comme s’il entrait tout à coup dans la vie. Toutes les beautés de la nature , tous les parfums des plantes l’enivrent. Il est

olé peut nous faire voir une confusion apparente dans la marche de la nature : pour faire disparaître cette confusion, il suff

t ce qui se rattache de près ou de loin à la science des forces de la nature sera de son domaine. L’électricité, le galvanis

ielles d’un autre : toutes expriment cette propriété, de soumettre la nature à l’empire de la volonté humaine. L’antiquité a

istes, les magiciens du Nil, qui semblaient disposer à leur gré de la nature , découvrir les choses les plus cachées, et dont l

s semblables, dans la connaissance de l’esprit universel qui anime la nature , et dans l’application de cette science un soulag

évanouir aux rayons de votre âme. L’agitation fébrile aura ün but, la nature ne perdra plus de ses forces en vains combats ; r

Heureuse découverte! combien tu me rends fier! Moyen simple comme la nature , quand les hommes cesseront-ils de te dédaigner p

las! non, il n’en peut être ainsi. Que l’on n’en accuse ni nous ni la nature . Il est des maux incurables, mais ce que nous pou

t des sucs nourriciers, ont été flétris, altérés ; lorsque, enfin, la nature a été forcée de changer la direction de*ses force

sa guérison; cette guérison devait être précédée pailles crises d’un nature toute particulière: une espèce de coma, de mort a

ente heures presque sans respiration , sans pouls, sans mouvement. La nature avait donc besoin de ce repos? II était donc néce

Lorsqu’une forte magnétisation l'a mis en plus dans les organes, la nature trouve le moyen de se débarrasser de ce trop plei

— Clairvoyance, vue au travers des corps opaques, prévision de toute nature , c’est-à-dire en dehors des choses de pure conser

st-ce que le magnétisme ? — Le magnétisme , c’est la médecine de la nature •(et il écrit ces mots sur un morceau de papier q

a le pouvoir ou fluide magnétique. « Nous établissons donc dans la nature de l’homme « la volonté, qui a son siège danslece

. « 20 janvier. Guérison. » Tout ce qu’a dit la somnambule sur la nature de 'a maladie et le siège des douleurs était exac

« les qualités et l’équilibre du sang, de reconnaître « quelle est la nature de la matière morbide et de trou-« ver des agents

distribue à leur destination. Les « saignées ne font qu’affaiblir la nature et lui enlever « la force de nous seconder dans l

uez ja-« mais la guérison à la saignée, mais bien aux efforts « de la nature qui malgré la saignée triomphe de la « maladie. A

e avec beaucoup de développement la question du son considéré dans sa nature , et plus spécialement de l’influence de la musiqu

s à se joindre à nous pour proclamer le plus grand des secrets que la nature se soit laissé surprendre. La Mouche, du 13 jan

sophe, du prêtre, vient des idées fausses qu’ils ont de Dieu et de la nature . Le médecin cherche la vie dans des cadavres en

elle, ainsi, vous deviendrez meilleurs s « Venez en aide à la faible nature , a lnicrrogez et calmez ses douleurs. « Surtout

t des courants électriques en spirales pour expliquer les aimants. La nature m’apparaît trop simple pour s’embarrasser de tell

ercher les causes, d embrasser 1 ensemble , et c’est pour cela que la nature a créé des hommes spéciaux dont le génie perce le

ui comme un songe. Mieux eût valu pour toi que ce singulier jeu de la nature ne te fût point échu en partage, que la renommée

naît il pas les lois de la vie, n’en a-t-il pas tracé les limites? La nature n’a point de secret pour lui; d’ailleurs, sn phys

ains. Jeune savant, prenez garde; vous trompez, ce n'est pas bien. La nature vous a fait idio-électrique; pourquoi simuler une

lle des « assistants (puisqu'ils indiquaient eux-mêmes par « écrit la nature de chaque expérience), nous ne pou-« vons admettr

, Je pourrais citer une infinité de guérisons de maladies de toute nature ; sur plusieurs milliers de consultations, on n’a

e ne pourrait que. dans quelques jours encore savoir quelle serait la nature de ce malheur. Enfin, le 1er novembre 1844, int

erçait une « action répulsive très - intense sur les corps de « toute nature , au moment où une partie quelconque « do ses vête

eux, 'de mettre à profit, en un mot, cette faculté magnétique dont la nature m’a doué, par cela seul que je suis homme. L’occa

uverte pendant l'extraction de la dent. Ce qui est encore plus contre nature , et ee que je n’ai jamais vu pendant une pratique

fet ils possédaient des facultés dont ils ne pouvaient s’expliquer la nature , celles mêmes que nous nous honorons aujourd’hui

quel moyen on pourrait changer tes dispositions, corriger ta mauvaise nature et faire de toi un homme de bien. Il n’est pas do

oit du fer pour que l’aimant attire ? — C’est un de ces secrets de la nature que l'homme ignore, mais que plus tard il pourra

e quatre à einq palettes. Vous vous évertuez à trouver le siège «t la nature d’une maladie : vaine recherche. L’ho-mœopatfiie

e, il y a peut-être là un effet moral qui vous donne le change sur la nature même du résultat. Je citerai pour preuve ce que j

rapeau, que votre devise soit toujours celle de notre maître : « LA NATURE OFFRE UN MOYEN UNIVERSEL DE GUÉRIR ET DE PRÉSERVE

démontré que le magnétisme (aimant), en influant profondément sur la nature intime des corps transparents, modifie d'une mani

les pôles ; ce qui rend manifeste la délicatesse de 1 e-preuve et la nature définitive de l'action. Les corps diamagnétique

ction équa- loríale, et ëlait fortement repoussé: ainsi, suivant lu nature du milieu immédiatement ambiant, il pouvait paraî

une cloison. Cette dernière expérience surtout nous parait être de la nature de celles qui valent bien qu on réfléchisse avant

semaine, fort ruineuses par elles-mêmes comme tout autre état contre nature . » Et qu'on ne vienne pas argumenter contrairem

onséquemment dans quelque lieu que ce fût. • Projet de loi contre nature . — La fameuse loi sollicitée par le Congrès médic

’incline respectueusement devant la puissance et la supériorité de la nature . Non, la loi qui sera rendue ne remplira pas le b

le mettre en suspicion les droits imprescriptibles et immuables de la nature .» Danse magnétique à l’ours. — On a vu dernière

célèbres disciples du docteur allemand. « Le magnétisme est dans,1a nature ; il est inné avec l’homme, qui devient spirituali

de la Divinité, dont l’homme possède une émanation que l’auteur de la nature lui a donnée en le créant à son image. « De mêm

urait, on lisait l’aphorisme qui résume la doctrine magnéüqtte . La nature offre un moyen universel de quérir ET DE PRÉSER

les hommes ne so croiront plus maudits; ils reconnaîtront leur divine nature et renaîtront à la vertu1. Mais que ce jour soit

tée par tous ceux qui, convaincus de ces faits, veulent rechercher la nature de leur cause, nous allons mentionner un effet ca

ne bilité? Vous croyez que l’Académie des Sciences va rechercher la nature de l’agent puissant qui produit de semblables phé

ns les organes un principe régénérateur, qui, aidant le travail de la nature , vient en augmenter la puissance médicatrice , co

rôle purement passif, comme nous vous possédez les propriétés que la nature a départies à toute créature humaine. Dieu ne pou

giques étaient fort étendues, et il avait écrit sur les secrets de la nature plusieurs livres qu’Ezéchias fit brûler, parce qu

ue veux-tu, qu’espères-tu? Est-ce ainsi que tu abuses de ta force? La nature est donc barbare dans ses lois; elle veut donc qu

culape viendra... il a « des recettes pour calmer les souffrances; la nature , « dont il a fait l’étude, n’a point de secret po

s qu’il ne sait rien, qu’il attend comme nous, comme nos amis, que la nature ait prononcé. Puis il s’échappe, il fuit, tant il

ent communément que pour y prendre leur jeton. Maintenant, imite la nature qui rejette sans cesse les fluides qui l’irritent

ours inattendu que tu auras trouvé, non dans la science, mais dans la nature . Bientôt l’oubli d’un aussi grand bienfait viendr

es de M. de Balzac. 25 Prévisions. 132, 15S Prnjel tic loi conlrc nature . 257 Prix somnamhulique. 224, 287 Paralysies. 3

e rang dans les sciences et faire jouir les hommes du bien que par sa nature elle peut faire? Heureusement non. Dans ce sièc

d’autrui? Oh ! race humaine, tu permets qu’on dévie des lois île la nature , et te soumets sans murmure à des conducteurs aus

La science n’a point de limite et ne dira jamais son dernier mot. La nature a mille secrets que l’homme n'a point encore péné

um nascitur orclo. Virgile. Grâce! grâce! assez de victimes! La nature s’épuise à ce tribut cruel ; Entre elle et vous

ieu dans « tous ces phénomènes____» Bestc à décider quelle est la nature de ces émanations. Notre auteur, s’appuyant sur l

et les règles pour diriger les actions humaines. C’est donc dans la nature de l'homme, une et invariable en tous temps et en

er. Mais quels seront les moyens de connaître et de constater cette nature de l’homme, qui paraît sous des formes aussi vari

ni l’autre de ces situations ne montre l’homme tel qu’il est par la nature . On n’a donc pas su jusqu’ici ce qu’on devait ent

n’a donc pas su jusqu’ici ce qu’on devait entendre précisément par la nature de l’homme. Quoique la diversité des climats et

trouver les rapports et les proportions qui déterminent proprement sa nature . L'homme, par la nature, est destiné à vivre en

s proportions qui déterminent proprement sa nature. L'homme, par la nature , est destiné à vivre en société, comme l’abeille,

, le castor, la lourmi, etc. Il reçoit de la société dans laquelle la nature 1 avait placé des lois particulières à son espèce

ce siècle à faire retrouver et reprendre à l’homme les droits que lu nature avait gravés dans son cœur, mais que la su- per

ndé sur une base encore plus solide par l’éducation. Entendez de la nature la proclamation des droits de l'enfant, dont la c

a connaissance et l’exercice deviennent plus nécessaires encore. La nature déclare que l’enfant a le droit de jouir de tous

x et utile dans la société. Voici les expressions des droits que la nature réclame pour l’enfant : 1" AGn do recevoir le c

s droits de l’enfant et ceux de l’homrr.o qui formeront le code db la nature ; et ce n’est que sur la base des droits de l'enf

rra parvenir à perfectionner l’espèce humaine et à justifier ainsi la nature de la perversité innée que l’ignorance et la supe

tte opinion que « nul, impunément, ne peut enfreindre les lois que la nature lui a imposées, et que rien ne pourra le soustrai

doit être regardée comme pragmatique, parce que, étant prise dans la nature , elle est la seule qui convienne à tous les gouve

tés soient dirigées vers un et mime objet, surtout vers l’ordre de la nature , en chantant, en priant ensemble; et que c’est da

ont l’objet serait la contemplation des perfections de l'auteur de la nature , sous les rapports qui intéressent notre bonheur,

ue, fondée et gouvernée invariablement sur les principes pris dans la nature , sera éternelle comme elle. VARIÉTÉS. Le mala

us sommes malades : garde la chambre, bois de l’eau, et attends de la nature quelle te débarrasse de ta maladie, car elle seul

uiert des notions positives. Cette marcho est en tout conforme à la nature de notre esprit; l’homme abandonné à lui-môme la

nalogie avec l’électricité était imaginaire ou réel, et s’il était de nature à produire un effet apparent sur l’aiguille du ga

l’amour de Dieu et dans la mesure de cet amour. Déterminons donc la nature de cette foi, de cette raison , comme 011 voudra

onc eu donnant à cet amour universel qui l’a mis eu communion avec la nature et lui en a livré les seci’ets, les caractères de

uissance à direction constante et à force connue, universelle dans la nature , par laquelle les velléités de mouvement perpétue

irigeai, à pareille distance qu'auparavant, un tube de cuivre dont la nature est de conserver pour lui beaucoup plus de calori

ir qui s’appuie suides faits incontestables, sur une puissante loi de nature , et vous détournez les yeux! Qui êtes-vous done e

êtres animés, l'espèce de l’homme est une de celles destinées par la nature à vivre en société. L’homme au milieu des êtres

étant ainsi fondée sur la cohésion môme, tout être organisé a, par sa nature , une tendance à se conserver. Cette tendance, soi

ger, soit pour juger les actions humaines, doivent se prendre dans la nature de l’homme.- Or, comme la nature de l’homme est l

humaines, doivent se prendre dans la nature de l’homme.- Or, comme la nature de l’homme est la même en tous les temps et en to

ger, soit pour juger les actions humaines, doivent se prendre dans la nature de l’homme.- Or, comme la nature de l’homme est l

humaines, doivent se prendre dans la nature de l’homme.- Or, comme la nature de l’homme est la même en tous les temps et en to

al, bien que ce fût l’auteur de l'aul et Virginie et des Etudes de la nature qui parlât, et malgré les atteintes morales de la

t alors que les symptômes de la fièvre imitative envahissent les deux natures faites l’une pour l’autre, mais provisoirement sé

u, la fièvre imitative cesse par la solidarité ou le mélange des deux natures . Ces amants ne font plus qu'un, dit une expressio

entendait sa voix. Eh bien, la lièvre imitative rapproche encore des natures qui s’ignoraient complètement l’une l’autre, et c

un fantôme, des lignes brisées, vagues, et pourtant sympathiques à sa nature , d’un type entrevu, dont il poursuit sans cesse-l

la tranquillité sur la terre aspire encore à celle de la tombe, et la nature a élevé l’idée de la mort à l’extrémité des chagr

contraste est absolument dédaigné, souvent même pris à rebours par la nature dans les phénomènes de la fièvre qui se rattachen

formation et dans la disparition d’un phénomène si subversif de leur nature dénonce l’existence d’un principe caché, de resso

xtension supposent trop d’importance dans leurs résultats pour que la nature n’en ait point mis dans leur principe. Ce serait

ment ou poussées dans leur croissance avec une égale tendresse par la nature , attendant sans trop d'humilité ou d’orgueil qu’e

« grand maître; et lorsque quelques personnes nient « un fait que la nature prouve, il est bien certain que « celle-ci finira

nt' parce que nous avons l’habitude de les voir. « Un prodige dans la nature , a dit Buffon, n’est autre chose qu’un effet plus

e les plus grands services dans les opérations chirurgicales de toute nature , en épargnant au malheureux patient de cruelles s

des somnambules de les interroger et de faire des expériences sur la nature du fluide émanant de chaque partie de leur corps;

r de l’état du somnambulisme, et à dire mon avis sur ses causes et sa nature . Il est démontré par diverses expériences fort co

arriverons à reconnaître que le fluide magnétique, modifié suivant la nature de l’homme, n’offre avec les autres fluides qu’un

utilement possible la part de puissance qui nous a été donnée par la nature , et quelques-uns à produire ces faits extraordina

rcule librement d’un pôle à l’autre, suivant les lois établies par la nature ; si, par accident, de l’eau bouillante, de l’huil

établit au point de contact un pôle insolite contraire aux lois de la nature ; de suite l’équilibre est rompu, la partie brûlée

de caisson continuelle, l’irritation se développe, jusqu’à ce que la nature , seule ou aidée par l'art-, ait détruit cett« pol

bonne santé, puisqu’il détruit l’équilibre de polarité établi par la nature . 3° Le corps humain est naturellement polarisé

ontré que toutes les parties qui le composent participent, selon leur nature , ou à l’électricité positive ou à l’électricité d

it-il pas le résultat de la loi de polarité, et ne serait-ce pas à la nature de son pôle que la main droite devrait l’excès de

ion et en faire un art de guérir, il faut encore l’intelligence do la nature et des lois de l’agent magnétique. Enfin la mag

s maux de tête, qui d’ailleurs depuis quelque temps avaient changé de nature , ne reparaissent plus. Les menstrues, pour la t

s’infiltrant par tous les pores, est bien plus puissante et aidera la nature de son travail de répulsion contre les principes

de grands déploiements de force pour obtenir de grands résultats; la nature semble lui obéir, car il entre de suite dans ses

tées à sa constitution et sa base élargie, la lisle des membres et la nature des travaux seront ultérieurement publiées. ATH

ante de l’esprit, et que c’est enfin lui qui commande en maître. La nature du fluide est tellement irrésistible chez le baro

e le baron du Potet, ce grand et religieux observateur des lois de la nature , ait un privilège exclusif pour produire des ench

ves soumises, vous croyez que la fausseté est le vice inhérent à leur nature ! Détrompez-vous; oserez-vous nier maintenant lcta

orablement l’esprit de son nombreux auditoire, rappela d’abord que la nature abonde en phénomènes inexpliqués, peut-être inexp

part dans les ingénieuses hypothèses de M. Poe. Ce que Bruno appelait nature , à la fois principe et élément de ce qui est, com

éatures sont des pensées de Dieu. Toute pensée est irrévocable par sa nature . « Expliquez-vous! s’écrie l’interlocuteur de M

guérissent ceux que la fausse science a maltraités, ceux pour qui la nature n’a point été prodigue. La vie dépensée si noblem

même toutes ses idées par sa propre expérience. Comme dans toute la nature les grands mouvements enveloppent,, rectifient et

la mer, etc., et à diriger su contemplation vers les phénomènes de la nature , comme sont les nuages, les vents, les orages, le

* L’enfant, ainsi placé, obéissant uniquement à l’impression de la nature et aux lois de la végétation qui ont formé ses or

r leur propre expérience, à sentir à chaque instant celte règle de la nature fondée sur la loi éternelle de l’équilibre : «

maux qui l’environnent, On lui fera observer qu’ils sont doués par la nature , notre mère commune, des mêmes sensations; qu’ils

és de ces indignités; laissez en paix ces gens qui outragent ainsi la nature et qui ravalent votre science en montant sur des

es. Cette observation fortuite sert de base à des expériences de môme nature , et l’on reconnaît que tous les liquides alcooliq

magnétisme, établit la différence entre ceux qui sont inhérents à la nature de cet agent et ceux qui lui sont faussement attr

ine; il est resté croupi dans le champ des banalités : accusons-en la nature de son esprit. Comme dit feu Saint-Simon, chacun

ce praticien a laitune élude spéciale. Les faits qu’il résume sont de nature à modifier profondément la pathologie de ces mala

érience, nous devons attendre, pour admettre l’unité des forces de la nature , qu'un nouvel (JErstedt, qu’un nouvel Arago, qu’u

es savants chérissent cette idée d’unité, d’identité des forces de la nature . Mais la physique et la chimie, tour à tour invoq

ses qu’utiles, fatales enfin. Nous nous croyons les instruments de la nature ; la vie est notre agent; c’est cette force qui gî

t sentiment, éteindre la chaleur de l’àme ? N’est-il pas temps que la nature outragée trouve des vengeurs, et que ses lois tro

cile triomphe; au contraire, si ce que nous faisons est conforme à la nature , un jugement inique ne ferait que retarder bien p

mer, ni de ces étranges déplacements des sens qui vous séparent de la nature humaine pour vous lancer dans le monde des esprit

s savant, l’antagoniste d’un grand homme; j’intervertis l’ordre de lu nature , tant pis pour les règles. M. le docteur Gerdy

le de comprendre ce qui se passe alors, nulle contrain’e n’existe, la nature n’est point forcée ; les passions qui dérangent t

nétise, avoir la simplicité (1) De mime, dans Ici productions de la nature , tout ce qui vient déranger ses combinaisons simp

rque à faire, c’est que, en général, les êtres les plus voisins de la nature , les moins civilises, sont plus aptes à présenter

présenter sous un aspect nouveau ? Connaissons-nous bien notre propre nature , en avons-nous saisi toutes les propriétés, n’avo

t. L’homme n’était connu que par ses facultés de la veille , voici la nature surprise dans des moments où les organes reposent

ur; c’est une force vive, intelligente, émanée de la volonté et de la nature humaine, et qui est aussi éloignée de la première

e, et qu’il s’y rencontre même des anomalies apparentes, parce que la nature , toujours la môme dans son ensemble, est variée à

le auditeurs ont recueilli les paroles suivantes : « Il y a dans la nature trois choses : la substance, la force et la loi.

ien ! la substance, elle varie à tout moment; elle est variable de sa nature ; elle change de formes, do pesanteur, de densité

te impossibilité où elle est de changer qui maintient l’ordre dans la nature . Ainsi Dieu a donné à la nature une loi immuable

changer qui maintient l’ordre dans la nature. Ainsi Dieu a donné à la nature une loi immuable qui ramène tout à soi, et deux é

au médecin la santé, contrairement à toutes les lois apparentes de la nature , il pourrait nous répondre : «Est-ce «que je puis

pourrait nous répondre : «Est-ce «que je puis changer les lois de la nature ? » 11 les change cependant. 11 vous apporte un fé

no recule jamais devant aucun fait. « On dit donc qu’il y a dans la nature des forces occultes que nous appelons aujourd’hui

urd’hui poursuivre les hommes inoifensifs qui usent du pouvoir que la nature leur a départi. C’est ainsi que cet honnête Foula

d’êtres n’ont-ils point servi à leurs expériences? Ils ont fatigué la nature , mais elle n’a point répondu à leurs appels inces

enseignons. Pcutrêtrc apprendra-t-on un jour qu’il n’existe flans la nature qu’un seul et môme fluide, susceptible do toutes

rce primordiale dont nous n’avons point encore arraché le secret à la nature . Plusd’un préjugé, plus d’une erreur, se sont g

t ne saurait devenir matériellement le produit d’un fluide qui, de sa nature , est impondérable. C’est donc une sensation ficti

s ne prouvent rien, parce que chaque système a les siennes, ei que la nature guérit 1c plus souvent. Ce naïf aveu signifie tou

l’observateur intelligent pénétrait jusqu’au fond du sanctuaire de la nature pour en étudier les mystérieux ressorts. L’origin

aiter les malades; et cependant, malgré leur discrétion sévère sur la nature des procédés dont ils faisaient usage, nous parvi

et de suspendre aux murs du temple des tablettes explicatives sur la nature de leurs maux et des remèdes dont ils avaient fai

uences funestes qui pouvaient résulter de l’exposition des lois de la nature . « Nous sommes, dit le Cosmopolite (1), comme e

traité de la Science du inonde, c. vm, p. /|7, qu'il y a en nous une nature divine dont nous ressentons les faveurs quand l’e

cependant on n’a pas réussi jusqu’à ce jour à en bien approfondir la nature et les causes. Nysten, dans son Dictionnaire îl

scures, laissent évidemment percer l’incertitude de la science sur la nature d’un phénomène qui s’est reproduit dans tous les

et qui passaient pour sorcières. Ce lut pendant des crises de cette nature , que S. Thomas d’Aquin recueillit ses plus hautes

et entre autres Aristote, dit Léonard Vair (à), ont eu opinion que la nature et com-plexion du corps servait de beaucoup pour

s, sans être arrêtés par aucun obstacle. 11 semble enfin que toute la nature leur soit présente ; la volonté même leur est com

facilement cette crise salutaire, sous l’empire du magnétisme, car la nature est toujours disposée à reprendre ses droits lors

malades que chez les gens bien portants; c’est alors une crise de la nature qu’il faut utiliser au profit de la guérison ; ca

ar, nous pouvons avancer, avec un célèbre publiciste (1) : « Que la nature veut toujours guérir, puisqu’elle veut essentiell

ent réparateur qui tend sans cesse à le reproduire. C’est toujours la nature qui guérit, car si elle ne voulait pas guérir, et

nous demandons comment on s’y prendrait pour opérer une guérison. La nature ne guérit que par des crises, c’est-à-dire, par u

les moments de sa grande activité, qu’en rendant alors l’action de la nature plus énergique, il en augmente infailliblement l’

s de tête, saignée du bras d'une livre et demie. Le sang est de bonne nature . La céphalalgie diminue seulement le 20, dès le m

e des étrangers qui la traversaient. « Pressé de questions de toute nature auxquelles il répondait avec un grand sang-froid

avait été jugée indispensable, ont été fondues, des plaies de la même nature fermées, des caries d’os arrêtées. Plusieurs so

derne repousse de toutes ses forces. Ces faits, quellesque soientleur nature et l'interprétation qu’on en donne, doivent être

rrons qui aura raison, des savants ou de nous ; ou plutôt si c’est la nature qui ment, ou bien encore nos illustrissimes gens

e, d’autant plus que bien des raisons la lui commandaient; d’abord la nature de ses études et de ses occupations (il était géo

du pays, leurs commentaires sans doute très-peu scientifiques sur la nature des faits; leur mille et une hypothèses, et il fa

nations dont elles enrichissaient la vérité. Tout cela n’était pas de nature il persuader un esprit positif et prudent. « Ma

sait quand on en manifestait tout haut le désir. 11 changeait même de nature : tantôt, semblable à des coups de marteau contre

es malades. Nous voudrions une réponse plus générale, qui indiquât la nature de l’influeuce développée. Nous sentons combien i

les effets ne sont jamais aussi puissants que dausle sein de la libre nature , et en apprenant aux laboureurs que leur vigoureu

sonnes soumises à l’influence animique de l’homme? 2° Quelle est la nature des manifestations psychologiques développées, al

pe que ma propre expérience m’a lait adopter sur cette médecine de la nature , principe que je regarde comme un devoir sacré de

de démontrer rigoureusement qu’une force puissante, inconnue dans sa nature , existe dans chaque Être humain, et que, habileme

lxT (de Garnay). FAITS ET EXPÉRIENCES, Une force inconnue dans sa nature , et cependant réelle comme la lumière, ne peut se

eut-être un autre agent plus merveilleux encore, et qui serait par sa nature le lien nécessaire entre le monde visible et celu

. En effet, une sage et régulière approbation pour une chose de cette nature , vaut cent fois mieux en administration qu’une pr

nes dont il s’agit, n’y voit rien que de très-conforme aux lois de la nature , et, par conséquent, il sait que le diable n’y en

fet, le magnétisme animal est, à proprement parler, la médecine de la nature , la médecine domestique, la médecine providentiel

nduire vers cet état de tranquille félicité que le divin auteur de la nature a tracé, on a fondé des asiles pour l’enfance, de

mportance. Il s’agit d’une prédiction d’événements politiques dont la nature de ce Recueil ne comporte pas la reproduction.

i ce 11’est par induction; mais ce qui est bien certain, c’est que sa nature , sa constitution humaine n’a pas dû changer par l

s pourquoi voudrait-on qu’il ne fût rien resté de merveilleux dans sa nature , sans croire devoir l’attribuer aux esprits infer

res le plein pouvoir de disposer de ces phénomènes, qui tiennent à la nature de l’homme, et qui ne passent pour surnaturels qu

ppement de leur intelligence, et selon la connaissance des lois de la nature appartenant à leur époque. Eh bien ! Monseigneur,

donc, reste le même qu’il était auparavant, et tel que l’ont l'ait sa nature , sa constitution, son éducation, à la différence,

qui, dans le fait, livrerait les malades aux simples efforts de la nature . Si, au contraire, le magnétisme est une .science

n de M. le Dr Teiuaghi. Prospectus. Toute chose qui tient h notre nature n'est ni ridicule, ni merveilleuse; elle mérite s

rable aux sarcasmes de ceux qui croient que tous les phénomènes de la nature sont enfermés dans leur raison, je vous apporte m

gagea le père à ne plus employer de remèdes, et à attendre tout de la nature et du temps. Un jour ce monsieur vint me prier

a médecine est une espèce de sacerdoce qui a pour base les lois de la nature , et, par conséquent, dos lois sûres et positives.

nts médicamenteux sont tous des agents puisés dans les produits de la nature , et les sujets sur qui nous les employons, l’homm

e qui arrivera tôt ou tard. Car ce qui est vrai, selon les lois de la nature , doit être à jamais immuable comme elle et son au

us fait voir que tout a un but providentiel dans les phénomènes de la nature , bien que ce but ne soit pas patent toujours, ni

ma faveur une exception aux lois générales qu’elle a établies pour la nature , lorsqu’elle l’a tirée du néant... » Ce serait

e une pression involontaire de gauche à droite, la main droite, de sa nature plus développée et plus forte, agissant, et ne fû

in, ce que nous avons pu démêler de positif dans le grand livre de la nature . Les hommes de loisir viennent de soulever un nou

ois, dix fois, mais dos centaines de fois. Et quels phénomènes! De la nature de ceux où toute illusion, toute supercherie est

car j’ai le bonheur d’être aimé de ces jeunes, candides et expansives natures , qui connaissent aussi l'affection que je leur po

ens de raconter, un fait m’a surtout frappé, parce qu’il me semble de nature à éloigner l’idée de toute supercherie, c’est l

les constater, à les reproduire, à étudier leurs lois, à deviner leur nature , si cela se peut. C’est qu’il faut empêcher que l

urne toujours vers le nord ? Est-ce qu’elle sait le premier mot de la nature intime des forces magnétiques, électriques, du ca

en en faisant la conséquence fatale des lois inscrites au code de la nature ? N’est-ce pas la science régénérée, que toutes ce

au génie puissant qui découvrit la plus merveilleuse des forces de la nature , venez honorer la mémoire de notre révélateur!

te lumière, incessamment projetée sur cet ordre de recherches, est de nature à décourager et à démasquer les charlatans et les

idérable que le vi ' dont nou g (( Voici, cependant, un fait de cette nature incontes • rantissons l’exactitude, qui est d’une

dû convertir les plus sceptiques et vous ont paru, ii vous aussi, de nature à ne plus laisser l’ombre d’un doute sur la réali

l’expliquer, ce n’est pas en présence d’un public nombreux et, de sa nature , porté à tout saisir par le côté plaisant et amus

saura plus tard. Soit fatigue, soit surexcitation magnétique d’une nature très-impressionnable, M'"° L... faillit se trouve

rait accuser un type constant, et par là jeter quelque lumière sur la nature du phénomène qui, en ce moment, occupe toutes les

sont de puissants auxiliaires par les merveilleuses facultés dont la nature les a douées par privilège. Nous sentions tous qu

ntuition de l’avenir. L’homme, destiné à régner souverainement sur la nature , reconquiert ce pouvoir sublime qu’il avait laiss

i le nid d'où les couvées S’élanceront vers les nuées Pour chanter la nature et Dieu 1 Mais aux vautours... mais aux rapaces 1

me universelle distribuant ses h rayons divins à tous les corps de la nature selon leur orga-ii nisation. » h 0 Mesmer ! que

cette époque de l’année, à cette heure solennelle et charmante où la nature toute entière, agitée par une force inconnue, sor

t-il encore, comme il en est dans l'emploi de toutes les forces de la nature , serait-ce une raison pour repousser la plus merv

ompeurs, des hommes qui, par de pénibles travaux, auront arraché à la nature ses secrets, viendront en quelques instants commu

sion, toujours prompte et certaine, épouvantera les criminels, et les natures les plus perverses, voyant le mal puni dès ce mon

