu, sauf en haut
B-B. Région moins altérée où persistent un grand nombre de tubes nerveux . G'-C. Tubes nerveux, encore reconnaissables, d
térée où persistent un grand nombre de tubes nerveux. G'-C. Tubes nerveux , encore reconnaissables, dé- pourvus de myéline
naires. A. Racines antérieures. B. Commissure grise. C-C. Tubes nerveux coupés transversalement de la substance blanche
- cédente, vu à un fort grossissement (obj. 4). On y voit les tubes nerveux disséminés dans un tissu de sclérose. A-A-A.
s dans un tissu de sclérose. A-A-A. Tissu de sclérose. B. Tubes nerveux restés indemnes, coupés transver- salement. C
ubes nerveux restés indemnes, coupés transver- salement. C. Tubes nerveux , coupés obliquement. /). Vaisseau à paroi épais
rossissement (obj. 4, Vérick). On y voit la dispa- rition des tubes nerveux remplacés par du tissu de sclérose, ainsi que des
laires. A-A. Tissu de sclérose. B. Corpuscule hyalin. C. Tube nerveux peu altéré. D-D. Tubes nerveux respectés. E-E
e. B. Corpuscule hyalin. C. Tube nerveux peu altéré. D-D. Tubes nerveux respectés. E-E. Vaisseaux sclérosés. PLANCHE
sceaux plus ou moins ondulés. A-A. Faisceaux scléreux. B-B. Tubes nerveux persistant. C. Globules hyalins. D. Vaisseaux
n y voit un tissu de sclérose dans lequel persistent quelques tubes nerveux . A. Tissu de sclérose. B-B. Faisceaux ondulés
u de sclérose. B-B. Faisceaux ondulés du même tissu. C-C-C. Tubes nerveux sains. D. Cavité d'un vaisseau altéré. E. Par
u de sclérose dans lequel persistent un assez grand nombre de tubes nerveux . A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux altéré
ssez grand nombre de tubes nerveux. A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux altéré. C-C. Tube nerveux sain. D. Corps gran
erveux. A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux altéré. C-C. Tube nerveux sain. D. Corps granuleux. E. Vaisseaux. Les
yalins, et des lésions vasculaires. A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux . C. Corps hyalin. D. Coupe longitudinale d'un
rmin, vue à un grossissement fort (obj. 4, Vérick). On voit des tubes nerveux disparaissant dans un tissu de sclérose. - A.
se. - A. Tissu de sclérose. B-B. Gros tractus fibreux. C. Tubes nerveux détruits. D-D. Tubes nerveux indemnes. PLANCH
B-B. Gros tractus fibreux. C. Tubes nerveux détruits. D-D. Tubes nerveux indemnes. PLANCHE XXXII Figure 63. SCLÉROSE
le épinière d'un même sujet, du service de la Clinique des maladies nerveuses , le nommé Néd..., qui présenta pen- dant sa vie
précédente, vu à un fort grossissement (obj. 4, Vérick). Les tubes nerveux sont encore nombreux dans le tissu de Sclérose.
mbreux dans le tissu de Sclérose. A-A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux altéré. C. Tube nerveux sain. PLANCHE XXXVI
lérose. A-A. Tissu de sclérose. B. Tube nerveux altéré. C. Tube nerveux sain. PLANCHE XXXVI . Figure 71. MALADIE DE
Pall. A-A. Substance fibrillaire du tissu de sclérose. B-B. Tubes nerveux restés sains. - C-C-C. Tubes nerveux altérés.
issu de sclérose. B-B. Tubes nerveux restés sains. - C-C-C. Tubes nerveux altérés. D. Vaisseau. PLANCHE XXXVII FIGURE
Cellules de revêtement de la paroi. C. Tissu gliomateux. D. Tissu nerveux sain. T. Bourgeon gliomateux. F. Vaisseau.
dothéliales. C. Tissu gliomateux. D. Limite du gliome. E. Tissu nerveux . Les préparations qui ont fourni les planches X
d'une paroi ; la moelle est réduite à un mince manchon de substance nerveuse . A. Corne antérieure. B. Racine postérieure.
t les préparations viennent d'un malade de la clinique des maladies nerveuses , ayant donné lieu à de grandes difficultés de dia
l de médecine de Paris, 1888). D'une forme particulière de troubles nerveux des extrémités supérieures (Nouvelle Iconographie
nale aiguë de l'adulte (Bulletin médical, 1890). Grippe et maladies nerveuses (Gazelle hebdomadaire, 1890). Polynévrites et p
zette hebdomadaire, 1891). Article « Salivation dans les maladies nerveuses », in Dictionary Psychological medicine de IIACK-
KE. SOUS PRESSE Séméiologie et Diagnostic des maladies du système nerveux , en collaboration avec M. ONAKOFF (I vol. in-18 d
86 (1910) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 23] : iconographie médicale et artistique
eurol., 1900, p. 901. Brissaud. - Geçous cliniques sur les maladies nerveuses , 1899, 2' série, p. 440. Bahnauo. Sui raphorti
l'origine réelle du syndrome, (1) BRISSAUD, Leçons sur les maladies nerveuses . - Henry Meige, L'infantilisme, t le féminisme
OPLASIE PAR le D, P. ZOSIN Docent, chargé du cours des maladies nerveuses et mentales à la Faculté de Médecine de Jassy (
des dystrophies vasculaires, splanchniques et même des dystrophies nerveuses , auxquelles on pourrait rattacher les arrêts et
rattacher les arrêts et les anomalies du développe- ment du système nerveux et aussi presque toutes ses affections constitu-
antes au moment actuel est sans doute 'celle des tumeurs du système nerveux central. Après une longue époque pendant laquel
i- cismeen ce qui concerne la thérapeutique de différentes maladies nerveuses j même organiques cède sa place à un point de v
cularisée qn'elle semble être injectée par un liquide. Les cellules nerveuses sont souvent entourées par de fins capil- laire
pathologiques, tandis que cliniquement, on constatait des symptômes nerveux . Pour m'assurer définitivement de la vérité de
a qu'il s'agissait de myélome lymphoplastique. Quant aux phénomènes nerveux on peut les expliquer facilement. Les fortes do
e la corne antérieure bien pauvre en fibres myéliniques et cellules nerveuses , tandis que de la corne postérieure, il ne reste
Dans le Il- segment cervical on ne trouve presque plus de cellules nerveuses ; ça et là on distingue le contour d'une cellul
s, elles rappellent les Stâbchenzellen de Nissl. Quant aux cellules nerveuses , d'autres segments.médullaires, elles présenten
ZIP segment cervical par exemple on constate un nombre'de cellules nerveuses diminuées et toutes les cellules des cornes ant
pour la contrôler nous l'avons appliquée dans différentes maladies nerveuses de nature non tuberculeuse (sclérose en plaques
riques aussi) et que l'autopsie a) ne démontre rien dans cesorganes nerveux ou b) révèle des dégénérations qui n'ont pas de c
ou inlil- tration cancéreuse des méninges et envahissement du tissu nerveux ). Dans les deux premiers cas il s'agit évidemme
asme malin) qui ont une action chimique et dynamique sur la cellule nerveuse et provoquent des troubles dans son fonctionnem
on fonctionnement, sans produire toutefois des changements de tissu nerveux (a) constatables avec nos moyens d'in- vestigat
reux ou une infiltration cancéreuse des méninges molles et du tissu nerveux . L'infiltration cancéreuse occupe alors les esp
ergen en août 1909. (2) Remarquons à celsujet que la lèpre purement nerveuse , ou presque uniquement nerveuse, est très fréqu
ns à celsujet que la lèpre purement nerveuse, ou presque uniquement nerveuse , est très fréquente en Birmanie et au Siam, contr
ne du cubital a une valeur capi- tale dans le diagnostic des formes nerveuses de la lèpre, le nerf, radial peut être égalemen
CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE DÉGÉNÉRATIVE DU SYSTÈME NERVEUX ASSOCIATION DE L'IDIOTIE,'DE L'AMAUROSE, DE TRO
c ces trois individus atteints d'un syndrome dégénératif du système nerveux à caractères tout à fait exceptionnels. Avant
time d'un accident au Gothard. Je fis un examen détaillé du système nerveux de cette femme, examen qui resta complètement n
tout à fait normale. Elle ne présente aucune altération du système nerveux central ou périphérique. Les réflexes ten- dine
mps. Jamais aucun membre de sa famille n'avait souffert de troubles nerveux plus ou moins analogues à ceux de ses filles.
t très développé pour son âge. A l'examen systémati- que du système nerveux , aucun symptôme morbide n'est décelable. Son in
normal dans son état mental. L'examen le plus complet du système nerveux demeure complètement négatif. Charles va à l'éc
ent identique au type Charcol-Marie. Aucune hypertrophie des troncs nerveux . - Aucun autre caractère de la névrile intersti
cette époque. Pendant que tous ces symptômes à la charge du système nerveux évoluaient d'une façon lente et progressive, l'
peut très bien distinguer la lame cribreuse au milieu des faisceaux nerveux très atrophiés. Les vaisseaux artériels et vein
ans toutefois présenter l'inversion nette de la 1). R. Les troncs nerveux des bras et des avant-bras sont à peu près inexci
ntractions fibrillaires. - Aucune trace d'hyper- trophie des troncs nerveux . Intégrité de la sensibilité objective et subje
sible dans sa totalité, on ne voit même plus la trace des faisceaux nerveux atrophiés. La vue chez Aurélie est complètement
nt. Nulle part l'on ne peut relever trace d'hypertrophie des troncs nerveux ; de même la palpation sur le trajet des nerfs e
vec les manifestations les plus certaines de la D, R.. Les troncs nerveux des bras et de l'avant-bras sont presque inexcita
et les vaisseaux sont encore assez bien' dessinés, mais les fibres nerveuses sont très atrophiées et la lame cribreuse commenc
plaint t jamais de douleurs. La palpation sur le trajet des troncs nerveux est complè- tement indolore. L'action des mus
hypoexcitabilité assez marquée, galvanique et faradique. Les troncs nerveux des bras et des avant-bras sont encore excitables
ce ces enfants étaient tous exposés à une atteinte grave du système nerveux . En effet, sur les sept membres de cette famill
nvul- sives, trois ont donné lieu à la mani festation d'un syndrome nerveux d'une gravité exceptionnelle et deux seuls jusq
il existe dans cette famille une labilité dégénéra- tive du système nerveux poussée à son plus haut degré. Je ne m'attarder
ouvons en présence d'un syndrome étendu qui englobe soit le système nerveux central, soit le système périphérique. Il y a d
e importance assez grande dans la séméiologie de certaines maladies nerveuses . Si l'on se rappelle à présent la tendance à la
i est là pour démontrer la dé- générescence globale de leur système nerveux . Si, comme le dit très bien Strûmpell (1), les
plupart des maladies familiales, a donc produit une dégénérescence nerveuse sys- tématique. On ne peut même invoquer dans m
es cas la cause de l'usure fonctionnelle, puisque la dégénérescence nerveuse a commencé chez elles à un âge de la vie dans l
134 BERTOLOTTI forme Charcot-Marie chez laquelle la dégénération nerveuse a subi une extension tout à fait particulière.
le un échantillon type d'une nouvelle forme dégénérative du système nerveux , serait commettre sim- plement une faute grossi
par trop systématique les nombreuses maladies familiales du système nerveux . Elles doivent forcément se rallier entr'elles
ant systématique, peut t s'étendre à un seul ou à plusieurs réseaux nerveux . Envisagée de cette façon uniciste, toute malad
sous-ordre variable donné simplement par l'ex- tension de la lésion nerveuse . La conclusion logique qui en découle, c'est qu
Congrès de Toulouse, 1897, vol. II, p. 716. SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (Dr E.' li'LA1'AV) A L'HOPITAL ISRAÉLITE A VARS
mites du foyer ne sont pas très nettes. Une dégénérescence du tissu nerveux ressort au premier plan. Larges mailles vides p
es parois des lacu- nes, des cellules avec granulations. Le tissu nerveux est alors aréolaire, troué comme un tamis ; il ra
art les corpuscules amyloïdes ne se disposent le long d'un faisceau nerveux . Les coupes longitudinales montrent par contre la
ral droit, et caractérisé par une dégénérescence accentuée du tissu nerveux ; 2° le long de toute la moelle, des lésions vas-
v. Gieson ce sont des masses gonflées rose-rou- geâtre, des fibres nerveuses dégénérées, gonflées considérablement.) A côté
re considérées comme le produit de dégénérescence de toute la fibre nerveuse . Il est exceptionnel de voir dans ces masses énor
on ou de dégénérescence. La coloration du Nissl montre les cellules nerveuses dégénérées dans une région qui correspond à la
ns latéraux. En approchant de la substance grise on voit les fibres nerveuses plus pâles que dans la zone périphérique de la mo
i ainsi que des masses rosées rondes et mates (produits de la fibre nerveuse ). Au-dessous de la moelle cervicale, pas de lés
olorées par la méthode de Nissl ont montré des lésions des cellules nerveuses dans les segments cervicaux de la moelle. Elles o
sait peu à peu, huit mois après sont apparus les premiers symptômes nerveux sous forme de douleurs dans l'épaule et le bras
ôts de cylindraxes gonflés ou des masses constituées par les fibres nerveuses dégénérées. Il est très important de noter qu
par la méthode de Nissl démontrèrent des lésions dans les cellules nerveuses de la corne antérieure gauche, là où les grande
dans le cas présent la compression mécanique exercée sur les fibres nerveuses jouait le rôle prin- cipal dans la production d
s la production de tout le tableau anatomo-pathologique. Les fibres nerveuses ont changé de forme (le plus souvent sont devenue
ité plus grande que normalement et provoque la destruction du tissu nerveux . Eh bien ! dans notre cas cette dilatation des es
é à produire les lésions médullaires. Les lésions dans les cellules nerveuses sont aussi à notre avis provoquées TUMEURS DE L
elles étaient presque nor- males. Dans la corne gauche les cellules nerveuses lésées rappelaient tout à fait celles qu'on ren
uite de cette cause mécanique agissant à la périphérie les cellules nerveuses de la corne gauche antérieure ont subi une dégé
Heymann). Dans les cas exceptionnels elles naissent dans les plexus nerveux et de là pénètrent à travers les trous de conju
ontre ordinairement dans les tumeurs de cette région.Les phénomènes nerveux peuvent être de deux sortes : 1° la tumeur peut
e deux sortes : 1° la tumeur peut comprimer les nerfs et les plexus nerveux périphériques ; alors nous constatons des doule
-mère montrent une tendance insignifiante à la destruction du tissu nerveux . En me basant sur l'observation personnelle je
ance destruc- tive peu notable par rapport aux méninges et au tissu nerveux médul- laire. Quant à la moelle elle ne démon
e- ments on constate dans ces foyers des lésions profondes du tissu nerveux , de grandes places vides avec les restes de myé
x sont partout élargis et remplis de sang (aussi bien dans le tissu nerveux que dans les méninges). Dans quelques cas rares
dure-mère comme la gra- nulation tuberculeuse, les lésions du tissu nerveux doivent être expliquées de la même manière (tro
èse, que les pro- duits néoplasiques toxiques agissent sur le tissu nerveux et le détruisent. Il est compréhensible que dan
e cérébrale ne restait pas indemne, que les cellules, les fibrilles nerveuses et la névroglie étaient le siège de processus p
surable ; 3) ils s'accompagnent d'une décomposition de la substance nerveuse , d'où proviennent des produits de désassimilati
, enfin, on peut démontrer au microscope des altérations des tissus nerveux , cellules et fibres, dans des coupes provenant de
de l'acte psychique et de la modification moléculaire de l'élément nerveux , sans préjuger pour cela du rapport de causalit
systèmes histologiques, les cellules ganglionnaires, les fibrilles nerveuses , les tissus névrogliques et le système connecti
elles ? Que sa- vons-nous du chimisme des cellules et des fibrilles nerveuses ? Les altérations histologiques que nous observ
ugaces que les altérations constantes et défi- nitives des éléments nerveux ; on pourrait la définir : tout changement effec
tions dans la constitution bio-chimique du protoplasma des élémenls nerveux . Examinons maintenant la deuxième question. E
la plus légère modification de la circulation sanguine des centres nerveux , soit par un agent physique, soit par une substan
il est question ici même pour la connaissance de l'état des centres nerveux , qui régissent le système de la circulation du
urs et les dilatateurs des vaisseaux qui sont régis par des centres nerveux particuliers, logés dans la moelle épinière et pa
ux sanguins, avoue qu'il ne peut comprendre les désordres d'origine nerveuse des vais- seaux sans admettre un désordre dans
e tout instinct, même incomplet, embryonnaire, suppose un mécanisme nerveux , des connexions, certaines associations de neur
icile,-se pose avec la contracture réflexe, secondaire à une lésion nerveuse , soit névrite, soit irritation de voisinage; dans
était dû à la toxi-infection hansénienne impressionnant les centres nerveux . Il ne le semble pas. L'étude des lé- preux ori
à l'action directe de la toxi-infection lé- preuse, sur les centres nerveux . En effet, le lépreux d'Orient, ignorant la gra
ving- taine d'années, parlant un peu le Français, atteinte de lèpre nerveuse sans lésion de la face mais dont les pieds étai
esse des muscles à se con- tracter sous l'influence des excitations nerveuses . Il y a donc une indica- tion toute spéciale à
s plus avancés. Et nous ne le serionspas davantage avec la tonicité nerveuse telle qu'on l'admet chez les neurasthéniques. S
e que son père, normale de constitution, est intel- ligente et très nerveuse , irritable. Dans le rire la bouche est tirée un p
es renseignements sur la famille de son mari,qu'elle dé- teste, est nerveuse , impressionnable et triste. Vers six ans elle a s
des glandes à sécrétion interne, ou par l'intermédiaire du système nerveux sur lequel elle commencerait a se localiser et qu
pas nettement artérioscléreuses. Pas de veines variqueuses. Système nerveux : Aucun trouble objectif de sensibilité ; les ner
la dystrophie osseuse aurait son origine dans une lésion du système nerveux central ou périphérique et même, pour quelques
Gail- 284 CATOLA lard), dans une névrite dégénérative des filets nerveux qui pénètrent par les trous nourriciers des os
os. Evidemment, si dans notre cas on voulait se ranger à la théorie nerveuse , on ne pourrait mettre en ligne de compte qu'un
pporter les lésions osseuses observées à des altérations du système nerveux périphé- rique de la tête ; on ne voudrait pas
hèse d'une névrite dégénérative rigoureusement localisée aux filets nerveux intra-osseux, s'extériorisant avec un tableau,
philigraphes et de névropathologistes ont démon- tré que le système nerveux central peut être attaqué par la syphilis déjà
qu'aujourd'hui plus que par le passé la syphilis attaque le système nerveux , non seulement fréquem- ment, mais aussi dans u
e la fréquence relative de la précocité dans la syphilis du système nerveux central, la- quelle, selon lui, atteindrait le
ve à cette conclusion, que les affections syphili- tiques du sytème nerveux apparaissent assez fréquemment dans la pre- miè
que le cas du développement d'une affection syphilitique du système nerveux dans une période précoce n'est pas rare. Parm
la dernière édition de son traité z1909) sur la syphilis du système nerveux , rapporte (Beob. 46) le cas d'un officier su- b
mportance de l'hérédité névropa- thique dans la syphilis du système nerveux central en généra)abstraction faite des infecti
mes multiples de maladies fonc- tionnelles et organiques du système nerveux central est reconnue de tous. 302 COSTANT1NI
la nouvelle édition (1909) de son Traité sur la syphilis du système nerveux , il rapporte deux cas qui lui appartien- nent d
évenir ou au moins retarder les affections syphilitiques du système nerveux , on a beaucoup discuté, soit pour ce qui concer
aucune valeur par rapport à la prévention des affections du système nerveux . Les opinions de Leyden, Herxheimer et Mauriac ne
t, attaque souvent, pour ce motif, l'appareil vasculaire du système nerveux . Pareil- lement d'insignes syphiligraphes comme
, Lion et Kuh déclarent que les affections syphilitiques du système nerveux se manifestent de préférence chez les individus
regarde le déve- loppement d'une affection syphilitique du système nerveux central, l'in- fluence favorable du traitement
ieur sur le développement d'une affection syphili- tique du système nerveux . L'autorité compétente me manque pour entrer à
nt compilé des statistiques d'affec- tions syphilitiques du système nerveux central ont naturellement tenu compte seulement
ode d'une durée variable, d'une affec- tion syphilitique du système nerveux central. Mais que savons-nous des autres cas d'
ignés ou non, et qui n'ont été suivis d'aucune affection du système nerveux central ? Il serait peut-être utile d'avoir une
tiques, soignés ou non, qui ont été frappés de lé- sions du système nerveux central et les syphililiques, soignés ou non, et
si dans des cas traités et non suivis d'une affection syphilitique nerveuse , une affection de ce genre se serait manifestée
oins en ce qui concerne le moyen de prévenir la syphilis du système nerveux , de soumettre à une cure spécifique, non exempt
la virulence plus grande de l'agent syphilitique (syphilis à virus nerveux ), capable de résister à un traitement spécifique
ues sur la syphilis. Paris, 1881. GA ! K)EW;cx. Syphilis du système nerveux , 1892. Gilles DE la TOURETTE. - Syphilis malign
1892. Gilles DE la TOURETTE. - Syphilis maligne précoce du système nerveux . Bull. méd., 1892, n° 48. GOWERS. - Diseases
of the nervous system, vol. II. Gnos et LAxcEnEAux. Les affections nerveuses syphilitiques, 1861. Jolly. - Ueber Gehirns-Syp
ON OSSEUSE DU MAL DE POTT SON RÔLE DANS LA GENÈSE DE LA COMPRESSION NERVEUSE SON MODE DE RÉPARATION. - - Par L. ALQUIER et
est le rôle des lésions osseuses dans la genèse de la compres- sion nerveuse L'un de nous a présenté ici même, le rachis et la
ions osseuses, mais elle n'a pas en- travé la guérison des troubles nerveux . » Les photographies (pl. XXXIII et suiv.) perm
s) sont pratiquement négligeables au point de vue de la compression nerveuse . Enfin, entre la face postérieure de la moelle,
ariable d'un point à l'autre, mais jamais considérable. Les lésions nerveuses (dégénérations et léger oedème des cordons latéra
ent jouer un rôle réellement actif dans la genèse de la compression nerveuse , il faut quel- que chose de plus : qu'au cours
les lésions osseuses nesemblent pas pouvoir produire là compression nerveuse , par le simple fait des déformations du rachis,
re, n° 6, 106. HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (Dr E. PLATA ri) TUMEURS DE, LA MOELLE ÉPINIÈRE
ter 1'liéLéroLopie. La substance blanche est modifiée. Les fibres nerveuses , au lieu de présenter leur coupe transversale nor
grise. Même au sein de ces îlots, on ne distingue plus de cellules nerveuses normales. Partout sur la coupe, il y a des noyaux
ntôt antérieure, tantôt posté- rieure, distincte, mais les cellules nerveuses y ont disparu et on y trouve des hémorragies di
s que la figure de la substance grise devient normale. Les cellules nerveuses ysont presque normales.Quelques-unes d'entre elle
sa configura- tion normale, mais là aussi il n'y a pas de cellules nerveuses . On les décèle sous la forme d'ombres de cellul
croscopique démontra qu'au niveau de la tumeur les lésions du tissu nerveux étaient telles qu'il était impossible de distingu
modifiée, et les lésions y étaient telles que pas une seule cellule nerveuse normale ne persista au niveau de la tumeur et à
lle sacrée.1 . ' 18 FLATAU On n'a pas rencontré une seule cellule nerveuse normale dans toute la moelle lombo-sacrée. Au-d
e normale. En même temps on y voit déjà un grand nombre de cellules nerveuses normales, mais déplus on constate dans cette ré
vaisseaux est augmenté, qu'ils sont très dilatés et que les fibres nerveuses sont dégénérées (gonflement et destruction de l
pouvons dire que dans ce cas il s'agissait, d'une lésion des fibres nerveuses par compression avec une stase sanguine, mais san
on ou de stase lymphatique. Les changements qu'a subis le sys- tème nerveux ont été provoqués par une cause mécanique et non
ouve pas. Le malade ne buvait pas. Dans la famille, pas de maladies nerveuses ou psychiqucs. A pré- sent la malade se plaint
muscle triceps) et périostaux sont normaux. La pression des troncs nerveux est indolore. Le tonus musculaire est normal.
us l'observation XXI). L'examen microscopique démontra que le tissu nerveux ne présentait pas de lésions profondes quoique
seaux à la péri- phérie de la moelle aussi bien qu'au sein du tissu nerveux sont dilatés et gorgés de sang. Leur nombre est
le Fic. 15. Fibrosarcome psammeux de la moelle épinière. 1. Tissu nerveux provenant des cordons antéro-latéraux. - 2. liaci
s le cordon postérieur. Dans la moitié droite de la moelle le tissu nerveux est presque normal. La substance grise est sans m
ne normale. On n'y voit qu'une raréfaction insignifiante des fibres nerveuses dans le cordon latéral gauche, surtout au sein du
rées par la méthode de Nissl présentent un petit nombre de cellules nerveuses ; celles-ci se trouvent aussi au niveau où la tum
agrégation. Parfois on ne distingue plus les contours de la cellule nerveuse , rien que la substance tigroïde indique l'endroit
le. Au-dessous et au-dessus de ce niveau le groupement des cellules nerveuses redevient normal. Elles paraissent pourtant très
sal, les coupes démontrent des lésions considérables au sein du tissu nerveux TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE ET DE LA COLONNE
ormal, on voit une masse grise indistincte parcourue par les fibres nerveuses modifiées avec les contours mal dessinés. On ne v
odifiées avec les contours mal dessinés. On ne voit pas de cellules nerveuses . Les faisceaux de la substance blanche présentent
sidérables (déniyéliiiisatio[i, masses de myéline dégénérée, libres nerveuses rompues). Là où les fibres nerveuses persistent e
s de myéline dégénérée, libres nerveuses rompues). Là où les fibres nerveuses persistent encore en nombre suffisant (les zone
eure est presque normale avec le réseau bien conservé (les cellules nerveuses sont des deux côtés diminuées en nombre et à l'
cloisons sont partout élargies, les vaisseaux dilatés, les cellules nerveuses en petite quantité à l'état d'atrophie; les rac
Vie segm. dorsal), on voit de nouveau un- mince faisceau des fibres nerveuses qui couronnent la face postérieure des cordons po
istique que sur toute la périphérie de la tumeur on voit des fibres nerveuses à myéline qui constituent évidemment les racines
ces lésions se sont produites d'autres modifications dans le tissu nerveux , inconnues pour le moment, qui ont engendré l'a
l. Sensibilité, conservée. Pas d'ataxie. La pression sur les troncs nerveux et les os est dou- loureuse. 1 Réflexes abdom
ais aussi dans les méninges autour de la moelle et au sein du tissu nerveux (dans la snbsiance blanche et grise) en dehors de
ption du VIe segment dorsal les gommes n'envahissaient pas le tissu nerveux médullaire. Elles n'ont pas provoqué une modifi
quelques médecins. Le malade, -depuis dix ans, est sujet des crises nerveuses à caractère épileptiforme ; il y a huit ans, il
uelle, comme on le sait, nous permet d'étudier l'origine des fibres nerveuses . Les premières tentatives dans cette direction
ite dans la région lombaire. Arté- rio-sclérose intense des centres nerveux . Fxamen microscopique. Dans les lobules paracen
éfaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions nerveuses , ainsi que Brissaud et Achard venaient de le fa
(t) G. Etiknne, Des noevi dans leurs rapports avec les territoires nerveux . Essai de palhogénie et d'étiologie. Société de
des nævi dans leurs localisations et leurs rapports avec le système nerveux . Th. Paris, 1898-1899. (3) ICLIPFEL et Pierre W
ire ; et au tronc, ils croisent plus ou moins plusieurs territoires nerveux . Mais, aux membres, les naevi-névrites sont aus
éfaut de superposition entre les troubles trophiques et les régions nerveuses . Ici, semble que l'on puisse faire intervenir la
gt, c'est-à-dire disposé suivant la fron- tière de deux territoires nerveux (1). (1) La rédaction de ce travail était termi
xcellent état de santé, ne présentant aucune autre anomalie ou tare nerveuse appréciable. Il affirme ne connaître dans sa fa
tir du 2e espace intercostal pour Usions cutanées dans les maladies nerveuses et mentales ne modifie pas ma façon de comprend
TIQUES 403 l'axe médian du bras (Van Gehuchten, Anatomie du système nerveux , 4° édi- tion, fig. 393 ? Il est facile de vo
re. Vieille femme ayant toujours été en bonne santé, sans accidents nerveux . Un vaste naevus constitué par le groupement de
, A côté de cette distribution suivant un ou plusieurs territoires nerveux , Philippson, puis Millier, Paterson, Galewsky e
forcé- ment une ligne frontière de Voigt. D'autre part, les filets nerveux se déve- loppent nécessairement dans les bourge
me origine, est notre type sérié, intéressant plusieurs territoires nerveux consécutifs (plus de trois cepen- dant, en rais
temps (1) ; 3° enfin le nxvus ne concordant plus avec un territoire nerveux , mais au contraire suivant les lignes de Voigt,
s de Voigt, c'est-à-dire la frontière entre plusieurs terri- toires nerveux . Mais je n'ai pas observé encore de noevus du t
- (1) G.ETIENNE, Des noevi dans leurs rapports avec les territoires nerveux . Société de médecine de Nancy,l0 juin 1896, in
ophique est vicié par sup- pression ou par adultération de l'influx nerveux apporté à ces cellules par des neurones altérés
ophique se produit, ainsi que je l'ai montré pour les arthropathies nerveuses , la cheiromégalieou les pa- naris mutilants.de
n fasse surgir du système du grand sympathique lui-même le ganglion nerveux des racines postérieures. Quoi qu'il en soit de
lulaires des cornes antérieures de la moelle dans les arthropathies nerveuses . Considérations sur la pathogénie générale des
thies. Encéphale, 1908, n° 5, mai. 2) SimoN et Hoche, Les ganglions nerveux des racines postérieures appartiennent- ils au
cet autre trouble trophique de la vie adulte qu'est l'arthropathie nerveuse . Et il en pourrait être de même encore lorsque le
rritoires sur lesquels se heurtent et s'accumulent les terminaisons nerveuses de deux systèmes voisins, et où, dit M. Hallope
s les couches sus-jacentes. Mais s'il existe un trouble de l'organe nerveux de ces territoires cutanés en voie de conjonction
parfois très étroite du naevus ; on en peut dire autant des filets nerveux périphériques. ÉCOLE DE NEUROPATHOlOGIE DE L'UN
as récent, qu'il m'a été donné d'étudier à la clinique des maladies nerveuses , dirigée par le Professeur Mingazzini : cas qui
mentaires, et la perception stéréognostique. La pression des troncs nerveux périphériques n'est pas douloureuse, ni celle d
urtout le rachis ont été abîmés au cours de l'enlèvement du système nerveux . 1 La calotte crânienne est normale, deux trous
t. Il, p. 1"0. HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (Dl' E. FLATAU) TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
gieuse, molle, rappelant par son aspect la truffe fraîche. Le tissu nerveux y est absolument invisible,excepté une zone périp
on voit : 1° que la masse néoplasique se sépare nettement du tissu nerveux ; 2° qu'au sein de la tumeur même il y a une fe
segment dorsal une perte complète de la structure normale du tissu nerveux . Par contre on voit des masses bru- 462 FLATAU
oubles qui dépendent de l'interruption de la continuité de J'influx nerveux de la moelle. C'est un symptôme bien pénible po
énomènes provenant de l'interruption de la conti- nuité de l'influx nerveux (les phénomènes spastiques, la paralysie spasti-
ononcé que la moelle ressemblait à un ruban. Les lésions du tissu nerveux vues sous le microscope peuvent se diviser en t
eur, du caractère individuel du ma- lade, de la résistance du tissu nerveux , etc. Les lésions histologiques observées le pl
tion des cylindraxes, la déformation et la disparition des cellules nerveuses . Par suite de ces TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
hémorragie pendant ou après l'opération se faisant au sein du tissu nerveux ramolli). Un fait nous paraissait assez étrange
e de toute la coupe (comp. Fig. 15 dans-Ii XVIe obs.), les cellules nerveuses et les cylindraxes (quoique un peu modifiés) ét
quelquefois les méninges exclusivement sans pénétrer dans le tissu nerveux ou en n'y pénétrant qu'à faible degré (Westphal,
te la moelle lombo-sa- crée"(avec disparition complète des cellules nerveuses ), et en allant vers le haut, la configuration n
la stase exercent une mauvaise influence sur les éléments du tissu nerveux et constituent une des causes qui modifient le
tissu nerveux et constituent une des causes qui modifient le tissu nerveux . Le phéno- mène d'oedème disparaît peu à peu, c
isseaux sanguins. " " La compression immédiate exercée sur le tissu nerveux provoque sans doute des lésions prononcées. La
breuses stases sanguines qu'on constate non seulement dans le tissu nerveux , mais aussi au sein des mé- ninges molles. et d
s prouve la persistance d'éléments délicats comme sont les cellules nerveuses et l'absence de dégénérescences secondaires. En
iveau du maximum de compression exercée par la tumeur, les cellules nerveuses ne disparaissent pas complètement et la dégénér
u'elles aussi ne constituent pas une preuve indéniable que la fibre nerveuse a perdu sa conductibilité. Maintes fois nous av
soudaine de Charcot. La chaire de Clinique des maladies du système nerveux , à la Salpê- trière,- étant devenue vacante, Br
le choix de ses collègues. Grâce à lui, l'enseignement des maladies nerveuses s'est poursuivi pendant quinze années à la Salp
ière, F. Raymond avait publié une série de travaux sur les maladies nerveuses , notamment sa thèse de docto- rat (1876) : Etud
de la chaire de clinique des maladies du système NÉCROLOGIE 491 1 nerveux , le professeur F. Raymond a tenu à apporter son b
tion postérieure de la capsule externe, un certain nombre de fibres nerveuses sont disparues. Dans les sections horizontale
l'axe médullaire du gyrus tertius (brevis) manque un peu de fibres nerveuses ; les deux gyri (brèves) actteriores insuloe so
lus grave dans leur portion dorsale ; légère raréfaction des fibres nerveuses de la circonvolu- tion antérieure de la môme fo
dorsale du gyrus temporalis plofundus, dégénéres- cence des libres nerveuses du tiers dorsal et antérieur de Ti. Les résulta
' temporalis transversus il n'est resté intact que quelques fibres nerveuses s'étendant à la base de l'axe médullaire ; le r
ardivement 508 AKCHAMBAULT acquise. Lorsque l'on détruit une voie nerveuse centrale chez l'animal nouveau-né, on constate
s cellules trophiques. La persistance du segment central d'une voie nerveuse sectionnée est dans ces circonstances extrêmeme
interne ». Voici, du reste, en quels termes l'Anatomie des centres nerveux décrit ce faisceau : « C'est un long faisceau d
et la substance grise sous-épendymaire, à (t) Analomie des centres nerveux , Paris, 1895, p. 758-765. xxiii 34 510 O ARCH
Sachs a déjà démontré qu'il n'existe pas à cet endroit de cellules nerveuses gan- glionnaires. En second lieu, il critique s
iée, comme on le sait, soit à dés altérations primitives du système nerveux central, soit à des lésions inflammatoires (éte
ux réductions mentales suscitées,par la lésion primitive du système nerveux central, plutôt que par l'insuffisance des sécr
Launois s'exprime à ce sujet : . « 11 n'est pas jusqu'au système nerveux , le grand régulateur de notre trophisme,qui ne
ion^ Atteints, dès le jeune âge, d'une lésion chronique des centres nerveux , telle que la sclérose. cérébrale, ils ne se dé
sujets montrent des signes psychiques et physiques de leur maladie nerveuse congénitale ou acquise, dont la microsomie n'est
s. La mobilité de tous les muscles faciaux est normale : les troncs nerveux de la Vlle paire ne sont pas hyperexcitables mé
E). A la limite supérieure du ganglion on distingue un petit filet nerveux qui se dirige vers les artères ciliaires et qui
u'il y ait une prolifération de tissu conjonctif entre les éléments nerveux (PI. LXV, I). L'arachnoïde est épaissie. L'aspect
. Celle-ci permet de voir-admirablement la morphologie des cellules nerveuses , qui pour la plupart, par la richesse des expan
rmer la main de l'embryon, à une lésion des vaisseaux ou du système nerveux ? » (Polaillon, in Die. Declaantbre, t. 30, art
ment transmissible, au même titre que la prédisposition musculaire, nerveuse , cardiaque ou hépatique dans d'autres familles. »
connue. Le rachis et la base du crâne sont trop voisins des centres nerveux pour qu'il n'y ait pendant la jeu- nesse de l'ê
e du tissu squelettogèI1e consécutifs aune lésion propre du système nerveux , ils sont peu connus. Les faits, où lésion cent
e.) ! «ni . 39 HOPITAL ISRAÉLITE DE VARSOVIE SERVICE DES MALADIES NERVEUSES (D'' E. PLA1'AV) TUMEURS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE
iques, 'et ! particulier des métastases cancéreuses dans le système nerveux central. Zeitschr. f. Krehsforsch, rr, 1906 ; Rev
mo)'. Neurol. Zentralbl., 1903, p. 749. lfaceoTre et Riche. Centres nerveux inférieurs. Tumeurs intrarachidiennes. Manuel d
is est le facteur étiologique, non seulement de 'certaines maladies nerveuses , mais aussi de quelques affections mentales déter
de l'origine luétique des affections parasyphi- litiques du système nerveux , de la paralysie générale en particulier, ne sa
eaux, dans le tissu conjonctif et autour des faisceaux de fibrilles nerveuses (fig.2). On observe la même chose dans la tun
emplies d'héma- ties et de leucocvtes. Les faisceaux de fibrilles nerveuses de l'adventice sont aussi fréquem- ment envahis
sont séparés les uns des autres par de grêles fascicules de fibres nerveuses , ce qui donne aux coupes de cette région l'aspe
- tion s'efface. L'incontinence nocturne est fréquente. La lésion nerveuse est latente : les réflexes cutanés et tendineux s
tte n'est pas le seul individu de sa famille présentant des lésions nerveuses et de la polydactylie : La mère et deux oncle e
formations digitales dans toutes sortes de diathèses et de maladies nerveuses , à savoir : les névrites, etc. ; il attribue au
e (Sur le-. Réponse à M. Eltore Levi), par BAUER, 25. Compression nerveuse (Sur la lésion osseuse du mal de Pott ; son rôl
erfs ciliaires (Etudes sur les -) (4 pi.), par André-Thomas, 562. Nerveux (Etude clinique sur trois cas de maladie famili
n osseuse du mal de ; son rôle dans la genèse de la compression 1 nerveuse , son mode de réparation) (3 pl.), par ALQUIEN e
osseuse du mal de Pott. Son rôle dans la genèse de la compression nerveuse , son mode de réparation (3 pl.), 310. ANmcÉ-'
ique sur trois cas de mala- die familiale dégénérative du système nerveux . Association de l'idiotie, de l'amaurose, de tr
sseuse du mal de Pott ; son rôle dans la genèse de la compression nerveuse ; son mode de réparation (3 pl.), 310. Kopezy
87 (1902) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 15]
DE F. RAYMOND PROFESSEUR DE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX A. JOFFROY PROFESSEUR DE CLINIQUE IDES MALA
ONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE NERVEUSE DE 11. LE PROFESSEUR RAYMOND ( z CONTRIBUTION
ulaires à son axe et posséder au niveau du renflement spinal un axe nerveux rudimentaire décomposable en métamères correspo
s en effet qu'à la suite de la section de son cylindraxe,la cellule nerveuse de la corne antérieure peut présenter pendant q
scutables, à savoir : étude d'une moelle, 8 jours après une section nerveuse unique ou une ablation unique d'un muscle, le m
de la lésion car, d'une part l'infection remonte le long des troncs nerveux , d'autre part l'intoxication générale dont est at
r l'examen histologique. Or, selon Déjerine (Séméiologie du système nerveux ) la clinique n'a jamais montré chez l'homme un ca
par le professeur Raymond et par Déjeiine(Séiiiéiologie du système nerveux ), cet auteur fait d'ailleurs aussi participer l
clinique médicale, 1896. (3) Voy. Brsssaun.Leçons sur les maladies nerveuses , 1,8 série. Salpêtrière (1893-1894). UN CAS DE
ui a eu depuis des crises de nerfs ; le père et le frère sont aussi nerveux , mais on ne trouve pas, dans la famille, d'affe
maladies d'évolution. (1) E. Loitij, Revue générale. Les maladies nerveuses familiales (maladie d'vo¡u' lion), Revue méd. d
que à la Salpétrière. Interne des hôpitaux. [Travail de la Clinique nerveuse de la Salpêtrière) En même temps que s'édifiait
anté. La mère, cartonnière, ne présente pas de symptômes de maladie nerveuse . Elle a eu 7 enfants : 1° un garçon âgé de 29 a
aladie de Thomsen, comme pour beaucoup d'autres maladies du système nerveux qui attendent une explication satisfaisante de le
s muscles eux-mêmes, se basant sur l'intégrité apparente du système nerveux . On était surtout d'un avis pareil sur la dystr
i- mitive, mais d'une affection organique ou potentielle du système nerveux , particulièrement des noyaux des neurones moteu
hie des fibres musculaires), ainsi que certaines régions du système nerveux , correspondant probablement aux neurones moteur
-Avril HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX sun LES AFFECTIONS DE LA QUEUE DE CHEVAL ET
our, me fournit l'occasion de revenir sur un chapitre de pathologie nerveuse , en- core insuffisamment connu et sur lequel je
tenseurs, des muscles des mollets, à droite et à gauche. Les troncs nerveux superficiels étaient, à l'instar des muscles, trè
ent dans la substance blanche cérébrale. Il existe encore un centre nerveux que paraissent affectionner les lacunes et qui
la lacune il est constitué par les éléments ana- tomirrues du tissu nerveux . Nous verrons plus tard dans quel état on les ape
les gaines périvasculaires entourant tous les vaisseaux des centres nerveux . Mais les liquides fixateurs le chassent et le
diculairement à leur axe et paraissent émerger directement du tissu nerveux sans qu'on distingue autour d'eux une cavité. D
s, qu'elles ne contiennent plus qu'un nombre insignifiant de fibres nerveuses et que les cet-' Iules névrogliques se colorent
é qui la limite, espace dans lequel se voient les débris d'éléments nerveux et sanguins, et cela quelles que soient les dim
ociant plus ou moins des faisceaux blancs de fibres et des cellules nerveuses . Dans les noyaux gris normaux du cerveau comme
les noyaux gris normaux du cerveau comme partout dans la substance nerveuse grise on constate la présence de volumineuses cel
nce nerveuse grise on constate la présence de volumineuses cellules nerveuses peu nombreuses et qui se voient à un faible gro
nc rien d'anormal. A côté de ces cellules sont de nombreuses fibres nerveuses et pour mainte- nir le tout les éléments névrog
lement, leur petite dimension les fait bien distinguer des cellules nerveuses . Enfin le réseau de fibres névrogliques qui n'e
l'on puisse étudier sa topographie. Au milieu de tous ces éléments nerveux , des capillaires en nombre incommensurable décr
reste une paroi mince qui ne sé- pare que très peu le sang du tissu nerveux . Autour d'une lacune ce tissu subit des modific
pes qui ont été traitées par la méthode de Marchi. Ici les éléments nerveux ne sont pas visibles ; ils sont à peine estom-
ord même on les voit s'enfoncer dans la paroi écartant les éléments nerveux qu'ils détruisent à mesure, et montrant ainsi p
ps granuleux sont des leucocytes chargés de la myéline des éléments nerveux ; leur trajet indique la lésion dont la gravité
colorées par les procédés ordinaires convenant le mieux au système nerveux , on distingue dans les parois de la cavité lacuna
st effectuée et elle s'est faite au prix de la rupture des éléments nerveux suivie de l'émigration des éléments sanguins.
