ré comme étant la dernière à se montrer. L'animal tire son origine du
nerf
, et tous les systèmes anatomiques ne font que se
que se dégager ou se séparer de la masse nerveuse. L'animal n'est que
nerf
: ce qu'il est de plus, ou lui vient d'ailleurs,
u'il est de plus, ou lui vient d'ailleurs, on est une métamorphose du
nerf
. La gelée des polypes, des méduses, etc., est la
aux agens extérieurs n'est pas du tout une preuve qu'ils soient tout
nerfs
. En pareille matière, on a droit d'exiger une dém
ue, etc. Des observations ultérieures feront sans doute découvrir des
nerfs
chez la plupart des autres infusoires, sinon chez
réunis entre eux par des anses nerveuses et fournissant un nombre de
nerfs
très variable suivant les espèces : c'est le syst
. Vol. 17* part. 4. Lond., 1837. In-4, %» étudie seulement quelques
nerfs
appartenant aux mollusques; d'autres ont fait ave
e des acéphales sans coquilles, n'ont qu'un seul ganglion et quelques
nerfs
; ce ganglion est oblong, placé dans l'épaisseur
qui donne entrée aux branchies* et celle où répond l'anus. Parmi les
nerfs
qui en émanent, ily en a deux qui vont former un
œsophage et aux intestins, Dans les phallusies, M. Garner a suivi les
nerfs
jusqu'aux tentacules, à l'enveloppe musculaire, a
besoin d'une organisation spéciale. « La différence de fonctions des
nerfs
, selon Cuvier, dépend plutôt de l'organisation di
lque sorte du choix des alimens; le second, ou branchial, fournit des
nerfs
aux organes de nutrition et d'assimilation. Le tr
erveux d'un certain nombre d'acéphales testacés, mais il a décrit les
nerfs
comme étant des vaisseaux cbylifères, et les gang
bouche; dans les mactres, il s'approche davantage de cet orifice. Les
nerfs
qu'il donne vont aux tentacules, au manteau et au
nies dans les premières et séparées dans les secondes; Il fournit des
nerfs
aux branchies, au siphon respiratoire, aux viscèr
x organes de la nutrition, tandis que le ganglion labial, donnant les
nerfs
des tentacules, appartient à la vie de relation.
s testaeés, est prouvée par leur situation et par la distribution des
nerfs
qui en partent; toutefois, pour avoir une destina
ant l'article précédent/savoir, si la différence dans la fonction des
nerfs
tient à leur origine, ou à leur mode d'épanouisse
stéropodes, l'anneau nerveux commun à tous les invertébrés pourvus de
nerfs
, entoure l'œsophage, mais à une hauteur variable,
t alors situés à la partie supérieure de l'anneau, et fournissent des
nerfs
aux tentacules et aux yeux ; ce sont les ganglion
ganglion, entourant l'œsophage, existe chez le buccin; il fournit des
nerfs
aux viscères, à la spire, à la trompe, aux muscle
erveux qui complète l'anneau ; il part de ces ganglions environ douze
nerfs
allant aux yeux, aux tentacules , aux tégumens, a
e ces ganglions sont supérieurs et fournissent chacun trois paires de
nerfs
, dont une paire pour les tentacules ; les autres
une paire pour les tentacules ; les autres ganglions fournissent des
nerfs
, l'un aux viscères, l'autre au pied; ces deux der
seul ganglion, mais très considérable, fournit, chez les thethys, des
nerfs
aux tentacules, aux muscles voisins de l'orifice
Au-dessous de l'œsophage, il existe un autre ganglion qui fournit les
nerfs
des viscères. L'anneau nerveux œsophagien des g
iscéral ou branchial. L'escargot a cinq ganglions et quarante*et-un
nerf
(l). Malgré la forme spirée de l'animal, les part
rieure ou sus-œsophagienne de l'anneau ; il part de chacun d'eux cinq
nerfs
qui vont aux yeux, aux vrais tentacules ou tentac
rde comme des organes olfactifs, à la peau et aux muscles; un sixième
nerf
naît du ganglion situé à droite, tout près du ner
uscles; un sixième nerf naît du ganglion situé à droite, tout près du
nerf
optique, et va se porter à la verge qui, située d
e de ce côté,touche presque le ganglion céphalique. A la naissance du
nerf
optique, il y a, sur le ganglion cépha- (i) Voy
optique, il y a, sur le ganglion cépha- (i) Voyez pl. ire. Tous les
nerfs
de l'escargot ne sont pas reproduits dans la figu
a figure, parce que cette figuré n'est pas grossie et que beaucoup de
nerfs
de l'escargot ne sont visibles qu'au microscope
essayé de déterminer le volume relatif de celte partie avec celui des
nerfs
qui en partent. Le double ganglion céphalique mes
mesuré, sà mesure réduite en millimètres cubes, m'a donnée 7,00 Les
nerfs
qui partent de ce double ganglion, au nombre de o
double ganglion, au nombre de onze, ont pour les diamètres des cinq
nerfs
du côté gauche..............., 1,34 Et pour les
es cinq nerfs du côté gauche..............., 1,34 Et pour les six
nerfs
du côté droit. . »...... 1,48 En tout. . . . ,
ne, pour le rapport du volume du ganglion céphalique, au diamètre des
nerfs
qui en partent, celui de..................là 0,40
nerfs qui en partent, celui de..................là 0,403 Outre les
nerfs
dont je viens de parler, il sort de chaque gangli
fication nerveuse. L'apparence de ce cordon est la même que celle des
nerfs
, la somme des diamètres des quatre filets dont il
ce double ganglion parlent comme autant de rayons, un grand nombre de
nerfs
qui marchent dans toutes les directions. A l'aide
ons. A l'aide du microscope, j'ai compté à ces ganglions, trente-deux
nerfs
outre les quatre cordons qui, formant l'anneau, s
illimètres cubes, est de.......... ^Qmm. La somme des diamètres des
nerfs
qui en parlent, est de. .................. 9,72
. .................. 9,72 Ce qui établit le rapport du ganglion aux
nerfs
égal à celui de...............• • là 0,972 La d
iffres, entre le rapport des ganglions céphalique et viscéral, et les
nerfs
qui en émanent, exprime l'importance relative de
ans les deux cas, le volume du ganglion l'emporte sur le diamètre des
nerfs
, mais, pour le ganglion céphalique, la différence
ganglion céphalique est en somme le plus petit, mais, eu égard à ses
nerfs
, il est le plus considérable; il peut donc avoir
à ses nerfs, il est le plus considérable; il peut donc avoir sur ses
nerfs
une action plus puissante que le ganglion viscéro
ux n'en a sur les siens; il est le centre auquel viennent aboutir les
nerfs
destinés aux sens, c'est lui qui reçoit.les sensa
ncéphale de l'homme et des animaux vertébrés (1), comparé à celui des
nerfs
cérébraux, et montrent que chez les mollusques co
ous ces petits nœuds de matière médullaire que viennent les différens
nerfs
. Je n'ai pu apercevoir d'œil quoique la figure de
en effet, se trouvent et les ganglions les plus considérables, et les
nerfs
les plus nombreux. Les organes des sens, dont le
nd à sa partie externe et supérieure, les deux autres au-dessous. Les
nerfs
qui en partent sont, pour le ganglion céphalique,
sous. Les nerfs qui en partent sont, pour le ganglion céphalique, les
nerfs
linguaux et maxillaires; pour l'optique, le nerf
ion céphalique, les nerfs linguaux et maxillaires; pour l'optique, le
nerf
optique ; pour le sub-œsophagien antérieur, les n
ur l'optique, le nerf optique ; pour le sub-œsophagien antérieur, les
nerfs
des tentacules digitales, les nerfs des tenta-
le sub-œsophagien antérieur, les nerfs des tentacules digitales, les
nerfs
des tenta- (i) V. pl. ire, la figure publiée pa
par M. Owen , et que j'ai reproduite. cules labiales externes, les
nerfs
infundibulaires, et un cordon de communication av
tion avec le ganglion labial ; pour le sub-œsopbagien postérieur, les
nerfs
des muscles de la coquille, les nerfs des viscère
sub-œsopbagien postérieur, les nerfs des muscles de la coquille, les
nerfs
des viscères et de la veine cave. Le cinquième ga
ères et de la veine cave. Le cinquième ganglion ou labial fournit des
nerfs
aux tentacules labiaux internes , et les nerfs de
ou labial fournit des nerfs aux tentacules labiaux internes , et les
nerfs
de l'olfaction ; enfin, le même ganglion ou gangl
l'olfaction ; enfin, le même ganglion ou ganglion viscéral donne des
nerfs
aux branchies et aux viscères ; c'est ce dernier
lions, l'optique seul a une destination spéciale , celle de donner le
nerf
optique ; les autres tendent seulement à devenir
nt à devenir spéciaux ; ainsi le sub-œsophagien antérieur fournit les
nerfs
des tentacules auxquels il donne le sentiment et
sentiment et le mouvement ; le sub-œsophagien postérieur fournit les
nerfs
de la vie organique, et en même temps ceux de plu
x branchies et à plusieurs des organes de la digestion. Le volume des
nerfs
comparé à celui des ganglions, est très considéra
nerfs comparé à celui des ganglions, est très considérable , ainsi le
nerf
optique, qui est à la vérité le plus gros de tous
e d'oie, donne aux muscles 2. des pieds ; le postérieur donne les
nerfs
qui vont aux viscères et au cloaque, il est en co
e. Ce dernier est l'analogue de celui qui, chez le nautile, donne les
nerfs
des branchies. Le ganglion céphalique donne des
le, donne les nerfs des branchies. Le ganglion céphalique donne des
nerfs
qui sont au pourtour de l'orifice œsophagien ; il
des nerfs qui sont au pourtour de l'orifice œsophagien ; il donne les
nerfs
optiques qui, avant de pénétrer dans l'œil, se re
dont j'ai parlé et dont plusieurs vont aux branchies, donne aussi des
nerfs
pour l'organe de l'ouïe, organe qui, dans la clas
e chez les céphalopodes. M. Garner fait remarquer, à l'occasion de ce
nerf
acoustique, que son origine est très voisine des
'occasion de ce nerf acoustique, que son origine est très voisine des
nerfs
respiratoires, ce qui établit un point d'analogie
entre les mollusques et les vertébrés. Le même auteur ajoute que les
nerfs
qui vont aux organes extérieurs de la génération,
s volumineux que celui de la seiche ; l'optique uni au premier par le
nerf
optique ; le sous- œsophagien ou ganglion en patt
lion en patte d'oie, qui est le point où aboutissent presque tous les
nerfs
, enfin le ganglion étoile qui se trouve au milieu
donne principalement à la bourse. Le ganglion céphalique donne des
nerfs
qui vont à la base des pieds, à la bouche et aux
ganglion secondaire que je désignerai sous le nom de labial, enfin le
nerf
optique. Le ganglion céphalique est divisé transv
la légitimité de ces dénominations. Le ganglion optique, uni par le
nerf
du même nom au ganglion précédent, a un volume tr
t à lui seul, comme je l'ai déjà dit tout-à-l'heure, presque tous les
nerfs
de l'animal ; ces nerfs vont aux pieds, aux viscè
'ai déjà dit tout-à-l'heure, presque tous les nerfs de l'animal ; ces
nerfs
vont aux pieds, aux viscères, à l'entonnoir et à
n que je prends pour guide, le poulpe a donc quatre ganglions, et les
nerfs
principaux qui en émanent sont au nombre de sept
ion entre les ganglions oesophagiens; il ne s'en détache jamais aucun
nerf
cl chez les mollusques où j'ai pu l'observer, il
UMÉ. 1. Le système nerveux des mollusques consiste en ganglions, en
nerfs
et en cordons de communication. 2. Un même gang
ns de communication. 2. Un même ganglion peut fournir à-îa-fois des
nerfs
à tout l'organisme. 3. Cependant les ganglions
fin aux organes de la locomotion. h. Le ganglion duquel émanent les
nerfs
de la vue, du goût et de l'odorat, est toujours s
us de l'œsophage. 5. L'organe de l'ouïe, quand il existe, reçoit le
nerf
qui lui est destiné, d'un ganglion situé à côté o
ué à côté ou au-dessus de l'œ-sophage, lequel ganglion est commun aux
nerfs
viscéraux et locomoteurs. 6. Le ganglion le plu
céphalique. 7. La situation du ganglion céphalique, son volume, les
nerfs
qu'il fournil, indiquent qu'il est un organe supp
résider au choix des alimens et à leur préhension. 8. Le volume des
nerfs
est en rapport avec celui des organes dans lesq
eurs mollusques les organes extérieurs de la génération reçoivent des
nerfs
qui viennent directement du ganglion céphalique.
erveux adossés mais non confondus, et il ne s'en détache jamais aucun
nerf
. 12. Le ganglion céphalique, comparativement au
jamais aucun nerf. 12. Le ganglion céphalique, comparativement aux
nerfs
qu'il fournit, est beaucoup plus volumineux que l
es exceptionnelles. Ainsi, chez les mollusques, on peut suivre chaque
nerf
jusque dans la substance du ganglion, voir si les
es, le ganglion céphalique, par exemple, donne particulièrement des
nerfs
aux organes des sens, mais il n'est pas seulement
té de sentir, car, de plusieurs points de son étendue, il fournit des
nerfs
destinés aux organes du mouvement. Ces nerfs du m
étendue, il fournit des nerfs destinés aux organes du mouvement. Ces
nerfs
du mouvement , les fournit-il de sa propre substa
on des animaux vertébrés. M. de Blainville (1) dit à l'occasion des
nerfs
des mollusques ou , comme il les appelle, des mal
mollusques ou , comme il les appelle, des malacozoaires : « Quant au
nerf
lui-même, il est difficile de le décomposer en fi
ère médullaire homogène qui n'est cependant pas fluide. » Beaucoup de
nerfs
chez les mollusques ont, en effet, l'apparence qu
2) n'adopte pas la manière de voir de M. de Blainville; pour lui, les
nerfs
des mollusques ont une organisation analogue à ce
lignes d'abord éloignées les unes des autres, et convergeant vers les
nerfs
dont ils constituent l'origine. Chaque nerf a une
et convergeant vers les nerfs dont ils constituent l'origine. Chaque
nerf
a une sorte d'épanouissement rayonné dans le gang
ment rayonné dans le ganglion, et cet épanouissement est la racine du
nerf
. Entre les racines des différens nerfs, iln'exist
épanouissement est la racine du nerf. Entre les racines des différens
nerfs
, iln'existe dans l'intérieur du ganglion, aucune
s du collier. Ainsi, pour ce qui concerne le ganglion céphalique, les
nerfs
qu'il fournit aux organes du mouvement naissent d
et c'est de celte même substance que partent, chacun en son lieu, les
nerfs
moteurs et les nerfs sensitifs. Une commissure ré
e substance que partent, chacun en son lieu, les nerfs moteurs et les
nerfs
sensitifs. Une commissure réunit le ganglion céph
, formée de fibres parallèles, analogues à celles qui vont former les
nerfs
, et naissant, comme elles, de la portion globuleu
édieux a une structure analogue à celle du ganglion céphalique. Les
nerfs
et les cordons de communication sont tous formés
s rectilignes; il n'y a, sous ce rapport, aucune différence entre les
nerfs
de la sensation et ceux du mouvement; entre les n
rence entre les nerfs de la sensation et ceux du mouvement; entre les
nerfs
qui naissent du ganglion céphalique et ceux qui n
naissent du ganglion viscéral ou du ganglion pé-dieux. Chacun de ces
nerfs
a, quant à sa structure intime, la plus grande co
veloppés : les uns ont une membrane épaisse qui double le diamètre du
nerf
, les autres ont une simple enveloppe tellement té
disséminées sur différens points de leur étendue. Dès la naissance du
nerf
, on voit quelquefois une ligne qui en parcourt la
une division qui se complétera un peu plus loin ; car la division des
nerfs
ne se fait pas comme celle des vaisseaux, ce n'es
is le ganglion, jusqu'à la partie à laquelle elle est destinée. Les
nerfs
de l'escargot sont formés de fibres canaliculées,
es, remplies d'un fluide contenant des globules, Si l'on place un des
nerfs
de l'escargot sous la lentille du microscope, on
re ces lignes, une substance ponctuée, globuleuse. En comprimant le
nerf
ainsi placé, entre deux lames de verre (1), en mê
on voit des molécules sortir en abondance de chacune des sections du
nerf
, et former comme un magma à l'endroit d'où elles
comme un magma à l'endroit d'où elles sont sorties. Que la section du
nerf
soit complète, ou qu'il y ait seulement une incis
cependant que, dans le premier cas, toutes les fibres canaliculées du
nerf
fournissent des globules, et que dans le second,
bres incisées. A l'aide de la pression, on peut vider complètement un
nerf
de tous ses globules ner-yeux, et le réduire en u
s globules. En comprimant avec une force graduellement croissante, le
nerf
optique de l'escargot, j'ai vu des séries de glob
iger parallèlement les unes aux autres vers la section pratiquée à ce
nerf
, en sortir et se répandre au dehors. Ces globules
s. Il est extrêmement facile de voir l'organisation canaliculée des
nerfs
de l'escargot, je l'ai constatée, non-seulement p
lée des nerfs de l'escargot, je l'ai constatée, non-seulement pour le
nerf
optique, mais aussi pour la plupart des autres ne
seulement pour le nerf optique, mais aussi pour la plupart des autres
nerfs
, et je l'ai trouvée semblable dans tous : sous ce
ns tous : sous ce rapport, je n'ai pas aperçu de différence entre les
nerfs
de la sensibilité et ceux du mouvement ou de la n
sensibilité et ceux du mouvement ou de la nutrition. Plusieurs de ces
nerfs
ont une enveloppe qui double leur volume ; si on
cope, on voit l'enveloppe se rétracter et laisser libre la section du
nerf
; si alors on comprime , les molécules médullaires
ne laisse échapper absolument aucune molécule nerveuse. Puisque les
nerfs
de l'escargot sont composés de canaux, et que ces
t des animaux vertébrés. Toutefois, je dirai un mot des injections de
nerfs
des mollusques pratiquées par Poli. On sait que c
les vaisseaux lactés des mollusques, avait découvert et injecté leurs
nerfs
. Dans quelle partie des nerfs l'injection avait-e
sques, avait découvert et injecté leurs nerfs. Dans quelle partie des
nerfs
l'injection avait-elle pu pénétrer? On a dit que
r conséquent,beaucoup plus gros et que les canaux nerveux, et que les
nerfs
eux-mêmes', car le nerf optique de l'escargot, un
s gros et que les canaux nerveux, et que les nerfs eux-mêmes', car le
nerf
optique de l'escargot, un des plus volumineux que
qu'il y fasse pénétrer la matière à injection. S'il y avait pour les
nerfs
, comme il y a pour les vaisseaux artériels, veine
andre dans les canaux nerveux, on réussirait peut-être à injecter les
nerfs
; mais ces cavités n'existent pas, ou si elles exi
lles existent, on ignore où elles sont. Les fibres canaliculées des
nerfs
de l'escargot en raison de leur extrême mollesse,
mètre ; mais il n'en est pas ainsi du tissu fibreux qui enveloppe ces
nerfs
. Quand avec des instrumens délicats on serait ten
délicats on serait tenté de croire que l'on est parvenu à séparer un
nerf
en plusieurs parties, on n'a pas fait autre chose
f en plusieurs parties, on n'a pas fait autre chose que de séparer ce
nerf
de son enveloppe, laquelle se résout en fibres di
petites taches noirâtres, taches qui ne se rencontrent jamais sur le
nerf
privé de son névrilème. La meilleure manière de d
névrilémati-ques des fibres nerveuses, est d'examiner la section d'un
nerf
; on voit les premières placées à la périphérie, r
- chapper avee abondance les globules qu'elles contiennent: Sur les
nerfs
d'un escargot mort depuis quelque temps, les glob
de leur cohésion, s'échappaient des moindres déchirures faites à ces
nerfs
, avec presque autant de facilité et d'abondance,
ués ou dilacérés. La couleur et la consistance des ganglions et des
nerfs
, chez les mollusques, varient beaucoup. Le plus o
ns sont opaques, les uns blancs, les autres grisâtres, tandis que les
nerfs
sont plutôt transparens. Chez les phallusies, le
les gastéropodes, est d'un jaune brun. Le ganglion céphalique et les
nerfs
qui en émanent directement m'ont paru se rapproch
s élevés. Le ganglion céphalique est généralement assez ferme, et les
nerfs
qu'il fournit sont rarement transparens. RESUME
mollusques sont composés de matière globuleuse et de fibres. 2. Les
nerfs
sont composés de fibres creuses et contenant Un l
uide rempli de globules. 3. Les fibres creuses ou canali culées des
nerfs
de la sensibilité , celles des nerfs du mouvement
res creuses ou canali culées des nerfs de la sensibilité , celles des
nerfs
du mouvement, et celles qui se répandent aux orga
ibres canaliculées, n'offrent pas de différence appréciable. U. Les
nerfs
, qui sortent d'un ganglion , appartiennent tous
ortent d'un ganglion , appartiennent tous à ce ganglion ; ainsi les
nerfs
moteurs, qui viennent du gah-glion céphalique, ne
ème nerveux des mollusques est l'analogue du système ganglionnaire ou
nerf
grand sympathique des vertébrés. La disposition d
des vertébrés. La disposition de la masse nerveuse en ganglions et en
nerfs
donne, sous le point de vue descriptif, une certa
à celui des ganglions qui, placé au-dessus de l'œsophage, reçoit les
nerfs
principaux de la vie de relation. D'autres encore
usques, il faut considérer leur situation, leur structure, voir quels
nerfs
en émanent et à quelles parties se rendent ces ne
ture, voir quels nerfs en émanent et à quelles parties se rendent ces
nerfs
. Les ganglions du grand sympathique fournissent,
s ganglions du grand sympathique fournissent, chez les vertébrés, les
nerfs
de la vie organique ; que le ganglion céphalique
que ; que le ganglion céphalique des mollusques lui soit assimilé, le
nerf
optique cessera d'être un nerf de la vie de relat
e des mollusques lui soit assimilé, le nerf optique cessera d'être un
nerf
de la vie de relation. Une pareille conséquence m
e prendre le ganglion pour point de départ, que l'on prenne l'œil, le
nerf
recouvre ses véritables attributions ; mais pour
dans l'objet simple, de terme de comparaison. Les ganglions et les
nerfs
des mollusques ne sont donc pas les analogues du
hémisphères cérébraux. Ce rudiment d'hémisphère donne naissance à un
nerf
.oui va (r) Annot.anatomicœ, lib.i. De nervorum
u ganglion labial , lequel ganglion labial fournit un grand nombre de
nerfs
destinés à deux membranes placées autour des mâch
jet, que le cervelet est souvent rudi-mentaire chez les reptiles. Les
nerfs
qui vont aux mâchoires, ù la langue, aux glandes
sont pour lui les analogues de là cinquième paire, et de l'origine du
nerf
grand sympathique ; la partie inférieure du cercl
mpathique ; la partie inférieure du cercle œsophagien qui fournit les
nerfs
respiratoire externe y acoustique et brattchiOAds
ont ce prolongement d'Uhe extrême brièveté. M. Garner ajoute que les
nerfs
qui émanent du cerclé œsophagien des céphalopodes
u nautile a pour caractère d'être une commissure placée en dedans des
nerfs
optiques, et de donner naissance aux nerfs lingua
ssure placée en dedans des nerfs optiques, et de donner naissance aux
nerfs
linguaux et maxillaires : dans l'encéphale des ma
la moelle allongée. En effet, la moelle allongée donne naissance aux
nerfs
de l'encéphale, et de plus, elle est vraiment une
le ganglion dont il s'agit, est l'analogue du ganglion appartenant au
nerf
trijumeau des animaux vertébrés. Voici, en abrégé
été,sur ce sujet, le raisonnement deM.Serres. La taupe est privée du
nerf
optique, et pourtant elle voit ; les cétacés sont
e du nerf optique, et pourtant elle voit ; les cétacés sont privés du
nerf
olfactif, et pourtant ils odorent ; la plupart de
factif, et pourtant ils odorent ; la plupart des poissons manquent du
nerf
spécial de l'audition, et pourtant ils entendent
on, et pourtant ils entendent ; c'est que, dans chacun de ces cas, le
nerf
de la cinquième paire supplée aux autres nerfs, e
s chacun de ces cas, le nerf de la cinquième paire supplée aux autres
nerfs
, et remplit leurs fonctions. Ainsi, la vue, l'odo
ctions. Ainsi, la vue, l'odorat, l'ouïe, peuvent appartenir à un même
nerf
, et la cinquième paire peut remplacer les autres
tenir à un même nerf, et la cinquième paire peut remplacer les autres
nerfs
cérébraux. A ce raisonne ment, M. Serres ajoute
s insectes , les crustacés, n'ont, pour chaque organe des sens, qu'un
nerf
, et les vertébrés en ont deux; or, chez les premi
brés en ont deux; or, chez les premiers , pas de cerveau, donc pas de
nerf
provenant du cerveau, mais seulement un nerf de l
de cerveau, donc pas de nerf provenant du cerveau, mais seulement un
nerf
de la cinquième paire; privés de l'encéphale, les
privés de l'encéphale, les invertébrés doivent aussi être privés des
nerfs
propres de l'olfaction, de la vision et de l'audi
on de leurs diverses sensations. » A cela, je répondrai : 1° Que le
nerf
optique existe chez la taupe, Treviranus et surto
mis ce fait hors de doute; 2° Que les cétacés ne sont pas privés de
nerf
olfactif. Treviranus a décrit le nerf olfactif du
s cétacés ne sont pas privés de nerf olfactif. Treviranus a décrit le
nerf
olfactif du marsouin (2) ; M. Mayer de Bonn l'a v
, à Berlin, le cerveau de la baleine franche, je n'y ai pas trouvé de
nerf
olfactif, quoique le sillon, occupé ordinairement
ouvé de nerf olfactif, quoique le sillon, occupé ordinairement par ce
nerf
, y fut bien tracé ; 3° Que, sur la question de
l'affirmative, Cuvier (1), Treviranus et M. Weber ont reconnu que le
nerf
auditif existe réellement chez les poissons, et q
n démontrées qu'elles le sont peu, il en résulterait seulement que le
nerf
de la cinquième paire peut présider à des fonctio
un organe central, excitateur et sensitif, tandis que le ganglion du
nerf
trijumeau n'est, en quelque sorte, qu'un accident
glion du nerf trijumeau n'est, en quelque sorte, qu'un accident de ce
nerf
, un renflement placé sur son trajet. Pour établir
au ganglion de la cinquième paire, mais remonter jusqu'au point où ce
nerf
entre dans la moelle allongée, car c'est là le se
e pas, et qui pourtant n'auraient pas dû (i) « La septième paire de
nerfs
est consacrée à l'ouïe chez les poissons, comme c
uitième paire que l'on peut admirer la constance avec laquelle chaque
nerf
s'attache, dans toutes les classes, aux mêmes fon
uvier a décrit le crâne du poulpe, et M. Garner fait observer que les
nerfs
du ganglion céphalique des céphalopodes, traverse
céphale, les invertébrés doivent nécessairement être privés aussi des
nerfs
propres de l'olfaction, de la vision et de l'audi
e fait de la circonférence au centre, comme le prétend M. Serres, les
nerfs
doivent être en rapport, et pour leur volume et p
r formation, mais avec les appareils organiques eux-mêmes, « Tpus les
nerfs
, je répète les expressions de l'auteur dont je ré
te les expressions de l'auteur dont je réfute l'opinion (3), tous les
nerfs
se formant de la circonférence au pentre, leur or
nir jusqu'à ce jour. » Si cela est vrai, le nombre et la grosseur des
nerfs
doivent être en rapport avec le volume et la perf
l'œil du nautile; ainsi déjà chez les mollusques, on devrait appeler
nerf
optique, le nerf qui s'épanouit dans la rétine, e
; ainsi déjà chez les mollusques, on devrait appeler nerf optique, le
nerf
qui s'épanouit dans la rétine, et ne pas le consi
L'argument tiré du peu ou si l'on veut du défaut de développement du
nerf
olfactif des cétacés, où l'odorat paraît être trè
lui que l'on pourrait induire de la petitesse ou même de l'absence du
nerf
optique chez la taupe , où l'organe de la vue est
ui des autres animaux. Enfin, une objection dernière et décisive ; le
nerf
optique des insectes et des mollusques se sépare
t du ganglion céphalique; il n'est pas, à son origine, uni à d'autres
nerfs
, et il va de ce ganglion s'épanouir en entier dan
-^ ber (1), comme les analogues des ganglions des invertébrés, ce Les
nerfs
spinaux, dit M, Weber, ont un volume inverse de c
z l'homme, la moelle épi-nière est considérable comparativement à ses
nerfs
; le volume des nerfs augmente progressivement ch
pi-nière est considérable comparativement à ses nerfs ; le volume des
nerfs
augmente progressivement chez les oiseaux, chez l
e diminue ; enfin chez les céphalopodes, la moelle n'existe plus, les
nerfs
seuls persistent avec leurs ganglions. Les filets
des ganglions pour aller à la moelle, et constituent les racines des
nerfs
spinaux, s'unissent chez les mollusques, ceux d'u
. Ehrenberg appelle des tubes articulés ; d'après cet anatomiste, les
nerfs
olfactife, optiques et auditifs en sont formés ég
ces animaux de tubes articulés, il faudra également leur refuser des
nerfs
olfactifs, des nerfs optiques et des nerfs auditi
articulés, il faudra également leur refuser des nerfs olfactifs, des
nerfs
optiques et des nerfs auditifs. Il n'y a nulle ra
également leur refuser des nerfs olfactifs, des nerfs optiques et des
nerfs
auditifs. Il n'y a nulle raison, en effet, pour q
lle raison, en effet, pour que le principe posé ne s'applique pas aux
nerfs
senso-riaux tout aussi bien qu'aux centres nerveu
en qu'aux centres nerveux. Il est douteux que les mollusques aient un
nerf
olfactif, mais il ne l'est nullement que beaucoup
n'aient des oreilles , et qu'il existe pour chacun de ces organes des
nerfs
spéciaux. Niera-t-on l'existence des nerfs optiqu
chacun de ces organes des nerfs spéciaux. Niera-t-on l'existence des
nerfs
optiques du poulpe, par exemple, parce que le ner
n l'existence des nerfs optiques du poulpe, par exemple, parce que le
nerf
qui va s'épanouir dans l'œil de cet animal et qui
s'opère chez cet animal, puisque, toujours d'après M. Ehrenberg, les
nerfs
des sens, et même ceux de la sensibilité, sont ex
brés ; ce que j'ai dit, en parlant de son volume, comparé à celui des
nerfs
, donne une nouvelle certitude à la légitimité de
anglion céphalique de l'escargot que j'ai pris pour exemple , est aux
nerfs
qui en partent, comme 1 est à 0,403, tandis que l
comme 1 est à 0,403, tandis que le ganglion viscéro-pédieux est à ses
nerfs
comme 1 à 0,977, ce qui établit en faveur du gang
éphale un volume d'autant plus considérable proportionnellement aux
nerfs
qui en partent, que l'animal a des facultés plus
e ganglion céphalique n'est pas l'analogue du ganglion appartenant au
nerf
trijumeau des vertébrés. 5. Le ganglion céphali
meaux ou le cerveau. 6. Il existe, chez beaucoup de mollusques, des
nerfs
spéciaux pour la vision et l'audition, peut-être
blanche et leur texture intime peuvent les faire considérer comme des
nerfs
munis de renflemens et de ganglions. » Malgré l'a
latéraux. » A de semblables caractères on ne saurait reconnaître des
nerfs
, et la comparaison faite par M. Jules Cloquet qui
al, je me suis assuré qu'elles ne présentent aucunement l'aspect d'un
nerf
, et je n'y ai reconnu aucun ganglion; cependant j
un avis opposé , il ne met pas en doute que ces cordons ne soient des
nerfs
, et comme ces prétendus nerfs sont désunis dans t
en doute que ces cordons ne soient des nerfs, et comme ces prétendus
nerfs
sont désunis dans toute la longueur de l'animal,
pour chacun des anneaux de l'animal, c'est-à-dire un ganglion et des
nerfs
qui vont à toutes les parties occupant l'anneau.
nion du cordon de l'anneau avec le ganglion céphalique, naissent deux
nerfs
qui se portent en dedans , vers la ventouse orale
se portent en dedans , vers la ventouse orale. Je n'ai pas vu d'autre
nerf
partant de ce ganglion. L'anneau n'est pas formé
re, un peu grtjssi. cette autre différence, qu'il fournit plusieurs
nerfs
destinés aussi, autant que j'ai pu m'en assurer,
édiane sépare la moelle en deux parties et sur les côtés naissent les
nerfs
qui se portent à droite et à gauche de l'animal.
issent les nerfs qui se portent à droite et à gauche de l'animal. Ces
nerfs
, qui sont toujours disposés par paires, sont alte
nativement doubles et simples. A l'endroit où naît la double paire de
nerfs
, la moelle éprouve un léger renflement; dans les
dans les espaces intermédiaires, c'est-à-dire là où naît seulement un
nerf
de chaque côté , on n'observe aucun renflement. L
e; on n'y voit pas le ganglion céphalique, ni les doubles racines des
nerfs
spiraux. La figure que je publie sur le même suje
tincts, bien visibles à l'œil nu et fournissant chacun deux paires de
nerfs
. Entre les ganglions, on ne trouve aucune racine
ngsue : dans le lombric, des ganglions peu distincts et des paires de
nerfs
qui alternent doubles et simples ; dans la sangsu
bles et simples ; dans la sangsue, des ganglions véritables et pas de
nerfs
intermédiaires. Une ligne médiane règne tout le l
moelle ; il est très rapproché des deux avant-derniers et fournit des
nerfs
qui s'étalent en manière de patte d'oie. La dou
s nerfs qui s'étalent en manière de patte d'oie. La double paire de
nerfs
qui naît de chaque ganglion est l'une au-devant d
pas l'une au-dessus de l'autre comme cela a lieu pour les racines des
nerfs
spinaux, chez les vertébrés. La substance de ce
racines des nerfs spinaux, chez les vertébrés. La substance de ces
nerfs
et de ces ganglions est blanche et opaque, tandis
et opaque, tandis que nous l'avons vue transparente surtout dans les
nerfs
, ou différemment colorée chez les mollusques. (
u le mesurer pour en connaître le volume et le comparer au volume des
nerfs
qui en partent, mais sa surface est trop inégale
it possible d'en avoir les dimensions avec exactitude. Il fournit des
nerfs
aux organes de la vue, du toucher, de l'ouïe et d
abdomen répond à l'un des segmens dont se compose cette partie. Les
nerfs
fournis par la chaîne ganglionaire sont deux pair
une paire pour chaque espace inter-ganglionaire. Ces trois paires de
nerfs
, destinées à chacune des sections du corps, naiss
lan, comme celles du lombric de terre. C'est un fait à noter, que des
nerfs
sortent de la chaîne ganglionaire dans les interv
la substance blanche naît toujours de la substance grise, et que les
nerfs
ont toujours pour point d'origine un ganglion. Le
les nerfs ont toujours pour point d'origine un ganglion. Le tiers des
nerfs
du ver de terre et de l'écrevisse ferait-il excep
t médullaire, la chaîne de l'écrevisse ; il sort de ce ganglion douze
nerfs
qui s'étalent en manière de patte d'oie et vont s
es'cordons de communication sont transparens ainsi que la plupart des
nerfs
. Pour bien voir ces derniers, il faut les plonger
terminer dans le ganglion abdominal. Le ganglion céphalique donne des
nerfs
pour les organes manduca-toires et les organes de
thoracique, de forme rayonnée, envoie, par chacun de ses rayons, des
nerfs
aux pattes; le ganglion abdominal fournit aux int
ique est le plus considérable et donne naissance à un grand nombre de
nerfs
. Deux cordons nerveux longitudinaux, l'un à droit
le reste de leur étendue. Les ganglions sont biîobés, deux paires de
nerfs
naissent de chaque ganglion et se portent en deho
net a compté chez la chenille dont il s'agit, quarante-cinq paires de
nerfs
, c'est-à-dire douze ou quatorze nerfs de plus qu'
s'agit, quarante-cinq paires de nerfs, c'est-à-dire douze ou quatorze
nerfs
de plus qu'il n'y en a chez l'homme. Dans la chen
grillon domestique, comme dans plusieurs autres insectes, il y a des
nerfs
intermédiaires aux ganglions et qui paraissent ti
ce par neuf ganglions ; le ganglion supérieur ou céphalique donne des
nerfs
optiques qui sont très gros; le second est thorac
corselet et de l'abdomen. Le ganglion céphalique donne cinq paires de
nerfs
, savoir : les nerfs antennaux, les nerfs optiques
omen. Le ganglion céphalique donne cinq paires de nerfs, savoir : les
nerfs
antennaux, les nerfs optiques, et trois autres ne
halique donne cinq paires de nerfs, savoir : les nerfs antennaux, les
nerfs
optiques, et trois autres nerfs destinés aux mâch
fs, savoir : les nerfs antennaux, les nerfs optiques, et trois autres
nerfs
destinés aux mâchoires et aux lèvres. Ces trois d
ar M. Strauss comme faisant réellement partie du cerveau, fournit des
nerfs
à la bouche et à plusieurs organes des sens. Quan
aux ganglions du corselet, du thorax et de l'abdomen, ils donnent des
nerfs
en très grand nombre qui vont à toutes les partie
u deux ganglions impairs placés sur l'œsophage, qui distribuaient des
nerfs
aux organes de la vie de nutrition. C'est le prem
erfs aux organes de la vie de nutrition. C'est le premier rudiment du
nerf
crand svmDatbique. Deux insectes hémiptères étu
nombre et le volume considérable des ganglions , la multiplicité des
nerfs
destinés à la vision, chez le pentatome; la naiss
nés à la vision, chez le pentatome; la naissance d'un grand nombre de
nerfs
, chez le pentatome et la nèpe cendrée, qui a lieu
rvirait de réfutation à l'opinion de ceux qui font toujours venir les
nerfs
des ganglions. Je me contente de signaler ici cel
pourvus d'une chaîne ganglionaire; leur ganglion céphalique donne des
nerfs
qui partent de l'endroit où il s'unit à l'anneau
des nerfs qui partent de l'endroit où il s'unit à l'anneau ; quelques
nerfs
sortent de l'anneau, contrairement à ce qui a lie
u, contrairement à ce qui a lieu chez la plupart des mollusques ; les
nerfs
de la chaîne ganglionaire viennent non-seulement
angement s'opère. 6. Le ganglion céphalique des crustacés donne des
nerfs
qui vont aux organes des sens, c'est-à-dire aux o
ces sens. 7. Chez les crustacés comme chez quelques annelides, les
nerfs
ne sortent pas seulement des ganglions, mais auss
acés. 12. Comme dans les crustacés et dans plusieurs annelides, des
nerfs
simples naissent des cordons inter-ganglionaires.
ter-ganglionaires. 13. Quelques insectes présentent des rudimens du
nerf
grand sympathique. § II. STRUCTURE DU SYSTÈME N
i sont en dehors entrent dans le cordon œsophagien ou vont former les
nerfs
destinés au pourtour de la ventouse orale* Toutes
au pourtour de la ventouse orale* Toutes les fibres , tant celles des
nerfs
que celles du cordon œsophagien, ont une extrémit
on, contrairement encore à ce qai a lieu chez l'escargot, fournit des
nerfs
, mais ces nerfs ont tous leur point de départ ail
t encore à ce qai a lieu chez l'escargot, fournit des nerfs, mais ces
nerfs
ont tous leur point de départ ailleurs que dans l
ne espèce de ganglion. En dehors de ce renflement, il se détache deux
nerfs
de chaque côté , et dans l'intervalle qui existe
ire. J'ai vu très distinctement les racines de chaque double paire de
nerfs
, au moment où elles entrent dans la moelle , se p
en deux ordres de racines, les unes transverses , allant se rendre du
nerf
situé au côté droit, dans le nerf situé au côté g
s transverses , allant se rendre du nerf situé au côté droit, dans le
nerf
situé au côté gauche, et les autres se continuant
elle. Il en est autrement, si toutefois j'ai bien vu, des racines des
nerfs
simples qui sortent par les espaces inter-ganglio
ue ; 3° de fibres transverses qui se trouvent à l'origine des doubles
nerfs
spinaux. C'est un fait de structure fort importan
ant à remarquer ici, que la double origine des fibres qui forment les
nerfs
partant de la moelle. Pour chacun de ces nerfs (l
fibres qui forment les nerfs partant de la moelle. Pour chacun de ces
nerfs
(les nerfs isolés exceptés, car sur ce point je n
forment les nerfs partant de la moelle. Pour chacun de ces nerfs (les
nerfs
isolés exceptés, car sur ce point je n'ai pas de
là le point de départ, la première indication des doubles racines des
nerfs
spinaux des vertébrés? Pourrait-on en induire que
s racines transverses, racines qui, au lieu de se réunir dans un seul
nerf
en sortant de la moelle, comme dans le ver de ter
lées comme celles des mollusques, comme les fibres composant tous les
nerfs
dans la série animale : si on les comprime on en
'ai vu des globules s'échapper des sections faites à la moelle et aux
nerfs
; j'en ai vu qui suivaient la direction longitudi
ibres canaliculées qui s'infléchissent et se courbent pour former les
nerfs
latéraux de la moelle ou chaîne ganglionaire. J
s qui viennent des cordons, des fibres transverses qui sont, pour les
nerfs
émanant des ganglions , une sorte de commissure ;
dons, on les voit s'y étaler et fournir des fibres aux deux paires de
nerfs
placés latéralement. Les nerfs ne reçoivent pas s
fournir des fibres aux deux paires de nerfs placés latéralement. Les
nerfs
ne reçoivent pas seulement des fibres venant des
ernier, plus considérable du double que ceux de la chaîne , donne des
nerfs
qui vont à la ventouse anale. Il n'y a pas, chez
rfs qui vont à la ventouse anale. Il n'y a pas, chez les sangsues, de
nerfs
autres que ceux qui partent directement des gangl
ventraux composant la chaîne ganglionaire, de même que les fibres des
nerfs
, sont canali culées, et l'on parvient à distingue
d'autres, se séparent par la plus légère traction. Trois paires de
nerfs
naissent de chaque ganglion : deux en sortent dir
an-glionaire. Les ganglions placés au thorax , ceux d'où naissent les
nerfs
des pattes et des pinces ont un caractère particu
base du ganglion correspondant et la pointe suivant la direction des
nerfs
qui y prennent naissance. Sur le trajet des nerfs
nt la direction des nerfs qui y prennent naissance. Sur le trajet des
nerfs
et tout près de leur origine, il existe une espèc
obuleuse ; ce sont, comme dans l'écrevisse, dans le ver de terre, des
nerfs
sortant des cordons médullaires dans les espaces
séparables. J'ai pu isoler des fibres de la moelle et des fibres des
nerfs
chez les deux insectes dont il s'agit ; mais ayan
é : il m'a donc été impossible de comparer son volume au diamètre des
nerfs
qu'il fournit. J'ai d'autant plus regretté de ne
l, i*\ lins, les cordons médullaires sont transparens ainsi que les
nerfs
. On peut voir à l'œil nu les ganglions de quelque
ur en bien connaître la forme et la disposition , pour apercevoir les
nerfs
, il faut recourir à la loupe ou au microscope. Q
on. 8° Les fibres nerveuses naissent toutes des ganglions. 9° Les
nerfs
ont pour la plupart une double origine, l'une dan
10° H n'y a d'exception à cette règle que pour ce qui con -cerne les
nerfs
provenant du ganglion céphalique. La commissure d
verses des ganglions abdominaux, ne communique directement avec aucun
nerf
. 11° La racine des nerfs qui vont aux pinces et
inaux, ne communique directement avec aucun nerf. 11° La racine des
nerfs
qui vont aux pinces et aux pattes, chez l'écrevis
ez le lombric une colonne médullaire donnant à droite et à gauche des
nerfs
disposés par paire et ayant tous deux origines; l
sure. Chez l'homme, une colonne semblable donnant aussi des paires de
nerfs
à droite et à gauche, nerfs ayant également deux
nne semblable donnant aussi des paires de nerfs à droite et à gauche,
nerfs
ayant également deux origines ; cette colonne se
z l'anneau des insectes et des mollusques. La position respective des
nerfs
encéphaliques s'accorde parfaitement avec ces cha
itement avec ces changemens.Chez la seiche, le nautile, lepoulpe, les
nerfs
auditifs naissent des parties latérales de l'anne
le quatrième ventricule des vertébrés s'ouvre comme je l'ai dit, les
nerfs
auditifs se trouvent précisément comme dans les m
mme dans les mollusques que je viens de nommer; il en est de même des
nerfs
de la huitième paire. Quant aux nerfs optiques, i
e nommer; il en est de même des nerfs de la huitième paire. Quant aux
nerfs
optiques, ils restent, dans les deux cas, au gang
ectes ont un cerveau, un prolongement rachidien, des ganglions et des
nerfs
; et les diverses parties paraissent avoir les mêm
ndait retrouver chez l'homme, à la naissance de chacune des paires de
nerfs
rachidiennes, un renflement qui constituait une e
s et sacrées s'étant développées plus et plus tard que la moelle, les
nerfs
qui terminent cette moelle, ont subi une elongati
résente comme vous le dites, les ganglions spinaux des vertébrés, les
nerfs
terminaux de l'axe nerveux de la mouche-asile, ne
de la mouche-asile, ne représentent pas la queue de cheval, mais les
nerfs
lombaires, sacrés et coccygiens, après leur sorti
ière dont se comportent dans celte moelle, les doubles racines de ses
nerfs
, j'établirai de nouveaux points de comparaison qu
chaîne ganglionaire, représentent les pédoncules cérébraux. h. Les
nerfs
de la chaîne ganglionaire ont une double origine
anglionaire ont une double origine qui rappelle la double origine des
nerfs
rachidiens. § IV. FACULTÉS DES ANIMAUX ARTICULÉ
particulier uniquement destiné aux fonctions nutritives, un véritable
nerf
grand sympathique. Chez tous les vertébrés, ce fr
mités, de plusieurs renflemens ou lobes auxquels viennent aboutir les
nerfs
des sens et ceux des organes les plus importans à
° les tubercules quadriju-meaux; 5° le cervelet ; 6° les ganglions du
nerf
trifacial ; 7° les ganglions des nerfs de la sept
cervelet ; 6° les ganglions du nerf trifacial ; 7° les ganglions des
nerfs
de la septième et de la huitième paire ; 8° enfin
fin, il existe à la base de l'encéphale, en arrière du croisement des
nerfs
optiques, deux autres ganglions qui sont les gang
lobes toujours faciles à reconnaître puisqu'ils donnent naissance aux
nerfs
optiques, qu'un seul ganglion, comme cela a lieu
filet de communication. En avant, les lobes olfactifs fournissent les
nerfs
, du même nom, en arrière ils sont en contact avec
volume; mais ils en diffèrent parce qu'ils ne donnent naissance ni au
nerf
olfactif, ni à aucun autre nerf, en ce qu'ils son
rce qu'ils ne donnent naissance ni au nerf olfactif, ni à aucun autre
nerf
, en ce qu'ils sont réunis, celui de droite à celu
ut suivre, sur leur partie interne et supérieure une des racines du
nerf
optique, et à leur partie interne et inférieure,
e, et à leur partie interne et inférieure, une seconde racine du même
nerf
. Ils sont en rapport de volume avec les yeux ; ch
ant en totalité ou en partie, d'autres tubercules. 6° Gang lions du
nerf
trifacial. Lobus posterior, pons ma-millaris de I
e; cependant comme on ne les rencontre jamais sans voir une partie du
nerf
de la cinquième paire s'y implanter, on ne saurai
paire s'y implanter, on ne saurait douter qu'ils n'appartiennent à ce
nerf
, ils sont adherens aux deux côtés externes et sup
ques anatomistes comme une dépendance du cervelet. 7° Ganglions des
nerfs
pneumo-gastriques. Lobus vagi, lobus striatus de
sont d'autres ganglions de la partie extérieure desquels naissent les
nerfs
pneumogastriques. Ces ganglions n'existent pas co
e voir (pl. 11), en comparant le squale-renard au rouget. Parfois les
nerfs
facial et labyrinthique ont aussi un ganglion à l
aussi un ganglion à leur point d'origine, mais plus rarement que les
nerfs
pneumo-gastriques. 8° Ganglions inférieurs. Les
levé l'encéphale de la cavité crânienne, en arrière du croisement des
nerfs
optiques; ils sont implantés à la partie inférieu
on découvre d'autant plus facilement, qu'elle suit la direction des
nerfs
optiques, dont elle est séparée seulement par un
et donnant eux-mêmes naissance à une commissure située en arrière des
nerfs
optiques. L'analogue de la substance grise forman
us, et qui, suivant E. M. Bailly, va se confondre dans le chiasma des
nerfs
optiques. Au-dessus des tubercules quadrijumeau
rouve un corps pituitaire. (i) Op. cit., t. i. p. 186. I. 10 2.
Nerfs
encéphaliques. La description de l'encéphale ne
céphale ne serait pas complète, si j'omettais de parler des paires de
nerfs
qu'il fournil; ces nerfs SOilt presque aussi mult
plète, si j'omettais de parler des paires de nerfs qu'il fournil; ces
nerfs
SOilt presque aussi multipliés et, proportion gar
, beaucoup plus gros que ceux de l'encéphale dé l'homme. lre Paire,
nerfs
olfactifs. Plusieurs anatomistes ont confondu les
lre Paire, nerfs olfactifs. Plusieurs anatomistes ont confondu les
nerfs
olfactifs, avec les proîongemens médullaires qui
raux, et c'est ce qui a fait dire à quelques-uns d'entre eux, que les
nerfs
olfactifs sont creusés d'une cavité; Car en effet
t aussitôt dans la membrane à laquelle ils sont destinés. 2e Paire,
nerfs
optiques. Ils naissent de la partie inférieure et
et l'autre sur la partie inférieure et externe du même-ganglion. Ces
nerfs
sont généralement très gros, ils sè portent obliq
l'œil gauche, et celui du gauche vers l'œil droit. A l'endroit où ces
nerfs
se rencontrent, ils se croisent, en se plaçant l'
ble; j'indiquerai comment elle s'opère en parlant de la structure des
nerfs
optiques des reptiles. 3e Paire, nerfs moteurs
parlant de la structure des nerfs optiques des reptiles. 3e Paire,
nerfs
moteurs communs des yeux. On les voit à la base d
le dans lesquels on peut suivre une partie de leurs fibres; ainsi ces
nerfs
appartiennent directement à la moelle de laquelle
quelle ils émanent sans l'intermédiaire d'aucun ganglion. Lf Paire,
nerfs
pathétiques. Ces nerfs si grêles qu'on serait ten
l'intermédiaire d'aucun ganglion. Lf Paire, nerfs pathétiques. Ces
nerfs
si grêles qu'on serait tenté de les dire impercep
le même point d'origine que dans les mammifères les plus élevés. Ces
nerfs
partent du même endroit, leurs filets d'origine s
lets d'origine se continuent de l'un à l'autre, différens en cela des
nerfs
de la troisième paire, qui sont la continuation d
qui sont la continuation des fibres longitudinales de la moelle. Les
nerfs
pathétiques appartiennent donc à un système de fi
n'ai pas encore parlé, à celui des fibres transversales. 5e Paire,
nerfs
trijumeaux. Ces nerfs sont très considérables che
, à celui des fibres transversales. 5e Paire, nerfs trijumeaux. Ces
nerfs
sont très considérables chez tous les poissons; i
es mammifères, l'entrecroisement des pyramides. La cinquième paire de
nerfs
encéphaliques de l'homme, a aussi deux origines;
sont en partie cachées par les fibres du pont de varole. 6e Paire,
nerfs
abducteurs. En dedans des racines du nerf de la c
ont de varole. 6e Paire, nerfs abducteurs. En dedans des racines du
nerf
de la cinquième paire, on voit de chaque côté un
i'va se rendre au muscle abducteur de l'œil auquel il est destiné. Ce
nerf
, ainsi que les autres nerfs encéphaliques, a été
ducteur de l'œil auquel il est destiné. Ce nerf, ainsi que les autres
nerfs
encéphaliques, a été exactement figuré par Cuvier
mais par une inadvertance extraordinaire, il l'a placé en arrière du
nerf
auditif, et l'a dirigé presque perpendiculairemen
ulairement à la moelle épinière, du côté de la queue. (1) 7e Paire,
nerfs
faciaux. Tout joignant le nerf de la cinquième pa
du côté de la queue. (1) 7e Paire, nerfs faciaux. Tout joignant le
nerf
de la cinquième paire, et en arrière de ce nerf,
aux. Tout joignant le nerf de la cinquième paire, et en arrière de ce
nerf
, on trouve deux nerfs qui, par les uns, sont rega
nerf de la cinquième paire, et en arrière de ce nerf, on trouve deux
nerfs
qui, par les uns, sont regardés comme des nerfs d
nerf, on trouve deux nerfs qui, par les uns, sont regardés comme des
nerfs
distincts de la cinquième paire, et par d'autres
la cinquième paire, et par d'autres comme émanant de cette paire. Les
nerfs
, dont il s'agit, sont de chaque côté un nerf faci
ant de cette paire. Les nerfs, dont il s'agit, sont de chaque côté un
nerf
facial, et un nerf labyrinthique. M. Carus n'adme
Les nerfs, dont il s'agit, sont de chaque côté un nerf facial, et un
nerf
labyrinthique. M. Carus n'admet pas l'existence d
facial, et un nerf labyrinthique. M. Carus n'admet pas l'existence du
nerf
facial chez les poissons, M. Swan ne l'indique ni
ésenter sur un encéphale de morue, et il a donné les dimensions de ce
nerf
, chez vingt poissons. Si je ne savais combien M.
conviction; mais les recherches que j'ai faites pour m'assurer si le
nerf
facial est un nerf indépendant de la cinquième pa
es recherches que j'ai faites pour m'assurer si le nerf facial est un
nerf
indépendant de la cinquième paire, m'obligent à r
ter dans le doute. Je n'ai pu suivre assez distinctement l'origine du
nerf
facial, pour décider la question. 8e Paire, ner
ement l'origine du nerf facial, pour décider la question. 8e Paire,
nerfs
auditifs. J'hésite moins à me prononcer au sujet
8e Paire, nerfs auditifs. J'hésite moins à me prononcer au sujet du
nerf
auditif, et en cela, je me trouve d'accord avec l
et en cela, je me trouve d'accord avec la plupart des anatomistes. Ce
nerf
a une existence isolée, une origine que l'on peut
peut apercevoir dans le court espace qui sépare à leur naissance, le
nerf
de la cinquième paire du nerf pneumo-gastrique. L
espace qui sépare à leur naissance, le nerf de la cinquième paire du
nerf
pneumo-gastrique. Les fibres ne viennent pas des
pas des proîongemens longitudinaux de la moelle; mais comme celles du
nerf
pathétique, elles appartiennent à un système de f
rébro-spinal dont, ici, je fais seulement la description. 9" Paire,
nerfs
glosso-pharyngiens. Mêmes difficultés pour ces ne
ion. 9" Paire, nerfs glosso-pharyngiens. Mêmes difficultés pour ces
nerfs
, que pour les nerfs faciaux; ils sont, chez les p
fs glosso-pharyngiens. Mêmes difficultés pour ces nerfs, que pour les
nerfs
faciaux; ils sont, chez les poissons, assez intim
nerfs faciaux; ils sont, chez les poissons, assez intimement liés aux
nerfs
pneumo-gastriques, pour que leur existence, comme
ment liés aux nerfs pneumo-gastriques, pour que leur existence, comme
nerfs
distintes, soit au moins douteuse. 10« Paire, n
xistence, comme nerfs distintes, soit au moins douteuse. 10« Paire,
nerfs
branchiaux. Us égalent presque en volume les nerf
euse. 10« Paire, nerfs branchiaux. Us égalent presque en volume les
nerfs
de la cinquième paire, et ont presque toujours, à
écise qu'ils occupent est la fin du quatrième ventricule, on voit les
nerfs
pneumo-gastriques s'y porter presque en totalité;
sque en totalité; ils appartiennent au même système de fibres que les
nerfs
auditifs et pathétiques. 11e Paire, nerfs hypog
système de fibres que les nerfs auditifs et pathétiques. 11e Paire,
nerfs
hypoglosses. M. Weber admet leur existence et Rol
r vingt poissons : je vais dire ce que je pense de la mensuration des
nerfs
, et je ferai voir avec quelle réserve il faut ado
ème difficulté tient à la différence de dimensions que présentent les
nerfs
encéphaliques avant leur sorli-e du crâne : chez
fères où le cerveau et le cervelet sont considérables, tandis que les
nerfs
sont très petits, la différence de volume des ner
s, tandis que les nerfs sont très petits, la différence de volume des
nerfs
peut être négligée, parce qu'elle n'influe pas se
l'encéphale ; mais il n'en est pas de même chez les poissons dont les
nerfs
égalent quelquefois et surpassent l'encéphale en
r le volume comparatif de l'encéphale des poissons avec le volume des
nerfs
encéphaliques des mêmes animaux. Par voie directe
on la calcule d'après le poids spécifique de l'organe ; mais pour les
nerfs
, c'est à peine si l'on peut avoir des données app
peut avoir des données approximatives. Le diamètre de la plupart des
nerfs
(car c'est à cette mesure que l'on est obligé de
mesure que l'on est obligé de s'en tenir pour calculer le volume des
nerfs
) varie suivant le point du nerf que l'on examine.
en tenir pour calculer le volume des nerfs) varie suivant le point du
nerf
que l'on examine. Choisira-t-on, pour prendre le
arge, ou le plus étroit, ou celui qui est intermédiaire? La forme des
nerfs
varie à l'infini, il en est de circulaires, de tr
nombreux filamens qu'enveloppe un névrilème, tels que les racines du
nerf
pneumo-gaslrique; d'autres divisés aussi en filam
divisés aussi en filamens sont dépourvus de névrilemme, tels que les
nerfs
olfactifs des raies et des squales; comment réuni
Cette séparation serait pourtant nécessaire, car ce qui constitue le
nerf
, c'est la fibre nerveuse, et le nombre des fibres
re des fibres nerveuses, ne peut pas se déduire à priori du volume du
nerf
, car il y a des nerfs dont le névrilème double et
es, ne peut pas se déduire à priori du volume du nerf, car il y a des
nerfs
dont le névrilème double et triple le diamètre, t
de l'opération qui consisterait à additionner le diamètre de tous les
nerfs
, pour en comparer le total au volume de l'encépha
r en comparer le total au volume de l'encéphale; parce que, quant aux
nerfs
, ce serait réunir des unités de nature dissemblab
es unités de nature dissemblable. Toutefois, on peut comparer un même
nerf
dans les animaux de toutes les classes; on peut é
les animaux de toutes les classes; on peut également comparer chaque
nerf
(je parle de ceux que l'on parvient à mesurer exa
on volume est..... 9,126 mill, cubes. Le diamètre de la section des
nerfs
suiyans qui sont circulaires, est, Pour le nerf
de la section des nerfs suiyans qui sont circulaires, est, Pour le
nerf
optique, de...... 3,00 Le moteur commun des yeu
0,8 L'abducteur........ 0,1 Donc, le rapport entre chacun de ces
nerfs
et l'encéphale est : Pour le nerf optique, le r
, le rapport entre chacun de ces nerfs et l'encéphale est : Pour le
nerf
optique, le rapport de. là 1,291 Le moteur commun
18,155 L'abducteur.......1 à 1,161,955 Je ne parle pas des autres
nerfs
dont la forme est trop irrégulière pour que j'aie
térêt pour que l'on ne (1) Pour enlever l'encéphale, j'ai coupé les
nerfs
à l'endroit où ils pénètrent dans les trous crâni
crâniens, et la moelle épinière au niveau de la première paire des
nerfs
cervicaux. sente pas la nécessité de voir jusqu
pinière mesurée au-dessous du point d'insertion de la paire vague, ou
nerf
branchial, est, En largeur de........ 7 mill.
est de. . . 1,030 Donc son volume est..... 1,262 mill, cubes. Le
nerf
optique est aplati, la plus longue dimension de s
plus petite de....... 2 Donc son diamètre moyen est de 2, 236 Les
nerfs
suivans qui sont circulaires, ont pour diamètre,
236 Les nerfs suivans qui sont circulaires, ont pour diamètre, Le
nerf
moteur commun des yeux. 1,0 Le pathétique......
0,5 L'abducteur......... 0,3 Ce qui donne, pour le rapport de ces
nerfs
avec l'encéphale, Pour le nerf optique, le rapp
e qui donne, pour le rapport de ces nerfs avec l'encéphale, Pour le
nerf
optique, le rapport de. . là 321 Le moteur comm
mme celle du squale-renard, au-dessous de l'insertion de la paire des
nerfs
branchiaux, est, En largeur, de........ 3,5 E
séries de faits, c'est que, chez le brochet, la moelle épinière elles
nerfs
encéphaliques, comparées à l'encéphale, l'emporte
le, l'emportent du double et même plus, sur la moelle épinière et les
nerfs
du squale-renard qui a par conséquent une masse r
te d'éperon, pour se porter au-dessous des tubercules de la paire des
nerfs
branchiaux ou pneuino-gastri- (i) Op. cit. p, 1
ne pas les apercevoir chez de très petits poissons. Les racines des
nerfs
qui naissent de la moelle épinière, sont doubles
dans le cas précédent. Au niveau de chaque trou de conjugaison, deux
nerfs
depuis long-temps séparés des autres sortaient du
du canal et allaient se confondre en un ganglion commun. De ces deux
nerfs
, l'un venait du côté fulcral, et l'autre, du côté
ibulum t des commissures, un aqueduc de Sylvius. 3. Presque tousles
nerfs
encéphaliques qui existent chez l'homme, se retro
xistent chez l'homme, se retrouvent chez les poissons. h. Parmi ces
nerfs
, les uns appartiennent aux fibres longitudinales,
poids du corps de ces animaux a donné pour rapport 1 à 5668. 6. Les
nerfs
optique, moteur commun des yeux, pathétique et ab
par un canal qui s'étend dans toute sa longueur. 9. Les racines des
nerfs
spinaux sont doubles comme chez les hauts vertébr
rvelet, de celui-ci à la moelle allongée, à la moelle épinière et aux
nerfs
où ils sont les plus petits de tous. Prochaska ad
rgane : ainsi, dans le cerveau comme dans le cervelet, comme dans les
nerfs
, on trouve des globules de dimensions variables (
c Que la substance de la glande pinéale, de la moelle épinière et des
nerfs
; ce Enfin, que la masse cérébrale des mammifère
e cet anatomiste admet que la substance blanche de l'encéphale et des
nerfs
est entièrement composée de fibres canaliculées ;
opposition est parfaitement fondée. Entre la moelle épinière et les
nerfs
spinaux, M. Ehren-berg établit une grande différe
-berg établit une grande différence quant à la nature des fibres; les
nerfs
auraient des fibres rectilignes, la moelle épiniè
M. Ehrenberg, a dû, en effet, le conduire à celte conclusion; car les
nerfs
tout comprimés qu'ils soient après leur extrême d
e, et d'en priver les autres. C'est ce que la nature a fait. Dans les
nerfs
, la fibre est enveloppée d'un névrilème solide; d
que dès sa naissance, la moelle épinière du poisson-lune est dans ses
nerfs
, et qu'il en est presque de même pour la baudroie
ent soms ce rapport mieux pourvus que les poissons, car au niveau des
nerfs
latéraux du cordon ganglio-naire, on voit, outre
autres classes de vertébrés et les mollusques. Chez ces derniers, les
nerfs
sontépars et vont isolément se rendre aux organes
autres dans le canal rachidien, tan» dis que chez les mollusques les
nerfs
rayonnent vers les organes auxquels ils sont dest
es pyramides. Il y a, comme je l'ai dit, un croisement des racines du
nerf
trifacial, mais rien autre chose. Au sillon spina
e que pour les fibres qui, se détachant de la moelle, vont former les
nerfs
rachidiens. Ce que je viens de dire concernant
rlé d'une disposition particulière que présente la racine spinale des
nerfs
rachidiens de la carpe ; je vais donner quelques
du compresseur, on voit après les avoir aplaties , que la racine des
nerfs
, ne se comportent pas toutes de la même manière;
bres en sortent pour former la racine spinale. La somme des fibres du
nerf
est plus considérable que celle des fibres venant
disposition d'une manière très marquée;les racines postérieures des
nerfs
rachidiens pénètrent dans la moelle par un sillon
tie antérieure du lobe optique, et de la jonction desquels résulte le
nerf
optique. Ainsi les nerfs optiques sont en communi
ptique, et de la jonction desquels résulte le nerf optique. Ainsi les
nerfs
optiques sont en communication avec les fibres de
entes. Toutefois, il m'est démontré que les fibres qui vont former le
nerf
optique ne viennent pas toutes de la moelle épini
le nerf optique ne viennent pas toutes de la moelle épinière, car le
nerf
optique a un volume d'environ le double du faisce
on de la lame optique en croisant la direction des fibres qui vont au
nerf
optique. ¡gAinsi malgré l'autorité de Haller et
s distinctement qu'elles partent de la même source que les racines du
nerf
optique, c'est-à-dire des pro longemens fulcraux,
de renforcement; 3° De fibres qui, par leur réunion, constituent le
nerf
optique ; 4° D'une commissure. Cherchons main
a commissure, c'est le corps calleux ; enfin, les fibres d'origine du
nerf
optique sont les mêmes dans les deux cas. Au-de
la partie de la moelle sur laquelle sont implantés les tubercules des
nerfs
branchial, auditif, facial et trifacial, celle qu
jà décrite et qui existe en arrière de l'endroit où se croisent les
nerfs
optiques. La dernière commissure dont j'ai égalem
s une autre forme, ce que j'ai indiqué pour les lames optiques. Les
nerfs
encéphaliques naissent pour la plupart des gan-gl
gan-glions;on a vu avec quelle facilité j'ai pu suivre les racines du
nerf
optique ; je n'ai pas réussi de même en rechercha
ique ; je n'ai pas réussi de même en recherchant l'origine des autres
nerfs
; ainsi dans les ganglions postérieurs du cervelet
spinales et des fibres transverses; j'en ai vu sortir les racines des
nerfs
, mais je n'ai pu apercevoir de continuation, même
es transverses (v. pl. 1er le ganglion de la sangsue), tandis que des
nerfs
rachidiens des poissons viennent presque exclusiv
partie céphalique de la moelle ; mais ces fibres vont-elles dans les
nerfs
et ces nerfs ont-ils des fonctions différentes de
lique de la moelle ; mais ces fibres vont-elles dans les nerfs et ces
nerfs
ont-ils des fonctions différentes de ceux qui nai
s longitudinales ? La réunion de deux ordres de fibres dans un même
nerf
peut tenir à ce que, chez les articulés, il y a e
ur chaque anneau ; et leur séparation chez les poissons, à ce que les
nerfs
se dédoublent pour prendre les uns et les autres,
'ai pu suivre de continuité entre les tubercules quadrijumeaux et les
nerfs
optiques, c'est pourquoi je n'en fais pas mention
as vunon plus que les ganglions inférieurs fournissent des racines au
nerf
optique, comme Cuvier l'a avancé, mais j'ai obs
uée par M. deBlainville(1); c'est que les uns servent d'origine à des
nerfs
, tandis que c'est le contraire pour d'autres. En
Blainville assure que les tubercules quadrijumeaux sont étrangers aux
nerfs
optiques : pour ce qui concerne les poissons , je
vertébrés et notamment les mammifères, il m'est bien démontré que les
nerfs
optiques étalent en grande partie leurs racines s
- qu'elles appartiennent aux ganglions, à la moelle épinière ou aux
nerfs
; elles ne sont pas même parfaitement semblables
nerfs ; elles ne sont pas même parfaitement semblables dans tous les
nerfs
. Plusieurs auteurs ont parlé du volume des fibres
aillées, aplaties, dilacérées, et par conséquent déformées. Quant aux
nerfs
, le procédé employé pour en étudier les fibres es
que la substance nerveuse s'élargisse beaucoup. Aussi, les fibres des
nerfs
paraissent-elles plus régulières que celles de l'
es que les précédentes et quelquefois variqueuses ; que les fibres du
nerf
olfactif et du nerf optique, très petites aussi,
es et quelquefois variqueuses ; que les fibres du nerf olfactif et du
nerf
optique, très petites aussi, sont quelquefois var
toutes les précédentes, sont variqueuses aussi, tandis que celles des
nerfs
encéphaliques, autres que l'optique et l'olfactif
optique et l'olfactif (je n'ai pas examiné l'auditif), que celles des
nerfs
rachidiens, plus volumineuses que toutes les préc
diamètre des fibres de l'en- céphale, de la moelle épinière et des
nerfs
de quelques poissons : j'ai disposé ce tableau su
amètre des fibres nerveuses des poissons. Millim. Carpe. Fibre du
nerf
olfactif........ 0,00083 Renfl. d'une Id. Id...
Fibre du trifacial........... 0,01660 Le même animal. Fibre du même
nerf
......... 0,01992 Carpe. Fibre du nerf musculair
Le même animal. Fibre du même nerf......... 0,01992 Carpe. Fibre du
nerf
musculaire dorsal. 0,02506 Raie bouclée. Id....
06 Raie bouclée. Id...................... 0,02822 Carpe. Fibre du
nerf
branchial...... 0,02988 Il y a des différences
2988 Il y a des différences très grandes entre les fibres d'un même
nerf
; pour le nerf olfactif, par exemple, la différen
es différences très grandes entre les fibres d'un même nerf ; pour le
nerf
olfactif, par exemple, la différence est du doubl
velet, avoir un volume approchant de celui des fibres appartenant aux
nerfs
. Les fibres de la lame optique et les fibres tran
ce Dans les tubes articulés du cerveau, de la moelle épinière et des
nerfs
de la sensibilité, se trouve un fluide dense, par
'est le suc nerveux, la liqueur nerveuse qui diffère de la moelle des
nerfs
, comme le chyle diffère du sang. Le suc nerveux n
it quelques globules semblables à ceux que l'on trouve aussi dans les
nerfs
. Je n'ai jamais rien vu de semblable dans la subs
e, et comme huileuse. Je passe à mes expériences. lre expérience. —
Nerf
musculaire du dos. Les fibres de ce nerf se prése
riences. lre expérience. — Nerf musculaire du dos. Les fibres de ce
nerf
se présentent sous deux aspects différens : les u
olume reste le même qu'avant la compression. 2e expérience. — Haie.
Nerf
musculaire du dos. Ces fibres presque les plus gr
cît,y p. 62. de gouttelettes huileuses. Je comprends alors que les
nerfs
sont des tubes pleins d'un liquide huileux, et qu
es présentent, au plissement de leurs parois ; et je pense que si des
nerfs
, en apparence semblables, peuvent être ou pleins
est l'étal de ces tubes, dans les maladies dites nerveuses. Autour du
nerf
étaient, en grand nombre, des globules huileux, s
ment pour éviter des répétitions. 3e expérience. — Anguille de mer.
Nerf
trifacial et nerf branchial. En comprimant les fi
es répétitions. 3e expérience. — Anguille de mer. Nerf trifacial et
nerf
branchial. En comprimant les fibres du nerf trifa
de mer. Nerf trifacial et nerf branchial. En comprimant les fibres du
nerf
trifacial, je vois des corps blancs s'avancer ver
nservant leur forme rectiligne et leur diamètre. Je vois une fibre du
nerf
branchial bien distincte, parfaitement isolée, ma
ubstance molle, lactescente et oléagineuse. Ue expérience. — Carpe.
Nerf
branchial. Tubes nerveux très larges et entièreme
ues dans toutes les expériences pratiquées de la même manière sur les
nerfs
, autres que l'optique et l'olfactif. 5e expérie
rfs, autres que l'optique et l'olfactif. 5e expérience. — Anguille.
Nerf
optique. A l'aide du sca-pel on parvient facileme
Nerf optique. A l'aide du sca-pel on parvient facilement à diviser ce
nerf
en fibrilles ; en comprimant légèrement, je vois
comme font les globules huileux. 6e expérience. — Anguilles de mer.
Nerf
optique. Pas d'apparence défibres, ni rectilignes
d'apparence défibres, ni rectilignes, ni articulées; la substance du
nerf
laisse échapper une infinité de globules huileux.
de la 5e expérience, qui était presque vivante quand j'ai enlevé son
nerf
optique; ainsi, on peut attribuer le manque d'app
uer le manque d'apparence fibreuse, à la décomposition commençante du
nerf
. La même expérience, répétée sur une autre anguil
résultat c'est-à-dire , absence de fibres. 7e expérience. —Goujon.
Nerf
optique. J'y découvre beaucoup de fibres rectilig
bres rectilignes et quelques fibres articulés. 8eexpérience.—Carpe.
Nerf
optique. Tissu linéaire, dense et serré; je ne pu
beaucoup près, rencontré constamment des fibres variqueuses, dans les
nerfs
optiques des poissons : la varicosité est un phén
nce de l'enveloppe de chaque tubule nerveux. 9e expérience. —Carpe.
Nerf
olfactif. A l'œil nu, il paraît fibreux ; au micr
et sur laquelle j'ai vainement cherché des fibres variqueuses dans le
nerf
optique. 10e expérience.— Moelle épinière. Angu
e les fibres nerveuses soient canaliculées ? 1° Pour les fibres des
nerfs
, cela est hors de doute ; on voit la matière homo
transparent. M. Ehrenberg veut que le liquide s^P'différent dans les
nerfs
et dans les tubes de la moelle et de l'encéphale
dans les tubes nerveux de l'encéphale , de la moelle épinière et des
nerfs
des poissons, est parfaitement semblable partout.
n effet, que faut-il pour que le liquide nerveux puisse s'écouler des
nerfs
de la carpe, et qu'il ne s'écoule pas de la même
es nerfs de la carpe, et qu'il ne s'écoule pas de la même manière des
nerfs
de l'homme ou du bœuf ? Il faut que, chez la carp
nt la substance blanche. 3. Toutes les fibres nerveuses, celles des
nerfs
, comme celles de la moelle épinière et de l'encép
e continuent directement du faisceau fulcral de cette moelle dans les
nerfs
qui en émanent; du côté spinal, il y a chez la ca
en émanent; du côté spinal, il y a chez la carpe entre les fibres des
nerfs
et les fibres de la moelle, l'intermédiaire d'un
inière va se terminer dans les ganglions cérébraux ; aux ganglions du
nerf
vague et du nerf trifacial et au cervelet, vont s
iner dans les ganglions cérébraux ; aux ganglions du nerf vague et du
nerf
trifacial et au cervelet, vont se rendre les pyra
continuer à travers la lame optique, dans le corps calleux et dans le
nerf
optique. 8. Les ganglions sont composés de subs
maquereau. tous les ganglions encéphaliques donnent naissance à des
nerfs
. 12. Les fibres nerveuses des poissons varient
ssons varient depuis 0 mill. 00083, jusqu'à 0 mill. 02988; celles des
nerfs
sont plus volumineuses que celles de la moelle et
que, à celui du corps entier et à celui de la moelle épinière, et des
nerfs
, fournira des données plus satisfaisantes, mais c
ue l'on rencontre chez les ascidies? Non ; car chez les ascidies, des
nerfs
nombreux et considérables, proportion gardée, von
endre à un petit ganglion ; tandis que chez les reptiles, ce sont des
nerfs
moins considérables, et des centres nerveux, des
t de plus. semble rester complètement étrangère à la production des
nerfs
; au moins, n'en fournit-elle aucun d'une manière
is inférieur, la tige pituitaire, la glande pinéale, et l'origine des
nerfs
encéphaliques. Io Lobes cérébraux. Dans tous le
reusé d'un canal (1), et qui, après s'être un peu renflé, fournit les
nerfs
olfactifs. Lorsque l'on écarte le lobe cérébral d
e branche artérielle venant de la carotide, La \ (i) T. pl. II, les
nerfs
olfactifs de la grenouille. couleur de la subst
e de raphé plus marqué en arrière qu'en avant. Deux racines d'un même
nerf
, du nerf optique, se voient à sa surface, l'une e
é plus marqué en arrière qu'en avant. Deux racines d'un même nerf, du
nerf
optique, se voient à sa surface, l'une en dedans
s, à peine saillant, situé en arrière de l'endroit où se croisent les
nerfs
optiques. C'est des parties latérales du noyau do
l'on distingue très bien, notamment chez la couleuvre, du chiasma des
nerfs
optiques. 9° Commissure diffuse. Quand on a enl
e opinion sur ce sujet. Cependant, je dois ajouter que l'opinion 2.
Nerfs
encéphaliques. Les nerfs encéphaliques des rept
endant, je dois ajouter que l'opinion 2. Nerfs encéphaliques. Les
nerfs
encéphaliques des reptiles ne ressemblent pas ent
ne pas répéter ce qui se trouve déjà exposé plus haut. lre -paire.
Nerfs
olfactifs. Ils naissent de l'extrémité antérieure
de ce lobule ; on ne peut pas les suivre jusqu'au cerveau. 2epaire.
Nerfs
optiques. L'existence des nerfs optiques paraît n
s suivre jusqu'au cerveau. 2epaire. Nerfs optiques. L'existence des
nerfs
optiques paraît n'être pas constante chez les rep
umeaux ne se rencontrent dans aucun reptile : Bojanus , en parlant du
nerf
de la troisième paire, ou moteur commun des yeux,
ire, ou moteur commun des yeux, dit, à la vérité, que la racine de ce
nerf
est entre le cervelet et les tubercules quadrijum
mais par tubercules quadrijumeaux, il entend les lobes optiques. du
nerf
optique, elle offre une particularité importante
cerveau. Les auteurs n'admettent pas l'entrecroisement des fibres des
nerfs
optiques chez tous les reptiles ; je parlerai bie
les reptiles ; je parlerai bientôt de cet entrecroisement. 3epaire.
Nerfs
moteurs des yeux. Ces nerfs existent chez tous le
ientôt de cet entrecroisement. 3epaire. Nerfs moteurs des yeux. Ces
nerfs
existent chez tous les reptiles, excepté peut-êtr
lle épinière, avant leur entrée dans les lobes cérébraux. Ue paire.
Nerfs
pathétiques. Ils existent comme les pré-cédens ;
les que j'ai faites sur des animaux frais. M. Busconi (1) dit que ces
nerfs
sont tellement grêles, qu'on ne peut les voir ava
un têtard de 9 jours, mais par les yeux de l'imagination. 5e paire.
Nerfs
trijumeaux. Ils naissent sur les côtés de la (i
pas de ganglions à leur origine, comme chez les poissons. Ce sont les
nerfs
les plus considérables du corps. 6e paire. Nerf
ssons. Ce sont les nerfs les plus considérables du corps. 6e paire.
Nerfs
abducteurs. Leur origine, comme chez les poissons
. Leur origine, comme chez les poissons, est sur le même plan que les
nerfs
pathétiques ; ces deux paires de nerfs ne sont pa
, est sur le même plan que les nerfs pathétiques ; ces deux paires de
nerfs
ne sont pas séparés ici, comme chez les mammifère
la quatrième paire. Aussi, quand il s'agira de comparer le volume des
nerfs
à celui de l'encéphale, n'aurai-je que les nerfs
mparer le volume des nerfs à celui de l'encéphale, n'aurai-je que les
nerfs
optiques et les nerfs moteurs communs des yeux, c
erfs à celui de l'encéphale, n'aurai-je que les nerfs optiques et les
nerfs
moteurs communs des yeux, comme termes de compara
fs moteurs communs des yeux, comme termes de comparaison. 7e paire.
Nerfs
faciaux. Ces nerfs sont petits, placés tout près
des yeux, comme termes de comparaison. 7e paire. Nerfs faciaux. Ces
nerfs
sont petits, placés tout près des nerfs acoustiqu
7e paire. Nerfs faciaux. Ces nerfs sont petits, placés tout près des
nerfs
acoustiques, et surgissent de la moelle, en arriè
rès des nerfs acoustiques, et surgissent de la moelle, en arrière des
nerfs
trijumeaux : ils sont bien distincts des autres n
en arrière des nerfs trijumeaux : ils sont bien distincts des autres
nerfs
; ce qui n'a pas toujours lieu chez les poissons.
s nerfs ; ce qui n'a pas toujours lieu chez les poissons. 8e paire.
Nerfs
acoustiques. Ils naissent comme les nerfs faciaux
z les poissons. 8e paire. Nerfs acoustiques. Ils naissent comme les
nerfs
faciaux sur les côtés de la moelle, et un peu au-
s côtés de la moelle, et un peu au-dessus d'eux ; ils constituent des
nerfs
bien distincts. 9e paire. Nerfs glosso-pharyngi
-dessus d'eux ; ils constituent des nerfs bien distincts. 9e paire.
Nerfs
glosso-pharyngiens. Ils naissent par plusieurs fi
glosso-pharyngiens. Ils naissent par plusieurs filets, en arrière du
nerf
acoustique. 10e paire. Nerfs vagues ou pneumo-g
ent par plusieurs filets, en arrière du nerf acoustique. 10e paire.
Nerfs
vagues ou pneumo-gasfriques. Dépourvus de ganglio
ues. Dépourvus de ganglions extérieurs, à leur origine, ainsi que les
nerfs
de la cinquième paire, ils diffèrent beaucoup, so
sous silence, parce qu'il se rapporte directement à l'origine de ces
nerfs
: je veux parler du volume considérable de la moe
r du volume considérable de la moelle au niveau de l'implantation des
nerfs
trijumeaux, faciaux, acoustiques et pneumo-gastri
e j'indique, la moelle est renflée à cause de l'implantation de ces
nerfs
. Cette disposition est très marquée, et on l'appr
s rapprochés de la tête, immédiatement au-dessous de la naissance des
nerfs
vagues, la moelle se rétrécit presque de la moiti
la tête, chez les grenouilles et les crapauds, par exemple, comme les
nerfs
des membres antérieurs naissent tout près de ceux
ganglions dont il s'agit ; le crocodile est dans ce cas. llepaire.
Nerfs
hypoglosses. M. Rusconi (1) n'a jamais aperçu ces
. llepaire. Nerfs hypoglosses. M. Rusconi (1) n'a jamais aperçu ces
nerfs
dans la famille des batraciens. Cuvier a omis de
nsuite le poids de l'encéphale au (i) Op. cit. volume de ceux des
nerfs
encéphaliques que j'ai pu mesurer exactement, Les
a vu plus haut la raison pour laquelle je n'ai pas pris la mesure des
nerfs
abducteur et pathétique des reptiles ; je vais do
s abducteur et pathétique des reptiles ; je vais donner la mesure des
nerfs
optique et moteur commun des yeux, et comparer le
nerfs optique et moteur commun des yeux, et comparer le volume de ces
nerfs
au volume de l'encéphale, chez le lézard et chez
3 Donc son volume est de. . . 48,54 mill. cubes.* Le diamètre des
nerfs
suivans, qui sont circulaires , est Pour le ner
Le diamètre des nerfs suivans, qui sont circulaires , est Pour le
nerf
optique de......0,4 mill. cub. Pour le moteur c
Pour le moteur commun des yeux, de 0,3 Donc le rapport entre ces
nerfs
et l'encéphale, est Pour le nerf optique, celui
e 0,3 Donc le rapport entre ces nerfs et l'encéphale, est Pour le
nerf
optique, celui de......là 386 Et pour le moteur
. là 687 La moelle épinière, mesurée au-dessous de la naissance des
nerfs
pneumo-gastriques, c'est-à-dire immédiatement apr
03 Donc son volume est de..... 97,06 mill. cubes. Le diamètre des
nerfs
suivans, qui sont circulaires, est Pour le nerf
Le diamètre des nerfs suivans, qui sont circulaires, est Pour le
nerf
optique de.......0,5 mill. Pour le moteur commu
commun des yeux de . . 0,35 Donc le rapport entre la section de ces
nerfs
et l'encéphale est Pour le nerf optique de...
rapport entre la section de ces nerfs et l'encéphale est Pour le
nerf
optique de.......là 494 Pour le moteur commun d
mal ; elle ne se rétrécit que fort peu au-dessous de la naissance des
nerfs
pneumo-gastriques, à cause du voisinage des nerfs
de la naissance des nerfs pneumo-gastriques, à cause du voisinage des
nerfs
destinés à la paire de pattes antérieures ; mesur
rties, c'est immédiatement au-dessous de la naissance de la paire des
nerfs
pneumo-gastriques. 4. Moelle épinière des repti
urvus de membres, elle est un peu renflée à l'endroit où naissent les
nerfs
qui vont se rendre à ces parties. Quatre sillon
ouve en plus grande quantité que chez les poissons. Les racines des
nerfs
sont doubles, c'est-à-dire supérieures ou spinale
le elles se continuent directement. La manière dont les racines des
nerfs
spinaux s'appliquent à la moelle ou plutôt s'insè
urs anatomistes ont indiqués comme existant à l'origine de chacun des
nerfs
rachidiens. Même dans la théorie de ces anatomist
eux-mêmes se divisent en fibres, de telle manière que les fibres d'un
nerf
supérieur s'approchent constamment des fibres du
les fibres d'un nerf supérieur s'approchent constamment des fibres du
nerf
placé au-dessous de lui, et toutes ces fibres son
il n'en entre pas en plus grand nombre dans le point où correspond le
nerf
, qu'il n'en entre au-dessus ou au-dessous de ce p
incts, n'est donc pas vraie, et avec le mode d'origine bien connu des
nerfs
spinaux, elle n'est pas possible. RÉSUMÉ. 1.
e; elle n'a pas de pont de Varole. 6. A l'exception de la paire des
nerfs
hypoglosses, tous les nerfs encéphaliques des hau
arole. 6. A l'exception de la paire des nerfs hypoglosses, tous les
nerfs
encéphaliques des hauts vertébrés existent chez l
reptiles; cependant il existe un reptile qui paraît être dépourvu de
nerfs
optiques. 7. La comparaison du poids de l'encép
oids du corps de ces animaux, a donné pour rapport 1 à 1324. 8. Les
nerfs
optique et moteur commun dqs.yeux, comparés au vo
mais aucun indice de renflemens ganglionaires. 13. Les racines des
nerfs
spinaux sont doubles, comme chez tous les vertébr
ile, je n'ai vu de ganglion particulier pour les filets d'origine des
nerfs
rachidiens. Ces filets divisés en fibres nerveuse
partenant à la moelle, viennent aussi se diriger vers les racines des
nerfs
rachidiens , mais elles sont si ténues queje ne s
sont si ténues queje ne saurais dire si elles se continuent dans ces
nerfs
. 2. Structure de l'encéphale des reptiles. lf
manière que chez les poissons , pour former deux racines à chacun des
nerfs
optiques. Une partie des fibres de la lame optiqu
ues. Une partie des fibres de la lame optique croisant les racines du
nerf
, se dirigent vers la ligne médiane où elles se co
s , de la même manière que chez les poissons. L'entrecroisement des
nerfs
optiques existe chez la plupart des reptiles ; il
mètre des fibres nerveuses des reptiles est loin d'être égal dans les
nerfs
, la moelle épinière et l'encéphale ; il ne l'est
le épinière, celles de la moelle épinière plus petites que celles des
nerfs
. Ces dernières varient suivant les nerfs, et dans
plus petites que celles des nerfs. Ces dernières varient suivant les
nerfs
, et dans un même nerf, je les ai trouvées un peu
s des nerfs. Ces dernières varient suivant les nerfs, et dans un même
nerf
, je les ai trouvées un peu plus volumineuses quan
toujours les plus petites de toutes; viennent ensuite les racines des
nerfs
rachidiens , puis celles de la moelle épinière ,
rachidiens , puis celles de la moelle épinière , puis enfin celle des
nerfs
. Les fibres de la moelle épinière sont celles qui
pour les rendre bien observables au microscope. Quant aux fibres des
nerfs
, elles s'élargissent peu, parce que les parois en
um, 02 et celui des poissons par 0mm, 02 et une fraction. Ce sont des
nerfs
pourvus de né- (1) Cette'fibre s'embranchait av
sse de la moelle, (a) Cette fibre se continuait avec la racine d'un
nerf
spinal. (3) Grosse fibre à laquelle était attac
3 — Fibre de la moelle épinière se continuant avec la racine d'un
nerf
rachidien........ 0,00133 — Cervelet. .........
ibre de la moelle épinière......... 0,00333 — Fibre d'une racine de
nerf
rachidien..... 000366 Lézard Fibre du corps res
— Fibre delà moelle épinière......... 0,0075 (3) Lézard Fibre du
nerf
trifacial........... 0,0075 Grenouille Fibre d'
u nerf trifacial........... 0,0075 Grenouille Fibre d'une racine de
nerf
rachidien..... 0,00916 Lézard Fibre de la moell
e de la moelle épinière......... 0,01166 Grenouille Fibre pleine du
nerf
trifacial....... . 0,015 — Fibre vide du nerf c
uille Fibre pleine du nerf trifacial....... . 0,015 — Fibre vide du
nerf
crural.......... 0 015 — Fibre pleine du nerf c
015 — Fibre vide du nerf crural.......... 0 015 — Fibre pleine du
nerf
crural. ........ 0,02 vrilème qui terminent cha
quelle émanent les fibres trans-verses. 5. Les filets d'origine des
nerfs
rachidiens, viennent des fibres longitudinales de
e se rendent au cerveau et à la lame optique, où elles vont former le
nerf
optique et le corps calleux; les faisceaux spinau
nt les fibres longitudinales de la moelle épinière, et les fibres des
nerfs
; les plus petites sont les fibres transversales d
i unissent entre elles les parties de l'encéphale. IU. Dans un même
nerf
, les fibres pleines sont plus grosses que les fib
iquer à l'odorat des animaux : d'après le volume et l'organisation du
nerf
affecté à ce sens, chez les animaux, nous avons t
des tubercules quadrijumeaux, les éminences qui donnent naissance aux
nerfs
optiques. Fr. Franke décrit la forme du cerveau:
des lobes optiques ; il indique des ganglions placés à l'origine des
nerfs
acoustiques, et compte au cervelet de 16 à 30 lam
nalogues des corps striés; quant aux lobes qui donnerit naissance aux
nerfs
optiques, il les appelle lobes optiques : il ne f
des objets simples sur des objets multiples. En voici un exemple. Le
nerf
optique naît, chez les poissons, d'une lame très
notable de substance grise ; chez les mammifères et chez l'homme , le
nerf
optique naît à-la-fois d'une triple éminence, sav
ermination de ces tubercules est faite d'après le mode d'insertion du
nerf
optique, il est évident que l'on ne pourra pas di
ut pas les couches optiques de toute participation à la production du
nerf
optique. C'est pour n'avoir pas fait cette distin
s tubercules quadrijumeaux de l'homme comme étant l'unique origine du
nerf
optique. Il s'est dit : ce Le nerf optique tire s
me comme étant l'unique origine du nerf optique. Il s'est dit : ce Le
nerf
optique tire son origine, chez les vertébrés infé
: donc, ce sont les tubercules quadrijumeaux qui donnent naissance au
nerf
optique. » Mais un organe à peine aper-cevable ch
, la couche optique, ne concourt-elle pas aussi à donner naissance au
nerf
optique? L'inspection dit : oui ; le raisonneme
spection dit : oui ; le raisonnement de Gall dit : non. Non, car le
nerf
optique est formé par les tubercules quadrijumeau
ord le fait anatomique suivant : c'est que les fibres de la racine du
nerf
optique vont en partie s'épanouir à la surface po
e et inférieure, située tout-à-fait au bas et touchant le chiasma des
nerfs
optiques; la seconde, très petite, située un peu
, le lobe cérébral présente un petit tubercule qui donne naissance au
nerf
olfactif. 2. Couche optique. C'est un petit tub
veau sous la forme d'un mamelon placé en arrière de la commissure des
nerfs
optiques. Ce mamelon est un rudiment des lobes in
des fibres blanches venant de la moelle épinière; ils fournissent au
nerf
optique une double racine analogue à celle que j'
très mince, transparente, en arrière de laquelle on voit la racine du
nerf
pathétique qui la traverse à l'état de cordon et
lobes optiques, et sur différens points de son étendue, l'origine des
nerfs
encéphaliques. L'encéphale des oiseaux présente
la famille des squales nous a seule présenté quelques exemples. 2.
Nerfs
encéphaliques. Le mode d'origine de la plupart
ples. 2. Nerfs encéphaliques. Le mode d'origine de la plupart des
nerfs
encéphaliques n'offre rien qui diffère essentiell
rêterai donc pas à la décrire; je noterai seulement ceci, 1° pour les
nerfs
olfactifs, il y a un petit tubercule, ainsi qu'il
s, il y a un petit tubercule, ainsi qu'il a été dit plus haut; 2° les
nerfs
optiques très volumineux viennent seulement des l
ongitudinales de la moelle allongée ; 5° enfin à l'endroit où naît le
nerf
acoustique, on voit dans le quatrième ventricule
arons maintenant le volume de l'encéphale à celui de quelques-uns des
nerfs
encéphaliques, chez les oiseaux. p . . I Nerfs
de quelques-uns des nerfs encéphaliques, chez les oiseaux. p . . I
Nerfs
encéphaliques. Rapports de ces nerfs avec P Dia
ues, chez les oiseaux. p . . I Nerfs encéphaliques. Rapports de ces
nerfs
avec P Diamètres des nerfs. l'encéphale. Poid
. I Nerfs encéphaliques. Rapports de ces nerfs avec P Diamètres des
nerfs
. l'encéphale. Poids. Vol. Optiq. M.yeui. Pathét
avaient déjà cherché à déterminer le volume de la moelle et celui des
nerfs
, comparés à celui de l'encéphale, et pour y arriv
aient comparé les diamètres de l'encéphale à ceux de la moelle et des
nerfs
. Cette manière de procéder, bonne en apparence, n
duit en millimètres cubes, le volume d'une partie de la moelle et des
nerfs
égale en longueur à un millimètre : c'est ainsi,
r établir les rapports indiqués plus haut. Quant à ce qui regarde les
nerfs
, c'est la seule manière d'opérer, parce qu'on ne
ont plus ou moins en saillie sur les figures de la planche x x. des
nerfs
qui se distribuent aux membres pelviens. La cavit
t écartement a été nommée sinus rhomboïdal. Au niveau des racines des
nerfs
qui se portent aux ailes, il y a également un ren
ès près de celui-ci, vers lequel se dirigent les racines spinales des
nerfs
rachidiens. Dans toute la longueur de la moelle r
all a indiqués comme existant constamment à l'endroit où naissent les
nerfs
rachidiens. J'ai déjà réfuté l'erreur de Gall à c
lir la moelle contenue dans le canal et adhérente par les racines des
nerfs
rachidiens. La cuisson resserrait la moelle qui,
ent de la moelle épinière; une valvule de Vieussens et en arrière, le
nerf
pathétique qui forme là une autre commissure ayan
la moelle épinière à l'encéphale, comme 1 à 8,87. 11. Le volume du
nerf
optique, du moteur commun des yeux et du pathétiq
deux renflemens considérables, l'un correspondant à la naissance des
nerfs
qui vont aux ailes, l'autre à la naissance des ne
la naissance des nerfs qui vont aux ailes, l'autre à la naissance des
nerfs
qui vont aux pattes. Ce dernier présente une larg
sillon spinal latéral, celui que traversent les racines spinales des
nerfs
rachidiens. Elle est formée de granules et de fib
nches, longitudinales. Les fibres nerveuses formant les racines des
nerfs
rachidiens proviennent, les inférieures ou fulcra
). Il se trouve de la substance grise en arrière de la commissure des
nerfs
optiques ; le lobe optique, à sa circonférence, e
e la facilité avec laquelle on peut les aplatir et les distendre; les
nerfs
qui terminent le tableau étant pourvues de névril
ibles, elles se distribuent aux organes du mou vement. Cependant le
nerf
maxillaire supérieur est presque à la fin, et il
phale de l'homme, je répondrai à ces différentes questions. Dans le
nerf
optique, les fibres ne se découvrent pas facileme
à ce que, dans la préparation nécessaire pour isoler les fibres de ce
nerf
, j'aurai déchiré le névrilème de plusieurs d'entr
e. Fibre du lobe cérébral.................... 0,00166 Ici. Fibre du
nerf
optique..................... 0,00166 Pigeon. Fi
ibre de la moelle épinière................. o,oo333 Poule. Fibre du
nerf
pneumo-gastrique.............. o,oo333 Id. ? Fi
Fibre de la moelle épinière................. 0,00 346 Id. Fibre du
nerf
pneumo-gastrique............. 0,00477 Pigeon. F
. Fibre de la moelle épinière................. 0,00666 Id. Fibre du
nerf
moteur commun des yeux....... 0,0075 Pigeon. Mê
Id. Fibre du nerf moteur commun des yeux....... 0,0075 Pigeon. Même
nerf
............................. 0,0075 Mésange. Fi
. Même nerf............................. 0,0075 Mésange. Fibre d'un
nerf
de l'aile................... 0,00833 Chardonner
e d'un nerf de l'aile................... 0,00833 Chardonneret. Même
nerf
............................. o,oo833 Poule. Fib
ibre de la moelle épinière...............*, 0,01166 Poule. Fibre du
nerf
moteur ocul. commun.......... 0,01309 Id. Fibre
ibre de la septième paire................. 0,01333 Pigeon. Fibre du
nerf
pathétique.................. 0,0141* Il ne m'a
appropriée à la température des animaux à sang froid. Pour que les
nerfs
des uns et des autres soient dans des conditions
à noter ici, parmi ces facultés, celles qui dépendent de l'action des
nerfs
sont les plus actives , tandis que les autres, le
quelle différence dans le développement comparatif du cerveau et des
nerfs
, coïncide celte différence dans l'intensité des f
0 V. liage 286. 'a) V. page 2S7. Le rapport de l'encéphale avec les
nerfs
fournit un résultat analogue, ainsi que M. Tiedem
res comparés à l'homme. J'ai mesuré le volume du cerveau et celui des
nerfs
optique , moteur commun des yeux et pathétique du
ie (1). Les deux derniers animaux ont comparativement les plus petits
nerfs
, et par conséquent les encéphales les plus volumi
r conséquent les encéphales les plus volumineux; ainsi, le rapport du
nerf
optique du chardonneret au cerveau du même oiseau
erveau, s'en rapproche davantage. 3. Il en est de même de celui des
nerfs
, de la moelle allongée et de la moelle épinière,
(2) Recherches sur la structure et les fonctions de l'encéphale, des
nerfs
et des organes des sens, dans les différentes cla
égères dépressions. Dans tous les cas, elle a un sillon pour loger le
nerf
olfactif. Quant à la circonvolution interne, ce
ours brun et 0 loutre, fig. 3), elle présente un sillon pour loger le
nerf
ou plutôt le lobe olfactif. Les cerveaux du cin
e extrémité arrondie située derrière le bulbe qui donne naissance aux
nerfs
ethmoï-daux ê, elles se portent directement en ar
se terminer en bas, entre le sillon médian du cerveau et la racine du
nerf
olfactif (I, fig. 2).Dans ce trajet, et arrivée v
a partie antérieure. (On le voit, fig. 2, à l'extrémité antérieure du
nerf
olfactif.) 12e groupe. Quatre sillons non inter
ontourne la cuisse du cerveau et va reparaître en bas, tout à côté du
nerf
optique (I, fig. 3, et I, fig. 5), sous la forme
. 2 ; pl. vu, mouton, fig. 2, etc.), arrivé au niveau de la racine du
nerf
optique, est placé entre deux amas de matière gri
appelée valvule de Vieussens, laquelle est traversée par la racine du
nerf
pathétique (r. p. pl. ix, bœuf et cheval, fig. lr
en dehors du premier el plus avant, esl en rapport avec la racine du
nerf
optique. Entre ces parties intérieures du cerve
des mammifères. Cette corne est en relation intime d'un côté avec les
nerfs
olfactifs et les corps striés, de l'autre avec le
ssure, l'une 1res large et placée immédiatement derrière l'origine du
nerf
moteur commun des yeux : c'est le pont de varole;
ale au-dessous de la première, et qui semble servir de commissure aux
nerfs
faciaux. Je me contenterai de faire ici la simp
, un très gros tubercule quadrangulaire en dehors duquel naissent les
nerfs
hypoglosses. Les singes ont en outre des éminence
es blanches, qui constituent la portion molle de la septième paire de
nerfs
, ou nerf auditif (labyrinthique). Cette éminence
s, qui constituent la portion molle de la septième paire de nerfs, ou
nerf
auditif (labyrinthique). Cette éminence accompagn
nerfs, ou nerf auditif (labyrinthique). Cette éminence accompagne le
nerf
, v même après qu'il s'est détaché de la moelle (p
s qu'il s'est détaché de la moelle (pl. ix, cheval, fig. 2, 1.). 2.
Nerfs
encéphaliques. Les nerfs encéphaliques des mamm
moelle (pl. ix, cheval, fig. 2, 1.). 2. Nerfs encéphaliques. Les
nerfs
encéphaliques des mammifères ont avec ceux de l'h
férences que les animaux mammifères présentent sous ce rapport. Les
nerfs
olfactifs naissent chez presque tous les mammifèr
cavité; le marsouin, le dauphin et la baleine seraient dépourvus du
nerf
olfactif 4'après quel*-ques anatomistes, et suiva
stes, et suivant quelques autres, ces céjta£és auraient seulement ces
nerfs
très petits. Quoique j'aie vainement cherché le n
t seulement ces nerfs très petits. Quoique j'aie vainement cherché le
nerf
olfactif chez la baleine et chez plusieurs marsou
ts négatifs qui ne prouvent rien autre chose, sinon que pour voir les
nerfs
dont il s'agit, il faut les chercher dans des cir
ar cette raison, que l'os ethmoïde des cétacés auxquels on refuse des
nerfs
olfactifs, a cependant les trous nombreux qui che
us nombreux qui chez tous les animaux sont destinés au passage de ces
nerfs
. On a contesté l'existence des nerfs optiques c
ont destinés au passage de ces nerfs. On a contesté l'existence des
nerfs
optiques chez la taupe, ces nerfs ne manquent pas
fs. On a contesté l'existence des nerfs optiques chez la taupe, ces
nerfs
ne manquent pas cependant chez cet animal3 je les
......... 2,6 La moyenne de ces rapports est de 1 à 6,07. Quant aux
nerfs
, mesurés comparativement au volume de l'encéphale
n . 4454 18106 143577 80618 . 2943 Quoique j'aie pris la mesure des
nerfs
ci-dessus indiqués avec tout le soin possible, et
mesurer à quelques dixièmes de millimètre près, le diamètre de chaque
nerf
. Des nerfs extrêmement petits ou des fibres nerve
quelques dixièmes de millimètre près, le diamètre de chaque nerf. Des
nerfs
extrêmement petits ou des fibres nerveuses peuven
l'aide du microscope auquel on adapie une chambre claire; mais des
nerfs
plus gros, mesurés au compas, ne présentent pas d
t pas des conditions aussi favorables. Quoi qu'il en soit, sur cinq
nerfs
mesurés, savoir : l'optique, le moteur commun des
s placé en première ligne, c'est-à-dire que le volume de trois de ces
nerfs
, le pathétique, l'abducteur et le trifacial sont
heval et l'âne viennent ensuite : ils sont les premiers, l'un pour le
nerf
moteur commun des yeux, l'autre pour le nerf opti
s premiers, l'un pour le nerf moteur commun des yeux, l'autre pour le
nerf
optique. La martre et le chat sont placés après,
tique. La martre et le chat sont placés après, c'est-à-dire que leurs
nerfs
sont plus gros que ceux du chien, de l'âne et du
enfin le lapin est le dernier de tous, c'est lui qui a les plus gros
nerfs
comparés au volume de son encéphale. La moelle
rise entre la racine de la cinquième paire d'un côté et celle du même
nerf
du côté opposé, est de 56 millimètres. Les dimens
le sanglier, le chevreuil pour le bœuf, le singe pour l'homme. Les
nerfs
olfactifs du phoque sont très petits, moins rudi-
vation. Dans les dix premiers groupes ou familles de mammifères les
nerfs
olfactifs naissent comme celui de l'éléphant, par
conformation de la moelle épinière, son volume relatif, l'origine des
nerfs
qu'elle fournit, sa structure anatomique et sa st
sl au cerveau, comme 1 csl à 6,07. 27. La comparaison du volume des
nerfs
avec celui de l'encéphale, chez cinq mammifères,
'âne, la martre, le chat et le lapin fait voir que le lapin a de gros
nerfs
et un petit encéphale, tandis que le chien a un g
petit encéphale, tandis que le chien a un gros encéphale el de petits
nerfs
. 28. Le rapport moyen du poids de la moelle épi
0,002 Chauve-souris . . Id.................. 0,0025 Id........ du
nerf
maxillaire supérieur..... 0,00583 Rat........ d
e-soukis. , , de la moelle épinière......... 0,00666 Id......... du
nerf
brachial........... 0,01 Chien...... de la moel
des rayons du corps strié...... 0,0013 ld......... de la raciue du
nerf
optique..... 0,0013 ld......... Id.............
e du même organe ............... 0,00333 ld........ de la cuisse du
nerf
optique...... 0,00383 Id........ des tubercules
convolutions (substance blanche) 0,0075 ld . .'...... rectiligne du
nerf
auditif ....... 0,00783 / /........ du ganglion
ctiligne du nerf auditif ....... 0,00783 / /........ du ganglion du
nerf
auditif...... 0,00917 ld......... du nerf faria
/........ du ganglion du nerf auditif...... 0,00917 ld......... du
nerf
farial............. 0,01030 Id......... de la c
eau........ 0,01166 ld........~, Renflement d'un fibre variqueux du
nerf
optique ............ ... 0,01166 ld.........Fib
homme (3), il a, servile imitateur du burin de Gall, réuni en un seul
nerf
le nerf hypoglosse, le nerf spinal et la première
), il a, servile imitateur du burin de Gall, réuni en un seul nerf le
nerf
hypoglosse, le nerf spinal et la première paire c
tateur du burin de Gall, réuni en un seul nerf le nerf hypoglosse, le
nerf
spinal et la première paire cervicale; il a défig
moelle allongée comparé à celui de l'encéphale. Quant au volume des
nerfs
encéphaliques considéré dans ses rapports avec le
al au-dessus de l'âne, de la marte, du chat et du lapin. Le volume du
nerf
optique étant pris pour unité, le volume de l'enc
oici, pour quinze animaux différens, quel est le rapport du volume du
nerf
optique à celui de l'encéphale. Cheval, le nerf
apport du volume du nerf optique à celui de l'encéphale. Cheval, le
nerf
optique est à l'encéphale, comme 1 est à 36975
du corps, donnent un résultat analogue à celui qui est fourni par les
nerfs
encéphaliques ; ils indiquent une substance céréb
ée et de la moelle épinière, au poids du cerveau. 20. Le volume des
nerfs
encéphaliques chez les vertébrés, est d'autant mo
l des poissons.............138 1. Encéphale..............ld. 2.
Nerfs
encéphaliques...........146 3. is et volume pro
des reptiles............. 225 1. Encéphale..............225 2.
Nerfs
encéphaliques ........... 230 3. Poids et volum
des oiseaux . . • ....... 276 1. Encéphale -.............. Id 2.
Nerfs
encéphaliques........... 283 3. Poids et volume
l des mammifères...........358 1. Encéphale..............ld. 2.
Nerfs
encéphaliques........... 418 3. Poids et volume
e. PREMIÈRE LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions des
nerfs
. Sommaire. — Remarques préliminaires. — Objet d
s de nutrition consécutifs aux lésions de l'axe cérébro-spinal et des
nerfs
. — Ces altérations peuvenl occuper la peau, le ti
et du pronostic. — Troubles de nu-trition consécutifs aux lésions des
nerfs
périphériques. — Le système ner-veux, à l'état no
ur l'accomplissement des actes nu-tritifs. — Les lésions passives des
nerfs
ou de la moelle ne produisent pas directement de
i le démontrent. — Influence de l'irritation et de l'inflammation des
nerfs
ou des centres nerveux sur la production des trou
s. — Les troubles trophiques consécutifs aux lésions traumatiques des
nerfs
, considérés en particulier. — Ils résultent non d
l, dans les cas de tumeur comprimant le trijumeau. — Inflammation des
nerfs
spi-naux, consécutive au cancer vertébral, à la p
t sur les diverses parties du corps et y déterminent, par la voie des
nerfs
, des troubles variés de la nutrition. Ces affecti
et à la moelle épinière. Ces centres partagent ce privilège avec les
nerfs
qui émanent d'eux. Mais les affections consécutiv
e des troublestro-phiques qui apparaissent à la suite des lésions des
nerfs
périphé-riques. N'est-ce pas, d'ailleurs, un des
troubles trophiques qui apparaissent dans le domaine périphérique du
nerf
lésé; pour ce qui est des alté-rations de nutriti
réflexes à une distance plus ou moins éloignée et dans le domaine de
nerfs
qui n'ont subi directement aucune atteinte de la
ion qui naissent sous l'action des lésions des centres nerveux ou des
nerfs
, la, plupart d'entre vous se sont, sans aucun dou
oubles trophiques con-sécutifs aux lésions des centres nerveux ou des
nerfs
. Et cependant la physiologie la plus avancée ense
s tissus, chez les animaux supérieurs môme, sont totalement privés de
nerfs
et de vaisseaux. On cite comme exemples les cellu
gne végétal où il n'y a pas de raisons plausibles de supposer que les
nerfs
existent, on pour-rait dire que le système nerveu
de la physiologie expérimentale. Vous savez que, après la section des
nerfs
qui s'y rendent, ou la destruction même de la moe
s paralytiques, n'ont rien de sont pas sous l'influence directe des
nerfs
. Il ne saurait s'agir là d'une influence des nerf
luence directe des nerfs. Il ne saurait s'agir là d'une influence des
nerfs
sur les tissus, comparable à celle de l'électrici
celle de l'électricité sur les actions chi-miques. Il n'existe pas de
nerfs
allant sur les éléments anatomiques extra-vascula
ts, hyper-trophies et autres altérations consécutives aux lésions des
nerfs
, sont une conséquence des perturbations circulato
e conséquence des perturbations circulatoires par l'intermédiaire des
nerfs
précé-dents (vaso-moteurs), affectés directement
irectement par action réflexe, et non la consé-quence de l'action des
nerfs
qui auraient, à la manière de l'électricité par e
s se développent avec une grande rapidité à la suite de la lésion des
nerfs
ou des centres qui en a provoqué l'apparition, pa
t à l'heure, et qui tendent à démontrer que la moelle épinière et les
nerfs
n'ont pas d'influence directe, im-médiate, sur la
es périphériques. 1° Une des premières est relative à la section du
nerf
scia-tique chez les mammifères. Schrœder van der
à l'absence d'action du système nerveux con-sécutive à la section du
nerf
. M. Brown-Séquard, qui a répété cette expérience
a longue (1). Cette atrophie, survenant à la suite de la section du
nerf
scia-tique résulte évidemment de l'inactivité fon
reconnu J. Reid. Elle ne se produit pas. alors môme que la section du
nerf
a été complète,, pour peu que, à l'exemple du phy
uard. — Sur les allé rations pathologiques qui suivent la sec-tion du
nerf
sciatique, in Comptes rendus des séances de la So
hysiology and Pathology. New-York, 1853, p. 6. —Après la section d'un
nerf
mixte, l'atrophie des muscles ne commence à se ma
à travers les muscles du membre paralysé. 2° La section complète du
nerf
trijumeau, pratiquée dans le crâne, fournit des r
es résultats tout à fait comparables à ceux que produit la section du
nerf
sciatique. Vous savez que les lésions de l'œil qn
pération, elle résulte uniquement, comme dans le cas de la section du
nerf
sciatique, de l'inertie fonction-nelle à laquelle
ce d'action du système nerveux déterminée par la section complète des
nerfs
périphériques ou la destruction d'une partie de l
inertie fonctionnelle, de l'inactivité prolongée. La découverte des
nerfs
vaso-moteurs et des effets que déter-mine la para
s nerfs vaso-moteurs et des effets que déter-mine la paralysie de ces
nerfs
ne devait pas modifier essentielle-ment cette for
qui révèlent objec-tivement l'état paralytique ou l'état inverse des
nerfs
vaso-mo-teurs. Pour l'instant, nous n'insisterons
ée, il n'en est pas de même des lésions qui déterminent,soit dans les
nerfs
, soit dans les centres nerveux, une exaltation de
nt, en effet, que les lésions traumatiques, même les plus graves, des
nerfs
périphériques ou de la moelle, pro-duisent, assez
hiff, c'est par suite de l'irritation phlegmasique développée dans le
nerf
, en conséquence delà sec-tion partielle, que les
les sections incomplètes sont bien plus propres à développer dans les
nerfs
un processus d'irritation, que ne le sont les sec
nné d'une manière incomplète, mais où les libres les plus internes du
nerf
avaient été respectées, les troubles trophiques n
mme les expériences qui précèdent, que les lé-sions irritatives de ce
nerf
, développé spontanément, peuvent, elles aussi, sa
sine, surtout auprès du cervelet, était ramollie et très injectée. Le
nerf
trijumeau gauche, à sa sortie de la base de l'enc
paire, il est plus rare encore de voiries lésions expérimentales des
nerfs
déterminer l'apparition de troubles trophiques da
que produisent quelquefois sur la nutrition du rein, les lésions des
nerfs
qui se rendent à cet organe. On sait que parmi le
e : les lésions rénales feraient défaut dans le cas où la section des
nerfs
a été complète, absolue; elles se produiraient au
chiffj, toutes condi tions éminemment propres à détermi-ner, dans les
nerfs
lésés, une irritation plus ou moins vive ou Ser
meau, il n'y avait pas eu paralysie complète de la partie sensible du
nerf
, car la. surface tout entière du visage avait con
ris, tuméfié, imbibé de sérosité. La portion du ganglion d'où part le
nerf
ophtal-mique était rouge et injectée. Les racines
al-mique était rouge et injectée. Les racines de la grosse portion du
nerf
présentaient une couleur sale qui contrastait ave
contrastait avec celle de la petite branche, restée saine. Les trois
nerfs
, à leur issue du ganglion, offraient une colorati
moins fort vraisemblable que V excitât ion morbide, l'irritation des
nerfs
ou des centres nerveux sont, au contraire, de nat
es ? Celles-ci sont-elles dues à une irritation ou à la paralysie des
nerfs
vaso-moteurs? Ou bien dépendent-elles d'une irrit
s nerfs vaso-moteurs? Ou bien dépendent-elles d'une irritation de ces
nerfs
hypothétiques, que l'anatomie ne connaît pas enco
us proposons de passer en revue sont produits: 1° par des lésions des
nerfs
périphé-riques, et tantôt ces lésions ont été pro
ies de l'encéphale. troubles trophiques consécutifs aux lésions des
nerfs
Arrêtons-nous, en premier lieu, aux lésions des
x lésions des nerfs Arrêtons-nous, en premier lieu, aux lésions des
nerfs
. Elles nous offrent les conditions'id'éfude les p
t des documents d'une grande valeur, car les lésions traumatiques des
nerfs
se présentent quelquefois chez l'homme dans des c
ux. A. J'établirai, dès l'abord, parmi ces lésions traumatiques des
nerfs
, une distinction que je crois fondamentale etdont
contusions, de tiraillements, elle est de nature à déterminer dans le
nerf
un état d'irritation, et c'est alors, alors seule
us d'abord des faits du second groupe. Les lésions traumatiques des
nerfs
dont il s'agit peuvent donner lieu à des phénomèn
fections de la peau,. Les accidents que les lésions trau-matiques des
nerfs
sont capables d'occasionner du côté des téguments
es sur quelques troubles de nutrition con-sécutifs aux affections des
nerfs
. Paris, 1867. temps un très bel exemple de ce g
oints de la partie des tégu-ments, correspondant à la distribution du
nerf
lésé ; elles laissent après elles des cicatrices
pandent jusque sur le dos du pied et suivent évidemment le trajet des
nerfs
. Cette névralgie, qui a résisté à tous les moyens
ercevait l'artère numé-rale, la veine basilique déchirée et plusieurs
nerfs
, surtout le brachial cutané interne, contusionnés
e zona, survenu à la suite d'une contusion portant sur le trajet d'un
nerf
(Oppolzer), d'un effort (Thomas), sont loin d'êtr
s des articulations. Vers les jointures, les lésions traumatiques des
nerfs
produisent des symptômes qui rappel-lent d'une fa
les trophiques se développent à la suite des lésions traumatiques des
nerfs
. Paget qui, l'un des premiers, a appelé l'atten
x (Burning Pains), évidemment en rapport avec un état d'irritation du
nerf
lésé, tandis qu'au contraire l'anesthésiefait com
ap rès des confus ions, des p iq ares, des sec-tions incomplètes des
nerfs
, c'est-à-dire à la suite des causes traumatiques
,—on ne les voit pas se produire dans les cas de section complète des
nerfs
, les résultats habi-tuels de l'absence d'action d
omplète des nerfs, les résultats habi-tuels de l'absence d'action des
nerfs
étant les seuls phénomè-nes qu'on observe en pare
fin que les affections périphériques qui relèvent de l'irritation des
nerfs
surviennent le plus souvent spontanément, sans l'
tpouvoir pénétrer plus avant et rechercher s'il n'existe pas dans les
nerfs
affectés une lésion anatomique constante en 1.
ts nécroscopiques obtenus dans certains cas de lésions organiques des
nerfs
, où l'on peut voir apparaître toute la série des
cas, en effet, sur lesquels nous nous arrêterons dans un instant, les
nerfs
affectés ont été quelquefois trouvés tuméfiés, in
tance la production de troubles trophiques. ne puisse exisler dans le
nerf
sans se révéler par cet ensemble de lésions relat
nt, dans les parties éloignées, à la suite de la section complète des
nerfs
; ces dernières, eu effet, peuvent être considérée
-tème nerveux. Quoi qu'il en soit, l'influence de l'irritation d'un
nerf
sur le développement des troubles trophiques qui
eure du radius avait produit un cal volumi-neux, lequel comprimait le
nerf
médian. En conséquence il s'étaitformé sur la pea
de la face palmaire et à faire cesser, par suite, la com-pression du
nerf
, avait toujours pour effet, au bout de quel-ques
lcères. Mais, aussitôt que la malade voulait se servir de sa main, le
nerf
était de nou-veau comprimé, et bientôt l'on voyai
des troubles trophiques qui s'observent en conséquence de lésions des
nerfs
développées spontanément, et non plus, cette fois
p. 43. 2. Mougeot, loc. cit., chap. ri. Des lésions organiques des
nerfs
et des trou-bles de nutrition consécutifs. que,
trou-bles de nutrition consécutifs. que, a déterminé l'affection du
nerf
. — C'est évidemment d'après ce dernier mode que s
dans ces cas, de tumeurs intra-crâniennes développées au voisinage du
nerf
, et y détermi-nant, par compression, sans interro
ionnant, à son tour, un rétrécissement des canaux de conjugaison. Les
nerfs
dans leurs parcours à travers ces canaux devenus
nerveux d'où émane ce plexus. La moelle cervicale et les racines des
nerfs
cervicaux, ainsi que l'autopsie l'a démon-tré, ét
ivement colorés en rouge. De plus, dans les gauglions, comme dans les
nerfs
, l'examen microscopique fit reconnaître une multi
lication très accentuée des éléments nucléaires. Les ganglions et les
nerfs
correspon-dants du côté gauche ne présentaient, a
voir l'inflam-mation, encore exactement limitée aux ganglions et aux
nerfs
spinaux, se produire spontanément, sans l'interve
1. Gharcot et Gotard. — Sur un cas de zona du cou avec altération des
nerfs
du plexus cervical et des ganglions correspondant
ona, sui' les parties de la peau correspondant à la, distribution des
nerfs
irrités (i). Il y aquelques raisons de croire qu'
spinales tant antérieures que postérieu-res, et même, cette fois, des
nerfs
intercostaux, dans le lait suivant rapporté par M
na qui siégeait sur les parties correspondant aux neuvième et dixième
nerfs
intercostaux du côté gauche. On reconnut, à l'aut
isse de puscaséeux, laquelle se prolongeait jusque sur les gaines des
nerfs
et des ganglions spinaux. La dure-mère, elle-même
avec épaississemeut de la dure-mère, l'in-flammation concomitante des
nerfs
rachidiens, dans leur trajet à travers les méning
phiques que nous avons étudiées à propos des lésions traumatiques des
nerfs
. Le processus morbide initial consiste, dans ce c
valle des tubes nerveux dont elle détermine la destruction lente. Les
nerfs
présentent alors fréquemment, sur leurs parcours,
re. 1866, nos 4, 5, 6. 3. Leudel. — Recherches sur les troubles des
nerf
s périphériques et surtout des vaso-moteurs, cons
es troubles de la nutrition qui résultent des lésions irritatives des
nerfs
pé-riphériques. Dans les prochaines leçons, nous
w. DEUXIÈME LEÇON Troubles trophiques consécutifs aux lésions des
nerfs
(suite). Affections des muscles. Troubles troph
ionnelles que subissent les muscles sous l'influence de la lésion des
nerfs
qui les animent. — Importance de l'électrisation
on normale des muscles, à la suite de la section ou de l'excision des
nerfs
moteurs et mixtes chez les animaux. — Faits patho
'atrophie rapide des muscles dans le cas de paralysie rhumatismale du
nerf
facial et de lésions irritatives, soit traumatiqu
ial et de lésions irritatives, soit traumatiques, soit spontanées des
nerfs
mixtes. — Raison de la contradiction apparente en
re-cherches de M Brown-Séquard : Seules, les lésions irritatives des
nerfs
déterminent l'abolition hâtive de la contractilit
ériences de MM. Erb, Ziemssen et 0. Weiss. — Écrasement, ligature des
nerfs
: ce sont des lésions irritatives. — Différence d
l'his-toire des troubles de la nutrition consécutifs aux lésions des
nerfs
, de m'appesantir sur les modifications anatomique
raiter une question où les résultats de l'ex-ploration électrique des
nerfs
et des muscles doivent être invo-qués à chaque in
pathologiques où il s'est produit une lésion quelque peu intense d'un
nerf
moteur ou d'un nerf mixte, l'existence d'une rapi
s'est produit une lésion quelque peu intense d'un nerf moteur ou d'un
nerf
mixte, l'existence d'une rapide et profonde dimin
ni-maux semble établir, au contraire, que, à la suite des lésions des
nerfs
qu'elle provoque, les muscles conservent pendant
actilité électrique survenant rapidement à la suite de la lésion d'un
nerf
sont, ainsi que l'ex-ploration clinique l'a souve
et dans leur structure anatomique, après la section ou l'excision des
nerfs
qui les animent. Les expériences abondent; elles
ériter d'être relevés dans ces expériences. Le bout périphérique du
nerf
sectionné ou excisé, du cin-quième au huitième jo
avant même que les lésions de la dégénération soient appréciables, le
nerf
a perdu déjà la faculté d'être excité par les div
la con- 1. M. Schiff a montré que, dans le cas de dégénération des
nerfs
consécutive à la section, contrairement à ce que
s persistent; il a trouvé les filaments dans les fibres nerveuses des
nerfs
coupés depuis cinq mois chez les mammifères. » No
lir ou même disparaître de six à douze semaines après la section d'un
nerf
mixte, M. Schiff l'a trouvée, par contre, dans ce
mois (l);il en est absolument de même lorsque la section porte sur un
nerf
exclu-sivement moteur. Déjà M. Longet avait fait
oteur. Déjà M. Longet avait fait voir que, tandis que lamotricité des
nerfs
est, comme on l'a dit, entièrement abolie quatre
s après leur section, l'irritabilité musculaire, lorsqu'i l s'agit du
nerf
facial, persiste dans les muscles correspondants,
dant plus de douze semaines (2). Après l'arrachement ou la section du
nerf
facial, MM. Brown-Séquard et Martin-Magron ont vu
ît jamais complè-tement à la suite de la section ou de l'excision des
nerfs
; toutau plus concèdent-ils qu'en pareil cas il pu
excitabilité des muscles persister quatorze mois après la section des
nerfs
correspondants. Dans un cas, il s'agissait du ner
ès la section des nerfs correspondants. Dans un cas, il s'agissait du
nerf
hypoglosse, dans un autre cas, du nerf sciatique.
Dans un cas, il s'agissait du nerf hypoglosse, dans un autre cas, du
nerf
sciatique. 2. Longet. — Anatomie et physiologie
généra-tion histologique, ne surviennent à la suite de la section des
nerfs
, qu'au bout d'un temps fort long. C'est à peine,
C'est à peine, suivant M. Longet(l),si trois mois après la section du
nerf
facial, les muscles correspondants, examinés aprè
apport de M. Schiff, lorsque la paralysie consécutive à la section du
nerf
, date de loin, les muscles présentent un certain
cit., p. 246. —Dans les cas do paralysie consécutive à lasec-tion des
nerfs
, outre l'atrophie des faisceaux primitifs qui se
premier lieu, le physiologiste pratique la section ou l'excision des
nerfs
musculaires ; en second lieu, il a recours à l'ex
ours à l'excitation électrique directe, c'est-à-dire appliquée sur le
nerf
ou sur le muscle mis à nu; enfin, c'est àpeuprès
maine. Les faits qu'elle nous présente se rapportent à des lésions de
nerfs
mixtes ou moteurs, survenues soit spontanément, s
omènes qui ont été observés dans les cas de paralysie périphérique du
nerf
facial et, en particulier, lorsque cette paralysi
ment de la contractilité électrique dans la paralysie rhumatismale du
nerf
facial, et le terme assigné par quelques physiolo
stance de cette môme propriété chez les animaux, après la section des
nerfs
, la distance est grande. Cependant, des obser-vat
enne. Tout récemment encore, dans un cas de paralysie rhumatismale du
nerf
facial, M.le Dr Erb, ayant été mis à même de suiv
omène s'observe communément dans les cas de paralysie périphérique du
nerf
facial autres que ceux qui dépeudent de l'impress
e l'impression du froid et aussi dans les paralysies traumatiques des
nerfs
et des membres.Ces dernières résultent le plus so
compression brus-que, de la contusion, de la commotion subies par un
nerf
mixte, en conséquence des luxations scapulo-humér
on scapulo-humérale, — Obs., p. 193. Paralysie, suite de contusion du
nerf
cubital. règle générale, les muscles qui présen
rs 1867, il se développe subitement une paralysie presque complète du
nerf
facial gauche. La paralysie est surtout prononcée
siologistes obtiennent à la longue, par la section ou l'exci-sion des
nerfs
, la lésion histologique était toujours la dégénér
rt sur-vient le 2 mai (40e jour de la maladie). Autopsie: Le tronc du
nerf
facial con-fine à un abcès qui s'est ouvert derri
. Cette enveloppe conjonctive adhère intimement à la gaine externe du
nerf
; ce dernier, cependant, est encore mobile dans la
s, chez divers animaux, à la suite de la section et de l'excision des
nerfs
mixtes ou purement moteurs, c'est-à-dire en dehor
des conditions qui produisent d'habitude les lésions irritatives des
nerfs
. Ainsi à la suite de l'excision d'un tronçon de n
irritatives des nerfs. Ainsi à la suite de l'excision d'un tronçon de
nerf
scialique, M. Manlcgazza [Histotogisch. Verœnderu
e, chez le chien, cinquante jours après l'avulsion du bout central du
nerf
hypoglosse. (Archiv. de Physiolog., t. II, p. 572
sur les muslces de la jambe, dans un cas de résection d'un segment du
nerf
sciatique datant de cinq mois. Gela étant, on est
admettre que les sections complètes, les excisions, les avulsions de
nerfs
déterminent quelquefois dans ces nerfs des lésion
es excisions, les avulsions de nerfs déterminent quelquefois dans ces
nerfs
des lésions irritatives : ou bien — si les observ
ons musculaires qui se produisent à la suite des lésion» passives des
nerfs
moteurs ou mixtes ne se séparent pas essentiellem
qui surviennent consécutivement aux lésions irritatives de ces mêmes
nerf
.. Si les faits devaient donner raison à la deuxiè
à l'inertie fonctionnelle de celles qui succèdent à l'irritation des
nerfs
. Il paraît démontré, en effet, que ces dernières
uisqu'il lui est loisible de porter les rhéophores directement sur le
nerf
ou sur le mus-cle. 11 était permis de prévoir qu'
expérimentale parlent dans le même sens. Sur un lapin, chez lequel le
nerf
facial du côté droit avait épithéliales ; enfin
ologues du côté opposé. Les mus-cles ayant été mis à nu du côté où le
nerf
avait été coupé, on pouvait y provoquer, par l'él
Sur un cheval vigoureux, onavait excisé cinq cen-timètres environ du
nerf
poplité externe gauche. Un mois après l'opération
peu près seul employé dans les expériences relatives aux sec-tions de
nerfs
chez les animaux, tandis qu'en clinique, suivant
ans divers cas de paralysies consécutives à la lésion traumatique des
nerfs
mixtes, par Schultz(â), Brenner (3), Ziemssen (4)
ujours de maintenir le contraste entre les paralysies par lésions des
nerfs
que nous offre ordinai-rement la clinique et les
rves, ainsi que quelques auteurs semblent le croire, aux sections des
nerfs
pratiquées chez l'animal. En réalité, Messieurs,
ut dire que, d'une manière générale, les sections ou les excisions de
nerfs
n'éveillent habituellement, dans ceux-ci, aucun t
on, comme un processus purement passif. Les muscles desservis par les
nerfs
sectionnés sont nécessairement frappés d'inertie
sultent de l'inaction(1). liien différentes sont les affections des
nerfs
auxquelles se rattachent, chez l'homme, les accid
à susciter, dans les divers tissus qui entrent dans la composition du
nerf
, le dé-veloppement d'un processus irritatif. De f
édée ou suivie, — lorsqu'il s'agit d'un 1. Voir la noté 1, p. 41.
nerf
mixte, — de douleurs plus ou moins vives ou de se
ns appris à connaître comme un des effets des lésions irritatives des
nerfs
cutanés et qui ne s'obser-vent en aucune façon da
tions identiques: tantôt il s'agit d'une carie du rocher; le tronc du
nerf
facial baigne dans le pus où il est enveloppé de
épaisse du tissu eonjonclif nouvellement formé (3j; d'autres fois, le
nerf
est comprimé par une tumeur lentement développée,
Il n'est pas jusqu'à la paralysie dite rhuma-tismale ou à frigore du
nerf
facial qui ne semble devoir être rattachée — bien
du tronc nerveux(4). Je n'ignore pas que les sections complètes des
nerfs
se ren-contrent assez fréquemment dans la pratiqu
ubles de nutrition les plus remarquables, produits par les lésions de
nerfs
, est l'émaciation ou l'atrophie des muscles desse
e nerfs, est l'émaciation ou l'atrophie des muscles desservis par ces
nerfs
. Celte atrophie peut exister seule ou se montrer
e distinction proposée par M. Brown-Sé-quard : seule l'irritation des
nerfs
serait capable d'occa-sionner V atrophier apide e
disparition de la contracti-lité faradique. La division complète des
nerfs
n'amène l'a-trophie et la perte des réactions éle
nomène, une conséquence toute simple delà perte de l'exci-tabilité du
nerf
, laquelle surviendrait ici de très bonne heure (v
plus pronon-cées lorsqu'on peut agir sur eux par l'intermédiaire des
nerfs
, quelorsque l'excitation, parsuitede ladestructio
s l'opération, devra être un fait constant à la suite des sections de
nerfs
, puisqu'en pareil cas, le bout périphérique du ne
des sections de nerfs, puisqu'en pareil cas, le bout périphérique du
nerf
perd toujours son excitabilité au bout de cinq ou
ainsi. D'un autre côté, il n'est nullement prouvé que les lésions de
nerfs
, qui produisent la perte hâtive de la contractili
un certain nombre de faits ten-dant à démontrer que la continuité des
nerfs
persiste, au moins à un certain degré, à la suite
'est ainsi qu'après une lésion traumatique portant sur le trajet d'un
nerf
, on voit parfois les mouvements persister pen-dan
vent à un degré voisin de l'état normal, dans les cas de lésions d'un
nerf
mixte, alors même que l'affaiblisse-ment rapide d
s fibres sensitives entremêlées avec elles dans toute l'é-paisseur du
nerf
auraient seules été épargnées ? Maisvoici un ar-g
e voir se produire, comme lorsqu'il s'agit de lésions irritatives des
nerfs
, une diminution ou une abolition totale de la con
suivi bientôt d'une atro-phie plus ou moinsprononcée des muscles. Les
nerfs
musculaires ont été plusieurs fois examinés en pa
de de l'excitabilité électrique observée à la suite de la lésion d'un
nerf
, ne saurait être rattachée tout entière à l'alté-
té- 1 Dans les paralysies consécutives aux lésions traumatiques des
nerfs
mixtes, les troubles fonctionnels portent moins s
ilité ; ainsi une luxation de l'épaule ayant occasionné la lésion des
nerfs
qui animent le bras, l'avant-bras et la main, j'a
finitive de ses fonctions. Des observations aux- 1. « J'ai coupé le
nerf
sciatique d'un côté sur deux lapins et deux cocho
u de contractions dans les muscles de la jambe ni quand j'excitais le
nerf
, ni quand j'excitais directement les muscles, j'a
bout de très peu de temps, les muscles sont redeve-nus irritables. Le
nerf
sciatique n'a rien retrouvé de sa propriété perdu
recouvrée que par la nutrition, puisque ni les centres nerveux, ni le
nerf
sciatique ne pouvaient la leur donner. » (Brown-S
ésions comme la conséquence plus ou moins directe d'une paralysie des
nerfs
vaso-moteurs concomitante de la paralysie des ner
une paralysie des nerfs vaso-moteurs concomitante de la paralysie des
nerfs
moteurs musculaires. Parmi les arguments qu'on pe
exceptionnellement chez les sujets qui, à la suite de la lésion d'un
nerf
, présen-tent une paralysie avec diminution rapide
oppo-sition entre les lésions passives et les lésions irritatives des
nerfs
, t. Duehenne (de Boulogne), loc. cit., p 254. —
ont bien la signification qui leur a été attribuée. Des lésions de
nerfs
, variées—écrasemen,tligature, section dans un trè
fications de la contractilité électrique qui apparaissent du côté des
nerfs
et du côté des muscles, sous l'influence des cour
en premier lieu les phénomènes observés dans ces expériences sur les
nerfs
lésés. Supposons qu'on ait blessé, en l'écrasant
s. Supposons qu'on ait blessé, en l'écrasant à l'aide d'une pince, le
nerf
sciatique d'un lapin. La lésion peut être très pr
cours à la faradisation ou au galva-nisme. Lors de la régénération du
nerf
, le retour de l'excitabi-lité est lent pour le bo
nnes, puis- qu'il était également établi par ces expériences que le
nerf
coupé perd son excitabilité dès les premiers jour
cireuse. Tels sont les phénomènes signalés à la suite de lésions de
nerf
, qui, suivant nos auteurs, équivaudraient à des s
la grande majorité des cas. Presque toujours, ils appliquaient sur le
nerf
une ligature plus ou moins serrée, ou encore ils
saient, à l'aide d'une pince, un écrasement plus ou moins prononcé du
nerf
. Or, ne sont-ce pas là des cir-constances suffisa
l'écrasement, mais bien toute la longueurde la partie périphérique du
nerf
lésé, est mise hors de doute parles descriptions
omme dans les cas relatifs à l'homme, les lésions irritatives dontles
nerfs
sont le siège retentissent jusque surles muscles.
s muscles. A la vérité, il peut paraître difficile de concevoir qu'un
nerf
ayant subi les altérations de la dégénération gra
ques. Il y a lieu de faire remarquer à ce propos que l'irri-tation du
nerf
date vraisemblablement du moment même où il a été
côté, que la vitalité est loin d'être définitivement éteinte dans les
nerfs
complètement séparés du centre nerveux, puis-qu'i
ne devons pas oublier, toutefois, que la ligature et l'é-crasement du
nerf
ne sont pas les seuls moyens qui aient été mis en
ssen. Ces auteurs ont aussi pratiqué des sections et des excisions de
nerfs
, à la vérité dans un nombre de cas relativement t
ficatif, il s'y agit de cas dans lesquels on a pratiqué l'excision du
nerf
sciatique dans l'étendue de quelques millimètres.
reproduisent avec leur intensité première, lors de la restauration du
nerf
qui, à la vérité, se lait longtemps attendre (1).
'observa-tion nu II, fig. 3, qui est relative à un cas de ligature du
nerf
tibial antérieur chez le lapin, avec l'observatio
apin, avec l'observation n° II (p. 593) où il s'agit de l'excision du
nerf
sciatique également chez un lapin. Dans le premie
xposé que,quand il s'agit de la section complète ou de l'excision des
nerfs
, les observations récentes concordent, pour les p
e produisent chez l'homme,en con-séquence des lésions irritatives des
nerfs
mixtes ou purement moteurs. Or, s'il en est ain
iment MM. Ziemssen et 0. XVeiss à propos des effets de l'exci-sion du
nerf
scinl'que : « Chez les animaux » « auxquels celte
de MM. Erb et Ziemssen, établissent que les effets de la section des
nerfs
périphériques sur les propriétés physiologiques e
ritation — écrasement local, ligature, cautérisation — sur ces m unes
nerfs
. D'un autre côté, les observations histologiques
décembre), ontmis hors de doute que, dans l'extrémité périphérique du
nerf
sectionné, il se produit constamment des alté-rat
pposition entre les effets de la section et ceux de l'irrita-tion des
nerfs
ne saurait plus être, d'après cela, maintenue dan
NIÈRE Les lésions irritatives des centres nerveux, comme celles des
nerfs
, ont le pouvoir de produire à distance des troubl
ec-tions que nous avons vues se manifester à la suite des lésions des
nerfs
et dont l'histoire, déjà connue, facilitera singu
que nous avons appris à connaître, comme conséquence des lésions des
nerfs
; il en est d'autres, au contraire, dans lesquell
toute leur éten-due en hauteur, sans que les muscles, animés par les
nerfs
issus des points lésés de la moelle, souffrent di
roduirait là, nécessairement, l'équivalent d'une lésion affectant les
nerfs
périphériques (1). B. Le second groupe comprend
s faisceaux primitifs est là, encore, un fait exceptionnel. Quant aux
nerfs
qui se rendent aux muscles affectés, examinés plu
é jusqu'aux parties centrales par la voie des racines antérieures des
nerfs
, car ces dernières, en général, ne présentent, au
de cellules motrices, dans les régions de la moelle d'où émanent les
nerfs
qui se rendent aux muscles paralysés (1). Dans le
rritafion dont elles étaient le siège s'est transmise par la voie des
nerfs
jusqu'aux muscles paralysés qui, en conséquence,
l'anatomie pathologique et à constater que, — comparables en cela aux
nerfs
périphériques, — les cellules nerveuses motrices
Ton se reporte à ce que nous avons dit des effets de l'irritation des
nerfs
, il pourra sembler contradictoire, au premier abo
de composition, les cordons blancs ne sont nullement assimilables aux
nerfs
: l'expérimentation révèle, en effet, dans ceux-c
'anatomie montre d'ailleurs que les tubes nerveux qui constituent les
nerfs
ne sont que pour une part très minime la continua
nfluence des lésions irritatives, se comporteraient autrement que les
nerfs
périphé-riques. Quand je me suis proposé d'expo
ai traité des troubles de la nutrition déterminés par les lésions des
nerfs
périphériques, jô vous ai laissé pressentir que c
affections de cause centrale et celles qui dépendent d'une lésion des
nerfs
périphériques est tellement frappante, que la dis
, il y a huit ans, à l'hospice, comme aveugle (atrophie scléreuse des
nerfs
optiques), est aujourd'hui atteinte d'ataxie lo
fixées, durant plusieurs jours, sur le trajet des rameaux cutanés des
nerfs
petit sciatique et releveur de l'anus du côté dro
ouleurs fulgurantes suivirent la direction de la branche verticale du
nerf
saphène interne gauche, et une éruption pustuleus
uleuse se développa bientôtsur la peau des régions où se distribue ce
nerf
. Un caractère commun à toutes ces éruptions, —
e les éruptions en question siègent d'habitude sur le trajet même des
nerfs
envahis par la fulguration douloureuse. Vous vo
ubstance grise ; 4° lésions irri-tatives des ganglions spinaux ou des
nerfs
périphériques ; car ces douleurs ont été rencontr
quel-conques, soit dans les cornes grises postérieures, soit dans les
nerfs
périphériques, soit enfin sur les méninges spinal
des éruptions cutanées en question — qui appartiennent au système des
nerfs
centrifuges et qui ont, sur l'exercice des foncti
yne, le zona, qui répondait au trajet des branches superfi-cielles du
nerf
crural antérieur, se manifesta trois jours après
zona reconnaissait très vraisemblablement pour cause l'irritation du
nerf
péri-phérique. L'éruption vésiculeuse siégeait, c
vait comprimé •soit le ganglion spinal, soit une branche d'origine du
nerf
sciatique, de manière à en déterminer l'irritatio
ibution des rameaux superficiels de labranche cutanée péronière et du
nerf
musculo-cutané. Un premier groupe de vésicules se
e liée à quelque con-dition particulière, peut-être la distension des
nerfs
scnsitifs (loc. cit., p. 383.) » — Trois autres c
ndant à la blessure dans toute Tétendue de la moelle d'où émanent les
nerfs
se rendant aux muscles paralysés; l'envahissement
que, puisque nous le voyons se former là, sur le côté du corps où les
nerfs
vaso-moteurs ne sont point affectés. c) Je ment
e épinière ne joue ici aucun rôle et que les ganglions spinaux ou les
nerfs
périphé-rique sont seuls en cause (1). Nous feron
et assurément sans participation directe des ganglions spinaux ou des
nerfs
périphériques. Les casd'hématomyéliteoude myélite
muel. Ce n'est pas à dire cependant que les lésions irritatives des
nerfs
périphériques, et peut-être aussi celle des gangl
la piqûre, de la section incomplète, ou encore de la compression d'un
nerf
, sont assez rares ; mais plusieurs d'entre eux so
orme tumeur fibreuse qui comprimait, dans le bassin, les origines des
nerfs
sciatique et crural du mem-bre inférieur correspo
et Revue phol. des hôp., 1871.) semblablemenl à rinflammation d'un
nerf
, peut, suivant une remarque de Rayer (1 ), abouti
ain nombre de cas, il doit être rattaché à une lé-sion irritative des
nerfs
de la queue de cheval. Un fait publié récemment p
s à celles qui se développent dans les doigts de la main, lors-que le
nerf
cubital a été froissé au niveau du coude. Il impo
méningite spinale postérieure, atrophie des racines pos-térieures des
nerfs
rachidiens. Un examen minutieux, fait dans plusie
t démontré, d'un autre côté, qu'on ne pouvait invoquer une lésion des
nerfs
périphériques; c'est dans la substance grise de
III. p. 306, 1870. après l'amputation d'un membre ou la section des
nerfs
qui s'y rendent. Par ce qui précède, j'espère a
ux. — Insuffisance de nos connaissances à cet égard. — Pa-ralysie des
nerfs
vaso-moteurs; hypôrémie consécutive; elle ne prod
pas de troubles trophiques. — Exceptions à la règle. — Irritation des
nerfs
vaso-moteurs; l'ischémie qui en résulte ne paraît
e ne paraît pas avoir d'influence; marquée sur la nutrition locale. —
Nerfs
dilatateurs et nerfs sécréteurs ; recherches de L
d'influence; marquée sur la nutrition locale. — Nerfs dilatateurs et
nerfs
sécréteurs ; recherches de Ludwig et de Cl. Berna
ches de Ludwig et de Cl. Bernard ; analogies entre ces deux ordres de
nerfs
. — Application à la théorie des nerfs trophiques.
logies entre ces deux ordres de nerfs. — Application à la théorie des
nerfs
trophiques. — Théorie de Samuel ; exposé ; critiq
as à les considérer comme les effets très simples de la paralysie des
nerfs
vaso-moteurs. Je suis,pourmon compte,très encli
ns le lobe supérieur du poumon à la suite delà section du ganglion du
nerf
vague. (Wunderlich's Archiv, 6, Jahr. 8. heft. pp
e de l'irritation que subis-sent, dans certaines conditions, soit les
nerfs
périphériques, soit les centres nerveux eux-mêmes
ériphériques. Evidemment, ce retentissement se fait par la voie des
nerfs
, mais c'est là encore aupointde vue de la théorie
cet ensemble complexe, physiologi-quement au moins, qu'on appelle un
nerf
, l'élément par lequel s'opère la transmission et
essieurs, le rôle considérable que, de nos jours, on a fait jouer aux
nerfs
vaso-moteurs dans l'expli-cation des phénomènes p
ues-uns des faits expérimentaux qui ont dévoilé les fonc-tions de ces
nerfs
centrifuges dont les dernières ramifications vont
pellerai, en premier lieu, les phénomènes qui s'observent lorsque ces
nerfs
sont paralysés par le fait d'une section complète
sés par le fait d'une section complète, par exemple. La section des
nerfs
vaso-moteurs a pour effet immédiat de produire un
-ralytique qui a été surtout bien étudiée dans le cas de lasection du
nerf
grand sympathique du cou, mais qui se retrouve av
, à la suite d'un grand nom-bre de lésions des centres nerveux ou des
nerfs
périphériques. Les conséquences de cette hypérémi
iculièrement dignes d'intérêt. Vous savez que la partie ré-pondant au
nerf
sectionné présente une élévation relative de la
elative de la 1. Consultez, sur la physiologie et la pathologie des
nerfs
vaso-moteurs, les Le-çons sur l'appareil vaso-mot
vitales de tous les éléments, de tous les tissus. Tout au moi ns les
nerfs
tan t se nsitifs que moteurs, les muscles eux-mêm
né-vrite (1), on peut dire cependant que les lésions irritatives des
nerfs
périphériques, dans les conditions où elles déter
bais-sement a pu être observé à toutes les périodes de l'affection du
nerf
; on l'a constaté aune époque voisine du début (2)
v. der Heilkunde, 1871 ; voir la note p.563 . — Charcot, Névralgie du
nerf
cubital. Éruptions de Zona sur le trajet du nerf
harcot, Névralgie du nerf cubital. Éruptions de Zona sur le trajet du
nerf
affecté; examen thermoméh'ique,àyns\a. thèse de M
nt en réalité pour origine l'hypérémie consécutive à la paralysie des
nerfs
vaso-moteurs. L'hypérémie neuro-paralytique et
ries of Nerves. Philadclphia, 1872, p. 175. Dans deux cas de plaie du
nerf
avec glossy skin, la région occupée par la lésion
fert dans les parties qui répondent à la distribution périphérique du
nerf
coupé. L'animal tombe ma-lade ou on le prive de n
organisme. Il y a lieu de rechercher maintenant si l'irritation des
nerfs
vaso-moteurs peut rendre compte des phénomènes qu
compte des phénomènes que n'expli-quentpas la paralysie de ces mômes
nerfs
. Prenons d'abord l'irri-tation expérimentale. L'i
'activité vitale s'y amoindrit ; l'exitabilité des muscles, celle des
nerfs
, descendent au-dessous du taux normal (2). On est
r, par le fait même de la prolongation de l'irritation, l'activité du
nerf
semble s'épuiser et l'hypérémie,en général, succè
.Tou-tefois, en reproduisant à de courts intervalles l'irritation des
nerfs
vaso-moteurs, on peut réussir à faire prédominer
vous le voyez, à une affection, soit paralytique, soit irritative des
nerfs
vaso-moteurs proprement dits qu'il faudrait rappo
aisseaux et conséquemment l'iiypérémie de la région dans laquelle ces
nerfs
se distribuent. Tandis que l'irritation des nerfs
n dans laquelle ces nerfs se distribuent. Tandis que l'irritation des
nerfs
vaso-mo-teurs ordinaires produit l'ischémie, cell
tion des nerfs vaso-mo-teurs ordinaires produit l'ischémie, celle des
nerfs
dilatateurs détermine au contraire une hypérémie
pan peut être considérée, à l'heure qu'il est, comme le prototype des
nerfs
dilatateurs. Mais des nerfs doués de propriétés s
l'heure qu'il est, comme le prototype des nerfs dilatateurs. Mais des
nerfs
doués de propriétés semblables existent à la face
ifique, LU, 2e série, 1872. — Schiiï. — Diges-tion t. I, p. 252. 5.
Nerfs
érecteurs d'Eckhard : Beilrage zur Anal, iind Phy
corps. On est loin d'être fixé relativement au mode d'action de ces
nerfs
. Voici comment, dans l'hypothèse adoptée par M. C
corde du tympan. Suivant l'éminent physiologiste, l'irritation de ce
nerf
se transmettrait aux petits amas ganglionnaires q
terférence nerveuse (2) sur les filets nerveux du grand sym-pathique,
nerf
constricteur des vaisseaux, dontils paralyseraien
du tympan, et il faudrait, sans doute, en dire autantdetous lesautres
nerfs
dilatateurs, jouerait, à l'égard des nerfs vaso-m
ire autantdetous lesautres nerfs dilatateurs, jouerait, à l'égard des
nerfs
vaso-moteurs, à peu près le rôle d'un nerf d'arrê
, jouerait, à l'égard des nerfs vaso-moteurs, à peu près le rôle d'un
nerf
d'arrêt. Par conséquent, vous le voyez, le résult
f d'arrêt. Par conséquent, vous le voyez, le résultat de l'action des
nerfs
dila-tateurs, ne serait, en définitive, d'après l
comme cela a lieu par exemple dans le cas de la section complète des
nerfs
vaso-moteurs, n'est pas la cause des troubles tro
vous allez le reconnaître plus loin, Messieurs, le mode d'action des
nerfs
dilatateurs peut être envisagée à un point de vue
riences fondamentales de Lud-wig, relatives à l'influence de certains
nerfs
sur la sécrétion de la glande sous-maxillaire (3)
ue nous nous proposons. Lorsque l'on irrite le bout périphérique du
nerf
qui se rend à la glande sous-maxillaire, nerf fou
le bout périphérique du nerf qui se rend à la glande sous-maxillaire,
nerf
fourni, on le sait aujourd'hui, par la corde du t
a montré que la ligature des veines, sans irritation concomitante du
nerf
glandulaire n'augmente pas la sécrétion de la sal
doit donc être éliminée, elle aussi. Mais peut-être l'irritation du
nerf
glandulaire qui a, vous le savez, pour effet d'am
ne expérience de Ludwig, laquelle montre que, pendant l'irritation du
nerf
, la pression manomé-triquedans le canal de Wharto
veineux qui sortent de la glande sous-maxillaire, dans le temps où le
nerf
glandulaire est soumis aux excitations, présenten
u de constrictiondes vaisseaux, et Ton est amené à reconnaître que le
nerf
glandulaire possède une double propriété puisqu'e
ou, autrement dit, sur les cellules sécrétantes. Cette in-fluence du
nerf
sur- la sécrétion semble être d'ailleurs le fait
se d'atropine capable de paralyser complètement le filet cardiaque du
nerf
est permis de supposer que celle-ci dérive de c
à l'excitation des éléments sécréteurs déterminée par l'excitation du
nerf
l'hypérémie qui suit cette excitation. Plu-sieurs
Vulpian, sur la théorie des sé-crétions (3). Si l'on coupe tous les
nerfs
d'un membre sur une grenouille, et si l'on déterm
ue de la nutrition, et c'est ici que pourrait intervenir l'action des
nerfs
. Les phé-nomènes de stase ont pu être expliqués d
au cas de la glande sous-maxillaire, il suffit de reconnaître que le
nerf
glandulaire, soumis aux excitations, amène dans l
un jour nouveau sur la question en montrant que les terminaisons des
nerfs
glandu-laires pénètrent jusque dans les cellules
(1) M.Hei-denhain a même essayé de démontrer que la glande, dont les
nerfs
sont soumis à une irritation un peu prolongée, pr
e M. Heidenhain venaient à être confirmées, il faudrait attri-buer au
nerf
une influence pour ainsi dire directe sur le déve
andulaires (3). L'hypothèse qui vient d'être formulée, à propos des
nerfs
sécréteurs, peut s'étendre, suivant toute vraisem
s sécréteurs, peut s'étendre, suivant toute vraisemblance, aux autres
nerfs
, dans lesquels l'expérimentation physiologique a
ner la dilatation des vaisseaux sous l'influence des excitations. Ces
nerfs
agiraient primitive-ment sur les éléments interva
re interprétés ainsi qu'il suit: Sous l'influence de l'irritation des
nerfs
glandulaires gnemenls de l'anatomie qui, dans c
en effet d'arrêter un instant votre attention sur la théorie dite des
nerfs
trophiques qui, vous le savez, à défaut des autre
r, dans cette théorie, telle du moins que l'a formulée M. Samuel, les
nerfs
supposés seraient, pour ainsi dire, construits su
erfs supposés seraient, pour ainsi dire, construits sur le modèle des
nerfs
sé-créteurs en ce sens que, à l'exemple de ceux-c
milation et la désassimi-lation élémentaires, de môme que le rôle des
nerfs
sécréteurs est de mettre enjeu dans les cellules
plissement des actes nutri-tifs, on propose seulement d'envisager les
nerfs
trophiques, comme formant, par leur ensemble, un
oir qu'un résultat fréquent d'une irritation morbide produite sur des
nerfs
doués de pa-reilles propriétés serait de porter l
nsécutif d'un processus inflammatoire. La suppression d'action de ces
nerfs
n'aurait, au contraire, d'autre effet que d'amoin
é en effet : on ne saurait admettre aujourd'hui, par exemple, que les
nerfs
trophiques ont tous leur origine centrale dans le
les ganglions spinaux postérieurs ou dans les ganglions analogues des
nerfs
crâniens, car les cas sont nombreux, ainsi que vo
objections qui lui ont été opposées. En premier lieu, l'existence des
nerfs
trophi-ques n'est pas, cela est certain, démontré
ux par M. Samuel, dans le but de mettre en lumière l'existence de ces
nerfs
, n'ont pas été heureuses. Les unes, reprises par
s précédents. Si l'on voulait condamner, par exemple, l'hypothèse des
nerfs
trophiques par ce seul fait qu'elle est inutile e
lle est inutile en physiologie, je ferais remarquer que l'utilité des
nerfs
sécréteurs n'a été reconnue qu'après coup. On ser
coup. On serait nécessairement conduit à reconnaître aussi celle des
nerfs
tro-phiques, si l'expérimentation venait quelque
. Il est dificile de croire, d'un autre côté, que le rôle joué parles
nerfs
sécréteurs soif absolument spéci-fique et sans au
absolument spéci-fique et sans autre exemple dans l'organisme. A ces
nerfs
, on 1. Voir Tobias (Virchow's Archiv, Bd. XXIV,
. Weber, in Cen-iralblatt, 1864, p. 145. pourrait déjà comparer les
nerfs
dilatateurs, s'il est vrai qu'ils fonctionnent su
rapprocher encore, d'après les observations récentes de M. Goltz, les
nerfs
d'absorption, qui, suivant ce physiolo-giste, agi
lules endothéliales des vaisseaux san-guins, de la même façon que les
nerfs
de sécrétion agissent sur l'épithélium glandulair
qu'il existe aucun argument qui permette de décréter à priori que les
nerfs
trophiques ne viendront pas, un jour, prendre pla
ne théorie qui ne peut subsister sans mettre enjeu tout un système de
nerfs
dont l'existence est encore problématique, il fau
étation est pro-posée, en faisant appel aux propriétés des différents
nerfs
déjà connus: car il faut se garder toujours d'enf
ives, faites dans ces derniers temps, sur les réunions bout à bout de
nerfs
de fonctions différentes, tels par exemple que l'
290. supposer que les irritations pathologiques développées sur un
nerf
sensitif, soit à son origine centrale, soit sur u
la moelle ou sur les racines spinales sensitives. Pour ce qui est des
nerfs
moteurs, je ne vois pas d'argument sérieux qui em
plication sans qu'il soit nécessaire d'avoir recours à la théorie des
nerfs
trophiques. Nous sommes parvenus, Messieurs, au
action du froid humide, longtemps prolongée; — irritation de certains
nerfs
périphériques. — Causes prédisposantes. — L'âge
oelle allongée et de la portion cervicale de la moelle; en outre, les
nerfs
de la langue, ceux du bras, étaient comme tendine
ontécrit sur la paralysie agitante,à savoir Y irritation de certains
nerfs
périphériques, en conséquence d'uneblesssure ou d
survint dans le membre blessé une douleur vive, occupant le trajet du
nerf
sciatique, et, peu après, un tremblement se décla
plusieurs années une douleur, violente localisée sur le parcours des
nerfs
de la jambe et du pied. Ces parties furent prises
, protubérance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les
nerfs
. — Formes spinale eéphalique ou bulbaire,cérébro-
à l'état frais. — Lésions histologiques consécutives à la section des
nerfs
. — Granulations graisseuses sur les coupes de pla
mes et la région posté-rieure où sont étages les noyaux d'origine des
nerfs
bulbaires. Pour ce qui a traita la protubérance,
la substance grise que sur la substance blanche. (Pl. V et VI). Les
nerfs
eux-mêmes n'échappent pas à la sclérose. On les v
lables à celles des centres nerveux, du moins sur les portions de ces
nerfs
voi-sines des centres : les observations de MM. V
e, souvent répétées depuis, ne laissent pas de doute à cet égard. Les
nerfs
craniens qui ont offert des plaques de sclérose s
d. Les nerfs craniens qui ont offert des plaques de sclérose sont les
nerfs
optiques, olfactifs et de la 5e paire. Quant aux
érose sont les nerfs optiques, olfactifs et de la 5e paire. Quant aux
nerfs
rachidiens, nous savons seulement que des plaques
ticulièrement votre attention : huit ou dix jours après la section du
nerf
, il se produit une sorte de coagu-lation de la su
on où se trouvent placés les tubes nerveux par suite de la section du
nerf
, la matière médullaire se coagule, puis se désagr
épourxms de cette gaîne celluleuse ou gaîne de Schwann, qui, dans les
nerfs
sectionnés, contient de toutes parts les produits
e flétrissent et disparaissent (1). Dans l'encéphale, etaussisurles
nerfs
optiques et olfactifs, les plaques de sclérose pr
occupant toute l'épaisseur du cordon nerveux ont été trouvées sur les
nerfs
optiques, dans le cas où, pendant la vie, on avai
pareil cas, tantôt une intégrité à peu près complète de la papille du
nerf
optique alors même que l'amblyopie est cependant
ompliquée d'eschares au sacrum. — Autopsie: plaques scléreuses sur le
nerf
moteur oculaire externe gauche et sur les nerfs o
ques scléreuses sur le nerf moteur oculaire externe gauche et sur les
nerfs
optiques; — plaques de sclérose sur la protubéran
ventricule, où elle englobait les noyaux d'origine de la plupart des
nerfs
bulbaires (1). 1. C'est ainsi qu'unL succombé l
dans la poitrine. Autopsie. — Plaque de sclérose sur le chiasma des
nerfs
optiques se prolongeant sur les bande-lettes ; —
rd inférieur de la protu-bérance, au niveau de l'origine apparente du
nerf
trijumeau, on découvre une plaque de sclérose lar
téresser le pneumogas-trique (Fig. 17, a). L'examen microscopique des
nerfs
a montré de nombreux tubes granulo-graisseux dans
l'hypoglosse, des traces d'irritation de la gaine de Schwann dans le
nerf
pneumogastrique. Huant aux autres organes, et en
paralysé. A la paralysie du mouvement se surajoute une paralysie des
nerfs
vaso-moteurs qui se traduit par une élévation de
bilité réflexe de la moelle épinière par le fait de l'irrita-tion des
nerfs
périphériques. Ainsi, l'expérience de Herzen no
ères chez un même sujet. Sur 276 malades, 1. Tissot. — Maladies des
nerf
s, t. IV. p. 75. i. Dunanl. — De Vhysléro-épile
esinontrent qu'elles ontune épaisseur de quelques mil-limètres. — Les
nerfs
optiques sont durs et résistants. (B) Des troub
acci-dent fut suivi immédiatement d'une douleur occupant le trajet du
nerf
médian. Dès le lendemain, était survenue une cont
ipe pas à fa contracture. Mlle X... n'a jamais éprouvé d'attaque de
nerfs
. Elle est calme, d'un caractère égal,plutôt enjou
la face antérieure de l'avant-bras, particulièrement sur le trajetdu
nerf
médian. Si l'on insiste, il s'ensuit une sorte de
rolongée, les tentatives de ré-duction de tout genre, les sections de
nerfs
et de tendons exas-pèrent presque toujours le mal
survint dans le membre blessé une douleur vive, occupant le trajet du
nerf
sciatique, et peu après un tremblement se déclara
s de sclérose dis* séminées en différents endroits de la longueur des
nerfs
olfactifs. 6, Ilots de sclérose sur les nerfs opt
oits de la longueur des nerfs olfactifs. 6, Ilots de sclérose sur les
nerfs
optiques. b\ Partie restée saine d'un nerf optiqu
Ilots de sclérose sur les nerfs optiques. b\ Partie restée saine d'un
nerf
optique. c, Ilots scléreux sur le pédoncule cér
utres profondes ; aspect un peu déprimé au niveau de ces plaques. Les
nerfs
émergeant de la protubérance paraissent sains.
st irrégulièrement distribuée. — f, Quelques points restés sains. Les
nerfs
émergeant du bulbe paraissent sains. Fig. 2. —
té très accentué. Fig. 3. — Portion du cerveau vu par sa base. — a,
Nerfs
olfactifs paraissant sains. — b, Ilots de scléros
— a, Nerfs olfactifs paraissant sains. — b, Ilots de sclérose sur les
nerfs
optiques. — c, Ilots de sclérose sur les pédoncul
es profondes. Aspect un peu déprimé au niveau de ces altérations. Les
nerfs
émergeant de la protubérance paraissent sains.
ésion scléreuse, et comment elle y est irrégulièrement distribuée Les
nerfs
émergeant du bulbe paraissent sains. g, Scléros
ES PREMIÈRE LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions des
nerfs
. Sommaire. — Remarques préliminaires. — Objet d
s de nutrition consécutifs aux lésions de l'axe cérébro-spinal et des
nerfs
. — Ces altérations peuvent occuper la peau, le ti
et du pronostic. — Troubles de nu-trition consécutifs aux lésions des
nerfs
périphériques. — Le système ner-veux, à l'état no
ur l'accomplissement des actes nu-tritifs. — Les lésions passives des
nerfs
ou de la moelle ne produisent pas directement de
i le démontrent. — Influence de l'irritation et de l'inflammation des
nerfs
ou des centres nerveux sur la production des trou
s. — Les troubles trophiques consécutifs aux lésions traumatiques des
nerfs
, considérés en particulier. — Ils résultent non d
l, dans les cas de tumeur comprimant le trijumeau. — Inflammation des
nerfs
spi-naux, consécutive au cancer vertébral, à la p
.1 DEUXIÈME LEÇON troubles trophiques consécutifs aux lésions des
nerfs
(suite). affections des muscles. troubles trophiq
ionnelles que subissent les muscles sous l'influence de la lésion des
nerfs
qui les animent. — Importance de l'électrisatio
on normale des muscles, à la suite de la section ou de l'excision des
nerfs
moteurs et mixtes chez les animaux. — Faits patho
'atrophie rapide des muscles dans Je cas de paralysie rhumatismale du
nerf
facial et de lésions irritatives, soit traumatiqu
ial et de lésions irritatives, soit traumatiques, soit spontanées des
nerfs
mixtes. — Raison de la contradiction apparente en
re. cherches de M Brown-Séquard : Seules, les lésions irritatives des
nerfs
déterminent l'abolition hâtive de la contractilit
ériences de MM. Erb, Ziemssen et 0. Weiss. — Écrasement, ligature des
nerfs
: ce sont des lésions irritatives. — Différence d
ux. — Insuffisance de nos connaissances à cet égard. — Pa-ralysie des
nerfs
vaso-moteurs; hypérémie consécutive; elle ne prod
pas de troubles trophiques. — Exceptions à la règle. — Irritation des
nerfs
vaso-moteurs; l'ischémie qui en résulte ne parait
e ne parait pas avoir d'influence; marquée sur la nutrition locale. —
Nerfs
dilatateurs et nerfs sécréteurs ; recherches de L
d'influence; marquée sur la nutrition locale. — Nerfs dilatateurs et
nerfs
sécréteurs ; recherches de Ludwig et de Cl. Berna
hes de Ludwig et de Cl. Bernard ; analogies entre ces deux ordres cle
nerfs
. — Application à la théorie des nerfs trophiques.
ogies entre ces deux ordres cle nerfs. — Application à la théorie des
nerfs
trophiques. — Théorie de Samuel ; exposé ; critiq
action du froid humide, longtemps prolongée: — irritation de certains
nerfs
périphériques. — Causes prédisposantes. — L'âge
, protubérance, bulbe, moelle épinière. — Plaques de sclérose sur les
nerfs
. — Forme spinale, cépha-lique ou bulbaire, cérébr
à l'état frais. — Lésions histologiques consécutives à la section des
nerfs
. — Granulations graisseuses sur les coupes de p
laques, 242. Atrophie musculaire, 5. — consé-cutive à la section du
nerf
sciati-tique, 9. — Arthropathies dans 1' —, progr
, 378. Contractilité électrique après les lésions pathologiques des
nerfs
et après les lésions expérimentales, 37 ; — dans
ompression de l'ovaire, 531 ;—dans l'épilepsie,338. Corde du tympan,
nerf
dilatateur,140. Corps granuleux, 215. Corps o
bstance grise sur la production du—, 108. — Influence des lésions des
nerfs
sur le —, 109. Dégénération cireuse des muscles
tus, 88. Irritabilité musculaire, 41. Irritation (Rôle de 1') des
nerfs
au point de vue de la production des troubles tro
tives à l'irritation du ganglion de Gasser, 14, 17; — à la section dn
nerf
trijumeau, 10, 15 ; — dues à des lésions sponta-n
ction dn nerf trijumeau, 10, 15 ; — dues à des lésions sponta-nées du
nerf
de la 5e paire, 17. M Mains (Déformation des)
lé-sions spinales, 129. Néphrotomie, 279. — Gravité de la —, 293.
Nerfs
(Ecrasement et ligature des, 54. — Excision des —
lésions sponta-nées du), 17 ; — trophiques, 21, 147; — origine de ces
nerfs
, 148. — vaso-moteurs, 133; — (Rôle des) au point
ique de la, sclérose en plaques, 263. — consécutive à la lésion des
nerfs
. 46, 48. — générale progiuessive ; caractères q
Putamen, 313. R Reins (Lésions des) consécutives à la section des
nerfs
, 128, 129. — Contradictions expérimentales, 19.
des plaques dans le cerveau, 193 : — dans la moelle, 193 ; — sur les
nerfs
, 195. — Aspect des plaques de sclérose, 194. — Hi
423. Secours (Des) chez les convulsion-naires, 335. Sections des
nerfs
; complètes ou incomplètes, 22, 26, 36, 53, 213.
94. — Abaissement de la, — accompagnant les lésions irri-tatives des
nerfs
, 139. — Abaisse-ment de la — dépendant de l'irrit
les séparent des lésions passives, 8 ; — consécu-tifs aux lésions des
nerfs
périphé-riques, 5 ; — causes traumatiques, 25. —
orie vaso-motrice, 133. — Théorie de l'attraction, 144. — Théorie des
nerfs
trophiques, 147. — Théorie de M. Samuel, 147. — C
anglion. i le cordon de communication entre chaque ganglion. 3 le
nerf
émanant du ganglion. Colimaçon. Le système nerv
animal se compose d'un anneau ganglionaire entourant l'œsophage et de
nerfs
qui partent exclusivement des ganglions. \. Gan
s deux derniers ganglions sont placés au-dessous de l'œsophage. Les
nerfs
partant du ganglion céphalique vont à l'orifice o
entacules, et, à droite, il y a pour les organes de la génération, un
nerf
que l'on ne retrouve pas à gauche. Les nerfs du
es de la génération, un nerf que l'on ne retrouve pas à gauche. Les
nerfs
du ganglion viscéral vont, pour la plupart , aux
s ganglionaires i, 3 et 4- i. Ganglion céphalique. i. Ganglion du
nerf
optique, placé en dehors de l'anneau. (1) Les p
ub-œsophagien antérieur. l\. Ganglion sub-œsophagien postérieur. 5.
Nerfs
des tentacules digitales. 6. Nerfs des tentacul
sub-œsophagien postérieur. 5. Nerfs des tentacules digitales. 6.
Nerfs
des tentacules labiales externes. 7. Nerfs de c
ntacules digitales. 6. Nerfs des tentacules labiales externes. 7.
Nerfs
de communication entre les ganglions la- biaux
sub-œsophagiens antérieurs ( 3 ). 8. Ganglion labial interne. 9.
Nerfs
des tentacules labiales internes. 10. Nerfs olf
on labial interne. 9. Nerfs des tentacules labiales internes. 10.
Nerfs
olfactifs. 11. Nerfs infundibulaires. 11. Ori
Nerfs des tentacules labiales internes. 10. Nerfs olfactifs. 11.
Nerfs
infundibulaires. 11. Origine des nerfs lingual
10. Nerfs olfactifs. 11. Nerfs infundibulaires. 11. Origine des
nerfs
lingual et maxillaire. i3. Nerfs des muscles de l
s infundibulaires. 11. Origine des nerfs lingual et maxillaire. i3.
Nerfs
des muscles de la coquille. Nerf viscéral. 15.
es nerfs lingual et maxillaire. i3. Nerfs des muscles de la coquille.
Nerf
viscéral. 15. Nerfs des branchies. 16. Gangli
axillaire. i3. Nerfs des muscles de la coquille. Nerf viscéral. 15.
Nerfs
des branchies. 16. Ganglions et branches nerveu
es branchies. 16. Ganglions et branches nerveuses viscérales. 17.
Nerfs
qui se ramifient sur les parois de la veine cav
Collier œsophagien. 5. Ganglion optique, situé dans l'orbite. 6.
Nerfs
destinés aux muscles de la bouche, des lèvres,
a bouche, des lèvres, et à quelques-uns des muscles des pieds. 7.
Nerf
qui va se rendre à un petit ganglion situé près
cédent et qui, en s'unissant à son analogue, forme le collier 10.
Nerfs
des pieds. 11. Nerf optique venant de la portio
nissant à son analogue, forme le collier 10. Nerfs des pieds. 11.
Nerf
optique venant de la portion du ganglion céphal
portion du ganglion céphalique que Cuvier appelle cervelet. 1 ir
Nerf
qui va former le ganglion étoile. ] 3. Grand nerf
le cervelet. 1 ir Nerf qui va former le ganglion étoile. ] 3. Grand
nerf
des viscères. i4- Nerf acoustique. Lombric de t
f qui va former le ganglion étoile. ] 3. Grand nerf des viscères. i4-
Nerf
acoustique. Lombric de terre, un peu grossi.
sophagiens. 1. Cordon formant le collier ou anneau œsophagien. 3.
Nerf
double. 4. Nerf unique. Sangsue. Fig. 1. Chaî
ordon formant le collier ou anneau œsophagien. 3. Nerf double. 4.
Nerf
unique. Sangsue. Fig. 1. Chaîne ganglionaire. i
Chaîne ganglionaire. i. Ganglion. 2; Cordon inter-ganglionaire. 3.
Nerf
. Fig. 2. Un ganglion de la sangsue, légèrement
é de deux fais- ceaux qui se réunissent au centre du ganglion. 3.
Nerfs
ayant une de leurs origines dans les fibres lon
Martin Saint-Ange). 1. Ganglion. 2. Cordon de communication. 3.
Nerfs
. . 4- Ganglion supplémentaire. Talitre (d'apr
M. Audouin et Milne Edwards). i. Ganglion céphalique. 1. Cordon. 3.
Nerf
. Maïa (d'après les mêmes auteurs). i. Ganglio
erf. Maïa (d'après les mêmes auteurs). i. Ganglion céphalique. 1.
Nerf
optique. 3. Nerf oculo-moteur. 4- Nerf de l'a
s les mêmes auteurs). i. Ganglion céphalique. 1. Nerf optique. 3.
Nerf
oculo-moteur. 4- Nerf de l'antenne interne. 5
i. Ganglion céphalique. 1. Nerf optique. 3. Nerf oculo-moteur. 4-
Nerf
de l'antenne interne. 5. Nerf récurrent tégumen
optique. 3. Nerf oculo-moteur. 4- Nerf de l'antenne interne. 5.
Nerf
récurrent tégumentaire. 6. Nerf de l'antenne ex
4- Nerf de l'antenne interne. 5. Nerf récurrent tégumentaire. 6.
Nerf
de l'antenne externe. 7. Cordon embrassant l'œs
ordon embrassant l'œsophage. 8. Masse ganglionaire thoracique. 9.
Nerfs
de l'estomac. 1 o. Nerfs supérieurs thoraciques
. 8. Masse ganglionaire thoracique. 9. Nerfs de l'estomac. 1 o.
Nerfs
supérieurs thoraciques. ] 1. Nerfs des pattes.
9. Nerfs de l'estomac. 1 o. Nerfs supérieurs thoraciques. ] 1.
Nerfs
des pattes. 12. Cordon nerveux de l'abdomen.
Ganglion céphalique. 2. Cordon inter-ganglionaire. 3. Ganglion et
nerfs
. Chrysalide du même papillon. 1. Ganglion.
erfs. Chrysalide du même papillon. 1. Ganglion. 2. Cordon. 3.
Nerf
. Papillon. 1. Ganglion. 2. Cordon. 3. Ner
2. Cordon. 3. Nerf. Papillon. 1. Ganglion. 2. Cordon. 3.
Nerf
. On voit la chaîne ganglionaire se raccourcir d
anneton ( d'après M. Straus-Durckeim). 1. Ganglion céphalique. 2.
Nerf
des antennes. 3. Nerf optique. 4. Anneau œsop
aus-Durckeim). 1. Ganglion céphalique. 2. Nerf des antennes. 3.
Nerf
optique. 4. Anneau œsophagien. 5. Première pa
e (d'après M. LéonDufour). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion ec
nerf
optiques. 3. Ganglion prothoracique. 4- Ganglio
(d'après le même auteur). 1. Ganglion céphalique. 2. Ganglion et
nerf
optique principal. 3. Rétine et nerf optique de
n céphalique. 2. Ganglion et nerf optique principal. 3. Rétine et
nerf
optique des ocelles. 4 et 5. Ganglions thoracique
iques. Bourdon (d'après Tréviranus). t. Ganglion céphalique. 2.
Nerf
optique. 3. Ganglions thoraciques. 4- Ganglions
c, expriment les mêmes parties que chez la morue, tt. Tubercules du
nerf
trifacial. tv. Tubercules du nerf branchial ou ne
chez la morue, tt. Tubercules du nerf trifacial. tv. Tubercules du
nerf
branchial ou nerf vague. Anguille. te. Tuberc
tt. Tubercules du nerf trifacial. tv. Tubercules du nerf branchial ou
nerf
vague. Anguille. te. Tubercule ethmoïdal. te.
le-renard, Les lettres te, te, etc., comme chez les précédons. e.
Nerfs
ethmoïdaux. o. Nerf optique. p. Nerf pathétique
res te, te, etc., comme chez les précédons. e. Nerfs ethmoïdaux. o.
Nerf
optique. p. Nerf pathétique. m. Nerf moteur c
omme chez les précédons. e. Nerfs ethmoïdaux. o. Nerf optique. p.
Nerf
pathétique. m. Nerf moteur commun des yeux. a
s. e. Nerfs ethmoïdaux. o. Nerf optique. p. Nerf pathétique. m.
Nerf
moteur commun des yeux. a. Nerf abducteur. t.
optique. p. Nerf pathétique. m. Nerf moteur commun des yeux. a.
Nerf
abducteur. t. Nerf trifacial. f. Nerf facial.
thétique. m. Nerf moteur commun des yeux. a. Nerf abducteur. t.
Nerf
trifacial. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthi
oteur commun des yeux. a. Nerf abducteur. t. Nerf trifacial. f.
Nerf
facial. /. Nerf labyrinthique. t\ Nerf vague
eux. a. Nerf abducteur. t. Nerf trifacial. f. Nerf facial. /.
Nerf
labyrinthique. t\ Nerf vague ou branchial. Gr
t. Nerf trifacial. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthique. t\
Nerf
vague ou branchial. Grenouille. Mêmes lettres
eprésente la base du cerveau du même animal. e. INerf ethmoïdal. o.
Nerf
optique. p. Nerf pathétique. (Le nerf moteur co
u cerveau du même animal. e. INerf ethmoïdal. o. Nerf optique. p.
Nerf
pathétique. (Le nerf moteur commun des yeux avait
mal. e. INerf ethmoïdal. o. Nerf optique. p. Nerf pathétique. (Le
nerf
moteur commun des yeux avait été enlevé, sur le c
race de son implantation, je n'ai pu l'indiquer; il en est de même du
nerf
abducteur. /. Nerf trifacial. f. Nerf facial.
ion, je n'ai pu l'indiquer; il en est de même du nerf abducteur. /.
Nerf
trifacial. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthi
iquer; il en est de même du nerf abducteur. /. Nerf trifacial. f.
Nerf
facial. /. Nerf labyrinthique ou nerf auditif.
e même du nerf abducteur. /. Nerf trifacial. f. Nerf facial. /.
Nerf
labyrinthique ou nerf auditif. g. Nerf glosso-p
ur. /. Nerf trifacial. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthique ou
nerf
auditif. g. Nerf glosso-pharyngien. v. Nerf v
cial. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthique ou nerf auditif. g.
Nerf
glosso-pharyngien. v. Nerf vague ou nerf de la
Nerf labyrinthique ou nerf auditif. g. Nerf glosso-pharyngien. v.
Nerf
vague ou nerf de la huitième paire. h. Nerfs hy
ique ou nerf auditif. g. Nerf glosso-pharyngien. v. Nerf vague ou
nerf
de la huitième paire. h. Nerfs hypoglosses. ( I
glosso-pharyngien. v. Nerf vague ou nerf de la huitième paire. h.
Nerfs
hypoglosses. ( Il ne restait pas de trace du ne
ième paire. h. Nerfs hypoglosses. ( Il ne restait pas de trace du
nerf
spinal. ) pc. Pédoncule cérébral, pv. Pont de Var
a cavité crânienne. Fig. 2, Même encéphale vu par sa base. Tous les
nerfs
encéphaliques sont ici représentés. e. Nerf eth
par sa base. Tous les nerfs encéphaliques sont ici représentés. e.
Nerf
ethmoïdal ou olfactif. 0. Nerf optique. m. Ne
phaliques sont ici représentés. e. Nerf ethmoïdal ou olfactif. 0.
Nerf
optique. m. Nerf moteur commun des yeux. p. Ner
représentés. e. Nerf ethmoïdal ou olfactif. 0. Nerf optique. m.
Nerf
moteur commun des yeux. p. Nerf pathétique. t. Ne
ou olfactif. 0. Nerf optique. m. Nerf moteur commun des yeux. p.
Nerf
pathétique. t. Nerf trifacial. a. Nerf abducteur.
erf optique. m. Nerf moteur commun des yeux. p. Nerf pathétique. t.
Nerf
trifacial. a. Nerf abducteur. f. Nerf facial.
erf moteur commun des yeux. p. Nerf pathétique. t. Nerf trifacial. a.
Nerf
abducteur. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthi
yeux. p. Nerf pathétique. t. Nerf trifacial. a. Nerf abducteur. f.
Nerf
facial. /. Nerf labyrinthique ou auditif. g.
hétique. t. Nerf trifacial. a. Nerf abducteur. f. Nerf facial. /.
Nerf
labyrinthique ou auditif. g. Nerf glosso-pharyn
abducteur. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthique ou auditif. g.
Nerf
glosso-pharyngien. v. Nerf vague ou pneumo-gast
/. Nerf labyrinthique ou auditif. g. Nerf glosso-pharyngien. v.
Nerf
vague ou pneumo-gastrique. h. Nerf hypoglosse.
g. Nerf glosso-pharyngien. v. Nerf vague ou pneumo-gastrique. h.
Nerf
hypoglosse. s. Nerf spinal. 1. Partie inférieur
yngien. v. Nerf vague ou pneumo-gastrique. h. Nerf hypoglosse. s.
Nerf
spinal. 1. Partie inférieure de la circonvoluti
'une seule fois. Plus en arrière, la moelle épinière côtoyée par le
nerf
spinal. La ligne ponctuée S S correspond au nivea
u partie latérale externe. Les lettres e, 0, p, etc., désignent les
nerfs
, comme dans la planche III. Fig. 3. Encéphale d
calleux. c. o. Couche optique. c. a. Commissure antérieure. o.
Nerf
optique. i n. Infundibulum. c. m. Corps mamil
o. Nerf optique. i n. Infundibulum. c. m. Corps mamillaire. m.
Nerf
moleur commun des yeux. a. s. Aqueduc de Sylviu
hien de berger. Fig. 2. Encéphale du même chien vu par sa base. Les
nerfs
comme précédemment. O. Circonvolution orbitaire
s postérieures des deux premières paires cervicales et une portion du
nerf
spinal. La lettre S indique le lieu correspondant
plus en arrière encore, une portion de moelle spinale côtoyée par le
nerf
spinal et présentant l'origine de la première pai
e par le nerf spinal et présentant l'origine de la première paire des
nerfs
spinaux. Fig. 2. Face inférieure de l'encéphale
de la tête sur l'animal vivant. e. Lobe ethmoïdal, fournissant les
nerfs
ethmoï- daux. o. Nerf optique. m. Nerf moteur
vivant. e. Lobe ethmoïdal, fournissant les nerfs ethmoï- daux. o.
Nerf
optique. m. Nerf moteur commun des yeux. p. P
thmoïdal, fournissant les nerfs ethmoï- daux. o. Nerf optique. m.
Nerf
moteur commun des yeux. p. Petite commissure fo
oteur commun des yeux. p. Petite commissure formée par la racine du
nerf
pathétique; elle est en relief au-dessus de la va
les trois lobes de cet organe, et les lettres italiques désignent les
nerfs
de l'encéphale. SUITE DES RUMINANS, ET ENCÉPHAL
t. q. p. Les tubercules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs. a.
Nerf
abducteur. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthique.
ules quadrijumeaux antérieurs et postérieurs. a. Nerf abducteur. f.
Nerf
facial. /. Nerf labyrinthique. o. Nerf optique.
ux antérieurs et postérieurs. a. Nerf abducteur. f. Nerf facial. /.
Nerf
labyrinthique. o. Nerf optique. Le lobe médian
érieurs. a. Nerf abducteur. f. Nerf facial. /. Nerf labyrinthique. o.
Nerf
optique. Le lobe médian ( i ) du cervelet est t
r. Corps restiforme. Les lettres italiques indiquent l'origine des
nerfs
de l'encéphale. ?ig# 2. Face supérieure de l'en
). . ' •' J c. o. Couche optique gauche contournée par la racine du
nerf
optique gauche au-dessous duquel (en I) se voient
s duquel (en I) se voient le lobe d'hippocampe, la troisième paire de
nerfs
ou nerf moteur commun des yeux et le pédoncule cé
(en I) se voient le lobe d'hippocampe, la troisième paire de nerfs ou
nerf
moteur commun des yeux et le pédoncule cérébral g
elet. L. S. Lobes supérieurs. L. L. Lobes latéraux. T. Touffes. N. A,
Nerfs
auditifs. N. F. Nerf facial. Fig. 2. Fosse de S
eure. aq. Aqueduc de Sylvius. v. n. Quatrième ventricule. m. o.
Nerf
optique. c. p. Corps pituitaire. e. m. Éminen
co. Couche optique. gp. Glande pinéale. h. Sa rêne droite. n.o.
Nerf
optique. ca. Commissure antérieure. pv. Pilie
du lobe frontal. P'., P". P". Circonvolutions postérieures. n. o.
Nerf
olfactif. n. op. Nerf optique. p. m. Éminence
P". P". Circonvolutions postérieures. n. o. Nerf olfactif. n. op.
Nerf
optique. p. m. Éminences mammillaires. 3 p. T
q. Aqueduc de Sylvius. p. c. Pédoncule cérébelleux divisé. n. oî.
Nerf
olfactif. n. op. Nerf optique. e. m. Éminence
p. c. Pédoncule cérébelleux divisé. n. oî. Nerf olfactif. n. op.
Nerf
optique. e. m. Éminences mammillaires. p. v.
l postérieur. d. Points d'où émergent les racines antérieures des
nerfs
spinaux. e. Ventricule central de la moelle.
lancs émanés des cordons postérieurs, et des racines postérieures des
nerfs
spinaux. Fig. 6. Coupe de la même moelle vers l
térieur. c. Sillon latéral postérieur et racines postérieures des
nerfs
spinaux dont on voit certaines fibres pénétrer da
s multipolaires des cornes postérieures. d. Racines antérieures des
nerfs
spinaux dont certaines fibres sont en rapport a
arrière le plan superficiel. Ce plan est en rapport avec le tronc du
nerf
facial à son point d'émergence* e. Plan superfi
s genouillé externe situé sur le prolongement de la racine externe du
nerf
optique. p . Racine externe de ce nerf. q. Ba
ment de la racine externe du nerf optique. p . Racine externe de ce
nerf
. q. Bandelette optique droite, divisée immédiat
r certaines expansions des fibres postérieures du corps calleux. d.
Nerfs
longitudinaux de Lancisi, parcourant d'avant en a
sceau olivaire (Tied.) m. Étage inférieur du pédoncule cérébral. n.
Nerf
optique, o. Corps strié externe occupant le fon
droite du septum lucidum. n. Genou antérieur du corps calleux. o.
Nerf
et bandelette optique. p. Lobe sphénoïdaï. q.
couche par couche, à partir de sa face interne. m.m. Bandelette et
nerf
optiques, n. Commissure antérieure. E.F. Extrémit
é du pédoncule. I. Étage perforant du pédoncule. m. Bandelette et
nerf
optiques. n. Commissure antérieure. o. Expans
même signification . i que dans les figures précédentes. i. ! m.
Nerf
optique. m' Racine interne du nerf optique. m
figures précédentes. i. ! m. Nerf optique. m' Racine interne du
nerf
optique. m". Sa racine externe qui présente ren
ris du corps strié inférieur (p fig. 5). Les expansions cérébrales du
nerf
optique ont été mises de la sorte à découvert d
vert dans toute l'étendue de leurs rayonnements postérieurs (4). m.
Nerf
optique. m'. Sa racine interne. m". Sa racine
g. 5. Cette figure représente le même hémisphère après l'ablation du
nerf
optique et du plan de ses expansions cérébrales.
gnale ici, et qu'il a complètement ignoré les véritables relations du
nerf
optique. P. CL sorte d'enveloppe exactement appli
r STRUCTURE DU CERVEAU DU PAPIÓN (SUITE). montrer les rapports du
nerf
optique avec ce ventricule. A gauche le vermis la
rébral. g. Tuber cinereum et éminences mamillaires. h. Chiasma du
nerf
optique. i. Couches du nerf olfactif ou Insu la
éminences mamillaires. h. Chiasma du nerf optique. i. Couches du
nerf
olfactif ou Insu la. j. Commissure entre le lob
ps strié inférieur. q. Tœnia semicircularis. r. Racine interne du
nerf
optique. s. Racine externe du nerf optique et c
rcularis. r. Racine interne du nerf optique. s. Racine externe du
nerf
optique et corps ge-nouillé externe. t. Écorce
a. Faisceau perforé du pédoncule. b. Son faisceau perforant. c.
Nerf
optique soulevé et détaché de la gouttière de l
Tapis de Reil détaché et soulevé. e. Pian des racines cérébrales du
nerf
optique. f. Corps genouillé interne. f. Plan
rps strié externe. n. Corps strié interne. n\ Corps strié externe, o.
Nerf
optique gauche. p. p. Commissure propre, étendu
'un de ces faisceaux. Fig. 6. Ensemble des expansions cérébrales du
nerf
optique dans le Saï Capucin. à. Bulbe. á. c.
u corps calleux. g\ Partie moyenne du corps calleux. h. Chiasma des
nerfs
optiques. 1. Racine externe de ces nerfs. j.
calleux. h. Chiasma des nerfs optiques. 1. Racine externe de ces
nerfs
. j. Racine interne des mêmes nerfs. k. Corps ge
ques. 1. Racine externe de ces nerfs. j. Racine interne des mêmes
nerfs
. k. Corps genouillé externe. I. Expansion du ne
nterne des mêmes nerfs. k. Corps genouillé externe. I. Expansion du
nerf
optique dans l'hémisphère droit. m. m. Plan des
arrière en avant les éminences mammillaires, le tuber cineréum et les
nerfs
optiques. H.C.—H. C. Hémisphères cérébraux déjà
de Varole, parfaitement développé. P. C. Pédoncule cérébral. N. OP.
Nerfs
optiques très-grêles. L. OL. Lobes olfactifs qu'o
ide antérieure. P. V. Pont de Varole. P. C. Pédoncule cérébral. N. 0.
Nerf
optique. CL. Cervelet latéral. C. A. Cervelet ant
rieur. L. C. Lobe central. SC. S. Scissure de Sylvius. N. OL. Lobe ou
nerf
olfactif. SC. T. Scissure transverse séparant ie
nereum et base du corps pituitaire. L. SPH. Lobe sphénoïdal. N. OP.
Nerfs
optiques. Fig. 2. Profil du même cerveau. E.
oque à la demi-commissure du coté opposé, IN. lnfundibulum. N. 0.
Nerf
optique. C. A. Commissure antérieure. C. 0. Cou
pocampes, comprenant dans sa bifurcation le lobe triangulaire. N. OL.
Nerf
ou lobe olfactif. Fig. 9. Cette figure montre l
i que cela a lieu dans les singes. Fig \\. Expansions cérébrales du
nerf
optique . Cf. Pl. XXVI, fig. 4. N. OP. Nerf opt
xpansions cérébrales du nerf optique . Cf. Pl. XXVI, fig. 4. N. OP.
Nerf
optique très-grêle, C. G, Corps genouillé externe
e très-grêle, C. G, Corps genouillé externe, -f -)- + Expansions du
nerf
optique dans Thé-mi sphère. Fig. \ 2. Coupe méd
ne large dilatation. V. Etage inférieur du ventricule latéral; N. OP.
Nerf
optique. C. Cervelet. L. 0. Lobe olfactif. Fi
sphère d'un Kanguroo de Bennett, préparé pour montrer les origines du
nerf
optique. H. H. Hémisphère. L. OP. Tubercules
C. G. Corps genouillé interne. -h Corps genouillé externe. N. OP.
Nerf
optique qu'on voit se jeter en entier dans les tu
mmissure molle. I. Infundibulum. C. P. Corps pituitaire. N. OP.
Nerf
optique. C. A. Commissure antérieure. P. A. P
live. P. V. Pont de Varole. E. M. Ëminences mamillaires. N. OP.
Nerfs
optiques. L. OL. Lobes olfactifs. C. L. Cerve
P. Tubér cinereum. B. OP. Bandelette optique. N. OP. Chiasma des
nerfs
optiques. IN. Champ olfactif. N. OL. Lobes ol
table et même 111('nsurablt, mathématiquement. De petites lésions du
nerf
optique, invisibles il l'oplitalmoscope. peuven
pour explorer les troubles fonctionnels du système nerveux oculaire (
nerf
optique, nerfs moteurs du globe, nerfs des musc
es troubles fonctionnels du système nerveux oculaire (nerf optique,
nerfs
moteurs du globe, nerfs des muscles intrinsèques,
du système nerveux oculaire (nerf optique, nerfs moteurs du globe,
nerfs
des muscles intrinsèques, nerfs des paupières,
rf optique, nerfs moteurs du globe, nerfs des muscles intrinsèques,
nerfs
des paupières, de la cornée, de la conjonctive)
E - - DE L'EXAMEN^DU SYSTÈME NERVEUX DE L'OEIL i EXPLORATION DU
NERF
OPTIQUE ET DE LA RÉTINE , Au point de vue fonct
la distance entre l'oeil et l'objet qu'il regarde. , EXPLORATION DU
NERF
OPTIQUE ET DE LA RÉTINE. 3 de ces deux procédés
m', représentation des images rétiniennes h, e : m. EXPLORATION DU
NERF
OPTIQUE ET DE LA RÉTINE, - 5 L'élimination des
nir h mesurer la sensibilité rétinienne centrale, et EXPLORATION DU
NERF
OPTIQUE ET DE LA RÉTIr. 7' . - on ne s'expose p
siné d'après l'examen au sté- rcoscope (ltorax). EXPLORATION DU
NERF
OPTIQUE ET DE LA RÉTINE. 9 Vision centrale pour
entre d'un petit index blanc Fig. 8. Le périmètre. EXPLORATION DU
NERF
OPTIQUE ET DE LA RÉTINE. 1) est placé à l'une d
NERVEUX DE L'APPAREIL OCULAIRE. Au début de certaines atrophies du
nerf
optique, le champ visuel ne présente à sa périp
ure 10 (S). En procédant de la sorte, on explore toute l'étendue du
nerf
optique et de son expansion à la surface intern
invisible à l'ophtalmoscopc, ne passe pas inaperçue. EXPLORATION DU
NERF
OPTIQUE ET DE LA RÉTINE. 13 Sensibilité de la r
A à l'image droite. B a l'image renversée (Morax). EXPLORATION. DU
NERF
OPTIQUE ET DR LA RÉTINE. 15 5 subjectif bien fa
logiste. , Il est donc'inutile de décrire les multiples lésions du -
nerf
optique et de la rétine. Je me contente d'indiq
e l'OD (Morax). - 1.'ig. 19. Champ du regard dans la paralysie du
nerf
moteur oculaire commun de l'OG. - L'excursion n
nerveux optique (lésion rétinienne invisible il nos yeux, lésion des
nerfs
optiques, du chiasma, des bandelettes, des fibr
organique, circulatoire ou inflammatoire. Tels sont l'hyperémic du
nerf
optique, la névrite optique, la névro-rétinite,
isuels par action dynamique sur le système nerveux optique (rétine,
nerf
optique, chiasma, capsule interne, écorce). , C
onne influence. B) Troubles visuels dans les affections de la face (
nerf
trijumeau). Les névralgies dentaires, consécuti
dus à l'intoxication saturnine sont souvent le fait d'une lésion du
nerf
optique (névrite, atrophie) visible à l'ophtalm
s, amènera la perte de la vision dans la J<'ig. 58. K, fibres dn
nerf
optique; L lésion située à la surl'arc de la réti
concentrique plus ou moins régulier du champ visuel (altérations du
nerf
optique, rétinite pigmentaire, glaucome). Bien -q
avant du olrirrwan, LACUNES DANS LE CHAMP VISUEL. AT, lésions du
nerf
optique (névrite, atrophie), lésions de la rétine
rcc cérébrale.- , La marche des fibres nerveuses qui constituent le
nerf
optique explique bien ce symptôme (fig. 59). -
nerf optique explique bien ce symptôme (fig. 59). - Les fibres du
nerf
optique droit se divisent au niveau du chiasma en
gauche. C'est le faisceau croisé. ~ Même trajet pour les fibres du
nerf
optique gauche. Par suite de cet entre-croiseme
uche vers la droite dispa- 1 ig. 59. Schéma- des voies opliques. N,
nerf
optique ; R, noyaux réflexes du mésocéphale ; G
entre réflexe pupillaire. La sensation lumineuse transportée par le
nerf
optique file bien en partie au delà du mésencép
es noyaux du mésucéphale; elle trouve là une voie de retour par les
nerfs
moteurs du globe. 11 existe là un arc réflexe c
e. 11 existe là un arc réflexe complet avec une voie centripète (le
nerf
optique), un centre (noyaux du mésocéphale), une
tique), un centre (noyaux du mésocéphale), une voie centrifuge (les
nerfs
moteurs de l'oeil). ' Coupez les voies optiques
es atrophies, les dégénérescences qui peu- vent se produire dans le
nerf
optique. Hémianopsie hétérolatérale binasale. -
fixation. Très souvent dans les hémianopsies de ce siège, certains
nerfs
crâniens sont intéressés, le M. 0. C., le M. 0. E
lhésie. Assez souvent se produit une dégénéres- cence atrophique du
nerf
optique. Réaction hémiopique de Wernicke. - 11
entre réllexe lumineux de la pupille dont la voie centripète est le
nerf
optique, la voie centrifuge le M. 0. C. siège d
endue des champs visuels restants, la dégénérescence atrophique des
nerfs
optiques, la diminution de l'acuité visuelle cent
e l'acuité visuelle centrale, la paralysie concomitante de certains
nerfs
de la base du crâne. On conçoit qu'une lésion s
l la distinguer de la cécité corticale. Hémianopsie par lésion du
nerf
optique. - D'ordinaire. une atrophie du nerf op
ianopsie par lésion du nerf optique. - D'ordinaire. une atrophie du
nerf
optique atteint le champ visuel sur tout son pour
ttaquent-elles avec prédilection les faisceaux temporal ou nasal du
nerf
optique. Cela n'aurait rien d'im- possible puis
de méningite : modifications du pouls, constipation. Paralysie des
nerfs
de la face ou des yeux. Céphalées.- Acromégalie
et fib. .I 0 S). Et encore n'existent-ils guère dans les lésions du
nerf
optique (atrophie, névrite). Ils sont, en génér
teurs sont normaux dans la paralysie totale du M. 0. C., puisque ce
nerf
tient sous sa dépen- dance la contractilité de
dessous dans le bulbe. C'est d'ailleurs l'ordre d'émergence de ces
nerfs
. Une lésion pédonculaire touche le M. 0. C. c
e lésion pédonculaire touche le M. 0. C. croisé, le facial et les
nerfs
des mem- bres non croisés. Une lésion protubé
s motrices est indiqué par les cordons blancs m,1 ? )Il, ils III.
Nerf
M. 0. C. déjà entre-croisé dans , la région péd
déjà entre-croisé dans , la région pédonculaire en I ? 'I et VU,
nerfs
M. 0. E. et facial dont les libres viennent de
protubérantiels. Paralysies dissociées. Les noyaux d'origine des
nerfs
oculo- moteurs, bien qu'assez unis les uns aux
gir d'une manière élective sur certains faisceaux (f. maculaire) du
nerf
optique; la diphtérie n'atteint-elle pas avec p
sur les fibres reliant les noyaux réflexes aux noyaux d'origine des
nerfs
oculomoteurs (lib. 59). , Ophtalmoplégie intéri
te, une altération des cellules motrices des noyaux d'ori- gine des
nerfs
moteurs des yeux. L'allure de cette ophtalmoplégi
emi-- nentia teres, ou par- suite d'une lésion des fibres de ce
nerf
dans la-protubérance (Voir Syndrome protubéra
ris; M, 31, M, muscles extrinsèques moteurs du globe oculaire; MOC,
nerf
moteur oculaire commun; P, nerf pathétique; MOE,
ues moteurs du globe oculaire; MOC, nerf moteur oculaire commun; P,
nerf
pathétique; MOE, Nerf moteur oculaire externe;
oculaire; MOC, nerf moteur oculaire commun; P, nerf pathétique; MOE,
Nerf
moteur oculaire externe; non, noyaux d'origine
oculaire externe; non, noyaux d'origine du mot; ? noyau d'origine du
nerf
pathétique; 1\", noyau d'origine du nerf MOE; A
mot; ? noyau d'origine du nerf pathétique; 1\", noyau d'origine du
nerf
MOE; A, centre mesencephalique d'association réfl
ce cérébrale. Ils sont réunis entre eux et aux noyaux d'origine des
nerfs
moteurs de l'oeil par des tractus nerveux, dont l
s mouvements associés de latéralité, de ce que Grasset appelle les*
nerfs
oculogyres. L'origine corticale des oculogyres
iés. Au-dessus des noyaux bulbo-protubérantiels, origine réelle des
nerfs
oculo-moteurs, les lésions ne produisent plus l
ns des lésions siégeant sur le trajet que nous venons de donner aux
nerfs
oculogyres : a) lésions de l'écorcc cérébrale fro
alée, de vomisse- ments, de constipation, quelquefois de lésions du
nerf
optique, de trou- bles de l'odorat et de l'ouïe
il y a mydriase, mais une mydriase incomplète. Si on sectionne les
nerfs
ciliaires en avant du ganglion, la mydriase est c
. produit un resserre- ment pupillaire très léger; l'excitation des
nerfs
ciliaires en avant du ganglion donne une irido-
périences de F. Franck, sur le ganglion ophtalmique. La section des
nerfs
ciliaires il leur sortie du gan- glion amène un
C'est encore une mydriase spasmodique que provoque l'excitation des
nerfs
sensitifs périphériques. Importance proportionn
réflexes lumineux de l'iris ont pour voie centripète, la rétine, le
nerf
optique, pour centre réflexe les noyaux dumésoc
l'arc réflexe sera réalisée dans toute affection de la rétine ou du
nerf
optique détruisant la totalité des fibres nerve
nt la totalité des fibres nerveuses qui le constituent : section du
nerf
optique, atro- phie complète avec amaurose, etc
malgré une cécité en apparence complète, avec signes d'atrophie du
nerf
optique, produire le réflexe pupillaire. De ces
éflexe centripète est constituée non par les fibres sensorielles du
nerf
optique mais par des fibres spéciales, ne perceva
es optiques, persister et fonctionner encore quand tout le reste du
nerf
optique est détruit. Jusqu'à ce que cette opini
c complète, témoigne de ]'intl\., grité de l'arc réflexe sensoriel (
nerf
optique, noyaux mésencépfialiques. M. 0. C).
flexe irido-dilatateur, dont la voie centri- pète est formée par le
nerf
sensitif excite et dont la voie centrifuge à do
ulature intrinsèque du globe ou bien toucher en même temps d'autres
nerfs
moteurs du glohe (type associé). - On ne sait p
ion des autres organes de la cavité orbitaire (paralysie des autres
nerfs
mo- teurs, troubles sensitifs par compression d
fs par compression du trijumeau, troubles visuels par altération du
nerf
optique, exophtalmie, etc.). Une lésion du tron
té. Elle est due il la paralysie d'un des muscles inner- vés par le
nerf
facial, l'orbiculaire des paupières. Je ne m'oc
, au niveau du ganglion géniculé. De là elles passent dans le grand
nerf
pétreux superficiel, le nerf vidien qui lui fai
ulé. De là elles passent dans le grand nerf pétreux superficiel, le
nerf
vidien qui lui fait suite, arrivent au ganglion
vent au ganglion splié.no-palatin, le traversent, pénètrent dans le
nerf
maxilllaire supérieur, puis dans son rameau orbit
érieur, puis dans son rameau orbitaire lequel- s'anastomose avec le
nerf
lacrymal lui-même (fig. 63). Dans ces condition
orbiculaire .sans larmoiement). Un signe qui dénote la prise du grand
nerf
pétreux superficiel, c'est une paralysie de la
et supposé des fibres sécré- toires des larmes venant du facial. A,
nerf
facial; IL ganglion géniculé ; C, corde du ty
nerf facial; IL ganglion géniculé ; C, corde du tympan; D, grand
nerf
pétreux superficiel; E, ganglion sphéno-palatin
atin ; F, ganglion de uasser el les trois branches du trijumeau; G,
nerf
maxillaire supérieur; II, rameau orbilaire du m
e qui anastomose ce uerf avec le rameau lacrymal de l'ophtalmique; I,
nerf
lacry- mal ; li, glande lacrymale. TROUBLES D
cations de la pression labyrinthique, irritation ou interruption du
nerf
vestibulaire qui transmet niai ou ne transmet plu
L'arc nerveux (fi ? ()5) possède une voie centripète, les filets du
nerf
trijumeau, et une voie centrifuge, très sinueus
s sinueuse, passant par le facial, le grand pétreux superficiel, le
nerf
vidien, le ganglion le nerf maxillaire supérieu
acial, le grand pétreux superficiel, le nerf vidien, le ganglion le
nerf
maxillaire supérieur et son rameau orbitaire an
erf maxillaire supérieur et son rameau orbitaire anastomosé avec le
nerf
lacrymal. Voilà pourquoi certaines paralysies f
crétion lacrymale résultant de l'excitation du bout périphérique du
nerf
lacrymal, aussi bien que de l'excitation du ram
erf lacrymal, aussi bien que de l'excitation du rameau orbitaire du
nerf
maxillaire supérieur, la diminution de la sécré
sécrétion psychique émotionnelle ? Enfin, le trijumeau contient des
nerfs
vaso-di- latateurs par lesquels il doit avoir u
du ganglion de Casser, serait due à la lésion concomitante du grand
nerf
pétreux. D'autre part, Gérard Marchand et Ilerb
meau après qu'il a été rejoint par les filets sécréteurs du facial (
nerf
lacrymal). Le rôle du symphatiquc dans la sécré
té d'anesthésie cornéenne est celle qui accom- pagne les lésions du
nerf
trijumeau entier ou de sa branche ophtalmique.
e ou inflammatoire, sur le trajet intracranien ou intraorbitairc du
nerf
triju- meau ou de sa branche ophtalmique. D'aut
rbitairc du nerf triju- meau ou de sa branche ophtalmique. D'autres
nerfs
de la base du crâne ou de l'orbite sont souvent
otnberantiette (tumeur, ramollissement), atteignant les origines du
nerf
trijumeau. Dans ce cas, l'anesthésie peut être ou
sensitive. C'est dans cette variété d'anesthésie, par altération du
nerf
trijumeau, qu'on observe les altérations cornée
paratytique. Kératite neuro-paralytique. L'anestbesie par lésion du
nerf
trijumeau se complique souvent d'une véritable
ues et lacrYIlIO-sl"crt'olel1l's qui accompagnent la destruction du
nerf
trijumeau. Traitement : La fréquence des compli
rveux visuel, microphtalmie, colo- bomes, nystagmus, altérations du
nerf
optique, affections qui dénotent l'existence de
e en général le rétrécis- sement pour le blanc. Les affections du
nerf
optique (atrophie, névrite), altèrent très rapide
couleurs. La dyschroma- topsie constitue un bon signe de lésion du
nerf
optique. Elle s'accompagne d'une diminution sou
ée de dyschro- matopsie, doit faire penser à un début d'atrophie du
nerf
optique. '1 Il faut peut-être rattacher aux dys
. '1 Il faut peut-être rattacher aux dyschromatopsies par lésion du
nerf
optique, celle qui résulte de l'intoxication ni
n du moindre signe ophtalmoscopiqne au fond de l'oeil. Lésions du
nerf
optique. Les lésions du nerf optique au cours d
scopiqne au fond de l'oeil. Lésions du nerf optique. Les lésions du
nerf
optique au cours d'une tumeur cérébrale sont si
pçonne l'existence d'une tumeur intracranienne, il faut explorer le
nerf
optique. Les atte- rations sont d'ailleurs vari
une névrite optique, c'est-à-dire d'une altération inflammatoire du
nerf
optique, pou- vant d ailleurs présenter divers
litique, tubercu- leuse, etc.). Il exerce une action toxique sur le
nerf
optique. L'hypertension ne crée pas la névrite;
liquide céphalo-rachidien; elle le fait pénétrer dans les gaines du
nerf
optique jusqu'à son extrémité antérieure, jusqu
résulter d'une compression au niveau du chiasma ou il l'origine des
nerfs
optiques (tumeur de l'hypophyse, etc.). Il se p
rce sur la bandelette ou sur le chiasma (p. 54); Compres- sion d'un
nerf
crânien M. 0, C., M. 0. E. ; Pathétique (paralysi
70). [POULARD.] MALADIES DE L'OREILLE . par le D' LANNOIS Le
nerf
de la 8e paire ne doit pas être considéré comme u
LANNOIS Le nerf de la 8e paire ne doit pas être considéré comme un
nerf
uniquc : il n'a cette apparence que dans son tr
s se réunissant rapidement pour former trois rameaux principaux. Le
nerf
vestibulaire qu'ils consti- tuent bientôt pénèt
nt y faire fréquemment allusion en raison de la complexité des deux
nerfs
. Le système auditif a son origine dans les cell
ent le ganglion de Corti dans le canal de liusunilull et forment le
nerf
auditif proprement dit qui pénètre dans le canal
re du côté opposé en s'entrecroisant avec celles qui proviennent du
nerf
de l'autre côté. Il résulte de tout ceci un poi
intéressant, c'est qu'il y a dans le bulbe une semi-décussation du
nerf
côchléaire analogue à la semi-décussation du ne
mi-décussation du nerf côchléaire analogue à la semi-décussation du
nerf
optique.. Les fibres auditives condensées au ni
hidien. D, cervelet avec D', ses noyaux cen- traux. E, noyaux des
nerfs
moteurs bulboprotubérantiels. F, F', tuber- c
x antérieurs et pos- térieurs. G, noyau rouge. - H, cerveau. 4.
nerf
vestibulaire avec 1', ganglion de Scarpa. 2, 2'
des fibres vestibulaires. 5, fibres courtes allant aux noyaux des
nerfs
bulbo-protubérantiels. 4, fibres lon- gues se
la capsule in- terne à la zone sensitivo-motrice du cerveau. a,
nerf
cochléaire avec a', ganglion de Corti. b, b', n
uadri- jumeaux et, par l'intermédiaire de ceux-ci, aux noyaux des
nerfs
bulbo- protubérantiels. - f, fibres longues se
se propager au labyrinthe par les vaisseaux, en suivant la gaine du
nerf
acoustique ou du facial, ou par les aqueducs du
eurs d'observation ou d'in- terprétation, car nous avons dit que le
nerf
auditif subissait une semi- déeussation au nive
o-cérébel- feux, qui sont d'ailleurs assez souvent des tUJl1enrs du
nerf
auditif lui- même. Le plus souvent il s'agit de
é une véritable névrite acoustique, explication déjà donnée pour le
nerf
optique et dans laquelle il faut admettre l'irr
fin on a aussi invoqué une véritable papillite par étranglement, du
nerf
acoustique au niveau de la tache criblée du fon
Imlbo-protuhéran- tielles intéressant les noyaux acoustiques et le
nerf
auditif lui-même (Hess). Ce sont des faits très
ot, Marie et Walton ont décrit des lésions de l'acoustique, soit du
nerf
lui- même, soit de ses noyaux d'origine : les r
hilis et des affections diverses du naso-pharynx. (i° Lésions des
nerfs
. Nous venons de voir qu'on a invoqué le rôle tr
que de la 5° paire. La paralysie du facial, en dehors des cas où le
nerf
est directement lésé par le développement de l'
aines maladies nerveuses sous l'influence du courant galvanique. Le
nerf
auditif réagit en somme comme les autres nerfs
ourant galvanique. Le nerf auditif réagit en somme comme les autres
nerfs
: la fermeture du couraut négatif au niveau du tr
it que 2 ou 5 clans les cas d'irritabilité de l'oreille interne ou du
nerf
, dans le tahes, par exemple (Erb), ou dans les.
e 10 secondes (Schwahach diminué), c'est que la lésion porte sur le
nerf
ou sur le labyrinthe. L'examen avec les diapaso
les du tronc nerveux lui-même : pour Gradenigo, dans les lésions du
nerf
, la percep- tion des sons élevés serait relativ
n épuisement beaucoup plus rapide de l'audition dans les lésions du
nerf
. L'examen avec les diapasons, non plus isolés m
artisans de la théorie dlfclr«lioltz, correspondrait il l'atrophie du
nerf
auditif il la base du limaçon, la disparition d
ui concerne la fonction. Elle est vraisemblablement due à ce que le
nerf
qui fonctionne mat est mis en excès d'activité
ou les dégénérescences du ILANNOIS ] me MALADIES DE L'OREILLE.
nerf
auditif se traduisent par des bruits subjectifs,
ent par des bruits subjectifs, en vertu de cette loi générale qu'un
nerf
, excité par une cause quelconque, répond clinique
mettre que le plus souvent il s'agit d'une action irritative sur le
nerf
, de l'origine périphé- rique de ses neurones ju
e de la triade caractéristique des affec- tions du labyrinthe et du
nerf
auditif. Toutefois, connue ils dépendent de la
chlée, et inversement. III. MALADIES DE L'OREILLE INTERNE ET DU
NERF
AUDITIF Nous ne pouvons que les passer rapideme
the, l'appareil de réception des sons, et celles qui portent sur le
nerf
lui-même. I. MALADIES DE L'OREILLE INTERNE Le
s'organise, devient fibreux, englobe et détruit les, extrémités du
nerf
vestibulaire et amène ainsi la disparition plus o
jusqu'à la disparition des corpuscules de Nissl. II. - MALADIES DU
NERF
AUDITIF Le nerf auditif peut être atteint dans
ition des corpuscules de Nissl. II. - MALADIES DU NERF AUDITIF Le
nerf
auditif peut être atteint dans son trajet inlra-c
1° Dans son trajet iul2'cr-c2'iuicn. Il y a des inl1allllnalions du
nerf
auditif sous forme de névrite descendante (méni
e consécutive aux labyrinthites. Dans ces deux cas les lésions du
nerf
sont secondaires. Mais lïlll1alll- tnation et l
du nerf sont secondaires. Mais lïlll1alll- tnation et l'atrophie du
nerf
peuvent être primitives, par exemple dans le ta
d'étudier l'action sur le labyrinthe, atteint fréquemment aussi le
nerf
auditif dans son trajet (exostose du conduit audi
Sans revenir sur ce point, il va lieu d'indiquer ici les tumeurs du
nerf
auditif lui-même : Lebert, 1'irc'IIw les ont cons
consi- dérées comme les plus fréquentes des tumeurs atteignant les
nerfs
crâ- niens. Il y a peu de temps, K. Harimaun en
tômes généraux des tumeurs et aux signes de compression MALADIES DU
NERF
AUDITIF. - 157 cérébelleuse s'ajoutent une surd
ilatéralité des symptômes est un argument en faveur de la tumeur du
nerf
, bien que les tumeurs du. cervelet s'extériorisan
de la base du crâne, les traumatismes peuvent encore intéresser- le
nerf
auditif dans son trajet. 2° Dans ses centres bu
cas sur le noyau antérieur et le tubercule acoustique, origines du
nerf
cochléaire. Le plus souvent les symptômes domin
bulbe et de la protubérance, montrant les noyaux de terminaison du
nerf
vestibulaire, et leurs rapports avec les détermin
exions du noyau de Deiters avec les noyaux moteurs et sensitifs des
nerfs
mesocephaliques, avec le cervelet, avec la moelle
pourront s'accompagner de vertige et de troubles de l'équilibre. Le
nerf
cochléaire a ses connexions, après son relais dan
ômes facilement appré- ciables, en raison de la semi-décussation du
nerf
au niveau du bulbe. Il faudrait, pour faire app
de corps étrangers avec des crochets qui vont léser la caisse et le
nerf
dans le canal de Fallope, les interven- tions s
comprend d'ailleurs facilement si l'on veut bien se rappeler que le
nerf
facial sur un trajet de 10 à 12 millimètres, da
exc du muscle du marteau. Inversement, les exci- tations sonores du
nerf
acoustique amènent un réllt'xe sur le tenseur du
la caisse et de la fenêtre ronde ou de l'ex- citabilité morbide du
nerf
acoustique, les bruits intenses peuvent déter-
le. .. Nous ne croyons pas devoir entrer dans la description de ces
nerfs
. Les troubles de la fonction, respiratoire au n
de l'aile du nez, la paralysie et la diplégie faciales. Quant au
nerf
olfactif, il nous suffira de rappeler que son ter
lame criblée de l'ethmoïde. Cette disposition explique pourquoi le
nerf
olfactif est si souvent lésé dans les fractures
ieur de l'espace perforé, la tubérosité olfactive : cette partie du
nerf
est très exposée dans les lésions méningitiques a
ions où on manipule des subs- tances odorantes, amène la fatigue du
nerf
et aboutit à son épuisement plus ou moins durab
ble. Certaines substances ont une action toxique mani- feste sur le
nerf
olfactif, atropine, tabac, cocaïne* par, exemple.
ion de Gasser, par exemple. On sait que Magendie avait pensé que le
nerf
de la 5e paire renfermait les fibres olfactives
us ici : elle relève de modifications, organiques ou dynamiques, du
nerf
olfactif, depuis ses filets terminaux jusqu'à s
aire- ment variés. Les uns s'accompagnent de lésions organiques des
nerfs
ou des centres, les autres sont d'ordre réflexe
vertige, qui est un trouble des centres bulbo-pro- tubérantiets du
nerf
vestibulaire, « peut être ou n'être pas représent
Ces variations de pression excitent les extrémités nerveuses- d'un
nerf
spécial, le nerf vestibulaire, qui transmet les
e pression excitent les extrémités nerveuses- d'un nerf spécial, le
nerf
vestibulaire, qui transmet les excitations au.
baigne aussi le limaçon dans lequel se terminent les extrémités du
nerf
de l'audition, le nerf cochléaire ; ce nerf coc
n dans lequel se terminent les extrémités du nerf de l'audition, le
nerf
cochléaire ; ce nerf cochléaire est simplement ac
inent les extrémités du nerf de l'audition, le nerf cochléaire ; ce
nerf
cochléaire est simplement accolé au nerf vestib
n, le nerf cochléaire ; ce nerf cochléaire est simplement accolé au
nerf
vestibulaire pour former la 8e paire crânienne, d
ccolé au nerf vestibulaire pour former la 8e paire crânienne, dite,
nerf
auditif, mais ils ne sont nullement confondus ;
provoquent sont de nature essentiellement dissemblable : l'un est le
nerf
de l'audition, l'autre le nerf du sens de l'esp
iellement dissemblable : l'un est le nerf de l'audition, l'autre le
nerf
du sens de l'espace.- On comprend cependant que
ur l'organe périphérique du sens de l'espace, le labyrinthe, sur le
nerf
qui transmet ses sensations, le nerf vestibulaire
'espace, le labyrinthe, sur le nerf qui transmet ses sensations, le
nerf
vestibulaire, sur le centre qui surtout les reç
. [A. LÉRI.l 1 )R VERTIGES. C'est donc dans l'oreille interne, le
nerf
auditif et le cervelet que l'on trouvera l'orig
es, il dépendait de l'excitation du labyrinthe et des extrémités du
nerf
vestibulaire. Babinski a démontré, par ses très
teur des sensations du sens de l'espace, le labyrinthe, soit sur le
nerf
transmetteur, le nerf acoustique, soit sur les
sens de l'espace, le labyrinthe, soit sur le nerf transmetteur, le
nerf
acoustique, soit sur les centres percepteurs ou
e (Pierre Marie et Wallon, Collet et Lannois), soit par sclérose du
nerf
auditif (Pierrot), soit peut-être par lésion céré
ependant donner lieu au vertige par elles-mêmes, sans irritation du
nerf
ou du noyau vestibulaire (Lannois). On comprend
ute pas due seulement, connue le pensait Charcot, Ù l'irritation du
nerf
laryngé, mais plutôt à une altération bulbaire.
2° Voies de conduction. En parlant de l'origine périphérique des
nerfs
sensitifs. les impressions sont conduites aux cen
ses, qui tantôt se mélangent aux fibres motrices pour constituer un
nerf
mixte, tantôt forment à elles seules font le ne
our constituer un nerf mixte, tantôt forment à elles seules font le
nerf
: nerf sensitif. IROVSSY.l 37C . SENSIBILITÉ.
stituer un nerf mixte, tantôt forment à elles seules font le nerf :
nerf
sensitif. IROVSSY.l 37C . SENSIBILITÉ. De l
les fibres nerveuses sensitives, pénétrant dans la moelle (pour les
nerfs
du tronc et des menibres), forment les racines po
r neurone sensitif, neu- rone périphérique (protoneurone). Pour les
nerfs
crâniens sensitifs, le premier neurone vient se
ogique normal de l'appareil nerveux. Toute excitation violente d'un
nerf
sensitif provoque une sensation douloureuse. La d
et, est produite par toute cause qui modifie profondément l'état du
nerf
. Il n'y a pas, par conséquent, d'excitant propre
e nous échappe encore, mais cette excitation est recueillie par des
nerfs
spécialement affectés aux sensations doloriques.
e exci- tation. Ceci en vertu de la loi de l'énergie spécifique des
nerfs
sensoriels (Johann Iii1ler, Helmholtz), d'après
d'ordre complexe, car il faut tenir compte de la participation des
nerfs
cutanés à l'excitation électrique. La sensibili
illement particulière qui irradie dans la sphère de distribution du
nerf
comprimé; si on augmente la pression, la sensat
s où ils sont superficiels, et où ils reposent sur un plan osseux :
nerf
cubi- tal dans la gouttière 1"pitl'ochlé<'l1
an osseux : nerf cubi- tal dans la gouttière 1"pitl'ochlé<'l1lw.
nerf
scialique poplité externe au .niveau de la tête
au de la tête du péroné, par exemple. '. Lorsque la sensibilité des
nerfs
est exagérée, on peut l'apprécier même lorsque
t situés dans les tissus mous. La douleur vive : 't la pression des
nerfs
est un signe important en semeio- logie; elle s
un courant électrique. Cette sensation n'est nullement fonction des
nerfs
de la peau, car elle peut persister dans les ca
lle est fonction non seulement du périoste, mais encore de tous les
nerfs
des tissus sous-cutanés, et elle existe en un poi
ntes affections du système nerveux, de la moelle, du cerveau et des
nerfs
périphériques; on les observe également dans l'hy
localisation périphérique (suivant la distribution périphérique des
nerfs
), radiculaire (suivant la distribution des racine
les lésions des racines rac Indiennes ; 4° dans les affections des
nerfs
périphériques. A côté de ces troubles sensitifs
motrices (soit entre elles, soit avec les origines radiculaires des
nerfs
crâniens), viennent donner à ces complexus symp
ervi- cale se trouve haut placée, elle peut intéresser les premiers
nerfs
cervi- caux et déterminer de l'anesthésie du co
anés du membre supérieur. Schéma, d'après Soulié. . (Territoire des
nerfs
). - TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 531
e racine postérieure peut correspondre au territoire de plu- sieurs
nerfs
sensitifs. PftATIQBE NEUML. ' 21 [ROUSSY.]
TIQBE NEUML. ' 21 [ROUSSY.] Fig. 21. Distribution radiculaire des
nerfs
du plexus brachial au membre supérieur. Schéma
e la sensibilité se Fig. 22. Distribution des libres sensitives des
nerfs
thoraciques. (D'après Sltcrrington.) TROUBLES D
nt [ROUSSY.] Fig. 25. Territoires de distribution radiculaire des
nerfs
rachidiens, d'après Kochcr. Face antérieure.
te supc- Fig. 23 bis. - Territoires de distribution radiculaire des
nerfs
rachidiens, d'après Kodwr. Face postérieure.
ines (d'après Chipault). Fig. 26. - Rapports des émergences des
nerfs
ra- . chidiens avec les apophyses épineuses'.
des apophyses épineuses, les chiffres romains les nu- méros des
nerfs
rachi- diens ; c, le nerf coccy- gien (d'aprè
s chiffres romains les nu- méros des nerfs rachi- diens ; c, le
nerf
coccy- gien (d'après Soulié). M8 SENSIBILITÉ.
également servir pour le diagnostic du tabes, c'est l'anesthésie du
nerf
cubital à la pression (signe de Biernacki). ,
S DE LA SENSIBILITÉ OBJECTIVE. 555 en entier est représenté par les
nerfs
intercostaux. A une paire rachi- dienne répond
périeur correspondant aux centres métamériques 1, 2, 5 ; i, i', i",
nerfs
intercostaux, (chacun d'eux correspond à un métam
dans le canal vertébral, avant sa réunion à la racine antérieure, le
nerf
rachidien (formé par la réunion de la racine an
" en dehors du rachis (avant la réunion, des racines pour former le
nerf
périphérique). Ces lésions sont ou traumatiques
es sensitives sont intimement mélangées aux fibres motrices dans le
nerf
. Dans les cas de lésion intm-rachidienne, le pa
cutanée des 5e et 6e racines cervicales (sphère de distribution des
nerfs
circonflexe, radial et musculaire cutané), sous l
ses. Ces douleurs sont ordinairement distribuées dans la sphère des
nerfs
périphériques (pseudo-névralbies), et leur prés
ons inflammatoires, superhcielles ou dégénératives, des racines des
nerfs
, sous l'influence d'un processus infectieux ou
ation des racines est secondaire et liée intimement aux lésions des
nerfs
périphériques ou il celles des centres médullaire
iguë ou chronique, syringomyélie, etc.). De même que les plaies des
nerfs
n'appartiennent pas au groupe des névrites, de mê
mes ou des névromes syphilitiques sur les racines (queue de cheval,
nerfs
crâniens). A côté du foyer inflammatoire de la
Les radiculites peuvent frapper toutes les racines, même celles des
nerfs
crâniens; mais, le plus souvent, on observe des
IVE : ' 547 IV. - TROUBLES DE LA SENSIBILITÉ DANS LES LÉSIONS DES
NERFS
PÉRIPHÉRIQUES Causes. Les lésions traumatiques
iques (tumeurs, névrites infectieuses ou toxiques), portant sur les
nerfs
mixtes ou sur les nerfs sensitifs; déterminent de
infectieuses ou toxiques), portant sur les nerfs mixtes ou sur les
nerfs
sensitifs; déterminent des troubles de la sensi
ubles de la sensibilité dans le territoire d'in- nervation de ces
nerfs
. Caractères. Ces troubles consistent en des a
les sen- sitifs sont associés aux troubles moteurs (paralysie des
nerfs
mixtes, névrites sensitivo-mot1'i- ces), tant
tantôt les paralysies sensi- tives existent seules (paralysie des
nerfs
sensitifs* ou névrites sensitives pures, du tri
répond, d'une façon générale, à la distribution . anatomique des
nerfs
intéressés. ? est la ce qu on appelle la topo- ,
, graphie périphérique. HIe varie suivant le siège et le nombre des
nerfs
atteints. Lorsque plusieurs nerfs sont pris (né
suivant le siège et le nombre des nerfs atteints. Lorsque plusieurs
nerfs
sont pris (névrites), les zones d'anes- thésie,
es d'anes- thésie, correspondant au territoire d'innervation de ces
nerfs
, se confon- dent les unes avec les autres et pe
ique, paraplégique, ou segmentaire. [ROUSSY.] Fig. 58. Névrite du
nerf
médian. Topo- graphie des troubles sensitifs ;
ien ou rachidien sera pris isolé- ment. La distribution cutanée des
nerfs
périphériques étant connue, il sera facile de d
re. On se rappellera qu'en vertu des anastomoses nombreuses que les
nerfs
sensitifs contractent entre eux, soit par leurs
distribution est tout à fait exceptionnelle dans les affections des
nerfs
périphériques. On ne la rencontre, et encore ra
rve de l'anesthésie ou de l'analgésie. On a signalé l'anesthésie du
nerf
cubital à la pression (signe de Biernacki), qui
dera pas, par exemple : « Cela vous fait-il mal ? » en comprimant un
nerf
en un point donné, mais bien : « Qu'est-ce que
la tête, d'un viscère, et peuvent correspondre au trajet d'un seul
nerf
, de plusieurs nerfs périphériques, de racines (
ère, et peuvent correspondre au trajet d'un seul nerf, de plusieurs
nerfs
périphériques, de racines (topographie radiculair
ue localisées en un endroit, elles irradient en général le long des
nerfs
partant du point où siège la douleur maxima : i
nt où siège la douleur maxima : irradiation en ceinture le long des
nerfs
intercostaux dans le mal de Polt; irradiation d
avec perte du réflexe constricteur. Cette attaque de para- lysie du
nerf
moteur oculaire commun, ordinairement passagère,
iculations, des muscles, des tendons et plus rarement au niveau des
nerfs
. Les douleurs post-hémiplégiques sont beaucoup
oute altération périphérique appréciable, soit des tissus, soit des
nerfs
(Dejerine). Ces douleurs centrales sont l'apana
r la pression des tissus su- perficiels, des muscles ou des os. Les
nerfs
mêmes de la région ne sont pas douloureux. .
le parchemine- ment et les escarres. , 2° Dans les affections des
nerfs
) les phénomènes dysesthésiques sont ' réalisés
issement et des fourmillements dans la sphère de distribution de ce
nerf
. En pathologie, les dysesthésies sont fréquentes
hologie, les dysesthésies sont fréquentes dans les affec- tions des
nerfs
périphériques : dans les névrites traumatiques ,
de l'affection dite méralgie paresthésique (Roth) ou paresthésie du
nerf
fémoral cutané externe (Bçrnbardt), dans laquelle
pondent, au niveau de la cuisse, à la zone d'innervation cutanée du
nerf
fémoro-cutané. .... 5" Dans les affections de l
es douleurs continues et paroxystiques sié- geant sur le trajet des
nerfs
sensitifs. A ces douleurs se surajoulcnt,des tr
ine des névralgies proprement dites les affections douloureuses des
nerfs
de la vie organique (l'hl'patalgie, la nephralgie
eut siéger soit sur les rameaux périphériques, soit sur le tronc du
nerf
, soit sur les racines, soit peut-être aussi sur l
si sur les noyaux d'origine au niveau des centres. Les plaies des
nerfs
sensitifs ou des nerfs mixtes sont des causes de
rigine au niveau des centres. Les plaies des nerfs sensitifs ou des
nerfs
mixtes sont des causes de névralgie, la simple
es nerfs mixtes sont des causes de névralgie, la simple piqûre d'un
nerf
amène parfois des névralgies du- rant très long
vralgies du- rant très longtemps. Les douleurs, en cas de plaie des
nerfs
, sont accom- pagnées de troubles objectifs de l
bles trophiques (causalgie de 1'cir-Iitchcll). La compression des
nerfs
par des tumeurs, des anévrismes, des cals vicie
rs, des anévrismes, des cals vicieux, des exsudais, les tumeurs des
nerfs
, les névromes sont des causes de névralgie. D'a
ijumeau ou des névralgies intercostales. La congestion simple des
nerfs
peut déterminer une névralgie; Cubler a insisté
IES ET ALGIES. 31 une névrite, favorise-t-il la localisation sur un
nerf
d'une infection ou d'une intoxication. Le syn
secondaires, atteignent avec élection le trijumeau, le sciatique, les
nerfs
intercostaux, elles sont sans doute sous l'acti
algies dont le point de départ serait dans un territoire éloigné du
nerf
malade. Je n'ai pas épuisé, dans les quelques l
d'intoxications, d'auto-intoxications qui ne puissent avoir sur les
nerfs
une action susceptible de se traduire en cliniq
qu'elles arra- chent des cris. Les douleurs suivent le trajet d'un
nerf
et de ses bran- ches, elles dessinent son terri
égions atteintes. Les douleurs névralgiques irradient parfois à des
nerfs
voisins et même à des nerfs plus ou moins éloigné
rs névralgiques irradient parfois à des nerfs voisins et même à des
nerfs
plus ou moins éloignés ; ces douleurs irradiées
ie, on constate que la pres- sion, sur certains points du trajet du
nerf
, détermine une très vive dou- leur. Ces points
scle ou une aponévrose pour se rapprocher de la peau, le lieu où un
nerf
devient très superficiel et repose sur un plan
nt contre lequel il peut être facilement com- primé, le point où un
nerf
se divise et abandonne un ou plusieurs ra- meau
e un ou plusieurs ra- meaux, le point où les rameaux terminaux d'un
nerf
viennent s'épuiser dans la peau. Trousseau a aj
e l'apophyse épineuse de la vertèbre au-dessous de laquelle sort le
nerf
atteint de névralgie. Les nombreux points doulo
des névralgies; il est évident que si, par un processus morbide, un
nerf
est presque totalement détruit, NÉVRALGIES ET A
ES. ' 385 l'anesthésie en sera la conséquence, tandis que tel autre
nerf
, irrité durant très longtemps par un agent de c
urrait appeler envahissantes, dans lesquelles tous les rameaux d'un
nerf
sont successivement pris, et, quand un nerf dépen
s tous les rameaux d'un nerf sont successivement pris, et, quand un
nerf
dépend d'un plexus, toutes les branches de ce p
nt sentir dans la profondeur du membre plutôt que sur le trajet des
nerfs
périphériques; les troncs nerveux d'ailleurs sont
'cst-a-clirc provenant d'une irritation des extrémités terminales des
nerfs
de la région endolorie, la douleur se calme aus
s injections de cocaïne pratiquées loco dolent ou sur le trajet des
nerfs
qui s'y distri- huent n'apaisent pas la douleur
e deux injections de cocaïne dans le canal rachidien ou le long des
nerfs
de la région endolorie. Pratique seuhol. 25 [
cas une seule des trois branches ou même quelques filets isolés du
nerf
sont atteints. La névralgie de la branche ophta
. 11 existe des points douloureux : le point sus-orbitaire là où le
nerf
frontal externe sort de l'orbite, le point palp
ne sort de l'orbite, le point palpébral au niveau de l'émergence du
nerf
lacrymal à la partie externe de la paupière, le
ous de l'angle interne de l'oeil au niveau où la branche externe du
nerf
nasal sort de l'orbite, le puint naso-lobai1'e
u rameau éthmoïdal dans le lobule du nez. La névralgie localisée au
nerf
sus-orbitaire est relativement fréquente chez l
t, de la paupière supérieure, de la racine du nez. La névralgie des
nerfs
ciliaires se caractérise par de la photophobie,
photophobie, du larmoiement, du blépharospastuc. La névralgie du
nerf
maxillaire supérieur a, pour expression sytnp-
ralgie sont : le point sous- ol'bitaire au niveau de l'émergence du
nerf
sous-orbitaire, le point malaire sur la pommett
t malaire sur la pommette, au niveau où le filet tcmporo-malaire du
nerf
orbitaire traverse l'os malaire, les points den
taire traverse l'os malaire, les points dentaires. La névralgie du,
nerf
maxillaire inférieur se caractérise par des dou-
rincipaux sont le point 1/U'lIto/llzier au niwan LIe 1 émergence du
nerf
dentaire inférieur, le point auricido-temporal au
ido-temporal au devant et au-dessous du tragus, à cet endroit'où le
nerf
auriculo-temporal contourne le col du condyle.
dentaires, le point lingual dans le sillon gingivo-linguallil où le
nerf
lingual devient sous-muqueux. La névralgie est
uqueux. La névralgie est souvent localisée il certaines branches du
nerf
utaxil- laire inférieur : névralgie d n nel'r d
antérieure du pavillon, au conduit auditif externe) ; névralgie du
nerf
lingual (douleur pendant la mastication et la pho
à la pointe de la langue, hypersécrétion salivaire) ; névralgie du
nerf
buccal (douleur suivant une ligne allant de l'o
ire des branches ante-. rieures et postérieures des quatre premiers
nerfs
cervicaux. La branche postérieure; du deuxième
uatre premiers nerfs cervicaux. La branche postérieure; du deuxième
nerf
occipital, le grand nerf occipital, est sou- ve
icaux. La branche postérieure; du deuxième nerf occipital, le grand
nerf
occipital, est sou- vent atteinte de névralgie
cée, herpétique, phlegmoneuse). La douleur de la névralgie du grand
nerf
occipital est réveillée par les mouvements de l
dans la fossette de la nuque et au niveau du point d'émergence des
nerfs
occipitaux. Cette occipitalgic paraît devoir s'ex
voir s'expli- quer par les relations anatomiques existant entre les
nerfs
sensitifs du pharynx et le deuxième nerf cervic
miques existant entre les nerfs sensitifs du pharynx et le deuxième
nerf
cervical postérieur d'où émane le grand nerf oc
pharynx et le deuxième nerf cervical postérieur d'où émane le grand
nerf
occipital d'Arnold. En effet la deuxième racine c
ique et se détachent vraisemblablement de ce ganglion en suivant le
nerf
pharyngé qui n'est que la continuation de la br
ryngien. Ainsi s'explique la solidarité qui existe parfois entre le
nerf
occipital et les branches sensitives du pharynx
leurs à la nuque, sur le sommet de la tête et jusqu'au front (grand
nerf
occipital), dans la région parotidienne et le p
ervico-occipitales sont : le point occipital à l'émergence du grand
nerf
occipital à travers le muscle complexus, ce poi
évralgie cervico-brachiale occupe le territoire des quatre derniers
nerfs
cervicaux et du premier nerf dorsal. La névralgie
upe le territoire des quatre derniers nerfs cervicaux et du premier
nerf
dorsal. La névralgie atteint les rameaux postér
er nerf dorsal. La névralgie atteint les rameaux postérieurs de ces
nerfs
qui se distribuent à la peau du dos et les rame
GUILLAIN.] 390 .NÉVRALGIES ET ALGIES.' la pression des différents
nerfs
du bras réveille ces douleurs ; les apo- physes
dans les branches isolées du plexus brachial. Dans la névralgie du
nerf
circonflexe on constate un point douloureux au
conflexe on constate un point douloureux au niveau du passage de ce
nerf
entre les muscles grand rond et petit rond. D
entre les muscles grand rond et petit rond. Dans la névralgie du
nerf
radial .il faut .rechercher les points dou- lou
e névralgie semble dépendre d'une névrite peut-être rhumatismale du
nerf
radial. Dans la névralgie du cubital existe un
al existe un point douloureux epitroctitecn au niveau du passage du
nerf
dans la gouttière épitrochléenne, et un point d
ignet. Souvent les névralgies du membre supérieur sont limitées aux
nerfs
cutanés, les gros troncs nerveux paraissant ind
'accessoire du brachial cutané interne, du rameau cutané interne du
nerf
radial, dans la zone d'inner- vation cutanée du
ritoires anatomiques schématiques. Dans les névralgies limitées aux
nerfs
cutanés on constate souvent des points douloureux
r à la peau. Les névralgies brachiales irradient souvent vers les
nerfs
intercostaux, ce qui s'explique par les anastom
du bra- chial cutané interne et les rameaux perforants des 2° et 5C
nerfs
inter- costaux. D'après Potain, l'hypertrophi
DTAPnnACMATfQUE. 3f)t nellrrnenl cette douleur suit le trajet d'un
nerf
; il arrive même qu'au bras la douleur suit le t
d'un nerf; il arrive même qu'au bras la douleur suit le trajet d'un
nerf
et à l'avant-bras d'un autre. La même variation
est pas une névralgie, elle ne peut être rattachée à la lésion d'un
nerf
déterminé, c'est une algie qui siège au niveau
y)iennc dans '24 cas. NÉVRALGIE DIAPHRAGMATIQUE La névralgie du
nerf
phrénique, qui emprunte des libres sensitives a
lgie intercostale occupe le territoire des branches antérieures des
nerfs
dorsaux. Quand les branches postérieures de ces n
térieures des nerfs dorsaux. Quand les branches postérieures de ces
nerfs
sont aussi atteintes, la névralgie est dorso-lo
le s'était développée une traînée fibreuse au milieu de laquelle le
nerf
intercostal et les vaisseaux étaient comprimés.
e dos, la mamelle, la face interne; du bras (anastomose des 2° et 5*'
nerfs
intercostaux avec l'accessoire du brachial cuta
et la peau qui la recouvre reçoivent la plus grande partie de leurs
nerfs
des 2% 5 ? 4', 5' et ( ! " nerfs intercostaux. .
ent la plus grande partie de leurs nerfs des 2% 5 ? 4', 5' et ( ! "
nerfs
intercostaux. . [GUILLAIN.] ] 5M NÉVRALGIES E
nguinal), au-dessus du pubis (pom.sMs-pM ? ), : 1 la terminaison du
nerf
dans le scrotum ou la grande lèvre. On a dit que
s doulou- reux il la pression; tantôt il s'agit d'une névralgie des
nerfs
spermaliques et le testicule est extrêmement do
qu'au genou. La 'IIlë1'algie parcsthésique de Roth, parestliésie du
nerf
fémoral cutané externe de Bl'I'I1hardt, est une
dessous de l'arcade crurale; 2° à la face interne du genou ta où le
nerf
saphène interne devient sous-cutané; 5° vers la
e de la cuisse jusqu'au genou. Le toucher vaginal et la pression du
nerf
au niveau du canal obturateur, les mouvements d
nts de rotation de la cuisse exagèrent les douleurs. Névralgie du
nerf
honteux interne. La névralgie; du nerf honteux
les douleurs. Névralgie du nerf honteux interne. La névralgie; du
nerf
honteux interne semble dépendre souvent de caus
l'urètre;, du périnée, etc.), elle se rencontre dans le; tabès. Le
nerf
honteux interne se distribue au clitoris, à la ve
07), a attiré l'attention sur la névralgie du rectum. Névralgie des
nerfs
coccygiens. II ne semble pas prouvé que la cooe
par la stase vei- neuse, par les varices (phlébite des varices des
nerfs
) ; elle s'observe dans l'anémie, la chlorose1,
ion étendue de la cuisse sur le bassin, car dans cette condition le
nerf
sciatique est élans le relâchement; mais, quand
sans causer de vives douleurs, ce qui s'explique par l'extension du
nerf
sciatique. Des troubles moteurs sont fréquemmen
'atrophie musculaire, des troubles de la sensibilité de la peau, le
nerf
serait parfois augmenté de volume. Celle oppositi
ral il la névralgie. La névralgie llTtlTAflSILGI. 397 associée du
nerf
sciatique et du nerf crural m'a paru relativement
La névralgie llTtlTAflSILGI. 397 associée du nerf sciatique et du
nerf
crural m'a paru relativement fré- queute. - ..
oints douloureux de Valleix ne sont pas habituels ; la névralgie du
nerf
crural coexisté dans beaucoup de cas. Brissau
érise par l'apparition, lors des accès douloureux, d'une parésie du
nerf
de la troisième paire du côté de l'hëmicrànie,
tres chez les sujets obèses. On par- vient rarement d'emblée sur le
nerf
, quelques tâtonnements sont la règle. Une doule
de la solution alcoolique employée. Les injections d'alcool dans le
nerf
sciatique peuvent être sui- vies de névrites gr
ques, et, d'ailleurs, en général, au traitement, des névralgies des
nerfs
mixtes. Les injections profondes d'alcool sont
i, d'après Lévy et Baudouin, la technique à suivre pour injecter le
nerf
maxillaire inférieur, le nerf maxillaire su- pé
a technique à suivre pour injecter le nerf maxillaire inférieur, le
nerf
maxillaire su- périeur et le nerf ophtalmique.
le nerf maxillaire inférieur, le nerf maxillaire su- périeur et le
nerf
ophtalmique. Nerf maxillaire inférieur. Avec un
inférieur, le nerf maxillaire su- périeur et le nerf ophtalmique.
Nerf
maxillaire inférieur. Avec un compas au pointes m
exactement 5 centimètres, celles du trou ovale ont 4 centimètres.
Nerf
maxillaire szcpéie2l ? - On prolonge verticalemen
opres du nez. Arrivée il 5 centimètres la pointe louche le tronc du
nerf
maxillaire supérieur sortant du trou grand rond
ond au plafond de la fosse ptérygo-lI1axiIlaire (figures 1 et 2).
Nerf
ophtalmique. « La première branche de la cinquièm
- II'apri's Lévy et Baudouin. M4 NÉVRALGIES ET ALGIES. milieu des
nerfs
moteurs importants qui l'entourent. Pour atteindr
ofond, qui comprend le trou ovale et grand rond. Il néglige pour le
nerf
ophtalmique la fente sphénoïdo-orbitairr, d'accès
- - - TRAITEMENT DES NÉVRALGIES. - 425 quer Lévy et Baudouin. Les
nerfs
moteurs oculaires sont situés, en effet, au som
du trou grand rond. (D'après Sicard.) Fig. 4. Trou grand rond. Le
nerf
maxillaire supérieur B, au sortir du trou grand r
'apophyse ptérygoïde). L'aiguille vient ainsi directement piquer le
nerf
ma- xillaire inférieur il sa sortie du trou o
il sa sortie du trou ovale A, avant sa division en ses deux gros
nerfs
, nerf lingual C et nerf dentaire inférieur B. O
sortie du trou ovale A, avant sa division en ses deux gros nerfs,
nerf
lingual C et nerf dentaire inférieur B. On voit
vale A, avant sa division en ses deux gros nerfs, nerf lingual C et
nerf
dentaire inférieur B. On voit, à droite de la
taire inférieur passer entre les deux mus- cles pterygoïdiens. Le
nerf
dentaire va rejoindre le canal dentaire à l'é
ne de Spix D. Si l'aiguille T prolongeait sa course, traversant. le
nerf
, elle viendrait, laissant au-dessus d'elle le tro
diatement en arrière; elle atteindra alors à peu près sûrement le
nerf
maxillaire inférieur à son émergence ovalienn
tion de ce signe qui permet de faire le diagnostic de l'atteinte du
nerf
sciatique, soit dans les formes de sciatique né
incipales affections médullaires et les prill- pales affections des
nerfs
dans lesquelles on constate l'abolition du réfl
re tout il fait li- mitée dans le cas des névrites ou de plaies des
nerfs
. Elle est limitée il la région énervée par le n
u de plaies des nerfs. Elle est limitée il la région énervée par le
nerf
lésé. 2° Abolition généralisée des réflexes ten
ée il une anes- thésie el cette anesthésie est due à une lésion des
nerfs
périphériques. Suivant Blocq et Onanol1', le ré
t la vibra- tion se répercute sur la moelle par l'intermédiaire des
nerfs
. Ces organes de réception périphérique ont été
e ont été décrits dans ces vingt dernières années : la présence des
nerfs
dans les tendons a été constatée par Sachs en 187
euses, on peut suivre le trajet du réflexe tendineux jusque dans le
nerf
crural par exemple et on peut, depuis \1'esillral
ES. luge et emprunte les racines antérieures des fibres motrices du
nerf
crural. En résumé, les organes constituants d
uants de cet appareil réflexe sont : 1° Le tendon rotulien; 2° Le
nerf
périphérique centrifuge : 5° Le cordon postérie
postérieur de la moelle; 4" La substance muse médullaire : 5" Le
nerf
centrifuge moteur; 't ()° Les muscles. Chacun
corne antérieure; Cl', corne posté- rieure ; )[, muscle; 1'\)[( : ,
nerf
centrifuge; nerf centripète. (Blocq et Onanoff.
Cl', corne posté- rieure ; )[, muscle; 1'\)[( : , nerf centrifuge;
nerf
centripète. (Blocq et Onanoff.) NATURE ET LOC
ystème nerveux central qui réfléchit l'excitation nerveuse vers les
nerfs
et les muscles du côté opposé il la percussion.
intéresse en même temps soit le noyau, soit la racine de tel ou tel
nerf
crânien situé dans son voisinage, ce qui donner
ômes de paralysie, ou plus rarement d'anesthésie dans le domaine du
nerf
atteint, mais celle fois du même cote que ia lé
t que les variétés pourront être nombreuses, puisque à la place des
nerfs
précités la lésion pourra intéresser soit l'hyp
rfs précités la lésion pourra intéresser soit l'hypoglosse, soit le
nerf
moteur oculaire externe, soit le trijumeau, et
symptômes ne portent pas sur l'ensemble des branches de tel ou tel
nerf
crânien, mais seulement sur quelques-unes d'entre
ernig, comme la manoeuvre de Lasègue provoquent une élonga- lion du
nerf
, de : la douleur et, par suite, de la contracture
one moteur périphé- rique : cellule de la corne antérieure, racine,
nerf
, muscle. Seront spas- modiques (sans que jamais
s'agisse en de semblables cas d'une infection suraiguë, mixte, des
nerfs
périphériques et de la substance grise des cent
e gros troubles sensitifs accompagnés de douleurs sur le trajet des
nerfs
. Les réflexes tendineux sont bientôt abolis, et
des troubles vaso-moteurs et trophiques, l'atteinte éventuelle des
nerfs
crâniens, les troubles psychiques signalés par
ayons garde d'ouhlier enfin l'hypertrophie, sensible au palper, des
nerfs
périphériques. , On peut rencontrer dans le tab
rs fulgurantes. Il y aurait dans ce cas un véritable épuisement des
nerfs
et des muscles. Signalons enfin des malades che
a paralysie du diaphragme peuvent encore traduire les lésions de ce
nerf
. Il existe enfin des troubles de la motilité de
e. Le cône médullaire comprend les 5e, 4e, 5e paires sacrées et les
nerfs
coccygicns. Il répond approximati- vement au co
a parole. Cependant, on peut dire d'une façon générale que tous les
nerfs
crâniens restent indemnes, et les sphincters so
nique ; elle porte également aussi bien sur les muscles que sur les
nerfs
. Ce caractère est constant ; les ICROUZON.] 2
er en bas sur l'empreinte deltoïdienne de l'humérus. Innervation.
Nerf
circonflexe, branche terminale du plexus bra- c
facette moyenne de la grosse tubérosité de l'humérus. Innervation.
Nerf
sus-scapulairc, branche du plexus brachial. Phy
ure de la grosse tubérosité de l'humérus. $Innervation. Rameau du
nerf
circonflexe. , Physiologie. Le petit rond déter
re a la lèvre interne de la coulisse bici- pitale. . Innervation.
Nerf
du grand rond, branche spéciale du plexus bra-
l s'insère sur la petite tubérosité de l'humérus. Innervation. Deux
nerfs
distincts provenant du plexus brachial : 1° le
ervation. Deux nerfs distincts provenant du plexus brachial : 1° le
nerf
supérieur du sous-scapulaire innerve les faisceau
sous-scapulaire innerve les faisceaux supérieurs du muscle ; 2° le
nerf
inférieur du sous-scapulaire innerve les faisceau
ibra- chiale qui recouvre les muscles épitrochléens. Innervation.
Nerf
musculo-cuiané. , Physiologie. L'action du bice
de l'humérus un peu au-dessus de sa partie moyenne. Innervation.
Nerf
niuseulo-cutané. Physiologie. Le coraco-brachia
au de son bord externe un petit rameau accessoire qui se détache du
nerf
radial. Physiologie. Le brachial antérieur fléc
postérieure de l'olécrane et sur ses bords latéraux. Innervation.
Nerf
radial. 11 y a un nerf spécial pour chaque portio
rane et sur ses bords latéraux. Innervation. Nerf radial. 11 y a un
nerf
spécial pour chaque portion du triceps. Les ram
ur la partie moyenne de la face externe du radius. , Innervation.
Nerf
médian. Physiologie. Le rond pronateur est d'ab
de l'extrémité supé- rieure du deuxième métacarpien. Innervation.
Nerf
médian. Physiologie. Son rôle principal est de
s faisceaux les plus élevés de l'abducteur du pouce. Innervation.
Nerf
médian. Physiologie. Le petit palmaire fléchit
, le tendon du muscle s'insère sur l'os pisi- forme. Innervation.
Nerf
cubital. " Physiologie. Le cubital antérieur fl
édian, par l'intermédiaire MUSCLES DU MEMBRE SUPERIEUR. 52 ! ) du
nerf
interosseux, donne des rameaux à sa moitié extern
trémité postérieure de la phalange unguéale du pouce. Innervation ?
Nerf
interosseux, branche du médian. Physiologie. Le
face antérieure du radius dans son quart inférieur. Innervation.
Nerf
interosseux, branche du médian. : Physiologie. Il
n s'insère à la base de l'apophyse styloïde du radius. Innervation.
Nerf
radial. Physiologie. Le long supinateur lléchit
rémité supérieure ou base du deuxième métacarpien. ? Innervation.
Nerf
radial. Physiologie. Le premier radial externe
physe postérieure de la base du troisième métacarpien. Innervation.
Nerf
radial. Physiologie. Les auteurs classiques adm
termine sur les deux dernières phalanges de ce doigt. Innervation.
Nerf
radial. Physiologie. L'extenseur commun .des do
ne de l'extrémité supérieure du cinquième métacarpien. Innervation.
Nerf
radial. ' Physiologie. Le cubital postérieur es
térieur du cubitus. Innervation. L'anconé reçoit son innervation du
nerf
radial par les rameaux que ce nerf envoie au va
anconé reçoit son innervation du nerf radial par les rameaux que ce
nerf
envoie au vaste externe. MUSCLES DU MEMBRE SUPÉ
rne de l'extrémité postérieure du premier métacarpien. Innervation.
Nerf
radial. Physiologie. Le long abducteur du pouce
rémité postérieure de la première phalange du pouce. Innervation.
Nerf
radial. Physiologie. Le court extenseur du pouc
té postérieure de la deuxième pha- lange du pouce. Innervation. -
Nerf
radial. Physiologie. Le long extenseur du pouce
[G. GUILLAIN.] fÍ;¡4 . PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. : , Innervation.
Nerf
radial. Physiologie. L'extenseur propre de l'in
transversalement en l'attirant en dehors. Il protège l'artère et le
nerf
cubital quand on serre, le poing ferme, forteme
e avec le tendon inférieur du tenseur du fascialata. Innervation.
Nerf
fessier inférieur ou petit sciatique, une des b
s'insère sur la face externe du grand trochanter. , Innervation.
Nerf
fessier supérieur, branche du plexus sacré. Phy
eur et un peu au bord supérieur du grand trochanter. Innervation.
Nerf
fessier supérieur, branche du plexus sacré. Phy
tie moyenne du bord supérieur du rirancl lrocll,lnlcr. Innervation.
Nerf
du pyramidal, rameau du plexus sacré. Jumeaux p
élevée de la cavité digi- tale du grand trochanter. Innervation.
Nerf
de l'obturateur interne, branche du plexus sacr
s le fond de la cavité digitale du grand trochanter. Innervation.
Nerf
obturateur, branche du plexus lombaire. Carré c
xus sacré qui lui est commun avec celui du muscle jumeau inférieur (
nerf
du jumeau inférieur et du carré crural). Phys
ètres, c'est la bandelette de Maissiat. Innervation. Hameau issu du
nerf
fessier supérieur, branche du plexus sacré. P
e du tibia où il contribue Ù former la patte doie. , Innervation.
Nerf
obturateur, branche du plexus lombaire. Physiol
ligne âpre au petit trochanter dite crête du pectine. Innervation.
Nerf
muscmo-cutane interne, branche du crural. Il re
e, branche du crural. Il reçoit parfois aussi un petit rameau né du
nerf
obturateur. Physiologie. En prenant son point f
e demi-tendineux et le demi-mem- braneux sont innervés par le grand
nerf
sciatique. Physiologie. Le biceps crural, le de
r l'extrémité postérieure du premier métatarsien . , Innervation.
Nerf
tibial antérieur, une des branches terminales du
il. [G. GUILLAIN,] ] 548 PHYSIOLOGIE MUSCULAIRE. " Innervation.
Nerf
tibial antérieur. Physiologie. L'extenseur prop
péroné, en bas sur la base du cinquième métatarsien. Innervation.
Nerf
tibial antérieur. , Physiologie. Le péronier an
n plus mince au pre- mier muscle interosseux dorsal. Innervation.
Nerf
musculo-cutané, branche de bifurcation du scia-
ur l'extrémité postérieure du cinquième métatarsien. Innervation.
Nerf
inuscido-cutané. Physiologie. Le court péronier
s par le sciatique poplité interne, branche de bifurcation du grand
nerf
sciatique. Le soléaire est innervé par des rame
rieure de cet os située -au-dessus de cette ligne. 1 Innervation.
Nerf
sciatique poplité interne et rameau accessoire
vation. Nerf sciatique poplité interne et rameau accessoire issu du
nerf
tibial postérieur. '. . Physiologie. - Le popli
l'extrémité postérieure de la troisième phalange. , Innervation.
Nerf
tibial postérieur. Physiologie. Le long fléchis
échisseur propre donnée au muscle consacre une erreur. Innervation.
Nerf
tibial postérieur. Physiologie. Le long fléchis
ux trois cunéiformes et aux trois métatarsiens moyens. Innervation.
Nerf
tibial postérieur. Il reçoit aussi un rameau venu
s correspondants du long extenseur commun des orteils. Innervation.
Nerf
tibial antérieur. Physiologie. Le pédieux étend
lne ctlmn.ion llour In lcuclon cUcnSeur dc cet ortcil. Innervation.
Nerf
plantaire interne. MUSCLES DU i\tE1113RE INFÉRI
faisceau interne du court fléchisseur est innervé par un rameau du
nerf
plantaire interne (homologue du médian à la mai
miner sur la gaine du long fléchisseur du gros orteil. Innervation.
Nerf
plantaire externe. Physiologie. L'abducteur du
à l'extrémité postérieure du. cinquième métatarsien. Innervation.
Nerf
plantaire externe. Physiologie. L'abducteur du
postérieure de la première phalange du petit orteil. Innervation.
Nerf
plantaire externe. Physiologie. Le court fléchi
court fléchisseur dans toute son étendue (Testut). Innervation. -
Nerf
plantaire externe. Physiologie. - L'opposant du
de la deuxième phalange des quatre orteils externes. Innervation.
Nerf
plantaire interne. Physiologie. Le court fléchi
externe de la première phalange du quatrième orteil. Innervation.
Nerf
plantaire externe. Physiologie. Tous les muscle
rameaux au l'J¡"ïdo-mast(,ïoi('11. La branche antérieure du troisième
nerf
cervical s'anastomose avec un rameau provenant
u muscle. Parfois le ste1'l1O- mastoïdiell reçoit un petit filet du
nerf
hypoglosse. Physiologie. Quand le sterno-mastod
ets qui se détachent des branches antérieures des 5e, '4", 5" et 6"
nerfs
cervicaux. Le scalène postérieur reçoit ses fil
postérieur reçoit ses filets nerveux des branches postérieures des
nerfs
cervicaux (Testut). Poirier, au sujet de l'innerv
postérieur sont innervés par les branches antérieures des 5e et 4e
nerfs
cervicaux, par des branches colla- [G. GUILLAIN
. GUILLAIN.] tarâtes du plexus brachial et par un petit filet né du
nerf
du rhomboïde. » Physiologie. Quand les scalènes
st innervé par un rameau issu de la branche anté- rieure du premier
nerf
cervical. Physiologie. Le droit latéral de la t
e l'os hyoïde. Innervation. Branches antérieures des trois premiers
nerfs
cervi- caux. Ces filets nerveux sont inclus dan
e l'os hyoïde. Innervation. Branches antérieures des trois premiers
nerfs
cervi- caux par l'intermédiaire de l'anse de l'
Hameau de l'hypoglosse. D'après lloll ce rameau pro- viendrait des
nerfs
cervicaux. ' Physiologie. Le thyro-hyoïdien aba
au 'du gtosso-pharyngien. Le ventre, anté- rieur est innervé par le
nerf
tttylo-hyoïdien, branche du nerf dentaire £ inf
re, anté- rieur est innervé par le nerf tttylo-hyoïdien, branche du
nerf
dentaire £ inférieur, une des branches lui-même
branche du nerf dentaire £ inférieur, une des branches lui-même du
nerf
maxillaire inférieur. " Physiologie. Le ventre
to-hyoï- diens constituent le plancher de la bouche. Innervation.
Nerf
mylo-hyoïdien, branche du dentaire inférieur. P
rtie moyenne de la face antérieure de l'os hyoïde. Innervation. -
Nerf
grand hypoglosse. Physiologie. Le génio-hyoïdie
verse de cette vertèbre. Innervation. Branche antérieure du premier
nerf
cervical. Physiologie. Le petit droit antérieur
r de l'atlas. Innervation. Branches antérieures des quatre premiers
nerfs
cervi- caux. Physiologie. Le long du cou fléc
lexus brachial. Les filets nerveux du grand pectoral proviennent du
nerf
du grand pectoral ou grand nerf thoracique anté-
ux du grand pectoral proviennent du nerf du grand pectoral ou grand
nerf
thoracique anté- rieur el du nerf du petit pect
u nerf du grand pectoral ou grand nerf thoracique anté- rieur el du
nerf
du petit pectoral ou petit nerf thoracique antéri
d nerf thoracique anté- rieur el du nerf du petit pectoral ou petit
nerf
thoracique antérieur. Physiologie. Il y lieu d'
antérieure du bord interne de l'apophyse coracoïde. Innervation.
Nerf
du petit pectoral, branche du plexus brachial.
inale située sur la face inférieure de la clavicule. Innervation.
Nerf
du sous-clavier, branche du plexus brachial. Ph
sale, les autres sont obliques en bas et en avant. ' Innervation.
Nerf
du grand dentelé ou nerf thoracique inférieur,
bliques en bas et en avant. ' Innervation. Nerf du grand dentelé ou
nerf
thoracique inférieur, branche du plexus brachia
isceaux du muscle sont dirigés en bas et en arrière. Innervation.
Nerfs
intercostaux. ' Physiologie. Le rôle des muscle
région comprise entre la neuvième et la douzième côte. Innervation.
Nerfs
intercostaux. Physiologie. Les muscles surcosta
vent défaut ainsi que certains autres d'entre eux. ? Innervation.
Nerfs
intercostaux. '" r Physiologie. Les muscles sou
t plus de la verticale qu'elles sont plus supérieures. Innervation.
Nerfs
intercostaux. Physiologie. Le triangulaire du s
supérieur oesophagien, un orifice inférieur aortique. Innervation.
Nerf
phrénique, branche du plexus cervical profond.
it aussi un certain nombre de filets nerveux issus des six derniers
nerfs
intercostaux; ils se distribuent à la partie juxt
moyenne du grand droit sont innervées par les six ou sept derniers
nerfs
intercostaux, la partie iutc- ricure par les de
pt derniers nerfs intercostaux, la partie iutc- ricure par les deux
nerfs
abdomino-génitaux, branches du plexus 10111- ba
tion. La partie, supérieure du muscle est innervée par les derniers
nerfs
intercostaux, la partie inférieure par les nerfs
e par les derniers nerfs intercostaux, la partie inférieure par les
nerfs
abdomino- génitaux. Physiologie. Le pyramidal
s (piliers du canal inguinal), sur la ligne blanche. Innervation.
Nerfs
intercostaux inférieurs, grand abdolllino-génital
érieure du petit oblique qui gagne la ligne blanche. Innervation.
Nerfs
intercostaux. Grand abdomino-génitat et petit a
- vrosc du petit oblique formant le tendon conjoint. Innervation.
Nerfs
intercostaux. Grand abdomino-génital et petit a
eux ou trois dernières vertèbres lombaires. Innervation. Douzième
nerf
intercostal et rameaux issus des bran- ches ant
meaux issus des bran- ches antérieures des trois ou quatre premiers
nerfs
lombaires. Physiologie. Le muscle carré des lom
rovenant directement du plexus lombaire et quelques filets issus du
nerf
crural. Physiologie. Le muscle psoas-iliaque, e
e reçoit aussi un rameau du plexus cervical profond; ce rameau, dit
nerf
du trapèze, pro- vient de la branche antérieure
ur sa partie toute supérieure, quelques filets accessoires du grand
nerf
occi- pital (Testut). Physiologie. Au point d
du grand rond, dans le fond de la coulisse bicipitale. Innervation.
Nerf
du grand dorsal, branche du plexus brachial, ve
rf du grand dorsal, branche du plexus brachial, venant du cinquième
nerf
cervical, parfois du circonflexe. Physiologie.
ord spinal de l'omoplate située au-dessous de l'épine. Innervation.
Nerf
du rhomboïde, branche collatérale du plexus bra
du bord spinal qui est située au-dessus de l'épine. Innervation.
Nerf
de l'angulaire de l'omoplate, branche du plexus
me côtes. Innervation. Filets nerveux provenant des quatre premiers
nerfs
intercostaux. D'après Poirier le muscle recevra
nnervation. Filets nerveux provenant des neuvième, dixième, onzième
nerfs
intercostaux. D'après Poirier il recevrait un ram
zième nerfs intercostaux. D'après Poirier il recevrait un rameau du
nerf
du grand dorsal. Physiologie. Le petit dentelé
ses de l'atlas et de l'axis. Innervation. Branches postérieures des
nerfs
cervicaux et grand nerf occipital. Physiologi
. Innervation. Branches postérieures des nerfs cervicaux et grand
nerf
occipital. Physiologie. Le sptenius étend la tê
rugueuse située entre les deux lignes courbes. Innervation. Grand
nerf
occipital. Le muscle reçoit aussi des 1¡leh ner
t des branches postérieures des troisième, qua- trième et cinquième
nerfs
cervicaux. Physiologie. - Les muscles grand com
postérieur et le sommet de l'apophyse mastoïde. Innervation. Grand
nerf
occipital et branches postérieures des trois ou
. Grand nerf occipital et branches postérieures des trois ou quatre
nerfs
cervicaux sous-jacents. Physiologie. Le petit c
las et de l'axis. Innervation. Branches postérieures des derniers
nerfs
cervicaux et des premiers nerfs dorsaux. Phys
Branches postérieures des derniers nerfs cervicaux et des premiers
nerfs
dorsaux. Physiologie. Le transversaire du cou é
igne courbe inférieure. Innervation. Branche postérieure du premier
nerf
cervical. Physiologie. Le grand droit postérieu
dedans du grand droit. Innervation. Branche postérieure du premier
nerf
cervical. Physiologie. Le petit droit postérieu
ransverse de l'atlas. Innervation. Branche postérieure du premier
nerf
cervical et branche postérieure de deuxième ner
érieure du premier nerf cervical et branche postérieure de deuxième
nerf
grand occipital. Physiologie. Le grand oblique
rieure du grand droit. Innervation. Branche postérieure du premier
nerf
cervical. Physiologie. Le petit oblique de la t
es vertébrales sont tous innervés par les branches postérieures des
nerfs
rachidiens. Physiologie. Les muscles des goutti
nt verticalement d'un tubercule mamillaire il l'autre. Innervation.
Nerfs
cervicaux, nerfs dorsaux, nerfs lombaires. Phys
d'un tubercule mamillaire il l'autre. Innervation. Nerfs cervicaux,
nerfs
dorsaux, nerfs lombaires. Physiologie. Les musc
mamillaire il l'autre. Innervation. Nerfs cervicaux, nerfs dorsaux,
nerfs
lombaires. Physiologie. Les muscles intertrausv
t de la troisième cervicale. Innervation. Branches postérieures des
nerfs
raehidiens. Physiologie. Les muscles épineux so
des deux vertèbres voisines. Innervation. Branches postérieures des
nerfs
rachidiens. Physiologie. Les intcrepineux, rapp
coccygien antérieur par les branches postérieures des doux derniers
nerfs
sacrés et du nerf coccygien. Physiologie.L'isch
par les branches postérieures des doux derniers nerfs sacrés et du
nerf
coccygien. Physiologie.L'ischio-coccygien n'a a
es remontent jusqu'à la peau de la commissure labiale. Innervation.
Nerf
facial par sa branche cervico-faciale. Physiolo
que, au-dessus de la branche horizontale de l'hélix. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le muscle auriculaire anté
frontal par les filets frontaux de la branche teniporo- faciale du
nerf
facial. Physiologie. Le muscle occipital, qui,
ent l'un et l'autre à la l'ace profonde des téguments. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le, pyramidal est antagoni
hes se termine un peu en arrière des points lacrymaux. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. La portion palpébrale de l
'attacher il la face profonde de la peau des sourcils. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le muscle sourcilier fronc
continuent avec les faisceaux externes du myrtiforme. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le transverse du nez, d'ap
e la peau qui recouvre le bord externe de la narine. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le dilatateur des narines
uent avec les faisceaux postérieurs du transverse. , Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le myrtiforme abaisse l'ai
peau et sur la muqueuse de la commissure des lèvres. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le risorius de Santorini a
profonde des téguments de la commissure des lèvres. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le grand zygomatique attir
la lace profonde de la peau de la lèvre supérieure. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le petit zygomatique attir
la face profonde de la peau de la lèvre supérieure. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. L'élévateur commun de l'ai
la face profonde de la peau et la lèvre supérieure. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. L'élévateur propre de la l
eau et dé la muqueuse de, la région des commissures. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le canin attire la commiss
au cartilage de l'aile du nez et de la sous-cloison. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le triangulaire des tissus
la face profonde de la peau de la lèvre inférieure. Innervation.
Nerf
facial. Physiologie. Le carré du menton abaisse
e terminent a la face profonde de la peau du menton. Innervation.
Nerf
facial. . Physiologie. Le muscle de la houppe d
uccale de la même manière que ceux de l'orbiculaire. Innervation.
Nerf
facial à la fois par sa branche tcmporo-faciale e
superficiel jusqu'à la base de l'apophyse coronoïde. Innervation.
Nerf
massétérin, branche du maxillaire inférieur. Ph
tante jusqu'à l'orifice supérieur du canal dentaire. Innervation.