. Je viens, etc. Point de compère, encor moins de muscade, A moi, Nature , et ta fécondité! De tous eôlés venez îi ma par

ufragés! Je viens, etc. Pour pénétrer ce ténébreux mystère Que la nature aux humains sut cacher, Comme à la pointe attiran

ré, mais encore l’épuisement qui suit toujours les accidents de cette nature . Quand ou pense à la difficulté qu’éprouve le m

de que nous émettons dans l’acte magnétique participe de cette double nature . Pour moi, le magnétisme, c’est la vie. Or la v

agnétiseur, arsenal immense, comme on voit, car tous les règnes de la nature lui sont tributaires. Je borne ici, par la cita

de ce procédé; car certes l’agent mesmérien n’agit pas sur toutes les natures au même degré et dans le même temps. C’est un moy

même degré et dans le même temps. C’est un moyen, entre mille, que la nature a donné .à l’homme non-seulement pour se guérir,

es craintes de notre maître. V. J’ai dit que tous les corps de la nature étaient aptes à la saturation magnétique. J’ai di

vresse, etc. Ici, tout devient instrument de prodiges, les lois de la nature semblent renversées : un chapeau, une canne, etc.

uvertes surprenantes qui viennent enrichir l’empire de l’homme sur la nature , d’en espérer de nouvelles encore plus admirables

mène envelopper comme en un réseau et passionner en quelque sorte ces natures positives et froides, dont le tempérament moral s

de trop de réserve. L’homme est tellement lié aux puissances de la nature , que tous les effets de cette attraction, qui exi

mondaines, ont pour but le véritable avancement de l’homme et sont de nature à liii en procurer les moyens. Dans cette espèc

t d'une nouvelle lumière. Ame élevée, au-dessus du commun des âmes, nature tendre et douce, esprit poétique et généreux, viv

philosophe inconnu s’explique sur tous les rapports de Dieu et de la nature avec l’âme humaine! avec quelle puissance il a re

que nous sommes tombés au-dessous du firmament, tandis que, par notre nature , nous devions être au-dessus ; et c’est cette tra

nt une infinité de communications fausses de tout genre. h Toute la nature est en somnambulisme, dit-il, et lorsque l’homme

sque l’homme se laisse subjuguer exclusivement par le régime de cette nature , il participe à ce somnambulisme que l’on voit ré

es vives, s'il lui est donné d’en opérer, soit au développement de la nature de l’homme, s’il lui est donné d’en apercevoir le

se surnaturelle, une chose qui est au-dessus et à part du cours de la nature ? Or, de parler, de penser, de combiner, de transp

s’élancer par sa prière et par les désirs de son cœur, hors de cette nature ténébreuse qui ne le peut entendre, pour aller co

surnaturel, puisque ce phénomène n’existe dans aucun autre être de la nature ? Enfin, n’offre-t-il pas par là ce que l’on peut

rigent son existence , et aux phénomènes uniformes et monotones de la nature . « Quant aux miracles si recherchés, si admirés

uand même vous feriez mouvoir à votre gré toutes les puissances de la nature , vous ne développeriez là que la gloire de l’homm

me, puisque vous n’agiriez que sui; les miroirs de l’homme, et que la nature est votre apanage ; au lieu qu’en donnant tous vo

ême ; mais ils s’opéreront beaucoup dans l'ordre des puissances de la nature , afin que les nations ne puissent former de doute

e développer les forces médicatrices et de Beconder les efforts de la nature ; il donne de la force et du courage. Il faut bien

e repoussons pas la doctrine qui a pour objet de nous éclairer sur la nature et les attributs d’un agent qui dénote l’existenc

s semblent au premier abord extraordinaires; car, sachons-le bien, la nature n’enfante que des faits ordinaires, et l’extraord

sente à vous, il est de toute «nécessité que la cause en soit dans la nature ; quelque « étrange qu il vous paraisse, il ne peu

poussez-les de votre esprit en considérant qu’elles vien-« nent de la nature . » N’oubliez pas non plus que la plupart des sava

nous paraissent el quel que soit l’agent de ces phéno r.ènes, sur la nature duquel on est encore loin d’être parfaitement d’a

bles. En effet, nous sommes si loin de connaître les merveilles de la nature , qu’il serait absurde de nier l’existence de cert

mandons aux hommes vraiment éclairés, en méditant sérieusement sur la nature de cet instinct qui pique en dedans tous les être

de vie anime tous les corps ; qui, fluide ou esprit, pénètre toute la nature et remplit l’univers d’une activité perpétuelle?

out ce qui existe, il lie entre eux les êtres des trois régions de la nature , comme disaient les anciens. Chez l’homme et chez

ulsions règlent seules le choc des molécules. « En résumé, toute la nature est pénétrée de vie et chaque corps en possède as

flexion et de la méditation ; il faut savoir lire dans le livre de la nature , formé de toutes sortes de textes, les uns d'une

it son dernier mot. Mais combien peu connaissent le grand livre de la nature , et combien peu sont réellement philosophes ou se

e personne, car, comme nous le verrons dans le chapitre consacré à la nature de l’homme, il y a vraiment un hiatus immense ent

les efforts de ceux qui cherchent dans les ressources de notre propre nature les moyens de guérir les maux qui frappent l’huma

peutique naturelle. En agissant ainsi, nous agirons sagement selon la nature et selon la loi ; mais défions-nous toujours des

cer d’avance qu’un fait est impossible , et de prétendre imposer à la nature des limites infranchissables. L’homme, malgré tou

l’infini au-dessus comme au-dessous de lui ; que tout est lié dans la nature ; que nous devons être en relation avec les espèc

ertes. Nous ne pouvons être coupables en obéissant à une loi de notre nature , en travaillant à nous perfectionner et à approch

surnaturel, s’il existait, serait ce qui est contraire aux lois de la nature ; ce serait tout fait produit par une interventio

ribulations, le bonheur de pénétrer plus avant dans les secrets de la nature et de converser avec les anges. M"“ AVild crain

plissant l’espace? N’est-ce pas par lui que tout est sensible dans la nature ? N’est-ce pas sur lui qu’est fondé l’admirable sy

apeau ou de tout autre objet, varie nécessairement suivant l’état, la nature et l’impressionnabilité des personnes qui forment

bout de trois ou quatre minutes, tandis que d’autres meubles de même nature , placés dans la même salle et à la même heure, n’

uer sur les résultats, si les personnes qui forment la chaîne sont de nature à se causer réciproquement des distractions invol

des sens, bien que la raison se refuse à expliquer des laits de cette nature , qui resteront peut-être toujours dans le domaine

s vivants que lui, et après tout il est impossible de se moquer de la nature . * « Des expériences publiques répétées plusieu

s naturelles, anges ou démons, intermédiaires entre la divinité et la nature . Plus éclairés aujourd’hui que tout est ramené à

ue alors connue, parce que le principe de l’immobilité des lois de la nature a été établi dans les esprits. 11 sera curieux de

ne la plus grande idée de l’homme et poétise pour ainsi dire toute la nature . Elle ira chercher jusque dans le passé antédiluv

édés intermédiaires meurent , son application devient simple comme la nature d’où il procède est puissante comme toute force l

its. A mesure que l’homme s’initiait à la connaissance des lois de la nature , il parvenait à expliquer, par le jeu constant et

de la colère céleste, n’a plus été qu’un résultat de fluides dont la nature est connue, et dont l’homme a su se rendre maître

ous commençons à différer d’avis avec l’auteur, quand il traite de la nature du magnétisme. Voici la conclusion à laquelle il

our de nous; il prétend de plus être en mesure de se prononcer sur la nature de ce3 Esprits; et c’est à ceux de la plus mauvai

coin du voile ! Il y a donc bien de la témérité à se prononcer sur la nature de ces êtres mystérieux dont l’existence nous est

ns toutes nos réserves, on ne peut encore voir la main des démons. La nature nous offre tous les jours des résultats calamiteu

s existaient, ne seraient d’aucun poids quant à la constatation de la nature des choses, et n’auraient de valeur que comme opi

s, dit-on ; elles contredisent la marche régulière et constante de la nature , qui nous a toujours appris qu’on voit par les ye

rs des attaques précédentes. Il a même prétendu connaître d’avance la nature , la durée de celles qui suivraient; c'était une e

e, mais bien concluante. Avouons cependant que, dans un fait de cette nature , cette expérience seule n’eût pas suffi pour déte

ous les phénomènes différents qu’elle a présentés. Un fait de cette nature ne peut que trouver des incrédules obstinés, et l

notre économie, avec une si profonde sagesse. Mais si la loi de la nature est que la vision s’exerce par le moyen des yeux

ment par les yeux ne puisse, en aucune manière et dans un état contre nature , s’exercer par une autre surface ? Je ne le pense

re pour concevoir cette possibilité; et il n’est que trop vrai que la nature de l’impression reçue par la rétine nous est enti

hilosophes et les anatomistes môme n’en ont point encore découvert la nature et les effets. Est-ce une vibration dans le nerf,

ais il n’expose un effet magnétique avant son semblable puisé daus la nature ou dans les sciences. Les quelques considératio

avons, au contraire, négligé beaucoup de détails et de faits d’autre nature . Nous en appelons ;\ la bonne foi des trois cents

ropie du condamné, c’est-à-dire douze ans. Or, tous les effets contre nature sont essentiellement passagers. 3° ASCENSION DE

s prêtres de l’ancienne Egypte, 11e révèlent pas les mystères de la nature découverts par eux. Ils s’en servent pour entrete

é la cause de leurs mouvements. Ici, au contraire, on peut étudier la nature de la force ; chacun de nous peut se prêter à l’e

, en tombant de voiture dans une course aux environs de Genève, et la nature de l’accident faisait penser que les arts avaient

Après ces trois semaines écoulées, les accès changent en- core de nature et présentent un autre ordre de phénomènes ; ains

rations qu’elle devait faire le lendemain ; elle reconnaissait que la nature de ces crises était très-favorable, qu’elles étai

outre), et qui ne se font guère obéir. « Ce fait, qui me paraît de nature à renverser beaucoup d’hypothèses explicatives, n

son métier, et le mien est d’appliquer mon esprit à des études d’une nature fort différente. « Agréez, etc. « A. DE GASPA

ous les yeux du lecteur ce qui est dans notre pensée, ce qui est de nature , et nous pouvons ajouter : ce qui est de Dieu.

laisse-toi voir et saisir par moi ; je veux peindre le pouvoir de la nature et scs enchantements réels; je veux montrer à l’h

dégager. 11 faut avouer que ce fluide, qu’011 dit nerveux, est d’une nature bien bizarre : plus on en a dépensé et plus ou

vres (article 405), c’est-à-dire combinaison d’actes et de paroles de nature à tromper une prudence ordinaire. Quelles manœuvr

u par des œuvres vives, les guérisons, vient de payer son tribut la nature . C’est M. Boméa, notre correspondant à Valence. U

nt la cause du pouvoir en général, malgré les vives répugnances de ma nature , et que j’ai ordre de vo.us dire, h vous personne

es images les plus fantastiques, et en un mot commande en maître à la nature , façonne et pétrit en quelque sorte une personnal

multipliés, irréfragables, en démontrent la réalité. Quelle en est la nature ?... A cet égard, un mystère profond nous envelopp

réalité de l’action que se manifeste la volonté, c’est surtout par la nature de ses effets. Ainsi, qu’on veuille calmer une do

point étudiées, etc. Nous ne pouvons admettre cette explication. La nature de l’âme est pour nous un mystère qui sans dout

de se prêter à tous les systèmes psychologiques-; quelle que soit la nature do l’âme, à quelques destinées qu’elle soit réser

nculquer de pareilles erreurs à la jeunesse, car il y a de ces bonnes natures qui croient tout; quant à moi, je ne crois à rien

périences, je prendrai la liberté de réfuter les appréciations sur la nature des effets électro-biologiques auxquelles vous vo

phages les mieux caractérisés, et de leur ôter tout sentiment de leur nature humaine. « Vous avancez, monsieur, qu’une sembl

é permanente, et que les phénomènes électro-biologiques «étant contre nature ,» doivent être pur conséquent nécessairement pass

a manie en particulier, qui sont par excellence des phénomènes contre nature , ne pourraient jamais être que des accidents de c

ils ne voient et ne touchent que les choses les plus grossières de la nature . Apercevez-vous ces aromes voyageant dans l’esp

ang, en mille fluides différents qui font et feront toujours par leur nature sut generis le désespoir de la chimie, cette puis

le a suivi et que rien n’a pu effacer. Tout ce qui se forme dans la nature agit comme un aimant qui attire à lui ce qui peut

que le génie humain a découverte, mais la souveraine puissance de la nature , puissance mise par Mesmer aux mains de tous les

empreint de justice. Lorsqu’un homme découvre un des secrets de la nature , n’a-t-il pas d’abord contre lui la société tout

lir le divin fds de Marie. Ils venaient saluer en lui le modèle d’une nature parfaite; car il réunissait dans sa personne le n

sent point; leur incrédulité me fait comprendre l’infériorité de leur nature et la pauvreté de leurs sens. Mais revenons au

car les hommes ne sont point meilleurs , et il est vrai aussi que la nature est toujours la même. L’homme ne change pas plus

que la nature est toujours la même. L’homme ne change pas plus que la nature . 11 existe un principe de bien et un principe de

fait, dont il faut se garder de conclure que les renseignements d’une nature analogue donnés par les somnambules soient toujou

u neuf personnes le veulent, la touchent ; sans avoir remarqué que la nature , malgré sa puissance, croit encore devoir donner

er à la terre des admirateurs, des modificateurs, le complément de la nature , créa l’homme, une intelligence servie par des or

s faits pour les ramener à une loi, et à surprendre les secrets de la nature . 11 a été publié des traités d’un grand mérite qu

rexcité par une résistance, que d’opérer sur l’inertie physique d’une nature qui se soumet à tout (page 38)... Je dis que le s

l ; c’est elle qui met en jeu l’agent mystérieux dont nous a doués la nature ; c’est par la volonté que nous l’émettons, que n

, brutale, comme la force musculaire ? L’action physique est, de sa nature , aveugle ; elle est uniforme dans ses effets; tel

e somnambulisme s’exerce en vertu d’une faculté que nous tenons de la nature ; il 11’a donc rien que de parfaitement naturel;

vention miraculeuse de Dieu, à une dérogation spéciale aux lois de la nature . Si telle est l’opinion de l’auteur, il aurait dû

on ne saurait trop faire connaître à nos chirurgiens des faits de la nature de ceux cpii suivent. Us prouvent qu’il n’est pas

imaux, hauts comme les pyramides, sont engloutis dans les eaux.... La nature s’essaie et produit des ébauches. — Regarde enc

d’autres races qui elles-mêmes vont achever l’ouvrage terrible de la nature .... C’est à qui d’entre les hommes s’excitera au

Depuis l’antiquité la plus reculée, l’homme a cherché à connaître sa nature , son origine, sa destinée ; il s’est demandé quel

e, que presque tous les écrivains qui, aujourd’hui, dissertent sur la nature de l’homme, ne croient pouvoir le faire sans s’oc

e sorcellerie du diable. Le magnétisme est une propriété inconnue, de nature céleste, dont l’influence est semblable aux influ

ne voulaient point accepter et qui vous eût rendu redoutable. Mais la nature varie ses dons; elle donne à celui-ci le courage,

orsque je vis le magnétisme produire des phénomènes inaccoutumés ! La nature de ces faits était telle que je restai stupéfié.

n, dans un rapport où l’on voit rapportées des guérisons de la môme nature et plus étranges encore que colles que SI. Cheval

son image et à sa ressemblance ! >> Voilà des gens en qui la nature a mis en permanence une faculté qui ne se montre

bientôt encore que si le magnétisme a soulevé un coin du voile de la nature , il doit continuer son œuvre et la montrer tout e

au milieu de nous, celui de pénétrer quelques-uns des secrets de la nature , peut-être môme ses lois. Dans ce grand travail

enter, sans les imposer à personne, les raisons qui lui paraissent de nature à faire soupçonner dans l’air des puissances invi

e manquer de sens ou d’être indifférent aux beautés des arts et de la nature ; car plus il sent, plus il est malheureux, et il

: « Une découverte s est faite; elle semble venir en aide aux faibles natures ; par les moyens qu’elle nous offre, nous pouvons

participe de la vie et se sépare ainsi do toute force physique de la nature . Aucun corps ne peut l’isoler ni l’empêcher d’agi

a pas été généralement apprécié jusqu’à présent gît en partie dans sa nature même et dans la singularité des phénomènes qu’il

our ainsi dire, le développement organique des forces implantées ù la nature humaine, il n’est nullement nouveau selon son ess

inusitées et ne faisant voir aucune qualité qui serait étrangère à la nature do l’homme. « La nouvelle doctrine appartiendra

t à la sphère intérieure et mystique du sommeil et des songes , où la nature poétique de l’homme joue de sa cachette son rôle

e, mais ù les rapprocher et A les concilier entre elles. « Comme la nature élevée de l'homme perce lumineusement dans les ph

t. M. Du Potet, désirant qu’il ne restât aucune ombre de doute sur la nature dune action physique exercée à volonté sur le som

et que le magnétisme doit subir la loi de la plupart des agents de la nature , dont l’homme a, jusqu’à un certain point, la pos

tempérée, lorsqu’elle est exercée par un être faible,iorsqu’enfin la nature dirige d'elle-méme cette force sur les solides au

pouvez plus même reproduire lo sentiment des premiers effets. Si la nature refuse de vous suivre et de vous seconder, le mal

éclarer qu’il en est ainsi, vous devez répéter vos tentatives, car la nature est souvent paresseuse et a besoin d’être stimulé

in de connaître son outil, car il peut, sans le savoir, contrarier la nature en voulant l’aider. Ailleurs nous développerons n

n'ayant pas été prévenus de l’essai que j’avais fait, crurent que la nature seule était cause de ce changement heureux et vou

gravité du mal, si une crise est possible elle aura lieu , et, si la nature a cherché ù la produire et n’y soit point parvenu

M. MESMER SUR SES DÉCOUVERTES, ADRESSÉS AU Pl'BLIC FRANÇOIS. La nature offre un mo;en universel de guérir «t de préser

ée aux chances incalculables des drogues et de leur application. La nature , de môme qu’elle a gravé dans le cœur de l’homme

adie considérée dans sa première cause n’est qu’//z?, ce moyen de. la nature n’est qu’««. C’est le principe qui agit sur la so

oit sans doute l’objet le plus digne d’ôtre rapporté à l’auteuc de la nature , pour lui consacrer par là le culte d’admiration

ques et l’insuccès des autres moyens ne laissaient aucun doute sur la nature de la maladie. Le magnétisme, essayé plusieurs fo

et ce moyen est, je n’en doute pas, le plus puissant de ceux que la nature nous a mis entre les mains, ou plutôt c'est la na

de ceux que la nature nous a mis entre les mains, ou plutôt c'est la nature elle-même que vous nous ave/, livrée, et ce n’est

us ave/, livrée, et ce n’est pas en vain que les anciens l’ont nommée nature mèdicatrice. J’ai l’honneur d’être, avec la con

e guérison, là où la science médicale a reconnu son impuissance. La nature a môme tant de voies qui nous sont encore inconnu

r affirmer ce qui est vrai, savoir : Que, dans des cas désespérés, la nature , aidée du magnétisme, a quelquefois triomphé comp

de plus. Plus tard nous essaierons de donner des explications sur la nature du magnétisme, quoique cette tâche nous effraie e

agents d’une grande puissance sans savoir précisément quels sont leur nature et leur mode d’action. Nous nous plaçons dans l

tion de phénomènes qui ne peuvent venir sans l’emploi du moyen que la nature a mis à notre disposition. Et nous disons à ceux

point de menacer la vie. De sorte que l’on voit clairement ou que la nature a été impuissante, ou bien que ses forces ont dév

faire ici s’il est vrai que l’agent magnétique reforme, redresse la nature lorsqu’elle s’égare ou dévie à ses lois. Quoi qu’

la marche et se rendre compte du travail critique qui avait lieu. La nature , renforcée, aidée, no cachait point ses opération

t conduit sar une route nouvelle pour pénétrer dans les secrets de la nature . L'activité de l’esprit humain dans les siècles

nation de magnétisme animal, dénomination pleinement justifiée par la nature de la chose. Comme c’est à la postérité’que j’en

rd, mais le résultat de la méditation et l'observation des lois de la nature ; que la pratique que j’enseigne n’est pas un empi

er de ma doctrine. Des phénomènes sur lesquelles j'avois surpris la nature , je suis remonté à la source commune de toute cho

arriver à la vérité, et d avoir dégagé en grande partie l’étude de la nature des illusions de la métaphisique. Il paroit que

tes les espaces; elles présidèrent et dirigèrent les opérations de la nature ; de là les esprits, les divinités, les démons, l

n vide, dont la subtilité ne permet aucune comparaison, et qui, de sa nature , est susceptible de recevoir, propager et communi

l'âme nu corps, et comme l’extase n'est pas à la portée de toutes les natures , il boit de la gaité, il fume de l’oubli et mange

incu malgré ses talonnières. Grâce au hachisch j’ai pu faire, d’après nature , le portrait d’un farfadet. Jusqu’à présent, je l

ésagé la mort comhle prochaine cl inévitable. Un seul fuit de celte nature , vu et vérifié par des hommes compétents, jurait

té suffisante pour agir sur dos hommes faits cl sur des animaux. La nature n’a point accordé de privilège : c'est une loi.

isons, nous avons déjà dit qu’il n'est pas nécessaire de connaître la nature du magnétisme. Ce n’est que lorsqu’on veut avance

suffit à peine pour trouver les moyens de lever les obstacles que la nature et la maladie opposent à nos efforts. Il faut que

e et la maladie opposent à nos efforts. Il faut quelquefois forcer la nature à revenir sur scs desseins et à reprendre en sous

te manière des crises salutaires, bién au-dessus des ressources de la nature seule, se produiront sous vos efforts, et la vie

eux qui ont écrit le contraire étaient daus l’erreur; souvent même la nature attend cette époque et profite de ce véhicule pou

’ordre dans un cercle perpétuel entre les causes et les effets que la nature est illustrée ainsi que son auteur. En remontan

montant ainsi par une marche simple aux plus grandes opérations de la nature , on reconnolt que le magnétisme ou Y influence mu

e tiennent, il est impossible de faire des progrès dans l’élude de la nature sans avoir embrassé tout l’enchaînement de ses pr

ipes; c’est pourquoi j’ai cru nécessaire de produire le système de la nature dont le corps humain fait partie intégrante, en m

imal, elle y devient le principe du mouvement et des sensations. La nature et la qualité de toutes les humeurs du corps anim

les vrais moyens de guérison 011 qui proprement forment la cure de la nature ; tandis qu’au contraire les effets provenant de l

ntraire les effets provenant de la résistance contre cet effort de la nature sont dits les symptômes symptomatiques, et formen

, et Y impondérable et invisible. Ce sont des êtres de cette dernière nature , doués de volonté, A'intelligence et de sensibili

détruit d’une main ce que l’on a fait de l’autre , jusqu’à ce que la nature , plus habile que vous, ait compris ce que vous vo

’est maintenant démontré que, dans beaucoup d’affections nerveuses de nature convulsive, les désordres qui apparaissent sont p

est à Paris, rue Tiquetonne n° 10, a pour objet: 1° de rechercher la nature du magnétisme animal; 2° ses rapports avec les au

le, à l’appui de ces paroles sublimes et consolantes de Mesmer : « La nature offre un moyen universel do guérir, d rappelle un

agnétisées ont une lucidité qui leur donne des idées positives sur la nature de leurs maladies, sur la nature des affections d

eur donne des idées positives sur la nature de leurs maladies, sur la nature des affections des personnes avec lesquelles oh l

grand artiste, une âme ardente, un désir passionné d’apprendre de la nature et de la vérité; il n’a pas su, on ne lui a pas d

mme l’artiste, doit toujours travailler; ce n’est qu’à ce prix que la nature lui vend ce quon croit quelle lui donne: une su

de science en magnétisme, cet agent fait tout ! Rappelez-vous que la nature elle-même s’égare parfois, et qu’il n’appartient

le est un instituteur nouveau qui agrandit pour vous le domaine de la nature et qui vous monlre la perfection des ouvrages de

ciété, a qu’une combinaison do préjugés; l’instinct n’en a « pas ; la nature est simple, et ne doit pas être fort-« cée, etc.,

indiqué la destination. Un homme studieux, un de ces génies dont la nature est avare, a dit les nerfs creux : sa vie s’est u

elon les fonctions organiques auxquelles il est approprié, diffère de nature , de saveur, etc., etc., et celui dont je vous ent

nerveux que recèlent les ventricules du cerveau est incoloro et d’une nature très-déliée; c’est lui qui donne aux nerfs leur o

en sa double qualité de magnétisto et de théologien, examine dans sa nature , dans ses rapports avec ce que nous connaissons e

et on voit qu’elle ne l’oublie pas. Elle doit à celte médecine de la nature la guérison d’une complication de maladies qui au

érir. Cette dame possède, depuis lors, celte précieuse faculté que la nature accorde à quelques êtres privilégiés dont elle se

, et. devons-nous expier l’ignorance qu’ont les hommes des lois de la nature ? C’est donc en connaissance de cause si aujourd

menteuse, tu n’as fait que corrortipre l’homme et lui ôter ce que la nature lui avait donné : Un sens droit, un inslinft sûr!

gment du Manuel du Magnétiseur, « qui a semblé si bien approprié à la nature des « travaux de la société que notre collègue s’

sme. Qu’ai-je donc à opposera une cause de maladie inconnue dans sa nature :' Je n’ai qu'uneforce au pouvoir de ma volonté; i

tion à toute épreuve et qu’aucun doute ne peut ébranler, je change la nature de deux systèmes nerveux. Tout à l’heure, pour va

colère ou de violentes contrariétés; il arrête ainsi le travail de la nature , lorsqu’il no détruit pas ce qui u déjà été produ

Sou œuvre accomplie, c’ost seulement alors qu’il doit plaindre, si la nature n’a pas répondu à ses efforts, ou se réjouir s’il

ables sont ceux qui n'offrent aucun signe physique de la marche de la nature ; bientôt la confiance du malade l’abandonne, le z

it; cependant c'est souvent par un travail sourd, moléculaire, que la nature procède; la vie est en plus pourtant, mais on ne

. J’ai guéri des malades, bien gravement malades, et pour lesquels la nature depuis longtemps ne faisait rien. Je les ai vus,

physiques et physiologiques produits par les différents agents de la nature et le magnétisme animal, nous donnons un exemple

’appelai à mon secours tout mon peu de philosophie pour considérer la nature des fantômes. Je raisonnai en moi-même, je rappel

t quelquefois si pénibles que le souvenir en reste toute la vie. La nature n’a point de bouche, elle ne peut s’exprimer que

ous lesquelles cette opération a été faite sont si nouvelles par leur nature qu’elles pourront fournir de puissants éléments d

uffisante pour décider complètement la question, n’est-elle pas d’une nature assez attrayante pour en demander la répé-tion im

ous invitons à nous donner des renseignements sur leurs statuts et la nature de leurs travaux. La plus ancienne, celle de Camb

u à notre appel. Le président, auteur connu par ses recherches sur la nature essentielle du medium magnétique, en nous adressa

ndée portera son nom, et sur la porte nous graverons sa devise : LA NATURE OFFRE l:N MOYEN UNIVERSEL DE GUÉRIR ET DE PRÉSERV

ire; le temple ne vous sera pas ouvert par la faute des importuns. La nature a été troublée dans ses opérations; un génie vous

ent peu. Que de joie alors on éprouve quand on a bien saisi ce que la nature cachait ! On est affligé lorsqu’on lit les ouvr

. Nous dirons ici, sous forme d’avis, à ceux qui magnétisent : La nature souvent .'puisée par le mal et les remèdes n’a pl

, dans ce cas, a donc tout à faire, puisqu’il n’est point aidé par la nature ; d’où il suit des difficultés sans nombre dans l

re un flamheau pour moi ; je me trompe moins sur les opérations de la nature et j’apprécie avec un cœur reconnaissant le pouvo

ion possible pour ne point quitter votre ouvrage, lorsque, croyant la nature impuissante ou rebelle, tout se prépare pourtant

rde-robes toutes séreuses. Ne vous y méprenez point, n’aidez point la nature par des purgatifs, car tout se resserrerait bient

Aucun médicament n’avait été administré pendant ces traitements, la nature agissait seule. Ici je dois vous dire que les p

responsabilité d’un régime qui semblait contraire, mais favorable, la nature fût restée sourde ù mon appel. En vain j’aurais m

. Adieu. » THÉORIES. PSYCHOLOGIE MAGNÉTIQUE. Un prodige dans la nature n’esl autre chose qu'uu elTct plus rare que les a

i qu’elle peut tendre à prouver ce que plus haut nous avançons sur la nature supposée de l'âme (presque toujours en possession

e quelques-uns, bien propres pourtant à être remués par l’agent de la nature . La volonté, les désirs ne suffisent point, je l’

our produire à son tour, suivant l'ordre éternellement régulier de la nature , l’arbre majestueux du désert (1) ! (1) L'abond

pourrait d'abord le penser, car, au fond, la cause doit être de même nature ou à peu près. L’essentiel dans ceci esl que la c

l, qui, quoiqu'ayant plusieurs liens de parenté, diffère cependant de nature cl d’action. lériels. Los songes, eux, ne sont

vent pourtant, parfois, à l'aide d’une lucidité propre à de certaines natures ordinairement très-nerveuses, et, par conséquent,

ce la plus active dont notre faiblesse dispose ! Quelle que soit la nature de ce principe qui enfante chaque jour les plus é

qui enfante chaque jour les plus étonnants phénomènes, et (pii par sa nature rentre dans les causes premières, comme celui de

uelle se débattent en vain tous les intérêts de conservation de notre nature , leur a crié : « En avant. » l.a science qui a

e la met en rapport, directement et sans agent intermédiaire, avec la nature , avec les objets extérieurs, avec les idées intim

a-t-elle pas prouvé en mille circonstances qu’elle avait surpris à la nature le secret de ses procédés? Les narcotiques ne pro

nuelle qui le porte à s’élancer au delà de la sphère dans laquelle sa nature l’a enfermé. Un besoin contre lequel il voudrait

trêve et sans repos vers celte lumière qui éclaire les mystères de sa nature et dont ses yeux éblouis démêlent confusément que

rses, rare, complexe et trop fugace pour être étudié à loisir dans sa nature el scs rapports, M. de Puységur a convié tous les

la môme manière et dans des cas identiques, deux hommes d’une même nature en apparence obtiendront des résultats différents

assin. Cependant, contre toute probabilité, dans ces cas extrêmes, la nature , par un puissant effort, détermine quelquefois le

te direction. Seulement dans cc cas le résultat n’est pas heureux; la nature épuisée fait preuve de bon vouloir, mais on avait

ù la faiblesse est extrême, et où cependant les règles paraissent, la nature , aidée par le magnétisme, les supprime. Elle reti

je n’ai commencé à les observer que lorsque plusieurs autres de même nature avaient eu lieu, mais je ne les attribuais pas al

sont nécessaires, et celui qui les avait ordonnés avait bien jugé. La nature dirige sur ce point des humeurs viciées 01: super