etits espaces vides. Ils étaient normalement comblés par les fibres nerveuses : celles-ci ont en grande partie disparu; il ne
ci par là en trouve-t-on encore une qui a subsisté. Les cellules nerveuses manquent complètement dans cette région : on ne l
vient absolument normal. Du reste dans cette région où les cellules nerveuses manquent complètement, les rares fibres elles-mêm
ns larges dans lesquelles sont encore quelques fragments d'éléments nerveux . Les cellules ne disparaissent pas complètement
Les mailles de la névroglie se resserrent et se comblent de fibres nerveuses intactes. Les cellules névrogliques deviennent
rois lacunaires qu'autour du vaisseau. Ce sont d'abord des fibres nerveuses tantôt complètement dépouillées de leur myéline
visibles dans la cavité. A côté de ces éléments propres au tissu nerveux sont ceux qui viennent du sang. En premier li
e. Cependant au microscope on voit bien la cicatrice : les éléments nerveux nobles ne pouvant se reproduire, la cavité en s
eproduire, la cavité en sera totalement dépourvue. Plus de cellules nerveuses , plus de fibres à myéline et cependant la cavité
bres blanches, nous ne voyons naturellement pas de grosses cellules nerveuses puisqu'il n'y en a pas même normalement. Les fa
voque un arrêt de développement du système vasculaire ou du système nerveux (central ou périphérique). Cette théorie, qui peu
tômes divers relevant de lésions plus ou moins étendues du système nerveux . En t8S2, Little publiait une série d'observati
des ma- lades présentant des troubles de la motilité et du système nerveux (De- formities of the human frame) ; avant lui
les mouvements passifs, sans toutefois faire intervenir l'élé- ment nerveux dans l'origine de ces affections. Erb et Charco
eux encore, résulter de dégénérescences nécrobiotiques des cellules nerveuses chez le nouveau-né, à la suite d'un état de mort
dérablement l'état du malade et tonifie en quelque sorte le système nerveux . Le traitement chirurgical consiste essentielle
ypothèse ne cadre pas avec les données actuelles de la transmission nerveuse , mais elle expliquerait bien des choses. Ne voit-
u neurone moteur central). 1 Ce cas, publié dans l'Atlas du système nerveux du Dr Christfried Jakob, est extrêmement intére
s pour le cas que nous pu- blions, la formation de nouvelles fibres nerveuses dans le trajet nerveux. (Il est encore un point
- blions, la formation de nouvelles fibres nerveuses dans le trajet nerveux . (Il est encore un point intéressant, c'est la
2e cas, mort à 6 jours, les altérations atteignent peu les éléments nerveux proprement dits, les fibres et les cellules de la
fants les difformités du corps. Paris, 1741. 22. Allas du système nerveux . Christfried Jakob (traduction Rémond et Clavelie
tres unis dans la même contribution psychologique. Tous les offices nerveux qui constituent la psychologie mettant en jeu des
n point quelconque de l'organisme, elle se fait dans un département nerveux phériphérique défini anatomiquement ; c'est tel
ement nerveux phériphérique défini anatomiquement ; c'est tel filet nerveux qui est intéressé et aucun de tous les autres q
gent l'économie. Pouvons-nous admettre que plusieurs dé- partements nerveux différemment situés à la périphérie aient leur im
dère, on observe l'application d'une loi générale à tout le système nerveux sensitivo-sensoriel, l'opposition diamé- trale
nsoriel ait choisi, pour y porter ses images, la partie des centres nerveux la plus opposée à leur point de départ, la plus é
n motrice. J'ai souvent cherché à analyser cette sensation d'effort nerveux et à voir si elle varie de forme selon ses applic
; elle joue le premier rôle dans sa définition, car la morphologie nerveuse intervient dans la pensée comme la morphologie de
a été traitée très longuement par lui dans sa Sémiologie du système nerveux , pages 789 et suivantes (Traité de Pathologie g
ement en disant (p. 6) : « Or,selon Dejerine (Sémiologie du système nerveux ), la clinique n'a jamais montré chez l'homme un c
cher de ceux signalés par M. Dejerine dans la Sémiologie du système nerveux . Nous avons plus spécialement in- sisté sur le
reproduc- tion (PI. XXI). Au premier plan, l'anatomie du système nerveux est figurée sous les traits d'une jeune femme a
202 BALLET ET ARMAND DELILLE Antécédents héréditaires. Père très nerveux , s'est suicidé de désespoir après la mort de sa
on de tumeur, constater que celle-ci est comme sertie dans le tissu nerveux de l'hémisphère, mais que la ligne de démarcati
ule. Ces cellules rappellent donc tout à fait l'aspect des cellules nerveuses vraies, et il nous semble permis de conclure, d
qu'il n'y a aucune manifestation tuberculeuse au niveau des centres nerveux . Dans les jours qui suivent se montrent des vom
ec ses cellules pyramidales et la substance blanche avec ses fibres nerveuses , mais dans lesquelles se serait faite une infil
ncissement, puis disparition presque totale de la lame de substance nerveuse . La bosse frontale droite existe, bien conformé
la peau et des méninges existant seules à l'exclusion de toute lame nerveuse . Aussi une ouverture circulaire devant se produ
ur une longueur de 2 centimètres par une languette aplatie de tissu nerveux , tapissée régulièrement de méninges et émanant de
écitée de 20 millimètres. Sur le bord gauche existe un peu de tissu nerveux donnant un aspect blanchâtre, sur une largeur d
n peu à sa partie inférieure, se fondre avec un cordon de substance nerveuse qui représente la plus importante formation int
région plus antérieure que d'ordinaire, et le gros cordon de tissu nerveux que nous mar- quions (3) sur le schéma qui préc
Ventricule moyen, dont la coupe présente la forme d'un T : 1 Bande nerveuse antéro-postérieure. 2 postéro-supérieure. 3 p
vasée ou base serait dirigée en haut ? » (Testut). Non. Les cordons nerveux qui sont figurés sur le schéma en 1 et 2, nous
niveau de la scissure (pl. XXVIII, fig. D), l'épaisseur de la paroi nerveuse varie entre moins d'un millimètre et 3 à 4 mill
n relief, saillant fortement dans la cavité distendue, des colonnes nerveuses que nous ne pouvons mieux comparer qu'aux pilie
anet). HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX LE SYNDROME PSYCHASTHÉNIQUE DE « L'A[{A TIHSIE
ien remarquable ; on ne décrit pas dans quelque endroit un symptôme nerveux bizarre et en apparence nouveau sans que nous n
faisait connaître à la Société de Neurologie deux cas d'une maladie nerveuse bizarre qu'il baptisait du nom de l'alcatlaisie o
ne peut rien nous dire sur ses antécédents héréditaires; elle était nerveuse , émotive, inquiète dans sa jeunesse. Mais les a
ses manières : s'agissait-il d'une altération primitive de la fibre nerveuse , ou d'une altération secondaire due soit à une af
re de fines tra- bécules conjonctives qui pénètrent entre les tubes nerveux et constituent l'endonèvre. LÉSIONS RADICULAI
t à mettre en relief ces divers éléments. a) Fibres.- Les fibres nerveuses , au moins leur gaine de myéline,sonl bien mises
, disparition, etc.). Mais ils sont insuffi- sants, car de la fibre nerveuse ils ne mettent en relief que l'un des éléments
il n'en est.plus ainsi dans cer- taines atrophies lentes des fibres nerveuses , où le filament nerveux peut persister longtemp
s cer- taines atrophies lentes des fibres nerveuses, où le filament nerveux peut persister longtemps après la disparition d
vident qu'à l'égard des lésions fines 'du cylindraxe, des fibrilles nerveuses , ou des cellules, les progrès de l'histologie son
pénétra- tion dans le ganglion ou même un peu au-dessus, les fibres nerveuses sont en quelque sorte dissociées, plus écartées
es lésions radiculaires, des altérations très notables des cellules nerveuses et des capsules péricellulaires. Les capsules p
; en effet la plupart des gaines de myéline ont disparu, les fibres nerveuses sont réduites à une gaine de Schwann au centre de
Les altérations ganglionnaires sont manifestes, plusieurs cellules nerveuses NOUV. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIERE, T. XV. PL
r, un vaisseau présente également des tuniques dégénérées. Les fibres nerveuses sont dissociées par le développement des travée
ts même ces résidus proto- plasmiques semblent dépourvus d'éléments nerveux , ou les masquent en tous cas au point qu'on n'e
particulièrement favorable à l'étude des lésions fines de la fibre nerveuse , met en relief ici la modalité et le proces- su
t s'atté- nuent au moment où elles côtoient le ganglion. Les fibres nerveuses ne sont nullement dégénérées, elles se colorent
et le tissu conjonctif sont proliférés et dissocient les élé- ments nerveux : par conséquent, à côté des lésions parenchymate
, au-dessus du niveau du ganglion rachidien, malgré cela les fibres nerveuses ne sont nullement dégénérées. Septième gangli
nombre considérable de gaines de myéline. Un grand nombre de fibres nerveuses sont réduites à une gaine de Schwann et aux noyau
ifeste, quelques capsules sont sclérosées. Malgré cela les cellules nerveuses ne paraissent pas en général sensiblement atrop
és de noyaux plus ou moins nombreux. Dans le ganglion, les cellules nerveuses ne présentent pas d'altérations ma- nifestes, m
racines un peu au-dessus du ganglion, on voit à la place des fibres nerveuses , une masse circulaire constituée par du tissu con
tissu conjonctif fascicule. Sur certaines coupes un petit faisceau nerveux subsiste au centre de cette masse (PI. XLI, B)
e par du tissu fibreux adulte. Sur quelques fascicules les fibres nerveuses qui occupent la périphérie sont gonflées, pren-
s la- quelle il est difficile de distinguer les gaines des fibres nerveuses du tissu conjonctif proprement dit hyalin aussi
ssies, les cellules capsulaires sont proliférées, mais les cellules nerveuses ne pré- sentent pas d'altération manifeste. L
au du nerf radiculaire de Nageotte),ce qui tient il ce que les fibres nerveuses y sont plus grêles individuellement. LESIONS
dant la racine antérieure reste intacte à la fois dans ses éléments nerveux et conjonctifs. Observation XI. Riv..., 74 an
ts. L'inflammation atteint le tissu interstitiel et entre les tubes nerveux s'accu- mulent les éléments nucléaires et fibri
e et pré- sentant, comme phénomène capital, des troubles du système nerveux moteur ayant le caractère général de la crampe
ifestant surtout pour les mots d'épreuves. Ces différents accidents nerveux furent traités par les frictions mercurielles e
toses multiples seraient sous la dépendance d'une lésion du système nerveux . « La multiplicité de ces productions osseuses,
alées dans la plupart des cas, font présumer, à priori, une origine nerveuse ; en d'autres termes, selon moi, cette affectio
e trophi- que consécutif à une lésion non encore définie du système nerveux , sans doute, je ne puis m'appuyer, pour défendr
port entre les lésions des os et certaines altérations du sys- tème nerveux . Dans la paralysie spinale infantile, on consta
nutrition du système osseux et certaines alté- rations des centres nerveux ... Il est donc permis de croire à l'influence du
es nerveux... Il est donc permis de croire à l'influence du système nerveux sur la production des exostoses multiples et peut
nisme de l'homme, le bacille d'Armaner Han- ' sen. Enfin les troncs nerveux ne semblent pas augmentés de volume et l'examen
160 Année N° 5. SEPTEMBRE-OCTOBRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX £ HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE LES DÉVIATIONS DE
e présente l'étude des déviations, du rachis, au cours des maladies nerveuses . M. Hall ion (3) avait même, dans sa thèse (1)
cours des diverses affec- tions organiques ou dynamiques du système nerveux : dans l'hémiplégie, la syringomyélie, le labes
tants, n'ayant ja- mais eu ni convulsions, ni autres manifestations nerveuses , et ne présentant aucun stigmate d'hystérie (2)
ifs, et qu'il les rattache à un état morbide quelconque des centres nerveux . Nous constations encore qu'un certain nombre d
il n'y a jamais eu, dans la famille, de tics, ni autres affections nerveuses . Antécédents personnels.- Né à terme, d'une gro
onisme parait être la règle dans les maladies organiques du système nerveux , et il est signalé, par M. Marie, dans le Friedre
sure que les mouvements se répètent. 1 406 DESTAI1AC les troncs nerveux ne sont pas douloureux à la pression. Il y a, de
ur les spasmes fonctionnels, un état morbide quelconque des centres nerveux . , M. Babinski est venu confirmer cette opinion
pas chez d'autres,soumis cependant au même surmenage, c'est la tare nerveuse héréditaire, fruit de la dégéné- rescence. Sa
héréditaire, fruit de la dégéné- rescence. Sans doute, l'hérédité nerveuse est le fond commun sur lequel germent toutes le
erveuse est le fond commun sur lequel germent toutes les affections nerveuses , tant psychiques qu'anatomiques. « C'est, dit M
E SYNDROME DU TORTICOLIS SPASMODIQUE 409 Mais,de ce que l'affection nerveuse ne correspond pas encore à une al té- ration an
ntale, dit M. Féré (1), qui tend à envahir l'étiologie des troubles nerveux dont on ne connaît pas la cause physique, a l'imm
n possible des myoclonies avec les affections organiques du système nerveux . Ajoutons que pour cette catégorie d'affections
ique ne colore plus en noir et leur élimi- nation au dehors du tube nerveux traduisent ce processus essentiellement lent, q
t strié concen- triquement de l'ancienne gaine. Cependant le tube nerveux , réduit au cylindraxe et à son enveloppe conjon
conjonctive. Maisjamais, dans nos cas an moins, la totalité des tubes nerveux n'est tranformée en gaines vides ; quelque anci
croissant ou d'un cercle entier de tissu amorphe autour d'une fibre nerveuse , oubien encore ils constituent des i lots i rrégu
e cul-de-sac séreux, le nerf radiculaire. A ce niveau les faisceaux nerveux des racines postérieu- res et aussi des racines
e partir du périnèvre pour former un anneau qui étouffe le faisceau nerveux . Cet anneau s'accroît par sa face interne en mê
r sa face externe... A côté de ce processus d'écrasement des filets nerveux pris en masse, on voit sur les mêmes racines, m
des travées conjonctives intra-fasciculaires (endonèvre). Les tubes nerveux se trou- vent alors dissociés par petits groupe
un kyste dont les parois plus ou moins végétantes écartent le tissu nerveux . Au voisinage, les éléments nerveux n'en ont pas
ns végétantes écartent le tissu nerveux. Au voisinage, les éléments nerveux n'en ont pas moins con- servé leur vitalité et
us paraît être beaucoup plus fréquent, dans les maladies du système nerveux qu'on ne le croit généralement : cependant, dans
bien au cours des maladies primitives de la cellule ou de la fibre nerveuse , qu'à la suite de trauma- tismes ou de foyers i
rauma- tismes ou de foyers inflammatoires sur le trajet de la fibre nerveuse . D'autre part, on sait depuis les travaux de We
ition brusque de cette fonction réalisée par la section d'une fibre nerveuse ou la destruction de son centre a pour résultat l
om de dégénérescence wallérienne. , Nous savons encore que la fibre nerveuse peut dégénérer de deux façons différentes, lors
ation du nerf : elle soulève un problème intéressant de physiologie nerveuse : doit-elle être interprétée comme une réaction
cylindre axe ? En un mot on peut se demander notamment si la fibre nerveuse ne se régé- nère pas constamment, se détruisant
i mal le rôle trophique et les phénomènes biologiques de la cellule nerveuse . Pour d'autres auteurs, ce n'est pas dans le ga
vrai que par sa marche et son étiologie; mais le sort de l'élément nerveux qui traverse ce foyer inflammatoire est tout di
niveau du pôle central du ganglion; quelquefois cependant les tubes nerveux sont plus grêles dans la traversée de ce foyer
i faire encore le grave reproche de négliger une partie des lésions nerveuses du tabès (altérations des nerfs cutanés, musculai
ons histologiques se caractérisent par des modifications des fibres nerveuses comparables sous certain^ rapports à celles qui o
« anesthésiques et amyosthéniques » et « son action hyposthénisante nerveuse et vascu- laire ». Huette avait signalé des pro
on la retrouve d'ailleurs dans l'histoire de la plupart des poisons nerveux , cocaïne, atropine, duboisine, ergotine (4). (1
16" Année N° 6. Novembre-Décembre CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE SUR LES AFFECTIONS
si J'enveloppe-[-il de ouate et de bandes de flanelle. Les troncs nerveux ne sont pas douloureux à la palpation. Le signe d
nnelles dont sont susceptibles aussi bien les amas gris des centres nerveux que les muscles plus ou moins synergiques. Je m'e
ce se présentera de le faire. ' LÉSIONS SYPHILITIQUES DES CENTRES NERVEUX FOYERS DE RAMOLLISSEMENT DANS LE BULBE HÉMIAS
lésions mésodermiques superficielles. Dans la profon- deur du tissu nerveux on trouve des lésions de capillarité, surtout au
myéline tangentielles. En somme, l'appareil mésodermique du système nerveux tout entier est le siège d'un vaste Aomet, cara
2) est allongé verticalement, c'est-à-dire parallèlement aux fibres nerveuses de la région et perpendiculairement au trajet des
l'âge de 30 ans, est pris brusquement, en pleine santé, d'accidents nerveux graves : hémiasynergie du membre inférieur gauc
nt au mode de développement des affections syphilitiques du système nerveux , puis nous chercherons à établir les rapports qui
s méningées généralisées nous paraît être la règle dans la syphilis nerveuse en voie d'évolution, quelle qu'en soit la forme,
ns caractéristiques de chacune des formes de la syphilis du système nerveux . Les récents travaux accomplis à la suite do la
coce, qu'elle accompagne les tout premiers symptômes de la syphilis nerveuse , qu'elle peut même en être la seule manifestati
t, la méningite paraît être le premier stade des lésions du système nerveux , qui dérivent de la syphilis. L'observation que
partie postérieure de la couche interolivaire où siègent les fibres nerveuses provenant du noyau grêle auquel aboutissent les
rrivera à déterminer le rôle joué par les divers systèmes de fibres nerveuses bulbaires dans la transmission des divers modes
es ? Il nous parut tout d'abord qu'il s'agis- sait bien de cellules nerveuses et non de cellules névrogliques. Nous basant en
obes inférieurs, il n'y avait rien d'important en dehors du système nerveux . A l'ouverture de la dure-mère on constate qu'i
qu'à un faible grossissement, ils obscurcissent la vue des cellules nerveuses , surtout sur les coupes colorées à la safranine.
, surtout sur les coupes colorées à la safranine. Pour les cellules nerveuses du cortex, au Nissl, elles se montrent en leurs
uche des fibres transversales du pont et dans les ilots de cellules nerveuses des noyaux du pont. Et, par contre, les noyaux
Et, par contre, les noyaux ronds deviennent rares dans la substance nerveuse immédiatement sous-jacente au plancher, et devi
protubérance comme sur celles de la moitié inférieure. Les cellules nerveuses des noyaux du pont sont, par places au moins, net
s transver- sales du pont, on voit manifestement à côté de cellules nerveuses à limites nettes, à noyau bien serti, à protopl
entre les fibres transversales et au niveau des amas cellu- laires nerveux , dits noyaux du pont; altération inégalement répa
ns, est amenée pour la première fois à la consultation des maladies nerveuses le 13 octobre 1898. Son père est mort à 87 ans
couche molé- culaire est diminuée de hauteur ; la zone des cellules nerveuses , moins épaisse, offre surtout des cellules comm
iable suivant les points observés, portant sur la zone des cellules nerveuses ; elle consiste en ceci : sur une certaine long
e la circonvo- lution, il semble que la couche des petites cellules nerveuses polygonales la plus superficielle est comme iso
plus loin, quelquefois même à côté, toutes les couches de cellules nerveuses , raréfiées il est vrai, sont présentes. Un autr
résenté par les variations dans cette raréfaction même des cellules nerveuses du cortex ; elle est très inégalement répartie;
on peut voir en un point de l'écorce où toutes les autres cellules nerveuses ont disparu, un nid isolé de 4-5 belles cellules
qu'il s'agisse de cellules névrogliques. Ce sont bien des cellules nerveuses . Si on examine avec soin un cervelet normal apr
rine et Thomas où coexistaient d'autres lésions diverses du système nerveux . Les lésions cérébelleuses nous paraissent donc
nce grise de la moelle, dans la protubérance et le reste du système nerveux . En résumé : 1° Il n'y a pas de différence hi
SCOU. SUR L'ASPECT DES PROLONGEMENTS PROTOPLASMIQUES DES CELLULES NERVEUSES DES CORNES ANTÉRIEURE ET POSTÉRIEURE DE LA MO
r l'aspect externe des prolonge- ments protoplasmiques des cellules nerveuses spinales chez les vertébrés adultes et dans not
ons réussi à obtenir l'imprégnation chromo- argentique des éléments nerveux de la moelle épinière chez les vertébrés adulte
oncernent l'aspect des prolonge- ments protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne postérieure et de la corne antérieu
bstance blanche, auprès de la substance grise, on voit des cellules nerveuses dont les prolongements protoplasmiques sont pre
rnes postérieures. - Les prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne postérieure, outre qu'ils sont compar
jetons. Sur les prolongements protoplasmiques de certaines cellules nerveuses de la écorne postérieure, au contraire, le nom-
un aspect variqueux. Sur l'une des coupes on a observé une cellule nerveuse , située dans la sub- stance grise de la corne p
plus dense, tantôt plus raréfiée (voy. fig. 8). Outre ces cellules nerveuses à dentrites riches en appen- dices collatéraux,
rites riches en appen- dices collatéraux, on rencontre des cellules nerveuses , ayant les pro- Fig. 8. CELLULES DE LA MOELLE
rquée entre l'aspect des prolongements protoplasmiques des cellules nerveuses de la corne antérieure et de la corne postérieu
cornes anté- rieures, dans tous nos cas les dendrites des cellules nerveuses ont des con- tours comparativement plus régulie
ces collatéraux, était située juste au milieu d'une masse de fibres nerveuses de la substance blanche. On a l'impression que le
s aux dendrites xv 35 538 SOUKLIANOFF ET CZARNIECK des cellules nerveuses de la corne postérieure ; on n'en voit pas sur le
l'aspect des prolongements protoplasmiques de différentes cellules nerveuses , il est facile de s'assurer que quelques- unes
raire, en sont parsemées d'une manière très abondante. Aux cellules nerveuses , dont les prolongements protoplasmi- ques envoi
llatéraux, appartiennent aux cellules qui apparaissent comme unités nerveuses , moins subordonnées aux autres neurones, et qui
e très importante. Comme l'aspect des dendrites des autres cellules nerveuses n'est pas encore suffisamment étudié, nous ne p
mprendre la signification des appendices collatéraux pour l'élément nerveux . Il faut penser que ces derniers ne servent pas
collatéraux, en augmentant le volume de l'élément protoplas- mique nerveux , le rendent plus apte à retenir, à conserver et à
ver et à accumuler les excitations qu'il reçoit des autres cellules nerveuses et à les transmettre plus loin déjà transformée
Sur les coupes du sciatique, on note un peu d'atrophie des fibres nerveuses ; les fibres normales sont en minorité ; le tis
normales sont en minorité ; le tissu fibreux l'emporte sur le tissu nerveux ; mais il n'y a pas trace d'inflammation. Ni
côté droit (5 pl. en pliotocollogr.), par Brissaud, 281. Cellule* nerveuses des cornes de la moelle épinière chez les nouve
hésie cl hémi- plégie croisées. Lésions syphilitiques des centres nerveux (8 fig. dans le texte, 5 pl. en pliotocollogr.)
, 286. NAGEOTTE et BAi31NsKi. Lésions syphiliti- ques des centres nerveux . Ilermiasy- nergie latéropulsion et myosis bulb
ropulsion, myosis bul- baires ; lésions syphilitiques des centres nerveux (13AmXSI([ et NAGEOTTE), LV à LIX. Hémimélie
88 (1909) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 22] : iconographie médicale et artistique
male à gauche (2 cm. 8 de largeur). L'examen détaillé du système nerveux s'imposait chez notre malade : or il nous a rév
tout d'abord sur des analogies ; à la suite de cer- tains troubles nerveux peuvent se développer des accidents osseux, dont
égie cérébrale infantile ou dans la paralysie infantile, trou- bles nerveux qui expliquent peut-être la fréquence des fractur
sant sur cette constatation que Lancereaux (4) dit que « le système nerveux paraît jouer un rôle important dans la pro- duc
ophonévrose soit un processus étiologique possible, que des lésions nerveuses puissent provoquer des altérations du squelette
te chronique; Pic (7) relate, dans son cas,certaines manifestations nerveuses (exagération des réflexes, troubles vésicaux) ;
des artères spinales postérieures. En résumé, des lésions de l'axe nerveux ont été observées chez les pagétiques ; mais el
a réflectivité, le psychisme même, mon- trent l'atteinte du système nerveux [Klippel (1), Cousin (2), Skoda, Risen- mann, R
nser, avec plus de raison, à la cause (1) M. KLIPPEL, Des accidents nerveux du rhumatisme chronique et de la goutte. Ann. m
uelques symptômes communs au rhumatisme chronique el aux affections nerveuses . Thèse de Paris, 1890. (3) Cités par Teissilh e
de rhumatisme déformant des mains et sur l'intervention du système nerveux dans les arthropathies de ce genre. Archives géné
es, ne s'accorde guère avec l'idée d'un trouble trophique d'origine nerveuse ; elle s'explique mieux par l'hypo- thèse d'une
'est- à-dire que la déviation n'est pas secondaire à une altération nerveuse , paralysie, névralgie, etc. Certains auteurs
soit encore à cause des impor- tantes questions de physiopathologie nerveuse qu'il peut soulever. . Observation (pal. XII).
en portants, un frère en bonne santé, terrassier. Pas de maladies nerveuses dans la famille. Antécédents personnels. Aucune
ènes convulsifs provoqués par une lésion irritative d'un conducteur nerveux , ce qui n'ebt pas démontré, et ce qui en tout c
aurait perdu son aptitude à réagir sous l'influence de l'excitation nerveuse quand U aurait à remplir certaines fonctions, t
nt, au contraire, de supposer que la perturbation règne dans l'acte nerveux central. Cette hypothèse me paraît justifiée par
. » « Existerait-il ailleurs, écrit-il encore, un point des centres nerveux qui, surexcité ou épuisé par l'exercice souvent
pété de certaines fonctions musculaires, tantôt ferait une démarche nerveuse trop consi- dérable et produirait la contractur
a contracture de certains muscles; tantôt leur enverrait l'excitant nerveux irrégulièrement et occasionnerait des trem- ble
ents cloniques ; tantôt enfin cesserait de leur distribuer la force nerveuse , et tout cela seulement pendant l'accomplis- se
es memhres su- périeurs aucune altération vasculaire, musculaire ou nerveuse appréciable. Mais, en mettant la main au niveau
lise sur un terrain surmené et chez un sujet prédisposé. 3° Origine nerveuse : névralgies, névrites. De nombreux auteurs ont
ysie et atrophie du fléchisseur du pouce droit, et névrite du filet nerveux cor- respondant. Poore (109) rapporte l'obser
ifférents cas, étai t marquée, soitpardes douleurs le long du tronc nerveux , soit par des anesthésies dans le territoire cu
euvent P être l'occasion de surmenage musculaire ou de compressions nerveuses . Mais ce qui différencie essentiellement ces af
n nelles, avec leur caractère électif, occasionnées par des lésions nerveuses . Il est facile, à la vérité, d'en retrouver un
ano. Un exemple tort intéressant de crampe des écrivains, d'origine nerveuse , consécutive à la compression du nerf cubital, a
use ou en foyer, ou qu'il y a simple trouble dynamique des cellules nerveuses préposées à telle ou telle fonction ; l'état ac
t actuel de nos connaissances sur le rôle physiologique des centres nerveux est trop peu avancé pour que l'on puisse être a
ours, la correction des devoirs, écrivant beaucoup, d'ailleurs très nerveux et très émotif, qui un jour vit la toiture de l
ans tous les cas retrouver des traces de névropathies : soit crises nerveuses , soit émotivité extrême, soit encore tendance à l
ui-même a toujours été très émotif, mais il n'a jamais eu de crises nerveuses . Etant enfant il écrivait fort mal, mais surtou
nte surtout des lésions vasculaires : capillaires rompus, substance nerveuse « noyée dans le sang », sans alté- ration appré
« noyée dans le sang », sans alté- ration appréciable des cellules nerveuses (examen fait par Manouélian). Danysz ajoute que
ifs, et il émet l'hypo- thèse d'une action directe sur les cellules nerveuses . Scholz (2) expérimente sur 5 lapereaux et 10 s
les. Outre les modifications de la peau, ils consistent en troubles nerveux , presque uniquement d'ordre paralytique, soit f
ué par les rayons du radium ». En effet, il note, pour les cellules nerveuses ,un certain degré de chromatolyse,parfois l'aspect
s tumeurs cutanées par exemple, sans avoir jamais eu aucun accident nerveux à déplorer. Des différences d'es- pèce (souris,
vons observé aucun trouble ni de la santé générale, ni du sys- tème nerveux . (t) Rappelons que, pour désigner un appareil r
gment sanguin. La névroglie ne parait pas modifiée ; quant au tissu nerveux , ses fibres ne présentent aucune altération par l
etites hémorrhagies dans la substance grise, intégrité des cellules nerveuses (coloration par le Bleu de toluidine- éosine-or
on des hémorrhagies. Méthode de Ramon y Cajal. E - Exp. 3. Cellules nerveuses de la corne antérieure, niveau très voisin de cel
3. Méthode L'ACTION DU RADIUM SUR LES TISSUS DU NEVRAXE 113 tissu nerveux n'apparaissent modifiés (Pl. XV, E) : c'est à pei
du névraxe que de minimes hémorragies, sans altération des éléments nerveux , décelables par les méthodes de la technique ac
ATÉRALE PAR LE Dr P. ZOSIN, Docent chargé du cours des maladies nerveuses et mentales à la Faculté ' de Médecine de Jassy
s avant l'ictus une certaine difficulté pour s'exprimer. Le système nerveux est seul intéressant à examiner, les autres app
ues dont les lésions siègent en des points diffé- rents des centres nerveux ; -les unes frappent l'étage supérieur, cortical
eurer spasmodique in- dépendants d'une lésion organique des centres nerveux . Lorsque la lésion siège uniquement sur les noy
ibition volontaire rendue impossible par suppression des connexions nerveuses réunissant entre eux les centres, puisque un co
s nerveuses réunissant entre eux les centres, puisque un conducteur nerveux peut être et excitateur et inhibiteur. Mais si
s siègent dans la corticalité. Il faut admettre aussi que les voies nerveuses qui commandent soit au rire soit au pleurer dan
l y a toujours intervention des couches optiques et de leurs fibres nerveuses (2). BETCHEREW insistait sur le processus de de
imentale, Ne 11, 1906. Barssnun : Leçons cliniques sur les maladies nerveuses , Paris, 1S95, leçon XXI. 1. , TROIS OBSERVATION
apoplettiche Riv-speriment di fren. XXIII, 1841, in SOURY, Système nerveux central, 1899. (4) FRANcEsio Franceschi, Sur le
our des motifs futiles, a le rire facile. N'a jamais eu de crises nerveuses , pas de chorée, pas de tics de l'enfance, pas d
uf en ce qui regarde la face où le spasme est hémilatéral, l'action nerveuse se manifeste synergi- quement et symétriquement
septembrE-octobre 1904. (3) Grasset et RAUZIER, Maladies du système nerveux , t. II, p. 554. 130 RIMBAUD ET ANGLADA Dans l
du Ve nerf. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité mécani- que des troncs nerveux . La face en général n'est pas très petite, elle e
ion des surfaces articulaires. Les masses musculaires et les troncs nerveux sont indolents à la pression. Les réflexes tend
es achondroplases de ses prouesses sexuelles. L'examen du système nerveux nous a donné des résultats absolument négatifs.
apparentes du fonctionnement d'un ensemble d'organes, le sys- tème nerveux dont la fine anatomie est à peine connue et dont
fisant de nos connaissances au sujet du fonction- nement du système nerveux d'autre part, montre clairement en quelle mince
ir un sens physiolo- gique, en supposant la présence d'un mécanisme nerveux déterminé dont la pensée n'existait pas vraisem
ique connu ou seulement concevable, mais au moyen d'un agence- ment nerveux dont on pourra nier l'existence peut-être dans ce
ifi- cations parfaitement en rapport avec les lésions de la matière nerveuse , pour autant que celles-ci soient connues dans
de son ignorance. Si la fonction intellectuelle dépend du système nerveux comme un effet est assujetti à sa cause, il est
mps. Il se forme alors pour unir ces différents rouages une cellule nerveuse qui reçoit et transmet l'excitation reçue aux o
ion reçue aux organes dont la fonction est d'y répondre. Le système nerveux se complique à son tour et, à un degré d'organisa
sation un peu plus élevé, on rencontre deux, trois, quatre cellules nerveuses intermédiaires, de sorte que, à ce moment, l'ar
66 LEFÈVRE L'organisation s'élève au sur et à mesure que le système nerveux se com- plique, mais on continue à comprendre e
r et les différentes parties de ce dernier d'autre part, le système nerveux n'est en somme qu'un organe de transmission qui r
qui appartient, sans conteste, à tous les excitants. L'organisation nerveuse des mammifères inférieurs subsiste assurément l
et non en psycho- logue, j'affirme que l'accroissement de la masse nerveuse suffit à expliquer l'établissement de fonctions
vibrations se transforment ep oscillations, en vibrations du courant nerveux qui constituent elles-mêmes un équivalent physi
de forces ex- térieures. La matière vivante et plus spécialement nerveuse reproduit, en vertu de sa structure physico-chi
tence des mécanismes réflexes. L'aboulie et bien d'autres symptômes nerveux restent physiologiquement incompréhensibles si
sans cette interpositiou inutile et incompréhensible, les courants nerveux qui constituaient des équivalents physiologique
es, les usages, les coutumes, les rites vont atteindre la substance nerveuse sous forme d'équivalents mécaniques et s'y tran
eux, que chacune de ces circonstances est figurée dans la ma- tière nerveuse , représentée par un équivalent organique vivant.
nchevêtrent. Sous la pression d'excitations extérieures, la cellule nerveuse organisée par l'hérédité se modifie dans sa str
. Pour faire sortir les affec- tions mentales et certaines maladies nerveuses des ténèbres où elles sont encore plongées, il
main droite. Il a toujours joui d'une bonne santé, mais il est très nerveux , très impressionnable. Son métier l'obligeait à
ments associés dans les cas de traumatisme péri- phérique de plexus nerveux ? : ' Il est beaucoup plus logique d'admettre q
soit lorsqu'il y a lésion périphérique, soit lorsque le sujet très nerveux s'étudie et craint d'avoir sa crampe en dehors
des doigts et de la main, remonter au bras le long des gros troncs nerveux , irradier à l'épaule ; dans quelques cas rares
on songe, écrit Zuber, à la multiplicité des organes musculaires et nerveux mis enjeu par l'acte d'écrire, à la régu- larit
d'écrire, à la régu- larité et à la longue durée de la distribution nerveuse nécessaire au con- sensus harmonique de toute s
s ou spasmodi- ques dus à une lésion des centres ou des conducteurs nerveux : hémi- plégie d'origine cérébrale par exemple,
s'il n'existe pas de lésion périphérique artérielle, musculaire, ou nerveuse , qui puisse expliquer dans une certaine mesure
nt, a toujours été émotif, impressionnable ; il a eu déjà une crise nerveuse avec perte de connaissance ; il pleure et rit pou
. A cela il faut ajouter le bruit ininterrompu des appareils, bruit nerveux , saccadé, presque aigre, 214 MACÉ DE LÉPINAY
NAY Observation XXI. Mlle du P..., âgée de 20 ans, a toujours été nerveuse et impressionnable ; très intelligente, ayant t
int localement une altération musculaire, tendineuse, vasculaire ou nerveuse qui puisse expliquer l'origine des troubles ; mai
érations osseuses ont été étudiées au cours de différentes maladies nerveuses : certains auteurs ont constaté une fragilité par
e H., il fut pendant trois mois atteint d'une grippe à prédominance nerveuse qui aurait été assez grave. Trois ans plus tard
ications professionnelles. Caractère violent, mais pas de stigmates nerveux . La mère est une femme robuste ; elle aurait eu
e bonne santé, n'a jamais présenté de troubles ni de manifestations nerveuses . Il est actuellement garçon d'hô- tel. Le cinqu
ne tare pathologique. Du côté paternel, on ne relève pas d'hérédité nerveuse . Le grand-père et NOUVELLLE Iconographie DE la
ouve dont point dans l'hérédité de notre malade de trace d'hérédité nerveuse ; sim- plement un père mort de baccillose bien
l jouit d'une bonne santé, chez lui pas de traces de manifestations nerveuses , de convul- sions ni d'émotivité spéciale ; pas
ds en équinisme compliqué d'un certain degré de varus. Le système nerveux sera étudié en détail avec chaque partie du corps
ons tendineuses. Les phénomènes de paralysie et de dégénérescence nerveuse sont par- ticulièrement prédominants pour le dr
faire songer à un trou- ble trophique sous la dépendance du système nerveux . Cette théorie tro- pho-névrotique semble devoi
st seulement t le traumatisme. Nichols croit aussi que le trouble nerveux ou trophique se trouve au fond de la contractur
la contrac- ture de Dupuytren. Jordini en 1906 appuya la théorie nerveuse de l'origine de la contrac- ture de Dupuytren.
e, quand il s'agit de détermination de la localisation des maladies nerveuses , nous nous sommes convaincus qu'elle peut être
ntr der Finger. Neu- rol. Centre., 1883, n° 3. 6. Cénas. Troubles nerveux compl. des extr. consec. à une blessure du nerf c
voque les traumatismes [Etienne (11)], tantôt une lésion du système nerveux central (Testi) ; ou une altération des centres
ril 1907, p. 146. (12) N. VALOBRA, Pathogénie des oedèmes d'origine nerveuse . Soc. de neurol., 2 mars 1905. VARIÉTÉ DE TRO
fférentes autres affections fonctionnelles et organiques du système nerveux , sans provoquer par elles-mêmes des symptômes B
périeur ou inférieur ; l'autre électrode est placée sur les trajets nerveux . L'intensité du courant doit être faible : 2 à
hie avec excitation en raison de son action sédative sur le système nerveux . 30 Le massage, sous toutes ses formes, a donné
s-les-Bains. Cette dernière station, par sa spécialisation pour les nerveux algiques et excités, semble particulièrement in
ien vite le premier rang dans le traitement de certaines affections nerveuses . Les moyens sont infiniment variés, vis-à-vis d
logique d'admettre une altération dynamique passagère des cellules nerveuses préposées à la coordination des mouve- ments pr
165. 322 MACÉ DE LÉPINAY Y 35. Charcot. - Clin. des mal. du syst. nerveux , 1892, I, p. 169. 36. CHCRCH. La crampe des écr
Schmidt's Jahrbuch, 1838, p. 123. 117. ROSENTHAL. - Traité des mal. nerveuses , 1878, traduct. Lubanski, p. 614. 118. RoMBERG.
t. 38, 1816. 224. Hammond (traduct. Labadie-Lagrave). Mal. du syst. nerveux , 1S79, p. 943. 225. HAHTEXBEM. Crampe des écriv
surrénal, constaté dans ce cas, est très rarement observé. Centres nerveux . - On trouve sur la dure-mère un noyau cancéreux,
type brachial droit. On n'observe aucune autre lésion- des centres nerveux . Examen microscopique. Ce noyau métaslatique cé
ées d'une façon prédominante au voisinage des vaisseaux. Le tissu nerveux , comprimé par la tumeur, est très altéré ; il se
nne du néoplasme, il n'existe que quelques millimètres de substance nerveuse corticale effritée représentant les débris ramoll
ace de la face interne du lobe occipital par une épaisseur de tissu nerveux d'un centimètre ; elle est ainsi en rapport ave
il s'agit toujours d'uu épithélioma à cellules claires. Le tissu nerveux environnant présente une prolifération névrotique
ration névrotique très intense et on ne voit que très peu de fibres nerveuses sur ce point. Epithélioma primitif du rein. Il
ssements aqueux ou verdâtres, assez copieux, paraissant d'ori- gine nerveuse , se répètent à plusieurs reprises, sans cause app
sont atteints d'une faible dégénérescence grais- seuse. · Centres nerveux . - L'encéphale est très congestionné ; les veines
mme, aucun foyer d'hémorragie ni de ramollissement dans les centres nerveux . La dissection des globes oculaires, des vaisse
a tumeur gliomateuse au point de vue des éléments nobles du système nerveux . On observe de nombreuses cellules nerveuses to
éments nobles du système nerveux. On observe de nombreuses cellules nerveuses toutes très altérées et présen- tant les lésion
s de la cellule ; 4" chro- matolyse. Il existe très peu de fibres nerveuses reconnaissables. En résumé, cette observation p
s puerpérales peuvent être généralisées et frapper alors les troncs nerveux des quatre membres, et les nerfs crâniens, y comp
natomique fort malaisée et souvent infructueuse. Tantôt les lésions nerveuses se produisent au cours d'une infection grave qui
ortants. Dans ce cas on constate au niveau des nerfs et des centres nerveux de grosses lésions auxquelles i I est di fcici le
ynévrite est accompagnée de vives douleurs à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires. Dans la paraplégie m
térieures. L'autopsie, et surtout l'examen microscopique du système nerveux , vinrent pleinement confirmer le diagnostic de
. Utérus : A repris son volume normal. Foie : De stase. Système nerveux central : Les centres nerveux ne présentaient a
normal. Foie : De stase. Système nerveux central : Les centres nerveux ne présentaient aucune lésion macroscopique. Le
l avec fixation préalable par l'alcool ammoniacal (1). Les troncs nerveux furent fixés par le mélange de Bouin, le liquide
venant témoigner de la destruction définitive de certains éléments nerveux . A côté des lésions chromolytiques, et souvent
arter ces différentes hypothèses. Ce mode d'altération des cellules nerveuses ne constitue pas une rareté anatomo-pathologiqu
s avons observé maintes fois la vacuolisation de certaines cellules nerveuses ; encore tout récemment nous l'avons constatée da
ord ces noyaux sont en nombre beaucoup plus grand que dans un tronc nerveux normal ; d'autre part on peut à première vue dist
la maladie a réalisé une véritable section transversale des troncs nerveux innervant les membres inférieurs. Cette section t
es réactions habituelles en pareil cas, dégénérescence des segments nerveux périphériques et des muscles innervés par eux et
produit les vomissements incoercibles et secondairement les lésions nerveuses périphériques ? Ou bien au contraire la macératio
aux phénomènes infectieux dans l'apparition des troubles du système nerveux . Dans notre cas, les deux ordres de faits ontpr
pouvant plaider en faveur d'une répara- tion autogène des segments nerveux dégénérés. A quelle variété anatomique de névri
natomiquementet fonctionnel- lement; ou bien au contraire, la fibre nerveuse dans son ensemble est frappée, et dégénère ; da
RANSKY, Journ. f. Psych., I. LA POLYNÉVRITE GRAVIDIQUE 361 fibres nerveux de façon tout à fait élective. Dans ce dernier ca
isation de grosses lésions prédominantes, soit ou niveau des filets nerveux , soit au niveau du tissu conjonctif. Si l'on
s essentiellement caractérisés par la néoformation de prolongements nerveux atypiques. Aussi croyons-nous qu'en cas de péri
n cas de périném ite ou de névrite intertitielle lorsque les troncs nerveux sont environnés de tissu inflammatoire qui les
satellites. Les réactions très curieuses observées dans les centres nerveux au voi- sinage de tumeurs (BIELSCIIOWSKV) (3) o
nt d'une névrite parenchymateuse. (1) Maiunesco. Voir La cellules nerveuse , 2 vol. (2) BiescEowshr, Journ. f. Psycholog.,
ue 363 D'autre part nous avons constaté l'existence dans les troncs nerveux de petites colonies de cellules migratrices, qu
tous les trou- bles symptomatiques qu'on observe et que le système nerveux central ne présente aucune modification. Il sig
. Il signifie simplement que les altérations anatomiques du système nerveux perceptibles par nos moyens d'investi- gation s
ées dans les nerfs ou y sont bien plus accusées que dans le système nerveux central. Il y a tout lieu d'admettre, et ce n'e
nent des névrites, provoquent à la fois une perturbation du système nerveux central et du système nerveux périphérique, que p
à la fois une perturbation du système nerveux central et du système nerveux périphérique, que parfois même ils exercent en
quelconque, elles ont pu se multiplier, exercent sur le protoplasme nerveux une action excitante et cliimiotaxique provo- q
vons, en effet, trouvé des lésions importantes au niveau des troncs nerveux , et des altérations fort sérieuses des centres mé
re est-elle primitive ? Est-ce au contraire l'altération des troncs nerveux qui retentit secondairement sur les neurones radi
amique expliquerait fort mal la localisation des lésions aux troncs nerveux , tandis que les racines anté- rieures échappent
la dégénérescence. Enfin il est difficile de s'imaginer une cellule nerveuse frappée au point de voir son cylindraxe dégénérer
! Pourquoi l'agent pathogène se localise-t-il sur tel ou tel tronc nerveux ? La première question n'a pas encore reçu de r
on marquée de l'agent morbide pour telle ou telle région du système nerveux , de même que nous voyons les lésions rabiques a
A MARCHE RAPIDE PAR L. ALQUIER. Par quel mécanisme la substance nerveuse est-elle altérée dans la syphi- lis ? Hormis le
sa masse, suffisante pour exercer une action mécanique sur le tissu nerveux ou ses vaisseaux, et ceux où l'épaississement des
les expliquer entièrement ! D'autre part, la des- truction du tissu nerveux est loin de se faire toujours dans le voisinage
uteurs admettant que la syphi- lis peut atteindre d'emblée le tissu nerveux , et produire des lésions paren- chymateuses pri
t que nous allons relater, le malade a été emporté par une syphilis nerveuse à marche rapide, la moelle présente les lésions d
s hypo- thèses formulées pour expliquer la destruction des éléments nerveux dans la syphilis médullaire. Histoire cliniqu
nes. Les tissus paraissent nécrosés,le plus grand nombre des fibres nerveuses présentent l'aspect de « l'oedème» ; la gaîne m
nt atteinte, le canal épendymaireest partout oblitéré, les cellules nerveuses sont mé- connaissables, et ne reprennent leurs
observe dans toutes les nécroses récentes, qu'il s'agisse du tissu nerveux ou d'un organe, tel que le poumon frappé d'apop
laires dans tous les foyers de nécrose aiguë ou t subaiguë du tissu nerveux qu'il nous a été donné d'examiner histologique-
s ce cas, tout semblait indiquer que l'altération profonde du tissu nerveux relevait à la fois du trouble circulatoire, et
paraît pas suffisant pour expliquer à lui seul les lésions du tissu nerveux , une part semble bien revenir à l'action des toxi
'au commencement de la maladie les lésions anatomiques du sys- tème nerveux ont une distribution diffuse et une extension trè
nous avons appris par le traité de Nonne sur la syphilis du système nerveux que des auteurs autrichiens, Fucus et Rosenthal,
méthode aussi dans un certain nombre de cas de maladies du système nerveux autres que des cas de poliomyélite aiguë, par e
a poliomyélite consiste en une inflam- mation très aiguë du système nerveux , il faut admettre à priori que le résultat obte
de parésie faciale à gauche. D'ailleurs aucun symptôme du sys- tème nerveux , sauf un certain degré d'hyperesthésie générale.