Nerf
du ptérygoïdien interne, branche du maxillaire
nt aux aires corticales motrices sont les régions articulaires; les
nerfs
corticaux des membres, d'après cet auteur, sont
rington). 596 SÉMÉIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE CÉRÉBRALE. des
nerfs
articulo-moteurs. Grasset résume dans cette phras
-moteurs ont'une distribution segmentaire et correspondent, non aux
nerfs
anatomiques, mais à des nerfs articulo-moteurs
segmentaire et correspondent, non aux nerfs anatomiques, mais à des
nerfs
articulo-moteurs et segmento-sensitifs. » ' ..
d'autres l'existence de localisations motrices en rapport avec les
nerfs
périphériques. La plupart des recherches sur le
TIONS RADICULAIRES MOTRICES Panizza, en 1 854, expérimentant sur le
nerf
sciatique de la gre- nouille, arrive à cette co
relation avec la moelle. Minier excite avant leur réunion les trois
nerfs
rachidiens qui forment le nerf sciatique de la
excite avant leur réunion les trois nerfs rachidiens qui forment le
nerf
sciatique de la grenouille, et il établit qu'un n
qui forment le nerf sciatique de la grenouille, et il établit qu'un
nerf
rachidien qui pénètre dans un plexus, et qui co
yer, pensent que les différents muscles synergiques reçoivent leurs
nerfs
de plusieurs racines diffé- rentes. Peyer, en s
les interosseux dorsaux et palmaires de la main qui reçoivent leurs
nerfs
de la première racine dorsale. - .' .. Des rech
lysie obstétricale intéressant des muscles du bras innervés par des
nerfs
différents. Erb localise cette variété de paralys
fférents. Erb localise cette variété de paralysie dans les 5e et 6°
nerfs
cervicaux. Le professeur d'I-Ieidelher décrit dan
malade affecté d'un névrome, dut réséquer les racines des 5e et 6e
nerfs
cervicaux sur une étendue de plu- sieurs centim
POGRAPHIE RADICULAIRE. ' ' 605 Tableau de l'innervation motrice des
nerfs
rachidiens 1. 604 SEMEIOLOGIE .DES PARALYSIES '
CULAIRE. Les rapports existant entre les émergences médullaires des
nerfs
ra- chidiens et les apophyses épineuses du rach
au des rapports qui existent . entre les émergences médullaires des
nerfs
rachidiens et les apophyses épineuses des vertè
Reis, Journal of Analomy and Physiology, 1889, p. 551.) Pour chaque
nerf
rachidien la lettre h indique le niveau le plus é
uses, les chiffres romains les numéros des ''cris rachidiens; c, le
nerf
coccygien- (d'après Soulié). , (il '2 SÉMÉIOLOG
e supérieure, se coustate dans la sphère de distribution cutanée du
nerf
circonflexe, du [G. GUILLAIN.1 : ûJ4 SÉMIOLOG
UILLAIN.1 : ûJ4 SÉMIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE -RADICULAIRE.
nerf
radial, du nerf musculo-cutané. « Dans le type su
4 SÉMIOLOGIE DES PARALYSIES D'ORIGINE -RADICULAIRE. nerf radial, du
nerf
musculo-cutané. « Dans le type supérieur des para
res du -plexus brachial amènent une paralysie dans le territoire du
nerf
médian et du nerf cubital. C'est à la main que
chial amènent une paralysie dans le territoire du nerf médian et du
nerf
cubital. C'est à la main que se constate le maxim
, alors la main prend le type qu'on observe dans les paralysies du.
nerf
cubital, le type de la griffe cubitale. L'éminenc
sie radiculaire inférieure, l'impotence des muscles innervés par le
nerf
médian expli- que que la grille soit moins pure
it moins pure que celle constatée dans les lésions périphériques du
nerf
cubital. D'ailleurs, dans les paralysies radicula
épaule par le faisceau supé- rieur du muscle trapèze innervé par le
nerf
spinal. Les troubles de la sensibilité dans la
tion se fait par les rameaux perforants du deuxième et du troisième
nerf
intercostal. Le syndrome sympathique existe comme
trous de conjugaison et intéresse le rameau communiquant du premier
nerf
dorsal, par l'étude de la para- lysie des branc
ce que le traumatisme aura été le plus souvent très violent sur des
nerfs
ou des racines dont la résistance est très faible
IE BRACHIALE Avant d'entreprendre la soneiologic des paralysies des
nerfs
périphéri- ques crâniens et rachidiens, je cons
ns du cortex, soit par des lésions de la moelle, des racines ou des
nerfs
périphériques, forme une transition logique ent
ement à celle que l'on observe dans les lésions de la moelle ou des
nerfs
. Les (roubles de la sensibilité qui existent dans
où l'innervation se fait par les rameaux perforants du 2 et du 5''
nerf
intercostal. La paralysie radiculaire totale' e
e brachiale. SÉMÉIOLOQIE DES PARALYSIES DES NERFS CRANIENS ET DES
NERFS
SPINAUX LES TROUBLES DE LA MOTILITÉ A TOPOGRAPH
souvent la conséquence de lésions Iraumaliques, de compressions du
nerf
: tumeurs ou ramollis- sements du bulbe et de l
eau-nés qui reconnaît deux variétés. L'une est due il une lésion du
nerf
produite par le forceps, la tête étant saisie par
n de forceps, peut être due à la compression intra-utérine d'un des
nerfs
faciaux pendant le travail par l'utérus lui-mêm
OGtE DES PARALYSIES DES NERFS CRANIENS amont de l'origine réelle du
nerf
depuis la corticalité jusqu la protubé- rance.
lité jusqu la protubé- rance. On oppose cette paralysie centrale du
nerf
facial à la paralysie périphérique déterminée p
s l'origine réelle bulbo-protubérantielle jusqu'à la terminaison du
nerf
. Le principal symptôme de la paralysie faciale
s à égale distance des deux commissures; on peut s'en rendre ET DES
NERFS
SPINAUX. li2 : ¡ compte en maintenant en place
périphé- rique seraient imputables à une atteinte directe portée an
nerf
auditif qui a des rapports anatomiques étroits
s; celles-ci sont sans doute causées par une lésion concomitante du
nerf
trijumeau, elles siègent presque toujours au po
modifications des réactions électriques; dans la forme moyenne, le
nerf
reste excitable, mais son excitabilité est modifi
se fera ana- tomiquement par l'examen des branches collatérales du
nerf
. Lorsque la lésion siège on dehors du canal de
le du palais, mais il convient d'ajouter qu'ill1P semble pas que le
nerf
facial participe il l'innervation du voile du p
nce d'une nécrose de la partie inférieure du coli- maçon séparée du
nerf
facial au voisinage du ganglion géniculé par une
s d'origine basilaire s'accompagnent souvent de paralysies d'autres
nerfs
crâniens (trijumeau. auditif, moteur, oculaire
infectieuse, aussi l'on s'explique que les différents faisceaux du
nerf
soient inégalement atteints et parlant qu'un di
e d'origine cérébrale l'intégrité du facial supérieur; celle ET DES
NERFS
SPINAUX. 627 intégrité toutefois n'est que rela
r conséquence la paralysie des muscles masticateurs innervés par ce
nerf
. Ainsi le tem- poral et le masséter ne se contr
et du muscle interne du marteau ne sont pas précisés. Paralysie du
nerf
glosso-pharyngien. La symptomatologie de la par
ie du nerf glosso-pharyngien. La symptomatologie de la paralysie du
nerf
glosso-pharyngien n'est pas précisée, car la para
glosso-pharyngien n'est pas précisée, car la paralysie isolée de ce
nerf
ne s'observe pas en clinique, il est lésé en géné
cale, les compressions, les névrites infectieuses et toxiques. Le
nerf
pneumogastrique concourt à l'innervation des poum
rdiaques et laryngés sont bien connus. Le pneumogastrique est. un
nerf
modérateur du coeur; lorsqu'il est paralysé, on
e. Lorsque le pneumogastrique est lésé au-dessus de la naissance du
nerf
récurrent, on observe des troubles laryngés, un
bles laryngés, une paralysie des. muscles du larynx innervés par ce
nerf
. La corde vocale paralysée est en position cada
ause une para- lysie transitoire du pneumogastrique. Paralysie du
nerf
spinal. La branche externe du spinal innerve le
nnerve le sterno-mastoïdien et le trapèze. La branche interne de ce
nerf
se fusionne avec le pneumogastrique et innerve
t de la compression radiculaire par la méningite des tabétiques. Le
nerf
spinal peut subir l'effet d'une lésion de l'ore
e, la propagation se fait par périphlé- bitté grâce à l'intimité du
nerf
et de la veine surtout dans le trou déchiré; 2°
ophyse transverse de l'atlas, point de croisement de l'artère et du
nerf
(Leroux, La névrite spinale d'origine otite, Th
muscle sterno-mastoïdien est paralysé unilatéralement (voir ET DES
NERFS
SPINAUX. C29 p, 5,(i) la tête est inclinée sur
tte paralysie est bilatérale le pouls est. accéléré. Paralysie du
nerf
hypoglosse. La paralysie de l'hypoglosse s'ob-
osse s'ob- serve à la suite des traumatismes ou des compressions du
nerf
, mais elle est le plus souvent, créée par les l
phonation et de la déglutition sont très accentués. Paralysie du
nerf
phrénique. Le phrénique peut être comprimé par
rimé par des tumeurs, abcès, anévrisnics. Ailleurs, la paralysie du
nerf
est créée par des traumatismes. dos polynévrite
bases du thorax lors des mouvements respiratoires. . Paralysie du
nerf
circonflexe. Les causes de la paralysie du nerf
res. . Paralysie du nerf circonflexe. Les causes de la paralysie du
nerf
circonflexe sont : les traumatismes de la régio
et les tentatives de réduction de ces luxations, la compression du
nerf
dans le creux axillaire (par des béquilles par ex
ues de l'articulation scapulo-hnmerale. Cliniquement les lésions du
nerf
circonflexe se traduisent par la para- lysie du
u quatre travers de doigt au-dessus de l'épicondylu. Paralysie du
nerf
radial. La paralysie du nerf radial peut être d
dessus de l'épicondylu. Paralysie du nerf radial. La paralysie du
nerf
radial peut être déterminée par des blessures d
paralysie du nerf radial peut être déterminée par des blessures du
nerf
, des contusions, des compressions par tumeurs,
age de béquilles; fréquemment elle est causée par la compression du
nerf
pendant le sommeil, surtout le sommeil de l'ivr
ain et Courtelleniont) ; dans les mouvements de pronation forcée le
nerf
radial peut subir une etongatioudufaitde son en
l'humérus et de la tôle radiale (Dehovect Tlruhl). La paralysie du
nerf
radial peut être créée par une névrite nifcc- t
aussi au cours du faites. . , Le malade atteint d'une paralysie du
nerf
radial se présente, en géné- ral, l'avant-bras
as à moitié fléchi, la main en pronation et en demi-flexion. ET DES
NERFS
SPINAUX. G31 L'extension des doigts est impossi
cté au niveau du bord externe de l'avant-bras. Lorsque la lésion du
nerf
radial a son siège dans le creux axillain', la
'extension de l'avant-bras sur le bras sont impossibles. Lorsque le
nerf
radial est lésé au-dessus de la gouttière de to
enseurs des doigts, puis ensuite les autres muscles innervés par le
nerf
radial il l'exception des muscles supi- nateurs
ne s'accompagnent pas de paralysie du long supinateur. Paralysie du
nerf
cubital. La paralysie du nerf cubital s'observe
ysie du long supinateur. Paralysie du nerf cubital. La paralysie du
nerf
cubital s'observe à la suite dès traumatismes (
nt des- pains fendus, dans les cas de Guillain et Huct, etc.). Le
nerf
cubital innerve les muscles de l'éminence hypothé
et de la première phalange de l'index et du médius. Paralysie du
nerf
médian. La paralysie du nerf médian est consé-
e l'index et du médius. Paralysie du nerf médian. La paralysie du
nerf
médian est consé- cutive à des traumatismes (pl
avant- bras), à des névrites infectieuses ou toxiques. Lorsque le
nerf
médian est lésé au niveau du bras, tous les muscl
ar lui sont paralysés (rond pronateur, grand palmaire, petit ET DES
NERFS
SPINAUX. C55 palmaire, fléchisseur superficiel
es de l'éminence thénar, les deux premiers loinbricaux). Lorsque le
nerf
est lésé au-dessus du poignet, seuls sont paralys
gts sont innervés par le cubital. Consécutivement à la'paralysie du
nerf
médian on observe une grille spéciale de la mai
a sensibilité font très souvent défaut dans les cas de paralysie du
nerf
médian. Quand ils existent, ils occupent la zone
Quand ils existent, ils occupent la zone de distribution cutanée du
nerf
(partie externe de la paume de la main, face pa
terne des deux dernières phalanges de l'annulaire).. Paralysie du
nerf
crural. Les causes les plus fréquentes de la pa
e du nerf crural. Les causes les plus fréquentes de la paralysie du
nerf
crural sont : les tral1luatismes (section du nerf
e la paralysie du nerf crural sont : les tral1luatismes (section du
nerf
par instrument, tranchant, fracture du fémur, e
et Bruno \1-ulll' ont observé une pa- relysic 111 : 1tC1' : lle des
nerfs
cruraux après une opération gynécologique; dura
DES NERFS CRANIENS est purement mécanique et lient au frottement du
nerf
crural contre le ligament de Poupart. Le crur
rtie interne de la jambe et au bord interne du pied. Paralysie du
nerf
sciatique. La paralysie du nerf sciatique peut
bord interne du pied. Paralysie du nerf sciatique. La paralysie du
nerf
sciatique peut porter soit sur le tronc du nerf
ue. La paralysie du nerf sciatique peut porter soit sur le tronc du
nerf
, soit sur une de ses branches terminales, le sc
mi les névrites toxiques. Souques a signalé une paralysie isolée du
nerf
tibial antérieur, survenue il la suite du maintie
ngé de la position « du tireur ¡'l genou ». Dans cette position, le
nerf
tibial subit une élongation du fait de rhyperexte
ont le plus souvent limitées au sciatique poplité externe. ET DES
NERFS
SPINAUX. 655 noncée pour que la flexion dorsale
ivantes pour expliquer le phéno- mène : les muscles innervés par le
nerf
sciatique poplité externe ont pour fonction de
ue de la flexion dorsale du pied, mais les muscles innervés par le.
nerf
sciatique poplité externe étant aiïaiblls, cette
osseux du pied (voir pages 549, 551, 555). La paralysie du tronc du
nerf
sciatique a pour conséquence la paralysie, des
ophiques sont relativement, fréquents dans les paralysies graves du
nerf
sciatique. [G. GUILLAIN.] 1 MALADIES DU LARYN
yau postérieur du pneumogastrique, lés autres fibres motrices de ce
nerf
provenant du noyau ambigu dont la partie inférieu
e la branche interne du spinal, tandis que la branche externe de ce
nerf
, qui correspond à sa portion médullaire, s'écar
éido-mastoïdien et le trapèze. C'est de ce ganglion que partent les
nerfs
pharyngiens supérieur et inférieur qui iront s'an
athique pour former le plexus pharyngien où prendront naissance les
nerfs
du voile du palais. C'est aussi du ganglion ple
t aussi du ganglion plexiforme, à sa partie inférieure, que naît le
nerf
laryngé supérieur : il nous suffira de rappeler q
que. .MALADIES DU LARYNX. 659 en deux branches dont l'inférieure (
nerf
laryngé externe) fournit des filets moteurs au
cpiblotte et la base de la langue, pour lui donner sa sensibilité. Le
nerf
larviu'é supérieur est donc surtout un nerf sen
nner sa sensibilité. Le nerf larviu'é supérieur est donc surtout un
nerf
sensitif. La inutilité du larynx est assurée pa
surtout un nerf sensitif. La inutilité du larynx est assurée par le
nerf
laryngé inférieur ou récurrent. On sait que ce
assurée par le nerf laryngé inférieur ou récurrent. On sait que ce
nerf
se détache du tronc du pneumogastrique il la pa
u larynx, saul' Ic crico-tly-roïclicn. On admet généralement que le
nerf
récurrent est purement moteur et qu'il innerve se
ilets auastomotiqucs nombreux qui relient les récurrents aux autres
nerfs
du cou. Plus intéressante est la constitution a
llait rattacher les mouvements du larynx. La notion du vago-spinal,
nerf
purement but- bairc. tel qu'elle est admise par
rynx et du voile el, comme elle est la conséquence de l'atteinte du
nerf
laryngé supérieur, avec la para- lvsie du crico
grande corne de l'os hyoïde, ou au-dessous de cet os au point où le
nerf
laryngé supérieur traverse la membrane thyru-ly
s para- lysies récurrentielles doubles sont rarement observées. Les
nerfs
mo- teurs du larynx peuvent être touchés depuis
aste abcès de la base du crâne (Nothnagel). Si les traumatismes des
nerfs
laryngés sont exceptionnels (blessure du pneumo
a diphtérie. 11 faut y ajouter celles de la tuberculose, lorsque le
nerf
n'est pas englobé dans une pleurésie séro-fibri
mais elle se produit rarement, car il est exceptionnel que les deux
nerfs
soient simultanément et également touchés. 5°
t les syn- dromes d'Avellis et de Schmitt. Dans le second, d'autres
nerfs
crâniens sont touchés, notamment l'hypoglosse,
sent parfois s'étendre. De fait il y a des paralysies multiples des
nerfs
crâniens où, ;'1 côté de lésions du vago-spinal
ception du péristaphylin externe commandé par le trijumeau) par les
nerfs
pharyngiens émanés du ganglion plexiforme et prov
trique au-dessous du ganglion plexiforme, alors que les filets des
nerfs
pharyngiens destinés au voile se sont déjà déta
namique et action trophique, transmises toutes deux par la voie des
nerfs
moteurs, c'est la seconde qui est seule ou prim
l'adulte. c) D'origine périphérique : 1. Lésions traumatiques des
nerfs
, des plexus* des racines : sections, plaies, con-
e dépend pas de modifications histo- chimiques des muscles dont les
nerfs
sont dégénérés, mais qu'elle est la réaction pr
ce des excitations électriques, quand l'excitabilité électrique des
nerfs
est aholie. La modification qualitative de l'exci
rophie s'était localisée aux membres inférieurs dans le domaine des
nerfs
péroniers, aux membres supérieurs dans une partie
1905, p. 445.) 7. Dejerke. Médec. mod., 12 juin 1890. , 8. Sains.
nerf
. dis. of Childs., p. 582. 9. Valdès Anciano. Re
atro- phie de l'un quelconque des muscles innervés par un autre
nerf
crânien que la 7e paire : muscles mo- teurs d
trophie des cellules des cornes antérieures et d'une altération des
nerfs
, une dégé- nération prononcée des cordons posté
dégé- nération prononcée des cordons postérieurs. L'atrophie des
nerfs
optiques a été signalée jusqu'ici dans les seuls
t les mains. Les muscles de la face ne sont pas intéressés; le seul
nerf
crânien dont le domaine soit affecté est la bra
h ? ) ('); elle est parfois extrêmement prononcée, au point que les
nerfs
sous- cutanés (plexus cervical superficiel, bra
atrophie des mains, cypho- scoliose. Chez ce malade on voyait les
nerfs
superficiels saillants sous la peau. G08 ATRO
réelle de l'affection, sur l'ordre de subordination des lésions des
nerfs
périphériques (névrite interstitielle et parenc
elle n'est nullement pathognomonique, L'excitabilité électrique des
nerfs
est normale ou diminuée, rarement abolie. Rem
olentes douleurs pseudo-névmlç¡iqlles qui sont dues à la lésion des
nerfs
et surtout des racines; l'apparition des périod
une di- minution de nombre des éléments des muscles, des os, des
nerfs
, de la moelle, etc. (« atrophie numérique » de
tc., a montré que, dans certains cas, les cornes antérieures et les
nerfs
périphériques ne présentaient aucune altération
CUTIVES A UNE PARALYSIE. 715 culaire chez des hémiplégiques, où les
nerfs
, à la périphérie, étaient dégénérés, tandis que
es, soit dans tout l'appareil neuro-musculaire, cellules nerveuses,
nerfs
et muscles, soit seulement dans la partie périp
ives à une paralysie d'origine périphérique. Toutes les lésions des
nerfs
moteurs ou mixtes provoquent des paralysies sui
sont traumatiques (sections, plaies, contusions ou compressions des
nerfs
) ou inflammatoires (névrites toxiques ou infectie
xiques ou infectieuses). Les atrophies consécutives aux lésions des
nerfs
se distinguent des atrophies d'origine spinale
e, souvent fulgurant ou térébrant, et en douleurs à la pression des
nerfs
ou des muscles. Les troubles objectifs de la se
aussi fréquents : ils manquent cependant à la suite des lésions des
nerfs
purement moteurs, qui sont l'exception, mais exis
ont l'exception, mais existent à la suite de toutes les lésions des
nerfs
mixtes, qui sont la règle. Des troubles vaso-mo
d'état et une période de décroissance. 1. Lésions traumatiques des
nerfs
(troncs nerveux, plexus, racines). Dans les s
x, plexus, racines). Dans les sections, plaies et contusions d'un
nerf
, la paralysie et l'amyotrophie sont superposées
tion de l'une et de l'autre dépend uniquement de la distribution du
nerf
lésé, leur intensité est variable suivant que la
t .plus ou moins absolue au-dessous de la lésion dans le domaine du
nerf
sensitivo-moteur altéré, exception faite pour les
de ce domaine à cause de la transmission de la sensibilité par les
nerfs
voisins; le tronc nerveux et les masses musculair
éther. de mercure en particulier, qui, faites au niveau de certains
nerfs
, les nécrosent et agissent comme une sec- tion
t comme une sec- tion complète ou partielle. Les compressions des
nerfs
sont une cause fréquente de paralysies amyotrop
l'amyotrophie peuvent être très prononcées dans tout le domaine du
nerf
au-dessous du point comprimé, les troubles subj
es subjectifs ou objectifs de la sensibilité sont très intenses, le
nerf
et les muscles sont très sensibles à la pression.
rt supinateur; les troubles sensitifs sont localisés au domaine des
nerfs
musculo-culané et radial, parfois du circonflexe
e atro- phique, localisée : pour le plexus sacré dans In domaine du
nerf
scia- tique, fessiers, muscles de la région pos
les muscles de la jambe; pour le plexus lombaire dans le domaine du
nerf
obturateur et du nerf crural, muscles abdominau
e; pour le plexus lombaire dans le domaine du nerf obturateur et du
nerf
crural, muscles abdominaux antérieurs, obtura-
s troubles sensitifs siègent dans la zone de distribution des mêmes
nerfs
. Les compressions et lésions des racines (racin
ntes. Leur cause est dans les tractions ou élongations brusques des
nerfs
(parfois obstétricales), dans les lésions vertébr
IES CONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE. 719 2. Lésions inflammatoires des
nerfs
: névrites. Les névrites sont infectieuses ou t
ques; dans quelques-unes le microbe spécifique se localise dans les
nerfs
mêmes (lèpre, peut-être béribéri), dans presque
, peut-être béribéri), dans presque toutes il ne parait agir sur le
nerf
que par l'in- termédiaire des toxines qu'il sec
yphoïde, tubercu- lose en dehors de quelques foyers tuberculeux des
nerfs
, variole, grippe. streptococcie, etc.). Parmi
ronique, albumi- nurie, cancer, etc.) s'accompagnent de lésions des
nerfs
: ces lésions sont sans doute dues à une intoxi
estin;lle, qui porte plus ou moins exclusivement ses effets sur les
nerfs
périphériques. Il faut dire d'ailleurs que dans b
douleurs spontanées intermit- tentes, des douleurs à la pression du
nerf
atteint; ces douleurs s'ac- cusent, devienuent
lité objective s'altère, l'anesthésie s'installe dans le domaine du
nerf
; en même temps les muscles qui en dépendent (s'
nerf; en même temps les muscles qui en dépendent (s'il s'agit d'un
nerf
mixte) se paralysent, puis s'atrophient : le ta
néralement bilatérales et plus ou moins exactement symétriques. Les
nerfs
rachidiens sont le plus souvent seuls atteints,
rfs rachidiens sont le plus souvent seuls atteints, quelquefois les
nerfs
crâniens le sont aussi. Lent ou rapide, apyréti
es, intermittentes ou rémittentes, réveil- lées par la pression des
nerfs
ou des muscles, les troubles de la sensibi- lit
nce d'hypertrophies nodulaires de périnévrite réparties le long des
nerfs
. L'atrophie affecte très souvent le type Duchenne
te, car le bacille de Hansen a été rencontré non seulement dans les
nerfs
, mais aussi dans la moelle. Dans le béribéri,
ONSÉCUTIVES A UNE PARALYSIE. 725 est la règle, hormis le cas où les
nerfs
cardiaques sont touchés. Dans la fièvre typhoïd
s, mais d'ordinaire limitées, localisées d'emblée à un ou plusieurs
nerfs
, souvent au seul nerf cubital. Les troubles con
itées, localisées d'emblée à un ou plusieurs nerfs, souvent au seul
nerf
cubital. Les troubles consistent surtout en paral
dérable, elle est généralement passagère, rarement persistante. Les
nerfs
bulbaires ne sont jamais atteints. Dans la tu
m). Ces névrites sont disséminées et intéressent indifféremment les
nerfs
sensitifs, moteurs, mixtes, crâniens, le phréni-
les racines traversent la méninge. Le fait que les altérations des
nerfs
sont parfois plus prononcées à la périphérie qu'à
peuvent frapper isolément les vaisseaux en un point quelconque des
nerfs
et que l'endartérite oblitérante peut être l'orig
les paralysies atrophiques des membres, surtout de l'altération des
nerfs
au niveau de la traversée de la méninge (Mlle Avd
es peu intenses et à inlcr- ruptions fréquentes, sont appliqués aux
nerfs
et aux muscles. Une seule médication semble avo
hémi- plégie de l'adulte. c) D'origine périphérique : lésions des
nerfs
périphériques : 1. Caractères de l'atrophie : p
dulatoires régulières. L'etci- labilité faradique et galvanique des
nerfs
est au contraire plutôt dimi- nuée ; les secous
n tabéti- ques des cordons postérieurs, des ataxies par lésions des
nerfs
périphé- riques, des ataxies par lésions des vo
Gowers), soit de la sclérose primitive ou secondaire de différents
nerfs
périphériques, rachidiens ou crâniens, et de diff
), des symptômes d'ata- xie dite « labyrinthique » par sclérose des
nerfs
auditifs (le signe de Rombcrgpcut être dû à la
s auditifs (le signe de Rombcrgpcut être dû à la seule atrophie des
nerfs
labyrinthiques et, d'après serait même toujours
neurone sensitif, c'est-à-dire sur les cordons postérieurs et sur les
nerfs
sensitifs périphériques : elles déterminent ain
tisées ; presque toutes paraissent pouvoir envahir simultanément les
nerfs
périphériques, les racines postérieures, les co
ns paraissent pourtant avoir une prédilection particulière pour les
nerfs
périphériques, ce sont surtout les intoxications
sujets prédisposés. 5. Ataxie dans les pseudo-tabes par lésion des
nerfs
périphériques : pseudo-tabes polynévritique. -
emblable à celui du tabes : on admet généralement que la lésion des
nerfs
périphériques joue dans la consti- tution de ce
voir reconnaître pour cause, non seulement une lésion passagère des
nerfs
périphériques sensitifs, mais une lésion plus dur
lace d'attente qu'il faut réserver à l'incoordination par lésion du
nerf
labyrinthique dans sa portion centrale ou périp
ion cérébrale, souvent de signes d'altération d'organes voisins, du
nerf
vestibulaire en particulier. 2° Dans les affect
le provoquer. L'association d'hémiplégie alterne, de paralysies des
nerfs
bulbaires et de divers symptômes bulbo-prolubé-
et due, comme celle du tabès, Ù l'altération des voies sensitives (
nerfs
périphériques, racines médullaires et cordons p
es, rares : alcoolique (Beebterew), alimen- taire (Schnitzer). f)
Nerf
labyrinthique, périphérique ou central : « ataxie
ine de l'histoire : la suspension, l'élongation de la moelle ou des
nerfs
ont donné quelques résultats si fâcheux et ont pa
age inférieur de l'encéphale, lieu d'origine d'un certain nombre de
nerfs
crâniens, zone où s'entre-croisent les grandes vo
nt iso- lées, unies ou bilatérales, soit que, atteint avec d'autres
nerfs
bul- baires, le spinal révèle sa lésion individ
ous attacherons à préciser les troubles observés dans la sphère des
nerfs
crâniens. En somme, le syndrome bul- baire clas
e trouble bulbaire porte exclusivement sur les noyaux d'origine des
nerfs
bulbaires et sur leurs faisceaux eu'érents. Les
rrière ou se fléchit sur la poitrine. La paralysie unilatérale d'un
nerf
crânien serait un signe important pour 017pcnhe
e, se maintient ou se répète l'effort. Au début, les troubles des
nerfs
crâniens peuvent faire prendre les myasthénique
chez lui à ce propos. Au jeune âge revient la grande excitabilité des
nerfs
périphériques, ainsi que la grande activité des
tents de la maladie : hyperexcitabilité électrique ou mécanique des
nerfs
. La constatation de ce dernier signe (signe de
alée et dou- leurs localisées, parésie hémiplégique, paralysie d'un
nerf
crânien, oedème papillaire en faveur d'une tume
l'état du mal choréique. L'excitabilité mécanique et électrique des
nerfs
et des muscles est eu général diminuée. La ch
es douleurs périarticulaires, des douleurs au point d'émergence des
nerfs
; mais les troubles de la sensibilité objective
a-t-on pu rencontrer une légère dimi- nution de l'excitabilité des
nerfs
et des muscles; quelquefois cependant on a pu o
ouleurs juxta-articulaires et des douleurs au point d'émergence des
nerfs
. Les troubles psychiques sont constants, ils so
ontraction simultanée ou successive de muscles innervés par le même
nerf
ou par les branches d'un même nerf ou de nerfs vo
de muscles innervés par le même nerf ou par les branches d'un même
nerf
ou de nerfs voisins, ce qui en ferait un mouvem
innervés par le même nerf ou par les branches d'un même nerf ou de
nerfs
voisins, ce qui en ferait un mouvement anafoiui
ouvellement atteints ne le sont pas en suivant la distribution d'un
nerf
quelconque : ce sont des grou- pements musculai
hogéniquement, il est du à une irritation matérielle portant sur le
nerf
moteur dont dépendent les muscles enjeu ou sur
muscles enjeu ou sur un des points d'un arc réflexe aboutissant à ce
nerf
et à ces muscles. Cliniquement, le mouvement co
er une tétanisa- tion de tous les muscles d'un coté innervés par le
nerf
facial : la face est ridée, l'oeil demi-clos, l
faciaux peuvent être considérés comme dus à l'irritation directe du
nerf
facial et méritent d'être dénommés « périphérique
rigoureusement unilatéral ni rigoureuse- ment limité au domaine du
nerf
facial, les secousses ne sont pas parcel- laire
rement dite, puisque ce qui est altéré ce n'est ni le muscle, ni le
nerf
ou le centre moteur, mais bien le contrôle corti-
rtaines fonctions comme la fonction d'écrire), soit plutôt dans les
nerfs
ou dans les muscles. Certaines crampes sont san
de l'ensemble neuro-musculaire qui permet l'acte d'écrire, moelle,
nerfs
ou muscles n. On comprend que,, suivant neural.
particulièrement dou- loureuse, accompagnée de douleurs le long des
nerfs
et d'atrophie muscu- laire (Donath) (1). Elle e
plus souvent de leucodermie. Celle-ci se dispose sur le trajet des
nerfs
, d'autres fois se répartit en taches irrégulières
métamérique. On les rencontre particulièrement dans les plaies des
nerfs
, dans les névrites et myélites aiguës, plus rarem
rédominance remarquable sur le territoire des tri- . jumeaux ou des
nerfs
occipitaux. Ce sont, des masses d'une laxité rema
t fréquents dans la sclérodermie du cuir chevelu, les blessures des
nerfs
occipitaux, les truunlatismes et les névralgies d
sait qu a l'état normal, le coeur est innervé par le sympathique ou
nerf
accélérateur du coeur qui se confond en un plexus
panoui en avant, au-dessus et en arrière du coeur. D'autre part, le
nerf
sympathique et le nerf pneumogastrique ont leur c
sus et en arrière du coeur. D'autre part, le nerf sympathique et le
nerf
pneumogastrique ont leur centre au niveau [0. C
lorsqu'une tumeur, un traumatisme a intéressé une des branches des
nerfs
honteux. Quant au paludisme, à l'arthritisme, .
ons de la sensibilité spéciale peuvent dépendre d'alté- rations des
nerfs
crâniens ou de troubles centraux. On se rappeller
: tous ces troubles trahissent une perturbation du bulbe ou de ses
nerfs
, mais il est parfois malaisé de préciser davant
ostale a été le thème de ces accidents; c'est le point perforant du
nerf
qui simule le Mac llurney; il faut chercher avec
convient cependant de tenir compte des dégénérescences tardives des
nerfs
; celles-ci peuvent secondairement déterminer la
s des traumatismes obstétricaux du plexus brachial ou de différents
nerfs
; la main-bote paralytique est plus fréquemment i
GRIFFES. La paralysie ou l'atrophie des muscles innervés par un des
nerfs
moteurs des doigts ou la contracture de leurs a
es détermine une «griffe»; chaque grille est désignée par le nom du
nerf
atteint ; on a ainsi une griffe radiale, une gr
elles est totale ou partielle. Le domaine musculaire de plu- sieurs
nerfs
moteurs peut être atteint en même temps totalemen
teint en même temps totalement ou partiellement, soit que plusieurs
nerfs
soient frappes simultanément dans leur trajet p
ffe radiale complète se trouve dans les lésiotts trautna- tiques du
nerf
radial, section, ecrasementou, plus souvent, comp
nine, la paralysie n'est presque ja- mais limitée au domaine du
nerf
radial. Dans le tabes on observe . - parfois
lle cubitale légèrement modifiée. ! 058 SÉMÉIOLOGIE DE LA MAIN.
nerf
cubital, section, écrasement ou compression, surt
es névrites toxiques ou infectieuses, notamment dans la lèpre où le
nerf
cubital est fortement hypertrophié, rarement da
e s'observe plus ou moins complète dans les tralllll : 1- tismes du
nerf
, section ou compression, et dans de rares névrite
a production de celte même main. Toutes les lésions portant sur les
nerfs
médian et cubital ou leurs racines peuvent prod
tiques, les diabétiques, ceux qui ont subi un traumatisme grave des
nerfs
du pied, une gelure, etc., sont le plus volontier
piques s'observent dans les lésions traumatiques des muscles ou des
nerfs
. b) Variétés étiologiques. \ous passerons en re
ds-bots para- lytiques totaux. c) Dans toutes les altérations des
nerfs
et de leurs racines, dans les compressions ou d
omplètement inoffensives même pour le cerveau, les vaisseaux et les
nerfs
, et éviterait ainsi il la fois les techniques dif
électro- diagnostic pour localiser l'excitation électrique sur les
nerfs
et sur les muscles. On l'utilise également en é
nt galva- nique sont de différents ordres et se manifestent sur les
nerfs
moteurs et sur les muscles, sur les nerfs sensi
et se manifestent sur les nerfs moteurs et sur les muscles, sur les
nerfs
sensitifs, sur les nerfs vaso-moteurs et sur le
nerfs moteurs et sur les muscles, sur les nerfs sensitifs, sur les
nerfs
vaso-moteurs et sur les organes glandulaires. N
effets élec- trotoniques et des effets dits catalytiques, Sur les
nerfs
moteurs et sur les muscles, le courant galvanique
n des organes moteurs sont en grande partie dus il l'action sur les
nerfs
moteurs ou sur les muscles des pro- duits de l'
ement. .COURANT GALVANIQUE CONTINU. 211 On observe encore sur les
nerfs
moteurs des effets du courant gaha- nique const
constant ayant comme conséquence de modifier l'excitabilité de ces
nerfs
; c'est ce que l'on a appelé effets électrotonique
consiste non seulement dans des modifications de l'excitabilité des
nerfs
, mais encore dans des modifications de la conduct
J'influx nerveux et dans des modifications de l'état électrique des
nerfs
; on les observe facilement sur un nerf dénudé e
ns de l'état électrique des nerfs; on les observe facilement sur un
nerf
dénudé et isolé, parcouru par un courant contin
e à chaque pôle. Pendant le passage du courant, l'excitabilité du
nerf
est augmentée au niveau du pôle négatif et dans
lité à la place des deux pôles. Les effets sur la conductibilité du
nerf
sont semblables. Chez l'homme, dans les conditi
le courant produisant l'électrotonus et explorer l'excitabilité du
nerf
qu'à travers les téguments et les tissus interpos
vir- lnels; l'existence de ceux-ci s'explique par la façon dont le
nerf
est par- couru par le courant; la figure 16 fai
le de l'électrode. En localisant l'exploration de l'excitabilité du
nerf
au niveau même de l'électrode élec- trotonisant
n p.out, nar le fait de l'anélectrotonus. diminuer l'excitabilité des
nerfs
, tandis qu'en fai- sant agir le pôle négati
aires qui se développent après la suppression du courant. - . Les
nerfs
sensitifs seraient donc soumis, comme les nerfs m
du courant. - . Les nerfs sensitifs seraient donc soumis, comme les
nerfs
moteurs, aux modifications de l'électrotonus. I
rfs moteurs, aux modifications de l'électrotonus. Ils diffèrent des
nerfs
moteurs en ce sens qu ils paraissent davan- t
l pro- voque dans la sphère de dis- tribution périphérique d'un
nerf
soumis à son action des sensations d'engourdiss
encore les effets résul- tant des produits de l'électrolyse. Les
nerfs
vaso-moteurs sont aussi excités par le courant ga
t vraisemblablement complexe, due non seulement il l'excitation des
nerfs
sécréteurs, mais aussi à une action réflexe consé
, mais aussi à une action réflexe consécutive il l'excita- tion des
nerfs
du goût. Des sensations gustatives, en effet, son
moment de ses états variables, a la ]>ro-i prieté d'exciter les
nerfs
et les muscles. Sur le muscle cette excitation;*
isamment élevée, se manifeste par la contraction du muscle. Sur un;
nerf
moteur, cette excitation se traduit par la contra
excitation se traduit par la contraction des muscles animés par ce
nerf
. Sur un nerf sensitif cette excitation éveille de
e traduit par la contraction des muscles animés par ce nerf. Sur un
nerf
sensitif cette excitation éveille des sen-, sat
é générale, soit de sensibilité spéciale, suivant ! c, la nature du
nerf
excité. L'excitation n'est pas tont il fait la
effets des états V : 11tL11tLES de fermeture et d'ouverture sur les
nerfs
MOTEURS ET sm LES MUSCLES. Pour le moment, no
Pour le moment, nous nous occuperons seulement de l'excitation des
nerfs
moteurs et des muscles, et nous exposerons les ré
c'est Y électrode neutre ou indifférente. On la place assez loin des
nerfs
et des muscles que l'on veut exciter, le plus g
courant en état permanent, puis au moment de l'ouverture. Sur les
nerfs
moteurs, l'excitation produite peut être résumée
ndiquant les contractions obtenues sur les muscles correspondant au
nerf
excité. 9` ? IG APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ.
A. par exemple à plusieurs m. A., 5, 4, 5 ou davantage, suivant le
nerf
con- sidéré) l'excitation produite avec le pôle
n même temps que PFC, ou avant PFC, est plus fréquente sur certains
nerfs
que sur d'autres; elle est très fréquente sur.
ur certains nerfs que sur d'autres; elle est très fréquente sur. le
nerf
radial, assez 'fréquente sur le nerf sciatique po
lle est très fréquente sur. le nerf radial, assez 'fréquente sur le
nerf
sciatique poplité externe, le nerf médian et le
radial, assez 'fréquente sur le nerf sciatique poplité externe, le
nerf
médian et le nerf cubital, plus rare ou exception
équente sur le nerf sciatique poplité externe, le nerf médian et le
nerf
cubital, plus rare ou exceptionnelle sur d'autres
nerf cubital, plus rare ou exceptionnelle sur d'autres, tels que le
nerf
facial, -le nerf l ! 1usculo-cutané et. la branch
s rare ou exceptionnelle sur d'autres, tels que le nerf facial, -le
nerf
l ! 1usculo-cutané et. la branche externe du ne
nerf facial, -le nerf l ! 1usculo-cutané et. la branche externe du
nerf
spinal. Elle paraît dépendre plutôt des condition
re du courant de polarisation que d'une façon spéciale de réagir du
nerf
. Toutes les conditions, en effet, ;qui augmentent
es. En sommé, les réactions normales produites par l'excitation des
nerfs
uvec les courants galvaniques peuvent être résu
ions galvaniques normales correspondent sen- siblement à celles des
nerfs
moteurs; elles ne s'en distinguent que par de f
tif et celle du pôle positif est souvent moins accusée que pour les
nerfs
; NFTe est plus difficile à obtenir; les excitat
ique Pour procéder à l'exploration de l'excitabilité galvanique des
nerfs
et des muscles, on emploie généralement la méth
rme et de dimensions appropriées, sert à provoquer l'excitation des
nerfs
ou des muscles. Cette dernière, électrode diffé
minés, dits points d'élection, au niveau desquels l'excitabilité du
nerf
ou du 1. L'électrode différente est généralemen
n de charbon recouvert de substances spongieuses. Pour l'examen des
nerfs
superficiellement placés et pour l'examen des p
dre une petite électrode de 1 cent. de diamètre par exemple. Pour les
nerfs
cl muscles des membres et du tronc, il y a avan
Points moteurs de la tête et du cou. -1. 1. Muscle- frontal; - 2.
Nerf
facial (branche stipe- · rieure) ; 5. Muscle
tiques; - j. 7. Orbiculairé des lèvres; - 7' Brandir moyenne du
nerf
fa- rial ; - 8'. Masséter : 9. Muscle de la
10. Carré du menton ; - l 1. Triangulaire c ! cç lèvres; - '12,
Nerf
grand hypoglosse ; - 13. Branche inférieure
res; - '12, Nerf grand hypoglosse ; - 13. Branche inférieure du
nerf
facial ; 14. Muscles sus-hyoï- diens ; - 15.
temporal ; 21. Branche temporn- faciale au-devant de l'oreille; 22.
Nerf
facial (tronc); 23. Nerf auriculaire postérieur :
mporn- faciale au-devant de l'oreille; 22. Nerf facial (tronc); 23.
Nerf
auriculaire postérieur : 24. Branches faciales
e splénius : - 27. Sterno-cléido-mastoïdien; 28. Branche externe du
nerf
spinal; 29. Muscle angulaire de l'omoplate; 50.
spinal; 29. Muscle angulaire de l'omoplate; 50. Muscle trapèze; 51.
Nerf
dorsal de l'épaule; 52. nerf axillaire. 53. Ner
e de l'omoplate; 50. Muscle trapèze; 51. Nerf dorsal de l'épaule; 52.
nerf
axillaire. 53. Nerf du grand dentelé; 54. Plexu
uscle trapèze; 51. Nerf dorsal de l'épaule; 52. nerf axillaire. 53.
Nerf
du grand dentelé; 54. Plexus brachial; 55. Point
es deltoïde, biceps, brachial antérieur et long supinateur) ; - 56.
Nerf
phrenique. EXPLORATION DE L'1 : \CI1' : 1BILIT
On recherche alors les diverses manifestations de l'excitabilité du
nerf
ou du muscle sur lequel l'électrode est appliquée
Triceps brachial (longue por- lion); 2. Triceps (vaste interne); 5.
Nerf
cubital; 4. Muscle cubital antérieur; 5. Fléchi
et annulaire); 7. Fléchisseur superficiel (index et auriculaire); 8.
Nerf
cubital : 9. Palmaire cutané; 10. Adducteur du
it doigt; 15. Lombricam : -14, Deltoïde (partie antérieure) : - 15.
Nerf
museulo-culanc, 16. Biceps; 1 ï. Brachial antérie
- 15. Nerf museulo-culanc, 16. Biceps; 1 ï. Brachial antérieur. 18.
Nerf
médian ; 19. Long supinateur; 20. Rond pronateu
seur super- ficiel des doigts; 23. Long fléchisseur du pouce; - 24.
Nerf
médian; 25. Court abducteur du pouce; 26. Oppos
upérieur (face postérieure). -1. Deltoïde (partie postérieure) ; 2.
Nerf
radial; 5. Brachial antérieur; 4. Long supinateur
(d'après Erb). A. Points moteurs de la cuisse (face antérieure). 1.
Nerf
crural; - 2. Nerf obturateur; 5. Muscle, pectin
. Points moteurs de la cuisse (face antérieure). 1. Nerf crural; - 2.
Nerf
obturateur; 5. Muscle, pectiné; 4. Grand adduct
fé- moral (longue portion); 5. Biceps fémoral (courte portion); 4.
Nerf
sciatique poplité externe (nerf péronier); 5. J
Biceps fémoral (courte portion); 4. Nerf sciatique poplité externe (
nerf
péronier); 5. Jumeau externe; 6. Soléaire : 7. Lo
Grand adducteur ; 10. Demi-tendineux ; z 11. Demi- membraneux; 12.
Nerf
sciatique poplité interne (nerf tibia)); 13. Jume
ineux ; z 11. Demi- membraneux; 12. Nerf sciatique poplité interne (
nerf
tibia)); 13. Jumeau interne; - 14. Soléaire; 15
au interne; - 14. Soléaire; 15. Fléchisseur commun des orteils; 16.
Nerf
tibial postérieur. C. Points moteurs de la jamb
onier latéral; 4. Long extenseur du gros orteil; 5. Interosseux; 6.
Nerf
péronier (sciatique poplité externe); 7. Jumeau e
la colonne vertébrale à une hauteur qui correspond à l'origine des
nerfs
de la région à électriser. L'autre électrode co
haut en bas et de bas en haut sur la peau suivant la direction des
nerfs
et des muscles. Si, en même temps, on suit des
est suffisamment élevée, des excitations se manifester du côté des
nerfs
et des muscles et se traduire par des contracti
provoque facilement la contraction des muscles ou l'excitation des
nerfs
, tandis que l'onde. induite de fermeture, avec
ourants induits d'ou- verture. -- Le courant faradique excite les
nerfs
et les muscles en raison de l'état- variable de
iter directement les muscles on excite dans les mêmes conditions le
nerf
qui les anime. ' . Lorsqu'on augmente la fréque
conditions dans lesquelles s'effectue l'excitation du muscle on du
nerf
. Si la fréquence des ondes induites est un peu au
adiques A LGLECTRO-DL1G\OSTIC et au traitement f Pour exciter les
nerfs
moteurs et les muscles striés avec les courants
ent des bobines avec lequel apparaît le seuil de l'excita- tion des
nerfs
ou des muscles ('). Lorsqu'on emploie des appar
s courants galvaniques. Pour apprécier le degré d'excitabilité d'un
nerf
ou d'un muscle, on note la résistance qu'il est
areils différents. Cependant lorsque l'examen porte la fois sur des
nerfs
et muscles normaux et sur des nerfs et muscles
ue l'examen porte la fois sur des nerfs et muscles normaux et sur des
nerfs
et muscles dont l'excitabilité est altérée, on
ition de tenir compte du degré d'excitabilité propre que les divers
nerfs
et muscles présentent dans l'état normal pour les
bines. Dans l'application des courants faradiques, pour exciter les
nerfs
moteurs ou les muscles en vue du traitement ou
. A l'aide de cet interrupteur, on ne laisse le courant exciter les
nerfs
ou les muscles qu'un temps assez court, une, de
ndant, où le pôle positif est préfé- soit qu'il excite davantage le
nerf
ou le muscle soumis il son action, soit qu'il p
point d'élection l'électrode excitatrice, on la promène le long du
nerf
ou du muscle en la faisant glisser ou en la faisa
un interrupteur. Après avoir fait rouler l'électrode tout le long du
nerf
ou du muscle, on la soulève et on la tient éloi
méthode polaire, il y a parfois avantage pour la faradisa- tion des
nerfs
moteurs, aussi bien au point de vue de l'lleetro-
vec de l'eau salée, sont placées assez près l'une de l'autre sur le
nerf
ou le muscle au niveau des points d'élection, et
ation et elle doit être employée surtout lorsque l'excitabilité des
nerfs
ou des muscles est fortement diminuée. Dans ces
ants forts qui souvent excitent dans le voisinage ou à distance des
nerfs
et des muscles restés sains ou peu altérés ; les
es courants faradiques peuvent être utilisés aussi pour exciter les
nerfs
de la sensibilité générale. Dans ce but on emploi
c des courants un peu plus forts, il s'y ajoute des excitations des
nerfs
moteurs et des muscles, surtout lorsque l'élect
s olives. p . 1238 APPLICATIONS DE L'ÉLECTRICITÉ. davantage aux
nerfs
moteurs et aux muscles et plus particulièrement à
ceux qui se trouvent dans le trajet interpolairc. L'excitation des
nerfs
sensitifs, pratiquée comme il vient d'être dit, e
d'hypoesthésie qui existe. Ces courants forts peuvent agir sur les
nerfs
moteurs et sur les muscles, soit au niveau de l
ourant faradique de façon que les chocs faradiques en exci- tant le
nerf
ou le muscle produisent des contractions musculai
no-faradique est employé dans certaines conditions pour exciter les
nerfs
moteurs et les muscles striés. Il pré- sente su
eil moteur, l'excitabilité faradique et l'excitabilité galvanique des
nerfs
et des muscles se comportent différemment suiva
ui de la réaction de dégénéres- cence. L'étude de ces réactions des
nerfs
et des muscles est très impor- tante au point d
différents C) ou par compa- raison avec le degré d'excitabilité de
nerfs
ou muscles différents de la même personne, l'au
utre n'est pas applicable. 1. Des anomalies dans la disposition des
nerfs
, ou encore des modifications acciden- telles da
2. 11 importe de retenir, pour la comparaison de l'excitabilité des
nerfs
et des muscles chez des personnes différentes,
ie dans de certaines limites, d'une personne à l'autre pour un mème
nerf
ou un même muscle, conditions qui contribuent i
nostic. L'hyperexcitabilité est générale- ment plus accusée sur les
nerfs
que sur les muscles; elle existe pour les coura
n de l'excitabilité faradique et galvanique, principalement sur les
nerfs
, parti- cularités qui méritent d'être rapproché
rmine artificiellement sur des DIMINUTION DE L'EXCITABILITÉ. 1243
nerfs
en soumettant ceux-ci, en même temps que les vais
Geigel a donné à ces modifications de l'excitabilité galvanique des
nerfs
observées dans ces conditions le nom de réaction
cli. Nous ne croyons pas que cette hyperexcitabilité galvanique des
nerfs
pour les excitations d'ou- verture dans la réac
rture dans la réaction de Geigel dépende de la compression même des
nerfs
; elle nous parait dépendre surtout de l'arrêt ou
roduisent guère de polarisation des tissus, l'hyperexcitabilité des
nerfs
ne se montre pas dans ces conditions. Diminutio
tion simple de l'excitabilité existe généralement à la fois sur les
nerfs
et sur les muscles pour les courants faradiques e
ois, cependant, elle est plus prononcée sur les muscles que sur les
nerfs
ou inversement; elle peut aussi, dans certains
déjà assez avan- 1. Lorsqu'on explore l'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles, il est très important de faire
nt les paralysies ducs à de la compression passagère et modérée des
nerfs
, la paralysie radiale par exemple dans la grande
ution n'est bien manifeste que pour' les excitations portées sur le
nerf
au-dessus du point qui a été comprimé. alors qu
au-dessus du point qui a été comprimé. alors que les excitations du
nerf
portées au-dessous, ou les excitations des musc
u à des réactions peu diminuées ou même sensi- blement normales. Le
nerf
parait avoir conservé son excitabilité tandis q
- ritoires nerveux et de la réaction de dégénérescence sur d'autres
nerfs
et muscles; il en découle la même signification
lité galvanique et parce qu'elles se comportent différemment sur le
nerf
et sur le muscle. Sur le nerf, en effet, l'exci
les se comportent différemment sur le nerf et sur le muscle. Sur le
nerf
, en effet, l'excitabilité est abolie aussi bien p
e PFC, c'est la \F du pèle virtuel qui agit en réalité au niveau du
nerf
ou au niveau du muscle. On évite cette erreur en
antitatives moins prononcées de l'excitabilité électrique. Sur le
nerf
, l'excitabilité n'est pas abolie, mais elle est l
degrés divers suivant les cas. La diminution de l'excita- bilité du
nerf
porte sur l'excitabilité faradique et sur l'excit
altérée en qualité, les contractions produites par l'excitation du
nerf
restent en effet vives (2) et sont conformes à
l'excitabilité faradique n'est pas non plus aholie mais, comme sur le
nerf
, elle est plus ou moins diminuée. L'excitabilit
n particulière reconnue. 2. Lorsqu'on explore l'excitabilité d'un
nerf
dans le territoire duquel existe de. la DU. on
excitation galvanique sur un on plusieurs muscles tributaires de ce
nerf
. On commettrait souvent une erreur en rapportan
une erreur en rapportant ces contractions lentes il l'excitation du
nerf
: on peut les observer alors même que le nerf e
es il l'excitation du nerf : on peut les observer alors même que le
nerf
est inexcitable, Elles s'expliquent par une excit
restent mexcilables. Exemple : en excitant la branche inférieure du
nerf
facial en étal de dégénérescence, on observe fr
mentalement, en produisant des lésions plus ou moins prononcées des
nerfs
et qu'on peut observer en clinique dans certain
certains cas, par exemple à la suite de lésions trauma- tiques des
nerfs
, dans des névrites (plus particulièrement dans la
Comme type, on peut prendre la DR causée par une lésion grave d'un
nerf
, section, écrasement ou élongation. En suivant
suivant les modifications qui se produisent dans l'excitabilité du
nerf
au-dessous de la lésion, on constate que l'excita
jour, quand la DR doit être complète. L'excitabilité galvanique du
nerf
se comporte sensiblement de même, augmentée les p
ate de pareilles altérations quantitatives dans l'excita- bilité du
nerf
et dans l'excitabilité des muscles, on peut prévo
olonge davantage, il en est très souvent ainsi sur le territoire du
nerf
facial où l'on peut la voir persister d'assez l
des secousses d'ouverture, mais elle s'observe dans l'excitation du
nerf
et non dans l'excitation des muscles ; elle est p
est produite dans des conditions bien déterminées, compression des
nerfs
et des vaisseaux avec arrêt plus ou moins pro-
d'ouverture s'observe dans des muscles et non dans l'excitation du
nerf
; les contractions ainsi obtenues sont aussi mod
ui succéder. L'excitabilité faradique et l'excitabilité galvanique du
nerf
, qui étaient abolies, reparaissent d'abord et a
e assez diminuées, parfois même très diminuées non seulement sur le
nerf
, mais aussi sur les muscles, souvent plus dimin
us diminuées dans l'excitation des muscles que dans l'excitation du
nerf
, et, à ce moment, l'excitabilité galvanique est s
alement. La diminution de l'excitabilité faradique et galvanique du
nerf
et des muscles persiste souvent assez longtemps
ontaire et elle est souvent plus marquée sur les muscles que sur le
nerf
. f 11 est des cas, cependant, où la DR partiell
rencontré l'excitabilité faradique et l'excitabilité galvanique du
nerf
très diminuées mais non abolies, l'excitabilité
ces qui en partent, ou les fibres nerveuses dans les plexus, ou les
nerfs
dans leur trajet périphérique. En quelque point
ériques, il est vraisemblable d'admettre des lésions portant sur le
nerf
ou sur les nerfs correspon- dants. Lorsqu'elle
vraisemblable d'admettre des lésions portant sur le nerf ou sur les
nerfs
correspon- dants. Lorsqu'elle se trouve localis
faut au niveau des membres, elle peut exister sur le territoire des
nerfs
craniens, lorsque ceux-ci se trouvent irrités o
ement du côté des membres paralysés, mais elle peut exister sur des
nerfs
craniens, même dans des cas d'hémorragie ou de ra
s d'hémorragie ou de ramollis- sement, si les noyaux moteurs de ces
nerfs
ou les fibres radiculaires qui en partent se tr
lie. Elle se ren- contre encore lorsque les racines antérieures des
nerfs
se trouvent atteintes, comme dans les radiculit
a fait place à de l'inexcitabilité complète. Dans les lésions des
nerfs
, médicales ou chirurgicales, la DR s'observe 1.
oit avec des lésions de racines nerveuses, soit avec des lésions de
nerfs
périphériques. ' [E. HUET.] 1258 ÉLECTRO-DIAG
peu prononcées. On la rencontre habituellement dans les lésions des
nerfs
résultant de traumatismes : section, piqûre, éc
ion, compression, élongation. La DR se développe encore lorsque les
nerfs
se trouvent irrités ou comprimés par des lésion
es (éther, alcool, cocaïne, huile camphrée, etc.) pénétrant dans le
nerf
ou seulement l'avoisinant. Les brûlures, les ge
nt. Les brûlures, les gelures peuvent donner lieu à des lésions des
nerfs
entraînant de la DR. Le froid agit encore en prov
plète. On l'observe, par exemple, dans les lésions traumatiques des
nerfs
, si le bout périphérique [E. HUET.] 1200 ÉLEC
si le bout périphérique [E. HUET.] 1200 ÉLECTRO-DIAGNOSTIC. du
nerf
a conservé ses rapports avec le bout central ; ma
r une DR complète, par exemple dans certains cas de compression des
nerfs
, notamment dans les com- pressions produites pa
e. J'ai observé cette forme de DR non seulement dans des lésions de
nerfs
périphériques mais encore dans des lésions des
électrique ne se comportant pas exactement de la même façon sm les
nerfs
et sur les muscles, il convient, pour prendre u
passer en revue les modifications de l'excitabilité électrique des
nerfs
et les modifications de l'excitabilité électrique
par comparaison les modifications de l'exci- tabilité mécanique des
nerfs
et des muscles. Nerfs. L'excitabilité électriqu
fications de l'exci- tabilité mécanique des nerfs et des muscles.
Nerfs
. L'excitabilité électrique des nerfs est relative
ique des nerfs et des muscles. Nerfs. L'excitabilité électrique des
nerfs
est relativement peu modifiée. Leur excitabilit
l'interruption du courant excitateur. L'excitabilité galvanique des
nerfs
reste de même sensiblement normale en quantité
trique, il existe des modifications de l'excitabilité mécanique des
nerfs
et des muscles. Sur les nerfs, cette excitabili
tions de l'excitabilité mécanique des nerfs et des muscles. Sur les
nerfs
, cette excitabilité est plutôt diminuée ; sur les
on myotonique; en effet, dans ces cas, l'excitabilité faradique des
nerfs
et des muscles est habituellement diminuée, parfo
ait qu'elles se montraient surtout à l'occasion de l'excitation des
nerfs
au lieu de dépendre princi- palement de l'excit
les obtient surtout avec les courants faradiques. Si l'on soumet un
nerf
ou un muscle à l'excita- tion d'un courant fara
ment (') : . Lorsqu'on a obtenu l'épuisement de l'excitabilité d'un
nerf
de la façon qui vient d'être dite il suffit sou
cer l'électrode excitatrice et de la reporter sur un autre point du
nerf
pour voir reparaître l'excita- bilité ; en prol
répétant les excitations. Par un repos suffisamment prolongé les
nerfs
et les muscles, sur les- quels s'est montré l'é
ermittences espacées (chocs fara- diques isolés) l'excitabilité des
nerfs
et l'excitabilité des muscles ne se montre guèr
pour être mise en jeu, des courants assez forts. Si l'on excite un
nerf
animant ces muscles plus ou moins atrophiés, il
plus ou moins atrophiés, il peut arriver qu'un muscle voisin de ce
nerf
se trouve plus excitable et qu'en se contractan
itable et qu'en se contractant il éloigne l'électrode, excitatrice du
nerf
excité, dimi- nuant ainsi l'excitation de ce ne
e, excitatrice du nerf excité, dimi- nuant ainsi l'excitation de ce
nerf
ou même la faisant cesser complètement. On voit
complètement. On voit dans ces conditions les muscles animés par le
nerf
entrer en contraction au moment où on établit l
tant qu'on renouvelle les excitations. Lorsqu'au lieu d'exciter un
nerf
on excite un muscle, on constate parfois des trou
mblables il ceux que nous venons de voir pour l'excitation môme des
nerfs
puissent se manifester. Il ne s'agit pas en parei
voir encore diminuer ou disparaître les troubles dont il s'agit.
NERFS
SENSITIFS ET SENSORIELS. 1'I : li'l'IGI, 'UI'l' :
circulation veineuse, comme dans la méthode de Bier (Marinesco).
NERFS
SENSITIFS ET SENSORIELS - VERTIGE VOLTÀIQUE Ner
er (Marinesco). NERFS SENSITIFS ET SENSORIELS - VERTIGE VOLTÀIQUE
Nerfs
sensitifs de la peau et nerfs de la sensibilité g
IFS ET SENSORIELS - VERTIGE VOLTÀIQUE Nerfs sensitifs de la peau et
nerfs
de la sensibilité générale. Le courant électriq
déjà vu la sensibilité de la peau, et met en jeu l'excitabilité des
nerfs
sensitifs. Avec un courant galvanique, suffisamme
t électrique. Lorsque le courant atteint le tronc ou un rameau d'un
nerf
sensitif on d'un neri contenant des mets sensit
se produit aussi il la périphérie dans la sphère de distribution du
nerf
; elle est plus marquée, au moment des états varia
ut en opérant sur eux-mêmes, les physiologistes ont trouvé pour les
nerfs
sensitifs une formule d'excitation assez semblabl
erfs sensitifs une formule d'excitation assez semblable à celle des
nerfs
moteurs. Ils ont vu ainsi que les effets d'excita
des nerfs moteurs. Ils ont vu ainsi que les effets d'excitation des
nerfs
sensitifs se produisent d'ahord à la fermeture
rodes et les sensations produites dans la sphère de distribution du
nerf
. Le plus souvent on doit se contenter de consta
nerveux, la sensation se propage dans la sphère de distribution du
nerf
. Dans tous ces cas elle est plus forte avec le pô
ablis avec une semblable intensité dès le début de l'application.
NERF
OPTIQUE ET NERFS DU GOUT. 1271 procédés indiqué
emblable intensité dès le début de l'application. NERF OPTIQUE ET
NERFS
DU GOUT. 1271 procédés indiqués précédemment, p
s ont été rencontrées dans des cas de tabes et dans des névrites.
Nerf
optique et rétine. Nerfs du goût. Nerf olfactif.
dans des cas de tabes et dans des névrites. Nerf optique et rétine.
Nerfs
du goût. Nerf olfactif. Le nerf optique et la r
tabes et dans des névrites. Nerf optique et rétine. Nerfs du goût.
Nerf
olfactif. Le nerf optique et la rétine assez pe
névrites. Nerf optique et rétine. Nerfs du goût. Nerf olfactif. Le
nerf
optique et la rétine assez peu sensibles aux co
e on a constaté, surtout dans les cas de lésions de la rétine ou du
nerf
optique, des modifications dans les réactions com
ies applicables d'une façon régulière à l'électro-diagnostic. Les
nerfs
du goût sont aussi très facilement impressionnés
ns soient exclusivement dues il l'action directe du courant sur les
nerfs
du goùt; il semble très vraisemblable que les m
ensations; on les observe principalement dans les cas de lésions du
nerf
lingual et du trijumeau. Les nerfs olfactifs
ment dans les cas de lésions du nerf lingual et du trijumeau. Les
nerfs
olfactifs se montrent au contraire peu sensibles
ques, et l'examen de leurs réactions ne présente guère d'intérêt.
Nerf
acoustique. Vertige Voltaïque. - Parmi les appare
ives. Dans l'état normal le courant faradique impres- sionne peu le
nerf
auditif. Dans certaines conditions pathologiques
ou bourdon- nements, qui semblent moins dues à l'excitation même du
nerf
auditif. qu'à l'excitation des muscles de la ch
e courant galvanique donne difficilement aussi, dans l'état normal,
NERF
ACOUSTIQUE. VERTIGE VOLTAÏQUE. 1275 des réactio
courants qui le plus souvent provoquent, à distance l'excitation du
nerf
optique, des nerfs du goût et du nerf facial; d
us souvent provoquent, à distance l'excitation du nerf optique, des
nerfs
du goût et du nerf facial; de plus agissant sur
t, à distance l'excitation du nerf optique, des nerfs du goût et du
nerf
facial; de plus agissant sur l'appareil d'équil
niques paraissent dépendre de l'excitation même des terminaisons du
nerf
acoustique. Pour les rechercher, de même que po
au contraire de lésions graves et d'une dégénérescence complète du
nerf
. Dans le second cas, lorsqu'il se produit plus
lle interne (labyrinthe), soit dans une irritabilité plus grande du
nerf
dépendant d'une otite interne, ou d'une névrite
s grande du nerf dépendant d'une otite interne, ou d'une névrite du
nerf
acoustique, ou d'affections augmentant la press
raire assez favorable dans les otites anciennes, en montrant que le
nerf
auditif n'est pas complètement dégénéré. Vertig
arrive à 6 ou 8 m. A., le patient accuse une sensation d'étourdis-
NERF
ACOUSTIQUE. VERTIGE VOLTAÏQUE. 1275 sement et d
ques sont détruits, ou lorsqu'il y a une dégénérescence complète du
nerf
acoustique, le vertige voltaïque fait complètem
abyrinthe, où se termine la branche vestibu- laire de l'acoustique (
nerf
du sens de l'espace), et non à l'action du cour
si l'on représente par 1 leur résistance, celle des autres tissus,
nerfs
, tendons, cartilages, varie entre 1,5 et 2,5, cel
s, pendant l'exploration électro-diagnostique de l'excitabilité des
nerfs
moteurs et des muscles, on a besoin de [«rendre u
ue de l'électrodiagnostic, quand on doit explorer les réactions des
nerfs
et des muscles, il vaut mieux commencer par l'e
, soit dans leurs prolongements périphériques, racines nerveuses et
nerfs
. Dans ce second groupe nous ferons entrer des m
hémiplégies dirigé le traitement électrique à la périphérie sur les
nerfs
et les muscles paralysés. Les nerfs et les muscle
ctrique à la périphérie sur les nerfs et les muscles paralysés. Les
nerfs
et les muscles conservent, comme nous l'avons v
nsi provoquées à la HÉMIPLÉGIE CÉRÉBRALE. 1291 périphérie sur les
nerfs
et sur les muscles retentissent par action réfl
. Le bain galvanique diffuse l'action du courant sur l'ensemble des
nerfs
et muscles du membre soumis à l'électrisation.
s sur chacun des groupes musculaires choisis. Les excitations des
nerfs
et des muscles par les courants galvaniques int
léaires, radiculaires. ou funicu- laires, telles que paralysies des
nerfs
moteurs du globe oculaire, paralysie faciale, e
s comme les radiculites dans la méningite cérébro-spinale, soit les
nerfs
périphériques comme les poly- névrites. Nous no
des névrites isolées et des para- lysies limitées à un ou plusieurs
nerfs
; puis des affections à processus chronique (at
avant il est important de pratiquer l'exploration des réactions des
nerfs
et des muscles, qui renseignera, comme nous l'avo
re les deux renflements de la moelle, correspondant a l'origine des
nerfs
des membres, il l'action d'un seul pote, le pot
dirigé sur la moelle au traitement dirigé il la périphérie sur les
nerfs
et muscles para- lyses. On peut agir ainsi, soi
ans la poliomyélite', alors même que les. lésions secon- daires des
nerfs
périphériques et des muscles se sont montrées sen
ent semblables à l'examen électro-diagnostique. La restauration des
nerfs
et des muscles n'est cependant pas toujours compl
ue douleurs sur le trajet · [E HUET.] 1302 ÉLECTROTHÉRAPIE. des
nerfs
et douleurs au niveau des muscles, sont généralem
Pour la galvani- sation continue à diriger il la périphérie sur les
nerfs
et sur les muscles nous croyons cependant qu'il
els on a donné le nom de cellulo-névritcs, soit que les lésions des
nerfs
moteurs aient été primitivement intenses et aie
électrode con- vient très souvent dans ces cas. Les excitations des
nerfs
et des muscles se montrent également utiles; el
ment bons et sont souvent assez rapides. Paralysies par lésions des
nerfs
ou de leurs racines, lésions trauma- tiques, né
paralysies limitées au territoire périphérique d'un ou de plusieurs
nerfs
; d'autres fois, les paralysies sont distribuées
t de lésions ou d'altérations des plexus formés par les racines des
nerfs
, et parfois de lésions ou d'altéra- tions des r
rsqu'il est possible (suppri- mer, par exemple, la compression d'un
nerf
produite par les fragments ou par le cal d'une
fragments ou par le cal d'une fracture, suturer les deux bouts d'un
nerf
sec- tionné, etc.). Lorsque la cause de la pa
nt par l'élec- trisation se trouve généralement indiqué. L'état des
nerfs
et des muscles qu'ils animent reconnu par l'exa
ement qu'il convient d'appliquer. On peut se trouver en présence de
nerfs
et de muscles qui ont bien conservé leur excita
ns les paralysies dues à une compression modérée et transitoire des
nerfs
, la paralysie radiale du sommeil, par exemple,
paralysies périphériques par névrites localisées ou par lésions des
nerfs
, des plexus ou des racines nerveuses, il existe
r la colonne vertébrale, ou à la racine du membre, sur le trajet du
nerf
, et l'autre électrode, la cathode, à la périphéri
ou entretient la paralysie par la compression ou l'irritation d'un
nerf
, on peut chercher à ramollir et à réduire la cica
ration est suffisamment avancée et que l'excitabilité faradique des
nerfs
et des muscles a reparu, les courants faradique
u avec DR complète. - Dans les paralysies périphériques de quelques
nerfs
, le traitement comporte certaines particularité
t au-dessous et en arrière de l'oreille au niveau de l'émergence du
nerf
facial par le trou stylo-mastoïdien; au-devant de
e l'oreille, à la hall- teur du tragus, au niveau de la division du
nerf
facial en ses branches principales; sur la temp
e fait inégalement et incomplètement dans les divers territoires du
nerf
facial. Le plus souvent elle commence dans le t
t arrêter définitivement le traitement électrique. Paralysies des
nerfs
moteurs du globe oculaire. Dans le traite- ment
e est placée sur la colonne vertébrale à la hauteur des racines des
nerfs
animant les muscles atrophiés, une large cathode
dans ces cas de la DR plus ou moins accentuée dans le territoire du
nerf
atteint, ou dans des territoires radiculaires; il
amen anatomique ne fait pas reconnaître de lésions appréciables des
nerfs
, ce sont des névral- gies sine rnale1'ÙI. dans
t des névral- gies sine rnale1'ÙI. dans lesquelles les réactions du
nerf
et des muscles ne présentent habituellement pas
sur la région lombaire il la hauteur de l'émergence des racines du
nerf
scia- tique, elle est reliée au pôle négatif; l
péronicr), dans le creux poplité (point poplité), sur le trajet du
nerf
sciatique à la cuisse (points fémoraux inférieur,
galvanisation avec intro- duction d'ions médicamenteux. Bien que le
nerf
sciatique et ses princi- pales branches se trou
nt dans la névralgie sciatique. En agissant sur des terminaisons du
nerf
, ou sur certaines de ses ramifications situées
ique que l'on promène sur les points douloureux et sur le trajet du
nerf
. Ce genre de traitement est assez douloureux, d'a
est placé sur le tabouret isolant et l'on promène sur le trajet du
nerf
un excitateur en forme de pointe émoussée de fa
s; on peut encore pratiquer la friction électrique sur le trajet du
nerf
. D'autres fois le malade est couché sur une chais
e est appliquée au niveau des points douloureux ou sur le trajet du
nerf
. Celle seule électrode peut suffire, le courant
s isolé. On peut aussi appliquer sur une autre partie du trajet, du
nerf
, ou sur la colonne vertébrale au niveau de ses or
haute fréquence sur la colonne vertébrale au niveau de l'origine du
nerf
et sur tout le trajet de celui-ci. On peut y ajou
turatrice, etc., soit aux membres supérieurs, névralgies des divers
nerfs
du plexus brachial ; soit au tronc, névralgies in
eur donner se trouvent indiquées par les conditions anatomiques des
nerfs
qui sont le siège de la névralgie, parfois auss
t, assimilables sous de nombreux rapports aux névralgies des autres
nerfs
, elles présentent quelques particularités qui n
nt plusieurs formes. Les unes ressemblent aux névralgies des autres
nerfs
; il existe un état d'endolorissement ou d'engou
, alors même que la névralgie, est localisée à une seule branche du
nerf
trijumeau. Cette électrode, en forme d'e, prése
itement déjà indiqué contre ce genre de lésions. Les paralysies des
nerfs
moteurs des globes oculaires sont assez 1'1'1 ?
seillé, après en avoir retiré de bons résultats, la faradisation du
nerf
tibial postérieur. Nous-mêmes avons obtenu de b
Les courants faradiques se trouvent donc indiqués pour exciter les
nerfs
et provoquer la contraction des muscles. Pour h
excitant les muscles isolément ou en groupe par l'intermédiaire du
nerf
, soit par la méthode polaire, soit par la méthode
l'orbiculaire, du sonrcilier et du frontal, en évitant d'exciter les
nerfs
sus et sous-orbitaires. Il faut éviter aussi, p
nt avec un scalpel ou de petits ciseaux tenus de la main droite les
nerfs
de la base du crâne; la protubérance est sectio
est facile d'inciser la tente du cervelet, de couper les der- niers
nerfs
de la base du crâne et finalement de sectionner l
pour éviter toute erreur, « on peut aller à la recherche du premier
nerf
dorsal dans le « creux sus-claviculaire, au niv
du point où il entre dans la consti- « lutin du plexus brachial. Ce
nerf
est toujours facile à reconnaître, « car il pas
emière dorsale dans le canal rachidien correspond bien « au premier
nerf
dorsal. » Coupes macroscopiques de l'encéphale
IONS. 155t de petits fragments (système nerveux central, ganglions,
nerfs
périphé- riques). Ces petits fragments sont mai
. Méthode de Nageotte pour la coloration des fibres à myéline des
nerfs
, de la moelle et du cerveau. L'avantage de celte
au. L'avantage de celte méthode est de pouvoir donner des coupes de
nerfs
, de moelle ou de l'encéphale le lendemain de l'
e moelle ou de l'encéphale le lendemain de l'autopsie. - Pour les
nerfs
, la moelle et les faisceaux blancs du cerveau, la
es dans l'eau distillée. De minces tranches de tissu nerveux et les
nerfs
peuvent être, avant l'inclusion, colorées par l
d'instruments de verre pour manier les coupes. Méthodes d'étude des
nerfs
périphériques. J'ai indiqué, au cours de ce cha
différentes méthodes qui conviennent fort bien à la coloration des
nerfs
périphériques inclus (méthodes de Weigert, de P
lement préciser certains points de technique spéciaux à l'étude des
nerfs
péri- phériques. Les nerfs périphériques doiv
ts de technique spéciaux à l'étude des nerfs péri- phériques. Les
nerfs
périphériques doivent être manipulés avec une ext
r tout tiraillement qui peut produire des lésions artificielles. Le
nerf
sera fixé par deux liga- tures en extension.mod
quide de Bouin. - - MÉTHODES DE COLORATION. 1575 1 pour 100 où le
nerf
séjourne pendant quelques heures. On peut faire
. et Mme Dejerine conseillent la méthode suivante pour l'examen des
nerfs
, dans les cas de névrite périphérique : « On pr
périphérique : « On prend, aussitôt que possible après la mort, les
nerfs
cutanés et « musculaires dans les régions où on
nt de vue de la facilité de la dissociation, de ne pas prendre de «
nerfs
d'un diamètre supérieur il celui d'une aiguille à
our que « l'acide osmique puisse pénétrer dans toute l'épaisseur du
nerf
. Le « tronc nerveux est placé ensuite, pendant
/200, contenu dans un flacon bien « bouché. Au bout de ce temps, le
nerf
, qui a pris une coloration noire « d'autant plu
'on « borde avec du baume si l'on désire garder la préparation. Les
nerfs
" traités par cette méthode peuvent être conser
n'est. « pas à négliger, lorsqu'on doit examiner un grand nombre de
nerfs
. La « même méthode est applicable à l'étude des
st applicable à l'étude des racines spinales et de la « plupart des
nerfs
crâniens. Les préparations ainsi obtenues se cons
si on les tient dans l'obscurité. » Durante pour la coloration des
nerfs
recommande les procédés sui- vants : A) Color
stie, J 179. Achromatopsie, 118. Acorie. 1005. Acoustique, Voy.
Nerf
auditif. Acromégalie. La main, 1017. - Le pied,
les pseudo-tabes par lésions médul- laires, 760. - par lésions des
nerfs
INDEX ALPHABÉTIQUE. 1579 périphériques, 762
il). Résultats de l'examen des réactions électriques, lu)77. Voy.
Nerf
. Audition colorée, z, ' Auscultation des cent
ofibrilles, 15G8. - Imprégnation de Bielschowsky, z1570 Étude des
nerfs
périphériques, Il-) 72. 1572. . Coma. Descr
e la moelle, atrophies musculaires, 713. Radiothérapie, 1187. des
nerfs
, atrophies muscu- laires consécutives, 717. du
, 1207. Pénétration des ions, 1208. Effets physiologiques sur les
nerfs
moteurs et sur les muscles, 1210. Électrotonus,
eurs et sur les muscles, 1210. Électrotonus, 1211. Effets sur les
nerfs
sensitifs et vaso-moteurs, 1212. - Effets sur l
- lfets des états va- riables de fermeture et d'ouverture sur les
nerfs
moteurs et sur. les muscles,. méthode d'excitat
ns les affections des extré- mités,. 575. Dans les affections des
nerfs
, 370. de la moelle.-du cerveau, 577. Dans les n
tion myotonique, z Réaction myas- Ihénique, 1267. Exploration des
nerfs
sensilifs et sensoriels, 1269. Vertige voltaï
ropre de l'index. Innervation, physiologie, 555. F Facial, Yoy.
Nerf
facial. Facies mynpalhique, 689. Faim. \'icia
on de la bandelette, par lé- sion du chiasma, 54. - par lésion du
nerf
optique, 55. - par lésion orga- nique, 55. - sa
Innervation cutanée, topographie radi- culaire, 520. motrice des
nerfs
. rachidiens, 605. Insomnie, z. -. Causes, tr
chez les aliénés, 244. Néphrite interstitielle, vertiges, 171.
Nerf
acoustique, exploration électrique, réactions a
- -, névralgie, 586. - ? paralysie de la branche motrice, 627 f
Nerfs
, lésions, atrophies musculaires con- sécutives,
les, 127. - par la sclérose en pla- ques, le tabes, les lésions des
nerfs
, les névroses, 128. - Étude générale des niOU
niOUIlLES de l'ouïe, 12¡¡. - Maladies de l'oreille interne et du
nerf
acoustique, 132. - Troubles nerveux déterminés
. - du moteur oculaire externe d'origine auriculaire, 145. - du
nerf
circonflexe, 030. - du nerf radial, lia0. - t
ne d'origine auriculaire, 145. - du nerf circonflexe, 030. - du
nerf
radial, lia0. - traitement électrique, 1050.
30. - du nerf radial, lia0. - traitement électrique, 1050. - du
nerf
cubital. - du nerf médian , 652. - du nerf crur
ial, lia0. - traitement électrique, 1050. - du nerf cubital. - du
nerf
médian , 652. - du nerf crural, (i ? - du ner
électrique, 1050. - du nerf cubital. - du nerf médian , 652. - du
nerf
crural, (i ? - du nerf sciatique, 654. - du n
nerf cubital. - du nerf médian , 652. - du nerf crural, (i ? - du
nerf
sciatique, 654. - du nerf glosso-pharyngien, 02
an , 652. - du nerf crural, (i ? - du nerf sciatique, 654. - du
nerf
glosso-pharyngien, 027. - du nerf hypoglosse, 6
du nerf sciatique, 654. - du nerf glosso-pharyngien, 027. - du
nerf
hypoglosse, 629. - du nerf phrénique, 629. di
- du nerf glosso-pharyngien, 027. - du nerf hypoglosse, 629. - du
nerf
phrénique, 629. dit nerf pneumogastrique, 027.
, 027. - du nerf hypoglosse, 629. - du nerf phrénique, 629. dit
nerf
pneumogastrique, 027. - du nerf spinal, 0`â.
. - du nerf phrénique, 629. dit nerf pneumogastrique, 027. - du
nerf
spinal, 0`â. faciale et lagophtatmie paralytiqu
ctions, intoxications, 82. - Traite- ment électrique, 1508. - des
nerfs
crâniens et des nerfs spi- naux, 625. - du la
82. - Traite- ment électrique, 1508. - des nerfs crâniens et des
nerfs
spi- naux, 625. - du larynx, 645. hystériqu
- tions cérébrales, médullaires, 1055. - dans les altérations des
nerfs
et de leurs racines, 1055. - dans les myopathie
compressions, atrophies se- condaires, 718. Pneumogastrique. Voy.
Nerf
pnewno- gastrique. ' 1596 INDEX ALPHABÉTIQU
Pseudo-tabes par lésions médullaires, ataxie, 760. - par lésion des
nerfs
pé- riphériques. - polynévritique, 762. Trait
s de l'encéphale, 1256. - Lésions de la moelle, 1257. Lésions des
nerfs
, 1258. - Lésions des muscles, 1250. Significati
207. Réaction ntlloloniqrtc, caractères, 1262. - Excitabilité des
nerfs
, des muscles, 1265. - Réaction incomplète, 1266
305. - de la moelle, 515. - des racines rachidiennes, 556. - des
nerfs
péri- phériques, i'7. - dans les névroses, 55
- insulaire des troubles de la sensibilité dans les affections des
nerfs
, 351. - dans l'hystérie, 355. - médullaire mo
49. - paraplégique des troubles de la sensibilité par lésions des
nerfs
, 549. - périphérique des trou- bles de la motil
egmentaire des troubles de la sensibilité dans les affections des
nerfs
, 550. -- dans l'hystérie, 555. Torticolis menta
e, 526. - sural. Innervation, phy- siologie, 549. Trijumeau. Voy.
Nerf
trijumeau, Né- vralgie faciale. Tronc. Mensur
ent mécaniquement de conducteurs à un grand nombre d'entre elles. Les
nerfs
agissent à la fois comme agens incitateurs, presi
en a été le siège primitif; et, palles altérations que subissent les
nerfs
de la partie malade, le système nerveux, ébranlé
s surrénales. (e) Les gaines fibro-celluleuses des vaisseaux et des
nerfs
, moyens de liaison pour les canaux vasculaires eu
eette dénomination se rangerait le névrilème, enveloppe spéciale des
nerfs
considérés, par hypothèse, comme des canaux vascu
mplètes, à l'exception des vaisseaux, souvent très volumineux, et des
nerfs
qui les traversent, et sur les parois desquels el
e communication et de dégagement pour le passage des vaisseaux et des
nerfs
. Le bassin ne forme une cavité, ou mieux,un cylin
s servent, de distance à autre, de point d'appui aux vaisseaux et aux
nerfs
, qui les contournent en y traçant des sillons ou
grandes veines superficielles, les nombreux vaisseaux sanguins et les
nerfs
de la peau, renfermés clans autant de petites gai
épaisseur à partir de la périphérie, les vaisseaux secondaires et les
nerfs
rampent à la surface des aponévroses intcrmuscula
aires spéciales. Ainsi chaque loge ne reçoit que les vaisseaux et les
nerfs
appartenant au muscle qu'elle renferme; du moins,
ait de toute nécessité qu'ils fussent traversés, les vaisseaux et les
nerfs
, pour passer de la profondeur à la surface, gliss
e conducteurs ou de surfaces de support, aux vaisseaux et surtout aux
nerfs
, renfermés dans des gaines spéciales, donne à ces
par autant d'orifices, pour le passage des vaisseaux sanguins et des
nerfs
, et se continue, ou plutôt se mêle, par une dégra
sus fonctionnels. Les gaines fibro-celluleuses des vaisseaux el des
nerfs
composent une succession de cylindres réunissant
eaux les canaux vasculaires ctu'ils isolent des parties voisines. Les
nerfs
renfermés dans la gaîne commune, outre leur névri
ens excédant cent diamètres. Les tissus fibreux sont aussi pourvus de
nerfs
, et même le volume de certains filets de la dure-
nsé, il est douteux qu'elles renferment des vaisseaux sanguins et des
nerfs
, et même elles semblent totalement dépourvues de
oncs principaux, se composent d'uneartère, d'une veine et d'unou deux
nerfs
qualifiés improprement de satellites, car ce n'es
ntre également des vaisseaux blancs. On sait aussi qu'il s'y rend des
nerfs
. La texture du névrilème est analogue, à l'except
oppé, garnie d'un grand nombre de follicules, beaucoup moins riche en
nerfs
, dépourvue du pig-mentum coloré et généralement d
ous-muqueux, qui sert de traîneaux nombreux vaisseaux sanguins et aux
nerfs
, et dans lequel sont déposées les glandulcs sécré
La partie la plus profonde, ou le labyrinthe, qui loge l'expansion du
nerf
acoustique, ne s'ouvre que dans la cavité du crân
coustique, ne s'ouvre que dans la cavité du crâne pour le passage des
nerfs
. Dans l'état physiologique, elle n'a de rapport a
ation , de sécrétion et d'absorption ; et des surfaces d'expansion de
nerfs
doués d'une sensibilité spéciale et, qui varie da
é même des gaines dans lesquelles sont encastrés les vaisseaux et les
nerfs
, ont pour principal caractère t étranglement, qui
lles environnent. Les gaines fibro-celluleuses des vaisseaux et des
nerfs
, susceptibles d'une grande extensibilité, forment
parois n'aient dû être perforées pour le passage des vaisseaux et des
nerfs
, d'où il résulte que les moyens généraux de liais
a nutrition, des sécrétions et de toutes les fonctions spéciales. Les
nerfs
sont les conducteurs des sensations et des voliti
anguins sont aussi les conducteurs, il convient de leur assimiler les
nerfs
, dont l'influence matérielle est encore ignorée c
à un agent impondérable. distribution générale des vaisseaux et des
nerfs
. Après avoir tracé, dans l'anatomie d'isolement
un double point de départ : la cavité encéphalo-ra-chidienne pour les
nerfs
, et la cavité thoracique pour les artères ctlcs v
nes, n'offrirait qu'une image confuse, etque l'extrémité centrale des
nerfs
n'offre qu'un faible intérêt au point devue spéci
tant d'orifices costo-vertébraux pour le passage des vaisseaux et des
nerfs
intercostaux qui vont se distribuer dans les inte
ieur loge en arrière les gros vaisseaux sanguins et lymphatiques, les
nerfs
et les deux grands canaux aérien et alimentaire,
s vertèbres, par une série d'arcades pour le passage des vaisseaux et
nerfs
lombaires, qui vont se distribuer aux parois. A l
canal rachi-dien par les trous de conjugaison qui donnent passage aux
nerfs
cervicaux et aux artérioles et veines spinales. L
du cerveau. A sa base, en particulier, il offre, pour le passage des
nerfs
et des gros vaisseaux, un certain nombre d'orific
conduit auditif interne. Quant aux trous et aux canaux de passage des
nerfs
, on sait qu'ils peuvent donner lieu à des étrangl
u vasculaire commun, à double courant, artère, veines lymphatiques et
nerfs
, d'où procèdent les ramifications secondaires qui
le contour des orifices. Au-delà, les divisions des vaisseaux et des
nerfs
, pour gagner la loge spéciale à laquelle ils appa
'exercice des fonctions ; ces agens communs sont les vaisseaux et les
nerfs
logés par faisceaux d'un petit volume dans les po
hétérogènes, des os, des muscles, des aponévroses, des vaisseaux, des
nerfs
, le tout recouvert par une fraction de l'envelopp
névroses, et dans ses complications par le nombre et l'agencement des
nerfs
. C'est donc là proprement l'application de l'an
seaux qui accompagnent les vaisseaux du front médians et latéraux. 6°
Nerfs
. Ils sont fournis par la cinquième paire ; le ram
sous-occipital situé le long des attaches des muscles extenseurs. 6°
Nerfs
. Nombreux dans cette région, ils sont fournis: pa
anche sous-mastoïdienne du plexus cervical, la branche postérieure du
nerf
sous-occipital, et quelques filets de la première
uelques filets de la première paire cervicale. Le grand nombre de ces
nerfs
, et leur situation dans des gaines ostéo-fibreuse
peuse ou fascia superficialis, dans laquelle rampent les vaisseaux et
nerfs
temporaux superficiels, renfermés dans des gaines
profonds, artères et veines, fournis par les maxillaires internes. 5°
Nerfs
. Ils sont très nombreux, et dis posés sur deux
yennes, encastrées avec la dure-mère dans les sillons du pariétal; 4°
Nerfs
. Les filets nerveux sont des épanouissemens des b
le s'épanouit le petit muscle auriculaire postérieur. 3° Vaisseaux et
Nerfs
. Les artères et veines sont les auriculaires post
res postérieures, anastomosées avec les branches des occipitales; les
nerfs
proviennent du sous-occipital et du sous-mastoïdi
ce de ces vaisseaux explique le succès facile de la rhi-noplastie. 5°
Nerfs
. Ils sont fournis par le sous-orbitaire et le fac
ieur, une grande veine surnuméraire vient se jeter dans la faciale, y
Nerfs
. Les filets sensoriaux sont fournis par l'olfacti
es artères et veines sont les labiales supérieures et inférieures; 4°
Nerfs
. Ils sont fournis par le facial, le sous-orbitair
s particulièrement les dentaires inférieures et les sub-mentales. Les
nerfs
sont fournis par le facial et le dentaire inférie
es six muscles propres, et reçoit un grand nombre de vaisseaux et des
nerfs
, dont nous tracerons plus tard une énumération dé
Les lymphatiques se rendent dans les troncs faciaux et temporaux. 5°
Nerfs
. Les superficiels sont fournis par le facial, les
est traversé horizontalement par le canal de Sténon. 3° Vaisseaux et
nerfs
. Les artères et veines sont fournies par les faci
ines sont fournies par les faciales et leurs branches géniennes ; les
nerfs
proviennent du facial et du maxillaire inférieur.
l au-devant de l'oreille, l'autre profond sur les gros vaisseaux . 50
Nerfs
. Ils ne sont pas moins nombreux pour cette région
'épaisseur de la glande parotide s'épanouit, du crâne à sa sortie, le
nerf
facial ; en surface se présentent de nombreux ram
ation ; il suffit de se rappeler le nombre immense de vaisseaux et de
nerfs
qui s'y trouvent pour concevoir les dangers et le
ose par un tissu cellulo-vasculaire lâche, trame des vaisseaux et des
nerfs
superficiels, qui est fréquemment le siège des ph
e chapelet sub-mental et l'extrémité du grand confluent jugulaire, 7°
Nerfs
. Ils se distinguent en superficiels et profonds.
sur les côtés, et au milieu de la traînée ganglionaire trachéale. 5°
Nerfs
. Formés par un nombre considérable de filamens, l
ant de la neuvième paire ; au tube laryngo-trachéal appartiennent les
nerfs
laryngés du pneumo-gastrique ; et, derrière les g
anche a, fig. i ; et planche 6. seaux, sont situés le tronc du même
nerf
, le filet de communication du grand sympathique,
c du même nerf, le filet de communication du grand sympathique, et le
nerf
cardiaque supérieur. 6° Squelette. Comme dans la
ous le sterno-mastoiclicn, est la terminaison du canal thoracique. 5°
Nerfs
. En très grand nombre, ils se rapportent à plusie
lavière entre les scalènes, pour se diriger sous la clavicule; (c) le
nerf
diaphragmatique, qui descend sur le scalène antér
e, dont l'écartement donne passage aux vaisseaux sous-claviers et aux
nerfs
du plexus brachial. L'artère correspond au milieu
l. L'artère correspond au milieu de la convexité de la clavicule, les
nerfs
sont placés en dehors, et la veine en bas et en d
aires, la jugulaire postérieure et le réseau vertébral postérieur. 6°
Nerfs
. Ils sont fournis par les branches postérieures d
ont fournis par les branches postérieures des paires cervicales et le
nerf
spinal. Les plus nombreux, émanés du sous-occipit
ôté entre elles et avec les extrémités des artères intercostales. Les
nerfs
sont également les extrémités des intercostaux. L
grand oblique abdominal, outre les intercostaux. Les vaisseaux et les
nerfs
sont également fournis par les intercostaux et le
lactation ou dans les affections morbides de la glande mammaire. /\°
Nerfs
. Les plus superficiels sont fournis par les ramea
en plan profond, le sacro-spinal et ses annexes. Les vaisseaux et les
nerfs
sont fournis par les branches postérieures des in
s obliques ou transversales des intercostaux. Les lymphatiques et les
nerfs
se composent également de rameaux thoraciques et
rameaux, accompagnent les troncs sanguins ascendans et descendans. 5°
Nerfs
. Fournis par les filamens des derniers intercosta
ux lombaires et épi gastriques, avec lesquels ils s'anastomosent. Les
nerfs
sont les branches antérieures lombaires qui accom
la douzième côte, constitue le ligament cintré. Les vaisseaux et les
nerfs
sont fournis par les lombaires dont les branches
, est logé le plexus lombaire, formé par les branches antérieures des
nerfs
du même nom. Le squelette est constitué par les c
verticalement derrière le muscle sterno-pubien dans sa gaine. 5° Les
nerfs
proviennent des branches antérieures des lombaire
t vont se jeter dans la rangée supérieure des ganglions inguinaux. 6°
Nerfs
. Fournies par le plexus lombaire, les branches pr
aux lymphatiques, qui vont se jeter dans les ganglions inguinaux. Les
nerfs
, d'origine différente, se composent de filamens é
dorsale de la verge, de nombreux lymphatiques, et de longs rameaux du
nerf
honteux interne. Dans sa structure spéciale, cet
ège de différentes variétés d'hydrocèle proprement dite. Vaisseaux et
nerfs
des enveloppes testiculaires. Les vaisseaux sangu
es veines nombreuses dont la dilatation donne lieu au varicocèle, les
nerfs
dont le génito-crural, filéo-scrotal et un filet
qui longe le contour ostéo-fibreux rampent les gros vaisseaux et les
nerfs
dont les nombreuses ramifications croisent le pla
ls se rendent dans les ganglions inguinaux ou dans ceux du bassin. 6°
Nerfs
. Ils sont fournis par la branche ischiatique du p
uscles ischio-caverneux et ischio-clitoridien. Les vaisseaux et les
nerfs
, analogues dans leur disposition, sont fournis pa
ine du transversaire épineux ou le muscle sacré. Les vaisseaux et les
nerfs
sont fournis par les branches sacrées postérieure
le coccyx, renfermant l'extrémité du canal rachidien et les derniers
nerfs
composant la queue du cheval. Dans l'enfant, la
ermés isolément dans autant de loges ostéo-fibreuses. 4° Vaisseaux et
nerfs
. Les artères et veines sont : pour la moitié supé
avité du bassin et le périnée ; les divisions des lymphatiques et des
nerfs
sont analogues ; toutefois l'appareil lymphatique
s orifices de passage des vaisseaux fessiers et ischiatiques ; et aux
nerfs
propres de la région s'ajoutent le grand et le pe
isse, circonstance qui rend compte de la pression accidentelle de ces
nerfs
dans la station assise. 5° Squelette. Il se compo
ps et l'humérus, et clans lequel sont logés les gros vaisseaux et les
nerfs
du plexus brachial. En raison de l'importance de
t guère à s'étendre que sous les pectoraux eux-mêmes. 4° Vaisseaux et
nerfs
. C'est principalement au point de vue des vaissea
x et nerfs. C'est principalement au point de vue des vaisseaux et des
nerfs
que cette région est importante à étudier Les tro
t l'artère et la veine axillaires formant un faisceau commun avec les
nerfs
du plexus brachial ; l'artère, plus profonde, est
cée dans le milieu, côtoyée par la veine en bas et en dedans, par les
nerfs
en haut et en dehors, embrassée au-dessous du pet
embrassée au-dessous du petit pectoral par une anse d'anastomose des
nerfs
médian et musculo-cutané et croisée dans sa direc
nction des veines humerales pour former l'axillaire. Les vaisseaux et
nerfs
de second ordre sont : les artères et veines acro
dent les vaisseaux de l'amas ganglionaire du creux de l'aisselle. Les
nerfs
cutanés sont les sus-claviculaires du plexus-cerv
gros vaisseaux et le faisceau scapulaire du triceps. 4° Vaisseaux et
Nerfs
. Les vaisseaux et les nerfs particuliers à cette
au scapulaire du triceps. 4° Vaisseaux et Nerfs. Les vaisseaux et les
nerfs
particuliers à cette région sont : les artères, l
rfs particuliers à cette région sont : les artères, les veines et les
nerfs
thoraciques longs qui descendent verticalement au
ent, en arrière, l'origine des vaisseaux scapulaircs inférieurs et le
nerf
correspondant; dans ce point, le creux de l'aisse
ches récurrentes brachiales cutanées internes des second et troisième
nerfs
intercostaux. L'amas gan-glionaire lymphatique es
ire, en avançant en profondeur, se trouvent les gros vaisseaux et les
nerfs
du plexus brachial renfermés entre l'aponévrose d
ras étant élevé, se présente dans cet ordre : la veine basilique, les
nerfs
cubital et cutané interne; puis, le nerf radial,
e : la veine basilique, les nerfs cubital et cutané interne; puis, le
nerf
radial, la veine axillaire et le nerf médian; enf
tal et cutané interne; puis, le nerf radial, la veine axillaire et le
nerf
médian; enfin, l'artère numérale, la veine numéra
l'artère numérale, la veine numérale externe, et, en dernier lieu, le
nerf
musculo-cutané. S0Squelette. Il est formé par une
otateurs des sus-épineux, sous-épineux et petit rond. 4° Vaisseaux et
nerfs
. Les artères et veines sont : en avant et en haut
nflexes postérieures et des rameaux des scapulaires postérieures. Les
nerfs
émanent du circonflexe, de quelques filets du ple
à la huitième, et par les intercostaux correspondans. 4° Vaisseaux et
nerfs
. Les artères et veines sont fournies: pour la fos
précédens et par les scapulaires postérieurs et inférieurs. Parmi les
nerfs
, à la peau se rendent les filets sus-acroiniens d
iniens du plexus cervical superficiel; dans le trapèze, se ramifie le
nerf
spinal; aux muscles sus et sous-épineux, appartie
amifie le nerf spinal; aux muscles sus et sous-épineux, appartient le
nerf
sus-scapulaire et aux deux muscles ronds se rende
du triceps qui occupe les trois autres faces de l'os. 3° Vaisseaux et
nerfs
. Sous la peau régnent les deux grandes veines sup
insinuent au milieu du bras; la basilique est côtoyée en avant par le
nerf
cutané interne et le grand courant lymphatique du
as. Profondément dans le sillon des gros vaisseaux, se rencontrent le
nerf
médian et la veine numérale interne, recouvrant l
utre les branches vasculaires du second ordre, descend obliquement le
nerf
musculo-cutané, qui se dirige en dehors pour deve
ions des lymphatiques, aux lésions trauma-tiques des vaisseaux et des
nerfs
. C'est sur ce trajet que se pratique l'incision p
s supinateurs en bas. La seule considération importante a rapport aux
nerfs
et aux vaisseaux. Le nerf radial et les artères e
ule considération importante a rapport aux nerfs et aux vaisseaux. Le
nerf
radial et les artères et veines collatérales exte
ur apparaître en bas et en dehors clans le sillon des supinateurs; le
nerf
cubital, au contraire, longe la cloison aponévrot
doit prolonger en bas l'incision, il faut se rappeler la position du
nerf
brachial et de l'artère collatérale externe à la
Planche 1, n° l\o; et planche 9. i3 par rapport aux veines et aux
nerfs
sous-aponévrotiques qui en parcourent l'étendue.
ns son milieu, la médiane céphaliquc est croisée par les filaments du
nerf
cutané externe qui passe derrière elle sur l'apon
névrose; la médiane basilique est croisée, au milieu par les fdets du
nerf
cutané interne, et en haut par une branche superf
s du nerf cutané interne, et en haut par une branche superficielle du
nerf
cubital. Mais le danger de piquer cette veine est
le et cubitale antérieures. 3° Couche profonde: muscles, vaisseaux et
nerfs
. L'aponévrose d'enveloppe forme ici la suture ent
e milieu de l'articulation ; à deux lignes plus en dedans le tronc du
nerf
médian. Ces vaisseaux, comme nous l'avons dit, cr
ravers au-dessus de l'olécrânc par une arcade anastomotique. Pour les
nerfs
, la seule considération importante est le passage
. Pour les nerfs, la seule considération importante est le passage du
nerf
cubital dans une coulisse spéciale derrière et so
adiale et cubitale antérieures sur les côtés et par les divisions des
nerfs
cutanés externe et interne. Les muscles sont su
érieure de l'avant-bras, par le carré pronatcur. Les vaisseaux et les
nerfs
principaux figurent en grand nombre dans ce group
chisseur profond où ils sont côtoyés dans la moitié inférieure par le
nerf
cubital en dedans du tendon du cubital antérieur
r le nerf cubital en dedans du tendon du cubital antérieur : le grand
nerf
mé- 1 Planche i, n° 4^; et planche 9. dian, a
artiennent l'artère et les veines radiales, côtoyées en dehors par le
nerf
du même nom et protégées en commun parle tendon d
ses postérieures qui descendent entre les deux plans musculaires. Les
nerfs
ne sont que des filets spéciaux émanés des deux g
re l'artère cubitale, entre ses deux veines, côtoyée en dedans par le
nerf
du même nom ; 4° dans la gouttière ostéo-fîbreuse
ligament palmaire, la masse des tendons des trois fléchisseurs et le
nerf
médian; en dehors, en contournant d'arrière en av
vrose dorsale de la main. Sous le plan sous-aponévrotique passent les
nerfs
radial et cubital et les veines dorsales dont la
ns sous-jacens. En troisième plan viennent les branches digitales des
nerfs
médian et cubital, l'arcade palmaire de l'artère
és du doigt, dans des canaux fibreux, sont logés les vaisseaux et les
nerfs
collatéraux, disposition qui explique les douleur
dorsale elle-même est très inince. Entre elle et la peau rampent les
nerfs
et les veines dorsales; au dessous d'elle sont le
e gaine commune avec sa veine, qui la côtoyé en dedans, et séparée du
nerf
crural en dehors et en arrière par l'aponévrose d
hors et en arrière par l'aponévrose du psoas iliaque, qui renferme ce
nerf
dans un canal fibreux. C'est cette portion des gr
llatérales externe et interne pour les deux vastes et les branches du
nerf
crural qui les accompagnent. Cette région offre
par le feuillet d'enveloppe du troisième adducteur. Les vaisseaux et
nerfs
sont : en plan superficiel, les artérioles et vei
t : en plan superficiel, les artérioles et veinules sous-cutanées, le
nerf
petit sciatique et les rameaux cutanés qui en éma
x circonflexes internes et perforans et des filets provenant du grand
nerf
sciatique, renfermé lui-même dans une gaine verti
es séparés entre eux par des cloisons aponévrotiques. 5° Vaisseaux et
nerfs
. Ils se distinguent en superficiels et profonds :
perficielle au genou pour former le saphène interne. Les vaisseaux et
nerfs
musculaires sont en nombre considérable. Aux vais
et les branches externes récurrentes fournies par les poplitées. Les
nerfs
sont principalement des branches du crural pour l
n du triceps, et qui ferme, en avant, l'articulation. 4° Vaisseaux et
nerfs
. Les artères et veines sont : les articulaires su
en bas, du même côté, et d'un côté à l'autre autour de la rotule. Les
nerfs
sont des filets du crural et des sciatiques popli
intermédiaire à ces éminences, qu'existent les gros vaisseaux et les
nerfs
, dont la direction est verticale. 5° Vaisseaux et
sseaux et les nerfs, dont la direction est verticale. 5° Vaisseaux et
nerfs
. Procédant de la surface vers la profondeur : au
ur : au milieu, à quatre lignes derrière l'aponévrose, se présente le
nerf
sciaticpie poplité interne. Plus profondément app
asser derrière le péroné et sous la malléole externe. 5° Vaisseaux et
nerfs
. Au fond du sillon inter-osseux sont logées l'art
nourris par les branches horizontales des vaisseaux du même nom. Les
nerfs
sont fournis par le sciatique po-plité externe, d
musculo-cutanéc, qui devient superficielle au pied ; et, en avant, le
nerf
tibial antérieur, qui accompagne les vaisseaux pr
adipeux de médiocre épaisseur, elle est parcourue par la veine et le
nerf
saphènes postérieurs et leurs ramifications ; la
par l'aponévrose profonde qui les sépare du soléaire. 5° Vaisseaux et
nerfs
. Les vaisseaux sanguins sont en grand nombre : da
teurs des branches nombreuses des vaisseaux tibiaux et péroniers. Les
nerfs
de ces deux muscles sont fournis par le sciatique
x veines, qui descend verticalement côtoyée à son côté externe par le
nerf
du même nom ; en dehors, dans le sillon inter-oss
lentes. Le long du sillon interne rampe la grande veine saphène et le
nerf
du même nom ; l'abondance des veines affluentes a
s des varices si communes en ce point; l'épanouissement des filets du
nerf
saphène sur le tibia explique les vives douleurs
a face antérieure de l'articulation tibio-tarsienne, les vaisseaux et
nerfs
profonds. 3° Les tendons sont, de dedans en dehor
'extenseur commun et celui du péronier antérieur. 4° Les vaisseaux et
nerfs
sont : en plan sous-cutané, au milieu, le nerf su
. 4° Les vaisseaux et nerfs sont : en plan sous-cutané, au milieu, le
nerf
superficiel provenant de la branche musculo-cutan
n plan profond, les vaisseaux tibiaux antérieurs, qui passent avec le
nerf
tibial au-devant du ligament articulaire, derrièr
s gaines fibreuses de réception pour l'encastrement de la veine et du
nerf
saphènes, qui parcourent obliquement cette région
est accompagnée par les rameaux lymphatiques superficiels du pied. Le
nerf
saphène est ordinairement accolé en dedans delà v
s tendons péroniers. En arrière existe la veine saphène externe et le
nerf
du même nom, dont le trajet est vertical. Toutes
rieur en dedans, et des deux péroniers en dehors. 4° Les vaisseaux et
nerfs
analogues par leur trajet sont : en dedans, les v
ur trajet sont : en dedans, les vaisseaux tibiaux postérieurs et leur
nerf
satellite, réfléchis dans des gouttières fibreuse
lement, sont les quatre muscles inter-osseux dorsaux. 5° Vaisseaux et
nerfs
. En plan superficiel existent : (a) l'arcade ve
Ces veines sont accompagnées par deux troncs lymphatiques ; (b) les
nerfs
cutanés formés au milieu par l'épanouissement ray
les branches nerveuses digitales provenant de la division rayonnée du
nerf
tibial antérieur. 6° Squelette. Constitué en arri
nfin, en quatrième plan, les inter-osseux plantaires. 5° Vaisseaux et
nerfs
. La couche sous-cutanée, au point de vue anatomiq
traversent l'aponévrose pour se ramifier clans le tissu adipeux. Les
nerfs
sont des filets fournis parle tibial postérieur a
où procèdent les branches inter-osseuscs ou digitales plantaires. Les
nerfs
plantaires sont les divisions du tibial postérieu
palmaire par la gaine des deux tendons fléchisseurs. 4° Vaisseaux et
nerfs
. Ce sont les collatéraux externes et internes, di
oigner les incisions des lieux abondamment pourvus de vaisseaux et de
nerfs
, comme l'aisselle, l'aine, la marge de l'anus, et
lement égale dans tous les points, et on évite au besoin les artères,
nerfs
, tendons, et même les muscles, qui suivent en gén
tions. Toutefois , quand on peut craindre de léser des vaisseaux, des
nerfs
ou tout autre organe important, on préfère isoler
d'agir au travers de parties abondamment pourvues de vaisseaux et de
nerfs
qu'il est presque impossible de ne pas léser avec
s de tumeurs variées environnées d'un grand nombre de vaisseaux et de
nerfs
, et circonscrites par du tissu cellulaire qui peu
iter autant que possible de porter le cautère sur le trajet connu des
nerfs
et des artères d'un certain volume et sur les sai
isseaux, son siège le plus habituel, il détermine, parla pression des
nerfs
, des lymphatiques et des veines, des douleurs int
éviter avec soin de piquer ou d'embrasser, clans l'anse du lien , des
nerfs
, des vaisseaux ou des tendons. 5° La distance e
ilité clans les compressions accidentelles un peu prolongées du grand
nerf
sciatique, nous demanderions jusqu'à quel point c
rc métallique et mues par une vis de rappel, dont l'une comprimait le
nerf
sciatique et l'autre le crural. Pour appliquer ce
e un peu en dehors de l'axe des vaisseaux , de manière à comprimer le
nerf
crural et l'artère à leur passage, en évitant, du
soin que l'on apporte à contourner la face interne du bras, les deux
nerfs
cutanés, le médian et le cubital, sont seuls comp
euse par perméabilité, et les convulsions par défaut de nutrition des
nerfs
. 2° Sections variées avec obstacle à l'issue du
un anévrisme de l'artère poplitée, Boyer trouva , dans lépaisseur du
nerf
sciatique, une branche artérielle du volume de la
collatérales que le tronc principal, se fait sentir également sur les
nerfs
dont il engourdit la sensibilité, double motif qu
in de donner un jet de sang; (e) comme conséquence de la pression des
nerfs
et des veines, de ne pouvoir être maintenu pendan
u, plus exactement, sur les attaches humorales des muscles. Quant aux
nerfs
, la compression permanente est peu supportable en
peu supportable en haut, où il est inévitable qu'elle appuie sur les
nerfs
médian, cubital et les deux cutanés. Déjà, au mil
ital et les deux cutanés. Déjà, au milieu du bras, les trois derniers
nerfs
, s'écartant par leur direction, et le médian lui-
, il convient mieux d'agir au tiers inférieur du bras, où le tronc du
nerf
médian s'isole de l'artère en dedans. Toutefois,
mbe demi fléchie; mais comme elle est douloureuse par la pression des
nerfs
sciatiques poplités, incommode et peu sûre par la
t avec un bec à corbin tout le faisceau vasculaire, artère, veines et
nerfs
, plus ou moins environné de lambeaux de muscles e
les tissus compris avec l'artère : l'irritation spasmodique pour les
nerfs
; la phlébite pour les veines; le retard apporté à
ever et incliner la dent de manière à rompre au fond de l'alvéole son
nerf
et ses vaisseaux ; mais on s'arrête aussitôt cet
ant avec les doigts la racine dans sa position perpendiculaire, si le
nerf
est actuellement peu douloureux on presse sur la
ies, les vésicatoires de diverse étendue se placent sur le trajet des
nerfs
, au plus près de leur origine. Enfin, lorsqu'il n
a cautérisation ; 3" enfin, le trajet connu des gros vaisseaux et des
nerfs
. Diverses substances peuvent servira faire des
dification , qui écarte d'abord et laisse en arrière les vaisseaux et
nerfs
que l'on doit respecter, est, par cela même, d'un
ES. Jusqu'à notre époque, les fonctions élevées que remplissent les
nerfs
semblaient en avoir imposé à la hardiesse des chi
on. Tout au plus avait-on établi en précepte la section complète d'un
nerf
dilacéré ou incomplètement divisé, dans une lésio
es tentatives dans tous les genres, la chirurgie a osé s'attaquer aux
nerfs
eux-mêmes. Les névralgies faciales, rebelles à to
tites tumeurs fibreuses, causes d'atroces douleurs, sur le trajet des
nerfs
du péricrâne. Bientôt on a songé à pratiquer la s
anente ou périodique, même sans altération reconnue de la texture des
nerfs
. Le succès ayant légitimé la section de quelques
le frontal, le sous-orbitaire, le mentonnier, on s'est attaqué à des
nerfs
plus volumineux, le dentaire inférieur, le facial
n. Dans tous les cas, l'usage a prévalu de faire suivre la section du
nerf
de son excision , dans une étendue de quelques li
opinion suppose le retour de la faculté inconnue de transmission d'un
nerf
après section et cicatrice, et en assimile, en qu
encore suffisamment prouvée. Les indications pour les sections des
nerfs
sont, indépendamment de leurs lésions propres, ce
rmis d'agir; les résultats même de la section partielle de tel ou tel
nerf
ne sont pas bien connus. Or les nerfs sont des or
section partielle de tel ou tel nerf ne sont pas bien connus. Or les
nerfs
sont des organes trop importans pour que l'on ose
uième paire, l'expérience prouvant de plus en plus chaque jour que ce
nerf
est l'agent spécial de la sensibilité de la face:
ernent sont-ils les plus concluans. Mais en est-il de même du facial,
nerf
moteur, et peut-on préciser les cas dans lesquels
, sait-on toujours quel est l'agent ineitateur de la contraction , du
nerf
du mouvement ou de celui du sentiment? La cause n
ou de celui du sentiment? La cause n'en peut-elle être dans les deux
nerfs
, et même, souvent plus haut, dans l'encéphale lui
centres nerveux, et ne voit-on pas fréquemment, après la section d'un
nerf
, l'affection se reporter sur un autre et annuler
ais, en supposant la certitude acquise que l'affection est bornée aux
nerfs
, est-on au moins bien sûr de guérir? Assurément n
des succès assez nombreux pour en justifier l'emploi. Enfin quant aux
nerfs
des membres et du tronc, qui renferment à-la-fois
ue l'on peut obtenir, pour oser priver une partie considérable de ses
nerfs
du mouvement et du sentiment. La double paralysie
luide cérébro-spinal auparavant accumulé sur un point. sections des
nerfs
. Les règles qui dirigent le chirurgien dans la
es nerfs. Les règles qui dirigent le chirurgien dans la section des
nerfs
sont les suivantes, i0 Pratiquer l'incision sur l
anche principale au-dessus de tous les rameaux douloureux. 2°Isolerle
nerf
des tissus voisins en le dénudant, puis, la parti
égère irritation, que c'est bien la branche douloureuse. 3° Couper le
nerf
d'un seul coup, le plus haut possible du côté de
portant un fragment de quatre ou huit lignes sur le bout inférieur.
Nerfs
de la face. Nerf frontal. Situation anatomique.
de quatre ou huit lignes sur le bout inférieur. Nerfs de la face.
Nerf
frontal. Situation anatomique. Branche orbitaire
à l'os. Ecartant les lèvres de la plaie on isole le bout supérieur du
nerf
, on le saisit avec des pinces à disséquer et l'on
l'excision. Quant à l'artère, on la lie ou l'on en fait la torsion.
Nerf
sous-or rit aire. Situation anatomique. Accessibl
aie profonde et très aiguë empêchant de pouvoir saisir l'extrémité du
nerf
. L'hémorragie, si l'artère est coupée, peut être
dehors et en haut l'élévateur propre qui le recouvre. Parvenu sur le
nerf
, isolé dans la plaie, on le coupe à sa sortie et
e, on le coupe à sa sortie et on peut en exciser le bout inférieur.
Nerf
dentaire inférieur. Situation anatomique. Accessi
nier. A trois lignes de profondeur se rencontre ce trou, d'où sort le
nerf
accompagné de l'artère et de la veine. Rien de pl
amètre vertical de l'aire du trou se rencontre le faisceau composé du
nerf
, de l'artère et de la veine dentaires inférieurs,
s, entre dans le canal du même nom. Les vaisseaux mis à nu, isoler le
nerf
, le soulever avec une sonde en crochet, le couper
isque se trouve le faisceau des vaisseaux dentaires, artère, veine et
nerf
. Il est facile d'isoler ce dernier, de le couper
ernier, de le couper et de l'exciser. On ne peut le confondre avec le
nerf
lingual situé à une ou deux lignes plus en avant
canal osseux. Ce procédé n'a pas encore été employé sur le vivant.
Nerf
facial. On peut faire la section de ce nerf en de
employé sur le vivant. Nerf facial. On peut faire la section de ce
nerf
en deux points : i° superficiellement à sa sortie
ous du condyle, le prolongement de la glande parotide. Parvenu sur le
nerf
, qui longe parallèlement en dessous l'artère faci
on, soit totale, soit partielle, suivant que l'affection intéresse le
nerf
eu entier ou seulement une de ses branches. Si l'
idiens. Section profonde. {Procédé de M. Velpeau.) Pour attaquer le
nerf
à sa sortie du crâne, il est nécessaire que l'inc
, on peut atteindre encore avec assez de promptitude sur l'origine du
nerf
, en évitant de causer aucun accident. Le lobule d
ace de laquelle se trouvent les gros vaisseaux. Il atteint bientôt le
nerf
au-dessus des muscles styliens, à distance moyenn
en exciser ensuite le bout inférieur devenu flottant dans la plaie.
nerfs
des membres. Nous avons exprimé plus haut notre
ous avons exprimé plus haut notre opinion négative sur la section des
nerfs
des membres, à-la-fois conducteurs du sentiment e
rès-facile d'indiquer les incisions convenables pour atteindre chaque
nerf
en particulier; mais les succès n'étant pas encor
: de ce nombre sont les trajets connus des artères, des veines et des
nerfs
d'un certain volume. M. Richerand a vu la lésion
es malades chez lesquels de vives douleurs, résultat de la lésion des
nerfs
, reconnaissaient la même cause. Excepté le cas où
ses, peu mobiles, et qui ne sont pas trop voisines des artères et des
nerfs
. On s'assurera préalablement par le toucher de la
re du pli du bras, un point où l'on ne puisse blesser des rameaux des
nerfs
cutanés externe et interne. Il n'y a, du reste, d
e serait portée plus en dedans, l'artère cubitale à son origine et le
nerf
médian. 3° La saignée sur la médiane céphalique,
céphalique, au milieu de son trajet, peut intéresser les branches du
nerf
musculo-cutané qui croisent en arrière sa directi
né, et, à sa partie supérieure, elle croise en arrière les rameaux du
nerf
cutané interne; {b) en vlan profond, le danger es
nes profondes; plus haut, son abouchement dans la basilique répond au
nerf
médian. Procédé opératoire. Découvrir préalable
deux, sont sous-cutanées ; elles sont accompagnées par des filets du
nerf
saphène interne dont la branche de continuation l
ous, puis monte en arrière de la malléole externe, accompagnée par le
nerf
saphène externe logé dans une gaine spéciale le l
et moins accessible que l'interne, est dangereuse par la proximité du
nerf
saphène ex- 1 Voy. pl. 29, fi{j. 4 et 5 ; el po
YAnatomie chirurgicale, page 58. terne. La seule chance d'éviter ce
nerf
est de commencer la piqûre sur le bord postérieur
le lieu où l'on opère, on doit craindre la rencontre de veines ou de
nerfs
sous-cutanés, (b) L'incision de l'aponévrose form
la présence de diverses parties, soit une aponévrose, un tendon ou un
nerf
, etc., constituent les points de repère ou de ral
caractère et à la situation relative des parties, artère , veines et
nerfs
, qui le composent. Isolement de l'artère. i°
uis reconnaître la position de l'artère par rapport aux veines et aux
nerfs
. Si l'on éprouve quelque hésitation , faire suspe
l existe à la fois une grosse veine d'un eôté , et de l'autre de gros
nerfs
qui peuvent en imposer pour l'artère ( ex. axilla
xillaire ), il vaut mieux introduire d'abord l'instrument du côté des
nerfs
, pour s'en débarrasser immédiatement; sauf à dépr
que erreur, en embrassant au lieu de l'artère soit une veine, soit un
nerf
. Une veine est facile à reconnaître à sa couleur
et à la mollesse de son tissu, mais il n'en est pas de même d'un gros
nerf
: soit, par exemple, l'un de ceux du plexus brach
au milieu entre ses deux veines et côtoyée en dedans par un filet du
nerf
tibial antérieur. Inciser la gaîne des vaisseaux
ses deux veines et croisée diagonalement, suivant sa longueur, par le
nerf
tibial antérieur qui est externe en haut, antérie
g. 5g et pl. 12. à nu, l'inciser en dédolant sur un pli. écarter le
nerf
tibial, soit en dedans, soit en dehors, suivant s
dans une gaîne vasculaire commune et longé à son côté externe par le
nerf
tibial postérieur, l'ensemble du faisceau vascula
ux longs fléchisseurs et du jambier postérieur, et, en dehors, par le
nerf
tibial postérieur; inciser alors la gaine, isoler
Le faisceau vasculaire étant mis à découvert, côtoyé en dehors par le
nerf
tibial postérieur, inciser de pointe, en dédolant
timètres environ de profondeur de la peau, s'étalent les divisions du
nerf
sciatique poplité interne ; et plus en avant enco
edans deux fortes branches du triceps sural plus internes. Isoler les
nerfs
et les écarter en dedans avec la sonde, puis écar
ons prétibiaux; la peau étant coupée, écarter en avant la veine et le
nerf
saphènes internes qui se présentent, puis inciser
n dedans et recouvrant pour l'opérateur l'artère placée en dehors, le
nerf
tibial situé au milieu et sur la face postérieure
le poplité; glisser le dos de la sonde sous cette veine, puis sous le
nerf
, les soulever en arrière et les faire maintenir é
resser toute l'épaisseur de la peau pour ne pas couper la veine et le
nerf
saphènes internes, qui se rencontrent vers l'angl
imètres. Il faut prendre garde également ici de couper la veine et le
nerf
saphènes; mais il est inévitable de diviser les g
isième adducteur, la position relative des vaisseaux est telle que le
nerf
crural, contenu dans une gaîne spéciale accolée à
li tenu par la pince, l'attirer vers soi et refouler par cela même le
nerf
en avant; dénuder avec le bec de la sonde l'artèr
nt la gaine vasculaire, l'artère antérieure, la veine postérieure, le
nerf
externe; dénuder et lier comme il est dit précéde
rtère qui est antérieure et interne, la veine étant postérieure et le
nerf
externe, et se conduire pour la ligature comme pr
la veine interne et un peu postérieure; il n'y a point à s'occuper du
nerf
crural placé en dehors et tout à fait en arrière
amenant vers soi sur l'ongle de l'indicateur dont la pulpe déprime le
nerf
crural sous son aponévrose de revêtement. Artèr
supérieure et plus profonde, la veine postérieure et inférieure et le
nerf
encore au-dessous. Ouvrir la gaine, écarter la ve
rter avec le bec de la sonde cannelée les veinules et les filamens du
nerf
radial; le faisceau vasculaire mis à découvert au
ceau vasculaire, l'artère entre ses deux veines, et plus en dehors le
nerf
radial ; ouvrir la gaine avec la sonde cannelée s
it traverser diagonalement la plaie, détourne également les filets du
nerf
cutané externe, incise sur la sonde cannelée l'ap
tère entre ses deux veines, et, parallèlement à leur côté externe, le
nerf
radial. C'est ce gros cordon nerveux qu'il s'agit
des muscles de l'éminence hypothénar. Longée par ses deux veines, le
nerf
cubital la côtoie plus en dedans. Inciser la pe
veines, sur le muscle fléchisseur profond et côtoyée en dedans par le
nerf
cubital, l'artère est placée à quinze ou seize mi
hisseur profond. Ecartant alors ou en dedans ou en dehors le tronc du
nerf
médian juxta-posé, on peut pratiquer la ligature
rposée entre les branches externe et interne quand il y en a deux. Le
nerf
médian, qui sert de guide dans les opérations ,1a
pour ne pas intéresser la veine médiane basilique et les filamens du
nerf
cutané interne immédiatement sous-jacens ( pl. 9
e. Alors apparaît le faisceau vasculaire profond ; en premier plan le
nerf
médian appliqué au côté interne et antérieur de l
et qui s'en éloigne d'un centimètre en bas. Écarter préalablement ce
nerf
en dedans; la gaîne vasculaire mise à nu, l'artèr
orde le biceps , et en particulier le cordon sous-cutané formé par le
nerf
médian. Si le sujet est très musclé, et parconséq
gts de la main gauche, dont la pulpe sent en profondeur la saillie du
nerf
médian et les battemens de l'artère, inciser vert
ns sa gaîne aponévrotique en dehors ou vers soi. Alors se présente le
nerf
médian, que l'on écarte également en dehors; au-d
es deux veines, ou avec une seule veine interne, et plus en dedans le
nerf
cutané interne. Inciser la gaîne sur un pli, dénu
l'interne, et glisser l'instrument de dedans en dehors en évitant le
nerf
médian. 3° Ligature à la partie supérieure du b
ceps, et reconnaît, à travers les tégu-mens, le cylindre formé par le
nerf
médian et l'artère sensible à ses battemens. La d
ngueur de la plaie, se présente a nu le faisceau des vaisseaux et des
nerfs
. Abaisser alors un peu le bras et le rappeler à s
en dehors, et qui forme le bord externe, se présentent : le cordon du
nerf
médian, puis la veine humérale, soit le tronc uni
e interne, si elle est double; au delà sont, en situation normale, le
nerf
cutané interne, la veine basilique déjà reconnue
rmale, le nerf cutané interne, la veine basilique déjà reconnue et le
nerf
cubital. Ouvrir avec beaucoup de précaution la ga
lors se découvre placée entre cette veine, eh dedans, et en dehors le
nerf
médian , et plus profondément la veine humérale e
tion transversale des muscles qui la revêtent et de l'intrication des
nerfs
du plexus brachial et des vaisseaux secondaires d
l, se présentent les vaisseaux acromio-thoraciques et les rameaux des
nerfs
thora-ciques supérieurs, et, un centimètre et dem
a veine axillaire recouverte par l'entrelacement des vaisseaux et des
nerfs
déjà nommés; en dehors de la veine sont le nerf m
des vaisseaux et des nerfs déjà nommés; en dehors de la veine sont le
nerf
musculo-cutané et les deux racines du nerf médian
dehors de la veine sont le nerf musculo-cutané et les deux racines du
nerf
médian. Dénuder alors avec beaucoup de ménagement
par quelques rameaux acromio-thoraciques, et recouvre en arrière les
nerfs
cutané interne et cubital et une portion de fartè
recouverte par la veine; enfin plus en dehors et en arrière sont les
nerfs
médian, musculo-cutané et radial, et à la partie
ux de dehors en dedans, la main rapprochée du tronc, en déprimant les
nerfs
internes avec l'indicateur qui reçoit le bec de l
rfs internes avec l'indicateur qui reçoit le bec de l'instrument, les
nerfs
externes, dans cette manière d'agir, se trouvant
abord, il est facile de s'égarer et de prendre pour l'artère l'un des
nerfs
qui la côtoient, les battement qui la font reconn
inent sur les autres cordons cylindriques et cesser, en tirant sur un
nerf
embrassé, comme quand c'est l'artère elle-même qu
ndeur de l'artère elle-même et par le grand nombre de vaisseaux et de
nerfs
, superposés à divers plans, qui traversent la pl
l'intervalle des scalènes entre le tendon du scalène antérieur et les
nerfs
du plexus brachial qui la séparent du scalène pos
ervico-trans-verses, qui parcourent la plaie en travers; 5° eniin les
nerfs
1 Voy. A nato m ie topographique, région sus-cl
edans, le tendon du scalène antérieur, soit, en dehors, le relief des
nerfs
du plexus brachial, aller reconnaître le tubercul
re avec la sonde jusque sur le vaisseau, en se tenant en dedans des
nerfs
du plexus brachial reconnaissables à leur couleur
nseille d introduire l'aiguille de dedans en dehors, en déprimant les
nerfs
du plexus brachial avec le doigt qui guide et reç
ns, au contraire, plus aisé et plus sûr de déprimer préalablement les
nerfs
, pour les mettre de prime abord en dehors de la c
ns la plaie le doigt indicateur gauche et faire écarter en dehors les
nerfs
du plexus brachial ; le doigt perçoit alors l'art
les chirurgiens prescrivent, à ce sujet, de prendre garde de léser le
nerf
diaphragmatique , en avant cl au côté interne du
urs les parties avant de les diviser, et préalablement reconnaître le
nerf
diaphragmatique pour éviter de le léser. La rétra
la veine occipitale superficielle au-dessus, la veine profonde et le
nerf
au-dessous : dénuder l'artère et passer dessous l
veine linguo-faciale , qui la recouvre à l'extérieur , au-dessous du
nerf
hypoglosse, ces parties elles-mêmes étant recouve
et en haut; en bas et en dedans se présente l'artère surmontée par le
nerf
hypoglosse et par sa veine sur le muscle hyogloss
sculaire du digastrique et du stylo-hyoïdien sous lequel est situé le
nerf
hypoglosse; à deux millimètres au-dessous de ce n
uel est situé le nerf hypoglosse; à deux millimètres au-dessous de ce
nerf
est l'artère, qui s'enfonce sous le mylo-hyoïdien
iques. On tombe alors sur le faisceau vasculaire : en premier plan le
nerf
hypoglosse, qui traverse la plaie ; puis la veine
toïdien refoulé en arrière, dénuder et écarter dans le même sens le
nerf
grand hypoglosse et le tronc veineux linguo-facia
ilet de communication du grand sympathique ; et à son côté externe le
nerf
pneumo-gastrique , dans le sillon qui la sépare d
de d'embrasser clans son anse ou de confondre au passage en dedans le
nerf
grand sympathique et en dehors le pneumo- gastriq
ors le tronc veineux braehio-céphalique et prenant garde de léser les
nerfs
cardiaques et le récurrent; puis, contenant ces p
e le tronc veineux braehio-céphalique; enfin, derrière ces veines, le
nerf
pneumo-gastrique, le récurrent et les filets card
avec facilité sur le doigt indicateur qui comprime les veines et les
nerfs
en dehors et contournant de lui-même en arrière,
même, sa proximité des gros vaisseaux et du cœur, le grand nombre des
nerfs
et de vaisseaux secondaires situés au-devant, l'e
en prenant garde d'embrasser dans la courbure de l'aiguille le petit
nerf
satellite. Modification de M. Roux. Elle consis
îne aponévrotique dans laquelle sont encastrés de nombreux rameaux du
nerf
grand sympathique ; appliquée en arrière sur les
manœuvres lentes et délicates pour isoler l'artère des veines et des
nerfs
qui l'accompagnent. ANÉVRISME ARTÉRIEL ou anévr
, le bout d'une sonde, algalie ou stylet. Isoler l'artère des veines,
nerfs
et tissus voisins, l'environner par la ligature,
une grande étendue, on pourrait éviter de tordre avec lui les veines,
nerfs
, branches collatérales, etc. 5° Ecrasement, mâc
des mouvemens des organes voisins. A part les cas où la déchirure des
nerfs
occasionne promptement des complications funestes
nt chaque nouvelle incision, la position des divers organes, artères,
nerfs
, etc., que l'on doit éviter, et la direction suiv
rd elles seront soudées par un cal. 3° Lésions des vaisseaux et des
nerf
. Ces accidens réclament, quant aux vaisseaux, l'e
ux vaisseaux, l'emploi des divers moyens hémostatiques ; et quant aux
nerfs
, la section complète des rameaux dilaceres. Enf
s orbiculaircs l'incision sera placée en dehors, les vaisseaux et les
nerfs
étant généralement situés à la partie interne des
les, l'une interne, l'autre externe, pour éviter les vaisseaux et les
nerfs
, toujours placés en avant ou en arrière, etc. L
au milieu desquelles il faudra trouver et isoler les vaisseaux et les
nerfs
qu'il est si important de ne pas léser. Section
difficulté de ménager le grand nombre de tendons, de vaisseaux et de
nerfs
qui environnent l'articulation de toutes parts.
nt à mesure les tendons pour éviter ces organes, les vaisseaux et les
nerfs
radiaux et cubitaux. Une nouvelle compresse rasse
avantage pour le malade. Modification de Dupuytren. La position du
nerf
cubital rend sa section presque inévitable lorsqu
les bords sont écartés par des aides afin de ménager les vaisseaux et
nerfs
importans. Nous pensons que la difficulté de ce
ler avec beaucoup plus de sécurité les organes voisins et sur-tout le
nerf
cubital, sans rien ajouter aux dangers du procédé
édé de M. Jceger. S'assurer, en y portant le doigt, de la position du
nerf
cubital, qui est situé dans une coulisse ostéo-fi
s et demi) et dont la partie moyenne tombe sur le condyle interne. Le
nerf
cubital isolé de sa gaîne, et soulevé avec un cro
le plus simple deux incisions : l'une longitudinale sur le trajet du
nerf
cubital, l'autre transversale qui a servi à pénét
tion serait de rendre la désarticulation plus facile et de ménager le
nerf
circonflexe. Ce procédé et le précédent ne sont g
qui forment les bords du creux axil-laire et de tous les vaisseaux et
nerfs
importans. Les parties ainsi protégées et écartée
s'approche davantage du milieu de l'os, c'est-à-dire des vaisseaux et
nerfs
sous-claviers. 2° Lorsque l'hémorragie est très d
rase la face postérieure de l'os de manière à éviter les vaisseaux et
nerfs
péroniers. Parvenu en arrière et en avant de l'es
au des tendons des muscles extenseurs et court péronier, l'artère, le
nerf
tibial antérieur, la veine saphène interne et les
, des muscles profonds postérieurs et des péroniers, par l'artère, le
nerf
tibial postérieur et la veine saphène externe. Un
e manœuvre demande les plus grandes précautions pour ne pas couper le
nerf
tibial antérieur, qui contourne en dehors le col
s perdre de vue. Ainsi on évitera en partie la section des filets clu
nerf
facial, qui donnent le mouvement aux muscles de l
igeant l'incision des parties molles parallèlement aux rameaux cle ce
nerf
. Pareille observation s'applique au conduit cle S
ervation s'applique au conduit cle Sténon, à l'artère faciale, et aux
nerfs
sous-orbitaire et mentonnier. Mais si ces règles
du nez et de la bouche pour le déjeter en arrière, et, s'il coupe le
nerf
sous-orbitaire, du moins il conserve ainsi l'inté
sous-orbitaire, du moins il conserve ainsi l'intégrité des filets du
nerf
facial, du canal de Sténon et cle l'artère facial
que de haut en bas et d'avant en arrière qui divisera du même coup le
nerf
maxillaire supérieur et les connexions de l'os av
l'ordinaire; seulement M. Mott recommande de diviser complètement le
nerf
dentaire inférieur avant d'exercer aucune tractio
aucune traction sur la tumeur, et de ne point oublier les rapports du
nerf
lingual de la cinquième paire. On pourra, suiva
bitale et radiale, et leurs branches digitales et inter-osscuses, les
nerfs
, la terminaison de la synoviale du carpe, les ten
face du moignon. Troisième temps. Diviser le périoste et surtout le
nerf
radial, dans la gouttière du triceps; placer la c
nt. Les artères ouvertes sont : i° la tibiale antérieure accolée au
nerf
au-devant du ligament inter-osseux, et coupée à q
un filet du crural qu'il ne faut pas comprendre dans la ligature. Le
nerf
sciatique fait quelquefois saillie après l'opérat
maires diviser d'un seul coup la peau, l'aponévrose, les vaisseaux et
nerfs
et les tendons fléchisseurs de manière à mettre i
, dans lequel se trouvent compris en dedans les gros vaisseaux et les
nerfs
. Procédé de Garengeot. Il diffère du précédent
rticulation et terminer en coupant d'un seul trait les vaisseaux, les
nerfs
et les muscles du jarret perpendiculairement à le
n arrière les faisceaux des muscles jumeaux avec les vaisseaux et les
nerfs
. 4° Enfui entrer dans l'articulation, diviser les
NICATION INTERORGANIQUE. Distribution générale des vaisseaux et des
nerfs
, 23, 24. —Cavité thoracique, 24. — Cavité abdomin
l'hydrocéphale, 136. — Ponction de ihydrorachis, 137. Section des
nerfs
. Nerf frontal, nerf sous-orbitaire, nerf dentaire
céphale, 136. — Ponction de ihydrorachis, 137. Section des nerfs.
Nerf
frontal, nerf sous-orbitaire, nerf dentaire infér
— Ponction de ihydrorachis, 137. Section des nerfs. Nerf frontal,
nerf
sous-orbitaire, nerf dentaire inférieur, 137. — N
orachis, 137. Section des nerfs. Nerf frontal, nerf sous-orbitaire,
nerf
dentaire inférieur, 137. — Nerf facial, nerf des
s. Nerf frontal, nerf sous-orbitaire, nerf dentaire inférieur, 137. —
Nerf
facial, nerf des membres, 138. OPÉRATIONS QUI S
al, nerf sous-orbitaire, nerf dentaire inférieur, 137. — Nerf facial,
nerf
des membres, 138. OPÉRATIONS QUI SE PRATIQUENT
l'omoplate. G. Tête de l'humérus dans sa capsule. 4° VAISSEAUX ET
NERFS
. 1. Artère carotide primitive. 2. Veine jugul
7. Artère carotide externe. 8. Tronc veineux linguo-facial. 9.
Nerf
grand hypoglosse. 10. Branche nerveuse occipita
, septième, huitième paires cervicales, et première dorsale). 14.
Nerf
de la septième paire crânienne (portion dure).
rtion dure). 15. Vaisseaux maxillaires internes. 16. Vaisseaux et
nerfs
dentaires inférieurs. 17. Vaisseaux faciaux.
e jugulaire. L'aponévrose revêt en ce point la veine jugulaire, les
nerfs
de la huitième et de la neuvième paires, et le gl
galement vus en transparence. 8, 8. Cinquième et sixième paires des
nerfs
cervicaux. Au-dessous se voient les septième et h
lexus brachial. On a conservé ce plexus pour montrer les rapports des
nerfs
, séparés des gros vaisseaux par l'aponévrose prév
otide primitive. 14. Grand sympathique. 15. Pneumo-gastrique. Ces
nerfs
sont coupés à leur sortie du crâne. 16. Vaissea
ANATOMIE CHIRURGICALE. PLANS MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET
NERFS
DU PÉRINÉE. ADULTE, GRANDEUR NATURELLE. DIS
. 2. Veines cutanées correspondantes. 3. Branche superficielle du
nerf
honteux interne, avec ses ra- meaux fémoraux et
8. Branches du releveur de l'anus et des sphincters. 9. Tronc du
nerf
honteux interne. On suit sur la figure ses divi-
m. Vaisseaux spermatiques. n, n. Branches du plexus lombaire. 0.
Nerf
crural. p. Anneau crural qui donne accidentelle
ATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET
NERFS
DES RÉGIONS LOMBAIRE, FESSIÈRE ET FÉMORALE PO
rsale. 7. Aponévrose des dentelés. 8.8. Branches postérieures des
nerfs
lombaires. 9.9. Branches postérieures des vaiss
sculaire du grand fessier supérieur (abducteur de la jambe ). 16.
Nerfs
fessiers. 17. Artères et veines fessières. 18
essier inférieur (extenseur de la cuisse.) 19. Ses vaisseaux et ses
nerfs
fournis par les troncs ischiatiques. F. Grande
s. Côté droit. G. Loge du moyen fessier avec ses vaisseaux et ses
nerfs
. H. Loge du pyramidal avec ses vaisseaux et ses
sseaux et ses nerfs. H. Loge du pyramidal avec ses vaisseaux et ses
nerfs
. I K. Loges des jumeaux supérieur et inférieur
oges des jumeaux supérieur et inférieur avec leurs vaisseaux et leurs
nerfs
. L. Loge du carré crural avec ses vaisseaux et
x et leurs nerfs. L. Loge du carré crural avec ses vaisseaux et ses
nerfs
. 20. Nerfs grand et petit sciatiques, enveloppé
rfs. L. Loge du carré crural avec ses vaisseaux et ses nerfs. 20.
Nerfs
grand et petit sciatiques, enveloppés en haut dan
e. M. Loge de la longue portion du biceps avec ses vaisseaux et ses
nerfs
. Au fond, en dedans, on aperçoit en transparenc
ux et ses nerfs. Au fond, en dedans, on aperçoit en transparence le
nerf
grand sciati que. 21. Nerf petit sciatique au-d
n dedans, on aperçoit en transparence le nerf grand sciati que. 21.
Nerf
petit sciatique au-devant de la loge. N. Loge d
ant de la loge. N. Loge du demi-tendineux avec ses vaisseaux et ses
nerfs
. O. Loge du demi-membraneux. P. Aponévrose fasc
le. Côté droit. R. Intérieur de la loge du grand adducteur. 22.
Nerf
grand sciatique avec les rameaux qu'il fournit au
sciatique avec les rameaux qu'il fournit au grana adducteur. 23.
Nerf
petit sciatique. 24. Vaisseaux et nerfs provena
au grana adducteur. 23. Nerf petit sciatique. 24. Vaisseaux et
nerfs
provenant des obturateurs. ; 25. Branches termi
ATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONEVROSES, VAISSEAUX ET
NERFS
DU COU ET DE L'AISSELLE. ADULTE, GRANDEUR NATUR
(2). Dans l'intérieur de la loge se distribuent les vaisseaux et les
nerfs
propres du muscle, et derrière son feuillet posté
des vaisseaux thyroïdiens, de nombreux vaisseaux lymphatiques et des
nerfs
. AISSELLE, le bras étant élevé en arriere.
ité supérieure de la loge du grand dorsal avec ses vaisseaux et ses
nerfs
. H. Feuillet de la loge du grand dorsal qui lim
l'œil supérieurement où il passe au-devant des gros vaisseaux et des
nerfs
. Il contracte, en arrière, des adhérences avec le
llaire. 9. Veine axillaire, un peu airignée en bas pour dégager les
nerfs
. 10. Tronc du nerf cutané externe, avant qu'il
llaire, un peu airignée en bas pour dégager les nerfs. 10. Tronc du
nerf
cutané externe, avant qu'il envoie une forte br
u'il envoie une forte branche au médian. 11. L'une des racines du
nerf
médian. 12, 12. Vaisseaux acromio-thoraciques,
nes du nerf médian. 12, 12. Vaisseaux acromio-thoraciques, avec les
nerfs
qui se distribuent aux muscles pectoraux. 13. V
ste aux deux extrémités. Dans cette loge rampent ses vaisseaux et ses
nerfs
propres, et au fond se voit en transparence le de
par les branches brachiales cutanées internes des second et troisième
nerfs
intercostaux. 14. Artère brachiale. 15. Veine
brachiale. 15. Veine humérale interne. 16. Veine basilique. 17.
Nerf
musculo-cutané. 18. Nerf médian. 19. Nerf cut
rale interne. 16. Veine basilique. 17. Nerf musculo-cutané. 18.
Nerf
médian. 19. Nerf cutané interne. 20. Nerf cub
Veine basilique. 17. Nerf musculo-cutané. 18. Nerf médian. 19.
Nerf
cutané interne. 20. Nerf cubital. Le nerf rad
f musculo-cutané. 18. Nerf médian. 19. Nerf cutané interne. 20.
Nerf
cubital. Le nerf radial et les vaisseaux collat
18. Nerf médian. 19. Nerf cutané interne. 20. Nerf cubital. Le
nerf
radial et les vaisseaux collatéraux externes ne s
ATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET
NERFS
. DES RÉGIONS INGUINALE ET FEMORALE ANTÉRIEURE
du muscle couturier. 16. 16. Vaisseaux fémoraux accompagnés de leur
nerf
satellite, et vus en transparence derrière la l
EL Loge musculaire du fascia-lata garnie de ses vaisseaux et de ses
nerfs
. I. Loge musculaire du droit antérieur de la cu
du droit antérieur de la cuisse , garnie de ses vaisseaux et de ses
nerfs
. K. Portion de l'aponévrose fémorale qui revêt l'
ATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET
NERFS
DES RÉGIONS INGUINALE, ABDOMINALE INFÉRIEURE
ntérieures des vaisseaux lombaires. 11, 11. Filamens antérieurs des
nerfs
lombaires. 12, 12. Ligne blanche. 13. Anneau
vaisseaux récurrens iliaques (17) et par les branches antérieures des
nerfs
lombaires (18, 18). 3° RÉGION INGUINO - FEMORAL
seaux de nutrition dégagés des vaisseaux fémoraux. 22. Vaisseaux et
nerf
obturateurs vus en transparence derrière le feu
Rameau nerveux du même muscle fourni par l'obturateur. 25. Tronc du
nerf
obturateur vu en transparence derrière le feuille
ournis par les vaisseaux fémoraux , et accompagnés d'un filament du
nerf
crural, et vaisseaux musculaires fournis par les
. On voit en transparence les vaisseaux collatéraux externes et leurs
nerfs
satellites. N. Loge du fascia-lata avec ses vaiss
rs nerfs satellites. N. Loge du fascia-lata avec ses vaisseaux et ses
nerfs
. Tome 6 Pl.6. Dessiné d'après nature par N.H.
ATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET
NERFS
DU MEMBRE THORACIQUE. Figure i. — Plan antéri
GURE 1. A. Muscle deltoïde dans sa gaîne, avec ses vaisseaux et ses
nerfs
. B. Section du muscle grand pectoral. Creux a
nerfs. B. Section du muscle grand pectoral. Creux axillaire. 1.
Nerf
médian. 2. Artère axillaire. 3. Veine axillai
ine axillaire. Bras. C. Loge du biceps, avec ses vaisseaux et ses
nerfs
; au contour se voient : 1° En dedans : 4. Co
nerfs ; au contour se voient : 1° En dedans : 4. Continuation du
nerf
médian. 5. Vaisseaux numéraux dans leur gaîne.
nuation du nerf médian. 5. Vaisseaux numéraux dans leur gaîne. 6.
Nerf
cutané interne. 7. Veine basilique. 2° En deh
e basilique. 2° En dehors: 8. Veine céphalique. Pli du bras. 9.
Nerf
cutané externe. 10. Veine médiane céphalique.
céphalique. 11. Veine médiane basilique, sous laquelle croisent le
nerf
médian et les gros vaisseaux. 12. Nerf cutané
sous laquelle croisent le nerf médian et les gros vaisseaux. 12.
Nerf
cutané interne. 13. Veine cubitale postérieure.
oient avec évidence en transparence : 14. Vaisseaux cubitaux. 15.
Nerf
cubital. 16. Continuation du nerf médian. 17.
: 14. Vaisseaux cubitaux. 15. Nerf cubital. 16. Continuation du
nerf
médian. 17. Vaisseaux médians de l'avant-bras.
ateur et des radiaux. Elle est séparée de la précédente par : 18.
Nerf
radial. 19. Vaisseaux radiaux. Main. La fig
perficielle fournie par les vaisseaux cu- bitaux. 21. Filamens du
nerf
radial. 22. Nerf médian. 23. Nerf cubital.
par les vaisseaux cu- bitaux. 21. Filamens du nerf radial. 22.
Nerf
médian. 23. Nerf cubital. On suit les branche
cu- bitaux. 21. Filamens du nerf radial. 22. Nerf médian. 23.
Nerf
cubital. On suit les branches digitales des vai
. Nerf cubital. On suit les branches digitales des vaisseaux et des
nerfs
, au-devant des tendons fléchisseurs et des muscle
des doigts. FIGURE 2. F. Loge du deltoïde, avec les vaisseaux et
nerfs
circonflexes. Bras. G. Loge du triceps ; le f
coraco-brachial revêtus par les aponévroses externe et interne. 24.
Nerf
radial. 25. Vaisseaux collatéraux externes. 2
terne. 24. Nerf radial. 25. Vaisseaux collatéraux externes. 26.
Nerf
cubital. Avant-bras. H. Loge de l'anconé. I
cubital postérieur avec ses vaisseaux; on voit en trans- parence le
nerf
cubital. K. Partie supérieure de la loge du lon
M), et du cubital postérieur (N). Main. 27. Branches digitales du
nerf
radial. 28. Branches digitales du nerf cubital.
27. Branches digitales du nerf radial. 28. Branches digitales du
nerf
cubital. La figure montre en outre les veines d
les gros vaisseaux, artère carotide, veine jugulaire interne et le
nerf
grand sympathique. G. Sterno-hyoïdien. 7. Scapu
l antérieur. 1. Vaisseaux numéraux, l'artère, les deux veines et le
nerf
médian. 2. Vaisseaux collatéraux externes, artè
f médian. 2. Vaisseaux collatéraux externes, artères, veines, et le
nerf
radial. F. Loge du biceps entrecoupée par les c
onateur. 5. Loge du long fléchisseur superficiel. 6. Vaisseaux et
nerf
médian. 7. Loge du long fléchisseur profond des
du long fléchisseur profond des doigts. 8. Vaisseaux radiaux. 9.
Nerf
radial. 10. Vaisseaux interosseux antérieurs.
mier radial. 13. Loge du second radial. 14. Vaisseaux cubitaux et
nerf
cubital. 15. Loge de l'extenseur commun des doi
ieur. C. Loge du fléchisseur superficiel. 4. Vaisseaux radiaux et
nerf
radial. 5. Vaisseaux cubitaux et nerf cubital.
el. 4. Vaisseaux radiaux et nerf radial. 5. Vaisseaux cubitaux et
nerf
cubital. D. Loge du long fléchisseur profond de
6. Tendon du long fléchisseur du pouce. 7. Vaisseaux cubitaux. 8.
Nerf
médian. 9. Tendons des long abducteur et court
t. 14. Tendon du cubital postérieur. 15. Vaisseaux radiaux. 16.
Nerf
radial. 17. Nerf cubital. 19, 19, 19. Ligamen
cubital postérieur. 15. Vaisseaux radiaux. 16. Nerf radial. 17.
Nerf
cubital. 19, 19, 19. Ligament annulaire du carp
l'opposant. 7. 7. Gaînes des interosseux palmaires et dorsaux. 8.
Nerf
médian. 9. Nerf radial. 10. Nerf cubital. IL
. Gaînes des interosseux palmaires et dorsaux. 8. Nerf médian. 9.
Nerf
radial. 10. Nerf cubital. IL Branches digitales
rosseux palmaires et dorsaux. 8. Nerf médian. 9. Nerf radial. 10.
Nerf
cubital. IL Branches digitales des vaisseaux su
ATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET
NERFS
DE LA CUISSE ET DU BASSIN, VUS PAR LE PLAN INTE
urier. 1,1. Vaisseaux sanguins. 2. 2. Filets nerveux fournis par le
nerf
crural. 3. Artère et veine fémorales vues en tr
fournis par les collatéraux externes. 5. Filamens nerveux émanés du
nerf
crural. C. Extrémité inférieure de la loge du d
es collatéraux internes de la cuisse. 7. Filamens nerveux émanés du
nerf
crural. D. Loge du premier adducteur, dans laqu
s autres des circonflexes internes. 9. Filamens nerveux émanés du
nerf
obturateur. E. Loge du petit adducteur. 10. V
ux circonflexes et ob^ turateurs. 11. Filamens nerveux dégagés du
nerf
obturateur. F. Loge du grand adducteur. 12. V
ternes des fémoraux profonds. 13. Filamens nerveux fournis par le
nerf
obturateur. 14. Nerfs dégagés du tronc du grand
rofonds. 13. Filamens nerveux fournis par le nerf obturateur. 14.
Nerfs
dégagés du tronc du grand sciatique. G. Extrémi
17. Vaisseaux sanguins fournis par les perforans. 18. Filamens des
nerfs
sciatiques. JAMBE. A, B, C, D. Tendons des mu
tendineux. K. Loge du jumeau interne. 19. Vaisseaux sanguins. 20.
Nerfs
. L. Extrémité supérieure de la loge du soléaire
érieure de la loge du soléaire» 21. Vaisseaux tibio-poplités. 22.
Nerf
sciatique poplité interne. BASSIN. M. Section
vues ou profil. 23. Vaisseaux sanguins, provenant des vaisseaux et
nerfs
fessiers. 24. Vaisseaux sanguins et filamens ne
. Vaisseaux sanguins et filamens nerveux provenant des vaisseaux et
nerfs
sciatiques. R. Loge de l'obturateur interne. 25
es. 26. Branches inférieures du plexus lombaire. 27. Vaisseaux et
nerf
obturateurs. 28. Vaisseaux hypogastriques avec
turateurs. 28. Vaisseaux hypogastriques avec leurs divisions. 29.
Nerfs
sacrés antérieurs formant le plexus sciatique,
ATOMIE CHIRURGICALE. LOGES MUSCULAIRES, APONÉVROSES, VAISSEAUX ET
NERFS
DE LA JAMBE ET DU PIED. ADULTE, DEMI-NATURE.
qui donne issue aux vaisseaux tibiaux antérieurs. 2. Vaisseaux et
nerfs
tibiaux antérieurs. B. Grande loge des péronier
aux et nerfs tibiaux antérieurs. B. Grande loge des péroniers. 3.
Nerf
sciatique poplité externe. 4. 4. Branches vascu
ns sus-tarsiennes et sus-mé- tatarsiennes. 7. Portion pédieuse du
nerf
tibial antérieur. FIGURE 2. Les muscles super
es jumeaux. 8. Origine des vaisseaux tibiaux antérieurs. 9. Grand
nerf
sciatique. 10. Nerf sciatique poplité interne.
ne des vaisseaux tibiaux antérieurs. 9. Grand nerf sciatique. 10.
Nerf
sciatique poplité interne. 11. Nerf sciatique p
9. Grand nerf sciatique. 10. Nerf sciatique poplité interne. 11.
Nerf
sciatique poplité externe. N. Muscle poplité re
évrotique du soléaire; on y voit en transparence : 12. Vaisseaux et
nerfs
tibiaux postérieurs, avec les branches qui en n
postérieurs, avec les branches qui en naissent. 13. Vaisseaux et
nerfs
péroniers avec les branches qui en naissent. P. L
ie inférieure de la jambe se voient : 1° En dedans : 15. Vaisseaux et
nerfs
tibiaux antérieurs, montrés à découvert, l'apon
os orteil. U. Loge de l'abducteur du petit orteil. 17. Vaisseaux et
nerfs
plantaires internes. 18. Vaisseaux et nerfs pla
eil. 17. Vaisseaux et nerfs plantaires internes. 18. Vaisseaux et
nerfs
plantaires externes. Tome 6. Pl. 12 . Dessiné
ste interne et du crural. B. Vaisseaux fémoraux. Artères, veines et
nerf
satellites. 16. Vaisseaux fémoraux profonds.
es et nerf satellites. 16. Vaisseaux fémoraux profonds. 17. Grand
nerf
sciatique. 18. Petit nerf sciatique. 19. Vein
Vaisseaux fémoraux profonds. 17. Grand nerf sciatique. 18. Petit
nerf
sciatique. 19. Veine saphène interne. FIGURE
ppe de la jambe. C. Vaisseaux tibiaux antérieurs. Artère, veines et
nerf
tibial antérieur. D; Vaisseaux tibiaux postérie
f tibial antérieur. D; Vaisseaux tibiaux postérieurs. Auprès est le
nerf
tibial de même nom. E. Vaisseaux péroniers. Art
tère et veines. F. Vaisseaux propres du soléaire, artère, veines et
nerf
. G. Vaisseaux propres des jumeaux. FIGURE 3.
12. Aponévrose plantaire. a. Vaisseaux pédieux. b. Vaisseaux et
nerfs
plantaires internes. c. Vaisseaux et nerfs plan
dieux. b. Vaisseaux et nerfs plantaires internes. c. Vaisseaux et
nerfs
plantaires externes. FIGURE 4. A, B, C, D, E.
é la veine jugulaire, et à repousser le tronc du pneumo-gastrique, le
nerf
cardiaque supérieur et le filet du grand lymphati
le cours du sang, la compression des autres organes, mais surtout des
nerfs
, peut être évitée dans la plupart des cas. COMP
Même opération (procédé de Sir Astley Çooper). Figure 6. Section du
nerf
frontal qui doit être suivie de résection. Le doi
a main gauche de l'opérateur élève le sourcil. Figure 7. Section du
nerf
sous-orbitaire par l'incision en dedans au fond d
f, g, h) lieux d'élection de la saignée, pour ne point blesser les
nerfs
, les lymphatiques et les vaisseaux profonds. 2° V
roupe principal des vaisseaux lymphatiques du membre thoracique. 3°
Nerfs
. (7),t fig. 2 et 3. Branches du nerf cutané exter
tiques du membre thoracique. 3° Nerfs. (7),t fig. 2 et 3. Branches du
nerf
cutané externe ; [S), fig. 2 et 3, Nerf cutané
,t fig. 2 et 3. Branches du nerf cutané externe ; [S), fig. 2 et 3,
Nerf
cutané interne; (9), fig. 2 et 3, Filet cutané du
fig. 2 et 3, Nerf cutané interne; (9), fig. 2 et 3, Filet cutané du
nerf
cubital. 4° Vaisseaux profonds. Fig. 3. (10)
Fig. 3. (10) Artère numérale : (11) Veines humerales satellites; (12)
Nerf
médian. SAIGNÉE DE LA SAPHÈNE INTERNE, FIGURES
terne, sur laquelle se fait la saignée; (2, 2, 2) sont des rameaux du
nerf
saphène interne satellite de la veine, et dont l'
encore à l'état normal, au-dessous du tendon du grand pectoral. a.
Nerfs
du plexus brachial. b. Tronc de la veine princi
numérale profonde externe. e. Veine humérale profonde interne. f.
Nerf
médian, aperçu entre les vaisseaux. g. Nerf mus
profonde interne. f. Nerf médian, aperçu entre les vaisseaux. g.
Nerf
musculo-cutané jusqu'au point où il traverse le m
artère axillaire s'ouvrant dans la tumeur. a. Veine axillaire. b.
Nerf
du plexus brachial. C. Artère brachiale à sa so
plexus brachial. C. Artère brachiale à sa sortie de la tumeur. c.
Nerf
médian. d. Veine humérale interne. e. Muscle
n ce qu'il s'agit de ne point blesser les parties voisines, veines ou
nerfs
, ni l'artère elle-même, en dessous, et que cette
4, 5. Tendons des extenseurs des orteils, écartés en arrière. 6.
Nerf
tibial antérieur. 7. Veines tibiales. 8. Artè
uscles fléchisseurs. — 6. fig. 2. Muscle jumeau interne. — 7. fig. 2.
Nerf
tibial postérieur. — 8. fig. 1 et 2. Artère tibia
),fig. 2. 9. Aponévrose jambière. —10. Veine saphène interne. — 11.
Nerf
sa-phène satellite de la veine. — 12. Tendon d'Ac
Saillie du muscle demi-membraneux. ê. Saillie du muscle biceps. 5.
Nerf
sciatique poplité interne. 6. Veine saphène pos
2. Section de l'aponévrose jambière. 3. Veine saphène interne. 4.
Nerf
saphène. 5. Bord du muscle jumeau interne. 6.
es muscles droit interne et demi-tendineux. 7. Veine poplitée. 8.
Nerf
sciatique poplité, écarté en arrière. 9. Artère
aux lymphatiques écartés avec l'aponévrose. —10. Veine fémorale. —11.
Nerf
crural. — 12. Nerf satellite de l'artère. LIGAT
artés avec l'aponévrose. —10. Veine fémorale. —11. Nerf crural. — 12.
Nerf
satellite de l'artère. LIGATURE DE L'ARTÈRE FÉM
seaux. — 9. Veine saphène interne. — 10. Veine fémoto-poplitée. — 11.
Nerf
crural. — 12. Filet nerveux satellite de l'artère
— 7. Veine médiane céphalique. — 8. Veines humérales profondes. — 9.
Nerf
médian. — 10. Tendon du biceps humerai. LIGATUR
rté en dedans.—5. Muscle fléchisseur sublime, déprimé en dehors. — 6.
Nerf
cubital. — 7. Artère cubitale, entre ses deux vei
se palmaire. — 5. Artère cubitale, entre ses deux veines (6, 6). — 7.
Nerf
cubital. 3° Branches terminales palmaires. (D
du long supinateur. — 4. (E2) Tendon du fléchisseur sublime.—5. (E2)
Nerf
radial.— 6. Artère radiale, entre ses deux veines
cartés en dehors. — 5. Attaches radiales du fléchisseur sublime. — 6.
Nerf
radial. — 7. Artère radiale, entre ses deux veine
de l'aponévrose superficielle.— 3. Gaîne des vaisseaux numéraux. — 4.
Nerf
médian.— 5. Veine hurnérale interne. — 6. Artère
uscle long supi-nateur. — 5. pl. 40. Muscle fléchisseur sublime. — 6.
Nerf
radial. Fig. I, et pl. 40. 7. Artère radiale, s
5. Artère cubitale, sur la sonde cannelée. —6. Veines cubitales. — 7.
Nerf
cubital. (H) LIGATURE DE L'ARCADE PALMAIRE CUBI
— 5. Gaîne des vaisseaux huméraux. — 6. Veine humérale interne. — 7.
Nerf
médian. — 8. Artère humérale, soulevée par l'anse
cle grand pectoral. — 5. Veine céphalique. — 6. Veine axillaire. — 7.
Nerfs
du plexus brachial. — 8. Artère axillaire, soulev
ns. — 4. Portion claviculaire du même muscle, écartée en dehors. — 5.
Nerf
pneumo-gastrique. ¦— 6. Veine jugulaire interne.
e sterno-mastoïdien pour s'aboucher dans la veine sous-clavière. — 5.
Nerfs
sus-claviculaires, vus en dehors vers le côté ext
rd du scalène antérieur, en dedans duquel est située l'artère. — 7.
Nerfs
du plexus brachial qui limitent en dehors le sill
coupée entre deux ligatures, et rejetée du centre de la plaie. — 6.
Nerfs
du plexus brachial, situés en dehors de l'artère
du plexus cervical superficiel. — 11. Veine jugulaire interne. ¦— 12.
Nerf
pneumo-gastrique. — 13. Anse nerveuse du grand hy
scapulo-hyoïdien. — 16. Muscle scalène antérieur, sur lequel rampe le
nerf
diaphragmatique. — 18. Extrémité de la veine sous
vicule, vers le point de sa jonction avec la jugulaire interne. — 18.
Nerfs
du plexus brachial. — 19. Vaisseaux cervicaux-tra
isseaux acro-mio-thoraciques. —10. Vaisseaux thoraciques longs. — 11.
Nerf
médian. — 12. Nerf inusculo-cutané. — 13. Nerf cu
oraciques. —10. Vaisseaux thoraciques longs. — 11. Nerf médian. — 12.
Nerf
inusculo-cutané. — 13. Nerf cubital. — 14. Veine
oraciques longs. — 11. Nerf médian. — 12. Nerf inusculo-cutané. — 13.
Nerf
cubital. — 14. Veine axillaire. — 15. Artère axil
c veineux linguo-facial, également déjeté en haut et en arrière. 5.
Nerf
grand hypoglosse. 6. Artère carotide externe so
cle occipital. 2. Surface formée par les attaches du splénius. 3.
Nerf
sous-occipital. ht. Veine occipitale profonde.
uperficiel. 2. Bord inférieur du muscle auriculaire antérieur. 3.
Nerfs
temporaux superficiels. h. Veine temporale sate
on de la peau et du peaucier. 2. Section du muscle hypoglosse. 3.
Nerf
hypoglosse. ht. Veine linguale. 5. Artère lingu
dien.— 7. Muscle scalène antérieur, placé en dedans de l'artère. — 8.
Nerfs
du plexus brachial, situés en dehors deTar-tère.
les brandies deltoïdiennes des vaisseaux acromio - thoraciques. — 5.
Nerf
médian. — 6. Nerf musculo-cutané. — 7. Nerf cubit
oïdiennes des vaisseaux acromio - thoraciques. — 5. Nerf médian. — 6.
Nerf
musculo-cutané. — 7. Nerf cubital, aperçu dans l'
romio - thoraciques. — 5. Nerf médian. — 6. Nerf musculo-cutané. — 7.
Nerf
cubital, aperçu dans l'enfoncement. — 8. Veine ax
e son aponévrose d'enveloppe, sous laquelle se voyent les rameaux des
nerfs
lombaires. G. Vaisseaux iliaques externes, renf
s se présentent bosselées par la pression des anses d'intestins. 8.
Nerf
iléo-scrotal, qui forme le contour, à l'angle inf
e de l'aponévrose iliaque, sous laquelle se voient les branches des
nerfs
lombaires, 10. Artère iliaque interne, sous laq
es molles comprenant : l'aponévrose, la veine céphalique du pouce, le
nerf
et les vaisseaux radiaux, les tendons des extense
expriment les mêmes détails que ci-dessus. ( Voy. fig. 1.) (e) est le
nerf
cubital dans le point où il passait sous l'épi-tr
seurs des orteils et jambier antérieur, renfermant les vaisseaux et
nerfs
tibiaux. ( c ). Faisceau postérieur. Il renferm
tendon d'Achille , outre les vaisseaux tibiaux postérieurs avec leur
nerf
, et les vaisseaux péroniers. (d). Surface de se
issection et la dilacération des parties molles, des vaisseaux et des
nerfs
, et leur exposition a. l'air dans une grande éten
he tarsienne, et qui soulève et protège les tendons extenseurs et les
nerfs
superficiels. Le cuboïde étant déjà enlevé sur
ou de [élément commun à tous, le tissu cellulaire fibreux. Ainsi, un
nerf
, une artère, un muscle, un os, etc., pour faire p
iennes et la surface poplitée, pour laisser voir les vaisseaux et les
nerfs
. INDICATION DES PARTIES COMPRISES SUR LA FIGURE
corps avec le derme. 6. Artère poplitée. 7. Veine poplitée. 8.
Nerf
sciatique poplité interne. 9. Branches nerveuse
i se perd dans le derme du lambeau cutané qui recouvre le moignon. Le
nerf
principal, commela remarque en a déjà été faite ,
, offre à son extrémité un renflement. Mais on ne voit, tant sur ces
nerfs
que sur ceux provenant du sciatique poplité exter
-bout, ou une sorte d'inosculation entre les branches voisines. 10.
Nerf
sciatique poplité externe. Figure 2. MOIGNON DU
la voûte à trois piliers, la découverte des expansions cérébrales du
nerf
optique et de leurs curieuses modifications dans
avec l'Intelligence* INTRODUCTION. I. Il y a dans les animaux des
nerfs
; je veux dire des conducteurs d'impressions cent
ripètes, de stimulations centrifuges et d'excitations organiques. Ces
nerfs
sont des cordons composés de faisceaux plus grêle
leur tour des filaments innombrables. Chacun de ces filaments est un
nerf
très-petit, un nerf élémentaire. L'œil armé du mi
ents innombrables. Chacun de ces filaments est un nerf très-petit, un
nerf
élémentaire. L'œil armé du microscope découvre en
res voisines. Chaque fibre nerveuse est donc un fil simple, et chaque
nerf
est un faisceau ou tout au plus une tresse dans l
contraction musculaire résulte ; de là cette distinction fameuse des
nerfs
en nerfs impressionnables et en nerfs excitants.
ion musculaire résulte ; de là cette distinction fameuse des nerfs en
nerfs
impressionnables et en nerfs excitants. Distincti
à cette distinction fameuse des nerfs en nerfs impressionnables et en
nerfs
excitants. Distinction que la pathologie a établi
le cylinder-axis de Purkinje ne puisse être dans les terminaisons du
nerf
le point de départ de plusieurs fibres plus petit
, liv. I, chap. vu. (3) Ch. Bell, Exposition du système naturel des
nerfs
du corps humain. Paris, 1825. branches de l'arc
egré. De même que plusieurs fibres nerveuses fasciculées forment un
nerf
, de même un grand nombre de cellules nerveuses ag
'elles ajoutant ou substituant aux effets de la stimulation propre du
nerf
les effets qui résultent des propriétés qui lui s
segments dans le squelette, il y a des segments dans les muscles. Les
nerfs
périphériques s'accommodent à leur tour à cette s
la longueur de chaque vertèbre. C'est de ces « ganglions que tous les
nerfs
de la moelle épinière tirent « leur origine... Le
cialement de cette portion de la moelle épinière dont elle reçoit des
nerfs
(2). M. Muller parle à peu près de la même mani
convulsions, que la portion de cette « moelle qui donne naissance au
nerf
sensoriel, et que l'ex-ce citation des autres par
que l'ex-ce citation des autres parties de la moelle épinière et des
nerfs
« qui en proviennent, diminue à mesure qu'elles s
ent « du point sur lequel a porté la stimulation occasionnée par « le
nerf
du sentiment (1). » Il nous semble que M. Marsh
tes représente par ses relations et par sa forme ce qu'on a appelé le
nerf
sympathique dans les animaux vertébrés, me paraît
jourd'hui toute sa force. En vain Dugès et Muller ont-ils cru voir le
nerf
sympathique des articulés dans le nerf recurrent
et Muller ont-ils cru voir le nerf sympathique des articulés dans le
nerf
recurrent de Lyonet, ce nerf étant bien plutôt l'
e nerf sympathique des articulés dans le nerf recurrent de Lyonet, ce
nerf
étant bien plutôt l'analogue d'un pneumogastrique
es animaux vertébrés. Or, on démontre, en névrologie, que lorsque des
nerfs
émanés de l'un des deux systèmes nerveux passent
n latéral antérieur auquel sont attachées les racines antérieures des
nerfs
spinaux. L'autre, plus profond et tracé d'une man
sillon latéral postérieur. Les filaments des racines postérieures des
nerfs
spinaux y sont régulièrement implantés. Les cor
C'est en effet aux sillons latéraux que correspondent les racines des
nerfs
. Au sillon mal défini que l'on désigne sous le no
illon latéral antérieur, se rattachent les racines antérieures de ces
nerfs
; au sillon latéral postérieur sont attachées leu
u'à peine est-il nécessaire d'y insister. Les racines antérieures des
nerfs
sont, quoi qu'on en ait pu dire, exclusivement mo
us grand nombre des fibres qui composent les racines postérieures des
nerfs
se continuent avec celles des cordons postérieurs
nerveuses centrales. Dépourvues du névrilemme qui les revêt dans les
nerfs
, elles se laissent facilement déprimer, et reçoiv
loppe des fibres nerveuses qui composent les racines postérieures des
nerfs
, cesse brusquement au point d'implantation de ces
le rôle de masses « de renforcement, ne satisfait pas la physique des
nerfs
. Notre esprit deft mande une connexion plus intim
mbre, peuvent être suivis jusque dans les fascicules radiculaires des
nerfs
moteurs; un grand nombre passent, par l'intermédi
tres cellules sont évidemment en connexion soit avec fies racines des
nerfs
, soit avec les faisceaux longitudinaux tant antér
it quatre prolongements, un pour le cerveau, un second qui devient un
nerf
sensitif, un troisième qui se change en fibre ner
uelques-unes de ces fibres se rattachent aux racines postérieures des
nerfs
spinaux. Outre les cellules de la substance gélat
don grêle enveloppé d'un tube fibreux qu'on peut suivre au milieu des
nerfs
de la queue de cheval jusqu'à la base du sacrum.
is dans le crâne. Ces trois renflements correspondent aux racines des
nerfs
qui animent les membres postérieurs, les membres
petites ouvertures, elles livrent passage aux filets radiculaires du
nerf
crotaphyto-buccinateur. Niemeyer (1 ), dans un tr
is les anneaux d'où émergent les origines de la cinquième paire et du
nerf
facial. Leur adhérence est telle, à la racine gan
té, a eru pouvoir affirmer l'existence d'une certaine connexion de ce
nerf
avec cette couche superficielle du pédoncule. Mai
blanches mêlées à beaucoup de substance grise, loge la bandelette des
nerfs
optiques; elle sera pour nousla gouttière de l'an
fibres blanches qui soutiennent ce bord ont reçu le nom de racines du
nerf
olfactif. Nous donnerons à cette colline le nom d
ré avec raison les barbes du calamus comme fournissant les racines du
nerf
acoustique. Gall, profitant des observations des
Gall, profitant des observations des frères Wenzel, faisait naître ce
nerf
du renflement gélatineux qui porte leur nom. Nous
ssure quadrilatère aux angles antérieurs de laquelle s'implantent les
nerfs
optiques. Telles sont les Bandelettes optiques ;
iendrons ailleurs, et qu'on a considéré comme la racine principale du
nerf
optique. Ce qui est vrai dans les animaux, mais n
e centre du tuber cinereum, s'étend avec lui au-dessus du chiasma des
nerfs
optiques, touche à la valvule antérieure^ et se p
ant en arrière dans le fond de la vallée, et sont connus sous ce nom,
nerfs
longitudinaux de Lancisi. Nous dirons plus tard à
n petit lobule ellipsoïde connu sous le nom de touffe ou de lobule du
nerf
pneumogastrique représente le deuxième lobule du
les désignent sous le nom de lobes optiques. Leurs relations avec les
nerfs
de la vision dans tous les animaux justifient cet
n'avait en avant qu'un seul pilier. Il n'y avait non plus qu'un seul
nerf
olfactif, qui semblait naître du centre de l'une
tre. § 5. Des lobes olfactifs. Ces lobes, désignés sous le nom de
nerfs
dans l'espèce humaine, sont, en quelque sorte, un
latineux. Cette extrémité renflée est ce qu'on a appelé le bulbe du
nerf
olfactif; elle est logée dans une région particul
ne laisse subsister aucun doute sur la question s'il s'agit ici d'un
nerf
ou d'un lobe encéphalique. La continuité des paro
essant. En nous résumant, les processus olfactifs ne sont point des
nerfs
, mais des lobes encéphaliques; ces processus ne s
fait. C'est de cette doublure grise du quatrième ventricule que le
nerf
hypoglosse, l'accessoire du nerf vague, et le ner
ise du quatrième ventricule que le nerf hypoglosse, l'accessoire du
nerf
vague, et le nerf vague lui-même, tirent leur ori
ventricule que le nerf hypoglosse, l'accessoire du nerf vague, et le
nerf
vague lui-même, tirent leur origine, et de même q
même, tirent leur origine, et de même que les racines antérieures des
nerfs
spinaux traversent les faisceaux antérieurs de la
spinaux traversent les faisceaux antérieurs de la moelle, de même ces
nerfs
du bulbe traversent toute l'épaisseur des faiscea
e, et que Stilling et Wallach croient en rapport avec les origines du
nerf
vague. 2° Fibres transversales. Celles-ci rep
bien figuré. Elles cheminent à la manière des racines antérieures des
nerfs
spinaux entre le groupe des cordons antérieurs et
dans la bourse de l'olive; d'autres se continuent avec les racines du
nerf
hypoglosse. (6). Plus en dehors se trouve le tr
'intérieur de la bourse. (c) . Au delà sont les fibres d'origine du
nerf
spinal. (d) . Plus en dehors encore sont des fi
rties les plus externes des axes gris. Ces fibres sont les racines du
nerf
vague ou du glossopharingien. Ces deux nerfs semb
ibres sont les racines du nerf vague ou du glossopharingien. Ces deux
nerfs
semblent, en effet, appartenir au même système.
ous signalerons, en premier lieu, un prolongement très-remarquable du
nerf
acoustique, et en second lieu une racine considér
iellement des fibres émanées des cordons postérieurs de la moelle, du
nerf
acoustique et du pédoncule cérébelleux supérieur.
omique, Paris 1843, t. IV, p. 222. gements du cordon postérieur, du
nerf
acoustique et du pédoncule supérieur du cervelet,
rquer que cette écorce blanche n'a rien de commun avec les racines du
nerf
optique placées au-dessous d'elle. Elle se termin
dons postérieurs, soit des pédoncules supérieurs du cervelet, soit du
nerf
acoustique. Quant à ce prolongement du faisceau p
bercules quadriju-maux antérieurs se rattache la principale racine du
nerf
optique, je veux dire la plus constante. Ces tu
t dans tous les plis des hémisphères ; 5° Des irradiations nées des
nerfs
de sensations spéciales; 6° Des irradiations né
face supérieure du corps calleux, et qu'on a désignés sous le nom de
nerfs
longitudinaux de Lancisi. Si nous considérons ave
nous parlons, résulte de l'épanouissement de la racine principale du
nerf
ou plutôt de la bandelette optique dans l'hémisph
des que dans l'homme et dans les singes, est de toutes les racines du
nerf
optique, la plus apparente et la mieux connue. Le
. Ce changement de direction des fibres dans l'expansion cérébrale du
nerf
optique me paraît un fait très-important, et dign
eut suivre aisément les rayons de cette grande expansion cérébrale du
nerf
optique dans toutes les parties du bord supérieur
tale à son extrémité frontale ; ainsi les expansions radi-culaires du
nerf
optique correspondent avec toute l'étendue de la
n'auront pas moins de valeur à leurs yeux. Dans les singes, dont le
nerf
optique est énorme, la division de la racine ex
ndeur d'un hémisphère peu développé. Dans l'homme, au contraire, le
nerf
optique et la racine qui se porte aux tubercules
de l'expansion cérébrale et celle de l'hémisphère, mais le volume du
nerf
lui-même n'y a point rapport, et correspond uniqu
r des tubercules quadrijumeaux antérieurs. L'expansion cérébrale du
nerf
optique est très-difficile à découvrir dans tous
au dépasse à peine le corps calleux, et par conséquent l'expansion du
nerf
optique est, chez eux, réduite à cette portion an
l obstacle qui dissimule l'existence de ces expansions antérieures du
nerf
optique, s'il existait des mammifères dépourvus d
culièrement dans YHal-matarus bennetii que je prends pour exemple, le
nerf
optique a un volume médiocre. Il s'enroule comme
êle dans l'homme et dans les primates, devient ici l'unique racine du
nerf
optique. Nous avons constaté l'existence des mê
race de l'expansion cérébrale , c'est là un fait bien remarquable. Le
nerf
optique des Marsupiaux n'a point, avec le cerveau
t difficile à décider; seulement, si l'on détache les bandelettes des
nerfs
optiques, on aperçoit au-dessous d'elles un évent
nc, et que le lecteur veuille bien examiner cet enchaînement : (a) Le
nerf
optique se rattache par une de ses racines aux tu
Quoi qu'il en soit, nous verrons dans ces communications directes des
nerfs
optiques avec les hémisphères, un signe d'élévati
tapis ; 7° En dehors du tapis, le plan des expansions cérébrales du
nerf
optique; 8° Après celles-ci, le plan des expans
ibres directes ou indirectes, émanant des expansions radiculaires des
nerfs
optiques. Nous tirerons dans un autre chapitre
ase ces petites commissures propres connues sous le nom de racines du
nerf
olfactif. On distingue en outre la coiffe grise,
e me crois donc pas fondé à dire, avec quelques anato-mistes, que les
nerfs
olfactifs offrent aussi une commissure médiane à
nerfs olfactifs offrent aussi une commissure médiane à la manière des
nerfs
optiques. Anal, et Phys. du système nerveux. Pari
s une forme essentiellement inférieure. CHAPITRE VI. ORIGINES DES
NERFS
. § f. Considérations générales snr le mode d'or
lus compliqués que nous allons maintenant exposer. § *. Origines de
nerfs
crâniens. A. J. F. Meckel (1), disait qu'à pein
qui était à coup sûr très-basardé, mais il exceptait les origines des
nerfs
; c'est là, en effet, une question fondamentale q
nnes. Willis et Vieussens en ont compté dix, mais en y comprenant les
nerfs
sous-occipitaux, ce qui réduit à neuf le nombre d
- (1) Mémoires ie l'Académie de Berlin, 1166, page VI. thode, les
nerfs
crâniens étaient rangés en trois classes. La prem
s crâniens étaient rangés en trois classes. La première contenait les
nerfs
du cerveau; la seconde, ceux de la protubérance;
x du bulbe. 11 avait, comme on le voit, égard aux lieux d'origine des
nerfs
. M. de Blainville concevait ainsi les paires ne
assification de Willis. 11 admet donc, comme celui-ci, neuf paires de
nerfs
crâniens; d'ailleurs, en cédant aux usages ancien
crâniennes, a dû conduire à l'idée d'établir « un parallèle entre les
nerfs
crâniens et les nerfs rachidiens. « On conçoit qu
ire à l'idée d'établir « un parallèle entre les nerfs crâniens et les
nerfs
rachidiens. « On conçoit que le nombre des paires
es « vertébrales soit légitime, il importe de faire abstraction « des
nerfs
spéciaux de la face, savoir, des nerfs olfactifs,
rte de faire abstraction « des nerfs spéciaux de la face, savoir, des
nerfs
olfactifs, « optiques et auditifs. » Or, M. Cru
ganglions intervertébraux, représentent les racines postérieures des
nerfs
rachidiens. La paire nerveuse antérieure se com
es nerfs rachidiens. La paire nerveuse antérieure se compose, a, du
nerf
de la cinquième paire dont le ganglion est parfai
r sa grosse racine, représente très-bien les racines postérieures des
nerfs
spinaux; b, du nerf de la troisième paire ou mote
eprésente très-bien les racines postérieures des nerfs spinaux; b, du
nerf
de la troisième paire ou moteur oculaire commun,
f de la troisième paire ou moteur oculaire commun, de la quatrième ou
nerf
pathétique, de la sixième ou moteur oculaire exte
ixième ou moteur oculaire externe, de la portion dure de la septième (
nerf
facial), et enfin de la portion non ganglionnaire
e la cinquième paire. M. Cruveilher propose en outre d'énumérer les
nerfs
crâniens en sens inverse des méthodes anciennes,
siologiques. C'est ainsi que Ch. Bell les range en quatre classes; 1°
nerfs
de sensations spéciales; 2° nerfs de sensibilité
ell les range en quatre classes; 1° nerfs de sensations spéciales; 2°
nerfs
de sensibilité générale; 3° nerfs du mouvement vo
° nerfs de sensations spéciales; 2° nerfs de sensibilité générale; 3°
nerfs
du mouvement volontaire; 4° nerfs du mouvement re
° nerfs de sensibilité générale; 3° nerfs du mouvement volontaire; 4°
nerfs
du mouvement respiratoire. Telle est la classific
ication de Ch. Bell. M. J. Mùller prend un autre parti; il divise les
nerfs
crâniens ainsi qu'il suit : 1° nerfs purement sen
nd un autre parti; il divise les nerfs crâniens ainsi qu'il suit : 1°
nerfs
purement sensitifs; 2° nerfs principalement moteu
les nerfs crâniens ainsi qu'il suit : 1° nerfs purement sensitifs; 2°
nerfs
principalement moteurs à racine simple; 3° nerfs
rement sensitifs; 2° nerfs principalement moteurs à racine simple; 3°
nerfs
mixtes à racine double. M. Longet les groupe ai
ne double. M. Longet les groupe ainsi d'après leurs propriétés : 1°
nerfs
de sensations spéciales; 2° nerfs de sensibilité
ainsi d'après leurs propriétés : 1° nerfs de sensations spéciales; 2°
nerfs
de sensibilité générale pouvant en outre servir à
ilité générale pouvant en outre servir à des sensations spéciales; 3°
nerfs
présidant à la fois aux mouvements volontaires et
e de l'un des organes des sens spéciaux, et par chacun d'eux passe le
nerf
essentiel de l'un de ces organes, à savoir : l'ac
pourra donc y avoir dans chacune des paires nerveuses crâniennes, des
nerfs
pour la sensibilité générale, et des nerfs pour l
nerveuses crâniennes, des nerfs pour la sensibilité générale, et des
nerfs
pour le mouvement automatique ou volontaire, et e
es se passent ainsi. Ainsi, la paire postérieure comprend, outre le
nerf
acoustique, des nerfs de mouvement tels que l'hyp
Ainsi, la paire postérieure comprend, outre le nerf acoustique, des
nerfs
de mouvement tels que l'hypoglosse, le spinal, le
hypoglosse, le spinal, le facial et le crotaphyto-buccinateur; et des
nerfs
de sentiment, tels que le glossopharyngien, le pn
férieure du trijumeau. Dans la paire moyenne sont compris, outre le
nerf
optique, des nerfs moteurs, savoir : le pathétiqu
eau. Dans la paire moyenne sont compris, outre le nerf optique, des
nerfs
moteurs, savoir : le pathétique, le moteur oculai
le pathétique, le moteur oculaire externe et le moteur commun; et des
nerfs
de sentiment, savoir : la branche maxillaire supé
ieure se distribuant à un bulbe immobile, est uniquement composée des
nerfs
olfactifs auxquels s'unit seulement un petit file
Cette simple enumeration fait apparaître un fait fondamen- (1) Le
nerf
maxillaire supérieur passe, il est vrai, dans l'h
moins un rameau à chacun des trous de conjugaison du crâne. Parmi les
nerfs
de sensation générale, celui-ci est évidemment da
nerfs de sensation générale, celui-ci est évidemment dans le crâne le
nerf
normal, car le glosso-pha-ryngien et le pneumogas
le glosso-pha-ryngien et le pneumogastrique, que l'on range parmi les
nerfs
sensitifs, pourraient bien avoir quelque chose de
aient démontrer d'ailleurs leurs connexions intimes avec la chaîne du
nerf
grand sympathique. Dans notre exposition des ra
notre exposition des racines, ou si l'on aime mieux, des origines des
nerfs
céphaliques, nous suivrons l'ordre suivant : 1°
origines des nerfs céphaliques, nous suivrons l'ordre suivant : 1°
Nerfs
moteurs; 2° Nerfs de sensibilité générale; 3°
céphaliques, nous suivrons l'ordre suivant : 1° Nerfs moteurs; 2°
Nerfs
de sensibilité générale; 3° Nerfs de sensations
uivant : 1° Nerfs moteurs; 2° Nerfs de sensibilité générale; 3°
Nerfs
de sensations spéciales. I. NERFS MOTEURS CRANI
rfs de sensibilité générale; 3° Nerfs de sensations spéciales. I.
NERFS
MOTEURS CRANIENS. «. Première paire, paire occi
ilher ; douzième paire de Sœmmerring. On sait que les racines de ce
nerf
émergent du bulbe entre l'olive et la pyramide. S
la paroi antérieure du quatrième ventricule. Ainsi les rapports de ce
nerf
avec le bulbe, sont en tous points semblables à c
t en tous points semblables à ceux qu'ont les racines antérieures des
nerfs
spinaux avec la moelle épinière. Stilling et Vall
allach ont vu et parfaitement représenté cette origine. (6) Spinal.
Nerf
accessoire de la huitième paire de Willis, onzièm
ire de la huitième paire de Willis, onzième paire de Sœmmerring. Ce
nerf
émerge des cordons moyens du bulbe, dans le voisi
férieurs s'implantent dans la moelle au niveau du sixième ou septième
nerf
cervical. Parmi ces racines, les plus élevées s'i
son pour laquelle les racines du spinal, qui est bien certainement un
nerf
moteur, s'éloignent de la série des racines antér
t un nerf moteur, s'éloignent de la série des racines antérieures des
nerfs
spinaux et des racines de l'hypoglosse, est encor
e paire de Willis et de Vieussens, septième paire de Sœmmerring. Ce
nerf
, sur les racines duquel Gall, et après lui Ch. Be
bérance annulaire. Malacarne disait avoir poursuivi les racines de ce
nerf
jusqu'au plancher du quatrième ventricule; à ce
Longet, qui a parfaitement décrit le rapport qu'ont les insertions du
nerf
facial avec les prolongements des faisceaux moyen
omistes qui, avec Malacarne, disent avoir poursuivi les insertions du
nerf
facial jusqu'au plancher du quatrième ventricule,
origines du facial, et les décrivent ainsi (2) : « Les radicules du
nerf
facial plongent directement d'a-« vant en arrière
t en éventail. » Suivant MM. Philippeaux et Vulpian, ces racines du
nerf
facial d'un côté, s'entre-croisent en partie dans
torn. II, page 408. (2) Essai sur ['origine de plusieurs paires de
nerfs
crâniens. Paris, 1853. dans le bulbe l'axe gris
te sur ce mode d'origine, qui a été jusqu'à présent celui de tous les
nerfs
moteurs ; ajoutons entin que ce nerf, inséré sur
squ'à présent celui de tous les nerfs moteurs ; ajoutons entin que ce
nerf
, inséré sur le prolongement des faisceaux moyens,
ppartient évidemment à la même série que les racines du spinal. (d)
Nerf
crotaphytico-bucclnateur (Paletta). Racine motric
es modernes. MM. Philippeaux et Vulpian ont suivi les racines de ce
nerf
au travers de la protubérance, et sous les pédonc
e sphenoidale. Elle comprend : (a) le moteur oculaire externe, (6) le
nerf
pathétique, (c) le moteur oculaire commun. (a)
r oculaire externe. Sixième paire de Willis et de Sœmmerring. Si le
nerf
facial est en série avec les racines du spinal, l
u'aux axes gris à cellules multipolaires de la région du bulbe. (b)
Nerf
pathétique. Quatrième paire de Willis et de Sœmme
Quatrième paire de Willis et de Sœmmerring. L'origine réelle de ce
nerf
est mal connue, si bien que jusqu'ici il semble
que jusqu'ici il semble constituer une véritable anomalie parmi les
nerfs
crâniens. On sait en effet que ses racines semble
a valvule de Vieussens. Mais ce n'est là qu'une apparence; ces petits
nerfs
en effet sont disposés de telle sorte que celui d
issure. Ce pinceau est le frein de la valvule de Vieussens. Quant aux
nerfs
eux-mêmes, suivant M. Longet, d'accord en ceci av
des modifications que subit la forme des parties environnantes. (c)
Nerf
moteur oculaire commun. Troisième paire de Willis
eur oculaire commun. Troisième paire de Willis et de Sœmmerring. Ce
nerf
se détache du pédoncule au niveau de l'espace int
e manière bien distincte. Il n'en est pas de même des fibres que le
nerf
moteur oculaire commun envoie à l'endroit noir de
tipolaires si apparentes de cette masse grise. Quoi qu'il en soit, ce
nerf
appartient évidemment, par ses origines, à la mêm
t le moteur oculaire commun forment, avec les racines antérieures des
nerfs
rachidiens, une série normale intermédiaire aux f
ieurs. x. Troisième paire, paire ethmoïdale. Elle ne comprend aucun
nerf
moteur distinct. n. 14 ii. NERFS SENSITIFS PR
thmoïdale. Elle ne comprend aucun nerf moteur distinct. n. 14 ii.
NERFS
SENSITIFS PROPREMENT DITS ENTRANT DANS LA COMPOSI
PREMENT DITS ENTRANT DANS LA COMPOSITION DES PAIRES CRANIENNES. Ces
nerfs
, comme les nerfs moteurs, se partagent en deux sé
ANT DANS LA COMPOSITION DES PAIRES CRANIENNES. Ces nerfs, comme les
nerfs
moteurs, se partagent en deux séries. La première
deux séries. La première, normale, correspond à la première série des
nerfs
moteurs et représente les racines postérieures ou
moteurs et représente les racines postérieures ou ganglionnaires des
nerfs
rachidiens. La seconde est exceptionnelle, et cor
. La seconde est exceptionnelle, et correspond à la seconde série des
nerfs
moteurs crâniens. Ai Première sêtie, ou série n
Ai Première sêtie, ou série normale. Elle comprend les divisions du
nerf
trijumeau qui émanent du ganglion de Gasser. Ne
les divisions du nerf trijumeau qui émanent du ganglion de Gasser.
Nerf
trijumeau. Cinquième paire de Willis et de Sœmmer
n ganglionnaire de la cinquième paire des modernes. La racine de ce
nerf
comprend les racines de tous les nerfs sensitifs
des modernes. La racine de ce nerf comprend les racines de tous les
nerfs
sensitifs normaux qui vont aux trois paires crâni
, plusieurs branches divergentes qui vont à ces trois paires. 1° Le
nerf
maxillaire inférieur passe par le trou de conjuga
n de la paire sphenoidale. 3° Le filet ethmoidal du rameau nasal du
nerf
ophthalmique représente une dernière division pou
es et leur distribution. Je les ai rappelées pour indiquer comment le
nerf
trijumeau se partage entre trois paires nerveuses
supposer que cette racine comprend toutes les fibres gustatives du
nerf
trijumeau. Aussi la désignerons-nous hypothétique
r de Paletta. Elle a donc deux racines qu'on a comparées à celles des
nerfs
rachidiens. Elles ont été distinguées dans ces de
sale a connu la petite racine de la cinquième paire, c'est-à-dire, le
nerf
crotaphytico-buccinateur. La description de Vésal
i nervorum cerebri monographia.—Halœ, 1812.) On ne sait, dit-il, quel
nerf
Vésale a désigné sous le nom de petite portion. Q
i et Sœmmerring, admettent que par cette expression Vésale désigne le
nerf
pathétique. Cette opinion paraît fort probable à
rassiori radici com-missâ, » ne saurait en aucune manière convenir au
nerf
crotaphytico-buccinateur. Il n'est pas moins évid
ins évident, quoi qu'en dise M. Longet, que Willis n'a point connu ce
nerf
. Il dit en effet, en parlant du trijumeau ; « Tru
universalis.) Realdus Columbus est le premier qui ait distingué le
nerf
massetérin de la cinquième paire. (Dere anatomicâ
série exceptionnelle. Cette série correspond à la seconde série des
nerfs
crâniens moteurs. Elle comprend le Glosso-pharyng
de la huitième paire de Willis, neuvième paire de Sœmmerring), et du
nerf
Vague ou Pneumogastrique (huitième paire de Willi
e (huitième paire de Willis, dixième paire de Soemmering.) Ces deux
nerfs
sont ganglionnaires. Ils sont si fort semblables
en plus grand nombre sont les filets originels du Pneumogastrique. Ce
nerf
, comme les racines postérieures spinales, naît pa
r à tous les autres. Ils figurent deux ramifications des radicules du
nerf
vague, atteignant à travers le bulbe la partie la
ominé par la volonté. Aussi sont-ils, par-dessus tous les autres, les
nerfs
de l'expression pathognomique, tandis que l'hypog
moteur oculaire externe et le moteur commun, sont essentiellement des
nerfs
d'action volontaire et prosbolique. iii. Nerfs
essentiellement des nerfs d'action volontaire et prosbolique. iii.
Nerfs
de sensation spéciale. a. Première paire. Elle
i. Nerfs de sensation spéciale. a. Première paire. Elle comprend le
nerf
spécial de l'audition, c'est-à-dire le nerf acous
e paire. Elle comprend le nerf spécial de l'audition, c'est-à-dire le
nerf
acoustique, et sans doute le nerf gustatif. a.
cial de l'audition, c'est-à-dire le nerf acoustique, et sans doute le
nerf
gustatif. a. Le nerf acoustique naît du quatriè
st-à-dire le nerf acoustique, et sans doute le nerf gustatif. a. Le
nerf
acoustique naît du quatrième ventricule, glisse d
ricule, glisse dans l'axe du corps restiforme, et bientôt s'accole au
nerf
facial, mais ne se confond point avec lui. Il a t
, mais elles se portent probablement vers le cerveau. Dans ce cas, le
nerf
acoustique dépendrait également du cerveau et du
nerf acoustique dépendrait également du cerveau et du cervelet. b.
Nerf
gustatif. J'ai donné hypothétiquement ce nom au p
ême celui-ci accompagne la division qui gagne les lobes olfactifs. Ce
nerf
accompagne probablement le maxillaire inférieur,
me de simples suppositions (1). 6. Deuxième paire. Elle comprend le
nerf
spécial de la vue, à savoir : le nerf optique.
euxième paire. Elle comprend le nerf spécial de la vue, à savoir : le
nerf
optique. J'ai décrit plus haut les origines du
, à savoir : le nerf optique. J'ai décrit plus haut les origines du
nerf
optique. Les unes vont aux lobes optiques ou tube
e je l'ai expliqué plus haut. x. Troisième paire. Elle comprend les
nerfs
des sensations olfactives, ou nerfs olfactifs.
roisième paire. Elle comprend les nerfs des sensations olfactives, ou
nerfs
olfactifs. (1) Il serait curieux de détruire le
i, il y a entre ces deux sensations de telles analogies, que les deux
nerfs
pourraient bien dépendre du même organe cérébral;
épendre du même organe cérébral; mais je ne veux rien préjuger. Ces
nerfs
pénètrent dans le crâne par les trous de la lame
t dans la coiffe grise du lobe olfactif. On doit distinguer parmi ces
nerfs
celui qui, dans la plupart des mammifères terrest
thal et moi-même. § 3. Réflexions sur les faits exposés. Tous les
nerfs
des deux premières catégories appartiennent à la
re catégorie appartiennent surtout aux ganglions surajoutés. Ainsi le
nerf
acoustique a rapport au cervelet et au cerveau, l
les besoins de la physiologie actuelle. Il paraît en effet que si le
nerf
acoustique agit sur le cervelet par celle de ses
t été dit qu'elle fût sourde. Dans le cas observé par M. Pressât, les
nerfs
olfactifs et les lobes eux-mêmes manquaient ; on
ptiques. Malheureusement, il ne m'a point été donné de poursuivre les
nerfs
acoustiques, comme j'avais pu le faire quant aux
poursuivre les nerfs acoustiques, comme j'avais pu le faire quant aux
nerfs
de la vision, dans une région déterminée de l'éco
roblème! A cette question déjà si importante, du lieu d'origine des
nerfs
, en est liée une autre qu'on ne saurait négliger,
Établissons du moins quelques probabilités. (1) Cette connexion du
nerf
acoustique, nerf rhythmiquo par excellence, avec
oins quelques probabilités. (1) Cette connexion du nerf acoustique,
nerf
rhythmiquo par excellence, avec le cervelet organ
ixer l'attention. Les fibres nerveuses qui vont de la moelle et des
nerfs
aux hémisphères, et réciproquement, sont-elles pl
uses dans le centre ovale de Vieussens que dans la moelle et dans les
nerfs
? La réponse serait douteuse en ce qui touche cert
e ovale de Vieussens est telle, que le volume du bulbe et de tous les
nerfs
crâniens réunis, ne pourrait rendre raison de la
atement qu'en pénétrant dans l'hémisphère, les fibres du bulbe et des
nerfs
crâniens s'y sont singulièrement multipliées, ou,
nt, que le nombre des fibres qui vont de l'hémisphère au bulbe et aux
nerfs
crâniens, a subi, en pénétrant dans le bulbe et d
et aux nerfs crâniens, a subi, en pénétrant dans le bulbe et dans ces
nerfs
, une réduction considérable. En effet, il y a d
est si petit relativement à l'encéphale. Mais peut-être est-ce des
nerfs
spéciaux dont les fibres ne sont point représenté
. Je choisis en effet un Cynocéphale ou un Macaque dans lesquels le
nerf
optique et la bandelette qui lui fait suite ont u
e très-réduit, avec une expansion cérébrale peu riche pour un si gros
nerf
si je la compare à celle de l'homme. Dans l'hom
nerf si je la compare à celle de l'homme. Dans l'homme en effet le
nerf
optique est relativement assez grêle. Mais en rev
ance nécessaire entre le nombre des fibres dans la moelle et dans les
nerfs
, et leur nombre dans les prolongements qui leur c
rétion et de nutrition, mais un organe très-essentiel sans lequel les
nerfs
ne pourraient ni croître ni s'entretenir. « Cet o
omme, dans les quadrupèdes, dans les oiseaux, parce que le volume des
nerfs
dans ces animaux est plus grand que dans les pois
partout des fibres nerveuses, elle était donc pour lui la matrice des
nerfs
, et partout où elle existait, elle était un moyen
lle semble réelle, par exemple, dans ces plus grandes expansions du
nerf
optique qui partent d'un plus petit nerf; nous ne
s plus grandes expansions du nerf optique qui partent d'un plus petit
nerf
; nous ne ferons d'ailleurs aucune supposition sur
orps genouillés externes est lié à celui des expansions cérébrales du
nerf
optique. Or, la multiplication des libres une f
évidence, les pédoncules cérébraux, le tuber cinereum et deux petits
nerfs
optiques avec leur chiasma. Les nerfs olfactifs é
e tuber cinereum et deux petits nerfs optiques avec leur chiasma. Les
nerfs
olfactifs étaient creux et leur intérieur communi
en nous réservant d'y revenir plus en détail par la suite : tous les
nerfs
cérébraux étaient distincts mais extrêmement grêl
eplis, la pie-mère fournit des gaines qui enveloppent les racines des
nerfs
rachidiens. Quant au cerveau, elle en tapisse l
uables, car ils sont traversés par l'artère carotide et par plusieurs
nerfs
, savoir : le moteur oculaire externe et ceux qui
ois propres, dans l'une desquelles sont contenus des vaisseaux et des
nerfs
, ils n'eussent pas fait si grand bruit de leurs p
pointe vers le coccyx, contient la moelle épinière et les racines des
nerfs
qui s'y rattachent. La dure-mère rachidienne es
ixée dans sa position centrale par le ligament dentelé, et les divers
nerfs
rachidiens. » Non-seulement le liquide céphalo-
ontient en outre un assez grand nombre de cellules pigmentaires. 2°
Nerfs
et vaisseaux des membranes du système nerveux cép
erveux céphalo-rachidien. (a) Valsalva l'un des premiers a parlé de
nerfs
allant à la durc-rnère. Il les fait dériver de la
. Quelque temps après Arnold, M. Cruveilher décrivait de son côté les
nerfs
de la dure-mère. « Je reconnus, » dit-il, c de ch
nstater l'origine de ce dernier filet (3). » Suivant M. Longet, ces
nerfs
proviennent exclusivement du trijumeau, savoir: 1
3° de la branche ophthalmique. Cet habile anatomiste n'a point vu de
nerfs
dans la dure-mère spinale. Cela devait être; car,
spinale. Cela devait être; car, d'après des recherches récentes, ces
nerfs
ne sont point destinés au feuillet viscéral de la
ches de Purkinjc ont montré qu'elle en contenait un grand nombre. Ces
nerfs
, suivant M. Remak, proviennent des racines postér
urnissent des branches déliées au bulbe, aux olives, aux tuniques des
nerfs
vagues, au cervelet. On pourrait pousser fort loi
ontal du cervelet. Elles se distribuent dans la protubérance, dans le
nerf
facial et dans l'acoustique. Elles croisent la di
nerf facial et dans l'acoustique. Elles croisent la direction de ces
nerfs
, et fournissent les artères auditives. Plus en
ères, parallèles aux fibres de la protubérance, passent au-devant des
nerfs
trijumeaux et se distribuent à la face supérieure
les organes des sens externes sont groupés autour d'elle. Mais leurs
nerfs
n'y aboutissent point. On n'a justifié par aucune
le ganglion moyen, correspondant aux tubercules quadrijumeaux et aux
nerfs
optiques, est le centre des impressions dont on n
ts, de la sensibilité et de l'intelligence. CHAPITRE PREMIER. DES
NERFS
. § 1. Y a-t-il plusieurs espèces de nerfs? C'
CHAPITRE PREMIER. DES NERFS. § 1. Y a-t-il plusieurs espèces de
nerfs
? C'est par les nerfs que nous sentons ; c'est p
ES NERFS. § 1. Y a-t-il plusieurs espèces de nerfs? C'est par les
nerfs
que nous sentons ; c'est par eux que la volonté a
es deux facultés sont-elles distinctes dans deux ordres différents de
nerfs
? Cette question a été récemment résolue par l'exp
n invoque ne peuvent rien contre elle. Si l'on prend, disait-on, un
nerf
du corps, le sciatique par exemple, et qu'on le c
philosophe Lamarck ne l'a point mis en doute. § S. Distinction des
nerfs
moteurs et des nerfs sensitifs. La gloire de Wa
e l'a point mis en doute. § S. Distinction des nerfs moteurs et des
nerfs
sensitifs. La gloire de Walker est d'avoir acce
hypothèse, mais surtout d'avoir prévu que l'une des deux racines des
nerfs
spinaux contient les fibres sensibles et l'autre
otrices, et les postérieures sensitives. Coupe-t-on les premières, le
nerf
perd la faculté de transmettre aux muscles les dé
x muscles les déterminations volontaires. Coupe-t-on les secondes, le
nerf
devient insensible ainsi que toutes les parties o
de Magendie a renversé cette hypothèse. Quand, en effet, on coupe le
nerf
qui résulte de l'union des deux racines à quatre
istincts que le toucher perçoit de propriétés différentes. Il y a des
nerfs
spéciaux pour la douleur, pour le contact, pour l
x. Mais quelles sont les fonctions de la moelle à laquelle tous les
nerfs
sont attachés? Cette question en comprend deux. E
it-il, pour exciter des mouvements, de toucher ni les muscles, ni les
nerfs
; il suffit de toucher un point de la peau pour la
le a le privilège d'animer toutes les parties du corps auxquelles ses
nerfs
se distribuent. De ces faits si bien observés,
ères dans le segment antérieur, quant aux parties qui reçoivent leurs
nerfs
du segment postérieur, elles sont désormais compl
is, 1824.) (3) M, Flourens avait déjà dit : « Lorsque l'on pince un
nerf
dans une cer-« laine étendue de son trajet, il y
, qu'elle soit immédiate ou médiate, met en jeu le système entier des
nerfs
moteurs qui lui sont attachés ; on a pu conclure
s de Mûller et de Van Deen. C'est que l'irritation des extrémités des
nerfs
tangibles qui se répandent dans la peau a sur la
x eux-mêmes. Cette observation prouve deux faits, savoir : 1° que des
nerfs
sensibles dans la peau cessent graduellement d'êt
s connexions réciproques, les rapports qu'elles établissent entre les
nerfs
sensitifs et les fibres motrices, donnent la clef
andes ne pourraient pas être considérées comme les troncs communs des
nerfs
du corps en tant que ces nerfs se rattachent à l'
nsidérées comme les troncs communs des nerfs du corps en tant que ces
nerfs
se rattachent à l'encéphale et au cerveau. Pour l
iens la question n'était point douteuse. La moelle n'était rien qu'un
nerf
. Nous avons vu qu'elle est un centre par ses part
ltanée des uns et des autres. De là une singulière classification des
nerfs
, qu'il divise : 1° en nerfs volontaires, sensitif
. De là une singulière classification des nerfs, qu'il divise : 1° en
nerfs
volontaires, sensitifs et bipolaires ; 2° en nerf
'il divise : 1° en nerfs volontaires, sensitifs et bipolaires ; 2° en
nerfs
involontaires, sensitits et unipolaires. Cette th
é alternative d'action, d'une part entre la substantia cinerea et les
nerfs
moteurs, et d'autre part entre les nerfs sensitif
la substantia cinerea et les nerfs moteurs, et d'autre part entre les
nerfs
sensitifs et la substantia gelatinosa. 11 fonde s
les fibres centripètes, que comprennent les racines postérieures des
nerfs
spinaux, remontent en réalité jusqu'à l'encéphale
les fonctions des faisceaux de la moelle épinière et des racines des
nerfs
rachidiens. Paris, 1841. attribuait son habile
point semblables ; la variété des fibres nerveuses qui composent les
nerfs
est presque infinie ; il n'est pas certain d'aill
; il n'est pas certain d'ailleurs que des fibres excitables dans les
nerfs
le soient de même dans les cordons postérieurs ;
lièrement active dans le bulbe, celle où s'implantent les racines des
nerfs
pneumogastriques. M. Flourens a beaucoup étendu
semble probable qu'il dépend de quelques dispositions des racines des
nerfs
moteurs de l'œil, dispositions jusqu'à présent in
rgences. Les anciens plaçaient dans la couche optique l'origine des
nerfs
de ce nom, ce que beaucoup de modernes, se fondan
-circulaires, il les explique par le rapport qu'il découvre entre les
nerfs
de ces canaux et les trois ordres de fibres antér
ntales. Deuxième édition, Paris, 1842, p. 496. U. 24 attribue aux
nerfs
des canaux demi-circulaires, et conclut de ses ex
rfs des canaux demi-circulaires, et conclut de ses expériences que le
nerf
auditif est un véritable centre (1). Cette conclu
1» chez les animaux quadrupèdes, en supprimant toutes les racines des
nerfs
optiques ; 2° chez l'homme et chez les singes, en
ène l'ablation des tubercules quadrijumeaux chez les animaux dont les
nerfs
optiques se rendent en totalité à ces organes, so
s reste à parler des lobes olfacUjs. Longtemps on les a pris pour des
nerfs
; mais évidemment ils sont un diverticulum de l'é
hémisphères cérébraux. Ils reçoivent, d'ailleurs, un grand nombre de
nerfs
, dont les uns proviennent de la memhrane de Schne
de Jacobson. Paris, 1845, p. 25. (3) Voir la note intitulée : « Le
nerf
olfactif est-il l'organe de l'olfaction ? Dans le
ue au filet ethmoidal de la cinquième paire et aux autres branches du
nerf
trijumeau qui se distribuent dans le nez, le role
remarquer avec beaucoup de justesse que le développement du bulbe des
nerfs
ethmoïdaux est toujours en raison directe de l'én
r se propage par le sang, quant à la lumière, elle se répand dans les
nerfs
. Cette idée que les nerfs sont lumineux au corps
quant à la lumière, elle se répand dans les nerfs. Cette idée que les
nerfs
sont lumineux au corps a été reproduite dans notr
rsent, pour ainsi dire, dans la moelle, d'où elle passe dans tous les
nerfs
par une émanation continue. Les rayons de celte l
et les images des choses ; emprisonnés dans les conduits étroits des
nerfs
, ils les gonflent et déterminent ainsi la contrac
n ne l'avait supposé, et consé-quemment aussi il est probable que les
nerfs
d'un même sens contiennent plusieurs variétés de
plusieurs variétés de filaments élémentaires. Gall admettait dans le
nerf
optique l'existence d'autant d'élé ments doués
articulières, et ces sensations font supposer l'existence d'autant de
nerfs
différents que nous percevons de propriétés essen
Gerdy a fort bien fait remarquer que par les muscles, les chairs, les
nerfs
eux-mêmes mis à découvert, on percevait les doule
se perdre réside dans les muscles, où il fait supposer l'existence de
nerfs
particuliers. L'idée de la forme suppose l'idée
rtout ressentis dans les régions qu'animent ces branches cutanées des
nerfs
intercostaux, qui sont comme l'indication de l'ex
peau, demeurant intactes; par conséquent elle suppose l'existence de
nerfs
spéciaux, différents de ceux par lesquels nous pe
accordé assez d'altenlion au phénomène de l'engourdissement. Quand un
nerf
a été comprimé dans un point de son trajet il se
mé dans un point de son trajet il se produit dans le membre auquel le
nerf
se distribue un certain phénomène assez curieux.
exercée sur la muqueuse olfactive en tant qu'elle est animée par des
nerfs
spéciaux, mais il n'est pas aisé de les classer;
ais en tant qu'elles sont perçues par un certain organe et un certain
nerf
, elles le sont sous une forme spéciale et éveille
i est celle de Rohault. Suivant ce célèbre physicien, chaque filet du
nerf
optique de l'un des yeux aboutit au même point du
in filet de l'autre œil. On peut ainsi considérer les fibres des deux
nerfs
optiques comme formant une multitude de fibres pa
ces oscillations, elles doivent déterminer dans le système entier des
nerfs
des troubles instantanés dont la succession est t
le somnambulisme automatique, car nos observations anatomiques sur le
nerf
optique et la belle expérience de Longet (2) mont
gère capable d'éveiller directement le mode de sensibilité propre aux
nerfs
auditifs. L'homme qui entend un son quand sa vert
che (2), a vu une dame qui, ayant été longtemps tourmentée de maux de
nerfs
, vint à croire qu'elle était constamment environn
effets de cet agent, et « c'est en s'insinuant dans la substance des
nerfs
qu'il les a affecte immédiatement. On reconnaît p
...» « Le magnétisme animal peut guérir immédiatement les « maux de
nerfs
, et médiatement les autres. Il perfectionne « l'a
ment du fait, parfaitement démontré aujourd'hui, de la spécialité des
nerfs
, il est certain, par exemple, que sans un apparei
C'est ici le lieu de remarquer que, plus le système périphérique des
nerfs
et l'axe médullaire sont grands par rapport au ce
au, plus le côté instinctif de la vie prédomine. Chez les singes, les
nerfs
crâniens sont plus grands que dans l'espèce humai
es, les nerfs crâniens sont plus grands que dans l'espèce humaine. Le
nerf
optique d'un papion, dont le cerveau pèse à peine
au pèse à peine 160 grammes, est beaucoup plus volumineux que le même
nerf
dans un cerveau humain de 2,000 grammes. Il est b
le centre domine en souverain. Cet encéphale, si grand, eu égard aux
nerfs
du corps, exprime la suprématie de l'intelligence
igence, mais pour les sensations. Cela paraît assez prouvé pour les
nerfs
olfactifs et gustatifs, et surtout pour le nerf o
ssez prouvé pour les nerfs olfactifs et gustatifs, et surtout pour le
nerf
optique, mais on n'est point encore ar rivé à c
tique, mais on n'est point encore ar rivé à celte certitude pour le
nerf
acoustique. Quelques physiologistes, ainsi que no
ue. Le lobe olfactif reçoit évidemment dans sa coiffe les racines des
nerfs
olfactifs ; or, il est démontré que la finesse, s
ement distinct du cerveau que s'épanouissent les racines directes des
nerfs
optiques dans les singes et dans l'nomme ; eiles
l y a d'ailleurs entre cette racine médiate et la racine immédiate du
nerf
optique, une véritable opposition. La première es
tion. La première est en rapport avec le développement de l'œil et du
nerf
optique; la seconde suit le développement de l'hé
ovale de Vieussens, n'est point en rapport avec le développement des
nerfs
extérieurs, mais avec celui des couches corticale
des lobes olfactifs................. 191 CHAPURE VI. — Origines des
nerfs
................ 196 § 1. Considérations général
paires rachidiennes........................ ib. g 2. Origines des
nerfs
crâniens................. 198 § 3. Réflexions s
RE EXPÉRIMENTALE DU SYSTÈME NERVEUX CENTRAL CHAPITRE PREMIER. — Des
nerfs
................. 329 § 1. Y a-t-il plusieurs es
— Des nerfs................. 329 § 1. Y a-t-il plusieurs espèces de
nerfs
............. ib. § 2. Distinction des nerfs mot
il plusieurs espèces de nerfs............. ib. § 2. Distinction des
nerfs
moteurs et des nerfs sensitifs..... 330 CHAPITR
de nerfs............. ib. § 2. Distinction des nerfs moteurs et des
nerfs
sensitifs..... 330 CHAPITRE II. — De la moelle.
u et le cervelet ; les autres la moelle, avec ou sans le concours des
nerfs
périphériques. D'autres, enfin, ont soutenu que l
s méninges (méningite spinale posté-rieure) ; 3° celle des différents
nerfs
cérébraux, et entre autres, des nerfs optique, mo
eure) ; 3° celle des différents nerfs cérébraux, et entre autres, des
nerfs
optique, moteur oculaire, hypoglosse (atrophie et
ai aussi que, dans les expériences de Lewisson, l'irritation vive des
nerfs
viscéraux (reins, utérus) produit dans les membre
symptômes cephaliques, et qui ont pour point de départ une lésion des
nerfs
cérébraux ou bulbaires, tels que les nerfs optiqu
t de départ une lésion des nerfs cérébraux ou bulbaires, tels que les
nerfs
optiques, par exemple, ou les nerfs moteurs de l'
ébraux ou bulbaires, tels que les nerfs optiques, par exemple, ou les
nerfs
moteurs de l'œil. Sous ce rapport, il y a un pa
s nomme encore. Ce sont: Io Les symptômes céphaliques (paralysie d'un
nerf
moteur avec toutes ses conséquences, amblyopie pl
le nom de douleurs fulgurantes. Elles semblent suivre le trajet d'un
nerf
le long duquel elles passent comme un éclair. Il
e la courte durée de la sen-sation pénible, la délimitation exacte du
nerf
affecté est souvent difficile. Elle peut se faire
soit rare, lorsque des éruptions cutanées se manifestent le long des
nerfs
où siège la douleur. C'est ce qui a ]ieu chez une
ffert successivement des éruptions à'ecthyma sur le parcours du petit
nerf
sciatique d'abord, puis sur celui du saphène inte
scéraux, parce qu'ils témoignent évidemment d'une participation des
nerfs
viscéraux thoraciques et abdominaux. Dans ce gr
le, dans ce cas, par l'existence d'une atrophie com-mençante d'un des
nerfs
optiques. L'opinion que j'émis, presque dès l'ori
gle depuis quinze ans. Il s'agit ici encore d'une atrophie nacrée des
nerfs
optiques. Les accès de douleurs fulgurantes qui
ire. — Symptômes céphaliques dans l'ataxie locomotrice. — Lésions des
nerfs
crâniens et bulbaires. — Induration grise progres
ns des nerfs crâniens et bulbaires. — Induration grise progressive du
nerf
opti-que. — Atrophie progressive de la papille. —
ose tabétique ; sa fréquence. — Caractères de la lésion anatomique du
nerf
optique à l'œil nu et au microscope. — Aspect de
ssive. — Troubles fonctionnels qui accompagnent l'induration grise du
nerf
et de la papille optiques. — Modifications de la
ptômes céphaliques. Ces symptômes répondent à des lésions variées des
nerfs
crâniens et bulbaires. Dès les premières périodes
néralement combinées, en proportions diverses", avec des troubles des
nerfs
bulbaires ou des nerfs optiques. J'ajouterai que
n proportions diverses", avec des troubles des nerfs bulbaires ou des
nerfs
optiques. J'ajouterai que ces acci-dents, — et c'
ces ; 2° des troubles visuels dépendant d'une lésion par-ticulière du
nerf
optique. Ceux-ci sont autrement sérieux que les p
e à peu près fata-lement progressive et envahissante. La lésion des
nerfs
optiques, dont il s'agit, pourrait être dé-signée
grise progressive, par opposition d'une part à la lésion de ces mêmes
nerfs
dans la sclérose en sortir l'intérêt clinique q
voire même pendant plusieurs années. Il n'est peut-être pas un seul
nerf
bulbaire qui, à ce moment même, ne puisse être af
ême, ne puisse être affecté. Mais, le plus ordinairement, ce sont les
nerfs
moteurs oculaires qui sont envahis les premiers.
ires qui sont envahis les premiers. C'est par ordre de fréquence, les
nerfs
de la troisième et de la sixième paires ; puis, m
de la troisième et de la sixième paires ; puis, mais de très loin, le
nerf
pathétique ; le facial, l'hypoglosse et la cinqui
tat paralytique, pour les autres, par les douleurs. Mais, de tous les
nerfs
crâniens, les nerfs optiques sont ceux qui, dans
r les autres, par les douleurs. Mais, de tous les nerfs crâniens, les
nerfs
optiques sont ceux qui, dans l'espèce, méritent s
ns l'atrophie optique tabétique. L'induration grise progressive des
nerfs
optiques se traduit pendant la vie par des caract
ir reconnaître pour ce qu'elle est, dès l'origine, cette affection du
nerf
optique qui, dix, quinze ans après s'être constit
uvoir, en d'autres termes, un cas d'amaurose par lésion atrophique du
nerf
optique étant donné, déclarer si 1 ataxie s'en
'une façon à peu près inévitable, ou si, au contraire, l'affection du
nerf
optique demeurera isolée. Recherchons donc quel
Recherchons donc quels sont les caractères de l'induration grise des
nerfs
optiques et examinons s'ils sont, en réalité, com
trouble visuel qu'il s'agit d'étudier. A. l'œil nu, l'altération du
nerf
optique se présente sous la forme d'une induratio
le paraît, en règle générale, débuter par l'extrémité périphérique du
nerf
et s'étendre ensuite progressivement vers les par
l est remar-quable que celle-ci affecte, comme vous le voyez, dans le
nerf
optique, une marche centripète, tandis que les lé
e, une marche centripète, tandis que les lésions cor-respondantes des
nerfs
spinaux ont, au contraire, une progres-sion centr
fait reconnaître de nou-velles analogies entre l'induration grise des
nerfs
optiques et la sclérose spinale tabétique. Il y a
tique. Il y a lieu de remémorera ce pro-pos que, à l'état normal, les
nerfs
optiques se rapprochent, quant à la texture, beau
plus de la substance blanche des centres nerveux que tous les autres
nerfs
. C'est ainsi que, dans les nerfs optiques, on tro
centres nerveux que tous les autres nerfs. C'est ainsi que, dans les
nerfs
optiques, on trouve, comme l'a signalé M. Leber,
e, et qui est due à la présence des vaisseaux propres que renferme le
nerf
optique dans son La lésion qui constitue l'indu
a lésion qui constitue l'induration grise s'accuse d'ailleurs dans le
nerf
optique, comme dans la moelle épinière, par la mé
ctive. On s'expliquerait ainsi pourquoi, dans la lésion tabélique des
nerfs
optiques, l'élément nerveux subit une destruction
ongtemps dans le cas de la dernière affection. L'induration grise des
nerfs
optiques, dans l'ataxie locomotrice, pourrait don
ne ressemblance très grande entre l'induration qui se produit dans le
nerf
optique en conséquence de la né-vrite liée aux tu
umeurs cérébrales {névrite optique) et l'indura-tion grise de ce même
nerf
chez les tabétiques. Recherchons donc dans la cli
le caractère décisif. Par suite du changement de texture qu'a subi le
nerf
optique, et en conséquence surtout de la disparit
ister le doute. Je ne ferai que mentionner en passant, la lésion du
nerf
op-tique qui survient quelquefois dans la glycosu
tre attention sur les symptômes objectifs que produit l'altération du
nerf
optique désignée sous le nom de névrite optique o
térieur du crâne. Mais il paraît prouvé qu'en outre de la papille, le
nerf
lui-même peut être affecté dans toute son étendue
e présentaient les ca-ractères de la névrite optique avec atrophie du
nerf
. Ces lé-sions étaient liées à l'existence d'une t
l'étranglement de la papille avait eu lieu à une certaine époque, les
nerfs
optiques étaient gris, atrophiés, en un mot sclér
urée par une espèce de nuage. En raison de l'opacité acquise par le
nerf
optique, les capil-laires et la teinte rosée para
liques, tels que la céphalalgie et l'amaurose par induration grise du
nerf
optique. Il convient de rapprocher de ces grise
aujourd'hui les affections articulaires qui résultent des lésions des
nerfs
périphériques au même titre que l'herpès, la peau
un rôle dans la production de ces arthro-pathies. Pour ce qui est des
nerfs
périphériques, on s'est as-suré dans ce dernier c
ce n'est au niveau des trous de conju-gaison qui servent d'issue aux
nerfs
et à la région cervicale, sur un point qui corres
tissu adipeux qui livre passage à des artè-res, à des veines et à des
nerfs
. En définitive, Messieurs, le canal rachidien enc
es, les myxomes, développés aux dépens de l'enveloppe conjonctive des
nerfs
et dont la structure paraît faite sur le modèle d
arton. Ces tumeurs déterminent d'abord la compression des éléments du
nerf
, puis, se trouvant à l'étroit dans le canal rachi
le nom de paraplégie douloureuse des cancéreux, car non seulement les
nerfs
ainsi comprimés sous le poids de la colonne verté
us ou moins prononcée des muscles. La compression, l'irritation des
nerfs
sont fréquemment en jeu et à un haut degré dans l
é, par un autre mécanisme. En pareille circonstance, l'irritation des
nerfs
est occasionnée par leur passage à travers des po
ge à travers des points enflammés de la dure-mère. La compression des
nerfs
peut se produire aussi dans les cas de tumeur ou
. — Hyperesthésie tégumentaire. — Éruption de zona sur le tra-jet des
nerfs
douloureux ; anesthésie cutanée circonscrite ; at
d purement pas-sives, analogues à celle que détermine la section d'un
nerf
? Je ne saurais le dire. Toujours est-il qu'elles
après les parties molles extra-rachidiennes, abondamment pourvues de
nerfs
, les diverses pièces de la colonne vertébrale, da
enir le siège de douleurs vives. Quant à Yarachnoïde, elle n'a pas de
nerfs
à elle pro-pres. En revanche, la pie-mère en poss
e, se réunissent à ce moment-là, pour former les troncs originels des
nerfs
mixtes, lesquels cheminent pendant un certain tem
t surtout aux symptômes résultant de l'irrita-rion des racines ou des
nerfs
périphériques qu'il faut nous attacher. Car c'est
buts. Les symptômes dus à l'irritation des racines nerveuses ou des
nerfs
périphériques sont d'ailleurs constants, ou peu s
e départ, ne peut manquer de ren-contrer les racines nerveuses ou les
nerfs
mixtes dans leur VI. On désigne communément s
de départ de la douleur : celle-ci s'irradie suivant la direction des
nerfs
dont les origines sont affectées, irritées, compr
ègle, le développement des symptômes myélitiques proprement dits. Les
nerfs
voi-sins de la tumeur sont comprimés les premiers
reux chez le sujet trouve son explication dans ce fait que le dernier
nerf
intercostal que comprimait la tumeur, fournit des
symp-tômes de compression spinale. On comprend que tel ou tel autre
nerf
, le sciatique par exemple, puisse être affecté de
idée. Il est vraisemblable qu'elle est variable : tantôt la lésion du
nerf
siège au niveau de la dure-mère ; tantôt elle est
n dans le mal de Pott ne s'affaissent jamais assez pour comprimer les
nerfs
qui les traversent. Qu'il me suffise, Mes-sieurs,
hydatique qui use les corps vertébraux et se met en contact avec les
nerfs
rachidiens. Dam ces cas divers, la cause organiqu
ux, et dans le cas de cancer vertébral, en particulier, la lésion des
nerfs
est produite par l'affaissement des vertèbres ram
n'hésite pas à le dire, dans l'espèce, le fait de la compression des
nerfs
est, pour la clinique, beaucoup plus intéressant
urs fois vérifié la justesse de mon interprétation pathogé-nique. Les
nerfs
comprimés, en pareil cas, sont rouges, tumé-fiés
1 Charcot et Cotard. — Sur un cas de zona du cou avec altération des
nerfs
du plexus cervical et des ganglions correspondant
posté-rieures. (Société de Biologie, XVII. 1866, p. 41.) céreuse du
nerf
invoquée un peu à la légère, je crois, par plu-si
manière d'une ceinture, les autres se répandant le long du trajet des
nerfs
cruraux et des nerfs sciatiques, depuis leur orig
e, les autres se répandant le long du trajet des nerfs cruraux et des
nerfs
sciatiques, depuis leur origine spinale jusqu'à l
thésie des téguments, sur les points répondant à la distribution des
nerfs
douloureux. Cette hyperesthésie, le plus souvent,
ialement les érup-tions de zona 1 qui se produisent sur le trajet des
nerfs
parti-culièrement douloureux, une anesthésie cuta
se développe malgré la persis-tance des douleurs dans le domaine des
nerfs
affectés (anesthe-sia dolorosa), Vatrophie plus o
que ces tumeurs sont disposées de façon à com-primer et à irriter les
nerfs
spinaux. Je signalerai actuellement l'ostéomalaci
ans les parois thoraciques, des douleurs localisées sur le trajet des
nerfs
intercostaux, ce qui, un instant, avait fait croi
muscles uréthraux (constricteur del'urèthre et bulbo-caverneux). Les
nerfs
qui font contracter 1 Holmes. — A Si/stem of Su
antérieurs de la moelle jusqu'à l'issue des 3°-5e paires sacrées. Les
nerfs
qui font contracter les muscles de l'urèthre suiv
at normal par une influence réflexe, qui leur est communiquée par les
nerfs
centripètes provenant de la vessie. Il se produit
oelle, jusqu'à la sortie des 3e 4e et 5e paires sacrées, le cours des
nerfs
qui se rendent soit à la vessie, soit à l'urèthre
ermanent. Sommaire. — De la paraplégie cervicale. — Compression des
nerfs
des extré-mités supérieures. — Lésions de la moel
— Distinction entre la paraplégie cervicale due à la compression des
nerfs
périphériques et celle qui dépend d'une lésion de
n effet, assez fréquemment dans cette variété du mal de Pott, que les
nerfs
des extrémités supérieures soient comprimés, tant
uer des paralysies cervicales liées à la compression périphérique des
nerfs
. — Dans celle-ci, vous le savez, l'impuissance mo
démontrer que la lésion ne porte pas sur ;le trajet péri-phérique des
nerfs
, se trouve mis en relief déjà dans une ob-servati
nférieure du renflement cervical, au niveau de l'origine des 6° et 7e
nerfs
cervicaux. La paralysie envahit d'abord graduelle
'anus, au périnée et aux genoux *. Les effets de la compression des
nerfs
de la queue de cheval rentrent naturellement dans
ueue de cheval rentrent naturellement dans l'histoire des lésions des
nerfs
périphériques. Les douleurs pseudo-névralgiques,
'étendue, suivant le mode de répartition et le degré de la lésion des
nerfs
. Les sphincters de l'anus et de la vessie seraien
ccuser plus vite, dans cette maladie, que dans les cas de lésions des
nerfs
mixtes où elle est cependant très rapide. Ainsi,
e Wilson, in Arch. de plajsiologie, loc. cit. phériques, muscles ou
nerfs
, d'autres ont voulu y voir une maladie essentiell
lancs antéro-latéraux, dans la région de la moelle d'où émanaient les
nerfs
se rendant aux muscles atrophiés; mais nous n'avi
e jusqu'aux parties centrales par la voie des racines antérieures des
nerfs
rachidiens, car ces derniers, en général, — c'est
zona ne s'est pas accompagné de douleurs localisées sur le trajet des
nerfs
. Sans avoir ressenti ni douleurs ni fourmilleme
des tubes nerveux, soit dans le centre cérébro-spinal, soit dans les
nerfs
périphé-riques (Fig. 16, B). plus graves, sans
e qui placerait à la périphérie, soit dans les muscles, soit dans les
nerfs
, le point de départ des accidents, serait fort co
de pathogénique qu'il faut invo-quer ici. On admet volontiers que les
nerfs
centrifuges, qui prennent leur origine dans les p
em, ?\v n). épinière, se comportent comme le bout périphérique d'un
nerf
sectionné. Ils subiraient les diverses phases d'a
udiées avec tant de soin à l'oc-casion des lésions expérimentales des
nerfs
, et la perte appa-rente de la contractilité farad
t plausible, et il importe de remarquer en particulier que l'état des
nerfs
périphériques, dans les premières semai-nes qui s
ellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines nerveuses et des
nerfs
périphériques. — Lésions mus-culaires, leur natur
ois la seule lésion appréciable ; 2° dans les racines motrices et les
nerfs
moteurs périphériques, par une atrophie plus ou m
e se propage à la moelle elle-même et simulta-nément aux origines des
nerfs
rachidiens. L'atrophie muscu-laire des membres su
à la fois de la lésion méningée, de la lésion spinale et de celle des
nerfs
périphériques. 2° Vient ensuite la sclérose des
de la respiration (muscles intercostaux ou dia-phragme, ou encore les
nerfs
bulbaires, combinaison dont nous parlerons en un
es comme non avenues l. 2° Les racines nerveuses antérieures et les
nerfs
périphéri-ques sont affectés consécutivement à la
certain nombre de tubes nerveux subissent les mêmes altérations qu'un
nerf
sec-tionné. Dans l'atrophie musculaire, il n'est
c-tionné. Dans l'atrophie musculaire, il n'est qu'un petit nom-bre de
nerfs
qui éprouvent ce sort, et encore la destruction s
sont le siège, se transmet, par la voie des racines nerveuses et des
nerfs
centrifuges, jusqu'aux faisceaux musculaires qui,
e bulbe. —Altérations secondaires : Racines ner-veuses antérieures. —
Nerfs
périphériques. — Lésions trophiques des mus-cles.
r-veux ; — 3° des lésions consécutives des racines antérieures et des
nerfs
spinaux ; — 4° enfin des lésions trophiques des m
sécutivement aux précédentes dans les racines antérieures et dans les
nerfs
périphériques. Je ne puis que ré-péter ici ce que
fait vides de myé-line sont rares dans les racines ainsi que dans les
nerfs
périphériques. Les tubes granuleux sont en minori
érieures de la moelle et, par conséquent, comme servant d'origine aux
nerfs
moteurs bulbaires. Cette affectation n'est guère
s à la région cervicale de la moelle et dans les noyaux d'origine des
nerfs
bulbaires. Les préparations, relatives à ce cas,
s'étendre au bulbe et, à peu près toujours, c'est à la para-lysie des
nerfs
bulbaires, hypoglosse et pneumogastrique sur-tout
la statistique de M. Duchenne, l'atrophie des muscles ani-més par les
nerfs
bulbaires ne se serait montrée que 13 fois sur 15
hologique . Altération des méninges ; — de la moelle épinière ; — des
nerfs
périphéri-ques. — Symptômes : Période douloureuse
; mais, plus tard, la moelle elle-même d'un côté, et d'autre part les
nerfs
périphériques, qui émanent du renflement cervico-
remment la substance grise centrale ou les faisceaux blancs. c) Les
nerfs
périphériques sont atteints en conséquence de la
paraissent, vous l'avez compris, relever surtout de l'irritation des
nerfs
périphé-riques. De nouveaux phénomènes, qui con
moelle épinière et aussi d'une altération plus profonde subie par les
nerfs
périphériques. Les membres cessent d'être doulo
pachyméningite, les muscles compris dans la sphère d'inner-vation du
nerf
radial et du nerf médian sont surtout atrophiés,
es muscles compris dans la sphère d'inner-vation du nerf radial et du
nerf
médian sont surtout atrophiés, tandis que ceux qu
nerf médian sont surtout atrophiés, tandis que ceux qui dépendent du
nerf
radial sont relative-ment respectés. Il résulte d
Quelle est la raison de cette indemnité relative des dépen-dances du
nerf
radial? Je ne sais. S'il était établi que les fil
rf radial? Je ne sais. S'il était établi que les filets d'origine des
nerfs
cubital et médian émergent de la moelle plus ba
nerfs cubital et médian émergent de la moelle plus bas que ceux du
nerf
radial, on comprendrait ainsi que ces dernières p
tte interprétation, une confirmation expérimentale. L'arrachement des
nerfs
sciatiques, chez les lapins, a pour conséquence u
ayem. — Des altérations de la moelle, consécutives à l'arrachement du
nerf
sciatique chez lelapin. (Arch. de physiologie, pp
le. Je dois faire remarquer, ici. que les muscles qui reçoivent leurs
nerfs
du renflement cervical étaient, pour la plupart,
ient pas être rattachées à quelque lésion du grand sympathique ou des
nerfs
périphéri-ques. Relativement au premier point, je
éclarer, après avoir examiné avec soin divers fragments provenant des
nerfs
sciatiques, o-édians et radiaux, que ces nerfs m'
ragments provenant des nerfs sciatiques, o-édians et radiaux, que ces
nerfs
m'ont paru offrir, dans toutes leurs parties, les
ut se retrouver, par exemple, à la suite des lésions traumatiques des
nerfs
^antegazza. Gazetta lomb., p. 181, 1867. — Erb. D
dans le fait qui m'est personnel, les racines nerveuses, et aussi les
nerfs
périphériques, se sont montrés comme celle-ci tou
ire, l'amyotrophie paraît se produire en conséquence d'une lésion des
nerfs
périphériques.L'existence, en pareille circonstan
phériques.L'existence, en pareille circonstance, d'une altération des
nerfs
se rendant aux muscles paralysés et atrophiés, a
que, en ce sens qu'elle paraît dépendre, elle aussi, d'une lésion des
nerfs
périphériques, et ce rappro-chement paraîtra d'au
e bien avéré d'amyotrophie généralisée, relevant d'une altération des
nerfs
périphériques ; je n'ignore pas que, sous le nom
t une amyotrophie à évolution progressive, provenant d'une lésion des
nerfs
sans participation de la moelle épinière ; je ne
'on lui a prêté. Dans ce cas, en effet, — en plus de l'altération des
nerfs
périphériques, — il existait dans la moelle épini
illeurs cliniquement, semblait devoir être rattachée à une lésion des
nerfs
périphériques. La moelle épinière était tout à fa
, sou-vent témoignent déjà, dès cette époque, de la participation des
nerfs
viscéraux. Tout autre est, dès l'origine, la ph
à d'un acte réflexe dont le point de d'part serait une irritation des
nerfs
de certains tendons ; l'interprétation de M. West
: propagation de la lésion rénale à la moelle par l'intermédiaire des
nerfs
(Troja, Leyden). — Faits d'expérimenta-tion à l'a
menta-tion à l'appui. — Exemples de propagation de l'inflammation des
nerfs
à la moelle. Paraplégies urinaires réflexes. —
équard. — Expériences récentes. — Phénomène d'arrêt. — Irritation des
nerfs
périphériques. — Fausses paraplégies. — Névrite d
pour cause, non plus une affection spinale, mais bien une lésion des
nerfs
du plexus sacré produite d'une manière directe, p
udge et Gianuzzi placent le centre gônito-spinal, et d'où parlent les
nerfs
de la vessie. Il me paraît suffisamment établi
côté, la lésion spinale ; mais jamais, jusqu'ici, on n'a pu, sur les
nerfs
, retrouver les traces de la propagation présumée
e de M. Leyden, M. Tiesler 2, avait eu l'occasion d'appliquer sur les
nerfs
scia-tiques de lapins des agents irritants de nat
trois jours plus tard ; l'autopsie fît découvrir, dans l'épaisseur du
nerf
scia- 1 Snmmlung klinisch. Vortrœge. ? 2, Leipz
ulent et un autre foyer dans le canal vertébral autour des racines du
nerf
, près de leur émergence. La moelle épi-nière, dan
mollie et infiltrée de corps granuleux et de leucocytes. La partie du
nerf
com-prise entre les deux foyers purulents paraiss
du système nerveux central retentissent quelquefois, par la voie des
nerfs
, sur diverses parties du corps, pour y déterminer
iphériques, retentis-sent, cette fois encore, par l'intermédiaire des
nerfs
, sur les parties centrales du système nerveux et
usieurs endroits de ses écrits, émis l'opinion que l'inflammation des
nerfs
1 Depuis que celte leçon a été faite (juillet 1
Hayem. — Des altérations de la moelle consécutives à l'arrachement du
nerf
sciatique chez le lapin (Arch. de physiologie, 18
s longuement. Voici des faits plus explicites1. Les altérations des
nerfs
de la queue de cheval, lorsqu'elles siègent au-de
ogie de M. Brown-Séquard, pour 1856. Il est relatif à une lésion d'un
nerf
de l'avant-bras ayant déterminé d'abord une névri
ie \ Il est au moins fort vraisemblable que, dans tous ces cas, les
nerfs
ont été le siège d'un travail inflammatoire, qui
nomènes d'arrêt, observés en conséquence de l'ir-ritation de certains
nerfs
, vous sont bien connus ; vous savez comment l'irr
ins nerfs, vous sont bien connus ; vous savez comment l'irritation du
nerf
vague arrête le cœur, celle du splanchique paraly
celle du splanchique paralyse l'intestin, et comment, enfin, celle du
nerf
laryngé supérieur suspend momentanément la respir
t-être, c'est que l'irritation de certains points de la moelle ou des
nerfs
spinaux est capable, elle aussi, dans de certaine
eau du plexus brachial. Si alors on irrite par un moyen quelconque le
nerf
sciatique du côté gauche, par exemple, tant que l
sairement s'épuiser au bout d'un certain temps ; que l'irritation des
nerfs
périphériques résultant de la cystite ou de la né
s, on avait noté l'existence de douleurs vives sur le trajet des deux
nerfs
sciatiques. Les cas de ce genre paraissent rares,
vées, à produire des modifications durables dans le fonctionnement du
nerf
auditif. Le résultat a justifié, vous allez le vo
est donc pas, vous le voyez, en détermi-nant la paralysie complète du
nerf
auditif que le sulfate de quinine aurait agi dans
de départ des accidents est peut-être une irritation particulière des
nerfs
laryngés centripètes. Il s'agirait donc là, d'une
u vertige de Ménière, qui lui paraît se rattacher à une affection des
nerfs
du labyrinthe. Sous cette impression il a prescri
t relatives aux effets produits chez les ani-maux par l'excitation du
nerf
laryngé supérieur, faite dans de certaines condit
est de même delà protéburance et du bulbe rachidien. Les racines des
nerfs
bul-baires sont de volume normal et ont la colora
rophiés. — Les racines postérieures sont normales ainsi que celles du
nerf
hy-poglosse. Nerfs périphériques. — Le nerf phr
es postérieures sont normales ainsi que celles du nerf hy-poglosse.
Nerfs
périphériques. — Le nerf phrénique du côté gauche
les ainsi que celles du nerf hy-poglosse. Nerfs périphériques. — Le
nerf
phrénique du côté gauche et deux nerfs intercosta
se. Nerfs périphériques. — Le nerf phrénique du côté gauche et deux
nerfs
intercostaux ont seuls été examinés. Ces trois ne
é gauche et deux nerfs intercostaux ont seuls été examinés. Ces trois
nerfs
ont subi des altérations analogues. L'examen apor
i des altérations analogues. L'examen aporté plus spécialement sur le
nerf
phrénique dont nous allons décrire les lésions. —
f phrénique dont nous allons décrire les lésions. — Une portion de ce
nerf
prise le long du péricarde, vers la partie mo-yen
n tube à myéline. Il semble cependant que l'atrophie n'envahit pas le
nerf
d'une façon absolument irrégulière qu'elle procèd
ent, lorsqu'on les compare à des coupes sem-blables pratiquées sur un
nerf
sain, de se faire une bonne idée du nombre des tu
et de constater en même temps la réduction considérable qu'a subi le
nerf
malade dans ses diamètres, réduc- r.TiAncnT. Œu
idée du processus qui, vrai-semblablement, a présidé à l'atrophie de
nerf
. On rencontre en effet, bien qu'ils soient fort r
e plus spéciale-ment attiré notre attention en raison de la lésion du
nerf
qui l'a-nime, l'altération est bien loin d'y être
hives de physiologie, que les lésions observées dans les muscles, les
nerfs
et les racines ne se sont produites que consécuti
, et mérite à ce titre une mention spéciale. On a vu que, parmi les
nerfs
périphériques, ceux qui ont été examinés avaient
entiques à ceux qui se produisent dans l'extrémité péri-phérique d'un
nerf
sectionné, avec cette différence toutefois, qu'ic
cette différence toutefois, qu'ici, dans le cas de l'amyotrophie, le
nerf
ne se trouve envahi que lentement, et pour ainsi
VIII, fig. S), peut-être convient-il de faire intervenir la lésion du
nerf
très accusée, en particulier en ce qui concerne l
la lésion du nerf très accusée, en particulier en ce qui concerne le
nerf
phrénique qui les plaçait pour la plupart dans le
s cepen-dant présenter la demi-transparence que l'on observe dans les
nerfs
qui ont subi une atrophie complète. Ces altératio
ion dans la coloration devient surtout manifeste quand on compare ces
nerfs
à d'autres, tels que le lingual, par exemple, qui
reflet blanchâtre. On ne remarque pas de diminution de volume de ces
nerfs
, analogue à celle que présen-tent les racines ant
nalogue à celle que présen-tent les racines antérieures. — Les autres
nerfs
périphériques ne nous montrent aucune modificatio
ration. Nous avons signalé à propos du système périphé-rique ceux des
nerfs
crâniens qui présentaient une modification dans l
n. — Nous avons réussi plusieurs fois à voir très nettement de petits
nerfs
musculaires. Nous n'avons pas, dans ces cas, rema
on n'y a rencontré aucune trace d'alté-ration des tubes nerveux. c)
Nerfs
crâniens. Le facial et l'hypoglosse, examinés à l
t d'un exa-men spécial; ils n'ont paru offrir aucune altération. d)
Nerfs
rachidiens. Les deux nerfs phréniques, celui du c
n'ont paru offrir aucune altération. d) Nerfs rachidiens. Les deux
nerfs
phréniques, celui du côté droit principalement, n
e médian et sur le cubital examinés à l'avant-bras ; sur ces derniers
nerfs
, quelques tubes nerveux atrophiés présentaient, d
sur les divers cordons blancs de l'organe. — Les filets d'origine des
nerfs
bulbaires situés au-dessous du facial, c'est-à-di
, par leur finesse et leur coloration grise, avec les ra- cines des
nerfs
situés au-dessus ; le facial, en particulier, est
l-tération; ces derniers surtout, à un degré beaucoup moins avancé.
Nerfs
. Les filets d'origine de la plupart des nerfs bul
eaucoup moins avancé. Nerfs. Les filets d'origine de la plupart des
nerfs
bulbaires ont été examinés, et tous présentaient
s nombreux que d'habi-tude. Pas plus que les racines, le tronc de ces
nerfs
n'était dans son trajet ultérieur notablement alt
a langue ; il en était de même pour le spinal, le pneumogastrique, le
nerf
facial. Les racines antérieures des nerfs rachi
al, le pneumogastrique, le nerf facial. Les racines antérieures des
nerfs
rachidiens, examinées au ni-veau du renflement ce
and nombre de fibres restées saines, quelques fibres dégénérées. Le
nerf
médian du côté gauche, examiné, après durcissemen
de la substance grise. 1° Substance grise. Les noyaux d'origine des
nerfs
bulbaires sont ici le siège de l'altération. Cell
a composition de ces noyaux, est surtout très prononcée dans celui du
nerf
hypoglosse ; à côté de quelques cellules demeurée
noyaux. Les groupes cellulaires, appartenant aux différents autres
nerfs
de la région, sont moins profondément atteints. L
, les caractères de l'état sain. y. Etat des centres nerveux et des
nerfs
bulbaires. — Le cerveau proprement dit et les div
si, tout à fait saine. Les filets d'origine d'un certain nombre des
nerfs
bulbaires, à savoir l'hypoglosse, le pneumogastri
nombreux qu'aux parties correspondantes des membres supérieurs. p.
Nerfs
crâniens. — Sur toutes les préparations à l'état
état frais provenant des filets radiculaires très grêles de plusieurs
nerfs
bul-baires, de l'hypoglosse par exemple, on const
lles ne sont en amas, sous forme de corps granuleux. Les troncs des
nerfs
hypoglosse, spinal et pneumogastrique, ne présent
it être cherché en de-hors des centres nerveux, c'est-à-dire dans les
nerfs
périphé-riques. Celte manière de voir n'est pas a
er que, d'après les recherches de M. Yulpian, la section complète des
nerfs
périphériques, et en particulier de l'hypoglosse,
Or, on a vu que, dans le cas qui nous occupe, les rameaux des di-vers
nerfs
bulbaires offraient tout au plus des altérations
dans le bulbe et dans la moelle, le siège primitif du mal et que les
nerfs
périphériques n'ont été affectés que secondaireme
s, les altérations du système musculaire ont pro-cédé, parla voie des
nerfs
bulbaires et rachidiens, de la lésion des centres
e par une tumeur du médiastin ; l'altération des noyaux d'origine des
nerfs
pneumogastriques, que l'examen du bulbe a fait re
gion dorsale de la moelle épiniôre ; 3° di-vers tronçons pris sur les
nerfs
sciatiques, médians et ra-diaux ; 4° un fragment
l ne faut pas oublier, en effet, que les mus-cles qui reçoivent leurs
nerfs
de cette dernière région de la moelle étaient, po
4). se trouve, par exemple, à la suite des lésions traumatiques des
nerfs
1 et dans quelques cas de paralysie infantile spi
ent pas être rattachées à quel-que lésion du grand sympathique ou des
nerfs
périphériques. Relativement au premier point, je
rer, après avoir examiné avec soin les divers fragments provenant des
nerfs
sciatiques, mé-dians et radiaux, que ces nerfs m'
ragments provenant des nerfs sciatiques, mé-dians et radiaux, que ces
nerfs
m'ont paru offrir, dans toutes leurs parties, les
s croyons qu'avant de rien décider à l'égard de l'état anatomique des
nerfs
périphériques dans la paralysie pseudo-hypertroph
destruction. — c, Cellule normale. Eig. 5. — Coupe longitudinale du
nerf
phrénique. — a, a, Tubes normaux dont la myéline
ATROPHIE MUSCULAIRE PROTOPATHIQUE Fig. 1. — Coupe transversale du
nerf
phrénique. — a, a, Coupe de faisceaux, où les tub
dessin fait à la chambre claire). Fig. 2. — Coupe transversale d'un
nerf
phrénique normal. (Les contours ont été dessinés
ec le même grossissemmt que pour la figure 1). Fig. 3. — Un tube du
nerf
phrénique malade {névriteparemhymaieuse). — a, a,
ire. — Symptômes céphaliques dans l'ataxie locomotrice. — Lésions des
nerfs
crâniens et bulbaires. — Induration grise progres
ns des nerfs crâniens et bulbaires. — Induration grise progressive du
nerf
optique. —Atrophie progressive de la papille. --
rose tabétique; sa fréquence. — Caractères de la lésion anatomique du
nerf
optique à l'œil nu et au microscope. — As-pect de
-sive. — Troubles fonctionnels qui accompagnent l'induration grise du
nerf
et de la papille optiques. — Modifications de la
s. — Hyperesthésie tégumentaire. — Eruption de zona sur le trajet des
nerfs
douloureux : anesthésie cutanée circonscrite; atr
ermanent. Sommaire. — De la paraplégie cervicale. — Compression des
nerfs
des extré-mités supérieures. — Lésions de la moel
—Distinction entre la pa-raplégie cervicale due à la compression des
nerfs
périphériques et celle qui dépend d'une lésion de
ellules nerveuses, névroglie). — Lésions des racines nerveuses et des
nerfs
périphériques. — Lésions mus-culaires, leur natur
e bulbe. —Altérations secondaires : Racines ner-veuses antérieures. —
Nerfs
périphériques. — Lésions trophiques des mus-cles.
hologique . Altération des méninges ; — de la moelle épinière ; — des
nerfs
périphéri-ques. — Symptômes : Période douloureuse
propagation de la lésion rénale à la moelle par l'in-termédiaire des
nerfs
(Troja, Leyden). — Faits d'expérimentation à l'ap
mentation à l'ap-pui. — Exemples de propagation de l'inflammation des
nerfs
à la moelle. Paraplégies urinaires réflexes. —
équard. — Expériences récentes. — Phénomène d'arrêt. — Irritation des
nerfs
périphériques. — Fausses paraplégies. — Névrite d
— Lésions des cor-nes antérieures, 76. — Consécutives aux lésions des
nerfs
périphériques, 74. — Aux hémiplégies cérébrales,
224. — Lésions de la moelle, 2: 5 ; — des racines an-térieures et des
nerfs
périphéri-ques, 229 ; — des muscles, 231, 431 ; —
Dans la paraplégie cervicale, 143,146. — Consécutive aux lésions des
nerfs
, 292. — nerveuse progressive, 292. — partiell
ium, 315, 355,387. Bulbe rachidien, 432, 456, 458, 470. (V. Moelle,
Nerfs
, Paralysie glosso-laryngée, sclérose.) C Ca
e locomotrice, 39, 46. G Gliome, 87. Glycosurie avec lésion des
nerfs
optiques, 51. Goll (Développement des cordons d
. Ar-thropathies.) Myopathies spinales, 163. N Néphrite, 326.
Nerfs
(Lésions consécutives a la sec-tion des), 205. —
74, 77, 273, 445. — Sciatique (Arrachement du), 279. Névrite des
nerfs
optiques, 48, 51. — Parenchymateuse, 48. — Du ner
79. Névrite des nerfs optiques, 48, 51. — Parenchymateuse, 48. — Du
nerf
sciatique dans les paraplégies uri-naires, 325, 3
ouls lent et épilepsie, 157. (V. Arthrite.) Racines antérieures des
nerfs
, 428, 433,449. —Postérieures 5, 117, 107. Ramol
De la substance grise, 214, 451. — Des racines antérieures, 245. —Des
nerfs
périphériques, 245. — Des muscles, 246, 445, 446.
E 1) V SYSTÈME NERVEUX ORIGINES, RAMIFICATIONS, ANASTOMOSES DES
NERFS
LEUR DISTRIBUTION DANS LES MUSCLES ET LA PEAU
ns ses moindres détails, la distribution collatérale et terminale des
nerfs
établie avec une précision et une rigueur qui ne
plus délicates. Le plan général de l'ouvrage est le suivant : Les
nerfs
sont représentés, à partir de leur origine appare
scle, ou à telle partie de la peau. Deux planches sont consacrées aux
nerfs
crâniens, et deux autres aux nerfs rachidiens.
Deux planches sont consacrées aux nerfs crâniens, et deux autres aux
nerfs
rachidiens. Dans une planche consacrée uniqueme
vation de chaque partie du tégument, et par suite les plexus ou les
nerfs
originels correspondants, sont indiqués avec soin
e, une vue d'ensemble de la distribution collatérale et terminale des
nerfs
, à partir de leurs origines. C'est là pour le cli
faire des investigations personnelles. La distribution de tous les
nerfs
de l'économie, partout où ils ont reçu un nom, se
re plus facile, les noms des muscles sont écrits en rouge et ceux des
nerfs
en noir. Il est bien entendu que les présentes
à direction croisée; les rapports réciproques et les proportions des
nerfs
sont donc modifiés. Pour les plexus et autres p
r lesquelles on n'est pas encore fixé, telles que les anastomoses des
nerfs
crâniens, elles ont été passées sous silence pour
moyen. —2, Coupe de la commissure cérébrale antérieure. — 3, Coupe du
nerf
optique. — 4, Glande pituitaire. —¦ 4', Tige pitu
ou infundibulum. — 5, Tuber cinereum. — 6, Tubercule pisiforme. — 7,
Nerf
oculo-moteur commun. —8, Espace perforé médian. —
let, 19. — 20, 20, 20, Sinus du corps calleux. PLANCHES II ET III
NERFS
CRANIENS. On comprend sous ce nom les douze pai
T III NERFS CRANIENS. On comprend sous ce nom les douze paires de
nerfs
émanant de l'axe cérébro-spinal et sortant par le
verses régions auxquelles elles sont destinées. La nomenclature des
nerfs
crâniens introduite par Willis a pris tellement c
tive de chaque planche nous n'avons donné que l'origine apparente des
nerfs
; quoique d'une très grande importance physiologi
nce physiologique, nous avons passé sous silence l'origine réelle des
nerfs
, car outre leur complexité il existe encore une g
l existe encore une grande dissidence à ce sujet (1). Plusieurs des
nerfs
crâniens sont en connexion par de petits filets a
xième planche représente la distribution des six premières paires des
nerfs
crâniens. I. Le nerf olfactif est destiné spéci
la distribution des six premières paires des nerfs crâniens. I. Le
nerf
olfactif est destiné spécialement au sens de l'od
pécialement au sens de l'odorat. Il est ordinairement décrit comme un
nerf
; cependant, à cause du grand développement de son
eurs. De la face inférieure du cerveau partent environ vingt petits
nerfs
qui traversent les trous de la lame criblée de l'
ir la donner telle qu'elle est admise généralement. M. D. T. II. Le
nerf
optique est le nerf spécial de la vision, il se t
u'elle est admise généralement. M. D. T. II. Le nerf optique est le
nerf
spécial de la vision, il se termine dans la rétin
ue est le nerf spécial de la vision, il se termine dans la rétine. Le
nerf
optique d'un coté se réunit à celui du côté oppos
ptique d'un coté se réunit à celui du côté opposé dans le chiasma des
nerfs
optiques. Depuis son origine jusqu'au chiasma il
te optique. III. Le moteur oculaire commun (troisième paire) est un
nerf
entièrement moteur. Il fournit des branches à cin
Le pathétique ou trochléaire (quatrième paire) est le plus petit des
nerfs
crâniens et se termine dans le muscle grand obliq
-mère. V. Le trijumeau ou trifacial (cinquième paire) ressemble aux
nerfs
rachidiens par les deux racines qui lui donnent n
tribution est très limitée. La grosse racine constitue le principal
nerf
de la sensibilité générale et musculaire de la fa
nches contient des ramifications affectées au sens du goût. Comme les
nerfs
rachidiens la racine sensitive présente un rendem
e (ganglion de Casser) d'où partent les trois branches principales du
nerf
. Les deux branches supérieures sont simplement
ncipales du nerf. Les deux branches supérieures sont simplement des
nerfs
de sensibilité générale, tandis que l'inférieure
actère plus complexe, car parmi ses branches elle a : 1° De simples
nerfs
de sensibilité (dentaire inférieur, auriculo-temp
sensibilité (dentaire inférieur, auriculo-temporal, buccal); 2° Des
nerfs
moteurs qui, probablement comme les nerfs spinaux
temporal, buccal); 2° Des nerfs moteurs qui, probablement comme les
nerfs
spinaux, contiennent aussi des fibres sensitives
les nerfs spinaux, contiennent aussi des fibres sensitives ; 3° Un
nerf
de sensibilité ordinaire et d'un sens spécial (gu
s ganglions contenant de la substance grise sont en connexion avec ce
nerf
: chacun d'eux est en communication avec un nerf
en connexion avec ce nerf : chacun d'eux est en communication avec un
nerf
moteur et un nerf sensitif, et avec le grand symp
ce nerf : chacun d'eux est en communication avec un nerf moteur et un
nerf
sensitif, et avec le grand sympathique et donne d
ons voisines. VI. Le moteur oculaire externe (sixième paire) est le
nerf
moteur du muscle droit externe de l'œil. La planc
septième paire) ou portion dure de la septième paire de Willis est un
nerf
purement moteur et se distribue aux muscles de la
scles de la face. Outre les anastomoses indiquées dans la planche, le
nerf
facial se rend par le grand pétreux superficiel (
après accolement avec un filet du grand sympathique prend le nom de
nerf
Vidien et va dans le ganglion de Meckel constitue
muscles ses fibres s'anastomosent avec la cinquième paire. VIII. Le
nerf
auditif (huitième paire), portion molle de la sep
huitième paire), portion molle de la septième paire de Willis, est un
nerf
destiné à l'audition; il se distribue dans l'orei
gdales et aux côtés de la partie postérieure de la langue. C'est le
nerf
du sens du goût, de sensibilité ordinaire pour le
ordinaire pour les parties auxquelles il se distribue et le principal
nerf
centripète de la déglutition. Il est douteux qu'i
Il est douteux qu'il contienne des fibres motrices ne venant pas des
nerfs
avec lesquels il s'anastomose. X. Le pneumogast
la grandeur de la planche. Il a beaucoup d'anastomoses avec d'autres
nerfs
crâniens, rachidiens ou du système du grand sympa
e à celle du grand sympathique. XL Le spinal (onzième paire) est un
nerf
entièrement moteur. Il part de la partie supéri
en grande partie avec le pneumogastrique (de là son nom accessoire de
nerf
vague). Il se distribue au sterno-cléido-masloï
paraît donner vient probablement des nombreuses anastomoses avec les
nerfs
rachidiens. (1) Avec Vulpian nous ferons remarq
trique, tout au moins chez les animaux. N. D. T. PLANCHES IV ET V
NERFS
RAGHIDIENS OU SPINAUX. Les nerfs venant de la m
aux. N. D. T. PLANCHES IV ET V NERFS RAGHIDIENS OU SPINAUX. Les
nerfs
venant de la moelle ont chacun deux racines. La p
transmettent le mouvement aux différents muscles de l'économie. Le
nerf
qui résulte de la réunion de ces deux racines a u
de fibres sensitives. Aussitôt sortis des trous de conjugaison, les
nerfs
se divisent en deux branches, une relativement pe
uscles et à la peau du dos. Les branches antérieures forment les gros
nerfs
qui vont se distribuer au cou, aux parties latéra
parties latérales et antérieures du tronc et aux membres. Comme les
nerfs
crâniens les nerfs rachidiens sont symétriquement
t antérieures du tronc et aux membres. Comme les nerfs crâniens les
nerfs
rachidiens sont symétriquement disposés de chaque
rachial. Les branches antérieures des paires dorsales sont appelées
nerfs
intercostaux. A partir du troisième nerf interc
es dorsales sont appelées nerfs intercostaux. A partir du troisième
nerf
intercostal nous ne les avons pas fait figurer su
latérales pour la surface du thorax. Les petites fibres émanant des
nerfs
rachidiens près de leur origine et se rendant aux
les voir à la planche VI. La planche V complète la distribution des
nerfs
rachidiens. Les branches antérieures des trois pr
ion des nerfs rachidiens. Les branches antérieures des trois premiers
nerfs
lombaires et une grande partie de la quatrième co
nt le plexus sacré. PLANCHE VI SYSTÈME DU GRAND SYMPATHIQUE Les
nerfs
de ce système, aussi appelé trisplanchnique, syst
s; ils communiquent par de nombreuses anastomoses avec le système des
nerfs
cérébro-rachidiens. Les petits ganglions en conne
omme appartenant à ce système, les ganglions en communication avec le
nerf
glosso-pharyngien et le nerf pneumogastrique, ain
, les ganglions en communication avec le nerf glosso-pharyngien et le
nerf
pneumogastrique, ainsi que ceux des veines postér
t le nerf pneumogastrique, ainsi que ceux des veines postérieures des
nerfs
rachidiens. A part les ganglions ci-dessus ment
-dessous; extérieurement il est en communication avec un ou plusieurs
nerfs
rachidiens; intérieurement il envoie des branches
. Ceux-ci, après avoir été plus loin renforcés par des branches des
nerfs
rachidiens, envoient des branches aux divers orga
cardiaque, ainsi que l'organe auquel il se distribue, est unique; les
nerfs
cardiaques de chaque côté convergent vers lui.
médiane. De chaque côté du plexus solaire, au point où l'atteint le
nerf
grand splanchnique, se trouve placé le ganglion s
st considérablement renforcée par des branches venant directement des
nerfs
sacrés. PLANCHE VII DISTRIBUTION DES NERFS CU
venant directement des nerfs sacrés. PLANCHE VII DISTRIBUTION DES
NERFS
CUTANÉS. Ce diagramme est destiné à montrer d'o
bles suivant les sujets, l'anastomose et le croisement des différents
nerfs
. Pour indiquer le rapport qui existe entre les di
ar transparence l'innervation palmaire, laquelle est partagée par les
nerfs
médian et cubital de la façon suivante: le cubita
cienne description); en effet, les branches collatérales provenant du
nerf
radial s'arrêtent à l'indicateur, et la moitié ex
ge de ces doigts; il en est de même des branches collatérales, que le
nerf
cubital fournit à l'annulaire et la moitié intern
moitié externe de l'annulaire) reçoivent leur innervation dorsale du
nerf
médian, comme il suit : au niveau du pli interdig
s que les deux doigts de chaque côté du médius sont innervés par deux
nerfs
seulement : cubital et médian pour le côté intern
ian pour le côlé externe, le médius, lui, se trouve innervé par trois
nerfs
: le médian, qui lui fournit ses collatéraux palm
tico - prolubéranlielles) ; les autres se rendent dans les noyaux des
nerfs
moteurs crâniens (fibres cérébrales des nerfs m
t dans les noyaux des nerfs moteurs crâniens (fibres cérébrales des
nerfs
moteurs crâniens) et repré- sentent les neurone
crâniens) et repré- sentent les neurones centraux, corticaux de ces
nerfs
. Quant aux fibres de la pyramide antérieure du
l postérieur. - ms, sillon marginal supérieur. - NC, noyau caudé. NL,
nerf
de Lancisi. - NL3, 1VI2, troisième et deuxième
onvolution du crochet. - Il', champ de Wernicke. - xll, chiasma des
nerfs
optiques. Zr, zone réti- culée ou grillagée du
latéral. - Vsph, sa corne sphénoïdale. II, bandelette optique. - III,
nerf
moteur ocu- laire commun. dans le corps de Lu
icule latéral. Zr, zone réticulée. - JI, bandelette optique. - III,
nerf
moteur oculaire commun. Il résulte de cette dis
t des pédoncules céré- belleux supérieurs et l'entre-croisement des
nerfs
pathétiques. Méthode de Weigert- Le stratum int
ne motrice descendante du trijumeau. - l'il, voie pédonculaire, - IV,
nerf
pathétique; xll', son entre-croisement en arriè
terpédonculaire. - Ln, locus niger. N7 ! , noyau rouge. Niv, noyau du
nerf
pathétique. - l', pied du pédoncule cérébral; P
ne descendante motrice du trijumeau. - 7/, bandelette optique; III,
nerf
moteur oculaire commun. il exisle un pes lemnis
- Zr, zone réticulée du tha- lamus. II, bandelette optique. - 1'1,
nerf
moteur oculaire externe. les coupes vertico-tra
bandelette optique. - x11, substance grise doublant le chiasma des
nerfs
optiques. 72 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Br
e rendent au locus niger et les neurones corticaux d'une partie des
nerfs
moteurs crâniens. 11 contient en outre quelques
la partie adjacente au faisceau interne, les neurones corticaux du
nerf
fa- cial. Ces différentes catégories de fibres
pédoncule cérébral retentit en outre sur les neurones corticaux des
nerfs
moteurs crâniens. 11 n'existe donc pas dans le pi
eurs, un faisceau corlico- protubérantiel distinct, un faisceau des
nerfs
moteurs crâniens distinct, un faisceau pyramida
ment enchevêtrées les unes avec les autres, bien que les fibres des
nerfs
moteurs crâniens se groupent surtout à la parti
ze/'<, les neurones corlico- bulbaires (ou faisceau cérébral des
nerfs
craniens moteurs), les neurones corlico-médulla
tubérance. Les neurones cortico-bulbaires (ou faisceau cérébral des
nerfs
moteurs crâniens) tirent leur origine de l'oper
x) et la substance grise centrale (cornes médullaires et noyaux des
nerfs
crâniens). L'écorce cérébrale était reliée aux ga
ntérieurs et le pied du pédoncule cérébral au-dessous de l'oiigine du
nerf
moteur oculaire commun; 2, par la protubérance
te con- vexité ; 3, par la protubérance au-dessus de l'émergence du
nerf
facial; 4, par la partie moyenne des olives bul
ustique. 10, noyau postérieur du vague et fibres radiculaires de ce
nerf
(coupe 4). - 10a, noyau antérieur du vague. - 1
paitait le système de projection de troisième ordre constitué par les
nerfs
périphériques cérébro-rachidiens. La couche o
eau du raphé du cerveau moyen puis se rendaient dans les noyaux des
nerfs
moteur oculaire commun (III- paire) et pathétiq
laire n'étaient en effet pour Meynert que les fibres cérébrales des
nerfs
moteurs crâniens. Les autres fibres de l'anse du
inisé). ? la voie pyramidale myélinisée. - p', la voie centrale des
nerfs
moteurs crâniens, en particulier du facial et de
térieur en avant du faisceau pyramidal et représente les fibres des
nerfs
moteurs de la protubérance ; 4° Le faisceau q
ndent dans la couche ventrale et sont situées entre le faisceau des
nerfs
crâniens moteurs et le faisceau des fibres caud
ral : un faisceau cortico-protubérantiel antérieur, un faisceau des
nerfs
moteurs crâniens, un faisceau pyramidal, un faisc
ade de la voie pédonculaire droite. - 111, filets radicu- laires du
nerf
moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE
belleux supérieur et moyen; sur les noyaux moteurs et sensitifs des
nerfs
crâniens; sur la colonne grise médullaire. D'au
bre de ces libres qui représentent t les neurones encéphaliques des
nerfs
moteurs crâniens, en particulier des nerfs fa
ones encéphaliques des nerfs moteurs crâniens, en particulier des
nerfs
facial et hypoglosse, se poitent en arrière, s'
du raphé, puis descendent dans la ca- lotte jusqu'aux noyaux des
nerfs
mo- teurs bulbo-protubérantiels. Leur tra- je
faisceau. La méthode de Marchi donne de meilleurs résultat s (Voy.
Nerfs
crâniens, Rhombencéphale, IIIe partie). Une parti
nuques et strio-sous- thalamiques. bandelettes et du chiasma des
nerfs
optiques. L'espace perforé antérieur est normal e
de l'autre par un méplat médian qui loge le tronc basilaire. Tous les
nerfs
crâniens sont développés. Lorsque par une déc
umaine du système nerveux, 1894. - CORNIL. Noie sur les lésions des
nerfs
et des muscles liees à la contraction tardive et
EM. Des altérations de la moelle consécutives tc l'arrache- ment du
nerf
sciatique chez le lapin. Arc. de Phys., 1873, p.
de Paris, 1856. - Vulpian. Influence de l'abolition des fondions des
nerfs
sur la région de la moelle épinière qui leur do
l'opercule frontal et rolandique. Quant à la paralysie corticale des
nerfs
mastica- teurs - dont le centre cortical siège
à la fois avec les deux hémisphères et que le faisceau maculaire du
nerf
oplique subit, au niveau du chiasma, un entre-c
eur de l'appareil nerveux visuel : bandelettes optiques chiasma, et
nerfs
optiques. La zone X teintée en gris représente la
nasal; fol, faisceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du
nerf
optique. - Fin, forceps postérieur ou major du
- 1 ? zone de Wernicke. II, bandelette optique. .1'11, chiasma des
nerfs
optiques. Dans quelques rares cas, on a cité l'
éant la circonvolution lésée. Ces faits semblent prouver que chaque
nerf
auditif est en connexion avec les deux centres au
trice, - neurones de premier ordre, - vont actionner les noyaux des
nerfs
moteurs crâniens, - neurones de deuxième ordre,
interne, et de là dans le tubercule quadriju- meau postérieur (voy.
Nerf
auditif). Ces fibres peuvent donc être détruites
la partie antéro-latérale de la protubérance, au niveau du noyau du
nerf
cochléaire, et s'accompagner d'anesthésie de la m
postérieur du trigone pour se rendre au tubercule mamillaire (voy.
Nerf
olfactif) et ne passent pas par la capsule inte
ianesthésie cap- sulaire. Nous avons montré plus haut que, pour les
nerfs
de la sensibilité spéciale, la doctrine du carr
ssions olfactives conduites au glomérule olfactif par les fibres du
nerf
olfactif. Pour Edinger, la strie olfactive inte
anté- rieure, soit à la substance grise qui entoure le chiasma des
nerfs
optiques, soit au pilier antérieur du trigone.
l. Zr. zone réticulée du Ihalamus. - If, bandelette optique. - III,
nerf
moteur oculaire commun. TOME Il. 1S 274 ANATO
(dso), son diverticule sus-optique. - VI, ventricule latéral. - Il,
nerf
optique avant son entre-croisement dans le chiasm
- Il, nerf optique avant son entre-croisement dans le chiasma. Il[,
nerf
moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION
lette optique sectionnée sur les parties latérales du chiasma. Il[,
nerf
moteur oculaire commun. FIBRES DE PROJECTION DE
Tm, tubercule mamil- laire. - lA, faisceau de Vicq d'Azyr. - II, le
nerf
optique et le chiasma dont la partie postérieur
aque hématoxylinique appartient à la commis- sure de Gudden. - III,
nerf
moteur oculaire commun. Alveus ealraven- cula
ndelette optique sectionnée sur les parties latérales du chiasma. ?
nerf
moteur oculaire commun. Le faisceau de'%'icq
stérieure et le pied du pédoncule cérébral, et croise les fibres du
nerf
moteur oculaire commun (Fig. 251 et 277). Au vo
l. Zr, zone [réticulée du thalamus. - II, bandelette optique. - VI,
nerf
moteur oculaire externe. le noyau antérieur et
ite de lésions destructives de l'appareil visuel antérieur (rétine,
nerf
et bandelette optique). Dans la partie supérieu
arborisations libres dans les couches profondes de la rétine (Voy.
nerf
optique, p. r23). Chez le chat, le chien, la
t appartiennent au bras du tuber- cule quadrijumeau antérieur (Voy.
Nerf
optique, p. 419). Les cellules nerveuses du cor
iculée de la calotte homolatérale et croisée et avec les noyaux des
nerfs
moteurs de l'oeil. (Voy. IIIe partie. Formation r
aucune. 4. Connexions du thalamus avec la bandelette optique (Voy.
Nerf
optique, p. 419). Le pulvinar et le corps genou
one visuelle corticale el reçoivent les arborisations terminales du
nerf
optique. La couche optique représente en effet
ndante dans le pied du pédoncule cerebral. Connexions avec le
nerf
optique. Connexions avec Io rliinencépliale
pulvinar. D'après Onodi et Honegger, le taenia thalami recevrait du
nerf
optique et du ganglion optique basai quelques f
et du ganglion optique basai quelques fibres qui abandonneraient le
nerf
optique en arrière de l'espace perforé antérieur,
de l'habenula. Darkschewitch admet de même des connexions entre le
nerf
optique et le ganglion de l'habenula, mais pour
u ganglion de l'habenula. Cajal nie, par contre, toute connexion du
nerf
optique avec le ganglion de l'habe- nula, en se
ale, nom qui Autres connexions douteuses du taema thalami. Le
nerf
optique n'envoie pas de fibres au ganglion do
thalami. - F3, troisième ventricule. - II, bandelette optique. - III,
nerf
moteur oculaire commun : Nm, son noyau d'origin
s amphibiens et les cyclostomes d'un cristallin, d'une rétine et d'un
nerf
optique. Les recherches de Béranecl; (1892 et 1
t que chez les sauriens, es amphibiens et les cyclostomes. Quant au
nerf
pinéal, il ne serait pas formé aux lépens des p
iaire et présentant par conséquent me origine semblable il celle du
nerf
optique. BIBLIOGRAPHIE. Thalamus. - Bechterew.
de la bandelette optique qui appartiennent au système visuel (Voy.
Nerf
optique 419), une série de commissures qui reli
irrz, p. 58. Atlas, PI. XXXIII. Stockholm, 1896. CHAPITRE VIII,
NERFS
CRANIENS DÉVELOPPÉS AUX DÉPENS DES CERVEAUX. AN
S DÉVELOPPÉS AUX DÉPENS DES CERVEAUX. ANTÉRIEUR ET INTERMÉDIAIRE.
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE Les « nerfs ol- factif et
EAUX. ANTÉRIEUR ET INTERMÉDIAIRE. NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE Les «
nerfs
ol- factif et optique re- présentent do vé-
er ordre. Siège périphérique de sa cellule d'ori- gine. Les
nerfs
olfactif et optique occupent une place à part par
. Les nerfs olfactif et optique occupent une place à part parmi les
nerfs
craniens auxquels ils ne peuvent être assimilés
n et l'autre de véritables émanations ou formations cérébrales : le
nerf
olfactif étant un lobe cérébral développé aux d
étant un lobe cérébral développé aux dépens du cerveau antérieur; le
nerf
optique n'étant que le pédicule creux et étiré
r trajet intracranien appartient donc aux voies centrales : pour le
nerf
olfactif, la voie périphérique est représentée
voie périphérique est représentée par les filets olfactifs ; quant au
nerf
optique il ne possède que des voies centrales,
les (cônes et bâtonnets) et les cellules bipolaires de la rétine.
NERF
OLFACTIF. - PREMIÈRE PAIRE (I) 1. VOIE OLFACTIV
F OLFACTIF. - PREMIÈRE PAIRE (I) 1. VOIE OLFACTIVE périphérique. Le
nerf
olfactif ou nerf de la pre- mière paire est le
MIÈRE PAIRE (I) 1. VOIE OLFACTIVE périphérique. Le nerf olfactif ou
nerf
de la pre- mière paire est le nerf sensoriel de
ériphérique. Le nerf olfactif ou nerf de la pre- mière paire est le
nerf
sensoriel de l'olfaction. Il se distingue des aut
re est le nerf sensoriel de l'olfaction. Il se distingue des autres
nerfs
sensitifs et sensoriels cranio-rachidiens par le
733. Leur corps cellulaire est bipolaire et constitué par un noyau
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 413 3 arro
cellulaire est bipolaire et constitué par un noyau NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 413 3 arrondi, entouré d'u
olgi, Cajal, Monli. Les fibres olfactives méritent seules le nom de
nerfs
olfactifs. Elles forment le neurone olfactif pé
u- queuse pituitaire. Elles représentent les branches terminales du
nerf
olfactif des auteurs, qui décrivaient comme tel
me (Role) d'une part, par les voies plus longues de la strie olfac-
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 4.15 tive
part, par les voies plus longues de la strie olfac- NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 4.15 tive inlerne (Roli),
s connexions entre les voies olfactives centrales et les noyaux des
nerfs
craniens. Le toenia semicircularis (tsc) représ
l. Bibliothèque des Internes en r."J ? ecirîe de la Salpêtrière
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 417 -1 Les
e des Internes en r."J ? ecirîe de la Salpêtrière NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 417 -1 Les deux centres ol
innesorgane Wiesbaden, 1891. - Du même. Der feincre Bau des Nerven-
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 419 system
baden, 1891. - Du même. Der feincre Bau des Nerven- NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 419 systems im Lichte neue
graphie du Rhinencéphale, page 301 et T. le ? p. 312, 333 et 339.
NERF
OPTIQUE, DEUXIÈME PAIRE (II) Le nerf optique es
T. le ? p. 312, 333 et 339. NERF OPTIQUE, DEUXIÈME PAIRE (II) Le
nerf
optique est dépourvu de voies périphériques; il n
grands segments : l'un, antérieur ou extra-cérébral comprenant les
nerfs
optiques , le chiasma et les bandelettes optiques
cal. Segment antérieur ou extra-cérébral des voies optiques. - Le
nerf
optique émerge au-dessus et en dedans du pôle pos
e dans la cavité crânienne et s'entre-croise incomplètement avec le
nerf
optique du côté opposé, en avant du tuber ciner
(Cgc). du pulvinar (Pul) et du tubercule quadrijumeau antérieur Le
nerf
optique ne comprend que des voies centrales.
des voies centrales. Les voies optiques extra - cérébrales :
nerfs
,clmsma et lian- delettes optiques. Les deux b
de l'appareil nerveux visuel : bande- lettes optiques, chiasma, et
nerfs
optiques. La zone teintée en gris représente la
nasal; fcl, faisceau direct ou temporal; fin, faisceau maculaire du
nerf
optique. - Fin, forceps postérieur ou major du
e de Broca. - la, Ip, circonvolutions antérieures et postérieure de
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 421 l'insu
, Ip, circonvolutions antérieures et postérieure de NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 421 l'insula. -IC, scissur
cke. A77, ner optique. - Il, bandelette optique. - xll, chiasma des
nerfs
optiques. (Qa), se détachent les fibres du segm
cal d'une part, sur la ban- delette optique, le chiasma et les deux
nerfs
optiques d'autre part (Voy. cas Cogery, p. 173,
isuel cortical. L'énucléation d'un seul oeil ou la lésion d'un seul
nerf
optique entraîne en outre la dégénérescence des
ce versa, chaque centre visuel cortical est en relation avec les deux
nerfs
optiques et avec les deux rétines. Les recher
mistes purs, tels que Michel et v. Küllilcer, que chez l'homme, les
nerfs
optiques contiennent à la fois des fibres direc
lionnaires multipolaires de la rétine dont elle forme les prolonge-
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. -123 ments
polaires de la rétine dont elle forme les prolonge- NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. -123 ments centripètes. El
inférieur de la papille, et représente près du tiers des fibres du
nerf
optique. Les fibres de la partie inlerne ou nas
e myéline mais non d'une gaine de Schwann, et se continuent dans le
nerf
optique. Elles sont excessivement nombreuses (d
mbre de fascicules (près de 800) qui entourent l'artère centrale du
nerf
optique, présentent une surface de section plus o
tics nasale et tem- porale de la rétine. / La constitution du
nerf
optique. 424 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Sa
trame névro- qliqnc. Trajet des fais- ceaux rétiniens dans le
nerf
optique. Lo faisceau macu- laire. Le faisce
s plus' ou moins épais, qui se détachent de la gaine picmériennc du
nerf
optique. D'autres septa plus minces subdivisent e
immédiat de la gaine piemérienne et autour de l'artère centrale du
nerf
optique, les fibres réti- niennes s'atrophient
te, disparaissent même complètement, de sorte qu'à la périphérie du
nerf
optique et a sa partie centrale, les mailles du
ntrale, en se portant obliquement en bas et en dehors, abandonne le
nerf
optique et les fibres atrophiées ne s'observent
tique et les fibres atrophiées ne s'observent qu'à la périphérie du
nerf
optique, au voisinage immédiat de sa gaine pie-
gaine pie-mérienne. Groupement des faisceaux rétiniens : 1° Dans le
nerf
optique. - Les recherches de Samelsohn (1882),
upement spécial et modifient leurs positions réciproques le long du
nerf
, du chiasma et de la bandelette optiques (Fig.
isceau maculaire (mn, mt) occupe la partie externe et inférieure du
nerf
optique et se présente sous l'aspect d'un coin
ace en dedans du faisceau maculaire et occupe lé secteur interne du
nerf
optique. La périphérie supérieure et inférieure e
t inférieur (ti) du faisceau temporal. Dans la partie vasculaire du
nerf
optique le faisceau maculaire (mn, mt} change d
, mt} change de forme : il émigre progressivement vers le centre du
nerf
optique, s'épaissit à ce niveau de telle sorte
g. 329,2). Plus en arrière encore, dans la partie non vasculaire du
nerf
optique, il abandonne complètement la périphérie
optique, il abandonne complètement la périphérie inféro- externe du
nerf
optique, affecte la forme d'un ovale vertical qui
e la forme d'un ovale vertical qui longe encore le côté temporal du
nerf
(Fig. 329,3), puis il devient central et s'apla
as au voisinage du trou optique et dans le trajet intra- cranien du
nerf
optique (Fig. 329,4). Avec la migration du fais
Avec la migration du faisceau maculaire dans la partie centrale du
nerf
optique, les fascicules supérieur et inférieur du
unissent en un seul faisceau qui occupe la partie inféro-externe du
nerf
optique (Fig. 329, 3) et entoure dans la région i
ctue en général immédiatement en arrière de la partie vasculaire du
nerf
optique (Jatzow), mais elle peut présenter NERF
artie vasculaire du nerf optique (Jatzow), mais elle peut présenter
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 425 1" ! G
du nerf optique (Jatzow), mais elle peut présenter NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 425 1" ! G. 329. - Le grou
e, temporale et nasale de la rétine : A dans la papille ; B dans le
nerf
optique, le chiasma et la bandelette optique, d
et la bandelette optique, d'après Henschen. La coupe 1 passe par le
nerf
optique à son émergence du globe e oculaire ; l
upe 3, la région non vascu- laire ; la coupe 4, enfin, intéresse le
nerf
optique immédiatement en avant du chiasma. La c
c être indépendante du point de pénétration de l'artère centrale du
nerf
optique (Henschen). Quant au faisceau nasal, il
n des deux fascicules temporaux, la partie supérieure et interne du
nerf
optique (Jatzow, Siemer- ling, Delbruck, IIensc
a-orbitaire, intra-canaliculaire et intra-cranien, les faisceaux du
nerf
optique ne constituent pas toutefois des faisceau
le cas de Jatzow, par exemple, où un sarcome de l'oeil droit et du
nerf
optique cor- respondant s'étendant jusqu'au chi
nstataient l'existence d'une dégénérescence complète des fibres des
nerfs
optiques à l'exception du faisceau temporal ou
mer un faisceau aberrant, complètement isolé du reste des fibres du
nerf
op- tique ; dans ces deux cas, il longeait le c
nerf op- tique ; dans ces deux cas, il longeait le côté externe du
nerf
optique, croisait la face inférieure du chiasma
bande- Bibliothèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 427 lette
thèque des Internes en Médecine de la Salpêtrière NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 427 lette optique homolaté
le chiasma. - En abordant le chiasma, les différents fascicules du
nerf
optique cessent de se grouper en faisceaux plus o
homo-latérales et croisées, la même situation centrale que dans le
nerf
optique et qu'il forme un faisceau fermé (Fig.
ensemble, le faisceau nasal se rend de la partie supéro-interne du
nerf
optique a la partie inféro-interne de la bandelet
ngent la périphérie antérieure du chiasma, se coudent il la base di
nerf
optique conlrolatéral, pénètrent même à une certa
que conlrolatéral, pénètrent même à une certaine profondeur dans ce
nerf
et ont pu faire croire à l'existence d'une commis
s : les fibres du faisceai nasal, après s'être coudées à la base du
nerf
optique controlatéral, se por tent en effet en
du faisceau temporal. Dans les atrophies unilatérales, complètes du
nerf
optique, on constate fréquemment surles coupes ve
ou deux millimètres en avant du chiasma, des fibres saines dans le
nerf
optique complètement dégénéré. Elles appar- tie
s, il^est, en général, facile de démontrer leurs connexions avec le
nerf
optique sain. Les autres fibres en anse se déta
Trajet du faisceau nasal et du faisceau temporal dans le chiasma des
nerfs
optiques. -Ces faisceaux ne forment pas des fai
rmés, leurs fibres divergent et décrivent des sortes d'anse. Nil,
nerfs
optiques. - xll, chiasma des nerfs optiques. - 73
écrivent des sortes d'anse. Nil, nerfs optiques. - xll, chiasma des
nerfs
optiques. - 7311, bandelettes optiques. - fm, f
oisé. - ft, faisceau temporal ou direct. - p, fibres pupillaires.
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 429 1 la
ceau temporal ou direct. - p, fibres pupillaires. NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 429 1 la bandelette. La
es de la vision, la dissociation des fibres directes et croisées du
nerf
optique, - qu'elles proviennent de la macula, d
. 430 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Les fibres pupil- laires du
nerf
opti- que. de perte de la vision centrale ave
fibres macu- laires qui, ramassées en un faisceau distinct dans le
nerf
optique, le chiasma et la bandelette, vont, dan
de l'une ou de l'autre de ces deux opinions. Fibres pupillaires. Le
nerf
optique contient non seulement des fibres visue
es visuelles, mais encore des fibres pupillaires, qui président aux
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 431 réllex
is encore des fibres pupillaires, qui président aux NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 431 réllexes du sphincter
n. D'après Gudden, elles comprendraient, toutes les fines fibres du
nerf
optique, prendraient leur origine dans les tuber-
vinar. Quant au tubercule quadrijumeau antérieur il ne recevrait du
nerf
optique que des fibres pupillaires (v. Monakow).
v. Monakow). Les connexions des fibres optiques avec les noyaux des
nerfs
moteurs de l'oeil sont indirectes et s'effectue
abandonnent chemin faisant des collatérales (IIeld) aux noyaux des
nerfs
moteurs des yeux. (Voy. ces connexions, IIIe pa
yaux des nerfs moteurs des yeux. (Voy. ces connexions, IIIe parlie,
nerf
moteur oculaire commun.) Outre le système des f
supérieur et du cordon sympathique, se diviseraient en abordant le
nerf
optique en deux branches, dont l'une s'arborise
connexions in- directes des fibres optiques avec les noyaux des
nerfs
moteurs de l'oeil. Fibres optiques centrifu
t persistent toujours intactes dans les lésions et destructions des
nerfs
optiques. Chez l'homme, nous avons toujours con
z l'homme, nous avons toujours constaté que l'atrophie bilatérale des
nerfs
op- tiques entraine une dégénérescence totale d
Il relie entre eux les deux corps genouillés internes et les tuber-
NERFS
CRANIENS, NERFS OLFACTIF ET OPTIQUE. 433 cules
ux les deux corps genouillés internes et les tuber- NERFS CRANIENS,
NERFS
OLFACTIF ET OPTIQUE. 433 cules quadrijumeaux po
que nous avons pu nous en convaincre, l'atrophie complète des deux
nerfs
optiques entraîne une atrophie com- pléte des d
sous silence. Schlagenhaufer dans son cas d'atrophie bilatérale des
nerfs
optiques, avec faisceau aberrant direct sain, d
ch. f. Nervenh., 1900, p. 428. Bellonci. La terminaison centrale du
nerf
optique chez les mammifères. Arch. itat. de Biolo
ch. f. Ophthalmol. Bd. 3î. - ELINSOX. Sur les fibres centrifuges du
nerf
optique, Soc. de Biologie, 1896. - Guxseu. Uebe
Nicvn. De la distribution des fibres nerveuses dans le chiasma des
nerfs
optiques. Arch. de phys., 1878. - Nettelschip. Tr
lbl., 1896, p. 691. - Parinaud. Des rapports croisés et directs des
nerfs
optiques avec les gémi- sphères cérébraux. C. R
elleux moyen et connu sous le nom de flocculus (Floc), de lobule du
nerf
vague ou pneu- mogastrique (Vicq d'Azyr). Un pr
asculaire ou médiane du tuber cinereum. Floc, flocciilus ou lobule du
nerf
pneumogastrique. lf, tige de l'hypophyse. /-<
tubercule mamillairc. - Tmu, tubercule mamillaire accessoire. - II,
nerf
optique, son chiasma (xll) et sa bandelette. -
ire. - II, nerf optique, son chiasma (xll) et sa bandelette. - III,
nerf
moteur oculaire commun. - l', nerf trijumeau. - 1
a (xll) et sa bandelette. - III, nerf moteur oculaire commun. - l',
nerf
trijumeau. - 1'l, nerf moteur oculaire externe.
e. - III, nerf moteur oculaire commun. - l', nerf trijumeau. - 1'l,
nerf
moteur oculaire externe. - Vît, nerf facial. -
. - l', nerf trijumeau. - 1'l, nerf moteur oculaire externe. - Vît,
nerf
facial. - VIII, nerf auditif. - IX, nerf glossoph
u. - 1'l, nerf moteur oculaire externe. - Vît, nerf facial. - VIII,
nerf
auditif. - IX, nerf glossopharyngien. - .Y, nerf
r oculaire externe. - Vît, nerf facial. - VIII, nerf auditif. - IX,
nerf
glossopharyngien. - .Y, nerf pneumo-gastrique.
nerf facial. - VIII, nerf auditif. - IX, nerf glossopharyngien. - .Y,
nerf
pneumo-gastrique. XI, nerf spinal. - lll, nerf
itif. - IX, nerf glossopharyngien. - .Y, nerf pneumo-gastrique. XI,
nerf
spinal. - lll, nerf grand hypoglosse. MORPHOLOG
ssopharyngien. - .Y, nerf pneumo-gastrique. XI, nerf spinal. - lll,
nerf
grand hypoglosse. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE
r¡, amygdale ou tonsille cérébelleuse. - Floc, flocculus ou lobule du
nerf
vague. pFloc, pédoncule du flocculus. - hCv, hi
luette. - VT, valvule de Tarin. - 1T, valvule de Vieusscns. - VII,
nerf
facial. - VIII, nerf auditif. MORPHOLOGIE DU
ule de Tarin. - 1T, valvule de Vieusscns. - VII, nerf facial. - VIII,
nerf
auditif. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 445
vule de Vieussens. - IXd, faisceau solitaire, racine descendante du
nerf
glossopharyngicn. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE
quadrijumeaux antérieurs et postérieurs. - Tpo, toenia" pontis. IV,
nerf
pathétique. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 453
a, la partie supérieure de la valvule de Vieussens, l'émergence des
nerfs
pathétiques et les tubercules quadrijumeaux pos
r. - esl, échan- crure semi-lunaire. - Floc, flocculus ou lobule du
nerf
vague. - Ldg, lobe digastrique. - Lgr, lobe grê
nsverse antérieur. - Tut, tractus pedon- cularis transversus. - IV,
nerf
pathétique. - F, nerf trijumeau. - VI, nerf moteu
ut, tractus pedon- cularis transversus. - IV, nerf pathétique. - F,
nerf
trijumeau. - VI, nerf moteur oculaire externe.
ularis transversus. - IV, nerf pathétique. - F, nerf trijumeau. - VI,
nerf
moteur oculaire externe. - VII, nerf facial. -
ue. - F, nerf trijumeau. - VI, nerf moteur oculaire externe. - VII,
nerf
facial. - VIII, nerf auditif. - XII, nerf grand h
au. - VI, nerf moteur oculaire externe. - VII, nerf facial. - VIII,
nerf
auditif. - XII, nerf grand hypoglosse. MORPHOLO
oculaire externe. - VII, nerf facial. - VIII, nerf auditif. - XII,
nerf
grand hypoglosse. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE
s des troisième, cinquième, sixième, septième et huitième paires de
nerfs
craniens. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 469
dule, de ses parties hémisphériques qui forment les petits lobes du
nerf
pneumogastrique ou vague, appelés encore flocculu
le choroïdienne inférieure (Fig. 33 i). Flocculus (Floc), lobule du
nerf
vague, lobule du nerf pneumo- gastrique (Fig. 3
eure (Fig. 33 i). Flocculus (Floc), lobule du nerf vague, lobule du
nerf
pneumo- gastrique (Fig. 333, 312, 31 ! z, 31, 3
du corps restiforme, du diverticule latéral du 4" ventricule et du
nerf
auditif, en arrière du nerf vague qui le recouvre
erticule latéral du 4" ventricule et du nerf auditif, en arrière du
nerf
vague qui le recouvre en partie et auquel il do
ue qui le recouvre en partie et auquel il doit son nom de lobule du
nerf
vague ou pnewno- gastrique. Sa partie intra-
mg, amygdale ou tonsille cérébelleuse. - Floc. flocculus ou lobule du
nerf
vague. pFloc. pédoncule du flocculus. - ho, hil
luette. - l'T. valvule de Tarin. - VI-, valvule de Vieussens. - nI,
nerf
facial. - VIII, nerf auditif. MORPHOLOGIE DU
e de Tarin. - VI-, valvule de Vieussens. - nI, nerf facial. - VIII,
nerf
auditif. MORPHOLOGIE DU RHOMBENCÉPHALE. 479 p
vec les deux tiers inférieurs de la protubérance, l'émergence des
nerfs
lriju- ¡¡¡eaux distants l'un de l'autre de 3
férieur. <&', trou borgne supérieur. - V. trijumeau - 1 ?
nerf
facial. - VIII, nerf auditif. Bourrelets hyra-
', trou borgne supérieur. - V. trijumeau - 1 ? nerf facial. - VIII,
nerf
auditif. Bourrelets hyra- Ilwiaux. : Pédoncul
petit lobule céré- belleux bien délimité du flocculus ou lobule du
nerf
vague (Floc). Toute la face antérieure de la ré
hors, puis s'infléchissent en bas, descendent oblique- ment vers le
nerf
facial et le flocculus, el croisent les faisceaux
- leux supérieur el moyen. Malacarne le considérait à tort comme un
nerf
accessoire de la troisième paire (Accessorii de
nouillé externe. Cgi, corps genouillé interne. - Clall, chiasma des
nerfs
optiques. - Crsl, corps restiforme. Fia, faisce
faisceau oblique de la protubérance. Gp, glande pi- néale. - .Vil,
nerf
optique. - Oi, olive bulbaire ou infé- rieure.
sillon longitudinal dans lequel émergent les filets radiculaires du
nerf
hypoglosse; c'est le sillon de l'hypoglosse ou
l est limité en arrière par un sillon d'où émergent les racines des
nerfs
glosso- pharyngien et pneumogastrique (sillon d
racines des nerfs glosso- pharyngien et pneumogastrique (sillon des
nerfs
mixtes) et représente, eu partie, la continuati
s jus- qu'aux corps restiformes du bulbe où il reçoit le sillon des
nerfs
mixtes. On voit sur sa ligne médiane la fossett
t avec le précédent et dans lequel on voit l'origine appa- rente du
nerf
facial et de la branche vestibulaire du nerf audi
origine appa- rente du nerf facial et de la branche vestibulaire du
nerf
auditif. .Bibliothèque des .Internes en Médec
érieure est consti- tuée en dedans par le sillon d'émer- gence du
nerf
pathétique (IV) qui la sépare des tubercules qu
eur et le cerveau moyen (face postéro-laté- rale). L'émergence du
nerf
pathé- tique et le taenia pontis. (D'après Re
ieur. - l'cm, pédoncule cérébelleux moyen Tpo, t.enia pontis. - Il,
nerf
pathétique. Face postérieure Iti rliomi,eti
elette blanche transversale qui correspond à l'entre-croisement des
nerfs
pathétiques; elle se continue en haut avec un pet
aire acoustique, noyau de terminaison de la branche vestibulaire du
nerf
acoustique. - tg, aile grise, fossette inférieu
- tg, aile grise, fossette inférieure, ou noyau de terminaison des
nerfs
mixtes. CB. cordon de Burdach. - CG. cordon de
nt en grande partie l'aire acoustique et les funiculi teretes. - V,
nerf
triju- meau. 11', valvule de Vieusseus. Confi
ule cérébelleux inférieur. Le sillon latéral du bulbe ou sillon des
nerfs
mixtes borde le corps res- tiforme en dehors el
st le long de ce sillon que pénètrent dans le bulbe les racines des
nerfs
glosso pharyngien (IXe paire) et pneumogastrique
al et la ligne de pénétration des racines postérieures du pre- mier
nerf
cervical sont presque superposées; au-dessous, ce
t les parties antéro-latérales du bulbe, interrompent le sillon des
nerfs
mixtes, croisent le faisceau latéral du bulbe, l'
-mère qui recouvre le flocculus, en avant avec celle qui double les
nerfs
auditif, pneumogas- trique et glossopharyngien,
ensions, cet orifice est le plus souvent masqué par les racines des
nerfs
glossopharyngien et pneumogastrique qui le recouv
par un repli pie- mérien falciforme ou semi-lunaire qui s'étend du
nerf
auditif au bord externe du flocculus (Fig. 331)
t quelques villosités choriales faire saillie entre les racines des
nerfs
glossopharyngien et pneumogastrique. QUATRIÈME
de His (voy. T. ? p. 85) et contiennent les noyaux d'origine des
nerfs
moteurs du rhombencéphale. Ils commencent dans
lamus à l'aqueduc du Sylvius. Ils séparent les noyaux d'origine des
nerfs
moteurs des noyaux de terminaison des nerfs sensi
es noyaux d'origine des nerfs moteurs des noyaux de terminaison des
nerfs
sensitifs (lame alaire, voy. T. 1er, p. 86), s'
ica (Aa, Fig, 352 et 355), et contient les noyaux de terminaison du
nerf
vestibulaire. Chez le foetus et l'enfant, elle
ire appliqué à une région qui contient les noyaux de terminaison du
nerf
vestibulaire, - prête à confusion et doit être
du corps restiforme el représente un des noyaux de ter- ninaison du
nerf
cochléaire ou labyrinthique. Elle existe égalemen
raux (Tub.ac, Fig. 439), reçoit une partie des fibres terminales du
nerf
cochléaire et sert d'origine à une partie des s
352 et 355), saillie arrondie qui correspond au noyau d'origine du
nerf
moteur oculaire externe et au genou du facial;
correspond au faisceau solitaire du bulbe ou racine descendante des
nerfs
glossopharyngien et pneumogastrique, et l'aile
situées en dedans du flocculus, en dehors du corps restiforme. des
nerfs
auditif, glossopha- ryngien et vague, au-dessou
upérieur de Vicq d ? zyi-. - sla, sillon transverse antérieur. - V,
nerf
trijumeau. - V/7, nerf facial. CONFIGURATION IN
i-. - sla, sillon transverse antérieur. - V, nerf trijumeau. - V/7,
nerf
facial. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉPH
ette. - 1'1', valvule de Tarin. - l ? quatrième ventricule. - t'j7,
nerf
vestibulaire. - l'Il, libres radiculaires du faci
NTRES NERVEUX. voisinage du plan oblique passant par l'émergence du
nerf
trijumeau, en un très grand nombre de fascicule
re. - Vsd, grosse racine sensitive descendante du tri- jumeau. - V,
nerf
trijumeau. - VV, valvule de Vieussens. - 1'4, qua
alvule de Tarin. - Il, zone de Wernicke. - Zr, zone réticulée. - III,
nerf
moteur oculaire commun. calotte protubérantie
sectionnées parallèlement à leur axe. Au-dessus de l'émergence des
nerfs
pathétiques, dans la région des tuber- cules qu
rotubérantiel, pas- sant par le toenia pontis et la décussation des
nerfs
pathétiques. - Méthode de Wei- gert-Pal.3/1 Gr.
ne motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculaire. - IV,
nerf
pathétique. - xlV, entre-croisement des nerfs p
ie pédonculaire. - IV, nerf pathétique. - xlV, entre-croisement des
nerfs
pathétiques. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBE
rotubérance, le noyau réticulé de la calotte, le noyau d'origine du
nerf
moteur oculaire externe et le noyau du toit. Méth
itive descendante du trijumeau. - 1'4, quatrième ventricule. - 1-l,
nerf
moteur oculaire externe. - nI ! ], genou du fac
port avec le pédoncule du flocculus (PFloc) en arrière, le noyau du
nerf
cochléaire (NNvmc) en avant (coupe H 8, Fig. 39
arent incomplètement et de haut en bas, les fibres radiculaires des
nerfs
vesti- bulaire (Villa), glossopharyngien (IX) e
ure du bulbe passant par les tubercules acoustiques, l'émergence du
nerf
glosso-pharyngien. Méthode de Weigert-Pal. n/t
du glosso-pharyngien. - avilit;, noyau triangulaire ou terminal du
nerf
vestibulaire. - Oi, olive inférieure ou bulbair
. Tub. ac, tubercule acoustique. - 1'), quatrième ventricule. - IX,
nerf
glosso-pharyngien. Le corps restiforme diminue
laires in- ternes du cervelet, en partie des fibres radiculaires du
nerf
vestibulaire ; ils ont été tour à tour décrits
tour décrits sous le nom de racine de Roller, racine ascendante du
nerf
vestibulaire, racine descendante du nerf vestibul
ller, racine ascendante du nerf vestibulaire, racine descendante du
nerf
vestibulaire, faisceaux cérébello-veslibulaires
du bulbe, entre la pyramide antérieure et le sillon d'émergence des
nerfs
mixtes, glosso-pharyngien, pneumo-gas- trique e
nombreuses fibres arciformes internes; les fibres radi- culaires du
nerf
hypoglosse longent la partie interne de l'olive b
a partie moyenne des olives bulbaires et les fibres radiculaires du
nerf
glosso-pharyngien. Méthode de Weigerl-Pal. 3/1 Gr
rvicale, contient tous les noyaux d'origine et de ter- minaison des
nerfs
craniens, à l'exception du nerf olfactif et du ne
d'origine et de ter- minaison des nerfs craniens, à l'exception du
nerf
olfactif et du nerf optique, forme l'étage post
- minaison des nerfs craniens, à l'exception du nerf olfactif et du
nerf
optique, forme l'étage postérieur de la protubé
cérébelleux supérieur et le ruban de Reil médian. - -Vin, noyau du
nerf
moteur oculaire commun. - l'es, pédoncule céréb
au externe de Burdach. Soi, noyau juxta-olivaire interne. - noyaut du
nerf
spinal. - \'xm, noyau du nerf hypoglosse. - Oi,
u juxta-olivaire interne. - noyaut du nerf spinal. - \'xm, noyau du
nerf
hypoglosse. - Oi, dernières dentelures de l'olive
e. - l'acl, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - 1/,
nerf
spinal. - XII, nerf grand hypoglosse. CONFIGURA
acine sensitive descendante du trijumeau. - 1/, nerf spinal. - XII,
nerf
grand hypoglosse. CONFIGURATION INTÉRIEURE DU R
(fibres d'origine, fibres de terminaison) des différents noyaux des
nerfs
crâniens : fibres radiculaires des nerfs facial
des différents noyaux des nerfs crâniens : fibres radiculaires des
nerfs
facial, glosso-plwr ! /J1gien, pneumogastrique,
ance grise centrale et les noyaux d'ori- gine el de terminaison des
nerfs
crâniens. Les voies cérébelleuses comprennent :
CENTRES NERVEUX. 3n Substance grise centrale et ses no) aux de
nerfs
cra- mons. La colonne nu- cléaire médiane.