'un fonds commun et qu’ils ont même origine. Marchez sans crainte; la nature , plus sage que nous, a donné des propriétés const

ui peuvent être influen- cées, modifiées; c’est enfin l’agent de la nature donné à l’homme comme moyen de se guérir et de se

ez tous les malades; plusieurs sont sortis incomplets des mains de la nature ; les uns devront avancer en se traînant jusqu’à u

s reposent nos connaissances, qu’il faut bien faire un peu grâce à la nature humaine. Quant aux objections que chacun peut se

it avoir en soi la prescience, être dans le secret des mystères de la nature . Que l’on persévère dans son incrédulité systémat

tribut à l’ignorance contemporaine, et les hommes sont-ils changés de nature ? Jusqu’ici le magnétisme n’a eu qu'une existenc

preuve mille fois répétée que ce qui esl profondément vrai est de sa nature indestructible, et que la vérité esl un flambeau

s images des objets dans des conditions particulières et propres à la nature d’un corps réflecteur. Le somnambule lucide devra

ncevable qu’il y aura là une nouvelle source de connaissances, car la nature aura pour nous un aspect nouveau : les corps nous

fois tous les autres, et qui a sa manière d’être en relation avec la nature . Ce que nous venons de dire relativement aux obje

prévision, appelé la lucidité, ne jetait pas autant de lumière sur la nature el la spiritualité de notre âme, peut-être se ser

i était, comme on le dit avec tant de suffisance, hors des lois de la nature , esl une loi suprême de la nature devant probable

de suffisance, hors des lois de la nature, esl une loi suprême de la nature devant probablement jeter une grande lumière sur

e déshonneur à se tromper, puisque c’est la triste condition de notre nature , tous tant que nous sommes ; il n’y en aurait qu'

es crises, cest-à-« dire en secondant ou provoquant les efforts de la nature . « De là il suit que, s’il entreprend la cure d’u

Le n° 1 fut de suite magnétisé, et j’abandonnai les deux autres à la nature . « Le 10 juin, le n° 1 avait un seul rameau de

lequel on consulte, elle décrit les symptômes, désigne le siège et la nature des douleurs, les lésions internes, l’état des vi

, qui fonctionne au moyen de son corps matériel sur une terre de même nature que ce dernier; la pensée de I aine libre esl voy

ntement est la preuve d’une région ou lerre spirituelle analogue à la nature de l'homme spirituel. Ces belles et sublimes expé

la mort n’est qu’un phénomène de transition, un dédoublement des deux natures . Les somnambules de M. Chardel virent un feu s’ex

spirituel ou âme se continue «près la mort dans un momie pareil à sa nature , où il exerce les mûmes fonctions organiques que

ort pour savoir quel serait le remède à opposer à une maladie dont la nature s’est révélée spontanément â l’esprit des hommes

vent j’ai été appelé pour faire cesser des crises terribles, et d’une nature tellement singulière que nulle plume ne saurait l

lades guérir, contre toutes probabilités, par les seules forces de la nature . L’homme du monde dit, en voyant le résultat do v

nous prouverons bientôt que, malgré la multiplicité des moyens que la nature emploie, tous ces phénomènes viennent de la même

ls n’étaient que des illusions de « coeurs honnêtes et convaincus. La nature procède autre ment « que nous ne l’avions soupçon

cuivre, d’argent, d’or, de zinc, etc., produisent des effets de celte nature . Séance du \ décembre. —M. Warnaw donne leclure

ltés somnambuliques (classification des). 198 Fluide magnétique; sa nature . 375 — — ses propriétés. 85 — — sa source. 21

; Tous demeurant à Paris, aux adresses ci-dessus, aus.1 soussignés. Nature , durCc, i*legc de I» Soctel*. — Raison sociale.

tions ou modifications, sera annexé au présent acte; et s'ils sont de nature I devoir être publiés conformément à la loi, le g

te et douloureuse pensée ; rien n’est inaltérable ni immuable dans la nature ! Cette motte de terre, sur laquelle nous nous ag

’écrire, on vous a ravi ces droits sans songer que ce sont ceux de la nature ; vous avez le droit de mourir si cela vous plait

e à l’éther par ses propriétés physiques et dynamiques, quoique d’une nature chimique différente. Quant à son application ch

eu s’ignorant toujours lui-même. La science ne lui apprend rien de sa nature et de sa destinée ou plutôt elle le détourne d’un

que le magnétisme n'a rien que faire avec la médecine, étant, par sa nature , un agent physique dont tout te monde peut user e

elliptiques, d’après, selon lui, un principe appuyé sur une loi de la nature . Aussitôt que cet ouvrage sera imprimé, j’en enve

ux propositions du grand Mesmer, c’est-à-dire, qu’il existe dans la nature un fluide ou moyen simple de guérir et préserver

r et préserver les hommes des maladies; et que quand l'art manque, la nature reste. En vérité je vous dis que dans ma pratique

n leur temps ? Dire qu’une chose est impossible, c’est méconnaître sa nature , c’est rejeter la science du passé. Vous voulez r

t abstenue en portant son investigation sur d’autres merveilles de la nature . Voyez ce que vous avez fait avec des instruments

t de l’intelligence, rapportera des fruits nouveaux, des fruits de sa nature . Oh vérité sublime qui effraye la pensée! Qu’es

’état actuel de la civilisation, sans doute; car l’homme a dégradé sa nature ; mais dans le somnambulisme tout se retrouve, et

e, ni un art, ni une religion ; c’est une faculté qui appartient à la nature humaine, puisque tous en sont doués, hommes et fe

ion sociale nouvelle. Inscrivez, sur votre bannière : Justice pour la nature outragée, création d'une chaire ou Von enseignera

t que les enfants avant 1 âge de 4 ans se trouvant dans l’école de la nature et absolument abandonnés à son action sans que l’

qu’il a toujours recherché la franche expression de l’opinion sur la nature de ses opérations, bien convaincu que le résultat

d’être emprisonnés si, poussés par les sentiments du bien-être que la nature inspire à tout homme, ces malheureux osaient reto

répandre des vérités utiles. Nous ferons entendre celte voix de la nature trop longtemps étouffée et nos accents porteront

e et nos accents porteront partout celte devise de notre maitre. La nature offre un moyen universel de guérir et d£ préserve

votre utile Journal trouvait en effet dans ces relations des faits de nature à intéresser, ou à encourager, ou à éclairer les

me suit : 3 hémiplégies du côté gauche. 12 névralgies de diverses natures . 4 cas de faiblesses des organes de la digestio

continuer ; mais, hélas ! il se lasse bientôt et cesse. Cependant la nature , aidée du secours qui lui avait été donné, se déb

s choses tellement extraordinaires, qu elles semblent des miracles de nature , parait veuir primitivement de l’Inde, d’où, à tr

ents, tandis qu’il ne fait qu'o- béir aux impulsions secrètes de la nature et de Dieu. Ce feu magnétique qui se trouvait d

principalement consacrés au culte de l'Etre suprême, de XAuteur de la nature , de Dieu. L’idée de l’Etre suprême ne doit se f

blée, on chantera un hymne fait pour élever l’âme vers l’auteur de la nature en célébrant un de ses attributs. Dans les même

à-dire l’étude raisonnée des sciences physiques et des mystères de la nature , mais c’est la magie noire, la nécromancie, la so

nt; dans une autre lettre je vous communiquerai des expériences d’une nature tout à fait curieuse et faciles à répéter. Par ex

ient dit : Obéissez à notre voix, nous sommes les élus de Dieu ? La nature est fatiguée de produire des ingrats; elle vient

également de principes vrais, incontestables, qui se rattachent à la nature , à son composé, à ses lois. Détruisez, pour les

érir et se préserver, s’imposer aux nations comme des ministres de la nature et comme ses interprètes?... Est-ce en conserva

st établie parmi les hommes. Mais lorsqu’on veut savoir quelle est la nature de l’agent nouveau et mystérieux, la raison s’arr

tout ce qui tenait à la religion, à la philosophie, à l’essence de la nature , il faudrait, par une sorte d’intuition, percer t

rfaite qu’entendaient jadis les hommes, langue dans laquelle toute la nature s’expliquait par toute la nature? Kst-ce une viva

ommes, langue dans laquelle toute la nature s’expliquait par toute la nature ? Kst-ce une vivacité d imagination plus grande qu

nt tous les peuples ont une confuse tradition ; alors, sans doute, la nature parlait plus haut et plus clair à son esprit; l’h

et j’ai désiré connaître une personne qui aimait, comme moi, Dieu, la nature et la solitude. Quelque chose, d’ailleurs, me dis

riant, je ne nie pas ce que j’ignore; je n’affirmerai pas que dans la nature visible et invisible où tout se tient, où tout s’

possède sont encore peu nombreux, mais très-précis. Ils m'ont paru de nature à intéresser tous ceux qui s’occupent de botaniqu

maginent qu’il n’est rien en dehors de leurs plates-bandes, et que la nature est bornée à l’horizon de leurs parterres. Pauvre

est bornée à l’horizon de leurs parterres. Pauvres amants de la belle nature , vous ne comprenez point votre maîtresse; elle a

richesses nationales. L’impôt territorial ne doit pas être perçu en nature , mais en argent, parce que : 1° l’impôt en nature

t pas être perçu en nature, mais en argent, parce que : 1° l’impôt en nature n’intéresse pas le possesseur à défricher le terr

nce aisée d'une famille, et pour la perfection de la culture selon la nature et la position du sol; cette portion de bien-fond

rcherai toujours, par tous les moyens en harmonie avec les lois de la nature et de la raison, à propager, à populariser, à vul

monie aident admirateur. Il faut suivre humblement l'instinct de la nature , l’our isoler son âme et la rendre plus pure. V

ent ses besoins, en est avertie par l’instinct et par la douleur. 0 nature , que tu es belle et grande ! Le médecin qui nie t

es examiner dans leurs différents rapports, de les classer selon leur nature et leur ordre chronologique, en un mot d’écrire l

touchant l’influence réciproque des êtres dans les trois règnes de la nature . Le lecteur est ainsi transporté du monde des fol

tration. Mon dessein, quant à présent, est en vérité d’une tout autre nature . Je sens le besoin, en dépit de tout un monde de

ération de la constitution atomique étant maintenant mise de côté, la nature de cette masse tombe, glisse inévitablement dans

est une créature. Les créatures sont les pensées de Dieu. Et c’est la nature d’une pensée d’être irrévocable. P. Je ne compr

une compréhension infinie de tous les êtres, excepté d’un seul, de la nature de la volonté de Dieu, c’est-à-dire du mouvement

cevant tout cervelle. 11 n’est pas cela, mais une conception de cette nature vous rapprochera de l'idée de sa constitution rée

autre sens, et ne doit-on pas craindre alors que les tendances de la nature soient contrariées, et la guérison retardée?...

lissement ou la surexcitation de l’élément nerveux, et peut-être la nature ne demande-t-elle que la concentration de cet age

a transmutation, etc., etc. Mais plusieurs de ces expériences sont de nature à épouvanter, et d’ailleurs il est convenable d’e

uelconque des connaissances humaines. « Tous les grands secrets de la nature , dit Bacon, sont hors des sentiers battus de la s

d’influence de l’homme sur les animaux (voyez t. m, p. 46 et 91), de nature à faire croire que la magnétisation pourrait serv

e même de l’accord visuel de 7% qui est une sorte de fausseté dans la nature de l’homme, ou du moins une harmonie transitive,

aturel ou somnambulisme. « Ce qu’ils ignorent, assurément, c’est la nature de l’agent ou fluide qu’ils font intervenir. Je d

sion où l’art, à force de tâtonnements, ait fait des conquêtes sur la nature , sans connaître les ressorts qu’il sait mettre en

. 2° Ils veulent faire système, au lieu d’étudier analytiquement la nature des magnétistes ou magnétiseurs, choisissent indi

aner, par des vues mercantiles, tous les genres de découvertes que la nature met en nos mains. « J’estime que le magnétisme

agent accessoire. » Fourier a dit avec raison (Voy. p. 341) que la nature de l’agent mesmérien était moins connue que ses e

oujours pour les corps étrangers existant dans l’organisme, et que la nature tend toujours à rejeter. Le magnétisme, augmentan

ure tend toujours à rejeter. Le magnétisme, augmentant l’effort de la nature , lui donne la puissance nécessaire à l’accompliss

fraternité. Cruel délire d’une race pervertie! tous les dons de la nature ne t’ont point sulli ; tu as rempli la mesure de

il pas les secrets essentiels du magnétisme ? Ouvrez le livre de la nature , apprenez à y lire ce qu’il vous importe à tous

le nom de feu transcendant. » C’est l’agent le plus puissant de la nature ; c’est le [ ] d’une foule de merveilles que prod

ment aux végétaux. L’arome que distribue le cristallin solaire est de nature composée, aussi bien que la lumière qui contient

accord est une transition à un état de choses qui semble opposé à la nature humaine, comme, en échelle de vue, l’intuition so

et-d'engourdissement partiel quand nous touchons la torpille. Si la nature peut produire en nous celle insensibilité passagè

qu’il nous démontre que l’agent absorbant des douleurs existe dans la nature . Je le nommerai feutranscendantou feu nervin, et

ait et suflira à la tenir en échec, à neutraliser ses assauts. » La nature doit avoir placé celte propriété chez les êtres e

r ce feu transcendant qu’on pourrait surnommer le dieu matériel de la nature , et cette dénomination n’est point impropre, puis

fance, on l’emousse, on la fausse par une éducation compressive de la nature , et au lieu d'avoir option sur les bons, l’on ne

contreuse en génie, elle est adroite à pénétrer sur les points que la nature lui interdit, elle est incapable d’entrer dans le

dit, elle est incapable d’entrer dans les voies de progrès réel où la nature l’appelle. Les contre-temps que j’ai cités empêch

ork, il y a un an, et qui a déjà eu quatre éditions (Theprincipies of nature , 1 vol. in-8u d’environ 800 pages, écrit sous la

ndément absorbé. L’état magnétique ne dérange en rien l’ordre de la nature : au contraire, on doit le considérer comme un dé

ournal, 3. Arcanes de la vie future dévoilés. — Réflexions sur la nature et le but de cct ouvrage, 30. Astrologie. — Son

tionné, 33, 192. Onguent (l’) des sorciers. — Rapprochements sur la nature des agents anesthésians, 120. Ophthalmies, 39,

sion. — Opinion île Maupertuit sur cette faculté, 44. Principles of nature , par Davis.— Analyse et extraits, 376. Propagan

ons de somnambules, 282 ; — Magnétiques de Poe. — Dissentation sur la nature de l'âme, de la matière et de Dieu, 295. Revue

héorie du somnambulisme, par le docteur Wirth, ou les Analogies de la nature , par M. Meyer. En général nos voisins d’outre-R

n appelle magnétisme animal, qu’on le considère comme une force de la nature , un être de raison, une hypothèse utile ou une si

nisme humain, tient à la nalure du corps, il tient en même temps à la nature de l’âme; il est la propriété ou l’attribut de l'

orps. L’exercice de la pensée elle-même tient à l’organisme, et de la nature de ce dernier dépend,en notre condition présenle,

ues fragmentaires; la science humaine ne connaît pas les forces de la nature que dans leurs effets: nous n’avons, nous, à prod

vaincu l’est au char du triomphateur. Il y a donc analogie dans la nature physique pour cette théorie d'absorption qu’on ve

e physique pour cette théorie d'absorption qu’on veut montrer dans la nature morale. Toutefois, en dernière analyse, cette ana

sensés n’enseignent-ils plus cet empire. A l’objection tirée de la nature des choses, les adversaires ajoutent cette autre,

sme animal n’est qu’une intervention exceptionnelle dans le jeu de la nature , et encore cette exception ne peut avoir lieu qu’

ne donne pas le somnambulisme aux sujets qui ne l’ont pas reçu de la nature , mais il le constate, le met en jeu, le dirige, e

de l’intervention du magnétiseur, tirent de la faculté donnée par la nature un parti plus brillant. Et il y a mystère sur m

A la vue de ce fait les magnétiseurs ont cherché à s’éclairer sur sa nature , et presque tous y ont trouvé une solution différ

e desnoms empruntés avec plus de soin soit à la révélation, soit à la nature . Que ces circonstances si frappantes n’aient pa

ingué, et dont l’ouvrage expose savamment les vues manifestées sur la nature au xvt* siècle, a l’air d’accuser son siècle, si

es phénomènes analogues. Mais notre siècle répugne à admettre dans la nature psychique une nouvelle faculté, comme si cela nou

ous reconnaître une nouvelle faculté ou de nouvelles facultés dans la nature psychique. Je la recevrai ou je les recevrai les

ls est fondé le bonheur, ou la prospérité publique, sont pris dans la nature de l’homme ; de même doit-on chercher le remède c

ant les lois physiologiques du corps humain, les lois physiques de la nature , ils posent d’autorité l’action d’une cause prise

une cause prise le plus souvent en de- hors de l’organisme et d’une nature étrangère à l’humanité. C’est ainsi que s’expliqu

inistrer le médicament qui a la propriété d’ajouter aux efforts de la nature , c’est-à-dire, choisir la substance dont les effe

er et entraîner le produit de la coction. Et, pour venir en aide à la nature , le médecin doit soutenir cet ensemble de symptôm

que vous êtes. Eh bien ! cette opinion, quoique en harmonie avec la nature , a ses dangers si vous l’adoptez sans réserve. En

la réaction nécessaire, et aggraverait le mal, en changeant ainsi sa nature . Ilahnemann comprit ce corollaire du premier pr

lé en agent naturel et en faits physiques. Et ceux-ci par leur simple nature ont demandé plus de 60 ans pour y habituer la rai

a raison de quelques-uns avec ce qu’il y a de plus mystérieux dans la nature , nous préparons pour la génération qui vient 1111

ne connais pas un remède. Tous les médecins qui ont le génie de la nature , ne gémissent-ils pas sur cette confusion luxueus

ne connaissait pas les apozèmes, les tisanes royales; simple comme la nature dans scs opérations, elle ne présentait aux malad

ès l’autre, lorsque les circonstances exigeaient qu’on en changeât la nature . 11 faudrait, dit le docteur Munaret, un autre

out à fait inconciliable non-seulement avec le bon sens, mais avec la nature même dont elle prétend rappeler le régne et la pu

oment où son action sera salutaire ne fait donc qu’imiter et aider la nature . Vous avez une céphalalgie frontale intense, des

vec les plus grands maitres, que très-souvent le médecin troublait la nature , pervertissait sa marche et rendait plus longue,

organes affectés ; sans cela, la guérison est aussi impossible par la nature que par l’art ; celui-ci même, convenablement app

faisait le talent de Hahnemann. » En voici assez pour la part de la nature dans la médecine homœopathiquc; ce sujet serait r

nation, puisqu'on avait procédé tout à fait à leur insu Singulières natures qui sont pour le médecin physiologiste une source

sante pour réveiller l’énergie vitale et agir dans le sens même de la nature . D’autres fois une autre particularité vient en

ne médication plus simple et plus en harmonie avec les procédés de la nature . Le Magnétisme. Si l’homœopathie, pour avoir

es différons éléments qui composent l’homme, et une fausse idée de la nature de la maladie. Mesmer, dominé par les idées d’u

la création serait réelle et possible, et alors de quels désordres la nature ne serait-elle pas agitée? L’homme est vivifié

du fluide éthéré, mais ce n’est plus ce fluide ; et, par suite de sa nature spéciale, il n’a plus que des rapports d’analogie

ble. Plus tard je vous citerai les noms, la demeure des malades et la nature de leurs affections. J’ai fait, en présence de

t trop nombreux, attribuant à la volonté de l’homme des effets que la nature refuse à produire, prétendent que leurs somnambul

dignités angéliques, qui, en leur faveur, renversaient les lois de la nature et opéraient des miracles de première qualité.

éorie parut sanctionnée par la pratique, et gagna des disciples. La nature des phénomènes qui sc développaient par la magn

pes admis, mais cette influence du magnétisme sur l’homme est-elle de nature à pouvoir guérir scs maladies et à permettre de v

les déplorables abus dans lesquels il est si facile à notre pauvre nature , inquiète et avide du surnaturel, de tomber avec

s bien amères. Aux yeux du médecin qui sait prendre pour maîtres la nature et la philosophie transcendante, une doctrine uni

it être l’avenir de la médecine; le médecin, véritable disciple de la nature , se rappellera ces paroles divines : 11 y aura to

nous jeter dans le fatalisme, ou pour nous laisser aller au gré de la nature . La meilleure doctrine? Elle n’existe pas sous

M. Charpignon, c’est l’honnête médecin qui, placé entre une loi de la nature et des systèmes d'école, voudrait concilier l’err

ut-il donc dire? Quelle est sa signification enfin ? ■> C’est la nature et sa simplicité; c'est la loi de la conservation

s grands maîtres, des chefs d’école? Ils guérissent en obéissant à la nature , en suivant Ses précep- tes, et c’est là le can

’est trop discourir, raisonnons s'il se peut. S’il existait dans la nature un agent d’une vertu telle que la plupart des mal

ce dernier seraient inférieures, son art réduit à quelques cas où la nature ferait défaut, et dans ce grand naufrage la chiru

rites et suivies sans succès. Voilà donc une vérité découverte : la nature guérit lorsqu’on sait l’aider par une addition de

om-nambuliques, et faire jaillir la clairvoyance. 0 bonne et simple nature , les hommes ont méprisé tes lois! Est-ce que tu v

certaine crainte semble paralyser, à leur insu, l’inspiration que la nature leur donne. Mais est-on toujours le maitre de soi

lager et guérir des maux désespérés par des procédés simples comme la nature , si j'ai vu celle-ci répondre à mes appels et me

de modifier ces institutions anti-humanitaires. On jugera alors si la nature a été bonne mère ou marâtre; car bien des philoso

-là? Pour résoudre cette question il faudrait apprécier la différente nature des agents qui constituent l’ensemble de notre êt

tre. La douleur, pour nous n’est qu'un avertissement, un appel que la nature nous fait. Mais qui jugera les douleurs de lame?

eantes. Mais nous devons éclairer nos lecteurs sur l’apparition et la nature d’un fait nouveau qui devait naitre du magnétisme

ons, ce qu’il y a d'impossible dans l'exécution de telles actions. La nature a donné à l'homme une grande puissance, sans dout

rit? pourquoi cejeu cruel?Est-ce pour manifester la débilité de notre nature , ou pour développer en nous le sentiment de la va

t, disait-on, tourmentait. Ils chassaient les diables par légions, la nature en était alors remplie : l’Ecriture les avait cré

e cause de la plupart des maux qui affligent les hommes. On accuse la nature et Dieu, tandis que les seuls coupables sont ceux

issantes : tout s’est dévié au premier souffle. Et c'est ainsi que la nature nous châtie par des maux qui tendent sans cesse à

tudes des démonographes de ce temps avaient pour but de déterminer la nature d’un crime qu’on punissait aussi fréquemment alor

signe incontestable de possession tout fait passant les forces de la nature humaine. En outre, les autorités ecclésiastiques

l, médecin, qui assure que toutes ces choses passent les termes de la nature et ne peuvent partir que de l’ouvrage du démon.

s » actions extraordinaires en ces fdles excèdent les for-» ces de la nature humaine et ne peuvent partir que de » l’opération

ion mon étonnement grandit en effet, et j'étais loin de comprendre la nature du phénomène qui s’of-frait à moi. Ma première pe

ner. Alors la conversation devint trés-suivic; si elle roulait sur la nature de mes occupations, j’en recueillais parfois des

sidérer l’homme qui la représente. Ces arguments ad homincm sont de nature à faire fortune dans un pays où les bigots sont e

u’il devait avoir dans sa bibliothèque la relation d’un fait «le même nature . En effet, après quelques minutes de recherches,

effectivement un autre individu qui sc plaint d’une obsession de même nature , prétendant qu’une voix le poursuit de la même ma

ation; et après s’être expliquée d’une manière très-minutieuse sur la nature de cette influence, elle donna à comprendre qu’on

et de l'extase. — Procédés simples et faciles d’expérimentation. La nature a placé en nous une force tellement active et pui

e et que scs divines propriétés deviennent manifestes. Ce que peut la nature aidée dans ses opérations par une simple addition

les, même de nos jours, qui ne puissent citer quelques faits de cette nature . Plutarque nous apprend que Cornélius Scilla fu

orat, p. 18), m’indiqua sans se tromper le siège de mon affection, sa nature , ses causes, son début, le genre de souffrances q

écanisme du mouvement du fluide magnétique dans le corps humain et la nature de son émission au dehors lui ont, pour ainsi dir

ite.) De l'Inlnitiou médicale. 2' ARTICLE. CHAPITRE II. De ta nature et des effets de f intuition médicale. §1. L’

particulières, qu’il n’y a jamais incertitude dans leur esprit sur la nature des affections. Dans le premier cas , ils resse

rapport avec les malades qu’on leur présentera ; ils découvriront la nature de leur affection, et en détermineront la marche

onté. Il faut bien se garder de confondre ces brillants éclairs d’une nature providentielle avec les perturbations cérébrales

ltat d’une analyse rationelle. Leurs prescriptions sont basées sur la nature de l'affection ; aussi leur intuition est-elle gé

médicaments très-contraires, suivant nos connaissances acquises, à la nature de leur affection, et dont l’ingestion dans l’est

s remèdes, si les habitudes sociales ne nous avaient pas écarté de la nature , en affaiblissant l’énergie primitive de notre or

te de violents chagrins. Je la magnétisai le 15, pour m’assurer de la nature de cette affection. Aussitôt que le somnambulisme

un but de soulagement. » —La deuxième édition de The Nighi siile of Nature , par M. Crowe, vient de paraître à Londres, la pr

ation d’un même principe dynamique. Après l’étude approfondie de la nature et des propriétés du fluide magnétique de l'homme

ion au traitement des maladies. M. Charpignon examine l’origine et la nature de cette faculté; il compare les services qu’elle

fût insensible à la douleur (i)? II ne paraît pas que les lois de la nature puissent être enfreintes par n’importe quel orgue

ttribue ne sont-ils que des lésions fonctionnelles, n'affectant ni la nature de force vitale, ni la texture des organes , mais

ui ayant administré une purge pour aider au travail, contrarièrent la nature , et ce ne fut que le mois suivant quelles paruren

ont fini par croire à des possibilités qui n’étaient point dans leur nature . Un homme raisonnable doute du magnétisme en les

ts d’esprit,, comme s’ils n’étaient point une des conditions de notre nature . La colère, quels qu’en soient les motifs, nous h

donc quelque chose ici qui s’en différencie, et qui v est d’une autre nature ? Je sais bien que l’on va me répondre : L'esprit

nds hommes, moi, chétif embryon, qui n’ai fait encore qu’entrevoir la nature ? Mon ignorance me sauve du péril; cependant je do

as voir! C’est ainsi que la plupart des phénomènes inaccoutumés de la nature furent dénatures. On les vit au travers du prisme

et les mouvements produits en nous-mêmes peuvent, avec l’agent que la nature a créé pour cet effet, être déterminés en autrui.

entendement, ressemblant aux songes et s’évanouissant comme eux. La nature , cependant, ne fait rien en vain; toutes ces chos

mêmes, faibles créatures, nous sommes essentiels aux évolutions de la nature . Cependant notre puissance, quoique venant d’elle

, sans obsession, et sans qu’il soit besoin de causes en dehors de la nature . Si ma pensée pouvait s’exercer longtemps sur c

ent avant tout, qui, dans la phase de vulgarisation, devaient, par la nature même de leur organisation, prendre la direction d

lepti-saient d’avance, non pas toujours saut pi^ine, car il y a des natures réfi'actaircs au Iluide magnétique et même au flu

lBE , (c Une découverte brillante comme le soleil, féconde comme la nature , se répand aujourd’hui dans le monde entier sans

ntes aujourd’hui ne sei'aieut point légitimes, mais bien celles de la nature dont nous nous sommes souvent plu à enfreindre le

t, jusqu’à un certain point, faire ilécbir les lois rigoureuses de la nature . Je fort bien que l’homme peut, au dedans de lu

eut, au dedans de lui comme en dehors, faire appel à des forces d'une nature inconnue, et que ces forces, ces agents, peuvent

sques et périls, ce qu'il demande , ce qui se trouve au pouvoir de la nature , je ne dis pas de Dieu, la raison fléchit devant

rait nullement impressionnable-, fatigué pai- les privations de toute nature et par une maladie qui dure depuis deux ans, il r

l’animal que dans notre espèce, il est plus facile à produire, et de nature par conséquent à faire naître une conviction plus

rsqu’il recM»-natl l’ioeiûcacité de ses reuièdes, c'est celui-ci : la nature ... lu nature fera sans doute ce ifue nous riuvon»

-natl l’ioeiûcacité de ses reuièdes, c'est celui-ci : la nature... lu nature fera sans doute ce ifue nous riuvon» ptu pu faire

re... lu nature fera sans doute ce ifue nous riuvon» ptu pu faire. La nature par-ci, la nature par-lÀ; ce mot est sans cessa d

ra sans doute ce ifue nous riuvon» ptu pu faire. La nature par-ci, la nature par-lÀ; ce mot est sans cessa dans la bouche des

ut cessé d’administrer des poisons sous le nom de renièdes ; alors la nature opprimée pouvait parfois reprendre ledessns. Sans

est pas toujours bien appréciable. Donc, quand on dit à un malade : nature zmis guérira. nii lui (lit un mot ((ui sigtiili

que le malade est condamné, qu’on n'attend plus rien enfin même de la nature ,... à la grande surprise de tous, il peut revenir

esoin de s’appesantir sur cette remarque. Mais si généralement le mot nature est employé pour consoler et tranquilHserun malad

s d’employer ce mot banal : c’est la mture qui a tout fait, c'est Irt nature qui m'a guéri. Si quelquefois ils ont raison, ils

sauver un malade de la mort ou tout au moins d’une maladie grave : la nature ici est aidée visiblement, et on en a la preuve i

ait un remède sûr à opposer au cas qui s’olTre à son observation , la nature en développerait l’action, elle exalterait l’agen

acultés somnambidiques. Que pensent les magnétiseurs au sujet de la nature ?lls ne nient point son action ; au contraire, ell

nt son serviteur et l'aide à l’instant. Ici, c’est bien évidemment la nature qui guérit le malade, la science du magnétiste y

x faire concevoir de la vérité. Aide-toi, le ciel t'aidera / quand la nature peut et veut, le magnétisme aide, ce sont deux na

dera / quand la nature peut et veut, le magnétisme aide, ce sont deux natures au lieu d’une, ce sont deux forces vivantes qui s

seule. Le magnétisme est donc bien véritablement l’auxiliaire de la nature ; le ministre de la santé est en nous-inême, mais

e, recevant un corps de renfort, redevient maître du terrain, unsi la nature , secourue par le magnétisme, se relèvera de sa fa

aiblesse, victorieuse decequil'opprimait. Que l’on appelle, du reste, nature ou autrement ce que ce mot fait concevoir, le rés

nnaissances solides, du moins quulqüei ÜO-tiohs des phéiiomônes de la nature , vous disent avec llii aplomb Itnpej'tiirbable, c

t plus tout en doutant encore ; les esprits forts, ceux qui jugent la nature et Dieu dans la sphère étroite de leur intelligen

probable, ou qu'une faculté particulière lui ait été départie par la nature , il n'en est pas moins vrai qu'on ne peut s'empêc

tagé votre crainte et je l’ai avouée dans toutes me| œuvres ; mais la nature toute savante aussi a voulu que Ife merveilleux e

tricité, du galvanisme; ils semblent avoir complètement approfondi la nature de tous ces fluides étrangers à la vitalité, et l

vous rendre témoins de quelques expériences qui me semblent, par leur nature , ne devoir Cti'e sujettes à aucune contradiction.