existent deux petits kystes remplis de substance colloïde. Système nerveux central. Nous avons employé les méthodes suivante
une cys- tite ; depuis 20 ans il souffrait d'une maladie du système nerveux dont le fils ne sait nous dire autre chose qu'e
se traîner sans cesse dans les rues de Florence. Du côté du système nerveux , M. Palazzi présente plusieurs symptômes très i
riste avec tendance à l'hypochondrie. L'examen objecti du système nerveux nous montre une série de symp- tômes très intér
hypothèse probable. Nous croyons au contraire que tout le syndrome nerveux que nous ve- nons de décrire (symptôme d'Argyll
niveau des téguments, d'une altéra- tion des systèmes vasculaire ou nerveux . Selon que la lésion siège ici ou là, et selon
culaire que défendirent Trélat et Monod (6), puis naquit la théorie nerveuse . Roger en 1835, Arndt en 1839, n'avaient fait q
ndes qui croi- sent plus ou moins obliquement plusieurs territoires nerveux . Morrow pouvait écrire (1898), « la théorie ner
urs territoires nerveux. Morrow pouvait écrire (1898), « la théorie nerveuse est battue en brèche par ce fait t que, peut-êt
ne altération vasculaire et le nævus lié à une affection du système nerveux . Celle dernière variété se rencontre assez souven
encontre assez souvent chez des enfants arriérés, faibles d'esprit, nerveux : elle peut coïncider avec (1) POLOS SON, Anoma
gie, 1883. 476 KLIPPEL ET PILRIIE-AVEIL des affections du système nerveux périphérique ou central, faits sur les- quels M
récoces et d'ostéohypertrophie. Nous opposerons le naevus d'origine nerveuse et le naevus d'origine vasculaire sous les déno
sions vasculaires qui sont dues à des troubles trophiques d'origine nerveuse ; le fait est important à souligner. Le naevu
e; le naevus-névrite, au contraire, est dû il une lésion du système nerveux : c'est dans le plus grand nombre des cas une rad
etale, car il faudra pour qu'il puisse se constituer que le système nerveux soit en connexion trophique avec les téguments
ION RADICULAIRE DES N7 ? 1 4j 7 intra-utérine. Notre interprétation nerveuse de certaines formes de naevi nous permet donc d
ces naevi diffèrent totalement. Le naevus-névrite a une topographie nerveuse que nous préciserons plus loin ; le nffivus-vas
i ), renferme au contraire implicitement une idée de dis- tribution nerveuse , la ligne de Voigl étant en somme la ligne d'unio
e leur loca- liation. Certains d'entre eux siègent sur des troncs nerveux superficiels ou pro- fonds ; il est logique d'a
dans ces cas une corrélation étroite entre le trajet de ces troncs nerveux et la topographie des troubles cutanés. Des obs
observations de naevi apparem- ment distribués suivant les trajets nerveux mériteraient d'être étudiées dans un travail cr
par ses analogies cli- niques une autre affection à point de départ nerveux et à manifestations cutanées, le zona, mais qu'
à topographie radiculo-métamérique; zona et nævus-névrite d'origine nerveuse , à topographie névro-métamérique ; zona et naevus
isée (Gaucher) étant ici l'appareil légumen- taire et là le système nerveux . Nous voudrions pouvoir, à l'appui de la théori
rait passer inaperçue. A l'autopsie, l'examen complet du système nerveux n'a montré qu'une seule lésion, qui occupe une
rgument très favorable, fût-il incomplet, à l'idée d'une altération nerveuse en rapport avec le naevus à topographie radicul
terew distinguent deux formes de la maladie et soulignent l'origine nerveuse de la première. A nôtre-avis, cette question
r le malade à son entrée à l'hôpital parlent en faveur de l'origine nerveuse de son affection. Si nous admettions chez notre
ulaire, tantôt forme de petits amas libres. La plupart des cellules nerveuses de l'écorce cérébrale montrent des différents sig
uée des cellules de la moelle épinière et une atrophie des cellules nerveuses ganglionnaires. La plupart présentent des signe
anglion de la région lombaire, il a été trouvé beaucoup de cellules nerveuses touchées par différents processus de dégénéres-
n 500 ROUDNEW constate dans le cerveau des cellules et des fibres nerveuses en voie de dégé- nérescence. L'examen macrosc
ossification partielle; ils n'ont pas trouvé de lésions des centres nerveux ni de modifications au niveau des méninges. Le ta
mme des formes « neuropathiques », c'est-à-dire dépendant de causes nerveuses . Pourquoi considérer ces maladies comme des for
le résultat d'une tropho- neurose, malgré l'existence d'une maladie nerveuse (inflammation des méninges). On a également con
lus, on reproche à Marie et Léri de ne pas avoir examiné le système nerveux central dans leurs cas de spondylose. Si on dev
lc BN thAlitl POLICLINIQUE GÉNÉRALE DE TURIN Section des maladies nerveuses du Professeur D NEGRO SUR UN CAS D'OSTÉO-ARTHRO
OASENDA. J'ai eu l'occasion de suivre, dans la section des maladies nerveuses de la Policlinique générale de Turin, un cas de
igine médullaire, ou bien elle est due il la compression des troncs nerveux en quelque point de leur trajet- Nous trouvant
osseuse, on ne peut le penser, quand on se rappelle que les fibres nerveuses responsables de l'atrophie ont leur cellule d'o
ou à une compression des racines, en somme à une lésion des fibres nerveuses pro- duite elle-même par la déformation de la c
de laquelle nous aurons occasion de revenir. Rien pour le système nerveux . L'examen des autres appareils, permet de relev
n cas inédit de Bozzolo (cité par Ferri dans le Traité des maladies nerveuses de Clillord Albntt, p. 308) et enfin le cas le pl
ellement irrégulière qu'elle nous éloigne de l'idée d'une influence nerveuse centrale; d'autre part les lésions trouvées sur
'absence de symp- tômes médullaires et de signes du côté du système nerveux périphérique rend leur interprétation difficile
e façon normale, même si on l'a isolé de toute influence du système nerveux . Cette considération est évidemment juste ; néanm
(79), le traitement des différentes maladies organiques du système nerveux (sauf le tabes) par des exercices méthodiques.
se rapporteraient à des localisations différen- tes dans le système nerveux , savoir, sauf la poliomyélite ordinaire spinale,
et homme, dont l'hérédité était très chargée (père alcoolique, mère nerveuse ) avait présenté à plusieurs reprises un écoulem
venot, Saint-Dizier (Haute-Marne). CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX (hospice DE la S,\LPÊl BIL.IOE) Travail du la
PHIE OLIVO-RU13RO-CRLeBEI,LEUSE 607 Examen microscopique du système nerveux . (PI. LXIV à LXVI). Cortex du cervelet. - Sur d
e lentille au niveau duquel disparaissent presque toutes les fibres nerveuses . Un autre foyer de démyélinisation existe à la
ancien. Les noyaux rouges ont des dimensions normales ; les fibres nerveuses qui les traversent sont évidemment très diminué
le partie du ruban de Reil. Au niveau de ce foyer tous les éléments nerveux ont disparu ; on constate seulement un tissu la
s- ceaux cérébelleux spinaux et la petitesse congénitale du système nerveux central associé à des symptômes cérébelleux.
cervelet développée indépendamment de toute autre lésion du système nerveux . Les atrophies primitives du cervelet doivent ê
malformation traduisant une déviation du déve- loppement du système nerveux , comme dans la démence précoce (Klippel et Lher
t être de nature diverse et porter soit uniquement sur les éléments nerveux , soit, ce qui est plus fréquent, à la fois sur le
nerveux, soit, ce qui est plus fréquent, à la fois sur les éléments nerveux et les éléments névrogliques vasculaires et ménin
olume d'une noisette, reliée par un pédicule rétréci à la substance nerveuse du bulbe. Ce n'est qu'à ce niveau que le processu
; partout ailleurs, les éléments néo- formés infiltraient le tissu nerveux , comme nous le verrons bientôt. Nous au- rons à
ur offrait exactement l'aspect, la couleur, la consistance du tissu nerveux normal. Nulle part, on ue pouvait trouver de dé
, on ue pouvait trouver de délimitation entre la tumeur et le tissu nerveux . Les deux tissus étaient visi- blement mêlés de
, est constituée uniquement aussi de tissu gliomateux. Les fibres nerveuses traversant les masses de tissu névrogliques, sont
hiques. Observation I. I. E. M. entré dans le service des malades nerveux de l'hôpital Pantélimon, le 30 août 1905, à l'â
comprimées on voit les vaisseaux très dilatés. Dans la portion dite nerveuse , on observe même une infiltration des parois des
6 ans, entre dans le service de la clinique des maladies du système nerveux en 1903. A son entrée on note : Antécédents. On
le métabolisme des différents tissus et organes. Dans le système nerveux nous avons trouvé les lésions habituelles de l'hy
ent des modifications importantes dans le fonctionnement du système nerveux , les dystrophies pourraient être une conséquence
, les dystrophies pourraient être une conséquence des al- térations nerveuses . En effet, de tels troubles peuvent se produire,
re d'une mé- ningite cérébro-spinale, n'avait jamais eu de troubles nerveux avant sa mort. Elle a eu deux enfants, dont un
USCULAIRES TARDIVES 657 est la suivante; il semble que l'hérédité nerveuse ait une part non in- différente sur le développ
ssus infectieux, ne nientpas une certaine susceptibilité du système nerveux central et qui est plus marquée en certains indiv
virus donné, des LES ATROPHIES MUSCULAIRES TARDIVES 659 cellules nerveuses situées près du foyer initial, en constituant ain
s-ci doivent être attribuées à une faiblesse congénitale du système nerveux ; cette faiblesse fait que des causes mini- mes
EBER, - Med. New., 24 juin 4899. Brissaud. - Leçon sur les maladies nerveuses (deuxième série), Masson, Paris, 1899. Atrophie
er la répartition typique des symptômes en supposant que les fibres nerveuses les plus longues seraient les moins résistantes
la maladie : savoir que l'infection se répartirait dans le système nerveux par les voies lymphatiques, c'est-à- dire les m
a question de savoir com- ment l'infection vient d'abord au système nerveux est un tout autre pro- blème et je ne m'en occu
du cytodiagnoslic du liquide cdphalo-rachidren dans les affections nerveuses , Bull, et mém. de la Soc. méd. 1901, p. 537.
VII, mai 1909, 82. R\YMoxD (F.). Leçons sur les maladies du système nerveux , 2' série, Paris, 1897. 83. Raymond et Sicard
Markeloff) Masson et O, Editeurs CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX DE L'UNIVERSITÉ D'ODESSA (Prof. N. POPOFF). U
âgée de 50 ans, célibataire, se présente à la clinique des maladies nerveuses se plaignant de maux de tête, de vertige, de trem
couvrir dans les antécédents héréditaires d'affections mentales, ni nerveuses . Th. W... fut dans son enfance vigoureuse et touj
et se faire tort. Aucun lien logique ou phy- sioloique,aucune fibre nerveuse ne les unit et elles vivent dans le même voisin
ts, celles-ci s'impriment isolément, elles quelles, dans la matière nerveuse qui, jusque-là,les avaient ignorées. Leur assoc
mécaniques des connaissances, vibrations de l'éther et vi- brations nerveuses s'imprimer dans le cerveau qui les pense ensuite,
ités vitales caractérisées par tant de besoins spéciaux, le système nerveux intervient uniquement comme moteur. Il ne déter
fonction des organes, mais les met simplement en marche. La cellule nerveuse est adaptée à la fonction qu'elle commande. La
hez les êtres inférieurs qui ne possèdent qu'un rudiment de système nerveux ,que chez ceux dont l'organisation plus élevée pou
sont pas toutes de même espèce ; nous avons notamment les cellules nerveuses , musculaires, glandulaires différentes d'aspect e
me, notamment par l'adjonction d'une nouvelle quantité de substance nerveuse . Quand on voit les colosses de l'époque secondair
il prend sa source dans la vie d'une matière qui n'est pas du tissu nerveux . L'homme pourrait être dépourvu de facultés int
esoin pour entrer en scène d'une excitation spéciale que le système nerveux est adapté à leur fournir. L'énergie mise en li
r place et peut avoir des répercussions lointaines grâce aux fibres nerveuses qui la canalisent et qui représen- tent pour el
e, c'est-à-dire que chacune de leurs cellules est reliée au système nerveux central par deux fibres au moins dont l'une, ce
e, conduit la sensibilité et l'autre, centrifuge, transmet l'influx nerveux moteur. L'excitation initiale partie d'un point q
acte d'inhibition, en vertu des adaptations spéciales des cellules nerveuses . Lorsqu'un aliment tombe dans l'estomac, la muq
la moelle où elle est réflé- chie directement sur une autre cellule nerveuse qui réagira en excitant, par l'intermédiaire de
physiologie nor- male ou pathologique, en vertu desquels le courant nerveux passe de cer- taines cellules sur d'autres, se
us la réserve qui sera .énoncée tantôt, sous l'influence du système nerveux , mais quel est le moteur de celui-ci ? Où trouve-
re la question, pour trouver, en définitive, le moteur du sys- tème nerveux , il suffit de chercher la cause qui met en oeuvre
'influence de celles-ci qui constituent le primum movens du système nerveux . La matière étant suffisamment différenciée et gr
sforme directement en mouvement en se réfléchissant sur une cellule nerveuse , sans atteindre la phase de l'idéation. Si, à l'â
e de l'axe cérébro-spinal dans l'espèce humaine et la phy- siologie nerveuse , on opère sur des animaux, des embryons de vache,
ison, quand elle existe, n'est qu'un réflexe discipliné, un courant nerveux éduqué qui prend naissance en passant à travers
n travaillant intellectuellement, c'est en assouplissant la matière nerveuse qu'ils se développeront, comme c'est en forgean
89 (1889) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 4
stationnaire. Les découvertes modernes sur la physiologie du système nerveux avaient bien élargi un peu le domaine de l'antiqu
us fâcheuses, puisqu'elles ont provoqué la réapparition des accidents nerveux qui, cette fois, se sont produits sous une forme
que en effet, c'est-à-dire durant une période de six mois, les crises nerveuses , avec les troubles psychiques que vous savez, n'o
s pratiquèrent l'hypnotisme sur leurs camarades et quelques accidents nerveux s'ensuivirent. Le principal du lycée mit bon or
doute; mais voici le côté fâcheux. Le jeune Blan.., sans antécédents nerveux remarqués, n'avait jamais eu d'attaques jusqu'au
oqué se conçoit, d'après la théorie de M. Liébeault. Toute l'activité nerveuse étant concentrée vers le cerveau, vers les centre
sont créées, pour ainsi dire, avec une très grande quantité d'influx nerveux ; d'où leur vivacité et leur netteté. Le sujet rév
où leur vivacité et leur netteté. Le sujet réveillé, toute l'activité nerveuse se diffuse de nouveau vers la périphérie, vers le
nt ; et les impressions qui ont été produites avec un excès de fluide nerveux ne sont plus assez animées pour être conscientes
s dans l'organisme une psychologie nouvelle. Toutes les perturbations nerveuses qui modifient profondément l'état de conscience p
la suggestion hypnotique dans les affections cum materia du système nerveux . 3- M. le Dr Paul Magnin (de Paris). — Les modifi
s psychoses. 5. M. le Dr Levinson de Saint-Pétersbourg). — Troubles nerveux consécu- tifs à un cas d'auto-hypnotisation.
re et de transformation de sensibilité en mouvement, en un mot l'acte nerveux réflexe est ce dont on se préoccupe le moins... O
oir. NOUVELLES Hospice de la salpétrière. — Clinique des maladies nerveuses . — M. le projeteur Charcot fait les mardis, à 9 h
ardis, à 9 heures 1/2. une leçon clinique sur les maladies du système nerveux ; les vendredis, à 9 heures 1/2, examen des malad
sur l'hypnotisme expérimental. Cours Libre. — Clinique des maladies nerveuses 55. rue Saint-Àndré des-Arts.— M. le Dr Bérillon
endroit du bras où l'on (1) Leçon faites à la Clinique des maladies nerveuses (55, rue Saint-André-des-Arts . (2) Landouzy, Tra
aire Encyclopédique. (5) Charcot, Leçons sur Us maladies du système nerveux . Paris, 1878, 1884. 1887. devait faire une prof
ourra amener une transformation complète de l'état général du système nerveux . Cependant plusieurs faits bien observés iraien
e ces manifestations sont : le mutisme hystérique, l'aphonie, la toux nerveuse , le hoquet, les vomissements, les arthralgies, le
» (Montaigne, Essais.) (2) Braid, Neurypnologie. Traité du sommeil nerveux , ou Hypnotisme, trad. Jules Simon. Paris, 1883.
hypnotisation's. laites dans un but curatif. ont aggravé les troubles nerveux qu'ils avaient entrepris de traiter. Tout au plus
d'abord, en deux mots, de qui il s'agit (1). L..., dont l'hérédité nerveuse est très chargée (grand'mère folle, grand-père al
demi-verre de sang sous forme de vomique. mais sans la moindre crise nerveuse . A partir du 24 janvier, je cessai de le suggesti
t' Certains produits toxiques exercent, on le sait, sur les centres nerveux une action perturbatrice assez profonde pour déte
ielle, alcoolique ou autre, l'intoxication imprime aux déterminations nerveuses son propre cachet. C'est ainsi qu'après avoir o
time d'un empoisonnement en rapport avec son métier, était né de père nerveux irascible et de mère hystérique. Sa sœur était at
son enfance, avait été sujet jus-qu à 1 âge de dix ans à des troubles nerveux bizarres, k des attaques mal caractérisées avec p
des deux côtés, diminution de la notion des couleurs, hérédité (mère nerveuse , frète épileptique). « Donc, cet homme, conclut
elle a perdu un enfant et son mari; n'a jamais eu de grandes crises nerveuses , mais est sujette à des crises de pleurs accompag
la suggestion hypnotique dans les affections cum materia du système nerveux . 3. M. le Dr de Jong (de La Haye). — 1. Les div
ire pour la France. NOUVELLES Cours libre.— Clinique des maladies nerveuses , 55. rue Saint-Andrc-des-Arts. — M. le Dr Bérillo
al pour l'instruction élémentaire. Clinicat des maladies du système nerveux .— Le concours du Clinicat des maladies du système
du système nerveux.— Le concours du Clinicat des maladies du système nerveux vient de se terminer par la nomination de M. le d
té nommé préparateur de la chaire Je clinique des maladies du système nerveux . Nécrologie. — M. Mesnet, médecin de l'Hôtel-Di
r Le Dr Ladame (de Genève) Le traitement des troubles psychiques ou nerveux par la suggestion hypnotique n'étant point encore
ante excessive du malade. 11 dit lui-même qu'il est très susceptible, nerveux et que son imagination est complètement détraquée
ccasion de m'assurer que Madame X . n'offre plus aucun des troubles nerveux graves contre les- quels la suggestion hypnotiq
lis on voit se manifester des phénomènes hysiériformcs : excitabilité nerveuse , impressioanabtlitè insolite, énervevement, irasc
gnostic, l'intoxication est la cause occasionnelle des déterminations nerveuses ; et la névrose, le facteur culminant. Plomb, me
baiton profonde dans la nutrition en général et dans celle du système nerveux en particulier? L'hypothèse est plausible, c'est
ous avons en connaissance a cette époque de plusieurs cas de maladies nerveuses survenues chez les personnes qui avaient assisté
s reprises, nous avons été consulté par des malades dont les troubles nerveux dataient d'une séance de magnétisme. Tout récem
éter ce que tout le monde sait, je dirai donc, qu'outre les accidents nerveux immédiats qui peuvent frapper les sujets ou les s
ent. Le traitement a porté sur des maladies orga- niques du système nerveux , des névroses, des maladies mentales, des névralg
les, des névralgies, des maladies des autres appareils que le système nerveux . Dans 71 cas, aucun résultat ; dans 97. amélior
dubitable puisque l'on sait qu'il existe dans les muscles un appareil nerveux sensitif. 4° Il y aurait lieu aussi de préciser
nous, dans certains moments de fatigue ou de surexcitation du système nerveux , a observé chez lui-même ce phénomène que l'on ép
existence tout entiere, on peut les considérer comme de simples états nerveux et non comme l'expression d'une véritable maladie
vari que qui accompagne chaque déhiscence « spontanée ». Le systéme nerveux présidant à. toutes nos fonctions, tant de la vie
psychique spontanée ou suggérée puisse faire naître dans les centres nerveux cérébro-médullaires, par voie réflexe, des modifi
ménorrhée des fiancés, les retards des jeunes mariées, les grossesses nerveuses , les aménorrhées par contrariétés conjugales, par
tte forme spéciale de dysménorrhée connue sous le nom de dysménorrhée nerveuse ou spasmodique, qu'elle s'accompagne ou non d'hys
emple nous montre l'idée dans l'auto-suggestion actionnant !a cellule nerveuse en vue de la production de l'acte : ce qui n'a ri
remarquable. Au lieu de se concentrer sur la sensibilité de s plexus nerveux du bassin, la surexcitation menstruelle retentit
ical, a pour but d'exalter la sugges-tibilité et de mettre le système nerveux cérébro-spinal dans un état tel que la suggestion
ne lui en parlai plus ; je me contentai de lui dire : « Votre système nerveux se modifie. Les crises pour moi n'ont pas de sign
souvent contre les douleurs, névralgies, rhumatisme, lumbago,aphonie nerveuse , etc., quand j'alarme au sujet que le symptôme do
Pour éliminer l'hypothèse de modification vasculaire ou d'élonga-lion nerveuse , j'ai essayé la pendaison horizontale. Le sujet e
fonctions sont en rapport anatomique et physiologique avec le centre nerveux cérébro-spinal. Chaque point du corps a pour ains
que point du corps a pour ainsi dire son aboutissant dans une cellule nerveuse . Toute cellule cérébrale actionnée par une idée t
une idée tend à réaliser cette idée en mettant en activité les fibres nerveuses correspondantes à sa réalisation. L'idée tend à s
tion hypnotique. Quelle que soit la cause morale qui invite le centre nerveux psychique a intervenir pour modifier dans un inté
as, la cause était inconnue. — Cours libre. — Clinique des maladies nerveuses , 55. rue Saint--André-des-Arts. — M. le docteur B
t suggestive est indiscutable. Il s'agit d'un hystérique à hérédité nerveuse très chargée et dont l'existence a été, comme tou
E LA SUGGESTION HYPNOTIQUE DANS LES AFFECTIONS cum materià DU SYSTÈME NERVEUX Par M. le Professeur J. FONTAN, de Toulon (1)
de la suggestion est utile dans les affections matérielles du système nerveux . En employant ce mot « affections matérielles »,
i jamais guéri, par la suggestion, une maladie cum materià du système nerveux . Mais j'ai soulagé beaucoup de malades, j'ai rend
les paroles de Vulpian qui disait que la propagation des excitations nerveuses se fait ordinairement par des voies prévues et
e guérison ou d'amélioration dans les maladies matérielles du système nerveux , en dehors de toute hystérie, ne nous placent poi
ues. aux névropathes et 1 tous les sujets qui ont une tare du système nerveux , nous sommes parfaitement d'accord. Dans toute la
ts dt U surttstiou typaetùpu dams Us effectuât cum materiâ du système nerveux . (Voir plus haut). a* Par M. le D* Forel (de Zu
appliqué la thérapeutique suggestive au traitement des aliénés et des nerveux de mon service ou de ma pratique privée. On arr
L'incontinence nocturne et diurne des matières fécales ; Les tics nerveux ; Le bégaiement ; Les teneurs nocturnes ; L
nvulsives d'hystérie ; Us troubles purement fonctionnels du système nerveux . 3° La suggestion n'a pas, jusqu'à ce jour, don
commune, à L'hystérie des anciens auteurs (c'est ainsi que les crises nerveuses font défaut), mais elle offre avec elle deux ress
ressemblances frappantes, à savoir : i° existence des mêmes troubles nerveux , moteurs et sensitifs, sans lésions matérielles a
ce qui est véritablement la caractéristique de l'hystérie : troubles nerveux sans lésions matérielles, et amélioration ou guèr
e : je n'ai cependant rien trouvé en dehors du tabagisme. Accidents nerveux provoqués par la foudre Dans une de ses dernièr
s dernières leçons, M. Charcot ayant pu étudier une série de troubles nerveux survenus chez un homme de quarante-cinq ans a la
vé fa plupart des phénomènes qu'on rencontre en étudiant les troubles nerveux consécutif* aux collisions de chemins de fer. Cel
e cheï lui i l'occasion de la fulguration. Mais, tous les accident» nerveux qui ont été observés dans ce cas, sont-ils hystér
i d'une esquisse de paralysie. Puis, i la faveur de l'état d'asthénie nerveuse créé par un surmenage récent, l'hystérie s'est bi
nos connaissances actuelles concernant l'hystérie mile, les troubles nerveux divers qu'on observe chez les foudroyés. Aussi
e qui suit : 1° Dans les cas de fulguration, en outre des accidents nerveux qui relèvent directement de la commotion électriq
eut devenir tout à fait inconscient, et sort de cet état tremblant et nerveux , ne sachant rien de ce qui s'est passé dans cette
esquels le patient paraît être dans son état normal, seulement un peu nerveux . Le troisième stade est une période d'insomnie
t une période d'insomnie pendant laquelle le malade est exessi-vement nerveux , livré sans frein à son imagination, et a horreur
COURS DE LA FACULTE DE MÉDECINE —clinique des maladies du système nerveux — m. Charcot, professeur. mardi, vendredí, à 9 he
7. rue des Saints-Pères, 7. — Cours libre. — Clinique des maladies nerveuses , 55, rue Saint-André-des-Arts. — m. le docteur Be
ages, 1890. — Prix : 4 Etude cliniques sur les maladies mentales at nerveuses , par le Dr Jules Falret.— Paris, J.-B. Balliere,
tat crée par l'auto-suggestion. 6° Excitation génésique. Cet état nerveux a été supprimé très facilement en quelques minute
e crois devoir signaler. Mme,Heu .., 30 ans,très impressionnable et nerveuse ,soutirait depuis de longues années de douleurs da
n'existait aucune maladie organique et qu'il s'agissait de phénomènes nerveux localisés. Dès le lendemain, le ballonnement du v
était amélioré, me pria d'user de ce moyen pour dissiper les troubles nerveux que présentait sa femme. Tout d'abord l'effet m
'inversion sexuelle paraît innée. D'après son dire, son père est très nerveux et sa mère est morte d'un cancer utérin. Le frère
nt des aliénés. Les frères et les sœurs de R... étaient égalemont des nerveux . Un de ses frères souffre de neurasthénie et prés
enfance, R... n'a pas eu de maladies sérieuses. Son état physique et nerveux est satisfaisant. Jusqu'à ce jour, R... n'avait
d'urine, auto-somnambulisme, rhumatisme aigu et chronique, ambryopie nerveuse , habitudes vicieuses, dipsomanie, etc. j'ai fai
rait résulté de ces opérations une altération fâcheuse de son système nerveux et un affaiblissement de ses facultés mentales. D
eut se manifester sans lésion organique appréciables dans les centres nerveux . 6° L'épilepsie procursive se complique fréquem
tions de l'hypnotisme à la thérapeutique des affections mentales et nerveuses . Il étudiera spécialement les procédés d'hypnotis
lement d'« homme occupé ». d'« homme distingué ». a exigé une dépense nerveuse trop considérable. Rien de plus naïf, pour qui re
ormisation, à la fin de ia période plus ou moins notable d'excitation nerveuse , et dans les moments qui précèdent le délire tran
on songe avec quelle facilité se reproduisent les phénomènes chez les nerveux . C'est alors que j'ai tenté quelques expériences
es conditions semblables et qu'il faut toujours te demander si l'état nerveux n'a pas varié. La seconde remarque, est d'un au
r qu'un grand nombre d'observations d'asphyxie locale ont trait à des nerveux et il est permis de se demander, si dans certains
action par un artifice. « Il est plus vraisemblable que le système nerveux , comme le principal agent du sentiment, est animé
mparer à la force vitale ou musculaire, laquelle agissant, les filets nerveux peuvent être tendus, se raidir, se gonfler, être
tes que les mouvements des muscles, l'extrême délicatesse de la mœlle nerveuse est cependant cause qu'un exercice immodéré doit
raidis par les spasmes, ou devenus flasques, se relâchent ; la force nerveuse elle-même languit, se dissipe. Si on ne rétablit
sont encore augmentés par des nouveaux, lorsque l'agitation du genre nerveux porte â des mouvements extraordinaires les vaisse
le rapport mutuel des principes du mouvement est cause que les faces nerveuses étant trop tendues, fatiguées, dissipées, celles
même suiet ne soient très nuisibles. En effet, cette partie du genre nerveux qui alors est seule en action, et sur laquelle l'
gourdit les organes des sens internes, afflaiblit et détruit la force nerveuse , jette dans la langueur toutes les facultés de l'
alades qui eux-mêmes, font remonter le debut des accidents mentaux ou nerveux dont ils souffrent à des manœuvres d'hypnotisme a
des familles qui se plaignent qu'on ai tait accomplir a des personnes nerveuses des actes ridicules ou même reprehensibles sous l
parce qu'elles sont fréquemment le point de départ d'une contagion nerveuse dont les effets sont nuisibles, et parce que l'on
d'une hystérique, c'est-à-dire d'une femme affectée d'une sensibilité nerveuse anormale. D'autre part, on a su qu'à différente
hypnotisme et que j'applique la suggestion au traitement des maladies nerveuses , je me suis trouvé parfois embarrassé. Un malade
. malade depuis un grand nombre d'années, était atteinte d'un trouble nerveux très complexe qu'on peut désigner sous le nom de
on qui tendait toujours à se produire (1). Mme D..., arthritique et nerveuse , souffrait depuis de longues années de douleurs d
remière séance de suggestion hypnotique fut accompagnée de mouvements nerveux et fut suivie d'une diarrhée très abondante qui p
uisit un grand soulagement. N.. , ouvrier, âgé de 23 ans, de souche nerveuse , était atteint depuis plusieurs années de grandes
sont des crises qu'on peut appeler rétrogrades, parce que la maladie nerveuse , pour disparaître, suit une série des phases anal
n qui s'opère dans un nerf par suite de son excitation est un courant nerveux , ou plutôt une onde, une vibration. Ainsi M. Ch.
nde, une vibration. Ainsi M. Ch. Richet a proposé d'appeler vibration nerveuse la modification qui se passe dans les nerfs excit
aduisant par un raccourcissement de la fibre. Le terme de vibration nerveuse sert à exprimer l'ébranlement du nerf par l'excit
ment, la convulsion se produit ; c'est la vibration musculaire. Les nerveux sont dans un état vibratoire anormal, leur potent
e. Les nerveux sont dans un état vibratoire anormal, leur potentiel nerveux est change et notre but doit être de rétablir l'é
et savoir utiliser son impres-sionnabilité pour diriger la vibration nerveuse et musculaire. S'il en es: ainsi, notre manière
otisme et la suggestion doit se modifier. L'hypnotisme serait un état nerveux spécial, analogue au sommeil, dans lequel te suje
peut déterminer et diriger la réaction qui doit rétablir l'équilibre nerveux . Et, ce qui surprendra peut-être beaucoup mais
t de la fonction menstruelle, elle aurait éprouvé quelques phénomènes nerveux sur lesquels nous n'avons pu avoir d'indications
âgée de 19 ans. qu'apparaissent les premiers symptômes de l'affection nerveuse : peur des chevaux, des chats, modifications du c
est appelée à les assister. C'est le dernier coup donné à son système nerveux , déjà fortement ébranlé et le s avril 1885 se pro
une des secousses qui peuvent amener à son summum d'acuité la tention nerveuse ne lui a été épargnée. Aussi allons nous voir sa
ur apparition et sans y résister davantage, les différents phénomènes nerveux que Mlle X... a présentés avant d'être soumises à
s variées, du mutisme, de l'aphonie, des vomissements, de la diarrhée nerveuse , etc., etc. Etat de la malade à son arrivée à S
augmentation de la douleur locale et une recrudescence des phénomènes nerveux . Mlle X... ne dort qu'avec des doses énormes de
ses « crises d'étouffement » sont assurément, de tous les phénomènes nerveux qu'elle présente, de beaucoup le plus pénible et
téro-ovarienne. Le ptyalisme, les vomissements, l'anuric, la diarrhée nerveuse intermittente et périodique et bien d'autres mani
ec régularité et persévérance, en rétablissant l'équilibre du système nerveux , rendait stables les résultats obtenus. Quant M
on; chaque période menstruelle, par son retentissement sur le système nerveux général, venant faire perdre au bout du mots une
lire qualifié « fièvre cérébrale ». La mére, quoique d'un tempérament nerveux , est la mieux équilibrée de la famille.énergique
urieuse, c'est que M. Westfalen avait à Berlin la chaire des maladies nerveuses et avait perdant trois semestres étudié la morphi
et samedis, à quatre heures. — Cours libre — Clinique des maladies nerveuses , 55. rue Saint-André-des-Arts. M. le docteur Béri
cause qui donne naissance au tonus musculaire engendre aussi le tonus nerveux de l'axe spinal, du grand sympathique et de son d
eu près complètement à cette influence. Pour le Dr Gouzer. le tonus nerveux existe dans les conditions habituelles de la vie
les services reçoivent fréquemment des malades atteints d'affections nerveuses , n'aient pas le droit de se servir du procédé thé
guérir de ses maux ; l'hypnotiser pour empêcher le retour des crises nerveuses , qu'on rencontre si fréquemment chez les femmes e
eté et d'une moralité parfaites, d'un caractère très doux. Elle était nerveuse et son mar l'hypnotisait souvent dans un but th
e Paris Emile X..., 33 ans; fils d'un père original et buveur; mère nerveuse , un frère cadet rentrant dans la catégorie des ar
, Louise A...., offrait, depuis le mois de septembre 1S88. des crises nerveuses spontanées de deux types : de grandes crises conv
mme, âgée Je vingt-huit ans, très impressionnable et d'un tempérament nerveux , mère de plusieurs enfants, est accouchée de nouv
bromure de potassium, car il savait que la malade était excessivement nerveuse . Ce traitement rationnel n'amena aucune amélior
tion dans le traitement de l'hystérie et d'autres maladies du système nerveux . M. Krafft-Ebing est bien connu dans le public
riple, chaque état reposant sur un mécanisme particulier des systèmes nerveux . Ces cercles des états mentaux ne se superposent
frayeur. A partir de ce moment, elle a été sujette à divers accidents nerveux . De plus, elle avait de l'ovarie du côté gauche,
depuis trois ans, par suggestion ; elle n'a plus aucune manifestation nerveuse . C'est une bonne et honnête fille. Conversez avec
and on lui apprend sa grossesse qu'elle ignorait alors, une commotion nerveuse avec crises convulsives. Rappelons encore le ca
pas douteux que les sujets hypnotisables sont en grande majorité des nerveux , des prédisposés, des émotifs: hypnose et aliénat
les émotifs, les névrosés, en un mot tous les prédisposés du système nerveux , les dégénérés à état mental faible sont plus apt
s qui suffisent, d'ailleurs, pour faire sentir l'influence d une tare nerveuse de famille. La mère était excessivement émotive
mblance avec celles du délirant alcoolique? L'érethisme des centres nerveux est général ; tous les centres coriicaux intervie
ille d'une façon suivie, et apprécie a leur juste valeur les troubles nerveux dont il a été l'objet. Aujourd'hui on peut le con
iodiquement cette angoisse panophobique, pendant laquelle les centres nerveux sont à ce point surexcités que l'hallucination pr
ntonal, et soumit a mon examen plusieurs malades atteints de troubles nerveux (1). J'avais lu les travaux de Charcol, les mémoi
Logle; m'oc-cupant de préférence de l'étude des affections du système nerveux , et spécialement des maladies du cerveau. (2) C
Ecole pritique de la Faculté de médecine un cours libre de Pathologie nerveuse et de psychiatrie sur les applications cliniques
s de l'hypnotisme et de la suggestion dans le traitement des maladies nerveuses et mentales. programme du cours Pathologie nerv
t des maladies nerveuses et mentales. programme du cours Pathologie nerveuses et psychiatrie. — Applications cliniques de l'hyp
ique dans le traitement des né- vroses et des affections du système nerveux . VII. Indications de la suggestion hypnotique d
ier devant l'Académie, une lecture sur une nouvelle forme de troubles nerveux qu'il a désigné sous le nom d'autographisme. Ces
suivants, à la même heure. Objet des conférences : Maladie du système nerveux . Enseignement des maladies mentales. — Le Londo
lé nulle part. Avant remarqué, en outre. la coexistence de troubles nerveux multiples, tels que des mouvements spasmodiques d
examiner avec lui cette malade, au double point de vue de son système nerveux , et des manifestations cutanées qu'elle présentai
t, d'autre part, à leur maximum d'intensité, tous les autres troubles nerveux de nature hystérique. l'expérience, chez un mal
n que non sentie, n'en a pas moins son retentissement sur les centres nerveux , centres d'action des actes réflexes, s'accusant
ait transitoire, d'une durée éphémère; il persiste comme les troubles nerveux au milieu desquels il se développe. Depuis plusie
ntensité. L'époque des règles, ainsi que les excitations du système nerveux , reportent momentanément le fait pathologique à s
e vingt neuf ans. de complexion délicate, et surtout d'un tempérament nerveux très prononcé. Son père est mort à cinquante et u
de accuse dès son jeune âge, une grande prédisposition aux affections nerveuses de tout ordre. A neuf ans, elle devient sourde
rvient à la même époque : alors se manifesta la première grande crise nerveuse . Elle perdit connaissance pendant trois jours e
qu'à l'âge de vingt-huit ans. sa santé fut assez bonne, bien que très nerveuse , très impressionnable, et sujette à des attaques
, si profondément hystérique par ses antécédents, révèle des troubles nerveux multiples du côté des sensibilités cutanées. La
re de céphalagie, de gastralgie, de vomissements, et autres accidents nerveux . Les lèglessont à peu près régulières ; l'exame
notique, prédisposée à cet effet par sa chlorose, et par les troubles nerveux fonctionnels qu'elle présente depuis si longtemps
ution vigoureuse et d'ne santé parfaite, sous la réserve des troubles nerveux dont nous avons à parler. Sa mère a toujours ét
s troubles nerveux dont nous avons à parler. Sa mère a toujours été nerveuse , d'une extrême sensibilité. Son père, irascible
En un mot il présente au plus haut degré les maniféstations de l'état nerveux chronique que presque tous les neuropathologistes
on sait de l'efficacité du traitement moral dans certaines affections nerveuses ou prédominent le défaut de réaction et l'atonie
de la suggestion hypnotique dans les affections cum matérià du sytème nerveux . (Congrès de l'Hypnotisme). FOREL De l'hallucin
n chirurgien anglais au sujet des affections chirurgicales du système nerveux : « J'ai à vous recommander, écrivait-il. de vous
tal et à beaucoup de médecins qui suivent notre clinique des maladies nerveuses En étudiant l'effet thérapeutique et les phénom
r par leur face intellectuelle et morale. « Ce qu'on appelle maladies nerveuses , dit M. Janet, serait souvent bien mieux dénommé
ur la matière organique, sur les organismes vivants, sur « le système nerveux , sur le corps social, les innombrables actions de
au par elle. Ce n'est donc en soi qu'une » simple série de phénomènes nerveux . » — « Le psychologue, répond M. Janet. est trop
s de phénomène cérébral purement cérébral, et toute action du système nerveux est toujours liée à une action mentale, claire ou
. Nous toi envoyons toutes nos félicitations Cliniques des maladies nerveuses — M. le docteur Bérillon. fait tout les samedis,
, de dix heures à onze heures 1/2 du matin à la clinique des maladies nerveuses , 55 rue Saint-André des Arts, une leçon pratique
ion de M. Bern-heim sur l'), 295. Affections cum materià du système nerveux (la suggestion dans les), par Fon-tan, 134. Alc
ures de l'activité normale, par Pierre Janet, 14. Foudre (accidents nerveux provoqués par la), par Charcot, 156. Fous en li
iégeois, 184. Suggestion dans les affections cum materia du système nerveux , par Fontan. 134, Suggestion et du somnambulism
90 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 1
orisé; 2° S'enquérir auparavant si le sujet est atteint d'accidents nerveux et de la nature de ces accidents. Même précaution
mais eu d'accès de somnambulisme spontané, ni d'autres manifestations nerveuses . II est assez intelligent et instruit ; honnête e
29 ans, mère de trois enfants vigoureux. Il ne connaît aucune maladie nerveuse dans sa famille. Le 21 mars dernier, M. le doct
il, enrhumé tous les hivers ; mais il n'a jamais eu de manifestations nerveuses , il n'a jamais eu d'accès de somnambulisme sponta
ien portante, ainsi que ses frères et sœur; aucun n'aurait de maladie nerveuse . Je dis à cet enfant: « Tu as entendu ce jeune
cat, atteint de paralysie infantile, n'ayant pas eu d'autres troubles nerveux ; père, mère et une sœur bien portants. Assez int
un enfant de 9 ans, G..., convalescent de pleurésie, sans antécédent nerveux , bien constitué ; père et mère bien portants, deu
epuis deux ans au service pour une insuffisance mitrale, sans trouble nerveux , très suggestible à l'état de veille et de sommei
eurésie tuberculeuse, garçon un peu lymphatique, mais sans antécédent nerveux , très suggestible d'ailleurs : « Etiez-vous hier
de tenter un moyen nouveau et inoffensif. Du reste, la surexcitation nerveuse d'origine alcoolique paraissant prédisposer a l'h
cause dont ils dérivent. Les uns rapportent tout à une disposition nerveuse spéciale du sujet, disposition qui le rend apte à
es qui en sont la conséquence, mais encore de produire sur le système nerveux du sujet des modifications spéciales à la nature
rganisme des hystériques, de répéter inconsciemment une foule d'actes nerveux quand ces actes ont été produits une première foi
quence, chaque fois que le procédé opératoire influera sur le système nerveux du sujet, soit par la fatigue 1) Ce sont cet mo
e action à distance, plutôt qu'à une sédation essentielle des centres nerveux . Ajoutons que ces deux ouvrages contiennent, inte
e nombreux cas de névropathie. Elle a trois sœurs et un frère, tous nerveux , émotifs: deux des sœurs ont souvent des suffocat
œurs ont souvent des suffocations, des évanouissements, des accidents nerveux plus ou moins dans la voie de l'hystérie. Elle-
la conservai jusqu'à son accouchement. — Quels étaient les troubles nerveux que présentait Alice dans les derniers mois de sa
apparences, on ne tenait compte des troubles fonctionnels du système nerveux que nous venons d'indiquer, et dont la permanence
viens de vous le montrer, est un être sui generis. dont les fonctions nerveuses , profondément déséquilibrées, s'accompagnent de p
s premières douleurs, avec les exagérations propres à sa constitution nerveuse . Mise en état de somnambulisme, et suggestionné
contribué à démontrer combien est intime le lien qui unit les crises nerveuses aux variations de la personnalité. Car jamais n
u chez V... la personnalité se transformer sans crise ou modification nerveuse préalables. L'attaque est, chez notre sujet, co
arrêter parfois comme pour s'y fixer, à défaut peut-être d'incitation nerveuse suffisante, à certaines époques de sa vie, pour e
héréditaire et à ses rapports avec les diverses maladies mentales et nerveuses . Esquirol a pu dire à juste titre que la dipsom
x qui étaient atteints de douleurs locales ou d'affections du système nerveux , par l'exorcisme et l'imposition des mains; il pr
et de la conscience, une action secondaire qui excite le système nerveux et grâce à laquelle certaines facultés intellectu
ille ? Le récit de nombreux exemples d'habitudes vicieuses, de tics nerveux , de tendances et d'instincts pervers, modifiés et
anique : transmission des sensations, des états émotifs, transmission nerveuse physique des maladies, transmission des idées de
ns de l'activité mentale, il est un groupe tout spécial de phénomènes nerveux , qui joue, à l'état de veille, comme à l'état de
piratoires anxieux, par des larmes discrètes, les états d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l'état pathologique, dan
ions afférentes à ce sujet ne sont pas sans savoir que ces phénomènes nerveux si complexes sont régis par certaines lois fixes
changement d'état bien notable dans la manière d'être de son système nerveux . Dans la phase de léthargie, en effet, ce sont
lité s'est portée ailleurs; ce ne sont plus les muscles et les troncs nerveux qui en sont le siège, ce sont les régions émotisé
l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche, sujet à des attaques nerveuses hystériques, est plongé dans le sommeil magnétiqu
ènes que présente le fonctionnement normal ou pathologique du système nerveux , M. Richet consacre quelques pages instructives i
. Il donne en passant son avis sur le fluide magnétique, ou vital, ou nerveux , dont l'idée est à ses yeux une hypothèse simple,
ec quelle intensité le travail organique se développe dans le système nerveux chez les jeunes enfants ; le volume de leur tète,
me caractéristiques et indiquant un véritable épuisement de l'élément nerveux ; ce sont des phénomènes d'amnésie qui dominent a
urmenage intellectuel sur la développement des affections mentales et nerveuses . La question si actuelle et si importante du su
c'est celui que M. Meynert a présente sur les affections mentales et nerveuses déterminées par le surmenage scolaire. Voici
ns l'âge de la puberté, avec la stupeur; 7° L'hérédité des maladies nerveuses rend responsable le surmenage intellectuel de l'i
de vue de la chirurgie. Reprenant à l'origine la question du sommeil nerveux , ils se livrèrent à une serie d expériences intér
temps que les régions émotives sont mises en action dans les centres nerveux , l'action simulatrice s'exerce aussi d'une façon
droite, et suivant qu'on interroge des régions différentes des plexus nerveux périphériques. Ainsi, placé à la nuque du côté
, la bière, sont susceptibles de déterminer des effets sur le système nerveux , analogues à ceux qu'ils déterminent chez l'homme
aucune trace des ébranlements profonds qui ont bouleversé son système nerveux . II. — Dans la seconde série des expériences, l
ue, suspendre les mouvements respiratoires, congestionner les centres nerveux , troubler l'innervation du cœur, provoquer dans l
iences des méthodes thérapeutiques agissant à distance sur le système nerveux , et acquérir ainsi des agents d'un ordre spécial,
ns torpides et à rétablir ainsi cet équilibre si précieux des actions nerveuses ; et c'est là. évidemment, le but louable de tous
'incurabilité dans ce champ lui-même si vaste des maladies du système nerveux . L'ACTION A DISTANCE DES SUBSTANCES TOXIQUES ET
les nerfs, conducteurs des courants en dehors de la pile; les centres nerveux , accumulateurs, en échange incessant, d'une part,
s poisons et les médicaments, agissent par l'intermédiaire du système nerveux périphérique exactement de la même manière que po
la première. D'une façon générale, la rupture d'équilibre du systéme nerveux , la surexcitation de la sensibilité, toutes condi
étrissages produisent des tiraillements et des élongations des filets nerveux . Les passes que l'on emploie en magnétisme formen
ie en magnétisme forment une partie du massage qui produit des effets nerveux très étranges. Ces articles sont décrits dans le
la plupart de ces sujets. Les gauchers ont fréquemment une hérédité nerveuse lourde à porter. On trouve souvent dans leurs asc
et, quand celui-ci avait voulu le réveiller, il fut pris de sa crise nerveuse , que l'endormeur ne réussissait pas à calmer, M.