La colonne nu- cléaire latérale. Les deux colonnes de noyaux de
nerfs
crâniens situées dans la formation réti- .N
ontient un certain nombre de noyaux d'origine et de terminaison des
nerfs
cra- niens, disposés de chaque côté du raphé mé
médiane forme, dans le pédoncule cérébral, les noyaux d'origine des
nerfs
moteurs oculaire commun (IIIe paire) et pathétiqu
dans la partie inférieure de la protubérance, le noyau d'origine du
nerf
moteur oculaire externe (7l' paire); dans le bu
oculaire externe (7l' paire); dans le bulbe, le noyau d'origine du
nerf
grand hypoglosse (XIIe paire). La colonne latéral
cule, le noyau d'origine de la petite racine motrice descendante du
nerf
trijumeau et le locus ct7J1'Uleus; dans la protub
locus ct7J1'Uleus; dans la protubérance, le noyau de terminaison du
nerf
vestibulaire, et le noyau de terminaison des nerf
de terminaison du nerf vestibulaire, et le noyau de terminaison des
nerfs
mixtes (glosso-plwryngien, vague et spinal).
vague et spinal). Les noyaux de terminaison et d'origine des autres
nerfs
craniens sont situés non dans la substance gris
bérantielle supérieure, le noyau d'origine de la porlion motrice du
nerf
trijumeau (Ve paire) ; dans la région protubérant
; dans la région protubérantielle inférieure, le noyau d'origine du
nerf
facial (VIle paire); dans la région bulbaire, les
la région bulbaire, les noyaux d'origine de la ortiozz motrice des
nerfs
mixtes, glosso-pharyngien (IXe paire), pneumoga
re, et con- tient le noyau de terminaison de la parlie sensitive du
nerf
trijumeau. Quant aux noyaux de terminaison du n
lie sensitive du nerf trijumeau. Quant aux noyaux de terminaison du
nerf
cochléaire (VIIIe paire), ils sont situés en de
passant par le tubei- cule quadrijumeau antérieur et l'émergence du
nerf
moteur oculaire commun. Mé- thode de Weigert-Pa
postérieur. Lu, locus niger. - NIII, partie inférieure du noyau du
nerf
moteur oculaire commun. - l'es, pédoncule céréb
oie pédonculaire 11', zone de Wernicke. - ? bandelette optique. - ?
nerf
moteur oculaire commun. CONFIGURATION INTÉRIEUR
trijumeau. - l'l', voie pédonculaire. - ;t7), entre-croisement des
nerfs
pathétiques. - Il', nerf pathétique. Bibliothèq
édonculaire. - ;t7), entre-croisement des nerfs pathétiques. - Il',
nerf
pathétique. Bibliothèque des Internes n Médec
gitudinal du tronc encéphalique, passant par l'entre-croisement des
nerfs
pathétiques et le tiers supé- rieur de la protu
motrice descendante du trijumeau. - l'il, voie pédonculawe. - Il',
nerf
pathétique. M : j;j8 ANATOMIE DES CENTRES NER
394); sur quelques coupes, correspondant à l'entre-croi- sement des
nerfs
pathétiques et à la partie supérieure de la valvu
formation réticulée. - Topo, Itenia pontis.- corps trapézoide. - V,
nerf
trijumeau. - Vu, quatrième ventricule. 17cl, peti
s. - Np, noyaux pontiques. - Nrl, noyau réticulé. - Nl'na, noyau du
nerf
masticateur ou noyau moteur du trijumeau. - v\'l'
u protubérantielle, le corps trapézoïde, la branche vestibulaire du
nerf
acoustique et les noyaux d'origine des nerfs faci
branche vestibulaire du nerf acoustique et les noyaux d'origine des
nerfs
facial et moteur oculaire externe. - Coupe hori
illon hulho-protubérantiel et intéressant les fibres radiculaires des
nerfs
moteur oculaire externe' et facial. - Méthode d
entral inférieur. - Np, noyaux pontiques. - NVI, noyau d'origine du
nerf
moteur oculaire externe. - NVII, noyau d'origine
d'origine du nerf moteur oculaire externe. - NVII, noyau d'origine du
nerf
facial. - Oc, olive cérébelleuse. - 0 ? olive s
sensitive descen- dante du trijumeau.-T ? quatrième ventricule. VI.
nerf
moteur oculaire externe. - VII premier segment
tricule. VI. nerf moteur oculaire externe. - VII premier segment du
nerf
facial. - lllg, genou du facial. - Ruz, quatrième
Ruz, quatrième segment du facial. - Vlllv, branche vestibulaire du
nerf
acoustique. 562 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
l'un interne, traversé par les fibres radiculaires de la VIe paire (
nerf
moteur oculaire externe) ; l'autre externe, tra
externe) ; l'autre externe, traversé par les fibres radiculaires du
nerf
facial et de la branche vestibulaire du nerf audi
fibres radiculaires du nerf facial et de la branche vestibulaire du
nerf
auditif (VIII° paire). Le segment interne prése
oyau de Deiters ou noyau de terminaison de la racine descendante du
nerf
vestibulaire, enfin le noyau triangulaire du ne
ne descendante du nerf vestibulaire, enfin le noyau triangulaire du
nerf
vestibulaire, situé en arrière el en dehors de
l et le noyau antérieur ou de terminaison de la branche cochléaire du
nerf
acoustique. - Coupe horizontale un peu oblique
du facial. JVvnic, noyau de terminaison de la branche cochléaire du
nerf
acoustique. Oc, olive cérébelleuse. - Oi, olive
arin et plexus choroïdes transversaux du t* ventricule (l's). - VI,
nerf
moteur oculaire externe. - l'll, nerf facial. -
du t* ventricule (l's). - VI, nerf moteur oculaire externe. - l'll,
nerf
facial. - Ville, branche cochléaire, I"II/v, bran
facial. - Ville, branche cochléaire, I"II/v, branche vestibulaire du
nerf
auditif. malion réticulée. Dans la région bulba
yramide bulbaire et limité en dehors par les fibres radiculaires du
nerf
grand hypoglosse. Ce champ, formé de fascicules
ratoire. - v\'cuu, noyau de terminaison de la branche vestibulaire du
nerf
auditif. - Nxp, noyau postérieur du vague. - no
rise. - Vsd, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - X,
nerf
pneumo-gastrique. XII, nerf grand hypoglosse.
ensitive descendante du trijumeau. - X, nerf pneumo-gastrique. XII,
nerf
grand hypoglosse. ! ;66 ANATOMIE DES CENTRES NE
oyaux du cordon latéral et dans toute la hauteur de l'émergence des
nerfs
vague et glosso-pharyngien, un petit amas gris
nées sous le nom de noyau ambiguus de Clarke ou de noyau moteur des
nerfs
vague el glosso-pltarY1lgien (Nab, coupe Hll, F
sensi- tive descendante du trijumeau. - Il, fibres radiculaires du
nerf
spinal. · CONFIGURATION INTÉRIEURE DU RHOMBENCÉ
ansversal du raphé médian au point de pénétration dans la calotte des
nerfs
facial et trijumeau, faisceau faisant suite d'a
faisceau se divise au-dessus du point de pénétration des VIIe et Ve
nerfs
crâniens en deux segments : l'intemc reste profon
live bulbaire, le noyau de l'hypoglosse et les libres radiculaires du
nerf
pneumo-gastrique. Méthode de Weigert-Pal. 6/1 g
e sensi- tive descendante du trijumeau. - X, fibres radiculaires du
nerf
vague. - XII, fibres radi- culaires de l'hypogl
oïde (Tr, coupe H5, Fig. 405) qui proviennent du noyau antérieur du
nerf
cochléaire (VIII° paire), et s'entre-croisent dan
ar la voie du corps trapézoïde (Tr), - le noyau de ter- minaison du
nerf
cochléaire (NVIIP) au tubercule quadrijumeau post
oteur oculaire com- mun. Son aspect au ui- veau du 110) au du
nerf
pathétique. 582 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
n- ticlle supérieure. ' 1 Son aspect au ni- \ eau du noyau du
nerf
masticateur. Son aspect dans la région protub
région protubérantielle supérieure qui correspond à l'émergence du
nerf
pathétique, à l'extrémité supé- rieure de la va
ostérieur, faisceau central de la calotte, noyau réticulé, noyau du
nerf
masticateur et noyau sensitif du trijumeau. 8/1 g
Reil médian. 7V, corps trapézoïde. - T', trijumeau. - \Vnr, noyau du
nerf
masticateur. - NVs, noyau sensitif du trijumeau
icule angulaire. - IXd, faisceau solitaire ou racine descendante du
nerf
glossopharyngien. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBE
ontient la sec- tion du faisceau solitaire ou racine descendante du
nerf
glosso-pharyngien (IXd), et se continue avec la
ncéphalique, la partie fermée de l'olive bulbaire (Oi), le noyau du
nerf
moteur oculaire exte1'lle (NVI), et le faisceau
(NVI), et le faisceau solitaire ou racine sensitive descendante du
nerf
glosso-pharyngien (IXd). Cervelet. - La figure
- ni, noyau du funiculus teres. Nt, noyau du toit. - NVI, noyau du
nerf
moteur oculaire externe. - l'cs, pédoncule cérébe
rés du faisceau longitudinal dorsal (Fld), et le noyau d'origine du
nerf
moteur oculaire externe (Nw). Dans la partie in
nsitive descendante du trijumeau. - 17,, quatrième ventricule. - I'l,
nerf
moteur ocu- laire externe. - Vlllv, racine desc
érieur (Pcs); elle intéresse dans le tronc encéphalique le noyau du
nerf
facial (Nvu) et le noyau de Deiters (NL». Cer
voisinage du sillon bulbo-protubérantiel, le noyau moteur bilobé du
nerf
facial (Nvin). Les fibres longitudinales de la fo
de Tarin. - V,, quatrième ventricule. - VII, fibres radiculaires du
nerf
facial. 604 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. cen
a calotte protubérantielle appartiennent aux fibres radiculaires du
nerf
moteur oculaire externe (VIe paire); le noyau gri
é dans le fond de la fossette sus-olivaire du bulbe est le noyau du
nerf
facial (NVII). Dans la calotte bulbaire, on tro
artiennent en partie à la grosse racine sensi z live descendante du
nerf
trijumeau, mais en grande partie aussi au corps j
atrième ventricule. - NI"1 ? 1, noyau mo- teur du trijumeau. - l'n,
nerf
masticateur. - Vsd, grosse racine sensitive desce
u diverticule latéral du quatrième ventricule (rlV4) et le noyau du
nerf
cochléaire (NVIIIc). La substance blanche centr
ntérieur. - V, trijumeau. NVlllc, noyau de la branche cochléaire du
nerf
auditif. 610 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. lu
acher de gros fascicules de fibres appartenant à la racine motrice ou
nerf
mas- ticateur. La coupe S 7 (Fig. 415) n'inté
le du flocculus (PFloc), la coupe S 9 (Fig. 417) par l'émergence du
nerf
trijumeau (V). La substance blanche centrale de
, sillon post-pyramidal. -sla, sillon transverse antérieur. - VIII,
nerf
auditif, concourant à former la paroi antérieur
p, sillon post-pyramidal. - sta, sillon transverse antérieur. - 1',
nerf
trijumeau. - 1-11, nerf facial. 614 ANATOMIE DE
. - sta, sillon transverse antérieur. - 1', nerf trijumeau. - 1-11,
nerf
facial. 614 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. tie
-dessous des tubercules quadrijumeaux pos- térieurs, intéressent le
nerf
pathétique (IV) à son émergence, ou section- ne
ral au voisinage de son bord inférieur et sectionne en ar- rière le
nerf
pathétique à son émergence, et l'aqueduc de Sylvi
t des pédoncules cérébelleux supérieurs et l'entre-croisement t des
nerfs
pathétiques. - Coupe P 1, coupe horizontale obliq
cine motrice descendante du trijumeau. - VP, voie pédonculaire. - IV,
nerf
pathétique; xl1', son entre-croisement en arriè
donculaire. - li, quatrième ventricule. - Il, fibres radiculaires des
nerfs
pathé- tiques. - xIV, leur entre-croisement au
rieurs dans toute la région corres- pondant aux noyaux d'origine du
nerf
de la troisième paire (T. fer, coupes N° 9x à N
aqueduc de Sylvius (Aq) est constituée par l'entre-croise- ment des
nerfs
pathétiques (xIV) dont les fibres radiculaires se
tie supérieure de la valvule de Vieussens et l'entre-croisement des
nerfs
pathétiques. Étage antérieur. - Les fibres tran
ine motrice descendante du trijumeau. - T'P, voie pédonculaire. - IV,
nerf
pathétique. 624 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
arrière la valvule de Vieussens au niveau de l'entre-croisement des
nerfs
pathétiques (IV). Les fasci- cules foncés de fi
blanche du cervelet. Il est traversé par les fibres radiculaires du
nerf
trijumeau (V); la direction oblique et la faible
r la laque hématoxylinique, permettent de reconnaître facilement ce
nerf
au sein des fibres épaisses et très foncées du pé
ne motrice descendante du trijumeau. - l'Il, voie pédonculaire. - l',
nerf
trijumeau à son émergence de la protubérance.
facial. - A'ffe, noyau de la branche cochléaire de l'auditif. - VI,
nerf
moteur oculaire externe. - nI, nerf facial. - IXd
cochléaire de l'auditif. - VI, nerf moteur oculaire externe. - nI,
nerf
facial. - IXd, fais- ceau solitaire ou branche
t à la grosse racine sensitive descen- dante du trijumeau (Vsd). Le
nerf
trijumeau, que nous avons vu pénétrer dans l'ét
du trijumeau - donc, oblique en bas et en arrière, et intéresse ce
nerf
, dans toute sa largeur, depuis sa pénétration dan
on dans la protu- bérance jusqu'aux noyaux moteur et sensitif de ce
nerf
. Le noyau moteur du trijumeau (NVm) présente la
belleuse, du trijumeau se rendant directe- ment dans le tronc de ce
nerf
. Il est probable qu'il s'agit ici d'une voie cent
te. Les noyaux moteur et sensitif du trijumeau et l'émergence de ce
nerf
. Les pédoncules cérébelleux supé- rieur, inféri
dans cette région, la partie supérieure de la colonne d'origine du
nerf
facial (vu). La grosse racine sensitive descendan
enou du facial (Vllg), et plus en dehors le quatrième segment de ce
nerf
(VII;). Ces deux faisceaux ne sont plus en conn
s par un noyau ovalaire, le noyau de la VIe paire (Nvi) ou noyau du
nerf
moteur oculaire externe, dont les fibres radicu
noyau du toit. - La calotte protubérantielle, le noyau d'origine du
nerf
moteur oculaire externe. - Coupe horizontale H
- 1'11., le quatrième segment du facial. -NI71, noyau d'origine du
nerf
moteur oculaire externe. - VI, fibres radiculaire
fibres inférieures de la protubérance, le noyau du facial (Nvn), le
nerf
vestibulaire (VlIIv), l'olive supérieure (Os) et
aire (VlIIv), l'olive supérieure (Os) et les fibres radiculaires du
nerf
moteur oculaire externe (Vle paire). La coupe n
, pour s'arrêter brus- quement au niveau des fibres radiculaires du
nerf
vestibulaire (VlIlv) au delà desquelles il ne p
ïde se coudent dans cette région en bas, vers le noyau antérieur du
nerf
cochléaire dont elles pro- cèdent ; elles repré
t, une voie auditive centrale, qui relie le noyau de terminaison du
nerf
cochléaire aux olives supérieures et au tubercule
eur, les noyaux d'origine du facial et du moteur oculaire externe, le
nerf
vestibulaire et les fibres semi-circulaires ext
te du trijumeau. - NVI, VI, noyau d'origine et fibres radiculaires du
nerf
moteur oculaire externe. Nl'II, noyau d'origine
au d'origine, premier segment genou et quatrième segment ( VIL), du
nerf
facial. - Ville, branche vestibulaire du nerf aud
me segment ( VIL), du nerf facial. - Ville, branche vestibulaire du
nerf
auditif. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE.
paire (Nvi) ; elles relient en effet l'olive supérieure au noyau du
nerf
moteur oculaire externe. Le noyau du facial (Nv
ui représente les fibres radiculaires de la branche vestibulaire du
nerf
auditif (VIIIv). Ces fibres aboutissent au noyau
xta-resliforme (Cj), et constitue la racine descendante bulbaire du
nerf
vestibulaire, dite encore racine de Roller (racin
pratiquées par la méthode de Golgi). Une autre partie des fibres du
nerf
vestibulaire se termine dans la substance grise d
les sillonnées de fibres hori- zontales. Les fibres radiculaires du
nerf
vestibulaire (VIII) le séparent en avant et en
périeur de Vicq d'A\ryr. - sta, sillon trans- verse antérieur. - V,
nerf
trijumeau. nexion intime avec les fibres transv
. - Vsd, la grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - l',
nerf
trijumeau. l'113, le troisième segment ou segme
tiers inférieur de la protubé- rance et les fibres radiculaires des
nerfs
moteur oculaire externe et facial, et pas- sant
- rieur. - l'T, valvule de Tarin. -- Ville, branche vestibulaire du
nerf
auditif. poslérieur et le lobe semi-lunaire sup
oustique. - 1'1', valvule de Tarin. - 17111e, branche cochléaire du
nerf
auditif. - VIIIv, branche vestibulaire du nerf au
ranche cochléaire du nerf auditif. - VIIIv, branche vestibulaire du
nerf
auditif. ginal antérieur du cervelet, du pédonc
symétriques. A droite, elle intéresse le noyau de le),- minaison du
nerf
cochléaire (NVIIIc), le pédoncule du flocculus (P
ve descendante du trijumeau et le noyau de la branche cochléaire du
nerf
auditif; les stries acoustiques et le pédoncule d
rin. - Vsd,grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - III,
nerf
moteur oculaire externe. - 1,Il, nerf facial. - 7
cendante du trijumeau. - III, nerf moteur oculaire externe. - 1,Il,
nerf
facial. - 7VWY, noyau d'ori- gine du facial. -
- 7VWY, noyau d'ori- gine du facial. - Ville, branche cochléaire du
nerf
auditif; NVIIIc, son noyau de termi- naison. -
VIIIc, son noyau de termi- naison. - VIIIv, branche vestibulaire du
nerf
auditif; NVIIlv, son noyau de terminaison. - 1
anliel (bp), dans l'espace compris entre la pyramide et le tronc du
nerf
facial (VIII); il en résulte qu'à ce niveau le
e stratum superficiale du pont (FPoa) est traversé par les troncs des
nerfs
moteur oculaire externe (VI), et facial (VII) à
I) à leur émergence dans le sillon bulbo- protubérantiel, et par le
nerf
vestibulaire (VIIIv) dont les fibres pénètrent da
artie dans un noyau triangulaire, le noyau triangulaire ou noyau du
nerf
vestibulaire; noyau postérieur de l'acoustique,
sont ren- forcées en effet à ce niveau par la racine descendante du
nerf
vestibulaire ou racine de Roller. La gangue de
lles procèdent. Un petit nombre provient du noyau de terminaison du
nerf
vestibulaire (NVIIIv). Dans la calotte du côté
ine sensitive descendante du trijumeau (Vsd) et croiser le tronc du
nerf
vestibulaire (VIIIv). Elles proviennent du noya
nerf vestibulaire (VIIIv). Elles proviennent du noyau antérieur du
nerf
acoustique ou noyau du nerf cochléaire (NVIIIc)
Elles proviennent du noyau antérieur du nerf acoustique ou noyau du
nerf
cochléaire (NVIIIc) situé en avant du pédoncule
IIIc) situé en avant du pédoncule cérébelleux inférieur, en'dehors du
nerf
vestibulaire et au-dessus du diverticule latéra
supérieure de ce noyau (NVIIIc) qui sert de noyau de terminaison au
nerf
cochléaire et de noyau d'origine au corps trapé
lus (PFloc) et qui paraît subdivisé en deux parties par le tronc du
nerf
cochléaire (Ville). En réalité, ces deux partie
qui entoure d'une sorte de fer à cheval ou d'un cercle complet, le
nerf
cochléaire à sa pénétration dans le bulbe. Les
ie adjacente du corps restiforme (Crst) et du noyau triangulaire du
nerf
vestibulaire (iNVI11v). Ce sont les fibres arcifo
obturatrice rétrobulbaire. - Nab, noyau ambigu ou noyau d'origine des
nerfs
mixtes. - Na7'c, noyau arqué. - ND, noyau de De
yramidal. Nvnio, noyau de terminaison de la branche vestibulaire du
nerf
auditif. - Nixp, noyau postérieur du glosso-phary
Tub, ac, tuber- cule acoustique. - 17,, quatrième ventricule. - IX,
nerf
glosso-pharyngien. motion réticulée grise (SRg)
par l'hématoxyline et qui appartiennent aux fibres radiculaires du
nerf
cochléaire et aux stries acous- tiques. En av
tient un noyau triangulaire, volumineux, le noyau de terminaison du
nerf
vestibulaire ou noyau triangulaire, ou noyau post
essus du noyau de l'hypoglosse. En dehors, le noyau triangulaire du
nerf
vestibulaire est limité par le corps juxta-1'esti
s fibres descendantes de la racine de Roller (racine descendante du
nerf
vestibulaire) s'est déjà épuisée dans la su- bs
u corps juxta-restiforme (Cj), on trouve les fibres radiculaires du
nerf
glosso-pha- ryngien ou de la IX° paire, dont un
resse la partie moyenne des olives (Oi) et les fibres radiculaires du
nerf
,rlosso-p7ecayngiea (IX). Le bulbe complèteme
oupe transversale H 10 du bulbe, passant par le plan d'émergence du
nerf
glosso-pharyngien et par la ligne H10 de la Fig
. - Ni; noyau du raphé. A'fj7B, noyau de la branche vestibulaire du
nerf
auditif. - Nixp, noyau postérieur du glosso-pha
ensitive descendante du trijumeau. - l'i, quatrième ventricule. - IX,
nerf
glosso- pharyngien. 668 ANATOMIE DES CENTRES
poglosse (Nxu), le noyau ambigu (Nab) et les fibres radiculaires du
nerf
vague ou pneumogastrique (X). Le diamètre tra
Fig. 441. - La région bulbaire supérieure au niveau de l'émergence du
nerf
pneumo- gastrique et du noyau de l'hypoglosse.
sitive descendante du trijumeau. - l'a, quatrième ventricule. -- 1,
nerf
pneumogastrique. XII, nerf grand hypoglosse. 67
meau. - l'a, quatrième ventricule. -- 1, nerf pneumogastrique. XII,
nerf
grand hypoglosse. 670 ANATOMIE DES CENTRES NERV
ongée soit en dedans, soit en dehors par les fibres radiculaires du
nerf
hypoglosse (XII). La formation réticulée blanch
le noyau de l'hypoglosse (Nxii) et la partie inférieure du noyau du
nerf
vestibulaire (Nviiiv) en arrière et en dedans d
Crst), le noyau latéral du bulbe (net), les troncs radiculaires des
nerfs
vague (X) et hypoglosse (XII). Cette coupe ne d
xpin, entre-croisement piniforme. - I quatrième ventricule. - XII,
nerf
grand hypoglosse. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBE
ur les coupes précédentes, par les fibres radiculaires du ironc des
nerfs
mixtes, qui passent en avant d'elle; aussi s'ac
ssent en avant d'elle; aussi s'accorde-t-on en général à rattacher au
nerf
vague ou pneumogastrique (Xe paire) toutes les
dante de Relier (racine descendante de la branche vestibu- laire du
nerf
auditif). Co upe H 13 (Fig. li43). - Cette coup
noyaux des cordons postérieurs (NCp) et les fibres radiculaires des
nerfs
grand hypoglosse (XII) et spinal (XI). En arr
endante du trijumeau. - xpin, entre-croisement piniforme, - - A'7/,
nerf
grand hypoglosse. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBE
Elle est traversée à sa partie interne par les fibres radiculaires du
nerf
hypoglosse (XII) et à sa partie moyenne par les
artie moyenne par les fibres radiculaires de la portion bulbaire du
nerf
spinal ou accessoire de Willis (XIe paire). Les
. - l'sel, grosse racine sensi- tive descendante du trijumeau. .Y7.
nerf
spinal. - XII, nerf hypoglosse. 680 ANATOMIE
cine sensi- tive descendante du trijumeau. .Y7. nerf spinal. - XII,
nerf
hypoglosse. 680 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
se. - 1'scl, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - .\7,
nerf
spinal. XII, nerf grand hypoglosse. ÉTUDE TOP
racine sensitive descendante du trijumeau. - .\7, nerf spinal. XII,
nerf
grand hypoglosse. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBE
lando. - Isd, grosse racine sensitive descendante du Irijumcau. XI,
nerf
spinal. ÉTUDE TOPOGRAPHIQUE DU RHOMBENCÉPHALE.
do. - rsd, grosse racine sensitive descendante du trijumeau. - 1'l,
nerf
spinal. 686 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
l'hypoglosse, et plus en dehors et en arrière, le noyau dorsal des
nerfs
mixtes (Nxi). Les fibres radi- culaires du nerf
e noyau dorsal des nerfs mixtes (Nxi). Les fibres radi- culaires du
nerf
spinal (XI) sont intéressées sur les coupes H19 e
antérieur. V, trijumeau. .vVllle, noyau de la branche cochléaire du
nerf
auditif. 718 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. As
he 111. (Comparez notamment avec la Figure 8;. DE LA STRUCTURE DU
NERF
AUDITIF; Par le D' ALP. EKLITKY (de Saint-P3ter
NERF AUDITIF; Par le D' ALP. EKLITKY (de Saint-P3tersbottrg). Le
nerf
auditif, l'un des plus courts des nerfs crâ- ni
(de Saint-P3tersbottrg). Le nerf auditif, l'un des plus courts des
nerfs
crâ- niens, prend naissance, comme on le sait,
un peu les aperçus des auteurs à ce sujet. Huguenm ' reconnaît au
nerf
auditif trois noyaux d'origine : un antérieur,
la protubérance et du corps restiforme, immédiatement à l'entrée du
nerf
auditif dans ces par- ties. D'après Huguenin, c
celle qui se localise dans la protubérance, que prend naissance le
nerf
intermé- diaire de Wrisberg. Le noyau interne o
Mt<M Neroen Systems. Zurich, 1873. DE LA STRUCTURE DU TRONC DU
NERF
AUDITIF. 37 dehors du précédent, dans le segmen
segment interne des pédoncules cérébelleux. Krause * reconnaît au
nerf
auditif quatre racines, et pour chacune d'elles
ne de Huguenin. Henle 2 désigne sous le nom de noyau supérieur du
nerf
auditif, celui que Krause appelle noyau médian
nin. Schwalbe ' de son côté distingue trois noyaux d'ori- gine au
nerf
auditif : son noyau central correspond au noyau
des racines posté- rieures. Quant aux relations intra-cérébrales du
nerf
auditif, on doit convenir qu'elles ne sont pas
it ressortir, par exemple, la part éminente qu'un des fascicules du
nerf
auditif prend dans la formation des pédoncules
thias Duval3 insinue que quelques fibres des racines antérieures du
nerf
auditif se rendent dans le cervelet. Le tronc
érieures du nerf auditif se rendent dans le cervelet. Le tronc du
nerf
auditif ainsi composé, donne nais- sance dans s
e de tubes nerveux très déliés, qui contribuent à la formation du
nerf
intermédiaire de Wrisberg. On observe quelque-
u nerf intermédiaire de Wrisberg. On observe quelque- fois que le
nerf
en question est entièrement constitué G. Seliwa
Progrès médical, nez 9, 1880, p. 170.) DE LA STRUCTURE DU TRONC DU
NERF
AUDITIF. 39 de filaments nerveux, émergeant en
DITIF. 39 de filaments nerveux, émergeant en totalité du tronc du
nerf
auditif. Les recherches microscopiques sur ce t
ené à constater les deux circons- tances suivantes : 1° le tronc du
nerf
auditif se compose de deux parties distinctes :
nguent par le caractère de leurs tubes nerveux. 2° Dans le tronc du
nerf
auditif, principalement dans la partie qui touc
. cit., p. 461) distingue deux espèces de fibres nerveuses, dans le
nerf
auditif de la brebis et du cheval, notamment :
e nerf auditif de la brebis et du cheval, notamment : les fibres du
nerf
cochléaire plus grêles , et les fibres du nerf
ment : les fibres du nerf cochléaire plus grêles , et les fibres du
nerf
vestibulaire plus volumineuses. Axel Key et G
u deux espè- ces de fibres nerveuses, par voie de dissociation du
nerf
auditif, ce dont ils publient un dessin (PL. I, f
si ces deux espèces de fibres furent prises au même en- droit du
nerf
auditif, ou bien à des niveaux divers de son pa
voici ce que nous avons pu constater : les couches transversales du
nerf
auditif, préalable- ment durci dans du bichroma
nt : La portion moindre de la coupe, correspondant au faisceau du
nerf
localisé à la région supérieure et pos- térieur
ignés l'un près de l'autre, atteignaient à peu près la grosseur des
nerfs
moteurs crâniens, nerfs pathétique et moteur de
, atteignaient à peu près la grosseur des nerfs moteurs crâniens,
nerfs
pathétique et moteur de l'aeil, ou bien encore
eur de l'aeil, ou bien encore le volume des racines antérieures des
nerfs
spinaux. Le tissu conjonctif, formant le périnè
et de faisceaux parcourant par endroits la coupe transversale du
nerf
et contenant des fibres nerveuses transverses,
Eitzky. Progrès médical, nez 39, 1877. DE LA STRUCTURE DU TRONC DU
NERF
AUDITIF. 41 dans la gaine de Schwann, disposésa
s restiforme, et correspond à la partie inférieure et antérieure du
nerf
. Elle se compose de fibres nerveuses plus grêle
e qui les en- toure. L'aspect général de la coupe transversale du
nerf
auditif, dans cet endroit, offre une certaine r
alement. Pour ce qui est des fibres nerveuses de cette portion du
nerf
, à l'état dissocié et traitées par l'acide osmiqu
mak. Ces deux parties bien distinctes, trouvées dans le tronc du
nerf
auditif, correspondent, la première au faisceau
tronc du nerf auditif, correspondent, la première au faisceau du
nerf
vestibulaire, la seconde au faisceau du nerf co
mière au faisceau du nerf vestibulaire, la seconde au faisceau du
nerf
cochléaire. Sur les coupes du tronc, pratiquées à
s que par la nature de leurs fibres, et DE LA STRUCTURE DU TRONC DU
NERF
AUDITIF. 43 par l'étendue qu'elles occupent; el
deux faisceaux de fibres nerveuses. Immédiatement avant l'entrée du
nerf
dans le méat auditif interne, cette cloison se
ore davan- tage, et sépare entièrement les deux faisceaux en deux
nerfs
bien distincts (PL. V, g. 5), d'un volume presque
que plusieurs physiologistes reconnaissent les doubles fonctions du
nerf
auditif. Ainsi, par exemple, Cyon' est de l'opi
mple, Cyon' est de l'opinion que le « nervus cochleae » est le seul
nerf
auditif et que le « ramus vestibularis » transm
cord avec les données anatomiques, d'après lesquelles les fibres du
nerf
auditif ont deux différents aspects et deux dif
athias Duval' vient de confirmer aussi qu'il existe deux racines du
nerf
au- ditif bien distinctes et dont l'antérieure
t l'antérieure est, selon lui, la racine motrice et joue le rôle du
nerf
de l'espace, pour lequel les canaux demi-circul
vent d'ap- pareil périphérique. Les coupes nombreuses du tronc du
nerf
auditif que nous pratiquâmes sur bon nombre de
e principalement, comme je l'ai dit déjà, dans la partie interne du
nerf
qui longe le corps restiforme. Néanmoins, il n'
r de ces îlots sur des coupes, faites au niveau même de l'entrée du
nerf
dans le méat au- ditif interne. Dans la partie
rité des coupes, on ne 1 Loco crtalo. DE LA STRUCTURE DU TRONC DU
NERF
AUDITIF. 45 rencontre dans chacune d'elles, qu'
f. 6 et 7), autrement dit, se trouvent toujours dans le faisceau du
nerf
vestibulaire. Il arrive cepen- dant que l'îlot
que l'îlot s'approche plus ou moins du faisceau à fibres grêles (le
nerf
cochléaire); mais dans ce cas également, l'îlot
ou noyaux, à des branches nerveuses très fines, qui se détachent du
nerf
auditif pour se relier ensuite aux tubes nerveu
tubes nerveux plus gros (au nombre d'un ou de deux), qui forment le
nerf
intermédiaire de Wrisberg. Bien que les fibres
ces fibres émergent de la partie postérieure supérieure du tronc du
nerf
au- ditif, à l'égal des branches nerveuses très
qui atteignent jusqu'au bord de la sur- DE LA STRUCTURE DU TRONC DU
NERF
AUDITIF. 47 face antérieure du nerf et servent
- DE LA STRUCTURE DU TRONC DU NERF AUDITIF. 47 face antérieure du
nerf
et servent d'origine aux bran- ches nerveuses d
s dont nous avons parlé. Le nombre des branches nerveuses issues du
nerf
auditif, et concourant à la formation du nerf i
s nerveuses issues du nerf auditif, et concourant à la formation du
nerf
intermé- diaire de Wrisberg est très variable,
int. Il arrive de constater, que sur tout le parcours du tronc du
nerf
auditif, on ne voit pas s'en détacher une seule
une grande quantité de fibres nerveuses très fines, se détachant du
nerf
auditif, tout le long de son trajet, depuis le
jus- qu'au méat auditif interne. Chaque coupe microsco- pique du
nerf
ne manque pas de contenir un îlot plus ou moins
rise, avec leurs cellules ganglionnaires, contenus dans le tronc du
nerf
auditif (dans le faisceau vestibulaire), se tro
le nombre et la capacité de fibres nerveuses qui se détachent de ce
nerf
, pour se con- fondre avec le nerf intermédiaire
nerveuses qui se détachent de ce nerf, pour se con- fondre avec le
nerf
intermédiaire de Wrisberg. Toutes les fois que
risberg. Toutes les fois que la branche nerveuse la plus forte du
nerf
de Wrisberg provenait du tronc du nerf au- diti
he nerveuse la plus forte du nerf de Wrisberg provenait du tronc du
nerf
au- ditif, au lieu d'émerger du corps restiform
occupait une assez vaste étendue ; sur la coupe trans- versale du
nerf
auditif, on voyait l'îlot occuper presque 48 AN
ANATOMIE. tout l'espace de la partie supérieure et postérieure du
nerf
, ne laissant tout autour que très peu de place,
s grosses fibres ner- veuses du faisceau postérieur et supérieur du
nerf
au- ditif, s'amincissaient légèrement en approc
endroit où cesse l'émergence des fils ner- veux qui se détachent du
nerf
auditif pour se con- fondre avec le nerf de Wri
veux qui se détachent du nerf auditif pour se con- fondre avec le
nerf
de Wrisberg. C'est aussi l'endroit où le nerf a
con- fondre avec le nerf de Wrisberg. C'est aussi l'endroit où le
nerf
auditif cesse de présenter des îlots de subs- t
ette 'particularité s'ob- serve à différents niveaux du parcours du
nerf
auditif entre le corps restiforme et le méat au
En se basant sur ces faits, il nous semble qu'aux noyaux connus du
nerf
intermédiaire de Wrisberg, le noyau latéral des
ermédiaire de Wrisberg, le noyau latéral des'racines antérieures du
nerf
auditif (Braule), le noyau antérieur de Hugueni
ajouter les ganglions, microscopiques localisés dans le tronc du
nerf
auditif que nous venons de décrire.. , Rien de
de Casser, les ganglions géniculés, le DE LA STRUCTURE DU TRONC DU
NERF
AUDITIF. 49 ganglion jugulaire, le ganglion pét
IF. 49 ganglion jugulaire, le ganglion pétreux, les ganglions des
nerfs
sympathiques, rappelons-nous que Pouchet et Tou
ous que Pouchet et Tourneux ' citent des ganglions sur le trajet du
nerf
lingual, et sur les fibres grises du grand symp
ertain nombre de cellules nerveuses disséminées entre les fibres du
nerf
oculo-moteur. Hyrtl 3 prétend que « dans le méa
lo-moteur. Hyrtl 3 prétend que « dans le méat audi- tif interne, le
nerf
auditif contient des cellules gan- glionnaires,
annius'a vu de nombreuses cellules ner- veuses dans les branches du
nerf
auditif. Koelliker " affirme avoir trouvé égale
tif. Koelliker " affirme avoir trouvé également parmi les fibres du
nerf
cochléaire et du vestibulaire, ainsi que dans l
du nerf cochléaire et du vestibulaire, ainsi que dans le tronc du
nerf
auditif de l'homme et des mammifères, un grand
de cellules ganglionnaires enclavées entre les tubes médullaires du
nerf
auditif. Cependant, aucun de ces observateurs n
nes céphaliques du tabes dorsalis; symptômes sous la dépendance du'
nerf
auditif. (Revue nensuelle, n Q, 177, p. 103.)
, p. 103.) 4 . 50 ANATOMIE. ment en reconnaissant pour noyau du
nerf
intermé- diaire de Wrisberg (nerf qui sert de c
nt en reconnaissant pour noyau du nerf intermé- diaire de Wrisberg (
nerf
qui sert de connexion entre l'auditif et le fac
un des noyaux localisés dans le bulbe, rachidien et appartenant au
nerf
auditif (Hu- guenin)'; d'autres'prétendirent qu
f (Hu- guenin)'; d'autres'prétendirent qu'il ne faisait partie du
nerf
auditif qu'à son origine, et que dans son trajet
ins auteurs même révoquèrent en doute la réalité d'une connexion du
nerf
auditif avec le nerf facial par l'entremise du
quèrent en doute la réalité d'une connexion du nerf auditif avec le
nerf
facial par l'entremise du nerf intermédiaire de
ne connexion du nerf auditif avec le nerf facial par l'entremise du
nerf
intermédiaire de Wrisberg et l'envisagèrent com
ervateurs prétendent que les fibres ner- veuses qui se détachent du
nerf
auditif et s'acheminent vers le nerf facial, et
- veuses qui se détachent du nerf auditif et s'acheminent vers le
nerf
facial, et vice versa, n'atteignent pas jus- qu
ial, et vice versa, n'atteignent pas jus- qu'à la périphérie de ces
nerfs
, mais se perdent, après avoir parcouru une cour
avoir parcouru une courte distance. Krause5, de son côté, range le
nerf
intermédiaire de Wrisberg au nombre des nerfs d
e son côté, range le nerf intermédiaire de Wrisberg au nombre des
nerfs
de communication bien développés. Ce fut Arnold
qui insista sur une rela- tion autrement réelle, existant entre le
nerf
auditif et le facial, dans le méat auditif inte
auditif interne. Cet auteur distingue une double relation entre ces
nerfs
. La pre- mière a lieu à la partie supérieure et
erne, et se compose de quelques filaments grêles, se dirigeant du
nerf
facial au nerf vestibulaire. Cette communication
ompose de quelques filaments grêles, se dirigeant du nerf facial au
nerf
vestibulaire. Cette communication a généralemen
ibulaire. Cette communication a généralement lieu après l'entrée du
nerf
auditif dans 1 Huguenin, loc cit., p. 177. W.
ica synzpathici. Heidelberg, 1823, s. 3 DE LA STRUCTURE DU TRONC DU
NERF
AUDITIF. 51 le méat auditif interne ; elle ne s
le gan- glion géniculé, au renflement ganglionnaire, situé sur le
nerf
vestibulaire, et connu sous le nom d'intumes- c
1° que beaucoup de branches nerveuses, concourant à la formation du
nerf
inter- médiaire de Wrisberg, prennent naissance
ennent naissance dans les ganglions microscopiques enclavés dans le
nerf
au- ditif (faisceau vestibulaire); 2° que d'apr
ibulaire); 2° que d'après Schwalbe' et plusieurs autres auteurs, le
nerf
intermédiaire de Wrisberg se relie définitiveme
iaire de Wrisberg se relie définitivement au ganglion géniculé du
nerf
facial il en ressortirait, comme nous nous perm
e nous nous permettrions de le supposer, que la relation entre le
nerf
auditif et le nerf facial est beaucoup plus in-
ttrions de le supposer, que la relation entre le nerf auditif et le
nerf
facial est beaucoup plus in- time, qu'on ne l'a
en général, et particulièrement au point de vue du rôle que joue le
nerf
intermédiaire de Wrisberg, jusqu'à présent si n
nt plus que les auteurs diffèrent singu- lièrement quant au rôle du
nerf
intermédiaire de Wrisberg. C'est ainsi que Clau
. s. 853. , Huguenin, loc. cit. s. 177. 52 ANATOMIE. nombre des
nerfs
vasomoteurs ; Lussana lui attribue des rameaux
nouillé, quoiqu'ils ne se décident pas à le classer au nombre des
nerfs
sensibles, en s'étayant du fait, que la phy- si
des nerfs sensibles, en s'étayant du fait, que la phy- siologie du
nerf
intermédiaire de Wrisberg n'est rien moins qu'é
DE LA PLANCHE V Fig. 1. 3/7 Hart. : Coupe transversale du tronc du
nerf
auditif traitée par le picro-carminate. Faiscea
: Trois tubes nerveux à myéline du faisceau postérieur supérieur du
nerf
auditif soumis à l'action de l'acide osmipue à 1/
1/2 pour 100. Fig. 3. 3/7 Hart. : Coupe transversale du tronc du
nerf
auditif trai- tée par le picro-carminate. Faisc
art. : Deux tubes nerveux à myéline dufaisceau antéro- inférieur du
nerf
acoustique soumis à l'action de l'acide osmique.
s étranglements. Fig. 5. 3/4 Hart. : Coupe transversale du tronc du
nerf
anditif trai- tée par le picro-carmin montrant
se colorent pas. Fig. 6. 3/4 Hart. : Coupe transversale du tronc du
nerf
auditif trai- tée par le picro-carminate. Faisc
pe de la substance grise des tabécules conjonctifs jusqu'au bord du
nerf
. - Fig. 7. 3/4 Hart. : Coupe transversale sembl
ux, l'aplatissement des bandelettes optiques, l'amin- cissement des
nerfs
optiques témoignent de la compression. Epaissis
nt et surtout mécaniquement. Lamuqueuse des sinus est très riche en
nerfs
; elle reçoit des filets do pres- que toutes le
ne incision longitu- dinale de cinq pouces et demi sur le trajet du
nerf
, commen- çant au niveau du bord inférieur du gr
la morphine et du chloral. C'est un narcotique, sans action sur les
nerfs
, moteurs ou sensitifs. Il diminue le pouvoir ré
sis ran- ,sitôiré'àJplusieürs''r'éprisës ? paraplébie; atrophie des
nerfs
opti- ' crues consécutive' à' la' névrite"1'1'1
OBSEIIVATION. 111 ? ( Névrite optique terminée par l'atrophie du
nerf
, optique droit ? sans autre phénomène* "cérébral,
ture par la mort produit, de même que l'élonga- tion directe de son
nerf
, une rupture de la myéline, par places, tout le
de son nerf, une rupture de la myéline, par places, tout le long du
nerf
; on la trouve refoulée de part et d'autre des e
à l'homme, et con- formément aux recommandations de Nùssbaum. Tout
nerf
qui a subi ce traitement, présente au delà du t
résentait un grand nombre de fibres dégénérées sur la périphérie du
nerf
. En aucun cas,W... ne constata d'altération ana
l'auteur, il est vrai qu'à l'état normal on peut constater sur les
nerfs
périphériques des vestiges de processus, de dég
s conclusions histologiques. M. W... fait ressortir que bien que le
nerf
n'ait pas participé au traumatisme de la plaie
seté de l'opinion 'jE'Hy6/; ? ! <MH ! aux termes de laquelle' un
nerf
serait composé d'autant de segments de cylindre
t elle-même d'une lésion plus ou moins grave ; soit à une lésion du
nerf
optique à son pas- sage dans le trou optique; ,
ns erronées; 4° L'amaurose occasionnée par une simplo irritation du
nerf
sus-orbitaire résultant de piqûres, de distensi
er, la possibilité d'un résultat semblable, pour ce qui concerne le
nerf
sus-orbitaire,,l'une des .trois 'principales br
te-une fois admise entre l'amaurose qui résulte d'une irritation du
nerf
maxillaire, supérieur et, celle qui résulte d'u
erf maxillaire, supérieur et, celle qui résulte d'une irritation du
nerf
sus-orbitniro,r;le pronostic doit être considér
APHIQUE Du traitement de la névralgie sciatique par l'élongation du
nerf
; par J. NICOL.%S (thèse de Paris, 1881). De
erf ; par J. NICOL.%S (thèse de Paris, 1881). De l'élongalion des
nerfs
; par FI. Sciicvixg (thèse de Paris, 1881). Ess
tions écrites. 10t concours (1880) : Méninges; 20 concours (1880) :
Nerf
de la 5° paire (anatomie et physiologie). Les que
gie). Les ques- tions restées dans l'urne étaient : 4 Il concours :
Nerf
pneumogas- trique ; Moelle épinière ; 2° concou
n des tendons, par la malaxation musculaire et par l'excitation des
nerfs
. La pression du nerf cubital en arrière de l'ép
malaxation musculaire et par l'excitation des nerfs. La pression du
nerf
cubital en arrière de l'épitroclilée contracture
des résultats semblables, mais nous constatons que l'excitation du
nerf
cubital au lieu d'élection n'est point suivie d
oint suivie de la contracture habituelle. A chaque frois- sement du
nerf
cubital répond un léger mouvement dans les doig
xistait déjà s'est exagérée. Dans ce cas, il faut admettre que le
nerf
cubital droit était inexcitable du moins par le
iences assez prolongées sur 1'liyperexcitabilité des muscles et des
nerfs
du bras droit, tout d'un coup, sans cause appar
ion ÉTUDE DE L HYPNOTISME CHEZ LES HYSTERIQUES. 137 mécanique des
nerfs
et des muscles amène la contracture de la façon
s bains de soleil qui agissent sur l'hémoglobine du sang et sur les
nerfs
, autant par les rayons caloriques que par les r
e dorso-lombaire et s'étendant obliquement suivant la direction des
nerfs
intercostaux vers la paroi abdominale antérieur
ruption. Il s'agit donc ici d'un zona développé sur le trajet des
nerfs
qui ont leur origine au niveau de la zone hysté
qui amènerait par la distension des veines une com- pression des
nerfs
au niveau de leur sortie du canal vertébral. D'
douleurs persis- tent encore au bout de deux ans sur le trajet des
nerfs
. III. ANESTUIiSIli ET RHUMATISME AItTICUI.AIRli
Encéphale, 1,1 GO gr. La surface est un peu lavée; les artères, les
nerfs
de la base sont sains. Le tubercule mamtV/a/re dr
ajouter aveclui que les femmes à vapeurs, sujettes à « avoirleurs
nerfs
», comme on dit dans le monde, sont plus femmes q
N. 0 ; elle est tout à fait au début. (Coloration blanc verdâtre du
nerf
) : l'oeil droit lit encore les plus fins caract
t due à l'interruption de celle portion de l'arc réflexe qui lie le
nerf
optique à l'oculo-moteur, c'est-à-dire qui est
eur, c'est-à-dire qui est intermédiaire aux noyaux de chacun de ces
nerfs
(Erb, Hempel), tandis que le myosis dériverait
une lésion du centre dilatateur de la pupille dans la moelle ou des
nerfs
qui en dépen- dent (Erb). Le syndrome en ques
s oeulopupillaires de la moelle cer- vicaleassure la prééminence du
nerf
oculo-moteur. M. Hirschberg maintient qu'il y a
pille dépend de l'interruption des voies qui unissent les noyaux du
nerf
optique et de l'oculo-moteuiv M. REMAK insiste
decin, leDr Dusch, a rencontré l'/tpo'eoeMtaMHMmecmH'ue des deux
nerfs
facial, tout récemment signalée par Chwostek. La
a démonstra- tion en est très nette sur les branches inférieures du
nerf
; il ne s'agit pas là de manifestations d'ordre
lèlement, hyperexci- tabilité électrique. Mêmes phénomènes dans les
nerfs
du bras. Longue durée, absence de réflexe patel
n dans la paralysie faciale alors que, l'excitabilité électrique du
nerf
ayant totalement disparu , l'excitabilité muscu
ve; l'autre, plus faible, se dégage dans le pont de Varole. Dans le
nerf
optique les fibres n'affectent nullement la dis
es fibres croisées ou non sont surtout juxtaposées à l'intérieur du
nerf
. Remarques sur l'anatomie comparée du système n
ommunication en- visage cinq questions différentes. A. L'origine du
nerf
acoustique. Il serait chez les ascalabotes, tel
cervelet n'en formant que la limite antérieure. C. La phylogénie du
nerf
vague. Chez le protoptère, représentant des dip
s dipnoiques, la ceinture scapulaire est encore en rapport avec les
nerfs
de la tête ; les élé- ments du nerf vague se pr
est encore en rapport avec les nerfs de la tête ; les élé- ments du
nerf
vague se prolongent jusqu'à l'extrémité libre de
ure scapulaire des vertébrés proviendrait d'un arc branchial. D. Un
nerf
'olfactif quadruple. Chez les batraciens anoure
. Chez les batraciens anoures (rana esculenta et pipa dorsigera) ce
nerf
naît de deux racines, l'une centrale, l'autre l
e criblée en deux 238 SOCIÉTÉS SAVANTES. points ; en somme quatre
nerfs
olfactifs parviennent dans la cavité olfactive
efois ne dépasse pas le trou optique, la portion inlra-crânienne du
nerf
et le chiasma étant sains. L'oeil gauche sympat
athiquement affecté est le siège d'une choroido-névro-rétinite. Les
nerfs
ciliaires offrent bien à une dis- tance de quel
roïde ainsi qu'en certains cas à des altéra- tions dans le tronc du
nerf
. Rien n'autorise donc à supposer une commotion
du globe et des régions rétro-oculaires sur la portion orbitaire du
nerf
optique. Les troubles optiques qui suivent les
u traité de la même façon ? En sectionnant chez la grenouille les
nerfs
olfactifs et les pédoncules cérébraux dans la cav
cérébraux dans la cavité crânienne, SOCIETES SAVANTES. 241 ' les
nerfs
optiques dansl'orbite, on observe la disparition
vorr HOFFMANN (de Bade) décrit au Congrès deux cas d'élongation de
nerfs
céphaliques et deux observations de ligature de
ogressivement, mais on dut pratiquer successivement l'élongation du
nerf
sous-orbitaire, et celle du nerf maxillaire inf
uer successivement l'élongation du nerf sous-orbitaire, et celle du
nerf
maxillaire inférieur, qui fut même déchiré à so
é f6 242 sociétés savantes. atteint. La pression exercée sur le
nerf
sous-orbitaire faisant disparaître momentanémen
vaso-motrice. Cn. F. VIII. Essai sur La paralysie diphthéritique du
nerf
pneumogastrique; par L.-E. GULAT. Thèse de Pari
ire était vraie, on devrait rencontrer quelquefois la paralysie des
nerfs
dont les noyaux d'origine sont près de la diziè
ultat d'une altération d'une ou de plusieurs branches terminales du
nerf
vague. CH. F. IX. Hallucinations dans la paraly
Electrothérapie. Faradisation et galvanisation dans la paralysie du
nerf
facial. De l'efficacité des courants constants da
1, Gamberini, Bologna. Bichet (Cn ). Physiologie des muscles et des
nerfs
. Leçons professées à la Faculté de médecine en
leggio-Emilia. 'Wmr (E.) Contribution à l'étude de l'élongalion des
nerfs
. Un vol. grand in-8^, avec quinze figures dont
; 3° zone d'anesthésie peu considé- rable dans les parties dont les
nerfs
naissent immédia- tement au-dessous du siège de
les parties paralysées ; 6° phénomènes de paralysie des origines du
nerf
grand sympathique cervical, quand la lésion siè
chiff, Foa, Vulpian, ont montré que, des excitations portées sur un
nerf
sen- sitif peuvent produire la dilatation de la
mais les muscles de laface demeurent inexcitables. L'excitation du
nerf
cubital en arrière de l'épi- trochée provoque l
us l'influence de l'excitation mécanique soit des tendons, soit des
nerfs
, soit des masses musculaires. L'hyperexcitabi
obtenue parla malaxation des masses musculaires, et la pression des
nerfs
. D'ailleurs les résultats que l'on obtient dans
t, qu'elle cherche son enfant, etc. Elle n'a jamais eu d'attaque de
nerfs
, ni de syncope ; elle est fortement marquée d'u
trique. L'encéphale pèse 1210 grammes ; les artères de la base, les
nerfs
, le chiasma, les pédoncules paraissent symétriq
dée d'une étude d'analomic, sur l'origine et l'entre-croisement des
nerfs
optiques. Thèse de 1880.- Gille. De l'lvémiopie
ion ne fut pas acceptée sans contestation. L'étude anatomique des
nerfs
optiques, du chiasma, des bandelettes et du fai
ianopsie peuvent résulter d'une lésion cérébrale avec intégrité des
nerfs
optiques et des bandelettes ; il est bien prouv
des recherches antérieures sur le même sujet. II. Du ciiiasma des
nerfs
optiques; par le Dl Stilling (de Strasbourg). (
ch. f. Psychiatrie.) Les deux corps quadrijumeauxsont des noyaux du
nerf
optique, celui-ci, aux termes de ces recherches
10 racines cérébro-médullaires. P. K. III. DE la DISTRIBUTION DU
NERF
OPTIQUE dans la rétine DU lapin; par le D1 Bum,
lealmol., XXVI) avait démontré que l'entre-croisement des fibres du
nerf
optique dans le chiasma n'est que partiel ; le
ne ; il montre en outre, par les mêmes procédés, que l'expansion du
nerf
optique est indépendante des autres couches de
le second, on trouva un amincissement considérable des origines des
nerfs
pneumo-gastrique et spi- nal, dégénération gris
. C. F. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 351 XXI. DE la paralysie DU
nerf
MOTEUROCULAIRE EXTERNE CONSÉ- CUTIVE aux trauma
lereau, M. Panas étudia minutieuse- ment le trajet intra-crànien du
nerf
. Dans la fosse cérébrale postérieure, l'arachno
La fréquence des fractures du rocher, les rapports particuliers du
nerf
moteur oculaire externe avec cet os, son bord t
inion de M. Panas. A la production de la pa- ralysie, la rupture du
nerf
n'est pas nécessaire. Sa compres- sion, sa cont
s qu'elle laisse persister assez longtemps celle des muscles et des
nerfs
. Or, la compression de l'aorte produit d'abord
s les racines postérieures d'un membre, et même, en outre, tous les
nerfs
de ce membre, on abolit bien le réflexe de ce c
elui de la pupille en général, remplace l'impres- sion sensitive du
nerf
optique par l'impression d'une idée mentale, et
tion désuets, partit- l.ovohi, 96 (les cépliali- ques, 211 L - du
nerf
sciatique pour une névralgie, par Mac- intosh
ÈRES. 383 Optique (bandelette, chiasma),936. .( ? (distubution du
nerf
dans la tétme). 311. Organes centraux (action
c., par Mann, 95. Paralysie ascendante aiguë, 'i0, Paralysie du
nerf
pnuiimogastiiqiie, par Gulat, 2'ili. Paraly
: Trois tubes nerveux à myéline du faisceaupostétieur supérieur du
nerf
auditif soumis a l'action de l'acide osmique à 1/
à 1/2 pour 100. Fig. 3. z Hart. : Coupe transversale du tronc du
nerf
auditif trai- tée par le hicro-carmmate. Faisce
rt. : Deux tubes nerveux à mvéline du faisceau antéro- inférieur du
nerf
acoustique soumis l'action de l'acide osmique. Su
étranglements. Fig. 5. 3/1 Ilirt. : Coupe transversale du tronc du
nerf
auditif titi- ée par le picro-carniiu montrant
se colorent pas. Fig. 6. 3/1 Hart. : Coupe transversale du tronc du
nerf
auditif trai- tée par le picro-cainmiate. Faisc
Il s'échappe de la substance grise des conjonctifs jusqu'au boni du
nerf
. 171g. 7. 3/1 Hait. : Coupe transversale sembla
qu'il s'agissait là d'une névrite périphérique. Mais l'altération des
nerfs
au milieu de ces parties, qui sont le siège d'une
rchow. Quelquefois, cliniquement, on peut sentir par la palpation les
nerfs
tuméfiés, le cubital en particulier. Vous compren
t-il, est situé dans cette partie de la moelle qui sert d'origine aux
nerfs
brachiaux. Quelles sont les parties atteintes ? C
arien, etc., etc.). Le malade n'a d'ailleurs jamais eu de crises de
nerfs
. Il n'y a, en aucun point du corps, de traces v
ppareil à fracture, début des phénomènes parétiques. — Compression du
nerf
médian, ne pouvant expliquer ces phénomènes. — Ca
respectifs du traumatisme, de l'appareil à fracture, de la lésion du
nerf
médian, dans le développement des accidents. Me
bien portante, n'a jamais eu de maladies nerveuses, ni d'attaques de
nerfs
. Tous ses frères et sœurs sont, à son dire, bien
formation considérable notée en avant, me permettent de penser que le
nerf
est soulevé par une crête osseuse dépendant de la
iane verticale de six centimètres environ sur le trajet du médian. Le
nerf
est facilement mis en évidence ; il n'est pas alt
plus à l'axe de l'avant-bras. Le malade n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
, mais il est sujet à de fréquents étourdissements
pas par leur disposition topographique avec le siège de la lésion du
nerf
médian. Ce point mérite de nous arrêter un inst
en effet, supposer qu'il s'agissait là d'une simple compression d'un
nerf
, si l'on limitait son examen à la région de la ma
es points l'anesthésie n'était pas en rapport avec la distribution du
nerf
comprimé. Il s'agissait en effet du médian et l'i
donc s'agir exclusivement d'une compression nerveuse au poignet. Le
nerf
, cependant, était nettement comprimé et il fallai
e compression nerveuse, qui aurait pu aboutir à une dégénérescence du
nerf
avec toutes ses conséquences fâcheuses, C'est ce
après avoir terminé son travail, il fut pris d'une violente crise de
nerfs
qui dura toute une après-midi. L'attaque finie, i
ors qu'il travaillait à la campagne, qu'il eut sa première attaque de
nerfs
. Elle se produisit sans aucune cause provocatrice
l y a deux ans (février \88$), sans motif, sans avoir eu d'attaque de
nerfs
, il se mit à bégayer. Son maître, les enfants de
froides. Pendant son séjour, qui dura un mois,il eut deux attaques de
nerfs
pendant la nuit. Il fit ensuite plusieurs séjours
pression sur une zone hystérogène rachidienne, après les attaques de
nerfs
. Le malade a à peu près une attaque tous les mo
sai de pathogénie. Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du
nerf
moteur oculaire commun. Traitement : Bromures ;
migraine-là il y a accompagnement nécessaire d'une paralysie d'un des
nerfs
moteurs oculaires communs ; et, remarquez-le bien
n quelque sorte exclusive; elle n'intéresse pas, en effet, les autres
nerfs
moteurs clo l'œil. Les effets symptomatiques de
res de l'oculo-moteur commun, des paralysies dites nucléaires du même
nerf
. Un autre trait encore presque spécifique et fo
ce, tout porte à croire que c'est d'une lésion périphérique basale du
nerf
qu'elle relève. Le fait de la coexistence constan
silaire, que porte la lésion tantôt transitoire, tantôt permanente du
nerf
oculo-moteur, et l'on conçoit que, dans ce dernie
ette hypothèse. Le malade ayant succombé, on trouva, à l'autopsie, le
nerf
oculo-moteur enveloppé d'un exsudât abondant, et
ces cas (Weiss, Wiener med. Woch. 25 avril 1885, n° 17), le tronc du
nerf
a été trouvé farci de masses tuberculeuses; dans
fer rouge provoquaient, à chaque nouvelle application, une attaque de
nerfs
. Deux mois après on enlève l'appareil plâtré. L
troubles oculaires d'aucune sorte. Enfin la malade a des attaques de
nerfs
et l'on trouve sur la surface du corps quelques p
isparaître avec eux, en l'absence de toute lésion organique, soit des
nerfs
périphériques, soit des centres nerveux spinaux.
tions de la main. Pendant cette période de temps, pas d'attaques de
nerfs
, pas de perte de connaissance, pas de douleurs de
ux côtés. — Goût : A peu près nul des deux côtés. Pas d'attaques de
nerfs
. Il y a deux ans elle aurait eu, par suite de sa
isemblablement à une altération organique, à une véritable névrite du
nerf
sciatique. C'est à notre maitre, M. Landouzy, q
M. Landouzy, M. Bianchi (2) avait rapporté des cas de compression du
nerf
scia- (1) Landouzy. — De la sciatique et de l'a
produite une paralysie avec amyotrophie localisée dans le domaine du
nerf
sciatique poplité externe. La névralgie sciatique
ons cette singulière localisation de l'amyotrophie dans le domaine du
nerf
sciatique poplité externe. Mais ce n'est pas se
ccouchement laborieux. Th. Paris, 1876. (3) Dorion. — Paralysies du
nerf
sciatiqus poplité externe d'origine pelvienne. Th
générescence dans les gastrocnémiens, c'est-à-dire dans le domaine du
nerf
tibial, et rien do semblable ne se remarquait pou
isée à une branche seulement du sciatique. Mais cette localisation au
nerf
tibial postérieur nous paraît, si nous en jugeons
terne, et contourné la tête du péroné, se divise en deux branches, le
nerf
musculo-cutané et le tibial antérieur. Le premier
ur propre du gros orteil. Cette disposition peut se résumer ainsi :
Nerf
sciatique poplité externe *ïerf musculo-cutané.
umer ainsi : Nerf sciatique poplité externe *ïerf musculo-cutané.
Nerf
tibial antérieur. Long péronier latéral. Court
couchement laborieux. — Prédominance des accidents dans le domaine du
nerf
sciatique poplité externe. — (Bianchi. Des paraly
lisés au membre du côté gauche, pour se limiter en définitive au seul
nerf
sciatique poplité externe. Les muscles qui sont s
bord sur le tronc tout entier du sciatique. La névralgie totale de ce
nerf
n'a duré que peu de temps, il est vrai, et bientô
, il est vrai, et bientôt la douleur a occupé seulement le domaine du
nerf
sciatique poplité externe. Puis une paralysie sur
demment relatés. Nous voyons en effet que ce n'est pas la totalité du
nerf
sciatique poplité externe qui a été envahie par l
ue poplité externe qui a été envahie par la lésion, mais seulement le
nerf
tibial antérieur. L'intégrité du nerf musculo-cut
ar la lésion, mais seulement le nerf tibial antérieur. L'intégrité du
nerf
musculo-cutané, qui fournit aux péroniers, est co
, nous assistons à la localisation graduelle des troubles morbides au
nerf
sciatique poplité externe. A ce point de vue ce n
ceux d'une lésion non seulement du sciatique, mais encore de tous les
nerfs
du membre inférieur. Puis le tronc et les premièr
es de la sensibilité bien nettement localisés au domaine cutané de ce
nerf
. Elle ne peut trouver place ici et si nous y fais
chement naturel et facile ; phlegmon du ligament large ; paralysie du
nerf
sciatique poplitè externe. (Dorion. Des paralysie
ralysie du nerf sciatique poplitè externe. (Dorion. Des paralysies du
nerf
sciatique poplitè externe d'origine pelvienne. Th
cutive à un traumatisme quelconque subi par les branches d'origine du
nerf
dans le petit bassin, se compliquer d'accidents g
ysie, atrophie musculaire, localisés exclusivement dans le domaine du
nerf
£ciatique poplité externe. Quelle interprétation
à l'accouchement « sont localisées dans la sphère de distribution du
nerf
scia (1) Lefebvre. — Thèse citée. tique popli
le tronc lombo-sacré. Il a constaté en séparant par la dissection le
nerf
scia-tique en deux parties que les fibres du nerf
ar la dissection le nerf scia-tique en deux parties que les fibres du
nerf
sciatique poplité externe se continuent directeme
rne se continuent directement avec celles du tronc lombo-sacré. Or ce
nerf
est situé dans le bassin le long de la crête sacr
résulte que c'est toujours lui qui est comprimé et par conséquent le
nerf
sciatique poplité externe qui est le siège de la
animant les muscles extenseurs, de même chez les malades porteurs de
nerfs
sciatiques déjà en souffrance, la névrite atteint
des muscles extenseurs de la jambe, et anesthèsie dans le domaine du
nerf
sciatique poplitè externe. Le nommé Cham..., âg
core le malade de dormir, mais elles siégeaient sur tout le trajet du
nerf
que le malade dessine presque exactement sur son
ssent et aux phénomènes douloureux, généralisés sur tout le trajet du
nerf
, font place des troubles paralytiques localisés a
du nerf, font place des troubles paralytiques localisés au domaine du
nerf
tibial antérieur seul en ce qui concerne la paral
u moins on ne peut incriminer aucune lésion des branches d'origine du
nerf
dans le bassin. C'est un point important à connaî
avec troubles de . lamotilitè et de la sensibilité dans le domaine du
nerf
sciatique po}3lité externe. La nommée Françoise
e a débuté il y a dix-huit mois par des douleurs suivant le trajet du
nerf
, accompagnées de sensation d'engourdissement et d
es. Mais auparavant, rappelons en quelques mots la distribution des
nerfs
cutanés de la jambe, qui est loin d'être simple.
oit qu'à la face antérieure, le sciatique poplité externe fournit des
nerfs
cutanés à la plus grande partie de la jambe et du
bande étroite au côté interne, reçoivent leurs filets cutanés soit du
nerf
poplité externe lui-même, soit de ses branches, n
cutanés soit du nerf poplité externe lui-même, soit de ses branches,
nerf
musculo-cu-tané, accessoire du saphène externe, t
Ce qui reste de cette face antérieure est innervé par des branches du
nerf
saphène interne, venu du nerf crural. A la face
érieure est innervé par des branches du nerf saphène interne, venu du
nerf
crural. A la face postérieure un grand nombre d
erne, venu du nerf crural. A la face postérieure un grand nombre de
nerfs
se distribuent à la peau. Parmi eux le sciatique
c et de l'accessoire du saphène externe, Fig. 25.— Distribution des
nerfs
cutanés de la face antérieure de la jambe (d'aprè
erfs cutanés de la face antérieure de la jambe (d'après Flower). a.
Nerf
crural (nerf saphène interne).— b. Branches du sc
de la face antérieure de la jambe (d'après Flower). a. Nerf crural (
nerf
saphène interne).— b. Branches du sciatique popli
erf saphène interne).— b. Branches du sciatique poplité externe. — c.
Nerf
musculo-cutané (branche du sciatique poplité exte
— c. Nerf musculo-cutané (branche du sciatique poplité externe). — d.
Nerf
?aphène externe et son accessoire (branches des d
xterne et son accessoire (branches des deux sciatiques poplités). —e.
Nerf
tibial antérieur (branche du poplité externe).
t au bord externe du pied. Le reste est innervé par des branches du
nerf
crural, par le petit sciatique et par letibial po
nous paraissent parfaitement suffisantes Fig. 26,— Distribution des
nerfs
cutanés de la face postérieure de la jambe (d'apr
rfs cutanés de la face postérieure de la jambe (d'après Flower). a.
Nerf
petit sciatique. — b. Branche cutanée péronière
— b. Branche cutanée péronière (branche du poplité externe). — c.
Nerf
musculo-cutané interne (branche du crural). — d.
ranche du crural). — d. Nerl saphèno interne(branche du crural). — e.
Nerf
saphone externe et son accessoire (branche des de
xterne et son accessoire (branche des deux sciatiques poplités). — f.
Nerf
tibial postérieur (branche du poplité interne).
par M. le D1' Vigouroux. En voici les résultats : Io 24 avril 1890.
Nerf
sciatique poplité externe inexcitable — muscle ti
nsibilité, localisées à peu près exactement au territoire sensitif du
nerf
sciatique poplité externe. D'un autre côté, une s
taires.— Mère violente, colère, nerveuse, n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. Le frère de son grand-père (côté paternel) a des
hérédité, s'est-elle affirmée avant ou après le début de la lésion du
nerf
? C'est ce que nous ne pouvons affirmer. Il est po
istant en une névrite localisée à une seule branche de division de ce
nerf
, le sciatique poplité externe, et caractérisée pa
ue dans la sciatique par lésion traumatique des branches d'origine du
nerf
dans le bassin, où on la connaissait déjà ; 3°
ed droit. Bientôt, la douleur se localise nettement au creux poplité (
nerf
poplité externe), assez vive pour gêner la marche
ne à coudre et qui présente cette particularité d'avoir débuté par le
nerf
poplité externe et d'avoir amené rapidement la pa
du membre, remontant jusqu'au pli de l'aine et occupant le domaine du
nerf
musculo-cutané, branche du crural, c'est-à-dire d
domaine du nerf musculo-cutané, branche du crural, c'est-à-dire d'un
nerf
autre que celui qui a souffert. Quoique la physio
amyotrophie localisée au domaine d'une des branches de terminaison du
nerf
. Messieurs, Je désire attirer votre attention
, n'être ni sympto-matique, ni secondaire ; qu'affection primitive du
nerf
, elle est susceptible d'une guérisontout au moins
il n'est pas impossible que l'alcool frappe systématiquement les deux
nerfs
sciatiques, il faut avouer que c'est tout au moin
ent pas de sucre. La blennorrhagie porte parfois son action sur les
nerfs
. Tout récemment, M. le professeur Panas signalait
r leucémique) ou mieux d'un épithélioma du rectum comprimant les deux
nerfs
sciatiques, directement ou par l'intermédiaire de
la suite d'accouchements laborieux on observe parfois la paralysie du
nerf
sciatique. Les thèses de Bianchi, de MM. Lefèvre,
e crural, une anes-thésie cutanée en rapport avec la distribution des
nerfs
atteints (ordinairement le périnée, la face inter
domaine du sciatique seul, de l'amyotrophie grave dans le domaine des
nerfs
poplités, de la persistance des réflexes rotulien
ulaires ne forment pas un tout cohérent où les cellules d'origine des
nerfs
se rendant aux divers muscles de l'œil seraient e
d'amas cellulaires placés au-dessus de ceux qui donnent naissance aux
nerfs
des muscles moteurs du globe. Quant à ces dernier
que nous venons dépasser en revue. Le noyau antérieur, destiné aux
nerfs
des muscles ciliaires et iriens, reste en dehors
ité et la symétrie. Il est concevable, du reste, que si le tronc du
nerf
moteur oculaire est atteint après sa formation, o
ion, on ne pourra plus se rendre compte d'une lésion individuelle des
nerfs
qui se rendent à chaque muscle, et plus spécialem
synonyme de paralysie nucléaire ; c'est sur les noyaux d'origine des
nerfs
que porte la lésion et non sur les nerfs émanant
sur les noyaux d'origine des nerfs que porte la lésion et non sur les
nerfs
émanant des noyaux. On comprend cependant l'exi
oyaux. On comprend cependant l'existence de lésions portant sur les
nerfs
périphériques et non sur les noyaux capables de d
directement comme dans la paralysie faciale a frigore l'extrémité des
nerfs
musculaires extérieurs, tandis que les branches o
n'a permis de constater aucune altération des noyaux bulbaires ni des
nerfs
périphériques (obs. d'Eisenlohr, de Warner, de Br
évrose; de plus, dans un cas, la lésion des noyaux étant absente, les
nerfs
périphériques bulbaires étaient seuls affectés (M
upinateur, les radiaux externes. L'excitabilité galvanique intense du
nerf
radial, dans la gouttière, provoque une faible co
rs. Mêmes réactions pour le courant galvanique. Thénar : inexcitable.
Nerf
cubital au poignet : faible adduction du pouce et
formule fait complètement défaut. Exemple : Membre supérieur droit.
Nerf
deltoïde M. Deltoïde. Nerf radial. . Tricep
t. Exemple : Membre supérieur droit. Nerf deltoïde M. Deltoïde.
Nerf
radial. . Triceps . . . galvanisation farad
Enfin dans les derniers temps apparut un certain degré de parésie du
nerf
facial gauche. Tous ces*renseignements sont rap
nt d'une altération dynamique ou organique des centres nerveux ou des
nerfs
périphériques. Ressortissent à cette catégorie po
dépendant soit de la moelle, suivant les uns, soit primitivement des
nerfs
périphériques suivant les autres, c'est ce qu'il
intéressante parce que la névralgie symétrique occupait le domaine du
nerf
cubital. Localisée d'abord au côté droit, elle en
elle envahit bientôt le côté gauche. Il existait de la tuméfaction du
nerf
qui était douloureux à son passage dans la goutti
autres douleurs localisées plus ou moins exactement sur le trajet des
nerfs
, mais qui, au lieu d'être permanentes, prennent l
a mère irascible, nerveuse à l'excès, était sujette à des attaques de
nerfs
. Dans les dernières années de sa vie, elle s'étai
t dans la partie inférieure du pédoncule gauche et ayant intéressé le
nerf
de la troisième paire, soit dans son trajet intra
n trouve, en allant de la base au sommet du triangle : le chiasma des
nerfs
optiques, le tuber cine-reum, les tubercules mami
lés intimement à la face interne du pédoncule correspondant, les deux
nerfs
de la troisième paire. Vous concevez déjà par ce
oduire en conséquence une paralysie alterne spéciale, et que les deux
nerfs
de la troisième paire puissent, à la rigueur, êtr
aux du syndrome de Weber. Si cette même lésion détruit ou comprime le
nerf
ocuîo-moteur, le second élément de ce syndrome, à
de superficielle des rapports de contiguïté qu'affectent entre eux le
nerf
de la troisième paire et le pédoncule vous avait
ité de ces filets nerveux représente schématiquement autant de petits
nerfs
distincts qui se rendent isolément l'un à l'iris,
ndrome de Weber. Règle générale, dans l'un comme dans l'autre cas, le
nerf
de la troisième paire est paralysé dans toutes se
facile de comprendre que, dans le premier cas, c'est-à-dire quand le
nerf
est lésé dans l'intérieur du pédoncule, quelques-
lle que vous rencontrerez. Quand elle est complète, Y altération du
nerf
comporte : la chute de la paupière, le strabisme
tricule. Parties de ce point leurs fibres s'agrègent aussitôt en deux
nerfs
distincts qui traversent la protubérance dans tou
un de l'autre, mais constitués déjà, dans tout ce trajet, à l'état de
nerfs
périphériques. Or, dans ce trajet intraprotubé-ra
erfs périphériques. Or, dans ce trajet intraprotubé-rantiel, ces deux
nerfs
affectent, avec le faisceau pyramidal, d'étroits
omprendrez aisément comment la léoion peut atteindre simultanément le
nerf
de la septième paire et le faisceau pyramidal, et
Vous pouvez supposer encore telle localisation qui atteindra les deux
nerfs
précédents sans léser le faisceau pyramidal et ré
agnostic. — Observation d'un malade :'lésion de la moelle, lésion des
nerfs
du plexus brachial, troubles du mouvement, troubl
thermo-anesthésie et conservation du tact) dans ce cas de lésion d'un
nerf
périphérique et dans le domaine du nerf lésé. T
t) dans ce cas de lésion d'un nerf périphérique et dans le domaine du
nerf
lésé. Trépanation de la colonne vertébrale. — I
ien, il s'agit d'une localisation répondant au territoire cutané d'un
nerf
. Examinez, par exemple, une des figures de l'atla
le, une des figures de l'atlas de Flower, et vous reconnaîtrez que ce
nerf
n'est autre que le brachial cutané interne. Ce ne
rait donc pas la moelle, d'après cela, qui serait lésée, mais bien un
nerf
périphérique. Mais, direz-vous, et la dissociatio
yélique de la sensibilité? Peut-elle être produite par la lésion d'un
nerf
périphérique? Elle n'est donc pas spécifique pour
re paire dorsale contient des fibres ner- tache à une altération du
nerf
brachial cutané interne, et laissez-moi imaginer
que la lésion originelle porte sur la première paire dorsale, d'où ce
nerf
émane, et veuses qui sont destinées : 1° au bra
mane, et veuses qui sont destinées : 1° au brachial cutané interne,
nerf
sensitif ; 2° au cubital, nerf mixte, qui reçoit
inées : 1° au brachial cutané interne, nerf sensitif ; 2° au cubital,
nerf
mixte, qui reçoit de cette paire, suivant toute p
lade nous a présentés. Admettez que cette lésion porte sur le premier
nerf
dorsal, et vous vous expliquez à merveille non se
s antérieures sont lésées. Tout s'éclaire ; ce qui est lésé, c'est le
nerf
lui-même ; il est soumis à une compression qui éq
nerf lui-même ; il est soumis à une compression qui équivaut pour les
nerfs
moteurs à une section et nous pouvons dire exacte
e trou de conjugaison s'était par là même effacé, écrasant le premier
nerf
dorsal. Il nous est facile d'expliquer aussi, dan
ent au cours de certaines maladies de la moelle ou des racines et des
nerfs
périphériques (2). Le second point qui mérite e
nsparente, s'infiltre dans l'hexagone de Willis, autour duchiasma des
nerfs
optiques. C'est un tissu composé de très petites
lité les plus communes. Au milieu de cette infiltration gommeuse, les
nerfs
optiques, les nerfs moteurs de l'œil, etc., se tr
es. Au milieu de cette infiltration gommeuse, les nerfs optiques, les
nerfs
moteurs de l'œil, etc., se trouvent englobés ; il
ymptômes rares ou anormaux de cette maladie. Lésions de la papille du
nerf
optique; diagnostic avec la papille tabétique. Au
plaques de sclérose éparses sur le cerveau, la moelle, le bulbe, les
nerfs
optiques, etc. (Fîg. 47 à 52). C'est par un pro
er à ce sujet que la paraplégie spasmodique, combinée à une lésion du
nerf
optique, peut être quelquefois l'unique indice de
tiloculaire. Sur vingt examens il a noté onze fois des altérations du
nerf
optique et retrouvé dans cinq autopsies cinq fois
etrouvé dans cinq autopsies cinq fois des plaques de sclérose dans le
nerf
optique, le chiasma ou la bandelette. Il est cl
terai que l'autopsie fut pratiquée clans six cas et que cinq fois les
nerfs
optiques furent trouvés lésés. Or dans un de ces
es lésions trouvées à l'autopsie occupaient le segment postérieur des
nerfs
. Du reste, la portion intra-oculaire des nerfs op
segment postérieur des nerfs. Du reste, la portion intra-oculaire des
nerfs
optiques n'offre d'habitude que des lésions insig
u, innervé par les rameaux cervicaux de la branche cervico-faciale du
nerf
facial. Les autres muscles du corps sont sains.
. Pertes blanches dans l'intervalle des époques. Jamais d'attaques de
nerfs
. Elle a eu, il y a deux ans, un fort rhume qui
ns ne peut guère s'expliquer autrement que par une lésion de ces deux
nerfs
au niveau de la partie inférieure de la protubéra
raisemblablement sur le trajet intra-protubérantiel des fibres do ces
nerfs
, entre leur noyau d'origine et leur point d'émerg
que, est nerveuse, vive et emportée, mais n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. Les grands-parents maternels ne paraissent pas a
uellement de vingt-quatre ans, a eu, à dix-huit ans, « une maladie de
nerfs
» caractérisée par un hoquet persistant qui a dur
s. Son grand-père est mort fou et sa grand'mère avait des attaques de
nerfs
. 2° Côté maternel. — La mère est emportée, colé
. — La mère est emportée, coléreuse, elle n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. La grand'mère est peu connue. Le grand-père est
ormir; mais, à la suite de cette séance, elle eut une grande crise de
nerfs
pendant laquelle se manifestèrent, pour la premiè
pareil à fracture, début des phénomènes paré-tiques. — Compression du
nerf
médian, ne pouvant expliquer ces phénomènes. — Ca
respectifs du traumatisme, de l'appareil à fracture, de la lésion du
nerf
médian, dans le développement des accidents. ...
i de pathogénie. — Trois cas avec autopsie : lésions sur le trajet du
nerf
moteur oculaire commun. Traitement : Bromures,
amyotrophie localisée au domaine d'une des branches de terminaison du
nerf
......179 X. Ophthalmoplégie externe et amyotr
agnostic. — Observation d'un malade : lésion de la moelle, lésion des
nerfs
du plexus brachial, troubles du mouvement, troubl
thermo-anesthésie et conservation du tact) dans le cas de lésion d'un
nerf
périphérique et dans le domaine du nerf lésé. T
t) dans le cas de lésion d'un nerf périphérique et dans le domaine du
nerf
lésé. Trépanation de la colonne vertébrale. Ins
ymptômes rares ou anormaux de cette maladie. Lésions de la papille du
nerf
optique; diagnostic avec la papille tabétique. Au
et tabes, 278 ; — et glycosurie, 258. Diplopie dans la paralysie du
nerf
moteur oculaire externe, 422. Dissociation de l
nsécutive aux a'taques d'—, 375. F Facial : paralysie complète du
nerf
—, 420; paralysie du — dans l'hystérie. (v. Paral
que, 17 ; — observation, 18. Moteur oculaire externe : paralysie du
nerf
—, 420 ; — spasme associé dans cette paralysie, 4
25 ; — pathogénie de ce spasme, 425 : — diplopie dans la paralysie du
nerf
, 422. Myosis dans les lésions du plexus brachia
u nerf, 422. Myosis dans les lésions du plexus brachial, 345. N
Nerf
brachial cutané interne : distribution sensitive
N Nerf brachial cutané interne : distribution sensitive du —,341.
Nerfs
sbnsitifs : distribution des — au membre supéri
es — au membre supérieur, 342 ; — au membre inférieur, 153,154.
Nerf
sciatique : distribution motrice du —, 130 ; dist
triques dans le diabète, 263. Névrite dans le diabète, 270 ; — _ du
nerf
poplité dans la scia-tique, 127, 169, 179. Névr
e, 265. S Sciatique : paralysie amyotrophi-que dans le domaine du
nerf
poplité dans la -, 127, 169, 179; — causée par l'
ive assez fré- quemment, dans cette variété de Mal de Poil, que les
nerfs
des extrémités supérieures soient comprimés tan
s- sion radiculaire les douleurs dans la sphère de distribution des
nerfs
, le zosler, des paresthésies; la compression mé
icale », ce que Brissaud attribue à, la compression des racines des
nerfs
des réservoirs. L'absence d'anesthésie, lui fai
lgies radiculaires (défaut de localisation sur le trajet exact d'un
nerf
, caractère intermittent, par crises et, parfois,
mère est très épaissie à ce niveau et recouverte de pus caséeux. Le
nerf
sciatique droit est rouge, et d'un volume doubl
arie tuberculeuse du sacrum, pachyméningite caséeuse comprimant les
nerfs
de la queue de cheval. Observation personnelle
ivantes (1) : «Au début, surviennent des douleurs sur le trajet des
nerfs
dont les racines naissent dans la région compri
naissent dans la région comprimée, en particulier sur le trajet des
nerfs
du membre supérieur. Plus tard, la compression de
trouve, soit le signe de Lasègne, soit la douleur à la pression du
nerf
(cas de Triot), et surtout si la pseudo-sciatiq
raphie lui a montré due à la compression osseuse des racines ou des
nerfs
, comme dans le mal de Pott. LES PRINCIPALES FOR
manie des voyages, comme il dit, le reprend ; et, « sentant que ses
nerfs
n'étaient pas bien », il vint spontanément se réf
qui persistent pourtant longtemps, signe d'une action contraire des
nerfs
vaso-moteurs. Et si je passe sur la peau avec u
et en même temps un appui pour l'opinion de ceux, qui admettent des
nerfs
spéciaux pour conduire les sensa- tions thermiq
isceau contiendrait : a)@des fibres qui lui viennent directement du
nerf
optique ; b) des fibres ayant leur origine dans l
è par atrophie numérique un arrêt de développement d'un organe (os,
nerf
, muscle, etc.) sans aucune autre lésion histologi
mbre des éléments anatomiques qui compo- sent cet os, ce muscle, ce
nerf
, etc. et au point de vue clinique sans aucun au
ancienne, datant de l'enfance. Tandis que les os, les muscles, les
nerfs
qui composent ce membre sont plus grêles et plu
), les éléments anatomiques qui constituent cet os, ce mus- cle, ce
nerf
ont le même volume que ceux du côté opposé et ils
y a diminution du nombre des éléments qui constiluent un muscle, un
nerf
, un os, un centre nerveux, etc., mais que cette d
'absence de toute réaction fonctionnelle pa- thologique du côté des
nerfs
et des muscles dont le volume est resté en infé
aladie du coeur, très sobre. Frère, 26 ans, a eu quelques crises de
nerfs
après excès de boisson. ire Soeur, 19 ans, chlo
à un des malades, avec son consentement bien en- tendu, un bout de
nerf
. M. Marinesco qui a eu l'obligeance d'examiner
a eu l'obligeance d'examiner les préparations microscopiques de ce
nerf
nous a dicté une note que je reproduirai plus l
maintenant la note de M. le professeur Marinesco sur les lésions du
nerf
que j'ai enlevé sur le malade J. T. « Sur une s
. « Sur une section longitudinale pratiquée sur un rameau cutané du
nerf
tibial antérieur enlevé par biopsie et traité p
elles pro- duites pendant la vie ? Si l'on tient compte que notre
nerf
a été extrait du corps vivant fixé immé- diatem
anulations les unes fines, d'autres plus grandes se voient dans les
nerfs
avec des lésions pathologiques, nous con- cluon
roubles de sensibilité superfi- cielle et profonde et qu'un bout du
nerf
cutané enlevé chez l'un d'eux, présente des lés
sition radiculaire; nous ne pouvons pas affirmer que les lésions du
nerf
sont primitives ou dégénératives. Devant ces de
troubles de sensibilité objective et ces lésions pathologiques des
nerfs
ajoutés à d'autres signes cliniques décrits (1)
nerfs ajoutés à d'autres signes cliniques décrits (1) Le morceau du
nerf
enlevé, a été mis directement dans le liquide de
olution de la maladie, l'absence de toute douleur sur le trajet des
nerfs
, etc., tous ces symptômes négatifs mettent en d
ainement les troubles de sensibilité ob- jective et les lésions des
nerfs
ne font pas partie des myopathies primi- tives.
ls complémentaires sur la morphologie des tumeurs. 2° Tumeurs des
nerfs
. - Il n'en existe aucune. Examen du fond de l'oei
ne de Recklinghausen : il manque au tableau morbide les tumeurs des
nerfs
. Tout diagnostic différentiel est rendu superfl
r Zietschmann, avec formation de fibro-neuromes,chez le boeuf (1).Les
nerfs
atteints présentaient sur leur trajet, au milie
un accroissement du tissu de soutien (conjonctif péri-nerveux) des
nerfs
, formant des néo-productions fibreuses, ou plut
e du radial et du mé- dian, et, à un degré moindre, dans les autres
nerfs
et muscles. 11 existait aussi quelque anesthési
troubles oculo-pupillaires. A part ceci, tout l'ensemble des autres
nerfs
, muscles et organes de l'éco- nomie est parfait
et la peau, distribution qui ne répond pas à celle du plexus ou du
nerf
terminal. Ainsi, si la 5e et la 6e racines cerv
la paralysie Erb-Duchenne qui ne cor- respond au territoire d'aucun
nerf
terminal, et, théoriquement, il y aurait une ba
partie du bras, distribution qui n'est pas davantage celle d'aucun
nerf
terminal. Mais si toutes les racines étaient fr
et encore les sus ou sous-épineux, tous muscles qui reçoivent leurs
nerfs
directement des 5e et 6" racines cervicales avant
ssent intéressées, puisque la béquille n'est en contact qu'avec les
nerfs
terminaux, les nerfs qui émanent du plexus brachi
isque la béquille n'est en contact qu'avec les nerfs terminaux, les
nerfs
qui émanent du plexus brachial, et ne peut comp
nerfs qui émanent du plexus brachial, et ne peut comprimer que ces
nerfs
seuls, pour la bonne raison qu'il ne s'en trouve
s profondes mais suffisantes pour compromettre la conductibilité du
nerf
. La chose a été vérifiée et par l'observation et
radiaux aient accaparé l'attention au détriment de ceux des autres
nerfs
du plexus brachial. Ainsi, dans notre cas, il e
lté à admettre que ce soit là la part de la compres- sion ; que, le
nerf
radial se laissant comprimer dans le creux de l'a
-Pal, puisque ses produits sont pourvus de gaines de myéline. Les
nerfs
radiculaires présentent les lésions de sclérose c
jonctive ancienne que j'ai décrites précédemment. Les coupes de ces
nerfs
, faites suivant la mé- thode de Cajal, montrent
igure 1 de la planche XXXIV représente côte à côte trois coupes du 4°
nerf
radiculaire lombaire et trois coupes d'un nerf
e trois coupes du 4° nerf radiculaire lombaire et trois coupes d'un
nerf
normal pratiquées aux mêmes niveaux. En a, on v
'un nerf normal pratiquées aux mêmes niveaux. En a, on voit' que le
nerf
radiculaire présente un aspect presque normal ;
'épaississement des méninges a augmenté et il se forme au centre du
nerf
radiculaire une cavité communiquant avec l'espace
destructive des éléments nobles dans cette racine. En résumé, le
nerf
radiculaire est le siège d'une inflammation inter
is que les massues, qui terminent ces fibres, sont arrêtées dans le
nerf
radiculaire par le foyer inflam- matoire qui y
et les cordons postérieurs ne sont pas diminués de volume. Les deux
nerfs
radiculaires de la : 1. r8 paire sacrée ainsi q
, et débité en coupes longitudinales. Les coupes transversales du
nerf
radiculaire montrent l'existence d'une né- vrit
lace à part ; en effet,il existe une inflammation aiguë intense des
nerfs
radiculaires, qui est caractérisée par une infilt
toute l'étendue visible sur mes préparations, c'est-à-dire dans le
nerf
radiculaire et dans les 3 ou 4 centimètres situ
massues de croissance des fibres régénérées ne franchissent pas le
nerf
radiculaire dans ce cas ; on pourrait, il est v
e nettement à la portion qui est située au niveau et au- dessous du
nerf
radiculaire. Au-dessus de ce point les cylindraxe
ement le point d'at- taque qui siège dans le foyer inflammatoire du
nerf
radiculaire. On m'a beaucoup reproché autrefois
s le tabes, malgré leur passage à travers le foyer inflammatoire du
nerf
radiculaire. Je ne crois pas avoir mérité cette c
mne et on ne trouve que de très rares gonflements analogues dans le
nerf
sensible périphérique à sa sortie du ganglion ;
uve avec la même topographie et les mêmes caractères dans les trois
nerfs
radiculaires de la région lombo- sacrée qui ont
Sur les coupes transversales et longitudinales des ganglions et des
nerfs
radiculaires les régénérations apparaissent sou
manifestement attirées par la moelle, car aucune ne pénètre dans le
nerf
périphérique ; elles se dirigent vers la racine,
inférieur en est absolument dépourvu et pas une ne s'égare dans le
nerf
périphérique. Un certain nombre d'entre elles s
res qu'elles tendent à remplacer. Les choses se passent comme si le
nerf
radiculaire était im- prégné d'un poison qui an
Ramon y Cajal a découvertes dans les cicatrices expérimentales des
nerfs
, achève d'entraîner la conviction. Ces massues
vancé, parviennent à vaincre cette résistance et à pénétrer dans le
nerf
radicu- laire, sont en partie destinées à dispa
tion des planches. Planche XXXIV. Fig. 1. - a, b, c, coupes du 4e
nerf
radiculaire lombaire à l'état normal, pratiquées
a, b, c, du schéma, Pl. XXXV, fig. 1. a', b', c', coupes du même ,
nerf
aux mêmes niveaux dans le cas III (tabes incipien
s incipiens). Coupe longitudinale du 4° ganglion lombaire et de son
nerf
radiculaire ; accumulation des massues de croissa
ons de sclérose artérielle ou de celles qui frappent si souvent les
nerfs
intra-musculaires, leur développement est varia
me nerveux, ne put constater aussi bien dans la moelle que dans les
nerfs
péri- phériques aucune altération. Il s'agit
i qu'il est de règle de l'observer chez les vieillards. L'étude des
nerfs
et des muscles n'a pas été faite, mais nul doute
ue et ne peuvent être considérées somme la cause de la maladie. Les
nerfs
périphériques sont indemnes d'altération névritiq
ir- résistible d'exécuter ces mouvements : « besoin de détendre mes
nerfs
. » Les tics dont L... est atteint lui font comm
ents sont le résultat d'un besoin irrésistible de se « détendre les
nerfs
» et sont suivis d'un senti- ment de repos, de
fluence que pouvaient avoir sur l'état des ganglions spi- naux, des
nerfs
cutanés et des sympathiques, les lésions profonde
diculaire des anesthésies tabétiques, et de l'autre ce fait que les
nerfs
cutanés sont constamment dégénérés dans les zon
ettre en effet, avec notre maître Dejerine (2), que les lésions des
nerfs
cutanés sont proportionnelles en général à celles
n des racines postérieures, on pouvait arriver a constater dans les
nerfs
cutanés et dans les cellules ganglionnaires, de
as contraire, si après cette, section des racines postérieures, les
nerfs
périphériques et les cellulesganglionnaires resta
l faudrait admettre que la lésion décrite par Nageotte au niveau du
nerf
radiculaire ne joue dans la production du tabes
x sacrifiés au ajour après l'opération, des lésions importantes des
nerfs
périphériques, localisées exacte- ment dans le
gite sup- purée, ce qui nous a obligé à n'utiliser chez lui que les
nerfs
périphériques. Le chien de l'observation XI a e
EURES 301 Dans deux cas (X et XI), nous avons pris spécialement.les
nerfs
efférents du pôle périphérique des ganglions, a
se saturée de sublimé, et de solution d'acide osmique au 1/100. Les
nerfs
ont été plongés 24 ou 48 heures dans ce réactif
echnique utilisée pour l'étude des ganglions spinaux. Examens des
nerfs
périphériques. Avant d'aborder pour chacune des
rs. Il ne semble pas qu'antérieurement à nos expériences l'état des
nerfs
péri- phériques ait été systématiquement recher
ant, six à huit semaines après cette section, Joseph (1) trouva les
nerfs
périphériques normaux. Au bout du même délai, V
phériques normaux. Au bout du même délai, Vegas (2) trouva dans les
nerfs
périphériques quelques faisceaux étroits, et ma
tanée des racines antérieures et postérieures, Benucci examinant le
nerf
sortant du pôle périphérique du ganglion, le tr
t sur 6 animaux opérés, Bonne (3) examina au bout de 106 jours, les
nerfs
du derme de la patte, sans y trouver aucune altér
racine postérieure au pôle périphérique du ganglion de même que les
nerfs
cutanés. Presque en même temps, nous communiqui
. Roux ET Jean HRITZ, Note sur les dégénérescences observées dans les
nerfs
cutanés chez le chat, plusieurs mois après la s
. biologie, 24 décembre 1904. 302 ROUX ET HEITZ dégénérations des
nerfs
périphériques et des ganglions consécutives à la
racines postérieures. Nous apportions les résultats de l'examen des
nerfs
cutanés des 3 pre- miers chats : le chat 1 opér
d'un filet cutané du chat I, provenant d'une branche perforante du
nerf
intercostal du côté opéré. On y distingue en no
nce. Il en est de- même dans les filets musculaires. Les troncs des
nerfs
intercostaux parais- sent sains à un premier ex
dans l'interprétation des faits. Chez le chat II, du côté opéré les
nerfs
de la queue et de la plante étaient normaux : c
sentaient des lésions analogues à celles de l'animal précédent. Les
nerfs
symétriques .étaient sains. Chez le chat III
ussi, les fibres altérées étaient en majorité de petit calibre. Les
nerfs
de la queue et de la plante du côté opéré, étaien
e et de la plante du côté opéré, étaient nor- maux, de même que les
nerfs
symétriques. Chez ces deux derniers animaux les
plus tard, étaient rapportés d'assez nombreux examens de l'état des
nerfs
cutanés quelques mois après la section (toujours
es animaux Koster notait l'existence de gaines vides. Du côté des
nerfs
mixtes, il avait remarqué, et seulement dans quel
plètement notre manière de voir (2). Chez le premier d'entre eux, les
nerfs
cutanés du côté sectionné ne présentaient, au t
d'assez nombreuses gaines vides, lesquelles n'existaient pas sur les
nerfs
du côté opposé. Chez le dernier animal enfin, i
it aucune dégénéres- cence ni dans les troncs nerveux (ide et 1 tue
nerfs
intercostaux) ni dans les nerfs cutanés, mais s
dans les troncs nerveux (ide et 1 tue nerfs intercostaux) ni dans les
nerfs
cutanés, mais seulement des gaines vides. Ces d
s auparavant chez le chat I (autopsié au 247e jour) et où les mêmes
nerfs
et les mêmes rameaux cutanés (1) RÕSTER, loc, c
2) J.-Cn. Roux et Jean HEITZ, Deuxième note sur la dégénérescence des
nerfs
cutanés observés chez le chai à la suite delà s
r, des lésions de très peu d'im- portance « geringfüzig ». Dans les
nerfs
périphériques de l'un d'eux, à côté de quelques
s donc en état de conclure que le processus de dégénéres- cence des
nerfs
périphériques, après section des racines postérie
roisième série d'expériences enfin, nous avons recherché l'état des
nerfs
cutanés peu de temps après la section des racines
ce avancée. C'étaient des fibres très fines. Chez le chat IX, les
nerfs
cutanés de la face postérieure du genou contenaie
contenaient également quelques libres fines dégénérées. Les autres
nerfs
examinés (cuisse, fesse) étaient normaux. Che
rs après la section des 2 premières sacrées, sur 5 préparations des
nerfs
de la plante, uue seule contenait 2 groupes de fi
res). Chez le chien X (section des deux dernières sacrées) dans les
nerfs
de la queue, un des filets examinés contenait é
ient de même au 18e jour, quelques fibres fines dégénérées. - Les
nerfs
symétriques examinés du côté sain ne nous ont jam
n puisse conclure dans cette dernière série d'expérien- ces que les
nerfs
cutanés, et les troncs mixtes, dans les premières
). Les fibres dégénérées y sont beau- coup plus nombreuses dans les
nerfs
intercostaux correspondant à ces mêmes racines
t aux grosses fibres à myéline, épaisses et noires comme celles des
nerfs
périphériques, elles sont par contre toujours con
fixation sublimé, coloration thionine). Au contraire, la section du
nerf
périphérique déterminait de graves lésions et m
, dans les racines postérieures comme dans les troncs mixtes et les
nerfs
cutanés, ne sont-elles pas des fibres centrifug
raversant les ganglions sans s'y arrêter, passaient enfin dans "les
nerfs
périphériques. Ces fibres furent revues par Mar
io. 3 et 4. Dissociation de 2 branches nerveuses cutanées issues d'un
nerf
inter- costal (observ. I, chat adulte, sacrifié
tion sublimé osmique, obj. 5, ocul. 1). Fic. 5. Dissociation d'un
nerf
cutané du périnée, (observ. III, chat adulte, sac
à direc- tion centripètes. FiG. 8 et (obs. X). - Dissociation du
nerf
efférent du ganglion, continuant la racine post
ns le sympathique (chat XII, fig. 1 et 2, planche XLIX) et dans les
nerfs
cutanés (chat XII, chiens VIII et X), nous semb
arable de fibres dégénérées que nous avons pu suivre jusque dans le
nerf
efférent du ganglion un peu avant sa fusion ave
ue cette régénérescence est plus lente et plus tardive que dans les
nerfs
périphériques. ' Les fibres régénérées du bout
nérescences que nous avons consta- ' tées dès le 15" jouir dans les
nerfs
mixtes (chat XII) et dans les filets cutanés (c
de temps ces figures de dégénéres- cence peuvent persister dans les
nerfs
périphériques; peut-être disparaissent- elles p
égénéres- cences constatées par Koster du 5je au 150e jour dans les
nerfs
cutanés, sont également dues à la persistance d
les dégénérescences importantes que nous avons constatées dans les
nerfs
cutanés peuvent-elles être expliquées de la même
pourquoi ces dégénérescences apparaissent plus nombreuses dans les
nerfs
cutanés que dans les troncs mixtes. Sans doute la
probablement dans les filets cutanés, en plus des fibres venant des
nerfs
mixtes, d'autres fibres d'origine sympathique.
processus de névrite périphérique appa- raît comme éteint dans les
nerfs
cutanés (chats IV et V). A la place des figu- r
stance de ces lésions cellulaires expéri- mentales. - Du côté des
nerfs
périphériques les tabétiques présentent des altér
t les gros troncs sont habituel- lement indemnes (Dejerine) (1). Le
nerf
efférent du ganglion est toujours intact (Thoma
is certaines, dans des tabès très avancés : Histologi- quement, les
nerfs
cutanés malades des tabétiques comprennent de nom
nt dans le tabes, comme la méthode de (1) DEJERINE, Altérations des
nerfs
cutanés dans le labes. Arch. physiologie, 1883, p
jamais de gaîne de myéline, et ne semblent pas dépasser le niveau du
nerf
radiculaire. En un mot, si nous comparons les
ajouter cependant qu'au niveau des plexus viscéraux, la lésion des
nerfs
sympathiques prend, chez les tabétiques, des cara
iques prend, chez les tabétiques, des caractères nouveaux. Dans les
nerfs
qui composent le plexus cardiaque, la diminution
thèse Paris, 1900. (4) J.-Ca. Roux, loc. cit. (5) Jean HEITZ, Les
nerfs
du coeur chez les tabétiques, thèse Paris, 1903.
xpérimentale des racines postérieures détermine des altérations des
nerfs
périphériques et des ganglions tout à fait sembla
te en l'espèce que ces lésions méningées se localisent au niveau du
nerf
radiculaire transverse (Nageotte) (3), ou sur l
core sur les neurones sympa- thiques, alors que l'influence sur les
nerfs
musculaires apparaît comme beau- coup moins con
aire, et on peut les retrouver sous forme dé boules éparses dans le
nerf
qui sort du ganglion pour fusionner avec la racin
ersales. 3° Une plus faible partie de ces fibres se dirige vers les
nerfs
périphériques où elles peuvent être mises en év
ses en évidence, 18 à 20 jours après l'opération, dans le tronc des
nerfs
mixtes et jusque dans les filets cutanés du terri
mois après la section des racines postérieures, on observe dans les
nerfs
cutanés correspondant à ces racines, des figures
les grosses fibres. Il existe aussi des fibres dégénérées dans les
nerfs
mixtes, mais elles y sont beaucoup plus rares.
normales en nombre et en dimension. 5° Un an après l'opération, les
nerfs
périphériques ne contiennent plus de fibres dég
r lieu par Thomas et Hauser. D'autre part, les dégénérescences fies
nerfs
périphériques (à type wallé- rien chez l'animal
de gros et de fin calibre en dégénérescence wallé- rienne dans les
nerfs
cutanés du territoire des racines sectionnées ;
s nombreuses dans les troncs mixtes corres- pondants. Intégrité des
nerfs
symétriques droits. Chat de 4 k. 600, opéré le
dernière racine sectionnée ; les ganglions semilunaires ; les trois
nerfs
intercostaux (troncs et ramifications cutanées)
rées, les fibres efférentes sont normales au pôle périphérique. Les
nerfs
périphériques des deux côtés, ont été examinés su
LIX) représentent 2 filets cutanés, perforants postérieurs d'un des
nerfs
intercostaux gauches. On y voit des fibres à my
autour des restes protoplasmiques et myéliniques. Les troncs des
nerfs
intercostaux présentaient à gauche, également, de
étriquement de chaque côté les deux nerfs- saphènes exter- nes, les
nerfs
plantaires cutanés, les nerfs de la face postérie
deux nerfs- saphènes exter- nes, les nerfs plantaires cutanés, les
nerfs
de la face postérieure de la jambe et de la cui
, les nerfs de la face postérieure de la jambe et de la cuisse, les
nerfs
de la queue. Examens histologiques. Les ganglio
côtés ; aucune trace d'atrophie ni de raréfaction cellulaire. Les
nerfs
périphériques, sur dissociations, ne présentent p
t pas de fibres dé- générées du côté droit. A gauche, intégrité des
nerfs
de la queue, des nerfs plantaires, mais dégénér
énérées du côté droit. A gauche, intégrité des nerfs de la queue, des
nerfs
plantaires, mais dégénérescence des nerfs de la
es nerfs de la queue, des nerfs plantaires, mais dégénérescence des
nerfs
de la face postérieure de la jambe et de la cui
filets radiculaires postérieurs gauches, correspondant aux 2. et 3'
nerfs
sacrés. ' Guérison par première intention, sans
bsence de toute différence appréciable d'un côté à l'autre. ' Les
nerfs
périphériques cutanés, sur dissociations, étaient
rée, d'ailleurs unique (à la croupe droite). Du côté gauche, les
nerfs
du périnée contenaient d'assez nombreuses fibres
du périnée, et comme on le voit, l'aspect est tout à fait celui des
nerfs
cutanés de l'observation I. Il existait, sur d'au
certains filets cutanés de la coupe. Au. contraire, état normal des
nerfs
cutanés de la queue, de la jambe et de la plante.
ines postérieures droites normales. Pas de dégénérescences dans les
nerfs
cutanés correspondants, mais assez nombreuses g
nerfs cutanés correspondants, mais assez nombreuses gaines vides ;
nerfs
cutanés droits intacts. Chat adulte de 4 kilos
ont été coupés dans le sens longitudinal, depuis la racine jusqu'au
nerf
émergent, la racine antérieure restant accolée
es racines. Les racines du côté droit étaient normales. Enfin les
nerfs
cutanés, examinés avec soin, n'ont présenté des f
né cependant une seule fibre dégé- nérée. Par contre ces différents
nerfs
présentaient du côté gauche de nombreu- ses gai
nombreu- ses gaines vides, lesquelles n'apparaissaient pas sur les
nerfs
du côté opposé. Observation V. - Chat adulte. -
us prélevons les ganglions thoraciques 10e et 41e des deux côtés, les
nerfs
splanchniques droit et gauche, les rami-communi
s du côté droit, comme du côté gauche, des fragments des troncs des
nerfs
intercostaux et des rameaux cutanés issus de ces
s troncs des nerfs intercostaux et des rameaux cutanés issus de ces
nerfs
. Examens IIISTOLOGIQUES. Les ganglions spinaux
côté du système sympathique, les dissociations ont porté sur les deux
nerfs
splanchniques droit et gauche, et sur les rami
res et 3.302 fibres fines. Il n'existait sur les coupes de ces deux
nerfs
aucune zone de sclérose ni de raréfaction des f
donc être considéré comme normal, ce qui s'explique facilement, le
nerf
splanchni- que tirant son origine des 5e, 6", 7
de numération, manquant de point symétrique pour comparaison. Les
nerfs
périphériques ont été examinés par dissociation.
assez nom- breuses gaînes vides qui ne se retrouvaient pas dans les
nerfs
du côté opposé. 332 . ROUX ET lOEITZ Observat
haque côté. Enfin nous disséquons des deux côtés symétriquement les
nerfs
de la queue, de la fesse, du périnée, de la fac
majorité, et en état de dégénérescence très avancée. Du côté des
nerfs
périphériques nous n'avons pu examiner que les ne
e. Du côté des nerfs périphériques nous n'avons pu examiner que les
nerfs
cutanés de la face postérieure de la cuisse et
vec du pus dans le canal rachidien. Nous pré- levons simplement les
nerfs
de la patte du côté opéré. Une des préparations
ieures étaient intactes. Enfin, symétrique- ment, nous relevons les
nerfs
cutanés des fesses, de la fosse ischio-rectale, d
bout médullaire des mêmes racines. Nous avons dissocié enfin les
nerfs
cutanés des deux côtés, et avons trouvé dans le
égénérescence wallérienne, territoire de la 2° racine sacrée. Les
nerfs
de la plante n'ont malheureusement pu être examin
e correspondant de fibres dégénérées, lesquelles se retrouvent dans
nerf
efférent du ganglion, avant sa réunion avec la
nion avec la racine antérieure. Quelques fibres dégénérées dans les
nerfs
cutanés cor- respondants. Chien de 10 kilos,
la portion extradurale de la racine postérieure, le ganglion, et le
nerf
efférent de ce ganglion avant sa réunion à la rac
elles paraissent aboutir aux 3e, 4e et peut-être aussi aux 2° et 5e
nerfs
sacrés. Nous disséquons enfin un certain nombre
s fibres dégénérées se retrouvent enfin, aussi nombreuses, dans les
nerfs
efférents des ganglions 3e, 4° et 5e sacrés, avan
réunion aux racines antérieures (fig. 8 et 9, planche XLIX). Les
nerfs
cutanés ont été examinés seulement dans la région
acines sec- tionnées ; présence des fibres fines dégénérées dans le
nerf
efférent du ganglion. - Chien de 11 kilos, op
On prélève également les racines postérieures, les ganglions et le
nerf
efférent du pôle périphérique de ces ganglions. L
mparables à celles de l'obser- vation précédente. Il existe dans le
nerf
efférent du pôle périphérique du gan- glion spi
IX, fig. 1 et 2). Le sympathique droit est intact. Les 3a, 4* et 5'
nerfs
intercostaux du côté gauche dissociés complètemen
dysartrie. Or s'il y a des manifestations telles que la lésion des
nerfs
de la base, les symptômes méningés, l'altération
ômes méningés, l'altération des réflexes pupillaires, l'atrophie du
nerf
optique, la céphalée intense, les spasmes d'ori
oubles, tels que la diplopie, la parésie spastique, l'atro- phie du
nerf
optique, la parole scandée, le tremblement intent
entre le centre des représen- tations graphiques et les noyaux des
nerfs
moteurs destinés à l'écriture. Elle détermine l
entre le centre des représentations motrices et le noyau moteur des
nerfs
qui fonctionnent pour l'émission de la voix ; e
u trijumeau. Son maximum est au niveau des fibres supérieures de ce
nerf
. Enfin, sur le plan d'émergence des. fibres les
s dimensions et sa structure normale ; le cerveau, la moelle et les
nerfs
périphériques étaient intacts. Il paraît donc
ibres présentent une ressemblance parfaite avec les fibres jeunes des
nerfs
périphériques, c'est-à-dire qu'elles s'accompag
érescence de la moelle n'est t cependant pas comparable à celle des
nerfs
périphériques. La cicatrice médullaire, avec sa
· RECHERCHES sur la ftEGËNÈHESCENCË DE la moelle 41'J rive dans les
nerfs
périphériques. D'autre part, si les fibres médull
essus de régénérescence est iden- tique à celui qui a lieu dans les
nerfs
périphériques : la neurotisation du bout dégéné
le à celui que M. Ramon y Cajal et nous-mêmes avons décrit dans les
nerfs
périphériques ; c'est-à-dire que les fibres de
ET minea . naissance à un névrome cicatriciel semblable à celui des
nerfs
sectionnés. Ce névrome est constitué par un gra
les que nous avons décrites dans les processus de. dégénérescence des
nerfs
périphériques. Nous remarquons en outre qu'un p
udes sur le mécanisme de la régénérescence des fibres nerveuse" des
nerfs
périphériques. Journ. f. Psychologie und Neurolog
nalogues à celles que nous trouvons dans le bout pé- riphérique des
nerfs
sectionnés. RECHERCHES SUR LA IIÉGÉNÉRESCENCE D
granuleux (les vrais macrophages du système nerveux central et des
nerfs
périphériques), disposés en séries linéaires ac
ses suivant les deux types décrits par Cajal et nous-mêmes dans les
nerfs
périphériques : d'une part, accroissement FiG.
ion de ce mot. Nos recherches antérieures sur la régénérescence des
nerfs
périphériques nous ont montré qu'il se forme da
iques nous ont montré qu'il se forme dans le bout périphérique d'un
nerf
, quelques jours après sa section, des colonies de
jouent un rôle essentiel, non seulement dans la régénérescence des
nerfs
périphériques, mais aussi dans celle des fibres
conjonctif. ETUDE histologique. - Elle a porté sur les muscles, les
nerfs
périphériques, les troncs nerveux, les ganglion
rées. POLIOMYÉLITE DIFFUSE bUUAIGUE DE LA PREMIERE ENFANCE 445 2°
Nerfs
. L'étude d'un certain nombre de nerfs a été fait
DE LA PREMIERE ENFANCE 445 2° Nerfs. L'étude d'un certain nombre de
nerfs
a été fait par fixa- tion à l'acide osmique à 1
0, coloration au picro-carmin, et dissociation à l'ai- guille. a)
Nerfs
moteurs : Nerf intra-mitsculaire du jumeau extern
picro-carmin, et dissociation à l'ai- guille. a) Nerfs moteurs :
Nerf
intra-mitsculaire du jumeau externe gauche. -il
té de celles-ci il existe un nombre considérable de gaines vides.
Nerf
intra-musculaire du jumeau interne gauche. - Même
jumeau interne gauche. - Mêmes aspects et mêmes lésions que pour le
nerf
du jumeau externe. Nerf du jambier antérieur ga
êmes aspects et mêmes lésions que pour le nerf du jumeau externe.
Nerf
du jambier antérieur gauche. Il existe de très no
des, mais cependant quelques fibres sont conservées et intactes. b)
Nerf
sensitif : Nerf cutané péronier. Il y a intégrité
ant quelques fibres sont conservées et intactes. b) Nerf sensitif :
Nerf
cutané péronier. Il y a intégrité absolue de to
pu l'aire l'autopsie suivie d'examen histologique des muscles, des
nerfs
et des cen- tres nerveux. Les lésions étaient a
ramédullaire, s'accompa- gnant d'atrophie de certains faisceaux des
nerfs
mixtes et d'atrophie géné- ralisée et très marq
ux des nerfs mixtes et d'atrophie géné- ralisée et très marquée des
nerfs
intramusculaires, atrophie très inlense des mus
tions fibrillaires, et comme symptômes négatifs sur l'intégrité des
nerfs
périphériques à la palpation, l'intégrité de la
sibilité et l'intégrité du diaphragme, l'inté- grité du domaine des
nerfs
crâniens (voix, parole, langue, joues, pharynx
sie on constata de l'atrophie simple des muscles, avec atrophie des
nerfs
périphériques, atrophie des cellules des cornes
de toute manifesta- tion tuberculeuse de la lèpre, l'intégrité des
nerfs
cubitaux qui ne son pas noueux et fusiformes co
lobes oculaires peuvent être aussi rappor- tés à la compression des
nerfs
optiques et des nerfs ciliaires résultant de l'
t être aussi rappor- tés à la compression des nerfs optiques et des
nerfs
ciliaires résultant de l'oedème cérébral. La
ssi les muscles qui s'insèrent sur ces os, leurs vaisseaux et leurs
nerfs
, et qu'on peut appeler le système radial. A ce
ulaire généralisée, une cyphoscoliose et un état hypertrophique des
nerfs
. La soeur étant morte dans le courant de l'anné
ypertrophique à marche ascendante, ayant successivement atteint les
nerfs
périphériques, les troncs nerveux, les racines
ns. Hypertrophie très marquée avec durelé trèsprononcée de tous les
nerfs
des membres accessibles à la palpation. Dou- le
sciatique poplité externe au niveau de la tête du péroné, tous ces
nerfs
sont augmentés de volume, d'un diamètre double
er les résultats de l'examen des centres nerveux,des muscles et des
nerfs
. , Examen macroscopique. Le cerveau paraît abso
quand on examine la moelle, c'est l'hypertrophie con- sidérable des
nerfs
de la queue de cheval; ils sont lisses, grisâtres
les sont également hypertrophiées, beaucoup moins cependant que les
nerfs
de la queue de cheval. Quand on examine ceux-ci
Les ganglions rachidiens sont très notablement hypertrophiés. - Les
nerfs
crâniens, à leur émergence du bulbe, sont plus gr
les pneumogastriques qui sont très augmentés de volume. Tous les
nerfs
du membre supérieur et inférieur sont en quelque
ique atteignent des dimensions extraordinaires. , Si on compare les
nerfs
du plexus brachial aux racines correspondantes de
marque que l'hypertrophie est beaucoup plus consi- dérable pour les
nerfs
périphériques que pour les racines. Certains mu
tenus dans les deux cas. Nous n'avons pas eu à notre disposition de
nerfs
périphériques fixés par l'acide osmique et nous
nt plus de gouttelettes, on n'y trouve que du pigment. Examen des
nerfs
périphériques. Cet examen a porté sur les petits
men des troncs nerveux. Nous n'avons pas eu à notre disposition des
nerfs
à leur terminaison et il est regrettable que nous
ait été constaté au cours de la première autopsie, à savoir que les
nerfs
présentent des altérations qui, d'une façon génér
es points plus voisins de leur origine ; cependant la comparaison des
nerfs
intra-musculaires et' des troncs nerveux permet
. ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. T. XIX, PL. LXX y ) B. - Coupe du
nerf
sciatique vue à un faible grossissement. B'. -
aroi des vais- seaux est le plus souvent épaissie. Les coupes des
nerfs
crural, radial, médian, cubital, circonflexe nous
ce sont des différences à peine appréciables. Quelques faisceaux du
nerf
sciatique ont été dissociés après fixation par
On retrouve les mêmes lésions mais à un degré moins avancé sur les
nerfs
crâniens. Sur le pneumogastrique à la région
s les raci- nes antérieures que dans les troncs nerveux et dans les
nerfs
mtra-musculaires; si d'autre part on compare le
qu'elles ont dû débuter : elles ont suivi en quelque sorte pour les
nerfs
moteurs une marche ascendante. Racines postérie
ure; il est fâcheux que nous n'ayons pas eu à notre disposition des
nerfs
cutanés pour faire la comparaison ; mais ce que
s permet d'appliquer à l'évolution du processus histologique dans les
nerfs
sensitifs les mêmes considérations que pour les
ique dans les nerfs sensitifs les mêmes considérations que pour les
nerfs
, moteurs ; les lésions paraissent d'autant plus
e aucune altération. Rapprochées des altérations des racines et des
nerfs
, ces altérations sont en quelque sorte négligea
que. Hypertrophie très marquée et dureté très prononcée de tous les
nerfs
des membres accessibles à la palpation. Pas de tr
ux enfin est d'une constatai ion facile, non seulement sur les gros
nerfs
des membres médian, cubital, radial, origines d
x nerveux cutanés d'un certain volume. L'augmentation de volume des
nerfs
est d'environ le double du diamètre normal, c'est
e régulière, sans saillies ou nodosités aucunes, la consistance des
nerfs
est très augmentée et leur palpation donne la sen
s sont en grande partie sous la dépendance de la dégénérescence des
nerfs
; peut-être, en raison de leur répartition irré
le tabes ; nous ne nous y arrête- rons donc pas. Les lésions des
nerfs
sont au contraire très particulières et donnent à
1 ? ! ateuses,eJles ne se distinguent guère^des dégénérescences des
nerfs
, lorsque celles-ci sont arrivées à leur terme et
ine de myéline : celle-ci persiste encore sur quelques éléments des
nerfs
ou des racines; en tout cas la dégénérescence w
gaines vides paraissent plus épaisses que dans les dégénérations de
nerfs
habituellement obser- vées. Interstitielles,
que prend cette névrite hypertro- phique, suivant qu'on examine les
nerfs
périphériques, les troncs nerveux ou les racine
cs nerveux et aux racines : les lésions sont plus marquées pour les
nerfs
et les racines des membres in- férieurs que pou
donc de bas. en haut ; elles sont beaucoup moins marquées pour les
nerfs
bulbaires ; elles ne font défaut que sur le nerf
marquées pour les nerfs bulbaires ; elles ne font défaut que sur le
nerf
optique et le nerf olfactif. Comment interpré
nerfs bulbaires ; elles ne font défaut que sur le nerf optique et le
nerf
olfactif. Comment interpréter l'histogenèse d
ais dans les tabes ordinaires nous n'avons ob- servé, tant dans les
nerfs
périphériques que dans les racines, une prolifé-
désigne d'Argyll-Ro- bertson, de cypho-scoliose, d'hypertrophie des
nerfs
, symptômes au con- traire constants de la névri
rophie type Charcot-Ma- rie, il n'a élé constaté d'hypertrophie des
nerfs
et cela quelle que soit l'an- cienneté de la ma
ez le sujet de l'observation III, examiné à l'âge de vingt ans, les
nerfs
étaientau moins aussi gros si ce n'est davantag
a durée de l'affection n'a donc rien à voir avec l'hypertrophie des
nerfs
. Quant à l'opinion de Raymond qui regarde le type
Charcot-Marie et que l'augmentation de volume et de consistance des
nerfs
ne peut être considérée comme telle, les faits
usculaire type Charcot-Marie comme une névrite in- terstitielle des
nerfs
moteurs avec dégénération ascendante, d'une lésio
fs moteurs avec dégénération ascendante, d'une lésion semblable des
nerfs
sensitifs avec dégénération ascendante dans les c
co et de Sainton dans lesquelles sont signalées des altérations des
nerfs
périphériques et des racines postérieures sans ét
elille (2), les lésions consta- tées furent une atrophie simple des
nerfs
musculaires, l'intégrité des nerfs cutanés, des
ées furent une atrophie simple des nerfs musculaires, l'intégrité des
nerfs
cutanés, des racines antérieures et des racines
part il n'existait de névrite interstitielle ni d'hypertrophie des
nerfs
. Au contraire; en effet chez cette femme qui mo
hie musculaire limitée aux extrémités et dépendant d'altération des
nerfs
périphériques. Rev. de 111éd., 1890. (2) J. DEJ
rte trente ans après le début de l'atrophie musculaire et sur aucun
nerf
il n'a été pos- sible de constater l'hypertroph
aladies ; enfin il existe une oppo- sition notable entre l'état des
nerfs
cutanés et celui des nerfs musculaires : ,. les
ne oppo- sition notable entre l'état des nerfs cutanés et celui des
nerfs
musculaires : ,. les premiers sont intacts ou r
les premiers sont intacts ou relativement peu touchés, alors que les
nerfs
musculaires sont profondément dégénérés. Dans l
ns des gangiions rachidiens. L'étude des racines antérieures et des
nerfs
, après la compression, paraît avoir été négligé
térieures, avec sclérose notable des leptomé- ninges, au niveau des
nerfs
radiculaires, particulièrement de la 1" lombaire
es ; remarquons seulement que, dans l'observation VII, l'examen des
nerfs
et des muscles, pratiqué par Rossi, lui a montré
périsplénite chro- nique, sclérose rénale intense. La moelle et les
nerfs
périphériques (radial et Nouvelle Iconographie
et fixés dans un mélange de bichromate, sublimé et formaline. Les
nerfs
présentent un épaississement notable du périnèvre
ompte du fait que le segment visuel extra-cérébral, c'est-à-dire le
nerf
optique, n'a jamais été classé, mais est resté
dire le nerf optique, n'a jamais été classé, mais est resté avec le
nerf
olfactif dans une catégorie à part, et en plus, s
prend la cellule multipolaire de la corne antérieure, sa racine, le
nerf
périphérique et ses terminaisons muscu- laires
visuelle péri- phérique, puisque l'embryologie nous enseigne que le
nerf
optique fait partie de la vésicule oculaire et
gement de la subs- tance cérébrale. Toutefois, le mode d'origine du
nerf
optique se rapproche certainement de celui du n
ode d'origine du nerf optique se rapproche certainement de celui du
nerf
olfactif et aussi du nerf cochléaire ; c'est un
que se rapproche certainement de celui du nerf olfactif et aussi du
nerf
cochléaire ; c'est un équivalent tout au moins.
) du neurone moteur périphérique est représenté par la rétine et le
nerf
optique; mais ce segment extra cérébral ne donn
les que l'on ren- contre en divers endroits de la corticalité. Le
nerf
optique est à la fois centrifuge et centripète (p
apport au corps genouillé externe), et doit, à l'exemple des autres
nerfs
d'origine extra-céré- brale, étaler sur une cer
u'il dessert, les impressions qui lui viennent du dehors. Il y a deux
nerfs
optiques de même que deux voies pyramidales, ma
? De plus,ces fibres thalamiques répondraient aux libres que chaque
nerf
sensitif ou sensoriel envoie à la couche optiqu
cellules des cornes antérieures (cellules multipolaires). Mais, le
nerf
optique étant sensoriel, il est préférable de com
de comparer le ganglion visuel central au noyau acoustique ventral (
nerf
cochléaire) dont il a certaine- ment l'aspect.
) dont il a certaine- ment l'aspect. Comme les noyaux sensitifs des
nerfs
crâniens, le corps ge- nouillé est le point de
tra-cérébral de son premier neurone. Ainsi que le trajet central du
nerf
auditif, de la racine sensitive du trijumeau, a
u pédoncule, des fibres corticales destinées aux noyaux moteurs des
nerfs
crâniens et aux masses grises de la calotte ; ell
rons que la branche externe renferme l'expansion intra-cérébrale du
nerf
optique ; que le second neurone visuel existe à l
elle reconnaît pour cause une altération des centres nerveux ou des
nerfs
périphériques, s'il s'agit d'une myopa- thie ou
l'état des réflexes tendineux. J'ajoute que l'examen électrique des
nerfs
et des muscles a été fait par M. Huet, qui a co
- du bulbe, existaient des lésions cellulaires très prononcées. Les
nerfs
périphériques examinés ont été trouvés nor- mau
t de courants de haute fré- quence. La suspension, l'élongation des
nerfs
ont fait plus de mal que de bien. L'emploi du f
eillir, dans le service de M. Babinski, un cas de lésion totale des
nerfs
de la queue de cheval jusqu'à la 4e lom- baire
e 37 ans ; diagnostic clinique : paralysie générale, atro- phie des
nerfs
optiques. L'observation clinique ayant été égar
de de Weigert (PL VI), au carmin et à l'hématoxyline. La lésion des
nerfs
radiculaires dans ce cas a déjà été décrite dans
comme je crois l'avoir démontré, sur le trajet des racines, dans le
nerf
radiculaire; et d'autre part à la nature spécif
érose. La troisième frontale droite ne présente pas d'altération.
Nerfs
. Les nerfs médian gauche (au niveau du poignet),
troisième frontale droite ne présente pas d'altération. Nerfs. Les
nerfs
médian gauche (au niveau du poignet), cubital gau
oignet) ne présentent aucune altération. Il en est de même pour les
nerfs
tibiaux postérieurs gauche et droit. Le nerf cu
est de même pour les nerfs tibiaux postérieurs gauche et droit. Le
nerf
cubital droit (au niveau du bras) présente une lé
égère sclérose ; au niveau du coude, il est sensiblement normal. Le
nerf
cubital gauche (à l'ais- selle) est normal. Le
ment normal. Le nerf cubital gauche (à l'ais- selle) est normal. Le
nerf
sciatique droit ne présente pas d'altération nota
l. Le nerf sciatique droit ne présente pas d'altération notable. Le
nerf
sciatique gauche ne présente aucune altération.
Enfin les lésions disparaissent au-dessous du 4° ventricule. ' Le
nerf
optique gauche est dégénéré dans une certaine mes
ervées et forment un lacis assez épais sur la surface de section du
nerf
. Le nerf optique droit semble plus atteint : la
orment un lacis assez épais sur la surface de section du nerf. Le
nerf
optique droit semble plus atteint : la sclérose y
ne persistent qu'en très petit nombre au niveau de la périphérie du
nerf
. On constate la présence de petits nerfs voisin
niveau de la périphérie du nerf. On constate la présence de petits
nerfs
voisins dont l'un est à peu près intact et dont
intact et dont les autres sont dégénérés à un moindre degré que le
nerf
optique. La protubérance et le pédoncule sont n
iques que dans les lésions organiques et autres de la moelle et des
nerfs
périphériques. L'hémorrhagie ou le ramollissement
cause adjuvante, en altérant d'une façon plus ou moins durable les
nerfs
périphériques ? C'est encore un des termes "du pr
durés, non douloureux, de la grosseur d'une lentille. Tumeurs des
nerfs
. Il n'existe pas de tumeurs en série le long des
entales signalées, on ne s'étonnera pas de l'absence de tumeurs des
nerfs
et de certains troubles fonctionnels tels que la
ion. L'atrophie des racines pos- térieures est la même au niveau du
nerf
radiculaire, tandis qu'elle diminue très sensib
est plus prononcée dans le pôle central du ganglion et au niveau du
nerf
radicu- laire que dans le trajet sous-arachnoïd
anglionnaire du bout central de la racine postérieure, au niveau du
nerf
radiculaire et dans son trajet sous- arachnoïdi
nt du ganglion, elle était au contraire plus accentuée au niveau du
nerf
radi- culaire et dans le pôle central du gangli
pôle central à la racine postérieure,par son pôle périphé- rique au
nerf
périphérique, il n'est pas admissible que si la c
que si la cellule est ma- lade, la racine seule dégénère et que le
nerf
reste sain (Hitzig). Redlich fait remarquer qu'
on, la racine postérieure serait un prolonge- ment cylindraxile, le
nerf
périphérique un prolongement protoplasmique ; m
est beaucoup moins effective pour la racine postérieure que pour le
nerf
périphérique - ce qui expliquerait que le prolo
cellules qui dégénèrent ont le même as- pect qu'après la section du
nerf
périphérique ; enfin, fait intéressant, la dégé
le compte de la destruction plus ou moins complète des centres des
nerfs
splanchniques qui siègent, comme on sait, dans
ran-Duchenne. Migraine ophtalmoplégique ou paralysie récidivante DU
nerf
moteur oculaire commun. Elle peut avoir de comm
aire et du même côté que la paralysie consécutive ; la paralysie du
nerf
moteur oculaire commun est totale et pas seulemen
1t11;tiE CLINIQUE DES MALADIES DU SYSTÈME NERVEUX . PARALYSIE DES
NERFS
CRANIENS D'UN COTÉ ' ET , DÉFORMATIONS OSSEUS
ade des signes de paralysie motrice et sensitive de la majorité des
nerfs
crâniens du côté droit. D'ahord une paralysie f
que sauf, la 1, Il IIIe IVe et XIe paire (bi-musculaire), tous les
nerfs
crâniens du côté droit sont atteints, chez ce m
ents cellulaires. Mais d'un autre côté l'absence de compression des
nerfs
optiques, la marche de l'affection qui semble a
T. XVII. Pl. XXXIX DÉFORMATIONS OSSEUSES (Rose.) PARALYSIE DES
NERFS
CRANIENS D'UN CÔTÉ zizi Enfin à l'âge de 13-14
extrêmement petite a été faite dans les recherches à l'anatomie des
nerfs
optiques, et surtout des autres parties des voies
1893, qui, ayant constaté dans un cas de tabes avec cécité que les
nerfs
optiques étaient très petits surtout près du gl
s, sur ce que dans l'amau- rose au début la partie périphérique des
nerfs
optiques contiendrait plus de fibres altérées q
nalé soit réel, que le nombre des fibres dégénérées diminue dans le
nerf
optique en allant de l'oeil au chiasma, ce que no
ers éléments altérés, c'est non pas dans la portion périphérique du
nerf
, mais dans sa portion centrale, et même dans la p
à la couche la plus interne, celle d'où partent les fibres mêmes du
nerf
opti- que ; les trois couches qui répondent aux
ement ; sur une coupe elle peut paraître assez notable alors que le
nerf
ne contient plus de fibres, et presque nulle alor
dants de la présence ou de l'ab- sence des fibres à myéline dans le
nerf
oplique. Nous avons trouvé égale- ment souvent
s que l'on doit s'attendre à trouver après une lésion quelconque du
nerf
optique depuis son origine jusqu'à la terminais
d'une dégénérescence primitive, élective des cellules d'origine du
nerf
optique, les cellules multipolaires de la rétine.
erne. 2. Rétine du labes avec cécilé complète (Despr...). Dans le
nerf
correspondant on ne voit plus aucune fibre saine
; pourtant le malade avait encore des sensations lumi- neuses et le
nerf
optique contenait encore un petit nombre de fibre
e spasme ti- rent leur innervation de deux sources différentes : le
nerf
facial pour les muscles de la face et pour le p
le nerf facial pour les muscles de la face et pour le peaucier ; le
nerf
spinal pour le sterno-cleïdo- mastoïdien. Le
moelle épinière et méninges rachi- diennes, ganglions rachidiens et
nerfs
périphériques, ne présente au point de vue macr
erstitiel, sur le tissu conjonctif et adipeux, les vaisseaux et les
nerfs
intra-musculaires. 1 Lésions des fibres muscula
rté sur le système nerveux central, encéphale et moelle, et sur les
nerfs
périphériques. Nous ne décrirons pas les lésion
matisée. Somme toute, on peut dire que la moelle est indemne. Les
nerfs
périphériques, après durcissement au Millier, ont
uée de Van Gieson. Nous avons examiné tant à droite qu'à gauche les
nerfs
médian et radial à l'avant-bras, cubital il la ma
t nous avons constaté cet état moniliforme aussi bien dans les gros
nerfs
que dans les ramuscules intra-musculaires. Le c
cun rôle dans la production de l'atrophie musculaire. Du côté des
nerfs
, les lésions un peu plus importantes, ne peuvent
DOSl'JCE DE BlCl1'nE LABORATOIRE DE 1\1. PIERRE MARIE ÉTUDE DU
NERF
OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE PAR André
'anatomie pathologique de l'amaurose tabétique ont localisé dans le
nerf
optique la lésion origi- nelle du processus. Ce
rophie primitive des cellules rétiniennes la cause de l'atrophie du
nerf
optique. Les partisans de la théorie « nerveuse »
sont grandes encore sur la nature et de la cause de l'altération du
nerf
optique. En énumérant les quelques remarques fa
ers. Charcot, Erb,Gowers admettaient que.le processus atrophique du
nerf
présente beau- coup d'analogie avec le processu
Nouvelle Iconographie DE la SALPÈTRIERE. T. XVII. PI. L ÉTUDE DU
NERF
OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE. (,.4. Léri).
DU NERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE. (,.4. Léri). ÉTUDE DU
NERF
OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 359 conclut à
nérescence. Westphal (1) a constaté une fois une atrophie totale du
nerf
optique ; aucune fibre n'était conservée. Ponce
Poncet (2) a constaté une sclérose prédo- minante dans le centre du
nerf
optique, il croit que l'amaurose tabétique débu
il croit que l'amaurose tabétique débute par les parties axiales du
nerf
et non par les parties périphériques. Hoffmann
tits groupes. Uhthoff a observé une fois l'atrophie d'un secteur du
nerf
. De Wecker (4) admet que la dégénérescence gris
grise tabétique est « une altération sui generis, idiopathique des
nerfs
périphériques, du nerf opti- que et des cordons
ne altération sui generis, idiopathique des nerfs périphériques, du
nerf
opti- que et des cordons de la moelle, qui n'a
éré,... une participation directe et active du tissu connec- tif du
nerf
à la dégénérescence doit être absolument exclue..
it être absolument exclue... Cette dégé- nérescence débute dans les
nerfs
optiques soit isolément, soit simultané- ment a
cupent, d'après Leber, de préférence le voisinage des enveloppes des
nerfs
optiques. La marche n'estnullement progressive,
thode de Pal les voies optiques d'un cas de tabès avec cécité.. Les
nerfs
optiques étaient très petits, surtout près du g
men Popoff croit au début du processus par l'extrémité terminale du
nerf
et à l'atteinte prédominante du faisceau direct
er (3) a émis l'hypothèse que la cause de l'atrophie tabéli- que du
nerf
optique doit être cherchée dans l'étranglement du
béli- que du nerf optique doit être cherchée dans l'étranglement du
nerf
à son passage dans le trou optique à la suite d
ou d'une pachymé- ningite syphilitique ; la cause de l'atrophie des
nerfs
optiques serait ana- logue à celle que Oberstei
s uns placent l'origine de la lésion dans la rétine, d'autres dans le
nerf
optique ; parmi ces derniers certains considère
du processus, certains le voient dans les parties périphériques du
nerf
, d'autres dans les parties axiales, d'autres enfi
d'eux ne repose que sur quelques cas; dans la plupart de ces cas le
nerf
optique et quelquefois l'oeil ont seuls été cou
osé notre matériel d'études, pour ce qui con- cerne spécialement le
nerf
optique : nous avons coupé les nerfs optiques d
qui con- cerne spécialement le nerf optique : nous avons coupé les
nerfs
optiques de 21 tabétiques avec amaurose complèt
Nouvelle Iconographie de la SALPêTRIèRE. T. XVII. Pl. LI ÉTUDE DU
NERF
OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE. ÉTUDE DU NER
Pl. LI ÉTUDE DU NERF OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE. ÉTUDE DU
NERF
OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 3G1 incomplèt
MAUROSE TABÉTIQUE 3G1 incomplète ; nous avons examiné également les
nerfs
optiques de 3 para- . lytiques généraux avec cé
énéraux avec cécité. Comme terme de comparaison nous avons pris les
nerfs
de 16 tabétiques et de 18 paralytiques sans cécit
n'avait pas encore laissé supposer. Nous avons coupé également les
nerfs
optiques d'un syphilitique ancien presque aveug
plégie spasmodique, myélite subaiguë, etc.). Nous avons examiné les
nerfs
optiques de deux sujets atteints de cé- cité un
érale par suite de lé- sions diverses avec atrophie consécutive des
nerfs
optiques. Enfin nous avons examiné les nerfs d'
rophie consécutive des nerfs optiques. Enfin nous avons examiné les
nerfs
d'un certain nombre de sujets soit normaux soit
sans atrophie optique. Dans l'ensemble nous avons fait l'examen des
nerfs
de 84 sujets : pour la plu- part d'entre eux no
84 sujets : pour la plu- part d'entre eux nous avons coupé les deux
nerfs
optiques. Toutes nos coupes ont été colorées pa
E. Deux faits surtout nous. ont frappé à l'examen macroscopique des
nerfs
optiques dans l'amaurose tabétique : d'une part
s zones méningées, d'autre part la disproportion entre le volume de
nerfs
également privés de fibres. Dans la plupart d
plupart des cas de tabes avec cécité, l'arachnoïde qui recouvre les
nerfs
optiques et le chiasma est très épaissie. Le chia
t) : ce lac comprend le confluent antérieur entre le chiasma et les
nerfs
optiques, et le confluent inférieur entre les b
l'état normal l'arachnoïde transparente n'em- pêche pas de voir les
nerfs
optiques, le chiasma et les vaisseaux sous- jac
posté- 1'ieul'e des tabétirlites; les trabécules qui la relient aux
nerfs
sont souvent épaissis et indurés. La gaine pie-
ssis et indurés. La gaine pie-mérienne qui entoure immédiatement le
nerf
est aussi généralement épaissie et forme au nerf
e immédiatement le nerf est aussi généralement épaissie et forme au
nerf
une enveloppe opaque, surtout dans les périodes
que, surtout dans les périodes relativement précoces de l'atrophie (
nerfs
de Gara..., Laverg..., Bits..., etc.). Cet épai
qui nous a paru digne de remarque dans l'examen ma- croscopique des
nerfs
optiques est l'extrême disproportion du volume
des nerfs optiques est l'extrême disproportion du volume entre des
nerfs
d'amaurotiques à peu près également dépourvus de
près également dépourvus de fibres. Dans l'amaurose tabétique, les
nerfs
optiques sont, dans la grande ma- jorité des ca
eint ci la fois la portion crâ- nienne et la portion orbilaire. Les
nerfs
très atrophiés n'ont plus guère dans l'orbite q
uel millimètre ou 1 mm. 1/2 de diamètre. Au sur et à mesure que les
nerfs
s'atrophient; ils se séparent de leur gaine dural
Quand l'atrophie nerveuse est limitée à une portion périphérique du
nerf
, c'est parfois dece côté seul que la gaine se p
rique du nerf, c'est parfois dece côté seul que la gaine se plisse (
nerfs
de Besna..., par exemple). Dans le crâne les ne
gaine se plisse (nerfs de Besna..., par exemple). Dans le crâne les
nerfs
paraissent surtout diminués de haut en bas, plu
mon- tré la persistance d'un nombre encore considérable de fibres (
nerfs
de Gara..., de Besna..., etc.), la diminution d
Nouvelle Iconographie de la SALPêTRIèRE T. XVII. Pl. Lll ÉTUDE DU
NERF
OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIOUC 363 presque t
AUROSE TABÉTIOUC 363 presque totale des fibres nerveuses ; certains
nerfs
presque privés de fibres (nerfs deDor... p. ex.
ale des fibres nerveuses ; certains nerfs presque privés de fibres (
nerfs
deDor... p. ex.), présentaient un volume au moins
Dor... p. ex.), présentaient un volume au moins égal au volume d'un
nerf
normal 'et remplissaient complètement leur gaine.
seul fait nous semble indiquer à priori qu'il doit y avoir dans le
nerf
un autre processus qu'une simple atrophie sur p
en histologique nous a en effet expliqué cette disproportion. Les
nerfs
, deviennent moins nettement blancs qu'à l'état nO
us étudierons successivement les lésions de la portion orbitaire du
nerf
et celles de la portion crânienne. a) Portion o
lles de la portion crânienne. a) Portion orbitaire. - 1 . Gaines du
nerf
. - La gaine durale du nerf semble quelquefois u
e. a) Portion orbitaire. - 1 . Gaines du nerf. - La gaine durale du
nerf
semble quelquefois un peu épaisse, mais elle re
n'augmente en tout cas nullement en proportion de la diminution du
nerf
,et il se forme entre la gaine durale et le nerf
de la diminution du nerf,et il se forme entre la gaine durale et le
nerf
un espace plus ou moins large. L'arachnoïde, qu
uvent à demi détachée, s'en détache presque com- plètement quand le
nerf
s'amincit ; elle suit, incomplètement, le' nerf.
plètement quand le nerf s'amincit ; elle suit, incomplètement, le'
nerf
. Entre la dure-mère et l'arachnoïde reste génér
t sur une très petite étendue les vais- seaux qui pénètrent dans le
nerf
lui-même. Celle infiltration est très caractéri
ns cas très anciens, mais il faut chercher entre l'arachnoïde et le
nerf
et non dans l'espace resté généralement clair e
s épaisse et, comme nous venons de le dire, souvent infiltrée. 2.
Nerf
.- Le nerf optique proprement dit peut présenter d
et, comme nous venons de le dire, souvent infiltrée. 2. Nerf.- Le
nerf
optique proprement dit peut présenter deux aspect
férents qui déjà à l'examen macroscopique nous avaient frappé : les
nerfs
« petits » et les nerfs « gros ». Les nerfs p
men macroscopique nous avaient frappé : les nerfs « petits » et les
nerfs
« gros ». Les nerfs petits sont de beaucoup les
avaient frappé : les nerfs « petits » et les nerfs « gros ». Les
nerfs
petits sont de beaucoup les plus fréquents et pré
istique. Au lieu d'observer, comme à l'état normal, une division du
nerf
en un certain nombre de fascicules secondaires bi
d'un paquet vasculaire, une nodule visible à l'oeil nu. ÉTUDE DU
NERF
OPTIQUE DANS l.'AUnIAUitoSE TABÉTIQUE 365 coupe
une part les lymphocytes ne nous ont pas paru pénétrer loin dans le
nerf
au pourtour des vaisseaux, comme d'autre part c
qu'il s'agit des noyaux de cellules névrogliques, qu'il y a dans le
nerf
, à la place des fibres nerveuses disparues, une a
iennes, ne présentent pas toujours le même as- pect ; dans certains
nerfs
, dans ceux qui ont conservé un volume très voisin
x qui ont conservé un volume très voisin du volume normal, dans les
nerfs
« gros », au lieu de nodules qui em- Nerf optiq
volume normal, dans les nerfs « gros », au lieu de nodules qui em-
Nerf
optique d'une atrophie tabélique comlète ( lng...
trophie tabélique comlète ( lng...) : type ordinaire, « nodulaire »
nerf
petit; coloration à l'hématoxyline-éosine. Nodule
. 2. 366 LÉRI tronc nerveux, mais un peu obliquement. L'aspect du
nerf
se rapproche alors un peu plus de l'aspect norm
ssu conjonctif; cet épaississement est parfois assez net pour qu'un
nerf
qui ne contient plus que quelques fibres éparse
que quelques fibres éparses ait conservé à peu près le volume d'un
nerf
normal. Si l'on peut comprendre assez facilemen
ense néoformation vasculo-conjonctive : il y a tardivement ÉTUDE DU
NERF
OI'lI[iUl; DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 3t)î sclér
s, pour ainsi dire, saisi sur le fait cette disparition. Dans les
nerfs
optiques de notre malade, Bout... par exemple, de
encore dans tous les faisceaux, mais assez peu nombreu- Fig. 3. ,
Nerf
optique d'une atrophie tabétique envoie d'évoluti
plupart on puisse presque les compter : or en certains points de ce
nerf
on voit des nodules fibreux pousser l'un vers l'a
e nous avons décrit tout d'abord et qui est celui de la plupart des
nerfs
optiques d'amaurose labétique avancée. L'extrême
veuses. Ces lésions sont-elles spéciales à l'atrophie tabétique des
nerfs
optiques ? ` ? Ne les rencontre-t-on que dans l
abétique des nerfs optiques ? ` ? Ne les rencontre-t-on que dans le
nerf
optique et dans le tabes ? Nulle- ment, ce nous
t seulement adaptées à l'organe dans lequel elles évoluent. Dans le
nerf
optique comme dans les autres organes, comme da
de cette cirrhose » (Gilbert) (1). Dans la sclérose syphilitique du
nerf
optique comme dans la sclérose syphilitique du fo
! 'C,Cirr)tuse spleleliyue du foie , t. V, p. 16k. PLANCHE L a)
Nerf
optique gauche de Despr... : sclérose combinée av
f optique gauche de Despr... : sclérose combinée avec cécité. Type du
nerf
« petit « et de la sclérose « nodulaire ». Ce n
cécité. Type du nerf « petit « et de la sclérose « nodulaire ». Ce
nerf
, qui ne contient plus aucune fibre nerveuse, a
ient plus aucune fibre nerveuse, a à peine le tiers du volume d'.un
nerf
normal. La fasciculalion normale est complèteme
a : objectif 8. On voit très nettement les nodules scléreux dans le
nerf
et les lymphocytes dans les gaines. c) Nerf opt
ules scléreux dans le nerf et les lymphocytes dans les gaines. c)
Nerf
optique droit de Dor... : tabès avec cécité. Type
aines. c) Nerf optique droit de Dor... : tabès avec cécité. Type du
nerf
« gros » et de la sclé- rose « trabéculaire ».
ité. Type du nerf « gros » et de la sclé- rose « trabéculaire ». Ce
nerf
, qui ne contient presque plus de fibres nerveuses
de fibres nerveuses, a cependant conservé à peu près le volume d'un
nerf
normal. (Ce nerf est photogra- phié avec le mêm
es, a cependant conservé à peu près le volume d'un nerf normal. (Ce
nerf
est photogra- phié avec le même grossissement q
nt et que les suivants : e, f, g, h, i, etc...) Le gros volume du
nerf
est dû à l'hypertrophie énorme et générale des tr
Un certain nombre de vaisseaux assez volumineux subsistent dans le
nerf
; beaucoup de cellules de leur paroi interne para
des faisceaux nerveux contenant quelques rares fibres éparses. e)
Nerf
optique droit de lIlélin... : labes avec cécité.
t conservé que la notion du jour et de la nuit. Il subsiste dans le
nerf
encore un bon nombre de fibres et l'on voit que l
euses. La méninge est très épaissie et infiltrée de lymphocytes. f)
Nerf
de Ab... : sclérose combinée avec cécité. Mélange
se- ment de la gaine piale. PLANCHE LI g, h, i) Divers types de
nerfs
optiques de tabéliques aveugles (portion orbitair
es de nerfs optiques de tabéliques aveugles (portion orbitaire). g)
Nerf
de Aug... Type de la sclérose « nodulaire » : la
lymphocytose et épaississement des gaines. (C'est une portion de ce
nerf
qui est des- sinée dans le texte : dessin 2.)
rtion de ce nerf qui est des- sinée dans le texte : dessin 2.) h)
Nerf
de Ler... - Plus grande quantité de travées vascu
paississement de la gaine piale avec abondante lym- phocytose. i)
Nerf
de Bout... Le malade s'est suicidé peu de temps a
générale. - On peut suivre simultanément, suivant les portions de ce
nerf
, la dis- location en nodules des travées vascul
processus est représentée par la photographie j d'une partie de ce
nerf
et par le dessin de celte même partie (voir dan
rtie (voir dans le texte le dessin 3). j) Détail d'une portion du
nerf
i : obj. 8. k) Portion d'un nerf optique atroph
n 3). j) Détail d'une portion du nerf i : obj. 8. k) Portion d'un
nerf
optique atrophié à la suite d'une lésion d'origin
même qu'à l'état. normal. L'aspect est très différent de celui des
nerfs
de tabétiques amauroti- ques. 1, m, o) Divers
des nerfs de tabétiques amauroti- ques. 1, m, o) Divers types de
nerfs
optiques de tabétiques aveugles dans leur portion
tiques de tabétiques aveugles dans leur portion crâ- nienne. , 1)
Nerf
de Aug... - On remarquera l'épaississemeut et la
stent, pour ainsi dire, et séparent les faisceaux super- ficiels du
nerf
. m) Nerf de Uegr .. Type de sclérose sans hyper
ainsi dire, et séparent les faisceaux super- ficiels du nerf. m)
Nerf
de Uegr .. Type de sclérose sans hypertrophie con
ose a été plus périphérique. n) Détail de la coupe n : obj. 8. o)
Nerf
de Desmar... - Type de sclérose avec hypertrophie
p, q, r, s) Début de la sclérose dans la portion orbitaire. p et q)
Nerf
optique gauche et droit de Besn... : sclérose com
e combinée sans cécité - Une légère bande à la périphérie de chaque
nerf
est sclérosée ; les nerfs sont déjà dimi- nués
Une légère bande à la périphérie de chaque nerf est sclérosée ; les
nerfs
sont déjà dimi- nués de volume, leur gaine est
nerfs sont déjà dimi- nués de volume, leur gaine est plissée. r)
Nerf
optique de Car... ; tabes et paralysie générale a
spect et sa fasciculation normaux. Grosse lymphocytose méningée. s)
Nerf
optique (portion vasculaire) de Laverg... : tabes
aculaire. t' u) Début de la sclérose dans la partie crânienne. t)
Nerf
de Faur... : sclérose combinée sans cécité. Sclér
périphérique avec hyper- trophie conjonctive et dislocatives. u)
Nerf
de Bits... : sclérose combinée sans cécité. Sclér
e supé- rieure. v et w) Portion orbitaire et portion crânienne du
nerf
optique d'un syphilitique tertiaire , aveugle d
même distribution à la périphérie et autour des gros vaisseaux. x)
Nerf
optique d'un cas de paraplégie spasmodique syphil
que d'un cas de paraplégie spasmodique syphilitique (11101'...). y)
Nerf
optique d'un vieillard arlério-scléreux atteint d
spéciaux où elles se réunissent en petits amas » (Gilbert). Dans le
nerf
optique enfin comme dans le foie, les éléments vo
llules ou libres, s'atrophient ou dégénèrent ; et, en fait, dans le
nerf
optique, c'est surtout au pourtour des travées
te constata- tion peut être faite nettement. Dans presque, tous les
nerfs
, même dans des atrophies très anciennes, il sub
orme ou la couleur d'au- cun objet. Ainsi l'atrophie tabétique du
nerf
optique s'explique à notre sens très nettement
ns la syphilis l'altération vasculaire est prédomi- nante ; dans le
nerf
optique comme dans l'ensemble des centres nerveux
la diapédèse disparaître sur certains vaisseaux qui entrent dans le
nerf
à très peu de distance de la surface. La vérita
rtainement suffisante à elle seule pour amener la dégénérescence du
nerf
optique ; on le conçoit en jetant un simple coup
e ; on le conçoit en jetant un simple coup d'oeil sur les coupes de
nerfs
optiques en voie de dégénérescence, ils sont po
léments nerveux, car, comme nous l'avons dit, dans presque tous.nos
nerfs
optiques, nous avons retrouvé au moins quelques f
nc une localisation qu'elles doivent surtout affec- tionner dans le
nerf
optique, à savoir : le contact immédiat du riche
mérien. Et, en effet, l'étude systématique que nous avons faite des
nerfs
optiques de tabétiques et de paralytiques générau
plupart des cas ces lésions de début siégeaient à la périphérie du
nerf
, occupant parfois toute la périphérie (nerf de
ient à la périphérie du nerf, occupant parfois toute la périphérie (
nerf
de Gara..., par exemple), parfois une portion s
a..., par exemple), parfois une portion seulement de la périphérie (
nerfs
de Besna..., Laverg..., etc.) ; dans ce cas la
plus fréquente, mais elle n'est pas constante et dans quelques cas (
nerfs
de Bout..., de Merlin...) nous avons trouvé des
y avait sclérose surtout au pourtour des vaisseaux contenus dans le
nerf
. Il existe, en somme, toujours une sclérose d'o
premier cas, le plus fréquent, la sclérose prédomine au pourtour du
nerf
, dans le second elle atteint à peu pressa totalit
marquée au centre, au moins dans la partie la plus périphérique du
nerf
à cause de la présence des gros vaisseaux centrau
os vaisseaux centraux. Fréquemment, dans les parties vasculaires du
nerf
on voit la périphérie atteinte réunie par une b
région centrale péri-vascu- laire également atteinte ; le reste du
nerf
demeure plus ou moins in- demne (nerf de Laverg
lement atteinte ; le reste du nerf demeure plus ou moins in- demne (
nerf
de Laverg..., par exemple) ; dans ces cas nous av
que le quadrant sclérosé qui joint les vaisseaux à la périphérie du
nerf
est peut-être plus souvent situé du côté de la
hérie du nerf est peut-être plus souvent situé du côté de la veine (
nerf
de Bout..., par exemple), le quadrant dont l'ar
clérosé. Cette localisation première de la sclérose au pourtour des
nerfs
opli- L;rul)1 : DU NEUF OPTIQUE blsz L',U1.\UHO
tante et éminemment favorable si les faisceaux conservaient dans le
nerf
optique toujours la même situation, et si le fa
incte, restait, comme l'ont pensé certains auteurs, central dans le
nerf
. Mais il n'en est pas ainsi ; d'après les reche
s recherches de Henschen, le faisceau maculaire quitterait l'axe du
nerf
au-niveau de l'entrée des vaisseaux el occuperait
s sensations lumineuses. Nous en avons eu la preuve par l'examen du
nerf
du malade Laverg... : ce malade, deux ans déjà
habillée en blanc, mais n'en distinguait pas les traits » ; or, son
nerf
optique gauche ne présentait dans sa portion vasc
one de sclérose périphérique et un étroit quadrant ; tout le reste du
nerf
était à peu près complètement sain : assurément
était une des rares portions sclérosées. Mais tous les faisceaux du
nerf
, au moins les faisceaux périphériques, peuvent
isation des lésions. Les lésions que nous venons de décrire dans le
nerf
des tabétiques amaurotiques sont exactement les
a para- lysie générale avec cécité : en examinant de parti-pris les
nerfs
optiques de 372 mut il 18 paralytiques généra
ions que dans le tabes amaurotique avancé. En examinant de même les
nerfs
optiques de 4 sujets atteints d'affec- tions sy
uvé une fois une lésion très limitée de la péri- phérie de l'un des
nerfs
(dans un cas de paraplégie spasmodique) ; elle
ique qui, sans autre signe de tabes, était aveugle depuis 7 ou 8 ans (
nerf
de Turbe...) : la lésion était étendue à toute
rf de Turbe...) : la lésion était étendue à toute la corticalité du
nerf
, sur- tout à droite, l'espace sous-arachnoïdien
nsibles ; le nombre des fibres contenues dans la partie centrale du
nerf
était d'ailleurs encore très considérable. En s
) Portions crâniennes. - Les altérations de la portion crânienne du
nerf
optique sont les mêmes qne celles de la portion v
moins intenses. Normalement, en effet, la partie préchiasmatique du
nerf
ne présente plus sur la coupe trans- versale qu
le plus souvent à l'état pathologique dans la portion orbitaire du
nerf
. Pourtant les vaisseaux paraissent souvent augm
ommes nullement renseigné sur son anitomie pathologique. ÉTUDE DU
NERF
OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 373 soit obtu
onner à la coupe un aspect trabé- culaire. Dans un cas cependant (
nerf
de Desmar...), nous n'avons pas trouvé les trav
trouvé les travées vasculo-conjonctives de la portion crânienne du
nerf
plus épaissies qu'à l'état. normal et leur situ
ion avait évolué entière- ment dans une partie plus périphérique du
nerf
et que les fibres avaient subi dans la portion
semblé qu'il en soit souvent ainsi et nous croyons qu'en général le
nerf
est pris à peu près dans sa totalité, peut-être a
être avec prédo- minance en une portion quelconque. Les gaines du
nerf
sont représentées uniquement dans la portion crâ-
, de lymphocytes. Cette infiltration porte surtout sur les bords du
nerf
, moins sur la face inférieure et géné- ralement
ouvent sur la face inférieure quel- ques faisceaux périphériques du
nerf
. Quant à la localisation de la sclérose au débu
ienne comme dans la péri- phérie de la portion orbitaire : dans les
nerfs
de Gara... par exemple, la sclérose était périp
es fibres périphériques de la portion orbitaire rétro-vasculaire du
nerf
optique resteraient périphériques dans la portion
e rétracter au- tour des faisceaux vidés de leurs fibres nerveuses (
nerf
de Faur..., de Ga- ra... p. ex.). En résumé,
s (nerf de Faur..., de Ga- ra... p. ex.). En résumé, dans tout le
nerf
optique la lésion de l'amaurose tabétique est u
st abondamment' infil- : 3 71 l LÉRI trée de lymphocytes. Dans le
nerf
proprement dit, il se fait une intense néoforma
ouvent disparaissent, sans doute par le fait de la compression ; le
nerf
se trouve privé de vaisseaux perméables et l'at
aisseaux, et surtout à la périphérie, dans la zone sous-méningée du
nerf
. Ces considérations et ces conclusions initomo-
cytose des gai nesméningéeset )anéo ! '0 ! 'mationvascu)airedans le
nerf
optique; ces lésionsexpliquent à la fois l'acuité
ntales, les phosphènes qui provoquent chez les prédisposés ÉTUDE DU
NERF
OPTIQUE DANS L'AMAUROSE TABÉTIQUE 375 des hallu
leur prédominance ordinaire,mais non forcée, à la péri- phérie du.
nerf
, expliquent qu'il n'existe pas de rétrécissement
clinique répond à ces constatations, et nous avons pu voir dans le
nerf
optique d'un tabétique, ama.urotique depuis 34 an
paralysie infantile. Nous avons pu de plus examiner les différents
nerfs
et muscles. L'observation clinique et anatomiqu
n'a jamais présenté aucune autre maladie. N'a jamais eu de crises de
nerfs
. A pris en Algérie des habitudes d'alcoolisme e
s antérieures, s'affirme nettement au simple vu de'ces schémas. II.
NERFS
. Nerf cubital droit (Planche LX, J). - Dégénérati
ieures, s'affirme nettement au simple vu de'ces schémas. II. NERFS.
Nerf
cubital droit (Planche LX, J). - Dégénération mo-
, Pas de multiplication nucléaire, pas de vascularisation exagérée.
Nerf
cubital gauche. - A peu près semblable au droit.
n exagérée. Nerf cubital gauche. - A peu près semblable au droit.
Nerf
radial droit. Les lésions sont également.très mod
très épaissie et un calibre plus considérable que normalement. '
Nerf
radial gauche. Un peu plus atteint que le droit,'
plus atteint que le droit,' plus infiltré de graisse. ' z 1 ' ' '
Nerf
médian droit. - Même aspect que le radial. : ' .
' z 1 ' ' ' Nerf médian droit. - Même aspect que le radial. : ' .
Nerf
médian gauche.- Abondante prolifération interstit
se que graisseuse. > . : Fibres conservées assez nombreuses.
Nerf
sciatique droit (Planche LX, K). Même dégénéresce
itée, sans prolifération nucléaire, même infiltration graisseuse.
Nerf
\ sciatique gauche. Même état que le droit avec p
ifération con- jonctivo-graisseuse plus prononcée encore. , ' , ,
Nerf
tibial antérieur gauche. - Paraît extrêmement grê
urtant (et M. Anglade le fil observer) il était regrettable que les
nerfs
n'aient pu être examinés. Dans notre cas les ne
rettable que les nerfs n'aient pu être examinés. Dans notre cas les
nerfs
et les muscles ont été coupés ; ils ont présenté
scles ont été coupés ; ils ont présenté des lésions manifestes, les
nerfs
de névrite interstitielle avec grosse proli- fé
orsque les névral- gies, produites par la carie et la découverte du
nerf
, devenaient tellement aiguës qu'elles n'étaient
dia- bète (1 pl.), par E. APERT, 175. 504 TABLE DES matières
Nerf
optique dans l'amaurose tabétique, (3 pl., 3 ph
sie myasthénique (1 photogr.), par J. DE LÉON, 269. Paralysie des
nerfs
crâniens d'un côté et déformations osseuses mul
e dans l'amaurose tabétique (1 planche), 304. Léri. Etude sur le-
nerf
optique dans l'a- maurose tabétique (3 planches
La maladie de Parkinson (4 plan- ' ches), 1. RosE. Paralysie des
nerfs
craniens d'un côté et de formations osseuses mu
. Myxoedème fruste, croissance tardive,dia- bète (ApExT), XXII.
Nerf
optique dans l'amaurose tabétique (A. Léri), L,
dinales. - g, vaisseau situé de chaque côté du gan- à l'origine des
nerfs
. - n, nerf périphérique. Chaque nerf contient des
, vaisseau situé de chaque côté du gan- à l'origine des nerfs. - n,
nerf
périphérique. Chaque nerf contient des libres de
côté du gan- à l'origine des nerfs. - n, nerf périphérique. Chaque
nerf
contient des libres de gros calibre et des de f
amifications collatérales à direction tangentielle, puis il tra- le
nerf
sans se ramifier, pénètre dans le ganglion et s'y
Leydig. Cette figure montre très nettement le trajet qu'affectent les
nerfs
entre les bouches de fibres musculaires. (hn)
sale d'un lombric passant par un renfle- ment ganglionnaire et deux
nerfs
périphériques latéraux. (D'après G. Retzius.) 4
rés, les neurones périphériques ne sont plus représentés que par le
nerf
olfactif, dont les cellules d'origine se trouvent
hétique de leurs différenls faisceaux, ainsi que l'origine de leurs
nerfs
respectifs. PREMIÈRE PARTIE CHAPITRE 1 MÉTH
érique. En 1852, \\ aller, dans ses expériences sur les racines des
nerfs
rachidiens, établit les lois suivant lesquelles s
ette dégénérescence. En pratiquant la section des deux racines d'un
nerf
avant leur réunion, Waller constata que la racine
nces, à conclure que le ganglion spinal est le centre trop/tique du
nerf
sensitif et que la partie antérieure de la moelle
e sont les cellules des cornes antérieures est le centre trophique du
nerf
moteur. Cet auteur formula ainsi la loi général
des parties du système nerveux central, auxquelles aboutissent les
nerfs
appartenant à ces organes. Pour déterminer les
es nerfs appartenant à ces organes. Pour déterminer les origines du
nerf
olfactif, on comparera le cerveau de divers mam
ntôt des lésions médullaires, tantôt des lésions des racines ou des
nerfs
périphériques. (Vulpian, Schif', Westphal, Schi
ires. Au lieu d'opérer sur les centres on peut aussi opérer sur les
nerfs
périphériques, et les résultats obtenus ne sont
vement au scalpel et en exerçant le moins de traction possible, les
nerfs
de la base du crâne, et la tige pituitaire. On in
le numérotage des racines, on peut aller à la recherche du premier
nerf
dorsal, dans le creux sus-claviculaire, au niveau
au du point où il entre dans la constitution du plexus brachial. Ce
nerf
est toujours facile a recon- naître, car il pas
tée le' dorsale dans le canal rachidien, correspond bien au premier
nerf
dorsal. Lorsqu'il s'agit de lésions portant sur
iforme de Broca. Fsplt, Ventricule sphé- noïdal. - xll, chiasma des
nerfs
optiques. 20 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
. Méthode d'Ehrlich au bleu de méthylène. Dans cette méthode, les
nerfs
sont colorés sur l'animal vivant, en injectant le
ette. cr. Méthodes d'imprégnations métalliques. (Centres nerveux et
nerfs
périphériques). Acide osmique, Chlorure d'or, N
troncs nerveux périphériques, à l'aide de coupes pratiquées sur les
nerfs
durcis dans l'acide osmique donne d'excellents ré
ragments de z1 cent. de longueur, com- prenant toute l'épaisseur du
nerf
et bien affrontés sur chacune de leurs faces. C
ts sont inclus Méthode d'Exner. Procédé de Bellonci. Examen des
nerfs
périphériques à l'aide de l'acide osmiquc,
S CENTRES NERVEUX. , Inclusion à la pa- raftine des tronçons de
nerfs
durcis et colorés par l'acide osmique. Autr
'acide osmique. Autres procédés pour couper lcs tron- çons do
nerfs
traités par l'acide osmique. Importance de'
ance de' cette mit'iode en anatomie pathologi. que. Étude des
nerfs
périphériques par le procédé de la disso- c
rocédés suivants : 1° Au sortir de l'acide osmique, les tronçons de
nerf
sont montés dans du sureau et coupés avec le mi
osmique et avant d'être préparés pour être coupés, les fragments de
nerf
devront être lavés pendant plusieurs heures dan
que les prépa- rations ne noircissent par la suite. Le tronçon de
nerf
étant coupé perpendiculairement à sa longueur, on
ue, cette méthode est très précieuse, car elle permet d'étudier des
nerfs
cinq ou six jours après l'autopsie. L'acide osm
e. L'acide osmique est enfin journellement employé pour l'étude des
nerfs
périphériques en solution à 1 p. 100 (Ranvier)
fois fixateur et colorant. On procède de la manière suivante sur le
nerf
frais : Après avoir fendu la gaine lamelleuse,
nerf frais : Après avoir fendu la gaine lamelleuse, et dissocié le
nerf
avec des aiguilles dans une solution d'acide os
te la préparation dans la glycérine. Pour éviter le ratatinement du
nerf
, il est bon de fixer chaque extrémité sur une p
de fixer chaque extrémité sur une planchette de liège. L'étude des
nerfs
par la méthode précédente (dissociation, acide
lle est surtout utilisable pour les troncs nerveux de petit calibre
nerfs
musculaires, rameaux cutanés. - Les gros troncs
périphériques : On prend, aussitôt que possible après la mort, les
nerfs
cutanés et musculaires dans les régions où on veu
oint de vue de la facilité de la dissociation, de ne pas prendre de
nerfs
d'un diamètre supérieur à celui d'une aiguille à
pour que l'acide osmique puisse pénétrer dans toute l'épaisseur du
nerf
. Le tronc nerveux est placé ensuite pendant vin
1/200, contenue dans un flacon bien bouché. Au bout de ce temps, le
nerf
qui a pris une coloration noire d'autant plus pro
e l'on borde avec du baume, si on désire garder la préparation. Les
nerfs
traités par cette méthode, peuvent être conserv
n'estpas ànégliger, lorsque l'on doit exa- miner un grand nombre de
nerfs
. La même méthode est applicable à l'étude des r
est applicable à l'étude des racines spinales et de la plupart des
nerfs
crâniens. Les prépa- rations ainsi obtenues, se
rtie axiale à l'axe neural ou encéplwlo-mérlullaÍ1'e, y compris les
nerfs
optiques et la rétine avec son épithélium pigme
la rétine avec son épithélium pigmentaire, et, secondairement, aux
nerfs
périphériques et sympathiques. Le premier lin
Étranglement des vésicules oculaires primitives. Formation du
nerf
optique. Formation du cris- tallin. Vésic
t large pédicule creux, le pédicule oculaire, premier rudiment du
nerf
optique; leur partie supéro-postérieure est au
g. 1G, d, côté gauche du schéma). Le pédicule oculaire (l'0), futur
nerf
optique, s'allonge et s'étire. Vers la troi- si
LOPPEMENT- DU SYSTÈME NERVEUX. 65 plique l'insertion excentrique du
nerf
optique sur la rétine. Au niveau de sa base d'i
ière de la lame terminale embryon- naire, en formant la lame du
nerf
optique de Goette (Sehner- venplatte), laquel
(Sehner- venplatte), laquelle donnera naissance au chiasma des
nerfs
op- tiques. La crête pos- térieure, connue so
tion cérébrale ; de sorte que l'on peut dès à présent distinguer au
nerf
optique rudimentaire, un segment antérieur vasc
n de Gasser. - Gc, ganglion ciliaire. - GI, ganglion du pre- mier
nerf
cervical. - HCa, hémisphère cérébel- loux. - IN
e, qui se continue en arrière avec l'aqueduc de Sylvius. La lame du
nerf
optique (futur chiasma) et l'em- bouchure des d
moelle, Tm, tubercule mamillaire. VII, vésicule des hémisphères I,
nerf
olfactif. - Il, nerf optique. - Ill, nerf moteur
e mamillaire. VII, vésicule des hémisphères I, nerf olfactif. - Il,
nerf
optique. - Ill, nerf moteur oculaire commun. Il',
sicule des hémisphères I, nerf olfactif. - Il, nerf optique. - Ill,
nerf
moteur oculaire commun. Il', nerf pathétique. V,
lfactif. - Il, nerf optique. - Ill, nerf moteur oculaire commun. Il',
nerf
pathétique. V, V, nerf trijumeau. VI, nerf mote
ue. - Ill, nerf moteur oculaire commun. Il', nerf pathétique. V, V,
nerf
trijumeau. VI, nerf moteur oculaire externe. VII,
ur oculaire commun. Il', nerf pathétique. V, V, nerf trijumeau. VI,
nerf
moteur oculaire externe. VII, nerf facial. - VIII
tique. V, V, nerf trijumeau. VI, nerf moteur oculaire externe. VII,
nerf
facial. - VIII, nerf acoustique. -IX, nerf glos
rijumeau. VI, nerf moteur oculaire externe. VII, nerf facial. - VIII,
nerf
acoustique. -IX, nerf glosso-I)IIal-yllieii. -
eur oculaire externe. VII, nerf facial. - VIII, nerf acoustique. -IX,
nerf
glosso-I)IIal-yllieii. - X, nerf pneumogastriqu
ial. - VIII, nerf acoustique. -IX, nerf glosso-I)IIal-yllieii. - X,
nerf
pneumogastrique. - Xl, nerf spinal. - Xll, nerf g
. -IX, nerf glosso-I)IIal-yllieii. - X, nerf pneumogastrique. - Xl,
nerf
spinal. - Xll, nerf gi-aii(l hypogiosse. DÉVELO
-I)IIal-yllieii. - X, nerf pneumogastrique. - Xl, nerf spinal. - Xll,
nerf
gi-aii(l hypogiosse. DÉVELOPPEMENT DU SYSTÈME N
sous le nom de lame fondamentale, est le lieu d'origine de tous les
nerfs
moteurs ; le segment dorsal, connu sous le nom
e nom de lame alaire, reçoit les terminaisons centrales de tous les
nerfs
sensitifs. 1 ufiexion uucifortnc on 00111'1&g
s deux lames correspond en avant, au chiasma et aux bandelettes des
nerfs
optiques ; quant à la] rétine, elle naît de la la
RTIES DU NÉVRAXE DÉRIVÉES DE CHAQUE VÉSICULE ENCÉPHALIQUE, AVEC LES
NERFS
CRANIENS CORRESPONDANTS S DÉVELOPPEMENT DU SYST
la formation arquée (Fa), et renferme tous les noyaux d'origine des
nerfs
moteurs. Déformation de la cavité médullaire
il la corne postérieure et reçoit les terminaisons des racines des
nerfs
sensitifs. Ces racines forment, en abordant la
, la forme d'un triangle rectangle e.t répond au noyau d'origine du
nerf
grand hypoglosse. Dans sa partie protubérantielle
nzinentia teres proprement dite, qui corres- pond au futur genou du
nerf
facial. . Le noyau d'origine du nerf grand-hypo
rres- pond au futur genou du nerf facial. . Le noyau d'origine du
nerf
grand-hypoglosse, est situé sur le prolonge- me
olonne fournit en outre dans la région protubérantielle le noyau du
nerf
moteur Formation des ré - : cessus latéraux d
rne et plus haut, au voisinage de l'aqueduc de Sylvius, le noyau Au
nerf
pathétique. Sur le prolongement de la colonne g
la région bulbaire, les noyaux d'origine des fibres mo- trices des
nerfs
spinal, pneumo-gastrique et glosso pJtcrzz,/iezz;
ba). , La lame alaire reçoit les racines de la partie sensitive des
nerfs
glosso- pharyngien, pneumo-gastrique et spinal.
donnent naissance à neuf paires crâniennes (IVe à XII0 paires). Les
nerfs
moteurs prennent leur origine dans les cellules
origine dans les cellules ganglionnaires de la lame fondamentale; les
nerfs
sensitifs dans les cellules des ganglions crâni
al de Bis, aux dépens duquel se développent : le ganglion spiral du
nerf
cochléaire, l'in- tumescence gazzgliforme de Sc
iral du nerf cochléaire, l'in- tumescence gazzgliforme de Scarpa du
nerf
vestibulaire, et le ganglion déni- culé du faci
t au ganglion jugulaire du pneumo-gastrique. L'origine réelle des
nerfs
crâniens du bulbe et de la protubérance, est la
minaison, le trajet intra- encéphalique et l'origine apparente des'
nerfs
crâniens, sont par contre extrêmement variables
ansforme en aqueduc de Sylvius, et qui se distingue des cavités des
Nerfs
qui naissent du cerveau posté- rieur et de l'
u posté- rieur et de l'arrière- cerveau. L'origine réelle des
nerfs
crauiens ne va- rie pas dans la série des ver
rés. Variabilité du vo- lume et de l'origine apparente de ces
nerfs
. La vésicule encé- phalique moyenno subit p
ans leur développement, les fibrel ? rétinienne, car le pédicule du
nerf
optique est encore creux e ? çute un " état emb
t son extrémité antérieure correspond assez exactement à la lame du
nerf
optique, c'est-à-dire au futur chiasma. Fia. il
p, lobo olfactif postérieur. - lt, lame terminale embryonnaire. - NI,
nerf
olfactif. - PO, pédicule optiquo recessus. - Rg
antérieur ou <K/MM6M ? est fortement déprimé par le chiasma des
nerfs
optiques, qui sépare la lame terminale embryonnai
- térieure. Lobe olfactif anté- rieur. Ses rapports avec le
nerf
olfactif. Bulbe olfactif. puis devient de plu
41, 42, 44). La lame terminale embryonnaire s'étend du chiasma des
nerfs
optiques (fig. 41, 42), à la voûte du cerveau i
e sommet du lobe olfactif antérieur regarde en arrière et reçoit le
nerf
olfactif. Très petit au début, le sommet prend
obe olfactif postérieur. - li, lame ter- minale embryonnaire. - NI,
nerfs
olfactifs. - PO, pédicule ocu- laire. rif, rece
en résumé, un appendice du cerveau antérieur, au même titre que le
nerf
optique et la rétine représentent un appendice
au intermédiaire. Le pédoncule olfactif est en effet l'homologue du
nerf
optique, le bulbe olfactif l'homologue d'une part
ff, ! obc olfactif antérieur. Lolp, lobe olfactif postérieur. -jVl,
nerf
olfactif. - PO. pédicule optique. vif, recessus
é. - NL3, putamon ou troisième segment du noyau lenticulaire. - nL,
nerf
de Lancisi. - ot, sillon collatéral. - P, pied
- .VA., putamen, ou troisième segment du noyau lenticulaire. - nL,
nerfs
de Lancisi. - 0, première circonvolution occipita
ion godronnée, qui se continue en avant avec les tænia tecta et les
nerfs
de Lancisi. Dans la région temporale, le trigone
S NERVEUX. Sa partie sphé- noïdale devient le corps godronné.
Nerfs
de Lancisi et taenia tecta. Terminaison va-
Nerfs de Lancisi et taenia tecta. Terminaison va- riable des
nerfs
de Lancisi. Caractères spé- ciaux de la cir
aire, des libres blanches longitudinales, médianes. qui forment les
nerfs
de Lancisi et des amas latéraux de substance gris
a tecta. En avant du genou du corps calleux, les tamia tecta et les
nerfs
de Lancisi s'épaisissent chez quelques animaux, p
t s'y perdent, au niveau du carrefour olfactif de Broca; tantôt les
nerfs
de Lancisi s'accolent au pédoncule du septum luci
la moelle, la largo colonne ininterrompue des noyaux d'origine des
nerfs
moteurs. Presque tous ces neuroblastes envoient
corne antérieure s'unissent aux fibres sensitives, pour former les
nerfs
mixtes; les fibres de la corne latérale se jetten
sillon marginal. - V, voûte. 146 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Le
nerf
spinal naît do la corne latérale. Nerfs naiss
DES CENTRES NERVEUX. Le nerf spinal naît do la corne latérale.
Nerfs
naissant de la colonne nucléaire dans la régi
région cer- vicale supérieure. Branche motrice du trijumeau et
nerfs
moteurs de 1·eil. Ganglioblastes. ordres de
t distincts. Les racines de la zone de la corne latérale forment le
nerf
spinal ; leur émergence se fait à égale distance
'autre côté de la ligne médiane. C. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. -
NERFS
SENSITIFS. NERFS SYMPATHIQUES. Les cellules g
igne médiane. C. GANGLIONS CÉRÉBRO-RACHIDIENS. - NERFS SENSITIFS.
NERFS
SYMPATHIQUES. Les cellules germinatives des rud
se dirige vers la moelle, 'autre vers la périphérie pour former le
nerf
sensitif. Les fibres périphériques entraînent a
que la racine correspondante du trijumeau. Les fibres centrales du
nerf
acoustique ne donnent naissance qu'à une petite
t en effet bientôt après leur entrée dans le cerveau postérieur. Le
nerf
de Wrisberg par ;ontre, formé par les fi- bre
'longue racine inférieure 2c caudale du facial. Les racines du
nerf
acoustique, celle des nerfs lu goût (glosso-p
2c caudale du facial. Les racines du nerf acoustique, celle des
nerfs
lu goût (glosso-pharyn- ien et nerf de Wrisbe
nerf acoustique, celle des nerfs lu goût (glosso-pharyn- ien et
nerf
de Wrisberg), déterminent, comme celle les ne
-pharyn- ien et nerf de Wrisberg), déterminent, comme celle les
nerfs
sensitifs cé- rébro-rachidiens, par des arbor
ts. Ces îlots constituent donc les NOYAUX DE TERMINAISON de ces
nerfs
et non leurs 1tU ! JUliX a origine comme on te
! JUliX a origine comme on te croyait naguère. En résumé donc, les
nerfs
sensitifs cérébro-rachidiens, le nerf acoustique
naguère. En résumé donc, les nerfs sensitifs cérébro-rachidiens, le
nerf
acoustique et les nerfs du goût, prennent leur
, les nerfs sensitifs cérébro-rachidiens, le nerf acoustique et les
nerfs
du goût, prennent leur origine dans les ganglions
rt trajet aux racines antérieures motrices, et forment le tronc des
nerfs
mixtes. Ce tronc mixte, très court au début, est
dernières extrémi- | i Fibres centralos de l'acoustiquo. Lo
nerf
de Wris- berg est une longue racine caudale d
des racines postérieures. Fibres périphéri- ques et tronc des
nerfs
mixtes. Fia. 88. - Nerfs et ganglions crâniens
Fibres périphéri- ques et tronc des nerfs mixtes. Fia. 88. -
Nerfs
et ganglions crâniens d'un embryon humain d'env
ès W. Bis.) Gc, ganglion ciliaire. - Gh, vésicule ^auditive. - III,
nerf
mo- teur oculaire commun, - il, nerf pathétique
Gh, vésicule ^auditive. - III, nerf mo- teur oculaire commun, - il,
nerf
pathétique. - V, ganglion de Gassor. - VII et V
, ganglion de Gassor. - VII et VIII, ganglion acoustico-facial. IX,
nerf
glosso-pharyngien. l, nerf vague. - SI, nerf sp
et VIII, ganglion acoustico-facial. IX, nerf glosso-pharyngien. l,
nerf
vague. - SI, nerf spinal. - A77, nerf grand hyp
acoustico-facial. IX, nerf glosso-pharyngien. l, nerf vague. - SI,
nerf
spinal. - A77, nerf grand hyporlosse. - 1, 2, 3
nerf glosso-pharyngien. l, nerf vague. - SI, nerf spinal. - A77,
nerf
grand hyporlosse. - 1, 2, 3, 4, 5, ganglions spin
nd hyporlosse. - 1, 2, 3, 4, 5, ganglions spinaux des cinq premiers
nerfs
cervicaux. loto ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
rs surla névro- glie. tés des doigts et des orteils reçoivent les
nerfs
qui leur sont destinés. Le trajet des nerfs pér
s orteils reçoivent les nerfs qui leur sont destinés. Le trajet des
nerfs
périphériques est en général rectiligne ; ils att
obstacle, tels que cartilage, vaisseau, muscle, etc. Pour certains
nerfs
, le trajet est tellement rectiligne, qu'ils sembl
llement rectiligne, qu'ils semblent tirés au cordeau : exemple : le
nerf
vague dans son trajet thoracique. Les trois bra
n trajet thoracique. Les trois branches du ganglion de Gasser et le
nerf
facial sont de même rectilignes au début, mais
forment ainsi des plexus, en particulier dans les points où plusieurs
nerfs
très voisins se croisent dans des directions di
-axe qui se divise enT; là branche périphérique se continue avec un
nerf
sensitif, la branche centrale avec une fibre radi
ratile et à un prolongement cen- tral très long, qui constitue le
nerf
olfactif (fig. 98). Celui-ci passe par les trou
mem- brane de Schneider, représente donc une cellule d'origine du
nerf
olfactif, et non comme on le croyait pendant lo
e cellule de terminaison. Chez les Invertébrés, au contraire, les
nerfs
sensitifs naissent tous d'une cellule nerveuse
minement vers la situation profonde, que les cellules d'origine des
nerfs
sensitifs occupent chez les Vertébrés, où elles
qui ne peuvent être comparées aux cellules olfactives. (Voy. t. II,
nerf
optique, nerf glossopharyngien, nerf auditif, e
être comparées aux cellules olfactives. (Voy. t. II, nerf optique,
nerf
glossopharyngien, nerf auditif, etc.) Les cellu
lules olfactives. (Voy. t. II, nerf optique, nerf glossopharyngien,
nerf
auditif, etc.) Les cellules nerveuses, quelles
cylindres-axes du système nerveux périphérique, qu'il s'agisse des
nerf
moteurs, glandulaires, sensi- tifs, sensoriels
ieure, dont l'autre se dirige vers la périphérie pour constituer le
nerf
sensitif. Golgi et Ramon y Cajal ont confirmé la
Cellules mitrales, glomérules olfactifs et terminaisons centrales du
nerf
olfactif. Partie inférieure d'une coupe sagitta
ule d'origine sont, en effet, très intimes : lorsqu'on sectionne un
nerf
périphérique, son. bout péri- phérique dégénère
p. 9.) Pendant longtemps, on croyait que le bout périphérique d'un
nerf
sec- tionné ou détruit dégénérait seul, et que
s les travaux de Ranvier sur la dégénéralion et la régénération des
nerfs
sectionnés, que le bout central subit également
antes modifications. Ranvier a montré que dans le bout central d'un
nerf
sectionné, la striation du cylindre-axe s'accentu
ne, qu'il donne naissance à des fibrilles qui formeront de nouveaux
nerfs
, et qui se serviront des gaines de Schwann du b
atteindre la périphérie, dans laquelle ils se terminent. Dès que le
nerf
a atteint la périphérie, il reprend ses fonctio
tteint la périphérie, il reprend ses fonctions et on dit alors que le
nerf
s'est régénéré. Mais si, par suite d'une caus
on, rétraction, dépla- cement, amputation du bout périphérique), le
nerf
de nouvelle formation ne peut trouver de point
c. (Voy. p. 12). Lorsque chez des animaux nouveau-nés on arrache un
nerf
moteur, ou 12 Méthode des déé- nérescences
- nérescences secon- daires. Altérations du bout central d'un
nerf
sec- tionné. Travaux de Kan- vier. Régéné
un nerf sec- tionné. Travaux de Kan- vier. Régénération des
nerfs
sectionnés. Névromes des am- putés. Lésions
chez les am- putés. Méthode de Gud- den, son application aux
nerfs
moteurs. 178 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Da
- veuse s'altère dans les deux sens. Travaux de Forel sur les
nerfs
moteurs de l'animal adulte. Travaux de Hayem
rs de l'animal adulte. Travaux de Hayem sur l'arrachement des
nerfs
moteurs. Application de la méthode de Gudden
nt des nerfs moteurs. Application de la méthode de Gudden aux
nerfs
sensitifs. lorsqu'on pratique des sections part
e la cellule est insignifiante lorsque les extrémités terminales du
nerf
sont seules lésées, ou lorsque la régénération
partielle, mais néanmoins évidente, lorsqu'on excise un segment du
nerf
de façon à rendre la régénération impossible, e
la cellule, ainsi qu'Hayem l'a montré en 1872, lorsqu'on arrache le
nerf
, c'est-à-dire lorsqu'on le rompt au ni- veau de
méthode dite des dégénérescences. Lorsqu'on opère, non plus sur des
nerfs
moteurs, mais sur des nerfs sensitifs, les résu
nces. Lorsqu'on opère, non plus sur des nerfs moteurs, mais sur des
nerfs
sensitifs, les résultats sont différents, mais
éter- minés. La racine dite intra-médullaire ou intra-bulbairc d'un
nerf
sensitif est l'analogue du bout périphérique de
dre-axe de la cellule d'un ganglion rachidien. Lorsqu'on arrache un
nerf
sensitif, les fibres y compris les ramifica- ti
riformes de Forel seules dégénèrent dans le noyau de terminaison du
nerf
sensitif (voy. p. 149); les cellules autour desqu
optique, un tubercule quadrijumeau, ou un noyau de terminaison d'un
nerf
sensitif, - les cellules de ce noyau, qui constit
représentent, suivant l'expression de His, un système nerveux sans
nerfs
. Bientôt elles émettent des prolongements, les
). II. SYSTÈME NERVEUX PÉRIPHÉRIQUE § 1. STADE EMBRYONNAIRE Les
nerfs
périphériques soit moteurs, soit sensitifs, repré
ne d'insertion nettement délimité. Les cellules d'origine d'un même
nerf
périphérique se groupent ensemble, de telle sor
e que le faisceau de fibrilles qui s'en détache et qui constitue le
nerf
présente lui-même une base d'insertion conique
is de Om,3d5 de long. (D'après Vignal.) F, portion d'un faisceau du
nerf
sciatiqne. -a, fibres nerveuses. - b, cellules co
veuses estplus avancée com- parativement dans les par- ties des
nerfs
proches du centre que dans celles de la périp
sous forme de boules plus ou moins La myélino appa- raît dans les
nerfs
vers la fin du 4- mois de la vie intra-uté-
mois de la vie intra-uté- rinc. La myélino appa- raît dans le
nerf
du centre à la périphé- rie (Vignal). FIa.
lte, remarque qu'avait déjà faite antérieurement Ranvier, sur les
nerfs
de jeunes animaux comparés à ceux des ani- maux
erfs de jeunes animaux comparés à ceux des ani- maux adultes. Les
nerfs
périphériques ainsi constitués n'ont plus qu'à
ne trouve guère chez l'adulte que dans les cas de régénération des
nerfs
, leurs segments inter-annu- laires sont égaleme
ts est comme 1 à 3 (Ranvier), tandis que - l'accroissement total du
nerf
est comme 1 à 5. L'accroissement seul des segme
isinage du noyau. HISTOGENÈSE DU SYSTÈME NERVEUX. 187 gueur des
nerfs
; et celle-ci tient en grande partie, ainsi que Vi
r de nouveaux segments inter-annulaires, et on comprend ainsi qu'un
nerf
s'accroisse avec le membre sans qu'il y ait dépla
ais cette question de la dégénérescence et de la régé- nération des
nerfs
à l'état physiologique, posée déjà par Remak en
ant. " , Renaut, qui a constaté chez les solipèdes la présence de
nerfs
en voie de dégénération, dit n'avoir jamais ob-
erfs en voie de dégénération, dit n'avoir jamais ob- servé dans ces
nerfs
dégénérés de nouveaux tubes ner- veux inclus, i
e, analogue à celle que l'on observe dans le bout périphérique d'un
nerf
en voie de dégénération après section expérimen
ale et rapprochement des deux tronçons. Comme, d'un autre côté, ces
nerfs
dégénérés des solipèdes présentent toujours des
ené à regarder ces seg- ments courts comme destinés à remplacer les
nerfs
dégénérés. Vignal, qui a étudié les segments
(D'a- près Vignal.) Los deux premiers, A et B, viennent d'un
nerf
d'un embryon de brebis, long de 0m,47 ; le tr
erf d'un embryon de brebis, long de 0m,47 ; le troisième, C, d'un
nerf
d'un enfant âgé de 10 jours. - a, segment i
edicin. Wochenschrift, 1891. - AUG. WALLER. Sur la Reproduction des
nerfs
et sur la structure et les fonctions des ganglion
ÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 191 Elle forme la plupart des
nerfs
périphériques ainsi que les deux tiers de l'axe
parties du système nerveux : ainsi le système nerveux périphérique (
nerfs
et ganglions), présente une consistance autreme
. Partout où le tissu conjonctif abonde, comme par exemple dans les
nerfs
et les ganglions périphériques, la consistance
ème de pro- jection de 3e ordre de cet auteur est constitué par les
nerfs
périphériques, c'est-à-dire par l'ensemble des
s cellules nerveuses adultes, qu'il entre dans la constitution d'un
nerf
périphérique ou qu'il concourre à former les tu
nerveuse elle-même, qu'il s'agisse d'une fibre des centres ou d'un
nerf
périphérique. Le cylindre-axe des cellules du t
ne; il en est de même de celui de toute une catégorie spé- ciale de
nerfs
périphériques connus sous le nom de fibres de Rem
de Pal. Très sembables par leur aspect général et leur couleur aux
nerfs
péri- phériques, les tubes à myéline du névraxe
e des tubes nerveux à myéline du système nerveux central et des
nerfs
périphériques. Dans les centres les tubes n
RES NERVEUX. Étranglements an- nulaires. 1 Incisurcs dans les
nerfs
du névraxe. Germano, Cajal, admettent cependant
p nombreux pour dépendre uniquement ainsi que c'est le cas pour les
nerfs
périphériques - des incisures et des segments c
nerveux. HISTOLOGIE GÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 109
nerfs
périphériques. Mais ce réseau se distingue de cel
. 109 nerfs périphériques. Mais ce réseau se distingue de celui des
nerfs
périphé- riques en ce qu'il n'est pas interromp
capsule sont l'homo- logue du noyau du segment inter-annulaire des
nerfs
périphériques (Ran- vier). On observe, en génér
ices éma- nées des cellules antérieures de la moelle pour former le
nerf
mixte. v. Lenhossek a établi en 1886, et le fai
s cellules nerveuses des ganglions acoustiques (ganglion spirale du
nerf
cochléaire, intumescence gangliforme du nerf vest
s (ganglion spirale du nerf cochléaire, intumescence gangliforme du
nerf
vestibulaire) sont bipo- laires, comme les cell
andulaires auxquels ces fibres sont destinées. IL - Structure des
nerfs
adultes. Les tubes nerveux, qui constituent par
fs adultes. Les tubes nerveux, qui constituent par leur réunion les
nerfs
propre- ment dits, présentent une structure trè
re- ment dits, présentent une structure très différente suivant les
nerfs
que l'on examine. La très grande majorité des t
oloration blanche et l'aspect moiré qui les caractérisent. Dans les
nerfs
dits sympathiques, au contraire, les fibres à myé
de Remak, ainsi que le tissu de soutène- ment et les vaisseaux des
nerfs
. A. tubes nerveux A myéline. - Les tubes nerveu
diamètre qui varie de 1 iL à 10 et 20 . et davantage. Dans un même
nerf
périphérique, on trouve en général d'épaisses fib
par Ranvier en 1871. Ganglions sympa- tlii.11les interstitiels.
Nerfs
cérébro-ra- chidiens. Nerfs sympathi- ques.
sympa- tlii.11les interstitiels. Nerfs cérébro-ra- chidiens.
Nerfs
sympathi- ques. Diamètre des tubes nerveux
n de la myéline au niveau des étranglement*. Imprégnation des
nerfs
par l'argent. '1. Membrane de Schwann. Etrangle
l'état frais, dans le picro- carminate d'ammoniaque, un segment du
nerf
sciatique du chien, du lapin ou de la grenouill
s annulaires. Cette démonstration se fait également en traitant les
nerfs
par le nitrate d'argent. Si on prend un nerf th
ement en traitant les nerfs par le nitrate d'argent. Si on prend un
nerf
thoracique de lapin ou de souris et qu'on l'exa
olhélila, dont nous reparlerons en étudiant le tissu conjonctif des
nerfs
et d'une série de croix latines de petites dime
les branches longitu- . Fio. '12ï. - Tube nerveux à myéline du
nerf
sciatique du lapin adulte, dissocié dans une
SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 209 dinales sont parallèles à l'axe du
nerf
(Ranvier). A un plus fort grossis- sement, on r
28, C). Si au lieu d'immerger en entier dans le nitrate d'argent un
nerf
de petit diamètre, on dissocie directement dans
petit diamètre, on dissocie directement dans la solution d'argent un
nerf
plus volumineux, on constate plus nettement enc
leu de méthylène. ' 2° L'emploi de l'acide osmique dans l'étude des
nerfs
à myéline fournit, sur leur structure, des résu
s de From- mann. Renflement hicu- nique de Ranvier. Étude des
nerfs
il myéline au moyen Il de l'acide osmique.
de l'acide osmique. Fin. 128. - Tube nerveux et cylindres-axe du
nerf
sciatique du lapin adulte, dissocié dans une so
nt toujours plus petits au voi- sinage de l'expansion terminale des
nerfs
, et leur lon- gueur semble varier avec l'activi
et leur lon- gueur semble varier avec l'activité fonctionnelle du
nerf
. Ranvier a montré en effet que les segments des
tionnelle du nerf. Ranvier a montré en effet que les segments des
nerfs
électriques de la torpille sont beaucoup plus cou
urts que ceux des tubes nerveux de même dimension pro- venant des
nerfs
mixtes. Ce fait présente un grand intérêt car,
i que le fait remarquer Ranvier, d'autant plus rap- prochés que les
nerfs
ont des fonctions plus actives. Chaque segment
le cylindre-axe, est parfaite- ment homogène et transparente sur le
nerf
vivant; mais elle s'altère rapi- dement après l
altère rapi- dement après la mort. Lorsqu'on dissocie dans l'eau un
nerf
enlevé à un mimai vivant, la myéline perd vite
ents enroulés sur eux-mêmes » (Ranvier). Si, après avoir traité les
nerfs
par l'acide osmique, on les colore à l'aide du
onnent au tube nerveux une apparence moniliforme. En traitant les
nerfs
par le nitrate d argent, Segall a imprégné au niv
énétration des matières nutritives. Sur des coupes transversales de
nerfs
durcis soit dans le bichromate d'ammoniaque, so
ode Golgi (bichromate de potasse et nitrate d'argent) à l'étude des
nerfs
périphériques, décrivent au niveau des incisure
ents s'observent, d'après Golgi et Rezzonico, non seulement sur les
nerfs
périphériques, mais encore sur les fibres nerveus
les segments cylindro-coniques, on observe encore, à la surface des
nerfs
traités par l'acide osmique, un réseau spécial si
ions. Tantôt elles sont très larges, et on observe à la surface des
nerfs
la striation oblique signalée par G. Cattani et
signalée par G. Cattani et Golgi; tantôt elles sont si serrées que le
nerf
pré- sente un aspect granuleux. Par l'irrégular
es hypothèses ont été émises pour expliquer l'aspect si spécial des
nerfs
traités par l'acide osmique ou le nitrate d'argen
illes de toute longueur, réunies en un faisceau cylindrique. Sur le
nerf
vivant comme sur le nerf durci à l'aide d'une s
réunies en un faisceau cylindrique. Sur le nerf vivant comme sur le
nerf
durci à l'aide d'une solution faible d'acide os
Il n'est pas rare en outre, en examinant une coupe transversale de
nerf
traitée par l'alcool et le carmin, de voir cet es
ertes par Remak en 1838, ces fibres, qui constituent la plupart des
nerfs
des Inver- tébrés, se rencontrent surtout dans
lupart des nerfs des Inver- tébrés, se rencontrent surtout dans les
nerfs
provenant du système du grand sympathique ; mai
ue ; mais on les rencontre aussi, quoique en petit nombre, dans les
nerfs
cérébro-rachidiens. Le nerf olfactif n'est formé
ssi, quoique en petit nombre, dans les nerfs cérébro-rachidiens. Le
nerf
olfactif n'est formé dans toute la série des Ve
à l'absence de myéline dans les fibres qui les constituent, que les
nerfs
sympathique et olfactif doivent leur coloration
ation et celle des coupes. Si on cherche à dissocier un fragment de
nerf
provenant du grand sympathique, on voit qu'on n
re elles sous un angle toujours aigu. En examinant au microscope ce
nerf
incomplètement dissocié, on voit qu'il est cons
oyaux ovalaires. Si on dissocie dans l'acide osmique un fragment de
nerf
sympathique et qu'on le colore ensuite par le p
e au même résultat, en faisant séjourner pendant plusieurs mois des
nerfs
du système sympathique dans une solu- tion de b
e termine par des arborisations libres comme les cylindres-axes des
nerfs
cérébro-rachidiens (Cajal, Retzius, Kolliker).
ÉNÉRALE DU SYSTÈME NERVEUX DE L'ADULTE. 211 Quant à la structure du
nerf
olfactif, formé exclusi,vikNtEctts-vl 3 ? dépou
de e `Ÿier £ (Va : ...1 ? 11), C. TISSU CONJONCTIF ET VAISSEAUX DES
NERFS
. L ? tts ? ç0ltllttdi.· des nerfs se présente,
TISSU CONJONCTIF ET VAISSEAUX DES NERFS. L ? tts ? ç0ltllttdi.· des
nerfs
se présente, ainsi que l'a montré Ranvier, en '18
omme l'a fait Ranvier, on étudie chez la grenouille ou le lézard un
nerf
muscu- laire au niveau de ses terminaisons, apr
s, après action de l'acide osmique, on voit la gaine qui entoure ce
nerf
se diviser et se subdiviser comme ce nerf lui-m
oit la gaine qui entoure ce nerf se diviser et se subdiviser comme ce
nerf
lui-même, de manière à former une enveloppe dis
du tronc principal. Lorsque, par suite de divisions successives, le
nerf
musculaire n'est plus formé que par un seul tube
miste avait déjà signalé les gaines minces et simples entourant les
nerfs
les plus fins. La gaine de Henle et la membrane d
at le plus simple. A mesure qu'on l'examine en remontant le long du
nerf
, c'est-à-dire à mesure que les tubes nerveux qu
paisseur. C'est ainsi que la gaine lamelleuse des gros faisceaux du
nerf
sciatique du chien peut présenter jusqu'à douze
ES NERVEUX. Tissu conjonctif péri et intra-fascÍc\1- ? lairc fies
nerfs
. j Corpuscules de Re- naut. cette gaine f
issu des cellules lymphatiques, comme dans le tissu conjonctif des
nerfs
. Entre la face profonde de la gaine lamelleuse
ure alvéolaire (l3aklimaninoll'), corpuscules de Renaut fuc. 132. -
Nerf
collatéral des doigts de la main. (D'après Ranv
Schultze, Blocq et Marinesco l'ont montré, à l'état normal dans les
nerfs
de l'homme et représentent des tubes nerveux pr
de cylindres-axes déformés. Vaisseaux sanguins et lymphatiques des
nerfs
. Les nerfs d'un certain calibre possèdent seuls
es-axes déformés. Vaisseaux sanguins et lymphatiques des nerfs. Les
nerfs
d'un certain calibre possèdent seuls des vaisse
possèdent seuls des vaisseaux, car les extrémités périphériques des
nerfs
se nourrissent par le plasma qui les baigne et qu
(Ranvier). Les veines suivent le trajet des artères. Les veines des
nerfs
superficiels se jettent dans les veines profond
s superficiels se jettent dans les veines profondes. Les veines des
nerfs
profonds s'anas- tomosent largement avec les ve
nas- tomosent largement avec les veines musculaires. Les veines des
nerfs
satel- lites d'un paquet artério-veineux se ren
sciculaire (Ranvier). Vaisseaux san- guins et lymphati ques des
nerfs
. 220 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. *- Houton
ations ter- minales. inter-épi- thèliaIes. 111. Terminaison des
nerfs
. Les cylindres-axes des fibres nerveuses périph
axes des fibres nerveuses périphériques, qu'ils appar- tiennent aux
nerfs
moteurs ou aux nerfs sensitifs, se terminent tous
uses périphériques, qu'ils appar- tiennent aux nerfs moteurs ou aux
nerfs
sensitifs, se terminent tous, ainsi du reste qu
masse granuleuse spéciale, comme dans les éminences terminales des
nerfs
musculaires ou dans les corpuscules de Golgi,,
terminaison la plus fréquente, la plus connue et la plus banale des
nerfs
sensitifs. Pendant longtemps, ces arborisations
anvier, etc.). a) Terminaisons fibrillaires intra-épidermiques. Les
nerfs
sensitifs cutanés, après avoir abordé une papil
t très probablement non pas au système sensoriel (c'est-à-dire au
nerf
olfactif), mais au trijumeau, dont la termi- na
f), mais au trijumeau, dont la termi- naison se fait comme pour les
nerfs
cutanés, par des arborisations libres inter-épi
n propre et spéciale; ils reçoivent la branche col- latérale d'un
nerf
cutané voisin, destiné à in- nerver une région
la peau environnante sont donc sous la dépendance d'un seul et même
nerf
périphérique. Chaque poil ne reçoit en général, a
landes sébacées, lefollicule du poil auquel elle est destinée. Le
nerf
perd sa gaine de myéline au niveau de la paro
face de la membrane vitrée de la paroi du follicule. d) Quant aux
nerfs
glandu- laires, sécréteurs ou fl'énatcul's, C
les glandes sali- vairés de la salamandre et du lé- zard, que ces
nerfs
forment au- tour des culs-de-sac glandulaires,
GOLGI. a) Plaques motrices des muscles striés. La terminaison des
nerfs
moteurs dans les muscles striés se fait dans l'ép
Ranvier. La plaque motrice de Rouget, l'éminence ter- minale du
nerf
moteur de Ranvier, se présente sous l'aspect
it dans les muscles de l'oeil du lapin un mode de terminaison des
nerfs
un peu spécial, distinct du type nor- mal, et q
serve ici du reste de très grandes varié- tés. En général, le
nerf
qui côtoie la fibre musculaire est recouvert
, couche odontoblastiquo. p, pulpe dentaire avec ses vaisseaux et
nerf
(r) : co dernier s'ar- borise librement entre l
nales vues, l'une de face, l'autre de profil. (D'après Ranvier.) N,
nerf
. - ¡11, faisceau musculaire. - p, plaque motrice
variétés extrêmes, on rencontre tous les in- termédiaires. Les
nerfs
du muscle cardiaque sont dépour- vus d'éminen
erminent par des extrémités libres et variqueuses (fig. 146). Les
nerfs
des. muscles lisses se comportent un peu différem
TOMIE DES CENTRES NERVEUX. Travaux de Ret- zjns. organique. Les
nerfs
des fibres musculaires lisses de la vie animale d
é renflée, souvent digitiforme, la tache motrice de Ranvier.Les
nerfs
des fibres muscu- laires lisses de la vie org
veuses dans les muscles striés et dans les muscles lisses. Tous les
nerfs
se terminent par des arborisations libres, et l
rpuscules de Golgi. - Les tendons reçoivent un très grand nombre de
nerfs
sensitifs découverts par Rollet, et qui présenten
ces corpuscules, pourrait prêter à confusion, quant à la nature des
nerfs
qui s'y terminent. Ces nerfs sont en effet excl
ter à confusion, quant à la nature des nerfs qui s'y terminent. Ces
nerfs
sont en effet exclusivement tendineux : aussi est
s organes en rapport avec le sens musculaire, constituent, pour les
nerfs
tendineux, de véritables plaques terminales, an
e véritables plaques terminales, analogues aux plaques motrices des
nerfs
musculaires. Mais au lieu d'être uniques et iso
eurs couches hyalines concentriques, renfermant quelques noyaux. Le
nerf
sensitif. en abordant t le corpuscule, lui aban
conjonctive de l'enveloppe qui recouvre le corpuscule de Golgi. Le
nerf
aborde en général le corpuscule par sa partie m
une seule libre nerveuse, mais le plus souvent il en reçoit 15""
Nerfs
sensitifs des tendons. Corpuscules de Golgi
cux de la face palmaire des doigts et des orteils, au voisinage des
nerfs
collatéraux. On les rencontre également dans le
vaguement striée, cavité connue sous le nom de massue centrale. Le
nerf
qui aborde le cor- puscule de Pacini est pourvu
ce lame endothéliale, ana- logue à celle de la gaine lamelleuse des
nerfs
, et dont les noyaux volumineux sont saillants d
dans l'intérieur de la capsule. En abordant la massue centrale, le
nerf
qui occupe l'axe de cette dernière perd sa gain
par des boutons de forme et de dimensions variables. Quelquefois le
nerf
ne fait que traverser le corpuscule de Pacini, po
s serrées et très jeunes, tantôt ils contiennent des muscles et des
nerfs
, soit réunis, soit séparés par des cloisons. Ta
es, claires et volumineuses, entourées d'une capsule connective; le
nerf
sensitif, réduit à son cylindre-axe et à sa gaine
couches superficielles du derme et dans la couche de Malpighi, des
nerfs
qui, après avoir perdu leur gaine de myéline, s
- Quénu et Leiaus. Étude anatomique sur les vaisseaux sanguins des
nerfs
. Arch. de Neurologie, 1892, p. -1, t. XXIII. - RA
VAUX. Recherches sur quelques points particuliers de l'Histologie des
nerfs
. Arch. de Phys., 1881. = RETzius. Biologische !
Hémisphères. Scissure inter-hé- misphérique. Corps calleux.
Nerfs
de Lancisi. ce qui semble donner raison à l'opi
nt, et croisés par deux minces bandelettes antéro-postérieures, les
nerfs
de Lancisi (NL) ou tractus longitudinaux médians.
. - mF" face interne de la pre- mière circonvolution frontale. -NL,
nerf
de Lancisi. Oi, première circonvolution occipital
obe occipital. - LOr, lobule orbitaire. - LT, lobe temporal. z NI[,
nerf
optique. - 03, troisième circonvolution occipital
ercule olfactif. - U, circonvolution du crochet. - xll, chiasma des
nerfs
optiques. 244 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. L
irconvolution limbique, de la face supérieure du corps calleux, des
nerfs
de Lancisi (NL) et du taenia tecta (tec). (Voy.
la première circonvolution frontale. z , 11lF,(Gr), gyrus rectus. -
nerf
optique. oF,, partie orbitaire de la première cir
les uns médians, les autres latéraux; les médians portent le nom de
nerfs
de Lancisi (NL), les latéraux celui de tccnia t
L), les latéraux celui de tccnia tecta (tec). Les toenia tecta, les
nerfs
de Lancisi et Yinduseum griseum, qui représentent
carrefour olfactif (CB) de Broca, il en est de même quelquefois des
nerfs
de Lan- cisi (NL); le plus souvent toutefois, l
quefois des nerfs de Lan- cisi (NL); le plus souvent toutefois, les
nerfs
de Lancisi s'unissent aux pédoncules du septum
éritable lobe cérébral, Fasciola cinerca. Induseum gri- seum.
Nerfs
de Lancisi et tænia tecta. Circonvolution gé-
orifices de la lame . criblée de l'ethmoïde et qui constituent les
nerfs
olfactifs. Au bulbe olfactif fait suite une ban
if, ou ban- delette olfactive, improprement désignée sous le nom de
nerf
olfactif. Il ne s'agit pas ici d'un nerf périph
nt désignée sous le nom de nerf olfactif. Il ne s'agit pas ici d'un
nerf
périphérique, mais d'une véritable partie du ce
elette diagonale de Broca (bd). Situé de chaque côté du chiasma des
nerfs
optiques, l'espace perforé antérieur est limité e
183), qui le sépare de . l'insula(I), en avant et en dedans par le
nerf
optique (NII), en arrière et en dedans par la b
sujets. Le plus souvent, les bandelettes diagonales font suite aux
nerfs
de Lancisi. situés sur la face supérieure du co
nt dans ce cas au- dessus du bec du corps calleux. D'autrefois, les
nerfs
de Lancisi se jettent nettement sur la première
mini.. BG Fasciola cinerea...... 1 ! c Taenia tecta........ tec
Nerfs
de Lancisi.... NL Circonvolution géi1Ïculée.. C
rtain nombre d'éléments blancs surajoutés, ce sont : le chiasma des
nerfs
optiques, les bandelettes optiques et les tuber-
ou de lame terminale embryonnaire, et comprise entre le chiasma des
nerfs
optiques et le bec du corps calleux. 2° Une rég
ments surajoutes. 1 314 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Chiasma des
nerfs
optiques. Livertir : ule ou re- ecssus sus-
-pédoucrrlaire. 'L° Chiasma et bandelettes optiques. Le chiasma des
nerfs
optiques (fig. 183, 187), formé par l'entre-cro
ptiques (fig. 183, 187), formé par l'entre-croisement incomplet des
nerfs
optiques, se présente sous la forme d'une petit
14 millimètres. De ses angles antérieurs partent en divergeant les
nerfs
optiques, qui pénètrent par les trous optiques
que, les corps genouillés externe et interne (fig. 183, 187). Les
nerfs
optiques sont libres dans tout leur trajet, leur
latis et adhérents à la commissure grise de la base. Le chiasma des
nerfs
optiques est aplati de haut en bas, sa face ^ i
re grise de la base, dans toute la partie avoisinant le chiasma des
nerfs
optiques. Toutefois, au niveau de son trajet pé
concavité supérieure et occupe la partie interne et supé- rieure du
nerf
optique du côté opposé. Le faisceau visuel direct
teint le bord externe de la bandelette et occupe la partie externe du
nerf
optique du même côté. Faiscoau visuel crois
Isthme de l'encéphale du lapin vu par sa face inférieure. Chiasma des
nerfs
optiques, commissure de Gudden, commissure de M
u- laire Gi.p. 1lCv, hémisphère cérébelleux. 7/, infundibulum. NIT,
nerf
optique. Oi, olive inférieure ou bulbaire. Po,
cule du tubercule ma- millaire latéral situé en dedans du sillon du
nerf
moteur oculaire commun 1/ entre le faisceau int
corps trapézoïde. xPy, entre-croisement pyramidal. xll, chiasma des
nerfs
optiques. ? nerf moteur oculaire commun. J', nerf
xPy, entre-croisement pyramidal. xll, chiasma des nerfs optiques. ?
nerf
moteur oculaire commun. J', nerf trijumeau. VI, n
xll, chiasma des nerfs optiques. ? nerf moteur oculaire commun. J',
nerf
trijumeau. VI, nerf moteur oculaire externe.
erfs optiques. ? nerf moteur oculaire commun. J', nerf trijumeau. VI,
nerf
moteur oculaire externe. 3lfi ANATOMIE' DES C
long du bord externe de la bandelette et le long du bord externe du
nerf
optique du même côté. (Voy. Nerf optique, II.)
ette et le long du bord externe du nerf optique du même côté. (Voy.
Nerf
optique, II.) Les faisceaux visuels croisé et d
embryonnaire est dési- gnée à tort, sous le nom de racine grise des
nerfs
optiques; elle n'affecte en effet avec les nerf
e racine grise des nerfs optiques; elle n'affecte en effet avec les
nerfs
optiques que des rapports de voisinage. De form
s du corps calleux, entre le bec du corps calleux et le chiasma des
nerfs
optiques, au-dessus duquel elle se continue avec
millaire. - Tpt, tractus pédonculaire transverse. - III, racines du
nerf
moteur oculaire comnun. - II, nerf optique. 318
re transverse. - III, racines du nerf moteur oculaire comnun. - II,
nerf
optique. 318 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Lo
ntral. - Limité en avant par les deux bandelettes et le chiasma des
nerfs
optiques, en arrière par le bord interne des de
vermis (declivum). - VV, valvule de Vieussens. - lI(Ch), chiasma des
nerfs
optiques. 32.0 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
rès mince, qui s'étend parfois jusqu'au voisinage du chiasma '. des
nerfs
optiques. Plein et compacta à sa partie antérieur
les cérébraux dont le sépare un sillon assez profond, le sillon du,
nerf
moteur oculaire commun, le long duquel émerge l
laire et des cérébrales postérieures; ils sont séparés du sillon du
nerf
moteur oculaire commun par le pédoncule du tuberc
llon longitudinal des tubercules qua- drijunteaux. Le sillon du
nerf
nculo-motcnr et le sillon latéral de : l'isth
aperçoit un peu de substance noirâtre, et le long duquel émerge le
nerf
oc2clo-motettr ou de la troisième paire; ce rap
ou de la troisième paire; ce rapport lui a valu le nom de sillon du
nerf
oculo-moteur. Ce sillon, qui sépare le pied ou ét
millaire. - Tpt, tractus pédonculaire transverse. - III, racines du
nerf
moteur oculaire commun. - II, nerf optique. 326
re transverse. - III, racines du nerf moteur oculaire commun. - II,
nerf
optique. 326 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Ch
culaire. - IICv, hémisphère cérébelleux. -I f, infundibulum. - Nu,
nerf
optique. - Oi, olive inférieure ou bulbaire. -
ps trapézoïde. - xPy, entre-croisement pyramidal. ;dl, chiasma- des
nerfs
optiques. Ill, nerf moteur oculaire commun. -- Il
entre-croisement pyramidal. ;dl, chiasma- des nerfs optiques. Ill,
nerf
moteur oculaire commun. -- Il, nerf trijumeau. -
iasma- des nerfs optiques. Ill, nerf moteur oculaire commun. -- Il,
nerf
trijumeau. - VI, nerf moteur oculaire externe.
iques. Ill, nerf moteur oculaire commun. -- Il, nerf trijumeau. - VI,
nerf
moteur oculaire externe. MORPHOLOGIE CÉRÉBRAL
avant, contourne le pied du pédoncule, et pénètre dans le sillon du
nerf
oculo-moteur, au-dessus de l'émergence de la 3° p
Gudden (PTml, fig. 191, 193). Après sa pénétration dans le sillon du
nerf
oculo-moteur, le tractus pedoncularis transve1'
tourne la partie moyenne du pédoncule, et pénètre dans le sillon du
nerf
oculo-moteur. p. Le tseniapontis (Tpo, fig. 189
lctle de la protubérance de Henle, considéré par Malacarne comme un
nerf
accessoire du moteur ocu- laire commun, embrass
" la protubérance (fig. 189, 192), pénètre dans le sil- lon du
nerf
oculo-moteur, puis dans la protubérance où no
ite partie de son étendue, im- médiatement en dedans du sillon du
nerf
oculo-moteur, où elle apparaît dans l'espace in
nouillé externe.- Cgi, corps genouillé interne. - Ch(l, chiasma des
nerfs
opti- ques. - Crst, corps restiforme. - rla, fa
faisceau oblique de la protubérance. - Gp, glande pinéale. - Nu,
nerf
optique. - Oi, olive bulbaire. - P, pédoncule c
ouve, dans la région pédonculaire inférieure, le noyau d'origine du
nerf
pa- thétique (4e paire) (NI\" fin. 189) et dans
et dans la région pédonculaire supé- rieure les noyaux d'origine du
nerf
moteur oculaire commun (3° paire) (NI ? fig. 19
néal. - 1,'V, valvule de Vieussens. )"'3, troisième ventricule. - IV,
nerf
pathétique 332 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
é- rie animale. ♦ de frein de la valvule de Vieussens (fVV); le
nerf
pathétique (4 paire) émerge le long du côté ext
ement l'homologue du tubercule quadrijumeau antérieur (Forci) (Voy.
Nerf
auditif, t. II). Beaucoup plus prononcés chez l
ermis (culmen). - V (dc), vermis (declivùm). - Il (Ch), chiasma des
nerfs
optiques. 33fi ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX.
externe et interne du thalamus. - NC', queue du noyau caudé. - NL,
nerf
de Lancisi. - i\L3,-2, noyau lenticulaire et ses
al. | mF" face interne de la première circonvolutionfrontalc, - VG,
nerf
dc Lancisi. - 0,, 'prc- I mièro circonvolution
a, troisième ventricule. VV, valvule de Vieussens. - xll, chiasma des
nerfs
optiques. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 311 forme le
saillies blanches, linéaires, les tractus longitudinaux médians ou
nerfs
de Lancisi (NL) dirigés d'avant en arrière, tan
et se perdent sur la substance perforée antérieure. En arrière, les
nerfs
de Lancisi se réfléchissent sur le bourrelet du
anche réticulée de la circonvo- lution de l'hippocampe. Entre les
nerfs
de Lancisi on trouve quelquefois un sillon médian
ur se porter dans la corne sphénoïdale, Sinus du corps calleux.
Nerfs
de Lancisi. Taenia tccta. Ses rapports. Sa
al. - mP,, face interne de la pre-mière circonvolution frontale. NI,,
nerf
de Lancisi. - 0,, 0, première et deuxième circo
origine. Le corps calleux est formé, si l'on fait abstraction des
nerfs
de Lancisi et des tractus longitudinaux latérau
- Tin, tubercule mamillaire. - TQ, tubercules quadri- jumeaux. Il,
nerf
optique. 348 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Pi
, troisième ventricule. VV, val- vule de Vieussens. 2 ? chiasma des
nerfs
optiques. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 333 les nerf
s. 2 ? chiasma des nerfs optiques. MORPHOLOGIE CÉRÉBRALE. 333 les
nerfs
de Lancisi, puis divergent et traversent en diago
g. 211), par la partie antérieure du tuber cinereum, le chiasma des
nerfs
optiques (xll) et la lame sus-optique (, laquelle
, vermis (culmcn). V(tlc), vermis (declivum). Il (Cla), chiasma des
nerfs
optiques. FiG. 212. - Coupe verlico-transversal
externe et interne du thalamus,- 11'C', queue du noyau caudé. - NL,
nerf
de Lancisi. - NL"NL"NL" noyau lenticulaire et ses
al. Coupe n° 63 (fig. 245). La coupe passe au niveau du chiasma des
nerfs
optiques (II) et de l'extrémité antérieure dé l
leux (sec), et au voi- sinage du bourrelet (Ce [Spl]),la section du
nerf
de Lancisi (NL) et du tarnia tecta (tec). La fa
de la couche optique. -Ni,'noyau interne de la couche optique. NL,
nerf
de Lancisi. - Nil, noyau rouge. - Nt, noyau du
cérébelleux et la protubérance, en dedans de l'origine apparente du
nerf
trijumeau (V). ; , . Écorce. - Le fond du sillo
\Q.lrv : c\U¡li ? u latéral. - zr, zone réticulée ou grillagée. Il,
nerf
optique. j ! i ? ' 1 I \ k ! 1 I ? ... ? 506
ieur. - n ? s, sillon marginal supérieur. -NC, noyau c ! ).udc. ;V,
nerf
de Lancisi. - NL3, NL" trui- sième et deuxième
a base du crâne, où elle occupe l'espace compris entre le sillon du
nerf
oculo-moleur dans lequel apparaît le locus lIif
locus niger. NC, noyau caudé. Ni, noyau interne du thala- mus. NL,
nerf
de Lancisi. NLa, troisième segment du noyau lenti
cette partie de l'écorce rudimentaire et avortée, qui constitue les
nerfs
de Lancisi (NL). - La masse des fibres d'associ
a. - L,, première circon- volution limbique. - NC, noyau caudé. NL,
nerf
de Lancisi. - OF, faisceau occipito- frontal. P
aire du tronc du corps calleux. Sur la ligne médiane, au voisinage du
nerf
de Lancisi (NL), les fibres sont toutes coupées
zone réticulée ou grillagée. Il, bandelette optique. xll, chiasma des
nerfs
optiques. 648 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. l
la ligne 8 x de la figure 315. Cette coupe intéresse le chiasma des
nerfs
optiques (xll) et la partie supérieure du noyau
1*3, troisième ventricule. 117, zone de Wernicke. xll, chiasma des
nerfs
optiques. xM, entre-croisement de la calotte de M
(II) s'entre-croise sur la ligne médiane pour former le chiasma des
nerfs
optiques (xll), adhérent en arrière à la substanc
la ligne 9x de la figure 315. Cette coupe passe par le chiasma des
nerfs
optiques (xll), la partie supé- rieure du corps
, circonvolution du crochet. IV, champ de Wernicke. xi, chiasma des
nerfs
optiques. Zr, zone réticulée ou grillagée. Il,
rés par de gros fascicules de fibres, appartenant aux radicules de ce
nerf
. Cette coupe est surtout intéressante, par l'as
. - III, filets radiculaires de la troisième paire. -xll, chiasma des
nerfs
optiques. COUPES MICROSCOPIQUES DU CERVEAU. si
sa partie antérieure, cette coupe intéresse en outre le chiasma des
nerfs
optiques (xll) et le trigone olfactif (Toi) avec
Gip, ganglion inter-pédonculaire. L ? t, locus niger. XIV, noyau du
nerf
pathétique (4" paire). NQp, gan- glion du tuber
racine motrice descendante du trijumeau. IV, filets radiculaires du
nerf
pathétique (iv* paire). 662 ANATOMIE DES CENTRE
iétés physiologiques différentes. Première circonvolution limbique.
Nerf
de Lancisi. -Taenia tecta. -L'écorce de la prem
ongitudinale, de 0,3 à z1 milli- mètre de hauteur, qui constitue le
nerf
de Lancisi, ou strie longitudinale in- ou média
ii'l'P eil'- convolution limhiql1c. lmlnscum ¡ ? l'isl'lIlI1 et
nerfs
de Lancisi. 1 i f i 1 : . 700 ANATOMIE
i f i 1 : . 700 ANATOMIE DES CENTRES NERVEUX. Structure des
nerfs
dc l,ancisi. On trouve dans les nerfs de Lanc
ES NERVEUX. Structure des nerfs dc l,ancisi. On trouve dans les
nerfs
de Lancisi et les tænia tecta des cellules ner-
nau, Cajal. Chez les petits mammifères, où Cajal les a étudiés, les
nerfs
de Lancisi seuls sont bien développés, car ici
des hémisphères (Blumenau). Cajal distingue trois couches dans les
nerfs
de Lancisi, une superficielle ou moléculaire, u
, fibres du corps calleux. -L, grosses fihres antero-postéricures des
nerfs
de Lancisi. - c, grosses cellules de la région
cissure hitcr-hemispherique. Fil;. 34-9. - Coupe longitudinale d'un
nerf
de Lancisi d'un rat de 15 jours. Méthode de Gol
affirmer sur leur origine, comme se terminant libre- ment dans les
nerfs
de Lancisi, à la manière des cylindres-axes des c
du cylindre-axe ne sont pas encore établis (Cajal). En résumé, les
nerfs
de Lancisi ne sont autre chose, ainsi que l'a mon
plus grande dans l'induseum griseum. Les fibres longitudinales des
nerfs
de Lancisi se continuent en avant avec les fibr
uère de celle de l'écorce typique. On rencontre ici, comme dans Les
nerfs
do Lancisi représentent une ccorC'e cérébrale
ré dès 1874, deux ordres de fibres : les ramifications terminales des
nerfs
olfactifs et les arborisations variqueuses et e
Cellules mitrales, glomérules olfactifs et terminaisons centrales du
nerf
olfactif. Partie inférieure d'une coupe sagitta
icule olfactif. E, grains.- G, région de la racine blanche externe du
nerf
olfactif.- F, cellules pyramidales du tractus.
hérique et la transmet au glomérule olfactif par l'intermédiaire du
nerf
olfactif. Dans le glomérule, l'impression est r
rise, mais formeraient sur la face supérieure du corps calleux, les
nerfs
de Lancisi et les toenia tecta et au niveau de
H [L2]), la substance réticulée d'Arnold (Lms). Or, ces formations [
nerfs
de Lancisi, tænia tecta, substance réticulée) s
postérieur. tns, sillon marginal supérieur. NC, noyau caudé. - NL,
nerf
de Lancisi. .Via, NL" troisième et deuxième segme
14 El. - h0°. Ka S, néant. An S = contraction tétanique légère.
Nerf
rudial droit. - On'constate dans les différents m
al droit. - On'constate dans les différents muscles innervés par ce
nerf
les phénomènes suivants : 14 EL 4 ? Ka Sz.
pide. An S Z = secousse rapide. 8 El. 8". Ksz. An S, néant.
Nerf
médian droit'. 18 El. - 700. Ks T = contracti
l Vigoureux de cet examen sont les suivantes : Les muscles et les
nerfs
sont moins excitables, et surtout moins isolabl
nt ou galvaniquement sur un tronc nerveux. Ainsi en faradisant le
nerf
cubital au coude; on obtient une> griffe qui
urt, quelques dixièmes de seconde). L'excitation galvanique du même
nerf
donne lieu à une griffe qui cesse avec le coura
griffe qui cesse avec le courant. Pour les muscles comme pour le
nerf
, l'action tétanisante est plus marquée pour l'a
trier, la moindre fluxion auriculaire peut amener la compression du
nerf
labyrinthique, et causer le ver- tige ; le coup
ait perdu connaissance et avait été prise d'une violente attaque de
nerfs
. Pendant les deux heures qui sui- virent son ad
tre de lésions des noyaux du glosso-pharyngien et des branches du
nerf
vague, en attirant l'attention sur l'absence de c
tés. P. K. IL Contribution A la physiologie et A la pathologie DU
nerf
olfactif; par Julius Althaus, de Londres. (,t ? '
actifs). L'excitation chimique, mécanique, thermique, électrique du
nerf
olfactif ne 'provoque ni douleur, ni réflexe, m
ple de Froehlich entre les odeurs qui agissent exclusivement sur le
nerf
olfactif (odeurs vraies telles que l'éther, les
palais à la paroi postérieure du pharynx). L'absence congénitale de
nerf
olfactif, l'atrophie scléreuse sénile de ses ra
he, le signe do Romber- et la sensation d'engourdissement dans le
nerf
cubital gauche. L'usage du nitrate d'argent et de
es centraux ? pour M. Schultze, les faits connus de régénération de
nerfs
périphériques contredisent à l'affirmative : le
génération de nerfs périphériques contredisent à l'affirmative : le
nerf
optique, si souvent atteint dans le tabes du mê
spéciaux, du trijumeau du côté droit, etc. La non-participation des
nerfs
originaires de la protubérance permettant d'éli
droite en rapport avec l'entrecroisement des fibres sensitives des
nerfs
médullaires ), localisant plus spécialement la
i- jumeau et les fibres radiculaires, peut-être aussi le noyau du
nerf
vague se trouvent voisins, et à une certaine dist
sur les Variations du tracémijogra- p/HMedttMsft dégénérescence des
nerfs
. Après avoir décrit l'ap- pareil dont il s'est
de la papille observé à la première période, à une inflammation du
nerf
optique. M. Rockwell rapporte une observation o
ats par l'arsenic. Un cas d'athétose améliorée par l'èlongation des
nerfs
, par le Dr Hammond. Quoiqu'on s'accorde en géné
incurable, on a essayé récemment de la traiter par l'élongation des
nerfs
. La première tentative a été faite parllorton,
lors, les symptômes doivent se déduire de la distribution de chaque
nerf
et de l'action de chaque muscle. Sur ces donnée
interne d'un côté et le droit externe de l'autre, innervés par des
nerfs
différents. Il est plus que probable que c'est
dit de la sixième paire, donne donc en réalité des filets aux trois
nerfs
moteurs de l'oeil, et nous voyons par cet exemp
voyons par cet exemple qu'il ne faut pas considérer chacun de ces
nerfs
comme ayant son origine dans un noyau qui lui e
on origine dans un noyau qui lui est exclusivement affecté. Un même
nerf
est en rapport avec des centres multiples; il p
e manière générale, il faut envisager la disposition anatomique des
nerfs
moteurs de ]'oei), pour se rendre compte de l'i
ciation des mouvements qui relèvent de muscles innervés par un même
nerf
dans les deux yeux. La difficulté au fond est l
out dans ce cas, des connexions analogues à celles qui unissent des
nerfs
d'origine différente. Sur ce point on est à peu
distincts en rap- port avec les différents muscles innervés par ce
nerf
; par celles de Vulpian qui démontrent que l'ass
aisse les rapports qui unissent les différents noyaux d'origine des
nerfs
mo- teurs des yeux et que l'on possède l'explic
ire, ils supposent donc de nouvelles connexions des noyaux avec les
nerfs
optiques et les centres cor- ticaux. Ce sont le
isième paire, intéressant tous les muscles du globe innervés par ce
nerf
, en respectant le releveur de la paupière et l'
que parait intacte à l'neil nu, il en est de même du chiasma et des
nerfs
optiques. « Sur le bord externe du pédoncule cé
du plancher du quatrième ventricule est soulevée par la' tumeur. Le
nerf
auditif qui ne parait pas altéré a dû être comp
auditif qui ne parait pas altéré a dû être comprimé à ce niveau. Le
nerf
pathétique droit est aplati et dissocié au niveau
origine, sa partie périphérique parait saine à l'oeil nu. Quant au
nerf
moteur oculaire commun, en raison de l'élargissem
Des travaux récents rendent à peu près certaine l'existence d'un
nerf
spécial dit aer'de l'espace, annexé 172 CLINIQU
erf spécial dit aer'de l'espace, annexé 172 CLINIQUE NERVEUSE. au
nerf
auditif, dont la lésion produit le vertige de M
en jeu, et pour qu'à la suite, le son du diapason frontal arrive au
nerf
audi- tif du sujet, modifié comme l'est celui q
'appareil conducteur limité : il s'ensuit une compression fatale du
nerf
labyrin- thique. C'est là en effet l'origine pr
t une tension exagérée, la commotion ou l'excitation anormale des
nerfs
des canaux semi-circulaires. La lésion auricula
morbides des centres nerveux. Elle provoque, selon la fonction du
nerf
qu'elle affecte, tantôt des troubles graves de
cile. D'une part, on a cru pen- nant longtemps que la nutrition des
nerfs
était subor- donnée à des centres trophiques, e
ès lors à admettre qu'une inflammation puisse se développer dans un
nerf
, in- dépendamment d'une altération primitive si
aître jusque dans ces derniers temps que les lésions grossières des
nerfs
, celles qui s'accompagnent de modifications app
crosco- DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQUES NON TRAUMATIQUES. 193 pique du
nerf
malade. Pour constater les lésions des tubes ne
le d'avoir recours à l'exa- men microscopique après avoir soumis le
nerf
à l'action préalable de certains réactifs dont
ée non trau- matique que nous avons observés jusqu'à présent, les
nerfs
ne présentaient aucune altération macroscopique
ège. Pour l'examen microscopique, nous avons toujours préparé les
nerfs
d'après les procédés indiqués par M. Ranvier. R
indiqués par M. Ranvier. Recueillis au moment de l'autopsie, les
nerfs
dans lesquels nous soupçonnions l'existence d'al-
tée. Lorsque nous voulions pratiquer des coupes, les fragments de
nerfs
étaient immergés pendant huit à dix jours dans
glycérine picro-car- minatée. · Les altérations histologiques des
nerfs
dans la névrite spontanée ressemblent beaucoup
ucoup à celles qui se pro- duisent dans le segment périphérique des
nerfs
sec- tionnés. Dans les deux cas, on observe au
bserve jamais d'altérations ascendantes dans le segment central des
nerfs
sectionnés, il semble que, dans certains cas du
d'isolement absolu. Il peut arriver que toutes les fibres d'un même
nerf
soient exactement au même degré d'altération, m
ste des fibres tout fait semblables dans le bout péri- phérique des
nerfs
sectionnés, quand on l'étudié trois ou quatre m
tissucoujonctif intra-fas- ciculaire isolé par la dissociation des
nerfs
a présenté quelques modifications portant, non
nt débuté le qua- trième jour. Mort le sixième jour. Altération des
nerfs
cutanés correspondant aux eschares. Morlat (M
paraissent tout à fait normales. Le lobe occipital est sain. Les
nerfs
cutanés correspondant à chacune des eschares ont
es 16 et 17 ont été dessinées sur les préparations provenant de ces
nerfs
. De loin en loin, on ren- contre quelques tubes
ibre présentant les apparences de l'état normal. Les racines et les
nerfs
autres que les filets cutanés au voisinage des
Leloir entre les eschares rapides de la peau et les altérations des
nerfs
périphériques correspon- dants. Elle démoutre d
ours aux acci- dents apoplectiques qui ont déterminé la mort, les
nerfs
au voisinage des eschares fessières étaient pro-
e et les dégénératious wallériennes con- sécutives à la section des
nerfs
. Jamais la dégénération wallérienne n'évolue av
l'ictus initial. - lllort le trente et unième jour. Altération des
nerfs
cutanés correspondants à l'eschare. Renz (Jea
ques à faire que pour l'observation précédente. Des altérations des
nerfs
cu- tanés de la région fessière coexistent avec
a peau une relation directe de cause à effet. Les altérations des
nerfs
cutanés au voisinage de de l'eschare ressemblen
atiquées sur les animaux, les fibres des bouts péri- phériques d'un
nerf
sectionné renferment encore une quantité assez
au huitième jour. Mort au dix-huitième jour. .'të)'a<to ? t des
nerfs
cutanés correspondant aux lésions de la peau '
s-jacent aux deux plaques érythémateuses. Examen histologique. 1°
Nerfs
de la plaque fessière droite. Dans chaque prépa
ières représentent exactement des fibres régénérées. En résumé, les
nerfs
aboutissant à la plaque fessière droite sont un
que les autres tendent à reconstituer leur structure normale. 2°
Nerfs
de la plaque /eM ? 'e gauche. Les filets nerveux
le sixième et le onzième espace intercostal droits. Altération des
nerfs
, des ganglions et des racines postérieures. U
ns toute leur étendue pour être soumis à l'examen histologique. Ces
nerfs
ne présentent entre eux absolument aucune diffé
glions, les racines et les portions de moelle corres- pondant à ces
nerfs
ont été également enlevés ; sur aucun de ces or
ES. 215 Examen histologique. Les quatrième , cinquième et dixième
nerfs
intercostaux sont absolument sains. Sixième ner
ième et dixième nerfs intercostaux sont absolument sains. Sixième
nerf
intercostal. La dissociation de ce nerf a été l
t absolument sains. Sixième nerf intercostal. La dissociation de ce
nerf
a été laborieuse en raison de la résistance ins
représentent les figures 2, 3, 7, empruntées aux préparations de ce
nerf
; plus communément elle est divisée en fines go
élément en voie de régénération après la section expérimentale des
nerfs
. Les coupes transversales du nerf après durciss
s la section expérimentale des nerfs. Les coupes transversales du
nerf
après durcissement par le bichromate de potasse
e se détachent des travées conjonctives épaissies qui sillonnent le
nerf
en tout sens et circonscrivent les faisceaux al
iés présentent l'aspect conjonctif décrit dans le type 5. Onzième
nerf
intercostal. Ce nerf, difficile à dissocier DES
ct conjonctif décrit dans le type 5. Onzième nerf intercostal. Ce
nerf
, difficile à dissocier DES NÉVRITES PÉRIPHÉRIQU
comme le montrent les figures 11, 12, 13, 1 et 15 empruntées à ce
nerf
; les autres sont absolument vides et se présenten
out dans les cellules du périthélium. Les coupes transversales du
nerf
après durcissement par le bichromate de potasse
l'alcool montrent une sclérose diffuse analogue à celle du sixième
nerf
intercostal. La figure 18 représente l'aspect d
ticulièrement dans les points correspondants aux sixième et onzième
nerfs
intercostaux : elle n'a présenté aucune lésion
rouvons deux zonas : l'un ancien correspondant au trajet du sixième
nerf
intercostal, l'autre plus .récent suivant la dist
ercostal, l'autre plus .récent suivant la distri- bution du onzième
nerf
intercostal. A l'examen histologique, nous trou
altérations dégénératives profondes dans toute l'étendue du sixième
nerf
intercostal, dans les fibres nerveuses qui trav
n et dans la racine postérieure attenante à ce ganglion. Le onzième
nerf
intercostal est aussi profondément altéré, mais
qui s'y rendent sont normaux. Les autres ganglions et les autres
nerfs
intercostaux sont sains. RÉFLEXIONS. - Il exist
1, 2, 3, 4. Fragmentation en blocs des tubes nerveux. Fig. 1 et 4,
nerfs
cutanés an voisinage, de l'eschare fessière droit
nage, de l'eschare fessière droite (Obs. iI1); fig. 2 et 3, sixième
nerf
intercostal (Obs. IV). Fig. 5, 6, 7. Fragmentat
tercostal (Obs. IV). Fig. 5, 6, 7. Fragmentation en boules. Fig. 5,
nerf
cutané an voisi- nage de l'eschare fessière dro
né an voisi- nage de l'eschare fessière droite (Obs. III) ; fiq. 6,
nerf
mentonnipr (Obs. V); ? y. 7, sixième nerf inter
oite (Obs. III) ; fiq. 6, nerf mentonnipr (Obs. V); ? y. 7, sixième
nerf
intercostal (Obs. IV). Fig. 8, 9, 10. Fragmenta
s avec varicosités ou renfle- ments fusiformes, fibres provenant du
nerf
mentonnier (Obs. V). planche III. Fig. il, 12
12, 13. Atrophie avec granulations ambrées fibres provenant du 1 le
nerf
intercostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atr
veux. Fig. 14 et 15, atrophie avec coloration jaune provenant du Me
nerf
intercostal (Obs. IV); fig. 16 et 17, atrophie
. IV); fig. 16 et 17, atrophie avec aspect conjonctif provenant des
nerfs
du voisinage de l'escliare fessière (Obs. I); fig
bres isolées par la dissociation. Fig. 18. Coupe transversale du ne
nerf
intercostal (Obs. IV). Névrite mixte : destruct
e, M. Ayres s'est d'abord adressé au système nerveux. La section du
nerf
optique et du trijumeau; l'excitation du mo- te
retranche les centres nerveux supérieurs, ou quand on sectionne un
nerf
, l'augmentalion REVUE DE PHYSIOLOGIE. 235 de
. Neftel, loc. cilato). P. K. XII. Blessure par arme A FEU DES GROS
nerfs
DU bras, avec atrophie consécutive DE l'extrémi
férieur de l'omoplate, en blessant gravement le plexus brachial. Le
nerf
radial passe à côté de la région cicatricielle,
n et s'unis- sant l'un à l'autre de façon à constituer un lien. Ces
nerfs
ont l'épaisseur d'un crayon ordinaire. Leurs bo
que l'on aurait pu croire à une anomalie d'origine. Tandis que le
nerf
radial était resté intact avec ses fonctions, o
onction motrice du médian et du cubital, et la sensibilité des deux
nerfs
, bien qu'affaiblie, était conservée. Cette circ
on rappelle l'expérience de Paul Bert relative à la sensibilité des
nerfs
de la queue du rat. D'où ce fait intéressant qu
, tandisque pour l'acte volontaire, pour la fonction centrifuge des
nerfs
, cette compensation ne s'est pas produite. XIII
sorte latente, il faut une excitation mécanique des muscles ou des
nerfs
pour la rendre manifeste; la contracture produi
- - PAUL Richer. XVI. Etude MYOGRAPHIQU-E SUR la dégénération des
nerfs
chez LES animaux ET chez l'homme ; par R.-W. Am
apport à la contraction électrique des muscles, la dégénération des
nerfs
après leur section; d'autre part, et c'est là c
urant galvanique, suivant que ce courant entre dans le muscle ou le
nerf
par tel ou tel pôle, suivant aussi le moment co
tré les contractions des bastrocuémiens de grenouilles, dont les
nerfs
n'avaient subi aucun traumatisme antérieur, de fa
a recommencé les mêmes expériences chez des gre- nouilles, dont les
nerfs
sciatiques avaient été coupés depuis un ou plus
Puis M. Amidon a repris les mômes études sur les muscles dont le
nerf
avait été sectionné ; mais, cette fois, l'excitat
s, cette fois, l'excitation électrique était portée non plus sur le
nerf
mais sur les muscles eux-mêmes; et, l'on peut v
que les premiers considèrent que, dans l'excitation unipolaire d'un
nerf
moteur, il faut admettre l'existence d'un secon
a kathode virtuelle, sise au lieu de sortie du courant en dehors du
nerf
moteur voisin. C'est ce qui explique en partie le
re dans le bras correspondant. De la dégénérescence endothéliale du
nerf
optique, par M. (de Fribourg). Les préparations
cérébrale légèrement trouble; nulle part de tubercules. Les deux
nerfs
optiques sont atteints : on y constate, dans le s
Les altéra- tions très prononcées dans la gaine araclinoïdiciinc du
nerf
, dimi- nuent dans la gaine de la pie-mère et so
prolonge le long des cloisons conjonctives dans la profon- deur du
nerf
entourant d'abord les faisceaux, puis les comprim
pes. Cette description prouve la connexion anatonto-patbolonique du
nerf
optique a\ec le tissu cellulaire de la base; el
llulaire de la base; elle montre la dégénéres- cence descendante du
nerf
optique de par une affection' intra-cra- nienne
Thèse de Paris, 1883. Ilecherches sur les troubles fonctionnels des
nerfs
vaso-moteurs dans l'évolution du tabes sensitif
rie gastrique; par Deniau. Thèse de Paris, 1883. De la paralysie du
nerf
radial par compression temporaire; par 13oy : a
-, joilctive, interstitielle, de,, sclérose. Mats;) l'examen, des
nerfs
ne paraît pas; avoretéfait dans ces/} cas, avec,
ES NÉVRITES PERIPHERIQUES NON TRAUMATIQUES. 291 de M. Chandelux, le
nerf
intercostal correspondant au ganglion i, altéré
zona peutl'êté'@là, conséquence d'altérations f primitivès'cles'
nerfs
périphériques, enrdehors de toute altération' gan
Noûs' sérions même très''disposés à"ad- mettre que l'altération des
nerfs
est plus importante et plus Constante1' que cel
e - n');)-. >P>(l ! , · · I r,n 2 ItJ'i n °tr F 1 ? sixième
nerf
intercostal, correspondant1 a l'éruption . , -
r I 1`Jf 4ntfr .r,,·n ? jjItH ? OHC c<i/<e,<cH : a ! MM deux
nerfs
menlonniers'. - ? J' ? J : i ,L<ut, ,;jmj.)
&if ? me h- 1 leur plus particulièrement aiguë le long des deux
nerfs
men- tôimiers ét aûssl desfoürnlillerrienîsaùln
/ ? < ? <piUt ? . ? ainsi/ que les douleurs sur le trajet des
nerfs
mentonniers et les fourmillements' a la lèvre i
certains points1 de fibrilles épaisses. t9 yafIL121zt1v Les 'deux
nerfs
mentonniers, 0-114,tùimisii litljdè puis, 1 - eti
tement suivis de violentes douleurs lancinantes le long ,des .deux,
nerfs
nientoniiiers ? qès,le leiidemain,,appa- ' deux
ie abolù"è ? établit s'ürl'é's"ré'g'ions . iiin ,ervées p .a1r lès,
nerfs
- 1 ., r(Irlf t,7ll ·T'1 I· z -(14 si -;() 114
avoir si la névrite était. le résultat d'une altération locale' du'
nerf
'"par le fait d'un' ymplhadénpme ? Noûs ? I *r,|
les deux, cornes postérieures. ,, 11J 1 ? , , t .') ruz ,Les deux
nerfs
sciatiques, droit- et gauche, ont été disséqués
e altération, appréciable ? 1 De petits fragments du.tronc des deux
nerfs
sciatiques, de la . lranclie,articulairéidücôté
sciatiques, de la . lranclie,articulairéidücôtéâauche,et,,d'im,Jdes,
nerfs
muscu- laires voisins ont été recueillis, pour,
Examen histologique. r Sciatique droit. Les fibres pro- venant du.
nerf
sciatique droit ,ne présentent'rien.d'anormal.'
111 sait,dépuis, longtemp,s ? que certains, nerssjsensi- tifs, le).
nerf
,, optique, -.par ieyple,; ,sont, fréduen,ment a
que l/.ii t»w.fi vi,i,.u»in </'ii n|fil i 't ! JH('On")1 * les
nerfs
e.ar i ? ,loti 'il )1, 1111 )1* -i i. suhir les
On")1 * les nerfs e.ar i ? ,loti 'il )1, 1111 )1* -i i. suhir les
nerfs
des.articulations.et des muscles. peu vent subir
li.. à- ilU'< ,1 un .r ' jn.tl 'tf . la lésion décénérative des,
nerfs
, et,, 1 es % troubles tro^ .fj' )Jt' ' 1 'Àjià
ori-, ' st ,1 : ·Otmm ..·f tm,m ? mn-w ii.iU">i' - ? sine des
nerfs
'- destinés a ces .muscles, au, foyer) i j.b \&
gt;> M -/IIH II ,-(>'» " Ill'H *1 * ,l.'»l. ... d'origine des
nerfs
moteurs des muscles extenseurs ;,et, fii- Vi no
rs d'ori- .«,. (,1 ll ,)il l'el ''*<. "f ? i"" J- » '. one des
nerfs
, des muscles, sur lesquels elle, est, direct ,
d onginei jibti 1 'Il -1 ''ni"1 " le 9 )J,Ié z m .m.l ...5 -' des
nerfs
qui se rendent aux muscles antagonistes. 4 ? c)
u on a appelé' 1-arcldiastalticfue ? l ? le chémin'd'air- rivée ou
nerfs
sensitifs ;h2° le,, lieu, de réception,' ou cen
qii'e ce' point' corresponde'' à 'un tendon ? à'un'muscle'ou'à. un'
nerf
.' Mais si l'excit'a'tioij'mèm6 limitée' est un
oit- t ? i fp ? t ? rtf ? ti)'f ? frr)rrtj ? T'n'Jtt i ? chant le
nerf
facial' en avant do 1 oreille, on provoque dans
7.il ,,que,,Ies fibres, sensitives, et les i fibres, motrices, d'un
nerf
mixte ont leur,oriine·à,,pcu près au,même,nivea
sément pourquoi les excitations faites surflesjextré-' i mités d'un
nerf
sensitif tendent tout d'abord à'mettre' en jeu
if tendent tout d'abord à'mettre' en jeu les fibres, motrices de ce
nerf
..));[) ..i<>1» l- » , liusi,doucl'excitat
ii('ogaii*e 1*1ôug-'jcicéi'it" "tèl qu'un muscle,tuh tendon jà, -un
nerf
,I\létè'rminerihîiiîédiale~' ment la production'
dansles tèndons'et les- aponévroses d'enveloppe'des" musc)es ! 'des
nerfs
ceiitri pètes qui jouent un»rôle ! spécial dans
lm ? tol (>-) Il 1 I ' ` Lôrsqû'à°la'suite de 'la pression- du '"
nerf
«cubital ! au coudé,' par'» éxempleio Ja contra
cas, la pression ou la malaxa- .t tion des masses musculaires, des
nerfs
ou des tendons ? , j ; O l ? ( Il t)' '.H «'Il
on ? eveiHe[.en- 'coreà la pression dans tout le trajet cervtcat.du
nerf
? OTI, ? ? i, a , Les battements duoef;rsont.'r
mps préoccupé les anatomistes,' avant-mêmequa la patfo-y logie.des.
nerfs
.fut assez avancée-pour\pouvoir -profiter- de la
tomico-pathologicus ; 4°. Vinslobronm, 1794. '* SUR LES PLL,1LSIDCS
NERFS
, SPINAUX. 333; ' .Si O11,C.Yal111ne,a,veCSOlll
al111ne,a,veCSOlll CBltaines,né'ralgl5 soi-disant loca-j lisées aux
nerfs
,qui| leur, donnent leur^nom, on,arrive,bien vite
,arrive,bien vite^ à se,.conaingre que, dans .bon nombre de cas, le
nerf
incriminé) n'e%t,point excitisi,ement,,6,,Ierr
: sôuvent,lar douleur, envahir une partie d^domaine de. plusieurs,
nerfs
, tan : ,t dis,qu'aucun,n;'est pris. dans toutel
t.i4o^.^\0^n r 3 3 se , REVUE , CRITIQUE. 1 · , avec l'origine du
nerf
qui est le siège principal de la douleur. i C'e
, sont ceux qui sont fournis par 1), Les expé- SUR LES PLEXUS DES
NERFS
SPINAUX. r 33J rienccs de MM/Ferrier et Yeo son
nge, et chez, l'hammendes difTérencesinotabIcs dans l'qriginevi des
nerfs
.qui naissentïdu"Plexus.brachial,·notamment en''ce
Ileitlelllcrg,l8G ? ·« . A r i ... ,j - - £ ' SUR LES PLEXUS DES
NERFS
SPINAUX. ' 337 ' que lesracines soit antérieure
tantôt d'une autre ? il n'est pâs'dôli- z teux; par exemple,-que1es
nerfs
de I'angulaire'etdu''rhomb'oïd6 naissehf tantôt
sl'dissetions ? c'ëst' que chaque paire nerveuse fournit' plusieurs
nerfs
;'dâns'jdesprô= ' portions variables, et que cha
plusieurs nerfs;'dâns'jdesprô= ' portions variables, et que chaque
nerf
reçoit de plusieurs paires nerveûses'un1 nombre
ter, Bd. 1882.) 2 Cet. Féré. Note sur un point de l'aztatoiaaie du,
nerf
sciatique. (BM. : oc. Anat., 1879, p. 110.) . r "
RES NERVEUSES QUI CONSTITUENT LE PLEXUS BRACHIAL SUR LES PLEXUS DES
NERFS
SPINAUX. 339 Les différenccsrdo combinaison.- s
1. Les huit paires cervicales et la première paire ' ilorsale. PDL,
nerf
du petit droit ] : tt.eral;PDA, nerf du petit d
remière paire ' ilorsale. PDL, nerf du petit droit ] : tt.eral;PDA,
nerf
du petit droit antérieur; GDA,LdC ? ne ! f du g
e susrclâviculaire; SArbrandiels'us-acroifnale ^'Ph.phréniuuc : SC,
nerf
du sous-clavier ? Au,=nerfde l'angulaiFeVi^-R^ner
.phréniuuc : SC, nerf du sous-clavier ? Au,=nerfde l'angulaiFeVi^-R^
nerf
du Mrhombcude ? SSBusscapuIaire ? S Ssous-scapu
e" pf~sfxïeme paires cErWicâles ? GDe, neredu-grânrŸcl-entélé = GDo
nerf
du grand dor- sal; GP,graiurcr/ £ ^râir TPJtJio
; toutes lesdj.ssecti5ns=a^accordent'Sur plusieurs points. Certains
nerfs
,%comme lenu c lô c`utâné=et.l'axillaire, par ex
eprésentélc ans la gu2;`l'oriâine-vpl `ordi- Inaire des-tirincipaux
nerfs
fournipar le pfe`us cervicale bra- chial entous
manquons d'éléments pour en discuter la valeur. SUR LES PLEXUS DES
NERFS
SPINAUX. 3H 1 gine médullaire du musculo-cutané
bo-sacré, t; 2,, pour montrer, qu'il est.impossible de dissocier ce
nerf
jusqu'à ses origines.)GAG', grande abdomino-génit
premières paires sacrées; HI, honteux interne; AC, anal cutané; PU,
nerfs
du plexus hypogastrique; ]{A,re ! e\'eurde i'an
tés de distribution des paires nerveuses du plexus brachial aux»
nerfs
qui en émanent, nous pourrions les répéter pour l
lombaires et sacrées : les faisceaux qui.se rendent aux différents
nerfs
offrent des volumes très différents suivant les s
ents suivant les sujets, mais il existe pour les origines de chaque
nerf
un ordre de superpo- sition, quine parait. pas
eprésenté dansiai/ ? <7c<re 3,, les origines des prin- cipaux
nerfs
qui ? prennent naissance dans les paires lombaire
t qu'indiquer approximati- vement sur quel segment de la moelle tel
nerf
prend son origine; elles montrent que les fibre
son origine; elles montrent que les fibres qui, constituent chaque,
nerf
sont fournies en. proportions variables par cha
cmcl yotiu, » élit.. Lmnlon, IR77, l. 111. z' "m SUR LES PLEXUS DES
NERFS
SPINAUX. : 1 Il li groupement dans la moelle ne
doit être comprise autrement : il ne s'agit plus de chercher à quel
nerf
se distribue telle paire nerveuse ou de quelles
e distribue telle paire nerveuse ou de quelles paires nerveuses tel
nerf
tire son origine, il faudrait étant donné un ne
res nerveuses tel nerf tire son origine, il faudrait étant donné un
nerf
musculaire, celui du long supi- nateur par exem
jusqu'à la paire nerveuse. Enrépé- tant cette opération pour chaque
nerf
musculaire, on arriverait a. s'assurer si les o
ement s dissociables; cela est facile à constater, notamment sur le
nerf
; sciatique. Mais les filets musculaires sont-il
surdes sujetsadultes,commecelaatuujours été- fait pour l'étude des
nerfs
et des' plexus, nous nous sommes servi de nouve
tout à fait confirmatives. des recherches de Krause. Si on suit un
nerf
musculaire par exemple, on voit que dès qu'il c
i, sur.un, sujet, nous,avons,t trouvé un tronc commun fourni par lé
nerf
dugong snpmateurq et la branche superficielle d
la branche superficielle du radial simplement accolé au tronc de ce
nerf
, se laissant nettement dissocier dans le plexus b
chial jusqu'à'la sixième paire, qui ne fournissait rien de,plusaul
nerf
radial.' Cette* disposition peut iaire comprendre
omme la' superposition systématique des.'ra-.q cines'des différents,
nerfs
, que les filets nerveux naissent de-laiq moelle
- sion par lésions cérébrales, 1882, p. 236. ' SUR LES PLEXUS DES
NERFS
SPINAUX. 3 lt5 , .. . »- j,, 1 ' trW ! ( l,l.p·
u. Telle est la torpeur cérébrale qui explique l'inexcitabilité des
nerfs
optique, acoustique, olfactif, et du sens du go
rpeur cérébrale concomi- tante fronto-latérale à une excitation des
nerfs
vaso-moteurs du côté du corps stimulé. Il cite
. de Marey, IV, 1878-79) suit la marche et le rôle des fibres de ce
nerf
qui influencent, quel que soit leur but (vaso-c
centres de l'hystérique fait que la moindre excitation partie d'un
nerf
sensitif, ou d'un nerf vasculaire, lorsque l'an
fait que la moindre excitation partie d'un nerf sensitif, ou d'un
nerf
vasculaire, lorsque l'anesthésie est complète, ag
ve que de faibles mo- difications dansl'excitabilité électrique des
nerfs
tant que la subs- tance grise et les racines an
suite d'une sédation. L'autopsie révèle simplement'sur le tronc du
nerf
sus-orbi taire du côté lésé' un renflement fusi
aralysie générale. Or, malgré l'existence d'un névrome fusiforme du
nerf
sus-orbitaire, il ne croit pas qu'en pareille c
s 1'), par Lapine, 355. Athétose améliorée par l'élongation des
nerfs
, 119. Bromure de potassium (manie pro- duite
Beard. il 21 - Bertillon, Artli-tu(l , lviïshabcr, il t ? . 5.
Nerfs
(variations du tracé myogra- phique dans la dég
tions du tracé myogra- phique dans la dégénérescence des), 116.
Nerfs
(athétose améliorée par l'élon- gatioii (les),
116. Nerfs (athétose améliorée par l'élon- gatioii (les), 1 19.
Nerfs
du bras (blessure par arme à feu des avec atrop
s avec atrophie consécu- tive de l'extrémité), par Isi-aèl, 37.
Nerfs
(étude myograpbique de la dégénération des chez
res et Vaillard, 191, 290. Olfactif (physiologie et pathologie du
nerf
), par Altllaus, 91. Optique (dégénérescence end
erf), par Altllaus, 91. Optique (dégénérescence endothe- liale du
nerf
), 202. Othematome chez un enfant syphili- tiq
ingite spinale aiguë, par l,eii4oine et Lannois, 2l17. Plexus des
nerfs
spinaux (étude anotomique et critique sur les),
1, 2, 3, 4. Fragmentation en blocs des tubes nerveux. Fig. 1 et 4,
nerfs
cutanés au voisinage de l'eschare fessière droite
inage de l'eschare fessière droite (Obs. III); fig. 2 et 3, sixième
nerf
intercostal (Obs. IV). Fig. 5, 6, 7. Fragmentat
tercostal (Obs. IV). Fig. 5, 6, 7. Fragmentation en boules. Fig. 5,
nerf
cutané au voisi- nage de l'eschare fessière dro
né au voisi- nage de l'eschare fessière droite (Obs. III) ; fig. 6,
nerf
mentonnier (Obs. V); fig. 7, sixième nerf inter
oite (Obs. III) ; fig. 6, nerf mentonnier (Obs. V); fig. 7, sixième
nerf
intercostal (Obs. IV). Fig. 8, 9, 10. Fragmenta
s avec varicosités ou renfle- ments fusiformes, fibres provenant du
nerf
mentonnier (Obs. V). EXPLICATION DES PLANCHES.
12, 13. Atrophie avec granulations ambrées fibres provenant du lie
nerf
intercostal (Obs. IV). Fig. 14, 15, 16, 17. Atr
x. - Fig. 14 et 15, atrophie avec coloration jaune provenant du lie
nerf
intercostal (Obs. IV); fig. 16 et 17, atrophie
. IV); fig. 16 et 17, atrophie avec aspect conjonctif provenant des
nerfs
du voisinage de l'eschare fessière (Obs. I) ; fig
res isolées par la dissociation. Fig. 18. Coupe transversale du il»
nerf
intercostal (Obs. IV). Névrite mixte : destruct
iquide céphalo-rachidien, fixée au canal osseux par les racines des
nerfs
et les ligaments dentelés, maintenue dans l'étu
uvaient qu'un tiraillement exercé par la résistance des racines des
nerfs
. Nous n'attachons qu'une importance secondaire
veloppée, les jumeaux se contractent faiblement. L'électrisation du
nerf
musculo-cutané ne produit rien de plus que l'él
d'observa- tion il eut environ un accès par mois. La réaction des
nerfs
moteurs était normale. Le 3 novembre 1861, on c
eu de la cicatrice. L'intégrité des tubercules quadrijumeaux et des
nerfs
prouve, de concert avec l'absence d'atrophie gé
es. Intégrité du faisceau longitudinal postérieur et des noyaux des
nerfs
crâniens. 2° Le second chapitre, intitulé : Néo
resse de la cornée, est fausse, puisqu'une paralysie unilatérale du
nerf
en question ne supprime pas le réflexe palpébra
kéra- tite neuro-paralytique provient, par suite, de l'atteinte des
nerfs
trophiques issus des ganglions de Gasser. L'int
ouve que les fibres gustatives de la corde du tympan émanent non du
nerf
de Wrisberg, non du nerf tympanique, mais du tr
ves de la corde du tympan émanent non du nerf de Wrisberg, non du
nerf
tympanique, mais du trijumeau. - Quant aux tuméfa
ien- nent surtout, pour M. Moehius, à la variété d'excitabilité des
nerfs
de la peau ou des organes centraux; l'exercice
zinc porte son action d'abord sur les extrémités périphériques des
nerfs
sensitifs, et en second lieu sur le centre spin
s ne soient que momen- tanés. P. K. VIII. Un cas d'élongation des
nerfs
D\NS le tabès dorsal; par M. ROSE,ÇSTF,[.i. (Ar
ie. Il s'agit, pense-t-il, du degré le plus avancé de la névrose du
nerf
vague, mis en lumière par Rosenbach, dans leque
noyau du facial. Intégrité complète des noyaux de t'hypogtosse, du
nerf
pneuuto-gastriquc,du glosso-pharyngien. 11. S
ion partielle des cordons postérieurs, une dégénérescence grise des
nerf
optiques complétaient le tableau anatomo-pathol
certaines dispo- sitions morphologiques insolites de la papille du
nerf
optique, certaines irrégularités relatives à l'
erveuses à myélme dans la ré- tine; formes anormales de l'entrée du
nerf
optique; trajet inusité des vaisseaux rétiniens
cololomas). La ma- ladie foetale atteint un seul oeii(atrop)iie du
nerf
optique; - fentesintra-ocu)aires;c.eitainesaite
t, sur 140 aliénés, trouvé soixante-quatorze fois un déplacement du
nerf
optique dans la papille, deux fois l'existence
e, modifie dans le même sens celle du réflexe tendineux (section du
nerf
, section des racines postérieures, section de l
TÉS SAVANTES. t03 jusqu'ici supposé, exclusivement par l'action des
nerfs
cutanés sensitifs que cela a lieu. L'excitation
ction des nerfs cutanés sensitifs que cela a lieu. L'excitation des
nerfs
musculaires cen- tripètes qui produit le tonus
s et de la peau : autant vaudrait s'étonner que les altérations des
nerfs
centripètes de l'appareil auditif ne se rencont
e rencontrent pas dans le tabes alors qu'on y trouve des lésions du
nerf
optique. Discussion : M. le professeur SCIIUL
ibres du cerveau moyen ; comme ailleurs, également les origines des
nerfs
ressortent en italique. Le chapitre qui traite
ales à la région du pulvinar et des corps genouillés ; l'origine du
nerf
optique et du chiasma suscite la consignation d
ippocampe et de la corne d'Ammon, le lobe olfactif et l'origine des
nerfs
olfactifs. De nombreuses ligures permettent de
tre le but qu'elle poursuit. G.1UTIEZ. V. Manuel des maladies des
nerfs
périphériques et du sympathique ; par A. SEELIG
r. 136 BIBLIOGRAPHIE. Puis l'étude des différentes affections des
nerfs
périphériques, sections nerveuses, névralgies,
es tics et les contractures siégeant dans le domaine des différents
nerfs
. Enfin viennent les maladies du grand sympathiq
névralgies viscérales, colique de plomb) et d'autres affections des
nerfs
tro- phiques, vaso-moteurset sécrétoires (paral
). Un certain nombre de figures, notamment de la distribution des
nerfs
et des points moteurs, ajoutent encore à l'utilit
lexes tendineux et sur l'excitabilité électrique des muscles et des
nerfs
chez l'homme; parle Dr J. 0[tscH.sKY.(Cttarkoii',
eur nous fait ressortir que l'état de la fatigue des muscles et des
nerfs
soumis à une irritation électrique (comme on le f
é, effort), ce procès, donc l'exploration électrique des muscles et
nerfs
en question pourrait seulement nous renseigner
subi des con- tractions, soit cloniques, soit toniques; 5° sur les
nerfs
fatigués, on observe ces mêmes réactions, mais
ement de l'excitabilité des muscles se fait plus vite que celle des
nerfs
: pour l'accélérer, il faut faire passer un cou
, il faut faire passer un courant constant à travers les muscles et
nerfs
« fatigués »; 7° au commencement du travail (fa
ladies aiguës. Les deux questions restées dans l'urne étaient : -1°
Nerf
facial (anatomie et physio- logie); paralysie f
s musculaires, si elles se cantonnent parfois dans le domaine de ce
nerf
, ne tardent pas, tout au moins pour un certain
morte en 1Spl, écrasée par une voiture; n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. Pas d'aliénés, ni de paralytiques, ni d'apople
ants sont morts les uns de la poi- trine, une avait des attaques de
nerfs
, un autre, qu'on appelait le lutteur, ou le Tau
du bulbe et du cervelet. Les bandelettes optiques, le chiasma, les
nerfs
optiques n'offrent aucune altération appréciabl
substance grise qui est désignée sous le nom de racine grise des
nerfs
optiques à laquelle nous avions l'ait dans notre
être attribuée à l'intervention du système nerveux. Le muscle et le
nerf
traduisent leur action sur l'élimination de l'a
ins accusée; intégrité des vaisseaux. On n'a pas songé à suivre les
nerfs
jusqu'au centre, mais on a examiné la moelle et
remiers phénomènes. Ou trouve une dégénéres- cence très accusée des
nerfs
périphériques, du nerf phrénique et du nerf vag
rouve une dégénéres- cence très accusée des nerfs périphériques, du
nerf
phrénique et du nerf vague; le microscope révèl
cence très accusée des nerfs périphériques, du nerf phrénique et du
nerf
vague; le microscope révèle qu'il s'agit d'une dé
nération secondaire consécutive à la section et à l'écrasement d'un
nerf
; atrophie graisseuse et même cireuse du tissu m
re visuelle (de Muiik i) Aux centres optiques infra-corticaux et au
nerf
optique; par MONA- r,ow. (Arclc. f. Psych., XIV
grande partie di- rectement unies à la sphère visuelle (zone A). Le
nerf
optique de cet animal est, par l'intermédiaire
visuels infra-corticaux et se propagent sans interruption aux deux
nerfs
optiques. Les zones AI A2 A3 ', sont particuliè
de leur réseau gris; mais l'inverse n'est pas vrai. Les racines du
nerf
optique prennent naissance dans le réseau gris
seau gris du corps genouillé externe et du pulvinar. L'atrophie des
nerfs
optiques qui succède à l'extirpation de la sphère
du réseau gris de ces organes. Quant à l'atro- phie de la racine du
nerf
originaire de la substance blanche superficiell
firmation des opinions de Gudden et Nicali sur l'entrecroisement du
nerf
optique ; confirmation des assertions de Ganser
confirmation des assertions de Ganser , sur le trajet des fibres du
nerf
optique dans le chiasma. De plus, le faisceau e
éelle et les pseudo-dégénérescences (névroses), c'est l'atrophie du
nerf
optique; l'existence de cette dernière prouve q
Goldstein insiste sur l'intégrité, dans l'espèce, de la vue et des
nerfs
crâniens, sur les douleurs excentriques eu rapp
ALE ALTÉRATIONS DE LA MOELLE ÉPINIÈRE CAUSÉES PAR L'ÉLONGATION DU
NERF
SCIATIQUE Etude expérimentale faite dans le lab
e TARNOWSKI. Pendant ces douze dernières années, l'élongation des
nerfs
a joui d'une grande vogue dans la thérapeu- tiq
r un court exposé de tous les travaux concer- nant l'élongation des
nerfs
depuis le jour où le profes- seur Biliroth en 1
permettons cette investigation dans l'histoire de l'élongation des
nerfs
, dans le but d'appuyer de toutes les données co
ons en quatre groupes : Groupe le', con- tenant les élongations des
nerfs
pratiquées dans un but thérapeutique. Groupe II
pratiquées dans un but thérapeutique. Groupe II : Elongations de
nerfs
suivies de mort. Observations avec autopsie. Gr
pe III : Recherches purement expérimentales sur les élongations des
nerfs
entreprises sur des animaux, sans examen de la
er groupe que se rapporte notre travail. Groupe Ie'. Elongations de
nerfs
pratiquées dans un but thérapeutique. En 1860
e l'articulation du coude; occasionnellement il étira avec force le
nerf
ulnaire qui était adhérent 1 Nussbaum. Deutsche
dépit de tous les modes de traitement. Il découvrit à cet effet le
nerf
sciatique qu'il explora jusqu'à son émergence e
idents servirent de préface à une longue suite d'opérations sur les
nerfs
dans le but de les guérir en les étirant. Ce
irant. Ce fut M. Nussbaum, 2 qui le premier, en 1872, élongea les
nerfs
dans un but thérapeutique. Voici en deux mots l
que des muscles du bras gauche, qui cessèrent après l'élongation du
nerf
ulnaire, du plexus axillaire et des nerfs corti
nt après l'élongation du nerf ulnaire, du plexus axillaire et des
nerfs
corticaux dans la région claviculaire. Ce résul
t mit à la mode la nouvelle opération, et, depuis, l'élongation des
nerfs
fut pratiquée dans tous les pays, avec plus ou
1876, no 40. 2 Verneuil. La thèse de Duvaull sur la distension des
nerfs
, etc., 1876, thèse de Paris. 1 Watson Ehen. -
pratiqué avec suc- cès l'élongation du plexus brachial et d'autres
nerfs
. Leurs travaux, du reste, sont trop connus en F
agi- tante, aucune amélioration ne s'ensuivit. Des élongations du
nerf
cubital furent pratiquées par les observateurs
douleurs envahissant toute l'extrémité supérieure : l'élongation du
nerf
cubital amena une guérison. Czerny6, en 1878, t
tal amena une guérison. Czerny6, en 1878, traitapar l'élongation du
nerf
cubital une névralgie de l'extrémité supérieure
de vingt-quatre ans; amélioration. Duplay' (1878) : Névralgie du
nerf
cubital par compression d'un fibrome chez un ho
ession d'un fibrome chez un homme de vingt-six ans, l'élongation du
nerf
1 Gillette et Debove. - Union méd., 1881, p. 11
-bras et de la main chez un homme de vingt-six ans; élongation du
nerf
ulnaire; l'atrophie ne diminue pas. Gerald Bom-
Atrophie musculaire de l'extrémité supérieure; élongation des deux
nerfs
ulnaires; atro- phie notablement diminuée. Leis
hie notablement diminuée. Leisrink3 (1882) pratiqua une traction du
nerf
ulnaire pour remédier à une altération motrice
i- rèrent. Banne z) : Névralgie dans la région par- courue par le
nerf
ulnaire; amélioration après la traction du nerf
ar- courue par le nerf ulnaire; amélioration après la traction du
nerf
correspondant. Nicoladokib (1882) cite un cas d
cite un cas d'amélioration durable à la suite de l'élon- gation du
nerf
cubital. Certains auteurs combattirent la lèpre
combattirent la lèpre anesthétique en pratiquant l'élongation des
nerfs
. Tels furent : Lawrie en 1878 et Gerald Bomferd'
orie' en 1880 à Lahore, qui, selon leurs témoignages élongèrent, le
nerf
ulnaire avec succès. D'autres auteurs élongèren
gèrent, le nerf ulnaire avec succès. D'autres auteurs élongèrent le
nerf
cubital en même temps que le nerf médian. Le pr
D'autres auteurs élongèrent le nerf cubital en même temps que le
nerf
médian. Le professeur Verneuil', qui modifia la
Le professeur Verneuil', qui modifia la méthode de l'élongation des
nerfs
pratiquée t llac-Leod. - Brain, 188o, II, p. 14
emagne, en introduisant la sonde cannelée, sur laquelle il broyé le
nerf
, entreprit une double élon- gation en étirant l
e il broyé le nerf, entreprit une double élon- gation en étirant le
nerf
médian et ensuite le cubital à un homme de tren
e : guérison complète. Auerbach' entreprit en 1882 l'élongation des
nerfs
médian et cubital dans un cas de paralysie agit
en suivit. Gillette (1881) étira avec une force de quinze kilos les
nerfs
médian et cubital à une femme qui accusait de l
ais celles des extrémités inférieures augmentèrent. Elongation du
nerf
médian. Callender3 (1874) : Un homme de quarant
ns le moignon après une amputation de l'avant-bras. L'élongation du
nerf
médian amena un amendement des douleurs. M. Cal
reux. Il communique deux cas de mort à la suite de l'élongation du
nerf
médian. Sa première observation se rapporte à u
dius et pris de tétanos. Quarante-huit heures après l'élongation du
nerf
médian, le malade mourut, La deuxième observati
s auquel on amputa le pouce, ce qui amena du tétanos, élongation du
nerf
médian, mort le lendemain. Struckmann' Maag : U
-sept ans accusait de la névralgie de l'avant-bras; L'élongation du
nerf
médian amena du soulagement. Estiander' : Un ho
supérieure d'une névralgie d'origine trauma- matique. Elongation du
nerf
médian; amélioration. Thomas' (1879) : Tétanos
hez un jeune homme de vingt-trois ans qui se blessa à la main; le
nerf
médian fut élongé et broyé sur une sonde cannel
egmoneux à l'avant-bras; il s'en suivit du tétanos; l'élongation du
nerf
médian amena la guéri- son. Le' Fort (1882) : N
d'un accident de chasse; guérison complète après l'élongation du
nerf
médian. Pour en finir avec le membre supérieur
e supérieur citons encore quelques observations sur l'élongation du
nerf
radial. Paget6, en 1876, étira avec succès le n
l'élongation du nerf radial. Paget6, en 1876, étira avec succès le
nerf
radial dans une contracture doulou- reuse. Blum
. Etc. 2 Estlander. V. l'article de M. Chauvel sur l'élongation des
nerfs
. Archives de médecine, 1881, vol. I, p. 707.
r le travail de M. Chauvel, loc. cit. 7 Blum. - De l'élongation des
nerfs
. (Arclz. de médecine. 1878.) ALTÉRATIONS DE LA
hez un homme de vingt-neuf ans, qui avait été blessé; élongation du
nerf
médian, retour de la sensibilité, mais pas d'am
, mais pas d'amélioration de la motilité du bras. Elongations des
nerfs
intercostaux. En 1878, M. Nussbaum ' annonça la
. Au mois de novembre 1878, M. Nussbaum lui étira les 8°, 9° et 10'
nerfs
intercostaux. Disparition des douleurs. Malheur
-cinq ans, névrite ascendante chro- nique. Elongation des 4\ 5', 6°
nerfs
intercostaux. Guérison. Bzehazek3(1881) pratiqu
. Guérison. Bzehazek3(1881) pratiqua également l'élon- gation des
nerfs
intercostaux dans un cas de névralgie, mais san
mais sans amélioration durable. Nicoladoki (1882) : Elongation des
nerfs
intercostaux suivie de mort. (Voy. au groupe se
groupe second l'autopsie du malade de Nicoladoln). L'élongation des
nerfs
ne se bornant pas aux extrémi- 1- tés fut prati
tés fut pratiquée également sur la face, ainsi l'élonga- lion du
nerf
facial fut faite par M. Baum en 1878 à une femm
convulsions des mucles de la face depuis huit ans; élongation du
nerf
facial; guérison complète. Putnam 2 (1880, à Bo
ccusait des contractures spasmodiques de la face, en lui étirant le
nerf
facial. Eulenburg4 amena une guérison dans un c
ne guérison dans un cas analogue, en pratiquant l'élon- gation du
nerf
facial pour des contractions delà face. Bernhar
fait part dans son article de dix observations sur l'élongation du
nerf
facial et en tire une conclusion favorable à ce
ayl communique deux observations person- nelles sur l'élongation du
nerf
facial. Dans la première, il constate un soulag
te durée, dans la seconde l'état du malade empire. Elongations du
nerf
Trijumeau. Higgens7 (1875) étira les nerfs sus
empire. Elongations du nerf Trijumeau. Higgens7 (1875) étira les
nerfs
sus et sous-orbitaires, chez un homme de soixan
un cas analogue, avec le même succès. Vogt1 (1876 et 1877) étira le
nerf
alvéo- laire supérieur pour des névralgies et o
rison. Spence (1817) obtint également une guérison en élongeant le
nerf
sous-orbitaire dans un cas de névralgie accompa
Czerny 3 (1878) communique deux observations sur l'élongation du
nerf
sus-orbitaire; la première concerne un homme de
sn. Dans la seconde, la névralgie ne céda qu'après une résection du
nerf
. Grain- ger-Stewart4, en 1878, opéra un vieilla
e- dix ans atteint de névralgie et de contractions de la face; le
nerf
sous-orbitaire fut étiré à deux reprises, ensui
sous-orbitaire fut étiré à deux reprises, ensuite ce fut le tour du
nerf
mentonnier. Guérison. Rocher' guérit en 1879 un
depuis quatorze années d'une névralgie opiniâtre, en lui étirant le
nerf
sus- orbitaire. Masing" (1879) : Elongation du
lui étirant le nerf sus- orbitaire. Masing" (1879) : Elongation du
nerf
sus- orbitaire dans un cas de névralgie; guéris
guérit une névralgie de la face chez une femme en lui élongeant le
nerf
sous-orbitaire. Purdie' (1880) atteint le même
genbuch./61d., p. 235. 300 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. étirèrent le
nerf
sous-orbitaire dans des névralgies, mais ne par
ntreprit, selon le rapport de M. Trélat, trois fois l'élongation du
nerf
nasal externe pour des névralgies dans la régio
t des douleurs. Sée5 (9 88), Po)ai] ! on' et Alouchet6 étirèrent le
nerf
dentaire inférieur, dans trois cas de névralgie
guérisons, mais toujours à la suite de la résection des branches du
nerf
. Elongations du nerf optique. Kümmell Hermann9
s à la suite de la résection des branches du nerf. Elongations du
nerf
optique. Kümmell Hermann9 1 Walsham. The Brit.
LA MOELLE ÉPINIÉRE. 301 i (1882) pratiqua cinq fois l'élongation du
nerf
optique, sans atteindre de résultats satisfaisa
Pamard' (1882, à Avignon) entreprit une élongation bilatérale des
nerfs
optiques dans un cas d'atrophie de ce nerf, d'o-
ongation bilatérale des nerfs optiques dans un cas d'atrophie de ce
nerf
, d'o- rigine syphilitique; amendement des doule
e, pas d'autopsie. Hatzaourow2 communique trois cas d'élongation du
nerf
tra- chléaire dans des cas d'iridocyclite de st
ation. Toutes les trois fois, les douleurs cessèrent. Élongation du
nerf
sciatique. De tous les nerfs, c'est, sans contr
, les douleurs cessèrent. Élongation du nerf sciatique. De tous les
nerfs
, c'est, sans contredit, le sciatique qui fut ét
exposé de celles qui concernent l'ataxie. Patruban' (1873) étira le
nerf
sciatique à un homme souffrant d'une sciatique
; améliora- tion. Nussbaum' (1876) pratiqua l'élongation des deux
nerfs
sciatiques et du crural à un homme de trente- c
étanos après une insignifiante blessure au pied ; l'é- longation du
nerf
sciatique amène un soulagement momentané; les c
rs après l'opération. Bird' (1877) amena une guérison en étirant le
nerf
sciatique pour une sciatique qui avait persisté
deux guérisons. Sklifas- sowski' (1878, Saint-Pétersbourg) étira le
nerf
scia- tique dans le but d'amender de vives doul
uleurs occa- sionnées par une plaie; ce n'est que la résection du
nerf
qui amena la guérison. Macfarlane` (9 878) guérit
actée à la suite d'un refroidisse- ment, en opérant une traction du
nerf
sciatique. lliasin5 fit une traction bilatérale
traction du nerf sciatique. lliasin5 fit une traction bilatérale du
nerf
sciatique à un homme de trente-sept ans, qui ac
n pied varus équin et des contractures convulsives. L'élongation du^
nerf
sciatique amena une amélioration. Morton0 prati
sciatique amena une amélioration. Morton0 pratiqua une traction du
nerf
sciatique à un homme de cinquante-deux ans, sou
les de l'extrémité infé- rieure, d'origine traumatique; traction du
nerf
sciatique et crural, guérison. Crabbel g : Téta
d'un traumatisme chez un homme de quarante-deux ans; traction du
nerf
sciatique et du crural; mort le même jour. Clar
prise de tétanos après l'amputation du gros orteil; l'élongation du
nerf
sciatique amena la guérison. Czerny' (1879) pra
la guérison. Czerny' (1879) pratiqua une traction bilatérale des
nerfs
sciatiques pour une myélite par compression et
érieures; progrès rapide delà myélite. llorris (1879) : Traction du
nerf
sciatique à l'émergence du tronc chez un enfant
douloureuses des muscles de l'extrémité infé- rieure ; traction du
nerf
sciatique, amélioration. Blum' : Névralgie et a
région sciatique, chez un homme de trente-neuf ans ; traction du
nerf
correspondant, guérison. Dans une seconde 1 Str
l'extrémité infé- rieure ; il s'en suivit un tétanos; élongation du
nerf
sciatique; mort vingt heures après. Omboni2 : U
de sept ans se blesse vivement au pied. Téta- nos ; la traction du
nerf
sciatique amena un soulage- ment de courte duré
e consécutive à l'amputation de l'extrémité inférieure; traction du
nerf
sciatique restée sans suc- cès, la résection du
e; traction du nerf sciatique restée sans suc- cès, la résection du
nerf
amena la guérison. Spence' (1880) : Commencemen
mencement d'atrophie musculaire; amen- dement après l'élongation du
nerf
sciatique. Robertson' (1880) : Un homme de quar
ns souffrait depuis huit années d'une névralgie dans la région du
nerf
sciatique; une traction de ce dernier amena un
ell ° (1880) : Sur cinq malades auxquels il pratiqua la traction du
nerf
scia- tique pour des névralgies, constata trois
' (1880) constata la guérison d'une névralgie après l'élongation du
nerf
sciatique. Pooleye (1880) rapporte quarante qua
tanos d'o- rigine traumatique, l'auteur considère la traction des
nerfs
comme inutile. Berridge1 (1881) : Contractions
ouloureuses des muscles de l'extrémité inférieure ; l'élongation du
nerf
sciatique produisit du soulage- ment. Gillette'
(1881) constata également'de l'amélio- ration, après la traction du
nerf
sciatique, chez deux femmes atteintes de névral
es atteintes de névralgies. Norman Mackintosh3 (1881) : Traction du
nerf
sciatique chez un homme de quarante et un ans s
1881) fait part de résultats favorables atteints par la traction du
nerf
sciatique dans la lèpre anesthésique. Lamarre )
ns la lèpre anesthésique. Lamarre )C.5 (1881) : Traction répétée du
nerf
sciatique chez une femme de soixante-dix ans sa
amarre (E.). Contribution à l'étude de l'action de l'élongation des
nerfs
dans les affections médullaires, (I ? evite (le c
ives, t. IX. 20 306 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. ans. La traction du
nerf
sciatique améliora la dé- marche. Weltrubsky1 (
Leisrink2, dans le nombre de ses observations sur l'élongation des
nerfs
, fait part de trois cas d'élongation du nerf sc
sur l'élongation des nerfs, fait part de trois cas d'élongation du
nerf
sciatique; pour une névralgie, une sclérose et
myélite. Résultats néga- tifs. Itauke3 fit deux fois la traction du
nerf
sciatique, dont une amélioration. Wieth John A.
ioration. Wieth John A.4 pratiqua pour une sciatique la traction du
nerf
intéressé et obtint un soulagement de courte du
sale d'origine traumatique, qui guérirent à la suite de traction du
nerf
sciatique et du crural. Leyden E.' s (1882) ess
en obtenir de résultats satisfai- sants. L'effet de la traction des
nerfs
fut absolument 1 Weltrubsky. Erfalirungen liber
de sciatique. L'une gué- rie, l'autre soulagée pur l'élongation du
nerf
intéressé. Westphal2(1882/j : Un ouvrier de qua
Un ouvrier de quarante-quatre ans fut opéré dans la même séance, au
nerf
sciatique et au crural pour une paralysie spasm
l'oesophage, le larynx et tous les autres organes sont sains. Le
nerf
médian paraît plus gris et plus petit à gauche qu
de la circonvolution olfactive, répondant à la portion bulbaire du
nerf
olfactif et s'éten- dant jusqu'à 2 centim. et d
teur externe, de la paralysie du voile du palais, de la parésie des
nerfs
axillaire et cubital droits (conservation de l'
e s'améliore. Le 5 octobre, légère diminution de l'excitabilité des
nerfs
péroniers aux deux sortes de courants. Le 26 oc
genou. Examen électrique : diminution faible de l'excitabilité des
nerfs
péroniers des deux côtés, pas d'hyperexcitabilité
anode paraissent relativement pré- coces, surtout sur le trajet des
nerfs
cruraux. Le retour de lamo- tilité à la normale
, pièces relatives à des préparations microscopiques de lésions des
nerfs
périphériques ' , M. WesTPHAL fait remarquer qu
dès 1878,' il a cherché et trouvé des altérations périphériques des
nerfs
sensitifs dans un cas de tabès avec lésion cent
dans un cas de tabès avec lésion centrale (atrophie dégénérative du
nerf
fémoro- cutané postérieur. (Arch. f. Psychiât.,
es altérations centrales du tabes, rencontré delà dégénéresence des
nerfs
sensibles périphériques; ' Voy. Revues analytiq
ques. sociétés savantes. 427 en même temps qu'il a révélé que les
nerfs
périphériques peuvent être seuls lésés sans qu'
phérique). Avant Déjerine, Westphal avait examiné au microscope les
nerfs
saphène et fémoro-cutané interne dans un cas de
hie grise, surtout à la périphérie. M. Uhthoff. De l'atrophie des
nerfs
optiques. Le matériel d'observa- tion a été pui
e Galezowsky, vont trop loin quand ils fout dépendre l'atrophie des
nerfs
optiques d'une bien plus grande catégorie d'age
atrophie cérébrale. Un assez vif intérêt s'attache à l'atrophie des
nerfs
optiques consécutive à une névrite primitive non
par la présentation de préparations micros- copiques d'atrophie du
nerf
optique dans la paralysie générale. Il montre é
hilitiques que chez les tabétiques syphilitiques des affections des
nerfs
de l'oeil (surtout des nerfs qui commandent aux
iques syphilitiques des affections des nerfs de l'oeil (surtout des
nerfs
qui commandent aux muscles), des vertiges, des
de l'oeil d'ordre syphilitique proviennent de gommes occupant les
nerfs
correspondants; au regard du grand nombre des aut
l'immobilité rigide de la pupille), 2 présentaient de l'atrophie du
nerf
optique. Les hommes tabé- tiques se répartiraie
paralysie des muscles de l'oeil, 3 présentaient de l'atro- phie du
nerf
optique; de sorte qu'en somme, la proportion sera
100 d'af- fection des muscles oculaires, de 22 p. 100 d'atrophie du
nerf
optique. La seconde catégorie est celle des mal
aralysie des muscles de l'oeil; aucun n'était atteint d'atrophie du
nerf
optique, de sorte qu'en réalité ce groupe se dé
de para- lysie des muscles de l'eeil, 1 était atteint d'atrophie du
nerf
optique; soit, au total, 44 p. 100 de refroidis
tômes en rapport avec les muscles de l'oeil, 5 p. 100 d'atrophie du
nerf
optique. Si maintenant on adopte la théorie unita
brièveté des sillons de Rolando. Aucune anomalie microscopique des
nerfs
, de la moelle épinière, des muscles. Il s'agit,
ses par 1'), par Tigges, 85. Ellen (colonie), 416. Elongation des
nerfs
dans le tabès dorsal, par Rosenstein, 85; (él
es nerfs dans le tabès dorsal, par Rosenstein, 85; (élongation du
nerf
sciatique et altération de la moelle consécu-
ments hystériques, 53. Excitabilité électrique des muscles et des
nerfs
chez l'homme (iu- 454 1 TABLE DES MATIÈRES. f
, 1, 145, 289, 307 ; (altérations delàcausées par l'élongation du
nerf
sciatique) , par Tarnowsky. 289. Moelle épini
yélite traumatique, par Sclultze, 110. Myoelonns multiple, 423.