e que l’on feraavec l’autre, ils produisent chacun des fruits de leur nature . S’il en est ainsi, et l’expérience le montre,

uvres produites ainsi, ce n'est pas toujours exact, car l’outil de la nature est là, on le voit fonctionner : cela ne diminue

sibles qui ne le paraissaient point ; que la raison dise non quand la nature dira oui, celle-ci n’en aurapas moins le dernier

sera ; vous ne lèverez point le voile qui cache les opérations de la nature , vous ne déchiffrerez point cette énigme. Voyez

vard peut-être suis-je moi-méme dans cette classe, tous ces types, la nature nous les offre dans l’animalité pure. Regardez bi

es passants leur aigretta dorée aux couleurs ravissantes; pour eux la nature aété prodigue de ses dons, aussi se plaisent*ils

Je m'arrête..... Nous avons tous en nous quelquechose de la bëte ; la nature l’a voulu, notre édifice n'est qu’un emprunt fait

où nul de vous n’est descendu. Le magnétisme est le grand livre de la nature , nous apprenons à y lire, et nous vous dirons nos

r de l’acooropigner che* Mme Grisou. J'ignorws complètement de quelle nature devait être la consultation t je savais le vieomt

ort de 1784 ne purent tuer une vérité, parce que toute vérité, par sa nature , est immortelle comme la source dont elle émane

onnaître une science et un art dont elles ne soupçonnent encore ni la nature ni la portée. Chapitre VIII. — Conclitsions de

C E Nous devons ce dessin à un artiste de nos amjs, qui Ta pris sur nature dans une des rues de Constantiaople, ville où les

rité sera généralement connue, et les hommes apprendront alors que la nature oITre un moyen universel, c’est la devise do Mesm

tenir une réaction bienfaisante; car, après toutes ces tentatives, la nature devient muette, elle ne répond plus ou trop faibl

9a raison, a cherché à se comprendre, il n’a cessé de discuter sur la nature et l’essence de l'âme ; cependant il n'est arrivé

e saurait échapper à cette double destinée de toutes les forces de la nature qui les rendit susceptibles de causer d’autant pl

ventles flotsen courroux,qui semblent nés pour montrer aux hommes une nature indomptable, qui même ne cè- dent rien tous les

Non. lu n'es pas loin de moi, ô ma mère ! Tnults 1rs splendeurs de la nature m’apportent un écho de ta voix l'Cirrellée. » (Lo

and créilii, leur sagesse et leur Iiaule raison, étaient vantées ! La nature mentait, la vérité devenait méprisable pour la pl

demain ce qu'il était hier : il n’y a de constant que les lois de la nature et Dieu, Je remets en mémoireifdont noua avons

s moraux et physiques qui spuiblent déroger aux lois ordinaires de la nature , c’est l’état d’extase et de somnambulisme, soit

ant tout le monde de certains mystères ou des lois particulières delà nature . lci,sur un terrain nouveau, on ne devrait rencon

Sachez d’abord que l’art de guérir les maladies, ce don divin que la nature accorde, ne peut s’exercer sans diplôme; sans ce

donnez point de remèdes ; que vous êtes simplement rinslriiment de la nature , et qu’en dehors de la loi et des corps pii\ ili'

écautions et de rhai)itu(le , mais sur un sujet déjà décomposé par la nature propre, il sufllt (te quelques minutes de passa m

lytique, rend la vigueur et la force primitive que nous tenions de la nature , circule dans tous les membres et rajeunit agréab

e publier ce que les génies liuraains découvraient des mystères de la nature . Remercions la Providence de nous avoir fait na

nt à pé- nétrer le mystère il'une des innombrables merveilles de la nature , ils doivent, au nom de riiumanité et dc la scien

u lui a tracée. II est vrai qu’il n'y a point de fait isolé dans la nature , de fdt en désaccord avec l’ordre général. Une un

entraves que la science positive veut lui opposer. C.clui ù qui la nature obéit en esclave a voulu de toute éternité que la

émoins. Ayant perdu de vue le magnétisme, cet aimant spirituel que la nature a créé pour ses relations mystiques et ces évocat

, ils établissent une solution de continuité contraire aux lois de la nature . Pourtant, au risque de choquer des gens que nous

rtes de charmes nous surprit par sa constance, qui était au-dessus de nature ; car, après la première serre de la gêne qu’on l

la science, on est sui'pris de la simplicité des moyens qu’emploie la nature pour produire les phénomènes les plus variés; aiD

ai dit que l’éther, od, ou fluide vital était répandu partout dans la nature , suivant des proportions équilibrées. Tout homme

rvo-lyq^jphatiques. 8' L’état physique de l'opérateur influe sur la nature du fluide sécrété. Les personnes maladives ou a

partie, j’essayerai'de vous l’expliquer en philosophe. «Lorsque la nature a créé l’homme et lafemme.ellen’a pas, toute prév

la femme vers l’homme. £li bien I un des mille moyens employés par la nature pour en venir à son but est le magnétisme. Les ei

blouis un instant seulement, pré> firent bientôt, obéissant à leur nature , retourner au doute que d’avancer vers la vérité

sante; qu’il descende ainsi dans la famille ; que cbacaa sache que la nature a doué cet agent de propriétés salutaires, supéri

remier magnétiste qui me parla n des bonnes et mauvaises forces de la nature . » Il me l'acontait, b, l'appui de cette maxime..

i commet l'inconséquence D'expliquer quelque secret De l’art ou de la nature . Aux cricris d'estaminet? A mon sens autant v

a aucune résistance, on ne sentira absolument rien. U y adonc dans la nature des forces immenses, inappréciables à nos sens. Q

chnorr. — Itlpiig.) J’ai voulu montrer par ces images combien notre nature cachait de richesses incoonues ; j’ai voulu montr

eures de bien des nuiis, aux Intempéries de cet hiver rigoureux. La nature de l’alTeclion était-elle véritablement syphiliti

e ses actions que dans de certóines limites, et devant la force de la nature bien insensé est celui qui ose lutter. Des trois

ropre conviction. Je dis que celui qui abusera de la confiance que la nature dépose en lui pour vouloir lever à k vue publique

L’enseignement de ces connaissances n’est donc qu’an privilège de la nature , puisqu’il est prouvé que tonthoic-me, en qui ell

de phénomènes, encore si nouveau pour la scieuoe moderne, et dont la nature est si réfi'aclaii'e, pour aiasi dire, à nos méth

Bnuillet, que Diderot a publié ses Pensies ««r l’inUtfrélation de ¡a Nature , en 734. Je fus conduit à cette recherche par l'i

lic-teurs ne nianquerom d’arriver (luflqite jour au plein océan de la nature , et leur conversion ne s’elTecluera que plus bril

re comme les autres, qui ne peut jouir de privilèges étrangers à la nature humaine. « (Pardon, monsieur, si un lionime, fût-

e je n’en doute pas, — alors ce privilège ne serait pas étranger à la nature humaine.) « Seulement l’exaltation, le développem

a publicité de votre journal, si, comme je l’espère, vous le jugez de nature á faire progesser la science. « Ce qni m’a surt

pliilosopbie que sans elle ou ne peut pénétrer dans les secrets de la nature . Dieu est l’expression de toutes les perfection

anée est la conséquence de cet état des choses et une nécessité de la nature , car elle est indispensable pour détruire et rend

ontre l'iiu-manité progressant sans cesse, confirmrnt cette loi de la nature . (2) L’homme habile qui conçoit et exécute la m

es par seconde, agitent sans cesse la matière éthérée el avec elle la nature tout entière. En ce sens Mesmer a dit avec raison

que l’éther est uo intermédiaire permanent entre tous les êtres de la nature , et partant entre les astres et les corps organis

distance, selon la loi qui régit la propagation de la lumière dont la nature étiologique est identique. Tout le monde sait,

l’âme. Étudions-les brièvement. La vie, résultante des forces de la nature (1), est l’état de mouvement sousTempire duquel l

sommeil; mais l’habitude, que l'on a dit avec raison être une seconde nature , règle en quelque sorte la quantité d’activité qu

us, l’estomac, etc., n'étaient mis àl'A^ri de s^ipblabl^ ^ccidsnls-La nature , (oujonra admirable en ses moyens, y a pourvu en

on d'un narcotique introduit dans le sang, etc.), s'accordent avec la nature des attributs inhérents au nerf afft'Cté : des fl

igence. Lu corrélation qui existe entre les divers phénomènes de la nature , donne à l’homme un puissant moyen pour fonder le

n qne l’amélioration physique et morale des laces soit ieür œuvre. La nature les intéresse ainsi à fortifier leur corps et à

nifeste donc par uo mouvement vibratile qui varie àTiofini suivant la nature des causes qui y donnent lieu. Cette mobilité ess

x qui n’inspirent ni inquiétude, ni contrainte, et où rien ne soit de nature à cau.!er des distractions. La solitude est avanu

e leurs doses, dont ils troublaient, ils exténuaient les forces de la nature , près de succomber. Sur ce champ de désordre arri

e temps efface les débats deaosopinions et maintientle tribunal de la nature . Tous, tant que nous sommes sous le bonnet doctor

nommé lumière, eaux et ténèbre de l’ablme; Trisméglste la nommé Dieu, nature humide et ombre horrible; Platon, son Hylé, son e

^ privatif, qu'ils ont Dommé ombre, ténèbre, nuit, orque, etc. u La nature , ils l'ont faite double, et ont nommée ; l'une, n

e, etc. u La nature, ils l'ont faite double, et ont nommée ; l'une, nature nalu-rante, cause causante, principe principiant,

ture nalu-rante, cause causante, principe principiant, etc.; l’autre, nature seconde, etc. s C'est la nature... qui apprend

rincipe principiant, etc.; l’autre, nature seconde, etc. s C'est la nature ... qui apprend à la chimie, comme son économe, à

coup de malades condamnés par la science, abandonnés également par la nature , ont déjà été sauvés par l’agent mystérieux du ma

ds hommes, tandis qu’ils auraient tous besoin d'aller à l’école de la nature qu’ils méconnaissent à chaque instant, d’étudier

ntièrement de cet avis. .W. Warlonioiit dit : « Il n’e.\istf. dans la nature qu’un seul fluide impondérable, l’éther, interméd

des mères annoncer qu’elles portaient dans leur sein un enfant contre nature ,—une dame de ma connaissance et que j’ai accouché

t principalement les corps animés. Cet auteur néglige de spécifier la nature de cette atmosphère ; mais j’ai lieu de croire qu

ration. 2” MAGNÉTISATION ELECTRO-MAGNÉTIQÜE. Tous les corps de la nature , organiques ou dits inorganiques, contiennent une

opriétés médicales incontestables. Un seul agent vital existe dans ia nature , et l'électricité, le magnétisme minéral, le calo

le même mouvement des forces, ce sont les raènies pliénomènes, et la nature n’emploie jamais deux moyens pour arriver au même

se servent du mot imagination prouvent leur ignorance des lois de la nature et du principe même qui nous constitue. Mais j’ar

du Potet. En présence des lois de la création, des merveilles de la nature , tous les systèmes, toutes lea conceptions de not

! c’est le fleuve d'oubli, qui, par avance, influe sur nos âmes ; la nature sage et prévoyante en a usé ainsi ; car, en effet

se enfante la tristesse et les soucis les plus fatigants. « Mais la nature nous flatte d'une vaine espérance, sans laquelle,

et la folie (1) sont les deux remèdes pharmaceutiques que la prudente nature nous fournit, afin que nous ne soyons pas accablé

est pas d'animal plus excellent que l'homme, que serait l’auteur delà nature ? Il deviendrait le roi, le père, le prince, le s

e demeure des dieux, que nos yeux corporels ne peuvent apercevoir. La nature déliée et délicate des divinités ne peut tomber s

d'Amphytrite et que les herbes des gazons verdoyants qui décorent la nature . (1) La terre n'a quo neuf mille licuea da circ

proportion. « On sera curieux, sans doute, de savoir quelle est la nature du lieu, et de quelle espèce et figure sont ces c

destinés à lia-biter la terre et l'eau ; ils ont, par conscquent, une nature plus parfaite et plus noble que la nôtre, sans qu

garder comme un être. a Ou l’esprit par lui-même Ji’est rien, ou la nature lui a créé un monde qui lui est convenable, qui c

e original est composé de tous vivants chacun par soi-mème et d’une nature diiïérente les uns des autres. « II y a des gen

i a imposé les lois qui président à ses inépuisables combinaisons. La nature de l'homme est double aussi, homo duplex; elle es

ures à l’humanité 5 ils cherchaient des rapports entre les lois de la nature et les vertus secrètes qu’ils attribuaient aux no

haute puissance ; son but est de rechercher les forces occultes de la nature et les sympatliies des choses pour arriver à prod

ces prodiges ne sont pas une création de l'art, mais un aveu de la nature toujours prête à se révéler aux investigations de

ale, produit fatalement leurs pleins effets, et ceux-ci, quant à leur nature , sont similaires à leur essence génératrice. Oui,

on du système dn moufle, par La- ptACË (1) : ü Quelle que soit sa nature (do la cause de notre système planélaire), puisqu

'éservoii' ficciilte, par di'S i'iiiaiiatiotis aclives de toiilos nos natures , de tnns leurs actes et le toutes leurs dispositi

st une science aussi simple, aussi naturelle que la phiUisophie de la nature elle-niéme. Loin d’étre incompa-tililfi à la rais

( Ln Pimandre, chap. 10, sect. 25.) La réciprocité ' d’action de la nature visible et de la nature invisible, sur le destin

sect. 25.) La réciprocité ' d’action de la nature visible et de la nature invisible, sur le destin de la plaoète, est ici c

mme, ce dieu terrestre, d’accord avec ses consorts chez l’homme de la nature invisible, arrivc-l-il à ses fins? Par la pensé

. Leur configuration est d'une substance légtrc. Nos corps sont d'une nature épaisse. C';rtaines craintes me tixercnt de mat

qui nous reste de la connaissance de Dieu La pensée conserve donc une nature d'cfiluence de l'Eiernel ; c’est une lumière répa

(/.e 1‘imanire, chap. 1, sect. 21.) u IsniTCS-lu la divinité de ta nature , el que tu sois le Fils de Dieu?» lie Pimandre, c

Dieu.....quo, par cnnsequenl, en cette partie intérieure, lu es de nature Dieu, Saint-Ksprit, li' ra en l'ordre de la Trini

gences iufiuies, et \üU3 avez ia pôieiiiiité des divers destins de la nature ; engeudrouient forcé de la soulFrance, d’où l'on

e A/essie Qoie pour ie pauvre et le suufl'rani), et d'Homme-/>ieu { nature iranscendante dans la voie de vérité). La venue d

confidenlia [aerum fiat dicentia, que la chose dite se réalise en sa nature , qu’il advienne comme on l’a dit), est cette disp

le possédé jouit des lorces qui semblent ne point être dévolues à la nature humaine. La médecine est muette, elle ne sait rie

ndre sur le vérital)le sens des roots. 1« QUESTION. — Quelle est la nature de cet agenl subtil que M. le D'Ordinaire nomme l

rdre défaits, moi j'émets l’opinion, consciencieusement mûrie, que la nature ne met enjeu qu’un fluide unique dont les diffé-

, etc. h° 11 a un caractère plus synthétique, puisqu’il embrasse la nature tout entière et s'applique également bien à tous

diei, on doit reconnaître que l’esprit de l’homme est subordonné à la nature au milieu de laquelle il Tit, aux innombrables ca

ocile a été prompte à recevoir les empreintes de l’enseignement de la nature et de l'homme, sufût pour en rendre raison. Parmi

seulement out offert des qualités supérieures. Pourquoi? Parce que lu nature , la texture, Tbonaogénéilé, la mobilité du bois e

ttachée à un certain degré de mobilité moléculaire dépendant et de la nature spécifique du corps et du mouvement de l’éther ag

; que, dans un aimant, le fer et sa propriété magnétique sont de même nature ; que, dans le pliénomène des orblutes, matière mé

rté moléculaire ; substance, ce qui constitue les divei s corps de la nature (Bescherelle aîné). Un agent fluidique peut donc

l'éther. force, mais j'ai dit que, par sa ténuité, ?a subtilité, sa nature , il est l’agent de réception et de transmission d

t dont il est animé.— L’atmosphère des êtres vivants est donc de même nature que celle qui enveloppe un aimant, une maciilue

is puisque M. d’Arbaud me l’assure, je le crois. Tous les corps de la nature s’invitent h l’équimotion; le pôle négatif est ce

Créateur, et qui constitue ce qa'en langage hippocratique on appelle nature médicatrice. Dynamisme qui est le pivot et la cle

thes, tout cela prouve que la médecine qui se rapproche le plus de la nature est la meilleure; que les médecins en général pro

ritet corps, agit sur cette unité trinaire avec les substances que la nature a douées de certaines propriétés, avec les agents

peut lui convenir en ce monde. L'Evangile »'a jamais dit que les deux natures qui constituent l'homme soient ennemi« entre elle

l d’un acte pervers de la créature, qui a détruit l’harmonie des deux natures dans l’homme et hoi-s dü l’homme, en enfreignant

el de l’homme et du monde... La doctrine cvan-gclique dit ; Les deu:: natures qui sont en vous, âme et corps, ne sont point enn

es qui nous manquetrt. « Ct ne ioni pai U$ organei, c'eit-à-dirt la nature et la forme êee farliet du corpi d’un animiii, qu

cette proposition, et qu’on y rapporte toutes les observations que la nature et l’état des choses nous mettent sans cesse dans

s nouvelles. Alors on dit, les deux prinripaux moyens qu'emploie la nature ....... a Je vais dtimontrer que l’emploi contin

l'homme n'acquerra telle connaissance ou ne pénétrera tel sccretde la nature ? « Des intérêts particuliers et les difñcultéa

l connaissait les traditions de son pays, et avait beaucoup étudié la nature . Dès qu il vit la fatale maladie Wndre ses ravage

ta hautement son intention d'abolir les sacrifices sanglants de toute nature , C'est Krishneii, un simplegarcleur de troupeau

nkou (l'âme), et Siva (le corps ou la oiatière), et cela tant dans la nature universelle que dans la nature particulière. Ces

ou la oiatière), et cela tant dans la nature universelle que dans la nature particulière. Ces troU divinités, selon la doctri

i le verset 19 du diapilre III : u Tu te nourriras des fruits u de la nature dans l’agitation conünuello de ton esprit et « ju

p;rmacAma, enveloppera de fluide ou le distribuera avec l’idée que la nature seule doit agir. 11 y a encoi'e tant de mystère

ULISME. — L’éther, od, ou (luide vital, étant répandu partout dans la nature , suivant des rapports équilibrés, ainsi que je l’

e noctambulisme, vous provoque» rez invariablement des crises de même nature . J’aborde maintenant le second cas, c’est-à-dir

n objet mat. L’obscurité n’existe pas non plus. Tous les corps delà nature , voire même ceux dits opaquis, ont un aspect diap

tre considérés comme étant eu communication avec tous les corps de la nature . Cependant, pour se mettre en rapport direct av

ici que mes somnambules ne m’ont jamais offert des exemples de cette nature en dehors de la sen$itivité. Pendant les quelqu

rofonde qu'il ne sait à quoi attribuer. Car il ignore complètement la nature de sa nidadic et il n'a nulle- ment conscience,

ules sans aucune valeur. CLINIQUE. HYSTÉBIE. Quelle que soit la nature du mag^nétiame, quelle qu'en soit la cause ou flu

n ertt dit que cette faculté précieuse ne lui avait été donnée par la nature , toujours ptévoyànte, que pour assurer sa guériso

à la méthode la plus rationnelle, celle par laquelle ort recherche la nature . Le sujet ne connaissait pas même le m^hélistnè

vital du patient (démagnétisation) si l’irritatioQ est causée par la nature viciée de son propre fluide ; ou mieux encore le

ules viciées de co fluide par celui du oiagnétiseur (jui est de bonne nature ; ct, dans ce dernier cas, le magétiseur doit donn

ffaiblissement, et, par conséquent, une nouvelle indisposition que la nature sçule sera chargée de guérir, si toutefois la pré

t mieux se borner à saturer simplement le malade de bon fluide, et la nature , ainsi aidée, fera le reste, si toutefois on ne s

tion de nous-mème, et que quelque subtile qu’elle soit, eüe est d’une nature matérielle; que l’eiret que nous avons produit es

ante proposition, et cette thèse trouvera sa place ailleurs. Que la nature de M. Lafontaine, comme celle de tant d’autres, l

aiiciens, car si l’oubli et le repos prédisposent à l’inoeulation, la nature sensitivr ou pai'üculière du inagnélisour y pré

ensongères au-dessus des vérités naturelles, des lois immuables de la nature : les Mirville, les Gougenot-Desmousseaux nous on

asser un jour, car en lui se trouvent réunies toutes les forces de la nature ; il doit donc servir la philosophie, agrandir l

RIÉTÉS. On & dit, avec raison, il o'y a pas de miracles dans la nature , tous les faits qui viennent frapper nos sens et

’^andon des savants, ni l’indifFérence générale ne peuvent changer la nature des choses, et un phénomène existant ne peut être

n contact. Et alors, à celui qui pourra dévoiler ces mystères de la nature et de l’organisation, il sera permis de nier ce q

r les deux nerfs orbitaux, en remontant de la bouche à la tête, et la nature répondit de suite par des sensations conformes à

gnétiques. Vues philo sophiques de M. du Potet, sur la Providence, la nature , la vérité, etc., 32, 61, 116,155, 185, 212, 642.

étaient que des cataloptisés, préservés de toute décomposition par la nature du sol où ils avaient été enterrés, 301. Vie (l

e cet ouvrage, 28. Magnétisme (le) considéré suivant les lois de la nature , et principa lement en ce qui concerne le traitem

s dans un prospectus où nous remarquons les lignes suivantes : ( La nature opérant toute guérison, et le magnétisme étant, ■

et, dans le plus grand nombre des cas, le plus efficace pour aider la nature (maladies aiguës), ou pour la réveiller (maladies

traitement, on devra déterminer, autant que possible, les causes, la nature , les symptômes de la maladie , et faire connaître

tant différent des agents connus, pourquoi donc vouloir en changer la nature et le leur assimiler? Mais bien des magnétistes n

out médecin consciencieux et qui ne prétend pas en savoir plus que la nature ; initiez-le, afin qu’il n’ignore plus que ses ma

cli. in-8. Paris. Dentu, 1853. Il y a des écri»s éphémères par leur nature et qui ne survivent guère aux circonstances dont

a vie que Dieu a mise en nos membres pour commander en souverain à la nature et triompher de ses rebellions ; c’est le sceptre

s où nous marchons en plein jour. Victimes de leur propre système, la nature se venge de ces faux amants en leur laissant leur

épreuve est nécessaire ; car il faut savoir attendre le moment où la nature parlera, puis faire bon marché de la reconnaissan

t en tarissant l’huile qui est dans la lampe ; c’est à ce prix que la nature vous accorde le don de faire des miracles. Toute

adeptes parmi ses plus rudes adversaires ; mais on ne peut changer la nature des choses ! L’obstacle est là ; nous venons de

, sans remèdes, beau- coup de maladies ; il soulage les maux que la nature refuse do guérir. Tous les hommes peuvent être mé

oles de nos adversaires. Sachant ce qu’ils peuvent en empruntant à la nature ce puissant agent nouveau, tout homme peut, nous

’au jour seulement où, consentant à devenir simples instruments de la nature et magnétisant leurs malades, leur science leur v

ours quelques chances d’erreur. Le nombre de ces chances dépend de la nature des actes prévus et de la perspicacité plus ou mo

elle peut élucider, elle élucidera les plus étranges phénomènes de la nature . » A. S. MORIN. LES TABLES MOUVANTES f.t LES

onc des inconvénients, si les personnes qui forment la chaîne sont de nature à se causer réciproquement des distractions invol

u surnaturel, soit angélique, soit démoniaque, il fallait explorer la nature humaine en tous sens et épuiser la mine. Quelques

mple d’une dame de Chambéry, qui est morte à la suite d’abus de cette nature . « Elle se livrait depuis plusieurs jours, avec

’on aurait action sur ce qui nous environne, et que l’on forcerait la nature à obéir aux injonctions de l’âme. Mais pourquoi

s les annales de la science serait inutile, il ne peut y en avoir, la nature sollicitée par la vie, peut seule opérer de sembl

omme moi, amis de la science, suivraient les règles imposées par la nature , je me suis vu soupçonné d’un odieux trafic. C’es

logue à celle du tissu cellulaire, et il a expliqué ainsi pourquoi la nature l’avait accumulée en masse si considérable autour

ère, en étalant sous nos yeux le merveilleux appareil dont se sert la nature pour conserver et pour utiliser dans l’économie v

x ; il a donc découvert la loi des sécrétions organiques et la double nature ainsi que ta source du fluide nerveux. « Il est

n est heureusement pas ainsi, et nous pouvons maintenant connaître la nature du fluide nerveux, ses sources et la manière dont

nous pouvons donc déjà soulever un coin du voile qui nous cachait la nature de l’épilepsie, et les moyens de la guérir; mais

l’électricité étaient identiques, mais on ignorait encore comment la nature produisait le fluide électrique au sein de l’écon

n assez fort courant électrique. « On comprend dès lors pourquoi la nature a tant prodigué ce tissu : c’est pour arrêter par

rvé aussi quelquefois, qu’après des affections 1110-ii raies de cette nature , le sang est porté à se coaguler. » Ainsi Sanctor

uérit par des affusions d’eau froide sur la tête. La cause du mal, la nature du remède et sou heureux effet prouvent bien que

lé ; c’est-à-dire que l’on devra faire connaître avec détail, soit la nature , les causes, les symptômes des maladies, et surto

restes dégradés de beaux types ! Cherchez parmi ces masses une riche nature , un corps chez qui la vie déborde ; vous ne le tr

les générations et donner à cclles-ci un ensemble de perfection. La nature n’est point marâtre. Le mal que nous signalons, s

éférons celui qui fait le moins de victimes, celui qui laisse agir la nature et qui n’étrangle point ta maladie par des saigné

crises qui se sont manifestées, indiquer le travail merveilleux de la nature , montrer et rendre sensible aux yeux de tous ce q

e à l’aide d’un moyen qui lui soit propre. Car tout est réglé dans la nature , rien n’est livré au hasard. Or, en voyant une ta

ous mènera à la connaissance de ses causes, ou le monde changerait de nature et passerait à une organisation supérieure. Quant

il se propose, est divisé en trois chapitres principaux : le 1", delà Nature ; le 11“, de l’Homme; le 111°, de Dieu. Passant

plusieurs êtres, et dérobée au silence mystérieux dont s’enveloppe la nature . » Maintenant, nous le*demandons, n’est-ce pas

ant leur tendance, déterminant certains effets en rapport avec leur nature et constituant par là les lois naturelles. Ainsi,

me les rapports qu’il ignorait naguère, lui met eu main la clef de la nature et lui découvre une partie de ses secrets. Et cet

ide vital, nerveux, électrique ou magnétique; c’est ce fluide dont la nature nous échappe, mais dont on ne peut guère (ah ! M.

la cause, l’observateur n’a jamais « douté qu’elle n’existât dans la nature , puisque les effets « répondent constamment et pr

? Et ne doit-on pas exprimer le vœu que la clef de ces mystères de la nature ne soit confiée qu’à une science éclairée et droi

giques ou miraculeux, quoique je ne puisse comprendre clairement leur nature et leur fin. La pensée, l’âme humaine, est-elle

i^ Je ne vois donc, au fond de tous ces prodiges, qui agoni de la nature bien merveilleux sans doute, puisqu’il lui seul i

pensée, sinon quant aux détails, du moins quant à l’ensemble et à la nature des objets ainsi perçus. Dans cette supposition,

faites pour la soulager, et les avis même ne purent s’accorder sur la nature de la maladie. A la fin, une personne de l’endroi

emiers pas 011 les voit, dédaignant les préjugés vulgaires, sonder la nature dans ce qu’elle a de mystérieux et de caché, et d

Traitement homéopathique et hydrothérapiqne ; dans les maladies de nature inflammatoire et toutes celles dont le principe r

lle déclara le seul moyen de guérison applicable. La maladie étant de nature mélancolique et ayant pour cause première un prof

sage et du jeu des organes, la science, en un mot, de la vie et de la nature animée. La psychologie, elle, est la partie de la

quels qu’ils soient, répugnent toujours à l’ignorance de notre pauvre nature humaine que nous appelons notre raison, et pour c

blie, donnent le premier branle à l’organisation et par suite de leur nature qui échappe à toute volonté, une fois commencées,

blie, donnent le premier branle à l’organisation et par suite de leur nature qui échappe à toute volonté, une fois commencées,

blie, donnent le premier branle à l’organisation et par suite de leur nature qui échappe à toute volonté, une fois commencées,

blie, donnent le premier branle à l’organisation et par suite de leur nature qui échappe à toute volonté, une fois commencées,

blie, donnent le premier branle à l’organisation et par suite de leur nature qui échappe à toute volonté, une fois commencées,

blie, donnent le premier branle à l’organisation et par suite de leur nature qui échappe à toute volonté, une fois commencées,

blie, donnent le premier branle à l’organisation et par suite de leur nature qui échappe à toute volonté, une fois commencées,

blie, donnent le premier branle à l’organisation et par suite de leur nature qui échappe à toute volonté, une fois commencées,

ut être réparé par les aliments. Enfin, dit-il, cet élément est d’une nature spéciale, connu seulement par ses effets et disti

tout en ayant renoncé aux idées trop métaphysiques des anciens sur la nature du principe vital, croit encore à l’existence de

nce de ce principe comme force essentielle et capable de conserver sa nature en dehors de l'organisme. Ainsi il dit à la fin d

s appareils, dans des tissus, a-t-on défini et trouvé quelle était sa nature ? Et la question n’est-elle pas seulement déplacée

ne pouvait non plus l’empêcher. La guérison est due entièrement à la nature , dont les ressources sont parfois merveilleuses.