il n'avait rien, qu'il n'était plus malade et le réveilla. Les crises nerveuses ne se reproduisirent plus. La nou-velle suggestio
ployé avec plus ou moins de succès pour combattre d'autres affections nerveuses et mentales. Je n'ai pas besoin de rappeler les
ns, un précieux instrument dans le traitement de certaines affections nerveuses rebelles .1 toutes les médications; les résultats
in, la malade recouvra son étal normal et il n'y eut plus de troubles nerveux . Ce qui est important à signaler, c'est que ce
ns par Donato. éprouva des troubles psychiques et autres dérangements nerveux qui étaient loin d'être insignifiants. On peut mu
enté qui l'emploie comme moyen thérapeutique à l'égard d'autres états nerveux beaucoup plus graves; mais, d'autre part, ce proc
ladie des tics convulsifs, et M. Gilles de la Tourelle, une affection nerveuse caractérisée par l'incoordination motrice avec éc
maladie, il est facile de remarquer une perte d'équilibre du système nerveux . Tout prouve que le système nerveux involontaire
une perte d'équilibre du système nerveux. Tout prouve que le système nerveux involontaire est excité outre mesure et très impr
y a exagération de la vie réflexe cérébrale. D'autre part, le système nerveux volontaire est affaibli : il y a diminution de l'
sion qui a produit ce changement. Toutefois, pour calmer l'excitation nerveuse et rendre cette persuasion plus facile et plus
ypnotique, le plus puissant modificateur à employer dans les maladies nerveuses et mentales qui, sous les noms de névralgie, de m
me parce qu'elles sont contracturantes qu'elles produisent le sommeil nerveux (car tout ce qui contracture endort) ; elles le f
eau, d'où résulte l'anémie qui est la condition nécessaire du sommeil nerveux . Par opposition, les applications hétéronomes.. q
rant organique seront employées dans toutes les maladies des systèmes nerveux et musculaire caractérisées par la congestion, l'
enfant que dans ses antécédents héréditaires il n'y a aucune maladie nerveuse ou mentale. Marie est née à terme. Elle a été éle
lysie et l'hyperthermie, causées par une lésion organique des centres nerveux , peuvent être transférées d'un côté à l'autre du
pas nécessairement des effets de la destruction de certains éléments nerveux possédant certaines fonctions et qu'elles peuvent
ents extérieurs. La recherche des lois qui régissent les phénomènes nerveux observés chez les sujets hypnotisables présente d
LES Faculté de médecinede paris. — Clinique des maladies du système nerveux . — M. le professeur Charco: fera dans son à la Sa
neuf heures et demie, une leçon clinique sur les maladies du système nerveux . — Clinique de pathologie mentale et des maladi
reprises l'isoler à Sainte-Anne et à la Salpêtrière.) 2° Des tics, nerveux chez des petits garçons de douze ans. (L'un d'eux
ir des habitudes vicieuses, des défauts graves de caractère, des tics nerveux , des incontinences nocturnes et diurnes de l'urin
s faciles à hypnotiser sont des malades ou des êtres d'un tempérament nerveux particulier. M. Bérillon. — Je retrouve dans le
la science de l'hypnotisme. Tous les hypnotisés ne sont pas des gens nerveux . Au contraire, la plupart de ceux qui présentent
eaucoup plus intéressants à étudier, comme le traitement des maladies nerveuses par l'hypnotisme. M. Constantin Paul. — 11 nous
Aphonie hystérique 1 1 Toux convulsive 1 s Vertiges 1 2 Asthme nerveux 1 1 Strangurie 2 • Céphalalgie 4 5 Agrypnie
gé de quinze ans et demi; le tempérament lymphatico-nerveux ù système nerveux très développé. Comme vous avez pu vous en rendre
une rougeole grave pendant laquelle j'ai eu i combattre des accidents nerveux et un subdelirium qui a duré plusieurs jours. Pas
est indispensable de scruter, d'étudier minutieusement les cen-» très nerveux d'hommes dont on a bien connu l'activité mentale.
t universelle, que le mot hystérie est synonyme d'impres-sionnabilité nerveuse quelconque ! Et comme nous avons tous des nerfs
pécial, ont une acuité excessive des sens, comme» toute leur activité nerveuse était accumulée sur l'organe dont l'attention est
ifférent a réussi ; Max Joseph a produit des pelades par des sections nerveuses ; Mibelli a obtenu le même résultat. On voit la
résultat. On voit la maladie apparaître à la suite de perturbations nerveuses brusques, d'émotions inattendues et de chagrins v
ue succéder à des maladies intéressant l'équilibre général du système nerveux , la fièvre typhoïde, la scarlatine, la chorée, la
usieurs espèces de pelades, une par exemple qui dépendrait du système nerveux ? Bazin était de cet avis. Mais il est impossible
s retentissements possibles d'un choc extérieur sur la fonctionnalité nerveuse , on est, avec Charcot. d'accord sur ce point; c'e
s toxiques, le plomb notamment, exercent, on le sait, sur les centres nerveux , une influence perturbatrice assez profonde pour
, elle est très fatiguée et agacée; mais c'est une espèce d'agitation nerveuse différente de la somnolence et de l'égarement qui
veille, si bien que j'ai eu beaucoup de peine à calmer son agitation nerveuse et que je n'ai pas réussi à dissiper une céphalal
antécédents héréditaires : Père mort tuberculeux à 39 ans; était très nerveux , très impressionnable. Sa mère vit. a 45 ans, e
ses diminuent de nombre et d'intensité, quoique l'impressionnabi-lité nerveuse reste exagérée. Pendant le cours de ce mois d'o
peresthésie du côté sectionné ; d'aprés Brown-Séquard, la suractivité nerveuse s'expliquerait par la dilatation des vaisseaux de
e de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'excès de sensibilité nerveuse se traduisait par des troubles hystériques aptitu
s, dont l'imagination s'exalte aisément, achève d'ébranler le système nerveux de ces impressionnables candidats à la folie, et
perstition. » Ne l'oublions point, d'ailleurs, c'est à la contagion nerveuse ou par imitation que furent dues ces graves épidé
pendant quelques mois de boiterie, probablement de coxalgie d'origine nerveuse ; mais elle est actuellement tout à fait guérie,
oment où la suggestion fut acceptée, Mlle X... eut des frissonnements nerveux dans tout le corps, à trois ou quatre reprises, p
concourent, en dernière analyse, à l'ébranlement de La fonctionnalité nerveuse dans son équilibre, Et c'est, au demeurant, sur l
n équilibre, Et c'est, au demeurant, sur le fonctionnement du système nerveux que l'influence perturbatrice du froid polaire ag
spitalières, est. par suite de l'état congestif permanent des centres nerveux et de la torpeur de la circulation, exposé aux ve
taques d'aploplexie que favorise la congestion habituelle des centres nerveux , outre les gastrites et l'alcoolisme consécutifs
des désordres qu'il est si fréquent d'observer dans la fonctionnalité nerveuse chez les habitants des pays froids, une anémie d'
de l'analyse des effets du magnétisme sur les fonctions organiques et nerveuses . Aucun fait nouveau n'est signalé par lui dans ce
conseille la lecture a toutes les personnes qui étudient les maladies nerveuses , ces maladies dans lesquelles on est si porté à v
oureux, tout se passe rapidement. Si l'on est, au contraire, délicat, nerveux , les phénomènes mettent plus de temps à disparaît
n considérable à cause du défaut de jugement et de critérium. Le choc nerveux qui se produit dans les cataclysmes, et surtout d
on livre, sous le titre suivant: Neurrypnologie. ou Traité du sommeil nerveux , considéré dans ses rapports avec le magnétisme a
ment des maladies. Dans ce volume, il définit l'hypnotisme: « un état nerveux déterminé par des manœuvres artificielles », et c
Azam publie, dans les Archives générales de médecine, sur le sommeil nerveux ou hypnotisme, dont il donne la définition suivan
nte : « L'hypnotisme est un moyen particulier de provoquer un sommeil nerveux , un somnambulisme artificiel, accompagné d'anesth
ardane, la ménopause, chez nombre de femmes, avive les déterminations nerveuses qui ont occupé la scène a l'âge où s'établit la m
erturbation des fonctions nutritives dans leur ensemble et du système nerveux — leur régulateur — en particulier? Onze fois sur
ons aux criminels, tant soit peu versés dans l'application des forces nerveuses . Il parait que le constable 265. s. était récemme
de l'etranger. — Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies nerveuses : M. Charlot reprendra ses leçons mardi prochain,
une crédulité un peu exagérée. La malade elle-même est d'une nature nerveuse très impressionnable. A l'âge de 15 ans, à la sui
ar lui seul, est capable d'amener la guérison de certaines affections nerveuses et de plus, qu'à ce point de vue du moins, il n'y
arguments la démonstration de la similitude complète entre le sommeil nerveux ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou toxique e
dogmatiquement établi les différences qui se passent entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel, et ses conclusions sont en
rès : D'après Lasègue : 1. Le sommeil naturel repose : le sommeil nerveux ne repose pas. Dans une cinquantaine d'observat
t du monde; quelques uns avaient même engraissé. 2. Dans le sommeil nerveux , il y a toujours un certain degré de rigidité mus
ons que ses muscles sont en état de contraction. 3. Dans le.sommeil nerveux , rien ne réveille, excepté le souffle. Ceci est
e de même, lorsque je lui dis : Réveillez-vous ! 4. Dans le sommeil nerveux , on peut fixer la durée du sommeil ; on ne le peu
pendant la narcose, ne vomit pas. J. On croit que durant le sommeil nerveux on ne peut pas se réveiller spontanément, et que
à son réveil. 6. 11 y aurait une autre différence entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel : on peut suggestionner dan
ler les mêmes phénomènes exclusivement attribués jusqu'ici au sommeil nerveux : en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narc
nt attribués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux , sommeil narcotique, sommeil naturel, sont identi
ue joue l'hérédité sur la propagation des dégénérescences et maladies nerveuses de toute sorte esi prépondérant. Sans élargir o
rdre d'idées et sans exhumer le souvenir des misères dont une maladie nerveuse qualifiée alcoolisme, folie, épilepsie, hystérie)
up d'art, il rattache l'exaltation de l'élément affectif à l'appareil nerveux ganglionnaire viscéral (système nerveux grand sym
élément affectif à l'appareil nerveux ganglionnaire viscéral (système nerveux grand sympathique) auquel, dans le mode d'existen
es races, » Eh bien ! il est un fait avéré, celui-ci : les maladies nerveuses , en général, sont plus communes dans les pays cha
chocs réitérés que, sous l'aiguillon de l'âpre froidure, leur système nerveux subit, est-on en droit d'inférer que les habitant
nombreux chez les Arabes, présentent plutôt les caractères des formes nerveuses pures, hystériques, de la folie que ceux, des for
si grand intérêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses et mentales. Pour comprendre les procès de sorc
es contre-indications de l'hypnotisme dans le traitement des maladies nerveuses et dans les applications à la pédiatrie. Ce cou
reux, pendant de longues heures, et il avait été soumis à une tension nerveuse considérable. A force d'exécuter les compositio
'excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un état de prostration nerveuse qui faisait craindre l'annihilation complète d'un
ie photographique de la Salpêtrière, clinique des maladies du système nerveux , publiée, sous la direction de M le professeur Ch
confrères ont pu difficilement se rendre compte du degré d'excitation nerveuse que peuvent déterminer chez ces individus les pra
as un bon terrain pour l'étude de l'hypnotisme. Beaucoup de symptômes nerveux hystériformes. d'origine émotive ou résultant d'a
année dernière, mes études sur le traitement des maladies mentales et nerveuses par la suggestion hypnotique. Je me suis toujours
'urine. C'est alors que l'amélioration a été sensible, car ce système nerveux était, pour ainsi dire, plus maniable. Ces accès
upe cellulaire a un autre groupe. A l'état morbide, quelques éléments nerveux sont seuls actifs ; toute l'énergie disponible es
ril. — Présidence de M. Grasset Traitement des maladies mentales et nerveuses par la suggestion hypnotique (i). M. A. Voisin
r le traitement par la suggestion hypnotique des maladies mentales et nerveuses , si résistantes aux moyens thérapeutiques connus.
lades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents mentaux et nerveux dont ils souffrent a des manœuvres d'hypnotisme a
s, parce qu'elles sont fréquemment le point de départ d'une contagion nerveuse dont les effets sont nuisibles à un certain nombr
aussi il y a dans la salle des personnes impressionnables, des hommes nerveux , des femmes hystériques ou sur le point de l'être
utes plus spécieuses, de se produire. L'oisiveté avive la sensibilité nerveuse . Le travail manuel la réfrène. Les privations émo
es éléments de débilitation de l'organisme et d'excitation du système nerveux ? Pour les classes riches, l'oisiveté avec ses
ncipe actif du sang artériel est en défaut, les opérations du système nerveux sont en souffrance et deviennent désordonnées. Si
rdonnées. Si, maintenant, il est avéré que toute opération du système nerveux est au prix d'une dépense d'éléments nerveux et a
ute opération du système nerveux est au prix d'une dépense d'éléments nerveux et artériel, l'élément artériel nécessaire à la s
s nerveux et artériel, l'élément artériel nécessaire à la stimulation nerveuse ne saurait, lorsque la constitution est chétive e
plus en proportion avec les conditions normales de la fonctionnalité nerveuse , la surexcitation se produit. Aussi peut-on affir
icien qui souffrait depuis des années d'un affaiblissement du système nerveux et qui avait été subitement paralysé des bras et
ofesseur Ball. Hospice de la Salpètrière. — clinique des maladies nerveuses : M. Charcot a reprit ses leçons et les continu
lève, hypnotisé par ses camarades, fut atteint dune série de troubles nerveux qui l'amenèrent à la Salpêtrière. M. Pitres-(de B
crises épileptiformes, que le père et la mère sont des personnes très nerveuses ; la mère a même eu une attaque d'hystérie franch
'emploi de la suggestion, de perversions graves du caractère, de tics nerveux , d'incontinence nocturne d'urine, d'impulsion au
« S'enquérir au préalable si le sujet n'est pas atteint d'accidents nerveux ou de troubles circulatoires, et quelle est leur
ans la même ville, bon nombre de personnes sont atteintes de troubles nerveux , par suite de la vulgarisation des pratique» hypn
rse, à des perturbations plus ou moins profondes de la fonctionnalité nerveuse . Et la gravité des désordres engendrés, purement
st pas moins à redouter pour le maintien de l'équilibre des fonctions nerveuses . Les mauvais traitements sont funestes. Sur 74 ca
que de coutume. » Non moins redoutable pour l'équilibre du système nerveux et non moins répandu est le travers— d'ailleurs d
à la profession sur l'équilibration ou la déséquilibration du système nerveux , une considération domine. L'anémie aiguise à l
une considération domine. L'anémie aiguise à l'excès l'excitabilité nerveuse . La pléthore sanguine en atténue les réactions. S
uissance musculaire considérable, sont au prix d'une dépense de force nerveuse de tous les instants. Les professions dites libér
ELLES Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système nerveux : M. le profeseeur Charcot. Leçons le mardi et le
ous les jeudis, à 10 heures, des leçons sur les affections du système nerveux . Hoipice de Bicétre.— Maladies mentales : M. Ch
teuse à distance (de l'). par Bernheim, 161. Affections mentales et nerveuses (action du surmenage intellectuel sur le dévelo
Tics convulsifs avec écholalie et copro-lalie, par Burot, 33o. Tics nerveux traités par suggestion, 176.. Vertu curative de
91 (1887) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 2
orisé; 2° S'enquérir auparavant si le sujet est atteint d'accidents nerveux et de la nature de ces accidents. Même précaution
mais eu d'accès de somnambulisme spontané, ni d'autres manifestations nerveuses . II est assez intelligent et instruit ; honnête e
29 ans, mère de trois enfants vigoureux. Il ne connaît aucune maladie nerveuse dans sa famille. Le 21 mars dernier, M. le doct
il, enrhumé tous les hivers ; mais il n'a jamais eu de manifestations nerveuses , il n'a jamais eu d'accès de somnambulisme sponta
ien portante, ainsi que ses frères et sœur; aucun n'aurait de maladie nerveuse . Je dis à cet enfant: « Tu as entendu ce jeune
cat, atteint de paralysie infantile, n'ayant pas eu d'autres troubles nerveux ; père, mère et une sœur bien portants. Assez int
un enfant de 9 ans, G..., convalescent de pleurésie, sans antécédent nerveux , bien constitué ; père et mère bien portants, deu
epuis deux ans au service pour une insuffisance mitrale, sans trouble nerveux , très suggestible à l'état de veille et de sommei
eurésie tuberculeuse, garçon un peu lymphatique, mais sans antécédent nerveux , très suggestible d'ailleurs : « Etiez-vous hier
de tenter un moyen nouveau et inoffensif. Du reste, la surexcitation nerveuse d'origine alcoolique paraissant prédisposer a l'h
cause dont ils dérivent. Les uns rapportent tout à une disposition nerveuse spéciale du sujet, disposition qui le rend apte à
es qui en sont la conséquence, mais encore de produire sur le système nerveux du sujet des modifications spéciales à la nature
rganisme des hystériques, de répéter inconsciemment une foule d'actes nerveux quand ces actes ont été produits une première foi
quence, chaque fois que le procédé opératoire influera sur le système nerveux du sujet, soit par la fatigue 1) Ce sont cet mo
e action à distance, plutôt qu'à une sédation essentielle des centres nerveux . Ajoutons que ces deux ouvrages contiennent, inte
e nombreux cas de névropathie. Elle a trois sœurs et un frère, tous nerveux , émotifs: deux des sœurs ont souvent des suffocat
œurs ont souvent des suffocations, des évanouissements, des accidents nerveux plus ou moins dans la voie de l'hystérie. Elle-
la conservai jusqu'à son accouchement. — Quels étaient les troubles nerveux que présentait Alice dans les derniers mois de sa
apparences, on ne tenait compte des troubles fonctionnels du système nerveux que nous venons d'indiquer, et dont la permanence
viens de vous le montrer, est un être sui generis. dont les fonctions nerveuses , profondément déséquilibrées, s'accompagnent de p
s premières douleurs, avec les exagérations propres à sa constitution nerveuse . Mise en état de somnambulisme, et suggestionné
contribué à démontrer combien est intime le lien qui unit les crises nerveuses aux variations de la personnalité. Car jamais n
u chez V... la personnalité se transformer sans crise ou modification nerveuse préalables. L'attaque est, chez notre sujet, co
arrêter parfois comme pour s'y fixer, à défaut peut-être d'incitation nerveuse suffisante, à certaines époques de sa vie, pour e
héréditaire et à ses rapports avec les diverses maladies mentales et nerveuses . Esquirol a pu dire à juste titre que la dipsom
x qui étaient atteints de douleurs locales ou d'affections du système nerveux , par l'exorcisme et l'imposition des mains; il pr
et de la conscience, une action secondaire qui excite le système nerveux et grâce à laquelle certaines facultés intellectu
ille ? Le récit de nombreux exemples d'habitudes vicieuses, de tics nerveux , de tendances et d'instincts pervers, modifiés et
anique : transmission des sensations, des états émotifs, transmission nerveuse physique des maladies, transmission des idées de
ns de l'activité mentale, il est un groupe tout spécial de phénomènes nerveux , qui joue, à l'état de veille, comme à l'état de
piratoires anxieux, par des larmes discrètes, les états d'ébranlement nerveux qui nous traversent. A l'état pathologique, dan
ions afférentes à ce sujet ne sont pas sans savoir que ces phénomènes nerveux si complexes sont régis par certaines lois fixes
changement d'état bien notable dans la manière d'être de son système nerveux . Dans la phase de léthargie, en effet, ce sont
lité s'est portée ailleurs; ce ne sont plus les muscles et les troncs nerveux qui en sont le siège, ce sont les régions émotisé
l..., âge de 32 ans, hémianesthésique gauche, sujet à des attaques nerveuses hystériques, est plongé dans le sommeil magnétiqu
ènes que présente le fonctionnement normal ou pathologique du système nerveux , M. Richet consacre quelques pages instructives i
. Il donne en passant son avis sur le fluide magnétique, ou vital, ou nerveux , dont l'idée est à ses yeux une hypothèse simple,
ec quelle intensité le travail organique se développe dans le système nerveux chez les jeunes enfants ; le volume de leur tète,
me caractéristiques et indiquant un véritable épuisement de l'élément nerveux ; ce sont des phénomènes d'amnésie qui dominent a
urmenage intellectuel sur la développement des affections mentales et nerveuses . La question si actuelle et si importante du su
c'est celui que M. Meynert a présente sur les affections mentales et nerveuses déterminées par le surmenage scolaire. Voici
ns l'âge de la puberté, avec la stupeur; 7° L'hérédité des maladies nerveuses rend responsable le surmenage intellectuel de l'i
de vue de la chirurgie. Reprenant à l'origine la question du sommeil nerveux , ils se livrèrent à une serie d expériences intér
temps que les régions émotives sont mises en action dans les centres nerveux , l'action simulatrice s'exerce aussi d'une façon
droite, et suivant qu'on interroge des régions différentes des plexus nerveux périphériques. Ainsi, placé à la nuque du côté
, la bière, sont susceptibles de déterminer des effets sur le système nerveux , analogues à ceux qu'ils déterminent chez l'homme
aucune trace des ébranlements profonds qui ont bouleversé son système nerveux . II. — Dans la seconde série des expériences, l
ue, suspendre les mouvements respiratoires, congestionner les centres nerveux , troubler l'innervation du cœur, provoquer dans l
iences des méthodes thérapeutiques agissant à distance sur le système nerveux , et acquérir ainsi des agents d'un ordre spécial,
ns torpides et à rétablir ainsi cet équilibre si précieux des actions nerveuses ; et c'est là. évidemment, le but louable de tous
'incurabilité dans ce champ lui-même si vaste des maladies du système nerveux . L'ACTION A DISTANCE DES SUBSTANCES TOXIQUES ET
les nerfs, conducteurs des courants en dehors de la pile; les centres nerveux , accumulateurs, en échange incessant, d'une part,
s poisons et les médicaments, agissent par l'intermédiaire du système nerveux périphérique exactement de la même manière que po
la première. D'une façon générale, la rupture d'équilibre du systéme nerveux , la surexcitation de la sensibilité, toutes condi
étrissages produisent des tiraillements et des élongations des filets nerveux . Les passes que l'on emploie en magnétisme formen
ie en magnétisme forment une partie du massage qui produit des effets nerveux très étranges. Ces articles sont décrits dans le
la plupart de ces sujets. Les gauchers ont fréquemment une hérédité nerveuse lourde à porter. On trouve souvent dans leurs asc
et, quand celui-ci avait voulu le réveiller, il fut pris de sa crise nerveuse , que l'endormeur ne réussissait pas à calmer, M.
il n'avait rien, qu'il n'était plus malade et le réveilla. Les crises nerveuses ne se reproduisirent plus. La nou-velle suggestio
ployé avec plus ou moins de succès pour combattre d'autres affections nerveuses et mentales. Je n'ai pas besoin de rappeler les
ns, un précieux instrument dans le traitement de certaines affections nerveuses rebelles .1 toutes les médications; les résultats
in, la malade recouvra son étal normal et il n'y eut plus de troubles nerveux . Ce qui est important à signaler, c'est que ce
ns par Donato. éprouva des troubles psychiques et autres dérangements nerveux qui étaient loin d'être insignifiants. On peut mu
enté qui l'emploie comme moyen thérapeutique à l'égard d'autres états nerveux beaucoup plus graves; mais, d'autre part, ce proc
ladie des tics convulsifs, et M. Gilles de la Tourelle, une affection nerveuse caractérisée par l'incoordination motrice avec éc
maladie, il est facile de remarquer une perte d'équilibre du système nerveux . Tout prouve que le système nerveux involontaire
une perte d'équilibre du système nerveux. Tout prouve que le système nerveux involontaire est excité outre mesure et très impr
y a exagération de la vie réflexe cérébrale. D'autre part, le système nerveux volontaire est affaibli : il y a diminution de l'
sion qui a produit ce changement. Toutefois, pour calmer l'excitation nerveuse et rendre cette persuasion plus facile et plus
ypnotique, le plus puissant modificateur à employer dans les maladies nerveuses et mentales qui, sous les noms de névralgie, de m
me parce qu'elles sont contracturantes qu'elles produisent le sommeil nerveux (car tout ce qui contracture endort) ; elles le f
eau, d'où résulte l'anémie qui est la condition nécessaire du sommeil nerveux . Par opposition, les applications hétéronomes.. q
rant organique seront employées dans toutes les maladies des systèmes nerveux et musculaire caractérisées par la congestion, l'
enfant que dans ses antécédents héréditaires il n'y a aucune maladie nerveuse ou mentale. Marie est née à terme. Elle a été éle
lysie et l'hyperthermie, causées par une lésion organique des centres nerveux , peuvent être transférées d'un côté à l'autre du
pas nécessairement des effets de la destruction de certains éléments nerveux possédant certaines fonctions et qu'elles peuvent
ents extérieurs. La recherche des lois qui régissent les phénomènes nerveux observés chez les sujets hypnotisables présente d
LES Faculté de médecinede paris. — Clinique des maladies du système nerveux . — M. le professeur Charco: fera dans son à la Sa
neuf heures et demie, une leçon clinique sur les maladies du système nerveux . — Clinique de pathologie mentale et des maladi
reprises l'isoler à Sainte-Anne et à la Salpêtrière.) 2° Des tics, nerveux chez des petits garçons de douze ans. (L'un d'eux
ir des habitudes vicieuses, des défauts graves de caractère, des tics nerveux , des incontinences nocturnes et diurnes de l'urin
s faciles à hypnotiser sont des malades ou des êtres d'un tempérament nerveux particulier. M. Bérillon. — Je retrouve dans le
la science de l'hypnotisme. Tous les hypnotisés ne sont pas des gens nerveux . Au contraire, la plupart de ceux qui présentent
eaucoup plus intéressants à étudier, comme le traitement des maladies nerveuses par l'hypnotisme. M. Constantin Paul. — 11 nous
Aphonie hystérique 1 1 Toux convulsive 1 s Vertiges 1 2 Asthme nerveux 1 1 Strangurie 2 • Céphalalgie 4 5 Agrypnie
gé de quinze ans et demi; le tempérament lymphatico-nerveux ù système nerveux très développé. Comme vous avez pu vous en rendre
une rougeole grave pendant laquelle j'ai eu i combattre des accidents nerveux et un subdelirium qui a duré plusieurs jours. Pas
est indispensable de scruter, d'étudier minutieusement les cen-» très nerveux d'hommes dont on a bien connu l'activité mentale.
t universelle, que le mot hystérie est synonyme d'impres-sionnabilité nerveuse quelconque ! Et comme nous avons tous des nerfs
pécial, ont une acuité excessive des sens, comme» toute leur activité nerveuse était accumulée sur l'organe dont l'attention est
ifférent a réussi ; Max Joseph a produit des pelades par des sections nerveuses ; Mibelli a obtenu le même résultat. On voit la
résultat. On voit la maladie apparaître à la suite de perturbations nerveuses brusques, d'émotions inattendues et de chagrins v
ue succéder à des maladies intéressant l'équilibre général du système nerveux , la fièvre typhoïde, la scarlatine, la chorée, la
usieurs espèces de pelades, une par exemple qui dépendrait du système nerveux ? Bazin était de cet avis. Mais il est impossible
s retentissements possibles d'un choc extérieur sur la fonctionnalité nerveuse , on est, avec Charcot. d'accord sur ce point; c'e
s toxiques, le plomb notamment, exercent, on le sait, sur les centres nerveux , une influence perturbatrice assez profonde pour
, elle est très fatiguée et agacée; mais c'est une espèce d'agitation nerveuse différente de la somnolence et de l'égarement qui
veille, si bien que j'ai eu beaucoup de peine à calmer son agitation nerveuse et que je n'ai pas réussi à dissiper une céphalal
antécédents héréditaires : Père mort tuberculeux à 39 ans; était très nerveux , très impressionnable. Sa mère vit. a 45 ans, e
ses diminuent de nombre et d'intensité, quoique l'impressionnabi-lité nerveuse reste exagérée. Pendant le cours de ce mois d'o
peresthésie du côté sectionné ; d'aprés Brown-Séquard, la suractivité nerveuse s'expliquerait par la dilatation des vaisseaux de
e de 36 ans, robuste, père de famille, et dont l'excès de sensibilité nerveuse se traduisait par des troubles hystériques aptitu
s, dont l'imagination s'exalte aisément, achève d'ébranler le système nerveux de ces impressionnables candidats à la folie, et
perstition. » Ne l'oublions point, d'ailleurs, c'est à la contagion nerveuse ou par imitation que furent dues ces graves épidé
pendant quelques mois de boiterie, probablement de coxalgie d'origine nerveuse ; mais elle est actuellement tout à fait guérie,
oment où la suggestion fut acceptée, Mlle X... eut des frissonnements nerveux dans tout le corps, à trois ou quatre reprises, p
concourent, en dernière analyse, à l'ébranlement de La fonctionnalité nerveuse dans son équilibre, Et c'est, au demeurant, sur l
n équilibre, Et c'est, au demeurant, sur le fonctionnement du système nerveux que l'influence perturbatrice du froid polaire ag
spitalières, est. par suite de l'état congestif permanent des centres nerveux et de la torpeur de la circulation, exposé aux ve
taques d'aploplexie que favorise la congestion habituelle des centres nerveux , outre les gastrites et l'alcoolisme consécutifs
des désordres qu'il est si fréquent d'observer dans la fonctionnalité nerveuse chez les habitants des pays froids, une anémie d'
de l'analyse des effets du magnétisme sur les fonctions organiques et nerveuses . Aucun fait nouveau n'est signalé par lui dans ce
conseille la lecture a toutes les personnes qui étudient les maladies nerveuses , ces maladies dans lesquelles on est si porté à v
oureux, tout se passe rapidement. Si l'on est, au contraire, délicat, nerveux , les phénomènes mettent plus de temps à disparaît
n considérable à cause du défaut de jugement et de critérium. Le choc nerveux qui se produit dans les cataclysmes, et surtout d
on livre, sous le titre suivant: Neurrypnologie. ou Traité du sommeil nerveux , considéré dans ses rapports avec le magnétisme a
ment des maladies. Dans ce volume, il définit l'hypnotisme: « un état nerveux déterminé par des manœuvres artificielles », et c
Azam publie, dans les Archives générales de médecine, sur le sommeil nerveux ou hypnotisme, dont il donne la définition suivan
nte : « L'hypnotisme est un moyen particulier de provoquer un sommeil nerveux , un somnambulisme artificiel, accompagné d'anesth
ardane, la ménopause, chez nombre de femmes, avive les déterminations nerveuses qui ont occupé la scène a l'âge où s'établit la m
erturbation des fonctions nutritives dans leur ensemble et du système nerveux — leur régulateur — en particulier? Onze fois sur
ons aux criminels, tant soit peu versés dans l'application des forces nerveuses . Il parait que le constable 265. s. était récemme
de l'etranger. — Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies nerveuses : M. Charlot reprendra ses leçons mardi prochain,
une crédulité un peu exagérée. La malade elle-même est d'une nature nerveuse très impressionnable. A l'âge de 15 ans, à la sui
ar lui seul, est capable d'amener la guérison de certaines affections nerveuses et de plus, qu'à ce point de vue du moins, il n'y
arguments la démonstration de la similitude complète entre le sommeil nerveux ou hypnotisme, le sommeil narcotique ou toxique e
dogmatiquement établi les différences qui se passent entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel, et ses conclusions sont en
rès : D'après Lasègue : 1. Le sommeil naturel repose : le sommeil nerveux ne repose pas. Dans une cinquantaine d'observat
t du monde; quelques uns avaient même engraissé. 2. Dans le sommeil nerveux , il y a toujours un certain degré de rigidité mus
ons que ses muscles sont en état de contraction. 3. Dans le.sommeil nerveux , rien ne réveille, excepté le souffle. Ceci est
e de même, lorsque je lui dis : Réveillez-vous ! 4. Dans le sommeil nerveux , on peut fixer la durée du sommeil ; on ne le peu
pendant la narcose, ne vomit pas. J. On croit que durant le sommeil nerveux on ne peut pas se réveiller spontanément, et que
à son réveil. 6. 11 y aurait une autre différence entre le sommeil nerveux et le sommeil naturel : on peut suggestionner dan
ler les mêmes phénomènes exclusivement attribués jusqu'ici au sommeil nerveux : en conséquence : Sommeil nerveux, sommeil narc
nt attribués jusqu'ici au sommeil nerveux: en conséquence : Sommeil nerveux , sommeil narcotique, sommeil naturel, sont identi
ue joue l'hérédité sur la propagation des dégénérescences et maladies nerveuses de toute sorte esi prépondérant. Sans élargir o
rdre d'idées et sans exhumer le souvenir des misères dont une maladie nerveuse qualifiée alcoolisme, folie, épilepsie, hystérie)
up d'art, il rattache l'exaltation de l'élément affectif à l'appareil nerveux ganglionnaire viscéral (système nerveux grand sym
élément affectif à l'appareil nerveux ganglionnaire viscéral (système nerveux grand sympathique) auquel, dans le mode d'existen
es races, » Eh bien ! il est un fait avéré, celui-ci : les maladies nerveuses , en général, sont plus communes dans les pays cha
chocs réitérés que, sous l'aiguillon de l'âpre froidure, leur système nerveux subit, est-on en droit d'inférer que les habitant
nombreux chez les Arabes, présentent plutôt les caractères des formes nerveuses pures, hystériques, de la folie que ceux, des for
si grand intérêt aux médecins qui s'occupent de l'étude des maladies nerveuses et mentales. Pour comprendre les procès de sorc
es contre-indications de l'hypnotisme dans le traitement des maladies nerveuses et dans les applications à la pédiatrie. Ce cou
reux, pendant de longues heures, et il avait été soumis à une tension nerveuse considérable. A force d'exécuter les compositio
'excitation émotive exceptionnelle, tombé dans un état de prostration nerveuse qui faisait craindre l'annihilation complète d'un
ie photographique de la Salpêtrière, clinique des maladies du système nerveux , publiée, sous la direction de M le professeur Ch
confrères ont pu difficilement se rendre compte du degré d'excitation nerveuse que peuvent déterminer chez ces individus les pra
as un bon terrain pour l'étude de l'hypnotisme. Beaucoup de symptômes nerveux hystériformes. d'origine émotive ou résultant d'a
année dernière, mes études sur le traitement des maladies mentales et nerveuses par la suggestion hypnotique. Je me suis toujours
'urine. C'est alors que l'amélioration a été sensible, car ce système nerveux était, pour ainsi dire, plus maniable. Ces accès
upe cellulaire a un autre groupe. A l'état morbide, quelques éléments nerveux sont seuls actifs ; toute l'énergie disponible es
ril. — Présidence de M. Grasset Traitement des maladies mentales et nerveuses par la suggestion hypnotique (i). M. A. Voisin
r le traitement par la suggestion hypnotique des maladies mentales et nerveuses , si résistantes aux moyens thérapeutiques connus.
lades qui, eux-mêmes, font remonter le début des accidents mentaux et nerveux dont ils souffrent a des manœuvres d'hypnotisme a
s, parce qu'elles sont fréquemment le point de départ d'une contagion nerveuse dont les effets sont nuisibles à un certain nombr
aussi il y a dans la salle des personnes impressionnables, des hommes nerveux , des femmes hystériques ou sur le point de l'être
utes plus spécieuses, de se produire. L'oisiveté avive la sensibilité nerveuse . Le travail manuel la réfrène. Les privations émo
es éléments de débilitation de l'organisme et d'excitation du système nerveux ? Pour les classes riches, l'oisiveté avec ses
ncipe actif du sang artériel est en défaut, les opérations du système nerveux sont en souffrance et deviennent désordonnées. Si
rdonnées. Si, maintenant, il est avéré que toute opération du système nerveux est au prix d'une dépense d'éléments nerveux et a
ute opération du système nerveux est au prix d'une dépense d'éléments nerveux et artériel, l'élément artériel nécessaire à la s
s nerveux et artériel, l'élément artériel nécessaire à la stimulation nerveuse ne saurait, lorsque la constitution est chétive e
plus en proportion avec les conditions normales de la fonctionnalité nerveuse , la surexcitation se produit. Aussi peut-on affir
icien qui souffrait depuis des années d'un affaiblissement du système nerveux et qui avait été subitement paralysé des bras et
ofesseur Ball. Hospice de la Salpètrière. — clinique des maladies nerveuses : M. Charcot a reprit ses leçons et les continu
lève, hypnotisé par ses camarades, fut atteint dune série de troubles nerveux qui l'amenèrent à la Salpêtrière. M. Pitres-(de B
crises épileptiformes, que le père et la mère sont des personnes très nerveuses ; la mère a même eu une attaque d'hystérie franch
'emploi de la suggestion, de perversions graves du caractère, de tics nerveux , d'incontinence nocturne d'urine, d'impulsion au
« S'enquérir au préalable si le sujet n'est pas atteint d'accidents nerveux ou de troubles circulatoires, et quelle est leur
ans la même ville, bon nombre de personnes sont atteintes de troubles nerveux , par suite de la vulgarisation des pratique» hypn
rse, à des perturbations plus ou moins profondes de la fonctionnalité nerveuse . Et la gravité des désordres engendrés, purement
st pas moins à redouter pour le maintien de l'équilibre des fonctions nerveuses . Les mauvais traitements sont funestes. Sur 74 ca
que de coutume. » Non moins redoutable pour l'équilibre du système nerveux et non moins répandu est le travers— d'ailleurs d
à la profession sur l'équilibration ou la déséquilibration du système nerveux , une considération domine. L'anémie aiguise à l
une considération domine. L'anémie aiguise à l'excès l'excitabilité nerveuse . La pléthore sanguine en atténue les réactions. S
uissance musculaire considérable, sont au prix d'une dépense de force nerveuse de tous les instants. Les professions dites libér
ELLES Hospice de la Salpêtrière. — Clinique des maladies du système nerveux : M. le profeseeur Charcot. Leçons le mardi et le
ous les jeudis, à 10 heures, des leçons sur les affections du système nerveux . Hoipice de Bicétre.— Maladies mentales : M. Ch
teuse à distance (de l'). par Bernheim, 161. Affections mentales et nerveuses (action du surmenage intellectuel sur le dévelo
Tics convulsifs avec écholalie et copro-lalie, par Burot, 33o. Tics nerveux traités par suggestion, 176.. Vertu curative de
92 (1906) Archives de neurologie [3ème série, tome 01, n° 01-06] : revue mensuelle des maladies nerveuses et mentales
ROLOGIE ARCHIVES DE NEUROLOGIE REVUE MENSUELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES Fondée par J.-M. CHARCOT & BOUR
nne). I-- ITllES Professeur de clinique des maladies du système nerveux à la Faculté de médecine de Bordeaux. COLLABO
8. GALEZEWSKI. Thèse de Paris, juin, 1904. Grasset. Les cen- tres nerveux , 1905. GOTTELAND. Contribution à l'étude de l'ap-
orts avec le rétrécissement concentrique, des affections du système nerveux central. Société médico-physiologique, séance d
ol. 1891. T. Il p. 268. RAYMOxn. Leçons sur les maladies du système nerveux . 1" série 1894-95. « Les délires ambulatoires e
ffection cardiaque. Un frère, une sneur bien portants. Pas de tares nerveuses ou mentales dans la famille. tttccfepet'sottK
DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 111. - Sur la continuité des cellules nerveuses et sur quelques autres sujets connexes; par Joh
s'établit une connexion en- tre les différentes cellules du système nerveux central ; et bien qu'il soit aisé de construire
plus l'excès (l'indoxyl est considérable, plus REVUE DE 'PATHOLOGIE NERVEUSE . 5t t les symptômes et les signes de toxémie so
e pour la bonne intelligence du texte R. 111. C REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Un cas de pseudo-angine de poitrine chez un
ulenburg qui a été un des premiers à ranger le, troubles du système nerveux vaso-moteur parmi les variétés de névroses card
teur de la moelle allongée, semblable à la .-)2 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . perturbation des cellules cérébrales corticale
lgique, 1UOj. ue 121.) Sur 9. 9S1 malades, atteints tI'afrecli()n nerveuses l'auteur a relevé 1071 cas de neurasthénie, don
ui est l'analogue de celui plus fréquent ."il i REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . de l'audition colorée, serait dû soit à une as
e ; mais la fatigue détermine -t-elle une modification des cellules nerveuses elles-mêmes, ou bien des tissus environnants ?
général très difficile d'être fixé sur la nature exacte d'une crise nerveuse à laquelle on n'a pas assisté et qui d'après les
bir l'influence des toxines syphilitiques. Le début des accidents nerveux survenant à une date si éloignée de la lésion p
isseaux et s'était lentement diffusée de manière à léser les tissus nerveux de l'ordre le plus élevé et le plus vulnérable.