Nerfs
périphériques (maladies des et du sympathique),
adies du cer- ' veau), par 1'illraml, 136. Optiques (atrophie des
nerfs
), par Ulittioti, 427. Paralysie agitante (nut
IE ANATOMIE ÉTUDE ANATOMIQUE SUR LES VAISSI ? ILJX SANGUINS DES
NERFS
Par MM. QUÉNU et LEJARS. Jusqu'ici, l'histoir
t pas été faite. A part quelques artérioles, telles que l'artère du
nerf
médian, de plus gros calibre et de dissection p
ais on n'avait recherché à quelles lois elle était soumise. « Les
nerfs
sont peu riches en vaisseaux, écrivait, en 1866
aussi résistent-ils fortement à l'inflammation. » Et encore : « Les
nerfs
reçoivent leurs vaisseaux des branches artériel
les-ci peuvent devenir vari- 1 Des affections cltil,lt1'yicales des
nerfs
. Th. agrég., 1866. Archives, L. XXIII. 1 ? 2
des gros troncs nerveux, ainsi que Bichat l'a vu le premier sur le
nerf
sciatique, et que M. Verneuil ` l'a signalé dep
t faisait ressortir la part que doivent y prendre les vaisseaux des
nerfs
. Déjà, Ilyrtl émettait l'opinion que la circula
ires, mais qu'elle prend surtout la voie des vasa nervorum ? Chaque
nerf
pos- sède une artère propre, qui reçoit, de pla
toutes prêtes. » De son côté, Porta avait trouvé les vaisseaux des
nerfs
largement dilatés par le sang, dévié de sa rout
hrb.. Wien., 18&5, p. 272. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 3 les varices des nerfs et démontré quelle par
72. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 3 les varices des
nerfs
et démontré quelle part leur revient dans la pa
n grand intérêt de soumettre à une étude complète les vaisseaux des
nerfs
chez l'homme. La méthode de la double injection
d'exemples et de figures tout ce que nous décrivions. Artères des
NERFS
. - La circulation artérielle des nerfs est la f
us décrivions. Artères des NERFS. - La circulation artérielle des
nerfs
est la fois très riche et très régulière; l'origi
ssent à certaines lois que l'on retrouve partout. I. Découvrez un
nerf
sous-cutané ou un nerf pro- fond : vous ne pour
que l'on retrouve partout. I. Découvrez un nerf sous-cutané ou un
nerf
pro- fond : vous ne pourrez le suivre sur un se
se à une branchiole voisine, d'où une série d'arcades accolées au
nerf
et qui correspondent à la série des artérioles af
e ramuscule nerveux. Aux membres, la répartition est la même : un
nerf
sous-cutané ne marche jamais sans une artériole
que celle du médian ou du sciatique. Il y a plus : c'est autour des
nerfs
que se groupent les divi- sions principales du
les grandes voies anastomotiques. II. Ce qui vient d'être dit des
nerfs
sous-cutanés s'applique de tout point aux nerfs
ient d'être dit des nerfs sous-cutanés s'applique de tout point aux
nerfs
profonds ; mais il faut préciser les sources de
Verneuil nous fit l'honneur de présenter à l'Aca- Fig. I, Arloi des
nerfs
grand sympathique et pneumogastrique. 6 ANATOMI
dienne inférieure se détache de la sous-clavière et croise les deux
nerfs
sur leur face pos- térieure pour gagner le corp
ières divisions de la thyroïdienne inférieure vont se jeter dans le
nerf
récur- rent, qui reste lui aussi dans le même t
nne, à son tour, plusieurs branches au segment supérieur des deux
nerfs
, au ganglion cervical supérieur du sympa- thiqu
est fournie par le système des ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 7 thyroïdiennes, et nous verrons quelles déduc
doute* qu'elle ne soit utilisée par la circulation colla- Fig. 2. -
Nerf
sciatique. 8 ANATOMIE. térale, dans les cas d
, dans les cas d'oblitération de la fémorale. L'examen des autres
nerfs
témoigne du même fait, de la constance et de
ngue artériole, qui est devenue classique sous le nom d'artère du
nerf
mé- dian, se détache, d'ordi- naire, de l'int
tache, d'ordi- naire, de l'interosseuse an- térieure et aborde le
nerf
dans le tiers supérieur de son segment antibr
ntérieure. - P, arcade palmaire lu^11^ bUptil UOIBIIB qui tinés aux
nerfs
. fournit un ramuscule as- hnes aux ncrfs. Fig
erfs. fournit un ramuscule as- hnes aux ncrfs. Fig. 3. Artères du
nerf
médian. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NE
ig. 3. Artères du nerf médian. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 9 cendant à chacune de ses divisions terminale
il y a là autant de chaînons, qui créent, sur toute la longueur du
nerf
, une réelle continuité vas- culaire. Les plex
s faits anatomiques ont une double importance : Figez. - Artères du
nerf
crural. 1t, nerf crural. - 0, nerf obturateur.
ont une double importance : Figez. - Artères du nerf crural. 1t,
nerf
crural. - 0, nerf obturateur. - F, artère fémoral
portance : Figez. - Artères du nerf crural. 1t, nerf crural. - 0,
nerf
obturateur. - F, artère fémorale. - C, couturier.
n de faire subir un choc direct à la masse encéphalique. Pour les
nerfs
, il en est de même : les précautions sont aussi
dentelles des grosses artères. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 11 toutes ascendantes, et le courant sanguin d
s donne, mais elles fournissent un long trajet, à la sur- face du
nerf
, avant de s'y engager, et, près de leur termina
se divise et se bifurque, avant d'y pénétrer. La circu- lation des
nerfs
est essentiellement une circulation par grandes
oisins : de là, une suite de chaînons, qui se continuent le long du
nerf
, en s'accolant à sa gaine externe. De cette d
ieurs types : tantôt l'artériole se bifurque, à quelque distance du
nerf
, et les deux branches, s'écartant à angle aigu,
et s'appli- quent à sa gaine, ailleurs, c'est au contact même du
nerf
, sur lui, que la séparation a lieu et que les deu
si les deux rameaux princi- paux suivent en long la face externe du
nerf
, d'autres branchioles le croisent obliquement,
ca- libre primitif, qu'ils traversent enfin la gaine fibreuse du
nerf
et se perdent dans son épaisseur. N'y a-t-il pa
ans la pie-mère ? 2 Il n'est pas rare, en examinant la surface d'un
nerf
, de voir une artériole d'assez gros calibre, ap
s un court trajet, disparaître brusquement entre les faisceaux du
nerf
et s'y perdre, semble-t-il. La suit-on dans son t
s'irradie pas, en conservant ce gros calibre, dans l'épaisseur du
nerf
: par le plus court chemin, elle gagne le centr
par le plus court chemin, elle gagne le centre, l'axe celluleux du
nerf
, et c'est là seulement qu'elle se dichotomise e
s cet axe cellulo-graisseux du ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 1, nerf, dans les grands espaces du névri-
llulo-graisseux du ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 1,
nerf
, dans les grands espaces du névri- lemme inte
nervorum. Il suffit d'inciser en long la gaine fibreuse d'un
nerf
et d'en dissocier les faisceaux, pour se rend
divi- sions plus fines des- tinées aux fascicules eux-mêmes. Le
nerf
, imprégné de tissu cellulo-adipeux, est ain
sang; aussi, quand la dé- rivation collatérale se porte sur un
nerf
, la congestion doit- Fig. 5 Distribution ar
mules, les caractères principaux de la circulation artérielle des
nerfs
: 1° Les nerfs superficiels sont tous accompagn
ctères principaux de la circulation artérielle des nerfs : 1° Les
nerfs
superficiels sont tous accompagnés, sur toute l
l'afflux direct et brusque du sang artériel, se retrouvent pour les
nerfs
. a. Quand un tronc nerveux reçoit ses artères
nerveux; elle se divise avant ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 15 5 d'y pénétrer, suivant l'un des modes que
cette bifurcation des artères afférentes, rampent, à la surface du
nerf
, se prolongent plus ou moins loin, suivant leur
iole arrive relativement volumineuse, se perd brusquement dans le
nerf
après l'avoir suivi sur une certaine lon- gueur
ourt chemin, et qu'une fois arrivée dans l'axe cellulo-graisseux du
nerf
, elle s'y ramifie, avant de s'immiscer et de fi
iscer et de finir entre les fas- cicules ; d.-Dans l'épaisseur du
nerf
,les branchioles les plus grosses se trouvent, e
our des fascicules qu'à un état de ténuité très grande.' Veines DES
nerfs
. Ce que nous venons de dire des dispositions et
se divisent en arcades, se prolon- gent en rampant à la surface du
nerf
, s'irradient en plexus dans son axe névrilemmat
16 U ANATOMIE. Nous étudierons successivement : '1 les veines des
nerfs
superficiels; 2° les veines des nerfs profonds :
ssivement : '1 les veines des nerfs superficiels; 2° les veines des
nerfs
profonds : plexus, tissus nerveux satellites de
profonds : plexus, tissus nerveux satellites des gros vaisseaux,
nerfs
musculaires. I. Les nerfs superficiels sont pre
nerveux satellites des gros vaisseaux, nerfs musculaires. I. Les
nerfs
superficiels sont presque tous accolés à une gr
ils restent satellites sur tout leur parcours : tels la veine et le
nerf
saphènes internes, la veine et le nerf saphènes
rcours : tels la veine et le nerf saphènes internes, la veine et le
nerf
saphènes externes, le bra- chial cutané interne
i- vent des branches veineuses de second ordre. Les veines de ces
nerfs
superficiels devraient se jeter, semble-t-il, d
ses veines qu'ils accom- pagnent : il n'en est rien. Les veines des
nerfs
super- liciels se jettent constamment dans les
our types le saphène interne et le musculo- cutané à la jambe. Le
nerf
saphène interne, dans sa portion jambière (lig.
ong ramuscule qui suit le côté ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 17 interne du nerf, et que deux veinules accom
le côté ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES NERFS. 17 interne du
nerf
, et que deux veinules accompagnent; ces veinule
s rares et fines anasto- moses ; d'autre part, elles donnent au
nerf
jusqu'à quatre et cinq rameaux très peu dis-
une mince anastomose, et se bi- furquent, pour plonger dans le
nerf
. La figure 6 représente très exacte- ment ces
ositions constantes. Sur l'autre face de la jambe, et au pied, le
nerf
musculo-cutané reproduit aussi fort. nettement
nner de meilleure idée que la figure 7, dessinée d'après nature. Le
nerf
est représenté près Archives, t. XXIII. 2 Fi,
Fi,y. G. - Serf suphènc interne à la face interne du genou. NSI,
nerf
saphène. - A, grande anastomo tique et veines q
sa face profonde une grosse veine superficielle, branche fit. 7.
Nerf
)712LSC2ll(J-CilEd7tC à la jambe. ÉTUDE SUR LES
2LSC2ll(J-CilEd7tC à la jambe. ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 19 de la saphène externe (VV). Les veinules qu
19 de la saphène externe (VV). Les veinules qui émanent des deux
nerfs
, très nombreuses et très'riches, se ren- dent t
veineux sous- cutané proprement dit avec le réseau veineux des
nerfs
; aucun ra- meau direct ne s'étend des troncs
a- meau direct ne s'étend des troncs veineux su- perficiels aux
nerfs
qui cheminent près d'eux. On retrouve encore
mus- culo-cutané, au pied; aucune branchiole directe ne relie le
nerf
à la grosse veine sous-cutanée (V) qui le recou
? ? ? nt'o-( ? c pied. V, grosse veine sous-cutanée. V, reines du
nerf
se rendant aux veines profondes. - N, bran- che
bran- che du niusculo-cutane. B, fines anastomoses de la veine du
nerf
avec la grosse \ ci ne sous- cutanée. 20 ' AN
ramuscules ; de ceux-ci les plus gros plongent dans l'épaisseur des
nerfs
voi- sins, ou, pour mieux dire, se bifurquent à
ant d'anastomoses. Ce mode de terminaison profonde des veines des
nerfs
superficiels constitue un fait tellement général,
général, que, même aux doigts, les fines veinules qui émanent des
nerfs
collatéraux ne sont pas tributaires du riche pl
d'enfants, convergent vers le ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 21 bord postérieur du sterno-mastoïdien, et là
es. La loi ne souffre donc pas d'excep- tion : les veines des
nerfs
superficiels se jettent dans les vei- nes pro
sortir l'im- portance physiologi- que d'un pareil fait. Sur les
nerfs
pro- fonds, nous allons trouver des dispositi
r que primitivement, chez l'embryon, la distribution vasculaire des
nerfs
était tout autre, et que la facilité plus grande
lation embryonnaire amène la disparition de la première. ' Fig. 9.
Nerfs
collatéraux des doigts. N, N, nerfs collatéraux
ion de la première. ' Fig. 9. Nerfs collatéraux des doigts. N, N,
nerfs
collatéraux. V, V, vaisseaux colla- téraux. A,
rfs collatéraux. V, V, vaisseaux colla- téraux. A, A, A, veines des
nerfs
collatéraux se jetant dans les veines collatéra
rte distance : presque toutes ces branches sont communes aux deux
nerfs
, elles se divisent à la surface du premier d'entr
re. Où se terminent-elles ? Celles de la moitié inférieure des deux
nerfs
gagnent les veines thyroïdiennes inférieures, a
ée. C'est à ce réseau que se rendent, pour une part, les veines des
nerfs
satellites des grosses artères, de là d'étroite
muscles profonds du cou, ram- ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 25 pent à la surface, et, sur le bord externe
des muscles pré-vertébraux. . Il en sera ainsi pour les autres
nerfs
pro- fonds : très rarement leurs veines se re
oie est large, mais sou- vent obstruée, jamais toutes celles d'un
nerf
satellite n'aboutissent au tronc veineux voi-
on veuille bien jeter les yeux. sur la figure 11, qui représente le
nerf
, l'artère, et l'une des veines Fig. il. - Veine
résente le nerf, l'artère, et l'une des veines Fig. il. - Veines du
nerf
tibial postérieur. A, artère tibiale postérie
uscle jambier postérieur. - V, T, P, vein tibiale postérieure. - N,
nerf
tibial postérieu 26 ANATOMIE. tibiales postér
tre lesquels elles glissent. Les troncules veineux, qui émergent du
nerf
, ne se jettent pas d'emblée dans la veine tibia
ste une association intime des veines des muscles et des veines des
nerfs
, et, dans la pro- fondeur des membres, les unes
e tron- cule commun, active aussi la circulation veineuse dans le
nerf
lui-même. Voilà donc un premier débou- ché, le
onc un premier débou- ché, le plus important, ouvert aux veines des
nerfs
; il en est un second : les vasa vasorum de l'ar
richesse toujours extrême, et ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 27 qui n'est pas sans avoir son rôle pathologi
s dcw veines, l'une reçoit la veine névro-musculaire. M, muscle. N,
nerf
. 28 - - - ANATOMIE. et, transversalement, se
rtériel que se rend une assez grande partie des veinules émanées du
nerf
voisin. La figure 13 mon- tre ainsi le médian
ral : de là naît une dépendance étroite entre la circulation du
nerf
et celle de l'artère elle-même. Mais ce résea
ale (au bras) rece- vant les veines d'un tronc nerveux satellite (
nerf
médian). ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES N
eux satellite (nerf médian). ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 29 niveau de l'anneau, pour s'accoler à l'artè
iveau de l'anneau, pour s'accoler à l'artère. A la même hauteur, le
nerf
saphène interne satellite de l'artère suit sa f
émorale. Il, réseau des vasa vasorum de l'artère. - V, V, veines du
nerf
se jetant dans Je réseau des vasa vasorum. - C,
tionner à la fois la circulation de la paroi artérielle et celle du
nerf
satellite. Nous ne nous arrêterons pas sur les
e et celle du nerf satellite. Nous ne nous arrêterons pas sur les
nerfs
muscu- laires : les connexions de leurs vaissea
en . partagent toutes les conditions circulatoires. Arrivons aux
nerfs
des plexus. Ici, la complexité est grande, à pr
injection complète, permet de constater ce qui suit ( ? i5) : Des
nerfs
du plexus, richement vascularisés, émanent une
les ambiants. On retrouve donc, là encore, associées les veines des
nerfs
et les yeines musculaires. ' Nous n'insistero
s pas plus longuement, et nous ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 31 ne cherchons qu'à marquer les grandes ligne
s qu'à marquer les grandes lignes de celle circulation veineuse des
nerfs
. Quant au mode de division des affluents veineu
ant au mode de division des affluents veineux dans ¡épaisseur des
nerfs
, il leur mode d'émergence, à leurs arcades, nous
e, ordinairement, qu'une veinule par artériole, dans l'épaisseur du
nerf
. - Assez souvent, même en dehors de tout état v
soumis à des alternatives fréquentes d'extension et de flexion : le
nerf
tibial postérieur, derrière la mal- léole inter
ractères généraux des vasa ner- vorum veineux : 1° Les veines des
nerfs
superficiels se jettent toutes dans les veines
et l'aboutissant profond n'en existe pas moins; 2° Les veines des
nerfs
satellites d'un paquet arté- rio-veineux se ren
e mode d'émergence, de division intra-troncu- laire, des veines des
nerfs
est le même que celui des artères. L'étude qu
nous a révélé toute une série d'analogies entre la circulation des
nerfs
péri- phériques et celle des centres nerveux :
prochement se justifie de tout ÉTUDE SUR LES VAISSEAUX SANGUINS DES
NERFS
. 33 point. C'est la même richesse vasculaire, c
sent à' démontrer combien est assurée l'irrigation artérielle des
nerfs
. L'incidence oblique, la dichotomie régulière des
et le long trajet que chaque bran- chiole parcourt à la surface du
nerf
avant son immer- gence, les arcades interfascic
lu au jeu musculaire dans la marche du sang veineux. Les veines des
nerfs
superficiels se rendent toutes aux veines profo
ctement actionnées par la contrac- tion musculaire ; les veines des
nerfs
profonds s'anas- tomosent- constamment et large
qui se précipite, chassé par le muscle, entraîne celui qui sort du
nerf
. Ainsi, tout concourt à assurer la régularité d
es circulations collaté- rales ? - Il est, dans la pathologie des
nerfs
périphériques, tout un groupe d'accidents, esse
cès dyspnéiques, etc.), relèvent de cette anémie passagère des deux
nerfs
, brusquement privés de leur principale source d
rices, quand le processus d'ectasie s'étend jusqu'aux vaisseaux des
nerfs
, en créant autour de lui une véritable névrite
avons signalé les connexions étroites qui relient les vaisseaux des
nerfs
aux vasa vasorum de l'artère voisine : la nutri
e : la nutrition des parois vasculaires et - ,\ - . . t celle des
nerfs
voisins sont, par suite, intimenent associées ,
bitieuses', et je ne l'ai 1 L'un de nous a observé l'altération des
nerfs
du cordon sur un paquet de veines variqueuses,
4° des rétinites et des hémorrhagies rétiniennes; 5° l'atrophie du
nerf
optique. Les quatre premiers n'existent pas che
re premiers n'existent pas chez notre malade. Quant à l'atrophie du
nerf
optique,- inutile de faire remarquer qu'elle es
a Salpêtrière, le 21 août 1890. 1 Jlartin Joannès. De l'atrophie du
nerf
optique et de sa valeur pro-, nostique dans la
-sept ans d'une tuberculose pull monaire, n'ajamais eu de crises de
nerfs
. Un frère mort à un an de convulsions. ASTASI
une névrite périphérique du trijumeau une lésion profonde du même
nerf
(comme, par exemple, tumeur de la dure-mère compr
sa portion sensitive ou grande portion que la racine ascendante du
nerf
est surtout sensitive que sa racine cérébelleus
bres dégétérées, probablement parce qu'il reçoit un apport du grand
nerf
pétreux superficiel ; ce dernier nerf élait, da
'il reçoit un apport du grand nerf pétreux superficiel ; ce dernier
nerf
élait, dans son trajet intercrânien, lésé 'par
sous la réaction pupillaire de l'hémianopsie. Atrophie partielle du
nerf
optique. Légère parésie spasmodique de l'extrémit
res du tubercule supérieur du même côté. Intégrité des moyennes des
nerfs
. P. K. ' ' XVI. D'UNE paralysie isolée du NERF
des moyennes des nerfs. P. K. ' ' XVI. D'UNE paralysie isolée du
NERF
sus-scapulaire gauche; par SPERLING. (NC ! l1'o
auses inconnues, la névrite se loca- lise dans une branche, dans le
nerf
sus-scapulaire. P. K. 100 REVUE DE PATHOLOGIE N
ièrement marqués sur l'éminence thénar et hypothénar. Intégrité des
nerfs
et des muscles. C'est à l'altération des faisceau
ent livre passage à des fibres sensitives qui unissent l'écorce aux
nerfs
cérébro-spinaux. Que deviennent ces fibres plus
eurol. Ceut1'<1lbl., 1890.) On sait que, dans les névrites des
nerfs
des extrémités, les ongles sont friables, perde
fines aux dépens des grosses (racines postérieures et antérieures,
nerfs
périphériques). Comme il est impossible d'établ
sont susceptibles de réparation; elles siègent dans les organes des
nerfs
sensibles, surtout dans les cordons postérieurs
crite. Bulbe rachidien. Les questions restées dans l'urne étaient :
nerf
de la langue; ;nerf spinal. L'épreuve orale a é
en. Les questions restées dans l'urne étaient : nerf de la langue; ;
nerf
spinal. L'épreuve orale a été : diagnostic de l
reconnaîtraient des lésions peu profondes des noyaux bulbaires des
nerfs
moteurs de l'oeil, car, ajoutent-ils, elles ont
sence mobiles et passagères. Quant à l'amblyopie et à l'atrophie du
nerf
optique dans le diabète, nous avons vu plus hau
émorrhagies, tantôt à une atrophie simple, générale ou partielle du
nerf
optique ou de la rétine, tantôt à une atrophie
ment plus ou moins considérable du champ visuel et avec atrophie du
nerf
optique. Les auteurs signalent à peu près tous
s de l'achromatopsie en somme de même nature que dans l'atrophie du
nerf
optique en général. » Pour Althaus « le renseig
rétinites, des hémorrbagies rétiniennes et peut-être l'atrophie du
nerf
optique. Or l'oeil tabé- tique se présente avec
le appelle une crise nerveuse, car elle n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. C'est après cette crise que sa faiblesse de cara
ont faibles, mais nullement entravés. L'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles est normale. Les réflexes planta
e déterminé avec précision. R. M. C. IX. NOTE SUR UNE atrophie DU
nerf
OPTIQUE QUI précède LES SYMP- TÔMES MENTAUX DE
lut que lorsqu'on se trouve en présence d'une atrophie primitive du
nerf
optique, sans cause appréciable, et qu'à cette
nettement définies et correspondent rarement à la distribution d'un
nerf
particulier. L'analgésie étant -un symptôme nég
estomac, en arrive, sous l'influence des troubles de nutrition des
nerfs
spéciaux ganglionnaires, à ressentir des sensat
fonctions sont envahies par l'intermédiaire du grand plexus, et les
nerfs
eux-mêmes, sous le coup d'une stimulation spécial
phoïde qui épuise l'alimentation des . REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 33
nerfs
intestinaux et peut donner naissance, après la-co
rique. On constate à l'autopsie une dégénérescence très avancée des
nerfs
, elle est des plus marquées dans la partie la p
s'atté- nuant jusqu'au ganglion géniculé. Au-dessus du ganglion, le
nerf
est tout à fait normal; le ganglion lui-même es
'altérations inflammatoires; intégrité des part'es qui entourent le
nerf
, pas trace de compres- sion. C'est donc une név
moyenne, cé- phalalgie localisée, vertiges, paralysie de différents
nerfs
crâniens, mydriase unilatérale, puis tout cesse
nie, compliqué de l'hyper- excitabilité mécanique et électrique des
nerfs
(phénomène de Trousseau). Il est du reste inadm
Trousseau est le produit, et le produit unique, de l'excitation des
nerfs
. La réaction myotomique tient à une modificatio
ssi en pareils cas doit être rattachée à un trouble fonctionnel des
nerfs
trophiques. Le mémoire sera publié in extenso'.
itants appropriés sur l'appareil terminal de la sensibilité, sur le
nerf
lui-même, et probablement aussi sur les ganglio
. De chaque côté de l'artère obturée et de la veine affaissée, le
nerf
optique est atrophié ; cette atrophie très marqué
en est de même des granulations internes; la couche des fibres du
nerf
optique est très amincie; néanmoins, au voisinage
imentations toutes récentes. En revanche l'atrophie si prononcée du
nerf
optique tient à l'obstruction par thrombose des
- niers temps seulement, elle prend le caractère de la névrite du
nerf
sciatique. Plus tard, surviennent des symptômes d
ions énormes ; elle se propage à travers l'os ilei en comprimant le
nerf
sciatique, et, après avoir pénétré dans le cana
ophié; contractilité élec- trique normale. Aucune lésion des autres
nerfs
cérébraux. Pupilles égales; à la lumière leur r
hie faciale proprement dite, sans aucune complication de la part du
nerf
sym- pathique, et rattache les cas de ce genre
et pas que l'hémiatrophie faciale soit provoquée par une lésion des
nerfs
trophiques, leur existence n'étant pas prouvée.
moteurs, liée à une excitation des centres de la cinquième paire de
nerfs
. La cause excitante pourrait agir soit directemen
t agir soit directement sur le centre, soit par l'intermédiaire des
nerfs
centripètes. M. le Dr D : IItKSCIIEVITSCII. En
admettant la dépendance d'une 256 SOCIÉTÉS SAVANTES. affection du
nerf
trijumeau, il serait plus exact de localiser la
nts. M. le Dr DARKSCHÉVITSCH l'attribue à l'irritation exagérée des
nerfs
sensitifs si, en même temps, la fonction des ne
ion exagérée des nerfs sensitifs si, en même temps, la fonction des
nerfs
moteurs n'est pas complètement abolie. M. le
-année après le début de la mala- die. A son entrée à la clinique :
nerfs
douloureux à la pression et oedème des pieds. S
et racines normales; altération parenchy- mateuse peu prononcée des
nerfs
périphériques. Atrophie à un haut degré et dégé
SIE HYSTÉRIQUE. 329 9 Ce n'est pas là évidemment le territoire d'un
nerf
spécial. Ce n'est pas non plus une aire vascula
laude Bernard on la considère comme le résultat de l'excitation des
nerfs
vaso-dilatateurs. On doit reconnaître que dans
i les accompagne, ce qui prouve qu'ils dépen- dent de la parésie du
nerf
vague et de l'accessoire. L'autopsie révèle l'i
provoque une hyperexcitabilité de l'oesophage et de l'eslo- mac. Le
nerf
vague et l'accessoire ont donc pour fonction de r
amincies par la tumeur et le calibre un peu dilaté. Du même côté le
nerf
de la sixième paire était atteint par la tumeur
timement associé. A droite, il y avait sim- plement contact avec le
nerf
et l'artère, et non continuité orga- nique comm
l'appareil d'association, les mêmes rapports que la perception des
nerfs
sensibles et sensoriels. Les actes qui procèdent
du pneumogastrique, les noyaux externes, internes et antérieurs du
nerf
auditif, les cellules de l'éminence grêle (eminen
. M. le D' E. KAGAN. Contributions à l'élude de la pathologie des
nerfs
du larynx. Le rapporteur présente un malade qui s
pourrait être occasionné par l'irritation des fibres sensitives du
nerf
vagus par deux tumeurs symétriques, qu'on peut
y a un simple amincissement des fibres musculaires, tandis que les
nerfs
périphériques aussi bien que les cellules nerve
angue, névrose peu commune de la -, par Bernhardt, 100. - Larynx,
nerf
du -, par Kagan,440. Maladies mentales, dans le
repelin,'91; -et sa folie, par Mackenzie, 217. NÉCROLOGIE, 287.
Nerfs
, vaisseaux sanguins des -, par Quénu et Lejars,
1' -, par Courtenay, 224; Buttemberg, 438. Optique, atrophie du
nerf
-, par Wiglesworth, 219. PARALDÉHYDE, comme h
athologique de la Faculté.) 1 Certaines affections chroniques des
nerfs
, primitives ou consécutives à une maladie de la
hie complète, à celle qui s'observe dans l'extrémité inférieure des
nerfs
sectionnés. Nous nous proposons de montrer dans
droit, croyons-nous, être rapprochés des premiers. rl État des "
nerfs
périphériques dans l'empoisonnement lent par le
s'est produit chez aucun de paralysie véritable. Et cependant les
nerfs
périphériques sont, ainsi que nous allons le mo
cre de jeter les yeux sur la figure , représentant un faisceau du
nerf
sciatique chez un cochon d'Inde soumis à l'action
lésion n'est pas toutefois aussi prononcée dans tous les points du
nerf
. D'une façon générale les fibres malades ont de
uecontrairelllent. à ce qui se passe dans le cas de la section d'un
nerf
, l'altération ne porte ici que sur une étendue
ocs volumineux, comme cela s'observe dans le bout infé- rieur des
nerfs
sectionnés, celle-ci est devenue fine- ment gra
ent compte de ce que nous ont appris les expériences de section des
nerfs
, que ce segment infé- rieur doit son intégrité
entaires totales, ne sont pas les seuls qui se rencontrent dans les
nerfs
que nous étudions en ce moment. Soit que le pro
ar M. Ranvier au voi- sinage des étranglements annulaires, dans les
nerfs
irrigués par l'eau salée'. Nous pensons qu'ici
iffèrent de celles que l'on observe dans la partie périphérique des
nerfs
sectionnés. D'un côté, lésions identiques et à
s éléments nerveux du tube, et, plus tard, régénération possible du
nerf
par formation de tubes nerveux nou- veaux, déve
arition peut s'effectuer cependant, mais le fait est rare, dans les
nerfs
que nous avons examinés. Dans ce cas, la lésion
raît pas différer de celle qui s'observe dans le bout inférieur des
nerfs
sectionnés; dans certaines fibres, la myéline s
u'une fibre aussi dégénérée peut faire suite, dans la continuité du
nerf
, à un segment interan- nulaire parfaitement nor
se continuer avec une fibre large. Du reste, lorsqu'on examine le
nerf
à l'aide de coupes transversales, il est possib
de deux processus distincts évo- luant parallèlement dans les mêmes
nerfs
, ou si, -au contraire ,. ces^deux formes anatom
nche II, jusqu'à la figure 15 inclusivement, ont trait à l'état des
nerfs
dans l'intoxication saturnine chez le cochon d'In
saturnine chez le cochon d'Inde. , : Les troncs nerveux (sciatique,
nerfs
du plexus brachial, etc.) ont été préparés de l
e solution forte de- picro-cal-miIl pendant 24 heures au moins. Les
nerfs
ont été recueillis aussi ' frais que possible.
erfs ont été recueillis aussi ' frais que possible. Dans un cas, le
nerf
sciatique a été réséqué' sur' l'animal vivant e
nfluence d'u"n'è "e-lxcl it1-P tion portant à la périphérie sur les
nerfs
sensibles. C'est ce que fera bien comprendre la
maître émi- nent, sont dans un état de contraction continué, les
nerfs
moteurs 'qui les innervent doivent être aussi en
n est de même de la partie de la moelle qui donne naissance a ces
nerfs
. Cet état de contraction Continué' des muscles a
P'l'lCi.L.JIJ T ? 4 .JI -- 1,... ? 4 1\1 1\ .1.11., hJ - lément les
nerfs
sensitifs allant isolément du sphincter qfjp ?
'lS6l'to C /)11.. JJ : J ? (,. - i réflexe, et que la section. des
nerfs
sensitifs^ provenant ;;¡'11nJlK¡ 11 \.)Il 1 ? 1
'fit ? » 'Ih 11 ? 1111''11' ' , e : 1Jl"" J'I')I" ? J 1 -. 1 - des
nerfs
sensibles 1. r , , ? 1 - i ? ? "lrlJal'a .;1"1'\1
muscle : Si on coupe les1 racines postérieures, correspondant aux-
nerfs
de tout'un membre, on observe des troubles mote
rsqu'on'sectionne toutes les racines postérieures correspondant aux
nerfs
d'un membre,,on remarque une certaine gêne dans
l'on coupe, dit M. Vulpian \ toutes les,, racines postérieures des
nerfs
destinés à1' un des membres postérieurs ;' on v
me. A 5 ou 6 reprises différentes, elle aurait eu des « attaques de
nerfs
. » Une fois dans le service de M. Moreau, elles
estion assez prononcée. Les artères de la base sont normales. Les
nerfs
crâniens sont réguliers. Le pédoncule cérébral
Absence d'antécédents héréditaires. Emotions morales et attaqu s de
nerfs
pendant la grossesse. - Convulsions dans la premi
le. Mère, 40 ans, fleuriste, nerveuse : elle a eu des attaques de
nerfs
pendant qu'elle était enceinte de la malade. Son
uentes avec sa belle-mère, auxquelles elle attribue les attaques de
nerfs
, dont il a été question plus haut. L'accoucheme
uide céphalo-rachidien en quantité normale. - Artères de la base et
nerfs
crâniens, symétriques.L'MMteHce mamillaire droi
tions , qui, à ce niveau, étaient dures et hypertrophiées; tous les
nerfs
de la base du crâne, la protubérance et le bulb
atures ofthe head. Londres, 1879. Recherches sur l'échauffement des
nerfs
et des centres nerveux à la suite des irri- tat
viations du galvanomètre en irritant la périphérie ou le tronc d'un
nerf
sensitif. Toutes ces opérations délicates se font
ui paraissaient établir une connexion croisée entre les origines du
nerf
de la sixième et celui de la troisième paire.
es qui vont, par un trajet-croisé, former une partie des racines du
nerf
moteur oculaire commun du côté opposé ; II. Que
r un trajet croisé, former une partie des faisceaux radiculaires du
nerf
pathétique du côté opposé. Ces fibres, en renda
ey, mais qu'elle est contenue avec lui dans une gaine commune. - Le
nerf
de Wrisberg et le tronc principal sont intimeme
ue les filets de la corde du tympan sont entièrement fournis par le
nerf
intermé- diaire. Il a pu suivre ce nerf jusque
entièrement fournis par le nerf intermé- diaire. Il a pu suivre ce
nerf
jusque dans les prolongements du ganglion, et l
est arrivé aux conclusions suivantes : 1° La corde du tympan est un
nerf
distinct dans toute son étendue ; 2° Elle naî
pan est un nerf distinct dans toute son étendue ; 2° Elle naît du
nerf
de Wrisberg et non du facial ; 3° Sa fonction s
on sensorielle spéciale a son origine dans le ganglion situé sur le
nerf
de Wrisberg dans le protoplasma granuleux duque
facial contient en ce point des filets gustatifs, mais parce que le
nerf
subitement séparé de son support a reçu un tel
filets d'origine, le goût sera presque entière- ment détruit. Si le
nerf
de Wrisberg est coupé dans l'aqueduc en arrière
ilets gustatifs dans le facial mais au choc transmis au ganglion du
nerf
de Wrisberg. On ne doit jamais perdre de vue que
lion du nerf de Wrisberg. On ne doit jamais perdre de vue que les
nerfs
, même s'ils ne sont pas touchés, peuvent souffrir
x que chez les mammifères et qu'ils n'avaient aucun rapport avec le
nerf
optique et les nerfs oculo-moteurs. 128 . REV
fères et qu'ils n'avaient aucun rapport avec le nerf optique et les
nerfs
oculo-moteurs. 128 . REVUE d'anatomie. Guil
profonde des colonnes de Turck et se terminent dans les noyaux des
nerfs
cervicaux. Ils président aux impressions visuel
produit un ralentissement du coeur presque aussi notable que si le
nerf
du côté opposé était intact. » Ce ralentissemen
coeUl'résulte d'une action réflexe dont la voie est précisément le
nerf
en expérience, ce que M. Franck démontre : 1°
cond lien qui interrompt la voie centripète ; 2° Par une section du
nerf
assez subite pour précéder l'action réflexe cen
sensations de tem- pérature et de pression sont transmises par des
nerfs
différents, car un même agent ne peut pas à la
e peut pas à la fois diminuer et augmen- ter l'excitabilité du même
nerf
. Par cette méthode, l'auteur a, quant à présent
dou- leur pour les impressions de température augmente. Donc, les
nerfs
du tact et de la douleur ne sont pas identiques.
un liquide muco-purulent épais. Les sinus pétreux étaient sains. Le
nerf
facial était entouré d'une couche de pus qui re
e commun droit. En mars 1879, hémiplégie gauche; la paralysie des
nerfs
crâniens persistant, cette hémiplégie guérit. En
'érosion des surfaces correspondantes du rocher et du sphénoïde. Le
nerf
optique droit était aplati et ramolli. A la cou
hec de sa méthode comme l'in- dice d'une lésion organique, soit des
nerfs
qui se distribuent aux muscles paralysés, soit
ott; après avoir consacré quelques pages aux degénérations dans les
nerfs
périphériques et à la régénération de ces nerfs
énérations dans les nerfs périphériques et à la régénération de ces
nerfs
, M. Arnozan s'applique à étudier les atrophies
ux akinésies, à l'exclusion des paralysies de la sensibilité et des
nerfs
vasculaires. En l'absence d'examens microscopiq
res d'anatomie et de physiolo- gie, relatifs à l'origine réelle des
nerfs
de l'oeil et à la détermi- nation des centre/vi
nant compte des données fournies par les expériences de section des
nerfs
, il I est difficile de comprendre une localisat
12 178 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. effectuées sur un point limité du
nerf
, amenant à leur suite la destruction du cylindr
action de l'acide osmique, est encore bien plus mani- feste sur les
nerfs
traités par l'acide chromique et colo- rés par
e, par comparaison, les différents détails révélés par l'examen des
nerfs
préparés à l'aide de l'acide osmique.. NÉVRIT
. Au contraire de ce qui s'observe à la suite de la sec- tion des
nerfs
, ce n'est pas ici le protoplasma du seg- ment i
vier, à propos des faits expérimentaux, relatifs à la section des
nerfs
. On sait que, d'après cet observateur, les modi
s cet observateur, les modifications anatomiques observées dans les
nerfs
à la suite de la section sont très différentes,
nvisage l'extrémité du bout supérieur ou le bout inférieur de ces
nerfs
. D'un côté, on est en présence de phénomènes in
de l'autre, se développent les conséquences de la sépa- ration du
nerf
d'avec ses centres nourriciers. Nous croyons, p
de la né- vrite péri-axile, processus inflammatoire frappant les
nerfs
qui ont conservé leurs relations avec le centre
tion très comparable à celle qu'elle présente après l'imbibition du
nerf
par l'eau salée dans l'expé- rience de M. Ranvi
que nous avons décrites font défaut dans le bout infé- rieur des
nerfs
sectionnés, excepté toutefois au voisi- nage im
me de rapprocher le gonflement moniliforme du cylindre axe dans les
nerfs
périphériques de celui qui frappe le mênie élém
de la destruction; il est, dès lors, très admis- sibleque, dans les
nerfs
périphériques, un état analogue aboutisse au mê
tervention d'aucune cause mécanique. L'histoire de la section des
nerfs
vient, à ce propos, nous fournir des données im
s importantes appuyées de l'autorité de M. Ranvier. La section d'un
nerf
crée, en effet, un foyer inflammatoire dans leq
r inflammatoire dans lequel viennent plonger les deux extrémités du
nerf
sectionné. Pour ces deux extrémités, au voisina
l'appui de cette manière de voir : après avoir opéré' la section du
nerf
sciatique chez *un cochon d'Inde, nous avons pr
s avons pratiqué, au cinquième jour, l'examen du bout central de ce
nerf
. Or, ici, en raison de circons- tances qui nous
son de circons- tances qui nous échappent, bien que la section du
nerf
eût été complète, le bourgeonnement inflamma- t
e', contenant de nombreux leuco- cytes ; dans la partie profonde du
nerf
, au contraire, les tubes, faciles à dissocier,
, iden- tiques aussi à celles que nous avons rencontrées dans les
nerfs
atteints de névrite spontanée, il est naturel d
aumatique, observé chez l'homme, ne présente pas de difficulté. Les
nerfs
non sectionnés par la balle^ traversaient le fo
tate au niveau du trait de section- qui divise expérimentalement un
nerf
, et que les lésions segmentaires que nous y avo
ion de la cellule nerveuse entraîne à sa suite la dégé- nération du
nerf
, et équivaut, en quelque sorte, à'une section d
cendante constatée dans certains faits de section expérimentale des
nerfs
où on a vu les altérations se montrer tout d'ab
minance des lésions dégénératives dans la partie périphérique des
nerfs
, est susceptible de recevoir une explication tr
même niveau sur toutes les fibres que celle-ci atteint dans un même
nerf
. Or , si nous supposons que cet accident se soi
toutes seront affectées. 188 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. périphérie du
nerf
, plus grand sera le nombre des fibres affectés
cines antérieures étaient attein- tes ; il en était de même pour un
nerf
purement sensitif, NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXI
, NÉVRITE SEGMENTAIRE PÉRI-AXILE. 189 le trijumeau, mais comme le
nerf
facial examiné dans le même cas a été trouvé sa
mme et paraît jouer un rôle important dans certaines affections des
nerfs
périphériques où l'on n'avait signalé jusqu'à p
eur allemand et considérées comme liées à l'évolution nor- male des
nerfs
; mais nous croyons que, dans les faits relatés pl
sque entre en contraction, pourvu qu'il soit encore relié par les
nerfs
à la moelle. Cette contraction réflexe, si bien
à rapprocher du tracé B(/Sy ! 6)\ qui été pris après la section 'du
nerf
, c'est- à-dire dans 'des conditions telles qu'i
la grenouille. - A, secousse du gastrocnémien1 avant la section du
nerf
; - B, même secousse après la section du nerf. ,
n1 avant la section du nerf; - B, même secousse après la section du
nerf
. , ? , , , .' , 196 PATHOLOGIE INTERNE. t 1 d
berculeuse. Pas d'excès de boisson,, de migraines, ni d'attaques,de
nerfs
. [Père, mort à 85 ans, sans paralysie. - ftlète
plus transparent mais à demi coagulé. En soumettant une partie d'un
nerf
aux mêmes vapeurs, on constate que les tubes ne
: jamais Treub n'a vu une excitation portée à la péri- phérie d'un
nerf
, si énergique qu'elle fût, être suivie d'une ab
aboutissant à la névrite parenchymateuse. IX. DE l'excitabilité DU
nerf
DÉPRESSEUR avant la piquue DU PLANCHER DU 1° VE
le piqûre ) ni par action réflexe ( excitation du bout cen- tral du
nerf
dépresseur du même côté). C. Après excitation e
tre intact), soit par action réflexe (excitation du bout central du
nerf
dépresseur du côté sain). '$ REVUE DE PII1'sI
sur des chiens et des la- pins, établissent : 1° L'existence des
nerfs
vaso-dilatateurs du foie et des or- ganes abdom
s abdominaux émanant de la moelle par les trois premières paires de
nerfs
dorsaux; 2° L'hyperglycémie et la glycosurie ré
lycosurie résultant de l'excitation faradique des boutscentraux des
nerfs
vagues chez le chien, des nerfs dépresseurs che
n faradique des boutscentraux des nerfs vagues chez le chien, des
nerfs
dépresseurs chez le lapin et des nerfs sensibles
fs vagues chez le chien, des nerfs dépresseurs chez le lapin et des
nerfs
sensibles en géné- ral, sont le résultat d'une
ral, sont le résultat d'une impression apportée par ces différents
nerfs
aux centres vaso-dilatateurs cheminant dans la mo
eminant dans la moelle jus- qu'à la hauteur de la première paire de
nerfs
dorsaux, à partir de laquelle, jusqu'à la trois
sortent de la moelle pour gagner la chaîne sympathique et de là les
nerfs
splanchniques; 3° L'arrachement des deux ou t
lanchniques; 3° L'arrachement des deux ou trois premières paires de
nerfs
dorsaux supprime l'effet, sur la circulation ab
r la circulation abdominale, des excitations des bouts centraux des
nerfs
vagues et des nerfs dépresseurs, et de la piqûr
ominale, des excitations des bouts centraux des nerfs vagues et des
nerfs
dépresseurs, et de la piqûre du plancher du qua
ONT. De leurs expériences, MM. Jolyet et Laffont concluent que le
nerf
trijumeau fournirait au facial par un trajet qu'i
latateurs que ce dernier contient dans son trajet intra-pétreux. Le
nerf
triju- meau devrait donc être considéré comme n
ntra-pétreux. Le nerf triju- meau devrait donc être considéré comme
nerf
dilatateur-type de la langue, des muqueuses nas
point le mouvement volontaire des muscles et la conductibilité des
nerfs
moteurs sont indépendants des pro- cessus dégén
sc. 1 et II, 1880.) XIX. NOTE SUR une DfSTR ! UUT[0.\ anormale des-
nerfs
de l'orbite QUI PERMET D'EXPLIQUER LA RECURRENC
égénération DU CI'LIDIIt-.11S dans les lésions non traumatiques DES
nerfs
; par HOGGA1. (The Lancet et Bl'it. med. Journal
do recherches a été entreprise sur des escharres intéressant les
nerfs
cutanés et a donné des résultats différents de ce
s'allongeant vers la périphérie. Quant à la portion périphérique du
nerf
, elle se segmenterait, et subirait la désin- té
. Lorsqu'il n'y a pas eu de rupture du cylindre-axe, l'extrémité du
nerf
présente peu à peu un ren- flement bulbeux anal
, l'étendue de la plaque diminue rapidement. Au niveau du quatrième
nerf
cervical parait encore dans le cordon postéro-l
encore presque complètement. A la hauteur des cinquième et sixième
nerfs
cervicaux, la plaque s'approche de plus en plus
eurement, la dégéné- ration n'est plus visible au niveau du premier
nerf
cervical. REVUE D'ANATOMIE PATHOLOGIQUE. 287
of Nervous and Mental Disease). L. LANDOUZY. VI. Altérations DES
NERFS
cutanés dans UN cas D'ICTHYOSE congénitale; par
cela,se rencontre- dans de stade ultime .de la déoénéreS7 cence des,
nerfs
! (t9f;e't P"f1Í : 1 p',b$ITff9{ocr ytmsqh .4,I c
àllalfin du'premier mois.' Dan if le sJcÓn'drn1oistÕÎÍ fàradisa les
nerfs
phréniques.'sans Sy v rrr .,t rrr n r r, . il ?
sie de la' région sourcilière' témoignât de la section effective du
nerf
; ! (21 nov.)'nm il oJ ,;Le 2 décembre, le'profe
alivairè ? Y .-E1nsuitell'excitabilité faradique et galvanique' des
nerfs
dimilo nua'j graduellement jusqu'à extinction'c
nua'j graduellement jusqu'à extinction'complète,'a'l'excëption ? du
nerf
auriculaire postérieur qui' resta normal' 'et' du
pro11 fessëur HÜter,lc¡chez 1 lesquels1'unè éldngatioriÍ' de1'grds *
nerfs
mixtes- ou.de plexus 1 des membres Il' Mai j¡ 1
nd, dentelé. (Serratus major des t Anglais) sous la. dépendance ,dU]
nerf
.du grand dentelé^ (Nerfl 0);acM/oMdes A ! lglai
gt;ment marqué' dans^l'action des» cour : ènts'r'électriqûés'surA ?
nerf
et le' muscle ? la paralysie est* de courte'dur
mettre'( qu'il, s'agissait d'une le ` sion intéressant, nv., pas le
nerf
lui-même, maIs ses origines intra-cérébrales. O
na, d la troisième paire. En recherchant les centres cérébraux' des
nerfs
. aecommodateurs,1'Hensen et Woelkers (A¡'chlV.
s dans les ,t t,,t C14r, 1, " '.i i ? Il'L'I111 li-- u." " v deux
nerfs
, avec , exacerbations nocturnes. 11 était pale et
, mais ne, présentait L pas de lésion appréciable, non plus que les
nerfs
optiques. , il ? r ru IJJ ? i' " t;-)h ? r""O0Î
tre l'hypothèse d'un trouble,tro- phique, dû au défaut d'action des
nerfs
émanés de la moelle au-dessous de la lésion et
ble, transmettant intégralement la pression sur les extrémités du
nerf
acoustique, celui-ci peut être altéré puis dégéné
ci peut être altéré puis dégénéré si la compression se prolonge. Le
nerf
acoustique une fois détruit, la surdité et la s
end, incurables. Si, au contraire, la compression cesse à temps, le
nerf
acoustique peut recouvrer, avec sa vitalité, son
ique, que des névroses étaient quelquefois liées à l'irritation des
nerfs
ciliaires. Ces faits sont intéressants pour ser
30 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. Femme souffrant d'une névralgie du grand
nerf
occipital gauche; quatre doses d'un demi-drachm
se reproduire. C. T. REVUE DE thérapeutique. 333 XI. Suture du
NERF
médian DIVISÉ; par le Dr 11ULRE. [Société cliniqu
été clinique de Londres, et the Lancet, février 1880, p. 288.) Le
nerf
médian avait été coupé à la partie inférieure de
vés par le médian persistant, on fit la suture des deux bouts du
nerf
préalablement avivés. Un mois après l'opération,
près la blessure ; au bout de vingt-quatre heures, les fonctions du
nerf
étaient rétablies. C. T. XII. EMPLOI DU protoxy
735 gr. Les différentes parties de la base de l'encéphale, artères,
nerfs
, chiasma, etc., n'offrent pas d'ano- malies. Ce
cin, avril 1880.) I. Rameau brachial volumineux venant du premier
nerf
inter- costal. On sait que le premier nerf inte
mineux venant du premier nerf inter- costal. On sait que le premier
nerf
intercostal peut émettre un petit rameau perfor
cas, il fournit le pre- mier rameau huméral, tandis que le deuxième
nerf
intercostal émet le second, et que le troisième
ue le deuxième nerf intercostal émet le second, et que le troisième
nerf
intercostal qui donne habituellement ce second
rouvé, il y a quinze ans, des deux côtés, chez un homme, un premier
nerf
intercostal volumineux qui émettait un gros ram
stérieure du coude. Le deuxième rameau huméral venait du deuxième
nerf
intercostal, et se perdait par ses ramifications
ux de l'aisselle. II. Anomalie non encore décrite dans le trajet du
nerf
fémoro-culané. Observée des deux côtés du corps
ée des deux côtés du corps, chez un homme, le 21 septembre 1865. Le
nerf
émergeait comme d'habitude du grand psoas ; pui
s l'épine iliaque antérieure et supérieure, il se plaçait à côté du
nerf
crural et descendait dans la cuisse avec lui, e
terminer ensuite comme normalement. III. Bifurcation anormale du
nerf
tibial antérieur. L'au- teur a observé l'anomal
l'artère pour s'unir à la branche externe sur le dos du pied, et le
nerf
poursuivait ensuite son trajet habituel. En 187
emblables au cas décrit par W. Türner, dans lequel deux branches du
nerf
tibial antérieur accompagnaient l'artère de cha
yant trait à une division analogue de la bran- che superficielle du
nerf
radial. MAYGRIER. VI. DOUBLES racines DE l'acou
elle du nerf radial. MAYGRIER. VI. DOUBLES racines DE l'acoustique,
NERF
DE L'AUDITION ET NERF DE l'espace ; par M. DUVA
GRIER. VI. DOUBLES racines DE l'acoustique, NERF DE L'AUDITION ET
NERF
DE l'espace ; par M. DUVAL. (Soc. de biologie, 21
es du bulbe de l'homme, M. Duval arrive à suivre assez nettement le
nerf
de la huitième paire, pour se convaincre, qu'ou
criptorius qui for- ment sa racine postérieure et superficielle, le
nerf
acoustique possède une racine antérieure et pro
ctions auditives, elles permettent plutôt de la considérer comme le
nerf
de la fonction des ca- naux semi-circulaires re
considérer : la racine posté- rieure de la huitième paire comme le
nerf
vraiment auditif; sa racine antérieure comme le
paire comme le nerf vraiment auditif; sa racine antérieure comme le
nerf
de l'espace. Il y a donc un sens de l'espace :
de ce sens, la racine antérieure de l'acoustique parait en être le
nerf
centripète de même que le cervelet en est l'org
s les réflexes coordina- teurs des mouvements. L. L. VII. SUR LES
NERFS
DE la MOELLE DES os ; par G. VARIOT et le Dr CH
siologie, 1880.) Annoncés par Duverney, contestés par Bichat, les
nerfs
de la moelle des os ont été décrits pour la pre
mmifères et même des oiseaux. Dans la moelle des os de l'homme, les
nerfs
marchent acco- lés aux vaisseaux; on peut les s
os du chien a semblé particulièrement favo- rable pour l'étude des
nerfs
. En les arrachant avec une pince, et en les agi
acilement les filets nerveux sur les ramifications vasculaires. Ces
nerfs
présentent la même disposition fondamentale que
Gros et eu égard à son abon- dance. L'obstacle à l'observation des
nerfs
vient surtout de la graisse dont elle est surch
avait été devan- cée par la physiologie dans la connaissance de ces
nerfs
ainsi que les expériences de Montegazza, Schiff
e Montegazza, Schiff et Vulpian, sur l'ac- tion vaso-motrice de ces
nerfs
en font foi. CH. FÉRÉ. VIII. NOTE SUR la morpho
° 37, p. 485, 1880.) La langue de la grenouille est innervée par le
nerf
hypoglosse et par un nerf plus important, que l
ngue de la grenouille est innervée par le nerf hypoglosse et par un
nerf
plus important, que les uns appellent branche g
lus important, que les uns appellent branche glosso-pharyngienne du
nerf
vague et les autres nerf facial ou nerf lingual
s appellent branche glosso-pharyngienne du nerf vague et les autres
nerf
facial ou nerf lingual. Si l'on vient à exciter
he glosso-pharyngienne du nerf vague et les autres nerf facial ou
nerf
lingual. Si l'on vient à exciter le bout périphér
gual. Si l'on vient à exciter le bout périphérique de chacun de ces
nerfs
, voici ce que l'on observe : 1 ° Excitation du
voici ce que l'on observe : 1 ° Excitation du bout périphérique du
nerf
grand hypoglosse. La langue molle et inerte, ap
tation vasculaire variqueuse. 2° Excitation du bout périphérique du
nerf
glosso-pharyn- gien. Pas de rétraction de la la
que, mais à la commissure inférieure. Ainsi, parmi les 5 racines du
nerf
optique, admises par Huguenin, il n'en existe e
e une paralysie vaso-motrice par suite de section, d'altération des
nerfs
ou des ganglions sym- pathiques. Plus souvent,
ncher, d'une excitation du bout périphérique bien isolé de certains
nerfs
. Elle est indirecte ou réflexe, lorsque l'exita
xe, lorsque l'exitation porte sur la moelle ou le bout central d'un
nerf
mixte, dans les névroses, les phlegmasies cutan
xcitation partie de la surface de l'endocarde, des terminaisons des
nerfs
sensibles, des méninges ou de la moelle, chemin
stincts et séparément excitables ; ils sont les points de départ de
nerfs
dilatateurs vasculaires qui cheminent dans la moe
cheminent dans la moelle jusqu'à la hauteur de la première paire de
nerfs
dorsaux, à partir de laquelle, peut être jusqu'
r- tent pour se jeter dans le tronc sympathique et de là dans les
nerfs
sphanchniques. L'arrachement de ces paires nerveu
le sang) produite par l'excitation faradique des bouts centraux des
nerfs
vagues chez le chien, des nerfs dépresseurs che
on faradique des bouts centraux des nerfs vagues chez le chien, des
nerfs
dépresseurs chez le lapin et des nerfs sensible
fs vagues chez le chien, des nerfs dépresseurs chez le lapin et des
nerfs
sensibles en général, est le résultat d'une imp
néral, est le résultat d'une impression apportée par ces différents
nerfs
, au centre vaso-dilatateur intra-bul- baire, d'
es cheminant dans la moelle jusqu'au niveau de la première paire de
nerfs
dorsaux, à partir de laquelle, jusqu'à la trois
sortent de la moelle pour gagner la chaîne sympathique et de là le
nerf
grand splanchnique. Les recherches de M. Laff
scularisation des excitations des bouts centraux, des vagues et des
nerfs
dépresseurs. Cet arra- chement supprime aussi l
le des organes abdominaux et démontre par conséquent l'existence de
nerfs
dilatateurs cheminant par ces racines. R. B.
minant par ces racines. R. B. MODIFICATIONS DE l'excitabilité DES
NERFS
ET DES muscles après la MORT; par ONIMUS. (Jour
- mie et de la physiologie, p. 629-653, 1880). Après la mort, les
nerfs
et les muscles perdent peu à peu leur excitabil
heures après la mort, l'excitabilité de la moelle a disparu. Les
nerfs
d'un même membre perdent toujours leur excita-
d'être excitables deux heures environ après la mort, tandis que les
nerfs
qui se rendent aux muscles fléchisseurs conser-
ouvent quatre heures plus longtemps que les autres. 0 De tous les
nerfs
, ceux qui conservent le plus longtemps leur exc
eux qui conservent le plus longtemps leur excitabilité, ce sont les
nerfs
du système ganglionnaire. Les mouvements vermic
actilité. R. BLANCHARD. XXXI. RECHERCHES SUR L'ORIGINE RÉELLE DES
NERFS
crâniens ; par MATELAS DUVAL. (Journal de l'ana
. Fibres radiculaires les plus supérieures du glosso-pharyn- gien ;
nerf
de Wrisberg. Le nerf intermédiaire de Wrisberg
les plus supérieures du glosso-pharyn- gien ; nerf de Wrisberg. Le
nerf
intermédiaire de Wrisberg émerge entre le facia
ntermédiaire de Wrisberg émerge entre le facial et l'acoustique. Ce
nerf
est formé par les derniers filets radiculaires
nce. On peut dire encore que REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 441 le
nerf
intermédiaire de Wrisberg est un des filets du gl
t un des filets du glosso- pharyngien, c'est-à-dire de la série des
nerfs
mixtes pneuno- gastriques du glosso-pharyngien.
érie des nerfs mixtes pneuno- gastriques du glosso-pharyngien. C.
Nerf
de Wrisberg chez l'homme. - Comme chez le singe,
gien. C. Nerf de Wrisberg chez l'homme. - Comme chez le singe, le
nerf
de Wrisberg est encore ici une radicule du glosso
M. Math. Duval recher- che quel peut être le rôle physiologique du
nerf
de Wrisberg et, en comparant les origines de ce
ysiologique du nerf de Wrisberg et, en comparant les origines de ce
nerf
avec celles du glosso-pha- ryngien, il arrive a
es du glosso-pha- ryngien, il arrive aux conclusions suivantes : le
nerf
de Wris- berg est certainement une racine sensi
so-motrice (vaso-dilatatrice) : les fibres accompagnent en effet le
nerf
lingual et vont aboutir à la langue où elles ser-
tation; elles ont donc les mêmes fonctions que la neuvième paire de
nerfs
crâ- niens. Le nerf intermédiaire de Wrisberg p
c les mêmes fonctions que la neuvième paire de nerfs crâ- niens. Le
nerf
intermédiaire de Wrisberg peut donc être con- s
tômes ne pourraient être produits que par une paralysie de tous les
nerfs
périphé- riques. L'auteur pense que, s'il eut e
é la « réaction de dégénération », qui prouve la dégénérescence des
nerfs
et des muscles. Sur la demande du docteur Shaw,
lésions avaient débuté par la base de l'encéphale ; l'atrophie des
nerfs
optiques devança de plu- sieurs années les prem
ne en tournant sur soi-même, et serait produit par l'irritation des
nerfs
qui se terminent dans les canaux semi-circulair
D'O. XXV. SUR la thérapeutique DES affections DE la 5° paire des
NERFS
crâniens ; De21tsches Archiv für Iv1222SChe Med2=
l'encéphale, de la moelle, de la moelle allongée, des méninges, des
nerfs
et des névroses, et les manifestations nerveuse
u Saulle, Magnan, Gaillard-Lacombe. La question était la suivante :
Nerf
de la 5e paire. Anatomie et physiologie. Lesdeu
ixées, pendant, ptusteurs.jours surletraiet des rameaux cutanés des
nerfs
,petit sciatique et rele- veur de, l'anus du côt
fulgurantes suivirent la,direction) de la. branche verti- cale du
nerf
saphène; interne zauche-1. et «une éruption pus
use se produisit, bient8tsursla peau des régions où se,dlstribue ce
nerf
.i .1-ivuoi os aaasu j J 8' - 911 ( ? l`il `1111
exe, de l'irritation des faisceaux radiculaires postérieurs sur les
nerfs
voso-moteurs qui émergent de la moelle par les
t survenir fréquemment à la suite de l'excitation douloureuse des
nerfs
sensitifs ou des racines postérieures de la moell
(CI. Bernard, Schiff, Vulpian) sont d'accord pour admettre que les
nerfs
vaso-moteurs qui émanent de la moelle emprunten
l a vu la section des racines postérieures des cinq ou six derniers
nerfs
dorsaux et des deux premiers lombaires suivie d
r le chien, admit que les filets vaso-dilataiezirs contenus dans le
nerf
sciatique quittent la moelle par les racines po
il, faites dans ces derniers temps, sur les réunions bout a bout de
nerfs
de fonctions différentes, tels par exemple l'hy
de suppo- ser que les irritations pathologiques développées sur un
nerf
sensitif, soit à son origine centrale, soit sur
ication sans qu'il soit nécessaire d'avoir recours à la théorie des
nerfs
trophiques. » (Charcot, loc. cit., p. 152.) 1 S
obtenues en soumettant à des courants faradiques et galvaniques des
nerfs
et des muscles dont il avait au préa- lable int
s déterminées dans les expériences en question par la ligature du
nerf
. Dans tous ces cas, la guérison s'effectuait en m
e développeraient simultanément'dam tout le segment périphérique du
nerf
paralysé. B. Altérations à l'endroit de la liga
nce à l'égard du processus de néofor- mation, et la partie saine du
nerf
ne fournissant pas de fais- ceaux de nouvelles
ous ce titre, l'auteur fait ressortir la perte de l'excitabilité du
nerf
dans les 2 à 4 jours qui suivent l'interruption
ée, ainsi qu'en témoigne l'anatomie pathologique des muscles et des
nerfs
atteints correspondants. L'absence de poliomyél
ire progres- sive3 La localisation des phénomènes pathologiques aux
nerfs
moteurs entraîne l'auteur à établir l'atteinte
égrité des fibres sensitives dans l'inflammation parenchymateuse du
nerf
; aussi se rallie-t-il à l'admission de l'entité
rophique. On constate en' même temps les lésions des muscles et des
nerfs
périphériques propres à cette maladie. En man
couche optique est lésée, l'impression sensorielle transmise par le
nerf
optique sera pervertie et il y aura illusion. S
2° Céphalalgie;- 3° Vomisse- ments ; 4° Vertiges; 5° Altération des
nerfs
moteurs (spasmes et paralysies) ? 6° Altération
tion des nerfs moteurs (spasmes et paralysies) ? 6° Altération des.
nerfs
sensitifs (face, membres, tronc); 7° Troubles p
on d'abord pénible, devient facile, puis automatique, en créant aux
nerfs
des conditions anor- males. Le bégaiement a sou
yramidaux (moelle dorsolombaire). Méningite chronique, atrophie des
nerfs
optique et acoustique. P- K. LXXXIV. DE QUELQ
s annulaires des vaisseaux, soit à une trop faible excitabilité des
nerfs
vaso- dilatateurs ; l'auteur croit voir la preu
édo- minance des vaso-constricteurs), pensant que l'existence des
nerfs
trophiques n'est que problématique. Enfin, il fai
rmi les trente-sept cas de myosis, il y avait huit fois atrophie du
nerf
optique. Sur les soixante et onze cas, quarante
601 che atrophie et paralysie complètes des muscles animés par le
nerf
radial, à l'exception du long supinateur, légère
otence musculaire passagère, sont produits par la compres- sion des
nerfs
; le choc du cubital au niveau du coude suffit à
dues à ce qu'on appelle des fausses positions, à la compression des
nerfs
du bras par la tète, ou par le corps portant à fa
m° S..., dame très nerveuse, souffrait d'une névralgie violente des
nerfs
qui sortent du côté gauche du bassin. La veille
TABLE DES MATIERES. 655 Empoisonnementpar le plomb (état des
nerfs
périphériques dans l'), chez le cochon d'Inde,
ues, par Hammond, 587. Etalagistes, par Lunier, 485. Fibrome du
nerf
médian, par Rémy et Bulteau, 291. Fièvre (inf
rie précoce par la), par Henrot, 313. Fénioro-cutané (anomalie du
nerf
), par W. Gruher, 4 ? 9. Folie (guérison (le l
rière, par Bourneville et Regnard, 625. Icthyose (altérations des
nerfs
dans l') par Leloir, 289. Idiotie (contributi
64. Métallothérapie, par R. Vigoureux, 257, 413. Moelle des os (
nerfs
de la), par Va- riot et Remy, 430. Moelle épi
MyxoedGme, par Sauvage, 309. Nécrologie, 3 : i1, 511, 637, 640.
Nerfs
(modifications de l'excitali- lité des), et des
l'excitali- lité des), et des muscles la mort, par Onimus, 438.
Nerfs
(altération des) cutanés dans l'Icthyose, par L
Nerfs (altération des) cutanés dans l'Icthyose, par Leloir, 289.
Nerf
dépresseur (excitabilité du), après piqûre du 4
le, par Latfout, 279. N. Glosso-pharyngien (origines du) 440.
Nerf
intercostal (anomalie du le.,), par Grutier, 42
) 440. Nerf intercostal (anomalie du le.,), par Grutier, 428.
Nerf
médian (fibrome du), par Ré- my et Bulleau, 291
ier, 428. Nerf médian (fibrome du), par Ré- my et Bulleau, 291.
Nerf
médian (suture du), par Hulke, 333. Nerfs de
my et Bulleau, 291. Nerf médian (suture du), par Hulke, 333.
Nerfs
de l'orbite (distributionanor- male des), par L
Nerfs de l'orbite (distributionanor- male des), par Leuf, 284.
Nerf
tibial antérieur (anomalie du), par W. Gruher,
, 284. Nerf tibial antérieur (anomalie du), par W. Gruher, 429.
Nerf
de Wrisberg (origines du), 441. - TABLE DES M
nche II, jusqu'à la figure 15 inclusivement, ont trait à l'état des
nerfs
dans l'intoxication saturnine chez le cochon d'In
ion saturnine chez le cochon d'Inde. Les troncs nerveux (sciatique,
nerfs
du plexus brachial, etc.) ont été préparés de l
une solution forte de picro-carmin pendant 21, heures au moins. Les
nerfs
ont été recueillis aussi frais que possible. Da
nerfs ont été recueillis aussi frais que possible. Dans un cas, le
nerf
sciatique a été réséqué sur l'animal vivant et
al de l'hémisphère gauche, à 1(2 centimètre en avant du chiasma des
nerfs
optiques (c'est la face antérieure). s, mince
de l'hémisphère gauche, à 1 112 centimètre en avant du chiasma des
nerfs
optiques. (C'est la face postérieure). NC, no
be fcontalde l'hémisphère gauche, a 8 mill. en avant du chiasma des
nerfs
optiques. (C'est la face posté- rieure.) T p,
du lobe frontal de l'hémisphère gauche, tout contre le chiasma des
nerfs
optiques. l', substance blanche du lobe pariéta
rontal, de l'hémisphère gauche, à 1 cent. en arrière du chiasma des
nerfs
optiques. ( C'est la face posté- rieure.) T o
. si faisceau longitudinal inférieur. o ! ln o, origine grise des
nerfs
optiques. t c, trigone cérébral. Vm, ventricu
e, nous nous bornerons à une simple énumératiou, notamment pour les
nerfs
et les muscles. CAS DE SCLÉROSE LATÉRALE AMYOTR
atrophiques ordinaires de la sclérose latérale amyotrophique. Le
nerf
hypoglosse est nettement altéré. Quant aux autres
phique. Le nerf hypoglosse est nettement altéré. Quant aux autres
nerfs
(médian, cubital, radial), ils ne présentent pas
qu'il soit pathologique. Nous n'avons pas eu à notre disposition de
nerfs
ni de muscles des extrémités inférieures. 20
es prises par M. Vigoureux sur l'état électrique des muscles et des
nerfs
ont été perdues; les résultats qu'il avait obtenu
té recherchées que dans un nombre assez restreint de ceux-ci. Les
nerfs
hypoglosses droit et gauche étaient nettement alt
nerfs hypoglosses droit et gauche étaient nettement alté- rés ; le
nerf
plantaire interne droit semble présenter aussi
s fibres altérées et peut-être un peu de sclérose. Quant aux autres
nerfs
examinés, nerf cubital droit, nerf médian gauch
s et peut-être un peu de sclérose. Quant aux autres nerfs examinés,
nerf
cubital droit, nerf médian gauche, nerf collaté
u de sclérose. Quant aux autres nerfs examinés, nerf cubital droit,
nerf
médian gauche, nerf collatéral interne du pouce
aux autres nerfs examinés, nerf cubital droit, nerf médian gauche,
nerf
collatéral interne du pouce, ils n'ont pas prés
les regarder comme sûrement patholo- giques. L'examen des coupes du
nerf
sciatique, à sa partie supérieure, permet de co
ALE altérations DE la moelle ÉPINIÈRE causées par l'élongation du
nerf
sciatique ' ; Par PAULINE TAUNOWSKL Bénédikt2
oscopique d'un tabétique auquel on avait pratiqué l'élongation du
nerf
sciatique. Une grande amélioration s'en était s
s cordons postérieurs de la moelle. Nicoladoni élongea les quatre
nerfs
intercostaux inférieurs à un malade qui mourut
eurs à un malade qui mourut le lendemain. La moelle épinière et les
nerfs
sus-nommés furent trouvés parfaitement indemnes
vation de Laquer : Un malade soumis à la traction bilatérale des
nerfs
sciatiques mourut le neuvième jour d'une hémorr
linique du professeur Gussèn- bauer) fit une traction bilatérale du
nerf
sciatique à un ataxique souffrant en outre d'un
etc. Le malade se fit opérer à Berlin. Une traction bilatérale des
nerfs
sciatiques lui fut faite, d'après son désir. Du
ès le second jour, le pus se fraya un chemin le long de la gaine du
nerf
, et le malade mourut un mois après l'opération.
emnes. Sur les coupes faites au niveau du quatrième et du cinquième
nerf
lombaire, on trouvait du pigment dans les cellu
antérieures. Pas de vacuoles. Région dorsale : Au niveau du dixième
nerf
dorsal la substance grise des cornes postérieur
même tableau se retrouvait presqu'en totalité au niveau du deuxième
nerf
dorsal. La dégénérescence occupait principaleme
du tissu conjonctif. . La région cervicale, au niveau du cinquième
nerf
cervical et plus haut, présentait une dégénéres
. 39 GROUPE III. Recherches expérimentales sur l'élon- gation des
nerfs
chez les animaux sans examen de la moelle épini
ix expé- riences sur des chiens, auxquels il élongea et broya les
nerfs
, sur une sonde cannelée selon la méthode du pro
. Le Dr Duvault observa Ja dégéné- rescence du bout périphérique du
nerf
opéré, tandis que le bout central restait norma
archapopo, à Saint-Pétersbourg, des recherches sur l'élongation des
nerfs
chez les grenouilles, les lapins et les chiens
es données très intéres- santes quant au poids auquel résistent les
nerfs
, leur propriété au point de vue du courant indu
urant inductif et les altérations microscopiques que fait subir aux
nerfs
la traction. Ainsi, d'après cetauteur, le nerf
que fait subir aux nerfs la traction. Ainsi, d'après cetauteur, le
nerf
sciatique de la grenouille résiste aupoids de 6
le poids du ba- tracien. Chez les lapins et les jeunes chiens, le
nerf
cédait au poids de 600 à 1,600 grammes. L'exame
'300 à 600 grammes on y remarquait 1 Duvault. De la distention des
nerfs
comme moyen thérapeutique. Thèse de Paris, 1876
apeutique. Thèse de Paris, 1876. 2 Geu (A). -De la distention des
nerfs
. (Journal de médecine militaire, St-Pélel'b., 1
poids qui atteint la moitié de la force nécessaire pour rompre le
nerf
. Trombetta fit une étude intéressante sur le ca
téressante sur le cadavre, concernant la résistance qu'opposent les
nerfs
au poids, dont voici l'énoncé : le nerf sus-orb
résistance qu'opposent les nerfs au poids, dont voici l'énoncé : le
nerf
sus-orbitaire supporte une force de gr. et demi
22 à 29 kilogr.; dans le creux axillaire, de 16 à 37 kilogr. Les
nerfs
radial et cubital, 26 à 27 kilogr. Le nerf médi
e 16 à 37 kilogr. Les nerfs radial et cubital, 26 à 27 kilogr. Le
nerf
médian et le crural, 38 kilogr. Le nerf poplité,
cubital, 26 à 27 kilogr. Le nerf médian et le crural, 38 kilogr. Le
nerf
poplité, 52 kilogr., et le sciatique, 84 kilogr
même question, constata une résistance de 75 à 150 kilogr. pour le
nerf
sciatique chez les vieillards, et de 300 kilogr
prit des expériences ana- logues sur le cadavre et constata pour le
nerf
sciatique, à son émergence, une résistance de 8
des animaux, relativement à l'in- fluence qu'exerce la traction des
nerfs
sur la sensibi- lité, et obtint les résultats i
, et obtint les résultats importants qui suivent : l'élongation des
nerfs
amène un retour de la sensibilité dans le membr
térieur du côté correspondant s'est augmentée après l'élongation du
nerf
sciatique de l'autre membre. Chez tous les anim
xpériences, il y a eu, dans le membre postérieur où l'élongation du
nerf
sciatique il été faite, une paralysie plus ou m
empérature de ce membre. Non seulement les parties animées par le
nerf
sciatique recouvrent leur sensibilité après l'é
nerf sciatique recouvrent leur sensibilité après l'élongation de ce
nerf
, mais le même phénomène s'observe dans les part
Brown-Séquard de « phénomène d'inhibition ». Quinquaud élongea le
nerf
cubital et produisit une 1 Johnson Symington. A
p. î07. 2 Brown-Séquard. Nouveaux faits relatifs à l'élongation du
nerf
sciatique. (Gazette médicale de Paris, 1881, no
ette médicale de Paris, 1881, no 10.) 3 Quinquand. - Elongation des
nerfs
. (Progrès médical, 1881, nos 12 et 13.) 42 1)
ÉRIMENTALE. anesthésie légère. Immédiatement après, il étirait le
nerf
sciatique et constatait le retour de la sensibili
u côté de l'hémisection, ni une modification de la sensibilité d'un
nerf
à la suite de l'élongation d'un autre nerf. Dan
de la sensibilité d'un nerf à la suite de l'élongation d'un autre
nerf
. Dans son excellent travail, M. Prévost cherche
ncore une autre question : il pra- tiqua l'élongation de différents
nerfs
chez les cochons d'Inde rendus épileptiques, da
nt qu'un résultat négatif. L'élongatiDn successive de plu- sieurs
nerfs
amena plutôt une aggravation des symp- tômes de
obtenus par Brown-Séquard. Witkowski a, examinant au microscope le
nerf
scia- tigue d'un cadavre, y découvrit, il côté
des tubes ner- 1 Prévost. Expériences relatives it l'élongation des
nerfs
et aux né- v ? Ie.ir. (lévite iiiédicale (le 1(
aîchir tous les proces- sus physiologiques qui s'élaborent dans les
nerfs
. Zederbaum 1 (laboratoire du professeur Kroneck
sseur Kronecker) fit des expériences sur le poids que peut subir le
nerf
sciatique de la grenouille. L'irritabilité réfl
ien, le renard et le cochon d'Inde, et conclut que la traction d'un
nerf
mixte amène toujours des parésies dans la régio
ction d'un nerf mixte amène toujours des parésies dans la région du
nerf
élongé; que les parésies intéressent la sensibi
Leipzig, z4883. , 44 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. l'élonagtion d'un
nerf
peut réagir sur d'autres, surtout sur des congé
etc. Groupe IV. Recherches expérimentales sur l'élon- gation des
nerfs
chez les animaux avec examen mi- croscopique de
ec examen mi- croscopique de la moelle épinière. L'élongation des
nerfs
réagit-elle sur la moelle épi- nière ? Y produi
indications vagues dans la littérature concernant l'élongation des
nerfs
. Dans maints articles relatifs à ce sujet, cett
comme Vogt, Haber, Harless, Conrad prétendent que l'élongation des
nerfs
ne réagit pas sur la moelle. D'autres, au contr
ciser au moyen d'un appareil graphique, l'effet de l'élongation des
nerfs
sur la moelle dorsale. Il s'assura que même les
s. Marshall* tout en admettant la transmission de la traction des
nerfs
périphériques aux racines posté- rieures, suppo
une légère secousse. Pour ce qui est de la moelle elle-même et des
nerfs
intervertébraux, ils ne se prêtent pas à l'allo
pas à l'allongement. Bien que l'effet d'une irritation violente des
nerfs
périphériques sur la moelle fût discutée par MM
de la moelle consécutives à l'ai-i-ache- ment et à la résection du
nerf
sciatique chez le lapin. Archives de physio- lo
ise sur l'état de la moelle, consécutif ou traumatisme violent du
nerf
sciatique. . M. Hayem arracha à de jeunes lapin
Hayem arracha à de jeunes lapins âgés de quatre à cinq semaines le
nerf
sciatique et les sacrifia au bout dé deux mois.
s changements morpho- logiques, M. Hayem admet que l'arrachement du
nerf
sciatique détermine la rupture des racines anté
apins auxquels le professeur Gudden avait préalablement arraché les
nerfs
scia- tiques avec les racines à leur émergence
édition de son ouvrage, parue en 1883, affirme que l'irritation des
nerfs
péri- phériques peut occasionner de graves alté
m 3 et Hayem 4. De tous les travaux concernant l'élongation des
nerfs
que nous venons de citer, il est évident qu'un
s altérations de la moelle, occasionnées par le trauma- tisme des
nerfs
périphériques. Ce sont les belles recherches de
es. Ce sont les belles recherches de M. Hayem sur l'arrachement des
nerfs
et les dernières observations de M. Westphal, s
cernant les altérations de la moelle produites par l'élongation des
nerfs
, n'a été 1 Axenfeld. Traité des névroses. Paris
es des expériences sur les altérations que produit l'élongation des
nerfs
dans la moelle épinière, au point de vue histol
ue. Pour ces expériences faites sur des lapins, nous choisîmes le
nerf
sciatique comme un nerf mixte, et comme le plus
es faites sur des lapins, nous choisîmes le nerf sciatique comme un
nerf
mixte, et comme le plus facile à opérer. La plu
les muscles fessiers, et on arrive au tiers supé- rieur du tronc du
nerf
sciatique, à l'endroit qui pré- cède la bifurca
le tronc nerveux un crochet métallique, et on opère la traction. Le
nerf
est maintenu allongé pendant quelques * minutes
moment de pratiquer la traction, on fait passer le crochet sous le
nerf
. Les supports f f sont maintenus sur le corps d
uarante tractions, il nous arriva derompre huit fois par mégarde le
nerf
sciatique, dont : deux fois dans les expérience
omme toute, les lapins supportent assez facilement l'élongation des
nerfs
. Sur quarante lapins soumis à l'expérience, onz
'avons pas observé d'accidents épileptiques chez les lapins dont le
nerf
avait été rompu ; nous n'avons pas réussi non p
quard et Prévost. Passons maintenant à l'examen microscopique des
nerfs
et de la moelle épinière des lapins soumis à l'é-
rfs et de la moelle épinière des lapins soumis à l'é- longation des
nerfs
, ce qui constitue le principal objet de notre t
variant de vingt-quatre heures à six mois après l'opé- ration. Les
nerfs
sciatiques étaient observés à l'état aussi frai
tion de le changer souvent. Dans plusieurs de nos expériences, le
nerf
opéré fut préparé et examiné dans toute son éte
ergence jusqu'aux ramuscules qui se perdent dans la plante du pied (
nerfs
tibial et plantaire). On constata une forte inj
s fois que l'animal fut sacrifié peu de jours après l'opération. Le
nerf
, examiné plusieurs semaines après l'élongation,
s'observait généralement après de vio- lentes tractions, lorsque le
nerf
étiré débordait hors de la plaie en forme de ma
maille et ne pouvait être replacé qu'avec peine; d'autres fois, le
nerf
était de couleur jaunâtre et atrophié. Comme
eur jaunâtre et atrophié. Comme les recherches microscopiques des
nerfs
sou- mis à la traction ne sont que le but secon
contenterons de donner brièvement ici des résultats obtenus sur les
nerfs
. L'élongation du nerf sciatique détermine toujo
ièvement ici des résultats obtenus sur les nerfs. L'élongation du
nerf
sciatique détermine toujours un traumatisme vio
du nerf sciatique détermine toujours un traumatisme violent dans le
nerf
et occasionne in- 1 Ranvier. Leçons sur l'histo
ent de graves altérations dans la structure du bout périphérique du
nerf
étiré. Du reste, tous les observateurs sont d'a
t forme des espèces d'ampoules ou renflements le long de l'axe du
nerf
, ce qui donne à ce dernier la forme d'un chapel
rveux. Deux à trois se- maines après l'opération, on trouve dans le
nerf
, en outre des altérations dans les corps de Lan
ture du tronc nerveux. Il nous est arrivé maintes fois de rompre le
nerf
, malgré nos précautions au moment où la puissan
torise à penser que le poids de 5 kilos est le poids maximum que le
nerf
sciatique du lapin puisse supporter sans se rom
tique du lapin puisse supporter sans se rompre. Le boutcentral du
nerf
contenait également des tubes dégénérés, mais e
Passons maintenant aux altérations que détermine l'élongation du
nerf
sciatique dans la moelle. De toutes nos expérie
un certain temps. Mais il en est autrement lorsque l'élongation des
nerfs
atteint une force de 4 à 5 kilos, force qui dép
ovie, 1883. Thèse ayant pour objet la suture et la régénération des
nerfs
. 56 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. bord, leshémorr
vées dans la moelle épinière du lapin à la suite de l'élongation du
nerf
sciatique faite avec une force de 4 à 5 kilos,
précède, nous nous croyons autorisé à conclure que l'élongation du
nerf
sciatique pratiquée avec une certaine force, es
moelle font ressortir les graves conséquences de l'élongation des
nerfs
sur le système nerveux ; on est ainsi natu- rel
ctions faibles et s'accusent davantage à mesure que l'élongation du
nerf
se fait avec plus de force. Chez les lapins sac
comotrice et sur 62 PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. les élongations des
nerfs
sciatiques dont elle a été -l'occasion, nous no
action sur les cordons postérieurs de la moelle ? L'élongation des
nerfs
a été entreprise et l'est encore dans le tabes
ie de son malade, auquel il avait pratiqué des tractions nerveuses (
nerfs
crural et sciatique), M. West- phal constate un
bue à l'irritation et au traumatisme produit par l'élongation des
nerfs
. '4.' D'un autre côté, M. Hayem démontra que l'
s. '4.' D'un autre côté, M. Hayem démontra que l'arra- chement du
nerf
sciatique chez le lapin produit de la sclérose
tout le corps du malade sur le tronc nerveux, à l'arrachement d'un
nerf
avec ses racines ! Certaine- ment ; mais, en co
racines ! Certaine- ment ; mais, en considérant l'arrachement d'un
nerf
comme l'acmée du traumatisme enduré par un nerf
l'arrachement d'un nerf comme l'acmée du traumatisme enduré par un
nerf
, une forte traction ne fera-t-elle pas partie d
à celles que M. Hayem cons- tatait à la suite de l'arrachement des
nerfs
. Or, une opération qui est constamment suivie d
naît que l'ataxie locomotrice a pour point de départ une lésion des
nerfs
périphériques; qu'il suffit d'étirer pour modif
les, car nos observations prouvent que le trau- matisme subi par le
nerf
sciatique ne manque pas d'amener des altération
d'observations purement empiriques sur l'effet de l'élongation des
nerfs
prati- quée dans le tabes, on en compte un gran
nt sur tout ce qui précède, nous sommes d'avis que l'élongation des
nerfs
entreprise dans l'ataxie locomotrice, est toujo
enflement lombaire d'un lapin sacrifié. 42 jours après la traction du
nerf
sciaiique droit, avec une force de 5 kilos. L'i
flement lombaire d'un lapin sacrifié 38 jours après une traction du
nerf
sciatique droit avec une force de 5 kilos. Fig.
force de 5 kilos. Fig. 4. Tubes nerveux indemnes du bout central du
nerf
sciatique d'un lapin sacrifié 8 jours après une
nflement lombaire d'un lapin sacrifié 40 jours après la traction du
nerf
sciatique droit avec une force de 4 kilos. Légè
nflement lombaire d'un lapin sacrifié 20 jours après la traction du
nerf
sciatique droit avec une force de 4'kilos. Amoi
55. Fig. 7. Tubes nerveitx lésés provenant du bout périphérique du
nerf
sciatique d'un lapin sacrifié 43 jours après un
peuvent être expliquées, croyons-nous, que par la régénération des
nerfs
, nous assistons là à une véritable réparation n
ot et d'autres en admettant la possibilité de la régéné- ration des
nerfs
, se posent la question : s'il s'agit là d'une r
able ; 2° La guérison peut être expliquée par la régénération des
nerfs
; Le mécanisme de cette régénération consiste p
inconnues qui favorisent la régéné- 76 REVUE CRITIQUE. ration des
nerfs
et, par conséquent, la guérison de la maladie,
M. II. SUR LES PHÉNOMÈNES CONSÉCUTIFS A la SECTION DES FIBRES DU
NERF
OPTIQUE A L'INTÉRIEUR DES HÉMISPHÈRES CÉRÉBRAUX
er trophique non seulement aux fibres sensitives et aux racines des
nerfs
spinaux, mais aux éléments cellulaires de la mo
celui de sa substance. P. K. V. CONTRIBUTION A la connaissance DES
NERFS
VASO-MOTEURS DE la peau DE l'homme, par M. BucH
, la contraction des plus fins vais- seaux, par l'intermédiaire des
nerfs
ou des centres périphé- riques locaux, provoque
eaux. » P. K. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. SUR LES allures DES
nerfs
ET DES muscles malades (dégénérés) A l'égard DE
., 1884.) Il n'est pas impossible qu'il n'existe des affections des
nerfs
périphériques dégénératives d'ordre primitif. U
trouve qu'une altération 9'p le REVUE DE pathologie nerveuse. des
nerfs
périphériques, la moelle étant restée indemne, no
. Mais, objecte M. Struempell, si fortes que soient les lésions des
nerfs
périphériques, presque jamais les racines antér
symptômes qui prouvent que l'affection siège primitivement dans les
nerfs
. Finalement il n'y a pas lieu d'a- dopter la di
e séparer les altéra- tions delà moelle(poliomyélite) de celles des
nerfs
périphériques (névrit multiple); elles émanent,
plus méchant des'époux ». D. B. X. SUR LES paralysies ISOLÉES DES
NERFS
DU bras ET COM- binées DU bras ET DE l'épaule ;
olée du muscle deltoïde gauche. Observation II. Paralysie isolée du
nerf
musculocutané droit. Observation III. Paralysie
Forme particulière de paralysie du plexus brachial por- tant sur le
nerf
sus-scapulaire, le nerf thoracique postérieur (
ralysie du plexus brachial por- tant sur le nerf sus-scapulaire, le
nerf
thoracique postérieur (longus) (muscles sus- et
o-hémorrhoïdal, et du plexus coccygien (atteinte particu- lière des
nerfs
périnéaux, des rameaux scrotaux, du nerf dor- s
teinte particu- lière des nerfs périnéaux, des rameaux scrotaux, du
nerf
dor- sal du pénis). Pour lui, le tabes commence
or- sal du pénis). Pour lui, le tabes commence par une lésion des
nerfs
périphériques, et notamment du plexus pudendo-hém
refroidissement, 100 REVUE DE pathologie mentale. syphilis), les
nerfs
périphériques; leur lésion, due aux champi i gn
ans les branches des IlIe et IVe paires sacrées, ainsi que dans les
nerfs
sacro-lombaires. P. K. REVUE DE PATHOLOGIE ME
oubles de la parole; à ce moment, il est porteur d'une atrophie des
nerfs
optiques datant de trois ans à marche lentement
présente une sclérose modérée des artères. une coloration grise des
nerfs
et des bandelettes optiques. On trouve dans la
moelle; elle est raréfiée et ses noyaux ont diminué de nombre. Les
nerfs
périphériques ne présentent aucune altération.
HAL Communication annoncée de M. Oppenheim : Sur une affection du
nerf
vague dans le cours du tabès dorsal. Présentation
décela à l'autopsie aucune alté- ration des noyaux bulbaires de ce
nerf
. Voici un autre patient qui présente des crises
(affection cardiaque ? ), et d'une mère atteinte d'une névralgie du
nerf
cubital droit; trois soeurs sont bien portantes
nous occupe est fort recommandable. 11 débute par les maladies des
nerfs
périphé- riques, sensitifs ou moteurs; après de
que « à part l'évolution et l'état spasmodique dans le domaine des
nerfs
bulbaires, tous les autres symp- tômes positifs
t la distribution des phéno- mènes spasmodiques dans le domaine des
nerfs
bul- 1 H. Bluineiitlial. - Ein rali t'on spasti
de l'eau-de-vié et de l'absinthe; elle s'enivre. Pas d'attaques de
nerfs
. - Deux frères bien portants, l'un célibataire; l
Centralbl., 1884). Il ne s'agit dans l'espèce que des affections du
nerf
optique. Elles constituent, notamment l'atrophi
ections du nerf optique. Elles constituent, notamment l'atrophie du
nerf
optique, des accidents assez fréquents dans la
visuelle, et parmi ces faits, la moitié se complique d'atrophie du
nerf
. La statistique de l'auteur comprend cinquante
vec altération du fond de l'oeil : atrophie totale ou partielle des
nerfs
optiques; hyperémie papillairc avec névrite optiq
ls sur diverses observations, et la mise en relief de l'atrophie du
nerf
optique d'origine névritique dans la sclérose e
XIV. SCLÉROSE multiloculaire avec atrophie NÉVRITIQUE bilatérale DU
NERF
optique;» par Eulenburg. (IVeU ? '01. Centralbl
REVUE DE pathologie NERVEUSE. atteindre les moitiés temporales des
nerfs
optiques, peut ne pas y rester cantonnée, qu'el
i- culier dans les dyspepsies sous la dépendance d'une névrose du
nerf
vague, a)ors que l'ingestion ljçpqqtfijF;e en exa
raphie renferme un grand' nombre de èas dans lesquels l'atrophie du
nerf
optique, celle même qui ne s'était installée qu
étudier six'aulop-" sies relatives à des atrophies unilatérales du
nerf
optique et trois' encéphales concernant des atr
tique et trois' encéphales concernant des atrophies bilatérales du'
nerf
"optique. Voici trois exemples : " ,J', ? JU ?
hot)' et Jloeli (décembre 18S2, janvier-mars 1883), une atrophie du
nerf
optique droit; rien il gauche; la pupille gauch
s ? ). Autopsie : décembre 1883. "La première coupe révèle, dans le
nerf
optique droit ! 'existence'd'un néoplasme. Un foy
. pression qui permet de comprendre, l'état mental.. A la tumeur du
nerf
optique droit, qui est un psammome, il faut rat
des , neuf observations de. l'auteur démontre que £ l'atrophie des
nerfs
)optiques;t uni- ou bi-lalérale ne saurait jamai
occipital puisqu'un des cas témoignait d'une atrophie partielle du
nerf
,occipital droit de, par une tumeur (action rétro-
meur (action rétro- grade), et que dans Inobservation d'atrophie du
nerf
optique avec phlhisie du, globe, oculaire gauch
n'est pas démontrée. ' '' " " l' Conclusions : v 1 Une atrophie du
nerf
optique uni- ou'hi-latéralé qui porte sur le ce
phie existe depuis dix ans. 2° Dans ce laps de temps, l'atrophie du
nerf
oplique se propage aux éléments nerveux (cel- 2
a couche optique d'une manière égale; toute atrophie unilatérale du
nerf
optique agit sur les organes en question des de
e agit sur les organes en question des deux côtés. Si l'atrophie du
nerf
optique est bilatérale, ,il s'exerce une action
anes placés en avant de lui les mêmes altérations que l'atrophie du
nerf
optique. Il ' t i , . . l' 1, t. l' l ,< i.
M. Chrisliani a cherché d'abord à déterminer l'influence réflexe du
nerf
optique sur l'action du pneumogastrique et il est
u'électrique ou mécanique du bout central extra ou intra-crânien du
nerf
optique exerce toujours une influence d'arrêt s
rès l'excitation du bout central du trijumeau. Les excita- tions du
nerf
auditif produisent absolument les mêmes effets qu
sent absolument les mêmes effets que BIBLIOGRAPHIE. 273 celles du
nerf
optique. En portant ses expériences d'excitation
de l'innervation de"la pupille ; ce`qui'fut'côns= talé déjà pour le
nerf
auditif par Claude Bernard e111'estphal. La str
la respiration par,trois voies différentes, notamment- : 1° Par les
nerfs
optique et auditif; ' , ici' 1 2° Parles nerfs
ment- : 1° Par les nerfs optique et auditif; ' , ici' 1 2° Parles
nerfs
sensitifs de là peau; ' , 3o Et par une parlie'
ibres du pneumogas- trique, par le trijumeau et par tous les autres
nerfs
sensibles. Les excitations du centre respiratoi
chemin, etsansmême se heurter contre eux. Cela n'arrive pas si les
nerfs
optiques sont coupés, ou si on a laissé une tro
Du spas1e t1'(Ùwwtique consécutif aux déchirures incomplètes des
nerfs
; par BEGUÉ, (Thèse de Paris, 1885.) De la diarr
308 PATHOLOGIE NERVEUSE. exagérés. La réaction des muscles et des
nerfs
sur les deux courants dans les extrémités infér
aine de fois par an. Elle est très vive, mais n'a pas d'attaques de
nerfs
; elle n'a jamais fait d'excès de boisson. (Sa mèr
er, .Drasche, Worms; elles affectent le sciatique, le crural, les
nerfs
intercostaux, frontal, occipital, cervico-occipit
5" L'apparition rapide de troubles vaso-moteurs dans la zone des
nerfs
affectés; 6" Leur résistance à tout traitement
appelle l'attention sur les allures du globe oculaire (paralysie du
nerf
oculo-moteur externe gauche et du muscle droit
; sur la paralysie de .l'hypo- glosse droit, tandis que les autres
nerfs
crâniens étaient exclu- sivement paralysés à ga
IL est arrivé graduellement à une cécité absolue (atrophie des deux
nerfs
optiques). A l'asile, il est agité, souvent bru
. M. C. XLIII. SUR UN cas DE tabès dorsal avec dégénérescence DES
NERFS
périphériques ; par SAKAKY. (Arch. f. Psych., XV,
des racines postérieures, amincissement et coloration grisâtre des
nerfs
saphènes, altération excessive- ment nette au m
altération excessive- ment nette au microscope portant sur tous les
nerfs
périphé- riques (comparaison presque constante
ées par les troubles les plus notables de la sensibilité, comme les
nerfs
moteurs et les nerfs mixtes ont été trouvés int
les plus notables de la sensibilité, comme les nerfs moteurs et les
nerfs
mixtes ont été trouvés intacts, l'anesthésie ém
tes ont été trouvés intacts, l'anesthésie émanait de l'atrophie des
nerfs
sensitifs. Planche à l'appui. P. K. REVUE DE
. L'électrisation, par quelque genre de courants que ce soit, des
nerfs
du bras, ne produit, chez aucune de ces malades,
iné un oedème papillaire avec suffusions sanguines dans la gaine du
nerf
optique. M. Magnan. Dans la séance du 27 avril
la choroïde ; l'insertion irrégulière cette membrane au pourtour du
nerf
optique ou des fissures choroïdiennes donnant l
nie, par Cbarcot et Ma- gnan, 157. Optique (section des fibres du
nerf
au voisinage de la capsule interne), par Bech
), par \Iendel, 232; par Meudet, 23,, 270. Paralysies isolées des
nerfs
du bras, et combinées du bras et de l'é- paul
combinées, par Siemens, 101. Réactions électro-magnétiques des
nerfs
et des muscles malades, par Eulcubur, 90. Sci
ulaires dans la), par Gnauck, 228; - (avec atropine névritique du
nerf
optique), par Eulenburg), 229. Scléroses syst
; (avec atrophie), par Eulenburg, 30;- (avec dégéné- rescence des
nerfs
périphériques), par Sakaky, 412. Tabétique (p
flement lombaire d'un lapin sacrifié trois mois après l'élongation du
nerf
f sciatique droit, pratiquée avec une force de
renflement lombaire d'un lapin sacrifié 42 jours après la traction du
nerf
sciaiique droit, avec une force de 5 kilos. L'i
llement lombaire d'un lapin sacrifié 38 jours après une traction du
nerf
sciatique droit avec une force de 5 kilos. Fig.
lement lombaire d'un z lapin sacrifié 40 jours après la traction du
nerf
sciatique droit avec une force de 4 kilos. - Lé
nflement lombaire d'un lapin sacrifié 20 jours après la traction du
nerf
sciatique dioit avec une force de 4 kilos. Amoi
? 55 Fig. 7. Tubes nerveux lesés provenant du bout périphérique du
nerf
sciatique d'un lapin sacrifié 43 jours après un
. D', tuber-cules quadrijumeaux postérieurs. + +, lieux d'origine des
nerfs
pathéti-ques. Y, régions postérieures du tronçon
ire de la moelle. ZZZZ, lignes d'origine des racines postérieures des
nerfs
spinaux. M, faisceau latéral de la moelle épinièr
I S C, hémisphère cérébelleux. B, lobule céré-belleux auquel tient le
nerf
auditif. R, faisceau externe du pédoncule céré-be
lusivement) r' indique le lieu d'o-rigine des racines antérieures des
nerfs
spinaux, r indique le lieu d'origine des racines
elleux. U', coupe des faisceaux internes du pédoncule cérébelleux. H,
nerf
de la cinquième paire prolongé à travers le faisc
moelle allongée avec lequel il se com-bine. E, coupe d'une racine du
nerf
auditif. Y, corps restiforme. V, émi-nence olivai
acines du trijumeau et de l'auditif. D, N, P, V, W, Y, ut supra. H,
nerf
trijumeau. H', petite portion de ce nerf. R R', g
N, P, V, W, Y, ut supra. H, nerf trijumeau. H', petite portion de ce
nerf
. R R', grosse racine de ce nerf allant au faiscea
f trijumeau. H', petite portion de ce nerf. R R', grosse racine de ce
nerf
allant au faisceau postérieur et à Ja protubéranc
térieur et à Ja protubérance. QQ/ couches fibreuses combinées avec ce
nerf
. E, nerf au-ditif, e, fibres d'union de ce nerf a
t à Ja protubérance. QQ/ couches fibreuses combinées avec ce nerf. E,
nerf
au-ditif, e, fibres d'union de ce nerf avec le tr
ses combinées avec ce nerf. E, nerf au-ditif, e, fibres d'union de ce
nerf
avec le trijumeau. FIGURE 4e. Cette figure re
rme. W, pyramide antérieure. P, moi-tié gauche de la protubérance. E,
nerf
auditif. R, pédoncule cérébelleux. Z, coupe du so
e vermiforme inférieure. KK, lobe digastrique. BB, lobule attenant au
nerf
auditif, bb, racine de ce nerf. X, pyramide posté
be digastrique. BB, lobule attenant au nerf auditif, bb, racine de ce
nerf
. X, pyramide postérieure, pointe du calamus. ij,
ruban fibreux oblique, Q, procédant du corps restiforme, en avant, au
nerf
trijumeau H, en ar-rière au nerf auditif 0. A S S
nt du corps restiforme, en avant, au nerf trijumeau H, en ar-rière au
nerf
auditif 0. A S S, parties supérieures de l'hémisp
ère. CEEC, parties inférieures de l'hémisphère. B, lobule attenant au
nerf
auditif. V, olive. W, pyramide. F, moelle épinièr
figure. N, tronçon pédonculaire du cerveau. V Y,, moelle épinière. H,
nerf
triju-meau. Q, ruban fibreux oblique procédant du
l dans lequel s'engage le faisceau postérieur (corps restiforme) F F,
nerfs
de la septième paire. E E, nerfs auditifs, e, rac
u postérieur (corps restiforme) F F, nerfs de la septième paire. E E,
nerfs
auditifs, e, racine de ces nerfs collée à la surf
F, nerfs de la septième paire. E E, nerfs auditifs, e, racine de ces
nerfs
collée à la surface du plancher du ventricule cér
cule cérébelleux. XX, mem-brane nerveuse par le moyen de laquelle les
nerfs
auditifs sont unis aux lobules cérébelleux voisin
, tractus nerveux transverses dont les uns vont à découvert s'unir au
nerf
auditif; d'autres traversent de dedans en dehors
u pédoncule cérébelleux de la tige fibreuse des lobules adjacents aux
nerfs
auditifs. II, arbre de vie de l'éminence vermif
et à la surface des tubercules quadrijumeaux. I, lobules adjacents au
nerf
auditif. O', fais-ceau interne du pédoncule céréb
, prolongement de ce faisceau dans les tiges des lobules adjacents au
nerf
anditif. 0", ra-cine de ce nerf formant avec les
ns les tiges des lobules adjacents au nerf anditif. 0", ra-cine de ce
nerf
formant avec les parties précédentes un système d
ndes de ce noyau sont mises à découvert; on voit des prolongements du
nerf
auditif et des prolongements du nerf triju-meau s
rt; on voit des prolongements du nerf auditif et des prolongements du
nerf
triju-meau se porter dans le noyau cérébelleux, d
tronçon pédonculaire du cerveau. H, trijumeau. H', prolongement de ce
nerf
dans le noyau cé-rébelleux. H", Prolongement de c
ngement de ce nerf dans le noyau cé-rébelleux. H", Prolongement de ce
nerf
dans le faisceau restiforme. h, émanations de ce
e prolongement allant aux parties profondes du noyau cé-rébelleux. E,
nerf
auditif. E', membrane émanée de ce nerf se portan
des du noyau cé-rébelleux. E, nerf auditif. E', membrane émanée de ce
nerf
se portant obliquement vers le trijumeau. X, prol
s lobules inférieurs de l'hémisphère continue à la membrane émanée du
nerf
au-ditif, ee, prolongement direct de ce nerf dans
à la membrane émanée du nerf au-ditif, ee, prolongement direct de ce
nerf
dans les parties profondes du noyau cérébelleux.
e figure on s'est borné à inciser la petite membrane nerveuse qui, du
nerf
auditif, se porte au trijumeau avec cette membran
partie inférieure de l'hémisphère cérébelleux. N, P, H, ut supra. E,
nerf
auditif, e e, coupe de la membrane nerveuse émané
pra. E, nerf auditif, e e, coupe de la membrane nerveuse émanée de ce
nerf
. R, centre des rayonnements superficiels de ce fa
érébral. M, éminences mamillaires. L, tractus optique. S S, coupe des
nerfs
optiques relevés et renversés en arrière. 4, espa
s en arrière. 4, espace perforé du côté droit, a' a", racine grise du
nerf
op-tique se portant en divergeant des parties sup
nerf op-tique se portant en divergeant des parties supérieures de ces
nerfs
au delà du chiasma et du chiasma lui-même à la ma
st formée par la réunion sur la ligne mé-diane des racines grises des
nerfs
optiques de droite etde gauche, a, diago-nale bla
angle ; du côté gauche la même ligne 2, g, naît du bord externe n° t,
nerf
olfactif. F F, sommet de l'insula. r r r r, repli
M, émi-nence mamillaire. K', tuber cinereum. K, coupe du chiasma. L,
nerf
optique. I, olfactif. A, quadrilatère perforé, a,
alement dans toute son épaisseur par une coupe partant de la base des
nerfs
ol-factifs pour se terminer à la partie supérieur
ylédon extra-ventriculaire du corps strié. 11 marquent la coupe des
nerfs
olfactifs et leur racine grise antérieure. P P, p
breuse de la cou-che corticale est formée par une membrane émanée des
nerfs
auditifs et trijumeaux. N, tronçon pédonculaire
e cérébelleux. C, sa région infé-rieure. E, scissure horizontale. H ,
nerf
trijumeau. IE, doublure fibreuse immédiate de la
IE, doublure fibreuse immédiate de la couche corticale émanée de. ce
nerf
. E, nerf auditif. E', doublure de la couche cor
re fibreuse immédiate de la couche corticale émanée de. ce nerf. E,
nerf
auditif. E', doublure de la couche corticale éman
. E, nerf auditif. E', doublure de la couche corticale émanée de ce
nerf
. Q, membrane nerveuse d'union de l'auditif et du
valvule de Vieussens. H, trijumeau. C, prolongement radiculaire de ce
nerf
dans le noyau cérébelleux O et jusque dans les pa
s parties fibreuses de l'éminence vermiforme h. La lettre E marque le
nerf
auditif. Plusieurs ra-cines de ce nerf se prolong
forme h. La lettre E marque le nerf auditif. Plusieurs ra-cines de ce
nerf
se prolongent aussi dans le noyau cérébelleux.
ercle fibreux de l'orifice ventriculaire. R, cloison transparente. I,
nerf
olfactif. A, quadri-latère perforé. -4-, partie i
oupe du crâne. K, sinus longitudinal supérieur. I, grande faulx. L L,
nerfs
optiques. D J J, coupe de la partie transversale
aisceau postérieur Y'. On voit en— des prolongements radiculai-res du
nerf
auditif qui se portent dans la direction du cerve
ces deux points K et K' on voit en L des rayonnements radiculaires du
nerf
optique prolongés dans la di-rection G du faiscea
n les fibres de ce faisceau prolon-gées de G en L dans les racines du
nerf
optique. De L en V, branche antérieure du pilie
ure du pilier antérieur de la voûte, rayon-nent encore des racines du
nerf
optique. Les racines occupent la partie interne d
ur de la moelle N N', les prolongements de son faisceau antérieur. I,
nerf
olfactif. Z, por-tion de la substance grise du co
er. O, commissure antérieure. K, chiasma. A, quadrilatère perforé, f,
nerf
olfactif. L, tractus optique. N', corpus genicula
eux de l'ourlet avec laquelle se combinent des radicules fibreuses du
nerf
olfactif marquées r r. L'on voit en I le princi
e nom de chaque sillon ou scissure, l'origine apparente et réelle des
nerfs
crâniens. Enfin, j'ai montré la disposition d'ens
le nom de moelle épinière. La partie encéphalique donne naissance aux
nerfs
crâniens; la partie spinale émet, à travers les t
en-siblement et entrent en connexion avec les fibres radiculaires des
nerfs
moteurs. Deiters a désigné sous le nom de prolo
e la substance gé-latineuse. La substance grise donne naissance aux
nerfs
rachidiens ou spinaux par deux séries de racines,
ures et consti-tuent un tronc unique à la fois sensitif et moteur, ou
nerf
mixte, qui s'étend, en se rami-fiant, jusqu'aux d
es radiculaires : les racines motrices et les racines sensi-tives des
nerfs
crâniens, qui émergent de groupes de cellules ner
le premier ces groupes de cellules sous le nom de noyau d'origine des
nerfs
. Cette expression, d'abord appliquée seulement au
e conservée et généralisée pour préciser le lieu d'origine des autres
nerfs
crâniens, quoiqu'il n'existe pas de noyau dans le
pas de noyau dans le sens propre du mot. § 1. Noyaux d'origine des
nerfs
crâniens. — Au-dessus du collet du bulbe, la subs
me ventricule ; elle renferme dans ce par-cours le noyau classique du
nerf
hypoglosse, le noyau du moteur oculaire externe (
ents fins et ramifiés, qui donne naissance aux fibres radiculaires du
nerf
pa-thétique. Vers la pointe de la partie inférieu
ndiqué par Stilling en 1846, d'où émergent les fibres radiculaires du
nerf
moteur oculaire commun. La tête de la corne ant
ral décrit par Stilling et Kôlliker, qui contient le noyau moteur des
nerfs
mixtes, le spinal, le pneumogastrique et le gloss
eur du facial et le noyau de la petite racine motrice du trijumeau ou
nerf
masticateur. Le noyau antéro-latéral du bulbe o
f masticateur. Le noyau antéro-latéral du bulbe ou noyau moteur des
nerfs
mixtes contient des cellules nerveuses multipolai
'une traînée de substance grise qui le rattache au noyau sensitif des
nerfs
mixtes (Microphotographie, Pl. C, fig. IV). Le
du noyau juxta-olivaire externe, en avant du noyau antéro-latéral des
nerfs
mixtes. A la partie antérieure et latérale du b
de prolongements fins et ramifiés. La petite racine du trijumeau ou
nerf
masticateur prend son origine par des fibres radi
ubstance gé- (1) Mathias Duval, Recherches sur l'origine réelle des
nerfs
crâniens [Journal de l'anat. et de la physiol. de
tiennent les groupes de cellules constituant les noyaux sensitifs des
nerfs
mixtes ; au-dessus elle forme la racine postérieu
tifs des nerfs mixtes ; au-dessus elle forme la racine postérieure du
nerf
auditif, connue sous le nom de barbes du calamus
acines moyenne et supérieure du trijumeau. Les noyaux sensitifs des
nerfs
mixtes forment une petite colonne grise, nettemen
erne de l'auditif, qui émet les fibres radiculaires consti-tutives du
nerf
de Wrisberg. Le nerf auditif ou acoustique est
émet les fibres radiculaires consti-tutives du nerf de Wrisberg. Le
nerf
auditif ou acoustique est formé par la fusion de
coupe pratiquée au-dessus du glosso-pharyngien, au niveau du noyau du
nerf
de Wrisberg, permet de suivre la grosse racine du
au du noyau du nerf de Wrisberg, permet de suivre la grosse racine du
nerf
auditif, entre le corps restiforme et la racine b
cellules du trijumeau, qui occupe l'espace compris entre le noyau du
nerf
de Wrisberg, les racines du facial, le corps rest
externes du (1) Vulpian, Essai sur l'origine de plusieurs paires de
nerfs
crâniens, 1853. Leçons sur la physiologie du syst
crâniens, 1853. Leçons sur la physiologie du système nerveux, 1866.
nerf
auditif. Vers ce niveau, la racine bulbaire reçoi
les, les racines grises optiques, qui gagnent directement le tronc du
nerf
optique correspondant. La substance grise du se
lucidum donnerait origine, d'après M. Luys, aux racines internes des
nerfs
olfactifs. § 3. Aux formations ganglionnaires d
aux. Ce ganglion, chez la raie, reçoit directement le fascicule des
nerfs
olfactifs, qui s'implante par une racine très v
t déjà indiqué les rapports de ce noyau avec les racines externes des
nerfs
olfactifs; Serres a en outre montré ses connexion
ntaires. Les fibres afférentes proviennent des racines externes des
nerfs
olfactifs; les fibres efférentes sont représentée
uses périphériques d'un ordre particulier, qui partent du chiasma des
nerfs
optiques sous la forme d'un faisceau unique. Ce f
ieur (Pl. XXXVI, 9). Les fibres optiques présentent donc, comme les
nerfs
rachidiens : 1° une racine antérieure qui s'amort
stinguer et très nets sur une coupe faite au niveau de l'émergence du
nerf
trijumeau, plongent dans la masse même des fibres
térieur affecte des rapports intimes avec les noyaux radiculaires des
nerfs
moteur oculaire externe, pathétique et moteur ocu
Les colonnes de substance grise qui contiennent le lieu d'origine des
nerfs
crâniens, les centres réflexes du bulbe (1), ains
es latérales, directes, se portant d'une bandelette optique dans le
nerf
optique du côté homologue. b. Fibres médianes,
médianes, entre-croisées, passant d'une bandelette optique dans le
nerf
optique du côté opposé. c. Fibres internes, com
de la moelle. c. Substance médullaire. d. Racines antérieures des
nerfs
moteurs, émergeant de la corne antérieure. Fi
ce grise centrale de la moelle épinière. c. Racines antérieures des
nerfs
moteurs émergeant de la corne an- térieure. d
avoy. — Encéphale. 7 c. Noyau des corps restiformes. d. Racine du
nerf
grand hypoglosse. e. Corne postérieure, séparée
tral du bulbe. b. Noyau des pyramides postérieures. c. Racines du
nerf
grand hypoglosse. d. Noyau des corps restiforme
p. Fossette latérale du bulbe, par laquelle émergent les racines des
nerfs
acoustiques. q. Noyau moteur du grand hypoglo
; le corps du sphénoïde supporte la glande pituitaire, le chiasma des
nerfs
optiques (17), le tuber cinereum, les tubercules
ubstance grise, appelé tuber cinereum, en rapport avec le chiasma des
nerfs
optiques (7) et les tubercules mamillaires (8). U
rforé de Vicq-d'Azyr. De leur face antérieure émergent les troncs des
nerfs
moteurs oculaires communs. 15. — Section du lob
bulbe rachidien. En arrière apparaissent les fibres radiculaires des
nerfs
moteurs oculaires externes (21). 23. — Substanc
on olfactif (14), qui reçoit les fibres radiculaires externes (15) du
nerf
olfactif. 16.— La section du lobe latéral du ce
ganglion olfactif (14, Pl. X). Les fibres radiculaires externes du
nerf
olfactif et celles du tœnia semi-circularis forme
ce antérieure est en rapport avec les fibres radiculaires externes du
nerf
olfactif (10). II. — Traînée de substance grise
les connaît plus généralement sous le nom de tractus longitudinaux ou
nerfs
de Lancisi. Les fibres commissurantes des régions
ar la coupe de la valvule de Vieussens et les fibres radiculaires des
nerfs
pathétiques. En avant est la substance grise du p
leux supérieurs ; à l'entrée est la coupe des fibres radiculaires des
nerfs
moteurs oculaires externes ; en avant est la subs
noïdal; il reçoit par sa région antérieure les fibres radiculaires du
nerf
olfactif. Les noyaux jaunes et une portion du s
calleux les saillies longitudinales nommées tractus longitudinaux ou
nerfs
de Lancisi; inférieurement, ils entrent en connex
édoncules cérébelleux moijens. Les racines sensitives ou bulbaires du
nerf
trijumeau plongent à travers ce pédoncule, dont e
ules orbitaires et des lobes sphénoïdaux. 1. — Section du tronc des
nerfs
olfactifs, prismatique et triangulaire, formé par
homologue de la bandelette opposée et va contribuer à la formation du
nerf
optique du côté opposé à celui d'où il dérive ; u
isceau, latéro-antérieur, suit le bord externe du chiasma et gagne le
nerf
optique qui lui correspond (voir Pl. microphotogr
artie constituante de la substance grise du névraxe. 8. — Tronc des
nerfs
moteurs oculaires communs. Ils ont leur origine a
rième ventricule. 17. — Fibres radiculaires du faisceau bulbaire du
nerf
trijumeau ou grosse racine (voir Pl. XXXI). XXX
le bas ; d'un côté est l'artère vertébrale droite, de l'autre est le
nerf
spinal. XXXIV. — Coupe verticale transverse, pa
ntent les barbes du calamus (13), ce sont les fibres radiculaires des
nerfs
auditifs. 14. — Colonne grisâtre s'élargissant
) ou fasciculus ter es, vers la région moyenne, formé par le genou du
nerf
facial. En dehors de cette colonne grisâtre est u
utre colonne grise, plus large en bas qu'en haut, en rapport avec les
nerfs
mixtes de l'encéphale. Sur le côté externe de cel
la région cervicale. 18. — Artère vertébrale du côté droit. 19. —
Nerf
spinal du côté gauche. 20. — Limite inférieure
frein ou colonne delà valvule de Vieussens ; il avoisine l'origine du
nerf
pathétique. Gavoy. — Encéphale. 16 La section
llon sépare les deux colonnes grisâtres en rapport avec la racine des
nerfs
hypoglosses (14, Pl. XXXIV), et les deux saillies
ies appelées eminentia teres (15, Pl. XXXIV), formées par le genou du
nerf
facial. Plus haut, on aperçoit deux petites saill
on aperçoit deux petites saillies qui correspondent à l'origine des
nerfs
moteurs oculaires externes ; l'extrémité supérieu
nes ; l'extrémité supérieure du sillon avoisine le lieu d'origine des
nerfs
moteurs oculaires communs. Plus en dehors est u
muns. Plus en dehors est une colonne grise de laquelle naissent les
nerfs
mixtes de l'en-céphale, et, sur son bord externe,
16. Substance grise centrale du névraxe. 17. — Noyaux d'origine des
nerfs
moteurs oculaires communs. 18. — Substance gris
avant des tubercules mamillaires, où elles constituent le chiasma du
nerf
optique (4, Pl. XXXII, 18, Pl. XLVI et Pl. XLVII)
rachidien. Sur son bord supérieur sont les fibres radiculaires des
nerfs
moteurs oculaires communs. L'artère basilaire, ré
upe verticale transverse passant par la région moyenne du chiasma des
nerfs
optiques. 1. — Portion moyenne ou voûte du co
eur du ganglion olfactif recevant les fibres radiculaires externes du
nerf
olfactif. 8. — Section des branches latérales d
ro-internes sont commis-surantes, les fibres médianes passent dans le
nerf
optique du côté opposé, les fibres latéro-antérie
nerf optique du côté opposé, les fibres latéro-antérieures gagnent le
nerf
optique du côté homologue (voir Pl. A, microphoto
icrophoto-graphie). 19. — Section des bandelettes optiques. 20. —
Nerfs
optiques. Gavoy. — Encéphale. 19 XLVII. —En
es fibres des bandelettes optiques et leur trajet réciproque vers les
nerfs
optiques, qui se dirigent en avant, sous l'aspect
quadrilatère perforé fournit la troisième racine ou racine grise des
nerfs
olfactifs. Elle a l'apparence d'un petit cône gri
tit cône gris, situé à l'entrée de la scissure olfactive. Le tronc du
nerf
olfactif, qui résulte de la réunion de ces trois
segment moyen du noyau jaune. 15. — Coupe prismatique du tronc des
nerfs
olfactifs. LI. — Encéphale dont on a détaché la
la scissure olfactive, la forme triangulaire de la coupe du tronc des
nerfs
olfactifs; on remarque que la substance grise occ
tement isolée du noyau intra-ventriculaire. 12. — Coupe du tronc du
nerf
olfactif dans la scissure olfactive, montrant sa
est séparé de l'avant-mur par les fibres de la capsule externe. Les
nerfs
olfactifs apparaissent dans la scissure olfactive
ntale de la cavité des ventricules latéraux. 8. — Coupe du tronc du
nerf
olfactif, montrant la forme triangulaire et la su
oisine, nommées par Gratiolet fibrœ propriœ. 4. — Coupe du tronc du
nerf
olfactif, sur le bord du gyrus rectus, dans la sc
— Substance grise.................... 28 § 1. Noyaux d'origine des
nerfs
crâniens................. 32 § 2. Tubercules qu
upe verticale transverse passant par la région moyenne du chiasma des
nerfs
optiques. 144 XLVII. Encéphale dont on a détach
e signe d'une paralysie du voile du palais. Cependant la sphère des
nerfs
crâniens a dû être touchée, car le malade assur
itabilité faradique restait toujours abolie des deux côtés, pour le
nerf
facial et pour les muscles ; à gauche, cependant,
ésie motrice presque généralisée clans le domaine d'innervation des
nerfs
spinaux ; dès cette époque, elle avait dû empiéte
pinaux ; dès cette époque, elle avait dû empiéter sur la sphère des
nerfs
crâniens, car le malade a présenté de la diplopie
peut dépendre que d'une lésion spinale ou d'une lésion diffuse des
nerfs
périphériques. Le problème que soulève le cas a
lésions qui peuvent se cantonner dans les parties périphériques des
nerfs
crânio-hulbaires, lésions réparables, et qui n'in
bles, et qui n'intéressent pas for- cément toutes les fibres de ces
nerfs
. Les chances de survie sont donc con- sidérable
l'autre point de vue, celui qui est relatif il la restauration des
nerfs
et des muscles touchés. Il est extrêmement rare q
lade, une fois arraché aux dangers inhérents il l'envahissement des
nerfs
bulbaires par la polynévrite, ait les meilleure
t les pé- roniers et le vaste interne. L'excitation faradique des
nerfs
donne des contractions plus fortes que l'ex- ci
pathie du type Charcot-Marie. Elle est, de plus, une preuve que les
nerfs
et les cellules des cornes antérieures sont indem
et Idem. Idem. générales et par- n'ont jamais existé. tielles.
Nerfs
crâniens Tous les nerfs Tous les nerfs La seule a
les et par- n'ont jamais existé. tielles. Nerfs crâniens Tous les
nerfs
Tous les nerfs La seule anoma- cràniens sont in
nt jamais existé. tielles. Nerfs crâniens Tous les nerfs Tous les
nerfs
La seule anoma- cràniens sont in- sont normaux
iens sont in- sont normaux sauf lie consiste en une tacts, sauf les
nerfs
les deux n. n. mo- parésie du m. droit moteurs
xes rotutiens. Sen- sation de lassitude dans les jambes. Parésie du
nerf
pathétique droit. II. - Michel S..., 24 ans, né
es ultérieurs de la ma- ladie. Il n'y a pas non plus d'atrophie des
nerfs
optiques. Notre observation présente quelques p
té faradique un peu augmentée tant pour le courant de la moelle aux
nerfs
que pour 1 e nerveux musculaire ou musculaire dir
se transforme en une membrane de la- quelle partent les racines des
nerfs
. Sous cet aspect la moelle épinière se continue
nque aussi le faisceau cérébello-spinal. La racine descen- dante du
nerf
trijumeau n'est pas encore marquée. Le noyau du f
us avons ici : le faisceau fondamental du cordon antéro-latéral, le
nerf
hypoglosse, le cor- don postérieur. Plus haut,
, J) les pédoncules cérébelleux absents; la racine des- cendante du
nerf
trijumeau à travers laquelle passe le nerf pneumo
racine des- cendante du nerf trijumeau à travers laquelle passe le
nerf
pneumogas- trique, est disposée tout à fait ext
e, au-dessus du bord supérieur des olives, la racine descendante du
nerf
trijumeau, la racine descendante du glosso-phar
ndante du glosso-pharyngien et du vague, le 42 NICOLAS SOLOVTZOFF
nerf
hypoglosse et le nerf-pneumogastrique. Au niveau
ur, au-dessus le genou du facial, eh dehors le noyauetles fibres du
nerf
oculo-moteur externe, et d'un côté la branche r
é la branche radiculaire externe du facial, de l'autre les racines du
nerf
acoustique, le noyau accessoire et lenoyau de D
ue, le noyau accessoire et lenoyau de Deiters. La racine spinale du
nerf
trijumeau est marquée très bien, mais le pédoncul
fibres protubérantielles et les pyramides. Plus haut, au niveau du
nerf
trijumeau, nous trouvons le 4e ventricule très
sa partie basale, en dehors nous voyons les fibres radiculaires du
nerf
trijumeau. Nous trouvons encore les olives supé
ales du pont. L'aqueduc de Sylvius est formé seulement au niveau du
nerf
oculo-moteur commun ; il est ici très élargi et
ongitu- dinal postérieur qui viennent en contact avec les noyaux du
nerf
de la 3° paire et les fibres radiculaires du ne
vec les noyaux du nerf de la 3° paire et les fibres radiculaires du
nerf
oculo-moteur commun. Quant aux noyaux rouges, i
et de Bur- dach ; nous trouvons encore ici la racine descendante du
nerf
trijumeau, la racine descendante du glosso-phar
palpe avec la plus extrême facilité les artères, les veines et les
nerfs
. Le biceps, le brachial antérieur, le triceps,
aux faradiques. Excitabilité normale aux points d'électrisation des
nerfs
médian, radial, cubital. Cet homme est dans un
onéo-tibiale supérieure qui est subluxée. Les racines nerveuses, le
nerf
facial, les nerfs du membre supérieur, circonfl
rieure qui est subluxée. Les racines nerveuses, le nerf facial, les
nerfs
du membre supérieur, circonflexe, radial, média
ROGRESSIVE avec autopsie 55 leur consistance habituels. Ce sont des
nerfs
qui paraissent tout fait sains ainsi du reste q
scles plus ou moins complètement atrophiés (biceps, pectoraux). Les
nerfs
du membre infé- rieur ne se distinguent en rien
aux). Les nerfs du membre infé- rieur ne se distinguent en rien des
nerfs
normaux. Macuoscopiquement, l'encéphale, la moe
ntractile qui subit lui-même in situ l'évolution sclé- reuse. Les
nerfs
musculaires se retrouvent jusque dans l'intérieur
s de tubercules dans l'épaisseur des muscles.. Racines nerveuses et
nerfs
. Parmi les nombreux filets nerveux qui ont été
erveuses cervi- cales et lombaires, antérieures et postérieures, le
nerf
médian au tiers moyen du bras, le nerf tibial p
érieures et postérieures, le nerf médian au tiers moyen du bras, le
nerf
tibial postérieur; on rencontre toutefois dans le
s les préparations quelques fibres grêles (1 sur 10 environ). Les
nerfs
facial, cubital, médian au niveau de l'avant-bras
rti lion tout à fait indépendante des territoires périphériques des
nerfs
ou des ra- cines. Il est certain que l'influenc
- que. Vous reconnaîtrez que certaines affections périphériques des
nerfs
se révèlent exclusivement par une maladie de la
'altération, dont le zona est la manifestation cutanée, ni dans les
nerfs
périphériques ni dans les ganglions spinaux. «
e trophonévroses fortuites, de lésions pas- sagères ou durables des
nerfs
, des racines ou de la moelle épinière. Un exemp
ées se montre si souvent superposée à la sphère de distribution des
nerfs
ou des racines, qu'il est absolument impossible
sa marche progressive, la sclérodermie intéresse donc à la fois des
nerfs
différents, et tous à la même bailleur. Elle ob
lique. Il n'en est pas moins vrai que la participation de plusieurs
nerfs
à un trouble trophique procédant régu- lièremen
mblable sera, un jour ou l'autre, reconnue tributaire, non pas d'un
nerf
périphérique, mais d'une racine. Il en a été
années, semblait de- voir conformer sa distribution il celle d'un
nerf
périphérique. Head a prouvé que s'il est des zo
e d'un nerf périphérique. Head a prouvé que s'il est des zonas de
nerfs
, il en est aussi de racines. En tout cas, pour
qu'il s'agit d'une névrodermile, force est d'admettre que tous les
nerfs
cutanés de l'avant-bras contribuent, chacun pou
acun pour sa part, à la dystrophie hvherplasique (Fig. G). Or ces
nerfs
proviennent d'étages radi- culaires différents
es maladies du sys- tème nerveux central et dans les affections des
nerfs
périphériques, mais 'encore au cours des infect
ne trouve dans les antécédents de V... ni convulsions, ni crises de
nerfs
, ni pertes de connaissance ; on note toutefois un
bolie pour les muscles, deltoïde, triceps, long su- pinateur ; 5°
Nerfs
: cubital, médian, facilement excitables ; radial
ian, facilement excitables ; radial, excitabilité très di- minuée ;
nerfs
circonflexe, musculo-cutanés, n'ont pas été explo
bital. Peut-être très légère hyperalgésie dans la zone sensitive du
nerf
médian (face palmaire des 10e, 2°, 3° et moitié
se traduit par une hyperalgésie encore plus vive. La pression du
nerf
scapulaire supérieur, au point où il passe dans l
i offre la base de l'omoplate, est très douloureuse. La pression du
nerf
du grand dentelé contre la paroi tboracique est é
se styloïde du radius) pour devenir postérieure. La préhension du
nerf
médian au milieu du bras est douloureuse, ainsi q
on tronc au pli du coude et au niveau du poignet. La préhension des
nerfs
collatéraux des doigts est indolore. La pressio
douleur est très exagérée dans les zones sensitives et motrices du
nerf
circonflexe, du nerf musculo-cutané, du radial ;
gérée dans les zones sensitives et motrices du nerf circonflexe, du
nerf
musculo-cutané, du radial ; les hyper31gésies c
e sont superposables dans les territoires où se dis- tribue un même
nerf
. L'hyperalgésie, quoique moins marquée, s'étend a
lgésie est moins marquée. Cependant la compression, même légère, du
nerf
cubital derrière 1'61)itroclilée, du nerf radia
pression, même légère, du nerf cubital derrière 1'61)itroclilée, du
nerf
radial dans la gouttière de torsion, du nerf médi
re 1'61)itroclilée, du nerf radial dans la gouttière de torsion, du
nerf
médian au pli du coude, du nerf sus-scapulaire
al dans la gouttière de torsion, du nerf médian au pli du coude, du
nerf
sus-scapulaire dans l'échancrure coracoïdienne, d
du coude, du nerf sus-scapulaire dans l'échancrure coracoïdienne, du
nerf
circonflexe derrière l'humérus, des troncs radi
'en juillet et suivant le même ordre d'intensité décroissante. 1°
Nerf
circonflexe ; 2° Nerf musculo-cutané ; 3° Ner
le même ordre d'intensité décroissante. 1° Nerf circonflexe ; 2°
Nerf
musculo-cutané ; 3° Nerf radial ; 4° Nerfs pé
décroissante. 1° Nerf circonflexe ; 2° Nerf musculo-cutané ; 3°
Nerf
radial ; 4° Nerfs péri-scapulaires. La tracti
Nerf circonflexe ; 2° Nerf musculo-cutané ; 3° Nerf radial ; 4°
Nerfs
péri-scapulaires. La traction exercée sur les m
i-scapulaires. La traction exercée sur les muscles innervés par ces
nerfs
est à peu près indolore. L'humérus reste toujou
osseuse, épaississement des téguments ; pas d'anesthésie). Mais les
nerfs
sont douloureux, ce qui semble indiquer un proces
e, les branches du plexus brachial sont réparties sur 2 plans : Les
nerfs
circonflexe et radial (qui forment le plan post
lâche de 2 à 3 cen- timètres environ d'épaisseur, est formé par les
nerfs
musculo-cutané, médian, cubital, brachial-cutan
nerfs musculo-cutané, médian, cubital, brachial-cutané interne. Le
nerf
musculo-cutané, situé tout à fait en dehors, s'
-brachial croisant ainsi la face antérieure de la tête humérale. Le
nerf
médian situé à 1 ou 2 centimètres plus en dedan
est à cheval par ses branches d'origine sur l'artère axillaire. Le
nerf
cubital est plus en dedans encore. Le nerf brac
r l'artère axillaire. Le nerf cubital est plus en dedans encore. Le
nerf
brachial-cutané interne côtoie la face interne du
s encore. Le nerf brachial-cutané interne côtoie la face interne du
nerf
cubital. Survienne une luxation de l'épaule en
r les troncs nerveux les plus rapprochés de la tète articulaire. Le
nerf
circonflexe est tendu par le muscle sous-scapulai
ant un angle ouvert en arrière et en dehors. Dans ces conditions le
nerf
musculo-cutané tiraillé et appliqué contre l'arti
ion articulaire aux autres troncs nerveux n'est guère possible. Les
nerfs
médian, cubital et brachial-cutané interne, en ra
à peu près complète de la sensibilité à la piqûre dans la sphère du
nerf
cubital. Une diminution très no- table, avec un
de quelques secondes des perceptions sensitives, dans la sphère du
nerf
médian. Rien à noter dans la sphère des autres
la sphère du nerf médian. Rien à noter dans la sphère des autres
nerfs
du bras. Cet homme présente de plus quelques sy
ants le malade ne sentait pas la piqûre profonde dans le domaine du
nerf
cubital. Cette anesthésie était bien moindre dans
f cubital. Cette anesthésie était bien moindre dans les sphères des
nerfs
médian et radial. Quinze jours après, M. le pro
l'avant-bras et tous les fléchisseurs; 3° Perte complète pour les
nerfs
médian, radial et cubital ; (1) Fieux. ATROPH
pour les branches radiculaires, dans la fosse coracoïdienne pour le
nerf
sus-scapulaire, sur la paroi thoracique pour le n
dienne pour le nerf sus-scapulaire, sur la paroi thoracique pour le
nerf
grand dentelé, derrière le col de l'humérus pou
ifs. Lors de la réduction, les troubles nerveux étaient limités aux
nerfs
cubital et médian, le radial était à peine inté
récédente (une première luxation prédisposant à une seconde) et les
nerfs
déjà affectés ont-ils souffert nouveau ? Il est
iers supérieur elle n'est pas sans avoir causé quelques dommages au
nerf
radial qui contourne en ce point le corps de l'
ètement absolues, selon toute probabilité, dans le territoire de ce
nerf
. A moins de traumatismes considérables, comme les
ule en blessant les troncs nerveux expliqueraient les lé- sions des
nerfs
circonflexe, musculo-cutané, radial ; mais ils n'
angulaire, rhomboïde, sus-épineux, etc.). Il faut admettre pour ces
nerfs
collatéraux que les lésions se sont produites au-
lexe, radial, cubital surtout) : les muscles innervés par ces trois
nerfs
sont aujourd'hui moins douloureux. La pression
s tronculaires, radiculaires et médullaires ! Tronculaires, pour le
nerf
radial, au niveau de la fracture humérale et au
u niveau de la fracture humérale et aussi peut-être pour les autres
nerfs
du bras individualisés au-dessus de l'épaule, e
de la moelle ont surtout subi le con- tre-coup des altérations des
nerfs
périphériques. Le retentissement d'une lésion d
rations des nerfs périphériques. Le retentissement d'une lésion des
nerfs
jusqu'aux cellules d'origine de leurs prolongemen
ines postérieures des cordons qui en émanent aussi bien que dans le
nerf
labyrinthique et ses conducteurs centraux, des ap
titue le tronc labyrinthique proprement dit. En d'autres termes, le
nerf
labyrin- thique est une racine postérieure plus
s rameaux périphériques, au lieu de présenter toute la longueur des
nerfs
sensitivo-sensoriels des paires mixtes rachidienn
ppareil distinct de la papille cochléaire. Il en est résulté que le
nerf
cochléaire, devenu énorme, occupe la plus grand
nom à l'appareil tout entier. On dit : l'appareil de l'audition, le
nerf
auditif. C'est un abus sans doute, qui a eu le
lion auriculaire deux grands rameaux périphé- riques, d'une part le
nerf
cochléaire, et d'autre part le tronc vestibulaire
éaire, et d'autre part le tronc vestibulaire qui renferme les trois
nerfs
ampullaires, l'utriculaire et le sacculaire. De
rêles externes, à engainement myélinique également tardif. C'est le
nerf
cochléaire, aboutissant dans la protubérance à
mpell rapporte deux cas où il a observé simultanément l'atrophie du
nerf
acoustique et celle du nerf optique. Oppenheim
l a observé simultanément l'atrophie du nerf acoustique et celle du
nerf
optique. Oppenheim et Siemerling ont constaté,
t dans un cas de tabes, une atrophie de la plupart des faisceaux du
nerf
vestibulaire au voisinage des gros noyaux posté
chez un tabétique sourd depuis douze ans, une atrophie profonde des
nerfs
acoustiques qui n'étaient plus que deux bandelett
acoustiques qui n'étaient plus que deux bandelettes. Les fibres du
nerf
cochléaire avaient presque toutes disparu et quel
bétique de Pierret, et a trouvé également l'atrophie des racines du
nerf
cochléaire sous le plancher du quatrième ventri
au niveau du calamus. Les petits amas cellulaires dont est semé le
nerf
à cet endroit a l'état nor- mal avait presque t
'engourdissement, ou encore les troubles trophiques dépendant de ce
nerf
^qui donne la sensibilité à une grande partie de
pas toujours en pareil cas de la coexistence d'une lésion des deux
nerfs
, mais quelquefois de la coexistence d'une lésion
eau, et d'une lésion de l'oreille moyenne, avec intégrité parfaite du
nerf
acoustique. Des recherches récentes ont montré
s recherches récentes ont montré quel rôle important reve- nait aux
nerfs
de sensibilité générale et aux nerfs trophiques d
rôle important reve- nait aux nerfs de sensibilité générale et aux
nerfs
trophiques dans le fonctionnement normal des or
. - 140 PIERRE BONNIER . comme le pense Collet, par la lésion des
nerfs
trophiques. La névralgie du trijumeau existe, d
avail sur L'oreille (Coll. Léauté). Je rappellerai seulement que le
nerf
ampullaire véhicule, des crêtes ampullaires des
e du tabès, en l'attri- buant à la lésion des troncs ampullaires du
nerf
]ibyi-iiiiiiique. Il est tout à fait remarquabl
hme, l'angine de poitrine et les crises viscérales du domaine de ce
nerf
, des anxiétés partielles comme l'alfre épigastriq
- quemment dans la syphilis des centres, et irradiant dès noyaux du
nerf
ampullaire vers l'abducteur du même côté, l'irr
culomoteurs, songer à l'appareil am- pullaire et se rappeler que le
nerf
labyrinthique, en sa qualité de racine postérie
eu plus grande que P F C. De plus l'excitabilité indirecte par le
nerf
dans le creux sus-claviculaire est diminuée à d
e, la seule hypothèse qu'on puisse faire est celle d'une névrite du
nerf
du grand dentelé, causée par le poison typhique
resterait à savoir pour quel motif ce poison s'est localisé sur ce
nerf
. C'est là un point que nous aborderons plus loin.
» P uerpéra 1 i lé ................ 1 » Blessure chirurgicale du
nerf
......... 2 » Hystérie.................. 1 Il
'agisse d'une névrite apoplectiforme, d'une sorte de traumatisme du
nerf
du grand dentelé (tiraillement, compression) sur
'est d'ailleurs là qu'une hypothèse. Le trajet et les rap- ports du
nerf
du grand dentelé la rendent plausible. Ce nerf, r
et les rap- ports du nerf du grand dentelé la rendent plausible. Ce
nerf
, remarquable par la longueur de son parcours, n
calène postérieur avant de se réunir; quelquefois même, le tronc du
nerf
lui- même traverserait les fibres musculaires.
ge. N'est-il pas admissi- ble que cet exercice immodéré soumette le
nerf
du grand dentelé à des tiraillements capables d
nalogue et relève vraisem- blablement d'une sorte de traumatisme du
nerf
lui-même. Comment peut-on interpréter le rôle d
ns tous ces faits l'action directe du froid et de l'humidité sur le
nerf
du grand dentelé, qui est superficiel dans la p
. On invoquait jadis pareille action pour expliquer la paralysie du
nerf
radial, qu'on attribue aujourd'hui à une compre
sie du nerf radial, qu'on attribue aujourd'hui à une compression du
nerf
. Ne s'agit-il pas de com- pression, dans les pa
ttitude vicieuse, ayant amené une compression ou un tiraillement du
nerf
? Sans pouvoir l'affirmer et sans vouloir rejeter
cou- chement. Pourquoi l'infection a-t-elle été se localiser sur le
nerf
du grand dentelé du côté droit ? Il est impossi
le supposer une attitude vicieuse, ayant produit un tiraillement du
nerf
du grand dentelé par suite du décubitus latéral
xistence de 3 placards scléro- dermiques, l'un paraissant suivre un
nerf
intercostal, le 2e situé dans le flanc et le 3e
ture. Elles semblent atrophiées ou en voie d'atrophie. Nkhks. Les
nerfs
périphériques au point de vue macroscopique pré-
thique cervical est plus petit que normalement. Les altérations des
nerfs
périphériques sont beaucoup moins accentuées qu
e. DE L'AMYOTROPHIE CHARCOT-MARIE 213 Aux membres inférieurs, les
nerfs
examinés ont été : le nerf cutané pé- ronier, l
T-MARIE 213 Aux membres inférieurs, les nerfs examinés ont été : le
nerf
cutané pé- ronier, le tibial postérieur, le sci
le nerf cutané pé- ronier, le tibial postérieur, le sciatique. Le
nerf
péronier présente quelques altérations comme le m
peuses au milieu de ce tissu conjonctif sont assez nombreuses. Le
nerf
tibial postérieur est moins atteint : les fibres
erstitiel avec un épaississement léger de la gaine lamelleuse. Le
nerf
sciatique peut être considéré comme sain, ainsi q
use. Le nerf sciatique peut être considéré comme sain, ainsi que le
nerf
crural. Au membre supérieur, les altérations
insi que le nerf crural. Au membre supérieur, les altérations des
nerfs
sont encore moins in- tenses qu'aux membres inf
s inférieurs : le médian et le cubital ont été exami- nés. Sur le
nerf
cubital, on constate un épaississement de la gain
ne sont point colorées, mais elles constituent l'exception. . Le
nerf
médian .présente des altérations très légères ; l
é le picro-carmin, J'hématoxyline,l'hématoxyline-éosine et pour les
nerfs
intra-musculaires, la méthode de Weigert. Les m
ble prolifération du tissu conjonctif, il y de la périartérite. Les
nerfs
intra- musculaires ne montrent d'autres lésions
tissu adipeux. Sur des coupes colorées par la méthode Weigert, les
nerfs
intra-musculaires apparaissent avec la plus grand
p; Cle, EJltt'urs. DE L'AMYOTROPHIE CHARCOT-MARIE 215 peuses. Les
nerfs
présentent un épaississement très marqué des gain
dipeux, au milieu duquel se trouvent quelques ilots conjonctifs des
nerfs
et des vaisseaux. Dans le segment où se trouvent
développé ; les autres présentent de l'endartérite. Les lésions des
nerfs
intramusculaires sont inégales : les uns ont co
ures consistant en atrophie de la cellule. 2° Des altérations des
nerfs
périphériques : .' a) Dégénération des libres n
s nerfs périphériques : .' a) Dégénération des libres nerveuses des
nerfs
intra-mnsculaires, peu considérable. - b) Lés
la jambe consistant en sclérose légère, bien nette seulement sur le
nerf
péronier. c) Les gros troncs nerveux, tels que
gu. Tantôt elle part de l'occiput. Un point douloureux au niveau du
nerf
occipital, lui donne l'allure d'une névralgie. De
au peut être interprété, soit par une excitation des extrémités des
nerfs
cutanés, soit par une irritation des fibres des
xtrémités des nerfs cutanés, soit par une irritation des fibres des
nerfs
sensitifs, soit par une action réflexe, soit par
e. A l'autopsie, les lésions observées portaient sur la moelle, les
nerfs
pé- riphériques et les muscles. La moelle était
ures et des ganglions spinaux étaient manifestement atrophiées. Les
nerfs
pé- riphériques étaient atteints d'altérations
riedreich pour considérer la maladie comme due à une altération des
nerfs
périphériques ; plus tard dans un second mémoire
ie musculaire limitée aux extrémités et dépendant d'altérations des
nerfs
périphériques. Revue de médecine, 1890, p. 44.
, mais aucune lésion dans la région cervicale. Fig. 1. - Coupe du
nerf
péronier (lésion maximum). L'examen des ganglio
isons allusion. DE L'AIMYOTROIIIIIE CHARCOT-MARIE 321 Lésions des
nerfs
. - Les nerfs ne sont point augmentés de volume ;
n. DE L'AIMYOTROIIIIIE CHARCOT-MARIE 321 Lésions des nerfs. - Les
nerfs
ne sont point augmentés de volume ; leur aspect
lésions dont ils sont atteints sont beaucoup plus marquées dans les
nerfs
de l'avant-bras et du poignet, dans les nerfs d
lus marquées dans les nerfs de l'avant-bras et du poignet, dans les
nerfs
de la jambe qu'au niveau des nerfs de la racine d
ant-bras et du poignet, dans les nerfs de la jambe qu'au niveau des
nerfs
de la racine du memhre qui sont à peu près inta
ne augmentation très grande de l'épaisseur de leurs tuniques. Les
nerfs
intra-musculaires, très atteints dans le cas de M
obables des cellules des cornes antérieures; 3° Des altérations des
nerfs
périphériques plus ou moins intenses, par- fois
nion émise par Hoffmann, attribuant la maladie à une altération des
nerfs
périphériques. Bernhardt se rapproche beaucoup
suivant leur origine les anesthésies en rapport avec une lésion des
nerfs
périphériques, radiculaire,intraspinale, cérébr
'Argyl Robertson. A l'ophtalmos- cope, on constate une atrophie des
nerfs
optiques, plus accentuée à gauche, l'oeil de ce
une zone d'anesthésie, comprenant tout le territoire d'innervation du
nerf
cu- bital. B. Face postérieure. - Anesthésie
distances mais le réflexe lumineux est perdu. A l'ophtalmoscope, le
nerf
opti- que est décoloré à droite. L'acuité visue
omie pa- thologique, a examiné des fragments de moelle épinière, de
nerfs
, de muscles. On constate sur des coupes pratiqu
ces cornes, atrophie et sclérose des racines qui en émergent. Les
nerfs
moteurs (médian) possèdent une gangue conjonctive
se une diplopie passagère, fréquente après un peu de fatigue. Les
nerfs
et les muscles offrent la réaction de dégénéresce
e chez les autres. Les secousses sont lentes et traînantes. Pour le
nerf
, l'excitabilité faradique et galvanique est dimin
15 millia. Diminution considérable de l'excitabilité galvanique du
nerf
. 2° Electricité faradique. Appareil Duhois-Re
Du côté de l'oeil, diplopie passagère après fatigue. En somme, les
nerfs
et les muscles offrent la réaction de dégénéresce
ez les autres ; les secousses sont lentes et traînantes. Pour les
nerfs
, l'excitabilité faradique et galvanique est dimin
auche, 4,5 c. m. Masséter ; à droite, 6, à gauche, 7. B. - Nerfs.
Nerfs
médians ; à droite, 7,25 c. m. ; à gauche, 7,50 c
e lombaire. Les racines ne présentent pas d'altérations notables.
Nerfs
périphériques. - Petits filets musculaires de l'é
t intact, et la perception stéréognostique se fait normalement. Les
nerfs
ne sont pas douloureux. ' Aucun tremblement f
sme chronique s'est livré à un examen minutieux de la moelle et des
nerfs
périphériques, ses résultats ont été négatifs.
(3). M. Raymond (4) n'a pas constaté de lésions de la moelle ni des
nerfs
chez ses animaux ; il a trouvé des lésions des
uplay et Cazin dans leurs expériences out, examiné les muscles, les
nerfs
, la moelle de leurs animaux, ct, étant donné l'ab
, par un simple réflexe dû li l'irritation des filets terminaux des
nerfs
articulaires. Darkschew itsch (1) a constaté l'
aires. Darkschew itsch (1) a constaté l'intégrité de la moelle, des
nerfs
périphé- riques, des muscles dans un cas d'atro
poignets, ovarie droite, point douloureux xyphoï- dien, attaques de
nerfs
nettement hystériques). DerCU1n (6) cite un mal
ge que la gauche. Les réflexes sont normaux. A l'ophtalmoscope, les
nerfs
optiques sont un peu décolorés dans leurs contour
d. = 1/6, o. g. = 1. A l'ophtal- moscope décoloration grisâtre des
nerfs
optiques. Les réflexes du poignet et du coude s
upille droite est un peu dilaté. A l'ophtalmoscope pas de lésion du
nerf
optique. Les réflexes du poignet et du coude so
nat, donne les résultats suivants : Excitabilité faradique. - Les
nerfs
des membres supérieurs ont conservé l'excitabil
droite (atrophie). Excitabilité galvanique. - Contractions dans les
nerfs
des membres supé- rieurs, un peu affaiblies sur
s axillaires d'où elle s'étend dans les territoires d'innervation des
nerfs
cubitaux. Aux autres parties du corps, excepté
l'on considère ces fibres dans les racines postérieures ou dans les
nerfs
périphériques, chaque racine spinale postérieur
chaque racine spinale postérieure fournit des fibres à dij"é- rents
nerfs
sensitifs de la périphérie, d'autre part la surfa
on d'une zone d'a- nesthésie quand elle dépend de l'altération d'un
nerf
périphérique et tout (1) Siieiuungton, Philosop
le premier cas : à la suite d'une névrite périphérique limitée à un
nerf
, d'abord l'anesthésie s'observe très rarement, ce
te, occupera tout entier et seulement le domaine de distribution du
nerf
. Enfin il est tout à fait exceptionnel qu'une ane
tactile et l'analgésie ne s'observent que dans le domaine des seuls
nerfs
qui tirent leurs fibres des racines lésées. Or
ère de dissociation ne peuvent être expliqués ni par une lésion des
nerfs
périphériques ni même entièrement par une lé- s
bouquet), ça sent très bon. Question. - Avez-vous eu des crises de
nerfs
? Réponse. - Non,' pas ça. Il existe une hémi
je peux rien dire. Question : Depuis quand avez-vous des crises de
nerfs
? Réponse : Même rappelle plus, du tout, du tou
oedèmes consécutifs aux lésions traumatiques ou compres- sives des
nerfs
, ceux qui accompagnent les névralgies, et tous ce
étrangers, pas de dou- leurs de tête non plus que sur le trajet du
nerf
, pas de troubles de la sen- sibil.i[é) X... pré
ent ? assurément non, s'il y avait une compression quelconque de ce
nerf
, le sujet ne pourrait pas replacer sa tête lui-mê
nique des muscles des deux mains. Inexcitabilité faradique des deux
nerfs
cubitaux qui sont insensibles, indurés et augme
ières vertébrales. Conservation de l'excitabilité faradique pour le
nerf
médian au tiers moyen du bras et pour le radial
al. Mêmes réactions pour les deux membres. Excitabilité normale des
nerfs
aux membres inférieurs. Courants galvaniques :
istribution segmentaire des troubles sensitifs. Le calibre des deux
nerfs
cubitaux paraît plus gros que normalement ; ces
ibre des deux nerfs cubitaux paraît plus gros que normalement ; ces
nerfs
, de consistance plus dure que des nerfs sains ne
gros que normalement ; ces nerfs, de consistance plus dure que des
nerfs
sains ne sont pas monilifor- mes ; du côté gauc
que des nerfs sains ne sont pas monilifor- mes ; du côté gauche, le
nerf
cubital présente, avant de pénétrer dans la gou
ière du coude, un renflement fusiforme indolore. Le pincement de ce
nerf
, à gauche comme à droite, est absolument insensib
otrices par les centres acoustiques subcorticaux (noyau bulbaire du
nerf
acoustique) ; mais on peut aussi se figurer, que
sthésique au niveau du siège présumé de la lésion médullaire et des
nerfs
qui émer- gent en ce point. A droite, c'est-à
gauche au niveau des points d'émergence des branches latérales des
nerfs
correspondants. Il y a quelques jours la malade
nt toutesfois ceste grande violence qui ne fust sans fracture d'os,
nerfs
, veines, artères et autres parties rompues et b
il un homme alcoolique et brutal. Elle a eu souvent des attaques de
nerfs
pen- dant lesquelles elle criait, se débattait,
tombait et ne pouvait se relever. Elle n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
, ni de pertes de connaissance. État DE la malad
ts, les accidents nerveux sont fréquents. Sa mère a des attaques de
nerfs
frustes, et a perdu subitement l'ouïe du côté gau
RIMITIVE PROGRESSIVE Les examens de la contractilité électrique des
nerfs
et des muscles chez les malades atteints de myo
ci-dessous les résultats détaillés de l'exploration électrique des
nerfs
et des muscles de cette malade ; on peut les ré
s faibles masquées par l'effet de la propagation de l'excitation au
nerf
médian. Triceps. Notablement atrophié et faible
ima à 100mm. 2e, 3e et 4° Interosseux dorsaux : C. minima à 95mm.
NERF
radial (au niveau du bord externe du bras, il la
ment plus fortes que celles produites dans les m. posté- rieurs).
NERF
médian au PL du couDE : A 105 C. minima, les C. s
dans les fléchisseurs; à 100 C. assez bonnes, même distribution.
NERF
médian au poignet : à 105 C. minima; à 90 C. bonn
. aussi dans les fléchisseurs; à 100, idem, mais C. plus faibles.
NERF
cubital au coude : A H5 C. minima, se produisent
; à 100 C. assez bonnes dans tous les m. de la main innervés par ce
nerf
et dans le cubital antérieur, C. faibles dans l
ond (C. aussi dans les palmaires et les m. de l'éminence thénar).
NERF
cubital au poignet : A 105 G. minima, se produise
i dans les autres m. de l'éminence thé- excitabilité ÉLECTRIQUE DES
nerfs
ET DES MUSCLES 165 nar); à 90 C. bonnes dans to
seurs à l'avant-bras). Les résultats de l'excitation de tous ces
nerfs
sont les mêmes à droite et à gauche. 2. Coura
PFC. ; 3 1/2, XVIII, NFCC (légt Te) > PFC > POc'" (Ire POc).
Nerf
médian au poignet : 3/4 m A, XIV, NFC"' > PFC'
, NFC > PFC ; 3 1/2, XXIV, NFC (légert Te) > PFC > POc'.
NERF
radial : 1 1/4 m A, X, Il ? NFC" seule; 2 m A, XI
; 2 m A, XIV, NFC seule : 3 m A, XVIII, NFCC > POC" > PFC ?
NERF
cubital au coude : 3/4 m A, VIII, NFC" > PFC"
L. BATTAILLE ET C1' ]',n, >-UFs excitabilité électrique DES
nerfs
ET DES MUSCLES 167 tive pourra être faite quand
xtenseur commun. Fléchisseur Du gros orteil : Comme le précédent.
Nerf
péronier : A 75 ? C. minima (C. dans l'extenseur
ce muscle comme pour les suivants, ainsi que pour les muscles et les
nerfs
du membre supérieur, une résistance assez consi
'une fêlure du verre du IXo élément qui excitabilité électrique DES
nerfs
ET DES MUSCLES 169 Extenseur commun : à 3mA, XX
A, XXX, NFC>PFC ? Soléaire : 3 1/2 m A, XXVI, NFC'' > PFC ?
Nerf
péronier : 2 1/2 m A, XVI, 1 re NFC ? ; 3 m A, XV
es à cause de l'implantation des cheveux qui avancent sur le front.
Nerf
facial (tronc dans l'oreille externe) : à 95 C. s
oreille externe) : à 95 C. surtout dans les bran- ches moyennes' du
nerf
; 92 C. dans tous les muscles. s'est vidé de liq
III, Ire NFC'' : 1 1/2 m A, X, NFC seule, 2 m , NFCC > PFC". '
Nerf
facial : Rameaux supérieurs ; ,1/2 m A, VI, NFC''
il se produit déjà aussi des C. dans le deltoïde par excitation des
nerfs
du pexus brachial). Dans la partie élévatrice
0 ; déplacement il 55. 1er 2e, 3°, 4e Interosseux dorsaux : idem.
Nerf
médian (au coudé) : à 80mm C. seulement dans les
es muscles. (au poignet) : à 70 C. m. ; à 65 C. avec déplacement.
NERF
cubital (au coude) : C. m. il 80 ; déplacement bi
(au poignet) : à 65, C. m. ; il 55 C. avec déplacement bien accusé.
NERF
radial : à 60 C. m. mais très faibles, apparentes
sseux dorsal : 3 1/2 m. A. 1FC'>PFC"' : 5 1/2 m. A. NFC>PFC'.
Nerf
médian (au coude) : 2 m. A. NFC" seule ; 3 m. A.
NFC" seule ; 3 m. A. NFC'>PFC' : 4 1/2 m. A. NFCC>PFC'POC'.
Nerf
cubital (au coude) : 2 m. A. NFC" ; 3 m. A. NFC'&
léchisseur propre du gros orteil : Pédieux : C. m. a 4.0 ? ! 15 ;
Nerf
péronier : C. m. à 63 ? : à 60 ? C. déjà assez fo
PROGRESSIVE E 181 Fléchisseur commun : 6 1/2 m. A. NFC'>PFC".
Nerf
péronier : 1 1/4 m. A. 1re NFC"; 3 m. A. NFCC seu
Frontal : 95 ; Sourcilier : 92 ; Pyramidal : 90 ; Masséler : 100.
Nerf
facial (tronc dans l'oreille externe) : C. m. ent
. A. NFC"' ; X, 3,2 m. A. NFC seule ; XII, 4,5 m. A. NFC>PFC'.
Nerf
facial : Rameau frontal : VIII, 1 m. A. NFC' ; X,
RIMITIVE 185 A. Les amyotrophies de cause spinale ou par lésion des
nerfs
périphé- riques. B. Les myopathies primitives
che qu'à droite, en général. Les muscles de la face innervés par le
nerf
facial ne réagissent pas aussi bien que ceux qu
le nerf facial ne réagissent pas aussi bien que ceux qu'innerve le
nerf
maxillaire inférieur. Dans le tableau I, les ré
haut, ne seraient pas produites toutes les deux par une lésion des
nerfs
ou de la moelle ? La lésion dans le cas des myo
, il la suite de la moindre contrariété, tombe dans des attaques de
nerfs
et cela depuis sa jeunesse. Quant à ses grands
son thorax, quelques vagues douleurs également dans le domaine des
nerfs
cubitaux. Pendant les trois années suivantes, le
du système ncrveus...lu s-stW ne nervew. RAPPORT DE L'ORIGINE DES
NERFS
RACHIDIENS AVEC LES APOPHYSES ÉPINEUSES I L
t vrai dans le canal osseux, mais sans que Figure Ce Le rapport des
nerfs
rachidiens et des apophyses épineuses, d'après
des vertèbres sciés dans leur partie moyenne, G le fais- ceau des
nerfs
lombaires et sacrés, II le ligament dentelé, a,
es chiffres arabes. Les chiffres romains indiquent l'endroit où les
nerfs
de chaque région percent la méninge ». NERFS
ent l'endroit où les nerfs de chaque région percent la méninge ».
NERFS
RACIIIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES S 247 soient
e rapport qui existe entre les apophyses épineuses et l'origine des
nerfs
rachidiens » (d'après le professeur Tillaux). 2
tête humaine extraordinaire suivie d'un essai sur l'origine des
nerfs
, Paris, Tuclls, an VU n. L'auteur « pour rendre
les maladies de la moelle », y étudie le rapport de l'origine des
nerfs
rachi- diens et des apophyses épi- neuses « d
de Reid, pris sur un homme adulte (1/4 de gran- deur naturelle).
NERFS
RACHID1ENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 249 the spina
visée dans toute son étendue, pour mettre à découvert l'origine des
nerfs
». Les mesures étaient prises « sur les ra- c
e- FIGURE 67-. -Variations du rapport de niveau entre l'origine dés
nerfs
rachidiens et le sommet des apophyses épineuses
détail des origines radiculaires (femme adulte petite : 1 m. 52).
NERFS
RACIIIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 251 mettait
où l'on traçait la projection verticale des os, de la moelle et des
nerfs
à l'aide d'un bloc prismatique de bois a axe perp
s contrôlées nous ont paru également satisfaisantes pour l'homme et
NERFS
RACllIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 253 pour la
ue. Figure 10. Schéma analogue. Femme adulte, 1 m. 63 (au quart).
NERFS
RACIIIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 255 Les raci
s présentent une direction différente dans leur portion intradurale
NERFS
RACHIDIENS ET APOPHYSES ÉPINEUSES 257 et dans l
existait. Dans la névrite, l'anesthésie est située dans la région du
nerf
atteint; il existe de la douleur au niveau du n
ans la région du nerf atteint; il existe de la douleur au niveau du
nerf
et enfin l'atrophie mus- culaire est rapide.
le territoire du plexus brachial avec prédominance élective sur le
nerf
radial (C. Bouilly), or chez notre malade c'est j
(C. Bouilly), or chez notre malade c'est justement le territoire du
nerf
radial qui est le moins atteint. (1) Rossoumo,
VERIIOOGEX. Dissociation de la sensibilité dans un cas de lésions des
nerfs
du plexus brachial. Journal de médecine el de c
prétend, il est vrai, que la neurasthénie n'est pas une affection des
nerfs
périphériques, mais purement un trouble cérébra
triée ; l'intoxication limite ses effets aux plaques terminales des
nerfs
moteurs. A ce titre donc, on peut la comparer à
lus capables d'une nouvelle tétanisation. Si l'on ex- cite alors le
nerf
de la patte gauche, la contraction est insignifia
ntraction est insignifiante ou nulle. Au contraire, l'excitation du
nerf
de la patte droite, -celle dont l'artère a été li
scles de la patte droite ne se contracteraient pas, attendu que les
nerfs
de cette patte sont im- prégnés de substances t
uche détermine en- core des contractions, alors que l'excitation du
nerf
n'en produit plus. La con- clusion qu'il est pe
ubstance toxi- que (qui ne lèse pas le muscle et qui ne lèse pas le
nerf
) exerce son pouvoir paralysant sur une partie d
aralysant sur une partie du système neuro-musculaire intermédiaire au
nerf
et au muscle. Cette partie intermédiaire, c'est
s la continuité des cordons médullaires comme il y en aune dans les
nerfs
périphériques ; et l'appréciation d'une lésion ne
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE lJuilihre trophique, lorsque leurs
nerfs
centripètes conduisent au centre spi- nal les s
ons articulaires et périarticulaires ; 2° Lésions de la moelle, des
nerfs
, etc. La première partie de cette étude, seule,
n de faire intervenir ici l'existence hypothétique du cenlre ni des
nerfs
tro- phiques. Charcot rejetait celle hypothèse.
parésie des muscles superficiels de la face ; l'épaississement des
nerfs
avec renflements nodu- laires ; la présence de
ément trophique ne se limite pas à l'articulation, mais envahit les
nerfs
péri-ar- ticulaires, véritable lieu de moindre
la gaîne des péroniers ; en outre, point intéressant, l'examen des
nerfs
péri- articulaires permit de constater une péri
les anciennes, Porson, Polosson, Schneiber à la suite de plaies des
nerfs
des membres inférieurs. Il est à prévoir que
e dans la syringomyélie, dans la lèpre, à la suite des plaies des
nerfs
. Elle transforme le carpe ou le tarse en des ma
dans la syringo- myélie, les fractures vertébrales, les lésions des
nerfs
. Nous croyons préférable de réu- nir les unes e
athies consécutives aux affections chirurgicalesde la moelle ou des
nerfs
vont, de même que les précédentes, nous montrer d
ombreux et importants. Celles qui ont pour cause un traumatisme des
nerfs
forment un groupe tout à fait particulier d'art
nous-mêmes. A côté de ces arthropathies consécutives aux plaies des
nerfs
, arthropa- thies que cesplaies provoquent souve
cessus des arthropathies ankylo- santes consécutives aux plaies des
nerfs
. On n'oubliera du reste pas que toutes les arth
ation sensitivo-motrice. Dans les arthropathies par traumatismes de
nerfs
, la suture de ceux-ci, lorsqu'ils sont coupés,
médullaire. Dans les arthropathies ankylosantes par traumatisme des
nerfs
, le massage, les mouvements articulaires longte
Etat mental des hystériques (l31bliol. Charcot Debove, p. 24li). LE
NERF
LABYRINTIIIQUE Nous laisserons de côté la parti
aisserons de côté la partie purement topographique de l'anatomie du
nerf
labyrinthique, pour nous attacher à la recherche
ricité. Les données les plus récentes de l'embryogénie comparée des
nerfs
crâ- niens, dues aux travaux parfois contradict
? l3ullelizz scientifique de la France el de la Belgique (1891); LE
NERF
LABYRINTHIQUE 339 nous permettent d'attribuer a
E 339 nous permettent d'attribuer aux papilles labyrinthiques et au
nerf
qui les unit aux centres une signification morp
e de Golgi et des idées de Ramon y Cajal dans l'étude des fibres du
nerf
cochléaire par Hans Ileld (4), ont complété les
extrêmement confuses que nous possédions sur les voies centrales du
nerf
labyrinthique par un ensemble de données assez
nglions crâniens ; au delà il reste indivis et continue à s'appeler
nerf
lalérrtl (Houssay). Sur ce nerf latéral se montre
ste indivis et continue à s'appeler nerf lalérrtl (Houssay). Sur ce
nerf
latéral se montrent cependant, chez beaucoup de
r les analogies remar- quables qui existeront par la suite entre le
nerf
labyrinthique et une ra- cine spinale postérieu
ntaires destinés il réaliser ou à faire varier cette atti- tude. Le
nerf
vestitulaire et ses noyaux ne manquent pas de cor
nt présider à la coordination et il l'appropriation . Fig. 93. LE
NERF
LABYRINTHIQUE 359 simplement réflexe; quand le
tation vestibulaire exige l'intégrité des conducteurs et noyaux des
nerfs
ampullaires ; le sens des attitudes segmentaires
s. L'ataxique dont les cordons postérieurs sont atteints et dont le
nerf
ves- tibulaire est sauf, sent parfaitement les
aliser son équilibration générale. D'autre part, l'ataxique dont le
nerf
labyrinthique est en plus (1) P. l3owcEn, Syndr
intéressant l'appareil labyrinthique périphérique ou central. LE
NERF
LABYRINTHIQUE 36t connaître ou en imaginer. La
flexe issu non des centres, mais de la périphérie sensorielle. Le
nerf
vestibulaire des centres corticaux dans la pariét
us la notion des images d'attitudes segmentaires, véhiculées par le
nerf
ampullaire et les cordons postérieurs, pénètre co
dapta- tion physiologique que nous pouvons utiliser les rapports du
nerf
vesti- bulaire avec les noyaux bulbaires oculom
ceau vestibulaire décrit par Bruce. Sa proximité d'un des noyaux du
nerf
vestibulaire et ses rapports nécessaires avec l'a
vent nous faire examiner les rapports possibles entre les noyaux du
nerf
vestibulaire et les centres de pneumogastrique.
es colonnes antérieures. C'est un noyau moteur que les expérien- LE
NERF
LABYRINTIIIQUE 363 ces de Mislawsky semblent fa
erons plus ici. Nous ne ferons que rappeler ce point important : Le
nerf
labyrinthique est l'homologue d'une racine spinal
typique de Weber. La lésion principale intéresse le pédoncule et le
nerf
de la 3e paire. (1) Ainsi le fils a hérité de l
rapport avec une lésion diffuse et extensive. Quanta l'atrophie des
nerfs
optiques, nous croi- rions volontiers qu'elle r
ésie et l'analgésie, les lignes obliques la ther- manesthésie. LE
NERF
LABYRINTHIQUE 341 dullaire et la fossette auric
e que nous chercherons à meltre en évidence, c'esl que plus tard le
nerf
labyrinthique est formé des prolongements centrau
ules bipolaires identiques à celles des ganglions spinaux et que le
nerf
labyrintique se conduit, répétons-le, vis-à-vis d
ales des crêtes, membrane (1) EnLlTzKI, De la structure du tronc du
nerf
auditif. Arch. de neurologie, 1882, no 7. vu 23
son irritation spécifique comme l'amibe palpe l'infusoire libre. Le
nerf
perçoit non l'ir- ritation directe de l'agent e
sont donc homolo- gues des gaines épithéliales des prolongements du
nerf
et de la névroglie des centres. Elles sont baig
dyme. La gaine lamelleuse des faisceaux qui constituent le tronc du
nerf
laby- rinthique les abandonne au niveau des pap
nients en végétations dans les canaux semi-circulaires, en dents LE
NERF
LABYRINTHIQUE 3'j3 de Ifuschl;e sur la bandelet
iée de la membrane basilaire. La pie-mère des centres accompagne le
nerf
et se retrouve dans la paroi membraneuse du réc
hique est un petit crâne annexé au grand. Nous voyons donc que le
nerf
labyrinthique aura à mettre en rapport deux org
traux qui vont former la plus grande partie, la partie efférente du
nerf
labyrinthique ; sa partie afférente étant constit
rapport par voie efférente avec d'autres centres secondaires. Le
nerf
labyrinthique est donc compose en fait de racines
thiques centrales. II Homologation. Cette origine neurale du
nerf
labyrinthique l'a fait à juste titre consi- dér
t ainsi une paire mixte avec le facial. Cependant Ayers rattache le
nerf
sacculaire au glosso-pharyngien. L'homologati
ttache le nerf sacculaire au glosso-pharyngien. L'homologation du
nerf
labyrinthique avec une racine médullaire pos- t
ements centraux qui gagnent plus spéciale- ment le cervelet. a') Le
nerf
labyrinthique possède également de son côté de
ibres centrales qui gagnent plus spécialement le cervelet. C'est le
nerf
vestibulaire. l). Les racines postérieures ont
ssent en partie à la tète de la corné posté- rienre. b') De même le
nerf
labyrinthique a des fibres externes minces, tar
ustique, prolongements de la tête des cornes postérieures. C'est le
nerf
cochléaire ou auditif. LE NERF LABYRINTHIQUE :
des cornes postérieures. C'est le nerf cochléaire ou auditif. LE
NERF
LABYRINTHIQUE : H5 III Formations neurales.
prolongement complexe de Deiters. (1) Cannieu, Recherches sur le
nerf
auditif, ses rameaux el ses ganglions, 1894. 31
ait celle qui correspondait à la division des fibres elles-mêmes en
nerf
vestibulaire et en nerf cochléaire; - avec le gan
ait à la division des fibres elles-mêmes en nerf vestibulaire et en
nerf
cochléaire; - avec le gan- glion de Scarpapour
nt être considérées, selon lui, comme l'équivalent morphologique du
nerf
qui, chez les vertébrés inférieurs, se rend à l
irtitialis cocue a disparu chez nous ; la pars ùasilaris est de- LE
NERF
LABYRINTHIQUE 3n venue la papille cochléaire d'
anglion de Scarpa, occupe une position supéro-postérieure; c'est le
nerf
vestibulaire. L'autre forme un faisceau compact
celle des fibres vestibulaires, sans interceptions cellulaires. Ce
nerf
cochléaire est donc placé en bas et en avant. A
em- blent faire défaut dans le tronc cochléaire. Chez l'homme, le
nerf
cochléaire ne contient pas d'éléments cellulai-
bulbaire, formé de substance blanche et grise, qui pénètre avec le
nerf
dans le conduit et que Cannieu a particulièrement
348 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE cloison conjonctive. Le
nerf
vestibulaire devient la racine antérieure, in-
e. Le nerf vestibulaire devient la racine antérieure, in- terne. Le
nerf
cochléaire sera la racine postéro-externe. Nous é
s faisceaux constituants après avoir décrit les noyaux primaires du
nerf
labyrinthique. IV Formations médullaires. E
umogastrique et du glosso-pharyngien, puis les noyaux conti- gus du
nerf
veslibulaire, c'est-à-dire le noyau interne, le n
rps restiforme et donne les deux amas qui constituent les noyaux du
nerf
co- chléaire, noyau antérieur et tubercule acou
. Nous pensons qu'elle se retrouve dans le prolongement bulbaire du
nerf
cochléaire ob- servé chez la souris et le chat
C`RVICALE, LIGATURE DES APOPHYSES EPINEUSES L BATTAILLE ET C1" LE
NERF
LABYRINTHIQUE 31,9 rieur de IIenle, noyau trian
plancher du qua- trième ventricule, au-dessus du noyau sensitif des
nerfs
vagues, qu'il 1 continue d'ailleurs en dehors,
terew (B), noyau vestibulaire, noyau angulaire, noyau d'origine dit
nerf
vestibulaire de Fleclsig, est situé en arrière du
de Henle, le noyau acoustique, est placé entre les deux racines du
nerf
labyrinthique, dans le triangle formé par leur
stérieure; il n'appartient d'ailleurs qu'à la branche cochléaire du
nerf
labyrinthique. On lui recon- naît une partie pr
latéral du noyau antérieur. Tels sont les cinq noyaux primaires du
nerf
labyrinlhique, correspon- dant aux cornes posté
de la base des cornes postérieures, reçoivent les grosses fibres du
nerf
vestibulaire qui correspondent aux grosses fibr
de la tète des cornes postérieures, reçoivent les fibres grêles du
nerf
cochléaire, homo- logues des fibres minces exte
- logues des fibres minces externes des racines postérieures. V
Nerf
vestibulaire. Un grand nombre de fibres pénètre
il existe réellement, il n'a pas son homologue dans la moelle. Ce
nerf
vestibulaire est avant tout cérébelleux. En effet
des fibres cérébelleuses di- rectes et croisées de la moelle et du
nerf
vestibulaire, et d'un grand nombre de fibres pr
. Éditeurs Fig. 90. Projection de toutes les fibres homologues du
nerf
labyrinthique et d'une racine médullaire postér
n au delà des noyaux primaires. Celui des fibres grises comprend le
nerf
vestibulaire et les grosses racines internes de
interne. - C. Cordon de Burdach. G Cordon de Goll. - W. Racines du
nerf
intermédiaire de Wrisberg. 35 NOUVELLE ICONOGRA
ès une malade de la Salpêtrière). L BATTAILLE ET C" ÉDITFURS LE
NERF
LABYRINTHIQUE 353 dans cette voie réflexe une d
ons postérieurs au cervelet. Ce n'est donc pas une racine réelle du
nerf
labyrinthique, mais un faisceau cérébelleux des c
aisceau unissant le noyau de Deiters à l'olive infé- rieure. VI
Nerf
cochléaire. Il forme la racine postéro-externe
eure. VI Nerf cochléaire. Il forme la racine postéro-externe du
nerf
labyrinthique. La plus grande partie de ses fib
ques prennent sa partie interne, et gagnent l'écorce pariétale. Le
nerf
cochléaire a des rapports mieux établis avec l'éc
lé interne et aboutissant à l'écorce temporale, comme les fibres du
nerf
opti- que qui aboutissent à l'écorce occipitale
ement le noyau antérieur à l'écorce du côté opposé est homologue LE
NERF
LABYRINTHIQUE 355 des fibres qui partent de la
orale du même côté. L'olive supérieure est enfin en rapport avec le
nerf
oculomoteur externe par un important faisceau (
tricité. Nous voyons donc par cet exposé purement anatomique que le
nerf
vestibulaire est plutôt cérébelleux et le cochl
gion du lobe temporal et du lobe pariétal aboutissent les fibres du
nerf
labyrinthique ? Nous l'ap- prenons par l'examen
t gaucher de naissance, et n'avait en revanche gardé que l'usage du
nerf
labyrinthi- Hémisphère droit. Hémisphère gauche
e ascendante comme le centre cortical de l'appareil 1 des fibres du
nerf
vestibulaire. C'est également là qu'aboutissent l
71. Myopathies (bibliographie), par H. MEIGE et T. SAVILL, 205.
Nerf
labyrinthique, par P. BONNIER, 338. Origine des
SAVILL, 205. Nerf labyrinthique, par P. BONNIER, 338. Origine des
nerfs
rachidiens. Rapports avec les apophyses épineus
Souques. Délire de maigreur chez une hystérique, 225. Bonnier. Le
nerf
labyrinthique, 336. Charcot (J.-B.) et A. Souqu
de la teste humaine par A. Paré, 118. - Rapport de l'origine des
nerfs
rachidiens avec les apophyses épineuses, 246.
lie congénitale, 63. Cerveau, région ou aboutissent les fibres du
nerf
labyrinthique, 91,93. Compression de la moelle
athie primitive généralisée (faciès) 47. - attitudes, 48, 49, 50.
Nerf
labyrinthique, 90, (préjection de tou- tes les
abyrinthique, 90, (préjection de tou- tes les fibres numologues).
Nerfs
rachidiens, rapports avec les apophy- ses épine
sont séparées l'une de l'autre, et, a de certains moments, que les
nerfs
des gencives sont très sensibles. Ces douleurs se
e que celles-ci n'offrent aucune lésion, il en conclut que c'est le
nerf
dentaire lui-même qui a dû être lésé pendant l'
e sorte. Herzen 1 Moritz Schiff. - Recherches sur Réchauffement des
nerfs
et des cen- lre.s nerveux à la suite des 2rrita
impressions, toujours périphériques à l'origine, transmises par les
nerfs
au névraxe. Bref, scientifiquement parlant, spo
entation idéale de ce mouvement; 2°l'impulsus cen- trifuge vers les
nerfs
et les muscles qui doivent être mis enjeu pour
e idée motrice quoiqu'il n'y ait point de mouvement effectué, les
nerfs
moteurs et les muscles sont affectés, à l'état
constituée par l'impulsion motrice qui, du même centre, va vers les
nerfs
et les muscles destinés au mouvement; 3° la pha
rita- tion pathologique du centre considéré, déterminera dans les
nerfs
et dans les muscles destinés à l'articula- tion
contraire : témoin les expériences de Schiff sur réchauffement des
nerfs
et des centres nerveux à la suite des irritatio
chez les chats et les chiens, il y a une décur- sation complote des
nerfs
optiques dans le chiasma. Ceci est, au contrair
'oeil gauche, l'autopsie révèle le fait que le tractus gauche et le
nerf
optique droit étaient plus atrophés que le trac
f optique droit étaient plus atrophés que le tractus droit, et le
nerf
optique gauche. » Loeh, après une série d'expér
ophio des centres optiques pri- maires, des tractus optiques et des
nerfs
optiques : et de même la destruction des réacti
paralysie générale modifie l'excitabilité gal- vanique normale des
nerfs
périphériques, mais cette modification n'a de v
eil d'arti- culation) ou simplement corticale (en ce qui regarde le
nerf
op- lique) expliquent le faculté d'imitation co
ent de la sensibilité à la douleur - signe de Homberg - atrophie du
nerf
optique droit. C'est le pied et l'orteil qui fu
s réflexes tendineux. Intégrité de l'intelligence, delà parole, des
nerfs
crâniens, des nerfs optiques : sensibilité bilaté
. Intégrité de l'intelligence, delà parole, des nerfs crâniens, des
nerfs
optiques : sensibilité bilatérale des pupilles.
consécutives à l'influenza tiennent à des altérations des gaines du
nerf
irritées par les micro-organismes eux-mêmes ou
ue d'un oeil de lapin et d'un oeil humain affectés d'un coloboma du
nerf
optique. Voici les particularités des plus impo
importantes que l'on cons- tate sur une section perpendiculaire du
nerf
optique à son point d'entrée dans le globe ocul
dans le globe oculaire. La lame criblée étant demeurée normale, le
nerf
occupe la région externe et supérieure de l'infun
nt large. Leurs branches projetées en plein coloboma, au-dessous du
nerf
optique, gagnent la rétine en haut ou en bas. L
bord inférieur du coloboma, formé par la sclérotique, est séparé du
nerf
optique, sans intermédiaire d'éléments nerveux, p
ents nerveux, par un collet tranchant. Il existe par suite entre le
nerf
optique et le coloboma un entonnoir très large
re elles. Il s'agit donc, en l'espèce, d'un coloboma de la gaine du
nerf
optique, produit par le défaut d'oblitération d
s différents de fibres. Le - plan supérieur contient les racines du
nerf
optique; le plan infé- rieur, les fibres de la
rieur, les fibres de la substance blanche profonde; les libres des
nerfs
optiques viennent d'arrière en avant gagner la ré
de fibres myéliniques, si l'on excepte les fibres origi- nelles des
nerfs
crâniens et spinaux et quelques systèmes de la
es, montrer qu'il s'agit là d'un système tout différent de celui du
nerf
optique. D'une manière générale, on peut dire q
les lézards. M. Jolly (de Strasbourg). Des allures électriques des
nerfs
et des muscles dans la maladie de Thomsen. - L'
tion cette réaction diminue. Que l'on provo- que la tétanisation du
nerf
(contraction allongée) ou que l'on con- vulsive
localise à un territoire ner- veux bien nettement circonscrit, à un
nerf
ou à une branche nerveuse. C'est un de ces ca
correspond, comme vous pouvez en juger, aux branches terminales du
nerf
saphène interne, (fig. 12, A). La douleur en qu
postérieure,- siégeant en-dessous et à gauche de l'ombilic. Un seul
nerf
répond à cette distribution; c'est le grand ner
l'ombilic. Un seul nerf répond à cette distribution; c'est le grand
nerf
abdomino-génital, première branche collaté- ral
iques, avaient abouti aune dépigmentation vitiligineuse. Enfin le
nerf
sous la dépendance duquel l'éruption se mani- f
l l'éruption se mani- festait, n'est pas bien loin des origines des
nerfs
dont la lésion périphérique était, déjà depuis
vrite se sont affirmés dès le début, nous voyons que l'ensemble des
nerfs
correspondants émerge du plexus lombo-sacré, en
e et de l'obturateur. Les muscles fessiers, innervés par le petit
nerf
sciatique, ont été respectés. Or, vous savez que
it nerf sciatique, ont été respectés. Or, vous savez que le petit
nerf
sciatique tire surtout ses origines, des deuxième
re d'une région du plexus sacré, située au-dessous de l'origine des
nerfs
précédents. Par con- séquent, tous les phénomèn
mptômes avaient leur maximum d'inten- sité dans les territoires des
nerfs
crural, obturateur et scia- tique poplité exter
icielles à l'extrémité inférieure du membre gauche sur le trajet du
nerf
saphène interne, dou- leurs aiguës déchirantes,
as. L'herpès zoster figure au nombre de ces dystrophies. Lorsque le
nerf
malade est une branche intercostale ou abdomina
incomplète, comme c'était le cas de notre malade. Sur le trajet des
nerfs
des membres ou même de la face, le groupement d
long supinateur ? Dans le cas où il se serait fixé sur le tronc du
nerf
ou sur ses origines dans le plexus brachial, po
Mais admettre que les filets, rameaux, branches ou tronc d'un même
nerf
ne ressentent pas au même titre et au même degré
et de toute nécessité, supposer que le plomb n'est nuisible qu'aux
nerfs
moteurs, et nullement ou faiblement aux nerfs s
est nuisible qu'aux nerfs moteurs, et nullement ou faiblement aux
nerfs
sensitifs. La découverte des téphromyélites ant
t la conclusion que l'alcool exerce une in- fluence directe sur les
nerfs
périphériques. Assurément la névrite joue un gr
saphène interne gauche, de l'obturateur droit, d'un intercostal, du
nerf
optique, etc., il est logique de supposer que l
dans le domaine d'un plexus ou même dans le territoire d'un seul
nerf
, il est tout aussi logique d'admettre que l'influ
psie desquels la téphromyélite manquait totalement. Par contre, les
nerfs
des muscles atrophiés présentaient tous les car
aisceau pyramidal et les DES CENTRES TROPHIQUES DE LA MOELLE. 181
nerfs
périphériques. Et si nous ne constatons pas d'alt
. En Allemagne, Erb et Eisenlohr proclament que les altérations des
nerfs
périphériques peuvent provenir d'un trouble exc
s périphériques : « Lorsqu'on sectionne, chez les cobayes, le grand
nerf
scia- tique à la partie supérieure de la cuisse
rand nerf scia- tique à la partie supérieure de la cuisse, le petit
nerf
sciatique qui n,a point été lésé ne tarde pas à
sont atteints de la même façon. Dans ce cas, la section du grand
nerf
sciatique détermine un trouble de l'influence 12,
es cellules motrices de la substance grise dans la ré- gion d'où ce
nerf
tire son origine, et ce trouble sans altéra- ti
tre qu'il n'y a plus trace de myélite; et dans ces cas, souvent les
nerfs
périphériques en rapport avec le segment dé moe
oignée du centre spinal, comme il arrive le plus souvent, lorsqu'un
nerf
, en connexion avec son centre trophique est irr
u plan médian du corps calleux et qui vont constituer l'origine des
nerfs
de Lancisi. 190 ANATOMIE. ' ' t Quelquefois c
tinue plus haut, je dirai, en passant, que la subs- tance grise des
nerfs
de Laucisi doit être considérée comme en étant
ribuer à former les cordes du psaltérium ; les postérieurs vont aux
nerfs
de Lancisi. Il faut enfin noter que, dans quelq
x nerfs de Lancisi. Il faut enfin noter que, dans quelques cas, les
nerfs
de Lancisi n'apparaissent pas au niveau du bour
e ce corps, ou trouve deux lamelles grises rubanées bordées par les
nerfs
de Laucisi; elles vont de l'un à l'autre et rem
être remplacé par les tractus les plus externes de la formation des
nerfs
de Lancisi. La lame réticulée elle-même peut re
les dispositions indiquées peuvent varier d'un côté à l'autre.
Nerfs
de Lancisi.-A la demi-circonvolution godro- née
nvolution godro- née sus-calleuse, il faut ajouter la formation des
nerfs
de Lancisi, qui vient la complèter pour ainsi d
qu'on aper- çoive le relief des tractus. Nous savons déjà que ces
nerfs
sont une émanation de la branche interne de la
us deux aboutir au même point, à la bande diagonale du carrefour.
Nerfs
de Lancisi inférieurs Aux nerfs de Lancisi ' J'
à la bande diagonale du carrefour. Nerfs de Lancisi inférieurs Aux
nerfs
de Lancisi ' J'ai eu occasion de voir une fois
suit le bord supérieur du septum et arrive enfin à rejoindre les
nerfs
de Lancisi devenus inférieurs. Ce ne sont en so
ps striés. Son volume n'est en rapport direct qu'avec le volume des
nerfs
olfactifs; et la substance médullaire de son ex
nd avec le noyau médullaire duquel naissent les racines externes du
nerf
olfactif... L'hippocampe coopère donc vrai- sem
te sur les relations du lobule de l'hippocampe avec les racines des
nerfs
olfactifs, et sur « la disposition alvéolée de
ite aussi des observations de TIEDEMANN relatives à des absences de
nerfs
olfactifs dans des cas de malformation du cerve
alformation du cerveau (cyclopes particulièrement). « L'absence des
nerfs
olfactifs était généralement accompagnée d'un m
ue la voûte et les cornes d'Ammon sont en rapport immédiat avec les
nerfs
olfactifs. » MILNE-EDWARDS. « Proportionnelleme
La bandelette de l'uncus, le fascia dentata, le fascia cinerea, les
nerfs
de Lancisi, les pédoncules du corps calleux ne
urrelet. Quant à la portion interne, celle qui se continue avec les
nerfs
de Lancisi, il n'en parle pas. FOVILLE.-« « A
cette petite couche de substance grise qui la recouvre ou avec les
nerfs
de Lancisi. Lorsque la fascia dentata commence
ait pas retrouver quelque rapport avec la terminaison antérieure du
nerfs
de Lancisi. Mais, dans tous les examens de cett
L NERVEUX CENTRAL DE 1,'OLFACTION. 207 les petites lames grises des
nerfs
optiques et dans les bandelettes optiques, »
ngitudi- nales » et qu'il rattache à ses systèmes d'association'.
Nerfs
de Lancisi. F. FRANK. « Valentin dit avoir vu a
on intime avec la corne d'Ammon ». MEYNERT, d'après F. Frank. « Les
nerfs
de Lancisi établissent une voie d'association e
tion de l'ourlet et la corne d'Ammon, ce qui revient à dire que les
nerfs
de Lan- cisi rattachent l'un à l'autre les poin
après F. Frank, font continuer la racine olfactive interne avec les
nerfs
de Lancisi, et par l'intermédiaire de ceux-ci,
à la suite d'excitations psychiques et senso- rielles, lorsque les
nerfs
vasculaires de la peau avaient été préalablemen
de l'organe périphérique avec lequel ces aires sont reliées par les
nerfs
. IX. Il n'existe pas de transmission nerveuse d
ine que d'habitude. Ces auteurs pensent que la semi-décussation des
nerfs
auditifs existe comme celles des nerfs optiques
que la semi-décussation des nerfs auditifs existe comme celles des
nerfs
optiques et que les deux oreilles sont repré- s
une cavité au-dessous aux dépens de la substance grise. Les autres
nerfs
crâniens étaient normaux en apparence, mais les
e. Les autres nerfs crâniens étaient normaux en apparence, mais les
nerfs
optiques avaient une augmentation du tissu conj
à la lésion des plis courbes seulement ou à la dégénérescence des
nerfs
optiques ? Mais l'attaque soudaine de surdité dan
pour augmenter la pression cranienne, ni d'affection secondaire des
nerfs
crâniens. On a prouvé que la malade entendait
lement pour expliquer la surdité. Ces auteurs concluent : « que les
nerfs
auditifs; se terminent dans le lobe temporal et
herches microsco- piques de Flechsig et Leehterew2, montrent que le
nerf
auditif est en rapport avec le centre auditif d
sig. - Nous avons donc sujet de croire que les fibres centrales des
nerfs
auditifs ne passent pas toutes, comme le veut M
truction du cervelet lui-même. Quelques-unes des fibres du huitième
nerf
passent indubitablement dans le cervelet, mais
es des canaux semi-circulaire et non les fibres cochléeimes ou vrai
nerf
de l'audition. CENTRES DE LA SENSIBILITE TACTIL
n numéro.) REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE I. Paralysie DISSOCIÉE du
NERF
SCI1TIQUE poplité extfrne. (Paralisi dissociata
é de commerce, âgé de trente-quatre ans, une paralysie dissociée au
nerf
péronier, des muscles péroniers, de l'extenseur
res maladies infectieuses Est-ce l'action directe du microbe sur le
nerf
, ou celle d'un produit soluble dece dernier qu'
esthésiques et psychopathiques du saturnisme et les altérations des
nerfs
, notamment du nerf optique ; 2° Le plomb agit
opathiques du saturnisme et les altérations des nerfs, notamment du
nerf
optique ; 2° Le plomb agit sur les vaisseaux de
perte de la parole qui guérit en un an - une atrophie bilatérale du
nerf
optiquequi la rend aveugle en sept années - de
dégénérescence des muscles sans lésion des noyaux, des racines, des
nerfs
périphériques. L'Observation lit, et l'Observat
XXI. 1 et 2.) I. Etude complète des altérations microscopiques des
nerfs
opti- ques, avec planches. Délail de cinq autop
. Nous en résumons l'essen- tiel. Les altérations anatomiques des
nerfs
optiques tiennent, dans la sclérose en plaques,
il l'intensité, au siège, à l'étendue des altérations scléreuses du
nerf
. La même réflexion s'applique au trouble de la
tats des très nombreux examens anatomiques qu'il a pratiqués sur ce
nerf
lui-même et sur ses ganglions. 11 décrit tout d
ontre ensuite quelles sont les fonctions que l'on peut attribuer au
nerf
et à ses ganglions, puis, au point de vue patho
moteurs et trophiques par l'atteinte pri- mitive des racines et des
nerfs
: ? Cette opinion est bien séduisante. P. K.
du Sud-Ouest (30 octobre 1887) K ^ P. K. V. Examen anatomique DES
NERFS
MOTEURS, DES NERFS mixtes ET DES RACINES ANTÉRI
octobre 1887) K ^ P. K. V. Examen anatomique DES NERFS MOTEURS, DES
NERFS
mixtes ET DES RACINES ANTÉRIEURES DANS UN CAS D
r, et une dégénérescence paren- chymateuse chronique des fibres des
nerfs
périphériques avec dégé- nérescence musculaire
dans les cas de Oppenheim et Siemerling). Cette dégénérescence des
nerfs
moteurs périphériques et des racines antérieure
in-8°, 1889. Lecrosnier et Babé, éditeurs. P. K. XIII. Rapport DU
NERF
accessoire (spinal) avec LE pneumogastrique ET
. P. KERAVAL. XVI. CONTRIBUTION A l'anatomie ET A la PHYSIOLOGIE DU
nerf
vague; par 0. DEES. (Arch. f. Psych., XX, 1.)
fibres nerveuses en question, non touchées par la section. - 4° Le
nerf
inter- médiaire de Wrisberg n'en provient pas n
taire doit être considéré comme une racine sensitive ascendante des
nerfs
pneumogastrique et glosso-pharygien. - 7° Le ra
té indemne. P. K. XIX. DE l'allure DES corpuscules nerveux dans LES
NERFS
malades ; par A. ADAM61EWICZ. (Arch. f. Psych.,
celui de la maladie de Thomsen. P. K. XXIV. LÉSIONS MULTIPLES DES
NERFS
CRANIENS A LA SUITE D'UNE FRAC- TURE DE la base
TURE DE la base du crâne (contribution à la question du trajet des
nerfs
gustatifs) ; par L. BRUNS. (Arch. f. Psychiat., X
langue, contenues d'abord dans la neuvième paire, passent t par le
nerf
intermédiaire de Wrisberg et à y localiser le tra
rch. f. Psychi'lt., XX, 2.) L'atrophie unilatérale ou bilatérale du
nerf
optique peut s'y lo- caliser de longues années
rescence des cellules de la moelle entraîne la dégénérescence des
nerfs
périphériques qui marche ensuite de la périphérie
rosses cellules de la rétine établissent une communication entre le
nerf
optique et le réseau de la zone latérale du cor
cation SUR LES rapports DU tubercule QUADRIJUMEAU inférieur avec LE
nerf
auditif ; par P. FLECflsIG. (Neurol. Centralb.,
la paire inférieure des tubercules quadrijumeaux soit le centre du
nerf
auditif et, en particulier, du nerf cochléaire
quadrijumeaux soit le centre du nerf auditif et, en particulier, du
nerf
cochléaire (Flechsig, Bechterew) ? M. Hold a
que celui du foetus humain viable (septième mois intra-utérin). Le
nerf
vestibulaire est déjà complètement pourvu de my
vestibulaire est déjà complètement pourvu de myéline, tandis que le
nerf
cochléaire n'en possède que peu (portion interméd
nt les uns des autres. - On voit ainsi que les centres primaires du
nerf
cochléaire donnent naissance à quatre systèmes
érieur (ruban de Reil latéral) affecte une double connexion avec le
nerf
cochléaire, d'abord au moyen des éléments const
- L'olive supérieure contient des fibres issues des deux noyaux du
nerf
cochléaire, et s'unit au ruban de Reil inférieu
corps trapézoïde qui gagnent le ruban de Reil inférieur. Quant au
nerf
vestibulaire, il se réunit aux masses grises qui
constater ses relations avec le tubercule quadrijumeau inférieur. -
Nerf
cochléaire et nerf vestibulaire se comportent dif
ions avec le tubercule quadrijumeau inférieur. - Nerf cochléaire et
nerf
vestibulaire se comportent différemment quant à
exions centrales. P. K. XXXVI. Altérations des noyaux D'ORIGINE DES
NERFS
crâniens SUR LE plancher DU quatrième ventricul
cquièrent leur plus haute intensité dans les noyaux originaires des
nerfs
crâniens. Ce sont les noyaux des nerfs moteurs
s les noyaux originaires des nerfs crâniens. Ce sont les noyaux des
nerfs
moteurs qui paraissent le plus éprouvés. P. K.
ardia au pylore. Les mouvements pyloriques sont commandés par les
nerfs
périphériques, entretenus et même produits par le
ériques, entretenus et même produits par le pneumo- gastrique ; les
nerfs
splanchniques arrêtent les mouvements py- loriq
corce cérébrale - cellules de Purkinje du cervelet- ganglions du
nerf
optique) possèdent un prolongement cylmdraxile, o
té à la douleur per- sistant. On posa le diagnostic de : section du
nerf
médian et du nerf cubital, blessure de l'artère
sistant. On posa le diagnostic de : section du nerf médian et du
nerf
cubital, blessure de l'artère humérale. On se rés
le. On se résolut à enlever l'anévrisme et pratiquer la section des
nerfs
. M. Kredel trouva, en effet, que la partie anté
té perforée; il réséqua le morceau correspondant du vaisseau. Les
nerfs
en question étaient intacts, sauf à l'endroit de
coupe transverse est prise. Le bulbe, le cerveau tout entier et les
nerfs
optiques sont aussi fortement atteints. M. Bruns
ermit.le diagnostic en l'espèce, ce fut une atrophie bilatérale des
nerfs
optiques. M. ROLLER (de Brake) présente une tum
du corps resti- forme s'observe du côté de la lésion cérébrale. Les
nerfs
périphé- riques ne présentent aucune modificati
ne tumeur située entre les tubercules mamillaires et le chiasma des
nerfs
optiques; sous l'iufluence de cette dilatation
es deux côtés et ne sont pas atrophiées. Rien d'anormal du côté des
nerfs
périphériques. Dans les muscles du côté gauche,
re une légère stase sanguine avec oedème. L'examen histologique des
nerfs
périphériques n'a permis de cons- tater aucune
la partie inférieure du pédoncule gauche et ayant inté- ressé le
nerf
de la troisième paire, soit dans son trajet int
trouve, en allant de la base au sommet du triangle : le chiasma des
nerfs
optiques, le tuber cine- reum, les tubercules m
ti- mement à la face interne du pédoncule correspondant, les deux
nerfs
de la troisième paire. Vous concevez déjà par c
re en conséquence une para- lysie alterne spéciale, et que les deux
nerfs
de la troi- sième paire puissent, à la rigueur,
x du syndrome de Weber. Si cette même lésion détruit ou comprime le
nerf
oculo-moteur, le second élément de ce syndrome,
uperficielle des rapports de contiguïté qu'af- fectent entre eux le
nerf
de la troisième paire et le pé- doncule vous av
ces filets 1. nerveux représente schématiquement autant de petits
nerfs
distincts qui se rendent isolément l'un à l'iris,
me de Weber. Règle générale, i dans l'un comme dans l'autre cas, le
nerf
de la troi- HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE
de comprendre que, dans le pre- \ miel' cas, c'est-à-dire quand le
nerf
est lésé dans l'in- térieur du pédoncule, quelq
lle que vous rencontrerez. Quand elle est complète, l'altération du
nerf
com- I porte : la chute de la paupière, le stra
ule. Parties de ce point leurs fibres s'agrègent aus- sitôt en deux
nerfs
distincts qui traversent la protubé- rance dans
e l'autre, mais constitués déjà, dans tout ce trajet, à l'état de
nerfs
périphériques. Or, dans ce trajet iutraprotubé-
HYSTÉRIE SIMULATRICE DU SYNDROME DE WEBER. 331 1 rantiel, ces deux
nerfs
affectent, avec le faisceau py- ramidal, d'étro
drez aisément comment la lésion peut atteindre simultané- ment le
nerf
de la septième paire et le faisceau pyra- midal
pouvez supposer encore telle localisation qui atteindra les deux
nerfs
précédents sans léser le faisceau pyramidal^ et
avril, en examinant le réflexe rotulien, on provoque une attaque de
nerfs
qui commence par des mouvements épileptoïdes, e
coeur. C'est mon déjeuner qui ne digère pas. Ether. -Oli ! oui, les
nerfs
, les nerfs... Regarde la'pauvre fille là- bas..
t mon déjeuner qui ne digère pas. Ether. -Oli ! oui, les nerfs, les
nerfs
... Regarde la'pauvre fille là- bas... Viens à s
la jambe droite... Ether. De nouveau, hallucinations d'attaques de
nerfs
, comme dans la première expérience. Sirop de
au ventre l'idée de laparatomie, l'éther le ta- bleau d'attaques de
nerfs
, le chloroforme celui de contractures, et ainsi
mme est là, dans la rue, sur le trottoir, en proie à une attaque de
nerfs
. Il écarte la foule pour qu'on lui laisse de l'
c, tuber cinereum. - Til, tractus opticils. - c/t, cln,\sm 1. - Il,
nerf
optique. T, lobe temporal. - U. crochet. - Am,
- Ree, rostre du corps calleux. Gec, genou du corps calleux. - NI,
nerf
de Lancisi. dl, sissureloiigitu- dinale. F, lob
(fig. 29 Trol.). A cause de la for- mation originale du bulbe et du
nerf
olfactif, d'un diverticule de la vésicule céréb
nférieure de l'hémisphère cérébral sont considérés comme racines du
nerf
olfactif. Quoique chez l'homme et chez le singe
antérieure de la circonvolution du corps calleux. Les rapports du
nerf
olfactif par ses racines interne et externe avec
circonférence est formée par le lobe falciforme et le manche par le
nerf
optique et son bulbe (fit.30), Suivant le dév
es presque entièrement effacée les restes atrophiés constituant les
nerfs
de Lancisi (s. t. 1. ni. fig. 31) qui sont visibl
laire. - P, tractus pyramidal. - rn, noyau rouge. - ral, racines du
nerf
olfactf. - rs, région subtha- lamique. - s, sep
s cordons olfactifs étaient absolument normaux ainsi que les autres
nerfs
crâniens et le reste du cerveau. On laissa vivr
yrus uncinatus. M. Lane Hamilton en a puhlié un cas sans lésion des
nerfs
olfactifs; Vorcester en a publié un second et H
é opposé de la moelle, jusqu'à la région lombaire, ou émergeait les
nerfs
de l'extrémité inférieure. Dans une autre expér
pe (premier radial externe) et du grand palmaire, à l'endroit où le
nerf
émet son rameau cutané. L'électrisation guérit
ngements anatomo- pathologiques dans la moelle épinière et dans les
nerfs
périphéri- ques. La seconde, de nature dégénéra
nt prononcées de nature dégénérative dans la moelle épinière et les
nerfs
périphériques. Pour expliquer la pathogénie des
is- faisante serait, d'après l'auteur, la théorie dite réflexe. Les
nerfs
centripètes qui se distribuent dans les articul
anatomiques s'observent dans le cerveau, la moelle épinière et les
nerfs
péliphéliques, mais dans ces der- niers les lés
a trouvé des lésions dans le sys- tème nerveux central et dans les
nerfs
périphériques, les modifi- cations constatées d
injections hypodermiques de l'alcool faible dans les environs du
nerf
sciatique, il a pu observer dans les nerfs des mo
ible dans les environs du nerf sciatique, il a pu observer dans les
nerfs
des modifications destructives considérables.
ées ; la topographie crânio-cérébrale d'une part, la pathologie des
nerfs
périphériques d'autre part. On sait que les int
- chronique avec au- topsie, par Greppin, 264. COLOI30MA (état du
nerf
optique dans le), par Manz. Congrès de médeci
GLiosc de l'écorce cérébrale, par Buchholz, 274. GUS7·A·IIF'S (
nerfs
), par Bruns, 281. III'13011,OPI[IiÉNIE par Kalh
rage canine, 28G. Nerveux (corpuscules), allure des - dans les
nerfs
malades, par Adamlnevicz, 279. Névralgies duc
du - sur les échanges interstitiels, par H. Loehr, 125. Spinal (
nerf
), rapports du - avec le pneumogastrique et l'hy
TAi31s dorsal, pathologie du - , par Oppenhein, 268 ; - état des
nerfs
dans le - par Nonne, 274. 1'uousra (maladie d
par Nonne, 274. 1'uousra (maladie de), allules elec- triques des
nerfs
et des muscles dans la -, par Joilv, 138 ; - pa
1O. « TCULHCLU; QL.\DHIJL"r : Aü, l'apport du - inférieur avec le
nerf
auditif, pir Flechsig, 285. Tninjns cérébrale
haine. ' PARALYSIE BILATÉRALE DU DELTOIDE PAR ÉLONGATION DES DEUX
NERFS
CIRCONFLEXES par F. RAYMOND Professeur de C
ent dit, ces lésions ont-elles pour siège le cerveau, la moelle, le
nerf
ou le muscle ? Quel est enfin le mécanisme de c
remarquable, on constatait dans la zone d'in- nervation cutanée du
nerf
circonflexe, de chaque côté, une hypoesthésie t
t nous faire songera une paralysie par compression el distension du
nerf
circonflexe. Je vais essayer de vous dé,- montr
st bien là, en ell'et, le mécanisme à invoquer. - Vous savez que le
nerf
circonflexe est une des branches terminales du
s motrices terminales, qui s'épuisent dans la masse du deltoïde, ce
nerf
fournit une branche collatérale motrice, destinée
e par notre malade, durant la nuit qui a précédé sa paralysie, le
nerf
circonflexe se trouve soumis à une tension très
'est vraisemblablement à une tension analogue qu'ont été soumis les
nerfs
circonflexes du malade, pendant son sommeil. Ce n
e moins longtemps ou avait été moins exagérée^ c'est-à-dire que les
nerfs
circonflexes avaient subi une tension moins con
ant sur le bras replié comme sur un oreiller. Dans les deux cas, le
nerf
radial se trouve com- primé à sa sortie de la g
sez' longtemps pour produire une paralysie plus ou moins durable du
nerf
radial. Comme dans un certain nombre de cas, ce
intenues pendant quelque temps, attitudes forcées qui soumettent le
nerf
radial aune véritable élongation. Il y a tout lie
assez fortement saillil le muscle sous-scapulaire. Si par hasard le
nerf
circonflexe n'est pas sinueux,\\ est aisé de conc
a (I) DI : BON LI 1,"I' lllIUIlL. Des paralysies par élongation des
nerfs
. Médecine moderne. 1802, p. 130. ' 20 NOUVELL
p. 130. ' 20 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE suite, le
nerf
circonflexe, très sinueux, n'a jamais pu être, en
de Cruveilhier (1), à savoir que si, le plus souvent, le trajet des
nerfs
est rectiligne, il est des nerfs cependant qui dé
si, le plus souvent, le trajet des nerfs est rectiligne, il est des
nerfs
cependant qui décrivent des zig-zags, à la mani
se réveillent-elles sans paralysie ? Parce que, chez le premier, le
nerf
circonflexe doit avoir l' un trajet recliligine
lysie bilatérale a été la conséquence d'un véritable traumatisme du
nerf
circonflexe, on peut a priori en recon- naître
alysie neuroti- que, c'est-à-dire, consécutive à des altérations du
nerf
lui-même. Ce dia- gnostic se trouve, d'ailleurs
our affirmer que nous avons affaire à une paralysie par lésion d'un
nerf
mixte. En outre, l'examen électrique des muscles
IV0 édition, t. 111, p. 485), parlant de la direction générale des
nerfs
, s'exprime ainsi : « Les nerfs ont, en général, u
parlant de la direction générale des nerfs, s'exprime ainsi : « Les
nerfs
ont, en général, une di- rection rectiligne et
orte que si les mouvements dépassent leurs limites accoutumées, les
nerfs
peuvent être le siège de tiraillements funestes
ège de tiraillements funestes. Cependant, il est un grand nombre de
nerfs
qui se dévient dans leur trajet, pour décrire u
i jne, consécutive à / une contusion, ou mieux à une élongation des
nerfs
circonflexes, élonga- tion déterminée elle-même
eux membres su- périeurs, chez un homme ayant vraisemblablement les
nerfs
circonflexes rectilignes, non sinueux. Il me
d'une contusion ou d'une compression prolongée du muscle ou de son
nerf
(par les béquilles par exemple), à la suite d'une
RALYSIE BILATÉRALE DU MUSCLE DELTOIDE 1 1 PAR ÉLONGATION DES DEUX
NERFS
CIRCONFLEXES. - PAR A. SOUQUES et J.-B. CHARC
ltoïde des deux côtés. L'excitabilité faradique indirecte pour le
nerf
est conservée mais très nota- blement diminuée.
uls muscles deltoïdes et sur sa curieuse palhogénie (élongation des
nerfs
circonflexes par l'attitude prise pendant le so
ambe gauche A. droite, l'excitabilité électrique des muscles et des
nerfs
ne 'présente pas de modification notable. Je vo
: rcitaliilité neuro-musculaire en rapport avec une irri- tation du
nerf
crural (racine, tronc, ou ramifications). Peut-êc
qué, en outre, que l'atrophie exis- tait surtout dans le domaine du
nerf
sciatique poplité externe. * Ce qui, en somme,
e, con- sécutive à une lésion traumatique des branches d'origine du
nerf
dans le petit bassin. En effet, G. Guinon etPar
hie musculaire prédomine précisément dans la région innervée par ce
nerf
. Mais vous trouverez des éléments suffisants de
elle intéresse à la fois l'axe spinal et l'origine d'une partie des
nerfs
destinés au membre inférieur. Il faut, en un mo
; dans' cette région seulement, en effet, la moelle épinière et les
nerfs
lombaires ou sacrés, déjà consti- tués, peuvent
miques de la queue de cheval et le rôle qui revient aux différents
nerfs
qui la constituent, dans l'innervation des memb
ue sous le nom de queue de cheval, on désigne un gros fais- ceau de
nerfs
, disposé en éventail allongé, et qui remplit la p
ème ver- tèbre lombaire. / Ce faisceau est formé par les derniers/
nerfs
rachidiens, lombaires et sacrés, destinés aux m
hidiens, lombaires et sacrés, destinés aux membres inférieurs ; ces
nerfs
naissent du renflement lombaire par des racines
près Charpy, est la partie de la moelle qui donne nais- sance aux
nerfs
coccygiens ; il a pour limites, en haut, le pla
giens ; il a pour limites, en haut, le plan qui sépare le cinquième
nerf
sacré du premier nerf coccygien, en bas, le p
s, en haut, le plan qui sépare le cinquième nerf sacré du premier
nerf
coccygien, en bas, le point ou le filll1n montr
entre le renflement t lombaire considéré comme lieu d'origine des
nerfs
lombaires et sacrés, et la portion ter- minale
minale du névraxe, qui n'a rien à voir avec l'origine dé ces mêmes
nerfs
. Je dois vous prévenir toutefois qu'il ne sau
é ; 3 sillon collatéral postérieur ; 4.4 raci- nes postérieures des
nerfs
rachidiens ; si racines antérieures dn côté gauch
PÊTRIÈRE Le cône terminal est enveloppé par la dure-mère et par les
nerfs
de la queue de cheval. Par son extrémité inféri
re dorsale à la 2e lombaire, et qui donne naissance aux racines des
nerfs
lom- baires et sacrés, fait suite : 1 Le cône
en, située au-dessous de la 2e vertèbre sacrée. D'autre part, les
nerfs
lombaires, au nombre de cinq, dont les quatre p
du segment lombaire du rachis, le trou par le- quel sort le premier
nerf
lombaire se trouvant compris entre la première
ntre la première et la deuxième vertèbre lombaire. , De même, les
nerfs
sacrés, également au nombre de cinq, les quatre
atre premiers donnant naissance, avec la collaboration du cinquième
nerf
lom- baire, au plexus sacré, les nerfs sacrés,
la collaboration du cinquième nerf lom- baire, au plexus sacré, les
nerfs
sacrés, dis-je, s'échappent, les quatre premier
t la distance comprise entre l'émergence spinale des racines de ces
nerfs
et le trou de conjugaison à travers lequel ils
us renseigner, d'une façon exacte, sur les rapports anatomiques des
nerfs
de la queue de cheval et des pièces qui constitue
vre d'un sujet de 18 ans : Distances comprises entre l'émergence du
nerf
et son trou de conjugaison : 84 NOUVELLE ICONOG
ELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALI'L1'HII : RE FlG. 10. Territoires des
nerfs
cutanés du membre inférieur, vus sur la face an
ntaire externe. 18, plantaire interne. Fig. 11. Territoires des
nerfs
cutanés du membre inférieur, vus sur la face po
fessier du grand abdomino- génital. 2, branches postérieures des
nerfs
lombaires. 3, branches postérieu- res des nerfs
postérieures des nerfs lombaires. 3, branches postérieu- res des
nerfs
sacrés. 4, branches cuta- nées du plexus coccyg
à faire tout à l'heure de ces notions d'anatomie. Territoires des
nerfs
cutanés de la région plantaire (d'ap. Testut).
rtion inférieure du canal rachidien, relentit simultanément sur les
nerfs
de la queue de cheval et sur le segment termina
n intéressait exclusivement le cône terminal, sans retentir sur les
nerfs
delà queue de cheval. Messieurs, les symptômes
nstate une diminution de l'excitabilité galvanique et faradique des
nerfs
qui fournissent aux muscles paralysés ; cette dim
un certain nombre de cas, on constate, à l'exploration de certains
nerfs
et de leurs muscles, les signes de la réaction de
sorganisation profonde des centres trophiques de ces muscles ou des
nerfs
qui en émanent. 1 Troubles des (onctions génito
La tumeur, longue de 6 centimètres, comprimait exclusive- ment les
nerfs
destinés à la vessie. ' SUR LES AFFECTIONS DE L
centres de l'innervation réflexe de la vessie et du rectum, ou les
nerfs
qui en partent. Chez le malade de Kirchhoff, le
les de leurs . membres inférieurs, de ceux qui sont innervés par le
nerf
crural et l'ob- turateur ; c'est là un point su
vous faire une énumération concise, étant donné l'éparpillement des
nerfs
destinés aux organes qui sont le siège de ces s
DE LA QUEUE DE CUEVAL 101 du plexus sacré, tandis que les fibres du
nerf
péronier proviendraient principalement des raci
té au cône terminal, dont il occupait surtoul la moitié droite; les
nerfs
de la queue de cheval n'étaient pas altérés.
al, peut être indemne et la lésion intra-rachidienne se limiter aux
nerfs
qui se distribuent à la ves- sie et à la derniè
e supérieure du filament terminal, qui comprimait exclusivement les
nerfs
de la queue de cheval destinés à la vessie. Les
la vessie seulement t ou de la vessie et du rectum (compression des
nerfs
destinés ci ces organes 1 par une tumeur du FIL
lexes, atrophie des muscles paralysés; l'exploration électrique des
nerfs
et des muscles donne les signes de la réaction
xsudats douloureux qui probablement entraînèrent une irritation des
nerfs
». Et comme conclusions si les procédés locaux
n peu de tous côtés la mamelle sans s'étendre dans la direction des
nerfs
. En môme temps que cette rougeur apparaissait, le
che assez profond pour y pouvoir mettre le poing, et que, comme les
nerfs
de la jambe s'étoient retirés, cette jambe paro
hléenne, a provoqué une atrophie rapide des muscles dépendant de ce
nerf
, atrophie sur laquelle nous reviendrons dans un
17 et 98). En somme nous n'avions point affaire à une névralgie du
nerf
cubital mais, ainsi que nous permettaient de l'
celle résultant des atrophies consécutives à l'ancienne section du
nerf
cubital : toutefois les contractions musculaire
nt, on l'a vu au cours de son observation, non d'une névralgie d'un
nerf
, mais d'une pseudo-névralgie radiculaire. Nous
one hyperesthésique qui correspondait non au territoire cutané d'un
nerf
, mais au territoire cutané d'une racine. Dans l
artie interne de l'olécrane : territoire bien différent de celui du
nerf
cubital, qui a seulement sous sa dépendance : d
usée spontanément par le malade, pour une hyperesthésie du tronc du
nerf
cubital lui-môme : un. examen attentif nous permi
l lui-môme : un. examen attentif nous permit seul d'affirmer que le
nerf
n'était nullement douloureux ; en même temps; n
men- non prévenu, cette névralgie radiculaire pour une névralgie du
nerf
sciatique lui-même. Quoi qu'il en soit de celle
'était l'insuccès absolu des interventions multiples tentées sur le
nerf
cubital : résection de ce nerf dans la gouttièr
terventions multiples tentées sur le nerf cubital : résection de ce
nerf
dans la gouttière épitrochléenne, élongation de s
op les récidives à longue échéance des névralgies par résection des
nerfs
, pour l'affirmer, mais nous augurons bien de l'av
ivement à l'insuccès fréquent des interventions portant sur ce môme
nerf
en deçà de son ganglion : le triju- meau n'est-
approxi- malivemenl, il droite comme à gauche, le domaine culané du
nerf
petit sciatique et des nerfs sacrés. Vous voyez
te comme à gauche, le domaine culané du nerf petit sciatique et des
nerfs
sacrés. Vous voyez, d'autre part, que l'anesthési
ce territoire ano- génital correspond à la distribution cutanée du
nerf
honteux interne. Voilà bien, Messieurs, une top
à la fois. Ce syndrome a été observé dans un cas de compression des
nerfs
destinés à ces organes par une tumeur du filmn
ts radiculaires de la vessie et du rectum ainsi que les racines des
nerfs
petits sciatiques et honteux internes, puisse rep
'1151 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE * les racines des
nerfs
houleux internes, du petit sciatique et des nerfs
* les racines des nerfs houleux internes, du petit sciatique et des
nerfs
du rectum et de la vessie ? Ne serail-il pas en
urprenant qu'une pa- reille lésion n'intéressât que les racines des
nerfs
précédents et respectât les innombrables filets
lle rectum. Dans ce cône doivent cheminer les origines spinales des
nerfs
petits sciatiques et lion- teux internes. Un fo
yer d'hé- matomyélie, limité au cône termina ! , avec intégrité des
nerfs
de la queue de cheval. Je crois superflu de vou
ituée au-dessous de la cinquième vertèbre lombaire, au point où les
nerfs
respectés par la paralysie s'échappent du canal r
t dans la partie médiane de la moelle, en respectant les racines du
nerf
crural. Sdlllltzc (1) est revenu récemment sur
une lésion située beaucoup plus bas et com- primant les racines du
nerf
sciatique. Un dessin, annexé au travail de Schu
ue vous apercevez de chaque côté, représentent les racines des deux
nerfs
cru- raux qui, du reste, émergent souvent ;'1 d
AL 157 férieure du renflement lombaire, d'où émanent les racines du
nerf
scia- tique, vous aurez évidemment les mêmes sy
trophiques de la peau sont situés, avec les centres trophiques des
nerfs
de la sensibilité, dans les ganglions intervert
fs de la sensibilité, dans les ganglions intervertébraux et que les
nerfs
trophiques accompagnent les nerfs de la sensibi
glions intervertébraux et que les nerfs trophiques accompagnent les
nerfs
de la sensibilité. \ Cette supposition est co
organes du mouvement, sont situés, avec les centres trophiques des
nerfs
moteurs, dans les cornes antérieures de la moel
ans les ganglions, par conséquent avec les centres trophi- ques des
nerfs
de la sensibilité. Comme conclusion praliquede
de la peau comprend toutes les variétés de la sensibilité. Tous les
nerfs
du côté droit sont douloureux à la pression. Le b
lon qui sépare l'olive gauche de la pyramide gauche, à la sortie du
nerf
grand hy- poglosse. On pouvait constater en e
se compo- ;nl de quelques filets nerveux, très minces. Le ronc du
nerf
, aussi bien dans ses ramifications )olll'SIILV1
es musculaires est fortement développé et évi- demment proliféré.
Nerfs
de la XII paire (1). Celui du côté droit est tout
ec l'acide osmique. Pour, contrôler ce résultat, on pratique sur le
nerf
de la XIIO paire gauche, durci dans l'acide osm
out appréciable, si on le compare avec les coupes pratiquées sur le
nerf
normal du côté droit. Moelle épinière. - Après
s dans de l'alcool Ù 70°. Les coupes laissaient déjà facile- (1) Ce
nerf
a été examiné par le Dr Tilger. Fin. 49 UN NO
s avons constaté (fig. 52). Ajoutons qu'il n'a pas été recueilli de
nerfs
périphériques. La moelle enlevée n'a pas été ex
la région cervicale 'de la moelle n'ayant pas été examinée, et les
nerfs
périphériques n'ayant pas été re- cueillis. L
IRE DE L'OSTÉITE DÉFORMANTE DE PAGET 211 L'examen macroscopique des
nerfs
périphériques révéla les particulari- tés suiva
des nerfs périphériques révéla les particulari- tés suivantes. Les
nerfs
sont considérablement augmentés de volume. C'est
niveau du jarret mesure un centimètre de diamètre. Ajoutons que ces
nerfs
siègent au milieu de tis- sus oedématiés d'une
des lésions que nous avons cons- tatées dans la moelle et dans les
nerfs
phériphériques. Dans notre première communicati
ous, d'un processus d'atrophie de ces fibres nerveuses. Quant aux
nerfs
que, dans ces cas, nous avons trouvés augmentés d
es notions d'anatomie topographique, concernant l'origine réelle du
nerf
moteur oculaire commun. Vous n'ignorez pas que II
atives, ont fixé cette origine dans la Fio. 53. Origines réelles du
nerf
moteur oculaire commun du côté gauche (d'après
nerf moteur oculaire commun du côté gauche (d'après Testut). III.
Nerf
moteur oculaire commun du côté gauche. V. trijume
externe se rendant après entrecroisement avec son congénère dans le
nerf
moteuroculaire commun pour aboutir finalement au
supérieur, droit inférieur, petit oblique. Enfin vient le noyau du
nerf
pathétique. Le schéma de Perlia(Fig. 54), ainsi
groupes de cellules nerveuses qui constituent le noyau d'origine du
nerf
oculo-moteur commun (d'après Perlia). III. Nerf
noyau d'origine du nerf oculo-moteur commun (d'après Perlia). III.
Nerf
oculo-moteur commun. IV. Nerf pathétique avec son
-moteur commun (d'après Perlia). III. Nerf oculo-moteur commun. IV.
Nerf
pathétique avec son noyau d'origine -n. c, noya
OGRAPHIE DE LA SALPÉTRIÈRE de la couche optique; que les centres du
nerf
moteur oculaire droit tou- chent presque ceux d
ou au niveau de l'entrecroisement des fibres cortico- bulbaires du
nerf
facial. C'est, en effet, dans cette région, comme
s de l'aqueduc de Sylvius, c'est-à-dire les centres postérieurs des
nerfs
moteurs oculaires communs ainsi que l'origine des
uns ainsi que l'origine des pathétiques. Les centres antérieurs des
nerfs
de la troisième paire, à sa- voir, les centres
ueduc de Syl- vius. Elles fournissent par conséquent aux noyaux des
nerfs
pathétiques Fic.. 56. Les artères médianes anté
nce rela- tive des centres antérieurs et des centres postérieurs du
nerf
moteur ocu- Fic. 5 ? Les artères de la face ant
protubérance annulaire (d'après Duret). 1, artères radiculaires du
nerf
accessoire de Willis. 2, artères spinales antér
illis. 2, artères spinales antérieures.- 3, artères radiculaires du
nerf
pneumogastrique. 4, artères radiculaires du ner
es radiculaires du nerf pneumogastrique. 4, artères radiculaires du
nerf
glosso-pharyngien. 5, artères radiculaires du ner
es radiculaires du nerf glosso-pharyngien. 5, artères radiculaires du
nerf
oculo-moteur externe. 6, artères radiculaires d
diculaires du nerf oculo-moteur externe. 6, artères radiculaires du
nerf
facial et du nerf acoustique. 7, artères radicu
oculo-moteur externe. 6, artères radiculaires du nerf facial et du
nerf
acoustique. 7, artères radiculaires du -trijume
7, artères radiculaires du -trijumeau. - 8, artères radiculaires du
nerf
hypoglosse. OPHTALMOPLÉGIE EXTERNE BILATÉRALE E
e Siemerling ne laissent aucun doute à cet égard. Or les noyaux des
nerfs
moteurs bulbaires'et protubérantiels ne sont, e
sence d'une méningite basilaire localisée, englobant les troncs des
nerfs
oculaires et lésant simultanément le pédoncule cé
rne, associée à une paralysie des membres inférieurs et de certains
nerfs
crâniens (facial, hy- poglosse, vague et phréni
les altérations d'une polynévrite à la- quelle participaient et les
nerfs
de la base du crâne et ceux des membres. Un tel
guérison était com- plète. Y a-t-il eu, dans ce cas, une lésion des
nerfs
périphériques ? Je ne le pense pas. Je me ratta
et veineuse ». C'est cette excitabilité exagérée des muscles et des
nerfs
qu'étudieront plus tard Weiss (1), Erb (2) et C
se droite, de manière à comprimer les muscles, les vaisseaux et les
nerfs
. Les orteils correspon- dants se contracturèren
tante. Cette fillette n'a jamais en de convulsions ni d'attaques de
nerfs
; mais elle rêve et cause tout haut la nuit. Ell
res du matin. Depuis la veille au soir,. suivant son expression, les
nerfs
la tra- vaillaient. Elle n'avait pas dormi ; il
adies des reins, des organes génitaux, et surtout les névralgies du
nerf
sciatique. Il est possible qu'on ait affaire ic
s l'épaisseur de la pie-mère, soit, surtout, autour des racines des
nerfs
crâniens ; dans l'espace interpédonculaire on ape
ou moins déformé, décrit des anses dans sa gaîne trop large, Les
nerfs
et les muscles examinés n'ont pas présenté de lés
e et de la protubérance il existe des lésions intersti- tielles des
nerfs
crâniens et des méninges qui sont exactement de l
onnaire de leur paroi. Les racines de l'hypoglosse sont saines. Les
nerfs
mixtes, des deux côtés, mais surtout à gauche,
e les fasci- DEUX CAS DE MYÉLITE TRANSVERSE AIGUË C 343 cules des
nerfs
moteurs oculaires externes ; l'enveloppe fibreuse
pa- rent les fascicules. En outre tout autour de l'émergence de ces
nerfs
la méninge présente de petites plaques d'infilt
sez volu- mineuses dont les parois sont fortement infiltrées. Les
nerfs
faciaux sont moins altérés, néanmoins on voit plu
cellules arrondies sont beaucoup plus ser- rées qu'ailleurs. Les
nerfs
pathétiques, aussi bien le droit que le gauche, s
ts de granulations péri-vasculaires à moitié fibreuses. Ce sont les
nerfs
qui paraissent être les plus atteints ; tout l'
traversent cet espace. Les artères échappent à la lésion. Tous les
nerfs
dont il vient d'être question ne présentent d'ail
me présente quelques légères granulations. En résumé la plupart des
nerfs
crâniens sont le siège d'altérations in- tersti
t devoir être mise sur le compte de la virgule de Schultze. , Les
nerfs
et les muscles examinés n'ont présenté aucune lés
, dit-il, est celle où, le crâne non fracturé, sont rompus certains
nerfs
du cerveau, ou certaines veines des membranes,
us les soins il mou- rut et je ne dis pas seulement par rupture des
nerfs
du cerveau, surtout de ceux d'où naissent'les n
par rupture des nerfs du cerveau, surtout de ceux d'où naissent'les
nerfs
réversifs qui sont dits les nerfs de la voix, F
surtout de ceux d'où naissent'les nerfs réversifs qui sont dits les
nerfs
de la voix, Fie. 14.- L'aspect du cerveau ouver
hez lui fut rompue certaine veine du cerveau et peut- être certains
nerfs
: de quelle veine advint la mort, à cause du sang
iles du crâne, ainsi que les points où convergent les veines et les
nerfs
». Il faut du reste savoir, non seulement les emp
{qie externe bilatérale consé- cutive à la rougeole. - Origine du
nerf
oculo-moteur commun, 53, 54, 53. Circulation
e de cheval. Trouble de sensibilité, 67. Disposition anatomique des
nerfs
et rapports avec le canal rachidien, 8, 9. Di
pports avec le canal rachidien, 8, 9. Distribulion périphérique des
nerfs
, 10, 11, 12. Traité des fractures du crâne de
le point le plus frappant de l'observation qui suit. La lésion du
nerf
optique, qui constitue avec la déformation crânie
ydriase considérable, vision = 1 ; oeil gauche, atrophie blanche du
nerf
optique très avancée, vision z1/10. En avril 1907
ne affection bien plus ancienne, l'oxycéphalie. Outre l'atrophie du
nerf
optique, ces signes oculaires indiquent qu'il s
u'il s'agisse de muscles innervés les uns et les autres par le même
nerf
. , ' ' XXVIII 2 18 FLOURNOY Autopsie. Crâ
t plus petit que le gauche. L'artère vertébrale, le trijumeau et le
nerf
optique sont au contraire plus petits à gauche qu
aire plus petits à gauche qu'à droite. La différence entre les deux
nerfs
optiques est très prononcée (droite, 4 mm. 25 ; g
présente rien de particulier au point de vue histologique. ' Les
nerfs
optiques ont été coupés dans le sens transversal
la gaine est épaissie. Sur les coupes transversales on voit que le
nerf
optique droit est envahi par une grosse cloison
scence beaucoup plus marquée ; dans presque toute son épaisseur, le
nerf
est remplacé par un amas de trabécules conjonct
émis- phère gauche qu'il faut attribuer la différence de volume des
nerfs
optique et trijumeau, qui y sont beaucoup plus
IIIe paire s'entre-croisent en partie, c'est du côté opposé que le
nerf
est diminué de volume. La profondeur exagérée des
manente de la musculature intrinsèque de l'oeil, qui dépend du même
nerf
, elle peut être due à la vulnérabilité plus gra
s ? Ces questions restent ouvertes. CONCLUSIONS. 4° L'atrophie du
nerf
optique n'est pas la conséquence d'un canal oss
rofesseur Pierre Marie. DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES
NERFS
PAR R Mme ATHANASSIO-BENISTY.. Les lésions
URES DES NERFS PAR R Mme ATHANASSIO-BENISTY.. Les lésions des
nerfs
périphériques au cours de cette guerre se mon-
peu exercé pourra prévoir, dès le début de son examen, quel est le
nerf
lésé, rien qu'en se basant sur l'aspect du memb
ADAME ATHANASSIO-BENISTY I. Paralysies radiales. Le radial est le
nerf
de l'extension. Il innerve au bras le triceps bra
on la plus vraisemblable est-le caractère essentiellement moteur du
nerf
radial. La plupart de ses fascicules sont moteu
ui l'étend en la portant en dedans (adduction). En cas dé lésion du
nerf
radial, la paralysie de ces trois muscles est p
toujours simultanée. Elle n'est dissociée que lorsque la lésion du
nerf
n'a intéressé que sa branche postérieure à l'avan
G D E DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES
NERFS
(Mme Athanassio-Benisty). MASSON et Ci., Édit
F G " H DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES
NERFS
(Mme Athanassio-Benisty). MASSON et CI., Édit
MASSON et CI., Éditeurs. DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES
NERFS
67 Les extenseurs des doigts étendent la premiè
lombricaux. Il ne faudra donc pas attribuer à une restauration du
nerf
radial les ébauches d'extension des deux derniè
tabatière anatomi- que ne font aucune saillie sous la peau. - Le
nerf
radial innerve également les muscles long et cour
que dans les plaies de la partie moyenne du bras ayant intéressé le
nerf
radial au-dessus de l'émergence du filet du lon
' ', t ? l...... 11, - PARAI,YSIE CUBITALE. 1 En cas de lésion du
nerf
cubital, l'aspect de la main est très caractéris-
urtout s'il s'agit d'une lésion grave ou d'une section totale de ce
nerf
.. - Les deux traits principaux sont dans ce cas
y). MASSON et Éditeurs. DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES
NERFS
69 Parfois le troisième lombrical est innervé p
E F G DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES
NERFS
(.Ifme t)tanassio-l3enisLJ. MASSON et C", Édi
I, PL. XXI. DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES
NERFS
,lIme A thanassio-Benisl1(). gkq 1. 1 ? y /
BLESSTIRES DES NERFS DFFOR\ ' f '8 DE LA MU1\ ! ,PAR BLESSURES DES
NERFS
1 Dans certaines par SI rp- Fr te -1-1 e on peu
a direction de la blessure et dans la topo- graphie fasciculaire du
nerf
. " . Les recherches électriques récentes de MM.
asculaires notables conduiront au diagnostic exact. III. LÉSIONS DU
NERF
médian. Le médian est le nerf de la pronation,
u diagnostic exact. III. LÉSIONS DU NERF médian. Le médian est le
nerf
de la pronation, de la flexion du carpe'et des
plète. En cas de section totale du médian ou de lésion, grave de ce
nerf
, la main du blessé se trouve élargie par rappor
n artérielle associée, chose fréquente, étant donné la proximité du
nerf
et des vais- seaux. L'examen du pouls radial
é des perturbations fonctionnelles qu'entraîne une lésion totale du
nerf
. L'aspect de la main est celui que nous venons
de décrire à propos des paralysies complètes. Le bord externe du
nerf
médian est rarement touché isolément. Le bord i
plaie en séton de la partie interne du bras. Lorsque la lésion du
nerf
médian revêt la forme particulière décrite sous
calice, pl. XVI, fig. D). DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES
NERFS
73 Le pouce est en adduction et en opposition a
ion de la croissance de ces tissus. IV. LÉSIONS concomitantes DES
NERFS
médian ET cubital. Ces lésions fréquentes déter
des doigts et nécessitent de ce fait une étude détaillée.. Que ces
nerfs
soient touchés au bras ou à l'aisselle, les signe
sies complètes. Lorsqu'un projectile a sectionné ou écrasé les deux
nerfs
du bras par ' DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESS
deux nerfs du bras par ' DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES
NERFS
75 une plaie en selon de sa face interne, on le
le. ` B. - Paralysies incomplètes. Les paralysies incomplètes des
nerfs
médian et cubital réalisent des types cliniques
mations de la main et des doigts à ia suite d'une atteinte des deux
nerfs
doit tenir à l'inégalité de leur lésion. On se
édian ou sur le cubital, selon que tels ou tels faisceaux de chaque
nerf
se trouvent touchés, selon la richesse des anasto
f se trouvent touchés, selon la richesse des anasto- moses avec les
nerfs
voisins, et enfin, croyons-nous, selon la nature
ésion. Les troubles observés au cours de ces lésions partielles des
nerfs
médian et cubital constituent la plus belle ill
la spécialisation des fascicules nerveux moteurs à l'intérieur d'un
nerf
. Les dessins ci-joints, faits d'après nature, e
E F G DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES
NERFS
( ! lfme Athanassio-Benisty). MASSON et Ci-,
plus chez tous les sujets, quoique la lésion siège au même point du
nerf
. I' a-t- il encore là une prédisposition du ble
e et les modifier. V- Lésions vasculaires associées aux lésions DES
nerfs
PÉRIPHÉRIQUES. Toutes les fois qu'aux signes ha
les fois qu'aux signes habituels de la paralysie d'un ou plusieurs
nerfs
du membre supérieur s'ajoutent des troubles vasom
il c D DÉFORMATIONS DE LA MAIN ET DES DOIGTS PAR BLESSURES DES
NERFS
(Mme Athanassio-Benisty). MASSON et C", Édite
MASSON et Ci», Éditeurs. DÉFORMATIONS DE LA MAIN PAR BLESSURES DES
NERFS
79 spéciaux formés d'une association de parésie
l'avant-bras ou de la main, blessure qui laisse souvent intacts les
nerfs
et les os, et qui d'autrefois n'a été qu'une simp
à la con trac- ' ture des fléchisseurs de l'avant-bras ; « main du
nerf
médian ». b) L'aspect en bénitier ; la paume de
ontracture des interosseux et de l'adduc- teur du pouce ; « main du
nerf
cubital ». c) La main en fuseau par contracture
tenseurs de la main et des 1 doigts et des interosseux ; « main des
nerfs
radial et cubital ». ' d) La main en col de cyg
nerfs radial et cubital ». ' d) La main en col de cygne, « main des
nerfs
médian et cubital » fléchie à angle aigu sur le
ard et 131»EI;T, La bande de caoutchouc et l'alcoolisation locale des
nerfs
dans le traitement des contractures par blessur
le cal d'ailleurs consolidé en bonne position, est au voisinage du
nerf
; mais la fréquence est très grande de fractures
iras), peut s'expli- quer par la lésion des fibres envoyées dans ce
nerf
par la huitième paire. Cette douleur, quoique p
peut en fixer le siège dans l'angle formé par la racine interne du
nerf
médian et par le nerf cubital qui en émerge. Ce
e dans l'angle formé par la racine interne du nerf médian et par le
nerf
cubital qui en émerge. Cela nous explique l'att
d'une plaie dans le territoire du radial, mais qui ne toucha pas ce
nerf
, et qui d'ailleurs se trouve à un niveau inférieu
innervent le dos de la main. La preuve de cette lésion organique du
nerf
radial est fournie par l'anesthésie de son territ
II, »), ou tronculaire comme dans II (« griffe cubitale par lésion du
nerf
cubital »), III (« hypotonie du fléchisseur sup
it le mécanisme intime de l'hyper- tonie des muscles tributaires du
nerf
lésé, on doit admettre qu'une lésion irritative
témoins les III, XV, IX où il y a les signes nets d'une lésion des
nerfs
de la main et où les troubles vaso-moteurs sont
enseurs), IX (R. + P.) (radial, cubital, médian), II (0.) (tous les
nerfs
), III (0.) (flé- chisseurs des trois premiers d
me dans les cas d'André Thomas et Guillain, ce qui étend aux autres
nerfs
périphériques la conception classique pour la p
SO-MOTEURS ET TROPHIQUES par LÉSIONS associées DES vaisseaux ET DES
nerfs
. Les lésions des nerfs mixtes périphériques ent
par LÉSIONS associées DES vaisseaux ET DES nerfs. Les lésions des
nerfs
mixtes périphériques entraînent d'une façon cou-
la motilité et de la sensibilité objective dans le do- maine de ces
nerfs
; elles ne comportent que d'une façon assez peu f
MAINS Er ! }. ED3 .G1 ! EZ'LES BLESSÉS NEIl VEUX . 129 phérique du
nerf
médian, la partie externe de la main, les trois p
t trophiques à la suite de lésions associées des vais- seaux et des
nerfs
. Dans certains cas,nous avons aussi constaté de s
, parcheminés, etc., sans oedème sous-cutané dans le territoire des
nerfs
lésés. Une lésion vasculaire est-elle toujours,
ainsi, dans les trois cas que nous avons rapportés, la blessure des
nerfs
était manifestement in- complète. Mais dans bie
non de l'oedème, mais des kératoses cutanées limitées au domaine du
nerf
lésé, ou encore des ulcérations cuta- nées, plu
, une intervention ultérieure nous a montré une section complète du
nerf
, anatomique ou physiologique. C'est avec cette
emières aient été toutes interrompues, c'est-à-dire que la section du
nerf
ait été complète. Il suffirait de la persistanc
iant, et c'est sans doute pourquoi nombre de sections complètes des
nerfs
ne donnent lieu à aucun trouble vaso-moteur ou tr
n vas- culaire, associée à une blessure complète ou incomplète d'un
nerf
xxviii 9 130 LÉRI détermine-t-elle toujours
section de l'artère humé- raie ou radiale associée à une lésion du
nerf
médian ou du médian et du cubital n'a provoqué
; la para- lysie du médian persista, on intervint et l'on trouva le
nerf
complète- ment sectionné et ses deux'bouts écar
lésions vasculaires dans les formes causalgiques des blessures des
nerfs
, et nous émettions l'opinion que ces lésions vas-
s avons recueilli un bon nombre d'observations où des blessures des
nerfs
avaient pris la forme causalgique et où de gros
ome, ligature artérielle, etc.), soit au moment de la libération du
nerf
(obturation artérielle, anévrisme, grosse conge
S DES MAINS ET DES PIEDS CHEZ LES BLESSÉS NERVEUX 131 irritative du
nerf
et non d'une lésion destructive ; on a trouvé trè
non d'une lésion destructive ; on a trouvé très ordi- nairement des
nerfs
plus ou moins congestionnés, mais relativement pe
mme des gros- ses douleurs causalgiques consécutifs aux lésions des
nerfs
, l'association d'une lésion vasculaire parait j
ement considérée comme un des bons signes de la section complète du
nerf
radial. Il faudrait pourtant se garder d'attrib
et C représentent, des paralysies radiales avec section complète du
nerf
; on y voit à quel point l'hypotonie peut être va
e par balle du tiers inférieur du bras ayant fracturé l'humérus; le
nerf
radial fut trouvé complètement sec- tionné. E
e au même niveau, ayant également fracturé l'humérus ; on trouva un
nerf
dont les deux bouts, présentant un gros névrome
e paralysie radiale complète, cliniques et électriques ; on trouva un
nerf
dont les deux bouts, présentant chacun un névro
indiscutable. De plus, quand on voudra juger de la restauration- du
nerf
par le degré de l'hypotonie, on songera que tou
DIAL. Les formes très douloureuses, causalgiques, des blessures des
nerfs
périphériques s'observent presque exclusivement
iphériques s'observent presque exclusivement après atteinte soit du
nerf
médian, soit de la branche interne du sciatique.
f médian, soit de la branche interne du sciatique. Les blessures du
nerf
radial ne déterminent que très exceptionnellement
Béiiis[y dans leur article capital sur L'individualité clinique des
nerfs
périphériques (1). La règle n'est pourtant pas
est pourtant pas absolue : nous avons observé un cas de blessure du
nerf
radial qui ne s'est manifestée que par un certain
s, ayant tous les caractères de la causalgie, dans le domaine de ce
nerf
. '" (1) Pierre Marie et Mme Bénisty, Revue neur
ue les manifestations douloureuses siégeaient dans letern- toire du
nerf
radial. V , LE « PIED EFFILÉ » DANS LES LÉSIO
du scia- tique soit fortement touchée, soit après la bifurcation du
nerf
, soit dans son tronc même où, comme on sait, le
uses, causalgiques, des lésions du sciatique ; or les lésions de ce
nerf
sont très fréquemment douloureuses quand le sci
ue l'on observe à la main dans les formes douloureuses de lésion du
nerf
mé- dian ; main affinée, doigts effilés ont été
té du membre, main ou pied, quel que soit le niveau du membre où le
nerf
, médian ou sciatique interne, ait été touché; a
ette et accentuée dans un cas où, à la suite d'un enfouissement, le
nerf
avait été fortement contu- sionné, soit au nive
i se trouve soit accolée à la branche externe dans le « tronc » du*
nerf
, soit détachée sous le nom de sciatique poplité
e peut être le seul signe organique indiscutable d'une lésion de ce
nerf
(découverte de la simulation, expertises médico-l
constaté aussi dans une série d'autres lésions douloureuses du même
nerf
(contusion du nerf sans plaie extérieure, névri
une série d'autres lésions douloureuses du même nerf (contusion du
nerf
sans plaie extérieure, névrite par gelure, etc.
apprécier, dans des lésions non douloureuses ou peu douloureuses du
nerf
. Les figures de la planche XXXI représentent un
se; les douleurs et la paralysie étaient extrêmement prononcées. Le
nerf
était engaîné dans du tissu fibreux, sa libérat
ète, amyotrophie marquée ; amélioration modérée après libération du
nerf
. Les figures E et F montrent un degré léger ; d
e, consé- cutive à un enfouissement survenu un mois auparavant ; le
nerf
avai été fortement contusionné soit à la fesse,
iveau de la gouttière épitrochléenne, parfois jusqu'à l'épaule. Les
nerfs
, notamment' le cubital dans la gouttière, ne pa
ice ainsi localisée. - D'autres auteurs invoquent l'irritation d'un
nerf
périphérique et une hyperlrophicité par*influx
médius et l'index sont atteints et leur innervation appartient à deux
nerfs
différents (médian et radial), alors que le pou
riques, que nous avons pratiquées le 19 novembre 1916, montrent :
Nerf
radial. Excitabilité faradique : augmentée. - g
= 5 mill.' PF = 6 mill. Côté sain : NF = 3 mill. - PF=5mill.
Nerf
médian et cubital et muscles tributaires : réacti
arco- mateuse (PL 3). 198 MONIS On ne trouve pas de vestiges de
nerfs
. Il y a des lésions de compression dans le bulb
e signe de Lasègue est positif (à 60°), et la pression sur le grand
nerf
sciatique cause un peu de douleur. Pas de trouble
ntité de mercure de 1,8 milligramme. 17. La pression sur les grands
nerfs
sciatiques et même à côté de ces troncs nerveux
tableau clinique a été dominé surtout par les symptômes du côté des
nerfs
périphériques. Les douleurs des jambes ont été le
n, c'est-à-dire qu'il y avait nombre de phénomènes d'irritation des
nerfs
périphériques Sauf ces phénomènes d'irritation,
tre membres. En considérant ensemble tous ces symptômes du côté des
nerfs
périphériques, nous avons le syndrome A'une pol
e fait que les cas de névrite circonscrite due à la compression des
nerfs
par une exos- tose, une gomme ou d'autres proce
sion de l'olécrâne du même côté et ensuite des douleurs fortes d'un
nerf
sciati- que poplité externe), cet auteur n'a pa
non seulement les quatre membres, mais encore le diaphragme et les
nerfs
crâniens (para- lysie faciale, oculaire, et dys
uvelles de mercure et amélioration rapide des symptômes du côté des
nerfs
crâniens, mais en même temps les symptômes du côt
e est établie une dégénérescence des pneumogastriques et des autres
nerfs
périphériques. Aucun rapport sur l'état des ménin
cli nique. Par l'examen anatomique (osmium), la dégénérescence des
nerfs
périphéri- ques était établie et aussi des alté
s symptômes n'ont pas envahi seulement les membres, mais encore les
nerfs
crâniens. Si l'on examine la description de ces
ntensité considérable; mais au contraire, les symptômes du côté des
nerfs
crâniens ont été d'une distribution irrégulière
-ci, qu'il y a toute probabilité pour que les symptômes du côté des
nerfs
crâniens en ces cas soient dus à des pro- cessu
servations citées ci-dessus, avec des symp- tômes aussi du côté des
nerfs
crâniens et d'une infection syphilitique âgée d
ut, dans certaines conditions, exercer l'action d'un poison sur les
nerfs
périphériques, origine d'une polynévrite. Si no
aladie. L'examen anatomique a fait constater une dégénérescence des
nerfs
périphériques, mais pas d'altération considé- r
cure a eu une influence très nuisible sur les symptômes du côté des
nerfs
. En tout cas, quand on prend en considération q
aboration avec Jean DAGNAN-BouvEnE'rj. Les lésions traumaliques des
nerfs
mixtes périphériques ou des plexus déterminent
u'à gauche, mais elle porte des deux côtés sur les mêmes muscles et
nerfs
. Les muscles des cuisses sont également très hy
ie, on comprend qu'il en soit ainsi grâce à l'action synergique des
nerfs
faciaux supérieurs des deux côtés. Cette explic
et inférieure, en avant et en dedans de la racine du trijumeau. Le
nerf
une fois constitué soit au niveau du sillon bulbo
er à ce résultat. Mais, toujours dans ce' cas, il y a paralysie des
nerfs
moteurs de l'oeil (Vle paire surtout). La lésio
ajet infra-crânien. Une plaque de méningite peut atteindre les deux
nerfs
, mais ici également il n'y a jamais lésion des de
ment il n'y a jamais lésion des deux faciaux sans atteinte d'autres
nerfs
crâniens, oculo-moteurs en particulier. Il n'est
treux, plusieurs collatérales sont émises : la corde du tympan, les
nerfs
pétreux, les nerfs des muscles de l'étrier et du
llatérales sont émises : la corde du tympan, les nerfs pétreux, les
nerfs
des muscles de l'étrier et du marteau. Une frac
use avec défaut de tension de la membrane du tympan. L'atteinte des
nerfs
pétreux qui innervent le palato-staphylin laisse
ttait qu'une partie du trijumeau, d'abord la petite racine, puis le
nerf
buccal, présidaient aux mouvements des lèvres e
it ne nous paraissent pas très satisfaisantes., Faut-il, pour qu'un
nerf
sensitif acquière les propriétés motrices, qu'il
abondance agirait seule mécaniquement sur les plaques motrices. Le
nerf
sensitif est-il devenu moteur de façon indirect
rès lui que la modification porte sur le 280 BAUMEL ET LARDENNOIS
nerf
lui-même. La motricité acquise est réelle el non
ation d'origine centrale, elle est d'ordre périphérique. Si le vrai
nerf
moteur, le facial en l'espèce, se régénère, le
rebelle et persistante de la VIIe paire ne serait pas la section du
nerf
opposé ? ? Il est aussi extraordinaire que la p
ur cette théorie, l'adipose douloureuse vient de l'inflammation des
nerfs
. c) Sympathique. Le sympathique est l'agent pro
ainsi que la partie antérieure de la bandelette optique droite. Le
nerf
moteur ocu- laire commun est aussi immédiatemen
ce trouble vocal à une lésion du récurrent ou à une compression de
nerf
par l'artère ou par une cicatrice. A. l'hôpital R
vical par les ramicommunicants blancs. De là, elles montent dans le
nerf
sympathique cervical jusqu'au ganglion de Gasse
mique du trijumeau et aboutissent à la pupille en suivant les longs
nerfs
ciliaires. Elles ne traversent pas le ganglion
ON tant sans vaso-dilatation concomitante montre l'indépendance des
nerfs
sudoripares vis-à-vis des vaso-moteurs, comme l
lésion thoracique supérieure, peut être rapportée à une paralysie des
nerfs
inhibiteurs. Qnant à l'hémianidrose, son asso
oripares de celte partie du visage sont fournies par une branche du
nerf
trijumeau. Cette dernière hypothèse ne peut pas s
donc émettre l'hypothèse qu'il en est du milieu du thorax pour les
nerfs
sudoraux comme pour la sensibilité tactile et qu'
sources différentes. Il se pourrajt encore que ce chevauchement des
nerfs
sudoraux fût spécial à cette région du thorax q
lors de telle façon qu'ils rappellent vaguement la topographie d'un
nerf
périphérique, par exemple le médian. -Ils consist
ce des troubles trophiques cutanés dans les lésions irritalives des
nerfs
a d'ailleurs déjà été entrevue par James Paget
surtout dans les névrites traumatiques ne lésant que partiellement le
nerf
. M. et Mme Déjerine et Mouzon (1) y sont revenu
ent s'orienter vers la guérison. L'examen électrique des muscles et
nerfs
par les méthodes classi- ques ne révèle en géné
, radial, circon- flexe. II n'est d'ailleurs pas fatal que tous les
nerfs
du bras soient simul- tanément et également dou
en ce que toutes les manoeuvres tendant à produire l'élongation du
nerf
sont désagréables ou franchement douloureuses p
évidence l'existence de certaines altérations de l'excitabilité des
nerfs
et des muscles que les méthodes clas- siques ne
ITATION DU PLEXUS BRACHIAL 357 ? Elle peut être mesurée soit sur le
nerf
, soit sur le muscle, tant au point moteur que p
liniquement par l' l'hyperesthésie à la pression du poiut d'Erb, du
nerf
circonflexe, du nerf radial à la gouttière humé
l'hyperesthésie à la pression du poiut d'Erb, du nerf circonflexe, du
nerf
radial à la gouttière humérale et au niveau de
e par les procédés classiques des réactions normales pour les trois
nerfs
du bras, à l'avant-bras et à la main. Il n'exis
évation du rapport, signe d'irritation. On trouve en. effet pour ce
nerf
par l'adducteur du cinquième doigt, côté sain : 1
ne des réactions galva- niques et faradiques normales pour tous les
nerfs
et muscles du plexus brachial. Les troubles tro
réciables, au moins par l'examen au laryngoscope; mais la lésion du
nerf
récurrent peut amener des troubles moteurs laryng
IQUES DU PNEUMOGASTRIQUE 367 1 un poison spécifique de tel ou tel
nerf
. Les recherches expérimentales sur les animaux
D'autre part, la section du pneumogastrique abolit le réflexe ; ce
nerf
représente donc la voie centrifuge. Mais le phéno
ais le phénomène est plus compliqué; en effet, après la section des
nerfs
vagues on peut voir une légère accélération du
oculo-respiratoire et oculo-vasomoteur, ce qui indique que d'autres
nerfs
sont intéressés et que la compression ocu- lair
yngée. Cette hémiplégie était sous la dépendance du vague et non du
nerf
récurrent pour les raisons suivan- 376 COLLET E
xe oculo cardiaque nous donne une preuve absolue de la lésion de ce
nerf
. En effet, dans ces cinq observations, le réflexe
yant porté comparativement sur les deux membres supérieurs, sur les
nerfs
(cubital, médian, radial, circomplexe), l'excitab
sse parler d'hypo-excitabilité. Tous les muscles tributaires de ces
nerfs
ont été examinés et en outre les biceps-, le br
millement dans les territoires innervés. " f G.- La palpation des
nerfs
les montre généralement augmentés de vo- lump ;
circonflexe est perceptible aisément des deux côtés, de même que le
nerf
crural. Certains segments du tronc paraissent p
présenter jamais l'aspect de grains de chapelet. L'hypertrophie des
nerfs
précède nettement les phénomènes d'atrophie et le
a tumeur peut être telle qu'il y ait, par compression, paralysie de
nerfs
crâniens. Outre les signes indiqués, on en a dé
par -), par LAIGNEL- LAVASTINE et P. COURBON, 343. Blessures des
nerfs
(Déformations de la main par -), par Mme ATHANA
et CANTALOUBE, 144. Main (Déformations de la par blessu- res des
nerfs
), par Mme Athanassio- BENIST7, 65. (Seize déf
199. Myopathie atrophique à type scapulaire, par CAHA1'l, 269.
Nerfs
(Déformations de la main par bles- sures des -)
Athaxassio-Bénisty (Mme). Déformations de la main par blessures des
nerfs
, 65. Baijmel (J.) et LARDENNOIS. Diplégie facia
ROGER),XL etXLl. Déformations de la main dans les blessu- res des
nerfs
(Mme ATIl.4\ASSIO-IIÉNISTT), XVI à XXII 1. pa
ion centrale, théorie qu'il croit pouvoir être substituée à celle des
nerfs
trophiques ou autres, qui, en réalité sont des hy
les travaux de MM. Philipeaux et Vulpian (de l'union bout à bout des
nerfs
de fonction différente) ont montré que les nerfs
nion bout à bout des nerfs de fonction différente) ont montré que les
nerfs
quels qu'ils soient, sont des conducteurs à la fo
conducteurs à la fois centrifuges et centripètes, en un mot, qu'un
nerf
sensitif par exemple, étant excité, il y a un dou
a, par exemple. Pareillement il n'est pas impossible non plus que les
nerfs
moteurs servent de conducteurs aux irritations ju
irritations jusque dans les muscles. M. Charcot pense donc que les
nerfs
moteurs et sensitifs seuls doivent être mis en ca
bres, à la suite de certaines lésions traumati-ques ou spontanées des
nerfs
périphériques, il en est, comme on le sait, qui o
ches sur quelques troubles dénutrition consécutifs aux affections des
nerfs
. Thèse de Paris, 1867. dant non moins remarquab
plus ou moins directe de lésions portant, non plus cette fois sur les
nerfs
périphériques, mais bien sur une partie du systèm
nc distinguer les effets de l'irritation de la moelle épinière et des
nerfs
, de ceux de la paralysie ou simple cessation d'ac
it de seconde date. Quant à l'altération des ganglions spinaux et des
nerfs
périphériques dont quelques auteurs ont parlé, il
se, il y a six ans, à l'hospice comme aveugle (atrophie scléreuse des
nerfs
optiques), est actuellement atteinte d'ataxie loc
fixées pendant plusieurs jours sur le trajet des rameaux cutanés des
nerfs
petit sciatique et du relexreur de l'anus du côté
ouleurs fulgurantes suivirent la direction de la branche verticale du
nerf
saphène interne gauche, et une éruption pustuleus
leuse se produisit bientôt sur la peau des régions où se distribue ce
nerf
. On peut, croyons-nous, rapprocher des affectio
es à celles qui se développent dans les doigts de la main, lorsque le
nerf
cubital a été froissé au niveau du coude. Il impo
cutanée [tarait un peu !. Voir : Corail.— Notes sur les lésions des
nerfs
et des muscles dans les hémiplégies! Comptes rend
les mêmes parties dans les jointures des membres du côté droit. Le
nerf
médian du membre supérieur droit est comparé au n
côté droit. Le nerf médian du membre supérieur droit est comparé au
nerf
correspondant du côté gauche ; le premier est dan
lème des vaisseaux, relativement volumineux et fortement injectés. Le
nerf
médian gauche offre, au contraire, la pâleur de l
ineuse. L'injection vive du névri-lème et l'augmentation de volume du
nerf
médian doivent aussi, croyons-nous, être rapporté
, comme ceux-ci, la coloration, la consistance, le volume normaux. Le
nerf
médian du côté gauche est un peu plus volumineux,
successives, jusqu'au niveau du renflement lombaire. Les racines des
nerfs
rachi-diens, examinées comparativement des deux c
particulier sous le rapport du volume et de la coloration. Les deux
nerfs
médians ont été comparés l'un à l'autre. Ils étai
ique, n'a pas permis de reconnaître de différence histolo-gique entre
nerf
droit et le gauche. Le muscle biceps du côté dr
ient absolument défaut. Enfin, il a été expressément constaté que les
nerfs
du bras paralysé, contrairement à ce qui existait
être ramenée au groupe arthro pathies consécutives à une lésion des
nerfs
périphériques. Les observations qui viennent d'
raire, ils sont beaucoup plus rares (Pl. IV, fîg. h et o). Les deux
nerfs
médians ont paru présenter le même volume et la m
z les animaux, à l'une des extrémités inférieures après la section du
nerf
sciatique, ou encore à la face après la section d
la section du nerf sciatique, ou encore à la face après la section du
nerf
grand sympathique au cou. A cette assimilation de
se transforme facilement en contracture permanente; l'excitation d'un
nerf
provoque la contraction des muscles qu'il innerve
on énergique des vaisseaux produite par une irritation habituelle des
nerfs
vaso-moteurs chez ces malades. Quand je parle d
très vive ; je touche à peine, avec une petite baguette, la région du
nerf
facial, près de l'oreille, et aussitôt vous voyez
lequel nous avons constaté l'excitabilité spéciale des muscles et des
nerfs
. Pour vous montrer que cette expérience n'est pas
à l'aide d'un bâton, d'un manche de plume, par exemple, le tronc d'un
nerf
: alors les muscles qui sont tributaires de ce ner
ple, le tronc d'un nerf: alors les muscles qui sont tributaires de ce
nerf
entrent en contraction. Les muscles eux-mêmes p
ée des tendons. Ces contractures, produites soit par l'excitation des
nerfs
ou des muscles, soit par la percussion exercée su
é définie plus haut, n'existe pas, ou autrement dit, l'excitation des
nerfs
, des muscles eux-mêmes, ou encore la percussion d
être portée sur le corps du muscle lui-même, sur son tendon ou sur le
nerf
dont il est tributaire. On comprend par là, qu'à
ane caractéristiques, suivant que l'excitation mécanique porte sur le
nerf
radial, le cubital ou enfin le médian. La'contrac
obtenue par l'exilation du tendon et celle qui suit l'excitation des
nerfs
ou le corps du muscle lui-même. Fig. 8. — Contr
indiquant le moment et la durée de la pression. § IL Excitation des
nerfs
. L'excitation mécanique des nerfs produit la co
a pression. § IL Excitation des nerfs. L'excitation mécanique des
nerfs
produit la contracture des muscles auxquels ils f
oler, autant que possible, ce qui appartient à la seule excitation du
nerf
, nous avons choisi, pour les soumettre à l'expéri
accessibles à l'excitation mécanique. Griffe cubitale. — Parmi les
nerfs
qui peuvent satisfaire à ces conditions, le nerf
bitale. — Parmi les nerfs qui peuvent satisfaire à ces conditions, le
nerf
cubital dans la région du coude, est certainement
trouve sa raison d'être dans la distribution spéciale des rameaux du
nerf
cubital aux muscles de l'avant-bras et de la main
erf cubital aux muscles de l'avant-bras et de la main. En effet, le
nerf
cubital fournit des rameaux aux muscles suivants
petit doigt et à l'annulaire reçoivent seuls leurs rameaux nerveux du
nerf
cubital le nerf médian innervant les deux faiscea
l'annulaire reçoivent seuls leurs rameaux nerveux du nerf cubital le
nerf
médian innervant les deux faisceaux externes) ; i
suivant : Action individuelle de chacun des muscles innervés par le
nerf
cubital. Cubital antérieur. —• Fléchisseur de l
spéciale que prendra la main, lorsque tous les muscles innervés parle
nerf
cubital entreront simultanément en action. Nous v
petit palmaire, dont l'action est plus efficace, ne relèvent point du
nerf
cubital. Le cubital antérieur n'est pas adducteur
les qui président à ces mouvements, ne recevant aucun filet moteur du
nerf
cubital. L'adduction du pouce avec flexion de l
r librement. Les interosseux sont les seuls muscles innervés par le
nerf
cubital, de tous ceux qui meuvent l'index et le m
tat d'actions musculaires plus complexes. Les muscles innervés par le
nerf
cubital et qui ont quclqu'ac-tion sur ces deux do
er étranger au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets moteurs du
nerf
médian, et son action porte principalement sur le
ffe cubitale. D'ailleurs la faradisation, chez des sujets sains, du
nerf
cubital à l'épitrochlée, ne nous a pas donné des
cela, pour deux raisons principalement : d'abord, la faradisation du
nerf
cubital demande une assez grande intensité du cou
a main une attitude qu'il est facile d'analyser. La faradisation du
nerf
cubital en arrière de l'épitrochlée nous a donné
te anomalie pourrait s'expliquer par une distribution plus étendue du
nerf
cubital au muscle fléchisseur profond dont les de
nnervés par le médian recevraient, en cette hypothèse, des rameaux du
nerf
cubital qui innerve déjà les deux faisceaux inter
ieur du muscle des anastomoses nombreuses entre les terminaisons du
nerf
cubital et celles du médian, et que, par l'interm
e, par l'intermédiaire de ces anastomoses, l'excitation portée sur le
nerf
cubital pourrait s'étendre plus ou moins aux rami
ramifications voisines du médian. Griffe médiane. — L'excitation du
nerf
médian un peu au-dessus du pli du coude donne des
prend alors une attitude qui trouve sa raison dans la distribution du
nerf
médian et la physiologie des muscles que ce nerf
s la distribution du nerf médian et la physiologie des muscles que ce
nerf
tient sous sa dépendance. Mais ici, la localisati
i, la localisation est plus difficile ; entouré de parties molles, le
nerf
fuit l'excitation si elle n'est faite franchement
ec un peu d'habitude, on arrive assez facilement à isoler l'action du
nerf
. Nous rappellerons en quelques mots les notions
quelques mots les notions anatomi-ques relatives à la distribution du
nerf
médian à l'avant-bras et à la main. Le nerf méd
es à la distribution du nerf médian à l'avant-bras et à la main. Le
nerf
médian fournit des rameaux aux muscles suivants :
uscles de l'éminence thénar moins l'adducteur du pouce innervé par le
nerf
cubital. Quelle est maintenant l'action partiel
ion partielle de chacun de ces muscles? Comme nous avons fait pour le
nerf
cubital, nous résumerons ce que la physiologie no
au suivant : Action partielle de chacun des muscles innervés par le
nerf
médian. Rond pronateur. — Pronateur et fléchiss
nges par les lombricaux qui suppléent les interosseux innervés par le
nerf
cubital et dont l'action d'extension sur les deux
t revient présenter en avant sa face palmaire. Griffe radiale. — Le
nerf
radial n'échappe pas à la loi et son excitation a
évoir, Fig. 11. — Griffe médiane. Fig. 12. — Griffe médiane. Le
nerf
radial innerve sans exception tous les muscles de
ment, de l'action physiologique de chacun des muscles innervés par le
nerf
radial. En effet, l'attitude que prend la main,
tude que prend la main, sous l'influence de l'excitation mécanique du
nerf
radial au point indiqué, a pour caractères (Fig.
ue et qu'ils correspondent aux points d'immergence ou d'émergence des
nerfs
musculaires; et Duchenne n'ignorait point cette r
oints moteurs de la face antérieure de l'avant-bras et de la main, M,
nerf
médian. — 1, muscle rond pronateur ; 2, grand pal
ts moteurs de la face postérieure de l'avant-bras et de la main. R,
nerf
radia!. — C, nerf cubital. —l,long supinateur ; 2
ace postérieure de l'avant-bras et de la main. R, nerf radia!. — C,
nerf
cubital. —l,long supinateur ; 2, premier radial e
te, participer à la même excitation ; que ce soit un autre muscle, un
nerf
ou un tendon. Ainsi, en comprimant le tendon du g
causes d'erreur dont nous par- Ions, si l'organe à exciter, tendon,
nerf
ou muscle, se trouve parfaitement seul intéressé,
s résultent: a) Des variétés individuelles dans la distribution des
nerfs
moteurs ; b) Des variations que subissent, suiv
tensité n'est pas exactement mesurée, peutgagner les organes voisins,
nerfs
ou muscles. A ces difficultés s'ajoutent, au su
Duchenne : 1° Des variations individuelles dans la distribution des
nerfs
de la face, qui peuvent faire rencontrer une bran
ile à obtenir par la pression du point (Fig. 16, 1) qui correspond au
nerf
frontal, ou par la pression portée sur un point q
e procédé suivant : « On peut, dit Duchenne, atteindre le tronc de ce
nerf
à sa sortie du tronc stylo-mastoïdien, en plaçant
es musculaires elles-mêmes, ou, indirectement, par l'intermédiaire du
nerf
moteur qui lui est destiné. Il existe chez notr
aractères, qu'elle ait été produite par l'excitation des tendons, des
nerfs
ou des muscles eux-mêmes. Nous ne ferons que ra
embres étant en complète résolution, nous touchons avec précaution le
nerf
cubital droit, en arrière de l'épitrochlée, et, c
ocalisée au même groupe musculaire, à celui qui reçoit les rameaux du
nerf
cubital. En un mot, la main droite est redevenue
l'aimant de la contracture localisée due à l'excitation mécanique du
nerf
ou du corps musculaire lui-même. Il en est de mêm
membre anémié, nous froissons avec le doigt, à plusieurs reprises, le
nerf
cubital en arrière de l'épitrochlée. Il ne se p
replongée dans l'état léthargique et l'excitation mécanique portée au
nerf
cubital du membre anémié, à la région du coude. N
ion des tendons, par la malaxation musculaire et par l'excitation des
nerfs
. La pression du nerf cubital en arrière de l'épit
a malaxation musculaire et par l'excitation des nerfs. La pression du
nerf
cubital en arrière de l'épitrochléc contracture l
ne des résultats semblables, mais nous constatons que l'excitation du
nerf
cubital au lieu d'élection n'est point suivie de
st point suivie de la contracture habituelle. A chaque froissement du
nerf
cubital répond un léger mouvement dans les doigts
existait déjà s'est exagérée. Dans ce cas, il faut admettre que le
nerf
cubital droit était inexcitable du moins par les
périences assez prolongées sur l'hyperexcitabilité des muscles et des
nerfs
du bras droit, tout d'un coup, sans cause apparen
ons est redevenu hyperexcitable. En effet, l'excitation mécanique des
nerfs
et des muscles amène la contracture de la façon q
niais les muscles de la face demeurent inexcitables. L'excitation du
nerf
cubital en arrière de l'épitro-chée provoque la c
sous l'influence de l'excitation mécanique soit des tendons, soit des
nerfs
, soit des masses musculaires. L'hyperexcitabili
obtenue par la malaxa-tion des masses musculaires, et la pression des
nerfs
. D'ailleurs les résultats que l'on obtient dans c
eux; c) La voie centripète de l'arc réflexe est autre que celle des
nerfs
sensitifs cutanés. A. — Le phénomène de l'hyper
portée sur les antagonistes détermine dans la moelle, par la voie des
nerfs
centripètes, une sorte d'action d'arrêt qui détru
une certaine excitation se transmet du foyer médullaire d'origine des
nerfs
destinés à ces muscles, au foyer d'origine des ne
re d'origine des nerfs destinés à ces muscles, au foyer d'origine des
nerfs
moteurs des muscles extenseurs; et c'est ainsi, s
(excitation mécanique, friction). Elle gagne les foyers d'origine des
nerfs
, des muscles, sur lesquels elle est directement p
ionnaire Encyclopédique, elle retentit sur les foyers d'origine des
nerfs
qui se rendent aux muscles antagonistes. r) L'é
rand dentelé qui lui est synergique. (Voy. p. 350). L'excitation du
nerf
médian produit la griffe médiane. (Voy. p. 342).
qui existent dans la moelle entre les différents foyers d'origine des
nerfs
musculaires. e) Le transfert par l'aimant et au
es de ce qu'on a appelé l'arc diastaltique: 1° le chemin d'arrivée ou
nerfs
sensififs; 2° le lieu de réception, ou centre ner
2° le lieu de réception, ou centre nerveux; 3° le chemin de retour ou
nerfs
moteurs. L'on conçoit très bien qu'une lésion por
du membre, que ce point corresponde à un tendon, ù un muscle ou à un
nerf
. Mais si l'excitation même limitée est un peu i
ité neuro-musculaire présente une exaltation analogue. En touchant le
nerf
facial en avant de l'oreille, on provoque dans to
nférieur. Et Scliroder van der Kolk avait dit, en 1847, que lorsqu'un
nerf
mixte donne des branches motrices à des muscles,
obable, dit-il, que les fibres sensitives et les fibres motrices d'un
nerf
mixte ont leur origine à peu près au même niveau
ique aisément pourquoi les excitations faites sur les extrémités d'un
nerf
sensitif tendent tout d'abord à mettre en jeu les
nsitif tendent tout d'abord à mettre en jeu les fibres motrices de ce
nerf
(1) ». Ainsi donc l'excitation cutanée pourrait
ument cutané, un organe sous-jacent tel qu'un muscle, un tendon ou un
nerf
, détermine immédiatement la production de la cont
'est donc dans les parties sous-jacentes que nous devrons trouver les
nerfs
centripètes qui entrent en jeu dans le phénomène
xiste dans les tendons et les aponévroses d'enveloppe des muscles des
nerfs
centripètes qui jouent un rôle spécial dans le to
us semble rationnel d'admettre que, dans nos expériences, ce sont ces
nerfs
sensitifs spéciaux qui sont intéressés. Le rappro
donc, lorsque l'excitation mécanique porte sur un tendon, ce sont les
nerfs
du tendon qui seraient directement intéressés ; s
sés ; si l'excitation porte sur le corps du muscle, ce sont alors les
nerfs
sensitifs de l'aponévrose d'enveloppe ou du corps
e. Et en troisième lieu, lorsque l'excitation porte sur le tronc d'un
nerf
mixte, les nerfs sensitifs qui viennent du muscle
me lieu, lorsque l'excitation porte sur le tronc d'un nerf mixte, les
nerfs
sensitifs qui viennent du muscle ou du tendon, au
chemin vers le'centre nerveux. Lorsqu'à la suite de la pression du
nerf
cubital au coude, par exemple, la contracture se
contracture se produit à la main et à l'avant-bras dans le domaine du
nerf
cubital seulement, le phénomène doit s'expliquer,
e s'agit pas d'une excitation mécanique directe des filets moteurs du
nerf
cubital, mais bien des filets sensitifs par l'int
fléchie par la voie des filets moteurs sur les muscles tributaires du
nerf
. 11 importe, en terminant ce travail, de faire
dans ce cas, la pression ou la malaxation des masses musculaires, des
nerfs
ou des tendons, demeurent inefficaces. Nous avo
spécial d'hyperexcitabilité de tout le système moteur phériphôrique (
nerfs
et muscles). Ce phénomène a été suffisamment dé
de rappeler qu'il consiste sommairement en une aptitude spéciale des
nerfs
et des muscles à réagir sous l'influence de l'exc
d'hyperexcitabilité n'appartient pas exclusivement aux muscles et aux
nerfs
, mais qu'il s'étend jusqu'au centre cérébral lui-
à une action plus ou moins directe du courant sur les muscles ou les
nerfs
de la face. Aussi, dans d'autres recherches, le
lume, par exemple, ou encore par un léger attouchement, le tronc d'un
nerf
, tous les muscles tributaires de ce nerf entrent
attouchement, le tronc d'un nerf, tous les muscles tributaires de ce
nerf
entrent en contraction : c'est ainsi que se produ
. caractéristiques, suivant que l'excitation mécanique porte sur le
nerf
radial, le cubital ou enfin le médian. Les muscle
s soit sur les tendons, soit sur les masses musculaires, soit sur les
nerfs
, tandis que, pendant le somnambulisme, il faut po
gagne la moelle où elle rencontre les cellules motrices, origine des
nerfs
destines aux muscles directement excités. Mais ce
g , celles qui viennent à notre insu : a) à la suite d'une attaque de
nerfs
; b) à la suite d'un traumatisme léger ; c) en ap
. On peut les réaliser par divers procédés, soit par l'excitation des
nerfs
, soit par l'excitation directe des muscles ou des
exe permanente et ne cédant que lorsque la moelle est détruite ou les
nerfs
musculaires sectionnés. La contracture serait d
tée par 10, je suppose : de telle sorte que la moindre excitation des
nerfs
centripètes viendra se surajouter à l'excitabilit
érapeutique. De fait, nous savons déjà que dans certaines lésions des
nerfs
ou de leurs centres trophiques, le courant galvan
tion mécanique des troncs nerveux agit sur les muscles tributaires du
nerf
de la même façon que l'irritation directe de ces
st déterminée par la distribution spéciale des rameaux musculaires du
nerf
excité. Si, par exemple, on presse dans la goutti
té. Si, par exemple, on presse dans la gouttière olé-cranienne sur le
nerf
cubital, on voit aussitôt la main se con-tracture
sujet vierge, que nous supposons dans la léthargie, on presse sur le
nerf
cubital, on ne constatera peut-être clu côté delà
itabilité musculaire. On sait que si l'on presse mécaniquement sur un
nerf
moteur, tous les muscles desservis par ce nerf en
e mécaniquement sur un nerf moteur, tous les muscles desservis par ce
nerf
entrent en contraction ou en contracture, et comm
point de départ est dans l'excitation périphérique des muscles et des
nerfs
, et que les contractures hypnotiques peuvent se d
le, dans la léthargie, on presse dans une première expérience, sur le
nerf
cubital, on constate du côté de la main l'esquiss
i mon malade. Sans m'avertir de son projet, il pressa sur le tronc du
nerf
cubital au coude, le sujet étant hypnotisé, et no
au niveau du ligament dorsal du carpe est hypérémiée. Fig. 7. — Le
nerf
médian à l'avant-bras du membre supérieur droit c
n à l'avant-bras du membre supérieur droit coté paralysé), comparé au
nerf
correspondant du côté gauche, chez le sujet de l'
, et fortement injectés. Les deux branches en lesquelles se divise le
nerf
médian avant de former les rameaux musculaires et
dien du côté gauche. Contracture du muscle. Fto. 2. — Excitation du
nerf
facial en avant de l'oreille du côté droit. Contr
tendon.......................................... 313 Excitation des
nerfs
...............,........................... 336
accroissement des —, p. 122; — hemorrhagic, conséquence des—, p. 123.
Nerfs
, (Excitation des —), p. 336, Névrite hypertrophiq
ules cérébraux et placé avec le cervelet dans le liquide de Buller,
Nerfs
crâniens. - De tous les nerfs crâniens, la sixièm
e cervelet dans le liquide de Buller, Nerfs crâniens. - De tous les
nerfs
crâniens, la sixième paire à gauche était seule
it seule nettement mais légèrement atrophiée par la compression. Le
nerf
triju- meau du même côté était bien un peu apla
pendant aussi un peu d'atro- phie, mais à un' très faible degré. Le
nerf
acoustique gauche et son tubercule étaient comp
la tumeur, et n'ont pu être reconnus macroscopiquement. Les autres
nerfs
de la base étaient normaux. Hémisphères cérébra
e latéral. Floc, llocculus. cR, corps restiforme. NIX, noyau du
nerf
glosso-pharyngien. l'ds, racine descendante de
doncule cérébelleux moyen. Ctrap, corps trapézoide. NVI, noyau du
nerf
moteur oculaire ex- terne. Fli), faisceau lon
e l'acoustique. VII, racine descendante du facial. VI, racines du
nerf
abducens. NOUV. Iconographie DE la SALPl : INIE
une véritable rigole profonde, ce qui fait comprendre pourquoi les
nerfs
bulbaires et le facial, qui sont placés latéralem
t plus mince à gauche qu'à droite, du reste normale. Les noyaux des
nerfs
moteurs oculaires communs ainsi que leurs filet
culaires sont normaux des deux côtés. Il en est de môme de ceux des
nerfs
pathétiques et de leurs racines (PI. II, D, et PI
au 16 P. LADAME ET C. MONAKOW contact était partout conservée. Le
nerf
moteur oculaire externe était atteint d'un cert
nstatait parfoispendant les attaques apoplectiformes. De tous les
nerfs
crâniens l'abducens et le nerf moteur oculaire co
taques apoplectiformes. De tous les nerfs crâniens l'abducens et le
nerf
moteur oculaire commun en partie furent seuls t
SME DE L'ARTÈRE VERTÉBRALE GAUCHE 19 Malgré une lésion accentuée du
nerf
acoustique gauche, l'ouïe n'était pas sérieusem
tôme d'une hémi-anesthé- sie d'origine centrale. L'aplatissement du
nerf
trijumeau à gauche ne provoqua aucun symptôme,
du nerf trijumeau à gauche ne provoqua aucun symptôme, parce que ce
nerf
put échapper aux consé- quences de la compressi
ents de ses extrémités. 1 Conformément à l'intégrité relative des
nerfs
du bulbe et de leurs noyaux, on n'observa pas d
au descendant de l'acoustique, ou peut-être comme noyau terminal du
nerf
vague ( ? ) ce qui serait une erreur (10). En tou
qu'il existe deux voies senso- rielles qui relient le cervelet aux
nerfs
crâniens sensibles, une voie directe dont l'exi
appelé le noyau dorsal du corps restiforme. Mais le noyau dorsal du
nerf
vague n'a rien à faire avec la substance grise
rme. Du moins Forel et llayser en extirpant totalement d'un côté le
nerf
vague chez des lapins nouveau-nés, n'ont jamais p
ules fibro- mateux développés dans la musculeuse 3=1 1 Coupe du
nerf
sciatique gauche présentant un gros fibrome fas
urs qu'en dehors d'elles. Le mésentère présente sur le trajet des
nerfs
de très nombreux petits ren- flements blanchâtr
hâtres et dures. Elles n'ont aucune connexion apparente ni avec les
nerfs
ni avec les vaisseaux. La muqueuse stomacale es
. Le cadavre a été presque entièrement disséqué au point de vue des
nerfs
périphériques. Cette dissection a permis de const
xus, coeliaque, rénaux, bronchiques ont leur aspect habi- tuel. Les
nerfs
mésentériques présentent de très nombreux renflem
ère. Les méninges semblent normales. Le cerveau, les origines des
nerfs
crâniens, le cervelet ne présentent rien de par
rieure de ces nodules dans le tissu conjonctif lâche qui engaine le
nerf
serpente un fin rameau vasculaire. Chaque nod
atation que celles faites pendant la vie. Examens llISTOLOGIQUES.
Nerfs
. L'étude des nerfs a été faite sur un certain nom
faites pendant la vie. Examens llISTOLOGIQUES. Nerfs. L'étude des
nerfs
a été faite sur un certain nombre de troncs ner-
que, brachial cutané interne, génito-crural, musculo-cutané crural,
nerf
du demi-membraneux, nerfs du mésentère, nerfs c
rne, génito-crural, musculo-cutané crural, nerf du demi-membraneux,
nerfs
du mésentère, nerfs cutanés et musculaires, gra
musculo-cutané crural, nerf du demi-membraneux, nerfs du mésentère,
nerfs
cutanés et musculaires, grand sympathique cervica
and sympathique cervical, raci- , ' et ganglions rachidiens). Les
nerfs
fixés par le Muller, durcis à l'alcool, inclus da
ivants : EXPLICATION DE LA PLANCHE VI A Branche sous-cutanée du
nerf
musculo- cutané externe à la cuisse. B Diss
tution du neurofibrome total. v, vaisseau courant à la surface du
nerf
Coupe C Coupe transversale d'un rameau du ner
nt à la surface du nerf Coupe C Coupe transversale d'un rameau du
nerf
du demi-membraneux droit avec ses divers fais
use fasciculaire 1. v, vaisseau. Coupe D Coupe longitudinale du
nerf
brachial cu- tané interne ; trois- faisceaux 1,
ux. Le nodule est constitué par la réunion de tous les faisceaux du
nerf
, chaque faisceau ayant réagi per- sonnellement,
rajet assez tour- menté. Ces descriptions s'appliquent à tous les
nerfs
que nous avons examinés sauf au grand sympathiq
e nos coupes rencontrer de petits fibromes développés au niveau des
nerfs
de la sous-muqueuse. Muscles. - Même fixation,
es. - Même fixation, même inclusion, mêmes colorations que pour les
nerfs
et la peau. Aucun muscle ne semblait présenter
ombreux noyaux, des fins vaisseaux et quelques faisceaux nerveux. Les
nerfs
extra-musculàires sont les uns normaux les autr
x et de fibromes cutanés vraisemblablement développés en dehors des
nerfs
. Notre malade faisait remonter à l'âge de S2 an
la fin de l'iléon, de petits fibromes développés sur le trajet des
nerfs
de l'intestin. BERGGRUN (2) releva dans son cas
ca ont prati- que des examens histologiques. Si Kriege a trouvé des
nerfs
dans sa tumeur linguale, si Branca a vu, décrit
tendu de fibromes développés d'une façon évidente sur le trajet des
nerfs
, mais des autres et en particu- lier des fibrom
s tu- meurs cutanées ne semblent pas avoir pour point de départ les
nerfs
de la peau. Nous avons, dans notre description,
s points semblables à ceux que nous avons étudiés sur le trajet des
nerfs
. Toujours ils apparaissent avec leur gaine lame
rrhée », et invoquent une expérience de Moreau qui, en excitant les
nerfs
sympathiques de la vessie natatoire d'un poisso
côtés surtout le droit ; mais ils ne paraissent pas altérés. Les
nerfs
optiques à leur naissance dans le chiasma et la b
PROLONGÉ PENDANT SEPT MOIS 105 mais il n'y a aucune adhérence, les
nerfs
paraissent absolument intacts et ne sont pas mê
rcules mamillaires, ni tubes cinéreux, ni hypophyse, ni chiasma des
nerfs
optiques, tout cela a été enlevé avec la tumeur.
physe de la grosseur d'un oeuf de poule qui repousse le chiasma des
nerfs
optiques en avant et en haut et comprime en arr
Bernhardt. C'estle contraste entre une vision très abais- sée etun
nerf
optique sain ou peu altéré à l'ophtalmoscope. Je
re et transversalement doit presque toujours comprimera la fois les
nerfs
optiques ou le chiasmâ ou les bandelettes ou to
tous ces organes en même temps, d'une part, et d'au- tre part, les
nerfs
oculomoteurs. Et ces compressions multiples ser
arésie droite). Comment donc comprendre qu'elle ait pu épargner les
nerfs
moteurs de l'oeil ? J'avoue que je ne trouvais
dit l'autopsie ? L'autopsie a dit que la tumeur chevauchait sur les
nerfs
moteurs oculaires. Elle a dit plus ; elle a dit
r les nerfs moteurs oculaires. Elle a dit plus ; elle a dit que les
nerfs
occupaient un sillon qu'ils avaient déterminé dan
rs également importants : la poussée de la tumeur, la résistance du
nerf
. Si la poussée de la tumeur l'emporte, la compres
elle est insuffisante. Dans notre cas la tumeur chevauchait sur les
nerfs
; mais elle était molle, diffluente, semi-liquide
était molle, diffluente, semi-liquide et au lieu de repous- ser le
nerf
, cédait devant celui-ci et se développait à côté
tout an partie de vue de l'examen microscopique de la moelle et des
nerfs
et ne contiez- nent que des détails incomplets
ération des vertèbres en ce point et on pensa à une compression des
nerfs
de la queue de cheval et à une lésion ascendant
complète des racines postérieu- res. Au microscope encore quelques
nerfs
périphériques présentent des altéra- tions vari
ule fibre n'a été trouvée saine à l'examen miscroscopique. Quelques
nerfs
périphériques ont été encore examinés : un très g
part, des névrites localisées dues à une altération localisée d'un
nerf
par un produit tuberculeux qui l'englobe, le co
développées non par l'action du bacille lui- même, absent dans les
nerfs
altérés, mais par l'action de la toxine qu'il s
. Cependant l'existence de toubles ner- veux dus à l'altération des
nerfs
périphériques par la syphilis est indiquée depu
vrites localisées tuberculeuses ? Faut-il admettre en un mot que le
nerf
a été lésé soit dans son passage à travers l'en
ingite de la base; d'ailleurs, par son long trajet intra-pétreux le
nerf
facial est tout particulièrement exposé à la co
t pas expli- quées par ces divers mécanismes, méningite, gommes des
nerfs
, ostéite, et le mécanisme de la paralysie isolé
quer il plusieurs reprises l'examen élec- trique des muscles et des
nerfs
de notre malade et nous allons résumer les ré-
on des réactions électriques et l'absence de DR dans le domaine des
nerfs
axillaires et des nerfs musculo-cutanés des deux
ques et l'absence de DR dans le domaine des nerfs axillaires et des
nerfs
musculo-cutanés des deux côtés. Médian. - A dro
tri- ceps. ' Le 26 examen pratiqué en décembre 1899 a montré :
Nerfs
axillaires, nusculo-cutaaé et cubitaux. - A droit
gourdissement et de froid au niveau de la main et du pied droit. Les
nerfs
et les masses musculaires ne sont pas douloureu
eux.Perte de l'excitabilité des ' LA POLYNÉVRITE SYPHILITIQUE 159
nerfs
et R D. Atrophie musculaire. Intégrité des sphinc
en et plantaire. Douleurs à la pression des masses musculaires et des
nerfs
des membres inférieurs. Paraplégie flasque comp
tement progressives, et à caractères pé- riphériques, de différents
nerfs
cràniens ; les nerfs sont pris un il un, sans a
et à caractères pé- riphériques, de différents nerfs cràniens ; les
nerfs
sont pris un il un, sans aucun ordre régulier.
t des douleurs névralgiques intenses dans le domaine des différents
nerfs
rachidiens, avec hyperesthésie de la peau, ou p
odosités fusiformes ou perlées sur les faisceaux radiculaires ; les
nerfs
atteints les premiers et avec le plus d'intensité
erfs atteints les premiers et avec le plus d'intensité sont, pour les
nerfs
crâ- niens, les oculomoteurs et les faciaux ; p
s crâ- niens, les oculomoteurs et les faciaux ; pour le rachis, les
nerfs
cervicaux et dorsaux. » (Revue de Huyem, XXXI,
nique qui en découle sont très différents de ceux de la polynévrite
nerfs
pris un i un, sans ordre régulier, participations
ns cas on ne pouvait accuser que l'action de la tuberculine sur les
nerfs
périphériques, et ces idées sont bien dé- montr
que cette altération relevât de l'action lo- cale du sublimé sur le
nerf
par une injection mal dirigée. Nous avons vu pr
elle que saturnisme ou alcoolisme ayant pu altérer au préalable ses
nerfs
périphériques de telle sorte que chez lui il fa
ourmille- ments dans les extrémités, sans douleur à la pression des
nerfs
et des masses musculaires, avec une abolition d
inée, elle ne s'est pas accompagnée de troubles intellectuels ; les
nerfs
de la face n'ont pas parti- cipé au processus,
cadre a part, le malade de Kahler qui a présenté une paralysie des
nerfs
faciaux et oculo-moteurs dues à des gommes siég
, dis- séminées sans ordre avec participation de l'encéphale et des
nerfs
bulbai- res, la gravité de l'état général, la m
es. Du côté de l'oeil, il y avait 1 paralysie totale et complète du
nerf
moteur oculaire commun : chute de la paupière s
é au niveau du quart interne du pied du pédoncule. Les noyaux des
nerfs
moteurs oculaires communs sont respectés. Les c
fibres de l'oculo-moteur droit, (PI : XVII, B) sont dégénérées. Le
nerf
gauche est 'il peu près' normal (PI. XVII, C).
ouques.) A, Coupe pédonculo-protubérantielle (Méthode de Pal). B,
Nerf
moteur oculaire commun gauche, sain (Méthode de P
rtie antérieure du cuir chevelu correspondant avec le territoire du
nerf
sus-orbitaire, l'anesthésie était complète. Elle
l me serait impossible d'éviter la lésion des gros ^aisseaux et des
nerfs
importants de la région, englobés de toutes par
ar deux personnes. Auparavant elle n'avait jamais eu ni attaques de
nerfs
, ni vomissements, ni douleurs viscérales. Le mé
au craque- ment d'une articulation luxée. La réaction électrique du
nerf
, comme du mus- cle est diminuée quantitativemen
D. BUGNION LE PHÉNOMÈNE DE LA CIIROMATOLYSE APRÈS LA RÉSECTION DU
NERF
PNEUMOGASTRIQUE ( ) ), PAR CHARLES LADAME.