é ne l’admet point au nombre de ses prescriptions ; et enfin c’est la nature seule, et non le médecin, qui a opéré la guérison

acés par des agents plus décisifs et surtout plus en harmonie avec la nature de la malade pour lui aider à combattre cette cru

ts ont toujours à leur disposition dans des cas semblables : C’est la nature qui a tout fait. Et puis tout est dit. Rien à rép

uis tout est dit. Rien à répondre. Mais voyons donc un peu si cette nature , qui n’était plus que l’ombre d’elle-même, avait

bonne foi, avec un groupe de symptômes aussi effrayants, cette pauvre nature , presque anéantie, pouvait seule produire le moin

survenue, dit M. Masson. Oui, sans doute, mais non déterminée par la nature , qui eu était tout à fait incapable. Depuis plusi

rnière heure, était précisément celui où commençait la guérison. La nature reprenait le dessus, non par ses seules forces, m

t surcroit de vitalité supérieure au principe morbide pour changer la nature de cet infect liquide ; remettre les organes dans

lesquels M. Masson affiche tant de dédain, qui ont fait tout cela. La nature , réconfortée, a obéi et est rentrée dans la vie p

eu plus, si on n’avait pas eu sous la main l’argument ordinaire de la nature , MM. les esprits forts de la Faculté allaient pre

vec le corps, et, pendant son union intime avec l’âme universelle, la nature n’a plus de secrets pour elle. Le pas qu’il reste

s par la lumière qui se dégage de leur chaleur relative, suivant leur nature et leur porosité. De là, deux sortes de lumières

soit naturelle, soit causée par l’addition d’un fluide analogue à sa nature dirigé par un mignétiseur, s’accumule dans le rés

ire avant qu’elle ne fut vidée. Et encore ! La controverse est, de sa nature , pareille au tonneau des fdles de Danaüs. Nous

par hasard celle-ci se compose de fluides de différentes qualités ou natures , suivant les cas où les besoins. M. Ragon établir

isme. Sénèque définissait ces oracles : La volonté des dieux ou de la nature exprimée par la bouche des hommes. Ici une prêtre

é. 11 n’y a, croyons-nous, pour le moment, qu’un seul procès de cette nature pendant devant la justice, et c’est à Lyon. La Ga

auquel nous nous sommes laissé aller, entraîné que nous étions par la nature du sujet? Nous avions d’abord l’intention de ne p

rendre tout l’intérêt que nous attachions à des publications de cette nature . Nous espérons que le Magnêtophile aura longue

irmer, ne fera plus de dupes que celle du magnétisme. Cela tient à sa nature propre, au merveilleux de ses effets, à la diffic

te de la divinité? N’est-il pas le céleste rayon qui vivifie toute la nature ? Que l’on nous pardonne donc de rêver pour lui l’

de l’injuste; assemblage confus d’idées fausses et mensongères sur la nature de l’homme et sur ses destinées. Des maximes prop

nos magistrats sont gens du monde et peu instruits des secrets de la nature I « Ne vous effrayez pas, messieurs, de cet aba

que découvert par Mesmer, tu réunis en toi les vertus éparses dans la nature ! Tantôt tu nous apparais sous la forme de l’élec

que théorie dans ce fécond aphorisme qui nous sert de devise : h La nature a donné à l’homme un moyen universel de « préserv

i nous étions en droit de fixer les limites du possible, cunime si la nature ne déployait pas autour de nous à profusion des m

égalons pas en science, si nous ne sommes pas doués comme eux, par la nature , de ces puissantes facultés qui enfantent les mir

parfaitement désigné les objets volés, sans être renseignée sur leur nature , et qu’elle a donné le signalement du voleur d’un

r de la crédulité publique que de l’appliquer à des révélations de la nature de celles auxquelles se livrent les époux Mongrue

arlatans, que nous renoncions à croire à ce qui est vrai, à ce que la nature manifeste chaque jour, et qu’enfin, voyant le sol

euse que nous appelons notre corps, pour supposer l’existence dans la nature d’un agent quelconque doué d’un pouvoir capable d

e immense variété de maladies ; quel chiffre énorme de cures de toute nature ne donnera'pas la somme authentique de tous ces t

uérison radicale était sinon impossible, du moins fort difficile ; la nature d’ailleurs ne pouvait seconder nos efforts. Cepen

ement marqué. — Lorsqu’ils étaient abandonnés aux seuls efforts de la nature , ou qu’ils se faisaient traiter par les médecins

nambulisme magnétique au diagnostic et au traitement des maladies; sa nature , ses différences avec le sommeil et les rêves ; p

» Voilà, ce nous semble, un assez beau massacre de fluides de toute nature . Est-il heureux, ce bon M. Segond, et en épargne-

u dernier système proposé, nous pourrons au moins déterminer la vraie nature des phénomènes du magnétisme animal, et leur Oter

qu’elle lui convînt spontanément, soit qu’elle lui fût imposée par la nature des faits et la force des choses. Or, que voyons-

sur la proposition de (iall que ce qu’il y a de prépondérant dans la nature humaine, c’est le cœur, et, d’un autre côté, sur

confiée! Et cela se conçoit et s’explique pour celui qui connaît la nature humaine, pleine, hélas ! de misère et d’infirmité

ne ou le mépris. C’est que, je l’ai dit, l’homme est niveleur de sa nature ; il prend en défiance les sommités qui dominent

ion, si bon vous semble. Mais l’impossible, sachez-le donc, est de sa nature chose absolue, invariable, n’admettant jamais ni

t au plus le quatrième, elle aura vécu ; mais le médecin a reconnu la nature du mal qui la menace, il administre le quinquina.

es phénomènes aient pour cause productrice le système nerveux dont la nature et la puissance pour nous sont couverts encore d’

ssion, c’est l’observation d’une masse de faits propres à éclairer la nature humaine. Et pendant que les grands problèmes de l

r conséquent, ne connaissant qu’une bien faible partie des lois de la nature , nous ne pouvons jamais affirmer, à l’égard d’un

ommunication avec Mahomet, et ainsi de suite. Quelle devait Être la nature des hallucinations de Jeanne d’Arc? Elle était an

l écrivait son aphorisme, qui sert de devise à notre Société : « La nature offre un moyen universel de guérir, etc. » Bien

esmer, de répéter l’aphorisme, que nous citions tout à l’heure : « La nature , etc., * en soulignant le mot nature. Et cependa

s citions tout à l’heure : « La nature , etc., * en soulignant le mot nature . Et cependant, si ce travail devait être connu de

indiquent bien que la faculté de soulager autrui est inhérente à, la nature humaine; mais il nous importe de prouver que, com

en maîtres d'eux ; et nous avons noté, comme un principe dicté par la nature à la mère, qu’il faut se mettre, par un effort de

gâter, c’est-à-dire d’aimer les enfants. A part l’indication tic la nature et ce que nous enseigne clairement la connaissanc

considéré, — tout ce que vous voudrez, — un héros peut-être ; mais la nature 11e vous a pas doué pour l’éducation des enfants.

e conclusion, déduite des principes du magnétisme, c’est-à-dire de la nature elle-même, n’a-t-elle pas la simplicité et l’évid

osophiques sont déduites d’un système, au lieu d’être empruntées à la nature ellc-mèine, elles restent littn morte, parce qu’e

ôle important que peut jouer le magnétisme dans les maladies de cette nature , ainsi que dans un grand nombre d’autres dont la

me et des êtres extérieurs à l’humanité, et ce lien doit être de même nature sans doute que l’action magnétique. Il en résulte

ce..... « .....— A ne considérer que vous et l’infirmité de votre nature , votre acte d’espérance ne peut être qu’une humbl

s de la chaîne. suivit' lo la cicatiisalion d’un ulcère de mauvaise nature du nez ci des lèvres : ulcère carcinomateux, suiv

su, son action n’est point combattue par la lutte.in-stinctive }ue la nature oppose à ce qui contrarie sa marche. Aussi pens

orcisme. Ou trouve dans la tradition historique un acte qui, par sa nature , nous parait participer à la fois de la bénédicti

tention. Ils y trouveront, j’espère, quelques éclaircissements sur la nature des visions en général, sur l’évocation des espri

e sommeil ; sa volonté cherche à se raidir contre les exigences de sa nature : une sorte de lutte s’engage. Cet état de repos

avec une attention soutenue à distinguer la voix de ses chefs. « La nature des aberrations ne présente pas pour un même suje

mmense cuve : il vous semble être au milieu d’un cratère, l'n fait de nature analogue est la transformation de la partie du ci

l ; c’est pourquoi, dans le ragle, si on se trompe quelquefois sur la nature des étoiles, on ne m: trompe jamais sur leur nomb

d’un minaret, et ainsi de suite. « Une forte préoccupation a sur la nature des hallucinations une influence remarquable; en

Nous n’y avons trouvé aucun nouvel argument, aucune démonstration de nature à ébranler nos convictions. Nous croyons devoir s

n météore ordinaire. Mais connaît-on toute l’étendue des lois de la nature ? ce qu’un orage aura présenté des circonstances e

té de classes d’êtres intelligents; et, comme tout s’enchaîne dans la nature , nous devons croire aussi que quelques-unes de ce

s plus voisines de nous, doivent avoir avec nous des relations sur la nature desquelles nous ne savons encore presque ¡rien. L

e cas si célèbre de Mmc Plantin, d’un cancer au sein de fort mauvaise nature ; seulement, plus heureuse que cette dernière, la

la santé de cet enfant, saus cesse menacée par des accidents de toute nature , mais étranger au système nerveux, ne se maintint

veux dire par avance, et pour qu’on puisse saisir plus facilement la nature et les symptômes du mal, qu’il appartient plutôt

sans faire aucun bruit dans le monde, nous réparerons les torts de la nature et nous nous montrerons ses véritables ministres.

son donne la description exacte et détaillée de ce procédé qui est de nature à être mis à la portée de tout le monde, et dont

NAMBULISME MAGNÉTIQUE AU DIAGNOSTIC ET AD TRAITEMENT DES MALADIES; sa nature , scs différences avec le sommeil et le rive, par

arrivera point nommé; les êtres organisés ne se prêtent pas, comme la nature inerte, à nos essais, et il faut s’attendre renco

n tout genre, fournir un concours précieux dans les recherches sur la nature de l’homme. 11 faudrait que le somnambule fût for

ndications, et il présente des considérations très-judicieuses sur la nature du somnambulisme. Dans le premier chapitre, il

u magnétisme, il ne lui est nullement prouvé qu’ils soient de la môme nature . En revanche, et si M. Thury ne veut rien accepte

raordinaires, et qui semblent une subversion de toutes les lois de la nature , il déclare sans hésiter que : « S’il y a invra

ut une opposition telle aux ordres donnés que M. N., incertain sur la nature de ces manifestations où sem lait apparaître une

é. Cette permanence, soutenue par une lutte morale, n’est pas dans la nature humaine, qui, en vertu de lois d’un ordre supérie

vêque de Constance fit examiner la conduite du prêtre et constater la nature de ses guérisons. « Parmi les examinateurs de G

ivres, comme l’a fait i\l. Segond; mais il y a entre les livres et la nature autant de différence qu’entre un portrait et l’or

ivant, tandis qu’ici nous avons l’action d’un organisme vivant sur la nature morte. Il doit nécessairement exister une différe

clarté du jour. Le magnétisme se présente à nous comme s’il était la nature tout entière. N’en offre-t-il pas tous les enchan

ous n’irons jamais trop loin dans la divulgation des merveilles de la nature et de la création. Le siècle qui vient, nous accu

. 2t essence. A vous donc, savants de nos écoles, les scories de la nature et tout ce qui est matériel dans l’univers; à non

es académies, et que des hommes de rien sont plus près que vous de la nature et de Dieu. Bai'.on du potkt. Monsieur, Les

le nomme Jean-le-Pasteur. A travers ses longues contemplations de la nature , et par la seule observation, il avait acquis de

n! C’est l’œuvre de la foi! Les hommes, trop entiers encore dans leur nature première, c’est-à-dire dans ce qui n’est que mati

de par des craquements, des secousses, des percussions intenses et de nature tourmentée. Bref, le mot de l’énigme sort victori

e substance complexe ( le fluide ) , combinaison active, force mixte, nature médiane, imbue des émanations des deux natures ex

on active, force mixte, nature médiane, imbue des émanations des deux natures extrêmes (l’étlier et la densité) de la compositi

une dissertation sur divers sujets scientifiques, et notamment sur la nature de l’air. Elle était censée écrite par un monsieu

cile en montrant que ce que nous réalisons par science et par art, la nature sait le produire sans aides. Alors les doutes ces

r, Monsieur, Comme je pense que la communication ci-jointe est de nature à vous intéresser, je vous prie de la lire jusqu’

e comprendre le sens de ce récit, je crois devoir signaler d’abord la nature des rapports qui existaient alors entre deux de c

té pour nous jusqu’à ce jour inexplica- ble. Nous nous dîmes que la nature était toute pleine d’énigmes, et que l’observatio

xamen la plus large place à toutes les manifestations nouvelles de la nature et de la vie, et qui, dédaignant les voies battue

bules qu’ont été dues des guérisons qui tenaient du prodige. Quand la nature nous offre un moyen aussi efficace de le faire bi

tance, comme agent thérapeutique, du fluide magnétique, fluide sur la nature duquel est loin d’avoir été dit le dernier mot. L

acilement nier. Que savons-nous en effet de tous les phénomènes de la nature ? Nous a-t-elle révélé tous ses secrets et n’en ti

e fait aucune difficulté d’admettre qu’il y a des hommes dotés par la nature de la puissance de guérir des maladies par une ém

. Quand, par l’application de sa main, il avait excité l’action de la nature , il se produisait des excrétions de divers genres

ître en 1776, il semble porté à croire qu’il faut considérer comme de nature diabolique certaines maladies guéries par Gassner

ment parler, des sorciers. Souvent on 11e se rendait pas compte de la nature ou de l’origine du pouvoir prodigieux dont ils ét

journal la Presse, 11° du 13 janvier 1856.) Quoique ce fait, par sa nature , semble 11’avoir aucun rapport avec le magnétisme

sence de beaucoup de témoins inconnus pour elle et inattendus. « La nature de l’esprit humain n’est qu’imparfaitement connue

’il communique avec eux de pair à compagnon, puisqu’il est de la même nature ? Ainsi, dans le rêve, l’esprit en congé profite d

bre d’adeptes, pour jouir d’un pouvoir extraordinaire, commander à la nature et accomplir des œuvres prodigieuses. On a appelé

et les mystères du cœur des femmes; il force, quand il lui plaît, la nature à se révéler ; il a la raison du passé, du présen

me en affirmant que tous ces privilèges sont réels. Il existe dans la nature une force bien autrement puissante que la vapeur,

insi la magie : « C’est la science traditionnelle des secrets de la nature qui nous vient des mages. — Au moyen de cette sci

la voici : « Moi, j’émets l’opinion, consciencieusement mûrie, que la nature ne met en jeu qu’un fluide unique dont les différ

une partie d’innocens est ne sçavoir les pechez, tant est fragile la nature humaine, que nostre intention est que quand lesdi

tes, nous nous contenterons, pour éviter les longueurs, d’indiquer la nature réelle des phénomènes observés, le lecteur voudra

seul coup loute la doctrine spiritualisle. Cherchons quelle est la nature de l’influence exercée? Est-elle psychique ou mat

rvo - lymphatiques. 8° L'état physique de i’opérateur influe sur la nature du fluide sécrété. Comme on le voit, ces divers

si passagèrement visibles ? (1) Est-il ou non dans la puissance de la nature de prêter à ces secrètes existences les molécules

s observeràM. Clever de Maldigny, qu’il n'y arien d'invisible dans la nature . Toul est visible relativement parlant. Dieu lui-

ommeil est une mort incomplète ; la mort est un sommeil parfait. La nature nous soumet au sommeil pour nous habituer à l’idé

t même de rassembler les mots. La langue du sommeil est celle de la nature , hiéroglyphique dans ses caractères, et seulement

n des morts n’est pas un phénomène impossible dans l’ordre même de la nature , et eu cela nous n’avons nié, ni contredit en auc

vélation n’a rien d’étrange pour qui connaît bien les analogies de la nature , Il est certain qu’en dilatant outre mesure ou en

personne guérie par ce simple mais puissant moyen que nous indique la nature , et que la science officielle finira par admettre

: résister à l’autorité d’Aristote, c’était méconnaître la voix de la nature , de la vérité, de Dieu même (1). » L’affaire fu

en essayer l’emploi sur quelques malades ; mais voici le miracle : la nature opérant et le bien se réalisant, le magnétiste se

est pas la science du magnétiste qui guérit ou qui soulage. Ce que la nature demande, c’est la force que l'on peut extraire de

onnent à quelques-uns des diplômes (un parchemin), plus généreuse, la nature donne à tous la faculté de guérir. M. le baron

ent la loi de la conservation des êtres et montrent les moyens que la nature emploie pour rétablir la santé et prolonger la vi

route tracée par nos maîtres, nous voulons sonder les mystères de la nature , songeons à la faiblesse de l’entendement humain

rcevions les agents réels mais cachés qui font mouvoir tout ce que la nature nous montre par des formes saisissables. Attendon

es malades que la science abandonne, et soulager au moins ceux que la nature ne saurait guérir : le bien que l’on fait descend

e l’homme. Certes, ce ne sera pas par des théories et des faits de la nature de ceux dont je viens de parler que ce progrès s’

s. Ce tableau dans lequel on a vu un emblème de la résurrection de la nature entière, offre aussi en quelque sorte une scène d

des siècles, dans une ignorance complète des plus simples lois de la nature . Le moyen âge, plongé lui-même dans le fanatisme

i heurtaientsa raison. « A cette SOLIDARITÉ DE TOUS LES ÊTRES DE LA NATURE COm-mence leur influence réciproque ; et cette in

omnainbuliques, les comprît-on même par les Esprits! Les agents de la nature sont dans la nature, donc ils sont naturels. Je

comprît-on même par les Esprits! Les agents de la nature sont dans la nature , donc ils sont naturels. Je maintiens la loyale

de leur boucs et des caprices de leur chèvres; si le berger est d’une nature absorbante, le troupeau devient absorbant et atti

es actes expressifs de cette volonté. « 4° Que si les actes sont de nature à impressionner vivement l’imagination, si pour l

ce, enfin, il faut avoir confiance en Dieu seul, et laisser opérer la nature . « Les prêtres passent souvent pour des sorcier

de son intelligence et c'e sa liberté, est véritablement le roi de la nature , mais les êtres à figure humaine qui se laissent

reurs de jugement, et par suite un dérèglement d’actions qui force la nature à protester et à réagir. C’est là le secret de ce

e nous aurons voulu : Voilà la prophétie universelle. « Observer la nature , en suivre les lois dansnotre travail, obéir en t

forces à qui n’en possède point assez et venir ainsi au secours de la nature qui veut conserver, mais qui manque de puissance.

sse sa science, que chacun apprenne à se guérir. Par le magnétisme la nature révèle des secrets supérieurs aux connaissances q

esser cette fatalité qui pèse sur les destinées humaines, comme si la nature avait voulu diminuer la force et le nombre des hu

N, Pollet, Dr en médecine de la Faculté de Paris, cher à ravir à la nature quelque* uih des innombrables secrets qu'elle ren

r, agissant magnétiquement sur les malades, opère dans le sens de, la nature en développant des crises salutaires et en renfor

sur cette matière, savent parfaitement qu’il agit dans le sens de la nature , c’est-à-dire en développant des crises ou réacti

riété magnétique. J’en cherchai la cause clans les grandes lois de la nature et je la trouvai simple et facile à comprendre. D

ts qui échappent à nos sens, et qui devaient justement posséder cette nature pour remplir leur office. On trouve extraordina

enthousiasme seul qui le lui inspire. Surnaturel, providence, hasard, nature , etc..., sont autant de mots que le sentiment sem

es qui n’existent pas. Lo mot surnaturel signifie nécessairement hors nature , et vous mettez hors nature des êtres qui ne vive

t surnaturel signifie nécessairement hors nature, et vous mettez hors nature des êtres qui ne vivent que parce qu’ils sont sou

e toutes les entraves dont on a toujours embarrassé le triomphe de sa nature même. Prenez-le en telle situation que vous voudr

die, les crises profondes, presque imperceptibles quelquefois, que la nature produit sous l’influence du magnétisme. Il y aura

résister, le médecin somnambule avoue qu’il s’était trompé quant à la nature du mal qu’il avait voulu combattre en traitant ce

résenter à vous, essayez ce qu'on vous propose ici, en demandant à la nature qu'elle vienne vous éclairer par un de ses plus m

pleine de poésie, de sentiment et des plus délicates observations. Sa nature éminemment sensitive semble s’ôtre complu à creus

tique Allemagne : ce peut être une illusion que cette animation de la nature ; mais cette illusion, toute magnétique , est plei

derniers jours. La découverte de M. Reichenbach devait sourire à la nature aussi heureusement douée de M. Boscowitz, et l’on

de l’être ainsi doué, de constater la présence, dans les corps de la nature , d’une substance dont l’importance est à peine so

stance lumineuse celui qui s’y trouvait, l’feflel, qui connaissait la nature or linairemcnt calme et nullement fantasque de so

mon incrédulité, el par me laisser entrevoir une force nouvelle de la nature comme a travers un voile mystérieux. I.a jeune fi

augurer : jamais on ne fera de la médecine une science exacte, car la nature s’y oppose;—je les ai montrés ce qu’ils sont, et

a cherché à reconnaître la cause cachée de plusieurs phénomènes de la nature , car elle a dans tous les siècles excité la curio

rimitives, ce sont le bleu, le vert et le violet qui dominent dans la nature : l’immense atmosphère magnétique qui nous entour

hiques dans le peuple du Levant!... Nous ne pouvons attribuer qu’à la nature la révélation de ces lois curieuses aux anciens c

sont faits pur les Turcs lettrés, et les nouskas sont écrits selon la nature de la souffrance de l'individu qui les portera. B

L AGENT IMPONDÉRABLE. L’OD1. Nous avons vu se développer, dans la nature inorganique, des phénomènes bien étranges, auxque

et suivantes. comparables à ceux qui vont s'offrir à nous clans la nature animée. Bien des motifs connus déjà autoriserai

de l’existence du l’od dans le règne végétal, dans celte région do la nature qu'il avait si souvent explorée, qu'il connaissai

taniste était sensitif, M. Reichenbach parvint aie retenir, malgré sa nature active et remuante, plusieurs heures dans la cham

x. Certes tous ces faits provoquent bien des réflexions et de toute nature ; mais il en est un, dont il n’a point encore été

ientôt toutes ses pensées. L’od qui s'échappe de tous les corps de la nature lui apparaît partout; là ce sont de simples lueur

manifestations. Nous avons retrouvé l’od dans tous les corps de la nature , animés ou inorganiques. Notre planète dontils ne

e temps que la lumière solaire. Mais l’od solaire est de différente nature , selon l’intensité du rayon lumineux, selon la co

s sont des sensitifs, et les effets qu’elles ressentent étant de môme nature que ceux obtenus par le cristal et l’aimant, il s

faire comprendre comment je suis arrivé à me former de Dieu et de la nature une idée qui n’est pas précisément celle que prof

e ces phénomènes, en laissant pénétrer nos regards plus avant dans la nature , ne peut qu’élever et rendre meilleurs les esprit

i des biens matériels, chanteront les harmonies et les mystères de la nature ; des malheureux qui verront la fin de leurs maux

choses, ot ne doutèrent p;is d’avoir obtenu du spectacle intime de la nature le secret du dévoilement de ses origines et de se

luide est remise sur le lapis, nou-seulement dans le but d’étudier sa nature et sa prove- nance, — ce qui serait un travail

incrédulité à ce genre de manifestations, puisqu’elles ne sont pas de nature à me former un commencement de foi. Je ne nie pas

jusqu’au ressort secret, au centre de l’édifice, et de surprendre la nature en travail dans son laboratoire. Mais aucun des h

prit, c’est Moi, ton Dieu, l'Essence de la pensée : J’existe avant la nature humide. » Hermès. « La lumière est la première

fluidique), à toutes leurs analogies, à tous leurs similaires dans la nature , l’Elrc suprême, in-viaib'e ; éternelle et souv

admettent, est un agent subtil ctlumi-nescible, qu'ils ignorent en sa nature . C’est un protée mystérieux qui transmue (1) Le

essentiel), lluidc céleste, étliéré, divin ( qui forme l'âme de la nature ), n’est autre chose que le fluide magnétique. » A

r les principctgénérauxdc l:t théorie végétative cl spirituelle de la nature , 2e édition, Paris, 1822). Pour le docteur Phil

tueux. Il me semblait voir ces ténèbres changées en je ne sais quelle nature humide, agitée plus qu'il n’est possible de le di

âmes. Nous pouvons donc considérer ces mondes comme formés des trois natures principales représentées par trois degrés princip

qui les constituent : le plus grossier de leurs fluides y figurant la nature matérielle, et le superfin, les supérieures ; mai

ropager partout avec simplicité les notions de la marche simple de la nature (*) 11 importe de démontrer que tous ses phénom

miques d'une par* faite exactitude; il indique la cause, le siège, la nature des maladies internes du corps humain, les plus d

uction artificielle du somnambulisme; c’est, sans se prononcer sur sa nature , reconnaître l’action magnétique, si longtemps dé

tre spirituel puisse atteiudre et correspondre aux sympathies de même nature avec lesquelles il partage une certaine communaut

les principes généraux de la théorie végétative cl spirituelle de la nature .) Mais il ne suffit pas de définir la penscc et

e l’électricité des flui- « A cette théorie des trois sphères de la nature humaine, il associe une théorie de la santé, de l

ystème où sa présence est accusée par des souffrances de différente nature ..... « Par une autre déduction de ces principes

l lui-même, le plus puissant, le plus grand de tous (l’ensemble de la nature ). Car les passions mêmes existent au sein des cho

t au sein des choses engendrées, la génération elle-même possédant la nature de sa passion, o Hermès. accourt de toutes pa

es corps. La science de ces propriétés les embrassait dans toute la nature et s'étendait à toutes leurs applications : elle

de se tromper soi-même ou de tromper les autres. » J.-P. Che- de la nature (De augmenlis el dignitalc scien-tiartim, lib. m,

cien-tiartim, lib. m, c. ■{). i En cITct, tous les phénomènes de la nature , ; des plus crémcnliliels aux plus déliés,sont ph

enant partie d'eux-mêmes; mais dégagé ensuite, il reprend sa première nature pour aller se fixer en d’autres corps. C’est ains

nent cl le reprennent continuellement; principe de mouvement clans la nature entière. » De Jussir.u. (Rapport au Roi.) « Un

, ligne 9 de la deuxième colonne, au lieu de : la matière; lisez : ta nature . Page 458, ligne 36, au lieu de: la lumière bla

servateurs éclairés et de bonne foi ; je n’ai recueilli aucun fait de nature à démontrer la possibilité de cette communication

s s'appuient sur des motifs. Quels sont ces motifs ? Sont-ils de même nature et de même origine , ou d’origine et de natures d

ifs ? Sont-ils de même nature et de même origine , ou d’origine et de natures différentes î Quelle est la limite précise de leu

en suit pas qu'il y lise les pensées ; mais il y juge très-bien de la nature des sentiments qui les font naître. » Chardei.. E

nature des sentiments qui les font naître. » Chardei.. Esquisse do la Nature humaine expliquée par le magnétisme animal (p. 17

mulées jusqu'à ce jour, nous enseignent que tous les phénomènes de la nature sont déterminés par 1 action d’une seule et même

qui ne peuvent s'appliquer à la matière ; c'est donc un fluide d'une nature toute spéciale, indéfinissable, et dont on ne peu

apprécier que les propriétés. a Buffon dit que les puissances de la nature peuvent se réduire à deux lorces primitives : cel

ons et conditions plus ou moins désharmoniques des contingences de la Nature ; tandis que tous les prototypes sont relativement

éduit, je crois, au point de vue de la science antique, le mode et la nature de raconta la vision dont il était obsédé, et d

des psychiques? — La psychologie, nous enseigne-t-on, étudiant « la nature humaine par la conscience, » et la physiologie tr

cette connexité pathognomonique plus ou moins réelle des effets de la nature et de l’art, prétendrait-elle, dans un cas ou dan

atalepsie à l’état d’une crise magnétique ne confirmerait-elle pas la nature semblable des phénomènes ? La permanence de l’a

moi-même, voilà tout. J’aurais à consigner nombre de faits de cette nature , qui me sont personnels, même à longue distance,

e minutes, la loquacité, devenue moindre , avait totalement changé de nature . La délirante, au lieu de divaguer comme auparava

iaux. Elise avait de l'éloignement pour cette carrière, à cause de la nature d'obstacles qu'y subissent quelques débutantes. L

L’objet quelconque alors comporte une source jniissanliellc, dont les natures sensitives subissent plus ou moins ouvertement l’

je parviens à faire partager nies idées au sujet des méthodes que la nature semble indiquer par le travail qu'elle fait sous

d’école et ne me considérer que comme une machine magnétique que la nature sans doute s’est plu à former. J’ai souvent sen

raire, je m’attache incessâlnment aux explications naturelles (car la nature ne se borne pas à notre grain de sable) ; M. d’Ar

omme modèles, notre désespoir. Instrument unique des phénomènes de la nature , des transformations qui s’accomplissent autour d

ans lacunes. Dans cet état de l’inscription, et aussi en raison de la nature mystique du texte, une analyse complète me paraît

is. CAUSERIE. Le sort des humains n’est plus dans les mains de la nature , la science e9t devenue la régulatrice de la sant

les intestins, sont le produit de cet art bienfaisant. Le mercure en nature ou 6ublimé, entre dans une infinité de préparatio

c’était à lui de prendre ses précautions et d’apprendre à nager. La nature a des voies mystérieuses qu’ignore encore le méde

me (1) : ils se refusèrent toujours à adorer le Verbe incarné dans la nature , comme un personnage historique. » Émile Lamé. (J

point par »ne reculade que l’on use de la fécondité des forces de la nature . Utilement et sur le terrain nù vous dites avoir

scientifiques modernes ont fait reconnaître que les phénomènes de la nature n’étaient pas le résultat propre et intime des co

uide impondérable, éminemment subtil et élastique, qui existe dans la nature , libre de toute entrave. Il est universellement r

de l’avenir, s’y révèle à chaque page; et j'ajouterai moi : Sondez la nature , sondez Ions les livres, l'inquisition est abolie

composition. Il n'y a que deux principes primordiaux créés dans la nature : la matière élémentaire et la mouvement, du moin

te pour couvrir tous ces écrivains sans pensée, qui ne voient dans la nature que l’action de la matière, et qui pour base du p

exposa sa doctrine dans un Mémoire où il demande à prouver que « la i nature offre un moyen universel de guérir et préserver l

se refuse d’a-« bord à répandre sur lui les dons qu’il a reçus de la nature . « Il se laisse enfin toucher et prend le malade

c. Quatre semaines « après, l’enfant se portait bien. » « Est-ce la nature , » ajoute cependant quelques lignes plus loin le

plus loin le correspondant de cette cure miraculeuse, « est-ce la 0 nature rendue à elle-même par la cessation de tout remèd

éleva de vives oppositions, les prétentions ne lui paraissant pas de nature à être accueillies. On proposa alors au nom du ro

t curieux de voir les hommes abandonner les théories si simples de la nature pour celles qu’ils inventent eux-mêmes et qui par

rables un mode juste, général et invariable, comme étant pris dans la nature de l’homme. Quelques-unes de ces idées ont été

s nuits à écrire ce qu’il pense être des conceptions sublimes. Pauvre nature que la nôtre! les illusions nous rendent heureux

e compte de tous les faits, que ces faits se rattachent toujours à la nature , sans s’en séparer jamais, sans qu’il y ait solut

magnétiques; car nous ne savons encore ce qu’elle est, quelle est sa nature et toutes ses propriétés. C’est par une étude com

ement. Nous avons en face de nous un principe inconnu qui embrasse la nature entière ; dès qu’on l’aperçoit, On reste confondu

eulement que je compris quelque chose de la science divine, et que la nature m’apparut sous un jour tout nouveau. Plein d’im

ne de celui qui a laissé arriver jusqu’à son cœur les harmonies de la nature , ne serait-ce que pendant un moment. Peut-il tran