de plus, se résigner à reconnaître qu'il est des cas de pathologie nerveuse où le diagnostic clinique est à peu près imposs
est le « tic de l'ours » : il s'observe chez les animaux à syslème nerveux impressionnable et parait aussi se communiquer
mplissent automatiquement. BIBLIOGRAPHIE l. - L'Ame et le système nerveux (Hygiène et Pathologie] ; par A. FORE, ancien p
l'opportunité n'est pas contestable. L'hygiène sociale du système nerveux se trouve aujourd'hui en connexion intime avec to
expliquer sans contradictions, car les règles d'hygiène du système nerveux ne sauraient être com- prises sans la connaissa
s parties : 1° âme cerveau et nerfs à l'état normal ; 2° pathologie nerveuse ; 3° hy- giène. Les phénomènes psychologiques
que Forel appelle la monnaie de la pensée. L'anatomie du sys- tème nerveux , qui fait l'objet du chapitre suivant, nous a sem
(Quel- ques détails, pour cette raison, sont inexacts : lesystèrne nerveux est comparé à un appareil électrique, dont la s
dont la substance grise constituerait l'accumulateur, elles libres nerveuses les fils con- ducteurs ; mais puisque nous reje
rejetons l'hypothèse dualiste, il ne faut pas dire que les cellules nerveuses sont un accumulateur; elles ne se contentent pa
'hypothèse du monisme scientifique; aujourd'hui l'étudedu systè- me nerveux central a permis de découvrir que les actions et
permis de découvrir que les actions et réactions du neurocyme (onde nerveuse ) obéissent à la loi fonda- mentale delà conserv
ant. Li chapitre suivant e3Lcoilsicré à la physiologie du système nerveux : M. Forel y passe en revue les muscles, les nerf
el y passe en revue les muscles, les nerfs et les neurocymes (ondes nerveuses ), les réflexes, les instincts ou auto- matismes
usions du souvenir, l'auto- suggestion obsessionnelle, les troubles nerveux qui ne sont pas des maladies mentales, sontpass
ies mentales, sontpassés en revue, et suivis des formes mentales et nerveuses , M. Forel divise ces formes en 4 groupes : .lnc
évolution rétrograde ou sénile, Les causes des maladies mentales et nerveuses se rapportent à l'huez rédité ou à la détériora
reux, libre et riche (du moins eu capacité de tra- vail). L'hygiène nerveuse de la conceptionet de l'hérédité fait l'ob- jet
es poisons, et en particulier de l'alcool et de l'opium.L'hy- giène nerveuse de l'enfance est ensuite examinée ; M. Forel est
ablis sur les mêmes principes. Enfin M. Forel traite de l'hy- giène nerveuse spéciale de l'adulte qui n'est guère qu'un résumé
l qui va sans cesse s'élevant. Quelques mots sur les sanatoria pour nerveux , sur la lutte contre l'alcool et l'enseignement d
érentes à notre civilisation ; etc'est évidemment grâce à l'hygiène nerveuse que la culture obligatoire des cerveaux des gén
ronophagie».en l'appliquantd'abord à la des- truction des cellulles nerveuses par phagocytose. M. Sano trans- forme cette obs
énétration d'un ou plu- sieurs éléments cellulaires dans la cellule nerveuse . Ainsi com- prisse processus est connu depuis l
un ganglion de Casser, des globules de pus s'accoler à des cellules nerveuses en creusant des encoches. Depuis, de nombreux a
la neuronophagie, qui revêt un aspect dif- férent dans les centres nerveux et les ganglions, ne peut se produire dans les
t, qui nécessite 2 conditions : altération régressive de la cellule nerveuse , et modification progressive delà névroglie. Elle
ans la sénilité. Enfin, il n'y a que dégé- nérescence de la cellule nerveuse suivie de cicatrisation par la névroglie et non
s \ ceux. Bernard P. » ? *" IV, - Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales, par le professeur Alexandre Stcher
et intéressant, traite des différentes questions de la patho- logie nerveuse et mentale. Dans la première leçon, l'auteur an
entre les neurones et des momifications de la direction du courant nerveux . Au moyen de l'hypothèse ci-des- sus, Stcherbac
thologique. La manière dont se pro- duisent les décharges d'énergie nerveuse entre les neurones, reste BIBLIOGRAPHIE. 89 a
essus morbide dans tous les cas de lésions, organi- ques du système nerveux . Ces cas sont si bien choisis qu'ils ou- vrent
a place secondaire aux symptômes dits « clas- siques » des maladies nerveuses . Dans ces conditions, cette partie de l'ouvrage
damentale. Alexandre AQUMAN, Assistant à la Clinique des Maladies nerveuses et mentales (Varsovie). VARIA FAMILLE FOLLE
quinze minutes sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux , après quinze minutes de préparation. Il sera a
ait ce dernier ? n'a-t-il pas été mis dans « l'hôpital des maladies nerveuses », n'a-t-il pas reçu le traitement qui convenai
le était enceinte de noire malade (éclamp- sie' ? ) Père, sans tare nerveuse ou mentale, mort à 51 ans de pneumonie. Un frèr
Ville-Evrard au mois de mars 1905 avec leriiagnoslic de troubles nerveux caractérisés par des impulsions, par des actes ré
scientes, amnésiques en totalité, ou presque. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE X. A propos ds récents travaux sur l'auscultati
ullanlle muscle ,Ion.; diverses afrcelions du système musculaire et nerveux a obtenu des résultats conlirma- .tirs des fden
de la réaction de dégénérescence on peut ajoll- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 135 ter maintenant celui de l'absence de bruit
cle dégénéré. Link ayant en outre, émis l'hypothèse que des centres nerveux différents doivent présider à la contraction de
tquele syndrome de la déminéralisation os- 133G REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . seuso dont la physiologie est encore mal connu
yotonie, par ses manifestations cliniquesrlui dépendent des centres nerveux , par les lésions des muscles, par son associati
uscles, par son association fréquente avec les maladies du y- tt'me nerveux , et surtout, avec l'atrophie musculaire, démontre
fisant d'altération de la zone calcarone (Bard) revue DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 137 mais bien plutôt à ce que le restant du lo
igine est variable. Le type de celle aller- 138 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . lion avec altération intéressant uniquement le
ubles cardiaques divers, de la dyspepsie : lorsque les terminaisons nerveuses sont englobées dans le tissus fibreux il semble
reste bon'; après une discussion très'longiip REVUE DE» PATHOLOGIE NERVEUSE . L3J l'auteur montre qu'il s'agit d'une fièvre
t d'une femme de 3S ans qui depuis huit mois, présentait des crises nerveuses à type hystérique, puis la vue se perdit progre
si rapporté des hallucinations obsédantes dans certaine^ allections nerveuses . L'auteur pense qu'il faut distinguer dans ces
tait probablement dû à une défectuosité de déve- loppement du tissu nerveux . Il faut noter que presque tous les cas, sinon
rité d'action de l'ensemble du cerveau et de l'ensemble des centres nerveux de la moelle et des ganglions spéciaux sur les
u résultat thérapeutique s'ajoute celui de de l'étude de l'asthénie nerveuse dans ses rap- ports avec les actes thyroïdiens
tte prophylaxie doit être dirigée contre : l'hérédité, la contagion nerveuse , la mauvaise hygiène, les infec- tions ou intox
service militaire fait en général plutôt du bien aux pré- disposés nerveux » ; (les mots soulignés le sont par l'auteur).
s ? suivent quelques règles d'hygiène générale pour les prédisposés nerveux : pas de vie à outrance, d'arrivisme, etc...
au point de vue philosophique, mais physiopathologique : le système nerveux est ou non en état d'intégrité, et l'individu peu
tuites pour les enfants indi- gents atteints de maladies du système nerveux , le jeudi à 9 h. 1 ? On peut se rendre à la Fon
U MARDI, et les deux volumes de CLINIQUES des maladies du système nerveux sont vendues au 'prix réduit de 50 francs au li
nstincts ; chacun d'eux,d'autre part, accapare la moitié du système nerveux , la moitié de tout l'organis- me, l'un des orga
la contraction doit agir dans une di- rection donnée, à la cellule nerveuse , quand le champ où elle recueille des excitatio
imal, dissemblance originelle, antérieure à l'apparition du système nerveux , est nécessaire au duplicisme, le système se tr
e dans l'échelle animale» » (p. 51), l'Auteur étudie l'organisation nerveuse « synthèse de tout l'animal » (p. 50). Après av
chacun de nos co-êtres... serait placé parmi les animaux à système nerveux continu)-, et par conséquent supérieur au plus
ués, il cherche, et s'étonne de ne pas trouver, un animal à système nerveux simple : « A en croire les classifications adop
: « A en croire les classifications adoptées, dès que le système nerveux se présente d'un seul tenant, il se. présente mul
as trouver dans les classifications en usage pour les organisations nerveuses , entre le système ner- veux disséminé... et le
tions nerveuses, entre le système ner- veux disséminé... et le type nerveux continu multiple ou double, un type nerveux con
disséminé... et le type nerveux continu multiple ou double, un type nerveux continu simple » (p. 53). La phrase suivante ac
lion cérébral », on peut « conclure à la simplicité de leur système nerveux entier » (p.;53 et 54). Malheureusement le phys
r tirer quel- que enseignement pratique de la phylogénie du système nerveux , il est bon de s'en tenir aux seuls Vertébrés.
s uns des autres (Wundt, 1902, 1. p. 228), organes dont les centres nerveux primitifs sont eux-mêmes très distants : au sur
, les deux co-êtres échangent-ils quelques-uns de leurs cen- tres nerveux , dont les fibres afférentes ou efférentes tra-
chique la plus simple est impossible, dès qu'il existe un système nerveux , continu si les deux moitiés de ce système sont
le début, pour les actes inconscients,certaines parties du système nerveux peuvent fonctionner sans la partie homonyme du
rétiniennes des doux yeux, mais encore redressement, dans le centre nerveux , de chaque image rétinienne : ce qui, dans cell
e- ment que nous rencontrerons tout à l'heure à propos du système nerveux . Quant au tube digestif (moins la portion bucco
en ses deux hémisphères, dou- ble la moelle, double tout le système nerveux » (p. 7). Pourtant, le développement de la gout
derme cutané : celui- ci, finalement, forme pont au-dessus du «vide nerveux » maintenant indépendant du feuillet qui lui do
i- que ». Donc, '«la constitution double et symétrique du système nerveux central n'a pas pour origine le rap- prochement
deux co-êtres ne con- courent pas également à la formation du Lubc nerveux ? ... Mais la chose est infiniment vraisemblabl
irect pour le groupe hétéromère. En un mot, la structura du système nerveux est telle que tout ce qui lui arrive, tout ce q
ion absolue avec la synergie nécessaire des deux moitiés du système nerveux , et notamment des hémisphères, pour la formatio
oublions pas toute- fois que du fait de l'hypothyroïdie, le système nerveux est auto- inloxiqué, ce qui facilite les réacti
rps thyroïde auquel est subordonné en partie du moins, le système nerveux , est subordonné lui-même il sa propre innervation
étition de l'incitation sur les caractères de certaines réac- tions nerveuses élémentaires. Contribution à l'étude de l'adapta-
tre les « cellules à bâtonnets » (Stab- cheuzellen) et les éléments nerveux dans la paralysie progressi- ve ; par M.Cerlett
embryologiques sur la struc- . ture de la gaine myélique des fibres nerveuses périphériques ; par M. BE STA.in Rivista sperim
s, et dans les fibrilles longues. 5° Dans ces conditions, l'élément nerveux est gravement, compromis et peut être irrémédia
-auriculaire. J. S. XXII. Les altérations cadavériques des cellules nerveuses étu- diées par la méthode de DonaggIo ; par M.
n en évidence ces altéra- trous purement cadavériques de la cellule nerveuse . Cette méthode bÍ i LEGISLATION. de Donaggio,
Iogie humaine, surtout dans l'anatomie pathologique des maladies nerveuses et mentales. J. S. LEGISLATION. Proposition d
uée dans toute maison de santé consacrée au traitement des maladies nerveuses et dans tout asile d'aliénés. J'ajouterai que c
e deux heures sur un sujet d'anatomie etde physiologie du système nerveux . Il sera accordé vingt points pour celle épreuve.
rganiques à localisation hémiplégique et la topographie des centres nerveux des fonctions compromi- ses, la division anatom
a sensibilité du même côté par une irritation quelconque du système nerveux , avec abaissement du côté opposé (1882). Dumont
ux car ils ne correspondent pas à la division physique du système nerveux . Sans doute une certaine modification physiolog
incts de faits psychiques,mais la « dualité » anatomique du système nerveux n'y est pour rien : l'un de ces groupes occupe
: « A la théorie dupliste d'aucuns objecteront que des faisceaux nerveux relient ensemble la droite et la gauche et les
ui ne fût pas une personne. Le fait que les Artiozaires à système nerveux disséminé, les Rotifères, par exemple, sont dou
quelque valeur, l'Auteur aurait dû,ou partir d'un animal à système nerveux simple, qu'il a vainement cherché ou d'observat
t facilement atteint dans trois mala- dies bien définies du système nerveux , l'alcoolisme.la paralysie gé- nérale et la fol
ord parfait avec les doctrines de Hughlings Jackson sur l'évolution nerveuse , et avec son opinion au sujet des centres repré
MÉDECINE LÉGALE. , 313 nes ou d'une déchéance moléculaire du tissu nerveux , se révélant par l'affaiblissement ou la perte
ibut essentiel qui caractérise les mécanismes composés de' cellules nerveuses ,l'inhibition. L'ins- tabilité fonctionnelle, es
iées et expliquées. Elles témoignent du défaut de fixité du système nerveux et du sys- tème musculaire et de la corrélation
ra les Jeudis suivants à cinq heures. Sujet du Cours : Les maladies nerveuses des enfants et des adolescents,Applications de
udi 6 Juin. Applications de l'hypnotisme à la pédagogie des enfants nerveux et vicieux. -Jeudi 13 Juin. La formation du car
Vo'. 1. 3e Série. Mai 1907, ? S 5 ARCHIVES DE-NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil ( \ \ <\ \ /lo, 1 -
lcan,15J7, 2 vol. Archives, 3* série, 1007, t. 1. 23 354 CLINIQUE NERVEUSE . mieux que tout ce que je pourrais en dire leur
agit pas d'aboulie, mais de distraction. Le malade est 356 CLINIQUE NERVEUSE . paralysé parce qu'il est distrait. Il oublie d
as, ainsi que la volonté et le désir de le récupérer ; 358 CLINIQUE NERVEUSE . ou,si elle est le résultat d'une aboulie, pour
me la double manifestation d'un même trouble fonctionnel du système nerveux cen- tral ? Au lieu de faire appel à une psycho
es que nous sommes habi- tués à rattacher à des troubles du système nerveux cen- tral ? M. Pierre Marie reprochait un jour
du trouble hystérique - capabled'expliquer à la fois 300 clinique nerveuse . les manifestations 'somatiques et psychiques c
31bIioLl. de philos, contemporaine, Paris, (' ..llcan. 362 CLINIQUE NERVEUSE . représentation. C'est ce qui arrive dans les p
ec la théorie psychologique, ou plutôt avec les inter- 3G4 CLINIQUE NERVEUSE . prétations psychologiques multiples qu'on pouv
somnie complète des grandes hystériques à manifesta- 366 CLINIQUE NERVEUSE . tions multiples et surtout viscérales. On ne r
re' même de la vie du sujet, et cela ramène tous les 268 CLINIQUE NERVEUSE . événements que l'on a vus se dérouler dans l'o
le centre ovale ou dans toute autre masse blanche, de terminaisons nerveuses : ' dans l'état actuel de la neurhistogenèse, o
(icationscirculaLoiresliéesau dynamisme fonctionnel, des centres nerveux suffisent à provoquer des^ modifications bémalolo
les simultanés sur les organes hématopoié- tiques et sur le système nerveux . F. TtssoT. 4L6 revue de pathologie mentale.
: 1° une sclérose diffuse ou un développe- ment exagéré des fibres nerveuses de la névroglie dans la substance cérébrale ; e
cérébrale ; et 2° une altération simultanément étendue des cellules nerveuses qui est négative ou positive, la lésion négative
uteur ne révèlent aucune- augmentation du pigment dans les cellules nerveuses ; 3° mais ils montrent la fréquence des altérat
s autres organes, dans les maladies fé- briles, etc., si le système nerveux est atteint, c'est la méningite qui est la lési
me : Les états de conscience sont abso- lument différents des états nerveux , mais se rencontrent concur- remment avec eux.
rent concur- remment avec eux. Pour tout état mental il y a un état nerveux corrélatif mais sans interférence connue. Les p
ce que nous considérons comme l'expression physique des élé- ments nerveux concomitants des états conscients ; 2° les phéno-
ience qui, pour nous-mêmes, sont en corrélation avec certains états nerveux , ayant une expression physiologique définie, so
e conscience qui chez les autres,sont en corrélation avec des états nerveux ayant en fin de compte une expression identique.
compagnant des états fonctionnels et dynamiques de tous les centres nerveux , ou tout au moins ces états de conscience qui a
tout au moins ces états de conscience qui accompagnent des états nerveux inférieurs dans des conditions qui ne sont pas no
REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 425 tions de l'esprit et du système nerveux , lesquelles varient d'inté- gralité, de régular
et de rapidité, et sont déterminées, en ce qui concerne le système nerveux , par diverses causes physiques. On abandonnera
es, sachant par expérience que la restauration des états physiques ( nerveux ) s'accompagne nécessairement de la restauration
plus longtemps que les sujets à organisa- 4'28 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tion supérieure ; h) chez les sujets jeunes la
e maladie sera prolongé. H. de Musgrave CLAY. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XX III. - Industrie et alcoolisme ; par M. W. C
dre l'alcoolisme ouvrier. R. de Musgrive CFAY- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 429 l lIr.- Un cas de tumeur cérébrale avec so
iLé dystrophique, il faut admettre en partie 1U REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . l'influence du système nerveux central sur le
en partie 1U REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. l'influence du système nerveux central sur le développement on- togénique, se
minués par suite de l'altération du système asiles d'aliénés. 433 nerveux trophique. La dysenterie trouve un terrain partic
rable chez les aliénés par suite de la détérioration des cel- lules nerveuses qui modifie les fonctions nerveuses trophiques du
la détérioration des cel- lules nerveuses qui modifie les fonctions nerveuses trophiques du colon. Elle apparaît beaucoup'moi
lois générales qu'il'en a tirées. Ch. Donne. XI. De la Pathologie nerveuse et mentale chez les anciens hébneuxet dans la r
1907, par le Dr VULFING- LUER. L'étude clinique de la pathologie nerveuse et mentale des Juifs n'existe pas encore ; et t
raitées : 1° Epreuves écrites. Anatômic et physio- logie du système nerveux : Nerf optique (anatomie et physiolo- gie). Adm
épreuve écrite sur un sujet d'anatomie et de physiologie du système nerveux . Les onze can- didats ont eu à traiter : Artère
autre vacant avant le le, mai 1908. Hôpital DE la PiTIÉ. Afa/atS nerveuses . M. le Dr DABINSKI, médecin de l'hôpital de la
, reprendra ses conférences cli- niques sur les maladies du système nerveux le samedi 4 mai 1907, à 10 heures et demie du m
ratuites pour les enfants indigents atteints de maladies du système nerveux , le jeudi à ! ) It. 1/2. On] peut se rendre à l
Vol. 1. 3e Série. Juin 1907. N° 6 ARCHIVES DE NEUROLOGIE CLINIQUE NERVEUSE Hystérie et sommeil (Théorie physiologique de
'écorce cérébrale. A;cames, 3° série, 1907, t. I. 29 450 CLINIQUE NERVEUSE . modification de la sensibilité objective et su
ux sont avant tout des centres dynamiques. Leur siège, 452 clinique NERVEUSE . Les phénomènes psychiques de l'hystérie sont,
s un peu mieux ce qu'est un centre cortical, ce que sont les fibres nerveuses qui le relient aux organes pé- riphériques ; no
encore que nous igno- rions exactement ce que c'est que l'activité nerveuse elle-même, que nous ne pouvons que comparer à d
Voir : L'hystérie et son traitement». F. Alcan, 19ùl. 454 CLINIQUE NERVEUSE . nothérapie. C'est alors qu'on assistera à ces
bules, et que les réactions provoquées par ces excita- 456 CLINIQUE nerveuse . tions locales dans des cas de troubles localis
iste le sommeil pour reconnaître qu'il dort, et savoir 458 CLINIQUE NERVEUSE . comment le réveiller. Et s'il se réveille quan
sais rien. Cela importe peu d'ailleurs. J'ai pensé que l'épuisement nerveux pouvait être incri- miné, parce que c'est souve
d'arrêt se traduit à un moment donné par des manifes- 460 CLINIQUE NERVEUSE . tations fonctionnelles, d'ordre général le plu
que l'émotion provoque l'anesthésie, en engourdissant les centres nerveux , et qu'elle les engourdit en anesthésiant l'ind
is (1) « Les troubles de la mémoire a ? HuPff, 1893. 462 CLINIQUE NERVEUSE . disparaître en me bornant simplement à le réve
Les Phénomènes d'autoscopie ». Paris, F. Alcan, 1903. 461 CLINIQUE NERVEUSE . fut une surprise pour moi de voir des sujets à
manière de voir. Archives. 3' série 1907, t. I. 30 466 CLINIQUE NERVEUSE . En résumé, la théorie physiologique que j'ai p
l'un et l'autre une cause mécanique, à une interruption de l'influx nerveux au niveau des extrémités de deux neurones conti
l existe un obstacle à un mouvement volontaire unilatéral, l'influx nerveux tend à prendre la voie symétrique du côté opposé.
· Grasset (J.).-Plan d'une physiopathologie clinique des centres nerveux , Montpellier médical, XIX, 1904. L'action motri
de la puberté. F. TissoT. XXV. Régénération collatérale de fibres nerveuses terminées par des massues de croissance, à l'ét
Icon. de la Salpêtrière, 1906, n° 3.) La seule forme de réparation nerveuse connue jusqu'ici est celle décrite par Ranvier
lle. C'est là une disposition probablement générale dans le système nerveux et ces fibres à massues de croissance doivent êtr
placement destinés à remédier à l'usure physiologique des fibres, nerveuses . Leur multiplication excessive dans le tabes, l'o
ui, observation d'un homme tuberculeux qui, au milieu de troubles nerveux vagues, fait quelque ictus successifs et meurt av
urt une héré- dité convergente des plus chargées au,x points de vue nerveux , mental et dégénératif. Influence favorable du
s instinctifs sont exécutés par des trac- tus différents du système nerveux ; 2° que le système moteur voli- tionnel évolua
is nous souvenir que beaucoup de toxines en s'unissant aux cellules nerveuses ou en modifiant de toute autre manière leur act
le qu'ils ont eu un prurit quelconque. F. T. LXVII.- Arthropathie nerveuse chez un paralytique général non tabétique ; par
iale pour la voie sensitive ou pour la voie 496 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . motrice. L'âge des malades et la durée de l'af
sation de ces troubles médullaires. G. Dl : nv. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE X X I X. - Deux frères atteints de myopathie pr
utôt qu'à une myo- pathie. Après tout il est possible qu'un élement nerveux soit venu s'ajouter au cours d'une myopathie pr
affection y est rare, mais les cas décrits sont REVUE de'pathologie nerveuse . 497 intéressants à rapprocher de ceux rapporté
évéla Archives, 3' série, 1907, t. I. 32 119S REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . une encéphalite diffuse'avec un syndrome confu
divers tissus. F. TISSOT. XXXV. Les principales formes des troubles nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité ; par Alquie
oelle et des racines pouvant être réalisés par les mani- festations nerveuses d'origme pottique. Après l'exposé d'un grand no
s, l'auteur aborde le diagnos- tic différentiel avec les affections nerveuses médullaires ou para- médullaires dont le mal de
que parfois, et malgré une analyse conique minutieuse des troubles nerveux , il est absolument impossible, en l'absence de
Charcot, qui portait sa méthode dans le chaos de la patholo- gie nerveuse . Bientôt, l'esprit mûri de notre collègue prena
Leipzig, 1894 ; Traité élémcntaire d'anatomie médi- cale du système nerveux , 1 vol., ISU 1 ; - La pathologie des émotions,.
les effets du traitement, hydrothermal dans les maladies du système nerveux et en particulier de la moelle épinière. . J. R
le dévot esl un être ma- ladif, prédisposé aux troubles du système nerveux , smémutil, triste, humble .craintif, égoïste, é
iteur, 1907. M. le prof. Grasset, à qui la connaissance des centres nerveux doit tant de progrès, vient de publier une inté
ratuites pour les enfants indigents atteints de maladies du système nerveux , le jeudi à 9 h. t ? On peut se rendre à la Fon
hémorragique ; par Monro et Findlay, p. 54. Aw. L'- et le système nerveux ; par Forel, p. 80. Amyotrophie juvénile progr
par Babinski, p. 437. Arriérés. Voir Enseignement. Arthropatiiie nerveuse chez un paralytique général non tabé- tique ;
s asiles ; par Marnaj.p. 435. Cellules. Sur la continuité des - nerveuses et sur quelques autres sujets connexes ; par
er, p. 50. Sur les rapports cuire les à bâtonnets et les éléments nerveux dans la para- il sic progressÏ\ e ; par CerlcLL
voir Réticulum fibrillaire. Les altérations ca- davériques des - nerveuses étudiées par la méthode de Donaggio. par Scar
ES. Voir Calfle muéliql1r. La dégénération et la régénération des nerveuses "périphéri- ques : par l3esta, p. 253. Ies- m
tologiques et embryologiques sur la structure de la des libres nerveuses périphériques ; par BesLa, p. 252. Ganglions
ion du : par Kéraval, p. 148. Leçons cliniques sur les maladies nerveuses et mentales ; par Stcherbax, p. 88. Législati
Pathologie. Voir Idiotie. - Voir ]'amll/sie- générale. De la - nerveuse et mentale chez les anciens hébreux et dans la
ne, p. 500. Porencépiialie. Voir Amaurose. l'OTT. Voir Troubles nerveux . Pouls. Voir Atropine. l'sr..ono-angine. Un c
3rissauU CL Mou- tier, il 191. Racines médullaires. Voir Fibres nerveuses . Rapport médical et compte mo- ral et adminis
le tétanos guéri ; par Bonniot, p. 156. - Voir Sérum. Réactions nerveuses . Voir "[dl/p- falioLL. Recherches cliniques.
que ; par Lejonne et Charticr, p. 155. - par Bar, p. 500. SYSTÈME nerveux . Voir Ame. Tabès. Voir Lésions syphilitiques.
folie ; par Sydney J. Cole, p. 495. Les principales formes des nerveux dans le mal de Pott sans gibbosité ; par Alquie
93 (1897) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 12
mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES - Rédacteur en chef: Docteur Edgar BÉRILLON
mois PSYCHOLOGIE — PÉDAGOGIE — MÉDECINE LÉGALE MALADIES MENTALES ET NERVEUSES Rédacteru en chef: Docteur Edgar BÉRILLON PRI
e méthode d'investigation psychologique ; 2° la clinique des maladies nerveuses et mentales ; 3° la pédagogie clinique; 4° tous l
je n'aurais jamais soupçonnées. Un jour qu'elle avait eu une crise nerveuse , dont elle n'était pas coutumière, et qui me para
sur ce phénomène, et plusieurs fois j'ai pu constater que des crises nerveuses s'étaient produites par ce mécanisme. Permettez-m
Ses antécédents héréditaires sont chargés. Son père était irritable, nerveux . Sa mère avait 49 ans lorsqu'elle le mit au monde
suggestive. Il s'agit d'une dame, âgée de trente-huit ans, fille de nerveux et d'alcooliques, devenue éthylique elle-même apr
férocos, précipices, etc.), tout le tableau en un mot d'une déchéance nerveuse et organique profonde, bien faite pour servir de
e — le traitement de choix de tous les troubles dynamiques du système nerveux , quelles qu'en soient les formes cliniques et les
. — Extériorisation de la sensibilité. 12. M. Gorodichze. — Dyspnée nerveuse guérie par la méthode édu- cative. 13. M. H.
et je ne tardai pas à être convaincu que celte jeune femme était une nerveuse , je ne dis pas une hystérique classique, parce qu
e pouvoir pas avoir d'enfants. Cette jeune femme était pour moi une nerveuse , et son nervosismo, quelle qu'eut été son origine
communiquant ce que sera devenu cette grossesse inespérée, et l'état nerveux de mon intéressante malade. Je termine en disant
ur activer la nutrition générale et modérer l'irritabilité du système nerveux . Chez les convalescents de maladies graves, l'a
la dépendance d'une sorte d'inertie psychique, d'un défaut d'énergie nerveuse , morale, je résolus d'appliquer une stimulation v
ortant. Mère morte à ; trente-un ans, suite de couches. Sa mère était nerveuse . Deux frères ou sœurs sont morts, l'un en naissan
e de marcher et, le 24, elle dut rentrer à l'hôpital. Au point de vue nerveux , elle est très impressionnable. Elle a eu une cri
nt de vue nerveux, elle est très impressionnable. Elle a eu une crise nerveuse à la suite d'une visite de ses parents ; une seco
able d'ajouter le somnambulisme artificiel à la pathologie du système nerveux , chapitre que les investigations du plus grand no
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
rsqu'il entra à l'hôpital, il avait une céphalée continue, des crises nerveuses fréquentes et une telle sensibilité qu'un objet b
nd jour do son entrée, sa céphalée disparaissait.. Quant à ses crises nerveuses , il n'en eut plus jamais. } C'est la disparit
s exemples, vous êtes maintenant convaincus que, contre les accidents nerveux , l'hypnotisme peut être employé et rendre de gran
isme d'une malade qui, en même temps qu'elle présentait des accidents nerveux , portait une grave lésion rénale. , Il s'agit d
rs jours. Comme symptômes de névropathie elle a présenté des crises nerveuses , de l'aménorrhée, de l'anuriequi a duré une fois!
es que la guérison est réalisée. La douleur, l'insomnie, l'excitation nerveuse ou l'atonie, les troubles circulatoires digestifs
r faire disparaître d'une manière plus ou moins brusque des accidents nerveux ; mais aussi comme mode de traitement de toutes le
l. Mais mes efforts répétés n'obtinrent aucun succès. Le malade était nerveux , inquiet, agité, secoué par des tressaillements m
ent à envisager d'une façon toute spéciale la nature de ses accidents nerveux . Evidemment, il s'agissait là d'une neurasthénie
n, développée à la faveur d'une dyspepsie et d'une fatigue du système nerveux , ainsi que je l'avais affirmé dans mon diagnostic
s qu'au contraire la douleur le rapetisse et l'avilit, « Les malaises nerveux , les bobos, les vapeurs, laissons cela aux femmes
son caractère, sur la recherche du mécanisme intime de ses accidents nerveux et qui appelle à son secours à la fois le jugemen
ra, certaines crises envahissantes peuvent rendre compte des troubles nerveux consécutifs observés, et rentrent du fait même da
rs rapports respectifs avec la dégénérescence mentale et l'épuisement nerveux . Pour lui, en effet, la phobie n'est d'abord « qu
s d'angoisse, et les considère comme traduisant « une véritable crise nerveuse , non plus dans le domaine de la motricité, mais d
rtout chez les phobïquss ? une augmentation morbide do l'excitabilité nerveuse ». De là cette constatation si juste que « dans l
nir chez tout individu en imminence de fatigue ou de déséquilibration nerveuses , mais affectant de préférence les psycho-névropat
s préliminaires changements qui peuvent être apportés dans le système nerveux , tandis que l'Ecole de Nancy soutient que la sugg
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dûpemaire neurologique et pédagogique), est anne
e ont été également faites, à la section des maladies mentales et nerveuses : par M. A. de Joug (de La Haye), sur le traiteme
at est dû au libéralisme des organisateurs de la section des maladies nerveuses et mentales, MM. les professeurs Kojénikoff, von
e, de chloral, de morphine ou d'autres stupéfiants ont sur la cellule nerveuse une action beaucoup plus délétère que le procédé
nous avons pu nous assurer qu'elle était le résultat d'une contagion nerveuse , l'enfant ayant assisté à des crises d'hystérie.
pnotique ne peut produire que l'abaissement de la fonction du système nerveux , et par conséquent il agit comme un sédatif. 6)
fonction dans une direction1 déterminée. 7) L'excitation du système nerveux parla suggestion ne peut être que de courte durée
rs résultats au traitement des états d'excitation générale du système nerveux , quelle que soit la cause de cette excitation.
douleurs de toutes espèces et dans toutes les excitations du système nerveux chez les neurasthéniques, dans tous les états aff
s mentales, qui se caractérisent par l'excitation générale du système nerveux et du cerveau en particulier, qui produit divers
que sous la condition de l'amélioration de l'état général du système nerveux . Par exemple : la disparition des idées impulsive
l'hypnotisation provoque uuo espèce d'excitation générale du système nerveux qui est toujours passagère, mais qui peut quelque
nt être guéris que par l'hypnotisme. Quant au traitement des maladies nerveuses , l'hypnotisme et la suggestion doivent être regar
e 30 ans, actuellement enceinte de 8 mois et demi, est née d'une mère nerveuse et impressionnable, après une grossesse difficile
de nombreux revers de fortune. La grand'mère du côté maternel, très nerveuse , serait morte d'un transport au cerveau, avec gra
après des excès de toutes sortes ; garçon mal équilibré, extrêmement nerveux et sujet à des crises d'agitation. Une sœur un pe
oduit. En ligne descendante, Madame X... a deux petites filles très nerveuses de 9 et 8 ans. Les deux enfants sonts surveillées
vation I. — Mme T..., multipare, croit être enceinte do 9 mois. Femme nerveuse ; plus clic a d'enfants, plus ses grossesses sont
ux s'étaient particulièrement concentrés sur la pathologie du système nerveux cérébro-spinal chez l'homme et sur l'anatomie com
eux cérébro-spinal chez l'homme et sur l'anatomie comparée du système nerveux central chez les vertébrés; on lui doit la découv
ifférentes époques, les ouvrages suivants : Recherches sur le système nerveux cérébro-spinal, sa structure, ses maladies (1865,
, ses maladies (1865, in-8°); Iconographie photographique des centres nerveux (1872, 2 vol., 70 pl.); Des aciions réflexes céré
éflexes cérébrales (1874, in-8°) ; Leçons sur les maladies du système nerveux (1875, in-S*} ; Des conditions palhogémques du dé
russes et français. M. Raymond, professeur de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris, a reçu du prof
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogique), est.an
. X..., qui me déclare encore pendant celle opération qu'il n'est pas nerveux du tout et qu'il est bien persuadé que tenter une
blo état d'hypnose, il y a une orientation particulière de cet influx nerveux , et en même temps concentration de toutes sas for
n'a pas connu ses grands-parents. D'après son frère ils n'étaient pas nerveux . Son père alcoolique s'est suicidé sans qu'on ait
s'est suicidé sans qu'on ait su le motif. 8a mère est rhumatisante et nerveuse mais sans crises hystériques ou épileptiques. Ell
Les autres vivent; ils sont bien portants et aucun n'a eu de maladie nerveuse ou mentale. La malade a eu la fièvre typhoïde, ve
a eu un enfant Tannée suivante. La malade dit qu'elle était très nerveuse mais qu'elle n'a jamais eu de crises hystériques.
sur elle les renseignements suivants : « elle a toute jours été très nerveuse , exaltée et môme parfois très violente. Elle a «
mine, en effet, selon son expression, - le dérangement de son système nerveux m. Fernand P..., très incommodé par son tremble
e se faire soigner. Il vient, dans ce but, à la Clinique des maladies nerveuses , qui est annexée à l'Institut psycho-physiologiqu
l'un de 50, l'autre de 40 ans ; sa mère, à ce qu'il raconte, est très nerveuse , elle présente une émotivité exagérée, un rien la
il n'a fait, prétend-il, aucune maladie, ni manifesté aucun accident nerveux . Bien qu'il n'ait que 15 ans, il parait facilem
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogique), est an
ie beaucoup. Parmi mes premiers malades, j'eus peu de cas de maladies nerveuses graves ; et je réussis dans ma première centaine
s sont dus à des altérations dans l'activité fonctionnelle des fibres nerveuses de la matière blanche des hémisphères cérébraux-.
comporte ont leur source purement subjective qui est dans le système nerveux du sujet lui-même. La fixation d'un objet brillan
hef de l'asile d'Armenlières. Examiner le fonctionnement du système nerveux et des viscères des aliénés, n'est pas moins util
t pas ainsi, pourrait-on, en conscience, négliger l'examen du système nerveux dont l'activité mentale apparaît comme le produit
brication des facultés intellectuelles ? Les troubles des fonctions nerveuses communes doivent donc être recherchés dans le
r conséquent pas bien digéré et ayant, par contre, surmené le système nerveux , préoccupé du lendemain, n'a subi l'agitation d'u
plus divers: attaques d'hystérie nettement caractérisées, gastralgies nerveuses , crises de larmes, accès d'angoisse, tics convuls
ies infectieuses). Enfin, les époques où le développement des centres nerveux subit une poussée sont favorables à l'éclosion de
e sauté robuste, bien constitué, non hystérique, exempt d'antécédents nerveux héréditaires. Comme antécédents personnels, il co
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
a santé publique qui nous est démontré par la fréquence des accidents nerveux que provoquent les manœuvres intempestives des ma
ent fonctionnent les modes physiologiques habituels de la sensibilité nerveuse commune chez l'aliéné? L'examen n'est pas toujo
spéciaux qui transmettent l'action des agents extérieurs aux centres nerveux , déterminent, à l'état normal, la sensibilité cut
tions. Le sens de l'équilibre est encore le fruit d'une élaboration nerveuse d'origine organique qui se rattache, comme on sai
circulaires, et domine, de même que le sens musculaire, la pathologie nerveuse . Les tabétiques qui perdent leurs membres dans le
ction d'inhibition volontaire est une des plus importantes du système nerveux . La volonté d'arrêt, fonction essentiellement psy
cquérir une puissance extrême. Placée sous la dépendance des cellules nerveuses , elle en partage toutes les vicissitudes. Très ac
ds maux de tête, dans son enfance; a toujours été bien réglée, un peu nerveuse , sans offrir toutefois des stigmates d'hystérie b
nfants et de mauvaises couches, suivies de péritonite, etc. C'est une nerveuse et, probablement, une hystérique, bien qu'elle n'
que, bien qu'elle n'en offre pas les stigmates bien accusés ; de mère nerveuse qui, abandonnée par son mari, avec plusieurs enfa
es maladies qui se caractérisent par l'excitation générale du système nerveux et du cerveau en particulier, produisant des symp
e rendus par ce moyen, non pas seulement dans le domaine des maladies nerveuses et mentales, mais dans celui de la rnédecine en g
étude de l'anatomie, de la physiologie et de la pathologie du système nerveux . Il avait débuté en affirmant la part qui revie
un prix à l'Académie des sciences pour ses recherches sur le système nerveux cérébro-spinal, dont-il décrivit la structure, le
ivie de la publication de son Iconographie photographique des centres nerveux a Vétat pathologique. . Directeur de la maison
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
. — Applications des travaux de Branly à l'étude de la conductibilité nerveuse . Jeudi 3 Février, à cinq heures, M. le D' Béril
ntations d'appareils. Faculté de Médecine. — Cliniques des maladies nerveuses : M. le professeur Raymond, les mardis et vendredi
due de la surface sensible, varie essentiellement avec la sensibilité nerveuse de la personne en expérience ; et c'est même là u
ue la méthode du sommeil prolongé pour obtenir la sédation du système nerveux . Or, pendant ce sommeil, qui est du degré le plus
leur faire commettre les actions les plus délictueuses. Telle femme nerveuse refuse absolument de se laisser traiter par la su
malade à Nancy, et cela sur ma recommandation. Une dame de 37 ans, nerveuse depuis plusieurs années, parêsique droite avec co
— Applications des tra~ vaux de Branly à Vétude de la conductibilité nerveuse . Jeudi 3 FÉvniER, à cinq heures, M. le D' Bérll
terne de Briquet; c'est là qu'il prit le goût de.l'étude des maladies nerveuses : il recueillit dans ce service les matériaux de s
a avec une prédilection marquée des maladies du cerveau et du système nerveux . En 1856, il publia dans les Archives de Médecine
pnotisme, 2' année, 1888, p. 33. — Spasmes de l'urèthre et troubles nerveux — guérîson par l'hypnotisme. » Revue de VHypnotis
(i). Dès les premières recherches sur le fonctionnement du système nerveux , il a paru naturel d'admettre entre la conductibi
système nerveux, il a paru naturel d'admettre entre la conductibilité nerveuse et la conductibilité électrique une ressemblance
lectrique une ressemblance qui a été exprimée par le terme de courant nerveux . Le système nerveux passait alors pour constituer
blance qui a été exprimée par le terme de courant nerveux. Le système nerveux passait alors pour constituer un tout dont les di
res années, les recherches histologiques ont fait voir que le système nerveux est formé de neurones, éléments indépendants, san
extrémités ramifiées et par contiguïté. Il en résulte que l'onde nerveuse se propage par contiguïté et qu'elle est arrêtée
le est arrêtée par un défaut de contiguïté. L'assimilation du système nerveux à un système de conducteurs métalliques n'est plu
une analogie frappante se présente entre le fonctionnement du système nerveux et les propriétés d'un conducteur discontinu, pro
directe de violentes décharges. Assimilation avec la conductibilité nerveuse Si l'on compare le système nerveux à un conduct
milation avec la conductibilité nerveuse Si l'on compare le système nerveux à un conducteur discontinu, un neurone se comport
ression de la transmission, soit sensitive, soit motrice, de l'influx nerveux et par conséquent, à un défaut de contiguïté des
nerveux et par conséquent, à un défaut de contiguïté des terminaisons nerveuses . « D'autre part, de même que les oscillations d
du choc et des étincelles sur les radioconducteurs et sur le système nerveux hystérique se poursuit dans la susceptibilité de
causées par le ralentissement de la nutrition. Si ces alïections sont nerveuses et peuvent être attribuées à une transmission imp
et peuvent être attribuées à une transmission imparfaite de l'influx nerveux , on est autorisé à supposer que les oscillations
oscillations électriques agissent en rétablissant entre les éléments nerveux une contiguïté qui était devenue insuffisante.
ibilisation). Les courants continus agissant également sur le système nerveux , il y aurait lieu de rechercher si leur mode d'ac
ion de l'assemblée si éminente, qui constitue la section des maladies nerveuses et mentales, sur les mesures de restriction en qu
llants et permanents et dont un médecin spécialiste pour les maladies nerveuses ou mentales ne peut pas et ne doit plus se passer
it et qu'on le rasait il se perdit une demi-heure du meilleur sommeil nerveux ) ; aussitôt après commença l'opération, en présen
s en indiquer une, basée sur l'ana-tomie et la physiologie du système nerveux . Nous avons vu ici même ('J-le parti qu'on peut
ux. Nous avons vu ici même ('J-le parti qu'on peut tirer du réflexe nerveux dans l'étude de la volonté et des causes des acte
olonté et des causes des actes. Ce réflexe décompose les phénomènes nerveux en trois phases : 1) La sensation arrive au cer
, paraît-il, un appareil permettant à toute personne d'un tempérament nerveux de s'hypnotiser elle-même en deux ou trois minute
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pé- dagogique],
, de suicide ; len-tauves de suicide ; excitation générale du système nerveux , insomnies, gâtisme, relus d'aliments et de médic
s cette disposition commune à tous les hommes par laquelle le système nerveux central de chacun est apte à recevoir, par l'inte
es grands suggeslibles peuvent être soumis à toutes les modifications nerveuses . On suscite en eux des algies et des analgésies,
influences diverses, de l'état général et particulièrement de l'état nerveux d'un sujet, transformation au cours de laquelle s
i, un des premiers, se livra avec grand succès à l'étude des maladies nerveuses qui font le sujet principal des travaux de notre
e développement des phénomènes d'hystérie locale. Mataaies du sysième nerveux . T. 1, p. 449. (2) : Sur la diathèse de contrac
l'intervention chirurgicale et principalement sur la part que l état nerveux de la malade pouvait avoir dans la persistance de
ostic fut que les douleurs éprouvées étaient la conséquence de l'état nerveux ; que l'habitude do l'idée de la douleur entreten
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses {dispensaire neurologique et pédagogique), est an
itement de l'épilcpsle. Mardi 10 Mai. — Les névroses par épuisement nerveux . — La neurasthénie anxieuse. — Les obsessions et
période réjractaire, c'ost-à-Jlrc le temps pendant lequel le système nerveux , qui vient d'ôlre excité, demeure inexcitable; il
re l'idée conçue ou suggérée, agissant sur le cerveau, sur le système nerveux , sur les fondions de nutrition, de respiration, d
nous avons pu nous assurer qu'elle était le résultat d'une contagion nerveuse , l'enfant ayant été témoin de crises d'hystérie.