INTRODUCTION Au cours de mes recherches sur la localisation des m
nerf
pneumogastrique, j'ai eu l'occasion de faire un c
otre disposition une série d'animaux auxquels nous avons réséqué le
nerf
pneumogastrique dans la région du cou, avec son
rmet de localiser dans les centres nerveux les noyaux d'origine des
nerfs
d'une façon abso- lument indiscutable (1). El
t différenciées des autres éléments et que les noyaux d'origine des
nerfs
ne ressortent pas nettement délimités dans la cou
du ganglion plexiforme en voie de réparation après la résection du
nerf
pneumogastrique pour re- trouver à tous les sta
ype moteur de la formation réticu- lée du bulbe et dans le noyau du
nerf
hypoglosse, chez le lapin. Tout neurone possède
t après la ligature, la sec- lion, la résection ou l'arrachement du
nerf
; on la constate après la simple compression du
arrachement du nerf ; on la constate après la simple compression du
nerf
. Le phénomène de la chromatolyse diffère suivan
près les avoir en- dormis par le chloroforme, nous avons réséqué le
nerf
pneumogastrique chez tous, dans la région cervi
nomènes de réparation dans les centres nerveux après la section des
nerfs
périphériques, La Presse médicale, 4 janvier 1899
ue droit sur une longueur d'un centimètre; du même côté ou arrache le
nerf
sympathique. L'animal se porte parfaitement b
constate 316 C UAIILES LADAME un léger névrome au bout central du
nerf
réséqué, pas de réunion des deux bouts du nerf.
e au bout central du nerf réséqué, pas de réunion des deux bouts du
nerf
. 1 La moelle allongée et les ganglions plexifor
t discussion des préparations. a) Moelle allongée. - Les noyaux des
nerfs
réséqués se distinguent déjà à un faible grossi
Expérience II LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE APRÈS RÉSECTION DU
NERF
PNEUMO-GASTRIQUE (Ch. Ladainc.) Mns"on c C ?
ion plexiforme du lapin sa- crifié sept jours après la résection du
nerf
pneumogastrique, j'ai pu me con- vaincre de la
ions. Il est peu vraisemblable qu'au 22e jour après la résection du
nerf
vague, les cellules puissent être aussi profondém
hénomène de la chromatolyse, comme nous allons le voir, bien que le
nerf
vague n'ait pas été touché à gauche. Nous donne
CHARLES LADAME Expérience III. Jeune chat auquel on a réséqué le
nerf
pneumogastrique droit dans la région cervicale,
récautions ordinaires, sur une longueur de 1 centimètre et demi. Le
nerf
sympathique a également été arraché du même côté
ération. A l'autopsie on ne trouve pas de réunion des deux bouts du
nerf
réséqué, il y a au bout central un névrome volu
aux autres. Intégrité des noyaux de la 3e et de la 4° paire et des
nerfs
correspondants, des tubercules quadrijumeaux an
se sent éga- lement plus maladroit et dit « être moins libre de ses
nerfs
qu'auparavant ». Dans les derniers mois, il a f
contracter normalement. Il n'a pas été fait d'examen électrique des
nerfs
et des muscles. La sensibilité est normale sur
nt, avec diminution des grosses fibres ; il en est de même pour les
nerfs
périphériques. Malgré les restrictions qu'il es
auche et la 3° ra- cine lombaire postérieure droite. L'examen des
nerfs
périphériques n'avait aucun intérêt parce que le
ade était en même temps atteint de Kakke (Béribéri) ; dans quelques
nerfs
des ex- trémités inférieures l'auteur a constat
p de revolver dans la tempe droite. La balle après avoir éraillé le
nerf
optique droit vient se loger dans le maxillaire s
che. Le second se tire un coup de revolver dans la tempe droite, le
nerf
optique est sectionné et la balle demeure dans
inférieur. Il eu est résulté une déchirure complète du chiasma des
nerfs
optiques et du tubercule mamillaire à droite, le
en dedans, d'une longueur d'environ 14 centimètres. Le cbiasma des
nerfs
optiques n'est pas louché, ni les bandelettes, ma
caverneux mais en respectant la carotide. Elle est peu éloignée du
nerf
optique. · Fig. 19. Une broche passant par l'an
sant par l'angle interne de la cavité orbitaire chemine non loin du
nerf
optique disséqué sur une petite partie de son tra
grand nombre de personnes, et tout à fait aboli chez d'autres. Les
nerfs
perpétuellement- L- excités finissent par deven
pas seulement le diaphragme et les muscles du thorax, mais aussi le
nerf
acoustique. Le \ tympan devient flasque se dila
dans aucune partie du corps, pas même des maux de tète. La parésie du
nerf
facial gauche que nous allons décrire tout à l'
al, mouvement qu'elle ne peut pas exécuter à cause de la parésie du
nerf
facial, serre fortement les dents; sans ce mouv
complet gauche, paralysie complète de toutes les autres branches du
nerf
moteur oculaire commun ; amblyopie congénitale de
e paire gauche ; tous les mouvements des mus- cles, innervés par le
nerf
facial gauche sont très affaiblis ou même nuls. P
tion des réactions électriques et l'absence de DR dans le domaine des
nerfs
de la figure. A part ces deux groupes de para
a malade ne présente ancun symptôme maladif, ni dans le domaine des
nerfs
crâniens, ni dans celui des nerfs spinaux ; la
e maladif, ni dans le domaine des nerfs crâniens, ni dans celui des
nerfs
spinaux ; la force musculaire et la sensibilité
la lésion de la troisième paire gauche il y a encore une parésie du
nerf
facial gauche s'étendant sur tous les muscles inn
nerf facial gauche s'étendant sur tous les muscles innervés par ce
nerf
. Cette parésie n'a pas encore été remarquée par l
le degré de paralysie, nous inclinons à supposer que la parésie du
nerf
facial est due à une lésion se développant aussi
e beaucoup postérieure. Il n'y a pas d'atrophie dans le domaine des
nerfs
atteints, pas de DR, et seule- ment fort peu de
mptômes de la maladie actuelle; aucun trouble de la part des autres
nerfs
crâniens, ni des nerfs spinaux. Cette fille n'a j
ctuelle; aucun trouble de la part des autres nerfs crâniens, ni des
nerfs
spinaux. Cette fille n'a jamais eu de maladie a
nt un processus dans l'orbite devrait produire des lésions d'autres
nerfs
de l'oeil gauche. Parla même raison ce n'est pa
quelle que soit du reste sa nature. L'absence de lésions des autres
nerfs
crâniens après une durée de six ans et de caractè
. Ce n'est pas non plus un processus des os crâniens comprimant les
nerfs
; une affection pa- reille devrait produire plu
lle devrait produire plus de symptômes que la lésion isolée de deux
nerfs
. Ce n'est pas une affection périphérique des ne
isolée de deux nerfs. Ce n'est pas une affection périphérique des
nerfs
endommagés. L'absence de DR dans les nerfs et l
fection périphérique des nerfs endommagés. L'absence de DR dans les
nerfs
et les muscles, puis l'absence d'atrophies, enfin
on doit éliminer une lésion et une tumeur comprimant les noyaux des
nerfs
malades, parce que les autres symptômes de ces ma
dans tous ces cas, il y a au moins une affec- tion légère d'un des
nerfs
crâniens du côté opposé ; ou sinon, ce sont des
ou l'on trouve parfois ou même souvent des lésions unilatérales des
nerfs
du bulbe supérieur, mais les symptômes de la ma
x ans. Pendant ces six ans, la maladie n'a fait, sauf la parésie du
nerf
facial gau- che, aucun progrès. C'est pour une
e quel- ques mois, on trouve régulièrement une affection des autres
nerfs
du bulbe, la paralysie bulbaire inférieure ou d
de la maladie se manifeste dans une parésie probablement récente du
nerf
facial. Comme c'est spé- cialement le noyau du
ment récente du nerf facial. Comme c'est spé- cialement le noyau du
nerf
facial qui est le point de jonction entre les pa-
ire gauche, à laquelle s'est joint plus tard une lésion du noyau du
nerf
facial : nous inclinons à supposer qu'il s'agit c
t remplies de globules noirs, surtout les cellu- les des noyaux des
nerfs
hypoglosses, des noyaux ambigus et latéraux. Par
veuses sont remplies de globules noirs. Les fibres radiculaires des
nerfs
crâniens contiennent aussi des blocs noirs de myé
elle aucune trace de syphilis. A Lourcine elle a eu des attaques de
nerfs
qui commençaient par une boule qui montait à la
né à mieux assurer la nutrition. Si pour une raison quelconque, les
nerfs
sensitifs articulaires sont altérés, il y a insuf
ED. BUGN10N LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE APRÈS LA RÉSECTION DU
NERF
PNEUMOGASTRIQUE (1), (Huile). PAR CHARLES L
A l'autopsie on constate qu'il n'y a pas de réunion des deux bouts du
nerf
réséqué, mais un gros névrome fusiforme au bout
III. PI. LXXVI LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE après résection du
nerf
pneumogastrique (Cb. Lrrdnnrr) LE PHÉNOMÈNE D
e voir, est aussi en pleine phase de dissolution quand bien même le
nerf
vaâo-sympathique de ce côté n'a été lésé d'une fa
s venons de le dire, est manifestement en chromatolyse bien que son
nerf
n'ait été nullement traumatisé. Dans son ensemb
ion qui s'est produite dans le gan- glion plexiforme gauche dont le
nerf
n'a pas été réséqué. Nous n'en donnons pas moin
Expérience VI LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE après résection du
nerf
pneumogastrique C ? Jf););f LE PHÉNOMÈNE DE L
été contrôlé à l'autopsie). Il est résulté de ces recherches que le
nerf
vago-sympathique droit a été ti- raillé et plus
ratoire. A l'autopsie on ne trouve pas de réunion des deux bouts du
nerf
vago-sym- pathique gauche réséqué, mais un gros
noyau ambigu, si bien qu'il est impossible de dire de quel côté le
nerf
a été réséqué. Le nombre des éléments nerveux e
sse en tissu conjonctif du côté opéré dans les noyaux d'origine des
nerfs
et les cellules ne sont pas res- serrées. Com
d'anormal dans les noyaux d'origine du vague à droite, bien que le
nerf
ait été traumatisé. Les quelques chiffres que n
526 CHARLES LADAME du côté opéré ; ajoutons que les deux bouts du
nerf
n'étaient pas réunis, sou- dés à cette date.
n du cou, sur une longueur de deux centimètres. - Du même côté le
nerf
sympathique a été arraché (symptômes auriculaires
ation. A l'autopsie on ne constate pas de réunion des deux bouts du
nerf
réséqué, mais il existe un gros névrome fusifor
nt. Un espace de moins de cinq millimètres sépare les deux bouts du
nerf
. La moelle allongée et les ganglions plexiforme
i on ré- fléchit au rôle, à l'intervention nécessaire du système de
nerfs
pour toutes les actions vitales et à l'absence
ouce ou à peu près au-dessus et légèrement en arrière de la sortie du
nerf
occipital gauche est décidément plus molle à la
ables de produire la myélite aiguë, nous devons citer également les
nerfs
périphé- riques lorsqu'ils se trouvent exposés
es ulcérations gangré- neuses de la peau qui ont mis en contact les
nerfs
et leurs ramifications avec les agents microbie
s. Ces derniers, en suivant le trajet des vaisseaux lymphatiques du
nerf
malade, arriveront, eux ou leurs produits, jusqu'
t 1900), ayant constaté les mêmes altérations après la résection du
nerf
pneumogastrique, pense qu'elles motivent une gran
is dans les noyaux médullaires ou bulbaires après l'arrachement des
nerfs
respectifs. Depuis, j'ai pu me convaincre qu'el
e se trouve dans les mêmes conditions qu'après l'arrache- ment d'un
nerf
. Je viens de trouver dans un cas de myélite exp
Chez le lapin auquel on a injecté un streptocoque virulent dans le
nerf
sciatique, on trouve dans la moelle un grand no
bes siègent au pourtour de la moitié de la moelle correspondante au
nerf
injecté et les microbes enva- hissent quelques
. En somme, il s'agit d'une méningo-myélite prédominante du côté du
nerf
sciatique opéré avec participation de quelques
quer une aphasie des centres portant sur les noyaux bul- baires des
nerfs
moteurs des yeux. Lucanus (1886) admet dans son c
marché à 15 mois et elle n'a jamais eu de convulsions, de crises de
nerfs
, de strabisme, de ptosis ou d'ophtalmo- plégie.
ération ou de dispo- sition spéciale du pigment, pas de colobome du
nerf
optique ou de la choroïde. L'étude de la réfr
. Elle crie alors et pleure longtemps. Elle n'a jamais de crises de
nerfs
. On ne découvre pas non plus de malformation co
caisse datant de l'enfance. Le facial, le trijumeau et les autres
nerfs
crâniens sont dans presque tous les cas en très
des documents précis au sujet de l'état des muscles de l'oeil, des
nerfs
de l'orbite, de leurs noyaux bulbaires et de le
ment encore hypothétique des fibres constitutives de ces différents
nerfs
. Les renseignements les plus complets concernen
: dans la seule observation qui fut suivie d'autopsie (Heuck), les
nerfs
de l'orbite étaient d'apparence normale. L'examen
en microsco- pique n'en a malheureusement pas été fait. De plus les
nerfs
oculaires n'ont pas été poursuivis dans leur tr
ux bulbaires, et rien n'est dit sur l'état du cerveau et des autres
nerfs
crâ- niens. Nous ne trouvons de renseignement
ngénitale, à l'absence congénitale possible d'un ou plu- sieurs des
nerfs
oculaires : Seiler et Cerutti ont vu la presque t
nerfs oculaires : Seiler et Cerutti ont vu la presque totalité des
nerfs
orbitaires manquer dans trois cas d'hydrocéphalie
eloppement des noyaux bulbaires qui président au fonctionnement des
nerfs
moteurs des yeux ; les autres (Schenkl, Becker et
ionnaires sub-corticaux, les centres sub-corti- caux eux-mêmes, les
nerfs
des muscles oculaires et enfin les muscles ocu-
ffus. Il n'était pas démontré qu'il existât des tumeurs le long des
nerfs
rachidiens. Ces lésions de la peau suffisent au
s manquant complètement, que des nodules fibromateux intéressent le
nerf
optique droit et le moteur oculaire externe gau
BUGNION, . LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE APRÈS LA RÉSECTION DU
NERF
PNEUMOGASTRIQUE (Suite et fin). PAR CHARLES
ues.. , Après quoi nous examinerons si la réunion des deux bouts du
nerf
réséqué a une influence sur le phénomène de rép
pratique la ligature, la section, la résection ou l'arrachement du
nerf
. La ligature est'généralement suivie d'une chro
aires se fait rapidement. On admet généralement que la section du
nerf
provoque aussi la chro- matolyse, cependant cer
s conséquences de la section varient suivant que l'on opère sur les
nerfs
crâniens ou sur les nerfs rachidiens. Pour Va
on varient suivant que l'on opère sur les nerfs crâniens ou sur les
nerfs
rachidiens. Pour Van Gehuchten (4) la clrromato
n Gehuchten (4) la clrromatolyse suit invariablement la section des
nerfs
crâniens, tandis qu'elle n'a lieu pour les nerfs
ent la section des nerfs crâniens, tandis qu'elle n'a lieu pour les
nerfs
spinaux que dans certaines conditions spéciales
ines conditions spéciales. Marinesco z) admet une réaction pour les
nerfs
crâniens, mais quand on y regarde de près, on c
on constate qu'il fait la résection ou pratique l'arra- chement des
nerfs
, ce qui n'a certainement pas les mêmes conséquenc
« J'avais commencé tout d'abord par sectionner chez ces animaux les
nerfs
principaux du membre antérieur... Après avoir g
se dans les segments qui correspondent à l'origine apparente de ces
nerfs
», et plus loin : « J'ai voulu varier quelque p
au lieu de simples sections, j'ai déterminé tantôt la résection des
nerfs
du plexus brachial sur un trajet plus ou moins
t du quatrième au septième jour après la section de la ligature des
nerfs
sur les cellules des ganglions rachidiens et su
t constamment suivie d'une réaction dans les cellules d'origine des
nerfs
lésés, la lésion est ici plus profonde que dans l
mation de ces résultats. La chromatolyse a lieu aussi bien pour les
nerfs
rachidiens que pour les nerfs crâniens. Les n
chromatolyse a lieu aussi bien pour les nerfs rachidiens que pour les
nerfs
crâniens. Les nerfs coupés dans les amputatio
i bien pour les nerfs rachidiens que pour les nerfs crâniens. Les
nerfs
coupés dans les amputations ne sont pas autre cho
s nerfs coupés dans les amputations ne sont pas autre chose que des
nerfs
réséqués dont le bout périphérique n'est plus aff
amputations des membres où l'effort régénérateur du bout central du
nerf
(1) Marinesco, Contribution à l'élude des noyau
llement prouvée. D'après l'opinion de V. Gehuchten la lésion d'un
nerf
périphérique n'est pas la cause unique de la ch
er. En outre nos observations ont démontré aussi que la lésion d'un
nerf
périphérique n'était t pas indispensable à la p
chien, du côté opposé à la lésion. Les effets de l'arrachement du
nerf
sont connus depuis longtemps, c'est par cette m
et d'autres savants ont déterminé exactement les noyaux d'origine des
nerfs
moteurs et Forel en particulier avait déjà reco
les auteurs sont d'accord sur les conséquences de l'arrachement du
nerf
. Cette opération est constamment suivie de chroma
reconnaître la nature sensitive ou motrice du noyau d'origine d'un
nerf
par les différences que présentent la préco- ci
durée de sa réaction chromatolytique. La réunion des deux bouts du
nerf
réséqué joue-t-elle un rôle dans les phénomènes
7, p. 12. 650 CHAULES LADAME la non-réunion des deux fragments du
nerf
réséqué n'a pas d'influence manifeste sur le ph
s cas nous n'avons constaté à l'autopsie la réunion des segments du
nerf
sectionné; mais seulement l'existence d'un névr
moelle allongée. - Pour Marinesco, la soudure des deux fragments du
nerf
est une condi- tion indispensable à la rapidité
ar con- séquent, dit-il, « l'effort régénérateur du bout central du
nerf
reste sté- rile ». Van Gehuchten s'est égalem
chant la relation qui existerait entre la soudure des deux bouts du
nerf
et la ré- paration plus ou moins hâtive des cel
lables. Nous pouvons donc affirmer que la réunion des deux bouts du
nerf
est sans influence sur le phénomène de la répar
ous nos cas celle-ci a eu lieu en l'absence de toute coalescence du
nerf
réséqué, dont on avait enlevé un tronçon de 1 à
turgescence. Nissl l'observe jusqu'au 12e jour après la lésion des
nerfs
; Van Gehuchten jusqu'au 20. jour et Marinesco
trophie et la disparition des cellules à la suite de la lésion d'un
nerf
ne saurait donc devenir un caractère dis- tinct
s dit, une influence directe de la présence du bout périphérique du
nerf
coupé. La moelle de notre chat de 118 jours, ce
ux n'avait cependant révélé aucune coalescence des deux tronçons du
nerf
réséqué. En revanche, si l'on examine la moelle
noyau au trau- LE PHÉNOMÈNE DE LA CHROMATOLYSE 655 matisme de son
nerf
. Or, on admettaità cette époque que la rapidité d
bulbaires du vague est un phénomène constant après la résection du
nerf
pneumo- gastrique ou vago-sympathique (chien) a
t au, 122e jour présente la chromatolyse dans le gan- glion dont le
nerf
n'a pas été lésé aussi bien que dans celui dont l
e a été réséqué. ' 11. Le noyau dorsal et le ganglion plexiforme du
nerf
vague, chez le lapin au 195'' jour après l'opér
ement normal des éléments nerveux. 13. La soudure des deux bouts du
nerf
réséqué n'est nullement indis- pensable à la ré
aire. 15. Chez le chat au 147e jour, le ganglion plexiforme dont le
nerf
a été fortement lésé entre les mors d'une pince
. en couleur et 2 figures), 330. Chromatolyse après la résection du
nerf
pneumogastrique (le phénomène de la), par CH.
e (CIIAHLES). Le phénomène de la chromatolyse après la résection du
nerf
pneumo-gastrique (avec 4 pl.en couleur), 301,
SIGNES EXPLICATIFS DES PARTIES DES SYSTÈMES NERVEUX LATÉRAUX. I,
nerf
olfactif. II, nerfoptique. ' III, troisième p
illon super. 6', pour le barb. infér. c, ncrf maxill. infér. d,
nerf
operculaire. e, nerf ptéri-0-dorsal. , f, bra
le barb. infér. c, ncrf maxill. infér. d, nerf operculaire. e,
nerf
ptéri-0-dorsal. , f, branche auditive des raics
es cyprins. i, commissure de la cinquième paire des mêmes. k,
nerf
électrique des torpilles. VI, sixième paire.
ixième paire. VII, septième paire, a, auditif, b, facial. c',
nerf
de la première ampoule. c', nerf de la deuxième
, a, auditif, b, facial. c', nerf de la première ampoule. c',
nerf
de la deuxième. c3, nerf de la troisième. c4,
. c', nerf de la première ampoule. c', nerf de la deuxième. c3,
nerf
de la troisième. c4, nerfs du sac des pierres.
ampoule. c', nerf de la deuxième. c3, nerf de la troisième. c4,
nerfs
du sac des pierres. ' , . VIII, nerf pneumo-gas
, nerf de la troisième. c4, nerfs du sac des pierres. ' , . VIII,
nerf
pneumo-gastrique ou vague, i b, premier nerf br
pierres. ' , . VIII, nerf pneumo-gastrique ou vague, i b, premier
nerf
branchial. i ? ses rameaux buccaux. 2 be 4
remier nerf branchial. i ? ses rameaux buccaux. 2 be 4 , . vA }
nerfs
des autres branchies. 5 , J , t, nerf de la l
ccaux. 2 be 4 , . vA } nerfs des autres branchies. 5 , J , t,
nerf
de la ligne latérale. ' m, nerf oesophagien et
es autres branchies. 5 , J , t, nerf de la ligne latérale. ' m,
nerf
oesophagien et stomacal. " n, ncrf oesoph. spéc
acal. " n, ncrf oesoph. spécial et pharyngien des cyprins. , o,
nerfs
électriques des torpilles. p, nerfs du palais d
haryngien des cyprins. , o, nerfs électriques des torpilles. p,
nerfs
du palais des cyprins. q, rameau qui va au diap
qui va au diaphragme clnricu. laire. IX, Glosso-pharinâicn. X,
nerf
hypo-glossc. s p. nerfs spinaux. . SIGNES EXP
ricu. laire. IX, Glosso-pharinâicn. X, nerf hypo-glossc. s p.
nerfs
spinaux. . SIGNES EXPLICATIFS DES PARTIES DE
? choroïde, v, veines de la-choroitle. «-, rétine et insertion du
nerf
optique. p, iris. , . ' p', palmette de la pu
oculaire... ^ 1)1. c, plexus choroïdien ou glande choroïde. 7 7T
nerf
optique plissé. , , 5, névrilemmc. , c. v, co
liers des raies.-na. narines vues par leur convexité. Fiv. 3. Lobe,
nerf
olfactif déployé, narine, et artère caverneuse na
narine du même poisson.-c. plexus vasculaire. Fig. G. Encéphale et
nerf
pneumo-gaslrique de la carpe (cyprirus carpio) vu
I. ' Fig. i. Systèmes nerveux du squalus ga feus, vus en-dessus. Le
nerf
olfactif droit a sa paroi ouverte pour en montr
bouclée, avec les insertions des 2°, 3', zk" 5e, 7e et 8' paires de
nerfs
. 1 Fig. 5. Canaux demi-circulaires, cc. cartila
ne médiane et renversée de cha- que côté, pour montrer que tous les
nerfs
spinaux s. p. jusqu'au pncumo -gastri- que VIII
elle G, et que ce n'est qu'à comp- ter de la septième paire que les
nerfs
traversent l'intervalle de la méninge à l'encépha
Fig. 2. Systèmes nerveux du même squale, vus en-dessous. Fig. 3.
Nerf
de la cinquième et de la huitième paires de la ca
tions des racines dorsales des nerfs-, vue en-dessus. 1" D. premier
nerf
dorsal. Ir. L. premier nerf lombaire (fig. réduit
es nerfs-, vue en-dessus. 1" D. premier nerf dorsal. Ir. L. premier
nerf
lombaire (fig. réduite de l'atlas de Gall). P
tème cé- rébro-spinal, et montre terminées sur. elle les racines du
nerf
pneumo-gastrique. Fig. 2. Encéphale du même pet
e aponévrotique qui coiffe le globe de l'oeil. ' Fig. 4. Encéphale,
nerf
optique et rétine déplissés du (mugit 'cephafus)
muge. 5. Gaîne non adhérente du névrilemme , fendue pour montrer le
nerf
op- tique plissé. , Fig.- 5. Systèmes nerveux
ptiques, et le cervelet, ont été enlevés pour montrer l'insertion des
nerfs
encépha- liques, jusqu'à la septième paire incl
a. Muscle droit interne. - 3 et 4- Muscle droit externe. 1 / ' 5.
Nerf
optique. - - 6. Artère opthalmique coupée, vena
leux. 13. Rameau de la carotide qui passe sur l'entrecroisement des
nerfs
opti- ques, et se rend au circulas willisii.
lump (v1tig. bas.) cyclopterus Zurtpus, vus en-des- dessous. -no s.
nerfs
sympathiques. g. s. ganglion du grand sympathique
s. nerfs sympathiques. g. s. ganglion du grand sympathique.-7r,. G.
nerfs
latéraux.-c. d. leurs cordons dorsaux.-f. s. fais
. De chaque côté, on voit chaque moitié du palais charnu auquel les
nerfs
arrivent après avoir traversé la lame cartilagine
III. lig. 3. Face inférieure de l'encéphale du cycloptère lump. Les
nerfs
optiques sont éloi- 9 gnés de l'échancrure qu
ive (t1'achinus draco), vu en-dessus. 5. Gaine né- vrilemmaliquc du
nerf
optique ouverte à gauche; droite, les plis sont m
an (gadus mC1'ang1t), vus en-dessous. Fig. G. Coupe transversale du
nerf
optique déplissé de la cigogne à marabou (A1'dec
e, qui lui-sert de support et à travers la- quelle lui arrivent les
nerfs
. A droite , les' rameaux buccaux bb. du premier b
nse du grand sympathique, le grand ligament occipito-claviculaire. Le
nerf
stomacal m. accompagne le commencement de l'oes
vertèbres de la colonne dor- sale au bas de la figure n. s., g. s.,
nerfs
et ganglions du grand sympathique. Fig. 3. Glan
chiffres romains ont leur signification ordinaire. a. Jonction des
nerfs
optiques. - e. entonnoir ou pédicule de la glande
11CV1'o-ence(((fo- tonicc, pab. 171), sous le nom d'accessoires des
nerfs
moteurs communs. b. s. bande supérieure de la p
rieures.-x. impressions des racines inférieures ou abdominales des
nerfs
spinaux. Fig. 2. Le même organe montrant la str
ires blanches du quatrième ventricule dont on a fait les racines du
nerf
auditif. p. feuilles cendrées du quatrième ventri
-dire la défor- mation du crâne et ce qui concerne les troubles des
nerfs
optiques. En d'autres termes, l'on peut retenir
caractérisée par une synostose précoce des sutures avec atrophie des
nerfs
optiques. On a donc restreint pendant longtem
ehors de son cortège de symptômes nerveux bien connus (atrophie des
nerfs
optiques, strabisme, exophtalmie, idiotie, etc.
les premiers un état post-méningitique avec atrophie secondaire des
nerfs
optiques, et les deuxièmes un état adénoïdien.
ou crâne en tour. Ce type clinique, caractérisé par une lésion des
nerfs
optiques el par la déformation oxycéphalique du
un rapproche- ment entre la déformation crânienne et la lésion des
nerfs
optiques (2) ; .depuis, un certain nombre d'aut
de de Bicêtre atteint d'oxylrigonocéphalie et d'atrophie double des
nerfs
optiques (1). A peu près à la même époque, parure
phalie est caractérisée par deux symptômes capitaux ; la lésion des
nerfs
optiques et la déformation du crâne ; viennent en
xycéphalie, Presse méd., 17 déc. 1910. 6 BERTOLOTTI Du côté des
nerfs
optiques on a observé dans l'oxycéphalie deux typ
types oplitalmoscopiques : la névrite en évolution et l'atrophie du
nerf
optique secondaire à la névrite. La névrite pri
s à cette malformation il faut bien retenir que, ni les lésions des
nerfs
optiques, ni les autres troubles nerveux concom
ie congé- nitale. soit encore à un commencement de dégénération des
nerfs
optiques. Un an après, c'est-à-dire le 27 janvi
ut le syndrome oxycéphalique complet avec ses séquelles du côté des
nerfs
optiques. Mes recherches radiographiques m'ont
nfrère le Dr Monra Brazil (fils), a démontré de l'atrophie des deux
nerfs
optiques, très avancée du côté gauche. Le champ
démontré l'existence de fibres nerveuses. Mais l'examen complet des
nerfs
SUR LA COEXISTENCE DE LA MALADIE DE RECKLINGHAU
ques seul permettrait de décider s'il n'y a pas coparticipation des
nerfs
. En publiant ce cas, je me propose surtout de s
le moment d'affirmer si elles ont leur cause dans des fibromes des
nerfs
profonds ou si on doit les rattacher à l'acromé
use de la compression. A la base, on voit, en arrière du chiasma du
nerf
optique, l'infundibulum proéminant et ayant l'asp
embrane faisant l'impression d'un kyste. L'hypophyse, le chiasma du
nerf
optique, la protubérance, le bulbe et même le c
ostérieure des circonvolutions orbitaires, au voisinage du chiasma du
nerf
optique, nous avons trouvé un grand foyer d'enc
t cas de pseudo-tumeurs, une fois cette dernière el une névrite des
nerfs
crâniens comme cause du complexus symptomatique
umeur de la base : de la céphalée, des vomissements, l'atrophie des
nerfs
optiques, des phé- nomènes de compression de la
des nerfs optiques, des phé- nomènes de compression de la part des
nerfs
crâniens, etc. et à l'autopsie duquel nous avon
'est la base qui est atteinte, ce sont des symptômes de la part des
nerfs
craniens qui prédominent, spécialement ceux des n
e la part des nerfs craniens qui prédominent, spécialement ceux des
nerfs
optiques et oculo-moteurs. Mais dans ces cas vi
ons manquent ab- solument dans les cordons postérieurs. Parmi les
nerfs
de la queue de cheval qui ont été englobés dans l
au niveau des cordons postérieurs, et toujours la présence, parmi les
nerfs
de la queue de cheval, de certains d'entre eux
cas où l'abolition des réflexes rotuliens tient à l'altération des
nerfs
périphériques ou des cor- nes et des racines an
macal ; ces lé- sions seront de nature névritique, comme celles des
nerfs
périphériques des membres ; à l'inverse de la l
postérieures. De tels faits don- nent il penser que les lésions des
nerfs
périphériques peuvent avoir par- fois., dans la
lésions radiculo-médullaires. On peut penser que les lé- sions des
nerfs
périphériques (névrites primitives du sympathique
s'effectuent sans diffi- culté. On ne constate aucune paralysie des
nerfs
crâniens. Dans la région tem- porale gauche, à
s coups de marteau à percuter dans la région du sinus droit (sur le
nerf
facial) occasionnent des contractures de tous l
; un léger strabisme divergent. Pas de troubles sphinctériens. Les
nerfs
ne semblent pas augmentés de volume, la pression
e ou nerveuse. Il n'y a-ni tubercules, ni léprômes, ni ulcères. Les
nerfs
ne sont pas augmentés de volume, ils ne sont pa
roncs nerveux ne se manifeste pas par une hypertrophie évidente des
nerfs
,mais il est net que l'appareil nerveux est en c
est une abolition pathologique. L'une des diverses affections, des
nerfs
, des racines ou des centres nerveux, susceptibl
plus fréquem- ment atteints à la suite des états méningés sont les
nerfs
de la base. Dans la cavité rachidienne, les rac
mblent être : les altérations traumatiques ou post-traumatiques des
nerfs
, des racines ou des centres, les névrites variq
mprunta la notion des courants d'esprits animaux qui parcourent les
nerfs
. Ces esprits constituent la partie la plus ténue,
en mouvement (3) et ils réalisent dans le cerveau la moelle et les
nerfs
, une circulation analogue à celle dont llii-vey
nfler, et par ce moyen de faire tendre tous les petits fi- lets des
nerfs
qui en viennent ; ainsi que le vent, estant un pe
dont se transmettra cette image jusqu'à la glande. Or les fibres du
nerf
opti- que (fig. 5), qui se poursuivent jusqu'à
de chacun des petits tuyaux nerveux dont la réunion cons- titue le
nerf
optique. D'autre part, le courant des esprits ani
x nerveux qui consti- tuent la substance cérébrale et plus loin les
nerfs
.Ils ont la force d'élargir quelque peu les inte
ipal de la mé- moire, mais elle réside aussi pour une part dans les
nerfs
etles muscles. C'est ce qu'il in- dique netteme
e, principalement ses parties intérieuresetmesme aussi que tous les
nerfs
et les muscles y peuvent servir ; en sorte que pa
e nos appétits intérieurs excitent aussi quelques mouvements en nos
nerfs
, qui passent par leur moyen jusqu'au cerveau ;
TON ET DAGNAN-BOUVERET glande, vont de là se rendre partie dans les
nerfs
qui servent à tourner le dos et remuer les jamb
r derechef les pores du cer- veau qui les conduisent dans les mêmes
nerfs
; car de cela seul que ces esprits entrent en ce
on et pour ce que les pores se rapportent principalement aux petits
nerfs
qui servent à resserrer ou élargir les orifices
n'est sentie, comme dans le coeur, que par l'entre- mise d'un petit
nerf
qui descend du cerveau vers lui, ainsi que la dou
si que la douleur est sentie comme dans le pied par l'entremise des
nerfs
du pied, et les astres sont aperçus comme dans
t aperçus comme dans le ciel par l'entremise de leur lumière et des
nerfs
optiques : en sorte qu'il n'est pas plus nécess
l'environnent vers les pores du cerveau qui les conduisent par les
nerfs
dans les muscles, au moyen de quoi elle leur fait
ter en entier « Et véri- tablement l'on peut fort bien comparer les
nerfs
de la machine que je vous décris. aux tuyaux de
pas mieux. Bartholin fait d'abord observer (3) avec raison que les
nerfs
n'aboutissent pas a la glande pinéale.- Mais il
es modi- fications consécutives à la section ou à l'arrachement des
nerfs
périphé- riques. Tandis que les granulations co
rachidien par plusieurs orifices que parcouraient probablement les
nerfs
rachidiens (voir dessin). Si maintenant, nous
cavité médullaire ; il est probable que chaque orifice répondait à un
nerf
rachi- dien et représente le reliquat d'une ver
actérisées. Cette théorie se base principalement sur l'existence du
nerf
en fourche et du nerf bigeminé. Ihering s'app
rie se base principalement sur l'existence du nerf en fourche et du
nerf
bigeminé. Ihering s'appuie sur des faits qu'il
expliquent de la même façon chez l'homme. Mais cette disposition du
nerf
en fourche n'est pas constante : Il res- sort d
s constante : Il res- sort des travaux d'Eisler que la situation du
nerf
en fourche peut varier vers le haut ou vers le
nninham (2), Bardeen (3) signalent l'inconstance de la situation du
nerf
en fourche. Ancel et Sencert rapportent deux ob
rales présentant des variations numériques. Dans ces deux cas, le
nerf
en fourche était situé : à droite à la 25e paire,
gauche à la 24° paire. Ceci tend donc à montrer que la situation du
nerf
en fourche n'est pas une preuve irréfutable d'i
ou augmenter le nombre des segments vertébraux. Les variations du
nerf
en fourche, dont nous avons déjà parlé, et sur-
une prédominance à gauche, mais on ne trouve pas sur le trajet des
nerfs
sciatiques de points particulièrement douloureux
nt pas la cause des lésions importantes révé- lées par l'examen des
nerfs
périphériques. Nerfs périphériques. - Les nerfs
ions importantes révé- lées par l'examen des nerfs périphériques.
Nerfs
périphériques. - Les nerfs suivants ont été préle
es par l'examen des nerfs périphériques. Nerfs périphériques. - Les
nerfs
suivants ont été prélevés : à la sortie du creu
rfs suivants ont été prélevés : à la sortie du creux axillaire, les
nerfs
médian, axillaire, radial, brachial cutané intern
à la cuisse, les troncs du crural et du sciatique ; à la jambe, le
nerf
tibial antérieur. A l'examen macroscopique, ces
la jambe, le nerf tibial antérieur. A l'examen macroscopique, ces
nerfs
ne paraissent pas augmentés de volu- me, mais l
aques que d'autres. Pour l'examen histologique, des segments de ces
nerfs
ont été imprégnés par l'acide osmique, et débit
t ces aspects hypertrophiques qui don- nent à certaines parties des
nerfs
leur aspect caractéristique; L'analyse des alté
par du liquide sur le vivant. 2° Sur les coupes longitudinales des
nerfs
, les mêmes détails histologiques apparaissent a
iennent encore un nombre assez considérable FiG. 2. - Fragments des
nerfs
sciatique et crural (Méthode de Pal). 288 LONG
s conjonctives ne sont pas dévelop- pées au même degré sur tous les
nerfs
, ni sur toute la longueur d'un même nerf, ce qu
u même degré sur tous les nerfs, ni sur toute la longueur d'un même
nerf
, ce qui rend malaisée l'appréciation d'un état pa
ture relevées en quelques points. Répartition des lésions dans les
nerfs
périphériques et les racines rachi- diennes. -
'ensemble des fragments examinés, on voit que la dégénérescence des
nerfs
n'est jamais globale. Les nerfs mixtes contiennen
, on voit que la dégénérescence des nerfs n'est jamais globale. Les
nerfs
mixtes contiennent, en effet, des fascicules sa
ait très important, sur lequel il faut insister, est l'intégrité du
nerf
brachial cutané interne (fig. 4), intégrité que
ve presque aussi complète dans la branche cutanée anti-brachiale du
nerf
radial (PI. XXXVIII) : or ce sont là des rameaux
dans les rameaux plus périphériques et plus grêles ; ainsi, sur le
nerf
tibial antérieur (nerf qui innerve les muscles ex
périphériques et plus grêles ; ainsi, sur le nerf tibial antérieur (
nerf
qui innerve les muscles exten- seurs du pied tr
cher d'autre part le début des lésions, à l'origine radiculaire des
nerfs
, plusieurs racines rachidiennes avec leurs gangli
ce atrophiqueou sclérose interstitielle. Il en est de même pour les
nerfs
de la queue de cheval examinés au-dessous du cô
elles des cellules motrices dans le ren- flement cervical. Pans les
nerfs
: atrophie d'un grand nombre de fibres nerveuse
eux. Quelques vasa nervorum en état d'hypertrophie. Ces lésions des
nerfs
sont systématisées, elles atteignent les racine
s atteignent les racines antérieures près du ganglion spinal et les
nerfs
mixtes; les nerfs cutanés et les racines postér
acines antérieures près du ganglion spinal et les nerfs mixtes; les
nerfs
cutanés et les racines postérieures sont presque
s (type Aran-Duchenne), dont la cause anatomique se trouve dans les
nerfs
périphériques, parait de prime abord difficile à
rilles entrelacées. Les racines rachidiennes étaient intactes ; les
nerfs
périphériques non seulement n'étaient pas, atroph
l'autopsie : lésions myopathiques et intégrite de la moelle et des
nerfs
musculaires. (2) Ein Fall vonprogressiver Muske
e. A l'examen histologique, on trouve une moelle intacte ; dans les
nerfs
des régions malades, une atrophie des fibres nerv
nerveuses plus ou moins altérées. Ces lésions font défaut dans les
nerfs
cutanés et dans les ganglions spinaux. Cas DE D
histologique montra l'intégrité de la moelle épinière et, dans les
nerfs
des régions arrophiées, des enveloppes fibreuse
t à sa suite, par une sorte de névrite ascendante, l'altération des
nerfs
intramusculaires. Dans les formes plus extensives
musculaire, limitée aux extrémités et dépen- dant d'altération des
nerfs
périphériques, Revue de Médecine, 1890, p. 441.
taient normales, les racines antérieures à peine altérées. Dans les
nerfs
périphériques, les fibres nerveuses avaient dis
upérieurs, avec extension consécutive aux membres inférieurs et aux
nerfs
crâniens, abolition des réflexes tendineux, dim
tion des fibres dans les cordons postérieurs et latéraux ; dans les
nerfs
périphériques, mélange de fibres normales, de f
; racines antérieures intactes à la sortie de la moelle ; dans les
nerfs
périphériques : dégénérescence des fibres à myéli
diminution de la striation jusqu'à la transformation graisseuse ; les
nerfs
intramusculaires montrent une hypertrophie nota
l- laire, Marinesco admet la possibilité d'une lésion primitive des
nerfs
moteurs et sensitifs. Observation DE SIEMEJlL
s ; diminu- tion des cellules dans les ganglions spinaux ; dans les
nerfs
périphériques, diminution considérable des fibr
hie des cellules des cornes anté- rieures à divers degrés. Dans les
nerfs
périphériques, tantôt diminution des fibres ner
alement réparties, allant jusqu'à la transformation graisseuse; les
nerfs
intramusculaires sont en général peu altérés.
légère dégénérescence des cellules des cornes antérieures. Dans les
nerfs
périphériques : augmentation du tissu conjonctif
n certains points. Tontes ces lésions sont plus fréquentes dans les
nerfs
intramusculaires. Dans les muscles : état lardacé
s et des ganglions spinaux ; lepto-méningite postérieure chronique.
Nerfs
périphériques : pas de névrite interstitielle ni
égénération apprécia- ble dans les troncs nerveux des membres ; les
nerfs
cutanés sont intacts ; les nerfs intramusculair
s troncs nerveux des membres ; les nerfs cutanés sont intacts ; les
nerfs
intramusculaires montrent peu de fibres saines, b
ire, dégé- nérescence des fibres des racines postérieures. Dans les
nerfs
, dégénérescence dans le sens centripète ; dimin
génératif primaire très étendu, frappant à la fois les centres, les
nerfs
et les muscles). Observation DE WESTPHAL (1).-
n lombaire ; racines antérieures et postérieures intactes. Dans les
nerfs
périphériques, diminution numérique et diminuti
rique ; intégrité des racines antérieures et postérieures. Dans les
nerfs
, fibres en petit nombre, gaines gon- flées ou a
des fibres à myéline et un épaississement de l'endonèvre. Dans les
nerfs
périphériques, dégénération des fibres, épaississ
lésions parenchymateuses et interstitielles se retrouvent dans les
nerfs
intra- musculaires, et à un plus faible degré d
ns les nerfs intra- musculaires, et à un plus faible degré dans les
nerfs
de la queue de cheval. Dans les muscles : atrop
llules des noyaux du facial, du spinal et de l'hypoglosse. Dans les
nerfs
périphériques, diminution parfois considérable du
e considérable des racines rachidiennes, des ganglions spinaux, des
nerfs
crâniens, rachidiens, spinaux et sympathiques,
inuant de bas en haut et plus marquée pour les racines antérieures.
Nerfs
périphériques volumineux avec sclérose conjonctiv
éro-iatéraux. Les racines rachidiennes sont peu hypertrophiées, les
nerfs
périphériques le sont beaucoup plus, avec hyper
s annulaires et volumineuses autour d'un grand nombre de fibres des
nerfs
mixtes. Ces diverses lésions sont plus marquées d
es des nerfs mixtes. Ces diverses lésions sont plus marquées dans les
nerfs
mixtes que dans les filets sensitifs. Elles dim
ans les filets sensitifs. Elles diminuent à la périphérie, dans les
nerfs
intramusculaires, et au niveau des racines rachid
du tissu conjonctif péri-fasciculaire ni des gaines lamelleuses des
nerfs
. Pas d'altérations de structure des vasa-nervorum
- nance des lésions sur les racines antérieures de la moelle et les
nerfs
mixtes, faisant contraste avec l'intégrité rela
contraste avec l'intégrité relative des racines postérieures et des
nerfs
cutanés. En résumé, ces deux observations repré
ielle hypertrophique, sans augmentation appréciable du diamètre des
nerfs
, mais avec l'hyperplasie du tissu interstitiel
relevant de processus dégénéra tifs lents des centres nerveux, des
nerfs
ou des muscles. Dans ces maladies dites hérédit
ions portent presque exclusivement sur les racines antérieures, les
nerfs
moteurs et les muscles ; mais ceci ne crée null
ssé à peu près intacts les racines rachidiennes postérieures et les
nerfs
sensitifs ; et bien que ces lésions soient du m
iques,sont de deux sortes : atrophiques et hyperplasiques. Dans les
nerfs
le processus atrophique frappe les éléments con
e latérale amyotrophique, où la dégénérescence secondaire, dans les
nerfs
moteurs, ne laisse qu'un résidu fibreux, souven
nts conducteurs. Dans ces divers états anatomiques, les lésions des
nerfs
périphériques sont primitives ; les altérations
uer par une dégéné- rescence secondaire les troubles trophiques des
nerfs
et des muscles. Dans le débat qui s'est engagé,
, sur quelques racines rachidiennes antérieures, sans extension aux
nerfs
périphériques. 306 LONG mixte, atrophie spina
trophie est-elle pri- mitive, ou secondaire à la dégénérescence des
nerfs
moteurs ? Devant les résultats des examens hist
pathogénique, en en faisant le point de départ des altérations des
nerfs
). Enfin il faut rappeler que dans les muscles e
ions des nerfs). Enfin il faut rappeler que dans les muscles et les
nerfs
on trouve (1) Ueber die spinal neuritische ! 'o
able. Si donc, ils paraissent devoir être attribués aux lésions des
nerfs
périphériques, on comprend difficilement pourqu
é, mais il a eu une courte durée et ne s'est manifesté que dans les
nerfs
du membre inférieur et encore seulement dans le
t dans le territoire du sciatique. A égalité de lésions, les autres
nerfs
, ceux des membres supérieurs en par- ticulier,
nt que dans ces deux observations, c'est bien à des altérations des
nerfs
qu'il faut attri- buer la pathogénie de ces tro
le. , 308 LONG LÉGENDE DES PLANCHES Planche XXXV111 FiG. a. -
Nerf
radial dans le creux axillaire (Pal et carmin) J
llaire (Pal et carmin) J Grossissement : 20 diamètres). Fin. b. -
Nerf
radial à l'avant-bras (Grossissement : 20 diamètr
erf radial à l'avant-bras (Grossissement : 20 diamètres). Fic. c. -
Nerf
brachial cutané interne (Grossissement : 20 diamè
utané interne (Grossissement : 20 diamètres). FIG. d. - Fragment du
nerf
médian (Grossissement : 50 diamètres). Planche
ossissement : 50 diamètres). Planche XXXIX Fi(3. e. - Fragment du
nerf
sciatique (Pal carmin. Grossissement : 30 diamètr
nerf sciatique (Pal carmin. Grossissement : 30 diamètres). Fio. f.
Nerf
crural (Grossissement : 30 diamètres). FiG. g.
res). Fio. f. Nerf crural (Grossissement : 30 diamètres). FiG. g.
Nerf
radial (Grossissement : 30 diamètres). Planche
'imaginer. L'atrophie musculaire localisée aux territoires des deux
nerfs
sciatiques avec intégrité relative des muscles
rieure, ou un processus chroni- que de dégénérescence affectant les
nerfs
moteurs du bulbe et de la moelle. DYSTROPH1E MU
iagnostique que nous venons d'énoncer. En effet, à droite, quelques
nerfs
ou muscles présentent une simple diminution d'e
ntent une simple diminution d'excitabilité galvanique et faradique (
nerf
facial, muscle cucullaire, muscles zygoma tiques,
ce, mus- cles interosseux dorsaux de la main). D'autres muscles (ou
nerfs
) présen- tent une abolition complète de l'excit
orbiculaire des paupières, deltoïdes, sus-épineux, grand pectoral,
nerf
radial). Dans le premier groupe, il n'y avait pas
es de la R. D. Par contre, dans le second groupe de mus- cles et de
nerfs
, l'abolition complète de l'excitabilité faradique
amènera une dégénérescence secondaire des racines anté- rieures des
nerfs
moteurs et des muscles. La première éventualité s
e compte de troubles trophiques dus à une lésion primitive soit des
nerfs
soit des vaisseaux. C'est à des lésions de ce gen
r de notre malade : le traumatisme aurait déterminé les lésions des
nerfs
ou des vaisseaux qui assurent la nutrition de l'e
ces thénar et hypothénar. A l'autopsie, moelle paraissait saine,les
nerfs
également, macoscropiquement du moins, les raci
L'on constate enfin une augmentation de la graisse à l'intérieur du
nerf
. Il s'agit de névrite très ancienne et le March
on est presque exactement dimidiée. Tandis que l'une des moitiés du
nerf
est presque saine, l'autre apparaît à peu près
uche est sensiblement sain. Cependant, même de ce côté et sur les
nerfs
du côté droit qui parais- sent épargnés, il exi
le médian du côté droit. Intégrité à peu près absolue des autres
nerfs
du côté droit et de tous les nerfs du côté gauc
té à peu près absolue des autres nerfs du côté droit et de tous les
nerfs
du côté gauche. Quant à l'origine et à la natur
: 0.25 Il n'y a aucun symptôme traduisant une lésion quelconque des
nerfs
crâ- niens. Les mouvements de la tête et du cou
ronc. Toute sensibilité objective est conservée dans le domaine des
nerfs
crâniens et dans les différentes régions du cou
u'à noter une légère hyper-excitabilité faradique et galvanique des
nerfs
et de presque tous les muscles du bras et de l'
). TROIS CAS DE TUMEURS DE L'ANGLE PONTO-CÉRÉBELLEUX 421 Le VIIIe
nerf
cranien est englobé dans la masse de la tumeur ;
e de la bouche à gauche, signe du peaucier de Babinski.. " Le VIe
nerf
droit est paralysé et le muscle droit interne de
tat d'ébauche. Sensibilité. -Elle est affectée dans la région du Ve
nerf
. Anesthésie tactile dans la région de l'ophtalm
et III) il n'existe pas. Chez l'autre malade (II) il y a névrite du
nerf
optique et on ne peut pas assu- rer qu'il exist
êtait quand l'autre avait déjà accompli tout son parcours. Le VIe
nerf
droit est pris à droite chez la seconde malade av
exe cornéen est aboli chez les trois malades yUppenlieim). , Le IX.
nerf
est pris chez les trois malades. Troubles céréb
élève pour l'étude : des fragments de la moelle, des racines et des
nerfs
périphériques à différentes hauteurs. L'on consta
ques à différentes hauteurs. L'on constate ainsi : 1° au niveau des
nerfs
une névrite interstitielle intense (Ces lésions o
n résumé, grosse lésion de névrite scléreuse ancienne portant sur les
nerfs
cubital et médian à partir du coude. Atrophie r
. n'est pas complète, car l'excitabilité faradique et galvanique du
nerf
au poignet n'est pas abolie, mais elle est très
diminuée mais conservée. L'excitabilité galvanique et faradique du
nerf
du poignet est conservée mais assez diminuée.
on constate de ]'hypoexcitabi ! ité faradique et galvanique par le
nerf
et sur les muscles, sans altération qualita- ti
Inexcitabilité à peu près complète, faradique et galvanique sur le
nerf
et sur les muscles dans le domaine du cubital à l
c 40 M. A. pour hypothénar). Les muscles de la main innervés par le
nerf
médian présentent l'hypo-exci- tabilité faradiq
térale du moteur oculaire commun, portant sur les trois branches du
nerf
. En résumé, signe d'Argyll Robertson, douleurs
utopsie n° 4, être également causée par une né- vrite localisée aux
nerfs
médian et cubital. Le deuxième groupe concerne
énar respectée ainsi que les interosseux. Comme dans les lésions du
nerf
médian, l'adducteur du pouce est respecté, le cou
ut point ; pas de diminution de l'exci- tabilité des muscles et des
nerfs
; pas de réaction de dégénérescence. A la face,
nt Pic et Cardère, nous ne pouvons rapporter ni à la moelle, ni aux
nerfs
, ni aux muscles l'origine de ces troubles trophiq
miplégie est causée par l'imperméabilité du fluide nerveux dans les
nerfs
du côté paralysé ce qui a lieu aussi dans le cas
phae per franciscum Ignatium Kirchner factorem. ! ·9l· ' HASKOVEC
nerfs
mêmes causés par les inflammations, par les traum
par d'autres processus morbides qui ont interrompu la continuité du
nerf
. L'auteur explique ensuite la dépendance de la
e des forces au fluide nerveux et on dissout les obstacles dans les
nerfs
. - On employait à cette époque l'électricité pr
les uns des autres et qui ne sont pas toujours innervés par le même
nerf
, par conséquent tout à fait indépendants par la
, cette paralysie porta, ce qui en fait un cas unique, sur tous les
nerfs
moteurs et sensitifs. qui innervent l'avant-bra
avant-bras et la main. En second heu, l'excitabilité électrique des
nerfs
étant demeurée normale, la con- tractilité élec
ibres larges. P. K. V. Contribution A l'étude DU trajet central DES
NERFS
sensoriels ; par P. FLECHSIG. (Neurol. Centralb
ctivité, Rosenheim les a retrouvées sur des sections transverses de
nerfs
enflammés ; en les traitant par le carmin ammonia
demeurées intactes. P. K. Xi. DE L'ORIGINE ET DU trajet central DU
nerf
accessoire DE Willis; par 0. DEES. (Allg. ï.eit
n peu au- dessous de la première paire cervicale. Conclusions. Le
nerf
accessoire prend son origine dans le noyau dit
don postérieur) est indubi- tablement un noyau senoilif destiné aux
nerfs
des extrémités; les trois autres sont des noyau
sont des noyaux qui donnent naissance à des portions homologues des
nerfs
crâniens sensitifs - de la substance -élali- 92
nne de ce champ ; les fibres émanées de l'acoustique et le noyau du
nerf
vague dans le champ externe du bulbe forment le
i touche par un point du facial et a l'acoustique gauches; ces deux
nerfs
sont cependant absolument indemnes, même micros
par compression. P. 11ERAVAL. XXV. L'irritabilité ÉLECTRIQUE des
NERFS
ET DES muscles DES NOUVEAU-NÉS ; par C. WESTPHA
u'il s'agisse du reste du facial, et des muscles de la face, ou des
nerfs
spinaux et des muscles des extrémités. Des cour
dite spontanée, de la substance nerveuse, aux points terminaux des
nerfs
sensoriels, par des agents psy- chiques, chimiq
ent dérivent de l'irritation même de la terminaison périphérique du
nerf
sensoriel. Ainsi, en ce qui concerne la vue, un
vasculaire, processus nutritifs au sein de la substance nerveuse du
nerf
optique), modelés, perçus, construits par la su
de para- lysie et d'atrophie des muscles des mains innervés par les
nerfs
cuúi- tal et médian. Cette atfection a débuté i
part à toutes les épreuves. La question, écrite au sort, a été : «
Nerf
cubital. » Les autres question* restées dans l'
es question* restées dans l'urne étaient : « Dure-mère crânienne et
nerf
pneumogastrique. Pour la question orale elle a
blablement à une altéra- tion organique, à une véritable névrite du
nerf
sciatique. C'est à notre maître, M. Landouzy, q
. Landouzy, M. Bianchi ' 1 avait rapporté des cas de compression du
nerf
scia- tique dans le bassin à la suite d'accouch
duite une' paralysie- avec amyotrophie localisée dans le domaine du
nerf
sciatique poplité externe. La névralgie sciatiq
'accouchement laborieux. Th. Paris, 1876. 4 Dorion. - Paralysies du
nerf
sciatique poplité externe a'origine pel- vienne
nérescence dans les gastrocnémiens, c'est-à-dire dans le domaine du
nerf
tibial, et rien de semblable ne se remarquait p
ée à une branche seulement du sciatique. Mais cette localisation au
nerf
tibial postérieur nous paraît, si nous en jugeo
rne, et contourné la tête du péroné, se divise en deux branches, le
nerf
musculo-cutané et le tibial antérieur. Le premi
sés au membre du côté gauche, pour se limiter en définitive au seul
nerf
sciatique .poplité externe. Les muscles qui son
sur le tronc tout entier du scia- tique. La névralgie totale de ce
nerf
n'a duré que peu de temps, il est vrai, et bien
il est vrai, et bientôt la douleur a occupé seulement le domaine du
nerf
sciatique poplité ex- ' terne. Puis une paralys
ent relatés. Nous voyons en effet que ce n'est pas la totalité du
nerf
sciatique poplité externe qui a été envahie par l
poplité externe qui a été envahie par la lésion, mais seulement le
nerf
tibial antérieur. L'inté- \ . ' grité du nerf
, mais seulement le nerf tibial antérieur. L'inté- \ . ' grité du
nerf
musculo-cutané, qui fournit aux péro- niers est
nous assistons à la localisation graduelle des troubles morbides au
nerf
sciatique poplité externe. A ce point de vue ce
ux d'une lésion non seulement du sciatique, mais encore de tous les
nerfs
du membre inférieur. Puis le tronc et les premi
de la sensibilité bien nettement localisés au domaine cutané de ce
nerf
. Elle ne peut trouver place ici et si nous y fa
chement naturel et facile; phlegmon du ligament large; paralysie du
nerf
sciatique poplité externe (DORION. Des paralysi
alysie du nerf sciatique poplité externe (DORION. Des paralysies du
nerf
sciatique poplité externe d'origine pelvienne.
tive à un traumatisme quelconque subi par les branches d'origine du
nerf
dans le petit bassin, se compliquer d'accidents
e, atrophie musculaire, localisés exclusivement dans le domaine du
nerf
sciatique poplité externe. Quelle inlel prétati
l'accouchement « sont localisées dans la sphère de distribution du
nerf
scia- tique poplité externe, » admet que cette
c lombo- ' sacré. I ! a constaté en séparant par la dissection le
nerf
sciatique en deux parties que les fibres du nerf
r la dissection le nerf sciatique en deux parties que les fibres du
nerf
sciatique poplité externe se continuent directe
e se continuent directement avec celles du tronc lombo-sacré. Or ce
nerf
est situé dans le bassin le long de la crête sa
mant les muscles exten- seurs, de même chez les malades porteurs de
nerfs
sciatiques déjà en souffrance, la névrite attei
es muscles extenseurs de la jambe, et anesthésie dans le domaine du
nerf
sciatique poplité externe. Le nommé Cham...,âgé
re le malade de dormir, mais elles siégeaient sur tout le trajet du
nerf
que le malade dessine presque exactement sur so
et aux phéno- mènes douloureux, généralisés sur tout le trajet du
nerf
, font place des troubles paralytiques localisés a
nerf, font place des troubles paralytiques localisés au domaine du
nerf
tibial antérieur seul en ce qui con- cerne la p
ins on ne peut incriminer aucune lésion des bran- ches d'origine du
nerf
dans le bassin. C'est un point important à conn
c troubles de la1noti- lité et de la sensibilité dans le domaine du
nerf
sciatique poplité externe. La nommée François
a débuté il y a dix-huit mois par des douleurs suivant le trajet du
nerf
, accompa- gnées de sensation d'engourdissement
Mais auparavant, rappelons en quelques mots la distribu- tion des
nerfs
cutanés de la jambe, qui est loind'êtresimple.
'à la face antérieure, le scia- tique poplité externe fournit des
nerfs
cutanés à la plus grande partie de la jambe et
s du pied, moins une bande étroite au Fig. 15. - Distribution des
nerfs
cutanés de la face an- térieure de la jambe (d'
tanés de la face an- térieure de la jambe (d'après Fower). a. -
Nerf
crural (nerf saphène interne). - b branches du
ace an- térieure de la jambe (d'après Fower). a. - Nerf crural (
nerf
saphène interne). - b branches du sciatique p
saphène interne). - b branches du sciatique poplite externe; - c.
Nerf
musculo- cutané (branche du sciatique po- pli
ne et son accessoire ((branches des deux sciatique poplilés) - e.
Nerf
tibial antérieur (branche du poplité externe).
OGIE NERVEUSE. côté interne, reçoivent leurs filets cutanés soit du
nerf
poplité externe lui-même, soit de ses branches,
utanés soit du nerf poplité externe lui-même, soit de ses branches,
nerf
musculo-cutané, accessoire du saphène externe,
ui reste de cette face antérieure est in- nervé par des branches du
nerf
saphène interne, venu du nerf crural. A la
e est in- nervé par des branches du nerf saphène interne, venu du
nerf
crural. A la face postérieure un grand nomb
, venu du nerf crural. A la face postérieure un grand nombre de
nerfs
se distribuent à la peau. Parmi eux le sciatiqu
au bord externe du pied. Le reste est innervé par des branches du
nerf
crural, par le petit sciatique et par le tibi
localisation moins étroite. Il semble Fig. 6. - Distribution des
nerfs
cutanés de la face pos- térieure de la jambe (d
utanés de la face pos- térieure de la jambe (d'après Fower). a.
Nerf
petit sciatique. - b. Branche cutanée péromère
- b. Branche cutanée péromère (branche du prophté externe). - c.
Nerf
musculo-cutané interne (branche du crural). -
erne). - c. Nerf musculo-cutané interne (branche du crural). - d.
Nerf
saphène interne (branche du crural). - e. Nerf
e du crural). - d. Nerf saphène interne (branche du crural). - e.
Nerf
sa- phène externe et son accessoire (branche
et son accessoire (branche des deux sciatiques popli- tés). - f.
Nerf
tibial postérieur (branche du poplité interne).
M. le Dr Vi- gouroux. En voici les résultats : in 24 avril 1890.
Nerf
sciatique poplité externe inexcitable; - muscle
ibilité, localisées à peu près exactement au territoire sensitif du
nerf
sciatique poplité externe. D'un autre côté, une
res. - Mère violente, colère, nerveuse, n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. Le frère de son grand-père (côté paternel) a d
rédité, s'est-elle affirmée avant ou après le début de la lésion du
nerf
? C'est ce que nous ne pouvons affirmer. Il est
ant en une névrite localisée à une seule branche de division de ce'
nerf
, le sciatique po- plité externe, et caractérisé
s la sciatique par lésion traumatique des branches d'ori- gine du
nerf
dans le bassin, où on la connaissait déjà; 3°
sation spéciale donnait lieu à une forme , Leude ! . - Troubles des
nerfs
périphériques il la suite de l'asplty.1Jip. par
é du corps pu à un segment de membre, ou répondant au trajet d'un
nerf
. Bourru ' a signalé une névralgie sciatique trè
n a signalé aussi une douleur plus ou moins vive sur le trajet d'un
nerf
paralysé, mais le fait est rare. Des sensations
is par Remak qui a montré sa fré- quence dans les inflammations des
nerfs
périphériques. Dans l'intoxication par l'oxyde
eu de phénomènes pyo- hémiques ; tantôt elles suivront le trajet du
nerf
para- lysé et intéresseront seulement la peau.
égie, troubles des sphincters, paralysie des membres supérieurs, du
nerf
facial, et mort avec des signes de paralysie la
cci- dents paralytiques. Dans deux autopsies, les altérations des
nerfs
ont été cherchées et il a été possible de les c
la jambe droite; les résultats de l'autopsie furent les suivants :
nerf
scia- tique droit au niveau du petit trochanter
mplis de boules de graisse. On a encore signalé ces altérations des
nerfs
dans deux ou trois cas où il y eût des eschares
fois, Klebs a observé des lésions des muscles à côté de celles des
nerfs
chez un individu qui succomba avec des lésions
après avoir été paralysé du bras et de la jambe droite. Dans les
nerfs
, au niveau des parties escharinées, disparition
i l'auteur a-t-il tendance à faire jouer aux muscles, plutôt qu'aux
nerfs
le principal rôle dans la production de la para
don). Mais, comme dans tous les cas où l'examen a été pratiqué, les
nerfs
ont été trou- vés malades, il semble plus natur
e deux mois dans le marasme. A l'autopsie, intégrité complète des
nerfs
, pas trace de névrite, mais dans la substance b
n pouvaient être dues à des névrites : c'est par l'inflammation des
nerfs
périphériques qu'il ex- pliquait les troubles d
autant plus que dans un cas l'autopsie a montré une altération du
nerf
. Alberti est de cette opinion, qui est aussi défe
périphériques. C'est d'abord leur limitation fréquente, soit à un'
nerf
tout entier, soit à un groupe de muscles ayant
nce de troubles trophiques variés, plaques rouges sur le trajet des
nerfs
, zona, bulles de pem- phigus, vésicules d'herpè
ait une paralysie des extenseurs de la jambe, de l'avant-bras et du
nerf
facial du même côté, il montre que cette locali
ce symptôme est inconnu, mais d'une pa- ralysie par altération des
nerfs
. Même, il se demande si, pour expliquer cette d
évrite centrale qui porterait sur les origines intra-craniennes des
nerfs
.. On a également tenté d'expliquer ces paralysi
utes. Bilroth admet 2 qu'un choc local intense peut amener dans les
nerfs
une vibration assez énergique pour anéantir leu
ubles de la sensibilité ne peuvent être attribués à une lésion d'un
nerf
; nous n'in- sisterons pas sur ce diagnostic dif
: répartition de l'anesthésie sans rapport avec-la distribution des
nerfs
, limi- tation des territoires anesthésies par d
s isolées des doigts, sans qu'on puisse désigner le territoire d'un
nerf
. Intégrité à peu près complète de la sensibilit
ne au cours du sommeil - tantôt on devrait accuser l'excitation des
nerfs
sensitifs périphériques par des actions thermiq
et ses centres vasomoteurs, et, parsuite, troublant la fonction du
nerf
, rien que sa fonction dans un ordre spécial enf
écial enfin il existe des cas en faveur d'une altération réelle des
nerfs
sensitifs par une cause extérieure. Traitement
(Centralbl. f. Nervenh., 1886.) I. Paralysie périphérique isolée du
nerf
sus-scapulaire gauche. - Le muscle sous-épineux
s-épineux ne répond plus à l'excitation électrique, non plus que le
nerf
en question. Atrophie correspondante. Patho- gé
faite dis- cussion. P. K. XXXIX. Paralysie périphérique ISOLÉE DU
NERF
SUS-SCAPULAIRE gauche; par J. HOFFMANN (Neurol.
(ascendant du médecin). P. K. XLIII. DE la parésie bilatérale du
NERF
pathétique; par E. REMAK. (Neurol. Centralbl.,
symptômes d'excita- tion et de symptômes de paralysie prouve que ce
nerf
contient et des fibres vasoconstrictives et des
tion correspondante sous une même influence irritative, car le même
nerf
ne saurait être en même temps excité et paralys
urs. Atrophie simultanée du bras du même côté dans le territoire du
nerf
radial : l'état n'a pas changé depuis la derniè
non seulement par l'ocu- lomoteur commun, mais par le trijumeau (le
nerf
mylobyoïdien fournit au ventre antérieur du dig
ie incomplète, inutilisable. P. Keraval. LXVIII. DE la paralysie du
NERF
péronier; par M. BERNHARDT, (Centralbl. f. Nerv
, grave, unilatérale des muscles innervés parla branche profonde du
nerf
(jambier antérieur, long extenseur du petit doi
ique en plaçant l'anode directement au niveau du lieu d'élection du
nerf
: les dif- fusions moléculaires du médicament e
dela vessie. P,IÜJtAVAL. XXXV. LES altérations histologiques DES
NERFS
périphériques, DES GANGLIONS SPINAUX, ET DE LA
nt chez quelques- uns d'entre eux les deux racines postérieures des
nerfs
lombaires du côté sain afin de pouvoir comparer
et dans les cas de désarticulation de la hanche. En pareil cas les
nerfs
sensitifs sont seuls altérés dansles nerfs périph
anche. En pareil cas les nerfs sensitifs sont seuls altérés dansles
nerfs
périphériques au-dessous des ganglions spinaux,
lution du corps calleux en faisceaux radiés, l'absence complète des
nerfs
de Lancisi. L'arrêt de développement se serait
ion, sont colorées comme dans le numéro I. Procédé parfait pour les
nerfs
périphériques et la moelle (Krauss). B. Procé
lorer (Upson), convient pour saisir les vais- seaux, les noyaux des
nerfs
et les fibres nerveuses (Krauss). Les coloratio
vue. S'est plainte autrefois de la boule, aurait eu des attaques de
nerfs
. Du Archives, t. XX. 18 274 sociétés savantes
caractéristiques.. Antécédents héréditaires chargés, une attaque de
nerfs
antérieurs : début de la maladie pendant un all
mmence où finit à l'appareil excitateur représenté par une paire de
nerfs
rachidiens. Pour chacun des nerfs (sensitif ou
eur représenté par une paire de nerfs rachidiens. Pour chacun des
nerfs
(sensitif ou moteur) considéré isolément, on n'
Cette conception admise - au moins dans ses grandes lignes pour les
nerfs
tributaires des seg- ments de moelle, il n'y a
ments de moelle, il n'y a aucune raison de ne pas l'appliquer aux
nerfs
tributaires des segments de la moelle dans la c
cavité crânienne. Je pense pouvoir en démontrer l'application à un
nerf
crânien, qui jusqu'à ce jour a été placé en que
rmi ses semblables ; en faisant rentrer dans la loi commune le seul
nerf
, l'olfactif, qui jusqu'à présent avait été auto
compris l'arc direct, et duquel partent les origines apparentes des
nerfs
olfac- tifs ; 2° de celle du centre cortical pr
eur; 2° une branche qui se bifurque pour fournir 11'T : l'origine des
nerfs
de Lnncisi et L. y. les nerfs de la Lyre. Le pr
que pour fournir 11'T : l'origine des nerfs de Lnncisi et L. y. les
nerfs
de la Lyre. Le prolongement supérieur du corps go
le du corps calleux reçoit aussi en L la partie antérieure ou fin des
nerfs
de Laucisi, N. L. La lame réticulee, dans sa pa
le de l'arc direct C. b. et les rapports qu'il paraît avoir avec le
nerf
olfactif et son lobe. Lobes olfactifs. Avant d'
d'aborder mon sujet, je veux dire quelques mots des renflements des
nerfs
olfactifs, bien que la partie périphérique de l
lobe cérébral, car elle a été également une vésicule cérébrale, le
nerf
optique a été creusé d'une cavité et a contenu
séparation tranchée entre les deux émana- tions ou irradiations des
nerfs
optiques et olfactifs ? Je ne le crois pas; je
Ces tractus sont, pour la plupart, la continuation des fibres des
nerfs
olfactifs ; quelques-uns émanent du noyau de So
la partie moyenne de sa convexité, c'est-à-dire en avant, avec les
nerfs
olfac- tifs et leur racine grise; par ses deux
olfactifs sur son bord antérieur. Tous les faisceaux provenant des
nerfs
olfactif vont donc aboutir à la bande diagonale
te la substance grise de l'espace quadrilatère. En définitive, le
nerf
olfactif, au niveau de l'espace perforé antérie
é antérieur, a des origines étalées comme celles de tous les autres
nerfs
rachidiens sensitifs au niveau de la zone radic
x ; 2° l'amas de substance grise, qui constitue la racine grise des^
nerfs
de l'olfaction ou aura le champ ou carrefour ol
gestes, ils paraissaient ressentir les im- pressions faites sur les
nerfs
de sensation commune. Quant aux sens spéciaux d
le mésencéphale en un amas de centres individuels, chacun avec ses
nerfs
afférents et efférents coordonnant des mou- vem
entres individuels s'unissent en un tout complexe, actionné par les
nerfs
des sens spéciaux et subordonné aux centres nerve
fibres médullaires cepen- dant perdent leur excitabilité, comme les
nerfs
séparés des cônes antérieures de la moelle, au
l les lois de l'excitabilité galvanique sont les mêmes que pour les
nerfs
. - Une autre différence entre la réaction de l'
essaire à la transmission de l'impulsion à travers la moelle et les
nerf
moteurs, est pour l'écorce de 45 secondes. Aprè
calisation DE l'ophtalmoplégie EXTERNE, par P .-J. MoeBlUs, (Centr.
nerf
., 1886.) On accepte généralement que la paralys
ter irien et du muscle ciliaire indique que les noyaux centraux des
nerfs
en question sont lésés. S'il est vrai qu'une alté
les de l'oculo-moteur commun qui se rendent à l'intérieur du globe (
nerfs
ciliaires) ont échappé à l'altération qui a frapp
es branches ciliaires en effet côtoient pendant un certain temps le
nerf
optique et ne pénètrent pas dans les muscles. V
ais immobiles quand on éclaire seulement l'oeil malade (atrophie du
nerf
optique après embolie par exemple), les deux' p
l'excitation de la corde du tympan, et, en effet, la section de ce
nerf
annihile du même côté les effets de l'excitation
TOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 433 Lll. Des extirpations du
NERF
vague; par DEES. (Neurol. Centralbl., 1888). '
des tubercules quadrijumeaux. La lésion concomitante de la tige du
nerf
optique peut entraîner une dyschromatopsie auss
pourquoi les modifications matérielles au niveau de l'insertion du
nerf
optique, ne se manifestent que lorsque les exci
de l'al- bumie (sic); une affection cardiaque pour une eau sur les
nerfs
; une épilepsie pour une affection de la lurette
de-par Bruns, 251. Electrique, irritabilité des mus- cles et des
nerfs
des nouveau-nés, par \Vesphal, 95; - résistance
nouveau-nés, par Beclite- reu, 431. Nécrologie, 142, 453, 157.
Nerfs
, origine du trajet du - ac- cessoire de Willis,
nsolites de saturnine, par I\loebius, 248, par Krauss, 266. (Voir
nerfs
.) Paralysie loÉ11ÉILILE, état des fibres a my
jusqu'à douze ans et de plus a, depuis son enfance, des attaques de
nerfs
tous les mois. A d'autres points de vue, on ren
rait porté en même temps sur celle partie limitée du cerveau, sur les
nerfs
moteurs de l'oeil et sur certaines parties de l
ion organique de l'encéphale. Charcot (Leçons sur les mal. du syst.
nerf
. T. III, p. 62). Nous retrouvons, en note, aprè
n mois. Envoyée plus tard à l'école, elle y aurait eu des crises de
nerfs
( ? ) Début. Au mois de mai 1891, elle a eu des
e, soit de lésions organiques des centres nerveux ou de lésions des
nerfs
périphériques. En ce qui concerne les contractu
si l'on met à part les contractures dites réflexes par lésions des
nerfs
: traumatis- mes, affections articulaires qui s
on à la distribution anatomique de l'anesthésie due aux lésions des
nerfs
. - Enfin, il est rare clans les mo- noplégies h
de longs commentaires et nos (1) CIIARcor, Clin, des mal. du syst.
nerf
. Guinon, 1892, p. 28e'l. (2) Bourneville et VOU
l'a décrit pour la première fois en 1865, une paralysie alterne du
nerf
moteur ocu- laire commun d'un côté et des membr
veau le trajet est direct pour les libres nerveuses du facial ou du
nerf
oculo-moteur commun. Il est beaucoup plus diffi
d'expliquer dans le syndrome de Weber les paralysies partielles du
nerf
de la 3e paire et, par exemple, le ptosis par p
Charcot, in op. cit., p. 329). (1) Charcot, Clin. des mal. du syst.
nerf
. G. Guinon, t. 1, p 308. (2) G. Tournant, thèse
es de l'encéphale que prennent leur origine apparente ou réelle les
nerfs
optiques et les nerfs moteurs de l'oeil (3°, 4e e
prennent leur origine apparente ou réelle les nerfs optiques et les
nerfs
moteurs de l'oeil (3°, 4e et 6e paires crâ- nie
t en droit de supposer une lésion intra-crânienne qui intéresse les
nerfs
optiques ou les nerfs moteurs de l'oeil dans un
une lésion intra-crânienne qui intéresse les nerfs optiques ou les
nerfs
moteurs de l'oeil dans une partie quelconque de
its cliniques et de l'embryologie, a permis de suivre le trajet des
nerfs
optiques, de station en station, à travers les ce
'on admet, comme on tend il le faire, la décussation incomplète des
nerfs
optiques, il est logique d'invoquer une lésion
ète des nerfs optiques, il est logique d'invoquer une lésion de ces
nerfs
entre le chiasma et les trous optiques avant de
la rétine. Ann. d'ocul., 1886. LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE DES
NERFS
VASO-MOTEURS ET DU NERF PNEUMO-GASTRIQUE (1). L
des vaisseaux de la pie-mère cervicale parce que les vaisseaux des
nerfs
qui constituent le plexus brachial proviennent
n- tative un effet évident d'autant plus que la vascularisation des
nerfs
des extrémités se fait par des vaisseaux qui so
'influence sur LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE 5t les vaisseaux des
nerfs
des membres pelviens et reste sans effets dans la
de l'aorte est indiqué dans la première période de la coxalgie, les
nerfs
vaso-moteurs de l'articulation coxo-fémorale qui
thique n'étant nulle part accessibles pour le courant induit et les
nerfs
vaso-moteurs des artères ilia- ques primitives
éré par la faradisation du pneumogastrique. Je pose pour exciter ce
nerf
un rhéo- phore au-dessus de l'articulation ster
d'exciter pendant la faradisation de la région supérieure du cou, les
nerfs
accessoires de Willis et le facial tandis que p
se diriger par les sensations du malade. On excite quelquefois des
nerfs
sensitifs sous cutanés; entre autres des nefs r
laviculaires l'une après l'autre. Il faut en géné- ral faradiser un
nerf
vaso-moteur pendant 3, 5, 10 minutes. Je juge de
ôpital Necker. Clinique chirurgicale (t) ÉLONGATION ET RÉSECTION DU
NERF
MÉDIAN POUR DEUX CAS DE NÉVRITE TRAUMATIQUE V
Vous m'avez vu, Messieurs, pratiquer tout récemment l'élongation du
nerf
médian chez un homme atteint de névrite traumatiq
n du nerf médian chez un homme atteint de névrite traumatique de ce
nerf
. Quatre jours après cette opération, un second
ationnelle, les troubles tropliiques développés dans le territoire du
nerf
lésé. ' Je veux d'abord vous rappeler l'histo
ntérieure de l'avant-bras gauche, en pleine région des vaisseaux et
nerf
cubitaux. En outre, on constatait chez lui une
d'ulcérations qui dénotent des troubles trophiques dans la sphère du
nerf
médian. En effet, on constate d'abord un épaiss
r pas de rétrécissement du champ visuel. ÉLONGATION ET RÉSECTION DU
NERF
MÉDIAN / 67 Le malade se présentait donc avec l
ues dans le territoire du médian. Il était donc bien évident que ce
nerf
avait dû être lésé. Mais la plaie causée par l'
ausée par l'éclat de verre siégeait dans la région des vaisseaux et
nerfs
cubitaux, notablement en dedans du trajet du mé
gment de verre avait par cette voie, pénétré obliquement jus- qu'au
nerf
médian. La lésion du médian par ce mécanisme étai
mécanisme était en somme possible, et dès lors probable, quoique ce
nerf
n'ait pas paru touché lors de la suture de la p
e la plus vraisemblable, je me décidai il aller à la recher- che du
nerf
médian, et dans ce but, le 3 juin 1892, je pratiq
de l'avant-bras, une incision longitudinale répondant au trajet du
nerf
en question. Le nerf médian était normal en ce
ncision longitudinale répondant au trajet du nerf en question. Le
nerf
médian était normal en ce point et il était clair
trophiques étaient manifestes : il y avait donc lésion certaine du
nerf
en un point quelconque. Or deux traumatismes av
e lésion du médian au niveau de la première, j'allai mettre à nu le
nerf
médian à la face antérieure du poignet. J. Là n
la face antérieure du poignet. J. Là nous trouvâmes la lésion : le
nerf
nous apparut épaissi, d'aspect terne et mat, ay
la chute, il y avait eu en même temps que l'entorse, une lésion du
nerf
médian soit par tiraillement soit par contusion o
éplacée peut comprimer, contusionner, tirailler, en un mot léser un
nerf
et que le résultat d'un tel traumatisme est sou
as de con- Itisioii, violente ou chronique, on conçoit encore qu'un
nerf
puisse être lésé. Mais dans l'entorse, la relat
elles lé- 68 NOUVELLE ICONOGRAPIIIE DE LA SALPÊTRIÈRE. sions des
nerfs
est moins facile à saisir. Le fait est certaineme
est le premier que j'aie ja- mais observé. Lorsque j'ai trouvé le
nerf
avec celte couleur blanc mat, évidemment malade
? Il me sembla que la résection devait être réservée aux cas où le
nerf
présentait soit un renflement cicatriciel (preu
pas là le cas, el, l'élongation me semblant indiquée, je soulevai le
nerf
sur une sonde cannelée, jusqu'à 3 ou 4 centimèt
fait qu'il y a des troubles de nutrition indique que la section du
nerf
a dû être plutôt partielle que totale. NOUVEL
IAN LTq. ATTAILLE LT ..Cie i'ditkurs ÉLONGATION ET RÉSECTION DU
NERF
MÉDIAN 69 A l'examen purement objectif, ce jeun
, et cela dans le territoire innervé par les branches terminales du
nerf
médian. Le mé- dian est donc lésé, et a probabl
avec troubles trophiques. Voici donc deux malades chez lesquels le
nerf
médian a été lésé, et qui, outre l'anesthésie e
'existence de la névrite consécutive aux sections in- complètes des
nerfs
est bien démontrée par l'observation clinique et
te survient presque toujours dans les cas de plaies incomplètes des
nerfs
. Les symptômes de ces névrites traumatiques son
ont les suivants : n On constate généralement dans le territoire du
nerf
lésé une élévation I de la température locale.
sieurs, d'établir un rapprochement entre ÉLONGATION ET RÉSECTION DU
NERF
MÉDIAN 71 ces troubles trophiques par blessure
ÉSECTION DU NERF MÉDIAN 71 ces troubles trophiques par blessure des
nerfs
et le mal perforant classi- que : chez notre pr
re part des névrites périphériques causées par des traumatismes des
nerfs
: certes, dans le cas de nos deux malades, l'hé
de Morvan, la syringomyélie et la lèpre. ÉLONGATION ET RÉSECTION DU
NERF
MÉDIAN 73 tels ces malades qui, ayant longtemps
ns ulcératives la contusion chronique par compression prolongée des
nerfs
dans l'aisselle. D'autres fois, c'est une contu
sselle. D'autres fois, c'est une contusion violente qui a frappé un
nerf
: la dou- leur a disparu, le malade a pu oublie
dou- leur a disparu, le malade a pu oublier le traumatisme, mais le
nerf
a été lésé et une névrite se déclare peu à peu,
s que nous possédons sur la physiologie normale et pathologique des
nerfs
, nous pouvons intervenir sans aucun risque, et mê
tion : le pre- mier, le plus simple, convient aux cas simples où le
nerf
est peu malade, où il n'a pas subi de section m
cicatrice paraît adhérente; il nous faudra évidemment disséquer le
nerf
au milieu d'une gangue fibreuse cicatricielle.
breuse cicatricielle. Si la dissection est possible et si l'état du
nerf
le comporte, je 74 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA
opérer un malade, atteint de troubles trophiques dans la sphère du
nerf
médian, à la suite d'une plaie de l'avant-bras
çoit alors le médian, qui présente les modifications suivantes : le
nerf
présente une portion amincie, transparente, entre
scence. Une bride de tissu cicatriciel rattache la partie malade du
nerf
aux cou- ches profondes. Evidemment on se trouv
tiquée, et, sur une largeur de 2 à 3 centimètres, les deux bouts du
nerf
ainsi avivé sont mobilisés et soumis à une légère
t mobilisés et soumis à une légère trac- ÉLONGATION ET RÉSECTION DU
NERF
MÉDIAN 75 tion qui constitue même un certain de
ste, je vous le rappelle, à passer d'abord dans chaque extrémité du
nerf
, un fil qui le traverse suivant son diamètre; ce
surface de section ; on le serre jus- qu'à ce que les deux bouts du
nerf
viennent au contact, et on le noue sur le côté.
(sutures d'affrontement) sont passés en des points superficiels du
nerf
, et au nombre de trois ou quatre. Ces fils d'affr
us est complète : on enlève l'appa- Fig. 2. - Procédé de suture des
nerfs
. 76 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE.
ites en un point de moindre ré- sistance. L'examen du fragment de
nerf
réséqué chez ce second malade a été exa- miné a
section, on constatait que le bout péri- ÉLONGATION ET RÉSECTION DU
NERF
MÉDIAN 77 phérique ne prenait pas la coloration
bout central. Ce fait, à lui seul, établissait la dégénérescence du
nerf
au- dessous du traumatisme. L'examen histolog
gues à ceux qui se passent au niveau de l'extrémité sectionnée d'un
nerf
dans un moignon d'amputé. A. LE DENTU, Prof
sont en rapport avec les lésions organiques et intra-crâniennes des
nerfs
ou des centres moteurs de l'oeil, on peut commenc
ra- lysie musculaire d'origine périphérique (branches terminales du
nerf
, tronc nerveux basilaire et racines pédonculair
uvre incomplètement l'oeil gauche. Ce même jour, elle a des crises de
nerfs
plus fortes que d'habitude. Cette forme de pt
'une façon positive l'examen bactériologique d'un petit fragment de
nerf
excisé sur son avant-bras. Les faits de ce ge
sang et du pus. Découverte du bacille de Hansen dans un fragment du
nerf
excisé sous la peau de F avant-bas. B..... (F
ns sont saillants; les artères ne sont pas athéromateuses. Les deux
nerfs
cubitaux paraissent un peu plus volumi- neux qu
sur les cuisses quel- ques lésions de grattage. On ne sent pas les
nerfs
poplités ; les nerfs scia- tiques sont sensible
- ques lésions de grattage. On ne sent pas les nerfs poplités ; les
nerfs
scia- tiques sont sensibles à la pression. Auto
les se contractent énergiquement au faradique. Sur leur trajet, les
nerfs
restent très excitables. Le médius et le radial d
ns sensitives très remarquables, l'absence de nodosités le long des
nerfs
cubitaux, l'absence de tubercules sous-cutanés, d
r en faire des examens microscopiques, une branche superficielle du
nerf
musculo-cutané, au tiers moyen de l'avant- bras
six centimètres, Le bistouri est dirigé parallèlement à un filet du
nerf
musculo-cutané que l'on sent sous la peau. Celu
i bien dans ces points que dans les autres parties constitutives du
nerf
. Le tissu conjonctif interfasciculaire est très
irâtres, arrondis ou ovalaires, dépourvus de lumière centrale. Ce
nerf
a donc subi un double processus de névrite inters
nos examens qu'il s'agit, dans ce cas, d'une névrite lépreuse. Ce
nerf
appartenait donc à un lépreux; MM. Roux et Vailla
de l'anal- gésie avec thermo-aneslhésie aux bras et aux jambes. Les
nerfs
cubitaux étaient tuméfiés, indurés et sillonnés
ité sur les membres supé- rieurs, le tronc, le crâne et la face. Le
nerf
cubital très hypertrophié était un peu noueux.
Charcot fils. Dissociation de la sensibilité dans les traumat. des
nerfs
. Soc. de biol. séance du 10 déc. 1892. (9) Joff
ses ne serait donc pas rare dans cette affection. La plupart des
nerfs
crâniens peuvent d'ailleurs être troublés dans le
généralisé dans la moelle épinière envahit les noyaux d'origine des
nerfs
crâniens et surtout des pneumogastriques. Si do
agnostic différentiel des deux affec- tions. 5 L'hypertrophie des
nerfs
cubitaux est un symptôme que tous les auteurs q
eurs qui se sont occupés de la lèpre considèrent comme capital. Ces
nerfs
étaient augmentés de volume et noueux chez les ma
e se différenciaient en rien comme calibre et comme consistance des
nerfs
cu- bitaux d'un syringomyélique vrai dont un fi
de vue bacillaire s'est montré dépourvu de bacilles. Ainsi donc les
nerfs
cubitaux peuvent, dans des cas de lèpre nerveuse
x hypertrichoses plus fréquentes que l'on observe sur le trajet des
nerfs
blessés. Dans tous ces cas le principal carac-
ence gît dans l'affaiblissement total des mus- cles innervés par le
nerf
inférieur de la face. Dans la plupart des cas, to
ndaire. Mimique : Léger affaiblissement des muscles innervés par le
nerf
infé- rieur de la face, parésie des muscles élé
188 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. partie inférieure du
nerf
facial constituent les indices les plus pathogno-
nce paralytique et non dans les autres formes de la démence, que le
nerf
hypoglosse est attaqué, en sorte que les parési
la malade ouvre la bouche ; pas d'autre anomalie dans la sphère des
nerfs
crâniens. La vessie est prise; la malade est in
espace inter- pédonculaire et jusqu'au niveau du chiasma : les deux
nerfs
oculo-moteurs sont englobés dans cet épaississe
ges, sans enlever le tissu nerveux sous-jacent. Les origines des
nerfs
crâniens, à partir de la 6° paire sont recouverte
, n'intéressant pas les noyaux sous-jacents. Les noyaux d'origine des
nerfs
lnllho-protubéranticls ne présentent pas de mod
rrrondi. 212 ) NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Coupes du
nerf
optique droit Il sa sortie du chiasma (fig. 2ï).
endroits principalement il existe une tuméfaction de l'enveloppe du
nerf
, formée d'un amas de petites cellules rondes à
tites cellules rondes à gros noyau. Toute la région périphérique du
nerf
est dégénérée ; un grand nombre de fibres nerve
s légèrement, le tissu nerveux lui-même est nor- mal. Les coupes du
nerf
oculo-moteur droit ont montré des lésions exactem
eur droit ont montré des lésions exactement semblables il celles du
nerf
optique ; sauf que l'infiltration cellulaire est
ater l'importance des lésions : la Fig. 27. - Coupe transversale du
nerf
optique droit à sa sortie du chiasma. Épaississe-
la base du cerveau, au niveau de l'espace inter-pé- donculaire. Les
nerfs
de cette région, le chiasma, sont intimement adhé
laire, qui ne va pas sans intéresser plus ou moins profondément les
nerfs
crâniens au voisinage desquels elle se développ
ques au niveau de la base et du chiasma optique en particulier. Les
nerfs
crâniens sont recouverts d'un tissu de nouvelle
fois même état comateux passager ; ou bien c'est une paralysie d'un
nerf
crâ- nien et tout spécialement d'un des nerfs m
est une paralysie d'un nerf crâ- nien et tout spécialement d'un des
nerfs
moteurs de l'oeil. (1) Cette clinique a été pub
r. La sensibilité y est également normale. Rien dans le domaine des
nerfs
crâniens ; l'examen des yeux n'a montré au- cun
ase de la maladie, l'apparition d'une paralysie dans le domaine des
nerfs
crâniens, d'accidents du côté de la moelle épin
satisfaisante. Pas de convulsions dans l'enfance, jamais de crises de
nerfs
. Réglée il 13 ans, toujours bien. Une pneumonie
mais c'est surtout dans les creux sus-claviculaires, au niveau des
nerfs
du plexus brachial que l'on provoque de vives d
: on n'observe rien d'anormal du côté des membres supé- rieurs, des
nerfs
crâniens ou des fonctions cérébrales. Enfin l'aff
ne vertébrale. Aucune anomalie dans les yeux, ni dans la sphère des
nerfs
crâniens. Les troubles urinaires persistent (inco
membres supérieurs, cela ne fait pas de doute. Dans la sphère des
nerfs
crâniens, il n'existe pas d'autre anomalie que la
bilatérale. Donc, il faut admettre que l'excitation unilatérale du
nerf
optique produit une contracture bilatérale. Le
suivante. L'excitation produite par la lumière, parvient le long du
nerf
optique au tubercule antérieur du corps quadrij
tat ne peut être qu'une contracture bila- térale. Les réflexes du
nerf
optique nous donnent ainsi un moyen expérimental,
s de la rétine trouvent leur explication dans la sémidécussation du
nerf
optique, nous pouvons donc établir la réparti-
s ; et cela de la manière suivante. tv) Le faisceau non-croisé du
nerf
optique droit occupe par la plupart de ses file
ant les relations, des réflexes énumérés avec la semidécussation du
nerf
optique, nous avons renvoyé à l'analogie, qui r
er fait nous pouvons conclure, que les fibres dites surpassantes du
nerf
opti- que, vers leurs organes terminaux, ne son
ccompagnent (herpès Lerbialis pe- rio.sf,iLis cricris, troubles des
nerfs
de l'intestin) et qui suivent (phlegmon antibra
t leur développement dans les affections des centres nerveux et des
nerfs
(Charcot) où se trouvent les lésions qui déterm
enbavière, par A. Sou- ques, 56. Faradisation thérapeuthique des
nerfs
vaso- moteurs et du nerf pneumogastrique (sui
es, 56. Faradisation thérapeuthique des nerfs vaso- moteurs et du
nerf
pneumogastrique (suite et fin), par Katicheff,
non, 8. Névrite traumatique, deux casd'élongation et résection du
nerf
médian, par Le Dentu, 65. Ostéo-arthropathie
XXVIII à XLI. Troubles trophiques consécutifs à une bles- sure du
nerf
médian, VIII. TABLE DES FIGURES Champ visuel
2. Suspension, appareil du professeur Revil- liod. 3 Suture des
nerfs
, 2. Trépanation, notes iconographiques, 33, 34,
: anesthésies, hyperesthésies, paresthésies dans le territoire des
nerfs
du dos et du cou, sciatique. L'ankylose suit une
temps, pour en faire des coupes de démonstration, des fragments des
nerfs
du plexus brachial gauche et des fragments des mu
XX. PI. YI C. \mf brachial cutané interne. (l'al et Carmin). D.
Nerf
radial, coupe longitudinale. (Pal). F. Fragment
s considérables trouvées dans les troncs nerveux périphériques. II.
Nerfs
périphériques. - Examen des nerfs du plexus brach
troncs nerveux périphériques. II. Nerfs périphériques. - Examen des
nerfs
du plexus brachial gauche (nerfs cubital, média
Nerfs périphériques. - Examen des nerfs du plexus brachial gauche (
nerfs
cubital, médian, radial, circonflexe, musculo-cut
t le plus souvent des îlots périphériques. On remarque aussi que le
nerf
brachial cutané interne, nerf exclusivement sensi
riphériques. On remarque aussi que le nerf brachial cutané interne,
nerf
exclusivement sensitif, est proportion- nelleme
xclusivement sensitif, est proportion- nellement moins lésé que les
nerfs
mixtes ; il paraît presque normal sous un faibl
es transversales on trouve des lésions complexes (1) : a) Dans le
nerf
brachial cutané interne, on voit (fig. 1) : 1- de
A. Cramer que je tiens à remercier. xx 4 FIG, 1. - Fascicule du
nerf
brachial cutané interne. Pal et carmin. Oc. I,
brachial cutané interne. Pal et carmin. Oc. I, obj. 3. FIG. 2. -
Nerf
brachial cutané interne. Hématoxyline-éosine. O
subi une augmentation de volume notable (PI. VI, C). b) Dans les
nerfs
mixtes les faisceaux qui vus à un faible grossiss
x qui vus à un faible grossissement (PI. V, B) paraissent, comme le
nerf
brachial cutané interne, peu altérés mon- trent
grand nombre. c) Dans tout le reste de la coupe transversale des
nerfs
mixtes on trouve des lésions beaucoup plus avan
nerveux ce tissu conjonctif se condense soit pour former FiG. 3. -
Nerf
médian. Pal et carmin. Oc. 1, obj. 3. ATROPHIE
s variantes se retrouvent dans les coupes transversales de tous les
nerfs
mixtes du plexus brachial, mais elles sont irrégu
nsidérables (fig. 3 et 4). En résumé ces coupes transversales des
nerfs
mixtes montrent une raréfac- tion des fibres ne
nerveuses, tautôt rassemblées en fascicules presque aussi Fia. 4. -
Nerf
musculo-cutané. llématoxyline-éosine. Oc. III, ob
ématoxyline-éosine. Oc. III, obj. 8. 52 LONG compacts que sur des
nerfs
normaux, tantôt raréfiées et assez espacées pour
du radial. Pal et carmin. Oc. III, obj. 6. FIl" 6. - Une fibre du
nerf
médian. Pal et carmin. Oc. III, obj. 6. ATR
s les lésions de névrite interstitielle trouvées sur les coupes des
nerfs
périphériques nous ont engagé à revoir les raci
ciculaire y est plus abondant. Quand on examine FiG. 7. - Fibres du
nerf
radial. Anthracène et hématoxyline. Oc. III, obj.
rvées le tissu conjonctif forme une gaine annulaire, comme dans les
nerfs
périphériques mais avec un moindre volume. Il est
avec un moindre volume. Il est à noter que tout comme dans dans les
nerfs
périphériques le tissu conjonctif périfasciculair
et ceci vérifie les dissemblances trouvées à la périphérie entre le
nerf
brachial cutané interne, exclusivement sensitif,
tre le nerf brachial cutané interne, exclusivement sensitif, et les
nerfs
mixtes dans lesquels ce sont, selon toute vraisem
hasard a fait qu'on ait enlevé avec le fragment du muscle biceps un
nerf
d'assez gros calibre, probablement une branche
tané ; et ici on retrouve la même particula- rité que dans les gros
nerfs
du creux axillaire, c'est-à-dire des zones où les
s annulaires et volumineuses autour d'un grand nombre de fibres des
nerfs
mixtes. Ces diverses lésions sont plus marquées
des nerfs mixtes. Ces diverses lésions sont plus marquées dans les
nerfs
mixtes que dans les filets sensitifs. Elles dim
dans les filets sensitifs. Elles diminuent à la périphérie, dans les
nerfs
m ? Mxe«/<2'e, et au niveau des racines rach
du tissu conjonctif péri-fasciculaire ni des gaines lamelleuses des
nerfs
. Pas d'altérations de structure des vasa-nervor
omyélie, sclérose latérale amyotrophique). Seules les formes où les
nerfs
périphériques ou les racines rachidiennes sont pr
de faire la comparaison des lésions à différentes hauteurs sur- les
nerfs
sensitifs et sur les nerfs moteurs. Nous devons,
lésions à différentes hauteurs sur- les nerfs sensitifs et sur les
nerfs
moteurs. Nous devons, faute de mieux, ? constat
hénomènesit douloureux qui se sont manifestés à des altérations des
nerfs
périphériques\* sans savoir à partir de quelle
ieures de la moelle. En passant à l'examen détaillé des lésions des
nerfs
mixtes on voit qu'elles se présentent sous une
antage sur les lésions mus- culaires fait une brève description des
nerfs
. Ils semblent, dit-il, conte- nir moins de fibr
espaces vides très larges occupés par un tissu riche en noyaux. Les
nerfs
contiennent encore des fibres qui ont une grand
lles présentent par places de gros amas de myéline. A l'oeil nu les
nerfs
ne sont pas atrophiés ; quelques-uns, comme le
en histologique une intégrité certaine de la moelle épinière et des
nerfs
sympathiques. Les filets nerveux des muscles de l
trophie musculaire PROGRESSIVE DES membres SUPÉRIEURS 59 res et des
nerfs
périphériques, et dans les muscles des lésions fi
ieurs, lipomateuses aux membres inférieurs. Les mo- difications des
nerfs
périphériques consistent en une névrite interstit
admettre des dégénéres- cences primitives, soit des muscles et des
nerfs
soit des nerfs seuls. Il admettait entre autres
égénéres- cences primitives, soit des muscles et des nerfs soit des
nerfs
seuls. Il admettait entre autres l'existence d'
t rose qui est soit un noyau, soit un cylindre-axe. Les lésions des
nerfs
vont en s'ac- centuant vers la périphérie où le
nt familiale, la diminution du nombre des fibres nerveuses dans les
nerfs
périphériques est évidente, mais variable d'un
euses dans les nerfs périphériques est évidente, mais variable d'un
nerf
à l'autre. Il y a de la névrite interstitielle, m
tif intrafasciculaire est notablement moins altéré, les vaisseaux des
nerfs
sont normaux. Marinesco tente comme Hoffmann un
montré le peu de fondement de cette hypothèse : l'hypertrophie des
nerfs
quand elle existe est constatable même chez des
uvait dans une nouvelle observation clinique (2). Des lésions des
nerfs
périphériques (hyperplasie de la gaine lamelleuse
ie des cornes antérieures. des racines postérieures intactes et des
nerfs
périphériques dégénérés. Il considère la lésion
es et des nerfs périphériques dégénérés. Il considère la lésion des
nerfs
comme primitive. Nous n'avons cité ces divers t
avait des lésions des cor- dons postérieurs de la moelle ; dans les
nerfs
périphériques la raréfaction des fibres nerveus
rs) indique une intégrité évidente de la moelle épinière ; dans les
nerfs
périphériques, en même temps que la diminution
sur les racines rachidiennes antérieures et postérieures et sur les
nerfs
périphériques (augmentation du névrilème et du ti
es en anneaux ; dans le second la moelle est également intacte, les
nerfs
pé- riphériques sont altérés dans des proportio
ù cette lésion est décrite comme un phénomène accessoire ; dans les
nerfs
périphériques, à côté des lésions atrophiques des
sionomie particulière; à elle seule l'hypertrophie considérable des
nerfs
est une caractéristique et peut permettre d'en
t Mallet citent les différences qu'ils ont trouvées en comparant le
nerf
médian au sciatique ; dans le premier, la gaine
e tissu intrafasciculaire ne sont pas hypertrophiés et le volume du
nerf
est normal ; dans le sciatique, le tissu conjonct
MUSCULAIRE PROGRESSIVE DES MEMBRES SUPÉRIEURS 65 longitudinales des
nerfs
cette organisation si caractéristique des tissus
extérieur du sujet ? A quoi bon ? Tout pour l'organe : os, muscle,
nerf
, articulation. La peau, le pannicule graisseux
droit, fortement équin, porte sur le sol. Rien à noter du côté des
nerfs
crâniens. Le malade peut très bien se servir de
plantaire, abolition de l'excitabilité galvanique et faradique. des
nerfs
sciatique, poplité externe et interne et des musc
ues cas de paralysie spinale infantile, la paralysie des différents
nerfs
crâniens a pu être observée. Ce sont des cas, àvr
observer l'évolution ultérieure des paralysies de ce genre ! » Les
nerfs
le plus fréquemment pris sont la VII°, la XIIe et
e complètement et il ne reste que la paralysie d'un ou de plusieurs
nerfs
crâniens [Auerbach (3), Medin]. D'autre fois en
lui de poliomyélite constata de nombreux exemples de paralysies des
nerfs
crâniens. Elles s'associaient parfois à des phé
-rachidiens, ganglions des racines postérieures de la moelle et des
nerfs
sensoriels, se formant aux dépens de la crête de
ation de certains cas de neuro-fibromatose généra- lisée à tous les
nerfs
périphériques, aux ganglions rachidiens et à tout
ion totale du cerveau, de la moelle et des racines postérieures des
nerfs
(Simon et Hoche) (2). 4 Le fonctionnement défec
ontrent que l'hyperhémie provoquée par l'excitation de ces derniers
nerfs
amène une formation lymphatique plus abondante qu
'amputation, c'est-à-dire dans la région du coude des fragments des
nerfs
médian et cubital et une tranche comprenant la pe
iation au milieu du tissu adipeux (fig. C). ' 11. Ner/'médinu. - Ce
nerf
est notablement hypertrophié (fig. D), mais les
ments (gr. 2 1/2 d.) B. Epiderme et derme (gr. 14 d.) C. Muscle. D.
Nerf
médian (gr. 7 d.) - E. Nerf cubital (gr. 7 d.) -
groupes de faisceaux nerveux et augmenter ainsi le volume total du
nerf
. z La gaine externe ou périnèvre n'est pas spéc
asa nervorum ne sont pas modifiés ; leur calibre est normal. III.
Nerf
cubital. - Bien différent du nerf médian, ce nerf
s ; leur calibre est normal. III. Nerf cubital. - Bien différent du
nerf
médian, ce nerf n'est pas hyper- trophié (fig.
est normal. III. Nerf cubital. - Bien différent du nerf médian, ce
nerf
n'est pas hyper- trophié (fig. E). L'hyperplasi
s et de dimensions normales. La différence de structure de ces deux
nerfs
se voit encore mieux sur des coupes longitudina
e voit encore mieux sur des coupes longitudinales. Les faisceaux du
nerf
médian sont plus espacés que ceux du nerf cubit
dinales. Les faisceaux du nerf médian sont plus espacés que ceux du
nerf
cubital (fig. G. H). On peut résumer cet examen
arquer que cette anomalie de structure n'est pas égale partout ; le
nerf
médian est plus remanié que le nerf cubital ; les
re n'est pas égale partout ; le nerf médian est plus remanié que le
nerf
cubital ; les coupes des muscles ne montrent pa
ion de ces tissus. On comprend aussi le fonction- nement normal des
nerfs
dont les éléments conducteurs sont bien conser-
système nerveux intervient-il pour produire le trophoedème ? Les
nerfs
trophiques n'ayant été jamais démontrés on doit f
à intervalles variables. Dercum a décrit l'atrophie des fibres des
nerfs
périphériques, mais ce sont là des constatation
ance cérébrale. Au niveau de la base du cerveau, on remarque que le
nerf
moteur oculaire commun gauche est un peu plus p
resque complètement la musculature externe de l'oeil innervé par ce
nerf
et complètement la musculature interne; la pupi
an). W. Champ de Wernicke. xpin. Entrecroisement piniforme. II.
Nerf
optique. * III. Nerf moteur oculaire commun.
icke. xpin. Entrecroisement piniforme. II. Nerf optique. * III.
Nerf
moteur oculaire commun. HOSPICE DE LA SALPÊTRIÈ
eps fémoral gauche, où l'on remarquait une inversion polaire, et au
nerf
sciatique poplité externe du même côté ; sensib
ehors ; les réactions électriques du muscle droit anté- rieur et du
nerf
sciatique poplité externe continuaient à être dim
s. - Polynévrite aiguë douloureuse, avec localisation grave dans le
nerf
médian droit. C. Perd..., âgée de 4 ans, du dép
rémités, et la réaction de dégénérescence aux muscles innervés par le
nerf
médian droit. ' 220 JACINTO DE LÉON La peti
faradiques ; suppression des gavaniques avec 15 m A, dans tous les
nerfs
et muscles périphériques, excepté aux muscles e
différent, parce qu'il révèle un plus profond degré d'altération du
nerf
: la guérison tarde beaucoup plus à se produire.
o), déjà notées par Oppenheim doivent être tenues en compte. Les
nerfs
crâniens, ainsi que l'ont observé plusieurs auteu
ibilité, comme dans le cas 5, topographie périphérique parlésion du
nerf
médian, on a une donnée de grande valeur ; la con
tricteur du moteur oculaire commun, soit sur les filets iriens de ce
nerf
jusqu'à leur entrée dans le ganglion ciliaire.
'iris que grâce au ganglion ciliaire, qui reçoit l'excitation de ce
nerf
et la transmet, au moyen d'une articulation neuro
sont innervés par un ganglion sympathique sous la dépen- dance d'un
nerf
moteur ». Donc, au lieu de rapporter tous les t
les motrices du ganglion ciliaire, soit dans les filets moteurs des
nerfs
qui en émanent. Malheureusement nous ignorons à p
bles morbides, qui peuvent se produire dans ce ganglion ou dans ses
nerfs
centrifuges. Ce que nous en savons nous a été a
paralytique siégeant soit dans le ganglion ciliaire, soit dans les
nerfs
qui en émanent. La cause de cette mydriase méri
ers caractères impliquent l'ab- sence de toute lésion organique des
nerfs
irido-moteurs. Notre malade a présenté, en outr
lus étonnante que M. G... porte une forte stase papillaire anx deux
nerfs
optiques, avec papilles extrêmement gonflées et
ssible d'en établir exac- tement les relations éventuelles avec les
nerfs
de cette région, entr'autres le VIII. Le bord m
rte, à la face interne du bras, au niveau de la section osseuse, du
nerf
médian et d'une artère, petite, accolée à lui ; i
iculairement à son trajet, trois veinules petites, sans intérêt. Le
nerf
brachial cutané interne est normal, mais l'access
vrotique est épaisse. Sur le bord interne de ce muscle cheminent le
nerf
mé- dian, l'artère humérale et les veines satel
re sur la face antérieure de la cloison intermusculaire interne. Le
nerf
médian passe sur la face antérieure de ce faiscea
a face antérieure de ce faisceau ; dans toute l'étendue du bras, le
nerf
est franchement en dedans des vaisseaux. A la par
n bas, avec le tendon terminal. Le coraco-brachial est absent. Le
nerf
musculo- cutané innerve les biceps et brachial an
ané innerve les biceps et brachial antérieur, comme normalement. Le
nerf
radial chemine entre le brachial antérieur et le
, plutôt peu développé, par rapport à la masse des fléchisseurs. Le
nerf
cubital est à sa place. Au niveau de la région
a, Biceps brachial ; b, Brachial antérieur ; c, Long supinateur ; d,
Nerf
musculo- cutané ; e, Nerf médian ; f, Doigts ;
chial antérieur ; c, Long supinateur ; d, Nerf musculo- cutané ; e,
Nerf
médian ; f, Doigts ; g, Humérus. 294 KLIPPEL ET
? Tendon du long supinateur ; g, Tendon du brachial antérieur ; h,
Nerf
médian ; i, Artère radiale ; j, Artère cubitale
; c, Rond pronateur ; d, Tendon du long supinateur ; e, Doigts ; f,
Nerf
médian et ses divisions ; g, Tendon du bra- chi
supinateur extrêmement développé, avec insertions normales. ' Le
nerf
médian innerve le rond pronateur et les deux musc
deux muscles épitrochléens superficiels dont nous avons parlé ; le
nerf
cubital innerve les deux faisceaux musculaires
; dès la partie moyenne de la face antérieure de l'avant-bras, ces
nerfs
envoient des filets à la peau et s'éparpillent en
sse entre deux faisceaux tendineux appartenant au long Fig. 4. a,
Nerf
radial ; b, Tendon du biceps ; c, Court supinateu
rme au moment où elle a gagné la Fig. 5. Vue latérale externe, a,
Nerf
radial ; b, Humérus ; c, Biceps ; d, Branchial an
uent aux muscles et au tissu cellulaire sous-cutané. Les principaux
nerfs
de l'avant-bras sont représentés par des cordons
es de l'avant-bras arrivent jusqu'au poi- gnet, avec les tendons et
nerfs
satellites ordinaires. Les veines répondent au
zer, au microscope, n'y a trouvé absolu- rien d'anormal non plus.
Nerfs
. - Membre supérieur droit. - Le médian, au pli du
Radial. Tous les muscles qui sont sous la dépendance normale de ce
nerf
reçoivent ses branches. Membre supérieur gauche
et vient se perdre dans la peau du moignon terminal du membre. Les
nerfs
se com- portent symétriquement à droite et à ga
s vas- culo-nerveuses. Ces muscles se terminent comme le biceps. Le
nerf
musculo- cutané ne perfore pas le caraco-brachi
les petites masses musculaires épitrochléenne et épicondylienne. Le
nerf
médian, le cubital et le radial, à part leur rédu
ermine un peu au-dessus du moignon en plusieurs arté- rioles. Les
nerfs
du plexus brachial se terminent en bas par de pet
a direction et une des insertions de l'abducteur du petit orteil.
Nerf
. - Emergeant sous les os du tarse, il se divise b
u niveau des tendons des radiaux et du grand palmaire. Vaisseaux et
nerfs
. Ces organes présentent déjà, au niveau du bras e
t nullement, par leur disposition, l'M classique du pli du coude.
Nerfs
. Ils présentent dans la moitié supérieure leur di
du tiers inférieur à un grêle filet interosseux. On peut suivre le
nerf
radial jusqu'au niveau du moignon, où il ne rep
ans son en- semble, avec le squelette du membre droit. Muscles et
nerfs
. - A droite ; mouvements de l'avant-bras sur le b
t-bras qu'à des muscles du bras. 334 li KLIPPEL ET BOUCHET .1 Les
nerfs
ont été examinés par M. Durante. Le cubital est p
rand pal- maire et le cubital antérieur sont normaux. L'artère du
nerf
médian a un volume considérable. De l'étude ana
l n'y a aucun signe de parésie droite ou gauche, aucune parésie des
nerfs
moteurs crâniens. Pas d'ataxie dans les mouveme
i à droite. A gauche ce signe est inconstant. Pas de troubles des
nerfs
crâniens. Pas de troubles vaso-moteurs. Le pouls
en plus petites, et n'intéres- sent aucun des noyaux d'origine des
nerfs
bulbaires. (Ces deux coupes sont retournées par
ssissement des méninges surtout de la dure-mère et de l'arachnoïde.
Nerfs
périphériques. Nous avons examiné le tibial antér
e cubital, le musculo-cutané du côté droit. Tandis que les coupes des
nerfs
du membre inférieur ne nous ont montré que de l
montré que de légères lésions de sclérose sans dégénérescence, les
nerfs
du membre supérieur droit présentaient des lési
bre. Il n'existait pas de processus récent de dégéné- ration. Les
nerfs
de la main ont été examinés isolément (cubital, m
inique. De telles altérations étaient encore visibles dans tous les
nerfs
du plexus brachial et dans leurs bran- ches. En
nerfs du plexus brachial et dans leurs bran- ches. En outre dans le
nerf
médian on remarquait des corps arrondis ou oval
CIJEIROMÉGALIE 383 rattacher leur développement aux altérations des
nerfs
périphériques. Notre cas est assez comparable à
s relevé des altérations considérables de la peau, des muscles, des
nerfs
périphéri- ques. 1 Le revêtement cutané était
d'hypertrophie mani- feste. Enfin, dans notre cas, les lésions des
nerfs
périphériques étaient intenses et généralisées
ses et généralisées à tous les rameaux nerveux de la main. Dans les
nerfs
du bras (médian, cubital), l'examen histologique
nombre des grosses et moyennes fibres, tandis que dans la main les
nerfs
présentaient les phénomènes de névrite active a
é- vrites périphériques, étendues comme nous l'avons dit à tous les
nerfs
de la main et aussi ce fait que la cavité syrin
t aussi la zone douloureuse, occupent très nettement le territoire du
nerf
frontal, deuxième division, moyenne, de la bran
Willis, elle-même branche supérieure du trijumeau. Rappelons que le
nerf
frontal donne l'innervation sensitive par le nerf
Rappelons que le nerf frontal donne l'innervation sensitive par le
nerf
frontal externe à la muqueuse et à la peau de l
front et du cuir chevelu (filets ascen- dants frontaux) ; et par le
nerf
frontal interne à la peau de la partie in- tern
ncore que dans les zonas, la lésion déborde légèrement la région du
nerf
lésé, par retentisse- ment vers les anastomoses
erminaisons du nasal externe, l'une des divisions de la 3e branche (
nerf
nasal) de l'ophtalmique de Willis. Outre ce rap
e ecchymose zoniforme ophtal- mique développée sur le territoire du
nerf
frontal. Je n'ai pas trouvé dans la littérature
Les ecchymoses peuvent donc manifester l'existence d'une lésion du
nerf
périphérique ; mais elles n'accompagnent qu'une l
n du nerf périphérique ; mais elles n'accompagnent qu'une lésion du
nerf
sen- sitif, la branche de Willis du trijumeau,
vasodilatation. L'hypothèse la plus simple, c'est que la névrite du
nerf
sensitif intéresse également les filets sympath
se passe dans les centres nerveux, consécutivement aux sections des
nerfs
, comme l'a démontré expérimenta- lement Vulpian
e ; ce n'est donc pas un fait compa- rable au nôtre. L'absence du
nerf
accessoire du brachial cutané interne n'a guère
uère d'importance ; elle est vraisemblement liée à l'existence d'un
nerf
inter- costo-huméral volumineux. HÉMIMÉLIE AV
métacarpien ; dans un autre fait, la branche antérieure cutanée du
nerf
radial passait entre deux languettes du tendon
amen likistalogique. L'examen histologique des centres nerveux, des
nerfs
et des muscles a montré, de son côté, des parti
ts histolo- giques sont au nombre de 18 contre 33 du côté sain. i
NERFS
. MUSCLES. p) Examen histologique des nerfs et d
tre 33 du côté sain. i NERFS. MUSCLES. p) Examen histologique des
nerfs
et des muscles. Ici, comme pour la moelle, on t
du côté malade une diminution du nombre des fibres qui composent un
nerf
(médian, musculo-cutané, radial) et des fibres qu
microscopique. Il résulte de ces faits que dans la moelle, dans les
nerfs
, dans les muscles, les éléments histologiques q
sseaux capillai- res sont assez nombreux ; je n'ai pas rencontré de
nerfs
dans les prépara- tions que j'ai faites. » La
, une atrophie du tubercule quaclri- jumeau antérieur gauche, et du
nerf
optique droit. Dans toute la hauteur de la moel
externe du spinal, l'injec- tion d'alcool à 90° dans le tronc de ce
nerf
. Après cette intervention une amélioration réel
a dépendance d'une altération ou tout au moins d'une irritation des
nerfs
ou des centres nerveux. Il s'en inquiète; mais il
t être la conséquence d'une extension irritative dans le domaine du
nerf
facial. D'autres fois, ce ne sont que des grima-
avait observé les mêmes faits sur un chien auquel il avait coupé le
nerf
élévateur des paupières, et qui présentait le mêm
es paupières, et qui présentait le même phéno- mène aussitôt que ce
nerf
était stimulé. Il l'observa aussi chez une jeune
le rectus superior et obliquus inferior de l'autre, innervés par le
nerf
oeuloiiiolorius. Pour étudier ce phénomène on p
ne se rencontre manifestement dans les cas de paralysie complète du
nerf
facial, ou seulement de sa branche supérieure.
dans le faisceau longitudinal au genou du facial pour s'unir là au
nerf
principal. M. Kôlliker (10) enfin, à l'aide de
st celui qui reste indemne quand l'on détruit le tronc du troisième
nerf
cérébral. On a rapporté aussi des cas cliniques
ne aux rapports d'association cen- trale que peuvent avoir les deux
nerfs
(facial et oculomoteur) dans le cer- veau. MM
e dans le sein du faisceau longitudinal postérieur) l'origine de ce
nerf
est contenue en direction dystale et au voisinage
e. III8 édit. Louvain. , , 2. Recherches sur l'origine réelle des
nerfs
crâniens, Journal de Neurologie, 1898. 15. PAPI
on, convertissant en canal une partie de la gouttière qui contient le
nerf
facial ». Au cinquième mois de la vie fœtale, l
interne, plus petit, traversé par le sinus pétreux inférieur, et les
nerfs
glosso-pharyngien, pneumo-gastrique et spinal. Tr
et du tiers moyen, le méat auditif interne dans lequel pénètrent les
nerfs
labyrinthiques, facial et intermédiaire de Wris-b
canal carotidien avec l'orifice du canal carotico-lympanique pour le
nerf
du même nom (voie anastomotique entre le nerf de
tico-lympanique pour le nerf du même nom (voie anastomotique entre le
nerf
de Jacobson et le plexus sympathique carotidien).
n de la crête carotico-jugulaire, le canal tympanique traversé par le
nerf
de Jacobson. Le somme! de la pyramide pétreuse
iroïde du conduit auditif interne, qui tamise les filets d'origine du
nerf
cochléaire; le sommet se rapproche du canal du mu
n dedans du canal de Fallope et de l'apophyse styloïde, en dehors des
nerfs
pneumogastrique, glosso-pharyngien et spinal, en
mince paroi de Vinfiindibulum tubaire. Celle-ci est traversée par le
nerf
carotico-tympanique, anastomose du nerf de Jacobs
Celle-ci est traversée par le nerf carotico-tympanique, anastomose du
nerf
de Jacobson avec le plexus sympathique carotidien
ntoire, saillie lisse et arrondie, parcourue par les ramifications du
nerf
de Jacobson, et creusée, en arrière, d'un canal c
osé avec le précédent et offrant de véritables sacs lymphatiques. Les
nerfs
proviennent de l'auriculo-temporal, branche du tr
branche du trijumeau, du filet auriculaire du pneumo-gastrique et du
nerf
de Jacobson. Il est très utile, au point de vue
existe la cavité de Kretschmann. CHAPITRE III CANAL DE FALLOPE
nerf
facial : nerf intermediaire de wrisberg Le cana
ité de Kretschmann. CHAPITRE III CANAL DE FALLOPE nerf facial :
nerf
intermediaire de wrisberg Le canal de Fallope,
ermine, après un trajet bicoudé, au trou stylo-mastoïdien. Il loge le
nerf
facial, le nerf intermédiaire de Wrisberg avec le
trajet bicoudé, au trou stylo-mastoïdien. Il loge le nerf facial, le
nerf
intermédiaire de Wrisberg avec le ganglion génicu
ransformée plus tard en canal grâce à l'ossification de la gaine du
nerf
. (Piet.) On s'explique ainsi, et la minceur extrê
ce niveau, se déprime et s'épaissit un peu pour loger et protéger le
nerf
facial. On observe cette disposition sur les crân
-mastoïdienne modifient nécessairement les rapports topographiques du
nerf
facial. Celui-ci, en effet, pourra, ou se trouver
us oblique en dehors. On conçoit alors que le danger de sectionner le
nerf
augmente à mesure que l'axe de cette portion du c
doit toujours respecter le seuil de l'aditus sous lequel s'engage le
nerf
. L'axe de la portion tympano-mastoïdienne crois
u trajet du canal de Fallope : «Chez les sélaciens, la disposition du
nerf
facial est d'une extrême simplicité. Chacun des n
a disposition du nerf facial est d'une extrême simplicité. Chacun des
nerfs
bulbaires innerve un arc branchial, le facial est
remière fente branchiale. L'homologue du point d'émergence des autres
nerfs
est pour lui le premier coude de l'aqueduc de Fal
; son bord postérieur est reporté en arrière, et pour l'atteindre, le
nerf
, dont le point d'émergence reste fixe, doit se di
vertical. La deuxième portion horizontale et la portion verticale du
nerf
facial inlrapétreux sont ainsi constituées ». N
ion verticale du nerf facial inlrapétreux sont ainsi constituées ».
Nerf
facial. — Les centres corticaux du facial siègent
de la fossette latérale du bulbe, en avant de l'acoustique. De là, le
nerf
gagne presque horizontalement le fond du conduit
u conduit auditif interne, accolé à l'intermédiaire de Wrisberg et au
nerf
labyrinthique; puis il parcourt le canal de Fallo
les de la face. Dans son trajet intra-pétreux le facial fournit les
nerfs
grand et petit pétreux superficiels et le nerf du
le facial fournit les nerfs grand et petit pétreux superficiels et le
nerf
du muscle de I'étrier. D'après renseignement clas
e, des fibres motrices, issues du facial, suivraient la voie du grand
nerf
pétreux superficiel pour se rendre aux muscles du
la physiologie expérimentale. Jamais l'excitation intra-crânienne du
nerf
facial chez les animaux n'a pu provoquer les moin
mment provoqués par l'excitation des racines bulbaires inférieures du
nerf
vago-spinal (nerf formé par la réunion du pneumog
r l'excitation des racines bulbaires inférieures du nerf vago-spinal (
nerf
formé par la réunion du pneumogastrique classique
zième paires gauches étaient écrasées par des ganglions cancéreux. Le
nerf
facial gauche fut trouvé absolument intact, et ni
facial gauche fut trouvé absolument intact, et ni dans le tronc de ce
nerf
, étudié depuis son origine bulbaire jusqu'à sa so
bulbaire jusqu'à sa sortie par le trou stylo-masto'idicn, ni dans le
nerf
grand pétreux superficiel, on ne put trouver, au
phérique d'origine otitique. Ce segment s'étend depuis l'émergence du
nerf
au trou stylo-mastoïdien jus qu'à son entrée da
e. Durant ce court trajet qui compte un peu plus de un centimètre, Je
nerf
se dirige obliquement en avant et en bas, enfoui
s de la base de l'apophyse styloïde, contre laquelle il s'applique.
Nerf
intermédiaire de Wrisberg. — Issues des deux tier
rg. — Issues des deux tiers antérieurs de la langue, les libres de ce
nerf
font d'abord corps avec le lingual et s'en détach
e parcours, et en une fibre centrale ou cellulifuge qui appartient au
nerf
intermédiaire de Wrisberg, et qui se termine dans
t les cavités auriculaires, entraîne des inconvénients graves pour le
nerf
facial, dont l'intégrité est toujours menacée au
puration de l'oreille. L'inflammation de l'oreille moyenne gagne le
nerf
facial, soit à travers une déhiscence, soit après
otites suppurées chroniques. Dans les affections aiguës, la lésion du
nerf
réside au niveau de la portion tympanique. Dans l
n, entre la fossette latérale du bulbe et le méat auditif interne, le
nerf
facial pourra aussi être comprimé par un abcès an
compression du noyau bulbaire, et aussi du faisceau intra-bulbaire du
nerf
: c'est la paralysie nucléaire. Nous verrons plu
ïdienne, par perforation de la corticale digastrique, pourra léser le
nerf
dans son trajet inter-parotido-mastoïdien. Dans
l'opération, il présentait une hémiplégie faciale gauche complète. Le
nerf
avait-il été sectionné par la gouge au niveau de
se spino-faciale par greffe latérale. Après avoir disséqué les deux
nerfs
spinal et facial, il saisit ce dernier avec une p
ventre postérieur du muscle digastrique et put ainsi adosser les deux
nerfs
. Avec le bout du facial, aplati par la pression d
sentir la base de l'apophyse styloïde, contre laquelle s'applique le
nerf
. Le ventre postérieur du muscle digastrique est e
e postérieur du muscle digastrique est ensuite repéré et disséqué. Le
nerf
facial traverse l'aire triangulaire délimitée par
e résolument toute la pointe, en ménageant, en dedans et en avant, le
nerf
facial. Ensuite, on dégage la fosse digastrique,
ace antérieure de la jugulaire. Puis on aperçoit le digastrique et le
nerf
spinal (branche externe). Cette branche du spinal
utour des orifices osseux, de véritables canaux fibreux qui engainent
nerfs
et vaisseaux. Son adhérence à l'os est variable.
du pédoncule cérébelleux moyen, en dehors de l'amygdale, derrière les
nerfs
pneumogastrique, glossopharyngien et spinal, se t
ce serait une voie afférente. Système cérébello-vestibulaire. — Le
nerf
labyrinthique a une individualité purement anatom
ent anatomique. En réalité, on désigne sous ce nom la réunion de deux
nerfs
, à fonctions distinctes : l'un, le nerf cochléair
us ce nom la réunion de deux nerfs, à fonctions distinctes : l'un, le
nerf
cochléaire, relié à l'écorce du lobe temporal et
é à l'écorce du lobe temporal et présidant k l'audition ; l'autre, le
nerf
vestibulaire, en connexion avec le cervelet, auqu
rvelet, auquel est dévolu un rôle important dans l'équilibration Le
nerf
vestibulaire est constitué par les prolongements
anches descendantes forment par leur réunion la racine descendante du
nerf
vestibulaire, qui s'enfonce dans le bulbe jusqu'a
ion, soit du noyau sous-jacent au plancher du IVe ventricule, soit du
nerf
lui-même contre l'apophyse basilaire. La paralysi
s, pour éviter à coup sûr la lésion des noyaux centraux ainsi que des
nerfs
et vaisseaux qui pénétrent dans le méat auditif i
es-rendus du Congrès International de Médecine de Paris, 1900. — Le
nerf
intermédiaire de Wrisberg. Le Névraxe. Louvain, 1
s tympaniques................ 49 Chapitre III. — Canal de Fallope :
Nerf
facial : nerf intermédiaire de Wrisberg..........
............... 49 Chapitre III. — Canal de Fallope : Nerf facial :
nerf
intermédiaire de Wrisberg................. 55 C
a été effondré au niveau de sa portion tympanique pour mettre à nu le
nerf
lacial qui passe au-dessus de l'étrier. La chaîne
e, on remarque le foramen singulare de Morgagni : il livre passage au
nerf
am-pullaire inférieur. PHOTOTYPIE PEUSER BUEN
coupe frontale passant en pleine apophyse mastoïde, et en arrière des
nerfs
labyrinthique, intermédiaire de Wrisberg et facia
produit sur la planche XVI. La scie a laissé en arrière le groupe des
nerfs
mixtes, glosso-pharyngien, pneumo gastrique et sp
à gauche, il est intact. Ce lobule est en rapport, en avant, avec les
nerfs
labyrinthique, tacial et intermédiaire de Wrisber
le suivre suffisamment loin, on le voit se recouvrir, à l'instar d'un
nerf
ordinaire, d'un cylindre de myéline, si bien qu'i
rigine, comme un cylindre axile et, à une certaine distance, comme un
nerf
complet. La connexité des cellules nerveuses, par
aux, la paralysie bulbaire par lésion isolée des noyaux d'origine des
nerfs
, etc. Mais, au-dessus de ce point, ce mode d'alté
erne. — Caps-in., capsule interne. — C A, commissure antérieure. — H,
nerf
optique et son ganglion optique. —A, commissure d
misphères cérébraux, faite à un centimè-tre en arrière du chiasma des
nerfs
optiques. — Artères du corps strié. — Ch, chiasma
iasma des nerfs optiques. — Artères du corps strié. — Ch, chiasma des
nerfs
optiques ; — B, section de la bandelette optique
psule externe ; — G, G, avant-mur : — H, H, insula : — I, chiasma des
nerfs
optiques. dant, le foyer s'agrandit surtout en
j'appelle cérébrale, et dans laquelle les sens auxquels président les
nerfs
cérébraux proprement dits, nerfs optiques (1) L
elle les sens auxquels président les nerfs cérébraux proprement dits,
nerfs
optiques (1) L. Tûrck, voir Charcot. — Leçons s
. 27 et 95. Charcot. Œuvres complètes, t. iv, Localisations. 8 et
nerfs
olfactifs, sont intéressés de manière à reproduir
rsale d'un cerveau de chien, cinq millimètres en avant du chiasma des
nerfs
optiques. —S, S, les deux noyaux caudés du corps
, — P, P, expansion pédonculaire (capsule interne). — Ch, chiasma des
nerfs
optiques. — x, section de la capsule interne (rég
hémianesthésie senso-rielle n'intéresse pas seulement le domaine des
nerfs
qui pren-nent naissance dans le bulbe, tels que l
domaine des nerfs qui pren-nent naissance dans le bulbe, tels que les
nerfs
du goût et de l'ouïe, elle porte aussi sur les ne
be, tels que les nerfs du goût et de l'ouïe, elle porte aussi sur les
nerfs
de l'odorat et de la vision, dont l'origine est d
suggéré une hypothèse anatomique, d'après laquelle, chez lhomme, les
nerfs
optiques subiraient dans le chiasma non pas un en
siste. Parmi les tubes nejveux qui composent les bandelettes et les
nerfs
optiques, il y avait, comme il a été dit, à disti
e côté externe dans la bandelette, dans le chiasma, puis enfm dans le
nerf
optique et dans la rétine ; tandis que, dans tous
du même ordre, ont essayé de dé-montrer que les fibres nerveuses des
nerfs
optiques subissent dans le chiasma, même chez l'h
écédée d'une étude d'ana-tomie sur Vorig ine de l'entrecroisement des
nerfs
optiques, th. de Paris, 1880 ; et Grille. —De Vhé
vation clinique. ONZIÈME LEÇON Origine des parties cérébrales des
nerfs
optiques. Sommaire. — Rapports entre l'amblyopi
résultant d'une lésion de la capsule interne. Origine cérébrale des
nerfs
optiques. Couronne rayonnante de Reil. — Faisce
pansions latérales) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales des
nerfs
optiques). — Rapports anatomiques entre les expan
optiques). — Rapports anatomiques entre les expansions cérébrales des
nerfs
optiques et les fibres centripètes de la couronne
préalable, étudier l'origine des par-ties profondes ou cérébrales des
nerfs
optiques. Nous allons toucher là un sujet diffici
ble-ment à jouer un rôle prépondérant. D'après le plan général, les
nerfs
encéphaliques doivent rencontrer, avant de pénétr
ions nées dans ces noyaux, qui, d'une façon indirecte, mettraient ces
nerfs
en rapport avec l'écorce grise des hémisphères cé
es hémisphères cé-rébraux. A priori, rien ne porte à croire que les
nerfs
optiques échappent à cette loi. De fait* ils n'
a bien étudiées, sous le nom d'expansions cérébrales optiques ou des
nerfs
optiques (/•, k, Fig. 32). Fig 32.—Radiations d
ons optiques sont réellement un prolongement plus ou moins direct des
nerfs
optiques. II. Pour examiner ce dernier point,
er ce qu'on sait relativement à ces noyaux de substance grise, où les
nerfs
optiques prennent leur première origine à la base
irement les deux premiers noyaux de substance grise avec lesquels les
nerfs
optiques entrent en rapport dans leur trajet vers
nt en rapport dans leur trajet vers l'en-céphale. On sait comment ces
nerfs
, en arrière du chiasma, prennent le nom de tractu
s Gratiolet, serait le plus apparent et le mieux connu des racines du
nerf
optique, contourne le corps genouillé externe et
tentif (4). Vous voyez par ce qui précède que la racine externe des
nerfs
optiques prend son origine dans trois noyaux de s
érieurs (nettes). Ce sont là certainement les principales sources des
nerfs
optiques chez l'homme ; ce sont vraisemblablement
à l'atrophie. Moins importante que l'externe, Xaracine interne des
nerfs
optiques ne doit pas être cependant négligée, sur
rie,1875, V Bd., fasc. 2, p. 344) a soutenu que la racine interne des
nerfs
optiques chez l'homme tout au moins, est anatomiq
postérieurs ne seraient pas, chez l'homme, exclus de l'appa-reil des
nerfs
optiques, comme ils paraissent l'être chez le? an
vec ce qu'ensei-gnent certains faits d'induration grise tabétique des
nerf
(1) Gudden. — Arch. furophthalmol., XX. optiq
axique, aveugle depuis une quinzaine d'années, l'induration grise des
nerfs
optiques pouvait être suivie au-delà du chiasma,
'y mêle aussi des fibres nerveuses entrecroisées, en rapport avec les
nerfs
auditifs et gustatifs. Si cette disposition, à l'
les tubercules quadrijumeaux sont le seul point où les faisceaux des
nerfs
optiques, après leur entre-croisement dans le chi
mentaire, qui, d'après l'hypo-thèse que j'ai proposée, ramènerait les
nerfs
optiques à la con-dition des autres nerfs? C'est
ai proposée, ramènerait les nerfs optiques à la con-dition des autres
nerfs
? C'est là une question qui, actuelle-ment, paraît
er si ces fibres entrecroisées sont réellement en con-nexité avec les
nerfs
optiques et surtout si elles sont le pro-longemen
sale d'un cer-veau de chien, cinq millimètres en avant du chiasma des
nerfs
optiques. — S, S, les deux noyaux caudés du corps
— P, P, expansion pé-donculaire (capsule interne). — C/i, chiasma des
nerfs
optiques. — x, section de la cap-sule interne (ré
e vivant, en faisant reconnaîtra l'existence de l'induration grise du
nerf
optique, bien des an-nées souvent avant le dévelo
sont les noyaux de l'hypoglosse avec les filets intra-bulbai-,res des
nerfs
hypoglosses, et tout le champ des faisceaux antér
us de la protubérance, soit, par exem-ple, au niveau de l'origine des
nerfs
moteurs oculaires com-muns. Reconnaissons d'abord
; là, sont disposés des groupes cel-lulaires où prennent racines les
nerfs
moteurs oculaires com-muns. En avant de ce point,
axe, cerveau proprement dit, bulbe, moelle épinière, ou même dans les
nerfs
périphériques. Une fois nées, ces lésions consécu
nus sont au nombre de cinq ou six à peine ; mais toujours ce sont les
nerfs
de la queue de cheval, et là, plus explicitement,
ères que nous aurons à relever) la substance grise et les racines des
nerfs
périphériques demeurent également intactes. 4°
nérative. La conséquence dernière de cet envahissement du système des
nerfs
centrifuges est l'a-trophie et la dégénération de
antes — Les faisceaux qui dégé-nèrent par en bas sont comparables aux
nerfs
centrifuges des racines anté-rieures, Les faiscea
né-rations secondaires spinales doit être cherché dans le domaine des
nerfs
périphériques. Il s'agit de la série des faits dé
orie de Waller est fondée sur ce fait général que lors-qu'on coupe un
nerf
, de manière à le séparer de son centre, ce nerf s
e lors-qu'on coupe un nerf, de manière à le séparer de son centre, ce
nerf
s'altère, chez les animaux supérieurs, suivant un
nimaux supérieurs, suivant une direction déterminée. Ainsi, coupez un
nerf
spinal mixte au-dessous du confluent des deux rac
la substance grise ; de telle sorte que le centre trophique, pour les
nerfs
sensitifs, doit être cherché dans le ganglion int
ppe la racine tout en-tière et aussi toutes les fibres centripètes du
nerf
mixte. Vous comprenez aisément, Messieurs, et s
dégénèrent par en bas, au-dessous du point lésé, sont comparables aux
nerfs
centrifuges issus des racines antérieures. De ce
périmentalement, à coup sûr, comme c'est le cas lorsque il s'agit des
nerfs
sec-tionnés. Or, Messieurs, les travaux récents
dégénération est un fait constant : abso-lument comme dans le cas de
nerfs
spinaux sectionnés. — L'apparition des premières
dent leurs propriétés physiologiques, tout comme s'il s'agissait d'un
nerf
périphérique. MM. Pitres et Franck ont confirmé c
s déjà vu que ces fibres se comportent suivant les mômes lois que les
nerfs
périphéri-ques centrifuges. Or, tes faisceaux ant
tes faisceaux antéro-latéraux peuvent-ils être rapprochés encore des
nerfs
moteurs par leurs autres pro-priétés ? — Non pas
o-priétés ? — Non pas absolument. Car nous savons que la sec-tion des
nerfs
centrifuges est suivie d'atrophie musculaire,tan1
Les faisceaux antéro-latéraux sont-ils excitables comme le sont les
nerfs
? En d'autres termes, l'irritation de leurs fibres
lectriques, est-elle suivie — comme c'est le cas lorsqu'il s'agit des
nerfs
-de contractures musculaires ? Il est parfaitemen
-dique dans son Traité de Vanatomie dulapin, àlaplus grande partie du
nerf
crural. Si donc vous coupez les racines posté-rie
inal.Ajoutons que les recherches de Sachs ont montré qu'il existe des
nerfs
qui ne peu-vent être que des nerfs centripètes, d
Sachs ont montré qu'il existe des nerfs qui ne peu-vent être que des
nerfs
centripètes, dans l'épaisseur du tendon du tricep
limite des parties tendi-neuses et des parties charnues. Ce sont ces
nerfs
qui, distendus au moment où le tendon rotulien es
ice correspondante qui n'est autre qu'une des principales origines du
nerf
crural. J'ajouterai que, d'après les observations
raccourcissement actif incessant, et qui ne disparaît que lorsque le
nerf
moteur correspondant a été sectionné. La contract
muscle en contraction n'est repré-sentée que par 4, 28 °/0. Quand, le
nerf
moteur étant coupé,' la tonicité du muscle est ab
sang artériel. Mais, dans le muscle à l'état de simple tonicité, le
nerf
étant intact, elle n'est plus que de 5 %. Cela mo
on incessante sur tous les muscles où elle produit, par la voie des
nerfs
moteurs, le tonus musculaire ... Cette action con
que cutané conservé intact daps l'ataxie. — K, racine antérieure ou
nerf
moteur. — T, segment postérieur ou centri-pète de
stérieur centripète de l'arc diastalti-que. — E, racine antérieure ou
nerf
moteur. — P,A,M, arc diastaltique cutané affecté
sur les membres affectés sera transmise à l'axe central soit par les
nerfs
centripètes cutanés, soit par les nerfs centripèt
à l'axe central soit par les nerfs centripètes cutanés, soit par les
nerfs
centripètes mus-culaires. 3° Enfin, dans la cat
l'état normal, des muscles ou de leurs apo-névroses, par la voie des
nerfs
musculaires centripètes, dé-terminent le phénomèn
. La conséquence est alors une atrophie des muscles où se rendent les
nerfs
émanant des régions ainsi lésées de la substance
réparatoire considérer la subs-tance grise elle-même, mais encore les
nerfs
moteurs qui y prennent origine, et aussi les musc
est celui qui met l'organe cellulaire en continuité directe avec les
nerfs
moteurs , de telle sorte que le tube nerveux mote
e Valen-tin, Burdach, on croyait que les extrémités périphériques des
nerfs
musculaires se terminaient en formes d'anses, dan
verte capitale, lejour où il a démontré que chez les tardigra-des, le
nerf
moteur se termine par un filament unique au niv
fait découvert par Rouget, c'est justement cette connexité étroite du
nerf
centrifuge et de la substance des muscles. Ains
iquement par-lant, une solidarité intime entre la cellule motrice, le
nerf
moteur et la fibre musculaire; en réalité, on peu
les autres sont subordonnés. L'intégrité des mus-cles comme celle des
nerfs
dépend de celle des éléments ganglionnaires. Il e
nt ganglionnaire retentit nécessairement sur le muscle par la voie du
nerf
; que la lésion du nerf retentit sur le muscle,
it nécessairement sur le muscle par la voie du nerf; que la lésion du
nerf
retentit sur le muscle, qui, par conséquent, oc
utre côté, quant à présent du moins, qu'une lésion des muscles ou des
nerfs
moteurs puisse retentir sur l'élément ganglionnai
....... 118 ONZIÈME LEÇON. f Origine des parties cérébrales des
nerfs
optiques. Sommaire. — Rapports entre l'amblyopi
résultant d'une lésion de la capsule interne. Origine cérébrale des
nerfs
optiques. Couronne rayonnante de Reil. — Faisce
pansions latérales) ; —Fibres postérieures (expansions cérébrales des
nerfs
optiques). - Rapports anatomiques entre les expan
optiques). - Rapports anatomiques entre les expansions cérébrales des
nerfs
optiques et les fibres centripètes de la couronne
tes . — Les faisceaux qui dégé-nèrent par en bas sont comparables aux
nerfs
centrifuges des racines anté-rieures. — Les faisc
s. (V. Contractures.) Nates, 143. (V. Tubercules quadri- jumeaux.
Nerfs
(Structure des), 386. Nerfs optiques, 143. Neuro-
s, 143. (V. Tubercules quadri- jumeaux. Nerfs (Structure des), 386.
Nerfs
optiques, 143. Neuro-musculaire (Système), 387. N
Tubercules quadrijumeaux, 140; — leurs rapports avec les racines des
nerfs
optiques, 142 ; — lésions des —, 145. V Volon
ares ; elles n'existent guère2 que dans les cas de compression d'un
nerf
par une artère dilatée comme dans le cas rappor
et paraissent dues à l'action directe du virus syphilitique sur les
nerfs
. 6 ¡ CLINIQUE NERVEUSE. C. Troubles intellect
ression peut porter sur l'encéphale lui- même, mais surtout sur les
nerfs
craniens. Nous rapportons plus loin un exemple
e plus gros de ces anévrismes atteint le volume d'un petit pois. Le
nerf
moteur oculaire externe gauche lui est accolé, et
ment au cerveau, mais se propage à l'axe cérébro-spinal et même aux
nerfs
périphériques. Déjà en 1S i l, notre éminent
nerveux qui s'étend aux méninges, cerveau, cervelet, bulbe, moelle,
nerfs
périphériques. Depuis longtemps cependant les p
lésé. Charcot, disait qu'une irritation morbide produite sur les
nerfs
agirait sur les éléments anatomiques, sur la nutr
était logique qu'on examinât et qu'on recherchât les lésions des
nerfs
après celles du cerveau, des méninges, du bulbe,
tre les lésions du cerveau el certaines lésions de la moelle el des
nerfs
de la paralysie générale (Gaz. des Hôpitaux, ma
e et attira l'attention sur les rapports des centres nerveux et des
nerfs
. Ayant étudié les névrites des diverses paires cr
lérose, et, dès cette époque, M. Magnan' conclut qu'une sclérose du
nerf
optique peut devancer de plusieurs années l'écl
; l'anosmie résulte de la dégénérescence du lobe olfactif. Mais les
nerfs
rachidiens ne sont pas indemnes, le processus i
es, le processus inflammatoire peut s'étendre aussi bien à tous les
nerfs
rachidiens ; c'est généralement une névrite par
t; Ke) ? o«y«e < f/e ne)' mo/eM te ' Magnan. - De.la sclérose du
nerf
'Optique et des nerfs moteurs de l'oeil clans l
/e ne)' mo/eM te ' Magnan. - De.la sclérose du nerf 'Optique et des
nerfs
moteurs de l'oeil clans la paralysie générale (
l'anesthésie cutanée des paralytiques est due à une altération des
nerfs
périphériques dans bon nombre de cas, et qu'ell
bon nombre de cas, et qu'elle peut se localiser dans la sphère des
nerfs
de la sensibilité générale ou dans celle de sen
de la peau. ' L'oedème est dû souvent à cette même influence des
nerfs
, à notre avis. Vulpian" croyait à la suppress
ique. ' L'oedème a été constaté dans les plaies ou contusions des
nerfs
; Mongeot 1 en rapporte plusieurs cas. On a signal
lle est due, dans la para- lysie générale, à l'action trophique des
nerfs
dentaires, pro- duisant une destruction lente m
ch. sur quelques troubles de nutrition consécut. aux affections des
nerfs
(Thèse de Paris, 1867). 2 Artiozon. - Lésions t
ses parties ont été étudiées. Nous ne parlerons que des lésions du
nerf
optique et de la rétine. M. Galezowski2, après
érale, p. 19. 2 Galezowski. Sur les altérations de la pupille el du
nerf
optique dans les maladies cérébrales (Union aoû
quelconque, ne sont-elles pas dues plutôt à l'action trophique des
nerfs
cutanés agissant sur les capil- laires ? « Les
t voici provisoirement les résultats quant à la racine sensilive du
nerf
: 1° Dans le territoire du premier segment cerv
das fibres pyramidales. P. KERAVAL, VII. Les ALLURES électriques DU
NERF
radical dans Lrs PARALYSIES par compression; pa
es convulsions directes et indirectes, tandis que l'excitabilité du
nerf
n'est pas amoindrie et que l'excitabilité galva
ction des micro-organismes de l'intoxi- cation amygdalitique sur le
nerf
(névrite). P. KERAVAL. IX. DES sensations patho
gie pathologiques. suit partout D est étroitement liée à l'état des
nerfs
contenus dans la cicatrice du moignon. Elle dis
s la cicatrice du moignon. Elle disparaît quand on anesthésie ces
nerfs
à la cocaïne; elle reparaît quand on les excite p
qui sont rapportées par les sujets aux extrémités périphériques des
nerfs
excités. D'autre part, les sensations illusoire
cylindre-axe est dépourvu de ces éléments. Lorsqu'on sectionne un
nerf
moteur, on observe dans le centre d'origine de
sectionne un nerf moteur, on observe dans le centre d'origine de ce
nerf
des lésions secondaires, caractérisées tout d'a-
ussière. Les mêmes lésions s'observent à la suite de la section des
nerfs
sensitifs et des nerfs sympathiques. La dégén
ons s'observent à la suite de la section des nerfs sensitifs et des
nerfs
sympathiques. La dégénérescence de la cellule
rites s'accompagnent d'une réaction à distance dans les centres des
nerfs
lésés, on doit obser- ver dans la moelle des su
rite ascendante par ce fait qu'elle laisse intacte la continuité du
nerf
. Or, dans un groupe de ces soi-disant névrites
ude. L'examen histologique des muscles, des os, de la moelle et des
nerfs
a démontré qu'il s'agissait d'un cas d'atrophie
ar le seul défaut du nombre des éléments d'un muscle, d'un os, d'un
nerf
, sans dimi- nution de volume de ces éléments, n
inburgh med. J., janvier 1897), était amené à admettre que tous les
nerfs
du goût gagnent le cerveau par la voie du triju
ar la voie du trijumeau. Les partisans de cette théorie donnent aux
nerfs
en question un trajet très compliqué, « qui nou
es 2/3 an- térieurs de la langue passent, comme on le sait, dans le
nerf
-lin- gual ; elles le quittent par la corde du
gual ; elles le quittent par la corde du tympan pour rejoindre le
nerf
facial. Là, d'après la théorie en question, ces f
Là, d'après la théorie en question, ces fibres suivraient le grand
nerf
pétreux superficiel, qui, par le nerf vidien, les
es fibres suivraient le grand nerf pétreux superficiel, qui, par le
nerf
vidien, les apporte au ganglion de Meckel, et e
ganglion de Meckel, et elles gagneraient ensuite le cerveau par le
nerf
maxillaire supérieur, deuxième branche du trijume
bord dans le glosso-pharyngien. Mais elles le quitte- raient par le
nerf
de Jacobson pour gagner le plexus tympanique. E
our gagner le plexus tympanique. Elles aboutiraient par là, soit au
nerf
maxillaire inférieur, troi- sième branche du tr
axillaire inférieur, troi- sième branche du trijumeau, par le petit
nerf
pétreux superficiel et le ganglion otique, soit
ce à une anastomose existant entre le plexus tympanique et le grand
nerf
pétreux superficiel. Les partisans de cette thé
losso-pharyngien, et non pas par le trijumeau. Si l'on refuse aux
nerfs
facial et glosso-pharyngien de porter les fibre
t glosso-pharyngien de porter les fibres du goût, pourquoi ces deux
nerfs
ont-ils, comme les nerfs sensitifs, des ganglio
rter les fibres du goût, pourquoi ces deux nerfs ont-ils, comme les
nerfs
sensitifs, des ganglions, qui sont l'homologue
n n'était pas une branche sensitive du facial, à quoi répondrait le
nerf
intermédiaire de Wrisberg, qui n'en est que la
cture d'un ganglion spinal. Est-il possible d'admettre que le petit
nerf
de Jacobson contienne toutes les fibres gustati
Ce serait là un fait exceptionnel, dérogeant au trajet habituel des
nerfs
sensoriels. L'auteur démontre d'ailleurs, en se
corde du tympan est une branche afférente du facial, de même que le
nerf
de Jacobson est une branche afférente du glosso
it donc se faire dans le même sens. On sait que les cylindraxes des
nerfs
sensi- tifs sont les prolongements de cellules
d'une part, à des prolon- gements périphériques qui constituent le
nerf
, d'autre part, il des prolongements centraux qu
raux qui gagnent le cerveau ou la moelle (racines postérieures). Le
nerf
transmet les impressions sensibles au ganglion
iologie pathologiques. a révélé à Dixon des points intéressants. Ce
nerf
est à l'ori- gine, indépendant du lingual, il é
pendant du lingual, il émane du ganglion géniculé; en sa qualité de
nerf
sensitif, c'est bien vers ce ganglion qu'il doit
ce ganglion qu'il doit diriger l'influx nerveux. De même, le grand
nerf
pétreux superfi- ciel émane du même ganglion, e
s tard qu'il entre en rapport avec le trijumeau. De même encore, le
nerf
de Jacob- son est une émanation du ganglion d'A
rf de Jacob- son est une émanation du ganglion d'Ander : ch. Si ces
nerfs
con- duisaient les sensations au trijumeau, ce
KERAVAL. XXXI. Contribution A la question DE l'entre-croirement du
nerf
optique; par L. Jacobsohn (Neurolog. Cetztralbl
ul tractus nerveux dégénéré, c'est-à-dire coloré en noir, allant du
nerf
optique coupé, par le chiasma, à la bande- lett
ance provoquée dans les centres corres- pondants par la section des
nerfs
du membre amputé. Elles corres- pondent et sont
ure), ou qu'il s'agisse d'opérations intra-craniennes (résection du
nerf
maxillaire inférieur, ablation du ganglion de Gas
si- - SOCIETES SAVANTES. 85 gnifiante des branches inférieures du
nerf
facial gauche ; la langue est un peu déviée à g
role et les pédoncules cérébraux sont considérablement aplatis. Les
nerfs
oculo-moteurs, le pathé- tique, le trijumeau, l
, le pathé- tique, le trijumeau, le facial, l'auditif et surtout le
nerf
adducteur, sont atrophiés et compressés. Sur la
du bout périphérique chez un lapin, cinq jours après la section du
nerf
, on avait constaté que la myéline consistait en
demi-lunes et les anneaux sus-décrits daus les racines et dans les
nerfs
périphériques et en partie la destruction dans
ue est souvent atteinte : soit troubles moteurs par compression des
nerfs
au niveau de la base ; soit hémianopsie homonym
, des troubles psychiques, des symptômes de compression du côté des
nerfs
de la base, de la polyurie, des phénomènes bulb
e localisation méningée. L'absence de paralysie dans le domaine des
nerfs
crâniens, l'absence de dépression, éliminaient
uand il ne s'accompagne pas de phénomènes inflammatoires du côté du
nerf
optique de la rétine, ne donne que très peu de
e. (Revue neurologique, février 1897.) E. 13LiN. VIII. Analgésie du
nerf
cubital dans la folie; par le D1' Arrigo GI woN
tiré l'attention sur la fréquence, dans le tabès, de l'analgésie du
nerf
cubital à la pression au niveau du canal huméro
lsions passionnelles, le centre des appé- tits, représentés par les
nerfs
seusitifs, devant être la région senri- tive du
tachycardie s'expliquerait aisément, le rôle du sympa- thique comme
nerf
accélérateur cardiaque n'étant pas discuté ; ce
diffeile à expliquer, pourrait être attribuée à la suppression des
nerfs
excito-sécreteurs du corps thyroïde dont l'ex-
endance d'une anémie cérébrale perma- nente, due à l'excitation des
nerfs
vaso-constricteurs de l'encéphale contenus dans
'encéphale contenus dans le sympathique cervical ; la section de ce
nerf
ferait disparaître l'anémie cérébrale, et, avec
pendant un moment du côté cubital des deux mains, dans la région du
nerf
cutané moyen. La pupille droite est plus large
entement, mais continuellement. L'anesthésie s'étend au domaine des
nerfs
sacrés et aux régions plus élevées du tronc ; d
si- dët'< : t(MKSp/tt/MO<06f ! </uM, par G. Marinesco; Les
nerfs
du COEM)' cl la glande thyroïde, par E. de Cyon
BIBLIOGRAPHIE. 1-il nications) ; -Démonstration de l'existence de
nerfs
vaso-sensitifs régulateurs de la pression sangu
du tabes dorsal, par SpaUhowslcy; Expériences sur l'excitation des
nerfs
par les rayons électriques, par Danilewsky. BIB
dégénérative des muscles, les cornes antérieures et les racines des
nerfs
étant saines. Herting mentionne trois cas de ru
provoquer l'inflammation de la peau et l'eschare, la nutrition des
nerfs
périphériques étant entravée par les lésions ce
cuteraient actuellement l'existence de rentre-croisement partiel du
nerf
optique dans le chiasma de l'homme et des mamif
st-à-dire une altération quantitative des réactions électriques des
nerfs
et des muscles du côté paralysé chez les hémiplég
érence clinique- ment appréciable entre le degré d'excitabilité des
nerfs
et des muscles du côté sain et du côté malade,
e la constipation, de l'abat- tement, du délire, des paralysies des
nerfs
crâniens, des attaques épileptiformes, etc. Le
a mort a l'examen analomo-palholcgique des centres nerveux et des
nerfs
, en utilisant les méthodes de coloration de Nissl
nal, de la substance grise antérieure cervicale, ainsi que dans les
nerfs
qui émanent de ces noyaux. Les lésions des cell
nerveux ; il n'a pas été possible de savoir si les altérations des
nerfs
sont primitives ou secondaires. Les lésions con
mai 1897.) L'auteur étudie en détail la physiologie palhologique du
nerf
récurrent et la pathogénie des paralysies récur
e. A l'autopsie, on n'a trouvé aucune lésion appréciable dans les
nerfs
périphériques (médian, cubital, sciatique, etc.).
autopsies qui ont pu être faites ont toujours révélé une lésion des
nerfs
périphériques et de la moelle. La cause de la p
lorsqu'elle survient, intéresse plus facilement le cerveau que les
nerfs
périphériques ». M. HAMEL. XXVIII. UN cas DE
base une somme de de- vouement, que l'Etat, individualité privée de
nerfs
sensibles, est incapable de fournir. Il me se
probable avec des processus ascendants venant du sympathique ou des
nerfs
périphériques. (Revue neurologique, août 1897.)
contrairement aux réflexes tendineux; sur la percussion indolore du
nerf
cubital au coude, du péronier, du saphène popli
oup de ses parties composantes. . F. BOISSIER. LX. L'analgésie du
nerf
cubital chez LES aliénés ; par Arvigo GIANNONE.
NONE. (Riv. di. pat. Hen'. et ment., fasc. 7. 1896.) L'analgésie du
nerf
cubital ne peut être exclue du diagnostic entre
r le mouvement incessant des fonctions, apportée au cerveau par les
nerfs
cérébro-spinaux et du système ganglionnaire.
sensibilité générale est le résultat de la solidarité d'action des
nerfs
sensibles et, par suite, chaque nerf peut être
la solidarité d'action des nerfs sensibles et, par suite, chaque
nerf
peut être considéré comme possédant une certaine
la cellule J'extita- tion apportée par les libres terminaisons des
nerfs
sensitifs dgub e ganglion, et la transformation
olongement ner- veux nous est offert parla cellule périphérique des
nerfs
des sens, par celle de la muqueuse olfactive de
au mode de nutrition de la fibre nerveuse, et en particu- lier des
nerfs
périphériques, v. Lenhossék considère comme invra
annulaires par la gaine imperméable de myéline. Mais, de ce que les
nerfs
périphériques tirent leur nourriture des milieux
lule nerveuse sur son prolongement axile. Le bout périphérique d'un
nerf
séparé de son centre dégénère depuis l'extrémité
u'à son lélodeudron; le bout central demeure d'abord intact. Que le
nerf
soit moteur ou sensitif, il n'importe, selon Wa
sék le reconnaît, à G. Marinesco, et repose sur les altérations des
nerfs
et de la moelle épinière qui suivent les amputa
vrait bien dégénérer, non la cellule nerveuse et le bout central du
nerf
. Marinesco soutient que l'activité trophique de
énomènes, tels que les faits de c dé- générescence ascendante » des
nerfs
moteurs, etc. Nissl a démontté 6 de la façon la
a façon la plus exacte que, quelques jours déjà après la section du
nerf
facial, ses cellules d'origine dans la moelle all
dépend de la possibilité ou de l'impossibilité de la restitution du
nerf
au point de vue fonctionnel et anatomique. Dans
Lenhossék croit au contraire que, dans la section périphérique d'un
nerf
moteur, ce qui accélère la destruction de la ce
f moteur, ce qui accélère la destruction de la cellule d'origine du
nerf
, c'est que les collatérales réflexes, les fibre
fonction- zzelle-des parties du corps auxquelles appartiennent les
nerfs
périphé- riques de sensibilité correspondants.
ne) propage toujours l'excitation dans le sens cellulifuge. Dans le
nerf
moteur périphérique issu du système nerveux cen
nues sur le muscle augmente les points de contact des fibrilles du
nerf
moteur avec les fibres musculaires. De même dan
res musculaires. De même dans la transmission du courant nerveux du
nerf
optique, par exemple : l'excitation d'une seule
provenant de fibres nerveuses venues à la rétine par le canal des
nerfs
optiques, donc, dans une direction opposée à cell
caractère et l'intensité des excitations arrivées au cerveau par le
nerf
optique. Ranioil y Cajal conjecture que ces fibre
nes expériences d'Engelmann, a établi expérimentalement que dans le
nerf
optique passent des fibres dont l'excitation dé
es vertébrés, smon l'unto'énie, permet d'incliner dans ce sens. Les
nerfs
sensitifs auraient été à l'origine de longs pro
l'hypothèse s'était vérifiée que, chez les inverté- brés, tous les
nerfs
sensibles sont formés par les prolongements des
lulifuge. Mais on a découvert de libres arborisations terminales de
nerf
de sensibi- lité dans l'épithélium externe non
ent en tant qu'il prend part à la formation de la racine externe du
nerf
olfac- tif, a montré que les fibres de ce nerf
la racine externe du nerf olfac- tif, a montré que les fibres de ce
nerf
se terminent, au moins en grande partie, dans l
aire et qui s'y arborisent tout à fait de la même manière que leurs
nerfs
d'ori- gine ; il est donc de toute évidence que
leur corps cellulaire. Dans un article sur l'origine du quatrième
nerf
cérébral et sur un point d'histophysiologie gén
s Deiters, Golgi rapprochait naturellement ces eehules d'origine du
nerf
pathétique, unipolaires, des cellules des gangl
répara- tions, des cellules d'origine et des fibres radiculaires du
nerf
pathétique, ainsi que les éléments constitutifs
érieure du trijumeau. Les cellules ner- veuses du noyau d'origne du
nerf
pathétique sont bien des cellules unipolaires à
es deux cellules nerveuses pénètrent dans la racine périphérique du
nerf
de la cinquième paire. « Ces cellules, conclut
ties du système nerveux (cerveau, cervelet, bulbe, moelle épinière,
nerfs
périphériques, terminaisons nerveuses). Après a
es nerveux on observe la présence de corpuscules amylacés. Dans les
nerfs
périphériques, la myéline se présente sous la for
fragmente et tombe ensuite en dégénérescence gra- nuleuse. Dans les
nerfs
périphériques, on voit l'état vacuolaire, une l
en rapport avec une paralysie du grand sympathique cervi- cal et du
nerf
phrénique. La lésion médullaire siège au dessus d
ce ne sont pas seulement les faisceaux pyramidaux, les cellules des
nerfs
moteurs de la corne antérieure, les racines ant
fibres vont aux noyaux qui constituent l'ancienne origine réelle du
nerf
. Ces noyaux, peut-être aussi nombreux que les ner
rigine réelle du nerf. Ces noyaux, peut-être aussi nombreux que les
nerfs
terminaux de la troisième paire, sont situés da
teur externe, il faut concevoir (pour les mouvements latéraux) deux
nerfs
hémioculo-moteurs : l'hémi-oculo- moteur 406 RE
ur 406 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. droit ou
nerf
destrogyre qui vient de l'hémisphère gauche, va a
ait tourner les deux yeux à droite; et i'hémioculo-moteur gauche ou
nerf
lèvogyre qui vient de l'hémisphère droit, va au
aît être qu'un effet de contracture, et partant d'immobilisation de
nerfs
moteurs ordinaires dont l'excita- 1>ilité es
que est localisé autour des ventricules et intéresse les noyaux des
nerfs
crâniens (Il[, IV, VI, X, etc.). Sur des prépar
on trouve : hémiplégie droite, dysarthrie(sans aphasie), parésie du
nerf
facial droit, anesthésie du trijumeau du même c
disposition de ses métas- tases sur les racines rachidiennes et les
nerfs
de la queue de cheval. Observation. Résumé. -
ale de la moelle, et présentant un aspect polypeux. Au milieu des
nerfs
de la queue de cheval, on trouve plusieurs peti
niveaux, la tumeur a bourgeonné dans les gaines pie- mériennes des
nerfs
, ceux-ci étant complètement englobés, mais des
ès la section delà moelle au-dessous de l'atlas, l'exci- tation des
nerfs
sensibles du tronc n'agit plus sur la pupille (
git plus sur la pupille (Sallçovslçy Remarque. - L'excitation des
nerfs
crâniens produit encore dans ce cas de la dilat
ul côté, détermine une inégalité pupillaire ; 2 ? l'excitation du
nerf
médian produit encore de la dilatation pupillaire
ent ces petits grains appendus à plusieurs racines et notamment aux
nerfs
de la queue de cheval ; nous avons insisté sur
cation, réagit constamment sur l'esprit et par contre- coup sur les
nerfs
sensitifs ; notre homme craint de voir, d'enten
es appréhensions agissent à son insu sur la partie encéphalique des
nerfs
sensitifs, et tout à coup, un beau jour, notre
comme celui des autres glandes, le parenchyme thyroïdien reçoit des
nerfs
qui lui sont propres et qui agissentsur ses élé
thyroïde aux faits antérieurs déjà connus concernant l'action de ce
nerf
dans le champ de sa distribution à la tête et a
nconnue. Cette cause agirait simultanément et parallèlement sur des
nerfs
commandant à des fonctions d'importance inégale
Quand on a lésé le tronc du trijumeau à la hase, à l'endroit où le
nerf
vient d'entrer dans la substance cérébrale, on co
our, pour obtenir de l'amélioration. L'examen de la sensibilité des
nerfs
fémoro- cutanés des deux jambes ne fournit pas
e faits : 1° ceux dans lesquels le naevus occupe le territoire d'un
nerf
ou son trajet; 2° ceux dans lesquels le ncevus
gement périphérique d'où uaevi développés sur le territoire d'un
nerf
anatomiquement précisé, soit d'un prolongement ce
on spéciale. La propagation se fait suivant la gaine ménin- gée des
nerfs
rachidiens et suivant le squelette conjonctif d'o
que. Campos (Moïse). Recherches expérimentales et cliniques sur les
nerfs
sécréteurs des larmes. Carrez (Henri). De l'inf
trabisme. Ehrmann (Gaston). Contribution à l'étude de la suture des
nerfs
à distance. Enouf (Paul). Contribution à l'étud
r. Friteau (Edouard). Les branches extra-pétreuses et terminales du
nerf
facial. - Gaboriau (Auguste-Clément-Marie). Du
rouvaient dans l'urne, pour l'oral, étaient au nombre de trois : 1°
Nerfs
phréaétiques; 2° Cordon postérieur de la moelle;
26. Crime. Hypnotisme et -, par Bell, 76. Cubital. Analgésie du
nerf
- dans la folie, par Gionnone, liO, 330. Débi
ies nemeuses, par Itobortson, 161 . Facial Allures électriques du
nerf
dans la paralysie par compression, par Loewen
OCULOMOTEUn. Noyau de l'- com- mun, par Schwabe, 48. Noyaux des
nerfs
, par de Bechterew, 479. Olives inférieures. Cel
ures. Cellules des , par Klinke, 486. Optique. Entrecroisement du
nerf
- , par Jacobsohn, 67. Entrecroise- ment inco
nt du nerf - , par Jacobsohn, 67. Entrecroise- ment incomplet des
nerfs
- dans le chiasma chez les mammifères, par de
voit émerger successivement d'avant en arrière les douze paires de
nerfs
crâniens (Fig. 1). D'abord le nerf olfactif ; p
n arrière les douze paires de nerfs crâniens (Fig. 1). D'abord le
nerf
olfactif ; puis le chiasma des nerfs optiques fai
s crâniens (Fig. 1). D'abord le nerf olfactif ; puis le chiasma des
nerfs
optiques faisant suite aux bandelettes optiques
es pé- doncules cérébraux qu'ils contournent. Plus en arrière, le
nerf
de la 3e paire ou moteur oculaire commun qui SY
re, sur le bord externe du pédoncule cérébral et le contournant, le
nerf
de la 4e paire ou pathétique. Puis le plus volumi
, le nerf de la 4e paire ou pathétique. Puis le plus volumineux des
nerfs
crâniens, le trijumeau, émergeant de la face infé
ouillés. - P A. Protubérance annulaire. - Amygdale cérébelleuse. -Tr.
Nerf
trijumeau. FI. Flocculus. - Fac. Nerf facial. -
- Amygdale cérébelleuse. -Tr. Nerf trijumeau. FI. Flocculus. - Fac.
Nerf
facial. - W. Intermédiaire de Wris- berg. - Ac.
on qui sépare la protubérance du bulbe, près de la ligne médiane,le
nerf
de la Ge paire ou moteur oculaire externe. Plus
terne. Plus en dehors, dans la fossette latérale du bulbe, sont les
nerfs
facial et auditif, en arrière desquels on voit
o-inférieure de la région bulbo-protubérantielle. 4 A. JOFFROY Le
nerf
grand hypoglosse ou 12e paire émerge de la partie
agés dans leur ensemble les noyaux d'origine des filets moteurs des
nerfs
crâniens sont échelonnés, d'avant en arrière, dan
t en rapport avec des centres supérieurs cérébraux, en-' voient des
nerfs
aux muscles de l'oeil, de la face, de la langue,
xception faite pour le pathétique). Or, au niveau des noyaux de ces
nerfs
se trouve le faisceau moteur cérébral, ou faiscea
yramidal non encore en- trecroisé, et l'un des noyaux d'origine des
nerfs
crâniens situés à son voi- sinage, ou même le t
e, une lé- sion du faisceau pyramidal non encore entrecroisé, et du
nerf
hypoglosse dans son trajet intra-bulbaire ; dan
e, une lésion intéres- sant le faisceau pyramidal et le noyau ou le
nerf
du facial, ou encore le nerf moteur oculaire ex
e faisceau pyramidal et le noyau ou le nerf du facial, ou encore le
nerf
moteur oculaire externe ; dans le pédoncule, une
sion atteignant simultanément le faisceau pyramidal (le pied) et le
nerf
moteur oculaire commun ou même son noyau d'orig
côté de la lésion, ce qui se comprend facilement puis- que c'est le
nerf
hypoglosse gauche lui-même, dans son trajet intra
sse (cas de Anna Goukowski). savez qu'à la suite de la section d'un
nerf
il se fait dans le bout périphé- rique une dégé
atrophie musculaire. Il en serait de même au lieu de la section du
nerf
hypoglosse lui-même il se fut produit une destr
férieure du bulbe) et les filets ner- veux intra-protubérantiels du
nerf
facial, parfois môme son noyau d'ori- gine. T
t, la lésion protubérantielle intéresse simultanément les filets du
nerf
facial et ceux du moteur oculaire externe, ou bie
e pathologique en se rappelant les rapports anatomiques de ces deux
nerfs
, ou de leurs noyaux. (Fig. 5.) Dans cette varié
u à l'hémiplégie. - Au contraire tous les muscles innervés par le
nerf
facial, aussi bien les muscles innervés par le
rieur, sont paralysés du côté même de la lé- sion, puisque c'est le
nerf
lui-même ou son noyau qui sont atteints. Et c
rf lui-même ou son noyau qui sont atteints. Et comme la lésion du
nerf
ou du noyau en- traîne fatalement à sa suite un
e dégé- nérative des muscles paralysés. La lésion concomitante du
nerf
moteur ocu- laire externe ou de son noyau, amèn
lus accusées, c'est simplement parce que les muscles animés par les
nerfs
hypoglosse, facial et moteur oculaire externe s'a
ur oculaire com- Fig. 5. P, protubérance ; B, bulbe ; G, genou du
nerf
facial; F, noyau du nerf facial; f, nerf faci
P, protubérance ; B, bulbe ; G, genou du nerf facial; F, noyau du
nerf
facial; f, nerf facial ; E, noyau du moteur o
B, bulbe ; G, genou du nerf facial; F, noyau du nerf facial; f,
nerf
facial ; E, noyau du moteur oculaire externe
facial; f, nerf facial ; E, noyau du moteur oculaire externe ; e,
nerf
moteur oculaire externe ; SYNDROME TEMPORAIRE
et au mus- cle constricteur de l'iris. Imaginez maintenant que ce
nerf
vienne à être comprimé à sa sortie du pédoncule
qu'il existe aucun symptôme d'hémiplégie alterne. Dans ces cas les
nerfs
des 3°, 6°, 7e ou 12e paires ont été respectés
si, d'après les notions admises actuellement sur les ori- gines des
nerfs
optiques et sur leur semi-décussalion au niveau d
est obligé d'invoquer une lésion siégeant en arrière du chiasma des
nerfs
optiques, soit sur la bandelette optique, soit
et l'oper- cule inférieur de la scissure de Sylvius ; les fibres du
nerf
cochléairese ter- minent là autour des cellules
u pont et au delà à l'écorce cérébelleuse et aux noyaux d'origine des
nerfs
moteurs périphériques. La sphère visuelle est
s il y a plus; cet appareil n'entre en jeu que sous l'influence des
nerfs
; il faut donc également que le système nerveux,
niveau des membres supérieurs, de l'anesthésie suivant le trajet du
nerf
cubital, de l'incoordination des membres supéri
e. La vision est complètement abolie à gauche; à droite : 5/10. Les
nerfs
optiques sont atrophiés. L'atrophie est complète
Son existence est la règle. Et, dans cette maladie, les lésions des
nerfs
périphériques et de leurs terminaisons, des racin
éral, comme le décrit Kobner, s'est développé dans la direction des
nerfs
. Vidal nous cite un cas de lichen ruber où l'ér
DE L'ÉTIOLOGIE DU LICHEN RUBER 91 en stries sur la peau le long des
nerfs
sur les membres inférieurs; un cas semblable es
tion se borne strictement à un côté du corps dans la direction d'un
nerf
quelconque de la peau; on a aussi observé des c
ruptions, tantôt on observait qu'elles suivaient la di- rection des
nerfs
comme dans noire second cas. Dans le troisième
pour la main droite, 120. L'électro-excitabilité des muscles et des
nerfs
, du côté gauche est aussi diminuée. Le réflexe
che du corps. Le réflexe du gosier est conservé. L'excitabilité des
nerfs
et des muscles au courant faradique est sensiblem
iné par la pression que les masses osseuses peuvent exercer sur les
nerfs
et les vaisseaux, à une action irritative directe
o- men, ayant parfois des crises de vomissements et des attaques de
nerfs
mal définies. A cela se réduit son passé path
'i à 2 centimètres. Elles répondent assez exactement aux trajets du
nerf
frontal externe et du nerf frontal interne (Voy
épondent assez exactement aux trajets du nerf frontal externe et du
nerf
frontal interne (Voy. Fig. 1). La peau avoisi
nerveuses diverses scléroses des circonvolutions, de la moelle, des
nerfs
périphériques. Sans songer une lésion des circo
nt-ils à la myosite ossifiante ? Il est possible qu'un des nombreux
nerfs
oculaires puisse être irrité ou compri- mé par
avec d'autres lésions nerveuses, telles que épilepsie, atrophie du
nerf
optique, dans d'autres cas, et croit devoir attri
emble hors de con- testation, c'est la présence de lésions dans les
nerfs
périphériques ; com- 1 ment comprendre en effet
Douleurs en ceinture légères et siégeant sur le trajet des derniers
nerfs
lom- baires. Pas de crises gastriques. Douleurs
e. E. Coupe de la moelle au niveau de la IIIe sacrée. F. Coupe du
nerf
musculo-cutané. UN CAS DE MALADIE DE FRIEDREICn
ste au contraire un très grand nombre où la myéline adisparu. Les
nerfs
médians, sciatiques, tibial antérieur et musculo-
anifeste. Les fibres à myéline sont en très petit nombre. Dans un
nerf
musculaire, le nerf du biceps crural, les fibres
es à myéline sont en très petit nombre. Dans un nerf musculaire, le
nerf
du biceps crural, les fibres saines sont en plu
moelle. Un autre fait à relever, c'est l'altération très grande des
nerfs
périphé- riques. Pareille constatation est asse
certain nombre de cas (Fried- reich le' cas; Rülimeyer 2e cas), les
nerfs
ont été trouvés atteints, beau- coup moins prof
étude complète des ra- cines rachidiennes et d'un certain nombre de
nerfs
. Membre inférieur : collatéral interne du pouce
ntérieur, tibial postérieur : sciatique (tronc), saphène interne et
nerf
du quadriceps crural. Membre supérieur : collat
tané, musculo-cutané après sa sortie du coraco-brachial, etc. Les
nerfs
sont très altérés. Les racines antérieures sont s
s malades. Il en était de même dans notre cas. « Au commencemenl du
nerf
(là où commence le nerf mixte, formé par la réu
e même dans notre cas. « Au commencemenl du nerf (là où commence le
nerf
mixte, formé par la réunion de deux racines) su
ous pouvons retenir que les fibres fines qu'on observait 1 dans les
nerfs
mixtes, doivent provenir uniquement des racines p
d'une même nature devaient être les fibres fines trouvées dans les
nerfs
musculaires. Il en vient la conclusion que, dan
ca, 1893, 17-20 juin. 184 LÉON BONNUS reich, il existait dans les
nerfs
mixtes une atrophie systématique des fibres sen
3 - Cas IL Coupe de la protubérance au niveau de l'entrecroisement du
nerf
pathétique. Absence complète de pyramides, (Ph.
a suite d'une légère contrariété, X... a eu une série d'attaques de
nerfs
, pendant la durée desquelles elle s'est plainte
enait presque aucune perception. De plus, la pression centripète du
nerf
auditif ne déterminait pas de vertige, preuve q
ge exclusive- ment encéphalique, qui auraient détruit à la fois les
nerfs
acoustiques, les nerfs optiques, et certaines p
phalique, qui auraient détruit à la fois les nerfs acoustiques, les
nerfs
optiques, et certaines parties du cervelet. Il y
éral du quatrième ventricule. Rappelez-vous, d'autre part, que le
nerf
acoustique, en sa qualité de nerf exclusivement
ppelez-vous, d'autre part, que le nerf acoustique, en sa qualité de
nerf
exclusivement sensitif, a son noyau d'origine rée
t dans le ganglion de Scarpa. Du fond du conduit auditif interne le
nerf
acoustique se porte vers la partie la plus recu
gion hulbo-protubérautielle au niveau de l'émergence des racines du
nerf
acoustique. 1, racine externe ou postérieure. 2
e ; l'essentiel est que vous ayez présents à l'esprit les rapports du
nerf
acoustique avec le pédoncule cérébelleux inféri
uisse agir à la fois, en les comprimant, sur le pédoncule et sur le
nerf
auditif. Mais nous pouvons pousser plus loin ce
faut admettre que les racines ou les deux branches constituantes du
nerf
acoustique ont été détruites à droite et gauche,
z considé- rahle pour qu'elle pût comprimer de chaque côté les deux
nerfs
acousti- ques et les deux pédoncules cérébelleu
ux inférieurs et moyens. Mais alors, comment concevoir que d'autres
nerfs
crâniens, qui émergent au voisina- ge des nerfs
cevoir que d'autres nerfs crâniens, qui émergent au voisina- ge des
nerfs
acoustiques, en. particulier la branche motrice d
ngement antérieur suffisamment long pour pouvoir atteindre les deux
nerfs
optiques ou le chiasma. SUR UN CAS DE TUMEUR DU
s deux pédoncules cérébel- leux inférieurs, et la totalité des deux
nerfs
acoustiques. Sans doute deux tumeurs symétrique
riques, siégeant l'une à droite, l'autre à gauche, aux points où le
nerf
acoustique croise le pédoncule cérébelleux inféri
troisième ventricule, distendu, comprimera à son tour le chiasma du
nerf
optique. Au surplus, les tumeurs du cervelet, b
cée de l'évolution d'une tumeur, à une époque où les altérations du
nerf
optique se réduisent à l'oedème de la papille,
'être développée surtout au niveau de la région des pédoncules. Les
nerfs
crâniens bulbaires sont atrophiés, en masse, des
és dures, fibreuses, appen- dues à leurs filets émergents. Les deux
nerfs
optiques sont grisâtres et (1) La malade en que
déterminé, au niveau de la base de l'isthme de l'encéphale et de ses
nerfs
, une méningite scléreuse, très nette, caractéri
(P), nodosités fibreuses (a.a) sur les filets émergents de quelques
nerfs
. DE LA SENSIBILITÉ DOULOUREUSE DE LA PEAU. AL
peau, mais encore on peut la provoquer en irri- tant n'importe quel
nerf
sensitif à n'importe quel endroit de son trajet.
plusieurs autres fibres, de transmettre la sensation de la douleur (
nerf
sympathique). Les moyens cliniques et physiolog
ique établissant,que l'irritation et la capacité de transmission au
nerf
est anéan- tie par une action violente et mécan
en particulier le quadriceps fémoral et les muscles du mollet. Les
nerfs
, en particulier les gros troncs (sciatique et bra
ni- veau, à gauche. · Examen iiistologique. Il a porté sur les
nerfs
, les muscles, la moelle, le cerveau. Des dissoc
ur de 24 heures dans l'acide osmique, sur une branche musculaire du
nerf
tibial postérieur, sur une branche cuta- née du
musculaire du nerf tibial postérieur, sur une branche cuta- née du
nerf
couturier. Fig. 1. - Coupe macroscopique des
ne montrent ni altéra- tion ni atrophie manifeste il gauche. Les
nerfs
plus volumineux, tels que le sciatique poplité in
ose conjonctive par atrophie simple. Les artères volumineu- ses des
nerfs
présentent un degré moyen d'endartérite limitée à
nerveuses, surtout par comparaison avec les coupes prove- nant des
nerfs
du côté gauche. Les muscles montrent en général
on des libres est très nette, surtout dans le sens transversal. Les
nerfs
intra-musculaires, colorés par la méthode de Pal,
intéressants observés chez des tuberculeux, les dis- sociations des
nerfs
périphériques ont été faites. NOUV. Iconographi
ution de nombre plutôt que de volume, des fibres musculaires et des
nerfs
et pro- posa pour cette atrophie la dénominatio
quée. Cette théorie fait intervenir l'irritation des extrémités des
nerfs
articulaires, avec re- tentissement par voie ce
centripète sur les centres spinaux au niveau du foyer d'origine des
nerfs
se rendant aux muscles frappés d'atrophie. C'est
, à propos des arthropathies tabéti- ques liées aux altérations des
nerfs
sensitifs : A une stimulation périphéri- que in
ctuellement, que, contrairement il la loi de Waller, la lésion d'un
nerf
détermine des lésions à distance dans le centre d
erf détermine des lésions à distance dans le centre d'origine de ce
nerf
. Pour donner un exemple, Darlachewitscli et Ticho
ysiol., 1884. (4) DEJEKHE et Mayen, Altérations de la moelle et des
nerfs
chez les amputés de vieille date. Soc. de biol.
ux par H orner. - A gauche, amaurose complète, atrophie complète du
nerf
optique, rétrécissement des vaisseaux. La lamina
x. La lamina cribrosa est très transparente sur toute la surface du
nerf
; au bord interne du nerf optique et dans la rég
très transparente sur toute la surface du nerf; au bord interne du
nerf
optique et dans la région de la macula lutea on
t repoussés en dedans un peu plus qu'à gauche. La partie interne du
nerf
optique est rouge ; champ visuel normal. Un an
L'excitation faradique sur la branche frontale du facial et sur les
nerfs
cubitaux donne des résultats normaux. Diminution
ux donne des résultats normaux. Diminution ma- nifeste sur les deux
nerfs
accessoires. Un fort courant donne des contractio
cessoires. Un fort courant donne des contractions énergiques sur le
nerf
cubital; les muscles trapèzes et les cléido-masto
ur n'est pas superficielle, elle est dans la profondeur, « dans les
nerfs
», dit Duf... Si la secousse est forte, en môme t
marquer que les douleurs pouvant être rapportées à l'excitation des
nerfs
thoraciques sont nulles le plus souvent. Ce fait
e constate aucune différence entre les hémisphères cérébraux et les
nerfs
crâniens de droite et de gauche : le rocher du
déprimée. Il n'y a an- cune différence dans le volume respectif des
nerfs
crâniens et des deux moi- tiés du cerveau et du
elle fut un soir réveillée en sursaut pour assister à une crise de
nerfs
de son beau-père, ce qui lui causa une émotion
il ne trouva aucune anomalie dans le vo- lume de l'encéphale ni des
nerfs
crâniens. Le rocher correspondant au côté hyper
des lymphatiques, parfois des muscles et des os, plus rarement des
nerfs
, et cela à un degré qui n'est jamais atteint dans
veux vaso-mo- teurs,ont noté dans le territoire de distribution des
nerfs
sectionnés, de la rougeur, une élévation de la
e de 38 ans, comme conséquence probable d'une lésion traumatique du
nerf
sous-orbitaire. Berger (0.) de son côté (1872)
9 ans. L'auteur suppose que le traumatisme a provoqué une lésion du
nerf
sous-orbitaire avec paralysie consécutive des h
par le Dr Wa- gner, a permis de constater une double excavation du
nerf
optique, pins marquée à gauche, sans engorgemen
que peut-être par une exaltation des fonctions vaso-dilatatrices du
nerf
, subordonnée aune affection irrita- tive des fi
1) a vu chez le chien, surtout si l'animal est jeune, la section du
nerf
maxillaire inférieur déterminer, au bout de que
maxillaire du même côté. Par contre, une solution de continuité des
nerfs
dans un membre s'accompagne plutôt d'une atroph
res, tiennent à l'impotence absolue des membres dont il a coupé les
nerfs
, tan- dis que les mouvements des mâchoires pers
nerveuse unilatérale. (1) M. Schiff, Recherches sur l'influence des
nerfs
sur la nutrition des os. Comptes rendus de l'Ac
klin. -\7och., p. 700, 1883. M. Schiff. Rech. sur l'influence des
nerfs
sur la nutrition des os. Comptes rendus de l'Ac
e membrane, à la surface antérieure de laquelle sont atta- chés des
nerfs
offrant l'aspect de filaments fins; à la partie s
ne spinale du trijumeau, la voie cérébelleuse du cordon latéral, le
nerf
hypo5losse,leruhandeReil; les pyramides n 'exisLe
cérébelleuse du cordon latéral, la racine spinale du trijumeau, le
nerf
hypoglosse, le faisceau longitudinal posté- rie
nous trouvons le corps restiforme, la racine spinale de trijumeau, le
nerf
glosso-pharyngien, tenerspneumo-gastrique, le n
de trijumeau, le nerf glosso-pharyngien, tenerspneumo-gastrique, le
nerf
hypoglosse, le noyau olivaire, les olives acces
éral il était bien développé. Nous avons la même chose au niveau du
nerf
pathétique (PI. XLIV, U). Plus loin, au niveau
X CENTRAL (N. 5010\'tl.oO") Cas I. - W. Coupe faite au niveau des
nerfs
oculo-moteurs. Absence de pulvinar, des corps gen
mem- brane sur la surface antérieure de laquelle étaient situés les
nerfs
. A l'exa- men par la méthode de Pal, cette memb
Les olives manquent aussi, de même que la couche inter-olivaire, le
nerf
trijumeau, les voies cérébel- leuses des cordon
tance réticulaire grise et blanche (PI. XLVI, d). On voit aussi les
nerfs
hypoglosse et pneumo-gastrique. L'absence des pyr
n de Reil, de la voie cérébelleuse directe, de la racine spinale du
nerf
trijumeau), ou bien il ne reste que la moelle é
le, la moelle était considérée comme un simple conducteur, comme un
nerf
, plus gros que les autres, reliant le cerveau aux
n quelques mots, la portée de cette révolution. Au lieu d'un simple
nerf
, plus volumineux que les autres, la moelle s'est
damment de toute lésion appréciable du cerveau, de la moelle et des
nerfs
. Voilà une ré- vélation dont, je vous le répète
érable de Charcot dans les maladies du cerveau, de la moelle et des
nerfs
; je voudrais vous exposer à mon tour quels ont é
t le muscle it gauche, quand ils sont appli- qués de ce côté sur le
nerf
du grand dentelé ou sur le muscle lui-même. L'exc
ar le plexus cervical mais par le spinal, car dans la section de ce
nerf
, alors que la portion supérieure est complèteme
paralysée, les portions moyenne et inférieure, ayant en- core leurs
nerfs
cervicaux, sont seulement parésiées : tout récemm
her Schlottmanu (3), étudiant quatre cas de paralysie périphérique du
nerf
spinal, conclut de leur examen clinique que la
plexus cervical. D'autre part, le grand dentelé est innervé par le
nerf
thoracique postérieur, ou nerf du grand dentelé,
le grand dentelé est innervé par le nerf thoracique postérieur, ou
nerf
du grand dentelé, qui naît des cinquième et six
e paires, c'est-à-dire du plexus brachial. Peut- on supposer que le
nerf
du grand dentelé et ceux du trapèze scapulaire
ion. Est-il plus logique de soupçonner une anastomose rare entre le
nerf
du grand dentelé elles rameaux trapéziens du plex
culaire a pu produire un tiraillement, une distension simultanée du
nerf
du grand dentelé et des rameaux tra- péziens et
ent une paralysie des muscles qu'ils innervent. Le tiraillement des
nerfs
été le fait de la contraction forcée du muscle
tout autre muscle. On peut se poser la question, notamment pour le
nerf
du grand dentelé. En effet les anatomistes alle
par- ticulièrement, admettent que les deux rameaux constitutifs du
nerf
du grand dentelé, qui viennent des cinquième et
scle scalène postérieur. 11 arriverait même parfois que le tronc du
nerf
traverserait ces fibres musculaires. Cette dis-
musculaires. Cette dis- position favorise-t-elle le traumatisme du
nerf
au cours de la contraction musculaire ? Il est
nerveux et produire ainsi la paralysie des muscles innervés par ces
nerfs
. Gowers a observé trois cas de paralysie radial
re, afin d'élucider les conditions qui permettent la compression du
nerf
radial par le triceps. Il conclut de son observ
de l'épaule qui favoriserait particulièrement les tiraillements du
nerf
du grand dentelé et des rameaux trapéziens ? Ce
aillements du nerf du grand dentelé et des rameaux trapéziens ? Ces
nerfs
présentent-ils des conditions anato- miques, da
ue affir- mer l'existence d'une lésion périphérique, tronculaire du
nerf
du grand dentelé et des rameaux trapéziens, aya
et brusque, produisant un tiraillement ou une compression de leurs
nerfs
respectifs, et, en dernière analyse, paralysie as
traction simultanée, capable de produire un tirail- lement de leurs
nerfs
respectifs. 50 Les caractères de cette paralysi
die que l'influenza; il y a quelques années, à part les attaques de
nerfs
auxquelles elle est sujette. De ces attaques elle
R UN CAS DE TACHYPNÉE HYSTÉRIQUE SECONDAIRE 465 formidable crise de
nerfs
qui d'après ce qu'on nous dit dans le service dur
enne maladie pleuro-pulmonaire. Elle a bien eu quelques attaques de
nerfs
, mais jamais le moindre soup çon de dyspnée, ce
s courts que la normale. L'excitabilité faradique et galvanique des
nerfs
normale, celle des muscles est diminué et un ra
lement « tort d'enlever le cristallin, il suffit 3e couper un petit
nerf
qui y « aboutit; la substance maladive devenue
Il y a « un jeu de réflexion de l'iris à la cornée transparente; un
nerf
« optique s'épanouit dans cette partie, et du j
Cela est dû « à ce que dans cette partie il n'y a pas de mélange de
nerfs
et « des muscles ; le nerf cesse là. Il y a plu
cette partie il n'y a pas de mélange de nerfs et « des muscles ; le
nerf
cesse là. Il y a plusieurs parties du corps « o
romateuse et très dilatée, du moteur oculaire externe et des autres
nerfs
du sinus caverneux. L'artère ophtalmique gauche,
ux. L'artère ophtalmique gauche, ectasiée elle aussi, comprimait le
nerf
optique. (Revue neurologique, mars, 1903). 1 :
ée dans des anastomoses et des sup- pléances, soit à la périphérie (
nerfs
intercostaux, nerfs du plexus cervical), soit a
ses et des sup- pléances, soit à la périphérie (nerfs intercostaux,
nerfs
du plexus cervical), soit au niveau de l'origin
, est celle d'une atrophie de rameaux nerveux moteurs de certains
nerfs
craniens sous la dépendance des lésions du sympat
nces consécutives dans la moëlle (racines postérieures) et dans les
nerfs
périphé- riques (racines antérieures) ; par J.
térieures) ; par J. NAGEOTTE. Une lésion inflammatoire subaiguë des
nerfs
radiculaires peut t être le point de départ d'a
outre des lésions inflammatoires multiples au niveau de plusieurs
nerfs
radiculaires lombo-sacrés. Il existe également un
s constituent un excédent spécifique des profondes terminaisons des
nerfs
mises en jeu pendant l'acte du réflexe rotulien
orielle ; dans d'autres cas enfin, des symptômes de compression des
nerfs
de la base, des hémiplégies ou des hémianesthés
e neurologique, novembre 1903). E. B. XVII. Deux cas de tumeur du
nerf
auditif; par M. J. LéPIYE. Le hasard a permis à
teur d'observer, à quelques mois de distance, deux cas de tumeur du
nerf
auditif, dans le service du professeur Lépine,
à. très peu près, celle d'une lésion cérébelleuse. Les tumeurs du
nerf
auditif sont eucore assez mal connues ; leur si
paralysie sensitivo- motrice intéressant la plus grande partie des
nerfs
crâniens du côté droit et présentant des déform
, Charcot, Virchow, Ordenëz, Schlaagenhaufer, etc.) placent dans le
nerf
optique l'origine de l'atrophie optique tabétiq
ien que dans quatre au moins de ces cas nous n'ayons trouvé dans le
nerf
correspondant aucune libre nerveuse et que dans
ment proportionnellement ni au nombre des fibres conservées dans le
nerf
, ni au nombre des cellules multipolaires. - L
que celles qui se' produisent à la suite de lésions quelconques du
nerf
optique ou des extrémités terminales de ses fib
trophie optique tabétique ne commence pas par la rétine. Elude du
nerf
optique dans l'amaurose tabétique. MM. P. Marie
lymphocytes, non seulement au devant de la portion crânienne des
nerfs
, mais également au pourtour de la portion orbitai
ais également au pourtour de la portion orbitaire. A l'exa- men des
nerfs
eux-mêmes, nous avons été frappés de la dispro-
78 SOCIÉTÉS SAVANTES. portion manifeste de leur volume : certains
nerfs
qui ne conte- naient presque plus de fibres ava
lus de fibres avaient conservé un volume égal au moins à celui d'un
nerf
normal, alors que les nerfs qui contenaient enc
rvé un volume égal au moins à celui d'un nerf normal, alors que les
nerfs
qui contenaient encore un nombre relativement c
nt considérable de fibres étaient déjà très réduits et que d'autres
nerfs
très atrophiés n'avaient plus que la moitié ou
nerfs très atrophiés n'avaient plus que la moitié ou le tiers d'un
nerf
normal : cette constatation laissait supposer q
disproportion nous a été expliquée par l'examen microscopique. Les
nerfs
volumineux présentaient une hypertrophie consid
es que l'on trouve à l'état normal entre les faisceaux nerveux. Les
nerfs
de volume très réduit ne présentaient plus au c
roportion avec le nombre des vaisseaux contenus normalement dans le
nerf
optique et nous fait penser qu'une première pha
s. Cette succession des lésions est très nette quand on examine des
nerfs
à des degrés d'atrophie différents 'ou même qua
même quand on examine des portions différemment altérées d'un même
nerf
. Elles expliquent que, comme nous l'avons indiq
t accompagnée de céphalées frontales et de signes d'irrita- tion du
nerf
optique, de phosphènes qui peuvent être le point
en et immédiatement au-dessous de la pie-mère, à la périphérie du
nerf
. Le passage dp faisceau maculaire, faisceau de la
ceau maculaire, faisceau de la vision distincte, à la périphérie du
nerf
dans sa partie rétro-oculaire explique que tout
trouvé ces mêmes lésions vas- culaires prédominantes au pourtour du
nerf
dans des cas d'altéra- tions syphilitiques dive
aux modernes ont montré la régénération normalement segmentaire des
nerfs
après réunion. Dans cette régénération, la diff
valeur d'un conducteur comme un fil de cuivre. La conductibilité du
nerf
est une transmission active s'effectuant comme
ystème nerveux SOCIÉTÉS SAVANTES. 85 des phénomènes de lésion des
nerfs
périphériques (manque de réflexes patellaires,
s un des cas de ce genre il n'y avait eu d'examen microscopique des
nerfs
; ces cas ne sont pas nombreux et tous ils appar
autant qu'on peut le juger parla brève communication de ce cas, les
nerfs
périphériques n'ont pas été examinés. Quant à l
de concentra- tion de la lésion dans cette maladie apparaissent les
nerfs
péri- phériques, mais cela n'exclut nullement,
eil droit se ferme mieux, l'anesthésie a diminué, la pres- sion des
nerfs
n'est plus douloureuse, les mouvements sont red
qui se passait avant le traitement suivi en France; la pression des
nerfs
, .leur simple effleurement éveillaient, à ce mo
leurs extrêmement vives; aujourd'hui l'indolence est telle que les
nerfs
n'ont certainement plus leur sensibilité nor- m
RE NERVEUSE. 103 Enfin, Messieurs, les réactions électriques de ces
nerfs
et de ces muscles atrophiés sont, vous pouviez
EUSE. La région sus-orbitaire droite, au niveau de l'émergence du
nerf
du même nom, présente une plaque érythémateuse
actions faradiques et galvaniques portant sur les rameaux moyens du
nerf
facial, l'excitabilité fara- dique était même a
gauche, on constate de la DR très prononcée dans tout le domaine du
nerf
cubital et du nerf médian à la main; dans le do
de la DR très prononcée dans tout le domaine du nerf cubital et du
nerf
médian à la main; dans le domaine antibrachial
et du nerf médian à la main; dans le domaine antibrachial de ces
nerfs
il n'existe que de la DR partielle sur le fléchis
ue de la DR partielle sur le fléchisseur commun des doigts. Pour le
nerf
radial, la DR n'existe que dans le domaine anti
fait défaut au niveau du bras. Enfin, les réactions électriques des
nerfs
musculo- cutané et circonflexe sont normales.
re de distribution des deux branches supérieures du trijumeau et du
nerf
auriculo-tem- poral ; toutefois, elle empiète s
s, elle révèle l'augmentation de volume et l'aspect moniliforme des
nerfs
périphériques. Cette augmen- tation de volume n
ution de l'excitabilité l'aradique et galvanique dans le domaine du
nerf
cubital, surtout au niveau du coude, et de la r
nt aller jusqu'à l'ulcération, enfin en une altération spéciale des
nerfs
périphériques modifiés dans leur volume et leur
l'hypertrophie considérable que nous avons rele- vée en palpant les
nerfs
périphériques et qui présente au point de vue d
tainement a dû frapper votre attention, à savoir l'hypertrophie des
nerfs
périphériques; or nous connaissons une forme de
ue par les troubles de l'innervation en rapport avec l'invasion des
nerfs
périphériques : c'est alors que l'on assiste à
coque ; cliniquement, on a vu chez l'homme l'infec- tion gagner les
nerfs
par contact immédiat à la suite de phlegmons pa
seulement la disposition normale du tissu conjonctif au niveau des
nerfs
, l'épinèvre qui entoure le cordon tout entier,
l'infection spécifique du système nerveux : peut-elle dépasser les
nerfs
périphériques et gagner les centres médullaires
soit dans les espaces péri-médullaires, soit dans les espaces des'
nerfs
périphé- riques,etces expériences semblent démo
remonte de la plaie cutanée vers les centres nerveux en suivant le
nerf
et très vaisembla- blement en remontant dans la
la pensée, l'une d'elles ayant pris à cette occasion des crises de
nerfs
ils avaient cessé, mais il avait essayé tout se
une de l'autre. Gruenhagen dit l'avoir démontré par l'expérience du
nerf
dont une partie est enfermée dans un tube et so
Cette paitie perd son excitabilité, tandis que l'excitation du même
nerf
au-dessus du tube transmet le mouvementà travers
lmann, Luchsinger, Efronn, Gad, Sawyer, Potrowsky. Pour Ilerzen, le
nerf
possède, indépendamment de son activité fonction-
ser d'expliquer par la désunion des deux (onctions fondamentales du
nerf
, l'excitabilité et la conductibilité, les phéno
divers, tout autant que différents agents physiques, appliqués à un
nerf
, à une intensité et pendant un temps connus, pr
substances narcotiques typiques. Par conséquent la modification du
nerf
analogue à la narcose doit être appelée d'un no
ences à l'aide de la cocaïne prouvent que la voie centripète est le
nerf
musculaire sen- sible, que le réflexe est muscu
avec agitation d'origine traumatique, la mienne dans l'atrophie des
nerfs
opti- ques syphilitique. IV. La vraie réactioa
lements involontaires des faisceaux muscu- laires, de la parésie du
nerf
facial droit dans ses ramifications infé- rieur
que nous avons affaire ici à une poliomyélite ; puisque ce sont les
nerfs
bulbaires qui sont altérés (les nerfs facial, a
myélite ; puisque ce sont les nerfs bulbaires qui sont altérés (les
nerfs
facial, auditif, pneumo-gastrique et, en partie
érés (les nerfs facial, auditif, pneumo-gastrique et, en partie, le
nerf
lingual), il faut croire que c'est une polioence
rata, 1\10NKEMoLLER, Liepmann) ne sont pas démons- tratifs, car les
nerfs
périphériques n'ont pas été examinés dans ces c
e maladie de KoRsAKoFF, mais où il y a des modifications dans les
nerfs
périphériques (ANGLADE, CRISTlANl). Pour la psych
très typique, ce qui a été confirmé par l'examen microscopique des
nerfs
périphériques, et le ramollissement du cerveau
ser que dans le cas de la clinique du professeur BECHTEREFF, où les
nerfs
périphériques n'ont pas été examinés, les ramolli
s dans tous les mem- bres. Affaiblissement de tous les muscles. Les
nerfs
crâniens sont en ordre. Douze heures après son
orie actuelle sur les vibrations. Il reconnut le rôle trophique des
nerfs
, dans la vie des glandes. Claude Bernard et Lud
é cette méthode, cherche à produire une lésion périphérique dans un
nerf
, dans un muscle et recherche, après une quinzai
entés des sections nerveuses. Marinesco a aussi démontré que chaque
nerf
rachidien possède en général dans la corne anté
236 ' SOCIÉTÉS SAVANTES. qui ont un noyau principal commun ; chaque
nerf
spinal tire ses origines de plusieurs segments
innervation des territoires dépendant des rameaux posté- rieurs des
nerfs
rachidiens, des muscles du dos en particulier.
ste pas dans la moelle, des noyaux nettement circonscrits, d'où les
nerfs
des membres tireraient leur origine, mais diffé
e des exemples dans les centres bulbaires et méson céphaliques : le
nerf
moteur oculaire commun, par exemple, est l'anal
ois types de troubles périphériques. Le noyau, ou origine réelle du
nerf
, représente le centre radiculaire. Les noyaux
es sont ana- logues aux centres segmenlaires de la moelle. Ainsi le
nerf
de la troisième paire a trois ordres de .centre
omparaison des centres médul- laires avec les différents centres du
nerf
moteur oculaire com- mun, on pourrait, supprime
ment; certaines avaient déjà été opérées (élongation ou section des
nerfs
) sans succès ; de même une névralgie sciatique.
peut, dans quelques cas exceptionnels, s'accompagner de lésions du
nerf
optique. Nous avons eu l'occasion d'observer ré
près nous, expliquer tous les faits. L'érysipèle facial agit sur le
nerf
optique, en raison de sa proximité, par la prop
(cellulite orbitaire) s'étendent consécutivement à la périphérie du
nerf
optique. Cette cellulite, qui peut dans des cas
par compression sur le contenu de l'orbite et en particulier sur le
nerf
optique. Nous pensons que cette compression du
ticulier sur le nerf optique. Nous pensons que cette compression du
nerf
, à laquelle s'ajou- ' Voir aussi la thèse d'un
édominent dans l'un quelconque des deux points faibles du trajet du
nerf
: a) son entrée dans l'oeil, où il est resserré
rvient de l'atrophie optique sans névrite ni papillite évidente. Le
nerf
optique blanchit, s'excave, les vaisseaux papil
talmoscopique de la papille dépend uniquement du point du trajet du
nerf
optique, plus spécialement atteint (entrée ocul
vement spontané n'est possible. La respiration est atteinte, les
nerfs
mixtes sont absolument paralysés alors que les au
te, les nerfs mixtes sont absolument paralysés alors que les autres
nerfs
bulbaires restent indemnes. Après des alternati
ension intracrânienne, entraînant une compres- sion du bulbe et des
nerfs
bulbaires. De plus, on a trouvé chez lui une sy
de laquelle, sans doute par polynévrite, les phénomènes du côté des
nerfs
crâniens s'étaient singulièrement aggravés. N'é
érations des noyaux; pas de prolifération névro- glique. Fibres des
nerfs
optiques indemnes. Les cellules nerveuses offre
cale motrice ne saurait être attribuée à l'hyperexcitabilité des
nerfs
périphériques. 7° Elle ne correspond pas rigoureu
l'écorce augmente. 8° Il convient de distin- guer l'excitabilité du
nerf
de sa conductibilité. Ainsi, pour provo- quer l
es bobines de l'appareil à chariot au moment où l'excitabilité du
nerf
périphérique a diminué. P. Keraval. XLV. Note r
1. Immédiatement après être entrées dans le cerveau, les fibres du
nerf
cochléaire se rendent au noyau antérieur, au tu
s dépassent le raphé et s'en vont de l'autre côté. 2. Les fibres du
nerf
vestibulaire 'dégénérées sont, du côté lésé, en
la paralysie, notamment du trijumeau, l'envahissement graduel d'un
nerf
à l'autre, le caractère de la douleur, l'action
e légère hypoesthésie de la branche maxil- laire inférieure du même
nerf
. Il existait un faible trouble du goût sur les
gue, ainsi que le veut Carl. Du ganglion pétreux les fibres, par le
nerf
tympanique ou de Jacobson, gagnent le plexus tymp
son, gagnent le plexus tympani- que : de là, les unes, par le petit
nerf
pétreux superficiel, s'en vont au ganglion otiq
pétreux superficiel, s'en vont au ganglion otique et, par suite, au
nerf
lingual, tandis que les autres, la plus petite
plexus tympanique, arrivent au ganglion géniculé et, de là, par le
nerf
de la septième paire, et la corde du tympan, au l
ouvé d'explication à cela. Les fibres inhibitrices du coeur dans le
nerf
vague sont égale- ment stimulables chez le chie
agi d'une toxine qui a lésé les cellules des couches nucléaires du
nerf
optique et leur parenchyme; l'organisme se répa
urelle du sang reprirent leur empire, et les cellules des noyaux du
nerf
se remirent à fonctionner normalement. Chez la
, a déterminé sur l'écorce entière un trouble fonctionnel excessif;
nerfs
sensoriels, sphère psychomo- trice et sensoriel
'iris, produit par des lésions pathologiques de certains filets des
nerfs
ciliaires courts ou longs, ou de leurs noyaux.
egments de l'iris dépend d'une parésie du filet corres- pondant des
nerfs
ciliaires : parésie partielle de l'iris. VIII. Le
d'excitation, de parésie ou de paralysie des différents filets des
nerfs
ciliaires courts ou longs. IX. Les irrégularité
estion. Cet auteur a observé un cas avec paralysie de la mimique du
nerf
facial gauche. L'homme en question pouvait fair
ivateur, âgé de trente ans, avait présenté les symptômes suivants :
Nerf
facial droit atteint de parésie en même temps q
réflexe fait vivement contracter l'utérus. Celle du bout central du
nerf
vague, sectionné au cou, a aussi agi, mais poin
, 1902). Contribution à la question de la régénération autogène des
nerfs
; par A. 13;l'IIE. Id. Réplique à Bethe ; par E.
es nerveuses. Du tout, répond Bethe, ces anastomoses extérieures au
nerf
, je les évite; c'est bien dans le REVUE D'ANATO
Ces fibres régénérées ne sont pas entrées du dehors dans le bout du
nerf
; ce ne sont pas non plus des fibres venues du bou
èces de fibres. 1° En dehols de cet organe, il reçoit des fibres du
nerf
optique. 2° Il en reçoit du ruban de Reil. Ces
ité mieux assurée des centres, de la régénération plus complète des
nerfs
sectionnés et de la restau- ration fonctionnell
LXXXI. Dégénérescence et régénération des terminaisons motrices des
nerfs
coupés ; par MM. ODIEn et HERZEN. (Rev. méd. de l
ré certains faits contradictoires, que les filaments terminaux d'un
nerf
moteur séparé des centres dégé- nèrent jusqu'à
enant de divers cobayes auxquels ils avaient pratiqué la section du
nerf
sciatique avec arrachement du bout central, les
du poignet qui avait subi cinq ans avant de mourir une résection du
nerf
médian depuis la paume de la main jusqu'au tier
upérieur de l'avant-bras, l'auteur a constaté que les deux bouts du
nerf
, distants de plus de vingt centimètres se termi
u de croire que le poison fau- teur à la démence précoce irrite les
nerfs
trophiques des cheveux, car à ce moment le cuir
ent le cuir chevelu de la région est hyperalgésié. L'irritation des
nerfs
trophiques en modifiant la circulation san- gui
aque et pulmonaire, semblent indiquer qu'à ce point de vue c'est le
nerf
pneumogastrique qui joue le rôle principal. En co
ments névrogliques et conjonctifs de la rétine, de la papille et du
nerf
optique, ainsi que par celle des fibres radiées.
e, par l'absence dans la moitié de la langue atrophiée et dans le
nerf
enflammé d'altérations qualitatives de l'excitabi
dans une observation deIoebius, (Paralysie simultanée de plusieurs
nerfs
crâ- niens. Archives de Neurologie, 1889, t. XV
voluent sans cette complication. Bien que l'examen histologique des
nerfs
atteints de paralysie soit resté négatif dans l
oxine tétanique se soit propagée par les fibres sensitives des deux
nerfs
de la cinquième paire jusqu'aux centres mésocép
iégeait dans le conduit auditif interne et intéressait à la fois le
nerf
facial et le nerf auditif. G. D. REVUE DE MÉD
nduit auditif interne et intéressait à la fois le nerf facial et le
nerf
auditif. G. D. REVUE DE MÉDECINE LÉGALE. I. S
Oncle et tante maternels, excès de boisson. Attire tante, crises de
nerfs
. Autre tante, intelligence médiocre, cataracte.
droits. - Atrophie considérable de l'hémisphère cérébral droit; des
nerfs
et des artères de la base de l'encéphale; Dégénér
sains; de ces trois soeurs vivantes, l'une aurait eu des crises de
nerfs
mal déterminées, dans lesquelles elle ne perdai
te- ment, c'est l'atrophie très considérable de l'hémisphère droit.
Nerf
olfactif droit, aplati et gris. Nerf optique dr
dérable de l'hémisphère droit. Nerf olfactif droit, aplati et gris.
Nerf
optique droit, et surtout la bandelette beaucou
isseurs de la cuisse, qui réagissent à l'élongation douloureuse des
nerfs
enflammés de la queue de cheval (branche d'orig
s nerfs enflammés de la queue de cheval (branche d'origine du grand
nerf
sciatique), élongation engendrée, par la flexio
ique de l'hémispasme facial vrai; il traduit la réaction motrice du
nerf
facial. Au point de vue pathogénique, les auteurs
ctions ont pu produire, à la longue, des lésions dégéné- ratives du
nerf
sensitif, et par un processus de névrite ascendan
é la formation d'une cupule aplatissant complètement le chiasma des
nerfs
optiques. La face antérieure de la protubérance
emier, émit une théorie vaso-motrice; il prétend que les lésions du
nerf
optique sont consécutives à des troubles circul
anatcmo-clinique, dû à la prédominance, en certains points (moelle,
nerfs
optiques), d'altérations généralisées à tout le s
ant l'expression de la prédominance des lésions en d'autres points (
nerfs
, encéphale). G. Carrier. XV. Arthropathie nerve
vec infiltration adipeuse ayant nécessité une large résection de ce
nerf
. L'autopsie pratiquée quatre ans après l'opératio
doctrine du neurone et confirme les travaux récents montrant que le
nerf
est, non pas formé par un prolongement cellulai
'autre partie est cachée par le trigone Tg. CO, couche optique. NO,
nerf
optique. - PC, pédoncule cérébral. - il, incisure
Evasion d'un - assassin, 513. 1 Amadrose. Voir Rétine. Etude du
nerf
optique dans 1' tabétique, par P. Marie et Léri
Contribution iL la psy- cho-physiologie du -, par Vogt, 338. '
Nerf
auditif. Voir Tumeur. op- tique. Voir Amaurose.
es consécutives dans la moelle (racines postérieures) et dans les
nerfs
périphériques (ra- cines antérieures), par Nage
ents incoercibles et fécaloides. par Paviot, 66. Deux cas de du
nerf
auditif, par Lépine, 60. Voir Vomissements. Tro
ession le long des troncs nerveux en parti- culier sur le trajet du
nerf
sciatique gauche. Les muscles du tronc étaient
du~plexus cervical, de la cinquième paire, du plexus brachial, des
nerfs
dorsaux,lombaires et sacrés, unilatérale ou sym
uis longtemps une faiblesse de la vue consécutive à une atrophie du
nerf
optique, mais qui ne l'empêchait pas de pou- vo
ormaux. Il n'y avait ni parésie, ni paralysie d'aucun muscle; aucun
nerf
crânien ne paraissait intéressé. La vision parais
opbtalmoscopique ne révélait aucune altération de la rétine, ni du
nerf
optique. La céphalalgie était continue et siége
ons réflexes et automatiques; innervation, énergie spé- cifique des
nerfs
. b) Psycho-physique. Rapports du physique et du
i de névralgies, survenant par accès, et siégeant sur le trajet des
nerfs
maxillaires inférieurs. Enfin au moment des cri
vous en assurer, de les provoquer en comprimant même légèrement les
nerfs
périphériques, le cubital et le radial au coude
ussi l'oreille interne (lésions des terminaisons labyrinthiques des
nerfs
auditifs, surtout du côté gauche). Ces altérati
e hallucination puisque rien de semblable à des vers n'excitait ses
nerfs
sensitifs, mais il avait des fourmillements, de
avait des fourmillements, des sensations morbides variées dans ses
nerfs
altérés, et il les interprétait d'une manière e
nt l'image hallucinatoire soit mise en jeu par une excitation des
nerfs
sensitifs-périphériques. Il s'agit alors d'illusi
-nous qu'en fin de compte l'irritation d'un centre cortical ou d'un
nerf
périphérique ne peut donner que l'idée d'une im
ieu à des bour- donnements et à des bruits variés par irritation du
nerf
auditif, peut déterminer la mise en activité mo
orielle cen- trale, puisque l'oeil était intact et que l'examen des
nerfs
et bandelettes optiques ne révéla aucune altéra
condensateur pour régler- l'intensité de l'excitation faradique des
nerfs
en physiologie. En plaçant un condensateur de c
tions d'ouver- ture. L'exploration de l'excitabilité galvanique des
nerfs
et des muscles est, on le sait, une des parties
ircuit parcouru par le courant galvanique affaiblit l'excitation du
nerf
ou du muscle à la fermeture du courant aussi bien
érées : chez deux pour les modes galvanique et faradique et pour le
nerf
et les mus- 116 REVUE d'électricité médicale.
mus- 116 REVUE d'électricité médicale. clés ; chez trois pour le
nerf
seulement. Deux autres présentaient une hyperex
e nerf seulement. Deux autres présentaient une hyperexcitabilité du
nerf
au courant faradique, le dernier au courant gal
nt que deux névrites, - l'une avec exagération de l'excitabilité du
nerf
au courant fara- dique, l'autre avec exagératio
uvent limitée à un nombre restreint de muscles. L'excita- bilité du
nerf
et des muscles pour une des formes de courant ou
nt pas de relations physiologiques avec les centres craniens ou les
nerfs
périphériques, de la répartition symétrique des
périphériques, de la répartition symétrique des lésions dans les
nerfs
de la périphérie et de l'envahissement général de
nt don- ner naissance à des agents toxiques capables d'agir sur les
nerfs
(diabète, anémie) : mais ce qui est incontestab
période avancée, l'auteur a rencontré des lésions très accusées des
nerfs
~périphériques, et qu'il ne manquait pas de preu
ominance des lésions dans les portions les plus périphé- riques des
nerfs
résulte ici, comme dans les autres névrites, de
ue : l'auteur tient cette explication pour également applicable aux
nerfs
sensitifs et aux nerfs moteurs. Si l'on admet l
te explication pour également applicable aux nerfs sensitifs et aux
nerfs
moteurs. Si l'on admet la théorie qui vient d'ê
lepsie, etc. L'auteur passe en revue, en procédant par divisions du
nerf
, les diverses affections mentales où peuvent se
évropathes, en dehors de toute altération organique des muscles des
nerfs
ou des centres. Les intéressantes observations
rite fut regardée comme une entité morbide, liée avec la lésion des
nerfs
périphériques, on commença à remarquer que dans
suivante : « D'après mon opinion, la dégénérescence mul- tiple des
nerfs
périphériques doit s'accompagner d'un change- m
présentent rien d'anor- mal. , Les recherches microscopiques des
nerfs
périphériques, colorés à l'aide de l'acide osmi
is et perorzeus, moins le zzervus radiales et très peu le reste des
nerfs
en question. Dans les nerfs gravement altérés,
vus radiales et très peu le reste des nerfs en question. Dans les
nerfs
gravement altérés, nous pouvions observer sur la
ialis, tibtîzt- cens et oculomotorius, nous remarquons que tous ces
nerfs
cranieus dont nous venons de parler, contiennen
rocès est tout à fait semblable à celui que nous observons dans les
nerfs
périphériques pendant la névrite parenchymateus
la maladie nommée la névrite multiple, souffrent non seulement les
nerfs
périphériques, mais le système nerveux entier.
des flammes, un jour ou deux avant mes époques ». Pas d'attaques de
nerfs
. Pertes de connaissance de treize à quatorze an
ue l'hypertrophie de l'épendyme du canal central. Altérations des
nerfs
périphériques. Quel que soit celui des nerfs pé
ral. Altérations des nerfs périphériques. Quel que soit celui des
nerfs
périphériques d'un aliéné âgé que l'on soumet à l
général, à peu près égale dans les divers faisceaux constitutifs du
nerf
, mais il arrive quelquefois qu'elle est notable
aler se rencontrent à un égal degré et sont de même nature dans les
nerfs
sensitifs et dans les nerfs moteurs. \ Il sem
l degré et sont de même nature dans les nerfs sensitifs et dans les
nerfs
moteurs. \ Il semble seulement qu'ils soient
la périphérie Plusieurs auteurs ont remarqué la prédisposition des
nerfs
vagues à subir des altérations dans d'autres fo
ans plusieurs cas, l'auteur a rencontré des altérations étendues du
nerf
vague. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PAT
hro- nique, - névrite périphérique multiple ou isolée affectant les
nerfs
cruraux antérieurs) déterminera l'abolition du
phies musculaires, malgré l'intégrité des cornes antérieures et des
nerfs
périphériques. Ces atrophies, de par leur siège
se, dégénérescences dans la substance blanche, névrite de plusieurs
nerfs
rachidiens et de presque tous les nerfs crâniens
anche, névrite de plusieurs nerfs rachidiens et de presque tous les
nerfs
crâniens ; vaisseaux athéromateux , stigmates s
Contribution A la question DU POLYMORPHISME DES réactions DE divers
nerfs
ou DE leurs terminaisons A L'éc \Rd d'une même
u sectionne un sciatique, on fait passer le bout périphérique de ce
nerf
par un tuyau mince de cuivre laminé long de 3 c
le) ; il ne faudra pas monter à plus de 52° sous peine d'altérer le
nerf
. On constate tout près de la paume de la patte
iolemment sur les centres sudoripares, même par la dyspnée, sur les
nerfs
sensitifs par la faradisation, on n'arrive pas
pas non plus la sudation quand on met le tuyau calorigène à côté du
nerf
au lieu d'introduire celui-ci dans celui-là. La
duire celui-ci dans celui-là. La chaleur peut donc exciter de vrais
nerfs
centrifuges et produire ainsi la mise en.'activit
....,r\t.t J H 1 ? iICJ XXXIII. Examen par la méthode DE GOLGIr16;.
NERFS
I : <iTRA-TllV RQ,L ? , DIENS DANS UN CAS DE
eaux lymphatiques, a été étudié par un grand nombre d'auteurs : les
nerfs
, au contraire, n'ont point encore attiré l'attent
par la 236 REVUE DE thérapeutique. méthode de Golgi, a vu que les
nerfs
n'y manquent ni plus ni moins que dans une thyr
des normales. Autant que permet de le dire la méthode employée, les
nerfs
paraissaient sains. (Revue de Neurologie, septemb
ne cicatrice au crâne, - et extirpation d'un fibrome comprimant les
nerfs
de 240 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. l'avant-bras),
de névrite a frigore. Le troisième cas était dû à une contusion du
nerf
sciatique. Le quatrième malade offre un exemple
nilatérale complète à droite. Les fonctions qui relèvent des autres
nerfs
crâniens étaient normales, ainsi que les réflexes
à droite; il l'est très peu à gauche. Le noyau de la dixième paire (
nerf
vague accessoire) est très peu atteint, un peu
rieure. Les racines lntra-médullaires de la neuvième paire et du
nerf
vague, vague accessoire et hypoglosse sont moins
puisse attirer l'attention sur la possibilité d'une lésion d'autres
nerfs
crâniens ou rachidiens que ceux des quatre derniè
nom de fais- ceau respiratoire est composée de fibres provenant des
nerfs
glosso- pharyngien, vague et vague accessoire,
et vague accessoire, et il est probable que les fibres provenant du
nerf
vague et du nerf vague accessoire occu- pent la
re, et il est probable que les fibres provenant du nerf vague et du
nerf
vague accessoire occu- pent la partie inférieur
ne tarde pas à vérifier; le même examen montra que la rétine et le
nerf
optique n'avaient pas perdu leur fonction, bien
servée dans les lésions cérébelleuses, soit due à la compression du
nerf
vague. En résumé, les principaux symptômes des
ie 276 6 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. irrégulière bilatérale des
nerfs
crâniens; 5° hémianopsie, névrite optique, surt
LV. UN CS DE paralysie isolée traumatique par LÉSION A la base DU
NERF
OCULOMOTEUR EXTERNE par A. EULE ? 13URG. (11'curo
les troubles apparaissent d'abord dans la zone d'inner- vation des
nerfs
dorsaux moyens. Ils s'étendent ensuite réguliè-
ibilité normale. Cette anesthésie tactile ne suit pas le trajet des
nerfs
périphé- riques, mais correspond exactement aux
fection simultanée des rameaux nerveux sensitifs qui conduisent les
nerfs
tropbulaes et qui s'anastomosent avec les ramea
rd une légère paralysie faciale à droite tradui- sant l'atteinte du
nerf
jusqu'au point d'émergence de'la corde du tympa
ito-urinaires, troubles de l'ouïe, in- sensibilité à la pression du
nerf
cubital, sensation de coton à la plante du pied
asser, en étroit voisinage, le faisceau pyramidal et les fibres des
nerfs
facial et moteur oculaire externe. A côté des
e citerne recevant l'eau par deux bouches dont l'une représente les
nerfs
centripètes viscéraux, et l'autre les nerfs cen
nt l'une représente les nerfs centripètes viscéraux, et l'autre les
nerfs
centripètes somatiques. La citerne possède par
citerne possède par contre deux tuyaux d'échappement, l'un en haut,
nerfs
centrifuges viscéraux, et l'autre en bas, nerfs
ment, l'un en haut, nerfs centrifuges viscéraux, et l'autre en bas,
nerfs
centrifuges soma- tiques, celui-ci est muni d'u
3 L'excitabilité électrique est diminuée pour les muscles et les
nerfs
du membre supérieur gauche dans les limites de 1
cervicale et thoracique du grand sympathique, les vaisseaux et les
nerfs
des extrémités supé- rieures, la peau des diffé
de même pour les gros troncs nerveux du membre malade, sauf pour le
nerf
cubital ; sur des coupes transversales de ce nerf
ade, sauf pour le nerf cubital ; sur des coupes transversales de ce
nerf
, différenciées d'après le procédé de Koultchitz
Ces fibrilles dégénérées deviennent plus nombreuses dans les petits
nerfs
cutanés, quoi- qu'on ne trouve pas un seul tron
pigmentées. La recherche des bacilles de la tuberculose dans les
nerfs
, les vaisseaux et la peau a donné des résultats n
is des vaisseaux et dans la lésion cellulaire périvasculaire. Les
nerfs
sont soumis aux mêmes conditions des troubles d
s de névrite au début que j'ai constatées, plus prononcées dans les
nerfs
de la peau que dans le gros tronc nerveux. Ains
tées (a) ; vaisseau sanguin oblitéré (b) ; hémorragies (c). Fig. 4.
Nerf
de la peau dégénéré, pris à la région oedématlée.
la paralysie générale, elle parait due à une irritation centrale du
nerf
vague. Buzzard, parlant de cette forme de diarr
rrhée chez les tabétiques, la rattache à une irritation du noyau du
nerf
vague dans la moelle, et Bevan Lewis attribue l
elle, et Bevan Lewis attribue l'excès de liquide à la paralysie des
nerfs
splanchniques (nerfs vaso-moteurs de l'intestin
attribue l'excès de liquide à la paralysie des nerfs splanchniques (
nerfs
vaso-moteurs de l'intestin) et à la transsudati
v ? 'Ouscav·.mov I. - Prolongement sous-pleural de la tumeur. N,
nerf
intercostal visible sous la plèvre réclinée, à la
e fillette de dix ans, comprimé l'oculomoteur commun gauche et le
nerf
optique, et détiuit les lobes frontaux. OEdème de
. KERAVAL, LXXI. SUR LES P1REST11SIES localisées dans le domaine DU
NERF
fémoro-cutané EXTERNE; par le professeur BERNHA
« sur les paresthésies qui surviennent isolément dans le domaine du
nerf
fémoro-cutané externe. » Or, la communication d
grand soin le malade se plaignant de paresthésie dans le domaine du
nerf
fémoro-cutané externe, de rechercher les symp-
noyau de 374 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. ce
nerf
et qui intéresse le pédoncule cérébral droit (ce
du lobe optique des oiseaux prouve, d'après M. Jelgersma, que les
nerfs
sensitifs et les nerfs sensoriels renferment des
iseaux prouve, d'après M. Jelgersma, que les nerfs sensitifs et les
nerfs
sensoriels renferment des fibres de deux espèce
ême les noyaux mo- teurs de la moelle sont disposés non suivant les
nerfs
périphé- riques, mais suivant l'ensemble des mu
. Il en est ainsi pour les racines postérieures de la moelle et les
nerfs
sensoriels. L'embryogénie et la technique mic
ellules envoient tous les cylin- draxes aux centres. Les fibres des
nerfs
optiques et acoustiques correspondent donc aux
ostérieurs de la moelle jusqu'au noyau grêle. Les noyaux nerveux du
nerf
optique sont comparables au noyau grêle, ou enc
anté- rieure de la corne postérieure. L'atrophie de la rétine et du
nerf
optique des tabétiques n'est donc pas périphéri
leurspro- longements cylindraxiles dans la moelle; la rétine et le
nerf
optique sont donc bien les homologues de ceux-c
tue de cellules endothéliales. En résumé, il y a analogie entre les
nerfs
sensitifs et les nerfs sensoriels. Tout le syst
liales. En résumé, il y a analogie entre les nerfs sensitifs et les
nerfs
sensoriels. Tout le système nerveux sensitif pé
nts dans les cordons pos- télieursde la moelle sont l'homologue des
nerfs
optique et acuus- tique. Le noyau grêle et les
ue des oiseaux, dans le ganglion dorsal optique (ganglion dorsal du
nerf
optique ? et il est permis de supposer la même
optique ? et il est permis de supposer la même disposition pour le
nerf
auditif. Ce qui n'est pas établi, c'est l'exist
auditif. Ce qui n'est pas établi, c'est l'existence d'un centre du
nerf
optique qui (de même que les fibres nerveuses d
du globe oculaire, mais la fonction de la pupille reste intacte; le
nerf
optique n'est jamais dégénéré, l'intelligence p
culo- moteurs, songer à l'appareil ampullaire et se rappeler que le
nerf
labyrinthique, en sa qualité de racine postérie
une série d'expé- riences graphiques sur la rétine, le muscle et le
nerf
. Pour la rétine (oeil de grenouille isolé , et
et à courbure supérieure longue et concave vers l'abscisse. Pour le
nerf
, même résultat mathé- matiquement et graphiquem
utritif des tissus. (Muscles considérés comme organes terminaux des
nerfs
moteurs.) Enfin la transmission de la force ner
veii ' connexion avec les noyaux interne, externe et accessoire du
nerf
auditif et avec celui de la sixième paire du mê
des noyaux des racines vestibulaires, cochléaires et accessoires du
nerf
auditif et probablement de la sixième paire. F.
es expériences ci-dessus, il a pratiqué sur un chien la section des
nerfs
laryngés supérieurs et récurrents, et lésé les
complète de l'oculo-moteur commun du côté gauche et une atrophie du
nerf
optique; du côté droit on note la perte du réfl
hronique, dila- tation des ventricules cérébraux, dégénérescence du
nerf
optique et de l'oculomoteur gauches. L'examen c
la troisième paire étaient intactes, tandis que les deux noyaux des
nerfs
oculomoteurs étaient dégénérés dans leur totali
ps cellulaire dont ils émanent ou, au contraire, aller à travers un
nerf
périphérique, de la moelle épinière à un muscle
ôles d'une cellule du ganglion intervertébral, s'en va à travers le
nerf
sensible se terminer dans'la peau. Le prolongem
t concourir à sa démonstra- tion dans la moelle, l'encéphale et les
nerfs
périphériques un nombre considérable de documen
. Des dégénéres- cences rétrogrades dans les centres nerveux et les
nerfs
périphériques. Voir aussi la thèse de Durante,
rimentale, à moins d'admettre, ainsi que nous l'avons fait, que les
nerfs
sensibles sont des dendrites. Ce que nous savon
a retrouvé le cylindraxe non détruit dans le bout périphérique des
nerfs
sectionnés. En répétant ses expériences avec la
lieu pour toutes les lésions en foyer circonscrit siégeant dans les
nerfs
, dans le cerveau et la moelle. Il en résulte qu
est ainsi que la névrite périphérique, la section expérimentale des
nerfs
, par exemple, sont toujours accompagnées d'une
lulaire déjà accusées quarante-huit heures après l'arrachement d'un
nerf
moteur comme le facial 2. La patho- génie de la
indraxe s'en va dans le muscle à travers la racine antérieure et le
nerf
. Ce système est relativement très simple. Parti
istribuent dans la peau sous forme de dendrites qui constituent les
nerfs
sensibles ; son centre est dans le ganglion int
ait si c'est pendant sa fièvre ou dans l'enfance. Pas d'attaques de
nerfs
ni de migraines, mais des accès de colère suivi
et au corps trapézoïde par le ruban de Reil latéral, et, par là, au
nerf
de la huitième paire. De plus, la racine pos- R
chent les cellules originelles des systèmes descendants (noyaux des
nerfs
de l'oeil, cordons antérieurs de la inoelle). L
us-scapulaire, paralysie de la sensibilité dans le terri- toire des
nerfs
axillaires, musculo-culané, radial. Le malade ne
guérit complètement le jeune homme en trois mois. P. K. LXXXI. Du
nerf
OPTIQUE du PIGEON; par MAYSER. (Allg. ZeiLSschr.
chiat., LI, 2.) Il n'y a pas chez lui, d'entre-croisement total des
nerfs
optiques. La masse principale de la bandelette
l, d'autre part, beaucoup de fibres vont passer dans les noyaux des
nerfs
moteurs de ici ! . Il se pourrait que la derniè
dégénérescence des fibres radiculaires émer- gentes d'une série de
nerfs
craniens, celle aussi d'un très grand nombre de
sive- ment un raccord centrifuge entre le cervelet et le bulbe; les
nerfs
craniens en rapport avec Je faisceau longitudin
et analogie. Le faisceau longitudinal postérieur joue vis-à-vis des
nerfs
crâniens, le rôle que joue le cordon artéro- la
nerfs crâniens, le rôle que joue le cordon artéro- latéral pour les
nerfs
spinaux. P. KERAVAL. LXXXIII. DE l'importance Q
à étudier jusqu'à un cer- tain point, les parties constitutives des
nerfs
périphériques. Les résultats acquièrent une pré
u. Quelques minutes plus tard, on n'obtenait plus rien du tout. Les
nerfs
périphériques recouverts de la peau sont encore
ang .dans LE délire aigu; par le Dr Clemeute CADITTO. (RiV. di put.
nerf
. et ment., ni 2, 1896.) Dans quelques cas, co
. et ment., fasc. 2, 1896.) XCI. SUR LES rapports ANASTOMOTIQURS du
nerf
accessoire ET DU vague; par ]esD ? R'IIRTO et P
OUR L'ÉTUDE des centres nerveux; par le Dr G. MIRO. (Riv. di pat.
nerf
. et ment., fasc. 3, 896.) REVUE DE PATHOLOGIE M
strique chez les épileptiques; par l' le Dr AGOSTINI. (Riv. di pat.
nerf
. et ment., fasc. 3, 1896.) , Le suc gastrique d
généralisé. M. Bruns présente un enfant chez lequel la suture des
nerfs
a donné un excellent résultat. A l'âge de deux
s droit. La fumeur avait englobé le médian et le cubital : ces deux
nerfs
durent être complètement sectionnés et leurs extr
Cinq mois après l'opération, on pratique la suture secondaire des
nerfs
sectionnés et sept mois après cette suture, on co
du courant de l'extrémité centrale à l'extrémité périphé- rique des
nerfs
sectionnés et ensuite suturés. En janvier 1895, s
s consistaient en : hémianopsie et plus tard amblyopie, atrophie du
nerf
optique du côté droit, alexie, agraphie, surdit
gments de membres, et ne correspondent jamais aux groupe- ments des
nerfs
des muscles et de la peau, soit à la périphérie,
aitée par l'extrait thyroïdien, par Mac Claugher, 60. Examens des
nerfs
intra-thyroidiens dans un cas de - exophtalmiqu
D' Gauster, par P. Sérieux, 176. Duquet, 256. D' Tebaldi, 416.
Nerfs
. Polymoiphisme des réactions des divers -, par
plète, par Trésillon, 288. - aiguë, parSchule, 373. - Optique. Du
nerf
- du pigeon, par Mayser, 474. Oreille. Rappor
xtell. 264. Paresthésies. Sur les - localisées dans le domaine du
nerf
fémoro- cutané exteine, par Bernhardt, 370, 3
tées (a); vaisseau sanguin oblitéré (b); hémorragies (c). Fig. 4. -
Nerf
de la peau dégénéré, pris à la région oedématiée.
au- coup plus intenses sur l'oeil malade que sur l'oeil droit. Le
nerf
sus-orbitaire gauche, n'est pas notablement doulo
ée à l'hôpital ; il y avait une certaine faiblesse dans l'action du
nerf
facial gauche, surtout pour la partie inférieur
s nerveuses. L'oculo-moteur commun droit, ainsi que tous les autres
nerfs
crâniens n'est pas altéré. Les muscles innervés
t due à une inflam- mation tuberculeuse chronique des racines de ce
nerf
, inflammation dont chaque poussée se serait tra
RALYSIE OCULAIRE. 27 plastique du cerveau englobant complètement le
nerf
moteur oculaire commun, nous croyons devoir la
: en effet, il n'a jamais été constaté de paralysie alterne de ce
nerf
, ni du moteur oculaire commun avec hémianesthésie
té est en rapport avec les troubles de la motilité. Intégrité des
nerfs
céphaliques et des sphincters ; absence de douleu
apyrétique, absence d'atrophie; réaction normale des muscles et des
nerfs
à l'égard du courant galva- nique et, excepté p
action des cylindraxes, avec intégrité delasubs- tance grise et des
nerfs
périphériques. Intégrité -des noyaux bulbaires,
ne façon individuelle, de telle sorte que dans le domaine d'un même
nerf
on trouve des muscles complètement détruits au
és présentent la moindre augmentation de volume. Les vaisseaux, les
nerfs
n'offrent aucune altération. Au point de vue di
ystème nerveux (fixité, immobilité de la pupille, atrophie des deux
nerfs
optiques, complexus symptomatique psychosen- so
lète des membres supérieurs. Tous les muscles innervés par les deux
nerfs
radiaux, y compris le triceps, étaient paralysé
ansition ; dans l'état maniaque en effet (hypérémie cérébrale), les
nerfs
sensoriels sont physiologiquement centri- pètes
monde extérieur) et de l'état d'impres- sionnabilite irritalive des
nerfs
et organes centraux (aperception; connaissance
l'asymétrie des hémisphères cérébraux de l'homme, le renflement du
nerf
ol- faclif ne parvient pas à son complet dévelo
nverse l'hémisphère cérébral normal ; de là l'atrophie partielle du
nerf
lui-même. Le ganglion ventral postérieur meurt
ces prouvant que la destruction de la cornée qui suit la section du
nerf
trijumeau doit être rapportée non à la neuropa-
ieures nuisibles : 10 chez deux lapins nouveau-nés, on sectionne le
nerf
optique à l'intérieur de l'orbite, avec les ner
s, on sectionne le nerf optique à l'intérieur de l'orbite, avec les
nerfs
ciliaires. La cornée, tout à fait insensible. d
t à fait insensible. demeure absolument claire. La conservation des
nerfs
palpébraux permettait, dausl'espèce, la fermetu
ger contact des cils; '-)0 chez un lapin nouveau-né on sectionne le
nerf
optique, les rameaux ciliaires et les rameaux p
'autres expériences, il a paru découler que la cornée privée de ses
nerfs
réagit sous l'influence des mêmes excitants, et
t et laisse après elle des parésies occupant surtout le domaine des
nerfs
péroniers, rarement celui du facial ; on a vu e
Villejuif. Le sujet était, pour la question écrite : Racines des
nerfs
rachidiens (anatomie et physiologie). Les autres
et physiologie). Les autres questions restées dans l'urne étaient :
nerf
facial, artères du cerveau (ana- tomie et physi
de nos connais- sances, est toujours produite par des lésions d'un
nerf
optique, ou d'une portion plus centrale de l'ap
es théories de Newton, Wollaston, Müller,Hanovpr et de Graefe), les
nerfs
optiques sont ainsi dis- posés : les fibres de
'entre- croise avec son homologue et prend part à la formation du
nerf
optique du côté opposé, fournissant ainsi à la mo
, pluspetite, ne s'entre-croise pas, mais passe directement dans le
nerf
op- tique du même côté, fournissant à la moitié
au latéral. Chaque rétine reçoit dans des fibres nerveuses des deux
nerfs
optiques, ou, en d'autres termes, chaque nerf o
s nerveuses des deux nerfs optiques, ou, en d'autres termes, chaque
nerf
optique contient des fibres destinées aux deux
immobilité ou d'irrégularité pupillaire, par névrose ou atrophie du
nerf
optique, et leur diagnostic est facilité par la
est facilité par la présence des signes de la paralysie des autres
nerfs
crâniens ou d'une hémiplégie croisée. 8. Une
que et où l'hémianopsie résultait de la compres- sion des fibres du
nerf
et du chiasma optiques. 3. Les cas, au nombre d
le point de fixation. Perception des couleurs bonne à droite. Les
nerfs
optiques présentent une « coloration grisâtre sén
Pas d'autre lésion cérébrale. Les bandelettes, le chiasma et les
nerfs
optiques étaient normaux à l'examen microsco- D
ocalisée. Vue et ouïe normales. Sensibilité au pincement conservée.
Nerfs
optiques normaux. Amélioration temporaire sous
condaire. Corps genouillés, lobes optiques, bandelettes, chiasma et
nerfs
optiques normaux. La commissure grise du troisièm
miopie gauche, comme vous le dites. Il a de l'opacité des fibres du
nerf
optique dans la moitié nasale de la pupille gau
tères cérébrales moyennes exemptes d'embolie et de throm- bose. Les
nerfs
de la base, les bandelettes optiques et le chiasm
il droit. -N. T., moitiés nasale et temporale des rétines. -N. 0. S.,
nerf
optique gauche.-N. 0. 17., ncif optique droit.
anopsie latérale avec immobilité pupillaire, névrite ou atrophie du
nerf
optique, surtout s'il s'y joint des symptômes d
ement ; et rarement l'examen ophthalmoscopique dénote une lésion du
nerf
optique, excepté, bien entendu, dans quelques c
. A gauche, la contraction des muscles faciaux par la pression du
nerf
facial est faible; le sterno-mastoïdien pressé to
ge, car, par une pression égale à celle exercée sur les deux autres
nerfs
, on n'obtient que des secousses dans les muscle
centuation des altérations articulaires retentit sur les muscles et
nerfs
des membres d'une façon presque toujours.pro- p
s sont les griffes des muscles résultantes de la pression des trois
nerfs
: médian, cubital et radial). Le 16 de ce mois,
bre nerveuse sont des fils conducteurs isolés, qui, séparés dans le
nerf
, fusionnent dans la cellule; une excitation d'une
tiques primaires, la zone As plus de rapports avec les faisceaux du
nerf
optique entrecroisés, la zone A2, avec les fais
aux du nerf optique entrecroisés, la zone A2, avec les faisceaux du
nerf
optique non entrecroisés; la zone A' est pro- b
LOGIE. En ce qui concerne l'origine et la disposition des fibres du
nerf
optique, l'ablation de la partie médiane de la
ne l'atrophie de toute l'étendue des faisceaux conducteurs jusqu'au
nerf
op- tique sans intéresser le tubercule bijumeau
le, Turin, ~188l). En ce qui concerne les conditions d'origine du
nerf
optique chez le chat et le lapin, il y a quelqu
E NERVEUSE. 257 en particulier, à la racine ascendante droite de ce
nerf
atteinte par propagation de la dégénérescence d
de réflexe tendineux rotulien. Au mois d'octobre 1880, lésion du
nerf
optique aboutissant promptement à une cécité abso
e. Aucune lésion syphilitique. Atrophie simple, mais générale des
nerfs
optiques. Lésion des cordons postérieurs sous for
ds du cer- veaux 730; hémisphères égaux; intégrité du cervelet, des
nerfs
et vaisseaux de la base, atrophie extrême du co
des pu- pilles, du fond de l'aeil, du champ visuel, de l'ouïe, des
nerfs
sensoriels, des réflexes, de la sensibilité et
ncé par la périphérie, par exemple, par les rameaux termi- naux des
nerfs
de la peau ou dans les travées interstitielles de
par l'urticaire; 3° on ne saurait révoquer en doute l'existence des
nerfs
trophiques et des névroses de ces nerfs (trophoné
er en doute l'existence des nerfs trophiques et des névroses de ces
nerfs
(trophonévroses); 4" on observe de semblables n
une diminution, une sttppression de l'activité fonction- iielle des
nerfs
trophiques (agénésies, atrophies, aplasies névro-
ceux qui reposent sur une exagération chronique de la fonction des
nerf
trophiques (hypertrophies, hyperplasies névro-
d'irri- tatioit aigu, généralement inflammatoire (névrotique), des
nerfs
tro- phiques (dystrophies névrotiques et paratr
ymétrique des extrémités résulte de troubles dans l'innervation des
nerfs
vasomoteurs ou trophiques, ou de ces deux ordre
ation des nerfs vasomoteurs ou trophiques, ou de ces deux ordres de
nerfs
à la fois. - J. Ban.uuc. Traitement des congest
du reste, l'histoire des psychoses consécutives à l'excitation des
nerfs
sen- sitifs (névralgie frontale, occipitale, vo
vèle, après la cessation de l'asthme nerveux, une surexcitation des
nerfs
sensoriels, l'apparition de phénomènes d'angois
inger (névralgie de la cinquième paire). Les états d'excitation des
nerfs
sensibles se propagent à certaines parties du c
ansformation. L'asthme nerveux n'est-il pas lui-même une névrose du
nerf
vague; les filets sensitifs contenus dans ce ne
me une névrose du nerf vague; les filets sensitifs contenus dans ce
nerf
, qui règlent le-rhythme des mouvements respira-
oires, se rendent à la moelle allongée où aboutissent également des
nerfs
moteurs chargés d'animer les muscles respiratoire
décembre. Autopsie, ) Intégrité de la structure des muscles et des
nerfs
périphériques, aucune ano- matie dans l'encépha
c- trique ; contractions et réactions normales des muscles et des
nerfs
à l'égard des deux espèces de courant; pas de réa
ravagé partiellement les noyaux. Dans les quatre cas, atro- phie du
nerf
optique, dégénérescence grise des cordons pos-
de la paralysie générale, auxquels se joignent alors l'atrophie des
nerfs
optiques etjla dégénérescence grise des cordons
le morbide rappelant la paralysie générale, enfin de l'atrophie des
nerfs
optiques avee du tabès . L'association du compl
à vie, con- tient des fibres myéliniques. La plupart des noyaux des
nerfs
crâniens, sinon tous, reçoivent d'autres tractu
de groupes de cellules qui envoient chacun leurs petites fibres au
nerf
en ques- tion. Au-dessus et au-dessous de chaqu
te un petit noyau de cellules fusiformes dont les relations avec le
nerf
ne sont pas certaines. Là où le noyau de l'ocul
x noyaux, un noyau médian qui, de chaque côté, envoie des fibres au
nerf
. Le noyau ou les noyaux des oculomo- teurs comm
es plans découpes, le trajet entier du pathétique; les fibres de ce
nerf
s'entre-croisent, quoi qu'en ait dit tout récem
'autre part par la persistance de la réaction réflexe à l'égard des
nerfs
sensoriels élevés et par le défaut d'action psy
microscope, comme à l'oeil nu, intégrité des centres nerveux : les
nerfs
périphériques, et en particulier les hypo- gtos
scence remar- quable. On n'a pas encore terminé l'examen des autres
nerfs
, mais tout porte à croire qu'il s'agit de lésio
CONTRIBUTION A L'ÉTUDE DE LA NÉVRITE SEG.IENTAIRE (altérations DES
NERFS
dans un cas DE paralysie diphthéritique) ; Par
LLARD, professeur agrégé du Val-de-Grâce. Parmi les altérations des
nerfs
périphériques que l'on range dans le groupe des
ment celles que M. Ranvier a décrites sur le bout in- férieur d'un
nerf
sectionné. A la période initiale, le noyau des
calisée, M. Gombault a observé un mode particulier d'altération des
nerfs
qui diffère à tous égards du précédent. « Contr
rairement, dit-il, à ce qui se passe dans le cas de la section d'un
nerf
, 1 Gombault. Contribution n l'étude de la névri
ue aisément l'absence de troubles moteurs chez les animaux dont les
nerfs
périphériques présentaient ces altérations. C
e dans les recher- ches ultérieures sur l'anatomie pathologique des
nerfs
1 Gombau]t. JVo<e sur le rôle que jouent les
égrité du cerveau et de la moelle. Névrites à forme segmentaire des
nerfs
périphériques et des racines spinales. Uchan,
eurs très vives, oc- cupant successivement le trajet des différents
nerfs
. La parésie des membres inférieurs est devenue
oelle ne montre aucune altération appré- ciable. . Les différents
nerfs
des membres supérieurs et inférieurs mis à nu s
modification. La substance blanche est partout absolument saine.
Nerfs
périphériques. A. Nerfs du membre supérieur gau
les vestiges du filament axile. Le tissu conjonctif constituant du
nerf
participe presque toujours dans une certaine me
forme ne diffèrent en rien de celles qui ont été signalées dans les
nerfs
du bras gauche. Sur le tronc du médian on constat
es segments, avec végétation appréciable du protoplasma. 0 rad C.
Nerfs
du membre inférieur gauche. Le saphène externe
n wallérienne et des altération'; segmentaires. Dans les différents
nerfs
, on rencontre en outre les indices d'une phase
les indices d'une phase de restauration plus ou moins étendue. D.
Nerfs
du membre inférieur droit. Un grand nombre des
s diverses formes de la névrite segmentaire signalés à propos des
nerfs
périphériques. Quelques fibres, normales par aill
. Les racines spinales, antérieures et postérieures, les différents
nerfs
périphériques examinés montrent au contraire de
phthéritique des lésions intéressant les racines antérieures et les
nerfs
périphériques, dénie à ces dernières toute exis
lle serait donc le fait primordial, l'altération des racines et des
nerfs
une simple consé- quence. Chez un sujet attei
ue, P. Meyer a a constaté également des lésions simul- tanées des
nerfs
périphériques, des racines spinales et de la su
r les différents points du système nerveux, tout aussi bien sur les
nerfs
que le centre spinal ». Dans le fait que nous
appréciable. Il est donc ra- tionnel de penser que les lésions des
nerfs
périphéri- ques et des racines sont autochthone
e nerveux. Au point de vue purement anatomique, les lésions des
nerfs
périphériques montrent quelques caractères spéc
cédé semblable à celui que l'on observe dans le bout inférieur d'un
nerf
sectionné. La seconde n'intéresse pas toute l
nt exactement celles que l'on observe sur le bout périphérique d'un
nerf
sec- tionné. La myéline s'y fragmente d'après l
r des lésions bien diffé- rentes de celles que présente le tronc du
nerf
, et con- tenir uniquement des tubes dégénérés s
vrite segmentaire est également commune dans les deux portions du
nerf
. Nous ne saurions aller au delà de la constatat
ues, à côté de la névrite segmentaire, on rencontre dans tous les
nerfs
examinés des fibres altérées sur toute leur lon
ons iden- tiques à celles qui se produisent après la section d'un
nerf
. La destruction du cylindre-axe pouvant s'effectu
ute lésion médullaire et d'examiner ainsi un nombre considérable de
nerfs
pris en différents points de leur trajet. Ces n
considérable de nerfs pris en différents points de leur trajet. Ces
nerfs
présentaient les divers degrés de l'altération
n mode absolument identi- que à celui qui succède à la section d'un
nerf
. Quelquefois, très rarement il est vrai et sur
perçue. Si l'examen ne porte pas sur des points multiples d'un même
nerf
et sur des fibres suffisamment longues, on risq
les altérations dont-il s'agit, et de con- sidérer comme indemne un
nerf
profondément lésé. Encore est-il nécessaire de
ce raisonnement. Si avec la cessation de la cause irritante dans un
nerf
périphérique l'irritation cesse immédiatement,
t je m'attache aux paroles de Valentiu, qui dit : « l'expression de
nerf
d'arrêt est un terme qui,. loin d'expliquer les
érébraux proprement dits (parole, intelligence, ver- tiges, délire,
nerfs
crâniens) dans 19 (Il°9 1, 2, 3, 4, 5, 7, 10, 1
ité postérieure touche, mais sans l'envahir, la commissure et les
nerfs
optiques. Le nerf optique droit et son tractus so
ouche, mais sans l'envahir, la commissure et les nerfs optiques. Le
nerf
optique droit et son tractus sont très atro- ph
rapprocher de la description que Meynert a donnée de la racine du
nerf
auditif, dont la plupart des fibres pénétreraient
résultats expérimentaux relatifs à' I*élon-aliou et à la lésion des
nerfs
. Il en tire que toute paralysie motrice périphé
s. Il en tire que toute paralysie motrice périphérique absolue d'un
nerf
mixte entraî- nera la perte des phénomènes tend
de l'excitabilité électrique; dans les altérations névritiques des
nerfs
mixtes avec réaction dégénérative consécutive d
ste ni paralysie ni modification considérable de l'excitabilité des
nerfs
; dans toutes les paralysies dégénératives graves,
e. Dans les cas de paralysie grave, atrophique, à lésion intense du
nerf
ou de la moelle (Cas. III), la-réaction dégénér
des endroits voisins. C. Méthode polaire symétrique. Anode sur les
nerfs
malades; cathode sur les points symétriques de l'
local méthodique exposé plus haut (électrisation des muscles et des
nerfs
jusqu'à leur entrée dans la moelle). Une observ
possible en flexion et en extension (élongation physiolo- gique du
nerf
). (Voy. le §. 1. E.) - P. K. II. NOUVELLE contr
ce que les conditions anatomo-topographiques empêchent d'isoler le
nerf
sur une longue étendue ; on est obligé de circons
nerveux, analogue à celle qui s'observe dans le bout central d'un
nerf
sectionné au voisinage de la section, la persista
I57 analogue à celui qui s'observe dans le bout périphérique d'un
nerf
sectionné, à l'absence de cylindres-axes dénudés,
hèse de Paris, 1885.) Contribution à l'étude de la régénération des
nerfs
périphériques ; parMARacuEY. (Thèse de Paris, 1
essive, par Lamlouzy et Déjerine, 78. MY% me, par Harhnann, 84.
Nerfs
crâniens (trajet des faisceaux centraux des), p
, ses relations avec les centres optiques infra-corti- caux et le
nerf
optique, yar nlona- kow, 237. Vol par une hys
se, puis quatre nouveaux vésicatoires en divers points du trajet du
nerf
sciatique. Tous ces révulsifs ont un peu calmé le
tuel. Le malade ressent dans le membre inférieur gauche, le long du
nerf
sciatique, une douleur sourde et continue, qui
erne en dedans, et du tenseur du fascia lata en dehors, le long des
nerfs
crural et fémoro-cutané. Les mouvements actifs
nférieur droit, puis des dou- leurs très vives le long du trajet du
nerf
sciatique droit. Le lendemain du jour où ont dé
. La malade souffre encore beau- coup tout le long du trajet de son
nerf
sciatique droit : la douleur se fait sentir dep
uniquement sur le membre sain, et la compression normale, que le
nerf
sciatique doit subir, lorsque les muscles du mem-
r le sol, car le soulèvement du membre amènerait un tiraillement du
nerf
qui se- rait suivi de douleurs. Il nous semble
lique, ni syphilitique. Elle n'a jamais été sujette à des crises de
nerfs
, ou à d'autres phé- nomènes nerveux. Début. L
face : telles sont les éphidroses qui succèdent à l'excitation des
nerfs
du goût (exemple de M. Brown- Séquard cité plus
ussi bien sur la sphère du cubital que le long du trajet des autres
nerfs
. Il n'y a pas de retard des sensations. D...
On ne détermine d'ailleurs au- cune douleur par la pression sur les
nerfs
du membre supé- rieur droit, non plus qu'au niv
des sinus crâ- niens. La distribution des branches afférentes du
nerf
vertébral semble donner l'explication de ce sym
dans le ganglion cervical inférieur du côté malade. - Le tronc du
nerf
est également normal. En résumé, prolifération
s que l'on observe ici. C. Dans une troisième classe, ce sont les
nerfs
de la face qui sont lésés. 11 y a dans ces cas
t généralement d'ordre réflexe et elle succède à une excitation des
nerfs
du goût. Ces faits vont nous servir de transiti
ta- bilité sudorale est mise enjeu par l'impression de cer- tains
nerfs
périphériques ou même par des influences psychi
s. Dans les éphidroses parotidiennes, avons-nous dit, ce sont les
nerfs
du goût qui interviennent comme point de départ
dante de sueur au visage a lieu toutes les fois qu'il excite les
nerfs
du goût par des aliments très salés, très épicés
de sueur. » Dans d'autres cas, ce n'est plus une excitation des
nerfs
du goût qui détermine l'hypéridrose. Ce sont al
nerfs du goût qui détermine l'hypéridrose. Ce sont alors différents
nerfs
, soit de sensibilité spéciale, soit de DES ÉPHI
Lésion du cordon cervical du grand sympa- thique ; 3° Lésion des
nerfs
de la face (facial ou surtout tri- jumeau) ;
uble réflexe dont le point de départ réside dans une excitation des
nerfs
du goût, des nerfs de sensibilité générale ou s
e point de départ réside dans une excitation des nerfs du goût, des
nerfs
de sensibilité générale ou spéciale, ou encore
opsie ab- solument négative, à part une légère dégénérescence des
nerfs
périphériques. ' Après avoir étudié, analysé le d
complète. L'influence de l'alcool se révèle par des altérations des
nerfs
périphériques. P. K. IV. DE QUELQUES phénomèn
rieures si ce n'est dans le renflement cervical. Dégénérescence des
nerfs
périphériques et des muscles. Altérations vascula
travaux de Blaue, Beard, Froriep, concernant le développement des
nerfs
crâniens et des organes sensoriels situés dans le
ine de la tête. A une certaine période de leur développement, les
nerfs
crâniens dits dorsaux engendrent à leur périphéri
o-gastrique. Or, le même processus s'observe pour l'ol- factif, les
nerfs
ciliaires, le trijumeau, l'acoustique; on en peut
ijumeau, l'acoustique; on en peut donc conclure qu'au niveau de ces
nerfs
se trouvaient jadis autant de fentes branchiale
ectés. M. le Dr Edinger (de Francfort). Des conditions d'origine du
nerf
auditif et du «tractus cérébelleux sensoriel di
poissons. Somme toute, le cervelet envoie des fibres di- rectes aux
nerfs
sensoriels périphériques. Le noyau de Deiters se
douleurs. On en constate bien encore le long du sciatique et des
nerfs
cruraux, mais la sensibilité au tact et à la doul
un cas de méningite avec suppuration dans l'espace intravaginal du
nerf
optique. - Homme atteint, la septième semaine d
sans résultat dans l'orbite; il occupe par conséquent le trajet du
nerf
optique; on va déchirer la gaine dont il sourd de
iné une méningite suppurée qui a fusé dans l'espace intravaginal du
nerf
optique, ainsi qu'un abcès de la rate. M. le
un peu plus lourds qu'ils n'étaient auparavant. Dans la sphère des
nerfs
crâniens, il n'y a pas d'altérations motrices.
té, de la préoccu- pation de sa santé. Sans parler de la lésion des
nerfs
périphériques, nous ne connaissons pas d'autre
fonctions des muscles du thorax, du cou, de la nuque et de tous les
nerfs
moteurs crâniens sont complète- ment normales.
ement : Analgésie con- sidérale dans la sphère de distribution de
nerfs
de la partie supérieure de la moelle épinière d
nesthésie du thorax sont descendus de cinq travers de doigts. Le
nerf
trijumeau est en bon état; les autres symptômes d
sibilité ont considérablement augmenté. (fig. 5.) Dans la région du
nerf
grand occipital des deux côtés de tout le nerf tr
.) Dans la région du nerf grand occipital des deux côtés de tout le
nerf
tri- jumeau droit et de la branche supérieure d
s troubles prédominants des membres supérieurs, la participation du
nerf
trijumeau des deux côtés, ne laissaient pas dou
gique et ensuite asymétrique, délimité non par les expansions des
nerfs
sensibles, mais par des lignes plus horizontales,
ouloureux par places à la pression. Une pression produite sur lés
nerfs
et les muscles périphériques augmente la douleu
périphérique, nous n'avons pourtant pas affaire à une lésion des
nerfs
périphériques : 1) La sensibilité est altérée p
ale d'origine traumatique ou autre produisant la lésion de tous les
nerfs
du membre supérieur droit au-dessous de l'épaul
ielle du sens de la température dans le courant d'une affection des
nerfs
périphériques. Cette cir- constance parle contr
s muscles de la main ne se contractent point. Courant constant. Les
nerfs
sont normaux dans les muscles atrophiés, 30 élé
coulant sous la peau des membres inférieurs dans la direc- tion du
nerf
sciatique, etc. En général il suit, avec attent
sont normaux, les pupilles sont égales, elles réagissent bien. Les
nerfs
moteurs de l'oeil, de la face, la dégluti- tion
pas seulement complètement répondu à la région innervée par un seul
nerf
, mais même aux limites de la distribution de de
la distribution topographique dans les cornes posté- rieures des
nerfs
sensitifs de la main. Dans ce cas, nous voyons,
ut exister seule dans certaines régions (entre autres dans celle du
nerf
trijumeau) en se combinant avec l'analgésie dan
est mis hors de doute 2. C'est donc aux expériences portant sur ce
nerf
que nous essaierons de demander la solution du
e perturbation vaso-motrice et qui relèvent de l'excita- tion des
nerfs
sudoraux. Dès 1876, Ostroumow, Luchsinger ont m
tique du chat. Déjà en clinique, Eulembourg avait différencié les
nerfs
vasculaires des nerfs sécrétoires. M. Vulpian a
en clinique, Eulembourg avait différencié les nerfs vasculaires des
nerfs
sécrétoires. M. Vulpian a prouvé que les sécrét
abondante qui cesse dès que l'on électrise le bout périphérique du
nerf
. Il y avait donc contradiction apparente entre
pensent que les fibres excito-sudorales de la face accompagnent le
nerf
ver- tébral ou encore émanent des filets bulbai
supérieur qui provient des 6% 7°, 8° paires cervicales passe par le
nerf
vertébral. Par ce nerf aussi passent les fibres
s 6% 7°, 8° paires cervicales passe par le nerf vertébral. Par ce
nerf
aussi passent les fibres excito-sudorales de la
e, on est en présence d'une lésion irritative qui intéresse soit le
nerf
vertébral mais dans ses fibres descendantes seu
e cours du tabes sensitif, cette région, qui renferme non pas des
nerfs
mixtes mais des faisceaux mixtes de nerfs, est
qui renferme non pas des nerfs mixtes mais des faisceaux mixtes de
nerfs
, est fréquemment intéressée. Alors apparaît tou
condaire ou primitive de ce système bulbo-spinal, sa- tellite de
nerfs
réputés mixtes, que l'on doit attribuer l'appar
loureuses dans le membre supérieur droit, et cela dans la sphère du
nerf
cubital. On ne peut s'em- pêcher de rapprocher
a montré qu'il n'en existait aucun. Il n'est pas jusqu'à certains
nerfs
qui ne puissent eux aussi donner naissance au s
périeur et premier thoracique, l'électrisation du bout supérieur du
nerf
sciatique sectionné amène une di- latation pupi
des fibres provenant du triju- meau'. Quant aux filets sudoraux, ce
nerf
en contient sans aucun doute comme le nerf faci
aux filets sudoraux, ce nerf en contient sans aucun doute comme le
nerf
facial. Quoi qu'il en soit, en résumé, des expé
é signalées en l'absence de toute lésion correspondante du tronc du
nerf
, que faut-il en penser ? Nous avons vu que Mo
ne perturbation morale ou le plus ordinairement l'impression d'un
nerf
de sensibilité générale ou spéciale qui provoquen
iale qui provoquent l'hypersudation. A la suite de l'impression des
nerfs
du goût, ainsi que cela se voit le plus fréquem
30 janvier 1882. Dastre et Mortel. - Fonctions vaso-dilatatrices du
nerf
grand sympathique. (Arch. de Physiol., 1882.)
) à la suite de laquelle il s'est mis à crier, à se détendre, « les
nerfs
étaient roides ( ? ) ; c'était un accès comme c
vation XXXVII. Mère, nerveuse. - Grand'mère maternelle, attaques de
nerfs
, somnambulisme, migraines. Conception par viol.
ncle paternel, mort de convulsions. - Tante paternelle, attaques de
nerfs
tt insuffisance intellectuelle. Grand'mère mate
lques cas, diminue la fréquence des accès dans d'autres, apaise les
nerfs
, prévient souvent l'imbécillité, et quelquefois
moelle épinière; intégrité complète DES racines rachidiennes ET DES
nerfs
périphériques) ; , Par le Dr A. PITRES, Profe
térieurs de la moelle, avec atrophie des racines posté- rieures des
nerfs
rachidiens. La plupart des auteurs con- sidérèr
les recherches entreprises par divers auteurs sur la pathologie des
nerfs
périphériques ont fourni l'explication de quelq
une altération des centres nerveux, des racines rachidiennes ni des
nerfs
périphé- riques. Déjà quelques auteurs ont ét
névritique. Je recueillis, pour m'en assurer, un grand nombre de
nerfs
périphériques; j'en fis l'examen his- tologique
sie régulière avec examen histologique des centres nerveux et des
nerfs
périphériques. Observation. Homme de quarante
e la moelle. Pas d'atrophie des racines postérieures. Intégrité des
nerfs
phériphériyues. Pur.. (Jean), né en 1 842, cont
es de l'état normal. On ne remarque pas de dégénérescence grise des
nerfs
crâniens. La moelle épinière est enlevée avec p
s destinées à l'examen histologique. Un grand nombre de tronçons de
nerfs
périphériques, plusieurs paires de racines rach
périphériques, plusieurs paires de racines rachidiennes et quelques
nerfs
viscéraux ont été placés pendant vingt-quatre h
de gaines de myéline saine, sans 'fragmentation ni atro- phie. 3°
Nerfs
périphériques. - Douze fragments de nerfs périphé
ation ni atro- phie. 3° Nerfs périphériques. - Douze fragments de
nerfs
périphériques ont été dissociés après l'action
n de l'acide osmique et examinés au microscope. Ils provenaient des
nerfs
suivants : 1° cubital droit ;\ 2° dixième nerf
Ils provenaient des nerfs suivants : 1° cubital droit ;\ 2° dixième
nerf
intercostal droit; 3° sciatique gauche; 4° crural
1 - mîiscitlo cutané gauche; 4 2' musculo- cutané droit. Tous ces
nerfs
, sans exception, sont dans un état parfait d'inté
llis dans la peau du scrotum, sont également tout à fait normaux.
Nerfs
viscéraux. Parmi les nerfs viscéraux soumis à l'e
m, sont également tout à fait normaux. Nerfs viscéraux. Parmi les
nerfs
viscéraux soumis à l'examen histologique, les g
ifficiles à isoler les unes des autres par la dissocia- tion. Les
nerfs
de l'estomac et du coeur paraissent également alt
bres de Remak qui se trouvent toujours en grande abondance dans ces
nerfs
, les procédés que nous avons employés ne permet
elle, ni des racines rachidiennes,- 352 CLINIQUE NERVEUSE. ni des
nerfs
périphériques. A peine trouve-t-on quelques lés
s périphériques. A peine trouve-t-on quelques lésions dans certains
nerfs
viscéraux. Tel est le fait brutal. On pourrai
tendance facile au rire et aux larmes; n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
, ni de perte de connaissance; ? ni- 358 CLINIQU
e âgée aujour- d'hui de quarante ans; a fréquemment des attaques de
nerfs
; il y a trois uns elle présenta des troubles vé
droite et particulière- ment limité dans la région innervée par le
nerf
cubital. Cet engour- dissement se manifeste exc
t nous guider, au moins dans certains cas, et nous révéler que le
nerf
facial est lésé, qu'il y a une altération dégén
ns électriques. C'est sur ces variations dans l'état électrique des
nerfs
et des muscles qu'Erb a basé sa classification
a aucune anomalie dans l'excita- bilité faradique ou galvanique des
nerfs
et des mus- cles ; c'est la forme essentielleme
maine on peut constater une légère diminution de l'excitabilité des
nerfs
; puis dans le cours de la deuxième et de la tro
ion, puis abolition de l'excitabilité galvanique et faradique des
nerfs
; perte de l'excitabilité faradique des mus- cle
mois, sans que la contractilité musculaire et l'excito-motricité du
nerf
fussent modi- fiées d'une façon marquée; la dif
normal de la contractilité faradique. L'examen histo- logique du
nerf
facial qui permit de reconnaître l'in- tégrité
participent à la dégénération. En d'autres termes, dans ce cas, le
nerf
facial était soumis à une compression suffisant
te compression était impuis- sante pour amener la dégénérescence du
nerf
, et partant des troubles marqués dans l'état de
materia, qu'elle puisse toujours être rattachée à une altération du
nerf
ou que parfois son origine première doive être
. Ayant pratiqué la trachéotomie, nous avons sec- tionné les deux
nerfs
pneumogastriques. En irritant leur but central,
urant faradique. Nous aurions pu obtenir le même résultat par les
nerfs
phréniques, qui naissent de la quatrième et cin
est contractile et que sa contraction est sous la dépen- dance du
nerf
pneumo-gastrique. La section des pneumo-gastriq
ons sont plus fortes et plus nombreuses. En supprimant l'action des
nerfs
vaso-moteurs, on produit Archives, t. XV. 27
té rythmique du coeur existe dans son arrêt, après l'excitation des
nerfs
vagues par le cou- rant induit; comme preuve, i
t sous la dépendance des cen- tres nerveux, par l'intermédiaire des
nerfs
, quand les uns ou les autres de ces derniers so
tats. Enfin on a pu, dans quelques cas, trouver des altérations des
nerfs
dans le vitiligo. (Alienist and Neurologist, 48
à dix-huit ou vingt ans ; elle n'était pas sujette aux attaques de
nerfs
, comme on le prétend ; elle s'est trouvée mal u
. Bernhardt communique : Un cas de paralysie périphérique isolée du
nerf
sus-scapulaire gauche. - Un cas de parésie de pre
ns le membre supérieur. En même temps parésie gauche. Intégrité des
nerfs
crâniens, de la sensibilité, des réflexes, de l
en plaques. Une plaque occupe l'ap- pareil réflexe, qui suivant le
nerf
crural gagne le quadriceps fémo- ral, puisque l
ation à l'oeil nu; au microscope, dégé- nérescence très avancée des
nerfs
, atteignant du plus au moins les nerfs saphène,
nérescence très avancée des nerfs, atteignant du plus au moins les
nerfs
saphène, péronier et tibial postérieur - crural,
Ainsi s'explique la dégénérescence partielle dans le ganglion et le
nerf
périphérique après la section centrale des nerf
s le ganglion et le nerf périphérique après la section centrale des
nerfs
, et la dégénéres- cence de la racine postérieur
ostérieure avec celle du ganglion après la section périphérique des
nerfs
. - 3° Le ganglion spinal confient un centre tro
droite due certainement à une névrite dégénérative périphérique du
nerf
médian, car les accidents, y compris la réactio
ris la réaction dégénérative, n'ont pas dépassé le territoire de ce
nerf
à la main, et les troubles de la sensibilité se
ités de ces régions. La mikrophthalmie simultanée et le trouble des
nerfs
olfactifs marquent l'époque à laquelle a débuté
la complication de la paralysie presque complète de tous les autres
nerfs
du plexus brachial. Mais ceux-ci présentaient u
oup de couteau. Dans un cas analogue qui nécessita une résection du
nerf
écrasé par une frac- ture (Berlin. klin. Wochen
ur secondaire n'avait pas produit (mé- canisme du retournement) les
nerfs
olfactifs et avait donné nais- sance aux hémisp
veau antérieur primaire n'avait fourni par retournement qu'un seul
nerf
optique, unique sur toute l'étendue de son parcou
s muscles difficiles à disséquer, mais qui étaient innervés par les
nerfs
correspondants : oculo-mo- teur commun - oculo-
on du proesphénoïde qui siège sociétés savantes. 48 t en avant du
nerf
optique et ses ailes orbitaires. Aussi, de l'inté
de choanes, le palatin étant en arrière transversalement obturé. Le
nerf
optique s'allonge sur ce qui reste du presphénoid
u lait pendant neuf jours. La nature' ayant pour la for- mation des
nerfs
optiques et olfactifs adopté le principe 'du reto
incipe 'du retour- nement, la cyclopie résulte de ce qu'un seul des
nerfs
a été formé par retournement, tandis que dans l
la soudure de deux moitiés. M. Thomsen. Des foyers formés dans les
nerfs
crâniens par des cel- iules nerveuses altérées.
ppartiennent à un état normal. On les trouve surtout au point où le
nerf
sort du cerveau; ils sont formés de cellules ne
ladie. Dégénérescence modérée des ra- cines antérieures, faible des
nerfs
périphériques, même dans leurs branches muscula
étiques sont atleints. Vu la disposition anatomique du noyau de ces
nerfs
et la marche de leurs fibres, il ne peut guère
aits de paralysie, soit uni, soit bi-latérale, portant sur tous les
nerfs
du bras (compres- sion d'une ceinture de voltig
. i, Faisceau longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine grise des
nerfs
optiques. 7'. c, Ti,igone cérébral. V. m, Ven
que quelquefois l'éclampsie est causée par l'irritation réflexe des
nerfs
de l'utérus ou du plexus sacré. On peut dire
e-vingt-sept ans et est très alerte, a eu autrefois des attaques de
nerfs
« effrayantes » , probablement hystériques, qui o
le avait trop de veines, trop de sang et il s'est formé partout des
nerfs
. Son front tout formé de nerfs s'est plissé, une
e sang et il s'est formé partout des nerfs. Son front tout formé de
nerfs
s'est plissé, une ride profonde qu'elle porte e
s la maison. Là, son corps a changé de nouveau; c'était partout des
nerfs
qui se formaient dansl'estomac, dans ventre; el
se faire suc- cessivement, et alors il ne lui restait plus que des
nerfs
qui ont pris partout un grand développement. So
les gencives, qui ont disparu peu à peu, ont été remplacées par des
nerfs
; ses pieds sont d'une conformation particulière,
ds sont d'une conformation particulière, sa poi- trine est toute en
nerfs
, tout son corps est dur comme du bois et la rig
vement. Elle nepeut rester ni assise ni couchée, parce que tous ses
nerfs
lui font mal. Aussi, change-t-elle continuellem
r, lorsqu'elle a voulu s'ouvrir les veines, elle n'a trouvé que des
nerfs
; si on la disséquait, on verrait bien qu'elle e
a plus de veines, de muscles, de sang. Tout son corps est changé en
nerfs
, elle n'est plus en chair de monde. Cette forme
ceau de fibres direct, dans la bandelette optique, le chiasma et le
nerf
optique ? Quel est le mode d'irradiation de ces
eaux en question. Voici les résultats : chez le chat, les fibres du
nerf
optique directes forment dans le chiasma et le
, les fibres du nerf optique directes forment dans le chiasma et le
nerf
optique un trousseau distinct qui suit le bord ex
lette optique du même côté; cette atrophie se continue sur les deux
nerfs
optiques, mais est plus prononcée sur le nerf du
ontinue sur les deux nerfs optiques, mais est plus prononcée sur le
nerf
du côté opposé : par conséquent, le faisceau qu
k, au contraire, prétend que l'inspiration qui suit l'excitation du
nerf
vague est une réaction douloureuse et qu'on la
l'acoustique, entre le coi psrebti- forme et le noyau interne de ce
nerf
, sur les côtés du segment in- terne du pédoncul
externe de l'acoustique, il n'affecte aucun rapport étroit avec le
nerf
acoustique ; il dépend bien plus de la moelle et
ssi le coeur pour ori- gine : action réflexe par l'intermédiaire du
nerf
vague gauche qui semble innerver presque à lui
e de battre le lendemain soir. A la base du cerveau, entre les deux
nerfs
optiques, apparaît un néo- plasme tendu, rosé,
région lombaire, - au scrotum). P. K. XVI. Absence apparente DES
nerfs
olfactifs ; par A. LEBET. (Société de Biologie,
83.) L'auteur découvre à l'amphithéâtre, un cerveau sur lequel le
nerf
olfactif droit, est réduit à un bourgeon de 2 mil
aque côté et le sillon olfactif manque sur l'hémisphère droit où le
nerf
optique correspondant s'est creusé une gouttièr
sie, une masse gélatiniforme, englobe la base de l'encéphale et les
nerfs
qui en émanent jusqu'au collet du bulbe. Aucune
jusqu'au collet du bulbe. Aucune atrophie, aucune dégénération des
nerfs
, pas plus des nerfs optiques que des acoustique
bulbe. Aucune atrophie, aucune dégénération des nerfs, pas plus des
nerfs
optiques que des acoustiques. C'était une néo-
USE. 87 ardive. M. Lépine suppose que les terminaisons nerveuses du
nerf
auditif se trouvaient dans une condition analog
la littérature, l'auteur nous présente a l'appui de l'hypothèse des
nerfs
tro- pliidaes (tropho-névrose) un cas d'hfmiatr
; atrophie de tous les muscles innervé» par la troisième branche du
nerf
triju- meau (fibres moteurs du nerf maxillaire
vé» par la troisième branche du nerf triju- meau (fibres moteurs du
nerf
maxillaire inférieur). La peau est atrophiée. S
me ventricule près du « locits coeruleus », dans le noyau moteur du
nerf
trijumeau (cellules soi-disant trophiques). Ci-
our comprimer à la fois les racines antérieures et postérieures des
nerfs
périphériques. Quant à l'hystérie, elle est sur
che parente de la tétanie, et dans celle-ci l'hyperexcitabilité des
nerfs
serait fort analogue à celle si- gnalée par M.
ereetiligne, parallèle à la fente interhé- misphérique, qui loge le
nerf
olfactif et son renflement. La scissure orbitai
vers le dehors la partie adjacente du lobe moyen, et déplaçant les
nerfs
, lacommissure et le traclus optiques, la troisi
droit. La protubérance était un peu repoussée vers la gauche, et le
nerf
de la quatrième paire lé- gèrement comprimé.
une pa'ralysie" générale alcoolique", une ,dégéhéréscéhce''grise du
nerf
optique que l'on pouvaitpouMuivé jusqu'aux gangli
centres trophiques, de la moelle, vers, la périphérie 9'(zones des
nerfs
moteurs et des muscles), occasion non t d'es déso
matière infectieuse spécifique se localise tantôt surtout dans les
nerfs
, tantôt de préférence sur les segments moteurs
es hypothèses de M. ne sont pas nécessaires pour les affections des
nerfs
périphériques qui procèdent par dégénération évid
qui établissent la continuité entre les cellules et les morceaux de
nerfs
dégénérés demeurentintacts. La non-participatio
ceaux de nerfs dégénérés demeurentintacts. La non-participation dus
nerfs
sensitifs dans la paralysie satur- nine n'a pas
qui se trouve atteint ? or, dans la paralysie traumatique > ? du
nerf
radial, les troubles de la sensibilité sont, de p
M. Kroepelin rappelle que dans les destructions périphériques des
nerfs
moteurs (par ex. du facial), on n'a, jusqu'à ce j
au pneumogastrique, au glosso- pharyngien et se rond finalement au
nerf
intermédiaire de NVi-is- herg. Or, nI. \lendel,
ait rien à voir avec le spinal, avec le pneumogastrique ou avec les
nerfs
situés au-dessus du glosso-pliaryngien. Il paraît
- vrose, d'après la théorie de Meyer, ni l'action paralysante des
nerfs
de Setschenow, d'après Erlenmever, ne suffisent p
é de biologie, octobre 48831. Charpentier . VIL Des paralysies du
nerf
sciatique poplité externe d'origine pel- vienne
is partielle. Quel- quefois, la paralysie partielle est limitée aux
nerfs
sciatique po- plité interne et externe, respect
tion crurale du sciatique. Le plus souvent elle est circonscrite au
nerf
sciatique poplité ex- terne, mais non pas exclu
par le fait que cette branche nerveuse serait la continuation du
nerf
lombo-sacré qui, grâce à sa position, peut être c
s différents de la 1 Cil. Féré. Note sur un point de l'anatomie dit
nerf
sciatique. (t3ull. soc. anatomique, 1879, p. 11
sommaire, sans reproduire les chiffres relatifs à chaque muscle ou
nerf
en particulier. Il n'y avait d'ailleurs pas d'a
ectrode excitatrice ait été placée sur le corps du muscle ou sur le
nerf
). En outre, nous avons cons- taté chez ce malad
ionnée par une tentative de viol, Ang... fut prise d'une attaque de
nerfs
et cracha du sang. Les crachements de sang, qui
depuis un an et demi, plusieurs pertes utérines. Les attaques de
nerfs
se sont renouvelées assez souvent depuis leur p
nesse elle était rêveuse, elle avait parfois de petites attaques de
nerfs
, mais qui ne ressemblaient en rien à celles d'a
ses avec perte de connaissance et sueurs froides; pas d'attaques de
nerfs
, pas de migraines, pas de convul- sions ; surdi
as perdu connaissance, car je me rappelle avoir dit : « Ce sont les
nerfs
qui travaillent »; je ne puis dormir, et, le mati
la lever, et qui se dissipe petit à petit. Bien b0u\oit, quand les
nerfs
viennent d'être agités j'ai des maux de coeur q
orme de pseudo-kyste. Les artères de la base paraissent égales. Les
nerfs
olfactifs sont égaux. Le chiasma, lesnerfs opti
gée. P. K. XII. Résultats expérimentaux sur LE trajet DES fibres du
NERF
OPTIQUE dans LE chemin QU'ELLES suivent DEPUIS
W. (Neurol. Ccntrul6l. 1883.) Gudden dit que toutes les fibres du
nerf
optique, aussi bien celles qui s'entre-croisent
uteur, et qui, par conséquent, n'entretient aucune relation avec le
nerf
optique, passe par le corps genouillé interne en
un seul oeil. Conclusion. Entre-croisement incomplet des fibres du
nerf
optique dans le chiasma du chien.- Les allures de
XIV. Recherches expérimentales SUR l'entre-croisement DES fibres du
NERF
OPTIQUE dans LE chiasma; par V. 13ECHTEREN. NGil1
que et physiologie) voici les résultats. - La section transverse du
nerf
optique entraine la cécité complète de l'oeil c
ions sont en faveur d'un entre-croisement in- complet des fibres du
nerf
optique dans le chiasma du chien. Les allures d
le chiasma du chien. Les allures de la pupille après la section du
nerf
optique et de la ban- delette prouvent que les
e la pupille, ne parcourent pas la bandelette, qu'elles viennent du
nerf
optique après que le chiasma a pénétré dans la
de la sensibilité, mais ceux-ci limités aux branches maxillaires du
nerf
. Tout l'intérêt de la discussion git dans la ge
voulus ; hyperexcitabilité réflexe et mécanique des muscles et des
nerfs
; contracture et parésie des membres. Mort au bo
rs assez violentes. Délire; atrophie des segments externes des deux
nerfs
optiques; augmentation de la fréquence du pouls
, l'intégrité de la moelle épinière et des racines antérieures. Les
nerfs
radial, médian, crural, sciatique, présentent l
observations sont relatées, mais elles sontincomplètes, puisque les
nerfs
périphériques n'ont pas été examinés. L'une d'e
tie des fibres des cordons postérieurs qui est en connexion avec le
nerf
scia- tique occupe surtout le segment postéro-i
is la portion lombaire jusqu'à la décussa- tion. Dégénérescence des
nerfs
moteurs et des muscles. L'auteur fait remarquer
rite du cubital caractérisée surtout par une sensibilité extrême du
nerf
à la pal- pation, et des douleurs spontanées su
de la conductibilité DES impressions SENSIBLES DANS LES LÉSIONS DES
NERFS
PÉRIPHÉRIQUES; par Ÿ. I : IlI7. - B. Note sur l
YxIE parles vapeurs DE charbon. Suppression DE l'excita- bilité des
NERFS
phréniques; par E3111NGIL1U8. (N8211'OL. Centralb
ématome, de l'augmentation de la pression cérébrale, les gaines des
nerfs
optiques se remplissent de liquide; celui-ci jo
PATHOLOGIE NERVEUSE. XHV. Sur la sommation DES excitations dans LES
NERFS
sensitifs DE l'homme; par de Watteville. (JVe :
- tion consciente, finissent cependant par solliciter l'activité du
nerf
et parvenir à la connaissance de l'individu exp
que l'effet des excita- tions qui s'exercent le long du trajet d'un
nerf
sensitif croit (dans l'espace de certaines limi
s sur le tronc nerveux s'opère plus facilement, quand le segment du
nerf
incité estexposéà la cathode,qui enaugmente l'e
ent par les courants faradiques. Même remarque pour l'excitation du
nerf
qui l'anime, de quelque façon qu'on modifie le
lorsqu'on emploie les excita- tions mécaniques. En outre, pour les
nerfs
, seules sont KaS et AnO actives ; pour les musc
VIII, p. 99. 3t4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. phie bilatérale du
nerf
optique. Puis survenaient des phénomènes de com
ovoquer de perturbations, à moins qu'on ne comprime profondément le
nerf
sous-orbitaire gauche ; cette compression arrêt
u d'action, elle n'exerce aucune influence quand elle porte sur les
nerfs
sus et sous-orbitaire du côte droit. M. Berger
leclrisation galvanique; en appliquant l'anode en permanence sur le
nerf
infrà-orbitaire gauche et en plaçant la cathode
point de vue physique, la stimulation plus ou moins prolongée d'un
nerf
sensoriel en étroit rapport avec le cerveau; le r
Ce sont : 40 L'amblyopie qui repose sur l'atrophie habituelle du
nerf
op- tique, qui progresse par conséquent jusqu'à
t même progressif, avec dé- coloration de l'expansion papillaire du
nerf
optique, auquel on a peu fait attention jusqu'i
ar la méthode des coupes, il a découvert une racine cérébelleuse du
nerf
pathétique la coupe passe à travers les tubercu
e transverse. C'est, ajoute-t-il, la seule racine cérébelleuse d'un
nerf
crânien sûrement mise en lumière jusqu'à ce jou
- flexes, c'est-à-dire de l'incitation des expansions centrales des
nerfs
du tact, que ces convulsions devaieut être conf
avait disparu au début de la maladie. Intégrité de l'encéphale, des
nerfs
crâniens, des extrémités supérieures, des fonctio
and l'expérimentateur se propose d'empoisonner artificiellement des
nerfs
vivants isolés, on observe e des modifications
exercée sur les appareils nerveux complexes. C'est ainsi que les
nerfs
traités par la digitaline, devenus hyperexcitable
nts électriques; une forte dose engendre un tétanos tout spécial du
nerf
, une manifestation analogue à la raideur observ
la digitale. Les essences éthérées se contentent de stupé- fier les
nerfs
, sans qu'on constate d'byperexcitabilité préalabl
due à la paralysie de la tu- nique musculeuse des vaisseaux ou des
nerfs
d'arrêt. L'application locale du mtrite d'amyle
u des nerfs d'arrêt. L'application locale du mtrite d'amyle sur les
nerfs
exerce une action égale à celle des essences ét
être aussi fréquemment réitérée, sans nuire à la durée de survie du
nerf
, que lorsqu'on emploie les essences éthé- rées.
fibres de l'oculomoteur externe et quelques portions du noyau de ce
nerf
étaient atteintes, peut-être la durée de la mal
savantes. 383 produit une dégénérescence visible au microscope. Le
nerf
hypo- glosse n'a pas été examiné. M. L%-.IGRr
anatomiques ont révélé, chez quelques-uns une atrophie marquée des
nerfs
oculo-moteurs externes, et pathétiques et, dans u
jaune des muscles oculaires. Dans un autre enfin, l'inté- grité des
nerfs
et des muscles contrastait avec des foyers de dég
érance et la moelle allongée; il est probable qu'ici les noyaux des
nerfs
moteurs de l'oeil étaient intéressés. En conséq
visuel, accompagné ou non de trouble de la sensibilité cutanée, des
nerfs
sensoriels (ouïe, goût, odorat) ou du sens musc
chaque phase res- semble à l'une des périodes de la convulsion des
nerfs
mourants (réaction dégénérative, etc.). Cette
oûte physiologique et, en particulier, cette proposition qu'un même
nerf
, suivant qu'il est modérément ou fortement exci
ées, et l'on est en droit d'appliquer les notions de la réaction du
nerf
dégénéré (Benedikt, Brenner, Erb) à la physiolo
eux intracérébraux malades, mourants sont, en cela, comparables aux
nerfs
périphériques. B. La séméiologie, en vertu delà
stade de mélancolie initiale qui.représente le mode de réaction du
nerf
simplement fatigué, c'est-à-dire de l'organe psyc
tion, conforme à la loi de convulsi- 392 BIBLIOGRAPHIE. bilité du
nerf
en état de dystrophie, explique pourquoi l'évolut
nerveux; les manifestations observées trahissent la convulsion d'un
nerf
tellement endommagé qu'il est incapable de répara
ses supérieures, par Bo- wer, 203. Olfactif (absence apparente du
nerf
), 86. Olfactive (muqueuse), 378. Omoplate (
82. Optique (disposition centrale et pé- riphérique des fibres du
nerf
-, et sur le tubercule bigéminé an- térieur),
Bi- tot, 1, 151. Phrénique (suppression-de l'exci- tabilité du
nerf
sous l'influence de l'asphyxie par les vapeurs
mpense honorifique, 111. Fabrn, 128. Sciatique (des paralysies du
nerf
- poplité externe d'origine pel- vienne), par
ssement de la con- ductibilitédesimpressions-dans les lésions des
nerfs
périphéri- ques), par Erb et Westphal, 335. (
nerfs périphéri- ques), par Erb et Westphal, 335. (incitation des
nerfs
de l'homme), 342. Sensibilité cutanée et sens
F.l. Faisceau longitudinal inférieur. 0. g. n. o, Origine grise des
nerfs
optiques. T. c, Trigone cérébral. V. Ventricu
mère irascible, nerveuse à l'excès, était sujette à des attaques de
nerfs
. Dans les dernières an- nées de sa vie, elle s'
rable de l'excitation faradique. L'électrisation des muscles et des
nerfs
des membres inférieurs ne donne Jieu qu'à des m
ité : l'anesthésie n'offrait aucun rapport avec la distribution des
nerfs
, et se limitait au contraire par des lignes cir
ntenant de mettre le carrefour en rela- tion avec la moelle, car le
nerf
olfactif, comme tous les autres nerfs, doit avo
tion avec la moelle, car le nerf olfactif, comme tous les autres
nerfs
, doit avoir une implantation médul- laire, ce q
tion médul- laire, ce que l'on appelle une « origine réelle ». Le
nerf
facial étant le nerf moteur de l'appareil olfacti
ce que l'on appelle une « origine réelle ». Le nerf facial étant le
nerf
moteur de l'appareil olfactif, c'est dans le vo
'arc médullaire étant très probablement situé en dehors du noyau du
nerf
moteur, c'est-à-dire dans la situation des noya
u champ objectif. Dans ce cas, les racines internes et externes des
nerfs
olfactifs étaient très développées. 72 9 ANATOM
it faire de doute pour moi. L'analogie avec les origines des autres
nerfs
, les observations de Serres au sujet de cette o
qu'il conclut à l'existence de ces fibres motrices chez l'homme.