, je crois, eût été perdu sans l’heureuse faculté dont nous a doué la nature . « Au bout de quinze jours de traitement, la ma

u mauvais, ange ou démon, apparaissant à droite ou à gauche, selon sa nature , et nous inspirant des pensées conformes à son es

uction me dispense d’en citer. Cette variabilité des phénomènes de la nature est un des plus grands obstacles au progrès de ce

M. Roger doit être de l’Académie, il en a l’esprit et le langage. La nature est bien sotte, n’est-ce pas, messieurs les savan

le , tout se- rait connu, tandis que les plus grands mystères de la nature restent encore à dévoiler. Allons, monsieur Roger

s peuvent, selon la figure que leur a d’abord imprimée l’auteur de la nature . L’abbé de Yallemont, dans un traité qu’il a fait

L’abbé de Yallemont, dans un traité qu’il a fait des curiosités de la nature et de l’art, enseigne le secret de faire cette Pa

rbares : voilà ce que nous ofl're l’histoire. Le génie comprimé, la nature enchaînée, la civilisation retardée, l’humanité n

étaient donc les crimes à punir , les lois à venger? Hélas! c’est la nature que l’on poursuivait sans relâche; ce sont les di

ras et crée les difficultés que nons rencontrons à chaque instant. La nature , interrogée, répond; mais son langage nous est in

r le monde. Il sera dit que ce magnétisme humain, cette force où la nature a mis tous ses trésors, où Dieu a déposé son empr

elés à diriger les nations, et qui ne surent jamais que contrarier la nature , l’affaiblir dans sa puissance et ne nous la mont

ajoutent le blasphème au mensonge, en se disant les interprètes de la nature . Mais jamais ils ne se plongèrent donc en eux-m

u, et nous ne pourrions lever le voile qui cache les opérations de la nature . Pardonnez-moi cet exorde, lecteurs, vous ne po

st que le très-petit nombre qui sait glaner dans le grand livre de la nature . « Je suis en train de recueillir des notes pou

longées exaltaient les imaginations et favorisaient les efforts d’une nature providentielle. On leur faisait un brillant récit

le véritable talent du médecin consiste à seconder les efforts de la nature dans les affections aiguës, avoue l’insuffisance

; ils ne se sont malheureusement pas toujours contentés d’observer la nature pour la faire contribuer au soulagement de leurs

roi de France, dit Cardan (5), était atteint d’un ulcère de mauvaise nature , il fut guéri par l’inspiration prolongée d’un en

ble faiblesse. » .Nous connaissons beaucoup de ces alliances contre nature , qui pourraieut venir ü l’appui de cette observat

i onteours? Qu’importe, après tout; dévoilons quelques mystères de la nature ; qu’ils soient recueillis ou non, nous aurons rem

qu’une année. L’homme agit sur tout ce qui l’entoure par une loi de nature : ils ne la connaissent point. Des flots de rayon

accorde à ceux qu’il aime, ou bien une force qui se trouve dans la nature , comme l'électricité? Je suis enclin à penser qu’

endormie du sommeil magnétique, je l’interrogeai sur les causes et la nature de son indisposition ; elle me répondit que c’é

e me répondit que c’était une attaque du choléra, et me donna, sur la nature de cette maladie, des détails si utilement intére

qui existent en ce moment, n’importe d’ailleurs quelle que soit leur nature . Un des premiers et des plus grands symptômes d

’azote, liés à d’au-treé èorps. Le traitement doit être basé sur la nature de la maladie, sur ses différents symptômes : la

e basé sur la nature de la maladie, sur ses différents symptômes : la nature , de la maladie est d’attaquer, de désorganiser to

t moyen ; sans lui, toute guérison obtenue sera due à l’énergie de la nature , ou à des circonstances exceptionnelles. Les di

e, par une ébauche, épeler comme un enfant cet alphabet nouveau de la nature ? J’ai le sentiment de ma faiblesse et de mon impu

habituellement cache à tous les yeux : le naturel vrai de l’être. La nature parle par les organes, et non plus d’après les co

u corps semble diminué considérablement. Voilà letre préparé par la nature elle-même à recevoir toutes les impressions , soi

des immortels vient pénétrer son âme. 11 sent de rudes secousses : la nature sans doute a besoin qu’il en soit ainsi, c est un

e cache donc une ignorance profonde; non, ils ne connaissent point la nature , ces savants glacés et rétrécis; ils manquent mêm

appris que dans les affections du système nerveux nous provoquons la nature , et que c’est par des perturbations nouvelles que

aitement de cette cruelle maladie. Nous publierons tout ce qui est de nature à jeter du jour sur cette grave question. INSTI

ité, ni par les substances matérielles, ni par les êtres de sa propre nature . La sphère de ses rapports est uniquement celle

rbation qui tend à détruire les forces vitales. Telle est encore la nature de l’agent magnétique dirigé avec connaissance de

ent un milieu fécondant, pourrait-on dire; telle est, disons-nous, la nature du fluide magnétique, que dans ce cas même il ren

stence du magnétisme pendant de longues années, de tous ceux à qui la nature refuse de parler. Je ne veux point rester comme u

l’obscurité, en dédaignant les beautés offertes à ses regards par la nature entière. Et si, par une grande faveur, mes sens o

on caractère et ses propriétés , suivant les vues particulières de la nature . Cette loi fondamentale est le pivot sur lequel v

e déguiser, le magnétisme animal rentre dans l’ordre des faits que la nature offre à nos méditations. « Dès lors, tout homme s

le plus grand exemple connu de la volonté humaine aux prises avec la nature ;.... que l’idée qu’il a eue d’enfermer dans le ce

e se conduisant à la manière des autres fluides qui participent de sa nature , — d’où les phénomènes physiologiques ; 2° l’acti

résultat si utile, ajoute M. de la Salzède, qu’il faudrait bénir la nature de nous avoir donné ce précieux moyen de soustrai

ipe d’essence intelligente, comme l’est en soi toutejforce vive de la nature . Revenons à notre analyse. Esprit docte et ré

titieuse. A part quelques rares sujets privilégiés de Dieu et de la nature , joignant une moralité éprouvée à un cœur compati

x idées que nous apportons , et qui semblent basées sur une loi de la nature , qui voulut, on créant les êtres, leur donner les

ées tuent ¡l’intelligence : il faut à celle-ci un aliment digne de sa nature , et nous seuls pouvons vous le faire découvrir.

sc renouvelle Au seul nom de liberté..... Comme au printemps, la nature . Sc dégage, libre et pure, De sa robe de frim

e et puissance? La vie donne la vie, qu’importe l’organe employé : la nature n’a-t-elle qu’une voie, qu’un moyen? Qui donc ose

t justement ce qui nous constitue : la vie est répandue dans toute la nature , nous n’en voyons que les plus grossiers effets.

trompé les hommes en leur imposant des croyances sacrilèges; mais la nature n’est point complice de ces méfaits : constante d

re tous leurs efforts pour l’écarter de la place usurpée; comme si la nature les eût faits ses arbitres, et que chaque phénomè

ce bien plus déliée et moins maniable que les autres substances de la nature qui jusqu’à présent nous soient connues. 11 ne

le adroite, d’un regard fascinateur, d’une passion violente sur une nature timide, ardente, morbide, rêveuse, curieuse, etc.

e, elle était semblable à une inspiration. Le jeune sujet parla de la nature immortelle de l’âme, de sa béatitude et de ses pr

stes d’instincts cruels qui laissent des doutes sur la divinité de sa nature . Combien de fois, dans le somnambulisme natu-

grossier, les passions se font jour partout, et les misères de notre nature se laissent apercevoir. La vanité, le mensonge, l

nouvel examen. Sans doute on rencontre des êtres à part, deués d’une nature qui les rend ce que nous devrions tous être , ple

ts connaître ; mais à côté de ces âmes d’élite, et toujours rares, la nature a permis qu’il y eût des âmes dépravées. J’ai vu

mmes qui surent se dégager des illusions , et voir la vérité comme la nature l’a faite. Maintenant, quel degré de certitude

ait pas indifférent que l’inspiré fût né en orient ou en occident* La nature se rit de nous et des efforts que nous faisons po

ouvés à la même température de 15g°. Plusieurs expériences de la même nature furent essayées, et toutes offrirent les mêmes

oduction, puisqu'on opère sur une personne magnétisée; mais de quelle nature est l’excitant employé? Est-ce un agent physique,

ntentons-nous donc d’en examiner les fruits. Voici : LE LIVRE DE LA NATURE , par Cousin DbsprSaüx. Nouvelle édition. 4 vol. i

est ingénieuse, en supposant qu’un tissu organique puisse changer de nature ; mais elle ne rend pas compte de la vue des objet

rnière avec les impondérables connus, avec les forces générales de la nature : chaleur, lumière, électricité. Loin de là, le

dehors même de sa voloulé, de son intention, selon les besoins de la nature !.... Donnons à la chose son nom : je parle du ma

i n’est sans doute, lui aussi, que le fluide vital modifié suivant la nature des milieux qu’il traverse ou qui l’élaborent. Je

é, de l’âme du rnesmériseur sur la volonté , sur l’âme du sujet. La nature , la variété, les développements de ces faits psyc

oint à ce moment sous la domination de pensées ou de sentiments de la nature de ceux qu'il a développés: au contraire, il étai

de l’homme, ce merveilleux assemblage de toutes les puissances de la nature , cet univers en petit, ce résumé de tous les prod

araissant comme une ombre au retour de la connaissance ; il prouve la nature instinctive ot inconsciente de ces douleurs appar

ronges. Je ferai observer que sa lucidité ne piit l’éclairer sur la nature de sa maladie ; tous les remèdes appropriés à son

Moi qui étais fort (songez! un prosecteur d’anatomie , c’est fort par nature , par prédestination) ; donc, moi très fort, j’ouv

e guérir. La santé, disait-il, consiste dans l’action régulière de la nature . S’il survient des obstacles, la nature fait effo

dans l’action régulière de la nature. S’il survient des obstacles, la nature fait effort pour les surmonter. De là les crises,

gnétisme. « De l’action impérieuse, décisive, mais sympathique, des natures supérieures sur les natures moins puissantes, Sai

périeuse, décisive, mais sympathique, des natures supérieures sur les natures moins puissantes, Saint-Martin faisait résulter l

dans l’enthousiasme qui l’animait : Iæ beau tabloau que m’oftre la nature I Autour «1e moi sont des dons précieux : Ici P

» Mesmer n’était certainement pas homme à croire à des faits de telle nature , mais peut être qu’on lui attribuait des idées et

faisant observer qu’en 1829 il avait déjà expliqué tics faits de même nature , et bien plus complètement, en les attribuant aux

calorique rayonnant et des courants d’air dans ces essais de diverses natures , parce que, ordinairement , tous les expérimentat

déjà! Oh! nous vous le disons, l’homme, par son âme, est séparé de la nature terrestre, et c’est par cela seul qu’il s’en dist

ssance et votre défaut de vertu , sans que vous puissiez connaître la nature de la force qui nous sert d’instrument. Cherchez

s serions bien coupables de repousser ce précieux auxiliaire, dent la nature nous a toujours indiqué l'usage. « Si la médeci

nt l’étendue de sa confiance : le doute laisse tout imparfait dans la nature . (1) De Natura rerum, ch. 6 , § 6. (2) Philos

raction des atomes par d’autres corps, est d’autant plus forte que la nature des atomes se rapproche davantage de celle des co

ous nous écrions : Est-ce là tout ce que l’homme peut connaître de sa nature ; doit-il donc toujours 6’ignorer lui-même? Les pl

umis à de fausses doctrines? La perversité est-elle inhérente à notre nature ; le mal, enfin, doit-il pérdo-miner sur le sentim

ge. 11 admet ce qui lui plaît, non ce qui est conforme aux lois de la nature ; ce qui, enfin, peut s’expliquer, se comprendre.

ire : peut être est-il utile pour soutenir la vie de quelques-uns? La nature n’a rien fait en vain; c’est sans doute pour main

ant dans la fange. Le magnétisme, ce rayon divin, révèle à l'homme sa nature : par lui, la face du monde sera changée. Pressen

tri part. (3) De Demoniac. paraissaient s’écarter des lois de la nature par la singularité des phénomènes qu’elles présen

longtemps que les lumières de la civilisation nous ont éclairé sur la nature de ces affections si variables dans leurs transfo

11 admettait aussi des maladies mixtes occasionnées en partie par la nature , en partie par Satan (1). Les médecins ne guériss

m’avait appris dès lors que cet homme n’était que l'instrument de la nature . » Nous aurons l’occasion de revenir sur cette qu

ien d’impulsions différentes qui nous conduisent au même résultat? La nature n’a souvent besoin que d’une légère secousse pour

fait plus, il ajoute à la vie par sa vie; et cette défaillance de la nature qu’on remarque chez la plupart des êtres, reçoit

est un don très-rare. Tous ne peuvent pas pénétrer les mystères de la nature ; c’est déjà beaucoup de pouvoir féconder les déco

e répondent point encore à nos besoins. Persuadés, d’ailleurs, que la nature du métal ne lui ferait pas attacher plus de prix

grandit bientôt, et Jules Gloquet, reconnaissant la supériorité de sa nature , lui donna le baptême. Depuis elle a confondu le

nces qui forment le faisceau de la science officielle représentent la nature morte; l’autre, au contraire , connue seulement e

, faire apparaître dans tout son jour la merveilleuse faculté dont la nature l’a doué ; montrer à tous sa divine essence, et r

aveugles-nés à qui on parle de la lumière du jour, des beautés de la nature qu’elle nous laisse apercevoir, de ces brillantes

gent, messieurs , vous ignorez même jusqu’à son existence, quoique sa nature soit toute divine, et c’est justement ce qui vous

lement à l'homme aventureux qui s’était inspiré pour un instant de la nature , et qui en imitait les ouvrages ; mais pourquoi q

méprendre. II faut que les années marquent de leur sceau celui que la nature a placé au quart du chemin de la vie ; que sans t

malicieusement, prend sa prise et se promène à pas mesurés : c’est la nature vieillie, l’homme près du tombeau. Mais, que dis-

omme, me pèseraient comme un crime. Artistes , qui croyez imiter la nature en empruntant â la couleur vos rides factices, en

s! si je sais habilement me servir de la vie, l’employer à propos. La nature fait lentement les choses : l’art peut les réalis

e consigner comme un témoignage de ce que peut produire de bizarre la nature sur un être éveillé. Voyons si de cet enfant qu

, et que tu cesses un jour de vivre à l’instant fixé seulement par la nature . Va, s’il en est ainsi, tu auras laissé sur ton c

atière aussi grave, l’homme frivole se contente de rire, celui que la nature a doué d’une foi vive et d’une âme ardente, se hâ

t point ainsi les hommes! Qui donc a pu les pervertir et changer leur nature ? Nul ne le sait; mais, à force de recherches, peu

aites, et qu’il s’énerve dans des jouissances qui doivent dégrader sa nature ? Tout ce qui est bas, matériel, ordurier, doit fa

l n’a donc rien à craindre que s’il dévie de sa route; car, alors, la nature l’abandonne, et,son guide iutelli-geut le laisse

noviciat, pour que sa raison ait quelque maturité. 11 seml)le que la nature soit avare de ce don d’intelligence, et que celui

a foule, et la foule obéit. Mais aussi, par un contraste choquant, la nature produit des hommes à esprit faux, qui parlent el

es hommes puissants que vous avez à combattre! Vous avez pour vous la nature , qui ne vous démentira jamais. Ne craignez rien d

par cela même forl caché aux chercheurs, qui pensent toujours que la nature a besoin de grandes combinaisons pour manifester

u de la vie de son fils; encore un instant, et mon pouvoir imitera la nature dans son œuvre terrible : il aura dissipé ce rayo

périr qui leur portait ombrage. A ces croyances, on opposa une loi de nature ; les doutes devinrent une certitude : nous étions

ité à l’aide de laquelle un somnambule peut indiquer à des malades la nature de leur mal, et les remèdes convenables, est asse

ent, les somnambules assez lucides pour sentir et voir le mal dans sa nature et dans scs effets, ne sont plus que des individu

à celles que le magnétisme, agent dynamique, renferme par suite de sa nature et de son mode d’action. Pour mieux faire compr

s, des aperçus d’une justesse frappante so faisaient remarquer sur la nature de l’afiection, et sur son siège. Le traitement

ésenté sous l’ancien gouvernement la découverte que j’ai fait dans la nature de moyens inconnus jusqu’alors de guérir et de se

sophe suédois; qu’aprèç avoir examiné scrupuleusement la source et Ja nature de scs révélations, et reconstruit les éléments m

nomènes du mesmérisme ont fait apparaître une nouvelle phase de notre nature , remplie d’aspects nouveaux, frappants el importa

e par les forces qui sont en vous, par les impulsions seules de votre nature . N’allez pas vous greffer sur autrui; que le frui

ées par le simple d'esprit, car il ne peut comprendre. D’une loi de nature , d’un fait simple, Mesmer voulut faire une scienc

t somnambulique une science innée, il rejettera bien loin ce que la nature a formé et donné à l’homme. Le magnétisme et le

homme. Le magnétisme et le somnaüibulisme ! Voilà la médecine de la nature . Dieu donna à l’hortitoié plus qu’aux animaux ; c

ngé en eux, si ce n’est la dénomination. Yous niez encore. Accusez la nature , punissez-la, car elle çst bien coupable! Mais ce

eur ne sont qu’esquissées ici ; ces digressions en font comprendre la nature , comme le but final du magnétisme. Dissiper l’err

rer les hommes, leur dire : Votre malheur vient de vous, et non de la nature ; celle-ci vous a tout donné. C’est à vous de comp

Comment n’a-t-il pas signalé I’agent mystérieux et si puissant de la nature , et indiqué toutes ses propriétés, soit pour obte

Salzède. Analyse et examen , par M. Baïhaut, 270. Livre (le) de la Nature , par Cousin Despréaux ; nouvelle édition, augment

onduit dans sa loile? Non, car en la dévorant elle obéit à une loi de nature . Les corporations sont tou* tes despotiques et cr

ue d'abord elles devaient protéger? C’est donc aussi une loi de notre nature puisque, voulant le bien isolément, le ma! est to

s qu'il faut savoir désormais regarder en face, afin d'en modilicr la nature et de faire sortir le bien du mal, etnon,éoininc

car vous ajouterez votre vie à la leur, et ce concours fera obéir la nature dans le sens voulu. * Comptez donc rarement sur

ctive générale), présentant des spécialités de prédilection, selon la nature de certains corps en présence comnie ailleurs, el

ête ont été faites, et cependant on n’a pu recueillir aucun indice de nature à éclaircir les circonstances du crime tenté sur

ar F.-A. Mesmer. § V. - JCSTICE NATURELLE. La contemplation de la nature et de l’harmonie dans laquelle tous les êtres coe

règles et des motifs pour gouverner nos actions ailleurs que dans la nature et dans les lois du mouvement, qui entretiennent

e des événements s'accorde avec l’ordre et l’équilibre essentiel à la nature ; mauvaise, quand il en trouble le cours. Il es

ssertion nous est constamment prouvée par l’observation prise dans la nature , soit en général, soit en particulier. Jamais l

re dans lequel les êtres et les éténemems se succèdent. L'ordre de la nature est établi sur l'harmonie dans l'universalité des

tout-puissant que soit le criminel, dès qu’il a troublé l’ordre de la nature , reviendra sur son auteur comme un mal nécessaire

s les nues du secret ou du temps. C’est donc cetlc tendance dans la nature , fondée uniquement sur la nécessité de rétablir l

ffirmer avec certitude que tout homme sera inévitablement puni par la nature même, qui se permet d’enfreindre scs lois et trou

s faire un miracle, ce qui ne convenoit pas à cet établissement de la nature , dont le miracle renverse les lois : ce bénin Cré

e et la guérison de l’autre. L’homme « qui vit suivant les lois de la nature n'a guère besoin de « médicaments. « La noble p

évoir, auront montré que ce n’est point en vain qu’on s’éloigne de la nature , qu’on méprise les moyens si simples qu’elle ense

s à insensibiliser tous les individus? Nous ne voyons pas pourquoi la nature aurait accordé à quelques-uns un si grand privilè

ère intention; dans les autres cas, je n’ai remarqué aucune lésion de nature à offenser les organes. Il me semble, au contrair

e « suivant l’extrémité qu’on leur présente; et pour spéci -« fier la nature de la sensation qu’ils produisent, elles la « com

nomènes nerveux qui dépassent pourtant la limite de ce que parfois la nature offre aux regards du médecin. Sans doute, j’ai di

déclarerons que les malades guéris ne le sont pas ou l’ont été par la nature seule, ce qu’il serait absurde de penser -, car s

é par la nature seule, ce qu’il serait absurde de penser -, car si la nature pouvait guérir, à quoi serions-nous bons, nous vo

nt loin de louscoa-naître, les forces physiques mortes et leur propre nature sont des objets à la connaissance desquels ils n'

illeux, qui croit embrasser d’un coup d'œil tous les phénomènes de la nature , saisit bien quelques lois, découvre des vérités

r où donc pèchent-ils? je vous l’ai dit: ils méprisent les lois de la nature après les avoir reconnues; ayant la lumière, ils

quer, qu'elle y porte bien vile le stimulant nécessaire, celui que la nature y enverrait d’elle-même si elle était assez puiss

sentement bien plus qu’elle ne peut se passer de son concours : quand nature ne veut, médecine ne peut; et les médicaments mêm

tous ces accidents. Pourquoi ces différences? C’est que d’un côté la nature agit seule; de l'autre, des agents funestes à la

s imitateurs. L’avenir est à la vérité nouvelle, les phénomènes de la nature les plus cachés vont devenircom-préhensibles: ass

umanité s’est courbée sous la loi de faux sages. Le grand livre de la nature va s’ouvrir devant vous; parcourez-en les feuille

açons-les par de jeunes et vigoureux plants. Soulevons le voile de la nature qu'on a rendu opaque en le couvrant de sale verni

ités que l’âme ou l’esprit peut y imprimer, il agit conformément à sa nature physique, et présente quelque analogie avec l’aim

ttende/, de moi en cette circonstance : « Le magnétisme est dans la nature . Le zépliir qui « agite le feuillage, l'air qui p

chaque maison de correction des signes frappants et indicateurs de la nature des délits et de punition, et de la qualité des c

l’immoralité des prisonniers, et cependant qu’elles tendent par leur nature , leur gradation et une sorte de liberté laissée a

certitude que la plupart des crimes dans la société ne sont pas de la nature de l’homme, que l’on se permet de calomnier comme

e doit la prendre pour guide, car elle est la clef des mystères de la nature , le flambeau de la vérité, l’égide de l’investiga

sa source était dans le magnétisme, comme toutes les merveilles de la nature ont leur cause dans des agents ou des forces qui

ssance des prodiges dont les causes se perdent dans l'immensité de la nature (2), alors que la vérité étouffait sous le plus t

ON. § 1. Théomèdisme. « Nalura non copulat extrema sine medio. La nature ne réunitjamais deux extrêmes sans transition. »

ulal extrema sine medio. » Or, entre l'âme et le corps, substances de nature si inverse, il faut de toute nécessité une transi

est divin, et répond proportionnellement au ciel el à la terre. » Sa nature n’est ni spirituelle ni matérielle, et pourtant e

e tiers médiant soit partout : de sorte que la moindre parcelle de la nature soit vivifiée par une étincelle qui corresponde à

orte de parenté qui les ferait s’embrasser dans la constitution de la nature , et ce lien, par la môme raison, réunirait la nat

nstitution de la nature, et ce lien, par la môme raison, réunirait la nature au créateur. Aussi pourrons-nous dire : « Ce n’

mme; je ne le sépare pas non plus du théomédisme, car il me semble de nature tout une; c’est ce qui m’explique la transmission

e idée, eu ne raisonnant que par le syllogisme au lieu de regarder la nature et de faire du tout des cl parle essentiellement

sentiellement différents. L’astrologue se dit : * Il existe dans la nature des affinités qui ne sauraient dépendre des éléme

ellation particulière, acquiert, cil sus des qualités inhérentes à sa nature propre, des vertus particulières actives ou passi

ces occultes (I). » Arrive le physicien qui dit : « Les corps de la nature sont pénétrés d’amitié et d’inimitié, de telle so

ale, soit physique, qui existe entre deux êtres, quelle que soit leur nature . Beaucoup d’auteurs l’appelèrent compalio, accord

(3) : Convenientia nuturœque continualio, affinité, complément de la nature . Baptiste PorXa la détermine encore mieux par sen

êtres doués de propriétés vitales, mais se poursuit bien loiu dans la nature . Un homme qui ne connaîtrait pas l’aimant et. qui

pas sensation commune à nos mains que cette répugnance pour certaines natures , tandis que pour d’autres un attrait invincible l

licables. «Le pouvoir de nuire et de secourir qui se trouve dans la nature des choses réside plutôt ès humeurs immédiatement

ez avoir tout dit quand vous vous êtes écrié : c'est un prodige de la nature ; expliquez-le sans fluides intermédiaires. Vous q

rs, fiers de ce nom, nous marchons le cœur plein dans ce temple de la nature , d’où l’on devrait vous chasser comme indignes de

au mensonge ou à l’imposture ce qui est dû à une loi éternelle de la nature . Le magnétisme comme ces forces, occultes encore,

application de sangsues. A la suite de violents chagrins, cette riche nature s’altéra; mais, loin d’attribuer les accidents qu

i là encore il n’y a point une loi : pour nous tout est réglé dans la nature ; nous n’admettons point le hasard, car il a été i

tte maison, habitée par une jeune fille, un bruit assez fort et d’une nature étrange se fait entendre jour et nuit par interva

duquel je puis vous donner toute garantie, attendu que d’une part la nature du fait ne laisse aucun doute sur sa vérité, et q

sante delà véracité de ce triste récit. Si vous jugez ces lignes de nature à intéresser vos lecteurs, je vous laisse tout-à-

on la qualité dominante du sien, adoptera la spécialité à laquelle la nature paraîtra l’avoir appelé. Ainsi, ceux qui posséd

apportons en naissant comme la contemplation des magnificences de la nature . ' Le magnétisme ne sera pas sans influence sur

ous les hommes; la leur cacher, c'est les frustrer d'une chose que la nature a faite pour tous, et dont elle ne nous a jamais

onnaissance des prodiges dont la cause se perd dans l’immensité de la nature . Cette définition embrasse à la fois les phénom

instruire en cet art sublime : Nihil aliud magiœ opéra credatis, quam nature opéra, uti ars ministra et sedula famulatur. Ne c

famulatur. Ne croyez pas la magie Être autre chose que l’œuvre de la nature ; TOME IV.— jyo 45. —10 MAI 1847. 9 l’art est

r tous est une sage et parfaite connaissance des choses (rerum) de la nature (Van Helmont). Toujours la nature dans ccs défi

aissance des choses (rerum) de la nature (Van Helmont). Toujours la nature dans ccs définitions, toujours elle, s’ouvrant co

ns du savoir. D’où, pour moi, le magicien serait un homme qui sait la nature . Je définirai la magie: science parfaite de la na

mme qui sait la nature. Je définirai la magie: science parfaite de la nature ; et j'ai pour moi l’autorité de l’école égyptienn

e vient le mot mage (ptayoç, magus). Le magicien est ministre de la nature , magus naturœ minister est (Plotinus). Sa science

x des remèdes qu’on fût quatre mille ans à inventer? Sont-ils dans la nature , ces remèdes ? Eh non ! elle ne le montre que tro

les végétaux ou le magnétisme, guérison sans convalescence : c’est la nature . Aussi n’a-t-on, pour bien connaître le fond dans

s passes avec celui d’aujourd’hui. On faisait les théories d’après la nature , maintenant c’est elle qui doit se plier aux théo

mots. Ce qui les tourmenta le plus fut cette for ce ingénieuse que la nature nous cache: Tolaque naturœ vis ingeniosa latentis

rce qu’ils n’admettaient pas les fluides; ce théome-disme qui unit la nature entière, et que* les Juifs seuls (ou plutôt Moïse

rain à grain, sans ordre ni division. Ce vaste génie, qui mesurait la nature d’un seul embrassement, eût voulu que tous les ho

tant pour la race sacerdotale de ne point divulguer les secrets de la nature , ils imaginèrent de les traduire en caractères to

es, et entendit Hiarchas, au milieu de ses disciples, discourir de la nature , du mouvement des astres, de l'enchaînement des j

la recherche du magnétisme, et il lui échappa parce qu’elle étudia la nature sans y comprendre l’homme. Elle découvrit l’élect

es publiquement, par des motifs que vous apprécierez, en examinant la nature de ces opérations, dont voici la liste et l’ordre

à des lois déterminées, mais qu’elle procédait comme les forces de la nature , dont les principes absolus échappent à nos cal

portée des forces vitales ; elles tiennent k la puissance même de la nature , et nous les puisons à des réservoirs inconnus !

ui attestent que l’honmie possède un grand pouvoir, attribut et de sa nature , et qu’il doit à la Divinité. Cette marche ration

t par Mesmer! N’est-il pas destiné à modifier l’homme, à régénérer sa nature ? Que vos voix s’élèvent avec la mienne, Messieu

n qui unit l’homme à Dieu ; c’est qu’ils ne savent plus interroger la nature , et ont perdu le secret de produire les œuvres qu

ît le génie De. L’Orient mystérieux ; C’est quand nous arrachons la nature épuisée A des traitements inhumains; Quand4a sa

temple, Vils trafiquants des humaines douleurs; Lasse, à la fin, la nature contemple Avec effroi vos sanglantes erreurs !

me. Chacun le regarda, et la surprise fut grande lorsqu’on vit que la nature lui avait donné les traits de celui dont on céléb

er ce phénomène. Et où tout l’art de la médecine est venu échouer, la nature , incitée à faire entendre son langage, révélerait

r. Sur le revers sera aussi en légende cet aphorisme de Mesmer : La nature offre un moyen universel de guériï et de préserve

chacun des rapports des membres du comité, et qu’elle aura décidé la nature des médaillesà offrir aux personnes qu’elle aura

çs qui, aidées par des agents subtils, occultes, constituent la bonne nature , comme on dit dans les hôpitaux; dans l’autre il

raisonnent que d’après Je scalpel et l’autopsie. Pour interpréter la nature il faut connaître sa langue, 'et ce sont des barb

langue, 'et ce sont des barbares! Le mesmérisme, tout entier dans la nature , est hors de leur globe; c’est un mythe, une cons

réation est donc un composé des trois principes existants en Dieu. La nature des différents êtres créés est le résultat de la

n y trouvera d'une manière régulière toutes les lois qui régissent la nature , l’explication de tous les faits qui ont passé po

n unis qu’ils soient, tendent toujours à se séparer; c’est une loi de nature que la sagesse des nations exprime si justement p

par une pareille secousse, et prévenir les accidents nerveux de toute nature qui surviennent quelquefois à la suite d’une opér

liquée au magnétisme, a pour devise cet aphorisme de Mesmer : CI la nature offre on moyen universel de guérir et de (I prése

erions égaux si la société ne comprimait l’essor des penchants que la nature nous donne, si nos dispositions pouvaient trouv

médecin et le vieux curé, parce qu’ils ont fait connaissance avec la nature , et appris à douter de la rectitude des préceptes

pouvait l’étre. La maladie ne pouvait guérir que par un effort de la nature ; madame Pouson avait annoncé que cet effort salut

ais il fallait découvrir la véritable cause du mal, la tendance de la nature et la seconder; c’est ce que fit madame Pouson.