cès de colère, elle blessa son fils avec un couteau. La mère est très nerveuse . Elle a présente longtemps de grandes attaques d'
la force d'attention, omniprésente partout où il y a de la substance nerveuse , rayonne du cerveau, et, par un mouvement centrif
états passifs, la cause en est due certainement à ce que les centres nerveux agissent souvent indépendamment les uns des autre
st somatique. Aussi les voit-on, par exemple dans des cas de troubles nerveux ou mentaux, prescrire les potions ou les pilules
no s'est encore produiteque l'organisme est déjà changé; son système nerveux vaso-moicur est ému avant elle. » Ces recherche
fair; qui s'est toujours occupé spécialement des troubles des centres nerveux , prétend que lu jeune fille en question est à l'a
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladie» nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique)^ est an
oit avoir été fréquemment répété, de telle sorte quo le mécanisme nerveux n'offre plus aucune résistance à sa mise en œuvre
, (Revue neurologique, 1897, n° 11. p. 298.) — On sait que le système nerveux central est considéré de nos jours comme un a
s jours comme un assemblage de neurones, c'est-à-dire de cellules nerveuses à prolongements mobiles. En invoquant les vibrati
illain, qui a déjà écrit, sur diverses questions relatives au système nerveux , de nombreux travaux appréciés, vient d'entrepren
apitres comporte deux subdivisions ; les troubles viscéraux d'origine nerveuse et les troubles nerveux d'origine viscérale. L'
divisions ; les troubles viscéraux d'origine nerveuse et les troubles nerveux d'origine viscérale. L'auteur n'a pas eu la pré
oulèvent le diagnostic, le pronostic et la thérapeutique des maladies nerveuses ;:., il peut se flatter d'y avoir réussi. On ne sa
ment, — neurasthénie, — psychoses, — hystérie, — amblyopieet sunrdité nerveuses , — alcoolisme chronique, — morphinisme, chlora-li
maladies rhumatismales, — hémorrhagies, — phtisie, — asthme et toux nerveuse , — maladies, de cœur, — congestions locales, — ma
nglais par le Df Petersen, alors que ce dernier étudiait les maladies nerveuses et mentales à Paris, à Nancy, â Zurich et à Vienn
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique rie maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
e des caractères (sur une), par le Dr Regnault, 250. Conductibilité nerveuse et conductibilité électrique discontinue, par le
94 (1881) Archives de neurologie [Tome 02, n° 05-06] : revue trimestrielle des maladies nerveuses et mentales
. ARCHIVES DE NEUROLOGIE ' REVUE TRIMESTRIELLE DES MALADIES NERVEUSES ET MENTALES PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION DE J.-M
Les ganglions sont des confluents où les conducteurs de la force nerveuse cérébrale subiraient une in- terruption (Meyner
ique avec non moins de soin que les autres difficultés des centre nerveux , ne la démontre en réalité que sur le cerveau d
ns, peuvent conduire à la distinction de plusieurs modes du sommeil nerveux , jusque là confondus sous la dénomination génér
entation. L'état hypnotique, en effet, n'est autre chose qu'un état nerveux artificiel ou expérimental, dont les manifestat
quée ; le mode de succession chez un même sujet de ces deux états nerveux : léthargie provoquée et catalepsie provoquée ;
re, l'excitation mécanique localisée soit au tendon, soit au rameau nerveux , soit au corps du muscle lui-même '. § 1. EXC
isseurs ou des extenseurs au dessus du poignet. D'autres affections nerveuses au contraire sont, on le sait, marquées, dans l
tendineux, l'ataxie locomotrice par exemple. Les différents états nerveux auxquels les pratiques de l'hypnotisme donnent
ions nous ont appris que, souvent, dans l'hypnotisme cette activité nerveuse spéciale n'est pas modifiée d'une façon uniform
aison de l'excita- bilité variable des diverses parties des centres nerveux . Sous ce rapport, l'axe médullaire peut être di
avons choisi, pour les soumettre à l'expéri- mentation, des troncs nerveux assez volumineux et faci- lement accessibles à
nés au petit doigt et à l'annulaire reçoivent seuls leurs rameaux nerveux du nerf cubital, le nerf médian inner- vant les
les muscles innervés par le médian. A priori, l'excitation du tronc nerveux lui-même pro- duira les mouvements suivants :
médiaire entre l'adduction et l'abduction. (d suivre.) PATHOLOGIE NERVEUSE CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DES ARTHROPATHIES TABÉTI
point de vue qui nous occupe, et nous paraissent mé- 76 PATHOLOGIE NERVEUSE . riter une description minutieuse. L'examen de
rement des accidents analogues dans d'autres jointu- 78 PATHOLOGIE NERVEUSE . res. Ces observations montrent encore la symét
faisant saillie sous la chariot. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. II, p. 59; Paris, 1873. ÉTUDE SUR LES ART
ait peut-être jamais existé, ou du moins n'eut apparu 80 PATHOLOGIE NERVEUSE . que plus tard; le traumatisme a éveillé la man
on collatérale des veines superficielles. Le plus « 82 PATHOLOGIE NERVEUSE . souvent, la synovie fuse dans le tissu cellula
peuvent être invoquées pour expliquer leur indolence; 8t PATHOLOGIE NERVEUSE . mais elle n'est pas la seule. M. Charcot (comm
18 9.1 3 R. Blanchard. - Société de biologie, 1881. 86 PATHOLOGIE NERVEUSE . n'en avait que de fort minimes, on lesperçoitt
hies et les fractures des ataxiques reconnaissent une 88 PATHOLOGIE NERVEUSE . même cause, une altération du tissu osseux', e
ui se pro- duisent. 2 Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux . T. II. RECUEIL DE FAITS Asile Sainte-Anne. S
entre des limites qui peuvent être représentées par les courants nerveux et musculaire de la grenouille. M. Regnard obse
rait, selon lui admettre que les métaux agissent sur les extrémités nerveuses en leur communiquant des vibrations; que dès lo
ns différents coïncident ou non avec les vi- brations des molécules nerveuses , d'où impulsion ou arrêt, etc. On voit de suite
ent avoir la moindre influence. Aucune distribution vascu- laire ou nerveuse n'est suivie ; la sensibilité s'étend comme une
semble qu'elle se limite, par une sorte d'élection, aux extrémités nerveuses , tandis que les troncs et centres nerveux lui s
lection, aux extrémités nerveuses, tandis que les troncs et centres nerveux lui sont indifférents. Outre cette action local
distance, qui ne peut s'exercer que par l'intermédiaire des centres nerveux . Plusieurs circons- tances la démontrent. D'abo
vivisection pour les points déli- cats de la physiologie du système nerveux . En effet, et c'est ce qui constitue l'importan
es oesthésiogènes, Paris, 1880. Boussi (R.).-Etude sur les troubles nerveux réflexes observés dans s les maladies utérines,
PROUST et BALLET.- De l'action des aimants sur quelques troubles nerveux (Journ. de thérap., 1879). BoucsAUD. Contributi
que nous possédons sur la phy- siologie et la pathologie du système nerveux , de la sûreté de nos méthodes, nous pouvons abo
complète, suivant les sujets et aussi suivant l'état des centres nerveux . C'est « le phénomène du genou », dont l'étude a
ns et chez les malades atteints d'affec- tions diverses des centres nerveux . Dans tous ces cas, le réflexe est d'autant plu
t encore à faire ; les lésions qu'on a signalées du côté du système nerveux , telles que hyperhémie, infiltration séreuse ou
il avait une certaine classe d'individus présentant les phénomène» nerveux les plus incroyables. Dans le langage de paysan
; qu'ils se-trouvent après ces séances, mal à leur aise, épuisés et nerveux : aussi évitent-ils avec soin toutes les causes
ing » (action et état de celui qui bondit) est une sorte de maladie nerveuse psychique ou mentale , d'ordre fonctionnel. L'a
ychique, le « jumping » ne survient pas chez ceux qui sont faibles, nerveux ou anémiques, mais bien au contraire il atteint
leur existence. Ce n'est donc nullement une maladie « d'épuisement nerveux ». Ceux qui en souffrent le plus sont l'opposé
trouvé dans les familles des « sauteurs » aucune trace d'affections nerveuses fonctionnelles ou organiques. Le «jumping » est
lente et inattendue ; il n'est aucun de nous, et je parle des moins nerveux , qui ne puisse sauter ou crier, à l'instar de c
ar des expériences, la pathogénie et la thé- rapeutique des centres nerveux et principalement de l'épilepsie. Prix : 8,000
é un progrès capital dans la thérapeutique des maladies des centres nerveux , telle que serait, par exemple, la découverte d
n, viennent de fonder un nouveau journal de maladies mentales et, nerveuses . Ce journal parait par cahiers trimestriels, à pa
postérieure, dite corne d'Ammon 1 G. Huguenin. Anatomie des centres nerveux . Traduc. franc. Paris, 1879. LA CORNE D'AMMON
ues, avons formulée et figurée à la page 474 de l'article Système nerveux du XXXIIP volume du Dict. de Méd. et de Chirur,
n se colorer presque avec la même intensité que la coupe de tissu nerveux quelle inclut, et, quoique l'addition de glycé-
laire elle-même, ou bien suit- elle l'excitation des petits rameaux nerveux et de leurs terminaisons dans la substance du m
a contracture est ici, comme ailleurs, le résultat d'une excitation nerveuse de nature réflexe. . Quoi qu'il en soit, la c
ques y sont multiples; enfin, il existe de nombreuses ramifications nerveuses qu'il est difficile d'éviter. Néanmoins, nos
de l'avant-bras d'une hystérique hypnotisée et présentant l'état nerveux spécial favorable à ce genre de re- cherches, o
d'élection dont le siège paraît indiqué d'avance par la topographie nerveuse de la région, il faut encore compter avec les v
ariations individuelles fréquentes dans la distribution des rameaux nerveux . La localisation de l'excitation mécanique dans
e-même, soit indirectement, en portant l'excitation sur le rameau nerveux qui lui est destiné, en quelque point que ce so
sion, exercée directement sur le muscle lui-même ou sur le rameau nerveux qui l'innerve, met les fibres muscu- laires en
tion des nerfs de la face, qui peuvent faire rencontrer une branche nerveuse destinée à mettre en mouvement un Plus ou moins
- voqué la contraction en masse des muscles innervés par ce tronc nerveux et n'a pu* produire qu'une grimace. » La même c
" nez, ' q41"'reçoi 'vent' leurs filets moteurs 'd'un même' rameau nerveux qui passe sous l'extrémité supérieure du grand
'intrication d'une partie de leurs fibres.. De plus, un même rameau nerveux les innerve. - Il y a donc à craindre de touc
c à craindre de toucher avec l'excitateur .une portion .du rameau nerveux , , dont les fibres se distribuent. à plusieur
cours des expériences que nous venons de rapporter, que les troncs nerveux comme les muscles- eux-mêmes'étaient aussi bien
est directe'ou indirecte. (Quel- ques expériences sur des rameaux - nerveux , isolés et i éloignés des muscles qu'ils -inner
ppuyant sur- le . cartilage inférieur; dans ce point,' son. tronc-1 nerveux . n'est séparé du rhéophore que.de trois à quat
, ! ,inr,· ,3 lif - [;, 0 On conçoit qu'en ce même point ? ce tronc nerveux protégé par les os et les cartilages,- soit' di
aide de fibres de transmis- sion, atteint le bulbe, d'où les fibres nerveuses qui animent les diverses parties de l'appareil
tous les renseignements nouveaux dont s'est enrichie la pathologie nerveuse sont relatifs aux altérations de* la moelle, de
st bien portant; il y a lieu cependant de remarquer que sa mère est nerveuse et fort impressionnable. A l'âge de seize ans
cette singulière maladie, ou bien n'assistons- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 239 nous encore qu'à une rémission trompeuse ?
es avec symptômes cérébraux et bul- baires '. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. CONTRIBUTION A la STRUCTURE ET A L'HISTOIRE
ts permettant de rapprocher les deux faits. 240 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . tumeurs existent sur plus d'un tronc nerveux p
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. tumeurs existent sur plus d'un tronc nerveux principal ou sur ses branches. L'article contie
aucun doute, congénitale. Il est digne de remarque que ces lésions nerveuses coïncident souvent 'avec' des névroses ou des m
senté aucun symptôme qui pût faire soupçonner une lésion du système nerveux .' Des qua- torze autres ? huit ont 'présentera
urent de'maladies diverses n'ayant pas'de rapport- avec u affection nerveuse ; les autres succom- bèrent par' épuisement ou
,le trajet .' '. ju. : <.n m r - \u* ; . j REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 241 d'un tronc nerveux de petites tumeurs fusi
t;.n m r - \u* ; . j REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 241 d'un tronc nerveux de petites tumeurs fusiformes, non adhé- rentes
nt fournie de tissu adipeux, normale ' 16 243 REVUE DE pathologie NERVEUSE . dans ses lignes et dans ses mouvements, fait u
n du trijumeau ou des fibres sympa- thiques contenues dans le tronc nerveux (Eulenburg) ; trouble vaso-moteur de la région
it. Telles les névralgies rectales et reclo-vé- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 243 sa'cales qui se montrent chez des individu
. Neftel pense qu'il convient de combattre la dystrophie du système nerveux central, quel qu'en soit le fauteur pathologiqu
t amenée sur l'hypogastre (ligne médiane) 244 REVUE .DE PATHOLOGIE, NERVEUSE , étales deux régions ! inguinales;, on, pratiqu
s' tumeurs de cet or- gane ; la sclérose multiloculaire'des centres nerveux et l'hydro- cé' h'l "' ' " " "" ' limitée au' c
, ? l ? uiu ? ll, m,. i ? r,jii'.» ? iiij ? 216 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . on se propose comme objectif de déterminer ave
le de la Salpêtricre ;/te(<< ! e<tOH.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 247 ' : aboutissant à la dégénérescence stéato
aire, à, l'atro ? phie, et finalement à la disparition des cellules nerveuses pyra- midales (Obs. n° 90 du tableau); concurre
. n° 90 du tableau); concurremment, atrophie et sclérose des fibres nerveuses correspondantes, épaississement et infiltration
ur fit de la localisation des quatre autres 248 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . ' sens, goût, odorat, ouïe, vue en des régions
ies -fonctionnelles^ à l'homme; il se base sur le trajet des fibres nerveuses . L'arrivée dans la corne d'Aminon' oïl'dàiïs 1
ar, Neidhart qui fait jouer pourtant un certain rôle à l'irritation nerveuse ; enfin par Salzer à des modifications anatomiq
est, extrêmement douloureux,,causant de l'in- somnie, un épuisement nerveux et , une prostration physique générale 1 If, 1
x n'est pas habituellement affecté, C. T. 250 REVUE.DE pathologie NERVEUSE . VIII. CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE la paralysie s
e l'hémisphère droit, de la paralysie des nerfs REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 351 1 optiques oculo-moteurs hypoglosse à droi
oncis de recherches déjà( anciennes, que les phlegmasies du système nerveux ne dérogent pas, sous le rapport de l'aug- ment
ythème),'des muqueuses (angine, bronchite, 252 revue' de'pathologie* nerveuse .' vulvo-vaginite ? balanoposthite) ; ,`dans les
né gauche,, une tumeur de la grosseur d'une g54 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . pomme, on trouva àl'autopsie, sur la base du c
ait pendant la vie, grâce aux phéno- mènes très nets de compression nerveuse . Ces tumeurs sont survenues chez un jeune sujet
s de la maladie qui nous occupe ne sont marqués REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 255 que par une perte notable dans l'activité
u corps. On rencontre- également un foyer n revue de, pathologie, nerveuse . 257 i récent dans le corps strié droit en rapp
ur action chimique est irri- tante, plus aussi on voit les troubles nerveux qu'ils déterminent prendre, de gi : vité. Lorsq
, dont le docteur Hume a décrit, dans 17 258 REVUE de pathologie, nerveuse . 1- a zl, .2 Lrlntl W 11c'V.1u111 . ., J ·,uW
éme tee, 1 iris bleu, la paupière supérieure tombante. Le système nerveux est facilement troublé. Le système vasculaire est
yl9tqlfft4Fl ' LtUJ lClt i 1m kil- i si » .p FI REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . 259 VT ? mrm" rj ' ' ? '. ' '-* ir*.a4>- 4.
pleurs et enfin coma). Hémiplégie droite et 260 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE . aphasie (amnésie verbale). Deux mois et demi p
les différents CBR ? CLES DE TROUBLES INTELLECTUELS ; - LES MALADIES NERVEUSES MODERNES ; - L'ÉDUCATION DANS SES RAPPORTS AVEC
,,I,,aun : ) fl0lî f-a iu^En effet, (les troubles, intellectuels et nerveux ,prennent,çha- que jour plus d'importance et de-
ses, nous-'voyons 's'augmenter le nombre des maladies indirectement nerveuses , 'c'est-à-dire' dé1 celles qui,' sans avoir leu
aiguë; d'où l'augmentation et l'excès^des^appel^faits à l'activité nerveuse ,- et comme conséquence logique, les troubles nerv
à l'activité nerveuse,- et comme conséquence logique, les troubles nerveux oprésents ou éventuels. »,i ,,q. /f ? ,r tir.,n
rectement d'une infection.cLatprédisposition ? (hérédité, tempérament nerveux ? anémie -préalable, émotion ? violente 'antérieu
s patients ; elle nous apprend, en' même temps'que si les accidents nerveux de la maladie recher- chent'de'préférence l'enf
x ; quelquefois, corpuscules amyloïdes abondants dans les centres'- nerveux ; 'héo'-membrahes''étëndùes''dè*Ia dure-mère; da
ue et n'admet point son autonomie. L'intégrité absolue des centres, nerveux danssebservations/rapprochée de l'inconstance d
précis où le somMe ? tarde' à venir réparer la fatigue du 2 système nerveux .' Mais,* pas plus'qu'aux spontanées, IrlŸ.i`n'âQ
propagation coïncide un perfectionnement de structure du a,syst;ème nerveux ,tout entier. Par conséqent"dans toute l'échelle
e dans des troubles de l'hémopoièse, daiis la dystrophie du système nerveux , dont nous ignorons autant la nature que nous l
tômes sont rapides, quelquefois foudroyants » (p. 7). Ces accidents nerveux sont» sou- - tagés parles hains froids; c'est-
théorie de la fièvre. L'auteur discute, son origine,héma- tique ou nerveuse . M. Wood semble, supposer que les produits sept
n'élèveraient la température qu'en irritant localement les centres nerveux . , « La fièvre, dit-il (p. 3t8), même quand ell
ne irri- tative, est produite par une action,exercée sur le système nerveux . La fièvre'qui survient après l'altération du s
BIBLIOGRAPHIE. action directe ou indirecte du poison sur le système nerveux cen- tral, c'est donc/de par cela même, une név
me cérébral, peuvent 'être dus à une paralysie complète des centres nerveux qui président tant à la production de la chaleu
me tend à rétablir l'équilibre thermique, compromis par ces lésions nerveuses . Enfin, il était néces- saire 'de voir si les a
température devait avoir, directement ou indirectement, une origine nerveuse . Ces re- cherches ont conduit M. Wood à opposer
' . i|i| 'I , il '' VI. Contribution à l'étude de quelques troubles nerveux qui surviennent , chez les diabétiques; par E.
^ Diabétiques,' (contributions' à@ l'é- tude de quelques troubles nerveux . qui surviennent chez les) , par - n Mary, 3
s 263. *Ma) formations dans les mala- dies, 296. , . i Maladies nerveuses (modernes) , ,,261 ;. ,t (l'éducation dans les
riapisme (persistant et non attri- buable à une lésion du système ? nerveux ), parjPeabody, 249. 1(1 Prix Aubanel, 288. ,.
périeure. L'excitation, parfaitement localisée, porte sur le rameau nerveux destiné à ce muscle. 132 EXPLICATION DES PLANCH
95 (1892) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 1
se de ces déformations ? Existe-t-il une lésion primitive des centres nerveux ? On a dit qu'il s'agissait là d'une névrite péri
se des phalangines. En un mot, s'il existe une altération des centres nerveux , ce qui paraît bien possible, étant donnée la sym
mot ; elle semblerait devoir être subordonnée à une lésion du centre nerveux spinal. C'est l'opinion de M. Morvan. Le foyer, d
est encore vivante; elle est bien portante, n'a jamais eu de maladies nerveuses , ni d'attaques de nerfs. Tous ses frères et sœurs
s diminuée dans la main qui ne peut serrer que fort peu. Les troubles nerveux ne sont pas limités à la main. La flexion de l'av
e l'épaule. Il ne pouvait donc s'agir exclusivement d'une compression nerveuse au poignet. Le nerf, cependant, était nettement
out prix éviter les suites ultérieures possibles de cette compression nerveuse , qui aurait pu aboutir à une dégénérescence du ne
s'est produit. Tout d'abord le malade a été délivré de sa compression nerveuse et il a échappé ainsi avec certitude à ses danger
de l'hystérie, p. 478. (2) Voyez Leçons sur les Maladies du Système nerveux , t- III, p. 213, et Leçons du Mardi, t. I, p. 398
bien distinctes. La première dans la sclérose en plaques des centres nerveux , l'autre dans l'intoxication mercurielle. Eh bien
ymptômes-là dans l'histoire de la sclérose multiloculaire des centres nerveux . Est-ce donc de la maladie en question qu'il s'ag
attaques. Toute idée d'une lésion matérielle appréciable des centres nerveux doit donc être écartée ; c'est de lésions fonctio
ans, cultivateur, est entré dans le service de clinique des maladies nerveuses le 1G janvier 1890. On ne connaît rien touchant
. Dans la période antérieure de sa vie, il n'avait eu aucun trouble nerveux . Il n'est ni syphilitique, ni alcoolique. C'est
ibuer un certain rôle dans le développement de ses premiers accidents nerveux , si l'on était mieux fixé sur sa date. Il aurait
chargée de la simulation hystérique des diverses maladies du système nerveux (1). (I) Voir sur ce sujet l'intéressante thèse
ation plus ou moins prononcé. En conséquence la vitalité des éléments nerveux que ces artérioles nourrissent pourra se montrer
x ou trois fois un coup sur la tête ; on parle quelquefois d'hérédité nerveuse et migraineuse. Chez notre malade, le père a été
aisser subsister après elles, dans les parties intéressées du système nerveux , une épine, un désordre permanent. C'est probab
l'affection, quelle qu'elle soit, ne porte pas sur la partie du tronc nerveux qui contourne le pédoncule cérébral, car une tell
st pas de même en ce qui concerne la famille de la mère. Celle-ci est nerveuse elle-même. Son père, le grand-père de notre malad
On appela un médecin. Celui-ci aurait fait le diagnostic d'arthrite nerveuse et essayé dès le début le salicylate de soude et
oute lésion organique, soit des nerfs périphériques, soit des centres nerveux spinaux. L'œdème bleu des hystériques, Messieur
ien portants, vivant encore. 2 sœurs, dont l'une, atteinte de maladie nerveuse , est en traitement dans le même service. La malad
traitement dans le même service. La malade nie absolument toute tare nerveuse , tout alcoolisme chez les ascendants et les colla
ignorance que par mauvaise volonté de leur part, aucune trace de tare nerveuse clans les ascendants et les collatéraux, il est b
ns tel ou tel groupe musculaire sous la dépendance d'une même branche nerveuse . Des faits de ce genre existent cependant. Plus
seurs, c'est-à-dire sur les muscles innervés par cette même branche nerveuse . Tout cela est bien caractéristique et se passe d
t de l'observation suivante, les conditions de production des lésions nerveuses ne sont plus tout à fait les mêmes que dans les c
re. — Thèse citée. tique poplité externe, » admet que cette branche nerveuse est formée uniquement par le tronc lombo-sacré. I
e plus ici. De même que dans le saturnisme, l'alcoolisme, les lésions nerveuses se localisent de préférence aux troncs nerveux an
oolisme, les lésions nerveuses se localisent de préférence aux troncs nerveux animant les muscles extenseurs, de même chez les
ni refroidissement, ni traumatisme, ni compression apparente du tronc nerveux ou du plexus sacré. Mais la scia-tique s'est déve
lleurs, pour localiser la lésion au domaine de telle ou telle branche nerveuse , exiger que l'anesthésie soit exactement superpos
u poplité interne). pour conclure à la lésion des diverses branches nerveuses . Observation X (personnelle). — Sciatique ancie
phie dégénérative constatée dans les muscles animés par ce même tronc nerveux . Les troubles moteurs et sensitifs sont donc fa
ofesseur Charcot. Antécédents héréditaires.— Mère violente, colère, nerveuse , n'a jamais eu d'attaques de nerfs. Le frère de s
ine de son grand-père est folle. Son père est sain, ni alcoolique, ni nerveux ; un de ses frères est asthmatique. Les deux frè
soeur jouissent d'une bonne santé et n'ont jamais présenté d'accident nerveux . Arrière-grand-père. Frère, paroles incohéren
Frère asthmatique. Père sain. Pascal. Mère violente, colère, nerveuse . Deux frères et une soeur sans accident nerveux
violente, colère, nerveuse. Deux frères et une soeur sans accident nerveux . Antécédents personnels.— Fièvre typhoïde en 18
les limites de son anesthésie qui ne répondent à aucune distribution nerveuse . Mais il faut admettre d'abord qu'elles ne sont p
t sur le territoire de distribution musculaire et cutanée de ce tronc nerveux ; 2° Cette complication se présente aussi bien d
sieurs fois on a relevé l'existence de diverses affections du système nerveux déterminées par l'abus de la machine à coudre. M.
fluence du travail et de la machine à coudre est nulle sur le système nerveux , douteuse sur le système génital, mais plus marqu
ou tumeur de la région. Ils varient, bien entendu, avec le territoire nerveux qui est atteint. D'après Thornburn, à qui nous de
l'âge gris, le trait d'union nécessaire entre l'affection des fibres nerveuses sensitives et motrices. X. Ophthalmoplegie ex
e Ophthalmoplegie externe se combiner à d'autres maladies des centres nerveux , parmi lesquels on peut citer la paralysie généra
abétique. Lui-même, d'un caractère calme, n'a jamais eu d'accidents nerveux avant l'apparition de la maladie actuelle. Il nie
ictérique à soixante-deux ans. Père en bonne santé, ni alcoolique ni nerveux . Pas d'affections^ nerveuses dans la famille du c
ans. Père en bonne santé, ni alcoolique ni nerveux. Pas d'affections^ nerveuses dans la famille du côté des ascendants. Antécéd
ouroux, chef du service électrothérapique de la clinique des maladies nerveuses à la Salpêtrière. Nous en dirons autant au suje
ité n'est peut-être pas nécessaire; c'est la destruction de l'élément nerveux dans telle ou telle région qui importe surtout; m
se en pla- ques et d'autres lésions centrales organiques du système nerveux , peut, il importe de le remarquer, se compliquer
qu'elles relèvent d'une altération dynamique ou organique des centres nerveux ou des nerfs périphériques. Ressortissent à cette
tard, la protection de l'Assistance publique. Sommaire. — Accidents nerveux secondaires dans le diabète eonstftu-tionnel. — N
ujet des relations qui existent entre certaines affections du système nerveux et le diabète. C'est un sujet très compliqué, sur
osurie, même dans la glycosurie diabétique, une affection des centres nerveux et de chercher à démontrer dans ces cas l'existen
r eux l'attention. Dans les faits de ce genre, Messieurs, la lésion nerveuse est évidemment secondaire et n'est pas le point d
diabète. Remarquez qu'on ne prétend pas ici qu'une lésion des centres nerveux placée comme il faut, un foyer du plancher du qua
e. On tentera peut-être d'objecter que certains troubles du système nerveux sont capables de provoquer l'apparition du diabèt
n connus aujourd'hui et parfaite- 1 Bernard et Féré. — Des troubles nerveux observés chez les diabétiques. \Arch. deNeurol.,
mie de ceux où la glycosurie est consécutive à une lésion des centres nerveux . Mais ceux-ci doivent former une classe à part, b
t le diabète vrai qui est le point de départ de la lésion des centres nerveux . Il ne s'agit plus ici de glycosurie, mais du dia
de se demander quel est le mécanisme de la production de ces lésions nerveuses secondaires dans le diabète. Sont-ce des altérati
si jouer le rôle d'une cause à l'égard du développement des accidents nerveux . Il est difficile de faire un choix au milieu d
s qu'il aurait fallu dire. Traitant de l'étude des lésions du système nerveux en général, dans ses rapports avec le diabète et
avait bu, il était sujet à des crampes. — Mère, morte hydropique, pas nerveuse . — 5 frères et sœurs, dont le premier n'a pas été
2° Cumul de facteurs étiologiques : traumatisme, alcoolisme, hérédité nerveuse Sommaire. — Progrès réalisés dans la connaissan
de ces deux agents dans le développement et l'évolution des accidents nerveux : cumul des agents provocateurs. Messieurs, L
, les trau-matismes jouent ici un grand rôle, sans compter l'hérédité nerveuse . Dans les petits centres, sans aucun doute, cela
ou mieux, car il n'y a eu ni plaie, ni ébranlement mécanique, le choc nerveux , la terreur; ils trouveraient là tous les caractè
qui la révèlent, mais bien dans la prédisposition que crée l'hérédité nerveuse . Mais avant de traiter les différents points qu
de décidée, appelé des recherches précises sur ce point de pathologie nerveuse . Les résultats de ces recherches, sans être encor
nce prépondérante. Tout d'abord il s'agit d'un sujet originairement nerveux . Pendant son enfance il était d'un caractère diff
source, où il est représenté comme un « absinthique ». Les accidents nerveux que nous avons décrits plus haut à savoir : attaq
elle une chanson de carrefour. sans qu'il s'en suivît aucun trouble nerveux durable. Il fut soigné comme blessé à l'hôpital d
contre un mur qui lui coupe la retraite. Alors il tombe dans un état nerveux indicible et dont il ne peut parler aujourd'hui e
importe de relever qu'à la suite de cet accident les effets du shock nerveux n'ont pas cessé de se faire sentir pendant une pé
e (nervous shock) produit par l'accident du tonneau détermine un état nerveux permanent, qui aboutit au bout de quelques mois à
elatifs à la thérapeutique et au pronostic. L'influence de l'hérédité nerveuse est là, sans doute toujours présente, mais on peu
ause n'est point là, elle est dans la prédisposition, dans l'hérédité nerveuse qui, du reste, chez notre malade est fortement ac
ée. En effet, son père ancien militaire, employé d'octroi, était très nerveux , très coléreux et s'adonnait à la boisson. Sa mèr
nerveux, très coléreux et s'adonnait à la boisson. Sa mère irascible, nerveuse à l'excès, était sujette à des attaques de nerfs.
ette simulatrice toujours téconde des maladies organiques des centres nerveux , il faut s'attendre chaque jour aux surprises et
5 Gintrac. — Traité théorique et pratique des maladies de Vappareil nerveux . Paris, 1869, t. IV, p. 860. 6 Duchenne. — Elec
ule et sous l'aqueduc de Sylvius, donnent chacun naissance à un filet nerveux indépendant. Cette indépendance originelle, le fi
un filet nerveux indépendant. Cette indépendance originelle, le filet nerveux la garde dans tout son trajet protubérantiel et p
rantiel et pédonculaire, de telle sorte que la totalité de ces filets nerveux représente schématiquement autant de petits nerfs
lsions dans son enfance, et reste aujourd'hui très émotionnable, très nerveuse . Du côté des grands parents, dans la branche pa
encore nuls du côté paternel; du côté maternel, il n'y aurait rien de nerveux ou de mental. Antécédents personnels. — N.....e
essieurs, La syringomyélie, cette nouvelle venue dans la pathologie nerveuse , a pris rang, vous le savez, parmi les maladies s
ow, que le choc ait favorisé le développement d'un gliôme des centres nerveux . Vaut-il mieux admettre que la maladie, latente j
sthésie, symptôme qui est 1 Charcot. — Leçons sur les Mal. du syst. nerveux , t. II, p.. 116 et 292. particulièrement fréque
sensibilité à la douleur étant absolue. — (A. Sass. Deux cas de lèpre nerveuse , Deutsch. arch. f. KUn. Med. Vol. 47., fasc. 3 et
1 est au niveau du trou de conjugaison. En effet, parmi les rameaux nerveux qui émanent de la première paire dorsale, il en e
a paralysie détermine l'enfoncement du globe de l'œil. Or, ces filets nerveux n'accompagnent la première dorsale, en dehors du
mière paire dorsale, mais encore d'une lésion portant sur cette paire nerveuse au niveau du trou de conjugaison, entre la premiè
ive se produire parfois très tardivement, et engendrer des phénomènes nerveux beaucoup plus graves que n'avait fait l'accident
ans, officier, vient consulter M. Charcot en 1875 pour une affection nerveuse consistant en une incoordination de la marche lié
uste; du côté maternel, il n'a eu connaissance d'aucune manifestation nerveuse , malgré l'interrogatoire scrupuleux auquel il s'e
renseignements sont également négatifs sous le rapport des accidents nerveux . Il n'a eu ni convulsions, ni évanouissements, ni
s ramenèrent le mouvement. « Depuis lors, dit M. X..., la contraction nerveuse dans le flanc gauche et à la partie interne de la
nstituait alors toute la maladie, se sont ajoutées des manifestations nerveuses diverses, formant un ensemble symptomatique fort
s épais-sissements nodulaires du tissu conjonctif sur quelques filets nerveux , dans un cas de syringomyélie compliquée d'hypert
int de vue clinique, la nécropsie et l'examen histologique du système nerveux ont mis en évidence des altérations d'une similit
on père est alcoolique et vous savez quel grand générateur de lésions nerveuses est l'alcool; son cousin germain est mort aliéné.
; enfin, pendant son service militaire, il a présenté quelques crises nerveuses sur lesquelles nous n'avons pas de renseignement.
ue tous les phénomènes sont de nature hystérique. En résumé, c'est un nerveux par hérédité qu'un traumatisme plus mental que ph
semaines. Voilà les manifestations arthritiques, voici les accidents nerveux . Chagrin de ne pouvoir faire son service comme
s jours suivants j'ai souffert de grands maux de tête, de tremblement nerveux ; la nuit, j'ai eu des cauchemars relatifs à l'ac
du service. suivant toute vraisemblance, la guérison des accidents nerveux sera parfaite. J'ajouterai que le cas offre dan
ce côté, nous n'avons rien appris. Mais nous avons trouvé l'hérédité nerveuse vulgaire. Notre malade est la fille d'une hystéri
jour. Mais n'oubliez pas que, dans ces syphilis tertiaires du système nerveux , l'intervention du mercure est nécessaire, et joi
es lésions gommeuses qui pénètrent dans la substance même des centres nerveux et s'y incorporent en quelque sorte, sous forme d
ffection est régie, comme les autres maladies chroniques du système nerveux , par des lois d'une fixité remarquable. Dans sa s
lement, dans le second cas, des foyers scléreux épars dans le système nerveux cérébro-spinal, alors que, du vivant du malade, n
Ses antécédents héréditaires r.e sont point chargés au point de vue nerveux . Son père est mort d'une hydropisie probablement
ar les Allemands en 1870. Ni l'un ni l'autre n'avaient eu de maladies nerveuses . Une sœur de la malade est morte de la poitrine à
conséquent, intégrité parfaite de l'appareil auditif périphérique et nerveux . L'examen de l'œil a été pratiqué par l'un de n
1888 à la Salpêtrière, service de la Clinique des maladies du système nerveux . Antécédents héréditaires. — Père inconnu. — Mè
éréditaires. — Père inconnu. — Mère, trente-cinq ans, domestique, est nerveuse , vive et emportée, mais n'a jamais eu d'attaques
Les grands-parents maternels ne paraissent pas avoir eu d'antécédents nerveux . Une tante, âgée actuellement de vingt-quatre ans
et conservent les mêmes caractères ; toutefois les secousses de toux nerveuse qui les accompagnaient souvent sont devenus beauc
portant. Pendant sa grossesse sont sur^ venus chez elle des accidents nerveux variés. Elle avait parfois la sensation d'une bou
t aucune altération de ces organes et pensant à des troubles purement nerveux , voulut bien demander à M. Gilles de la Tourette
une bronchite et, depuis cette époque, elle fut sujette à des crises nerveuses précédées d'é-tourdissements et accompagnées de p
ique. Elle sort de l'hôpital en juillet de la même année ; les crises nerveuses n'étaient point guéries. Elles persistèrent ainsi
sente à la consultation externe delà Clinique des maladies du système nerveux , avriH890. Antécédents héréditaires. — Père cin
euf ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des attaques. Une autre sœur nerveuse , rit et pleure sans motifs. Frère apathique, inin
sè présente à la consultation de la Clinique des maladies du système nerveux , au mois de mai 1890. Antécédents héréditaires.
sant. La malade assure qu'il n'avait jamais souffert d'aucune maladie nerveuse ou mentale. Il était parfaitement sobre et n'avai
e à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un accident. Elle était nerveuse , sujette à des colères violentes. La grand'mère m
»in cas de Paralysie diabétique. 1 (Leçon). Sommaire. —Accidents nerveux secondaires dans le diabète constitutionnel. — Né
2° Cumul de facteurs étiologiques : Traumatisme, Alcoolisme, Hérédité nerveuse . (Leçon). Sommaire. — Progrès réalisés dans l
de ces deux agents dans le développement et l'évolution des accidents nerveux : cumul des agents provocateurs. . 285 XV. Su
4. Déviation secondaire dans le strabisme, 424. Diabète : lésions nerveuses secondaires, 259 ; — névralgies symétriques, 263
l, 345. Glycosurie et diabète, 258; — ta-bétique, 277; —par lésions nerveuses , 260. Gommes de cerveau : localisations des — 3
Hémispasme glosso-labié des hystériques, 298, 366, 368. Hérédité nerveuse : son rôle dans 1 étiologie de l'hystérie, 306.
yphilis cérébrale, 380,385 ; — héréditaire tardive 370; — et hérédité nerveuse , 382; Lésions de la—, 372; Névrite optique dans l
e nerven-. T. I. IM. I. Charcot. Clinique des maladies du système nerveux . T. I. Pl. II. Fig. 2. — Courbe des variation
. n° XIII, p. 2S7 à £84.) Charcot. Clinique des maladies du système nerveux . T. I. Pl. m. Fig. 5. — Courbe des quantités
96 (1894) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 9
j'étais assis vis-à-vis d'Eusapia, près de Mlle X., une personne très nerveuse et fortement soumise à l'hypnotisme. La séance du
émie do Médecine. Mlle C. V..., âgée de 14 ans, a l'extérieur d'une nerveuse ; sa physionomie, sa toilette, son langage disent
ns à Néris n'ont pu amener de modifications importantes dans son état nerveux . Depuis 10 mois elle vomit tous ses repas, bien q
'elle ne vomira plus après ses repas et qu'elle n'aura plus de crises nerveuses ni de contractures. Le réveil est facile par simp
portants. Sa grand'mère paternelle est seulement impressionnable et nerveuse , sans maladie proprement dite. Pas de maladie d
° Les Phobies secondaires. qui sont sous la dépendance de la diathére nerveuse (épilepsie, hystérie, hypocondrie), ou arthritiqu
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
SIDÉRATIONS GÉNÉRALES. De toutes les manifestations de l'épuisement nerveux , les plus intéressantes à étudier sont assurément
e reste préoccupée de l'idée qu'elle doit être atteinte d'une maladie nerveuse , dont on lui dissimule la nature. Depuis lors, il
gne du nom compliqué de sidérodromophobie. Prédisposés aux troubles nerveux par les exigences de leur profession, ils peuvent
, ne sont en somme que le résultat d'une excessive fatigue du système nerveux . Les effets des divers surmenages intellectuel; m
mpuissance d'agir par un défaut d'impulsion résultant de l'épuisement nerveux . Ce qui établit entre eux et les dégénérés hérédi
te sérieux des premiers troubles fonctionnels résultant de la fatigue nerveuse . Quant au traitement, les indications fondament
tions fondamentales consistent à supprimer les causes de l'épuisement nerveux et à suspendre les occupations professionnelles.
, avait été la création d'une consultaiion spéciale pour les maladies nerveuses . C'était là une tentative absolument nouvelle,
nnue, le troisième est bien portant. La mère est sujette à des crises nerveuses pendant ses grossesses. Le malade que nous avon
rossesses. Le malade que nous avons sous les yeux est un exemple de nerveux dégénéré. Il est facile de relever chez lui plusi
sur le siège et, à la suite de cette chute, il présenta des accidents nerveux qui durèrent deux mois et paraissent avoir consis
n'ont rien présenté d'anormal. La malade est d'un tempérament très nerveux , d'une sensibilité exagérée. Réglée à 12 ans et t
dire que, par l'application d'un aimant puissant, je modifiais l'état nerveux qui, il faut bien le remarquer, est plus général
i, au bout d'un certain temps, à rétablir l'équilibre dans l'activité nerveuse des membres. Mais cela ne suffisait pas, et ce
ler bien d'autres observations bien intéressantes, parmi les maladies nerveuses qui se sont présentées à la consultation spéciale
logie, mais cela nous entraînerait trop loin. Le total des maladies nerveuses s'est élevé à 161, comprenant en grande majorité
ormes les plus variées. En somme, la consultation pour les maladies nerveuses à l'hôpital de la Charité a amplement démontré l'
. Ce sujet est entré dans mon service à la Charité pour des accidents nerveux , caractérisés par des phénomènes subits de léthar
du doigt absent comme si elle se manifestait sous forme d'un courant nerveux centrifuge, et qu'en faisant des pincements, des
ée. Alors l'activité cérébrale dissociée se concentre sur un appareil nerveux qui fonctionne automatiquement, et qui réagit à l
ons, telles l'incontinence nocturne et diurne d'urine, la dyspepsie nerveuse , les attaques d'hystérie, etc., qui rentrent dans
qui rentrent dans la catégorie des habitudes pathologiques du système nerveux , sont justiciables de la suggestion. Troubles p
ticulière de dyspepsie qui aboutit à une débilité générale du système nerveux . L'insomnie est aussi une conséquence de l'abus
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
umatiques, l'insomnie, les douleurs de tête habituelles, la dyspepsie nerveuse , les idées fixes, l'hystérie (surtout les accès h
r un examen et une connaissance incomplets et superficiels de système nerveux et de l'individualité sur lesquels on doit agir.
lesde 11 à 13 ans furent atteintes, pendant l'année 1891, d'accidents nerveux , états de sommeil, vertiges, maux de têtes, convu
l'hypnose. .5° Toujours, et sans exception, Vaggravalion de l'étal nerveux de la personne en expérience (par exemple par un
olement qui est d'une efficacité singulière dans beaucoup de maladies nerveuses , — et le fanatisme en est une. Qu'on fasse donc
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
corps qui obéit à l'esprit, il arrive à l'homme de perdre de la force nerveuse , malgré les apports de la nutrition, et d'éprouve
c'est une sorte d'irritabilité qui, partout où il y a des extrémités nerveuses sensibles, épie les impressions et les reçoit: on
uvement initial centrifuge, l'attention s'exerce dans tout le système nerveux , sous l'influence d'un effort cérébral de l'espri
s'appliquer sans doute de la même façon, à la distribution des forces nerveuses dans tous les états passifs dont le sommeil est l
râce à l'idée prise de s'éveiller, à la périphérie vers les fonctions nerveuses de sensibilité et, intérieurement, au siège du re
s, dès que le travail d'équilibration et de reconstitution des forces nerveuses qui s'opère pendant le sommeil est près d'être co
primitive de la carotide interne ou par une augmentation de Vactivité nerveuse dans le plexus carotidien interne et par une dila
essaires pour la production de l'hypnose, une augmentation d'activité nerveuse dans le plexus carotide interne,en d'autres terme
portent aux idées fixes, aux névralgies, à l'insomnie, à la dyspepsie nerveuse et à la mélancolie. Le traité de Nizet 40 compren
ans de légers accès passagers de manie hypochon-driaque et de maladie nerveuse temporaire, et a supprimé par suggestion la résis
ation de l'or (effet suggestif ?), une paraplégie et des vomissements nerveux datant de cinq ans, dans un cas de grande hystéri
e Bramwell. Il avait eu des succès notables dans de nombreux troubles nerveux fonctionnels, mais il signalait surtout ses résul
oteur de l'hypnose est une limitation de la conscience aux impulsions nerveuses . D'après Sommer, le tétanos de la raideur hypno
ataleptiques, céphalalgie continuelle, chlorose, chorée, constipation nerveuse , contraction spasmodique des muscles abdominaux (
que dans un certain nombre de ces cas, Forel concentra sur l'appareil nerveux agissant d'une façon automatique (pour l'activité
nts péristaltiques et écarta ainsi l'habitude pathologique du système nerveux central. Comme l'a montré Brugelmann 30, cette ha
laissait très volontiers hypnotiser parce que, sujette à une maladie nerveuse , elle se trouvait mieux après chaque sommeil magn
e l'état d'hypnotisme. « Tout ce qu'on peut dire, c'est qu'un sujet nerveux souffrant d'une affection cardiaque pourrait ress
Mesnet ont guéri par l'hypnotisme beaucoup de gens atteints de crises nerveuses , ils n'ont jamais provoqué chez leurs malades le
ons, à notre clinique, des centaines de malades atteints d'affections nerveuses les plus variées. Les malades sont endormis, sur
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
llesse ; oncles, tantes, cousins et cousines exempts de toute maladie nerveuse . Dans ses antécédents personnels, nous notons u
terme (dont quatre encore vivants) et trois fausses-couches. Toujours nerveuse , facilement irritable, très émotive, elle n'avait
nseigné à leur égard : ils étaient des suggestibles de la famille des nerveux en question. Quand, une baguette à la main, Dup
que, pour cela, il s'est porté au cerveau une accumulation de forces nerveuses sur une ou plusieurs idées fixes, d'où, par suite
on cesse de la soutenir ; elle a alors les yeux hagards et le système nerveux violemment surexcité. Puis elle se lève, appelle
unissent les femmes adultères, etc. Les nègres sont d'ailleurs très nerveux et impressionnables. Il suffit, rapportent les vo
accusés par un de ces devins. L'homme appartenait à une famille très nerveuse et dont presque tous les membres devenaient sorci
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psycho- 1 logique. Des c
1/2. Faculté de Paris. — Cours de clinique des maladies du système nerveux . — M. le professeur lîaymond a commencé le cours
seur lîaymond a commencé le cours de clinique des maladies du système nerveux , le vendredi 16 novembre 1894, à 10 heures du mat
et font, pendant le semestre d'hiver, un cours clinique de pathologie nerveuse . Les leçons ont lieu, le dimanche, à 10 heures (M
professeur Gran- " cher, des conférences sur les maladies du système nerveux . Hôpital de la Salpétriêre. — M. le D' Jules Vo
ant le mois de décembre, des conférences sur les maladies mentales et nerveuses . Faculté de Vienne. — M. le Dr Emile Redlick es
ire, quand elle est due à une conformation vicieuse native du système nerveux ,-alors, il faut avoir le courage de le dire, elle
volonté, leur désir de se laisser endormir et de guérir, leur système nerveux peut offrir une résistance invincible à toutes le
nt leurs manifestations ; on supprime les douleurs et divers troubles nerveux : il y a une amélioration notable ; on a l'espoir
s ou moins considérable dans leur état; que nés avec une constitution nerveuse , cette disposition morbide les expose fatalement
des symptômes : une maladie organique pouvant s'ajouter aux syndromes nerveux fonctionnels ou éclore dans le cours du traitemen
arbre, toujours de droite. Elle ne se souvient pas d'autres anomalies nerveuses ; mais elle a souvent des songes très vifs et très
épondérance de la fonction de la moelle épinière en qualité de centre nerveux , au lieu de la subordination naturelle de la fonc
te. Dans sa thèse récente sur le diabète et la glycosurie d'origine nerveuse , M. le Dr J. Sorel rappelle les deux observations
u lieu de 3 gr. par jour ), et cette perturbation violente du système nerveux s'est révélée non seulement par la glycosurie, ma
r la glycosurie, mais encore par des troubles fonctionnels du système nerveux rendus directement tangibles par la disparition t
ccesseur de M. Charcot, a inauguré son cours de clinique des maladies nerveuses à la Faculté de médecine de Paris, devant un audi
tout était à remanier ou à créer, savoir : la pathologie des centres nerveux . Cet enseignement offrait donc l'attrait de la no
t seulement un peu plus tard qu'il commença ses leçons sur le système nerveux . L'enseignement inauguré par Charcot, en 1866,
des relatives à l'anatomie, la physiologie, la pathologie des centres nerveux . Doué d'une érudition étonnante, il savait se b
phénomènes qu'on observe dans les différentes affections des centres nerveux . Par des artifices ingénieux, il amplifiait que
re. Il se consacra néanmoins de plus en plus à l'étude des affections nerveuses . » M. Raymond remémore ici l'époque où étaient
s exprimé par Charcot, une chaire de clinique des maladies du système nerveux fut créée à la Salpétrière, en 1889. Inutile de d
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
nser chaque année le meilleur ouvrage sur l'épilepsie et les maladies nerveuses . Les exécuteurs testamentaires achèteront dans ce
int de vue de la foi curative. Voici le long cortège des affections nerveuses sans lésion anatomique perceptible par nos moyens
s? Nous soumettons la question aux savants spécialistes en pathologie nerveuse et en hyp-nologie ; mais il est évident qu'une en
lauréat de l'Institut, chef de laboratoire à la clinique des maladies nerveuses ; Saint-Hilaire, médecin de l'Ecole Turgot. Parm
ieurs, telle devait être sa fin. La malheureuse souffrait de crises nerveuses fréquentes, au point qu'elle ne mangeait plus et
ue, une personne malade, fût-elle aussi anémique, aussi faible, aussi nerveuse que l'était Mlle Salomon : c'est, d'un autre cô
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
ée et intéressant l'histologie, l'anatomie, la psychologie du système nerveux de l'homme et des animaux, la pathologie mentale
u système nerveux de l'homme et des animaux, la pathologie mentale et nerveuse , la psychologie, la philosophie, la morale, la pé
n de la Salpétrière, a commencé ses leçons cliniques sur les maladies nerveuses le jeudi 24 janvier, à 5 heures, Il les continuer
seur à la Faculté de Paris. Le programme comprendra : 1° Pathologie nerveuse : glande thyroïde et goitre exophtalmique; rappor
E HISTOLOGIQUE DU SOMMEIL Hypothèses sur la physiologie des centres nerveux . Par H. le professeur Matus-Duval (l). Les no
(l). Les notions nouvelles introduites dans l'histologie du système nerveux par les recherches de Golgi et Ramon y Cajal sont
es centres. Il est universellement admis aujourd'hui que les cellules nerveuses sont en rapport les unes avec les autres, non par
e, le centre réflexe, en un mot, est représenté non par une cellule nerveuse , mais par l'articulation à distance des prolongem
exe, agissant sur ces lieux de contact des prolongements des cellules nerveuses , l'idée qu'un poison peut porter son action non s
veuses, l'idée qu'un poison peut porter son action non sur la cellule nerveuse , mais spécialement et exclusivement sur les ramif
et comme il nous est permis d'étendre ces notions à tous les centres nerveux , nous pouvons aujourd'hui bien mieux comprendre l
trophie l'origine qui en est le siège, le passage répété des courants nerveux doit provoquer l'hypertrophie dans les cellules n
des courants nerveux doit provoquer l'hypertrophie dans les cellules nerveuses en fonctions ; si cette hypertrophie a lieu dans
de la Leptodera hyalina lui ont permis de constater que les cellules nerveuses ne sont pas immobiles, mais présentent des change
s cellules olfactives sont considérées aujourd'hui comme des cellules nerveuses , et on sait que leurs prolongements périphériques
ion faite à la Société de Biologie. de ramœboïsme des ramifications nerveuses terminales a ainsi pour bases des faits d'observa
ous pouvons donc penser que non seulement les connexions des cellules nerveuses , dans les centres, sont de pure contiguïté, mais
auraient sans doute pour action d'exciter l'amceboïsme des extrémités nerveuses en contiguïté, de rapprocher ces ramifications, d
me des excitations spéciales produiront la rétraction des pseudopodes nerveux , l'arrêt de la fonction nerveuse correspondante (
duiront la rétraction des pseudopodes nerveux, l'arrêt de la fonction nerveuse correspondante (actes d'inhibition, choréede l'in
nerveuse correspondante (actes d'inhibition, choréede l'interférence nerveuse ), et des excitations violentes, anormales, par le
hypothèse de la neurilité ou conductibilité indifférente de la fibre nerveuse , et, par suite, combien perdent de leur intérêt l
mptôme se rattachant à l'hystérie ou à toute autre maladie du système nerveux . Les années s;écoulent, et rien d'anormal ne su
fond, pendant lequel je suggère la disparition de tous les phénomènes nerveux . Je passe en revue, sans en oublier aucun, tous l
contre la grammaire. » Le paravent aurait ainsi arrêté les vibrations nerveuses comme un écran intercepte les rayons de lumière.