Nerfs
olfactifs (' ! le : ; les an encéphales. - D'aprè
d'un hydrocéphale manquant de cerveau, 74 ANAT03.IIE. dit : * Les
nerfs
mis à nu, je vis distinctement la première pair
t : * Les nerfs mis à nu, je vis distinctement la première paire ou
nerfs
olfactifs, dont le renflement antérieur était trè
ez quelques poissons carti- lagineux, on peut suivre l'insertion du
nerf
olfactif jusque sur le pédoncule cérébral. »
ente serait l'analogue de ce que l'on appelle la racine grise des
nerfs
optiques, et les éminences mamillaires représen-
existent chez certains animaux entre la commissure blanche et les
nerfs
olfactifs, il ne s'agirait que d'une commissure
que le septum lucidum est à ce chiasma ce que la racine grise des
nerfs
optiques est au chiasma optique. Notes Bibliogr
inférieurs. La voûte, très irrégulière, n'avait en avant qu'un seul
nerf
olfac- tif, qui semblait naître du centre de l'
es optiques. » Ce fait me paraît très intéressant à noter : un seul
nerf
olfac- 1 Voir plus haut, dans les notes relativ
s du cerveau. » D'autres auteurs admettent aussi une commissure des
nerfs
olfactifs, mais le chiasma n'existe chez eux qu
aux sont fort petits et en rapport avec le peu de développement des
nerfs
olfactifs. Ils n'ont, du reste, été t1'Ouvés ju
s observations de Knies, de Fribourg, sur l'état de la rétine et du
nerf
optique chez l'épi- leptique, avant, pendant et
asme des artères rétiniennes et une pâleur extrême de la papille du
nerf
optique. Le spasme artériel des vaisseaux de l'
vasculaire, et l'hyperhemie veineuse secondaire de la rétine et du
nerf
optique, hyperhémie si bien étudiée par d'Abund
es. rieure (paralysie bulbaire). Lésion symétrique des noyanx des
nerfs
moteurs qui prennent naissance dans le cerveau et
erveau et le bulbe, combinée à une lésion symétrique des noyaux des
nerfs
spinaux, cervicaux et lombaires (muscles des me
, p. 627.) P. Keraval. VI. D'UNE paralysie PÉRIPHÉRIQUE ISOLÉE DU
NERF
SUS-SCAPULAIRE DROIT, dont l'étiologie EST DIGN
se aiguë du 126 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES.
nerf
médian droit avec anidrose et ichthyose symptomat
aso- dilatateurs. Obs. II. Névrite infectieuse ( ? ) à récidives du
nerf
médian gauche avec ichthyose diffuse de la face
ORIE 'de l'entrecroisement DES fibres nerveuses dans le CHIASMA des
nerfs
optiques; par A. DELJ3RUECK.. (Arch. f. Psych.,
ie ET DE PHYSIOLOGIE pathologiques. 1° une dégénérescence totale du
nerf
optique gauche; 2° une dé- générescence de la m
ale du nerf optique gauche; 2° une dé- générescence de la moitié du
nerf
optique droit; ici il y a intégrité du faisceau
a bande- lette : les fibres non entre-croisées sont réunies dans le
nerf
en épais trousseaux qui occupent le côté droit
conclut l'auteur, que les fibres non entre-croisées forment dans le
nerf
optique un trousseau plus ou moins séparé : dans
urs de pneumonie. Intégrité de la moelle, du bulbe, des racines des
nerfs
crâniens, dégénérescence des nerfs périphé- riq
oelle, du bulbe, des racines des nerfs crâniens, dégénérescence des
nerfs
périphé- riques ; légère dégénérescence des mus
ents, crampes musculaires. Intégrité de la moelle et des noyaux des
nerfs
crâniens, dégéné- rescence caractéristique des
des noyaux des nerfs crâniens, dégéné- rescence caractéristique des
nerfs
périphériques. - Observation III. Homme de quar
tachycardie. Intégrité de la moelle ; dégénérescence atrophique des
nerfs
périphériques, lésions inflammatoires, hémorrha
se sont développées, après une attaque d'apoplexie, une parésie du
nerf
facial et une aphasie amnestétique et motrice a
- M. EPOFF a lu ensuite une communication « sur la structure des
nerfs
périphériques» . Les recherches de l'auteur ont t
médiaire entre les fibrilles constitutives du cylindre-axe dans un
nerf
vivant est, d'après l'auteur, dans un état gélati
il s'agit d'une localisation répondant au territoire cutané d'un
nerf
. Examinez, par exemple, une des figures de l'at
, une des figures de l'atlas de Flower, et vous reconnaîtrez que ce
nerf
n'est autre que le brachial cutané interne. Ce
it donc pas la moelle, d'après cela, qui serait lésée, mais bien un
nerf
périphérique. Mais, direz-vous, et la dissociat
que de la sensibilité ? Peut- elle être produite par la lésion d'un
nerf
périphérique ? Elle n'est donc pas spécifique p
ci la zone d'anesthésie partielle se rat- tache à une altération du
nerf
brachial cutané interne, et laissez-moi imagine
e la lésion originelle porte sur la première paire dorsale, d'où ce
nerf
émane, et Fig. 14 et 15. Hachures obliques : hé
s ner- veuses qui sont destinées : 1° au brachial cutané interne,
nerf
sensitif; 2° au cubital, nerf mixte, qui reçoit
nées : 1° au brachial cutané interne, nerf sensitif; 2° au cubital,
nerf
mixte, qui reçoit de cette paire, suivant toute
de nous a présentés. Admettez que cette lésion porte sur le premier
nerf
dorsal, et vous vous expliquez à merveille non
antérieures sont lésées. Tout s'éclaire; ce qui est lésé, c'est le
nerf
lui-même; il est soumis à une compression qui é
erf lui-même; il est soumis à une compression qui équivaut pour les
nerfs
moteurs à une section et nous pouvons dire exac
trou de conjugaison s'était par là même effacé, écrasant le premier
nerf
dorsal. Il nous est facile d'expliquer aussi, d
le, près du bulbe et de la moelle, à l'origine du pneumo-gastrique,
nerf
mixte -de la vie organique et de relation, le r
ef sur la substance blanche réticulée. Quant à la racine externe du
nerf
olfactif, elle se continue également avec ce pr
x le prolongement supérieur du corps godronné et ses annexes, les
nerfs
de Lancisi, supérieurs et inférieurs. Or, il es
son extrémité interne (la première est destinée à l'ourlet et aux
nerfs
de Lancisi), à un faisceau qui tantôt passe au-
de la bande diagonale avec la formation godronnée supérieure et les
nerfs
de Lancisi, d'une part; et avec les piliers ant
- Dans tous les cas, elle ne se continue pas simplement avec les
nerfs
de Lancisi, comme l'admettait Foville ,. DE l'a
près F. FRaNCK) font continuer la racine olfactive interne avec les
nerfs
de Lancisi, et par l'intermédiaire de ceux-ci l
cune), d'une part avec la lame réticulée; d'une autre part avec les
nerfs
de Lancisi, l'ourlet de Fo- ville et les pilier
godronnée; c'est sa lame bordante inférieure ou hippocampique. Les
nerfs
de Lancisi sont, incontestablement aussi, une é
ordante crêtée. J'ai précisé, de plus, le point exact d'origine des
nerfs
de Lancisi. Enfin, sans rien innover, en lui ra
te, conforme au type des autres circonvolutions. Conclusions. Les
nerfs
ou troncs olfactifs, au niveau de l'espace perf
en dedans avec le pro- longement supérieur du corps godronné et les
nerfs
de Lancisi; 3° avec l'arc cérébral, par les pil
nes parties des parois du ventricule latéral » il ajoute : « Il (le
nerf
olfactif) communique encore avec le ruban fibre
e, indirectement hypnotique. Le sommeil résulte de la paralysie des
nerfs
sensitifs et moteurs et de la diminution de l'e
erne du bras, de l'avant-bras et de la main gauche (distribution du
nerf
cubital). Du 21 au 26 août, apparition spon- ta
liées à une lésion intra-crânienne et s'accompagnant d'atrophie des
nerfs
optiques. Malade, soixante-deux ans, sans alcoo
s, sans alcoolisme, ni syphilis, présen- tant une atrophie des deux
nerfs
optiques, s'accompagnant d'hal- lucination inte
ans présentant les symp- tômes suivants : ' atrophie bilatérale du
nerf
optique, immobilité fixe des deux pupilles, blé
de la sensibilité cutanée. M. SPERLING.- De la paralysie isolée dit
nerf
sus-scapulaire gauche sans motif chez une femme
de galvanisation complètent la guérison. Diagnostic : névrite du
nerf
sus-scapulaire. M. M'fSTPH.L. - Nouveau groupe
mais avec conservation parfaite des racines correspondantes et des
nerfs
périphériques. Séance du 1 4 janvier 1889. - PR
l a éprouvé des douleurs lancinantes violentes à gauche le long des
nerfs
intercostaux ; l'examen révèle une pares- thési
s nerfs intercostaux ; l'examen révèle une pares- thésie du sixième
nerf
intercostal gauche. Est-ce dans ces conditions
nt par des gommes des méninges spinales à la région d'oùémergentles
nerfs
intercostaux ? Faut-ily voir plutôt l'associati
y voir plutôt l'association fortuite d'une lésion gommeuse des deux
nerfs
oculo- moteur et trijumeau droits et d'un troub
oculo- moteur et trijumeau droits et d'un trouble hétérotopique des
nerfs
intercostaux gauches. Séance du 11 mars 1889.
ervenheil1¡, 1889 2. M. Berniurdt. Paralysie périphérique isolée du
nerf
sus-scapu- laire droit. Etiologie extraordinair
nne vertébrale. Hyper- trophie des deux mollets. Un grand nombre de
nerfs
et de muscles réagissent moins aux courants far
microscope l'inté- grité de la moelle et des racines nerveuses. Les
nerfs
périphériques (radial, sciatique, poplité exter
astroenémien et l'extenseur commun des orteils. Les altérations des
nerfs
et des muscles sont simultanées. M. OI'PE1VI1
n haut. Il n'existe pas d'anomalies de l'excitabilité électrique du
nerf
ni du muscle, pas plus au courant galvanique qu
ternational de médecine (1890). M. Mam. Trois cas d'altération du
nerf
optique à la suite de lésions du lobe occipital
les de la vue, survenus pen- dant le développement. L'altération du
nerf
optique était extrême, même a l'examen macrosco
u nerf optique était extrême, même a l'examen macroscopique, sur le
nerf
du côté opposé aux lésions. La troisième observ
térations des deux bandelettes et de la por- tion intra-crâniennedu
nerf
optique, des foyers bilatéraux dans le lobe occ
ontribution à la connaissance du trajet de la racine postérieure du
nerf
auditif et de l'allure des stries médu- laires
ique interne n'ont aucune relation avec la racine postérieure de ce
nerf
. C'est ce qu'ont déjà constaté Monakow, Forel, On
l n'est pas survenu d'atrophie musculaire, les noyaux d'origine des
nerfs
sont probablement intacts, il est permis, dans
qui existe entre la contraction musculaire et la conductibilité du
nerf
. Si, chez la grenouille, on 27G 6 SOCIÉTÉS SAVA
nouille, on 27G 6 SOCIÉTÉS SAVANTES. diminue la conductibilité du
nerf
par les vapeurs d'alcool ou la cocaïne la courb
nique subit une modification. Si l'on agit - tir le bout central du
nerf
, on obtient, dans ces conditions, une courbe té
é au point d'application affaiblit l'intensité de l'irri- tation du
nerf
; chaque poussée contractile est, par suite, indiv
, il semblerait qu'on eût à accuser une matière délétère pour les
nerfs
et non pour le cerveau. L'influenza n'a pas déter
ules originelles du noyau du facial à la suite de l'arrachement des
nerfs
. Voici une nouvelle méthode de coloration qui p
ions ne portent point sur toutes les cellules du noyau d'origine du
nerf
en même temps; elles se disséminent irrégulière-
on est autorisé a rapporter les symptômes qui les caractérisent aux
nerfs
périphéri- riques, et cela parce qu'on admet qu
- vrite. Cet état indique certainement plutôt un état morbide des
nerfs
qu'une altération de la moelle. Paul BLOCQ. VAR
eux. Il a vu chez les descendants des diabétiques des attaques de
nerfs
, des frayeurs maniaques, etc... Niepce signale
iens, elle s'explique bien par l'affection des fibres trophiques du
nerf
trijumeau; pour les autres, vu les troubles vas
accompagnée, tout le tableau clinique se réduit à une affection du
nerf
sym- pathique. Nos connaissances de la maladie
reusement à une région innervée par une ou plusieurs bran- ches du
nerf
trijumeeu. Ici s'adapte, par exemple, le cas rap-
suite la chute de cheveux et des phénomènes atrophiques le long du
nerf
sus-orbitaire. A l'examen, on constata un point
upérieur de l'orbite gauche jusqu'à la suture lambdoïde, le long du
nerf
sus-orbitaire. Dans le cas de Kolaczek, nous av
douleurs, des atrophies et une diminution de sensibilité le long du
nerf
contusionné : tous les trois symp- tômes conséc
e affection périphérique intéressant une ou plu- sieurs branches du
nerf
trijumeau; et quant au processus pathologique,
lles dont la maladie relevait, d'après cet auteur, d'une névrite du
nerf
trijumeau, provoquée par l'érysipèle et par la
1888, n° 19), y constata une névrite interstitielle proliférante du
nerf
tri- jumeau. Le diagnostic de Virchow fut donc
accompagnée d'anesthésie de la région affectée et de paralysie des
nerfs
ocu- lomoteurs. A l'autopsie, on a trouvé une t
de la dure- mère comprimant le ganglion de Gasser, les branches du
nerf
trijumeau et, en partie, les nerfs oculo-moteur
nglion de Gasser, les branches du nerf trijumeau et, en partie, les
nerfs
oculo-moteurs. L'examen microscopique des nerfs
et, en partie, les nerfs oculo-moteurs. L'examen microscopique des
nerfs
craniens a révélé des phénomènes de dégénéresce
ez elle de l'atrophie dans le territoire de la troisième branche du
nerf
trijumeau gauche. Comme cause des phénomènes at
l'auteur admet ici une hémorragie dans la région du noyau gauche du
nerf
triju- meau. On peut bien ne pas souscrire à
les cas de cette catégorie, il s'agit, je crois, d'une affection du
nerf
trijumeau d'origine intracranielle, le carac- t
symptômes qui mettent hors de doute sa dépendance d'af- fection du
nerf
sympathique. Sous ce rapport, les observations
t. La pression et l'électrisation du ganglion cervical supérieur du
nerf
sympathique gauche grossissaient à l'instant la
droite de la face.-Le même auteur constata chez un sujet frappé au
nerf
sympathique par un projectile d'arme à feu que
é droit.' La pression exercée sur le ganglion cervical supérieur du
nerf
sympathique gauche causait de la douleur. Fri
cluante, que l'atrophie de la face peut dépendre d'une affection du
nerf
sympathique; en même temps, elles se rattachent
e d'observations dans les- quelles, bien que la participation de ce
nerf
soit moins évi- Archives, t. XXII. 23 354 ' C
vaso-moteurs indiqués ci-dessus, c'est surtout dans l'affection du
nerf
sympathique que, dans le cas présent, il faut r
tre les origines et la branche de l'angulaire et du rhomboïde et du
nerf
sus-scapulaire, en bas entre les trous de -conj
e du bras, mais avec plus d'attention on trouvait dans la région du
nerf
accessoire du brachial cutané interne (branche
s; après l'opération faite par M. le professeur Rose, le domaine du
nerf
musculo-cutané conservait toute sa sensibi- lit
ble, soit par la même raison, soit par suite de la régénération des
nerfs
, étant donnée la courte distance qui sépare ces
trois ans. Elle est encore parfai- tement réglée. Pas d'attaques de
nerfs
; peu nerveuse ; pas d'alcoo- lisme. Faisait le
assiste à son mariage le lendemain. Elle a été prise d'attaques de
nerfs
à l'âge de quatorze ans, à la suite d'une peur. S
équentes, sans vomissements. - Pas de rhumatisme. Pas d'attaques de
nerfs
, mais très ner- veux, très irritable. Intellige
'enfance. Réglée à douze ans. - Mariée à seize. Pas d'atta- ques de
nerfs
, de migraines, mais assez souvent des céphalalgie
e; pas de convulsions dans l'enfance; non mariée; pas d'attaques de
nerfs
; pas nerveuse. 2° Noire malade. - Au moment de
ement se traduisent par l'a- trophie de la bandelette optique et du
nerf
optique du : côté opposé une affection eu foyer
totalement détruites. P. K. XIX. UN cas DE paralysie DE PLUSIEURS
NERFS
crâniens ; par E. Mindel. (Neurol. centralbl.,
s diminuent. Deux paralyti- ques furent atteints d'une paralysie du
nerf
péronier, l'excitabilité électrique subit peu d
ésidence DE NI. SANDER. M. MENDEL. Un cas de paralysie de plusieurs
nerfs
crâniens. Voy. Neurol. Centralbl., 1890 5. M.
omanie, 451, 452. Musculaire, contraction et con- ductibilité des
nerfs
, par Golds- cheider, 275. Mutisme mélancoliqu
r, 275. Mutisme mélancolique, pathogénie du -, par Séglas, 267.
Nerfs
, paralysie de plusieurs - crdr : iens, par Mend
ar Trolard : -63, 203. OPTIQUE, altération de la bandelette et du
nerf
- dans les lésions du lobe occipital, par Moeli
téro-traunaatlque des quatre membres, par Sérieux, 31 ; isolée Au
nerf
bus-scapulaire droit, par Bernhardt, 125; du
ièrement émotive; mais elle affirme n'avoir jamais eu d'attaques de
nerfs
. Les grands parents maternels sont vivants et b
e la mélancolie. Pas de troubles sensitifs. Amaurose par section du
nerf
optique, tremblement épileptoïde de la jambe du
abète sucré une action prédisposante pour les lésions spéciales des
nerfs
périphé- riques; 4° qu'il ne s'agit pas d'une v
veux, pourraient, à raison des rapports de voisinage très étroit du
nerf
et des vaisseaux, être attribués plutôt aux troub
syslème artériel fournit à la nutrition des noyaux et'des fibres du
nerf
de la troisième paire. A. FENAYROU. XXII. IIÉNI
s aisée. Plusieurs tracés montrent la façon dont les muscles et les
nerfs
réagissent à l'excitation électrique. On trouve
e, et à la longue, toute la cellule s'atrophie. Les altérations des
nerfs
périphériques n'apparaissent qu'au bout de quat
corpuscules de Nissl, parfois un certain degré de chromatolyse. Les
nerfs
périphériques ne révèlent pas de lésions bien n
comme secondaires, en rapport notamment avec les altéra- tions des
nerfs
périphériques. X.-K. BouscH. Méthode de colorat
urtant, affaiblis- sement du tact. Paralysies dans les domaines des
nerfs
cubital, médian, péroné et facial. Panaris anal
vaisseaux, avec des bacilles dans les infil- trations récentes. Les
nerfs
présententdes infiltrations spécifiques ; 1 le
récentes. Les nerfs présententdes infiltrations spécifiques ; 1 le
nerf
cubital en est rempli sur tout son trajet, jusqu'
t rempli sur tout son trajet, jusqu'au plexus axillaire, de même le
nerf
péroné. Par suite des névrites intersti- tielle
rononcées, les fibres à myéline ont complètement dis- paru dans ces
nerfs
. Les bacilles se trouvent dans les infiltrations
uite de la péné- tration immédiate des bacilles de la peau dans les
nerfs
périphéri- ques ; des altérations des racines e
tres données de la littérature, admet l'influence chronique sur les
nerfs
non seulement des bacilles eux-mêmes, mais auss
des auteurs italiens ? Ou bien s'attaquerait-elle tout d'abord aux
nerfs
périphériques ? Nous sommes convaincus, pour no
avail. Disons seulement que Klippel a bien vu les altérations des
nerfs
. Nous les avons nous-inême rencontrées. Et non pa
ous les avons nous-inême rencontrées. Et non pas seulement dans les
nerfs
des paralytiques généraux, mais encore dans ceu
e premier nous montre l'action du champ électrique oscillant sur un
nerf
placé dans ce champ. 1° Dans une première expér
étant en communication avec le sol. Si on réunit le bout central du
nerf
au muscle au moyen d'un conducteur collatéral f
issymétrique, repos si elle est symétrique. L'excitation induite du
nerf
peut aussi se produire si le circuit de la bobine
ire d'induction se trouve fermé. On obtient l'excitation induite du
nerf
même à travers le corps de plusieurs personnes
circuit secondaire interrompu ou non, de provoquer l'excitation des
nerfs
sensitifs de la main. En mel- ' Arch. {ill' exp
es sur l'action des états variables du courant galva- nique sur les
nerfs
sensilifs. Ces recherches, destinées à compléter
otrices. Ces expériences semblent bien démontrer, en outre, que les
nerfs
sensitifs sont excités par l'action propre, dir
étanique soit par l'excitation directe du muscle, soit par celle du
nerf
, en faisant agir le pôle négatif. On obtient alor
ant rapport sur la valeur séméiologique des réactions anormales des
nerfs
et des muscles. Il se pose d'abord les deux que
citations électriques ? Lorsqu'il est excité par l'intermédiaire du
nerf
correspondant, par quel mécanisme se fait celte e
ontré que la contraction musculaire provoquée par l'excitation d'un
nerf
n'est pas due à la transmission directe à l'org
, il conclut que si nous constatons à la suite de l'excitation d'un
nerf
moteur une réaction musculaire anormale, celle-
le muscle res- tant sain ; soit dans les altérations du muscle, le
nerf
restant sain; soit lorsqu'il y a altération sim
, le nerf restant sain; soit lorsqu'il y a altération simultanée du
nerf
et du muscle. Cette réaction nous enseigne que
une modification qualitative est due aussi bien à une altération du
nerf
exploré, qu'à celle du muscle ou des deux organ
ssion) semble répondre à une altération de l'irrigation sanguine du
nerf
. Rien cependant dans les cas pathologiques ne p
e de bons rhéostats. 2 Que l'effet des courants alternatifs sur les
nerfs
sensitifs est beaucoup moins prononcé que celui
ien les termi- naisons périphériques que le tronc et les racines du
nerf
affecté. L.-R. REGNIER. REVUE DE PATHOLOGIE N
question d'autant qu'il y a eu infec- tion. - 5° Les paralysies du
nerf
oculo-moteur commun droit et du pathétique du m
ées par l'inflammation hémor- ragique des noyaux correspondants des
nerfs
. Peut-être, vu l'inté- grité du noyau de l'oczc
tion limitée du système des fibres qui unit l'extrémité centrale du
nerf
optique à l'oculomoteur; si celte partie était se
e cas, les deux yeux sont affectés ainsi que, tôt ou tard, d'autres
nerfs
crâniens. Il n'y a pas de troubles fonc- tionne
n, il faut noter un trouble marqué de la sensibilité afférente au
nerf
sus-orbitaire. Nous avons affaire à une névrite i
s de fibres qui servent à unir les divers plans des noyaux moteurs (
nerfs
crâniens et nerfs spi- naux) du faisceau longit
rvent à unir les divers plans des noyaux moteurs (nerfs crâniens et
nerfs
spi- naux) du faisceau longitudinal postérieur
s antérieurs et latéraux; altérations des fibres radicu- laires des
nerfs
moteurs de l'oeil, du facial, de l'hypoglosse, de
u facial, de l'hypoglosse, de l'accessoire, du glossopharyngien, du
nerf
vague; lésions relative- ment faibles des cellu
phérique ; c'est-à-dire du conducteur moteur qui va des noyaux des
nerfs
craniens et spinaux à l'extrémité musculaire. 3°
ux de la moelle. P. KERAVAL. XXX. Contribution A la paresthésie DES
NERFS
cutanés DE la CUISSE; par Th. BENDA. (Neurolog.
ies émises sur la pathogénie de la maladie de Graves : le coeur, le
nerf
sympathique, la moelle, le bulbe ont été successi
s complètement guéri. Il y eut, dans l'espèce, atteinte du noyau du
nerf
vague (accélération du pouls) expliquant la local
er l'imputer à des lésions anatomiques des cellules motrices ou des
nerfs
périphériques, ou tout au moins des muscles. Or
ions lentes, soit à l'excita- tion directe, soit à l'excitation des
nerfs
. Peut-être aussi serait-on en droit de faire re
aussi serait-on en droit de faire ressortir que les cellules et les
nerfs
soumis aux mêmes dystrophies physico-chimiques,
trouva une dégénérescence des racines antérieures de la moelle, des
nerfs
périphériques (sciatique, radial, cubital gauch
XVI, 1897,) il s'agit d'une paralysie motrice portant sur les trois
nerfs
du bras droit, atteignant surtout le radial (pa
sommeil ou la narcose chloroformique, mais avec paralysie des trois
nerfs
tandis que d'ordinaire un seul nerf est pris ou.
mais avec paralysie des trois nerfs tandis que d'ordinaire un seul
nerf
est pris ou. bien tout le plexus est affecté. C
lysie de la sensibilité qui n'est pas en rapport avec le trajet des
nerfs
de la peau et qui occupe la main et une partie
e historique ? Or l'examen électrique montre que l'excitabilité des
nerfs
du bras gauche au courant faradique est normale t
squs de l'en- droit où ce membre a été serré. La conductibilité des
nerfs
est faible au-dessus de cet endroit, molle à l'
rite infectieuse du plexus brachial. La para- lysie porte sur : les
nerfs
sus-scapulaire, axillaire, les branches du sous
t galva- niques tient plus vraisemblablement à une régénération des
nerfs
(la maladie date d'un an et demi). Absence de t
éflexes tendineux sont normaux ainsi que la réaction électrique des
nerfs
et des muscles. Comme le facial et l'hypoglosse
lus suivre son trajet ordinaire, il se fraie une autre voie par des
nerfs
intercalaires ; l'impression sensitive va de la
137 XXI. Action DES anesthésiques, sédatifs ET narcotiques sur LE
nerf
isolé; par A. WALLER (l3z'rzit, part. LXXVI. 1896
priment ou abolissent à temps ou définitivement l'excitabilité du
nerf
isolé; 2° l'acide carbonique agit comme un anesth
erf isolé; 2° l'acide carbonique agit comme un anesthésique sur le ;
nerf
isolé, le protoxyde d'azote n'a pas d'action appr
erf isolé, le protoxyde d'azote n'a pas d'action appréciable; 3° un
nerf
isolé est plus sûrement anesthésié par l'éther qu
rco- tiques certains sont déprimants, d'autres inertes à l'égard du
nerf
isolé. Toutes choses égales d'ailleurs, la morp
aire. G. D. - XVI. Traitement DE la sciatique par la compression DU
nerf
A l'aide D'UN instrument spécial, par P.-F. ARU
n peu en dehors de la ligne mé- diane, on y comprime directement le
nerf
contre la face posté- rieure du fémur. Dans les
sacro-iliaque, iliaque), parce que l'on ne peut aller comprimer le
nerf
dans le bassin. S'il y a, en sus, tuberculose o
reffe réussie de la moelle épinière d'un lapin pour reconstituer le
nerf
médian de l'homme, par 11. RoBSON. A. MARIE.
e qu'il aura à opérer pour goitre exophtalmique, l'élongation de ce
nerf
, opération qui ne fait que modifier son excitab
au tronc et sur les deux jambes, mais seulement dans le domaine des
nerfs
cruraux, obturateurs et cutanés externes. Réten
- sidérablement amaigrie. Rien de particulier dans le domaine des
nerfs
craniens et dans la partie supérieure du corps.
de dégéné- rescence. Pas de troubles électriques dans le domaine du
nerf
péronier. A l'heure actuelle la malade ne se
ie des membres supérieurs, prédominante aussi dans le domaine des
nerfs
cubitaux. L'anesthésie du tronc ayant monté jusqu
écouvre de ce côté une surdité absolue. Le 8 décembre, paralysie du
nerf
facial droit à type périphé- rique (participati
e segment du bulbe, conservé incomplètement, correspond au noyau du
nerf
hypoglosse. La partie dorsale de la coupe est d
infiltrant point ou très peu le tissu nerveux sous-jacent. t. Les
nerfs
périphériques et les muscles, surtout ceux des me
racines du plexus sacré (sensibilité conser- vée dans la région du
nerf
fémoro-cutané postérieur; aboli- tion du réflex
celui de Cramer, enfin West- phal a signalé des métastases dans les
nerfs
périphériques), ce n'est que la, moelle qui res
r quelques auteurs, toute intervention portant directement sur un
nerf
devrait produire la folie. L'opération en elle-
né avec le plus grand soin les cornes antérieures de la moelle, les
nerfs
périphériques et les muscles, nous avons pu déc
us ces éléments, et notamment une véritable destruction de tous les
nerfs
périphériques, qui étaient le siège d'une névri
et les racines n'étaient pas à beaucoup près aussi altérées que les
nerfs
périphériques. On comprend ainsi aisément pourq
J'ai examiné les préparations micros- copiques de la moelle et des
nerfs
du sujet dont AI. Brissaud vient de communiquer
ion des centres nerveux (traumatisme, lésion en foyer, etc., ou des
nerfs
); 8° troubles mentaux dans les maladies autres
une intoxication alcoolique, une maladie des centres nerveux ou des
nerfs
, d'autres maladies, telles que la syphilis, etc.
secondaire. A. Eenayrou. L. LES paralysies DU VOILE DU palais ET LE
NERF
facial ; par M. Marcel LER1l0YEZ. (Presse médic
aucun rameau moteur au voile du palais, et que le pneumogastrique, (
nerf
vago-spinal, constitué par la réunion du nerf v
le pneumogastrique, (nerf vago-spinal, constitué par la réunion du
nerf
vague et de la branche interne du spinal), innerv
manés du bulbe, gagnent le voile du palais par l'inter- médiaire du
nerf
pharyngien. D'accord avec la physiologie, la cl
es ganglions cancéreux avec intégrité absolue du facial et du grand
nerf
pétreux superficiel. Les cliniciens, il est vra
ue les deux parties d'un même organe vocal, doivent obéir à un même
nerf
. Seule, l'unité de commandement peut assurer la
HOLOGIE NERVEUSE.- à vivre d'accord, reçussent leurs ordres de deux
nerfs
aussi étran- gers l'un à l'autre que le facial
ulbaire, par - infiltration parasitaire des noyaux correspondant au
nerf
vestibu- )aire'2° Intégrité de l'état général e
présente d'ailleurs pas de para- lysie, du côté des membres ni des
nerfs
craniens; pas de troubles oculaires ; pas de vo
paisseurs formées par la peau et le tissu cellu- laire au-dessus du
nerf
modifient la densité des effluves électriques e
utre mesure les ondes électriques, avant qu'elles ne rencontrent le
nerf
; de là des variétés indivi- duelles et même rég
excita- bilité, à raison notamment de la variation de situation des
nerfs
, le même nerf pouvant présenter, à différents e
à raison notamment de la variation de situation des nerfs, le même
nerf
pouvant présenter, à différents examens, des diff
se de la contraction qui permet de conclure à la dégénérescence des
nerfs
et des muscles (Remak). Les treize variétés se ré
contraction indirecte de Erb) ; et que l'excitabilité faradique du
nerf
et du muscle peut présenter un ralentissement de
PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. XIX. Recherches SUR l'origine RÉELLE DES
NERFS
crâniens; les NERFS MOTEURS oculaires ; par VAN
IQUES. XIX. Recherches SUR l'origine RÉELLE DES NERFS crâniens; les
NERFS
MOTEURS oculaires ; par VAN GEHUCHTEN. (JOU1'1l
, 1898, n° 6.) L'entrecroisement partiel des fibres radiculaires du
nerf
de la troisième paire est un fait aujourd'hui b
s directes ainsi que les muscles intrinsèques de l'oeil. Quant au
nerf
pathétique, il serait constitué avant tout par de
tefois si ces fibres directes se rendent du noyau d'origine dans le
nerf
périphérique sans passer par la val- vule de Vi
val- vule de Vieussens, ou bien si ces fibres, avant d'atteindre le
nerf
périphérique, passent 'deux fois la ligne média
'deux fois la ligne médiane, dans le raphé et dans la valvule. Le
nerf
de la sixième paire est formé exclusivement de fi
stincts et situés l'un dans la concavité des fibres radiculaires du
nerf
facial, l'autre en dedans de la branche radicul
monstre. A. M. XXVI. Relations anatomiques DES noyaux centraux DES
nerfs
cochléaires ET vestibulaires; parlFlorence SABI
(parésies du larynx et de la vessie, crises d'estomac, atrophie des
nerfs
optiques, mi- cropsie, douleurs rhumatismales,
de la scissure de Sylvius très limitée. Foyer hémorrhagique près du
nerf
olfactif. Hémisphère gauche. - Foyer hémorrhagi
les faisceaux du corps trapézoïde, du côté latéral par la racine du
nerf
facial. Dans son parcours à travers la moitié d
et llaumu (A.). - Recherches sur les altérations de la rétine et du
nerf
optique dans l'intoxication fdisique. Brochure in
tre locale, correspondant par exemple à la distribution de certains
nerfs
craniens, ou être généralisée ou encore être un
e 1 à 2 centimètres, en suivant à peu près exactement le trajet des
nerfs
frontal interne et frontal externe; ni douleur, n
- dérées comme propres au tabès, par l'altération très grande des
nerfs
périphériques, regardée comme exceptionnelle, et
nérale. Mais cette règle n'est admissible qu'à la condition que les
nerfs
moteurs ou les muscles ne soient pas eux-mêmes
et terminer dans une goutte d'huile de cajeput la dissociation d'un
nerf
nou encore terminée. Mais pour chaque série de
u lapin, du chien, des nouveau-nés et des adultes, des racines, des
nerfs
périphériques, de la moelle, de l'écorce, dans
s autres phénomènes présentés simultanément ·. 488 PSYCHOLOGIE.
nerf
optique, le chiasma, les bandelettes ; les cellul
le noyau irien, la troisième paire, le ganglion ophtalmique, les
nerfs
ciliaires. 2° Mouvements pigmentaires. On sait
indirectement par un mécanisme réflexe. En effet a) la.- section du
nerf
optique empêche la descente du pigment sous l'i
u de la troisième paire, puis trajet centrifuge par le troncde ce
nerf
, puis les filets ciliaires' (V. fig. 26). Le ré
e le trajet vers la pénphérie se fait par les filets centrifuges du
nerf
optique, que nous étudierons dans un instant. M
avail les conclusions suivantes : 4° la solution de continuité d'un
nerf
spinal pratiqué dans certaines conditions suffi
nsi produite peut servir à déterminer la topographie des noyaux des
nerfs
médullaires ; 3° habituellement, chaque nerf ti
raphie des noyaux des nerfs médullaires ; 3° habituellement, chaque
nerf
tire ses origines d'un noyau prin- cipal et des
médian et le cubital qui ont un noyau principal commun ; 4.° chaque
nerf
spinal lire ses origines de plusieurs segments
ine diphtérique, il se développe avec le temps une névrite dans les
nerfs
périphériques; le streptocoque, au contraire, n
streptocoque, au contraire, n'amène aucune dégénérescence dans les
nerfs
périphériques, mais provoque des modifications
tense des faisceaux de Burdach et de Goll. L'étude des lésions du
nerf
, leur apparition relativement tardive permetten
nant plusieurs types cellulaires. Après la section chez le chien du
nerf
facial supérieur, on constate une réaction très
de en question. J. SÉGLAS. LIV. Recherches SUR L'ORIGINE RÉELLE DES
NERFS
crâniens : LE nerf facial; par van GEHUCIITEN.
LAS. LIV. Recherches SUR L'ORIGINE RÉELLE DES NERFS crâniens : LE
nerf
facial; par van GEHUCIITEN. .%tl9')t. de Neurolog
z le lapin, l'autour conclut que toutes les fibres constitutives du
nerf
facial sont des fibres directes et que toutes s
ères conclusions ne s'appliquent cependant qu'au noyau d'origine du
nerf
facial chez le lapin; elles ne doivent pas être
s le ganglion géniculé. Ces fibres sensitives appartiennent donc au
nerf
intermédiaire de Wrisberg, qui devient ainsi ré
re de Wrisberg, qui devient ainsi réellement la racine sensitive du
nerf
de la sep- tième paire. G. D. LV. Etat DES ré
LVI. De l'influence des réactifs SUR l'excitabilité électrique D'UN
NERF
isolé; par A. WALLER. (Brain, part. LXXVI.) Cet
lésée REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 497 du
nerf
. Le dispositif de l'auteur est fort ingénieux et
x et les condi- tions expérimentales constantes. Pour chaque cas le
nerf
baigne une minute dans une solution au dixième
rive à voir un antago- nisme faux, équivalent à un simple lavage du
nerf
d'essai pro- duit par la substance arrivant la
ne, d'une parenté chimique et originelle étroites, ont donné sur le
nerf
isolé des résultats tout à fait différents. D'aut
ne constitution chimique indéterminée, comme la curarine ont sur le
nerf
isolé une action physiologique d'une précision et
à leur tour, ont des relations avec les neurones périphériques des
nerfs
504 BEVUI, d'anatomie ET DE physiologie patho
ant, aux phénomènes réflexes qui peuvent être mis en action par les
nerfs
crâniens et aussi par les nerfs de la peau. La
peuvent être mis en action par les nerfs crâniens et aussi par les
nerfs
de la peau. La démonstration pour les tubercules
aialysie centripète, c'est-à-dire par suspension de la fonction des
nerfs
centripètes, il est légitime de dire que l'atax
moteurs; les conducteurs sensitifs qui y aboutissent y trouvent des
nerfs
moteurs, de sorte que le réflexe psychique s'y
, par van Gehuch- ten, 293. Anestiilsiques. Action des - sur le
nerf
isolé, par \\'aller, 137. Anthropologie crimine
supérieur, par Marinesco, 492. Recherches sur l'origine réelle du
nerf
-, par van Gehuchten, 495. Faisceau nu Gowers
origlne traumatique, par \Ially, °5G. - tln voile du palals et du
nerf
facial, par Desnoyer, 289. - transitoire el réc
le de -, 246. SCI'11(,UE. Traitement de la - par compiession du
nerf
, par Arul- lanm, 142. SCu'RODJ : : R111E lard
exercée sur le crâne ne provoque de douleurs dans aucun point, les
nerfs
sous-orbitaires ne sont point sensibles, la sou
lquefois l'irritation si loin qu'il avait de véritables attaques de
nerfs
, pendant lesquelles il se roulait par terre. Pe
due, non pas a, l'altération plus ou moins apparente de tel ou tel
nerf
, non pas même à une névrose du pneumogastrique
, s'expliquer, il est. vrai, par l'hypothèse d'une alté- ration des
nerfs
pneumogastrique ou grand sympathique,' mais qua
ter'à'cette idée qu'une, altération ! plus ou, moins grossière'du 1
nerf
vague' ou" du .' grand sy m IJathiqlOE soit ! s
pneumogastrique parles ganglions tuméfiés situés au;voisinage de ce
nerf
. Peut-être la maladie de Basedov, serait-elle d'o
e spécial qu'à,unc altération localisée. ! au, tronc "de tel ou tel
nerf
? . D'ailleurs, si, abandonnant, pour quelques
...111 '0""11-1 même, .étudie les phénomènes observes sur sa propre
nerf
1 n W ! n u.-K "}(,s,Y,,lep ? rn,I]eh ? ' i -.G
1. t r : . j ? j 1 1 J ') r . t 1 il' et des connexions^ entre les
nerfs
cérébraux Gulbairés, lé cerveau et Ï'1'·y ) i :
diaire de la subs- tance grise, (richesse du raphé en cellules) les
nerfs
bullaires au pédoncule cç,r;ér : al; ly,ru,bal1
v. n,nr., ., La seconde sectionesrreservee aux racines spinales des
nerfs
sensoriels dîi ceveazc. Le trijumeau prendrait
\\ 9\l3\nt\\¿ey ? ,¥.\Rçp ! ladmet son action coordinatrice sur les
nerfs
moteurs, son rôle à l'égard des perceptions sen
connu. On ignore également si les" racines spinales appor- tent aux
nerfs
un courant moteur, sensible, où' double ;' ici se
récurrente, c est- à-dire irradiant en sens inverse de l'influx du
nerf
qui tendra gagner le cerveau ? Opinions contrad
ffl1>l'n ? f'\ ,t" 'HII' <IPifJ,J¡' ? U racines normales, les
nerfs
des membres manifestement atrophies. - ? ,,o' f
iques.qui relardenUa. dégén{'ratiç ! l1' du musclol séparé, de. son
nerf
.,(Brown-Sécfuard, 1)éjerine : )r.J ,'Ii : : u91',
er ! \1t,t)¡OnlvQ,e : .L'.orj)jJJo externe et moyenne. ,à celles du
nerf
, auditif dans la.production.de lltlj," ? . ' U1
.\I,gre ,e V ! 3rltç ? H lh ' nière tabétique d'une dégénération du
nerf
, auditif. AI11. Marie et Il ""1 l 11 r II ? Il
aIhInaLioi\."prDpagée;f car oh'là trouve lôli dé 1 iUèrë,, sur le ?
nerfs
* profonds; 'elle 'n'offre' aucun des caractères
érose est constamment parallèle à celui des varices, des veines, du
nerf
ou de celles, qui l'avoisinent. Le nerf, qui rési
des varices, des veines, du nerf ou de celles, qui l'avoisinent. Le
nerf
, qui résiste si ; .u 31 v. n : 1.W 1,. iT.iïn.l
acilite la circulation veineuse du membre en général, celle' de ses
nerfs
en particulier. Ainsi s'expliquent ses heureux ef
emple rare de pachymemngite, osseuse externe,) ayant enolobéf les,,
nerfs
dej]a, sixiè¡Í1e et de la septième paires ;.dan
(ÍueJ : Ùt¡LIhJ])i ! o]1;'gé sur le tronc de la douzième paire. Ces
nerfs
étaient» réduits' i\ dé minces,cordons, fibreux
sur le boutcentral. Outre l'inconstance de ce'fait, tes lésions du
nerf
tiraillé''ne'*sont'pas moindres que dans les 'd
ns ne relevaient pas de la névralgie, car l'expérimentation'sur'des
nerfs
sains les a reproduites. Elles eipliquent" les'
>i' ')001J Da L'auteur à vu'sur le cadavre les' tiraillements du
nerf
sus-orbitaire porter sur lé ganglionde Gasser.
e au[Sourcil,, et,. très y.ol,11e... qe'LlUl ? c,qI)d'ptùl,I.l'Je l
nerf
.^une, incision gaJe"obl¡fIuç ? JeJl ? D ? e, de.
de,}a, qlleue1c,-c]¡ev : ¡'t expliquent la P111aIJ's\el ! ;10 ! edG91
nerfs
.v6si.caux, à ! ; 1,'exclusion' des autres' fil
e l'oculo-mô- ' leur externe, des'fibres radiculâires'de'ce dernier
nerf
, des origines ; fasciculailes et d'une partie d
endantes 1'ne" soÙ t ''détruites qll'au 'poiilt' d'érnerge'r1cë" du
nerf
; en' ce' qui concerné sa ' racine 'ascendante'
tè ! JpÓ'úrllèWlnoÿam T d'origii1'è' bulbaires' et' médullaires des
nerfs
destinés aux muscles de la rotation. nl,) ! Ada
paralysies- successives' sont-elles - dues à 'des lésions : 1° des
nerfs
, 2° de la capsule'interne,' 3° ou J de" la' couch
PATHOLOGIE NERVEUSE. .convulsifs,.dans les muscles innervés par ce,
nerf
(pertes.de cO,ni1ais- l5ancs,inçonsta1ls), ct,
? des ? kerfit 1 desffà'm¡jês même à l'aide de vingt éléments, les
nerfs
radial et cubital réa- ! ! it ? U ni -il 1 f.L n
ébI.e) 'I1 jointe/) aux. effets, de- la kathode sur les muscles et,
nerfs
des membres inférieurs; détermine en vain unej
e, portant soit directement' sur les muscles eux-mêmes; soit sur le
nerf
qui' les' anime;' s'agir d'une'1 contraction perm
précédent. Mais, si, par l'excitation mécanique des muscles ou des
nerfs
, on ne peut pas provoquer de contractions, perm
a partie postérieure du trou déchirélpostérieur ne cdntenaitque les
nerfs
; la portion antérieure renfermait un sinus pét
génie ait fait banqueroute et que tel individu soit en déficit d'un
nerf
auditif, tel autre d'une série de lobes cérébraux
par VERDAN. Thèse de Paris, 1883. , 1 , ? ' Il De l èlongalion du
nerf
nasal externe dans le traitement , du glau- com
maux, par Fesenko ; Distribution anatomique des fibres motrices des
nerfs
chez l'homme, la lapin et la grenouille, par Be
ongles des orteils. Tuberculose pulmonaire. Altérations des divers
nerfs
péri- phériques correspondant aux troubles trop
ier dans le foie et la rate. Coeur normal. De nombreux fragments de
nerfs
des pieds, des mains et des membres, et quelque
s procédés précédemment indiqués. A l'examen macroscopique tous les
nerfs
périphériques paraissent sains Les racines post
au- coup plus grêles qu'à l'état normal. ^ Examen HISTOLOGIQUE, -
Nerfs
du membre supél'iell1' dl'oit ,- Le médian et l
de l'extrémité inférieure du bras sont sains. Des fragments de ces
nerfs
dissociés après l'action de l'acide osmique ne
érations identiques dans leur nature se rencontrent t dans tous les
nerfs
de la main sur lesquels a porté l'exa- men. Les
eules différences que nous ayons pu reconnaître dans ces différents
nerfs
, portent sur la proportion rela- tive des fibre
ment moins de fibres saines que les branches terminales des mêmes
nerfs
. La grande majorité des fibres est atrophiée. Q
ivement très courts, et paraissant être des fibres régénérées. Le
nerf
collatéral interne palmaire du pouce et le collat
terne palmaire de l'anl1ulali'e sont beaucoup moins malades que les
nerfs
de l'index, mais on y découvre cependant quelques
celui des fibres saines. En résumé, altération profonde de tous les
nerfs
collatéraux de l'index et de la branche dorsale
e tous les nerfs collatéraux de l'index et de la branche dorsale du
nerf
radial à la partie inférieure de l'avant-bras.
ial à la partie inférieure de l'avant-bras. Altération légère des
nerfs
collatéraux du pouce et de l'annulaire. Intégrité
rfs collatéraux du pouce et de l'annulaire. Intégrité des troncs du
nerf
radial et du nerf médian. Nerfs du membre infér
pouce et de l'annulaire. Intégrité des troncs du nerf radial et du
nerf
médian. Nerfs du membre inférieur droit. Le pla
annulaire. Intégrité des troncs du nerf radial et du nerf médian.
Nerfs
du membre inférieur droit. Le plantaire interne
s par quatre ou cinq fibres fragmentées variqueuses (type 3). Les
nerfs
collatéraux du deuxième orteil sont altérés de la
ollatéraux du deuxième orteil sont altérés de la -même façon que le
nerf
plantaire interne, mais à un moindre degré en c
fibres saines y est propor- tionnellement plus considérable. Les
nerfs
sciait que et crural n'ont pas été étudiés. Ner
nsidérable. Les nerfs sciait que et crural n'ont pas été étudiés.
Nerfs
du membre inférieur gauche. Les nerfs collatéraux
crural n'ont pas été étudiés. Nerfs du membre inférieur gauche. Les
nerfs
collatéraux internes et externes du gros orteil
uche. Les nerfs collatéraux internes et externes du gros orteil, le
nerf
plantaire interne présentent les mêmes altérati
, le nerf plantaire interne présentent les mêmes altérations que le
nerf
plantaire interne du côté droit, la plupart des
oule (type 2), mais les fibres malades sont en infime minorité. Les
nerfs
de la cuisse n'ont pas été étudiés. Racines rac
et l'autopsie permet de recon- naître des altérations profondes des
nerfs
se distribuant à toutes les parties sur lesquel
bles trophiques sont sous la dépendance directe d'altérations des
nerfs
correspondants, il est certain que toutes les n
i précède, nous voyons, en effet, que des altérations évidentes des
nerfs
collatéraux du pouce et de l'annulaire droits n
es trophiques soient provo- qués par des altérations primitives des
nerfs
, mais que toutes les altérations des nerfs ne p
térations primitives des nerfs, mais que toutes les altérations des
nerfs
ne provoquent pas néces- sairement des troubles
ous éludions, les névrites révélées par l'examen histologique des
nerfs
siégeaient exclusivement sur les branches périp
exclusivement sur les branches périphériques terminales de certains
nerfs
, et que les altérations inflammatoires ou dégén
étaient dégénérées, ainsi que les extrémités terminales de certains
nerfs
périphériques, tandis que les troncs nerveux in
e aiguë, eschares multiples ci développement rapide. Altération des
nerfs
périphériques et des racines postérieures corre
ion que suivent ces élancements, il indique exactement le trajet du
nerf
sciatique. Les eschares fessières mesurent chac
schares fessières, tro- chantériennes et sacrées, des fragments des
nerfs
fessiers et de divers troncs nerveux des membre
s, ni ramollis; rien ne permettait à l'oeil nu de les distinguer de
nerfs
et de ganglions tout à fait normaux. DES NÉVRIT
RITES PÉRIPHÉRIQUES NON l'RAUIATIQUES. 193 Examen IIISTOLOGIQUE. 1°
Nerfs
cutanés correspondant aux eschares fessières, t
e la fesse étant innervée principalement par le ra- meau fessier du
nerf
fémoro-cutané, branche collatérale du plexus lo
en majorité. Les ganglions eux-mêmes n'ont pas été exa- minés. 2°
Nerfs
fessiers supérieurs droit et gauche. Toutes les
Nerfs fessiers supérieurs droit et gauche. Toutes les fibres de ces
nerfs
sont fragmentées en boules (type 2). 3° Branche
nes malléolaires du côté gauche. Toutes les fibres provenant de ces
nerfs
sont altérées, toutes sont t atrophiées, à un d
ées, les tubes nerveux étaient sains et les coupes transversales du
nerf
faites pour vérification, après durcisse- ment
sentent leur myéline fragmentée en blocs irréguliers (type 1). 8°
Nerfs
du membre inférieur droits Les nerfs homologues
ocs irréguliers (type 1). 8° Nerfs du membre inférieur droits Les
nerfs
homologues du côté droit offrent des lésions an
tion en blocs. 1 I° Nerfs de la queue de cheval. - Plusieurs de ces
nerfs
ont été examinés ; sur toutes leurs fibres la m
à des altérations considérables et relativement très étendues des
nerfs
périphériques. Les nerfs de la peau au voisi- n
dérables et relativement très étendues des nerfs périphériques. Les
nerfs
de la peau au voisi- nage des eschares de la fe
Mais ce qu'il y a de particulièrement intéressant dans l'état des
nerfs
périphériques, c'est que l'altération remonte,
ion remonte, en s'atténuant, le long des troncs nerveux. Dans les
nerfs
des membres qui sont plus favorablement disposé
. Tandis que les'fibres des racines antérieures correspondantes aux
nerfs
altérés étaient presque toutes saines, la plupa
gauche. Dystrophie des ongles des gros orteils. - Altéra- tions des
nerfs
périphériques'. 1. Rose (Joseph), quarante-deux
r. z Un grand nombre de fragments nerveux des divers segments des
nerfs
du membre inférieur gauche, depuis les collatérau
ordinaire d'acide osmique pour être examinées au microscope. Les
nerfs
cutanés au voisinage de l'eschare sacrée n'ont pa
iquerons très brièvement les résultats de l'étude microscopique des
nerfs
du membre inférieur gauche et des racines corre
et des racines correspondantes. Examen histologique des différents
nerfs
du membre inférieur gauche. Les collatéraux du
gouttelettes de myéline ayant pris une belle couleur brune. · Les
nerfs
saphène interne et externe sont peu altérés. La
ppant des gouttelettes graisseuses vivement colorées en noir. Les
nerfs
tibial antérieur et tibial postérieur présentent
res altérées y est-il proportionnellement moins considérable. Les
nerfs
crural et sciatique sont parfaitement sains : sur
s névrites siégeaient exclusivement sur les branches terminales des
nerfs
: les troncs ner- veux intermédiaires et les ra
primitivement son influence sur les terminaisons périphériques des
nerfs
, en épargnant les troncs nerveux intermédiaires
ypothèse, la lésion centrale modifierait l'état de la nutrition des
nerfs
périphériques, mais ne serait pas suffisante pa
écessairement des altérations inflammatoires ou dé- génératives des
nerfs
périphériques. Ces altérations se produiraient
uges qui surviennent consécutivement aux sections transversales des
nerfs
. DES névrites périphériques non traumatiques. 2
ubes nerveux ou durer, pour ainsi dire, indéfi- niment dans un même
nerf
. D'autre part, tandis que les dégénérations wal
tes peuvent prendre naissance dans les extrémités périphériques des
nerfs
, s'étendre, en s'atténuant, dans les branches n
n'avons pas trouvé d'altérations continues, entre la moelle et les
nerfs
altérés. Entre l'altération centrale et l'altér
les nerfs altérés. Entre l'altération centrale et l'altération des
nerfs
périphé- riques, les troncs nerveux étaient sai
able. Ils varient du reste, dans leur nature, selon la fonction des
nerfs
altérés et selon les degrés de l'altération. Ce
)).- Mère, quatre-vingt-deux ans, bien portante, pas d'attaques de
nerfs
. Grand'mère maternelle, morte paralysée.- l'as
Reoat : demande si' la réaction dégénérative exis- tait, et si les
nerfs
périphériques ont été examinés-après la mort. M
ie chez l'animal de produire la tonicité musculaire en excitant les
nerfs
moteurs et les provoquer ensuite par le choc, l
des,réflexes, elle rend possible l'excitation des terminaisons des
nerfs
sensitifs (Lewinski). Dans la myélite dorsale !
ant du côté "gi,7îi,clte, qui comprenait l'ensemble des branches du
nerf
. Rien de particulier dans les : a ! 1nn ? liq ?
r M. Westphal, on peut penser dans l'espèce à une atrophie vraie du
nerf
optique, tandis que, pour M. Hirschherg, les lign
heube a ;> dans' 'deux' 'cas ? constaté ! 'l'inflammation 1. des
nerfs
avec tendan'ce"à'/ lafJ cirrhose; lices "âitéra
le trophique des parois des vaisseaux (Baelz), soit aux lésions des
nerfs
, et sont analogues à l'oedème des hémiplégiques
. Depuis deux mois seulement, il y a des douleurs sur le trajet des
nerfs
cubitaux. Signe de Romberg. Anesthésie presque
nomène obtenu. Si, chez un individu prédisposé, le froissement du
nerf
cubital devient pour le patient les morsures d'un
re, comme si elle eut étéhyperémiée. A l'oeil nu, les racines des
nerfs
spinaux paraissaient être nor- males ; il faut
du cou, qui étaient plus fines et d'une légère teinte grisâtre; les
nerfs
périphériques des extrémités ne présentaient ég
uelques modifications, peu graves du reste de certains muscles, des
nerfs
périphériques et de la subs- tance grise de la
us grand que celui des libres modifiées. L'examen de morceaux des
nerfs
médian et cubital, pris sur l'avant-bras, a mon
entait aucune modification; en géné- ral le procès morbide dans les
nerfs
périphériques était très peu prononcé, 'ne prés
une simple atro- phie des filets nerveux. De toutes les racines des
nerfs
spinaux, il n'y avait que les racines antérieur
nes des nerfs spinaux, il n'y avait que les racines antérieures des
nerfs
cervicaux in- férieurs qui présentassent quelqu
'examen microscopique y montra les mêmes modifications que dans les
nerfs
médian et ulnaire, c'est-à-dire une atrophie en
substance grise de la moelle épinière, des racines antérieures, des
nerfs
périphériques, ainsi que celles des muscles, ét
même tout à fait indemne ; les cellules qui constituent le noyau du
nerf
hypo- glosse semblaient elles-mêmes être normal
buvait pas.- Mère, bien portante, pas de migraine, ni d'attaques de
nerfs
. Elle était enceinte du père de notre malade av
garder le lit pendant deux jours. Elle n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
, ni de maladies graves. [Père, mort par acciden
taine de fois environ, à la suite de contrariétés, des attaques de
nerfs
durant de cinq minutes à une heure; pas de migrai
asthmatique, facilement irritable; elle n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
.-Pas de névralgies, de migraines'; variole grave
CTION DES PUPILLES DES ALIÉNÉS SOUS L'INFLUENCE DE l'excitation des
NERFS
SENSIBLES; par C. Moeli. (Arch. f. Psych. Nerve
venk., XIII, 3.) Chez les individus bien portants, l'excitation des
nerfs
sensibles de la peau à la piqûre et au contact
ectueuse. L'absence de réaction à l'éclairage et à l'excitation des
nerfs
sensibles pré- domine chez les malades qui ne p
étude d'hydrodynamique physiologique. La diminution du travail des
nerfs
vaso-moteurs engendre non le pouls lent (itt2,d
de ramollissement; l'auteur fait la supposition qu'un faisceau de
nerfs
vaso-moteurs se trouve juste à cet endroit. Bubno
ées et de vomissements, elle eut, il y a quatre ans, une attaque de
nerfs
avec perte de connaissance, mouve- ments impuls
rtant que sur la motilité, mais com- prenant toutes les branches du
nerf
, voire le lingual et les rameaux du digastrique
e l'ataxie locomotrice, et parti- culièrement dans les sections des
nerfs
périphériques et dans la sclérose en plaques. I
immédia- tement d'une altération inflammatoire ou dégénérative des
nerfs
des orteils. Dans les mômes conditions, il peut
ncher du quatrième ventricule en un point situé entre l'origine des
nerfs
acoustiques et pneumogastriques, et les expérie
ous a fait passer en revue les lé- sions des centres nerveux et des
nerfs
rencontrées chez les diabé- tiques ; mais « leu
et du tabac; par DW'ID. Thèse de Paris, 1883. De l'élongation du
nerf
nasal externe dans le traitement du glaucome ;
ons se fait-il le mieux ? IL Neurologie. 1. L'effet des lésions des
nerfs
périphériques pour produire des altérations ana
es organes sexuels) pour produire des troubles fonctionnelles des
nerfs
, spécialement l'hystérie ; - 8. La sclérose latér
férents pro- cessus pathologiques ? 12. La valeur de la tension des
nerfs
comme méthode de guérison. Les adhérents qui
ion immédiate, une compression des ra- cines nerveuses destinées au
nerf
sciatique. Une arthrite sacro-vertébrale, par e
ère plus vraisemblable. Il n'est pas à supposer qu'une névralgie du
nerf
scia- tique détermine une contracture dans un g
ermine une contracture dans un groupe du muscles indépendants de ce
nerf
. On ne pourrait in- voquer en pareil cas qu'un
ons plusieurs fois observé, au delà de la sphère de distribution du
nerf
sciatique proprement dit. Peut-être se produit-
n dedans. Le malade accuse une vive dou- leur sur tout le trajet du
nerf
sciatique qu'il parcourt du doigt avec une préc
ée d'un spasme muscu- laire dans toute la sphère de distribution du
nerf
scia- tique, et étendue même à d'autres muscles
a- tique, et étendue même à d'autres muscles non tri- butaires du
nerf
sciatique proprement dit. L'état spasmodique ét
ans d'autres névralgies comme la névralgie faciale, la névralgie du
nerf
circonflexe, ou celle du plexus cervical. Il se
levé que les dernières émergences des branches postérieures de ce
nerf
. Le point iliaque supérieur répond aux dernière
erf. Le point iliaque supérieur répond aux dernières divisions du
nerf
fessier supérieur, émané des deux dernières pai
évralgie sciatique, des régions indépendantes de la distribution du
nerf
sciatique malade. Evidemment, il ne s'agit pas,
uve que la sciatique, le plus souvent, n'est pas une névralgie du
nerf
sciatique, au sens anatomique du mot, mais bien
localisation prédominante dans les branches de dis- tribution du
nerf
sciatique. Une névralgie combinée du nerf sciat
es de dis- tribution du nerf sciatique. Une névralgie combinée du
nerf
sciatique et du nerf crural n'est pas en somme
n du nerf sciatique. Une névralgie combinée du nerf sciatique et du
nerf
crural n'est pas en somme plus surprenante qu'u
nt difficile de limiter au tronc et aux branches de distribution du
nerf
sciatique. En effet, outre les points douloureu
classi- ques de la névralgie sur les diverses ramifications de ce
nerf
, il existe très souvent d'autres points doulou-
us ordinairement, la sciatique n'est pas seulement une névralgie du
nerf
sciatique proprement dit, mais une névralgie du
atique proprement dit, mais une névralgie du plexus lombo-sacré. Le
nerf
sciatique d'ailleurs, ne représente qu'une subd
rveux. En d'autres termes, la sciatique n'est pas la névralgie d'un
nerf
, . mais la névralgie d'un plexus. , 2° La sci
e- 36 CLINIQUE NERVEUSE. pendant envahir tout le territoire de ce
nerf
, et même s'étendre à certains muscles du plexus
es cas de ce genre, n'est pas limitée aux muscles innervés par le
nerf
sciatique ; elle s'étend, dans la région laté-
i de certaines autres névralgies (celle de la cinquième paire ou du
nerf
circonflexe, etc.) Dans cette variété de scolio
, le malade est un tireur habile. Aucun trouble quelconque dans les
nerfs
craniens.-Pupilles nor- males, réagissant très
sang d'un rouge foncé, demi-coagulé, en grande quantité autour des
nerfs
spinaux qui forment la queue de cheval. Ayant c
prête pas à recevoir, il s'ensuit donc une compression fatale du
nerf
labyrinthique ou nerf de l'espace : c'est ainsi
r, il s'ensuit donc une compression fatale du nerf labyrinthique ou
nerf
de l'espace : c'est ainsi- que la portion vesti
e ou nerf de l'espace : c'est ainsi- que la portion vestibulaire du
nerf
auditif a été désignée, on le sait bien, par M.
bles de l'équilibre sont dus aux lésions de cette portion. Or, le
nerf
de l'espace une fois comprimé, la sensation de
termédiaire delà chaîne des osselets au liquide laby- rinthique, le
nerf
de l'espace déjà lésé est de nouveau comprimé,
ale. Névrite périphérique dégénérative probable dans le domaine des
nerfs
péronier et tibial gauche. (Segment inférieur d
macula lutea de la rétine et représente la projection des fibres du
nerf
optique qui servent à la vision la plus distinc
ervent à la vision la plus distincte ; 12° l'expansion corticale du
nerf
optique est telle que chaque point de cette exp
a substance fondamentale gélatineuse. C'est parce que les fibres du
nerf
optique se terminent en ramifications arbori- f
visuelle du cerveau (coin). Par conséquent, des sollici- tations du
nerf
optique arrivent au corps genouillé externe par
u corps genouillé externe, mais de la bandelette optique et même du
nerf
optique REVUE D'ANATOMIE ET DE PATHOLOGIE PHYSI
n adulte, on interrompt, à la base du cer- veau, la continuité d'un
nerf
moteur on obtient aussi, comme chez le nouveau-
on obtient aussi, comme chez le nouveau-né, la dégénérescence de ce
nerf
des deux côtés, y compris ses cellules d'origin
s deux côtés, y compris ses cellules d'origine ; 2° la section d'un
nerf
moteur dans son trajet périphérique entraîne, s
riphérique entraîne, si un déplacement suffisant des éléments de ce
nerf
empêche l'accroissement ultérieur des fibres du
eur du crâne, on rencontre l'atrophie de la racine ascendante de ce
nerf
, mais les cellules de la substance gélatineuse et
mportance de l'un des morceaux divisés. ' P. K. XI. De l'allure des
nerfs
sensibles dans la tétanie; par J. HOFF- MANN (N
ntralbl., 1887). Hyperexcilabililé électrique (de même que dans les
nerfs
mo- teurs) et hyperexcitabilité mécanique des n
me que dans les nerfs mo- teurs) et hyperexcitabilité mécanique des
nerfs
sensitifs. Un cas même témoigna de l'hyperexcit
probable que ces changements permanents sont sous la dépendance des
nerfs
tro- phiques. L'air peut pénétrer dans le che
donc conclure que : 1° les troubles trophiques dans le domaine des
nerfs
du cuir chevelu, peuvent s'accompagner d'autres
oubles insolites du sys- tème nerveux. Après de violentes crises de
nerfs
et une perte absolue de con naissance qui a dur
st celle d'assurer les rapports physiologiques exis- tant entre les
nerfs
de la motilité et ceux de la sensi- bilité ? «
ériphériques, en LES FONCTIONS DU CERVEAU. Il-19 rapport avec les
nerfs
à direction centripète ou centri- fuge. 11 n'ex
de technique histologique, à surprendre les rapports directs des
nerfs
moteurs avec les cellules des cornes antérieures
e épinière sont bien en rapport direct, quoique non isolé, avec les
nerfs
du mouvement. Aussi écrit-il maintenant : « Auj
résultat des différences existant dans les organes terminaux des
nerfs
, et que la seule énergie spécifique de la cel-
il leur production; 2° de la structure des organes terminaux des
nerfs
sensibles. Bref, c'est à la struc- ture des app
la fibre musculaire devrait être appelée « motrice », et non pas le
nerf
ni la cellule nerveuse qui innervent le muscle.
édiaire du réseau nerveux central, serait en rapport avec plusieurs
nerfs
de sen- sibilité différente, pourrait réunir en
nerveuses, de rapports des cel- lules nerveuses avec les différents
nerfs
de sensibilité et de mouvement, avec le réticul
culum nerveux de l'écorce, etc.2 Dans le muscle, la terminaison des
nerfs
n'est pas même en continuité directe avec la fi
. ^Quelque diverses que soient les ter- minaisons périphériques des
nerfs
du deuxième type de Golgi, des nerfs sensibles,
minaisons périphériques des nerfs du deuxième type de Golgi, des
nerfs
sensibles, le point initial de l'ex- citation s
lules du premier type de Golgi : c'est de cette cellule que part le
nerf
sensible qui gagne le système nerveux central,
ce, en fines ramifications arborescentes. Ce qui distinguerait le
nerf
sensible du nerf moteur ne serait donc pas que
mifications arborescentes. Ce qui distinguerait le nerf sensible du
nerf
moteur ne serait donc pas que le premier entre
re sensible est périphé- rique, tandis qu'elle est centrale pour le
nerf
moteur. Dans les deux cas, le nerf se termine e
dis qu'elle est centrale pour le nerf moteur. Dans les deux cas, le
nerf
se termine en ramifications arborescentes, le n
les deux cas, le nerf se termine en ramifications arborescentes, le
nerf
moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la
e en ramifications arborescentes, le nerf moteur dans le muscle, le
nerf
sensible dans la substance grise de l'écorce. M
bres (Sehslrahlungen ou fccsciculecs oplicus) issues des centres du
nerf
op- tique, et parce que toute destruction notab
sensitifs ou centripètes.» L'arc réflexe est constitué : 1° par le
nerf
centripète et ses ramifications fibrillaires, p
al pour la physiologie du système nerveux, est le travail Sur les
nerfs
des tendons de l'homme et des autres vertébrés,
o (Torino, 1880), p. 18; Cf. 23. LES FONCTIONS DU CERVEAU. z197
nerfs
sensitifs (Sachs), et non par des nerfs moteurs
FONCTIONS DU CERVEAU. z197 nerfs sensitifs (Sachs), et non par des
nerfs
moteurs (Bain). Une première hypothèse s'impo
(Torino, 1887), p. J ? 16. 198 PHYSIOLOGIE. sibles, non avec des
nerfs
moteurs. Pour vérifier ce fait, deux voies s'ou
ieurs de la moelle épinière, ainsi que les racines postérieures des
nerfs
spinaux, les organes musculo-tendineux, s'ils s
que les organes musculo-tendi- neux n'ont point de rapport avec les
nerfs
moteurs, et sont-en connexion avec les fibres d
xplique la genèse des sensations musculaires : une excitation des
nerfs
moteurs est transmise, au moyen de leurs termi-
rphologie cellulaire de la moelle allongée, Sur l'origine réelle du
nerf
hypoglosse, etc. De l'Institut anatomique de Tu
yait toujours qu'il allait mourir, il était sujet à des attaques de
nerfs
avec chute, danslesquelles il se rai- dissait,
contre certains phénomènes hystériques (spasmes, vapeurs., maux de
nerfs
, crispations, agace- ments). Elle agit bien dan
rticale des deux coins. On a constaté en même temps l'intégrité des
nerfs
opti- ques, du chiasma, des bandelettes optique
I. Contribution .\ LA pathologie du tabès dorsal et A la lésion des
nerfs
périphériques; par H. Oppenheim et E. SIEYEllLiNG
c. f. Psych., XVIII, 1-2.) Après avoir étudié la manière d'être des
nerfs
périphériques chez quatorze tabétiques (observa
géné- rales sur l'ensemble de l'organisme et en particulier sur les
nerfs
sensitifs et mixteschez des individus ayant suc
es ou de la complication. Quoi qu'il en soit, la dégénérescence des
nerfs
périphériques appartient bien aux lésions ordin
de dire qu'il n'existe pas de relation entre la dégénérescence des
nerfs
périphériques et les lésions des cordons postéeie
de la sensibilité, elle parait émaner bien plus de l'altération des
nerfs
sensitissquede celle des cordons postérieurs; l
postérieurs; les troubles laryngés se rattachent à des lésions des
nerfs
pneumo-gastrique et récurrent, les origines cen-
crises gastriques, les accès de dyspnée. 11 n'en est pas ainsi des
nerfs
moteurs qui semblent dans le tabes cliniquement a
es cliniquement affectés; il est exceptionnel de les trouver lésés (
nerfs
de l'oeil, grand hypo- glosse, accessoire). F
côté droit, à l'endroit où il traverse la dure-mère. Les fibres du
nerf
étaient simplement écartées, dissociées et non
a moelle et des racines antérieures. Dégénérescence très intense du
nerf
radial, légère du nerf médian, douteuse du nerf c
antérieures. Dégénérescence très intense du nerf radial, légère du
nerf
médian, douteuse du nerf cubital. D'après l'aut
nce très intense du nerf radial, légère du nerf médian, douteuse du
nerf
cubital. D'après l'auteur, la paralysie saturni
n anatomo-pathologique suivante. Il s'agit d'une dégénérescence des
nerfs
périphériques moteurs et sensitifs à marche asc
la ban- odelette optique du côté gauche jusqu'au chiasma ; les deux
nerfs
op- tiques sont devenus étroits ; 2° Un encép
érieurs de la bandelette optique gauche. Egalité de volume des deux
nerfs
optiques; le nerf optique droit est simplement un
lette optique gauche. Egalité de volume des deux nerfs optiques; le
nerf
optique droit est simplement un peu grisâtre au
du masséter et du temporal; en même temps, anesthésie partielle du
nerf
trijumeau de ce côté ; perte totale de l'excita
et élec- tro-galvanique. 11 est probable que le noyau moteur de ce
nerf
est atrophié et qu'il existe une dégénérescence
hondrie qui n'a rien à voir avec des altérations fonctionnelles des
nerfs
SOCIÉTÉS SAVANTES. 265 périphériques ? Que de
embryons de fibres nerveuses non entre-croisées dans le chiasma du
nerf
optique de l'homme- L'auteur montre des prépara
tions proviennent du chiasma d'un homme affecté d'atrophie d'un des
nerfs
optiques; elles sont colorées par la méthode de
e : Développement et trajet des fibres blanches dans le chiasma des
nerfs
optiques de l'homme. M. WITNOVSKT. De l'actio
testin : il s'en suit que de petites doses de morphine excitent les
nerfs
d'arrêt de l'intestin tandis que de fortes doses
e purement fonctionnel provoqué par le trau- matisme exercé sur les
nerfs
cutanés sensitifs, l'irritation ayant gagné les
oncer au malade qu'on allait lui faire une opération (élongation du
nerf
). Discussion. M. Schultze communique deux ob er
xagération des douleurs lancinantes ; mort subite (par paralysie du
nerf
vague ? ) Un cas seulement témoigne d'une double
épendant soit de la moelle, suivant les uns, soit primitivement des
nerfs
périphé- riques suivant les autres, c'est ce qu
téressante parce que la névralgie symétrique occupait le domaine du
nerf
cubital. Localisée d'abord au côté droit, elle
envahit bientôt le côté gauche. Il existait de la tuméfaction du
nerf
qui était douloureux à son passage dans la gout-
es douleurs localisées plus ou moins exactement sur le trajet des
nerfs
, mais qui, au lieu d'être permanentes, prennent
eures ne présentent aucune lésion. Il en est de même des noyaux des
nerfs
bul- baires. Dans la région supérieure du bul
rmis) est également indemne. Nous n'avons pu pratiquer l'examen des
nerfs
périphériques. Le caur présente de l'épaississe
eaucoup de fibres atrophiées avec conservation du cylindre-axe. Les
nerfs
cervical et brachial offrent une altération moi
tion moins avancée ; par contre, les lésions sont intenses dans les
nerfs
hyporlosses où le tissu conjonctif contient un
lions spinaux n'offrent rien d'anormal ; il en esl de même pour les
nerfs
et les muscles. Du côté de la moelle allongée d
PSYCHOLOGIE. quelque nature qu'elles soient, se propagent par les
nerfs
périphériques vers les centres réflexes propre-
ntégrité des noyaux du facial. du pneumogastrique, du spinal et des
nerfs
correspondants ; inté- grité des muscles des co
fères, incluses dans une couche de substance finement grenue. Les
nerfs
sensitifs se résolvent, après avoir perdu leur my
ouillese terminer à la surface (muscle thoracique sous-cutané). Les
nerfs
qui innervent les fibres lisses se divisent de
es dernières ramifications de l'olfactif, du glossopha- ryngien, du
nerf
auditif, sont des fibrilles qui se terminent dans
DIVERS. 433 pays, nos médecins et notre curé souffrent beaucoup des
nerfs
( ? ). Ils ont recours aux injections de morphi
la Société co.tre l'abus du), 432. ' Tabès dorsal, et lésions des
nerfs
périphériques, par Oppenheim et Siemerling, 2
scles mastica, teurs, par Schultze, 263. Tétanie (de l'allure des
nerfs
sensi bles dans la), par Hoffmann,F115. Théra
plus souvent dégénérées; 2. La connaissance de la participation des
nerfs
sen- sitifs périphériques dans le tabès (Westpl
tahétique est un processus parenchy- mateux ; ce processus part des
nerfs
périphériques ; il est la conséquence de la sur
es à l'endolymphe du labyrinthe, excitant ainsi les terminaisons du
nerf
vestibulaire, et que cet état vibratoire de l'e
toujours appelé paralysie centripète l'abolition de la fonction des
nerfs
centripètes, laquelle consiste dans la conduction
sations terminales de leurs fibres constitutives. La fonction des
nerfs
centripètes diffère avec celle de l'organe d'où
xie centripète n'apparaît-elle qu'après la paralysie centripète des
nerfs
de la peau, des muscles, des articu- lations, e
lations, etc. ? Doit-on l'attribuer à la paralysie simultanée de
nerfs
centripètes fonctionnellement différents ? « L'at
ts ? « L'ataxie centri- pète se produit,'écrit IIering, lorsque les
nerfs
centripètes -des muscles sont incapables de fon
aison avec ceux que les tabétiques parviennent à réaliser. Tous les
nerfs
centripètes ne sont pas en effet, chez ces mala
nde avec le temps. Le degré de l'ataxie ne dépend pas seulement des
nerfs
centripè- tes de l'extrémité affectée, mais aus
es nerfs centripè- tes de l'extrémité affectée, mais aussi d'autres
nerfs
centripètes, tels que l'opticus. Ainsi, lorsqu'
ion pourrait avoir pour effet la dégénération ascendante : 1° Les
nerfs
périphériques, y compris leurs terminaisons péri-
s proposées pour rendre compte de la marche du processus depuis les
nerfs
périphériques jusqu'aux racines postérieures, en
cas d'une lésion de déficit des cellules des ganglions spinaux, les
nerfs
sensibles périphériques devraient être aussi al
e tronc, hypesthésie qui ne correspondait pas à la distribution des
nerfs
périphériques, mais à celle des racines spinale
affections du système nerveux que la motilité. Ainsi la section des
nerfs
mixtes elle-même peut ne pas déterminer des tro
on des impressions de la sensibilité. Dans certaines affections des
nerfs
périphériques, par exemple dans la polyné- vrit
t aux fonctions de la sensibilité consciente. Anatomique- ment, les
nerfs
sensitifs ont subi la même lésion dégénérative.
oies nerveuses pour les sensations de douleur. Il n'existe point de
nerfs
spécifiques de la douleur. Redlich se range , a
le tabes, indépendamment de lésions médullaires, par lésions des
nerfs
cutanés périphériques (Dejerine) 1 Nous ne le pen
Acuann (L.) : Contribution à l'étude des affections multiples des
nerfs
crâniens compliquant le zona (considérations étio
(A.). Elude o,7zcttoi ? io-pathologiqtie et clinique des lésions du
nerf
optique dans les fractures de la base du cndne.
ressant un peu plus le côté gauche et envahissant partiellement les
nerfs
de la troisième et de la sixième paire à gauche
a légèrement voilée, cependant visible. Pas d'atro- phie marquée du
nerf
optique et de la rétine. La moitié temporale de
es neurites et dues soit à des altérations purement anatomiques des
nerfs
, comparables à celles consécutives à des amputa
mparables à celles consécutives à des amputations ou résections des
nerfs
, soit à ce que les agents nocifs dans les nerfs
s ou résections des nerfs, soit à ce que les agents nocifs dans les
nerfs
affectés : microbes, toxines, etc., sont transp
s fibres voisines, soit dans les relations entre ces cordons el les
nerfs
périphériques. Cet état de choses tend d'un côt
l'influence des irritatifs provenant de la périphérie ou mieux des
nerfs
périphériques. - Communications diverses. Par
voir les relations existant entre la cir- culation lympathique des
nerfs
et la circulation lympathique de la moelle. J'a
fs et la circulation lympathique de la moelle. J'ai injecté dans le
nerf
sciatique de chiens et de lapins vivants des su
scendante vers la moelle de ces granulations. En injectant dans ces
nerfs
du chlorure ferreux en solution aqueuse et en inj
précipité de bleu de Turnbull se faire dans la partie supérieure du
nerf
, dans les racines, surtout dans les racines pos
nous permettent de comprendre les relations pathologiques entre les
nerfs
et la moelle, elles expliquent la névrite ascenda
lle, les relations évi- dentes entre la circulation lymphatique des
nerfs
et la circulation lymphatique delà moelle et de
Dans ces maladies en effet les racines sont attaquées au niveau du
nerf
radiculaire par un processus inflam- matoire qu
on de lésions inflammatoires diffuses ; cette aptitude spéciale des
nerfs
radiculaires s'explique par leur structure. La
sition exacte des lésions nerveuses et interstitielle au niveau des
nerfs
radiculaires. La lésion du nerf optique dans ce
et interstitielle au niveau des nerfs radiculaires. La lésion du
nerf
optique dans ces cas est absolument compa- rabl
fection du plexus sacré, spécialement affection grave et durable du
nerf
sciatique poplité externe (nerf péronier). '
ement affection grave et durable du nerf sciatique poplité externe (
nerf
péronier). ' j Des cas analogues ont été obse
de Lamy ; 3° par la voie nerveuse (inoculation des microbes dans le
nerf
sciatique) ; et enfin par l'introduction des mi
onne surtout naissance à des polio-myélites ; l'inoculation dans le
nerf
sciatique réalise une méningo-myélite plus accusé
nerf sciatique réalise une méningo-myélite plus accusée du côté du
nerf
injecté, tandis que l'injection dans le canal ara
la contractilité fara- dique et galvanique pour les muscles et les
nerfs
du côté gauche sans R. D. Sensibilité : local
ns douloureuses. Pour Goldsehneider ces organes étaient d'abord des
nerfs
dou- loureux, Niçois admet des nerfs de douleur
es organes étaient d'abord des nerfs dou- loureux, Niçois admet des
nerfs
de douleur, des nerfs de chaleur, du froid et d
bord des nerfs dou- loureux, Niçois admet des nerfs de douleur, des
nerfs
de chaleur, du froid et du tact. D'après Offenl
ieiiner la douleur est un phéno- mène pathologique, produit par les
nerfs
vaso-moteurs, qui trans- mettent la douleur.
u correspondant de la lésion tabétique dans la moelle épinière. Les
nerfs
sensibles périphériques issus du ganglion étaient
avité des lésions des libres radiculaires postérieures et celle des
nerfs
sensitifs périphériques du ganglion spinal. Il es
tabès, a trouvé, sans exception, des altérations dégénératives des
nerfs
périphériques. Marinesco a constaté de la chrom
c'est-à-dire la racine postérieure, et la branche périphérique, le
nerf
sensitif périphérique. Comme il-n'y a point de
dire la racine postérieure, c'est aussi la branche périphérique, le
nerf
sensible, qui devraient dégénérer, car l'influe
des conclusions. Pour ce qui a traita la branche périphél iq ue, au
nerf
sensible, il y a déjà des faits, croient les au
troncs nerveux périphériques et dans les arborisations ultimes des
nerfs
sensibles (Strümpell). La principale objection
au typique du tabes, inégalité et rigidité pupillaires, atrophie du
nerf
optique, troubles de sensibilité sous forme de
avec une affection des cornes antérieu- res ou une dégéuération des
nerfs
périphériques, ou une syringo- myélie, étaient
s la paralysie générale, de véritables névrites périphériques : les
nerfs
périphériques participent donc aux pro- cessus
tro- phie dégénérative avec intégrité des cornes antérieures et des
nerfs
périphériques Le tableau clinique diffère, qu
de l'affection soit périphérique (ganglion spinal), car, dit-il, le
nerf
sensitif issu du ganglion spinal est presque to
r celles des racines posté- rieures, qui coïncident avec celles des
nerfs
périphériques, peuvent dériver d'une cause comm
sur les altérations des cellules radiculaires après la section des
nerfs
moteurs, qu'il ne s'agit pas en réalité, dans ces
'une névrite ascendante. Aussi bien la dégénération ascendante d'un
nerf
sensible s'arrêterait à la cel- lule du ganglio
rés. Au point de vue expérimental, Feinberg, après destruction du
nerf
sciatique sur trois lapins, a noté des lésions ma
bewitz). . La rigidité pupillaire indique déjà la participation des
nerfs
crâniens au processus tabétique; c'est surtout
rfs crâniens au processus tabétique; c'est surtout le cas pour le
nerf
optique. Aussi bien on connaît les analogies que
nerf optique. Aussi bien on connaît les analogies que présentent le
nerf
optique, le trijumeau, le glossopharyngien avec l
au, le glossopharyngien avec les racines postérieures. En outre les
nerfs
périphériques, sensitifs et moteurs, z sont sou
éter l'ataxie du tabes comme une ataxie d'origine corticale. - Le
nerf
optique est souvent atteint dans le tabes. Les ca
Le nerf optique est souvent atteint dans le tabes. Les cas où ce
nerf
est particulièrement affecté constituent jusqu'à
3 de Strümpell, les cellules nerveuses des différents ganglions des
nerfs
rachidiens et des nerfs crâniens, quelque dista
ules nerveuses des différents ganglions des nerfs rachidiens et des
nerfs
crâniens, quelque distants que soient ces gangl
380. ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES DU 'TABES. 133 bien'le
nerf
auditif qui est atteint par l'affection : « Il ex
s du goût et de l'odorat ne sauraient différer de celles des autres
nerfs
et des autres centres nerveux, de celles en parti
e celles en particulier des cel- .Iules nerveuses des ganglions des
nerfs
crâniens, analogues aux -ganglions des nerfs ra
uses des ganglions des nerfs crâniens, analogues aux -ganglions des
nerfs
rachidiens. Klippel a décrit et reproduit les l
les nerveuses du ganglion d'Andersch qui se trouve sur le trajet du
nerf
glosso-pharyngien, celles des cellules olfac- t
olfac- tives de la muqueuse pituitaire représentant le ganglion du
nerf
olfactif, enfin celles des cellules du ganglion
lement celles des prolongements de ces cel- lules, c'est-à-dire des
nerfs
correspondants. Avec la-méthode de Marchi, beau
es ordinaire comme « une maladie du téléneurone centripète ». Les
nerfs
du goût et de l'odorat n'échappent donc pas à la
UE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 135 moelle épinière.
Nerfs
périphériques, moelle, encéphale, peuvent être
eurs égards de celle que Marinesco a signalée après la section d'un
nerf
moteur. Dans 71 cas de folie l'auteur a pratiqu
a névrite paludéenne un carac- tère particulier. La variabilité des
nerfs
intéressés serait plutôt spéciale à cette affec
n progressive par la toxine paludéenne, amenant la dégénération des
nerfs
. Mais il faut dire que cette pathogénie n'est e
Xi. Contribution à la dissociation fasciculaire ou hersage des '
nerfs
dans les troubles angio-neurotrophiques ; par le
ce versa. Si l'érecteur de droite, par suite d'une affection de ses
nerfs
moteurs, perd de sa force, comme dans la sciati
l'omoplate et sur l'humérus. Cette observation montre aussi que les
nerfs
trophiques de l'humérus et de l'omoplate provie
t deux hypothèses : ou bien les lésions des racines antérieures des
nerfs
proloquent du côté des cellules des cornes anté
cot) qui ne correspond pas à la distribution péri- phérique d'aucun
nerf
sensitif, ni d'aucune racine spinale posté- rie
rement àla doctrine classique, la nature motrice du noyau dorsal du
nerf
vague. De plus, les auteurs pensent que ces cel
carmin, Weigert); des racines antérieures correspon- dantes, et des
nerfs
des membres inférieurs (tibial postérieur et an
t des nerfs des membres inférieurs (tibial postérieur et antérieur,
nerfs
péroniers, nerfs intra-musculaires à l'acide os
embres inférieurs (tibial postérieur et antérieur, nerfs péroniers,
nerfs
intra-musculaires à l'acide osmique et picrocar
lus accentuée que l'on se rapproche davantage de la terminaison des
nerfs
. 172 SOCIÉTÉS SAVANTES. L'auto-l1¡ÏCI'osthési
ffet, nous n'avons pu réveiller de douleur précise sur le trajet du
nerf
sciatique. Peut-être pourrait-on expliquer les
intacte. Il y avait de la perte de la contractilité électrique des
nerfs
et des muscles. Cousot, dans son remarquable tr
perte de l'excitabilité électrique. L'excitabilité galva- nique du
nerf
revenait la première. La sensibilité restait no
on intensité est très variable.suivant les cas et les. attaques les
nerfs
cérébraux sont d'ordinaire intacts. Il ! estE d
hénomènes. Dans l'inter- valle aussi, l'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles, la résistance galvanique de -la
stigation de* premier ordre, l'étude de la réaction, électrique des
nerfs
et,, des musclés, nous ne pouvons croire qu'il'
cère variqueux par l'élongation et la dissociation fasciculaire des
nerfs
; par les D™ de 13uc6 et van DER Linden. (Joum.
cas d'ulcères variqueux traités l'un par le procédé d'élongation du
nerf
sciatique de Clii- pault, l'autre par la dissoc
tance molle de la gelée et est très vasculaire : elle appuie sur le
nerf
optique immédiatement en arrière du chiasma ; e
surface anesthésiée ne correspond pas à la distribution cutanée des
nerfs
intercostaux, mais représente l'innervation émané
rique tout entier paraissait simultanément atteint. Quelquefois les
nerfs
de la face ont été envahis. Les symptômes de
la douleur ou de l'endolorissement dans la zone de distribution du
nerf
malade, et des douleurs d'abord sourdes, puis p
ité ou très peu après, sont la raideur des muscles innervés par les
nerfs
malades, aboutissant à une para- lysie plus ou
9 : 1VG CLAY. XVIII. Remarques sur un cas de lésion traumatique des
nerfs
pneu- mogastrique, hypoglosse et sympathique; p
ûte palatine et sortie par la racine du nez a-t-elle lésé ces trois
nerfs
? L'idée d'une fracture de la base du crâne éta
en désaccord avec les symptômes ; il fallait donc admettre que les
nerfs
avaient été directement lésés par la balle, et
r les divers symptômes auxquels peuvent donner lieu les lésions des
nerfs
dont il s'agit : ces symptômes sont exposés et
as été fait dans les cas cérébelleux. Dans quatre cas l'atrophie du
nerf
optique était complète et la cécité absolue. Da
à la partie antérieure et externe des cuisses où se distribuent les
nerfs
cutanés externes, nerfs qui émanent de la 2° et
t externe des cuisses où se distribuent les nerfs cutanés externes,
nerfs
qui émanent de la 2° et de la 3° racine lombair
pinale, la sensibilité était conservée dans la zone innervée par le
nerf
cutanée externe. Le malade ne pouvait ni uriner
s des limites assez étroites, d'autant plus qu'il est admis que les
nerfs
sensitifs passent du côté opposé immédiate- men
ptômes précoces (miction paresseuse ou incontinence). L'atrophie du
nerf
optique ne se rencontre à la vérité que- chez u
ntée par des embarras d'argent. Ni peur, ni syncope, ni attaques de
nerfs
, etc. Accouchement à terme en vingt ou vingt-ci
rences sont très facilement détachées avec le doigt. (l. et IL) Les
nerfs
olfactifs sont réduits à une sorte de membrane, d
ne de 1 milli- mètre à droite, et encore plus mince à gauche. Les
nerfs
optiques sont blancs et assez gros, par rapport a
erveau : leur coupe a environ un millimètre et demi de diamètre. Le
nerf
moteur oculaire est assez bien développé. Les t«b
de chaque côté de la ligne médiane, un peu au-dessus et le long des
nerfs
optiques, deux noyaux durs, irréguliers, dont l
fier. A peu près vers la même époque, il y aurait eu une crise de
nerfs
caractérisée par l'émission de cris, un trembleme
d'anesthésic. L'observation de quelques phénomènes concernant les
nerfs
crâniens autorise une approximation plus grande :
jumeau, branche maxillaire inférieure); bour- donnements d'oreille (
nerf
acoustique). Le diagnostic porté fut donc celui
cation de la parésie el de la paralysie à gauche. La compression du
nerf
auditif, à son entrée dans le conduit auditif i
migraine), et en dernier lieu elle exerça surtout son action sur le
nerf
maxillaire inférieur. . La compression avait do
es centres nerveux et des ganglions cérébro-spimaux (ganglions du
nerf
vague excepté) ne lui ont pas permis de découvrir
ésions capsulaires des ganglions notamment de ganglions noueux du
nerf
vague existent du façon constante chez les chiens
r avec une certitude absolue, par l'examen des ganglions nerveux du
nerf
vague l'existence ou la non-existence de la rag
une zone spéciale, qui suit plus ou moins exactement le trajet d'un
nerf
, et son siège est variable. Cette sensation est
f en ce qui concer,ie les états psychiques) il paraît être dans les
nerfs
périphériques. Le traitement est naturellement ce
ont deux avec examen histologique, de généralisation cancéreuse aux
nerfs
péri- phériques. l Dans le premiercas il s'ag
ons; atrophie musculaire, des- truction des branches terminales des
nerfs
intra-musculaires et intra-dermiques. Le troi
cher qui crée une paralysie faciale périphérique par compression du
nerf
dans l'aqueduc de Fallope. L'auteur insiste sur
stomac une paralysie faciale due à un noyau cancéreux comprimant le
nerf
dans l'aqueduc de Fallope. Syndrome de Wcber.
tions pour terminer par 12s affections des enveloppes nerveuses des
nerfs
périphériques et des névroses et dystrophies. M
equel on constata une dégénérescence du noyau sphinc- terien et des
nerfs
moteurs oculaires. c. Les recherches nécroscopi
intestinaux et cutanés développés vraisembla- blement en dehors des
nerfs
. , Les auteurs voient dans ce cas un nouvel arg
hyse dont on ne retrouve plus trace et avoir englobé le chiasma des
nerfs
optiques et les tubercules mamillaires en péné-
et la moelle sont plus fréquemment atteints par la syphilis que les
nerfs
périphériques; les capillaires jouent un rôle i
dans le tabès dit amaurotique, c'est ordinairement l'atrophie du
nerf
optique qui révèle le diagnostic. ' Tous les ca
pelviennes donnent des résul- tats analogues : elles compriment les
nerfs
, modifient la circula- tion ; ces lésions ou ce
moins les cellules ganglionnaires, mais la substance blanche et les
nerfs
moteurs efférents sont aussi atteints. Dans que
que, en règle géné- rale, la paralysie de Landry n'atteint que les
nerfs
spinaux moteurs efférents, les cornes grises an
21 janvier 1901. L. Minor. Contracture tardive dans le domaine des
nerfs
facial et hypoglosse. La contracture faciale
gauche avait toutes les apparences de santé, on a constaté dans le
nerf
radial gauche, dans les extenseurs de la main e
e mal perforant plantaire périphérique guéri par la faradisation du
nerf
tibial postérieur. In-8» de 4 pages. ' brucelle
u corps, ou, plus exactement, qu'une compression quelconque sur les
nerfs
périphériques, peut produire les mêmes résultat
ue des hallucina- tions obsédantes de la sensibilité générale ou du
nerf
olfactif. Les erreurs sensorielle^ obsédantes s
d'ailleurs été déjà signalés. M. Joffroy. Il faut en effet que le
nerf
ait été préparé par une intoxication ou une dys
alirlue étant autrement vaste et autrement impor- tant que celui du
nerf
crural. En réalité,^le fait est d'ailleurs exact.
rieures de la moelle, en même temps qu'une lésion des noyaux des
nerfs
moteurs qui n'est pas celle d'une paialysie bulba
est pas celle d'une paialysie bulbaire progres- sive. Les noyaux du
nerf
facial et sui tout du nerl hypoglosse n'.tnt pr
tout du nerl hypoglosse n'.tnt presque pas souffert, de môme que le
nerf
spinal. Sont notable- ment atteints les noyaux
môme que le nerf spinal. Sont notable- ment atteints les noyaux des
nerfs
oculomoteurs, à l'exclusion de ceux qui innerve
e contractions musculaires et que les réflexes précis et rapides du
nerf
optique (regard dans l'une ou l'autre direction
t ; en outre, il exista pendant quelques mi- nutes une paralysie du
nerf
abducens gauche. Les phénomènes pupillaires son
munique les impulsions motrices des images visuelles aux noyaux des
nerfs
oculomoteurs, reste intact. Il est possible que
e professeur t3eclilaerell'en cinq catégories : y 1° Maladies des
nerfs
périfériques : a) névralgie, b) convulsions, c)
aladie delà moelle chez les -, par de Peters. 'f01. Hersage des
nerfs
, par de Buck, 1 12 Hommage au professeur Lacass
01. Ulcère. Traitement de l'- vain- queur par la dissociation des
nerfs
par de Btick et van der Linden, 234. Vagint
être lésé. C'est dans les altérations de la moelle épinière et des
nerfs
oculo-moteurs du mesencéphale, comme dans celles
et des nerfs oculo-moteurs du mesencéphale, comme dans celles des
nerfs
périphériques et des muscles que l'on doit cherch
eumonie. L'examen microscopique a porté sur les centres nerveux, le
nerf
crural et une portion du muscle quadriceps fémo
ont présenté aucun signe d'altération. Il n'en n'est pas de même du
nerf
crural ; à ce niveau les cylindaxres avaient di
ait à croire à une compression périostique de nature rachitique des
nerfs
dans l'aqueduc de Fallope, entre le nerf de l'é
de nature rachitique des nerfs dans l'aqueduc de Fallope, entre le
nerf
de l'étrier et le lieu d'origine de la chorde d
gie douloureuse et de paresthésie dans le domaine du trijumeau, des
nerfs
occipitaux, du plexus cervico-bracliial ; l'ens
iplégie périphérique siégeant, à droite, à l'en- droit d'où part le
nerf
de l'étrier ; à gauche, au voisinage de l'ori- j
brachial, avec sensibilité à la pression des points d'élection des
nerfs
atteints, montre qu'en outre du facial, les ner
ts d'élection des nerfs atteints, montre qu'en outre du facial, les
nerfs
sensitifs sont pris. Légère atteinte des nerfs de
outre du facial, les nerfs sensitifs sont pris. Légère atteinte des
nerfs
des extrémités, En un mot, polynévrite descenda
e d'athétose et des mouvements choréiformes, atteinte convulsée des
nerfs
crâniens moteurs, crises tétanoïdes. -Autopsie.
'est celle d'assurer les rapports physiologiques existant entre les
nerfs
de la inutilité et ceux de la sensibilité ? c L
is de la spécificité des organes pépiphériques, en rapport avec les
nerfs
à direction centripète ou centrifuge. Il n'exis
des procédés de technique, à sur- prendre les rapports directs des
nerfs
moteurs avec les cellules des cornes antérieure
e épinière sont bien en rapport direct, quoique non isolé, avec les
nerfs
périphériques du mouvement : Aujourd'hui je me
le résultat des différences existant dans les organes terminaux des
nerfs
, et que la seule énergie spécifique de la cellu
on de ces sensations ; 2° de la structure des organes terminaux des
nerfs
des sens. Bref, c'est à la structure des appare
le, la fibre musculaire devrait être appelée motrice, et non pas le
nerf
ni la cellule nerveuse qui innervent le muscle :
n pas le nerf ni la cellule nerveuse qui innervent le muscle : « Le
nerf
ni la cellule nerveuse ne renferment un principe
le monde extérieur ses pseudopodes pour s'emparer de sa proie. Les
nerfs
de la sensibilité et ceux du mou- vement sont c
ux central de Golgi ou de Gerlach, serait en rapport avec plusieurs
nerfs
de sensibilité différente, pourrait réu- nir en
. Dans le muscle non plus, remarquait ce savant, la terminaison des
nerfs
n'est pas en continuité directe avec la fibre.
e. Quelque diverses que soient les terminai- sons périphériques des
nerfs
du deuxième type de Golgi, le point initial de
du premier type : c'est de cette cellule périphé- rique que part le
nerf
qui gagne le système nerveux central, où elle '
e termine en fines ramifications arborescentes. Ce qui distingue le
nerf
sensible du nerf moteur ne serait donc pas que le
s ramifications arborescentes. Ce qui distingue le nerf sensible du
nerf
moteur ne serait donc pas que le premier entre
u sensorielle est périphérique, tandis qu'elle est centrale pour le
nerf
moteur. Dans les deux cas le nerf se termine en
ndis qu'elle est centrale pour le nerf moteur. Dans les deux cas le
nerf
se termine en s'arborisant, le nerf moteur dans
rf moteur. Dans les deux cas le nerf se termine en s'arborisant, le
nerf
moteur dans le muscle, le nerf sensible dans la
nerf se termine en s'arborisant, le nerf moteur dans le muscle, le
nerf
sensible dans la substance grise centrale. Mais
sensitifs ou centripètes. » L'arc réflexe est constitué : 1° par le
nerf
centripète et ses ramifications fibrillaires, p
eptionnelle, des fibres cylindraxiles les plus typiques, celles des
nerfs
périphéri- ques de la sensibilité générale. Enf
contiguïté ». Jules SouRY. 1 C. Golgi. - Sur l'origine du quatrième
nerf
cérébral (pathétique) el sur un point d'ltislo-
centrifuge, elle se communique d'abord à une cellule du noyau d'un
nerf
moteur; une cellule intercalaire la transmet à
que chez les cobayes; altérations comparables à celles qui dans les
nerfs
crâniens moteurs se montrent lorsqu'on a lésé le
indiquer que le ruban de Reil contient les fibres sensi- tives des
nerfs
crâniens sensitifs (et surtout du trijumeau), il
BLIOGRAPHIE. 155 Ce sont les névrites primitives et secondaires des
nerfs
vagues, primitives par toxicité ou par infectio
nés multiples, taches pigamentaires (les fibromes sur le trajet des
nerfs
n'ont été constatés nettement chez aucun d'eux)
veux des fibromes; dans les deux tumeurs examinées par l'auleur, le
nerf
se trouvait au centre du néoplasme. La producti
'artère fémorale est plus large, ses parois sont plus épaisses. Les
nerfs
sciatiques semblent normaux. A droite, les arti
matiée à gauche, mince et oedématiée à droite. - Les artères et les
nerfs
de la base, sauf le nerf optique, ne présentent
oedématiée à droite. - Les artères et les nerfs de la base, sauf le
nerf
optique, ne présentent rien de particulier. L'h
dans les diverses maladies, l'agent étiologique des altérations des
nerfs
périphériques détermine des altérations du même
solue (altérations de la tache jaune, et ultérieurement atrophie du
nerf
optique); - 5° marasme, et, règle générale, ter
érie de cas dans lesquels il se compliquait de troubles du côté des
nerfs
. optiques et en particulier d'atrophie. Weiss et
ugger ont publié 16 cas de crâne en forme de tour avec atrophie des
nerfs
optiques ; entre autres chez deux frères. Dans le
de la dure-mère, et d'une atro- phie accentuée de presque tous les
nerfs
craniens. Au point de vue clinique on avait vot
observés étaient dus à la compression cérébrale, à l'atro- phie des
nerfs
et à la compression du bulbe. (V. Hess, Contribut
les, et nous croyons pouvoir ajouter fréquentes et variées, sur les
nerfs
des muqueuses linguale et pituitaire, c'est-à-d
es nerfs des muqueuses linguale et pituitaire, c'est-à-dire sur les
nerfs
de l'olfaction et du goût, ainsi que sur les br
ction et du goût, ainsi que sur les branches nasales et linguale du
nerf
triju- meau. Malgré nos connaissances approfo
table anosmie tenant vraisemblablement « à une lésion tabétique des
nerfs
de l'olfaction. « Appareil gustallf. - Quelques
le « agueusie qui probablement est due aussi à l'altération des «
nerfs
du goût. « Ces différents troubles sensoriels s
ves à des troubles d'innervation et de trophicité dans la sphère du
nerf
lingual. Langue saburrale névropathique. (Sphèr
de la muqueuse buccale qui appartiennent à la sensibilité spéciale (
nerfs
olfactif et glosso-pharyngien) de ceux qu'on re
a description didactique des faits. En pratique les deux ordres des
nerfs
sensibles tant dans l'appareil du goût que dans
pent ne sont pas fatalement le résultat d'une lésion portant sur le
nerf
olfactif ou sur le glosso- pharyngien, ainsi qu
xes dans le jeu desquels ilfaut faire entrer en ligne de compte les
nerfs
de la sensibilité générale qui se rendent à la mu
e nous avons sans cesse en vue les troubles et les altéra- tions du
nerf
nasal et du nerf lingual qui viennent du triju-
cesse en vue les troubles et les altéra- tions du nerf nasal et du
nerf
lingual qui viennent du triju- meau. Ces nerfs
s du nerf nasal et du nerf lingual qui viennent du triju- meau. Ces
nerfs
à eux seuls peuvent modifier le goût et l'odorat,
les autres branches du trijumeau, ce qui démontre que c'est bien ce
nerf
qui est en cause en pareil cas. Le cas le plu
énérale, et non de la sensibilité spé- ciale, de l'odorat. C'est le
nerf
trijumeau qui est le siège de l'aura précédant
QUE NERVEUSE. ches de la pituitaire qui sont intéressées, et non le
nerf
olfactif. Ce sont des picotements et des fourmi
a langue dépend du trijumeau ; mais à son tour il retentit sur le
nerf
de la sensibilité spéciale et c'est pourquoi une
rges électriques; les sensations de flamme dérivant de la lésion du
nerf
optique se transforment en tourments imposés pa
ette étude et qui constitue l'une de ses conclusions, c'est que les
nerfs
de l'odo- rat et du goût sont manifestement tou
lutition, avec parésie du voile du palais, répondant à la lésion du
nerf
facial et du nerf grand hypoglosse ; 2° Une s
ésie du voile du palais, répondant à la lésion du nerf facial et du
nerf
grand hypoglosse ; 2° Une salivation d'intens
ition considérable des forces du malade et impliquant la lésion des
nerfs
dont la fonction est la sécrétion salivaire ;
s quatre groupes de symptômes relevaient tous de la lésion d'autres
nerfs
crâniens et démontraient le tabes bulbaire dans
ucher et à la douleur dans presque toute la sphère d'innervation du
nerf
trijumeau, etc., etc. Il est surtout bien rar
nt pas de cette perte plus ou moins complète de la fonction de deux
nerfs
sans importance par comparaison avec le nerf op
e la fonction de deux nerfs sans importance par comparaison avec le
nerf
optique ou le nerf auditif. Envisagés dans leur
ux nerfs sans importance par comparaison avec le nerf optique ou le
nerf
auditif. Envisagés dans leur évolution ces même
ce qu'on peut observer dans la même maladie relativement à d'autres
nerfs
cra- niens. Dans cette analogie étroite, le g
e les lésions sont en rapport avec ce qu'on observe dans les autres
nerfs
et centres nerveux des tabétiques, en particuli
correspondants au centre tro- phique des fibres nerveuses. Pour les
nerfs
rachidiens ces centres sont les ganglions inter
rachidiens ces centres sont les ganglions intervertébraux; pour les
nerfs
craniens il existe des ganglions qui sont les a
es et congestionnées'. Les autres lésions étaient les suivantes :
Nerf
glosso-pha1'yngien du côté gauche. - Avec le picr
n on trouve un épaississement considérable du tissu con- jonctif du
nerf
. Probablement dans ces travées épaisses il y a
normal. Le ganglion d'Andersch qui se trouve sur le trajet de ce
nerf
, au niveau de la base du crâne, présente de remar
également altérées et offrent les mêmes caractères signalés dans le
nerf
lui-même. Le système vasculaire du ganglion est
eaux sont gorgés de sang. La sclérose du ganglion est douteuse. -
Nerf
olfactif. - On y constate par l'acide osmique bea
racines qui vont du bulbe olfactif au cerveau. Le ganglion de ce
nerf
est représenté, on le sait, par les cellules olfa
'ont pas grande valeur. Nous n'avons donc rien à dire à ce sujet.
Nerf
trijumeau. Les ganglions de Gasser ont été examin
ntense ; la sclérose, légère, mais indubitable. Les branches de ces
nerfs
étaient grêles, mais sans lésions dégénératives
les ganglionnaires y étaient atrophiées surtout dans les noyaux des
nerfs
moteurs, ce qui est en dehors du sujet qui nous
lésion qui préside à ces symptômes ? Est-ce la seule altération des
nerfs
de l'odorat et du goût qui est en cause, ou bie
de l'odorat et du goût qui est en cause, ou bien les altérations du
nerf
lingual et du nerf nasal, branches du trijumeau
oût qui est en cause, ou bien les altérations du nerf lingual et du
nerf
nasal, branches du trijumeau, peuvent-elles à e
ses branches afférentes ou efférenles. L'ensemble du système de ces
nerfs
, leurs branches nerveuses aussi bien que leurs
e' le tabes vulgaire est une maladie du téléneurone centripète. Les
nerfs
du goût et de l'odorat n'échappent pas à cette
tique peut pâtir du côté du goût et de l'odorat par l'altération de
nerfs
différents suivant les cas, c'est-à-dire, soit
fs différents suivant les cas, c'est-à-dire, soit par la lésion des
nerfs
de .la sensibilité spé- ciale (nerfs olfactif e
à-dire, soit par la lésion des nerfs de .la sensibilité spé- ciale (
nerfs
olfactif et glosso-pharyngien), soit par celle du
spé- ciale (nerfs olfactif et glosso-pharyngien), soit par celle du
nerf
de la sensibilité générale de la langue et de l
érale de la langue et de la pituitaire, soit peut-être même par les
nerfs
du sens musculaire. 1° Il est des cas où le glo
du sens musculaire. 1° Il est des cas où le glosso-pharyngien et le
nerf
olfactif 1 Les Neurones. - Les lois fondamental
sont en cause. Leur lésion est suffisante, sinon nécessaire. Ces
nerfs
sont en effet à l'heure actuelle, après tant de c
flexes persistent, la seule conclusion logique est d'incriminer les
nerfs
de sensibilité spéciale en laissant de côté le
côté le trijumeau. 2° Dans d'autres cas les symptômes relèvent des
nerfs
de la sensibilité générale dont les lésions ent
irement la perte ou la perversion de la sensibilité spéciale. Si le
nerf
lingual n'est pas le nerf du goût, il a néanmoi
version de la sensibilité spéciale. Si le nerf lingual n'est pas le
nerf
du goût, il a néanmoins des fonctions dont l'ab
t. C'est pour cette raison que plusieurs auteurs ont affirmé que ce
nerf
était doué de la sensibilité spéciale du goût.
olition de la sensibilité dans la sphère du glosso-pharyngien ou du
nerf
de la première paire ? Il est actuellement très f
la pituitaire trouble l'olfaction. En un mot le trijumeau est un
nerf
accessoire de l'olfaction et du goût qu'il peut
héorie de certains physiologistes, celle de Magendie qui regarde le
nerf
lingual comme le nerf du goût; celle de Muller
siologistes, celle de Magendie qui regarde le nerf lingual comme le
nerf
du goût; celle de Muller qui émet la même opini
au cours du tahes. Ils reconnaissent pour cause soit une lésion des
nerfs
de la sensibilité spéciale,du glosso- pharyngie
indraxe et de ses collatérales est la règle. On savait déjà que les
nerfs
sensitifs périphériques se terminent librement
t Ranvier avait vu depuis longtemps l'« arborisation terminale» des
nerfs
moteurs « dissociés en fibrilles » se mettre'en
doit être considérée comme une condition essentielle de l'action du
nerf
sur le muscle. » (Leçons sur l'histologie du sys-
de ce prolongement dans un ganglion, et la cellule d'origine d'un
nerf
était censée ne pouvoir agir que sur les cellules
dales. Ces fibres représentent-elles la termi- naison cérébrale des
nerfs
sens ! tifs, ou du moins celle des cylindraxes
esquelles s'arborisele troisième neu- rone (cortico-thalamique) des
nerfs
sensitifs ? Sans pouvoir rien affir- mer, l'ill
suppose quelquefois alors que la volonté exerce une action sur les
nerfs
vaso-dilatateurs des points de l'écorcehyper- h
itici peu efficace. En effet, les capillaires cérébraux manquent de
nerfs
et de fibres musculaires lisses, et les artères
côtés; et ensuite la limitation précoce de la lésion permanente au
nerf
circonflexe droit et au nerf thoracique postéri
ion précoce de la lésion permanente au nerf circonflexe droit et au
nerf
thoracique postérieur gauche. R. DE Musgrave CL
racique postérieur gauche. R. DE Musgrave CL\Y. XLIV. Lésions DES
nerfs
PÉRIPHÉRIQUES : CINQ observations ; par L.-L. W
té par la résection et la suture. La seconde concerne une suture du
nerf
facial. Dans la troisième il s'agit d'une divis
uture du nerf facial. Dans la troisième il s'agit d'une division du
nerf
radial, traitée par la suture secondaire. Le qu
ations tactiles et doulolt1'ellses au niveau de la moelle. Dans les
nerfs
périphériques elles peuvent très bien suivre le
évolue rapidement, et le début de la maladie, qui peut frapper les
nerfs
optiques ou la protubé- rance, se fait quelquef
quel est donc le rôle que jouent ces fibres centrifuges dans les
nerfs
sensitifs ? Nous pouvons admettre qu'elles cons
rapport intime avec l'activité psychique. Il est à remarquer que le
nerf
visuel des animaux inférieurs est beaucoup plus
ont pourvues de fibres cen- trifuges, nous pouvons admettre que les
nerfs
moteurs ont aussi des fibres spéciales, destiné
llules du cerveau, d'où partent à travers les fibres centrifuges du
nerf
visuel des impulsions centrales qui régularisen
un éclair- cissement ; la quantité des fibres centrifuges dans les
nerfs
sensoriels n'est pas considérable comparativeme
ts entre le spinal et le pneumogastrique; l'examen histologique des
nerfs
a été fait au moyen de la méthode de Marchi mod
anche externe, les auteurs ont trouvé des fibres dégénérées dans le
nerf
dépresseur de Cyon, dans les branches musculair
pneumogastrique. La présence de fibres dégénérées dans le tronc du
nerf
dépres- seur de Cyon confirme les résultats des
hes physiologiques de Spallitta et Consiglio qui ont soutenu que ce
nerf
est formé en partie par la vague, en partie par
ité des noyaux des IIIe, IVe et Vie paires ne doit pas étonner, ces
nerfs
étant purement moteurs. Dans l'écorce, l'auteur
d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. rison; une paralysie du
nerf
musculo-cutané du côté gauche. Comme il existe
-Séquard a reproduit, expérimentalement, par la section de certains
nerfs
cutanés, section entraînant la décoloration du po
orée des cellules motrices des cornes antérieures et des noyaux des
nerfs
crâniens, des altérations des corpuscules color
t de vue du signe du cubital. Une pression énergique exercée sur ce
nerf
, entre le condyle interne de l'humérus et l'olé
dorsal; plus fort les muscles obliques de l'ab- domen, la région du
nerf
cutané fémoral médian et interne, la jambe et l
ite parenchymateuse chronique, péricardite; rien d'anormal dans les
nerfs
périphériques et dans le système ner- veux cent
d'une tumeur du cervelet : céphalalgie, vomissements, atrophie des
nerfs
optiques secondaire, accès épileptiformes, et par
a valeur séméiologique des réactions électriques des muscles et des
nerfs
. Rapporteur : professeur DOUMER, de Lille (Fran
a dépendance de quelque complication (lésions de la moelle ou des
nerfs
périphériques). Quant aux eschares, qui constitue
nce des lésions caractéristiques de la paralysie de Landry dans les
nerfs
périphériques résulte d'un cas unique, publié i
é il y;a vingt ans par Déjprine : lorsque la lésion inté- resse les
nerfs
périphériques, on constate une augmentation des
la bière et d'autres subs- tances excitantes, produisant sur leurs
nerfs
un effet bien plus dangereux que sur ceux des a
raux et n'ayant intéressé que les noyaux d'origine ou des fibres du
nerf
moteur oculaire commun. A l'autopsie, on reconn
en est un exemple. Il s'agit d'un malade chez qui un traumatisme du
nerf
cubital droit détermina, en plus des troubles p
paraplégie totale motrice et sensitive, excitabilité faradique des
nerfs
et muscles conservée, sensibilité exagérée depu
organe en question en série de lamelles à forme triangulaire. Les
nerfs
s'attachent au côté postérieur des lamelles. A ch
physiologique de ces processus. Chaque excitation qui agit sur les
nerfs
périphériques de la sensibilité a pour résultat u
par Hel'toghe et Masoin, 472. Narcolepsie, par n ybakoff, 184.
Nerfs
. Lésions des - périphériques, par Williams, 328
sur le plan eth- moïdal en avant et avait comprimé le chiasma et le
nerf
optique. Nul doute que dans ce cas il se soit a
que la droite. Elles réagissent faiblement à la lumière. Les autres
nerfs
crâniens sont normaux. La force musculaire des
e tumeur assez considérable en dehors de la pomme d'Adam. Quant aux
nerfs
crâniens et aux membres, on n'y trouve pas de cha
e doulou- reuse, à un degré plus considérable celle des fesses. Les
nerfs
cruraux sont douloureux à la pression. La sensi
rmée, pâle. Les organes internes sans changements appréciables. Les
nerfs
crâniens normaux. Les membres supérieurs foncti
eux côtés. Douleurs à la palpation de l'os sacré, des fesses et des
nerfs
sciatiques et cruraux. Etat actuel. - Nerfs crâ
acré, des fesses et des nerfs sciatiques et cruraux. Etat actuel. -
Nerfs
crâniens et membres supérieurs sans changement.
ant ou de côté plus librement, il la tourne des deux côtés. ' Les
nerfs
crâniens ne présentent rien de notable. Les pupil
odifications des vertèbres et l'absence de tout changement dans les
nerfs
crâniens parle en faveur de myélome. HÉSUMIL -1
leurs pendant l'abaissement de la tête. Pas de changements dans les
nerfs
crâ- niens, ni dans les membres. Réflexes tendi
radiation des douleurs étaient produites soitpar la compression des
nerfs
périphériques, soit par celle des racines au se
hée sur le dos qu'un temps très court, même sur un coussin mou. Les
nerfs
crâniens et les membres supérieurs ne présenten
en plus vers la gauche et en avant a comprimé la veine iliaque, le
nerf
crural et le plexus sciatique ; de cette façon
èse. Elat actuel. - Malade d'une taille moyenne, bien conformé. Les
nerfs
crâ- niens ne présentent rien de notable. Les m
quelques semaines des troubles urinaires légers. Etat actuel. Les
nerfs
crâniens et les membres supérieurs ne présen- t
épingle. Les deux réa- gissent faiblement à la lumière. Les autres
nerfs
crâniens sont normaux. Membres supérieurs : le
les fortes douleurs de la colonne verté- brale (ou de la région des
nerfs
sciratlryees comme on le verra plus loin) surve
tique-fut le premier symptôme d'un échinocoque du sacrum. Outre les
nerfs
précités la névralgie peut frapper le nerf cubi
ue du sacrum. Outre les nerfs précités la névralgie peut frapper le
nerf
cubital. ' Il arrive que les malades se plaigne
du cancer du sein et du foie, où il y avait de fortes dou- leurs du
nerf
sciatique, des deux membres inférieurs, des vertè
macroscopiquement. L'examen microscopique démontra des lésions des
nerfs
périphériques et delà moelle. Cette dernière pr
e (PI. IX). On constatait tous les signes d'une double paralysie du
nerf
radial, sans atteinte du cubital ni du médian ;
capi- tale dans le diagnostic des formes nerveuses de la lèpre, le
nerf
, radial peut être également atteint une période
aît intact, tandis qu'une paralysie typique in- dique une lésion du
nerf
radial, habituellement épargné au moins pendant
e : Face. - Il n'existe aucune asymétrie notable dans le domaine du
nerf
facial, soit dans la position de repos, soit dans
de l'excitabilité galvani- que sur les territoires innervés par le
nerf
facial et l'hypoglosse, sans toutefois déceler
trique. ÉTUDE CLINIQUE SUR TROIS CAS DE MALADIE FAMILIALE 109 Les
nerfs
radial, cubital et médian au poignet ne donnent p
ue, soit galvanique, soit faradique,est complètement abolie sur les
nerfs
et sur les mus- cles. Dans la région des cuis
ques (goût, odorat). Troubles bulbo-prolubérantiels à la charge des
nerfs
facial et hypo- glosse. - - z Asynergie céréb
ment transversal comme chez les myopathiques. On peut dire que le
nerf
facial n'est pas complètement épargné chez elle ;
l sont autant de faits qui doivent faire soupçonner une atteinte du
nerf
fa- cial. La langue peut être tirée droit et
rtrophie des troncs nerveux; de même la palpation sur le trajet des
nerfs
est absolument indolore. Extrémités inférieures
Examen des réactions électriques. - Dans le territoire incurvé par le
nerf
facial, l'excitabilité neuro-musculaire est net
générescence et très peu excitable avec le courant faradique. Les
nerfs
péroniers et tibial sont inexcitables, de même qu
dité spasmodiquedes membres avec strabisme, nystagmus, atrophie des
nerfs
et bradylalie. On voit tout de suite queles phéno
fond de l'oeil ou à plus proprement parler l'atrophie primitive des
nerfs
optiques. Le premier auteur qui ait attiré l'at
ever, on pouvait constater chez tous une atrophie assez avancée des
nerfs
optiques. Dans la littérature médicale, les alt
Rose, Un cas d'amyolrophie du type Charcot-Marie avec atrophie des
nerfs
optiques, Revue neurol., n° 10, 1904. ' (3) BRA
core dans mes observations, nous avons constaté que l'atrophie des
nerfs
optiques n'avait débuté que cinq ou six ans apr
e MM. Ballet et Rose, dans leur cas d'amyotrophie avec atrophie des
nerfs
optiques, avaient re- marqué en passant que les
radiale droite est souple ; le pouls est bien frappé. Le trajet des
nerfs
du membre supérieur droit n'est pas particulièrem
rcostal est douloureux sur la ligne parasternale et mamillaire. Les
nerfs
crâniens fonctionnent normalement. La force muscu
s couches. ' Etat actuel. Bonne conformation, bon état général. Les
nerfs
crâ- niens sont normaux. Les pupilles réagissen
e inférieure du thorax et supérieure de l'abdomen. Etal actuel. Les
nerfs
crâniens sont normaux. Les pupilles réagissent
se plaint d'une sensation de contracture pendant les mou- vements).
Nerfs
crâniens normaux. Fentes palpébrales, pupilles, é
d que l'atrophie musculaire de l'épaule gauche était causée par les
nerfs
périphériques lésés par les grandes masses néopla
de. Cette lésion naît dans les cellules motrices quand on coupe les
nerfs
péri- phériques, après l'amputation des membres
ent également la tumeur comprimait les ra- cines antérieures et les
nerfs
périphériques du côté gauche et que par suite d
rveux peuvent être de deux sortes : 1° la tumeur peut comprimer les
nerfs
et les plexus nerveux périphériques ; alors nous
simultanés) ou l'affaiblissement des muscles dépendant de quelques
nerfs
en particu- lier. Des atrophies musculaires et
et des troubles sensitifs diffus ou limités à la région de certains
nerfs
, le cubital par exemple, peuvent prendre place
me jusqu'aux trous de conjugaison, y provoquer la com- pression des
nerfs
et des vaisseaux radiculaires, mais n'avoir pas l
obilité de la tête et du tronc pendant la vie ! ) et comprimait les
nerfs
et les vaisseaux dans le voisinage des ganglion
con- , tre la colonne vertébrale même, y causant la compression des
nerfs
(non loin des ganglions spinaux) et des vaissea
. On sait que le système vasomoteur est constitué de deux sortes de
nerfs
, les constricteurs et les dilatateurs des vaiss
NC 199 nière d'expliquer le phénomène est d'admettre la parésie des
nerfs
qui produisent la constriction. Nous ignorons o
e oppor- tun pour certains cas, d'admettre la parésie d'un genre de
nerfs
accompa- gnant l'excitation de leurs antagonist
aire apparaître à volonté l'un ou f'autre ? A l'excitation de quels
nerfs
penserons-nous ? : ' haut-it admettre : Il que le
ystériques comprenant exactement et unique- ment le territoire d'un
nerf
périphérique ou d'une racine. Il n'y a jamais d
e spasme en montrant l'intégrité parfaite de tous les tissus et des
nerfs
. Commeori- gine du spasme voici ce que l'on tro
uses. Système nerveux : Aucun trouble objectif de sensibilité ; les
nerfs
super- ficiels n'apparaissent pas augmentés de
deux premières années après l'in- fection des cas de paralysie des
nerfs
cérébraux, d'ophtalmoplégie en môme temps que d
s, deux mois plus tard, il revint à l'hôpital avec des troubles des
nerfs
céré- braux de droite (ophtalmoplégie partielle
ait le sujet de se tenir de- bout, et la paralysie complète du VII°
nerf
de gauche (janvier 1901), 290 COSTANT1N t don
une nécrose de la roche pierreuse avec une névrite con- sécutive du
nerf
facial de droite. Charvet rapporte le cas d'une
sta une hémiplégie droite avec aphasie et symptômes de paralysie du
nerf
vague ; le sujet mourut. A l'autopsie, on trouva
de droite et de la moelle épinière; périnévrite et endonévrite des
nerfs
de la base et des racines des nerfs spinaux; de
périnévrite et endonévrite des nerfs de la base et des racines des
nerfs
spinaux; des foyers de ramollissement dans le noy
est bon. La conformation, bonne. Les organes internes, normaux. Les
nerfs
crâniens et les membres supérieurs ne présenten
r une convexité des vertèbres et des côtes fléchies en arrière. Les
nerfs
crâniens sont normaux. Nous insistons sur le po
ontre pas de modifications pathologiques. La pression des points du
nerf
trijumeau ne provoque pas de douleurs, la percu
es organes internes. Les pupilles réagissent bien à la lumière. Les
nerfs
crâniens fonctionnent normalement. La force muscu
culations du coude et de l'épaule sont conservés quoique faibles. Les
nerfs
périphériques ne sont pas douloureux. Réflexes
s large que la gauche. Elles réagissent lentement à la lumière. Les
nerfs
crâniens, à part cela, sont normaux. Les réfl
ie dans le gauche. Pas d'autres troubles dans le fonctionnement des
nerfs
crâniens. Membres supérieurs. Les mouvements du
tes par Nissl, Marinesco et Lugaro consécutivement aux sections des
nerfs
périphériques. J'ai fait ma première communicat
rite disposé suivant la distribution périphérique des branches d'un
nerf
. II. Naevus-myélite : 1° à disposition segmenta
étriques) ; : 3° disposition intéressant les territoires de plusieurs
nerfs
consécu- tifs d'un seul côté (naevi sériés) ; m
fs consécu- tifs d'un seul côté (naevi sériés) ; mais plus de trois
nerfs
, pour le motif que nous exposerons plus loin.
UR LES NÆVI SYSTÉMATIQUES (Etienne). Obs. I. Noevus-névrite du 2e
nerf
interscostal gauche (branche antérieure) et des
Voici d'abord mes observations : 401 OBS, I. Nævus-névrite du 2e
nerf
intercostal gauche, branche antérieure, et des
nales, s'étendant jusqu'à la partie inférieure du creux poplité, du
nerf
cutané posté- rieur de la cuisse, branche termi
rieur de la cuisse, branche terminale de ce même petit sciatique ou
nerf
fessier inférieur. Ces deux groupes de naevi
t à la disposition des ramifications de la branche antérieure du 2'
nerf
intercostal gauche. Cette branche, depuis son p
rgence, se dirige en avant pour se répartir par ses terminales, les
nerfs
perforants antérieurs, à toute la peau de la pa
du 3" intercostal (More)). De la branche antérieure se sépare le
nerf
perforant latéral qui, au 2e nerf intercostal,
la branche antérieure se sépare le nerf perforant latéral qui, au 2e
nerf
intercostal, se jette tout entier dans le nerf
t latéral qui, au 2e nerf intercostal, se jette tout entier dans le
nerf
accessoire du cutané brachial in- terne, lequel
LES N/EVI SYSTÉMATIQUES (Etienne) . Obs. II. Ncevus-névrite du 3e
nerf
intercostal gauche (branche antérieure). Obs. V
ercostal gauche (branche antérieure). Obs. V. Noevus-névrite du ioe
nerf
intercostal gauche. Masson & Cie, Éditeurs.
par les rameaux sen- sitifs cutanés de la branche antérieure du 2°
nerf
intercostal gauche. OBs..II. Naevus-névrite du
rieure du 2° nerf intercostal gauche. OBs..II. Naevus-névrite du 30
nerf
intercostal gauche, .. branche antérieure. Vi
re. Cette disposition est bien celle de la branche antérieure du 3e
nerf
inter- FIG..1 3 (Obs. Il) 1 404 ÉTIENNE c
en bas sur la 4," côte et amener ses anastomoses avec celles du 4e
nerf
intercostal. Le nerf perforant latéral du 3e in
te et amener ses anastomoses avec celles du 4e nerf intercostal. Le
nerf
perforant latéral du 3e intercostal, émergeant au
qu'elle met en évidence les particularités anatomiques des 2e et 3e
nerfs
intercostaux. Le 1er naevus respecte la par- ti
zone antéro-externe du tronc, mais va se jeter en totalité dans le
nerf
accessoire du cutané brachial interne qui inner
ranches du nae- vus, alors que le territoire des autres branches du
nerf
cutané brachial interne est totalement respecté
moses avec ses voisins. Cas. III. Nævus-névrite sur le trajet du 81
nerf
intercostal droit. Jeune homme de M ans, bien p
ition des rameaux cutanés postérieurs, latéraux et antérieurs du 8°
nerf
intercostal, devenant de façon générale descen-
ion segmentaire et avec la disposition névritique des 88, 9e et 10"
nerfs
intercostaux, dispositions qui, à ce niveau, se r
une remarquable fidélité la disposition du groupe des' 8% 9° et 10°
nerfs
intercostaux, s'écartant complètement en avant de
ans l'axe médullaire les branches ascendantes corres- pondant à ces
nerfs
périphériques. Mais cette interprétation cadre di
4) Fig. 9 (Obs. IV) 408 ETIENNE Ons. V. Noevus-néorite du 10e
nerf
intercostal gauche, pigmentaire plan. Du cas pr
tante d'une main, occupant tout le territoire d'innervation du 10e
nerf
intercos- tal gauche, depuis la ligue vertéhral
simple. Dans cette région thoracique supérieure, où les trajets des
nerfs
sont hori- zontaux, la métamérie spinale se sup
gt, c'est-à-dire les frontières séparant la sphère d'action de deux
nerfs
cutanés voisins. 'De ces nævi, MM. Balzer et Al
dent que la ligne médiane est une zone intermédiaire entre les deux
nerfs
symétriques innervant les tissus voisins ; elle e
les zones de répartition des filets de la bran- che antérieure d'un
nerf
intercostal, appartiennent donc au type naevus-
ce fait anatomiquement établi (Morel, Testut) que les branches d'un
nerf
intercostal envoient des filets aux nerfs sus-j
tut) que les branches d'un nerf intercostal envoient des filets aux
nerfs
sus-jacent et sous-jacent, de sorte que le territ
s schémas indiquant la topographie des branches périphé- riques des
nerfs
, au lieu de le faire sur des schémas se rapportan
de la topographie névritique, de sorte qu'une portion seulement du
nerf
paraît intéressée ; c'est le cas notamment pour l
sciatique. Mais on peut s'apercevoir que dans la distribution d'un
nerf
, les zones innervées par les branches sensitive
: 1° le iîmvzts névrite par névrite, recouvrant le territoire d'un
nerf
péri- phérique (obis. de mon premier mémoire) o
e, à distribution segmen- taire, dont la direction croise celle des
nerfs
périphériques de sa région, par lésion du prolo
e dont la topographie reproduira la distribution périphérique de ce
nerf
lésé. Mais qu'au con- traire une lésion foetale
ement dans les zones de distribution des bran- ches centripètes des
nerfs
. Mais comment une lésion du nerf sensitif nous
on des bran- ches centripètes des nerfs. Mais comment une lésion du
nerf
sensitif nous explique-t-elle un trouble trophi
tose observée par MM. Si- mon et Moche (2), systématisée à tous les
nerfs
périphériques, aux ganglions rachidiens et à to
me sympathique, à l'exclusion totale des ra- cines poslérieures des
nerfs
, de la moelle et du cerveau. Et en clinique nou
é des dépen- dances ectodermiques dans un territoire innervé par un
nerf
centripète. Si la lésion porte sur un ganglion
ané. Et dans ce cas, le noevus se ré. partira sur. le territoire du
nerf
intéressé, en prendra le type névritique. Il en
és; d'où encore une topographie périphérique reproduisant celle des
nerfs
, mais suivant les territoires de plusieurs nerfs
produisant celle des nerfs, mais suivant les territoires de plusieurs
nerfs
successifs ; ce sont les noevi sériés. Ou bien
lté d'avaler. Au mois de janvier 1908, on constate l'état suivant :
nerfs
crâniens sans lésions. Pupilles égales. Le mala
1909). -Les pupilles sont égales, réagissent bien 1 la lumière. Les
nerfs
crâniens sont normaux. Les mouvements des membres
symptômes bulbaires (Schlesinger et d'au- tres) et la paralysie du
nerf
phrénique (Minkowski, Mundelius). Le nerf phrén
tres) et la paralysie du nerf phrénique (Minkowski, Mundelius). Le
nerf
phrénique peut rester intact malgré la localisa
terminal, Paralysie bilatérale du deltoïde par élongation des deux
nerfs
circonflexes. Une belle étude d'ensemble Sur les
obilité des muscles faciaux absolument normale ; les trônes du VIIe
nerf
ne sont pas hyperexcitables mécaniquement. , La
aboratoire du P' Dejerine, à la Salpêtrière). I. ORIGINE DES COURTS
nerfs
ciliaires chez L'HOMME. Le ganglion ciliaire, s
es chez L'HOMME. Le ganglion ciliaire, situé sur le bord externe du
nerf
optique, reçoit par son pôle central trois raci
branche du petit oblique), de la branche ophtalmique du trijumeau (
nerf
nasal) et enfin du sympa- thique (par un filet
u plexus carotidien). De son pôle pé- riphérique partent les courts
nerfs
ciliaires, qui suivent le nerf optique dans une
e pé- riphérique partent les courts nerfs ciliaires, qui suivent le
nerf
optique dans une atmosphère cellulo-graisseuse
yaux de l'o- culo-moteur commun et des ganglions ciliaires avec les
nerfs
ciliaires, c'est-à-dire sur l'origine des fibre
ions en cours sur les rapports des noyaux de la IIIe paire avec les
nerfs
ciliaires. Dans la plupart des ouvrages classiq
l'oculo-moteur commun des noyaux distincts pour les ÉTUDES SUR LES
NERFS
CIL111LtES 563 divers muscles de l'oeil. Ces no
ce dernier autour de cellules, qui â leur tour servent d'origine aux
nerfs
ciliaires ? Tandis que le plus grand nombre d
expérimentale, à des conclusions inverses : les fibres motrices des
nerfs
ciliaires proviennent directement de l'extrémité
s j'ai saisi l'occasion de faire un examen histologique complet des
nerfs
ciliaires, du ganglion ciliaire, de la IIIe pai
moelle, des racines et des ganglions n'a pas encore été fait. Les
nerfs
optiques étaient manifestement atrophiés de même
Les nerfs optiques étaient manifestement atrophiés de même que les
nerfs
de la IIIe paire. Examen Ao/oMs ? Le moteur ocu
os- mique el le picro-carmin. Le ganglion ciliaire avec les courts
nerfs
ciliaires (jusqu'à leur pénétration dans la scl
nétration dans la sclérotique) et ses racines, le nasal elles longs
nerfs
ciliaires,les rameaux du moteur-oculaire commun o
es transversales ont été faites aux deux extrémités. L'ensemble des
nerfs
ciliaires,du ganglion ciliaire du nasal, des rame
apparente. Elles ont été colorées par l 'hématoxy 1 i ne-éosi ne.
Nerfs
ciliaires. Les courts nerfs ciliaires sont très b
olorées par l 'hématoxy 1 i ne-éosi ne. Nerfs ciliaires. Les courts
nerfs
ciliaires sont très bien colorés par l'acide os
nérescence (PI. LXIV, D. F). Il en est d'ailleurs de même des longs
nerfs
ciliaires. Ganglion ciliaire. - Les cellules ap
ciliaires. Ganglion ciliaire. - Les cellules apparaissent dans les
nerfs
ciliaires avant que le ganglion ciliaire ne soi
OGRAl'I11C DE la SAi,i)ÉrRII RL. 'I'. XXIII. PI. LXIV ORIGINE DES
NERFS
CILIAIRES. (Al1d ? Thomas). Masson & Ce,
. (André Thomas). Masson & Cie, Iditcllr<;. ÉTUDES SUR LES
NERFS
CILIAIRES 5(j1) En suivant sur les coupes sérié
de cette portion, au delà du cul-de-sac arachnoïdo-dure-mérien, le
nerf
est cloisonné par des bandes fibreuses, centrée
(dans sa thèse, 4910) dans un cas semblable. La-dégénérescence du
nerf
peut être suivie dans la cavité sous-arachnoï-
de myéline ; la dé- générescence peut être poursuiviejusquedans le
nerf
. Le pôle central du ganglion de Gasser est creu
ensitive n'est pas dégénéré. Conclusions. De l'intégrité des courts
nerfs
ciliaires, comparée à la dégénérescence si marq
marquée de la IIIe paire, on est en droit de déduire que les courts
nerfs
ciliaires prennent leur origine dans le ganglion
pètes et qu'aucune d'elles. ne provient de la racine motrice du même
nerf
. 566 ANDRÉ-THOMAS Il. LES nerfs ciliaires ET
vient de la racine motrice du même nerf. 566 ANDRÉ-THOMAS Il. LES
nerfs
ciliaires ET LE signe D'ARGYLL-ROBERTSON. La pa
aux de Marina,-on tend à localiser dans le ganglion ciliaire ou les
nerfs
ciliaires la lésion qui donne lieu au signe d'Arg
, les cellules normales seraient en très petit nombre. En outre les
nerfs
ciliaires étaient altérés dans presque tous les c
éra)e,)orsque)a réaction pupillaire à la lumière faisait défaut.Les
nerfs
ciliaires longs étaient le plus souvent normaux e
un trouble tro- phique consécutif à des altérations très lentes des
nerfs
ciliaires, et que le trouble du réflexe photo-m
urs dans un cas. Dans ces deux cas j'ai étudié les ganglions et les
nerfs
ciliaires, et ce sont les résultats de ces examen
ns qui font le sujet du présent travail. J'ai examiné également les
nerfs
et les ganglions ciliaires dans.un troisième ca
NOU'LLLE Iconographie DE la Salpltrili 'l'. Y\111. Pl. L\\'I LES
NERFS
CILIAIRES ET LE SIGNE D'ARGYLL RO)3ER'l'SOT. ))
Nouvelle Iconographie DE la S.1.1'ÉIRIÈRE. T. XX ! H. P).LX\']j LES
NERFS
CILIAIRES ET LE SIGNE D'ARGYLL R013EI(TO. (Andr
& Cie, Éditeurs. lmlil)ylr Ilnrlilllli ? 9n ! ÉTUDES SUit LES
NERFS
CILIAIRES 567 Observation I Cette observation
é, réflexe consensuel aboli. Examen histologique. - D'un côté les
nerfs
ciliaires avec les ganglions et les racines ont
les coupes passant par le pôle périphérique du ganglion ou par les
nerfs
ciliaires, à leur émergence (PI. LXVII, D), les f
, les cylindres-axes réguliers. Les coupes transversales des courts
nerfs
ciliaires entre le ganglion et leur pénétration
dont provient la racine motrice du ganglion ciliaire. , Les longs
nerfs
ciliaires sont normaux. Le nerf optique dont les
du ganglion ciliaire. , Les longs nerfs ciliaires sont normaux. Le
nerf
optique dont les imprégna- tions ont très bien
ération du ganglion ciliaire, de ses racines, de la Ille paire, des
nerfs
ciliaires, jusqu'à leur pénétration dans la scl
leur pénétration dans la sclérotique. Peut-être la zone marginale du
nerf
opti- que est-elle un peu moins bien colorée qu
319, p. 621 à 627). Dans ce cas un seul ganglion ciliaire, avec les
nerfs
ciliaires (à leur origine) et les racines, a ét
cependant suffisante pour affirmer l'absence de dégénération dans les
nerfs
ciliaires et les racines du ganglion ciliaire ;
ermet pas d'ap- précier complèlement l'état des cellules. Les longs
nerfs
ciliaires n'ont pas été examinés. Les nerfs o
s cellules. Les longs nerfs ciliaires n'ont pas été examinés. Les
nerfs
optiques sont normaux de même que les bandelettes
nt-elles moins nombreuses ? On ne peut rien affirmer de précis. Les
nerfs
optiques sont normaux. Observation III. La ma
On constatait chez elle, outre les signes de l'hé- . ÉTUDES SUR LES
NERFS
CILIAIRES 569 nnptégie, l'abolition des réflexe
Le diagnostic de tabes a été vérifié à l'autopsie. D'un côté, les
nerfs
ciliaires, le ganglion ciliaire et les racines on
gnés par l'argent réduit. Sur les coupes très bien imprégnées, les
nerfs
ciliaires sont absolument intacts, de même le g
xé par le sublimé osmique et coloré ensuite par le carmin. Dans les
nerfs
ciliaires, il n'y a qu'un très petit fascicule da
t intracranien quelques très rares libres paraissent manquer. Les
nerfs
optiques et le chiasma sont extrêmement dégénérés
cours du tabes, sans qu'il existe de dégénérescence dans les courts
nerfs
ciliaires, dans le ganglion ciliaire et dans les
ions dans le ganglion ciliaire, dans ses racines et dans les courts
nerfs
ciliaires jus- 570 ÀNbRÉ-THOMA ' qu'à leur pé
ns la sclérotique, on n'est pas en droit d'exclure complètement les
nerfs
ciliaires de la pathogénie du signe d'Argyll-Ro-
liaires de la pathogénie du signe d'Argyll-Ro- bertson, puisque ces
nerfs
n'ont pas été examinés dans toute cette partie
ses annexes, les tendons, le tissu cellulaire, les vaisseaux et les
nerfs
sont cliniquement intacts. Le doigt semble rentré
es de ces différentes dys- trophies) (7 pl.), par LEVI, 522, 660.
Nerfs
ciliaires (Etudes sur les -) (4 pi.), par André
mode de réparation (3 pl.), 310. ANmcÉ-'l'aoncns. Etudes sur les
nerfs
ciliai- res (4 pl. 562. BAGUER. Sur le chétiv
(LE' ! ), LVII à LXIII. Nxvl systématiques (ErILVSE), XL a XLII.
Nerfs
ciliaires, origine (AwRé-Tnoncnsl, LXIV à LXVII
de la paralysie infantile. D'autre part, on sait que la section des
nerfs
des membres provoque du côté des os des lésions
qu'ils ont observées et font remarquer que dans les trois cas où les
nerfs
ont été étudiés liistologiquement, ils ont paru
aladies de Paget, prélever pour chacun des grands os l'artère et le
nerf
, et étudier ce dernier tant sur des coupes que su
suite d'arthrite du genou. Examen histologique de la moelle et des
nerfs
. liull. de la Soc. anatomique, janvier 1888, p. 3
STÉITE DÉFORMANTE 19 « névrite » puisque, dans les trois cas où les
nerfs
ont été examinés, ils étaient malades. Mais ces
ES ET MÉDULLAIRES DE LA Xi- PAIRE AVEC INTÉGRITÉ ABSOLUE DES AUTRES
NERFS
CRANIENS, PAR M. BERTOLOTTI, Médecin-Direct
s éveillée. Il n'existe aucune asymétrie notable dans le domaine du
nerf
facial soit dans la position de repos, soit dan
ux épigastrique s'enfoncer dans l'inspiration par l'insuffisance du
nerf
phrénique. Pas d'altération dans le rythme, ni
elle rapetissait. Voici le résumé de V examen électrique : Sur le
nerf
.et tous les muscles actionnés par ce nerf l'excit
xamen électrique : Sur le nerf.et tous les muscles actionnés par ce
nerf
l'excitabilité faradique et galvanique est parf
et anglo-hyoïdien se contractent bien. L'excitabilité élpctlique du
nerf
facial hypoglosse est normale, tous les muscles
hté tout à fait bonne. L'examen de l'excitabilité galvanique sur le
nerf
spinal et sur les plexus cer- vical et brachial
nous démontre l'existence d'un syndrome partiel de la D. R. sur les
nerfs
et les muscles de la région cervicale postérieu
a ceinture scapulo-humérale. Nous retrouvons l'hypoexcitabilité des
nerfs
et des muscles au courant fara- dique, la dimin
courant fara- dique, la diminution de l'excitabilité galvanique des
nerfs
, l'hipoexcitabilité des muscles avec secousse l
les (1), où l'on peut songer à une névrite périphérique des premiers
nerfs
cervicaux. Dans l'un des cas il s'agissait d'
es symptômes paralytiques se cantonnent surtout dans le territoire du
nerf
cubital et du nerf médian. Voyons si notre ca
ques se cantonnent surtout dans le territoire du nerf cubital et du
nerf
médian. Voyons si notre cas peut être placé dan
la polyomyélite antérieure chro- nique où l'atrophie gagnerait les
nerfs
crâniens et donnerait naissance au syndrome lab
teinte des noyaux spino- bulbaires de la XI' paire, tous les autres
nerfs
dubulbeontété respectés. Si dans noire cas ]'hy
ro-externe des cornes antérieures et qui va du premier au cinquième
nerf
cervical, c'est-à-dire au système du spinal médul
colonne de substance grise qui s'étend en bas jusque au cin- quième
nerf
cervical, fait part des cornes latérales et est p
ut démontrer la systématisation de la lésion aux noyaux- moteurs du
nerf
spinal et apporter d'autre part une contribution
ttiré l'attention sur ce fait que dans la paralysie périphérique du
nerf
spinal le trapèze s'atrophie dans son chef scap
noyaux moteurs de la moelle cervicale et des noyaux médullaires du
nerf
spinal, le diagnostic du siège de la lésion res
sie atrophique des muscles innervés par les premiers quatre ou cinq
nerfs
cervicaux, il faut admettre une lésion nucléaire
n qui est indéniablement nucléaire. Etant donné que tous les autres
nerfs
crâniens sont indemnes, il est certain que les
épendance de cette lésion et doivent être attribués à l'atteinte du
nerf
spinal. Voyons dans un aperçu très rapide quel
tion. * POLIOMYÉLITE ANTÉRIEURE CHRONIQUE 59 Sur l'innervation du
nerf
spinal ont été émises les théories plus con- tr
e, la branche ex- terne du spinal et quelques rameaux inférieurs du
nerf
facial, on avait observé une atrophie complète
t (1843) avaient proclamé que la branche interne du spinal était un
nerf
vocal. CI. Bernard en poussant plus loin ses ét
poussant plus loin ses études, avait cru pouvoir démontrer que les
nerfs
vocaux restricteurs du larynx ou nerfs de la ph
ru pouvoir démontrer que les nerfs vocaux restricteurs du larynx ou
nerfs
de la phonation sont dépendants des racines du
la phonation sont dépendants des racines du spinal, tandis que les
nerfs
dilatateurs du larynx ou nerfs respiratoires so
des racines du spinal, tandis que les nerfs dilatateurs du larynx ou
nerfs
respiratoires sont en relation avec les racines
de lui ôter sa valeur. Si l'on songe en effet que tous les autres
nerfs
crâniens chez notre ma- lade ont été retrouvés
voile du palais doivent être mis sous la dépendance de la lésion du
nerf
spinal. Chez la jeune femme que nous avons exam
I : Bernard,qui à la suite de ses expériences avait affirmé que les
nerfs
vocaux restricteurs du larynx sont innervés par l
s du larynx sont innervés par les racines du spinal, tandis que les
nerfs
dilatateurs du larynx, ou nerfs respiratoires s
s racines du spinal, tandis que les nerfs dilatateurs du larynx, ou
nerfs
respiratoires sont dépendants du vague. En co
rique dans les actes inspiratoires était secondaire à l'atteinte du
nerf
phrénique. A part cette irrégularité fonctionne
rquoi, tout en étant parfaitement indemne la branche digastrique du
nerf
facial, notre femme présentait une anomalie étran
uite de l'attitude professionnelle avec pression des muscles ou des
nerfs
. Mais ces douleurs ou paralysies une fois établ
ude est capable de déterminer un spasme des muscles innervés par ce
nerf
, spasme offrant l'aspect d'une des formes de la
action électrique de dégénérescence dans les muscles animés par ces
nerfs
. ÉrUDE SUR LES CRAMPES PROFESSIONNELLES 85 Un
ude professionnelle, occa- sionnant une pression des muscles ou des
nerfs
, et siègent sur le terri- toire correspondant a
nerfs, et siègent sur le terri- toire correspondant au muscle ou au
nerf
lésé. Les observations en sont très nombreuses
crampe des pianistes aurait souvent pour origine une névralgie des
nerfs
du bras, amenée et entretenue par les traumatis
des écrivains, d'origine nerveuse, consécutive à la compression du
nerf
cubital, a été apporté par Féré (59) à la Socié
Grasset dans lequel on a signalé l'adjonction de la para- lysie du
nerf
oculo-moteur externe du côté correspondant à la l
3énédiclt caractérisé par une hémiparésie avec paralysie croisée du
nerf
oculo-moteur commun et avec le tremblement des ex
uscles ciliaires, sphincters pupil, laires) des yeux dépendante des
nerfs
oculo-moteurs communs. Du côté des membres gauc
de l'a- queduc de Sylvius, où sont situés en rangées les noyaux des
nerfs
oculo- moteurs communs, en empiétant vers la dr
en. CHARLES Bell, le premier, différencia nettement la paralysie du
nerf
de celle de la mimique proprement dite, un homme
que produite entre les centres d'arrêt du cerveau et les noyaux des
nerfs
bulbaires ; or, on sait bien maintenant que les c
ion. Le malade ne peut mâcher que lentement ; il sent,dit,il, « les
nerfs
qui le tirent » ; tous ses muscles se raidissent
Les groupements musculaires mis en jeu sont sous la dépendance de
nerfs
différents : facial, spinal, plexus brachial. Sau
al.La mobilité des muscles faciaux est parfaite. Rien du côté du Ve
nerf
. Il n'y a pas d'hyperexcitabilité mécani- que d
a les mouvements associés dans ce cas, ou bien par l'excitation des
nerfs
sensitifs et on les considéra comme un réflexe
a pression pouvait agir ici comme une excitation centrifuge sur les
nerfs
moteurs. On ne crut pas, dans ce cas, à une parti
émi- plégie d'origine cérébrale par exemple, section traumatique du
nerf
médian ou cubital, anévrysme de l'artère axilla
aut savoir les éviter. Il n'y a pas une seconde de repos ; tous les
nerfs
sont tendus et surexcités ; la diversité même d
dans l'autre est le résultat de l'examen électrique des muscles et
nerfs
. Mensurations pratiquées le 14 mai 1908 mesurée
érieur, les jumeaux, les fessiers. Mais la plupart des muscles et
nerfs
sont frappés à un degré du reste extrêmement va
un cas où chez un sujet, à la suite d'une blessure par arme à feu du
nerf
cubital droit avec l'atrophie musculaire de la
de la contracture. Remak observa 43 cas de névrite dégénérative du
nerf
cubital à étiolo- gies diverses, et seulement c
névrite. Remak croitque le moment étiologique de l'inflammation du
nerf
cubital et plutôt accidentel et que la contract
6. Cénas. Troubles nerveux compl. des extr. consec. à une blessure du
nerf
cubit. Rev. de med., 1884, 419. 7. Feindel. N
e restait plus qu'une certaine sensation douloureuse à la pression du
nerf
médian et du nerf cubital du côté droit et une
e certaine sensation douloureuse à la pression du nerf médian et du
nerf
cubital du côté droit et une légère diminution de
es observations de CoopER and IIODYTON (11), Russel (12)] et sur le
nerf
sympathique (Op- PENHErnM) (syndrome sympathiqu
as seul où il existerait nettement, soit une exostose comprimant un
nerf
,dans le territoire duquel est appa- rue une cra
iqué sur la colonne vertébrale ; le pôle négatif sur les muscles et
nerfs
affectés. Dans la forme spasmodique, l'anode es
ctiver le processus de réparation des vaisseaux, des muscles et des
nerfs
malades ». Ainsi le massage, sous toutes ses fo
Cedehsciijold. De l'importance pratique de l'irritation mécanique des
nerfs
. In Upsala lâkarefüren, Furhand, 1880, p. 165.
- Note sur une crampe des écrivains consécutive il la compression du
nerf
cubital. C. r. Soc. biol. Paris, 1887, p. 508.
, le pédoncule cérébral droit dans ses trois quarts supérieurs, les
nerfs
pathétiques, moteurs oculaires commun et externe,
eur, d'origine cérébrale, avec hé- miplégie droite et paralysie des
nerfs
moteurs oculaires commun et externe, en un mot
- tation de la pupille, en un mot, une paralysie par compression du
nerf
moteur oculaire commun. Le début de cette paral
res nerveux. La dissection des globes oculaires, des vaisseaux, des
nerfs
et des muscles donne les résultats suivants :
érance et son extrémité inférieure comprime l'émergence du tronc du
nerf
trijumeau gauche, tandis que sa face ex- terne
bandelette optique droite, par le chiasma au niveau duquel les deux
nerfs
optiques font saillie en avant, par la bandelette
ce du trijumeau gauche, les bandelettes op- tiques, le chiasma, les
nerfs
optiques, les nerfs pathétiques surtout à gauche,
he, les bandelettes op- tiques, le chiasma, les nerfs optiques, les
nerfs
pathétiques surtout à gauche, les moteurs ocula
sées et frapper alors les troncs nerveux des quatre membres, et les
nerfs
crâniens, y compris ceux de la 2e paire. Plus f
s supé- rieurs ou inférieurs avec une prédilection marquée pour les
nerfs
médian et cubital, ou encore sur certains nerfs
on marquée pour les nerfs médian et cubital, ou encore sur certains
nerfs
crâniens, telle pneumogastrique dans le cas de
ont les lésions anatomo-pathologiques qu'elle produit au niveau des
nerfs
? Ces deux questions sont encore loin d'être ré
nes des désordres importants. Dans ce cas on constate au niveau des
nerfs
et des centres nerveux de grosses lésions auxqu
la localisation primitive de l'agent infectieux soit au niveau des
nerfs
, soit au niveau des cellules médullaires, si l'
pés d'impotence absolue. , Rien de particulier dans le domaine des
nerfs
craniens et du plexus cervical. Présence d'albu
: méth, de Cajal : fixat. alcool-ammoniacal. Gross. 600 d. II. -
Nerf
sciatique à la région crurale : ? c. jeunes cylin
ntre les jeunes cylindraxes en voie de croissance le long de l'ancien
nerf
dégénéré. 2. Fixation liqu. de Bouin Colorât :
racines antérieures et postérieures étaient d'apparence normale.
Nerfs
périphériques : Les nerfs des membres supérieur
érieures étaient d'apparence normale. Nerfs périphériques : Les
nerfs
des membres supérieurs ne présentaient aucune mod
t aucune modification ma- croscopique. Aux membres inférieurs les
nerfs
crural et sciatique ainsi que leurs bran- ches
leurs bran- ches paraissaient légèrement diminués de volume. Ces
nerfs
ne présentaient pas l'éclat blanc nacré des nerfs
és de volume. Ces nerfs ne présentaient pas l'éclat blanc nacré des
nerfs
sains ; leurconsis- tance était augmentée, ains
es antérieures et postérieures de ces différentes régions ; sur les
nerfs
crural et sciatique et leurs branches : enfin sur
elle qu'on l'observe après la section ou mieux l'ar- racbement d'un
nerf
périphérique ; le protoplasme très turgescent est
bserve souvent aussi dans le gros cylindraxe en dégénérescence d'nu
nerf
périphé- rique séparé de son centre trophique ;
par bien d'autres encore dans des circonstances fort diverses. 4°
Nerfs
périphériques. Par suite du diagnostic de polynév
t été porté, l'intérêt se concentrait tout particulièrement sur les
nerfs
des mem- bres inférieurs. Nous prendrons comm
inférieurs. Nous prendrons comme type de description les lésions du
nerf
sciatique au niveau de la partie moyenne de la
moyenne de la cuisse. La figure II montre au lecteur l'aspect de ce
nerf
coloré par différentes méthodes. Examinées ap
uide de Bouin et coloration par l'héma- téine-éosine. les coupes de
nerf
sciatique se distinguent immédiatement de coupe
erf sciatique se distinguent immédiatement de coupes provenant d'un
nerf
normal. Le premier fait qui saute aux yeux, c'e
cylindriques juxtaposés en faisceaux les uns contre les autres. Le
nerf
rappelle l'aspect d'une bande de tissu conjonctif
s analogues à celles qui s'observent .dans le bout périphérique des
nerfs
sectionnés. Un second point qui retiendra notre
posés en longues traînées linéaires orientées suivant le grand axe du
nerf
. Les premiers sont des leucocytes (l, fig. II,
odérée témoigne encore des phénomènes inflammatoires intenses dont le
nerf
a a été le siège au début de l'affection. Les
nant des anciennes gaînes de Schwann (c. s.). On sait que lorsqu'un
nerf
vient à être sectionné, le bout périphérique dé
înées que suivront les jeunes cylindraxes issues du bout central du
nerf
.Ces cellules, bien étudiées par Büngner, jouent
'aspect des bandes cellulaires de Büngner du bout périphérique d'un
nerf
en régénérescence. Nous verrons bientôt jusqu'où
analogie.' En effet, lorsque nous étudions des fragments de ce même
nerf
sciatique par la méthode de Cajal, les phénomèn
er- taines de ces gaines (g. s., fig. I, 1). Certains tronçons de
nerf
sciatique, spécialement ceux pris un peu plus bas
plus grande netteté des phénomènes spéciaux à la régénérescence des
nerfs
, phénomènes bien étudiés par Cajal (2), Marines
lade nous permet d'affirmer que nous nous trouvons en présence d'un
nerf
en pleine activité régénératrice. Cette activit
tefois identique à celle que l'on observe après simple section d'un
nerf
? Nous pouvons répondre affirmativement pour ce q
oncerne le mécanisme même de la régénération. Toute régénération de
nerf
périphérique, s'accompagne de phénomènes partic
voie de croissance. Nous venons de voir que l'étude histologique du
nerf
sciatique de notre malade, nous a permis de dém
e de notre malade, le second aux phénomènes inflammatoires dont les
nerfs
avaient été le siège, suffisent à expliquer la
entiques à celles que l'on observe chez l'animal après section d'un
nerf
moteur : atrophie musculaire, effacement des st
préparations nous ont montré que la croissance du bout central des
nerfs
n'avait pas encore atteint les terminaisons muscu
récentes de Canal. (1) et de MARINESCO (2), sur la régénération des
nerfs
. Chez l'homme, à la suite de poussées morbides
nt amené la dégéné- rescence des segments périphériques de certains
nerfs
, comme chez l'ani- mal après section expériment
tains nerfs, comme chez l'ani- mal après section expérimentale d'un
nerf
, la régénération part du bout (1) CAJ.%L, ibid.
rbide se localise plus particulièrement aux gaines d'enve- loppe du
nerf
. Dans ces deux variétés, les lésions que l'on obs
névrite périaxile segmentaire, jusqu'à l'atrophie presque totale du
nerf
. Cette variété extrême des lésions, tant au poi
sont abso- lument indispensables à l'étude anatomo-pathologique des
nerfs
. Pour ce qui concerne les cylindraxes, la color
r notre pensée. CAJAL (1 ) a montré que si au lieu de sectionner un
nerf
on le comprime (1) Cajal, trac. du lab, 1907.
nt les fibres sensitives, plus résistantes ; les filets moteurs des
nerfs
, frappés à mort, donnent lieu à l'atrophie muscul
vrite périphérique ne doit pas impliquer l'idée que les lésions des
nerfs
sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous
nos moyens d'investi- gation sont exclusivement localisées dans les
nerfs
ou y sont bien plus accusées que dans le systèm
issaud. 364 DUSTIN dynamique, et qu'en définitive les lésions des
nerfs
ne peuvent être considérées comme constituant t
mécanisme s'observe certainement dans bon nombre d'altérations des
nerfs
périphériques. Nous plaçant à un point de vue thé
cela sur les constatations suivantes : 1° Existence au niveau des
nerfs
périphériques de nodules inflamma- toires ; 2
aires localisées uniquement aux cellules radiculaires d'origine des
nerfs
malades, sans lésions de myélite et sans lésion d
des réactions analogues à celles qui s'observent après section d'un
nerf
. Or jamais dans ce cas, si l'opération a été fait
sent l'action directe, élective, d'un agent toxi-infectieux sur les
nerfs
. De môme l'hypothèse d'un trouble dynamique exp
intégrité médullaire contras- tait étrangement avec les lésions des
nerfs
périphériques. Mais, nous objectera-t-on, les p
quement de l'intensité de l'agent vulnérant ayant agi au niveau des
nerfs
. xxn 25 366 DUSTIN Quant aux phénomènes de
Deux points restent à expliquer. Pourquoi les fibres sensitives des
nerfs
mixtes échappent-elles à la destruction, au cou
cteurs de localisation. Dans le cas actuel, la localisation sur les
nerfs
du plexus lombo-sacré est peut-être due au vois
ée par des lésions intenses, probablement primitives, au niveau des
nerfs
, lésions qui respectent en grande partie les fi
alogue à la réparation des atrophies musculaires après section d'un
nerf
moteur : de (1) Edingeii, Der Anteil der Funkti
GRAVIDIQUE 367 nouveaux cylindraxes naissent du tronçon central du
nerf
lésé, parcourent toute la cicatrice laissée par
égitime et certaine peut quelquefois atteindre aussi les noyaux des
nerfs
crâniens. Medin établit une distinction entre q
la parésie du bras gauche. Jamais de symptômes pour ce qui est des
nerfs
crâ- niens. L'ophtalmoscopie est normale. L'exa
lite aiguë, une inflammation des méninges, mais qu'en examinant les
nerfs
périphériques chez des sujets morts dans la phase
c eux qu'il n'y a pas de raisons de conclure à une inflammation des
nerfs
. J408 PETRIN ET EHRENBERG Dans notre cas XI,
s troubles per- sistants qui sont la conséquence de l'affection des
nerfs
crâniens ou de leurs noyaux, , Par conséquent
Le 28 septembre les parents ont observé à droite une parésie du 6°
nerf
crânien, mais jamais de raideur de la nuque. Pe
rtébrale cervicale cause un peu de douleur. Pas de fièvre. Pour les
nerfs
crâniens, il n'y a aucun autre symptôme que la
nerfs crâniens, il n'y a aucun autre symptôme que la parésie du 6°
nerf
à droite. L'enfant ne marche pas bien, sans montr
côtés et le sujet éprouve des douleurs quand on presse sur les deux
nerfs
sciatiques. Le 19 octobre on remarque une asymé
pes du bulbe pour l'étude des noyaux des quatre dernières paires de
nerfs
crâniens. Les cellules de tous ces noyaux nous
ants. Les ganglions spinaux étaient normaux. Nous avons étudié le
nerf
facial, moteur oculaire commun, moteur oculaire
losso-pharyngien, du pneumo-gastrique, du spinal. L'examen de ces
nerfs
après coloration à 1'liéinatoxyli ne -éosine, à l
, les unes à la suite des autres dans la direction de la fibre. Les
nerfs
intéressés par les coupes étaient normaux. Le m
. Déglutition et mastication normales. Rien du côté des VU* et Ve
nerfs
. ' La parole est correcte ; le timbre de la voi
ion au niveau de l'épanouissement t périphérique de un ou plusieurs
nerfs
spinaux. Il admettait une lésion du ganglion sp
s la majorité des cas, l'éruption ne correspond au trajet t d'aucun
nerf
connu (2) ». Lewin, d'autre part, de l'analyse de
quarante cas seulement, la configuration était en rap- port avec le
nerf
. C'est alors que M. Brissaud (3) fil connaître le
les lignes qui séparent l'un de l'autre les territoires cutanés des
nerfs
périphériques. Celle expression, au point de vu
s à un seul côté, croisant chemin faisant la direction de plusieurs
nerfs
intercostaux ; au niveau des membres, ils occupen
it que l'éruption ne soit pas localisée exactement sur le trajet du
nerf
en question, soit que l'on doive admettre une a
du nerf en question, soit que l'on doive admettre une altération de
nerfs
trop nom- breux, et très irrégulièrement frappé
l'avant-bras, le trajet des branches antérieures et postérieures du
nerf
cubital. Mais alors comment expliquer sa locali
s dilaté et ne présente rien d'anormal. L'examen histologique des
nerfs
périphériques, des racines spinales, des méning
o- phiés ; la sensibilité est émoussée au niveau de la division des
nerfs
de la région dorsale et de ceux de la région in
e diffuse dans tout le membre et spécialement dans le territoire du
nerf
médian. A l'examen objectif on nota alors : de
l'examen objectif on nota alors : de la parésie dans le territoire du
nerf
médian du côté droit. Le cubital et le radial é
ouble objectif des diverses formes de la sensibilité. La parésie du
nerf
médian s'améliora rapidement avec quelques séance
des fentes de la base, elle donne l'exophtalmie et la paralysie des
nerfs
crâniens ; chez Lippi, ces symptômes manquaient
luence nerveuse centrale; d'autre part les lésions trouvées sur les
nerfs
périphériques par Hudelo et Heitz furent jugées s
que le cas serait le même pour les autres muscles innervés par les
nerfs
thoraciques, c'est-à-dire surtout les mus- cles
dévie à gauche quand il la tire. Il y a uue parésie pronon- cée du
nerf
facial inférieur droit. Il y a une parésie pres
on de la langue et une parésie faciale unilatérale. Le fait que les
nerfs
crâniens moteurs et surtout les nerfs situés au-d
unilatérale. Le fait que les nerfs crâniens moteurs et surtout les
nerfs
situés au-dessous du sixième peuvent être attei
ral gauche, qui à sa sortie de la protubérance apparaît déprimé. Le
nerf
moteur oculaire com- mun du même côté est extrê
jaune ocreux au niveau de la moitié gauche de la protubérance. Les
nerfs
optiques et le chiasma paraissent intacts macro
et l'éduc- tion parallèle du corps restiforme, sans altération des
nerfs
ou des noyaux bulbaires. 2o Atrophie globale
ulaire, c'est simplement la dégé- nérescence de la voie motrice, du
nerf
moteur oculaire commun et des faisceaux d'assoc
lu - mière et à l'accommodation. Adroite une atrophieiucomplète du
nerf
optique et à gauche l'atrophie du même nerf est
e atrophieiucomplète du nerf optique et à gauche l'atrophie du même
nerf
est complète. Les artérioles sont très petites.
au Congrès de Baden-Baden (23 24 mai 1903) quatre cas d'atrophie du
nerf
optique consécutives aux tumeurs de la base et
n'y a aucun trouble du mouvement dans les muscles du territoire du
nerf
facial. La position de la langue in situ est no
régulièrement à la lumière et à l'accommodation. La compression des
nerfs
périphériques, des apophyses épineuses, n'éveille
périeurs et inférieurs, la marche de la maladie, et l'intégrité des
nerfs
moteurs bulbaires. Il ne peut pas s'agir non pl
ystagmus,de l'ataxie,de la cyphoscoliose et de l'hypertro- phie des
nerfs
. On peut exclure aussi la maladie de Friedreich p
es polynévrites. Car, comme je l'ai déjà remarqué, en examinant les
nerfs
périphériques, on n'a pas trouvé de névrite (Wick
regardé comme un signe presque sûr qu'il s'agit d'une affection des
nerfs
périphériques, mais cette conception ne peut pl
e signe de Lasègue-Kernig des deux côtés. Pas de symptômes pour les
nerfs
crâniens. Il y a presque une paralysie complète
urs dans les doigts, paralysie symétrique des quatre membres et des
nerfs
crâ- niens, jamais de réaction de dégénérescenc
s mais, dans tous les cas, d'une paralysie qui atteignait aussi les
nerfs
crâniens. Par conséquent la conclusion de Wickm
mécaniques ou thermi- qnes qui s'en dégagent, circulent le long des
nerfs
sensitifs jusqu'au cer- veau où elles se transf
s énergies de la matière circulant à travers l'éther et le long des
nerfs
. On voit donc que la différence entre le matérial
itation initiale partie d'un point quelconque sera transmise par un
nerf
centripète, puis renvoyée à un organe moteur sous
n est conduite par une cellule ner- veuse avec ses prolongements ou
nerfs
jusqu'à la moelle où elle est réflé- chie direc
qui réagira en excitant, par l'intermédiaire de ses prolongements (
nerfs
), les glandes de l'estomac, lesquelles vont se
estives. C'est de la mécanique vivante dans la- quelle l'action des
nerfs
est, jusqu'à un certain point, comparable à celle
ontrer que dans les organisations complexes munies de muscles et de
nerfs
. L'auto- matisme relève de différents moyens qu
re de perception. Pas d'organe, pas de fonction. Petit à petit, les
nerfs
moteurs et sensitifs nécessaires aux fonctions de
ents mécaniques des choses pensées ; réaction enchaînée au moyen de
nerfs
agissant sur les vaisseaux, les muscles, les glan
noyaux - el médullaires de la Xle paire avec intégrité des autres
nerfs
crâniens) (1 pl.), par Bertolotti, 41. liulbo-p
on radiculaire (1 pi.,24 fig.), par 1LIPPEL et Pierre- Weil, 473.
Nerfs
crâniens (Poliomyélite antérieure chronique. At
bulbaires el médullaires de la Xle paire avec intégrité des autres
nerfs
crâniens (1 pl.), par Bertolotti, 41. Polynév
es et médullaires de la XIe paire avec intégrité absolue des autres
nerfs
crâniens (1 pi.), 41. et Pascarolo. Sur un ca
e. Il n'a jamais eu ni incontinence nocturne d'urine, ni attaque de
nerfs
, ni accès d'épilepsie, ni agitation choréique,
x qui ratta- chent le prurit ortie vulgaire à une compression des
nerfs
intradermiques par la sérosité épanchée dans l'
le petit rond, parait complètement abolie. Muscles innervés par le
nerf
radial. Deltoïde. Il existe une pa- ralysie com
extension à la moelle épinière et l'alté- ration plus profonde des
nerfs
périphériques ont fait naître de nouveaux phéno
lysie et de la myatrophieaux muscles qui sont sous la dépendance du
nerf
radial, c'est-à-dire deltoïde, biceps, brachial
mécanique des troncs nerveux agit sur les mus- cles' tributaires du
nerf
de la même façon que l'irritation directe de ce
éterminée par la distribution spéciale des rameaux muscu- laires du
nerf
excité. Si, par exemple, on presse dans la gout-
Si, par exemple, on presse dans la gout- tière olécranienne sur le
nerf
cubital, on voit aussitôt la main se contractur
ujet vierge, que nous supposons dans la léthargie, on presse sur le
nerf
cubital, on ne constatera peut-être du côté de
T DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES I. Etude sur le trajet central des
nerfs
vaso-moteurs; par IIELWEG. (Arch. f. Psch., XIX
à une destruction des éléments nerveux. Dans la microcéphalie, les
nerfs
des sens, les ganglions de la base sont normaux
rce cérébrale. Si elle s'extériorise, les organes des sens et leurs
nerfs
peuvent ne pas être impressionnés, mais alors i
i que les troubles fonctionnels déterminés par la lésion des divers
nerfs
. Il a de cette façon très heureusement complété
istent pas c'est la suggestion qui les détermine. Si l'on presse le
nerf
cubi- tal d'un sujet endormi et qu'il se produi
de mettre en oeuvre, les ni usclesetlesseiils muscles animes parce
nerf
. Mais M. Liégeois n'est pas médecin et « les pr
bemale. Question : La question sortie de l'urne est la suivante :
Nerf
facial (anatomie et physiologie). Le concours s'e
ophthalmoscopique) ; paralysie presque complète dans la région du
nerf
oculomoteur de l'oeil gauche; ptosis, strabisme d
absence des mouvements en haut, en bas et en dedans ; les autres
nerfs
crâniens et les extrémités supérieures sont dans
ans les membres inférieurs, douleurs lancinantes sur le parcours du
nerf
sciatique ; ces douleurs se firent d'abord sent
s de deux ans. Or- ganes intérieurs normaux. En ce qui concerne les
nerfs
crâniens, je relèverai le fait que la réaction
K. Adelheim, démontre dans cet oeil .l'état normal des papilles des
nerfs
optiques. Les bras sont normaux ; dans les extr
droite, la sensibilité tactile a beaucoup diminué dans la région du
nerf
culaneus lateralis, du nerf ilio-inguinalis, du n
le a beaucoup diminué dans la région du nerf culaneus lateralis, du
nerf
ilio-inguinalis, du nerf cutaneus posterior et
s la région du nerf culaneus lateralis, du nerf ilio-inguinalis, du
nerf
cutaneus posterior et dans la peau des fesses,
mbe droite ; dans la gauche, anes- thésie tactile dans la région du
nerf
cutaneus posterior. Anes- thésie, mais moins pr
membres inférieurs et est presque réduite à zéro dans la région des
nerfs
sciatiques. Exagération marquée de la sensibili
uleurs « tiraillantes » dans les membres inférieurs, « comme si les
nerfs
se tendaient et se relâ- chaient ». Ces douleur
ès; j'ai pu constater une anesthésie totale dans la région des deux
nerfs
trijumeaux et un trismus très violent qui passa
myose spinale. Dans un cas (le troisième), il y avait paralysie du
nerf
oculo-moteur; dans un cas, arthro- pathie tabét
paralysie prédomine incontestablement aux muscles innervés par les
nerfs
cubital et médian. Quand on pince la paume de sa
abilité musculaire. On sait que si l'on presse mécaniquement sur un
nerf
moteur, tous les muscles desservis par ce nerf
mécaniquement sur un nerf moteur, tous les muscles desservis par ce
nerf
entrent en contraction ou en contracture, et com-
e dans la léthargie, on presse dans une première expérience, sur le
nerf
cubital, on constate du côté de la main l'esqui
n malade. Sans m'a- vertir de son projet, il pressa sur le tronc du
nerf
cubital au coude, le sujet étant hypnotisé, et
rdre anatomique : Encéphale avec ses subdivisions, moelle épinière,
nerfs
périphériques. Puis, dans deux chapitres à part,
dée de la systématisation ana- tomique. Terminaisons centrales du
nerf
vague et constitution du faisceau solitaire du
Le D1' Bechterew a étudié par la méthode de Weigert les origines du
nerf
vague et le faisceau solitaire du bulbe. Il s'e
l relie les masses grises de l'aqueduc de Sylvius et les noyaux des
nerfs
moteurs. Ses fibres s'entourent de myéline en m
urs. Ses fibres s'entourent de myéline en même temps que celles des
nerfs
crâniens. M. Jakovenkô,' en. relatant le premie
Abolition complète de l'excitabilité électrique des muscles et des
nerfs
. Au bout de quelques heures, les mouvements se
uissance des jeunes gens; il a réussi dans plusieurs cas'. III. -
NERFS
PERIPHERIQUES. REFLEXES. Rapports entre l'excit
autre loi, non moins importante : « Pour chaque moment de l'état du
nerf
et du muscle, existent un optimum et un pessimu
NERVEUSE. 283 augmente l'excitation d'un muscle en agissant sur son
nerf
, à partir d'un certain degré, qui est 1' optimu
une excitation soit directement sur le muscle, soit sur un point du
nerf
plus rapproché que le point d'application de l'
x ne joue aucun rôle dans ces phénomènes, car, suivant Wedensky, le
nerf
est infatigable. Dans ces études, il est nécess
inai- sons nerveuses. A une certaine époque, les terminaisons des
nerfs
sensilifs ne sont pas en connexion organique avec
connexion organique avec les éléments épithéliaux : la connexion du
nerf
avec le neuro- épithélium se produit tardivemen
le neuro- épithélium se produit tardivement. Les terminaisons des
nerfs
moteurs diffèrent peu de celles des nerfs sensiti
ent. Les terminaisons des nerfs moteurs diffèrent peu de celles des
nerfs
sensitifs. La plaque motrice terminale est un p
citer les quelques travaux suivants sur l'anatomie descriptive des
nerfs
périphériques. Le D'' Pototsky a étudié le plex
plus, à l'appui des différences fonctionnelles des deux branches du
nerf
acoustique, le fait que ces branches se dé- vel
tion du sympathique. La dilti- tation réflexe, par l'excitation des
nerfs
sensitifs. La dilata- tion directe présente une
eloppement de la face du même côté et des membres du côté opposé.
Nerfs
dilatateurs de la pupille. M. Prjibilsky a découv
ganglion supprime la dilatation directe. Ces fibres passent par les
nerfs
ciliaires longs, car la section de ces nerfs supp
fibres passent par les nerfs ciliaires longs, car la section de ces
nerfs
supprime l'action du sympathique ; la section d
ar Leydig, sont, suivant lllitrofanoff en connexion étroite avec le
nerf
vague. Ils sont, au moment de leur appa-' ritio
L'nt- REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 289 PORTANCE PHYSIOLOGIQUE DU
NERF
VESTIBULAIRE par V, L;EC11TERER ! (Neurol. Cent
ans la discussion soulevée par MM. Forel et Fleclisig, à propos des
nerfs
et noyaux et de la priorité, ou de l'excellence
acine postérieure de l'acoustique, qui constitue le prolongement du
nerf
cochléaire, se divise, après son entrée dans le b
bulbe, en deux bran- ches, de même que la racine antérieure du même
nerf
(prolongement du nerf vestibulaire). L'une de c
hes, de même que la racine antérieure du même nerf (prolongement du
nerf
vestibulaire). L'une de ces branches pénètre dans
essus de celui-ci (noyau angulaire de Bechterew; noyau principal du
nerf
vestibulaire de Flechsig); une partie de cette mê
s pour former la racine ascendante de l'acoustique. Les racines des
nerfs
périphériques ne sont pas du tout en re- lation
line, bien avant que le cervelet en ait. Mais le noyau principal du
nerf
ves- tibulaire est en connexion, par un trousse
prolongement de la deuxième branche de la racine antérieure du même
nerf
. Enfin, au point de vue physiologique, il y a lie
la sensibilité, ni des réflexes superficiels, ni de la fonction des
nerfs
crâniens, ni îles viscère*. Les accidents moteurs
nt à l'esprit c'est que l'inflammation du facial s'est transmise au
nerf
du muscle de l'étrier ; en tous les cas il exis
ostérieure du bras et comprimé, par bascule naturelle du manche, le
nerf
contre les os (contusion). IL Paralysie partiel
ntral de la moelle cervicale ? ). Lésion de la zone radiculaire des
nerfs
cervicaux gauches, gliome avec formation de cavit
Pas d'autopsie. P. K. XII. De LA PARALYSIE SIMULTANÉE DE PLUSIEURS
NERFS
CRANIENS; par P.-J. MOEmus (Centralbl. f. 11 er
ons, dont une avec nécropsie. Elles ont ceci de commun que plusiers
nerfs
crâniens furent lentement affectés, sans autres
C, un arc réflexe qui com- prend aussi le premier relai central des
nerfs
auditifs et op- tiques et les faisceaux de conj
s muscles de la face, mais non tonique. Excitabilité électrique des
nerfs
et muscles, comme jadis. Un courant faradique p
tations figurées du centre des mots par l'action combinée de divers
nerfs
(facial, glossopharyngien, pneumogastrique, hypo-
ation dans le développement anatomique d'où trouble fonctionnel des
nerfs
périphériques ( ? ), mais intégrité des troncs
rfs périphériques ( ? ), mais intégrité des troncs radiculaires des
nerfs
moteurs des yeux. Aucune autre lésion organique
tique, mais sans caractère progressif, ni manifestation du côté des
nerfs
crâniens. Il n'y a rien de nouveau à dire sur les
ique n'est guère utile ou n'agit que par son facteur psychique. Les
nerfs
et les muscles paralysés et dégénérés se comporte
qui se passe dans les cas de col- lections liquides,, entourant les
nerfs
(d'où les névralgies etc.), de rhumatismes musc
art lacoustruc- tion des lobes optiques s'entourent de myéline. Les
nerfs
opti- ques forment une racine postérieure et un
tème d'association tectobasal ne reçoit pas de fibres distinctes du
nerf
optique. La formalion réticulaire de la subs- t
grise de la base provient des rameaux de la partie posté- rieure du
nerf
optique, de la dissociation terminale du faisceau
bres suppléantes, car jamais on n'a pu constater de régénération de
nerfs
dans la cicatrice. Ou a peu étudié les première
ns précises du malade, il s'agissait ici d'une paralysie typique du
nerf
radial, et, étant donnés l'intelligence et le b
ence, il faut croire que c'était très probablement une paralysie de
nerf
radial avec intégrité des muscles supinateurs,
arole du malade sont parfaitement normaux ; rien d'anormal dans les
nerfs
crâniens. Les mouvements des yeux dans toutes l
honoré M. le D''AdeIheim, a démontré l'état normal des papilles des
nerfs
optiques et de l'acuité visuelle dans les deux ye
'anesthésie : dans le bras droit (depuis mars 1887j les régions des
nerfs
cutaneus, medialis, mé- dius, cutaucus postérie
us, medialis, mé- dius, cutaucus postérieur supérieur et de tout le
nerf
ulnariq. La même anesthésie se fait remarquer c
vé de sensibilité, dans les ré- 374 PATHOLOGIE NERVEUSE, gions du
nerf
cutaneus lateralis a la hanche et du nerf peroneu
OLOGIE NERVEUSE, gions du nerf cutaneus lateralis a la hanche et du
nerf
peroneus communisàfajamhe. Passant à l'examen
ù la sensi- bilité est plus grande, par exemple, dans la région des
nerfs
saphènes, sur la face interne de la plante du p
et peut tout de suite en indiquer la po- sition. Dans la région des
nerfs
peroniers de la jambe gauche une température de
ensiblement L affaiblie par places, par exemple, dans la région des
nerfs
saheni de la jambe droite où elle est réduite à
a hanche droite, par exemple; à la hanche gauche, dans la région du
nerf
cutaneus lateralis, le seul attou- chement de l
on fait passer un violent courant à travers le point exci- table du
nerf
peroxeus sinister, le malade ressent à cet endroi
er dit lui-même dans sa classique descrip- tion' « la paralysie des
nerfs
moteurs (de )'oei))... peut même manquer ». L
tent en géné- ral dans le système nerveux soit par une lésion des
nerfs
périphériques, soit, sinon aussi fréquemment, d
côté d'autres altérations (dans un des cas, forte dégénération des
nerfs
périphéri- ques), il y avait des troubles dans
ale dans lequel outre la dégénération excessivement prononcée des
nerfs
périphériques et des muscles, il y avait dégéné-
une grande analogie, en ce qui concerne cette réaction, avec les
nerfs
périphériques. Moscou, mai 1888. CLINIQUE i\'
r jusqu'au moment où la déter- mination de la paralysie complète du
nerf
auditif, la cophose, met fin à l'état effrayant
on empiète sur la substance blanche. Dans l'intoxication aiguë, les
nerfs
périphériques n'offrent pas d'al- térations app
est la névrite parenchymateuse multiple ; le tissu interstitiel des
nerfs
est sain, ou peu altéré. Souvent les lésions mé
mplexes tout à fait différents de ceux des premières. Lésions des
nerfs
périphériques dans la phtisie, D'après le D'' J
'' Japp, dans tous les cas de de phtisie, il existe des lésions des
nerfs
mixtes. Ces altérations relèvent de la névrite pa
que dans les branches motrices. Lorsque la névrite siège dans les
nerfs
mixtes, elle se localise presque aux filets sensi
névralgies avec hypéresthésie et anesthésie dans le domaine du même
nerf
. Lésions des ganglions des nerfs périphériques
anesthésie dans le domaine du même nerf. Lésions des ganglions des
nerfs
périphériques dans la lèpre. Aucuives, t. XVII.
une névrite multiple parenchymateuse. Altérations, des ganglions du
nerf
vague dans les maladies infectieuses. Suivant 1
ans les maladies infectieuses. Suivant 11. Levine, les ganglions du
nerf
vague sont des lieux d'élection des lésions dan
e a trouvé des altérations de môme nature dans les gangliinodosi du
nerf
vague. Dans la phtisie les lésions du nerf vagu
ans les gangliinodosi du nerf vague. Dans la phtisie les lésions du
nerf
vague sont habituellement attribuables à la compr
sympathique dans la paralysie générale. -L'examen microscopique du
nerf
et des ganglions sympathiques dans la paralysie
histologique : elles concernaient la striation du cylindre-axe des
nerfs
périphériques et des cordons nerveux centraux.
e des nerfs périphériques et des cordons nerveux centraux. Tous les
nerfs
présentent cette striation, qui se continue au
ournal de l'anatomie de Ch. lio- biîi et Pouchet, t. XXIV, 1888. Le
nerf
doit être enlevé encore vivant, et pour chaque
doit être enlevé encore vivant, et pour chaque moment de l'état du
nerf
, il existe une forme déterminée de la striation
llierjiews7ry, 5° an., fasc. I, 1887. Des terminaisons centrales du
nerf
vague. Journ. de Mier- jiezusky, 5° an., fasc.
- jiezusky, 5° an., fasc. II, 1888. Des terminaisons centrales du
nerf
auditif. Jourtt. de illie ? ,jiett)sk-y, H" an.
? ,jiett)sk-y, H" an., fasc. I, 1888. Des terminaisons centrales du
nerf
trijumeau. Journ. de Alei-jieivsky, 5" an., fas
e Danilewsky, Karlioli, 1888. Etude sur l'excitation électrique des
nerfs
. Recueil physio- logique, etc. Karkoff, 1888.
n° i, 1887. Deehteren'. Des troubles trophiques dans le domaine du
nerf
sus-orbitaire gauche. 0 ! < ? de MidijiewsÀ-
, fasc. 1, 1888. ' Japp. Contribution à l'étude des altérations des
nerfs
périphé- riques dans la phtisie. Thèse inaugura
zationale, n° 3. Levine. Contribution à l'élude de la pathologie du
nerf
vague. Thèse inaugurale, Saint-Pétersbourg, 188
nés. Le Médecin, n° 40, 1886, Pcrkowsky. Un cas de régénération du
nerf
radial déchiré par une arme à feu. Le Médecin,
ré. - Thèse inaugurale, Saint- Pétersbourg. 1887. Prjibilsky. Des
nerfs
dilatateurs de la pupille chez le chat. Thèse i
clinique de Popoff, 1886. Serebrennikowa. Etude sur l'élongation du
nerf
optique. Le Médecin. n° 38, 1886. Sikorsky. D
1887. Teherbaeh. Etude sur l'excitabilité galvanique normale des
nerfs
et des muscles. Le Médecin, nu 43, 1886. De l'i
. Le tissu sous-cutané présente un aspect muqueux avec sclérose des
nerfs
et des ganglions. Il y avait anesthésie, la gla
peut être expliquée par une hémorrhagie au niveau de l'origine d'un
nerf
. M. le Dr Bannister cite un cas avec atrophie d
trasbourg avec une thèse in- titulée : Nouvelles recherches sur les
nerfs
vaso-moteurs, et ensuite à celle de Genève, où
LE DES MATIÈRES Acoustique, parForel, Flechsig, 288; - origine du
nerf
, - par Bechterew, 289. Alcooliques (affaiblis
sque, par Christian, 119. Myélite aiguë d'origine toxique, 463.
Nerfs
crâniens (paralysie des), par iloebi il s, 292.
que, 463. Nerfs crâniens (paralysie des), par iloebi il s, 292.
Nerfs
périphériques (lésions des dans la phthisie), t
wenfeld, 111. Varia, 161, 499. Vaso-moteurs (trajet central des
nerfs
), par Hehvig, 108. Yeux (paralysie des mouvemen
ubdivisée en sections se rapportant aux affections des muscles, des
nerfs
, de la moelle, des méninges, de l'en- céphale e
voisinantes, et présentant lastruc- ture des gaines lamelleuses des
nerfs
; elle est, en effet, tout à lait 10 HISTOLOGIE
LE DES MODIFICATIONS QUE PRÉSENTENT LES MUSCLES APRÈS SECTION DES
NERFS
QUI S'Y RENDENT D'un travail (8) que j'ai fait
es. « Des muscles de lapin adulte, six semaines après la section du
nerf
qui leur correspond, m'ont paru un bon objet d'
l'hématoxyline. Sur la plupart des fibres musculaires dépendant du
nerf
sciatique sectionné, les champs de Cohnheim son
r d'autres fibres, MODIFICATIONS DES MUSCLES APRÈS SECTION DE LEURS
NERFS
13 c'est une disposition inverse qui s'observe
avec la différenciation fonctionnelle ; à la suite de la section du
nerf
, la fonc- tion venant à être supprimée, la diff
usculaire disparaît très vite après la mort, que l'irritabilité des
nerfs
se perd toujours avant la contractilité directe
de dégénérescence qui apparaît à la suite de certaines lésions des
nerfs
? On admet généralement que cette réaction, en pa
difications histo-chimiques se produisant dans les muscles dont les
nerfs
sont dégénérés. Mais si l'on considère que les
n du facial, c'est-à-dire à une période où, le bout périphérique du
nerf
étant dégénéré, les fibres musculaires ne présent
ormale. Il n'y a pas d'amyotrophie. L'excita- bilité électrique des
nerfs
et des muscles mis à nu est conservée. La sensi
raître. ' Nos recherches anatomiques ont porté sur les muscles, les
nerfs
et le système nerveux central des lapins paraly
olubles du bacille diphtérique ; dans les cas que j'ai étudiés, les
nerfs
correspondant aux muscles paralysés, exami- nés
sie diphtérique de l'homme on trouve des altérations organiques des
nerfs
périphériques, on est amené à recon- naître : i
e le poison diphtérique trouble profondément le fonction- nement du
nerf
avant d'altérer sa disposition morphologique ; 2°
dire qu'elle n'est liée à aucune altération du globe oculaire et du
nerf
optique et n'est pas associée à une paralysie de
ers modes de l'excitabilité musculaire (181). III. - AFFECTIONS DES
NERFS
NÉVRITES Dans le Traité île Médecine de Charc
rite périphérique, ne doit pas impliquer l'idée que les lésions des
nerfs
sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous
nos moyens d'investigation, sont exclusivement localisées dans les
nerfs
ou y sont bien plus accusées que dans le systèm
fications de nature dynamique ; et qu'en définitive les lésions des
nerfs
ne peuvent être considérées comme constituant t
ste, l'idée que, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du
nerf
. « Ce signe, comme en général tous les signes o
que ; sa présence indique l'existence d'une altération organique du
nerf
, et elle suffit pour écarter l'hypo- thèse de s
ue hystérique qui n'est pas une véritable névralgie, qui n'a pas le
nerf
pour siège, mais qui consiste en une douleur de
tente du diagnostic vague de rhumatisme. Cette variété de lésion du
nerf
radial peut être mise en opposition avec la par
admet généralement que, dans les paralysies liées à des lésions des
nerfs
moteurs, l'excitabilité électrique de ces nerfs n
s à des lésions des nerfs moteurs, l'excitabilité électrique de ces
nerfs
ne peut être exagérée que pendant les premiers
observés (121). Ces faits établissent qu'une lésion intéressant le
nerf
facial dans son trajet ou à son origine peut dé
a suivante : en même temps que le 1 BABINSKI. 6 82 AFFECTIONS DES
NERFS
muscle orbiculaire de l'oeil fonctionne et que
à l'état normal reproduites avec exactitude par l'électrisation du
nerf
facial. En ce qui concerne le mécanisme de l'hé
des fibres sensitives du trijumeau qui transmettent au noyau de ce
nerf
les impressions reçues ; celui-ci les communiqu
uvoir être exactement reproduit par l'électrisation des branches du
nerf
facial. Or, à priori, il me paraît déjà difficile
iori, il me paraît déjà difficile d'admettre qu'une excitation d'un
nerf
sensitif puisse produire un effet identique FJG
un des caractères qui sont relevés sur la fig. 8. 84 AFFECTIONS DES
NERFS
à celui qui résulte de l'électrisation d'un ner
84 AFFECTIONS DES NERFS à celui qui résulte de l'électrisation d'un
nerf
moteur ; je ne sache pas qu'expérimentalement,
alysés, ne peut être engendré que par une per- turbation directe du
nerf
facial ou de son noyau d'origine. 11 serait alo
hémispasme ne recon- naisse pour origine une lésion périphérique du
nerf
facial, sur un point quelconque de son trajet,
champ visuel et de la vision centrale dans l'atrophie tabétique des
nerfs
optiques. J'ai fait avec J. Chaillous une étude
ons : TABES 93 « i° Il n'existe pas, dans l'atrophie tabétique du
nerf
optique, une forme de rétrécissement du champ v
n constate, ce qui n'a jamais été noté dans l'atrophie tabétique du
nerf
optique, une acuité visuelle normale et une abs
semblable que ces troubles sont sous la dépendance d'une lésion des
nerfs
causée par l'inflammation verté- brale au nivea
nte. ce . Cellules sans myéline. dans le bout périphérique d'un
nerf
sectionné, en admettant qu'elle intervienne ici
ésente pas sous le même aspect que dans le bout péri- phérique d'un
nerf
sectionné. Elle ressemble bien plus à celle qu'on
emble bien plus à celle qu'on peut observer dans le bout central du
nerf
au voisinage de la section. » Comme on le voit,
bourgeonne et tend à la régénération de la même façon que dans les
nerfs
périphériques. Ce qui nous paraît douteux, c'es
l'on assigne à l'atro- phie musculaire consécutive à la section des
nerfs
ou à la destruction des cornes antérieures de l
des cornes antérieures soient détruites ou atrophiées, sans que les
nerfs
moteurs, au moins dans la plus grande partie de
'hémiplégie avec intégrité des cornes antérieures et altération des
nerfs
moteurs à leur périphérie. Elles servent en quelq
leuses qui se manifestent aussi parfois, à cause des altérations du
nerf
acoustique fréquentes en pareil cas, par des trou
et, leur présence ou leur intensité tient pour une part à ce que le
nerf
vestibulaire ou les noyaux auxquels il se rend
ongitudinal postérieur. F,I ? F3F,. Foyers de ramollissement. - In.
Nerf
intermédiaire de \Vri.lxrg. NC. Noyau cunéiform
cule cérébelleux moyen. - PCS. Pédoncule cérébelleux supérieur. V.
Nerf
trijumeau. VII. Nerf facial. VIII. Nerf acousti
en. - PCS. Pédoncule cérébelleux supérieur. V. Nerf trijumeau. VII.
Nerf
facial. VIII. Nerf acoustique. IX.. Nerf glosso-p
e cérébelleux supérieur. V. Nerf trijumeau. VII. Nerf facial. VIII.
Nerf
acoustique. IX.. Nerf glosso-pharyngien. X Nerf p
r. V. Nerf trijumeau. VII. Nerf facial. VIII. Nerf acoustique. IX..
Nerf
glosso-pharyngien. X Nerf pneumogas- trique.
Nerf facial. VIII. Nerf acoustique. IX.. Nerf glosso-pharyngien. X
Nerf
pneumogas- trique. quatre et siègent dans le
ablement intact ; e) le faisceau longitudinal posté- rieur ; f) les
nerfs
mixtes sur une certaine étendue ; g) la pyramide
tition et l'hémiparésie droite s'expliquent par les altérations des
nerfs
mixtes et par celles de la pyramide gauche. L
étaient attribués autrefois à une irritation ou à une paralysie du
nerf
sympathique résultant d'une compression de ce n
une paralysie du nerf sympathique résultant d'une compression de ce
nerf
par la poche anévrismale. Sans contester qu'il
z ceux qui présentent des accidents du premier groupe : attaques de
nerfs
, contractures, etc. Il n'y a donc aucune raison
ent le sou- HYSTÉRIE. P1TIIIATISME 203 venir (grandes attaques de
nerfs
, chorées épidémiques du moyen âge, paralysies g
les seuls symptômes donl elle fût capable en dehors des attaques de
nerfs
(ou des vapeurs, comme on disait jadis) se bornai
difications que présentent les muscles à la suite de la section des
nerfs
qui s'y rendent (Comptes rendus de l'Académie des
rébrale avec intégrité des cornes anté- rieures de la moelle ci des
nerfs
moteurs (Sociélé de Biologie, 20 février issu).
(il.). lit¡. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des
nerfs
optiques (Id.). G5. Tabès avec cécité (Xlllc
iologie, i ! l octobre igo5). 121. Ilypcrexcitabilité électrique du
nerf
facial dans la paralysie faciale (Société de Ne
champ visuel et de la vision centrale dans l'atrophie tabétique'des
nerfs
optiques (en collaboration avec Chaillous. Compte
. (j Des modifications que présentent les muscles après section des
nerf
» qui s'v v rendent........................ la 2
dans la myopathie progressive primitive 75 III. - AFFECTIONS DES
NERFS
76 Névrites 76 Névrite sciatique 77 Scolios
u champ visuel et de la vision centrale dans l'atrophie tabétique des
nerfs
optiques 92 Cytodiagnostic g3 Ostéopathies,
les phases de la papille étranglée, plus spécialement au niveau du
nerf
optique rétro-bul- baire. Mais revenons à la
Obersteiner attribuent la transmission de l'excitation lumineuse du
nerf
optique au noyau de l'oculomoteur commun. La qu
ses collaté- rales les excitations lumineuses à tous les noyaux des
nerfs
moteurs de l'oeil, des troisième, quatrième et
aux de Newton. Si maintenant nous superposons à la lame de gypse un
nerf
frais, ses manchons de myéline apparaissent, su
rations inverses de celles de la myéline. Les coupes transverses de
nerfs
formeront des images complexes à cause de l'ori
si que tous les départements des centres nerveux. 2. Les fibres des
nerfs
et des muscles présentent une atrophie sim- ple
éres- cence evidente des racines antérieures et aussi de celles des
nerfs
craniens. 6. La dégénérescence du faisceau pyra
. n'ol. Ccntmlbl., XX, 1901). Quand, dit M. Carlhy, on frappe le
nerf
sus-orbitaire, il se pro- duit un tremblement f
é réflexe, il suffit de frapper en un point quelconque du trajet du
nerf
, jusqu'au vertex et, parfois, les deux orbicula
faiblisse- ment des réflexes, il faut frapper au point de sortie du
nerf
. Arc réflexe : branche sus-orbitaire de la 5° p
chez 2. Il n'existait plus chez un malade ayant subi la section du
nerf
sus-orbitaire pour cause de névralgie de ce nerf.
subi la section du nerf sus-orbitaire pour cause de névralgie de ce
nerf
. Donc corrélation dans les fonctions des branch
tion mécanique d'un muscle à un muscle voisin innervé par le même
nerf
. ' P. KERAvaL. XV.'DU réflexe acromial; par W.-
cipital avec luxation du crâne en arrière et com- pression des deux
nerfs
hypoglosses à leur sortie des trous condy- lien
-psychologiques, juin 1902). E. B. IV. Influence du menthol sur les
nerfs
cutanés ; parM110 IOTEYRO. (Journal deNeurologi
tées dans ce travail, le menthol est un excitant énergique pour les
nerfs
du froid et les nerfs du chaud, un déprimant po
le menthol est un excitant énergique pour les nerfs du froid et les
nerfs
du chaud, un déprimant pour les nerfs de la sen
our les nerfs du froid et les nerfs du chaud, un déprimant pour les
nerfs
de la sensibilité tactile etdolorifique. Cette
'auteur, à une inégalité dans le seuil d'excitabilité de ces divers
nerfs
par le menthol et aussi à la situation occupée
s par le menthol et aussi à la situation occupée par ces différents
nerfs
. Les nerfs de la sensibi- lité à la douleur son
nthol et aussi à la situation occupée par ces différents nerfs. Les
nerfs
de la sensibi- lité à la douleur sont considéré
plus superficiels par von Frey et Thunberg ; la deuxième couche de
nerfs
serait constituée par tes nerfs du froid, et la
et Thunberg ; la deuxième couche de nerfs serait constituée par tes
nerfs
du froid, et la troisième couche par les » nerf
constituée par tes nerfs du froid, et la troisième couche par les »
nerfs
du chaud. Cette localisation trouverait donc un a
ilité, les racines antérieures sont intactes aussi. Les lésions des
nerfs
périphériques sont plutôt des lésions d'atrophi
me de Weber incomplet et double,- caractérisée par une paralysie du
nerf
facial inférieur droit, du ptosis double, de l'
EN : Recherches sur l'origine réelle et le trajet intercéribral des
nerfs
moteurs par la méthode de la dégénérescence wallé
d'aliénés de digon. In-8» de 92 -pages. Dijon. IIIETZ (Jean). Les
nerfs
du cceur citez les tabétiques. 1r.-8° de 220 pa
faits de ceux observés par Brown-Séquard après la vivisection d'un
nerf
ou d'une moitié de la moelle et du bulbe : inhi
jaune dans les cas d'embolie de l'artère centrale de la rétine. Les
nerfs
optiques sont atrophiés, de couleur grisâtre, e
pique démontra des modifications du côté de la moelle épinière, des
nerfs
périphériques et des muscles. La coexistence de
, et elles sont nombreuses, qui peuvent produire l'inflammation de=
nerfs
. comme les auto-intoxications et les infections
de la moelle, avec un maximum au niveau de la région lombaire. Les
nerfs
des membres inférieurs sont atteints de névrite
en microscopique provisoirement a donné des troubles importants des
nerfs
périphériques, de l'épiderme et une artériosclé
peut donc croire à une origine essentiellement due aux lésions des
nerfs
périphé- riques. D'autre part, il faut attire
une para- lysie générale juvénile à début inférieur. - L'élat des
nerfs
oculo-moteurs dans l'hémiplégie de l'adulte. M.
que; les sensibilités à la pression de la trachée, du testicule des
nerfs
radial et cubital. Aucun déficit psychique. L
fu- sions hémorragiques. Elle a son point de départ au niveau des
nerfs
de la queue de cheval qui sont englobés ainsi que
t prise en apercevant le cadavre de sa mère d'une terrible crise de
nerfs
. Urbain Gohier était absent pendant cet affreux
ic et traitement de la hernie crurale étranglée. Questions orales :
Nerf
glosso-pharingien, Nerfs du coew', Cordons anté
ernie crurale étranglée. Questions orales : Nerf glosso-pharingien,
Nerfs
du coew', Cordons antérieurs de la moelle. Ques
ces aspects tiennent à des lésions de la papille, de la rétine, du
nerf
optique Il nous a semblé utile de procéder à l'
rthy, mais avec véritable contraction; en réalité il n'émane pas du
nerf
sus-orbi- taire, c'est un réflexe périostique o
alysie du rectum. Une injection de qui- nine dans le voisinage d'un
nerf
paralyse définitivement ce nerf. Chez cette mal
de qui- nine dans le voisinage d'un nerf paralyse définitivement ce
nerf
. Chez cette malade la paralysie du cône termina
ec névrites motrices et sensitives et hypertrophie considécable des
nerfs
correspondants : radial, cubital, médian et parti
et branche mastoï- dienne du plexus cervical superficiel à droite,
nerf
auriculo-tem- poral et nerf facial droit, nerfs
u plexus cervical superficiel à droite, nerf auriculo-tem- poral et
nerf
facial droit, nerfs sus et sous orbitaires des de
uperficiel à droite, nerf auriculo-tem- poral et nerf facial droit,
nerfs
sus et sous orbitaires des deux côtés. Archiv
s, 2° série, t. XVII. 17 '288 SOCIÉTÉS SAVANTES. Le volume de ces
nerfs
atteint presque le volume du petit doigt pour l
ranches auriculaire et mastoïdienne, celui d'une allumette pour les
nerfs
frontaux. Il est à remarquer que non seulement
'atrophie et de DR très pro- noncés pour la partie antibrachiale du
nerf
radial et pour le nerf cubital et le nerf média
pro- noncés pour la partie antibrachiale du nerf radial et pour le
nerf
cubital et le nerf médian à la main ; elle est
a partie antibrachiale du nerf radial et pour le nerf cubital et le
nerf
médian à la main ; elle est moins accentuée et
n à la main ; elle est moins accentuée et en partie séparée pour le
nerf
facial. Il a existé dans le territoire des nerf
tie séparée pour le nerf facial. Il a existé dans le territoire des
nerfs
hypertrophiés de violentes névralgies, qui ont
d'ichthyol a amené une grande amélioration et sur quelques-uns des
nerfs
atteints l'hyperthrophie a beaucoup rétrocédé.
L'anatomie montre que des fibres optiques peuvent subsister dans le
nerf
optique jusqu'à trente-quatre ans après le débu
des phénomènes nerveux passa- gers, à savoir : diplopie, parésie du
nerf
facial périphérique, paré- sie du nerf hypoglos
avoir : diplopie, parésie du nerf facial périphérique, paré- sie du
nerf
hypoglosse, etc. ; ces phénomènes disparaissaient
par le moindre déplacement du membre. L'examen électrique de ces
nerfs
a été fait par le docteur Huet et a montré que
ait par le docteur Huet et a montré que dans le domaine de tous les
nerfs
émanés du plexus brachial, la réaction de dégén
eurs en ceinture à caractère lan- » cinant. C'est vous dire que les
nerfs
intercostaux ou tout au ; moins leurs racines s
ment de troubles sphinctériens, les douleurs s'étendent à tous les
nerfs
du thorax et du tronc. La dyspnée et la toux s'in
ue les différents groupes musculaires placés sous la dépendance des
nerfs
du bras sont irrégulièrement frappés. Ainsi pou
trouvez des altérations d'un degré très différent. Le territoire du
nerf
circonflexe est rela- tivement peu touché, alor
nerveux. 281 de la compression du sciatique dans sa gouttière. Les
nerfs
de la queue de cheval comprimés dans le sac dur
vue ncurolo- gique). 284 CLINIQUE NERVEUSE. L'envahissement des
nerfs
est un phénomène beaucoup plus rare que la comp
une métastase se soit faite directement ou à l'état isolé « dans un
nerf
sans localisation préalable dans un organe « de
organe « de voisinage immédiat. » ' Quant au cancer primitif des
nerfs
, je n'ai pas besoin d'in- sister pour vous dire
autre genre, à la sarcomatose ou à la neuro-fibro-sarco- matose des
nerfs
. L'envahissement ou l'intégrité des nerfs dans
fibro-sarco- matose des nerfs. L'envahissement ou l'intégrité des
nerfs
dans la carcinose, n'est pas un fait de pur has
ystème ner- veux périphérique, pourront à priori s'effectuer sur un
nerf
isolé, surfin groupe limité de nerfs ou sur une
ont à priori s'effectuer sur un nerf isolé, surfin groupe limité de
nerfs
ou sur une infinité de divisions nerveuses, réa
e. La pression des masses musculaires et des points d'émergence des
nerfs
provoque d'atroces douleurs. ' Le signe de La
embres, l'atrophie musculaire, les vives douleurs à la pression des
nerfs
et des muscles, les signes stéthoscopiques, nou
veux accessibles à la dissection, ni au sein des plexus. Dans les
nerfs
, au voisinage des tumeurs, il y a une proli- fé
, sur- tout eu évidence par la méthode à l'acide osniique sur les
nerfs
traités par la dissociation. Les cylimlruxes sont
avait été réalisée par un cancer du poumon, le cas de Lenoble où le
nerf
phrénique était engainé dans des adénopathies t
achéobronchiques consécutives à un cancer du sein. Parmi les autres
nerfs
de l'économie, Monsseaux a relevé dans sa thèse
hèse, un petit nombre de cas, ceux de Doyen, de Reboul, d'Oiryoùles
nerfs
médian, radial et cubital étaient atteints isol
, au cours d'épithéliomas cutanés. Pareille constatation pour les
nerfs
intercostaux, qui sont souvent atteints dans le
blables circonstances par Ollivier. Pourquoi donc les points où les
nerfs
sont réunis en groupe au niveau des plexus sont
plasique, par l'absence presque totale de lésions dégénéralives des
nerfs
au-dessous du point de compression. A cet égard
ISATIONS DU CANCER SUR LE SYSTÈME NERVEUX. 293 depuis la sortie des
nerfs
mixtes hors des ganglions rachi- diens, étaient
tômes présentés. Au-dessous de la compression la dégénérescence des
nerfs
est loin d'être totale. Vous voyez donc, Mess
ur puissance fonctionnelle. A la longue, cependant, la sclérose des
nerfs
ainsi enserrés peut devenir complète. Un cas de
s peut devenir complète. Un cas de Jacobsohn où presque 'tous les
nerfs
du plexus étaient réduits à des tronçons fibreux
isolées et de leur peu de fréquence, je n'ai pas fait allusion aux
nerfs
craniens. Leur histoire vis à vis du cancer com
à vis du cancer comporte cet taines pai ticularités étrangères aux
nerfs
rachidiens. En effet, comme le faitremarquer
me le faitremarquer Mousseaux : « L'atteinte « intra-vertébrate des
nerfs
rachidiens ne donne pas des « tableaux clinique
idiens ne donne pas des « tableaux cliniques identiques à celle des
nerfs
définitive- « ment constitués la séméiologie ra
ire n'est pas la même que la séméiologie périphérique. » Pour les
nerfs
crâniens il n'en est pas ainsi et le tronc nerveu
ISATIONS DU CANCER, SUR, LE SYSTÉMR NERVEUX. 297 rer l'alteinle des
nerfs
crâniens dans la hnite crânienne ou datio, sps
l1p"e"sitln, ahoulis- salll h la dégénérescence et à la sclérose du
nerf
ainsi englobé. C'est ainsi que l'on a rapporté
, de l'hypoglosse dans le cancer de la langue, etc., etc. Un seul
nerf
émané du crâne est fréquemment al teint dans so
sophage, du corps "'y ! 'oï ! e, du thymus atteignent fatalement ce
nerf
ou ses branches, et vous pressentez la gravité
hycardie, la louxquiuteuse les troubles laryngés. - La lésion des
nerfs
crâniens est infiniment plus fréquente au cours
hidennes, nous pouvons de même constater qu'il peut y avoir sur les
nerfs
crâniens des lésions nerveuses consécutives à l
ninge, véritable pachyméningite cancéreuse interne dans lesquels le
nerf
peut être non seulement com- pressé, mais encor
gaine. (Fig. '1" ? ). - Quoiqu'il en soit la lésion cancéreuse des
nerfs
crâniens est le plus souvent le fait d'une méta
, une localisation de choix. C'est dans le voisinage du rocher. Les
nerfs
y sont;IlOnl- breux et cheminent dans des traje
uem- ment lésés. Presque toujours l'atteinte de plusieurs de' ces
nerfs
sera simultanée ou rapidement successive, le pl
mps une infiltration carcino- mateuse du rocher avec compression du
nerf
facial dans l'aqueduc de Fallope. - Vous comp
atent. La symptomatologie peut faire penser à une sarcomatose des
nerfs
de la base du crâne, à la tuberculose méningée ou
yméningites, la syphilis, la tuberculose du rachis, les tumeurs des
nerfs
peuvent donner lieu à un complexus douloureux e
s, les seules que nous ayons développées ici, peuvent atteindre les
nerfs
sur tous les points de leur parcours, créant ai
e sensitivo-motrice diffuse. Vous penserez aux névrites isolées des
nerfs
rachidiens; vous n'oublierez pas non plus la sy
étroite de ceux-ci à ceux-là. Vous vous souviendrez que de tous les
nerfs
crâniens, le pneumogastrique est le plus souven
us souvent atteint dans son trajet extra-cranien. Pour les autres
nerfs
crâniens, ils sont atteints fréquem- ment dans
issez les rapports morphologiques et fonctionnels étroits entre les
nerfs
crâniens et les racines rachidiennes, leurs réa
bétiques circonscrites (cas de Ziemssen localisé dans le domaine du
nerf
cubital, cas de Bernard et Féré limité à la sph
et Féré limité à la sphère du péronier, cas d'Al- thaus localisé au
nerf
circonflexe). Le même auteur signale le peu de
que la sensibilité au contact et à la douleur le long du trajet du
nerf
' cubital est diminuée, surtout au niveau de la
t au ganglion. Le tabes est la conséquence d'un envahisse- ment des
nerfs
radiculaires par le processus d'inflammation mé
iculaire interstitielle transverse, pour indiquer son siège dans le
nerf
radiculaire, sa nature interstitielle ou con- 3
Nageotte, le tabes n'est qu'un cas particulier de la pathologie des
nerfs
radiculaires, ce qui crée son individualité, c'
E NERVEUSE. 325 . cervical, il faut admettre que l'excitation de ce
nerf
s'accompagne d'exophtalmie, alors que la paraly
citation des filets cardiaques et thyroïdiens, et la paralysie des
nerfs
oculaires ? Telles sont les questions que pose M.
Séance du 3 mars 1904. Présidence de M. DÉJERIi'OE. Compression du
nerf
médian par ossification probable du brachial an
me chez l'aveugle. Ces observations rendent probable l'idée que les
nerfs
de la sensibilité générale jouent un rôle actif
tuelles concernant le mécanisme de l'audition. L'au- dition par les
nerfs
de la sensibilité générale doit être considérée
troubles de la musculature externe de l'oeil et des altérations du
nerf
optique et du fond de l'oeil. Chez nos 227 ma
ainsi déviés suffisent à entraîner la face du côté de la section du
nerf
principal. L'auteur met en évidence d'autres fa
la section en avant de la parotide apparaît. Il semble donc que le
nerf
facial ait une action trophique localisée uniquem
ant la protubérance et la moelle et fi- lant le long des gaines des
nerfs
crâniens. En ouvrant l'oreille moyenne, on trou
res trophiques vaso-moteurs de la moelle, ganglions sympathiques et
nerfs
vaso-moteurs. Les altérations qui se rencontren
les symptômes s'étaient aggravés ; elle présentait une atrophie du
nerf
optique à droite; à gauche une légère diminutio
ment en disproportion avec lui. Le passage du stimulus le long d'un
nerf
, n'entraîne pas de fatigue; si les neurones ces
physiologiques et anatomiques. L'expérimentation démontre que les
nerfs
sont incapables de fatigue, ou, tout au moins,
n électrique, Les expériences de Hallibur- ton et de Brodie sur les
nerfs
de la rate, prouvent qu'un nerf non médullé est
Hallibur- ton et de Brodie sur les nerfs de la rate, prouvent qu'un
nerf
non médullé est aussi dilficile à fatiguer qu'u
rouvent qu'un nerf non médullé est aussi dilficile à fatiguer qu'un
nerf
médullé, et ces auteurs concluent que tandis qu
changement est très faible, et que le pouvoir de réparation dans le
nerf
sain est très grand, et que la fatigue, au sens
s de Waller qui démontrent que le passage d'un courant le long d'un
nerf
s'accompagne d'une certaine transformation d'én
es de la myé- line. Si elle est évidemment peu considérable dans le
nerf
muni de son névrilemme, elle peut être considér
s ce caractère que lorsque, par suite d'un état patholo- gique, les
nerfs
sont anormalement irritables; au contraire, il es
4° On sait que, chez un enfant né à terme, la gaine de myéline du
nerf
optique n'est pas aussi bien développée que chez
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 477 Î avancée dans le
nerf
optique de l'oeil qui a été exposé à la lumière.
te du cylindraxe. Ceci peut être constaté très net- tement dans les
nerfs
, dans les racines postérieures et leurs pro- lo
nque, la formation de myé- liue est insuffisante pour régénérer les
nerfs
. L'auteur entre ici dans des considérations ass
bien les terminaisons périphériques que le tronc et les racines du
nerf
affecté. ' C- REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. 487 XVL
, l'existence d'un point douloureux à la pression sur le trajet des
nerfs
ne laissent aucun doute sur la légi- timité du
roduit par un double mécanisme : d'une part, action exercée sur les
nerfs
de la main par la contraction énergique et prolon
algie faciale ; ce malade a subi, il y a quatre ans la résection du
nerf
maxillaire inférieur; il a eu, à la suite de ce
ussi signaler ce fait que la sensibilité, abolie dans le domaine du
nerf
maxillaire inférieur après l'opéra- tion, repar
bien que l'on ait fait une résection, et non une simple section du
nerf
. Perte radiculaire de la perception sléréognost
vaisseaux n'étaient pas entourés de gaines lymphocytiques. , Les
nerfs
ont été examinés. Ils présentaient des lésions ma
herches personnelles, un schéma parallèle des modifications dans le
nerf
après la résection et après l'effet produit sur
ons dans le nerf après la résection et après l'effet produit sur le
nerf
par la toxine diphtéritique, à savoir : . Après
eau compa- ratif de la « fragmentation » et de la dégénérescence du
nerf
; la fragmentation ne présente que l'un des phén
e l'un des phénomènes et l'une des périodes de la dégénérescence du
nerf
. W.-K. ROTH compte possible que la fragmentatio
réflexes tendi- neux, augmentation de l'excitabilité mécanique des
nerfs
et des muscles, dilatation pupillaire, troubles
de la Graiide-Bretagneet de 1'lilitii(le, 406. C1111PHRSSION du
nerf
médian par ossification probable du hra- chia
parDupré, Hauser et Sébileau, 81. Menthol. Influence du - sur les
nerfs
cutanés, par Ioteyko, 74. Microscope. De l'empl
OI'LAOES Cf ? UHALFS, Trois cas de parCdbertUatiet.etDettHH. 9.
Nerfs
entamés. Voir Menthol. L'état des -uculo nlot"u
les paraplégies et les affections de la moelle ; les affections des
nerfs
; les affections des muscles ; l'hystérie et le
e lésion, c'est la lésion même d'une portion du système nerveux, du
nerf
optique, perceptible pendant la vie grâce à l'usa
dentiques à celles qui sont sous la dépendance d'une altération des
nerfs
. Envi- sageons, par exemple, la paralysie vulga
ion des nerfs. Envi- sageons, par exemple, la paralysie vulgaire du
nerf
radial ; sans doute la chute de la main peut êt
de celle qui est causée par une altération du noyau d'origine de ce
nerf
; dans celle-ci, en effet, il y a bien aussi parfo
qui s'attache, au point de vue du diagnostic, dans les paralysies des
nerfs
moteurs, à la dissociation de mouvements qui, à
e « signe de Ch. Bell », est du à l'association d'une altération du
nerf
facial avec l'intégrité du moteur oculaire comm
e d'une lésion du sympathique cervical située soit dans le tronc du
nerf
, soit à son origine dans la moelle ou dans le b
vrai du faux. Les perturbations dans l'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles offrent, au point de vue qui nou
musculaire consécutive à une altération primitive ou secondaire des
nerfs
; aucun des caractères qui lui appartiennent, l'ab
i lui appartiennent, l'abo- lition de l'excitabilité électrique des
nerfs
, l'abolition de la con ractilité faradique des
Erb), ne saurait être reproduit par la volonté. La compression d'un
nerf
moteur, sans aboutir à la dégéné- rescence de s
t également impossible à simuler ; voici en quoi elle consiste : le
nerf
, au-dessus du point com- primé, a perdu son exc
a quelques années un chirurgien a pratiqué sur elle une élongation du
nerf
sciatique. Malgré les divers modes de traitemen
trois portions de l'arc du réflexe atteint : a) la voie centripète (
nerf
sensitif ou racine postérieure); 6) la partie cen
ale (sub- stance grise) ; c) la voie centrifuge (racine antérieure,
nerf
moteur ou muscles auxquels aboutit ce nerf).
fuge (racine antérieure, nerf moteur ou muscles auxquels aboutit ce
nerf
). CARACTÈRES PERMETTANT DE RECONNAITRE l'iRRÉFL
rsque le réflexe achilléen est conservé, la réalité d'une lésion du
nerf
sciatique est souvent difficile à affirmer. Le
e vraisemblablement à une propagation du processus inflammatoire au
nerf
radiculaire ou au nerf mixte. Cette irréflectiv
ne propagation du processus inflammatoire au nerf radiculaire ou au
nerf
mixte. Cette irréflectivité, quand elle est ass
tion de la motilité volitionnelle, de l'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles, de l'excitabilité idio-musculaire
aliser en divers départements du cerveau, voire de la moelle et des
nerfs
, et de produire les mêmes effets que les altéra
les symptômes de l'hémiplégie vulgaire associés à une paralysie du
nerf
moteur oculaire commun qui occupe l'autre côté du
le sympathique en produisant une irritation ou une paralysie de ce
nerf
. Sans contester qu'il en soit ainsi dans certai
t sur le sympathique droit; on admet, en effet, que la paralysie du
nerf
sympathique dans cette région produit un rétrécis
hypothèse ; il ne m'est pas démontré, en effet, qu'une irritation du
nerf
sympathique soit capable de donner lieu à une d
dire qu'elle n'est liée à aucune altération du globe oculaire et du
nerf
optique et n'est pas associée à une paralysie d
compensation des troubles cérébelleux s'appuie sur la fonction des
nerfs
périphériques. » Ces divers résultats justifien
angle ponto-cérébelleux, il existe une altération concomi- tante du
nerf
acoustique ou de ses terminaisons. Il faut tenir
chaud la contractilité disparaît très vite, que l'irritabilité des
nerfs
se perd toujours avant la contractilité directe d
lliampères, P. F. C. est très nette. L'électrisation des troncs des
nerfs
médian, cubital et radial ne provoque aucune co
t. L'excitabilité faradique et l'excitabilité voltaïque du tronc du
nerf
facial sont abolies. L'excitabilité faradique dir
de dégénérescence qui apparaît à la suite de certaines lésions des
nerfs
? On admet généralement que cette réaction, en pa
ions histo-chimiques qui se dévelop- pent dans les muscles dont les
nerfs
sont dégénérés. Mais si l'on consi- dère que le
n du facial, c'est-à-dire à une période où, le bout périphérique du
nerf
étant dégénéré, les fibres musculaires ne pré-
réaction propre des fibres musculaires sans aucune intervention des
nerfs
. Si cette idée était exacte, il serait légitime
admet généralement que dans les paralysies liées à des lésions des
nerfs
moteurs, l'excitabilité électrique de ces nerfs n
s à des lésions des nerfs moteurs, l'excitabilité électrique de ces
nerfs
ne peut être exagérée que pendant les premiers
istence d'une hémiplégie faciale droite occupant les deux branches du
nerf
. Un médecin électrise le malade et observe ce f
n, à intensité égale, la contraction consécutive de l'excitation du
nerf
ou des muscles était toujours plus forte du côt
t aucune trace de réaction lente ou d'inversion de la formule. Le
nerf
facial et les muscles faciaux du côté paralysé so
s bulbaires apparaissaient. C'est l'hyperexcitabilité électrique du
nerf
facial qui constitue le trait intéressant de ce
uscles qui appartient à la D. R. L'hyperexcitabilité électrique des
nerfs
a déjà été notée bien souvent dans les paralysi
été notée bien souvent dans les paralysies liées à des lésions des
nerfs
, dans la paralysie faciale en particulier, mais
e faciale dite périphérique, dépendant d'une altération du noyau du
nerf
facial ou du tronc qui émane. Si donc cette par
précédemment énoncés, que le noyau, ou la portion intra-bulbaire du
nerf
facial est intéressé. Mais il faut bien tenir com
de supposer par exemple que le noyau ainsi que le ÉLECTROLOGIE n3
nerf
facial à son origine sont dans un état d'intégrit
e plus simple de penser que la lésion atteint le noyau lui-même ou le
nerf
à son origine, mais qu'en raison d'une certaine
bsolument nette. Ces faits établissent qu'une lésion intéressant le
nerf
facial dans son trajet ou à son origine peut dé
eux malades que je présente sont atteints d'une contusion légère du
nerf
sciatique par projectile. Il n'y a pas d'anesthés
Neurologie, présentant deux malades atteints de contusion légère du
nerf
sciatique, chez lesquels le phénomène de la fus
courir le risque de considérer comme en voie de dégénérescence des
nerfs
qui ne sont pas altérés, ce fait que des muscle
de dégénérescence paraît complète par l'explo- ration classique. Le
nerf
sciatique poplité externe est absolument inexci-
impossible d'obtenir de contraction musculaire par. l'excitation du
nerf
sciatique poplité externe. Cette réaction pou
Jarkowski, Soc. d'Éleclrolh., 1912. a3n SÉMIOLOGIE ( i° Pour le
nerf
: inexcitabilité faradique et galvanique ; 2° P
la voie sensitive, soit de l'appareil céré- belleux, soit enfin des
nerfs
crâniens à partir de la IIIe paire, je devais ê
as associée à une lésion des cornes antérieures, des racines ou des
nerfs
. Elle montre de plus que dans les néoplasmes in
branche externe du spinal gauche, avec résection d'une por- tion du
nerf
d'un centimètre de longueur. Cette opération a ét
dégénération d'un muscle, consécutive à la section complète de son
nerf
, est généralement définitive ; c'est du moins ce
sterno-mastoïdien et le trapèze. A quoi tient cette différence ? Le
nerf
spinal serait-il doué d'une plus grande vitalit
erf spinal serait-il doué d'une plus grande vitalité que les autres
nerfs
et régénérerait-il avec plus de facilité ? Ou b
n et du trapèze se produit grâce à ce que ces muscles reçoivent des
nerfs
de deux sources différentes ? Je ne suis pas en m
nécessairement définitive à la suite d'une section complète de ces
nerfs
; je dis qu'en pareil cas le retour à l'état no
ominent (') Revue neurologique, 1921, p. 291. Section bilatérale du
nerf
spinal externe dans le torticolis spasmodique.
st vasculaire. J. Babinski signale brièvement : les altérations des
nerfs
facial, trijumeau, glosso- pharyngien, cochléai
ceau longitudinal postérieur. FlF2FaF. Foyers de ramollissement. Il
Nerf
intermédiaire de Wrisberg. NC. Noyau cunéiforme d
ncule cérébelleux moyen. PCS. Pédoncule céré- belleux supérieur. V.
Nerf
trijumeau. N'Il. Nerf facial. VII.. Nerf acoustiq
n. PCS. Pédoncule céré- belleux supérieur. V. Nerf trijumeau. N'Il.
Nerf
facial. VII.. Nerf acoustique. IX. Nerf glosso-
éré- belleux supérieur. V. Nerf trijumeau. N'Il. Nerf facial. VII..
Nerf
acoustique. IX. Nerf glosso- pharyngien. X. Ner
eur. V. Nerf trijumeau. N'Il. Nerf facial. VII.. Nerf acoustique. IX.
Nerf
glosso- pharyngien. X. Nerf pneumogastrique.
Nerf facial. VII.. Nerf acoustique. IX. Nerf glosso- pharyngien. X.
Nerf
pneumogastrique. de suivre les fibres dans leur
s nerveux, analogue à celle qui s'observe dans le bout central d'un
nerf
sectionné, au voisinage de la sec- tion, la per
veux, analogue à celle qui s'observe dans le bout périphérique d'un
nerf
sectionné, l'absence de cylindres-axes dénudés,
ourne la partie supérieure du corps restiforme et vient toucher les
nerfs
mixtes à leur émer- gence ; dans ce diverticule
inuer la surface du pédoncule céré- belleux moyen. Les différents
nerfs
de la région ont été écartés et déviés sans subir
ette contracture des spasmes que déterminent parfois des lésions du
nerf
facial. 11 s'agirait de part et d'autre de raideu
en soit la cause, que la lésion se trouve située à la périphérie du
nerf
ou à son origine. Il y avait donc tout lieu de
semblable que ces troubles sont sous la dépendance d'une lésion des
nerfs
causée par l'inflammation vertébrale au niveau de
étaient le 3o mai. A l'ophtalmoscope on ne trouve aucune lésion du
nerf
optique, mais des lésions de choroïdite myopique
l'hôpital de la Pitié, un tabétique atteint d'une atrophie des deux
nerfs
optiques, dont les symptômes lui parais- saient
tabétiques avérés, présentant d'autres symptômes que l'atrophie des
nerfs
optiques. Sauf exception, le champ visuel a été
s exceptionnelle. ' Il existe donc des cas d'atrophie tabétique des
nerfs
optiques où l'on constate, avec un rétrécisseme
vue du pro- nostic, de la constatation d'une atrophie tabétique des
nerfs
optiques évoluant d'une façon aussi différente
fait une amblyopie toxique, sans avoir de lésions tabétiques de ses
nerfs
optiques. 1.' Il y a d'autres cas où le scotome
nificative si l'on songe à la fréquence de l'atrophie tabétique des
nerfs
optiques. Conclusions. i° Il n'existe pas, da
es. Conclusions. i° Il n'existe pas, dans l'atrophie tabétique du
nerf
optique, une forme de rétrécissement du champ v
Babinski J. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des
nerfs
optiques (Revue Neurologique, igoo, p. 626).
u champ visuel monoculaire des diverses maladies de la rétine et du
nerf
optique (Congrès d'Ophtalmologie de Paris, 1867).
es symptômes faisaient même supposer une extension du processus aux
nerfs
crâniens et à la base du cerveau (diplopie, dimin
aux, formant une couche blanchâtre qui englobe les vaisseaux et les
nerfs
crâniens à leur émergence (fig. 44). Examen mic
nce Po., les pédoncules cérébraux P., le cervelet, les origines des
nerfs
crâniens : 111. moteur oculaire commun, V. trijum
l'aide de nouvelles observations. SEP TIÈME PARTIE AFFECTIONS DES
NERFS
13ADI,"U. 28 I DES NÉVRITES [J. Babinski.
rite périphérique, ne doit pas impliquer l'idée que les lésions des
nerfs
sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous
os moyens d'investi- gation, sont exclusivement localisées dans les
nerfs
ou y sont bien plus accusées que dans le systèm
cations de nature dyna- mique : et qu'en définitive les lésions des
nerfs
ne peuvent être considé- rées comme constituant
seulement les altérations les plus apparentes. » 436 AFFECTIONS DES
NERFS
S NÉVRITE SCIATIQUE J'ai fait paraitre, dans
ste, l'idée que, dans les cas de ce genre, il n'y ait pas lésion du
nerf
. « Ce signe, comme en général tous les signes o
que ; sa présence indique l'existence d'une altération organique du
nerf
, et elle suffit pour écarter l'hypothèse de sim
ue hystérique qui n'est pas une véritable névralgie, qui n'a pas le
nerf
pour siège, mais qui consiste en une douleur de
tente du diagnostic vague de rhumatisme. Cette variété de lésion du
nerf
radial peut être mise en opposition avec la par
comme si ces contractions étaient dues à l'excitation électrique du
nerf
facial par un courant induit, d'abord non tétanis
t ordinairement le mal; d'autre part une électrisation énergique du
nerf
facial semble l'atténuer pour quelque temps; enfi
ent avec les contractions provoquées par l'excitation électrique du
nerf
facial. M. Meige a noté aussi ce fait intéressa
les reproduire sous l'influence exclusive de la 440 AFFECTIONS DES
NERFS
volonté ; on peut à la rigueur simuler l'incurv
aires qui correspondent très exactement aux muscles innervés par le
nerf
irrité, mais qui ne répondent à aucun autre acte
r chez les sujets normaux par l'électrisation de certains filets du
nerf
facial. Ainsi donc mon malade est bien atteint
spasme est dû dans ce cas à une irritation du noyau du facial ou du
nerf
dans son trajet bulbaire. Une question doit êtr
reconnait-il nécessairement pour cause une perturbation directe du
nerf
facial ou de son noyau, ou bien ne peut-il pas
des fibres sensitives du trijumeau qui transmettent au noyau de ce
nerf
les impressions reçues ; celui-ci les communique
es mouve- ments spasmodiques seraient consécutifs à l'irritation du
nerf
trijumeau et résulteraient par conséquent d'une
r être reproduit rigoureusement par l'électrisation des branches du
nerf
facial. Or, déjà a priori, en théorie, il me pa
théorie, il me parait difficile d'admettre qu'une exci- tation d'un
nerf
sensitif puisse produire un effet identique à cel
uire un effet identique à celui qui résulte de l'électrisation d'un
nerf
moteur ; je ne sache pas qu'expéri- mentalement
siégeant dans la partie intra-bulbaire du trijumeau et limitée à ce
nerf
. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du syst
Leçons sur les maladies nerveuses, r8g5, p. 200. 442 AFFECTIONS DES
NERFS
dessus du noyau facial, telle qu'une lésion cor
analysés ne peut être engendré que par une perturbation directe du
nerf
facial ou de son noyau d'origine. Il serait alors
culaire est indépendante de toute lésion des centres nerveux ou des
nerfs
périphériques, et qui est connue sous le nom de
comme dans celles qu'on peut observer il la suite de la section des
nerfs
, entre autres particularités, on remarque que les
odifications que présentent les muscles il la suite de la section des
nerfs
qui s'y rendent, par J. Babinski (Comptes rendu
dérive la déformation caractéristique de la face dans la paralysie du
nerf
(') J'ai déjà développé cette idée dans mon tra
immo- bilité pupillaire, de la paralysie limitée au territoire d'un
nerf
, comme, par exemple, la paralysie du moteur ocu
spinales, qui seraient aussi suscep- tibles de se localiser sur les
nerfs
et de présenter les caractères des para- lysies
èvres et suivies de petites ecchymoses cuta- nées ; des attaques de
nerfs
offrant ces particularités ne peuvent donc être
donne jamais naissance à des paralysies limitées au territoire d'un
nerf
périphérique. Les observations sur lesquelles o
elles ne sont pas cantonnées rigoureusement dans le territoire d'un
nerf
périphérique. z En réalité, l'hystérie n'est pa
que. z En réalité, l'hystérie n'est pas plus capable d'atteindre un
nerf
sensitif qu'un nerf moteur, et le terme de névr
'hystérie n'est pas plus capable d'atteindre un nerf sensitif qu'un
nerf
moteur, et le terme de névralgie, dont on se sert
u'on ne risque guère de se tromper quand on affirme qu'une crise de
nerfs
avec grands mouve- ments convulsifs et arc de c
re disparaître la contracture. De même, l'excitation mécanique d'un
nerf
moteur (facial, radial, cubital, etc.) devait d
etc.) devait développer la contracture des muscles innervés par ce
nerf
et de ceux-là seuls. On pouvait produire ainsi
ne s'agit pas là d'une hyperexcitabilité réelle des muscles ou des
nerfs
: s'il en était ainsi, la pression du doigt sur
les ou des nerfs : s'il en était ainsi, la pression du doigt sur le
nerf
facial, par exemple, devrait développer dans le c
une contraction semblable à celle qui résulte de l'électrisation du
nerf
et qui est caractérisée par des phénomènes indé-
signe dénotant l'existence d'une lésion des centres nerveux ou des
nerfs
périphériques, et que l'auteur rattache à l'hysté
adiques); de la surexcitabilité mécanique et parfois électrique des
nerfs
; des troubles de la sensibilité objective et s
te du genou, ajoute-t-il, a constaté des phénomènes de névralgie du
nerf
crural cor- respondant. Le nerf était le siège
taté des phénomènes de névralgie du nerf crural cor- respondant. Le
nerf
était le siège de douleurs spontanées; en outre,
urs spontanées; en outre, la pression exercée sur tout le trajet du
nerf
déterminait une sorte d'en- (') Gosselin, Mémoi
u cours de la pneumonie ; l'amaurose -consécutive aux contusions du
nerf
frontal; les paralysies du bras observées à la su
Roger ; de Ducosté sur les contractures consécutives aux lésions des
nerfs
périphériques. Il se dégage de tous ces trava
conservés. L'hypothèse d'une affection organique des centres ou des
nerfs
péri- phériques devait être écartée en l'absenc
hypotonie observée dans les paralysies consécutives aux lésions des
nerfs
les plus profondes ; de la sur excitabilité mécan
nifestent les affections organiques du cerveau, de la moelle et des
nerfs
, ainsi rice les lésions des vaisseaux) : i° L
surexcitabilité mécanique des troncs ne ? veux('). La percussion du
nerf
cubital dans la gouttière épitrochléo-olé- crân
s au niveau de la première phalange (interosseux). La percussion du
nerf
tibial postérieur détermine un mou- vement de f
- vement de flexion des orteils. La surexcitabilité mécanique des
nerfs
, tout comme la surexcitabilité musculaire, para
Médicale, 3 avril 1916, p. r5o. ('') J. Tinel, Les blessures des
nerfs
. Sémiologie îles lésions nerveuses périphériques
al, 10 mars 1917. . 57o TROUBLES PHYSIOPATHIQUES un territoire de
nerf
périphérique ni être assimilée aux configurations
ssociation n'est pas rare. Dans bien des cas de lésion limi- tée au
nerf
radial, ayant déterminé une paralysie des extense
et I"'e Ath. Benisty, décrivant la forme douloureuse des lésions du
nerf
médian, font remar- quer que la main est émacié
phénomènes d'ordre réflexe ces troubles qui débordent le domaine du
nerf
irrité. L'in- tervention d'un facteur « réflexe
chez un malade peuvent dériver de ces trois sources : la lésion des
nerfs
, l'action réflexe et l'hystérie (cssociation hyst
du point de départ de l'excitation et de l'effet produit) : 1° d'un
nerf
centripète qui transporte l'excitation à un cen
oit cette excitation et la transforme en indication motrice ; 3° d'un
nerf
centrifuge qui transmet à la périphérie cette i
irritatif soit dans les filets sympathiques qui accompa- gnent les
nerfs
du système cérébro-spinal, soit dans les plexus p
bservé dans la tétanie l'exaltation de l'excitabilité mécanique des
nerfs
moteurs (phénomène de Chvostek), l'exaltation de
omène de Chvostek), l'exaltation de l'excitabilité élec- trique des
nerfs
moteurs (phénomène d'Erb), des modifications de l
manifestent les affections organiques du cerveau, de la moelle et des
nerfs
, ainsi que les lésions des vaisseaux) : « 1"
ltation de l'excitabilité mécanique des muscles et parfois même des
nerfs
modifications quan- titatives de l'excitabilité
radiculaire. ' De toutes les modifications du tabes la sclérose des
nerfs
optiques est peut-être celle qui se prête le mi
ux effet de la ponction lombaire dans cer- tains cas d'affection du
nerf
optique. Nous voudrions montrer, par nos observ
e droite). Le quatrième de ces mala- des n'offrit aucun trouble des
nerfs
crâniens, en dehors de la névrite opti- que. Da
inuité de la compression des éléments percepteurs ou conducteurs du
nerf
opti- que s'accompagne de diminution de l'acuit
les troubles dus à la compression, et en particulier l'atrophie des
nerfs
optiques qui peut être la suite des névrites op
avulsion ne donna aucun résultat, et quatre mois après, on réséqua le
nerf
den- taire, ce qui soulagea le patient pendant
mais encore dans la région mallaire, avec maximum à l'émergence du
nerf
sous-orbitaire. On fit alors la sympathectomie,
tronc est beaucoup moins prononcée ; les douleurs sur le trajet des
nerfs
sciatiques ont disparu ; le malade marche sans
rtébrale et éprouvait de très vives douleurs sur le trajet des deux
nerfs
sciatiques. Son tronc était flé- chi et sa colo
ladie débute du côté droit, par des douleurs vives sur le trajet du
nerf
sciatique. Le malade est mis au repos absolu pend
rradient et occupent bientôt les points d'élection sur le trajet du
nerf
sciatique. Le médecin traitant applique des poi
modifications que présentent les muscles à la suite de la section des
nerfs
qui s'y rendent (Comptes rendus de l'Académie d
cérébrale avec intégrité des cornes antérieures de la moelle et des
nerfs
moteurs (Société de Biologie, 20 février 1886).
s (Id.). 64. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des
nerfs
optiques (Id.). 65. Tabes avec cécité (XIIIe Co
de Biologie, t4 octobre igo5). 121. Hyperexcitabilité électrique du
nerf
facial dans la paralysie faciale (Société de Ne
u champ visuel et de la vision centrale dans l'atrophie tabétique des
nerfs
. optiques (en collaboration avec Chaillous. Co
sie) (Société de Neurologie, 1 juin 1(14). zr4. Sur les lésions des
nerfs
par blessures de guerre (Société de Neurologie, 7
er rgr5). 21 : 1. De la paralysie radiale due à la compression du
nerf
par les béquilles. Asso- ciation organo-hystéri
1 9 1 5). 218. Névrite crurale paraissant due à une compression du
nerf
par bandage herniaire (Société de Neurologie, 1
e, 18 mars i g r 5). 219. Quelques observations sur les lésions des
nerfs
(Société de Neurologie, 18 mars I g I 5). 220
s nerfs (Société de Neurologie, 18 mars I g I 5). 220. Lésions du
nerf
crural. Abolition de l'excitabilité faradique et
9 juillet igi5). 225. Troubles nerveux consécutifs aux lésions des
nerfs
. Troubles nerveux consé- cutifs aux lésions des
u champ visuel et de la vision centrale dans l'atrophie labétiquc des
nerfs
optiques 353 Compressions médullaires. IX.
Traitement mercuriel, guérison 43o SEPTIÈME PARTIR AFFECTIONS DES
NERFS
1. - Des névrites.. 435 IL - Hémispasme facia
APEUTIQUE 1. Du traitement mercuriel dans la sclérose tabétique des
nerfs
optiques 587 IL Résultats thérapeutiques de la
Jehn de Siegburg, un an plus tard, notait également l'atrophie du
nerf
optique (4 fois des deux côtés, 3 fois d'un seu
ait quatre cas dans lesquels l'atrophie se serait propagée par le
nerf
optique. En 1879, paraissent la thèse de Boy et
fond de l'oeil ». Nettleship cite une observation où l'atrophie du
nerf
opti- que précède les symptômes mentaux. Magnan
ires dans la paralysie générale, s'exprime ainsi : « L'atrophie des
nerfs
optiques se voit, mais rarement ; d'après Mende
t indicateur d'une affection scléreuse et atro- phique du tronc des
nerfs
optiques éveilla l'attention sur une maladie du
. Enfin chez 8,2/3 p. 100 de ces malades existait une atrophie du
nerf
optique. Dans des recherches ultérieures, Uhtho
p- tômes de la paralysie générale ne fussent devenus nets : 1° Le
nerf
optique était décoloré, strié, présentait un aspe
alé l'inégalité pupillaire, la paralysie des muscles, l'atrophie du
nerf
opti- que, il signale, d'après Furstner, des tr
le plus sûr, le plus carac- téristique du début des altérations du
nerf
optique lesquelles sont très fréquentes chez le
rocessus pathologique qui préside au développement de l'atrophie du
nerf
optique, il croit à l'exis- tence d'une névrite
yeux ont été fixés sitôt après la mort dans de l'alcool à 95°; les
nerfs
optiques dans le liquide de MùIIer. - Après inc
us avons pratiqué une série de coupes longitudinales passant par le
nerf
optique, par la papille et par la rétine. Ces c
épaisseur normale. Fig. o Coupe longitudinale de la papille et du
nerf
optique droit du malade B . . son ciitieu dans
ossissement ai diamètres - La coupe passe par l, paille ccnlialc du
nerf
; en a section lransvetsale (le l'aitere ceiiti-,t
nés. C'est ainsi que nous les voyons sur une coupe longitudinale du
nerf
et de la papille passant par l'artère centrale
la traversent ne nous sem- blent en aucun point étranglés. - . 3°
Nerf
optique : Sur une coupe longitudinale du nerf opt
int étranglés. - . 3° Nerf optique : Sur une coupe longitudinale du
nerf
optique à son entrée dans le globe de l'oeil, t
névrogliques. Les travées conjonc- Fig. 4. Coupe tmnsoer.sule du
nerf
optique droit du malade B..., pratiquée un centim
névrogliques. En a, amas de cellules conjonctives dans la ^aine du
nerf
; en n, cellules névrogliques iulra-fascicularres,
itiel. Dans sa portion iiiti,aci,a ? zieiz ? 2e. les altérations du
nerf
optique sont les suivantes (voir fig. 4) : sur
sont les suivantes (voir fig. 4) : sur des coupes transversales du
nerf
, on constate une augmentation de l'épaisseur des
retrouvons les petits vaisseaux à paroi épaissie. La gaine piale du
nerf
est également le siège d'une augmentation des c
ve, dans la coupe transversale d'un faisceau de fibres nerveuses du
nerf
optique, que quelques cellules névrogliques, no
les conjonctives. Sa partie externe est d'apparence normale. 3 Le
nerf
optique, immédiatement en arrière de la lame crib
mbre et affectent les mêmes rapports que ceux observés pour l'autre
nerf
. Les cellules névrogliques intrafasciculaires ne
s d'altérations bien marquées. Dans sa portion intracranienne, le
nerf
optique, sur des coupes transversales, pratiqué
s deux ou trois fois moindre que dans la région correspon- dante du
nerf
optique droit. Les travées conjonctives sont ép
urs parois hypertrophiées, il en est de même pour la gaine piale du
nerf
qui contient, quoique en moins grande abon- dan
s circonvolutions frontales et du cuneus notamment. Les yeux et les
nerfs
optiques ont été fixés dans le liquide de lllül
dine, nous avons pratiqué des coupes longitudinales passant par le
nerf
optique, la papille et la rétine et des coupes tr
erf optique, la papille et la rétine et des coupes transversales du
nerf
optique dans sa portion intracranienne. OEil dr
ion, nous ne les décrirons plus, Fig. 5. m, Coupe transversale du
nerf
optique droit ou malade 5..., un centimètre en ar
ii-es sont très augmentées en nombre; en n, coupe t nsrersalc du même
nerf
pratiquée a un centimètre du cluasma; même gios
La portion sclérotique de la lame criblée nous parait normale. 3°
Nerf
optique : Dans sa portion intra-oculaire, il prés
ombre des travées conjonctives : Sur une coupe transversale du même
nerf
, pratiquée à un cen- timètre du giobe oculaire
lles sont extrêmement épaissies dans la portion inlracra- nienne du
nerf
optique, en p (fig. 5), nous en avons représenté
est aisé de se rendre compte de la véritable sclérose qui frappe le
nerf
, les petits vaisseaux intratrabéculaires, ont l
notablement hypertrophiée dans sa portion choroïdienne. 3° Quant au
nerf
optique, il présente, à un degré moindre, les l
e, à un degré moindre, les lésions que nous avons signalées pour le
nerf
du côté droit. 2° LÉSIONS TERMINALES OBs. I
, la myéline à l'aide des méthodes de Lenhossek et deWeigert. Les
nerfs
optiques ont été fixés dans les mêmes conditions,
us avons pratiqué une série de coupes longitudinales passant par le
nerf
optique, la papille et la rétine, coupes parall
x et se diri- ger perpendiculairement par rapport à la direction du
nerf
optique. Cette figure qui représente une coupe
ette figure qui représente une coupe longitudinale pas- sant par le
nerf
optique, la papille et la région avoisinante de l
milieu d'eux l'existence de fibres nerveuses (voir fig. 7). 3° Le
nerf
optique est altéré dans toute son étendue et dans
9). Ce qui précède est également vrai, quel que soit le point du
nerf
optique que l'on considère. Les figures 8 et 9 re
que que l'on considère. Les figures 8 et 9 représentant du reste ce
nerf
en quelque sorte aux deux extrémités de son traje
voisinage du chiasma, Fi,q. 7. Coupe longitudinale passant par le
nerf
optique, la papille et la région nroisinanle de l
ure qu'on remonte vers le cerveau. L'état des fibres nerveuses du
nerf
optique nous intéressait au plus haut point, et
la méthode de Weigert pour la myéline, les coupes transversales du
nerf
optique apparaissent presque uniformément jaunâ
faisceaux périphériques sont plus Fig. 8. Coupe longitudinale du
nerf
optique droit du malade 1'..., à son entrée dans
inférieure de la figure 9 qui représente une coupe transversale du
nerf
optique à un centimètre du chiasma, nous avons
uger de leur rareté (m fig. 9). Nous avons également traité notre
nerf
optique par la méthode Fig. 0. Coupe transver
é notre nerf optique par la méthode Fig. 0. Coupe transversale du
nerf
optique droit à un centimètre du chiasma. Dans la
n systé- matiques, intéressant : 1° la rétine, 2° la papille, 3° le
nerf
optique ; 10 La rétine présentait des altérat
es aussi un épaisissement variable de leur tunique externe. 3° Le
nerf
optique enfin était le siège d'une prolifération
re dis- 30 ANATOMIE PATHOLOGIQUE. séminées, et les altérations du
nerf
optique suivent plutôt une marche descendante q
s dans la paralysie générale; enfin sur une section transversale du
nerf
optique le tissu de sclérose apparaît sous form
ique diffuse : infiltration des éléments nobles de la papille et du
nerf
optique par des cellules conjonctives et névrog
ctives et névrogliques, épaississement de la trame con- jonctive du
nerf
, altérations diffuses des cellules ganglion- na
(Spec. path. von Nothnagel. GRosz E.-V. L'Atrophie tabétique des
nerfs
optiques. Annales d'Oculistique, sept. 1898).
s eux-mêmes, et en même temps d'agir sur les lésions organiques des
nerfs
, des muscles et des articulations, aussi s'est-
es qui leur sont donnés par les centres nerveux et transmis par les
nerfs
. Enfin, la sensibilité sous ses divers modes in
, parfois aussi de l'obtura- teur des deux côtés, moins souvent des
nerfs
des pattes antérieures ou d'un nerf crânien, po
deux côtés, moins souvent des nerfs des pattes antérieures ou d'un
nerf
crânien, pour atteindre avec le temps également
tteindre avec le temps également d'autres troncs nerveux. Parmi les
nerfs
crâniens, le facial, plus rarement les nerfs de
ncs nerveux. Parmi les nerfs crâniens, le facial, plus rarement les
nerfs
des muscles de l'oeil, ou le glosso-pharyngien.
lysie cède radicalement, ou il persiste une paralysie de quelques
nerfs
. L'évolution comporte plusieurs mois, une année o
clinique, à une polyné- vrite infectieuse du cheval. La lésion des
nerfs
périphériques, après avoir envahi les ganglions
s des pupilles. Cepen- dant, en tous ces cas, l'étude anatomique du
nerf
optique n'a rien donné. On n'est pas arrivé j
jumeau datant de quatre ans. Le malade souf- frait dans la zone des
nerfs
maxiliaires supérieur et inférieur du côté gauc
core un peu de sensibilité à la pression des points d'émergence des
nerfs
maxillaires supérieur et inférieur, mais la dou
rs. Cette amyo- trophie a évolué assez lentement, sans douleurs des
nerfs
ou des muscles à la pression, entraînant une im
montre des iîévi,o ? iies terminaux et une hypertrophie en-masse du
nerf
médian surun avant-bras[après résection du coude.
ÉPREUVE écrite : (Anatomie et physiologie du système nerveux). Les
nerfs
de la langue. Questions restées dans l'urne : 1
es d'exposi- 118 varia. tion, 20 points). Séance du 12 décembre :
Nerf
spinal. Ques- tions restées dans l'urne : Cordo
13 décembre : Région ro- landique. Questions restées dans l'urne :
Nerf
moteur oculaire commun; Racines postérieures. M
6 décembre : Racines postérieures, Ques- tions restées dans l'urne.
Nerf
moteur oculaire commun; Plancher du quatrième v
érêt du diagnostic au point de vue du traitement. IL Paralysie du
nerf
cubital et contracture consécutive « Main en pi
de palmaire : le premier cas, chez une femme dont la paralysie du
nerf
facial se manifesta au réveil chloroformique, apr
- tention pathogénique. G. C. XXI. Paralysie hystéro-saturnine du
nerf
radial ; par JOSSERAND. (Société des sciences m
sthénie musculaire occupe non seulemet les muscles innervés par les
nerfs
crâniens, mais aussi les muscles du tronc et de
s, mais aussi les muscles du tronc et des membres tributaires des
nerfs
rachidieus. L'examen histologique a toujours ét
alysie partielle du moteur oculaire commun droit (complète pour les
nerfs
du sphincter irien, incom- plète pour le nerf d
t (complète pour les nerfs du sphincter irien, incom- plète pour le
nerf
du droit inférieur) et une perturbation dans le
et se prolongeant en haut par un pédicule qui passe entre les deux
nerfs
optiques, sans les comprimer, s'enfonce dans la s
l'histoire de ce cas dont la lésion siégeait au niveau du genou du
nerf
facial. La dégénérescence du faisceau pyramidal
ons postérieurs, le restant de la moelle sont intacts. Les nombreux
nerfs
périphériques, dis- sociés ne présentent ni gro
t qu'elle explique par « le retour du sang ». Il lui semble que ses
nerfs
« se rétrac- tent vers leur racine, et les doig
même, et tout porte à croire qu'elle répond à une lésion locale du
nerf
ou des centres correspondants. Autant de mala
conisé l'électro-puncture, c'est-à-dire la piqûre électrolytique du
nerf
, procédé qui tomba rapidement en désuétude. Un
du courant et après lui, les dernières ramifications sensitives du
nerf
affecté, et « il n'est pas irrationnel de suppo
on Bergonié ce ne sont pas seulement les dernières ramifications du
nerf
qui sont atteintes, mais l'ac- tion du courant
eau. Et, admettant que l'électricité suive ainsi les branches de ce
nerf
, il est fort juste de penser que le courant agi
s mouvements réflexes qui les traduisent. P. Keraval. XX. Tumeur du
nerf
acoutisque ; par M. Lépine. {Société nationale
s la dure-mère. Ces tumeurs sont décrites sous le nom de tumeurs du
nerf
acoustique et il en existe une douzaine d'obser
admettent que les filets de la corde du tympan constituent, avec le
nerf
intermédiaire de Wisberg, avec lequel ils se co
ion d'une branche nerveuse indépendaute du facial, c'est-à- dire du
nerf
intermédiaire. Ce fait explique pourquoi les trou
uleux et il esttrès vraisemblable que les voies lymphatiques de ces
nerfs
sont celles que les agents microbiens ont suivi
ophique progressive de l'enfance (Dejerine) avec partici- pation du
nerf
oculo-moteur externe ; par le Dr l3ossoLmo. {Re
nesco, il y avait des alté- rations chromatolytiques des noyaux des
nerfs
crâniens, et, dans une observation de Sossedofi
midales dans leur trajet protubérantiel et bulbaire. Les noyaux des
nerfs
crâniens moteurs sont sains. Enfin, les muscl
mbier. Comme il est difficile d'admettre une lésion périphérique du
nerf
sciatique intéressant seulement les fibres motr
s cellulaires atrophiques des cornes antérieures) : altérations des
nerfs
périphériques (dégénération des REVUE DE PATHOL
ration des REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 283 libres nerveuses des
nerfs
intra-musculaires, lésions des troncs ner- veux
rois ou quatre jours et sur l'intensité des douleurs localisées aux
nerfs
et aux muscles intéressés, qui les ont accompagné
uvait noter chez le malade des symptômes de compression de certains
nerfs
crâniens, à savoir : des nerfs auditif, trijume
symptômes de compression de certains nerfs crâniens, à savoir : des
nerfs
auditif, trijumeau et oeulo-inoteui, commun. Ayan
certain affaiblissement d'attention et de combinaison, pa- résie du
nerf
hypoglosse et des ramifications inférieures du ne
n, pa- résie du nerf hypoglosse et des ramifications inférieures du
nerf
facial gauche; hémiplégie et hémianesthésie gau
table. Je ne me pouvois plus tenir à genoux, ni debout, à cause des
nerfs
qui se tendant me faisoient faillir le coeur. L
mes abcès étoit si ma- ligne que, quand elle s'épanchoit dessus les
nerfs
, ce qui arrivoit assez fréquemment, elle me ren
s par Krause nous a permis de relever sur 25 cas d'extirpation du
nerf
, 5 cas seulement de guérison absolue et définitiv
résection) dont la malade porte du reste la cicatrice, l'une sur le
nerf
maxillaire inférieur, l'autre sur le sous-orbitai
e en cause, bien que la malade ait eu, il y a dix ans, une crise de
nerfs
, et se souvienne, avoir eu « la boule ». Mais a
ares élancements qui sont plutôt des tiraillements sur le trajet du
nerf
, des sensations de petite bête qui trottine au-
ouleur arrive à son acmé. Elle semble avoir pour point de départ le
nerf
sous-orbitaire. Le malade a du tic vrai, il f
branche sous-orbitaire, puis gagne le sus-orbitaire, mais jamais le
nerf
maxillaire inférieur n'est atteint. Les opéra
uelques sensations pénibles c des douleurs molles ro, dit-il, « mes
nerfs
paraissent engourdis, et la douleur ressemble m
ppellent la crise. Le point de départ de la douleur, parait être le
nerf
sous-orbi- taire ; la douleur descend en effet
. Dans les premières semaines la névralgie était localisée sur le
nerf
sous-orbitaire, puis peu à peu la douleur a envah
ventricules. On ne trouve aucune tumeur fibreuse sur le trajet des
nerfs
superficiels ou profonds malgré les recherches
Il ne semble pas que cette variation dépende de distri- butions des
nerfs
cutanés. ' SOCIÉTÉS SAVANTES. 377 4° La sensi
t une flexion exagérée des orteils en aspect de griffe. Du côté des
nerfs
crâniens on peut noter : un léger nystagmus, lo
o- nus de la plante. La cypho-scoliose a augmenté ; la parésie du
nerf
facial est plus marquée. Depuis le 1°t' mars jusq
embre supérieur. L'état général s'améliora aussi. Actuellement, les
nerfs
crâniens, outre une parésie insignifiante du ne
ctuellement, les nerfs crâniens, outre une parésie insignifiante du
nerf
facial, ne présentent rien de particulier. La sen
ouvois de cracher à cause de la paralysie qui rendoit immobiles les
nerfs
et les muscles du larynx, me réduisit à un tel
tems en tems des douleurs insupportables. « Il lui semblait que ses
nerfs
, et jusqu'à la moelle de ses os étaient pénétrés
eur fonction.. 1 G. D, XXVIII. De l'incitation des muscles et des
nerfs
par les courants faradiques de fermeture et d'o
faradiques dans les phénomènes de l'incitabilité des muscles et des
nerfs
a une importance plus grande que celle qu'on lui
échéance organique, la diminution d'excitabilité des muscles et des
nerfs
se traduit par une diminu- tion de sensibilité
chopathologique si curieux et si spécial. Examen histologique des
nerfs
dans un cas de paralysie radiculaire du plexus
occasion d'exa- SOCIÉTÉS SAVANTES. 475 miner histologiquement les
nerfs
dans un cas de paralysie radi- culaire totale d
s auteurs ont-ils été surpris de trouver dans chacun des principaux
nerfs
examinés par différentes méthodes un nombre con
organes des sens supérieurs sont normaux, quoique les papilles des
nerfs
optiques soient très pâles et la réaction des p
s. Leur origine doit être recherchée dans une irritation réflexe du
nerf
laryngé supérieur ; 3° Il y a habituellement, d
. présentait pas d'autres phénomènes nerveux, ni de paralysie des
nerfs
crâniens. , Se basant sur de faibles indices te
ans doute à la suite d'une blessure de la bronche ou du ganglion du
nerf
sympathique pen- dant l'opération de la glande.
hie donnée pouvait être congénitale, d'autant plus que la lésion du
nerf
périphérique n'est pas bien démontrée. Dr B. Mo
la coor- dination de. type cérébelleux et avec le trouble de divers
nerfs
cérébraux. Cas 1. Malade K ? de soixante-cinq
eux; tendance à tomber du côté droit. Lenteur musculaire du côté du
nerf
facial droit. Les mouvements des extrémités sont
ite. Parésie de la portion motrice du trijumeau du coté droit et du
nerf
pathétique. Dysphagie. Les mouvements des extrémi
phalite. Etude clinique et expérimentale sur le fonctionnement du
nerf
dégé- zzéré sensitif. M. Alax EGGER. La métho
aine de myéline. Si la gaine de myéline s'atrophie et disparaît, le
nerf
devient facilement épuisable et sa conduction est
on ralentie et épuisement rapide sont les propriétés, nor- males du
nerf
sans myéline ut de la libre de Rémak (libres sécr
ion. In-1 ? ° de 80 pages, Couchent. Lausanne, 1903. Grasset. Les
nerfs
articalontoteurs des membres. Librairie Alcali,
nt-Germain, Paris (61) SiiUiNDA (Anastas). ocn'M/ton cérébrale du
nerf
pneumogastrique, in-S° de 28 pages. Gutenberg.
vité d'autres muscles, par Féré, 90. De l'incitation , des et des
nerfs
par les courants faradiques de fermeture et d
rophique, par liussoliiiio, 536. Nécrologie. 125. l'ebvré. 308.
Nerf
cubital. Voir Paralysie. -ra- dial. Voir Paraly
ns lymphocytose rachi- dienne, par Dupré et 5ébllleau, ,105. - du
nerf
cubital et contrac- ture consécutive Main en pi
aux membres supérieurs, par Col- let, 186. hysléro-satuiniiie du
nerf
radial, par Josserancl. 187.- asthénique bulbo-
rophique progressive de l'enfance (Déjeune) avec participation du
nerf
oculo-moteur externe, par llossolimo, 27 ? 'l'r
leux. La psychologie du , par Régnault (Félix), 105. Tumeur, Voir
Nerf
.. Vertige d'origine nasal, par Coliet, 186,
e ans, hémiplégique; ni migrai- neuse, ni sujette à des attaques de
nerfs
. Du côté des oncles et des tantes, rien de part
es en ce point. Au traumatisme se rattachent encore des attaques de
nerfs
que la malade rapporte à peu près en ces termes
et poumons sains,- ni migraineuse ni coléreuse; pas d'attaques de
nerfs
, pas de stigmates hystériques. Au point de vue me
antécédents, on ne note aucune maladie sérieuse; pas d'attaques de
nerfs
, pas de stigmates hystériques, mais on relève cer
té de la colonne ver- tébrale, en correspondance de l'émergence des
nerfs
. Le mou- vement de la colonne vertébrale, la st
caractères, la douleur ne saurait être attribuée ni aux lésions des
nerfs
ni des muscles, ni des os et encore moins de la
che assez profond pour y pouvoir mettre le poing, et que, comme les
nerfs
de la jambe s'étoient retirés, cette jambe paro
plaque néoplasique de la base s'insinuant entre la bandelette et le
nerf
optique (atrophie de celui-ci) ou d'un foyer infl
rant les artères, ou occupant la base, lésant la bandelette et le
nerf
optique, gagnant l'écorce et déterminant, soit pa
ont publiés plus tard. P. Kéraval. II. Le trajet des FIBRES dans LE
nerf
optique; par 0. IIEBULD. (Neurolog. Centralbl.,
visuel de l'oeil droit à droite. L'autopsie révèle une atrophie du
nerf
optique gauche dont les fibres sont toutes détr
nerf optique gauche dont les fibres sont toutes détruites ; dans le
nerf
optique droit, deux forts trousseaux sont altér
rouve la dégénérescence dans le chiasma; elle montre que, dans tout
nerf
optique, il y a des fibres nerveuses qui appartie
au direct occupant rigoureusement la périphérie externe du tronc du
nerf
, de même que dans le chiasma et la bandelette.
sma et la bandelette. Le faisceau entre- croisé occupe le centre du
nerf
optique, et, dans la bandelette, la partie infé
(types Erb). Ils se décomposent comme suit : 10 : aucun trouble des
nerfs
sensitifs ou vaso-moteurs. 3 : trouble simultan
s nerfs sensitifs ou vaso-moteurs. 3 : trouble simultané. 5 : des
nerfs
sensitifs seuls. 2 : aaso-moteurs seuls. REVU
us se faire traiter. Conclusion : Le facial de l'homme contient des
nerfs
sensi- tifs et vaso-moteurs. P. K. X. Emploi
il y avait intégrité de la partie périphérique de l'arc ré- flexe (
nerf
optique, nerf oculomoleur). Le faisceau des fibre
tégrité de la partie périphérique de l'arc ré- flexe (nerf optique,
nerf
oculomoleur). Le faisceau des fibres lon- gitud
rijumeau anté- rieur, dégénérescence de la bandelette optique et du
nerf
optique. M.Kreuser croit que les trousseaux atr
du bulbe d'un veau privé de renflement olfactif du côté droit et du
nerf
trijumeau du même côté. Voici d'autre part l'en
e. P. KERAV.\L. XXIII. CONTRIBUTION A l'étude DE la chaleur sur LES
nerfs
moteurs; par Olga GoATlsxx. Cette étude avait
comme excitant ; 2° Chaleur comme modificateur de l'excitabilité du
nerf
. La méthode choisie consistait à appliquer sur
itabilité du nerf. La méthode choisie consistait à appliquer sur le
nerf
sciatique isolé (mais non coupé) d'une grenouil
f à la pre- mière question, la chaleur est-elle un excitant pour le
nerf
moteur ? 2 fut négatif. Pour résoudre la seco
re la seconde question, la chaleur modifie-t-elle l'excitabilité du
nerf
? la boule du thermomètre chauffée fut appliqué
u point irrité. Avec ce dernier dispositif on a constaté que sur un
nerf
frais la chaleur augmentait l'effet des irritat
faibles d'induction et des irritations chimi- ques ; et que sur un
nerf
moins frais, ou pour des irritations plus forte
res crâniennes doit être transmise 128 SOCIÉTÉS SAVANTES. par les
nerfs
qui appartiennent à la dure-mère, car cette membr
diation de la sensibilité douloureuse en sens inverse du trajet des
nerfs
de la peau de la tête, et dans le sens des file
stabiles de la peau. Augmentation de l'excitabilité électrique des
nerfs
. Phéno- mène facial. Anesthésie du pharynx. Dia
le Dr D.abcuEwmcH. Sur les altérations de la partie cen- trale d'un
nerf
moteur après lésion de sa partie périphérique. -
sur des cobayes lui impose la conclusion suivante : une lésion d'un
nerf
moteur cranien, aussi bien que d'un nerf mixte
suivante : une lésion d'un nerf moteur cranien, aussi bien que d'un
nerf
mixte spinal si une restitution ad integnl1n es
tral et des cellules dont ils proviennent. Expérience première : le
nerf
facial d'un cobaye adulte est arraché; six semain
nue. L'examen microscopique de ces coupes démontre que la racine du
nerf
lésé contient, sur tout le trajet depuis l'en-
te de ses cellules. Dans d'autres expériences au lieu d'arracher le
nerf
facial on employait la ligature ou bien on en e
it un morceau assez grand pour rendre impossible la régénération du
nerf
. A l'examen on constate autant dans la racine q
losse donnèrent des résultats identiques. Autant pour la lésion des
nerfs
spinaux mixtes (n. ischiadicus). Sont atteintes
expé- riences de Mme Tarnovsky sur l'extension et l'arrachement du
nerf
sciatique suivies de lésions des parties centra
cas bien connus il existe une lésion simultanée de la moelle et des
nerfs
provoquée par une cause commune. SOCIÉTÉS SAV
ènes bulbaires très prononcés; hypéresthésies, douleurs le long des
nerfs
, en un mot tout le syndrome des symp- tômes neu
des grandes cellules de la moelle provoquée par l'irritation des
nerfs
centripètes. Le malade a guéri. Discussion : M.
racine ascendante du trijumeau. Ses expériences avec la section du
nerf
lingual, qui est suivie d'atrophie des muscles
'il est plus probable d'admettre une hé- morrhagie dans le noyau du
nerf
hypoglosse, car il a eu une observation cliniqu
eux, il s'appuie sur un cas de gliomatose spinale avec atrophie des
nerfs
optiques. III. M. le Dr G. P(tIBYTKON. Contri
e Dr G. P(tIBYTKON. Contribution à l'étude du trajet des fibres des
nerfs
optiques. Après avoir mis à l'épreuve toutes les
thodes, connues de nos jours, pour l'étude du trajet des fibres des
nerfs
optiques, le rapporteur se servit de la méthode d
trajet des bande- lettes optiques; Il,1) le rapport des fibres des
nerfs
optiques aux diverses régions du cerveau, peuve
le rapporteur aux conclusions suivantes : L'entre- - croisement des
nerfs
optiques est complet chez les cobayes ; la com-
ème ventricule) et les fibres pupillaires de Bechterev (au noyau du
nerf
moteur oculaire commun) n'existent pas; il n'y a
fibres optiques qui réunissent la rétine de l'oeil avec le noyau du
nerf
moteur ocu- laire commun. Les observations sur
e dernière ne prouve pas ses propres observations sur le trajet des
nerfs
optiques. Tout de même la question sur le rappo
observer une augmentation marquée de 'l'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles. L'auteur croit expliquer ces tr
ement, des douleurs spontanées, puis des douleurs sur le trajet des
nerfs
du côté gauche, suivis de paralysie survinrent, e
nons de parcourir, qui a trait aux altérations des terminaisons des
nerfs
musculaires a été rédigé par MM. Babès et Marin
lésions que subissent ces plaques dans la section expérimentale des
nerfs
. Mais, la partie la plus intéressante et la plu
148 BIBLIOGRAPHIE. effets opposés dus à la galvanisation du même
nerf
, si bien que le grand sympathique semble être l
it été reconnue comme indépendante de lésions de la moelle et des
nerfs
, par Eulenbourg et Conheim en 1866, et par moi-
de montrer qu'indépendante de toute altération de la moelle et des
nerfs
périphériques, elle devait faire retour au grou
etteatro- phie qu'il eut quelques ins- tants après une crise de
nerfs
. C'est un hystérique. Nous aurons l'occasion de
l'âge de quatorze ans ou quinze ans, il a été sujet à des crises de
nerfs
très particulières, sortes de terreurs nocturne
mbre, en montrant sa jambe à son frère il eut une deuxième crise de
nerfs
. Entré à la Salpêtrière le 19 janvier 1893. 1
« Examen histologique, Notre examen a porté sur les muscles, les
nerfs
périphériques, la moelle épinière et le bulbe rac
neuro-musculaires sont tout il fait indemnes, il enesL de même des
nerfs
musculaires dont les plus fines ramification.')
es musculaires sont analogues aux précédentes. Même intégrité des
nerfs
musculaires. . Bulbe, Moelle épinière. Nerfs pé
. Même intégrité des nerfs musculaires. . Bulbe, Moelle épinière.
Nerfs
périphériques. - Ne présentent rien SUR UN CAS
PRIMITIVE PROGRESSIVE. 199 de particulier, sinon que les coupes du
nerf
radial sont remar- quables par la netteté avec
ière ces particularités que nous avons constatées sur les coupes du
nerf
radial. Nous rapporterons, ici, à cet égard ce
illet 1892. Sur des coupes transversales portant sur la totalité du
nerf
radial fixé par l'acide osmique, on remarque à
l'axe des fascicules qu'elles occupent, que par rapport à l'axe du
nerf
tout entier. Sur vingt-quatre fascicules que no
e fascicules que nous avons comptés dans la section transversale du
nerf
, elles se trouvent dans dix fascicules. Dans ch
l'élément se trouve divisé en un certain nombre Fig. 17. Coupe du
nerf
radial, coloré par l'acide osmique : les i-ystoxc
ouver, on les voit constituées par des tubes, parallèles à l'axe du
nerf
et qui s'étendent sur une longueur de 4 à 8 mil
été attribuée. M. J. Renaut 1; dans son étude sur la structure des
nerfs
chez les'solipèdes, a décrit un tissu qu'il app
- 1 J. Renaut. - Recherches sur quelques points de l'histologie des
nerfs
. {Archives de Physiologie, 1881, p. 161.) 2 R
laire, et qui n'apparaîtraient que dans les cas de dégénération des
nerfs
. Nous rapprocherons l'un de l'autre les travaux
su conjonctif de consistance gélatineuse situé à la périphérie du
nerf
, elle ne s'accorde pas avec le fait que nous avo
accorde pas avec le fait que nous avons observé et qui a trait à un
nerf
normal. 1 Oppenheim et Siemerling. -l3eilrage z
t identiques à celles que ces auteurs représentent, et cependant le
nerf
que nous examinions était normal, et, de plus,
que les auteurs ont rencontré ces formations dans presque tous les
nerfs
périphériques, et spé- cialement en certains po
eraient un appareil organique qui existe, à l'état normal, dans les
nerfs
de l'homme, et qui dérive d'une trans- formatio
bservateur. Il remarque que M. Renaut a décrit ces svstèmes sur des
nerfs
normaux et s'étonne que Langhans leur attribue
x localisations, en remarquant que cet aspect spécial des coupes de
nerfs
était localisé, dans notre cas, au radial, alor
e et d'ordre organique, des altéra- tions des fibres terminales des
nerfs
périphériques. Or, il n'en est rien, et ni les
ée sur ces orga- nes, n'avons pu constater aucune lésion des petits
nerfs
intra- musculaires. B. Théories périphériques
n jeu pour l'a réaliser. Or, nous avons vu que, dans notre cas, les
nerfs
étaient normaux, car nous nous sommes expliqués
signification des systèmes tubulaires qui, par leur présence sur le
nerf
radial, donnaient à celui-ci une apparence qu'au
élopathiques, névrosiques et dans celles qui suivent la section des
nerfs
. . Mais, dans les myopathies primitives, d'où v
moyenne ou d'une lésion du rocher. L'expression des souffrances des
nerfs
labyrinthi- ques est univoque. C'est un tableau
dres troubles congestifs de la tête retentissent vivement sur les
nerfs
de l'oreille interne, qu'ils soient dus à une rhi
dullaires. Dans l'analyse minutieuse des altérations des noyaux des
nerfs
moteurs de l'oeil, nous relevons ce qui suit. L
e l'oeil, nous relevons ce qui suit. La racine dite acces- soire du
nerf
pathétique n'appartient pas à ce dernier. Il n'es
'âge de trente ans, l'intégrité du coeur, la paralysie de plusieurs
nerfs
cra- niens, la fugacité des accidents paralytiq
u trijumeau ne sont pas situées dans la petite racine motrice de ce
nerf
, mais dans sa grosse racine sensitive et que le
motrice de ce nerf, mais dans sa grosse racine sensitive et que le
nerf
de la septième paire ne joue aucun rôle dans l'
dont quelques symptômes peuvent être expliqués par une atteinte des
nerfs
périphériques, tandis que les phénomènes con- v
E DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 271 XXVIII. UN CAS DE PARALYSIE ISOLÉE DU
NERF
MUSCULO-CUTANÉ AVEC REMARQUES SUR LA RÉACTION T
tralbl., 1892.) Paralysie isolée du biceps droit par compression du
nerf
mus- culo-cutané sur l'angle d'une plaque de ma
ès avoir longtemps fait passer un courant galva- nique à travers un
nerf
, on ouvre le courant, et qu'on explique par ce
s cela n'explique rien. Le traumatisme a augmenté l'excitabilité du
nerf
, d'où la réaction anormale du muscle. M. Bern
ne de ne pas être en- terrée ; son corps est vide; elle n'a plus ni
nerfs
, ni muscles, ni os. Ce délire, actuellement sta
idence DE : \1, LEBER. M. LEBER. - Des affections périphériques des
nerfs
optiques chez les hystériques. L'orateur a, dan
rès prononcée qu'il fallait imputer à une névrite rétro-bulbaire du
nerf
optique. La régression rapide et presque complè
ue la.lésion siégeait à la périphérie, c'est-à-dire dans le bout du
nerf
optique antérieur au chiasma. La cécité, sur- v
examen microsco- pique ; il constata des altérations atrophiques du
nerf
optique remontant à plusieurs années; elles occ
immédiatement en avant du chiasma, les trousseaux superficiels des
nerfs
. M. D1N&LER. Tabès dorsal syphilitique au d
les hallucinés de l'ouïe) ; 2° quelle est la réaction galvanique du
nerf
optique dans les cas de lésions organiques et d
en ordre inverse - de celle que montre l'examen galvanique d'autres
nerfs
; la ferme- ture de l'anode est l'agent d'excita
agent d'excitation de zip, la fermeture de la £ z cathode celui des
nerfs
moteurs (étude des valeurs absolues, échelle de
guère poser de formule normale aussi exacte que celle qui régit les
nerfs
sensibles de la peau. M. J. HOFFMANN. De l'atro
. Disparition des réflexes tendi- neux et des réflexes cutanés; les
nerfs
ne sont, pas plus que des masses musculaires, s
ique sous le nom de gliose. M. J. STEINER. Des lésions de plusieurs
nerfs
crâniens par un z84 SOCIÉTÉS SAVANTES. , trau
et de la déglutition ; une paralysie de la corde vocale droite. Le
nerf
laryngé est lui-même atteint. Il est probable q
et et ses fonctions. Mention honorable à MM. ARTiIAUD et BUTTE : Du
nerf
pneumogastrique (anatomie et physiologie). .
nts. Mère encore vivante, soixante-quatre ans, a eu des attaques de
nerfs
dans sa jeunesse; actuellement elle a des doule
que s'agrandit. La douleur siège au fond de l'oeil et s'irradie aux
nerfs
sus et sous-orbitaires, la sécrétion des larmes e
he hystéro-trauma- tique, sclérose en plaques. Lésion organique des
nerfs
des muscles deltoïde et sous-épineux. Le nomm
tre toutes les suppositions relatives à des lésions matérielles des
nerfs
, de la moelle ou de l'encé- phale. Ces études d
dent en réalité de névrites atteignant des 472 SOCIÉTÉS SAVANTES.
nerfs
très importants, tels que le vagues et le ph1'cni
suivants : trouble de la connaissance; 'délire; paralysie plusieurs
nerfs
crâniens ; aphasie, et qui n'était autre chose
ées et non croisées, spécialement'des macu- laires, d'abord dans le
nerf
optique même; il montre ainsi, par exemple, que
ions médullaires », par le Dr Vorotinski; a Sur les altérations des
nerfs
optiques dans le tabes », par M. le professeur
ures D, par M. le D 1 : . Smirnov; « Sur les appareils terminaux du
nerf
gustatif », par M. le professeur K. A. Arnstein;
louse, 272; Arnaud, 370. Néphrite choréique, par Thomas, 276.
Nerfs
, lésions de plusieurs crâ- niens par un traumat
nscience, par Ber- bez, 253. Optique, trajet des fibres dans le
nerf
-, par Hebold, 105; par Pri- bytkow, 135. Oto
cerveau, du cervelet et de la p1'Ulzc- bérance, et intéressant les
nerfs
trijumeau, facial et acoustique gauches. Mari
nt il ne reste plus qu'un tronçon minime à sa partie externe. Les
nerfs
voisins sont accolés à la tumeur : le trijumeau
tères essentiels du néoplasme étant la télangiectasie. Examen des
nerfs
crâniens. L'examen histologique a porté sur tou
amen des nerfs crâniens. L'examen histologique a porté sur tous les
nerfs
intéressés directement ou indirectement par le
cissement dans la liqueur de Millier. Voici les résultats obtenus :
Nerfs
optiques. A l'oeil nu, aspect grêle ; histologiqu
accusée, consistant en une sclérose dissociante et atro- phique.
Nerf
trijumeau gauche. A l'oeil nu le tronc du trijume
mais sans dégénérescence plus avancée. Au même niveau, vaisseaux du
nerf
congestionnés et remplis de globules. A l'abord
nt pas atrophiées, mais offrent un certain degré de pigmentation.
Nerf
facial gauche. - L'examen a porté sur différentes
Nerf facial gauche. - L'examen a porté sur différentes portions du
nerf
, au niveau de la tumeur et dans l'aqueduc de Fall
re, avec raréfaction des fibres nerveuses facilement appréciable.
Nerfs
acoustiques. - Pour l'acoustique gauche, on const
droit parait de structure normale (l'examen a porté sur ce dernier
nerf
à l'entrée dans le conduit auditif interne). @
er nerf à l'entrée dans le conduit auditif interne). @ Les autres
nerfs
crâniens ne nous ont présenté aucune altéra- ti
d'ailleurs un phénomène commun aux irritations su- perficielles des
nerfs
sensitifs en général, ainsi que le faisait rema
'ailleurs être attribué soit à l'action directe de la tumeur sur le
nerf
, soit à la compression de la protubérance au ni
it guère de raison d'attribuer l'anémie unilatérale à l'action du
nerf
facial qui fournirait des fibres vaso-constrictiv
joue, car ces fibres d'emprunt proviennent des anastomoses de ce
nerf
avec le sympathique, au delà du point où la tumeu
eille interieure ». Nous avons dit plus haut, qu'il existe dans les
nerfs
sensi- tifs, qui vont des organes de sensation
nt pouvait faire espérer une guérison complète. Les cylindraxes des
nerfs
, comprimés n'étaient pas entièrement détruits e
ui comprend les cellules des cornes antérieures de la moelle et les
nerfs
périphé- riques, qui en sont le prolongement. U
té. Le lésion d'un neurone plus élevé ne change rien à l'état des
nerfs
, et des muscles, et par conséquent les réactions
e en un point du trajet du neurone inférieur (cornes antérieures ou
nerfs
périphériques). Après avoir signalé les caractè
côté opposé, soit de fibres d'association entre les noyaux des deux
nerfs
moteurs oculaires communs. Un exemple de syne
iblissement de tous les rameaux, surtout des rameaux inférieurs, du
nerf
facial ; de temps en temps le malade se plaigna
faiblesse continuelle, un épuisement passager et de peu de durée du
nerf
optique, cet épuisement s'exprime dans une modi
ndaires, dans la moelle épinière et une névrite parenchymateuse des
nerfs
médian et cubital. L'auteur rapporte les hyperk
rveuse, les recherches expérimentales mon- trant que la lésion d'un
nerf
retentit sur la cellule nerveuse d'ori- gine, o
surveiller les troubles ano-rectaux; on activera la nutri- tion des
nerfs
et des muscles, et on ne négligera pas d'agir sur
déve- loppement des névrites périphériques, in Clin, (les du syst.
nerf
., 9c série, lss7. , iuo CLINIQUE NERVEUSE.
Aux membres supérieurs et inférieurs, surtout du côté gauche, les
nerfs
sont atrophiés; le deltoïde est réduit à un sim
able des vaisseaux médullaires; atrophie partielle des fibres des
nerfs
périphériques; atrophie avancée des fibres muscul
grisâtres; 4° une névrite optique atrophique bilaté- rale ; 5° les
nerfs
oculomoteurs commun et externe « pas aussi blan
en l'altération est complexe : la sclérose porte sur la moelle, les
nerfs
, les méninges, les vaisseaux, le péricarde, le
III, p. 408) : 1° sclérose des cordons postérieurs; 2° atrophie du
nerf
optique gauche; 3° vaisseaux de la base du cerv
e les diverses lésions. On sait depuis longtemps que la lésion du
nerf
optique peut se trouver chez [un tabétique dorso-
rôle primordial dans la pathogénie du tabes ; ainsi les lésions des
nerfs
périphé- riques, lésions bien étudiées par Déje
nt les causes de la localisation de cette sclérose multiple sur ses
nerfs
. De même, un homme à hérédité névropathique et
NIQUE NERVEUSE. Tout ce que nous venons de dire de la moelle ou des
nerfs
pourrait bien dans une certaine mesure se dire
sque toujours inégalement développée; 3° anosmie seulement quand le
nerf
olfactif est intéressé par la lésion ; 4° parés
' F. LtoISSIEft. V. Effets DE la DÉGÉNÉRESCENCE ascendante sur LES
nerfs
MIXTES, SUR LES CELLULES NERVEUSES DES GANGLION
étudie les effets produits par la dégénérescence ascendante sur les
nerfs
eux- mêmes, il donne d'abord un historique déta
hes de Déjerine et Mayor (1873), de Hayem et Gilbert (1884) sur les
nerfs
et la moelle des amputés, travaux de Vanlair (1
ses expériences l'auteur s'est servi d'eau bouillie. L'examen des
nerfs
lui a donné les résultats suivants : les nerfs
uillie. L'examen des nerfs lui a donné les résultats suivants : les
nerfs
contiennent des fibres fines et des fibres gros
nt cylindraxile se divise en deux fibres, l'une qui descend dans le
nerf
, l'autre qui va à la moelle. Son noyau est formé
remière. Dans ses expériences l'auteur a eu recours à la section du
nerf
sciatique ou à sa ligature. Ses examens ont por
ceau de Bield serait le sien. ' P. K. XI. UN cas DE paralysie DU
nerf
récurrent gauche DUE A UN ANÉ- vrisme de l'aort
logie générale de l'ataxie locomotrice progressive, les lésions des
nerfs
périphériques et de l'écorce cérébrale, comme le
que, comme il arrive parfois pour les parties centrales de certains
nerfs
volumineux ; nous croyons plutôt à un état molé
l'avant-bras. Les muscles complètement paralysés correspondent aux
nerfs
: sus-scapulaire, sous-scapulaire, du grand dente
rachial qui est pris; il est pris par un foyer qui englobe tous ces
nerfs
, en en respectant certaines zones et cela, dès le
face palmaire du pouce sont à l'origine séparées de celles du même
nerf
destinées aux autres droits. Celles destinées a
s souvent de traduire ce qu'ils éprouvent quand on leur comprime le
nerf
cubital. ' A l'appui de la théorie syphilitique
Séance du 22 novembre 1896. M. MINOT. - De l'affection multiple des
nerfs
crâniens (combinée avec une hémiatrophie de la
é droite. En même temps ou bientôt après fut notée une paralysie du
nerf
moteur oculaire externe du même côté. A l'exame
droite de la langue, paralysie du palais, de la corde vocale et du
nerf
abducteur du même côté. Deuxième cas. - Homme d
lysie des deux muscles de la fente vocale, qui sont innervés par le
nerf
laryngien supérieur (muscles crico-aryténoï- di
ynx dans son cas, le rapporteur est porté à admettre une lésion des
nerfs
vague et accessoire de Willis, et non du trijumea
des nerfs vague et accessoire de Willis, et non du trijumeau ou du
nerf
glosso-pharyngien. Tout aussi bien il indique l'i
t aussi bien il indique l'innervation complète du palais mou par le
nerf
facial, ce qui est pourtant- discuté par certai
le second la syphilis avec des symptômes d'une lésion multiple des
nerfs
crâniens. Il fit attention à la difficulté du d
et quatorze amas. - Hérédité nerveuse. Mère ayant eu des crises de
nerfs
dans sa jeunesse. Soeur ayant présenté une cont
la névrite alcoolique. 0 P. K. X. Contribution a la pathologie DES
NERFS
DE la peau; par K. Gum- PERTZ. (Neurolog. Cenh·
sidérée comme l'expres- sion extérieure d'un état neuroclonique des
nerfs
moteurs. Elle ne doit pas être regardée comme c
d'une hémicranie correspondante ; 4° La paralysie peut frapper le
nerf
moteur oculaire externe tout comme le nerf mote
aralysie peut frapper le nerf moteur oculaire externe tout comme le
nerf
moteur oculaire commun, mais il n'a pas encore
, et la seconde vers le niveau de la sortie des racines du deuxième
nerf
cervical. Le ruban de Reil médian se dégénère e
encore une atrophie du muscle triceps. Ce muscle est innervé par le
nerf
radial , qui prend son origine, d'après certains
? Affection des vaisseaux (des veines) pro- venant d'une lésion des
nerfs
périphériques (présentation du malade). Un poêl
t (près du 15 août en 189G) une vive douleur, qui débuta le long du
nerf
cubital droit et plus tard envahit tout le memb
n au début était strictement limi- tée dans la région d'anesthésie (
nerf
cubital, nerfs cutané médian et interne), en mê
it strictement limi- tée dans la région d'anesthésie (nerf cubital,
nerfs
cutané médian et interne), en même temps survin
éveloppement progressif de la névrite; une douleur à la pression du
nerf
médian et en partie du nerf cubital, ainsi qu'u
névrite; une douleur à la pression du nerf médian et en partie du
nerf
cubital, ainsi qu'une atrophie de la main et des
t que certaines altérations des vaisseaux dépendent des lésions des
nerfs
périphé- riques (Fraenkel l'a prouvé expériment
ppement rapide de la sclérose ; il est possible de supposer que les
nerfs
périphériques peuvent influer immédiate- 352 SO
s peuvent influer immédiate- 352 SOCIÉTÉS SAVANTES. ment (par les
nerfs
trophiques ou vasomoteurs) sur la nutrition de
des veines altérées il faut admettre avec Nothnagel l'existence des
nerfs
sensitifs dans leurs parois : on peut présumer
s cutanées sont situés dans le tronc nerveux général, très près des
nerfs
de la sensibilité cutanée, et probablement ils
symptômes suivants : hémiplégie droite, légère aphasie, parésie des
nerfs
moteurs artériels et de l'hypoglosse droit, ane
base du crâne et la langue d'une malade avec lésions multiples des
nerfs
crâniens. On constate sur le clivus Blumenbachi
crit la paralysie congénitale unilatérale, envahissant seulement le
nerf
facial, et ayant comparé ces cas avec les obser
r 1895, et alors on constata les phénomènes suivants : paralysie du
nerf
facial droit; lagophthalmie médiocre, atrophie
re de la bouche du côté droit. A l'électrisation du tronc commun du
nerf
facial auprès du trou stylo-mastoïdien les muscle
à admettre comme cause une hémor- ragie dans la région du noyau du
nerf
facial et de la région voisine. D'après l'avi
ibution des lésions dans les paralysies périphériques invétérées du
nerf
facial, et pour cette raison on peut considérer
suite du poi- son diphtérique, des modifications seulement dans les
nerfs
péri- phériques, tandis que. d'autres envisagen
résultats étaient toujours les mêmes; manque d'altération sur les
nerfs
périphériques (à l'exception d'un gonflement de c
s doit être regardée comme un phénomène pri- mitif et la lésion des
nerfs
périphériques, comme phénomène secondaire ou co
sychique est normale. Les accès d'épilepsie corticale débu- tent du
nerf
facial droit et du membre supérieur du même côté
' accommodation . Signe de Bombera. Signe de Biemacki (analgésie du
nerf
cubital des deux côtés). Troubles de la sensibi
bres inférieurs on observe un peu de tremble- ment. Analgésie des
nerfs
cubitaux à la pression dans la gouttière olécra
a gouttière olécranienne, les deux derniers doigts innervés par ces
nerfs
ne se contractent pas à la pression (signe de 1
a. Notre maître, ayant fait enlever la moelle ephnere ainsi que les
nerfs
périphériques (cubitaux, sciatiques, trijumeaux),
en connues que déter- mine, dans ces mêmes éléments, la section des
nerfs
périphéri- ques, c'est-à-dire la tuméfaction de
e la cellule nerveuse, c'est-à-dire consécu- tives aux sections des
nerfs
périphériques, et les lésions primitives produi
er- mine, dans les cellules ganglionnaires spinales, la section des
nerfs
correspondants, et, d'autre part, les désintégr
nalogues aux altérations dégénératives secondaires à la section des
nerfs
. Sans doute, l'évolution n'est pas la même dans l
s, 2e série, t. IV. 28 434 SOCIÉTÉS SAVANTES. que la section d'un
nerf
moteur ou sensitif amène une désinté- gration d
tale parce qu'on avait admis depuis Waller que le bout central d'un
nerf
sectionné et son centre d'origine restent intac
oposition est inexacte. Les lésions qui déterminent la section d'un
nerf
sensitif ou moteur sont très faciles à constate
tif ou moteur sont très faciles à constater. Il suffit de couper le
nerf
hypoglosse, chez Je chien par exemple, et alten
emarquer que la première altération observée, après la section d'un
nerf
, est la désintégration ou, comme je l'ai appelé
hromatophiles ne retentit pas sur la structure du cylindraxe et des
nerfs
périphé- riques. Pour que celui-ci soit atteint
SAVANTES. 435 effet, les névrites qui déterminent la destruction du
nerf
réalisent en somme une section nerveuse. Par co
séquent, il n'existe pas de névrites sans réaction des cellules des
nerfs
atteints. J'ai montré aussi l'exclusivisme de c
s ces lésions centrales sont con- sécutives à la dégénérescence des
nerfs
. Les modifications de réaction à distance que j
étaient atteints rien qu'en leurs prolongements qui constituent les
nerfs
. . C'est dire que nous nous sommes arrêtés au d
bien après la paralysie du centre ou de l'appareil périphérique du
nerf
vague, ou bien elle est l'effet d'une excitatio
u coeur même, et enfin elle peut être causée par l'excita- tion des
nerfs
accélérateurs. Mais l'on observe l'accélération
Mais l'on observe l'accélération du pouls même quand on a coupé les
nerfs
vagues ou quand on a paralysé leur appareil pér
riphérique au moyen de l'atropine. Or, ce n'est pas la paralysie du
nerf
vague qui entraîne l'accélération du pouls dont i
on accélération, et on est conduit à croire que c'est le centre des
nerfs
accélérateurs dans le bulbe qui est inlluencé p
tèbre dor- sale qui, d'après Stricker et Wagner, renferme aussi les
nerfs
accélérateurs. Je n'ai observé dans ces cas, ap
On observe, au contraire, quelquefois un léger retard du pouls. Le
nerf
vague (Schiff el Moleschott) et le nerf sympath
n léger retard du pouls. Le nerf vague (Schiff el Moleschott) et le
nerf
sympathique cervical (Bezold) renferment aussi
enne, même dans le cas où le pouls, par suite d'un tonus exagéré du
nerf
vague, est ralenti. Dans le cas où l'on irrite, p
est ralenti. Dans le cas où l'on irrite, par exemple, le centre du
nerf
vague par l'absence de l'oxygène, par la cessat
par ces faits une nouvelle lumière sur le rapport existant entre le
nerf
vague et le nerf accélérateur, et nous avons mi
nouvelle lumière sur le rapport existant entre le nerf vague et le
nerf
accélérateur, et nous avons mis en lumière pour
première fois la possibilité de l'excitation toxique du centre des
nerfs
accélérateurs. En ce qui concerne la diminution
ire et cervi- cale que dans la région dorsale de la moelle. Dans le
nerf
crural et nerf ischiatique et dans les troncs d
ale que dans la région dorsale de la moelle. Dans le nerf crural et
nerf
ischiatique et dans les troncs du plexus brachial
n insolite du tissu conjonctif entre les faisceaux et les fibres de
nerfs
; les fibres nerveuses sont soumises aux altéra-
ceau pyramidal, certains faits de sclérose com- binée) que dans les
nerfs
périphériques. Ce que l'on admet moins générale
abes. Ainsi, A. Robin les applique très superficielles, le long des
nerfs
périphériques, en commençant par les pieds et e
, on appliquera des -pointes de feu à la périphérie, le long de ces
nerfs
; quand on aura lieu de supposer une poussée myé
; par M. A. Chauveau ; - Structure intime des libres terminales des
nerfs
moteurs des muscles striés des Am- phibiens ; p
-Franck et L. Hallion ; Structure intime des plaques terminales des
nerfs
moteurs chez les vertébrés supérieurs; par M. C
supérieurs; par M. Charles Rouget- Recherches sur l'excitation des
nerfs
par les rayons électriques (1er mémoire) ; par
mémoire) ; par M. B. Danilew,sky; Recherches sur l'éxci- tation des
nerfs
par les rayons électriques (2° mémoire) ; par M
nilewshy ; Action des états variables du courant galvanique sur les
nerfs
sensitifs ; Recherches expérimentales sur les l
oca et Charles Richet; Influence motrice du grand sympathique et du
nerf
érecteur sacré sur le gros intestin ; par MM. D
moven. Intégrité de l'excitabilité électrique des muscles et des
nerfs
du thorax et des extrémités avec conservation de
n des muscles droits externes et internes par la sec- tion de leurs
nerfs
respectifs, l'excitation au même point du cer-
ant mourut -cinq jours après son entrée. A l'autopsie, un examen du
nerf
en question ne révèle rien de particulier, mais a
édonculaires, intégrité des noyaux de ,1'oculo-moteur, intégrité du
nerf
lui-même. Or l'examen microscopique du moteur o
xamen permet doue de rattacher la parqlysie à une lésion directe du
nerf
et fait écarter toute idée d'ophtalmoplégie corti
xcoriés ne renferment point de bacilles de la lèpre; les troncs des
nerfs
sont indemnes; la peau ne présente pas d'anomal
affection lépreuse en face d'une paralysie faciale périphérique de
nerfs
sensibles à la pres- sion des troubles oculaire
sé voir une cicatrice linéaire imperceptible. Après la résection du
nerf
d'un côté, j'ai toujours vu le rétrécisse- ment
L'exopthal mie peut être produite par l'excitation expérimentale du
nerf
, les expériences de Cl. Bernard l'ont prouvé; l
t non au resserrement des vaisseaux rétro-bulbaires par section des
nerfs
vaso-dilatateurs contenus dans le sympathique (
ection simple du cordon (opération de Jaboulay) est inutile, car le
nerf
peut se régé- nérer et la récidive se montrer.
le doit être celle qui détruit le ganglion cervical inférieur et le
nerf
vertébral qui en part. Du reste, Jaboulay, à pr
r appliqué eu badigeonnage sur la peau suivant le trajet du grand
nerf
sciatique. Un intervalle de un à deux jours doit,
fille de vingt-trois ,ans, IIIlc Franclet; sujette à des crises, de
nerfs
est tombée la semaine dernière dans sa cheminée
ides, par de Bechterew, 155. Crâniens. Affections multiples des
nerfs
, par Minor, 282. Déformations palatines chez l
Guibert,270. Dégénérescence. Effets de la - as- cendante sur les
nerfs
mixtes, sur les cellules nerveuses des gan- g
Nécrologie. Camuset, par Charon, 362. Calluaud, par Vallon, 463.