’art est impuissant pour découvrir la cause du mal, la tendance de la nature qu’il faut seconder. Eà quovergil naluraest disce

inion ? R. — Deux de mes confrères ont corroboré mon opinion sur la nature de la maladie. D. — Postérieurement à la consul

le principe de vie lui-même répandu par la Providence sur toule la nature ! « Ah ! les médecins sont bien coupables de ne

rincipes de l’égalité, il faut déterminer et fixer les époques que la nature parait avoir tracées dans la vie de l’homme en so

oques ou périodes qu’il a à parcourir en se conformant aux vues de la nature et de la société pour laquelle il est destiné. Il

ar eux-mêmes les premières notions et les habitudes dépendantes de la nature seule. Us seront presque nus, dans la belle sai

pas inférer de cette uniformité de costumes prescrits qu’elle est de nature à rentrer dans les lois sonipluaires qui peuvent

si futile, attendre un résultat pareil? Celui qui prend la voie de la nature ne sait jamais où il s’arrêtera. Après avoir re

toutes les exigeances. C’est la partie philosophique de l’œuvre ; la nature , les avantages et les dangers du magnétisme y son

pour le reconduire à son domicile. « La divergence des récits et la nature étrangfc du fait arrêtèrent fortement mon attenti

ier quelle pouvait en être la cause autre que le magnétisme? » ^ La nature , toujours une, s’offre constamment la même, soit

du magnétisme, en instruisant le monde sur le moyen universel que la nature a donné à chacun de guérir et de préserver ; 3°

s de bien, ignorants ou savants, médecins ou autres; ainsi le veut la nature , et on ne l’empêchera pas. Vouloir cn limiter l’e

faillible; la malade n’avait pas de cancer, mais bien un abcès que la nature , plus forte que les révulsifs de la médecine, c

roïques dont la tendance contrariait rationnellement les effets de la nature .... C’étaient d’horribles douleurs par tout le co

, un examen de la plaie qui consistait en deux incisions séparées, de nature essentiellement douloureuse, ayant été nécessaire

ôpital par toutes personnes respectables désirant se convaincre de la nature et de l’elTetdc ses expériences, et spécialement

est vaincue de fait, mais celle du clergé est toute vivace, et nou de nature à céder à la simple démonstration. La première a

Tortueux ; cependant toutes ces qualifications ne changent eu rien la nature de l’être qualifié. Mais quoique l’Ecrilure nou

e qualifié. Mais quoique l’Ecrilure nous apprenne l’existence et la nature du démon, rien dans ce livre saint ne nous force

es magiciens de Pharaon, versés dans un grand nombre de secrets de la nature , et possédant des connaissances physiques et autr

des tribulations actuelles de M. Laforgue. Une malheureuse, que la nature a délaissée, malgré froif appels de M. Laforgue,

ns fut seule chargée de veiller sur lui, et il succomba à l’âge où la nature a des ressources infinies, ‘a l’époque où l’homme

ne science grande, noble et venant de Dieu, est répandue sur toute la nature , car Dieu a dit à l’homme : « Tu es mon lils et

’avance que de très-beaux mémoires seraient faits sur la marche et la nature du fléau, mais que |ias un remède efficace ne ser

x intelligences, qu’au sortir de l’école on peut écrire sur ce que la nature a de pins mystérieux. Dans cet opuscule, M. Dc-Ia

ii). Après avoir constaté par l’Ecriture l’existence du démon et sa nature , qui est de pouvoir agir sur l’homme au lieu de l

jamais exercé ni étudié? Comment des hommes qui ne connaissent ni la nature , ni les propriétés, ni le siège du fluide magnéti

naissant pas le magnétisme thérapeutique ni dans sa cause, ni dans sa nature , ni dans ses effets, leur opinion, contraire ou f

siques dont on ne se rond pas compte? Et pourquoi des germes de toute nature ne seraienl-ils pas déposés et fécondés dans la t

l'âme. Cet ouvrage renferme de curieuses révélations, dit-on, sur la nature des pensées, et du libre arbitre, l’astronomie et

ont-ils pas enthousiasmés des guérisons opérées par la médecine de la nature ? La Sainteté de Pie IX, après avoir fait examin

de attention au récit de l’étrange événement qui suit, dans lequel la nature soulève elle-méme un coin de son voile et nous ad

ou de noire imagination, distinguer ce qui appartient en propre à la nature , ce qui se rattache à une de ses lois. Faibless

un pouvoir en dehors de sa grossière enveloppe, comme si tout dans la nature avait, comme le caillou, une sphère d’activité bo

qu’au loin s’étend l’action de l’âme , qu’elle est en rapport avec sa nature et son principe, et que, créée pour une destinée

es rapports que nul ne peut entendre par les oreilles. Il faut que la nature ait développé en nous une corde sympathique, ou q

jà dans le sein de Dieu. Ce n’est point par ces nuits sombres où la nature voilée imprime aux âmes faibles une sorte de terr

pend de causes fortuites, mais il esl en puissance dans le sein de la nature , car rien ne se perd. C’est ton orgeuil qui obscu

ns du soleil de répandre au loin la fécondité et de donner à toute la nature un caractère de majesté. Sans eux les germes renf

tic obscur, et c'est à cette science qu'il demande des notions sur la nature des maux qui affligent l’humanité, et sur les moy

t et l’organisation des sujets et donnent lieu à des phénomènes de la nature la plus diverse en raison de la nature spéciale d

nt lieu à des phénomènes de la nature la plus diverse en raison de la nature spéciale des facultés des somnambules. Tel sujet

iquer cette attraction, sinon par quelque puissance dont on ignore la nature ? Enfin, les phénomènes mêmes que l’on observe dan

st ainsi prouvée. » Il nerestedonc qu’à endéterminerl’extension, la nature , et à voir quelle utilité on en pourrait tirer au

prévu. — On le raille, — mais lu t’excuses en disant qu'il y a des natures rebelles au fluide mesmérien. — Eh ! qu’en sais-t

e de la faculté que Dieu a accordée à un si grand nombre d’hommes. La nature a été plus sage que toi! Et comme elle veille soi

ent en nous. Dans la montre, il y a une mullitude de pièces de toutes natures , grandeurs, formes, qualités ; chacune d’elles a

lômé, ni guérisseur marron, nous ne sommes qu’un simple curieux de la nature , comme disent les Allemands ; notre plus grand in

d’élude qui n’a pas la vanité de connaître les derniers secrets de la nature , ne laissera pas cette branche de Vanthropologie

nt s’augmenter chaque jour, car ils sont fondés sur un principe de la nature et se présentent comme une vérité consolante. 1

ses qui ne s’apprennenl qu’en méditant longtèmpset en domi- nanl sa nature . Celle science nouvelle n'esl donc |>oint pour

r tradition, eussent donné la connaissance de certains mystères de la nature ; des faits merveilleux, des guérisons éclatantes

éducation, la fausse religion, les sophistes l’ont fait hypocrite; la nature va le rendre sincère; la magie ne vient-elle pas

ant sans cesse par l’analogie les effets communs à des causes de même nature , il écarte savamment le merveilleux qui soulevait

ropriétés qui y furent attachées par le Créateur. S’il exerce dans la nature une domination incontestable, c’est que, dans sa

’effets aussi merveilleusement graduée que celle que nous présente la nature , il est utile, pour nous faciliier les déductions

ulion, les objets propres à protéger leurs pelils. Quelle que soit la nature de ces mystérieuses relations, elles sont plus pr

e de perceptions résultant des rapports, du monde extérieur : mais la nature ne tient point compte de nos scrupules et elle ne

n élément du beau dans les arts : c’est un moyen de puissance dans la nature et une des règles qu’elle suit avec le plus de co

l’homme, elle l’est encore pour ses connaissances; elle simplifie sa nature , en l’assimilant à une autre espèce de matière; e

iginelles des mouvements et à l’activité primitive du mécanisme de la nature ; trouve le modèle de ce mécanisme dans les effets

ction et l’application des courants du fluide universel, du feu de la nature , du magnétisme animal . en un mot à l’organisatio

elle présente trois modifications d'après le mode d'introduction, la nature et la durée du séjour du corps dilatant : i° corp

de l'urètre , les fongosités et les produc-tions charnues de diverse nature , qui motivent généralement l'emploi de la cautéri

, et M. Sichel, en particulier, a ras-semblé nombre de faits de cette nature . Cette objection est fon-dée, sans doute, mais on

is, les adhérences vicieuses des paupières, et les tumeurs de diverse nature . ectropion. L'ectropion ou renversement des p

rurgicale, les tumeurs des paupières se distin-gueraient suivant leur nature et le tissu qu'elles affectent ou dans lequel ell

toutes celles qui ont leur siège aux paupières, quels que soient leur nature et leur siège entre la peau et la conjonctive.

excepter la conjonc-tive. Tumeurs enkystées. Les kystes de diverse nature sont trai-tés par l'excision ou l'incision aidée

seaux sanguins. C'est le nom générique donné à des tumeurs de diverse nature , lors-qu'elles n'ont encore atteint qu'un petit v

(Scarpa) et le cancéreux (Demours), également susceptibles, par leur nature , d'atteindre un volume énorme ; enfin le lithique

tumeur jaunâtre qui se développe dans la conjonctive scléroticale, de nature in-connue et dont le nom, emprunté de sa couleur,

la tumeur; soit la dissection avec un petit bistouri. En raison de la nature maligne de la plupart de ces maladies, le pinguéc

récentes des ophthalmologistes, les diffé-rences portent aussi sur la nature même de l'altération. Ptérygion (planche 7, fig

moyen âge, et jusqu'au i 7 e siè-cle, l'oubli des distinctions sur la nature de la cataracte en-traîne celui des méthodes opér

ne le pratique guère par sclérato-nyxis qu'accidentellement, quand la nature de la cataracte n'a pas été reconnue à l'avance.

nt, que les an-ciens , qui avaient pu reconnaître assez exactement la nature et les effets de la cataracte et en imaginer les

de l'oreille. Dans nos climats, les tumeurs les plus communes sont de nature fibreuse et surtout érectile. On en pratique l'ab

s vivans ou des corps inertes d'un petit volume, de consistance et de nature variables. A. Insectes vivans. Essayer d'abord

augmente graduellement le calibre. Injections. Quelle que soit leur nature , c'est un moyen tout-à-fait inefficace dans les r

orrespon-dante et à en imposer pour des tumeurs polypeuses ou d'autre nature . La grande sensibilité et la densité de la muqueu

urels. Les auteurs sont remplis de faits variés de l'une et l'autre nature . Parmi les corps étrangers naturels figurent des

s calculs, soit concrétions inorganiques, soit exostoses, mais sur la nature chimique et le développement desquels on n'a pas

le-ment soit pour simuler une maladie; Deschamps cite un cas de cette nature , et nous en avons vu de semblables aux cliniques

insi deux fois au moins et cinq fois au plus, suivant le volume et la nature du polype. Lorsqu'il ne reste plus que quelques d

chiffre, est encore celui mis actuel-lement en usage. La forme et la nature des aiguilles ont beau-coup varié. Paré employait

C'est particulièrement au point de vue du cancer labial, qui, par sa nature , envahit irrégulièrement une portion de l'une ou

moyens qui l'avaient fait obtenir. 2° Section des adhérences contre nature . L'objet de cette opéra-tion est de diviser avec

térise par une diffé-rence bien plus importante que ne peut l'être la nature du corps étranger. Au lieu de tracer les deux tra

opération est des plus faciles. Une autre modification a trait à la nature du fil. Toujours dans le but de rendre la section

endu moyen thérapeutique qui, pour guérir une maladie peu grave de sa nature et susceptible d'une guérison spontanée, comme Nu

(t 83g), qui avait le volume d'une orange, jugée par ce chirurgien de nature lym-phatique, mais qu'il s'est assuré n'être pas

en bas, le chirurgien a soin de s'assurer, au toucher du doigt, de la nature des tissus sur lesquels il opère; et c'est par ce

ation (Alix, Burns). Des opinions très différentes ont régné sur la nature de la gre-nouillette. Déjà Celse en faisait une t

eurs, on voit qu'on a décrit sous le nom de ranule, des affections de nature très différente: les uns ont trouvé dans le kyste

n rapport de voisinage. Il ressort de l'ensemble de ces faits, que la nature et l'étiologie de la grenouillette, demanderaient

ies, jugées incurables, la gangrène, certaines indurationsde mauvaise nature , les tumeurs fongueuses, érectiles, squirrheuses

e, de faire fabriquer encore plus longs et plus solides. C'est par la nature de l'instrument employé, et par le siège de la ma

Mayor et J. Cloquet; si, au contraire, on juge que la maladie, par sa nature ou son peu d'ancienneté, peut être arrêtée dans s

rait suivie. TUMEURS DE LA VOUTE PALATINE. Des tumeurs de diverse nature peuvent se rencontrer à la voûte du palais. En ra

érisation avec le nitrate d'argent dans les inflammations de mauvaise nature avec flaccidité des tissus. MM. Velpeau et Toirac

Bayle. M. Velpeau déclare que tous ceux qu'il a rencontrés étaient de nature encé-phaloïde; mais cette altération n'est pas la

proéminente; mais si l'on a affaire à une dégénérescence de mau-vaise nature , il faut, sans trop se hâter, tâcher d'enlever d'

sent pour nous en deux séries. Les unes, abcès ou tu-meurs de diverse nature , qui intéressent la peau, le tissu cellulaire int

lus simple, le goitre peut être formé par des altérations de di-verse nature . Des tumeurs érectiles, fongueuses, tuberculeuses

. Six méthodes sont mises en usage dont le choix se motive d'après la nature présumée de la maladie. Ce sont : la cautérisatio

tion ou la ligature, pour détruire quelque reste de tissu de mauvaise nature . Divers caustiques peuvent alors être employés, m

die était un kyste. On ne sait pas aussi exactement quelle était la nature de l'affec-tion chez un certain nombre de sujets

lther, cette tentative eut un plein succès. Cinq autres faits de même nature sont dus à M. Carlisle, Coates, Earle, Green, Che

e deux malades qu'il soumit à l'opération, l'un dont la tumeurétaitde nature graisseuse, guérit,et l'autre qui portail un canc

Ce pro-cédé suppose que le chirurgien a une parfaite certitude de la nature de la tumeur, quelquefois variable dans les diver

tc., cette opération est toujours très grave par les mêmes motifs, la nature maligne de la cause première, et le nombre consid

e plus souvent, pratiqué la bronchotomie. Les corps étrangers sont de nature très variée. Comme il est naturel de le penser, l

ent de la glotte consécutif des laryngites chroniques. Le siège et la nature de la maladie décident du lieu de l'incision, de

i, par la laryngo-tomie, deux malades affectés d'ulcères au larynx de nature indé-terminée; M. Porter (i838), un sujet affecté

'appareil, comme il est arrivé à divers chirurgiens pour des corps de nature variée : une fève (Desault), un noyau de fruit (P

E. Home, Earle, Macilwain et Denis. Le succès, au reste, dépend de la nature de la maladie, suivant qu'elle est plus ou moins

lement dans un état spasmodique. Mais, dans ces cas, le corps, par sa nature digestive, s'amollit un peu à la surface, et les

u, l'œsophagotomie. Propulsion. Toutes les fois que le corps est de nature alimen-taire, un tendon, une bouchée de viande, u

re que le cathétérisme ordi-naire , si, comme on peut le présumer, la nature et la forme du corps étranger décident du genre d

L'œsopbagotomie ne compte guère encore qu'un siècle d'exi-stence. La nature avait en quelque sorte indiqué d'elle-même cette

thèse préexiste, surtout si le cancer, succédant à une tumeur de même nature préalablement opérée sur un autre point, il est é

rs points entre les muscles, des prolongemens de tissus altérés ou de nature douteuse, il faut en faire profondément l'excisio

e et les gaz. Historique. Si ce n'est en elle-même, du moins par la nature des maladies qui en indiquent l'emploi, aucune op

Variétés d'épanchement. i° Épanchement de sang. Quelle que soit la nature de l'accident, lésion traumatique ou dé-chirure s

tre-indiquée, quoique l'on connaisse un certain nombre de faits où la nature a pu donner issue à une vomique par une ulcératio

tats généraux de l'opération. Le danger de l'empyème ré-sultant de la nature de la maladie et de l'importance des organes et n

de qualité du liquide qui diminue d'abondance et devient de meilleure nature . Dans tous les cas, dès que la mèche est établie

s'il était également applicable à tous les cas sans distinction de la nature de l'épanchement, de sa durée, de l'état des plèv

ir recours aux injec-tions par la canule. On peut varier au besoin la nature des in-jections, eau tiède, orge miellé, infusion

t cpie l'on changerait à volonté. Lorsque le pus est de trop mauvaise nature , il pense cpie l'on pourrait employer une solutio

Desault, en croyant ponctionner le péricarde. Un second fait de même nature est attribué à M. Larrey. On ne sait ce qu'il fau

à la peau. Les corps ou vulnérans ou chassés par ces derniers sont de nature très variée : divers projectiles, balles, chevrot

procédé cpii se trouve être l'imitation de ce que lui avait offert la nature . Il s'agissait d'un malade affecté d'ascite chez

u'à faire cicatriser cette fistule pour confirmer la guérison dont la nature seule avait fait les frais. En imitation de ce

-tion entraîne la destruction de l'organe et la mort du malade, si la nature ou l'art ne parviennent à donner issue au liquide

par une ulcération, ou un trajet fistuleux. Ce résultat,obtenu par la nature ,aurait pu servir d'exem-ple aux chirurgiens pour

pu se vider dans le tube intestinal , et c'est par un trajet de même nature au travers des fibres du diaphragme, que continua

même des tumeurs humorales du foie quand il s'agit d'en pré-ciser la nature . Or, pour le chirurgien appelé à exercer une ac

dés sur cette doc-trine. Dans tous, le lieu d'élection indiqué par la nature elle-même, est le point où l'organe faisant saill

angers, ou t. vu. sont amenés au dehors par les seules forces de la nature , ou s'en-kystent d'eux-mêmes dans quelque point d

mplis. Aussi le précepte est-il bien établi, dans les plaies de cette nature , si lecorps étranger n'a pu être extrait tout d'a

ur l'extraction d'un corps étranger cpii peut, par le seid fait de la nature , se faire jour au dehors, comme le prouvent tant

, aux sections partielles des éperons membraneux dans les anus contre nature . Si déjà la section de l'estomac , pour extrac-ti

matoire et à la gangrène. La conduite du chirurgien varie sui-vant la nature des viscères hernies, intestin ou épiploon, ou to

hernies, intestin ou épiploon, ou tous les deux réunis, et d'après la nature et le degré d'intensité des désordres qui sont dé

'un anus artificiel, préférablement par la méthode de Scarpa , que la nature tend à établir d'elle-même. En d'autres termes,

chement. MM. Velpeau et Vidal ont publié récemment des faits de cette nature . Il est probable que, dans ce cas, le froncement

e nœud, et fermer immédiatement la plaie extérieure en con-fiant à la nature l'expulsion des anses de fils dans la cavité de l

xpulsion du fil qui doit se faire par les selles, est abandonnée à la nature . C'est pour faciliter au de-dans l'action de l'in

e vice de doctrine qui consiste à mettre en rap-port deux surfaces de nature différente, la membrane séreuse du bout supérieur

rtion étranglée. Enfin, les procédés de Dupuytren, pour l'anus contre nature , avaient également démontré, quoique d'une autre

nement. Son seul inconvénient serait, comme nous l'avons dit, dans la nature des viroles que l'on a employées; mais il réunira

i surviennent trop souvent ; il explique les procédés employés par la nature pour rendre le mal stationnaire, pour le guérir p

ure radicale, spontanée ou avec opération, la théorie de Eanus contre nature et de son traitement reposent sur la con-naissanc

acé; mais devant traiter de l'opération qui con-vient à l'anus contre nature , nous allons étudier l'anatomie de cette affecti

onséquences de la gangrène de l'intestin. ANATOMIE DE l'aNUS CONTRE NATURE . Il y a anus contre nature lorsque les matières

l'intestin. ANATOMIE DE l'aNUS CONTRE NATURE. Il y a anus contre nature lorsque les matières de l'intestin au lieu de par

ur combattre l'infirmité. Etat de l'intestin. — Dans un anus contre nature établi, les deux bouts de l'intestin n'offrent po

qui joue un si grand rôle dans la cure chirurgicale de l'anus contre nature , ainsi que nous le dirons plus loin. Nous passo

espace, nommé entonnoir membraneux , est étroit lorsque l'anus contre nature commence à s'établir, mais il s'agrandit gra-duel

s conditions les plus favorables à la cure spontanée de l'anus contre nature . Scarpa, auteur de la plupart des remar-ques que

Au reste , quelque merveilleux que soit cet artifice employé par la nature pour amener la cure de l'anus anormal, n'oublions

détail, certaines complica-tions que l'on observe dans l'anus contre nature . Quelquefois, surtout si les deux bouts de l'inte

à travers la fistule et constituer une hernie, assez semblable par sa nature à ce que l'on nomme chute ou renversement du rect

nt devenues plus minces, transparentes, et paraissent avoir changé de nature . En certains cas, on trouve de la sérosité amas-s

te le malade en proie à toutes les chances fâcheuses d'un anus contre nature . Sachant la possi-bilité de ces dangers, le chiru

ur sa convexité, ce qui rend inévitable la formation d'un anus contre nature . Ensuite, on introduira dans le bout supérieur du

utile de la retrancher avec l'instrument tranchant; en con-fiant à la nature le soin d'éliminer tout ce cpii est frappé de gan

tégé. Une fois l'intestin ouvert, il faut s'attendre à un anus contre nature . On laissera les parties au dehors sans pratiquer

iculier ceux de fabrique anglaise dont la pelote est mo-bile, sont de nature à donner les meilleurs résultats et que leur long

t deux genres de maladies toutes différentes par leur étiologie, leur nature et les indications qu'elles fournissent. La premi

e, quoique, en résultat de la cause qui a donné lieu à un anus contre nature , il puisse y avoir un rétrécissement de l'intesti

entel n'est qu'un demi-moyen , une nécessité fâcheuse im-posée par la nature et que l'on doit s'attacher à prévenir ou à guéri

de la fistule. Pour que cet expédient soit applicable, il faut que la nature ait déjà disposé les choses en voie de guérison,

trop larges pour être facilement introduites à travers un anus contre nature quel qu'il soit, et surtout à travers le bout inf

ompresses pliées en plusieurs douilles, et attendre des efforts de la nature l'oblitération complète. ANUS ARTIFICIEL. Nou

ec un point de suture entrecoupée. Dans un cas d'opération de cette nature , pratiquée par M. Malgaigne, ce chirurgien n'a pa

n, l'anus dans son lieu naturel, ce qui revient seulement à imiter la nature en replaçant, autant que possible, les parties da

de pommades médicamenteuses. Lorsqu'il n'existe aucune cause de cette nature on doit essayer de la cauté-risation et de l'exci

e, la fistule complète, facile à reconnaître à ses caractères et à la nature des liquides qui en exsudent, a toujours été reco

es chirurgiens, en un mot, ont fréquemment rencontré des cas de cette nature , et M. Vel-peau dit en avoir observé au moins dou

que les hommes de l'art ont eu de bonne heure des idées saines sur la nature même de la maladie. Mais, quant aux méthodes cura

s que l'on peut être appelé à extraire du rectum sont si variables de nature , de forme et de volume, qu'il est impossible de t

aberration d'esprit de la part du patient, des corps étrangers de la nature la plus extraordinaire se sont trouvés logés dans

'un jeune enfant, apparemment très intelligent. Mais les cas de cette nature où l'on peut se faire suppléer sans crainte de ti

mieux vaut essayer de le diviser d'une manière quelconque suivant sa nature : en le coupant avec une scie étroite, s'il en es

Le premier est un vice de conformation consistant dans une cloison de nature fibro-muqueuse tendue en travers , ordi-nairement

m tentés par MM. Amussat , Syiue , Duplat et quelques autres, sont de nature à encourager les chirurgiens à faire de nouvelles

e supprimer une source d'hé-morrhagies habituelles déterminées par la nature , lorsque tant d'exemples journaliers montrent que

endus. Depuis l'rédérici qui, dans le dernier siècle, en a reconnu la nature et signalé les caractères, les praticiens ont eu

ur. C'est le même accident qui complique si fréquemment l'anus contre nature (Ri. 33, fig. a) et dont la chute de l'utérus et

est que dans quelques cas exceptionnels, toujours bien rares , que la nature est parvenue à se suffire à elle-même en opérant

ation à l'extérieur. Après l'opération , Dupuytren abandonnait à la nature , la ci-catrisation des petites plaies résultant d

oussa. Desault ne l'admettait que pour les cas de tumeurs de mauvaise nature , bien circon-scrites et mobiles. Boyer, avec ses

ne opération. Au reste, le choix de l'opération étant subordonné à la nature de la maladie, comme avant de l'avoir étudiée con

en confon-dait les différentes variétés avec des tumeurs de mauvaise nature , le sarcocèle, la dégénérescence encéphaloïde, e

onte du testicule se faisant sous l'influence des seuls efforts de la nature , l'atrophie de l'organe et la guéri-son en sont

maladie dont il s'agit est fréquemment accompagnée de tumeurs de même nature dans les parties internes. L'opéra-lion terminée,

même par dépravation, s'étreignent la verge avec des liens de diverse nature , tels qu'un fil, une ficelle , ou la font pénétr

bué à accréditer, parmi les anciens , l'opinion que la verge était de nature à se reproduire; mais en réalité, il n'en est rie

où l'on ampute, dans la crainte d'en emporter trop ou trop peu. 2° La nature spongieuse des corps ca-verneux eux-mêmes qui fai

voir introduit une sonde dans la vessie : Ruysch cite un cas de cette nature opéré avec succès; Heister, Bertrandi,Graefel'ont

ernier mot, d'o-rigine arabe, s'applique surtout à des tubes creux de nature vé-gétale ; cependant M. Lallemand, de Montpellie

bien aux sondes métalliques inflexibles qu'aux sondes de toute autre nature . Les sondes peuvent être i° solides; courbes ou

e la gangrène. J.-L. Petit qui prétend avoir observé un fait de cette nature imagina, pour obvier à cet inconvénient, une sond

rendre compte des obstacles qu'on rencontre, de leur siège et de leur nature , et surtout des rapports de l'instrument avec les

tc. Quelle que soit l'ancienneté d'un rétrécissement, son siège, sa nature et sa forme, l'urètre n'est jamais entièrement ob

stiques. Les premières fabriquées exactement comme les sondes de même nature , doivent, comme elles, être souples, polies, se l

s rétrécissemens sont peu considérables, encore récens, et surtout de nature spasmo-dique; 3" pour le cathétérisme évacuatif e

ragment de calcul venu de la vessie; un polype ou un gonflement d'une nature quel-conque des portions membraneuse ou prostatiq

cidens fort graves, tels qu'infiltrations urineuses, et abcès de même nature qui peuvent entraîner la mort du sujet, surtout l

que dans la vessie, il fixe l'instrument à demeure, et abandonne à la nature la cicatrisation qui ne tarde pas à se faire, bie

nes des autres, la plaie se couvrit de bourgeons vasculaires de bonne nature , et se ferma complètement. Urétroplastik. Lorsq

ait exceptionnelle ; elle ne pourrait convenir que dans les cas de la nature de celui où Lafaye l'employa sur Astruc, et où la

des her-nies, de la cataracte, des fractures, des luxations, etc. La nature n'enseigne rien sans tâtonnemens ; il faut des es

guinolentes; parfois expulsion à divers temps de graviers de di-verse nature . Nous ne faisons qu'indiquer ces signes rationnel

er à-peu-près ces nuances, et perçoit les qualités des surfaces parla nature de son glissement, qui est doux sur les faces lis

3), dans les parois de la vessie. C'est par suite d'erreurs de cette, nature que nombre de malades ont été taillés , chez lesq

dre atteinte. Deschamps a rassemblé un grand nombre de faits de cette nature . Presque tous les auteurs en ont rencontré à dive

le est plus facile dans l'enfance. Au dix-septième des faits de cette nature rassem-blés en grand nombre par Hellwig, Job de M

nécessité, où l'on croyait être, d'em-ployer, suivant le nombre et la nature des couches composantes:, un ou plusieurs agens d

ortant puisqu'il amène la disgrégation de la masse quelle que soit la nature chimique des couches qui la composent. C'est à ce

17,30. Dans les deux cas les dépôts lithiques se sont trouvés de même nature chimique que les calculs corrodés par l'action du

t à s'y engager sans pouvoir être expulsé par les seules forces de la nature , il faudrait pro-céder à son extraction à l'aide

action. On introduit, ainsi que le fit Garengeot dans un cas de cette nature , l'indicateur de la main gauche dans la vessie ;

après l'opération. Lorsque aucun accident ne trouble la marche de la nature , le malade éprouve toujours peu après avoir été p

énéral il vaut donc mieux s'en abstenir et abandonner les choses à la nature . Si l'on redoute le séjour de l'urine dans la ves

lus souvent pratiquée. Sur une centaine environ d'opérations de cette nature , il ne paraît pas qu'il y en ait été pratiqué plu

à gauche, s'asseoir et, s'il n'y a ni fièvre ni accidens d'une autre nature , après cinq à six jours il peut se lever et march

en faveur de ce moyen. Toutefois, comme beaucoup de fistules de celte nature surviennent à la suite de pertes de substance plu

exposé à décoller le tissu cellulaire ambiant, est cependant, par sa nature , accompagnée de dangers assez graves pour faire r

rsque ces tumeurs sont petites on peut en abandonner la guérison à la nature , en se contentant d'appliquer dessus des compress

s, devenir le siège de tu-meurs variables par leur volume et par leur nature . Bonnet rap-porte, d'après Welschius, tome ni, p.

t oblitéré, le cas devient fort grave. « Quelquefois, dit « Royer, la nature fournit une route artificielle à l'urine qui coul

enfant succombe, soit « qu'on l'abandonne aux seules ressources de la nature , soit « qu'on lui ouvre une voie artificielle par

ang et, en se mêlant aux liquides, dont il altérerait chimiquement la nature , ne déterminât des inflammations graves. Si cepen

erait toujours temps d'opérer. Boyer, consulté pour deux cas de cette nature , refusa positivement de faire aucune opération. M

leur état inflammatoire, et pourrait même entra-ver le travail de la nature ; aussi se borne-t-on alors à tenir les cuisses r