u bien le D' Demosthène a contracté, sous l'influence de l'épuisement nerveux , une peur effroyable de microbes, ou bien le cont
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
samedi à 9 heures (asile Ste-Anne).— Clinique de maladies du système nerveux , M. Raymond, mardi et vendredi, à 10 heures (Salp
34 pages. — Habana 1895. Blnet. — Contribution à l'Etude du système nerveux sous intestinal des insectes. Thèse de doctorat.
rices qui les accompagnent, sont placés sous l'influence du système nerveux . Chez la marmotte, la température la plus convena
d'une crise, se faisait une piqûre pour éviter la souffrance. Déjà nerveuse à l'exès, la morphinomanie, qui se dessinait à l'
nt d'interrogation. Comment attribuer à un agent spécial du système nerveux comme la suggestion, une action directe sur un ét
ite) l'anatomie pathologique dans cet amphithéâtre, puis les maladies nerveuses à la Salpé- trière. Malgré le haut mérite de se
dies du foie, du rein, du poumon, etc..., ses leçons sur les maladies nerveuses ont surtout contribué à sa gloire. Avec quelle cl
lades étaient présentés aux élèves, et, comme la plupart des maladies nerveuses s'accusent par des signes extérieurs, il pouvait
pas. Je dois consacrer ce semestre à l'étude des maladies du système nerveux , et vous verrez que notre cours deviendra de ce f
lus que ne le font les guérisons médicales, dans lesquelles l'élément nerveux peut jouer un grand rôle. Mais, outre que certa
s peuvent elles-mêmes être parfaitement sous l'influence de l'élément nerveux , je demanderai pourquoi M. le Df Boissarie se ref
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
itut comprenant tout ce qui est nécessaire au traitement des maladies nerveuses . Parmi les procédés employés, M. le D' Peeters a
34 pages. —Habana 1895. Binet. — Contribution à l'étude du système nerveux sous-intestinal des insectes. Thèse de doctorat.
pendant plusieurs années. L'enfant était d'un tempérament inquiet et nerveux ,facilement contrarié,impatient,irascible. Dès l
oi, cet eczéma était dû en grande partie à une excessive irritabilité nerveuse . 2e Cas. — Une dame âgée de 68 ans demande quel
d'impressions, lesquelles avaient un certain pouvoir sur son système nerveux . Sa peau bénéficiait du changement dans la mesure
égales, elles réagissent à la lumière et à I'acccommodation. Système nerveux : une légère incurvation angulaire de la colonne
ps — et cela sans aller si loin que Holywell — a réveillé une énergie nerveuse dormante, et a été suivie de résultais aussi sati
qu'exerce le sport vélocipédique sur la circulation et sur le système nerveux des membres inférieurs, et sur l'utilité ou le da
cles des membres inférieurs, inciiés à cette activité par les centres nerveux , ne reste pas sans effet sur les centres eux-même
ou je trouve un article intéressant au point de vue de la pathologie nerveuse . Il s'agit d'une lettre du R. P. Castets, mission
e. « Pour moi, dit-il, je n'hésite pas à reconnaître que la sympathie nerveuse peut avoir une grande part dans cette contagion ;
spose le tempérament physique et moral à ces débauches d'irritabilité nerveuse , et que, suivant une expression chère à la médeci
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
i d'un phénomène plus délicat encore. Tout acte laisse sur le système nerveux une trace ; si l'acte devient fréquent, la trace
ais par la mémoire même des modifications occasionnées sur le système nerveux par ce mouvement. Je dis moteurs les sujets pour
moire le souvenir de la sensation de ce qui se passe en votre système nerveux lorsque ce bras se meut. De là une nouvelle forme
manié par un médecin expérimenté capable de prévenir chez les sujets nerveux l'émotion, qu'il faut rendre responsable des palp
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
lligente, quoiqu'elle n'ait pas présenté dans sa jeunesse d'accidents nerveux bien caractérisés. Elle s'est mariée jeune et a q
se portait bien jusqu'à l'âge de vingt-neuf ans, quoiqu'elle fût très nerveuse et très impressionnable. A ce moment, elle éprouv
aria, fille et petite-fille d'alcooliques, était dès son enfance très nerveuse ; à quinze ans, à La suite d'une colère violente
si comme médium, on le prend plutôt parmi les femmes ou les personnes nerveuses ; un autre s'improvise guide. Le guide prend la ma
ffrait depuis trois ans. Sa mère était d'un tempérament quelque peu nerveux ; à part cela, il n'y avait rien de particulier à
l'enfant pouvant avoir déterminé un certain trouble dans les centres nerveux , mais l'immobilisation prolongée (18 jours) est c
de la malade ? Jusqu'à ce moment elle n'avait présenté aucun accident nerveux , mais sa grand'mêre maternelle a été enfermée dan
otisme et de la psychologie physiologique. Une clinique de maladies nerveuses est annexée à l'Institut psychologique. Des consu
guste Voisin commencera son cours annuel sur les maladies mentales et nerveuses le dimanche 9 juin, à 10 heures du matin (section
n, par F. Ke-gnault, 150. Hypothèses sur la physiologie des centres nerveux (Mathias. Duval), 240. Hystérie et de la folie
97 (1899) Revue de l'hypnotisme et de la psychologie physiologique, Tome 14
il provoqué, somnambulisme, suggestion névroses, maladies mentales et nerveuses , médecine légale, pédagogie criminologie, psychol
le Dr Edgar Berillon, p. 1. 2° La lainière colorée en thérapeutique nerveuse , par M. le Dr Félix Regnault, p. 7. 3° Agorap
re fameux sous le titre suivant : Neuryp/wlogie, ou traîlé du sommeil nerveux , considéré dans ses rapports avec le magnétisme a
n état expérimental, il te définit ainsi : « L'hypnotisme est un état nerveux déterminé par des manawvres artificielles. La déf
nt : « L'hypnotisme est un moyen part cu'.ier de provoquer un sommeil nerveux , un son.namôulisme art:ficielt accompagné d'anest
ypnotisme serait réservé » à la science « qui s'occupe des phénomènes nerveux compris généralement sous ce « terme en les expli
e, disait-il, est un état expérimental extra-physiologique du système nerveux . C'est une névrose artificielle que l'on développ
sées ;i notre eminent collègue. La lumière colorôo ou thérapeutique nerveuse par m. Ic .locteur Félix Reqsadlt Wundt av:tï
e. Il s'agit d'un homme, Victor L..., Agée de 52 ans. Son père très nerveux et colère est mort à 55 ans. Sa mère très emporté
e est mort à 55 ans. Sa mère très emportée aussi avait en plus un tic nerveux et souffrait de maux de tète tris fréquemment. So
oquer comme complications ou de laisser comme reliquats des accidents nerveux de divers ordres. Ces psychoses, ces névroses,
, tous ces efforts sont vains. Plus on laisse persister ces accidents nerveux , plus ils s'installent avec fixité et menacent de
et reproduit, pour ainsi dire, le phénomène qu'il révèle. Le système nerveux est le révélateur suprême, le plus délicat de tou
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
onnaissances récentes sur la morphologie et les rapports dos cellules nerveuses . Les méthodes do Golgi, de Nissl et de Cajal, en
thodes do Golgi, de Nissl et de Cajal, en démontrant que les éléments nerveux , leSi;ewiO//c.çn'ont entre eux quedes relations d
cises sur les divers modalités de l'activité fonctionnelle du système nerveux . Grâce à ses recherches sur l'inhibition et la dy
act des variations qui peuvent survenir dans le dynamisme des centres nerveux . L'inhibition, selon Brown-Séquard, est l'action
é, la puissance inhibitoire appartient à nombre de parties du système nerveux , et elle peut être mise en jeu, soit d'une manièr
La puissance dynamogénique appartient à nombre de parlies du système nerveux et, comme l'inhibition, elle peutêtre mise en jeu
="43"> vités et conséqucmment de toutes les fonctions du système nerveux . L'inhibition ne doit pas être confondue avec l
r suite d'une simple accumulalion de sang dans une partie des centres nerveux ou ailleurs. L'attention de Brown-Sequard avait
Sequard avait été appelée sur les perturbations dynamiques du système nerveux par un fait des plus surprenants, qui mérite d'êt
on dans l'appareil moteur, en y comprenant, non seulement les centres nerveux et les nerfs, mais aussi les muscles du tronc, de
iellement la science de l'inhibition et de la dynamogénie des centres nerveux , que cette inhibition ait son point de départ dan
la majeure partie des cas, cette inhibition est limitée aux cellules nerveuses affectées aux fonctions supérieures du cerveau, à
la sensibilité, anesthésie, hypéreslhésie ou de tout autre phénomène nerveux . Mais le malade n'est pas guéri, son infirmité a
'un phénomène spécial dû à l'action qu'exerce l'aimant sur le système nerveux . L'on voit quelquefois des opérateurs agir d'un
éorie, il n'y aurait pas une action propre de l'aimant sur le système nerveux , mais l'application de l'aimant ne servirait qu'à
hose, c'est une action spéciale et directe de l'aimant sur le système nerveux . Je veux ici répondre de suite à une objection
ez certains sujets, produire la guérison ou le transfert d'un trouble nerveux par suggestion, il ne s'en suit pas que l'on puis
er les prévisions. Celle action spéciale de l'aimant sur le système nerveux , quelle que soit sa nature, une fois constatée, i
suggestion hypnotique môme dans les affections cum ?naienadu système nerveux . Cetlc action ne nous parait d'ailleurs pas discu
substratum du rêve, ß On pourrait s'imaginer, dil-? que les cellules nerveuses et les fibres d'association de l'écorce cérébrale
ts. Citons le cours théorique et: pratique de Braidisme ou hypnotisme nerveux (1860), et son récent livre sur le Merveilleux sc
se manifestent suivant les circonstances. A la pluralité des centres nerveux , médullaires et cérébraux, correspondent des cons
ension ou l'augmentation des activités ou des propriétés des éléments nerveux est provoquée expérimentalement ; 2e La durée d
n peut être limitée à des territoires nettement déterminés du système nerveux et à des fonctions influencées isolement. 4" La
fonctions ou d'autres régions. 5e Après l'expérience, les cellules nerveuses influencées se retrouvent dans les mêmes conditio
es diviser en deux catégories, selon qu'ils impressionnent le système nerveux par action psychique ou que l'excUationaitsonpoin
L'action spécifique de la foudre ; 10° Les ébranlements du système nerveux consécutifs aux crises des maladies convulsives,
icrobiennes, de l'inanition, de la fatigue. Les propriétés du système nerveux /page> page n="74"> sont aussi influencé
que, dans une maladie où la cause la moins discutable est l'hérédité nerveuse , toute médication doit fatalement échouer. » Ains
ique de la maladie des tics. (1) G. ÂNDttu : Les nouvelles maladies nerveuses , 1892, p. 18*2./page> page n="77"> Pres
ciée à l'action psycho-mécanique. (1) GkaïSEt : Traité des maladies nerveuses , tome II, p: 592. (i) ? chût : Congrès de Toulo
ier à la consultation pour la première fois, est atteinte de troubles nerveux singuliers qu'elle va vous raconter en partie et
Babinski a d'ailleurs confirmé la nature hystérique de ces polyuries nerveuses en montrant qu'elles guérissent par suggestion. U
ions de la suggestion hypnotique au traitement des enfants vicieux ou nerveux . La Revue de l'Hypnotisme sera d'ailleurs repré
ysan des Cévenncs, âgé de 33 ans, vigoureux, sans tare dlathésique ni nerveuse autre qu'une légère tendance à -l'émûtivité, rend
que, la psychothérapie. C'est le traitement par l'âme, par le système nerveux , si vous préférez, grand maître de nos muscles et
emporain, si remarquable par ses résultats, vers l'étude des maladies nerveuses ; et aussi tout le mouvement contemporain, encore
t, Rostan et Lallemand commencent l'anatomie pathologique des centres nerveux et étudient notamment le ramollissement cérébral,
agé et caractérisé les grands syndromes qui constituent la pathologie nerveuse , ils/page> page n="110"> ont appris à l
on de cette École. C'est lui qui a fait connaître et aimer le système nerveux , en France et à l'étranger, â tous ceux qui ont,
aucune donnée sur le mécanisme intime du fonctionnement de la cellule nerveuse . Aussi devons-nous accorder quelque attention aux
sur la découverte de Cajal, qui démontre que les différentes cellules nerveuses ne sont en rapport que par simple contact, M. Lép
ut de l'adhé-Tence de contact enlrc les prolongements de ses cellules nerveuses , le défaut de contact pouvant être attribué à un
es ne sont pas en continuité, mais en contiguïté, le passage de Ponde nerveuse d'un neurone à l'autre ne pourrait avoir lieu que
rrait avoir lieu que par le contact des prolongements de ces éléments nerveux . Dans cet état, les neurones seraient en activité
ctilité spéciale, les neurones cesseraient d'être en activité; l'onde nerveuse ne passerait plus. Ils se reposeraient. Si l'on
as-miques des neurones, l'explication d'un grand nombre de phénomènes nerveux en découle naturellement. Ainsi, l'apparition du
ition des cellules névrogliques suffirait pour interrompre le courant nerveux . Ce courant se rétablirait dès que, sous une infl
'hypnotisme s'expliqueraient par interposition dans les articulations nerveuses , des prolongements étalés des cellules névrogliqu
les recherches se font sur des personnes qui présentent des troubles nerveux très variés, et chez lesquelles on peut modifier
la vie » n'empiètent pas sur ce strict nécessaire. * Les enfants nerveux ont-Us besoin de plus de sommeil que les autres ?
repos réparateur; au surplus, ils réparent moins vite, leur substance nerveuse se prêlanl moins bien a condenser la force ; par
ions de réparation : de là un amaigrissement et une sorte d'éréthisme nerveux qui, par un cercle vicieux; mène alors à l'insomn
Charles Richet avait choisi pour sujet de la Conférence: La vibration nerveuse . La façon magistrale dont il a traité le sujet lu
laboratoire do psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
2? Octobre courant, u 10 heures et demie, à la clinique des maladies nerveuse », 49, rue Saint-André-des-Arts. 11 le continuera
cations et des infections dans la pathogénie des maladies mentales et nerveuses , rapporteurs : Pr D'Abundo et Dr C. Agostini. O
ontreral'Institut hypnotique du Dr Bérillon où il étudie les maladies nerveuses (') et il écrit parfois en excellent français dan
gestion hypnotique, l'insomnie, cette mère des accidents d'irritation nerveuse , et l'effet que par là on obtient indirectement s
II Alcoolisme M. L., 52 ans. de bonne constitution de tempérament nerveux , irascible, est un bon ouvrier, mais alcoolique q
t actuellement sous-surveillante et quoiqu'on contact avec les grands nerveux ne s'est jamais laissée influencer par eux. Il
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
26 Octobre L-ourant, à 10 heures et demie, à la clinique des maladies nerveuses , 49, rue Saint-André-des-Arts. Il le continuera l
malsain, maladif, prédisposé aux troubles et aux maladies du système nerveux , surémotif, et triste, humble, timide ou craintif
s le Dr Bernheîm, chaque homme possède une certaine quantité de force nerveuse ou d'activité cérébrale. A l'état de veille,cette
A l'état de veille,cette force se trouve concentrée dans les centres nerveux les plus élevés, c'est-à-dire dans la partie du c
s, mouvements, sensations, images) doivent leur origine à cette force nerveuse qui s'est concentrée et accumulée. Quand le sujet
ouvenir disparu ne devrait pas manquer de reparaître lorsque la force nerveuse est de nouveau concentrée dans les centres inféri
ion, est une femme de 24 ans, de taille moyenne, de tempérament assez nerveux , primipare arrivée au terme de sa grossesse après
é appelé en toute hâte, parce que la femme était en proie à une crise nerveuse des plus violentes. M. Mabboux lit ouvrir l'anima
toute élévation due à l'activité des portions supérieures du système nerveux . Les auteurs insistent, du reste, sur ce que, p
laboratoire de psychologie ¦expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
14 Décembre courant, à 10 heures et demie, à la clinique des maladies nerveuses , 49, rue Saint-André-dcs-Arts. Il le continuera l
sa en France les expériences de Braid, dans un mémoire sur le Sommeil nerveux ou hypnotisme paru, en 18G0, dans les Archives gé
ion : « L'hypnotisme est un moyen particulier de provoquer un sommeil nerveux , un somnambulisme artificiel, accompagné d'anesth
l était facile de trouver chez lui des symptômes spéciaux de son état nerveux . Ici au contraire le sujet ne se distingue en rie
t en effet révélé aucun signe objectif de lésion organique du système nerveux . Toutefois, nous avons pensé que les hemisphere
es Sciences, stance du 1 dôcembro 18SB./page> page n="217"> nerveux et qui, à la suite d'une discussion avec son mari
anisme le plus élevé, la manifestation la plus complexe de l'activité nerveuse : les fonctions mentales. Sans doute, on ne pénèt
psychométrie peut rendre de précieux services en clinique mentale et nerveuse , aussi bien qu'en psychologie et en pédagogie. »
uérison même d'un symptôme qu'il en démontre la nature hystérique, ou nerveuse , ou fonctionnelle. Un cas de paralysie HYSTÉiti
e son beau mémoire de 1879. Rappellerai-je ses publications d'ordre nerveux , sur l'hypnotisme en par-/page> page n="223"
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensairo neurologique etpêr dngogique), est a
cette amnésie détermina la guérison de tout un complexus de troubles nerveux et mentaux. Une autre fois encore, après administ
s phagocytes ¦Jouent un râle très important, l'influence du système nerveux n'est pas i moindre. Cette influence est si pré
ce de l'organisme quo parce qu'ils amènent une défaillance du système nerveux . C'est lui qui assure la solidarité organique, le
. » C'est si;".-tout vis-à vis des agents infectieux qua la système nerveux aune infiu:-/;ccconsiderable. Sa façon de se comp
observations pour démontrer l'influence des lésions ou des affections nerveuses sur le développement dos diverses infections pulm
ais, réciproquement aussi, l'agent infectieux retentit sur le système nerveux et en entrave l'action défensive. 11 active cl pr
lément pathogène, ne sont-ils pasaccom-pagnés, compliqués desymptômes nerveux des plus graves? Et la simple lièvre n'est-ellc p
s preuves expérimentales. Ici et là, même mode du réaction du système nerveux vis à vis de l'agent infectieux, microbes ou toxi
recte sur le névraxe et qu'elle peut causer la défaillance du système nerveux central : en conséquence, les psychoses dont il s
laboratoire do psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispeiisaire neurologique- et pédagogique), est
la suite, » Développement. — L'impression est perçue par le centre nerveux au moyen des nerfs périphériques. Cette impressio
cause dans la suite d'une représentation mentale dans le même centre nerveux . (1) Momoîre lu à la Société d'hypoologie ù la
60"> Cette représentation mentale de l'impression dans le centre nerveux a lieu sans (nie les nerfs périphériques soient i
tale est un travail, une opération, un acte qui a lieu dans le centre nerveux seulement. Exemple : « Vue de visage souriant »
tation mentale, cette impression sera perçue de nouveau par le centre nerveux ; mais elle sera perçue dans la suite sans que le
perçue, ou perception, en se reproduisant spontanément dans le centre nerveux devient représentation mentale. Autre exemple :
ges de cavalerie, etc., etc. Tout ce travail se fait dans le centre nerveux par autosuggestion. Voici ce que pense le peint
on parait être l'hy-perplasticité, l'instabilité moléculaire du tissu nerveux . S'il en (1) Lettre du 3 octobre 1656. (2) Ni
2"> est ainsi, on conçoit qu'une idée, ou mieux que l'ondulation nerveuse correspondante s'imprimera d'autant plus profondé
psychiques? II se produit alors, selon moi, une véritable commutation nerveuse qui explique assez bien la dévotion de certaines
ie des sciences, il s'agissait d'un jeune homme de 25 ans, à hérédité nerveuse chargée : père ivrogne, mère hystérique avec trou
ogne, mère hystérique avec troubles mentaux; ses frères et sœurs sont nerveux . Dans son enfance, le malade a eu obsessions et
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique et pédagogique), est an
vint demander à la suggestion hypnotique la guérison de ses troubles nerveux . Elle se montre très hypnotisable, néanmoinslc tr
i expliquer que ces médicaments ont pour but de « tonifier le système nerveux et d'accélérer le retour de l'énergie volontaire.
sion complète de morphine d'une durée d'un mois. Dès que les troubles nerveux qui avaient accompagné la suppression complète fu
elles déjà faites et appelle de nouveau l'attention sur les reliquats nerveux ou mentaux que laissent souvent après elles les m
es sources de nos jouissances. Dans le premier groupe, l'Impression nerveuse gagne les contres vaso-moteurs, soit par la route
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses [dispensaire neurologique et pédagogique), est an
seur Raymond reprendra ses leçons de clinique des maladies du système nerveux le mardi 20 mars 1000, à dix heures du matin (hos
'un neurone, sur un neurone, ou sur plusieurs neurones, d'ondulations nerveuses résultant de la transformation, dans les voies ne
'ondulations nerveuses résultant de la transformation, dans les voies nerveuses centripètes, des mouvements du milieu ambiant;
d'un neurone, sur un neurone ou sur plusieurs neurones d'ondulations nerveuses résultant de la combinaison, dans les circuits in
et cela proportionnellement à leur intensité, de même les ondulations nerveuses ont la propriété de convertir, proportionnellemen
e chaleur, de lumière ou d'électricité, mais sous forme d'ondulations nerveuses . C'est en ce sens que le neurone est comparable à
t certainement un phénomène analogue dans le neurone. Les ondulations nerveuses peuvent renaître sur leur empreinte. C'est le sou
à chaque idée, à chaque jugement correspond un système d'ondulations nerveuses . Le cerveau de l'homme est un monde. On peut le c
ire de trois manières. 1° Directement. Dans ce cas, les ondulations nerveuses traversent les parois des deux crânes, et les env
ir. 2° Par le geste et par l'écriture. Dans ce cas, les ondulations nerveuses du sujet A, lancées sur ses voies nerveuses centr
s ce cas, les ondulations nerveuses du sujet A, lancées sur ses voies nerveuses centrifuges se transforment, dans les muscles de
rétines du sujet B. 3° Par la parole. Dans ce cas, les ondulations nerveuses du sujet A lancées sur ses voies centrifuges se t
transformées ou non, d'un cerveau à un autre. Soit les ondulations nerveuses correspondantes à un jugement. Lorsque ces ondula
ues et le spasme du diaphragme disparaît, ainsi que tous les troubles nerveux qui lui sont associés. La guérison s'est maintenu
s'agit d'un homme âge de trente ans, de bonne constitution, sans tare nerveuse héréditaire. Déjà pendant sa vie scolaire, il mon
) Présentation de malades faite à la Clinique des maladies du système nerveux , à lo Salpetrière./page> page n="336">
malade ont présenté du somnambulisme naturel ; quand â lui, il était nerveux , émotif, coléreux et ne pouvait se contenir. L'hé
u sujet el l'ont frappé à son point faible qui, ici, élaii le système nerveux . Quant à la cause occasionnelle, il faut la cherc
e tumeur blanche suppurée. Le père, bien portant, est un éthylique, nerveux et irritable, ayant r. la boisson très mauvaise »
'elles, âgée de 24 ans, mariée et mère d'une fillette, est une grande nerveuse , une a tête chaude · se fâchant très aisément ; u
une a tête chaude · se fâchant très aisément ; une petite toux sèche, nerveuse la secoue constamment. L'autre sœur, célibataire,
laboratoire de psychologie expérimentale. Une clinique de maladies nerveuses (dispensaire neurologique etpé-dagogique), est an
otique dans le traitement de l'épilepsie.—Les névroses par épuisement nerveux . — La neurasthénie anxieuse. —Les maladies des se
itié, reprendra ses conférences cliniques sur les maladies du système nerveux , samedi 28 avril, à dix heures un quart, et les c
expression du phénomène. En effet oublions un instant que les ondes nerveuses peuvent se fixer dans les neurones, en donnant à
Chaque pensée, ai-je dit, correspond à un système particulier d'ondes nerveuses . Or, on peut dire que les divers systèmes d'ondes
r d'ondes nerveuses. Or, on peut dire que les divers systèmes d'ondes nerveuses se réfractent au travers de la plupart des cervea
siècles et soixante générations ! — On peut encore comparer les ondes nerveuses aux ondes sonores, et la plupart des cerveaux aux
es de génie, ceux qui, recevant plusieurs systèmes différents d'ondes nerveuses , plusieurs pensées diverses, les combinent pour é
plus ou moins prolongée dans le traitement d'un grand nombre d'états nerveux . La durée des séances de sommeil à notre clinique
malheur et et qu'on se méfiât de lui, il fut pris d'un violent accès nerveux présentant les caractères d'un accès rabique; dur
1} Présentation de malade faite à la Clinique ùc* mnladios du système nerveux , à la Salpétriere./page> page n="377">
ntinuera chaque jeudi, à la même heure. Ce cours a trait aux maladies nerveuses et mentales. Dans sa leçon d'ouverture, M. Jule
p. 161, 225, 266, 289, 321. 353. Lumière colorée en thérapeutique nerveuse , par Félix Regnault, p. 7. Maîtres de l'hypnoti
98 (1893) Clinique des maladies du système nerveux : leçons du professeur, mémoires, notes et observations : parus pendant les années 1889-90 et 1890-91. Tome 2
AL HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX M. le Professeur CHARCOT Leçons du Professeur
nt entre elles des intervalles presque entièrement libres d'accidents nerveux , à part une lé- (1) Leçon du 12 mai 1891. —Recu
eux ne se plaignait guère, car c'est exclusivement pour les accidents nerveux qu'il venait nous consulter. J'avais, en admettan
, 1890, p. 339. , (8) Charcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux , t. II, p. 372, De l'épilepsie partielle d'origin
je veux simplement appeler votre attention sur les lésions du système nerveux central. J'ai fait mettre ce cerveau sous vos yeu
te !... où est-il papa ?... Qu'est-ce que tu veux ? j'ai toujours été nerveuse . Tu me gâtais, mon père, tu avais un penchant po
vient spontanément au milieu du sommeil, ceux qui dépendent de crises nerveuses épileptiques et hystériques, celui enfin que l'on
dans leur jeunesse, n'offrent plus ultérieurement le moindre accident nerveux d'ordre hystérique ; cette considération ne perme
ogrès médical, 1891. (2) Charcot.—Leçons sur lesmaladies du système nerveux , 1S80, t. I, p. 373 et 432. — Voir aussi P. Riche
s ce second cas d'un homme de 27 ans, chez qui le début des accidents nerveux se fit à l'occasion d'une plaie par arme à feu du
médecin, le pre- (1) Charcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux . t. III, p. 232 et suiv. (2) Charcot. — Leçons
ire. Cet enfant, à propos de qui ses parents niaient toute hérédité nerveuse , avait vu les premiers accidents nerveux se dével
ents niaient toute hérédité nerveuse, avait vu les premiers accidents nerveux se développer sans cause connue. Ainsi que cela s
ville. Néanmoins, M. Dutil, alors interne de la clinique des maladies nerveuses , fut prendre son observation qu'il a bien voulu n
réditaire du côté maternel, le seul connu. Elle-même a toujours été nerveuse et impressionnable à l'excès. Elle est devenue hy
ent tuberculeuse. Parmi les autres, il y a deux frères, dont l'un est nerveux et l'autre est atteint d'une paraplégie consécuti
à la Salpêtrière, dans le service de clinique des maladies du système nerveux (1). Antécédents héréditaires. — Son père, âgé
eux et emporté. (La mère du père, morte à 84 ans, était aussi vive et nerveuse ; elle a peut-être eu, d'après les renseignements
Sa mère est morte à 35 ans, de suites de couches. Elle était un peu nerveuse et s'impatientait facilement. (Le père de la mère
ne attaque d'apoplexie. Une sœur de la mère, âgée de 40 ans, est très nerveuse . Une autre sœur est morte de la poitrine). La m
înée a 24 ans, la plus jeune, 13 ans. La seconde, âgée de 23 ans, est nerveuse et sujette à des hallucinations (il y a quelques
rlé de bonne heure ; n'a pas eu de convulsions. Elle se montrait déjà nerveuse dans son enfance, et quand on la contrariait, ell
es bebête!... Où il est, papa?... Qu'est-ce que tu veux ? nous sommes nerveuses , j'ai toujours été diable. Tu me gâtais, mon père
e je suis à la Salpêtrière, parce qu'on a dit que j'avais une maladie nerveuse ... Tu sais, c'est rupin dans c'te boîte-là, mais
. Très irritable, très emporté, il n'avait cependant aucune affection nerveuse . Rien de nerveux non plus du côté des grands-pare
très emporté, il n'avait cependant aucune affection nerveuse. Rien de nerveux non plus du côté des grands-parents paternels. Un
ient tous emportés comme son père, mais rien de plus. Pas de maladies nerveuses non plus chez la mère, qui est morte d'une affect
fin guéri, mais deux mois plus tard éclatèrent les premiers accidents nerveux . Le début de ces troubles eut lieu sans cause c
gé de descendre en route ; sans quoi il aurait peut-être eu une crise nerveuse . Auparavant il pouvait voyager en chemin de fer s
ent quatre ou cinq jours. Ces prodromes annonçaient la deuxième crise nerveuse , qui se produisit alors et fut suivie de plusieur
bre 1890, parce qu'il ressentait de nouveau les prodromes d'une crise nerveuse . Ces prodromes sont toujours les mêmes. Ils con
il n'est pas appréciable. Le malade décrit ainsi une de ses crises nerveuses , d'après le récit qui lui en a été fait à Montpel
détails. (G. G.). (3) Charcot.— Leçons sur les Maladies du système nerveux , t. III, p. 357. cèdent, en tout cas, dans la v
ession exercée sur les masses musculaires, les tendons, ou les troncs nerveux (contracture des léthargiques), et l'immobilité c
nis le 15 décembre 1853. Elle est donc âgée de 38 ans. Son père, très nerveux , est mort en 1871 d'un ulcère de l'estomac; il ét
. Sa mère est morte tuberculeuse. Sa sœur a des enfants qui sont très nerveux . Elle-même a eu des convulsions pendant son enf
nt pas été, tant s'en faut, de grands clercs en matière de pathologie nerveuse , cependant il nous est facile de retrouver dans l
d'être ramenée à l'état bête », accompagnée d'un violent «ébranlement nerveux ». Le réveil s'annonce invariablement par trois bâ
s de sommeil. Sa sœur a souffert pendant quelques mois d'une coxalgie nerveuse . L'histoire de sa vie est assez caractéristique
al. C'est une jeune fille de 22 ans chez qui les premiers accidents nerveux remontent à l'âge de quatorze ans. A vingt ans el
s variées, du mutisme, de l'aphonie, des vomissements, de la diarrhée nerveuse , etc., etc. D'ailleurs, cette jeune fille porte
l'apparition est toujours marquée par une recrudescence des accidents nerveux , de morphine pour calmer ses diverses douleurs, d
la période précédente, cet accès la rendait muette. Une seconde crise nerveuse Va replongée dans son existence seconde, et ainsi
ite par une interpellation brusque ; immédiatement quelques secousses nerveuses se produisent dans les membres supérieurs, puis l
C'est une franche hystérique, avec attaques convulsives, hémoptysies nerveuses , etc... Elle est laborieuse et intelligente, mais
ont été très développés. Il était atteint depuis longtemps d'une toux nerveuse rebelle. Le 5 janvier 1875, dans un accès de toux
n essaie de l'éthériser, mais cette tentative exaspère les phénomènes nerveux , et des attaques convulsives suivies de paralysie
trinaire à trente-trois ans, était alcoolique et souffrait d'attaques nerveuses , qu'en l'absence de renseignements suffisamment c
t arrivait d'une petite ville de province, où tout foyer de contagion nerveuse ou d'imitation simple faisait absolument défaut.
16 décembre 1884. (3) Charcot. — Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III, p. 357. répondent de tout point au typ
ression exercée sur les masses musculaires, les tendons ou les troncs nerveux (contracture des léthargiques) et l'immobilité ca
en... je me sens bien... Ah! oui, quelquefois je suis colère, agitée, nerveuse ..., mais maintenant je me sens bien, je suis plus
aint-Denis, Grande-Rue de La Chapelle, n° 3. Son père, qui était très nerveux , est mort d'un ulcère de l'estomac. Sa mère est m
aire à Lariboisière. Elle a une sœur, mariée, qui a deux enfants très nerveuses . Elle a été élevée à Persan, chez les sœurs. On
pprendre à lire « bien qu'elle fût intelligente, mais elle était trop nerveuse et avait trop mauvaise tête. » Pendant son enfanc
iqi np. hya!6iciç[u e ( 1 ) Sommaire. — Présentation du cas : shock nerveux , attaque, amnésie rétrograde ; amnésie antérograd
sme elle se souvient de tous les faits de chaque jour depuis le shock nerveux . Nature de cette amnésie : morceau d'attaque hy
e, quelques minutes après, on ramena le mari, elle tomba dans un état nerveux , marqué surtout par un délire dont j'aurai à vous
ne amnésie purement dynamique. Survienne une secousse, un ébranlement nerveux , un changement de polarisation des éléments organ
munie d'une lettre de M. le Dr J... (de C...), relative à la maladie nerveuse dont elle est atteinte. Après avoir fréquenté le
s de sa famille, du côté paternel. Enfin, la sœur de Mme D... est une nerveuse qui tombe facilement en syncope, quand on la cont
pliquer cette amnésie, invoquer un ébranlement profond, un épuisement nerveux consécutif à cette longue crise ? Je ne le pense
irée d'une part sur l'existence dans le diabète de quelques symptômes nerveux analogues à ceux que l'on rencontre dans l'ataxie
ans l'urine de certains tabétiques. Dans le premier cas, les troubles nerveux ont été mis sur le compte du diabète sous le nom
lk, 1886, a° 18, p. 545.) que d'autre part l'apparition de troubles nerveux , au cours d'un diabète avéré, veuille toujours di
glycosurie d'ordre tabétique; l'existence de certaines manifestations nerveuses , au cours d'un diabète, ne veut point toujours di
diabétique présenter un tremblement des mains, entre autres accidents nerveux . Il a vu chez les descendants des diabétiques des
des frayeurs maniaques, etc.. Niepce signale de même un état morbide nerveux chez le fils d'un diabétique. Zimmer rapporte le
énation mentale. (Trois accès, le dernier suivi de mort.) Mère. Nerveuse . Fils. Epilepsie typique. Fille. Morte de
ls des diabétiques. (Gaz. des Hôp., 1884.) (2) Lecorché. — Troubles nerveux dans le diabète chez la femme. (Archiv, de Neurol
et cérébraux trouve son explication dans les antécédents héréditaires nerveux qu'on relève habituellement chez les diabétiques.
trouble commun aux manifestations arthritiques et aux manifestations nerveuses . « Cette connexion des affections du système nerv
manifestations nerveuses. « Cette connexion des affections du système nerveux avec la maladie diabétique, dit M. Bouchard,... p
adie diabétique, dit M. Bouchard,... prouve assurément que le système nerveux a une influence réelle sur le développement de la
générales, à tant de troubles permanents de la nutrition. Le système nerveux est, en effet, Je grand modérateur des actes nutr
les métamorphoses de la matière peuvent être ralenties par un trouble nerveux , elles le sont également par une disposition cons
interprété par une simple coïncidence, si on considère que l'hérédité nerveuse est représentée par le chiffre dix-sept et la syp
rth3 regarde la goutte et le diabète comme deux affections du système nerveux . Si Tétude que nous venons de faire ne permet poi
gnes classiques du diabète, on constate un certain nombre d'accidents nerveux tels que- : engourdissement, hypéresthésie, impui
té sous la dépendance de celui-ci. En résumé, si quelques accidents nerveux : perte du réflexe rolalien, troubles de la sensi
— Ici encore nous avons à relever la double hérédité arthritique et nerveuse . Nous soulignerons en outre ce fait qu'il s'agit
s'agit d'un cas de pseudo-tabes diabétique dans lequel les phénomènes nerveux ont précédé la glycosurie pendant vingt ans; 2° i
première objection n'est pas soutenable, car, si parmi les accidents nerveux quelques-uns sont communs au tabès et au diabète,
mille. Tous les membres qu'il connaît n'ont ou n'ont eu ni alfections nerveuses , ni goutte, ni diabète, ni rhumatisme, ni obésité
ne. Que peut-on conclure de cette succession morbide? Les accidents nerveux actuels ressortissent-ils au tabès vrai?Ne pourra
diabétique., durant depuis deux ans, avec aggravation des phénomènes nerveux , en l'absence de la glycosurie et des autres sign
isparaît parfois de l'urine? Du reste, dans les affections du système nerveux , l'atténuation, l'arrêt ou la disparition de la m
infirmités physiques, .que des affections dites organiques du système nerveux , voire même certaines monstruosités soient le rés
eds bots, affligés de telles ou telles maladies organiques du système nerveux (ramollissement cérébral, ataxie locomotrice), vi
udimentaire, pour ainsi dire, d'une perturbation dans leurs fonctions nerveuses . « L'étude des phénomènes de Vhérédité morbide
: tantôt au cours d'un diabète authentique, surviennent des accidents nerveux tabétiformes ; tantôt, chez un tabé-tique avéré,
ion : Etant donné un diabétique chez lequel surviennent des accidents nerveux tabétiformes, déterminer si ces accidents relèven
conde face : Etant donné un (l) Dreyfous. — Pathogénie et accidents nerveux du diabète sucré. Th. agrég., 1883, p. 89. tabé
tant donné un diabète sucré au cours duquel surviennent des accidents nerveux tabétiformes, dire si on se trouve en présence d'
e trouve en présence d'un vrai ou d'un faux tabès. Si les accidents nerveux se bornent à des signes tels que : pertes des réf
ète sucré. Le résultat du traitement antidiabétique sur ces symptômes nerveux donnera certaines présomptions pour ou contre le
nière suivante : a. — Il s'agit d'un diabétique avéré avec signes nerveux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique ame
rveux tabétiformes. Si le traitement antidiabétique amende ces signes nerveux en même temps que les symptômes habituels du diab
rtants. 6 morts en bas âge, 5 enfants vivants. Pas de particularité nerveuse . Fils de 5 ans bien portant. Fille. 19 ans. H
é, au point de vue héréditaire, du diabète et des maladies du système nerveux ; d'autre part ceux qui ont trait principalement
incipalement à celle du tabès et du diabète. 1° DIABÈTE ET MALADIES NERVEUSES TABLEAU XXV FAMILLE BER... (Dr Latil. d'Aix) GR
Fils unique. Obèse. — Diabétique. Comitial. TABLEAU XXVIII mere Nerveuse . pere Diabétique depuis 4 ans. Fille de 17
rt d'anthrax. Morte d'apoplexie. (coup de pistolet). I_I _L Mère. Nerveuse . Plusieurs parents apoplectiques. Père. Goutt
is (?) Tabes. TABLEAU XXXVII famille israélite PÈRE Diabétique. MÈRE Nerveuse . Fils. Neurasthénique. — Ataxique. TABLEAU
ille israélite PÈKE Ataxique non syphilitique. MÈRE Diabétique, nerveuse . Fils. Suicidé. Fils. Obèse, diabétique.
ice de la Salpêtrière, service de la clinique des maladies du système nerveux , au mois de janvier 1890. Ses antécédents héréd
surface épendymaire qu'il soulève que par un petit pont de substance nerveuse très mince dont les éléments sont tassés, et dans
de antérieure. Au point de vue de la structure intime, les éléments nerveux situés dans le voisinage des tubercules présenten
ie inférieure du tubercule principal, on retrouve quelques cellules nerveuses appartenant au noyau du moteur oculaire externe d
ui touchent au néoplasme, on observe un véritable tassement des tubes nerveux , coexistant avec une hyperhémie notable ; tous le
rgés de globules sanguins. A l'extrême limite du tubercule, les tubes nerveux présentent des altérations qui sont surtout remar
is par des leucocytes qui s'infiltrent dans les intervalles des tubes nerveux et dans les tubes eux-mêmes. Mais il n'existe nul
coudent en bas et en dedans. En aucun point de leur trajet les fibres nerveuses ne sont en rapport direct avec le néoplasme, qui
ion a été attirée en particulier sur le mode de réaction des éléments nerveux vis-à-vis des éléments tuberculeux. A cet égard,
A cet égard, nous avons vu, dans quelques préparations, des cellules nerveuses , encore reconnaissables à leur forme et à leur vo
ns doute étaient sur le point de terminer sa destruction. Les tubes nerveux , au voisinage du néoplasme, étaient réduits parfo
non. —Progr. méd., 7 mars 1885) et Leçons sur les Maladies du système nerveux , tome IIL (3) Pierre Marie et Georges Guinon. —
1). (2) Voir à ce sujet : Charcot. Clinique des maladies du système nerveux ; leçons du professeur, mémoires, notes et être
st restée absolument négative en ce qui concerne l'examen des centres nerveux . Pendant la vie, l'atrophie prédominait au nive
e, etc. (Rev. de mèd., 1885). (2) F. Raymond. — Maladies du système nerveux ; atrophies musculaires et maladies amvotrophique
s épileptiques simples, sur les cas d'épilepsie-névrose, sans lésions nerveuses manifestes. Nous ne nous appesantirons pas ici
.. Charles, 19 ans, sans profession. Pas d'antécédents héréditaires nerveux . Début dans l'enfance par des accès de convulsi
... Berthe, 18 ans. Un frère mort d'une méningite à 4 ans. Une sœur nerveuse et faible. Mère et une sœur mortes phthisiques.
les mêmes conditions. Observation X. Lév... Georges, 16 ans. Mère nerveuse . Convulsions dans l'enfance. A l'âge de 10 ans,
la suite d'une peur, une perte de connaissance, suivie d'une maladie nerveuse ayant duré un an. Début à 12 ans, sans cause co
de vue médicodégal. Observation XIX. Legr... Marie, 21 ans. Père nerveux , mère migraineuse. La malade est une enfant du si
adoptées. Observation XXI. Bien... Louise, 26 ans, lingère. Mère nerveuse , migraineuse. Grand'mère maternelle sujette à des
Observation XXV. H... Charles, 29 ans, employé de commerce. Mère nerveuse . Grand'mère maternelle nerveuse et émotive. Grand
, 29 ans, employé de commerce. Mère nerveuse. Grand'mère maternelle nerveuse et émotive. Grand-père du même côté alcoolique.
t, mort subitement d'une affection cardiaque. Deux frères et une sœur nerveux et violents. Convulsions dans l'enfance. Début
ontrer qu'il ne faut pas classer d'emblée dans l'hystérie toute crise nerveuse , précédée de ces phénomènes, avant de les avoir b
Observation XLI. Dr... Emile, 33 ans, fabricant de fleurs. Père nerveux et violent. Mère très nerveuse, sujette à des acc
le, 33 ans, fabricant de fleurs. Père nerveux et violent. Mère très nerveuse , sujette à des accès d'étouffements. Une sœur éga
nerveuse, sujette à des accès d'étouffements. Une sœur également très nerveuse , atteinte de fureur utérine. Incontinence noctu
» » » » » Mère morte d'une peur. Grand'mère épileptique. » Mère nerveuse . » Mère épileptique. Père suicidé. Mère épilept
. » Mère épileptique. Père suicidé. Mère épileptique, aliénée. Mère nerveuse . Père suicidé. » » » Cousine épileptique. Pèr
ique. » Père paralytique. * Mère suicidée. Père buveur. Famille nerveuse . » » » Convulsions chez un neveu. Sœur paraplég
ingite chez un frère. » Enfant trouvée. » Père alcoolique. Mère nerveuse . Grand-père alcoolique. » Père alcool., attaq
s. Convulsions chez un frère. Père alcool., attaques de nerfs. Père nerveux . Convulsions chez un frère. » Père alcoolique.
s. Père nerveux. Convulsions chez un frère. » Père alcoolique. Mère nerveuse . 2 cousines épileptiques. » i Père alcoolique.