Nerfs
. Pathologie des-de la peau par tlumpertz, 320.
. La tension moins grande du sang dans les artères excite moins les
nerfs
du coeur. Si l'organisme se défend contre une m
fection décrite en 1895 par Bernhardt sous le nom de paresthésie du
nerf
fémoral cutané externe, et dénommmée méralgie p
oubles de la vision sont probablement dus à l'oedème lymphatique du
nerf
optique, lequel peut, à lui seul, produire des
optique, lequel peut, à lui seul, produire des lésions graves de ce
nerf
et conduire à la cécité, sans qu'il soit nécess
9. F. Deuticl;e. LAMDOTTE (A.) et SANO (F.). - Section partielle du
nerf
médian. Suture. Restauration fonctionnelle. Bro
mes os, brider ma chair, se tordre et se briser mes muscles et mes
nerfs
. « Je suis assassiné, martyrisé, le jour par El
par accident. Sa mère est très nerveuse, elle a eu des attaques de
nerfs
, elle a une sorte de paralysie du bras gauche a
névrite peut arrêter le développement des régions innervées par le
nerf
malade 1. A cet âge, en l'absence des facteurs
: Jère. Un cas de paralysie spinale infantile avec participation du
nerf
facial (Soc. uécl. lrJh., 2 mars 1898, p. 269).
u côté des membres furent précédés d'une parésie de courte durée du
nerf
moteur oculaire externe du côté droit. L'affect
lle, avec faible tendance à la généralisation et participa- tion du
nerf
moteur oculaire externe, ayant déterminé les phén
e on constate une hyperémie de la substance grise de la moelle. Les
nerfs
périphériques restèrent indemnes dans presque l
ment médical et quelques guérisons consécu- tives à la résection du
nerf
fémoro-cutané ayant été publiées par plusieurs
on du lémoro-culané ; les suites opé- ratoires furent parfaites. Le
nerf
examiné histologiquement était sain. Comme c'ét
le douleur d'un caractère tout différent ; elle avait pour siège le
nerf
fémoral cutané gauche, était superficielle, épide
été impres- sionnée fortement, l'impression s'est propagée par les
nerfs
optiques, les bandelettes, les noyaux gris cent
au point de vue psychologique ? A un simple réflexe : excitation du
nerf
sen- soriel, conduction à la première circonvol
ent sous sa dépendance non seulement les muscles innervés par les
nerfs
oculo-moteurs, mais aussi l'orbiculaire des paupi
nomènes de réparation dans les centres nerveux après la section des
nerfs
périphériques; par A. van GEH UCHTEX. (Presse m
bles. C'est ainsi que M. Van Gehuchten soutient que la section d'un
nerf
moteur spinal, chez le lapin, n'est pas suivie
des fibres sectionnées, contrairement il ce qui se passe pour tout
nerf
moteur cranien dont la section entraine toujours
aration des cellules nerveuses, altérées par suite de la section du
nerf
correspondant, marche plus vite quand les deux
ion du nerf correspondant, marche plus vite quand les deux bouts du
nerf
parviennent à se mettre en contact. L'auteur es
ui parait avoir une influence sur le sort ultérieur des cellules du
nerf
lésé. Dans le cas où elle a lieu. les cellules
paraissent. M. Van Gehuchten admet qu'à la suite de la section d'un
nerf
moteur cranien, les cellules d'origine des fibr
lésions cellulaires après l'arrachement et non après la section des
nerfs
; or, il est établi que ces procédés d'expériment
ection de l'hypoglosse, l'hypertrophie des cellules d'origine de ce
nerf
atteint son maximum. Selon M. Ma- rinesco,ce ma
ent qu'il s'observe du 15e au 20° jour. A la suite de la section du
nerf
vague dans la région cervicale, les cellules du
gue dans la région cervicale, les cellules du ganglion noueux de ce
nerf
, après la phase de chromatolyse, ne présentent
la dégénérescence et la disparition des cellules du noyau dorsal du
nerf
vague dans le bulbe, après la section de ce ner
du noyau dorsal du nerf vague dans le bulbe, après la section de ce
nerf
à la région cervicale, est admise par M. Van Gehu
teinte d'une tumeur bulboprotubé- rantielle ; lésion unilatérale du
nerf
vestibulaire gauche, de la S'' paire, du glosso
neothésie dans la région de l'ophthalmique, de l'étage supérieur du
nerf
maxillaire supérieur. Diminution de l'ouïe à ga
XXII, N. F. X, 1899.) Ces maladies, de même que les affections des
nerfs
, des vais- seaux, des viscères, scléreuses à ba
racture des muscles adducteurs, il éloigne ce groupe, en coupant le
nerf
obturateur, alors l'action d'adducteur est fait
alite hémorra- tique, localisée dans l'écorce et dans les noyaux du
nerf
moteur oculaire commun. Les troubles de la vue
partie du côté opposé; et par l'intermédiaire de celui-ci, avec les
nerfs
crâniens de la 12°, 10°, 9° et 8° paires; 50 Il
noyau de Bechterew et celui de Deiters, avec le noyau accessoire du
nerf
acoustiquedu même côté (par l'intermédiaire de la
coustiquedu même côté (par l'intermédiaire de la racine latérale du
nerf
acoustique), et celui du côté opposé (par l'inter
pédoncule antérieur servent à le mettre en rapport avec le noyau du
nerf
moteur oculaire du même côté, mais principaleme
core noté de continuation directe des fibres cérébelleuses dans les
nerfs
cra- niens ; 9° Il existe une connexion crois
n des deux malades, on a trouvé une hémor- ragie dans les noyaux du
nerf
pneumogastrique. Des altérations analogues ont
ribution à l'élude des sar- comes des nel fi, et en particulier des
nerfs
du membre supérieur. Champomier (Alexandre). De
un réflexe provoqué par l'excitation des extrémités terminales des
nerfs
du folli- cule, due à la distension de ce derni
ongestifs du follicule qui l'entoure ; d'où, irritation intense des
nerfs
de ce follicule ; ceLtè irritation est transmis
- truelle est un réflexe, dont le point de départ réside dans les
nerfs
du follicule et le point d'arrivée dans les vaso-
et dans le premier. F. 1301SSIER. XVIII. Note sur un cas de zona du
nerf
trijumeau (branche ophtal- mique de Willis et n
n cas de zona du nerf trijumeau (branche ophtal- mique de Willis et
nerf
maxillaire supérieur) ; par le Dr VILCOQ. (.%02
observation d'une femme qui a été atteinte de névrite ascendante du
nerf
sciatique, produite par une infection streptoco
uite par une infection streptococcique. L'examen histologique de ce
nerf
, de ses racines et de la moelle épinière a révé
stence des lésions suivantes : Au niveau de la zone d'infection, le
nerf
présentait : 1° des alté- rations interstitiell
ous le nom de lésions secondaires. D'après l'auteur, les lésions du
nerf
dans la zone d'infection 310 REVUE DE PATHOLOGI
tielles et parenchymateuses constatées dans la partie supérieure du
nerf
et dans son centre médullaire. Cette propaga- t
ctement par les voies lymphatiques. Les lésions parenchymateuses du
nerf
ont elles-mêmes réagi à distance sur les centre
ents de l'infection se propagent, grâce aux espaces lymphatiques du
nerf
, de proche en proche, jusque dans la moelle épi
s accusées, avant même qu'il existe des lésions manifestes dans les
nerfs
. A. Fenayrou. XXIV. Atrophie musculaire et osse
riques, consistant en une dégénérescence de la gaine de myéline des
nerfs
, dégénérescence affectant également les fibres
urvenues deux semaines après l'acci- dent sur tout le terriloire du
nerf
atteint. Ce cas de névralgie traumatique avec t
assez incommode oècupant le ter- ritoire de la peau innervée par le
nerf
et qui récidiva pendant assez longtemps. P. KEi
ectrode doit être fixée de la main gauche libre; 4° La section d'un
nerf
moteur est suivie des phénomènes connus de la r
t dont la force est étonnamment faible. Ce qui a lieu pour tous les
nerfs
moteurs a lieu aussi pour l'oculomoteur commun.
ive chronique des poumons, dans l'observation Il il y a atrophie du
nerf
optique. L'ataxie et la simultanéité de la même m
ciser la localisation patliolo- logique de la moelle. L'atrophie du
nerf
optique de l'observation Il bien que particuliè
de Frie- dreich ; c'est une maladie de Friedreich avec atrophie du
nerf
optique, voilà tout. C'est vraiment ici une m
e l'idée d'une lésion cérébrale, encore plus celle d'une lésion' du
nerf
dans son trajet intra-osseux. Le trismus serait
es de l'espèce,A, qui ont été trouvées dans le tissu conjonctif des
nerfs
périphériques, dans les trousseaux extramédulla
nage des vaisseaux et étaient en très petit nombre, à l'inverse des
nerfs
et des racines. Les cellules du ganglion spinal
ésions médullaires, caractérisées principalement par l'affection du
nerf
musculo-outané (peroneus). La localisation prés
ncters. Au bout de trois mois, guéri- son complète à l'exclusion du
nerf
péronier gauche qui reste para- lysé. La prédom
rice. Amélioration consécutive avec persistance de la paralysie des
nerfs
péroniers (musculo-cutanés), ndtammeut du côté ga
e, où l'on constate aussi de l'hypoesthésie dans le domaine de ce
nerf
. Les sphincters sont intacts. Diagnostic : Lési
ésie bilatérale très accusée dans le domaine du plexus sacral et du
nerf
musculo-cutané. Troubles de la sensibilité très
au bout de deux mois après l'accident avec paralysie bilatérale des
nerfs
péroniers. Diagnostic : Hématomyélie centrale i
tard amélio- ration progressive. Il reste une paralysie complète du
nerf
mus- culo-cutané du côté droit et une légère pa
une légère parésie dans le domaine SOCIÉTÉS savantes. 337 du même
nerf
du côté gauche. L'excitabilité électrique est pro
, notamment des muscles fessiers et une paralysie complète des deux
nerfs
musculo-cutanés. Au bout de deux mois, le malad
rique dans le domaine du plexus sacral et R. D. dans le domaine des
nerfs
jambiers antérieurs, surtout du côté droit. Abais
considérable de la sensibilité thermique dans le domaine des deux
nerfs
musculo-cutanés, principalement du côté gauche.
es de l'écorce céré- bi aie, des grands ganglions et des noyaux des
nerfs
crâniens sont le moins atteintes ; 4° A côté
cris que poussait la victime, le logeur intervint, armé d'un solide
nerf
de boeuf. A sa vue, Drient lâcha son premier adve
on macroscopique. Des fragments de moelle, de bulbe, de cerveau, de
nerfs
périphé- riques sont recueillis pour l'observat
aux de l'hypoglosse et du vague) et les circonvolutions motrices.
Nerfs
. Notre attention étant spécialement dirigée vers
ent dirigée vers les altérations cellulaires, nous n'avons fait des
nerfs
périphériques - qu'une étude restreinte bornée
nerveux : médian et sciatique poplité externe de chaque membre. Ces
nerfs
examinés * au Pal et au Marchi, en coupes longi
présenté pendant sa vie de symptôme net dans le domaine des autres
nerfs
crâniens. Le noyau de l'hypoglosse est le plus
eurs ont noté cette prédilection des processus infec- tieux pour ce
nerf
cranien. Pareil fait est également consigné dans
llules d'origine de l'hypoglosse après section ou arrachement de ce
nerf
. Le noyau dorsal du pneumogastrique formé de ce
es d'altérations vasculaires d'intensité variable. 3° Lésions des
nerfs
périphériques, soit seules, soit asso- ciées à
table rase de toutes celles, publiées avant lui, où l'intégrité des
nerfs
périphé- riques a été spécialement notée, avec
eurs périphériques sont primitivement atteint sans aucune lésion du
nerf
périphérique lui-même. Faut-il dès lors se ratt
s, centres des neurones moteurs périphériques, avec intégrité des
nerfs
des vaisseaux et du tissu conjonctif. Si l'on d
aire, sans atteinte des vaisseaux ni de la substance blanche ni des
nerfs
. (Myélite ascendante anté- rieure aiguë.) 2°
ngue, les lèvres, presque toujours dans la zone d'innervation des
nerfs
phonateurs. Pourtant on a vu des malades prétendr
d'irritation pathologique du centre considéré, déterminera dans les
nerfs
et dans les muscles destinés à l'articulation,
ropathe des plus accentuées », sans cependant avoir des attaques de
nerfs
. Caractère peu commode. Morte onze jours après
les fibres centripètes des racines rachidiennes postérieures et des
nerfs
sensitifs crâniens est un élément fonctionnel t
acher, ainsi que le soutient M. Brissaud, il une dégénérescence des
nerfs
intra- musculaires. Cela posé, l'auteur réunit
nomènes de réparation dans les centres nerveux après la section des
nerfs
périphériques; par M. G. Marinesco. (Presse méd
EVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. La terminaison des
nerfs
dans les organes centraux; , par L. AUI'.RB.1C1
ent suivre, montrent qu'il faut, dans les éléments qui revêtent les
nerfs
comme d'un épais feutrage, chercher les organes q
ui ne fussent pas, ultérieurement, entrés en contact direct avec le
nerf
lui-même; quant aux cellules auxquelles le nerf
tact direct avec le nerf lui-même; quant aux cellules auxquelles le
nerf
cochléaire eût dû envoyer ses expansions termin
eau semble s'entrecroiser, car on n'en trouve pas de fibres dans le
nerf
optique du même côté, qui puissent être certain
hiasma, le faisceau optique médian gagne d'abord le bord externe du
nerf
optique du côlé opposé ; puis, il oblique de ha
à égale distance de la face supérieure et de la face inférieure du
nerf
sans s'éloigner de la périphérie externe. L'exame
f sans s'éloigner de la périphérie externe. L'examen d'une coupe du
nerf
optique, bien perpendiculaire à l'axe, montre que
on est bien un groupe médian à faible excen- tricité. L'entrée du
nerf
optique dans le globe de l'oeil a lieu sous la
e. Dans ce trajet, il fournit aux postes de terminaison centrale du
nerf
op- tique (lobe optique, corps genouillé thalam
lobe optique ne reçoivent pas seu- lement les fibres terminales du
nerf
optique, elles reçoivent encore des fibres cent
médian se terminant dans la rétine et dans les régions centrales du
nerf
optique, vient apporter et coordonner les diver
XVII. Un cas de méralgie paresthésique traité par la résection du
nerf
fémoro-cutané ; par le D1' Souques. Il s'agit d
pliquer la pathogénie de la méralgie, Roth admet une compression du
nerf
fémoro-cutané. On peut supposer que la com- pre
veau du canal du fascia lata. Dans ces conjectures, la résection du
nerf
à ce niveau semble rationnelle. Faite dans le c
le, la cirrhose du foie, des reins et du testi- cule, l'atrophie du
nerf
auditif et'surtout du nerf optique, le tabes 42
s reins et du testi- cule, l'atrophie du nerf auditif et'surtout du
nerf
optique, le tabes 422 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE.
arition de la paralysie faciale, on ne constata de lésions d'autres
nerfs
périphériques. Et la diplégie à frigorie ? c'es
rès, le médecin constate une cécité double complète (atrophie des
nerfs
optiques), et un affaiblissement psychique profon
localisée, comme l'examen clinique avait permis de le constater, au
nerf
sciatique et particulièrement à la branche popl
ression des mnscles; absence de réflexes patellaires ; atteinte des
nerfs
sensitifs et moteurs; localisation des accident
rse du tronc du cerveau à diverses hauteurs de cette souche, et des
nerfs
périphériques (nerf vague, grand splanchnique,
à diverses hauteurs de cette souche, et des nerfs périphériques (
nerf
vague, grand splanchnique, phrénique) avec ou san
e tendineuse du muscle qui, en se tendant, le protège. Mais, que le
nerf
soit l1é par les muscles de l'avant-bras et que
attaque convulsive paraissent aptes à déterminer la compression du
nerf
entre le muscle et l'os et à contusionner le ne
la compression du nerf entre le muscle et l'os et à contusionner le
nerf
. Pourquoi donc la paralysie du radial est-elle
ssements, de l'amblyopie gauche, des symptômes associés du côté des
nerfs
crâniens. C'est donc une tumeur du lobe frontal
obe frontal gauche se développant vers la base où elle comprime les
nerfs
qui entre le lobe frontal et la base se dirigent
primé les parties orbitaires du lobe frontal en bas, ainsi que les
nerfs
et vaisseaux sous-jacents. Intégrité de la substa
. Or il est constaté que les éléments sensitifs et moteurs des deux
nerfs
(cubital et médian) s'anastomosent les uns avec
évrite à gauche. Mais le sac de glace peut l'avoir provoquée sur un
nerf
déjà malade. Il serait bon de rapprocher de ce
une diminution de la mémoire et de l'acuité visuelle. Intégrité des
nerfs
craniens. Atro- phie des muscles du bras et de
haryngée a enflammé les ganglions qui, a leur tour, ont enflammé le
nerf
(Erb, Montesano, Marina, Dinkter). Intégrité de
vation du raphé du côté sain contracté. » II. Paralysie isolée du
nerf
axillaire. Figure. Etiologie par- ticulière. Un
granulations, à noyau périphérique, ordonnées en séries. Au lieu de
nerfs
on trouve des cellules gra- nuleuses, eu séries
ilite en faveur d'un néoplasme. Il s'agit de le localiser. Les deux
nerfs
optiques sont atteints dès les quel- ques mois
simplement envahi les cavités oculaires, comprimé et atrophié les
nerfs
optiques et oculomotem communs; il y a eu (ce qui
uns; il y a eu (ce qui est assez rare) infiltration de la gaine des
nerfs
optiques. La compression, d'abord exercée sur l
, une bandelette optique, les deux bandelettes optiques, les deux
nerfs
optiques, la compression finale des fibres des ne
ques, les deux nerfs optiques, la compression finale des fibres des
nerfs
optiques aboutissant à l'ammt1'ose bilatérale c
e des tumeurs de cette région. Elle se termine par une atrophie des
nerfs
optiques (Bath); mais elle peut manquer quand l
ssion à l'intérieur du crâne, ou quand elle comprime les gaines des
nerfs
optiques et empêche l'accès dans ces gaines du
al- lures variables de la tumeur dans ses rapports avec les divers
nerfs
de l'oeil. Ici, quelques mois après le début de
mose située à 3 cen- timètres au-dessous du point de bifurcation du
nerf
circonflexe : ecchymose qui, longue de 1 cent.
e quelques tubes avec boules, comme il s'en rencontre dans tous les
nerfs
examinés sur le cadavre. Ainsi, M. Déjerine con
ec hémiplégie alterne sensitivo- motrice, paralysie périphérique du
nerf
facial et kératite neuro- paralytique par altér
que du nerf facial et kératite neuro- paralytique par altération du
nerf
trijumeau. Mais, surtout, ce malade offre des t
. Les phénomènes de la léparatiun dans les - après la section des
nerfs
périphériques, par Marinesco, 403. Cervelet.
aire, 157. Un cas de - paresthésique traité par la rebec- tion du
nerf
lémoro-cutané, par Souques. 416. Moelle. Des
ode d'Anostoli, par Decroly, 229. Zona. Note sur un cas de - du
nerf
trijumeau (branche ophtal- mique de Willis et n
un cas de - du nerf trijumeau (branche ophtal- mique de Willis et
nerf
maxillaire supérieur), par Vilcoq, 300. TABLE
de la déglutition et de la phona- nation. ' La participation des
nerfs
crâniens dans ce cas est la suivante : L'abaiss
lais dépend d'un trouble des fonc- tions du glosso-pharyngien et du
nerf
vague. Le nerf accessoire également touché cont
trouble des fonc- tions du glosso-pharyngien et du nerf vague. Le
nerf
accessoire également touché contribue en partie à
touché contribue en partie à la difficulté de la déglutition. Le
nerf
hypoglosse est complètement paralysé, la langue e
est aplatie, elle reste inerte sur le plancher de la bouche. Les
nerfs
optique, trochléaires, oculomoteurs externes et a
sans atrophie, ni réaction de dégénérescence, la participation des
nerfs
crâniens rapprochent notre cas de ce syndrome,
as, dans lesquels se trouve signalée une complication de la part du
nerf
facial, de l'oculomoteur externe, de l'hypoglosse
glosse, ou du vague ; l'au- topsie a démontré que les noyaux de ces
nerfs
étaient affectés. Ensuite il faut noter les cas
trophie et de réaction de dégénérescence prouve, que les noyaux des
nerfs
crâniens n'étaient pas atteints. Le fait, que l
autre période plus ou moins longue d'excitation dans le domaine des
nerfs
qui vont être frappés. - La marche des accident
do on voit partir des fibres nerveuses arciformes, correspondant au
nerf
accessoire de Willis. Planche XII Phot. 12. L
tance gélatineuse de Rolando nous trouvons la racine descendante du
nerf
trijumeau, entourée à la périphérie de minces f
tance gélatineuse de Ro- lando, recouverte par la racine spinale du
nerf
trijumeau et séparée de la périphérie de la moe
euse de Rolando dans l'isthme et dans la moelle allongée : c'est le
nerf
accessoire de Willis. Dans les autres parties d
oncule cérébelleux inférieur. En avant, existe la racine spinale du
nerf
trijumeau, en dedans la substance gélatineuse de
éliniques du faisceau cérébelleux ; devant elles la racine spinale du
nerf
triju- meau ; en dedans de ce faisceau on aperç
que dans les coupes précédentes. En dehors de la racine spinale du
nerf
trijumeau nous trouvons de petites fibres arcifor
férieurs sont augmentés de volume, de même que la racine spinale du
nerf
trijumeau. L'olive inférieure est à la hauteur de
ux inférieur, en dedans duquel on aperçoit la racine descendante du
nerf
triju- meau, entourée en dehors par la substanc
tives. Sur le plancher du 4° ventri- cule sont placés les noyaux du
nerf
acoustique. Mais l'intérêt principal ne se trou
S DESCRIPnON D'UN ECTROMÉLIEN HÉMIMÈLE 133 Mouvements, muscles ET
NERFS
.- Si maintenant nous étudions les mouve- ments
aussi à explorer par l'excitation électrique la distribu- tion des
nerfs
médian, radial et cubital au point do vue sensiti
s ont été peu nets. L'excitation por- tée sur le trajet habituel du
nerf
cubital au bras n'a pas paru éveiller de sen- s
bre; au contraire, quand l'excitation était portée sur le trajet du
nerf
médian ou du nerf radial G... accusait des sensa-
quand l'excitation était portée sur le trajet du nerf médian ou du
nerf
radial G... accusait des sensa- tions dans le p
elle dénote sûre- ment, dans ce cas, des lésions dégénératives des
nerfs
moteurs de ce groupe musculaire. Il y a aussi u
l'expliquer par la pression des ciseaux sur la branche digitale du
nerf
radial. Une paralysie flaccide et atrophique, c
celle que nous observons ici, dénote infailliblement une lésion du
nerf
périphérique ou de ses cellules d'ori- gine. La
end la cellule multipolaire des cornes antérieures de la moelle, le
nerf
moteur et sa terminaison nerveuse intra-muscula
estruction complète). L'on sait, du reste, que la dégénérescence du
nerf
moteur oc- casionne une paralysie flaccide et a
otrices delà corne anté- rieure, qui, en somme, jouent vis-à-vis du
nerf
périphérique le même rôle que les cellules du c
être donnée par ce fait, que ces sujets fatiguent spécialement les
nerfs
qui président au sens musculaire (ces derniers
tions électriques, ce qui indique toujours une lésion définitive du
nerf
. Des cas que nous avons étudiés ici, le moins a
es coupes microscopiques figurent, avec les coupes de l'Ecorce, des
nerfs
optiques, 'et la représentation de certains typ
X giomateuses, sans calcification. Sclérose névroglique intense des
nerfs
optiques ; lésions cellulaires corticales légèr
sement des lobes orbitaires et tempo- rosphénoidal. Le chiasma des
nerfs
optiques est refoulé par le néo- plasme. NO
t formule le diagnostic suivant : « Atrophie postnévritiquedes deux
nerfs
optiques, en rapport avec une compression intracé
ncules,^ bul- be, le protubérance, ,1e cervelet et la moelle. Les
nerfs
optiques paraissent relativement libres, mais réd
s discutons la nature leucocy- taire ou névroglique. L'examen des
nerfs
optiques a montré l'existence d'une sclérose névr
est négatif L'ensemble des lésions microscopiques de l'écorce, des
nerfs
optiques, et de de la tumeur s'appréciera aisém
ophie névritique secondaire de la papille. L'étude histologique des
nerfs
optiques a mis en évidence une altération profo
ale dans des zones plus ou moins rapprochées du néoplasme, puis des
nerfs
optiques, nous aborderons l'interprétation des
ayant une tendance à entourer les cellules et même à les envahir.
Nerf
optique. - L'examen histologique des deux nerfs o
même à les envahir. Nerf optique. - L'examen histologique des deux
nerfs
optiques a porté sur la partie avoisinant le ch
ersales, on retrouve tous ces détails, et de plus on voit autour du
nerf
une gaine épaisse, et quelques artérioles dont le
ophilique que présentent pen- dant un certain temps les cellules du
nerf
lésé ». Le gonflement du corps cellulaire accom
mènes de réparation dans les centres nerveux après les sections des
nerfs
périphériques. Presse médicale. 1899, 202 DUPRÉ
es coupes de l'écorce, où qu'elles aient été pratiquées, et dans le
nerf
optique. Ils sont en général péri-cel- lulaires
onsécutifs aux lésions trau- matiques, toxiques ou infectieuses des
nerfs
. NOEVUS VEINEUX ET UYSTÉKIE 225 1° Il existe
ve à la suite de lésions traumatiques, toxiques ou infectieuses des
nerfs
au stade chronique de la paralysie vaso-motrice
Les lésions de la peau qui résultent des lésions trau- matiques des
nerfs
sont consécutives à la dégénérescence des filets
es. Seulement, au lieu d'être localisée à la région innervée par un
nerf
déterminé, elle est systématisée. Elle in- tére
nes. La douleur est due, soit à une sommation de vibrations dans un
nerf
quelconque, soit à l'ébranlement de cylindraxes
tissant à des neuro- nes spéciaux et qui existeraient dans tous les
nerfs
. Les dissociations de la syringomyélie, de l'hé
malade. Tout objet appliqué sur la peau impressionne à la fois les
nerfs
du froid et les nerfs du chaud, et la sensation
pliqué sur la peau impressionne à la fois les nerfs du froid et les
nerfs
du chaud, et la sensation perçue est la somme alg
ches ne correspondent ni au champ de distribution d'un ou plusieurs
nerfs
ni à celui d'une ou plusieurs ra- cines nerveus
myéliniques, correspondant au commencement de la racine spinale du
nerf
trijumeau. PHOT. ? 5. -La quantité de fibres my
de pâles fibres myéliniques, correspon- dant à la racine spinale du
nerf
trijumeau. La moelle épinière apparaît en- core
rs par les fibres myéliniques, correspondant a la racine spinale du
nerf
trijumeau, et dans la périphérie même de la moe
grands changements : les cordons postérieurs, la racine spinale du
nerf
trijumeau, la substance géla- tineuse de Roland
s cordons posté- rieurs a quelque peu diminué. La racine spinale du
nerf
trijumeau s'agrandit, de même que le faisceau c
ttement indiquées ; c'est le commence- ment de la racine spinale du
nerf
trijumeau et des fibres arciformes externes. Le
mince coupé dans sa direc- tion transversale, la racine spinale du
nerf
trijumeau. En dehors, elle est en- tourée par l
rciformes dans la partie postérieure se trouve la racine spinale du
nerf
trijumeau. Dans la moelle épinière les cordons
finissent, à leur extrémité postérieure touche la racine spinale du
nerf
trijumeau, entourée à la périphérie de minces fib
à leurs noyaux au bord de la moelle, se trouve la racine spinale du
nerf
trijumeau, située à la péri- phérie du faisceau
la moelle allongée. En son intérieur se trouve la racine spinale du
nerf
trijumeau. Par la raison que la moelle allongée
le côté opposé. A leur extérieur est placée la racine spinale du
nerf
trijumeau. Eu avant de la substance gélatineuse
mière moitié que dans la seconde ; par contre, la racine spinale du
nerf
trijumeau est ici bien moins développée que du
Au devant des cor- dons postérieurs on trouve la racine spinale du
nerf
trijumeau qui est plus dé- veloppé d'un côté qu
ons aussi la substance gélatineuse de Rolando, la racine spinale du
nerf
trijumeau, les fibres arciformes ex- ternes ; d
Rolando limitée des côtés du commencement de la ra- cine spinale du
nerf
trijumeau. La moitié antérieure de la moelle est
e par des fibres myélini- ques correspondant à la racine spinale du
nerf
trijumeau. D'autres changements correspondent à
tement exprimé. Phot. 41. Nous avons ici déjà le commencement des
nerfs
faciaux et le cer- velet ne tombe pas encore so
la direction en bas et déplacé du cervelet, qu'encore au niveau du
nerf
facial la protubérance annulaire n'est pas arrivé
dorsale, faisant le fond du sillon interdigital anormal. Quant aux
nerfs
, on n'a pu les disséquer au milieu de la gangue g
ent aussi relever d'influen- ces toxiques, multipliées au niveau du
nerf
optique par la stase lympha- tique et veineuse,
ion de fence- phale, et principalement de la substance grise et des
nerfs
optiques, par les toxines issues des néoplasmes
icules du cerveau présentent une dilata- tion très marquée. ' Les
nerfs
optiques ont subi l'atrophie grise, encore très v
ts laistopatlcologi j2ces (altérations des cellules corticales et des
nerfs
optiques comparables aux lésions toxi-inrectieu
pédoncule cérébelleux moyen sont réduites en nombre. E. Coupe du
nerf
optique gauche qui ne présente rien d'anormal.
u nerf optique gauche qui ne présente rien d'anormal. F. Coupe du
nerf
optique droit. Les fas- cicules des fibres nerv
es fas- cicules des fibres nerveuses sont plus minces que ceux du
nerf
gauche; ils ont perdu leur forme polygonale, il
r où sortent les racines du pneumogastrique et de la Xlle paire des
nerfs
crâniens. A partir de cette hauteur on constate s
s ; le tissu conjonctif est proli- féré (PI. XLVIIf, E et F). Des
nerfs
périphériques ont été examinés. Les deux sciatiqu
. Des nerfs périphériques ont été examinés. Les deux sciatiques, le
nerf
crural droit.les deux nerfs radiaux, le nerf mé
nt été examinés. Les deux sciatiques, le nerf crural droit.les deux
nerfs
radiaux, le nerf médian droit, le cubital gauche.
es deux sciatiques, le nerf crural droit.les deux nerfs radiaux, le
nerf
médian droit, le cubital gauche. Sur les pré- p
culaire. Réduction de volume de la substance blanche. Atrophie du
nerf
optique droit. Dans les nerfs périphériques et
la substance blanche. Atrophie du nerf optique droit. Dans les
nerfs
périphériques et dans les racines, disparition de
ines prédominait. Dans les raci- nes postérieures et dans plusieurs
nerfs
périphériques cette lésion était t moins pronon
noyaux des cordons latéraux, atrophie du faisceau cérébelleux, des
nerfs
hypoglosse et des noyaux moteurs du trijumeau.
trijumeau. La protubérance à la hauteur où sortent les racines des
nerfs
trijumeaux était très étroite. Cette diminution
e sfaisceaux de Burdach, des cordons latéraux, celle des noyaux des
nerfs
glossopharyngiens et de la partie motrice du tr
us constatons chez Haud.... Dans tous les cas où les racines et les
nerfs
périphériques ont été exa- minés, la lésion tro
ction des pupilles est parfaite, pas de nystagmus. Les papilles des
nerfs
optiques sont pâles. La parole est explosive, c
des vaisseaux,comme les voies motrices (cas de Menzel) et certains
nerfs
crâniens. C'est là une théorie, dira-t-on. - Ma
e, ne dépend que du traitement psychique et suggestif. PARALYSIE DU
NERF
CUBITAL ET CONTRACTURE CONSÉCUTIVE MAIN EN PINC
E LÉON, de Montevideo. La contracture consécutive à la paralysie du
nerf
facial, dont parlent Duchenne dans la paralysie
ropathoiogues : c'est aussi la seule contracture postparalytique des
nerfs
périphériques indiquée par les auteurs. J'ai
ant observé deux cas de contracture consécutive à la paraly- sie du
nerf
cubital, que je considère comme dignes de mention
ons électriques a donné le résultat suivant. Réaction fara- dique :
nerf
médian, normale; nerf cubital,dans le canal épitr
é le résultat suivant. Réaction fara- dique : nerf médian, normale;
nerf
cubital,dans le canal épitrochléen et le poi- g
cteur, pouce et tous les interosseux, abolie. Réaction galvanique :
nerf
médian, normale ; nerf cubital, conservée, CcN &g
s interosseux, abolie. Réaction galvanique : nerf médian, normale ;
nerf
cubital, conservée, CcN > CcP, len- tes et a
t normales. Par conséquent, le diagnostic de paralysie organique du
nerf
cubital s'im- posait : l'impuissance motrice et
E. T. XIV, PI. LIII A B Phototypie Bertliaud B PARALYSIE DU
NERF
CUBITAL ET CONTRACTURES CONSÉCUTIVES (Jaciuto d
alysie ? ' ? Duchenne décrit cinq cas par contusion ou blessures du
nerf
; Erb,dans Ziemssen, en cite un dépendant d'un
du coude durant le sommeil ; Decroly, un par brûlure électrique du
nerf
; Grosz, observ. VI de Cestan,unpar syphilis; Ba
stan,unpar syphilis; Ballet, deux cas par compression habituelle du
nerf
chez des alcooliques; Huet, par compression; Gauc
omme dans le cas que je décris. On a décrit des paralysies d'autres
nerfs
et même des paralysies centrales, consécutives
ours de l'action d'une compression. Dans mon cas, la compression du
nerf
se révéla par l'ecchymose intense que j'ai décr
ie interne de la main. L'examen électrique me démontra alors que le
nerf
cubital réagissait, à l'é- lectricité faradique
< CcP. Cet ensemble de réactions démontrait l'a- mélioration du
nerf
et de presque tous les muscles. Cette améliorat
d'une MAIN EN PINCE 413 contracture consécutive à la paralysie du
nerf
cubital, analogue aux con- tractures post-paral
pas difficile de faire ici un diagnostic rétrospectif : paralysie du
nerf
cubital par blessure de balle, contracture cons
centimètres au-dessus du carpe. Etudiant en médecine. Contusion du
nerf
et non section, car il put mouvoir immédiatemen
e interne et inférieure dé l'avant-bras. EnB. - Obs. 66. Parésie du
nerf
cubital droit, sans cause connue. ERB dans Ziem
iVB. Séméiologie du système nerveux. Decroly. Brûlure électrique du
nerf
cubital. Journal de neurologie (Bruxelles). Not
ler. Elle est enlevée ainsi que le cerveau. Nous prélevons aussi le
nerf
tibial antérieur droit et un fragment du muscle
aines, celui-ci se trouve absolument indemne, et en parlait état.
Nerfs
périphériques. - Le nerf tibial antérieur droit a
absolument indemne, et en parlait état. Nerfs périphériques. - Le
nerf
tibial antérieur droit ayant été seul prélevé à
me au corps thyroïde et aux capsules surrénales, à la moelle et aux
nerfs
. On peut expliquer ainsi facilement l'intégrité
centuée des gaines de myéline. Nous avons pu noter dans le tronc du
nerf
tibiai antérieur des altérations de même ordre, p
normale. Il est donc un fait certain, que dans les trois cas où des
nerfs
des membres inférieurs ont été examinés, ils on
oins de sclérose d'origine vasculaire. La névrite interstitielle du
nerf
nourricier de l'os expliquerait le trou- ble pr
maladie de Paget, prélever pour chacun des grands os l'artère et le
nerf
, et étudier ce der- nier, tant sur coupes que s
s- sant jeter quelque clarté dans la discussion dont les centres et
nerfs
tro- phiques peuvent être l'objet. Notre préten
epteurs, et, si l'on en croit les re- cherches de Goldscheider, les
nerfs
qui nous renseignent sur la therma- lité seraie
ous renseignent sur la therma- lité seraient de deux sortes : « Les
nerfs
destinés à la'perception des bas- ses températu
it valoir de bonnes raisons pour proposer aussi comme distincts les
nerfs
de la sensibilité normale et les nerfs dolorifi-
er aussi comme distincts les nerfs de la sensibilité normale et les
nerfs
dolorifi- ques (1). Les motifs invoqués par l
c.) trouveraient peut-être leur explication dans une altération des
nerfs
thermiques. (1) Il va sans dire que l'expressio
ation des nerfs thermiques. (1) Il va sans dire que l'expression de
nerfs
n'est employée ici que pour la com- modité du l
M. Vanlair dans une étude écrite pour un public non médical : « Les
nerfs
sont des conducteurs indifférents, des voies ba-
e résultats : une diminution de la contractilité faradique pour les
nerfs
et les muscles du membre inférieur gauche. Les
voit plus rien de ce qui l'entoure, ou bien encore que ce sont les
nerfs
qui se croisent sur l'estomac. Une fois ou deux
sseux. La diminution de l'excitabilité faradique des muscles et des
nerfs
du côté hypertrophié mérite encore d'être reten
n cas de) chez un enfant, par KOLLARITS (2 fig.), H. Paralysie du
nerf
cubital et contracture consécutive. Main en pin
tig" 6 pl. en photocollogr.), 128. Jacinto de Léon. Paralysie du
nerf
cubital et contracture consécutive. Main en p
n,,omyélique; c c'est l'examen bactériolo- gique, d'un fragment de,
nerf
de l'avant-bras qui fit reconnaître la lèpre Il
parenchyma-- teuseet interstitielle en même temps, de sorte que le
nerf
est à peu 1 près réduit à'un simple cordon conj
existe toujours des 1 symptômes céphaliques, ce qui prouve que des
nerfs
bulbaires sont intéressés.' Il n'existe pas de
res sont intéressés.' Il n'existe pas de déviation du rachis et les
nerfs
cubitaux sont hypertrophiés. Mais, en somme, l'
calisée est un trouble trophique en rapport avec une( affection des
nerfs
, celle qui est localisée aux membres infé- rieu
action pupillaire était conservée ; il n'y avait pas d'atrophie des
nerfs
optiques. Comme il n'y, avait pas de symptômes im
eurs admettent que l'aura panoramique a son point de départ dans le
nerf
optique. i, ' M. Charpentier. Ce qui me paraît
lleul. Les questions traitées^ ont été pour la composition écrite :
Nerf
facial, anatomie, et physiolo- gie ; pour la co
l'épreuve écrite : Quatrième ventricule, anatomie et physiologie :
Nerf
optique, anatomie et physiologie ; pour" l'épreuv
S. Restées dans l'urne : Substance blanche de la moelle épinière,
nerf
facial, nerf pneumogastrique, circulation artérie
dans l'urne : Substance blanche de la moelle épinière, nerf facial,
nerf
pneumogastrique, circulation artérielle du cer-
facial, nerf pneumogastrique, circulation artérielle du cer- veau,
nerf
trijumeau. , Les candidats ont eu à traiter com
i sur les résultats fournis par cette même méthode dans l'étude des
nerfs
périphériques viscéraux, nous pourrions longuem
et dans trois cas, il a pu constater de l'atrophie dégénérative des
nerfs
et des muscles. Schaffer a décrit der- nièremen
scence. Enfin nous avons pratiqué de nombreuses dissociations des
nerfs
, après action de l'acide osmique. La seule part
ravail, nous avons pris, comme moyen de comparaison d'une part, les
nerfs
d'un chien normal et, d'autre part, ceux d'un d
ne pourraient dire mieux. A. Marie. IV. Elongation ET résection du
nerf
médian dans deux cas DE névrite traumatique ; p
névrites traumatiques provoquent dans les régions innervées par les
nerfs
malades la triade : paralysie, anesthésie, troubl
à des névriles, se localisent dans les territoires innervés par les
nerfs
malades et leurs branches. Comme moyen thérap
UE DE THÉRAPEUTIQUE. 125 rurgicale comprend la simple élongation du
nerf
, quand celui-ci n'est pas profondément lésé, ou
nerf, quand celui-ci n'est pas profondément lésé, ou l'excision du
nerf
, quand celui-ci est au contraire très altéré, s
phénomène est sous la dépendance de l'entre-croisement partiel des
nerfs
optiques. En plus, si on provoque chez ce sujet,
t amené à pré- senter cette proposition : le faisceau non croisé du
nerf
optique droit fournit à la moitié temporale de
seulement des fils donnant des réflexes. Le follicule non croisé du
nerf
optique s'étend à la moitié nasale de la rétine d
upérieure; 3° l'affai- blissement total des muscles innervés par le
nerf
inférieur de la face, d'où un contraste marqué
ement cutané, le massage léger de chaque muscle, la pression sur le
nerf
correspondant, le heurt des tendons et la dispa
AVANTES. 1 -Il 3. M. PETERS présente un malade atteint d'adénome du
nerf
optique. Affection bilatérale sans autres lésio
et 160 FAITS DIVERS. physiologie). -Etaient restées dans l'urne :
Nerf
facial, anatomie et physiologie ; 4° ventricule
es de dégénération secondaire par foyers scléreux dis- séminés. Les
nerfs
périphériques, en particulier le nerf optique,
s scléreux dis- séminés. Les nerfs périphériques, en particulier le
nerf
optique, sont proportionnellement plus lésés. L
894.) . E. B. XLIII. NOTE SUR QUELQUES phénomènes DE COMPRESSION DU
NERF
CUBI- TAL, produits par l'apophyse SUS-ÉPITROCH
une douleur suivie de fourmillements dans le domaine du cubital, ce
nerf
venant alors s'archouter et se tendre immédiate
ion, sans autopsie, de tabes avec une paralysie de presque tous les
nerfs
crâniens et troubles respiratoires (dyspnée, cr
, etc.), l'agent morbide agi- rait bien d'une façon directe sur les
nerfs
phériphériques, mais il pourrait en outre provo
, etc., pour la névrite saturnine, Babinski), les altéra- tions des
nerfs
périphériques seraient sous la dépendance des l
upinateur, etc.), alors que les autres muscles innervés par un même
nerf
sont paralysés ; résultats divers fournis par l
mie pathologique, s'il est vrai qu'elle nous montre les lésions des
nerfs
périphériques comme ayant une intensité toute p
ssons aussi des cas dans lesquels ont été constatées des lésions du
nerf
optique qui est en somme une portion de l'encé-
onsidérer les lésions de la moelle comme concomitantes à celles des
nerfs
périphériques. Il faut, en outre^ne pas perdre
a substance grise médullaire n'est pas le seul centre trophique des
nerfs
périphériques et qu'à cet égard les ganglions spi
à déclarer qu'ils sont indemnes. Quant à ce qui est des lésions des
nerfs
périphériques eux- mêmes, quelque intenses qu'e
et même simplement chez les vieillards, on observe des lésions des
nerfs
périphériques tout à fait analogues, aussi bien
ment, disent ces auteurs, pourrait-on admettre que l'altération des
nerfs
périphériques puisse être due à des lésions de
étude de cette question, que le cylindre-axe, partie essentielle du
nerf
, n'est autre chose qu'un prolongement d'une cel
sif. On sait, en effet, qu'à la suite de lésions expérimentales des
nerfs
, dont l'origine périphérique est incontestable,
parfois, dans les cellules des centres nerveux dont proviennent ces
nerfs
, des altérations plus ou moins prononcées. Ains
a vie des troubles nerveux, de grosses lésions de la périphérie des
nerfs
et des lésions moins marquées dans les centres
encore permis de dis- cuter sur la valeur relative des lésions des
nerfs
et des altérations spinales. Voici donc, selo
rite périphérique, ne doit pas impliquer l'idée que les lésions des
nerfs
sont primitives, qu'elles sont l'origine de tous
nos moyens d'investigation, sont exclusivement localisées dans les
nerfs
ou y sont bien plus accusées que dans le système
ifications de nature dynamique, et qu'en définitive les lésions des
nerfs
ne peuvent être considérées que comme constitua
un cordon nerveux chez les animaux, supérieurs, on choisit les gros
nerfs
amyéliniques des cyclostomes, on voit que, dès
des cyclostomes, on voit que, dès que le filament axile devient un
nerf
au sortir du névraxe, il quintuple brusquement
parle dispositif des seg- ments interannulaires et des anneaux des
nerfs
, lesquels consti- tuent des voies de nutrition
conclure des faits observés que, dans nombre de cas, la réaction du
nerf
, à rencontre des actions pathogènes qu'il reçoi
Et sans nier l'influence grande de la cellule ganglionnaire sur un
nerf
dans tout son par- cours, j'estime qu'au point
nt sollicité. C'est dire que le pro- cessus réactionnel et local du
nerf
, la névrite périphérique, doit conserver son in
ant pas à pas et avec soin et rigueur les lésions périphériques des
nerfs
,'en étudiant notamment les lésions périiiévritiqu
aleur qu'il faut accorder aux forma- tions hyalines de la gaine des
nerfs
, que j'ai décrites en 1881. Comme moi-même, il
j'ai décrites en 1881. Comme moi-même, il remarque que toujours les
nerfs
qui renfler- ment des nodules fibro-hyalins ren
, à formations hyalines. Chez les vieux animaux, chez ceux dont les
nerfs
ont beaucoup travaillé et ont pendant longtemps
déve- loppées sous l'influence de lésions analogues et locales des
nerfs
. Bref, je conclus en affirmant que la question
dredi prochain, une nouvelle méthode de fixation interstitielle des
nerfs
et de leurs gaines. J'espère qu'elle constituer
stinguer trois grandes catégories d'altérations péri- phériques des
nerfs
. Dans la première, je rangerai les névrites de
° la névrite qui. succède à une compression interne ou externe d'un
nerf
(traumatisme, tumeur, etc.), et enfin 3° les né
t la conséquence de l'habitat d'un élément organique vivant dans un
nerf
. Le type de cette variété de névrite est celle
ions de la subs- tance grise de la moelle ou du bulbe, atrophie des
nerfs
optiques et enfin des névrites (Pierret, Déjeri
des modifications organiques dont les altérations des fibres des
nerfs
et de la moelle ne seraient que la conséquence.
seraient que la conséquence. Enfin, la dégénération' des fibres du
nerf
optique serait aussi sous la dépendance de quel
toute différente a été émise. On a supposé que les altérations des
nerfs
étaient primitives et que les lésions cellulaires
dit M. Déjerine, apparaît de plus en plus comme une maladie des'
nerfs
périphériques, sensitifs, sensoriels ou moteurs.
il existait dans cette affection des altérations du cerveau et des
nerfs
. Le premier, j'ai décrit l'existence fréquente,
es par le moindre mouve- ment, enfin une hyperaigesie au toucher du
nerf
cubital tout le long de son trajet. La plupart
toucher du nerf cubital tout le long de son trajet. La plupart des
nerfs
des membres sont doulou- reux, en particulier l
plupart des nerfs des membres sont doulou- reux, en particulier les
nerfs
cubitaux, les nerfs circonflexes, les cruraux.
s membres sont doulou- reux, en particulier les nerfs cubitaux, les
nerfs
circonflexes, les cruraux. Certains points des
de mai 1894. (Revue neurologique, 1894.) E. B. VII. SUR LE RÔLE du
nerf
facial dans la sécrétion DES larmes ; ' par le
le est innervée non point, comme on l'a cru jusqu'à présent, par le
nerf
trijumeau, mais par le nerf facial. Les obser
omme on l'a cru jusqu'à présent, par le nerf trijumeau, mais par le
nerf
facial. Les observations recueillies par M. Jen
ion de la glande lacry- male de la façon suivante : Les fibres du
nerf
facial se séparent à la hauteur du ganglion gén
uteur du ganglion géniculé et passent en partie, à travers le grand
nerf
pétreux super- ficiel, dans le glanglion nasal.
ion nasal. De là, les unes pénètrent dans le voile du palais, comme
nerfs
palatins ; les autres, traversant la seconde br
comme nerfs palatins ; les autres, traversant la seconde branche du
nerf
trijumeau, entrent dans le nerf orbital qui pre
s, traversant la seconde branche du nerf trijumeau, entrent dans le
nerf
orbital qui prend naissance juste en face de le
r entrée. Celui-ci, décrivant une courbe régulière, va rejoindre le
nerf
lacrymal, et, à leur réunion, émanent les fibre
entrent dans la glande lacrymale. Selon cette manière de voir, le
nerf
sécrétoire ne serait donc pas le nerf lacrymal,
lon cette manière de voir, le nerf sécrétoire ne serait donc pas le
nerf
lacrymal, sortant de la première branche du nerf
serait donc pas le nerf lacrymal, sortant de la première branche du
nerf
trijumeau, comme cela semble être adopté actuel
trijumeau, comme cela semble être adopté actuellement, mais bien le
nerf
orbital. (Revue neurologique, 1894.). E. BLIN.
d'un processus inflammatoire (parenchymateux ou interstitiel) des
nerfs
phériphériques, et toutes les autres lésions n'on
rite : dans tous les cas de pa- ralysie, l'auteur a trouvé dans les
nerfs
correspondants des lésions en rapport avec l'in
GIQUES. XVI. NOTE$UR l'eximen bactériologique DE la moelle et des
NERFS
DANS LA SYRING0511ÉLIE; par A. PITRES et J. SABRA
. Cette dissociation physiologique indique la semi-décussation du
nerf
optique qui se distribue ainsi à la rétine. 1°
se distribue ainsi à la rétine. 1° Le faisceau non entre-croisé du
nerf
optique droit envoie la majorité de ses fibres
jusqu'à la moitié centrale de celle-ci. 2° Le faisceau croisé du
nerf
optique droit comprend parla plupart de ses fib
et compensateur des deux faisceaux croisés et non entre-croisés du
nerf
optique droit a lieu dans le plan qui passe ver
r la tache jaune. Il en résulte que le faisceau non entre-croisé du
nerf
optiqne droit envoie à la moitié temporale de l
s fibres chargées des actions réflexes. Le faisceau entre-croisé du
nerf
optique droit en- voie à la moitié nasale de la
ibres chargées de l'action réflexe. Le faisceau non entre-croisé du
nerf
optique gauche envoie à la moitié temporale de
fibres chargées de la fonction réflexe. Le faisceau entre-croisé du
nerf
optique gauche envoie à la moitié nasale de la
Nouvelle méthode DE DXATION ET d'imprégnation interstitielle DES
nerfs
A myéline M. RENAUT (de Lyon).-L'obstacle princ
M. RENAUT (de Lyon).-L'obstacle principal à l'étude des lésions des
nerfs
à myéline consiste dans les altérations spontanée
ment des points où l'on a fait des injections et qui renferment des
nerfs
à explorer : leurs lésions auront été saisies tel
nt même de la mort. Voyons maintenant dans quel état sont fixés les
nerfs
normaux engagés dans les tissus. Voici des prép
été colorée en noir par l'acide osmique. Au niveau des anneaux des
nerfs
, on peut observer, imprégnés par l'argent, la p
nde importance quand on se rappelle que tout au contraire sur les
nerfs
, par exemple, dissociés dans une solution de nitr
gaine endothéliale, l'autre à la constitution et à la nutrition du
nerf
à myéline lui-même, qui se trouvent élucidés. I
de la moelle allongée, les maladies des méninges, les maladies des
nerfs
et les névroses, les manifestations nerveuses des
ans, au moment de l'apparition des règles, elle eut deux crises de
nerfs
qui furent les premières manifestations névropa
se compliquent parfois aussi passagèrement de paralysies d'autres
nerfs
crâniens (Schultze). Le larynx est assez souven
tés présentées par l'autopsie. Le système du grand sympathique, les
nerfs
périphériques, les deux pneumogas- triques du c
lité, surtout dans la région où se divisent les rameaux cutanés des
nerfs
dorsaux et cervicaux inférieurs, et parfois aus
nés des nerfs dorsaux et cervicaux inférieurs, et parfois aussi des
nerfs
lombaires; 5°pares- thésie des mômes branches,
emps assis. Quelquefois, par moments, phénomènes d'excitation des
nerfs
moteurs, tels que : crampes dans les pieds et les
De très bonne heure apparaissent des phéno- mènes d'excitation des
nerfs
cervicaux et dorsaux qui, progressive- ment, en
NCE D'UN CORPS ÉTRANGER DANS LE 398 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE.
nerf
occipital D'ARNOLD; par G. GALLERANI ET G. PACI\O
, 1893.) . ' Fragment de porcelaine enkysté au point d'émergence du
nerf
occipital dans la région où il s'anastomose ave
égie cérébrale est constituée, suivant lui, par : 1° l'atrophie des
nerfs
optiques avec nystagmus horizontal et strabisme
ainsi produites, engendrent des troubles dans la conductibilité des
nerfs
qui passent par les conduits osseux de la base. A
nseur du tympan; activité du tympan; exci- tation des extrémités du
nerf
auditif dans la membrane basilaire. Irradiation
fie), la convulsibilité, les troubles de la sensibilité et d'autres
nerfs
sensoriels (cécité, surdité, insen- sibilité de
alors qu'il était encore à Saint-Louis, il aurait eu une attaque de
nerfs
, caractérisée par du tremblement et de la conge
ements, d'étouffements avec tremblement, d'une véritable attaque de
nerfs
. Il urine souvent un litre par miction. Voici q
ontanées dans les hémisphères cérébraux, dans la moelle ou dans les
nerfs
périphériques. Si on place le centre de la poly
ce sur les centres vaso- moteurs bulbo-médullaires d'où partent les
nerfs
vaso-moteurs du rein ? Cette inhibition va amen
ogénique sur les centres sécrétoires du rein ? Mais l'existence des
nerfs
sécrétoires du rein, et par con- séquent de leu
s, des troubles de la vision, et des paralysies dans le domaine des
nerfs
crâniens, indiquant une localisation méningée v
PATHOLOGIQUE, lésions méningées du côté de la base du cerveau, des
nerfs
cérébraux, du chiasma en particulier. B. La l
-arachnoïdien, puis le forait refluer dans l'espace sous-vaginal du
nerf
optique en continuité avec l'espace sous-arachn
roïde s'en remplir, mais sans dépasser les limites de la papille du
nerf
optique. Les vaisseaux sanguins qui irriguent l
s sont de plusieurs ordres : 1° Sous l'influence de l'excitation du
nerf
auriculo-temporal et de la section du sympathiq
pu être faite, on a trouvé dans les uns des lésions atteignant les
nerfs
périphériques, le cerveau et même la moelle. Po
la moelle. Pour quelques-unes on n'en a pas trouvé. Les lésions des
nerfs
, plus souvent recherchées, ont été qualifiées pol
semblables à l'altération qui suit la section ou l'écrasement d'un
nerf
(Vierordt, Th. Gr. Stewart, Korsakow,- Strumpell,
orsakow,- Strumpell, Mueller). A côté de ces lésions ambiguës des
nerfs
, il en existe du côté de l'encéphale. A ce poin
ques. En résumé, dans les cas nets, quand il y a inflammation des
nerfs
, il y a aussi dégénérescence (toxique) des cellul
rrégulier, unilatéral ? Théorie de compression des vaisseaux et des
nerfs
(Marshal, Taylor, Piorry). Comment par cette th
exophtalmie double, etc. ; 5° de plus, . BIBLIOGRAPHIE. SiS si un
nerf
devrait être comprimé de par sa situation anatomi
être comprimé de par sa situation anatomique, c'est bien plutôt le
nerf
récurrent et le sympathique que le pneu- mogast
Shultz; les maladies de la moelle, Obersteiner; les affections des
nerfs
périphériques, les dystrophies musculaires, les g
ns 75 pages sur la chirurgie crazzio- cérébrale, rachidienne et des
nerfs
périphériques pendant l'année 1893 dues à Pilch
x pour les aliénés -, par 'l'ruchon, 425. Cubital, compression du
nerf
, par Féré et Batigne, 212. C1LI\DRE-A\E, dif
a en tant que trouble fonctionnel, par Sommer, 484. Elongation du
nerf
médian dans deux cas de névrite traumatique,
e-mecum du médecin - , par Lacassana, 117. Facial, sur le rôle du
nerf
dans la sécrétion des larmes, par Jeu- drassi
ion do glande thyroïde do mouton, par Brlssaud et Souques, 335.
Nerfs
, fixation et imprégnation des u myéline, par lt
46'r. Syringomyélie, examen bactériolo- gique de la moelle et des
nerfs
dans la-, par Pitres et Sabrazès, 318; les lé
cette circonstance, il dit qu'il exerce une action spécifique sur les
nerfs
de mouvement. Quoi qu'il en soit de cette explica
cuser •plus vite, dans cette maladie, que dans les cas de lésions des
nerfs
mixtes où elle est cependant très-rapide. Ainsi,
il s'agit, comme siégeant dans les parties périphériques, muscles ou
nerfs
; d'autres ont voulu y voir une maladie essentiel
lancs antéro-latéraux, dans la région de la moelle d'où émanaient les
nerfs
se rendant aux muscles atrophiés ; mais nous n'av
jusqu'aux parties centrales par la voie des raci-nes antérieures des
nerfs
rachidiens, car ces derniers, en général, — c'est
ultipliés. M. Malassez n'a trouvé ni fibres cellules muscu-laires, ni
nerfs
bien évidents. « Il résulte donc de cet examen mi
res fois, la déviation a sa source dans le muscle lui-même ou dans le
nerf
qui l'anime; et, dans ce dernier cas, il y a excè
voyant le nombre des inspirations doubler tout à coup, j'ai pensé au
nerf
diaphragmatique, et je me suis demandé un instant
nt que de l'hémisphère correspondant; car il n'y a pas de chiasma des
nerfs
auditifs. Enfin, messieurs, nous avons exploré
ar sa face interne, nous trouvons en al-lant de dedans en dehors : le
nerf
cubital, l'artère cubitale, le nerf médian, et, s
al-lant de dedans en dehors : le nerf cubital, l'artère cubitale, le
nerf
médian, et, sur un plan plus superficiel, le tend
ficiel, le tendon du grand pal-maire et celui du petit palmaire. Le
nerf
cubital a déjà fourni, à ce niveau, sa branche do
aussi, a été coupée complètement ; accolée par des brides au côté du
nerf
, elle passe un peu en arrière de lui et il devien
ypertrophiés : on re-trouve facilement les filets que leur fournit le
nerf
médian. Les muscles de Véminence thénar sont pe
phalange, Enfin, au ni-veau des angles de flexion, les artères et les
nerfs
collatéraux sont flexueux et injectés. Parmi le
x derniers lombricaux sont absents, comme ces muscles eux-mêmes. Le
nerf
médian n'offre de remarquable que ses adhérences
séjour dans l'acide chromique, nous avons examiné les muscles et les
nerfs
. Un muscle animé par un rameau du nerf cubital
examiné les muscles et les nerfs. Un muscle animé par un rameau du
nerf
cubital avant la cica-trice, le muscle cubital an
mne rempli et entouré de granulations et de vésicules adipeuses. b)
Nerf
. Par la dissociation, les tubes du nerf cubital,
de vésicules adipeuses. b) Nerf. Par la dissociation, les tubes du
nerf
cubital, avant la cicatrice, paraissaient normaux
Ce fait devenait évident quand on comparait avec la coupe d'un autre
nerf
, par exemple, du nerf médian du môme côté. 11 s'a
ent quand on comparait avec la coupe d'un autre nerf, par exemple, du
nerf
médian du môme côté. 11 s'a-gissait, d'après M. C
é d'une couronne fibreuse très-épaisse et distincte. Sur une coupe de
nerf
normal, les faisceaux primitifs ont une forme arr
s groupes de tubes très-atrophiés, surtout quand on comparait avec un
nerf
normal. Parfois des cylindres-axes étaient très-h
ît nettement la gaine de Schwann vide de son contenu. En résumé, le
nerf
cubital présentait une névrite très-accusée au ni
lement; au-dessous, beaucoup de tubes nerveux avaient dis-paru, et le
nerf
ne formait plus guère qu'un cordon fibreux. THÉ
a curarine. C'est ainsi que l'aconitine détruit le pouvoir moteur des
nerfs
; administré à hautes doses, le poison arrête pri
es : excitation plus prononcée du grand sym-pathique et excitation du
nerf
dépresseur du cœur. Lapremière action détermine
ode. Au deuxième temps : 1° hyposlhénisation des centres nerveux et
nerfs
volontaires ; — 2° paralysie de tout le système m
r qui représente les condyles du fémur. Les rapports des vaisseaux et
nerfs
qui traversent le creux poplitée ne sont pas chan
ne sont pas changés, ils sont simplement exagérés. C'est ainsi que le
nerf
sciatique, qui normale-ment recouvre la veine pop
'angle formé par les deux fragments du péroné. Les vaisseaux et les
nerfs
principaux ne semblent avoir subi aucune altérati
blent avoir subi aucune altération. L'artère tibiale antérieure et le
nerf
du même nom ont conservé leur volume normal ; ils
les et se dévient avec eux. Il en est de même pour les vaisseaux et
nerfs
postérieurs ; ils se réfléchissent à la base de l
la portion interne du court fléchisseur du pouce, dans les lésions du
nerf
cubital, j'ai recherché si je pourrais constater
rt fléchisseur du pouce reçoit, comme le court adducteur* un filet du
nerf
cubital. REVUE ANALYTIQUE THÉRAPEUTIQUE I.
ouve fréquemment des rates accessoires ayant leurs vaisseaux et leurs
nerfs
particuliers. La rate peut subir des variations
vue les plaies par régions, les plaies avec lésion des vaisseaux, des
nerfs
; les plaies pénétrantes de l'ab-domen, de la poi
rtère ophlhal-mique qui aurait amené une arnaurose par compression du
nerf
optique, M. Nélaton n'hésita point à affirmer l'e
mps. Les com-plications les plus ordinaires consistent en lésions des
nerfs
moteurs des muscles de l'œil (paralysie de la 3e
rouve en physique cette loi d'électro-physiologie : l'excitation d'un
nerf
ou d'un muscle dépend moins de la valeur absolue
conséquent, changent rapidement et brusquement l'état moléculaire du
nerf
et du muscle; et c'est également pour cela que ce
té examinée. — 11 en est de même pour les racines spinales et pour le
nerf
sciatique du côté gauche. Les fibres musculaire
e modification de l'équilibre moléculaire, ce qui se traduit pour les
nerfs
et pour les muscles par une excitation fonc-tionn
équilibre, il n'y a donc pas d'exci-tation vive du fonctionnement des
nerfs
ou des muscles, mais le flux électrique impose, p
uveau rupture de l'état moléculaire, et par conséquent excitation des
nerfs
et des muscles. La mise en activité du nerf et du
onséquent excitation des nerfs et des muscles. La mise en activité du
nerf
et du muscle n'est en effet comme phénomène intim
e plus d'ac-tion. Sous ce rapport, le système nerveux, et surtout les
nerfs
sen-sitifs et les nerfs spéciaux des sens, sont l
e rapport, le système nerveux, et surtout les nerfs sen-sitifs et les
nerfs
spéciaux des sens, sont les plus excitables par l
plus excitables par la rupture du courant, et lorsqu'on électrise un
nerf
, surtout le nerf optique, il faut bien faire atte
par la rupture du courant, et lorsqu'on électrise un nerf, surtout le
nerf
optique, il faut bien faire attention à l'excitat
ntinus. Il a vu, comme nous, des courants induits ne pas agir sur des
nerfs
profonds, tandis que des courants provenant d'une
u Bois-Reymond ont démontré des courants dans les muscles et dans les
nerfs
. A l'occasion de ces faits, M. du Bois-Reymond a
cela uniquement pour expliquer ce simple fait, que l'excitabilité du
nerf
est plus faible aux environs du pôle positif et p
courant passe à travers des corps chimiquement décomposables comme un
nerf
, les acides se rendent au pôle positif et les alc
dans les os, dans les artères, aussi bien que dans les muscles et les
nerfs
, et M. Bec-querel, dans ses belles recherches sur
pés que des vaso-vasorum ; M. Richet fait jouer un rôle important aux
nerfs
vaso-moteurs. Mais celte théorie du savant chirur
remier groupe, les attaques hystériques et les accès 1 Maladies des
nerfs
, t. V, p. 75; - Voy. Dunant, de l'Bystéro-épilé
s courants continus, mais dans les limites suivantes : il faut que le
nerf
moteur ait été affecté primitivement, que la fibr
était syphilitique. L'une de ces plaques se trouvait à l'ori-gine du
nerf
facial droit, et avait amené une paralysie des mu
a plu-part, porté le même diagnostic, à une paralysie périphérique du
nerf
facial due à l'influence d'un changement de tempé
égère et dont la guérison rapide ne permettait pas aux muscles ni aux
nerfs
d'éprouver de changement appréciable. Une dizai
ulbe où sont si-tuées, tout près les unes des autres, les origines du
nerf
facial et du nerf moteur oculaire externe. Nous
ées, tout près les unes des autres, les origines du nerf facial et du
nerf
moteur oculaire externe. Nous avons également p
enseigné M. Charcot, à savoir qu'il y avait deux noyaux d'origine du
nerf
facial, l'un supérieur, et l'autre inférieur, plu
supérieur, et l'autre inférieur, plus petit, qui fournit surtout les
nerfs
du muscle orbiculaire des lèvres. Dans ce cas, en
donc bien le noyau supérieur du facial, voisin du noyau d'origine du
nerf
moteur oculaire externe, qui a été affecté et môm
de l'ouïe. Mais on constate les signes manifestes d'une paralysie du
nerf
facial gauche, savoir : effacement des rides de l
e dans les phénomènes calorifiques. — Le curare supprime l'action des
nerfs
moteurs et laisse la sensibilité intacte. Le chlo
ibilité intacte. Le chloroforme est un anes-thésique agissant sur les
nerfs
sensilifs et les atteignant dans les centres nerv
stème vasculaire; c'est le caractère général de la distribution de ce
nerf
. » « Le système grand sympathique n'est pas seule
n de ce nerf. » « Le système grand sympathique n'est pas seulement un
nerf
vaso-moteur ; il influence directement la calorif
t en conflit par le moyen delà circulation capillaire. » XXVII. Les
nerfs
moteurs du grand sympathique. — « Le nerf sympath
capillaire. » XXVII. Les nerfs moteurs du grand sympathique. — « Le
nerf
sympathique est composé de filets moteurs dont le
sympathique et la circulation sanguine. — « Il existe deux sortes de
nerfs
vaso-moteurs ; les uns dont l'action coïn-cide av
les uns dont l'action coïn-cide avec une constriction des vaisseaux :
nerfs
constricteurs ; les autres, dont l'action coïncid
; les autres, dont l'action coïncide avec une dilatation vasculaire :
nerfs
dilatateurs. » L'existence des premiers est parfa
sous-maxillaire, après la section de la corde du tympan. XXIX. Les
nerfs
vaso-moteurs et la pression du sang. — « Tous les
du sang. — « Tous les tissus, tous les organes, sont-ils pourvus de
nerfs
vaso-moteurs de deux espèces accompagnant leurs v
ompagnent tous les vaisseaux, il n'y a pas de doute; relativement aux
nerfs
constricteurs, outre la corde du tympan, l'auricu
mac recevant des aliments, etc., le prouve surabondamment. XXX. Les
nerfs
vaso-moteurs et la circulation du sang. — « Il y
considérable dans la circu-lation périphérique. » XXXI. Action des
nerfs
sur le cœur. — Les nerfs cardiaques vien-nent de
cu-lation périphérique. » XXXI. Action des nerfs sur le cœur. — Les
nerfs
cardiaques vien-nent de deux sources : du pneumo-
strique d'une part, et du grand sympathique d'autre part. XXXII. Le
nerf
de'presseur et la circulation du sang. — L'appare
Le premier mécanisme, c'est le grand sympathique, le second, c'est le
nerf
dépresseur du cœur de Cyon. « Ce nerf agit comme
ympathique, le second, c'est le nerf dépresseur du cœur de Cyon. « Ce
nerf
agit comme paralysant du grand sympathique à la m
sant du grand sympathique à la manière de la corde du tym-pan sur les
nerfs
vasculaires de la glande sous-maxillaire, avec la
t périphériquement. » Relativement au mouvement du cœur, il y a des
nerfs
accéléra-teurs et des nerfs d'arrêt : le premier
tivement au mouvement du cœur, il y a des nerfs accéléra-teurs et des
nerfs
d'arrêt : le premier vient de la moelle dorsale a
et peuvent se montrer indépendants les uns des autres. » XXXIV. Le
nerf
constricteur. — Le grand sympathique agit sur l'é
nes organiques. Il refroidit les parties qu'il énerve, d'où le nom de
nerf
frigorifique ; il resserre les vaisseaux et rend
isseaux et rend ainsi les organes pâles et exsangues, d'où son nom de
nerf
con-stricteur ; il modère et ralentit le mouvemen
ur ; il modère et ralentit le mouvement nutritif, et mérite le nom de
nerf
refrénateur. » XXXVII. Rôle de la sensibilité d
adventiveou externe n'offrait rien d'anormal. On y voyait beaucoup de
nerfs
, ce qui est en rapport avec la richesse muscu-lai
nécessaire, le point spécial qui doit être éleclrisé, les trajets des
nerfs
; à surveiller et à diriger, en un mot, tous les d
° le courant ascendant excite la moelle et agit plus vivement sur les
nerfs
sensitifs, tandis que le courant descendant dimin
a moelle, empêche les actions réflexes et agit principalement sur les
nerfs
mo-teurs. L'influence de la direction des coura
vons pu obtenir aucun résultat, et l'atrophie a continué à envahir le
nerf
optique. Chez deux des malades atteintes d'hémi
temps que le courant continu est appliqué sur les muscles ou sur les
nerfs
des membres. La contraction galvano-tonique est
anœuvres de l'accoucheur. Parmi les paralysies de la face celles du
nerf
facial sont commu-nes, leur diagnostic est facile
nément. L'application du forceps peut-elle déterminer la paralysie du
nerf
moteur oculaire commun? Deux notes, malheureuseme
rés par de nombreux éléments connectifs, œdé-matiés et fibreux. Les
nerfs
qui émergent du canal vertébral sont relativement
e en arrière, à quatre têtes, traversées de trous pour le passage des
nerfs
; la quatrième a une largeur double des autres. Le
l'arrangement des éléments constituants. L'action physiologique des
nerfs
est ensuite examinée avec beau-coup de soin, et d
r bat en brèche la manière dont M. Vulpian envisage les fonctions des
nerfs
; pour lui, il maintient les deux propriétés reco
oncs ; 5° cette action paraît se manifester même après la section des
nerfs
vaso-moteurs; 4° elle paraît s'étendre môme aux v
de B. (Anal. E. Teinturier), 82. Griffe consécutive à une lésion du
nerf
cubital, par Duret, 71, 146. G ripât, 586. Gr
eville, I, 56. m Nécrose du maxillaire inférieur, 55. 231, 257.
Nerf
cubital (voy. Griffe). Nez {voy. Epitiiélioma).
e quatorze ans. Céphalalgie. Attaque apoplectifoi-ine. Paralysie du
nerf
moteur oculaire com- mun droit. Tremblement de
te diffuse; méningo-myélite embryonnaire; névrite interstitielle du
nerf
moteur oculaire commun droit à son émergence, e
ntraînant une dégénérescence descendante de toutes les fibres de ce
nerf
. Lésions spécifiques des artères de la base du ce
lige pituitaire. En avant cet épan- chement s'arrête au chiasma des
nerfs
optiques ; en dehors il s'étend dans les fosses
re et demi d'épaisseur au niveau de l'espace inlerpédonculaire. Les
nerfs
de la troisième et de la quatrième paire en éme
ses et anciennes. Examen histologique. Les centres nerveux et les
nerfs
périphé- riques ont été étudiés à l'aide des mé
de Sylvius a fourni dans toute sa hauteur des coupes sériées; les
nerfs
et les muscles des deux orbites ont été dissociés
talmoplégie est causée par une infiltration embryonnaire diffuse du
nerf
moteur oculaire commun droit, au niveau de son ém
amène la dégénérescence de toutes les fibres périphé- riques de ce
nerf
. Cerveau. - L'écorce cérébrale est le siège d'u
ivers faisceaux sont complètement intacts. Les noyaux multiples des
nerfs
moteurs oculaires communs ont été étudiés avec
nséquent ne peuvent être invo- quées pour expliquer la paralysie du
nerf
moteur oculaire commun droit. Au contraire, les
16 PATHOLOGIE NERVEUSE. L'infiltratiou méningée se continue dans le
nerf
de la troisième paire droit à son origine ; sur
droit à son origine ; sur les coupes colorées à l'hématoxyline, ce
nerf
est remarquable par la quantité de cellules embry
t on distingue même par places la forma- tion de petits nodules. Le
nerf
gauche au contraire est à peu près indemne. S
contraire est à peu près indemne. Sur les dissociations des deux
nerfs
en question, ainsi que de Fig. G Méninge et rac
ILIS DU SYSTÈME NERVEUX. 17 l toutes leurs branches orbitaires, des
nerfs
de la quatrième et de la sixième paire, on cons
rfs de la quatrième et de la sixième paire, on constate que seul le
nerf
moteur oculaire com- mun droit est altéré : tou
agmentée en grosses boules, est en train de se résorber. Les autres
nerfs
des deux orbites sont absolu- ment sains. Les m
veines la Fie. 11.- Veine de lapie-mère au niveau de l'émergence du
nerf
moteur oculaire commun droit ; gomme de la paro
nguines récentes qui oblitèrent en partie le tronc basilaire. Les
nerfs
périphériques cutanés de la main et du pied ne pr
illes névrogliques sont beaucoup plus visiblesqu'à l'état normal.
Nerfs
périphériques. Les collatéraux du médius sont rem
riques. Les collatéraux du médius sont remarqua- blement sains. Les
nerfs
cutanés du dos du. pied sont très altérés; sur
. 40 REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. III. NOTE SUR l'élongation DES
nerfs
. dans l'hémiplégie spasmodique INFANTILE AVEC É
il que, contrairement à une assertion de Benedikt, l'élongation des
nerfs
dans l'hémiplégie spasmodique infantile avec ép
certaines aux mêmes zones que l'herpès zoster,en ce qui regarde les
nerfs
'cutanés et moteurs et pour d'autres à la, dist
que l'auteur considère comme appartenant à la structure normale des
nerfs
acquiert son complet développement chez le chev
. Recherches sur quelques points particuliers de l'histolo- gie des
nerfs
, I. La gaine lamelleuse et le système hyalin inlr
stinguer les différents systèmes de la'chai;iènt'è conjonctive' des
nerfs
,' il m'a1 paru que le néologisme en question se
vrai quand il considère comme appartenant à la structure normale du
nerf
, chez les solipèdes, l'ensemble des formes méso
ibuée cette fois en une série de foyers échelonnés sur le trajet du
nerf
et séparés souvent par de longs intervalles. Da
erme très vague d'hyperplasie circonscrite du tissu conjonctif- des
nerfs
adopté par Trzebinski. Les expres- sions : foye
ut récemment, Blocq et Marinesco ' ont dénommé système tubulairedes
nerfs
une aberration histologique qui fait évidemment
otamment 1 Blocq et Marinesco. Sur un système tubulaire spécial des
nerfs
. Société de biologie, séance du 16 juillet 1892
e. Mais c'est'en réalité sur ,-....) ? ') ? 'mtww ? t.t ? t . les
nerfs
des membres que ces loyers a l'exemple,des masses
l» .. "'S'p ? «« «- ri."i'.iL ftj t«--f..ttj; men microscopique des
nerfs
est pour ainsi dire de règle. Toutefois; si 'l'
eqs-ti-o'-n. Blocq et'Marinesco les ont en effet rencontrées sur le
nerf
radial . - .a; 1 ? r, 1 t ? t" '.«...< r va,
n evrieu i aires du pophteexterne, un. peu au-dessus du'point'où le
nerf
contourne le col du "péroé"Â 1 a ',vé* ri té cet
91nr9 fi'.rL 9`Ifr°rIlÎ3F 4,1 n*-1 i ? i*. A mon grand regret, les
nerfs
, autres que, le sciatique n'ont pu être examiné
us de soumettre'la ^partie malade à des sections longitudinales, le
nerf
étant déjà débité en' coupés^ transversales1, q
, soit plutôt parce qu'elles faisaient réellement défaut dans les
nerfs
examinés. J'ai constaté en second lieu que, malgr
rt, ils n'apparaissent que de distance en distance sur le trajet du
nerf
1, et de préférence sur les collatéraux encore
intervalles de 22 centimètres entre deux foyers appartenant au même
nerf
. JU , f . · Ale1T01S1E. ^ .tIF ; 1 e,' tourbi
agit ont été observées par Langhans, Trzebinski et moi-même sur des
nerfs
exempts de toute dégénérescence. L'hypothèse
certains organes qui réclament une protec- tion particulière : les
nerfs
des solipèdes, par exemple, où l'appareil nbro-
constances. Des observations de Renaut il résulte en, effet que les^
nerfs
le plusjsujets aux tiraillements et aux pressions
n se trouve particulièrement renforcé au niveau des points où les
nerfs
s'engagent dans de puissantes masses contractiles
^ C'est enfin, d'après lui, pour le même motif que chez l'homme les
nerfs
collaté-j raux des doigts possèdent un système
er aux foyers inésoneuriau2, même à ceux que l'on rencontre sur les
nerfs
des'solipèdes/une origine accidentelle. On devr
d'une adaptation' fonctionnelle : loin de servir à la protection du
nerf
, les formations nouvelles s'opposent à l'accomp
on du tronc, l'un à droite et l'autre à gauche de l'axe primitif du
nerf
. Les branches péri- phériques opèrent leurs div
ect polymorphe et une structure beaucoup plus compliquée.. Or,' les
nerfs
. examinés par Kopp appartenaient à' des animaux
imites les produits mésoneuriaux pouvaient enrayer les fonctions du
nerf
. 'Autrement dit, sont-ils ou non suscep- tibles
LA MÉSONEURITE KODULEUSE. 107 l'on n'a. relevé dans le domaine des
nerfs
intéressés aucune perturbation fonctionnelle. K
ur les cadavres de ces mêmes individus s'il existe, ou non dans les
nerfs
une lésion mésoncuriale. Malheureusement, l'app
éthode- expérimentale. : en soumettant, par exemple, la surface des
nerfs
à des irritations mécaniques régu- lièrement or
n ne voit/point'do cellules-araignées. »« ! . J Ïl \ill't 1 , Les
nerfs
périphériques sont peu malades ;' de tous 'les gr
es ;' de tous 'les gros troncs nerveux, étudiés sur des coupes,' le
nerf
crural est'le seul qui'pré- senté des altératio
mentalement, est arrivé à la conclusion suivante : .une lésion d'un
nerf
crânien moteur ou d'un nerf rachidien mixte amè
conclusion suivante : .une lésion d'un nerf crânien moteur ou d'un
nerf
rachidien mixte amène, consécutivement des chan
début, puis les paralysies des 136 , REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE.
nerfs
crâniens et les ictus, avec les troubles, moteurs
on sensorielle. La sensation sonore pro- voquée par la vibration du
nerf
acoustique provoque une illusion i selon l'état
vent une.loi conforme aux formules de la réaction élec- , trique du
nerf
auditif. , ? 1C), ' . f|, , , ; ? P. K. i ni,,
xagération, des réflexes patellaires, sensibilité à la pression des
nerfs
fémoraux et péro- niers ; analgésie des extrémi
«trouve : tuberculose pulmonaire et intestinale, dégénérescence des
nerfs
périphériques, atrophie dégénératrice des muscl
e, rien dans les racines antérieures et posté- rieures. Névrite des
nerfs
périphériques, interstitielle etparenchy- mateu
rophiques des cornes antérieures, puis, secondairement atteinte des
nerfs
périphériques (nerfs et muscles). 2° Altération s
antérieures, puis, secondairement atteinte des nerfs périphériques (
nerfs
et muscles). 2° Altération simul- tanée et dire
sive, mais disséminée, des cellules ner- veuses, des muscles et des
nerfs
, sous l'influence de. l'alcool. z 30 Impossible
anté, et il resta seize mois chez le De F.... « pour une attaque de
nerfs
avec folie », selon sa propre expression; de là
moelle ? lé1 bulbe" et' la'1 protubérance.1 Les dégénérations ''dès
nerfs
périphériques et des muscles peuvent être consi
immobilité réflexe 'des 'pupilles ? signe de Westpbal, atrophie des
nerfs
optiques, atrophie et' analgésie ? de' l'avant=br
ue des fibres musculairesde roivoa,donné uni résultat; négatif.,Des
nerfs
sensibleslesimpressionsrsonttransmisealaux nerf
ltat; négatif.,Des nerfs sensibleslesimpressionsrsonttransmisealaux
nerfs
;;moleurs qui ? lf » ? jT-rM '/ >» ^l/\ri'nt»
aso-moteurs ,et sécrétions, anormales, r-r,;) a- paralysie ,des ! '
nerfs
crâniens y compris les syinpi8mes.oculo-pupillair
es même lorsque l'on constate de .graves lésions'dans le domaine du
nerf
optique. Une autre observation, intéressantes u
t tuti e eu ? v -m . - ' 5.. tout'd'abord la'conductibilité d ! T'
nerf
moteur, a lésé' ses organes tr'niii'au"'x" (pai
xpérimentales chez le cobaye.-Nombreuses figures/ - Quand on'lèse^n
nerf
crânien» moteur'-1 ou ''un nerf rachidien mixte
mbreuses figures/ - Quand on'lèse^n nerf crânien» moteur'-1 ou ''un
nerf
rachidien mixte, de sorte que toute'régénérati6
VII. CONTRIBUTION L'ÉTUDE de l l origine ET du, trajet central DU
nerf
auditif; par S.JKIRILZE=. (Neûrolog.rCeJZtrnlbl ?
es olives supérieures constituent aussi un des centres primaires du
nerf
auditif;'4 les fibres de l'auditif qui se termine
. Conclusions. Chez"lé- lapin adultéra la'suite de la section des
nerfs
sensitifs, (loii,7ue ( 'p-ortioii' dli'trijumeati
' dli'trijumeati) etj'moteurs (facial, courte portion du trijumeau,
nerfs
des muscles de il il se pro- duit une dégénéres
202*REVUE D'ANA.TOM1E : ET'DE PHYSIOLOGIE'PATHOLOGIQUES. phérie du
nerf
, près de ses attaches au centre, ou au centre mêm
-moteur commun ; à gauche, paralysie totale du rameau interne de ce
nerf
. A droite, en outre, anesthésie des deux branch
ence du facial et du trijumeau; il a détruit le noyau de ce dernier
nerf
eta a empiété sur le'faisceau pyramidal, tandis q
endantes. En ce qui concerne let trijumeau, il y a des fibres de ce
nerf
,qui,,issues de son noyau sensitif, s'en vont, a
IBUTIONIA la connaissance DE la DÉGÉNÉRESCENCE) ASCEN- D.1NTE · DES
nerfs
;' crâniens moteurs CHEZ, l'homme ; par.C. MAYER
on I. Carie du rocher ayant détruit le facial. Dégénérescence de ce
nerf
jusqu'à son noyau, sans qu'il y ait eu de signe
gauche englobé dans un néoplasme , d'origine méningée; atrophie du
nerf
, mais limitée à son trajet extramédul- laire ;
traces de dégénérescence. Intégrité des noyaux, et des racines des
nerfs
** crâniens y compris le trijumeau. Lanalyse anato
«'du noyau lenticulaire;^0 le'corps de Luys n'a,rienà voir'avec le
nerf
optique (intéâritéde'lacbandelettetoptique); lest
s se, trouvent soit à l'abouchement des racines antérieures avec le
nerf
spinal, soit sur le rebord de la moelle; pour l
rieures, mais quand celles-ci avaient,, déjà* rejoint ou presque le
nerf
. Le mode le connexion.de ces ^cellules avec les f
gt; i z ,XXXVIII. L.1 DÉCÉNÉRE-ZCFNCE EXPERIMENTALE ASCENDANTE DES,
NERFS
CRANIENS IOTEUi ;1 pâé` E. BREG1.N. (Jatirbùcti
n, du , trijumeau, file facial, la courte portion du trijumeau, les
nerfs
des muscles de l'oeil, on voit se produire la dég
bution Là\ l'étudelidts loccaliscctions,de,la,btenno7·hagieisur les
nerfs
périphériques par le DrLMarius Cros." (Thèse * dé
fs périphériques par le DrLMarius Cros." (Thèse * dé. Mont- · c les
nerfs
périphériques;;par le DilYlariusÇxôs. (Thèse'de M
sensation normale, il ya trois facteurs; l'objet exté- rieur, - le
nerf
d ? t ? (organè ,desrsens), -· centre rieur, le
rieur, - le nerf d ? t ? (organè ,desrsens), -· centre rieur, le
nerf
conducteur, (organe .dès-sens), le centre récep
onque et semblait ne rien voir ;- il y avait une atrophie double du
nerf
optique. Plusieurs fois par jour, cet enfant étai
ensatious,sôilores occasionnées par l'excitation, la ,vibration, du
nerf
,auditif, provôquentll'illusion sensorielle, suiva
ertaine<loi ? conforme aux formules de la réaction électrique du
nerf
acoust.ique.9m 91<th.ianiP ! It;lr ' z ifioi
iLiti6n"des'réflëxei-at'e]Iaiies ? ensibilitéà la' pression1 "dés-
nerfs
'cruraux et péroniers;' analgésie ? ? ..."1- -1
latérale. es que probablement il v a enlre-croise- z pupillaires du
nerf
optique tel que les fibres du nerf optique droi
enlre-croise- z pupillaires du nerf optique tel que les fibres du
nerf
optique droit vont au noyau droit et gauche de l'
itation 1 patholôgiqué ,dü1·centrér·cônsidéré, déterminera dans les
nerfs
et dans les^muscles destinés à l'ar- ti éulatio
ue; il, est le^ grand ressort.de toutes', les jetions vitales.- Les
nerfs
. cérébro-spinaux pi ? oloi'ig 1emètits tabu- ]a
s la périphérie ? soit''de'la périphérie vers'les'centres. Dans les
nerfs
, le liquide nerveux est à l'état statique ; il se
ériphérique, sous l'influence de, la pression venue des centres, le
nerf
abandonnetune partie de. son liquide, lequel va
te.de lésion locale centrale, avec vibrations en retour le long des
nerfs
, vibrations qui se ré- pandent, dans le muscle
rations qui se ré- pandent, dans le muscle ou les muscles. que, ces
nerfs
animent. 376 REVUE ' D'ANATOMIE'' ET " DE' PHYS
iR- cation. Pourra moelle on a pour"points de repère le numéro du
nerf
spinal ''auquel' ! le,morceau1'donnait, naissance
,l Paul d'Egine, Démocrite, pour qui la rage était un incendie, des
nerfs
, et Columelle qui, comme moyen préventif, .consei
ivant un étalon inné. IV. De l'interférence des excitations dans le
nerf
; ', 'f 11 - , ' par VEDENSAY ? 1 ' -' ? *-t.'
du muscle, M. Wedensky'démontre queles ondes d'excitation dans* le
nerf
agissent'les unes sur les autres et amènent des
riences ont porté sur quatre sens : ouïe,vue/odorat,° goût. Pour le
nerf
optique, à mesure 'qu'augmente l'excitabilité é
e rouge que pour les autres. En faisant agir le pôle positif sur le
nerf
de la gustation, on augmente son excita- tabili
. L'application directe du pôle négatif affaiblit l'excitabilité du
nerf
; la' diminu- tion est moins prononcée pour les
our les substances à saveur amère. , ? Les résultats obtenus.par le
nerf
acoustique sont identiques, de sorte que l'aute
roduite par l'application du pâle négatif sur la partie centrale du
nerf
augmente l'excitabilité de celui-ci. L'applicat
f produit l'effet inverse. Dans le premier cas toutes les fibres du
nerf
sont devenues plus excitables. Dans le second c
ont pas une conséquence directe du passage de celui-ci à travers le
nerf
, mais le résultat d'une excitation méca- nique
t il était mauvais dans cette circonstance, car il fatigue vite les
nerfs
et les muscles déjà fatigués et le mal s'aggrav
complète d'une iris (12 observations), soit à une paré si d'un des
nerfs
moteurs de l'eeil (14 observations se décomposa
mplète d'une iris, exclusivement la droite, 18 fois la parésie d'un
nerf
moteur de l'oeil (oculo-moteur commun = 7 fois;
parésie d'un nerf moteur de l'oeil (oculo-moteur commun = 7 fois;
nerf
grand sympathique 11 fois). - En résumé, sur, 9
a motilité des pupilles (19 paralysies unilatérales z 32 lésions de
nerfs
). Il est bon de rapprocher de ces faits l'état
lésions de nerfs). Il est bon de rapprocher de ces faits l'état des
nerfs
crâniens. Chez les 47 ma- lades indemnes de syp
umonie, soit par obstacle alimentaire, soit par aclion trophique'du
nerf
vague. De cet examen, il résulte' qu'il y a eu
de rien préciser, car la paralysie pharyngée peut dépendre aussi du
nerf
accessoire et du pneumogastrique. 11 n'y a pas
eu blessure du pneumogastrique. Mais étant donné la position de ces
nerfs
.en cet endroit, il, est àpeine suppo- sable que
àpeine suppo- sable que'l'un ait-pu être atteint sans l'autre; 'le
nerf
. vague et-le glosso-pharyngien sont situés un p
en avant de l'accessoire et de l'hypo-losse. Intégrité des. autres
nerfs
crâniens, notamment du facial. Il est rare qu'o
oile du palais'se produire dans un cas de paralysie périphérique du
nerf
accessoire et de'l'hypoglosse, où il y avait au
e et le tapotement ; l'effleurage léger augmente l'excitabilité des
nerfs
sensitifs, de la peau, amène la contraction des
'où appel sanguin manifeste ; il exagère d'abord la sensibilité des
nerfs
sensitifs pour l'abolir ensuite presque entière
. `Y Auditif, contribution à l'étude de l'origine et du trajet du
nerf
par 61rilizew, 199. ' ` Automatisme ambulatoi
HAGIE, contribution à l'é- tude des localisations de la - sur les
nerfs
pétipliériques, par M. Cros, 233. 484 TABLE D
rapie, revue d'électrophy- siologie et d'a-, 437. " EL0\GATIO des
nerfs
, note sur l' dans l'hémiplégie spasmodique in
ir, 67.-t ? '»-- lit4 Excitations, de l'influence, des -, ? dans le
nerf
périphérique ? par Wedensky, 440. t @ 41 'u' "'
Nécrologie, Br6\,vii- Séq a d par r Dauriac,' 468.- *»--- , 1,
Nerf
moteur, des altérations du bout central du - ap
n du bout périphérique, par Darksche- witsch, 198. "" 7"AF'' uG
Nerfs
crâniens ? Là dégénérescence expérimentale -asc
es .des moteurs chez' 1'liomme, par C. Mayer, 209. -' '" . ' 'T
NERFS
périphériques. 'De ! l'emploi de la coloration
l'épididyme droit contiennent des noyaux tuberculeux. Différents
nerfs
des membres inférieurs (sciatique, sciatique po
nférieurs (sciatique, sciatique poplité externe, tibial postérieur,
nerf
du quadriceps, saphène interne) sont prélevés.
on de Goll est décoloré jusqu'à la commissure. Un certain nombre de
nerfs
des membres inférieurs (sciatique droit et gauc
che, tibial antérieur et postérieur gauches, saphène interne droit,
nerf
du triceps fémoral droit et gauche,) ont été tr
en à une section de l'axe nerveux, qu'une sclérose cicatricielle de
nerf
équivaut à une section de nerf. D'ailleurs le
ux, qu'une sclérose cicatricielle de nerf équivaut à une section de
nerf
. D'ailleurs les dégénérescences ascendantes et
cornes antérieures, les cellules des colonnes de Clat·Ire et les
nerfs
survivent à la lésion initiale au-dessous de cett
es cornes antérieures, des cellules de la colonne de Clarke, et des
nerfs
, au-dessous de la lésion maximum. Contre-partie
t leur origine dans une altération pathologique ou fonctionnelle du
nerf
cutané externe, branche du plexus lombaire. Cet
ls succès en pratiquant la résection d'une portion assez étendue du
nerf
cutané externe. L'auteur relate avec soin l'obs
est affectée, dans lequel aussi une ou deux branches cutanées du
nerf
crural antérieur sont intéressées, et l'on voit u
ptôme atypique chez le malade en question, c'est l'envahissement du
nerf
crural ; est-ce par une anastomose avec le cuta
HOLOGIE NERVEUSE. noter, envahissement de la branche postérieure du
nerf
cutané externe, ce qui ne s'est rencontré que d
e méralgie paresthé- sique complète, affectant les deux branches du
nerf
cutané externe et une ou deux branches cutanées
branches du nerf cutané externe et une ou deux branches cutanées du
nerf
crural antérieur, et compliqué de claudication
nilatérale de la moelle par une gomme siégeant au niveau du premier
nerf
lombaire. G. DENI'. III. Les maladies nerveus
le qui a porté d'abord son action sur le cerveau et ensuite sur les
nerfs
périphériques. G. D. V. Un cas de polynévrite
vation ; GO l'existence de douleurs névralgiques dans le domaine dû
nerf
occipital. L'auteur présume d'après ces symptôm
to-intoxication, le poison morbide agissant par l'intermédiaire des
nerfs
cutanés. M. H. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 53
et les agents thermiques sont à peine sentis. Cette anes- thésie du
nerf
fémoro-cutané n'est pas périphérique, elle se rat
olonnes de Clarke, cellules des cornes postérieures et antérieures,
nerfs
spinaux, nerfs craniens sensitifs et moteurs, b
ke, cellules des cornes postérieures et antérieures, nerfs spinaux,
nerfs
craniens sensitifs et moteurs, bulbe, substance
ommence par les neurones des ganglions intervertébraux, ou dans les
nerfs
péri- phériques et les racines postérieures, po
he chez l'autre), plus ou moins complète, intéressant à la fois les
nerfs
sciatique et crural, avec signe de Kernig et ab
liquide céphalo-rachi- dien) ; . 2° La douleur à la pression des
nerfs
qui indique un certain degré de névrite quel qu
'à des années. Elle s'est bien nette- ment limitée au territoire du
nerf
ou des nerfs élongés. Dans un cas de Roucoli et
s. Elle s'est bien nette- ment limitée au territoire du nerf ou des
nerfs
élongés. Dans un cas de Roucoli et dans celui d
ntrepartie de cette constatation, dans un cas d'OteroAcevodo, où le
nerf
saphène interne fut rompu, une icthyose SOCIÉTÉ
à la suite d'élongations multiples, sauf sur le territoire de ce
nerf
. MM. VASCHIDE et VURPAS présentent les lésions
porta le diagnostic : tumeur de la base située près du chiasma des
nerfs
optiques. A l'autopsie, rien de semblable, on t
bituellement d'une excellente santé. Il n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
ni de para- lysies d'aucune sorte. Il se livre
dial et cubi- tal ne donne lieu à aucune réaction. La percussion du
nerf
cubital dans la gouttière donne la réaction nor
eux côtés. Il en est de même de la réaction sensitive et motrice du
nerf
cubital percuté au-dessus de la gouttière. Rien
t une anémie relative de la moelle à la suite de la compression des
nerfs
intercostaux. Celui qui a le mieux étu- dié la
par l'action de la suspension sur les muscles, les ligaments et les
nerfs
. En ce qui concerne l'action de la suspension s
ncerne l'action de la suspension sur les affec- tions chroniques du
nerf
optique, le distingué savant russe l'explique p
xtension pro- duisent une extension des muscles, des ligaments, des
nerfs
périphériques, des racines postérieures et anté
rg, Mendel, Rosenbaum, Bélougou. -' Amélioration des troubles des
nerfs
moteurs des yeux : Ber- nhardt, Ladame, Rondel,
- ment, agit utilement sur des lésions atrophiques et d'autres du
nerf
optique, dépendant des affections médullo-cérébra
affection. » Une telle - action de la suspension sur les lésions du
nerf
optique, le professeur Bechtereff l'explique, c
tion de la région temporale dans l'ex- périence VI. - C. C'est le
nerf
vague par lequel passe le réflexe qui va de l'é
des de l'estomac. Il suffit, pour s'en convaincre, de sectionner ce
nerf
à 2 ou 3 centimètres au-dessous de l'artère sou
u laryngé infé- rieur : expérience VII. A la suite de la section du
nerf
vague droit, l'excitation de la zone corticale
quant à la section du nerl vague gauche. Après la section des deux
nerfs
, on excite en vain la zone de droite ou celle d
ents histopathologiques (altérations des cellules corticales et des
nerfs
optiques comparables aux lésions toxi-infectieu
rolongements fibril'ormes : tel est le cas des foyers d'origine des
nerfs
craniens. Beaucoup d'autres forment une couronne
ses plaques du cerveau l'une d'elles avait complètement sclérosé le
nerf
optique gauche, une autre à la protubérance occu-
la clinique où l'on con state : hypo-esthésie des trois branches du
nerf
trijumeau gauche, tic douloureux dans la même r
problèmes essentiels ; . 2° Discours de G.-I. Rossolimo. L'art, les
nerfs
malades et l'éducation. - M. le professeur v.
ssentiels au diagnostic et surtout au traitement des affections des
nerfs
périphériques; il est appelé, par suite, à rend
de troubles de la parole ou de symptômes morbides du côté d'autres
nerfs
crâniens, tels quela névralgie des branches fac
F. Contribution à la question des altérations du tronçon central du
nerf
sectionné. Chez des lapins on excisait des morc
tral du nerf sectionné. Chez des lapins on excisait des morceaux du
nerf
sciatique assez volumineux pour empêcher la rég
usqu'à 140 jours) les animaux étaient décapités. Le bout central du
nerf
sectionné est traité par l'acide osmique, d'apr
'on sociétés savantes. 249 observe dans la partie périphérique du
nerf
: seulement le proces- sus a pris plus haut un
la peut tenir au traumatisme, imprimé à la racine (extir- pation du
nerf
) ou à une névrite ascendante ou à d'autres causes
minées par un centre encéphalique, centre des centres d'origine des
nerfs
qui règlent les fonctions vitales : la moelle all
ptions bulleuses ; MOTS et H. VRIGHT, Chimie de la dégénération des
nerfs
; par 111orr et DaRRATT. -, Etude faite sur les
uée de plaie, et comme questions orales : lobe frontal, branches du
nerf
facial, faisceau pyramidal, technique du cathé-
oncles, il nous annonce qu'il a un cousin atteint d'une maladie de
nerfs
et que ses parents désirent le placer dans le m
évralgies, dont 22 sciatiques, 11 inflammations du trijumeau, 4 des
nerfs
intercos- taux, 1 du nerf occipital. Il a eu 29
es, 11 inflammations du trijumeau, 4 des nerfs intercos- taux, 1 du
nerf
occipital. Il a eu 29 guérisons, 4-améliorations.
s'est produit en trois ou quatre séances pour le triju- meau et les
nerfs
intercostaux, cinq ou six pour le sciatique, l'ac
inq ou six pour le sciatique, l'ac- tion étant plus rapide pour les
nerfs
superficiels.il s'agissait sur- tout de cas anc
cas isolés et temporairement. P. KERAYAL. XI. De l'élongation des
nerfs
dans la maladie de Thomsen ; par W. SEIFFEh. (\
idée de traiter cette hypertrophie par l'élonga- tion sanglante des
nerfs
, ayant pour but d'obtenir une rétrocession atro
ve qu'elle désire produire, ni les conséquences de l'élongation des
nerfs
sciatique et crural sur les- quels M. Gessler c
e des modifications quali- tatives de l'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles, et nous, les rencontrons aussi
r le plomb et l'alcool qui est coupable. Comment se fait-il que les
nerfs
altérés conduisent encore l'impulsion volontair
taire et non l'excitant électrique ? Pour Erb, la conductibilité du
nerf
à l'égard de l'excitant électrique dépend de l'
à penser, ajoute l'auteur, que concurremment il y a excitation des
nerfs
de l'appareil accommodateur, c'est-à-dire de la
de la tempe droite : lésion probable de l'oculo-moteur commun et du
nerf
optique à l'extrémité postérieure de l'orbite.
partie revenue. Localisation . On peut penser à une lésion des deux
nerfs
, à. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOG
la pointe de la pyramide du rocher, et, par suite, contusion de ces
nerfs
. Mais nous savons par expérience que dans ces c
tivement plus souvent lésé. On peut croire à une lésion des deux
nerfs
au moment où ils pénètrent dans la fente sphénoïd
ques de concert avec le réflexe pilaire local, sur le territoire du
nerf
atteint. Enfin il existe une tricho-hyperesthés
ssociés de la moitié de la face paralysée. A l'examen électrique du
nerf
et des muscles, simple diminution de la contrac
globe oculaire en haut et en dehors). Les réactions électriques du
nerf
et des muscles indiquèrent la gravité de ce secon
y avait abolition complète des réactions faradique et galvanique du
nerf
et abolition faradique et grande diminution de la
ns un endroit qui, étant inextensible, produit la dégénérescence du
nerf
, lorsque celui-ci augmente de volume par l'infl
faire une minutieuse exploration électrique, qui montre l'état des
nerfs
et des muscles, afin de ne pas commettre de gro
e nervosisme et des antécédents héréditaires ; 3° la compression du
nerf
. G. C. LVIII. Vertige familial; par LANNois. (S
t intervenir une méningite, don- nant secondairement des lésions du
nerf
auditif dans son trajet ou à son origine. L'aut
e utilité. » P. Keraval. LXIII. La paralysie atrophique isolée du
nerf
musculo-cutané, avec remarques sur l'action mus
s précédent. C'est un cas unique de paralysie exactement limitée au
nerf
en question atteint dans sa totalité. Le coraco-b
utané, mais peut-être aussi par les fibres du médian associées à ce
nerf
. L'atrophie des muscles atteints est considérab
nt. Quelques troubles de la sensibilité, exclusive- ment limités au
nerf
musculo-cutané, montrent que lorsqu'en pareils
e l'éminence thénar et du pouce (obs. Windscheid) il faut croire le
nerf
médian également atteint. Le pronostic n'est pa
thésie existe par plaques : elle suit parfois le trajet de certains
nerfs
intercostaux (obs. VI). Le sens de la chaleur e
es de 3° C. : cette pertur- bation est nettement limitée à certains
nerfs
. C'est la peau de la tête qui est la moins affe
e la tête qui est la moins affectée : à la tête, on voit la zone du
nerf
ethmoïdal (nasal interne) atteinte à l'exclusio
a zone du nerf ethmoïdal (nasal interne) atteinte à l'exclusion des
nerfs
cutanés limitrophes. Le sens du froid est tro
trale. Les réac- tions électriques indiquent une dégénérescence des
nerfs
. Les autopsies font encore défaut. Il y a analo
ons, également résumées, témoignent de l'idiotie, avec atrophie des
nerfs
optiques, dues à la syphilis héréditaire : elle
opère, septiquement ou aseptiquement, qu'on sectionne ou excise le
nerf
, voire qu'on le maltraite. 388 REVUE DE PATHOLO
consécutive a altéré les régions qui président à l'équilibre, aux
nerfs
et aux muscles de l'oculomoteur commun, du pathét
des troubles pupil- laires et patellaires. Atrophie commençante du
nerf
optique à droite. C'est une syphilis héréditair
il n'y a pas de signes d'une lésion des racines postérieures et des
nerfs
sensitifs périphériques, il n'y a pas d'élément
bro-spinale peut-se manifester : 1° Méningite : les paralysies des
nerfs
crâniens, tardives dans la méningite tuberculeuse
a signaler n'ayant pas vu de cas où la syphilis l'ait simulée ; 10°
Nerfs
périphériques : la névrite syphili- tique est c
ntestée par beaucoup d'auteurs, qui estiment que les altérations du
nerf
sont dues aux altérations des tissus voisins. L
crampes, ni secousses, ni dou- leurs en cemture. Aucune lésion des
nerfs
ci àniens. En ce qui louche la marche et le pro
ie bulbaire il y a toujours des symptômes relevant d'une lésion des
nerfs
crâniens, et les bras sont atteints aussi bien
ltat d'une névrite 400 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. multiple des
nerfs
de la sensibilité : on la rencontre ordinairement
flexe physiologique provoqué, dans le cas actuel, par une lésion du
nerf
sous-orbitaire, a les caractères de la contractio
ASCOVB : K communique ses observations sur la dégéné1'es- rente des
nerfs
testiculaires dans le labes. M. Trénel montre d
iculière de réaction des cellules radiculaires après la rupture des
nerfs
périphériques. M. 6. \IarlVESao.-I;n étudiant l
ructurales des cellules nerveuses radiculaires après la rupture des
nerfs
périphé- riques, j'ai eu l'occasion de rencontr
s sommes habitués de rencontrer après la solution de continuité des
nerfs
périphériques, mais, au contraire, les élé- men
me altérations spéciales au traumatisme produit par la rupture du
nerf
phériphérique ? Cette opinion n'est pas exacte, a
renté entre le pneumocoque et le ménin- gocoqué. ' G. C. XVI. Les
nerfs
de l'orbite, leurs paralysies dans les traumalism
rocher et étudie le trajet intracranien prédural et intradural des
nerfs
de l'orbite. - Pour M. Ferron les paralysies de
adural des nerfs de l'orbite. - Pour M. Ferron les paralysies des
nerfs
de l'orbite sont un symptôme fréquent des fract
thogénie, leurs conséquences, leur pronostic et leur traitement. Le
nerf
optique est le nerf le plus souvent atteint; ap
équences, leur pronostic et leur traitement. Le nerf optique est le
nerf
le plus souvent atteint; après lui, par ordre d
tteint; après lui, par ordre décroissant de fréquence, viennent les
nerfs
moteurs oculaires externe et commun, trijumeau
logiclues, l'auteur prouve qu'on ne peut rattacher la paralysie des
nerfs
moteurs ni à une lésion des centres cérébraux,
e. Sa fréquence est en raison' directe : 1° de ce que le trajet des
nerfs
moteurs les met en rapport plus intime avec la
lésions sont disséminées sur tout le tractus moteur et même sur les
nerfs
phériphériques. Les recherches bactériologiques
UE d'ensemble DE la voie optique. - Vous n'ignorez pas que tous les
nerfs
sensitifs, tant les nerfs crânio-bulbaires que
ptique. - Vous n'ignorez pas que tous les nerfs sensitifs, tant les
nerfs
crânio-bulbaires que les spinaux, prennent nais
pinaux, prennent naissance en dehors des centres nerveux. Ainsi, le
nerf
optique prend naissance dans la cou- che la plu
t de ces cellules, ne sont autres que les cylindraxes des fibres du
nerf
optique. Ils convergent vers la papille, vers l
la tache aveugle. ,Là, ils se tassent, pour constituer le tronc du
nerf
, lequel, SUR TROIS CAS D'HÉMIANOPSIE. 449 9 a
Après un trajet intra-crânien de 10 à 12 millimètres, les fibres du
nerf
optique subissent un entrecroisement partiel, d
e ces trois territoires d'aboutissement des fibres réti- niennes du
nerf
optique, le premier est de beaucoup le plus SUR
s des ganglions spi- naux. Conséquemment, les fibres rétiniennes du
nerf
optique viendraient se terminer dans les amas s
ong, qui forme le cylin- draxe de la fibre nerveuse constituante du
nerf
optique. Au delà des bandelettes optiques, les
oivent être considérées comme le lieu d'aboutissement des fibres du
nerf
optique. En outre, elle confirme les assertions
scissure calcarine doit être un lieu d'aboutissement des fibres du
nerf
optique. z qui partent de la tache jaune de cha
érale s'associent des phénomènes en rapport avec la compression des
nerfs
moteurs de l'oeil, ou du trijumeau, des phénomè
'hémianopsie. 473 rarement hémianesthésie), avec la compression des
nerfs
craniens avoisinants (oculomoteur commun, olfac
le plus sûr. le plus caractéristique des alté- rations au début du
nerf
optique. Pour savoir si le malade présente quel
es paralytiques généraux est le signe d'une atrophie commençante du
nerf
oplique; 10° les symptômes campimétriques, par
igné à ces derniers une proportion de a0 p. 100, et à l'atrophie du
nerf
opti- que celle de 4 à 4,5 p. 100, on n'admetta
cessus patholo- gique qui préside au développement de l'atrophie du
nerf
optique. A son avis, dans la papille du nerf op
ement de l'atrophie du nerf optique. A son avis, dans la papille du
nerf
optique, le tissu connectif inter- calé aux fib
peiplasie du tissu conjonctif, une inflammation inter- stitielle du
nerf
, une névrite optique interstitielle. Les phénomèn
interstitielle. Les phénomènes de l'amblyopie font supposer que le
nerf
est atteint du même pro- cessus pathologique qu
onique diffuse). Le processus inflam- matoire frappe les gaines des
nerfs
, qui constituent les prolonge- ments des envelo
matoire se localise fout au début dans la portion rétro-oculaire du
nerf
(canal optique) : la dégénérescence des fibres
L'ART. Remarques sur les -, par H. Meige, 428. Nécrologie, 431.
Nerfs
de l'orbite, par Ferrou, 425. Neurashiéme. Voir
adies nerveuses, par P. Koumdjy. 18. Thomsen. De l'élongation des
nerfs
dans la maladie de -, par Seitfer, 303. Thr
u malade, il y a 8 jours, et) l'excitation galvanique et faradique du
nerf
crural au pli de l'aine ne donnait presque aucune
dément affectée, comme cela a lieu après la section expérimentale des
nerfs
, ou dans la paralysie infantile, quand il y a des
directes, soit indirectes par l'excitation faradique ou galvanique du
nerf
), se contracte au contraire énergiquement quand,
sur ce point de théorie : l'affection articulaire a, par la voie des
nerfs
articulaires irrités, retenti sur le centre spina
i sur le centre spinal, et là il modifie les centres dont émanent les
nerfs
moteurs et les nerfs qui président à la nutrition
l, et là il modifie les centres dont émanent les nerfs moteurs et les
nerfs
qui président à la nutrition des muscles. Il ex
e une relation plus ou moins directe entre les cellules d'origine des
nerfs
centripètes articulaires et les cellules d'origin
gine des nerfs centripètes articulaires et les cellules d'origine des
nerfs
moteurs et trophi-ques des muscles extenseurs (cr
st constant, c'est-à-dire que, toujours, dans le cas d'irritation des
nerfs
du genou, c'est sur les muscles extenseurs (tri
te l'atrophie. Je dis plus spécialement, car l'irritation, partie des
nerfs
articulaires, peut se répandre par diffusion en d
nom de strychnisme; or, les irritations cutanées, les irritations des
nerfs
centripètes en général, augmentent l'excitation d
bien marquée. Il n'est pas étonnant, dès lors, qu'une excitation des
nerfs
centripètes, tendineux ou autres, déterminent les
t haletante, son corps se couvre d'une sueur froide et une attaque de
nerfs
plus Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système n
r les divers muscles qui meuvent la jointure, par l'intermédiaire des
nerfs
moteurs correspondants. » M. le professeur Duplay
e développé en conséquence de la lésion articulaire. L'excitation des
nerfs
articulaires retentit sur les centres spinaux, qu
aux, qui, à leur tour, réfléchissent cette excitation par la voie des
nerfs
moteurs sur les muscles, tant extenseurs que fléc
s. Yoici, en effet, la griffe cubitale déterminée par l'excitation du
nerf
, en arrière du coude; voici un pied-bot produit p
profondes, muscles et troncs nerveux, puisqu'on peut, en excitant les
nerfs
et les muscles, déterminer, sans que la malade so
ital antérieur ; c'est le, fiffint d'élection "pour la faradisaliondu
nerf
cubilal au niveau du poignet. Vous voyez que la f
doués ces sujets, pour provoquer les mêmes mouvements, en irritant le
nerf
avec un corps dur quelconque, avec un simple bâto
e la plus simple montre que, pour déterminer celte attitude, c'est le
nerf
médian qui est surtout en jeu, il anime en effet
ps ses douleurs, M. Charcot résolut d'avoir recours à l'élongation du
nerf
qui était en cause dans la production de la défor
ê-trière. L'opération a été faite à la partie supérieure du bras : ce
nerf
médian, soulevé sur une sonde cannelée, a été, à
«h Exemple d'une affection spinale consécutive à une contusion du
nerf
sciatique. Sommaire.— Contusion de la fesse gau
tique ayant porté son action non sur la moelle elle-même, mais sur un
nerf
périphérique. Je n'ignore pas qu'il existe déjà
tement que le lieu où le choc a porté répond exactement au trajet des
nerfs
grand et petit scialique, un peu après leur sorti
tant s'en faut1, il importe de relever cependant que la contusion du
nerf
sciatique n'est pas chose fréquente; il faut en e
, d'un brancard, d'une crosse de fusil, l'angle d'un meuble; alors le
nerf
peut être pris en quelque sorte entre la violence
ts. Il s'est agi là d'une affection limitée, exclusivement limitée au
nerf
sciatique. Les symptômes n'ont pas différé, à par
ever, et déjà, à ce moment, la douleur occupant le trajet du tronc du
nerf
sciatique et de ses branches s'était développée.
e grand trochanter ; 2° d'un point pé-ronier, répondant au lieu où le
nerf
péronier contourne la tête du péroné; 3° d'un poi
t l'atrophie frappe les muscles qui n'appartiennent pas au domaine du
nerf
où a siégé la névralgie ; ainsi, par exemple, dan
l'atrophie se produit non seulement dans les muscles innervés par ce
nerf
, mais aussi dans les muscles petit et moyen fessi
s mouvements d'adduction effectués parles adducteurs, innervés par le
nerf
obturateur, sont normaux. Il nous sera facile d
de ce même côté gauche, le petit elle moyen fessiers, innervés par le
nerf
fessier supérieur qui, lui, émane directement des
teints et profondément atteints. Or, ces muscles sont innervés par le
nerf
fessier supérieur qui, par son origine, n'a rien
en de commun avec le grand et petit scialique. Cette participation du
nerf
fessier ne peut guère s'expliquer qu'en faisant i
itrine, tandis que l'au- tre, le pôle différent est appliqué sur le
nerf
ou sur le muscle qu'on veut examiner. Ce pôle dif
onditions expérimentales chez les animaux, à la suite de sec-lions de
nerfs
. Des expériences de Erb et de Ziemssen découle, e
ique montre un état des plus graves, une modification dégénérative du
nerf
ou du muscle, à peu près certainement irréparable
t grave de la nutrition des muscles se voient dans les affections des
nerfs
périphériques (sections, lésions traumatiques, et
nt et trophiquement a donné chez lui les résultats suivants : 1° Le
nerf
crural est faradiquement et galvaniquement excita
tablir la fonction de ces muscles. 4° Pour ce qui est du domaine du
nerf
sciatique lui-même, je me bornerai à relever ce q
t bientôt le membre inférieur gauche et s'étendirent sur le trajet du
nerf
scia-tique, où. elles sont devenues continues, ma
is depuis2, et les névralgies symétriques3, occupant de préférence le
nerf
sciatique. Mais, le diabète n'est point ici en ca
'est pas la moelle et ses enveloppes qui sont enjeu, ce sont donc les
nerfs
eux-mêmes. Quelles sont les lésions qui, le plus
n cancéreuse, c'est, en conséquence de ces altérations des os que les
nerfs
sont comprimés dans les trous de conjugaison ; et
ssion qu'il faut attribuer les douleurs qui siègent sur le trajet des
nerfs
cruraux et sciali-ques. C'est là un point de phys
out entière s'affaisse, les trous de conjugaison sont rétrécis et les
nerfs
sont comprimés, tandis que les méninges et la moe
, suivant le cas, soit sur les norfs du plexus brachial, soit sur les
nerfs
inler- Charcot. Œuvres complètes, t. m, Système
Œuvres complètes, t. m, Système nerveuse. 10 costaux, soit sur les
nerfs
lombaires ou sacrés, souvent d'un seul coté, mais
xplique : 1° la bilaléralité de la sciatique ; 2° la participation du
nerf
crural ; 3° l'exaspération de la douleur lorsque
s'accompagne généralement pas de douleurs pseudo-névralgiques, si les
nerfs
ne sont pas eux-mêmes atteints. II. Le deuxième
out s'apaise. C'est la méninge qui en est cause, ou mieux ce sont les
nerfs
qui la traversent, mais non la moelle. La deuxi
néralisée est indépendante de toute lésion des centres nerveux ou des
nerfs
périphériques. 11 s'agit donc ici d'une maladie p
cle est complètement indépendante de toute lésion de la moelle et des
nerfs
. Et à ce propos, je dois rappeler combien j'ai pr
qu'il n'existait aucune lésion, soit de la moelle épinière, soit des
nerfs
périphériques. Il s'agit donc encore dans ces cas
suite de chagrins et de pertes d'argent, il a souffert d'attaques de
nerfs
sur la nature desquelles le malade ne peut qu'imp
s âge. Des cinq qui vivent encore,une fille de 15 ans a des crises de
nerfs
; une autre,âgée de 10 ans, a des attaques d'hysté
de ses sœurs, âgée de 16 ans est sujette à de fréquentes attaques de
nerfs
. C'est un jeune homme d'apparence solide, bien mu
ent dans celle-ci : zone d'anesthésie correspondant au territoire des
nerfs
atteints ; troubles trophiques, modification des
présenté d'accidents nerveux. Sa sœur est souvent prise d'attaques de
nerfs
, probablement de nature hystérique. Il n'y a pas,
-jointes (Fig. 54 et 55), avec le mode de distribution anatomique des
nerfs
cutanés du membre supérieur. Vous voyez, en eff
s, avec perte complète de la sensibilité de la peau, des muscles, des
nerfs
, des tendons, des capsules articulaires, etc. ; p
actères cliniques? Relève-t-elle d'une lésion plus ou moins grave des
nerfs
périphériques, conséquence d'une contusion ou d'u
ie moyenne de la 1. .V l'exception de la brancha communicante du 4e
nerf
. région métacarpienne. Voilà, certes, une dispo
ition qui n'est nullement en rapport avec la distribution cutanée des
nerfs
de Fig. 58 et 50. —Observation tirée du travail
al pour la face palmaire) et vous avez compris que l'intégrité de ces
nerfs
cutanés de la main ne saurait s'expliquer dans la
symptômes observés chez notre malade ne relèvent pas d'une lésion des
nerfs
du plexus brachial. Nous nous sommes fondé, entre
avons dû rejeter l'existence d'une lésion spinale et d'une lésion des
nerfs
périphériques. De quoi s'agit-il donc alors? A n'
le, dans l'hypothèse d'une lésion organique cérébrale, spinale ou des
nerfs
périphériques, se montre, au cou- traire, d'une
ès près, mais ne répond nullement, en tout cas, à la distribution des
nerfs
sensitifs émanant du plexus brachiall. Je ne voud
ement lui-même. Elle est le courant nerveux actif qui, dirigé sur les
nerfs
appropriés, donne réellement lieu au mouvement ex
ne névralgie, d'une hyperesthésie, si vous voulez, des extrémités des
nerfs
articulaires, qui peut siéger sur diverses jointu
cher ce membre sans que l'enfant soit pris d'une véritable attaque de
nerfs
. Dans le sommeil chloroformique, on constate l'ex
baden, 1885, p. 78 et s. il ne saurait s'agir ici de la lésion d'un
nerf
en particulier, — il se produit une aneslhésie cu
œurs, morte dernièrement de fièvre typhoïde, avait eu des attaques de
nerfs
. Lui a été atteint d'une fièvre typhoïde, à la
arait nullement nerveux et ne sait pas ce que c'est qu'une attaque de
nerfs
. Il est plutôt lent, apathique, mou, torpide, et
des réactions électriques absolument normales. Il en est de même des
nerfs
. La faradisation qui fait énergiquement contracte
où elles mettent en jeu les muscles » (loc. cit., p. 305). «Comme les
nerfs
reçus par les muscles sont principalement des ner
305). «Comme les nerfs reçus par les muscles sont principalement des
nerfs
moteurs qui y conduisent le stimulus émané du cer
dans la sensation proprement dite, d'une influence transmise par les
nerfs
centripètes» (loc. cit., page 59). « Dans l'acte
, elle n'est rien autre chose qu'une excitation naissante de tous les
nerfs
affectés à cette fonction, qui précède leur excit
scarlatine, et, dans la convalescence, elle a été prise d'attaques de
nerfs
ayant, d'après ce qu'elle nous dit, présenté les
de toute lésion matérielle de la substance grise de la moelle et des
nerfs
périphériques. C'est là une première donnée très
lte d'une lésion organique des cornes antérieures de la moelle ou des
nerfs
moteurs et qui constitue le type delà lésion trop
nt dynamique du système nerveux; les centres gris de la moelle et les
nerfs
périphériques sont normaux ; l'atrophie musculair
dépendante de toute lésion des cornes antérieures de la moelle et des
nerfs
moteurs. Dans ce cas, il ne peut môme plus y avoi
qui fait le sujet de l'observation I, cherche dans une paralysie d'un
nerf
spécial l'explication des phénomènes d'aphonie et
phtisie, à 24 et 26 ans. L'une d'elles était sujette à des crises de
nerfs
et à des attaques de sommeil cataleptiques. « Au
à démontrer que cette sorte de mutisme est due à une paralysie de ce
nerf
, lors même qu'on observe souvent le mutisme sans
e laryngé supérieur peut être seul atteint par l'hystérie et que ce
nerf
jouit du triste privilège d'être facilement influ
N. exemple d'une affection spinale consécutive a une contracture du
nerf
sciatique. Sommaire. — Contusion de la fesse
rvent dans celle-ci: zone danesthésie correspondant au territoire des
nerfs
atteints : troubles trophiques, modification des
malades du lieu où s'est développée l'hystérie, 240. Elongation du
nerf
médian dans un cas de contracture traumati- q
eignement, 3. Sclérose musculaire, 409. Sciatique (Contusion du
nerf
), 124; — double chez une cancéreuse). 140 ; — dou
. Spinale (Exemple d'une affection — consécutive à une contusion du
nerf
sciatique), 125. Spiritisme, son influence et c
tenue par l'excitation du tendon et celle qui suit l'excitation des
nerfs
ou du corps du muscle lui- même. § IL EXCITAT
on des nerfs ou du corps du muscle lui- même. § IL EXCITATION DES
NERFS
. L'excitation mécanique des nerfs produit la co
ui- même. § IL EXCITATION DES NERFS. L'excitation mécanique des
nerfs
produit la contrac- ture des muscles auxquels i
, autant que possible, ce qui appartient à la seule excitation du
nerf
, nous avons choisi, pour les soumettre à l'expéri
nt accessibles à l'excitation mécanique. Griffe cubitale. Parmi les
nerfs
qui peuvent satis- faire à ces conditions, le n
tale. Parmi les nerfs qui peuvent satis- faire à ces conditions, le
nerf
cubital dans la région du coude, est certaineme
uve sa raison d'être dans la distri- bution spéciale des rameaux du
nerf
cubital aux muscles de l'avant-bras et de la ma
cubital aux muscles de l'avant-bras et de la main. 1 En effet, le
nerf
cubital fournit des rameaux aux Fig. 10. - Grif
tit doigt et à l'annulaire reçoivent seuls leurs rameaux nerveux du
nerf
cubital, le nerf médian inner- vant les deux fa
annulaire reçoivent seuls leurs rameaux nerveux du nerf cubital, le
nerf
médian inner- vant les deux faisceaux externes)
ivant : Action individuelle de chacun des muscles innervés par le
nerf
cubital. Cubital antérieur. Fléchisseur de la m
ale que prendra la main, lorsque tous les muscles innervés par le
nerf
cubital entreront simultanément eu action. Nous
tit palmaire, dont l'action est plus efficace, ne relèvent point du
nerf
cubital. Le cubital antérieur n'est pas adducte
qui président à ces mouvements, ne recevant aucun filet moteur du
nerf
cubital. L'adduction du pouce avec flexion de l
librement. Les interosseux sont les seuls muscles innervés par le
nerf
cubital, de tous ceux qui meuvent l'index et le
t d'actions musculaires plus complexes. Les muscles innervés par le
nerf
cubital et qui ont quelqu'action sur ces deux d
tranger au mouvement de flexion ; il reçoit ses filets moteurs du
nerf
médian, et son action porte principalement sur
e cubitale. D'ailleurs la faradisation, chez des sujets sains, du
nerf
cubital au niveau de l'épitrochlée, ne nous a pas
ela, pour deux raisons principalement : d'abord, la faradisation du
nerf
cubital demande une assez grande intensité du c
a main une attitude qu'il est facile d'analyser. La faradisation du
nerf
cubital en arrière de l'épi- trochlée nous a do
nomalie pourrait s'expliquer par une dis- tribution plus étendue du
nerf
cubital au muscle tié- 68 PHYSIOLOGIE PATHOLOGI
ervés par le médian recevraient, en cette hypothèse, des rameaux du
nerf
cubital qui in- nerve déjà les deux faisceaux i
ur du muscle des anastomoses nombreuses entre les terminaisons du
nerf
cubital et celles du médian, et que, par l'inter-
l'inter- médiaire de ces anastomoses, l'excitation portée sur le
nerf
cubital pourrait s'étendre plus ou moins aux ra-
- mifications voisines du médian. Griffe médiane. L'excitation du
nerf
médian un peu au dessus du pli du coude donne d
alors une attitude qui trouve sa raison dans la distri- bution du
nerf
médian et la physiologie des muscles que ce ner
istri- bution du nerf médian et la physiologie des muscles que ce
nerf
tient sous sa dépendance. Mais ici, la loca- li
loca- lisation est plus difficile; entouré de parties molles, le
nerf
fuit l'excitation si elle n'est faite franchement
n peu d'habitude, ou arrive assez fa- cilement à isoler l'action du
nerf
. Nous rappellerons en quelques mots les notions
elques mots les notions ana tomiques relatives à la distribution du
nerf
médian à l'avant-bras et à la main. Le nerf m
à la distribution du nerf médian à l'avant-bras et à la main. Le
nerf
médian fournit des rameaux aux muscles suivants
cles de l'éminence thénar moins l'adducteur du pouce innervé par le
nerf
cubital. Quelle est maintenant l'action partiel
partielle de chacun de ces muscles ? Comme nous avons fait pour le
nerf
cubital, nous résumerons ce que la physiologie
au suivant : Action partielle de chacun des muscles innervés par le
nerf
médian. Rond pronateur. Pronateur et fléchiss
par les lombricaux qui suppléent les inter- osseux innervés par le
nerf
cubital et dont l'action d'exten- sion sur les
plet revient présenter en avantsa face palmaire. Griffe radiale. Le
nerf
radial n'échappe pas à la loi et son excitation
la distribution de ses rameaux peut facilement faire prévoir. Le
nerf
radial innerve sans exception tous les mus- cle
nt, de l'action physiologique de chacun des muscles innervés par le
nerf
radial. En effet, l'attitude que prend l'a main
E SUR LES ARTHROPATHIES TABÉTIQUES. 75 de l'excitation mécanique du
nerf
radial au point in- diqué, a pour caractères (F
PHYSIOLOGY OF THE CHORDA TYMPANI NERVE (Anatomie et physiologie du
nerf
de la corde du <yH ! caK); par HORATIO B. BI
yer de bons réactifs et de forts grossissements. Elle fait suite au
nerf
de Wrisberg, qui se con- tinue avec elle sans i
ec elle sans interruption, à travers le ganglion géniculé. Enfin le
nerf
de Wrisberg naît d'un amas gris, mal délimité,
acoustique supérieur, sur le pro- longement de la colonne grise des
nerfs
sensitifs. Ce dernier point a été établi par Sp
ntroversées tandis que Lussana et Schiff s'accordent pour y voir^un
nerf
de sensi- bilité spéciale, M. Vulpian, répétant
nce de voisinage. 3° La section de la corde du tympan ou celle du
nerf
de Wrisberg, entraînent l'abolition immédiate d
et qu'ils correspondent aux points d'immergence ou d'émergence des
nerfs
musculaires ; et Duchenne n'i- gnorait point ce
RIQUES. 183 à la même excitation, que ce soit un autre muscle, un
nerf
ou un tendon. Ainsi, en comprimant le tendon du
s causes d'erreur dont nous parlons, si l'organe à exciter, tendon,
nerf
ou muscle, se trouve parfaitement seul intéress
ésultent : a) Des variétés individuelles dans la distribution des
nerfs
moteurs; b) Des variations que subissent, suiva
té n'est pas exactement mesurée, peut gagner les or- ganes voisins,
nerfs
ou muscles. A ces difficultés s'ajoutent, au su
nne, : , : 1° Des variations individuelles dans la distribution des
nerfs
de la face, qui peuvent faire rencontrer une br
obte- nir parla pression du point (Fig. 16, 1) qui correspond au
nerf
frontal, ou par la pression portée sur un point
laires elles-mêmes, ou, indirectement,* par l'intermé- diaire du
nerf
moteur qui lui est destiné. t ÉTUDE DE HYPNOTIS
u'elle ait.'été produite par i(I'excitation des tendons, t> des»
nerfs
ou des.muscles'eux-mêmes;') · lplm : 'l'ir,1 1"
étant en complète résolution, nous touchons avec précau- tion le
nerf
cubital droit, en arrière de l'épitrochlée, et,
sée au même groupe musculaire, à celui qui reçoit les rameaux du
nerf
cubital. En un mot, la main droite est redevenu
ant de la contracture localisée due à l'excitation mécani- que du
nerf
ou du corps musculaire lui-même. Il en est de m
re anémié, nous frois- sons avec le doigt, à plusieurs reprises, Je
nerf
cubital en arrière de l'épitrochlée. Il ne se
gée ''dans l'état léthargique . et l'excitation mécanique portée au
nerf
cubital du i membre anémié, à la région, du. co
troisième circonvolution frontale comme le point où aboutissent les
nerfs
qui animent les muscles de l'appareil de la pho
elatifs aux altérations de* la moelle, des méninges spinales et des
nerfs
, et aux manifesta- tions qui les traduisent. L'
) ; lésion des cellules trophiques du facial (Hammond) ; névrite du
nerf
facial (Rosc-nthal) ; atrophie pri- mitive du t
ourants continus, la galvanisation du centre géîii*to-spi2zal et du
nerf
splanclmique. Pendant les plus violentes douleu
lle (perception sensorielle'consciente) et par la' moelle allongée (
nerf
vagué et' trijumeau)1, lui parait démontrée par
par Salzer à des modifications anatomiques dans la structure des
nerfs
, érecteurs ou à leur^ compression par, des gangli
es portions avoisinantes de l'hémisphère droit, de la paralysie des
nerfs
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 351 1 optiques
au niveau.de l'orifice interne du conduit auditif, comprimant les
nerfs
acoustique et facial.- Enfin, un nombre assez con
ymp- tômes répondaient exactement à la compression des différents
nerfs
. Ptosis, strabisme, paralysie et anesthésie facia
es muscles respiratoires par com- pression brusque des origines des"
nerfs
? phréniques'et'autres;'Le 'sang'prôvénait'd'ur
estion ou de l'oedème péri papillaire ; plus tard, de l'atrophie du
nerf
optique. Les pupilles,- qui, au moment des.vert
es des hallucina- tiens seraient pour lui un garant de la lésion du
nerf
acoustique pour ui un garan 1 wlm ... h ill·. W
cinations périphériques, celles qui dépendent de, l'excitation Ides
nerfs
sensoriels') (tels les'éblouissements'tin touin
f1f141r11mkn ? « La section de, la moelle, au-dessus de l'origine des
nerfs
splan7 chniques, est ordinairement accompagnée'
its et'montrent bien^qu'à la suite de l,irri tation, prolongée d'un
nerf
sensitif, l'abaissement; de la tempé- rature n'
les'de la pression- artérielle. Si maintenant on vient à exciter un
nerf
sensitif après avoir séparé le bulbe'de)la prot
contre, en séparant le bulbe de la protubérance ? et en coupant les
nerfs
splanchniques,,on voit la pression ! artérielle -
ielle - s'élever quand l'asphyxie se produit ou si l'on irrite un'1
nerf
sensitif : (Expériences 98 à 109.) ' h > ? "
q, il 1 : n' , f) si ti u t u , - Il h 1 ' J.iq . - VII. Lésion du
nerf
sciatique poplité externe dans les fractures de l
té, externe avec cette partie de l'os, expliquent les lésions de ce
nerf
, ! tantôt contusion, tantôt tiraillement immédi
consécutives/ soit à l'emprisonnement', soit à la com- pression du
nerf
par le cal. Les troubles de. la sensibilité et de
ique, notamment sur les Localisations cérébrales, et sur {'Etat des
nerfs
et des os dans les moignons d'amputés, et les r
delssohn, 149, " 'a Corde du tympan (anatomie et phy- siologie du
nerf
de la), par H.-B. 'll BigelOV,` 126. yUi "u · .
n du côté gauche. Contraction du muscle. Fig. 12. - Excitation du
nerf
facial en avant de l'oreille du côté droit. Con
du côté inféro-nasal (disposition anormale, mais non pathologique)
nerf
absolument sain. Examen olo-rhino-larg>ngosc
de l'autre, une théorie nerveuse qui plaçait la lésion tantôt dans le
nerf
facial, tantôt dans le sympathique, tantôt dans
miatrophie ne se limite pas au territoire de l'un ou l'autre de ces
nerfs
. Le sympathique a bien un territoire aussi vast
siste moins longtemps à gauche qu'à droite. L'examen électrique des
nerfs
et des muscles pratiqué par M. Huet n'a montré
isation précise pourrait tenir à la multiplicité des organes et des
nerfs
intéressés, de tels faits ne disent rien ni pou
tivement, par la pure sensation, nous ne savons rien du lieu où les
nerfs
qui nous communiquent la sensation sont ébranlés.
x,des corps genouillés; des bandelettes optiques, du chiasma et des
nerfs
optiques. Le cervelet est très congestionné; il
les latéraux, les deux putamens. les corps genouillés externes, les
nerfs
optiques et la rétine. Les méthodes employées son
issent peu altérés; leurs grosses cellules paraissent saines. Les
nerfs
optiques et la rétine semblent normaux. Pas de
t gagné plusieurs kilogs en peu de jours. L'examen électrique des
nerfs
el des muscles a révélé les particularités suiv
a révélé les particularités suivantes : Excitabilité faradique.
Nerfs
. - Est diminuée. Semble en outre plus faible aux
inale. A la face, au contraire, l'exploration, qu'elle porte sur le
nerf
ou sur les muscles, produit une contraction bru
il met les doigts dans la gorge pour provoquer les vomissements. Le
nerf
cubital, dans la gouttière du coude, est peu sens
és de ce grand plateau osseux, en arrière de l'hypophyse, sont deux
nerfs
qui s'enfoncent dans la paroi osseuse, par un ori
ncent dans la paroi osseuse, par un orifice au Scui.MA ne 1. N. 01.
nerf
olfactif. -N. Op. nerf optique.- N. p. nerf pathé
euse, par un orifice au Scui.MA ne 1. N. 01. nerf olfactif. -N. Op.
nerf
optique.- N. p. nerf pathétique. N. m. o. c. ne
au Scui.MA ne 1. N. 01. nerf olfactif. -N. Op. nerf optique.- N. p.
nerf
pathétique. N. m. o. c. nerf moteur oculaire co
olfactif. -N. Op. nerf optique.- N. p. nerf pathétique. N. m. o. c.
nerf
moteur oculaire commun. - N. f. nerf facial. N. t
. nerf pathétique. N. m. o. c. nerf moteur oculaire commun. - N. f.
nerf
facial. N. tr. nerf trijumeau. - N. a. nerf aco
N. m. o. c. nerf moteur oculaire commun. - N. f. nerf facial. N. tr.
nerf
trijumeau. - N. a. nerf acoustique. N. gl. pn.
culaire commun. - N. f. nerf facial. N. tr. nerf trijumeau. - N. a.
nerf
acoustique. N. gl. pn. sp. nerfs glosso-pharyngie
ial. N. tr. nerf trijumeau. - N. a. nerf acoustique. N. gl. pn. sp.
nerfs
glosso-pharyngien, pneumo-gastrique, spinal. N.
n. sp. nerfs glosso-pharyngien, pneumo-gastrique, spinal. N. g. hy.
nerf
grand hypoglosse. - N. m. o. e. nerf moteur ocu
umo-gastrique, spinal. N. g. hy. nerf grand hypoglosse. - N. m. o. e.
nerf
moteur oculaire externe. G. P. glande pituita
ux qui tapisse la gouttière et repré- sente la dure-mère ; ces deux
nerfs
sont le trijumeau et l'auditif. La partie posté
la gouttière, on voit des petites saillies qui correspondent à des
nerfs
passant par des trous de conjugai- son. La co
constate une disposition spéciale : , de cette racine se détache un
nerf
, qui dans la gouttière se porte en arrière et v
squelette avec le cône Lerntin.tl, les ganglions sen- sitifs et les
nerfs
. - t, Ics les deux <'pendîmes du cône terminal
nglion du sympathique sacré; 6, ganglion scnsitti sacré supérieur; 7,
nerf
sortant par le trou sacre antérieur; 8, vertèbr
corce cérébrale, enfin au centre une couche de fibres nerveuses. Un
nerf
optique se constitue ; passant par le trou opti
dure-mère. - g s. ganglion sensitif. 0 s. plan osseux. - N. phr.
nerf
phrénique. G. S. grand sympathique. PI. Br. ple
es neurones normaux, qui envoient des rami-communicantes à tous les
nerfs
qui émanent des ganglions sen- sitifs. Les ne
antes à tous les nerfs qui émanent des ganglions sen- sitifs. Les
nerfs
émanés des ganglions sensitifs peuvent être suivi
te. Les muscles sont bien proportionnés et nulle- ment atrophiés.
Nerfs
crâniens. Les nerfs crâniens, après un court tr
ien proportionnés et nulle- ment atrophiés. Nerfs crâniens. Les
nerfs
crâniens, après un court trajet à l'intérieur du
nor- male. Nous avons déjà signalé l'ophtalmique. Schéma no 4. -
Nerfs
crâniens. 140 BRISSAUD ET BRUANDET A la fente
ns. 140 BRISSAUD ET BRUANDET A la fente sphénoïdale passent les 3
nerfs
moteurs de l'oeil. Le moteur oculaire commun et
oïdale ; à leur terminaison centrale ils présentent, comme tous les
nerfs
, une section plane ; dans l'orbite ils s'accolent
arriver la fente sphénoïdale il est beaucoup plus long que les deux
nerfs
précédents ; il a un long trajet entre la dure-mè
rs le rachis cervical par un trajet de 1 centimètre 1/2 environ. Ce
nerf
moteur oculaire externe se fusionne avec les pr
n visible, se rend à un ganglion de Gasser d'où divergent les trois
nerfs
ophtalmique, maxillaire supérieur et maxillaire
rfs ophtalmique, maxillaire supérieur et maxillaire inférieur. Le
nerf
facial est trouvé en avant et en dehors du gangli
aciale et temporo-faciale aux muscles superficiels de la tête. Le
nerf
auditif que l'on reconnaît facilement au fond de
arrière du précédent; alors il vient se jeter dans le ganglion des
nerfs
précédents, puis s'en sépare et se distribue à
tribue à la langue sans anomalie. La dissociation de ces différents
nerfs
au niveau du ganglion commun était possible, ma
sion du grand hypoglosse était moins mar- quée que celle des autres
nerfs
. En résumé, tout le système nerveux périphériqu
ces conditions une question se pose : quelle est ici l'origine des
nerfs
moteurs qui à l'état ordinaire, exige, en quelque
existence macroscopique UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 141 de
nerfs
purement moteurs (nerfs moteurs de l'oeil, facial
UN CAS d'ANENCÉPHALIE AVEC AMYÉLIE 141 de nerfs purement moteurs (
nerfs
moteurs de l'oeil, facial, spinal, hypo- glosse
us à l'état frais nous n'avons pas pu faire cette constatation. Les
nerfs
moteurs pourraient être, en somme, réduits à leur
ort avec le système ganglion- naire : ganglion ophtalmique pour les
nerfs
moteurs de l'oeil, géniculé pour le facial, ple
rigine sympathique. Cependant vu le volume à peu près normal de ces
nerfs
moteurs, vu leur distribution régulière par des
s neurones moteurs ont existé pendant un certain temps et alors les
nerfs
évoluaient normalement; puis les neurones ayant
nerfs évoluaient normalement; puis les neurones ayant disparu, les
nerfs
périphériques ont continué à subsister et ont c
rs en s'appuyant sur cette constatation (spéciale à son cas) que le
nerf
facial était absent ou représenté seulement par q
ibres motrices; cet auteur a constaté dans deux cas l'existence des
nerfs
moteurs crâniens et, en outre, au devant des ga
aires anormales ; au niveau des soudures costales, ces vaisseaux et
nerfs
passaient en de- dans du plan osseux, souvent a
ur a débuté. C'est en effet à ce niveau (C. VIII, D.I), origine des
nerfs
sensitifs et moteurs (cubital et médian) de la ma
ment la moitié droite dans la région correspondante à l'origine des
nerfs
du bras. A ce niveau, non seulement les cornes an
son centre et occupe sa position normale en arrière du chiasma des
nerfs
optiques. En avant de ce chiasma, on trouve la su
de la région antérieure de l'hy- pophyse et passant entre les deux
nerfs
optiques, sans les comprimer, s'en- fonce, par
oeuf de pigeon ; elle avait excavé la selle turcique, comprimé les
nerfs
optiques; l'examen histo- logique démontra qu'e
ire et le prolongement intra- cérébral de la tumeur, le chiasma des
nerfs
optiques avait échappé à toute compression : il
ullaires ordinairement symétriques ; - une affection localisée à un
nerf
périphérique : paralysie du médian, avec la fle
ne suffirait pas, en l'absence de tout autre symptôme, à donner au
nerf
radial une importance que la suite de la discus
ssion attribuerait plus justement dans l'hypothèse de paralysie, au
nerf
sous-scapulaire innervant le muscle sous-épineux.
n dans le chapitre, ainsi intitulé, des maladies des muscles et des
nerfs
en particulier, de M. Hallion, in Traité de méd.
abilité électrique est aussi normale. L'excitabilité électrique des
nerfs
moteurs nor- male. Tous les mouvements actifs e
ce de la graisse qui siège ha- bituellement dans cette région. Le
nerf
médian faisait complètement défaut dans toute la
nacré (Voy. pi. L111, fig. A, a). Ce cylindre n'est autre que le
nerf
médian que l'on peut poursuivre jus- XVI 22 3
ant-bras et de la main, oul une couleur et un volume normaux. Les
nerfs
radial et cubital ne présentent rien de pathologi
large résection chirurgicale ancienne, nécessitée par une tumeur du
nerf
dont le tronc respecte offrait encore la trace so
Société anatomique, janvier il Pi'.uaihe et MALLY, De la résection du
nerf
médian (Revue.'de chirurgie, nov. 1900). Nouv
bilité tactile ni de la motilité. A aucun moment la pression sur ce
nerf
n'a.été douloureuse. En 1898,elle était molla
une languette fibreuse aux tissus voisins. Il résèque le moignon du
nerf
à 1 cent. 1/2 du tronc qui en part et qui a près
r Meslay, a montré une dissociation par des cellules adi- peuses du
nerf
dont la charpente conjonctive est épaissie et scl
lleslay, d'un lipome diffus dissociant avec sclérose fasciculée du
nerf
. Au centre des faisceaux, les tubes nerveux, pr
2° La persistance des diverses sensibilités dans tout le domaine du
nerf
, sauf à la pulpe de l'index, constatée par Péra
imitée, le retour presque parfait delà sensibilité dans le domaine du
nerf
malgré la non-réunion des deux bouts demeurés d
mpatible avec ce que l'anatomie nous enseigne sur le territoire des
nerfs
et semble impliquer l'existence d'anastomoses pér
325 tout par coupes. Nous croyons, en effet, que, pas plus pour les
nerfs
que pour les autres organes, le procédé de diss
ne donne que des renseignements parfaitement insuffisants. Dans les
nerfs
, comme dans les autres cellules, il faut cherch
lll'O- blasles disposés bout à bout. Nous croyons, en outre, que le
nerf
n'est pas un simple conducteur, mais que ses ne
olume et occasionne des douleurs irradiées dans le territoire de ce
nerf
. A l'âge de 23 ans les troubles sensitifs néces
rogressivement dans la plus grande étendue du territoire digital du
nerf
, pour rétrocéder et disparaître plus tard sans
scuter dans cette observation : La nature de la lésion primitive du
nerf
; la persistance et la régénération du bout pé-
P. Marie, Dejerine, etc., mais qu'en outre tout le bout central du
nerf
subit des modifications plus ou moins marquées.
s prolon- gements protoplasmiques, et le cylindraxe périphérique du
nerf
corres- pondant qui en représenterait un prolon
o-spinale (Bier- vleit, Bechterew), ce qui explique la présence des
nerfs
périphériques chez les monstres privés de systè
G. Durante, Brissaud etBruandet). Il se pourrait même que certains
nerfs
naissent aux dépens de l'ectoderme ailleurs qu'
brilles, fusionnées à leurs extrémités, constituent, dans l'axe des
nerfs
, un conduc- teur ininterrompu quoique d'origine
de au Neurone. Selon la loi de Waller, le bout pliéi-iphérique d'un
nerf
séparé de son c tre trophique dégénère et dispa
scles placés dans des conditions analogues (1). Cette régression du
nerf
n'est, du reste, pas absolument constante lors-
marquée des racines antérieures, ne correspondait aucune lésion des
nerfs
périphériques. Babinsky, Pitres, Kronthal, Pile
, dont un certain nombre respectés suffiraient à entretenir dans le
nerf
un faible influx nerveux capable de maintenir s
le bout périphé- rique, après réunion, la formation segmentaire du
nerf
aux dépens des cellules fusiformes remplissant
ts. Enfin, la Physiologie (avalanche de Pflüger) nous montre que le
nerf
n'est pas un conducteur inerte comme un fil de
e retour rapide de la sensibilité, après suture des deux bouts d'un
nerf
sectionné, qu'Arloing et Tripier ont attribué à u
vec infiltration adipeuse ayant nécessité une large résection de ce
nerf
. A l'autopsie pratiquée quatre ans après, les d
ine est infirmée par un ensemble de travaux récents montrant que le
nerf
est, non pas formé par un prolongement cellulai
t une simple régres- sion cellulaire dans le bout périphérique d'un
nerf
sectionné, on comprend que celui-ci puisse pers
un plus fort grossissement. BIBLIOGRAPHIE Alexander. Résection du
nerf
médian pour un névrome (Dissert. chirurg. De Tu
ven (Virch. Arch. LV1. Berg. Contrib. à l'étude de la moelle et des
nerfs
chez les amputés. Thèse de Pa- ris, 189G. Ber
nerfs chez les amputés. Thèse de Pa- ris, 189G. Berger. Suture du
nerf
cubital pour une blessure remontant à plus de 4 m
de Biol., 1886). Darkschewitsch. - De la dégén.-dite rétrograde du
nerf
périph. (Rev. de méd. Russe, 1897). Dejerine
1897). Dejerine et Mayor. Rech. sur les altér. de la moelle et des
nerfs
du moignon chez les amputés d'ancienne date (So
., X, 1891). Durante (G.). De la dégénérescence rétrograde dans les
nerfs
périphériques et dans les centres nerveux (Soc.
ncet, 1899). Klippel et Durante. Dégénérescence rétrograde dans les
nerfs
et les entres. (Rev. de méd., 1895). Klippel.
ément). La régén. des fibres nerveuses à la suite de la section des
nerfs
(Arch. ital. de . Biol., 1898). Marie (P.). L
rd, 1899). Philippeaux et Vulpian. - Rech. expér. sur la régén. des
nerfs
séparés des cen- tres nerveux (Soc. de Biol., 1
tem. (lahrb. f. Psych., XVIII, 1899). - Pitres. Sur la régén. des
nerfs
periph. après destruction des cell. des cornes an
Congres., 1900). Schiff. Quelques considérations sur la régén. des
nerfs
sectionnés (Sem. méd., 1881). Siemerling. Z.
tosis.Edinbourg, 1900. Tillais. - Sur les lésions chirurgicales des
nerfs
(Thèse d'agrégation, 1866). Tizzoni. Sulla pato
ce de modifications dans l'excitabilité mécanique et électrique des
nerfs
moteurs et des muscles. Ces modifications ont été
e les modifications de l'ex- citabilité mécanique et électrique des
nerfs
et des muscles avaient de carac- téristique dan
Il les résume ainsi (l. c. p. 124) : « L'excitabilité mécanique des
nerfs
moteurs est normale ou diminuée, celle des mus-
tonique, longue- ment persistante). L'excitabilité faradique des
nerfs
est normale, celle des muscles est un peu augme
ion paresseuse, to- nique, longuement persistante. L'excitation des
nerfs
par de forts courants faradiques, produit aussi
solés d'ou- verture ne produisent, par contre, aussi bien -pour les
nerfs
que pour l'ex- citation directe des muscles, qu
tractions irrégulières, ondulatoires. L'excitabilité galvanique des
nerfs
est normale, plutôt un peu diminuée (apparition
ours et partout brèves et sans persistance. L'excitation labile des
nerfs
peut provoquer aussi des contractions persistante
nt ici les troubles de l'excitabi- lité mécanique et électrique des
nerfs
et des muscles que nous étudierons plus longuem
nous étudierons plus longuement au cours de ce travail. Pour les
nerfs
moteurs, l'excitabilité mécanique est diminuée. L
nsité devient plus grande que le tétanos produit dans le domaine du
nerf
excité se prolonge un peu au delà du temps de l
et celle de l'excitabilité mécanique, faradique etgal- vanique des
nerfs
moteurs. I Excitabilité DES muscles par LES c
oit par l'intermédiaire du ligament dentelé soit parles racines des
nerfs
. Il est facile de se convaincre que la distension
grise profonde des ventricules, celle de l'écorce cérébrale et des
nerfs
crâniens. Cette hypothèse trouve sa confirmatio
ension exerçait sur les symptômes céphaliques en général et sur les
nerfs
optiques atrophiés en particulier est parfaite-
de l'application de ce traite- ment aux maladies où les noyaux des
nerfs
crâniens sont intéressés; de même l'hyperhémie
s symptômes céphaliques s'explique par l'hyperhémie du bulbe et des
nerfs
crâniens. Sous l'influence de cette hyperhémie la
E ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. tension du tissu interstitiel des
nerfs
grâce à laquelle la compression des fibres nerv
us deviennent dans ces conditions imbibés en quel- que sorte et les
nerfs
sont gonflés. Est-ce là surtout qu'il faut cher
t qu'il faut chercher la cause de l'action de la suspension sur les
nerfs
périphériques ou faut-il considérer la distension
it été bien por- tante jusque là et n'avait jamais eu d'attaques de
nerfs
. En août 1890, elle commença à souffrir de maux
rant galvanique nous apprenait que les muscles mimiques et les deux
nerfs
faciaux étaient t en parfaite santé, il n'y ava
l n'y avait pas trace de réaction de dégénérescence, seu- lement le
nerf
facial droit entrait un peu moins facilement en c
, soit étrangère. Le seul cas que nous ayons pu trouver où les deux
nerfs
fa- ciaux étaient affectés, est celui de M. Cul
amille. Mère âgée de 33 ans, nerveuse, coléreuse; pas d'attaques de
nerfs
. Elle a trois frères et une soeur en bonne sant
se, c'est le rétrécissement des trous de conjugaison aveclésiou des
nerfs
correspondants. De lil des névralgies intercost
douleur' ? Tout porte il croire qu'il s'agit d'une /compression des
nerfs
intercostaux au niveau de la concavité de la cour
rite des racines postérieures delà queue de cheval et de différents
nerfs
périphériques. On note simplement : « Arthropat
e. Lésions intenses des racines postérieures lombaires et de divers
nerfs
des membres inférieurs. Arthropathies tabétique
ns l'ataxie locomotrice progressive. Il s'agirait d'une névrite des
nerfs
lombaires. Ce n'est là qu'une hypothèse. II. Dé
it qu'on a pratiqué contre l'athétose unilatérale, l'élongation des
nerfs
. Greidenberg fut le premier à la faire pratiquer
fois, à la suite d'une contrariété, elle a eu une légère attaque de
nerfs
avec perte de connaissance. Depuis deux mois, c
e ce muscle directement liée à la scialique. On a dit aussi que les
nerfs
sensitifs, éma- nés du même plexus, et qui, pou
ouvé là une forme particulière de sciatique, avec participation des
nerfs
lombaires et phénomènes spasmodiques dans le te
erfs lombaires et phénomènes spasmodiques dans le territoire de ces
nerfs
. 208 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPETRIERE.
et celles de l'excitabilité mécanique, faradique et galvanique des
nerfs
moteurs. Le temps, dont nous disposions, ne nous
ortée à 0",025 et 0",030. Excitabilité mécanique, et galvanique des
nerfs
moteurs. L'ex- citabilité mécanique des nerfs m
ue, et galvanique des nerfs moteurs. L'ex- citabilité mécanique des
nerfs
moteurs était diminuée chez notre malade, comme
le en pareil cas. En effet, la percussion du tronc du fa- cial, des
nerfs
du plexus brachial, et des divers autres troncs n
ssez grande que le tétanos produit dans les muscles innervés par le
nerf
présentait une durée se prolongeant au delà de
rès NFTe. Les secousses musculaires obtenues par l'excitation des
nerfs
étaient brè- ves, rapides, instantanées ; même
durable si l'on faisait glisser l'électrode excitatrice le long du
nerf
, c'est-à-direen employant le courant labile.
ications de l'excitabilité mécanique, fara- dique et galvanique des
nerfs
et des muscles signalées par Erb, et groupées (
a réaction myotonique, MyR, les modifications de l'excitabilité des
nerfs
moteurs et celles de l'excitabilité des muscles s
elles de l'excitabilité des muscles sont très différentes. Pour les
nerfs
moteurs l'excitabilité mécanique, faradique et ga
nt la loi des secousses produites par l'ex- citation électrique des
nerfs
reste normale : NFC apparaît d'abord, et avec d
plus importantes des contractions. Cette façon différente, dont les
nerfs
et les muscles se comportent vis-à-vis des agen
connues de l'exci- tabilité mécanique, faradique et galvanique des
nerfs
moteurs et des mus- cles. Ces modifications, da
. ÉTUDE DE L'EXCITABILITÉ ÉLECTRIQUE DES MUSCLES. 24U bilité cles
nerfs
reste il peu de chose près normale, celle des mus
ctéristiques de tétanie, ce sont : 1° l'excitabilité électrique des
nerfs
périphériques; z l'excitabilité mécanique des ner
électrique des nerfs périphériques; z l'excitabilité mécanique des
nerfs
, ou phéno- mène de Trousseau, qui consiste en c
laire, en comprimant les gros troncs artériels et nerveux des bras (
nerfs
médians et les artères brachiales par exemple).
minée par un disque qu'on appliquait t sur la partie du corps ou le
nerf
qu'on désirait soumettre aux vibrations. Le dis
les apophyses mastoïdes, etc. en un mot sur tous les points où les
nerfs
peuvent facilement être compri- més sur une sur
'seconde découlant directement de la première. La vibration rend au
nerf
qui lui sert de conducteur l'énergie qu'il avait
le mal de tôle est localisé, on percute et fait vibrer localement les
nerfs
et les plexus nerveux de voisinage, s'il est pl
que des instruments au ser- vice d'une force unique, celle que les
nerfs
ressentent par la mise en oeu- vre d'une action
aux de tête; elle a fréquemment, presque chaque mois, des crises de
nerfs
avec perte de connaissance et grands mouvements
iculaire est aboli à gauche. Enfin le malade a eu trois'attaques de
nerfs
avec aura céphalique, bruit de sif- fler-battem
t pas encore été attirée à cette époque sur cepoint. L'exa- men des
nerfs
des doigts amputés fait par M. Gombault montra l'
qui présente la réaction complète de dégénérescence. Aux jambes, le
nerf
scia- tique poplité externe est inexcitable ; l
gères adhérences de la pie- mère au niveau de la circonvolution des
nerfs
olfactifs, les artères sont symé- triques ainsi
n des nerfs olfactifs, les artères sont symé- triques ainsi que les
nerfs
olfactifs, optiques, les tubercules maxillaires,
ccipital normal. 306 NOUVELLE ICONOGRAPHIE DE LA SALPÊTRIÈRE. Les
nerfs
olfactifs, optiques, les tubercules mamillaires,
fantile encephalitis, followed by athetosic symptoms (Journ. of the
Nerf
, and ment. Diseases. Chicago, 1879). Warner. Ca
erveux, t. I, p. 361. (2) Grasset, Leçons sur les malad. du syst.
nerf
" 1879, livre Il, p. 608 et Montpell. médic., 18
phale : cerveau, cervelet, pédoncules et protubérance, origines des
nerfs
crâniens. Le cerveau tient évidemment la premiè
t devoir intéresser surtout les noyaux et les origines de plusieurs
nerfs
crâniens. C'est donc par un ra- pide aperçu de
e nerveux : l Santiago (Chili). LA FARADISATION THÉRAPEUTIQUE DES
NERFS
VASO-MOTEURS ET DU NERF PNEUMO-GASTRIQUE. Il y
ASTRIQUE. Il y a environ quarante ans qu'on connaît la fonction des
nerfs
vaso- contricteurs contenus dans le grand sympa
e la lésion se dilatent; en fara- disant le bout périphérique de ce
nerf
, on provoque leur resserrement. Cette expérienc
e sous l'influence de Remak qui a introduit ce mode d'a- gir sur le
nerf
en question. Les résultats ne sont pas du tout sa
continus, tandis que les physiologistes ont établi l'existence des
nerfs
vaso-constricteurs au moyen des courants induit
ouloureuse et pénible pour le sujet qui s'y soumet, en irritant les
nerfs
sensibles de la peau et en provoquant de fortes c
core indiquée dans la névrite (inflammatoire, non dégénérative) des
nerfs
scia- liques et de la partie tibiale du grand s
impossible, à cause des douleurs trop vives, que dans la névrite du
nerf
crural et des saphènes. Cette impossibilité est à
ne prouve que c'est l'artère fémorale qui nourrit principalement le
nerf
crural et la partie du grand saphène situé sur la
idait au bassin. Il m'était démontré ainsi que la faradisation d'un
nerf
vaso-moteur a non seulement une action descenda
s frappant ! Notre observation démontre que la règle s'applique aux
nerfs
vaso-moteurs comme aux nerfs moteurs des mus- c
n démontre que la règle s'applique aux nerfs vaso-moteurs comme aux
nerfs
moteurs des mus- cles striés et aux nerfs sensi
fs vaso-moteurs comme aux nerfs moteurs des mus- cles striés et aux
nerfs
sensitifs, et le fait est digne d'être retenu.
son artère prin- cipale parce que celle-ci est accompagnée par les
nerfs
cubital et médian qui sont presque toujours att
le plexus hrachial, dont l'irritation retentit t\ser- jours sur les
nerfs
du membre supérieur atteints de la névrite. ¡ser-
deux endroits pour poser les rhéophores en vue de l'excitation des
nerfs
vaso-moteurs qui se rendent à l'artère vertébra
urant induit plus dense ; dans l'autre, on excitera da- vantage les
nerfs
vaso-moteurs qui accompagnent l'artère vertébrale
fs vaso-moteurs qui accompagnent l'artère vertébrale. L'origine des
nerfs
vaso-constricteurs des poumons n'est pas connue a
ec précision. On peut être sur qu'au moins une grande partie de ces
nerfs
provient du nerf pneumogastrique. Mais les anas
eut être sur qu'au moins une grande partie de ces nerfs provient du
nerf
pneumogastrique. Mais les anastomoses des plexus
e premier cas. Mais il fallait voir l'action de la faradisation des
nerfs
vaso-constricteurs sur un tissu hype- rémié.
la force du courant. La faradisation du cou excite encore d'autres
nerfs
que le grand sympha- thique ; il est clair qu'e
plus fréquent qu'au repos à l'état normal grâce à l'excitation des
nerfs
cardia- ques accélérateurs provenant du grand s
n (on doit attribuer ce phénomène il une excitation accidentelle du
nerf
facial). Il nous fut bientôt démontré que la di
s ce but il est plus avantageux d'exciter le premier ganglion de ce
nerf
. Je me contente de donner une épreuve olinique, l
ion du pneumo-gastrique, ce qui est d'autant plus admissible que ce
nerf
est plus superficiel dans la région inférieure du
que dans sa région supérieure. On sait que le pneumo-gastrique est un
nerf
(1) Comparez les reproches faits par Ziemssen à
rrait craindre d'exciter par ce procédé les fibres cardiaques de ce
nerf
. Mais je n'ai jamais vu un danger. Le pouls est
u coccyx chez un -), par Féré, 89. Faradisation thérapeutique des
nerfs
vaso- moteurs et du nerf pneumogastrique, par
éré, 89. Faradisation thérapeutique des nerfs vaso- moteurs et du
nerf
pneumogastrique, par Katicheff, 368. llystéri
axie locomotrice progressive. Chez l'un, la lésion commence par les
nerfs
crâniens; chez l'autre, par les cordons postéri
ographique de la moelle, des diverses parties de l'encé- phale, des
nerfs
périphériques, des muscles et de la peau, etc.,da
la couronne rayonnante du lobe temporal. Névrite étranglée des deux
nerfs
optiques, Hémor- rhagies capillaires dans la su
ou relativement périphérique ' (corps étrangers ou néoplasmes d'un
nerf
ou du centre sous-cor- tical lui-même). P. K.
très souvent à arrêter l'attaque hystérique par la compression d'un
nerf
à son point d'émergence des par- ties profondes
ies profondes. Le cubital en arrière de l'épitrochlée et surtout le
nerf
sus-orbitaire sont les plus accessibles à cette m
ction DE la chaleur SUR LES CENTRES respiratoires ainsi QUE sur les
nerfs
du COEUR ET des vaisseaux; par L. rOLDSTEIN. (C
? Pflicgcr's Arch., v, 18tif.) P. K. V. Sur l'origine centrale du
NERF
accessoire de VILLIS par L. DARKsciiFWITSCII. (
la région dans laquelle se met à apparaître le noyau postérieur du
nerf
vague; on la suit en bas jusqu'à l'extrémité fi
de la commissure postérieure affecte des rapports intimes avec les
nerfs
moteurs de l'oeil et, en particulier, avec le mot
Flechsig ; les faisceaux raphéiques sont chargés de transmettre aux
nerfs
moteurs de la moelle épinière ou aux muscles co
la substance gélatineuse et la racine ascendante du trijumeau. Le
nerf
auditif se compose, lui aussi, de deux segments :
du corps restiforme qui pénètre dans l'organe central, il émane du
nerf
vestibulaire (racine du nerf vestibulaire) ; -
tre dans l'organe central, il émane du nerf vestibulaire (racine du
nerf
vestibulaire) ; - b, l'autre, qui n'a de myéline
sont des fibres situées en dehors des corps restiformes, émanant du
nerf
cochléaire (racine du nerf cohcléaire). Aucune
dehors des corps restiformes, émanant du nerf cochléaire (racine du
nerf
cohcléaire). Aucune de ces racines n'a de commu
cines n'a de communications directes avec le cervelet. La racine du
nerf
vestibulaire se termine sur- tout dans la subst
du segment interne du pédoncule cérébelleux inférieur. La racine du
nerf
cochléaire se termine principalement dans le no
douleurs sont surtout prononcées dans les branches maxillaires des
nerfs
; et des troubles trophi- ques portent sur la g
ait-il d'un alcoolique ? - Réponse négative.- Et la sensibilité des
nerfs
? Ils sont sensibles à la pres- sion, mais on n
it (rameaux ophthalmique et maxillaire supérieur), avec atteinte du
nerf
lacrymal, a conservé de 1'tici,iiiie lacrymale.
s'est tarie du même côté. Sensibilité très grande à la pression du
nerf
sous-orbitaire à son point d'émergence, pen- da
ue les excitants mécaniques ou chimiques des branches terminales du
nerf
en question dans la muqueuse laryn- gienne, pro
excitation. Comme on constate dans l'es- pèce une dégénérescence du
nerf
vague, on est contraint de for- muler l'opinion
centrale ou périphérique. Maïs la pa- ralysie partielle du noyau du
nerf
vago-accessoire, acceptable dans certains cas,
générative, une atrophie musculaire, portant sur un grand nombre de
nerfs
des membres inférieurs, une lésion circonscrite
de jusqu'ici prouvent que l'inflammation ou la dégénérescence des
nerfs
périphériques représente le substratum anatomique
elle, des racines antérieures et postérieures. Dégénérescence des
nerfs
crural, sciatique. surtout dans leurs branches mu
ficile de rattacher le ralentisse- ment du poids qu'il signalait au
nerf
vague; on eût dû, s'il en était ainsi, trouver
re opposé. Elle . démontre qu'il y a un rapport croisé entre chaque
nerf
optique dans sa totalité et l'hémisphère. D'a
peut produire l'hémiopie. Il faut en conclure que les rapports des
nerfs
optiques avec les centres visuels cérébraux son
uter la possibilité d'une affection organique de la moelle ou des
nerfs
. Il suffit, en effet, de lire attentivement l'o
. - D'après ce que dit le malade, sa mère aurait eu des attaques de
nerfs
, mais il est impossible de déterminer s'il s'ag
ssent normaux des deux côtés. Le malade n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. Le pression au niveau des fosses iliaques , du
hie musculaire due soit à une lésion spinale, soit à une lésion des
nerfs
, et coïn- cidant avec l'hystérie. - L'amyotro
e toute lésion matérielle de là substance grise de la moelle et des
nerfs
périphéri- ques. ? C'est là une première donn
d'une lésion organique des cornes antérieures de la moelle ou des
nerfs
moteurs, et qui constitue le type de la lésion
dynamique du système nerveux ; les centres gris de la moelle et les
nerfs
périphériques sont normaux, l'atrophie musculai
dante de toute lésion des cornes antérieures de la moelle et des
nerfs
moteurs'. Dans ce cas, il ne peut même plus y a
du sens musculaire; un examen électrique des différents muscles et
nerfs
a donné aussi un résultat négatif. Des organes in
e, excitation générale, syncope, dysurie, sensibilité extrême des
nerfs
optiques et auditifs, inégalité pupillaire, accél
la sensibilité subjectifs et objectifs qui suivent le territoire de
nerfs
déterminés et s'accompagnent bientôt d'atrophie
fs déterminés et s'accompagnent bientôt d'atrophie musculaire : les
nerfs
dorso-lombaires sont eux-mêmes malades (douleur
e émane de l'atrophie musculaire et non d'une lésion des noyaux des
nerfs
bulbaires, car elle est unilatérale, s'étend jus-
même que l'excitation de la couche corticale reste silencieuse. Les
nerfs
hériphériques résistent encore d'avantage à l'a
veau de la partie supérieure de la moelle cervicale, des noyaux des
nerfs
moteurs de l'oeil, du bulbe. Il existe une dimi
re qui change un peu les allures du tabes (exemple : l'atro- phiedu
nerf
optique), on rencontre presque toujours simultané
veut vaincre la crampe. Diminution de l'excitabilité mécanique des
nerfs
moteurs. Ces conducteurs réagissent quantitativ
mouaire ou mutilée par des névro- pathies (surdinrutilé, lésions du
nerf
optique, etc.). M. Thomsen écrit une lettre spé
e, le long de l'oculomoteur externe droit. Intégrité des noyaux des
nerfs
crâ- Iliens et en particulier des noyaux de l'o
umatisme articulaire. La participation de tous les rameaux des deux
nerfs
facial aux altérations électriques, déjà observ
ulaire généralisée, dégénérative, ayant englobé, au début, quelques
nerfs
moteurs de l'oeil (diplopie de trois mois) et att
s mois) et attei- gnant actuellement le facial et l'hypoglosse; les
nerfs
crâniens, non paralysés, sont presque complètem
te segmenlaire périaxile de Gombault). Légère inflammation des deux
nerfs
optiques conformément aux obser- vations de Str
ni aucun élément prédisposant. P. K. XXXVI. Sur LES paralysies du
nerf
31ÉD1 \N par M. BERNHARDT (Centrcal6l. f. Nerve
es analyses de chaque fait, il résulte que la séparation absolue du
nerf
n eut généralement pas lieu et que le processus
on des réflexes cutanés; parésie vésico-rectale; les muscles et les
nerfs
des membres ne réagissent plus sous l'influence
lité mécanique du facial, hyperexcitabilité électrique énorme des
nerfs
des extrémités à l'égard du courant constant. Sou
e sans phénomènes objectifs, par des lésions surtout atrophiques du
nerf
optique, par de la torpeur des pupilles, par de
es muscles de l'avant-bras ; dégénérescence grise évidente des deux
nerfs
radiaux à l'avant- bras ; décoloration légèreme
intacte, cellules-araignées développées, névrite parenchymateuse du
nerf
radial droit, commençant au niveau de l'origine
, l'auteur conclut que d'ordinaire le plomb a l'air d'atteindre les
nerfs
périphériques les premiers, et que c'est lorsqu
s et explicatives. Le plomb lèse-t-il le muscle avant de toucher le
nerf
; la présence d'une réaction dégénérative avant
ues de juger exactement de leur force; sur la légère altération des
nerfs
sensitifs (une branche sensible du radial, une
rissement musculaire; la contractilité faradique des muscles et des
nerfs
est normale; le malade n'éprouve presque aucune
s : l'ouïe et la vue sont normales; les pupilles sont dilatées; les
nerfs
faciaux ne présentent rien d'anormal; dans la r
nerfs faciaux ne présentent rien d'anormal; dans la région des deux
nerfs
trijumeaux, de l'un et de l'autre côté, le mala
s dé- rangée. Une pression exercée sur le plexus droit et sur ses
nerfs
devient douloureuse. La sensibilité dn tronc para
u bras gauche dispa- rait aussi, de même que dans larégion des deux
nerfs
trijumeaux de l'un et de l'autre côté. Le 21 ju
ps sont très exagérés. L'exci- tabilité galvanique et faradique des
nerfs
et des muscles est con- servée ; même la faradi
un tremblement con- tinuel. La réaction faradique et galvanique des
nerfs
et- des muscles est normale. Au mois de décembr
ntractures; les réflexes tendineux sont exagérés des deux côtés; le
nerf
facial est con- servé. Le 4 mars, le malade com
lopper que grâce à un choc apoplectique, lequel n'a pas eu lieu; le
nerf
QUELQUES CAS D'HYSTÉRIE DANS LES TROUPES RUSSES
cherche minutieuse, on ne peut trouver trace du corps THYROÏDE. Les
nerfs
grands splanchniques, les ganglions semi-lunaires
rde le gauche un peu en avant et davantage en arrière. Les artères,
nerfs
, tubercules mamillaires, pédoncules, sont symé-
bercules mamillaires, pédoncules, sont symé- triques, ainsi que les
nerfs
olfactifs. Les deux hémisphères céré- belleux s
nte et un ans sans accidents. Pas de convulsions, pas d'attaques de
nerfs
, pas de névralgies, pas de migraines (quelquefo
d'hyperplasie conjonctive ou de changement dans la distribution des
nerfs
. Pas de transformation mucoïde même en présence d
ïde même en présence de l'acide acétique. 5° Crrurzd sympathique et
nerfs
périphériques normaux. - 6° Rate, foie, reins,
servés chez leurs opérés de la section de nombreux ramuscules de ce
nerf
. Plusieurs auteurs (Sanquirico, Canalis, Ughett
re, dans l'aisselle et au bras, sur tout le parcours des principaux
nerfs
: médian, cubital et radial. On ne trouve pas d
- mère est exposée, puisque cette membrane est très sensible (ses
nerfs
venant de la cinquième branche des nerfs crâniens
ane est très sensible (ses nerfs venant de la cinquième branche des
nerfs
crâniens), fait qui semble inconnu aux clinicie
SECTION DE psychiatrie ET neurologie M. DE GUDDEN (de Munich). Des
nerfs
optiques, des bandelettes optiques, des rapport
ute chez cet animal sur toute l'épaisseur de la coupe transverse du
nerf
optique émer- geant du chiasma, ces faisceaux s
t du chiasma, ces faisceaux se séparent peu à peu dans le trajet du
nerf
en question pour se rendre à leurs moitiés réti-
isceau croisé. A Eisenach 2, de Gudden a prouvé l'existence dans le
nerf
optique de deux systèmes de fibre.-) ; l'un ser
llé externe, l'autre dans le tuber- cule quadrijumeau supérieur. Le
nerf
optique contient des fibres de deux calibres di
intégrité de la pupille), on constate, à l'examen microscopique des
nerfs
convenablement préparés un nombre prodigieux de
e saurait doser avec cette exacti- tude un courant continu, car les
nerfs
sur lesquels il faut agir sont à des profondeur
ité à l'égard de la chaleur est chez l'homme transmise par d'autres
nerfs
à d'autres tractus et de ceux-ci à d'autres centr
ntacts. La sensibilité frigorale et tactile s'effectue donc par des
nerfs
spéciaux malgré la communauté des trajets et des
x périphérique, relate toutes les recherches récentes relatives aux
nerfs
crâniens au point de vue de la physiologie et d
ne de pathologie interne. La question écrite tirée au sort était le
nerf
facial, anatomie et physiologie. Les autres que
ie et physiologie. Les autres questions mises dans l'urne étaient :
Nerf
pneumogastrique, anatomie et physiologie. Bulbe
e), 57; (dif- fuse), par Raymond, 58. Nécrologie : Gudden, 133.
Nerf
accessoire de Willis (ori- gine centrale du), 1
n, 133. Nerf accessoire de Willis (ori- gine centrale du), 104.
Nerf
médian(paralysies du), 226. Névralgie de la cin
OphLhalmoplégie (et épicanthus), 222, 223. Optiques (origine des
nerfs
), 40 1. Oxyde de carbone ( troubles nerveux à
s etjuste- ment localisés. Le sens musculaire est conservé. Les
nerfs
crâniens n'ont pas subi de troubles fonctionnel
Les nerfs crâniens n'ont pas subi de troubles fonctionnels. Les
nerfs
sciatiques et cruraux sont douloureux à la pres
Les nerfs sciatiques et cruraux sont douloureux à la pression, le
nerf
scia- tique gauche plus que le droit. La pres-
motrice est bonne. La sensibilité douloureuse à la pression sur les
nerfs
et les muscles n'existe plus maintenant dans le
le qui sent mieux que toutes les autres parties innervées par les
nerfs
spinaux ne percevant pas la différence des temp
assez rapide des fonctions et de la nutrition musculaire dans les
nerfs
des membres inférieurs, nous ne pouvons admettr
cornes antérieures par un néo- plasme. Les troubles trophiques des
nerfs
étaient moins profonds était-ce en rapport avec
pendance de la méningite ou des altérations vasomotrices dans les
nerfs
mêmes des membres inférieurs, avec périneurite
ucre. La miction est normale. Les organes sexuels sont normaux. Les
nerfs
et les muscles ne sont pas douloureux à la pres
gnalèrent ce qui suit : État présent. Pas de troubles du côté des
nerfs
crâniens, excepté les mouvements fibrillaires d
out dans la région du muscle adducteur du pouce. Les muscles et les
nerfs
ne sont pas douloureux à la pression. Les mouve
du noyau du facial ; elle n'atteint d'ordinaire pas les noyaux des
nerfs
crâniens; dans ce cas par- ticulier, elle s'est
s nerfs crâniens; dans ce cas par- ticulier, elle s'est étendue aux
nerfs
voisins, d'où les symptômes oculaires, les trou
rigines du plexus brachial, soit à des cas de compression lente des
nerfs
. M. Rendu rapporte deux observations qui prouvent
de la paralysie motrice, ce qui prouve que les origines réelles des
nerfs
sensitifs et des nerfs moteurs du plexus brachi
, ce qui prouve que les origines réelles des nerfs sensitifs et des
nerfs
moteurs du plexus brachial émanent de la même r
rantes d'origine tabétique, subit sans succès l'élongation des deux
nerfs
sciatiques, lorsqu'il mourut deux ans après, on
ue, mais bien atrophie partielle et très marquée des deux troncs du
nerf
auditif, et destruction étendue des appareils t
nerf auditif, et destruction étendue des appareils terminaux de ce
nerf
dans le labyrinthe. Les limaçons en parti- culi
imes d'une affection labyrin- thique très accusée, avec atrophie du
nerf
acoustique. Dans la poliomyélite et dans l'encé
idelberg). Des altérations provoquées expéri- me iitalement sur les
nerfs
optiques par la rotation forcée. En conti- nuan
nt à la direction de la rotation. Anatomie pathologique. Gaine du
nerf
optique franchement épaissie. Epanchement sangu
les, périnévrite, gonflement ampullaire de la - gaine à l'entrée du
nerf
. Opalinités sans uniformité sur toute la circon
ment surtout marquées en des points .circonscrits. On trouve sur le
nerf
, des vaisseaux très scléreux, surtout les gross
s conjonctifs qui, généralement, occupent le centre des segments du
nerf
optique, ainsi que des corpuscules lym- phoides
à l'al- tération la plus forte de la -aine. D'ailleurs, le reste du
nerf
présente également de nombreuses fibres atrophi
aux perturbations qui se passent 'dans la gaine et les vaisseaux du
nerf
; ces perturbations sont elles-mêmes dues à l'a
nerveuses, que la myéline a subi la décomposition moléculaire. Les
nerfs
ayant été comprimés comme le montre la diminuti
meurent inertes. Enfin, dès le début de mai, atrophie bilatérale du
nerf
optique qui s'accentue de plus en plus. L'alter-
des accidents, leur persistance, la dégé- nérescence consécutive du
nerf
optique, rappellent l'amaurose 'Nous l'analyser
aussi, pied bot équin. L'excitabilité électrique des muscles et des
nerfs
des jambes a disparu; à la cuisse, elle a sim-
u. M. STILLING présente les préparations anatomiques relatives au
nerf
optique décrit dans les Archiv. de Waldeyer et Sc
s fibres qui sortent du corps strié et traite aussi d'une racine du
nerf
optique sise à la base. Les méthodes que nous p
écédente de Slilling que M. Edinger traite d'une puissante racme du
nerf
optique chez les reptiles. Elle prend naissance
de sa situation entre le tuber cine- reum et le lieu d'émergence du
nerf
oculdmoteur commun. Ce ganglion est en connexio
et. C'est, comme l'on sait, du gan- glion de l'habenula qu'émane le
nerf
optique destiné à l'oeil pariétal des reptiles.
ations de Krause et )''ried ! oender, relatives aux altérations des
nerfs
et de la moelle après amputation, mais il n'est
deux côtés, sans renversement de la formule. Pleine intégrité des
nerfs
crâniens et de l'état psychique. Réaction prompte
nimoi)ji ? Th. Paris, 1887. L'influence qu'exercent les lésions des
nerfs
périphériques sur le développement de certaines
ant aux altérations anatomiques, on constate tantôt des lésions des
nerfs
seuls, tantôt des lésions concomittantes des raci
d'abord consisté en divers traumatismes : élongation, écrasement du
nerf
. Les animaux étaient sacrifiés à diverses période
arenchymateuse) périphérique étendue à presque toute la longueur du
nerf
; au bout d'une quinzaine de jours la restaurati
émités. D'autres expériences ont ensuite consisté en la ligature du
nerf
, et l'injec- tion dans sa continuité de poudre
ction de la solution au centième d'huile de croton dans la gaine du
nerf
, à la dose de deux ou trois gouttes. Les troubl
Dans tout le reste, les membres inférieurs ainsi que la région des
nerfs
crâniens sont normaux. Sensibilité : analgésie
occupant la moitié de la nuque et de la tête jusqu'à la région du
nerf
trijumeau. La sensibilité tactile est partout con
s ou bien coïncide avec la limite supérieure de la distribution des
nerfs
sensitifs du plexus lombaire, il arrive que dan
bien occupe aussi la partie supérieure de cette région (rayon du
nerf
axillaire). Mais en remontant à ces derniers ca
e sont atteints, tantôt que l'anesthésie n'arrive qu'à la région du
nerf
trijumeau et paraît être comme distribuée suiva
égion du nerf trijumeau et paraît être comme distribuée suivant les
nerfs
(nerf occipital grand et petit, etc.); mais c'e
u nerf trijumeau et paraît être comme distribuée suivant les nerfs (
nerf
occipital grand et petit, etc.); mais c'est ici
.); mais c'est ici justement que les limites de la distribution des
nerfs
cutanés correspondent aux régions innervées par
vical, nous voyons que l'anesthésie ne se distribue pas suivant les
nerfs
, mais suivant certaines parties ou subdivisions
rieur correspondant peut se prendre ensuite et parfois la région du
nerf
trijumeau ; pourtant cette hémianesthésie n'est
ié et envahit le membre supérieur ou inférieur ou bien la région du
nerf
trijumeau ou une certaine région du thorax du c
la main, un espace peu considérable, innervée cependant par trois
nerfs
. Dans d'autres cas, toute la région therma- nes
siégeant dans les muscles atrophiés, les grandes articulations, les
nerfs
, la colonne vertébrale, formant peut-être dans
observations de Zacher et de Fürstner, cette paralysie réflexe des
nerfs
vaso-moteurs s'éten- dait à une plus grande sur
e nous ne nous voyons pas forcés de les expliquer par la lésion des
nerfs
trophiques hypothétiques. Mais nous ne partageo
ions défavorables de la circulation, etc.), la réaction altérée des
nerfs
vaso- moteurs de l'autre, différentes causes pa
iscères abdominaux ; qui a pour con- séquence des tiraillements des
nerfs
mésentériques; alors les voyageurs ressentiront
droite est plus longue et plus large d'un tiers que la gauche. Les
nerfs
crd- niens paraissent normaux. Cervelet, bulb
simples gan- glions nerveux placés sur le trajet intra-bulbaire des
nerfs
Grand hypoglosse facial (facial inférieur) et b
fascicules moteurs représente les origines à l'écorce cérébrale des
nerfs
moteurs périphériques (hypoglosse, nerfs du membr
s à l'écorce cérébrale des nerfs moteurs périphériques (hypoglosse,
nerfs
du membre supérieur, sciatique et crural, etc.)
physiologique : l'origine aux cel- lules de l'écorce cérébrale, des
nerfs
périphériques. 'Fr.-Franck. Fonctions motrices
s se mettent en l'apport avec les cellules des noyaux d'origine des
nerfs
moteurs du bulbe dont les fibres constituantes
généralement aux faits de dégénérescence du bout périphérique d'un
nerf
sectionné, on est en effet conduit à attribuer au
érentes, tout comme l'est, du reste, celui de la dégene- ration des
nerfs
sectionnés. (Voir à ce sujet. Art. Nerfs du Dict.
i de la dégene- ration des nerfs sectionnés. (Voir à ce sujet. Art.
Nerfs
du Dict. Decli., 1876, Renaud) 266 REVUE CRIT
es), aux racines rachidiennes (amyotrophies radiculaires), dans les
nerfs
périphériques (amyotrophies névritiques), ou dans
érébelleux supérieurs (étage supérieur). 5, 5; noyaux d'origine des
nerfs
moteurs oculaires communs. 6, 6 ; coupe des tuber
rhagies interstitielles; faible lésion du parenchyme. Intégrité des
nerfs
, du cerveau et de la moelle au-dessus des parti
Les colonies microbiennes des pou- mons tuberculeux ont infecté les
nerfs
non pas de leur substance môme, mais de leurs p
alcoolique. l'autopsie décèle l'altération des noyaux d'origine des
nerfs
crâniens correspondants, dans les conditions qu
UN CAS DE GOMME DE L\ \. BASE DU CERVEAU AVEC LÉSION DU CHIASMA des
nerfs
optiques; par E. SIE.)irRLI.IG. (Arch, f. Psch.,
philitique au coeur de la bandelette droite, du chiasma et des deux
nerfs
optiques surtout à gauche ; atrophie commençante.
ousseau non entre-croisé occupent la .. région latérale du tronc du
nerf
optique; la plupart d'entre elles occu- « peut
rte de choc en retour ; pour le second, une section accidentelle du
nerf
cubital. Une troisième maladie présentée par AI.
tte derma- tose, il y a lieu de penser à un trouble fonctionnel des
nerfs
ré- gulateurs des vaisseaux, soit dans le centr
e chez un névropathe par suite du dérangement qu'a produit dans les
nerfs
vasculaires périphéri- ques ou dans leur organe
a dose de 3 à 8 grammes. M. HEBOLD (de Sorau). Un cas d'atteinte du
nerf
vague dans la paralysie progressive. Il y a six
ns pul- monaires, identiques à celles des lapins dont on a coupé le
nerf
vague; dégénérescence graisseuse peu accusée du
isseuse peu accusée du myocarde au microscope, le noyau bulbaire du
nerf
pneumogastrique et de l'accessoire présente une
le quand il ferme les yeux et ne peut marcher dams l'obscurité. Les
nerfs
vaso-moteurs sont, eux aussi, troublés; en effe
stance gélatineuse de Rolando et celle de la racine ascendante du
nerf
trijumeau, qui lui est homologue. Comme le prou
ngée. Ici le lieu favori du processus est la racine ascendante du
nerf
trijumeau, où s'hyperplasie la neuroglie de la
postérieure, y inter- rompt d'une certaine manière la nutrition des
nerfs
sensitifs. Ces conditions de nutrition altérées
neu- roglie, agissant mécaniquement, troublerait la fonction des
nerfs
qui ne servent qu'à conduire les impressions i
le processus est limité à la sphère de distri- bution d'un certain
nerf
, et dans la gliomatose par une certaine région
observation de 1-P C... (Observ. IV), les douleurs locales dans les
nerfs
, sans parler des douleurs musculaires, ce qui s
au, des muscles, des articulations et probablement aussi dans les
nerfs
. Le diagnostic de la gliomatose doit être posé
un côté ou des deux, avec extension du processus sur la région du
nerf
trijumeau; ou bien si t'anesthésie partielle est
n- sibilité : des paresthésies cutanées, des douleurs le long des
nerfs
occipitaux, une humeur hypochondriaque; nous su
muscles. Le cerveau n'avait point d'autre lésion que l'atrophie des
nerfs
optiques, une diminution notable du volume de l
artit sans Uniformité à la surface du corps suivant l'expansion des
nerfs
sen- silifs et s'y montre surtout accentuée là
; atrophie presque complète des segments intramédul- laires de ces
nerfs
et de quelques-uns de leurs rameaux musculai- r
eaux musculai- res. Hypoglosse gauche atrophié ainsi que son noyau.
Nerfs
optiques; légère altération interstitielle d'un
s de Clarhe, de la substance blanche, des noyaux et des racines des
nerfs
, dégéné- rescences musculaires considérables (r
ression des fibres pro- tiféfation des noyaux). Faible atrophie des
nerfs
périphériques; dégénérescence insignifiante des
sur toutes les propriétés de la sensibilité ; il en est de même du
nerf
cervical supérieur. Intéârilé de la muqueuse bu
eumo-gastrique, le faisceau solitaire, le noyau antérieur-moteur du
nerf
vague, le noyau du glosso- pharyngien, une part
'acoustique, quelques-unes des fibres qui joignent le cervelet à ce
nerf
. Intégrité du noyau de Iloller, des noyaux de l'h
11V. CO\1'lilüUTIOV au recueil DE faits concernant l'atteinte des
NERFS
PÉRIPHÉRIQUES DANS LE TABES DORSAL ; par NONNE. (
es permettent souvent de rencontrer dans les branches terminales de
nerfs
périphériques quelconques se traduisent pendant
. Néan- moins, il faut plus que jamais examiner comparativement les
nerfs
périphériques au point de vue clinique et les p
-13. Deux faits de para- lysie par compression de presque tous les
nerfs
d'une ou des deux extrémités (ceinture de gymna
on de crampe par excès de fatigue et de travail dans le domaine des
nerfs
médian et du cubital droit; il s'agit d'un homm
La moelle allongée, contenant les origines du pneumogastrique, des
nerfs
secrétoires et vaso-moteurs, c'est d'elle que p
rébelleux supérieurs (étage supérieur). 5, 5 ; noyaux d'origine des
nerfs
moteurs oculaires communs. 6, 0 ; coupe des tuber
Centmlbl., XIII, 1894.) L'examen de la sensibilité à la pression du
nerf
cubital entre l'olécrâne et le condyle interne
uand on se cogne le coude, révèle précisément l'insensibilité de ce
nerf
, même aux plus fortes pressions, chez les tabéliq
nt de vue d'autres affections y compris les troubles et névrites du
nerf
cubital. 11 est à supposer que, quand cette analg
é dans le domaine du cubital ainsi que suivant le trajet d'autres
nerfs
du bras et du dos, analgésie latente et isolée, q
té gauche) avec irradiations dans le domaine des rameaux cutanés du
nerf
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. G3 cubital et d
it du choc spinal, une commotion ou un tiraillement des racines des
nerfs
dorsaux, au niveau des vertèbres dorsales supér
tion les uns sont en rapport avec des processus de régénération des
nerfs
, les autres émanent de l'impression terrifiante
re division : 1° amyotrophies de cause médullaire ou par lésion des
nerfs
périphériques; 2° myopa- thies primitives progr
l'indice d'une lésion profonde, d'une lésion de la moelle ou des
nerfs
. L'auteur, devant celte considération, se demande
éléments anato- ' miques, en présence de certaines excitations des
nerfs
sensitifs. Les troubles trophiques ne sont donc
opho-infec- tieuse. L'inflammation infectieuse peut se propager aux
nerfs
péri- 7,1, REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. arti
rites consécutives aux affections chirurgicales de la moelle et des
nerfs
comprennent des types importants. A la suite du
rfs comprennent des types importants. A la suite du traumatisme des
nerfs
périphériques on note des arthrites ânkylosante
. XVIII. Paralysie bilatérale DU DELTO1DE par élongation DES deux
NERFS
circonflexes ; par. M. RA1'MOND. Leçon recueillie
la nuit. Hypoesthésie double dans la zone d'innervation des deux
nerfs
circonflexes. Excitabilité voltaïque et faradique
e double paralysie réside dans la distension et la, compression des
nerfs
circonflexes. On sait que ces nerfs con- tourne
stension et la, compression des nerfs circonflexes. On sait que ces
nerfs
con- tournent le col chirurgical de l'humérus e
sont tiraillés quand ils ne sont pas flexueux. La sinuosité de ces
nerfs
est du reste la règle, et c'est ce qui explique p
e, elles n'éprouvent pas l'accident qui a frappé celui-ci, dont les
nerfs
circonflexes ne sont certainement pas sinueux.
à une certaine période qui n'est pas la même dans tous les cas, les
nerfs
et les muscles sont bien plus difficiles à exci
es nerfs et les muscles sont bien plus difficiles à exciter que les
nerfs
et les muscles des adultes (XI tableaux résuman
ont démontré que : 1° Chez le nouveau-né les gaines de myéline des
nerfs
périphériques sont bien différentes de celles d
ôt de myéline est irrégulier. L'acide osmique colore la myéline des
nerfs
périphériques du nouveau-né en vert ou en gris
eloppés chez le nouveau-né, se distinguent du tissu interstitiel du
nerf
de l'adulte par une grande richesse de noyaux; 7°
des différences considérables chez le même individu dans ses divers
nerfs
ou dans chacun des trousseaux nerveux à la même
n des manchons de myéline aux divers endroits de développement d'un
nerf
. Quant aux muscles, les fibres musculaires des
possèdent un noyau collé contre la paroi ou un noyau central : des
nerfs
et des vaisseaux REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOL
nction réciproque dans la détermination exacte de la régression des
nerfs
normaux infantiles ou adultes. Ce qui est, quoiqu
s du cou. L'atteinte du bulbe est en rapport avec les symptômes des
nerfs
crâniens, le masque de la physionomie, le troub
- rescence très accentuée dans la couche optique et dans les deux
nerfs
optiques sans lésion de la bandelette optique. Pa
ues sans lésion de la bandelette optique. Pas d'altération dans les
nerfs
périphériques. P. K. IX. Nouvelle communication
pri- maires des racines postérieures de l'auditif, c'est-à-dire du
nerf
cochléaire. 3. Les fibres des racines postérieu
quadriju- meau inférieur du côté opposé. 7. La racine antérieure du
nerf
acoustique (d'après nos recherches sous ce rapp
ntercalées dans le texte. CAMUSE. XVIII. Rapport DE L'ORIGINE DES
NERFS
rachidiens avec LES apophyses épineuses; par M.
r légèrement ces formules pour les enfants, chez eux les paires des
nerfs
vertébraux naissent un peu plus haut que chez l
ment plus que le rachis dans lequel elle est contenue. C. XIX. LE
NERF
labyrinthique; par M. Pierre Bonnier. (Nouvelle
génie et l'anatomie pathologique, les origines et les connexions du
nerf
auditif. Il établit, et c'est un des points les
t un des points les plus importants de son étude, l'homologation du
nerf
labyrin- thique et des faisceaux nerveux divers
nerveux divers qui le composent. C'est ainsi qu'il fait voir que le
nerf
labyrinthique est l'homologue d'une racine spin
omologue d'une racine spinale postérieure, et qu'il démontre que le
nerf
vestibulaire est avant tout cérébelleux, alors
e que le nerf vestibulaire est avant tout cérébelleux, alors que le
nerf
cochléaire est plutôt céré- bral. Les fibres d'
n, par les données anatomiques susindiquées, de la physiologie du
nerf
auditif. Tout d'abord l'auteur énumère toutes les
ire). L'orientation exige l'intégrité des conducteurs et noyaux des
nerfs
ampullaires, le sens des attitudes dépend de ce
es segmentaires étant viciées ou absentes. Quand, dans le tabes, le
nerf
labyrinthique est aussi envahi par la sclérose,
ires du noyau de l'hypoglosse, du noyau ambi- guis (noyau moteur du
nerf
vague et du -losso-pharyn-ien), du noyau facial
noyau principal de l'hypoglosse est la seule source des racines du
nerf
hypoglosse. Les fibres propres du noyau provien
us cylindraxiles des cellules ganglionnaires au-dessus du tronc des
nerfs
glosso-pharyngien et pneumogastrique. Le tronc
réflexes de la moelle. P. S. XXIV. CONNEXIONS centrales DE certains
NERFS
crâniens ; par Aldren TURNER. L'auteur signal
es connexions fibril- laires d'origine de la cinquième paire et des
nerfs
hypoglosse, vague et glosso-pharyngien. - Il
lésion portait sur la tête ou le corps, et dans un seul cas sur les
nerfs
périphériques. 5° Phtisie : notée 17 fois chez
troubles fonctionnels cérébraux par suite de l'excitation venue des
nerfs
bronchiques et pulmonaires, ne nous paraît pas
utopsie. Tuberculose pulmonaire au troisième degré. La moelle et le
nerf
sciatique gauche ont seuls été enlevés. La moel
légèrement épaisse dans quelques endroits. A la hauteur du septième
nerf
dorsal, la pie-mère adhère à la dure-mère sur le
sont par consé- quent incomplets et ne comprennent pas l'étude des
nerfs
ra- diculaires. Néanmoins nous avons cru devoir
contre les autres, qui se colorent très vivement. Les différents
nerfs
crâniens présentent des altérations intersti- t
es, où l'on voit un assez grand nombre de cellules-araignées. Les
nerfs
cutanés du pied et de la main, ain,i que les file
e fibres ont disparu; mais cette lésion est très peu importante. Un
nerf
musculaire pris dans l'épaisseur du triceps ne
, il est certain qu'elle ne doit être rapportée ni à une lésion des
nerfs
, ni à une altération des racines, ni à une atte
ent. Le plan- cher du quatrième ventricule est un peu granuleux; le
nerf
moteur oculaire commun gauche est grisâtre et f
irement ou latéralement. L'épendyme est légèrement granuleux. Les
nerfs
moteurs oculaires communs présentent une légère i
e infil- tralion interstitielle, mais leurs tubes sont sains. Les
nerfs
moteurs oculaires externes sont beaucoup plus att
ie-mère est assez fortement infiltrée autour de leur émergence. Les
nerfs
du bulbe ont leur gaine épaissie et infiltrée, ma
autre lésion appréciable. Les noyaux d'origine de ces différents
nerfs
sont absolument sains, do même que la portion des
différents nerfs sont absolument sains, do même que la portion des
nerfs
moteurs oculaires externes qui traverse la prot
es qu'à l'état normal. La né- vroglie ne parait pas épaissie. Les
nerfs
cutanés du pied ne présentent plus qu'un petit no
saines; ces lésions sont moins avancées au niveau de la jambe. Les
nerfs
cutanés des doigts sont encore moins altérés, q
u carmin, contiennent un assez grand nombre de tubes dégénérés. Les
nerfs
du membre supérieur sont t à peu près sains, sa
t par leur volume 'que par leur forme régulièrement arrondie. Les
nerfs
intra-musculaires, étudiés sur les coupes des mus
oins diffuses, qui mesurent environ 1/10 de millimètre. Parmi les
nerfs
crâniens, l'hypoglosse et les nerfs mixtes sont l
n 1/10 de millimètre. Parmi les nerfs crâniens, l'hypoglosse et les
nerfs
mixtes sont les plus atteints; un des fascicule
s ne sont pas autre- ment altérés. Les noyaux d'origine de tous ces
nerfs
sont sains. La protubérance et le bulbe contien
récédente. Les granulations épendymaires sont assez marquées. Les
nerfs
cutanés du pied présentent des lésions atrophique
rophiques très marquées; on n'y voit point de fibres en boules. Les
nerfs
cutanés de la main sont sains ou à peu près.
alité pupillaire; signe d'Argyll-Robertson; légère décoloration des
nerfs
optiques. Vessie paresseuse; constipation. Incoor
ns les tabes peu avancés, la lésion conjonctive existe au niveau do
nerfs
radi- culaires que nos moyens d'exploration nou
ns de l'écorce cérébrale cause de la paralysie générale, celles des
nerfs
radiculaires - cause du tabes, - les plaques lo
s nerveuses des arthropa- thies neuro-spinales est l'altération des
nerfs
centripètes, sur quel- que point de leur trajet
produisent est un mécanisme réflexe ayant pour point de départ les
nerfs
articulaires centripètes, qui agissent par l'in
athologie NERVEUSE. XVI. POLYNÉVRITE récidivante, envahissement DES
NERFS
crâniens ET diplégie faciale; par le Dr TARGOWL
le qui invoque un traumatisme portant sur une articulation dont les
nerfs
sont déjà en état de dégénérescence. L'observat
glande thyroïdienne en nature. R. M. C. XXVI. Névralgie DU grand
nerf
occipital accompagnée DE symptômes D'UNE lésion
chirurgicale. R. DE MUSGRAVE CLAY. XXVII. Paralysie bilatérale du
NERF
facial; par le Dr 1<foNaoosnao. Dans un prem
ne paralysie de la troisième paire, du côté opposé, c'est-à-dire du
nerf
moteur oculaire commun. . M. le professeur Ra
ion otitique provocatrice d'une paralysie faciale, peut agir sur le
nerf
en des points les plusdivers de son trajet pétreu
ansitoire, due à une otite légère; b. les formes dues au contact du
nerf
avec le pus, plus sérieuses et de gravité varia
lus sérieuses encore, en général, que les formes dues au contact du
nerf
avec le pus. Le pronostic spontané des diverses
auteurs ont eu l'occasion, récemment, de pratiquer le dégagement du
nerf
facial dans toute l'étendue de la traversée pét
e labyrinthique et mastoïdienne avec paralysie faciale complète. Le
nerf
ne fut nul- lement. lésé au cours de l'interven
quarante ans sont pris subitement de paralysie dans le domaine des
nerfs
craniens ou de grandes fai- blesses dans les ex
ent dans les deux cas. Dans le second les troubles fonctionnels des
nerfs
crâniens avaient ouvert la scène, dans le pre-
hala- mique). ' P. Tli. - - z XXVIII. De la situation du noyau du
nerf
pathétique; par W. KAuscH. (Neztrolog. Centralb
myéliniques. Les cylindraxes nou- veaux sortent des extrémités des
nerfs
à myéline, on les voit par- fois très nettement
s atteint le poids normal s'il ne le dépasse pas. Les lésions des
nerfs
craniens sont relevées pour l'olfactif dans le
énérescence grise dans cinq cas. La dégénérescence et l'atrophie du
nerf
optique sont une lésion relativement fréquente,
oteur oculaire cranien ont été trouvées dans 8 cas. L'atrophie du
nerf
acoustique dans 3 cas. Les méninges rachidienne
ournit aux fléchisseurs; ,5° Les cellules qui donnent naissance aux
nerfs
qui innervent les muscles extenseurs sont situé
sain des cellules ganglionnaires du segment médullaire d'où part le
nerf
qui aboutit à cette partie ou à cette extrémité :
rveux et des nouvelles méthodes de colo- ration des cellules et des
nerfs
: méthode de Nissl, de Golgi-Cajal, de Pal. (Am
au contraire un cortège de troubles nerveux par son action sur les
nerfs
périphériques. Il agit de deux façons : 1°- par
uteurs montrent que le courant électrique modifie l'excitabilité du
nerf
en plus ou en moins. Toutefois, il ne faut pas
- Ce syndrome neuro-psychopathique démontre non seulement que les
nerfs
périphériques et la subtance cérébrale sont altér
faiblesse générale nolable, de symptômes sensilifs, sensibilité des
nerfs
à la pression, hypereslhésie cutanée. Les troub
s aussi sur les centres. On rencontre des lésions dégénératives des
nerfs
périphériques (névrite paren- chymateuse), atro
maladies infectieuses ou toxiques. Les lésions dégénératives des
nerfs
périphériques nous donnent une explication de t
inters- titielle transverse qui siège, chez les tabéliques, sur le
nerf
radie culaire, au voisinage du ganglion et qui
radiculaires ont subi une dégénérescence ascendante; puis, dans les
nerfs
radiculaires, on trouve du haut en bas une lésion
nerveux central. L'auteur communique d'abord un cas de tumeur des
nerfs
optiques dans lequel, à part un oedème double d
a lésion trouvée à l'autopsie (il n'y avait pas d'exophtalmie). Les
nerfs
optiques étaient infiltrés d'une production myx
qui prouve que l'analgésie du cubital peut exister sans lésions des
nerfs
périphé- riques (et aussi sans lésions de la mo
upeur. L'examen microscopique a porté sur les muscles des yeux, les
nerfs
périphériques des yeux et des extiémités, la mo
a moelle lombaire, dans la pie-mère, dans le tissu conjonctif des
nerfs
cruraux. Ce processus hémorragique était partout
it. Des coupes en série de la région des noyaux du pathétique et du
nerf
moteur oculaire montrèrent l'intégrité des fibr
bres et du noyau du pathétique et la dégénérescence des noyaux, des
nerfs
de la troisième paire, plus accentuée au niveau
des cas de folie, par H. Tul : e, 87. Acoustique. Trajet central du
nerf
- , par Kwilizew, 141. Acromégalie par Brissa
tanley Hall, 87. Méthodes de-, par Cook, 391. Labyrintiiique . Le
nerf
-, par Bounier, 151. L.1\f\ECTOIIE pour paral
-, traités par l'ingestion thy- roïdienne, par Bourneville, 321.
Nerfs
crvniens. Connexions centra- les des -, par 'fu
Nerfs crvniens. Connexions centra- les des -, par 'fumer, 155.
Nerfs
rs.lcmness. Rapports de l'ori- gine des -, avec
S MATIÈRES. sous Nelropsychoses, par Prend,45. Névralgie du grand
nerf
occipital, par Johnson, 314. Névrite périphér
ar Bourneville et Boyer, 108. Pathétique. Situation du noyau du
nerf
-, par Kaush, 385. Pathologie. Fragments de ner
Paralysie faciale périphérique due à un fibro- sarcome englobant le
nerf
à sa sortie du bulbe l'ar \I\I. I R.11'I()\j),
\ il'lInl' allil'l'I' l'aill'illi 1111 du côté des membres, ou des
nerfs
bulbaires. J<op.M.Lan) ! 't-(.')n)dcducduc !
passentaudevantdela tumeur, dont elles res- tent indépendantes ; le
nerf
es ! seulement légèrement refoulé en avant et e
ostérieure de l'olive et le bord inférieur de la protubérance : les
nerfs
(VU ! , IX et X) sont refoulés en arrière, mais
son tiers postérieur avec les deux tiers antérieurs : l'en- trée du
nerf
se fait au fond d'une petite dépression en enton-
s nerveuses. En plein centre de la tumeur, un seul des faisceaux du
nerf
-facial est encore nettement dilférencié. 11 es
ntouré d'une gaine lamelleuse 1res épaisse. L'aspect est celui d'un
nerf
atteint de neuro-iibroma- tosc, tel qu'on le tr
sont moitié iuoius volumineux que ceux du facial droit. La gaine du
nerf
, les gaines périfnseiculaires et le tissu in- l
nerveuses, avec sclérose bien moins considérable que le tronc de ce
nerf
. 3° Les ganglions de Gass< ! 1', des deux cô
alysie il l'existence d'un fibre-sarcome englobant et comprimant le
nerf
à sa sortie du bulbe, refoulant simplement l'hy
sortie du bulbe, refoulant simplement l'hypoglosse en avant, les
nerfs
VUE, Il° et Xc en arrière, sans les com- primer
USE. tre de la tumeur, présente l'aspect typique d'une coupe d'un
nerf
atteint de neuro-fibromatose. Il semble donc lo
es tumeurs multiples dans les centres nerveux, les racines ou les
nerfs
périphériques, nous n'avons pu déceler au- cune
Pas de diffé- rence bien appréciable des fosses occipitales. - Les
nerfs
olfactifs paraissent égaux, - Le nerf optique e
es fosses occipitales. - Les nerfs olfactifs paraissent égaux, - Le
nerf
optique etla bandelette optique gauches sont un
a prélevé à droite et à gauche des morceaux du biceps crural et du
nerf
sciatique, qui n'offrent pas entre eux de diffé
a également, iL gauche, mais moins marquée, diminution de volume du
nerf
optique, de la bande- lette optique, du tuhercu
néuogliqucb se multiplient. P. KERAV1L. VI. Le trajet central des
nerfs
des muscles des yeux, par J. Piltz. (11'eurolog
t en communication le centre cor- tical extirpé avec les noyaux des
nerfs
moteurs des muscles ocu- laires ou avec le quar
est qui gagnent le raphé, pour probablement aboutir au noyau de ce
nerf
du côté opposé. Mais il a été impossible de sai-
organe. Dégénérescence nette de la bandelelleoptique et du chiasma.
Nerfs
optiques indemnes. Conclusions. Ce- n'est pas u
spinal parA. VALLI ? NBERG(\Teccrolng. CtJl1tra/ú/, XX 1901.) Ce
nerf
a été piqué au point où il sort delà colonne vert
la protubérance, et, par suite, du ruban de Reil, des noyaux des
nerfs
crâniens ; une hémorl'ilagic inlnt-Cl'rèI1l'ale p
très atteinte adroite mais elle s'est améliorée ultérieurement; le
nerf
cocliléairc nLaiL 1(·s(·. Au nerf veslibulaire,
'est améliorée ultérieurement; le nerf cocliléairc nLaiL 1(·s(·. Au
nerf
veslibulaire, ou au noyau veslibulaire, ou enco
ronc de l'auditif peut encore les produire. C'est à l'irritation du
nerf
veslibulaire (canaux se- mi-circulaires), que s
lésionsjjbservéesà la fois du côté du système nerveux central, des
nerfs
et des vaisseaux chez un idiot qui était attein
p. (Nenrolog. Centralùl. XX, 1901.) Caractérisée par l'atrophie des
nerfs
optiques, et surtout de la macula lutea des deu
u dans le cours de la 3e année de la v ie. Outre l'atrophie pure du
nerf
optique, la tache jaune est tranb- formée en un
, assez rare, affection familiale qui s'accompagne d'atrophie des
nerfs
optiques. Seulement ici la période latente est de
NTALE. les malades atteignent l'âge de 17 et 24 ans, l'atrophie des
nerfs
optiques ne s'accompagne pas de dégénérescence
'ul'l'S 1110LI'i('l's, La rétine révèle : l'alrophie des libres des
nerfs
optiques, un lé- ger (J'dl'IIIl' de la couche d
conviendrait de bien saisir l'ordre de succession des accidents du
nerf
optique et de la macula, uliu de résoudre définit
aîue la cécité avant qu'on ait pu percevoir aucune anomalie dans le
nerf
optique, on devrait considérer l'a- nlaUI'Ol',
ouloureuses à type névralgique dans tout le bras ut une nodosité du
nerf
cubital. Ostéopathie trophique de la hanche gau
ion suit des cellules de la cornu antérieure de la moelle, soif des
nerfs
périphériques, soit des muscles et on[ los3'nrl
la pluie, le pharynx est complètement ouvert ; les vaisseaux et les
nerfs
ne sont pas inléressés. On fait la trachéotomie,
M. Kam- lllierstein a relevé la dilatation du canal de la gaine du
nerf
op- tique en 32 cas ; la gaine présentait en ou
mais non di- laLée ; il y avait 1 n'dème de la portion orbifaireilu
nerf
en 30 cas, dont 28 avec inflammation ; 19 fois
orbifaireilu nerf en 30 cas, dont 28 avec inflammation ; 19 fois le
nerf
optique même était oedémalié et enflammé. Sur
à raison de l'inflammation de la partie rétrobulbaire et basale du
nerf
optique et de la l'opal'Ucipalion d'autres nerfs
lbaire et basale du nerf optique et de la l'opal'Ucipalion d'autres
nerfs
crâniens de la base. Quelques très rares observ
anglée. Le plus souvent on observe l'atrophie descendante simple Au
nerf
optique par vous- sure du plancher du 3e ventri
t traduire aussi une anomalie congénitale du mode de disposition du
nerf
optique a son entrée dans le-globe oculaire ; l
Enlin la papille étranglée peut émaner d'un hématome de la gaine du
nerf
optique, consécutif aune fracture du crâne; la ga
centrale de la rétine dans son passage par le canal de la gaine du
nerf
optique (De) 1) ou la compression des vaisseawccn
ue (De) 1) ou la compression des vaisseawccn- lrau dans le tronc du
nerf
(U1J'iell) ne conf : .Li Luent pas une expli- c
THOLOGIQUES. 131 ticaux de ces muscles siégeant dans les noyaux des
nerfs
corres- pondants constituent, par suite, des ce
des centres frontaux des mouvements des yeux avec les noyaux des
nerfs
abducteurs. En outre de ce mécanisme de la diverg
le rôle de centre réflexe, en relation avec les mêmes noyaux des
nerfs
abducteurs parle moyen, chez l'animal, du faiscea
sorbée lentement. S'il y avait eu hémorrhagie dans le noyau même du
nerf
, le facial eût été simultanément atteint. La pa
as trouve dans un cas l'infiltration graisseuse el oedé- mateuse du
nerf
sciatique. La migraine commune, syndrome bulbop
inférieurs ; la contraction des muscles de la cuisse, tiraillant le
nerf
sciatique, fait éclater, sur le trajet de ce de
partie inférieure de c. g. c. qui dépend direc- tement de l'état du
nerf
optique et non du lobe occipital (v. llonal : o
s de Blondlot et Charpentier. Pull. - Une preuve de l'existence des
nerfs
trophiques ; par Siciliano. (Rivisla critica di
clinica mediea, 1904, u 6). Admise en clinique, l'existence de ces
nerfs
était niée dans les laboratoires : Pogaro, de P
cle, d'un segment de membre; tantôt ils représentent le centre d'un
nerf
ou d'une de ses branches ; fort suu uut,le cent
P. KERAVAL. XLVI1. Contribution à la connaissance du gisement des
nerfs
craniens moteurs dans le pied du pédoncule céré-
au schéma d'Ollersteiner, la dégénérescence ne porte que sur l' les
nerfs
crâniens moteurs, en particulier l'hypoglosse et
, cial ; c'est donc que nous avons affaire à la dégénérescence des
nerfs
crâniens moteurs, et que ceux-ci sont situés en d
. Seulementla paraffine liquide ne se mêle pas à l'eau. Aussi les
nerfs
colorés à lasafranine (sall·aninc, ? ; eau distil
ure, aiutuber cinereum, puis s'est logé sur le chiasma et entre les
nerfs
optiques qu'il a écartés sans en altérer la str
lisses et striées, carti- lage. P. 11FRAV.1L. L. De l'origine du
nerf
dépresseur du coeur; par G. , ]ors-rcl(. jl\'ei
jl\'eirol. Centralbl.,\\. 1901.) Cyon et Ludwig ont trouve que leur
nerf
dépresseur du coeur émanaiL,par une racine, du
e l'aorte, que, dans la cavité thoracique, il s'unissait à d'autres
nerfs
issus du ganglion étoile, que, finalement entre
velles recherches expérimentales et anatomiques dé- montrent que ce
nerf
sient du pôle supérieur du ganglion jugu- REVUE
mine, par son bout pé- ('iphériqul',dans l'aorte.11 est donc non le
nerf
sensitif ou réflexe du myocarde, mais le nerf s
te.11 est donc non le nerf sensitif ou réflexe du myocarde, mais le
nerf
sensitif de l'aorte. Quand la pression augmente
aroi de cette artère, et excite ainsi, par la tunique in- terne, le
nerf
dépresseur. Cette excitation diminue, par action
ment l'entrecroisement dorsal (en fontaine) de la carotte de Mey-
nerf
constitue le tractus tectohulbaire qui n'atteint
propre il assurer la communica- tion des terminaisons Lectales des
nerfs
optiques et des détermi- nantes excitomolrices
générative, l'allure des réflexes, tout cela élimine une lésion des
nerfs
. Tout porte à croire à l'existence de la dégéné
cé. Il est probable que diffé- rentsnutrestroufdcsdansletfomainedes
nerfs
crâniens chez des tabéliques sont dus à celte m
rveuses. il. llt.tA (Ue Milan) a étudié par la méthode de Cajal des
nerfs
sectinnnescta trouve après trois semaines des f
on excitée étant innervée par la branche auriculaire du troi- sième
nerf
cervical, tandis que les faisceaux musculaires en
d'effectuer toute autre inclusion. Ce système fournit des coupes de
nerfs
de 5 ^ non incluses, colorées comme l'on veut.
tubercules quadrijumeaux (sans, d'ailleurs, envahir les noyaux des
nerfs
oculaires), allant en bas presque jusqu'au bulb
e s'analyse pas. P. KERAVAL. LXX111. Contribution à la question des
nerfs
conducteurs delà chaleur et du froid ; par f'.
tes les fibres nerveuses ne sont pas également atteintes. Lorsqu'un
nerf
mixte est enflammé, le processus morbide, pour
de certains sons. Cette analogie pfaideen faveur de l'existence de
nerfs
de la chaleur et de nerfs du froid. ' P. Keraval.
nalogie pfaideen faveur de l'existence de nerfs de la chaleur et de
nerfs
du froid. ' P. Keraval. LXX1\ . Revue des plus
eurs terribles ininterrompues, grande sensibilité à la pression des
nerfs
et muscles, atteinte quasi si- multanée des mem
Lltiyue·, pas d'hystérie, pas d'autres accidents pathologiques. Les
nerfs
de l'extrémité droite ont dû, la suite de cette
aire ou matérielle qui, à son tour, exci- tant (périodiquement) les
nerfs
périphériques, a provoqué les con\ ubions l' Ib
ne névrite multiple. P. KERAVAL 1. LIV. Lésion par arme à feu des
nerfs
optique et ocu- lomoteurexterne; par S. Lr.vss.
n lumi- neuse. L'ophtalmoscope reveieà droite : atrophie blanche du
nerf
optique ; grande quanti lé de pigment peripapil
tion de décol- collemenL cle la peau irradiés le Ions du trajet des
nerfs
. Enfin, des épistaxis répétées, de l'asthénie l
- tiformcsquil attribue à une irritation de certaines branches du
nerf
honteux interne. Malheureusement, ses observation
de l'auditif, du glossopharyngien, atrophie de celles des libres du
nerf
optique gauche qui partent du nerf optique droi
atrophie de celles des libres du nerf optique gauche qui partent du
nerf
optique droit. Il esl supposable que la lésion a
e que la lésion a eu lieu à l'entrecroisement même, car, si tout le
nerf
optique droit était altéré, nous aurions une hé
e pronostic entre les paralysies des plexus et celles des tronc des
nerfs
du membre su- périeur ; parL. Bruns. Neurolog.
0 cas d'affections nerveuses, 95 présentaient de la pa- ralysie des
nerfs
périphériques individuels, 38, de la paralysie pa
ur des causes diverses, l'auteur ne relient que 47 pa- ralysies des
nerfs
périphériques, et 23 paralysies par le plexus b
r guérison, le milieu entre celles, très favorables, par lésion des
nerfs
périphériques, et les paralysies d'un pronostic t
Il concerne une méningite de la hase all'edanl t exclusivement les
nerfs
optiques, grelfée sur la syphilis. lil et petit
lieu pour les au- tres modes de la sensibilité cutanée. 9° Quand le
nerf
périphé- rique est lésé en même tempsquel'os, l
ition des cellules motrices de la moelle au niveau de l'origine des
nerfs
des membres, par G. 131K¡';l.ES. (¡Yeu- rolog.
s fibres semblent déjà épuisées vers le noyau très volumineux de ce
nerf
, de sorte qu'au dessous du facial on ne trouve
âge de 3 mois, il la circonvolution sigmoïde seule. Le pouls dit du
nerf
vague ne se manifeste que lorsqu'on excite 1'1;-
ainsi qu'à l'occasion delà ferme- ture palpébrale réflexe émanée du
nerf
optique ou du trijumeau. La contraction des pup
et juLa-olivaires; le ruban de lleil gauche qui est dégénéré elles
nerfs
hypoglosses. En même temps, on rencontre les lé
es) ; 11) névralgies qui s'apaisent par injections sur le trajet du
nerf
au-dessus du point' altéré (névralgies de cause
répartition des - motrices de la moelleau niveau de l'origine des
nerfs
des membres, par Hikeles. 381. Centres. Les v
aso- moteur du chien nouveau-né, par Gartie, 442. Chaleur. Voir
Nerfs
. CtrAnEyTOi\. Maison nationale de -, 80, 493.
450. Coiiourg (de). La princesse Louise -, p. 415. Colur. Voir
nerfs
Voir Ce ? veau. Cocaïne LOCO Voir Né- vralg
. Un cas de maladie de , par Pic et Bonnamour, 311. Fnoin. Voir
Nerfs
. GIXGLIOX -\ sympathique. Voir Paralysie. Les
t de la sphère visuelle occipita- le, par Nicolas et Cade, 383.
Nerfs
. Voir Yeux. Une preuve de l'existence des troph
ysie, faciale périphérique due à un tibrosareome englo- " bant le
nerf
à sa sortie du bul- be, par Raymond, Huent et A
e de pro- nostic entre les des plexus et celles des trorc< des
nerfs
du membre supérieur, par Bruns, 319. Sur la -
àla-;par Lé- vy, l3onniat et Taguet, 73. Pédoncule cérébral Voir
Nerfs
crâniens. Personnel médical. Voir Asiles d'
res. Wundt et sa psychologie, 465. Yeux. 1 e trajet central des
nerfs
des muscles des , par l'iltz, 47. ' ZD ! S'l'
arien, etc., etc.). Le malade n'a d'ailleurs jamais eu de crises de
nerfs
. Il n'y a en aucun point du corps de traces vis
espèce; ces sujets, disons-nous, peuvent bien avoir des attaques de
nerfs
, mais ce qui domine, le fond immuable, c'est la
elle elle- même n'est pas comprimée, mais seulement les racines des
nerfs
ra- chidiens au niveau des trous de conjugaison
est nerveuse, vive et emportée, mais n'a jamais eu d'at- taques de
nerfs
. Les grands-parents maternels ne paraissent pas a
lement de vingt- quatre ans, a eu, à dix-huit ans, « une maladie de
nerfs
» caractérisée par un hoquet persistant qui a d
n grand- I père est mort fou et sa grand'mère avait des attaques de
nerfs
. 1 2° Côté maternel. - Là mère est emportée, co
- Là mère est emportée, coléreuse, elle n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. La grand'mère est peu connue. Le grand-père es
mir; mais, à la suite de cette séance, elle eut une grande crise de
nerfs
pendant laquelle se manifestèrent pour la premi
opiniâtreté, et les paralysies des muscles de l'oeil, l'atrophie du
nerf
optique ne présen- tèrent pas de changement.
ue ne permet de constater de modification de structure que dans les
nerfs
. Pour Strïtmpell, la polynévrite représente une
re assez bien. Aux membres inférieurs, les, muscles innervés par le
nerf
sciatique poplité externe étaient complètement
ction intéressait seulement le territoire musculaire innervé par le
nerf
péronicr. Aux membres supérieurs on la constate
tum sont respectées. , Il n'existe aucun trouble dans la sphère des
nerfs
crâniens ni bulbaires. Enfin on ne constate p
l'atrophie des cellules glanglionnaires des cornes antérieures. Les
nerfs
périphériques sont indemnes, à l'exception des
régions cervicale, dorsale, et lombaire de la moelle épinière, des
nerfs
médian, cubital, et sciatique, des nerfs cutané
de la moelle épinière, des nerfs médian, cubital, et sciatique, des
nerfs
cutanés et des muscles mis à notre disposition.
optique avec stase, telle qu'on l'observe dans les inflammations du
nerf
d'origine intra-cranienne. Voici pour compléter
largies. Dans l'acromégalie, la cécité est due à la compression des
nerfs
optiques par le corps pituitaire hypertrophié j
curs de la physiologie. L'antagonisme de l'orbiculaire animé par le
nerf
facial et du releveur de la paupière supérieure
nerf facial et du releveur de la paupière supérieure innervé par le
nerf
moteur oculaire commun n'est pas encore élucidé
érées, surtout lorsque la paralysie résulte-d'une section totale du
nerf
facial. Ce trouble est moins marqué dans la par
ociation a été expliquée par l'hypothèse d'anastomoses centrales du
nerf
moteur oculaire commun avec la branche motrice du
ment caractéris- tiques. Enfin la malade a de petites attaques de
nerfs
de nature nettement hystérique. Elle n'a point
gies totales purement extérieures ? La paralysie par compression du
nerf
porte donc presque fatalement sur toute la musc
aller plus loin et localiser la lésion dans la partie terminale du
nerf
. Il estpossible, ditMoebius, que cesymptôme se
se produise sous l'influence d'une lésion périphérique frappant les
nerfs
extérieurs du globe de l'oeil et respectant les
frappant les nerfs extérieurs du globe de l'oeil et respectant les
nerfs
ciliaires. A l'appui de celle manière de voir,
ibilité d'une ophthalmo- plégie externe par lésion périphérique des
nerfs
moteurs. Cette fois l'examen du système nerveux
e, ni dans les centres moteurs, ni dans les fibres radiculaires des
nerfs
de l'oeil, on ne put révéler la moindre lésion
tra l'existence d'une névrite multiple des mieux caractérisées. Les
nerfs
oculo- moteur commun, oculo-moteur externe, pat
s déjà fort appréciables; le phrénique, les intercostaux, plusieurs
nerfs
des membres étaient également en voie de dégéné
l'état cachectique du sujet, ayant frappé tout particulièrement les
nerfs
de l'orbite et se traduisant parle tableau comple
ssant mémoire sur l'ophthal- moplégie externe et les paralysies des
nerfs
moteurs bulbaires dans leur rapport avec le goi
es conditions l'oeil parvient, comme dans le stra- o 1. Blanc, Le
Nerf
moteur oculaire commun et ses paralysies. Thèse d
ésion du groupe des cellules antéro- externes. Fig. 3. - Coupe du
nerf
médian de polynévrite à la région inférieure de l
es sont indemnes. Les racines anté- rieures sont un peu altérées.
Nerfs
cutanés. - Il ne présentent aucune altération.
eu altérées. Nerfs cutanés. - Il ne présentent aucune altération.
Nerfs
médian et cubital. Indemnes. Nerf sciatique. -
présentent aucune altération. Nerfs médian et cubital. Indemnes.
Nerf
sciatique. - Quelques fascicules de ce nerf prése
n et cubital. Indemnes. Nerf sciatique. - Quelques fascicules de ce
nerf
présentent des alté- rations de névrite parench
eux périphériques, nous avons constaté une dégénération relative du
nerf
sciatique. C'est là un fait assez particu- lier
une myélite antérieure entraînant une dégénération consécutive des
nerfs
. En résumé les exemples typiques provenant d'au
eu dilatés, et leurs parois sont légèrement épaissies. Muscles et
nerfs
. -- On a prélevé pour cet examen : le nerf médi
t épaissies. Muscles et nerfs. -- On a prélevé pour cet examen : le
nerf
médian à la partie moyenne du bras, supérieure,
eure de l'avant-bras, enfin les deux branches profondes de ces deux
nerfs
. Ces rameaux ont été traités par l'acide osmiqu
ée (Planche XXXII, fig. 3, a). Les seuls ramuscules musculaires des
nerfs
présentent des alté- rations : c'est pourquoi n
se colorent fortement (Planche XXXII, fig. 4, el, d'). Les petits
nerfs
musculaires qui se trouvent dans le tissu conjonc
musculaires très altérées que nous avons signalées, il y a même des
nerfs
qui ne réagissent plus sous l'action des substanc
par suite reconnaissables. Il est à remarquer que l'altération des
nerfs
, n'existe pas en général sur les rameaux intra-
ation des cordons postérieurs et si les racines postérieures et les
nerfs
périphériques ne faisaient pas partie du processu
innervé par les rameaux cervicaux de la branche cervico- faciale du
nerf
facial. Les autres muscles du corps sont sains.
ne peut guère s'expliquer autrement que par une lésion de ces deux
nerfs
au niveau de la partie inférieure de la protubé
emblablement sur le trajet intra-protubé- rantiel des fibres de ces
nerfs
, entre leur noyau d'origine et leur point d'éme
ostique une sciatique et on lui fait un siphonnage sur le trajet du
nerf
. Huit jours après, il retourne à la consultatio
es lieux d'élection de cette douleur sont classiques : émergence du
nerf
, fesse, point rétro-trochantérien, face postéri
devenir pénible et par réveiller quelques douleurs sur le trajet du
nerf
. Cette difficulté de la station assise le préoc
ndre d'une manière satisfaisante. Kocher recommande l'élongation du
nerf
, il en a obtenu de bons résultats; mais ceux-ci
cas, en des altérations intenses pour les muscles, minimes pour les
nerfs
, presque nulles pour la moelle. Quelles relat
te hypothèse. Il ne nous reste à invoquer que les dégénérations des
nerfs
péri- phériques. Or celles-ci présentent des pa
econdaires fortement altérés eux-mêmes. En somme, les lésions des
nerfs
sont tout à fait parallèles à celles des faisce
ladie générale selocalisant soit également sur l'encéphale e et les
nerfs
périphériques, soit plus spécialement sur le cent
sité exceptionnelle et peu en rapport avec une lésion primitive des
nerfs
périphériques. Au point de vue anatomique, le m
e pouvaient être incriminées. Mais d'autre part les altérations des
nerfs
eux-mêmes n'étaient certes pas en rapport avec
ieurs en particulier, portait surtout sur l'éminence thénar. Or, le
nerf
médian présentait, il est vrai, quelques fibres
us de régénération; mais le parallélisme des altérations des petits
nerfs
intra-musculaires et des faisceaux des muscles
avec atrophie musculaire, dans lequel l'absence de toute lésion des
nerfs
périphériques et de la moelle épinière lui a fa
llules cérébrales motrices, cellules ganglion- naires de la moelle,
nerfs
moteurs, muscles), par un agent pathogène se lo
'a rien qui doive surprendre, puisque d'après cer- tains auteurs ce
nerf
prend naissance dans le noyau de l'abducens et
x est presque complètement perdue; ptosis modéré, parésie légère du
nerf
facial de chaque côlé. Urine normale. Pas de tr
bles morbides, qui sont devenus stationnaires. Vu l'intégrité des
nerfs
ciliaires, on ne peut songer à une paralysie péri
enne, à une lésion de la base du crâne. On ne peut admettre que les
nerfs
ciliaires viennent du moteur oculaire externe,
culaire externe, puisque, à gauche, on constate une paralysie de ce
nerf
. L'origine intra-orbitairc se trouve exclue par
n portante, une paralysie en partie partielle, en partie totale des
nerfs
suivants : Optique, oculo-moteur, trochléaire, ab
vements en dehors tout à fait forcés. En ce qui concerne les autres
nerfs
crâniens, il est à remarquer que, le lendemain
aurait constaté dans deux cas de paralysie progressive de tous les
nerfs
crâniens les mêmes lésions de dégénérescence in
n, que d'autres avaient cette boule, qui n'est autre cliose que les
nerfs
concentrés et fait gonfler l'estomac; '1 r MÉDE
té qui appartient à l'esprit de réagir, au moyen des centres et des
nerfs
soumis au cerveau sur les fonctions et les tiss
t de vue pathogénique, je remarquerai l'état nettement variqueux du
nerf
chez un de mes malades. Au point de vue théra-
RAVAL. I V. Contribution à la question des connexions centrales des
nerfs
craniens moteurs ; par M. P. 1l0MANow. (Neurolo
ns, au moyen du courant faradique, le centre cortical de tel ou tel
nerf
, l'auteur détruit l'écorce de l'endroit corresp
tre du trijumeau et de l'hypoglosse. Au niveau des noyaux de chaque
nerf
, de même que de la pyra- mide dégénérée dans la
ibres des pyramides dégénérées dans toute retendue des noyaux de ce
nerf
; mais on n'en rencontre plus au-dessus du noyau
lissent leur entre-croisement dans toute l'étendue des noyaux de ce
nerf
et même au-dessus de ces noyaux dans le ter- ri
surtout, bien au-dessus de l'extrémité supérieure des noyaux de ce
nerf
, dans le segment éloigné des tubercules quadri-
générées, on rencontre toujours, au-dessous du niveau des noyaux du
nerf
examiné, des fibres dégénérées que, quoiqu'en p
côté opposé. La lésion isolée du centre cortical de n'importe quel
nerf
cranien, entraîne donc toujours une dégénéresce
s des pyramides qui dégénèrent après lésion du centre cortical d'un
nerf
crânien quelconque. n'indique donc point les co
ien quelconque. n'indique donc point les connexions centrales de ce
nerf
. Cette particularité, propre aux expériences de
dégénérées qui, assurément, n'ont aucun rapport avec les noyaux du
nerf
examiné. Nous ne possé- dons donc aucun point d
parmi les fibres dégénérées, celles qui appartiennent au système du
nerf
examiné, et celles dont le trajet appartient à la
bre de fibres nerveuses et par suite une compression qui réduit les
nerfs
voisins à l'état de fibres minces et de fibres
e de cel- lules très probablement saines, ce qui explique : que les
nerfs
périphériques n'aient présenté que relativement
ent encore capables d'un certain mou- vement volontaire. Dans les
nerfs
périphériques, ou constatait cependant l'existenc
Il pensait qu'il s'agis- sait des prodromes d'une dégénérescence du
nerf
. Depuis, Bernhardt a attribué à la situation pr
ce du nerf. Depuis, Bernhardt a attribué à la situation profonde du
nerf
ces phénomènes, qui se montreraient, d'après lu
en question, explicable en chaque espèce. La situation profonde du
nerf
n'était donc point en cause. Il est un nerf qu'
situation profonde du nerf n'était donc point en cause. Il est un
nerf
qu'il est bien plus difficile d'exciter que le ra
. Altérations du système nerveux consécutives à l'arrache- ment des
nerfs
; quelques considérations relatives à leur nature
survivent à la section de leur cylindraxe. Quand la régénération du
nerf
suit son cours normal, la répara- tion des cell
force de réparation est plus ou moins anéantie. La régénération des
nerfs
périphériques est donc fonction de la réparatio
cellules et celle-ci dépend de celle-là. En réséquant un morceau de
nerf
ou mieux en arrachant le nerf, on arrête la pha
elle-là. En réséquant un morceau de nerf ou mieux en arrachant le
nerf
, on arrête la phase de régénération de la cellule
Telle est la phase 3, la phase de dégénérescence. La résection des
nerfs
ou leur arrachement, en empêchant la réunion de
u leur arrachement, en empêchant la réunion des deux extrémités des
nerfs
, empêche la réparation des altérations de réact
centrales n'a lieu qu'après le réta- blissement de la continuité du
nerf
. P. Isnavnt. XXI. Contribution à la technique h
ine dans le traitement de l'épilepsie ; par 130D01\I. (Riv. di pat.
nerf
. et ment., fasc. IX, 1899.) Huit observations d
n est empêché par l'anesthésie locale du larynx. La destruction des
nerfs
de la sensibilité entraîne la perte du mouve- '
es. Au chapitre de l'olfaction, M. Soury étudie les terminaisons du
nerf
olfactif dans les lobes fron- tal et temporal,
. 198 CLINIQUE NERVEUSE. vertiges. Jamais il n'a eu d'attaques de
nerfs
d'aucune nature. Il est d'uu caractère calme, p
uffe + Les remèdes ne me font rien + M. A... me dit que ce sont les
nerfs
-f- M. A... me pique, me donne une nou- velle p
rt 40. L'ophthalmoscope montre d'autre part une atrophie double des
nerfs
optiques. CONVULSIONS POST-TRAUMATIQUES : CRANI
un cas de para- lysie générale au début ; par Zanzi. (Riv. di pat.
nerf
. et ment., fasc. IX, 1899.) Cas de rigidité p
colie et psychose maniaco-dépressive ; par Il. Gucci. (Riv. di pat.
nerf
. et ment., fasc. VII, 1899.) Recherches critiqu
ut être aussi un état parétique léger des jambes. Parésie légère du
nerf
facial inférieur, absence des réflexes tendineu
ômes d'Argyll-Robertson, de Westphal, de Romberg, une atrophie du
nerf
optique gauche, et des douleurs fulgurantes. Cont
e; quand il y a participation isolée ou précoce de l'un ou des deux
nerfs
faciaux inférieurs; quand la tête est tournée v
c admettre dans ces organes une décussation des fibres nerveuses du
nerf
vestibulaire. Il existe un lien intime, anatomi
en rapport avec le rétablissement fonctionnel dans le domaine des
nerfs
lésés ; par le D CENI. (Riv. sp. di /'ren., fasc.
établissement de la fonction de sensibilité dans le territoire d'un
nerf
lésé ou suturé ; 2° l'importance capitale que d
es dans le rétablissement de la sensibilité dans le territoire d'un
nerf
lésé. J. SÉGL4S. XL. Le poids spécifique de l
on pupillaire à la lumière. Chez un tabétique aveugle (atrophie des
nerfs
optiques), dont les pupilles étaient tout à fai
quelle serait l'oculomoteur commun ; les fibres pupil- laires de ce
nerf
sont déjà redevenues conductrices, mais pas aus
cation dénote la participation de la branche motrice du cin- quième
nerf
; la paralysie faciale d'un côté et la parésie de
t de la déglutition dénote la participation des neuvième et dixième
nerfs
dont les fibres motrices partent en commun du n
e cellulaire motrice de la corne antérieure, tandis que le douzième
nerf
est responsable des troubles moteurs de la langue
s léger exercice, spécialement dans les muscles desservis par les
nerfs
moteurs crâniens, mais aussi, à un certain degré,
iser la pâte exclusivement avec le bord interne de l'avant-bras. Le
nerf
cubital est intéressé seul. Le court fléchisseu
oires surviennent chez ces malades au moment où, à la périphérie le
nerf
optique est soumis à une forte excitation par l
oreilles, c'est toujours, en résumé, le même principe : exciter le
nerf
acoustique, le centre auditif, afin de provoque
s les centres des sens, n'est cependant pas limitée au cerveau. Les
nerfs
périphé- riques, les terminaisons nerveuses son
agit sous le moindre choc, est alcoolisé, mais non lésé encore; les
nerfs
qui réagissent très doulou- reusement, sont pat
la poitrine ou les membres, sent douloureusement le choc. C'est le
nerf
malade qui réagit. Mais immédiatement des hallu
iennent les champs hallucinatoires, après une légère irritation des
nerfs
sensoriels. Mais ces troubles ne durent pas. Le
ncinantes. Mais par suite de la continuation de cette extension des
nerfs
, l'action d'une pareille hypérémie de la moelle
une pression, un tiraillement, un déchirement survenant soit sur un
nerf
mo- teur, soit sur un muscle, produisent les ph
s phénomènes tendineux, l'intégrité de l'excitabilité électrique du
nerf
et du muscle, l'intégrité de la sensibilité objec
avoir épuisé tous les muscles jusqu'à la tète, saute sur certains
nerfs
crâniens, notamment sur l'oculomoteur commun, le
s par endartérite de la grande artère spinale et leur marche. Les
nerfs
crâniens les plus exposés à la parésie syphilitiq
ale. C'est pourquoi sont de préférence atteints par la syphilis les
nerfs
crâniens qui se trouvent près du cercle artériel
dans ou entre le centre du lobe pariétal et les ter- minaisons des
nerfs
sensoriels dans la peau, le sens stéréognos- ti
précise, ver- tiges légers aux mouvements de la tête ; névrite des
nerfs
opti- ques, parésie légère de la main droite, e
fibre nerveuse après section. Les expériences ont été faites sur le
nerf
sciatique des lapins et des cobayes. Section du
faites sur le nerf sciatique des lapins et des cobayes. Section du
nerf
et examen du bout périphérique du nerf sectionn
s et des cobayes. Section du nerf et examen du bout périphérique du
nerf
sectionné, au bout de un à vingt-cinq jours apr
par des couleurs acides, comme l'éosine. Après le durcis- sement du
nerf
dans la formaline, elle a l'aspect spongieux; dan
altérations que subit la gaine de myéline du bout périphérique d'un
nerf
sectionné, consiste dans la cessation des proce
pas encore tranchée. M. Roth admet que dans le bout périphérique du
nerf
sectionné les processus synthétiques peuvent en
ue : A. Chi- pault. Les conséquences trophiques de l'élongation des
nerfs
: étude expérimentale et thérapeutique (mal per
Sur deux nouveaux cas d'ulcère variqueux traités par élongation des
nerfs
; P. Delbet. Traitement des varices et des ulcèr
nt et sur deux cas d'ulcères variqueux traités par élonga- tion des
nerfs
; J. Crocq. Le traitement du mal perforant plan-
. Le traitement du mal perforant plan- taire.par la faradisation du
nerf
postérieur et de ses branches terminales; Jabou
rties sont fixés en vue de l'examen microscopique. La moelle et les
nerfs
périphériques ont été également fixés. Notons q
égé- nérescence présentant l'apparence d'une systématisation. Les
nerfs
périphériques traités également par la méthode de
Clarke. Pas de dégénérescence médullaire régulièrement distribuée;
nerfs
périphériques à peu près intacts. CLINIQUE ME
xcitable pendant quelques jours. 2 juin.-C... est très calme, aucun
nerf
sensoriel ne réagit sous l'excitation périphéri
point de départ à la périphérie, à l'extérieur. Nous excitons un
nerf
sensoriel ou sensitif, des terminaisons nerveuses
ures paraissent égales, il en est de même des autres artères. Les
nerfs
optiques et le chiasma sont égaux. Le tubercule m
e coin et les bords de la fis- sure calcarine. La circonvolution du
nerf
olfactif est réduite à deux arêtes blanches dan
calcarine. L'impression visuelle étant produite par le contact des
nerfs
de la rétine et des cellules nerveuses de la ré
supérieur de la rétine serait innervé par le faisceau supérieur du
nerf
optique et de la bandelette optique; son quadra
ètement séparé. P. J{ERAVAL. LXXIV. L'entrecroisement partiel des
nerfs
optiques dans le chiasma des mammifères supérie
bon d'interroger la physio- logie expérimentale. Knoll sectionne le
nerf
optique, il obtient la cécité de l'oeil du même
tation produite par l'endroit lésé sur la nutrition de l'oeIl ou du
nerf
optique. Il faut se défier des espèces animal
quelle que soit leur fonction phy- siologique, quels que soient les
nerfs
périphériques qui s'y termi- nent. Cette conc
a localisation motrice médullaire n'est donc en rapport ni avec les
nerfs
, ni avec les muscles des membres, elle est segm
it que le facial supérieur a son origine dans le noyau commun de ce
nerf
. Ainsi se trouve détruite l'opinion longtemps adm
u de substance chroma- tique, qui, probablement, sont l'origine des
nerfs
des muscles intérieurs de l'oreille ou même peu
tumeur englobait les filets radiculaires du cinquième et du sixième
nerf
dorsal, c'est-à-dire des nerfs correspondants à
diculaires du cinquième et du sixième nerf dorsal, c'est-à-dire des
nerfs
correspondants à la zone d'hyperesthésie. En te
gère anasthésie. Dans un cas, le mal a débuté. par 'r les bras. Les
nerfs
craniens sont rarement atteints et les troubles
tique, céphalée, vomissements, vertiges, convulsions, paralysie des
nerfs
crâniens, même faiblesse et douleurs dans les e
tion ne succède au massage, il faut avoir recours à la résection du
nerf
spinal accessoire, mais il faut prévenir le mal
sionnellement on peut être obligé d'avoir recours à la division des
nerfs
qui innervent ces muscles. C. Schépiloff. XXX
ime est toujours une lésion des centres ner- veux, l'irritation des
nerfs
périphériques n'est que la cause occa- sionnell
de l'avant-bras tributaire de la racine postérieure du te et du 21
nerf
dorsal. Un autre point intéressant c'était l'ex
t l'extension de la dissociation syringomyélique dans le domaine du
nerf
trijumeau, phénomène que l'auteur attribue à la
ns épileptiques. Quand on considère la disposi- tion compliquée des
nerfs
de l'iris et des procès ciliaires, on n'est pas
sans modifications appréciables du fond de l'oeil et sans lésion du
nerf
optique ou du cerveau, avec retour progressif et
senté de signes d'aphasie sensorielle. Névrites professionnelles du
nerf
11,édian et du nerf cubital chez un ouvrier men
hasie sensorielle. Névrites professionnelles du nerf 11,édian et du
nerf
cubital chez un ouvrier menuisier porteur d'une
u apparaître à la main droite des fourmillements dans le domaine du
nerf
cubital, puis de l'affaiblissement et de l'atro
- Sur un cas de`paralysie spinale infantile avec participation du
nerf
récurrent. - M. HUET. Chez un enfant atteint vers
nt des troubles laryngés comme ceux que détermine la paralysie d'un
nerf
récur- rent. Ces troubles laryngés apparaissent
équent il semble très vraisemblable que des cellules d'origine d'un
nerf
récurrent ont été atteintes par ce processus. D
n effet peu de cas avec phénomènes bulbaires et phénomènes liés aux
nerfs
crâniens. A l'étranger la paralysie infantile s
0 Névralgie du cordon trai- tée avec succès par la résection de ses
nerfs
;2° Epilepsie avec aura au niveau d'un névrome d
Il est du reste de consistance et de forme normales. Résection des
nerfs
du cordon. Hypoesthésie transitoire de la bours
ns la moelle. Lésions de névrite sans lépromes ni bacilles dans les
nerfs
des membres. M. DÉJEUNE a connu ce malade et n'
te, par Cam- broni et Lambranzt, 236. Nécrologie Ganckles, 443.
Nerfs
crâniens. Connexions , cen- trale des ' moteurs
ns. Connexions , cen- trale des ' moteurs, par n'oma- now, 142.
Nerfs
optiques. Entrecroisement partiel des -, par de
GICALE, par Chi- pault, 455. Névralgie du cordon, résection des
nerfs
, par Chipault, 532. Névrites expérimentales, pa
ault, 532. Névrites expérimentales, par Mom- dio, 311, 332. - dps
nerfs
médian et cubital, par Huet, 531. 3152 TABL
, par Leszinski, 427. - spinale infantile avec partici- pation du
nerf
récurrent, par Huet, 532. Paralysie générale.
Pfisler, 147. Alté- rations du consécutives à l'ar- rachement des
nerfs
, par Mari- nesco. 155. Le - central, structure
nt est arrachée: ainsi les trous et conduits par lesquels passent les
nerfs
et les vaisseaux se rétrécissent, lorsque ces ner
quels passent les nerfs et les vaisseaux se rétrécissent, lorsque ces
nerfs
ou ces vaisseaux sont atrophiés ou oblitérés : te
a compression de la moelle qui avait lieu au-dessous de l'origine des
nerfs
pneumo-gastriques, mais bien au-dessus de l'origi
ine des nerfs pneumo-gastriques, mais bien au-dessus de l'origine des
nerfs
phréni-ques et intercostaux. Enfin l'algidité,
les extrémités osseuses; les muscles passent à l'état graisseux; les
nerfs
musculaires s'atrophient, et les vaisseaux artéri
s de la face avaient presque tous éprouvé une certaine altération. Le
nerf
optique gauche semblait se perdre dans la tumeur;
ec dégénération aréolaire , une déformation plus ou moins notable. Le
nerf
optique et le nerf moteur commun n'étaient pas co
olaire , une déformation plus ou moins notable. Le nerf optique et le
nerf
moteur commun n'étaient pas comprimés d'une maniè
maire de la main gauche. On voit l'arcade palmaire superficielle, les
nerfs
et les vaisseaux des deux derniers doigts. AN, AN
résentent des anastomoses nerveuses remarquables, constituées par les
nerfs
de la région palmaire avec les nerfs de la région
emarquables, constituées par les nerfs de la région palmaire avec les
nerfs
de la région dorsale. Ces anastomoses forment une
ervés dans les os en supposent de correspondans dans les muscles, les
nerfs
et les vaisseaux des membres inférieurs. En outre
tissu cellulaire; mais la chose n'est pas positivement démontrée. Les
nerfs
encéphaliques et spinaux étaient dans l'état le p
t destinée à un pied. Je ferai également remarquer la fusion des deux
nerfs
tibiaux postérieurs, en un seul tronc , qui se bi
on ne trouve dans cette région que les tendons des fléchisseurs, des
nerfs
et des vaisseaux. Point de muscles proprement dit
nière dans les graisses, sans aucune insertion inférieure. Les deux
nerfs
sciatiques poplités internes sont confondus en un
seul tronc NSPI, qui commence immédiatement au dessous du bassin. Les
nerfs
sciatiques poplités externes N SPE,NSPE sont étra
une paralysie locale produite par la compression, par l'atrophie des
nerfs
laryngés? Je ne puis me livrer, à cet égard, qu'à
édé la mort du sujet, et il ne m'a pas été donné d'étudier l'état des
nerfs
laryngés, du pneumo-gastrique, du bulbe rachidien
du cerveau; je dois même dire que je n'ai songé à étudier l'état des
nerfs
intrinsèques du larynx que lorsqu'il n'était plus
hémiplégie ou atrophie hémiplégique du larynx tenait à une lésion du
nerf
laryngé inférieur ou récurrent du même côté, car
l'atrophie sont exactement celles de sa distribution'(i). Ainsi le
nerf
laryngé supérieur n'était pas malade, car le musc
'on considère la fréquence des causes de compression et d'atrophie du
nerf
laryngé inférieur, on sera porté à considérer com
lement, quelquefois en haut ou en bas, et plus près de l'insertion du
nerf
optique que de la cornée transparente. La demi-tr
-postérieure de la masse (fig. 4") montre que le globe de l'œil et le
nerf
optique sont complètement étrangers à la dégénéra
rien de ceux d'un enfant qui vient de naître. Les artères, veines et
nerfs
présentent tous leurs caractères normaux ; toutes
té des viscères thora-ciques et abdominaux, des muscles, vaisseaux et
nerfs
, pendant dix-huit ans, conservation telle que le
blanc et de noir. L'une de ces tumeurs occupait le point précis où le
nerf
optique se continue avec la rétine; l'autre était
face de la tumeur était parcourue par de petite vaisseaux veineux. Le
nerf
pneumo-gastrique gauche était accollé à son côté
t en bas le long de la gaine celluleuse, qui entoure les vaisseaux et
nerfs
brachiaux jusqu'au pli du bras. En outre, l'infla
oyer pulmonaire. Le trajet fistuleux était antérieur aux vaisseaux et
nerfs
de la région latérale du cou. Réflexions. Les s
l'épaisseur des muscles et qu'on voit encore le long des tendons, des
nerfs
et sur le périoste contre lequel elles sont appli
ansformation variqueuse, qui s'est insinuée même dans l'épaisseur des
nerfs
et en a dissocié les filamens, d'ailleurs restés
privé de son périoste est érodé. Le long de la partie inférieure du
nerf
cubital on voit une série de tumeurs variqueuses.
ur aspect contraste avec la couleur des aréoles pleines de sang. Le
nerf
médian avait été envahi, ou plutôt la transformat
os qu'elles avoisinent. J'ai pu voir sur ce sujet la manière dont les
nerfs
finissent par être envahis. C'est entre leurs fil
détruire par atrophie, sans pouvoir les pénétrer. Ainsi les filets du
nerf
médian avaient été écartés, disséminés. L'un de c
et extenseur propre du gros orteil, l'artère tibiale antérieure et le
nerf
tibial antérieur lesquels sont parfaitement disti
rtérielle diffère essentiellement d'un membre paralysé par lésion des
nerfs
ou du centre céphalo-rachidien, en ce que, dans l
est excessivement rare de voir une paralysie complète par lésion des
nerfs
. Un autre caractère tout-à-fait pathognomonique,
a malade rapporte cet état à la saignée et croit qu'on lui a piqué un
nerf
. Le lendemain, il\, je constatai l'existence d'
ue cette paralysie avait son siège non dans le cerveau, mais dans les
nerfs
de la main; que la cause était un rhumatisme fixé
s les nerfs de la main; que la cause était un rhumatisme fixé sur les
nerfs
cutanés et sur les nerfs musculaires de la main.
ue la cause était un rhumatisme fixé sur les nerfs cutanés et sur les
nerfs
musculaires de la main. Cependant, attendu que
à ma note que la paralysie purement locale tenait ou à une lésion des
nerfs
ou à une lésion du système artériel. Du reste, in
it de la chaleur d'un four sur la main d'un cadavre. Les muscles, les
nerfs
étaient desséchés, sans présenter la moindre trac
s dernières côtes. La douleur de constriction semble résider dans les
nerfs
intercostaux, car elle occupe toute la longueur d
rent : du reste, dans l'intervalle des crises, la douleur le long des
nerfs
intercostaux est permanente, mais tolérable. On d
ar adhésion intime et immédiate de leurs parois. Le grand et le petit
nerfs
splanchniques GNS P, PNSP du côté droit, qui ont
anévrysme de l'aorte,qui use sourdement les vertèbres et comprime les
nerfs
intercostaux, en est bien souvent la source ; d'a
douleurs intercostales, bien évidemment produites par là pression des
nerfs
intercostaux, céder à cette application. (i~ i°
Valleix,dans son Traité des névralgies ou affections douloureuses des
nerfs
, Paris, 1841 , pages 333 et suiv,, a consacré un
allu entamer le sac ou ces vaisseaux pour la séparer complètement. Le
nerf
pneumo-gastrique N P intermédiaire à l'artère car
e a été diagnostiquée, j'ignore si la destruction presque complète du
nerf
pneumo-gastrique droit a exercé quelque influence
n considérable sur les parties précédemment énumérées. Les filets des
nerfs
pneumo-gastrique, glosso-pharyngien et accessoire
is (8) ont été rejetés au-devant de la tumeur qu'ils contournent. Ces
nerfs
sont étalés, écartés les uns des autres, mais san
s des autres, mais sans avoir subi d'altération dans leur tissu. — Le
nerf
grand hypoglosse (9) ne présente rien de particul
. — Le nerf grand hypoglosse (9) ne présente rien de particulier. Les
nerfs
de la septième paire et ceux de la cinquième (5)
tte tumeur : ils sont étalés à la manière d'un ruban très large. — Le
nerf
de la sixième paire (6) est dévié, mais sans alté
Le nerf de la sixième paire (6) est dévié, mais sans altération ; le
nerf
olfactif gauche atrophié (iveP.),le nerf olfactif
é, mais sans altération ; le nerf olfactif gauche atrophié (iveP.),le
nerf
olfactif droit amoindri; les nerfs optiques (2e P
olfactif gauche atrophié (iveP.),le nerf olfactif droit amoindri; les
nerfs
optiques (2e P.) complètement atrophiés. Leur tis
dence la dépression de l'encéphale dans laquelle elle était reçue. Le
nerf
de la cinquième paire (5e P.) présentait, dans to
banée fort remarquable par sa largeur et par son peu d'épaisseur. Les
nerfs
de la septième paire (7), portion dure et portion
ette grande racine semblait détachée de son point d'origine. Les deux
nerfs
de la cinquième paire m'ont paru altérés et gris
sortir du ganglion de Casser. La couleur grise se prolongeait dans le
nerf
maxillaire inférieur gauche. La tumeur était de
et occupait la moitié interne de la face postérieure du rocher. — Les
nerfs
auditif et facial étaient complètement détruits d
e l'oreille gauche; et cette surdité s'explique par la compression du
nerf
auditif : effet direct. La contraction convulsive
gauche n'a eu lieu que plus tard, sans doute parce que, plus dur, le
nerf
facial a plus long-temps résisté aux causes de co
t pur et simple delà compression indirecte de la base du cerveau. Les
nerfs
olfactifs et les nerfs optiques avant et après le
mpression indirecte de la base du cerveau. Les nerfs olfactifs et les
nerfs
optiques avant et après leur chiasma, ont été atr
iennent bien manifestement et à la compression directe exercée sur le
nerf
de la cinquième paire gauche et à la compression
a cinquième paire gauche et à la compression indirecte exercée sur le
nerf
de la cinquième paire du côté droit. Enfin, la
eler idiopathiques et qui résultent d'une atrophie pure et simple des
nerfs
optiques, sans lésion aucune des corps genouillés
ement énuclée. Le cervelet n'avait pas subi la même altération. Les
nerfs
optiques, examinés en deçà comme au-delà du chias
n se continuait jusqu'au trou de la sclérotique, qui livre passage au
nerf
, du côté du cerveau, jusqu'à la partie rétrécie d
tait accompagnée. — Le caractère anatomique général de l'atrophie des
nerfs
optiques, c'est la couleur grise avec demi-transp
airement la région lombaire ; car on sait que l'origine apparente des
nerfs
rachidiens se fait toujours bien plus haut que le
t parfaitement connue, trouverions-nous que le point de départ de ces
nerfs
est encore bien plus élevé. Les caractères clin
les cordons antérieurs de la moelle et les racines antérieures des
nerfs
rachidiens. Ce fait est donc en faveur de l'opini
ages de ces cordons et de ces racines. La moelle et les racines des
nerfs
rachidiens présentaient d'ailleurs leur volume na
s représentées planche i. L'une inférieure était située au milieu des
nerfs
de la queue de cheval : elle était du volume d'un
ut reconnaître pour cause une compression exercée directement sur les
nerfs
rachidiens par des tumeurs développées le long de
t sur les nerfs rachidiens par des tumeurs développées le long de ces
nerfs
. M. Monod a présenté à la Société anatomique un s
épinière, soit qu'elle ait lieu au-dessous et comprime seulement les
nerfs
de la queue de cheval. Le fait suivant me paraît,
ulbe racbidien inférieur, et par conséquent laissait intacts tous les
nerfs
situés au-dessus de la dépression: aussi voyons-n
que la paraplégie était très incomplète. J'ai peine à croire que les
nerfs
nés de la portion du bulbe, situés au-dessous fus
de la portion de moelle inférieure à la dépression, que naissent les
nerfs
des pieds, et cependant l'anatomie établit que le
naissent les nerfs des pieds, et cependant l'anatomie établit que les
nerfs
des pieds ne sont en quelque sorte qu'un démembre
e les nerfs des pieds ne sont en quelque sorte qu'un démembrement des
nerfs
, qui se distribuent à toutes les divisions du mem
continuelles dans les genoux, les mollets, les talons et le long des
nerfs
sciatiques. L'immobilité est douloureuse, aussi b
endit bientôt à la cuisse droite,puis à la cuisse gauche, le long des
nerfs
sciatiques, et à la partie interne des cuisses. L
et ce qui reste est un peu plus blanc que de coutume. Les racines des
nerfs
me paraissent atrophiées. Le bulbe rachidien supé
perception des impressions faites sur la peau. Chez cette malade, les
nerfs
conducteurs du sentiment ne transmettaient que tr
g. i , pl. 0,1a moelle présente à sa partie inférieure, au milieu des
nerfs
qui constituent la queue de cheval, une productio
ncéphaloïde, est développée autour d'un certain nombre de racines des
nerfs
spinaux et cachée par celles des racines nerveuse
e gélatiniforme diminuait, et la substance médullaire augmentait. Les
nerfs
qui procèdent de la portion de moelle convertie e
cupe toute l'épaisseur de ces cordons. Les racines postérieures des
nerfs
spinaux sont tout-à-fait atrophiées : elles sont
ons. Les cordons médians et postérieurs, les racines postérieures des
nerfs
spinaux, étaient seuls intéressés, et cependant l
rdons postérieurs de la moelle et dans les racines postérieures des
nerfs
spinaux et sur le siège du mouvement dans les cor
voisine les cordons médians postérieurs. Les racines postérieures des
nerfs
spinaux étaient très grêles, surtout en bas. Je n
fs spinaux étaient très grêles, surtout en bas. Je n'ai pas suivi les
nerfs
spinaux au delà du canal rachidien : tout le rest
r que les cordons médians postérieurs et les racines postérieures^des
nerfs
spinaux président au mouvement tout aussi bien qu
ent, mourut de je ne sais quelle maladie. A l'ouverture, atrophie des
nerfs
optiques, avant et après le chiasma , coloration
rdons postérieurs de la moelle; atrophie des racines postérieures des
nerfs
spinaux. Je plongeai la moelle dans l'alcool, p
détruites au niveau de cette substance. Les racines postérieures des
nerfs
spinaux ne sont pas sensiblement atrophiées et co
t dense, et paraît en quelque sorte racornie, atrophiée. L'origine du
nerf
de la cinquième paire est représentée par un gros
bien plus grande étendue. Les racines antérieures et postérieures des
nerfs
spinaux n'avaient d'ailleurs subi aucune atrophie
d'un mur humide, portent plus spécialement leurs effets : i° sur les
nerfs
capillaires cutanés ou musculaires, de là ces par
able à gauche, c'est-à-dire du côté de l'atrophie, qu'à droite. Les
nerfs
qui se détachent au niveau de cette partie altéré
e serah ilpas possible qu'à l'occasion d'une impression faite sur les
nerfs
du sentiment, les nerfs du mouvement correspondan
u'à l'occasion d'une impression faite sur les nerfs du sentiment, les
nerfs
du mouvement correspondans produisissent des cont
de l'état normal. Les corps olivaires sont volumineux, indurés. Les
nerfs
grands-hypoglosses, sont grisâtres; le bulbe rach
et à côté des corps olivaires. Réflexions. Si fou considère que les
nerfs
grand hypoglosse, glosso-pharyngien et pneumo-gas
'ont dû éprouver : i° l'action du poumon, qui reçoit presque tous ses
nerfs
des pneumo-gastriques ; i° Faction du voile du pa
t du larynx; 3° l'action de la langue dont le grand hypoglosse est le
nerf
moteur ; 4° l'action de tous les muscles du corps
ne ventriculaire. Le corps genouillé externe est intact, ainsi que le
nerf
optique. Aussi la vision était-elle dans l'état l
araissent se passer dans le membre par suite d'une action directe des
nerfs
de la peau sur les nerfs musculaires. Je trouve
le membre par suite d'une action directe des nerfs de la peau sur les
nerfs
musculaires. Je trouve un pouls dur et fréquent
s. Ces réflexions s'appliquent surtout au cerveau, à la moelle et aux
nerfs
. 2g " Jj iv rais on PL 2. MALADIES DU CERVEAU
ment sains. Les tubercules mamillairesTM ont leur volume naturel. Les
nerfs
optiques JNO sont atrophiés. Je n'ai pas trouvé d
Les nerfs optiques JNO sont atrophiés. Je n'ai pas trouvé de trace de
nerfs
olfactifs; mais tous les autres nerfs étaient dan
Je n'ai pas trouvé de trace de nerfs olfactifs; mais tous les autres
nerfs
étaient dans l'état d'intégrité. —CC sont les cir
parfaitement intacte. Bien que toute la partie intra-crânienne des
nerfs
olfactifs, optiques, troisième, quatrième, cinqui
septième paires, manque entièrement, la partie extra-crânienne de ces
nerfs
était intacte. La figure 1 représente le nerf opt
extra-crânienne de ces nerfs était intacte. La figure 1 représente le
nerf
optique disséqué dans toute sa longueur, et la fi
optique disséqué dans toute sa longueur, et la figure 2 l'origine des
nerfs
qui viennent du bulbe rachidien. Réflexions. I.
es, pour ainsi dire, sur les origines et sur le trajet crânien de ces
nerfs
, ont dû exercer une influence fâcheuse sur leur a
nt dû exercer une influence fâcheuse sur leur action conductrice. Les
nerfs
olfactifs, optiques, et les petits nerfs pathétiq
leur action conductrice. Les nerfs olfactifs, optiques, et les petits
nerfs
pathétiques, sont les seuls qui aient été respect
les seuls qui aient été respectés. Du reste , le tissu propre de ces
nerfs
est dépourvu de toute espèce d'altération, ainsi
aient singulièrement diminué de calibre. Les extrémités de tous les
nerfs
, qui ont été divisés dans l'amputation , présent
te dissection. Les renflemens les plus considérables appartiennent au
nerf
médian RM et au nerf radial RC. Le renflement du
nflemens les plus considérables appartiennent au nerf médian RM et au
nerf
radial RC. Le renflement du nerf médian semblait
ppartiennent au nerf médian RM et au nerf radial RC. Le renflement du
nerf
médian semblait se prolonger à une certaine haute
f médian semblait se prolonger à une certaine hauteur au-devant de ce
nerf
. Du reste la structure de ces renflemens gangli
Réflexions. Il serait difficile de dire pourquoi les cicatrices des
nerfs
, divisés dans les amputations, présentent constam
e, dans les expériences faites sur les animaux vivans, la section des
nerfs
, pratiquée dans la continuité des membres avec ou
es renflemens sont-ils un moyen de protection pour les extrémités des
nerfs
? Je ferai remarquer que, en opposition avec les
rquer que, en opposition avec les vaisseaux artériels et veineux, les
nerfs
qui appartiennent à un membre amputé et qui par c
diminuent pas sensiblement de volume. Il est vrai que l'atrophie des
nerfs
ne se juge pas par la dimension du volume des cor
ion du volume des cordons nerveux, mais par celle du tissu propre des
nerfs
lui-même. La fig. 2 représente une tumeur sphér
u volume d'une petite noix, développée sur le trajet et aux dépens du
nerf
radial NR, au moment du passage de ce nerf entre
le trajet et aux dépens du nerf radial NR, au moment du passage de ce
nerf
entre le muscle long supinateur et le brachial an
était déjeté en dehors par la tumeur, sur laquelle il se moulait. Le
nerf
semblait interrompu au niveau de cette tumeur ; m
'infection cancéreuse. Les fig. 3 et 3' représentent un fragment de
nerf
(je ne sais lequel), ayant subi une altération re
l), ayant subi une altération remarquable. La fig. 3' représente ce
nerf
vu avant la dissection et sous différens aspects.
renflement particulier. Je regrette beaucoup de n'avoir pas soumis ce
nerf
à l'analyse par l'acide nitrique ; car il est pro
ais rencontré au centre de chaque petit renflement le tissu propre du
nerf
atrophié, mais non détruit, et peut-être sans auc
diverses parties du corps. Réflexions. L'anatomie pathologique des
nerfs
est encore à faire. Son peu de progrès tient, d'u
'une part, à la rareté de ces lésions; d'une autre part, à ce que les
nerfs
ne sont généralement étudiés qu'à leur surface :
u'à leur surface : ils ne sont point disséqués. Or,la dissection d'un
nerf
comprend l'étude des cordons nerveux et des filet
miques que j'ai pu faire à cet égard, que les lésions anatomiques des
nerfs
ne portent pas sur la fibre nerveuse elle-même, m
n'est susceptible que d'hypertrophie et d'atrophie. L'atropbie des
nerfs
présente plusieurs degrés et plusieurs formes bie
tissu propre lui-même. Ainsi j'ai disséqué avec beaucoup de soin les
nerfs
sciatiques d'individus qui avaient succombé à des
qui avaient succombé à des paraplégies d'une date très ancienne. Ces
nerfs
avaient conservé leur volume apparent; mais la di
uisque la réunion de ces filamens forme un volume moindre que dans un
nerf
qui n'a pas été soumis à des causes d'atrophie.
oumis à des causes d'atrophie. Dans un dernier degré d'atrophie, le
nerf
ne présente plus la disposition filamenteuse; mai
sâtre, non disposé linéairement et semblable à une gelée concrète. Le
nerf
optique est de tous les nerfs celui dans lequel o
nt et semblable à une gelée concrète. Le nerf optique est de tous les
nerfs
celui dans lequel on observe le plus fréquemment
portée à son maximum. Les particularités de structure que présente ce
nerf
ne s'opposent nullement à ce qu'il soit considéré
réquentes d'atrophie, c'est la compression, ou mieux la distension du
nerf
par une tumeur développée, soit dans le voisinage
stension du nerf par une tumeur développée, soit dans le voisinage du
nerf
, soit dans son épaisseur. Cette atrophie peut êtr
r. Cette atrophie peut être portée jusqu'à la disparition complète du
nerf
. Le cordon nerveux s'aplatit, devient rubané; ses
tuellement sur le trajet et dans l'épaisseur des cordons nerveux. Les
nerfs
soumis à des pressions considérables présentent a
La matière tuberculeuse peut-elle se développer dans l'épaisseur des
nerfs
? Je ne l'ai jamais rencontrée dans l'épaisseur d
aisseur des nerfs ? Je ne l'ai jamais rencontrée dans l'épaisseur des
nerfs
; mais je l'ai rencontrée autour des nerfs, autour
ontrée dans l'épaisseur des nerfs; mais je l'ai rencontrée autour des
nerfs
, autour du nerf diaphragmatique en particulier ch
isseur des nerfs; mais je l'ai rencontrée autour des nerfs, autour du
nerf
diaphragmatique en particulier chez quelques phth
rticulier chez quelques phthisiques, et on cite un cas dans lequel le
nerf
, situé au milieu d'une masse tuberculeuse avait é
que le cerveau d'un enfant de dix à douze ans, chez lequel tous les
nerfs
de la base du crâne présentaient à leur origine a
e toutes parts par les masses cancéreuses du creux de l'aisselle, les
nerfs
du plexus axillaire résistent à la dégénération,
fatal de la dégénération. Encore est-il douteux si la disparition des
nerfs
ne tient pas plutôt à leur disparition atrophique
ien plus rare encore d'en trouver dans la moelle épinière et dans les
nerfs
, et c'est le motif pour lequel j'ai cru devoir fa
représenter les tumeurs cancéreuses développées dans l'épaisseur des
nerfs
médian et radial. J'ai vu un cas plus curieux e
ème paire, mais le trajet radié dans le sens horizontal des filets du
nerf
facial. Cette névralgie s'accompagna bientôt d'hé
plète, qui se manifesta successivement dans les divers départemens du
nerf
facial, au lieu d'envahir simultanément toutes le
erf facial, au lieu d'envahir simultanément toutes les branches de ce
nerf
. Je pensai qu'une tumeur cancéreuse, développée s
nerf. Je pensai qu'une tumeur cancéreuse, développée sur le trajet du
nerf
facial, était la source de tous les accidens. A l
es accidens. A l'autopsie, je trouvai que toutes les ramifications du
nerf
facial étaient comme noueuses et, pour ainsi dire
ire dessiner cette pièce; mais, mon préparateur ayant voulu suivre le
nerf
facial à travers le rocher, et ayant plongé, à ce
proprement dite, qui ne différait en rien de la substance nerveuse du
nerf
facial du côté sain. MALADIES DES NERFS 15eLu
de la substance nerveuse du nerf facial du côté sain. MALADIES DES
NERFS
15eLu raison.Fi. £. Ckcvx.a.1 dcL. Imp. dbL
de même de ceux du creux de l'aisselle , dont plusieurs compriment le
nerf
médian. Les autres organes étaient sains. i° La
ions lymphatiques G L, situés sous le grand pectoral et au devant des
nerfs
et vaisseaux axil-liaires sont extrêmement volumi
iatique du côté gauche. La malade indiquait parfaitement le trajet du
nerf
sciatique, depuis sa sortie de l'échancrure sciat
ieurs poches anévrysniales sur le point de se rompre. Interruption du
nerf
pneumo-gasirique gauche. 3e liv., pl. ni et iv, p
. 24e liv., pl. m, p. 5. — Formes, degrés et causes de l'atrophie des
nerfs
. 35e liv., pl. n, p. 2. AUTEUR. Sa position ; s
6e liv., pl.v, p. u F. FACE. On s'attache trop à trouver, dans le
nerf
facial exclusivement la cause des hémiplégies fac
les. 20e liv., pl. m, iv, p. y. — On s'attache trop à trouver dans le
nerf
facial lui-même la cause des hémiplégies faciales
des muscles. 17e liv., pl.m, p. /; 32e liv., pl. ni, iv, p. /; — des
nerfs
. lre liv., pl. m, p. /; 35e liv. pl. n, p. /; — d
par induration et atrophie de la moelle. 32" liv., pl. 1, n, p. 14.
NERFS
. Maladies des nerfs ganglionnaires : transformati
rophie de la moelle. 32" liv., pl. 1, n, p. 14. NERFS. Maladies des
nerfs
ganglionnaires : transformation fibreuse et dével
i46 liv., pl. 1,11, m, iv, v, p. 3g. — L'anatomie pathologique des
nerfs
est encore à faire. Sur quoi portent les lésions
erfs est encore à faire. Sur quoi portent les lésions anatomiques des
nerfs
. Formes, degrés et causes de l'atrophie des nerfs
ons anatomiques des nerfs. Formes, degrés et causes de l'atrophie des
nerfs
. Altérations les plus habituelles des nerfs.' La
causes de l'atrophie des nerfs. Altérations les plus habituelles des
nerfs
.' La matière tuberculeuse peut-elle se développer
La matière tuberculeuse peut-elle se développer dans l'épaisseur des
nerfs
? 35e liv., pl. 11, p. a. — Sur la dégénéralion ca
La matière tuberculeuse peut-elle se développer dans l'épaisseur des
nerfs
. 35e liv., pl. u, je». 2. TULPIUS. Il est le cr
i nous trouvons au commencement'une exci- tation des extrémités des
nerfs
du goût; un temps esL nécessaire pour que cette
mps esL nécessaire pour que cette excitation se propage le long des
nerfs
centripètes de la lan- gue jusqu'au centre de l
s testes, de la glande pinéale, des corps cannelés, des couches des
nerfs
optiques... ni enfin de la substance cor- tical
ulaires réflexes ; et s'il n'a pas obtenu une variation négative au
nerf
même, cela prouve seulement la justification de
ssus, à savoir, que nous ne pouvons pas provoquer, en exci- tant le
nerf
centripète d'une cellule quelconque du système ne
onque du système nerveux central intacte, ni dans elle, ni dans son
nerf
centrifuge des variations électriques quelconqu
du corps grâce à l'excitation de la peau locale tactile ou d'autres
nerfs
. Si on détruit d'un côté ensuite les voies post
ques jours, et pour qu'on ne la trouve pas dans les pa- ralysies du
nerf
radical. Duchenne de Boulogne attribue la contr
Cornil l et Charcot (2) attribuaient la contracture aux lésions des
nerfs
qu'ils cons- talaient dans les membres paralysé
oire de l'artère radiale gauche. En même temps que les artères, les
nerfs
ont-ils été touchés ? est difficile de le dire,
rveux des doigts et des orteils. Cette simultanéité des lésions des
nerfs
et des vaisseaux a été signalée dans la maladie
Thèse de Strasbourg, 1884. (2) PITRES et VAILLARD, Altérations des
nerfs
périphériques dans deux cas de maux perforants
u énergique, elle éveille une sensibilité assez vive. Le trajet des
nerfs
n'est pas sensible. Le gonflement du pied n'est
imètres dans le sens transversal et 5 de haut en bas. Du côté des
nerfs
optiques et des gaines, il y a des altérations tr
La malade ne se plaint pas de douleurs spontanées. La palpation des
nerfs
n'est pas doulou- reuse. Seule provoque de la d
ome on suit les dégénérescences. Au-dessus, on voit deux groupes de
nerfs
, les racines sacrées droites sensi- tives compl
racines sacrées droites sensi- tives complètement dégénérées et les
nerfs
sacrés gauches normaux, ainsi que les racines s
ré d'une façon certaine, il y a presque un quart de siècle, que les
nerfs
périphériques peuvent pendant l'évolution d'une
eux auteurs démontrèrent, que dans le cours de la tubercu- lose les
nerfs
périphériques peuvent devenir le siège d'altérati
superposables aux altérations qu'on peut cons- tater dans les mêmes
nerfs
au cours des autres maladies infectieuses. En o
tenue pendant une nuit, on pensa à la possibilité d'une paralysie du
nerf
radial par compression mécanique au niveau du c
de même que les réflexes du poignet. 8. Les muscles innervés par le
nerf
radial sont complètement paralysés y compris le
questions qu'on lui pose. 12. La paralysie déborde du territoire du
nerf
radial et s'étend à tous ies nerfs de l'avant-b
aralysie déborde du territoire du nerf radial et s'étend à tous ies
nerfs
de l'avant-bras et du bras, sauf le circonflexe.
t-bras et du bras, sauf le circonflexe. Les muscles innervés par le
nerf
cubital, le nerf médian et le nerf musculo-cutané
, sauf le circonflexe. Les muscles innervés par le nerf cubital, le
nerf
médian et le nerf musculo-cutané sont paralysés e
exe. Les muscles innervés par le nerf cubital, le nerf médian et le
nerf
musculo-cutané sont paralysés et ils s'atrophie
iaux du membre supérieur droit : une main tombante par paralysie du
nerf
radial. 18. La paralysie s'est étendue aux autr
paralysie du nerf radial. 18. La paralysie s'est étendue aux autres
nerfs
du bras gauche excepté le nerf circonflexe, et
paralysie s'est étendue aux autres nerfs du bras gauche excepté le
nerf
circonflexe, et les muscles s'atrophient avec une
is pas au même degré, car les muscles de la cuisse, innervés par le
nerf
sciatique, et les muscles postérieurs des jambes
he de lordose à la région lombaire. Rien de particulier du côté des
nerfs
crâniens. Le ventre est toujours gonflé et très
usculaire se locali- sent initialement aux muscles desservis par le
nerf
radial et aux membres inférieurs au territoire
ervis par le nerf radial et aux membres inférieurs au territoire du
nerf
sciatique poplité externe, pour s'étendre ensui
ilité subjective et objective. Pas de trou- bles sphinctériens. Les
nerfs
crâniens sont intacts. En présence d'un tel syn
rit une para- lysie infantile cantonnée exactement au territoire du
nerf
radial par lésion isolée des centres médullaire
notre cas la localisation suivant le territoire d'innervation d'un
nerf
déterminé acquiert une valeur d'autant plus grand
successivement dans les quatre membres ; et, précisément, dans les
nerfs
radiaux aux membres supérieurs et dans le sciatiq
ui se développa du soir au lendemain dans le territoire entier d'un
nerf
, le nerf radial. Ce début est tout à fait excep
eloppa du soir au lendemain dans le territoire entier d'un nerf, le
nerf
radial. Ce début est tout à fait exceptionnel e
tion de la localisation initiale au territoire musculaire d'un seul
nerf
, le radial d'abord et le sciatique ensuite. Les
se trouvait cantonnée en grande partie aux muscles innervés par le
nerf
médian et un autre dans le malade de Heyse chez
de ces ganglions exerçait une compression sur la branche externe du
nerf
spinal en provoquant la paralysie des muscles c
urent les premiers auteurs qui entreprirent l'étude des lésions des
nerfs
périphéri- ques se développant au cours d'une i
tomo-pathotogiques et expérimentales, on prouva que les lésions des
nerfs
périphériques ne doivent pas être rapportées à
la très grande valeur étiologique de l'alcool dans les lésions des
nerfs
périphériques et les très probables effets étio
névrite tuber- culeuse caractérisée par une dégénération légère des
nerfs
périphériques, conclurent que certaines influen
e provisoire ; nous verrons plus tard, à propos des altérations des
nerfs
périphériques, ce qui faut penser des critérium
n changement de la constitution chimique de la myéline elle-même.
Nerfs
pÙiphé1'iques. - Mélhode de Weigert. Les coupes t
de Weigert. Les coupes transversales et longitudinales de tous les
nerfs
du membre supérieur et du membre infé- rieur, s
et du membre infé- rieur, sauf, dans ce dernier cas, une partie du
nerf
sciatique, montrent, à n'im- porte quel niveau
hode de Mardi. - Les différents troncs nerveux, excepté toujours le
nerf
sciatique, ont perdu toute apparence normale : pr
la même façon que nous avons décrite dans la moelle épinière. Le
nerf
sciatique reste presque intact. Toutes ses fibres
es noires groupées ensemble (Fig. 14). Méthode de Cajal. Tous les
nerfs
périphériques, excepté bien entendu le nerf sci
ode de Cajal. Tous les nerfs périphériques, excepté bien entendu le
nerf
sciatique, contiennent très peu de fibres nerveus
ssée au même degré aussi bien dans les bran- ches périphériques des
nerfs
que dans leurs segments plus rapprochés des ple
t con- tenues ont un diamètre plus grand que les autres fibres. Les
nerfs
iltramus- culaires ont perdu toutes leurs fibre
écissement de la lumière, pycnose. Evidemment les altérations des
nerfs
périphériques sont extrêmement graves : les gai
ves : les gaines myéliniques et les cylindraxes de presque tous les
nerfs
rachidiens se trouvent en pleine désagrégation. L
te intact. Il faut encore ajouter que pour ceux qui considèrent les
nerfs
périphériques comme des lobules (théorie caténa
ntaires. Après la description que nous avons donnée des lésions des
nerfs
péri- phériques il nous semble que dans le cas
le cas actuel, ainsi que nous l'avons déjà relevé, les lésions des
nerfs
périphériques étaient également intenses à n'im
ologique, ou si l'on veut, la même affinité que pour les fibres des
nerfs
périphériques et les cordons blancs de la moell
pas suffisantes pour justifier l'état de complète désagrégation des
nerfs
périphériques. On ne le pourrait expliquer qu'e
à la réaction à distance consécutive aux profondes altérations des
nerfs
périphériques. Le déplacement du noyau ne fait
derait encore d'avantage en faveur d'une altération pri- mitive des
nerfs
périphériques. Il y a enfin à rappeler l'intégrit
mac)' (1898) qui observa que les manifes- tations dégénératives des
nerfs
périphériques étaient constantes seulement dans
s 48 heu- res de décoloration a l'alcool. PLANCHE XXVI FiG. Il.
Nerf
radial droit au niveau de la partie moyenne du br
rt. - Grossissement : Oc. 4 Comp., Ob. A, Zeiss. Fie. 12. Le même
nerf
au même niveau; coupe longitudinale. - Même color
longitudinale. - Même coloration et même grossissement. Fig. 13.
Nerf
médian gauche dans le bras. Coupe longitudinale.
pe longitudinale. Méthode de Marchi. Même grossissement. FiG. 14.
Nerf
sciatique gauche. - Coupe longitudinale. Méthode
pe longitudinale. Méthode de Marchi. Même grossissement. FiG. 15.