, si, lorsque la fistule est récente, on se-condait les efforts de la nature par le repos, la position sur le côté, la propret

entéro-vaginale. Cette lésion, qui constitue une espèce d'anus contre nature , a été observée par M. Roux et par M. Casa-Mayor;

es, de la méthode qu'employait Dupuytren, pour guérir les anus contre nature . L'instrument dont fit usage M. Casa-Mayor est un

EURS DU VAGIN. Le vagin peut devenir le siège de tumeurs de diverse nature . Ce sont des abcès , des tumeurs sanguines, des k

n-cers , etc. Le procédé opératoire pour les enlever varie suivant la nature , le volume et le siège de la tumeur. Pelletan a g

umeurs, il faut s'être assuré, par tous les moyens possibles, de leur nature et de leur étendue. Et lorsqu'elles appartiennent

esubstancesastringentesou cl'é-ponges chargées de liquides de la même nature . Restent les opéra-tions qui consistent dans l'ex

cas qui se présenteraient; car on doit non-seulement agir d'après la nature du déplacement, mais encore se guider sur la larg

ser le vagin de ces corps étrangers, doivent varier en raison de leur nature et de leur disposition. La position de la femme

tative, s'assurera, par letoucher,dela position, de la forme et de la nature des corps, et cherchera à les dégager avec les do

variétés qui peuvent les faire confondre avec des tumeurs d'une autre nature . Ainsi, en 1823 , Richerandet M. J. Cloquet en on

-pulser ; mais il faut peu compter sur ce moyen , non plus que sur la nature . Les opérations chirurgicales sont en dernier lie

probable, après la striction opérée) pour en abandonner la chute à la nature . Dans tous ces cas, du reste, il faut avoir soin

e du polype serait très court et très volumineux, pourvu qu'il fût de nature fibreuse et ne présentât pas de battemens, rien n

et dilatable , et qu'on puisse à l'aide d'un stylet s'as-surer de la nature du corps, et si, outre cela, il cause des acciden

ibreuses interstitielles de l'utérus. Quoique cette maladie, par sa nature et son étiologie, ne soit qu'une variété des tume

t organe, ima-giné déjà par Herbiniaux, en imitation du procédé de la nature qui en a offert quelques exemples dans des cas de

les opérations du même genre, aucun signe ne pouvant faire prévoir la nature et l'épaisseur des tissus qui forment l'enve-lopp

riser, lorsque la surface ulcérée présente un aspect rosé et de bonne nature , et se borner alors à faire des injections émolli

e : si elle présentait des bourgeons sanieux ou un aspect de mauvaise nature , on pourrait la cautériser avec le ni-trate acide

manifestent très souvent immédia-tement après l'opération, et sont de nature à effrayer les person-nes qui ne les ont jamais o

nt capital de l'accusation de M. Pauly; car on peut se tromper sur la nature des maladies que l'on opère; on peut aussi être t

eures ou quelques jours, et la récidive étant presque certaine par la nature même de la maladie et l'insuffisance des moyens d

et à abandonner l'expulsion de la partie adhérente aux efforts de la nature . Quoique cette ma-nière d'agir ait échoué entre l

ne rien faire et d'abandonner la termi-naison de l'accouchement à la nature , si les contractions uté-rines sont assez fortes

liquer le forceps ou de pratiquer la version, quand les efforts de la nature sont insuffisans. Lorsque la tête traversera les

devait abandonner la terminaison de l'accouchement aux efforts de la nature ; mais, si les contractions de la matrice étaient

cté des adhé-rences avec le kyste, il en abandonna l'élimination à la nature . Ici il n'y a point de procédé particulier à su

st un fait accidentel et dans le second annonce une disposition de la nature à une guérison spontanée, l'existence de ce phéno

des deux diamètres vertical et transversal, il ne s'ensuit pas que la nature se renferme invariablement dans cet ordre systé-m

at non moins impor-tant, c'est que les causes et les complications de nature à infirmer l'opération du strabisme sont les plus

nd ce signe manque complètement, ouest induit néanmoins à admettre la nature primitivement spasmodique du strabisme dans les c

à recommander le procédé opératoire suivant contre « le strabisme de nature spasmodique. « On fait fermer l'œil sain, et on

pour la laisser imparfaite. Éclairé par les insuccès précédons sur la nature des modifications à ap-porter à la formule opérat

re exactement, comme on peut s'en assurer par les dessins pris sur la nature (Pl. A, fig. 13, i4, i5, 16). Enfin un fait sem

la con-traction du muscle opposé à celui qui a été coupé, est, par sa nature , des plus simples, et se rencontre assez fréquemm

res, quelquefois inverses à des jours différons, suivant pas à pas la nature et s'inspirant, à cha-que fois, de l'indication d

le , qui a néanmoins conservé sa mobilité. Deux observations de cette nature ont été publiées par M. Phillips : les sujets en

yotomie du bégaiement, surtout en présence des faits, presque tous de nature à infirmer l'opération. La plupart des physiologi

ctère principal ou secondaire de la maladie, par la disposition de la nature à une guérison spon-tanée, est une contre-indicat

e. Ceux-là sont bègues de naissance, chez lesquels, par le fait de la nature , les membranes inférieures qui fixent la langue s

dant à une ulcération. Ceux qui ont cette infirmité par le fait de la nature , se reconnaissent par cela même qu'ils font avec

cédé opératoire. Il faudra donc, d'abord, s'attacher à reconnaître la nature et l'espèce de consonnes sur lesquelles porte le

e, et du volume de la dernière phalange du pouce, est abandonnée à la nature . S'il se manifeste delà gêne dans la respiration,

ntenue. Ce premier succès, et les résul-tats du procédé rival sont de nature à encourager ses nouvelles tentatives. Restent do

iaux de plusieurs années, il faut convenir aussi que le sujet, par sa nature , peut être pré-senté, dans un assez petit nombre

des problèmes, qu'avec les concessions mutuelles, néces-sitées par la nature et les complications des phénomènes, il devient s

s par le traitement chirurgical d'une seule; tant défaits de di-verse nature , quise corroborent, nous paraissant mettre cette

tre maladie des os, diffé-rente de celles-ci, encore inconnue dans sa nature étiologique, qui, d'après ce chirurgien, entraîne

r, à diminuer de longueur et de vo-lume; ce résultat varie suivant la nature , le degré, la variété de la difformité (Rap. page

-varus et planto-val-gus. Nous n'avons pu dessiner les faits de cette nature , M. Gué-rin se les étant réservés pour les publie

s souvent à une maladie des vertèbres différente du rachitisme, d'une nature inconnue, mais dont l'effet estde dé-terminer dan

ets tant d'autres muscles de struc-ture moins fibreuse, et qui, parla nature de leurs usages , sont fréquemment au repos. Nous

comme tous les chirurgiens et lui-même l'avait cru jusqu'alors, à la nature peu réactive du tissu tendineux et à la petitesse

ou à ses préliminaires; c'est au contraire un travail de toute autre nature : c'est l'organisation immédiate. La différence q

on, tantôt local, tantôt général, en proportion de son étendue, de la nature des tissus divisés et des complications qui inter

sive de leur orifice, et déjà il a publié un cas de guérison de cette nature (Gaz. des hop., 2 oct.). Parmi les chirurgiens

mules opératoires dont les nuances diffèrent suivant l'indication, la nature de la maladie, leur siège et la composition organ

qu'à donner celui de la ponction en prenant pour exemple deux cas de nature différente, tels que la ponction de l'empyème pou

lle-même. Ponction des abcès ou des collections liquides de diverse nature , situés profondément. Ayant suivi pour l'empyèm

comme, il arrive qu'une collection ne soit pas bien formée, ou que la nature même delà tumeur ne soit, pas nettement déterminé

urraient of-frir de l'intérêt ont rapport au siège de la tumeur, à la nature des parties environnantes et de celles qui doiven

e, historique de l'opération xxvn-xxx. — Examen de la langue et de la nature du bégaiement, xxx. —Appareil instrumental, xxxi.

onction sous-cutanée des abcès et des collections liquides de diverse nature , situés profondé-ment, xlix-lil TRAITÉ COMPLET

at. Imp. de Lemercier Benard C° Tome 7. Pl.4. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 5 ET f. PLA

inférieure avec la pince et le bistouri (voyez, pour des cas de cette nature , Demours, pl. 19 ). Figures 9 et 10. Excision d

utre excroissance. Tome. 7. Pl. 5. N.H. Jacob direxit D'après nature par Rogat. Imp. Becquet, Paris. Tome 7. Pl.

par Rogat. Imp. Becquet, Paris. Tome 7. Pl.6. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Im. de Lemercier Benard C° TO

Pupilles artificielles (Blasius). Tome 7. Pl.7. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard C° T

Benard C° To me 7 . Pl.8. N.H. Jacob direxit Dessiné d'après nature par Rogat. TOME VIL PLANCHES 9 ET 10. PLANCHE

ssiné par Léveillé. Tome 7. Pl.10. N.H. Jacob direxit d'après nature par Rogat. TOME VII. PLANCHE 11. OPÉRATIONS D

ment et figurés pl. 2, n° 55-59. Tome 7. Pl.11. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob.. TOME VIL PLANCHE 12. OPÉRATI

é sans succès la ligature de la carotide. Tome 7 Pl.12. d'après nature par N.H. Jacob. Im. de Lemercier Benard et C°.

xer et en empêcher la diduction. Tome 7. Pl.13. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard et C.

Figure 8. Appareil contentif appliqué. Tome 7. Pl.14. d'après nature par N.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard et C.

our embrasser le pédicule du polype (m). Tome 7. Pl.15. D'après nature par N.H. Jacob Imp. de Lemercier Benard et C.

'os, qui laissera pénétrer dans le sinus. Tomo 7 Pl.16. D'après nature par N.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard et C.

deux par une double suture en diagonale. Tome 7 . PL17. D'après nature par N.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard et C.

ard. Figure 49. Pharyngotome inusité. Tome 7. Pl. 19. d'après nature par N.H. Jacob. N. HJacot Instrumens de la fabr

rajets fistuleux sur les côtés. Tome 7. PI.20 . Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard et C.

ult et de celui proposé par M. Maingault. Tome 7 Pl.21. d'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHE 22. OPÉRATIO

re faite avec l'instrument de M. Guyot. Tome 7. PI o 22 D'après nature par N.H. Jacob. TOME VII. PLANCHE II BIS. INS

Instrumens de la fabrique de M. Charrière. Pl. 22 blS. d'après nature par N.H. Jacob. Imp. Becquet. P aris. TOME VI

t fermée sur le corps étranger. Tome 7. PI .23. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard et C.

Imp. de Lemercier Benard et C. Tome 7. Pl.24. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 25 ET 26. A

orps étranger pour l'extraire. Tome .7. PI .25. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard et C.

.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard et C. Pl.26 Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 27 ET 28. A

introduction de l'air de dehors en dedans. Pl.27. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Imp. Becquet, Paris. Tome 7.

mp. Becquet, Paris. Tome 7. Pl.28. N.H. Jacob direxit d'après nature par Leveillé Imp. Becquet, Paris. TOME VIL PL

'un cercle d'adhérences séreuses. Tome 7 Pl.29. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Imp. Becquet, Paris. TOME VII

MEN. SUTURES DES PLAIES LONGITUDINALES DE L'INTESTIN GRÊLE. DEMI - NATURE . Figure 1. Débridement d'une plaie abdominale p

e et à la sortie de l'aiguille. Tome 7. Pl.30 . Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Tome 7 Pl.31. d'après natur

Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Tome 7 Pl.31. d'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 52 ET 55. É

l'é-tranglement intestinal. PLANCHE 33. CAS VARIÉS D'ANUS CONTRE NATURE ACCIDENTELS. Nous distinguons à dessein ces anu

ction de Dupuytren, communiqué par MM. Marx et Teissier). Anus contre nature où les deux bouts de l'intestin viennent s'ouvrir

vers les tégumens. Figure 3. (Collection de Dupuytren). Anus contre nature qui vient s'ouvrir à l'aîne par un seul orifice a

aux résidus de la digestion stomacale. Tome 7. Pl. 32 . d'après nature par N.H. Jacob. Tome 7 Pl.33. d'après natur

Pl. 32 . d'après nature par N.H. Jacob. Tome 7 Pl.33. d'après nature par N.H. Jacob. TOME VII PLANCHES 34 ET 35. A

e de Scarpa ). Tome 7 Pl.34. Tome 7. Pl.35. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Imp. Becquet, Paris. TOME VIL

e crurale. Figure 9. Bandage ombilical. Tome 7 Pl.36. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.37. Dessiné d'ap

D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.37. Dessiné d'après nature par N.H. Jacob. Imp. de Lemercier Benard et C.

HERNIES. PLANCHE 38. ( Les deux hernies ont été dessinées d'après nature sur le cadavre. ) FIGURES I et 2. HERNIE INGUIN

ans ce point, une fistule borgne interne. Tome 7 Pl.38. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.39. d'après natu

Pl.38. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.39. d'après nature par N.H. Jacob. Imp. Becquet, Paris. TOME VII

rs de la hernie. Tome 7 Pl.38 bis N.H. Jacob direxit. D'après nature par Léveillé TOME VIE PLANCHE 39 BIS. DIVERS

n plongeant sur les orifices péritonéaux des deux sacs herniaires. La nature de chacune de ces hernies est indiquée au premier

e ombilicale oblitérée. (k) Vessie. Tome 7. P1.39 bis d'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 40 ET 4L PR

ur par la succession de leurs écartemens. Tome 7. Pl.40 d'après nature par N.H. Jacob. Tome 7 Pl.41. N.H. Jacob di

pect de l'anus artificiel après guérison (copié sur un dessin d'après nature communiqué par M. Amussat ). PLANCHE 45. ANUS

tre les deux bouts du tube in-î.cstinal. Tome 7 Pl.42 o D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.43. N.H. Jacob d

ture par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.43. N.H. Jacob direx. d'après nature par Leveillé TOME VIT. PLANCHE 44. FISTULES A

t qui sert à l'introduire. 3. Gorgeret. Tome 7 Pl.44. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 45 ET 46. O

étant réunies par des points de suture. Tome 7. Pl.45. d'après nature par N.H. Jacob. Imp. Lemercier Benard et C. T

.H. Jacob. Imp. Lemercier Benard et C. Tome 7. Pl.46. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 47 ET 48. A

DE L'HYDROCÈLE. Figure 1. Hydrocèle du côté droit, dessiné d'après nature à l'hô-pital du Gros - Caillou (voyez le même cas

RATIONS CURATIVES DU SARCOCÈLE. FigUrE 1. Sarcocèle dessiné d'après nature à l'hôpital du Gros-Caillou dans le service de M.

rifice cutané d'une fistule. Figure 2. Sarcocèle volumineux jugé de nature encéphaloïde dessiné à l'hôpital de la Charité da

oyen d'atrophie du sarcocèle commençant. Tome 7. Pl.47. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7 Pl.48 d'après nature

Pl.47. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7 Pl.48 d'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES 49 ET 50. V

ération par compression. Figures 2 et 3. Epispadias dessiné d'après nature (cas communiqué par M. d'Aremberg). Le pénis est

anglement derrière la couronne du gland. Tome 7 PI. 49. D'après nature par N. H.Jacob . Tome 7 . Pl.50. D'après na

. 49. D'après nature par N. H.Jacob . Tome 7 . Pl.50. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VIL PLANCHES M ET 52. AN

N.H. Jacob direxit Lith. par Aumont. Tome 7. Pl.52. d'après nature par N.H. Jacob. TOME Y 11 PLANCHE 55. MALADIE

55. MALADIES DE L'URÈTRE, DE LA PROSTATE ET DE LA VESSIE. DEMI - NATURE . Nous avons réuni sur cette planche un certain

essie. Tome 7. Pl. 53. H. Jacob direxit. par Léveillé d'après nature TOME VII. PLANCHE Si instrumens des opération

ique de M. Charrière. Pl.54. N.H. Jacob direxit Dessiné d'après nature par Edmond Pochet. TOME VIL PLANCHE 55. CALCU

on , qui sont dessinés à part, figure 6. Tome 7. Pl.55. D'après nature par N.H. Jacob. TOME Mi. PLANCHES 5 6 ET 56 BIS

térisme. Dans ces trois figures dessinées en grandeur réelle, d'après nature , les parties étant disséquées sur le plan de sect

de M. Leroy d'Etiolles (Pl. 54,n° aetb). Tome 7. Pl.56. d'après nature par N.H. Jacob. Tome 7 • Pl. 56. bis. N.H.J

N.H. Jacob. Tome 7 • Pl. 56. bis. N.H.Jacob direxit. D'après nature par Léveillé. TOME VIL PLANCHES 57 ET 37 BIS.

ur le plan de section des parties. Figure 5. Calcul dessiné d'après nature . Figure 6. Excision des côtés d'une poche uretr

érieure se fera sur une sonde à demeure. Tome 7. Pl.57. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.57 bis. N.H. Jac

par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.57 bis. N.H. Jacob direxit D'après nature par Rogat. TOME VII. IMA M.II IS 18, 59 LI Ml.

vec le marteau (e). Tome 7. Pl.58. N.H. Jacob direxit D'après nature par Léveillé Torne 7 Pl.59. D'après nature

ob direxit D'après nature par Léveillé Torne 7 Pl.59. D'après nature par N.H. Jacob. Imp. Lemercier, Benard et C°.

. Jacob. Imp. Lemercier, Benard et C°. Tome 7. Pl.60. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VII. PLANCHE 61. INSTRUM

Instrumens de M. Charrière. Pl.61. N.H. Jacob direxit d'après nature par Edmond Pochet. TOME VII. PLANCHES 6 2, 6 3

et déterminées par le volume du calcul. Tome 7. Pl.62. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.63. N.H. Jacob d

ure par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.63. N.H. Jacob direxit D'après nature par Leveillé Tome 7. Pl.64. D'après nature

ob direxit D'après nature par Leveillé Tome 7. Pl.64. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VII. PLANCHES 65, 66 ET 6

opérée parla main droite du chirurgien. Tome 7. Pl.65. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.66. D'après natu

Pl.65. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.66. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.67. D'après natu

Pl.66. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.67. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VII. PLANCHE G8. instrum

la fabrique de M. Charrière. Pl.68. N.H. Jacob direxit d'après nature par Edmond Pochet. TOME VIL PLANCHES 69, 70 ET

és de la fistule. PLANCHE 70. FISTULES VÉSICO-VAGINALES (Grandeur nature ). Figure i. Suture d'une fistule transversale (

de suture. PLANCHE 71. POLYPES DU VAGIN ET DE L'UTÉRUS (Grandeur nature ). Figure i. Arrachement d'un polype (Procédé de

lat, (e) excise profondément le pédicule. Tome 7 Pl.69. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.70. D'après natu

Pl.69. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.70. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.71. D'après natu

Pl.70. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.71. D'après nature par N.H. Jacob. Imp. Lemercier, Benard C°. TO

dehors, afin d'eu pratiquer l'excision. Tome 7. Pl.72. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.73. D'après natu

Pl.72. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.73. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VII. PLANCHES 7 4 ET 7 5.

DE L'UTÉRUS DANS SA POSITION. FIGURE i. MÉTHODE VAGINALE. Grandeur nature (Procédé de M. Sauter). L'utérus étant abaissé

s et en avant pour l'extraire. FIGURE 2. MÉTHODE VAGINALE. Grandeur nature (Procédé de M. Dubled). L'utérus abaissé a été

ratique au-dessous la section du vagin. Tome 7. :Pl.74. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.75. D'après natu

:Pl.74. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.75. D'après nature par N.H Jacob Imp. Lemercier, Benard et C°. T

on droit el courbe. Tome 7. Pl.76. N.H. Jacob direxit D'après nature par Edmond Pochet. TOME VIL PLANCHE 7 7. OPÉR

e procédé de Physick. Tome 7 Pl.77. N.H.Jacob direxit d'après nature par Léveillé . lmp.Lemercier, Benard et C°. T

llips. Ténolomie sous-cutanée, page 310.) Tome 7. Pl.A. D'après nature par N.H. Jacob. TOME YTT. PLANCHES B, C, O, E.

esl indiqué {Figure T.. Tome 7. Pl.B. Tome 7. Pl.C. D'après nature par Léveillé Instrumens de la fabrique de Mr. C

strumens de la fabrique de Mr. Charrière. Torne 7 Pl.D. D'après nature par N.H. Jacob. Instrumens de la fabrique de Mr

Jacob direxit Instruments de la Fabrique de Mr Charrière. D'après nature par Leveillé TOME VII. PLANCHES F, G. opérati

—Figure i i : aspect de la fausse membrane organisée , copiée d'après nature sur une jeune fille, neuf mois après l'opération.

jeune fille, neuf mois après l'opération. Tome 7. Pl.F. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.G. Dirigé par N.

par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.G. Dirigé par N.H. Jacob. d'après nature par Leveillé TOME VIL PLANCHES H, I, J, K. op

ment consacrées au pied-bot. Les cas de difformités, dessinés d'après nature , nous ont été donnés par M. J. Guérin, et les pr

ns des péroniers latéraux et du péronier antérieur. FIGURE 2. Tiers nature . Valgus compliqué avec rétraction des fléchisseur

aisseaux et le nerf tibiaux antérieurs. To me 7. Pl. H. D'après nature par N. H. Jacob. Tome 7. Pl.I. D'après natu

Pl. H. D'après nature par N. H. Jacob. Tome 7. Pl.I. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. PI. J. D'après natu

Pl.I. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. PI. J. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.. K. N.H. Jacob

re par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.. K. N.H. Jacob direxit D'après nature par Léveillé TOME VU. PLANCHE L, M. instrumen

ticolis. PLANCHE M. Les exemples des torticolis, dessinés d'après nature , nous ont été fournis par M. J. Guérin. Les opéra

ctions lendineuses sur les jeunes enfans. Tome 7. Pl.L. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl. M. D'après natu

Pl.L. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl. M. D'après nature par N.H.Jacob . TOME VIL PLANCHE N. Celte pla

. Nous devons à ce chirurgien ces faits que nous avons copiés d'après nature . FIGURES 1 et 2. Valgus chez de très jeunes enf

e présente obliquement en haut. On conçoit que des guérisons de cette nature ne peuvent s'obtenir que dans le premier âge, lor

dons fléchisseurs, comme l'indique la main (figure 12) copiée d'après nature , les doigts étant fléchis sur la paume de la main

iiense ou de la profondeur vers la peau. Tome 7. Pl. N. D'après nature par N.H. Jacob. TOME VII. PLANCHES O, P. DIVE

dique que la succion vient d'être opérée. Tome 7. Pl.O. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.P. D'après natur

Pl.O. D'après nature par N.H. Jacob. Tome 7. Pl.P. D'après nature par N.H. Jacob.

e profonde léthargie. Le second partage les idées d’Hippocrate sur la nature des frictions : « Frictio dura ligat corpus, mo

, chef de la secte des méthodistes , variait les frictions d’après la nature des maladies; il prescrivait les frictions généra

t fréquemment des crises, « par le moyen des quelles, ajoute-t-il, la nature aidée et dominatrice, expelle et chasse le venin

ervateurs comme Hippocrate et Galien se soient attachés à préciser la nature et la propriété de chaque friction, s’ils n'en av

de quatorze ans, je ne voulus rien apprendre; les privations de toute nature , les mauvais traitements, que je méritais bien, n

nsecte qui passe dans l’air ou remue discrètement la mousse. Toute la nature avait pour moi des harmonies que je croyais resse

réatures. J’étais ravi, enchanté d’élre comme l’écho du murmure de la nature ; celte sorte d’extase durait quelquefois des jou

nt que toutes les remontrances actives et violentes, empêchait que ma nature ne changeât. Apprendre! A quoi bon? me disais-j

du mensonge, le sentiment du juste et de l’injuste s’enracina dans ma nature , je découvrais les coupables à leur physionomie.

pour reprendre encore ma vie aventureuse et sauvage; en un instant la nature s’était décolorée, je ne la voyais plus de même,

de magnétisme éveilla tous mes sens, il me sembla qu’il voulait dire nature , et tout ce que dans mon enfance j’avais le plus

lors que je me rappelai mes premières années passées sans travail; la nature avait eu le temps nécessaire pour fortifier nus o

tique des mêmes phénomènes. Avec quel recueillement je contemplais la nature soumettant tous les êtres à la même loi! Témoigna

ourtant tout ce qu’on voulait me faire apprendre dans mon enfance: la nature lui était inconnue. Sceptique au dernier point, l

d’un monde à part, celui dit savant, n’ayant oresque plus rien de la nature , mais nageant en plein dans le fleuve de la scien

it, me voilà, moi, timide jusqu’à la faiblesse, obligé de corriger ma nature , ou tout au moins de paraître résolu; me voilà, m

ons nul repos?Le repos! Mais c’est déjà la petite mort. Est-ce que la nature se repose jamais? elle produit, détruit et reprod

vrir la loi du magnétisme , ses rapports avec les autres agents de la nature , ses vertus cachées encore à tous les yeux, la so

nquiétude; car, ne me regardant point comme un homme privilégié de la nature , ce que j’avais produit, un autre pouvait l’exécu

nouveau chemin, celui-là même que la science dédaignait : observer la nature , l’imiter ensuite? Quand j’interrogeais Deleuze,

ls ne peuvent satisfaire mon esprit. Puységur répondait encore : « La nature fait tout, mens agitai molem, expérimentez. » Del

deur les matériaux nécessaires à la construction que je projetais. La nature était là, devant moi ; je l’avais tant admirée da

s hommes produisent, comme nous préférerons bientôt la médecine de la nature à celle de la science ; car entre ces deux imitat

re, qu’aucun homme n’a ni greffé, ni écussonné porte des fruits de sa nature , ne devais-je point, moi, plante sans aucune cult

ait point entendue. La vérité a ce caractère, c’est qu’elle change la nature de l'homme, elle lui donne plus que le courage :

encore : tout ce qui est de convention, mais qui ne vient point de la nature , peut être délaissé. Je parlerai comme un Françai

cret qui nous fait porter la main sur le siège de nos souffrances? La nature ne semble-t-elle pas nous indiquer cette manœuvre

de son triste état et de ses souffrances. « L’autre plainte, d’une nature plus grave, avait été portée par un mari que la j

Laplace : « Nous sommes si éloignés de connaître les agents « de la nature et leurs divers modes d’action, qu’il « serait pe

rveilleux et du désir immodéré de connaître l’avenir, propres à notre nature , exploitent la faiblesse et la crédulité humaines

ain litre; puis tout ce monde flottant, sans principes, sceptique par nature , riant de tout, beau diseur sarcastique, qui pour

omènes s’étaient montrés sans ma* gnétisme, par la seule action de la nature . Pctetin, Cabanis et d’autres médecins, par leurs

’aller consulter des somnambules; car le magnétisme est une loi de la nature qui ne peut se tromper, tandis que le somnambulis

là un ordre de faits qui vient courber les harmonieuses lignes de la nature physique et morale. Mais notre grand malheur, à n

itiés, et qui disent : Venez, je vais vous révéler les mystères de la nature ; les voici dans ce petit format. D’autres, s’im

coup. J’irai demander la science à qui la possède; je solliciterai la nature sans trop l’importuner; je me rendrai digne de la

oir d’abord, l’admirer toujours et tâcher de l’imiter. Rien sans la nature , tout avec elle. Fouillant alors dans chaque fa

un principe différent, une force vivante le soutiendra dans l’air; la nature lui a fait comprendre, dans un langage mystérieux

et voilà pourquoi aujourd’hui je pense autrement que tous, et vois la nature comme Dieu l’a formée. Je n’ai point à ressuscite

Comme une plante rebelle à toute culture, mon fruit sera ce que la nature a voulu. Voilà pourquoi j’entendais des discour

s voir, les oreilles entendaient sans entendre, et l'interprète de la nature rencontrait à chaque pas l’erreur et la sottise h

ver comme eux à sc faire une position dans la fange et l’ordure. La nature m’offrit une consolation. Ce que je perdais en fa

ien moins d’importance qu’on ne lui en attribuait. Le magnétisme , sa nature , redevenaient donc l’objet principal, et je repla

oursuivie fuyait épouvantée. C’était le magnétisme, cet agent de la nature , qui apparaissait dans tous les faits attribués a

cause de la sorcellerie ; car les peuples, dans leur ignorance de la nature et des forces qu’elle emploie, voyaient partout l

élerons dans cet écrit, nous les exposerons à tous les yeux. Viens, Nature , réchauffer mon esprit; donne-moi force et courag

andrie, en savaient plus que nos Instituts sur tout ce qui tient à la nature et au pouvoir de l’homme. Yoilà soixante-dix an

! Ignorance et vanité, voilà la devise de son drapeau. Inspire-moi, Nature , laisse-moi saisir ta loi, afin que ma vengeance

e 1 homme, qu’il prétend être le développement progressif de toute sa nature , par rapport à une vie plus élevée au-delà de la

tuation et dans la condition de l’individu. Et comme c’est une loi de nature que chaque modification réelle et spontanée soit

lement une naissance dans un nouvel état d’existence plus parfait. La nature , qui est la seule véritable et immuable révélati

s la terre. D’abord il est échauffé par les éléments vivifiants de la nature qui sollicitent ses essences propres et ses princ

qui fut accompagné d’une sensation tranquille et douce qui pénétra ma nature entière. Ce calme fut aussitôt suivi de la perte

ais dès lors comprendre davantage ce que sont les dieux, ainsi que la nature de la résurrection des âmes. Une conscience supér

s parler près de moi. Quel élan de joie indicible se répandit dans ma nature maintenant exaltée, quand au milieu d’eux je reco

est point de phénomène proprement dit, j? «tout est phénomène dans la nature . Mon existence f est un phénomène; le bois qu’on

et soulève un des coins du voile qui lui dérobe la connaissance de la nature ; l’impossible de la veille devient le possible e

ustre Laplace : Nous sommes si éloignés de connaître les agents de la nature et leurs divers modes d’action, qu’il serait peu

acle serait une dérogation accidentelle faite par Dieu aux lois de la nature : cela ressort exclusivement du domaine de la thé

ge déplorable des bril- tantes qualités qu’ils avaient reçues de !a nature . La lucidité somnambuli-que n’est, pas plus que l

ans la voie où tous les hommes font quelques pas. L’observation de la nature nous permet de prononcer sur l’enchatnement de ce

issertations ; mais pour la guérison, n’y comptez pas, à moins que la nature ou le hasard ne sc mettent de votre coté. Si la m

ents personnels des consultants? Leurs opinions changeraient-elles la nature des choses ? Et les prévenus sont-ils responsable

é a été éprouvée, sont très-précieuses, peuvent faire connaître et la nature de la maladie et les remèdes les plus propres à l

es êtres faibles, bornés, soumis à toutes les misères inhérentes à la nature humaine, obligés par conséquent de pourvoir aux b

écouverle du Magnétisme, p. 7t. ïujuî X. — K" J30. - mai 1851. 5 sa nature , de propager et de recevoir toutes les impression

, p. 2. suffisante pour déterminer nne crise toutes les fois que la nature en avait besoin pour ramener l’équilibre des fonc