Convulsions chez la mère. » » Grand-mère épileptique. » Parents nerveux . Enfant trouvée. » » » Père névropathe, î Mèr
e de l'année (1). Les chiffres qu'il fournit, 1.020 malades, dont 860 nerveux , sont inférieurs à ceux que nous avons relevés pe
zoulay. — Consultation externe de la clinique des maladies du système nerveux ; 1er semestre 1885. (Prog. mèd., 1885, n° 49, p.
nique neuropathologique, il n'y en que 8 ne présentant pas de maladie nerveuse vraie. Et parmi ceux-ci un grand nombre se plaign
ombre se plaignent de phénomènes touchant de très près aux affections nerveuses , et nécessitant un diagnostic précis. Ainsi dans
choréiques, les tiqueux et dans quelques autres maladies des centres nerveux (2). Messieurs, Les hasards de la clinique on
té omises par erreur dans le troisième volume des Maladies du système nerveux de M. Charcot. L'une d'elles a paru récemment dan
t se manifester en dehors d'elle, dans d'autres affections du système nerveux , sans lésions organiques appréciables, en particu
dents héréditaires, ni antécédents personnels relatifs à la catégorie nerveuse . Il vit depuis quelques années clans un collège d
t c'est huit jours après qu'il a commencé à ressentir les accidents nerveux qui ont persisté jusqu'aujourd'hui. Vous l'entend
signaler, à proprement parler, chez cette jeune fille, d'antécédents nerveux héréditaires; mais elle appartient cependant à un
n'avons pas pu trouver la marque évidente d'antécédents héréditaires nerveux ou arthritiques ; seulement elle a été élevée par
uvent se transmettre d'un sujet à un autre par une sorte de contagion nerveuse . On pourrait citer plusieurs épidémies d'aboiemen
expérimentalement l'une au moins des circonstances où cette contagion nerveuse peut s'opérer dans des conditions particulièremen
coolique, c'est-à-dire appartenant en propre à la série des accidents nerveux de l'alcoolisme chronique ? Vous savez, sans do
turnisme a-t-il pourtant joué un rôle dans la production des troubles nerveux que présente notre malade? Cela me paraît vraisem
donc un bel exemple d'hystérie chez un alcoolique. La prédisposition nerveuse existe à un haut degré : père violent, oncle vrai
ystérique. (Leçon). Sommaire. — Présentation de la malade : shock nerveux , attaque, amnésie rétrograde ; amnésie antérograd
me, elle se souvient de tous les faits de chaque jour depuis le shock nerveux . Nature de cette amnésie ; morceau d'attaque hy
ehoréiques, les tiqueurs et dans quelques autres maladies des centres nerveux . (Leçon). . . . . ,............. 443 II. Hé
99 (1890) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 03] : clinique des maladies du système nerveux
ONOGRAPHIE DR E LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX 4740. - Imprimeries réunies, B, rue Mignon, 2.
ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX PUBLIÉE SOUS LA DIRECTION Du PROFESSEUR CHARC
maladie n'est pas isolée ; elle se complique d'une autre affection nerveuse à laquelle la maladie de Morvan a servi en quel
n, A. Dutil, Chef de-Cliiiiqlie des .. Ancien maladies du système nerveux . interne do la Clinique. RHUMATISME ARTICULAIRE
itaires. - Père asthmatique ; mère migraineuse, dyspeptique et très nerveuse ; une soeur aînée idiote; une tante (la soeur du
RICfIER Chef du laboratoire de la Clinique des maladies du système nerveux . CONTRIBUTION A L'ÉTUDE CLINIQUE DES TREMBLEM
conseils dans ce travail fait à la Clinique des maladies du système nerveux . 28 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPËTIUËRE.
l'hystérie, p. 478. 2. Charcot. Leçons sur les maladies du système nerveux , 1887, t. 111, p. 272. 30 NOUVELLE ICONOGRAPHIE
t la plupart des tremblements déjà décrits et classés en pathologie nerveuse . Ce sontlà, en effet, les deux données capitale
reille occurrence, on porte souvent le diagnostic de tremblements « nerveux », de chorée, etc., et l'on méconnaît la véritabl
ropres à certaines affections organiques ou inorganiques du système nerveux présente, au point de vue pratique, une importa
us pourrions relever parmi les faits de « tremblement émotif » ou « nerveux » qui ont été publiés çà et là, plusieurs cas q
l'âge de quarante-cinq ans. Sa mère n'a jamais souffert de maladies nerveuses , elle est âgée de soixante- quatre ans. Réponse
s de la famille de sa femme, paraissent être indemnes de toute tare nerveuse hé- réditaire ou acquise, la fille du malade, a
n'avait jamais été malade avant l'apparition des premiers troubles nerveux qui marquèrent le début de son 44 NOUVELLE ICON
as d'importance, n'est pour rien dans le développement des troubles nerveux qu'il a présentés plus tard. Le fait est que, pen
(A suivre.) Ancien interne de la Clinique des maladies du système nerveux . LA QUEUE DES SATYRES ET LA QUEUE DES FAUNES
s qui vont suivre. Notre malade, âgée de dix-neuf ans, à hérédité nerveuse très char- gée, appelait, le 9 décembre 1889, n
ans le troi- sième volume de ses Leçons sur les maladies du système nerveux , et dans ces archives cliniques incomparables q
« s'accole » très volontiers avec un grand nombre d'autres maladies nerveuses , mais sans se fusionner jamais avec elles. L'at
s observations de M. Séglas '. ' L'hystérique, on le sait, est un nerveux héréditaire au premier chef, et si, peut-être p
ent est le souverain baume de 1. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. III, p. 4 il. I. 2. Leçons du mardi à la Sa
einte d'anorexie hystérique, il conseille l'isolement. Les parents, nerveux héréditaires eux aussi mais, en revanche, très
e-ci continue à dépérir et va mourir 1. Leçons sur les mal. du sus. nerveux , (luu. cil.), t. III, lï6lcçuJI, p. 235. CONSID
bien entendu des autres affections auxquelles sont prédisposés les nerveux héréditaires. C'est que, nous le répétons, chez
en lumière. Sa place est grande, très grande même dans la nosologie nerveuse ; alors qu'on ne le soupçonnait pas, au lendemain
son histoire figurait tout entière dans une thèse sur les accidents nerveux du saturnisme; jamais il ne put se rappeler qu'
les DE la TOURETTE, Anrien Chef de clinique des maladies du système nerveux . UN CAS DE CARCINOSE VERTÉBRALE La malade don
ntué, mais est comme 1. Charroi. Leçons sur les maladies du système nerveux , t. t. 74 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÈTRIÈ
Salpêtrière dans le service de la clinique des maladies du système nerveux , le 1 février 1890. Antécédents héréditaires. -
r. GEORGES CUINON, Chef de clitii,itte des maladies du s ? lèlllc nerveux . lit. 0 HÉMIPLÉGIE SPASMODIQUE INFANTILE ÉP
s lorsque cet événement eut lieu. Du côté maternel : grand'mère « nerveuse » ; serait morte d'hémorrhagie cérébrale. Le gr
de 31. ans, sa santé avait été par- faite ; seulement il était très nerveux , très émotif. Il pleurait pour les motifs les p
chagrin; et ce fut là, semble-t-il, l'origine des premiers accidents nerveux bien caractérisés qu'il a éprouvés. Un jour, en
ES DE la TOURNETTE, Ancien Chef de clinique des maladies du système nerveux . Le gérant : Emile LECIt05\IEIi. 3Ja;l. - MO'
88, à la Sapêtrière, service de la Clinique des maladies du système nerveux . Antécédents héréditaires. -Père inconnu. Mère,
héréditaires. -Père inconnu. Mère, trente-cinq ans, domestique, est nerveuse , vive et emportée, mais n'a jamais eu d'at- taq
s grands-parents maternels ne paraissent pas avoir eu d'antécédents nerveux . Une tante, âgée actuellement de vingt- quatre
et conservent les mêmes caractères; toutefois les secousses de toux nerveuse qui les accompagnaient souvent sont devenus beauc
portant. Pendant sa grossesse sont survenus chez elle des accidents nerveux variés. Elle avait parfois la sensation d'une b
aucune altération de ces organes et pensant à des troubles purement nerveux voulut bien demander à M. Gilles de la Tourette
unebronclitc et, depuis celte époque, elle futsujefte à des crises nerveuses précédées d'étourdissements et accompagnées de
ue. Elle sort de- l'hôpital en juillet de la même année; les crises nerveuses n'étaient .point guéries. Elles persistèrent ai
LES DE la TOURETTE, 11UET, GUINON, Clinique des maladies du système nerveux . UN CAS DE M T L A N (; 0 L r E . (; A TA LEP T
ires. - Nous ne relevons rien de bien parti- culier au point de vue nerveux , ni du côté de son père ni du côté de sa mère.
urs de leur existence, ni dans la maladie terminale, aucun accident nerveux . Il en est de même pour les collatéraux de la mêm
s parents du côté maternel ne présentent pas davan- tage d'hérédité nerveuse . Deux soeurs sont mortes en bas âge, mais on ne
nt actuellement bien portants et n'ont jamais eu le moindre trouble nerveux . . Antécédents personnels. - Quoiqu'il ait touj
à la con- sultation externe de la Clinique des maladies du système nerveux , avril 1890. Antécédents héréditaires. - Père
ans de la fièvre typhoïde. Elle a eu des attaques. Une autre soeur nerveuse , rit et pleure sans motifs. Frère apathique, in
e présente à la consultation de la Clinique des maladies du système nerveux , au mois de mai 1890. Antécédents héréditaires.
nt. La malade assure qu'il n'avait jamais souffert d'aucune maladie nerveuse ou mentale. Il était parfaitement sobre et n'av
à l'âge de cinquante-cinq ans, à la suite d'un accident. Elle était nerveuse , sujette à des colères violentes. La grand'mère
rna ah) Satpctriere. Interne de la Clinique des maladies du système nerveux . MODIFICATIONS APPORTÉES A LA TECHNIQUE DE LA
DE L'ATAXIE LOCOMOTRICE ET DE QUELQUES AUTRES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX ' Depuis que M. le professeur Charcot a publié
t de l'ataxie locomotrice et de quelques autres maladies du système nerveux par la suspension', de nombreux travaux se sont
de malades se sont présentés à la Clinique des maladies du système nerveux pour être traités, par la suspension, d'affecti
Moabit, dit M. Gutlmann, on a traité un certain nombre d'affections nerveuses par la suspension : 10 cas de tabes, 2 casdemyéli
o locomotrice progressive et de quelques autres maladies du système nerveux , 132 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'ËTRIËRE.
LES DE la TOURETTE, Ancien chef de Clinique des maladies du système nerveux . DEUX BAS-RELIEFS DE NICOLAS DE PISE Les deux
logie (Séance du 5 juillet 1890). 2. Raymond, Maladies du système nerveux , Paris, 1889, p. 375 et suivantes. , m. 10 13
ns extrêmement voisines résultant de l'action tantôt sur le système nerveux périphérique, tantôt sur le système nerveux cen
n tantôt sur le système nerveux périphérique, tantôt sur le système nerveux central, d'un seul et même agent pathogène, virul
espaces péri-cellulaires sont envahis par des leucocytes. Le réseau nerveux des cornes anté- rieures est altéré, ainsi que
mort, l'auteur a pu constater l'état station- naire des phénomènes nerveux . Autopsie. - Dlacroscopihcemerai. - Au niveau d
e nombre. De même, les prolongements du cylinder-axis et les fibres nerveuses qui traversent la substance grise n'existent plus
lombaire. En certains endroits, il ne reste plus trace de cellules nerveuses , ailleurs leur nombre est très réduit, et ceux de
fait ressortir nettement la fré- quence des altérations du système nerveux , apoplexie (grand-père et tante), délire des pe
de Bicètre. 1. G. Ballet. De quelques troubles dépendant du système nerveux central observés chez les malades atteints de g
effet. - GEORGES Guinon, Chef de clinique des maladies du système nerveux . ÉTUDE PHYSIOLOGIQUE DE QUELQUES TROUBLES D A
is je serai assez heureux si je puis mettre en lumière les troubles nerveux , les phénomènes respiratoires et les lésions pu
contact immédiat de la muqueuse bronchique, peut exciter les filets nerveux qui président a)a sécrétion du mucus, tout en y
nt ces exemples, pris en dehors de toute autre affection du système nerveux , et les observations recueillies à la Clinique de
lkers à considérer le groupe anté- rieur comme le centre des filets nerveux destinés à la musculature interne du globe de l
tico-nucléaires, ou encore des faisceaux allant des noyaux au tronc nerveux basai; rnais une telle ophthalmoplégie s'accompag
sion périphérique des nerfs moteurs. Cette fois l'examen du système nerveux central à l'oeil nu et après durcissement resta
a absolument négatif. Par contre, l'examen des fibres et des troncs nerveux périphériques démontra l'existence d'une névrite
bout de peu de jours dans un profond marasme. L'examen du système nerveux central à l'oeil nu et après durcissement resta
yens d'investigation. Par contre, l'examen des fibres et des troncs nerveux périphériques démontra l'existence d'une névrit
e préférence autour des vaisseaux (PL XXXII, fig. 5, a). Les fibres nerveuses des cornes antérieures, très raréfiées dans le
a région, ont tout à fait disparu à ce niveau. De même les cellules nerveuses ont en grande partie disparu, et celles qui per
entées que par des débris, mal colorés d', d', d'; e, e, ramuscules nerveux où persistent des libres à myéline ; c, c, espa
s fibres musculaires ; /, faisceau neuro-musculaire ; g, ses filets nerveux ; h, ses libres musculaires; /., sa gaine lamelleu
ébris de cellules ganglionnaires; c, leucocytes; d, débris de tubes nerveux ; e, vaisseau. 1. Voy. le n' 4, 1890. 196 NOU
les parois des vaisseaux sont très épaissis, et beaucoup de fibres nerveuses ont disparu. La sclérose est exactement limitée
gue par sa constitution, il se montre formé, en effet, de fibrilles nerveuses plus ou moins dégénérées, de globules rouges et d
et de granulations. Celles-ci représentent soit des débris de tubes nerveux , soit de la fibrine. z La région externe de l
présente un petit foyer hémorrha- gique qui a détruit la substance nerveuse . La plupart des cellules sont détruites, mais i
Flechsig. Il est à remarquer, que malgré l'inté- grité des rameaux nerveux périphériques, nous avons constaté une dégénéra
il ne s'est rien produit de notable au point de vue des phénomènes nerveux sinon que le trouble nerveux amyotrophique, tou
notable au point de vue des phénomènes nerveux sinon que le trouble nerveux amyotrophique, tout en y restant cantonné, a pr
t des autres organes, pour ne mentionner que les lésions du système nerveux . \ Le cadavre est très émacié; le tissu adipeux
t sur des coupes longitudinales et transversales. Tous ces trônes nerveux sont presque normaux; du moins les seules parti
le tissu intra-fibrillaire est hypertrophié, et beau- coup de tubes nerveux ont disparu. Dans le territoire de ces traînées
us l'action des substances colorantes de la myéline, tous les tubes nerveux en étant dégénérés. On ne peut distinguer alors
tant dégénérés. On ne peut distinguer alors qu'il s'agit de rameaux nerveux , que parce qu'on découvre à côté d'eux d'autres
d'autres, leur gaine lamellaire est très épaissie, et leurs fibres nerveuses ont disparu' ¡ (Planche XXXII, fig. 4, f). Le
est vive, se met facilement en colère; elle n'a jamais eu de crises nerveuses et jouit actuellement d'une bonne santé. Ses deux
santé. Ses deux soeurs sont bien portantes. Il n'y a pas de maladie nerveuse à signaler parmi les différents membres de la f
rmis de rapporter à leur véritable origine l'ensemble des symptômes nerveux présentés par les malades. Dans certains cas, o
e. Er. PAUMENTIER, Interne de la Clinique des maladies du syslème nerveux NOTE SUR UN CAS DE PARALYSIE DU MOTEUR OCULAI
. Ses antécédents hérédt ? ne sont point chargés au point de vue nerveux . Son père est mort d'une hydropisie probablement
les Allemands en 1871. Ni l'un ni l'autre n'avaient eu de maladies nerveuses . Une soeur de la malade est morte de la poitrin
Chef du service ophlhallllologilllte Chef de Clillit1110 des maladies nerveuses , de la clinique des maladies nerveuses. SUR D
de Clillit1110 des maladies nerveuses, de la clinique des maladies nerveuses . SUR DEUX CAS DE GUÉRISON COMPLÈTE DE LA DÉFO
oliose névropathiclue; scoliose à la suite d'une affection musculo- nerveuse ». Dans un de ces cas, grâce à un traitement élec
e. Les divers viscères sont sains. Le malade avoue qu'il est un peu nerveux , qu'il s'énerve facilement, se met en colère sa
de sa tare héréditaire, il ne serait pas impossible que l'élément « nerveux », dans le sens banal du mot, ait pu avoir une
nt, en somme, le maximum de lésions. Ainsi qu'on l'a vu, les troncs nerveux de ce membre, le médian et le cubital, examinés
1889, n° 13. POLIOMYÉLITES ET POLYNÉVRITES. 15 Dans les rameaux nerveux interfasciculaires, se distribuant à des fascic
r expliquerl'atrophie. On pourrait supposer, que la lésion du tronc nerveux a été intense autrefois, et que l'aspect 1. Bor
rois organes; cellules ganglionnaires des cornes antérieures, fibre nerveuse motrice, fibre musculaire. Cependant l'arc neur
ent des cellules ganglionnaires des cornes antérieures, de la fibre nerveuse motrice et de la fibre musculaire, mais encore et
s, Interne (médaille d'or) de la Clinique des maladies du système nerveux . 1. Résilier, loc. cil., p. 1013. DE L'OPIITH
forme achevée et indé- pendante de toute autre affection du système nerveux , poliomyélite, tabes, etc. Dans Ta première o
ngestion légère des enveloppes ménin- gées, sans lésion des centres nerveux : cerveau, bulbe, moelle épinière. L'examen mic
abétique. Lui-môme, d'un caractère calme, n'a jamais eu d'accidents nerveux avant l'apparition de la maladie actuelle. Il n
ptionnels par envahir la région de l'oculo-moteur. Parmi les noyaux nerveux étages dans la moitié supérieure du 4e ventricu
re part, Rosenthal rapporte dans son Traité des maladies du système nerveux que Hérard a vu deux fois une paralysie unilaté
phie musculaire, indépendamment de toute autre affection du système nerveux ; il fit sa communication à la Société des médec
qui le produit. Ici, comme dans bien d'autres affections du système nerveux , la cause nous échappe. La syphilis a bien été
(objectif IF de Verick) : dans le nord de la préparation, les tubes nerveux sont assez abondants, mais ils de- viennent rar
ef du Service photographique de la Clinique des maladies du système nerveux . NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE T III
Région très altérée : c, c', Vaisseaux à gaines épaissies; (1, Tube nerveux . Le gérant : Emile Lecnosmen. 4140. - IHlpl i
de l'ataxie locomotrice et de quelques autres maladies du système nerveux ), par Gilles de la Tourelle, 128. Tabès et di
100 (1907) Nouvelle iconographie de la Salpétrière [Tome 20] : iconographie médicale et artistique
ryon a déjà su se constituer tout seul, sans provocation du système nerveux , sans subordination au système nerveux ; et les
sans provocation du système nerveux, sans subordination au système nerveux ; et les feuillets blastodermiques ont effectué
t son divorce, en juin 1904, il a commencé à présenter des troubles nerveux ; agitation, insomnie ; fugues ; idées de grand
ver ». HOSPICE DE LA SALPÈTRIÈRE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX SUR UN CAS DE RHUMATISME CHRONIQUE - VERTÉBRA
qu'il doit être chez un sujet normal. La pituitaire, dans sa partie nerveuse , paraît absolument saine. Dans sa partie glandu
le paraisse notablement épaissie. L'examen histologique des centres nerveux ne donne que des résultats né- gatifs. L'écorce
rconstance que nous avons pu faire un examen intéressant du système nerveux périphérique. Examen histologique. Durcisseme
e. Eu haut, lilet de la racine antérieure ; diminution des libres nerveuses . En bas, filet de la racine postérieure, aspect
t antérieur de la 7e racine cervicale droite. Diminution des fibres nerveuses , pelotons de libres de régénération. (Pal et Ca
t contraste avec les lésions considérables trouvées dans les troncs nerveux périphériques. II. Nerfs périphériques. - Exame
B et PI. VI, C) que le nombre des fibres que contiennent ces troncs nerveux est très inférieur à la normale. Celles qui son
res ou fusiformes et sou- vent parallèles à la direction des fibres nerveuses , si bien que sur ces coupes transversales, ils
s (fig. 3) les mêmes variantes de lésions, mais ici déjà les fibres nerveuses composées d'uu cylindre-axe et d'une gaine de m
s clairs, comme dans le tissu conjonctif lâche. Autour des éléments nerveux ce tissu conjonctif se condense soit pour former
un feutrage plus ou moins épais englobant parfois plusieurs fibres nerveuses soit (et c'est le cas le plus fréquent) pour co
(et c'est le cas le plus fréquent) pour constituer autour de la fibre nerveuse un manchon cylindrique. Cette dernière disposit
c les fibres plus espacées du tissu réticulé avoisinant. Les fibres nerveuses contenues dans ces gaines volumineuses sont parfo
qu'un espace central plus clair qui représente la place de la fibre nerveuse absente. Toutes ces variantes se retrouvent dan
ransversales des nerfs mixtes montrent une raréfac- tion des fibres nerveuses ; celles qui restent sont les unes normales, les
dinales. - On retrouve la même répartition irrégu- lière des libres nerveuses , tautôt rassemblées en fascicules presque aussi
. On voit parfois dans un même manchon fibreux deux ou trois fibres nerveuses à des degrés divers d'al- tération, soit juxtap
Nous avons même trouvé une dis- position assez curieuse ; une fibre nerveuse qui dans sa gaine fibreuse épaissie se recourbe
n cordon fibreux dans lequel on ne trouve aucun vestige de la fibre nerveuse . Sur ces coupes longitudinales la structure du
fibreuses qui le constituent sont allongées dans le sens des fibres nerveuses , leurs noyaux, ovalaires ou fusiformes, sont de
ion par l'acide osmique et dissociation) ; il avait montré des fibres nerveuses en grand nombre dont la gaine de myéline, impré
ONG ces coupes avec un plus fort grossissement (fig. 8), les fibres nerveuses des racines antérieures se présentent pour la p
ssu conjonctif interstitiel. En outre, on voit qu'autour des fibres nerveuses même bien conservées le tissu conjonctif forme
une forme atténuée le double processus : atrophique pour les libres nerveuses , hyperplasique pour les éléments inter- titiels
aréfiées de la racine antérieure C 7 de pelotons compacts de fibres nerveuses enroulées (PI. VI, G). Cette disposition doit ê
ine-éosine et le pro- cédé de van Gieson). - Comme [dans les troncs nerveux , les lésions sont iné- gales et inégalement rép
sseaux ne sont pas altérés dans leur structure. Les petits filets nerveux intra-musculaires que l'on voit sur les coupes du
l'on voit sur les coupes du deltoïde contiennent encore des fibres nerveuses mais en nombre bien infé- rieur à la normale; c
il ne forme pas de gaines fibreuses distinctes autour des éléments nerveux comme dans les gros troncs nerveux ou les racines
s distinctes autour des éléments nerveux comme dans les gros troncs nerveux ou les racines rachidiennes antérieures. Par co
gros nerfs du creux axillaire, c'est-à-dire des zones où les fibres nerveuses raréfiées sont entourées d'une gaine fibreuse en
amen histologique. Intégrité de la moelle épinière. Dans les troncs nerveux périphériques diminution du nombre des fihres à
culé, tantôt' épaissi et condensé dans les inter- valles des fibres nerveuses . Présence de gaines conjonctives annulaires et
antérieures seules sont lésées et à un moindre degré que les troncs nerveux du plexus brachial. Pas d'augmentation du tissu c
deux catégories de lésions sont plus intenses au niveau des troncs nerveux du creux axillaire et de leurs branches de divi
onjonctif interstitiel et présence, autour de la plupart des fibres nerveuses , d'une gaine conjonc- tive annulaire et épaisse
ertaine de la moelle épinière et des nerfs sympathiques. Les filets nerveux des muscles de la main droite sont entourés d'u
augmentation du névrilème et du tissu interfasciculaire des troncs nerveux et des filets musculaires. Les filets sensitifs d
re une diminution considérable du nombre des fibres dans les troncs nerveux , et autour des fibres nerveuses,une enveloppe con
du nombre des fibres dans les troncs nerveux, et autour des fibres nerveuses ,une enveloppe conjonc- tive fibreuse en anneau,
usieurs fibres à la fois et parfois aussi ne contenant pas de fibre nerveuse mais un point rose qui est soit un noyau, soit
ressive est nettement familiale, la diminution du nombre des fibres nerveuses dans les nerfs périphériques est évidente, mais
ntrafasciculaire ait formé des man- chons fibreux autour des libres nerveuses ; on ne pourrait donc parler ici de névrite hyp
cine, 1890, p. 441. 1 60 LONG est intacte, du moins les fibres nerveuses y sont en nombre normal, mais il y a une légère
cordons postérieurs avec tourbillons névrogliques ; dans les troncs nerveux , dégénérescence des fibres à myéline, augmentat
Archiv. sur Psychiatrie, vol. XXIX, p. 996. (2) Long, Les maladies nerveuses familiales [maladies d'évolution). Revue méd. de
éléments histologiques (cellules ou fibres conductrices des centres nerveux , fibres périphériques motrices,sensitives ou symp
névrite interstitielle avec ou sans hypertrophie ; dans les centres nerveux la sclérose névroglique en tourbil- lons doit ê
le plus souvent en importance les lésions atrophiques des éléments nerveux ATROPHIE MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUP
anal en tératologie. Ces lésions d'atrophie régressive des éléments nerveux ou musculaires avec ou sans hypergenèse des élé
la moelle ; dans les nerfs périphériques la raréfaction des fibres nerveuses était accompagnée d'une sclérose conjonctive avec
pagnée d'une sclérose conjonctive avec épaississement de ces troncs nerveux . L'observation I de Friedreich (atro- phie d'un
les nerfs périphériques, en même temps que la diminution des fibres nerveuses il y avait un épaissis- sement du névrilème, du
e, la névrite interstitielle périphé- rique forme autour des fibres nerveuses raréfiées des enveloppes en anneaux ; dans le s
variables, mais il n'y a pas de manchons fihreux autour des fibres nerveuses . L'observation de Marinesco qui se rapporte à u
les nerfs périphériques, à côté des lésions atrophiques des fibres nerveuses il y a une hyperplasie conjonctive, mais elle p
ions histologiques et ne pas les limiter à l'examen des appa- reils nerveux et musculaires. Quant à l'observation que nous
t et Malle[, de Dejerine, Sottas et Thomas ; raréfaction des fibres nerveuses , augmenta- tion du tissu conjonctif intrafascic
tissu conjonctif intrafasciculaire, si bien qu'en somme les troncs nerveux ne sont pas augmentés dans leur diamètre. Le ti
t altéré au même degré et on ne saurait supposer ici que les fibres nerveuses man- quantes ont été détruites par compression
sont normales ; dans les racines antérieures une partie des fibres nerveuses se sont atrophiées, ce qui d'une part vérifie l
façon suivante : Atrophie régressive d'un grand nom- bre de fibres nerveuses , hyperplasie du tissu conjonctif intrafasciculair
laire et formation de gaines fibreuses épaisses autour des éléments nerveux . Ces lésions sont au maximum dans les troncs ne
r des éléments nerveux. Ces lésions sont au maximum dans les troncs nerveux ; elles sont notable- ment moins marquées au ni
iveau des racines rachidiennes et à la périphé- rie dans les filets nerveux intra-musculaires.Dans leur ensemble les fibres
rvelet peut être dû à des faits dégénératifs primitifs des éléments nerveux constituant l'écorce cérébelleuse, ces mêmes fait
us atrophiées on note une raréfaction tout à fait légère des fibres nerveuses . Ce fait est difficile à expliquer, nous nous bor
ux ont un certain intérêt clinique et anatomique pour la pathologie nerveuse en général et celle du cervelet en particulier.
(SÉANCE DU 6 DÉCEMBRE 1906) [Travail de la Clinique des maladies nerveuses , à la Salpêtrière ) OSTÉITE SYPHILITIQUE DÉFORM
Gerdy, puis par Cruveilhier. Charcot, qui créait alors la clinique nerveuse , se trouvait chaque jour aux prises avec les di
est l'existence de cette poliencéphalite comme unique manifestation nerveuse chez notre malade. Comme étiologie de l'ophtalm
on volume (PI. XXVII). Au niveau du foyer proprement dit les fibres nerveuses constituant le réseau myélinique de la corne so
xi-infectieuse capable de frapper aussi d'autres parties du système nerveux . Ces diverses localisations du même processus a
flammatoire, d'une vraie myélite intéressant à la fois les cellules nerveuses , les tubes nerveux et les vaisseaux. Mais c'est
vraie myélite intéressant à la fois les cellules nerveuses, les tubes nerveux et les vaisseaux. Mais c'est l'étude de cas de
raitplus facile encoresiM. Barbiéri (1) établit que les gan- glions nerveux des racines postérieures appartiennent au système
res appartiennent au système du grand sympathique. Et en pathologie nerveuse , ces accointances entre l'appareil sympathique
cellule du protoneurone centripète peut donc par action d'un influx nerveux vicié, agir irrégulièrement sur toute une série
s, 9 avril 1900 et 2 mars 1903. (2) Simon et Hoche, Les ganglions nerveux des racines postérieures appartiennent- ils au
es circonscrits aigus et chroniques sous la dépendance du sys- tème nerveux . Rôle de la sécrétion lymphatique sur leur pathog
utit à la formation exagérée de la lymphe sur les oedèmes d'origine nerveuse . Et nous en trouvons une preuve manifeste sur l
e du tisu conjonctif (Kapoji). Transportons dans l'oedème d'origine nerveuse ces données établies par les oedèmes chroniques
cas héréditaires ou familiaux, et une réaction vicieuse à un influx nerveux lui-même vicié par lésion du protoneurome centrip
- Ce nerf est notablement hypertrophié (fig. D), mais les faisceaux nerveux ne participent pas à cette augmentation de volume
s vient encore s'interposer en- tre les divers groupes de faisceaux nerveux et augmenter ainsi le volume total du nerf. z
la gaine externe et à l'intérieur de celle-ci on voit des faisceaux nerveux rap- prochés les uns des autres ; chacun d'eux
'étude des troubles trophiques relevant d'une altération du système nerveux constitue un des chapitres les plus intéressants
ue. xx Il 166 PARUON ET FLORIAN Mais de quelle façon le système nerveux intervient-il pour produire le trophoedème ?
tze. Dans les cordons postérieurs une raréfaction légère des fibres nerveuses . Dans des segments plus inférieurs de la région
s ventraux. Dans ces foyers si étendus de nécrose, on voit le tissu nerveux altéré, en îlots irréguliers séparés par des espa
grande dans les foyers de nécrose où la destruction des élé- ments nerveux est plus profonde. Apparemment ce sont des leucoc
hémorragie peu abondante. ' (1) VAN GEFIUCHIEN, Anatomie du système nerveux de l'homme. 212 ZOGRAPIDI Dans la substance g
iques, des leucocytes, des petits foyers d'hémorragie. Les cellules nerveuses des cornes antérieures sont troubles, leurs noyau
; le plus souvent on constate un lésion plus profonde des cellules nerveuses , quelquefois leur disparitio complète. Autour d
un pe les fondamentaux, de Gowers) les a aussi touchées. Les fibres nerveuses sont gonflées. Le canal épendymaire est obiitér
ges, ou par de simples déchirures, dus à la résorption des éléments nerveux altérés. Dans ces étendues nécro- tiques on voi
noyaux se colorent (1)(,matéine-éositie) très nettement. Les fibres nerveuses sont gonflées ou brisées ou à demi résorbées. L
r l'hématoxyline et incomplè- tement vers la périphérie. Les fibres nerveuses sont parfois résorbées et 214 ZOGRAFIDI ont l
s du tissu altéré, on constate différents débris fins névrogliques, nerveux , des libres des septa, quelquefois des corps gr
moins intenses. Les cellules ner- veuses sont troubles, les fibres nerveuses gonflées, les vaisseaux conges- tionnés ; infil
myélite (congestion, diapédèse leucocytaire, gonflement des fibres nerveuses , prolifération des éléments névrogliques), en d
uses présentaient les caractères suivants : on ne voyait des fibres nerveuses que dans la périphérie de la sclérose, et là même
lissement des réflexes tendineux, douleurs à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires, hypoesthésie tactile e
ieurs des extrémités abdominales ; douleur à la pression des troncs nerveux et des masses musculaires, pression très pénibl
quand on soulevait les extrémités ou que l'on comprimait les troncs nerveux et les masses musculaires ; cela me démontra cl
ts déposition, par la pression des masses musculaires et des troncs nerveux , sont un in- dice d'une grande importance diagn
ctive. HOSPICE DE LA Salpêtrière CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX MYOPATHIE PSEUDO-HYPERTROPHIQUE DES MOLLETS ET
as- culaire on trouve du pigment ocre (hémoglobine). Les cellules nerveuses sont altérées, mais principalement les cellules p
oyau excentrique. 242 VIGOUROUX ET DELMAS Au Weigert ; les fibres nerveuses sont grêles, mais ne présentent pas d'al- térat
neuses et osseuses profondes. , Le malade n'a jamais eu de « crises nerveuses » ; les personnes de son entourage nous ont ass
é que ce- poison agissait simplement en paralysant les terminaisons nerveuses du sphincter de l'iris. La cocaïne, au contra
actions successives : tout d'a- bord, elle excite les terminaisons nerveuses du dilatateur de l'iris, d'où légère mydriase a
. Plusieurs heures plus lard,' la cocaïne paralyse les terminaisons nerveuses du sphincter et agit alors comme l'atropine ; m
me s'intoxique, c'est-à-dire modifie volontairement son équi- libre nerveux pour se donner une excitation ou une anesthésie v
E Professeur de Clinique Chef de clinique des Maladies du Système Nerveux à la Salpêtrière. Les phénomènes'bulbaires, les
part au pro- cessus. Chercher à localiser en un point du système nerveux une lésion qui expliquerait cette chiromégalie
blanche semée « d'araignées gonflées ». La répartition des cellules nerveuses dans l'écorce est « brouillée » depuis la calcari
e série de fraîches dans la partie médiane de Th. opt. Les fibres nerveuses de l'écorce sont généralement bien conservées à d
d'en étudier encore beaucoup mieux les effets généraux sur le tissu nerveux central. 2° Il faut surtout se souvenir que tou
ntr'autres le VIII. Le bord médian du néoplasme contient des fibres nerveuses encore colo- rahles. Il s'agit d'un sarcome à c
L z81 de S. et du IV° ventricule est semé de vacuoles et les fibres nerveuses y sont variqueuses, en voie de destruction. Le
ignon. Le tubercule cutané ne reçoit ni fibres musculaires ni filet nerveux apparent. Moelle épinière. Après durcissement d
ement, on ne remarque aucune modification histologique des éléments nerveux , tubes et cellules ; leurs dimensions sont les mê
rale, les veines superficielles sont presque imperceptiles. Système nerveux . - Du côté de l'encéphale, il n'y a rien à noter
celui du côté opposé, avait pour origine le même nombre de cordons nerveux , mais il ne partait de ce plexus que trois cord
cordons nerveux, mais il ne partait de ce plexus que trois cordons nerveux assez distincts. Le ter se portait vers la partie
e du deltoïde et l'humérus, et, après avoir donné quel- ques filets nerveux à ce muscle, il le perçait vers la partie moyenne
ar M. Durante. Le cubital est plus grêle, du côté malade. Les tubes nerveux sont normaux ; l'atrophie est seulement quan- t
l semble que la division s'est faite au niveau même des territoires nerveux du médian et du cubital, celui-ci formant un co
Arthur, actuellement Médecin de la clinique des maladies du système nerveux à ICie(f. A partir du 27 janvier 1904 (début de
uaient leur labeur devenait plus pénible et l'épuisement du système nerveux atteignit son apogée. TROUBLES MENTAUX PENDANT
qui ne pouvaient plus supporter la situation présente. Une tension nerveuse si longtemps prolongée provoquait un extrême épui
i longtemps prolongée provoquait un extrême épuise- ment du système nerveux n'arrivant pas jusqu'à la psychose, mais causanta
avaux de Babès et Marinesco en Roumanie sur l'anatomie pathologique nerveuse de cette intoxication sont venus compléter ceux d
hées, etc.). Nous nous restreindrons aux particularités mentales et nerveuses , dont les manifestations sont généralement cons
METTES de Bordeaux. Le problème de la déchéance sénile du système nerveux est, assuré- ment, trop bien posé pour qu'il so
as douteux que dans la symptomatologie si complexe de la séni- lité nerveuse quelque chose relève du cervelet sénile. Si pourt
c. cit., p. 533. - VAl'< GEIIUCII'l'EN, La structure des centres nerveux . La Cellule, t. 7, 1891. NOUVELLE Iconographie
au sénile. Elles fournis- sent la preuve que la sénilité du système nerveux est le résultat,non d'une nécrobiose pure et si
d, ne révèle par la méthode de Nissl aucune altération des cellules nerveuses . La moelle, examinée au Marchi, fait voir quelque
gras, la rate volumineuse. Les reins sont congestionnés. Système nerveux . Il existe sur la convexité des hémisphères une l
onstituée par une bande de tissu névroglique peu épais ; les fibres nerveuses sont bien conservées en avant et dans le voisinag
ornes antérieures et la méthode de Weigert fait voir que les fibres nerveuses sont irrégulières et moniliformes. Le groupe cell
la moelle lombaire, la substance grise est normale. ' Les cellules nerveuses des segments médullaires où n'existe aucun proces
t (cubital, médian, collaté- raux des doigts). Dans tous ces troncs nerveux la méthode de Marchi nous a permis de constater
érale, que leur abolition aux membres supérieurs dérive des lésions nerveuses périphériques et de la destruction des cellules
gauches on remarque un mode spécial de dégéné- rescence des fibres nerveuses . Celles-ci apparaissent inégalement renflées et
s périphériques étaient intenses et généralisées à tous les rameaux nerveux de la main. Dans les nerfs du bras (médian, cub
la raison intime qui fait que devant une lésion donnée du sys- tème nerveux , les I issus constitutifs d'un segment de membre
it d'autre maladie qu'une fièvre typhoïde à l'âge de 30 ans, un peu nerveuse , a son attention attirée le 18 mars 1907 par un
) Faisans, Des hémorragies cutanées liées à des affections du système nerveux el en particulier du purpura myélopathique, Thè
initial a donc été un phénomène sensitif traduisant une altération nerveuse , névralgie ou névrite, de la branche ophtalmiqu
ellule du protoneurone centripète peut donc, par action d'un influx nerveux vicié, agir irrégulièrement sur une série d'éléme
origine traumatique ; pathogéiie des oedèmes traumaliques d'origine nerveuse , Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière 1907,
n congénitale. Quelquefois on a voulu voir une influence du système nerveux central. Mais, comme on l'a fait remarquer, ces
la plupart à la. période embryon- naire, à une époque où le système nerveux central est en pleine période de développement,
nt cru trouver la cause de l'hémimélie dans une lé- sion du système nerveux , parfois dans la syphilis des centres. C'est ai
la syphilis des centres. C'est ainsi que Cousin attribue à la tare nerveuse du père (alcoolique et mental ensuite), et aux
syphilis grave touchant avec une insistance remarquable le système nerveux . L'avortement des membres est subordonné, suiva
inger, entre certains cas d'ectromé- lie, une altération des filets nerveux et une atrophie des renflements de la moelle ép
le ; l'atrophie consistait en une diminution du nombre des cellules nerveuses : « Un seul mécanisme peut en rendre compte, c'es
seul mécanisme peut en rendre compte, c'est l'agénésie des éléments nerveux , liée intimement, et probablement consécutive à
équence et non la cause de la monstruosité. La formation du système nerveux , comme celle du système vasculaire, est sous la
'évolu- tion retentissent, si on peut parler ainsi, dans le système nerveux lui même. C'est en rapport avec ce qui se passe
ux lui même. C'est en rapport avec ce qui se passe dans les centres nerveux , consécutivement aux sections des nerfs, comme
t nous devons éliminer comme cause prochaine l'amnios et le système nerveux . CHAPITRE III CONCLUSIONS A. - Après avoir
attendre. C'est qu'il existe pour la périphérie et pour les centres nerveux une indépendance dans le développement ontogéni
mplète de l'organisme em- bryonnaire et foetal vis-à-vis du système nerveux qui n'a d'autre valeur dans l'organisme que cel
tendon styloïdien ; ici, rien de semblable ; d'ailleurs, la branche nerveuse en question reste très superficielle et se perd à
es. C. - Examen likistalogique. L'examen histologique des centres nerveux , des nerfs et des muscles a montré, de son côté
dégénéra- tive frappant surtout, mais non exclusivement, le système nerveux central dans sa partie motrice. C'est encore à
u contraire limitée en correspondance du genou. Examen du système nerveux . - Il n'y a pas d'altération des mouvements dan
vec des manifestations insolites de dystrophie ostéo-articuiaire et nerveuse . La malade présente le facies typique ayant tou
; et cela peut défendre de la compression supportée par les racines nerveuses correspondant aux trous de conjugaison déformés
ne présen- tent rien d'anormal. Le troisième est au contraire très nerveux . La malade elle-même a eu des maladies infectie
es infections a été le point de départ d'une altération des centres nerveux ou d'une modification de l'état général de la mal
segmentaire du trophoedème, plaide hautement en faveur d'un trouble nerveux , d'origine médullaire. Certaines dispositions a
u dans la Nouvelle Iconographie de la Salpêtrière envisage l'eedème nerveux circonscrit de l'urticaire, de la forme de Quin
pho-sécréteur. L'auteur italien considère ces trois formes d'oedème nerveux « comme la conséquence d'une excilo-sécrélion l
ouble dans la circulation lymphatique sous la dépendance du système nerveux semble très admissible, ainsi que l'un de nous
que à celui du trophoedème chronique sans l'intervention du système nerveux . Hertoghe (7) dont les travaux sur l'hypothyro'
ction inliibilrice sur la sécrétion lymphatique de certains centres nerveux , surtout médullaires, et ces deux facteurs se p
n état constitutionnel qui peut bien ne pas résider dans le système nerveux , même si l'on veut admettre l'intervention néces-
ns tous les oedèmes dénommés d'une façon un peu précoce peut-être - nerveux . Ceci nous amène à parler et à faire intervenir
olisme calcique et le trophoedème chronique. L'influence du système nerveux pourrait n'être que celle de déterminer la prép
se une cause plus généraleet pouvant être indé- pendante du système nerveux , par exemple un trouble du métabolisme calcique
'une lésion ou d'une perturbation fonctionnelle de certains centres nerveux . Les cas de trophoedème avec goitre, comme celu
pêtrière, n- 2, 1907. 6. Valobra. Pathogénie des oedèmes d'origine, nerveuse . Urticaire, oedème de Quincte, trophoedème. Soc
e convaincu que ses accidents convulsifs dépendent d'une irritation nerveuse qu'il localise, non pas à la périphérie, mais d
iculier de la substance LES PÉRIPÉTIES D'UN TORTICOLIS MENTAL 469 nerveuse cérébrale. Et il faut bien convenir que cette pal
tération ou tout au moins d'une irritation des nerfs ou des centres nerveux . Il s'en inquiète; mais il garde confiance dans
'ai cependant éprouvé un résultat bienfaisant, car ma surexcitation nerveuse , encore assez vive, a cependant diminué d'inten
inquiétudes » dans les jambes, sont sou- vent le fait d'une fatigue nerveuse . , , 4 avril 1903. - 1° Un peu calmé par le séj
munication avec le siège de la volonté les extré- mités des cordons nerveux , dirige ou établit dans ceux-ci le courant d'éner
is à faire fonctionner normalement quelques branches de mon système nerveux insubordonné, d'autres mettraient en dé- faut m
sortes : les unes seraient dues à une aggravation de l'excitabilité nerveuse : les contractions s'exacerbent alors, les mouv
où un individu n'est plus soumis à l'action de ses propres centres nerveux et où la fixation des yeux ne dépend plus de sa
ARLES BELL 513 M. Marinesco (13) coupa chez des chiens les branches nerveuses qui vont au muscle frontal, à l'orbiculaire des
e l'oblique inférieur. Dans le cas d'une interruption du conducteur nerveux pour l'élévateur des paupières on aurait dû avo
M. Giannelli, dans l'observation d'une femme, examinant les organes nerveux appartenant au muscle fron- tal, au muscle orbi
Ch. Bell doit être attribué à un réflexe ou s'il dérive des centres nerveux supérieurs. J'ai voulu reprendre la question co
neurolog. 1898, Nr. 2. 14. GEHUCIITEN (va\). 1. Anatomie du système nerveux de l'homme. III8 édit. Louvain. , , 2. Recher
opsie, 374. Long. Examen histologique des téguments et des troncs nerveux dans un cas de trophoedème congénital (t pt.),
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