Nerf
radial droit près du plexus. - Coupe longitudinal
uf und Athmungsorgane, 1856. 3. LEUDET. Le zona et les troubles des
nerfs
périphériques dans la tuberculose pulmonaire. G
aug. Dissert., Berlin, 1888. 30. Jappa. - Sur les altérations des
nerfs
périphériques dans la tuberculose. Disser- tati
72. Dopter et L.rr011GBE. - Action de substances microbiennes sur les
nerfs
périplzé- riques. Archives de méd. expérim., 19
au, Jacobson u. Minou, S. 1141. Berlin, 1903. 81. QUILLOT. Râle des
nerfs
dans la conduction des infections. Thèse de Paris
cle en particulier ou sur un groupe de muscles innervés par le même
nerf
, mais sur des mécanismes musculaires ayant pour
de Biologie, 1907. Recherches expérimentales sur l'intervention des
nerfs
et des muscles antagonistes dans la production de
ble qu'elle soit la conséquence d'une anomalie dans la fonction des
nerfs
qui les comman- dent. En d'autres termes nous c
lo-pupillaire, pas de nystagmus, pas de parésie dans le domaine des
nerfs
crâniens. L'examen électro-diagnostique ne révè
ester en place, parfois- des crises de larmes et même des crises de
nerfs
. L'hyperthyroïdie cardio-bulbaire est bien conn
suivants : L'excitabilité électrique (galvanique et faradique) des
nerfs
est bonne ; L'excitabilité faradique des muscle
couturier droits. Les excita- bilités galvaniques et faradiques des
nerfs
et des autres muscles du membre inférieur droit
u facial : un cas ; Poliomyélite antérieure aigué avec parésie du
nerf
facial et de l'oculo- moteur : un cas ; Polio
toute leur étendue, les noyaux du facial, du spinal et surtout des
nerfs
moteurs de l'oeil, d'où ces troubles encore si
ines lombaires ; 3° des phénomènes en rapport avec l'irritation des
nerfs
rachidiens, sous la forme de sensation depares-
s'accompagner de troubles oculaires et en particulier d'atrophie des
nerfs
optiques. C'est ce qui explique que les malades
accentuation des phénomènes du côté du crâne et une at- teinte des
nerfs
optiques. C'est une application de la loi de Von
uvertes; mais dès qu'elles se ferment, il se produit une lésion des
nerfs
optiques et de la cécité qui débute de préféren
ience, mai 1893. (4) BoUtfNSVItLE, Oxytrigonocéphalie, atrophie des
nerfs
optiques, épilepsie. Comptes rendus de Bicêtre,
uement, au point de vue du crâne et de l'encéphale, les lésions des
nerfs
optiques, des nerfs olfactifs et les déformations
vue du crâne et de l'encéphale, les lésions des nerfs optiques, des
nerfs
olfactifs et les déformations osseuses. Nos mal
un trouble de l'audition. Meltzer parle de l'at- teinte possible du
nerf
auditif. La radiographie des crânes de nos mala
he du thorax, pas à la face ni à la jambe. Atro- phie accentuée des
nerfs
optiques. Discussion clinique. Il suffit de jet
l la jambe et le facial gauche étaient également déjà parésiés. Les
nerfs
optiques fonctionnaient très mal et il y avait pe
agérée et à la privation de la vue. D'autre part la compression des
nerfs
optiques et l'amaurose favorisent le développem
erculeuse en aurait favorisé le développement et la compression des
nerfs
optiques aurait participé à la production des h
roubles visuels observés chez la malade. La compression directe des
nerfs
optiques a fait le reste. Il ne s'agit pas d'un
rielle, c'est-à-dire les vibrations adéquates au geste, parcourt le
nerf
optique pour atteindre son noyau d'origine, sons
e les muscles qui s'insè- rent sur les os, leurs vaisseaux et leurs
nerfs
. L'agénésie de,. ce noyau en- traînerait l'agén
solue. Il n'y eut jamais la moindre trace de parésie ni du côté des
nerfs
crâ- niens ni du côté des extrémités, jamais le
iers symptômes de tumeur de la base furent justement l'atrophie des
nerfs
optiques et les troubles menstruels ; dans aucu
mé- norrhée précéder de dix ans tout autre symptôme : la lésion des
nerfs
opti- ques parut seulement plus tard. Axehfel
n'eut pas d'hémia- nopsie bitemporale ni aucun fait de parésie des
nerfs
crâniens ni d'anos- mie, symptômes qui sont fré
apillite est extrêmement rarepen- dant que l'atrophie primitive des
nerfs
optiques est presque constante ; chez Marguerit
de la base du crâne qui peuvent être la cause d'une compression des
nerfs
optiques au niveau du chiasma ou au niveau du p
ltiples ; d'autres fois tout se limite à la cécité par atrophie des
nerfs
optiques. Quincke a publié plusieurs observatio
généralisées ou à type jacksonien ; paralysie de un ou de plusieurs
nerfs
crâniens, exophtalmie, variations de fréquence du
s cas de Huguenin, Carré, Carnzichael et Lun : ; ; dans ces cas les
nerfs
optiques sont le plus souvent compromis et les
diation avec'les rayons de Rrifgén sur le territoire innervé par un
nerf
malade (compression, inflammation..) la radiode
ans le cas des lésions organiques du système nerveux central ou des
nerfs
périphériques. » A un moment donné, particulièr
de la gangrène cutanée lorsqu'on l'observe dans le territoire d'un
nerf
atteint d'un proces- sus dégénératif,ou bien da
80 plaques de gangrène, l'examen macroscopique et microscopique des
nerfs
et du système nerveux central ne décela rien d'
de la nécrose des tissus qui ne sont pas nourris suffisamment. Les
nerfs
et les vaisseaux des parties voisines étaient par
résence des étudiants, je lui explique que sa main est saine, que les
nerfs
du bras ne sont pas malades, que la circulation
symptômes faisaient même supposer une extension du pro- cessus aux
nerfs
crâniens et à la base du cerveau (diplopie, dimin
aux, formant une couche blanchâtre qui englobe les vaisseaux et les
nerfs
crâniens à leur émergence (PI. VI, fig. 1). Exa
e Po., les pédon- cules cérébraux P., le cervelet, les origines des
nerf
*, crâniens : III. moteur ocu- laire commun, V.
a traversée intracrânienne d'une part, trauma- tisme sectionnant le
nerf
, tel que chute sur un bâton pointu ayant traversé
méninges molles. Dans d'autres circonstances, c'est la totalité du
nerf
qui est atteinte, comme dans les névrites infec
les cellules des cornes antérieures et leurs prolongements dans les
nerfs
périphériques ? 2° L'origine cérébrale de l'hém
nférieure du plancher du quatrième ventricule, lieu d'o- rigine des
nerfs
pneumogastrique, glossopharyngien, spinal, hypogl
étranger pendant un mois, le malade subit la sec- tion de plusieurs
nerfs
intercostaux, au côté droit, au niveau de la zone
qués ci-dessus. Etat actuel.-Le malade est grand, maigre,bien bâti.
Nerfs
crâniens,membres supérieurs en bon état. Les me
légèrement augmenté à contour dur et douloureux à la palpation. Les
nerfs
crâniens fonctionnent régulièrement ; il se sert
enfants. n'a pas eu de fausses couches, ni la vérole. Etat actuel.
Nerfs
crâniens, extrémités supérieures normales; extrém
on, parfois incontinence d'urine. Etat présent. Organes intérieurs,
nerfs
crâniens, extrémités supérieures à l'état norma
: u) Oreille moyenne : normale des deux côtés. Oreille interne :
nerf
cochléaire, normal des deux côtés. Nerf vestibula
ux côtés. Oreille interne : nerf cochléaire, normal des deux côtés.
Nerf
vestibulaire, est hyperexcitabie et cela des de
erveux; les autres n'obéissent pas à la distribution anatomique des
nerfs
. Nous avons déjà parlé de la possibilité d'une
o-pédagogique de Dury-les-Amiens le 30 décembre 1911 pour crises de
nerfs
et attaques de sommeil. Antécédents héréditai
agique ou ramolli. 128 HASKOVEC ET BASTA Dans le premier cas, les
nerfs
périphériques nous ont fourn des données. intér
es que nous avons pu constater surtout dans les racines et dans les
nerfs
de la queue de cheval (Voir nos communications su
A l'examen des coupes(l) provenant de la section longitudinale des
nerfs
, on remarque à un faible grossissement que la s
eau nommé névro- kératinique. 1 Dans les coupes transversales des
nerf
s périphériques , on aperçoit plu- sieurs travé
tudinales de la moelle épinière traitées de la même manière que les
nerfs
périphériques offrent dans leur structure deux es
bres, on trouve des formations stelliformes semblables à celles des
nerfs
périphériques. L'autre réseau est formé de fibr
oupes de la substance blanche de la moelle épinière avec celles des
nerfs
périphériques, on trouve que le réseau du voisina
a moelle épinière est analogue au réseau intramé- dullaire dans les
nerfs
périphériques. La ressemblance entre ces deux r
SYSTÈME NERVEUX DANS LA PARALYSIE AGITANTE 133 ture anatomique des
nerfs
périphériques et de la substance blanche de la
a substance blanche de la moelle épinière. Chaque fibre nerveuse du
nerf
périphérique présente un tube strictement isolé
ns le cervelet et dans la moelle, de même que les cylin- draxes des
nerfs
périphériques le sont par les réseaux intramédull
vec les cylindraxes. Cependant le réseau intra- médullaire dans les
nerfs
périphériques apparaît vu sa structure et sa di
ontrée. La grande ressemblance de notre réseau intra-médullaire des
nerfs
périphériques dans le premier cas de paralysie
re premier cas. Il en est de même des réseaux intra-médullaires des
nerfs
périphériques. Quant à l'élude des éléments cel
ent n des fibres rigides. Nous avons décrit ces formations dans les
nerfs
périphéri- ques sous le nom de formations slell
vancé et que ce syncytium s'étend le long des axons jusque dans les
nerfs
périphériques en forme de réseaux intrmnédul- l
nche du système nerveux central et les réseaux intramédullaires des
nerfs
périphériques. ni Quant aux cellules nerveuse
igmentation avancée, d'altérations remarquables dans les noyaux des
nerfs
crâniens. En ce qui concerne les cellules de Pu
he du système nerveux central et le réseau intramédullaire dans les
nerfs
périphé- riques, surtout dans notre premier cas
ttirons l'attention aussi sur les réseaux inlramédullaires dans les
nerfs
périphériques el dans la substance blanche du sys
récoce stase-papillaireel cécité, une oscillation des symptômes des
nerfs
cérébraux et du cortex. RÉACUTISATION DE L'HYDR
, traumatisme, etc.). La névrite multiple pouvant blesser aussi les
nerfs
qui ont leur origine dans la moelle allongée, i
ême qu'une aussi grave et étendue participation de presque tous les
nerfs
mo- 218 PUBLIO CIUFFINI leurs, comme on devra
rature médicale. , UNIVERSITE DE BUCAREST PARALYSIE PUERPÉRALE DU
NERF
SCIATIQUE POPLITÉ EXTERNE, DU COTÉ GAUCHE PAR
n de forceps. L'enfant est extrait mort : PARALYSIE PUERPÉRALE DU
NERF
SCIATIQUE POPLITÉ EXTERNE 231 Après l'accouchem
ments. Jamais de traumatismes ayant pu sectionner ou écraser un des
nerfs
de la main. Affection actuelle. Il y a environ
nts galva- niques,, montre que les réactions sont normales pour les
nerfs
et pour tous les muscles, à l'exception du long
erminent, des deux côtés, le seuil apparent de l'excitation pour le
nerf
radial au bras, le court extenseur et le long abd
ur du pouce, l'extenseur propre de l'index et l'extenseur commun, les
nerfs
cubital et médian au poignet, l'adducteur du po
même, les muscles du tronc, des bras et des membres inférieurs, les
nerfs
sciatiques présentent une excitabilité normale.
généralement pas modifiés ou le sont très peu ; quant à celles des
nerfs
périphériques, les auteurs s'accordent pour les
pathie au sens étroit du mot et une lésion du neurone périphérique (
nerfs
ou cellules du cen- tre trophique médullaire).
l constante. Peut-on concevoir qu'à la fin des névrites, lorsque le
nerf
a disparu, elle vienne à céder la place à une a
paraît pas compter, il est vrai, au nombre des poisons électifs des
nerfs
; dans l'intoxication chronique profession- nell
travail américain de Carlhysur a les changements produits dans les
nerfs
périphériques par l'application de substances t
nn (3) a publié une observa- tion de paralysie alrophique isolée du
nerf
musculo-cutané, très exacte- ment limitée à ce
hique isolée du nerf musculo-cutané, très exacte- ment limitée à ce
nerf
. Malheureusement l'examen électrique manque. L'é-
sque nulles, dans le muscle, et que l'excitabilité du muscle par le
nerf
était extrêmementdiminuée. Notre cas est tout fai
s formes atténuées de la paralysie alcoolique : paralysie d'un seul
nerf
. Thèse de BOISVFRT, Paris, 1888. (3) Archives d
al droit avec diminution de l'ex- citabilité électrique. Parésie du
nerf
facial droit. Abaissement notable de l'ouïe du
. Cécité complète. Atrophie papil- laire des deux côtés. Parésie du
nerf
facial gauche. Hémiparésie gauche plus marquée
e présent travail entrer en discussion à propos de la pathologie du
nerf
grand sympathique; nous devons plutôt traiter la
nément deux névromes, l'un très ancien, l'autre tout récent du même
nerf
. L'observation suivante est, à cet égard, tout
ique. On pratique l'exérèse du névrome et de 4 à 5 centimè- tres du
nerf
sus-jacent. Guérison per primam le 10 avril. A
. Dès le 10 avril, des douleurs s'installent au point de section du
nerf
. Complètement localisées, ces douleurs s'accomp
les ont leur pqint de départ au niveau de l'extrémité sectionnée du
nerf
. Nous conseil- lons une injection endoneurale d
la trace évidente de la piqûre endoneurale faite précédemment. , Le
nerf
n'est pas tuméfié. Le sciatique est élongé éner
s d'angine de poitrine. Novembre 191. =Toute douleur a disparu ; le
nerf
n'est plus du tout sensible à la pression. Ac
qu'il n'en est rien. 1° Névrome (1'" opération). - A l'extrémité du
nerf
sciatique s'observent différents nodules blanc
me d'une petite olive. Ces no- dules font corps avec l'extrémité du
nerf
sciatique. La pièce a été divisée en différents
divisée en différents fragments comprenant chacun un frag- ment de
nerf
sciatique et des nodules fibreux y attenant, les
cool), débitées en coupes longitudinales intéressant l'extrémité du
nerf
et les ne- vromes, suivant leur grand axe. Cert
tissus conjonctifs se fusionnent l'un avec l'autre à l'extrémité du
nerf
, affectent une disposition tourbillonnaire et con
ent -est-il nécessaire de le dire de la prolifération des fibres du
nerf
sciatique. Leur structure et leur disposition m
d'autant plus rares que l'on s'éloigne de l'extrémité sectionnée du
nerf
sciatique pour pénétrer dans la profondeur du n
compliquées que l'on trouve d'ha- bilude là où la régénération d'un
nerf
est arrêtée par un cal conjonctif épais. Les fi
et d'autre part d'une coque issue de la gaine conjonctive générale du
nerf
et se développant transversalement de façon à r
çon à recouvrir complètement la cicatrice produite à l'extrémité du
nerf
lors de la seconde intervention ; les trousseaux
onjonctif compact que nous avons signalé plus haut à l'extrémité du
nerf
. Arrivés là,les cylindraxes paraissent rencontr
la cicatrisation. Les images que l'on observe dans cette région du
nerf
sont d'un polymor- phisme qui défie toute descr
r Cajal, Marinesco, Dustin et d'autres, lors de la régénération des
nerfs
périphériques. L'étude de ces deux névromes d'a
eté de l'amputalion (23 ans) la cicatrice terminale exubérante d'un
nerf
est encore parcourue par un nombre énorme de fibr
long repos fonctionnel du fragment nerveux, une nouvelle section du
nerf
est suivie d'une réaction régénérative d'une ex
insister quelque peu sur le traitement de l'extrémité sectionnée du
nerf
après une amputation. Tous les chirurgiens sont
s les chirurgiens sont d'accord actuellement pour élonger le ou les
nerfs
qui traversent la ligne de section et pour les co
et ne paraît pas s'opposer à la forma- tion du névrome. C'est au
nerf
lui-même qu'il faut raccorder la surface de secti
ouvant s'effectuer selon différents modes. La surface de section du
nerf
est anastomosée soit par reploiemenL et applicati
par reploiement et perfora- tion du tronc, soit par redoublement du
nerf
et suture des faces avivées après reploiement.
pour implanter ce dernier sur l'autre face latérale. ' S'il va deux
nerfs
, Bardenheuer conseille d'aviver leurs surfaces su
e. Il est très malaisé de pra tiquer le reploiement et la suture du
nerf
dont on a pratiqué la section haute. Si la néce
ement, analogues celles que dé- termine l'excitation électrique des
nerfs
. Les nerfs et les muscles ne réagissent pas aux
ogues celles que dé- termine l'excitation électrique des nerfs. Les
nerfs
et les muscles ne réagissent pas aux excitation
nalyse de ces mouvements convulsifs survenant après la paralysie du
nerf
facial est devenue plus précise, et l'on en disti
écédents, mais dans la presque totalité des muscles innervés par le
nerf
facial atteint. On constata encore que ces cont
na. logues à celles que provoque chez un sujet sain l'excitation du
nerf
facial par un courant faradique à intermittence
nce avec les contractions provoquées par l'excitation électrique du
nerf
facial. etc., etc. N'existent-ils pas tous chez
t la découverte de névromes de régénération situés sur le trajet du
nerf
facial au niveau du ganglion géniculé dans deux
nte, et sous lesquelles on décou- vre quelques traces de parésie du
nerf
facial. Ici, les contractions involontaires obs
centripète de ce réflexe est, d'après l'auteur, représentée par les
nerfs
sensitifs de la conjonctive, la voie centrifuge
phale. Déformation de la voûte crânienne, exophtalmie, atrophie des
nerfs
optiques, pouvant se compliquer de fai- blesse
trécissement du canal osseux, Mantz (12) incrimina l'étranglement du
nerf
optique lui-même, Friedenwald (14) donna le pri
ni aucune autre lésion de l'appareil oculaire, vision, pupilles et
nerf
optique normaux. Examen du Dr Labarrière : L'ot
d'un cas de syndrome oxycéphalique incomplet (absence de lésion des
nerfs
optiques) avec idiotie dans les deux cas. L'exi
h (Entartungs-Reaktion). Le même phénomène fut constaté du côté des
nerfs
, qui n'étaient pas hypertrophiés ni douloureux
tion de l'excitabilité faradique el galvanique des mus- cles et des
nerfs
. Le début a eu lieu dans l'enfance et par les rac
traversés par le système nerveux central, par les vaisseaux et les
nerfs
qui vont dans le crâne ou qui en sortent : il e
ésions notables des éléments nerveux et précisément des racines des
nerfs
rachidiens. Toute anesthésie résulte d'une acti
u pouce, pur Cluzet et Novt ? Io,su : n,tNn, 234. - puerpérale du
nerf
sciatique poplité ex- temp, du côté gauche, pur
la bonté, par DIDE et Mlle LEC2QOE, 56. Puerpérale (Paralysie - du
nerf
sciatique poplité externe du côté gauche), l'al
r Dejerine et André-Thomas, 331. Sciatique (Paralysie puerpérale du
nerf
- z poplité externe du c"té gauche), par XOICI
Noie* et Zaiiarecu (N.) (de Bucarest). Para- lysie puerpérale du
nerf
sciatique poplité externe du côté gauche, 230.
ntilisme, 410. ZAHAHESCU (N.) et Noïca. Paralysie puer- pérale du
nerf
sciatique poplité externe du côté gauche, 230.
us à des lésions locales des appareils sensoriels, des muscles, des
nerfs
, des centres : 1° Les stigmates sont trop mobil
ît quand la maladie nerveuse se guérit 2. « Ce sont les maladies de
nerfs
et l'hystérie, disait aussi Noizet, qui four- n
s de lésion nerveuse. 36 CLINIQUE NERVEUSE. Si. l'on sectionne un
nerf
périphérique, l'anesthésie sera moindre en éten
ensité qu'on ne s'y attend. Si une lésion inflammatoire attaque les
nerfs
spinaux ou les centres de la moelle, on trouver
ientifique, ne se comprend que par l'entre-croisement des fibres du
nerf
optique dans le chiasma; elle en est l'expressi
cette affirmation. L'hystérie est ignorante de la distribution des
nerfs
et c'est pour cette raison qu'elle ne simule pa
héro-spinales ou de projection ; elle ne connaît pas le chiasma des
nerfs
optiques et conséquem- ment elle ne produit pas
toutes les racines. Quand on sectionne ce tissu et que l'on tend le
nerf
en dedans, on aperçoit un infundibulum dont la br
uolisation), des racines antérieures et postérieures. Intégrité des
nerfs
périphériques. Observation Il. Attaques épilep-
ine, persistance des cylindraxes. Dégénérescence très accentuée des
nerfs
périphériques.- Observation III. Paralysie spinal
énérescence segmentaire des racines; dégénérescence commençante des
nerfs
périphériques; hémorrhagies capillaires dans la
s racines pénètrent dans la moelle; dégénérescence très accusée des
nerfs
sciatiques. - Observation V. Mort subite par in
E D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 49 dégénérescence des
nerfs
périphériques. Chez ces douze animaux il y avai
e plomb trouble d'abord les fonctions des centres spinaux, puis les
nerfs
périphériques sont atteints et c'est alors qu'a
ues sont atteints et c'est alors qu'apparaît la paralysie. Mais les
nerfs
périphériques et les muscles sont altérés avant
générale ET notamment A l'étude DES altérations DE la MOELLE ET DES
nerfs
PÉRIPHÉRIQUES; par fUERSTNER. (A1'ch. f Psychia
ômes spinaux s'expliquent par l'excitation ou la cOl11preSSio'l des
nerfs
, par suite de l'excroissance de la substance os
ontribution ci l'étude des noyaux d'origine et du trajet central du
nerf
acoustique. - Le rapporteur a étudié six cervea
pas le point de terminaison des fibres de la racine postérieure du
nerf
acoustique; 2° les fibres de cette racine se te
entionnées sont des centres primitifs de la ra- cine postérieure du
nerf
acoustique, c'est-à-dire du nerf du limaçon; 3°
tifs de la ra- cine postérieure du nerf acoustique, c'est-à-dire du
nerf
du limaçon; 3° les fibres de la racine postérie
on ventral, s'étend sur la partie moyenne de la racine naissante du
nerf
trijumeau et, se détour- nant plus loin vers la
eures (direction caudale) de cette section passent dans le noyau du
nerf
facial situé de leur côté. La marche anatomique
conclure qu'elles constituent les voies d'association centrales du
nerf
acoustique, voies qui ont un rapport intime avec
rijumeau postérieur; 7° la 64 BIBLIOGRAPHIE. racine antérieure du
nerf
acoustique, autant que les recherches du nerf r
racine antérieure du nerf acoustique, autant que les recherches du
nerf
rapporteur, d'ailleurs incomplètes sous ce rappor
n. vestibularis) et s'abaisse en partie vers la racine naissante du
nerf
acoustique (Roller). A la discussion ont pris p
ules nerveux, de forme arrondie, qui ressemblent parfaitement à des
nerfs
périphériques; les tubes qui les constituent so
nt des tourbillons très caractéristiques (fig. 8 et 11). Ces petits
nerfs
possèdent un névrilemme riche en noyaux allongé
'étudier bientôt à nouveau dans un autre travail. IV. Lésions des
nerfs
et des muscles. - Les gros troncs nerveux des m
utes les autres sont complètement saines. En somme, les lésions des
nerfs
et des muscles sont très peu impor- tantes. L
s, qui affectent beaucoup plutôt la disposition qu'ils ont dans les
nerfs
périphériques que dans les cordons blancs de la
es que dans les cordons blancs de la moelle. Jusqu'à quel point ces
nerfs
régénérés sont-ils capables de rétablir les fon
'(Klumpke, Hu tchinson; Seeligmü1ler; Pajet).. Trajet et schéma- du
nerf
sus-sca- pulaire. Complication par résection, d
ger; observation de l'auteur. Paralysie périphérique comprenant les
nerfs
axillaire, ! I sus et sous-scapulaire : , ? ? '
, bien entendu, des autres facteurs, altérations de la' moelle, des
nerfs
périphé- riques, etc ? Dans les cas précités, l
ssi que d'un trouble dans le'déve- loppement d'un noyau isolé de ce
nerf
le centre en étant demeuré intact. ' l,r 1 . !
uter les réformes, de convaincre les pouvoirs publics, d'obtenir le
nerf
de l'assistance, de multiplier les asiles. Ces
illaire synergique, mais le mécanisme n'est pas le même. Quand le
nerf
optique est altéré d'un seul côté, on note des ph
.' 'w nr l ? L'nutopsie ne révèle pas de lésions, pas plus dans les
nerfs
périphé- riques que dans les organes centraux.'
s qui nous ont conduit à la constatation de foyers scléreux dans le
nerf
optique ou en d'autres parties'de l'encéphale q
' , 336 SOCIÉTÉS SAVANTES. M. MARINESCO. Sur les altérations des
nerfs
et de la moelle consé- cutive aux amputations.
it subi l'amputation de la cuisse droite il y a vingt-trois ans. Le
nerf
sciatique contenait de très nombreuses fibres f
tanée, elle dépend des excitations périphériques. Si l'on enlève un
nerf
ou un membre recteur de ce nerf, on modifie la
ns périphériques. Si l'on enlève un nerf ou un membre recteur de ce
nerf
, on modifie la quantité et la qualité des excit
aires pour maintenir l'équilibre de la nutrition et la fonction des
nerfs
. Aussi, les fibres nerveuses du bout périphériq
tion des nerfs. Aussi, les fibres nerveuses du bout périphérique du
nerf
dégénèrent- elles. Tel est le mécanisme des alt
laire, vraie. Il y a hémianesthésie gauche totale avec atteinte des
nerfs
sensoriels. L'hypnotisme et' l'emploi de l'aima
lling, en 9 l'olive malade, en 6 et 7 les parolives, en 5 et 10 les
nerfs
hypoglosse et pneumogastrique avec leurs noyaux
avec les noyaux d'origine de l'auditf et de l'oculo-moteur externe,
nerfs
qui ont leur importance dans la' statique du co
cer une action à distance sur le centre bulbaire du vomissement, le
nerf
optique ou le sinus caverneux. Pour le vertige
n ne trouvait non plus rien à noter dans le trajet intrabulbaire du
nerf
. On peut se demander, puisque ces symptômes son
ort avec l'hypoglosse, le facial et le triju- meau, jouant pour les
nerfs
de l'articulation des sons un rôle coordinateur
postérieure. Puis étude histolo- gique des parties altérées et des
nerfs
périphériques. B. Quelle est la lésion anatomiq
conlractions toniques ? 2 Des anomalies dans la conductibilité des
nerfs
peuvent-elles déter- miner cette anomalie dans
rattacher ce phénomène à des altérations dans la conductibilité du
nerf
. En revanche, l'intensité de l'excitant joue un
faciale rhumatismale, paralysie traumatique du péronier, névrite du
nerf
péronier, myélite chronique, syringomyélie). Dans
e décrire. P. KERAVAL. XXXVI. Des altérations dans les noyaux des
nerfs
crâniens chez LES DÉMENTS PARALYTIQUES; par r\'
emps, plus sont nettes les altérations dégénératives des noyaux des
nerfs
404 revue d'anatomie ET DE PHYSIOLOGIE patholog
ard, la santé générale parait encore améliorée, mais les lésions du
nerf
optique sont aggravées, adroite la pupille est ob
, et adhérant au cerveau. En soulevant la tumeur pour atteindre les
nerfs
optiques, on rompt une courte et fragile adhére
un quart de pouce en avant et à droite du point de péné- tration du
nerf
optique dans l'orbite. Vue par en dessous, la tum
Autour de la tumeur ni ramollissement inflammatoire, ni oedème. Les
nerfs
optiques et olfactifs avaient évidemment subi u
M. lllüazau, Citron, nLE7NEAT et SNELL. M. OTTO. Des altérations du
nerf
optique, notamment dans l'a ? ,té- rio-scté7·os
ent aucune mo 420 0 SOCIÉTÉS SAVANTES. difcation morphologique de
nerfs
optiques, onze présentaient des anomalies de ce
it simplement un léger aplatissement, ou une légère excavation du
nerf
optique produite par la carotide dilatée; mais il
platissements, des excavations prononcés, de profondes entailles du
nerf
optique; l'aplatissement était dû à la compress
re d'être des vaisseaux altérés. Ces modifications dans la forme du
nerf
optique se distinguent nettement des anomalies
vient de ranger dans la même catégorie d'altérations l'atrophie du
nerf
optique, à évolution lente, des gens âgés. Disc
MERLING, une préparation qui concerne un étranglement congénital du
nerf
optique. M. Oppenheim. Quand le nerf optique
n étranglement congénital du nerf optique. M. Oppenheim. Quand le
nerf
optique n'a pas subi d'aplatisse- ment y a-t-il
en étaient, les fibres. M. Bernhardt. Qu'esl-ce que l'atrophie du
nerf
optique de Fuchs ? `t M. OTTO. Je n'ai pas tr
f optique de Fuchs ? `t M. OTTO. Je n'ai pas trouvé d'atrophie du
nerf
optique dans le voisinage des vaisseaux malades
n'y avait pas les mo- difications morphologiques susmentionnées du
nerf
et de ses vaisseaux. M. BAYER présente un mal
" 1, , "I JllP> , , ' > < 1 i (C XLV. DE l'altération DES
NERFS
ET'DE LA'MOELLE consécutive aux amputations ? c
rieure. , , . ,. Conclusions. 1° L'amputation ou la section d'un
nerf
est suivie d'al- térations'pathologiques'qui at
ore à son centre trophique. Cependant les bouts périphériques' des'
nerfs
dégénèrent- bien avant les bouts centraux ;t 3"
i'partent des cellules nerveuses; 4°'quand on'coupe untmembrH'ou un
nerf
,nles excitations normales' qui 'partent des ext
t de 111eissner,° ne représentent'pasdes'centrestrophiquesipour les
nerfs
, en- rapport avec eux.- Ils dégénèrent{après la
s nerfs, en- rapport avec eux.- Ils dégénèrent{après la section des
nerfs
, quoiqu'ils présentent une plus longue résistan
lité. Elle diffère des altérations pathologiques du bout central du
nerf
périphérique, parce qu'il y a des différences dan
et physiologique; on en peut conclure que dans le bout central des
nerfs
dégénèrent non les fibres qui sont en rapport a
Mifin ? rrl, "(>. ? ii ? ii'.i'rid i" Hi'-^i'i ? i(q ? Quant au
nerf
optique, il est réduit aune gaine dans laquelle o
,, ni fibres amyéliniques., Cela prouve, une'fois'do plus, L que le
nerf
opliquc,et la rétineémanent du, systôme nerveux c
omme lorsqu on détruit chez 1 animal nouveau-ne la bandelette et le
nerf
optique, 1 appareil ? -/ , ', " -, .- il» i ne ?
i des fibres obliques qui vont en dedans dans ' ' ! les'noy'aux' du
nerf
vestibulaire,lç'est-a-'dire que' les' fibres dû n
ternes du corps resti- forme sont celles de la racine ascendante du
nerf
vestibulaire, qui s'accolent'^ au niveau'de l'o
. u ' '" ' PLK, ' ifî L ? LE noyau dorsal et LE noyau sensoriel du'
nerf
GLOSSO'-PLIA- · ItYNGIPN; par N. MACHIN. (Centr
aisceau longitudino-dorsal de Schutz ? -jen dehors, par le'noyau du
nerf
vague ? en avant, .par lesfibres arci- ,fdrmési
" " ' , ? 5 "' " i. En réalité, ce n'est pas un noyau d'origine des
nerfs
crâniens.' Il se rattache au noyau interne de L
Influence1 de la'paralysie V.ISO-11OTItICE'ET DE l'a section des'1
NERFS
SENSITIFS SUR LE DÉVELOPPEMENT DE L'INFAMMATIONET
s cas d'olhé ? matome des aliénés. ^Au contraire par la section des
nerfs
sonsitissll, les mêmes eu'ets'sè'trouvent aggra
'excès d'aciditéf'It'est aisé'de^compreîidrë1 là susceptibilité des
nerfs
"de l'estomac privés'dë')eTir narcotique 6rdinai
û trôné indique la syrinomyélie; en revanche, l'atrophie précocerdu
nerf
f optique et l'immobilité réflexe des pupilles
de, syringomyélie ? La première a pour, caractères l'atteinte, des
nerfs
bulbaires et. la surj venance d'hémoglobinurie
b·i·e' dé fibi·ill,és,intürièment uaia,s"jun vaisseau et souvent un
nerf
. C'est un''système\hist6)ogique. Eh bien ! ce S
lade atteint de névrite alcoolique; l'intégrité de la moelle et des
nerfs
contraste ici avec l'atrophie considérable des mu
les sévices du froid. Elle occupe les dernières ramifica- tions des
nerfs
sensitifs, mais porte sur tout le traclus sensiti
itifs, mais porte sur tout le traclus sensitif depuis les filets du
nerf
jusqu'au cerveau. C'est l'électricité qui réussit
mieux. M. Stroebe. De la dégénérescence et de la régénération des
nerfs
périphériques à la suite de blessures. L'auteur
suit par la safranine. Il a alors sectionné chez le lapin le grand
nerf
auriculaire, ou le sciatique (cinquante- deux e
n les constate dès le second jour, sur le tronçon péri- phérique du
nerf
séparé. Ces cellules pénètrent dans la lumière du
s dès la qua- trième et cinquième semaine qui suivent la lésion des
nerfs
dans les gaines lymphatiques adventices des vai
dans les gaines lymphatiques adventices des vaisseaux sanguins des
nerfs
. Ce sont donc elles qui ramènent dans le couran
ourant lymphatique de l'économie les produits de dégénérescence des
nerfs
. La proliféiatipn des cellules de la gaine de S
ne anesthésie l'oeil, par son contact direct sur les extrémités des
nerfs
sensitifs ; en outre elle dilate la pupille. Ce
s complètement ,paralysé, ou, ce qui est plus probable, le tronc du
nerf
étant com- primé, les extrémités en étaient enc
Robertson; 239. ( Déments, des ' altérations dans, les noyaux des
nerfs
crâniens chez les . paralytiques, par Autbkra-
492. ' l GLOSSO-PIIARY\GICV, noyam dorsal et ' noyau sensoriel du
nerf
-, par lllucliin, 488. 4 Goût, localisation d
, MATIERES. 'fflO1r,nr {(()¡jr ? 111 l ,- l' t . ,| r Il,¡ 1 fjl'
nerfs
et de la consécutives aux amputations, par Mari
oplasme, observation de dans le 4"t ventricule ? par, Mayer, 265.
Nerfs
, contribution/à à l'étude;,des altérations de l
Elle est d'un tempérament nerveux, mais n'a jamais eu de crises de
nerfs
. Antécédents personnels I'a point eu de fièvre
me temps qu'elles se refroidissent. Nous craignons une attaque de :
nerfs
, et disons à la malade que nous nous sommes tro
troubles de la sensi- bilité à une action sur les téguments et les
nerfs
périphériques du virus rhumatismal. Ne peut-il
virus rhumatismal. Ne peut-il de même exercer son influence sur les
nerfs
vaso-moteurs ? En faveur de cette hypothèse, on
ffections viscérales est une douleur réflexe due à l'irritation des
nerfs
périphériques qui passent au voisinage des orga
ie, celui-ci occupe une situation dans la zone de distribution d'un
nerf
spinal dont une des racines était intimement as
l dont une des racines était intimement associée avec la racine des
nerfs
sympathiques qui aboutissent à l'organe malade.
resthésie est plus étendue, cette diffusion tient à ce que d'autres
nerfs
spinaux ont leurs racines en communication avec
et ne diffèrent que par ce fait que l'irritation atteint tantôt des
nerfs
moteurs, tantôt des nerfs sensitifs, ou des ner
fait que l'irritation atteint tantôt des nerfs moteurs, tantôt des
nerfs
sensitifs, ou des nerfs sécréteurs. On remarque p
tteint tantôt des nerfs moteurs, tantôt des nerfs sensitifs, ou des
nerfs
sécréteurs. On remarque par contre les effets d
les plaies du périnée. P. SOLLIEIT. II. DISTRIBUTION SENSITIVE DES
NERFS
spinaux; par William THORNBURN. (Brain, Part. I
re dorsale. Il existait une anesthésie de toute la zone du huitième
nerf
dorsal à droite, et seulement du neuvième à gauch
oeil droit chez un homme de vingt- deux ans sujet à des attaques de
nerfs
et paraplégique; dans le second chez une jeune
les parties grises que dans les blanches. P. S. VII. BLESSURE du
NERF
médian; restauration du NERF ; par SAVILL. (Bra
les blanches. P. S. VII. BLESSURE du NERF médian; restauration du
NERF
; par SAVILL. (Brain, part. III, 1893, p. 452.)
uite s'étend sur une surface qui occupe le champ de distribution de
nerfs
dont les connexions centrales sont en parfaite
es connexions centrales sont en parfaite contiguïté avec celles des
nerfs
afférents aux sur- faces excitées. L'auteur rap
ecours cette méthode peut apporter à l'étude de la distribution des
nerfs
dans les membres et de la diffusion de l'irrita
D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. PHIQUE sur le CINQUIÈME
NERF
; par David FERMER. (Brain, part. I, , lu, p. 1.
porte quelques expériences personnelles sur la section du cinquième
nerf
entre le ganglion de Gasser et le globe oculair
s expériences que la section de la branche ophtalmique du cinquième
nerf
n'en- traîne pas nécessairement des troubles tr
troubles sont vraisemblablement dus à l'irritation inflammatoire du
nerf
, irritation qui amène des lésions de la cornée.
divers organes, les muscles, le cerveau, la moelle épinière et les
nerfs
et que par suite le béribéri ne doit être consi
ts, 24 ont répondu à l'appel. Le sujet de la composition était : le
Nerf
spinal (anat. et physiol.). Les questions restées
loureuses et d'un froid glacial. Elle eut une violente attaque de
nerfs
à la suite de la mort de son père. Elle présente,
oncerne une jeune fille de vingt-quatre ans, atteinte d'attaques de
nerfs
, avec perte de connaissance, sensation de brûlu
les vertèbres et leurs liga- ments et comprimerait les racines des
nerfs
spinaux et surtout les antérieures, sans intére
essivement le trijumeau (névralgies), le mésocéphale (vertiges), le
nerf
acoustique (entraî- nement à gauche, bourdonnem
e), com- prima encore davantage le mésocéphale (hémianesthésie), le
nerf
pathétique (diplopie), le cervelet (incoordinat
r- quées des artères. Il y avait dégénération parenchymateuse des
nerfs
biliaux, et les vaisseaux étaient très athéromate
re kyste siégeait en arrière de l'orbite gauche et avait détruit le
nerf
optique gauche et les nerfs moteurs de l'oeil.
e de l'orbite gauche et avait détruit le nerf optique gauche et les
nerfs
moteurs de l'oeil. Il y avait des kystes dans le
autopsie, étudiés par l'auteur, pas plus qu'on n'a relevé dans les
nerfs
périphériques les particularités anato- miques
dans la lèpre. En conséquence, soit qu'on envisage les lésions des
nerfs
péri- phériques, soit qu'on envisage l'état de
on de M. Mendel, M. Cramer répond que les branches périphériques du
nerf
cubital n'ont point encore été examinées. (Allg
itérante. Mendenold, Weiss, Gold- schmidt, etc.) ou aux lésions des
nerfs
trophiques. (Wigles- worth, Samuel, Kornfeld).
r la média- tion des centres nerveux déterminerait l'excitation des
nerfs
vaso-moteurs destinés aux vaisseaux de telles o
ictive très énergique provoquée par l'excitation des extrémités des
nerfs
cutanés centripètes et pro- duite par l'intermé
e la mise en jeu d'une influence centrale portant à la fois sur les
nerfs
des vais- seaux des membres et du cerveau. La
que de la gangrène. Et cependant, à l'autopsie, les altérations des
nerfs
périphériques n'étaient, dans ce cas, ni aussi
it depuis longtemps achevée, la cicatrisation était complète et les
nerfs
avaient été le REVUE DE PATHOLOGIE MENTALE. 207
de spiritueux. La réalité est que c'est un poison du cerveau et des
nerfs
, Quantité d'affections du système organique ou
tout en admettant l'excitation locale surtout des ter- minaisons du
nerf
vague avec phénomènes réflexes, ne repousse pas
trophie des racines postérieures et antérieures. Dégénérescence des
nerfs
périphériques ; légère dégénérescence des muscles
- role en rapport avec l'hypoglose; ralentissement du pouls dû au
nerf
vague; stases par atteinte du bulbe et de certain
e terminal, des racines de la queue de cheval, d'un grand nombre de
nerfs
et de muscles des extrémités inférieures. On co
e dégénérescence descendante; 4° légère altération dégénérative des
nerfs
et des muscles des extrémités inférieures. L'
es nor- males dans la queue de cheval. Altérations très faibles des
nerfs
et des muscles des extrémités, insignifiance de
f a été effectué de tout le système ner- 'veux central, de certains
nerfs
et de certains muscles. L'auteur met en relief
ourra devenir plus facile- ment, parait-il, malade de l'esprit, des
nerfs
ou bien déliiiquatit. ,L'auteur appelle l'atten
l'expectoration, d'oedème des pieds et des jambes. Intégrité des
nerfs
crâniens et des sphincters. Cause inconnue. Un fi
t des jambes, sensibilité douteuse à la pression sur les troncs des
nerfs
, amaigrissement des muscles paralysés avec réac-
titielle ainsi qu'une névrite aiguë multiple portant aussi sur les-
nerfs
cutanés. Altérations identiques à celles qu'ont p
ne trouve aucune cause à cette lésion qui atteint systématiquement
nerfs
et muscles. Discussion. M. Em : vGER a observé
la d'une façon permanente. M. Kausch. De la situation du noyau du
nerf
pathétique. Le noyau de la quatrième paire ou n
quatrième paire, pour les motifs'suivants : '' 1° Tout noyau d'un
nerf
moteur possède un réseau très fourni de fibres
t qu'alors les branches intra-inéduliaires et péri- phériques de ce
nerf
sont altérées. Le noyau principal à petites cel
e syphilis et d'alcoolisme chez lequel, à chaque accès (atteinte du
nerf
sus-orbitaire droit), il se produit un délire plu
c de troubles purement fonctionnels, consécutifs à l'irritation des
nerfs
sensibles. M. Smidt Diathèse urique et névroses
s postérieurs, sans atteinte des cornes antérieures ; intégrité des
nerfs
de l'avant-bras; atrophie dégénérative des musc
oisins etayant en- '328 SOCIÉTÉS, SAVANTES. trainé l'atrophie des
nerfs
optiques. Quantàl'anatomiepatliologique de l'ac
tades. Une troisième catégorie localise les cellules ner- veuses de
nerfs
mixtes dans la moelle. On avait préalablement i
tance gélatineuse de Rolando se rattachent aux fibres sensibles des
nerfs
mixtes, de même les fibres sensitives s'entrecroi
bèse. L'enfant en dehors de sa chorée n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. Elle ne présente ni anesthésies, ni hyperesthési
paralysie, mais anesthésie totale des territoires innervés par les
nerfs
sous-orbitaire et nasal. Anes- thésie complète
es, décrits par les auteurs, on n'a pas fait attention à l'état des
nerfs
périphériques, quoique, à en juger .par l'histo
ie dans l'hystérie, contre la contracture des muscles animés par le
nerf
que l'on excite par pression lente et modérée c
dicale expérimentales et cliniques et intitulée : La Résistance des
nerfs
et leur travail physiologique, M. Charpentier,
Faculté de médecine de Nancy, a fait porter ses expériences sur des
nerfs
non détachés de l'animal et ayant conservé leur
40 La résistance apparente varie d'un animal à l'autre et même d'un
nerf
à l'autre sur le même animal, indépendamment de
r le même animal, indépendamment de toute différence de grosseur du
nerf
. Cette variation peut aller du simple au triple
eut aller du simple au triple; 2° elle varie suivant la longueur du
nerf
com- prise entre les deux électrodes, mais non
dérivée devient plus courte; 3° elle augmente par le soulèvement du
nerf
au-dessus des tissus. Le soulèvement agit en allo
tion, la voie directe restant constante ; 4° le degré d'humidité du
nerf
est la cause principale qui modifie sa résis- t
, et celle-ci augmente dans des proportions énormes à mesure que le
nerf
se dessèche ; 5° le refroidissement paraît aussi
les électrodes impolarisables de Du Bois-Reymond ; 7° la section du
nerf
augmente sa résistance apparente ; ce qui se co
'influence des fac- teurs physiologiques ? 10 Degré d'excitation du
nerf
. Ne semble pas modifier les conditions de résis
ns de résistance. 2° Interruption de la continuité physiologique du
nerf
. En plaçant sur le nerf deux noeuds serrés au-d
erruption de la continuité physiologique du nerf. En plaçant sur le
nerf
deux noeuds serrés au-dessus et au-dessous des
iode de diminution qui tient à un effet d'inhibition produit sur le
nerf
par l'action mécanique de la ligature. 3° Nerf
ition produit sur le nerf par l'action mécanique de la ligature. 3°
Nerf
écrasé. La résistance du nerf réduit à l'état d
l'action mécanique de la ligature. 3° Nerf écrasé. La résistance du
nerf
réduit à l'état de simple conducteur est notabl
'état de simple conducteur est notablement plus faible que celle du
nerf
intact. Il en est de même après badigeonnage du
e que celle du nerf intact. Il en est de même après badigeonnage du
nerf
à la cocaïne, la résistance diminue à mesure qu
et quand elle est complète, la résistance est la même que celle du
nerf
écrasé. Le curare, introduit dans la circulatio
nce en ce qu'ils permettent d'apprécier le travail physiologique du
nerf
envisagé pour son propre compte et non par l'inle
la manifestation de ce travail absorbé pendant le fonctionnement du
nerf
, la mesure électrique est la plus com- mode. Da
part du travail, la résistance augmente. Il en est de même dans un
nerf
qui produit un travail physiologique d'excitati
dans un circuit électrique, l'intensité du courant baisse quand le
nerf
produit du travail. Au lieu d'être E- elle devi
sistance apparente. Si on désigne par R1 la résistance apparente du
nerf
fonctionnant physiologiquement, et par R celle du
te du nerf fonctionnant physiologiquement, et par R celle du même
nerf
dont le fonctionnement est aboli soit par l'écras
i jrj-j. Si on multiplie e par la quantité d'électricité fournie au
nerf
dans une excitation on a en joules, c'est-à-dire
rrespondant. Le travail physiologique varie suivant l'excitation du
nerf
. Mais l'auteur ne peut dire s'il y a proportion
ns certaines limites. La possibilité de cette mesure du travail des
nerfs
fournira évidemment en patho- logie nerveuse de
u'ici de donner des résultats aussi exacts que ceux fournis par les
nerfs
et les muscles, mais là aussi l'irrégularité des
ner sur les variations électriques de l'excitabilité électrique des
nerfs
clans te Beri-Beri. L'action locale du poison
rfs clans te Beri-Beri. L'action locale du poison morbide sur les
nerfs
périphériques varie beaucoup; on trouve tantôt
n trouve tantôt une augmentation de l'excitabi- lité galvanique des
nerfs
, tantôt une diminution reconnaissable sur la pl
des nerfs, tantôt une diminution reconnaissable sur la plupart des
nerfs
mais prédominant sur les nerfs libiaux et péron
on reconnaissable sur la plupart des nerfs mais prédominant sur les
nerfs
libiaux et péronniers. Ces modifications appara
n, les modifications survenues dans les réactions électri- ques des
nerfs
périphériques et plus spécialement celles des ner
ectri- ques des nerfs périphériques et plus spécialement celles des
nerfs
tibiaux et péronniers. IL ELECTROTHÉRAPIE.
Sie- mens, 18. Nécrose multiple en îlots, parKens- hait, 120.
Nerf
, distribution sensitive des spinaux, par Thornb
decker, 138 ; et stupeur, par Popoir, 395. Pathétique, noyau du
nerf
-, par Kausch, 318. Pensée, retentissement ar
perte d'un organe (oeil, nez, etc.) d'atrophie, etc., suivant qu'un
nerf
a été coupé, que le coup a atteint l'organe de
tomique, expérimentale et clinique, sur les origines centrales du
nerf
optique et sur les rapports de ce nerf avec le
les origines centrales du nerf optique et sur les rapports de ce
nerf
avec le cerveau, Panizza avait démontré, dès 1855
volutions cérébrales posté- rieures » concourent à la formation des
nerfs
optiques. La lecture du mémoire de Panizza peut
faits pathologiques, Panizza a bien vu les atrophies secondaires du
nerf
optique, des circonvolutions du « cerveau parié
au chien ', Panizza n'admettait pas la décussation partielle des
nerfs
optiques dans le chiasma. Il croyait que l'entre-
avec la rétine de l'oeil du côté opposé, les faisceaux croisés des
nerfs
optiques l'emportant seulement en quantité sur
s Goltz, Ferrier et Munk lui-même, que la décussation des fibres du
nerf
optique est incom- plète chez ce mammifère, com
avec les fibres des faisceaux croisés et des faisceaux directs du
nerf
optique. Loin de conserver leur individualité, le
e lobe frontal et le lobe temporal reçoivent des irradiations des
nerfs
optiques, comme nous l'avons noté chez les chiens
orze mois, aveugle-née et man- quant des deux globes oculaires, les
nerfs
optiques, le chiasma et les bandeleltes faisaie
me le fait que « ces lobes sont bien une des origines réelles des
nerfs
optiques », ajoute, en terminant sa com- munica
urs, des corps genouillés externes, du pulvinar, des tractus et des
nerfs
opti- ques, comme chez les mammifères (chats, l
u système nerveux central et que le trajet intra-cépha- lique des
nerfs
optiques, en particulier, a été assez nettement
xisterait un rapport fixe et déter- miné, au moyen des faisceaux du
nerf
optique, entre » chaque segment de la rétine et
encore rien du mode et du lieu d'un entre-croisement partiel des
nerfs
acoustiques, il faudrait admettre pour les nerf
ment partiel des nerfs acoustiques, il faudrait admettre pour les
nerfs
acoustiques ce qui a éte démontré pour les nerfs
admettre pour les nerfs acoustiques ce qui a éte démontré pour les
nerfs
optiques. Les expériences démontreraient, avec
mode supposé de distribution des faisceaux croisés et directs du
nerf
acoustique dans l'écorce, pour voir comment ces
touchant les fonctions et les rapports du lobe temporal avec les
nerfs
acoustiques '. Quant à l'anatomie, elle aurait
'ici de découvrir le par- cours intracéphalique et l'origine de ces
nerfs
». Nous avons assez loué l'érudition étendue et
nces et lettres, M. M. Duval avait indiqué la racine postérieure du
nerf
acoustique comme le 1 Tamburim et Riva (llicerc
ioni (alla, del cervello, p. 234. LES FONCTIONS DU CERVEAU. 7H ai
nerf
véritable de l'audition, et Monakow, 1 avait cons
ui montrait assez, les fonctions de ce lobe étant connues, que le
nerf
acoustique proprement dit, « le nerf du limaçon
ce lobe étant connues, que le nerf acoustique proprement dit, « le
nerf
du limaçon » (Flourens), se trouvait en rapport
de Forel et d'Onufrowic 2 : sur le trajet et l'origine centrale du
nerf
acoustique, en particulier sur les rapports de
centrale du nerf acoustique, en particulier sur les rapports de ce
nerf
avec les tubercules quadrijumeaux postérieurs (
t assez, on l'avouera, pour suivre le parcours intracéphalique du
nerf
acoustique, depuis le limaçon jusqu'à l'écorce
avers quelques-unes des princi- pales stations intermédiaires de ce
nerf
dans les tuber- Archiv. sur psychiatrie, 1882.
On en sait davan- tage, sans doute, sur le trajet et l'origine des
nerfs
optiques. Mais l'analogie si nette entre le par
. Mais l'analogie si nette entre le parcours de ces deux espèces de
nerfs
aurait déjà dû frapper des esprits pénétrants.
que parce que Luciani croit pouvoir en conclure que les fibres du
nerf
olfactif, comme celles du nerf optique et du ne
ouvoir en conclure que les fibres du nerf olfactif, comme celles du
nerf
optique et du nerf acoustique, subissent une dé
e les fibres du nerf olfactif, comme celles du nerf optique et du
nerf
acoustique, subissent une décussation par- tiel
faction était directe et unilatérale, en d'autres termes, que les
nerfs
olfactifs gagnaient directement leur centre res
rapport direct entre la scissure de Sylvius et les fais- ceaux du
nerf
olfactif. En outre, si l'on réfléchit que dans
cherche l'explication de ce fait, force est bien d'admettre que les
nerfs
olfactifs d'un côté subissent un entre-croiseme
es nerfs olfactifs d'un côté subissent un entre-croisement avec les
nerfs
olfac- tifs de l'autre côté avant de pénétrer d
ours intracéphalique et la distribution ultime des trois racines du
nerf
olfactif, en particulier dans la circonvolution
on complète du sens du goût par la sec- tion et la dégénération des
nerfs
du goût, l'animal continue à manger avec un app
tion en mille manières. Ajoutez à cela l'irritation causée dans les
nerfs
et les parties membraneuses par ces distensions
il réaliserait ces avantages : de ne pas comprimer les vaisseaux et
nerfs
du creux axillaire, et de graduer l'intensité d
2, qui aurait obtenu de bons résul- tats dans des cas d'atrophie du
nerf
optique, par la suspension. On ne peut se rendr
cot, avec M. Mot- choutkowski, compare cet effet à l'élongation des
nerfs
telle qu'on l'a pratiquée dans les névralgies s
Centralbl., 1887.) Les fibres de la grande racine ascendante de ce
nerf
prennent naissance au niveau de l'entre-croisem
racine se développe un peu plus tard que les autres fibres du même
nerf
. - Quant à la petite portion du trijumeau, à pe
relation avec le centre, de régulariser les échanges nutritifs des
nerfs
périphériques et de leur assurer la santé; B, m
périphériques et de leur assurer la santé; B, mais est-il pour ces
nerfs
un vrai centre trophique ? Sectionnant un nerf
ais est-il pour ces nerfs un vrai centre trophique ? Sectionnant un
nerf
entre le ganglion et la périphérie, Joseph a vu
, la gencive. Par conséquent, il y a altéra- tion fonctionnelle des
nerfs
sensitifs, céphaliques et faciaux , principalem
l'âge de deux ans, ces jeunes gar- çons sont atteints d'atrophie du
nerf
optique, avec nystagmus, mouvements ehoréiforme
de s'égarer, méthodique- ment, l'étude des cordons médullaires, des
nerfs
craniens, des ganglions, de la couronne rayonna
. med. Journal, 1878.) 248 REVUE CRITIQUE. sur les extrémités des
nerfs
, ce qui donne comme résultat une atrophie de to
le même motif. Il en résulte de la surexcitation des centres et des
nerfs
sensoriels, des accidents neurasthéniques, du s
de la pupille. On peut se demander jusqu'à quel point l'état des
nerfs
optiques peut ici être considéré comme révélation
pect de la papille faisait plutôt penser une atrophie primitive des
nerfs
optiques. Toutefois, plus de trois semaines s'é
lésion descendante émanant, des centres cérébraux avec lesquels le
nerf
optique est en relation. S'il en était ainsi, i
res des cornes antérieures de la moelle, une atrophie des fibres du
nerf
moteur et des muscles auxquels ces fibres se di
s d'autres parties des ganglions d'ordre inférieur avec lesquels le
nerf
optique est en relation. Un dernier point à not
phénomènes hypnotiques, par exemple la pression des muscles ou des
nerfs
produisant la contracture pen- dant la léthargi
llaire ; quelques callosités osseuses. Intégrité des muscles et des
nerfs
. On constate aussi chez lui de la parésie de la
outumés, puis par des accidents imputables à la cinquième paire, au
nerf
vague, à l'accessoire, au SOCIÉTÉS SAVANTES. 30
xte) également des deux côtés; intégrité, par contre, des noyaux du
nerf
vague et de l'accessoire. Atrophie des fais- ce
ngien. Cette atrophie se poursuit sur les racines émergentes de ces
nerfs
; on constate en outre une forte dégénérescence
nt parsemées de corps granuleux. Sur un fragment de muscle avec son
nerf
, pris à l'avanl-bras, on constate' un fort épai
veloppées d'une gaine lamellaire absolument sem- blable à celle des
nerfs
. Il nous a même semblé en voir côte à côte 'ave
niveau des commissures transversales qui relient les cellules des
nerfs
moteurs symétriques : l'impulsion volontaire, t
e) à pou près exactement égal à celui qui est nécessaire pour qu'un
nerf
moteur séparé de la moelle cesse de réagir aux ex
e maternelle phthisique, nerveuse, migraineuses Soeurs, attaques de
nerfs
. Frère, accès de somnambulisme. - Frère, con- p
as de maladie de peau, pas de trace de syphilis ; pas d'attaques de
nerfs
. On ne sait s'il a en des convulsions dans l'en
ie galopante à ciuquante-sept ans ; nerveuse, mais sans attaques de
nerfs
, sujette 412 recueil DE faits. à des migraine
; à dix-huit ans, peur, suspen- sion des règles, peines attaques de
nerfs
; blanchisseuse, pas d'en- fants ; - 3° Garçon,
sions ; 6° Fille, vingt ans ; pas de convulsions, pas d'attaques de
nerfs
ni de migraines ; intelligente; - - 10 Fille, m
é épargné par le processus morbide primitif, et l'envahissement des
nerfs
optiques s'était traduit par un affaiblissement
ouvé des lésions ascendantes d'inflammation chronique le long des
nerfs
vagues, avec extravasion sanguine dans les espace
ne dans les espaces lymphatiques de périnèvre et de l'endonèvre. Le
nerf
était altéré dans toute sa longueur du côté dro
t supérieur de la moelle allongée; mais dans ce cas l'intégrité des
nerfs
vagues était complète. R. M. C. VII. Note SUR
du côté droit avec anesthésie incomplète et une paralysie des deux
nerfs
de la (te paire. A l'au- topsie on trouva dans
thèse de la formation d'un exsudat pathologique entre les gaines du
nerf
optique qui agirait par compression. Ce à quoi
Ce à quoi MM. Ueutschmann et Leber répliquent que l'inflammation du
nerf
optique émane non de la compression de cet exsu
qui, en déterminant de l'hy- dropisie de la gaine à l'extrémité du
nerf
optique a produit les premiers troubles de circ
ements, le.' névrites (névralgies, ophthatmoptégies, paralysies des
nerfs
craniens de la base) témoi- gnent d'un pronosti
des origines Archives, t. XVIII. 29 '430 SOCIÉTÉS SAVANTES. des
nerfs
olfactifs. Le manteau qui recouvre le ganglion de
ecte mais réflexe, et que l'intervention du trajet intracérébral du
nerf
optique joue dans l'espèce un rôle fort importa
: ,¡, Contribution expérimentale à la connaissance de l'origine du
nerf
auditif chez le lapin. Sur 4 lapin ? , âgés de tr
f chez le lapin. Sur 4 lapin ? , âgés de trois jours, on extirpe le
nerf
auditif gauche (lapins A et B) ; l'hémisphère ,
d son origine dans le tubercule auditif et le noyau antérieur de ce
nerf
; mais ces deux ganglions servent non seule- men
175, 318, 470. Néologismes chez les aliénés, par Bartels, 455.
Nerf
auditif chez le lapin(origine du), par Bruns, 4
duisait, sous l'influence du froid, un .gonflement inflammatoire du
nerf
. Depuis lors, ce fait Archives, t. Xt V. 1 2
e Fallope; d'où une forte compression entraînant la dégénération du
nerf
et l'interruption complète de la conductibilité
action nous échappe.et la démonstration anatomique du gonflement du
nerf
et de sa compression reste encore à faire. Si
gauche ne se ferme pas ; épiphora. En un mot, paralysie complète du
nerf
facial gauche. Le malade se plaint aussi de dou
ui occupe le côté gauche porte sur tous les muscles innervés par le
nerf
de la septième paire, elle est survenue brusque
précédents. L'hémiplégie porte sur tous les muscles innervés par le
nerf
de laseptième paire ; dou- leurs assez vives au
antérieurement deux hémiplégies faciales, l'une il y a trois ans (
nerf
facial gauche), l'autre il y a dix-huit mois envi
ois ans (nerf facial gauche), l'autre il y a dix-huit mois environ (
nerf
lacial : droit) ; c'est donc pour la troisième
es au niveau de l'apophyse mastoïde ; le surlendemain, paralysie du
nerf
facial droit; la paralysie est complète. Abolit
e côté une observation nette. Elle disait n'avoir pas d'attaques de
nerfs
, mais des membres de la famille m'ont affirmé q
ts sur les parents, on croyait que la mère avait eu des attaques de
nerfs
dans sa jeunesse. Cet individu était, même avan
'une énergie suffisante vient à rencontrer l'appareil terminal d'un
nerf
con- ducteur centripète, une sensation nait par
common Life. 1860). Schiff, dans sa Physiologie des muscles et des
nerfs
, Trousseau dans ses Cliniques sur l'ataxie loco
ens musculaire. Ces im- pressions sont de simples modifications des
nerfs
sensitifs qui 86 REVUE CRITIQUE. se distribue
culaires spécifiques, qui, dépendant des appareils sensibles et des
nerfs
situés à l'inté- rieur des muscles, seraient co
n mo- trice du cerveau aux muscles, car si elles étaient ducs aux
nerfs
sensitifs des muscles elles croîtraient et décroî
'influence motrice, partant du centre, qui excite l'innervation des
nerfs
mo- teurs. » Comme preuves il cite des cas de p
i les impres- sions du sens musculaire dérivent des muscles par les
nerfs
moteurs et son siège est du côté moteur, et la
en plus ses idées dans ce sens, et il s'exprime ainsi : « Comme les
nerfs
qui se rendent aux muscles sont surtout des ner
nsi : « Comme les nerfs qui se rendent aux muscles sont surtout des
nerfs
moteurs grâce auxquels les mouvements musculair
mme dans le cas de sensation pure, d'une influence affluant par les
nerfs
centripètes ou sensitifs. » Selon lui, les impres
Les découvertes de Sachs, montrant que les muscles possèdent des
nerfs
sensitifs, ayant un trajet et une distribution di
nerfs sensitifs, ayant un trajet et une distribution différents des
nerfs
moteurs, et pénétrant dans la moelle par les raci
ans doute trop absolu. Dans l'hypothèse de Bain, les centres et les
nerfs
moteurs seraient donc à la fois les agents de l
émanées des muscles, et rapportées aux centres volitionnels par les
nerfs
moteurs eux-mêmes. Les centres et les nerfs mot
es volitionnels par les nerfs moteurs eux-mêmes. Les centres et les
nerfs
moteurs dans cette hypo- thèse étaient donc sim
tte opinion dans laquelle tout se passait aux dépens des centres et
nerfs
moteurs, et admet aujourd'hui les sensi- bilité
paraître. «Il est évidemment impossible d'admettre, dit-il, que les
nerfs
moteurs puissenttransmettre des impressions ver
centres. Dès lors, il faut admettre que les excitations de certains
nerfs
sensitifs peuvent apporter au sensorium l'impre
n second lieu, pen- dant l'accomplissement d'un mouvement, certains
nerfs
périphé- riques transportent au cerveau des imp
ons donnant des sentiments de tension et venant des muscles par les
nerfs
sensitifs. Seulement, au lieu de regarder comme
Il admet qu'il existe en outre des impressions trans- mises par les
nerfs
sensitifs ordinaires des membres en mou- vement
peau, d'autres impressions, inconcientes celles-là, venant par des
nerfs
afférents spéciaux des centres moteurs spinaux.
léculaires qui, immédiatement après, se rendent aux muscles par les
nerfs
moteurs, craniens et spinaux, est un simple phé
usculaire, alors que les centres volitionnels, moteurs spinaux, les
nerfs
moteurs et les muscles pouvaient être mis en je
ue les processus prenant place dans les centres moteurs et dans les
nerfs
moteurs sont des processus purement physiologiq
ENS MUSCULAIRE. logiques se passant dans les différents centres des
nerfs
mo- teurs. » Pour lui, les idées motrices n'e
ent ici d'une lésion des conducteurs nerveux, c'est-à-dire soit des
nerfs
périphé- riques, soit des voies de conduction m
èse; en effet, outre quelques branches du plexus cervical, tous les
nerfs
sensitifs du plexus brachial sont malades; or i
rien dans les antécédents n'autorise l'hypothèse d'une maladie des
nerfs
périphériques; d'autant plus que dans ce cas, l
circulaloires. La lésion doit donc se trouver dans un point où les
nerfs
sensitifs, sécrétoires et tiophiques du bras dr
a démontré, en effet, que les racines postérieures contiennent des
nerfs
vao- IO4 se REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. mot
n des ganglions intervertébraux et des racines postérieures sur les
nerfs
de la sueur qui ne proviennent pas seulement du
de types très variés, est l'inflammation de la dégéné- rescence des
nerfs
périphériques seulement, sans que les centres n
irritation ou une perte partielle ou complète de la fonc- tion des
nerfs
des extrémités. Les malades ont d'abord des trou-
uffrent davantage les extrémités inférieures. Dans quelques cas les
nerfs
de la face et des yeux sont gris et le malade est
au toucher surtout sur les points moteurs et le long du trajet des
nerfs
. Quelquefois, surtout dans les cas alcooliques et
névrite parenchymateuse n'atteint souvent que certains segments des
nerfs
etpar suite on l'a appelée névrite segmentée. L
par segments de membres, sans suivre la topographie anatomique des
nerfs
: le second est tiré de la façon dont se compor
ptibles de déterminer par com- pression, soit de vraies attaques de
nerfs
, soit des auras incomplètes,' vient encore pres
stique, car elle ne concorde ni avec la distribution anatomique des
nerfs
cutanés superficiels de l'avant-bras, ni avec c
Bien qu'impressionnable, la malade n'a jamais eu d'atta- ques de
nerfs
, ni aucun phénomène hystériforme (sensation de
circonscrit à un segment de membre, sans suivre la distribution des
nerfs
de la région, et qu'elle s'accompagne d'ordinai
l et l'on ne constate point de douleur locale le long du trajet des
nerfs
ou des branches d'origine du plexus brachial :
ération primitive, isolée, des racines sensitives et trophiques des
nerfs
du mem- bre supérieur et porte le diagnostic su
gite cervico-brachiale ? ) portant sur les racines postérieures des
nerfs
et ayant déterminé à leur niveau des exsudats inf
ment, son congénère est atteint dans sa motilité ? * Evidemment les
nerfs
périphériques doivent être mis hors de cause. L
ou occipital est normal. Les artères de la base de l'encéphale, les
nerfs
, les tubercules musculaires, etc., ne pré- sent
s en enfance, travaille encore un peu aux champs, pas d'attaques de
nerfs
, a souvent le sang à la tête. Quatre freines, l
ifférents organes de la base du cerveau sont- symétriques (artères,
nerfs
, etc.), pourtant le tubercule mamil- lairegauch
V. Poore ont présenté des symptômes du côté de ces muscles et du
nerf
radial. Le terme de « crampe des pianistes » n'in
n dans le lit. Cette sensation tient souvent le malade éveillé. Les
nerfs
sont sensibles à la pression et dans l'extensio
nsion du membre. Ce même fait de douleur localisée aux points où le
nerf
est tiraillé dans les mou- vements a été observ
ifficulté à jouer, sans localisation au niveau des extenseurs et du
nerf
radial. Dèux fois la lésion semblait exister à
ande, voilà tout. P. K. VIII. DES réactions galvano-électriques DES
nerfs
auditifs ET optiques chez les hallucinés; par E
; un cas de simple modification de la formule, un cas de torpeur du
nerf
. Telle est la substance .utile de ce mé- moire.
lée. Puis, des deux côtés, dévelop- pementgraduel d'une atrophie du
nerf
optique, avec cécité absolue, inertie de la pup
de la sensibilité. Cette tumeur n'occupait pas la base puisque les
nerfs
crâniens étaient restés intacts; par conséquent,
tater quelques faits curieux. L'excitation du cubital ou d'un autre
nerf
des membres par les procédés classiques de Char
HOLOGIE NERVEUSE. plus que les antérieures. La racine ascendante du
nerf
trijumeau fut également atteinte. Dans la moell
uitième thoracique et probablement aussi de la racine ascendante du
nerf
trijumeau; il a eu le droit de supposer que cet
it est un peu moins accusé que le gauche. Le reste de la région des
nerfs
faciaux n'est pas altéré. Lorsque le malade tir
s d'altérations marquées. Le courant induit dans les muscles et les
nerfs
du bras donne des chiffres égaux pour les deux
our les deux côtés (ul'and appareil de Sttihrer à deux éléments) le
nerf
médian et le biceps, 23 m., le triceps, 20; le
des membres, l'appréciation des mouvements passifs) est normal. Les
nerfs
et les muscles sont insensibles à la pression. Il
nérale). P. K. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE I. NOTE SUR les
NERFS
DE l'articulation COXO-FÉMORALE; par M. R. DUZE
surer, ainsi que l'avaient déjà établi Beaunis et Bouchard, que les
nerfs
de l'articulation coxo-fé- morale proviennent e
produisait un type spécial de déformation. G. D. II. NOTE sur LES
nerfs
DE l'articulation COSO-FI3)(OR.\LE j par A. Ca
tent les faits suivants : 1° l'articulation de la hanche reçoit des
nerfs
de deux sources bien distinctes. En avant, les
ement, soit par l'intermédiaire d'une branche muscu- laire ; 2° les
nerfs
aboutissent plus particulièrement à la partie i
capsule; 3° la hranche fournie par le crural est une bifurcation du
nerf
qui se rend au pectine. Ces données permettent
lope, et par les mouvements de rotation en dehors. Les rapports du
nerf
articulaire antérieur avec le pectiné, muscle flé
uses centrales, et ce qui revient aux altérations périphériques des
nerfs
. Les caractères de l'amyo- trophie sont d'abord
s nerveux chez les), par Deligny, 408. Articulation coxofémorale (
nerfs
de 1'), par Duzéa, 410; par Chande- lux, 414.
ar Hoppe, 274. Hallucinés (des réactions galvanoé- lectriques des
nerfs
auditifs et op- tiques chez les), par Konrad, 2
l'extension des orteils. Il attribua ce résultat à l'excitation des
nerfs
sensitifs du tendon d'Achille et l'appela « le
(Recherches exp.sur l'An. et la Phys. des racines postérieures des
nerfs
rachidiens. Communication préliminaire); par St
xpérimentale des racines postérieures détermine des altérations des
nerfs
péri- phériques et des ganglions semblables à c
ature des lésions ganglionnaires décrites dans le 'tabes ; dans les
nerfs
périphériques et les racines postérieures l'a-
n était reporté à droite. L'A. pense que,outre le spinal, plusieurs
nerfs
cervicaux étaient intéressés ; il cite l'opinio
sements, une série d'ictus, et finalement une paralysie de tous les
nerfs
moteurs de l'oed droit avec cécité complète. To
ule, la cécité persista sans modifications, sans doute parce que le
nerf
optique était plus gravement atteint que les au
rce que le nerf optique était plus gravement atteint que les autres
nerfs
. L'examen ophtalmoscopique a en effet établi qu
otale. Cette atrophie,qui est le signe d'une altération profonde du
nerf
optique semble indiquer que l'inflammation des
er que l'inflammation des méninges s'est propagée à l'origine de ce
nerf
et s'est ensuite étendue sous forme de névrite
rstitielle, à la pupille.Ce processus inflammatoire s'est limité au
nerf
optique droit,le chiasma n'a 'pas été envahi et
t limité au nerf optique droit,le chiasma n'a 'pas été envahi et le
nerf
optique du côté gauche est resté indemne. G. D.
froid ; conservation de la sensibilité tactile ; portion motrice du
nerf
intacte. Moitié droite du tronc et membres droi
arche était oscillante : il penchait et tombait souvent à gauche.
Nerfs
crâniens. Odorat très affaibli à gauche à cause d
bjectives, vomissements) présentés par le ma- lade : excitation des
nerfs
vestibulaire ou cochléaire ou du noyau de Deite
souvent mais non toujours avec la surexcitabilité galva- nique des
nerfs
« sensitifs et sensoriels » (signe d'Erb) ; la su
n d'un tronc nerveux : sensations ir- radiées dr.3 le domaine de ce
nerf
) n'est pas constant et surtout pas caractéristi
res motrices, de la dégénérescence des racines an- térieures et des
nerfs
moteurs. L'auteur passe en revue les quelques c
phoï- de, les muscles qui s'insèrent à ces os, les vaisseaux et les
nerfs
qui s'y rapportent, semblent constituer un syst
soit Monsieur « l'interne, qui ne le méritait pas, qui subisse mes
nerfs
irrités. «,le prie Monsieur le Directeur de bie
conditionné par la lésion des cordons postérieurs ou par celle des
nerfs
périphériques. Le tabes est une affection génér
des fibres de nouvelle forma- tion à l'intérieur du ganglion et du
nerf
radiculaire interne. Dans les ganglions sacrés,
ne massue ter- minale, soit à l'intéiieur du ganglion, soit dans le
nerf
radicu- laire ; on les tiouve exceptionnellemen
e lésions qu'on rencontre égale- ment dans le bout périphérique des
nerfs
sectionnés. Néan- moins le processus tabétique
ique ne peut pas être comparé aux phénomène, qui ;c passent dans un
nerf
.ccüonné ou com- primé car d'une part il existe
lard régénérées telles qu'on n'en voit pas dans le bout central des
nerfs
sec- tionnés et d'autre part les fibres de nouv
egment médullaire lombaire. Danger des injections d'alcool dans les
nerfs
sciatiques au cours des névralgies sciatiques.
otrices. M. ANTOtELLI (de Paris). - On sait que les paralysies du
nerf
de la sixième paire ayant duré plus ou moins long
strabisme or- dinaire, dit concomitant. Les anciennes paialysies du
nerf
de la troisième paire s'accompagnent un peu plu
ce,dite con- comitante, des myopes. Quant aux paralysies isolées du
nerf
de la quatrième paire, elles sont trop rares po
cas d'éruption ecchy- motiquc, occupant nettement le territoire du
nerf
frontal, survenue spontanément après une périod
Raymond. (Académie de médecine, 5 février 1907) · On sait que le
nerf
vestibulaire,l'une des branches de la VIGIE pai
ue le nerf vestibulaire,l'une des branches de la VIGIE paire est le
nerf
du sens de l'orientation et aboutit aux canaux
s canaux semi-circulaires,qui sont trans- mises au cervelet par les
nerfs
de la huitième paire. Ces troubles s'accompagne
ans l'état normal, de nystagmus dit de rota- tion. Lorsque l'un des
nerfs
auditifs, par exemple le gauche, est complèteme
de l'espace se noient lorsqu'ils plongent. La lésion unilatérale du
nerf
vestibulaire se compense à la longue grâce aux
rt largement, on n'y trouve ni séquestre, ni pus, ni fongosité, les
nerfs
de la queue de cheval pa- raissent normaux le c
eures, il harvinl iL s'échapper et, tenant d'une main un formidable
nerf
de hoeuf et de l'autre un long compas de charpe
bue à son état temporaire d'inconscience ou à la « faiblesse de ses
nerfs
» de laquelle profitent 262 CLINIQUE MENTALE l
ellaires, il faut supposer que les ganglions intervertébraux ou les
nerfs
périphériques étaient lé- sés. 11 est regrettab
.) B. rappelle que la destruction du territoire périphérique d'un
nerf
moteur peut n'avoir aucun effet sur les cellules
erf moteur peut n'avoir aucun effet sur les cellules du noyau de ce
nerf
; que, chez l'homme, après énucléation d'un oeil,
aire et le tronc du M. O. C ? dans le ganglion ciliaire, - dans les
nerfs
ciliaires, dans le nerf optique. L'im. réfl.
C ? dans le ganglion ciliaire, - dans les nerfs ciliaires, dans le
nerf
optique. L'im. réfl. est, dans la règle, accomp
lis mental guérie par l'excision de la bran- che externe du onzième
nerf
;effet de suggestion, dit M. Brissaud qui réser
influer du tout l'excitabilité des points contigus du muscle ou du
nerf
correspondant ; caractéristique est enfin la va-
r le faradisme obéit parfaitement à la stimulation indirecte par le
nerf
. La réaction de Jolly même qu'on observe par la
. La réaction de Jolly même qu'on observe par la faradisation des
nerfs
périphériques (Coldflam, Murri) qui sont toujours
veuses intramusculaires, qui, on sait, s'épuisent toujours avant le
nerf
, ainsi le fait que,dans la réaction de Jolly, les
urs avant le nerf, ainsi le fait que,dans la réaction de Jolly, les
nerfs
, dans les points même inexcitables par le farad
niques. On devrait alors supposer une mo- dification qualitative du
nerf
épuisé aux deux stimulis électriques ce qu'on o
s électriques ce qu'on observe très rarement dans les affections du
nerf
. Le mé- canisme cependant de cette intéressante
ssante réaction serait parfaite- ment éclairci en supposant que les
nerfs
cutanés, qui sont les meil- leurs conducteurs d
symptôme très précieux révélerait dans la myasthénie la fatigue des
nerfs
cutané au faradisme,le rapide épuisement de la se
réaction de Jolly ; c'est-à-dife : 1° la perte d'excitabi- lité des
nerfs
et des muscles se borne aux points cutanés direct
adisme sur le muscle ne modi- fie nullement son excitabilité par le
nerf
et vice versa. 3° L'indépendance maintes fois o
ues. La réaction de Jolly, essentiellement due à l'épuisement des
nerfs
cutanés au tétano-faradique, doit très vraisembla
om- modation d'un seul côté, indique une lésion du M. 0. C., seul
nerf
que parcourt alors l'excitation. La réaction à
l'excitation. La réaction à la lumière intéresse au contraire deux
nerfs
(II et III) dont on peut examiner séparément le
t la même manoeuvre à un seul oeil, on peut déceler les troubles du
nerf
op- tique. Ch. B. XXXIV.-Ueber den Abbaudes N
où elle fut recherchée dans tout le névraxe, S. la retrouva dans le
nerf
optique et le tronc céré- bral, mais non dans l
hemine précisément tout contre cette bourse, l'infection a gagné le
nerf
d'où la névrite consécutive progressivement cro
hologique. G. C. XLI. Paralysie ancienne de la branche temporale du
nerf
facial gauche consécutive à une incision d'abcè
cune modification de leur volume, de leur striation.In- tégrité des
nerfs
, des fuseaux et du tissu conjonctif. Pas de cellu
e parésie bien diffé- rente de celles que produisent les lésions du
nerf
facial, et telle, au contraire, que pourrait la
mobilité absolue de la joue pendant le souffler, parti- cipation du
nerf
masticateur, sens de la déviation de la langue ;
cas et, dans deux autres,de troubles physiologi- ques des 2e et 6e
nerfs
crâniens,tend à démontrer qu'un trouble des ner
ques des 2e et 6e nerfs crâniens,tend à démontrer qu'un trouble des
nerfs
périphériques peut être ramené à des troubles vas
asisfraktur.(Sur des symptômes moteurs anormaux dans le domaine des
nerfs
crâniens après fracture de la base du crâne) pa
rieure d'un des trapèzes par percussion au niveau de l'émergence du
nerf
sous-orbitaire et du nerf mentionner du côté op
ar percussion au niveau de l'émergence du nerf sous-orbitaire et du
nerf
mentionner du côté opposé. Il rappelle à ce pro
dmet que,con- sécutivement à la suppression de la conduction par le
nerf
facial 3H4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. le c
facial 3H4 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. le centre réflexe de ce
nerf
, c'est-à-dire le bulbe, devient particu- lièrem
pas dou- loureux à la pression, mais les branches périphériques des
nerfs
des extrémités sont très sensibles à la pressio
issement assez vifs dans les pieds ; les branches périphériques des
nerfs
sont très sensibles à la pression. Membres supé
auparavant, ne sont pas douloureux à la pression ; par contre, les
nerfs
de la main sont excessivement sensibles à la pr
ents passifs des doigts de la main droite et de la main gauche. Les
nerfs
de la main et du pied sont douloureux à la pressi
ux parties périphériques des extré- mités est un peu affaiblie. Les
nerfs
de la main et du pied ne sont plus douloureux à
aux pieds ; c'est ici qu'on constatait la sensibilité exagérée des
nerfs
à la pression, les douleurs et les paresthésies
ecte principalement ou exclusivement les branches périphériques des
nerfs
des extrémités n'est'pas, d'après mon expérienc
lière à la sensibilité à la pression des branches périphériques des
nerfs
, laquelle sensibilité peut être explorée bien s
es doigts laquelle est très caractéristique pour l'inflammation des
nerfs
de la main et du pied, inflamma- tion qu'on peu
mettre que,dans notre cas ce sont plutôt les branches profondes des
nerfs
qui' sont prises par le processus névritique, e
s. Même les branches plus petites, les branches « pro- fondes » des
nerfs
contiennent, comme on sait, les fibres centripè
simultanée par le processus névritique de plu- sieurs branches des
nerfs
plus ou moins fqrtes pourrait provoquer tantôt
troubles ne peuvent pas dépendre d'une lésion des bran- ches des
nerfs
digitaux plus ou moins fortes et ils ne sont co
des images les filets nerveux les plus minces qui provien- nent des
nerfs
dorsaux internes et externes des doigts (/ ? .
uvons noter le double mode d'action de la substance toxique sur les
nerfs
périphériques de notre malade : d'un côté nous
yons l'action plus géné- ralisée étendue sur le grand territoire de
nerfs
périphé- riques, de l'autre côté est non moins
la même substance, action plus restreinte et plus spéciale sur les
nerfs
de la main et du pied. La première forme d'affe
les nerfs de la main et du pied. La première forme d'affection des
nerfs
périphériques ca- ractérisée par l'ataxie, le s
a deuxième forme est caractérisée par la sensibilité exa- gérée des
nerfs
de la main et du pied à la pression et par les
ne tendance à affecter principalement les branches plus petites des
nerfs
et dans les deux formes nous trouvons aussi le
uée, si elle existait en réalité,par une par- ticipation légère des
nerfs
craniens, qui n'est pas rare dans les polynévri
système nerveux (du côté de la pupille, des réflexes, de quelques
nerfs
crâniens) très importants pour le diagnos- tic
se voir enceinte, pas de chagrins, pas d'albuminurie, de crises de
nerfs
, d'intoxication, de tentatives d'avortement. Qu
ssent symétriques. La pie-mère du cervelet est un peu injectée. Les
nerfs
et les bandelettes optiques sont bien développé
nuit ou dans l'obscurité ; il cesse un moment par pression sur les
nerfs
sus-orbitaires,et leur résec- tion a amené une
ar Ré- monel et Voivencl, p. 86. Dan- ger des d'alcool dans les
nerfs
sciatiques au cours des névralgies sciatiques,
aude et Descamps, p. 37 1. ancienne de la branche, tem- porale du
nerf
facial consécuti- ve à une incision d'abeesden-
de sérieuses dif- ficultés. Quant à ce qui touche la pathologie des
nerfs
périphériques, sans parler des névralgies, l'ob
Elles ont acquis une précision que la pathologie du cerveau et des
nerfs
péri- phériques ne connaît pas encore (elles so
puerpérale; elle avait eu durant de longues années des attaques de
nerfs
: à la moindre émotion, elle tombait par terre, r
ont tous violents, « insupportables » ; ils n'ont pas d'attaques de
nerfs
. Antécédents personnels. - Dans son enfance, D.
orps. Il reprit son travail, ayant de temps à autre des attaques de
nerfs
et de mutisme transitoires. Au commencement de
de sclérose, aucune altération appréciable des centres nerveux. Les
nerfs
périphériques, examinés histologiquement avec le
ouvrir des lésions qu'on ne voit pas à l'oeil nu. D'autre part, les
nerfs
périphériques n'ont pas été toujours examinés;
es. Des plaques et des pointillés rouges, tenant à des troubles des
nerfs
vaso-moteurs, se voient sur les régions hypothéna
1 7, crise de douleurs exaspérées par la pression sur l'origine des
nerfs
. La contraction paradoxale disparaît. Quelques jo
a parole n'existe pas. L'excitabilité électrique des muscles et des
nerfs
est intacte. A cause de ce tremblement anormal
mourut dans son service. Dans le cerveau, dans la moelle, dans les
nerfs
périphériques, les recherches les plus minutieuse
inateur, les radiaux externes. L'excitabilité galvanique intense du
nerf
radial, dans la gout- tière, provoque une faibl
Mêmes réactions pour le courant galva- nique, Thénar : inexcitable.
Nerf
cubital au poignet : faible adduction du pouce
ébauche. Il n'a jamais présenté rien qui ressemble à une attaque de
nerfs
. Nous avons pris quelques tracés pneumographiqu
tés avec démarche incertaine, titubante, de l'atrophie partielle du
nerf
optique. du nystagmus. A côté de ces signes qui
nt inten- tionnel, nystagmus, rires forcés et atrophie partielle du
nerf
optique) se trou- vait dans la même salle qu'un
érieur est insensible sans aucune relation avec la distribution des
nerfs
, aucun rapport avec une lésion spinale. Cette a
de commentaires. M. le professeur Charcot montre sans peine que les
nerfs
périphériques, la moelle, le mal de Pott ne pou
Thornburn)' Distribution de l'anesthésie dans diverses lésions des
nerfs
de la queue de cheval (compressions, tumeurs, l
e dans les paraplégies hystériques ne répondent ni à une lésion des
nerfs
des membres inférieurs, ni à une lésion spinale
sauraient répondre, disons-nous, à une lésion de la moelle ou des
nerfs
. Qu'on en juge plutôt par les schémas précédents
ariable (fin. 46, au, 48). L'anesthésie consécutive aux lésions des
nerfs
a une distribution bien différente. Cette distr
tribution bien différente. Cette distribution dépend avant tout des
nerfs
lésés; elle est localisée à une ou plusieurs br
nerfs lésés; elle est localisée à une ou plusieurs branches de ces
nerfs
et au terri- toire cutané correspondant (fig. 3
Enfin dans les derniers temps apparut un certain degré de parésie du
nerf
facial gauche. Tous ces renseignement sont ra
branches sensitives de la cinquième paire aussi bien que celles des
nerfs
rachidiens n'ont nullement été touehées. Les tr
branches sensitives de la première paire aussi bien que celles des
nerfs
rachidiens sont restées intactes jusqu'à présent.
rs jours de novembre il eut ce qu'il appelle sa première attaque de
nerfs
. » Un jour, vers G heures du soir, étant dans sa
chant à déchirer ses habits, et elle ajouta : « Tu as eu une crise de
nerfs
comme la voisine. » Or, renseignements pris, la
ortée, très colé- reuse. Une tante du côté maternel a des crises de
nerfs
. Père bien portant, pas nerveux, pas alcoolique
ze ans et toujours bien réglée. Elle n'avait jamais eu de crises de
nerfs
d'aucune sorte. Elle était seulement très impress
tion de ce fait qu'une lésion symétrique (en partie) des noyaux des
nerfs
moteurs du cerveau et de la moelle allongée (po
ve. Le processus morbide s'est manifestement propagé des noyaux des
nerfs
crâniens vers les cornes antérieures de la substa
on de dégénérescence par un point, il savoir la non-excitabilité du
nerf
, mais s'en éloigne sous un autre rapport. En ef
igne sous un autre rapport. En effet, malgré la non-excitabilité du
nerf
, la contractilité faradique et galvanique du mu
ni périphérique. Les noyaux oculo-motcurs, les racines et tous les
nerfs
bulbaires sont absolument sains. Seules les racin
parler de l'écorce cérébrale et des ramifications périphériques des
nerfs
oculaires (et même des nerfs bulbaires ou spina
e et des ramifications périphériques des nerfs oculaires (et même des
nerfs
bulbaires ou spinaux). C'est d'autant plus regr
ne parésie de la portion sen- sitive du trijumeau, une atrophie des
nerfs
optiques, de violentes céphalées, des signes d'
paresthésie. Mort après sept ans de maladie. A l'examen du cerveau,
nerfs
olfactifs normaux; chiasma des nerfs optiques u
aladie. A l'examen du cerveau, nerfs olfactifs normaux; chiasma des
nerfs
optiques uniformément gris, mais de consistance
érieurs, l'existence de lésions manifestes des noyaux d'origine des
nerfs
oculomoteurs. Sclérose marquée des fibres qui c
veau normal d'apparence. En enlevant l'encéphale, quelques- uns des
nerfs
crâniens ne peuvent être retrouvés, probablement
une sclérose vasculaire; secondairement se sont pris les noyaux du
nerf
abducteur, qui sont détruits ainsi que ses fibres
s la lésion ne remontait pas jusqu'au bulbe. Au niveau des 4° et 5°
nerfs
sacrés, la lésion débordait les cordons de Goll e
laire postérieure (colonne dé Burdach). Au niveau de la 4° paire de
nerfs
lombaires, la sclérose s'enfonçait presque jusq
un tabétique avec psychose2 et paralysie oculaire, une atrophie des
nerfs
oculomoteurs communs, externes, pathétiques et
altération microscopique appréciable de l'encéphale. Les troncs des
nerfs
oculomoteurs externes étaient réduits à des fil
externes étaient réduits à des filaments grisâtres très grêles. Les
nerfs
oculomoteurs communs d'une teinte grise étaient
segment dorsal. Ilistologiquement, dégénérescence considérable des
nerfs
oculomoteurs. Atrophie très prononcée des cellu
t encore nette- ment visible; sur leur trajet inlra-médullaire, les
nerfs
pathétiques étaient en état d'atrophie complète
ononcée des racines des oculomoteurs communs et de leurs noyaux, du
nerf
hypoglosse et de son noyau, à gauche. Dans le n
leurs noyaux, du nerf hypoglosse et de son noyau, à gauche. Dans le
nerf
optique, les fibres nerveuses étaient intactes ;
nifiant. Les racines intramédullaires sont diminuées de volume, les
nerfs
qui en sortent présentent des tubes en voie de
endante de trijumeau qui a été suivie depuis l'origine apparente du
nerf
jusqu'à la hauteur du premier nerf cervical, a
ie depuis l'origine apparente du nerf jusqu'à la hauteur du premier
nerf
cervical, a élé trouvée dégénérée. L'auteur dis
moteur commun et du pathétique. Les fibres radiculaires de tous ces
nerfs
étaient intactes. En outre, Thomsen, dans les deu
s du pneumogastrique et la dégéné- rescence profonde du noyau de ce
nerf
. Kojewnikoff a signalé des altérations identiqu
ndre que sur le membre supérieur droit. Quant à l'électrisation des
nerfs
, du médian au bras, au pli du coude et au poignet
té malade et du côté sain. Il n'y a, du reste, sur le trajet de ces
nerfs
, aucun point douloureux, aucune trace d'induratio
IE EXTERNE. 2G7 tance les rétines ne furent pas examinées; mais les
nerfs
optiques, demème que les bandelettes optiques,
macroscopique qu'à l'examen microscopique des coupes. i Plusieurs
nerfs
périphériques des extrémités ont été examinés au
le tissu ne présentait rien d'anormal, de sorte que les noyaux des
nerfs
de la sixième et de la septième paires étaient
e. Mendel qui fit l'examen microscopique des centres nerveux et des
nerfs
trouva des altérations portant sur les cel- lul
rfs trouva des altérations portant sur les cel- lules d'origine des
nerfs
et sur les troncs nerveux eux-mêmes. Il exis- t
elle se mettait en colère sans raison et avait de petites crises de
nerfs
. Eu 1881, elle accouche d'une enfant chétive, et
une paralysie spasmodique de nature saturnine due à une lésion des
nerfs
périphériques ou des muscles. L'anesthésie cuta
our lesquelles on consulta les D,- Fano et Cusco. On croyait que le
nerf
sus-orbitaire était emprisonné dans un cal. A par
rent de dix à quinze minutes et quelquefois plus. Pas d'attaques de
nerfs
. La recherche des stigmates sensoriels n'a pas
Paris, 1889. ÉTUDE DES SYNDROMES HYSTÉRIQUES « SIMULATEURS ». 319
nerfs
paraisse déterminer rien de spécial. Les membres
pulmonaire. C'était un alcoolique renforcé, qui, avait des crises de
nerfs
caractérisées par : perte de connaissance, chut
ou quatre mois, à la suite de contrariétés, elle a des attaques de
nerfs
, dans lesquelles elle se mord la langue, écume,
s son jeune âge; en outre, elle avait eu toute sa vie des crises de
nerfs
, « elle tombait du haut mal », dit la malade.
vement impressionnée), la malade a commencé à avoir des attaques de
nerfs
. Bientôt après, elle a eu la danse de Saint-Guy (
t qu'il allait mieux, mais aussitôt sur pied, il prend une crise de
nerfs
et we reste raide dans les bras, alors j'ai en
certain phénomène bizarre aurait pu donner l'éveil. Cette crise de
nerfs
, cette perte de connaissance dans les bras de sa
lement des membres ; leur flexion brusque*; d. Le froissement des
nerfs
; e. L'application d'un diapason vibrant; f. L
tion d'un diapason vibrant; f. La faradisation des muscles ou des
nerfs
; g. L'aimantation; h. L'excitation superfici
l'excitation porte sur les parties profondes, muscles, tendons, os,
nerfs
, ou bien qu'elle est exclusivement cutanée. Il
massage musculaire est survenue la contracture par froissement des
nerfs
, et ce n'est qu'ensuite que la contracture a su
gel', s'adjoint assez souvent à l'atteinte du facial celle d'autres
nerfs
crâniens, de l'hypoglosse le plus fréquemment, pl
Quant àl'abducens, le problème est plus facile à résoudre. Les deux
nerfs
de la sixième paire sont intéressés, et c'est l
gales et diffuses des myélites, qui siègent dans le territoire d'un
nerf
ou bien sont délimitées par une ligne perpendicul
la névrose. Il est des symp- tômes, tels que l'induration grise du
nerf
optique, les arthropathies déformantes, le sign
es membres inférieurs, autour de la ceinture, dans le territoire du
nerf
cubilal, le long du rachis... Dans les syndrome
res qui produit l'atrophie musculaire ne puisse amener, du côté des
nerfs
, des troubles trophiques analogues. M. Mousseuse
es d'origine articu- laire, n'a-t-il pas trouvé des altérations des
nerfs
? Ces altérations, inconstantes il est vrai, n'
considère-t-il pas comme des troubles trophiques survenus dans les
nerfs
pour la même cause que les troubles trophiques
les conducteurs centripètes (racines rachidiennes postérieures des
nerfs
lombaires) d'un côté du corps, et en produisant
toute contestation le rôle de la moelle comme centre trophique. Les
nerfs
périphériques ne présentaient aucune lésion. Ma
réaction de dégénérescence, de telle sorte que cette intégrité des
nerfs
vient en somme à l'appui de notre théorie. En eff
de son existence que l'hypothèse de troubles trophiques du côté des
nerfs
nous paraît défendable. Cette hypothèse est du
qu'elle a été obligée de cesser, sous peine d'avoir des attaques de
nerfs
. La contracture était accompagnée de quelques t
ouve pas chez lui trace de syphilis. Il n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
avant 1888. Il ne paraît pas avoir un caractère
s comme dans la névrose ; elle suivrait souvent la distribution des
nerfs
périphériques. Enfin son degré serait éminemment
dimi- nution de l'amblyopie qui était accompagnée d'une atrophie du
nerf
optique et une amélioration de la parésie des n
'une atrophie du nerf optique et une amélioration de la parésie des
nerfs
moteurs oculaires commun et externe. Darier (19
élioration de la vue dans quatre cas où il existait une atrophie du
nerf
optique. Dertiliard (41) signale un cas où la v
lique, tout par l'anémie. D'après Brown-Séquarl, la compression des
nerfs
intercostaux pro- voque l'anémie de la moelle é
e de cheval (Distribution de l'anesthésie dans diverses lésions des
nerfs
de la-), 3,1, 34, 35, 3G, 37, 38, 39, -i0, il,
s agents imperceptibles de la nature (2), les plus sensibles sont les
nerfs
, surtout lorsque des causes particulières exalten
F.seaii pliilosoph. sur les prnhnhilitfr l'extrême sensibilité des
nerfs
dans quelques individus, ont donné naissance à di
de constater les lois de transmission de l'agent nerveux le long des
nerfs
, dans les muscles. Le savant professeur a eu reco
u recours à l’action irritante d’un courant induit, instantané sur le
nerf
sciatique d’une grenouille, pour obtenir les cont
rer le temps qui s’écoulait entre le passage du courant induit sur le
nerf
, et l’ouverture du circuit produite par le raccou
i qui a trait à la vitesse de transmission de l’agent nerveux dans un
nerf
, transmission qui s’accomplirait en 0,0014® ou 0,
de mon cerveau pour arriver à ma main, préalablement par le canal des
nerfs
, est ce que nous nommons fluide vital, ou fluide
depuis l’extrémité de nos organes jusqu’au cerveau, par le moyen des
nerfs
. » Le Dr Jobert, pour expliquer le retour de la
ce, et l’on ne peut alors admettre la sensibilité occasionnée par les
nerfs
, puis que leur trajet est interrompu. Cette idé
ignon (4) a aimanté des aiguilles de fer doux en les plaçant près des
nerfs
, et perpendiculairement à leur direction. L’aiman
faire mouvoir l’aiguille aimantée, en la soumettant à l’émanation des
nerfs
. Suivant Dutrochet (1), les substances excitant
r son extension. La seconde fois, on a appliqué la baguette de fer au
nerf
du cou, une respiration laborieuse a commencé; la
on du sang, la pulsation aurait pu avoir lieu. On a touché ensuite le
nerf
principal de la tête; chaque muscle de la figure
éprouvée. Pour la dernière expérience, on a transmis le galvanisme au
nerf
principal du bras; à l’instant même, les doigts o
nner des mouvements, en établissant communication entre un point d’un
nerf
et un autre point d’un même nerf, au moyen de par
nt communication entre un point d’un nerf et un autre point d’un même
nerf
, au moyen de parties animales, et sans employer d
arties animales, et sans employer d’armatures. Je saisis doucement le
nerf
crural avec deux doigts de la main gauche, et je
ons violentes; elles étaient surtout très-fortes quand je touchais le
nerf
près du muscle, mais non pas à son insertion même
rties, que je saisis de chaque main, et avec lesquelles je touchai le
nerf
en deux points différents. Le membre éprouva des
mnambulisme, p. 54. (3) Ouvrage cité, p. 41. pur que ce|ni de mes
nerf
», courir sur le conducteur, et y rester. Ce fluid
usquement à son influence, et elle tomba dans une violente attaque de
nerfs
. Ses cris attirèrent les garçons de rétablissem
mes membres, les assouplit, les presser sans tes serrer, détendre mes
nerfs
et me pénétrer, me charmer, à la manière dont le
étisme employé, comme vous savez vous en servir, Monsieur, détend les
nerfs
, calme les muscles, fait circuler le sang plus ré
chement de l’âme entraînée, ayant perdu ses rapports intimes avec le»
nerfs
placés sous sa direction immédiate. » Je me sui
issaient les fils conducteurs d’un galvanomètre, et en lui coupant le
nerf
sciatique d'une jambe, à lui tétaniser l’autre pa
ongeant dans le vase rhéophorique et correspondant à la jambe dont le
nerf
est intact, un doigt de la main, et à l’autre pie
mbe dont le nerf est intact, un doigt de la main, et à l’autre pied à
nerf
coupé, le doigt correspondant de l’autre main, l’
temps elle fut saisie de ce que j’appellerai une horrible attaque de
nerfs
; le silence fut ordonné, et le magnétiseur me pr
t aux vertus du magnétisme. Le magnétisme peut calmer les douleurs de
nerfs
, l’hystérie, etc. 11 croit que le magnétiseur peu
avec instance de les bisser. Yoici sa nouvelle composition : LES
NERFS
. Ain : Faut d la vertu, pai trop n'en faut. C
LES NERFS. Ain : Faut d la vertu, pai trop n'en faut. Ce sont les
nerfs
, ce sont les nerfs, Qui font mouvoir tout l'uni
Faut d la vertu, pai trop n'en faut. Ce sont les nerfs, ce sont les
nerfs
, Qui font mouvoir tout l'universI C’est par les
, ce sont les nerfs, Qui font mouvoir tout l'universI C’est par les
nerfs
, oui, par les nerfs, Que nous possédons l’univers
Qui font mouvoir tout l'universI C’est par les nerfs, oui, par les
nerfs
, Que nous possédons l’univers! Des nerfs la ter
ar les nerfs, oui, par les nerfs, Que nous possédons l’univers! Des
nerfs
la terrible influence S'offrc sous mille aspects
s.... On dit dans maint ménage en France : ■ Mon mari m’agace les
nerfs
! ■ Ce sont les nerfs, etc. Vous parlerai-je
t ménage en France : ■ Mon mari m’agace les nerfs ! ■ Ce sont les
nerfs
, etc. Vous parlerai-je de nos drames, Remplis d
leurs, d’assassinats, Qui dans nos théâtres, mesdames, Excitent vos
nerfs
délicats? Ce sont les nerfs, etc. • Los nerfs
ns nos théâtres, mesdames, Excitent vos nerfs délicats? Ce sont les
nerfs
, etc. • Los nerfs I las norfs ! cordes puissant
dames, Excitent vos nerfs délicats? Ce sont les nerfs, etc. • Los
nerfs
I las norfs ! cordes puissante* Que fait vibrer l
ui, sous des mains savantes. Produisent un son médical! Ce sont le*
nerfs
, nie. Or, sur ces eordes merveilleuses, Humbles
ur ces harpes mystérieuses Mesmer a planté son drapeau. Ce sont les
nerfs
, etc. Malgré des entraves profondes, Nous fai
nçons dans les deux Mondes, Et nous ne reculerons pas ! Ce sont les
nerfs
, clc. Depuis l'atelier jusqu'au I.ouvre, Depuis
te porte s'ouvre.... Nous avons des passe-partout '1 ). Ce sont les
nerfs
, etc. Voici, lorsque je magnétise, La méthode
s : Avant tout j’ai pris pour devise : « Traiter chacun selon sos
nerfs
. * Ce sont les nerfs, etc. D’après mon sujet
ris pour devise : « Traiter chacun selon sos nerfs. * Ce sont les
nerfs
, etc. D’après mon sujet je rac guide, ■ C’est
aut mesurer le fluide, Ou procéder à grands courants. Ce sont les
nerfs
, etc. Qu’une jeune beauté s’applique A m'accabl
’oo‘ct. [Tlir'ûht WonMiu/rr.) J'al laque lu grand lympatMqut Kl les
nerfs
qui louchent au uuiur. (lu sont les nerfs, etc.
u grand lympatMqut Kl les nerfs qui louchent au uuiur. (lu sont les
nerfs
, etc. Rencontrons-nous des tôles dures, Chargeo
chez certaines natures, Comme si Ion ne chargeaiI rien. Ce sont les
nerfs
, etc. Qu’un sot fasse un discours stupide, En
saie encor do mon fluide Pour lui paralyser.... le bec. Ce sont les
nerfs
, elc. Quant aux natures turbulentes Pour qui la
les paiset ealmanlei — Mais magnétisons-les de loin. Ce sont les
nerfs
, etc. A dégager soyons habiles, Car c’est un
nos modernes sybilles Aient, toutes, l’air bien digagè. Ce sont les
nerfs
, etc. N’écontons pas le scepticisme De plus d’u
Et voyons dans le mesmérisme ho salut de l’humanité! Ce sont les
nerfs
, etc. Nos docteurs sont près de se rendre . Tou
nent se prendre, — J’entends, dans nos file II nerveux. Ce sont les
nerfs
. etc. Buvons à Mesmer, & Delcuzc ! Buvons
! Buvons, |uniul la li(|ueur mousseuse Devrait nous taper sur le s
nerfs
! (Jesont les nerfs, ce sont les nerfs, Qui fo
a li(|ueur mousseuse Devrait nous taper sur le s nerfs! (Jesont les
nerfs
, ce sont les nerfs, Qui font mouvoir tout l’uni
e Devrait nous taper sur le s nerfs! (Jesont les nerfs, ce sont les
nerfs
, Qui font mouvoir tout l’univers! C'esl par l
ce sont les nerfs, Qui font mouvoir tout l’univers! C'esl par les
nerfs
, oui, par les nerfs, Que nous soumettrons l’uni
Qui font mouvoir tout l’univers! C'esl par les nerfs, oui, par les
nerfs
, Que nous soumettrons l’univers! La lolérancc
u fluide nerveux, non moins contestable que le fluide magnétique (les
nerfs
pouvant fort bien agir comme des cordes vibrantes
Le fluide nerveux est aussi contestable que le fluide magnétique, les
nerfs
pouvant fort bien agir comme des cordes vibrantes
nerfs pouvant fort bien agir comme des cordes vibrantes. » Non ; les
nerfs
ne sont pas des cordes vibrantes; cette opinion p
ème nerveux; car le courant se produit de môme, quand on a enlevé les
nerfs
du muscle par une dissection minutieuse, comme qu
près avoir préparé une grenouille galvanoscopique (i), on en place le
nerf
sur l’une ou sur les deux cuisses d’une grenouill
se produire dans la patte galvanoscopique. En interposant entre le
nerf
de la patte galvanos-copique et les muscles de l’
r le courant. Ce courant n’est point électrique; car, en entourant le
nerf
de la patte galvanoscopique de téré- (t) Taille
te patte est due è un courant engendré par le corps touché, et que le
nerf
ne fait que le conduire el mettre en évidence par
n induite est le produit de cette force inconnue qui circule dans les
nerfs
. Cette expérience de Matteucci est le premier j
e passe dans la grenouille peut ne pas être pour l’homme; mais si les
nerfs
des animaux sont reconnus comme renfermant une fo
muscles ne se contractent plus sous la volonté , si vous coupez leurs
nerfs
principaux ; il faut donc qu’une force soit envoy
il faut donc qu’une force soit envoyée dans les muscles au moyen des
nerfs
, et cette force c’est le fluide nerveux1] Pour
aduellement le magnétisé, si ce n’est un agent qui s’insinue dans ses
nerfs
? Celte torpeur qui arrive quelquefois jusqu’à l’i
ui peut être interprété comme un signe d'arrêt de développement des
nerfs
optiques de date très ancienne. Visus égal à 0
rofesseur Mattirolo). - Réaction normale galvano- faradique sur les
nerfs
et les muscles. Secousses musculaires vives ; pas
aut ajouter des symptômes en foyer dépendants de la compression des
nerfs
optiques, avec atrophie complète de la papille,
u liquide céphalo-rachidien dans les espaces sous-arachnoïdiens des
nerfs
, en venant ainsi à faire défaut la condition élém
loca- lisation rétro-sellaire (syndrome de Schüller des tumeurs du
nerf
acous- tique). Ainsi dans les cas de tumeurs su
avec de la céphalée, des vomis- sements, de l'atrophie complète des
nerfs
optiques et concomitant à un arrêt de développe
titatives. De même, l'excitation directe des muscles dé- pendant du
nerf
facial ne fait pas remarquer des altérations ou d
oculaire, des hémorragies peuvent se produire dans le tronc même du
nerf
optique, suivies par une amau- rose soudaine. M
la raison en est claire, étant donné l'importance physiologique du
nerf
facial pour la mimique, qui en somme n'est qu'un
s innervés par le facial et des muscles dans la dépendance d'autres
nerfs
. B. Mouvements associés, qui se produisent dans
suel. Ils ont trouvé cela même dans des cas de section complète du
nerf
facial, c'est pourquoi ils supposent que, au mo
fibres musculaires qu'il suffit d'exciter celles d'un côté ou leur
nerf
, pour qu'elles se contractent toutes ensemble. Va
térales, il est facile de comprendre que l'excitation électrique du
nerf
sain peut se communiquer aux fibres contro-laté
t Paneth ont démontré sur le lapin la bilaléralité d'innervation du
nerf
facial. Enfin, il est bon de rappeler que de te
i se faire à l'aide de l'entre-croisement des terminaisons des deux
nerfs
faciaux dans les muscles. Mais si cela est vrai
Le pouls a subitement disparu quand on a exercé une pression sur le
nerf
susorbitaire dou- loureux, et est reparu aussit
La percussion de la tempe gauche produit une douleur excessive. Les
nerfs
sus et sous-orbitaires sont sensibles. Léger tr
altérée, amnésie, émo- tivité exagérée. Pendant la pression sur le
nerf
sus-orbitaire le pouls dispa- raît subitement e
a face postérieure du corps restiforme et la branche descendante du
nerf
vestibulaire. Quant aux fibres antérieures (fib
III, sixième, septième, huitième paires. - X, pneumogastrique. XII,
nerf
hypoglosse. xpin, entrecroisement sensitif. x P
ont le caractère de ceux que l'on trouve souvent sur le trajet des
nerfs
dans la maladie de Recktinghausen : ce sont des n
s nerveux professionnels d'après la topographie des muscles, ou des
nerfs
, ou des centres cérébraux. Et même, lorsque nou
e dans ce .cas, car les effets du poison sur les muscles ou sur les
nerfs
se manifes- lent à tous les instants où ils exe
même distribution que dans la lèpre. La compression exercée sur les
nerfs
et leurs fascicules, leur inflamma- tion, les m
a dépend de l'évolution de la lésion nerveuse. Si elle régresse, le
nerf
peut se rétablir, mais si elle progresse, le nerf
elle régresse, le nerf peut se rétablir, mais si elle progresse, le
nerf
se détruit. Celle forme d'évolution peut se rép
nt détruites, il y a invasion du processus lépreux dans le tronc du
nerf
. Dans ces cas, l'hyperalgésie ne reparaît pas a
sposée suivant le type névritique, quoiqu'il s'agisse de lésion des
nerfs
, et il l'est moins encore de la voir sous le ty
on puisse voir la forme de distribution affecter la projection d'un
nerf
important ou bien se disposer suivant la distri
i a été pendant quelque temps sous l'influence de la compression du
nerf
correspondant. Il est tout natu- rel que l'un e
la station debout, ni dans la marche, si la lésion n'en- valiit les
nerfs
vestibulaires ou les centres correspondants. L'ho
- fiction envahit le plus fréquemment les branches périphériques du
nerf
avant son tronc. El par conséquent, quoique les
s el chez la femme lépreuse uniquement les branches musculaires des
nerfs
faciaux. Les troubles moteurs dans la lèpre ner
s dans la lèpre nerveuse dépendent de la lésion spécifique dans les
nerfs
sensilifs superficiels et profonds, dans les nerf
pécifique dans les nerfs sensilifs superficiels et profonds, dans les
nerfs
moteurs, dans les articulations et dans les aut
tronc nerveux, la com- pression exercée sur elle et sur un point du
nerf
lui-même, au-dessus de la lésion, provoque auss
lorsque celle modification de la réflectivité dépend de lésion des
nerfs
sensitifs, les muscles ne sont pas vraiment paral
it qu'on trouve dans la lèpre nerveuse les phénomènes dépendant des
nerfs
sensitifs en toute préférence et bien avant ceux
sensitifs en toute préférence et bien avant ceux qui dépendent des
nerfs
moteurs, contribue à faire accepter le diagnostic
nt du même arc, mais dont la première partie est constituée par les
nerfs
sensitifs cu- tanés.=Ils offrent, en un mot, le
s deux pôles, l'action du courant dans des endroits déterminés d'un
nerf
ou d'un mus- cle, ou que l'on cherche francheme
que ce sont des régions distales el, par conséquent, celles où les
nerfs
s'altèrent de préférence. Cette lésion dermiq
nce nerveuse nutri- tive des tissus, due à la lésion spécifique des
nerfs
, intervienne en altérant la circulation capilla
ir avec le milieu extérieur. Si nous sectionnons, chez un lapin, le
nerf
sciatique poplilé externe, l'animal pourra vivr
i puissent compromettre sa vie. Une personne qui a une lésion de ce
nerf
, peut suivre sa vie ordinaire sans présenter d'
comme on peut le voir dans la figure 41. Alors si la lésion sur le
nerf
a été seulement une simple section, si elle fut
r à ce sujet la fig. 42). Mais si les conditions opératoires sur le
nerf
ne se limitent pas à une simple section, si ell
ticémie surviendront. Si une personne souffre d'une lésion grave du
nerf
grand sciatique comme par exemple le jeune homm
s ou moins grande sensibilité au moyen de branches qui procèdent de
nerfs
voisins. Et que, lorsqu'elles ne peuvent pas êt
. Dans la figure 12, je démontre l.i régénération presque totale du
nerf
qui, sans suivre la voie de prédilection par la
sur la- quelle j'avais attiré l'attention plusieurs fois. Comme le
nerf
était encore plus mince que normalement, et qu'
démontrer dans la photographie la régé- nération presque totale du
nerf
. 170 13ARBAQUER La deuxième conclusion est qu
cendants clans la portion sacrée de la moelle épinière et dans les
nerfs
correspondants. Ainsi, hors les cas de faible
moment, l'exposition des symptômes produits par des altérations des
nerfs
, mais avec l'intention de la continuer plus tard,
mopathologique connue de névrile hyperlrophique. L'hypertrophie des
nerfs
périphériques et des racines y est étudiée en d
e Charcot-Marie où. sans qu'il y ait li.%1)ei-li-ol)liie clinique des
nerfs
, l'examen hislologique révélerait des lésons an
lle amyotrophie portent à la fois sur les muscles, la moelle et les
nerfs
périphériques. Je passe sur l'atrophie des musc
s rappellent les firure ? du labes incipiens. Quant aux lésions des
nerfs
, elles sont très variables; elles portent avant
nerfs, elles sont très variables; elles portent avant tout sur les
nerfs
moteurs et spécialement sur les filets musculaire
culaire Charcot-Marie. Faut-il, étant données les alté- rations des
nerfs
périphériques, notables surtout au niveau des ram
e. Faut-il enfin avec Bernhardt incriminer la fois la moelle et les
nerfs
, et parler d'amyotrophie à la fois spinale et n
'il ne s'agit pas d'une dégénération simultanée de la moelle et des
nerfs
, d'un arrêt de développement, d'uue fragilité h
xions rubriques que des connexions corticales du noyau d'origine du
nerf
facial. Lorsque les connexions corticales de ce
, au lieu d'une propagation, invoquer aussi bien une compression du
nerf
facial (dans le canal intra-vilreux inextensibl
nsations internes, mais aussi celle de transmettre l'excitation aux
nerfs
vaso-moteurs, sécrétoires et trophiques (Morselli
au de Burdach gauche où se rendent après leur entre- croisement les
nerfs
sensitifs remontant de la région blessée. Ce proc
troubles de la vue : stase papillaire, névrite optique, atrophie du
nerf
optique, hémianopsie bitem- porale, hémianopsie
autres auteurs, la glande thyroïde agit en accélérant le système du
nerf
sympathique elle méta- ttotisme, de sorle que t
it une action contraire, c'est-à- dire une action retardante sur le
nerf
sympathique. Lorand, le premier, puis Caro et B
e du sang. Walter établit expérimentalement que la régénération des
nerfs
lésés se fait beaucoup plus lentement chez les
miné dans le système sympa- thique et dirige, peut-être au moyen du
nerf
sympathique, la sécrétion de toutes sortes de f
uble quelconque (troubles congénitaux dans le ganglion inférieur du
nerf
sympathique ou peut-être de certaines parties du
uffisamment, il survient alors un cercle vicieux : le tonus dans le
nerf
sympathique est diminué, ce qui exerce probable-
vera dans la plupart des cas indirectement, notamment en lésant les
nerfs
de la glande thyroïde) et c'est pour cette rais
alhyroïdes (ou peut-être de leurs éléments nerveux, c'est-à-dire du
nerf
sympathique), de même que, dans les cas d'épile
peut-être chercher spécialement ces altérations dans le système du
nerf
sympathique, comme régulateur de tant de partie
iener, la glande thyroïde est innervée par le ganglion inférieur du
nerf
sympathique, d'après Asher et Flac ? par le ner
glion inférieur du nerf sympathique, d'après Asher et Flac ? par le
nerf
laryngé supérieur et inférieur, d'après Garnier
inférieur, d'après Garnier et Villemin par différents ganglions du
nerf
sympathique et par le. nerf laryngé supérieur.
et Villemin par différents ganglions du nerf sympathique et par le.
nerf
laryngé supérieur. Quant à l'innervation des gl
t encore rien de positif ; elles sont probablement innervées par le
nerf
sympathique). Si nous voulons résumer cette étu
logie, t. 28, II, p. 103. GAIINI1 : 11 (Ch.) et Vu.t.emrr (J.). Les
nerfs
supérieurs du corps thyroïde. Comptes rendus de
s au niveau du thorax et des membres inférieurs. Atrophie grise des
nerfs
optiques. -Sclérose des cordons pos- térieurs e
pos- térieurs et latéraux. - Atrophie des tubes nerveux dans les
nerfs
de la deuxième paire. Syphilis probable. Sarraz
u profonde, macroscopiquement appréciable. Pas d'anomalie. Les deux
nerfs
optiques, le chiasma et les bandelettes sont am
sion des tubes ner- veux eux-mêmes. III. Examen microscopique des
nerfs
optiques. i) Les nerfs optiques ont été très so
eux eux-mêmes. III. Examen microscopique des nerfs optiques. i) Les
nerfs
optiques ont été très soigneusement examinés pa
préparations, a confirmé cette observation. Il est à noter que les
nerfs
ne pa- raissaient point sclérosés; du moins, s'
s mérite d'être mise en relief, c'est l'existence de l'atrophie des
nerfs
optiques. Cette atrophie s'observe communément,
e sys- tématique combinée de la moelle, compliquée d'atrophie des
nerfs
optiques. Un certain nombre d'observations, plu
M. Prévost les lésions suivantes de l'ataxie : « Altéra- tion des
nerfs
optiques, des bandelettes optiques et des corps
xante ans d'une fièvre typhoïde; impressionnable, pas d'attaques de
nerfs
. - Un frère est mort jeune, de convulsions. Pas
mes]. Mère, quarante ans, petite, très nerveuse ; pas d'attaques de
nerfs
, de migraines, de névralgies; pas de strabisme.
impressionnable, pleurant souvent sans motifs; jamais d'attaques de
nerfs
ni de syncopes. [Père et mère : n'ont présenté d'
a tête, qu'il la laissait tomber. C'est un mois plus tard que « les
nerfs
l'ont pris » ; lui qui, auparavant, dor- mait c
Ces fibres, prenant leur origine dans la rétine et passant dans le
nerf
optique derrière le chiasma, pénètrent dans la su
rs les noyaux du moteur oculaire commun et de làavec le tronc de ce
nerf
vers la périphérie. 3° Les fibres qui rétréciss
existe pour chaque oeil un arc réflexe indépendant qui passe par le
nerf
optique dans la moitié correspondante de la sub
rrespondante de la substance centrale, dans le noyau et le tronc du
nerf
moteur ocu- laire commun du même côté. ,'i0 E
toute probabilité, dans les fibres commissurales des deux noyaux du
nerf
moteur oculaire commun. (Le 6 6 manque dans l'o
, mais se localisent, selon toute vraisemblance, dans les noyaux du
nerf
moteur oculaire. 8° Dans le plancher du troisiè
u globe de l'oeil doivent se trouver dans le domaine des noyaux des
nerfs
oculaires moteurs, parce que la destruction de
sur le plancher du quatrième ventri- cule .séparément des noyaux du
nerf
moteur oculaire. REVUE D'ANATOMIE HT n ? r : 5s
; excitations doulou- reuses, ne se fait pas à l'aide des fibres du
nerf
sympathique, mais agit d'une façon indépendante
e lumi- neux sur sa voie, il partir du chiasma et jusqu'au noyau du
nerf
moteur oculaire. l3ouvor.r. III. DE LA DIRECT
nt aucun doute que toutes les fibres du tractus, qui constituent le
nerf
optique, passent par le corps genouillé externe
fente orbitaire supérieure et ayant atteint le trijumeau, les trois
nerfs
de l'oeil, finalement le nerf optique. Dans ces
yant atteint le trijumeau, les trois nerfs de l'oeil, finalement le
nerf
optique. Dans ces conditions, le goût étant aboli
térieurs de la langue (zone des fibres de la corde du tym- pan), le
nerf
facial étant complètement intact, alors que le tr
prenant le périoste, la dure-mère, la pie-mère, et englobant les
nerfs
cités. Un second cas entraîne la conclusion que l
rieurement de six à quatorze mois, M. Furstner trouva l'atrophie du
nerf
optique ainsi qu'une faible atrophie du faiscea
les quadrijumeaux antérieurs, ainsi qu'un léger degré d'atrophic du
nerf
optique. La zone en relation avec le corps geno
). - Les deux questions restées dans l'urne étaient ainsi conçues :
Nerfs
du larynx (anatomie et physiologie) ; Nerfs de
étaient ainsi conçues : Nerfs du larynx (anatomie et physiologie) ;
Nerfs
de la langue (anatomie et physiologie). - Les q
cale de l'hypo- glosse et le trajet que parcourent les fibres de ce
nerf
des circonvolutions au bulbe, à travers le cent
dans les fibres musculaires de la langue. Les tubes nerveux dans le
nerf
hypoglosse étaient sains. 6° Ferrier (Localis
ez les gout- teux et en particulier la migraine. Presque tous les
nerfs
peuvent être pris, trijumeau, plexus brachial,
que tous les nerfs peuvent être pris, trijumeau, plexus brachial,
nerfs
intercostaux, sciatique ; Paget, Da Costa signa-
e, mais par moments il semble qu'il y ait.un peu de nystagmus. Le
nerf
auditif du côté gauche est resté paralysé. Le mal
dans les jambes et au niveau des bras, surtout dans la sphère du
nerf
cubital et au pouce. A peu près à la même époque,
nt par des troubles fonctionnels sans modification appréciable du
nerf
optique; dyschromatopsie pour le rouge. b) Sy
ections bulbaires ou des lésions périphériques intéressant l'un des
nerfs
.hypolosses. Elle serait fréquente chez les hém
dd, Dupuytren), dans lesquelles un traumatisme intéressant l'un des
nerfs
de la douzième paire, un abcès développé à son
conslatable, est un fait tout exceptionnel en dehors des lésions du
nerf
hypo- glosse. Ce qu'on peut s'expliquer aisémen
èsent simultanément les deux noyaux originels, droit et gauche, des
nerfs
de la douzième paire. Comme, par contre, d'aprè
détermine le tabes dans le jeu normal des muscles desservis par les
nerfs
médullaires, résultent l'incoordination motrice
irri- tation centripète, laquelle peut siéger en dehors ou sur le
nerf
sensible lui-mème, peut agir sur les élé- ments
rès graves des muscles oculaires et souvent même une atrophie des
nerfs
moteurs oculaires ». Or, ces diverses atrophies
au cours de la miction, une douleur vers le cou ou sur le trajet du
nerf
cubital, etc. 2H 'l REVUE CRITIQUE. tumeurs d
paralysies réflexes par un phénomène d'arrêt dû à l'irritation des
nerfs
périphériques. Quelle que soit la valeur de cette
ts, l'inflammation des organes urinaires se propage directement aux
nerfs
du bassin; et il en peut résulter une névrite d
uis pu- 1 C. Putnam. - Recherches sur les troubles fonctionnels des
nerfs
vaso- moteurs dans le tabès sensitif. Thèse, 18
nible. Quel- quefois les douleurs s'irradient dans la direction des
nerfs
scia- tiques, et lorsqu'elles offrent le caract
rder le lit depuis plusieurs mois. A la suite d'une élongation du
nerf
sciatique pratiquée par 111. boum, au-dessousdu
entrecroisement inférieur ne pré- sente pas de lésions. Le noyau du
nerf
hypoglosse est seulement altéré, les autres ne
roduits par la compression du pneumogastrique ou des branches de ce
nerf
. P. Marie. SOCIÉTÉS SAVANTES SOCIÉTÉ MÉDICO-P
de la conductibilité sur peu de fibres radiculaires postérieures du
nerf
crural pour obtenir la disparition du phénomène
ires qui nous échappent en dépit des phénomènes signalés du côté du
nerf
optique et de l'oculomotetfr, REVUE DE PATHOLOG
minutes de façon à annihiler, pour ainsi dire, l'exci- tabilité du
nerf
. Le courant de la pile doit être peu intense, mai
E traitement galvanique DU tabès dorsal ET la réaction anormale des
nerfs
cutanés SENSITIrS au courant ; par W.-B. Neftel
- sidiaires, pour obtenir des effets satisfaisants. La réaction des
nerfs
de la peau offre, du reste, un moyen de contrôl
dont la nature histologique est mal définie à la hauteur du premier
nerf
cervical au centre de la corne antérieure droit
antérieure droite. 2° Un long foyer allant du quatrième au septième
nerf
cervical dans la partie externe et postérieure
lules araignées. 3° Dans le territoire du quatrième et du cinquième
nerfs
cer- vicaux outre le foyer du côté droit, il en
s d'un siège analogue au côté gauche. 4° A la hauteur du huitième
nerf
dorsal on trouve dans la corne antérieure gauch
ux dépens des fibres nerveuses) que dans le cinquième et le sixième
nerfs
moteurs droits cervicaux. Les nerfs périphéri
ns le cinquième et le sixième nerfs moteurs droits cervicaux. Les
nerfs
périphériques ne présentaient une dégénération at
née d'une légère blépharoptose et de fixité de la pupille. D'autres
nerfs
crâniens se trouvent égale- ment pris, comme le
bouche, de la langue, du voile du palais, l'atrophie commençante du
nerf
optique, l'insensibilité ressortissant à la sphèr
it, avec la parésie de tous les muscles des yeux, de l'atrophie des
nerfs
optiques (cécité d'un côté), de la pa- résie de
égénérescence des cordons postérieurs et laté- raux, l'atrophie des
nerfs
oculo-moteurs externes, oculo-moteurs communs,
ers symptômes. Sur les trente-deux cas, la participation morbide du
nerf
optique (cécité ou amblyopie, atrophie) apparai
e. L'anatomie pa- thologique permet de lui attribuer l'atrophie des
nerfs
oculaires correspondants (deux cas de Gowers et
ondants (deux cas de Gowers et Blizzard) et celle des noyaux de ces
nerfs
; la lésion spinale est une dégénérescence des cor
ssant aux trois autres observa- tions se résument en : atrophie des
nerf
moteurs de l'oeil et de leurs muscles (hyperpla
ème nerveux comprenant les affections du cerveau, de la moelle, des
nerfs
périphériques, les névroses. Un grand nombre de
umelles; par Olivier. Thèse de Paris, 1884. De la compression des
nerfs
du membre supérieur à la suite des fractures; p
rsal (le traitement galva- nique du et la réaction anor- male des
nerfs
cutanés sensitifs au courant), par Neftel, 339.
tivo-moteurs créés par des lésions des racines médullai- res ou des
nerfs
périphériques avec celle des mêmes troubles dus .
on cellulaire. Il paraît donc possible a priori par des sections de
nerfs
, par des amputations segmentaires, par des ablati
, quelle que soit leur fonction physiologique, quels que soient les
nerfs
périphériques qui s'y - terminent. » Parhon, da
so fonctionneller Natur ». Pour Marinesco (Rev. Neurol., 1901), les
nerfs
du bras ont des noyaux dis- tincts occupant une
roupe B aux muscles de la région antérieure du bras, le groupe C au
nerf
circonflexe. Des différences aussi nettes peuvent
on le voit, sont les opinions des auteurs sur l'origine réelle des
nerfs
rachidiens, et, conséquence forcée, très différen
plus vaste que ce territoire du creux de l'aisselle innervé par le
nerf
intercostal et épargné dans les paralysies ra-
nt à la lumière et à l'accommodation. Les masses musculaires et les
nerfs
ne sont ni hypertrophiés ni douloureux à la pre
dans le groupe cellulaire externe, et d'autre part nous savonsque les
nerfs
destinés à l'éminence hypothénar passent par la
blies dans la partie postérieure. Au bras les muscles animés par le
nerf
musculo-cutané, coraco- brachial, biceps et bra
ans. Sa mère est une ancienne choréique qui a eu depuis des crises de
nerfs
; le père et le frère sont aussi nerveux, mais
té, il urine normalement, dort bien et n'a jamais eu de crises de
nerfs
. L'examen électrique des nerfs et des muscles
bien et n'a jamais eu de crises de nerfs. L'examen électrique des
nerfs
et des muscles nous réservait une surprise :
diminution plus ou moins prononcée de l'excitabilité faradique des
nerfs
et des muscles. Rien de tout cela ici ; aussi
électrique montre : Une diminution de l'excitabilité faradique des
nerfs
et des muscles, plus marquée aux membres inféri
bles subjectifs de la sensibilité, aucune douleur sur le trajet des
nerfs
, spontanément ou à la pression ; la percussion de
é droit sont à peu près semblables. « L'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles est remarquablement bien conserv
e de la réaction de dégénérescence. « L'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles est même remarquablement bien co
inte, et seulement très affaiblie dans quelques muscles. Dans les
nerfs
grand-sciatiques, cruraux et tibiaux postérieurs,
trique. Partout et toujours, aussi bien dans les muscles que dans les
nerfs
, les réactions électriques ont été normales. On
ue, car tout y manque surtout l'hypertrophie sensible au palper des
nerfs
périphériques. Je crois que, pour arriver au di
es. Pas de crises convulsives,pas de contractions fibril- )aires.
Nerfs
crâniens. En ouvrant les paupières fortement ferm
que prolongé de tous les muscles orga- nisés. Le choc du tronc du
nerf
facial produit une contraction accentuée des mus-
parurent il y a 10 ans, des symptômes de tabès, d'abord au côté des
nerfs
moteurs de l'oeil et des pupilles ; plus tard, s'
moelle, qui donne naissance aux trois dernières paires sacrées et au
nerf
coccygien, diffère notablement, quant à sa cons
que côté, par la 56 paire lombaire, par les paires sacrées et parle
nerf
coccygien. Du reste, un retuur vers l'anatomie de
antérieure, externe et interne de la cuisse, par l'intermédiaire du
nerf
obturateur et du nerf crural, ses branches term
et interne de la cuisse, par l'intermédiaire du nerf obturateur et du
nerf
crural, ses branches terminales. Le plexus sa
se, tous les muscles de la jambe et du pied, par l'intermédiaire du
nerf
sciatique et de ses branches de division. Ce so
us rappelle que les testicules tirent leur innervation sensitive du
nerf
spermatique externe, branche du plexus lombaire.
ent lombaire et du premier segment sacré de la moelle, ainsi que du
nerf
sciatique, elle nous autorise à con- clure que,
e simple diminution de l'excitabilité galva- nique et faradique des
nerfs
qui fournissent aux muscles paralysés. D'au- tr
aire et le cône terminal ; il est situé au-dessus de l'émergence du
nerf
crural Ncr, et de l'obturateur, les deux branch
t situé beau- coup plus bas, un peu au-dessous du point où ces deux
nerfs
sont sortis du canal rachidien. Il intéresse do
tatées paraissent de nature secondaire, consécutives à une lésion des
nerfs
de la queue de cheval.C'est en effet, par la mé
e circonscrite, tumeur, pachyméningite, qui comprime simplement les
nerfs
de la queue de cheval et qui se prête à une ten
ade ne sont pas le fait d'un foyer hémol'I'ha- gique comprimant les
nerfs
de la queue de cheval, et susceptible de faire
es pectoraux. Or les artères étaient normalement développées et les
nerfs
, moins gros néanmoins que ceux du côté opposé, ve
Dans cette contraction continue des segments viscéraux si riches en
nerfs
, dans ces pléthores viscérales périodiques qui ac
entaires se distribuant par rapport au tronc et surtout à la tête. Le
nerf
vestibulaire de l'oreille se dirige vers les zo
renommé surtout pour ses tra- vaux d'anatomie sur le cerveau et les
nerfs
, a laissé également plusieurs écrits sur la méd
eaucoup plus de conditions mécaniques locales que d'altérations des
nerfs
trophiques. Or, à cette épo - que, à part les d
du cuir chevelu où se terminent quelques-unes des ramifications de ce
nerf
. Il est curieux de constater le petit nombre de
, il n'y a aucune lésion ni tumeur des pé- doncules cérébraux ni du
nerf
optique. La protubérance coupée transversalemen
est rudimentaire comme volume et semble encore peu différencié. Le
nerf
optique et les muscles ne présentent aucune parti
au frontal est fibreuse, et se continue avec le périoste voisin. Le
nerf
optique existe et se voit sur la base du crâne.
(frontal non ossifié) nous avons trouvé une petite masse formée du
nerf
optique, de muscles assez nettement isolables a
stait incontestablement puisque nous avons isolé les yeux avec leur
nerf
optique. Sur la segmentation périphérique du ce
nes postérieures qui sont atteints dans le tabes; il y a encore les
nerfs
périphériques (West- phal, Pierret, Dejerine, P
Vaillard, Oppenheim et Siemerling, Nonne, Joffroy et Achard) ; les
nerfs
cutanés, musculaires, articulaires; le sympathi
nt le proces- sus tabétique à celui de la névrite ascendante qui du
nerf
périphérique remonte aux racines et à la moelle
oler et se mêler aux racines antérieures, pour former avec elles le
nerf
périphérique. Si l'on considère ces dernières fih
st cette portion de la racine postérieure, dénommée par Nageotte le
nerf
radiculaire, qui seraitpour cet auteur le siège d
gaines conjonctives correspondent au mésonèl're et au périnèvre des
nerfs
; chaque périnèvre envoie dans l'intérieur du fa
a fois par les troncs des racines antérieure et pos- térieure et du
nerf
périphérique. Ce procédé a un double avantage : i
lion (fig. 3) ; au reste, dans toute cette région qui correspond au
nerf
radiculaire de Nageotte, les altérations inflamma
s nombreux qu'elle se rapproche davantage du ganglion (au niveau du
nerf
radiculaire). La dure-mère et la capsule ganglion
ines sont absolument normales. Le tissu interstitiel et la gaine du
nerf
ne présentent rien de particulier à si- gnaler.
dure-mère et l'arachnoïde ne sont pas très enflammées. Au niveau du
nerf
radiculaire, les gaines périfasciculaires, le tis
Racine sacrée postérieure coupée transversalement dans la région du
nerf
radiculaire. Colorat. hérnatéine-éosine. - Zeis
(Observ. VI).- 2° Racine sacrée. Coupe transversale passant par le
nerf
radiculaire. Coloration au Pal-carmin. Zeiss. O
au-dessous du ganglion, avant leur réunion et la consti- tution du
nerf
mixte. La racine postérieure est atrophiée dans
ie est plus nette immédiatement au-dessus du ganglion (au niveau du
nerf
radiculaire de Nageotte),ce qui tient il ce que l
et s'unissent aux fibres des racines antérieures pour constituer un
nerf
périphérique absolument sain. Au point de vue d
vec : des courants très faibles de 1/10 à 1/2 ! \lA; tandis que les
nerfs
correspon- dants exigent un courant plus fort :
ès l'ouverture du courant, pendant la décontraction. ' 2° Pour le
nerf
: Des réactions normales, ou diminuées. Il ma
és se mettent à maigrir, recherchez avec soin l'étal électrique des
nerfs
et des muscles ; et si cette recherche aboutit
ôle périphérique, dans" leur portion sous-ganglionnaire, et dans le
nerf
périphérique. Est-ce à dire que ce point de dém
re. L'inflammation de cette enveloppe se poursuit sur l'épinèvre du
nerf
radiculaire; elle ne revêt pas en cette région un
ent terminal, compris entre le ganglion et le cul-de-sac séreux, le
nerf
radiculaire. A ce niveau les faisceaux nerveux de
m et Siemmerling, Nonne, Joffroy et Achard, que les altérations des
nerfs
cutanés sont fréquentes dans le tabes ; Nonne l
ra- tions ne dépassaient pas celle que S. Mayera signalées dans les
nerfs
nor- maux ; elles sont pour quelques auteurspro
trop exclusives, pour avoir laissé dans l'ombre les altérations des
nerfs
cutanés : après les racines postérieures ce sont
ions des nerfs cutanés : après les racines postérieures ce sont les
nerfs
qui dégénèrent le plus souvent ; et il est à rema
ine postérieure remonte plus rapidement vers le centre que celle du
nerf
périphérique; c'est la principale différence entr
e est beaucoup moins intense pour la racine postérieure que pour le
nerf
péri- j ' ganglionnaires. Il y aurait donc un
e altération cellulaire primitive. Mais dans le cas de section d'un
nerf
, il est un phénomène non moins intéressant qui
ons bien depuis les recherches de Ranvier, c'est la régénération du
nerf
: elle soulève un problème intéressant de physi
centre vers la périphérie. . Le fait parait démontré pour certains
nerfs
tels que ceux du museau de la taupe dont les ex
pithé- liale (Renaut) (1). D'après le même auteur non seulement les
nerfs
végètent par leur extrémité, ma is l'accroissem
us éloignées du centre du neurone (cordons, postérieurs d'une part,
nerfs
cutanés de l'autre), et d'autre part qu'elles aff
ur les diverses formes que peuvent prendre les dégénérescen- ces du
nerf
, et de montrer combien en matière de pathogénie e
ophie légère., - de la racine postérieure au niveau et au-dessus du
nerf
radiculaire peut être suivie et rester la môme
négliger une partie des lésions nerveuses du tabès (altérations des
nerfs
cutanés, musculaires, etc.), alors qu'une conce
tabes ce ne sont pas seule- z ment les racines postérieures et les
nerfs
cutanés qui sont.malades, mais - encore assez f
nerfs cutanés qui sont.malades, mais - encore assez fréquemment les
nerfs
musculaires et les filets sympathiques (Roux) (
ires et les filets sympathiques (Roux) (1). Pour ces deux ordres de
nerfs
la question de l'origine cellu- laire peut se p
llu- laire peut se poser comme pour les racines postérieures et les
nerfs
cuta- nés ; toutefois les cellules des cornes a
is les cellules des cornes antérieures restent saines alors que les
nerfs
musculaires sont très dégénérés et l'origine cell
ppliquées sur la partie inférieure du rachis, à la galvanisation du
nerf
sciatique et de la partie inférieure de la moel
cette amputation a eu lieu au voisinage de la cel- lule. Lorsqu'un
nerf
moteur est coupé, et encore mieux arraché à son
rieur gauche avec dégénération descendante ; 60 une destruction des
nerfs
mixtes gauches sur une certaine étendue ; 7° un
inal postérieur, qui a de nombreuses connexions avec les noyaux des
nerfs
moteurs de l'oeil. Dans l'observation de S. Gee e
nd rôle dans les troubles observés. Ses rela- tions intimes avec le
nerf
vestibulaire suffiraient déjà à le désigner comme
globant les bandelettes optiques et la troisième paire ; les autres
nerfs
de la base sont intacts. La méningite chronique e
les côtés de laquelle se trouve une petite gouttière, qui reçoit le
nerf
optique. Les deux tractus du nerf optique et le
e petite gouttière, qui reçoit le nerf optique. Les deux tractus du
nerf
optique et le chiasma sont couverts et aplatis pa
més, ils ne présentent ni atrophie, ni changement décoloration. Les
nerfs
olfactifs et la partie postérieure des lobes fron
cordons de Goll et de la partie inférieure des cordons latéraux.
Nerfs
périphériques. Sur les coupes du sciatique, on
ace d'inflammation. Ni atrophie, ni dégénérescence graisseuse des
nerfs
optiques. Articulations. Arthrite déformante de
rocédés ana- logues, on met facilement en évidence la parésie de ce
nerf
. Voici comment nous avons procédé sur 30 malade
l inférieur est presque respecté, quand les muscles innervés par ce
nerf
jouissent presque de l'intégrité de leurs mouve
r l'anse lenticulaire doit être rejeté Tout le facial forme un seul
nerf
ayant même origine corti- cale et même trajet c
l'un, la lésion est périphérique ; elle a frappé exclusivement le
nerf
facial, respectant les autres nerfs moteurs de la
; elle a frappé exclusivement le nerf facial, respectant les autres
nerfs
moteurs de la face. Dans l'autre, il s'agit d'u
une lésion centrale, ayant frappé les centres d'origine de tous les
nerfs
d'une moitié du corps. Le moteur oculaire commu
mmun, bien que ne jouissant que de mou- vements synergiques, est un
nerf
, volontaire ; par suite il a une représentatio
dis que le moteur oculaire ne jouit que de mouvements synergiques ?
Nerf
synergique, le moteur ocu- laire conserve l'int
ire commun ne tient pas à une disposition anato- mique, isolant ces
nerfs
de la zone pychomotrice ; elle se déduit physio
le se déduit physiologiquement du mode d'action synergique de ces
nerfs
. 6° Le facial supérieur a le même centre cortic
un cas d'angine diphthérique compliquée de névrite périphérique des
nerfs
pneumogastriques, phréniques et facial inférieu
st, janvier 1898.) Xi. Syphilis cérébrale avec lésions étendues des
nerfs
crâniens ; par le D1' Preston. Intéressante o
du côté droit, d'origine centrale probable- ment, avec atteinte du
nerf
facial droit, du nerf olfactif gauche, du triju
ine centrale probable- ment, avec atteinte du nerf facial droit, du
nerf
olfactif gauche, du trijumeau gauche et du gfos
- que fréquemment au début du tabes ; la simple compression de ce
nerf
avec la main suffit pour s'en rendre compte. Par
le. Surtout chez le premier malade il y avait une légère parésie du
nerf
facial, spécialement de sa pre- mière et deuxiè
de sa pre- mière et deuxième ramification du côté droit. Les autres
nerfs
crâniens sont intacts. Aucun trouble non plus d
dans une pureté excep- tionnelle, à part la participation légère du
nerf
facial, surtout ses deux branches supérieures d
branche motrice, le moteur oculaire com- mun, le pathétique, et les
nerfs
optiques ; un cas de tumeur du cervelet avec hé
rs se pren- nent et l'autopsie révèle une tuberculose infiltrée des
nerfs
de la queue de cheval. La diplégie faciale es
entes : 1° Une réaction motrice, dans les muscles desservis parle
nerf
: flexion des premières phalanges et extension de
ire puisse se présenter sans lésions de la moelle épi- nière ni des
nerfs
périphériques. Aussi, Cramer regrette-t-il qu'o
x doigts. Le goût et l'olfaction sont conservés. L'excitabilité des
nerfs
cubi- taux est exagérée, la pression des troncs
et correspondant plus ou moins exactement avec la distribution d'un
nerf
. Cette sensation est superficielle : il semble
région de l'olive supérieure pour se rendre aux noyaux moteurs des
nerfs
. 6) Il peut gagner la surface du pied du pédon-
n stomacale. L'auteur pense qu'une revi- sion de la physiologie des
nerfs
cardiaques venus du sympathique cervical est in
quatrième ventricule est séduisante ; c'est de là que partent les
nerfs
de la thyroïde. De là, excitation anormale de la
er de travailler. Un premier traite- ment fut essayé à Glascow : un
nerf
fut sectionné du côté gauche du cou, puis le ne
yé à Glascow : un nerf fut sectionné du côté gauche du cou, puis le
nerf
accessoire du spinal droit fut réséqué sans suc
aci- lement tournée à droite. L'auteur se décida à sectionner les
nerfs
du groupe gauche des muscles occipitaux. L'inci
jusqu'au splenius qui fut aussi coupé, ainsi que le com- plexus. Le
nerf
grand occipital fut soulevé, et sa troisième et q
de traitement. L'opération consista en la résection d'une partie du
nerf
acces- soire du spinal droit qui amena peu d'am
ois, n'a eu aucune influence sur la maladie; 3° quand la section du
nerf
accessoire n'a pas provoqué d'amélioration, le
pratiqué avec per- sévance et il peut être utile de sectionner les
nerfs
innervant ces muscles. A. Vicounoux. XXIV. Hé
se de l'affection, mais sur l'état de l'excitabilité électrique des
nerfs
et des muscles ; la réaction de dégénérescence,
pour lui substituer celle d'une irritation réflexe secon daire des
nerfs
ciliaires avec troubles vasotrophiques consécutif
la dure-mère spinale dans la région dorsale moyenne. Dans tous les
nerfs
périphériques examinés sous le mircroscope, on a
omènes de réparation dans les centres nerveux, après la section des
nerfs
périphériques ; par M. G. Marinbbco. [Presse mé
réaction a distance, qui se produit, à la suite de la section d'un
nerf
périphérique, dans les cellules où il prend son
s variant entre vingt-quatre et cent onze, après la section de ce
nerf
. Les phénomènes de réparation sont déjà manifeste
bout de vingt-quatre jours, alors que la réunion des deux bouts du
nerf
commence à se faire ; ils s'accentuent progress
la précocité plus ou moins grande de la réunion des deux bouts du
nerf
sectionné ; la régénérescence des nerfs périphéri
la réunion des deux bouts du nerf sectionné ; la régénérescence des
nerfs
périphériques est la fonction de la réparation
l'objet de ce travail que seize mois après une section complète du
nerf
médian au poignet chez un homme de quarante-six
rome consécu- tif à la blessure et la suture des deux extrémités du
nerf
ont été suivies au bout de quarante-huit heures
part des cellules des cornes antérieures de la moelle épinière. Les
nerfs
des membres inférieurs présentaient une dégénér
rescence à type wallérien, surtout accusée à la péri- phérie de ces
nerfs
; quelques tubes. seulement des nerfs des mem-
usée à la péri- phérie de ces nerfs ; quelques tubes. seulement des
nerfs
des mem- bres supérieurs présentaient la même a
ns au niveau des régions de la moelle correspondant à l'origine des
nerfs
les plus malades, con- courent, avec les caract
t se faire que l'agent toxique ait, au cerveau, comme au niveau des
nerfs
des membres, porté primitivement son action sur
un cas de paralysie ascendante aiguë sans lésion histolo- gique des
nerfs
et de la moelle; par les D18 GmAUDEAuet LL ? 1.
histologique du système nerveux a fait constater l'inté- grité des
nerfs
périphériques et des racines antérieures. La moel
s montrée altérée. Les cellules bulbaires, au niveau du noyau des
nerfs
mixtes, ne laissaient apercevoir aucune lésion.
ontraction simultanée, capable de produire un tiraillement de leurs
nerfs
respectifs; 5° les caractères de cette paralysi
aroi thoracique proprement dite, du côté paralysé. R. C. XXXVII. Le
nerf
spinal et le nerf moteur de l'estomac; par le D
oprement dite, du côté paralysé. R. C. XXXVII. Le nerf spinal et le
nerf
moteur de l'estomac; par le Dr BATTELL1. (BIIII
s cellules nerveuses médullaires dans les groupes correspondant-aux
nerfs
les plus intéressés avec petits thrombus et lég
ec petits thrombus et légères hémorragies interstitielles. Dans les
nerfs
atrophie marquée des fibres fines se rendant au
que dans l'observation citée, les produits toxiques respectant les
nerfs
et leurs dépendances ont porté leur action sur
plégie' du côté gauche avec paralysie des branches infé- rieures du
nerf
facial du même côté en 1896. 2° Après une année
ne hémihy- peresthésie et d'une paralysie de toutes les branches du
nerf
facial du même côté. Symptômes bulbaires sans l
re, qu'elle n'entoure pas des anomalies de volume du cerveau ou des
nerfs
crâniens, que les viscères et les os du côté fa
REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. 359 peu rétrécies. La papille du
nerf
optique est normale, on n'observe pas d'excavat
ôté droit. Tous les moyens de traitement, y compris l'élongation du
nerf
-spinal, ayant échoué, on eut recours à des séa
dont il a pu exa- miner histologiquement les lésions. L'examen des
nerfs
décela les lésions banales de la polynévrite :
t les mêmes que celles produites dans la moelle par la section d'un
nerf
périphérique (Nissl, Marinesco, Dutil et Ballet).
ule cérébrale se comporte comme la cellule médullaire vis-à-vis des
nerfs
. Les cellules cérébrales s'atrophient sans qu'o
t-quatre heures et qui étaient surtout localisées sur le trajet des
nerfs
. Ces douleurs siégeaient principalement aux mem
ouvent in- demmes les extrémités des membres et il est rare que les
nerfs
crâniens soient frappés, au contraire de ce qui
ement sur le trajet du cubital, puisque, ainsi que je l'ai dit, les
nerfs
de l'avant-bras se trouvèrent pris ; signe d'Ar
ettre qu'il y ait eu une névrite ascendante à la fois dans tous les
nerfs
malades. Il semble, je crois, qu'il y ait eu au
ectieuse SOCIÉTÉS SAVANTES. 395 qui a atteint non seulement les
nerfs
, mais encore et surtout les centres. Nous ne no
présentent fendues dans leur longueur sur une certaine étendue. Les
nerfs
tibial et médian présentent une légère hyperpla
liens sont diminués ; les plantes des pieds sont oedémateuses ; les
nerfs
périphériques sont légèrement douloureux à la p
cembre 1898 survint une hémi- parésie gauche avec participation des
nerfs
facial et lingual. Les auteuis rappellent que l
par la localisation de lachromatolyse consécutive à la section des
nerfs
, au niveau de la moelle lombo-sacrée, deux grou
! )'t'<; cncéphalo-myélophile. B. Chahon. Section partielle du
nerf
médian. Suture. Restauration fonctionnelle; par
e, celui du long fléchisseur du pouce et les deux tiers externes du
nerf
médian. La suture de ces deux tendons et des fi
s motrices au niveau du poignet se trouve dans la partie interne du
nerf
. G. DFNY. XLIV. Lésion de la bandelette optique
vacuoli- sation. G. D. XLVII. Recherches sur l'origine réelle des
nerfs
crâniens (nerf pneumogastrique); par le Dr V.\x
n. G. D. XLVII. Recherches sur l'origine réelle des nerfs crâniens (
nerf
pneumogastrique); par le Dr V.\x Geiiuchten. (J
,' 2.) 11 résulte de ces recherches : 1° que les libres motrices du
nerf
vague présentent deux noyaux d'origine : a) U
ant le noyau ambigu. Ce noyau appartient en propre aux libres de ce
nerf
. b) Un noyau moteur dorsal ou noyau moteur à pe
appartient à la fois aux fibres du vague et aux libres bulbaires du
nerf
de Willis. 2" Que les fibres sensitives du nerf
bres bulbaires du nerf de Willis. 2" Que les fibres sensitives du
nerf
vague pénètrent dans le bulbe jusqu'au niveau d
nal des fibres du faisceau solitaire ainsi que le noyau sensitif du
nerf
de la dixième paire. G. D. XLVIII. Deux cas d
anatomique une altération de la substance grise, des racines et des
nerfs
. Ces lésions expliqueraient, d'après M. Brissau
happerait de l'organisme vivant au niveau des extrémités nerveuses,
nerfs
périphériques et organes des sens. Nous avons p
périphérique qui prédominent sur la couche transversale de quelques
nerfs
rachidiens, on voit une assez grande quantité d
ce réelle d'altérations qui souvent a fait affirmer l'intégrité des
nerfs
et surtout delà moelle dans la maladie de Landr
ique donnent des cultures de coli-bacille. Examen histologique. Les
nerfs
rachidiens pris à l'extrémité inférieure de la
es p Il 61101llè- nes de réparation dans les après la section des
nerfs
périphé- riques, par Marinpsco, 303. Ck'.RÉ13
de la sensibilité, par Lambotte et Sano, 306. Section partielle du
nerf
- , par Lambotte et Sano, 474. Mélancolie. De
tisme, et folie, par Marie et Vigoureux, 488. Spt.fAL.Lenerfet te
nerf
mo- leur de l'estomac, par Baltelli, 318. SPO
vicale. Les racines étaient molles, gélatineuses, lar- dacées ; les
nerfs
périphériques étaient gros et durs. Les racines
étaient gros et durs. Les racines étaient faciles à dissocier, les
nerfs
résistants. Dans les racines, l'hyperplasie con
ication des tubes nerveux comme dans un véritable névrome. Dans les
nerfs
périphériques au con- traire, l'hyperplasie con
centre, avec quelques dilatations vasculaires à la périphérie. Les
nerfs
de la troisième paire sont grisâtres, aplatis ;
e sont grisâtres, aplatis ; ce caractère est surtout marqué pour le
nerf
de, la troisième paire gauche, moins net pour '
, moins net pour ' . celui de la troisième paire droite, les autres
nerfs
crâniens ont leur aspect habituel. Après durc
observée après la destruction complète de la cellule d'origine des
nerfs
périphériques. Nous avons tenté ensuite par la
jambe gauche du côté opposé à la lésion, et par des paralysies des
nerfs
crâniens et une asynergie cérébelleuse du côté
des troubles moteurs des membres du même côté que la paralysie des
nerfs
crâniens, c'est-à-dire du côté de la lésion bul
on de la voie motrice pédonculaire, elle siège du côté opposé aux
nerfs
crâniens atteints, c'est-à-dire du côté opposé à
orcées des yeux, et qui proviendraient d'une parésie disséminée des
nerfs
moteurs du globe oculaire. M. Achard 2 analyse
corce grise, altérations cellulaires fines des noyaux d'origine des
nerfs
moteurs de l'oeil, défaut de conductibilité du
t et transporté sur son lit, il aurait eu une « violente attaque de
nerfs
». Le 16 mai 1895, à la suite d'un délire qui a
ccompa- gnés de douleurs aussi nombreuses qu'il y a de rameaux de
nerfs
dans le corps humain; toujours prêts à mourir, il
'avais si, peu de force et mon corps était dans un état tel que mes
nerfs
commencèrent à se retirer avec des douleurs ins
nt elle vient de nous parler ; elle nous dira ailleurs : « Tous mes
nerfs
s'étant retirés, mon corps était comme un pelot
tic et le traitement de ces lésions. G. Derny. XIII. Anesthésie des
nerfs
sensitifs et moteurs ; par J. JoTEYKo et M. STI
générale ne modifie pas d'une façon appréciable l'excitabilité des
nerfs
, les auteurs ont étudié expérimentalement l'act
ion locale des anesthésiques (chlo- roforme, éther, alcool) sur les
nerfs
sensitifs et moteurs. Lorsqu'un nerf est placé
forme, éther, alcool) sur les nerfs sensitifs et moteurs. Lorsqu'un
nerf
est placé dans une atmosphère de vapeurs anes-
vapeurs anes- thésiques l'excitation de la partie supérieure de ce
nerf
cesse d'être efficace avant l'excitation de sa
ficace avant l'excitation de sa partie inférieure. Plus un point du
nerf
est éloigné du muscle et plus vite disparait son
our le rétablissement des fonctions : c'est la partie inférieure du
nerf
, voisine du muscle, qui récupère la premièae so
ire l'action de l'anesthésique au lieu de porter sur la totalité du
nerf
est circonscrite à un point de son trajet, on c
l'action de l'agent anesthésique reste localisée à la por- tion du
nerf
anesthésie ; il n'y a pas, à proprement parler, d
n rapport avec les objets ; ils tiennent à un état pathologique des
nerfs
cen- tripètes chargés de conduire les excitatio
ns émanées des objets, ou à un état pathologique des centres de ces
nerfs
. Les seconds, indé- pendants des objets, sont p
survint deux faits nouveaux : une paralysie graduelle et totale du
nerf
de la troisième paire et une véritablecontractu
ur les mus- cles de l'avant-bras et de la main, dans le domaine des
nerfs
médian et cubitaux. Quant à l'envahissement d
profession d'homme de lettres, l'appareil musculaire innervé par ce
nerf
réalisait chez lui un locus minoris résislentiz.
uivants : 1° une parésie portant sur le domaine de presque tous les
nerfs
depuis la troisième paire corticale jusqu'à la
dans de très petites zones contiguës de la peau, desservies par des
nerfs
spéciaux, les- quels traversent probablement le
sécrétion, coïncide avec l'hyperexcitabilité électrique du tronc du
nerf
. Au moment de la guérison, on voit rétrocéder s
on géniculé, elles se détachent en avant, et s'en vont par le grand
nerf
pétreux superficiel vers le ganglion sphéno-pala-
s que le facial représente la branche centrifuge sécrétoire dans un
nerf
moteur. Le larmoiement unila- téral de l'oeil d
de en faveur de cette opinion. Le facial est donc, chez l'homme, le
nerf
des larmes. - Voici, par contre, de nouvelles
u'au ganglion géniculé, n'entraîne pas la dégé- nérescence du grand
nerf
pétreux superficiel ou du nerf lacrymal. Quel e
îne pas la dégé- nérescence du grand nerf pétreux superficiel ou du
nerf
lacrymal. Quel est donc, chez ces animaux, le n
uperficiel ou du nerf lacrymal. Quel est donc, chez ces animaux, le
nerf
des larmes ? Il est pro- bable, notamment chez
sur la sécrétion lacrymale. L'excitation du bout périphé- rique du
nerf
lacrymal provoque aussi la formation des larmes
e longues vivisections ; impossible de spécifier si l'excitation du
nerf
lacrymal tenait à celle des fibres du trijumeau
montré à M. Dopter que l'injection de sérums toxiques au niveau des
nerfs
périphériques du cobaye donnait lieu à des alté
énérales; -c) Les voies motrices, englobant trois grands groupes de
nerfs
: les nerfs directeurs du' regard (sensoriomote
) Les voies motrices, englobant trois grands groupes de nerfs : les
nerfs
directeurs du' regard (sensoriomoteurs et sensi
fs directeurs du' regard (sensoriomoteurs et sensitivomoteurs), les
nerfs
protec- teurs de l'aeil et les nerfs de l'accom
eurs et sensitivomoteurs), les nerfs protec- teurs de l'aeil et les
nerfs
de l'accommodation. 3° De l'ouïe. Comme à l'app
elles émanant d'une sollicitation morbide des centres d'origine des
nerfs
trijumeaux, centres dont la contiguïté et les c
e produisent : i° impression sur la rétine ; 2° transmission par le
nerf
optique ; 30 perception par l'encéphale. On dit
e cet arbre se fait sur ma rétine ; 2° elle est transmise par le.
nerf
optique à mon cerveau ; 30 mon cerveau la perçoit
rme l'image d'un diable ; 20 cette image part du cerveau et suit le
nerf
optique ; 1° elle s'étale sur la rétine et je v
u diable, n'a pas continué sa marche à l'extérieur en traversant le
nerf
optique, en s'étalant sur la rétine et enfin en
nisme de leur production est le même, le son remplaçant l'image, le
nerf
auditif, le nerf optique, les couches auditives
duction est le même, le son remplaçant l'image, le nerf auditif, le
nerf
optique, les couches auditives, les couches opt
s troubles du tact qui, au lieu d'être localisés aux extrémités des
nerfs
de la peau et des mu- queuses, se produisent da
à Blois). In-8» de 17t pages. . Vianny (Ch.). Les paralysies des
nerfs
périphériques et la systé- matisation de ces ne
s paralysies des nerfs périphériques et la systé- matisation de ces
nerfs
. Grand in-8" de 152 pages avec 12 figures et 2
on systématiques, intéressant : le la réline; 2° la papille : 3° le
nerf
optique. Ces nécropsies ont été pratiquées quin
aussi, un épaississement variable de leur tunique externe. 3° Le
nerf
optique enfin était le siège d'une prolifération
, en résumé, l'infiltration des éléments nobles de la papille et du
nerf
optique par du tissu conjonctif et névroglique
s lésions dues à la compression et à l'en- vahissement. - II. Les
nerfs
sont ordinairement très résistants à l'envahisse-
vent être réduites à des tractus fibreux méconnaissables. b) Les
nerfs
de texture plus délicate (nerfs crâniens et racin
tus fibreux méconnaissables. b) Les nerfs de texture plus délicate (
nerfs
crâniens et racines rachidiennes) se laissent e
cancéreux peuvent fuser à une grande dis- tance dans l'intérieur du
nerf
, comme dans une gaine lympha- tique, et parfois
stance d'un certain nombre de cylindraxes. Les névrites isolées des
nerfs
rachidiens sont rares. - Enfin, on peut obser
iniquement des polynévrites cancéreuses d'ordre toxique. ' V. Les
nerfs
crâniens peuvent être atteints dans l'intérieur d
périvasculaires ; elles englobent un plus ou moins grand nombre de
nerfs
donnant ainsi naissance à des tableaux clinique
est le plus sou- vent (ipoplectifoi-me. - En dehors du crâne, les
nerfs
peuvent être atteints par les néo- plasmes des
racines rachidiennes, en particulier celles de la queue de cheval,
nerfs
crâniens, moelle, écorce). Ces observations ont é
vons retrouvé sur le système nerveux périphérique (plexus brachial,
nerfs
cubital, médian, etc.) des noyaux également sar
se du cer- veau (méninges, près du cervelet et de la protubérance ;
nerfs
crâ- niens, nerfs auditifs en particulier); ell
éninges, près du cervelet et de la protubérance ; nerfs crâ- niens,
nerfs
auditifs en particulier); elle reproduit la struc
s qui se montrent défor- mées et moniliformes. Quant aux noyaux des
nerfs
périphériques, dans nos deux cas, ils étaient c
noyaux de la moelle, des méninges, des racines rachidiennes et des
nerfs
périphériques, nous avons pu aisément constater
1 est à remar- quer que les noyaux de la moelle, des racines et des
nerfs
périphé- riques ne donnent pas lieu à une sympt
l, des voies de communication entre les cellules de lamoelle et les
nerfs
vasomoteurs du tronc. 11 restait à trouver les
t la sensibilité profonde est troublée ou abolie, con- tusionne ses
nerfs
, arrache ses ligaments et déchire ses muscles,
ue l'atrophie simple telle qu'elle s'observedans les affections des
nerfs
, des centres et dans la myo- pathie progressive
i. REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE XV. De la paralysie bilatérale du
nerf
facial (diplégie faciale) ; par A.-M. Liewkowsk
consécutive à une névrite infectieuse exclusivement localisée à ce
nerf
. A la lumière des documents bibliographiques l'
; elle le croyait irréparable, un oculiste lui ayant affirmé que le
nerf
optique était atrophié. L'auteur n'eut pas de p
430 REVUE DE PATHOLOGIE NERVEUSE. de mettre en doute l'atrophie du
nerf
optique, et, d'autre part, le réflexe lumineux
es qui se sont développés. A. Fenayrou. XXX. Lésion traumatique des
nerfs
de la queue de cheval et du cône terminal; par
sie faciale d'origine périphérique com- binée avec une paralysie du
nerf
oculo-moteur. externe du même côté; par Lad. II
les, d'exciter isolément les racines antérieures qui commandent aux
nerfs
des membres supérieurs aux diverses hauteurs de
te et la sensumobilité d'Exiier proviennent de l'existence dans les
nerfs
sensibles périphériques de fibres centripètes all
: l'auteur en rapporte trois observations probantes. La lésion du
nerf
est-elle primitive ou secondaire à une lésion c
veau. Il était, en tout cas, intéressant de constater la lésion des
nerfs
périphériques d'une catégorie d'aliénés qui ne
stance grise, avec lésions secondaires des racines antérieures, des
nerfs
périphériques et des muscles. Sur le rôle du
ctobre 1902. - Présidence de M. Jules Voisin. Névralgie ancienne du
nerf
radial guérie par l'hypnotisme. M. David (de Na
laires à la pression, par Aba- die et Rocher, 434. Anesthésie des
nerfs
sensitifs et moteurs, par Joteykoet Stéfa- no
ypnotisés, par Bérillon, 279, Hypnotisme. Névralgie ancienne du
nerf
radial guérie par 11 -, par David, 538. Explica
écrologie, 77, 180, 449. Nègres soudanais. Voir Ilyper- acuité,
Nerfs
sensitifs et moteurs. Voir Anesthésie. Lésion t
le chez les dégé- nérés, par de Perry, 387. De la - bilatérale du
nerf
facial par l,iew- kowsky, 425. Contribution à l
ale (1-ot-i 1gilie péi ipliérique coin- binée avec une paralysie du
nerf
oculo-moteur externe du môme côté; par Lad. H
851, et plus haut, p. 3.) III. Note sur l'état des muscles et des
nerfs
du voile du palais dans un cas d'angine diphthéri
esiderata assez nombreux. On ignore, par exemple, sur quels éléments,
nerfs
ou muscles, portent plus particulièrement les alt
t parvenues à l'intérieur d'un grand nombre de ces granula-tions. Les
nerfs
musculaires du voile du palais présentent des alt
t chose fréquente. — En général, les centres nerveux, ainsi que les
nerfs
périphériques, ne présentent aucune altération ap
s; elle répond assez exactement au trajet d'une branche importante du
nerf
radial (branche terminale superficielle ou cutané
arlant de celle des cicatrices qui correspond le mieux au trajet d'un
nerf
et qui rend la peau fortement adhérente aux tissu
ivement sur les parties de la peau qui correspondent aux divisions du
nerf
qu'on sup-pose comprimé, il me paraît bien éviden
Tout cela dépend de l'irritation, de la compression d'une branche du
nerf
radial comprise dans la cicatrice. — Mais d'où
supérieur droit? Je l'ignore. Je vois, dans Romberg, qu'une lésion de
nerf
a pu plusieurs fois, devenir le point de départ d
le point de départ de névralgies ascen-dantes. Ainsi, une piqûre d'un
nerf
de la main détermine une névralgie des nerfs du b
s. Ainsi, une piqûre d'un nerf de la main détermine une névralgie des
nerfs
du bras et de l'avant-bras, de la face, sous form
cerveau ou de la moelle. On sait que la peau des parties, dont les
nerfs
sont affectés de névralgie, se recouvre quelquefo
écédente a été signalée dans des cas où l'affection doulou-reuse d'un
nerf
avait pris naissance à la suite d'une lésion trau
pandent jusque sur le dos du pied et suivent évidemment le trajet des
nerfs
. Cette névralgie, qui a résisté à tous les moyens
s éruptions herpétiques conséculives aux affections doulou-reuses des
nerfs
. Il serait difficile, toutefois, de méconnaîire l
La comparaison des effets de la section à ceux de la compression d'un
nerf
, montre qu'il y a des différences très considérab
x. La science abonde en faits montrant que la section complète d'un
nerf
n'est pas suivie d'autres altérations dénutrition
nutrition qui surviennent dans les parties auxquelles se distribue le
nerf
affecté. L'atrophie musculaire et l'hypertrophie
aussi la même absence d'altération de nutrition, après la section des
nerfs
des membres. Nous avons signalé, ailleurs, les ca
'absence d'une action nécessaire à la nutrition, après la section des
nerfs
d'un membre. Nous avons fait voir que ces altérat
rches, 1853, p. 10.) Si l'on compare les effets de la compression des
nerfs
à ceux de la section, on voit qu'ils en diffèrent
ès production d'une quantité d'os considérable, d'os nou-veau, eut le
nerf
médian comprimé. Son pouce s'ulcéra, ainsi que l'
hement des parties du côté de la paume de la main, la pression sur le
nerf
eut cessé. Tant que cet état de choses fut contin
l'on eut permise l'homme de se servir de sa main, la pression sur le
nerf
se renouvela, et l'ulcération des parties où il s
wan, est rapporté par M. Paget. Ce sont là des cas d'irritation des
nerfs
, et les chirurgiens qui ont traité ces malades au
nt traité ces malades auraient pu les guérir d'emblée en cou-pant les
nerfs
irrités. Notre ami, le docteur Ch. Rouget, nous
ercevait l'artère humérale, la veine basilique dé-chirée et plusieurs
nerfs
, et surtout le brachial cutané interne, contusion
distinguer les effets de l'irritation de la moelle épi-nières et des
nerfs
, de ceux de la paralysie ou simple cessation d'ac
faits morbides. II. Sur un cas de zona du cou avec altération des
nerfs
du plexus cervical et des ganglions correspondant
émanant de ce plexus, évidemment sous l'influence de l'affeclion des
nerfs
ou des ganglions spinaux. Observation I. — Canc
la colonne vertébrale au cou. La moelle épinière et les racines des
nerfs
ont été examinées en place dans le canal rachidie
à droite et à gauche, de manière à permettre l'examen comparatif des
nerfs
cervicaux encore attachés à la moelle par leurs r
sont surtout remar-quables lorsque l'on compare les ganglions et les
nerfs
cervicaux du côté droit aux mêmes parties du côte
es portaient exclusivement sur le tissu lamineux des ganglions et des
nerfs
et consistaient en un injection vive des capillai
'un zona qui siégeait sur le trajet des sixième, septième et huitième
nerfs
inter-costaux. M. V. Baerensprung examine avec so
uitième nerfs inter-costaux. M. V. Baerensprung examine avec soin ces
nerfs
, ainsi que leurs racines et les ganglions interve
stérieures, et même, dans une certaine étendue, aux deux branches des
nerfs
spinaux ; mais dans les troncs nerveux, comme dan
ses spinales et les ganglions. A ne considérer que l'altération des
nerfs
et l'éruption cutanée qui l'a suivie, il existe,
eur V. Baeruns-prung. Seulement, dans ce dernier cas, l'affection des
nerfs
paraît s'être développée spontanément, tandis que
se du tissu lamineux sont restées limitées aux ganglions ainsi qu'aux
nerfs
spinaux et à leurs divisions principales, sans s'
faut rapporter, dans les cas de zona consécutifs à une affection des
nerfs
, le dévelop-pement de l'éruption cutanée. Cette é
es concernant la structure des ganglions des racines postérieures des
nerfs
rachidiens et leur mode de con-nexion avec ces ne
postérieures des nerfs rachidiens et leur mode de con-nexion avec ces
nerfs
peuvent, jusqu'à un certain point, être invoqué
Vulpian (Journal de Brown-Séquard, t. V, p. 32, 1862), dans tous les
nerfs
rachidiens, deux catégories de tubes nerveux : le
-ils destinés à constituer, ainsi que le suppose M. Baerensprung, les
nerfs
trophiques ? On comprendrait facilement, s'il en
quence presque obligée une altération de nutrition des parties où ces
nerfs
se répandent, tandis que pareille chose n'aurait
laquelle M. Aug. Waller, après avoir coupé la racine postérieure d'un
nerf
rachidien,entre la moelle épinière et le ganglion
se mécanique ou traumatique, portant sur la partie périr phérique des
nerfs
des membres, loin du lieu d'origine de ces nerfs.
e périr phérique des nerfs des membres, loin du lieu d'origine de ces
nerfs
. Or, il est à peine admissible que les ganglions
nton survenue à la suite de l'application du cou-rant constant sur le
nerf
mentonnier, au point où il sort du canal dentaire
ue les éruptions vésiculaires consécutives aux affections de certains
nerfs
peuvent se déve-lopper par le seul fait de l'alté
nerfs peuvent se déve-lopper par le seul fait de l'altération de ces
nerfs
et sans l'in-tervention obligée d'une affection d
nt les conditions particulières qui font que certaines affections des
nerfs
déterminent des érup-tions de la peau, tandis que
es érup-tions de la peau, tandis que d'autres affections de ces mêmes
nerfs
, semblables aux premiers, du moins en apparence,
-ractères de ceux qui se montrent dans les parties périphéri-ques des
nerfs
divisés, alors que ces parties sont le siège d'un
d des sensations, notions de position aussi vagues. Le froissement du
nerf
cubital gauche détermine une douleur rapportée au
auche détermine une douleur rapportée aux doigts ; le froisse-ment du
nerf
cubital droit ne produit aucune douleur, aucun en
hors; les iris sont encore légèrement contracti-les. Les papilles des
nerfs
optiques, examinées avec l'aide de M. le docteur
elle était affaiblie ; le sol est bien mieux senti, le froissement du
nerf
cubital du côté droit produit de la douleur et un
1862, elle est reprise de douleurs intolérables sur tout le trajet du
nerf
sciatique droit, et elle entre à l'infirme-rie le
e muqueuse de l'estomac . 8 III. Note sur l'état des muscles et des
nerfs
du voile du palais dans un cas d'angine diphtér
............. 171 II. Sur un cas de zona du cou avec altération des
nerfs
du plexus cervical et des ganglions corresponda
vations, 349, 351. Angine diphthéritique : état des mus-cles et des
nerfs
du voile du pa-lais,13;— examen microscopique des
niques de la —, 430, Métamorphose régressive des tissus, 332. n
Nerfs
, irritation des —, 178; — trophiques, 188. Nerv
con- nexions habituelles ; quant aux muscles, aux vaisseaux et aux
nerfs
ils se sont adaptes de la façon suivante : tous
petit pectoral; SC\i, sterno-cléido-mastoïdien; V, N, vaisseaux et
nerfs
; TG, tête glénoïde. AMÉLIE 25 Les vaisseaux e
isseaux et nerfs; TG, tête glénoïde. AMÉLIE 25 Les vaisseaux et
nerfs
axillaires, très réduits de volume, s'épuisent in
l existait, enveloppés dans du tissu cellulo-adipeux, un muscle, un
nerf
, des vaisseaux. Il était dès lors difficile en
er etc. Larcher qui cite ces auteurs, remarquant que la section des
nerfs
d'un membre est généralement suivie de l'atroph
in hystérique. Dans les polynévrites ou dans les trau- matismes des
nerfs
, il arrive parfois que les muscles de la main soi
eux qui, dans l'espèce, détermine cet oedème ? Que les lésions de
nerfs
périphériques puissent déterminer de l'oedème,
me de la face dorsale des mains consécutif à des traumatis- mes des
nerfs
des membres supérieurs. Du reste, on a observé de
ticulièrement attentive a été faite de la moelle épinière. Enfin le
nerf
sciatique a été étudié. L'organe hépatique prés
s contiennent sont le siège d'une périartérite très accentuée. Le
nerf
sciatique, traité par la méthode cl'Azoulay (acid
e en général). Les auteurs ont été en outre frappés des lésions des
nerfs
qu'ils interprètent comme névrite interstitielle
nce qu'à l'étranger, cherchèrent à y réussir par l'élon- gation des
nerfs
: aujourd'hui condamnée comme méthode de traiteme
CIIIP.1ULT. De la cure radicale du mal perforant par l'élongation des
nerfs
plantaires (Académie de médecine, G avril 1891)
a moitié inférieure de la moelle dorsale, la moelle lombaire et les
nerfs
de la queue de cheval ; or, cliniquement, c'est i
de lésions cellulaires primitives ou secondaires à l'altération des
nerfs
de la région mordue ? M. Nissl et M. Marinesco
ion mordue ? M. Nissl et M. Marinesco ont montré qu'une lésion d'un
nerf
périphé- rique retentit sur ses cellules d'orig
-axe. Dans la rage, sans doute, le v irus s'est propagé le long des
nerfs
jusqu'aux centres, mais les désordres qu'il a e
choisir une explication plausihle. Ce n'est pas à l'altération des
nerfs
périphériques que j'accorderai cré- ance et cel
et que je n'ai pas encore pu concevoir l'altération symétrique des
nerfs
(sauf cause extérieure bilatérale) sans intervent
petits muscles de la main, qui pour la plupart sont innervés par le
nerf
cubital, sont situés au voisinage du canal épen
se faisait par une atrophie portant sur les muscles innervés par le
nerf
cubital, l'autre commence par l'atro- phie des
ion qui puisse déterminer une atrophie complète dans le domaine des
nerfs
mé- dian et cubital en laissant presque intacts
peut pas en faire une « hy- perkinésie du spinal o. z - . , \ Le
nerf
de la XI° paire (spinal du accessoire de Willis)
ternomastoïdien et le trapèze. Que produira l'l3yperki= nésie de ce
nerf
? Pour vous en rendre compte vous'n'avez qu'à vou
teur commun. C'est un spasme synergique, associé, d'une partie d'un
nerf
d'un côté et d'une autre partie de l'autre. '
les uns des autres et qui ne sont pas toujours innervés par le même
nerf
, par conséquent tout à fait indépendants par la
aucun doute, l'état morbide n'est pas dans les muscles ni dans les
nerfs
, il est dans l'esprit même ». Oui, il n'est ni
dans l'esprit même ». Oui, il n'est ni dans les muscles ni dans les
nerfs
, mais il n'est pas non plus, pour cela, dans l'
ésection, élongation du spinal ; myo- tomie, résection des premiers
nerfs
rachidiens, etc., tous procédés qui ne sont pas
veloppé sur le territoire de La branche ophtalmique de Willij et du
nerf
maxillaire supérieur. Mme Bail..., 32 ans. Ta
rvation IV. Nævus vasculaire veineux développé sur le territoire du
nerf
maxillaire supérieur et de la branche de Willis
s cervical superficiel droit. NOEVUS VEINEUX sur le territoire du
nerf
maxillaire supérieur et de la branche de Willis
gmentaire légèrement verruqueux développé sur le trajet du huitième
nerf
intercostal gauche. Homme âgé de 30 ans, bien c
nettement le trajet des deux filets, anté- rieur et postérieur, du
nerf
cutané perforant latéral. - Observation VIII.
aire et pileux développé sur la branche récurrente latérale . du 7e
nerf
intercostal droit. Homme de 28 ans. Bonne const
aire légèrement ver- ruqueux, développé sur le trajet du huitième
nerf
intercostal gauche. 272 G. ÉTIENNE Dans le 7°
zone d'épanouissement de la bran- che postérieure récurrente du 7e
nerf
intercostal droit. Ce groupe d'observations mon
re. T. X. PI. XXVIII NOEVUS PIGMENTAIRE PLAN ZOSTÉRIFORME Dixième
nerf
intercostal gauche. NOEVUS PIGMENTAIRE ET PILEU
OEVUS PIGMENTAIRE ET PILEUX Branche récurrente latérale du septième
nerf
intercostal droit. MASSON & cic, Éditeurs
ents répondent à l'épanouissement périphéri- que de un ou plusieurs
nerfs
spinaux ; . 3° L'altération cutanée consiste en
ste en une hypertrophie des éléments dans lesquels se terminent les
nerfs
périphériques, c'est-à-dire les papilles cutané
sion, s'arrêtant limitativement à l'épanouissement périphérique des
nerfs
spinaux, alors que certains nerfs crâniens, le
l'épanouissement périphérique des nerfs spinaux, alors que certains
nerfs
crâniens, le trijumeau, par exemple (Observât. II
à-dire les districts de séparation entre la sphère d'action de deux
nerfs
cutanés voisins. Un certain nombre de cas, notamm
bien grande portée, le facial n'étant pas, par lui-même, à la face un
nerf
sensitif et trophique; en outre, la grande éten
de faits : 1° Ceux dans lesquels le mcvus occupe le territoire d'un
nerf
, ou son trajet; 2° Ceux dans lesquels le noev
t, vaisseaux, glandes...; on conçoit que l'excitation anormale des
nerfs
trophi- ques puisse le déterminer, excitation a
ques puisse le déterminer, excitation anormale due à une lésion des
nerfs
périphériques, à une véritable névrite intra-ut
cas, que l'action hyperlrophiante s'exerce sur tout le territoire du
nerf
atteint, ou plus activement à ses limites, aux
notamment : 1° Les noevi dans lesquels les territoires de plusieurs
nerfs
sont intéres- sés d'un seul côté (Muller, Péter
- vrite qui intéresserait systématiquement une série unilatérale de
nerfs
; de même, dans le second cas, une névrite intér
ns le second cas, une névrite intéressant une série symétri- que de
nerfs
. Au contraire, ces na;vi successifs ou symétriq
e la systématisation illtra-médullaire des fibres constitutives des
nerfs
périphériques; d'où découle la possibilité de la
entral, le neurotome, pourvu d'une paire rachidienne formée de deux
nerfs
symétriques correspondant à un étage périphériq
étage périphérique reste relié à un étage spinal déterminé par ses
nerfs
sensitivo-trophiques devenus obli- ques. Que su
lite, elle pourra se manifester obliquement sui- vant le trajet des
nerfs
de connexion,' en croisant d'autres territoires n
tané sous l'in- fluence d'une névrite ou d'une myélite, trouble des
nerfs
périphériques ou de la moelle, paraîtra plus po
S RAPPORTS AVEC LES TERRITOIRES NERVEUX 219 de l'ectoderme ; et les
nerfs
, originaires du névraxe dont ils sont une ex- p
vrite pouvant expliquer les naevi développés sur le territoire d'un
nerf
anatomiquement précisé ; 2° prolongement centra
dermat. et syph., 1894, p. 831. Briidi. M ! i)pes neurofibromes des
nerfs
périphériques cutanés et musculaires associés a
den, Pitres, Pierret, Brissaud); lésions exclusivement limitées aux
nerfs
périphériques (Dejerine) ; absence de toutes lé
s en rapport avec une paralysie du grand sympathique cervical et du
nerf
phrénique. 4° J'ai rangé dans une dernière caté
ce niveau, doit intéresser les fibres qui du noyau respiratoire du
nerf
vague se ren- dent au phrénique. Pour en reve
és; la sensibilité était'émous- sée ; l'excitabilité galvanique des
nerfs
était diminuée. · A gauche, il y avait de l'hyp
une hémisection de la moelle peut disparaître, après élongation du
nerf
sciatique du côté anesthésié. En présence des
les nerveuses, se trouve la polynévrite. Ce ne sontpasseulement les
nerfs
périphériques qui se trouventaltérés dans la po
t par le docteur Golowine, révéla l'existence d'une inflammation du
nerf
optique en voie de régres- sion. A l'autopsie
ance chromatique avec la position périphérique du noyau. Dans les
nerfs
périphériques, traités par l'acide osmique, on a
ions les plus marquées ont été constatées dans les deux pre- - mies
nerfs
sus-nommés. Nous allons commencer l'interprétat
imentales. Les recherches expérimentales portant sur la section des
nerfs
périphé- riques et l'examen consécutif des cent
polynévrite est, d'après M. Marinesco, en relation avec la lésion des
nerfs
périphérique. Celle-ci influe sur les centres c
ur les centres correspondants de la même manière que la section des
nerfs
, mais pourtant à un degré bien moins accentué.
ropathies consécutives aux lésions traumatiques de la moelle et des
nerfs
. Les deux mêmes facteurs étiologiques se retrou
8. (6) OEuvres complètes, T. I, p. 112 et passim. (7) Lésions des
nerfs
et leurs conséquences, traduit par D.\STaE, 1874.
vraiment spéciale soit liée à la localisation de la lésion dans les
nerfs
, la moelle ou le cerveau. II. TROUBLES TROPHIQU
opathie et le siège de la lésion nerveuse : ainsi dans un cas où le
nerf
médian était blessé, les articulations du pouce,
tion articulaire généralisée qui se rattachait au froisse- ment des
nerfs
du bras par une luxation de l'humérus. N'est-ce p
ns la majorité des cas, étant donnée la multiplicité habituelle des
nerfs
d'une jointure. (1) Traité de médecine, CIIAIIC
ou un trouble fonctionnel permanent, siégeant ailleurs que dans les
nerfs
, la moelle ou l'écorce : ce ne pourrait être que
. Octave est âgé de 24 ans. Son père serait mort « d'une maladie de
nerfs
» dont il nous a été impossible de déterminer la
s expériences de Claude-Bernard et de Schiff qui par la section des
nerfs
vaso-moteurs ont amené une congestion des tissu
héréditaires et personnels. Sa grand'mère avait eu des attaques de
nerfs
. Sa mère et sa soeur sont très nerveuses. Lui-m
trophoneurotique, dont les lésions semblent porter surtout sur les
nerfs
, et qui s'accompagne de trouble; sen- sitifs, m
de myéline, que l'appoint que lui donnent le cordon postérieur, le
nerf
auditif, le nerf trijumeau. Toutes ces fibres g
l'appoint que lui donnent le cordon postérieur, le nerf auditif, le
nerf
trijumeau. Toutes ces fibres gagnent le vermis où
en un sac vide à parois minces, recoquillé sur lui-même ; seuls, le
nerf
olfactif, réduit des deux tiers, et le lobe olf
r le mémoire.) P. K. V. Communication provisoire SUR L'ORIGINE du
nerf
auditif ; par A. FOREL. NOUVELLE communication
erf auditif ; par A. FOREL. NOUVELLE communication SUR l'origine du
NERF
auditif; par A. Forez et B. Ovosnomcz. (Neurol.
D'après les expériences pratiquées par ces auteurs (destri ction du
nerf
acoustique chez le lapin nouveau-né), le noyau in
80 REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. a la racine postérieure du
nerf
, et le noyau antérieur de l'acous- tique de Mey
accessoire de l'acoustique de Schwalbe) constituent les centres du
nerf
auditif; le noyau antérieur en représente un gang
s occipitaux chez un foetus de huit mois : atrophie totale des deux
nerfs
optiques. Lacunes étendues des deux lobes parié
rescence des deux systèmes de faisceaux optiques y compris les deux
nerfs
. Par conséquent, les destructions pathologiques d
descen- dant, de la bandelette optique droite, duchia,ma, des deux
nerfs
optiques. On peut donc suivre le trajet des lib
e dernier, au nef optique; le corps de Luys n'a rien à voir avec le
nerf
optique. ' P. K. VU. SUR UNE connexion jusqu'al
téressante, mais longue revue critique dont l'auteur déduit que les
nerfs
périphériques ne jouissent pas de la fonction vic
natomiques) des filets de la région, ou en vertu d'anastomoses. Les
nerfs
sensitifs n'ont pas davantage la propriété de se
l'endroit même où les racines postérieures de la moelle forment les
nerfs
sensitifs; les cellules multipolaires desgangli
ijumeaux, les quatre corps genouillés, non seulement quand les deux
nerfs
op- tiques sont atrophiés, mais quand un seul d
ital demeurent intactes. On ne peut, en supposant que l'atrophie du
nerf
optique concerne un adulte, suivre toujours à l
? fM)'o<ot, t. X, 107. REVUE D'ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE. 87
nerf
optique droit atrophié, sans autre lésion qu'un é
e peut donner. Je me suis proposé de partir de la périphérie, des
nerfs
, et de gagner les centres, mais en ne procédant q
ons de J'écoree, j'ai démontré chez les lapins et les chats que les
nerfs
pathétiques s'entre-croisent complètement, tout
e visuel. Le faisceau pédonculaire transverse 1 s'atrophie quand le
nerf
optique s'atro- phie, mais son centre, en rappo
se perd en s'effilochant. La cinquième paire est, chez le lapin, un
nerf
puissant, mais son atrophie ne se tra- duit par
uissant, mais son atrophie ne se tra- duit par rien sur l'écorce.
Nerf
olfactif. Le centre en est la couche glomérulaire
un lapin de cinq à six semaines, enlevez un os du nez, et raclez le
nerf
olfactif avec la muqueuse, ou même, enlevez tou
, p. 79. 2 Voy. id., t. XII, p. t09. 108 SOCIÉTÉS SAVANTES. Les
nerfs
des mouvements des yeux, le facial; l'hypoglosse,
ial; l'hypoglosse, le plexus brachial, le sciatique, la plupart des
nerfs
moteurs de la jambe antérieure ou postérieure,
us supérieure) ne saurait être tenu pour altéré; les bandelettes et
nerfs
optiques sont restés égaux. Quand on expériment
pation de tout un hémisphère, est vrai pour les centres de tous les
nerfs
sensitifs. A tous doivent manquer les tractus qui
ndant ils sont eux-mêmes intacts. Intacts aussi sont les noyaux des
nerfs
moteurs, qu'il soit question du lapin, du chien
question du lapin, du chien, du chat. Quant au centre primaire du
nerf
olfactif, quant à la couche glomérulaire du ren
erminé entre le volume du lobe olfactif, du renflement olfactif, du
nerf
olfactif. Parallèlement, l'écorce du lobe olfac
ces centres et faisceaux sur l'écorce. C'était un pas de plus, des
nerfs
à la ré- giou corticale. Aussi ai-je essayé par
a Faculté de médecine de Lille, pour son mémoire : De la suture des
nerfs
à distance. Prix Civrieux. 1,000 fr. La migrain
proposés au concours : Prix de l'Académie pour 1889. Physiologie du
nerf
pneumo- gastrique. PrixCiurieux. 1887 : Des n
it constater aucune diminution de la force muscu- laire. Muscles et
nerfs
réagissaient d'une manière parfaitement normale
les uns des autres et qui ne sont pas toujours innervés par le même
nerf
, par conséquent tout à fait indépendants par la
ce en principe sous ce rapport avec le tic convulsif ordinaire du
nerf
facial, où on peut aussi observer des secousses i
a- blement affaiblis, présentent de l'atrophie dans le domaine du
nerf
crural (absence du phénomène du genou; paralysie
her aux noyaux des cordons en question. Névrite parenchymateuse des
nerfs
péronier, crural, tibial, des racines postérieu
re doit être rapportée à l'a- trophie des tubes nerveux moteurs des
nerfs
et non à la dégé- nérescence minuscule des cord
mique des jambiers antérieurs a entraîné, de concert avec celle des
nerfs
, la contractio'n paradoxale, qu'en- fin la déme
t d'un mode d'in- fection nouveau du système nerveux central et des
nerfs
(proces- sus chronique) ; il est donc bon de me
lle du tabes dorsal et qui résultent simplement d'une affection des
nerfs
périphériques. Deux observations sont relatées,
un mode de traitement. Dans l'état hystérique, on doit agir sur les
nerfs
sensitifs de la peau; les douches froides sont
lle, l'application d'un diapason en vibration sur l'émer- gence des
nerfs
sus et sous-orbitaires faisait reparaître la sens
èpre dans laquelle les productions nouvelles se localisent dans les
nerfs
et constitue une forme anesthésique ou trophone
ativement rapide aboutit finalement à la dégenéiescence complète du
nerf
. Ces lésions tiennent sous leur dépendance l'an
ues paroxystiques, qui peuvent se montrer sur le trajet de tous les
nerfs
des membres et de la face; on ob,erve aussi que
peut. être mise en rapport qu'avec des lésions périphériques des
nerfs
; 2° l'atrophie musculaire avec les déformations
ons. AI. Leloir donne enfin l'état de la scorie sur les lésions des
nerfs
de la moelle et du cerveau, dans la lèpre. Les
ais, dans ce cas, la paralysie est imputable aux muscles et non aux
nerfs
comme dans les cas de paralysie ordinaire. Les
consa- crée) AVEC LES CENTRES OPTIQUES INFRACORTICAUX ET AVEC LE
NERF
OPTIQUE; par DE Monakow (Arch. f. Psych., XVI, 2)
psychique corticale=, surdité verbale, dégénérescence modérée des
nerfs
optiques, intégrité des yeux, démence. Destructio
fibres de projec- tions qui représentent les fibres gustatives des
nerfs
trijumeau et glnsso-pharyngien). La dégénéresce
x bandelettes optiques (fibres rétiniennes surtout) , puis des deux
nerfs
optiques. La destruction des faisceaux blancs é
occipitaux, mais intégrité complète des deux globes oculaires , des
nerfs
optiques et de leurs centres primaires. Comme l
e apoplectiforme dénature inconnue; puis, atrophie progressive du
nerf
optique et choroidorétinite dans la région macula
centres optiques pri- maires sont postérieurs à l'atrophie des deux
nerfs
optiques l'intensité de cette atrophie etlaloca
constate l'altération sont bien les continuatrices ana- tomiques du
nerf
optique, tandis que celles qui, sur le même REV
E. 409 parcours sont demeurées intactes n'ont rien à voir avec le
nerf
optique. Or, l'atrophie secondaire est manifeste
tes de toute autre nature, n'ayant rien à faire avec l'atrophie des
nerfs
optiques. Après avoir rapproché les données pré
urait prétendre que chez l'homme, des centres optiques originels du
nerf
optique soient autres que chez les mammifères;
llé externe et du pulvinar, aucune région ne fournit de fibres au
nerf
optique ; les relations que le nerf optique affec
région ne fournit de fibres au nerf optique ; les relations que le
nerf
optique affecte avec d'autres régions encéphali
autre nature. Dans le rizil- vii7a ? ,, des trousseaux de fibres du
nerf
optique émanent de la zone marginale médiane et
nce blanche zoniforme du pulvinar se compose mi-partie de fibres du
nerf
optique, mi-partie de fibres de projections opt
n'y a pas d'autres parties du pulvinar en relation directe avec le
nerf
optique (Obs. IV). Dans le corps genouillé exte
avec le nerf optique (Obs. IV). Dans le corps genouillé externe, le
nerf
optique a pour origine les mêmes éléments que d
feuillet gris inférieur n'ont aucun rapport, même indirect, avec le
nerf
optique. Les petites cellules ganglionnaires se
union plus intime avec lui que les grosses. Le nombre des fibres du
nerf
optique provenant du corps genouillé externe es
e mi- partie de fibres des racines optiques, mi-partie de fibres du
nerf
optique; la séparation anatomique de ces catégo
de ces catégories de fibres est impossible, cependant les fibres du
nerf
optique paraissent plus superficielles. Dans le
orientation transversale et verticale, les trousseaux de fibres du
nerf
optique issues du corps genouillé externe occup
ieur prend naissance la substance grise superficielle des fibres du
nerf
optique (confor- mément aux expériences de de G
chez l'homme, que pour une toute petite part en continuité avec le
nerf
optique, tandis que celles qui partent delà sub
uches de ce tubercule n'ont directement que peu de relation avec le
nerf
optique (de Gudden, Ganser). - Les racines optiqu
rofondes. Nous passons sur les lésions des cordons postérieurs, des
nerfs
opti- ques, des nerfs olfactifs : une des obser
sur les lésions des cordons postérieurs, des nerfs opti- ques, des
nerfs
olfactifs : une des observations (Obs. I) témoign
transformait en fibrilles. Dans tous les points où se trouvent des
nerfs
sectionnés transversale- ment, on aperçoit de c
puis finit par décroître. Intégrité du sciatique et du radial, des
nerfs
intramusculaires. Prolifération des noyaux du t
commissure postérieure), par Spitzkti, 79. Auditif (Origine du
nerf
), par Forel, 79. Bibliographie : Albuminuries
attachent la sphère vi- suelle aux centres infra- corticaux et au
nerf
, par Mo- nakow, 80. Ovaires (ablation des com
trois fois plus volumi- neuse que la gauche qui est filiforme. Les
nerfs
, les tubercules mamillaires, les pédoncules cér
moins graves, cependant toujours sérieux. Nous CURE DE MALADIES DE
NERFS
. 87 noterons cette particularité que chez l'un
ode d'exercices et de mouvements proposée comme cure de maladies de
nerfs
; Par le D' O. TIIILO, de Riga (Russie). Nous
d'employer comme remède, dans une large mesure, CURE DE MALADIES DE
NERFS
. 8 : 9 des exercices dans le genre de ceux dont
aire de la progression graduelle des forces : CURE DE MALADIES DE
NERFS
. 91 atteignit de juin à fin août 1896 une augme
ndommagée nous offre le tableau suivant : - 0 CURE DE MALADIES DE
NERFS
. 93 malade ne pouvait pas, en écrivant, garder
ion à la distance : fibres spéciales à grosse gaine de myéline du
nerf
optique, ganglion de l'habenula, centre bulbaire
n peu « idiote », état qui serait survenu à la suite d'une crise de
nerfs
( ? ), - Pas de renseignements sur les grands p
les échanges organiques. R. C. XI. L'accessoire de Willis est un
nerf
mixte ; par le Dr G. PIER \CClNI, (Lo Speriment
Toutes concordent pour permettre de considérer comme certain que le
nerf
accessoire de Willis ou spinal est réel- lement
tain que le nerf accessoire de Willis ou spinal est réel- lement un
nerf
mixte. li. C. XII. Sur la cause du crétinisme.
. XVIII, 1899.) - Quand on soumet à l'action d'un courant induit un
nerf
sensitil, les cellules nerveuses motrices chang
la fonction motrice des pattes postérieures. Découvrant ensuite le
nerf
-crural sur une des extrémités postérieures, il l
excitation et de repos de 5 minutes chacune; pendant les pauses, le
nerf
est imbibé de la solution physiologique de chlo
régnables, bien que pas au même degré que les fibres nerveuses. Les
nerfs
périphériques enclavés dans les tissus hétérogène
S. 137 138 REVUE DE THÉRAPEUTIQUE. tivité contractile (section du
nerf
), moins intenses là où le tonus et la contracti
jet de cette observation était atteinte d'une paralysie de tous les
nerfs
du globe oculaire associée à une névral- gie du
car dans ce cas les altérations seraient limitées au domaine des
nerfs
ayant des connexions cellulaires centrales ; elle
scles des yeux; troubles dans le domaine du trijumeau ; atrophie du
nerf
optique ; phénomènes de la paralysie bulbaire p
liomateux situé derrière le globe de l'oeil; le gliome a envahi -le
nerf
optique jusqu'au chiasma ; celui-ci pas plus qu
ou- : inégalité des pupilles avec réaction paresseuse, atrophie des
nerfs
optiques ; alaxie faible mais nette, troubles v
atteint de ladrerie. Contribution à l'étude des voies centrales des
nerfs
moteurs de l'oeil. - M. J. PILTZ (de Varsovie).
ganiques, les recherches de Bernstein sur la variation négative des
nerfs
, et celles, récentes, d'Auguste Charpentier sur
ond, que ces oscillations sont de nature électrique. D'ailleurs, le
nerf
actionné fait dévier le galvanomètre. Il ne rép
fluger, repre- nant les expériences de Budje, admettait déjà que le
nerf
était non seulement un organe de transmission,
teur, dénotent l'existence d'une névrite du pneumo- gastrique et du
nerf
phrénique. Ces symptômes ont fini à leur tour p
ive : paralysie du moteur oculaire commun gauche et parésie du même
nerf
du côté droit ; névrite optique surtout à droit
c'est ainsi que l'alté- ration des noyaux et la dégénérescence des
nerfs
de la troisième paire, la dégénérescence des ne
générescence des nerfs de la troisième paire, la dégénérescence des
nerfs
optiques, la destruction des noyaux rouges et c
dérée comme un prolongement du cerveau, quelque chose comme un gros
nerf
, plus volumineux que les autres. Les origines
os nerf, plus volumineux que les autres. Les origines de tous les
nerfs
étaient placées dans le ce ! veau. La présence
els de l'enseignement de l'anatomie en étaient encore à décrire les
nerfs
comme des vaisseaux sanguins de la membrane pie
maient catégoriquement leur existence. Ils affirmaient que tous les
nerfs
prennent leur origine dans la substance grise. Il
n'est pas un simple prolongement du cerveau, com- parable à un gros
nerf
, mais quelque chose comme un amas de centres, é
ne des localisations; ils la formu- laient ainsi : « L'ensemble des
nerfs
se contpose de plusieurs sus- tèmes particulier
on,. par trop vague, qu'avaient Gall et Spürzheim, de l'origine des
nerfs
et de leurs fibres, s'éclaira d'une lueur nouve
ues, des centres qui tiennent sous leur dépendauce la nutrition des
nerfs
moteurs et des nerfs sensitifs et il nous initi
tiennent sous leur dépendauce la nutrition des nerfs moteurs et des
nerfs
sensitifs et il nous initiait aux lois des dégé
e, de la physiologie et de la pathologie des centres nerveux et des
nerfs
pérphiériques. Aussi me bornerai-je à une simpl
nergie nerveuse. Une excitation périphérique atteint l'extrémité du
nerf
. La vibration ainsi produite se propage le long
xtrémité du nerf. La vibration ainsi produite se propage le long du
nerf
: c'est le courant nerveux, mesurable et compar
'on a appris à connaître le mécanisme frénateur dans le domaine des
nerfs
cardiaques, on était sur le point d'en faire l'
el et dans la moelle (faisceaux pyramidaux croisés). Les noyaux des
nerfs
craniens sont sains (même avec la méthode de Ni
t sont en connexion plus ou moins directe avec les terminaisons des
nerfs
sensitifs ou senso- riels. 2° Sur la myélinis
Berlin ' fait même chez les hémi- plégiques un massage spécial des
nerfs
pendant deux, trois minutes. D'abord il frappe
spécial des nerfs pendant deux, trois minutes. D'abord il frappe le
nerf
lésé avec la main fermée d'une façon rythmique,
ythmique, en allant de la périphérie au centre; -, puis il masse ce
nerf
à pleine main dans le mê.ne sens. Pour nous, le
ou quand elle porte sur la moelle que lorsqu'on la localise sur le
nerf
ou sur le muscle. Arloing et Chantre ont étud
ritabilité mus- culaire dans le sphinclcl' ani après la section des
nerfs
. L'influence de la section des nerfs sur le sph
clcl' ani après la section des nerfs. L'influence de la section des
nerfs
sur le sphincter détermine des modifications. c
ue celle que provoque l'excitation directe du bout périphérique des
nerfs
frai- chement coupés. Le muscle répond égalemen
ysiologique des chocs électriques très' fréquents sur le cceur, les
nerfs
et les muscles. La hauteur de la courbe de contra
nscle curarisé. Le. seuil de dépression varie suivant l'animal. Les
nerfs
sensitifs, les centres nerveux, le coeur possè-
rrêt diastolique comparable à celui que provoque l'électrisation du
nerf
vague. Le coeur électrisé arrive à une accoutum
e potentiel qu'on observe entre deux sections transversales du même
nerf
. Après avoir confirmé les résultats des recherc
axial. L'in- tensité de celui-ci est en rapport avec la longueur du
nerf
et pré- sente une variation négative à la suite
ales et le fascia musculaire du pied du côté opposé. En excitant le
nerf
acoustique à l'aide d'un diapason, il a constat
ance sont dues à l'excitation par les lignes de flux du courant des
nerfs
glosso- pharyngien, lingual, facial et grand sy
édecine de Nantes) a étudié les modifications de l'excitabilité des
nerfs
et des muscles par les courants continus. Après
cathode faradique ou l'anode galvanique et l'anode faradique sur le
nerf
l'excitabilité est augmentée et elle l'est dava
premier cas. Avec la cathode galvanique et l'anode faradique sur le
nerf
l'excitabilité est diminuée ; elle est totaleme
si c'est l'anode galvanique et la cathode faradique qui sont sur le
nerf
. Les 5° et G' expériences dans les- quelles le
s secondaires attribués par certains auteurs à la polarisation du
nerf
et qui seraient de sens inverse aux précédents, m
teints de zona. Il place le pôle positif au niveau de l'origine des
nerfs
malades et promène le pôle négatif relié à un pin
sur le traitement du mal perforant plantaire par la faradisation du
nerf
tibial el de ses branches terminales. L'élongat
tion du nerf tibial el de ses branches terminales. L'élongation des
nerfs
préconisée par Chi- pault a par ses résultats c
On peut la remplacer par la faradisation à interruptions lentes du
nerf
tibial postérieur. L'électrode positive, très p
L'électrode positive, très petile, étant placée sur le tronc de ce
nerf
derrière la malléole interne, la négative plus gr
égatif, relié à un tampon d'une surface d'autant plus grande que le
nerf
est situé plus profondément, est appliqué sur le
le produit l'état cathéleclrotonique qui augmente l'excitabilité du
nerf
. Dans la seconde partie du traitement, on excit
abilité du nerf. Dans la seconde partie du traitement, on excite le
nerf
ou les muscles avec le courant galvanique inter
sont' : une atrophie musculaire survenue à la suite d'un uévnome du~
nerf
médian; une paralysie du nerf cubital à la suit
e survenue à la suite d'un uévnome du~nerf médian; une paralysie du
nerf
cubital à la suite d'une fractm de l'humérus qu
ne pseudarthrose qu'on peut diagnostiquer par la radiographie. Le
nerf
cubital, comprimé par le fragment inférieur, étai
complèle et régulière. L'électrisation des muscles incurvés par le
nerf
cubital guérit ensuite rapidement l'atrophie mu
zona du tronc a reproduit intégralement la topographie du troisième
nerf
intercostal. Si cette observation ne permet pas d
de troubles sensitifs nullement en rapport avec la distribution du
nerf
, elle est plutôt en opposition avec la théorie
ricité médicale.) LEDUC (S.). - Modifications de l'excitabilité des
nerfs
el des muscles par les courants continus. - Bro
t le résultat d'une excitation brusque, mécanique, momentanée des
nerfs
sensitifs des tissus environnant le tendon et ne
onnus doués de sensibi- lité, contiennent les organes terminaux des
nerfs
afférents. Ce sont les organes terminaux décrit
» M. Sherrington (de Liverpool). - La section du biceps ou de son
nerf
est suivie régulièrement d'une augmentation du ré
oins prononcé, peut être produit par la section d'autres muscles ou
nerfs
du plexus sacré. 11. le professeur IIITZIG (d
uchten (de Louvain). Contribution à l'élude des voies centrales des
nerfs
moteurs de l'ceil; par Jean 1'1L1Z (de Varsovie
cins, entre autres par M. Déjerine, suivant laquelle la sclérose du
nerf
opiique arrê- terait l'évolution du tabes. J'ai
ai vu plusieurs chez lesquels, malgré l'apparition de la lésion des
nerfs
optiques, le tabes avait continué à évoluer en
s fibres (état embryonnaire). Des changements simi- laires dans les
nerfs
sensitifs périphériques et l'atrophie des gan-
de la tension des muscles est sous l'influence non seulement des
nerfs
des cordons postérieurs tonificateurs qui l'incit
t défaut sans qu'il soit du tout nécessaire que la conductilité des
nerfs
sensitifs soit le moins du monde atteinte. - P.
lles-ci, les noyaux destinés à la branche maxillaire supérieure, au
nerf
naso-ciliaire et au nasal interne. Les parties
lomoteur commun du côté droit. L'étude microscopique du noyau de ce
nerf
montre que le noyau central de Perlia y a parti
hie avec prolifération interstitielle. Les autres noyaux des autres
nerfs
craniens, notamment le noyau du pathé- lique, s
et du trapèze scapulaire, la brusquerie de l'effort ayant lésé les
nerfs
correspondant à ces groupes musculaires. Paraly
ntale intéressant par conséquent sur une même ligne de niveau trois
nerfs
à trois étages différents ce qui confirme ses c
ectrolo,ie. LEDuc (S.). Rapport entre la variation d'excitation des
nerfs
et la variation de densité des courants excitat
OURNEVILLE. TABLE DES MATIÈRES Accessoire de Willis. L'- est un
nerf
mixte, par Puraccini, 127. Affaire Sauter, par
falini, 126. MnOEDE11ATEUX. Infantilisme , par Goyanes, 151.
Nerfs
moteurs de l'oeil, voies cen- trales, par Piltz
ccuper assez exactement le territoire musculo-cutané innervé par le
nerf
cubital. La réunion de ces faits assez sembla
ophie, et de troubles de la sensibilité can- tonnés dans la zone du
nerf
cubital. Dans notre observation II, on est frap
la sensibilité qui restent localisés au territoire desservi par le
nerf
cubital. La troisième de nos malades, elle, a d
, et répondant presque absolument à la distri- bution anatomique du
nerf
cubital. Enfin la dernière de nos malades a vu
x de l'articulation du coude et ceux qui sont sous la dépendance du
nerf
radial, étaient faciles. Tous les espaces inter
(névrite), à la suite de la lièvre typhoïde, limité à la région du
nerf
cubital. Si l'on fait abstraction de l'évolutio
ment, quoique prépondérants, d'un côté et se limitant au domaine du
nerf
cubital, enfin ne s'accompagnant d'aucun' . aut
u "pouce du côté droit il pouvait se développer une'névrite dans le
nerf
radial ? ' ` Mais dans' l'observation suivante,
uhital(P1; Il) ? , ' ? > ? ? ' . ' ? , , .. , . v La pression du
nerf
dans la gouttière et tout, le long de. son .traje
long de. son .trajet esl.doiir - loureuse. Dans tout le domaine du
nerf
la sensibilité au tact est diminuée, .elle; est
nas ' a relaté l'observation d'un malade atteint d'une paralysie du
nerf
cubital se montrant douze ans et demi après la co
rdissements, diminution de la sen- sibilité tactile dans la zone du
nerf
. On notait une augmentation du diamètre transve
transversal du coude, l'effacement de la gouttière de réception du
nerf
cubital qui était remplacée par une saillie. Le
e réception du nerf cubital qui était remplacée par une saillie. Le
nerf
pouvait être senti immédiatement sous la peau c
une nodosité fusiforme offrant tous les caractères d'un névrome. Le
nerf
, dans la flexion du coude, se portait de plus e
Panas pense que la gouttière trochléale s'étant trouvée comblée, le
nerf
devint superficiel, et fut exposé, privé ainsi de
l'hérédité dans la pro- 1. Sur une cause peu connue de paralysie du
nerf
cubital {Archives générales de mé- decine, 1878
et de signes de participation des centres nerveux, et le domaine du
nerf
est atteint et seul atteint de troubles que nous
sommes habitués à rencontrer lors des inflammations chroniques des
nerfs
. De plus, quelque peu acceptable que paraisse ci
harcot l'a fait observer, dans l'ataxie locomotrice, le domaine des
nerfs
cubitaux est souvent affecté symétriquement.
hes du plexus lombaire, mais seulement des points desservis par les
nerfs
grand et petit sciatiques. Il est à noter égale
m avait entraîné une anesthésie qui ne débordait pas le domaine des
nerfs
grand et petit sciatiques (branches du plexus sac
art les intensités des courants minima nécessaires à l'excitation des
nerfs
et des muscles étaient extraordinairement grand
nt extraordinairement grandes : pour la Ka SZ dans les dif- férents
nerfs
4,5-6,0 MA, tandis que chez les hommes sains, vig
'établirai, que ce principe peut guérir médiatement les maladies de
nerfs
et immédiatement les autres. « z4' Qu'avec son
és, surtout à gauche. La malade dit n'avoir jamais eu d'attaques de
nerfs
autrefois. En juin, même état : tantôt se cache
- DE LA SUPERPOSITION DES TROUBLES. 125 ratif, sectionné les deux
nerfs
sus-orbitaires pour vaincre un spasme qui relev
es dénis. 11 fait placer des emplâtres au niveau de l'émergence des
nerfs
sus- et sous-orbitaires. En février, elle revie
i'et des injections sous-cutanées de pilocarpine, lui sectionne les
nerfs
sus-orbitaires des deux côtés (20 mai 1888).'
en faisant le pansement, la sensibilité locale dans le domaine des
nerfs
sectionnés. A la suite de la destruction du tronc
ICONOGRAPHIE T. fI PL. XXX BLÉPHAROSPASME HYSTÉRIQUE (SECTION DES
NERFS
sus-orbitaires) L6GROSNI6P ET BABÉ, ÉDITEURS
sse noix étendue sur la selle turcique, comprimant et déplaçant les
nerfs
optiques et'les éminences maxillaires, et s'enrac
andis que les trous de la face pour le passage des vaisseaux et des
nerfs
sont amples, ceux de la base du crâne sont plut
nchée. Si MM. Leloir et Dé- jerine ont pu constater des lésions des
nerfs
périphériques, Radcliff Croekerg pense que cepe
mmeil et sous l'inlluencc de la lires- sion sur certains rameaux du
nerf
facial. Plus tard, il se développa une anesthés
vité considérable. Combien de fois n'a-t-on pas fait la section des
nerfs
sus-orbitaires dans les cas de blépharospasme h
général, les trous qui donnent passage, soit aux vaisseaux, soit aux
nerfs
, sonl agrandis. Les sillons sont plus profonds
découverte de ces faits. Étudiant le^ effets de ce diapason sur le
nerf
acoustique chez les hystériques, je fus surpris,
e la contracture survient par suite d'un réflexe de l'excitation du
nerf
acoustique portée sur le nerf glosso-pharyngien
suite d'un réflexe de l'excitation du nerf acoustique portée sur le
nerf
glosso-pharyngien et les nerfs moteurs de la la
tion du nerf acoustique portée sur le nerf glosso-pharyngien et les
nerfs
moteurs de la langue. Quelle que puisse être d'
état de veille, soit pendant l'état hypnotique, par l'excitation du
nerf
acoustique. Ces contractures sont le produit d'un
t être arrêtés par la flexion du gros orteil ou la compres- sion du
nerf
sous-orbitaire. Le malade, lorsqu'il ne perd pas
dans l'attaque d'hystérie. On peut arrêter l'attaque en pressant le
nerf
sous-orbitaire. Pas de perte de connaissance. L
dégénérescence graisseuse, caséeuse ou tuberculeuse. La plupart des
nerfs
, le pneumogastrique, le glosso-pharyngien, le ple
ée par les organes suivants (fig. 63, 64) : en avant le chiasma des
nerfs
optiques qui est complètement aplati, et forme un
ne hyper- trophie considérable de tous les ganglions et de tous les
nerfs
qui le constituent. Portion cervicale. Le gangl
c nerveux irrégulièrement bosselé. Portion abdominale. - Le grand
nerf
splanchnique gauche, après avoir traversé les p
culaires; en somme, tous les points de passage des vaisseaux et des
nerfs
à la base du crâne sont notablement larges. Q
nt disparu, ainsi que la gouttière qui reçoit l'entrecroisement des
nerfs
optiques. « Les mesures suivantes donnent l'idé
mesure en longueur 3 cent. 2; en largeur, au point d'émergence des
nerfs
trijumeaux, 4 cent. 5. Les gros ganglions centr
particulièrement large, ses parois sont uniformément épaissies. Les
nerfs
crâniens sont en général plus développés que norm
entation de volume est surtout notable pour la 3e paire et pour les
nerfs
optiques. Ces derniers sont comprimés latéralemen
ilatée et forme au-dessus de celle-ci une saillie hémisphérique; le
nerf
optique droit est un peu plus comprimé que le g
se présente sous la forme d'un ruban plat d'un cent. de-largeur; le
nerf
optique gauche est encore arrondi, son diamètre e
Iransporter les membres froids et perclus de cette impotente ? Les
nerfs
et les muscles de la jambe gauche se trouvent t
sympathiques dont l'origine serait le rameau communicant du premier
nerf
dorsal. Ces notions sont intéressantes au point
te du processus gliomateux (origine médullaire ou réelle du premier
nerf
dorsal), si la théorie de l'innervation des mus
us op- tiques sont en somme fort rétrécis, et il est certain que le
nerf
optique y était très comprimé. En dehors du tro
début des accidents) par des vomissements, des sortes de crises de
nerfs
. Elle raconte ainsi sa première attaque : elle
elle des parties voisines. Examen électrique dû à 111. Vigouroux. -
Nerf
sciatique poplité externe inexcitable au creux
r des accidents paralytiques survenant à la suite de compression du
nerf
pris dans le cal'. Dans ce cas, l'étude des défor
muscles exten- seurs de la jambe. Résection du cal et dégagement du
nerf
. Guérison complète. eett- 80 NOUVELLE ICONOGRAP
au niveau de l'articulation tibio-pé- ronière supérieure. Or, le
nerf
sciatique poplité externe, au moment de son passa
sortir de la gouttière de torsion : pourquoi, comme pour ce dernier
nerf
, le froid, la compression, ne pourraient-ils dé
ourraient-ils développer des palalysies des muscles innervés par ce
nerf
; pourquoi la diathèse rhumatismale, seule ou join
t de l'amaigrissement. Rosentha12 rapporte deux cas de paralysie du
nerf
peronetts, de cause inconnue, dans lesquels se
ation cutanée va nous permettre de localiser l'endroit précis où ce
nerf
a été intéressé et la portion du nerf qui a été
aliser l'endroit précis où ce nerf a été intéressé et la portion du
nerf
qui a été le plus touchée. Le nerf sciatique po
été intéressé et la portion du nerf qui a été le plus touchée. Le
nerf
sciatique poplité externe, nerf peroJ1ws des Alle
nerf qui a été le plus touchée. Le nerf sciatique poplité externe,
nerf
peroJ1ws des Allemands, branche externe de bifu
erf peroJ1ws des Allemands, branche externe de bifurcation du grand
nerf
sciatique (fig. 35), après 1. Seeligmiiller, Le
ie. Ber- 1 lin, 1881, p. 480. FiG. 35. Distribution musculaire du
nerf
sciatiquo poplité externo. 1. Nerf sciatique popl
iG. 35. Distribution musculaire du nerf sciatiquo poplité externo. 1.
Nerf
sciatique poplité externe. - 2.3. Nerf lI1uscul
ciatiquo poplité externo. 1. Nerf sciatique poplité externe. - 2.3.
Nerf
lI1usculo-culané. - 4 et 5. Nerf tibial antérieur
sciatique poplité externe. - 2.3. Nerf lI1usculo-culané. - 4 et 5.
Nerf
tibial antérieur. - 5. Rameau du muscle pé- dio
antérieure de la jambe jusqu'au niveau de la mal- léole externe. Le
nerf
saphène interne, branche du crural, innerve la
ce antérieure, et le bord interne du pied. La zone d'innervation du
nerf
saphène interne et celle de la branche cutanée
de la face dorsale et le bord externe du pied sont innervés par le
nerf
saphène externe. Examinons maintenant le tracé
- B. Nerf sapliène interne. - C. Braiielie cu- tanôe péronière. D.
Nerf
tibial antérieur et surtout mesculo-cutané. E.
ne ayant été touchés, on est en droit d'en déduire une lésion de ce
nerf
. Com- ment se fait-il alors qu'une des fonction
sion de ce nerf. Com- ment se fait-il alors qu'une des fonctions du
nerf
, la. sensibilité, ait été abolie dans une dès-b
tilité est abolie pour toutes les deux ? , On sait que, lorsqu'un
nerf
mixte est lésé, la première fonction abolie est
-cutané et cela peut s'expliquer assez facilement. Tout d'abord, le
nerf
a été blessé au niveau de la tête du péroné, pu
che cutanée péronière, qui naît au-dessus, est intacte. De plus, le
nerf
ayant, au niveau du col de la tête du péroné, l
de la jambe : ce sont eux les premiers atteints dans les lésions du
nerf
sciatique. Un fait vient confirmer cette hypoth
au moment même de l'accident au niveau de la partie terminale de ce
nerf
tibial antérieur, à la partie antérieure du pre
me ce fait DES TROUBLES NERVEUX CONSÉCUTIFS. 85 que, lorsque deux
nerfs
s'anastomosent pour innerver une surface cutané
x nerfs s'anastomosent pour innerver une surface cutanée chacun des
nerfs
donne la sensibilité à de petites plaques bien
nées sans ordre au milieu des petites plaques innervées par l'autre
nerf
, en sorte que les endroits sensibles dissé- min
-cutané dont la sensibilité était restée intacte. Cette blessure du
nerf
sciatique poplité externe se trouve notée dans
urs analogue à celui que nous avons rencontré chez notre malade. Le
nerf
se trouve lésé, soit au, moment de la fracture,
e directe; 2° par élongation, dans le cas de fracture indirecte, le
nerf
, adhérent à la tête du péroné, étant entraîné a
roné, étant entraîné avec elle par le biceps; 3° par pin- cement du
nerf
entre les deux fragments. Dans le second cas, i
entre les deux fragments. Dans le second cas, il y a compression du
nerf
pris dans le cal. Pronostic. - Que peut-on dire
soli- dation de sa fracture. ' Quant au pronostic de la lésion du
nerf
sciatique poplité externe, il est loin d'être f
nomènes paralytiques sont sous la dépen- dance d'une compression du
nerf
par un cal, il faut, comme M. Gérard Marchant l
du système nerveux, telles que les altérations de la moelle et des
nerfs
produites par l'alcoolisme, la pachyméningite cer
à vivre. A aucune époque il n'a eu de convulsions ni d'attaques de
nerfs
. État actuel (août 1887). Taille au-dessus de l
e Sylvius. La moelle n'a pas été examinée. Les vaisseaux et les
nerfs
de la base du crâne ne présentaient aucune anom
adhérents au niveau du 1/4 antérieur de leur face interne; que les
nerfs
olfactifs étaient absents ainsi que le corps ca
ré à l'étude des rapports qui peuvent exister entre le cerveau, les
nerfs
et certains vices de conformation, cet auteur .re
s muscles extenseurs, et dont la cause réside dans une paralysie du
nerf
radial. J.-M. CHARCOT (de l'Institut). PAUL
i sont le siège de cette altération trophique par destruc- tion des
nerfs
que l'on appelle causalgie, à cause de la douleur
stait en même temps des irradiations douloureuses sur le trajet des
nerfs
cruraux et sciatiques et des douleurs en ceintu
' l'idée d'un mal de Pott. Les douleurs irradiées sur le trajet des
nerfs
et les troubles vésicaux antérieurs ne suffisent
ll, en rapport avec l'altération de la moelle lombaire. Quant aux
nerfs
articulaires, leur étude n'a fait connaître encor
économie. Ce pouvoir- s'execce-t-il par l'intermédiaire de certains
nerfs
trophiques ? Est-il, au contraire,' placé sous
thies. Arnozan pense à un processus irritatif qui intéresserait les
nerfs
sensibles : l'arthropathie serait, d'après cet
nsibles : l'arthropathie serait, d'après cet auteur, une lésion des
nerfs
périphériques. 1 Ce sont les travaux de MM. Jof
de marche dans l'hémiplégie -, 7, 8. Mascaron du Pont-Neuf, 39.
Nerfs
(distribution des cutanés de la face antérieure
ogie, 1902, n° 21). L'influence des excitations périphériques des
nerfs
sur la pro- duction de l'épilepsie est bien con
ù la provoca- tion est réalisée par l'excitation physiologique d'un
nerf
spécial sont beaucoup plus rares. L'auteur en
s et aux désarticulations semble démontrer que le noyau de certains
nerfs
périphériques qui desservent plusieurs segments,
tions secondaires correspondent habituellement aux segments que les
nerfs
en question desservent. Il y aurait là une preu
re. (Revue neurologique, mai 1901). E.B. VII. L'origine réelle du
nerf
circonflexe ; par les Drs Parhon et GOLDSTEIV.
ien, par la méthode des réac- tions à distance, l'origine réelle du
nerf
circonflexe. Au niveau du 4° segment cervical,
antérieur, antéro-externe, central, externe et postéro-externe. Le
nerf
circonflexe, qui innerve chez l'homme deux musc
formant un noyau bien circonscrit, le groupe externe. Alors que le
nerf
circonflexe a son origine appa- rente commune a
quadrijumeaux et du cervelet), le trou de liagendie, la région des
nerfs
crâniens du quatrième ven- tricule, l'acqueducd
e, 1902, n° 21). Pour expliqner le rôle du grand sympathique et des
nerfs
vagues dans la pathogénie de la maladie de Base
teur admet l'existence, d'une lésion portant à la fois sur ces deux
nerfs
dans la moelle allongée. D'après les expérience
particulier et si le renflement cervico-dorsal névromateux avec les
nerfs
pathologiques du plexus bracliial, ne constitue p
tL et DESCLAUX, envoient une communication sur la participation des
nerfs
oculomoteurs dans les hémiplégies organiques de
au contraire, la surdi-cécité est caractérisée par une atrophie des
nerfs
optiques et acoustiques. Cette double moda- lit
it. Nous passerons successivement en revue chacun des éléments : le
nerf
optique présente une proli- fération très accus
es muscles innervés par le spinal accessoire et quelquefois par les
nerfs
cervicaux supérieurs ; elle se rencontre ordinair
eint son apo- gée en quelques mois. Tous les muscles animés par des
nerfs
ctauio-butbaires peuvent être touchés, la parti
, psammoma- teux, méningite sarcomateuse, infiltration noduiaue des
nerfs
. On peut par suite dénommer l'affection 7zett,o
n le microscope montre que la disposition des lésions au niveau des
nerfs
périphériques est semblable dans les deux altec-
Extrait de la Grèce médicale. \'L1\\AY (Ch.). Les paralysies des
nerfs
périphériques et la systé- matisation de ces ne
s paralysies des nerfs périphériques et la systé- matisation de ces
nerfs
. ln-8° de 192 pages avec 1'3 figures et 2 planche
s, cette même suggestibilité trouve ses facteurs dans la sphère des
nerfs
sensoriaux (délire de rêve). Les autres sympt
ne atrophie à évolution lente. il n'y a pas de lésions marquées des
nerfs
périphériques. Après avoir passé en revue les d
us être contestée. L'origine réelle et le trajet intra-cérébral des
nerfs
moteurs établis par la méthode de la dégénéresc
indirecte. M. A. Van Gehuciiten. Pour établir l'origine réelle des
nerfs
mo- * leurs, nous avons eu recours, dans ces de
es en chromolyse quelques jours après la section expérimen- tale du
nerf
périphérique. Cette méthode n'est pas à l'abri de
pas un phénomène constant, puisque, entre nos mains, la section des
nerfs
spinaux n'a jamais été suivie de la chromolyse
que nous avons établi antérieurement : c'est que l'arrachement d'un
nerf
moteur est suivi, au bout de vingt-cinq à trent
cette dégéné- rescence wallérienne des fibres du bout central d'un
nerf
arraché, dégénérescence contraire à la proposit
de il suffit d'ar- racher, sur le lapin par exemple, n'importe quel
nerf
moteur spi- nal ou crânien, de laisser survivre
nsi : 1° établir les masses grises en connexion avec les différents
nerfs
r 2° résoudre la question encore si discutée de
e de l'exisleuce ou de la non-existence de fibres croisées dans les
nerfs
périphériques. Nous avons appliqué cette méthod
erfs périphériques. Nous avons appliqué cette méthode à l'étude des
nerfs
spinaux et de tous les nerfs moteurs crâniens,
s appliqué cette méthode à l'étude des nerfs spinaux et de tous les
nerfs
moteurs crâniens, à l'exception du trijumeau et
us, vous montreront les résultats obtenus. 334 SOCIÉTÉS SAVANTES.
Nerf
oculo-moteur commun. Les fibres radiculaires prov
), ni par le faisceau longitudinal postérieur du noyau d'origine du
nerf
VI (con- tra Duval et Laborde). Nerf pathétiq
érieur du noyau d'origine du nerf VI (con- tra Duval et Laborde).
Nerf
pathétique. Toutes les fibres proviennent du noya
valvule de Vieussens ; un 'petit nombre de fibres sont directes.
Nerf
oculo-moteur externe. Toutes les fibres radiculai
nom de « noyau de Van Gehuchten », appartient donc réellement au
nerf
VI et non pas au nerf VII comme le pensent Siemer
an Gehuchten », appartient donc réellement au nerf VI et non pas au
nerf
VII comme le pensent Siemerling et Hoedeker, Gi
sent Siemerling et Hoedeker, Gianulli, Bach, Wyrubow et d'autres.
Nerf
facial. Le tronc du nerf facial est formé exclusi
eker, Gianulli, Bach, Wyrubow et d'autres. Nerf facial. Le tronc du
nerf
facial est formé exclusivement de fibres direct
des auteurs considèrent comme représentant les fibres croisées du
nerf
facial, n'appartient pas au nerf de la septième p
eprésentant les fibres croisées du nerf facial, n'appartient pas au
nerf
de la septième paire. Il n'est pas formé de fib
hé, des fibres constituantes du faisceau longitudinal postérieur.
Nerf
pneumogastrique. Les fibres motrices du nerf pneu
ngitudinal postérieur. Nerf pneumogastrique. Les fibres motrices du
nerf
pneumo- gastrique sont toutes des fibres direct
noyau ambigu, conformément à nos observations, publiées en 1898.
Nerf
accessoire de 11'illis. Nous avons établi, dans u
vons établi, dans un travail antérieur, que les fibres bulbaires du
nerf
de Willis appartiennent en réalité au nerf pneu
les fibres bulbaires du nerf de Willis appartiennent en réalité au
nerf
pneumogastrique. Le nerf de la onzième paire do
nerf de Willis appartiennent en réalité au nerf pneumogastrique. Le
nerf
de la onzième paire doit donc être considéré co
érieurs, jusque dans la partie externe de cette même corne grise.
Nerf
hypoglosse. Les libres radiculaires proviennent d
essoire de Roller ne donne pas origine à des fibres radiculaires.
Nerfs
spinaux. Après arrachement du plexus brachial ou
laires. Nerfs spinaux. Après arrachement du plexus brachial ou du
nerf
sciatique, on voit de nombreuses fibres radiculai
us pouvons en conclure que les fibres motrices continues dans les
nerfs
correspondants, sont exclusivement des fibres cro
s. De l'ensemble de nos recherches se dégage cette conclusion : les
nerfs
moteurs périphériques sont tous formés de fibre
de fibres exclusivement directes. Il n'y a d'exception que pour le
nerf
pathétique, qui est formé essentiellement de fi
étique, qui est formé essentiellement de fibres croisées et pour le
nerf
ocu/o-ntoew commun qui renferme à la fois des fib
tion. Est-ce à la compression ae la tumeur sur les vaisseaux et les
nerfs
du cou, ou plutôt au résultat du mauvais fonction
Bruxelles). Les muscles mis en état de dé- générescence (section du
nerf
) présentent des modifications histo- logiques q
histologiquemeut, pas plus chez l'embryon que chez l'adulte. · Le
nerf
périphérique n'est pas le prolongement d'une cell
qu'on l'a soutenu. En effet, d'une part, le bout périphérique d'un
nerf
sectionné subit une régression cellulaire, cons
Si nous écoutons un mot parlé, quelclues fibrilles termi- nales du
nerf
acoustique reçoivent de même un courant, et celui
s cellules de l'écorce du lobe temporal, etc. Mais les fibrilles du
nerf
optique sont interrompues dans leur voie vers l
cellules des noyaux de la couche optique; de même les fibrilles du
nerf
acoustique,ont une discon- tinuité par les cell
es circonvolutions centrales; dans la partie qui forme le centre du
nerf
gtosso-pharyngien et voici le résultat i SOCIÉT
est aussi à retenir. Ils sont strictement limités au territoire du
nerf
facial, Ils peuvent ne pas s'étendre -sur tout
r tout ce domaine, mais jamais ils n'empiètent sur celui d'un autre
nerf
. La crise peut durer un ins- tant ; mais les cr
différentes altérations que subissent la rétine, la pa- pille et le
nerf
optique. La tétine présente des altérations dif
ent abondantes que les fibres ner- veuses ne sont plus visibles. Le
nerf
optique présente les mêmes altérations que la p
^trie et nez bien conformés. Le bulbe rudimentaire portait tous les
nerfs
crâniens habituels avec leurs noyaux jusqu'au trl
points en question. Dans la sciatique, alors que l'on presse sur le
nerf
malade, elle s'élève de 25 et de 30 millimètres
à la myélite chronique de la femme. à quelques faits d'atrophie du
nerf
auditif et du nerf optique. Seulement on ignore
ique de la femme. à quelques faits d'atrophie du nerf auditif et du
nerf
optique. Seulement on ignore l'essence de la st
paire, REVUE D' ANATOMIE ET DE PHYSIOLOGIE PATHOLOGIQUES. 435 des
nerfs
oculomoteurs et de la branche frontale du facial,
és de nombre. sont çà et là disposés en files, en chai- nettes. Les
nerfs
périphériques et les racines antérieures ou posté
t incontinent sur les dimensions de la rate et leur rythme. 12° Les
nerfs
vagues ne livrent passage à aucun conducteur cen-
n lié les artères spléniques. 18° Quand on a complètement coupé les
nerfs
spléniques, l'attaque épileptoïde détermine encor
Il existe assez souvent un degré plus ou moins avancé d'atrophie du
nerf
optique ; la diminution de la vision, et la réduc
t un certain arrangement des impressions dans le labyrinthe et le
nerf
auditif, mais en raison de la structure de ces or
même que, dans tout mouvement, l'action combinée des muscles et des
nerfs
facilite la répétition de ce mouvement, de même
ion est une sorte de privilège que les chirurgiens, opérant sur les
nerfs
péri- phéi-i(liies,'eoiinaissentdepiiis longtem
à-dire qu'elle est en partie directe et en partie croisée. « Chaque
nerf
acoustique est en rapport avec les deux aires a
nes nerveux. M. DURANTP présente les pièces d'un cas de section des
nerfs
de l'avaut-bras dans lequel le bout périphériqu
cylindraxe ne serait pas un produit de la cellule nerveuse, et le
nerf
périphérique ne serait pas issu par bourgeonnemen
it ainsi très exactement toute l'étendue des noyaux d'ori- gine des
nerfs
moteurs du tronc et des membres. Ces noyaux sont
ganglionnaire, comme on le croit communément. L'origine réelle des
nerfs
du tronc et des membres est tout à fait distinc
le des nerfs du tronc et des membres est tout à fait distincte; les
nerfs
du tronc ont leur origine dans la colonne inter
fs du tronc ont leur origine dans la colonne interne motrice et les
nerfs
des membres dans la colonne latérale. (L'auteur
érieure du quatrième cervical. où elle se continue avec le noyau du
nerf
spinal; la colonne interne 538 NÉCROLOGIE. mo
510. Nécrologie. CI. Philippe. 538. Négativisme. Voir Aliénés.
Nerf
. L'origine réelle du circon- llexe, par et Gold
c parait normale. Les différentes parties delà base de l'encéphale,
nerfs
, artères, etc., sont symétriques. La glande pin
hiasma optique, englobant les bandelettes optiques, le chiasma, les
nerfs
optiques, les nerfs olfactifs, ceux-ci et ceux-
obant les bandelettes optiques, le chiasma, les nerfs optiques, les
nerfs
olfactifs, ceux-ci et ceux-là sont comprimés et
nce, la prédo- minance des lésions dans la région du chiasma, des
nerfs
optiques et olfactifs. Rappelons que l'hémis- p
vie un peu indurée. Quatrième ventricule : rien de particulier. Les
nerfs
de la base de l'encéphale sont symétriques. Les
ticulier. Les nerfs de la base de l'encéphale sont symétriques. Les
nerfs
optiques sont très atrophiés, gris, vitreux, du
aux. Les bandelettes optiques sont encore plus atrophiées que les
nerfs
. Les tubercules mamillaircs sont égaux. Hémisph
eur maximum à la base, au niveau et au pour- tour du chiasma et des
nerfs
optiques, atrophiés et scléreux à un degré très
e part, et d'autre part, sur l'absence de lésions dégénératives des
nerfs
et des muscles et aussi sur l'existence de quel
s effets toxiques aigus, dans le cerveau, la moelle épinière et les
nerfs
. Son emploi, tels que coma ou delirium tremens,
2 gr. ; le lobe gauche pesant 'il l;r. et le lobe droit 69 gr. Le
nerf
optique droit est atrophié et réduit dun tractus
hié et réduit dun tractus mince d'as- pect transparent ; les autres
nerfs
crâniens ne diffèrent pas mimis- IMBÉCILLITÉ
ti- que, ou le petit liyhnostisme,lequel a pour but de calmer les
nerfs
. Il donna donc raison à l'Ecole de Nancy. Ainsi
, quatre ou sept, pourvu que l'hypnotisme thé- rapeutique calme les
nerfs
et ramène l'équilibre perdu. Parfois le sommeil
créu ou même de toute la moelle ; e) par l'action réflexe de grands
nerfs
sensitif (sciatique, splanchnique, médian, crur
, de toute la périphérie sensible du corps ; f) par l'irritation du
nerf
erec- teur appelé aussi sacré, érecteur sacré,
elé aussi sacré, érecteur sacré, hypogastrique sacré ou médullaire,
nerf
pelvien ; g) à un moindres degré, par l'action di
, lente ; peu importe que, comme dans la dégénérescence moyenne, le
nerf
et le muscle réagissent au courant faradique et
éleclrolyliques capables d'agir favorablement sur les muscles et
nerfs
paralysés. C'est une thérapeutique a examiner. :
lon le nombre des interruptions de l'appareil. Dans KaS Te venue du
nerf
, il y a un son musculaire comme dans la tétani-
XXI. L'inéquivalence biologique de la racine posté- rieure et du
nerf
sensitif périphérique ; par G. KOESTER, (Xcurol
ation d'une partie du bout périphérique. Résection chez le lapin du
nerf
va- gue au-dessous du ganglion jugulaire. Du 9°
ection chez chats, chiens, lapins, des racines postérieu- res ou du
nerf
vague au-dessus du ganglion jugulaire. L'atrophie
eure, séparée du centre, est, contrairement à ce qui a lieu pour le
nerf
sensitif périphérique, incapable de 1'(0- cupér
qu'elle s'observe sur de nombreuses cellules après laséparation du
nerf
périphérique. P. Keraval. XXII. - Hypotonie et
et que, sans naturellement nier lu rapport intime qui rattache, le
nerf
au muscle, faut reconnaître au mus- de même une
iqueront-elles les psychoses dites sympathiques. L. WAHL. XXIV. Les
nerfs
articulo-moteurs 'des membres, leur triple acti
t, allongement, fixation. Contraction stérile de stabilisation. Les
nerfs
physiologiques défi- nis par leur unité fonctio
par leur unité fonctionnelle et leur centre cortical substitués aux
nerfs
anatomiques définis par leur si- tuation topogr
ux. L'éminent clinicien de Montpellier remarque que la notion des
nerfs
articulé-moteurs est presque déjà classique lorsq
e d'unité physiologique entre ces deux groupes musculaires et leurs
nerfs
. Mais il y a plus, l'exercice de certains mouve
de résistance et de stabilisation. Or celte unité physiologique du
nerf
, qui n'est jamais réalisée à la périphérie, exi
et l'auteur dresse des tableaux que nous nu pouvons reproduire des
nerfs
ar- (le la hanche, du genou, du la cheville, de
de neurologistes français et étrangers et non des moindres. Chaque
nerf
articulo-rnoteur a une origine encépha- lique e
centre neuroni- que d'individualisation : c'esL là seulement que le
nerf
du segment sensitif aussi bien que le nerf arti
'esL là seulement que le nerf du segment sensitif aussi bien que le
nerf
articulo-moteur ont leur véritable centre d'act
eur véritable centre d'action. 11 faut donc substituer la notion du
nerf
physio- logique cortical à celle du nerf anatom
nc substituer la notion du nerf physio- logique cortical à celle du
nerf
anatomique périphérique cl con- sidérer success
nt l'appareil nerveux du psychisme supérieur et inférieur,celui des
nerfs
articulo-moteurs et segmcnto-sensitifs des memb
ERAVAL. XXIX, Contribution à la biologie de la dégénérescence des
nerfs
; résultats d'expériences de transplantation ;
l ou transplanté sur un autre. Or la dégé- nérescence du morceau de
nerf
ainsi isolé est presque la règle dans Us 4 jour
te que, plusieurs jours après leur transplantation, les morceaux de
nerfs
ne présentent d'altération degeneratho ni des g
THOLOGIQUES. dons, c'est-à-dire des transplantations du morceaux de
nerfs
d'un animal à un autre d'une autre espèce. Co
espèce. Conclusions. Dans l'auto el rhoino-lraiisplaiilation, le ?
nerfs
peuvent en quelque sorte survivre il l'isolemen
érescence, le processus de régression qu'on y trouve est celui d'un
nerf
vivant. C'est au contraire un processus de necrn-
t. C'est au contraire un processus de necrn- ltiose qui atteint les
nerfs
soumis il l'hetero-transptantation. Il semble q
premier cas le contact du tissu vivant, pré- servant le morceau de
nerf
, le rende apte a la dégénérescence, tandis que
d'autre pari : on a plongé avant transplantation les morceaux de
nerfs
clans une solution salée il la température du cor
s. On a revêtu d'une mince couche de collocliomlepetifo morceaux de
nerfs
avant l'auto-transplantation : ils n'ont pas dé
par l'intermédiaire des libres du corpi Irapé- zoïde qui relient le
nerf
cocbléaire au facial (Bechlerevvl . Utilisation
ciale d'origine centrale. Il est aug- menté dans Dtyperestttésie du
nerf
auditif qui parfois succède à une atfectioftcat
nerf auditif qui parfois succède à une atfectioftcatarriiaie de eu
nerf
. Il est également exagéré quanti les autres réf
ique. M. Comte rapporte deux cas typiques dans lesquels seuls les
nerfs
bulbaires présentèrent des lésions du névrite anc
ellule nerveuse il. l'état normal et il. la suite des lé- sions des
nerfs
; par PARIAN ! . (Rivista di pathologia nervosa e
IV. -L'importance du voltage initial dans l'examen élec- trique des
nerfs
sensitifs ; par Gramegna et Segrk. (Rivista di
outissent aux conclusions suivantes : 1° A égalité d'intensité, les
nerfs
sensitifs sont diversement excités suivant la v
acts et comparables, dans l'examen galvanique de l'excitabilité des
nerfs
sensitifs, il esl nécessaire de noter le voltage
e différenciée. G. C. XXX, - Névrite inflammatoire tuberculeuse des
nerfs
optiques ; par M. L. ! )oR. (Soc. de med. de Ly
GRAPHIE. le diagnostic précoce de l'arttrin-·cli·rnse crt·boalc. Le
nerf
yo- tique subit aussi parfois l'atropine conséc
ive à l.al'lél'io-scll'I'o,1' de l'artercopthalmique, comprimant le
nerf
en dedans du canal optique. Les altérations sub
dedans du canal optique. Les altérations subies par la rétine et le
nerf
optique se traduisent par une diminution du l'a
centes granulo- graisseusus des cellules et des fibres, név roglie,
nerfs
périphériques. On conçoit le temps considérable
nt au centre de Marinesco pour les muscles antérieurs du bras et le
nerf
IllU5Culo-cut,ané. bl Lp : : i altérations sont
ation du ganglion de Casser qui supprime toute conductibilité de ce
nerf
laisse subsister la contraction de l'orbi- cula
e l'oculomoteur commun porte en l'espèce sur toutes les branches du
nerf
du côté gauche ; il y a pa- ralysie totale du s
s sensibles sont interrompu ? telles les lé- sions traumatiques des
nerfs
, les myélites, les affections en foyer de la mo
nsi dans les cas où il y a lésion du plexus cervical ou de nombreux
nerfs
du membre supérieur qui frappe tous le biceps,
pour cela sur les faits suivants : 10 Toute lésion qui porte sur le
nerf
moteur oculaire externe depuis son orgine réell
e noyau de la \'le paire, pour aller se 'mettre en relation avec le
nerf
du droit in- terne du côté opposé : 3e Griine
du pied d'une demi-heure de durée et ayant cause une élongation du
nerf
. Compression radiculaire par projectile. MM.
de la tète et des yeux dans une fracture du crâne. Régénération des
nerfs
. M. Médéa (de Milan), dans ses expériences sur
après destruction parl'éther, n'a jamais vu d'aulo-régénération du
nerf
, mais pénétration de la cicatrice par fibrille ve
rt avec ce centre, demeure normal. Après section de la moelle et du
nerf
sciatique chez des lapins et des chiens, et l'é
cellule qui, mise en état de réaction à distance par la section du
nerf
périphérique, est en même temps soustraite aux in
par la section transversale de la moelle au-dessus de l'origine du
nerf
sur lequel on a opéré. Leurs expériences ont ét
de la - nerveuse à l'état normal et il la suite des lésions des
nerfs
, par Pariant, 207. Des groupes de - motrices du
par Ohregia, Parhon et rlorian, 54. Nécrologie, 234, 235, 236.
Nerf
. L'inéquivalence biologique de la racine postér
ques, par Ia- roschewski, 146. ' inflam- matoire tuberculeusb des
nerfs
optiques, par Dor, 217. alcoolique avec gangr
e. Queue de cheval. oir Laminec- tonie. Racine postérieure Voir
Nerf
. Rage. Altération spéciale nucléaire dans la
lus graves, par Bourneville, 241, 380, 460. Transplantation. Voir
Nerf
. Tremblement intentionnel limité du membre su
Voltage. L'importance du ini- tial dans l'examen électrique des.
nerfs
sensitifs, par Grarne- gna et Segre, 268. Vom
les d'une interprétation facile. Ire Livraison Pl.3. MALADIES DES
NERFS
GANGLIONNAIRES . MALADIES DES NERFS GANGLIONNAI
Livraison Pl.3. MALADIES DES NERFS GANGLIONNAIRES . MALADIES DES
NERFS
GANGLIONNAIRES. Transformation fibreuse et déve
ouver rigoureusement, tellement qu'on a pu lui disputer sa qualité de
nerf
. Fig. i. Au-devant de la colonne cervicale, sur
aient de son extrémité inférieure. Je présume que l'un d'eux était un
nerf
cardiaque. Ils avaient été coupés de la manière q
ait, a la voir en position, qu'elle n'a aucune communication avec les
nerfs
cervicaux qu'elle cache ; seulement il se détache
cet égard, en nous montrant les connexions de ces ganglions avec les
nerfs
cervicaux. Ici les ganglions ont été portés en de
) partent, de haut en bas, i° un filet a qui va s'anastomoser avec le
nerf
carotidien fourni par le ganglion cervical supéri
s autres, plus internes et plus postérieurs, se plaçant en devant des
nerfs
de la huitième et de la neuvième paires, m'ont pa
xième ganglion thoracique qui ne dépasse pas le volume ordinaire3 des
nerfs
cardiaques très-volumineux ne, ne, qui embrassent
les; ce sont les vésicules ou cellules, c'est la substance grise; les
nerfs
proprement dits comprimés ont disparu, et des gan
l'opinion émise à prioripar quelques physiologistes sur l'origine du
nerf
grand sympathique, qu'ils font sortir comme par u
, et même du caractère de ces phénomènes dans l'immense quantité de
nerfs
ganglionnaires que reçoit le rein, nerfs ganglion
s dans l'immense quantité de nerfs ganglionnaires que reçoit le rein,
nerfs
ganglionnaires auxquels viennent s'ajouter des fi
nous explique encore jusqu'à un certain point, par la communauté des
nerfs
, cet accès d'asthme sympathique, évidemment nerv
chose que le tissu cellulaire qui unit les artères, les veines et les
nerfs
. Suivant Mascagni, les vaisseaux lactés naissent
rtère poplitée : toutes les parties molles et dures, artères, veines,
nerfs
, aponévroses, muscles, ligamens, cartilages artic
et avait perdu une partie de cet aspect nacré qui la caractérise. Les
nerfs
qui se rendaient aux muscles étaient extrêmement
u jumeau interne, le premier ayant seul passé à l'état graisseux. Les
nerfs
musculaires, les nerfs sciatiques, le poplité int
emier ayant seul passé à l'état graisseux. Les nerfs musculaires, les
nerfs
sciatiques, le poplité interne principalement éta
mée, d'un viscère aussi abondamment pourvu de vaisseaux et surtout de
nerfs
ganglionnaires que la rate? On me demandera peu
commissure optique distendue établissait ses limites antérieures. Les
nerfs
de la troisième paire 3e P, ceux de la cinquième
ies comme de coutume, et conséquemment les séparait de la tumeur. Les
nerfs
moteurs communs et trijumeaux, bien qu'enveloppés
distendait le ruban optique que j'ai coutume d'appeler commissure des
nerfs
optiques CO, CO. Le chiasma était très-allongé; l
mmissure des nerfs optiques CO, CO. Le chiasma était très-allongé; le
nerf
optique droit NO était dans l'état naturel; le ne
très-allongé; le nerf optique droit NO était dans l'état naturel; le
nerf
optique gauche NO' étaitcomme épanoui. On voyait
uche NO' étaitcomme épanoui. On voyait i° une partie des fibres de ce
nerf
NO' se continuer avec la moitié gauche 11° livr
on de la trachée. La figure 3 est surtout destinée à représenter le
nerf
pneumo-gastrique gauche N. 8 et ses rapports avec
eur. A combien d'accidens ne doit pas donner lieu la compression d'un
nerf
aussi important. VO est la veine sous-clavière ga
issus qu'elle rencontre, tissu cellulaire, poumon, plèvre, péricarde,
nerfs
, os, cartilages, muscles. D'une autre part, les p
e comme un gros cordon nerveux destiné à répondre lui seul à tous les
nerfs
de l'économie, pour transmettre en définitive au
faisceaux antérieurs ou sur les faisceaux postérieurs. La section des
nerfs
pneumo-gastriques à leur origine a produit de sui
ement de bas en haut; probablement la portion de moelle qui répond au
nerf
diaphragmatique, ou peut-être encore celle qui ré
malade qui m'indiquait parfaitement le trajet et les ramifications du
nerf
cubital. Un autre avait une paralysie de tous les
pied, et s'était donné plusieurs entorses. Chez d'autres, c'était le
nerf
sciatique et toutes ses divisions, ou bien seulem
men; la douleur, fixée d'abord aux lombes, au niveau de l'origine des
nerfs
lombaires et sacrés, ou mieux du bulbe raehidien
diennes. « Entre l'origine de la cinquième et de la sixième paire des
nerfs
cervicaux, petit épan-«. chement sanguin de la gr
n arrière. Les plus petits et les plus déformes sont TC, TC, TC". Les
nerfs
intercostaux correspondans devaient être comprimé
jamais je n'ai vu manquer les trous de conjugaison : la présence d'un
nerf
et d'un vaisseau, ces parties fondamentales de l'
s les trous de conjugaison étant destinés à la fois et au passage des
nerfs
et aux communications des veines intra-rachidienn
avec les veines extra-rachidiennes, on conçoit que la compression des
nerfs
intercostaux, d'une part, doive gêner l'action de
use remplie par une matière blanche, grumeleuse, caséiforme. Les deux
nerfs
grands sympathiques étaient situés dans l'épaisse
te poche; ils étaient remarquables par le volume des ganglions et des
nerfs
de communication, soit de ces ganglions entre eux
ication, soit de ces ganglions entre eux, soit des ganglions avec les
nerfs
intercostaux. Leur tissu était très-dense, demi-t
ement, interceptaient, par leur rapprochement un canal protecteur des
nerfs
et des vaisseaux intercostaux. Je suis persuadé
ement des deux frag-mens qu'avait pu se loger la queue de cheval. Les
nerfs
qui la constituent paraissaient comprimés et moin
e d'étranglement qu'ils avaient éprouvé au niveau de la luxation, les
nerfs
paraissaient reprendre leur volume naturel. Du
ient épaissis et lardacés, et je ne pus y découvrir « aucune trace de
nerfs
. Le muscle aryténoïdien et ses nerfs étaient au c
us y découvrir « aucune trace de nerfs. Le muscle aryténoïdien et ses
nerfs
étaient au contraire bien conservés. Ces der-a ni
rganisation complète des muscles dilatateurs de la glotte et de leurs
nerfs
, tandis que ses muscles constricteurs jouissaient
se trouvait dans le même cas que les animaux auxquels on a coupé les
nerfs
de la huitième paire au-dessous du nerf laryngé s
maux auxquels on a coupé les nerfs de la huitième paire au-dessous du
nerf
laryngé supérieur ; il devait mourir asphyxié. L'
vec des sens plus ou moins aptes à recevoir les impressions, avec des
nerfs
plus ou moins aptes à conduire ces impressions, a
avec la membrane également très-dense qui tapissait le ventricule. Le
nerf
optique droit était atrophié en deçà du chiasma,
u chiasma, et, chose bien remarquable, au-delà du chiasma, c'était le
nerf
optique gauche. Un cordon grisâtre très-dense rem
che. Un cordon grisâtre très-dense remplaçait la commissure molle des
nerfs
optiques. Tout était sain dans l'hémisphère droit
des circonvolutions, se rendaient à d'autres points : on eut dit des
nerfs
proprement dits. L'hémisphère gauche est atrophié
isphères. Les tubercules quadrijumeaux étaient sains, et cependant le
nerf
optique était atrophié du côté gauche; et au-delà
ique était atrophié du côté gauche; et au-delà du chiasma, c'était le
nerf
optique du côté droit; preuve bien évidente que l
e que les tubercules quadrijumeaux ne sont point l'origine réelle des
nerfs
optiques, et qu'il y a entrecroisement au chiasma
J'en trouvai jusque sous le repli de l'arachnoïde qui accompagne les
nerfs
trijumeaux dans le canal fibreux formé par la dur
qui se prolongeait le long des deux scissures de Sylvius, autour des
nerfs
optiques qu'elle comprimait, autour de la protubé
ion de la conjonctive me paraissent le résultat de la compression des
nerfs
optiques par la formation de la pseudo-membrane d
pseudo-membraneuse, d'où est résultée la compression de l'origine des
nerfs
optiques et des nerfs moteurs communs; je diagnos
où est résultée la compression de l'origine des nerfs optiques et des
nerfs
moteurs communs; je diagnostiquai aussi une hydro
surface interne de la tumeur. La moelle épinière et les racines des
nerfs
spinaux sont enveloppés de tous côtés par un pus
s latéraux parfaitement distincts ; chaque cordon donne naissance aux
nerfs
de son côté par une double rangée de racines. Une
ibre, de chaque fibrille. Quel que soit donc le tissu divisé, muscle,
nerf
, cerveau, poumon, foie, etc., la cicatrice est to
que l'influx nerveux peut se transmettre à travers les cicatrices des
nerfs
. Une foule d'expériences directes et d'observatio
anatomiques m'ont au contraire prouvé que lorsque la continuité d'un
nerf
, comme d'ailleurs celle de tout autre tissu, a ét
ndamment pourvue de vaisseaux artériels et veineux, recevant quelques
nerfs
propres, tapissée à sa face interne par l'arachno
térieur du rocher entraînent la surdité, parce qu'elles compriment le
nerf
auditif. Je n'ai pas observé de symptômes particu
ement dans le cerveau, était rapportée à l'extrémité périphérique des
nerfs
, tout comme dans d'autres circonstances la douleu
s d'autres circonstances la douleur dans l'extrémité périphérique des
nerfs
est rapportée au cerveau (*), Du reste, on voit
t Oppert rapportent chacun un fait analogue. Sans nier l'influence du
nerf
de la cinquième paire sur l'olfaction comme sur l
par l'anatomie, que l'olfaction est sous la dépendance immédiate des
nerfs
olfactifs. Tumeur carcinomateuse sous-arachnoïd
La malade ne paraissait pas jouir de l'olfaction, et cependant les
nerfs
olfactifs étaient parfaitement sains. Dirons-nous
es molles, ligamens, tendons, muscles, tissu cellulaire, vaisseaux et
nerfs
, immédiatement après la luxation; i° les rapports
du tendon du biceps, de l'artère brachiale, des veines brachiales, du
nerf
médian, et même de la peau, à travers laquelle s'
, soit en lavement, en assoupissant, si je puis m'exprimer ainsi, les
nerfs
intestinaux, comme tous les autres nerfs, calme l
e puis m'exprimer ainsi, les nerfs intestinaux, comme tous les autres
nerfs
, calme l'irritation déjà existante, et s'oppose à
n de cette dégénération, il faudrait déterminer ce que deviennent les
nerfs
et les vaisseaux des organes ainsi transformés; j
tures d'entrée et de sortie. L'humérus était intact, les vaisseaux et
nerfs
principaux du membre paraissaient également avoir
es mouvemens ; car le bulbe raehidien tient sous sa dépendance et les
nerfs
qui naissent à son niveau, et tous ceux qui naiss
ganglions du grand sympathique, les ganglions inter-verté-braux, les
nerfs
pneumo-gastriques, le système nerveux tout entier
masses à la surface interne des membranes pie-mère et arachnoïde. Les
nerfs
olfactifs étaient atrophiés. A peine vestige de l
, se voient les corps striés, CS, C S , qui sont très volumineux; les
nerfs
olfactifs, NOL, NOL, qui en partent; les plexus c
rotubérance, P ; les pédoncules, les éminences mamillaires, E M ; les
nerfs
optiques, NOP; les corps striés, CS ; les nerfs o
amillaires, E M ; les nerfs optiques, NOP; les corps striés, CS ; les
nerfs
olfactifs, NOL, NOL, qui en partent; les membrane
les inférieures ont un peu moins de capacité que de coutume. Tous les
nerfs
avaient leur volume normal, et sortaient par les
es, ayant le volume d'un pois ; sur l'une d'elles, se trouvait un des
nerfs
de la » quatrième paire. Les tubercules quadrijum
es antérieures se terminaient dans les pédoncules cérébraux. )) Des
nerfs
cérébraux, on ne peut distinguer que les origines
nt été par un autre que » M. Combette, l'origine des autres paires de
nerfs
n'a pas été déterminée). Les artères vertébrales
enlevée, nous avons vu la tumeur herniaire qui était très petite. Le
nerf
et les vaisseaux sous-pubiens, IS V, étaient situ
ous-pubiens, IS V, étaient situés à son côté externe et antérieur, le
nerf
en avant, les vaisseaux en arrière: le muscle obt
ation de la tumeur au-dessous du muscle pectine, ses rapports avec le
nerf
et les vaisseaux sous-pubiens qui ne se trouvent
artent les racines nerveuses R N qui vont constituer les ganglions et
nerfs
sacrés. La fig. 4' offre les mêmes détails, mai
fig. 3' : de cette tumeur naissent les filets d'origine des derniers
nerfs
lombaires et des nerfs sacrés, filets d'origine q
eur naissent les filets d'origine des derniers nerfs lombaires et des
nerfs
sacrés, filets d'origine qui se rendent à des gan
partent et les branches postérieures et les branches antérieures des
nerfs
correspondants. La fig. 4 représente la moelle
mation de ces tumeurs, et sur-tout la disposition de la moelle et des
nerfs
à leur niveau, sans admettre une adhérence préala
mollie , et devenue partie constituante de la tumeur , naissaient les
nerfs
, que j'ai trouvés quelquefois plus développés que
ans le spina bifida qui occupe la région sacrée, ce n'étaient pas les
nerfs
sacrés ou la queue de cheval qui allaient se conf
ont été déjà signalées par plusieurs observateurs. La disposition des
nerfs
avait été notée par Tulpius , le créateur du mot
e par Tulpius , le créateur du mot spina bifida , qui raconte que les
nerfs
dispersés dans la paroi de la tumeur, avaient cha
erveux libres (névralgie rhumatismale proprement dite), soit dans les
nerfs
musculaires, lorsque la douleur occupe les muscle
ur occupe les muscles eux-mêmes (névralgie musculaire), soit dans les
nerfs
cutanés, ou sensoriaux, ou viscéraux, quand la do
qu'une dissection attentive m'a démontrées n'être autre chose que des
nerfs
diaphragmatiques gauches. Les intestins contenu
ière tuberculeuse était déposée autour de l'origine de la plupart des
nerfs
crâniens. Dans ce cas, l'encéphale était parfaite
cle des tissus celluleux, fibreux, cartilagineux et osseux. Jamais un
nerf
, un muscle , et à plus forte raison un bulbe dent
cale antéro-postérieure qui montre les tendons fléchisseurs TF, et le
nerf
médian N intacts et libres au milieu de la dégéné
es arcs latéraux et les trous de conjonction par lesquels passent les
nerfs
cervicaux, à ces traits : on reconnaît un spina b
le 26 juillet i834, douleurs névralgiques qui occupent le trajet des
nerfs
temporaux, sous-orbitaire, dentaire et facial du
ait pénétré dans le crâne par la fente sphénoïdale, et comprimait les
nerfs
maxillaires supérieur et inférieur de la cinquièm
rvations de Charles Bell on s'attache beaucoup trop à trouver dans le
nerf
facial lui-même les causes des hémiplégies facial
ors à travers le stenum perforé; poches anévrysmales; interruption du
nerf
pneumogastrique ¿auche; rupture de l'aorte. Obser
Maladies de la peau. Productions cornées............. Maladies des
nerfs
ganglionnaires. Transformation fibreuse et dévelo
les faits pathologiques, n'ont pas été anatomi-quemenf démontrés. Les
nerfs
suivent les vaisseaux. Si, partant de cette étu
e la notion de position. — Affaiblissement de la vue. — Paralysie des
nerfs
moteurs à gauche. — Doideurs dans les mem- bres
ne bonne santé. Aucun membre de la fa-mille n'aurait eu d'attaques de
nerfs
. Le B... n'aurait eu dans l'enfance ni gourmes,
ns le tissu cellulaire sous-cutané une des branches superficielles du
nerf
sciatique poplitc externe aboutissant à la plaie
se trouve aussi sectionnée au même endroit. — Les autres vaisseaux et
nerfs
de la région sont intacts. De l'orifice d'entré
oduit en conséquence de l'amputation d'un membre ou de la section des
nerfs
qui s'y rendent1. La lésion des cornes antérieu
la moelle épinière, soit par lésion du sciatique, soit par lésion des
nerfs
des membres inférieurs; sur la zone épileptogène,
etc. — Signalons encore une note relative aux fonctions gustatives du
nerf
lingual, par J.-L. Prévost ; quelques expériences
ouvent une lésion congestive et plus tard alrophique de la papille du
nerf
optique. — Les lésons du nerf optique produites p
t plus tard alrophique de la papille du nerf optique. — Les lésons du
nerf
optique produites par les maladies de la moelle s
éflexe ascendante con-gestive et elles se font par l'intermédiaire du
nerf
grand sympa-thique. — La présence d'une hypérémie
médiaire du nerf grand sympa-thique. — La présence d'une hypérémie du
nerf
optique, de la diffusion rougeâtre de la papille
uent aux muscles et au tissu cellulaire sous-cutané. Les principaux
nerfs
de l'avant-bras avaient leurs représentant s qui
à une iritis, à une pa-ralysie partielle de l'iris par déchirure des
nerfs
ou enfin au décol-lement d'une partie de l'iris ?
le n'a jamais été malade sérieu-sement et n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
. Elle s'est mariée il y a quatre ans, et est deve
s ; la seconde, qui attribue aux lé-sions médullaires et à celles des
nerfs
rachidiens une influence pri-mordiale, a été défe
troisième. La multiplicité des lé-sions du système nerveux (moelle et
nerfs
) éloigne de toute idée d'une affection exclusivem
ier cette théorie avec les lésions multiples de la moelle et même des
nerfs
, énumôrées dans des ob-servations irrécusables, p
rrégulièrement qu'on peut l'i-maginer par cette considération que les
nerfs
vaso-moteurs occupent tous les recoins du système
us les recoins du système musculaire. Dans les centres nerveux et les
nerfs
, la même influence se fera sentir sur les racines
de la moelle, dans son centre, sur les racines postérieures, sur les
nerfs
des membres, sur les nerfs crâniens, grand hypogl
tre, sur les racines postérieures, sur les nerfs des membres, sur les
nerfs
crâniens, grand hypoglosse, spinal et facial. 11
nt le point de départ est dans le système du grand sympatidque et les
nerfs
vaso-moteurs qui en dépendent, et se développant
-tion médullaire, transmise jusqu'aux muscles par l'intermédiaire des
nerfs
. — Lorsque cette affection de la moelle est diffu
ance absolue en rapport avec le mode d'origine et de distribution des
nerfs
moteurs existait entre le siège des altérations d
différentes espèces; pour un moment, on peut rétablir l'activité des
nerfs
et des muscles, mais bientôt le sang est évacué e
tnyma, etc.), développées sous l'influence d'une lésion spontanée des
nerfs
. Jusqu'ici il semble qu'on n'ait pas eu encore l'
ne série de furoncles, disposés d'une façon générale sur le trajet du
nerf
sciatique et de ses principales divisions. Quatre
dès maintenant, de signa-ler la distribution des furoncles le long du
nerf
sciatique et, en par-ticulier, de la branche popl
la branche poplitée externe et de ses rameaux qui, à la jambe, est le
nerf
le plus vivement affecté. Un autre phénomène, q
antes : « La multiplicité des furoncles, leur siège sur le trajet des
nerfs
, leur répartition par groupes, rap-pellent ce qu'
fait comparable aux cas de zona qui se manifestent sur le trajet d'un
nerf
irrité, sur un point de son éten-due, entre autre
ruption d'ecthyma que M. Charcot a observée sur le trajet de l'un des
nerfs
sciatiques chez une femme atteinte d'ataxie locom
cette interprétation : 1° les furoncles existaient sur le parcours du
nerf
atteint de névral- 1 M. Charcot, dans ses Leçon
qui siégeait sur les parties correspondantes aux neuvième et dixième
nerfs
intercostaux du côté gauche. On reconnut à l'aupf
he épaisse de pus caséeux, laquelle se prolongeait sur les gaines des
nerfs
et des ganglions spinaux. La dure-mère elle-même
égorie des troubles trophiques consécutifs aux lésions spontanées des
nerfs
. MALADIES DES VOIES [JUINAIRES D'UN NOUVEAU M
, tout en admettant, dans le cas précédent, la section incom-plète du
nerf
musculo-cutané comme cause déterminante, à une pr
comme des troubles trophiques consécutifs à la section incomplète du
nerf
musculo-cutané. L'existence d'une gangrène antéri
ids. Il y avait probablement lésion maté-rielle de quelques filets du
nerf
médian. Après cinq ou six jours, l'épiderme prend
orie des troubles trophiques consécutifs aux sections incomplètes des
nerfs
. IL BIBLIOGRAPHIE Diagnostic des manifestatio
e. (Voy. planche XXX.) C'est donc un exemple de lésion du tronc des
nerfs
frontaux, branches du nerf facial issues du plexu
st donc un exemple de lésion du tronc des nerfs frontaux, branches du
nerf
facial issues du plexus sous-parotidien ; la caut
usions sanguines, surtout au lobe temporal gauche et sur le trajet du
nerf
olfactif. La pie-mère enlevée, le cerveau appar
attribue la production du goitre exophthalmique à une altération des
nerfs
vaso-moteurs, a également constaté celte accéléra
par groupes, se sont dessinées autour du coude, et sur le trajet des
nerfs
superficiels de l'avant-bras ; leur présence a co
e serait à des lésions d'une toute autre nature, occupant surtout les
nerfs
sensitifs, que se rattache-raient le zona et les
, une éruption vésiculo-pustuleuse s'est développée sur le trajet des
nerfs
cutanés de l'avant-bras : elle coïncide avec une
sie cutanée des plus remarquables. Faut-il supposer qu'une lésion des
nerfs
périphériques s'est produite chez lui, ou devons-
t le résul-tat d'une lésion du grand sympathique, d'une névrose de ce
nerf
, a administré le hachisch pour combattre cette te
ontméja (A. de), 65, 140, 241, 263, 275. Myélite aiguë, 70. N
Nerfs
(Troubles trophiques consécutifs aux sections inc
droite compliquée d'une éruption furonculeuse répon-dant au trajet du
nerf
sciatique, par Bourneville, 211. O Œil (Traum
i exposé, il y a un an, les résultats de l'élongation trophiqne des
nerfs
dans le mal perforant. Elle en donne de non moi
ps : un temps d'élon- gation nerveuse, que l'on fera porter sur les
nerfs
musculo-cutané; saphène interne, sciatique popl
que les dystrophies des plaies trophiques dépendent de lésions des
nerfs
vaso-moteurs par l'intermédiaire des altérations
musique, établit des premiers qu'une seule impulsion portée par un
nerf
sensitif à un ganglion peut provoquer une contr
urent d'abord, chez les vertébrés inférieurs, les termi- naisons du
nerf
olfactif. Les faisceaux optiques s'irradièrent
inal : Il est probable que la tumeur siège au niveau du chiasma des
nerfs
optiques ; la névrite optique qui a été constat
sur certaines notes du clavier sensoriel (rétine, épanouissement du
nerf
auditif) on éveille des sensations intellectuel
'un lapin, ayant reçu du virus rabique dans le bout périphérique du
nerf
sédatique, les auteurs constatèrent la présence
Keuaval. XVI. Le phénomène de la chromatolyse après la résection du
nerf
pneumogastrique; par Ch. LADAUE. (Nouv. Iconogr
bulbaires du vague est un phénomène constant après la résection du
nerf
pneumogastrique ou vago-sympathique (chien) au co
e et au 122° jour présente la chromatolyse dans le ganglion dont le
nerf
n'a pas été lésé aussi bien que dans celui dont
ue les neurones ont un long ou court trajet et suivant l'étendue du
nerf
réséqué. ' La condition de la réparation complè
La condition de la réparation complète est la régénérescence du Lui
nerf
sectionné. Un neurone ne peut vivre qu'à la condi
eurs ne pensent pouvoir invoquer une paralysie des centres ou des
nerfs
vaso-constricteurs qui réagissent très énergiquem
ns l'inanition complète et prolongée, l'excitabilité électrique des
nerfs
sécrétoires et l'excitabilité réflexe de nature c
, n° 21.) .) Lorsque chez un sujet normal on excite un muscle ou un
nerf
par un courant faradique apte à produire une co
ôt d'une polynévrite. / G. DENY. a XXXII. Brûlure électrique du
nerf
cubital, tumeur cicatricielle, opération ; par
ensant qu'il s'agissait là d'une tumeur cicatricielle comprimant le
nerf
cubital et non d'un névrome. on fit une opération
use, les signes physiques de la folie. 1 ICI .considère d'abord les
nerfs
crâniens et leur trajet du noyauta l'écorce : n
et l'aphasie amnésique, dans la ,manie chronique, la démence, etc.
Nerf
ph7,éizo-glosso pharyngé : tremblement et dévia
f ph7,éizo-glosso pharyngé : tremblement et déviation de la langue.
Nerf
spinal accessoire : respiration creuse et lente
rconscrit, qui produit graduellement une atrophie complète des deux
nerfs
optiques sans symptômes cérébraux concomittants.
ur la vision. Il y a destruction progressive et permanente des deux
nerfs
optiques. XVIII. Automatisme ambulatoire épilep
racines postérieures de la région' lombaire étaient nor- males. Le
nerf
plantaire présentait une augmentation de tissu
ses anté- rieures et postérieures et la dégénération des principaux
nerfs
périphériques, avec dilatation des vaisseaux sa
abdominaux et respiratoires et ceux qui sont sous la dépendance des
nerfs
craniens sont rarement atteints et les Arcuives
itifs sont plus marqués. Le mal est moins souvent progressif et les
nerfs
crâniens sont d'ordinaire épargnés. Dans aucune d
e de la maladie de Landry, partant des pieds et remontant jusqu'aux
nerfs
crâniens. ' Bien que la substance toxique qui p
en troubles sensitifs et moteurs dans la région de distribution du
nerf
cubital. Etiologie. La cause immédiate est la c
nerf cubital. Etiologie. La cause immédiate est la compression des
nerfs
intéressés bien que des états autotoxiques et d
nomène du « doigt mort ». Quelquefois, sensibilité sur le trajet du
nerf
cubital, mais sans points sensitifs au poignet
des quatrième et cinquième doigts. Dans les cas très sévères les
nerfs
musculo-spinal et médian peuvent être pris, ce qu
éognose peut être due à des lésions du cerveau, de la moelle ou des
nerfs
périphériques. L'astéréognose peut être périphé-
t. dans la chromatolyse périnucléaire avec émigration du noyau. Les
nerfs
périphériques des membres inférieurs sont dégén
générés, mais cette dégénérescence peu accentuée dans la région des
nerf
= sciatique et crural, est au contraire extrêmem
sciatique et crural, est au contraire extrêmement accusée dans les
nerfs
sciatique poplité externe, où sur les coupes tr
avec step- page dans ce cas, c'est la dégénérescence primitive des
nerfs
péri- phériques ; tandis que les lésions des ce
ais eu d'au- tres affections. Jamais de convulsions ou de crises de
nerfs
. histoire de la maladie. - Elle fait sa premièr
ues de l'ovaire, cor- respond généralement au territoire du dixième
nerf
intercostal. Ici, cette zone d'hyperesthésie, e
uls, semble empiéter un peu plus haut sur le territoire du neuvième
nerf
, s'étendre un peu plus bas sur celui du onzième
re du neuvième nerf, s'étendre un peu plus bas sur celui du onzième
nerf
: elle décrit une bande en arc de cercle à conc
où elle emprunte même sa sensibilité à quelques filets du douzième
nerf
intercostal. La région lombaire, anesthésiquo à
mique, électrique au niveau du tégument; elle existe aussi pour les
nerfs
, les os, les ligaments et articulations. Il n'y
tactile et thermique à la suite de la lésion d'un rameau digital du
nerf
médian; par G. Ferrari. (Riv. sp. di frai., 190
primitives des secondaires. Aussi, dans le cas de dégénération des
nerfs
périphériques, faudra- t-il voir s'il s'agit d'
on de la réaction électrique des muscles paralysés innervés par les
nerfs
dans la région des- quels existe l'anesthésie :
ucture rien qui pnisse le différencier du tissu adipeux normal. Les
nerfs
périphé- riques étaient évidemment le siège de.
lifération du tissu conjonctif à la périphérie et dé l'épaisseur du
nerf
. Ces modilications siégeaient dans les nerfs pé
ie et dé l'épaisseur du nerf. Ces modilications siégeaient dans les
nerfs
périphériques, ceux qui cheminent dans le tissu
car il n'y a aucune différence fondamentale de structure entre les
nerfs
qui. transmettent l'inhibition et ceux qui tran
scle; et bien que certains expérimen- tateurs aient cru trouver des
nerfs
spéciaux d'inhibition agissant en dehors de tou
e, la moelle spinale, les racines antérieures et posté- rieures, le
nerf
moteur oculaire commun, le grand hypoglosse, le
érébelleux. Dans le bulbe, la moelle, les racines spi- nales et les
nerfs
, la gaine de myéline est diminuée, réduite à de
sie n'a eu lieu que huit ans avant la mort et explique pourquoi les
nerfs
voisins de la tumeur ont pu être repoussés lent
omènes généraux : 1° Céphalalgie ; 2° Modification de la papille du
nerf
optique de l'oeil droit. B. Phénomènes de lésio
iène et la thérapeutique. Puis l'atrophie s'empare graduellement du
nerf
optique. La pupille prend une teinte gris verdà
xistent. Les symptômes auditifs portent sur le labyrinthe et sur le
nerf
audi- tif, et consistent en bruits subjectifs e
rigidité réflexe des pupilles ; et dans 50 p. 100 de l'atrophie du
nerf
optique. Dans 6 cas sur 10, on a noté la coexis
a rentrer ensuite dans ce groupe le neurone de l'origine réelle des
nerfs
craniens. Le deuxième étage serait formé par le
inhibitrice, mais ces actions sont complexes et c'est ainsi que le
nerf
labyrinthique et autres agissent sur les centres
signes analomo-patho- logiques de dégénérescence observés dans les
nerfs
atteints de névrite post-typhique. 342 SOCIÉT
nt qu'il est une cause plus sim- ple, à savoir : les altérations du
nerf
facial dans l'oreille moyenne. Ils rappellent l
arles). Le phénomène de la ch¡'omatol ! Jse après la résec- tion du
nerf
pneumogastrique. 111-8° de 56 pages, avec 3 planc
l'on peut expliquer les dégénérescences qui se rencontrent dans les
nerfs
craniens et dans les racines postérieures des ner
ntrent dans les nerfs craniens et dans les racines postérieures des
nerfs
, et il est probable que les lésions diffuses qu
inder). Mais un acte réflexe est « une excitation périphérique d'un
nerf
sensible qui détermine un mouvement de réponse
s ver- tiges, sans cri, sans pertes de connaissance, ni attaques de
nerfs
. Il semblait littéralement asphyxié Alors pour
aillant, agitait le sang, le brisait, le rendait plus fluide et les
nerfs
auditifs n'ayant plus que des esprits affinés, se
san entendit avant que de parler, c'est parce que l'obstruction des
nerfs
auditifs n'était point si grande que celle des
bstruction des nerfs auditifs n'était point si grande que celle des
nerfs
de la langue. C'est pourquoi la matière visqueu
it arrêté à l'entrée de l'artère de la langue et avait comprimé les
nerfs
voisins, mais que le mou- vement de colère,'où
lus physique ; 2° l'organe sensoriel qui reçoit ce stimulus; 3° les
nerfs
qui transmettent les effets'du sti- mulus ; 4°
eur indique ensuite le rôle, dans la vision prise pour exemple, des
nerfs
qui transmettent les effets du stimulus 520 REV
e à la région temporale gauche et dans la zone de dis- tribution du
nerf
susorbitaire; puis une semaine après diminution
tilité des muscles de la face ne s'est pas améliorée. L'atrophie du
nerf
optique est très avancée, et la vision du côté
HÉRAPEUTIQUE. I. Étude sur l'action du gelsemium sur les noyaux des
nerfs
cérébraux moteurs; par R.-H. \1'mTemnn. (The Ne
rminent la chromatolyse des cellules qui constituent les noyaux des
nerfs
moteurs cérébraux; 2° les altéra- tions ainsi p
l'épilepsie, et tout à fait dernière- ment, de l'atrophie simple du
nerf
optique. Les cas sont peu nom- breux, mais les
supérieurs constitue dans le cas de glaucome, d'atrophie simple du
nerf
optique, de maladie de Basedow, et peut-être ap
du - dans les psychoses, par Bodani, 221. Brûlure électrique du
nerf
cubital, par Decroly,129. Bulletin bibliograp
Gelsemium, Action du sur les 550 TABLE DES MATIÈRES. noyaux des
nerfs
moteurs, par Whitehead, 529. Gliome. Un cas d
e et de la jambe. Notez enfin que ni les masses musculaires, ni les
nerfs
ne sont douloureux, que la sensibilité objectiv
rdons postérieurs de la moelle, mais qu'elles s'étendent encore aux
nerfs
périphériques et aux racines posté- rieures ? O
cellu- les des cornes antérieures, aux racines rachidiennes et aux
nerfs
. Enfin, depuis 1893, des idées nouvelles ont ét
l résulte enfin que les lésions traumatiques ou expérimentales d'un
nerf
mixte peuvent donner lieu à des lésions très vari
pagnent de douleurs vives ne suivant pas spécialement le trajet des
nerfs
et nous croyons pouvoir les attribuer à la distor
adie de Friedreich et expliquée par la dégénérescence primitive des
nerfs
péri- phériques et des racines postérieures ; c
s ; la pupille, le fond de l'oeil sont intacts. Dans le domaine des
nerfs
bulbaires, aucun trouble n'est à signaler; la d
on, ni dans la musculature de zizi) ; pas de nystagmus. Du côté des
nerfs
bulbaires, des modifications importantes sont app
ntait de l'exagération des réflexes tendineux et de l'atrophie des*
nerfs
optiques. Or, de son autopsie, pratiquée par Me
scléreuses dans la partie externe du faisceau antéro-latéral. Les
nerfs
périphériques sont petits, le pneumogastrique sur
sont petites, mais n'ont pas subi d'altération bien appréciable. g)
Nerfs
et muscles. Les nerfs périphériques, bien que pet
nt pas subi d'altération bien appréciable. g) Nerfs et muscles. Les
nerfs
périphériques, bien que petits, ne présen- tent
erait le type de Friedreich : Un type cérébelleux où l'atrophie des
nerfs
optiques, les vertiges, les troubles intellectu
le séparant partout du cerveau ; point de zone inflammatoire. Les
nerfs
des Ira et IIe paires sont presque complètement d
raient brutes, élémentaires. Mais n'oublions pas que l'atrophie des
nerfs
optiques, produisant une cécité complète a pu f
antérieur du cervelet de 3 centimètres (cont. 1 3/4). A la base le
nerf
IIIe droit complètement dégénéré, émerge d'une tu
ent sans difficultés leur explication ; par exemple la paralysie du
nerf
IIP à droite par destruction directe du noyau e
tte question, pensent que les relations qui existent entre ces deux
nerfs
se feraient par un neurone intercalaire. Bruce,
ntes, mais la communication entre les noyaux de la VIe paire et les
nerfs
de la 1118 paire n'est pas directe ; les fibres
aboutissent dans les noyaux de la Ille paire, mais non pas dans les
nerfs
. A peu près en même temps, MM. Raymond et Cesta
ent la VIe à la Ille paire, leur point de départ serait le noyau du
nerf
VIe, leur lieu d'arrivée serait le noyau du droit
i passant par le pied du pé- doncule, se portaient dans le tronc du
nerf
qui n'était pas complètement dégénéré. Ces fa
tème vasculaire intra-parenchymateux est normal. Les artères et les
nerfs
de la capsule sont sains. Surrénales.- A l'oeil
de sclérose. La moelle lombaire, examinée au Nissl, est normale.
Nerfs
. Un ganglion spinal gauche, examiné, est normal.
volume et une hy- pertrophie considérable de tous les ganglions et
nerfs
sympathiques (5), etc..... , De ce qu'on pour
s ces cas l'hypo- physine remplace l'iodothyrine pour maintenir les
nerfs
régulateurs en parfait état de fonctionnement.
eorges Beard emploie pour la galvanisation locale et permanente des
nerfs
et des muscles affectés, le courant faible à tr
tion que nous étudions ici il ne s'agit nullement d'une maladie des
nerfs
ou des troncs nerveux. Zuber et plusieurs aut
? ) ; 2° en mouve- ments actifs avec résistance ; 3° en massage des
nerfs
et 4° en massage des muscles. Schreiber,Bum, Za
es.Mais si ces déformations coexistent souvent avec des névralgies du
nerf
scia tique,elles ne sontpas nécessairement liée
le lumbago. La sciatique d'ailleurs est une névralgie, non du seul
nerf
sciatique, mais du plexus lombo-sacré. Cette noti
ré. Cette notion a été bien mise en valeurpar.M. Brissaud (1). « Le
nerf
sciatique,dit-il,ne représente qu'une subdivisi
rveux. En d'autres termes, la sciatique n'est pas la névralgie d'un
nerf
, mais la névralgie d'un plexus. » Les déviation
se uniquement sur l '238 HENRY MEIGE compte de la névralgie de ce
nerf
; d'autres branches dû plexus lombb- sacré ont d
de certaines autres névralgies (celles de la cinquième paire ou du
nerf
circonflexe, etc.). » Selon Brühl et Soupault (
tre, l'existence de zones hyper- esthésiques dans le territoire des
nerfs
lombaires. D'ailleurs il existè des lésions du
s toutes les affections dou- loureuses. 1 . Des muscles, dont les
nerfs
ne sont nullement intéressés, peuvent pren- dre
rès normal. Cas. VII. P. G. consécutive à un tabès avec atrophie du
nerf
optique \ démence avec idées absurdes de grande
l'embarras de la parole. Il a en outre de la cécité par atrophie du
nerf
optique, l'abolition des réflexes patellaires,
mère, l'augmentation du liquide céphalo-rachidien et l'atrophie des
nerfs
optiques. Les artères de la base sont athéromat
grains chromatiques sont nets. Certaines cellules sont pigmentées.
Nerf
optique. - Atteint d'une sclérose énorme névrogli
ère et aux distances. Tremblement fibrillaire de (1) Léri, Etude du
nerf
optique dans l'amaurose tabétique. Nouv. Iconogr.
mère de la moelle est congestionnée. La moelle est diffluente ; les
nerfs
de la queue de cheval sont collés les uns aux a
me...) ou bien une maladie organique de l'axe cérébro-spinal ou des
nerfs
périphériques. ' A propos des intoxications, je
l faut avant tout se souvenir qu'il suffit parfois de couper un petit
nerf
de la peau pour produire une éruption classique
ne éruption classique d'urticaire dans le terri- toire cutané de ce
nerf
(Lesser) (80). Schlesinger (81 ) dans une obser
et de la pression du sang ; tandis qu'elle nous prouve que dans le
nerf
il y a deux ordres de fibres : vasomotrices et sé
veux. « Il suffit d'exciter par un courant électrique tétanisant le
nerf
lingual pour observer deux faits : une vasodilata
ée ont été reproduites par Gaglio (108) au moyen de l'excitation du
nerf
vague, et les crises de polyurie sont déterminé
ter l'hydrocéphalie, qui tire principal argument de l'existence des
nerfs
périphériques en l'absence des centres, argument
s, argument fondé, dit-il, sur l'ancien système faisant dériver les
nerfs
de l'encéphale - il admet qu'elle est, en parti
en l'absence du cerveau ou l'état des gan- glions rachidiens et des
nerfs
; ils ont ainsi passé à côté des lésions propres
cet exorbitisme ; ils ont invoqué, en particulier, les lésions des
nerfs
oculo-mo- teurs, sans se rendre compte que la d
générale, les auteurs se sont beaucoup préoccupés de rechercher les
nerfs
crâniens aboutissant à cette masse ; ils les ont
former un tout parfaitement continu (fig. U et PI. XLIV bis, Ce). Les
nerfs
rachidiens sont enveloppés progressivement par
essus inflammatoire ne fuse que très difficilement tout le long des
nerfs
rachidiens. On observe, en effet, d'une façon con
testable, cependant, que l'inflammation fuse le long de la paroi du
nerf
optique et tende à envahir les enveloppes même de
ant, comme il fallait s'y attendre, l'ensemble des ganglions et des
nerfs
qui en émanent. Pendant que se désagré- geait l
nge rachidienne ainsi que le montre l'examen du tissu cérébral, les
nerfs
rachidiens postérieurs se trouvent encore indem
ts cellulaires. Telle n'est applicable qu'à l'étude de la gaine des
nerfs
. Le traitement du matériel doit donc être différe
ure du cervelet, la base du cerveau, les parois ventriculaires, les
nerfs
crâniens sont entièrement fixés. La moelle est
e trop peu dans les espaces sous-arachnoïdaires. Moelle. Racines.
Nerfs
. - Baignés dans le fixateur ils sont prêts pour l
brilles de névroglie). De minces tranches de tissu nerveux et les
nerfs
peuvent être avant inclu- sion colorés par l'ac
re examinées une lumière artificielle intense et en diaphragmant.
Nerfs
et racines. Inclus au collodion et coupés longitu
ne colorée en bleu plus foncé. 11 occupe toute cette gaine quand le
nerf
est bien fixé. En faisant varier le point on di
t serré des fibrilles. 402 RENAUD Sur une conpe transversale du
nerf
, le cylindraxe se détache au centre de sa gaine
mme si ces con- tractions étaient dues à l'excitation électrique du
nerf
facial par un courant induit, d'abord non tétan
ordinairement le mal ; d'autre part une électrisation énergique du
nerf
facial semble l'atténuer pour quelque temps ; e
xcitation électrique] du IIÉnIISPA5111h FACIAL PÉRIPHÉRIQUE 421 1
nerf
facial. M. Meige a noté aussi ce fait intéressant
aires qui correspondent très exactement aux muscles innervés par le
nerf
irrité, mais qui ne ré- pondent à aucun autre a
r chez les sujets normaux par l'électrisation de certains filets du
nerf
facial. Ainsi donc mon malade est bien atteint
spasme est dû dans ce cas à une irritation du noyau du facial ou du
nerf
dans son trajet bulbaire. Une question doit êtr
reconnait-il nécessairement pour cause une perturbation directe du
nerf
facial ou de son noyau, ou bien ne peut-il pas
des fibres sensitives du trijumeau qui transmettent au noyau de ce
nerf
les impressions reçues ; celui-ci les communique
es mouve- ments spasmodiques seraient consécutifs à l'irritation du
nerf
trijumeau et résulteraient par conséquent d'une
r être reproduit rigoureusement par l'électrisation des branches du
nerf
facial. Or, déjà apriori, en théorie, il me par
théorie, il me parait difficile d'admettre qu'une exci- tation d'un
nerf
sensitif puisse produire un effet identique à cel
re un effet identique à celui qui ré- sulte de l'électrisation d'un
nerf
moteur ; je ne sache pas qu'expérimenta- lement
siégeant dans la partie extra-bulbaire du trijumeau et limitée à ce
nerf
. Je ne crois pas non plus qu'une lésion du syst
analysés ne peut être engendré que par une perturbation directe du
nerf
facial ou de son noyau d'origine. Il serait alors
faciale s'est faite au prix d'une restauration vicieuse. anormale du
nerf
jadis lésé ; de telle sorte que le nerf de l'or
ation vicieuse. anormale du nerf jadis lésé ; de telle sorte que le
nerf
de l'orbiculaire commande actuelle- ment au mus
cles du nez, etc. contractions tétani- ques à 150 divisions. - Le
nerf
facial (rameau frontal, rameau orbiculaire, ramea
vant-bras, et les interosseux, de chaque côté, contractions nulles.
Nerfs
médian, radial et cubital, contractions nulles.
les muscles des membres inférieurs, contractions nulles. Tous les
nerfs
des membres inférieurs, excités, ne provoquent pl
s muscles de la face. 8 m. A., contractions fortes NFC > PFC. Le
nerf
facial (rameaux supérieurs, moyens et branche inf
s la réaction longi- tudinale de Doumer, jusqu'à hauteur du bras.
Nerf
médian, 10 m. A., contractions musculaires faible
du bras. Nerf médian, 10 m. A., contractions musculaires faibles.
Nerf
radial, 12 m. A., contractions musculaires faible
bles. DEUX FRÈRES ATTEINTS DE MYOPATHIE PRIMITIVE PROGRESSIVE 441
Nerf
cubital, contractions nulles. Muscles de la par
des orteils, muscles de la plante des pieds, contractions nulles.
Nerf
sciatique, tibial, contractions nulles. , Concl
on complète. Examen DE l'excitabilité ÉLECTRIQUE DES MUSCLES ET DES
NERFS
, CHEZ LE malade J. T... Courants faradiques.
ssétérin et nasal, con- tractions tétaniques à 200 divisions. j .
Nerf
facial, supérieur, moyen et inférieur, contractio
s, fléchisseur commun des doigts, interosseux, contractions nulles.
Nerfs
médian, radial et cubital, contractions nulles. G
nulles au maximum de l'excitation. . Tous les muscles et tous les
nerfs
des membres inférieurs excités, ne don nent auc
es, massétérin, nasal, 7 m. A., NEC> PFC, contractions fortes.
Nerf
facial supérieur, moyen, inférieur^ m. A., NFC &g
doigts, 10 m. A., NFC > PFC. Interosseux, contractions nulles.
Nerf
médian, radial et cubital, 15 m. A., NFC > PFC
a eu durant deux ans, à la suite de son accouchement, des crises de
nerfs
; jamais elle n'a perdu connaissance. Rien de
s manifestations morbides qu'il ait présentées sont des attaques de
nerfs
avec perte de connaissance et chute. Pas de mor
, com- me celles du mal de Pott, par la distribution anatomique des
nerfs
. Quant aux douleurs rachidiennes, une explorati
lle ne paraît pas nerveuse, dit-on,elle n'a jamais eu d'attaques de
nerfs
, elle était plutôt d'un tempérament calme. Elle
ut à deux symptômes : des irradiations pseudo-névralgiques dans les
nerfs
irrités par la pachyméningite ; la ri- gidité d
embres in- 468 BROCA ET HERBINET , férieurs et non point dans les
nerfs
intercostaux, en ceinture par consé- quent, n'a
radiale du côté droit. Cela est dû à une compression exercée sur le
nerf
, le malade s'étant endormi avec le bras appuyé
des yeux isolés de leur cen- tre, dont les muscles ont perdu leurs
nerfs
moteurs ; l'exorbitisme relevé par la (i) Max W
nait pour nous proposer de croire à l'indépen- dance originelle des
nerfs
et du névraxe. L'exposé qui précède ne laisse a
comporterait l-'âge^auquel a disparu le système nerveux. Quant aux
nerfs
moteurs, ils dégénèrent beaucoup plus rapidement
ion méningée. On trouve parfois alors, dans le canal rachidien, les
nerf
postérieurs, seuls restes de l'axe spinal (Anen
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